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1 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
à cette conception delà grande attaque hys-térique divisée en quatre périodes , conception si simple qu'on s'étonne de ne l'avoi
n état d'entière régularité et de complet développement. Les diverses périodes de l'attaque y sont décrites, en autant de cha-pi
de ses règles, et durent plusieurs jours. Elles sont précédées d'une période prodromique marquée par la plupart des signes sur
s'approche, mais il l'étreint trop violemment, elle étouffe, c'est la période épi-leptoïde qui survient. §2. — TROUBLES DES F
lque chose dans la production de l'écume qui vient aux lèvres dans la période épileptoïde. B... raconte qu'au moment de l'inv
démontrer qu'elles peuvent être considérées comme des ébauches de la période épi-leptoïde. Dans les prodromes de l'attaque,
ffocation est extrême, et bientôt la con-science se perd. La première période de l'attaque ou période épilep- oïde est commen
t bientôt la con-science se perd. La première période de l'attaque ou période épilep- oïde est commencée. En outre des phén
s, et le résultat obtenu ne saurait changer. CHAPITRE II PREMIÈRE PÉRIODE . — PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Une attaque complète d'é
sultat obtenu ne saurait changer. CHAPITRE II PREMIÈRE PÉRIODE. — PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Une attaque complète d'épilepsie vr
isés ; 3° Résolution générale et stertor. Nous retrouvons dans la période épileptoïde de l'attaque hys-téro-épileptique le
ression ovarienne arrête brusquement l'attaque à quelque moment de la période épileptoïde qu'on la pratique; 2° les interversio
bre 1878 de la Revue mensuelle de médecine et de chirurgie. C'est à PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE DE L'ATTAQUE HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE. (Tr
ple observation avait déjà donné, et nous divisons en trois phases la période épileptoïde de l'attaque hystéro-épileptique :
s progrès de la marée hystérique, dont le flot monte par degrés, la période épileptoïde est précédée de quelques phénomènes c
résolution la plus complète. des zones hystérogènes, le début de la période épileptoïde peut être tellement brusque que la ma
résentée. et a lieu dans la totalité des cas, en ce qui concerne la période épi-leptoïde del'attaque hystéro-épileptique.—La
de connaissance est complète pendant toute la durée de cette première période de l'attaque, et nous avons entre les mains un mo
oute sa connaissance. Si donc on vient à l'exercer pendant les autres périodes de l'attaque, la malade qui reprend ses sens, rac
parfaitement le sujet des hallucinations qui président à ces diverses périodes , comme nous le verrons plus loin; mais pendant la
ue, mais il ne se produit pas au début. Il fait partie de la deuxième période et est le plus souvent aigu et prolongé, toute-fo
'on serait tenté de confondre avec les con- torsions de la deuxième période , dont nous parlerons plus loin, si l'on ne remarq
cifiement, qui est parfois une attitude passion-nelle de la troisième période . (Fig. 21.) Enfin il semble que la grande convu
relâchement musculaire complet qui constitue la troisième phase de la période épileptoïde. § i. — PHASE DE RÉSOLUTION MUSCULA
t dans un membre. Cette contracture imprime à la malade, pendant la période du stertor, des attitudes variées. (Fig. 28.) F
sont animées de courtes et rapides oscillations. § 5. — DURÉE DE LA PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE ET DE SES DIVERSES PHASES. La pério
5. — DURÉE DE LA PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE ET DE SES DIVERSES PHASES. La période épileptoïde n'a guère de durée constante que dans
de la séparer de l'intervalle de calme qui souvent se trouve entre la période épileptoïde et la deuxième période de l'attaque,
lme qui souvent se trouve entre la période épileptoïde et la deuxième période de l'attaque, et par-fois elle manque complètemen
et par-fois elle manque complètement. En moyenne on peut dire que la période épileptoïde dure dans son ensemble plusieurs minu
tage. Mais s'il est diffi-cile d'être précis sur la durée de toute la période épileptoïde, il n'en est pas de même relativement
nt immédiatement aux mouvements cloniques, enfin le peu^e durée de la période épileptoïde tout entière. Nos tracés ont été pr
grandes variations. § G. — QUELQUES OBSERVATIONS. — VARIÉTÉS DE LA PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE. Avant de signaler les diverses mod
signaler les diverses modifications dont est susceptible la première période de l'attaque, je crois qu'il ne sera pas superflu
oncrets, choisis parmi celles de nos malades qui nous ont présenté la période épileptoïde dans son type le plus régulier et le
égulier et le plus complet. Gl... (9 avril 1878). Description de la période épileptoïde. Début. — Quelques secousses généra
oule le long du menton. Après un repos de courte durée, la deuxième période de l'attaque com-mence : les contorsions, les gra
ue nous dirons plus loin. Marc... (3 avril 1878). Description de la période épileptoïde. L'attaque débute par un mouvement
ourt. Et la malade passe ensuite aux grands mouvements de la deuxième période . Math... 13 juillet Période épileptoïde. Débu
te aux grands mouvements de la deuxième période. Math... 13 juillet Période épileptoïde. Début. — Les yeux se convulsent à
entrecoupée de secousses généralisées. Alphonsine Bar... Juin 1878. Période épileptoïde. Début. — Fixité du regard; la resp
tor pro-noncé, et l'écume coule en abondance. Witt... 23 mars 1878. Période épileptoïde. 1° Phase tonique. —a) Mouvements t
se montrent plus fortes dans les membres supé-rieurs. Telle est la période épileptoïde complète et régulière : mais elle peu
ment étranger vient se surajouter à ceux qui d'ordinaire composent la période épileptoïde, par exemple : la contracture permane
Marc... 26 février 1878.— Les attaques se succèdent avec leurs trois périodes diversement accusées. La première période est éco
succèdent avec leurs trois périodes diversement accusées. La première période est écourtée. Les yeux se convulsent, la tête tou
endent brusquement, et commentent les grands mouvements de la seconde période de l'attaque. Ici, la période épileptoïde est uni
ent les grands mouvements de la seconde période de l'attaque. Ici, la période épileptoïde est uniquement représentée par les gr
tonique peut se prolonger et môme représenter à elle seule toute, la période épilep-toïde de l'attaque. d) Les petits mouvem
épileptoïde. Il arrive parfois, que les deux premières phases de la période épileptoïde, phase tonique, phase clonique, se ré
ement chez Marc... 9 avril 1878. Marc... a ses grandes attaques. La période épileptoïde se com-pose des diverses phases déjà
de cercle. ) A.Delahayc et E. Lecroanier. CHAPITRE III DEUXIÈME PÉRIODE . — PÉRIODE DES CONTORSIONS ET DES GRANDS MOUVEMEN
) A.Delahayc et E. Lecroanier. CHAPITRE III DEUXIÈME PÉRIODE. — PÉRIODE DES CONTORSIONS ET DES GRANDS MOUVEMENTS (CLONISM
s assez court, mais le plus souvent bien marqué, commence la deuxième période . La deuxième période dans ses différentes phase
plus souvent bien marqué, commence la deuxième période. La deuxième période dans ses différentes phases et dans ses va-riétés
ire. C'est, si l'on veut me passer une expression un peu vulgaire, la période des tours de force; et ce n'est pas sans raison q
ices musculaires auxquels se livrent les acrobates. En effet, cette période comprend deux phases, celle des atti-tudes illogi
ogiques par M. Charcot pour les opposer aux attitudes de la troisième période , attitudes pas- sionnelles, qui toujours sont l
ues de l'épilepsie. Si dans quelques cas les contorsions suivent la période épi-leptoïde de si près qu'elles semblent se conf
e et que la distinction entre les attitudes tétaniques de la première période dont nous avons parlé, et les attitudes illogique
ode dont nous avons parlé, et les attitudes illogiques de la deuxième période dont il s'agit, devient difficile; il en est d'au
ntorsions apparaissent dans l'ordre indiqué, nettement séparées de la période épileptoïde. Il suffira d'en citer quelques-uns :
(25 mars 1878) est en attaque depuis 9 heures du matin. Les diverses périodes se succèdent ainsi : La première période existe d
ures du matin. Les diverses périodes se succèdent ainsi : La première période existe dans son entier développement et avec ses
ire place aux secousses, puis à la résolution musculaire. La première période est complète et bien terminée. Deuxième période
ulaire. La première période est complète et bien terminée. Deuxième période . Après un repos de quelques minutes pendant lesqu
la forme de « salutations » et sont accompagnés de.cris. Troisième période . Surviennent ensuite les scènes mouvementées delà
e période. Surviennent ensuite les scènes mouvementées delà troisième période et les attitudes passionnelles dont il sera parlé
t par des secousses d'abord éloignées qui se rapprochent. La première période est marquée par les grands mouve-ments toniques e
rolonge et l'attaque s'en tient là, pour recom-mencer par la première période au bout de quelques instants. Ou bien, après un
de quelques instants. Ou bien, après un instant de calme les autres périodes se succèdent dans leur ordre habituel. On voit al
mouvements rythmiques et les attitudes pas-sionnelles de la troisième période , avec les hallucinations et le délire. Je pourr
avec tous leurs caractères, et parfaitement distinctes de la première période , apparaissaient sous trois formes différentes, se
ont au nombre de trois. Fig. 45. — Contorsion. Après une première période épileptoïde fort bien marquée par la roideur toni
lèvres et les mouvements cloniques généralisés, survient la deuxième période qui débute par les kicher. • (i grands mouvem
ou contorsion, par laquelle elle passe avant d'arriver à la troisième période de son attaque. En effet il se produit encore que
lucina-tions et les attitudes passionnelles qui marquent la troisième période . Cette Fig. 46. — Variété de l'arc de cercle.
uvements ou après. Il est distinct de celui qui s'observe à la même période , au mi-lieu des mouvements désordonnés. B. — Le
avril 1878. Attaques remarquables par une prolongation de la deuxième période marquée par les mouvements les plus variés. Pre
uxième période marquée par les mouvements les plus variés. Première période . — Tétanisme généralisé suivi de convulsions clon
coule des lèvres. Suit un sommeil stertoreux peu accusé. La première période dure de une à deux minutes. Deuxième période. —
eu accusé. La première période dure de une à deux minutes. Deuxième période . — Commence par une contorsion dans l'attitude de
Enfin l'agitation échappe à une description régulière. La deuxième période , composée uniquement de ces mouvements variés, du
ments variés, dure en moyenne vingt à ving'-cinq minutes. Troisième période . — Puis Gen... appelle Camille..., etc. La troisi
ec les mêmes caractères. Enfin les grands mouvements de la deuxième période sont sus-ceptibles de nombreuses variétés, dont l
alpêtrière que j'ai eu l'occasion d'observer récemment. A la deuxième période de son attaque, elle imite le bruit d'une locomo-
ite. Ses attaques sont presque exclusivement composées de la deuxième période qui se prolonge et revêt une forme qui s'éloigne
onge et revêt une forme qui s'éloigne du type vulgaire. La première période est représentée par quelques grands mouvements on
alors surviennent les petits mouvements cloniques généralisés. Cette période dure fort peu de temps. Deuxième période. — Apr
oniques généralisés. Cette période dure fort peu de temps. Deuxième période . — Après un instant de repos, ou bien tout de sui
ntremêlent et se répètent, prolongeant ainsi indéfiniment la deuxième période , qui peut durer sans trêve jusqu'à cinq ou dix mi
e, qui peut durer sans trêve jusqu'à cinq ou dix minutes. Troisième période . — J'ai observé la malade près d'une heure et je
vements de frayeur, et des phrases entre-coupées marquer la troisième période . Le plus souvent les convulsions toniques décrite
aient les mêmes mouvements. 10 juillet. Grande attaque. La deuxième période est marquée par l'arc de cercle et l'imitation
t 1879. Attaques plus complètes que celles du 5 juillet. La pre-mière période , ou période épileptoïde, s'y présente avec ses di
ques plus complètes que celles du 5 juillet. La pre-mière période, ou période épileptoïde, s'y présente avec ses diverses phase
l'évolution régulière que nous avons décrite plus haut. La troisième période , ou période des attitudes passionnelles, y est re
régulière que nous avons décrite plus haut. La troisième période, ou période des attitudes passionnelles, y est représentée pa
sur lesquelles nous aurons occasion d'insister plus loin. La deuxième période imite le chemin de fer, de la façon que nous avon
e rien. Au contraire, réveillée de la même façon pendant la troisième période , elle a parfaitement raconté le sujet de ses hall
u chemin de fer est encore en quelque sorte plus parfaite. Après la période épileptoïde suivie d'un instant de repos, le « ch
Je n'insiste pas, en terminant, sur les variétés de cette deuxième période de l'attaque. Les contorsions et les mouvements p
nom d'attaques démoniaques. § 3. — ÉTAT MENTAL PENDANT LA DEUXIÈME PÉRIODE , La perte de connaissance n'est pas la règle du
E PÉRIODE, La perte de connaissance n'est pas la règle durant cette période , comme il arrive pour la période épileptoïde. Il
ance n'est pas la règle durant cette période, comme il arrive pour la période épileptoïde. Il est d'ailleurs fort difficile de
onnage qui joue un grand rôle dans les hallucinations de la troisième période . Wit..., réveillée par la pression ovarienne au
'arc de cercle mise par nous au nombre des contorsions de la deuxième période , la perte de connaissance n'est pas aussi absolue
ode, la perte de connaissance n'est pas aussi absolue que pen-dant la période épileptoïde, et qu'il existe parfois une hallucin
gré la présence de cette hallucination, les contorsions de la seconde période se séparent nettement des attitudes de la trois
e nom d'altitudes passionnelles con-vient parfaitement à la troisième période , la dénomination d'atti-tudes illogiques n'est pa
ogiques n'est pas moins justifiée pour ce qui a lieu dans la deuxième période . CHAPITRE IV TROISIÈME PÉRIODE. — PÉRIODE DES
our ce qui a lieu dans la deuxième période. CHAPITRE IV TROISIÈME PÉRIODE . — PÉRIODE DES ATTITUDES PASSIONNELLES Entre la
a lieu dans la deuxième période. CHAPITRE IV TROISIÈME PÉRIODE. — PÉRIODE DES ATTITUDES PASSIONNELLES Entre la deuxième p
ME PÉRIODE. — PÉRIODE DES ATTITUDES PASSIONNELLES Entre la deuxième période et la troisième, la limite n'est pas toujours aus
rsion, et même pendant les grands mouvements. Le caractère de cette période se trouve parfaitement défini par le nom que lui
se trouve parfaitement défini par le nom que lui a donné M. Charcot, période des attitudes passion-nelles ou des poses plastiq
e concorde en tous points avec ce que l'on a observé. Pendant cette période des hallucinations, elle est complètement insensi
dant un temps plus ou moins long et doit être rangé dans la quatrième période . Nous y reviendrons au chapitre suivant. Ce que
a justesse de la dé-nomination sous laquelle M. Charcot désigne cette période de l'at-taque. Les divers tableaux qui la compose
cun d'eux, notée pendant l'une quelconque des attaques. Secondes.1° Période épileptoïde............... 502° Grands mouvements
ur à tour gai ou triste, que se développe invariablement la troisième période de l'attaque de Marc... Pour l'interpréter, notre
suppléer par quelques figures. Les grands mouvements de la deuxième période , dont il a été question page 86 et représentés fi
ttitudes passionnelles. parles visions d'animaux, Mais la troisième période de l'attaque est finie; elle afait place à la qua
sième période de l'attaque est finie; elle afait place à la quatrième période avec ses hallucinations spéciales, jusqu'à ce qu'
ement convulsif des paupières ou de l'abdomen indique le retour de la période épileptoïde d'une nouvelle attaque, comme cela a
lire dure souvent fort longtemps, mais il fait partie de la quatrième période , dont nous parlerons plus loin. . En dehors de
lles on peut distinguer, malgré une apparente complication, les trois périodes ordinaires. 9 heures 20. Après un moment de cal
er... ait repris connaissance, par un autre attaque qui débute par la période épileptoïde, et se reproduit à peu près de la mêm
varié. La thèse dcDunant J'ai dit précédemment que cette troisième période de l'attaque hystéro-épileptique, ou période des
ment que cette troisième période de l'attaque hystéro-épileptique, ou période des attitudes passionnelles, va-riait suivant la
auver ou à se soustraire... Elle lutte... Aussi chez elle la deuxième période semble-t-elle se confondre avec la troisième. N
lucination commençait pen-dant les grandes salutations de la deuxième période , et qu'à ce moment elle s'imaginait courir et se
ements du tronc, qui ca-ractérisent plus particulièrement la deuxième période . Nous pouvons opposer àl'observation de Ler...
nt entréeà la Salpêtrière, et dont les attaques présentent les quatre périodes que nous décrivons. Pendant la troisième période,
ésentent les quatre périodes que nous décrivons. Pendant la troisième période , elle assiste à des scènes de pure, imagination ;
de ce genre. Sans parler delà régularité de succes-sion des diverses périodes de l'attaque qu'une malade ne saurait in-venter,
'hystérie sur la nature des hallucinations qui composent la troisième période de l'attaque, et montré comment, dès le début, l'
r augmenter la durée et la variété des hallucinations de la troisième période , mais la plus grande part en revient toujours aux
muet s'établit entre elle et un être ima-ginaire. Tout d'un coup la. période épileptoïde la surprend au milieu de son sourire.
r assez court pendant lequel l'écume coule plus abondante. Deuxième période . —Après un repos assez court la malade est. prise
nographie photographique de la Salpêtrière, t. I, p. 125. Troisième période . — Bientôt le rire et la satisfaction reviennent
l'étouffer et elle perd connaissance. C'est le moment où survient la période épileptoïde. Quand l'hallucination reparaît elle
rouvera presque toujours la raison des hallucinations de la troisième période de l'attaque. Pour terminer, je résumerai en qu
inctifs de cet état nerveux particulier qui carac-térise la troisième période de l'attaque hystéro-épileptique, et que nous avo
ade garde le souvenir de ses hallucinations. CHAPITRE V QUATRIÈME PÉRIODE . — PÉRIODE DE DÉLIRE Après la période des attit
e souvenir de ses hallucinations. CHAPITRE V QUATRIÈME PÉRIODE. — PÉRIODE DE DÉLIRE Après la période des attitudes passio
ons. CHAPITRE V QUATRIÈME PÉRIODE. — PÉRIODE DE DÉLIRE Après la période des attitudes passionnelles ou poses plas-tiques,
de quelques troubles du mouvement. Ce délire constitue une quatrième période par laquelle passe la malade avant de retrouver s
ar terre, je parvins à lui comprimer l'ovaire. Fig. 79. — Quatrième période : Délire triste. Habituellement ce délire est p
d les premières lignes de quelques pages. Ce délire de la quatrième période porte sur les sujets les plus variés. Il est tant
m'apprenait à lire et à écrire..., etc. » Ce délire de la quatrième période , bien que souvent accom-pagné d'hallucinations su
nettement des attitudes passionnelles qui carac-térisent la troisième période et dont nous avons longuement parlé. On conçoit q
ensibilité (hallucina-tions, illusions), la troisième et la quatrième période puissent parfois se confondre.* Peut-être les lim
ériode puissent parfois se confondre.* Peut-être les limites des deux périodes ne sont-elles pas toujours nettement tranchées; m
de mémoire, dans l'autre c'est le délire d'action. Dans la quatrième période , la malade converse et raconte; dans la troisième
des attitudes variées; là, des paroles, des discours. Si la quatrième période se parle, la troisième se joue. Les hallucination
raison d'être, la condition nécessaire, sine quâ non de la troisième période , les attitudes passionnelles n'en étant en quelqu
-duction objective; elles manquent le plus souvent dans la qua-trième période , et sont remplacées par des illusions. Pour acc
ur accuser encore davantage les différences qui séparent la troisième période de la quatrième, nous pouvons opposer à la mobili
uvons opposer à la mobilité des conceptions délirantes delà quatrième période , ce caractère spécial des hallucinations de la
me période, ce caractère spécial des hallucinations de la troisième période de se reproduire d'une façon toujours identique.
attitudes, des paroles qui ne varient pas. Le délire de la quatrième période n'est pas ainsi stéréotypé. Il est varié à l'infi
revivre dans tous leurs détails, comme cela a lieu dans la troisième période . Mais le plus souvent ce délire de la fin puise s
lligence et des divers sens permet encore de distinguer la troi-sième période de la quatrième. Dans la troisième période, la ma
e distinguer la troi-sième période de la quatrième. Dans la troisième période , la malade est complètement distraite du monde ex
en dehors d'elle ne saurait influencer son délire. Dans la quatrième période , sans avoir complètement recouvré ses sens, elle
n attaque par la pression ovarienne, amène ce délire de la qua-trième période » Chez une même malade la distinction de la troi
hez une même malade la distinction de la troisième et de la quatrième période est toujours facile à établir. Le contraste est s
ujours facile à établir. Le contraste est saisissant lorsque les deux périodes existent, mais il ne faut pas oublier, comme nous
lus loin en traitant des variétés de l'attaque, que l'une de ces deux périodes peut faire défaut. . Ce que nous avons dit du d
défaut. . Ce que nous avons dit du délire de Marc... à la quatrième période de l'attaque, montre assez combien il est différe
bleau si varié qu'offrent les attitudes passionnelles de la troisième période . Gl... nous offre un nouvel exemple non moins fra
nouvel exemple non moins frappant. Fig. 80. Délire de la quatrième période . On se souvient des scènes si émouvantes qui co
On se souvient des scènes si émouvantes qui composent la troisième période de l'attaque de Gl... Nous les avons décrites tou
de Gl... Nous les avons décrites tout au long. La fin de la troisième période est toujours marquée par les mêmes hallucinations
ns considérer cette phase de délire comme appar-tenant à la quatrième période de l'attaque. Peu à peu les larmes cessent et la
composer les grandes séries qui durent plusieurs heures, la quatrième période de l'attaque est représentée pour le moins par le
venons d'indiquer. Mais il est des attaques qui offrent une quatrième période beaucoup plus étendue, comme le prouvent les quel
à mettre en relief les caractères spéciaux du délire de la quatrième période sur lesquels nous avons insisté. Gl..., dans se
. Gl..., dans ses attaques du 14 mars 1878, présente une qua-trième période plus longue que de coutume et dont voici quel-que
ntendu sonner... (Nous avons fait remarquer que, pendant la troisième période , la malade demeure insensible à toute espèce de b
i on savait, etc. » A la suite d'une nouvelle attaque, la quatrième période est marquée par un délire analogue. Elle converse
maman, j'ai vu je ne sais quoi, etc. » Si le délire de la quatrième période n'esf pas toujours aussi accusé chez notre malade
prendre une extension bien plus considérable aux dépens des autres périodes de l'attaque. Et il constitue si bien quelque cho
ue. Et il constitue si bien quelque chose de distinct de la troisième période , qu'on l'a vu, dans quelques cas, remplacer les a
heure de l'après-midi et ne s'est terminée que le soir. Les diverses périodes se succèdent comme d'habitude. — La 4e période es
le soir. Les diverses périodes se succèdent comme d'habitude. — La 4e période est marquée d'un délire dont voici quelques exemp
issent habituellement du côté gauche de son lit. Fig. 81. Quatrième période . Zoopsie. Gen... 26 février 1878.— Après une sé
er 1878.— Après une série de 14 attaques, survient le délire de la 4e période . — « Chameau, C..., va c'est fini, je ne te rever
son attaque par une phase qui présente à un haut Fig. 82. Quatrième période . Zoopsie. degré les principaux caractères que n
. degré les principaux caractères que nous assignons à la quatrième période . — Le délire si violent, si terrible, dont nous a
onné un exemple plus haut (p. 418) et qui fait partie de la troisième période , fait place à un délire plus calme. L'agitation c
tracturer partiellement. Voici quelques exemples de cette quatrième période des attaques de notre malade Ler... 11 février
ncé à sept heures et demie. Il est dix heures cinq minutes. Après une période épileptoïde bien marquée, et une période de grand
ures cinq minutes. Après une période épileptoïde bien marquée, et une période de grands mouvements désordonnés et de rage, sa f
s. » Elle crie par la fenêtre et va regagner son Fig. 83. Quatrième période . Ler... « souffle le feu ». lit. A pçine couché
nt nous avons parlé, Gl..., qui, au moment où se termine la troisième période de l'at-taque, ne manque jamais d'entendre la mus
— A sept heures moins le quart, attaqueuniqne composée d'une première période épileptoïde bien nette, d'une deuxième période de
omposée d'une première période épileptoïde bien nette, d'une deuxième période de grands mouvements (soulèvements du tronc, gran
nc, grandes salutations, agitation des jambes, etc.), d'une troisième période avec un délire très agité, mêlé de grands mouveme
c un délire très agité, mêlé de grands mouvements, et d'une quatrième période qui se pré-sente ainsi : Ler... exécute plusieu
e d'eau d'un seul trait et tout paraît finid. » C'est pendant cette période de l'attaque que se produisent les affirmations l
ou partielle persiste souvent après l'at-taque. Fig. 84. Quatrième période . Contractures généralisées. A. — Contracture gé
la contracture arrachent des cris à la patiente. Fig. 85. Quatrième période . Contractures généralisées. La contraction des
ce avec les attitudes que nous avons décrites dans le tétanisme de la période épileptoïde et dans la période des contor-sions,
avons décrites dans le tétanisme de la période épileptoïde et dans la période des contor-sions, s'en distinguent aisément. Nous
lade a parfaitement conscience de son état; elle Fig. 86. Quatrième période . Contractures généralisées. souffre horriblemen
lle, qui par-fois succède aux attaques et se montre dans la quatrième période , n'est habituellement pas douloureuse. Elle attei
e attaque, qui commence à trois heures i demie, présente les diverses périodes dont il a été question et se termint ainsi : Aprè
es se terminaient par une abondante salivation 3. » Cette quatrième période peut durer de quelques heures à plu sieurs jours.
TAT DE MAL HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUU A. Marche des attaques. Durée. — Les périodes dont on vient de lire la description se succèdent
constituer une attaque d'hystéro-épilepsie régulière et complète. La période épileptoïde dure en moyenne de une à trois minute
ire elle est nettement séparée, par un moment de calme, de la seconde période (clonisme : grands mouvements et contorsions), do
nts et contorsions), dont la durée est à peu près égale à celle de la période épileptoïde. Enfin la ligne de démarcation est bi
est bien moins nette entre les attitudes passionnelles et la deuxième période , l'hallucination commençant quelquefois pen-dant
période, l'hallucination commençant quelquefois pen-dant celle-ci. La période des attitudes passionnelles est la plus longue, e
elle dure en moyenne de cinq minutes à un quart d'heure. Ces trois périodes , qui constituent à proprement parler l'attaque, o
e une durée moyenne d'un quart d'heure à une demi-heure. La quatrième période , qui est plutôt une sorte de prolonga-tion de l'a
La malade ne reprend pas con- naissance. Dans ce cas, la quatrième période fait défaut, et les at-titudes passionnelles sont
et les at-titudes passionnelles sont brusquement interrompues par la période épileptoïde d'une nouvelle attaque. La quatrième
mpues par la période épileptoïde d'une nouvelle attaque. La quatrième période ne se montre qu'à la fin de la série. 2° Les at
un quart d'heure. Dans ce cas l'attaque est complète et la quatrième période est représentée. Le nombre des attaques qui com
eurs heures. Dès le début l'attaque est souvent incomplète; une des périodes fait entièrement défaut ou ne se présente qu'à l'
u ne se présente qu'à l'état d'ébauche. Bientôt les trois principales périodes se montrent complètement développées; période épi
les trois principales périodes se montrent complètement développées; période épileptoïde, période des contorsions et des grand
s périodes se montrent complètement développées; période épileptoïde, période des contorsions et des grands mouvements, période
ériode épileptoïde, période des contorsions et des grands mouvements, période des attitudes passionnelles se suivent sans inter
a malade ni trêve ni repos. C'est en quelque sorte le fastigium ou la période d'état de la série; la durée en est plus ou moins
ongue. Puis la violence des accidents diminue peu à peu. Les diverses périodes sont séparées par un intervalle dereposet les att
et les attitudes passionnelles sont suivies du délire de la quatrième période , qui prend une importance de plus en plus giande.
acent peu à peu, cédant la place aux accidents variés de la quatrième période . Le délire se prolonge, les contractures générale
nent et arrachent des cris à la patiente. Il ne reste plus des autres périodes de l'attaque que quelques phénomènes épileptiform
emeure encore en proie à quelques-uns des phé-nomènes de la quatrième période , qui cessent bientôt entièrement, ou persistent a
. Voici quelques observations dans lesquelles la durée des diverses périodes a été notée avec soin ; on y trouvera quelques ex
ient les attaques vers la fin de la série. 14 mars. — Gl... I. 1° Période épileptoïde................................... 85
s erotiques de courte durée........................... 135 II. 1° Période épileptoïde.................................... 8
" Phase terrible..................................... 40" III. 1° Période épileptoïde................................... 60
45" Lubricité........,................................ 45" IV. 1° Période épileptoïde................................... 60
es attaques suivantes, observées chez Marc..., ne présentent que deux périodes : a) période épileptoïde; b) période des hallucin
ivantes, observées chez Marc..., ne présentent que deux périodes : a) période épileptoïde; b) période des hallucinations et de
Marc..., ne présentent que deux périodes : a) période épileptoïde; b) période des hallucinations et de délire. 1° — Période é
riode épileptoïde; b) période des hallucinations et de délire. 1° — Période épileptoïde.....................................
Délire indifférent...................................... 15' 2° — Période épileptoïde.....................................
élire triste, plaintes...................,............... 15" 3° .— Période épileptoïde.....................................
" Défi.................................................. 50" 4° — Période épileptoïde.....................................
10 Gaieté............................................... 45" 5° — Période épileptoïde.....................................
5° — Période épileptoïde..................................... 90 La période épileptoïde se répète sans interruption..........
Hallucination.......................................... 15" 6° — Période épileptoïde.....................................
° — Période épileptoïde..................................... 35" La période épileptoïde se répète comme dans l'attaque précé-
Désespoir, s'arrache les cheveux.......................... 40" 70 — Période épileptoïde.....................................
lre Attaque. Durée de quinze minutes. Elle est ainsi composée : a) Période épileptoïde. b) Grands mouvements et contorsion
ode épileptoïde. b) Grands mouvements et contorsions de la deuxième période . c) Hallucinations terribles de la troisième pé
de la deuxième période. c) Hallucinations terribles de la troisième période . 2e Attaque. Durée de quinze minutes. a) Péri
de la troisième période. 2e Attaque. Durée de quinze minutes. a) Période épileptoïde. b) Grands mouvements et contorsion
ode épileptoïde. b) Grands mouvements et contorsions de la deuxième période . c) Hallucinations terribles de la troisième pé
de la deuxième période. c) Hallucinations terribles de la troisième période . d) Le délire de la quatrième période apparaît.
ons terribles de la troisième période. d) Le délire de la quatrième période apparaît. 3e Attaque. Durée de six minutes. Bie
aractères que le numéro 1. On n'observe pas le délire de la quatrième période . 4e Attaque. Durée de quatorze minutes et plus.
trième période. 4e Attaque. Durée de quatorze minutes et plus. a) Période épileptoïde. b) Contorsions et grands mouvement
ode épileptoïde. b) Contorsions et grands mouvements de la deuxième période . c) Les hallucinations terribles de la troisièm
a deuxième période. c) Les hallucinations terribles de la troisième période n'existent pas. d) Délire de la quatrième pério
s de la troisième période n'existent pas. d) Délire de la quatrième période . 5e Attaque. Durée de trente et une minutes.
quatrième période. 5e Attaque. Durée de trente et une minutes. a) Période épileptoïde. b) Rage et grands mouvements. c)
b) Rage et grands mouvements. c) Les hallucinations de la troisième période ne reparaissent pas. d) La quatrième période se
ations de la troisième période ne reparaissent pas. d) La quatrième période se prolonge. L'on voit dans la seconde moitié d
la seconde moitié de cette série les hallucinations de la troisième période se supprimer pour faire place au délire de la qua
sième période se supprimer pour faire place au délire de la quatrième période . 18 mars 1878. —Marc... a ses grandes attaques
dix-neuf attaques. Les attaques sont composées des trois premières périodes . Voici comment se déroule l'attaque dont nous som
ttaque dont nous sommes témoin à notre arrivée : 20e attaque. — l10 période . Grands mouvements toniques décrits p. 51, et rep
puis mou-vements cloniques généralisés. Ondulation du ventre. — Cette période est très courte. ^"période. Trois grands mouvem
néralisés. Ondulation du ventre. — Cette période est très courte. ^" période . Trois grands mouvements de « salutation ». Trois
salutation ». Trois cris perçants et prolongés.— arc de cercle. 3e période . Délire lubrique avec attitudes passionnelles en
ote de la durée des attaques qui suivent : 21° attaque. — lre et 2e période ............................. 35" 3e période....
1° attaque. — lre et 2e période............................. 35" 3e période .................................. 4' 40" 22e at
e.................................. 4' 40" 22e attaque. — lrc et 2e période ............................. 1' 10" 3e période.
attaque. — lrc et 2e période............................. 1' 10" 3e période .................................. 5' 23e attaqu
3e période.................................. 5' 23e attaque. — lre période ................................. 50" 2e période
23e attaque. — lre période................................. 50" 2e période .................................. 45" 3e périod
......... 50" 2e période.................................. 45" 3e période .................................. 30' Pendant c
ériode.................................. 30' Pendant cette dernière période , qui se prolonge 1/2 heure, les attitudes passion
nsi que nous l'avons raconté plus haut (p. 103). 24e attaque. — lre période .................................. 1' 2e période
24e attaque. — lre période.................................. 1' 2e période manque. Les attitudes passionnelles font égalem
ntes et de contrac-tures généralisées que l'on doit ranger dans la 4e période . La durée de cette 4e période est de.............
alisées que l'on doit ranger dans la 4e période. La durée de cette 4e période est de................................... 2f 25
ode est de................................... 2f 25e attaque. — lre période .................................. 40" 2e périod
25e attaque. — lre période.................................. 40" 2e période n'existe pas. 3e période avec attitudes passion
................................. 40" 2e période n'existe pas. 3e période avec attitudes passionnelles bien carac-térisées
ais c'est pour la dernière fois. Dans les attaques qui suivent, la 3e période n'existe plus et est remplacée par les phénomènes
3e période n'existe plus et est remplacée par les phénomènes de la 4e période . Cette modification des attaques présage la fin d
ication des attaques présage la fin de la série. 26° attaque. — lrc période , consistant surtout en grands mou-vements tonique
hase de résolution n'existe pas............................. 70" 2° période n'existe pas. 3" période fait défaut. 4e péri
pas............................. 70" 2° période n'existe pas. 3" période fait défaut. 4e période marquée par un délire t
....... 70" 2° période n'existe pas. 3" période fait défaut. 4e période marquée par un délire triste, accom-pagné de plai
sées; la connaissance revient en partie...... 6' 27e attaque. — lro période .................................. 60" 2e et 3°
taque. — lro période.................................. 60" 2e et 3° période manquent 4° période comme précédemment.........
................................ 60" 2e et 3° période manquent 4° période comme précédemment.............. 3' 28e attaque
4° période comme précédemment.............. 3' 28e attaque. — lrc période ................................. 80" 2e et 3e p
ttaque. — lrc période................................. 80" 2e et 3e période manquent. 4e période marquée par un délire plus
............................... 80" 2e et 3e période manquent. 4e période marquée par un délire plus calme. Elle pleure abo
per-s;ste néanmoins......................... 4' 29e attaque. — lre période ................................. 55" 4e période
29e attaque. — lre période................................. 55" 4e période avec pleurs, plaintes et contracture gé-néralisée
e gé-néralisée.........¦..................... 3' 30e attaque. — lrc période ................................. 50" 4e période
30e attaque. — lrc période................................. 50" 4e période se prolonge. Marc... pleure, la contracture se
pé-riode être remplacées par des phénomènes qui appartiennent à la 4e période . 1er février 1878. — Marc..., pendant que nous
idement, nous notons leur durée ainsi qu'il suit : 4e attaque. — 1° Période épileptoïde écourtée, réduite à une téta-nisation
tudes passionnelles. Lubricité............. 1' 20" 5e attaque. — 1° Période épileptoïde écourtée................. 15" 2° Cr
des passionnelles. Lubricité et dégoût..... 1' 15" 6e attaque. — 1° Période épileptoïde........................ 30" 2° Cris
Attitudes passionnelles..................... 3'45" 7e attaque. — 1° Période épileptoïde........................ 15" 2° Gran
ttitudes passionnelles...................... l'30" 8e attaque. — 1° Période épileptoïde......................... 15" 2° Cri
Attitudes passionnelles...................... l'30" 9e attaque. —1° Période épileptoïde plus accusée............. 45" 2° Cr
titudes passionnelles..................... 3' 15" 10e attaque. — 1° Période épileptoïde écourtée................. 10" 2° Gr
titudes passionnelles...................... l'25" 41e attaque. — 1° Période épileptoïde........................ 10" 2° Gran
des passionnelles, dégoût, lubricité, fureur. 12' 12° attaque. — 1° Période épileptoïde........................ 20" 2° Gran
titudes passionnelles...................... 6'35" 13e attaque. — 1° Période épileptoïde----.................... 25" 2° Gran
Altitudes passionnelles..................... 13' 15e attaque. — 1° Période épileptoïde très accusée : phase tonique avec les
Attitudes passionnelles...................... 13' 18e attaque. — 1° Période épileptoïde........................ 20" 2° Cris
Attitudes passionnelles...................... 2' 19e Attaque. — 1° Période épileptoïde bien marquée............ 45" 2° Gra
° Attitudes passionnelles..................... 2' 20e Attaque. — 1° Période épileptoïde........................ 25" 2° Gran
Attitudes passionnelles..................... 15" 21e Attaque. — 1° Période épileptoïde, avec phase tonique et clo-nique bien
rviennent les contractures généralisées, et le délire triste de la 4e période . 22e attaque. — 1° Période épileptoïde.........
néralisées, et le délire triste de la 4e période. 22e attaque. — 1° Période épileptoïde........................ 25" 2° Gran
our de la connaissance........................ 3' 23e attaque.—4° Période épileptoïde courte.................. j 4° Contr
° Contracture généralisée, plaintes............ | 24e attaque. — 1° Période épileptoïde bien marquée, avec phase \ tonique, g
Délire triste, demande pardon............... / 25e attaque. — 1° Période épileptoïde....................... j ^ 4° Plain
4° Plaintes et contractures.................... j 26e attaque. — 1° Période épileptoïde............. •......... ) 4° Délire
4° Délire triste............................. ) 27° attaque. —1° La période épileptoïde est réduite aux grands mouvements t
e la connaissance............................ 3' 28e attaque. —¦ 1° Période épileptoïde marquée, au milieu de la contracture
e généralisée............................ 2'15" 29e attaque. — 1° Période épileptoïde comme précédemment..... 30 4° Contr
Contracture généralisée, plaintes............. 5' 30e attaque. — 1° Période épileptoïde incomplète. 2° Plaintes et contract
rité que nous avons signalée dans le mode de succes-sion des diverses périodes d'une attaque, peut se retrouver dans le mode de
pte quatre attaques qui se succèdent ainsi qu'il suit : N° I. — lr0 Période . — Tétanisme prolongé; membres dans l'extension;
nsion; — mouvements cloniques;— secousses; — stertor; — écume. 2e Période . — Grands mouvements; —; la tète frappe l'oreille
. 2e Période. — Grands mouvements; —; la tète frappe l'oreiller. 3e Période . — Attitudes passionnelles ; — elle voit le lion
e ; — crainte, terreur et menace; elle lève le poing. N° IL — lrc Période . — Semblable à la précédente. 2° Période. — Gra
ve le poing. N° IL — lrc Période. — Semblable à la précédente. 2° Période . — Grands mouvements; — la tête frappe l'oreiller
extension; les yeux ne sont pas convulsés; respiration normale. Cette période se prolonge de deux à trois minutes. La période
tion normale. Cette période se prolonge de deux à trois minutes. La période des attitudes passionnelles fait défaut. N° III
La période des attitudes passionnelles fait défaut. N° III. — lre Période . — Ne varie pas. 2e Période. — Grands mouvement
sionnelles fait défaut. N° III. — lre Période. — Ne varie pas. 2e Période . — Grands mouvements; — pas de contorsion. 3e P
rie pas. 2e Période. — Grands mouvements; — pas de contorsion. 3e Période . —Attitudes passionnelles ; elle voit Alphonse; s
e; scène lubrique; réveillée, elle se plaint amèrement. N°IV. — lrc Période . — Toujours la même. ^Période. — Grands mouveme
le se plaint amèrement. N°IV. — lrc Période. — Toujours la même. ^ Période . — Grands mouvements; — puis contorsion qui ne re
mains sur la poitrine; — durée, deux à trois minutes. La, troisième période manque, comme dans l'attaquen° II. Après cette
tion dans les scènes d'hallucinations et de délire des deux dernières périodes , comme on pourra le voir par les quelques exemple
èdent pour former une série. Nous en notons plusieurs : I. — a). La période épileptoïde est bien marquée, mais assez courte.
d'un coup survient une nouvelle attaque. II. —10 h. 10 min. a). La. période épileptoïde dure une minute. La phase tonique a l
h! ah !..» 10 h. 17. Une nouvelle attaque survient. III. — a). La période épileptoïde présente les mêmes caractères que pré
. Mais bientôt survient spontanément une nouvelle attaque. IV.— a). Période épileptoïde (phase tonique, phase clonique, écume
pression sur le point hyperesthésique mammaire pro-voque une nouvelle période épileptoïde qu'on ne parvient pas à arrêter par u
cette phrase qu'une nou-velle attaque survient. V. — 10 h. 33. a). Période épileptoïde semblable aux précédentes, à cela prè
ttaque qui ne tarde pas à éclater. VI. — 10 heures 38. a). Première période comme précédemment. b). Contorsions, cris, gran
VIL — 10 heures 48. a).Période épileptoïde comme précédemment. b). Période des contorsions et des grands mouvements, semblab
le attaque. VIII. —10 heures 54. a), b). La première et la deuxième période ne pré-sentent rien de nouveau. Elles durent ense
vingt-six grandes attaques complètes et de cinq attaques bornées à la période épileptoïde. Les grandes attaques n'ont pas chang
gé de caractère, elles se ressemblent toutes et ne varient que par la période des hallucinations et du délire, dont la variété
té paraît inépuisable. En voici un échantillon : 11 heure 50 a). La période épileptoïde est d'assez courte durée, on y distin
ous avons donnée. Nous y relèverons les caractères si accusés de la période épileptoïde, la régularité de la période des cont
caractères si accusés de la période épileptoïde, la régularité de la période des contorsions, qui se montrent sous trois forme
açon, enfin la nature des hallucinations qui président à la troisième période , dont la source est dans l'imagi-nation de notre
une heure. Si dans cette attaque nous trouvons sans difficulté une période épilep-toïde et une période des contorsions et de
attaque nous trouvons sans difficulté une période épilep-toïde et une période des contorsions et des grands mouvements, la péri
lep-toïde et une période des contorsions et des grands mouvements, la période des attitudes passionnelles paraît faire complète
Il est facile de distinguer dans ce que nous venons de rapporter la période épileptoïde, la période des contorsions et des gr
nguer dans ce que nous venons de rapporter la période épileptoïde, la période des contorsions et des grands mouvements et les é
d'observer chez cette malade le 9 septembre 1879 présentent les trois périodes habituelles, avec les parti-cularités suivantes :
des habituelles, avec les parti-cularités suivantes : l°La première période n'est qu'esquissée. Au début de l'attaque, la ma-
ues, et tout le corps demeure un instant rigide dans l'exten-sion. La période épileptoïde s'arrête là. Quelquefois même elle pa
Quelquefois même elle paraît man-quer complètement. 2° La deuxième période est bien marquée par des arcs de cercle, de l'agi
e l'agi-tation et de grands sauts de tout le corps. 3° La troisième période se prolonge pendant un temps fort long. Les hallu
te phase tonique, qui dure peu d'instants, représente à elle seule la période épilep-toïde. b). Aussitôt après, Léonore exécu
elle se met à exécuter les grands sauts déjà signalés. Cette fois, la période épileptoïde a paru faire complètement défaut. L
écédente. Puis commencent les attitudes passionnelles de la troisième période . Expression d'anxiété. La malade se tient la la
frotte la poitrine et exécute aussitôt les grands sauts de la seconde période . Les attitudes passionnelles' se succèdent ains
tout d'un coup. Si nous pouvons retrouver là la phase tonique de la période épileptoïde, la phase clonique manque complètemen
elle est au milieu des attitudes passionnelles. I. — 10 h. 36. a). Période épileptoïde marquée par une raideur de tout le co
uivie bientôt d'un tremblement généralisé et violent. ô).La seconde période est marquée par cinq grandes « salutations» rapid
geant de physionomie atout instant. II.— 10 heures 40. a). Nouvelle période épileptoïde semblable à la précé-dente. b.) Plu
nt général est suivi de quelques secousses. b). c). Les deux autres périodes suivent, présentant des caractères sembla-bles au
res périodes suivent, présentant des caractères sembla-bles aux mômes périodes des attaques précédentes. 1. Ce mouvement, qu'o
Dans la série d'attaques qui vient d'être rapportée, on observe une période épileptoïde nettement indiquée, bien que de court
eptoïde nettement indiquée, bien que de courte durée. Les deux autres périodes offrent un remarquable développement. La série
ment. La série suivante offre beaucoup d'analogie avec celle-là, la période épi-leptoïde est encore mieux accusée. 30 septe
mmencent aussitôt. I. — 10 h. 27. a). Tout le corps se raidit et la période épileptoïde se développe, passant successivement
erreur. II. — 10 h. 30. Une nouvelle attaque débute subitement. à). Période épileptoïde semblable à la précédente. b). Gran
c). Hallucination. La malade se tient la tête, elle veut fuir. Cette période est très courte. III. — 10 h. 32. a). La tête t
œuvre que l'hal-lucination reparaît à l'instant même, et la troisième période de l'attaque continue comme si de rien n'était. —
3. Nouvelle attaque aussitôt qu'on cesse la compression. a). Première période semblable aux précédentes. b). Deuxième période
ssion. a). Première période semblable aux précédentes. b). Deuxième période . Sauts, cris et contorsions variées. c). Troisi
Deuxième période. Sauts, cris et contorsions variées. c). Troisième période . Hallucinations et attitudes passionnelles. Elle
e survient, qu'on arrête par la compression ovarienne au milieu de la période des contorsions. On place de nouveau à la malad
l'attaque est suspendue. On voit en somme que pendant une troisième période fort développée, cette malade cause fort peu. Dan
e pé-riode conserve l'empreinte d'une vive originalité. La première période est remarquable par son intensité et a déjà été d
lus haut, page 67. Les grands mouvements et les cris de la deuxième période ont subi chez cette malade une modification singu
taques que nous avons pu observer chez cette malade, nous avons vu la période épileptoïde ne pas se répéter régulièrement à cha
à un danger. 10 h. 14 m. Nouvelle attaque qui débute par la seconde période . La période épileptoïde fait complètement défaut.
10 h. 14 m. Nouvelle attaque qui débute par la seconde période. La période épileptoïde fait complètement défaut. Retombée da
gus et prolongés qui imitent le sifflet de la locomotive. Troisième période . — Puis elle se place brusquement dans une attitu
ataleptique se reproduire souvent et marquer le début de la troisième période . Ensuite l'hallucination survient. Spontanément l
es cris « de sifflet » ne manquent pas. 10 h. 10 m. 30 s. Troisième période . Attitude cataleptique semblable à celle de l'att
frayeur. 10 h. 17 m. 30 s. Nouvelle attaque qui présente les trois périodes . Première période très marquée. La malade se ra
m. 30 s. Nouvelle attaque qui présente les trois périodes. Première période très marquée. La malade se raidit en faisant ente
a phase de résolution accompagnée d'un stertor peu accusé. Deuxième période . — 10 h. 18 m. 30 s. « Chemin de fer » avec grand
e fer » avec grands sauts et cris « de sifflet » répétés. Troisième période . — 10 h. 19 m. 30 s. Attitude de frayeur, son vis
nou-velle attaque commence qui débute par le « chemin de fer». Cette période se reproduit comme précédemment avec les cris aig
ou gaies. 10 h. 36 m. Nouvelle attaque analogue à la précédente. Période des grands mouvements et contorsions. Grands saut
ts. Le « chemin de fer » n'est qu'esquissé. Gris « de sifflet ». La période des attitudes passionnelles commence par l'attitu
érieure. C'est le début d'une nouvelle attaque qui présente les trois périodes . Période épileptoïde. La face se contracte, la
st le début d'une nouvelle attaque qui présente les trois périodes. Période épileptoïde. La face se contracte, la bouche ouve
accentuées que dans l'attaque précédente qui a présenté également une période épileptoïde. 10 h. 41 m. 30 s. Période des cont
qui a présenté également une période épileptoïde. 10 h. 41 m. 30 s. Période des contorsions et des grands mouvements. Imita-t
« chemin de fer » telle qu'elle a déjà été décrite. lOh. 43m. 30s. Période des attitudes passionnelles. Cette période commen
décrite. lOh. 43m. 30s. Période des attitudes passionnelles. Cette période commence par l'attitude cataleptique déjà signalé
ndiquent le retour d'une nouvelle attaque. 10 h. 55 m. Attaque sans période épileptoïde. La période des contorsions et grands
nouvelle attaque. 10 h. 55 m. Attaque sans période épileptoïde. La période des contorsions et grands mouvements se borne à l
ci très développée et dure 2 minutes et demie. 10 h. 57 m. 30 s. La période des attitudes passionnelles débute par l'at-titud
resserrées. 11 h. 14 m. Nouvelle attaque composée seulement de deux périodes comme la précédente. 11 h. 20 m. Nouvelle attaq
ndort la malade par le chloroforme. En résumé, chez cette malade la période épileptoïde est très-accusée. La deuxième pério
z cette malade la période épileptoïde est très-accusée. La deuxième période est marquée par une forme de grands mouvements to
té observée jusque-là. Et les attitudes passionnelles de la troisième période ont ceci d'irrégulier, qu'elles revêtent plusieur
le jour et a dormi. En résumé, nous voyons que chez cette malade la période épileptoïde manque complètement. Les attitudes pa
t empruntés aux contorsions, cris et grands mouvements de la deuxième période , et au délire avec zoopsie de la quatrième périod
nts de la deuxième période, et au délire avec zoopsie de la quatrième période . Nous avons eu occasion d'observer une attaque
s ne sont guère composées que de phénomènes appartenant à la deuxième période . En voici un exemple : 1er octobre. Attaques. —
rit les diverses phases de l'attaque que nous venons de rapporter. La période épileptoïde n'y est pas représentée; mais la prem
ses contorsions en forme d'arc de cercle, représente bien la deuxième période ou période des grands mouvements et des contorsio
ions en forme d'arc de cercle, représente bien la deuxième période ou période des grands mouvements et des contorsions, pendant
ième phase n'est autre chose qu'une attitude passion-nelle (troisième période de Vattaqué). Enfin la troisième phase présente t
Enfin la troisième phase présente tous les caractères de la quatrième période , retour in-complet de la connaissance, visions d'
ue de grande hystérie, à Tordre dans lequel se succèdent les diverses périodes , à la trame secrète qui relie les uns aux autres
t que l'ornementa-tion seule diffère. Nous voyons, par exemple, une période épileptoïde qui, tout en présentant une marche id
malade à l'autre. Chez Math..., les grands mouvements de la seconde période revêtent cette forme bizarre et inaccoutumée de l
ien présenté de semblable. Enfin les hallucinations de la troisième période se modifient d'une malade à l'autre; chacune en p
r chacune leur originalité. Les troubles qui composent la quatrième période sont aussi très variables. Bien que les visions d
certaines parties de l'attaque, et principalement des deux dernières périodes . Nous trouverons là la raison des grandes épidémi
est facile de dis-tinguer les phénomènes épileptoïdes de la première période , puis les contorsions (arc de cercle) et grands m
is les contorsions (arc de cercle) et grands mouvements de la seconde période se succédant dans l'ordre que nous avons indiqué.
. Rien du côté du cœur, ni des organes génitaux. Les deux premières périodes sont ici facilement reconnaissables. La raideur d
raideur des membres du début de l'attaque appartient évidem-ment à la période épileptoïde. Parmi les variétés de mouvements qui
ileptoïde. Parmi les variétés de mouvements qui composent la deuxième période , nous avons insisté sur le ba-lancement de la par
morragie se trouva supprimée; mais au dixième jour elle reparut. La période épileptoïde ne semble représentée ici que par les
que; suivaient les phénomènes que nous avons décrits dans la deuxième période : la contorsion (arc de cercle) et les grands mou
aissance. Survenait alors un' peu d'écume à la bouche. Cette première période durait de deux à trois minutes. Ensuite apparaiss
psie, qui rentre dans les troubles intel-lectuels et sensoriels de la période prodromique. SIXIÈME OBSERVATION. M. Pascal a
être observé, les grands mouvements et les contorsions de la deuxième période , suivis d'une agitation et d'un délire qui parais
n-trer dans les troubles intellectuels qui caractérisent la quatrième période . SEPTIÈME OBSERVATION. M. le docteur Bouyer a
es trois mois suivants : contractions toniques et cloniques (première période ?), crises qui occupaient autour d'elle dix ou dou
aisait, pendant une demi-heure, des bonds prodigieux ; dans une autre période , c'était un autre genre de convulsion; son corp
s épileptoïdes et aux grands mouvements et contorsions de la deuxième période , les attitudes passionnelles qui caractérisent la
e période, les attitudes passionnelles qui caractérisent la troisième période de la grande attaque. DIXIÈME OBSERVATION. Hy
n que, dans ses contorsions, lorsqu'à la forme cataleptique (première période ) succédera le désordre des mouvements (deuxième p
es mouvements (deuxième pé-riode) et la forme passionnelle (troisième période ) de la crise, la malade ne puisse ni s'échapper,
ttences de la crise pour alimenter la malade. Nous entrions dans la période des règles. Effectivement le neuvième jour elles
la description que nous avons donnée. Nous y trouvons en effet : \a période épileptoïde avec son début Drusque, le tétanism
Drusque, le tétanisme et la durée de une à deux minutes; la deuxième période avec la tendance à l'arc de cercle, la violence d
le, la violence des grands mouvements et les cris; enfin la troisième période avec l'attitude passionnelle de la prière ou de l
on a observé quelques-uns des troubles qui rentrent dans la quatrième période : anesthésie, contracture de la main gauche, amau
Weill, externe des hôpitaux, qui l'a recueillie en ville. Les quatre périodes de l'at-taque y sont parfaitement indiquées. L'hy
embres sont dans l'extension forcée, l'avant-bras en pronation. Cette période est caractérisée uniquement par des mouvements to
ière phase de l'attaque succède, sans transition aucune, une nouvelle période pendant laquelle la malade est agitée de violents
aques ont offert, à un moment donné, tous les caractères des diverses périodes que nous avons décrites. Il n'est pas sans intérê
-même témoin, et qui offrait, bien que peu déve-loppées, les diverses périodes facilement reconnaissables. 24 juillet 1879. —
grincent forte-ment. Cette phase, qui doit être considérée comme une période épileptoïde composée uniquement des grands mouvem
que la bouche s'ouvre et se ferme. Ce mouvement représente la seconde période (période des grands mouvements). En effet, suiv
uche s'ouvre et se ferme. Ce mouvement représente la seconde période ( période des grands mouvements). En effet, suivent des h
. Arrive enfin la perte de connaissance, la ma-lade se renverse et la période épileptoïde commence. — Cet état a duré de quelqu
rées se répètent plus souvent. Le hoquet survient fréquemment à cette période , et avec lui les traits de la physionomie prennen
tés en avant comme pour conjurer un péril imminent. C'est la deuxième période qui commence. Un second effet de la compression
compression dans les séries d'attaques, c'est le pas-sage subit à la période des contorsions, sans passer par la phase de réso
essaye de pleurer ou pleure réel-lement, et vient alors la troisième période qui ne dure pas longtemps. — Les yeux se ferment,
rt font le principal objet de ces hallucinations. Tant que dure cette période elle ne peut pas supporter la lumière. Des contra
sont les derniers), dès la compression ovarienne s'est développée la période des contorsions et des grands mouvements. Je puis
ariété démoniaque. C'est une forte note de plus ajoutée à la deuxième période que j'ai déjà dépeinte. Les trois der-nières séri
Après un calme de une à deux minutes, quelquefois trois, commence la période des contorsions et des grands mouvements. Les m
s'accentue et ces grands mouvements ne sont que plus accusés. 3° La période d'attitudes passionnelles manque souvent ; quand
, la malade, sans coma, sans respi-ration stertoreu.se, entre dans la période de contorsions et de grands mou-vements. 2° Les
ns qui se présentent, c'est la pé-riode de délire post-hystérique, la période des hallucinations; la malade a de la zoopsie, el
ncipalement des singes, toujours du même côté, à gauche. Toutes ces périodes durent un quart d'heure à vingt minutes. Elles se
be dans la résolution et le calme. 2° Cet entr'acte est suivi d'une période de convulsions et de grands mou-vements. Ce sont
uant la lutte et l'effroi. Parfois, il n'y a qu'une esquisse de cette période , et même elle manque assez souvent. 4° Le délir
la vue, battements dans la tête, puis perte de connaissance. 1° La période qui suit cet état est caractérisée par de la raid
tantôt c'est celle d'un prédicateur; mais elles durent à peine et la période de délire et des hallucinations commence. ¦4° L
'autre jambe s'élève, le pied tendu montrant l'espace. Durant cette période , la perte de connaissance ne paraît pas complète;
exté-rieur. Mais peut-être y avait-il alors de l'hallucination. C. Période des attitudes passionnelles. La malade estencore
t les bras croisés, elle semble révéler une tristesse réfléchie. D. Période de délire. La malade a repris ses sens, mais inco
nvulsif du bassin se dessine tout d'un coup immédiatement après cette période de délire; c'est l'annonce, le début d'une attaqu
e perd connaissance. L'attaque commence (dé-cembre 1878) : Première période . — La malade reste dans la position où elle a été
rge électrique; enfin, après s'être éloignées, elles font place à une période de calme et de relâchement musculaire. Dans cet
dormir; elle est en résolution complète, sans contracture. Deuxième période . —Elle est souvent nette, mais simplement ébauché
maçante. Il n'y a pas de grands mouvements, de clownisme. Troisième période . — Celle-ci n'est encore qu'esquissée. On peut sa
aimant, elle est reprise de mouvements rappelant ceux de la pre-mière période (phase clonique) et son attaque semble troublée d
clonique) et son attaque semble troublée dans ses phases. Quatrième période . — La malade porte la main à la région ovarienne
C'est là souvent le prélude de l'attaque (janvier 1878). Première période . — Celle-ci s'annonce par des mouvements exagérés
en même temps que tout le corps se contourne et se tortille. C'est la période épileptoïde avec les grands mouvements toniques.
s aurez, à très peu près, le tableau de la première scène. Deuxième période . —C'est celle-là qui prédomine, c'est l'attaque d
t de rage. La malade a perdu complètement connaissance. Troisième période . — Il n'y a pas d'attitudes passionnelles ni de p
sées à un être imaginaire. Les membres sont contractures. Quatrième période . — Cette contracture, accompagnée de crampes dou-
même au milieu de quelques rares mouvements, ébauches de la deuxième période , la jeune ma-lade prend une attitude et une physi
on des sens, pure création d'une imagination ardente et exaltée. D. Période de délire. — C'est la dominante chez cette jeune
squelles les attaques n'ont présenté qu'un certain nombre des traits ( période épileptoïde, pé-riode des contorsions et grands m
ns les quinze autres rien ne manque au tableau et toutes nos diverses périodes , depuis les phénomènes épileptoïdes jusqu'aux att
ue le premier accès a paru. Elles couloient imparfaitement Lcians les périodes qui suivirent. Elles devinrent plus abondantes ;
és seulement de phénomènes appartenant à la première et à la deuxième période . J'appellerai l'attention sur le début de l'acc
avec ceux que nous avons ob-servés chez nos malades est frappante. La période épileptoïde existe avec la contraction tétanique
tc., de la phase clonique. Puis l'agitation devient plus grande (2e période ) et survient un délire pendant lequel la malade a
quelques phénomènes qui appartiennent à la première et à la deuxième période sont encore plus accusés; comme le gonflement du
présentent des phénomènes qu'il est facile de rapprocher des diverses périodes que nous avons décrites. La période épileptoïde
ile de rapprocher des diverses périodes que nous avons décrites. La période épileptoïde est suffisamment indiquée par le débu
c., enfin l'écume à la bouche. Les grands mouvements de la deuxième période sont décrits avec leur violence et la fureur qui
trer dans les troubles mentaux qui caractérisent souvent la quatrième période . CINQUIÈME OBSERVATION1. Observation incomplè
lsions présentaient les caractères de la troisième et de la quatrième période . Second degré. — Il est caractérisé par la pert
me inusitée qu'ont présentée ici les grands mouve-ments de la seconde période , il est difficile de méconnaître les ana-logies q
malade; » puis elle tombe si elle est debout. Pendant cette première période de l'attaque qui s'accompagne de boule hystérique
s de la face qui devient livide, un peu d'écume à la bouche, c'est la période épileptiforme. Juin 1861. — Les attaques se son
eant. Nous retrouvons facilement dans cette observation la première période (période épileptoïde) et la deuxième période avec
ous retrouvons facilement dans cette observation la première période ( période épileptoïde) et la deuxième période avec les gran
observation la première période (période épileptoïde) et la deuxième période avec les grands mouvements et la contorsion si co
e dans laquelle on peut reconnaître les caractères de notre quatrième période . ONZIÈME OBSERVATION1. C... (Fanny), âgée de
environ, elle est malade pendant plusieurs jours de suite. Entre ces périodes , elle a des accès d'épilepsie isolés, mais pas tr
face grimace, le regard se fixe : c'est un accès d'épilepsie à trois périodes , tonique, clonique et résolutive avec stertor, éc
le délire des grandes attaques, revient sans cesse à son esprit. La période épileptoïde est fort bien décrite, les mouvements
en décrite, les mouvements très étendus et l'agitation de la deuxième période sont également indiqués. Enfin le délire avec hal
de V extase dont il est parlé, suffisent à ca-ractériser la troisième période . DOUZIÈME OBSERVATION i. B... (Henriette), âg
iques, puis les épileptiques. On trouve ici réunis les signes de la période épileptoïde et de la période de clownisme, bien q
On trouve ici réunis les signes de la période épileptoïde et de la période de clownisme, bien que l'ordre de succession para
attaque hystérique, telle que nous l'avons décrite avec ses di-verses périodes . Cette analogie estfortintéressante à constater
alogies avec notre description. On y retrouve sans peine les diverses périodes . La malade voit du sang pendant la période des ha
e sans peine les diverses périodes. La malade voit du sang pendant la période des hallucinations. Nous savons que le vertige
attaque débute par des phénomènes épileptiformes non douteux, mais la période épileptoïde n'est pas complète, la phase tonique
ine. L'agitation violente qui suit rentre clairement dans la deuxième période . Enfin le chloro-forme suscite des hallucinations
ui présentent quel-ques caractères de la troisième et de la quatrième période . Nous verrons plus loin que les inhalations d'éth
te aux attitudes passionnelles et aux hal-lucinations de la troisième période . Nous signalerons cependant ici une différence. D
érence. Dans la règle, le souvenir des hallucinations de la troisième période persiste après l'attaque, tandis que la malade de
ique, que l'on rencontre d'une façon intermittente pendant toutes les périodes de l'attaque. Inutile d'ajouter que toutes les se
ui se prolongea pendant dix minutes environ, fut suivi d'une nouvelle période de phénomènes tout. différents. La mousse avait c
mnambuliques et cataleptiques s'y sont surajoutés. Les deux premières périodes ont toujours conservé les mêmes carac-tères. Nous
i hallucinations, et était tout à fait cohérente et raisonnable. A la période menstruelle qui suivit, les règles firent presque
iques étaient plus graves. On peut les diviser arbitrairement en deux périodes Vépileptique et l'hystérique, Vune suivant l'autr
ffraient les contorsions les plus bizarres et des contractures. Cette période des atta-ques correspond à ce que M. Charcot appe
t cela», et se mettait à parler couramment. D'autres fois, une courte période d'aphasie ataxique sui-vait l'aphonie. L'action r
dire que, dans son hystérie épi-leptiforme, cet auteur n'a vu que la période épileptoïde de la grande hystérie. Mais voilà q
s hallucinations qui caractérisent notre troisième et notre quatrième période ; dans le troisième degré, en dehors des cas de c
ction entre les convulsions de la première et celles de la deuxième période est parfaitement indiquée un peu plus loin. Apr
hystériques et épileptiques... » La distinction des deux premières périodes (période épilep-toïde et période de clownisme) ne
es et épileptiques... » La distinction des deux premières périodes ( période épilep-toïde et période de clownisme) ne saurait
La distinction des deux premières périodes (période épilep-toïde et période de clownisme) ne saurait être mieux faite. Et leu
it confondre avec eux. » Par contre, les phénomènes de la troisième période sont expres-sément indiqués plus loin dans le cou
scription, que l'on puisse rapporter à la troisième ou à la quatrième période . « Peu de temps après l'apparition du globe hys
érique ordinaire,parce que les phénomènes qui composent notre seconde période y sont décrits fort longuement. Les contorsions e
t les grands mouvements y sont même clairement désignés; la troisième période est sommai-rement indiquée. « Symptômes des cri
-lons entre la grande et la petite hystérie. Voici qui a trait à la période épileptoïde. « La gène gutturale, occasionnée p
ellectuels et sensoriaux qui caractéri-sent la troisième et quatrième période , l'auteur qui les a déjà indiqués sommairement da
convulsions qui se rattachent plus particulière-ment à notre deuxième période , ajoute : « Pendant la durée des convulsions, i
a manifestement trait aux convulsions épileptiformes de la pre-mière période : ' « La face se gonfle... Les mâchoires se ser
gnaler est très court, et des convulsions plus ou moins générales (2° période ) suc-cèdent immédiatement à la perte de connaissa
aissance. » Qui ne reconnaîtra là, pour le moins, une ébauche de la période épileptoïde? La deuxième période semble constit
, pour le moins, une ébauche de la période épileptoïde? La deuxième période semble constituer à elle seule la plusgrande part
qui ac-compagnent souvent les mouvements désordonnés de cette seconde période : «Il est cependant un certain nombre d'hystéri
sordre qu'elles pré-sentent. Les membres, un instant raidis (première période ), se tordent con-vulsivement, se projettent en di
s font pour en ar-racher l'obstacle qui les étouffe. » La troisième période , ou période des attitudes passionnelles, n'est
en ar-racher l'obstacle qui les étouffe. » La troisième période, ou période des attitudes passionnelles, n'est pas moins ne
n'est pas moins nettement indiquée, dans ces descriptions, que les périodes précédentes. M. Bernutz môme se sert d'un mot qui
t faits pour se défendre de lui. » Enfin, le délire de la quatrième période n'a pas plus échappé à la sagacité de ces observa
Au moment où cette expression s'efface (l'expression passionnée de la période précédente), on voit les yeux s'humidifier, puis
que les accidents convulsifs variés qui composent les deux premières périodes . Les observations d'hallucinations dans l'hysté
pressions pas-sionnées, qui se produisent dans la seconde phase de la période con-vulsive de l'accès hystérique, parce qu'en ra
ucoup moindre que dans la forme vulgaire. La brièveté excessive de la période convulsive, qu'on observe dans quelques-uns de ce
ivant deux modes principaux : 1° par extension ou pré-dominance d'une période aux dépens des autres, lesquelles s'atté- 1. No
chacune de ces variétés. 1. La grande attaque se compose de quatre périodes qui peuvent se combiner et se grouper différemmen
combiner et se grouper différemment : en prenant d'abord chacune des périodes isolémenl puis deux à deux, puis trois à trois. O
rois. Ou verra si l'on veut faire le calcul que sans interversion des périodes , le nombre des combinaisons possibles est de quat
variétés qui ne reposent que sur le nombre et le groupement varié des périodes , viennent se joindre celles infiniment plus nombr
ations survenues dans les phénomènes mômes qui composent les diverses périodes . Il est donc complètement impossible de remplir,
noncés. CHAPITRE PREMÎEll VARIÉTÉ PAR MODIFICATION DE LA PREMIÈRE PÉRIODE . ATTAQUES ÉPILEPTOÏDES Les auteurs qui ont décr
sont contentés d'exposer les phénomènes qui composent notre première période . Témoin la description qu'en donne Briquet. ((
enir qu'à une partie seulement de l'attaque hystéro-épileptique, à la période épilep-toïde, et encore est-elle bien incomplète
ut (page 69) quelques-unes des modi-fications dont est susceptible la période épileptoïde, dans le cours d'une grande attaque d
ode épileptoïde, dans le cours d'une grande attaque dont les diverses périodes évoluent régulièrement. Il est ici question des c
els l'efface-ment ou même la suppression complète des trois dernières périodes laissent à la première un rôle exclusif ou pour l
à la première un rôle exclusif ou pour le moins prédomi-iianl. Lu, période épileptoïde est alors régulière et complète, ou p
l peut s'y adjoindre quelques éléments habituelle-ment étrangers à la période épileptoïde et appartenant aux autres périodes de
lle-ment étrangers à la période épileptoïde et appartenant aux autres périodes de l'attaque. En outre des modifications qui po
En outre des modifications qui portent sur les éléments mêmes de la période épileptoïde, la façon dont cette période se répèt
sur les éléments mêmes de la période épileptoïde, la façon dont cette période se répète pour produire les attaques épileptoïdes
nomination s'applique aux séries d'attaques composées de leurs quatre périodes . Entre ces deux extrêmes, l'attaque épileptoïde i
as rare de voir l'attaque hystéro-épileptiquc se borner à sa première période . La période épileptoïde évolue comme nous l'avons
oir l'attaque hystéro-épileptiquc se borner à sa première période. La période épileptoïde évolue comme nous l'avons dit : phase
ce point avec beaucoup de raison. «... Jamais pendant cette longue période convulsive la tempéra-ture rectale ne s'est, chez
ble, quelquefois plu-sieurs minutes; c'est une ébauche de la deuxième période . Ou bien, au sortir du sommeil, la malade prend u
s instants dans une sorte d'extase; c'est un fragment de la troisième période , qui vient en quelque sorte mettre le cachet de l
la langue existe égale-ment au milieu des contorsions de la deuxième période et nous la retrouverons lors de la description de
s fois le spasme peut constituer le pliénomène le plus saillant de la période convulsive. Ainsi chez une dame que j'ai soignée
ujet des signes différentiels des attitudes tétaniques de la première période et des attitudes illogiques de la seconde, on con
ra sans peine qu'ici l'arc de cercle décrit pai- Hammond relève de la période épileptoïde et non de celle des contorsions. Mais
erd connaissance un instant, et il se produit comme une ébauche de la période épileptoïde. Dans la journée Gen... a plusieurs
aque épileptoïde. Chez une même malade on observe souvent, pendant la période prodromique, de petits accès épilep-toides fort i
ctures est toujours la même avant comme après l'accès. Et, pendant la période de stertor, la résolution musculaire ne se pro-du
faiblement. Ce qui semblerait permettre de rattacher cet état à la période épileptoïde, c'est, outre le tétanisme généralisé
Lccrosnipr. GHA'PJTRE II VRIÉTÉS PAR MODIFICATION DE LA DEUXIÈME PÉRIODE . — 1°AT-TAQUE DE CONTORSION OU ATTAQUE DÉMONIAQUE
NIAQUE. De la description des phénomènes musculaires de la deuxième période , grands mouvements et contorsions, il n'y a qu'un
rtains cas, se trouver réduite à peu près exclusivement à la deuxième période , dont les symptômes se trouvent alors portés à le
ortés à leur plus haut degré de développement. Supposez une seconde période dans laquelle tous les phéno-mènes les plus étran
és que j'ai décrits éga-lement parmi les signes de cette même seconde période . Prenez en outre tout ce qui, dans les autres pér
te même seconde période. Prenez en outre tout ce qui, dans les autres périodes de l'attaque, pré-sente un dehors plus ou moins e
isées de la fin, ou quelques hallucinations horribles de la troisième période . Et vous aurez ainsi constitué une variété de l'a
rtlllemcnls et que M. Charcot a qualifiées de démoniaques. Première Période . — Dans ces sortes d'attaques, la période épilep
de démoniaques. Première Période. — Dans ces sortes d'attaques, la période épilep toïde est toujours facilement reconnaissab
, pour qu'il soit impossible de les méconnaître. Le plus souvent la période épileploïde est représentée ainsi qu'il suit. Les
erses situations, et la phase épileptoïde semble se confondre avec la période des contorsions qui la suit. Deuxième Période.
se confondre avec la période des contorsions qui la suit. Deuxième Période . — Les contorsions sont ici dans leur plus large
t l'agite vio-lemment avec de sourds grognements de rage. Troisième Période . — Les attitudes passionnelles n'existent pas à p
ase est courte eo général et manque parfois complètement. Quatrième Période . — Alors la malade revient à elle, mais la contra
es, elles disent ne perdre connaissance que par in-stants (pendant la période épileptoïde), et se plaignent de souffrir les tou
ans peine tous les points sur l(îs(|uels nous avons insisté : dans la période épileptoïde, prédominance des graiids mouvements
ptoïde, prédominance des graiids mouvements toniques; dans la seconde période , prédominance de la con-torsion, de la rage; peu
n-torsion, de la rage; peu d'altitudes passionnelles; enfin quatrième période mar-quée par les contractures généralisées et dou
ons variées qui composent les attaques se rapportent à notre deuxième période . La prédominance de la contorsion (attitude illog
l'attaque démoniaque, que je viens d'essayer de dé-crire, la deuxième période , qui en fait presque tous les frais, se trouve su
attaque hysléro-épileplique également créée aux dépens de la deuxième période , mais composée surtout de la phase des grands mou
-épiiepsie ni à la petite hystérie ou hystérie vulgaire. En effet, la période épi-leptoïde y est peu ou poini représentée, et t
attaques se sont principalement bornées aux phénomènes de la deuxième période . Mademoiselle X est âgée de 16 ans. Eiîe est né
interruption pendant une heure ou plus, et elles furent suivies d'une période de détente pendant laquelle la malade riait et pl
riété dont sont susceptibles les « grands mouvements » de la deuxième période . A. M., jeune personne de treize ans, de forte
oulrc des convulsions variées qui composent ordinairement la deuxième période (mouvements iTthinés des membres, soulève-ments e
i^aideur de tout le corps et grincement des dents, qui rcpiTsetile la période épileptoïde. Toute la série de ces accirlents b
variées que peuvent revêtir les « grands mouve-ments » de la deuxième période . En tenant coinpte, en ouire, des synq:)tôines ét
i évidemment se rappix)chcnt de ce que nous observons dans la seconde période de la grande attaque. On pourrait rapprocher de c
iodiipies. » GILVPITRE m variété pau modification de LA troisième période . — attaque d'attitude passionnelle. — attaque d'e
piuaître les halkicinations qui composent habituellement la troisième période de son attaque. Sans passer par la période épi-le
abituellement la troisième période de son attaque. Sans passer par la période épi-leploïde et par celle des grands mouvements,
ar celle des grands mouvements, elle entre d'emblée dans la troisième période et exécute les poses plastiques qui répon-dent à
alades l'attaque hystéro-épileptique se trouve réduite à sa troisième période , les attitudes passionnelles s'y montrent nombreu
trent nombreuses et variées. Mais il peut arriver que cette troisième période ne se compose que d'une seule attitude passionnel
sidérée comme une attaque d'hystérie dans laquelle les deux dernières périodes ont pris un développement exagéré et insolite, ma
ent fixes et grands ouverts. Voici ce que nous observons durant cette période : )) 1 b. 10 m. Les bras sont saisis d'un trend
ent que peuvent prendre les attitudes passionnelles de la ti'oi-sième période de la grande attaque hystérique. Je me réserve de
LA QUATRIÈME TÉRiODE. ATTAQUE DE DÉLIRE. Le délire de la quatrième période , avec les caractères variés que nous lui avons as
assignés, peut acquérir une importance exagérée aux dépens des autres périodes , s'isoler même complètement et constituer ainsi u
s'accompngnent de phénomènes hystériques qui appartiennent aux autres périodes de l'attiique et dont la présence est comme le sc
gulation avec les phénomènes douloureux de l'aura hysterica, soit une période épilcptoïde, complète ou écourtée, soit quelques
ourtée, soit quelques grands mouvements ou contorsions do la deuxième période , soit des atti-tudes d'extase qui caractérisent p
i-tudes d'extase qui caractérisent plus particulièrement la troisième période . La variété qui résulle de ces diverses combinais
es troubles psy-chiques et des phénomènes épileptoïdes de la première période , soit que ceux-ci précèdent l'attaque délirante,
d pas connais-sance. Ce sont les crampes généralisées de la quatrième période qui com-mencent à apparaître. Sa voix tremble, el
mmobile, le regard est fixe; les bras se croisent et sans avoir eu ni période épileptoïdc ni période clonique, elle retombe dan
fixe; les bras se croisent et sans avoir eu ni période épileptoïdc ni période clonique, elle retombe dans la période du délire;
r eu ni période épileptoïdc ni période clonique, elle retombe dans la période du délire; il s'agit donc là d'attaques constitué
il s'agit donc là d'attaques constituées uniquement par la troisième période et annoncées, comme on le voit, par les modificat
délire en outre s'accompagnait de phé-nomènes appartenant aux autres périodes de l'attaque (grands mouvements, agitation,arc de
fs des membres. Ces accidents ne se montrent guère qu'un peu avant la période d'agitation: ils en sont comme les signes avant-c
es et des reproches que lui adressaient ces voix atteignit dans cette période de la ma-ladie le degré le plus élevé, et les int
rise de la danse de Saint-Guy, mais plus forte. Pendant cette seconde période de dix-huit mois, elle eut des at-taques dans les
que. Nous en avons déjà longuement parlé au sujet des symptômes de la période prodromique et plus particulièrement de la quatri
es de la période prodromique et plus particulièrement de la quatrième période de la grande attaque. Mais afin de préciser davan
onnais-sance qui accompagne le plus souvent le délire de la quatrième période . Les accès délirants de la période prodromique of
souvent le délire de la quatrième période. Les accès délirants de la période prodromique offrent habituellement ce même caract
les membres et tout le corps, loin de présenter la tétanisation de la période épileptoïde, sont le plus souvent dans la résolut
êter tout d'un coup, et l'attaque hystéro-épileptique commence par la période épilep-toïde, puis se déroulerait tout entière, s
lées, qui ressemblent beaucoup à ce qui se passe pendant la troisième période de la grande attaque, avec cette différence toute
jet lui-même. Nous avons déjà vu, d'ailleurs, que dans la troisième période de l'attaque hystéro-épileptique de cette malade
les malades se rapproche beaucoup de ce qui a lieu dans la quatrième période de la grande attaque. Il existe là comme une péri
ans la quatrième période de la grande attaque. Il existe là comme une période de transition pendant laquelle l'hallucination et
cours de ses expériences sur l'hypnotisme. « Si, dit-il, pendant la période de catalepsie, je place les bras de mademoiselle
grande ressemblance avec les at-titudes passionnelles de la troisième période de la grande attaque hystérique, avec cette diffé
tanément dans le cours d'une grande attaque au milieu de la troisième période . Un nouveau point de rapprochement consiste dans
istence d'une manière irréfragable. (Loc cit., p. 10). « Pendant la période d'anesthésie survient celle d'hyperesthésie; je m
. Telle est la phase tonique qui, à elle seule, paraît représenter la période épilep-toïde. Puis l'arc de cercle s'accuse, la m
s'accuse, la malade s'agite en tous sens, se con-torsionne (deuxième période ) et bientôt retombe inerte; elle est reprise de s
n sommeil. Le sommeil vient donc ici au lieu et place de la troisième période avec laquelle les rêves et le souvenir qu'elle en
s de phénomènes convulsifs, pouvant être rapportés aux deux premières périodes de la grande attaque. Elles ont, avec la léthar
oïdes, tantôt plus étendus. Ce sei\ait donc à la suite de la première période de la grande attaque ou apt^ès la seconde que l'a
La catalepsie complique les attitudes passionnelles de la troi-sième période de l'attaque hystéro-épileptique ; b) Les accès
. Bourdin, Traité de la catalepsie, p. 71. appartenant aux diverses périodes de l'attaque hystéro-épileptique ; c) La catale
bien curieuse à observer à cause de la physionomie spéciale de la 3° période . Description de l'attaque. Première période.
mie spéciale de la 3° période. Description de l'attaque. Première période . — Début par les grands mouvements cloniques des
ement parler de ster-tor. Ce calme dure fort peu de temps. Deuxième période . — Contorsions. Arc de cercle. Grands mouvements.
de fer et cris (déjà décrits p. 90). Réveillée pendant cette deuxième période , elle n'a conscience de rien. Et cependant il sem
urtout du côté droit, où ils ont beaucoup plus d'étendue. Troisième période . — Puis Math... demeure immobile, le visage souri
s elles pâlissent... Je ne les vois plus. » Pendant cette troisième période , la persistance partielle des sens lui per-met de
tat cataleptique sans hallucination. L'on voit combien la troisième période de l'attaque offre ici de ressem-blances avec les
tre. Le bruit du gong demeure sans effet pendant les deux premières périodes de l'attaque, pendant la troisième, il modifie l'
elle, les secousses se précipitent et les attaques surviennent : 1° Période épileptoide. Les grands mouvements de circumducti
uvements de circumduction de la phase tonique sont très marqués. 2° Période des grands mouvements. Imitation du chemin de fer
ce matin, chez Math... présentent les particularités suivantes : La période épileploïde n'est pas constante. L'attaque débute
t pas constante. L'attaque débute parfois par les phénomènes de la,2" période . Quand elle existe, la période épileptoïde revêt
te parfois par les phénomènes de la,2" période. Quand elle existe, la période épileptoïde revêt les caractères consignés plus h
e épileptoïde revêt les caractères consignés plus haut. La deuxième période se reproduit toujours semblable à celles que nous
que nous avons observées. C'est le « chemin de fer ». La troisième période ou période des attitudes passioniielles est fort
vons observées. C'est le « chemin de fer ». La troisième période ou période des attitudes passioniielles est fort longue. Deu
régulière la catalepsie puisse se substituer à une ou à plusieurs des périodes que nous avons décrites et plus particulièrement
, se rapprochaient de plus en plus; puis survenait le tétanisme de la période épileptoïde. Dans la relation d'une attaque d'h
voit la catalepsie survenir à la suite des contorsions de la deuxième période , et remplacer en quelque sorte les attitudes de l
période, et remplacer en quelque sorte les attitudes de la troisième période . L'attaque se termine par quelques convulsions.
attitudes qui rappellent les attitudes passionnelles de la troisième période . Elisabeth Delvigne, âgée de 25 ans, fut attaqu
t les hallucinations et le délire caractéristiques des deux dernières périodes de l'attaque. Une jeune fille nerveuse de 19 an
re malade Gen... dont les attaques sont pai^fois suivies d'une longue période délirante. Pendant le carême de 1737, une dame
ible, qui paraît être une de ses compagnes de la ferme. Pendant cette période , on peut lui faire prendre un peu de lait, qu'ell
se montrer sans mélange d'autres phénomènes appartenant aux diverses périodes de l'attaque, et alter-ner chez une même malade,
près le vertige épileptique, à ce moment qu'il désigne sous le nom de période de retour. Nous avons eu oc-casion d'en observer
ccompagné que de quelques-uns des phénomènes appartenant aux diverses périodes de la grande attaque hystérique; c) Le somnambu
ttachent le somnambulisme aux attitudes passionnelles de la troisième période de l'attaque. Les accès d'hystérie étaient comp
isme n'ont appartenu qu'à l'une des phases de la maladie; nés dans la période occasionnelle de l'hys-térie, ils ont grandi avec
ans transi-' tion, et, par là même, paraissent remplacer la troisième période des attitudes passionnelles. L'extase décrite ici
violent accès d'hystérie. Cet accès dure dix minutes, est suivi d'une période de catalepsie d'environ dix minutes aussi; puis s
t le plus élevé, d'au moins 50 centimètres. » Nous profilâmes d'une période de catalepsie pour déshabiller la malade et la me
eparut plus; seu-lement il y eut pendant cinq ou six nuits encore une période d'excitation, pendant laquelle la malade s'entret
Cet état durait de trois à cinq heures, et répon-dait exactement aux périodes de somnambulisme. » Plus tard les convulsions h
d'hystérie observée par leD' Billet, et composée des trois premières périodes . La même malade vit, dans la suite, ses attaques
a même malade vit, dans la suite, ses attaques se modifier un peu. La période des hallucinations présenta plusieurs des caractè
a catalepsie et du somnambulisme. La persistance des deux premières périodes , qui se montrèrent toujours bien distinctes, rend
u sensiblement de ce que j'avais observé la veille, mais arrivée à la période des hallucinations, la scène changea beaucoup. Ma
ion arrive nette et animée. Par suite de ce fait, il faut, pendant la période des hallucinations, que je la tienne, ou la touch
ues, tantôt hys-tériques, répondent parfaitement à nos deux premières périodes . Dans la seconde apparaît le délire somnambulique
la seconde apparaît le délire somnambulique qui tient la place de la période des attitudes passionnelles. Après l'accès, la ma
cédentes, que le som-nambulisme hystérique présente avec la troisième période de la grande attaque, des affinités qu'on ne saur
montre de préférence mêlé aux attitudes passionnelles de la troisième période , ou les remplaçant dans le cours d'une attaque.
accompagné que de quelques-uns des phénomènes appartenant aux quatre périodes de l'attaque. Deux observations recueilhes dans
d'étourdissement et de douleur vive à la tempe gauche. Enfin la A'^ période est nettement marquée par ce besoin de prédiction
i définitive et disparaît assez rapidement, celle qui a pour objet la période de somniation est complète, absolue, et semblable
um à 320 grains, c'est-à-dire à 18000 gouttes de laudanum. La seconde période , celle des tortures était commencée. » Je me co
e dans les accès délirants du hachisch lesphénomè-nes de la troisième période de la grande attaque et ceux de la qua-trième soi
soient mélangés. Contrairement à ce qui se passe pendant la troisième période , mais semblablement à ce qui a lieu pendant la qu
ttaques convul-sives, et fait en quelque sorte partie de la quatrième période ; mais elle se montre également, à titre de sympt
o-épileptique régulière, la contracture se rencontre dans la première période (période épileptoïde), dans la seconde période (c
ique régulière, la contracture se rencontre dans la première période ( période épileptoïde), dans la seconde période (contorsion
ontre dans la première période (période épileptoïde), dans la seconde période (contorsions), et parfois aussi dans la quatrième
la seconde période (contorsions), et parfois aussi dans la quatrième période . La contracture hystérique estalorsgé-nérale et t
gie de l'hystérie. Ils ont avec les mouvements rhythmés de la seconde période de la grande attaque des analogies tellement frap
fférents selon qu'ils ont été appelés à l'examiner danstelle ou telle période de sa maladie. Elle a été tour à tour trai-tée co
s les fonctions organiques s'accomplissent normalement. A la dernière période , les malades sont gâteuses, ne quittent plus leur
taque s'arrêter; le délire loquace, qui caractérise quelquefois la 4" période , surve-nait et durait jusqu'à ce qu'une crise inc
n jour, et nous avons vu qu'il y avait 12 fois moins d'accès dans une période où passait le courant que pendant un temps égal o
l nous sommes arrivés sur lafig. 103. Une attaque commence en T, la période tonique se développe. On produit brusquement la c
m-tam l'évolution d'une grande attaque d'hystéro-épilepsie, à quelque période que se fasse l'expéri-mentation. Il est donc ra
v. nant alors que l'excitation religieuse ait provoqué, à certaines périodes d'exaltation, ces effets de réaction sur le systè
La grande attaque s'y retrouve avec la succession de ses différentes périodes . Nous avons vu plus haut quelles variétés de form
nt revêtir les agitations et les « grands mouvements » de la deuxième période ^ Dans les possessions c'est la « con-torsion » q
: la présence d'hallucinations qui rappellent celles de la troisième période de la grande attaque; les contorsions qui se trou
mort. Aux accidents convulsifs nous voyons s'adjoindre les longues périodes délirantes. En dehors de leurs convulsions les
arfois par une phase d'immobilité qui rappelle la phase tonique de la période épileptoïde. 1. AUvertet les religieuses accusè
e compte des hallucinations erotiques qui font partie de la troisième période de la grande attaque hys-térique. La description
ages suivants il est facile de retrouver les symptômes de la deuxième période de la grande attaque hystérique, avec les contors
ar-rivée dans le corps de la possédée. Ce n'est qu'ensuite, dans une période Loudun et fut témoin de l'aventure du comte du
lle elle était, 1. C'est bien là l'état d'une hystérique dans cette période d'excitation délirante qui suit ou précède les at
me que « la contorsion » telle que nous l'avons décrite à la deuxième période de la grande attaque hystérique (voy. p. 73 et p.
semblèrent un lambeau de la grande attaqae hystérique, détaché de la période des attitudes passionnelles. Le souvenir des hall
s phénomènes variés (grands mouvements et contorsions) de la deuxième période de la grande tttaque, auxquels venait parfois s'a
lièrement aux phénomènes qui caractérisent la première et la deuxième période de la grande attaque (période épilepto'ide et pér
aractérisent la première et la deuxième période de la grande attaque ( période épilepto'ide et période des contorsions et grands
et la deuxième période de la grande attaque (période épilepto'ide et période des contorsions et grands mouvements), pendant qu
euvent, suivant les circonstances, subir la troisième et la quatrième période , c'est-à-dire les phénomènes d'halluci-nation et
défenseurs ont donné de leur authenticité 2. » Pendant cette première période il n'est aucunement question de convulsions. 2"
arbre même du tombeau on peut retrouver les signes des deux premières périodes de l'attaque de grande hystérie. « Sur le champ
gus et lamentables, qui percent le cœur des assistants.» La seconde période est indiquée encore avec plus force un peu plus l
convulsives ne saurait échapper. Les grands mouvements de la deuxième période en font les frais. Nous trouvons dans la suite de
es convulsives empruntaient toutes leurs manifestations à la première période et principalement à la deuxième période de la gra
manifestations à la première période et principalement à la deuxième période de la grande attaque hystérique telle que nous l'
ènes hallucinatoires et délirants de la troisième et de la qua-trième période de la grande attaque. J'emprunte à Calmeil^ le
es qui, mêlées aux hallucinations tristes, caractérisent la troisième période de la grande attaque? Mais les attitudes passio
udes passionnelles, ainsi que le délire qui caractérise la qua-trième période de la grande attaque, se montraient de préférence
part de l'extravagance et de la lubricité ne manquait pas dans cette période déhrante, ainsi qu'on peut le voir par les extrai
e avec perte de connaissance rappelant une des variétés delà première période ou période épileptoïde de la grande attaque. Au s
e de connaissance rappelant une des variétés delà première période ou période épileptoïde de la grande attaque. Au sortir de là
et poses expressives, qui se rapproche en tous points de la troisième période de la grande attaque ou période des attitudes pas
proche en tous points de la troisième période de la grande attaque ou période des attitudes passionnelles. Les visions sont tan
tôt effrayantes tantôt agréables. L'arc de cercle qui appartient à la période des contorsions y est également signalé. Enfin le
cription que nous pourrions rapporter fort exactement à la troi-sième période de la grande attaque, avec les attitudes expressi
étés de l'attaque de grande hystérie, formée surtout aux dépens de la période des attitudes passionnelles. Je me contenterai
, et, par suite, offrent les plus grandes analogies avec la troisième période de la grande attaque hystérique. vie DE DOUCELI
tion, et, par suite, avec les attitudes passionnelles de la troisième période de la grande attaque d'hys-térie. Je me content
dans les diffé-rentes phases de l'extase. ..... Durant la première période , de huit heures du matin à deux heures après-midi
aux chapitres dans lesquels il a été traité plus haut de la troisième période de la grande attaque hystérique (p. 94-), de la v
(p. 94-), de la variété qui résulte de la prédominance marquée de la période des attitudes passion-nelles (attaque d'extase) (
.......................................... «^^ Chap. II. — Première période . — Période épileptoïde.................. 41 § 1
............................... «^^ Chap. II. — Première période. — Période épileptoïde.................. 41 § 1. — 3Iode d
ution musculaire............................. 59 § 5. — Durée de la période épileptoïde et de ses diverses phases ...... 62
erses phases ...... 62 § 6. — Quelques observations. Variétés de la période épdeptoïde....... 64 Chap. III. ~ Deuxième péri
. Variétés de la période épdeptoïde....... 64 Chap. III. ~ Deuxième période . — Période des contorsions et des grands mouvem
de la période épdeptoïde....... 64 Chap. III. ~ Deuxième période. — Période des contorsions et des grands mouvements (clovr
......................... 83 § 3. — État mental pendant la deuxième période ..................... 92 Chap. IV. — Troisième p
t la deuxième période..................... 92 Chap. IV. — Troisième période . — Période des attitudes passionnelles.. 94 Cii
me période..................... 92 Chap. IV. — Troisième période. — Période des attitudes passionnelles.. 94 CiiAi. V. — Qu
e. — Période des attitudes passionnelles.. 94 CiiAi. V. — Quatrième période . Période de délire................... 125 J. —
ode des attitudes passionnelles.. 94 CiiAi. V. — Quatrième période. Période de délire................... 125 J. — Délire...
rique. Chai'Itue premier. — Variété par modification de la première période . Attaques épileptoïdes... ". ..................
rmanente. . 297 Ghap. II. — Variété par modification de la deuxième période .......... § 1. — Attaque de contorsion ou attaq
......... 310 Ghap. III. — Variété par modification de la troisième période . — Attaque d'attitude passionnelle. — Attaque d'e
......... 319 Ghai'. IV. — Variété par modification de la quatrième période . — At-taque de délire---------- - -..............
délire s'accompagnant de quelques phénomènes appar-tenant aux autres périodes de la grande attaque..................... 334 §
e catalepsie sont accompagnés de phénomènes appar-tenant aux diverses périodes de l'attaque hystéro-épileptique........ 465 c)
accompagné que de quelques-uns des phénomènes appartenant aux quatre périodes de l'attaque.......... 494 c) . — Le somnambuli
NCHES ERRATA l'âge 73, titre du troisième chapitre. — au heu de : Période des grands mouve-ments (c/onisTOe); lisez : Pério
re. — au heu de : Période des grands mouve-ments (c/onisTOe); lisez : Période des contorsions et des grands mouvements (clownis
nsaij. Page 334, dernière ligne du titre. — Au lieu de : aux autres périodes de l'attaque; lisez : aux autres périodes de la g
. — Au lieu de : aux autres périodes de l'attaque; lisez : aux autres périodes de la grande attaque. Page 343, ligne 4. — Au l
xandre de Sivry Page 494, ligne 14 et 15. — Au lieu de : aux quatre périodes de l'attaque; lisez : aux quatre périodes de la g
. — Au lieu de : aux quatre périodes de l'attaque; lisez : aux quatre périodes de la grande attaque. PAUIS. — 1.«P,IIMER1Ë EMI
2 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
cès, rappelant ceux qui caractérisent l'épilepsie, composés des trois périodes classiques (tétanisme, clonisme, stertor) et dans
rition de la contracture a été tardive. On voit donc que, après une période durant laquelle les membres sont flasques, il sur
ques secousses cloniques, plus fortes et plus prolongées à droite. La période clonique a été très-courte, elle est suivie simpl
jamais pu voir, par nous-même, que, chez une seule malade, toutes les périodes des accès de cette variété d'épilepsie hémiplégiq
ique. Le plus souvent, nous n'avons observé directement qu'une de ces périodes . C'est donc beaucoup plus par les renseignements
avo is constaté que, tandis que les diverses phases qui composent la période épileptuïde de l'attaque hysté-ro-épileptique éta
é-ro-épileptique étaient séparées par un repo3 ainsi que les diverses périodes (p. epileptoïde, cljniqae, délirante), les périod
que les diverses périodes (p. epileptoïde, cljniqae, délirante), les périodes de l'accès épileptique se succèdent sans repos in
relevons dès maintenant. Le cri initial fait en général défaut. Période tonique. — La rigidité est ou circonscrite au côt
scrite au côté paralysé, ou prédomine à un haut degré dans ce côté. Période clonique. — Les convulsions cloniques sont presqu
ume est assez rare; la miction involontaire l'est encore davantage. Période de stertor.—Elle est très-courte, peu prononcée e
s, dans bien des cas, il est malaisé de s'assurer de la différence. Période de délire. — Les malades reviennent promp-tement
rès-importante au point de vue de la marche de la maladie. Durant une période variable, assez longue du reste et qu'il ne sera
ès venaient plus d'une fois par semaine et c'est surtout durant cette période que la main a pris l'attitude qu'elle a aujourd'h
Ces accès complets ont une durée d'une ou deux minutes. Dans toute la période antérieure à octobre 1875, M... prévenait, disant
accompagnées de bruits laryngés. L'accès dure quelques minutes ; la période stertoreuse fait défaut. La malade revient très-v
gauche ; les paupières battent rapidement; la face est pâle. A cette période tonique, qui dure environ une minute, succèdent d
dent des secousses clo-niques assez circonscrites et assez distantes ( période clo-nique). — Enfin, la face se cyanose ; les lèv
la respiration est sterto-reuse;les membres sont dans la résolution ( période de sler-tor).1. V. 37°,7. (L'exploration a été fa
17 — ... 29 22 nov . . 15 18 — ... 27 23 nov. . . » Durant cette période de dix jours, bien que P... ait eu 235 crises, la
eux membres inférieurs au-dessus du lit de telle façon que, durant la période clonique, la malade ne repose plus que sur les fe
PARTIELLE DÉBUT DE L'ATTAQUE Planche X. EPILEPSIE PARTIELLE PÉRIODE TONIQUE gauche; les paupières sont écartées ;
e trentaine de secondes, les deux phases précédentes qui composent la période tonique, font place à la période clonique, caract
phases précédentes qui composent la période tonique, font place à la période clonique, caractérisée par de grandes secousses q
temps par des : Aïe ! aïe ! et par des mouvements de déglutition. La période de stertor, peu accusée, comme on le voit, dure 5
issance est conservée. L'accès, en définitive, se compose d'une seule période , la période tonique, susceptible d'être décomposé
conservée. L'accès, en définitive, se compose d'une seule période, la période tonique, susceptible d'être décomposée en deux ph
posée en deux phases : une phase tonique et une phase tétaniforme. La période clonique et la période de stertor font défaut.
une phase tonique et une phase tétaniforme. La période clonique et la période de stertor font défaut. B. Dans une autre varié
e l'on note déjà dans la première variété, sont plus prononcées. A la période tonique, qui est la même, succède une période clo
t plus prononcées. A la période tonique, qui est la même, succède une période clonique consistant en convulsions circonscrites
gauche et prédominant au membre inférieur. Parfois, enfin, il y a une période de stertor, en général de courte durée. C. Dans
d'autres malades. — Enfin, ces accès généralisés se terminent par une période de stertor qui, aujourd'hui comme autrefois, n'a
evée jusqu'à 6 ans. V... ne peut donner aucun renseignement sur cette période de son existence. A 6 ans, sa mère, qui s'était
ion. Cette rigidité générale persiste durant 2, 3 ou même 4 minutes. ( Période tonique.) Alors, V... secoue la tête à gauche e
les bras, soulève le ventre. Simultanément la face se congestionne. ( Période clonique.) Quelquefois les attaques ne se compo
clonique.) Quelquefois les attaques ne se composent que de ces deux périodes et la malade retombe dans l'état de rigidité dont
u de ronflement et d'écume, et la congestion de la face s'exagère. ( Période de stertor.) Enfin, la malade prononce quelques p
elle fait des mouvements, comme si, effrayée, elle voulait s'enfuir ( Période de délire). T. V. 38°,6. La vulve est humide ; l'
es, exulcération des lèvres (la malade s'est mordue) — Le début et Là période tonique (Pl. XII) n'ont pas changé ; la période c
due) — Le début et Là période tonique (Pl. XII) n'ont pas changé ; la période clonique est beaucoup plus accusée que dans la sé
cée, taquinait les autres malades, chan- Planche XII. ATTAQUE PÉRIODE TONIQUE geoitde place, s'asseyait, se levait,
uyeux, ça !... Ce n'est pas loyal... » Alors éclate une attaque : période tonique qui dure 1 5 secondes ; — période cloniqi
rs éclate une attaque : période tonique qui dure 1 5 secondes ; — période cloniqite qui dure 10 secondes ; celle-ci est div
ure 10 secondes ; celle-ci est divisée en deux par un court repos ; — période de sterior : Ronflement,écume; les paupières sont
s lèvres frémissent ; la respiration est très-fréquente (Pl. XIII). Période de délire : « C'est défendu de passer de l'autre
nière inintelligible. Nouvelle attaque : incomplète, composée d'une période tonique et d'une période clo-nique; puis, autre a
ouvelle attaque : incomplète, composée d'une période tonique et d'une période clo-nique; puis, autre attaque complète. A la fin
R. 37°,8. 3 sept.—T. R. 37°,9. La sur- Planche XIII. ATTAQUE; PÉRIODE ËPILEPTOÏDE STERTOH dite et la rétention d'
aques reparaissent. Nous n'avons à relever que les modifications delà période de délire. « C'est la planche!... Non, non... »
ouvelle série, ce matin, à 6 heures et demie. Pas de cris au début. Période tonique. — Elle se compose de deux phases : a) To
d'écume blanche à la bouche, dure environ 30 secondes. Entre cette période et la suivante, il y a un court repos. Période
ondes. Entre cette période et la suivante, il y a un court repos. Période clonique.—V... s'asseoit tout à coup, en poussant
nement ballonné. Ces derniers phénomènes séparent toujours la seconde période de la troisième. Période de délire. — « Maman !
rs phénomènes séparent toujours la seconde période de la troisième. Période de délire. — « Maman ! maman !... Madame ne s'est
nace.) Après une attaque avortée, c'est-à-dire ne comprenant que la période tonique : « Maximin! Maximin!... Seras-tu revenu
s caractères habituels. Nous relèverons seulement ce qui a trait à la période de de-lire : « Le monstre!... Faites-le donc pa
cinq attaques ; trois d'entre elles n'étaient composées que de la période tonique et de la période de délire, la période cl
d'entre elles n'étaient composées que de la période tonique et de la période de délire, la période clonique faisait défaut. A
nt composées que de la période tonique et de la période de délire, la période clonique faisait défaut. A la fin d'une de ses at
ques épilepti-formes, c'est-à-dire composées seulement de la première période . Chloroforme: arrêt de la série. La nuit a été tr
bras et surtout au bras gauche. Le cou n'est pas roide. Attaque. 1° Période tonique. La face et les yeux se portent à gauche
ent et un peu d'écume, puis un court repos, auquel succède la seconde période . Période clonique : grands mouvements de balanc
eu d'écume, puis un court repos, auquel succède la seconde période. Période clonique : grands mouvements de balancement du tr
ents de balancement du tronc avec soulèvement alternatif du ventre. Période de délire (administration de Véther) : Non... mon
vient à elle. La rigidité générale qui avait persisté durant toute la période de délire, disparait tout à coup. 30 oct. — Dan
s caractères habituels. Le plus souvent, elles se composent des trois périodes décrites à maintes reprises : 1° période épileptû
lles se composent des trois périodes décrites à maintes reprises : 1° période épileptûïde ; 2° p clonique ou des grands mouveme
autres fois, les attaques sont uniquement constituées par la première période . On les désigne bien à tort dans les relevés sous
sent, disons-nous, l'attaque épileptiforme, répondent absolument à la période épileptoïde des attaques complètes. Les attaque
passim, et p. 124. (3) Après ces attaques épileptiformes, durant la période de stertor, les membres demeurent rigides, ce qui
e stertor, les membres demeurent rigides, ce qui n'a pas lieu dans la période correspondante de Y accès épileptique (telle est
attaques (juillet 4877) : prodromes lointains; — aura; — d"bul ; — périodes . — Attaques composées seulement de la période de
— aura; — d"bul ; — périodes. — Attaques composées seulement de la période de délire : leurs caractères particuliers. Chor
agards, fixes; les pupilles se dilatent, l'attaque éclate sans cri. Période épileptoïde. a) La tète et le thorax se portent à
u ventre sur place, plaintes, grincement de dents, puis cris aigus. Période clonique. G... reporte le corps sur le milieu du
elle s'asseoit et retombe brusquement sur le lit. Nouveau repos. Période de délire. — Regard effrayé: « Attrapez les rats!
souvent les attaques, sontaujourd'hui très-accusés. Deux fois, à la période de délire, L... a offert des phénomènes extatique
ont paru le 4; elles ont coulé assez bien jusqu'à ce matin. Durant la période menstruelle, X... est énervée, plus (l) En prés
bras après la quatrième attaque et de la jambe après la cinquième. Période de délire. — X... crachotte, puis elle parle: « C
nations gaies et les hallucinations tristes se succèdent. Après une période de délire, sans qu'il y ait eu de 'période épilep
e : a) de \pé-riode clonique, avec les grands mouvements ; — b) de la période de délire (1). Dans quelques attaques, mais non
es du même genre, c'est-à-dire composées seulement des deux dernières périodes , chez Wit... ments de circumduction assez lents
5 complètes. Arrêt par le nitrite d'amyle. 4 0 avril. — Attaques. — Période de délire : physionomie effrayée : « Oh la ! la !
our échapper aux étreintes de quelqu'un. Dans une attaque, après la période des grands mouvements, elle est restée, pendant q
yeux se portent en haut, la malade a perdu connaissance. Première période (période épileptoïdé). a) Phase tonique : Tout le
ortent en haut, la malade a perdu connaissance. Première période ( période épileptoïdé). a) Phase tonique : Tout le corps de
ne diagnostique qui pourrait rendre service dans des cas douteux. Période clonique. Elle offre deux variétés qui, quelquefo
ds mouvements cloniques de flexion et d'extension. Nouveau repos. Période de délire. L... s'asseoit à demi, un peu de côté,
mobile, le regard est fixe ; les bras se croisent et sans avoir eu ni période épileptoïde ni période clonique, elle retombe dan
ixe ; les bras se croisent et sans avoir eu ni période épileptoïde ni période clonique, elle retombe dans la période du délire
r eu ni période épileptoïde ni période clonique, elle retombe dans la période du délire ; il s'agit donc là d'attaques constitu
il s'agit donc là d'attaques constituées uniquement par la troisième période et annoncées, comme on le voit, par les modificat
a eu cinq attaques épileptiformes, c'est-à-diri ne comprenant que la période épileptoïde. Elle ne conserve plus, à onze heures
e cri, on note parfois des secousses, du hoquet, de la suffocation. Période épileptoïde. — En poussant le cri, la malade devi
secousses isolées soit des épaules, soit des membres (20 secondes.) Période de détire. — Gris d'effroi, de douleurs, pleurs é
et quelques instants après, reprend connaissance. Nouvelle attaque. Période épileploïde.a) Phase tétanique : 15 secondes ; —
15 secondes ; — b) phase tétant forme : 10"; — c) sterlor ; 20'. — La période épileptoïde a donc duré 45'. — Repos. 2° Période
sterlor ; 20'. — La période épileptoïde a donc duré 45'. — Repos. 2° Période clonique ou des grands mouvements : 25'. Après
ues instants reprend connaissance. Dans une autre attaque, après la période épileptoïde et la période clonique, nous observon
issance. Dans une autre attaque, après la période épileptoïde et la période clonique, nous observons l'attitude du crucifieme
indications de M. Gharcot et les nôtres (1). C'est aussi durant cette période qu'ont été observés, chez elle, l'influence du ma
t on a pu voir que, assez souvent, des attaques surviennent durant la période menstruelle, en général très-courte (1 ou 2 jours
entre les événements de la vie réelle et les différentes phases de la période de délire des attaques. Les antécédents de X...
ades dont nous avons précédemment parlé. Nous y retrouvons toutes les périodes qui constituent les attaques complètes. Il nous p
épileptif ormes, ou attaques avortées car elles ne comprennent que la période épileptoïde des grandes attaques hystéro-épilepti
et môme 49°. b) Les attaques se répétant, il arrive parfois que, la période épileptoïde faisant défaut, l'attaque comprend se
a période épileptoïde faisant défaut, l'attaque comprend seulement la période clonique et la période de délire (p. 139). c) E
aisant défaut, l'attaque comprend seulement la période clonique et la période de délire (p. 139). c) Enfin l'attaque peut n'ê
lire (p. 139). c) Enfin l'attaque peut n'être constituée que par la période de délire : les détails que nous avons consignés
-toire. Les analogies qui existent entre ces attaques de délire et la période de délire des attaques complètes sont de toute év
77, entre autres, elle a eu une attaque de ce genre, non précédée des périodes épileptoïde et clonique, et dans laquelle elle ét
ardiaques, la-ryngisme, troubles céphaliques), suivie de délire, sans période épileptoï'de et sans période clonique : ces attaq
les céphaliques), suivie de délire, sans période épileptoï'de et sans période clonique : ces attaques duraient une ou deux heur
re que la rigidité tétanique du corps, que l'on observe à la première période des attaques. On disait que les religieuses de Lo
ent la violence des mouvements qu'exécutent les hystériques durant la période clonique et savent combien il est difficile de le
c) Chez X..,, et chez bien d'autres malades, à l'une des phases de la période clonique, souvent à la fin, le corps se met en ar
nièce, déclare quelle est « en-» têtée. f Parfois, on remarquait des périodes pendant lesquelles A... était lourde, indolente;
visions d'animaux. Bientôt, elle suffoque et perd connaissance. 10 Période épileptoïde. — a) Phase tonique: Immobilité, la r
iration bruyante, précipitée, bruits nasaux, écume. (Pl. XXXIV). 2° Période clonique : Après un repos, d'ordinaire court, la
se met en arc, ne reposant plus que sur la nuque et les talons. 3° Période de délire : Durant les premiers temps du séjour d
ttaques avortées ou incomplètes) et qui se composent uniquement de la période épileptoïde. Quelquefois, les attaques se bornent
épileptoïde. Quelquefois, les attaques se bornent aux deux premières périodes , une nouvelle crise éclatant avant l'apparition d
mières périodes, une nouvelle crise éclatant avant l'apparition de la période de délire. Nous avons vu aussi des attaques dan
iode de délire. Nous avons vu aussi des attaques dans lesquelles la période clonique faisait défaut et, en sortant de la péri
ns lesquelles la période clonique faisait défaut et, en sortant de la période épileptoïde, la malade tombait dans la période de
t et, en sortant de la période épileptoïde, la malade tombait dans la période de délire : cris, effroi, agitation, lutte, etc.
attaques ordinaires. Signalons encore diverses particularités de la période de délire, consistant en extases plus ou moins pa
aques. — Les attaques ont pu être suspendues ou arrêtées à toutes les périodes : 1° par l'application des pôles de la pi le Trou
t dans les discours de la malade et n'était nullement comparable à la période de délire de ses attaques. Pendant les quatre d
s. IV. — Les attaques d'A... ressemblent, quant à la succession des périodes , aux attaques des malades dont (l) Leçons de
papier de soie. ERRATA Page 148, col. 1, ligne 12, au lieu de : période du délire, lisez : période de délire. Page 150,
Page 148, col. 1, ligne 12, au lieu de : période du délire, lisez : période de délire. Page 150, col. 2, ligne 5, au lieu d
3 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
lus puissants, tandis que d'autres — ou les mêmes malades à une autre période de leur existence — tombent dans un état léthargi
fficulté de la compression ovarienne. — Attaques ne comprenant que la période de délire. — Contracture partielle du sterno-mas-
— Contracture partielle du sterno-mas-toïdien droit. — Attaques sans période apparente de délire. — Refus de manger. — Modific
é-thyle, chloroforme, éther. — Action de ces divers agents; délire. Périodes d'excitation maniaque. — Contractures des membres
'âge de sept ans que sa situation se serait améliorée. — Durant cette période , accès de colère, rougeole, croûtes dans les chev
s heures, que se greffent pour ainsi dire les attaques elles-mêmes. Période épilepto'ide. —La rigidité augmente ; la respirat
est plus abondante. Parfois, on note quelques secousses tétaniques. Période clonique. — Après un court repos, on observe des
ui, bientôt, se soulève et bat l'oreiller durant quelques secondes. Période de délire. — Respiration plus fréquente ; pupille
inutes. Aujourd'hui les attaques présentent quelques modifications. Période épilcptoïde. — Augmentation de la rigidité, puis
ecousses tétaniformes générales, respiration plus fréquente, écume. Période clonique. — Après un court repos, durant lequel o
ands mouvements que M. Charcot a décrits sous le nom de clownisme). Période de délire. — Mêmes caractères. Pendant cette sé
dant cette série qui a duré une demi-heure, nous avons vu survenir la période de délire à l'état isolé. Ainsi, la malade étant
. Ainsi, la malade étant en rigidité générale, sans qu'il y ait eu ni période épi-leptoïde, ni période clonique, s'est mise à m
en rigidité générale, sans qu'il y ait eu ni période épi-leptoïde, ni période clonique, s'est mise à marmotter, puis à dire : «
n un mot, les attaques se composeraient uniquement des deux premières périodes : épileptoïde et clonique. Relevons en passant qu
rmales, les paupières se ferment, tout le corps est pris de rigidité ( période épileptoïde, phase tonique). On note ensuite quel
l'écume avec respiration précipitée (phase de stertor incomplète). Période clonique : grands mouvements du tronc, des jambes
— Attaques : inhalation à'iodure d'èthyle. L'attaque est arrêtée à la période tonique ; l'inhalation étant continuée, W... déli
uit, attaques qui ont continué sans interruption jusqu'à la visite. Période épileptoïde. — a) Phase tonique : exacerbation de
— c) Phase de stertor : respiration un peu bruyante, écume blanche. Période clonique. — Après un repos momentané, grands mouv
pos momentané, grands mouvements eloniques, puis cri modulé, repos. Période de délire. — Elle parle d'un Emile, qu'elle voit
la commissure labiale gauche laisse sortir une écume blanche. B. — Période clonique. — Sans qu'il y ait de repos appréciable
ciable, on voit se produire les grands mouvements (clownisme). C. — Période de délire. — W... remonte dans son lit, s'asseoit
nt, elle dit qu'elle voit un lion rouge. (Pl. IV.) ne attaque. — a) Période épileptoïde. — Mêmes caractères. — b) Période clo
IV.) ne attaque. — a) Période épileptoïde. — Mêmes caractères. — b) Période clonique. — Petits cris précédant les grands mouv
rvée pendant une vingtaine de secondes. (Pl. III.) m" attaque. — a) Période épileptoïde. — Mêmes caractères. b) Période clo
II.) m" attaque. — a) Période épileptoïde. — Mêmes caractères. b) Période clonique. —Petits cris et vagues abdominales, sui
ements habituels, dont le nombre varie de cinq à dix; pas d'arc. c) Période de délire. — W... se couche à droite, se tortille
e dans les bras de son amant. (Pl. V.) ive attaque (11 h. 25). — a) Période tonique. — Caractères ordinaires ; dans aucune de
ns aucune de ces attaques, il n'y a eu de mouvement de moulinet. b) Période clonique. — Grands mouvements, durant quatre seco
) Période clonique. — Grands mouvements, durant quatre secondes. c) Période de délire. — Attitude de la sirène, corps tendu,
sses, bras gauche tourné. Durée quarante secondes. ve attaque. — a) Période épileptoïde. — Quarante-cinq secondes. — b) Pério
ve attaque. — a) Période épileptoïde. — Quarante-cinq secondes. — b) Période clonique. — Dix secondes. 3 c) Période de dél
arante-cinq secondes. — b) Période clonique. — Dix secondes. 3 c) Période de délire.— Quarante secondes. Effroi « Maman! ôt
e à gauche ; les pupilles sont normales. (Pl. IV.) vi° attaque.— a) Période épileptoïde. — b) Période clo-nique. — Bat le lit
sont normales. (Pl. IV.) vi° attaque.— a) Période épileptoïde. — b) Période clo-nique. — Bat le lit. c) Période de délire.
.— a) Période épileptoïde. — b) Période clo-nique. — Bat le lit. c) Période de délire. — W... se met en sirène, couchée sur l
ffrayé; pupilles très dilatées. Durée une minute. vne attaque. — a) Période épileptoïde. — Durée cinquante secondes. — b) Pér
e attaque. — a) Période épileptoïde. — Durée cinquante secondes. — b) Période clonique. —Durée six secondes. — c) Période de dé
cinquante secondes. — b) Période clonique. —Durée six secondes. — c) Période de délire. —- Soixante-quatre secondes. W... est
des. W... est en arc, à convexité antérieure. vin" attaque. — a, b) Périodes épileptoïde et clonique. — Les mêmes. c) Périod
attaque. — a, b) Périodes épileptoïde et clonique. — Les mêmes. c) Période de délire. — W... soupire : « Maman! on frappe !
Oh ! maman ! oh ! non ! » Elle pleure de nouveau. ix° attaque.—a, b) Périodes épileptoïde et clonique. —Mêmes caractères. c)
taque.—a, b)Périodes épileptoïde et clonique. —Mêmes caractères. c) Période de délire. — Immobile sur le dos ; figure calme,
compression étant suspendue, nouvelle attaque. xe attaque. ¦— a, b) Périodes épileptoïde et clonique. — Mêmes caractères. c)
. ¦— a, b) Périodes épileptoïde et clonique. — Mêmes caractères. c) Période de délire. — Peur, regard fixe ; pupilles dilatée
vons observé des modifications des pupilles, particulièrement dans la période de délire ; dans d'autres séries, il nous a sembl
taques éclatent, offrant quelques modifications en ce qui concerne la période de délire, qui roule sur les incidents de son esc
t cette série, nous avons pratiqué plusieurs fois la compression à la période du délire : la malade, réveillée, n'a jamais voul
net avec les bras. Elle s'endort définitivement avec lenteur. Mais la période de délire est courte. 12 septembre. — W... est
chloroformique, il y a des réminiscences des événements comme dans la période de délire des attaques ou le sommeil lui-même.
auche et en haut et que les conjonctives sont humides. Durant cette période , comme nous l'avons vu , il existe une hyper exci
e qu'elles ont subi des modifications remarquables. A l'origine, la période êpileptdide l'emportait de beaucoup sur lapériode
iode êpileptdide l'emportait de beaucoup sur lapériode clonique et la période de délire, qui n'existaient pour ainsi dire qu'à
t pour ainsi dire qu'à l'état d'ébauche. Peu à peu ces deux dernières périodes se sont accusées davantage, et, aujourd'hui, nous
t, aujourd'hui, nous observons les grands mouvements cloniques et une période de délire bien plus longue et bien plus variée.
gidité; — les attaques épileptiformes, qui se bornent à la première période de l'attaque complète : c'est là une 1 Iconogra
il a sous les yeux, non pas une hystérique mais une épileptique. La période clonique elle-même a prédominé sur les autres pér
ileptique. La période clonique elle-même a prédominé sur les autres périodes , contrairement à la règle commune. Enfin, et c'
us a offert une attaque de délire, à l'état isolé, indépendamment des périodes épileptoïde et clonique. Nous n'insisterons pas d
posées. Dans toutes les attaques qui forment Y attaque composée, la période épileptoïde est la même ; seules la période cloni
nt Y attaque composée, la période épileptoïde est la même ; seules la période clonique et la période de délire subissent des mo
la période épileptoïde est la même ; seules la période clonique et la période de délire subissent des modifications. Après la
nique et la période de délire subissent des modifications. Après la période épileptoïde de la première attaque, il y a un cou
pousse un grand cri, se soulève, exécute les grands mouvements de la période clonique, suivis d'un nouveau moment de calme.
. La compression étant suspendue, une nouvelle attaque survient. La période épilepîoïde a les caractères ordinaires. La pério
aque survient. La période épilepîoïde a les caractères ordinaires. La période cIonique n'est constituée que par des mouvements
— ce qui est à peu près la règle — et une troisième attaque éclate : période épi-leptoïde habituelle ; — période clonique à pe
et une troisième attaque éclate : période épi-leptoïde habituelle ; — période clonique à petits mouvements. Alors, W... se tour
! non! c'est bête... » Elle rit. Une quatrième attaque se produit : période épilep-toïde; — période clonique à grands mouveme
lle rit. Une quatrième attaque se produit : période épilep-toïde; — période clonique à grands mouvements. Ensuite, W... esqui
faisantes : souvent W... refuse de faire des confidences. A quelque période que ce soit, la compression de l'ovaire gauche ar
mpression opérée au début d'une attaque en supprime toutes les autres périodes . Supposons, par exemple, que W... soit à la pér
tes les autres périodes. Supposons, par exemple, que W... soit à la période de délire de la première attaque de l'attaque com
mait, troisième attaque; si, alors, on comprime encore, on empêche la période de délire, caractérisée par la scène d'amour, de
ération, à savoir, suspension de la compression, laisse apparaître la période épileptoïde de la quatrième attaque; la compressi
, nous avons relevé des modifications plus ou moins temporaires de la période de délire et reconnaissant pour cause l'intervent
avons vu s'ajouter à la série ancienne, deux attaques nouvelles : la période de délire, dans l'une, était silencieuse, — la ma
contact déterminant une vive souffrance. Chez Marc..., aune certaine période de sa maladie, la simple application de la main s
es. — Il n'y a pas d'hallucinations. 1 Les attaques comprennent les périodes classiques : p. épi-lepto'ide très brève, ébauché
it que ces sortes d'attaques sont limitées à la phase tétanique de la période épileptoïde. Sommeil. — Avant l'apparition des
ngeait pendant 3 heures. 6 il heures sans avoir devisions dans la période intermédiaire à la veille et au sommeil. Une fois
t-elle, et dès qu'on approche de mon lit, je me réveille. » Dans la période de délire des attaques hystéro-épileptiques, elle
ant rapidement la main sur le front. Elle est, par conséquent dans la période de sommation ou de somnambulisme. En tapotant sur
stion. — Les paupières des deux côtés sont ouvertes, P... est dans la période cataleptique. On place les membres, le corps, dan
plus souvent au bout d'une heure, et ne voit pas de fantômes dans la période intermédiaire à la veille et au sommeil. Une fo
endant les deux premiers mois, elles étaient absolument limitées à la période épileptoïde. a) Phase tonique. — Les paupières
survient une première modification : Les attaques se composent de la période épileptoïde, avec tous les caractères que nous lu
cation s'est produite et M... a des attaques complètes avec les trois périodes : p. épileptoïde, p. clonique et p. de délire.
aques qui, de même que les précédentes, sont absolument limitées à la période épileptoïde de la grande attaque hystéro-épilepti
ques. Nous avons vu qu'elles étaient constituées exclusivement par la période épileptdide des grandes attaques hystéro-épilepti
lle-même montraient que l'épilepsie était hors de question. Durant la période de stertor, de même que chez Ma... (Obs. III), la
es offrent plusieurs variétés; d'ordinaire elles sont complètes et la période de délire se compose d'une phase gaie et d'une ph
sommeil n'arrive que 2 ou 3 heures après qu'elle est couchée. Dans la période intermédiaire à la veille et au sommeil, elle voi
eprésentent moins souvent à son esprit durant son sommeil que dans la période ^ de délire des attaques. Le sommeil est interro
plus possible. 3 II est commun d'observer chez les hystériques des périodes de 2, 3, 4 mois durant lesquelles il ne se produi
et de chir. prat. la moitié du corps qui est insensible. Dans cette période intermédiaire à la veille et au sommeil, elles on
ques sont, en général, les plus mauvaises ; c'est surtout, dans cette période , qu'elles ont des rires nerveux, des cauchemars p
est lente à s'endormir, il lui faut souvent plus d'une heure. Dans la période intermédiaire de la veille au sommeil, elle a des
nce de cette idée, sa maladie aurait redoublé d'intensité et, dans la période de délire des crises convulsives, elle voyait le
l'estomac. » Elle se couche brusquement sur le ventre. Durant cette période , les paupières restent fermées; les conjonctives
i. —- Règles. —D... s'endort le 20 mai, à 9 heures du soir, après une période d'agitation, de cris, de rires inextinguibles, et
gulièrement ; elle a aujourd'hui 45 ans. Eh bien, durant cette longue période , Vintelligence n'a pas changé; en dehors des atta
vaga lions des charlatans qui se moquaient d'eux, c'est la deuxième période du magnétisme. A ce moment, il a paru des centa
restait guère aux hommes de science qu'à se retirer en attendant une période meilleure, un moment où, les naïfs étant désabusé
situation où elle se trouve durant une partie de la phase gaie de la période de délire des attaques. Effets consécutifs aux
ompresseur, l'élher, le chloroforme On note, à diverses reprises, des périodes d'agitation, dans lesquelles elle casse, brise le
ne peut plus marcher. lb juillet, —Deux attaques syncopales. Hier, période d'agitation. 23 juillet. — Deux attaques épilep
B..., avec la plus grande facilité. Nous relèverons incidemment les périodes d'agitation maniaque, accompagnées parfois de vio
— H.mi-léthargie et hémi-catalepsie. Tentative d'empoisonnement. — Périodes d'excitation. — Règles et attaques. — Fuite de la
s. Tout d'un coup , sans pousser de cri, elle tombe en attaques. 1° Période tonique. — Tout le corps est rigide, les membres
rigide, les membres sont dans l'extension, le cou gonflé, tendu. 2° Période des contorsions. — Au bout d'un temps très court,
t les pieds. Brusquement, S... N... reprend le décubitus dorsal. 3° Période de délire.— Après un court repos, éclate le délir
) phase clonique ébauchée ; — c) stertor léger, un peu d'écume. Cette période est beaucoup plus courte chez S... que chez la pl
es autres malades et est quelquefois limitée à la phase tonique. 2° Période clonique.— Le corps se met encro?ar,puis en arc d
e roule, pousse des cris de rage et quelquefois mord l'oreiller. 3° Période de délire.— Après quelques instants d'immobilité,
près quelques instants d'immobilité, de réflexion, S... entre dans la période de délire : « Ah! que c'est joli..., quel beau ba
s assistons à une nouvelle série d'attaques dans lesquelles les trois périodes se succèdent régulièrement. La période de délire
ues dans lesquelles les trois périodes se succèdent régulièrement. La période de délire présente en général deux phases qui, as
t les séries. — On a noté, en outre, des accès de colère et plusieurs périodes d'excitation. ¦ 1880. — Rien de particulier va.
vec ses symptômes ordinaires, \esattaques étaient constituées par les périodes classiques. Notons seulement, pour mémoire, les a
iées (crucifiement, sirène, arc de cercle, etc.) et la longueur de la période de délire. Les attaques se montraient en général
uvent des sensations analogues à celles qu'elles ressentaient dans la période de délire. Suzanne, à la sortie du sommeil arti
4 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
mianesthésie. — Hyperesthésie ovarienne. — Description des attaques : périodes . — Urines. — Température. — Traitement et marche
terrain que se développent les attaques proprement dites. Première période , a) La tète se soulève, se dirige sur l'épaule ga
niques envahissent tout le corps et surtout les membres inférieurs. Période clonique. La tète et le corps se reportent sur la
cloniques très-étendus des bras, des jambes et du tronc : c'est cette période qui nécessite l'emploi de la camisole. Période
tronc : c'est cette période qui nécessite l'emploi de la camisole. Période terminale. Th. tombe en résolution ; la respirati
ait sur aucun point des deux ovaires un seul follicule de Graaf à une période quelconque de son développement ascensionnel. On
La muqueuse utérine était dans l'état qu'elle présente au début de la période menstruelle. Les vaisseaux étaient nombreux et go
ité générale de tout le corps et des membres constituent une première période très-courte, que l'on pourrait désigner sous le n
emière période très-courte, que l'on pourrait désigner sous le nom de période épileptoïde. Puis, survient une seconde période
gner sous le nom de période épileptoïde. Puis, survient une seconde période ,quenous appellerons, (l) C'est ce qui explique
s reproduisons, L... est représentée toute nue. avec M. Charcot, la période des contorsions. Le bras droit s'élève dans l'ext
cture et les orteils sont vigoureusement fléchis (1). Cette seconde période pré- (l ) L'auteur de Y Histoire des Diables de
la plupart de ses attaques, le ventre se ballonne démesurément (1). Période de délire. — Aux convulsions succèdent des phénom
rand-Duché de Luxembourg, chez une de ses tantes : c'est durant cette période qu'aurait débuté sa maladie convul-sive. (il L'
jusqu'à 10 heures 3/4. A onze heures les attaques recommencent. a) Période tonique. — Pas de cri. La tête se porte dans l'ex
ment intense. Le crucifiement est complet. (Planches XI et XII.) b) Période clonique. — Au bout de deux minutes, les bras e
ine, tantôt le ventre ; d'autres fois, elle se tortille. Durant cette période , la respiration est précipitée, haletante. Aprè
Après un court répit survient une nouvelle attaque (11 heures 6\ a) Période tonique. — La tète prend la même position que dan
! oue! qui se succèdent rapidement pendant deux minutes environ. b) Période clonique. — Puis, le décrucifiement s'opère ; les
le cou tendu. A onze heures douze minutes, troisième attaque. a) Période tonique {crucifiement). — L'attitude delà tète, l
s comme tout-à-l'heure, mais comme une personne qui souffre (1). c) Période terminale. — La malade revient entièrement à elle
ompagnes, Madeleine tombe par terre, en poussant un cri étouffé. a) Période tonique. — La face est colorée, très-rouge, vermi
la même des deux côtés.Ces phénomènes durent environ une minute. b) Période cloniqtie. — Elle est constituée seulement par
lle est constituée seulement par quelques secousses cloniques. c) Période de stertor. — Résolution générale , cyanose bleue
Pas d'aura. Souvent cris répétés, prolongés, au début et pendant la période clo-nique : rarement absence de cris. Rigidité
'une (Planches VI, VII, IX) et chez l'autre Pl. XI et XII), durant la période tonique d'une variété d'attaques, nous observons
gés en haut et à gauche, les pupilles dilatées. La bouche est fermée ( Période tonique). — Surviennent alors des convulsions rap
nue dans les membres où se produisent quelques secousses cloniques [ Période clonique). — Puis, stertor, écume, évacuations in
Lateau et Léontine V..., chez lesquelles le principal symptôme de la période tonique des attaques, est une contracture général
anesthésie et hyperesthésie ovarienne du côté gauche. — Caractères et périodes des attaques : température. — Délire hystérique.
elle avait naguère coupé le mamelon. Sortie le 28 avril. Pendant la période de 1868 à 1870, nous ignorons quelle a été l'exis
vante en témoigne, sont tout-à-fait ceux de Yhystéro-épilepsie. 1 ° Période épileptoïde. — Immobilité complète du corps; batt
os, laryngisme, pha-ryngisme , stertor , écume. (Planche XVII). "i0 Période cloni que.-Cris perçants, répétés, mouvements dés
, de telle sorte que la tète vient battre violemment l'oreiller. 3° Période de délire. — Les i convulsions cloniques ont j ce
s phénomènes sont bientôt suivis d'une attaque qui se termine par une période de délire où l'érotisme prédomine. Les règles ont
us accentués avant ou après les attaques qui se produisent durant les périodes menstruelles. — Tympanile considérable. — Plusieu
ttaques. Ce matin, G... a eu une crise épileptiforme, terminée par la période de stertor (Planche XVI). La malade était dans la
up de poing et se blesse au poignet gauche. 13 avril. — Attaque, a) Période du début. G... se plaignait des douleurs qui anno
nt ani- Planche XV. DÉBUT DE L'ATTAQUE Planche XVI. ATTAQUE : PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Planche XVII. ATTAQUE : PÉRIODE É
nche XVI. ATTAQUE : PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Planche XVII. ATTAQUE : PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Planche XVIII. ATTAQUE ; PÉRIODE
he XVII. ATTAQUE : PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Planche XVIII. ATTAQUE ; PÉRIODE TERMINALE mées de mouvements rapides, les muscl
joues et des lèvres sont agités par des convulsions incessantes. b) Période épileptoïdc.—Alors commence une seconde période :
ons incessantes. b) Période épileptoïdc.—Alors commence une seconde période : la tète se porte lentement dans l'extension, la
s sur les poignets (Planche XVIPi. La respiration est suspendue. c) Période cIonique. — Au bout d'une minute environ, la rigi
e. A ces phénomènes en succèdent d'autres qui constituent la dernière période . d) Période de délire. — G... est immobile, cou
mènes en succèdent d'autres qui constituent la dernière période. d) Période de délire. — G... est immobile, couchée sur le do
a description d'autres phénomènes très-curieux qui.se rattachent à la période de délire. Toutefois, nous croyons utile de menti
déjà décrites (Pl. XV) et qui se compose, suivant la règle : 1° d'une période tonique ou épileptoïde (Pl. XVII) ; 2° d'une péri
règle : 1° d'une période tonique ou épileptoïde (Pl. XVII) ; 2° d'une période clonique avec mouvements de balancement ; — 3° d'
2° d'une période clonique avec mouvements de balancement ; — 3° d'une période de délire, qui, tout en offrant encore aujourd'hu
t'aime... Sans toi, fille chérie, je me serais donné Planche XIX. PÉRIODE TERMINALE : DELIRE MÉLANCOLIQUE Planche XX. P
lanche XIX. PÉRIODE TERMINALE : DELIRE MÉLANCOLIQUE Planche XX. PÉRIODE TERMINALE : DÉLIRE MÉLANCOLIQUE Planche XXI P
Planche XX. PÉRIODE TERMINALE : DÉLIRE MÉLANCOLIQUE Planche XXI PÉRIODE TERMINALE : DÉLIRE MÉLANCOLIQUE la mort.... Pou
manifeste le délire erotique... L'attitude de la malade pendant la période de délire mélancolique n'est pas constante. Outre
asse-moi !... Donne-moi... Tiens voilà mon... » Et ses Planche XXII PÉRIODE TERMINALE . EXTASE Planche XX11I PÉRIODE TERM
» Et ses Planche XXII PÉRIODE TERMINALE . EXTASE Planche XX11I PÉRIODE TERMINALE : EXTASE Planche XXIV PÉRIODE TERMI
EXTASE Planche XX11I PÉRIODE TERMINALE : EXTASE Planche XXIV PÉRIODE TERMINALE : EXTASE gestes accentuent encore la
figure est froide, glacée. 6 mai. Attaque (Yhystéro-épi-lepsie. 1° Période épileptoïde (Pl. XVII) ; — 2° Période ctonique ;
ttaque (Yhystéro-épi-lepsie. 1° Période épileptoïde (Pl. XVII) ; — 2° Période ctonique ; — 3° Compression ovarienne, la malade
avancé que les hystériques faisaient fréquemment allusion, pendant la période de délire, aux événements qui avaient frappé leur
e. Lorsque nous l'observons, à quatre heures, elle est à la fin de la période de délire. Elle se lamente, parle de l'ancienne s
cette réunion de symptômes constitue une sorte d'exacerba-tion de la période tonique. La respiration devient ensuite fréquen
mouvements cloniques sont moins étendus et moins violents que dans la période clonique complète ; ce n'est en somme qu'une ébau
période clonique complète ; ce n'est en somme qu'une ébauche de cette période telle qu'elle se présente d'ordinaire. Enfin, G
rter vers la gauche. Outre ces variations, qui surviennent pendant la période tonique, il en est qui se montrent à la période c
urviennent pendant la période tonique, il en est qui se montrent à la période clonique : ainsi, dans l'une de ces exa-cerhation
s le service, aux cris des bètes féroces ; ou bien, à la fin de cette période , la physionomie est lubrique. Malgré ces modifica
se convulsent; tout le corps est envahi par une rigidité extrême : la période tonique est complète. Bientôt éclate la période c
rigidité extrême : la période tonique est complète. Bientôt éclate la période clonique avec grands mouvements du tronc, project
s autre chose, » Suspension de la compression : attaques avec leurs périodes ordinaires. Compression ; G... appelle son amant,
his, le pouce en dehors. Ceci dure 23 à 30 secondes et on observe une période de calme, du reste assez courte. Bientôt, la ph
ttaques. Le 23, nous assistons à une nouvelle série, dans laquelle la période destertor est plus accusée que de coutume : la fa
ons fait le tableau d'un certain nombre de ses attaques, décrit leurs périodes et leurs variétés qui permettent de voir comment
end des voix qui lui donnent des ordres, etc. Souvent, durant cette période , les hystériques cherchent à se faire mal. Nous a
sparaît au bout de 15 à 30 secondes : C'est une sorte d'ébauche de la période épileptique. La connaissance paraît conservée (?)
s et s'est dissipée lentement (1). 4 février.—Attaques : 1°Première période , a) Torsion de la tète, face déviée à gauche, rou
ition ou des efforts de vomissement, séparent d'ordinaire la première période de la seconde. 8° Période clonique. — La malade
ssement, séparent d'ordinaire la première période de la seconde. 8° Période clonique. — La malade exécute de grands mouvement
après le début de cette série, composée d'attaques dans lesquelles la période de délire a fait défaut, M... revient à elle et p
objets qui lui tombent sous la main. 8 avril. — Attaques. Première période . Souvent la première attaque d'une série débute s
oulevé par des mouvements onduleux, avec borborygmes très-bruyants. Période clou'ique.— Ensuite, M... pousse un cri aigu, mod
, on l'entend bientôt dire : Planche XXVI. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : 3° PÉRIODE Planche XXVII. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : 3e PÉRIODE
YSTÉRO-ÉPILEPSIE : 3° PÉRIODE Planche XXVII. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : 3e PÉRIODE « Ernest ! Ernest ! » De la tète, elle lui fait
urd'hui à une série d'attaques qui, tout en étant composées des mêmes périodes et des mêmes phases, offrent des particularités n
s phases, offrent des particularités nouvelles. Les prodromes et la période épileptoïde n'ont pas subi de modification. Mais
de n'ont pas subi de modification. Mais il n'en est pas de même de la période clonique : nous avons vu précédemment que, au déb
période clonique : nous avons vu précédemment que, au début de cette période , M... se tortillait puis qu'elle s'asseyait brusq
aie. Elle n'a pas eu d'attaques hys-léro-épileptiques durant toute la période douloureuse qui précède. — Soir. T. R. 37°,7. 1
les modifications. Nous assistons à une série de ces attaques : 10 La période tonique ou épileptoïde n'a pas changé. Entre elle
riode tonique ou épileptoïde n'a pas changé. Entre elle et la seconde période , M... regarde en face, puis incline la tète à dro
à gauche, exécute quelques légers mouvements auxquels succède, 2° la période clonique : elle fléchit et laisse retomber brusqu
à huit ou dix reprises, comme auparavant. Alors, elle s'assied et la période des hallucinations commence : c'est sur elle que
eures : elles ont présenté les caractères du type ancien, régulier. Période de délire. — Elle est heureuse, se tortille légèr
.) et quant à la sensibilité (anesthésie, analgésie, etc.), durant la période comprise entre le 29 octobre et le 1er décembre.
génitale-ment son contact. VIII. — Les prodromes des attaques et la période épileptoïde ne soulèvent aucune remarque nouvelle
le. Il n'en est pas de même des intervalles qui séparent les diverses périodes , ni du délire. Entre la période épileptoïde et
ervalles qui séparent les diverses périodes, ni du délire. Entre la période épileptoïde et la période clonique, il se produit
diverses périodes, ni du délire. Entre la période épileptoïde et la période clonique, il se produit, chez M..., comme chez la
des proportions aussi considérables que chez Geneviève . Durant la période clonique — et c'est là un phénomène que nous n'av
balancement sur lesquels nous n'avons pas à insister (1). Reste la période de délire. — L'un des symptômes qui frappent le p
séance d'exor- (1) Cette attitude sépare parfois deux phases de la période clonique. Planche XL. ESQUISSE DE RUBENS : DÉ
5 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
e, quoique permanente, resta cependant toujours incomplète jusqu'à la période ultime. Les résultats de l'autopsie devaient d'
impressions sensitives et sensorielles dans le délire de la troisième période de l'attaque hystérique (voir plus loin, n°XXVI),
ujets présentant ce qu'on appelle le grand hypnotisme, avec ses trois périodes bien délimitées, léthargie, catalepsie et somnamb
e dix ans. C'est une grande hystérique, avec grandes attaques à trois périodes , attaques de contracture, et portant tous les sti
ixation d'un objet brillant et elle tombe en léthargie. Pendant cette période , les diverses excitations que nous faisons porter
nous l'hypnotisons par la pression sur les globes oculaires. Dans la période léthargique, aucune réaction aux diverses excitat
plus variées. Nous n'avons pu ni à l'état de veille, ni pendant la période somnambulique obtenir le récit des tableaux ou de
nomie étaient l'expression. Tout souvenir avait disparu. Pendant la période somnambulique de l'hypnotisme les diverses excita
sorielles, comme chez nos deux autres malades, non plus que dans la période somnam-bulique, ainsi que nous le disions plus ha
nations, le plus souvent visuelles. On sait aussi que cette troisième période de l'attaque peut, dans certains cas, prendre un
vers le 15 juin on remarque qu'à la fin do chaque crise survenait une période d'hallucinations avec délire. Le sujet de ce déli
cette seconde série d'expériences, on suggère au malade, pendant la période hallucinatoire 'de l'attaque, de raconter les tab
duré dix jours. Elle a de plus des attaques d'hystérie classique avec période épileptoïde, phase des grands mouvements et arcs
s grands mouvements et arcs de cercle, attitudes passionnelles. Cette période des attitudes passionnelles est chez elle dévelop
nstance pour provoquer l'attaque hystérique, en lui suggérant dans la période somnambulique qu'elle va avoir une crise. Une foi
lade sous l'influence d'excitations sensorielles analogues pendant la période cataleptique du grand hypnotisme (1). Chose remar
nt exagéré. Dans une attaque provoquée, après avoir laissé passer les périodes épileptoïde et des grands mouvements, nous abando
la manière d'un automate, et ne reprend sa lucidité qu'au bout d'une période de temps dont la durée peut varier de quelques he
ifestés à partir de l'âge de 35 ans, et ont été au nombre de 7 en une période de 3 ans ; leur durée a varié de 2 heures à 6 jou
crises convulsives dans ses antécédents, et surtout si le début de la période d'inconscience est marqué par des prodromes d'ord
s somnambulismes hystériques comme des transformations d'une certaine période de l'attaque hystéro-épileptique, celle qui dans
euvent exister à l'état d'isolement, il arrive aussi que la troisième période se manifeste d'emblée. Cette manière d'attaque es
nception, représenterait l'une des phases dissociées de l'attaque, la période (1) Paul Blocq. — Revue générale de clinique et
n premier groupe de faits, il s'agit d'une attaque d'hystérie dont la période convulsive est raccourcie, et dont la période pas
aque d'hystérie dont la période convulsive est raccourcie, et dont la période passionnelle, exagérée par sa durée, offre l'appa
mouvements de torsion des mains, qui représentent, en raccourci, les périodes convulsives de l'attaque. Il se livre d'emblée au
oir plus loin n° XXVIII (G. G.). seconde, et ne se souvient que des périodes normales antérieures. (Ribot.) La malade que M.
ues mots. Nous rappelons que M. Charcot désigne ainsi l'une des trois périodes du grand hypnotisme tel qu'il l'a décrit chez les
crit chez les hystéro-épileptiques. On l'obtient, consécutivement aux périodes de léthargie et de catalepsie, par de légers frot
à plus de dix ans (2). Elle est divisée, ainsi qu'on sait, en quatre périodes : lô période épileptoïde ; 2° période des grands
ans (2). Elle est divisée, ainsi qu'on sait, en quatre périodes : lô période épileptoïde ; 2° période des grands mouvements ;
e, ainsi qu'on sait, en quatre périodes : lô période épileptoïde ; 2° période des grands mouvements ; 3° période des attitudes
odes : lô période épileptoïde ; 2° période des grands mouvements ; 3° période des attitudes passionnelles ; 4° période terminal
e des grands mouvements ; 3° période des attitudes passionnelles ; 4° période terminale. Mais il s'en faut de beaucoup qu'elle
de hystérie, hysteria major ou hystéro-épilepsie. Quelquefois une des périodes peut manquer et l'attaque se borner par exemple a
même dans le livre de M. Richer que déjà Bernutz avait considéré une période de délire comme inhérente à la constitution de l'
au second plan. Dans les cas les plus ordinaires, les deux dernières périodes durent peu ou même peuvent manquer complètement.N
ionnelles prédominer avec grande violence, au point de constituer une période plus ou moins prolongée d'un délire généralement
mnambuliques, toujours précédées et suivies, comme la première, d'une période convulsive, la malade est en proie à des hallucin
ns musculaire exceptés. Chez lui la transition de la vie normale à la période délirante se faisait cepen- (1) P. Richer. — ho
s, ne se ressemblent pas cependant absolument. Les uns présentent une période délirante courte, marquée par une incoordination
tal, les attaques de ce petit malade se modifièrent notablement. La période délirante se raccourcit peu à peu, l'élément conv
eau de quelques habitants. Elle avait des attaques dans lesquelles la période délirante prenait un développement tel que, devan
duisait généralement dans l'après-midi ou la soirée. Après une courte période convulsive, le petit malade entrait dans son somn
n peu plus longtemps (2 minutes) mais il est exactement le même. Même période de contorsion des bras et des mains précédant l'i
provoquée par la fixation d'une grosse tête d'épingle brillante. Même période de contorsions des membres ; même délire : la bêt
n nettement tranchés. On peut les résumer en quelques mots : 1° Une période de contorsions, portant principalement sur les me
phase des attitudes passionnelles qui prédomine de beaucoup. 2° Une période de délire, caractérisée par la présence d'halluci
st à remarquer que le ton, sinon la voix du malade, change pendant la période délirante. A l'état normal, il parle posément, do
s en temps qu'entre deux tableaux il existe une sorte d'ébauche de la période de contorsions qui commence l'attaque. Le malade
ez variées chez un même malade, leur nombre peut s'augmenter quand la période somnambulique s'allonge, mais elles forment une s
ect bien caractéristique de la grande attaque hystéro-épileptique. La période des attitudes passionnelles est allongée au point
ovoquions généralement l'attaque en suggérant à la malade, pendant la période somnambulique de l'hypnose, qu'elle allait avoir
ous avons pu constater chez elle des phénomènes de même ordre dans la période cataleptique du grand hypnotisme. Nous les avons
ne décrivons pas en détail les résultats obtenus chez Sch... dans la période cataleptique de l'hypnose à l'aide de l'excitatio
ystérie le mieux caractérisées du monde. Elle se composent : 1° d'une période épileptoïde fort nette avec phase tonique et clon
hase tonique et clonique, stertor, écume à la bouche, etc. ; 2° d'une période de grands mouvements, salutations, arcs de cercle
, arcs de cercle, attitudes illogiques, accompagnés de cris; 3° d'une période d'attitudes passionnelles. Mais cette troisième p
ttaque prend un développement hors de proportion avec les deux autres périodes . Elle peut durer à elle seule toute une après-mid
ait la phase épileptoïde de l'attaque, suivie à bref délai des autres périodes , grands mouvements et attitudes passionnelles. Il
premier point établi : le somnambulisme a sa place dans la troisième période de la grande attaque. Passons maintenant à la t
ccompagné que de quelques-uns des phénomènes appartenant aux diverses périodes de la grande attaque hystérique. » Conclusion : q
e en a rapporté des exemples fort probants (1). Considérant une autre période de l'attaque classique, la phase épileptoïde, on
e, que la majorité des attaques d'hystérie ne présente pas les quatre périodes classiques. Mais est-ce là une raison pour nier l
réalité des faits. Notre description de la grande attaque à quatre périodes , notre étalon, nous sert précisément à interpréte
ttaque la plus fréquente est celle ou la deuxième phase domine, où la période épileptoïde est plus ou moins fruste, et où les a
connu cependant, ainsi que nous le disions au début de ce travail, la période délirante comme un élément caractéristique du typ
ers côtés, en Suède, en Suisse, et à faire bonne chère. Pendant cette période de fêtes continuelles, il a cependant peu fait d'
se roulant sur le plancher et ces convulsions étaient entrecoupées de périodes d'assoupissement. Dans la suite il n'eut pas d'au
ible d'accepter des suggestions quelconques, analogues à celles de la période som-nambulique du grand hypnotisme (1). Nous lui
dortoir des malades, une attaque spontanée qui avait été suivie de la période délirante habituelle. Il a les yeux grands ouvert
les arbres ; l'm qui est ajoutée sur le fac-similé l'a été pendant la période délirante, lorsque nous lui avons mis son manuscr
hystérique classique et, pour l'appeler par son nom, de la troisième période ou phase des attitudes passionnelles. L'élément
rappeler aussi à ce point de vue le second malade de M. Mesnet. Deux périodes paraissent avoir fait époque dans sa vie. Il a ét
setBlanc-Fontenille(2), dans lequel la malade se croit reportée à une période antérieure, quelquefois très éloignée, de son exi
eurs besoins. On rencontre un semblable état de monoidéisme dans la période cataleptique du grand hypnotisme dont il est, à
ement dit, le souvenir d'un délire antérieur est-il conservé dans une période ultérieure de somnambulisme ? La réponse à cette
l'attaque hystérique classique avec allongement et prédominance de la période des attitudes passionnelles, au détriment des pha
de somnambulisme hystérique, que ce somnambulisme était précédé d'une période convulsive, qu'on le faisait cesser en touchant u
rande hysté- Charcot, t. ii. H rique, qui a de temps en temps des périodes de noctambulismo pouvant se répéter pendant plusi
l s'agissait simplement d'attaques d'hystérie avec prédominance de la période somnámbulo-delirante. Il est généralement facil
quelque sorte mélangés, coexistant au même moment sans distinction de périodes , contrairement à ce qui a lieu dans le grand hypn
dans mon service où elle est restée depuis. En 1884, après une longue période d'état de mal hystérique, — cet état de mal, que
e se souvient seulement des divers incidents datant de cette dernière période . Cependant ces deux états, si nettement séparés
estibilité) qui se montraient à un si haut degré dans l'état B. Ces périodes d'état A sont, en général, assez courtes. Elles n
qui sont, elles, incontestablement des modifications de la troisième période de la grande attaque d'hystérie (Voir plus haut,
représentant, conformément aux vues de M. le Pr Charcot, la troisième période de la grande attaque d'hystérie. Dans la descript
ie. Dans la description classique de l'attaque, donnée par lui, cette période , dite phase des attitudes passionnelles, présente
elles, présente un développement proportionné à celui des deux autres périodes . La première, phase épileptoïde, est généralement
iforme, où la phase épileptoïde prédomine à un haut degré, de même la période des attitudes (1) Par Georges Guinon. — Ce trav
bant, le somnambule conserver le souvenir des actes exécutés dans une période somnambulique antérieure; et cela avec une précis
et. — Les altérations de la personnalité. — (Rev. des Deux-Mondes. 3e période , t. OUI, 15 février 1891). Or, il semble démont
istoire de sa vie que par morceaux séparés les uns des autres par des périodes ignorées, qui sont les accès de condition seconde
férentes n'en ont de leurs natures respectives; par exemple, dans les périodes d'état ancien, elle possède toutes les connaissan
ure. Dans l'état normal, au contraire, elle a perdu tout souvenir des périodes de somnambulisme. Elle est donc forcément gauche,
rable et qui nous permet sans contredit d'assimiler véritablement les périodes d'état second à des attaques vulgaires d'hystérie
ystérique est largement représenté. Chaque accès se compose de quatre périodes . Tout d'abord, on remarque « un stade de collapsu
es pendant lesquelles le malade parle, crie, chante, gesticule. Cette période , dont la durée est de dix à quinze minutes, peut
tuel de ses pensées et de ses actes, l'autre qui s'étend à toutes les périodes du somnambulisme... Mais dans l'état de veille il
les convulsions, les grands mouvements, l'arc de cercle de la seconde période , ainsi que les hallucinations accompagnant et car
sort de l'une pour tomber dans l'autre, comme certaines passent de la période convulsive de l'attaque ordinaire dans la phase d
versation ou à continuer la lecture ou l'ouvrage commencés pendant la période de somnambulisme précédente et qu'elle avait oubl
mémoire qui existent à l'état normal, et portent alors sur toutes les périodes d'état second. Si cette malade entre dans son v
ui faisait perdre le souvenir de tout ce qui s'était passé pendant la période précédente, cet accès la rendait muette. Une seco
plongée dans son existence seconde, et ainsi de suite. Peu à peu, les périodes d'existence normale sont devenues de plus en plus
des personnes présentes et, d'ailleurs, n'a aucune notion des autres périodes de son existence. A la suite d'une autre applic
(t est obligé d'épeler ses lettres pour y arriver. Toutes les rutres périodes de la vie, tant antérieures que postérieures à 18
ui de Félida X... M. Azam a observé cette malade pendant une longue période de trente-deux ans (1858 à 1890) et après avoir p
'ignorance complète où elle est de tout ce qui s'est passé pendant la période qui précède, quelle qu'ait été sa durée. Je ne ra
sse. » « Il en était ainsi, en 1858. Dans les années suivantes, les périodes de condition seconde se sont accrues et elles ont
de condition seconde se sont accrues et elles ont égalé en durée les périodes d'état normal. Alors Félida présentait ce phénomè
e la vie normale, il s'est trouvé que, pendant nombre d'années, les périodes d'état normal ne duraient que trois à quatre jour
condition seconde empiétaient de plus en plus sur la vie normale, les périodes de transition par l'intermédiaire desquelles elle
tellectuel, quel est son état. « Depuis environ neuf à dix ans, les périodes de condition seconde ont diminué de longueur, et
normal, les phénomènes convulsifs reparaissent, bientôt suivis d'une période d'état second qui dure un peu plus d'un mois. Enf
91. Les recherches que nous avons faites sur son compte pendant cette période de dix-huit mois ont donc pu être contrôlées à ma
érie, pas très violentes, mais suffîsammentcaractéristiques. Pas de période épileptoïde nette, non plus que de phase d'attitu
ndant les années qui se sont écoulées depuis sa naissance jusqu'à une période assez nettement définie. Cette période, dont cepe
epuis sa naissance jusqu'à une période assez nettement définie. Cette période , dont cependant on ne peut exactement fixer la da
rme, et être transportées dans l'état A. Alors la malade, pendant une période d'état normal provoquée, voit et retrouve encore
u service coiffé d'un casque à panache ou d'un bonnet de coton. Cette période d'état A passée, elle voit encore l'hallucination
tat B consécutive, ce qui prouve nettement la continuité des diverses périodes d'état second, même interrompues par des périodes
inuité des diverses périodes d'état second, même interrompues par des périodes intercurrentes d'état normal. Disons tout de su
manœuvres sur lesquelles nous reviendrons plus loin. En tous cas, les périodes accidentelles d'état A, tant spontanées que provo
les atteignent rarement un quart d'heure. Une seule fois, on a vu une période spontanée consécutive à une attaque, dans la jour
me convaincre qu'il n'y avait aucune différence entre les diverses périodes et qu'il s'agissait bien là d'un état unique, tou
de son amie qui fond en larmes, au grand étonnement de l'autre. Cette période accidentelle spontanée d'état A fut la plus longu
même état, étant ainsi restée soumise à notre observation pendant une période de dix-huit mois, pendant lesquels les phénomènes
ne phase de transition, composée, ainsi que je l'ai dit plus haut, de périodes d'états A et B enchevêtrées les unes dans les aut
e reproduisent plusieurs fois sous forme d'états de mal pendant cette période . (1) Voir plus haut, n° XIX, p. 168 : Charcot.
à raison de trois cent cinquante attaques par jour environ. Dans une période de treize jours, on en a compté quatre mille cinq
uelque sorte mélangés, coexistant au même moment, sans distinction do périodes , contrairement à ce qui a lieu dans le grand hypn
squ'elle est prise d'une attaque présentant le type classique à trois périodes . Quand elle reprend ses sens, elle se trouve « dr
es attaques d'hystérie vulgaires, classiques, avec phase épileptoïde, période des grands mouvements et arcs de cercle, phase d'
uveau, et en particulier au milieu de 1890, atteinte d'une nou» velle période d'état de mal hystérique épileptiforme, identique
» velle période d'état de mal hystérique épileptiforme, identique aux périodes précédentes dont nous avons parlé plus haut. En
s le moindre souvenir de tout ce qui s'est passé antérieurement à une période assez mal délimitée qui paraît comprendre la seco
des oscillations entre les deux états qui ont probablement rempli la période mal délimitée de 1884 à 1885. Elle ne sait poin
econde moitié de 1884 et la première moitié de 1885. Il y a eu là une période traversée par des oscillations irrégulières entre
se passait chez Marguerite D..., laquelle avait toujours conservé une période nocturne d'état normal, l'état B existe d'une faç
at prime (a, b, c.) ; habituel depuis 1885. X. Phase de transition, période des grands états de mal hystériques de 1884-85.
la condition seconde, il n'y a point de lacunes de mémoire. Dans les périodes d'état normal, au contraire, il y a des lacunes p
ontraire, il y a des lacunes plus ou moins grandes, correspondant aux périodes de vigilambulisme antécédentes. D'où un état de m
ue médico-légal. lre édition, p. 245 et suivantes. séparées par une période d'attitudes passionnelles modifiée sous forme de
dira-t-on, si l'on peut admettre à la rigueur l'assimilation avec la période des attitudes passionnelles dans les cas où la cr
s et des années, interrompu seulement de temps à autre par do courtes périodes d'état normal, A cette objection la réponse me pa
s passionnelles. Mais au début de la maladie il s'était produit une période d'état second de trois mois de durée. Ce dgilambu
s ici, à savoir que le vigilambulisme n'est qu'une modification de la période passionnelle de l'attaque. On connaît des cas d
ns périodiques d'états A et B, trouble qui n'existe point du fait des périodes somnambuliques chez les somnambules hystériques p
vie de Mme D..., depuis la naissance jusqu'au 21 décembre 1891. A Période normale (près de 34 ans de durée). De la naissanc
illet 1891.............. B j_14 juillet 1891 (10 heures du soir). Période d'amnésie rétrograde (15 juillet-28 août)........
août 1891 (événement causal,. C J_ début de l'attaque d'hystérie). Période de la crise d'hystérie. Amnésie de la crise (18 a
)------............. Y) J_3l août (fin de l'attaque d'hystérie) I Période d'o.mnèsie antérograde (31 août-22 décembre).....
n mari et la longue crise de trois jours qui en est résultée. Cette période de six semaines, qui s'étend du 15 juillet au 28
s'étend du 15 juillet au 28 août, nous l'appellerons, si vous voulez, période d'amnésie rétrograde (B C), pour employer un term
té à l'histoire des amnésies traumatiques. Nous réserverons le nom de période normale à la période A B, qui s'étend de la naiss
mnésies traumatiques. Nous réserverons le nom de période normale à la période A B, qui s'étend de la naissance au 14 juillet, e
re souligné en passant, durant ce laps de temps oublié par la malade ( période d'amnésie rétrograde), la mémoire s'est exercée d
onnel, peut-être unique jusqu'ici ! Appelons, si vous voulez, cette période qui s'étend du 31 août au moment présent période
i vous voulez, cette période qui s'étend du 31 août au moment présent période d'amnésie anté-rograde (D E), par opposition à la
ent présent période d'amnésie anté-rograde (D E), par opposition à la période rétrogade. Vous comprenez maintenant le sens de c
t si accentué de l'amnésie de notre malade. En vous entretenant de la période rétrogade, je vous disais que les souvenirs accum
iode rétrogade, je vous disais que les souvenirs accumulés dans cette période n'existent plus ou paraissent ne plus exister. En
n'existent plus ou paraissent ne plus exister. En vous parlant de la période antérograde et actuelle, j'insistais sur ce fai
ui nous a été fait par le mari de cette malade. Tout d'abord, dans la période rétrograde, rien d'anormal : aucune modification
uel. Vous savez cependant que tous les souvenirs accumulés dans cette période ont complètement disparu. Cette disparition s'est
is, Messieurs, que cette femme avait oublié tous les événements de la période rétrograde. Quelques-uns d'entre eux sont pourtan
1) Avant de questionner la malade sur les principaux événements de la période rétro-antérograde, on l'avait au préalable interr
semble avoir joué un rôle important. Messieurs, cette amnésie de la période antérograde porte non seulement sur les faits vul
e, dans ses rêves, elle parlait parfois de tel ou tel événement de la période amnésique, soit rétrograde, soit antérograde, qu'
sommeil hypnotique, elle nous a raconté tous les événements de cette période , nous apprenant même des détails que nous ignorio
d'hystéro-épilepsie prolongée sous forme d'amnésie. Vous savez que la période délirante de l'attaque se transforme souvent et q
us2 l'avait relatée en ces termes : « L'urine au début de la deuxième période du labes peut avoir une composition normale... Da
déjà et que l'accident n'a influé que sur l'apparition de la deuxième période du tabès. En effet, Rec... raconte, que depuis ci
ujours été et est encore gros mangeur et boit beaucoup. Il y a eu une période de polyurie, mais ce fait est assez difficile à p
marcher seul. » La recherche du sucre n'a pas été faite durant cette période . Etat actuel (2 septembre 1891). — Homme d'aspe
t que l'amblyopie du tabès peut par conséquent être confondue à celte période avec celle du diabète et de l'alcoolisme chroniqu
ne point tomber sur ces personnes imaginaires. Pendant toute cette période , il continua son métier de correcteur à l'imprime
'avons pas fait d'examen précis au sujet du pouls pendant la première période de la maladie. En tous cas, on peut affirmer qu'i
venu impossible. Il reste bien entendu cependant que, pendant cette période prémonitoire qui a reçu le nom d'aura, le patient
ès est très variable ; il y a eu. un intervalle d'un an ; surtout aux périodes menstruelles. Pas de petit mal. Accès typiques,
l est vrai, s'y rencontrer à l'état de phénomène transitoire, dans la période plus ou moins longue qui suit l'accès. Or il est
es d'un an à dix-huit mois, par séries donnant lieu à de véritables périodes d'état de mal d'une durée de douze à quinze heure
somnambulisme. Début des accès à 24 ans. Le premier fut suivi d'une période d'excitation maniaque ayant nécessité le transpor
trer qu'à 18 ans avec les premières règles; généralement suivis d'une période plus ou moins courte d'automatisme. Aura précéd
à 29 ans. Ils se répètent à peu près régulièrement tous les mois, aux périodes menstruelles, sans compter les absences qui sont
x à trois fois par semaine, avec une recrudescence avant et après ses périodes menstruelles. Aura variable, pas toujours la mê
ournées à se faire électriser dans une baraque de foire, suivie d'une période de stupeur de plusieurs jours. Les premiers accès
u service (2). Elle comprend 37 consultations du mardi. Pendant cette période dejieuf mois, le chiffre totaJj|es consultations
ffres généraux résultant du tableau ci-dessus, nous trouvons dans une période de neuf mois (février à novembre 1891), pour 37 j
dans service le 15 juin 1886. Sa mère, âgée de 65 ans, aurait, par périodes de quatre à cinq jours, des crampes, des douleurs
6 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
passagers, et des désordres locaux et étendus parcourent toutes leurs périodes , atteignent celle de la réparation et de la guéri
ète que possible de la nature et des effets de cette affection. lre période . Invasion de ta maladie. — La maladie peut commen
d'une ostéite, d'une nécrose; 3° début par l'intérieur de l'os. 2e période . Destruction. — La destruction des parties consti
y a raccourcissement, diminution de la taille. (1) J'ai décrit deux périodes du mal vertébral : l'une de lésion, d'altération
aide desquels la nature répare les désordres qu'elle a produits. 3e période . Réparation. — Vous trouverez dans Pott et dans d
euses ou fîbro-cartilagineuses. IIIe cas. — Un troisième cas, où la période de réparation succède à la séparation, va nous oc
'affection vertébrale, présente, comme celui des fractures, plusieurs périodes dans son évolution. Ce qui le produit, c'est une
et du diagnostic anatomique. bouvier. 2 Je distinguerai ici trois périodes , différentes de celles de la lésion anatomique.
i trois périodes, différentes de celles de la lésion anatomique. 1" période . — Une première période, que j'appellerai latente
entes de celles de la lésion anatomique. 1" période. — Une première période , que j'appellerai latente, est celle qui ne se tr
ont plus de valeur ; ils servent à éclaircir le diagnostic dans celle période . Dans tous les cas, on devra s'éclairer des antéc
les cas, on devra s'éclairer des antécédents, de l'état général. 2e période . — Les signes sont encore peu marqués au début. L
x portions du rachis étant d'effacer leur courbure naturelle. Cette période est d'un diagnostic quelquefois difficile. Ne con
ral d'un simple défaut naturel de cambrure du cou et des lombes. 3e période . — Deux moyens d'exploration, la vue et le touche
, la vue et le toucher, permettent d'arriver au diagnostic dans cette période , où la déformation bien manifeste présente des as
inférieure de la gibbosité. Cette variété appartient spécialement aux périodes les plus avancées ; elle peut succéder à chacune
ophyse épineuse. Ce cas se rapporte non à l'état latent, mais à cette période de déformation équivoque qui lui succède. Quand l
a région de l'ilium. On peut considérer comme un quatrième degré la période d'ouverture de ces abcès. Le malade n° 28 de la s
e nouveau, en sens inverse, quand la guérison a lieu, les différentes périodes par lesquelles elle a passé une première fois à s
ints du mal vertébral. Si ces moyens sont employés dans les premières périodes du mal, ils peuvent causer des distensions fâcheu
quelques faits épars d'une terminaison semblable. Dans la première période des abcès migrateurs, la guérison spontanée est p
l'emploi des cautères dans les différentes espèces et dans toutes les périodes du mal vertébral, sur le témoignage d'un compatri
'une maladie guérie dans le sein de la mère; il est sujet, dans cette période de son existence, à des inflexions, des tiraillem
luxation congénitale? Malheureusement nous l'ignorons. Cette première période est infiniment moins claire dans ce dernier ordre
cas, la luxation était complète. On n'a bien observé.que la deuxième période de la luxation; je ne connais que trois ou quatre
s nécessaires, les obscurités que j'ai à vous exprimer au sujet de la période initiale des pseudarthroses congénitales de la ha
st sujet à des maladies dont le résultat peut être le même pendant la période intra-utérine qu'après la naissance. Tout cela
secondée par d'autres causes qui n'existent pas généralement dans la période de l'inclusion fœtale. Mais le grand argument con
us mis le doigt sur ce que nous cherchons? Est-ce bien là la première période de la luxation congéniale? La solution de cette q
qu'il n'y a jamais eu d'articulation normale, et que, dès la première période du déplacement, la capsule présente l'allongement
tions peuvent être produites par plusieurs causes. Dans la deuxième période , c'est-à-dire à l'état parfait de la luxation , l
e un insuccès. Dans les luxations coxalgiques, je distinguerai deux périodes sous le rapport de la réductibilité du déplacemen
a réussi, mais la luxation se reproduit fréquemment. Dans la deuxième période , alors que l'état inflammatoire est passé, il res
été un peu plus fréquemment couronnées de succès que dans la première période ; on n'est pas toujours parvenu^ il est vrai, à m
des os ou des articulations, je distingue deux phases successives, la période douloureuse de l'affection et la période indolent
deux phases successives, la période douloureuse de l'affection et la période indolente. C'est ce qu'on a déjà vu dans l'histoi
u'on retrouve dans la coxalgie, dont il est ici question. La première période de la luxation coxalgique fait partie de la pério
tion. La première période de la luxation coxalgique fait partie de la période douloureuse du coxarthrocace ; la deuxième consti
de la période douloureuse du coxarthrocace ; la deuxième constitue la période indolente des variétés de coxalgie qui sont suivi
g Ier. — Histoire pathologique des pieds bots. Elle comprend deux périodes : 1° la période de formation ou de déviation comm
re pathologique des pieds bots. Elle comprend deux périodes : 1° la période de formation ou de déviation commençante ; 2° la
odes : 1° la période de formation ou de déviation commençante ; 2° la période de déviation confirmée. I. Première période du
ion commençante ; 2° la période de déviation confirmée. I. Première période du pied bot. — Elle peut être considérée dans le
dentel, acquis, et dans le pied bot natif ou congénial. A. Première période du pied bot accidentel. — Nous assistons en quelq
déviations arrêtées à leur début ou qui sont restées à leur première période . C'est à ce titre que je les décris ici. Je veux
s, on a encore peu étudié les causes qui le produisent. B. Première période du pied bot congénital. — La période de formation
qui le produisent. B. Première période du pied bot congénital. — La période de formation du pied bot congénital s'accomplit d
aux conjectures, on ne peut rien affirmer de positif. II. Deuxième période du pied bot. — Vous savez que nous avons rattaché
urs degrés. Il n'y a sous ce rapport qu'une nuance entre la fin de la période de formation du pied bot accidentel, et les premi
Certains pieds bots congénitaux eux-mêmes sont sur la limite des deux périodes ; ils semblent encore en voie de formation à l'ép
rsiste toute la vie et s'aggrave même avec l'âge, surtout prn-dant la période d'accroissement du corps. La cause de cet arrêt d
rvatif et curatif. Le traitement préservatif est celui de la première période ou période de formation, pendant laquelle les mus
uratif. Le traitement préservatif est celui de la première période ou période de formation, pendant laquelle les muscles sont c
eur fait ensuite mieux supporter l'action des appareils. Dans cette période de l'enfance, l'indocilité des malades peut être
des os et des cartilages. Ce phénomène de réparation comprend deux périodes : Io la période d'inflammation ; 2° la période de
rtilages. Ce phénomène de réparation comprend deux périodes : Io la période d'inflammation ; 2° la période de réunion. La p
aration comprend deux périodes : Io la période d'inflammation ; 2° la période de réunion. La période d'inflammation ne manque
iodes : Io la période d'inflammation ; 2° la période de réunion. La période d'inflammation ne manque jamais. Vous entendrez p
, à laquelle il donne une densité nouvelle. C'est alors la deuxième période de la réparation. Le plasma est organisé; un lien
déjà d'une légère céphalalgie; la maladie était alors évidemment à sa période d'incubation. La suppuration peut encore être l
use dans cette maladie présentent divers degrés qui forment autant de périodes successives, lorsque le mal ne s'arrête pas à son
nuances du rachitisme à deux états des os qui caractérisent les deux périodes principales de la maladie ; et comme !c système o
e troisième forme quand la guérison a lieu, j'établirai en tout trois périodes , répondant à trois états distincts, bien que ceux
ncts, bien que ceux-ci ne se succèdent pas nécessairement. Première période : état atrophiquc, ou résorption interstitielle d
de : état atrophiquc, ou résorption interstitielle des os. Deuxième période : état fibroïde ou cartilaginiforme, ou de ramoll
: état fibroïde ou cartilaginiforme, ou de ramollissement. Troisième période : état éburné. A. Première période.—La première
ou de ramollissement. Troisième période : état éburné. A. Première période .—La première période est caractérisée par l'atrop
. Troisième période : état éburné. A. Première période.—La première période est caractérisée par l'atrophie, par la raréfacti
les deux âges. La souplesse de l'os rachilique, dans cette première période , peut encore être accrue par un commencement de p
calcaire dans quelques analyses que j'ai fait faire d'os pris à cette période ; mais ces faits sont trop peu nombreux pour faire
turelle dans l'enfance, suffit-il pour déterminer, dès cette première période , des courbures plus ou moins considérables dans
général, cette prédominance n'est bien sensible que dans la deuxième période . Un autre caractère général des os rachitiques
ode. Un autre caractère général des os rachitiques dans la première période , c'est l'abondance des vaisseaux sanguins. On a v
prêté un grand rôle dans l'évolution du rachitisme. Cette première période du rachitisme répond à ce degré de la maladie qui
uses. Ces nœuds n'existent pas toutefois dès le commencement de cette période . Il y a un moment où la seule altération osseuse
ns aucune manifestation extérieure : c'est ce que M. Broca appelle la période latente du rachitisme. B. Deuxième période. — L
que M. Broca appelle la période latente du rachitisme. B. Deuxième période . — La deuxième période a pour caractère un état f
a période latente du rachitisme. B. Deuxième période. — La deuxième période a pour caractère un état fibroïde des os. J'emplo
et aux aponévroses. Ceci posé, voyons ce qui arrive dans la deuxième période du rachitisme. bouvier. 18 Il y a une décompo
a une décomposition chimique bien plus prononcée que dans la première période . L'os se déphosphate; ce qui persiste n'est pas d
t les changements que le tissu osseux éprouve dans les deux premières périodes du rachitisme; les membranes qui entourent ce tis
dation des fractures chez les sujets rachitiques est subordonnée à la période , au degré du rachitisme. Tantôt elle se fait très
-lentement, tantôt aussi vite que dans les os normaux. C. Troisième période .—J'arrive à la troisième période. Je vous ai dit
dans les os normaux. C. Troisième période.—J'arrive à la troisième période . Je vous ai dit que c'était la période de guériso
riode.—J'arrive à la troisième période. Je vous ai dit que c'était la période de guérison, de reconstitution de l'os, de réossi
reprise du travail de l'os-téose, suspendu ou ralenti dans les autres périodes . Quand ce travail succède à la période atrophiq
ou ralenti dans les autres périodes. Quand ce travail succède à la période atrophique, il a pour effet de combler les vides
u'il ne l'était primitivement. Mais c'est surtout après la deuxième période que le nouvel os est très-différent de l'ancien.
oit dans le cal ; le canal mé-dulaire, presque effacé dans la seconde période au point culminant des courbures, ne se reproduit
mbres, d'où la petitesse de la stature. Déjà, dans les deux premières périodes , l'accroissement en longueur est ralenti ; mais
yez-vous pas là un rachitisme intra-utérin, ayant parcouru jusqu'à sa période d'éburnation dans l'utérus, et ayant ainsi forcé
chitisme crânien, il faut, comme pour les autres os, tenir compte des périodes parcourues. L'éburnation est fort rare dans le cr
itisme crânien n'est pas un des plus communs. Ce n'est guère qu'à une période avancée de l'altération générale du système osseu
en dedans. Nous avons là un cas de rachitisme à la fin de la deuxième période , car il ne reste qu'une très-légère flexibilité d
dans certains cas de rachitisme ancien, à ce qu'il a disparu dans la période de rêossification. Cette exception à la loi de
e trois ans ; le rachitisme règne au contraire précisément dans cette période . Il est donc possible que la forte proportion de
hasse. Dans ces espèces, le rachitisme parcourt très-rapidement ses périodes , ce qui est en rapport avec la promptitude de l'o
e rachitisme est donc léger, et dans le crâne il est déjà arrivé à la période de guérison. IIe cas. — Je vous présente cette
nt plus fortes, tant que la lésion n'est pas entrée dans sa troisième période . L'âge exerce une influence marquée sur la natu
é d'un état aigu du rachitisme ; cet état est réel et paraît lié à la période de ramollissement des os. C'est alors que l'enfan
moyens redresseurs. Les machines n'ont qu'un effet très-borné dans la période d'éburnation. C'est surtout pendant la période de
fet très-borné dans la période d'éburnation. C'est surtout pendant la période de ramollissement que leur action peut être utile
ndue, mais douloureuse. C'est un cas où la maladie est encore dans la période de ramollissement. IIIe cas. — Petite fille âgé
os sont flexibles, presque sans douleur, ce qui fait supposer que la période aiguë est passée. IVe cas. — Voici un cas bien
lée. Chez cette malade, le rachitisme a passé depuis longtemps à la période d'éburnation ; on ne peut presque plus rien atten
t enfant, qui a une cyphose rachitique, n'est encore qu'à la première période , et vous voyez qu'à l'aide de la manœuvre que j'i
que l'exagération de la légère voussure dorsale qui s'établit dans la période d'accroissement du corps. Cette déformation recon
latéral des ligaments précède l'affaissement des os. Il y aurait une période de déformation ligamenteuse, dans laquelle la con
tion des os serait normale. La chose n'est pas impossible, mais cette période a été jusqu'à présent insaisissable. Lisez tout c
une prédomine au début de l'affection; l'autre appartient surtout aux périodes plus avancées. L'angle de rotation des vertèbre
ques-unes. La forme de déviation la plus commune dans les premières périodes de la scoliose, la courbure sigmoïde, a deux vous
ieurs exemples de cette gibbosité simple , la plus fréquente dans les périodes avancées de la scoliose. Un grand nombre sont des
assin. Les individus gib-beux, non rachitiques, parcourent une longue période de leur existence sans que le bassin s'éloigne se
giques conserve le cachet de son origine, au moins dans ses premières périodes ; son siège, son étendue, sont en rapport avec les
tuent, lorsque la déviation ne s'arrête pas dans sa marche, autant de périodes successives, savoir : 1° A l'état latent, pério
arche, autant de périodes successives, savoir : 1° A l'état latent, période latente; 2° A l'état de déviation visible, péri
A l'état latent, période latente; 2° A l'état de déviation visible, période de déviation confirmée; 3° A l'état de déviatio
tat de déviation assez avancée pour produire une véritable gibbosité, période de gibbosité. a. Pe période, état latent. — Cet
pour produire une véritable gibbosité, période de gibbosité. a. Pe période , état latent. — Cette période se confond par des
ibbosité, période de gibbosité. a. Pe période, état latent. — Cette période se confond par des nuances insensibles avec la co
on extrémité sternale. On commence assez souvent à voir, dans cette période , des dé- « formations de la région antérieure de
t très-légère; peut-être même n'y a-t-il que simple flexion. b. IIe période . — Les caractères extérieurs qui se sont montrés
ode. — Les caractères extérieurs qui se sont montrés dans la première période s'exagèrent dans la deuxième; il s'y joint en out
n, qui masque entièrement les incurvations du rachis dans la première période , les atténue dans celle-ci, et ce n'est qu'en ten
la flèche des courbures. Dans les courbures obliques de la troisième période , on obtiendrait ainsi la flèche d'une sorte de co
les formes variées que les courbures peuvent revêtir dès la deuxième période : je les ai indiquées dans l'anatomie pathologiqu
oncent, les gibbosités, qui ne faisaient que poindre dans la première période , commencent à se dessiner peu à peu ; mais elles
qui les produisent ; c'est là un des caractères qui distinguent celte période de la suivante. Les déformations de la région t
ntérieure sont plus constantes et plus prononcées dans cette deuxième période que dans la première. Toute la région antéro-gauc
à convexité gauche, sur la conformation des dernières côtes. c. IIP période . — Elle commence, dans la scoliose commune, au mo
iter l'effet de cette seconde inflexion. C'est dans cette troisième période que se montre la gibbosité proprement dite, formé
antérieures prennent le plus grand développement dans cette troisième période ; c'est alors que se voient les dépressions profon
lombaire égales, la courbure cervico-dorsale principale, la troisième période ne se distingue de la deuxième que par le degré d
s caractères extérieurs de la scoliose dans ses deuxième et troisième périodes . Ier cas. — Jeune fdle de onze ans et demi. Sco
urbure à convexité gauche ; le côté droit du dos est aplati. Deuxième période commençante. IVe cas. — Fille de trois ans et d
— Fille de trois ans et demi. Courbure rachitique à gauche. Deuxième période . Ve cas. — Garçon de sept ans, sujet rachitique
e. VIIe cas. — Jeune fdle de quatorze ans, au début de la troisième période , présentant une gibbosité dorsale commençante. La
orso-lombaire, une courbure clorso-lombaire principale à sa troisième période . XIII0 cas. — Fille de deux ans et demi. Courbu
omme dans le IVe cas, mais plus prononcée, approchant de la troisième période . L'enfant est rachitique, comme le prouve la conv
izontale. De même, des déviations dorsales dominantes de la troisième période , accompagnées, pendant la station, de celte incli
ograder et repasser à l'état d'S verticale qui caractérise la seconde période , quand la position horizontale vient diminuer la
dérivent des altérations fonctionnelles. La première et la deuxième période n'apportent toutefois que peu de changements dans
e fort peu prononcée. Nous sommes ici au commencement de la troisième période ou à la fin de la deuxième. Il se hanche sur la h
date de trois à quatre ans; elle est arrivée à la fin de la deuxième période ou au commencement de la troisième. Elle a paru s
ous ai parlé des conditions nouvelles de la vie que crée la troisième période de la scoliose, conditions bien moins favorables
ne pas s'y tromper. (1) Electrisation localisée, p. 424. g. A une période plus avancée, la scoliose pourrait donner lieu à
par l'effet de l'accroissement du corps, même au début de la première période . La courbure sigmoïde de la deuxième période ne s
au début de la première période. La courbure sigmoïde de la deuxième période ne s'efface jamais d'elle-même. Ce qui a souvent
ants atteints de mal vertébral, qui manquent rarement, à une certaine période de la maladie, d'appuyer les mains sur les cuisse
ue l'inclinaison des lombes à droite, au commencement de la troisième période de la courbure dorsale droite, est singulièrement
revenir à notre malade, elle porte une courbure sigmoïde à la seconde période ; la courbure lombaire est très-longue, la courbur
s. Scoliose spontanée dorsale droite, au commencement de la troisième période . En faisant élever le bras et fléchir le tronc su
es sujets étaient debout. Si la déviation est forte, à sa troisième période , comme sur ces autres enfants, la courbure princi
les plus grands efforts que le sujet a eus à suppor ter pendant une période de temps. Le plus commode est encore le ressort e
ns, une courbure dorsale principale à droite, parvenue à la troisième période , c'est-à-dire accompagnée d'obliquité de l'arc lo
aison de l'arc lombaire qui caractérise celte forme dans la troisième période de la scoliose. On ne se contente pas pour cela d
malgré son emploi, la courbure sigmoïde tend à passer à la troisième période , à se convertir en dorsale principale. Il est bon
progrès du mal. Telle déviation est facilement arrêtée à sa première période par un léger soutien placé sous les vêtements, jo
la courbure lombaire commence à s'incliner à droite, où la troisième période , en un mot, succède à la deuxième. Le plus ordina
ur égalité. La transformation qui ramène la déviation de la troisième période à la deuxième, substitue donc à une cause d'aggra
gner longtemps cette déviation pour prévenir un retour à la troisième période ; mais cela se réduit à un traitement prophylacti
quement produite par le mouvement des vertèbres; car, si la troisième période est plus avancée, si l'inclinaison est en partie
1) Adversaria med.-pracL, 1771, t. II, part. 2, p. 333. La première période de la courbure de l'épine, celle dans laquelle il
artie, aux moyens de traitement. Ramener la déviation de la troisième période à la deuxième, de celle-ci à la première, est cho
ultats avantageux du traitement sont souvent moins frappants dans les périodes les moins avancées. Cela semble au premier abord
leur état primitif que la courbure dorsale principale de la troisième période , dont Yinctinaison lombaire a pu être complètemen
...... § Ier. — Anatomie pathologique................. ¦ Première période . Invasion.................. ib. Deuxième périod
..... ¦ Première période. Invasion.................. ib. Deuxième période . Destruction................ 9 Troisième périod
... ib. Deuxième période. Destruction................ 9 Troisième période . Réparation................. 12 Lésions concomi
.. § II. — Diagnostic du mal vertébral............... 17 Première période ...................... 1* Deuxième période......
........... 17 Première période...................... 1* Deuxième période ...................... Troisième période........
............. 1* Deuxième période...................... Troisième période ...................... *' Valeur diagnostique de
, — Histoire pathologique des pieds bots. ,........ 173 I. Première période du pied bot................ 'b. A. Première pér
3 I. Première période du pied bot................ 'b. A. Première période du pied bot accidentel......... »»• Pied plat..
.......... I77 Pied creux........................ 179 B. Première période du pied bot congénital......... 180 II. Deuxièm
. Première période du pied bot congénital......... 180 II. Deuxième période du pied bot............... 183 A. Varus........
ib. ï. Lésions du système osseux................. ib. A. Première période .................... 270 B. Deuxième période....
..... ib. A. Première période.................... 270 B. Deuxième période .................., 273 C. Troisième période....
..... 270 B. Deuxième période.................., 273 C. Troisième période ................... 277 Rachitisme des différent
432 A. Formes extérieures de la scoliose............. ib. a. I"; période ..................... 433 b. IIe période........
e............. ib. a. I"; période..................... 433 b. IIe période ..................... 435 c. III'' période......
............ 433 b. IIe période..................... 435 c. III'' période ..................... 436 B. Influence des mouve
7 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cune description au vrai sens du mot ; elle peut se diviser en deux périodes , toutes deux de bien minime importance. En 18
Jones'; mais elles n'inspirèrent aucunes recherches. La deuxième période est de date toute récente et plus féconde que l
urent fort étonnés et très désagréablement surpris lorsque,dans les périodes les plus accentuées de la maladie, au mot de merd
fré- quents. Aujourd'hui, et depuis quinze jours, il est dans une période d'éuervement : à tous propos, il a des secousses
'il s'en souvient, il nous dit ne pas se rappeler si, pendant cette période , les mouvements qui étaient alors beaucoup moin
agérer et les se- cousses envahirent tous les muscles. Il y eut des périodes d'excitation telles que le sommeil qui, général
alais. « La mère, nous écrit- on, croit se rappeler que, pendant la période aiguë de la maladie, les mouvements, s'ils n'on
vements étaient variés, changeaient de forme. Pendant toute cette période , qui s'étend de 1870 jusqu'au 26 juillet 1889.,
e au malade que tous les quarante ou quarante-cinq ours, il y a des périodes d'aggravation qui durent dix ou quinze jours. L
jette à des crises nerveuses, à de la boulimie et quelquefois à des périodes de tristesse pendant lesquelles elle refuse abs
, du reste, incomplètes, et l'absence de tableaux d'accès durant la période de traitement ne permet aucune comparai- son av
t une statis- tique avec des points comparatifs antérieurs dans une période à peu près pareille. » Beigel ' a injecté dan
e MM. H. Liouville et A. Voisin clôt, en quelque sorte, la première période dans laquelle le curare a été em- ployé contre
plète des muscles néces- saire pour indiquer la venue de la seconde période et, s'il y a le stertor, il n'est jamais intens
xécuté une mimique quelconque, dénonçant le tableau de la troisième période avec ses deux phases gaie et triste. Pour la de
sième période avec ses deux phases gaie et triste. Pour la dernière période , tout en riant et pleurant elle nous dit qu'ell
l'atténuation et de l'effacement même, que nous avons noté pour les périodes et de ne voir là qu'une sorte de compensation,
normal d'un organe, il ne faut pas se borner à le consi- dérer à sa période d'entier achèvement, il faut encore suivre atten-
- rations anatomiques modérées appartiendraient les psychoses des périodes avancées. La prédisposition jouerait un rôle très
té se sont multipliés dans des proportions in- quiétantes. Dans une période de moins de quinze jours, j'ai été commis, pour
sychique. Les troubles de la nutrition générale peuvent, pendant la période embryonnaire, porter sur les parties constituti
x murs, gémit, supplie son mari de la tuer : à cet état succède une période de sopor. Elle entre à la Charité. Le 2 ! t, à
alalgies, et d'assez fréquents vertiges accompagnés de lipothymies; périodes de calme alternant avec des phases de grande ag
aboutissent au relèvement de l'état général; avec lui se montre une période d'accalmie pendant laquelle disparait la sen- s
alpitations, et presque toujours des troubles dyspeptiques. A cette période , la maladie convenablement traitée peut rétrocéde
dix semaines. Les douleurs de dos persistèrent pendant toute cette période , et il s'y joignit également des douleurs dans
ions apparentes lorsqu'un traumatisme grave a amené la mort dans la période primitive, il l'est moins de trouver des lésion
pendamment de ces étals fébriles, les malades peuvent traverser des périodes de rémission, de même qu'il existe des périodes
uvent traverser des périodes de rémission, de même qu'il existe des périodes d'exacerbation peu- dant lesquelles l'incoordin
torze ans dans les ob- servations V et VU). Donc, pendant toute une période qui peut comprendre jusqu'à seize années (Obs.
fférentiel, qui sera surtout difficile pendant toute cette première période . Il nous faut encore, avant de passer outre, in
ysique et moral du sujet, état qui ne variera pas du reste dans les périodes ultérieures. Disons-le de suite, pendant toute
date de cette apparition, car, nous avons déjà dit que, pendant une période com- prise dans nos observations entre quelques
ssant de la façon suivante. La plupart du temps, pendant une de ces périodes d'excitation que nous avons signalées, subiteme
n motrice, il semble être un des derniers à persister pendant les périodes d'accalmie, nous ne disons pas de guérison qui
x faire que répéter ce que nousavons dit en traitant de la première période , il est excellent sous tous les rapports, sauf
nt si- multanément. En regard de ces exacerbations, pla- cons les périodes de rémission ou d'accalmie. Sous des influences
souvent dans les muscles de la face (Obs. I, II, III, V, VII). Ces périodes de calme peuvent du reste être assez longues (O
symptômes aussi accentués qu'auparavant, jusqu'au jour où une autre période rémissionnelle vient rétablir le calme. Est-ce
est qu'on puisse considé- rer l'affection comme constituée à cette période ; mais, lorsqu'à l'incoordination se sont jointe
, il y a lieu d'établir ici quelques divisions d'après les diverses périodes par lesquelles passe l'affection : 1" cas. L'
a bouche se dévie, le tout successivement, lentement et pendant une période assez longue, nos malades ont des secousses bru
la face. Etant donné que, de même que chez nos malades, pendant les périodes de début ou d'accalmie, l'incoordination semble
otrice viennent se joindre des cris inarticulés . A cette seconde période , le diagnostic devient déjà sensiblement plus f
de mots articulés avec écholalie et coprolalie. A partir de cette période , le diagnostic s'établit pour ainsi dire de lui
a paru amender les symptômes et 200 CLINIQUE NERVEUSE. amener ces périodes de rémission si favorables : l'isole- ment, com
é qu'à droite, bien que ce soit à droite que la rigidité prédomine. Période téta- niforme : la face devient de plus en plus
te, puis dans les quatre membres, avec légère prédominance adroite. Période clonique : peu accentuée; quelques secousses da
de potassium 3 grammes. Voici quelques températures durant cette période : le 3 octobre au soir, T. li. 38-,6; le 6, T. Il
ousses cloniques aussi prononcées à droite qu'à gauche. Parfois, la période clonique manque. Au bout d'une minute environ,
ure en- viron 4 minutes, puis le ttcrlor cesse. Pendant la dernière période de l'accès, l'enfant est très congestionné et s
octobre. Revacciné sans résultat. 30 décembre . Progrès t l'école. Période d'agitation ma- niaque à la suite d'accès. 18
rie d'accès cette nuit (12 accès) ; ce matin à la fin d'un accès la période de slertor étant passée, on le trouve la face d
ières qu'il n'auraitjamais prononcées auparavant.» 24 décembre. Les périodes d'excitation maniaque et les accès de violence
e aux réprimandes. Les accès de colère persistent. 8 juillet. Les périodes d'excitation maniaque sont plus rares. Traiteme
mes de terre, la quantité d'acide phosphorique rendu pendant chaque période de 21 heures est très variable, tandis que cett
mps, de vieux lypémano-hypochondriaques qui, par suite d'une longue période morbide préalable, ont graduellement perdu leur
s le temps et la pathogénie étiologique; on constate aussi, à cette période , des troubles sensoriels, sensibles et moteurs.
ger les formes rapides de la sénilité, formes rapides parce que des périodes d'ac- célération viennent varier la lenteur uni
dinaire uniformément lente et de ses variétés de formes rapides par périodes d'accélération transi- toires ou rapides d'embl
e le côté gauche, et cette différence se maintient pendant toute la période de rétablissement des fonctions. Nous retrouvon
oduisent rarement de bonne heure, qu'on ne les observe que dans les périodes avancées de la maladie, lorsque le ramollisseme
étaient loin d'être rétablies dans leur inté- grité. Là s'arrête la période que nous pouvons appeler de commotion. A partir
rapporté, est d'établir nettement dans la marche cli- nique deux périodes , celle des phénomènes primitifs et celle des tr
enant à la commotion, les seconds à l'inflammation. La pre- mière période comporte une durée de quarante-sept jours; elle
t pas empêché la marche vers la guérison de s'accentuer. La seconde période est de cinq mois et se termine par la mort. Ell
nutrition qui caractérisent la myélite. Les lésions de la deuxième période sont ici bien po- sitives, ce sont celles de la
s cellules nerveuses. Celles qu'on pourrait rattacher à la première période , font complètement défaut, car nous ne pouvons
race; j'ajouterai même que le travail inflammatoire de la seconde période , aurait dû les accuser davantage. Rap- pelons q
e nombre des vertiges a considérablement augmenté pendant la même période ; que, de plus, Lef... était sujet à des rémissio
tré en 1878 (458), ni même celui de 1879 (317) première année de la période décroissante signalée plus haut. Observation
es le 15 août. Réflexions. Si nous comparons les accès de la même période de 1883 et de 1884, nous trouvons une notable amé
nant ci gauche. Onanisme. Vertiges et accès ci treize ans et demi. - Période d'excitation maniaque. - Affaiblissement des fa
ones, Beale); que dans la manie ces sels sont augmentés pendant les périodes de paroxysme et diminués pendant les périodes d
augmentés pendant les périodes de paroxysme et diminués pendant les périodes de dépression (Sutherland, Beale, Lombroso), qu
né, relativement à l'état sain, mais de cette élimination dans deux périodes consécutives et de courte durée d'une même mala
ues légères différences qui se fondent si on porte l'examen sur une période de huit jours, que le cycle des mêmes aliments
vient chaque quatre jours. Nous désignerons ce cycle sous le nom de période ali- menlaire. Ces conditions étant remplies,
ination de l'acide phosphorique par jour et ce 'qu'elle devient par période de quatre et de huit jours. Pour cela, prenons
plusieurs. Pour cela, nous avons examiné pen- dant un eou plusieurs périodes alimentaires dix individus sains, vivant à l'as
oyenne de l'acide phosphorique par 94 heures pendant la durée d'une période alimentaire chez dix individus sains, vivant ci
osphorique par vingt-quatre heures peut, si l'on tient compte de la période alimentaire, varier, suivant les individus, entre
malades suivre le régime ordinaire de l'asile, à tenir compte de la période alimentaire et à surveiller qu'ils mangent la p
devient encore plus simple; on n'a, en tenant compte toujours de la période alimentaire, qu'à comparer chez lui l'éliminati
ditions de milieu et d'alimen- tation (nous avons tenu compte de la période alimentaire) ren- dait en moyenne par vingt-qua
mois, pendant un accès d'agitation, alors que la maladie était à sa période d'état et l'intelligence du malade très embroui
res, 0,99, acide phosphorique uni aux alcalis, 1,42. 3° Pendant une période de dépression, du 23 au 26 octobre : Azote, 22,
es, 0,C)6; acide phosphorique uni aux alcalis, 0,83. 4° Pendant une période de rémission, du 28 octobre au no- vembre : A
9. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 371 5o Pendant une seconde période d'agitation (novembre 1879), alors que les trou
acide phosphorique uni aux alcalis, 1,43. 6° Pendant une troisième période d'agitation (mai 1880), l'agi- tation étant plu
res. 0,52; acide phosphorique uni aux alcalis, 1,74. 7° Pendant une période de rémission (juin 4880) : Azote, 19,S5; acide
res, 0,40; acide phosphorique uni aux alcalis, 1,42. 8° Pendant une période de dépression (juin 1880) : Azote, 20,75; acide
res, 0,88; acide phosphorique uni aux alcalis, 0,94. 9° Pendant une période d'agitation, à l'époque du déclin de la maladie
'acide phosphorique et que cette influence est variable suivant les périodes . A ce dernier point de vue, cette maladie peut
ce dernier point de vue, cette maladie peut être divisée en quatre périodes : agitation, dépression, rémission, convalescen
e intensité différente sur chacun d'eux suivant les cas. Pendant la période d'état de la maladie, alors que les troubles cé
essort des résultats que nous avons obtenus dans les deux premières périodes d'agita- tion que nous avons indiquées. Dans ce
p. 100 au lieu de 35 p. 100 qu'il est à l'état normal. Pendant les périodes de déclin de la maladie, alors que les troubles
roportions : 0 gr. 66 et 0 gr. 88 au lieu de 0 gr. 48. Pendant la période de rémission, la quantité d'azote éliminé parvi
de manie que nous avons examinés. G.g... est un maniaque qui, à une période de convalescence très avancée, rend par vingt-q
. Ce malade rend, 4° sous l'influence d'un accès d'agitation à la période dite de la maladie : Azote, 25,12; acide phosph
zote. A ce point de vue, l'état maniaque peut être divisé en quatre périodes : agitation, dépression, rémission, conva- lesc
roubles sont superficiels. Dans le premier cas, qui correspond à la période d'état de la maladie, l'agitation produit les m
idérablement t augmentés. Dans le second cas, qui correspond à'ia période de déclin de la maladie, l'agitation modifie de
c'est dans des proportions beaucoup moins considérables que dans la période précédente; L'acide phosphorique est augmenté
espèces de phosphates, mais à l'inverse de ce qui se passe dans la période précédente, davantage sur l'acide phosphorique
e augmenté. DE LA NUTRITION DU SYSTEME NERVEUX. 375 i Pendant les périodes de rémission : 1° La quantité d'azote éliminé e
l'azote et de l'acide phosphorique n'est pas modifié. ` Pendant la période d'agitation, l'acide phosphorique uni aux terre
phorique uni aux terres est augmenté; il en est de même pendant les périodes de dépression, tandis que cet acide est diminué
l'augmenta- tion de l'acide phosphorique uni aux terres, dans deux périodes aussi dissemblables symptomatologiquement que l
ans deux périodes aussi dissemblables symptomatologiquement que les périodes de dépression et d'agitation, prouve d'une mani
l l'agita- tion. Et si on remarque, d'une part, que c'est dans la période d'état, alors que les troubles cérébraux sont l
, que l'augmentation de cet acide est plus considérable pendant les périodes de dépression que pendant les périodes d'agitat
s considérable pendant les périodes de dépression que pendant les périodes d'agitation du déclin de la maladie, alors que le
e uni aux terres, on est obligé d'admettre que la manie, dans les périodes d'agitation et de dépression, augmente les échang
e l'acide phosphorique uni aux alcalis qu'on constate pendant les périodes d'agitation de la manie ? Cette augmentation, lié
ion de l'azote et de l'acide phospho- rique pendant l'agitation des périodes d'état et des périodes de déclin de la manie, o
acide phospho- rique pendant l'agitation des périodes d'état et des périodes de déclin de la manie, on retrouve dans les pér
d'état et des périodes de déclin de la manie, on retrouve dans les périodes de déclin proportionnellement plus d'acide phos
ainsi qu'il arrive sous l'influence du travail musculaire; dans les périodes d'état, au contraire, alors cepen- dant que le
musculaire est mis en activité d'une ma- nière aussi intense qu'aux périodes de déclin, l'acide phospho- rique uni aux alcal
tient pas à ce que cet acide est éliminé en moindre quantité qu'aux périodes de déclin, c'est l'inverse qui existe ; elle ti
ve la nutrition générale. C'est l'inverse qui se produit dans les périodes * de dépres- sion. Ici en effet, nous retrouvons
tème nerveux, influence qui semble se poursuivre encore pendant les périodes de rémission et de convalescence; mais nous n'i
ce point. Nous ferons seulement remarquer que, dans la manie, les périodes de dépression étant de très courte durée d'une
rée d'une 378 REVUE CRITIQUE. manière absolue et relativement aux périodes d'agitation, c'est la suractivité de la nutriti
'azote dans la manie : 1° la manie modifie diversement, suivant LES PÉRIODES , l'élimination par LES urines DE l'acide PHOSPH
anie retentit SUR la NUTRITION générale, qu'elle SURACTIVE dans LES PÉRIODES d'agitation ET QU'ELLE ralentit dans LES PÉRIOD
URACTIVE dans LES PÉRIODES d'agitation ET QU'ELLE ralentit dans LES PÉRIODES DE DÉPRESSION. Lypémanie et acide phosphorique.
dant unepériode de huit jours ; au mois d'octobre 1881, pendant une période de quatre jours; au mois de mars 1883, pendant
dant une période de quatre jours; au mois de mars 1883, pendant une période de quatre jours; et que, dans tous ces cas, nou
ance au suicide, rend en moyenne par vingt-quatre heures pendant la période station- naire de la maladie : Azote, t î,32
dividu est à son état ordinaire, ades attaques, ou bien est dans sa période épileptique, nous obtenons les ré- sultats cons
terres, 0,73; acide phosphorique uni aux alcalis, 1,56. Pendant la période épileptique : Azote, 20,34 ; acide phosphorique
terres, 0,56; acide phosphorique uni aux alcalis, 1,13. Pendant la période épileptique : Azote, 20,32; acide phosphorique
délire chronique de Magnan) peut se développer sans être précédé de période mé- lancolique ou maniaque; Griesinger se ralli
es sortes de conceptions baroques et d'actes pervers, il existe des périodes de santé relative, des mois durant, pendant les
i. On l'amène à Goerlitz en 1872, où elle séjourne jus- qu'en 1878; périodes d'agitationduranttroisàquatremois, suivies de p
denicli. Enfin, en 1880, elle demeure quatre mois à Pirna. En 1881, période d'agitation à Vienne; relations avec des artist
fusée. A ce moment, accès d'agitation de quelques mois, suivi d'une période d'amabilité et de suractivité intellectuelle do
tant de réprimer les écarts de son affectivité. C'est pendant cette période qu'a lieu l'instruction. M. Loehr, tout en exposa
IOGRAPHIE. point de vue les choréiques en deux catégories : dans la période où la volonté n'a aucune prise sur les puissanc
8 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
de 22 ans, est atteint de phtisie pulmo-naire parvenue à la dernière période . 11 présente en outre les signes d'une carie du r
ésentant un seul noyau, s'y montrent accumulés en grand nombre. A une période plus avancée, une couche plus ou moins épaisse de
ême dans les régions les plus profondément atteintes, jusque vers les périodes ultimes de la maladie. Le développement des lésio
e, 1870, p. 499. généralisation, marquée surtout dans les premières périodes , des temps d'arrêts fréquents, suivis de l'envahi
ononcées de la contractilité élec-trique ; habituellement, enfin, une période cle retour survient, pendant laquelle les muscles
d'une femme morte, dans cet hospice, pendant le cours de la première période de l'ataxie 1. Kolliker. — Histologie humaine,
ravail de réaction, d'élimination, suivi, dans les cas heureux, d'une période de réparation trop souvent entravée dans son déve
eux, car vous devez vous attendre à les voir figurer souvent dans la période ultime d'un grand nombre d'affections du cerveau,
du chiffre thermique. Cet abais-sement a pu être observé à toutes les périodes de l'affection du nerf; on l'a constaté aune époq
l'a constaté aune époque voisine du début (2), plus souvent dans les périodes avancées (3). Pour ce qui a trait aux 1. Horner
mentaux de la paralysie agitante. — C'est une maladie de la seconde période de la vie. — Ses symptômes. — Modifications de la
n et à la rétropulsion. — Début; ses modes; il est lent ou brusque. — Période d'état. — Le tremblement respecte la tête et le c
— Influence de la nature des convulsions (stati-ques ou dynamiques). Période terminale. — Confinement au lit. Troubles de la n
soit, elle trouve sa place naturelle dans les maladies de la seconde période de la vie. Mais ce serait aller trop loin que de
ttre plus de clarté dans notre description, nous établirons plusieurs périodes que nous caractériserons les unes après les autre
qu'ait été le mode de début, de un à deux ou trois ans environ. C. Période d'état. Lorsque la paralysie agitante a acquis so
parties plus ac-cusées, plus larges que d'autres. Plus tard, vers la période d'état, par exem-gle, les altérations de l'écritu
force dynamométrique est aussi réelle chez deux de nos malades, à une période relativement peu avancée de la paralysie agitante
où prédomine le trem-blement. (B.) car on la voit quelquefois aune période peu avancée de la ma-ladie,alors quel'inclinaison
au n° 22 de la salle Saint-Alexandre. Getle femme est parvenue à une période plus avancée de la paralysie agitante que les deu
un temps plus ou moins long ; puis, tôt ou tard, on voit survenir une période qui précède l'issue fatale, et 1. Cinq cas nouv
qu'il a employé. 'Note delà 2" édition . que l'on pourrait appeler période terminale. L'affection pour-suivant sa marche, la
aitement exact, ainsi que l'ont annoncé plusieurs auteurs, qu'à cette période terminale, on voit souvent diminuer et même cesse
us longue. Elle peut durer trente ans ; les symptômes de la troisième période seuls, ainsi que j'en ai été témoin, peuvent se p
ique. Sommaire. —Historique de la sclérose en plaques disséminées : Période fran-çaise ; — Période allemande; — Nouvelles rec
orique de la sclérose en plaques disséminées : Période fran-çaise ; — Période allemande; — Nouvelles recherches françaises. A
laire que j'ai eu l'occasion d'observer, ont présenté, à une certaine période de l'affection, un faciès vraiment particulier. L
e chez V... que très récem-ment : elle est, en effet, un symptôme des périodes avancées de la maladie. Toujours, dans l'évolutio
ignés dans un certain nombre d'observations que j'ai réunies et où la période parétique s'est développée suivant les conditions
s fulgurantes, qui jouent un rôle si prédominant dans les premières périodes de l'ataxie locomotrice progressive, font ici déf
as d'emblée, sans transition, à laparésie. A une certaine époquede la période parétique, on voit se reproduire, soit spontanéme
porairement, de concert avec la rigidité, même pendant le cours de la période parétique, sous l'influence d'un ou de plusieurs
ON Des attaques appoplectiformes dans la sclérose enpla-ques. — Des périodes et des formes. — Physiologie pathologique. — Etio
— Impor-tance de la température ou point de vue du diagnostic. Des périodes dans la sclérose en plaques. —Première, seconde e
périodes dans la sclérose en plaques. —Première, seconde et troisième périodes . — Symptômes de paralysie bulbaire. — Des formes
lever encore progressivement pendant toute la durée de l'accès. DES PÉRIODES ET DES KOKMES DAISS LA SCLÉROSE EN PLAQUES. Mes
ultiloculaire lorsqu'il s'agit d'un cas complet et parvenu déjà à une période avancée de son cours, il convient de montrer, par
posé d'établir, dans le développement progressif de la maladie, trois périodes : la première s'étend de l'instant où apparaissen
ns oulfrent d'une manière sensible. Il y aura lieu, à propos de cette période ultime, de relever les accidents, qui, dans l'ord
s de la maladie et précipitent la terminaison fatale. 1. Première période .— Le mode d'invasion et d'enchaînement des symptô
lui donnant tous les développements qu'il comporte. II. Deuxième période . — En général, dès la fin de la première période,
te. II. Deuxième période. — En général, dès la fin de la première période , la sclérose multiloculaire se présente déjà doué
chambre ou même au lit. La contracture qui signale le début de cette période est unphénomènepresque toujours très tardif; ilne
premiers accidents de la sclérose multiloculaire. III. Troisième période . —Le commencement de cette dernière période est m
laire. III. Troisième période. —Le commencement de cette dernière période est marqué, ainsi que je vous l'annonçais, par l'
de ne s'exprime plus que par un grognement 1. C'est surtout à cette période de la maladie que Ton peut voir survenir des in
er la terminaison fatale avant même que les phénomènes de la dernière période se soient manifestés. En même temps que la parole
, je crois, pour vous convaincre, Messieurs, que, dans cette première période , la simulation a été impossible. Mes amis, MM. Br
grammes : moyenne, 2 grammes 50 en vingt-quatre heures. Pendant cette période , l'ischurie a été absolue de deux jours l'un (Pl.
les deux phénomènes. Quel a été l'état général pendant cette longue période de quatre mois qu'a duré l'observation ? A aucune
chappé. Voyons succinctement ce qui s'est passé dans cette deuxième période . Après une rémission plus ou moins complète des s
rie des 1. Etch.... a offert, cette année môme (1875), une nouvelle période d'ischurie hystérique. En examinant le tracé (Pl.
à quatre litres d'urine, renfermant 27 grammes d'urée.— Pendant cette période , Etch.... n'a pas présenté de vomissements par où
nts par où l'urée ait pu s'évacuer, comme cela avait eu lieu dans les périodes dont il est question dans la leçon (Voir, à ce pr
elle-ci : chez notre malade, l'anurie complète n'a jamais dépassé une période de dix jours. Or, d'après les explications qui pr
par les vomissements, a sans doute frappé votre attention. Durantune période de douze jours, avons-nous dit, elle n'a rendu qu
l'état de la fonction urinaire et les vomissements. Dans une première période de temps comprise entre le 9 et le 16 septembre,
qu'elle prend pendant les quatre derniers jours. » Dans une seconde période comprenant neuf jours (du 18 au 26 septembre ) la
spendue dans les sept jours qui suivent. » Enfin dans une troisième période qui dure quatre jours (du 27 au 30 sept.), nous v
issance sur le tombeau du diacre Paris, mort en 1727, a présenté deux périodes bien distinctes (2). La première a été remarqua
accusés. Quant aux attaques elles-mêmes, elles se composent de trois périodes : a) convul-sions tétaniformes, épileptiformes, é
s, écume; — b) grands mouve-ments du tronc et des membres inférieurs ( période des contor-sions) ; dans ce temps la malade prono
nt d'accidents épileptiformes; C... se mord la langue, écume, etc. La période des contorsions vient ensuite et est très accentu
ce qui concerne les attaques elles-mêmes, elles se divisent en trois périodes : 1° convulsions épileptiformes, écume et stertor;
uis, grands mouvements des membres et de tout le corps; — 3° enfin, période de délire, pendant laquelle elle raconte tous les
eur déterminée par Fig. 19. —Attitude de Ler... pendant l'attaque : période des contorsions. (Fac-similé d'un croquis fait d'
, et, alors, con- Fig. 20. — Attitude de Lér... pendant l'attaque : période des contorsions. (Fac-similé d'un croquis fait d'
yantes, rappelle les attitudes que l'histoire prête aux démoniaques. [ Période des contorsions (Fig. 19,20 et 21.)] A ce moment
allaque, elle est en proie Fig. 21. — Attaque hystéro-épileptique. — Période des contorsions. (Dessin fait par M. P. iticher,
21 mai pouvait se résumer ainsi qu'il suit : rétention d'urine, avec périodes d'ischurie, depuis neuf ans; — contracture du mem
int sur lequel je veux sur-fout insister'.jamais pendant cette longue période convulsive la température rectale ne s'est, chez
lte jeune fille présenter journellement dans cet hospice, pendant une période de près de deux années, de la à 17 ans environ, e
des convulsions épileptiformes généralisées, ter-minée par une courte période de stertor ; 2° Phase clonique par excellence oud
des passionnelles ou, si vous l'aimez mieux, des poses plastiques. La période du délire consécutif à la crise si prononcée chez
lesphénomènes de l'attaque quels qu'ils soientet qu'elle que soit la période durant laquelle la manœuvre est pratiquée. J'en
cylindres axiles opposent à l'enva-hissement de la lésion, mêmes aux périodes avancées de la maladie, résistance que M. Charcot
tion de l'attaque complète. — L'attaque complète se compose de quatre périodes ; elle est précède de prodromes. a) Quelques jou
nte description sont pour la presque totalité atteintes Yovarie. 1° Période épilepioïde, — Elle peut ressembler et ressem-ble
er les convulsions de l'épilepsie vraie. Il y a lieu de diviser cette période épileptoïde en trois phases : a) Phase tonique.
eront donné à l'aide dumyographe de Marey, le tracé de cette première période de l'attaque (1). 1. Études graphiques sur l'at
ique, par Regnard ctlli-ehei\ [Revue Mensuelle, septembre 1878). 2° Période des contorsions et des grands mouvements. Clownis
Après un moment de calme assez court qui. suit le stertor, la seconde période commence. Elle est cons-tituée par deux ordres de
la porte à se frapper, à se mordre ou à s'ar-racher les cheveux. 3° Période des attitudes passionnelles. —L'hallucination pré
ssionnelles. —L'hallucination préside manifestement à cette troisième période . La malade entre elle-même en scène et par la mim
es assassinats, etc. ; presque toujours, il y a du sang répandu. 4° Période terminale. Enfin la malade revient au monde réel.
. L'attaque régulière, l'attaque type, ainsi composée de ces quatre périodes , offre une durée moyenne d'un quart d'heure ; mai
religieux et prophétique qui se rattachent clairement au délire de la période terminale de l'attaque. Un point d'étude, d'un
a manifestement trait aux convulsions épileptiformes cle la première période : « La face se gontle... Les mâchoires se serre
a là, pour le moins, une ébauche de la pé-riode épileptoïde ? La 2e période semble constituer à elle seule la plus grande par
qui accompagnent souvent les mouvements désordonnés de cette seconde période : « Il est cependant un certain nombre d'hystér
e du désordre qu'elles présentent. Les membres un instant raidis (lrc période ) se tordent convulsivement, se projettent en dive
qu'elles font pour en arracher l'obstacle qui les étouffe. » La 3e période ou période des attitudes personnelles n'estpas mo
ont pour en arracher l'obstacle qui les étouffe. » La 3e période ou période des attitudes personnelles n'estpas moins netteme
.. des hallucinations.., des extases... » Enfin, le délire de la 4e période n'a pas non plus échappé à la sagacité de ces obs
u moment où cette expression s'efface (l'expression passion-née de la période précédente), on voit les yeux s'humidifier, puis
uivant deux modes principaux : 1° par extension ou prédominance d'une période aux dépens des autres lorsqu'elles s'atténuent ou
t la catalepsie par exemple. A. Variétés par prédominance d'une des périodes . — lre Variété. —Forme ép ileptoïde. L'attaque hy
se trouve,dans cette variété, réduite en quelque sorte à la première période , à l'exclusion plus ou moins complète des autres
ns l'intervalle des accès épileptoïdes paraître un lambeau des autres périodes qui vient s'intercaler ôn quelque sorte. Ce sera,
rinci-palement constituée par la prédominance des phénomènes de la 2e période , clownisme,grands mouvements, et l'atténuation de
2e période, clownisme,grands mouvements, et l'atténuation des autres périodes . Les contorsions prennent un développement exagér
reux, des accès de rage, complètent l'horreur de ce tableau. — La lre période épileptoïde est le plus souvent représentée, dans
lques-uns de ces phénomènes convul-sifs particuliers, mais les autres périodes font d'habitude complètement défaut. 3e Variété
inhalations d'éther. Elle est constituée par lapré-dominance de la 3e période ou des attitudes passionnelles, pré-cédées parfoi
ulisme viennent compliquer l'attaque, ils succèdent à la l'e ou la 2e période , remplaçant la 3e période ; ou bien ils s'interca
l'attaque, ils succèdent à la l'e ou la 2e période, remplaçant la 3e période ; ou bien ils s'intercalent entre deux phases épi
eprésente les variations de la quantité d'urine et d'urée pen-dant la période d'ischurie hystérique observée chez Etch... (Leço
se tenir toujours aux envi-rons de la normale. Pendant toute cette période d'ischurie, l'alimentation de la malade a été fai
amentaux de la paralysie agitante. — C'est une maladie delà seconde période de la vie. — Ses symptômes. — Modifications de la
n et à la rétropulsion. — Début: ses modes: il est lent Ou brusque. — Période d'état. — Le tremblement respecte la tête et le c
— Influence de la nature des convulsions (stati-ques ou dynamiques). Période terminale. — Confinement au lit. Troubles de la n
que. Sommaire. — Historique de la sclérose en plaques disséminées : Période fran-çaise ; — Période allemande ; — Nouvelles re
orique de la sclérose en plaques disséminées : Période fran-çaise ; — Période allemande ; — Nouvelles recherches françaises.
— Impor-tance de la température ou point de vue du diagnostic. Des périodes dans la sclérose en plaques. —Première, seconde e
riodes dans la sclérose en plaques. —Première, seconde et troisième périodes . — Symptômes de paralysie bulbaire. — Des formes
Pouls et température, 254. Attaque hystérique : Description, 435. — Période épileptoïde, 537; P. des contorsions et des grand
énéraux de la —, 161. — Début, ses modes, 164, 166, 410, — Symptômes, période d'état, 166, 410. — Caractères du tremblement, 16
tremblement, 172, 414. — Sensa-tions pénibles dans la —. 176, 413, — Période terminale, 179. — Ter-minaisons, 180. — Anatomie
9 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
ig. 5. — Bâillements par imitation chez une hystérique placée dans la période du somnambulisme auprès de Ler..... Ainsi von
is signaler encore que le retour fréquent des bâillements pendant les périodes d'amorphinisme pourrait contribuer à révéler l'ex
produisaient quelquefois presque sans cesse et sans trêve pendant une période de vingt-quatre heures. Evidemment, il s'agissait
aisant apparaître chez elle le phénomène somatique qui caractérise la période en question. Un simple frôlement d'un membre, une
u quatre heures et qui semblent à peu près toujours inaugurés par une période prodromique marquée par des symptômes qui rappell
effet dure depuis cinq ans déjà, ayant présenté pendant cette longue période des hauts et des bas. La douleur aujourd'hui étan
ues : Leçons sur les maladies du système nerveux, t. III p. 322. Io période épileptoïde ; 28 période des grands mouvements; 3
dies du système nerveux, t. III p. 322. Io période épileptoïde ; 28 période des grands mouvements; 3° attitudes passionnelles
ut d'une vingtaine de jours, de sa chorée molle, sans repasser par la période des mouvements convulsifs. Elle a malheureusement
son état mental pouvait être comparé à celui des hypnotiques dans la période somnambulique. Les dissertations faites autour de
le n'a pas cessé de dormir chaque année une ou deux fois, pendant des périodes de un ou deux, quelque fois trois mois, rappelant
uses, les points hystérogènes dont l'excitation dans l'intervalle des périodes de sommeil est capable de faire éclater les accès
enant des attitudes et en prononçant des paroles très significatives ( période des attitudes passionnelles). Ainsi l'on peut dir
x animaux en hibernation, et qui leur permettent de vivre pendant une période de temps relativement longue sans s'alimenter, du
ats s'accompagnent de phénomènes somatiques correspondants. Seule, la période dite léthargique de ce genre d'hypnotisme caracté
ée. Ceci rappelle jusqu'à un certain point ce que l'on voit dans la période cataleptique de l'hypnotisme. Mais entre les deux
s membres inférieurs a été absolument complète. Il y a eu plusieurs périodes de relèvement et de rechutes successives, enfin l
a démarche du steppeur était déjà manifeste en 1882. Pendant toute la période d'activité du mal, un certain nombre de symptômes
l n'y a point manqué, en eftet, et souvent, surtout dans une certaine période de sa vie, ses excès ont été véritablement énorme
rapporter à l'abus des boissons alcooliques. On note pendant cette période qui s'étend jusqu'en 1887, date de l'entrée à l'h
royons pouvoir affirmer, en nous fondant sur l'histoire des premières périodes de la vie de notre malade qu'il a été frappé de t
c'est la règle, sur les extenseurs des pieds ; puis à l'époque de la période régressive, le phénomène du pied tombant ainsi qu
connaître, dans l'histoire pathologique de B...ot l'existence de deux périodes successives : l'une, la première, marquée par la
avec issue fatale; le D'Dickinson, à Saint-Georges hospital, pour une période de 31 ans,16 cas ; a l'hôpital des Enfants malade
période de 31 ans,16 cas ; a l'hôpital des Enfants malades, dans une période de 15 ans, on n'en a pas compté plus de 6 cas.
plusieurs mois avant que celle-ci n'ait paru, autrement dit, dans la période précomi-tiale. Les secousses peuvent permettre al
, p. 129. mais encore le souvenir de ce qui s'est passé pendant une période de temps, plus ou moins longue, antérieurement à
ar jour. Dès les premiers jours le mal est fait: bientôt survient une période de réparation pendant laquelle les éléments nerve
muscles reviendront sur ce membre à l'état normal. En général, cette période de réparation, de reconstitution évolue en trois
rétrocession s'est lui-même arrêté. C'est alors qu'est constituée la période des infirmités. Le membre affecté, considé- 21
plus guère d'espoir de voir se produire quelque retour favorable. La période d'infirmité est donc définitivement constituée.
ment moins rare lorsque la paralysie spinale frappe les adultes. La période de rétrocession a commencé au bout de 15 jours ;
fait remarquer, il y a quinze ou seize ans, figurent souvent, dans la période aujourd'hui dite préataxique, parmi les symptômes
uellement, ainsi que je vous le ferai reconnaître dans un instant. La période préataxique est close. L'incoordination motrice e
rite optique. Alors, même quand la lésion du nerf en est arrivée à la période atrophique,il est généralement facile encore de d
sement inégal qui se voit dans l'atrophie tabétique et aussi dans les périodes avancées de l'atrophie par névrite optique. Il fa
vous l'avouerez une bonne course. Et, messieurs, pendant cette longue période de dix-neuf années, il n'y aeuà observer rien d'a
he. Je puis le garantir, ayantsaisi maintes fois pendant cette longue période de temps, presque chaque année une fois, l'occasi
atant de trois ans, et, ayant persisté au plus haut degré pendant une période d'une année puisse guérir ainsi sans laisser de t
ologiques : mais, la ménopause, vous ne l'ignorez pas, représente une période de la vie particulièrement favorable au développe
connaître l'existence du mal vertébral tuberculeux dans les premières périodes de son évolution,alors par exemple que la gibbosi
sont manifestés lentement, progressivement, successivement durant une période de trois mois et ils ne se sont pas démentis un s
atorze cas d'ataxie locomotrice traités par la suspension pendant une période moyenne de trois mois,nous notons,dans dix cas un
sans atténuation,pendant une quinzaine de jours. Pendant cette longue période , le pauvre homme n'a pas cessé, pour ainsi dire,
et sans trêve. Il y a lieu de relever encore, pendant cette longue période de vertige permanent, la présence d'une diplopie
e s'était produit aucune amélioration sensible pendant cette première période . On recommença l'emploi du sulfate de quinine à
s, en tout semblable à celle qui s'était produite lors de la première période du traitement. Mais cela ne dura point; à partir
e la fièvre; celle-ci s'est montrée maintes fois pendant cette longue période , par séries de 15, 20 jours et plus, marquée par
, peut, dans la maladie de Basedow, s'établir même pendant de longues périodes sans conduire à mal et nous voilà quelque peu ras
les symptômes paraplégiques, s'accusant d'abord de temps à autre, par périodes suivies de rémissions durant lesquelles se montra
des attaques vulgaires. Les choses restent telles quelles pendant une période de temps variable qui, chez notre sujet, ne dépas
ne forme grave. Depuis cette époque en effet, c'est-à-dire durant une période de six mois, les crises nerveuses, avec les troub
airement ainsi que les autres symptômes qui l'accompagnent pendant la période qui suit immédiatement les repas. — Idées sombres
, il resta là, au lit, pendant une huitaine de jours, et durant cette période , une conjonctivite de l'œil gauche et une certain
ouvons l'étudier aujourd'hui, trois mois environ après le début de la période d'état. Ainsi que nous l'avons annoncé, les sym
ant de Vhystérie. Le blépharospasme et le spasme glosso-labié de la période préparatoire ont actuellement complètement dispar
température rectale moyenne a été de 37,4. Antérieurement, durantla période des vomissements incoercibles les pesées avaient
e à la suite d'un traumatisme insignifiant, précédé cependant par une période d'incubation ; le caractère, au moins dans le gen
ortir de l'hôpital, se croyant complètement guéri. Ici commence une période qu'il serait fort intéressant de pouvoir étudier
ercice d'une profession manuelle, occupent seuls la scène pendant une période de près de six mois, et tout à coup, sans inciden
Fig. ¡64. — 12ïdécembre ¡1888. d a Fig. 65. — 23 janvier 1889. période de plusieurs mois avant l'apparition des symptôme
ordre neurasthénique qui seuls ont régné chez notre homme pendant une période de plus de douze mois. Il semble que chez ces nat
à la manière d'un automate et ne reprend sa lucidité qu'au bout d'une période de temps dont la durée peut varier de quelques he
t ainsi de suite sans interruption même d'un jour, pendant une longue période de temps, 6 mois pour commencer. Cette prescripti
n soit, à partir de ce quatrième accès, la maladie pendant une longue période de quatorze mois n'est plus représentée désormais
ord et éloignés,disparaissent ensuite complètement pendant une longue période de temps; on cesse d'administrer le bromure et vo
dicament immédiatement et en continuer désormais l'emploi pendant une période de temps indéterminée. Les doses seront ce qu'ell
nts du côté droit. Craignant d'avoir fait quelque bévue pendant cette période d'inconscience, elle déshabille l'enfant qu'elle
'a pu jusqu'ici se rappeler rien de ce qu'elle a fait pendant cette période qui a été de cinq heures et demie environ, de 2 h
emblent parfaitement adaptés à un but. Il est vrai que la durée de la période automatique n'a pas dépassé cinq heures dans le c
lsion morbide à la déambulation, ont, comme chez Men..s, embrassé une période de plusieurs jours, huit jours dans quelques cas.
e remarquer tout d'abord que, à son sujet, nous en sommes encore à la période des informations (1), les observations régulières
ption delà grande attaque hystero-épileptique, nous avons appelé « la période des attitudes passionnelles » (troisième phase de
ndu somnambulisme spontané des hystériques n'est autre chose que « la période des attitudes passionnelles » prolongée au delà d
ils se sont établis pour ainsi dire en permanence pendant une longue période de cinq années, s'exaspérant seulement de temps à
si particuliers peuvent permettre d'établir le diagnostic pendant la période souvent fort longue, qui, dans la règle, précèdeF
du tabès, appartiennent fort souvent, le plus souvent peut-être, à la période de la maladie où l'ataxie motrice n'a pas encore
taxie motrice n'a pas encore paru et que j'appelais, à l'époque, la « période des douleurs fulgurantes ». On a proposé tout réc
aux troubles locomoteurs,la dénomination beaucoup plus appropriée de période préataxique'à laquelle je souscris bien volontier
s à la Salpêtrière, t. II,'1" partie. 2. A. Fournier, Leçons sur la période préataxique du Tabès, 1885. symptômes — crises
se terminent également tout à coup. Ainsi, nuit et jour, pendant une période de temps qui peut s'étendre à trois, cinq, huit,
s souvent à peu près la même pour chaque cas particulier, pendant une période de temps qui peut s'étendre à trois, quatre, cinq
itre des anomalies. 5° Lorsqu'elles se montrent dans le cours de la période préataxique, les crises gastriques du tabès se tr
iées aux autres syndromes de la série tabétique qui remplissent cette période , et cette circonstance contribue, avec les caract
vé dans l'observation que, après avoir vomi nuit et jour, pendant une période de cinq ou six jours, le malade s'écriait tout à
dans l'évolution du tabès, et précédant, presque isolées, pendant une période de trois, quatre, cinq ans, l'apparition de î'ata
atre, cinq ans, l'apparition de î'ataxie, ne sont pas chose rare. Une période de- six ans ne dépasse donc pas la mesure du poss
façon à sévir pour ainsi dire, sans cesse et sans trêve, pendant une période de plusieurs mois, neuf mois dans un cas de M. Bu
symptômes qui surviennent de temps et autre, et contrastent avec des périodes d'apaisement. II En ce qui concerne les crise
de telle sorte que je n'étais tout à fait tranquille que pendant une période de quinze à vingt jours chaque mois puisque, comm
s celle de Vulpian, le vomissement noir n'apparaît jamais que dans la période des crises ; cela n'est-il pas de nature à faire
r qui semble avoir été entretenue avec persistance pendant une longue période de trois années. Il me paraît, que cette assertio
ofthe legs) qu'on observe si fréquemment chez les tabétiques dans la période préataxique. Dans la marche ces troubles atteig
ur ces matières nous n'en sommes encore, à beaucoup d'égards, qu'à la période des études préparatoires. Mais je crois avoir i
haut degré. Cependant,cette perte de conscience prolongée pendant une période de trois jours, peut-elle être considérée comme a
sursaut, tout épouvanté. A partir de cette époque, pendant une longue période de huit ou dix ans, presque toutes les nuits, ce
'exposé des suites de cet accident, au moment où le malade, après une période amnésique que nous avons considérée comme relev
e par l'action de sinapismes qui lui avaient été appliqués pendant la période comateuse. Ces brûlures avaient été recouvertes d
aujourd'hui, n'avaient pas cessé même un instant d'exister durant une période d'environ trois mois. Vous me demanderez mainte
de; ils nous ont été communiqués par son beau-frère, qui durant cette période l'a suivie de près. Ce furent des Iroubles intell
uis et que nous allons retrouver par la suite. Pendant cette longue période de dix années, les excès alcooliques n'ont pas ma
et classée des attaques hystéro-épileptiques, consistant en ce que la période dite épileptoïde se présente à l'état d'isolement
tôt de la jambe droite, tantôt de ces divers points en même temps. La période épileptoïde est en général très courte ; le perte
urs mois, absolument complète. Puis est survenue,suivant la règle, la période de rétrogression ou de rétrocession, comme vous v
, un instant frappé de paralysie complète, s'était cependant, dans la période de rétrocession, à peu près complètement dégagé.
a vie en exerçant sa profession de bijoutier, et pendant cette longue période il n'avait éprouvé aucune maladie, aucune indispo
nen. Pig. 86, — Mouvements de salutation. sens qu'il présente une période de convulsions toniques puis de convulsions cloni
Fig. 87. — Arc de cercle. Emprosthotonos. Voici enfin la troisième période , celle des attitudes passionnelles, comme je l'ap
contraire que Fig. 90. — Periode der Hallucinationen. Fig. 91. — Période der Hallucinationen. l'urée a diminué. On n'a p
hystérie ou de la morphinomanie ? Des deux peut-être. Nous appelons périodes d'euphorie les périodes pendant lesquelles le mal
nomanie ? Des deux peut-être. Nous appelons périodes d'euphorie les périodes pendant lesquelles le malade n'éprouve pas le bes
espace convenablement ses piqûres et s'arrange de façon à ce que les périodes d'euphorie se confondent les unes avec les autres
arquée, aucune gêne, il ne profère aucune plainte. Mais lorsque les périodes d'euphorie sont séparées par des entr'actes d'amo
l faut bien connaître. Notre malade est, en ce moment, au début de la période de besoin. Elle s'annonce chez lui entre autres p
apparaît quand l'alcoolique est à jeun d'alcool, il se montre dans la période d'amorphinisme et s'apaise après la prise du médi
lement rapide au premier chef. Il persiste, mais très faible, dans la période d'euphorie. Dès que le besoin de morphine se fait
ction.)^«g-j] g Voici ce qui se passe le plus communément, dans les périodes amorphini-ques. Le malade accuse des sueurs froid
connaissance, et son intelligence resta intacte pendant les diverses périodes de l'accident. » « Un matelot à bord de la remo
: examinez comparativement les deux malades pendant une assez longue période de temps, et vous reconnaîtrez que chez Ch..., la
., on les voit de temps en temps, s'arrêter complètement, pendant une période de 4r5 minutes et même plus. J..., par un effor
ne put pas quitter le lit. Les accidents nerveux, au bout de cette période , s'étant amendés, il voulut un matin, se croyant
on n'ont été possibles qu'avec le secours de béquilles. Puis vint une période où la marche pouvait s'exécuter simplement à l'ai
tes, et qui, elle aussi, se répéta à peu près incessamment durant une période de deux ou trois jours. Au bout de ce temps, les
it dans les cas ou l'abasie, après s'être montrée absolue pendant une période de temps plus ou moins longue, commence à s'amend
e départ de tous les désordres, mais l'absence bien constatée de la « période douloureuse » au début de la maladie avait bien v
ans l'histoire passée de notre malade. Cette histoire comporte deux périodes distinctes. La première a commencé il y a, trois
es blessures, c'est-à-dire pendant une dizaine de jours. Durant cette période , il se plaignait surtout de ne pouvoir pas dormir
ection dont elle a souffert et qui l'a immobilisée au lit pendant une période de plus de vingt-quatre mois. Mais je pense que s
a poitrine. Il y a donc eu peut-être une participation dorsale. Cette période douloureuse a duré six mois ; puis s'est développ
amais été qu'ébauchée, c'est-à-dire que les accidents de la troisième période ne se sont pas complètement accusés ; mais, par c
de-chaussée humide. L'affection a débuté il y a quatre ans. Après une période douloureuse classique de six mois, il s'est dével
développé une paraplégie cervicale atrophique, et enfin la troisième période n'a été qu'esquissée et a été caractérisée par un
t automatisme ambulatoire, 317. — et epilepsie, 322. Amorphinismf, ( Périodes d'), 431. Amyotrophie. (Voy. Atrophie musculair
Etat mental. {Voy. Mental (Etat.) eulenbourg, 164,166. Euphorie ( Périodes d'), 431. Extenseurs (Paralysies des), 84. F
ntagion, 254. — (Dangers de 1'), 247. — et Hystérie mâle, 100, 380. — Période de léthargie, 70. — (Restriction de 1'), 255. — S
69. — Paralysie, 521. — Paraplégie (diagnostic avec Fabasie), 366. — ( Périodes de la grande attaque), 33. — (Signe de Todd dans
sq. — Diarrhée, 432. —Hystérie, epilepsie, 420 ^sq. — Importance des périodes au point de vue diagnostic, 433. — Périodes d'amo
420 ^sq. — Importance des périodes au point de vue diagnostic, 433. — Périodes d'amorphinisme, 431. — Périodes d'euphorie, 431.
es au point de vue diagnostic, 433. — Périodes d'amorphinisme, 431. — Périodes d'euphorie, 431. — Sueurs, 432. — Traitement, 433
(Infirmités résultant de la), 143. — (Lésions de la) 141, 142, 408. — Période de réparation, 143. — Réactions électriques, 143.
k, 110. Peltier, 446. Persécution (Idées de) dans la chorée, 105. période préataxique du tabes, 333. Personnalité (double
radiculai-res, 182. — Traitement, 177. Powell, 110. Préataxique ( Période ) du tabès, 156. Prévost, 141. Progression (Vari
ice 157. — Inégalité pupil-laire, 158. — Parésie vésicale, 155, 157.— Période préataxique, 333. — (Rachialgie dansle), 153. —
10 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
nsuffi-sante, et nous croyons pouvoir affirmer que, dès les premières périodes de l'ataxie, alors même que la maladie, encore à
postérieurs. Type classique de l'ataxie locomotrice progressive. — Période prodromiquc ou des douleurs fulgurantes. — Périod
ice progressive. — Période prodromiquc ou des douleurs fulgurantes. — Période de la maladie constituée ou de l'incoordination t
Période de la maladie constituée ou de l'incoordination tabétique. — Période paralytique. Des douleurs fulgurantes. — Leurs
rice, qu'on suppose évoluer d'une façon normale, un certain nombre de périodes . On en reconnaît, en général, trois principales.
onnaît, en général, trois principales. La première a reçu le nom de période prodromique. Pour-quoi prodromique ? L'appellatio
ent, la lésion est constituée, visible. Et d'ailleurs, conçoit-on une période prodromique susceptible de s'étendre à de nombreu
8, 10, 12, 15 ans par exemple ? Peut-être vaudrait-il mieux l'appeler période des douleurs fulgurantes. Ces douleurs, en effet,
t pas absolument constant. Quoi qu'il en soit, la maladie, dans cette période , est représentée cliniquement par deux ordres de
ntés, à cette époque, par les douleurs fulgurantes. Dans la seconde période , dite de la maladie constituée, et qui pourrait r
de la maladie constituée, et qui pourrait recevoir la désignation de période dincoordination motrice, le tableau clinique se c
au clinique se compose, en premier lieu, des symptômes de la première période , en proportion variée ; ainsi les symptômes cépha
s parties profondes : muscles, articulations, os, etc. La troisième période mériterait peut-être la qualification de période
etc. La troisième période mériterait peut-être la qualification de période paralytique. En même temps que la plupart des aut
ype. V. Attachons-nous, en premier lieu, à l'étude de la première période . C'est alors qu'il importe surtout de reconnaître
ou même 20 ans. D'ailleurs, elle s'arrête parfois d'elle-même à cette période , sans jamais pousser plus loin, mais aussi sans r
Mais de tous les symptômes viscéraux qui peuvent se montrer dès la période des douleurs fulgurantes, un des plus remarquab
uls sans fièvre est d'ailleurs un fait très commun, dès les premières périodes de l'ataxie, et en dehors des crises gastriques e
es lésions variées des nerfs crâniens et bulbaires. Dès les premières périodes , ainsi que nous l'a-vons dit déjà, les douleurs f
la papille dans ces deux formes ou, si vous le voulez, dans ces deux périodes de la névrite optique, et opposons-les aux caract
ne tumeui occupant le lobe occipital et un cas d'ataxie à la première période ? Ce sont deux maladies qu'on ne rapproche pas d'h
anoma-lies qui se présentent le plus habituellement dans la première période de l'ataxie locomotrice progressive. T 1. J
astriques d'autres affections vis-cérales qui peuvent encore, dans la période des douleurs ful-gurantes, coexister seules avec
de la participation du grand sympathique cervical. Dès la première période de l'ataxie, il est commun d'obser-ver une inégal
hie en question est toujours un phénomène précoce, c'est-à-dire de la période initiale de la ma-ladie spinale ; et, pour précis
prend place, du moins en général, à une époque intermédiaire entre la période dite prodromique et la période d'incoordination.
l, à une époque intermédiaire entre la période dite prodromique et la période d'incoordination. Si l'affection apparaît quelque
m-plètement. A ces phénomènes peuvent s'adjoindre, surtout dans les périodes plus avancées de l'afîeclion, un certain nombre d
ncéreux. La pachyméningite cervicale hypertrophique, dans la première période , s'accompagne, elle aussi, de douleurs assez anal
infantile.— Elle sera considérée comme maladie d'éludé. — Symptômes: période d'invasion, ses modes; — seconde période ou ré-gr
aladie d'éludé. — Symptômes: période d'invasion, ses modes; — seconde période ou ré-gression des symptômes avec localisation de
logique de la paralysie infantile. — Lésions des muscles aux diverses périodes ; surcharge graisseuse. — Lésions du système ner-
larté, nous recon-naîtrons dans notre description l'existence de deux périodes . Première période. 1° Le mode d'invasion de la
trons dans notre description l'existence de deux périodes. Première période . 1° Le mode d'invasion de la paralysie in-fantile
els sont, Messieurs, les caractères les plus saillants de la première période delà paralysie infantile ; je vous demande la per
bsence d'escarres ou d'autres troubles trophiques cutanés. Deuxième période . Messieurs, la régression des symptômes, dont nou
ou dix mois après le début, époque qui marque la terminaison de cette période rétrograde, les muscles qui n'ont pas recouvré le
ou même de quelques semaines. Il est d'autres cas enfin où, dans la période de régression, il se produit des temps d'arrêt ou
est là un sujet qui réclame encore de nouvelles études. A. Première période . C'est surtout relativement aux pre-mières phases
majeure partie des faisceaux primitifs subirait, dans cette première période , l'atrophie simple sans 1 Voir Heine et Duchenn
, d'une façon très nette, dans des cas de date ancienne. B. Seconde période . Si l'on étudie les muscles altérés à une époque
nt accru, de manière à reproduire exactement ce qu'on observe dans la période ultime de l'affection décrite par Duchenne (de Bo
a tempéra-ture centrale y ont été nolées pendant toute la durée de la période fébrile ini-tiale. Ces observât ons ont été publi
ut, pour vider la vessie, sonder plusieurs fois le malade pendant une période de 36 heures. Il importe de relever que la rétent
t à fait transitoire. Elle ne se renouvela plus par la suite. Cette période fébrile se termina au bout de cinq ou six jours,
rusque, presque subit, des accidents paralytiques, et mar-qué par une période fébrile bien distincte, la flaccidité et l'atroph
eulement qu'il a beaucoup grandi en fort peu de temps. 1 Pendant la période qui s'étend du 19 août 1873 au 1er août 1874, le
i-tation galvanique et l'hydrothérapie ; c'est dans le cours de cette période surtout que les progrès se sont le plus remarquab
it une partie du jour. La seule particularité à noter, durant cette période de trois jours, c'est l'apparition sur le tronc d
trouble dans l'exercice des fonctions de la vessie ou du rectum. La période de rétrocession a commencé à s'établir fort peu d
que des jeunes enfants. (J.-M. G.) plus souvent fort éloignée de la période infantile, ont été faites, incontestablement, par
vous le savez, pendant 8, 10 ans, 15, 20 ans même. 2° Durant celte période , comparativement courte, il est de règle que les
s; — b) les contractions fibrillaires qui se montrent surtout dans la période active de l'atrophie ; — c) la conservation de la
ré qui ne se voit, dans l'atrophie musculaire protopathique, qu'à une période avan-cée, éloignée par exemple de deux ou trois a
re. Les muscles, au contraire, peuvent conserver jusqu'aux der-nières périodes de la maladie un relief et une consistance qui co
s laquelle, vous vous le rappelez, ces membres ne sont envahis qu'aux périodes ultimes. Ils constituent, pour ainsi dire, les ca
times. Ils constituent, pour ainsi dire, les caractères d'une seconde période ; la troisième étant marquée, ainsi que nous allo
n'y a pas de tendance à la formation des escarres. 3° Une troisième période est constituée par l'aggravation des symptômes pr
; — de la moelle épinière ; — des nerfs périphéri-ques. — Symptômes : Période douloureuse (douleur-» cervicales, rigidité du co
s et engourdissements ; — parésie ; — éruptions cuta-nées . — Seconde période (paralysie, atrophie, griffe, contracture, plaque
méningite cervicale et être demeurée, par ce fait, pendant une longue période , confinée au lit dans une impuissance absolue, es
héno-mènes en rapport avec cette double lésion composent une première période ou période douloureuse, qui dure deux ou trois mo
en rapport avec cette double lésion composent une première période ou période douloureuse, qui dure deux ou trois mois, et dont
'y produit un certain degré saire à l'existence des symptômes de la période douloureuse. Cela est bien mis en évidence dans u
insi que l'ensemble des symptômes qui consti-tuent ce que j'appelé la période douloureuse, les anesthésies partielles disséminé
l en soit, il y a lieu, au point du vue clinique, d'y distinguer deux périodes , reconnues du reste par tous les au-teurs. La pre
se montrant même, parfois, manifestement atrophiés 2. Dans la seconde période , beaucoup plus longue la parésie tend à se généra
ypertro-phique. (Phase intermédiaire entre la pre-mière et la seconde période du processus). — I, I, Ilots de tissu conjonctif.
dinale d'un muscle dans la paralysie pseudo-hypertro-phique (deuxième période du processus morbide). Cellules adipeuses partout
(de Boulogne), ne devrait rigoureusement s'appliquer qu'aux premières périodes de la maladie, tandis que celles atrophia musculo
ement usitées par les auteurs allemands, conviendraient seulement aux périodes avancées. VI. L'histoire de la paralysie pseu
alysie des muscles mo-teurs de l'œil, appartiennent également à cette période . Enfin l'incontinence d'urine, la dysurie, les cr
ement dater, vous le savez, ce qu'on est convenu d'appeler la seconde période de l'ataxie locomotrice du moment où les phénomèn
ue les caractères distinc-tifs ne sont pas moins accentués dans cette période que dans les précédentes. 1 Loc. cit., p. 427.
nouveau la trépidation épileptoïde, comme se montrant aune cer-taine période de la sclérose en plaques disséminées, des parapl
ez bonne idée. En outre de ces désordres, il existe encore, dans la période que nous considérons, bien d'autres phénomènes pr
uer maintes fois, que c'est là une complication assez fréquente à une période avancée des diverses formes de la sclérose spinal
'articulation des mots. J'ajouterai, de plus, que, pendant cette même période , il y aurait eu momen-tanément, si l'on croit son
ement à Marseille, jusqu'à la fin d'octobre, autrement dit durant une période de près de quatre mois, ils n'ont pas cessé de se
st temps d'en revenir au cas particulier de M. K... Durant une longue période de quatre mois, des pratiques hy-drothérapiques m
à exécution d'une façon régulière. Trois ou quatre fois, durant cette période , il se produisit des rechutes de l'af-fection cér
admise à la Salpê-trière, l'affection semblait être rentrée dans une période d'arrêt, et l'on n'a remarqué aucune aggravation
eut observer dans les autres les caractères de la lésion à toutes les périodes de son déve-loppement. La plupart, envahiesdéjà p
ins à la région cervicale, les lésions paraissent être arrivées à une période plus avancée de leur évolution dans le côté gauch
yperthrophiqve (Phase intermé-diaire entre la première et ]a se-conde période du processus). — 1, I, îlots de tissu conjonctif.
rition des faisceaux musculaires : elle s'accuse déjà dès la première période , alors que le tissu conjonctif in-terstitiel comm
emment accessoire. Cette première phase paraît répondre à la première période clinique signalée par tous les observateurs, péri
re à la première période clinique signalée par tous les observateurs, période dans la-quelle les seuls symptômes appréciables c
rfois, manifestement atrophiés 3. Que se passe-t-il dans la seconde période de la maladie, alors que les muscles paralysés co
(de Boulogne) ne devrait rigoureusement s'appliquer qu'aux premières périodes de la maladie, tandis que celles d'atrophia muscu
ment usitées par les auteurs alle-mands, conviendraient seulement aux périodes avancées ; mais je ne veux pas insister plus long
postérieurs. Type classique de l'ataxie locomotrice progressive. — Période prodro-mique ou des douleurs fulgurantes. — Pério
ce progressive. — Période prodro-mique ou des douleurs fulgurantes. — Période de la maladie constituée ou de l'incoordination t
Période de la maladie constituée ou de l'incoordination tabétique. — Période paralytique. Des douleurs fulgurantes. — Leurs
nfantile. — Elle sera considérée comme maladie d'étude. — Symptômes : période d'invasion, ses modes ; seconde période ou régres
aladie d'étude. — Symptômes : période d'invasion, ses modes ; seconde période ou régression des symptômes avec localisation des
ue de la paralysie infantile. — Les lésions des mus-cles aux diverses périodes ; surcharge gaisseuse. —Lésions du système ner-ve
; — de la moelle épinière ; — des nerfs périphéri-ques. — Symptômes : Période douloureuse (douleurs cervicales, rigidité du cou
s et engourdissements ; — parésie ; — éruptions cuta-nées . — Seconde période (paralysie, atrophie, griffe, contracture, plaque
inaux, 26. — Dou-leurs fulgurantes, 29, 366. — In-coordination, 28. — Période para-lytique, 28. — Symptômes viscé-raux, 34. — T
11 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ébut de cette maladie et qu'ils font pour ainsi dire partie de la période céphalique ». Nous n'avons pas besoin de faire
agnostic d'ataxie locomotrice progressive. Du reste, à aucune autre période de la maladie, les troubles paraplégiques n'ont
mélancolie simple. Dans le second, ces idées apparaissent dans la période mélancolique d'une folie périodique alternante. E
upations constantes M"° A... semble avoir passé à ce moment par une période de perplexité et de légère confusion dans les i
elle avait perdu, de certains faits qui s'étaient passés pendant la période J'acuité de la maladie. Mais elle est déprimée
). Appa- 2'ilion d'idées de négation au cours du quatrième accès ; période de stupeur de quatre mois de durée (août à déce
ymptômes ne durent que peu de jours. Après quelques alterna- tives, période normale de trois mots (février-mai 1806). En juin
tives, période normale de trois mots (février-mai 1806). En juin, période d'excitation de trois semaines. Depuis, légère dé
es. Depuis, légère dépression mélancolique persistante avec courte, périodes d'anxiété hallucina- toire (avril t89.) .) 11
e ensuite dans la stupeur avec gâtisme : l'accès se termine par une période d'anxiété extrême où elle voyait des enfants éc
ourriture, désespoir. Elle a des hallucinations terrifiantes. Cette période dure plusieurs mois. Puis, après des alternativ
e avec gâtisme. A la fin du mois de décembre survient subitement la période d'anxiété. Au moment où nous la voyons pour la
elle-même,que cela ressemble à ce qu'elle éprouvait à la fin de la' période d'anxiété du début de l'année : ce sont comme d
ressive ascendante pouvant durer plusieurs mois, puis s'établit une période d'état qui n'a aucune tendance à rétrocéder nat
sistance des phénomènes douloureux pendant les premiers jours de la période paralytique; douleur occupant le front et l'occ
e ainsi plus d'assurance dans ses mouve- ments. Ensuite commence la période vraiment utile de la méthode de rééducation où
énérale vraie, mais il ne la produit pas d'emblée; il va une longue période préparatoire. De plus, cette paralysie générale
lasse; M. le Dr Papillon a été nommé à litre provisoire et pour une période de trois mois, médecin adjoint de lliontdevergu
elles de 20 para- lytiques décédés à l'asile de Toulouse , dans une période de près de deux ans. Elles n'ont été l'objet d'
de même ordre dans chaque cas, et, dans le même cas, à différentes périodes de l'évolution de la maladie. Le réflexe rotuli
les troubles de la sen- sibilité chez un paralytique général. A une période avancée de la maladie, cette recherche est, pou
force musculaire peut être grossièrement appréciée. C'est dans la période prodromique de la paralysie générale que les sy
onclusions. 1. Tous les paralytiques généraux nécrop- siés dans une période de près de deux ans, à l'asile de Tou- louse, o
les de Mille K... ; elle se maintient très bien. Je pense que cette période de trois ans qui s'est écoulée depuis la sortie
e fièvre typhoïde à furme ady- namique grave se déclare. Pendant la période d'état, dispa- rition brusque et complète des s
s, langue rôtie, presque tous les signes d'une fièvre typhoïde à la période d'état. La malade est devenue plus calme, mais
rir, même si on lui rend l'oxygène. L'excitation électrique à cette période accélère la mort du muscle. Lorsque le travail
au muscle pour que son excitabilité reparaisse assez rapidement; la période de restauration est même activée par un travail
rne), étudiant l'action physiologique du courant galvanique dans sa période d'état variable de fermeture, a démon- tré : 1°
gue, amplitude diminuée.); 2° courbe paralytique (allongement de la période latente, diminution de la hauteur de la courbe)
hances de succès sont grandes. On doit donc le commencer dès que la période fébrile a pris fin. Nous avons communiqué au Co
araît pas seulement chez les géants. Le premier survient pendant la période de croissance proprement dite ; la seconde au t
et ne continuant pas le traitement. La mort survenant pendant la période active du traitement est rare. A l'infirmerie roy
indiscipliné et mobile. Chute dans un escalier, suivie d'une courte période de subconscience; plaie peu grave de la région
détermine une augmentation de la pression du sang, à la suite d'une période latente plus ou moins longue, quand on excite l
, chez plusieurs sujets dont on analysa exactement les liquides, la période d'administration de l'opium en augmente remarqu
iles il ne voit que des maladies bien caractérisées arrivées à leur période d'état. A tous égards, dans l'intérêt des malad
sériels dont l'intervalle lucide est long : un jour, et chez qui la période intercalaire peut être de huit ou quinze jours
cas, nous avons fait, à la vérité, l'injection de bleu pen- dant la période des attaques, mais au moment où la série allait
a série allait prendre fin et où la malade allait entrer dans une période intercalaire plus ou moins longue, ainsi que nous
me on peut obtenir un retard si on fait l'injection au moment où la période intercalaire va se terminer, c'est- à-dire au m
e du bleu à la 95° heure bien que l'injection fût faite pendant une période intercalaire. Mais, dansée cas, nous avions not
spondent : ,NI 1. Ch... (vingt ans, moyenne des accès par mois, 4), période intercalaire : Maximum à la 3° heure; absence
ure. tao 2. Au... (dix-neuf ans, moyenne des accès par mois, 10), période intercalaire. Col. bleu à la ire heure ; maximu
LENE 193 N° 2. Aug…, dix-neuf ans. Injection le 31 mai à 11 heures, période intercalaire. 194 CHIMIE PHYSIOLOGIQUE N° 3
ccès par mois, 9). N° 4. Esn…, dix-huit ans. Injection de 0 gr. 10 ( période intercalaire) le 25 mai. L’élimination tombe à
on. Par exemple : 9° Ces idées délirantes peuvent carac- tériser la période prodromique d'une manie terminée par la démence
dans le cours d'une aliénation héréditaire dont elles inaugurent la période démen- tielle terminale. 3° Elles peuvent se pr
population de cet asile à celui de ce service pendant une certaine période de temps, de 1888 à 1897 par exemple. Au commen
de de temps, de 1888 à 1897 par exemple. Au commencement de cette période l'asile d'Evreux avait 855 aliénés ; pendant sa d
e leur nombre parce qu'il y en aura eu 2,700 de reçus pendant cette période qu'il aura fallu étudier longuement, pour lesqu
été l'objet de cette observation aucun des symptômes de la première période de la pachyméningite, et, loin d'avoir de la ri
é- lique de la sensibilité. Dans les cas cités par cet auteur, la période douloureuse a toujours existé avec ses symptômes
es établissements d'aliénés de l'Empire allemand, et ce pendant une période de 5 années. (Petit Parisien, 27 septembre 1898
emble pas avoir eu grande influence sur lui, car pen- dant toute la période fébrile, ce n'est pas le délire mais l'obtusion
els que la crise panophobique transitoire signalée au début de la période d'état et les rêves terrifiants dont le malade s'
crises nous paraissent de nature hystérique et constituées par une période épileptoïde pure et simple sans phases convulsi
; se soumettait des régimes excentriques, ne consentant pendant des périodes de .quinze jours et plus à ne prendre avec son
fuse à faire du délire toxi-infectieux et seule la somnolence de la période terminale est la preuve qu'il est cependant inf
e pas se produire, ou encore que lorsque le délire éclate après une période d'abstinence alcoolique, le foie étant malade,
MENTALE. DU SENS TACTILE ÉTUDIÉ CHEZ LES MÊMES MALADES AUX TROIS PÉRIODES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE ; Par le D E. JIARANDO
élevé de para- lytiques, suivis de cette façon, depuis la première période de la maladie jusqu'à la troisième, jusqu'à la
celui de M. Auguste Voisin. L'auteur examine le tact aux diverses périodes de lamaladie, en commençant par la prodromique.
ne sommes en mesure de fournir que des renseignements sur les trois périodes de la maladie confirmée. M. Auguste Voisin, avo
e. M. Auguste Voisin, avons-nous dit, examine le tact à ces trois périodes . A la première phase, dit-il, l'hyperesthésie p
RALE. 379 conceptions délirantes hyponchondriaques ; à la seconde période , ajoute-t-il, d'après quelques auteurs, l'anesthé
cet auteur reconnaît que le plus souvent vers la fin de la deuxième période ou au début de la troisième la sensibilité s'ém
complètement. M. Régis a constaté à la 380 PATHOLOGIE MENTALE. période prodromique des anesthésies et des hyperesthésies
maladie confirmée et devient nulle ou presque nulle à la troisième période . M. Gilbert Ballet et M. Paul Bloch, qui ont ré
s que des anesthésies plus ou moins durables ont été signalées à la période initiale. A la période d'état, dit-il, la sensi
s ou moins durables ont été signalées à la période initiale. A la période d'état, dit-il, la sensibilité aussi peut être tr
ubles du sens tactile chez les mêmes paralysés généraux aux trois périodes de la paralysie générale. Si nous nous adressons
atteinte. Elle est peu trou- blée au début ; aussi peut-on à cette période établir le diagnostic différentiel avec l'alcoo
est couvert de plumes, le malade est transformé en ange). Dans les périodes avancées, la sensibilité est émous- sée à un ha
recherches, il en est d'autres qui le sont de tous points. Pour la période prodromique il se borne à rappeler l'opinion du
eler l'opinion du Dr de Crozant qu'il paraît rejeter. A la première période il a observé de l'hyperesthésie soit réelle, so
e, due aux vives préoccu- pations mentales des sujets. A la seconde période il a souvent vu la sensibilité cutanée diminuée
au contraire rare comparativement au stade précédent. A la dernière période de la paralysie générale le sens du tact est su
née est obscurcie dans beaucoup de cas, particulièrement dans les périodes extrêmes. D'après M. lliclcle. l'hyperesthésie,
près M. lliclcle. l'hyperesthésie, qui est quelquefois observée aux périodes initiales, peut être l'origine d'idées hypochon
e courte durée et parfois survient durant les rémissions ; dans les périodes avancées elle peut apparaître, après une attaqu
rmette cette expression, tantôt sur un paralytique à telle ou telle période , tantôt- sur un autre à telle ou telle autre ph
roportion le tact est altéré dans la paralysie générale et à chaque période en particulier; quelle est la proportion des di
ils contractent l'habitude de ces recherches qui, à la troi- sième période , n'aboutiraient pour ainsi dire jamais si elles
mort, malades qui lors de leur admission étaient tous à la première période de la paralysie générale. Mais de ces 108 paral
la maladie, les autres ayant succombé au nombre de 30 à la deuxième période et de 32 à la première ; quant aux 4 restant pa
RALYSIE GÉNÉRALE. 387 progrès de la maladie. De rares à la première période , une fois moins rares à la seconde, les trouble
ficiles, ainsi qu'il était à prévoir ; c'est ainsi qu'à la première période 3 p. 100 seule- ment de nos constatations furen
ule- ment de nos constatations furent infructueuses; à la seconde période , rios échecs furent cinq fois plus fréquents, soi
cinq fois plus fréquents, soit de 15 p. 100 ; enfin, à la troisième période nous avons échoué dans plus de la moitié des ca
OGIE MENTALE. de l'exagération et de l'affaiblissement aux diverses périodes . Pour ce dernier nous avons : LE SENS TACTI
sants. En premier lieu l'état constamment normal du tact durant les périodes de rémission ; en effet, 119 fois nos paralytiq
ux-ci, poursuivies également chez les mêmes sujets durant les trois périodes de la maladie, cette assertion de M. Briand que
st, d'une manière générale, beau- coup plus souvent altéré dans les périodes d'agitation que dans les phases de calme. En ef
vrages sont difficiles à mettre en paral- lèle pour des pays ou des périodes différentes. Quelques tableaupc seulement peuve
alculé séparément les moyennes annuelles : 1° pour chacune des deux périodes de quinze années ( 1865=I 8 ï J et l S80-1894)
ze années ( 1865=I 8 ï J et l S80-1894) ; 2" pour chacune des six périodes quinquennales comprises dans les mêmes trente a
t indique les résultats obtenus. Suicides par pendaison pendant une période de 30 années ( 18G3=189 ! r). RECHERCHES SU
élevées ou qu'elles soient faibles semblent rester stationnaires de période à période.,Je ne puis indiquer ces proportions
u'elles soient faibles semblent rester stationnaires de période à période .,Je ne puis indiquer ces proportions que pour les
omtés séparément avant cette époque. Je prends toutefois les deux périodes de neuf années cha- cune, 1877 à 1885 et 1886 à
es, montrent exactement le même chiffre (26 par million pour chaque période de neuf années). Je constate également que le g
le district S.-0, de l'Ecosse offre une proportion pour la première période de neuf années de 14 par million, et pour la se
emière période de neuf années de 14 par million, et pour la seconde période de 13 par million. Cela nous démontre que le su
cide et d'accidents par armes à feu et armes blanches pour les deux périodes de quinze années allant de 1865 à 1894. Morts p
marquable pour les proportions dans chaque contrée pendant les deux périodes successives. Les proportions sont à peu près le
sives. Les proportions sont à peu près les mêmes pour chaque même période autant qu'elles peuvent l'être sans être abso-
ux pays que la proportion des suicides a augmenté dans la seconde période et que cette augmentation est balancée par une
gistrement de morts sous la rubrique « Suicides », qui dans l'autre période auraient été considérées comme accidentelles ?
mpoisonnement ou immersion sont totalisées pour une certaine longue période de temps, l'irrégularité des chiffres deviendra
venant environ deux heures après le repas. Cette douleur, après une période de rémission, est devenue plus violenle que jam
é, qui va en augmen- tant, puis en diminuant, jusqu'au retour de la période de calme. Les mouvements cloniques sont d'abord
e l'irritation spinale étant à son maximum d'inten site, lors d'une période comitiale paroxystique, le paramyoclonus lui-mê
dans le tétanos. A cette phase convulsive, fait suite une troisième période , caracté- risée par de la dyspnée, de la cyanos
leptiques, c'est-à-dire les accès épileptiques mêmes, en partie les périodes précédant et suivant l'accès, l'état de démence é
ivant l'accès, l'état de démence épileptique, ainsi qu'en partie la période du passage de l'esprit normal à la démence, et
lui en prit, car huit jours après sa confession, le malade eut une période d'agi- tation au cours de laquelle revinrent le
huit ans que ce malade est à l'asile, il est maintenant tombé à la période de démence terminale. En présence d'un cas de s
mmatoire des kystes et cicatrices pigmentés. Donc à la fin de celte période qui se termine en 1868, on ne connaissait bien
X. Du réflexe patellaire étudié chez les mêmes malades aux trois PÉRIODES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE : par le D1' 11.1naDO\ D
éré à la première qu'à la seconde et à la seconde qu'à la troisième période . 4. C'est dans la forme dépressive de la paraly
e cérébrale, puisqu'elle a sou minimum de fréquence à la dernière période où cette suppression est au contraire à son maxim
période où cette suppression est au contraire à son maximum. 7. La période des altérations du réllexe patellaire n'a aucune
ues, puisque cotte conservation est plus fréquente à la troi- sième période qu'aux deux autres. - 9. Il n'est pas rare que,
existence les particularités d'un simple persécuté, entre dans la période mégatomaniaque du délire chronique en se baptisan
cas de delirium tremens observés à l'hôpital Saint-Jean pendant une période de trois années. Tous ces malades étaient des a
réussissent facilement et invariablement, non seulement pendant la période même du délire alcoolique, mais encore un long te
iv. sp. di fren., 1897, fasc. I.) La sueur des épileptiques dans la période prodromique des accès, injectée dans la circula
s augmentent à mesure que l'accès est plus proche et durent dans la période qui suit immédia- tement le paroxysme, en rappo
e, n'exercent pas d'influence sur la toxicité de la sueur. Dans les périodes éloignées des accès, l'action de la sueur des é
spasmes musculaires, des crises de pleurs et de rires et enfin une période d'agitation maniaque qui détermina la mort un moi
son maximum dans le cours de la troisième semaine; elle est à sa période d'acmé à la fin de la quatrième semaine dans les
des traces dans le centre d'association moyen, pré- parant ainsi la période bien plus tardive (vers la fin de la deuxième a
12 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
atifs. Comment reconnaître, en effet, pendant le cours de la première période , qu'il ne s'agit pas tout simplement d'une synoqu
es anomales et malignes de ces maladies peuvent parfois, pendant leur période prodromique et en l'absence de certains symptômes
on deutéropathique 1731. E.). Le choléra pestilentiel (1675), dans sa période de réaction, présente quelques traits de ressembl
eil cas, des symptômes typhoïdes bien dessinés peuvent succéder à une période algide peu pronon-cée, ou qui même aura passé pre
mieux les indications rationnelles (114. C. D. E.). Ici, surtout, les périodes de la maladie, la forme qu'elle affecte primitive
rnant le typhus (1571). B. Au début et dans le cours de la première période , si la ma-ladie se montre franchement sous la for
ises conditions pour faire face à l'adynamie qui, lors de la deuxième période , se manifeste presque inévitablement, au moins à
e les oreilles), voire même quelquefois, dans le cours de la deuxième période . Passé le dixième jour cependant, ou tout au plus
rencon-trée plusieurs fois chez des sujet qui avaient succombé à une période avancée de la fièvre typhoïde. que relation de
tensité, un certain nombre de symptômes qui caractérisent la première période de la maladie. B. Première période. — Céphalalg
es qui caractérisent la première période de la maladie. B. Première période . — Céphalalgie frontale plus ou moins vive, avec
re reconnaître cette dernière maladie pendant le cours de sa première période , fassent ici complètement défaut ; mais il est lo
rt sur-vienne dans le cours ou dès le commencement de cette pre-mière période , avant même que l'éruption se soit manifestée. Lo
, sans qu'il se soit présenté aucun indice de réaction. C. Deuxième période . — a. Apparition de quelques symp-tômes nouveaux,
aux, et aggravation de la plupart de ceux qui constituent la première période . Vers le commencement du deuxième septénaire, la
loration très foncée, et paraît comme grillée. — Vers la fin de cette période , il est assez commun d'observer du météorisme et
pondent aux angles des côtes, etc. Si pendant le cours de la première période , l'exa-men de la poitrine a permis de constater l
es sudamina apparaissent fréquemment, pendant le cours de la deuxième période . E. Durée de la maladie, convalescence. — En te
rapide, et le malade peut suc-comber pendant le cours de la première période . En temps or-dinaire, la durée moyenne de la mala
manie, etc.), se dessinent rapidement, et acquièrent, dès la première période , une grande intensité. — Nous avons dit, pour n'y
la fosse iliaque droite, qui caractérisent la fièvre typhoïde dans sa période d'augment, n'appartiennent pas au typhus fever. L
de la maladie, ne présente pas de couenne ; les saignées faites à une période avancée présentent en géné-ral un caillot foncé e
série de deux, plus rarement de trois accès fébriles, séparés par une période de rémission très accusée. Le moment où se termin
ires simulant celles du rhumatisme, se manifestent parfois, dès celte période , et persistent ensuite, pendant toutp la durée du
briles a donné des résultais qui méritent d'être signalés. Après la période prodromique, qui, en général, est de courte durée
ndres excitations ; jamais il ne s'est montré dicrote. La durée de la période d'intermission varie entre quatre et dix jours.
ant les sensations de douleur, et comme un remède fortifiant, dans la période de convalescence, où il a été quelquefois employé
mptômes de la peste foudroyante (a.) s'amendent pour faire place aune période de réaction plus ou moins bien dessinée ; des bub
de nécroscopique va le démontrer plus pleinement encore, une sorte de période prodromique o. Ces cas rares, auxquels nous fai
ion plus haut, et dans lesquels la peste à bubons parcourt toutes les périodes , sans jamais être accompagnée de fièvre, ont été
ces. — Le pronostic varie, d'ailleurs, en règle générale, suivant les périodes d'une même épidémie. Au début, tous les cas sont
bons se soient manifestés (p. \ 02. G.); plus tard, elle parcourt ses périodes assez régulièrement et se montre moins meurtrière
es bubons et les charbons manquaient, en général, pendant la première période de l'épi-démie; l'hématurie, les selles sanglante
anque de renseignements positifs sur l'état de l'Egypte pendant cette période . — La peste éclata un grand nombre de fois en Egy
ent être mises en œuvre dans chaque cas indistinctement, à toutes les périodes de la maladie et dans toutes ses formes. Tantôt,
es géogra-phiques, est remarquable surtout par la succession de trois périodes , dont la première est caractérisée par une réacti
nt à l'impro-viste, principalement dans les cas graves. B. Première période . — L'invasion se fait quelquefois par un frisson
ouvent assez bien marquées, s'établit ensuite et jusqu'à la fin de la période . Le pouls est régulier, vite, tendu, plein et for
coma sont des symptômes qu'on observe rarement dans le cours de celte période ; une vive anxiété, un sentiment d'effroi, ou, au
e qui s'accomplit dans l'espace de deux ou trois jours. C. Deuxième période . — Elle est signalée par une grande atténuation e
it se manifester bientôt les sinistres avant-coureurs de la troisième période : les dou-leurs épigastriques, la soif, les nausé
uantité du principe colo-rant de la bile (La Roche). — Cette deuxième période de la fièvre jaune dure environ vingt-cinq ou tre
fièvre jaune dure environ vingt-cinq ou trente heures. D. Troisième période . —Le pouls devient d'une faiblesse extrême; il fu
blit brusquement, lorsque la maladie s'arrête à la fin de la première période ou au milieu delà seconde; dans le cas contraire,
est remarquable surtout par l'intensité des phénomènes fébriles de la période initiale ; le pouls est résistant, la peau est ch
d'accès. Mais, dans quelques épidé-mies et surtout pendant certaines périodes de quelques épi-démies, il est incontestable auss
mplication, celte maladie se montre cons-tamment, pendant sa première période , sous la forme d'une fièvre continue présentantpa
tre pas d'autre intermission que celle qui a lieu lors de la deuxième période , ou période de calme et qui constitue d'ailleurs,
tre intermission que celle qui a lieu lors de la deuxième période, ou période de calme et qui constitue d'ailleurs, comme nous
tenant compte des caractères propres qu'ils présentent suivant chaque période , qu'on parvient au diagnos-tic de la fièvre jaune
et se trouve, par suite, divisée en deux accès (première et troisième période ), ayant une physionomie bien différente et presqu
t, suivant l'ingénieuse remarque de M. Littré {loc. cit., p. 301), la période algide remplacée par une période typhoïde, qui jo
de M. Littré {loc. cit., p. 301), la période algide remplacée par une période typhoïde, qui joue, pour ainsi dire, par rapport
vement fébrile n'existe, à proprement parler, que pendant la première période , c'est-à-dire pendant les deux ou trois premiers
me qui survient habituellement après l'accomplissement de la première période : tel malade chez qui les plus graves accidents o
prédominance de certains symptômes, la forme que revêt la maladie, la période à laquelle elle est parvenue. Dans les deux premi
eurs le mettre dans de fort mauvaises conditions pour faire face à la période de collapsus. Les boissons acidulées, les bains f
loyer tant que la maladie en est encore à sa première phase. Dans les périodes ultérieures, il s'agit principalement de soutenir
elatives à des malades dont la température a été examinée, pendant la période de réaction (réaction typhoïde). L'algidité était
r plusieurs observateurs, à savoir que, chez les cholériques, dans la période algide, le refroidissement reste superficiel et n
ée, si j'ai bonne mé-moire, aux extrémités supérieures. On y voit une période aiguë avec rou-geur, douleur, etc., suivie d'une
n y voit une période aiguë avec rou-geur, douleur, etc., suivie d'une période chronique, avec atrophie et défor-mations diverse
chement. Dans quelques cas, ces kystes ont pu arriver à la dernière période de leur évolution, et leur perforation a été suiv
s quatre mois envi-ron. Les symptômes qu'il a remarqués pendant cette période de sa maladie sont de l'oppression et une douleur
dans l'orbite; les extrémités sont froides, cyanosées, comme dans la période algide du choléra. Le malade est transporté à la
res, les autres déchirées et vides. Il ne se manifesta, pendant cette période de temps, aucune douleur, et l'état du malade éta
s souvent, qu'on tenterait d'en enrayer la marche, d'en supprimer les périodes ? La médecine agissante, dans ces cas-là, n'est d
a durée, annoncer quelles complications seront à redouter pour chaque période , prévoir les accidents qui viendront troubler la
omènes morbides dont l'accomplisse-ment est désormais nécessaire. Aux périodes ultérieures, de nouvelles indications pourront se
de la matité. Tous les malades, sans exception aucune, ont guéri, la période de dé-clin s'étant manifestée en moyenne le septi
e onzième jour et une fraction (3/10). Dans plu-sieurs de ces cas, la période de déclin était annoncée ou au moins s'accompagna
iques, sueurs profuses, épistaxis ou groupes d'herpès labialis. Cette période de déclin se manifestait le plus souvent brusque-
re fois, recours à l'arsenic. A partir de cette époque et pendant une période de près de dix années, il se soumit ainsi qu'il s
peu, avec les mêmes caractères qu'auparavant. Vers la fin de cette période de dix années, Jean avait acquis, principalement
l'œil droit. Pour terminer l'énu-mération des symptômes delà première période delà maladie, il faut signaler encore une salivat
é complètement et n'ont point reparu. — Le traitement, pen-dant cette période dont la durée est de deux mois, a été : sangsues
, elle n'a plus quitté le lit. Elle paraît, d'ailleurs, pendant cette période de deux ans, n'avoir été soumise à aucune médicat
été institué, la maladie était parvenue, depuis longtemps déjà, à une période où elle est généralement considérée comme incurab
des malades qui ont subi un traitement de ce genre pendant une longue période , et qui ont absorbé des quantités considérables d
des phé-nomènes qu'il détermine peut, selon nous, se diviser en trois périodes distinctes. 1° Au début, les malades paraissent
s intes-inaux, le seul phénomène appréciable qui se manifeste à cette période , ce sont des démangeaisons générales, et quelquef
. Quant aux cas favorables, ils appartenaient tantôt à la pre-mière période de la maladie, tantôt aune époque beaucoup plus a
médecins américains recommandent l'azotate d'argent dans la dernière période de cette affection : Balstow a réussi à diminuer
C. Coqueluche. —Berger prétend avoir retiré de bons effets, dans la période aiguë de cette maladie, de l'usage interne du nit
7 ;— synonymie, 128; — symptômes, 128; — prodomes, 128 ; — première période , frissons, fièvre, coup de barre, 129; — ac-ciden
; — ac-cidents gastriques, délire, coma, 130;— durée, 131 ; —deuxième période , 131; — rémission, 131 ; — troisième période, p
durée, 131 ; —deuxième période, 131; — rémission, 131 ; — troisième période , pouls, ic-tère, vomissements, hémorrha-gies, 132
e, 53; — épidémie, 53; — synonymie, 57; — pro-dromes, 57 ; - première période , 58; — deuxième période, 59; — exanthème, 61 ; -
synonymie, 57; — pro-dromes, 57 ; - première période, 58; — deuxième période , 59; — exanthème, 61 ; - phases de l'exanthème, 6
13 (1911) La pratique neurologique
le sans limites, hémorragies, etc.). L'atrophie ne se voit qu'à une période avancée. En présence d'encoches du champ visuel
tre. Cette alternance n'existe d'ailleurs que pendant les premières périodes du strabisme non paralytique. Il, est une autre
ateur. La chloroformisation produit une, mydriase paralytique, à la période finale, au moment de l'agonie.. Mydriase spas
s fibres nerveuses, il existe sou- TROUBLES PUPILLAIRES. vent une période d'irritation, pendant laquelle on constate lexisl
s. Névroses, hystérie, épilepsie, certaines maladies mentales aux périodes d'excitation. Des alternatives de dilatation et d
stence d'une, inflammation antérieure de l'oeil. Le glaucome, il la période aiguë, donne il la pupille une déformation légè
on légère, de forme ovalaire, sans angles. Le glaucome ancien, à la période d'atrophie de l'iris, donne aussi des déformati
nerveuses (méningite tuberculeuse...). On le voit aussi pendant la période de régression des paralysies de l'iris. Trouble
ts volontaircs des globes oculaires sont très diminués pendant, les périodes de nystagmus. La cause en est mal connue. On l'
pour les couleurs. 11 en conclut que l'hemiachromatopsie marque une période de transition, une étape, non obligatoire, dans
on des couleurs est très altérée. La cécité survient souvent il une période avancée. Symptômes objectifs : Une atrophie pap
LES.- 123 Saillie des yeux. Cette saillie des yeux se produit à une période avancée dans l'évolution de la tumeur. Troubl
rrhée, et même, si l'on en croit Jérusalem et Fallmcr, celles de la période de dilatation dans l'accouchement ! . 3" Troubl
er lieu au vertige, et cela surtout soit il leur début, soit il une période tardive et dans les formes adynamiques. On l'
re simulé par l'arlério- SÉMÉI0L0G1E. 175 sclérose au début, à la période d'hypertension qui précède et présage celle des
e celle des localisations organiques; or, c'est précisément à celte période de l'artério-sclérosc cérébrale qu'on observe s
s de vertige laryngé tabé- tique : ce vertige peut survenir à toute période , mais surtout à la période preataxique. - . L
tique : ce vertige peut survenir à toute période, mais surtout à la période preataxique. - . L'accès est précédé d'une so
la quinine préconisé par Char- cot (0 gr. 50 à 1 gramme pendant des périodes répétées de 10 à la jours) : on obtient par la
de la polioencéphalile supérieure, aiguë, s'observent également des périodes de somnolence. Ces affections sont, à vrai dire
erte, passif en un mol. Dans une série de faits tout différents, la période ; de sommeil n'est nulle- ment une période de re
faits tout différents, la période; de sommeil n'est nulle- ment une période de repos absolu. Le cerveau du malade et le malad
ues la déterminent aussi. Les tuberculeux, les syphi- litiques à la période secondaire dorment peu et dorment mal; il en est
dée, répétée, spasmodique; l'articulation coupée, suspendue par des périodes d'arrêt plus ou moins longues, plus ou moins inte
lle permanente ou transitoire tels que l'idiotie, l'imbécillité, la période post- paroxystique de l'épilepsie. On les renco
pas compte (épileptiques, traumatisés, paralytiques géné- raux à la période d'état). La mémoire est une fonction psychique
les événe- ments dont le souvenir est' perdu appartiennent à telle période de la vie du malade; l'épileptique qui a perdu
nir d'un événe- ment et celui de tous les faits se rapportant à une période plus ou moins longue de son existence précédant
vent après les traumatismes. Si le malade a perdu le souvenir d'une période de son existence suivant immédiate- ment un évé
u- cinations se constatent dans de multiples circonstances, dans la période intermédiaire à la veille et au sommeil (halluc
rantes sont, très fréquentes dans la mélancolie délirante, dans les périodes mélancoliques de la folie intermittente. Dans la
ndrome de Cotard. Les idées de damnation s'observent aussi dans les périodes mélancoliques de la folie intermittente. ' Le
rale. Il est indispensable pour cela que le malade soit sorti de la période de coma ou de demi-coma dans lequel l'a plongé
coma ou de demi-coma dans lequel l'a plongé l'attaque apoplectique, période pendant laquelle son état d'obnubilation cérébral
plusieurs années; il s'agit, en général, d'une locali- sation de la période tertiaire. On retrouve, dans la plupart des cas,
aralysie générale ; enfin dans les hémorragies méningées, soit à la période d'état, soit à la période prodromique. Dans l
dans les hémorragies méningées, soit à la période d'état, soit à la période prodromique. Dans les affections du cerveau, la
u cerveau. Dans la syphilis, la céphalée peut s'observer soit il la période secon- TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 5
con- TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 5C7 claire, soit à la période tertiaire. Qu'elle soit précoce ou tardive dans s
s la discussion de la valeur séméio- logique de la céphalée. A la période secondaire, la céphalalgie accompagne fréquemment
ouvés par ponction lombaire dans le liquide céphalo-rachidien. A la période tertiaire, la céphalée est un des symptômes prédo
). On l'observe dans les deux tiers environ des cas, au cours de la période prodromique de l'affection; elle est persistant
SY.] ] 5C8 SENSIBILITÉ. céphalée, très prononcée dans la première période de l'affection, peut s'atténuer ou même dispara
elu. Dans l'épilepsie essentielle, la céphalée se rencontre dans la période prodromique de l'accès; elle peut être il elle
ébrale par exemple), la céphalée est constante; elle existe dans la période qui sépare les accès (ce qui ne se voit pas dans
dysesthésies représentent à elles seules les signes subjectifs de la période d'invasion ou de syncope locale. Ce sont des se
moro-cutané. .... 5" Dans les affections de la moelle, surtout à la période prodromique, les sensations dysesthésiques sont
complexus sympto- matique de la maladie. C'est donc surtout à cette période d'invasion qu'elles peuvent servir dans la rech
ingites) ; elles acquièrent plus d'importance séméiologique dans la période initiale des affections dues - aux troubles de
ent soit comme phénomène durable, soit comme signe passager dans la période prodromique des crises convulsives. Dans Vépile
du tréponème pâle ou de ses toxines. Les névralgies tardives de la période tertiaire sont des névralgies créées par des pé
exagéré : on le trouve dans les hémiplégies et paraplé- gies il la période de contracture naissante. On peut, grâce il sa
ES Les réflexes tendineux gardent-ils leurs caractères à toutes les périodes de la vie ou subissent-ils des variations dans
olition des réflexes se manifeste le plus souvent dès les premières périodes de cette affection. , Cependant il y a des exce
, grâce il lui. dépister des cas frustes ou des tabès à la première période de la maladie. L'abolition des réflexes tendine
ection, l'exagération des réflexes est la règle et ce n'est qu'à la période terminale que s'observe l'abolition des réflexe
e soit dès le début, comme élans l'anémie perni- cieuse, soit à une période avancée, comme dans la forme décrite parles aut
aladie, il y a alors abolition des réflexes. Puis, dans une seconde période cette abolition des réflexes disparaît pour être
ement l'affaiblis- sement ou la disparition des réflexes lorsque la période terminale appa- raît et lorsqu'elle entraîne le
L'fa1'v TOUIi\IS l'alt I,'l,\ : 1H1.\ DI : S RI,ILI : \I;S. 4 ! 4.ï périodes de la paralysie générale; il semble, d'après lui,
cée. Le maximum des altérations se trouve en effet il la pre- mière période et le minimum à la troisième. C'est surtout à la
e période et le minimum à la troisième. C'est surtout à la première période qu on trouve le maximum des abolitions des réflex
qu on trouve le maximum des abolitions des réflexes, il la seconde période on constate le maximum de fréquence d'exagération
maximum de fréquence d'exagération des réflexes et il la troisième période le maximum des affaiblissements des réflexes.
cas, l'abolition des réflexes. Ce symptôme a été noté à toutes les périodes de l'affection, quelquefois il persistait pendant
hez les syphilitiques d'ancienne date, mais encore dans la première période de la maladie, c'est-à-dire de un mois à deux ans
une tumeur osseuse s'accompagne de paraplégie spasmodique dans une période ; qui suil la paraplégie flasque. '20 Exagératio
est un phénomène plutôt grave. Dans la grossesse, dans la seconde période , el beaucoup Irlns encore pendant l'accouchemen
e. ' Marandon de Montyel a étudié le réflexe crémastérien aux trois périodes de la paralysie générale : il est altéré dans 8
s : dans le tabès, Salrrazès a pn le constater chez un tabétique en période de crise de douleurs fulgurantes dans les membr
z/. Suivant cet auteur, il se montre très fréquemment, surtout à la période finale de la maladie ; il indique l'apparition de
lesquelles les accidents moteurs ne se manifes- tèrent qu'après une période , de troubles sensitifs purs. , Paraplégies croi
atisée du faisceau pyramidal. Elle présente dans son évolution deux périodes dis- tinctes, l'une d'atrophie progressive avec
ésentent égale- ment de l'atrophie du type Aran-Duche11lH', et à la période d'étal, le malade peut ressembler un peu à un s
uéri. L'exagération des réflexes persiste naturellement pendant ces périodes où la contracture diminue, où la marche est facil
t cette brève évolution. La paralysie est parfois ascen- dante a la période terminale et atteint le tronc, les membres supéri
ces affections qui ne réalisent un syndrome paraplé- gique qu'à une période tardive de leur évolution. La névrite interstit
es ou toxiques. De ce nombre sont les paralysies transitoires de la période préataxique du tabès et particulièrement le phé
t et la santé de- meure excellente dans leur intervalle. Pendant la période d'état, le coeur est dilaté; le malade ruissela
erons remarquer seulement que presque toute paraplégie présente des périodes de rémission parfois longues, souvent marquées;
lette consécutif aux paralysies radicu- laires survenant pendant la période de croissance. Les accoucheurs admettent le plu
monoplégie d'origine corticale est facile il reconnaître. Après une période de paralysie flasque les contractures se montrent
, les adé- nopathies, les tumeurs cervicales ou médiastines. A la période d'état les deux cordes sont immobiles, en positio
culature. de sorte que, à l'examen d'un amyotrophique arrivé il une période avancée, il peut être impossible de reconnaître
. La pseudo-hypertrophie fait généralement place à l'atrophie à une période avancée de l'évolution. MYOPATHIE SCAPULO-IIU31
ntement progressive, insi- dieuse, entrecoupée parfois de longues périodes d'arrêt, surtout quand le début a été tardif. L
des mouvements sont les mêmes pour le tronc et les membres, il une période avancée, dans la forme d'Erb et dans la forme L
dans la forme d'Erb et dans la forme Landouzy-Dejerine : seule leur période d'apparition diffère. Ce qui caractérise seulem
essentiels à la vie et n'oblige le malade à garder le lit qu'à une période extrêmement avancée, qui peut aller jusqu'à la vi
* La contractilité électrique varie pour chaque muscle suivant la période de l'atrophie, et même pour chaque faisceau muscu
lecture des observations antérieures, qui ont toutes pré- cédé la période où la pratique courante de la ponction lombaire
e distinguées des atrophies tardives, plus fréquentes, qui, dans la période d'incoordination confirmée, réduisent symétrique-
ns les nouveaux procédés de recherches, et toutes datent d'avant la période où l'on a attribué quelque importance à la path
12e ou 15e jour, parfois dès le 4e ou 5e jour, par conséquent à une période où l'on ne peut incriminer le repos prolongé. E
t l'intensité et la localisation exacte de la lésion, suivant et la période du développement, peut-être aussi suivant des pré
dues à la lésion des nerfs et surtout des racines; l'apparition des périodes successives de paralysie flasque et de paralysi
oment donné vers la régression et vers la guérison : on observe une période d'augment qui peut être rapide ou lente, une pé
on observe une période d'augment qui peut être rapide ou lente, une période d'état et une période de décroissance. 1. Lésio
d'augment qui peut être rapide ou lente, une période d'état et une période de décroissance. 1. Lésions traumatiques des ne
érieurs, rarement d'une façon précoce, en général tardivement, à la période d'in- coordination. Elle commence par les m
ra procéder au massage et à la mobili- sation qu'une fois passée la période aiguë et douloureuse. Quant à l'électrisation,
; elle sera ,des plus utiles aussi dans les névrites, mais après la période des douleurs. )/é)ectrotherap)e sera, au contra
s cet acci- dent si subit et si momentané, survenant souvent dès la période dite « préataxique » du tabès ; il est en effet
ingite syphilitique [A. LERI.] ] 7<i2 INCOORDINATIONS. de la période secondaire ou du début de la période tertiaire (i
7<i2 INCOORDINATIONS. de la période secondaire ou du début de la période tertiaire (il est d'ail- leurs de plus en plus
nérale, il faut éviter avec soin pour commencer une rééducation les périodes d'évolution aiguë ou subaiguë que l'on observe
ercices varie naturellement sui- vant le degré de l'ataxie à chaque période de la cure. Les exercices des membres inférieur
as de <i3 centim. (ces derniers ne devront être obtenus qu'à une période avancée de la cure). Faire des demi-pas, des tr
ce très difficile, mais des plus utiles : il doit être lente il une période avancée de la cure ou dans les cas d'ataxie faibl
'à un certain point, un pronostic; 2° au cours de la cure, et à une période plus ou moins avancée, il sera bon, de temps en
eurs laryngés provoque une dyspnée permanente, sifflante, coupée de périodes de tirage ou même de crises de sufl'ocation dra
familiales ; mais il est avant tout caractéristique de la dernière période évolutive de la sclé- rose latérale amyolrophiq
de de début de l'affection étudiée, le syndrome mor- bide est, à la période d'état, vraiment typique. Hémiplégiques doubles,
: ainsi, après une amélioration très prononcée suivie d'une longue période d'état stationnaire, la maladie peut reprendre,
céphale expliquent suffisamment ce phénomène. C'est surtout il la période ultime de la sclérose latérale amyol1y¡pltique,
es chro- niques telles que la tuberculose, la syphilis (début de la période secon- daire), le cancer, le diabète, l'urémie,
ons des excitations très rapprochées, atteignant le muscle il toute période de sa contraction : il y aura fusion des secous
ystérie convulsive chez l'enfant. Elle se compose souvent de quatre périodes comme chez l'adulte (voir plus loin) : période
e souvent de quatre périodes comme chez l'adulte (voir plus loin) : période de convulsions, toniques ou cloniques, période de
e (voir plus loin) : période de convulsions, toniques ou cloniques, période de contorsions, période d'attitudes passionnell
iode de convulsions, toniques ou cloniques, période de contorsions, période d'attitudes passionnelles, enfin période de délir
s, période de contorsions, période d'attitudes passionnelles, enfin période de délire. Mais c'est une crise souvent très in
nstatation de ce dernier signe (signe de Chvostek), au moment d'une période d'accalmie naturellement - on ne trouverait rien
suivie d'une phase clonique et de résolution : le tout constitue la période épileptoïde. Puis, au milieu de cris, de soubre
au milieu de cris, de soubresauts, le sujet entre dans la deuxième période , celle des contorsions et des grands mouvements
ériode, celle des contorsions et des grands mouvements, dite encore période de c/0 ! <; ! u.< ? . Il se contorsionne,
vent. [ROUSSY] ] 852 CONVULSIONS ET CRISES CONVULSIVES. Dans la période des altitudes passionnelles, les jeux de physiono
passé avec leur cortège d'émotions tristes ou gaies. La quatrième période , dite période de délire, annonce la fin de la c
r cortège d'émotions tristes ou gaies. La quatrième période, dite période de délire, annonce la fin de la crise. C'est un
e aura, suivie de perte de connaissance plus ou moins complète. Une période convulsive survient, tonique, puis clonique, avec
cercle et d'attitudes passionnelles, et la crise se termine par une période post-convulsive ou de délire. Ici, comme dans l
ontinence d'urine, de morsure de la langue, est suivie d'une longue période , de stertor. Mais quelques-uns de ces caractère
à la main. Ce clonus est un véritable tremblement, il apparaît à la période de contracture ou le précède et est caractérist
is cependant il peut passer sous des influences diverses par des 's périodes de recrudescence après lesquelles il redevient tr
souvent à marche lente et progressive et ils sont varia- bles il la période d'étal; ils s'améliorent par les soins hygiénique
s deviennent prédominants, l'affection est alors constituée. A la période d'état, les troubles moteurs ont les caractères q
les appartenant en propre à la chorée, sont ceux qu'on observe à la période prodromique et leur constance est un argument e
La marche de la maladie est progressive au début, mais arrivée à sa période toutefois, sa durée est indéfinie ; il existe cep
te est mal tranchée, entre le geste, normal et le tic, il y a « une période 1. Cruciif.t. Sur un cas de tic de la lèle, et.
ition : l'éducation du tic était faite par la première atteinte, la période d'hésitation n'a plus de raison d'être. Les tics
es, ils apparaissent plus rapidement que les tics vul- gaires, sans période préliminaire d'éducation du tic, parfois à l'occa
s tics, évoluant sur un terrain de dégénérescence mentale. Dans les périodes où les tics prédominent, le diagnostic avec les
ces de mouvements commandés. La cure comprend schématiquement trois périodes : 1" Dans le premier stade, on recherchera seul
dre aux malades à imiter leur tic, : cette imitation, en dehors des périodes de tic, est généralement très malaisée au début
atteignent chez les différents malades ou chez le même malade à des périodes différentes des muscles très différents, et qu'
e Marie (Thèse de Paris, 1898). Elle peut s'observer souvent dès la période préataxique; le plus souvent, l'hypotonie est l
élie et les névrites, spécialement les névrites traumatiques. A une période avancée de la maladie, il est ordinaire d'observe
, tout au moins dans les cas typiques, pu bien si l'on veut, à la période d'état. Une moitié de la face, en effet, est ré
aut, l'arti- culation est alors littéralement effon- Orée. A la période d'état, au-dessous d'un tégument normal ou ne pré
ès la mort. La fièvre s'observe dans la méningite tuberculeuse à la période du début, et la température est généralement mo
nous l'avons vu, l'hypothermie peut se rencontrer dans la troisième période de la méningite tuberculeuse. Marchand et Oli
irculation. Dans la tuberculose la tachycardie se voit soit dans la période du début où la névrite est due à l'imprégnation
irmée : mais c'cst NÉVRALGIES VESICALES. - ' 947 à cette dernière période qu'on les observe surtout; elle sont rarement t
e pendant des mois et des années, elles sont surtout violentes à la période confirmée : fréquence très grande, irrésistible
souvent encore dans la méningite tuberculeuse, sinon il la première période à laquelle la rétention complète ou surtout incom
incontinence. L'influence des myélites sur la miction varie avec la période de 1 affec- tion, qu'elles soient aiguës ou chr
ne vide jamais complè- tement sa vessie. On dit généralement qu'aux périodes suivantes il y a incontinence; cette dernière t
ara- plégie est progressive, comme dans lés compressions lentes, la période de rétention complète ou incomplète est supprim
e phénomènes mictionnels propres à la lésion cérébrale excepté à la période ultime, à laquelle d'ailleurs l'incontinence es
iode ultime, à laquelle d'ailleurs l'incontinence est la règle. Aux périodes moins avancées, les troubles mictionnels se con
t intermittente el les besoins d'uriner dispa- raissent à certaines périodes . La rétention complète est toujours assez rapid
te et surtout dans la méningite tuberculeuse, excepté à la dernière période . L'incontinence constitue un des signes pathogn
signes pathognomoniques de l'épi- lepsie et se produit il plusieurs périodes pendant les accès, les vertiges, les absences;
isme est un symptôme du début de la sclérose en plaques, mais cette période dure peu et fait place rapidement à l'impuissance
hilis cérébrale et surtout dans la paralysie générale à la première période . Elle est au début accompagnée d'érection, mais
e où elles sont douloureuses. Enfin, et surtout dans le tabès à l'a période initiale, sou- vent même les excitations génita
on l'observe dans l'hystérie et surtout dans le tabès à la première période . Elle annihile le point de départ des réflexes pa
rin- gomyélie et surtout dans la sclérose en plaques, à la deuxième période , constante dans les compressions lentes de la m
la para- plégie, etc., l'impuissance succède presque toujours à une période d'excitation sexuelle exagérée. Cette successio
gitée de secousses vermi- culaires violentes, s'observe encore à la période terminale de la sclérose latérale amyotrophique
post-paroxystique est spécialement dangereux; survenant pendant la période de résolution, il peut provoquer la mort par chut
du tabes. - Le tabes provoque des crises viscé- rales surtout à la période preataxique; il s'agit donc de symptômes pré- c
nté entre les crises. A ces vomissements incoercibles succèdent des périodes par- faites, sans le moindre signe de dyspepsie
, ou parce qu'elle a voulu maigrir. Nous n'en sommes alors qu'il la période encore volontaire, pour ainsi l, Dans ce cas, l
ormations complexes, il est souvent facile en clinique. jusqu'à une période plus ou moins tardive, de distinguer s'il s'agit
rène symétrique des extrémités ou maladie de Raynaud débute par une période plus ou moins prolongée d'asphyxie locale qui n
moins prolongée d'asphyxie locale qui ne peut être distinguée de la période de début de la sell"J'odaclylie : les doigts, s
ent des marbrures livides le long des mains et des avant-bras. A la période suivante, la maladie de Raynaud se distingue tout
adie de Raynaud se distingue tout lait de la sclérodactylie ; cette période se caractérise par la production de phlyctènes,
les (`) (6g. 14) ou de paralysies spinales aiguës de l'adulte, à la période flaccide des hémiplé- gies, à une période très-
iguës de l'adulte, à la période flaccide des hémiplé- gies, à une période très- tardive des myopathies progressives, à un
s, à une période très- tardive des myopathies progressives, à une : période également tardive dès atrophies musculaires pro
. Enfin, cette même déformation de.la main peut s'observer il une période généralement tardive des- myopathies facio-scapul
hi- ques, e) fonctionnelles. a) Dans l'hémiplégie cérébrale, à la période de flaccidité, on observe un pied immobile et h
vent, dans certains cas, coexister avec des lésions nerveuses à une période avancée de la maladie, de nombreux cas ont été
Il est rare que des plaques muqueuses s'observent en dehors de la période secondaire de la syphilis, cependant on peut obse
malement puis tout à coup se met à dépérir rapidement, ou après une période normale il dépérit graduel- lement et meurt, c'
fantile chez les syphilitiques. Quoi qu'il en soit. l'enfant, à cette période , a l'aspect sénile. A un âge plus avancé, la ta
ur ce sujet, car le traitement est très fréquemment commencé il une période beaucoup trop tardive, alors que les lésions so
n font ressortir un autre point intéressant : les lymphocytes de la période avancée. [O. CROUZON.} 1154 LIQUIDE CÉPHALO-R
s que ceux du début, il y aurait donc une micro- lymphocytose de la période avancée; 2° Examen bactériologique. Achard, Loe
urologie, 5 mars 1905). Tel est encore la paralysie faciale de la période secondaire de Thibierge et Ravaut (Soc. médic.
e céphalo-rachidien. Dans ce but, ils ont examiné des malades il la période secondaire, présentant de la céphalée et se sont
avait trouvé une lymphocytose discrète dans deux cas de syphilis en période secondaire. Thibierge et Bayant ont constaté pl
ôpitaux, ! ) octobre 1905) qui a montré que sur 54 syphilitiques en période secondaire, sans accidents, ou avec accidents c
ne accélération du pouls et de la respiration qui persiste dans les périodes d'apyrexie, un ptosis fréquent ? Abstraction
importants pour le neurologisle, car ils surviennent souvent à une période où le traumatisme est oublié et où le malade n'
avoir une valeur quelconque, surtout étant donné que. même à cette période , il ne montre que la déformation osseuse sans e
sus localisés d'ostéite apparaissant chez des sujets non plus à une période avancée du tabès, non plus même il la période pré
sujets non plus à une période avancée du tabès, non plus même il la période préataxique. mais bien comme symptôme tout à fa
et avec la résistance opposée par le corps. Le courant passe par la période d'état variable de fermeture. Si [E HUENT ] z
manière que le courant continue il passer, nous avons affaire à une période d'étal permanent du courant. Puis, si nous agis
cuit, l'intensité retombe presque immédiatement à zéro, c'est la période d'état variable d'ouver- ture. Nous pouvons
plus favorables ; c'est Fig. 18. - Schéma de l'onde galvanique AF, période d'état variable de fermeture; 1<'0, période
'onde galvanique AF, période d'état variable de fermeture; 1<'0, période d'état penna- lIellt; OB, période d'état variab
t variable de fermeture; 1<'0, période d'état penna- lIellt; OB, période d'état variable d'ouverture. ÉTATS VARIABLES DU
s muscles, de quelques millièmes à un centième de seconde; c'est la période d'excitation latente; puis, la contraction commen
teindre un maximum en trois à quatre centièmes de seconde, c'est la période d'énergie croissante; alors commence la décontr
PPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ. atteindre la ligne de repos, c'est la période d'énergie décroissante, qui i dure de trois à c
st revenu à l'état de repos, les mêmes phénomènes se reproduisent : période d'excitation latente, période d'énergie croissa
es mêmes phénomènes se reproduisent : période d'excitation latente, période d'énergie croissante et période d'énergie décro
ent : période d'excitation latente, période d'énergie croissante et période d'énergie décroissante, et ainsi de même tant q
ouvelle excitation se trouve produite lorsque le muscle est dans la période d'énergie décroissante, celui-ci, après le temps
gie décroissante, celui-ci, après le temps perdu correspondant à la période d'excitation latente, entre de nouveau en contr
ontraction avant d'être revenu à l'état de repos; il recommence une période d'énergie croissante, en atteint le maximum, puis
urant primaire, P, et du courant induit ou courant secondaire, S. F A période d'étal variable de fermeture du courant primair
orrespond l'onde induite de ferme- ture F' A' de sens inverse : A 0 période d'état permanent du courant primaire pendant la
pendant laquelle il n'y a pas d'induction dans le. secondaire; 0 B période d'état variable d'ouver- ture du courant primai
t telle qu'une nouvelle excitation atteigne le muscle e dans sa période d'énergie croissante ou vers la fin de cette
dans sa période d'énergie croissante ou vers la fin de cette période , le muscle ne peut commencer sa décontraction
nerveux central, encéphale et moelle, surtout à leur début ou à des périodes peu avancées. On l'a constatée dans des paralys
ne, l'augmentation de l'excitabilité électrique peut s'observer aux périodes initiales, plus tard elle se trouve remplacée s
e la diminution simple de l'excitabilité électrique, surtout il des périodes déjà assez avan- 1. Lorsqu'on explore l'excitab
t normale, on même être aug- mentée, comme nous l'avons vu pour les périodes initiales. Dans les atrophies musculaires qu'on
poliomyélite antérieure aiguë, par exemple, on peut ne trouver à la période initiale que de la diminution simple des réaction
, et ils récupèrent plus ou moins rapidement leurs fonctions. A des périodes éloignées du début de ces affections on peut au
té électrique s'observe aussi dans des névrites périphériques à une période tardive de leur évolution, alors qu'elles ont p
t une certaine évolution dans laquelle nous aurons à distinguer une période de début, une période d'état et une période de
on dans laquelle nous aurons à distinguer une période de début, une période d'état et une période de déclin. Laissant de
aurons à distinguer une période de début, une période d'état et une période de déclin. Laissant de côté pour l'instant la p
état et une période de déclin. Laissant de côté pour l'instant la période initiale, sur laquelle nous reviendrons plus lo
us reviendrons plus loin, nous nous occuperons dès maintenant de la période d'état. Les altérations des réactions électriqu
entement ('). Cette lenteur de la contraction, très prononcée ;t la période d'état de la DU dans les processus aigus, est à e
habituellement comme dans la DR complète, augmentée au début de la période d'étal, diminuée plus tard; elle est, de plus, al
citation directe du muscle distance et. s'observent surtout dans la période où les muscles présentent de l'hyperexcilabilit
'il est im- portant de connaître pour les applications cliniques. Période initiale de la DR. Avant d'aboutir à la période d
ications cliniques. Période initiale de la DR. Avant d'aboutir à la période d'état, dont nous venons d'exposer les principa
enons d'exposer les principales manifestations, la DU passe par une période initiale qu'on a bien étudiée expérimentalement,
de la moelle. Les modifications de l'excitabilité électrique dans la période initiale de la DR présentent d'ailleurs quelque
ue des muscles. On peut alors considérer la DR comme entrée dans sa période d'état; c'est généralement dans le cours de la
es voir apparaître ainsi tardive- ment dans la paralysie faciale. Période d'état de la DR. Par période d'état de la DR nous
ive- ment dans la paralysie faciale. Période d'état de la DR. Par période d'état de la DR nous enten- dons le temps penda
i la caractérisent de la façon que nous avons dite plus haut. Celte période est de longue durée ; elle se prolonge au moins
peut la voir même s'étendre sur plusieurs années. Ainsi comprise la période d'état de la DR pourrait se subdiviser elle-mêm
a période d'état de la DR pourrait se subdiviser elle-même en trois périodes . La première correspond au temps pendant lequel
est variable suivant les cas ; on pourrait d'ailleurs réunir cette période à la précédente en estimant que la durée de ces d
cette période à la précédente en estimant que la durée de ces deux périodes réunies varie en moyenne de quelques semaines à
isant la DU restant encore bien nettes; cette dernière partie de la période d'état de la DR est assez longue et se prolonge
de la DR est assez longue et se prolonge souvent de nombreux mois. Période terminale de la DR. A la période d'état de la DR
prolonge souvent de nombreux mois. Période terminale de la DR. A la période d'état de la DR succède 1. A cette période de l
terminale de la DR. A la période d'état de la DR succède 1. A cette période de la DU on observe assez souvent, en excitant le
nce de 1 l'yperexcitabilite galvanique des muscles existant à cette période de la DU. [E. HUET ] 1252 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC.
cette période de la DU. [E. HUET ] 1252 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. une période terminale ou de déclin, que l'on doit envisager d
s ou moins diminuées. L'excitabilité galvanique des muscles à cette période de la DR est habituellement assez diminuée ; se
n comparable en beaucoup de points à celle de la DR complète. A une période assez rapprochée de son début l'excitabilité ga
à assez peu excitables pour que la DR n'y soit pas constatable à la période d'état ; mais, sur d'autres, le processus étant
. La connaissance des caractères que présente la DR, à ses diverses périodes , est de nature à éclaircir ce point du diagnostic
ons électriques, on peut trouver sur certains muscles de la DR à sa période d'état et,sur d'autres muscles de la- DR à une
e la DR à sa période d'état et,sur d'autres muscles de la- DR à une période plus -avancée : on est en droit de conclure que l
ins éloignés, de sorte qu'au moment d'un examen, on la trouve à des périodes différentes de son évolution suivant les région
lus favorable que la forme commune de la DR dans laquelle, il cette période , l'excitabilité galvanique des muscles est bien c
int un mini- mum relatif, passant pour arriver à ce minimum par une période de chute de la résistance . Le minimum atteint
sistance moindre que celle du minimum relatif qui précède, nouvelle période de régime décroissant de la résistance aboutiss
s, la résis- tance initiale se montre donc plus ou moins élevée; sa période de régime décroissant est aussi plus ou moins l
té relativement élevée, la résistance initiale se montre faible, la période de régime décroissant de la résistance est le p
s téguments comme dans l'érysipèle, la rougeole, la scarlatine à la période d'éruption. Ces auteurs rapportent cette augmen
es fièvres paludéennes la résistance se montre augmentée jusqu'à la période des sueurs ; elle est alors au contraire diminuée
es ; leur excitabilité est même souvent augmentée dans une première période . On a certainement abusé et on abuse parfois en
semblable. Faut-il commencer le traitement de bonne heure, dès la période d'in- vasion ? Quelques électrothérapeutes, s'a
ps nécessaire pour que la DR se développe avec ses caractères de la période d'état, l'examen devient très démonstratif et p
it les contractions mini- males des muscles, intensité qui il cette période de la poliomyélite peut être comprise en moyenn
bile pourrait être employée aussi comme mode de traitement dans les périodes de la poliomyélite auxquelles s'adressent les e
t. A mesure que l'on s'éloigne davantage du début de la maladie les périodes de repos du traitement électrique peuvent être pl
-spinale sont passibles du même traitement. Il faut attendre que la période aiguë de la méningite ait pris fin pour commenc
e trop bonne heure; il faut attendre que les phénomènes aigus de la période d'invasion soient en rétrocession; c'est donc s
ut : lorsque celle-ci est com- - plète, on voit assez souvent, à la période de réparation, la paralysie rem- placée peu à p
et en rapport avec l'état de l'excitabilité galva- nique ; dans la période d'hyperexcitabilité une intensité de 1/2 il 1 m.
rs semaines dans les applications du traitement électrique. A une période assez éloignée du début, lorsque l'excitabilité f
a contracture secondaire. Celle-ci ne se v développe que lorsque la période de réparation de la paralysie est com- ! mencée,
entrecoupées de séries de repos plus ou moins prolongé. Pendant ces périodes de repos il y a souvent lieu de continuer. ou d'i
lgie. En somme il n'est pas il conseiller habituellement pendant la période aiguë d'une névralgie; on pourrait l'essayer lors
après avoir notablement diminué, se prolongent néanmoins dans une période de déclin plus ou moins traînante. Les névralgi
raitement nous paraît, comme le précédent, moins utilisable dans la période aiguë des névralgies que dans leur période de déc
moins utilisable dans la période aiguë des névralgies que dans leur période de déclin. L'électrisa- hon statique est employ
s le Irai- tement de névralgies sciatiques qui après avoir passé la période aiguë se montraient plus ou moins persistantes,
tion le traitement de ces troubles de la sphère motrice. Pendant la période aiguë de la névralgie le traitement ne différer
ation simple et facile; elle convient tout particulièrement dans la période aiguë des névralgies; les formes et les dimension
soutenu sont souvent nécessaires; c'est ce que Zimmern a appelé la période de cure active. On peut alors, si l'amélioration
ec des séances plus espacées, au nombre de une il deux par semaine, période de soutien (Zimmern). Lorsque la névralgie ne s
iques et propriétés phy- siologiques de l'onde faradique, 1250. - Période d'excitation latente, période d'énergie croissa
logiques de l'onde faradique, 1250. - Période d'excitation latente, période d'énergie croissante, 1251. - Période d'énerg
Période d'excitation latente, période d'énergie croissante, 1251. - Période d'énergie décroissante, 1252. Appli- cations
oints moteurs, 1248. - Formes de la réaction par- tielle, 1249. - Période initiale de la IL D., 1250. l'ériode d'état, pé
ielle, 1249. - Période initiale de la IL D., 1250. l'ériode d'état, période terminale, 1251. Syndromes de dé- générescenc
14 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
de sa maladie, celle-ci s'aggrava après son accouchement, pendant la période de lactation. La nutrition laissait à désirer. Ch
aissait à désirer. Chez elle aussi le doute s'était présenté dans une période avancée de sa maladie. Elle se lavait les mains à
relatif; chez les femmes, les plus fortes crises coïncidaient avec la période . Il faudrait trop de temps et de développements
nombre d'observations, entre les phases de la grande hystérie et les périodes du grand hypnotisme, est bien réelle. Il en a don
dant le sommeil hynoplique, voici ce que je répondrai : Si pendant la période où le sommeil naturel est encore incomplet, M. Be
irs étaient précis jusqu'à une certaine heure du bal, confus pour une période intermédiaire d'environ une heure, abolis pour la
cessives dans le champ de la conscience sont toutes comprises dans la période dont l'oubli général est imposé par l'ébranlement
rite dans notre cerveau ; et nous savons que dans le sommeil, dans la période hypnagogique qui précède le sommeil, et même dans
es époques menstruelles. — Une malade que j'avais déjà hypnotisée aux périodes cataméniales pour de la manie aiguë a été atteint
s d'elle, pendant ma visite, au moment où elle présentait la première période de l'attaque : respiration précipitée (80 resp.),
ro-épîleptiques en état d'hypnose, arrête les préludes et la première période d'attaques qui peuvent survenir pendant ce sommei
t l'existence des phénomènes, qui seraient caractéristiques des trois périodes décrites par Charcot, et considèrent ainsi le gra
considérés comme tout à fait caractéristiques des ainsi nommées trois périodes du grand hypnotisme, nous voyons qu'ils se réduis
ut obtenir dan* la sphère psydiique, sont à peu près commun aux trois périodes . En effet, dans la période dite léthargique, da
iique, sont à peu près commun aux trois périodes. En effet, dans la période dite léthargique, dan* ceUe désignée sous le nom
mmeil. Au contraire, ce qui différencierait essentiellement les trois périodes , ce sont les phénomènes musculaires, et préciséme
usculaires, et précisément t'hyperexcitabilité neuro-musculaire de la période léthargique, c'est-à-dire les contractions et les
par le courant électrique, la flexibilité de cire des membres dans la période cataleptique, thyperexcitabitité cutanée, c'est-à
s contractures provoquées par la simple excitation de la peau dans la période somnambuliqite. Nous avons nettement constaté c
c'est dans ces seuls cas rares que l'on constate les trois prétendues périodes caractéristiques, avec leurs phénomènes neuro-mus
ne plus rien saisir de cette suite aussi limpide, aussi évidente des périodes établies, comme type de la phénoménologie hypnoti
er la division nosographique admise par l'école de Charcot, des trois périodes du grand hypnotisme, qui ne constitueraient pas s
ribuzione alto studio delf Ipnotismo, 3*1 communica-zione. pay. 19. périodes d'une manière apparente, ne justifient point leur
seraient les seuls vraiment caractéristiques et distinctifs des trois périodes léthargique, cataleptique et somnambulique {puisq
phénomènes sensoriels et psychiques sont à peu près communs aux trois périodes ), el qui, précisément par leur objectivité, aurai
jeu l'excitabilité réflexe exagérée. En effet, pour produire dans la période léthargique (qui n'est eu réalité pour nous qu'un
imulants que nous employons. Comment provoque-l-on le passage de la période léthargique à la période cataleptique? On se sert
ns. Comment provoque-l-on le passage de la période léthargique à la période cataleptique? On se sert d'ordinaire des stimulat
s dans leur intensité à l'intensité de ceux-ci. Finalement, dans la période dite somnambulique, qu'on provoque généralement p
pour ce qui concerne le phénomène qui serait caractéristique de cette période , Y/iyperexcitabUilé culano~musculaire (la contrac
oyées. Ceci prouve que, dans tous ces phénomènes des prétendues trois périodes (qui se réduisent en résumé à des manifestations
bilité réflexe augmentée, effets qui varient, nou pas en raison dea périodes , mais selon la nature, la durée, l'intensité et l
eux-mêmes. Et qu'il en soit ainsi, et que ces phénomènes des trois périodes n'aient pas la valeur des caractères nosograpbiqu
es spéciaux, dont chacun serait caractéristique d'une seule des Irois périodes , se rencontrent, au contraire, dans beaucoup de c
oins assez typiques, du grand hypnotisme, mixtea dans les différentes périodes , et qu'on peut, même, les observer indifféremment
t qu'on peut, même, les observer indifféremment dans n'importe quelle période . Ainsi, la contracture dite somnambulique a été r
l nomme cataleptiforme, qui réunit, d'après lui, les phénomènes de la période léthargique et de la période cataleptique. Et si
éunit, d'après lui, les phénomènes de la période léthargique et de la période cataleptique. Et si l'on doit juger de la fréquen
ser que le mélange de ces phénomènes somatiques, dans les différentes périodes , est plutôt la règle que l'exception. Si nous ajo
pas possible d'établir une distinction nosographique des différentes périodes de l'hypnotisme sur les dits phénomènes, mais qu'
eulement ne sont pas caractéristiques, comme on l'a cru, des diverses périodes de l'hypnotisme, ne justifiant pas, par conséquen
cataleptique qu'on obtient dans l'état hypnotique lorsque, pendant la période dite léthargique, on fait agir un stimulant très
es, qui correspondent aux diverses variétés qu'on observe pendant les périodes léthargiques et cataleptiques de l'hypnotisme. Ma
le, l'existence de tous les phénomènes neuro-musculaires des diverses périodes de l'hypnotisme, c'est-à-dire les contractions et
e sont pas de nature à justifier la division nosogra-phique des trois périodes du grand hypnotisme, puisque nous les observons d
dant laquelle on remarquait, avec une succession assez régulière, les périodes léthargique, cataleptique et somnambulique, bien
stifiée non plus, car, non seulement la distinction nosographique des périodes , par laquelle le premier serait caractérisé, ne c
es, arrachant des cris à la malade. Toutefois, je réussis, dans cette période des grandes douleurs, à endormir la malade par su
ait complètement étalée sur la tête du feetus. Chacun sait combien la période d'expulsion est douloureuse, surtout chez les pri
sence on l'atténuation des douleurs pendant la première et la seconde période du travail. Elle est encore remarquable, el c'est
uggestion verbale, ne pas sentir les cruelles douleurs de la dernière période de l'accouchement. Enfin, celte observation montr
une excitation musculaire. Noos n'avon* jamais pu obtenir les trois périodes léthargique, cataleptique et somnambulique qu'on
laquelle on a appliqué des cautères, «ans aucun suecès. Les quatre périodes de l'hystéro-épilepsie sont très marquées chez ce
es chez cette jeune fille, et leur durée est d'an moins une heure. La période des mouvements de elonisme est très inten«e : il
servée. Au cours même de l'intoxication morphinique, non pendant la période d'abstinence, la morphine provoque-l-elle des imp
ent dans le cours même du morpbinisme, en dehors bien entendu de la période d'abstinence. Les morphinomanes aiment bien se ré
l'abstinence et calmer les symptômes douloureux et pénibles de celte période . Au fur et à mesure que vous vous éloignez du jou
issement excluent l'idée de névrite ou névralgie sciatique. Est-ce la période préataxique du tabès? La localisation et la const
nt revenir complètement à son état normal. Pendant la crise, après la période bruyante et convulsive, elle entrait en somnambul
ut de somnambulisme hystérique dans lequel passait la malade après la période convulsive, et la possibilité de le comparer à l'
omnambulisme hypnotique, la malade était calme, ne passait par aucune période convulsive; elle n'entendait que moi et n'était e
me classique, le plus souvent héréditaire; elle subit l'influence des périodes menstruelles, et la perturbation nervo;0- menta
ruelles, et la perturbation nervo;0- mentale, limitée d'abord à ces périodes , s'étend peu à peu à l'intervalle des règles. L
les offrent le caractère particulier d'être plus intenses pendant les périodes calaméniales. Leurs hallucinations provoquent des
u arrêter la marche, conduit à l'incohérence et à la démence. A cette période , ces aliénées se livrent aux instincts les plus s
s la iwriode de l'hypnotisme désignée sous le nom de léthargie. Celle période étant essentiellement caractérisée par la résolut
éblouissante, l'effet obtenu serait l'étal de catalepsie. Dans celte période , rhyperexcilabilité neuro-musculaire a disparu. E
exercer une pression sur le vertex d'un sujet placé dans ??? des deux périodes précédentes aurait pour effet de provoquer la pér
s ??? des deux périodes précédentes aurait pour effet de provoquer la période dite de somnambulisme, dans laquelle le sujet rep
peau amène la contracture des muscles sous-jaceuts. On aurait dans la période de somnambulisme de l'by perexcita-bililé culano-
neuro-muscu-lairc de la [triode de léthargie. L'étude do ces trois périodes a vivement surexcité la curiosité de3 expérimenta
é à provoquer chez elles par les divers procédés appropriés les trois périodes de l'hypnotisme, ainsi que les états somatiques c
s de l'hypnotisme, ainsi que les états somatiques correspondant à ces périodes . La Société pourra constater sur les malades que
malade, de provoquer chez elle les diverses manifestations des trois périodes du grand hypnotisme, et cela sans recourir ? la s
beau type de sujet, pré-senianl avec une netteté admirable les trois périodes du grand hypnotisme. En un mot, après la compress
à provoquer les mêmes expériences chez elle. Immédiatement les trois périodes ont été éublies, rhyperexcita--bilité neuro-muscu
grand hypnotisme cl elle peut servir à la démonstration clinique des périodes décrites à U Salpétrière. Obs. V. — Hystérie in
yperexcilabilité ueuro-musculaïre, et malgré son jeune âge, les trois périodes du grand symptôme apparaissent chez elle aussi ne
lumière dans les yeux, la pression sur le vértex qui amènent, non la période indiquée comme correspondant à ces manœuvres, mai
des épileptiques. C'est là une condition qui peut être favorable à la période d'hallucinations. CAS DE NÉVROPATHIE AVEC PERSÉ
ssé, il est nécessaire de diviser la vie de cette malade en plusieurs périodes . Une première période, qu'on peut désigner sous l
de diviser la vie de cette malade en plusieurs périodes. Une première période , qu'on peut désigner sous le nom de période AB, e
rs périodes. Une première période, qu'on peut désigner sous le nom de période AB, est formée par toute la première partie de so
t;ix «cmaines, tout ce qui se passe est complètement oublié; c'est la période d'amnésie rétrograde proprement dite. ain»i qu'il
e rétrograde proprement dite. ain»i qu'il va être dit tout S l'heure, période qu'on peut indiquer par les lettres CD. (Test l
l'événement qui a déterminé ce* phénomènes et il s'est éeouté là une période de trois jour» qu'on peut désigner sous le nom de
, des convulsion*, etc. Mais ici, après le 30 août, t'e*t ouverte une période d'amnésie que M. Charcot appelle antérograde, amn
e se souvient bien de la ville» où elle a habité autrefois pendant la période AB, mais ne fait où elle est maintenant, car elle
ttaque de nerfs, suivi d'un délire qui dura quatre heures, puis d'une période de sommeil de quatorze heures; le délire reprit e
as douteuse, l'état actuel a été constitué, c'est-à-dire que toute la période étendue du 13 juillet au 28 août, période CD, a d
, c'est-à-dire que toute la période étendue du 13 juillet au 28 août, période CD, a disparu de son souvenir. La journée du 11 j
vient de ce jour comme de tout ce qui s'est passé dans le reste de la période AB, qui se termine le soir de ce Jour-même : c'es
n somme la véritable amnésie rétrograde qui embrasse ici une première période de six semaines environ; pendant toute cette péri
ici une première période de six semaines environ; pendant toute cette période , la vie de la malade n'avait pas différé de ce qu
ment, en effet, à partir du moment où l'événement qui a déterminé une période d'amnésie rétrograde s'est produit, la mémoire se
notion, sans toutefois avoir perdu celles qu'elle a acquises dans la période AB, la période normale de sa rie. Lorsqu'ca eff
outefois avoir perdu celles qu'elle a acquises dans la période AB, la période normale de sa rie. Lorsqu'ca effel on l'interro
parce qne cette notion remonte à une époque antérieure à son amnésie ( période A B], elle ne sait pas qu'elle est venue à Paris,
constance très intéressante a noter : c'est qu'avant que commençât la période J'amnésio rétrograde, elle avait vu fréquemment c
ant aux élève» et aux médecin* du servie que rien ne rattache à cette période antérieure. Us restent toujour» dVs inconnu* pour
u chien enragé qui s'est passée le 30 octobre, par conséquent dans la période d'amnésie antérograde et à une époque à laquelle
individu, tandis qu'ici la perte de la personnalité est limitée à une période relativement courte de l'existence, cl que -la mé
courte de l'existence, cl que -la mémoire peut rattacher ensemble la période actuelle et la période antérieure à t*amné*ie.
cl que -la mémoire peut rattacher ensemble la période actuelle et la période antérieure à t*amné*ie. Pour expliquer maintena
Un d'une violente attaque hystérique; or, on sait que les différentes périodes de l'attaquo hystérique so transforment, m prolon
adie. Pour obvier a cet inconvénient, M. Giurkovechky conseille, a la période chronique, de calhéiériser le malade trois fois p
trois fois par Jour avec une soude enduite de baarae de copahu. La période terminale de la maladie aérait abrégée par ce tra
le membre qui a reçu le choc devienne impotent. H est rare que cetlc période d'incubation donne plus de trois à quatre Jours.
outte reparut et ramena la raison; mais, chose à noter, pendant cette période de trouble psychique, il conserva toute son éloqu
15 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e, etc.), survient d'habi- tude et marque, dans ce cas, la dernière période de la crise qui ne se prolonge guère au delà de
une de nos malades, aliénée depuis J819, a pré- senté une première période caractérisée par des idées de persé- cution à t
u, il s'intitule Edouard, le balayeur du Christ '. Après une longue période d'incubation et de per- sécution il eut une vis
e en langue ordinaire. Un illuminé de Cazanwielh 2 après une longue période de dépression profonde, avec idées de suicide,
sur l'élimination de l'acide phosphorique et de l'urée, pendant la période dépressive d'une folie alternante, il espère ap
sforma en une folie alternante typique, dont voici la formule : lre période ma- niaque avee ses trois stades, début, acmé,
ériode ma- niaque avee ses trois stades, début, acmé, rémission; 2° période intervallaire pendant laquelle le malade est ré
pendant laquelle le malade est réellement un homme normal. C'est la période normale post-maniaque; 3e période de dépression
llement un homme normal. C'est la période normale post-maniaque; 3e période de dépression avec ses trois stades, début. acm
de de dépression avec ses trois stades, début. acmé, rémission ; 4° période normale post-dépressive. Les périodes maniaque
s, début. acmé, rémission ; 4° période normale post-dépressive. Les périodes maniaque et dépressive durent chacune treize jo
Les urines furent analysées tous les matins à partir du début de la période dépressive et jusqu'à sa fin, c'est-à-dire pend
Eh bien, l'étude de ce tableau fait voir que, dès le début de la période de dépression, la proportion d'acide urique dimin
orique, qui commence, en réalité, dès avant le pre- mier jour de la période dépressive, s'accentue rapidement. Le troisième
s'accentue rapidement. Le troisième jour du stade de début de cette période ; on a le chiffre minimum d'acide, 0,91. A part
mente mais irrégulièrement; il arrive enfin, avant la fin de la, période dépressive, à remonter au chiffre des phases d'ét
mêmes groupes musculaires et dont la terminaison est précédée d'une période comateuse. F. Boissier. XXI. Tétanie d'origine
exécute le mouvement spontanément. Dans la polynévrite aiguë, à la période de convalescence, on ne l'observe pas ; à la pé
aiguë, à la période de convalescence, on ne l'observe pas ; à la période d'acuité, il y a trop de douleur pour qu'on puiss
litement. On l'observe alors vingt fois sur vingt malades. Entre la période praeataxique et les cas extrêmes, tantôt on le
M. Garnier figurera à l'ordre du jour de la prochaine séance. La période terminale de la paralysie générale. M. ARNAUD.
comme les plus récents, à nous montrer le paralytique général à la période terminale sous l'apparence d'un malade amaigri, t
des n'ont présenté le tableau classique du paralytique général à la période ultime. Les 15 autres malades ont traversé avan
iode ultime. Les 15 autres malades ont traversé avant de mourir une période plus ou moins longue d'impotence et de séjour a
ne présentent pas ces symptômes. Quand ils apparaissent, pendant la période d'état, on peut prévoir avec une grande vraisem
nombreux et assez rapprochés, la mort ne surviendrait qu'après une période assez longue d'impotence mus- culaire et d'alit
e. Les paralytiques généraux peuvent mourir subitement à toutes les périodes de leur maladie. J'en ai vu mourir un, sous mes
croire. M. A. Voisin ne couche ses paralytiques qu'à la dernière période et cependant il a constaté la présence d'escarr
ayant cours sur l'aliénation mentale. Les idées sur la folie de la période hippocratique, du galénisme, des Arabes, du moy
Si. chez l'homme, la dégénérescence homolatérale persiste, dans les périodes plus tardives, il faut en attribuer la cause pour
ait dans 8 à 10 p. 100 des cas environ. Elle se montre à toutes les périodes de lamaladie,surtoutàla période préataxique. Le
viron. Elle se montre à toutes les périodes de lamaladie,surtoutàla période préataxique. Les dents, souvent saines et intac
isées par leur prédominance dans la sphère visuelle à la deuxième période et parfois dès la première. On observe là un doub
qui, depuis des années, présente un enchaînement ininterrompu de périodes de dépression mélancolique, puis d'excitation man
possession démoniaque. Le travail de systématisation constitue la période de prépa- ration de la maladie; elle dure jusqu
ceptions soient mêlés, mais ils se succèdent régu- lièrement en des périodes nettement distinctes et d'une oppo- sition tran
ièvres intermittentes de vingt-sept à trente-cinq; c'est dans cette période qu'est né le malade. Pas de syphilis. [Père incon
oit. On le faisait manger, et il ne dépérit pas trop. Après cette période , on put le lever, et on s'aperçut que le côté d
u 1er avril au 31 octobre tandis qu'il en avait eu 652 dans la même période de 1882. Onanisme fréquent. 1884. Hydrothérap
es un peu ulcérées au trochanter droit. t. 23. Depuis sa dernière période de grands accès (21 et 2S juin) ses jambes ne l
faut tenir compte de la nature de la maladie, et même des diverses périodes de la même maladie mentale; mais si l'on y a re
du corps; ce poids, en effet, ne change pas sensiblement durant les périodes où il n'y a pas eu d'attaques. Il ne semble pas
tion cérébrale; 3° il est excessivement probable que, à certaines périodes de la vie, le traitement thyroïdien fournit à l'o
méra- tion paraît être celui de la fréquence relative; 3° Dans la période initiale des fièvres, et aprèsrles blessures et l
du nez. En résumé la crise nasale se caractérise par une première période , l'aura paresthésique de la joue, du cou et du ne
ra paresthésique de la joue, du cou et du nez, puis par une seconde période accusée par des picotements dans la narine gauc
tes, un goût très amer, constaté très souvent depuis six mois (à la période ataxique); une sensation de rigidité et de chat
i différenciée ont sans doute perdu la faculté de proliférer dès la période embryologique de leur existence. Il en est autr
su, les fibres, cette méthode est incapable de poursuivre jusqu'aux périodes embryon- naires l'histoire de ces fibres, car à
lules, cela n'est exact, chez l'homme, suivant Weigert, que pour la période embryonnaire et pour les états pathologiques du
jusque sous la pie-mère, traversant tout le centre nerveux. Dans la période embryonnaire des oiseaux et des mammifères, et
ant la myélite aiguë, être cousidé- rés, dans le cerveau, comme les périodes successives des foyers de ramollissement d'orig
torze ans dans 8 cas, de dix-sept à dix-huit dans 5 cas. Les autres périodes de la jeunesse comprises entre neuf et vingt- d
ire, chez le paralytique il n'est pas rare d'observer, même dans la période prodromique, certains phé- nomènes de nature ex
mmerçant, âgé de quarante-cinq ans, tombe malade en 1890, après une période prodromique dépressive accompagnée d'idées de p
e l'état de rêve épileptique, peuvent se continuer au delà de cette période et faire partie des acquisitions du sujet revenu
rent à certaines heures de la journée. Pronostic favorable. Dans la période de la puberté, on observe aussi fréquemment des
rapidement tout ce qu'ils peuvent donner, puis ils entrent dans la période de satisfaction d'eux-mêmes et de négligence. D
age pas complètement les opinions émises précédemment. La meilleure période d'un infirmier doit être placée plus tardivemen
il ajoute certains moyens qui suppriment la souffrance pen- dant la période de suppression. Enfin l'ouvrage se termine par un
1897. N° 18. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE. SUR LA PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE ET SUR LA MO
a paralysie générale a donné lieu, en ce qui concerne ses premières périodes , ses différentes formes clini- ques, sa nature
t bien loin d'être réalisé encore. Il en est tout autrement de la période terminale de la mala- die et de la mort des par
Bayle ', qui a établi la division de la paralysie générale en trois périodes , distinguait trois degrés dans la période termi
alysie générale en trois périodes, distinguait trois degrés dans la période terminale. Au 2 degré de la 3e période, écrivai
inguait trois degrés dans la période terminale. Au 2 degré de la 3e période , écrivait-il en 1826, « les malades ne peuvent
Dictionnaire de Jaccoud : « Lorsque les malades sont arrivés à la période terminale,... les mains ne peuvent rien faire, le
es du cerveau, 2 volu- mes. Paris, J.-B. Baillière et fils, 1859. PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GENERALE. '435 végète
compagne assez souvent de diarrhée et de marasme (p. 860). A la 3° période , la paralysie envahit les membres enfin, des es
attaques conges- tives (p. 448) ». Pour Magnan et Sérieux 3, « la période terminale..., la mar- che devient impossible ..
tôt par une attaque épileptiforme ou une pneumonie (p. 12). - A la période ultime..., sensibilité, mou- vements volontaire
ce point l'opinion des auteurs français. Kroepelin écrit qu' « à la période ultime, les malades ne savent plus ni se mouvoi
r tous les malades, quelle qu'ait été l'évolution ou la forme de la période intervallaire... La démar- che devient impossib
hiatrie, 5° édition. Traduction E. Laurent. Paris, Maloine, 1897. PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 437 à la de
97. PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 437 à la dernière période de leur maladie, les paralytiques géné- raux de
dérable, mais il a sa valeur, et d'autant plus que, réparti sur une période de sept années, on ne peut guère objecter qu'il
pratique. Mon intention n'est pas de décrire dans son ensemble la période terminale de la paralysie générale, ni d'étudier
ale masculine seule que devront s'appliquer mes conclu- sions. I. Période terminale. Plus de la moitié de nos paralyti- q
t réalisé le tableau classique du paralytique général à sa dernière période . Ils étaient plus ou moins affaiblis, leurs mou
e paralytique, signalés par tous les auteurs comme caractérisant la période finale de la paralysie générale. Aucun n'a eu d
ilepliforme; ce chiffre représente les 4/5 du total des 33 morts. PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 439 2. Dans
ions intercur- rentes sont tous mort debout sans avoir traversé une période d'affaiblissement considérable. La durée de la
se rangent 14 malades emportés par ictus cérébral, mais après une période d'affaiblissement plus ou moins marqué. La durée
traditionnelle nous montrant le paralytique général à la troisième période toujours immobilisé dans son fauteuil d'abord e
e-même qu'à une tout autre cause. Les paralytiques parvenus à une période avancée sont plus ou moins affaiblis, ils gâtent
ance très active; de leur prodiguer des soins minutieux d'hygiène PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 441 et de p
t que, dans les cas où la paralysie générale s'est terminée par une période plus ou moins longue d'impo- tence motrice, les
pas qu'on les ait mis en rapport avec telle ou telle modalité de la période terminale de la mala- die. Mes observations me
de l'impotence fonctionnelle. Apparaissant assez longtemps avant la période d'immobilisation, ils s'aggra- vent et persiste
aient que très atténués chez les malades qui sont morts debout. 1 PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 443 Ces deu
ou deux ictus peu graves, souvent apoplectiformes, à la première période de la maladie. Puis, un long intervalle (un an, d
- breux et assez rapprochés, la mort ne surviendrait qu'après une période d'impotence musculaire (sans paralysie vraie) et
é, la maladie aurait habituellement une durée plus longue. Dès la période d'état, on peut prévoir la terminaison future,
es physiques, le tableau uniforme que les auteurs ont tracé de sa période finale : ' Voir à ce sujet, l'intéressante thès
nclut aussi à l'existence de variétés distinctes dans les dernières périodes de la paralysie générale. Contrairement à l'opi
tamment, a montré que la perte de connaissance est complète dans la période épilep- toide de la grande attaque d'hystérie.
soient, être résumées dans les propositions suivantes : 1° Dans la période proe-convulsive des attaques hystériques complè
ctérisées par les phénomènes faisant habituellement partie de cette période (attaques de sanglots, de spasmes, etc.) la consc
onscience et la mémoire sont intégralement conservées. 2° Dans la période convulsive des attaques régulières, et dans les
qu'ils ont eu des mouvements désordonnés, involontaires. 4° Dans la période post-convulsive dos attaques régulières, et dan
myxoedème, est que, dans cette affection, et encore au début de la période de demyxoedémisation, l'urine est faiblement to
un mot par un autre ; ce qui était plus marqué surtout pendant la période de la plus grande confusion d'association; 3° par
erre, en Ecosse et en Irlande. - On admet généralement que, dans la période contemporaine, le nombre des aliénés a augmenté.
ons aurait augmenté de 1871 à 1892, pour la première et la dernière période de cinq ans, de 14,2 p. 100. Ce dernier chiffre
, le nombre de sujets atteints de folie ne varie pas, pour une même période et pour une même popula- tion. L'accroissement
olutions divisent l'anatomie pathologique du tabes en trois grandes périodes . Dans la première période, avec le mémoire orig
e pathologique du tabes en trois grandes périodes. Dans la première période , avec le mémoire original de Bourdon et Luys (1
ternes des cordons postérieurs. En 1879, Vulpian ouvre la troisième période , en admettant l'origiue primitive des lésions des
oupes sériées (4000 environ) de 10 cas de tabes observés à diverses périodes , dans le service de M. A. Gombault à l'hospice
; par le Dr SCIlAEFFER. (Th. de Lyon, 1896.) La vieillesse est la période de déclin normal de l'organisme, intermédiaire
Au point de vue mental, l'évolution sénile peut se diviser en trois périodes admettant entre elles de nombreuses transitions.
riodes admettant entre elles de nombreuses transitions. La première période est caractérisée surtout par une tournure d'esp
ou très difficilement acquérir de nouvelles notions. La deuxième période , préface de la démence, est caractérisée : 1° p
ments moraux ou altruistes; 4° sentiments esthétiques. La troisième période est la période démentitielle. Les vieillards y
altruistes; 4° sentiments esthétiques. La troisième période est la période démentitielle. Les vieillards y parviennent ou
eillards y parviennent ou insensiblement ou brusquement après une période de suractivité physique ou intellectuelle. Chez c
lesse. La responsabilité est presque toujours entière à la première période de lasénilité, elle estpartielle et limitée àla
ue, souvent même il n'a pas d'antécédents héréditaires. La première période de l'affec- BIBLIOGRAPHIE. 493 tion est une p
. La première période de l'affec- BIBLIOGRAPHIE. 493 tion est une période d'inquiétude progressive et longue, à laquelle
petit se subs- tituent aux idées de persécution. C'est la troisième période de l'évolution de la maladie qui se termine tou
Faciale dite rhumatismale, par Neumann, 474. Paralysie générale. Période termi- nale de la -, par Armand, 67, 433. Cen
16 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la paralysie générale, elles peuvent être observées dans toutes les périodes de cette affection, mais principalement dans la
toutes les périodes de cette affection, mais principalement dans la période de démence. Dans la première période, elles peu
n, mais principalement dans la période de démence. Dans la première période , elles peuvent revêtir le caractère psychique;
lucinatians peuvent revêtir le caractère psychique dans la première période alors qu'elles sont plutôt psycho-senso-' riell
ionnelle initiale de la paralysie générale au début ou au déclin de périodes de calme relatif de l'affection, dans les cas d
E. , des muscles masticateurs. c) Leur apparition au cours 'd'une période de rémission il l'état de symptôme isolé sans ass
lucinations psycho-motrices ne se révèlent au médecin que dans les périodes de rémission du paralytique général. D'où l'ind
as des hallucinations motrices de la para- lysie générale, c'est la période de la maladie à laquelle on les observe. Il sem
ificat suivant de M. Garnier : « Para- lysie générale à la première période . Excès alcooliques probables. Démence. Embarras
lente. Du sens génital étudié chez les' mêmes malades : aux trois périodes de la paralysie générale'; Par le D' E. 11.1Ra\
.., quarante-deux ans, gazier, entré le 20 juil- let 1891. Première période . Syphilis, alcool et excès vénériens, forme sur
NS GÉNITAL DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 19 20 octobre 1891. Première période . Syphilis et hérédité congestive. Impuissance d
bouchés et qu'il est anémique. En janvier 1893 passage à la seconde période ; Mail... devient gâteux, le délire hypocondriaq
.., trente-deux ans. mécanicien, entré le 9 novembre 1893. Première période . Alcool et surmenage cérébral. A son entrée il
...', trente-huit ans, mécanicien; entré le 27 avril 1891. Première période . Syphilis et surmenage cérébral. Forme expansiv
891. Pas de causes bien définies : ni syphilis, ni alcool. Première période , forme mixte. Délire d'inventions et de richesses
une extrême rapidité; en quatre mois, Car... a parcouru les ti ois périodes et s'est éteint dans le marasme. Or DU SENS GÉN
trente-huit ans, bijoutier ; entré le 25 juil- let 4891 . Première période . Syphilis et misère. Forme expansive calme avec
n Bi..., trente-cinq ans, menuisier; entré le 2 août 1892. Première période . Syphilis et alcool. Forme mixte. Le ma- lade a
rreur. Qu'on ait la patience de suivre les mêmes paralytiques de la période prodromique à la période marasmatique et on vér
e de suivre les mêmes paralytiques de la période prodromique à la période marasmatique et on vérifiera l'exactitude de nos
n recherchant si les altérations du sens génital aux deux premières périodes de la paralysie générale sont proportionnelles
moins accusés. 24 CLINIQUE MENTALE. On sait combien à la seconde période surtout certains para- tiques ont l'habitude de
idence, étant donnée l'extrême fréquence de l'impuissance à cette période de la maladie. Un dernier rapport est à recherc
pronostic et du diagnostic. Il n'est pas douteux pour nous qu'à la période prodromique, les troubles génitaux par leur pré
u sexe mas- culin. I. En suivant les mêmes paralytiques aux trois périodes de la paralysie générale et en utilisant l'obse
énital. Nos échecs ont été en diminuant de la première à la seconde période et de la seconde à la troisième, le paralytique
ntrairement à l'opinion ayant cours, égale- mentplus fréquente à la période prodromique que l'altération en plus; mais il e
aculation est ensuite le trouble qui s'est surtout présenté à cette période , deux fois plus fré- quent que le trouble inver
à ce moment. X. D'après nos constatations on aurait : 1° Aux trois périodes delà maladie : l'exagération, l'éjaculation' re
on, l'éjaculation' retardée et l'im- puissance totale 2° Aux seules périodes prodromiques, pre- mière et deuxième : l'affaib
libido associé ou non à la possibilité d'éjaculer. 3° Aux seules périodes prodromiques et première les pertes séminales,
'opinion ayant cours c'est dans les formes démentielles et lors des périodes de calme que nous avons observé le maximum d'al
tales des paraly- tiques généraux. "' : XVIII. Aux deux premières périodes de la maladie, nous avons trouvé le sens génita
euvent grandement aider au diagnostic de la paralysie générale à la période prodromique, de même leur persistance lors des
uent, à n'importe quel moment de la durée de ée substratum, dans sa période d'évolution comme dans ses phases d'involution.
la dilatation et l'immobilité des pupilles dans les deux premières périodes de l'attaque ; l'immobilité pupillaire a été no
forme commune et amène la mort en douze ou vingt-quatre mois. La période d'incubation est impossible il déterminer, étant
rte de cons- cience, écume à la bouche et miction involontaire : la période consécutive de stupeur est suivie d'une grande
'une manière confuse et pour UN cas d'amnésie continue. 89 'q une période mal déterminée sur les évènemeuts antérieurs à la
atiquement. Son amnésie porte du reste non seu- lement sur toute la période morbide apparente qui va de février 1895 jusqu'
partie de l'influence de l'alcoolisme, influence qui, dans la même période , ainsi que l'attestent les statistiques de mortal
sang. La grande fréquence de ces névroses et des folies pendant la période de développement de la vie, et surtout pendant
endant la période de développement de la vie, et surtout pendant la période de maturation des fonctions ' nerveuses plaide
ards cependant, à la folie avec délu- sions que l'on rencontre à la période tertiaire de la maladie et dans laquelle les dé
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.' 143 * absolue, la courte durée des périodes ambulatoires et enfin l'ab-- sence de manifesta
irement limitée à un seul hémisphère. Cliniquement, il existe une période prQdroznique qui peut se dé- rouler brusquement
une véritable anomalie. Ici se terminerait la prétendue première période de cette vie, pendant laquelle M. Ballet nous f
-t-elle malgré tout naturelle quand nous le voyons pénétrer dans la période dite seconde et franchement délirante de sa car
e nous venons de décrire, recommencent jusqu'à ce qu'une nouvelle période de calme se produise ; et ainsi de suite pendant
s avons des renseignements sur 'ses états-, psychiques, pendant ces périodes hallucinatoires. d'abord parles phrases qu'elle
produit-il pas physiologiquement à la'suite d'un rêve ? Pendant une période très courte qui s'étend entre le sommeil et la
s évolutionnelles de l'espèce. On ne sait pas exac- tement à quelle période de l'évolution de la vie organique elle fait se
bli soit héréditairement, soit par suite de maladies antérieures. Période prodromique. - Cette période est plus ou moins lo
t par suite de maladies antérieures. Période prodromique. - Cette période est plus ou moins longue. Elle s'accompagne de
ls se plaignent d'une angoisse violente. P,Ja : i,otc d'élut. Cette période se compose de deux phases de ..clique aiguë. La
et Krafft-Ebing, l'hyperexcitabilité muscu- laire dans la première période , la paralysie toxique du pharynx et du voile du
paralysie toxique du pharynx et du voile du palais dans la seconde période . La constipation est habituelle. Elle peut être
Des symptômes somatiques importants se montrent dès le début de la période d'excitation ; les plus constants sont la sitio
peut constater de l'anurie. La constipation est habituelle. - 2° Période de collapsus. Au bout de huit à dix jours, si les
-10 et les malades meurent dans le coma. Il est très rare que cette, période dépasse deux jours, le plussouventelle ne dure
ce alors vers le cinquième ou sixième jour, quelquefois plus, de la période d'excitation. La terminaison peus.ejaire parla
, ~il*s'agit de- bâcilles êntl'és"dans la circulation à la dernière période de la mala- die. La possibilité de cette émigra
toxiques. C'est un symptôme constant de la 256 SOCIÉTÉS SAVANTES. période prémonitoire et qui persiste encore dans la pério
IÉTÉS SAVANTES. période prémonitoire et qui persiste encore dans la période d'état. Elle s'observe dans le délire aigu, com
ver moi-même plusieurs cas personnels. On peut voir de même dans la période prémonitoire du délire aigu des attaques hystér
importance pour le diagnostic et on la trouve non seulement dans la période prémonitoire, mais aussi dans la période d'état
ouve non seulement dans la période prémonitoire, mais aussi dans la période d'état. On dirait des maniaques par leur extrêm
se fait une éraflure du nez. Le 16, dans un.accès très léger, à la période congestive, le sang a coulé de l'éraflure, -for
rs reprises, et, chaque fois, l'intervalle de guérison séparant. la période de torticolis de celle du tic aug-[ 272 SOCIÉTÉ
te d'hystérie, mais il reste un neurasthénique avéré entre chaque période . Le père était un névropathe, un de ses frères es
une hyperthermie de deux à cinq dixièmes de degré; puis, après une période stationnaire, il produit, au contraire, une hyp
n la rencontre dans un peu plus de la moitié des cas à toutes les périodes du tabès. Cette analgésie, qui est de recherche f
eau suivant donne une idée du nombre de malades alcooliques dans la période qui va de 1885 à 1900; d'autre part le relevé d
te exagération est pro- gressive, quelquefois précédée d'une courte période de diminution, elle atteint son maximum au mome
urnal of the Médical Sciences, juillet 1900.) L'auteur, pendant une période de cinq années, a examiné systé- matiquement to
spasmodiques des muscles extrinsèques du globe oculaire. A cette période , dans la majorité des cas, la pupille est un peu
suivis par des signes de dégénéra- tion. On Voit alors survenir une période d'amélioration apparente des symptômes objectif
les tissus voisins. La vision pour la forme et la couleur, après la période d'amé- lioration dont nous avons parlé, diminue
cteur par secteur, pour aboutir à la cécité absolue. Durand cette période , la période préataxique, comme on l'ap- pelle i
secteur, pour aboutir à la cécité absolue. Durand cette période, la période préataxique, comme on l'ap- pelle improprement,
ouvent dans les cliniques de maladies nerveuses. Pendant une longue période , en dépit de lésions objectives très nettes de
, c'est une cécité temporaire périodique,, survenant dans premières périodes de la maladie.Ces attaques de cécité sont secon
quarante ans après le chancre). D'autre part, si longue que soit la période écoulée depuis l'infection, on ne peut jamais d
adelphie, il est rare de rencon- trer des cas présentant les quatre périodes décrites par les auteurs français et fréquent a
lée, d'embarras gastrique, de lassitude générale. Il entre dans une période d'inappétence et d'insomnie qui dure jusqu'au 23
prit, les épileptiques et les jeunes délinquants. Au début de cette période de soixante années, il existait à Paris deux éc
les différentes modifications phy- siques que l'on observe dans les périodes aiguës et subaiguës de la mélancolie; par Lewis
ntait une marche plus ou moins définie. Au début de l'attaque, à la période d'agitation et de troubles mentaux aigus, cette p
des malades dans ses rapports avec la tension artérielle : dans la période aiguë la quantité moyenne d'urine émise était d
t de 29 onces et demi et l'urée de 200 grains (12 grammes). Dans la période subaiguë la quantité d'urine attei- gnait 41 on
et demi et la dose d'urée était de 430 grains (25 grammes). Dans la période aiguë, sécheresse de la peau ; dans la subaigue
de tremblement fibrillaire incoordonnés. Cet état s'atténue dans la période subaiguë. Les hallucinations, très vives, influ
ès vives, influençant la conduite du malade, se rencontrent dans la période aiguë : et dans la subaiguë, elles manquent, ou s
une marche définie avant de guérir ou de devenir chronique. Dans la période aiguë, on constate les symptômes suivants : 1° gr
considérable. L'influence du sexe est très nette. Quant à l'àge, la période de trente à quarante ans est la période de préd
ès nette. Quant à l'àge, la période de trente à quarante ans est la période de prédilection des excès alcooliques. Au point
es étals analogues à ceux que l'on a coutume de rencontrer dans les périodes avancées de la paralysie générale : un seul cas
étés nosologiques, mais notamment aux formes maniaques légères, aux périodes de dépression de la folie circulaire, à certain
rer au vagabondage et à la men- dicité sont en premier lieu : 1° la période de seize à vingt ans, à laquelle l'homme doit,
t ans, à laquelle l'homme doit, seul, subvenir à ses besoins; 2° la période de la plus grande concurrence (de vingt-cinq à
à trente ans, d'après la statistique de l'Empire allemand) ; 3° la période de trente-cinq .à quarante ans, à laquelle l'in
toxication par l'alcool fait le plus sentir ses effets. Enfin, à la période plus tardive, prennent place les individus immi
mmigrés. Certaines différences existent entre les sujets suivant la période à laquelle ils ont adopté leur genre de vie : l
blent appuyer l'idée délirante qui leur a donné naissance. C'est la période où les stéréotypies se montrent dans toute leur
voit successivement disparaître avec l'activité intellectuelle des périodes précédentes le fonds maladif de la sensibilité
duelle- ment développées les idées délirantes. » Alors qu'à cette période , survient la ruine mentale du sujet, les stéréoty
disparaissent pas : elles persistent; mais un élément, présent à la période précédente, vient à faire défaut; c'est la cons
ntes. Mais remarquons qu'au début de l'affec- tion, d'une part, les périodes (mélancolie, aLLonilæt, ma- nie), sont passagèr
séquent les attitudes,, les mouvements, les actes changent avec ces périodes ; d'autre part, les gestes et les positions son
nomène en soi, les accidents appartiennent en effet, par- fois à la période prodromique de la paralysie générale pro- gress
ement. Cliniquement en effet, il y a chez l'hystérique de longues périodes sans aucun mouvement, fait rare dans les stéréoty
ainsi que les actes ou mouvements automatiques accomplis dans la période d'hébétude qui suit le vertige ou l'accès (épilep
idées différentes et peut- être aussi parce qu'on les observe à une période trop tardive de la maladie, pour pouvoir précis
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES, 519 due simplement à la période de développement individuelle à laquelle débute
tère particulier. L'aphasie sensorielle qui a été constatée, à la période terminale, semble due à des hémorrhagies du tissu
uvat, 1. Du sens génital étudié chez les mûmes malades, aux trois périodes de la - , par Marandon de Montyel, 4r. i. Pat
17 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dix minutes et ne retombait dans un coma final qu'après une longue période d'un violent délire d'action. Notre malade pr
MENTALE. Du sens génital étudié chez les mêmes malades aux trois périodes de la paralysie générale; Par le D' E. MARANDON
combien dans beaucoup de cas, le paralytique général, même à une période déjà avancée, restait conscient de l'état de sa
e sujet à des excès vénériens, à l'onanisme. D'après M. Iluet, à la période initiale, les fonctions génésiques sont assez s
chique, assez fréquente au contraire. Cet auteur ne dit rien des périodes d'état et de terminaison. Pour M. Voisin, au co
sique acquiert souvent des propor- tions extraordinaires pendant la période prodromique. Les individus deviennent insatiabl
cas. M. Voisin ajoute que cette excitation s'accentue à la première période et l'attribue à l'hypércsthëaie, l'excitation g
attribue à l'hypércsthëaie, l'excitation génitale, qui à la seconde période se manifeste par des pra- tiques d'onanisme. Il
. M. Gilbert Ballet ne parle des troubles du sens génital qu'à la période prodromique. On observe bien souvent, dit-il, une
e tous les états d'excitation, nous apprend M. Sollier, la première période de la paralysie générale est celui où l'éro- ti
it presque invariablement pour durer plus ou moins longtemps à la période prodromique et est la source la plus fréquente
ajoutent-ils. on voit quelquefois des paralytiques, arri- vés à une période très avancée, qui se livrent avec fureur à l'on
au coït et même de devenir pères. M. Régis signale seulement à la période prodromique des altérations en divers sens de la
s M. Dagonet ni dans M. Culerre, mais M. Grasset spécifie qu'à la période prodromique, certains paralytiques commet- tent
le les troubles du sens génital ni à la deuxième, ni à la troisième période ; seulement à l'occasion des formes spinales, il
d M. Schule, sont en général exagérées au début de la maladie, à la période d'excitation; la manière inconvenante dont leur
ment préoccupé les observateurs. Ensuite à entendre les uns, aux périodes initiales, l'impuissance serait le fait le plus f
avons rapporté sur les modifications du sens génital aux diverses périodes de la maladie, la nature des altérations, leurs
aralytiques, il n'en est que 42 qui aient parcouru toutes les trois périodes de la maladie pour aboutir au marasme paralytiq
r aboutir au marasme paralytique; 32 ont succombé à la pre- mière période ; 30 à la seconde; enfin il en est quatre qui .
quée; autant il est facile de s'assurer qu'un malade à la troisième période a le sens génital aboli, autant cette constatat
ssance, la dissimule. Nos échecs ont donc été de 55 à la première période , soit 3 p. 100; de 29, à la seconde, soit 1,6 p
is que si les auteurs insistent tant sur l'excitation génitale à la période prodromique de la paralysie générale, c'est qu'
continue, chez les 30 autres elle a été intermittente, éclatant par périodes que séparaient des intervalles d'accalmie, voir
ible de nous renseigner exactement sur les pertes séminales à cette période , la plupart des femmes ignorant ce phénomène pa
nos constatations qu'elles appartiennent plus particulièrement à la période prodromique, mais leur rareté à l'asile peut n'
ortions les troubles que nous avons notés se répartissent aux trois périodes de la paralysie générale. 26 CLINIQUE MENTALE
haut. Quant au détail des altérations en plus ou en moins aux trois périodes , il est fourni par le tableau suivant : DU SE
. Il est deux états que nous avons constatés seulement à la seconde période , mais comme nous savons qu'ils existent à la ph
, il est certain que si nous ne les avons pas relevés à la première période , cela tient à une observation incomplète qu'exp
retardée avec excitation vénérienne a été vérifiée par nous à la période prodromique et aux deux dernières périodes; elle
té vérifiée par nous à la période prodromique et aux deux dernières périodes ; elle est donc de toutes les phases de la malad
n avec éjaculation retardée, et l'impuissance totale; 2° aux seules périodes prodromique, première et deuxième : l'affaiblis
mpuissance avec libido et possibilité d'éjaeulation ; 3° aux seules périodes prodromique et pre- mière : les pertes séminale
s formes mixtes que la proportion de l'altération en plus, dans les périodes de calme, est plus élevée de 7,5 p. 100. C'est
e, qui n'est pas à l'abri de toute critique. 1 1° L'alcoolomanie, période latente de l'alcoolisme, contre laquelle est di
3° idiots de l'espèce la plus inférieure; 4° malades à la dernière période de la paralysie générale ; 5° la plupart des épil
puberté. Il faudrait donc ranger les chorées survenant après cette période et notamment celles de la grossesse à l'hystéri
bsolument les mêmes effets, que les expériences faites pen- dant la période d'administration de l'opium montrent que celte
ne présentant que des accidents très légers et seulement pendant la période progressive de la cure d'opium. Ils n'ont eu au
ns cette particularité que chez l'un d'entre eux qui se trouvait en période d'accès répétés avec excitation délirante lorsq
rsonne, qui les fait, a devant les yeux un but déterminé. Après une période de huit jours, les exercices avec poids de 50 g
bles où l'abla- tion même de la lésion causale n'a pu amener qu'une période relativement courte d'amélioration comme pour l
viés à gauche, après une série de mouvements cloniques arrivait une période de stertor avec rougeur de la face et écume aux
bien répondu à toutes nos questions, mais elle était dans une bonne période , car depuis un mois elle a été reprise de troub
9 il n'est plus sorti. Pendant quelques années, il a pré- senté des périodes de lucidité durant lesquelles on a pu le faire
e nouvelle rémission du 30 mars au '21 avril, suivie d'une nouvelle période de dépres- sion mélancolique mais très atténuée
aux manuels, employés durant les rémissions, puis après la dernière période mélancolique, jus- qu'à sa sortie (juin), ont c
es mouvements associés tels qu'on les a décrits jus- qu'ici dans la période post hémiplégique, dans les diplégies, la paral
évolué, depuis l'adolescence jusqu'à la mort, en passant par trois périodes : une période d'hypochondrie simple, une période
l'adolescence jusqu'à la mort, en passant par trois périodes : une période d'hypochondrie simple, une période d'hypochondr
passant par trois périodes : une période d'hypochondrie simple, une période d'hypochondrie délirante, une période d'hypocho
de d'hypochondrie simple, une période d'hypochondrie délirante, une période d'hypochondrie avec idées de négation. On ne tr
ytiques généraux, par les Drs Ch. Vallon et Wahl (de Paris). Sur la période terminale de la paralysie générale et sur la mo
Il est manifeste que nous sommes actuellement, en France, dans une période de transition pour tout ce qui a trait à l'assist
soixante-treize jours. Le chiffre moyen des entrées par an, pour la période 1889-1896, est de 207. Le chiffre moyen de la p
moyen de la population présente le 1er janvier a été, pour la même période , de 40. Enfin, l'admission des cas aigus est tr
le terrain nécessaire au développement de la paralysie générale. La période qui s'écoule entre l'infection syphilitique et
uelle), qu'il rattache au myxoedème. Ces symptômes ont apparu à une période où les signes de goitre exophtalmique s'étaient
dans les asiles et la prison de Québec, il résulte que, pendant une période de dix-sept années, de 1881 à 1897, 1.197 alién
tion chirurgicale ! Il va sans dire que nous sommes encore là à une période de tâton- nements qui n'est pas sans soulever d
coles avec villas ou bâtiments séparés et à une infirmerie pour les périodes de crises et les affections incidentes. Pour le
es de la puberté les affections mentales qui se développent dans la période de la puberté, c'est-à- dire entre 14 et 2 ans.
ns la période de la puberté, c'est-à- dire entre 14 et 2 ans. Cette période est caractérisée par la matte- rité sexuelle et
re et largement espacées au cours de son existence, avec de longues périodes in- tercalaires de santé psychique plus on moin
la lracture sponta- née a pu se montrer comme premier symptôme à la période pré- tabétique, de même elle peut exister à la
ymptôme à la période pré- tabétique, de même elle peut exister à la période préparalytique comme première et unique manifes
d'empêcher l'exécution de cet acte. Le traitement se divise en deux périodes . La première période, d'une durée de une semain
de cet acte. Le traitement se divise en deux périodes. La première période , d'une durée de une semaine à un mois et plus,
oin séjour au lit, telles sont t les principales pratiques de cette période , au bout de laquelle on assure au malade, que s
te de lui tout ce qui pourrait la lui rappeler. Durant la seconde période , le rôle du médecin consiste à faire accomplir
ir l'acte redouté sans trace d'émotion. Pendant toute cette seconde période de même que pendant la première, il n'est jamai
u malade confiance et espoir. C'est donc en réalité dans la seconde période que commence véritablement le traitement de la
rocédé de choix dans-le traitement des phobies inhibitoires. Sur la période terminale de la paralysie générale et sur la mort
nus impotents. Les 38 restants donnent 19 malades ayant traversé la période d'im- potence, et 19 également qui sont morts d
ui meurent debout ne présentent pas ces phénomènes spasmodiques. La période terminale de la paralysie générale présente don
es qui poursuivent sa restauration. Enfin, au cours de cette même période , Waller nous révélait l'existence des centres t
otrices des cornes antérieures de la moelle. Au cours de cette même période , une origine analogue fut recon- nue à la paral
es cornes antérieures. Cette succession de découvertes embrasse une période de vingt années à peine. Au sortir de cette pér
es embrasse une période de vingt années à peine. Au sortir de cette période , les cadres de la patho- logie médullaire se tr
t tout à fait inexact. Presque tous les malades, après une certaine période , parfois courte, de leur maladie aiguë, ont bes
que tous les malades atteints de formes aiguës des psychoses à leur période initiale. Lorsque la maladie passe de la périod
psychoses à leur période initiale. Lorsque la maladie passe de la période initiale à la phase stationnaire, il faut user du
iduelles presque à toutes les psychoses à forme aiguë, surtout à la période initiale de la maladie. 11 agit surtout favorab
nes d'affaiblissement, ni de dilatation. Toutefois, surtout dans la période terminale de ce second séjour à l'hôpital, il s
typhoïde de trois semaines de durée et de formes régulières, à la période d'apyrexie de laquelle apparurent quelques doul
s un rôle de tout premier ordre. L'infection se localise pendant la période aiguë sur la glande, puis, après guérison compl
te, dans l'anatomie pathologique de l'idiotie, et ce n'est qu'à une période ultérieure que les particu- larités morphologiq
ractéristique dans ces cas, qui affectent, chez les enfants dans la période de croissance, aussi bien les cellules que les fi
INTERNATIONAL DE MÉDECINE. turellement, dans beaucoup de cas, à la période terminale. D'après ses expériences, Beach remar
et sur les mémoires et les notes qui ont été publiés durant la même période sur l'idiotie ou mieux les idioties, nous sommes
à combattre. Il'est donc à recommander, quelquefois déjà pendant la période aiguë, de combiner l'alitement avec le travail
N. (Psychiati-ic, Barth, Leipzig, 1899.) Sous le nom de folie de la période d'involution sénile, l'auteur groupe tous les t
ne série de troubles psychiques qui peuvent apparaître aux diverses périodes de la vie ; mais il n'est pas moins certain qu'
verses périodes de la vie ; mais il n'est pas moins certain qu'à la période d'involution sénile peuvent écla- ter des psych
ns avec les psychoses de la sénilité, les troubles psychiques de la période d'involution s'en distinguent cependant. La mél
pour Kraepelin, toutes les modifica- tions anxieuses morbides de la période avancée de la vie qui ne peuvent être considéré
en rapport avec la grossesse, ou la lactation, et se montrent à une période moins avancée de la vie, BIBLIOGRAPHIE. 33 Av
e cinquante ans aux premières années de la soixantaine : dans cette période , les hommes devien- nent rarement mélancoliques
cette manière de voir, il résulte que tous les états dépressifs des périodes moins avancées de la vie ne font point partie d
lure du mélan- colique traduit son humeur anxieuse ou excitable, la période dépressive de la folie circulaire est caractéri
l s'en trouvait 15 p. 100 qui avaient anté- rieurement traversé une période mélancolique ; celle-ci était en général surven
t affectif plus constant et plus vif, un développement subaigu sans période prodromique parlent en faveur de la mélan- coli
acture les phénomènes électromoteurs varient suivant le degré et la période de celle-ci et sont toujours en rapport direct
d'action peut manquer totalement. Dans la contracture à la seconde période le caractère diphasique du courant d'action est
a 410 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. rive gauche qui est à 92 périodes . Arrivant au tableau au potentiel de 110 volts
ones. On peut supposer que la myélinisation se fera, à une certaine période du développement embryonnaire, dans un complexu
éflexe cutané plantaire. Ces. Aâostini 3 dit que dans la première période de la paralysie générale, il y a défaut ou dimi
exagéré, et accen- tuation des réflexes tendineux. Dans la deuxième période le réflexe s'exagère encore. III. Par ce rapi
s cherchons à établir un rapport entre l'état de ces réflexes et la période évolutive il laquelle est parvenue la paralysie
le, on ne puisse affirmer a priori une relation quelconque entre la période d'évolution de la maladie et une allure particu
plantaire', nous pouvons cependant dire : a). Que, dans la première période , nous l'avons trouvé tantôt normal, tantôt dimi
ait beaucoup plus 460 CLINIQUE NERVEUSE. fréquemment i : t cette période que les autres modifications (7 fois exagéré, 3
exagéré, 3 fois diminué, 3 fois normal). b). Que, dans la deuxième période , le réflexe plantaire ne s'est jamais trouvé ex
ou, le plus souvent, diminué (6 fois). c). Enfin, dans la troisième période , nous ne l'avons trouvé jamais exagéré, et plus
es d'origine syphilitique, six d'entre eux, tous parvenus soit à la période d'état, soit à la période de déclin de la malad
six d'entre eux, tous parvenus soit à la période d'état, soit à la période de déclin de la maladie ont présenté cette moda
tion du réflexe plantaire. c). Le septième malade, tout à fait à la période initiale de sa cérébropathie syphilitique, ne n
mps perdu, je suis d'avis que la différence de la longueur de celte période tient à la différence de localisation des réflexe
et viennent, vaquent à leurs occupations et n'ont jamais dépassé la période dite préataxique. En résumé, si l'atrophie papi
ré dans 10/20 cas de fièvre typhoïde. Il est apparu aux différentes périodes de la maladie : 9° jour, 21°, 25°, a persisté u
L1SIE générale . Du sens génital chez les mêmes malades aux trois périodes de la ,au Marandon de Alontyel, 16, - chez l'
Lalanne, 248. Fractures spon- tanées dans la -, par Lalanne, 248. Période terminale de la - par Arnaud, 250. chez un su
18 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ocaitis; Membre de la Société Médico-psychologique de Paris. III. Période DES syndromes spasmodiques ET TABÉ- toïdes. Cet
s. III. Période DES syndromes spasmodiques ET TABÉ- toïdes. Cette période commence avec les symptômes spasmodiques et tab
s. L'étude attentive des différents symptômes qui constituent cette période nous permet de mettre en relief : 1° des symptô
, XVIII. - ). Symptômes sensitifs. Nous avons vu qu'à la deuxième période , ces troubles marchent de compa- gnie avec les
u'on est sur- pris de la fréquence des symptômes céphaliques à la période très fugitive du début, au contraire plus tard,
peu qu'on fixe son attention sur la symptomatologie de la première période , on est frappé etde la multiplicité et de la va
t éminemment polymorphe. Mais du moment qu'elle passe à la deuxième période , le polymorphisme dispa- raît et l'uniformité f
sté- rieure. Avant de procéder à la description des différentes périodes de cette forme, je me hâte de remarquer que che
ion ultérieure de ces trois cas nous permettent de distinguer trois périodes : 1° la période des symp- tômes du début ou ext
ces trois cas nous permettent de distinguer trois périodes : 1° la période des symp- tômes du début ou extrinsèques; 2° la
des : 1° la période des symp- tômes du début ou extrinsèques; 2° la période de la paraplégie ou paralytique, et 3° la pério
trinsèques; 2° la période de la paraplégie ou paralytique, et 3° la période du syn- drome tabétoïde. I. Période DE symptô
égie ou paralytique, et 3° la période du syn- drome tabétoïde. I. Période DE symptômes DU début. Des divers et multiples
et multiples symptômes constitutifs de la symptoma- tologie de la période du début chez nos malades, les uns sont cépllal
bi- naison de ces différents symptômes pour la constitution de la période du début, nous devons remarquer qu'elle n'est s
la toux quinteuse, l'hémoptisie. Quel polymorphisme du début ! 2. Période paralytique. Chez le malade de l'OBSER- vation
eu lieu avant la disparition complète de tous les symptômes de la période du début, en d'autres termes durant cette pério
symptômes de la période du début, en d'autres termes durant cette période . Chez le malade de l'OBSERVATION XXI, l'apparit
té à 2 h. et demie du soir; à 10 heures du soir, tout symptôme delà période du début disparaît et le malade reste éveillé,
contraire, de la réten- tion. C..E'uo<Mo7t de la paralysie. La période para- lytique finit de jouer son rôle dans l'év
peine, et chez celui de l'OBSERVATION XXI, d'un mois et demi. 3. Période de sranisooe TnfroïnL. Cette période commence i
N XXI, d'un mois et demi. 3. Période de sranisooe TnfroïnL. Cette période commence immédiatement après la disparition de
xiste dans les trois cas et qui domine l'état des malades à cette période . C'est le caractère essentiel et fondamental, c
par les trois malades. Ce symptôme a fait son apparition pendant la période paralytique, dès le début de la paralysie et pe
, constituant un des symptômes les plus sail- lants de la troisième période . 2° Douleurs en ceinture. Ce symptôme qui a f
nsation servant en quelque sorte de symptôme de transition entre la période paralytique et celle du syndrome tabétoïde. N'é
sibilité qui a été constatée au moment de l'invasion de la deuxième période , au sur -et à mesure que le temps s'avançait, r
ndrome a commencé chez les trois malades dès le premier temps de la période paralytique : à ce 'moment, sa place au tableau
par ce syndrome, c'est à cette époque que le malade entre dans la période du syndrome tabétoïde. Poursuivons l'évolution
lètes. B). Symptômes négatifs. A côté de symptômes positifs de la période du syndrome tabétoïde, il y a des symptômes nég
Observations XX et XXI immédiatement après la dis- parition de la période du début ont définitivement disparu pour ne plu
ié de fixer l'attention de notre lecteur sur le polymorphisme de la période du début, mais au mo- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLO
PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 55 ment de l'invasion de la deuxième période , l'unifor- mité apparaît par une symptomatologi
suivra immédiatement, d'aucun des symptômes qui appartiennent à la période du début des autres formes spinales. En effet,
des accidents par l'emploi des scaphan- dres et des symptômes de la période du début des autres formes spinales nous donne
tologie et leur évolution ultérieure nous oblige à diviser en trois périodes la pathologie de cette forme : 1° la période de
ge à diviser en trois périodes la pathologie de cette forme : 1° la période des symptômes du dé- but ou extrinsèques; 2° la
rme : 1° la période des symptômes du dé- but ou extrinsèques; 2° la période monoplégique et 3° la période du syndrome spasm
s du dé- but ou extrinsèques; 2° la période monoplégique et 3° la période du syndrome spasmodique. 1° Période de symptôme
période monoplégique et 3° la période du syndrome spasmodique. 1° Période de symptômes du début. L'invasion des symptômes
mes d'accidents spinaux provenant de l'emploi des scaphandres. 2° Période monoflégique. L'invasion de cette pé- riode che
es vésicaux. La vessie qui est presque constamment troublée à cette période dans les autres formes spinales, parmi les quat
archer sans appui. Nous revien- drons dans la suite en décrivant la période du syn- drome spasmodique sur l'évolution ultér
olution ultérieure de cette monoplégie et de ses terminaisons. 3. Période DU syndrome spasmodique. L'examen DES ACCIDENTS
ces symptômes sont parmi ceux qui, très souvent, figurent dans la période du début, d'autre part, il n'y a pas un seul ca
d'autre part, il n'y a pas un seul cas où nous les trouvions à une période ulté- rieure à son stade du syndrome spasmodiqu
er que le polymorphisme du début est, au moment de l'invasion de la période monoptégiquc, remplacé par une uniformité carac
ajoutons les particularités cliniques spéciales des symptômes de la période du début, le mode de l'invasion de la monoplégi
écoulement vagi- nal glaireux qui dure plusieurs jours. Pendant ces périodes , la face deviendrait plus colorée, les lèvres p
ts signalés plus haut représentent en quelque sorte les phases ou périodes du même processus. « lu Etat cataleptique. Il p
serve habituellement un 1 Certains sujets pourtant sont, dans celte période , susceptibles d'être facilement suggestionnés,
s d'être facilement suggestionnés, plus facilement même que dans la période Homnambunque. GhANt) Et PETIT hypnotisme. 99
de l'hypnose dans lesquelles on ne trouve pas la division en trois périodes . Un ou deux des trois états peuvent manquer, d'
eurs variétés possibles ; la cata- lepsie est, dans cette forme, la période qui nous parait man- quer le plus souvent. Dans
ous parait man- quer le plus souvent. Dans d'autres cas,. les trois périodes se confondent, et alors, tantôt les caractères
et alors, tantôt les caractères somatiques et psychiques des trois périodes , se trouvent réunis, tantôt on ne constate la p
constate la présence que d'un ou de deux de ces caractères. Deux périodes , les périodes léthargique et somnambulique, peu
présence que d'un ou de deux de ces caractères. Deux périodes, les périodes léthargique et somnambulique, peuvent être conf
tre progressive. Voici, par exemple, un sujet chez lequel les trois périodes sont confondues pendant un certain temps. A un
emps. A un moment donné, on remarque une tendance à la formation de périodes distinctes; lorsque les Consulter, Sur les J'or
malade reste ainsi dix-huit mois à la Salpètrière et, pendant cette période , on essaie à maintes reprises de développer la
nd hypnotisme. Dans l'attaque d'hysteria major, il existe plusieurs périodes distinctes comme dans le grand hypnotisme. Les
érie peuvent dévier du type normal par l'absence d'une ou plusieurs périodes ou par la confusion de deux périodes. N'est-ce
r l'absence d'une ou plusieurs périodes ou par la confusion de deux périodes . N'est-ce pas ce que nous avons vu a propos de
as être incriminé, et où, en faisant remonter l'enquête jusqu'à une période antérieure à l'ad- mission du malade, on peut p
ion, l'instinct sexuel et ses abus, la grossesse, la parturiton, la période puerpérale, la lactation, l'onanisme. Les quest
cience totale, l'acte incri- miné correspondant soi-disant avec une période de ce genre. En troisième ligne sont esquissés
. 1 stupide, suite de folie systématique hallucinatoire aiguë, a la période do désordre, avec incohérence dans les idées, 1
elle circulaire qui limite à quinze jours au plus la durée de cette période de mise en observation. » SÉNAT. 143 La dispo
]31cêLi,e et de la Salpêtrière qui ont constitué durant une longue période les seuls asiles consacrés aux aliénés dans le dé
. 1. FORME APHASIQUE. On sait déjà que, parmi les symptômes de la période du début, les troubles de la parole ont plus d'
it déjà que la- surdité des mots a figuré à titre de symptôme de la période du début de la- forme centrale spinale postérie
. Tous . ces'troubles sensoriels ont figuré comme symptômes de la période du début des différentes formes spinales ; en d
er- valles rapprochés, bruits de cascade), comme symp- tôme de la période de début. Nous allons main- tenant les voir à t
centués. Il était impossible de pro- voquer par suggestion, dans la période somnambulique, le dé- veloppement d'une halluci
ravail que l'hypnotisme pouvait être comparé au point de vue de ses périodes , des variétés qu'il présente, di l'attaque hysté-
s'est servi d'embryons humains de 28 centimètres de long ; à cette période , toutes les fibres de la région comprise entre
musculaire. « Une impulsion, dit Helmoitz, survenant pen- dant la période latente de l'excitation fournie par une impul-
xcitation des nerfs sensitifs. La dilata- tion directe présente une période latente moins longue, arrive plus rapidement à
opposé à l'excitation. Si l'on sectionne le sympathique au cou, la période latente de la dilatation réflexe devient trois
'il n'y a pas de rapport entre ces deux ordres de phénomè- nes : La période latente de la dilatation directe et de la dilata-
tation directe et de la dilata- tion réflexe est plus courte que la période latente de l'augmen- tation de pression dans le
teint son maximum le quatrième ou le cinquième jour.' Pendant cette période , la pupille réagit lentement à la lumière et se
t'âge adulte. Pèie choréique. Encéphalite corticale diffuse à la période d'atrophie et d'organisation conjonctive au nivea
di- que se distinguant de la paranoia intermittente en ce que les périodes sont espacées d'intervalles de lucidité pure. M
me. En effet, si on suit l'histoire de ces individus, on trouve des périodes de délire portant -ur certaines choses, tandis
ruction déterminée de l'écorce sont plus complexes. Au lieu de deux périodes , l'une dans laquelle les phénomènes de déficit
i apparaissent immédiatement après l'opération, ou dans la première période . Dans la seconde période, on ne pourrait exclur
t après l'opération, ou dans la première période. Dans la seconde période , on ne pourrait exclure absolument l'interventi
xcessivement pénibles, frissons très violents mais de courte durée, périodes de chaleur au contraire très longues; au contac
vons déjà rencontré les vertiges, surtout parmi les symptômes de la période du début des diverses formes cliniques. Il ne m
ait. Seuls les symptômes locaux persistent. Ce n'est que dans une période plus ou moins an- térieure, au sur et à mesure
ut donc des années pour que le z syndrome de Ménière arrive à cette période . Main- tenant, que le lecteur veuille bien jete
ploi des sca- phandres, et surtout, dans la symptomatologie de la période du début des formes spinales. Les obser- vation
ieurs fois rencontré des symptômes céphaliques faisant partie de la période du début, mais ce sont là des symptômes absolum
udes ont été faites sur ce sujet par il. Kouznetzoff. A la première période de l'hyperémie, une grande quantité de cel- lul
ats et l'exsudat plasmatique suivent le trajet des vaisseaux. A une période plus avancée, l'épaisseur des cylindres-axes es
imes et décelée, ainsi, comme une psychose chronique à nom- breuses périodes systématiquement étagées, grâce enfin à toutes
ment après la perte. L'auteur, avec Crothers et Mauns, admet deux périodes dans BIBLIOGRAPHIE. 193 l'évolution de l'ivro
périodes dans BIBLIOGRAPHIE. 193 l'évolution de l'ivrognerie, la période nerveuse ou prémonitoire et la deuxième celle d
erveuse ou prémonitoire et la deuxième celle de la dypsamonie. La période prémonitoire présente d'abord les symptômes vul
s dans leurs maladies, quelle que soit la neurasthénie. La deuxième période c'est l'ivrognerie proprement dite : alcoolisme
19 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
que hystérique, aujourd'hui réduite à une formule très simple. Quatre périodes se succèdent dans l'attaque complète avec la régu
4° délire terminal. Mais l'attaque peut être incomplète; chacune des périodes peut se montrer isolément; ou encore une ou deux
ussi la maladie est caractérisée, dans le? attaques régulières, par 4 périodes , dont l'une, la première, s les apparences de l'é
arrivent là; cette situation se prépaie lentement; dans une première période , vous avez une paraplégie avec flaccidité des mem
l y a seulement exagération des réflexes tendineux; dans une deuxième période , vous voyez survenir des accès de rigidité; dans
it dans l'extension ou la demi-flexion; et, enfin, dans une quatrième période qu'on n'observe presque jamais, ou du moins excep
ations cervicales. Cet envahissement successif s'est fait pendant une période de quatre ans. Les douleurs ont été peu vives, le
'origine articulaire. — II. Migraine ophthalmique se manifestant à la période initiale de la paralysie générale. Sommaire. —
iculation dans une situation fixe. En examinant les malades pendantla période d'acuité de l'affection, on reconnaît que, loin d
oient spontanées ou provoquées, les attaques sont constituées par une période épileptoïde, plus marquée dans une moitié du corp
d'ailleurs l'attaque avec la même facilité. L'attaque est régulière; période épileptoïde, période de grands mouvements avec at
avec la même facilité. L'attaque est régulière; période épileptoïde, période de grands mouvements avec attitude en arc de cerc
résumer Y hystérie, qu'un examen plus sérieux rend évidente. Dans les périodes intercalaires, on constate, en effet, que, du côt
éformation a été permanente, sans cesse ni trêve, excepté pendant une période de deux mois, où elle a été atténuée, sous l'infl
s'était développée. La douleur que, depuis ce moment, et pendant une période de trois mois environ, il n'a pas cessé d'éprouve
ou détruits; ainsi, par exemple, dans la paralysie infantile après la période de réparation, ou encore dans les myélites centra
du cancer vertébral. — II. Pachyméningite cervicale hypertrophique ; période pseudo-névralgique ; période paralytique ; périod
achyméningite cervicale hypertrophique ; période pseudo-névralgique ; période paralytique ; période spasmodique. — Cas particul
e hypertrophique ; période pseudo-névralgique ; période paralytique ; période spasmodique. — Cas particulier ; Guérison avec ré
stématique. Au point de vue symptomatique, on peut distinguer trois périodes .. La première période,période névralgique ou ps
vue symptomatique, on peut distinguer trois périodes.. La première période ,période névralgique ou pseudo-névralgique, se fai
ptomatique, on peut distinguer trois périodes.. La première période, période névralgique ou pseudo-névralgique, se fait remarq
e sont les nerfs qui la traversent, mais non la moelle. La deuxième période , période parahjtique, est caractérisée par l'impu
s nerfs qui la traversent, mais non la moelle. La deuxième période, période parahjtique, est caractérisée par l'impuissance m
ne sont-ils pas compris au même degré dans l'altération? Troisième période . Quelquefois, les choses en restent là, et tantôt
n séjour de plusieurs années dans une habitation humide et froide. La période douloureuse a duré six mois, les douleurs occupai
rs, mais encore le thorax ; la moelle dorsale était donc atteinte. La période paralytique a débuté par les membres supérieurs,
mélioré aujourd'hui d'une façon notable, il faut donc distinguer deux périodes : l'une du 3 au 30 mars, la seconde du 1er au 15
brisée xy z sont un peu plus longues et plus irrégulières que dans la période de repos, mais elles ne le sont jamais autant que
our la première fois, à l'occasion d'une dispute, survenue pendant la période menstruelle, et après une de ces attaques vulgair
es mouvements malléaloires. La malade a les yeux fermés. Puis à celte période succède une période de spasmes toniques et de tor
loires. La malade a les yeux fermés. Puis à celte période succède une période de spasmes toniques et de torsion des bras et de
rendre à leur travail ou de se livrer à leurs occupations pendant des périodes de plusieurs mois ou même de plusieurs années, ne
elle et sensitive, avec ovarie du même côté qui, pendant cette longue période de 15 ans, n'a pas été modifiée, même temporairem
etrouvons chez elle encore aujourd'hui, c'est-à-dire après une longue période de 34 ans ! — Cette malade est soumise à notre ob
nce et Y attaque proprement dite commence. Elle est divisée en quatre périodes bien nettes et bien séparées. Dans la première, l
le malade esquisse quelques convulsions épileptiformes. Puis vient la période des grands mouvements de salutation, d'une violen
endant ce temps, le malade pousse des cris sauvages. Puis vient la 3a période dite des attitudes passionnelles, pendant laquell
mpe du même côté. Le malade perd alors complètement connaissance ; la période épileptoïde est commencée : d'abord augmente et s
contraction con-vulsive des muscles pectoraux. Après cela survient la période des contorsions, caractérisée surtout par des mou
clownisme que j'ai proposée pour désigner cette partie de la deuxième période de l'attaque. De temps en temps, les contorsions
ous montrent, en effet, que pour ce qui concerne là régula rite des périodes et le caractère épique des diverses altitudes, le
invoquer chez lui l'influence de l'imitation contagieuse. Seule la période des hallucinations et des attitudes passionnelles
ase épilep-loïde est en général peu accentuée et très courte, mais la période des grands mouvements et des contorsions qui lui
une friction même peu vigoureuse. Après l'aura classique survient une période épileptoïde très nettement caractérisée. La pério
ique survient une période épileptoïde très nettement caractérisée. La période des grands mouvements, comprenant l'attitude en a
t ou quinze jours environ, et il se vit obligé, durant cette longue période , de cesser tout travail, à cause de l'état de fai
« Je vais te tuer..., un coup de fusil..., tu vas voir. » Après cette période , marquée par le délire et les attitudes passionne
quée par le délire et les attitudes passionnelles correspondantes, la période épileptoïde se reproduit spontanément, inaugurant
ar un côté, s'éloigne notablement du type classique. Dans la première période , en effet, nous voyons les accidents convulsifs r
puis, car actuellement les attaques existent. Mais pendant une longue période de lt mois, il s'est agi ici d'un cas fruste, d'u
t il ri avait pas pu faire usage, un seul instant, pendant une longue période de près de 10 mois. La paralysie motrice n'était
actes volontaires, plus ou moins prémédités. D'ailleurs, dans cette période somnambulique, tous les sens sont ouverts et l'on
s, pour vous rappeler d'une façon très générale quels sont, dans la période somnambulique, les grands caractères des phénomèn
elque sorte mélangés, coexistant, au môme moment, sans distinction de périodes , contrairement à ce qui a lieu dans le grand hypn
'on ne peut, par conséquent, assigner à ce moyen, — au moins dans les périodes dont il s'agit, — une valeur diagnostique absolue
, dit-il, dans les premiers temps, le membre gonflé; au bout de cette période , il commença à marcher avec des béquilles, puis i
ait analogue à celui qui s'observe dans la coxalgie organique à la 3* période . — La jointure est immobile, la cuisse comme soud
ats de notre exploration : Au bout de six à sept minutes, après une période d'excitation très courte, contrairement à ce que
ous faire connaître les phénomènes présentés par ce malade pendant la période du réveil : — la raideur commença à reparaître à
'état mental produit par le shock nerveux et celui qui caractérise la période som-nambulique de l'hypnotisme, mais je crois en
urs individus hypnotisés, nous sommes parvenus à produire, pendant la période somnambulique, ce même genre de paralysie, en app
membre tout entier peut se montrer parésié et insensible, pendant une période de temps plus ou moins longue. Une simple contusi
qui, comme au début, était resté absolument insensible. Pendant une période de 15 jours, l'avant-bras fut placé dans une gout
diffère peut-être, vous le voyez, de la contracture provoquée dans la période léthargique du grand hypnotisme que par l'intensi
de rentrer en complète possession de l'état normal, il traversera une période où se montre un bégaye-ment particulier, consista
a paralysie labio-glosso-laryngée en général, jusque dans sa dernière période — celle dont notre deuxième malade offre un exemp
gnes d'être notées; toutefois, j'insiste sur ce fait que, pendant une période de six ans, de 24 à 30 ans, il a eu des attaques
ficiellement ce phénomène du mutisme. La malade étant plongée dans la période somnambulique de l'hypnotisme, vous commencez par
l'impossibilité d'articuler. Ce mutisme artificiel, obtenu pendant la période somnambulique, persiste, comme vous voyez, à l'ét
iellement produite par suggestion chez les hystériques hypnotisables ( période somnambulique). moelle épinière, soit, par exem
ve chez une hystérique hé-mianesthésique hypnotisée, lorsque, dans la période somnambulique on détermine chez elle, par suggest
hez les hystériques hémianesthésiques hypnolisables, lorsque, dans la période somnambulique, on vient à déterminer chez elles,
on peut, chez les sujets hémianesthésiques hypnotisables, pendant la période somnambulique^ déterminer, par suggestion orale,
premier lieu, il est certain que l'état mental qui s'observe dans la période somnambulique de l'hypnotisme ne constitue pas la
taques, très violentes, sont classiques (aura, perte de connaissance, période tonique, clonique, etc.). Quand le malade reprend
e celte époque à ce jour, c'est-à-dire plusieurs années, il y eut des périodes de quelques jours et accidentellement d'une semai
réponse suif immédiatement la demande, si le sujet sait écrire. A la période de retour de la parole, quand l'aphonie est moins
uire, par la suggestion hypnotique, le mutisme hystérique. Pendant la période de somnambulisme, on fait causer une malade; puis
origine articulaire. — II. migraine ophtiialmique se manifestant a la période initiale de la paralysie générale. Sommaire. —
du cancer vertébral. — II. Pachyméningite cervicale hypertro-phique; période pseudo-névralgique; période paralytique ; période
Pachyméningite cervicale hypertro-phique; période pseudo-névralgique; période paralytique ; période spas-modique. — Cas particu
le hypertro-phique; période pseudo-névralgique; période paralytique ; période spas-modique. — Cas particulier : Guérison avec r
20 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
liés clans mon service de clinique et sous ma direction pendant cette période de temps. J'ai pensé qu'il pouvait y avoir quelqu
ître les plus intéressants et les plus importants se rapportant à une période donnée (novembre 1889 à novembre 1891) en les r
escription se sont quelque peu modifiés de 1883 à 1889, pendant cette période de six ans. Le premier mémoire de M. Morvan (18
al simultanément et peuvent quelquefois se succéder ainsi pendant des périodes de temps extrêmement longues. Ainsi dans l'observ
ossédions, les panaris se sont succédé les uns aux autres pendant une période de plus de quarante années, de douze à cinquante-
pour porter la pelle, était plus faible que la droite. Pendant cette période , également, le bras, le tronc du côté droit et la
ntral, d'où M. P. Marie a eu l'amabilité de nous l'envoyer. Dans la période antérieure de sa vie, il n'avait eu aucun trouble
ue: cas de Möbius, Hasner, Senator, Saundby, Parinaud et Marie, etc.. Période de douleur; période de paralysie portant sur tous
asner, Senator, Saundby, Parinaud et Marie, etc.. Période de douleur; période de paralysie portant sur tous les filets de la 3e
ur; période de paralysie portant sur tous les filets de la 3e paire ; période de rémission ; leurs caractères, leur retour péri
de migraines véritables datant de l'âge de 15 ans. Longue durée do la période douloureuse. Période paralytique: Ophthalmoplegie
es datant de l'âge de 15 ans. Longue durée do la période douloureuse. Période paralytique: Ophthalmoplegie interne et externe o
ulo-moteur n'apparaît jamais, autant qu'on sache, qu'à la suite d'une période douloureuse le plus souvent accompagnée de vomiss
ises, de nausées et de vomissements. Dans l'accès la durée de cette période douloureuse est variable ainsi que nous le dirons
dans le fait qui va vous être présenté. Un autre caractère de cette période douloureuse c'est qu'elle se termine brusquement,
nt pour faire place à la paralysie qui persistera ensuite pendant une période de temps qui peut varier de quelques jours à plus
de migraine ophthalmoplégique ; il se compose essentiellement de deux périodes successives : l'une, la première en date, qui peu
micranie, le malaise et les vomissements; l'autre, la seconde, est la période paralytique. Mais vous auriez, Messieurs, une idé
u l'accès ne s'étend pas à plus de 3, 4, 5, 6 jours, tout compris : période douloureuse et période paralytique. Remarquez à c
pas à plus de 3, 4, 5, 6 jours, tout compris : période douloureuse et période paralytique. Remarquez à ce propos que la durée d
ique; j'ajouterai que dans les cas où l'accès est de courte durée les périodes intercalaires sont relativement courtes ou, autre
Ce cas met en lumière le fait intéressant que chez quelques sujets la période douloureuse peut, dans certains accès, exister se
peut, dans certains accès, exister seule et ne pas être suivie de la période paralytique. 2° Cas de Manz (Berlin, klin. Woch
eu lieu seulement une fois environ chaque année, mais la durée de la période douloureuse qui s'accompagne de vomissements est
Les accès ont lieu depuis cette époque chaque année au printemps. La période douloureuse est marquée par une nh%ralgie orbitai
violente surtout vers le soir. Bien qu'ils aient été séparés par une période de près de 7 années, il est difficile de ne pas c
dant une longue série de jours. Dans ce premier accès, la durée de la période douloureuse n'a pas été de moins d'un mois. Au
out de ce temps, suivant la règle, elle a fait place tout à coup à la période paralytique : chute de la paupière de l'œil droit
sme, mydriase, obnubilation de la vue de ce même œil, diplopie. Cette période a duré également environ un mois ; après quoi les
s'est produit à peu près un an après le premier, en février 1886. La période douloureuse n'a pas duré cette fois plus de trois
te conformément au type, se sont montrés fort accentués pendant une période de 8 jours, après quoi ils se sont atténués ; mai
à un certain degré, pour ainsi dire en permanence, pendant une longue période de 3 années, fin 1886, 1887, 1888 et une partie d
à se rendre en province à propos de la mort non prévue de sa mère. La période douloureuse, qui a été marquée par tous les incid
les fluxions. Où siègent les unes et les autres ? Les douleurs de la période hémicraniquo établissent suffisamment une partici
venir de la même façon et prolongée, autant que possible, pendant une période de 8 ou 10 mois. Observation. — Cet..., Berthe,
— Depuis novembre 1889, jusqu'au 28 janvier 1890, la malade a eu une période de repos complet pendant laquelle tout était à l'
taques. Vomissements ; exaspération de la douleur vers le soir. Cette période douloureuse a duré jusqu'au 20 février. Alors, la
ible. En effet le malade, ainsi que je l'avais prévu dans la première période de sa maladie, est sujet à des grandes attaques d
taines hys- tériques,par suggestion,après les avoir placées dans la période somnambulique du grand hypnotisme. Nous avons c
ie, somnambulisme. Le 26 avril 1890, la malade étant placée dans la période somnambulique de l'hypnotisme, on lui suggère que
a le défaire. Je fais placer pour cela de nouveau la malade dans la période somnambulique et on va lui suggérer devant vous q
ceau de bois vint heurter son poignet et le dos de sa main. Après une période d'incubation de plusieurs jours, pendant lesquels
pour une tumeur blanche des articulations de la main. Pendant cette période de temps, pas d'attaques de nerfs, pas de perte d
pendant la guerre franco-allemande, et, bien qu'exposé pendant cette période à des fatigues et des privations de toute espèce,
rare, tant s'en faut, car ces accidents figurent vulgairement dans la période préataxique. liest moins souvent donné de rencont
on des cellules motrices. L'évolution s'est faite rapidement dans une période de 6 à 7 mois. Aujourd'hui nous assistons à la pé
ement dans une période de 6 à 7 mois. Aujourd'hui nous assistons à la période de rétrocession ; le malade, chez lequel l'ophtha
lement le second plan, et même dans certains, au moins à une certaine période de leur évolution, peut faire complètement défaut
ment effectuée pour qu'on pût enlever l'appareil. Pendant toute cette période d'immobilisation au lit, les membres supérieurs a
membres, qui dura sept mois et se termina par la gué-rison. Après une période de santé de deux ans et demi, le malade fut repri
de, l'existence de ces douleurs violentes qui caractérisent l'une des périodes de la pachy-méningite cervicale hypertrophique.
logie avec le tabès et une confusion possible avec cette maladie à sa période préataxique. Mais quelques auteurs vont encore
tre suivie d'une sorte de rémission danslapolydipsie. — Pendant cette période , il maigrit d'environ trente livres au minimum.
des deux côtés. Il n'a rien remarqué à droite; à gauche il a eu une période de huit jours environ pendant laquelle il souffra
es emportements violents. Pas de maladies caractérisées pendant cette période . Nous parlerons plus loin de ses antécédents héré
ffets du shock nerveux n'ont pas cessé de se faire sentir pendant une période de trois mois. Toutes les nuits, pendant ce temps
nt attribuées à une attaque de rhumatisme et que, durant cette longue période hémiplégique, une thérapeutique variée : électric
hémiplégiques hystériques (démarche de Todd). Pendant cette longue période d'hémiplégie (deux ans), elle présentait toujours
ntir les lois qui régissent l'évolution nosographique, voici venir la période critique. Il s'agit maintenant de discerner les f
e encore davantage do l'absence de tous les signes fondamentaux de la période praataxique : ni les phénomènes visuels, ni les d
chez les individus d'un certain âge, l'hystérie a été précédée d'une période de neurasthénie préparatoire : tristesse, abattem
«e X... a souffert de douleurs très vives dans le bas-ventre à chaque période menstruelle. De plus, elle riait et pleurait sans
rque aujourd'hui. Pendant cette première attaque, il y eut une courte période de convulsions avec perte de connaissance, puis l
et des mois sans que la santé générale semble en souffrir. A cette période , ou même lorsque les bâillements revêtent cette a
es, chorée rythmée, toux, dyspnée hystérique, des vestiges des quatre périodes classiques. Outre les phénomènes prémonitoires
timents représentatifs des attitudes passionnelles et de la quatrième période ou de délire. La prédominance des bâillements fix
e service de M. le professeur Charcot, que l'analyse des urines de la période des vingt-quatre heures comprenant l'attaque donn
us avons observé et qui nous a fourni huit analyses dont quatre de la période d'attaque, l'état normal hystérique caractérisé p
permanents était également entrecoupé par des bâillements espacés, la période d'accès se caractérisant par quelques-uns des pro
, se groupant sous forme d'attaque. Or, nous notons encore dans cette période d'accès comparée à la période d'état normal un ab
aque. Or, nous notons encore dans cette période d'accès comparée à la période d'état normal un abaissement du volume, une dimin
sion de la formule, absolument comparables à ce qui s'observe dans la période des vingt-quatre heures correspondantes de l'atta
Cas de Möbius, Ilasner, Senator, Saundby, Parinaud et Marie, etc.... Période de douleur; période de paralysie portant sur tous
ner, Senator, Saundby, Parinaud et Marie, etc.... Période de douleur; période de paralysie portant sur tous les filets de la 3e
ur; période de paralysie portant sur tous les filets de la 3e paire ; période de rémission ; leurs caractères, leur retour péri
de migraines véritables datant de l'âge de 4 ans. Longue durée de la période douloureuse. Période paralytique : Ophthalmoplegi
les datant de l'âge de 4 ans. Longue durée de la période douloureuse. Période paralytique : Ophthalmoplegie interne et externe
21 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
présente un tableau de lésion mentale à cours périodique (dont les périodes viennent d'être citées) et avec troubles moteur
ne idée de tout le cours de sa maladie. La maladie a débuté par une période mélancolique avec des idées d'autoaccusation tr
paru la forme secondaire ? Par conséquent, l'analyse clinique de la période initiale de la maladie doit occuper ici le prem
tonie . ' Ce qui parle encore en faveur de la catatonie, c'est la période mélancolique initiale, ensuite l'excitation hallu
toire dans la floraison de la maladie. et la démence pré- coce à la période terminale. Le cours de cette maladie pré- sente
avant l'entrée du malade à l'hôpital) la \ maladie a débuté par une période mélancolique; mais nous ', n'avons pas de descr
peu nombreu- { ses, il est vrai, que nous connaissons concernant la période [, initiale de la maladie, nous devons noterque
oppée à un âge jeune (vingt-trois ans), qu'il y avait 1 d'abord une période de dépression, puis une excitation con- t sécut
rrêter encore sur une particularité intéressante de ce cas, sur les périodes d'affaiblissement du procès morbide. Après le
(état dépressif, irritabilité, des positions forcées) ; 3° Dans la période terminale toujours une démence. ¡ En comparant
le l'abaissement de l'intelligence très-prématuré, l'alypie de la période initiale, la stéréotypie du cours de la maladie e
ire que pour l'amentia de Meynert, le début de la maladie par une période mélancolique ne convient pas, et le délire dans
dans la sphère motrice de l'écorce cérébrale ; assurément dans la période primordiale de la maladie, toute l'affaire se b
u tableau clinique, en admettant la possibilité de l'enlèvement des périodes iso- lées. Dans l'état contemporain des choses
que. Pour différencier cette forme de la mélancolie pure, dans la période primordiale on peut noter déjà un cours atypique
acta la syphilis à vingt-deux ans et chez lequel survint pendant la période secon- 68 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. daire
apparaissent et prolongent leur action bienfaisante jusque dans la période de veille. La codéine n'est pas un hypnotique,
; 13 cas : (petits lymphocytes, grands lymphocytes, albumine ; pgp. période , d'état stationnaire) ; c) accentuée; 7 cas : (
n des attaques convulsives et des troubles psy- chiques pendant les périodes d'ascension et d'état de la ma- ladie infectieu
éré 1, avait remarqué déjà « que beaucoup de femmes étaient dans la période menstruelle lorsqu'elles avaient éprouvé la fra
gée de cinquante ans, atteinte de paralysie générale à la seconde période . Ses antécédents héréditaires sont assez vagues :
oins dans la croyance au pouvoir de' l'hypnotiseur. Aussi, avant la période scientifique, des personnes instruites ont pu c
port aux entrants quelconques est de 14,3 p. 100 pour la première période , et de 14,4 pour la seconde : celte proportion en
22 août 1898 il est en état d'agitation maniaque consécutive à une période de dépression qui a. duré dix-huit mois. Il est
oit faire soupçonner la fièvre typhoïde; . 2° Les psychoses de la période fébrile, proprement dites, sont les plus fréque
ur le syndrome paralyti- que qui dominait la scène dans la dernière période de la maladie. A l'autopsie on trouva une gomme
qui pourrait, d'après Lombroso, aller jusqu'au génie, du moins à la période de début. Trois ob- servations personnelles du
a respiration moins rapide, de sorte que la mort est précédée d'une période de calme relatif, si elle ne s'est pas produite
es onanistes éphémères : - 2. Dans les intervalles qui séparent les périodes d'abus, le sentiment de bien- être général, l'a
et le tassement du sujet font seuls soupçonner la maladie-; à cette période le diagnostic est souvent méconnu. L'auteur'- r
lue de la.tête rentrée dans les épaules, accompagnée d'une longue période douloureuse qui semblait correspondre à la phase
énomène plus ou moins constant, voire provisoire, concomitant d'une période d'excitation. - 5. Il faut la ranger dans la caté
cience, juillet 1903.) Les recherches de l'auteur ont porté sur une période qui va de 1890 à 1902, durant laquelle furent c
u deux mois par exemple - à la durée de ce séjour temporaire, cette période suffira-t-elle pour que le traitement ait des eff
stion : Valeur diagnostique des symptômes oculaires aux différentes périodes de la paralysie générale, appuyée sur des obser
. SOCIÉTÉS SAVANTES. 259 En réalité l'évolution se divise en deux périodes : une première période aiguë, durant six ou hui
En réalité l'évolution se divise en deux périodes : une première période aiguë, durant six ou huit mois, au maximum deux o
, toute notion de la couleur et de la forme des objets, une seconde période essentiellement chronique, durant au minimum, t
péchant. La maladie dura à peu près deux ans, s'exprimant, vers la période terminale, par des profondes atrophies musculai
uez aussi qu'elle ne présente pas la teinte cireuse habituelle à la période terminale d'un cancer, mais plutôt une mélanode
us occupent - à condition toutefois que le décès soit survenu à une période de l'invasion rachidienne pas assez avancée pou
arc pos- térieur ou aux corps vertébraux ue s'effectuant qu'à une période plus lointaine de l'évolution. Les racines sero
ébraux, à la faveur d'un trouble circulatoire fréquent à toutes les périodes du mal de Bright, à la faveur de l'ocdéme céré-
une attaque d'urémie avec délire. Reste à savoir si ce délire de la période terminale a eu une origine toxique. La quatrièm
ncestrale chez les héréditaires, etc. 4° Ces délires éclatent à une période quelconque du mal de Bright, tantôt au début, t
que le coefficient urotoxique est sensi- blement le même pendant la période délirante et en dehors d'elle. 5° Dans les auto
res à la phase dépressive, disparaissent pour la plupart pendant la période maniaque et l'intervalle lucide. Néanmoins pend
nt la période maniaque et l'intervalle lucide. Néanmoins pendant la période dé- pressive du quatrième accès, on se demande
inique d'Heidelberg affectées de folie simple, intervenait, pour la période - antérieure à 1890, dans le diagnostic, dans l
ertain nombre de symptômes caractéristiques qui sont les suivants : période pro- dromique à début graduel aboutissant à la
s suivants : période pro- dromique à début graduel aboutissant à la période d'invasion aiguë avec hallucinations de l'ouïe,
katatonique des mus- cles et hyperleucocytose, qui, à la fin de la période aiguë indique^ une toxémie virulente. A la dern
n de la période aiguë indique^ une toxémie virulente. A la dernière période , état de stupeur avec résistance des muscles au
vorable. 3" L'immunisation active chez des malades ayant atteint la période de stupeur n'adonné aucuu résultat curatif. G°
peur n'adonné aucuu résultat curatif. G° L'immunisation active à la période du début aigu de la maladie, essayée jusqu'ici
u trois minutes : la douleur est complètement jugulée. Pen- dant Ja période d'hyponarcose qui précède le retour à l'état de
ndant les premiers temps ; plus tard, il y eut plutôt alternance de périodes de stupeur et d'irritabilité; la mort survint alo
illaire de la langue et des lèvres qui peuvent manquer jusqu'à une' période avancée de la maladie, et que d'autre part on p
des et par conséquent, dans la majorité des cas, dans la première période de la paralysie générale. Sur ces 227 malades,
on n'a pas signalé de troubles oculaires, un examen ultérieur à une période plus avancée de la maladie en eut fait observer
n du signe d'Argyll chez des malades qui venaient d'entrer dans une période de rémission de leur affection. En voici l'obse
ne sont plus abolis, ils sont seulement affaiblis, le malade est en période de rémission et sort du service. Quelques temps
m- modateur seul est extrêmement rare, et que souvent, même à une période avancée de la paralysie générale, le réflexe ac
odation atteinte. Une réserve toutefois est à faire, c'est qu'à une période avancée de leur affection, il est impossible ch
elle serait tout à fait exceptionnelle et ne se produirait qu'à une période avancée de la maladie où il est impossible de l
t, puis cette tonicité mus- culaire croît et bientôt on arrive à la période que nous pourrions dénommer de contracture, les
à laquelle fait suite une phase clonique, et qui se termine par une période d'adynamie et de repos. b) Dans la production
es gouttelettes disparaissent par résorption graduelle. Dans aucune période de Tannés, on ne peut déceler de semblable forma-
vail mental est plus intense et plus rapide, peut-être parce que la période inspi- ratoire n'est pas la plusfavorable à l'e
ul est plus intense durant l'expiration, si l'on fait exception des périodes de travail accomplies pendant quelques pauses.
logique la plus habituelle des diverses pauses est d'indiquer une période de repos mental relatif ou absolu. 15° Très souve
oublier cependant qu'une pause quelconque peut être associée à une période de travail mental, et être alors l'expression,
ne augmentation de la pro- fondeur de la respiration correspond aux périodes de repos men- - tal absolu ou relatif. - 20° Au
iodes de repos men- - tal absolu ou relatif. - 20° Au contraire aux périodes d'activité mental correspondent des respiration
vocation s'associe une diminution de la fréquence respiratoire; aux périodes d'activité calculatrice presqu'automatique, s'a
manifestations des tumeurs. Le début de l'affection se fit par une période d'affaiblissement général, lentement progressiv
prédisposition héréditaire et vers la puberté : il peut y avoir une période de dépression avec idées de suicide, ou bien, d
hallucina- tions disparaissent. Il peut y avoir cependant quelques périodes d'excitation. Une démence très accusée apparaît
ez ancien pour que l'on ait pu constater la démence des dernières périodes . Il est intéressant de rechercher quels sont les
idemment considérable, mais elle n'est vraie que pour les premières périodes de la première de ces deux maladies, et les dif
ion, elles disparaissent le plus souvent ou s'atténuent une fois la période d'évolution aiguë franchie. Or chez six de nos
nt été les sujets sont de vieux tabes sortis depuis longtemps de la période inflammatoire. La choline n'accompagne donc pas
ériode inflammatoire. La choline n'accompagne donc pas seulement la période de désassi- milation, ce qui réduit la valeur d
ait conservé le souvenir très net des événements antérieurs à cette période . Pendant le cours de ce sommeil, elle ne fut po
colonne pour se tuer. 11 est probable que le délire ou du moins la période de trou- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉC
mental, il ne cherche aucune occu- pation. Il dit lui-même dans les périodes où il se trouve un peu mieux, le 17 octobre par
il a mené de 1890 à 1903. Evidemment nous serons obligés pour cette période , d'accepter le témoignage du malade et les rens
, s'en attrister davantage. Le malade semble néanmoins avoir eu des périodes d'inquiélude et de préoccupations déterminées p
t mental des dégénérés. La maladie de M. N... scinde sa vie en deux périodes bien tranchées; son mode de vie, son état menta
mais le diagnostic pouvait certainement être posé dès la fin de la période aiguë. Il est nécessaire, en effet, de pratique
ques paralytiques prédisposés par leurs antécédents vésaniques à la période de début ou durant les rémissions, les idées de
ons visuelles et auditives). A partir de cette époque C... a eu des périodes intermittentes 'le calme et de trouble. Mais
venons de décrire, pendant tout le reste de l'année 1903 avec des périodes de légère rémission pendant lesquelles C... n'est
lirantes, elle s'occupe quelque peu à l'épluchage. Elle jouit d'une période de deux mois environ de calme et, pendant ce te
e trouver des malades aussi dangereux et pendant une aussi longue période que F..., de l'Ous. II. Ces idées morbides semb
conservation du sentiment de la personnalité, de l'amnésie pour la période du délire et une grande suggestibilité. Au poin
ps, au lieu et à l'entourage, la conservation de la mémoire pour la période du délire. Du côté émotif, par une angoisse trè
nce prédominent. Nous comprendrions ainsi que la mémoire, pour la période de délire, doit faire défaut dans le délire tre
a été de trois jours (de la nuit du 20-21 au 23). Au cours de cette période , et principa- lement à son paroxysme, elle mani
u, elle se réveille calme et orientée, avec amnésie des faits de la période de delirium tremens, mais conservant par contre
tremens, mais conservant par contre le souvenir intact de toute la période hallucinatoire auditive et considérant comme ré
OLOGIE PATHOLOGIQUES. 2° Elle est abaissée dans la manie pendant la période d'excita- tion. 3° Elle subit des variations
es dans l'épilepsie : a) elle est au-dessous de la normale dans les périodes inter-paroxysti- ques, b) elle subit une diminu
durée des spasmes musculaires, et du degré de l'alcalinité dans la période inter-paroxystique, d) le sang reprend progress
icroscopique. G. G. XIX. Guérison de la méningite tuberculeuse à sa période prodro- mique par l'emploi répété des vésicatoi
Tripier rapporte six observations de ménin- gite tuberculeuse à le période prodromique, guérie* par l'applica- tion répété
lités ; mais il pense que, si le traitement qu'il pr conise dans la période prodromique réussit dans tous les cas où '. mén
aujourd'hui comme à peu près incurable, à la condition d'agir à une période bien déterminée avant qu'il n'y ait la moindre
présence d'un malade dont les symptômes semblent se rapporter à la période prodromique de la méningite, on devra appliquer
guë. 11 n'y avait pas eu de trouble notable de la sensibilité. A la période aiguë du début avait succédé une phase d'état trè
la fragmentation ne présente que l'un des phénomènes et l'une des périodes de la dégénérescence du nerf. W.-K. ROTH compte
rs, comme paralysie générale, s'étant développée en liaison avec la période puerpérale, doivent être rapportés aussi à la g
lues ne s'excluent pas l'un l'autre et dans le cours d'une certaine période intermé- diaire peuvent exister parallèlement.
es s'accompagnent de troubles physiques. surtout accentués dans les périodes aiguës. Ce sont, d'après Kroepelin : exagératio
de l'auteur portent sur 3445 cas, entrés dans son asile pendant une période de douze ans, et se décomposant en 1693 hommes
par \icolas et Arloing, 393. Gué- rison de la tuberculeuse à sa période prodromique par l'em- ploi répété des vwcatores
22 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
il j 1 heure 1/2 après la prise. UBS, XI. M™0 IL, 42 ans. Après uue période de confusion mentale (1898) avec excitation man
'u'a( ? quud(;7 ? U)'t"-parnui(. Excepté chez un catatonique, t1 la période initiale de la maladie, le véronal a eu dans ob
ues très intenses d'une durée do 15 jours à 3 semaines suivis d'une période de dépression légère d'égale durée. 11 existe e
tique produit son action habi- Luelle au déclin des accès et -il la période mélancolique. 10 THÉRAPEUTIQUE. Uss. XIX. 17t
de convul- sions ; elle n'était pas plus intelligente pendant cette période . A partir de 3 ans et 2 mois, tous les mois, ac
ès résister à celle pratique pourvu qu'on l'applique au début de la période tonique. Je ne doute pas que des exceptions puiss
rquer les fâcheuses conséquences de son vice. Dès lors apparaît une période de défense. Il lâche de chasser de son esprit t
le qui s'accompagne d'atrophie des nerfs optiques. Seulement ici la période latente est de 7-12 an-, Archives, 2- série, 19
Ellc est dans un état habituel de dépression mélancolique avec des périodes de rêverie où elle peni la notion de ce qui l'e
ppe un véritable syndrome mélancolique anxieux avec thanatophobieet périodes de mentisme ou confu- sion mentale passagère en
l s'est jeté sur sa femme pour l'étrangler. Par moments, il a des périodes de calme avec demi-stupeur, se couche et gémit :
née se passe dans les mêmes conditions. Hurlements de désespoir par périodes . Débraillé, sale, dechireur, abruti quand il n'
l reproduites avec intensité a diverses reprises, notamment dan- la période qui a précédé la mort qui est survenue le 2G oc-
s accès de rire spas- modiques constatés chez ce malade pendant une période assez longue me semblent appartenir au même méc
',\ ! l'èll1C : excitation 11lnlliallUea\l'c dl'- sordre des actes, périodes de stupeur avec phénomènes catatoni- (jules, cr
i Labie fureur de maslurhal ion.lc loul l'nll'CCOII- pé de quelques périodes lucides muisaveeulfuiblissement 1res mi- (leili
z banal dans les maladies mentales ; . on l'observe souvent dans la période d'invasion, non seulement des psychoses organiq
on le Il mai 1904, atteinte de (lé- mence parah tique à la dernière période . La mère de celle femme, née Eliennelle IL ? a
r aller tra- vailler à 9 It. du soir. Il perd de l'argent. Dans ses périodes de calme, où sa tristesse habituelle cède, un s
esse ; on la rencontre encore plus tard et jusqu'après la fin de la période du développement sexuel. 11 n'est pas obligatoi
dicale. Le type ther- mique inverse s'observe assez souvent dans la période de stupeur. La genèse de la catatonie n'est pas
esthoniens, chas- tes, chez qui l'affection s'était développée a la période de la matu- rité sexuelle.. Par conséquent conc
rvelet avecpachyméningile. \ M. BALLET. - Quelle était la durée des périodes délirantes ? M.DouTREBENTE. Plusieurs années.
ions de l'ouïe ; c) Signes ressemblant il ceux de l'alcoolisme avec période som- Incil. 1. Ce sont précisément ces signes
tance des aliénés en ' .\II<'lI1agl1l' peul se diviser en qualre périodes . La pl'I'rni.,1'1' l'om- ]'l'l'IIIIII' mO)l'n à
ll'ÏhlllHlll'\, d,' et non de la science médicale. Dans la deuxième période les fous sont considérés comme des lIjl'lsdan¡
Ijl'lsdan¡ ? el'l'lI'\ et onlll'ai- lés comme des criminels ; celle période s'étend de la fin de «'e· siècle au commencemen
alades et traités dans des l'ta- blissements spéciaux. La quatrième période est par le développement de l'assistance des al
mouvement p (1), parait avoir en vue les actes musculai- res de la période active, ceux des catatoniques en parti- culier.
précoce, les attitudes pro- longées et les mouvements répétés de la période active d'une part, les attitudes prolongées et
'une part, les attitudes prolongées et les mouvements répétés de la période résiduelle d'autre part ; car, outre que la gen
1. 1. 204 clinique mentale. mêmes mouvements monotones pendant la période de début n'est qu'une manifestation exagérée, u
che à fonder la pathogénie de l'affection, il semble bien que la période active soit marquée par des modifications dans
plus aucune de ces bizarreries depuis qu'elle est entrée dans la période résiduelle d'affaiblissement. Il semble donc qu
ouvements en question. 203 CLINIQUE MEN1AL1Î. contemporains de la période d'intoxication diffuse, si l'on peut dire, sont
ions que lui a laissées le processus éteint. En d'autres termes, la période aiguë passée, la cellule amoindrie, mais non pl
dées délirantes et des représentations hallucina- toircs pendant la période aiguë de l'affection ; et nous ne 208 CLINIQUE
PIE DES DÉMENTS PRÉCOCES. 213 toniques dominent la scène pendant la période de début, et les manifestations résiduelles qui
e chronique et relativement torpide d'emblée, et il semble que la période active soit plus ou moins fondue avec la périod
il semble que la période active soit plus ou moins fondue avec la période résiduelle : alors, les phénomènes à grand spec-
quence suivant' la forme de /'t ? fection ; c) Fréquence suivant la période de la maladie. a) La fréquence globale nous a p
chacune des formcs cliniques en bloc, on les con- sidère suivant la période de la maladie. Les catatoniques. après avoir pr
oir présenté de la fixité des attitudes et des mouvements durant la période active de l'affection, perdent le plus souvent
ent le plus souvent de celle fixité lors- qu'ils s'engagent dans la période de déchéance définitive, sans être exempts tout
ctivité stéréotypée semble s'accumuler presque exclusivement sur la période finale de la maladie. 13. Causes d'erreur. Pour
plus vrai- semblable que le sujet traversait un peu plus tard une période de mutisme, et opposait à la plupart des sollici-
emprunte à la stéréotypie. , c) Si nous passons maintenant de la période initiale ou d'activité à la période terminale o
i nous passons maintenant de la période initiale ou d'activité à la période terminale ou de démence défini- tive, nous devo
le- quel le malade devra définitivement s'immobiliser après s la période active de la maladie ? ' ? Avant de répondre il
, c cst-a-dire les altitudes fixes et les mouve- ments répétés delà période active qui sont des manifes- tations directes d
r.c cst-a-dire les attitudes fixes et les mouvements répétés de la période résiduelle, qui témoignent d'une désagrégation
ande pituitaire. Ces trou- bles se sont certainement produits à une période embryonnaire très primitive. La partie relati
''quel'urine a une réaction acide plusou moins intense à la seconde période de l'observai ion ; 2° qu'elle n'a jamais eu une
sie générale, 10 cas d'idiotie ou ¡J'0pÍlcl'"ie,« C'est toujours la période de la vie comprise entre 20 et, 'i0 ans qui est
n'existaient que pendant les deux semaines intermédiai- res, de la période menstruelle et beaucoup moins souvent. Cet enfa
ifs à son crime. En même temps, il y avait une mémoire exacte de la période intercalaire, même de l'amnésie rétro-anlérogra
ontribution à l'étude des altérations de la voix aux deux premières périodes de la paralysie générale; par le Dr Marandon de
as, la voix a été trouvée cons- tamment normale, aux deux premières périodes de la paralysie 'générale ; dans un autre tiers
ériodes de la paralysie 'générale ; dans un autre tiers, api es une période plus ou moins longue de normalité, elle s'est a
s troubles vocaux ont eu une bien moins grande fixité à la première période qu'à la seconde. Chez le même parah tique, les
s troubles delà voix n'ont pas évo- lué de la même manière aux deux périodes ; il y a eu au con- traire une variété excessiv
is aussi le de- gré d'intensité de ces troubles. Soit pour chaque période isolément, soit pour les deux prises ensemble,
esdeux formes existent. Dans le 1) pl' Chaslin, il y a à la seconde période des idées délirantes, des hallucinations, des i
ve (Fournier). L'éminent. clinicien - insiste surtout sur la longue période pendant laquelle la Il'an- mission est possible
ataxiques, etc., etc.), et, à titre temporaire, pour l' y subir une période d'observation, les aliénés du département du Do
ne réclamant plus de traitement spécial (paralytiques généraux à la période démen- tielle ou pré-démentielle, déments sénil
e sais, sur un terrain brûlant. Sans doute l'humanité a traversé la période éruptive. L'une des conséquences du progrès sci
érêts que l'liiéropsychologie. Pour moi, je n'ai guère dépassé la période d'observa- tion. Et c'est pourquoi ce cours mér
x cas pour con- firmer l'opinion de l'auteur. On ne réussit qu'à la période initiale de la crise, celle qui correspond il l
moïdoesl moins constante el moins forte. -3" II existe toujours une période d irritation latente, dont la durée va- rie sui
ritation latente, dont la durée va- rie suivantles individus. Celte période est moindre quand on ex- cite la première zone,
alades ne réagissant pas du tout au, excitations extérieures. Cette période est remplacée par une phase de surdité et de cé
et de cécité psychiques. Celle-ci cède à son tour la place à une période de cécité mentale exclusive, surtout pour les per
ion de la personnalité, qui a duré près de trois ans. Pendant cette période , celte jeune fille avait toutes les appa- rence
le mais qui se borna ;i examiner une 'seule l'ois les sujets, à une période quel- conque de la maladie. Il nous a semblé
e soin de suivre les mêmes malades depuis leur entrée à la première période de l'affection jus- qu'à sa terminaison par la
E jets, nombre insuffisant pour permettre, surtout aux di- verses périodes du mal,une statistique de quelque valeur. Afin
it jamais tout d'un coup, niais qu'elle est toujours précédée d'une période plus ou moins lon- gue ou plus ou moins courte
équent on examine d'autant plus souvent le malade qu'il est à une période plus avancée, ce que nous avons fait, l'affaiblis
ui, que le lumineux est beaucoup plus souvent anormal à la dernière période qu'aux deux au- tres. En effet, à la seconde pé
à la dernière période qu'aux deux au- tres. En effet, à la seconde période , l'anormalité cons- tante r emporte sur celle d
avait été trouvé anormal dans une forte proportion dès la première période , mais que tou- jours. l'état normal à cette pha
tableau, tandis que la normalité constante va en diminuant d'une période à l'autre, l'anormalité constante au contraire va
fférente aux deux yeux, ils se répartissent comme il suit aux trois périodes : LE RÉILEXE LUMINEUX DANS LI l' : 1R1L1'S11 :
s avons constaté que 3 des 13 constantes durant toute la première période avaient persisté durant un certain temps après
tance avec les progrès du mal. En effet, il y en a 15 à la première période , seulement 9 la .se- conde et pas une seule à l
ire n'ont été que mo- mentanées. Enfin c'est seulement à la seconde période que nous avons rencontré l'anormalité différent
t notre méthode. Quant aux diverses espèces d'altérations aux trois périodes les voici : 4=28 CLINIQUE MENTALE. La success
iodes les voici : 4=28 CLINIQUE MENTALE. La succession durant les périodes des deux altérations en moins ne présente pas d
de 1902 qui avaient fourni une minorité considérable à la dernière période . L'explication de cette différence est celle qu
non seulement affaibli momentanément, mais en- core durant toute la période , sans jamais d'abolition ; bien plus, ils le tr
s ressor- tiront davantage en faisant leur somme totale il chaque période , des constantes et des momentanées. LI : 1(1'1,
tiques il évolution 1 complète, ceux qui sont morts il la troisième période dans le marasme ultime, tous les résultats préc
durée est d'autant plus courte que la paralysie générale est il une période plus avancée. Les alternatives d'affaiblissemen
Je. L'anormalité constante augmente de la première il la seconde période , et de celle-ci à la troisième. La nor- malité
atives des deux états sont d'une fréquence égale aux deux premières périodes , mais trois fois plus rares à la dernière où l'
la paralysie générale pour disparaître complètement à la troisième période . Seulement, à la seconde, nous avons vu des ano
est. il litre exceptionnel, la normalité constante durant toute la période . ' CHIRURGIE DES ALIENES Des corps étrangers
uve. Une malade observée à l'asile de Vauclusc avala au cours d'une période de mé- lancolie anxieuse et à l'insu du personn
du mouvement, puis par des phénomènes respiratoires, enfin, à la période de développement plus ou moins complet de la régi
chez tous les syphilitiques un peu anciens les signes légers de la période pré-ataxique du tubes. \Vl H 1,. LXXVIII. Syn
e se montre le plus fréquemment de vingt à cinquante ans, dans la période de la vie où les causes occasionnelles ont leur m
iance que nul incident n'est venu ébranler pendant une aussi longue période d'années. ' La liste est longue des pauvres m
. Contribution à l'étude des altérations de la aux deux premières périodes de la pa- ralysie générale, par Maran- don de
23 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
complètement. Du reste, il n'étudia que très peu durant toute cette période , et mena an grand air une vie très active. En
elles ont toutes .certains, carac- tères communs. Dans une première, période ,,en effet, le patient, souffre, «est déprimé, s
de'de l'évolution du délire vésa- nique, on pourrait donc l'appeler période de dépression', déconcentration pénible', d'apr
vera jauoun ^moment { ce sentiment quii caractér iserl lai aeuxième période , dite excr.nsiv,e.3·r`fi ? nI a9cme'ieqqG ao^nc
df)-4c.cette, deuxième étapedu"déliervé; sanique 2 ? Une,,fois,;la période dépressive traversée i le ni4j4de,se tioiy,j pr
vre j peu à peu, cette loi générale : ,Dans le délire chronique, la période expansive 1 ne. fait jamais que succéder ci la
hronique, la période expansive 1 ne. fait jamais que succéder ci la période de dépression; et ce qui caractérise essentiell
période de dépression; et ce qui caractérise essentiellement chaque période , c'esti l'altéra- tion f ? e/c't/M sentiment. '
l - . «(}est' de cette'phasedntermédiaire aux deux- princi- pales périodes de l'évolution,'vésanique, qu'a parlé .'1. Ach.
ue soient le manteau, l'incarna- tion adoptés, s'installe en,pleine période expansive, y DU 'DÉLIRE DANS LA' VÉSANIE. <-
mie érioderide 'concentration pénible pour le délire, enfin, une période d'expansion. Le'malade/d'ailleurs, loin' de sau
t déjà devenu très notable, au moment surtout où est appa- rue la période d'expansion. - ' ' Mais' ce qui doit, avant tou
... cï la perception de cette modification. D'après èlle, durant la période expansive, sa sensibilité devient de plus en pl
nscientes paraissent se montrer -'de préférence chez la-femme a'la) période de ! la' méno- a pause ? Il 1 hml'Ib ''l'Iw1 mo
blée au summum, 1>ien,·loin·d'êLre·progressive. Il y a ici, à la période d'état, prédominance de l'amyotrophie paralytique
T.DTiy in'd '.i/ affaiblissement très prononce du cote droit, .sans période connais- ! '{ U IWI ? .\ i' ' ' .'l{BJ ? 'li" * ?
eil, et d'où il résulte que la somnambule ne peut plus, pendant une période indéter- minée, avoir de réactions propres et o
SAVANTES. La fièvre ne saurait, servir,de guide, car. même , à la. période d'acmé, on constate ,de, grandes oscillations t
on plus aussi soudaine; prédominance des hal- lucinations au début; période d'acmé, comme plus haut. Ces entités se dévelop
{iilême jusqu'au ventricule. Suivant qu'on l'examine \ différentes' périodes de la rétrocession, il y a lieu de distinguer :
rne, j'affirme que Nouaux est un vertigineux épileptique, ayant des périodes d'accès s'accompagnant d'hallucinations de la v
i un simulateur. Il est toujours de bonne foi, et, dans ses longues périodes de calme, VERTIGES ÉPILEPTIQUES. 1 G;j de luc
, et en même temps heur- tée, décousue. Souvent, à n'importe quelle période , surtout sous l'influence du traitement, il y a
Enfin se produisent souvent des reculs : un imbécile déjà en pleine période expansive peut, à certains mo- ments, ressentir
ou bien, en sens inverse, un imbécile qui n'en est encore qu'à la période de dépression peut, au beau milieu de ses idées
ouffée de sentiments ambi- tieux'. Quoi qu'il en soit, à toutes les périodes , les conceptions délirantes des imbéciles auron
9, qui guérit d'un accès remontant à cinq ans, et déjà parvenu à la période expansive. Nous-mème 1 : \Iagnan, - Leçons fait
e d'affirmer l'incurabilité de l'accès délirant, * même arrivé à la période de systématisation. Ces faits cliniques ont leu
au bout d'un nombre fixe d'années 1. » Parvenu enfin à la dernière période de sa vésauie, ayant perdu tout espoir de retou
pénibles si, chez eux, l'évolution vésanique s'est attardée à cette période . Mais le plus souveut, chez ces vieux halluciné
hroniques, de vieux vésaniques devenus déments à la suite de leur période d'expansion, c'est la réapparition de préoc- cu
es premiers temps, et, par suite, les conceptions délirantes de ces périodes extrêmes ne pourront présenter le même ensemble
a, il sera facile de reconnaître qu'il s'agit tout simplement de la période dépressive, de la période d'hyperalgésie mental
naître qu'il s'agit tout simplement de la période dépressive, de la période d'hyperalgésie mentale (perversion douloureuse
térieure du délire chronique au cours de son évolution, à savoir la période d'expansion apparaissant peu à peu et coïncidan
irant, préparant toutes les idées délirantes. Isoler chacune de ces périodes , les présen- ter comme des individualités morbi
es; il n'y a que le vésanique, délirant chronique, aux di- verses périodes de son évolution. La lypémanie suicide ou homic
à suivre du même pas l'évolution vésanique au travers de toutes ses périodes classiques; ils peuvent s'attarder à telle phas
'évolution même pourra être incomplète, et telle de ses dernières périodes fera défaut. Mais il n'y a aucune raison pour c
fait et que, guérie momentanément, elle peut reparaître dans une période de même repos. Tel a été le cas de D... qui, pa
Mais c'est un fait curieux de constater combien, pendant ces deux périodes de la vie, les sensations se localisent dans des
t ; mais celle des membres du côté gauche persiste pendant toute la période des attaques pour ne cesser que quelques jours
ttaques pour ne cesser que quelques jours après la fin d'une de ces périodes d'attaques convulsives. La première attaque a e
ans, pendant six semaines environ, où elles ont été sui- vies d'une période de calme de huit mois. A cette époque, nouvelle
ion totale. On peut donc par- faitement admettre que, pendant cette période , l'irritation se propage sur le tissu interstit
lles et des parties excentriques, leur état, présente la première période de l'évolution d'un processus qui est très intére
rses parties du système nerveux central, M. Klebs dis- tingue trois périodes bien tranchées dans leur évolution : hy- pertro
des noyaux et nucléoles dans ces parties hyper- trophiées. Dans les périodes plus avancées, ces tumeurs subis- sent une alté
que deux fois : une fois 10 et l'autre 15. Les accès, dans la même période , ont été au nombre de 15(i. Les diurnes ont été
c'th'M-nnque''as ? cp'b'c[a'&]&L('8tib ? Jth6e)''p' titi la période d'agitation. Ici la température baisse égâ]61HéYi
s de l'état hystérique, puis nous avons passé en revue les diverses périodes de l'attaque, avec les modifications qui s'y in
inus- culaire est très précoce et très' développée ; même dans les périodes pou- 'avancées' de' la'' maladie ? il''y a' dim
» C'est toujours deux ou trois mois après l'opération et après une période de bien-être assez marquée, que ces accidents s
isparaissent, en général, mais toujours très lentement et après une période sta- tionnaire souvent fort longue. Quelle pe
la troisième année de la vie de l'enfant. Les manifestations de la période antérieure ne sont rapportées qu'autant qu'elle
, et cette substitution, du moins en ce qui concerne une certaine période , offre des traits constants qu'il est facile de
réus- sis, ont un caractère équivoque. Dans le cours de toute la période de l'apprentissage du langage, on ren- contre à
manifeste assez tôt; nous les appelerons, pour abréger, sons de la période anté- rieure; toutes les voyelles s'y rattachen
r inten- sité absolue. Il faut rapporter au nombre des sons de la période antérieure les consonnes labiales m, p, v, f, l
j, ch, z, r, l. Pourquoi le développement s'ac- complit-il en deux périodes ? On peut répondre à cette question par les con
e boire, zalade au lieu de salade). Le développement des sons de la période ultérieure naît des formes de sons fondamentale
e la période ultérieure naît des formes de sons fondamentales de la période antérieure. Les voies physiologiques qu'affecte
enfin un son sifflant au lieu de la voyelle i. De même que dans la période antérieure, vient à son tour le différenciement
fcent la même variabilité et la même inconstance que les sons de la période anté- rieure, et l'enfant les emploie sans choi
ions nouvelles, constituées d'après les exigences phonétiques d'une période don- née, tandis que, parallèlement, subsistent
e chronique; d'abord persécuté, il en est arrivé au- jourd'hui à la période ambitieuse. Dès l'âge de quatorze ans, la grand
lepsie, rien ne manque au délire chronique : influence héréditaire, périodes d'in- quiétude, de persécution, phase ambitieus
marche progressive pour aboutir après sa phase ambi- tieuse à la période de dissolution des idées, à la dé- mence. - A
épondant au côté droit, voué à la tristesse et marquant la première période de la mala- die ; l'hémisphère droit répondant
é à la joie et faisant presque entièrement les frais de' la seconde période . Je rappellerai, à propos de l'inter- prétation
elles sont expan- sives, au contraire, si elles interviennent à la période de systématisation et de transformation ambitie
dans l'intensité des symptômes morbides, ne survint pendant cette période ; mais, vers la fin du séjour de Mennschof à l'h
AMYOTROPHIQUE. 361 Mennschof vécut encore trois mois; pendant cette période , il ne se produisit aucun changement essentiel
et les dérangements du bulbe ne s'observent que pendant la dernière période de la maladie, c'est-à-dire long- temps après l
nt même inaperçus; les éructations manquent aussi sou- vent à cette période . La durée de la rumination ainsi que le nombre
de sept à huit, et le maximun de trente. A un moment, il y eut une période de trois mois qui se passa sans accès et pendan
oculaires sont tournés en haut et la bouche est largement ouverte. ( Période to- nique.) Petites secousses tétaniformes dans
ermiques, et, en parti- culier, la mélancolie avec stupeur en trois périodes : 1 0 période de début ou d'agitation : T. R. n
n parti- culier, la mélancolie avec stupeur en trois périodes : 1 0 période de début ou d'agitation : T. R. normale ou hypo
idu sain, c'est-à-dire qu'il en fournit moins. -La ntauieoffre a la période de dépression prodromique une hypothermie qui p
dépression prodromique une hypothermie qui peut aller à 36,S; à la période d'agitation extrême, une hypo- thermie qui rest
xtrême, une hypo- thermie qui restitue la température normale; à la période de calme ou d'épuisement une nouvelle hypotherm
calme ou d'épuisement une nouvelle hypothermie. Type inverse à la période de complet développement du secondstade. Diminuti
es de la circulation qui donnent à l'observation son cachet. Chaque période de manie était caractérisée par une fréquence t
inversement, on peut oblenir des tracés tenant plus ou moins de la période qui va venir, c'est-à-dire tenant plus de celle q
nature sur le tait, car la transformation est prompte. Enfin, si la période maniaque est teintée de dépression, on a un pou
asthme) qui hantèrent tou- jours, dans l'observation envisagée, la période maniaque. Les médi- caments (nitrite d'amyle, m
urent au reste que peu ou point d'ac- tion sur l'une ou l'autre des périodes . P. K. XXIV. UN cas de paralysie progressive; p
jours d'un myosis maxima qui très promptement se transforme, dès la période de convulsions toniques, en mydriase maxima. A
onvulsions toniques, en mydriase maxima. A la phase d'acmé de cette période l'iris n'existe plus tant la dilatation est ext
de des- cente, ou bien il était lent et ne devenait fréquent qu'aux périodes d'agitation, ou bien enfin, il présentait un tr
e parfait. En ce qui concerne la folie périodique (4 faits), chaque période n'est pas invariablement accompagnée d'une inég
ta une fréquence considérable, une plénitude plus grande pendant la période clonique; le pouls ordinaire du sujet qui était
arrive aux conclusions suivantes : 10 Chez les pellagreux, à la 3° période , les réflexes tendineux manquent rarement, et q
é- rature. 3° Ce qui vient d'être dit pour les pellagreux à la 3e période s'applique aussi dans les autres périodes, mais
our les pellagreux à la 3e période s'applique aussi dans les autres périodes , mais dans des proportions moins notables. 4°
valescence de la manie; par SIOLI. (Neurol. Centralbl., 1882.) La période d'agitation se manifesta dans les deux observatio
avorisée par un traumatisme ; l'absence d'accidents de ce genre, la période de calme où l'on était alors, la multiplicité des
ccessoire, on trouve la langue pendante ? Mais même il la troisième période , la langue est mobile et tout le monde a remarq
que se montre le paralytique général ? Celui-ci, même à la dernière période (à moins de délire hypochondriaque), dès que vo
ure dans laquelle il fut presque écrasé, cet individu serait, à des périodes de quatre à six semaines, en proie à des accès d'
ker sur l'action des doses réfractées d'hydrate de chloral dans les périodes d'agitation. Il s'agit de l'agitation exces- si
iques et cholériformes. Enfin plus rarement, phase d'épuisement. C. Période comateuse. Une fois établi, le coma rétrocède r
e dans les lésions des), 107. Chloral à doses réfractées dans les périodes d'agitation, 423. Congrès annuel delaSociété de
24 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
partie. La SU C-"CSI i 0 Il est l'épétée plusieurs fois pendant une période de quinze jours. La malade paît com- plètement
parfai- tement dans les membres inférieurs. Pendant cette seconde période il y eut aussi de l'anurie pen- dant trois jour
ec prolifération du noyau de leurs parois ; chez quelques-uns à une période plus avancée, de l'épanouissement marqué des pa
intermittents, ce qui tendrait à faire admettre qu'à la suite de la période d'excitation produisant l'éphidrose et la mydri
pas de frottements. En résumé, tuberculose pulmonaire à la deuxième période et pleurésie tuberculeuse à droite. En outre
l'extension, la bouche s'ouvre, tout le corps devient rigide. Cette période de rigidité ne dure que quelques secondes, et,
iculier. Puis secousses tétani- formes de la face et des membres. Période clonique. - 10 La face se tourne à droite, le bra
uche sont pris de con- vulsions cloniques à leur tour. Durant cette période , le visage s'est congestionné ; les yeux étaien
ent, d'abord à droite, puis enfin à gauche. 78 CLINIQUE NERVEUSE. Période de stertor. Décomposition de la face qui devient
solution complète, écume non sanglante et abondante. Cette dernière période dure longtemps et aboutit à un sommeil profond
ssez bien conservée; la parole est libre. Le malade est sujet à des périodes d'excitation violente après les accès. Dynamomè
ns que, jusqu'à ces derniers temps, c'est-à-dire pendant une longue période , le malade n'a présenté aucun phénomène procurs
ur la différence des termes, qui sont si fréquentes aux premières périodes de la description raisonnée d'une maladie. Et p
en montrant que cette attaque présentait presque constamment quatre périodes dont les unes pouvaient être plus ou moins atté
er ouvrent pour ainsi dire ce que nous appellerions volontiers la période actuelle de la question, période féconde, compren
ue nous appellerions volontiers la période actuelle de la question, période féconde, comprenant plusieurs travaux important
soulève les paupières. Fig. 13. 104 REVUE CRITIQUE. Pendant ces périodes d'excitation provoquée, la face se colore, le p
s de phénomènesconvulsifs pouvant être rapportés aux deux premières périodes de la grande attaque. » Néanmoins, comme on le
lsifs toniques et cloniques ne constituent que les deux premières périodes de la grande attaque. Or il est assez souvent don
s les cordons latéraux a été la première en date; d'où une première période de paralysie spasmodique; puis, les organes pér
és savantes. Séance du 28 novembre 1887. Présidence de M. Magnan. Période pré-délirante de la paralysie générale. - M. Chri
x que l'on observe dans le tabès et qui forment les symptômes de la période pré- ataxique de l'ataxie locomotive progressiv
u tous les troubles morbides qu'il a énumérés et d'en constituer la période pré-déli- rante de la paralysie générale. M.
rganes sensoriels situés dans le domaine de la tête. A une certaine période de leur développement, les nerfs crâniens dits
radiculaires postérieures jusque dons la moelle cervicale. A aucune période de la maladie il ne s'était produit d'accidents
aminer, tout seul, dans le courant d'une année, c'et-à-dire dans la période de l'année où l'on peut faire des inspections,
DE L'ASTASIE ET DE L'ABASIE. 205 lombaire; seulement, pendant la période paraplé- gique, il ne pouvait être mis en jeu f
gées dans l'état de grand hypno- tisme. Gr... est plongée dans la période somnambulique du grand hyp- notisme, eton lui s
ntré que la première phase d'une paralysie du sympathique était une période d'excitation caracté- risée par de l'abaissemen
deux cas, la phase de destruction des cellules avait remplacé la période d'excitation et ainsi s'expliquerait fort bien
ion des accès. - Cri étranglé, se produisant parfois à la fin de la période tonique. Chute tantôt en arrière, tantôt en ava
t : lotions vinaigrées, sinapismes, sangsues à l'anus. 44e accès. Période tonique très écourtée. Rien de particu- lier, s
avec les deux sommets classiques, l'un correspondant à la fin de la période convulsive, l'autre correspondant à la période
ndant à la fin de la période convulsive, l'autre correspondant à la période mél71ll- gilique terminale. ' Observation XXX
s. - Vertiges. - Aura médiate au début. - Diminution de la mémoire. Périodes de mélancolie et (['agitation.- Rhumatismes. .A
tation. Il n'y aurait pas de vraie manie dans la Catatonie; dans la période de stupeur, il n'y a pas toujours émotion triste,
décrit la Catatonie comme une vésanie spéciale caractérisée par des périodes alternatives, se présentant avec plus ou moins
entielle d'une consti- tution neuropathique, ni en rapport avec les périodes biolo- giques. Elle figure dans la classe des m
e ne suffirait pas par exemple aux échanges qui se font pendant les périodes normales de l'existence. C'est du reste l'opini
ils feraient une attaque ordinaire d'hystéro- épilepsie aux quatre périodes . C'est chez ceux-ci qu'on observe ces phases di
e de l'attaque, épiphénomènes inclus ; la durée absolue comprend la période de sommeil comprise entre deux convulsions, car
de quel intérêt capital est le diagnostic de l'hystérie, tant à la période d'apoplexie qu'à la période qui suit le au réve
le diagnostic de l'hystérie, tant à la période d'apoplexie qu'à la période qui suit le au réveil. 1° L'individu est dans
ue la terminaison doit être fatale à bref délai. Dans la première période de l'hémorrhagie cérébrale, la tem- pérature de
ouve en présence d'une attaque de sommeil. De même, pendant cette période , les phénomènes qui se passent du côté de la fa
ancolie anxieuse, chez les individus du sexe féminin, anémiés, à la période de con- valescence des affections fébriles dénu
usieurs observations de délire am- bitieux survenu après une longue période de délire des persécu- tions, ce qui constitue
ue dans le délire chronique ce ne serait pas tant la succession des périodes qu'on peut aussi rencontrer chez les dégé- néré
sponsabilité est nulle toutes les fois que le crime appartient à la période délirante aiguë ou subaiguë d'un accès d'alcool
oubles fonctionnels, mais qu'importe ? 2 Nous en sommes encore à la période d'élaboration pré- paratoire dans laquelle on r
upant le côté gauche de la face et revenant fréquemment, mais à des périodes irrégulières; ces douleurs ont disparu complète-
attaques présentent les phases classiques de l'hystéro-épilepsie : période épileptiforme, période des grands mouvements, e
s phases classiques de l'hystéro-épilepsie : période épileptiforme, période des grands mouvements, etc. Les faits dont il
e, M. Ritti 2/' signale la présence des états cataleptiques dans la période I mélancolique; il en rapporte quelques observa
mélancolie symp- tomatique : on les rencontre par exemple dans les périodes de dépression de la folie circulaire (ilitli) e
ntent aucun caractère régulier. On peut les rencontrer à toutes les périodes , dans toute la durée de la maladie, ou à une se
tes les périodes, dans toute la durée de la maladie, ou à une seule période : ils peuvent dominer la scène ou être considér
rvenu plusieurs années avant, afin d'établir la suppléance avec une période maniaque d'un accès de catatonie propre- ment d
e propre- ment dite, sans compter que ce n'est pas toujours cette période maniaque qui ouvre la scène de la catatonie. Outr
que le traitement était institué à une époque plus rapprochée de la période d'invasion de la maladie. Passons maintenant à
ambulation avec lesyeux fermés ne sont plus possibles et enfin, aux périodes les plus avancées, la force musculaire s'affaibli
atteindre son maximum d'intensité et d'étendue dès le début. A la période d'état, le choréique est agité par les mouve- m
des exacerbations et des rémissions chez le choréique, présente une période d'ag- gravation progressive, une période d'état
le choréique, présente une période d'ag- gravation progressive, une période d'état, puis décroit avec une plus ou moins gra
- paré aux faits de Marcé et Skae, ce fait montre que la première période de l'amnésie a été de l'asymbolie, que l'amnésie
ième malade, à son entrée à l'asile Sainte-Anne, était à la seconde période du délire chronique ; elle avait des halluci- n
du délire chronique tel qu'il nous a été décrit ici. » Les trois périodes , en effet (inquiétude, délire de persécutions e
ue à base hypo- chondriaque; l'hypochondrie n'est point la première période du délire chronique. J'ai déjà eu l'occasion, l
du délire chronique; lors du passage de la pre- mière à la seconde période , c'est-à-dire de l'inquiétude, des inter- préta
délire chronique sans hal- lucinations. J'ajouterai qu'à la seconde période (période de persé- cution) je n'ai pas uu seul
ronique sans hal- lucinations. J'ajouterai qu'à la seconde période ( période de persé- cution) je n'ai pas uu seul cas de dé
grandeurs qu'on ne doit pas con- fondre avec la mégalomanie. A une période plus ou moins an- cienne du délire anxieux il s
éritables idées de grandeur; l'apposition d'idées de grandeur à une période avancée d'un délire chronique n'est pas spéciale
re de persécution. Pour bien établir le type, il s'en est tenu à la période d'état, négligeant ainsi la marche de la maladie.
gligeant ainsi la marche de la maladie. Il a indiqué, toutefois, la période prodromique, mais il fait observor que si certa
avec peine le premier degré. Si Lasègue ne se fût pas arrêté à la période de floraison, comme il le dit, et s'il eût contin
arrivé à ce résultat inévitable que les persécutés chez lesquels la période pro- dromique fait défaut, sont justement les p
riques. Ils ont les apparences d'un délirant chronique à la seconde période , mais ils en diffèrent totalement par leurs ant
ayant compris dans le délire des perséculions, des persécutés sans période prodromique, des persécutés sans hallu- cinatio
és souvenlcurables, s'est trouvé naturellement porté à admettre une période de dé- croissance du délire de persécution, com
«J'ai suivi le délire de persécution depuis son début jus- qu'à sa période d'état.Comme je ne veux qu'établir un type et d
s l'évolution du délire de persécution tel qu'il le comprend. A une période d'incubation que nous admettons comme lui, succ
ode d'incubation que nous admettons comme lui, succède une deuxième période carac- térisée par des hallucinations auditives
et des idées systématisées de persécution, puis vient une troisième période avec des halluci- nations de l'ouïe, du goût, d
té générale se montrent assez sou- vent dès le début de la deuxième période : avec les premières injures, tel malade se pla
plus simple de comprendre le délire de persécution dans la deuxième période et le délire ambitieux dans la troisième périod
n dans la deuxième période et le délire ambitieux dans la troisième période ; c'est à ce moment que les idées délirantes ten
ce moment que les idées délirantes tendent à se stéreotyper; cette période précède la dernière étape, celle de la déchéanc
e développent les hallucinations dans l'oreille ambitieuse 1. Cette période fait donc corps avec le délire chronique au mêm
suppuration dans l'éruption variolique. M. Falret ne veut pas de la période de démence et cependant, s'il est vrai que cert
Foville puisque, du moins, nous aurions sous ce vocable les trois périodes : incubation, persécution, ambition. Mais M. Falr
t autant qu'il ne sera devenu l'héritier des Bourbons, qu'après une période d'incubation et d'interprétations délirantes su
e de délire des persécutions devait toujours pré- senter les quatre périodes signalées par nos deux collègues, d'après la do
trine qu'on fasse le diagnostic de cette affection à telle ou telle période ? Le délire chronique est ou n'est pas. Si on p
u cours de la vie infra- utérine guérissent si bien pendant la même période qu'on n'en voit plus de traces et que l'arrêt d
». Ces expressions supposent que l'état du malade aura compris des périodes succes- sives de recrudescence et d'accalmie, e
100 de guérison maintenue après la sortie de l'hôpital pendant une période de six à huit ans. Le contrôle légal et la légi
25 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
entiques trouvées dans la première observation, mais arrivées à une période plus avancée de leur processus évolutif. En effet
x caractérisées de méningo-myélites syphili- tiques présentent deux périodes . La première qui correspond à la localisation d
la localisation de la., syphilis sur les méninges seules, c'est la période prodromique, est caractérisée par des;troubles
constants, comme la céphalée, les paralysies oculaires.'1La seconde période , celle 'des-lésions, médullaires,' est' constitué
in point,' non par les symptômes du' moment,' mais par ceux de' la1 période 'prodro- mique, c'est-à-dire, que," quand' la p
ceux de' la1 période 'prodro- mique, c'est-à-dire, que," quand' la période Prodomiquela existé, il y a forte présomption e
mps de la syphilis,- elle' est caractérisée par'une courte et vague période prodromique et par lés symptômes ; de' la myélite
appelle l'attention , sur, la fréquence des délits commis dans la période préparalytiqte ti, 4 dynamie fonctionnelle. Ces
on' défavorable dans les psy- chopathies dépressives, surtout à la, période aiguë de., celles-ci,, et tout particulièrement
nt' de "deli ? "itim" ti'èl,e;2,s, 1 oil* constata, à la suite^'une période d'agitation de quatre jours, que pendant vingt
i vive et aussi continue'' que les'aliénés en dépensent pendant une période ' d'agitation.n (Allg : Zeitsch. f. Psyçhiatrie
héréditaire. A eu un rhumatisme articulaire aigu à dix-sept ans. Période de début ou prodromique.-Il est malade depuis le
rarement brusque. Elle est presque toujours pré- cédée de plusieurs périodes névropathiques que le malade attribue à des cau
de trois ans, n'ont eu que de 96 PATHOLOGIE NERVEUSE. une à trois périodes neurasthéniques, sans aucun autre signe de palu
eux, souvent mesme se sont expliquées en latin quelquefois par des périodes entières, quelquefois avec des discours achevés
e le temps d'observation à treize ans environ. Pendant cette longue période , trente malades ont été atteintes d'hypothermie
et cela dans chacun des districts; mais bientôt, à la fin de cette période décennale, comme on admettait d'année en année
vec conscience elles obsessions; il a décrit, le premier, les trois périodes successives de l'évolution des délires partiels
Le 15 juin 1847, il était élu, à l'Académie de médecine, à cette période difficile où les portes ne s'ouvraient pour chaqu
i pénétrante, si judicieuse du fonc- tionnement cérébral dans cette période intercalaire à la- veille et au sommeil, dans l
ar l'émotion de l'incendie de sa maison, et qui s'éten- dait sur la période de sa vie consécutive à cet accident et remonta
\Ie 13... doit comprendre trois parties : état des souvenirs de la période de temps contemporaine du choc moral, de celle
viendrai d'ailleurs là-dessus. Mais, en résumé, les souvenirs de la période qui a suivi l'accident sont à peu près nuls; il
fait qui a précédé immédiate- ment l'incendie. Les souvenirs de la période antérieure à l'émotion du feu sont plus nombreu
présente les symptômes d'une amnésie très étendue, portant sur la période de temps contemporaine de l'accident, sur celle
ans la cité qui vit naître Pascal, les phrases creuses, les longues périodes , les vains discours sont moins qu'ailleurs à redo
être ici. 1 . , ',1 ^ , or Je voudrais être encore à cette heureuse période de la vie, où l'imagination se plaît à nous fai
ouve à la phase prodro- mique, pendant la troisième et la quatrième période de la crise. Les troubles psycbiques,de la phas
ensibilité générale. Ces phénomènes prennent fin pendant la seconde période ou période épileptoïde. Il y a perte de connais-
générale. Ces phénomènes prennent fin pendant la seconde période ou période épileptoïde. Il y a perte de connais- sance et
ence au moins apparente de délire. Il n'en est plus de même dans la période des contorsions, des attitudes illogiques et des
la transportent dans un monde imaginaire. La quatrième et dernière période de l'attaque porte le nom de période de délire.
re. La quatrième et dernière période de l'attaque porte le nom de période de délire. C'est assez indiquer que les conceptio
imes ne peuvent pas être punis lorsqu'ils ont été commis pendant la période délirante, aiguë ou subaiguë d'un accès d'alcoo
tteint d'une nouvelle maladie infectieuse, la rougeole, qui, dès la période d'incubation, aggrava notablement son état psyc
à l'état normal, le souvenir de tout ce qui s'est passé pendant la période pathologique. Ces états ne doivent pas être étu
mbulatoire, sommeil produit par l'éther ou le chloroforme, dernière période de la grande attaque), il faut joindre un certa
tacte avant le premier accès, ils retrouvent de même, pendant les périodes intercalaires, la plénitude de leurs facultés.
e la périodicité des accès, de l'intégrité de l'état mental dans la période intercalaire, de l'ap- parition du premier accè
du développement brusque, sans cause déterminante énergique, sans période prémonitoire (ce qui écarte les mélancoliques et
it-il pas possible ? Pourquoi ne le serait-il pas aussi pendant ces périodes de rémission qui interrompent la marche de la p
n qui interrompent la marche de la paralysie générale à la première période ? Je n'en veux pour preuve que ce para- lytique
st jamais considérable, sauf une fois en 1892. Si l'on divise cette période décennale en deux périodes quin- quennales, on
uf une fois en 1892. Si l'on divise cette période décennale en deux périodes quin- quennales, on voit que la moyenne annuell
nnales, on voit que la moyenne annuelle des entrées pour la seconde période quinquennale n'est pour ainsi dire pas plus élevé
émie, on avait noté dans l'at- 308 HISTOIRE ET CRITIQUE. taque la période des contorsions; le corps de la religieuse étan
ccompagnées de cris et de hurlements, précédaient ordinairement une période de délire proprement dit, où les possédées entr
ù l'on tirait une preuve nouvelle de la possession. C'est à cette période aussi qu'on observait ce besoin de mouvement, for
mais au début c elle marchait de travers *. Elle a donc parcouru la période que représente aujourd'hui l'état de son frère.
contre sa cause un traitement approprié. DES URINES A la SECONDE PÉRIODE DE la paralysie générale ,, ltii. 11LIPPEL et S
es caractères généraux de l'excrétion urinaire moyenne à la seconde période de la paralysie générale. Il existe alors une p
qu'une coïncidence. C'est comme un équivalent moteur atténué, à la période de dynamie fonctionnelle, du processus à la foi
ants correspondent à la survivance d'idées de persécution dans la période mégalomaniaque. Dans les deux autres observations
int de départ de l'amnésie qui, en réalité, présente ainsi déjà une période rétrograde de quelques heures, comprise entre la
ues heures, comprise entre la venue du gendarme et l'attaque. Cette période rétrograde comprend même quelques souvenirs épa
difficiles à pré- ciser. Quoi qu'il en soit, la malade pendant la période de Strumpell donne tous les détails possibles s
la période de Strumpell donne tous les détails possibles sur cette période rétrograde. Cela nous montre donc que les souve
x qui se sont passés jusqu'à son entrée dans le service, et depuis ( période antérograde), tous, même les plus minimes, même
gendarme, du rappel de son père, de son émancipation. Et dans la période délirante de son attaque, c'est l'hallucination v
duits éliminés. Ces modifications qui se produisent dès la première période sont surtout marquées à la troisième et lorsque
die est tra- versée par des crises épileptiformes. A la troisième période , ajoute M. Voisin, l'urine est souvent fétide e
vants : 1° la composition moyenne de l'urine dans chacune des trois périodes de la pa- ralysie générale ; 2 °la variation de
le ; 3° la variation de l'urine chez un même individu dans une même période de la maladie, suivant les phases épisodiques d
érerons-nous l'urine de paraly- tique général que durant la seconde période . Nous n'avons pas, en effet, eu l'occasion d'ét
chives, t. XXVIII. 24 370 O CHIMIE PATHOLOGIQUE. dans la première période , et quanta ceux qui sont entrés dans la troisiè
allons exposer : Constitu- tion moyenne de L'urine dans la seconde période de la paralysie générale. Pour y arriver nous
nt très petite. i Constitution moyenne DE L'URINE dans la SECONDE PÉRIODE DE la paralysie générale. A. Caractères GÉNERAU
caractères généraux de l'excrétion urinaire moyenne dans la seconde période de la paralysie générale, comme suit : // y a
paralysie générale, comme suit : // y a polyurie dans la seconde période de la paralysie géné- rale ; les urines ont une
touche les urines de la paralysie générale en dehors de la seconde période de la mala- die, ainsi que les variations dues
ne rien faire du tout. Voici cependant quelques chiffres : dans une période de deux ans, à l'asile de Bron, trente ventes m
tion d'une femme atteinte de paralysie générale qui, au cours d'une période de rémission, présenta des hallucinations motri
aités par notre Société. Si pendant trois années, au cours de cette période , nous n'avons pas tenu séance, c'est que le con
les cas récents de mélancolie, pas de visites, du moins pendant les périodes d'augment et d'acmé de la maladie. L'angoisse a
t les stades d'agitation exclut les visites ; on les autorisera aux périodes plus avancées; 9° dans la folie alcoolique, on ch
n. M. KMPEUN. Sans doute il est bon de supprimer les visites à la période d'acmé de la démence aiguë, mais pendant la conva
l antérieur des délirants chroni- ques. Genèse du délire : première période ou période d'in- quiétude : Indécision, soupçon
des délirants chroni- ques. Genèse du délire : première période ou période d'in- quiétude : Indécision, soupçons. Interpré
cision, soupçons. Interprétations délirantes. Illusions. Deuxième période : Hallucinations de l'ouïe ; sa progres- sion c
et modes de réaction. Observation I. Délire chronique à la deuxième période : Hallucinations de l'ouïe : c'est le Parisien
, menaces de mort. Observation IL -Délire chronique à la deuxième période : Développement croissant de l'hallucination de
ersonnalité. Diminution de la résis- tance cérébrale. . Troisième période : Période des grandeurs. Mécanisme des transfor
é. Diminution de la résis- tance cérébrale. . Troisième période : Période des grandeurs. Mécanisme des transformations. C
ons. Observation III. Délire chronique au début de la troi- sième période : Modifications dans l'attitude, allusions à des
riode : Hallucinations. Idées ambitieuses systématisées. Quatrième période : Démence, Durée. Messieurs, Dans la précéden
mental, ils n'entrent pas d'emblée dans la folie : une assez longue période les y prépare. Le délire chronique débute, en e
chronique débute, en effet, d'une manière insi- dieuse. La première période , période d'inquiétude, d'incuba- lion, ne s'off
débute, en effet, d'une manière insi- dieuse. La première période, période d'inquiétude, d'incuba- lion, ne s'offre pas av
cination de l'ouïe; et avec celle-ci, il est entré dans la deuxième période du délire chronique, celle des hallucinations m
incessantes tortures, le patient n'est pas éloigné d'entrer dans la période des réactions dangereuses. Depuis longtemps, en
prêt à l'attaque. Les modes de réaction varient, en effet, avec les périodes de son délire de persécution. Au début, il ne p
t laquelle l'agitation intérieure, sourdement créée à la première période , n'a fait que grandir. L'idée délirante de perséc
- chose ; vous y trouverez tous les détails de ses deux premières périodes . - DÉLIRES SYSTÉMATISÉS DANS LES PSYCHOSES. 441
ans alztécé- dents héréditaires ; début à trente-deux ans; première période d'une durée de trois ans; deuxième période : ha
rente-deux ans; première période d'une durée de trois ans; deuxième période : hallucinations de l'ouïe, systématisation rap
e bien portante. Bonne santé jusqu'à quarante-trois ans. Pre- mière période de trois ans. Deuxième période : développement
squ'à quarante-trois ans. Pre- mière période de trois ans. Deuxième période : développement croissant de l'hallucination de
par aucun accident; la seule affection à noter, durant cette longue période , est une pneumonie qu'elle contracta en 1873, à
tte a alors quarante-cinq ans; il y a bien près de trois ans que la période d'inquiétude a commencé. Maintenant les persécu-
t cependant, à mesure que son délire s'est coordonné et stéréotypé ( période de cristallisation de Falret), sa personnalité
e syphilis médullaire authentique, publiés avec au- topsie. Mais la période contemporaine semble avoir pris à tâche de comb
ésente deux phases distinctes dans son évolution clinique : a. La période prodromique ou méningitique répond au tableau c
érébrale de la base qui inaugure cette série d'accidents. b. A la période des paralysies, l'ensemble symptomatique st bea
que les guérisons radicales des lésions médullaires parvenues à la période des paralysies sont rares. Les myélites aiguës
478 PATHOLOGIE MENTALE. ne font d'ordinaire point défaut pendant la période de créa- tion des idées délirantes, au moment d
s idées délirantes, au moment des exacerbations de la maladie, à la période de transition d'une phase à une autre, comme pa
ter dans les espèces de ce mémoire. Les séries étaient composées de périodes dans cha- cune desquelles il y avait alternativ
tique (Ver)'MC/<</tC ! <) hypocondriaque qui passe par les périodes de l'hypocondrie, du délire des persécutions et
égalomanes; on peut donc dire que la maladie est déjà épanouie à la période de la jeunesse, pendant ou après la pu- berté.
NTES. 497 disparition de ces dernières, soit assez vite, soit à une période plus tardive; finalement la guérison a lieu. Il
lutôt à penser que, dans un grand nombre de cas, dès le début, à la période de méfiance, on n'a pas du tout affaire à l'idé
as toujours ainsi; du moins ne peut-on toujours le démontrer. A une période plus avancée on ne sait plus ce qui se passe en
de ses propres développements. La psychiatrie en effet traverse une période de développement dans laquelle la description com
26 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
is, cette rigidité tétanique transitoire serait diminuée pendant la période de la digestion et lorsque le malade a fait un
e inconvénient; elles seraient aussi bien moins intenses pendant la période de la digestion. après un repas copieux : c'est
é d'ailleurs pour que l'ébranlement soit possible (otite chronique, période de ramollissement, avec en- fonçure de l'étrier
pro- voqué par le bruit. (Obs. X.) OBSERVATION X (résumée). Dame; période de la méno- pause ; chagrins, fatigues auprès d
omique en est, elle aussi, à sa phase initiale ou même encore à une période relativement avancée par des modifications dans
cerveau hu- main qui soit exactement symétrique, quelle que soit la période de son développement. Cette asymétrie n'est du
le " ses fortes attaques. » « L'attaque est toujours précédée d'une période prodromique, qui consiste dans des malaises, de
rdonne- ments dans les oreilles. La malade nous a raconté que cette période d'aura, qui se prolonge parfois pendant une heu
us calme. Il n'y a pas de stertor. DE L'HYSTÉRO-ÙPILrPSIE. 69 « Période des contorsions et des grands moMuemeH<s. Bien
minute, elle retombe et les attitudes passionnelles apparaissent. « Période des attitudes passionnelles. On remarque des pose
l'attaque est désignée par les malades de la salle sous le nom delà période «X... Ycc-t'-ea ! ». Ceci dure quelques minutes
minutes (cinq à dix) ; puis survient le délire post-hystérique. « Période de délire. Cette période est peu accentuée chez n
puis survient le délire post-hystérique. « Période de délire. Cette période est peu accentuée chez notre malade. Elle consi
fois elle s'imagime être une autre personne, etc. « En un mot cette période a le caractère d'une aliénation temporaire. «
escription qui précède du Dr Drzewiecki, tous les signes des quatre périodes classiques de la grande attaque régulière. DE
mise sur son lit, qu'une nouvelle crise éclata. Il y eut une courte période de spasme tonique ou rigidité tétanique, la têt
stérie dans laquelle prédo- mineraient les symptômes de la deuxième période , contorsions et grands mouvements. Le gonflemen
on est accompagnée d'un bon dessin qui représente la malade à cette période de la crise. Il suffit d'un simple coup d'oeil
uisaient cependant sans cause d'excitation apparente. Pendant une période variant de six ci douze heures environ avant l'
érisation, ou par une vive faradisation des membres et du tronc. La période qui suivait les convulsions n'était pas toujours
type d'hystéro-épilepsie sont faciles à constater. Les différentes périodes et souvent les diverses phases peuvent être ret
e retrouvées sans grande difficulté. L'attaque était précédée d'une période prodromique caractérisée par une altération du
ons cloniques et la résolution. Tout ceci se rattache à la première période ou période épileptoïde. Dans la période des con
es et la résolution. Tout ceci se rattache à la première période ou période épileptoïde. Dans la période des contorsions, l
i se rattache à la première période ou période épileptoïde. Dans la période des contorsions, l'arc de cercle 80 REVUE CRITI
crise et aussi par les paroles qu'elle proférait. Enfin souvent la période de délire était représentée bien imparfaitement
sembla- bles à celles de l'hystéro-épilepsie, mais les différentes périodes et phases de l'attaque ne paraissent pas pouvoi
La crise semblait surtout composée des phénomènes de la deuxième période de l'attaque type, convulsions étranges, contorsi
ne des attitudes dites passionnelles qui caractérisent la troisième période . Enfin quelques crises furent suivies d'un somm
'observe le délire des négations que lorsque les idées en sont à la période de chronicité ; il se continue jusqu'à la démence
e : M. Putnam attribue l'oedème de la papille observé à la première période , à une inflammation du nerf optique. M. Rockwel
nn montre la proportion des jeunes gens qui échouent pendant leur période de scolarité. Ceux qui n'échouent point ressortis
physiques des corps en formation et leur réserver un moment dans la période de l'éducation. M. Snell se ral- lie entièremen
re des accès et des vertiges, pendant la durée du traitement, et la période correspondante des années précé« dentés. Le nom
e serait pas rare de rencontrer la pachy-méningite dans la dernière période des maladies chroniques, telles que le mal deBr
quemment chez les individus atteints de cette même affection. La période d'excitation nous parait marquer le début de la
er. Les attaques, que la prédominance des phénomènes de la deuxième période rapprochait du type démoniaque, offraient de gr
andes attaques offraient une pré- dominance marquée de la troisième période ou période des at- titudes passionnelles ; par
ues offraient une pré- dominance marquée de la troisième période ou période des at- titudes passionnelles ; par contre la d
e ou période des at- titudes passionnelles ; par contre la deuxième période , ou période des contorsions ou des grands mouve
des at- titudes passionnelles ; par contre la deuxième période, ou période des contorsions ou des grands mouvements, a tou
ata une crise de gastralgie. Ces accès douloureux, bien qu'avec des périodes dorépit 22 t REVUE CRITIQUE. assez longues, a
epsie, attaque encore mal dessinée, et caractérisée surtout par une période épileptoïde avec attitude tétanique du corps. La
er). La durée totale de l'aura est d'environ sept à huit minutes. Période épileptoïde. Durée totale deux à trois minutes. L
oupir et par le défléchissement lent et progressif des doigts. La période des contorsions et des grands mouvements fait abs
s fait abso- lument défaut et la malade entre immédiatement dans la période des attitudes passionnelles d'une durée totale
ence de la même façon. Une seule fois j'ai constaté le retour de la période épileptoide du début de l'attaque. Dans toutes
toide du début de l'attaque. Dans toutes les autres attaques, cette période ne s'est produite qu'au début, tandis que la pé
ttaques, cette période ne s'est produite qu'au début, tandis que la période des attitudes pas- sionnelles revenait deux on
rence dans l'accentuation des gestes et du jeu de la physionomie. Période terminale. Pendant toute la durée de l'attaque la
ne durée d'environ une heure, présente les phénomènes déjà décrits. Période épileptoide avec phase tonique et phase clo- ni
bratoire qui est comme le rudiment des secousses cloniques de cette période ). La période épileptoïde dure environ quarante
est comme le rudiment des secousses cloniques de cette période). La période épileptoïde dure environ quarante secondes. La
période). La période épileptoïde dure environ quarante secondes. La période des grands mouvements fait tou- jours défaut. L
fait tou- jours défaut. Le tétanisme est immédiatement suivi par la période des (ttl itudes passionnelles. La malade ouvr
uite les mêmes gestes à deux ou trois reprises différentes, puis la période tétanique revient, et quand elle en sort ce n'e
n'est pas pour recommencer ses attitudes, mais pour entrer dans une période de délire doux, avec hallucinations et discours
s du soir jusqu'au 8 octobre à dix heures du matin. Pendant cette période , la malade a eu quatre séries d'attaques absolu
es, toutefois, dans la phase des attitudes passionnelles et dans la période de délire, que nous voyons appa- raitre et que
ivi les gesticulations, tantôt s'est montrée immédiatement après la période épilep- tolde. Dans l'attaque qui s'est produ
est survenue la crise. Comme d'ordinaire, l'attaque commence par la période épilep- toide, période d'assez courte durée, y
Comme d'ordinaire, l'attaque commence par la période épilep- toide, période d'assez courte durée, y compris les deux phases,
instants, puis peu à peu survient sur celle idée de la musique, la période de délire. On la prie de chanter, elle sourit,
fin de l'autre, elles sont subintrantes. Enfin elle entre dans une période de calme et passe la nuit dans 230 REVUE CRITIQ
es du lendemain les hommes noirs reviennent prendre leur place à la période des attitudes passionnelles. Au milieu de ses s
délire. Mais elle n'imagine point le mode d'évolution des diverses périodes qui composent une attaque. Elle n'invente point
int la façon dont s'enchevêtrent les hallucinations de la troisième période , l'espèce d'opiniâtreté maligne avec laquelle l
nterrompre les hallu- cinations d'un caractère gai ou agréable. Une période de l'attaque peut faire défaut, mais l'ordre gé
contorsions et les grands mouvements qui caractérisent la deuxième période ne se montrent pas, et la raison pourrait en êt
me dans l'intervalle des crises. Mais chaque attaque débute par une période épileptoïde nettement caractérisée. Sous des de
ion ou contracture des muscles par simple excitation mécanique), la période catalep- tique par la flexibilité plastique des
termine son travail par les conclusions sui- vantes : 1° Dans la période initiale, le myxaedèmc est essentiellement sous
mentaux les plus accusés, tels que l'aliénation survenant dans les périodes de l'affection, sont dus à des lésions du cerve
araît en même temps brillant et parsemé de raies obscures : à cette période , on en obtient une très bonne coloration à l'ai
de malades, ayant des accès de manie pendant plusieurs années, les périodes de rémission sont caractérisées par un état psy
de 1 écume aux lèvres. Nous assistons, en somme, aune ébauche de la, période épileptoïde.de la. grande attaque hystérique. C
me sei'sitifr'cutané'e'st·donc 'iuexcitablé' mécaniquëmentrdans la' période de létlîârië'liÿpilci ? tique dont .il.s'agit i
es, le changement d'humeur et- des psychoses, appartenant à la même période et au même appareil (nerveux), doivent être rel
ques jours après, phase de dépression Li]Lé- rieurement avec des périodes dé manie. Peu à1 peu se montrent des intervalle
à enregistrer que des accès convulsifs nocturnes chez la mère, sans période connaissance. Enfant taciturne montrant de l'anti
stic de l'altéralioni et de l'atteinte de la région lombaire, à une période où .il n'exis- tait encore ni trouble de, la se
e atteint autrefois de syphilis, qui, après avoir joui d'une longue période de bonne santé, fut frappé tout à coup d'aphasie
. I. -Dans le plus grand nombre des cas, la maladie débute par la période de dépression. Cette phase peut se présenter avec
l'obscurité. L'obnubilation des sens, qui persiste pendant toute la période de dépression, .disparaît avec elle, et elle es
n, .disparaît avec elle, et elle est souvent remplacée pen- dant la période d'excitation par un certain degré d'hyperesthésie
de d'excitation par un certain degré d'hyperesthésie. Pendant cette période le sommeil est généralement bon. Il. - 1,,L I)é
omanie, érotomanic. A ces troubles psychiques, opposés à ceux de la période de dépres- sion, [répondent des symptômes physi
it, prennent de l'embon- point, etc. L'insommie est de règle. Cette période est remarquable par l'existence d'accidents cér
pupillaire, des attaques épilepti- formes. Dans les accès à courte période , l'agitation survient sou- vent d'emblée : un m
ncolique la veille, se ré- veille maniaque. Dans les accès à longue période , [l'excitation se développe au contraire lentem
r le stade d'exci- tation. On observe divers modes de passage d'une période à l'autre : 1° tantôt la transition se fait bru
ou un maniaque simple. Quandl'équilibre semble se rétablir avant la période d'excitation, on peut croire à la fin d'un accès
aucoup à un accès de manie. Les hallucinations qui accompagnent ces périodes délirantes peuvent être le point de départ d'ac
maximum, 4,500 fr. Le passage du minimum au maximum aura lieu par période de 500 fr. tous les trois ans. Le conseil génér
ent cru pouvoir, de leur propre autorité, aug- menter le nombre des périodes que les pharmaciens actuels doivent parcourir.
e dans trois ans. De même, pour celui de Sainte- Anne, une nouvelle période a été arbitrairement créée. Nous espé- rons que
27 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
parésie de certains groupes de muscles, et c'est en général à cette période de la maladie que la main UNE FORME PARTICULIÈR
sseux le plus ordinairement. On pourrait, en somme,distinguer trois périodes dans cette évolulion, l'une de début caractéris
nde attaque. Il se produit au début, pendant la phase tonique de la période épilep- toïde. 11 suit la perte de connaissance
au quatrième mois après le début de l'accident, coïncidant avec la période la plus forte de l'état spasmodique des muscles
ns des caractères qui sont généralement moins- considérables dans les périodes d'épuisement; mais la formede chaquelettre n'es
er un soulagement à des maux souvent imaginaires. Ce fut la belle période , celle des grosses recettes, celle où les socié
ssant de travailler, gardant les yeux très fixes; huit jours après, période d'excitation pendant laquelle la malade cherche
a description de Kahlbaum et que, en plus, nous retrouvons dans ces périodes successives denombreuxsymptômes, entre autres l
s attirer l'attention c'est la présence de certains symptômes de la période de stupeur. A dif- férentes reprises Marcéb a i
ive. Ces faits sont très évidents chez notre malade. - '¡ Dans sa période de stupeur la respiration est superficielle et pe
l'âge de quatorze ans, la menstruation s'établit ; tout d'abord les périodes se montrèrent un peu en avance, puis ensuite en
laisse échapper quelques plaintes. On remarque même que pendant la période somnambulique ces douleurs provoquées sont plus v
e maître a montré qu'on pouvait faire naître ces affections dans la période somnambulique du grand hypnotisme, soit à l'aid
s attachée ne lui aurait pas dit bonjour. Elle était alors dans une période cala- méniale; les règles se suppriment, elle r
se répètent tous les quinze jours, et pendant cette année il a une période d'une semaine environ pendant laquelle ils appara
il en eut jusqu'à seize en vingt-quatre heures. Pendant toutes ces périodes il fut surexcité : tantôt il se jetait contre l
89. - Trois accès. 3 février. Quatre accès de jour; Il est dans une période d'excitation. Il parle de la France, de Il n'y
ntes gravures reproduites dans les divers journaux. 4 février. - La période d'excitation persiste avec les mêmes caractères.
s, mais un pas définitif, fait par la psychiatrie pour sortir de la période métaphysique de son histoire, est retombée dans
la paralysie générale : Scinde dit pourtant que dans les dernières périodes la peau devient sèche, cassante et squa- meuse
is toujours très inexact il finit par se faire renvoyer. Pendant la période de temps qu'il passa à Paris de 1861 à 1877, il f
e; on sonde la malade toutes les quatre heures. Pendant toute celte période il est impossible, dans le but de la tirer de c
d'excita- tion assez souvent prémonitoire des attaques. Pendant la période somnam- bulique, tant par suggestion que par pr
et leur surface fortement rugueuse fait naître l'idée que, dans une période de ramollissement, le tissu osseux aurait cédé
obes oculaires est encore plus accen- tuée. D'ailleurs, pendant une période de la maladie où l'hyperexcita- bilité neuro-mu
OGRAPHIE DE LA SAH'ËTR ! ËRË. L'année suivante, en 188(i, après une période de malaise général et de névralgies faciales pe
rée très courte, très rapide. Attaque. - Elle est constituée parles périodes suivantes : 1° Epilepto'ide, raideur (phase ton
ntracture des bras survint plus brusquement encore. Pendant cette période de dix mois à dater de l'accident, la main droite
es articulations. Ce phénomène s'est repro- duit plusieurs fois par périodes dont les unes ne duraient que quelques jours et
s (pl. XLIII). Il n'y a donc pas obstacle, mais' simplement retard, période latente d'autant plus longue que l'anesthésie a
taillée, que Mlle B... était bien plongée, à cette époque, dans une période de véritable sommeil hystérique que le D' Charl
Je ne retrouve plus la zone hystérogène de la région sternale. Les périodes de grands mouvements qui entrecoupaient le somm
ourrie. II ' ' La conservation de l'existence pendant ces longues périodes de sommeil hystérique, dans lesquelles l'alimen
t, en ce qui regarde l'attaque : 1° l'attaque convulsive aux quatre périodes ; 2° l'attaque bornée à l'une de ces périodes ou
convulsive aux quatre périodes; 2° l'attaque bornée à l'une de ces périodes ou avec prédominance de cette période : forme é
ttaque bornée à l'une de ces périodes ou avec prédominance de cette période : forme épileptoïde, léthargique, etc.; 3° l'at
s, etc. Dans tous ces cas, les résultats des analyses comprenant la période des vingt-quatre heures à dater du début de l'a
a été fait 91 analyses des 2-1. heures de sommeil sans compter les périodes d'état normal. L'état de mal le plus court que
peut se prolonger pendant beaucoup plus longtemps. Pendant cette période , le sujet est susceptible d'absorber une alimen
e d'un état de mal, d'une attaque de sommeil n'ayant pas dépassé la période de 24 heures. TABLEAU A. - ATTAQUE DE SOMMEIL H
sidérer le tableau A, on verra que l'attaque de sommeil bornée à la période de 24 heures se comporte exactement, au point d
mule des phosphates. L'attaque de sommeil hystérique, comprenant la période de 24 heures, est donc entièrement assimilable,
it 39 kil. le 31 janvier, jour du début de l'attaque. Pendant cette période , elle a excrété en moyenne, par jour, 655 gr. d
apidement à son poids normal, elle engraisse même, puisque pour une période de huit jours, du 12 ou 20 janvier 1888, elle p
t de mal de sommeil hystérique (Les traits pointillés indiquent les périodes d'état normal avant et après l'attaque). , 302
érations relatives à la diminution des déchets urinaires pendant la période fébrile nous avaient frappés. On pouvait, 1. Le
. (R ? ) M. 370,li ; S. 37', 3. Les analyses portent donc sur trois périodes de vingt-quatre heures ; de ces trois périodes,
rtent donc sur trois périodes de vingt-quatre heures ; de ces trois périodes , l'une (21 novembre) est fébrile : T. M. ;9°,4;
t presque certainement de température rectale. Or, pendant ces deux périodes apyrétiques, la malade excrète de 5 à 7 grammes
rait dire que, dans un cas de goitre exophtalmique, pendant deux périodes d'apyrexiede vingt-quatre heures, les déchets uri
: que le chiffre des déchets uri- naires est très abaissé dans les périodes apyrétiques du goitre exophtal- mique par rappo
mique par rapport à la moyenne physiologique. Il se relève dans les périodes fébriles, sans toutefois dépasser cette moyenne p
odes d'évolution de cette maladie; nous avons choisi chez elles des périodes apyrétiques dans l'intervalle de complications,
s phénomènes disparurent. Le thermomètre révéla pendant toute-cette période un état fébrile subcontinu, allant de 89°, 2 ma
poser : 1° Que, dans trois cas de goitre exophtalmique, pendant des périodes apyrétiques de huit jours, les analyses ont mon
normaux; 1° Que dans un cas de goitre exophtalmique, pendant une période fébrile de six jours, allant de 38° il 39°, 2,
briles, les excréta urinaires sont restés normaux comme pendant les périodes apyrétiqnes. En terminant, nous serions heureux
de suite sa conscience et répondait correctement FiG. 89. - Aus der Période der Contorsioncn. Fic,. 90. - Période der Ilall
ectement FiG. 89. - Aus der Période der Contorsioncn. Fic,. 90. - Période der Ilallucinationcn. ;) : ! 2 NOUVELLE ICONOGR
a grande hystérie de Charcot peu de jours après le début; les trois périodes étaient bien nettes. Le sujet avait la sensatio
phase, la plus courte, de l'attaque proprement dite débute par une période de contractions musuculaires toniques, géné- ra
res, ni pertes séminales, ni morsures de la langue. Dans la seconde période , que Charcot caractérise si bien sous le nom de p
la seconde période, que Charcot caractérise si bien sous le nom de période des grands mouvements, période des contorsions,
t caractérise si bien sous le nom de période des grands mouvements, période des contorsions, clownisme, qui se sé- pare si
e de la façon la plus bizarre; on observe égale- ment pendant cette période les mouvements de salutation et l'arc de cercle
s, la pupille dilatée réagit sans retard à la lumière. Dans la 3e période , des attitudes passionnelles, qui ne se sépare pa
riode, des attitudes passionnelles, qui ne se sépare pas FIG, 91. - Période der 1 lill urina iloiien. L'IIISTÉRIE DANS L'AR
finit généralement par l'attitude du crucifiement. Dans cette 3e période , les yeux sont également ouverts d'ordinaire et
ques (3-6) séparées par un intervalledeunedemieàplusieurs Fic. 9. - Période der Halfucinalionen. FIG. 93. - Période der Ila
demieàplusieurs Fic. 9. - Période der Halfucinalionen. FIG. 93. - Période der Ilallucicationen. 321. 1 NOUVELLE ICONOGRAP
, les attaques perdirent peu à peu leur ca- ractère de netteté, les périodes d'attitudes passionnelles et de contor- sions d
tor- sions devenant plus courtes et plus incomplètes, tandis que la période épileptoïde conservait encore son caractère pro
28 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ses phases de son histoire. Cette histoire peut se diviser en trois périodes : La première s'étend depuis les âges les plus
rts réciproques de la manie et de la mélancolie ; on peut l'appeler période des temps anciens prolongée ; La 2" période c
e ; on peut l'appeler période des temps anciens prolongée ; La 2" période comprend la seconde moitié du siècle qui vient
e de la folie circulaire et de la folie à double forme ; c'est la période française par excellence, celle où l'Ecole psyc
sychiatrique de la Salpêtrière a brillé d'un si vif éclat ; La 3° période est caractérisée par la synthèse de tous les ét
mencé en 1899, elle peut être désignée à bon droit sous le nom de période contemporaine, ou. d'après les travaux qu'elle
s les travaux qu'elle compte jusqu'ici à son actif, sous celui de période allemande. I. Période ancienne (d'IIippocratc a
compte jusqu'ici à son actif, sous celui de période allemande. I. Période ancienne (d'IIippocratc au milieu du XIX0 siècl
cratc au milieu du XIX0 siècle). Je ne m'appesantirai pas sur cette période parce qu'elle n'a, en réalité, que des rapports
s fondre dans une même espèce morbide. 4 Clinique mentale. IL Période française (1831-1899). On peut faire commencer
. IL Période française (1831-1899). On peut faire commencer cette période avec les leçons publiées en 1851, dans la Gazet
e la manie « un autre élat d'in- termittence qui s'observe entre la période d'affaisse- ment et la période d'excitation de
termittence qui s'observe entre la période d'affaisse- ment et la période d'excitation de Informe circulaire des maladies
sion de l'intelligence. Une pé- riode d'excitation alterne avec une période d'affaisse- ment, ordinairement plus longue ».
e sur un genre de folie dont les accès sont caractérisés par deux période ? régulier es, l'une de dépression et l'autre d
stade mé- lancolique est, dit-il, généralement plus court que les périodes d'excitation et d'affaissement considérées iso-
chiatrie française. H a pris fin en 1899, époque où 'commence la 3° période . III. Période allemande (1899-1906). C'est en
se. H a pris fin en 1899, époque où 'commence la 3° période. III. Période allemande (1899-1906). C'est en 1899 que Kroepc
l suffit d'indiquerque l'accès qui la compose est constitué par une période de manie et une période (1) Gilbert Hau.f.t. In
'accès qui la compose est constitué par une période de manie et une période (1) Gilbert Hau.f.t. In Tmit¿ de 111édecille,2,
que les symptômes d'excitation maniaque ont été pré- cédés d'une période prodromique caractérisée par une dépression plu
soient un peu émotives, des pé- riodes de gaieté faire place à des périodes de dépression sinon de tristesse et inversement
très limities, l'eapectation pure eL simple l'om eIHu1l ,eule à la période de généralisation. M. Debove montre qu'actuelle
calmés, que l'état est devenu stable : il faut d'abord une première période d'exercices passifs de mobilisation, pendant la
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES, intenses et anciennes. Dans une seconde période onprovoquedes mouvements volontaires avec aide
ont satisfaisants, les traitements doivent être interrompus par des périodes de repos pendant lesquelles le malade ne doit p
motrices. L'oedème de la papille ne fut jamais constaté. Entre les périodes d'asthénie, la malade présenta plusieurs fois d
e, la malade présenta plusieurs fois de véritables fugues. Dans les périodes d'accalmie, la température revenait la normale.
ns les périodes d'accalmie, la température revenait la normale. Les périodes d'asthénie et de dépression s'aggravèrent progr
tranges, dans lesquels un diagnostic, établi nette- ment pendant la période délirante, semble contredit par une restitution
illusions, confu- sion mentale, refus d'aliments, et entrecoupé de périodes d'exci- tation et de dépression; morte au bout
acté- risée par de l'excitation intellectuelle et motrice. c) Une période délirante de 20 jours, dont la fOl'll1ediniljlWCO
courbe thermique et celle du pouls. Celle-ci, en effet, pendant la période d'état delà maladie a montré le tracé d'une vér
alysie générale, il faut observer ces symptômes oculaires aux trois périodes de la Para- lysie générale,et, à chacune de ces
aux trois périodes de la Para- lysie générale,et, à chacune de ces périodes , étudier suc- cessivement. : 1° les troubles pu
fond de l'oeil; 5° les symptômes oculaires accessoires. Première période , TROUBLES PUPILL 11RES. -y L'inégalité des pupi
lus fréquemment observé que le vrai Argyll- Robertson, surtout à la période d'état. Les déformations et irrégularités pupil
édecine légale que pour les contrats d'assurance. Dès la première période il faut signaler aussi : la per- te de la dilat
rines. Le rétrécissement du champ visuel est rare à la pre- mière période el alors qu'il n'y a aucune lésion visible à 1'
ophtalmoscopiques expliquant ce fait. Quel- quefois, à la première période , le malade souffre de né- m'algie oculaire. L
econnaître dans l'oeil des para- lytiques généraux, dès la première période , certains signes qui n'ont d'importance qu'à la
d'hémorrhagies multiples et dissé- minées de la rétine. Deuxième période . - Tandis qu'à la première, les troubles oculai
termittentes, et des ictus plus ou moins fré- quents, à la deuxième période , les troubles pupillaires deviennent presque to
mes peu accusés et varia- bles de la papille signalés à la première période : liséré 2)é-iuctsculai;-e, oedème pé1'ipapilla
écit en premier lieu comme chez l'alcoolique. Comme à la première période , les Iésionsdec7zoTOï- dite, de clWJ"io-Î"etini
té de l'examen des urines du malade en traitement. 1. , Troisième période . A la fin de l'évolution de la paralysie généra
malades se laissent le plus facilement examiner. 3° En effet, à la période la plus avancée de la maladie, alors que les lé
SIER. - De la valeur diagnostique des symptômes oculaires aux trois périodes de la paralysie générale. (Dupuy, éditeur, Mont
ns, certains symptômes oculaires s'accusent, tantôt dès la première période , tantôt au contraire ne surviennent qu'à la fin
onsidéré comme spécifique. Les germes retirés du sang en dehors des périodes hyper- thermiques peuvent être considérés comme
ES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. vieillesse est la dernière période de la vie, on peut lui fixer un début conventio
convulsive décrits par Schule ; 3° les ictus qui apparaissent à une période tardive où toute trace de névrose est ellacée c
annoncent le début de la maladie, au même titre que les ictus de la période initiale de la paralysie générale. Leur patho
la paralysie générale. Leur pathogénie est différente suivant la période à laquelle ils apparaissent. Leur rareté au cou
chiques, tandis qu'elle ne présente plus rien d'anormal dans les périodes avancées de cette maladie, .t. Séglas. XIX. L'a
i Freniatria, 1 ! 1OL roI. XXX, fascicule ? Il,111.1 ' Pendant la période qui précède les règles, et pendant la pé- l'ind
uation du degré de l'excitabilité neuro-musculaire, et mesure de la période de résistance qui correspond à l'excitation. Enfi
t plus mauvais en qualité que le travail fait le malin dans la même période de temps ; 4" Aussi bien le malin que dans l'ap
'une qualité plus mauvaise que le même travail obtenu dans une même période de femps, au début de l'année d'enseignement. .
miné. C'est ainsi que chez des épileptiques jeunes, qui pendant une période de bro- muration intense (S. gr. de bromure de
les expériences précédentes : le régime fut poursuivi pendant cinq périodes de 30 jours. Le tableau I donne pour chaque mal
ade le nombre des 1(i ? 1 THÉRAPEUTIQUE. accès pendant chaque période ; en les réunissant nous avons les résultats su
lle à accès très nombreux, de très heureux résultats. Ces courtes périodes de déchloruration laissent reposer l'organisme,
ndons par contre les alternatives de régime ordinaire et de courtes périodes de régime sans sel, et, entre autres, le régime
potassium, 10 jours à 10 gr. avec régime ordinaire pendant ces deux périodes , puis 10 jours de régime sans sel et sans bromu
à l'égard de tous les autres complexus morbides, encore dans une période de tâtonnement, puisqu'au milieu des innombrabl
ge privé tenu par les jé- suites, où il reste de 1890 à 1894. Cette période est caractérisée par 180 CLINIQUE MENTALE.
ais peu à peu ». « Au fond, voyez-vous, c'est durant six mois une période de mélancolie, une longue dépression suivant un
que, s'il est très difficile de dépister la paralysie générale à la période dite pré-paraty- tique, il est bien plus diffic
ode de progrès, nous avons pensé utile de vous faire con- naître la période de déchéance. Permettez-nous une remarque à pro
é chez deux jeunes filles de vingt-six ans. Dans le premier cas, la période fébrile a duré environ un mois. La maladie s'es
la deuxième malade, fille d'alccolique, le début été brusque. La période fébrile observée a duré deux mois. Les princi-
'une très violente agitation avec hallucina- tions. Après quoi, une période proche de la normale à laquelle succéda un état
ituel ; néanmoins, il y avait, comme chez foutes les maniaques, des périodes de demi-rémission d'une durée peu longue, amené
que et a si bien coïncidé, hallucina- tions,conceltions délirantes. périodes d'incohérence complète et de vive agitation. pr
01e; dans le premier mois de l'entrée, l'autre de 12.22 % dans la période allant de 20 à 50 mois d'internement. On peut e
de celle maladie infectieuse chez des malades qui ont présenté des périodes de stupeur et que, dan» les nouv el- ses classi
es physiques présentés par lo malade. , Cette étude porte sur une période de plus d'un an, D ? entré à l'hôpital d'Arment
il ne pouvait parler; bien plus, l'amnésie rétrograde embrasse une période de plusieurs mois , il ne sait plus qu'il est v
anges respiratoires sont augmentés chez les phtisiques à toutes les périodes de la maladie; cette aptitude à fixer trop d'ox
urable, répète l'au- torité de Jaccoud et de Bouchard, à toutes les périodes et surtout au début. Grancher la considère comm
n individu à un aulre et chez un môme individu pendant les diverses périodes de la maladie, 2° si l'on fait chez des épilept
rquer que, chez les trois sujets examinés, les lésions étaient à la période de début dans les deux circonvolutions centrales
deux fois de faire un diagnostic contrôlé par l'autopsie : longues périodes au cours desquelles on observe la symptomatolog
sur la ville de Pavie donnent un to- tal de 81 suicides pendant la période 151)-ltJOa. Sur ces SI suici- des, il y en a eu
ternementni même lafréqucnce de cette redoutable affection dans une période relativement ancienne; les statistiques n'exis-
e. L'exagération de l'accommodateur ne s'observe qu'à la première période , et les états différents à un oeil et l'autre, qu
durée est d'autant plus courte que la paralysie générale est à une période plus avancée. G. Deny. SOCIETES SAVANTES SOCI
au 31 décembre 1905 : 533 (265 Il. ; 268 F.). Pendant la dernière période décennale la population s'est élevée de 580 en 18
ronchite, on est obligé de suspendre la glande thyroïde, pendant la période de température qui dure une dizaine de jours.
de la taille qui élait arrêtée et n'était observée que pendant les périodes de trai- lemenl. A chacune des périodes thérape
it observée que pendant les périodes de trai- lemenl. A chacune des périodes thérapeutiques, le poids a baissé, quelquefois
- res, alors que plus habituellement la température s'élève il la période finale. L'étude des cas publiés montre que l'év
ne montre mieux cette transformation que la pathologie (différentes périodes du délire chronique). On doit considérer la per
29 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
able, il était souventagité et même impulsif; puis est survenue une période de dépression quand il fut amené à l'hospice. A
n état moral. Ce mutisme est de temps en temps interrompu par des périodes d'agitation impulsive, quajid la malade profère d
emonte à la gorge >. Pas de paralysie d'un côté du corps. Pas de période d'incontinence d'urine. Aime beaucoup rester au
tabès, qui, fait son apparition, à peu d'exceptions près, dans la période préataxique et peut servir à diagnostiquer le tab
rapide : en effet, la durée n'a été que de onze mois, y compris la période préparalytique. Les symptômes physiques ont dom
ez des idiots, un chez une femme démente paralytique à la troisième période , un chez un maniaque aigu et deux chez des affa
cutanés, notamment abdominaux et épigastriques, paraissent dans les périodes de début du tabes, notablement-exa- gérés, tand
RVEUSE. surtout au mollet, apparaît parfois aussi dès les premières périodes de la maladie, alors que la sensibilité muscula
de chorée ; vers cinquante-quatre ans, elle devient sujette à.des périodes d'excitation avec idées vagues de persécution ; e
de la vue et de l'ouïe ; un cas de tumeur du centre ovale avec des périodes d'évolution, l'un à forme cérébelleuse, l'autre
es de l'intoxication par la morphine qui peut être divisée en trois périodes : i° la période d'euphorie dont la durée est va
ion par la morphine qui peut être divisée en trois périodes : i° la période d'euphorie dont la durée est variable suivant l
e d'euphorie dont la durée est variable suivant les doses; c'est la période où la morphine semble apporter du bien être, ma
s, les malaises nécessitent de nouvelles piqûres. Le malade à celle période pour user moins de la morphine ajoute souvent à
ation celle produite par la cocaïne, la spartéine, l'alcool ; 2° la période intermédiaire est marquée par l'usage de 25 à 3
pétit se perd, l'amaigrissement et l'insomnie surviennent ; 3° à la période cachec- tique l'organisme est saturé, la morphi
us les inconvénients sans en éprouver le moindre bénéfice, c'est la période terminale marquée par des syncopes, souvent des
s de la démor- phinisation doivent être suivis de très près ; à une période d'excita- tion que l'on cherchera à combattre p
les bains chauds, le bro- mure de potassium, succédera souvent une période de dépression, accompagnée de troubles gastro-i
e, doit être combattue par une injection de mor- phine. Pendant la, période de convalescence, il y a de temps à autre des c
UBITAL. 101 Si nous divisons ces paralytiques généraux d'après la période de leur maladie, les résultats sont les suivants
. Elle est d'ailleurs grossière, malpropre et inca- pable, dans les périodes de calme, de toute occupation. Aujourd'hui âgée
alcoolique sciatique, dansl'ataxie locomotrice et dans la première période de la syringomyélie; elles correspondent à une
es vési- cules séminales après un laps de temps variable ; 2° cette période varie chez les différents animaux, six jours po
ar l'intoxication, et surveiller les morphinomanes pendant toute la période nécessaire à la répa- ration glandulaire ». Il
cellules altérées par le poison. Il se produit ensuite pendant une période de six semaines à deux mois eu moyenne, une sér
éviée sur la droite. Pupilles égales, névrite optique à la première période . Réflexe rotulien exagéré. La sensibilité est é
nignes. Ce n'est d'ailleurs pas 168 SOCIÉTÉS SAVANTES. à toutes périodes de l'infection qu'on devient paralytique, c'est
pas dire que la méningo-encé- phalite chronique soit une quatrième période de la diathèse spé- cifique. Les lésions de la
MENTALE. DU SENS TACTILE ÉTUDIÉ CHEZ LES MÊMES MALADES AUX TROIS PÉRIODES DE LA. PARALYSIE GÉNÉRALE ' ; ; Par le D E. MAR
ance de-suivre les mêmes malades en assez grand nombre à toutes les périodes de la maladie, on arrive aux constatations rapp
nne à eux-mêmes, ne seraient constamment nus. C'est sur- tout aux périodes intermédiaires de l'affection paralytique qu'on
ne fournissent sur ce point aucun éclaircissement. A la troi- sième période , quand ils sont confinés au lit, ce sont les co
oubles avec le développement de la maladie. Mais aux deux premières périodes de la paralysie générale, à la première surtout
GIE MENTALE. même des sujets gâteux, par conséquent à la deuxième période de l'affection paralytique, avec un minimum de
ison directe de la moti- lité, si on trouve pour les deux premières périodes le paral- lélisme constaté dans l'ensemble de l
s constatations trouvé le tact normal à la première et à la seconde période , non seulement quand les troubles moteurs sont
est fortement accentué. Le fait est surtout frappant à la première période . Si on envisage les troubles légers et modérés
ifs on voit cet écart 'élever brusquement à 11 p. 100. A la seconde période les écarts sont, selon le degré d'altération de
. 100 et 7 p. 100. Ajoutons à cela que c'est seulement à la seconde période et avec les troubles excessifs de la motilité q
'exagération se rencontra de préférence non seulement à la première période , mais encore chez les paralytiques dont les tro
je crois, que les altérations du sens tactile aux deux premières périodes de la paralysie générale sont l'apanage des sujet
à croire que les troubles du tact chez les paralytiques Première période . 196 PATHOLOGIE MENTALE. LE SKKS TACTILE
trouvée : le maximum des altérations se rencontrerait à la première période et le minimum à la phase dernière de la maladie
e paralytique général est beau- coup moins alcoolisé à la troisième période qu'à la période initiale. J'estime en conséquen
néral est beau- coup moins alcoolisé à la troisième période qu'à la période initiale. J'estime en conséquence qu'il y a pou
les para- lysés généraux, dans lesquels on constate à la première période des troubles du tact, n'auront ni une marche aigu
habituelles. En effet, nos sujets, -qui présentèrent à la première période les altérations du tact relevées dans nos const
ls apportent, les réflexes étudiés chez les mêmes malades aux trois périodes de la paralysie générale : Crémaslérien in Arch
s conclusions suivantes : I. En suivant les mêmes malades aux trois périodes de la paralysie générale, nous avons réussi dan
a maladie était à une phase plus avancée : 3 p. 100 à la première période , 15 p. 100 à la seconde, 5-1 p. 100 à la troisièm
anormal du tact avec les progrès de la maladie; rares à la première période , une fois moins rares à la seconde, les altérat
té, l'abolition de l'autre se montrent en sens inverse aux diverses périodes de la paralysie générale ; les deux premiers, a
; les deux premiers, avec leur maxi- mum de fréquence à-la première période , deviennent de plus en plus rares avec les prog
progrès de la maladie pour disparaître complètement à la troisième période , tandis que celle-ci, au contraire, tout à fait
que l'affection paralytique marche pour atteindre son maximum à la période terminale. Quant aux affaiblissements, leur mar
s'est jamais altéré que lors des crisesd'agitation. XII. Durant les périodes de calme, nous n'avons jamais relevé ni exagéra
modaient. XVI. Les altérations du sens tactile aux deux premières périodes de la maladie ont été constatées de beaucoup le p
ons constatées semblent indiquer, quand ellesexistent à la première période , à en juger par l'évolution de nos cas, que la
es de la mélancolie. La mélancolie est ordinairement précédée d'une période d'incu- bation de durée variable avant de se ca
es familles hésiteraient moins à faire pla- cer leurs malades, à la période la plus curable de l'affection. D'autre part, c
conscience ou la désintégration de la conscience normale pendant la période de temps où un tel homi- cide peut être accompl
lcrlz médical journal, juillet 1898.) Le début de la folie est la période où cette maladie est le plus curable. Souvent p
Observation d'une femme de trente-six ans, migraineuse, qui dans la période prémonitoire de chacun de ses accès croit recon-
teur apporte douze observations très résumées de tabétiques dans la période préataxique, dans la période ataxique et dans la
ns très résumées de tabétiques dans la période préataxique, dans la période ataxique et dans la dernière période. Il étudie
a période préataxique, dans la période ataxique et dans la dernière période . Il étudie l'étiologie du tabes, syphilis, hérédi
la VARIA. 255 grande majorité des cas; qu'ils sont sujets à des périodes d'excitation, à des impulsions qui les rendent
et Sérieux, p. 110. 264 CLINIQUE mentale. dérant avec Morel la période d'inquiétudes (ancienne période hypocondriaque)
NIQUE mentale. dérant avec Morel la période d'inquiétudes (ancienne période hypocondriaque) comme l'équivalent de l'accès m
e, qui depuis des années présente un enchaînement inin- terrompu de périodes de dépression mélancolique puis d'excitation ma
le type hystérique, épileptique, comateux, et survenir à toutes les périodes de la maladie. Nous avons noté, on l'a vu, dans
bord et surtout nocturne; il se mani- feste principalement dans les périodes hypnagogiques, et se prolonge dans le sommeil o
de délire toxi-infectiew. Il va sans dire que c'est surtout dans la période d'état ou de déclin se prolongeant outre mesure
tématique dans le traitement de la confusion mentale. Lorsque les périodes d'agitation aiguë sont passées et que survienne
progressivement et attei- gnent leur maximum au bout de cent jours, période à laquelle s'effectue le retour à l'état normal
uration fibreuse et stade d'ossification; clinique- ment, ces trois périodes sont moins distinctes, elles se confondent succ
a malade dans un raptus d'une intensité souvent extrême. Dans les périodes d'accalmie, Il H... reste étendue sur son lit,
éveiller qu'au matin. Il semble donc que nous voici arrivés à une période de conva- lescence ou tout au moins d'accalmie
je ne veux pas, je ne veux pas ! ... » Cet état persiste avec des périodes plus ou moins longues de calme relatif, et dure
joue un rôle important, le développementen est rapide : il y a une période prémonitoire d'inquiétude, de confusion, d'ango
commandées par une altération des centres trophiques remontant à la période foetale. (Revue neurologique, oct. 1898.) E. B.
cieusement les indications du traitement, faisant ainsi succéder la période rationnelle à la période du tâtonnement et du h
s du traitement, faisant ainsi succéder la période rationnelle à la période du tâtonnement et du hasard. Au surplus, si l
ablissement à,l'autre, Aubanel fut directeur intérimaire pendant la période d'installation, et ce n'est qu'après avoir tout
m- breux. La mélancolie, sous toutes ses formes et à ses diverses périodes , se complique de délires systématisés dont la sys
est constitué et l'auteur assigne à l'évolution de ce délire trois périodes distinctes (trop distinctes peut être, car en r
lousie, la dépression mélancolique, les idéos de : ui- cide ; 2° la période d'état caractérisée par la persécution et les h
celui des examinés. M. Chervin a fait porter ses recherches sur une période de dix ans, 1886 à 1895. Ce qui est remarquable
d'emblée, primitivement. Jamais il n'est précédé ni préparé par une période de dépression physique, morale, intellectuelle,
ée que vers le commence- ment de notre siècle. Ensuite, il vint une période de silence pendant laquelle ces questions sont
conceptions ver- bales aux souvenirs automatiques des mots. A la période initiale du développement du langage chez l'enf
ne lacune complète : de tous les événements se rap- portant à cette période il n'a gardé aucun souvenir; il ne se rap- pell
e parait moyenne. La mémoire est fidèle, sauf en ce qui concerne la période de cinquante-sept jours, s'étendant du commence
t le souvenir de tout ce qu'il avait pu dire ou faire pendant cette période . Une pareille amnésie ne saurait non plus être
nt a été atteint notre malade : les souvenirs se rapportant à celle période peuvent être obnubilés mais jamais abolis. Enfi
s jamais abolis. Enfin troisième fait : en même temps que toute une période de son existence s'effaçait de sa mémoire, P...
rieure momentanément disparu. L'état de P...... pendant toute la période qui s'étend du 8 décembre 1896 au 3 février 189
devait rester ignorée d'elle. Les impressions règnes pendant celle période ne se sont pas agrégées à son ancienne personna
'autre, de la membrane néoformée, parvenue dans le premier cas à la période d'état, dans le deuxième cas à la période initi
dans le premier cas à la période d'état, dans le deuxième cas à la période initiale. D'où il se dégage naturellement cette o
quantité normale oscillant entre 1.150 ce. et 2.000 ce; pendant les périodes d'amélioration le chiffre descend à 1.500 ce. e
générale. Du sens tactile étudié chez les mêmes malades aux trois périodes de la ,par iniai-atidoii de bloiityel, 189. -
30 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
fatigable J.-F. Meckel (35) en publiant les faits reeueillis Jcma une période de cinquante ans par son aïeul, par son père et p
ini (***), où l'on voit la transformation vésiculeuse dans toutes ses périodes : je ne parle point de la couleur rougeâtre du li
sent cette singulière altération, qu'alors la grossesse parcourût ses périodes accoutumées et que l'enfant vînt au monde vivant
ependant l'observation n'a pas encore démontré si, passé une certaine période , la fibre musculaire, devenue graisseuse, peut re
ne fluxion sanguine considérable; l'inflammation devait parcourir ses périodes , le mouvement fébrile symptomatique persister. Le
sang? Je ne le pense pas, car la pneumonie observée dans ses diverses périodes ne présente pas d'hémorrhagie avec déchirure. Mai
e assez peu considérable et simuler celle qui a lieu dans la dernière période des affections du cœur comme dans l'observation q
our la gangrène du poumon. Il nous présente cette maladie à plusieurs périodes , et nous rend témoins des efforts prodigieux que
e, anatomiquement parlant, que la gangrène du poumon dans sa première période , aux lambeaux noirâtres et horriblement fétides q
hérissent de toutes parts le foyer gangreneux. Mais, dans la seconde période , lorsque le travail de cicatrisation a commencé,
du moment où le ventre s'est énormément ballonné. H y a donc eu trois périodes dans cette maladie. Du 18 septembre jusqu'au 6 oc
s tous les autres tissus, lorsqu'elles sont parvenues à leur dernière période . Toutefois les trous de conjugaison étant desti
ré; mais autre chose est une incurabilité résultant du siège et de la période de la maladie ; autre chose est une incurabilité
u un symptôme caractéristique de cette maladie, même dans la première période . Il serait d'ailleurs difficile de faire la part
soit dans différens reins inégalement altérés , toutes les phases ou périodes de cette transformation ; et il m'est arrivé souv
de Pinel, qui comparait la marche d'une maladie fébrile aux diverses périodes de l'accroissement d'un végétal, il n'y a pas moi
, soit à la région iliaque droite; quelquefois, dès le début ou à une période peu avancée, une saignée au bras ou une forte app
ffire dans quelques cas, si elle convient en général dans la première période de la maladie, il arrive bien souvent qu'elle est
point de clinique aussi solidement établi que possible, qu'il est une période dans l'entérite folliculeuse aiguë où la méthode
valescence. D'ordinaire, l'appétit s'éveille aussitôt que commence la période de déclin de l'entérite folliculeuse, et l'on est
se manifestent sont tous plus ou moins équivoques. Dans une première période , point de symptômes, au moins chez le plus grand
t du cerveau , soit de ses membranes, qui peuvent survenir à diverses périodes de la maladie, doivent être tenus en ligne de com
lle est tout-à-fait nulle, i° parce que ces tumeurs, dans la première période , ne se manifestent le plus souvent par aucuns sym
es, et que les symptômes qui révèlent leur existence dans la deuxième période sont tous plus ou moins équivoques; i° parce que,
nflammation des sinus de la dure-mère parcourir le cercle complet des périodes que je viens denumérer pour la phlébite en généra
la phlébite en général. Plusieurs malades succombent dans la première période , c'est-à-dire, par l'effet de la seule coagulatio
nvexité, d'après les observateurs modernes, n'avaient existé à aucune période de la maladie. Les deux observations suivantes no
de la maladie, on évitera toute espèce d'erreur, même dès la première période . VI. Comme traitement préservatif du ramollisse
re tous les caractères de l'altération commençante : à cette première période , la tunique musculeuse fas-ciculée, comme les mus
atisfaisant, elle nous dévoile le jour, l'heure de l'invasion, et des périodes de symptômes tout-à-fait en harmonie avec des pér
vasion, et des périodes de symptômes tout-à-fait en harmonie avec des périodes de lésion. xie livraison. 1 V. Les abcès visc
ets, si je puis m'exprimer ainsi; car si les malades succombent à une période moins avancée de la maladie, on rencontre toutes
nt à une période moins avancée de la maladie, on rencontre toutes les périodes de l'inflammation circonscrite des poumons ou du
le médecin dans toutes les dégénérations organiques qui passent à la période qu'on appelle de ramollissement, ou à celle d'ulc
duction analogique sont déduites.avec une grande sagacité, toutes les périodes de la formation de ces abcès parfaitement indiqué
ammations circonscrites qui parcourent plus ou moins rapidement leurs périodes pour produire des abcès ; que ce pus, comme le me
veineuses. Or, la formation de caillots compactes adhérens (première période , premier degré de toute phlébite) n'a d'inconvé-n
phlébite des sinus de la dure-mère est mortelle d ans cette première période , parce que la circulation veineuse du cerveau est
s; mais la phlébite est très-positivement curable dans cette première période , même la phlébite utérine. Je suis fondé à penser
l'épaisseur du muscle soléaire; il me fut facile de suivre toutes les périodes de la formation de ces abcès. Dans la première pé
re toutes les périodes de la formation de ces abcès. Dans la première période , un pus lie de vin était ramassé au centre d'un c
t de la phlébite doit en quelque sorte se concentrer dans la première période , la période de la coagulation du sang ; car une f
bite doit en quelque sorte se concentrer dans la première période, la période de la coagulation du sang ; car une fois la suppu
le plus grand nombre des phlébites utérines. Mais, passé la première période , aussitôt que les phénomènes généraux commencent
ent un effet cadavérique, n'a ordinairement lieu que dans la première période , c'est-à-dire, dans celle des caillots sanguins a
sentèrent des altérations analogues qu'on peut considérer comme trois périodes de la même lésion. La rate, plus volumineuse qu
du foie représentait assez bien l'aspect d'un granit. Cette première période de la suppuration du foie, dans laquelle chaque g
rs pneumoniques AL, A'L', A"L", qui ne sont point encore arrivés à la période de l'abcès. Dans presque tous, une couche épaisse
rmé dans le lieu même, à la suite d'une inflammation qui parcourt ses périodes accoutumées. 11e. Livraison. Pl. 3. MALADIES
ique dans ses formes et dans sa texture ; la suivre dans ses diverses périodes ; établir quel est l'élément anatomique spécialem
tement après la ponction pratiquée pour l'ascite, si commune dans les périodes avancées de cette maladie. Ce signe est pathognom
e couleur, de consistance, lesquelles dénotent assez généralement des périodes diverses de développement, ne semblent-elles pas
oraines ; mais que les unes sont à l'état embryonnaire, d'autres à la période d'accroissement, d'autres à l'état de développeme
de ces tumeurs, et qu'on peut étudier la succession de leurs diverses périodes . Nous avons vu ( xie liv., Phlébite) qu'il en éta
série plus ou moins nombreuse de transformations. Les expressions de période de crudité et de période de ramollissement, par l
reuse de transformations. Les expressions de période de crudité et de période de ramollissement, par lesquels on désigne habitu
te et l'anasarque, non moins communes que l'ictère, sur-tout dans les périodes avancées , sont-elles la suite constante et exclu
le rôle du médecin se bornera à la contemplation stérile des diverses périodes de la maladie et des lésions qu'elle laisse après
i), c'est que la phlébite n'est grave que lorsqu'elle est passée à la période de suppuration. Or, c'est peut-être à des applica
blables à celles de l'enfantement, douleurs qui se renouvellent à des périodes plus ou moins considérables y et qui se calment p
tement réussi dans des cas analogues. La stomatite survenant dans une période avancée, et résistant aux moyens accoutumés, m'a
d'un rouge foncé offrant l'aspect étonné des cholériques arrivés à la période de réaction; la peau est chaude, le pouls lent, l
tantôt comme une forme peu grave du choléra, tantôt comme la première période du choléra le plus grave. IV. Le choléra moyen,
moyen, lorsqu'il ne dégénère pas en choléra asphyxique, présente deux périodes bien tranchées : i° la période de concentration ,
en choléra asphyxique, présente deux périodes bien tranchées : i° la période de concentration , i° la période de réaction', ce
deux périodes bien tranchées : i° la période de concentration , i° la période de réaction', celle-ci est toujours proportionnel
temporaire; elle peut devenir funeste. Le malade qui a triomphé de la période de concentration n'a échappé qu'à une partie des
prononcé : tous les malades que j'ai observés ont eu à traverser une période plus ou moins orageuse. Il est donc probable que
ons pu noter nous-même des différences remarquables dans les diverses périodes de l'épidémie de Paris, autre chose était le chol
ipe de la vie et présente plus de prise aux agents thérapeutiques. La période de réaction si rare, au moins d'une manière franc
dérable. XXIV. Dans le cas précédent, la malade a succombé après la période de réaction. Cette période est pleine de dangers,
s précédent, la malade a succombé après la période de réaction. Cette période est pleine de dangers, car il faut que l'équilibr
XXV. Il semble donc que plus la maladie se sera prolongée après la période de réaction, et plus les traces de l'inflammation
quée .de la muqueuse : tandis que lorsque la mort a été voisine de la période de réaction, les lésions anatomiques ont été très
beaucoup de soin. XXVI. Lors donc qu'un cholérique a triomphé de la période asphyxique, il n'a échappé qu'à une partie des da
uvent subordonnée au genre de moyens qui ont été mis en usage dans la période de concentration; d'où la nécessité d'une grande
s les instants nécessite et quelle série d'indications présente cette période de réaction. Choléra très-grave arrêté à la pre
cette période de réaction. Choléra très-grave arrêté à la première période du froid et de la lividité. Assoupissement très c
oïdienne ou dans les ventricules. L'usage immodéré de l'opium dans la période asphyxique a souvent entraîné ce fâcheux résultat
u cadavre. - L'aspect du cadavre des cholériques morts pendant la période bleue, diffère peu de celui que présentent les ma
leue, diffère peu de celui que présentent les malades arrivés à cette période , où ils sont en quelque sorte cadavérisés, comme
sence de cette sueur visqueuse qui inonde la peau pendant la dernière période du choléra : chez plusieurs sujets, au bout de di
ides de l'estomac. Chez un certain nombre d'individus morts dans la période bleue, j'ai trouvé l'intestin rempli et même dist
e épaisse de mucosités rougeâtres. Lorsque le cholérique résiste à la période bleue et succombe plus ou moins long-temps après
guinolent. Chez la plupart des individus morts quelque temps après la période de réaction, j'ai trouvé une pulpe jaunâtre ou ve
possible et complètement vide, au moins chez les sujets morts dans la période asphyxique. Elle contient de l'urine chez les ind
hyxique. Elle contient de l'urine chez les individus morts pendant la période de réaction. Des organes de la circulation et d
chique présente une couleur violacée chez les individus morts dans la période d'asphyxie. Appareil nerveux. Cerveau et cerv
le rencontre constamment chez les individus qui ont succombé dans la période asphyxique. 4° Que le sang présente un état par
que. Traitement curatif : i° Ranimer, ressusciter la vie pendant la période de concentration; i° diriger la période de réacti
ressusciter la vie pendant la période de concentration; i° diriger la période de réaction; 3° dissiper les désordres fluxionnai
llons donc étudier, dans un résumé rapide : i° la thérapeutique de la période de concentration; i° la thérapeutique de la pério
érapeutique de la période de concentration; i° la thérapeutique de la période de réaction; 3° la thérapeutique des accidents co
3° la thérapeutique des accidents consécutifs. Thérapeutique de la période asphyxique : Pendant cette période, où la vie est
consécutifs. Thérapeutique de la période asphyxique : Pendant cette période , où la vie est menacée dans sa source, il n'y a é
tive. Je n'ai eu recours à la glace appliquée extérieurement, dans la période asphyxique, que partiellement, et pour remplir de
, aromatiques, chlorurés ou autres, ne peuvent être supportés dans la période asphyxique. La pression qu'exerce le liquide sur
ante a prouvé que si les stimulants à petite dose sont utiles dans la période de concentration pour ressusciter la vie, leur us
ur la muqueuse digestive, et que l'inflammation est imminente dans la période de réaction. Nous croyons aussi que les pratici
e a présenté moins souvent des traces d'inflammation à la suite de la période de réaction, que la muqueuse intestinale. La form
e la muqueuse intestinale. La formule suivante m'a paru utile dans la période asphyxique: Eau de cannelle orgée, de menthe po
nt dans lequel sont plongés les malades. Donné à fortes doses dans la période de concentration, il a paru s'opposer à la réacti
qu'a rendus la glace dans cette terrible épidémie. Cependant, dans la période asphyxique, j'ai eu recours aux boissons prises
36°, devaient être préférés aux lavements frais ou froids, pendant la période de concentration. Je les faisais renouveler toute
Il n'y a qu'une difficulté dans l'emploi de la saignée appliquée à la période de concentration ; c'est l'impossibilité d'obteni
hyxique dans lequel je n'aie eu recours à la saignée générale dans la période de concentration. Plusieurs veines ont été piquée
as la vie des malades. Réflexions générales sur le traitement de la période de concentration. Je ne saurais trop recommander
persévérance dans les soins administrés aux cholériques pendant cette période . Promptitude des secours, continuité de ces secou
ugent la question que d'un seul point de vue. Thérapeutique dans la période de réaction. La saignée que la plupart des prat
La saignée que la plupart des praticiens tiennent en réserve pour la période de réaction, me parait formellement contre-indiqu
le cerveau congestionné. Les bains que nous avons proscrits dans la période asphyxique sont ici de la plus grande utilité : q
en s'est repenti d'avoir employé l'opium à trop forte dose pendant la période asphyxique. N'oublions jamais que l'économie inse
la convalescence : combien de malades échappés au double danger de la période asphyxique et de la période de réaction, ont succ
e malades échappés au double danger de la période asphyxique et de la période de réaction, ont succombé convalescents, victimes
de mucosités épaisses, semblables à celles d'un catarrhe arrivé à la période de coction. Les phlyctènes annoncent-elles consta
matique d'une lésion grave du canal intestinal, et se manifeste à une période plus ou moins avancée des maladies aiguës ou chro
s pseudo-membraneuses d'aspect si dissemblable me parait dénoter deux périodes bien distinctes dans cette maladie; la couche gra
elle n'ont aucune espèce de rapports. Elles ne parcourent jamais les périodes et ne déterminent jamais les accidens des tubercu
ailleurs suivre la formation de ces abcès dans toutes leurs phases ou périodes : i° taches sanguines brunâtres, dont le siège pa
de la masse primitivement envahie. Existe-t-il dans les plaies une période au-delà de laquelle les abcès consécutifs ne soie
à l'abri de semblables lésions. Dans le scorbut parvenu à sa dernière période , on trouve quelquefois, dans l'épaisseur de ces o
le placenta. Dans ce cas, une grossesse ovarique étant parvenue à une période avancée, le kyste , les membranes de l'œuf s'étai
yste s'était formé; et, s'il y avait eu rupture de l'utérus, à quelle période de la grossesse avait eu lieu cette rupture ? Evi
e parmi les dégénérations cancéreuses, et pour laquelle il admet deux périodes , une période de crudité et une période de ramolli
générations cancéreuses, et pour laquelle il admet deux périodes, une période de crudité et une période de ramollissement , et
t pour laquelle il admet deux périodes, une période de crudité et une période de ramollissement , et quatre formes : i° celle d
se. (Archives de Médecine). De ce qui précède, il suit que les deux périodes de crudité et de ramollissement admises dans la m
nt à succéder à l'autre , l'état de pigmentum liquide qui répond à la période de ramollissement de quelques auteurs peut précéd
ques auteurs peut précéder l'état de pigmentum solide qui répond à la période de crudité. J'ai émis ailleurs une opinion sembla
même côté. Flaccidité des membres droits ; pouls naturel. Pendant la période de rigidité, la respiration et la circulation s'a
s qu'il convient d'examiner. La perforation peut survenir : dans la période d'accroissement de l'ulcère lorsque des adhérence
uite de forts vomissemens. Ylhémorrhagie peut survenir : pendant la période d'accroissement de l'ulcère, elle est alors le ré
31 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
ont été précédemment publiés, l'emploi du sommeil provoqué pendant la période de dilatation, n'en a pas retardé le travail, qui
travail, qui s'est accompli pour ainsi dire à l'insu de la malade. La période d'expulsion a été rendue pins facile, plus réguli
développement de l'aliénation mentale à Paris. Par exemple, pour une période de 17 ans, de 1872 à 1888 inclus, la statistique
ès légères variations, et le résultat final est celui-ci : dans cette période de 17 ans, le nombre des aliénés s'est augmenté d
otestataires. Le paralytique général y apparaît surtout à la première période , où, actif encore, mais inconscient déjà, il se m
états du grand hypnotisme décrits par Charcot. D'après lui, dans la période léthargique, cette excitabilité est augmentée, da
ans la période léthargique, cette excitabilité est augmentée, dans la période cataleptique elle est stationnaire au moins en pr
neuromusculaire. Dumontpallier et Magnin prétendent qu'à toutes les périodes de l'hypnose, ils ont vu l'excitabilité nerveuse
re qu'elles n'ont pas été faites avec les mêmes précautions, dans les périodes appropriées et surtout chez des sujets atteints d
se comporte l'excitabilité-électrique à l'état normal et pendant les périodes de léthirgie, de catalepsie et de somnambulisme.
de la population. On a reconnu que les garçons passaient par trois périodes différentes de développement : vers 7 ou S ans, i
'une façon peu accusée. Chez les jeunes filles, on retrouve ces mêmes périodes , mais elle se montrent toujours quelques années p
mparaison, on a reconnu que les jeunes garçons américains, pendant la période de puberté, ont une taille et un poids supérieurs
le-ci. Il semble qu'une cause quelconque les empêché d'entrer dans la période la plus importante de leur accroissement, en même
grandissent peu de la fin de novembre à la de mars; dans une seconde période , qui va de mars à juillet et août. !a taille s'ac
ille s'accroît beaucoup, mais non le poids; enfin, dans une troisième période , qui va jusqu'à la lin de novembre, l'accrois
iffre des malades s'abaisse d'année en année, jusqu'à la fin de celle période . Aussitôt qu'elle est terminée il se fait une rec
ts offre peu de résistance aux influences extérieures. Puis vient une période pendant laquelle cette résistance grandit d'année
ent de celle-ci s'améliore à peine dans les dernières années de cette période . Le mode d'éducation des filles explique aisément
nique. C'est une paralysie-épilogue, un phénomène concomitant avec lu période de déclin de l'affection. Hn outre, dans l'espèce
t des choses aussi prodigieuses. Il ajoute que pendant une certaine période de sa carrière professionnelle, il a déjà travers
rtaine période de sa carrière professionnelle, il a déjà traversé une période pendant laquelle l'emploi du mesmérisme et de l'h
rmittente, ¡'ai tenu à bien établir les caractères particuliers de la période intercalaire pendant laquelle l'in-telligence res
parcourt dans son évolution métho- dique quatre étapes qui sont : 1° période d'incubation : 2° période de perse- cution ; 3° p
on métho- dique quatre étapes qui sont : 1° période d'incubation : 2° période de perse- cution ; 3° période ambitieuse ; 40 pér
qui sont : 1° période d'incubation : 2° période de perse- cution ; 3° période ambitieuse ; 40 période de démence. Les éléments
incubation : 2° période de perse- cution ; 3° période ambitieuse ; 40 période de démence. Les éléments symp- tomatiques princip
es, mais différant par leur nature agréable de celles de la troisième période ; la quatrième, par une déchéance intellectuelle
inations et de la tendance au suicide. On peut leur décrire plusieurs périodes qui sont : 1°stade prodromique dans lequel le m
s mouvements sont faciles, mais il est constamment agité. Ce sont des périodes d'excitation qui alternent avec de la dépression
t des diverses manifestations de l'hystérie. Chorêe. — Dans la même période , nous avons traité environ vingt cas de chorée pa
r que cinq cas de paralysie agitante. Tous étaient déjà arrivés à une période avancée de la maladie. L'atro- phic musculair
urs malades mises en léthargie, et ils ont constaté que, durant cette période léthargique prolongée de huit à vingt jours, la n
n mentale tout à fait spéciale, une véritable entité morbide, à trois périodes distinctes, ayant sa marche, ses terminaisons et
aire concurrence aux fonctions cérébraies? Tout d'abord, pendant la période de sommeù qui suit immédiatement h piqûre, on con
les poussées se soutiennent, enfin le dégagement se fait. Pendant la période d'expulxion le Dr Robino faisait prendre au bras
esse. Un mois après les régles reparaissent, puis cessent pendant une période de huit mois qui présente toute la série des sign
Lorsqu'il sortit de sa torpeur, le malade avoua que, pendant toute la période du sommeil apparent, il n'avait cessé de se croir
elle mesure les fonctions cérébrales ont pu se ressentir de la longue période comateuse dans laquelle elle a été plongée A la s
de» prostituées. Les observations du Dr Tarnowski s'étendent à une période de quatre ans pendant lesquels 150 protituées fur
nts de toutes sortes. Devenue enceinte avant son mariage, pendant une période de condition seconde, elle ignorait, dans l'autre
istinctes n'en ont de leurs natures respectives; par exemple, dans là période d'état ancien, elle possède toutes les connaissan
t complètement le souvenir de ce qu'ils ont appris pendant une longue période de leur existence, pendant les cinq ou six derniè
netteté parfaite. Dans ces attaques, Albertine se croit revenue à une période antérieure de sa vie : !. tantôt elle se querel
e aurait tel âge, ou qu'elle exécuterait tel acte se rapportant à une période bien déterminée de son existence; 2° En fixant
eaux, 1887. (2) camuset. Un cas de dédoublement de la personnalité. Période amnésique d'une année chez un jeune hystérique, A
aincre ses auditeurs, s'appliqua-t-il à provoquer chez lui toutes les périodes de l'hypnotisme, et à déterminer toutes les contr
ontrant pas en dehors de l'hystérie, et qoi est caractérisé par trois périodes : la catalepsie, la léthargie et le somnambulisme
par trois périodes : la catalepsie, la léthargie et le somnambulisme, périodes par lesquelles on fait passer successivement le s
dans l'état de léthargie par la simple occlusion des yeux. Dans cette période , on constate l'exis-tense de l'hyperexcitabilité
ple friction sur le vértex, on fait entrer le sujet dans la troisième période , la période somnambulique, période où ce dernier
sur le vértex, on fait entrer le sujet dans la troisième période, la période somnambulique, période où ce dernier est éminemme
entrer le sujet dans la troisième période, la période somnambulique, période où ce dernier est éminemment suggestible et prése
tible et présente de l'hyperexcitabilité cotano-musculaire. Ces trois périodes , ainsi que les caractères matériels qu'elles prés
bien en présence d'un hypnotique et non d'un simulateur. Lorsque les périodes manquent ou sont incomplètes, on a affaire alors
partisans du grand hypnotisme, à savoir que les caractères des trois périodes regardées comme caractéristiques de cet état ne s
suggestion, chez beaucoup d'hypnotiques, produire à volonté les trois périodes précédentes, avec leurs caractères classiques; on
es par M. Dumontpallier et son élève M. Magnin ; on peut inverser ces périodes , en modifier les caractères, créer, par exemple,
, la catalepsie les yeux fermés, rendre suggestible le malade dans la période de léthargie, produire l'hyperexcitabilité neuro-
, produire l'hyperexcitabilité neuro-musculaire dans n'importe quelle période , etc. En un mot, il est facile, chez un sujet trè
par l'hémianesthésie hystérique, les zones hystérogènes et les quatre périodes de la grande attaque (1). Et ce n'est plus par
le D., tous les sujets hystériques agissant spontanément (4) dans une période som-nambulique de leur affection, il sortit net d
reff (V.). — Cas de trouble dans les idées, guéri par suggestion à la période initiale de l'hypnotisme. (Vestnik klin, i sudebn
plonge pendant une heure ou pendant huit heures un sojt>t dans une période de grand hypnotisme, on note : la diminution de v
tion morale, est sujette à des accès d'agitation maniaque pendant les périodes menstruelles. En dehors de ces accès, elle reco
famille. Je l'ai endormie du sommeil hypnotique pendant une de ces périodes et j'ai fait durer le sommeil quinze jours 'état
end les habitudes de sa vie normale, sans garder aucun souvenir de la période pathologique qu'il vient de traverser. Conduit de
les caractères somaliques, rhyperexcitabilité neuro-musculaire de la période dite léthargique, rhyperexcitabilité cuianc-muscu
période dite léthargique, rhyperexcitabilité cuianc-musculaire de la période dite somnaxnbulique, le transfert par les aimants
patiente comme une femme nerveuse, avait beaucoup redouté la dernière période de l'accouchement. L'enfant, une petite fille, pe
emme qui paraissait souffrir beaucoup, mais se taisait. A la dernière période , je m'aperçus que la jeune dame faisait des effor
s en plus calme, au fur et à mesure que l'accouchement avançait. La période la plus tranquille a été précisément celle de la
eignit 9, puis 12 lignes de longueur. Que la combustion, pendant la période chimique, puisse provoquer l'émanation lohique, o
contre, chacune des trois phases de l'hypnotisme produisait, dans la période d'expérience des vingt-quatre heures, un abaissem
que nous appellerons approximative) des vingt-quatre heures, pour une période de quatre jours, a été : volume, 1,012c.c; résidu
dividu saiu. Le sujet fut alors plongé en somnambulisme pendant trois périodes , chacune de plusieurs jours consécutifs. On lui s
spécial, ce qui fut volontairement exécuté. La moyenne de ces trois périodes , telle qu'elle nous a été communiquée par M. Hara
nt ce dernier étal, il est impossible d'établir, entre celui-ci et la période somnambulique où elles le furent complètement, un
yen de la faire sortir pour l'amener dans l'état aomnambulique, seule période , disaient-ils, dans laquelle la suggestion était
ermine l'ouvrage. L'évolution de la neurasthénie s'est faite en trois périodes : la première, qui est très longue, ne comprend q
s « les vapeurs » jusqu'au « nervosisme ¦ ; enfin la troisième est la période moderne, qui date du livre de Beard (1880). Rie
nante qui le quittait très rarement; elle persistait mémo pendant les périodes où il était débarrassé da ses vomissements. Enfin
vulsions violentes qui se répétèrent jusqu'à midi, alternant avec des périodes de sommeil. A une heure de l'après-midi seulement
me^Il cite le cas d'une déséquilibrée de trente-cinq ans en proie par périodes à un éréthisme génital se traduisant par du pruri
ir un tableau représentant son apparition. A dix-neuf ans, elle a des périodes de surexcitation, elle est agacée, énervée, elle
. De plus en plus émotive, il36 G... pleurait souvent; elle avait des périodes d'énervement, entendait que tout le monde lui céd
32 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
IQUE NERVEUSE. motrice et l'éclosion d'une crise convulsive dans la période hyperpyrétique d'une dothiénentérie; ce dernier
franche, la première avec une phase tonique très courte et dont la période classique s'est prolon- gée pendant une heure,
lade jusqu'au moment de la mort à 10 heures. Pendant toute cette période , les bras s'agitent, les yeux sont con- vulsés
s à une distance notable de la ville universitaire. Dans la seconde période , qui a débuté, il y a vingt ans à peine, par la
de nombreux stigmates de dégéné- rescence, photographié pendant une période d'excitation men- tale 1. « L'emploi du phono
uTAR. (1'he Journal, of Mental Science, juillet 1897.) Pendant la période de cinq ans qui va de 1890 à 1895, 85 malades s
de l'accommodation. Kahibaum a signalé aussi dans la katatonie à la période mélan- colique une diminution du nombre normal
on que nous reprodui- sons ici : I. Folie de la syphilis précoce ( période primaire et secon- daire) : 1° folie toxique ai
ent due à l'anémie cérébrale. - II. Folie de la syphilis tardive ( période tertiaire) : 1° folie due à une lésion syphilit
gine composite et de nature complexe, et ils persistent, dans une période d'accroissement et par conséquent moins fixe et p
elation) qui les co.r.bine suivant une marche définie ; pendant ces périodes l'enfant est particulièrement impressionnable p
onna- lité, ainsi que de la volition. Les instincts propres à cette période sont surtout égoïstes (gourmandise, appropriati
3° A mesure que le développement progresse, l'enfant franchit cette période ; et le cerveau antérieur, par l'accroissement de
- ment et rapidement (comme les organes qui se rattachent à cette période de la vie) des instincts et des sentiments d'un o
eau qui réorganisent, et, partiellement, transforment le moi. Cette période est caractérisée aussi parle développement d'aspi
ue plusieurs de ces évolutions du cerveau et de l'esprit, depuis la période foetale (somnolence végétative) jusqu'à celle d
lade estjeune, la maladie aboutit à la guérison ; s'il a dépassé la période moyenne de la vie, le cas se termine promptemen
ement leurs réflexes tendineux, une hémiplégie organique resté à la période flaccide. Nous insistons à nouveau sur l'import
n effet, si un traitement peut être efficace, c'est surtout dans la période initiale, et je dois dire que sur la plupart de
te depuis de nombreuses années de folie systématisée chronique à la période ambitieuse. Un frère jumeau jouit d'une réputat
de vingt-quatre ans, atteinte de démence paralytique à la troisième période à laquelle elle succombe au bout d'un an. A exe
la tête à coups de poing, à la façon de certains- idiots. Dans les périodes de calme, elle manifeste la plus grande indiffé
nce acariâtre : leur état mental reflète exactement, à ses diverses périodes , ces particularités morales qu'accuse même leur
teur des idées; il disait lui-même qu'il perdait la tête. Après une période de mieux, il fut repris d'exci- tation l'année
es né- V1'oses de développement on ne considère qu'un moment, une période déterminée plus ou moins courte, comme l'ont fa
e délire des persécutions, de démence progressive, et cela dès la période préataxique du tabes. Les deux affections, dans d
écoces et se montrent, comme ceux de la névrite optique, pendant la période préataxique (diminution de l'acuité auditive, s
' d'habitude, des cellules à peu près saines et d'autres à : diverses périodes de la dégénérescence granuleuse ... . 140 REVU)
plutôt spéciale à cette affection. Les troubles surviennent à des périodes diverses de l'infection malarienne; ils peuvent
ers muscles du groupe radiculaire supérieur; par l'absence de toute période fébrile d'invasion et par la cause qui a produi
ralysie établie à la suite d'un,¡ apoplexie, elle subit bientôt une période de dimi- nution d'intensité. III. - Les contr
sivement carac- téristiques et variés dans les deux affections à la période de la contracture. Dans la contracture hystér
proprement dit a rétrocédé après une durée de dix ans. Pendant la période de démolition du délire, l'aliéné expliquait rais
ues ne pourraient pas expliquer la persistance des accès pendant la période pyrétique de la fièvre. M. Voisin soigne en ce
ue ni jour ni nuit; aucune d'elles n'a jamais eu d'accès pendant la période pyrétique. Ceux-ci ne se sont montrés qu'au mom
rifiantes et était en outre sujette à des impulsions' verbales. Une période de doute et d'interrogations avait précédé l'ap
sion mélancolique avec idées hypocondriaques. Il traverse aussi des périodes au cours desquelles il accuse ses persécuteurs
oint comme le stade ultime d'évolution d'un délire spécial avec ses périodes suc- cessives (idée fausssement attribuée à Cot
tions de cataplas- mes de 'farine de moutarde.1 Enfin, durant cette période ,' la jambe - avait maigri et, à l'heure actuell
boitait : cette infirmité, qui a complète- ment disparu après cette période de repos, était la conséquence de l'attaque de
cédé une marche absolument semblable. Dans les trois cas, après une période d'acuité plus ou moins longue, l'affection disp
question» singulièrement obscure. L'auteur insiste sur lai longue période de latence qui peut exister entre le moment' où
ement) etil'appa- rilioirs de. lai paralysie- traumatique ; : cette période peut ! s'étendre de quatre semaines à cinq ans.
ses études et, une fois son diplôme obtenn,accom- plit une nouvelle période de service de six mois. 'Riais alors' il n'a plus
ns magistrales' l'assistance est obligatoire pen- dant une certaine période ;... pour chaque spécialité, l'Étudiant ! trouve
l'inauguration des cliniques urbaines comme le début d'une nouvelle période pour l'enseignement académique de neuro- pathol
II. LES psychoses DES lésions CÉRÉBRALES. VIII. Les psychoses DE la période d'involution : A. Mélancolie. B. Délire de préj
oisine est utile à la condition' d'être employée seulement dans les périodes d'excitation ; dans la manie chronique, résulta
e, mais jamais d'anesthésie com- plète. Dans les cas bénins et à la période de début, les réflexes cutanés restaient normau
cal Journal, 12 février 1898.) Les symptômes les plus communs de la période initiale, sont les douleurs et l'abolition du r
lôpie, la paralysie des cordes vocales ont aussi été observées à la période initiale. On remarque aussi des altérations art
ièrement les crises gastriques se rencon- trent fréquemment dans la période pré-ataxique. La coïncidence de l'un des symptô
intensité, sa durée, semble moins influencée, quand on compare les périodes alternatives de lever et de coucher sur un même
transitoires séniles; par L. Miciiaud. (Thèse de Lyon, 1900.) Les périodes délirantes qui se montrent parfois sous forme de
Elles ont tou- jours prédominé dans le côté droit Au cours de cette période , il aurait eu une entérite, une pneumonie et un
de quinze à vingt jours de sa vie, durant les premiers temps de la période convulsive, une ophtalmie purulente : les yeux
s qu'il pousse des cris perçants qui désolent la famille. A cette période d'excitation, succède de nouveau une accalmie d
nous donne les renseignements sur l'accident de ce matin et sur la période d'agitation qui l'avait suivi, nous dit que l'e
i la scène morbide, la phase comateuse qui survint si vite après la période d'excitation jointe à l'absence d'albumine et à
ébrale apoplectiformi chez un enfant subitement refroidi, en pleine période digestive. On lui applique deux sangsues derriè
e la névroglie Ils sont sphériques, ovoïdes ou pyriformes, et à des périodes plus avancées, ils peuvent être- crénelés, disp
s- unes des influences qui ont aidé la psychologie à passer de la période métaphysique à la période scientifique et de mont
ui ont aidé la psychologie à passer de la période métaphysique à la période scientifique et de montrer que l'élan nouveau d
qui existent- entre la structure et la fonction aux différente'; périodes de la vie de l'individu. Celte corrélation de la
s rapports plus étroits que jamais, et quand le sujet entre dans la période où les facultés intellectuelles commencent à ba
ations s'établissent entre le tractus olfactif et l'écorce; à cette période , le cerveau de l'enfant est fonclionnellement c
els que le sommeil et les divers degrés de conscience ; pendant les périodes d'activité sul7-cousclente, les prolongements c
rétracteraient pour subir un nouveau mouvement d'expansion dans les périodes plus actives de cons- cience. ' · . Van Giese
onstitués que dans des masses de protoplasma non différencié. A une période plus avancée de développement, on voit nettemen
étude de cinquante-sept cas faite par l'au- teur c'est que dans la période initiale, le sang bien loin d'être au- dessous
, octobre 1898.) le Homme de vingt-huit ans, épileptique : après la période ordi- naire de passivité stertoreuse, il prend
les données étiologiques déjà indiquées, et montrent aussi que la période de 20 à 37 ans est celle ou l'apparition de la fo
t sérieux : 1° les défectuosités dans le traite- ment des premières périodes de la maladie sont absolues et com- plètes ; 2°
niennes. La céphalée disparaissait pour quelques jours après chaque période menstruelle, ainsi que les vomissements quotidi
encore que nombreux étaient les cas de mélancolie appartenant à la période initiale de la paralysie générale ou à une phas
e précoce se caractérise par de l'apathie, de l'in- différence, des périodes d'excitation, de la tendance aux impulsions, du
té observé chez un Européen. Le cours delà ma- ladie présente trois périodes : 1° initiale avec langueur progres- sive, tris
progres- sive, tristesse inertie, somnolence, accidents légers; 2" période d'état, sommeil continu avec réveils faciles à
, réflexes nor- maux, affaiblissement graduel de l'intelligence; 3° période termi- ncale, profonde léthargie, malade confin
sa guérison. Il faut encore que celle-ci se maintienne pendant une période de temps suffisamment longue, avant qu'on puiss
qu'on puisse la consi- dérer comme définitive. Horsley a fixé cette période d'obser- vation à cinq ans. Braun est d'avis qu
tres ont été donnés comme des exemples de guérison. A vrai dire, la période d'observation post-opératoire n'a pas dépassé s
de guérison, sous toutes réserves, car dans trois cas seulement, la période d'observa- tion post-opératoire a dépassé trois
e clinique de cette affection : apparition de troubles nerveux à la période secon- daire variant de un à quinze mois avant
Les symptômes précoces de l'ataxie locomotrice appartiennent à la période préataxique de la maladie et sont d'une importanc
r nettement des formes secondaires et métastatiques du cancer. La période initiale de la formation du néoplasme n'a pas pu
savoir, l'ectodennze, ils prennent leur origine dans ce tissu à des périodes différentes de son développement. Le carcinome co
Le carcinome correspon- drait alors à la cellule ectodermique d'une période embryonnaire plus jeune, et le gliome à la cell
bryonnaire plus jeune, et le gliome à la cellule ectodermique d'une période plus avancée. Suivant cette théorie le terme ca
bryon jeune, et l'ori- gine analogue du gliome appartiendrait à une période plus avan- cée, et même à l'état adulte avec po
i établir que la maladie dont il s'agit est une manifestation de la période tertiaire, et une lésion de dégénérescence, très
on étudie maintenant la pathologie de la maladie, on y observe deux périodes , l'une de dégénérescence lente, l'autre Se modifi
tation et d'agitation qu'on pourrait appeler manie syphilitique. La période prémoni- toire est courte, d'intensité variable
tensité variable, quelquefois assez légère pour passer inaperçue.La période d'invasion a un début brusque, caracté- risé pa
. - phtisie chez les hommes de 35 à 45 ans,' c'est-à-dire pour la période décennale qui, dans la population générale, fourn
ans quelques cas, de petites doses, administrées pendant une longue période de temps, produisent une réaction suffisante; 1
iphérique : il est actuel- lement en bonne voie de guérison, et les périodes d'excitation n'ont pas reparu. L'auteur ajoute
ins accessibles au traitement. Parmi les autres, tous étaient à une période plus ou moins avancée de la maladie, quelques-u
de psychoses se développe peu à peu, lentement; on observe donc une période prodromique, intermédiaire entre la santé et la
ilicat d'études. Elle eut aussi îles mélancolies alternant avec les périodes d'agitation de attaques épileptiformes et de l'
uté et rejeté l'hypolhèse d'altérations infectueuses survenues à la période ultime, passent en revue les diverses lésions s
33 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es 51 malades, étaient tous des paralytiques généraux arrivés à une période avancée de la maladie, c'est dire que nous n'av
hez sept malades, dont la paralysie générale avait déjà atteint une période avancée, nous avons trouvé des lésions plus par
l'atrophie blanche de la papille, peut-être ont-ils moins étudié la période de début de cette atrophie, période marquée par
-être ont-ils moins étudié la période de début de cette atrophie, période marquée par l'état flou, lavé, de la papille tel
l présente tous les signes de la paralysie générale à la der- nière période . Sa mémoire est abolie, son inconscience est abso
à perdre la vue, son acuité visuelle s'affaiblit peu à peu avec des périodes d'amélioration et d'aggravation, un an avant l'
trouve chez 7 malades dont la paralysie générale a déjà atteint une période avancée, 5 fois de l'atrophie papil- laire blan
ent restées dans cet état, lorsqu'il y a deux ans, à la suite d'une période pendant laquelle les obsessions avaient été plu
r pu commettre le crime dont il avait lu le récit. Apre* une courte période de doute conscient à ce sujet, il en arriva à se
e place parmi les méthodes régulières de la thérapeutique : cette période est marquée par l'influence française. Le profe
nous sommes habitués à voir la majorité des tabes se fixer à une période quelconque et parfois de façon définitive, nous
nts ; au contraire, quand un tabès est fixé, quand on assiste à une période d'accalmie, le moment est venu de regagner tout
événements qui se sont passés pendant leur état d'ivresse, pour une période de temps embrassant parfois plusieurs heures, o
e ou l'ablation das testicules. M. f3éan.r.on. C'est déjà dans la période prodomique, au cours de la lente incubation, qu
- gère, ainsi que le font les médicaments Les tuberculeux, dès la période prodromique, sont des abouliques; ils font toutes
pas ; ce sont des êtres diminués au point de vue de l'action. A une période plus avancée, ils sont extrêmement égoïstes. Un
i étaient odieux. M. Paul Magnin. Je suis tout à fait d'avis que la période pré- bacillaire s'accompagne de changements de
ostic différentiel de la rougeole et de la scarlatine à la première période ; fracture de la base du crâne; 2° pathologie et
contact et subis- sant de's influences nocives communes. Dans la période qui s'étend de 1881 à 1885, de nombreux Moreau
t spécial de son terrain. Il passe donc, pour ainsi dire, par trois périodes succes- sives dont les deux dernières se confon
ucces- sives dont les deux dernières se confondent : une première période d'ébranlement cérébral qui correspond à l'accepta
l'accepta- tion des idées délirantes du sujet actif ; une deuxième période de réveil vésanique correspondant à l'éclosion
allucinations, calqués sur ceux du sujet actif. Enfin une troisième période , se confon- dant en général avec la précédente,
ion ou impulsion, qui se répète à titre d'épisode aux différentes périodes de sa vie, soit un nombre plus ou moins considé-
e répète à plusieurs reprises à titre d'épisode. Dans les dernières périodes maladives, le syndrome devient plus accentué, m
Tous ceux-ci apparaissent petit à petit et se succèdent dans une période de cinq années, époque qui marque le début de s
ces troubles comme trois maladies distinctes adéquates aux trois périodes , car dans ce cas il faudrait créer trois états
ait créer trois états différents qui seraient liés à chacune de ces périodes mort . bides. De cet exposé enfin, tel qu'il
et l'apparition du délire du toucher marque le début d'une seconde période dans l'entité morbide formée par cette associat
es étudiées par la radiographie. Il insiste sur l'existence d'une période préataxique osseuse chez les tabétiques, caract
rs 1900 avec des signes indéniables de tuberculose pulmonaire il la période cavitaire, dans un état tel que tout examen dev
emps à se lamenter, bien à tort d'ailleurs. - Pendant toute cette période , ajoute la femme, il aurait souffert de sensat
les règles ont toujours été régulières et normales, mais à chaque période , deux ou trois jours avant et pendant leur durée,
l'avons trouvée d'autant plus marquée que le malade traversait une période plus douloureuse de sa crise. Dans les périodes
alade traversait une période plus douloureuse de sa crise. Dans les périodes d'analgésie, elle disparaît complète- ment. Est
r le retour de leurs crises. L'autre cause est l'appari- tion de la période menstruelle; il y a à ce moment chez la femme u
ion de la période menstruelle; il y a à ce moment chez la femme une période d'hypéralgie toujours très accentuée. Nous nous
aitement, si, ne constatant encore aucun résultat, ou traversant la période hyperalgique, le malade se trouvait découragé,
mois d'abord, puis pendant huit à dix jours les mois consécutifs, ( période de cure active pendant trois mois, période de s
s les mois consécutifs, (période de cure active pendant trois mois, période de soutien. la suite), représentent la thérapeu
NÉVRALGIE FACIALE. 257 Il arrive en effet bien souvent qu'après la période d'amé- lioration qui se montre presque toujours
ur affirmer que cette comparaison n'est plus possible même dans les périodes les plus douloureuses. « Ce ne sont plus des éc
ersonne donnée, de façon à finale- ment constituer l'histoire d'une période de sa vie, ainsi que nous, médecins, établisson
ilton. {Médical Record, 28 décembre 1901.) L'auteur applique à la période présénile les vues déjà émises à la phase prépa
ctique et à l'hygiène du travail intellectuel des gens arrivés à la période critique de l'insénescence prochaine. XLVIII. C
ène progressa encore. Dans le cours de la maladie on nota plusieurs périodes d'exacerbation de l'ataxie, de sorte que, quatr
rs de maladie, caractérisé par l'in- constance de symptômes dans la période primordiale de la maladie et par l'échange subi
ble. Elle s'émotionne et pleure facilement. Elle se trouve dans une période d'irrégularité menstruelle, due vraisemblable-
séance, qui a progressé, mais très lente- ment jusqu'à la 30°. Les périodes menstruelles d'avril, mai, juin, sont marquées
presque entièrement cédé. Du 19 au 26 décembre elle a encore eu une période assez pénible. Du 10 au 25 janvier 1902, nouv
eu une période assez pénible. Du 10 au 25 janvier 1902, nouvelle période très pénible due peut- être à la constipation i
l est arrivé à la malade d'être en proie à ces douleurs pendant une période continue parfois très longue, mais cette allure
s ont presque complètement disparu. En septembre, il se produit une période douloureuse. A la fin de septembre, on cesse le
ela à titre préventif. Les règles d'octobre ont été précédées d'une période doulou- reuse de quelques jours, mais qui a ces
sant à titre prophylactique quelques séances tous les mois avant la période menstruelle, et depuis cette époque, elle n'a p
, les règles de septembre 190t et de mars 1902. Toutes les autres périodes se sont passées sans douleur appréciable. Ces.
se survient qui augmente insensiblement d'intensité et arrive à une période d'acmé qui dure une minute entière. Puis la doule
eaucoup moins longues qu'autrefois, les douleurs moins intenses. La période menstruelle n'a amené cette fois aucune recrude
ion est surtout très caractérisée à partir de la fi0°. Le 17 avril, période douloureuse qui dure jusqu'au 25, et depuis lor
ignent peu à peu pour ne revenir qu'à intervalles très espacés. Une période douloureuse a pu être notée du 10 au 21 juillet
ues séances de qua- rante-cinq minutes ou une heure de durée, cette période doulou- reuse se calme; les douleurs deviennent
le malade est en proie à sa névral- gie qui ne cède que pendant des périodes de deux à trois mois. En mai 1900, la douleur c
eux fugitifs. Mais depuis le l'le août 1900 jusqu'au 15 octobre, la période algique fait de nouveau son apparition. Les cri
uis un certain temps. Il nous fait* remarquer qu'il a déjà eu des périodes complètement dépourvues de crises et que la plus
odes complètement dépourvues de crises et que la plus longue de ces périodes a été de cinq mois. Revu six mois après, en fév
forme grave que présente ce malade, il existe de temps à autre des périodes où apparaissent de petites crises d'un caractèr
joue. On constate au moment de l'accès et seulement pendant cette période , une hyperesthésie marquée du côté malade. La fac
ouleurs avaient une durée variable, mais présentaient cependant une période de calme, elle-même plus ou ou moms longue. Six
ongue. Six mois après, ces douleurs disparaissent, et pendant cette période de rémission la malade se marie. Réapparition d
un an environ. Ensuite nouvelle rémission entrecoupée de quelques périodes douloureuses seulement. A partir de 1893 retour
évralgie. Depuis 1893 les douleurs n'ont pas cessé, il n'y a pas de périodes de rémission sauf en été pendant deux mois enviro
ayant subi depuis plusieurs jours une recrudescence marquée ; les périodes de rémission n'ont jamais été absolument calmes,
émission n'ont jamais été absolument calmes, il y a toujours eu des périodes de névralgie atténuée. Elle s'est fait arra- ch
nte, rougeur des paupières. L'épiphora n'apparaît plus que dans les périodes très violentes. Bien entendu la malade a épuisé
sont fixées à la région frontale. Ces douleurs sont continues avec périodes d'exacerbation, consistant en élance- ments qui
et de délire en rapport avec des illu- sions, qui reviennent à des périodes régulières et ne varient point. ' L.-F. ARNAUD.
e compression cérébrale générale disparurent pour faire place à une période psychique caractérisée par des troubles de la R
bre, la fillette fut atteinte d'un typhus abdominal assez grave, la période fébrile dura à peu près trois semaines. Dans la
grave, la période fébrile dura à peu près trois semaines. Dans la période de la chute de température les accès convulsifs r
vomissements et de ralentissement du pouls. Mais avec le temps les périodes d'exacerbation devinrent de plus en plus rares
de temps après de l'abducteur gauche. L'échange à tour de rôle des périodes de l'exacerbation des symp- tômes principaux av
des périodes de l'exacerbation des symp- tômes principaux avec les périodes de rémissions ici aussi ressort au premier plan
lui des hommes aliénés ; d'après les données de la Clinique pour la période de temps sus-indiqué, le rapport du nombre de m
atériel de la Clinique psy- chiatrique de Saint-Pétersbourg dans la période de temps de 1870-1890 a trouvé parmi 1323 malad
e, être supprimé. Tout le monde sait qu'il y a dans l'épilepsie une période où le malade est parti- culièrement irritable :
Les phénomènes sus-décrits commencèrent à se développer en 4889. La période initiale de la maladie était signa- lée par un
hommes aux obsessions dans la proportion de z 2 et quec'est dans la période moyenne de la vie, entre vingt et quarante-cinq
observations se rapportent à des paralytiques généraux avéré» à une période peu avancée de leur maladie. Quelle est donc l'
ue ne peut être mis en cause. Chez les paralytiques géné- raux à la période de cachexie, l'oedème permanent, s'accompagne d
s paralytiques généraux présentent des oedèmes non symétriques à la période de début. Je me rallie complètement à la théori
es supérieurs. Je ne pense pas toutefois qu'ils se présentent à une période aussi précoce. 548 SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ
ivers nerfs cérébraux. Cas 1. Malade K ? de soixante-cinq ans. La période initiale de la maladie est apoplectique. Au déb
tegmentum du pont de Varole. Cas Il[. Malade, de quarante-deux ans. Période initiale apo- plectique de la maladie. Au début
es à de grandes oscillations de leur état intensif et extensif. Des périodes de régression alternent avec des périodes d'acc
intensif et extensif. Des périodes de régression alternent avec des périodes d'accroissement, même si l'affection date de long
imites naturelles qui bien que fort élastiques la placent entre une période de réaction à manifestations multiples et une p
ent entre une période de réaction à manifestations multiples et une période d'écroulement, indice d'une tare patho- logique
L'auteur ne connaît qu'un seul asile où ce sys- tème ait franchi la période d'expérimentation pour entrer en fonc- tionneme
34 (1881) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1880
n est pas de même pour nos malades, chez lesquels on peut suivre, période par période, l'évolution des grandes attaques,
de même pour nos malades, chez lesquels on peut suivre, période par période , l'évolution des grandes attaques, depuis longt
es attaques : Prodromes et aura; Convulsions présen7 tant les trois périodes : épileptoïde, clonique et déli- rante de l'hys
de phénomènes d'importance secondaire et par la durée des diverses périodes , parfois très fugaces et presque insaisissables
par quelques petites se- cousses tétaniformes d'un côté. Dès cette période de rigi- dité, nous avons quelquefois vu le mal
la main entre la colonne lombaire et le plan du lit. Cette première période ne s'accompagne pas d'écume ni dc stertor. La d
lement relever les bras qui restent appliqués le long du corps. ( Période épileptoïde) . 2° P. clonique (clownisme). Ensu
peur (souvenir du fait de Berck). Pas de visions d'animaux. A cette période , l'enfant parait comprendre ce qu'on lui dit, m
n'est pas besoin d'insister pour faire recon- naître dans les trois périodes que nous venons de décrire, les trois périodes
aître dans les trois périodes que nous venons de décrire, les trois périodes épileptoide, clonique et délirante de la grande
re. 27 janv. Début des attaques à une heure de l'après-midi. 1 le période . Chute, puis rigidité générale, surtout mar- qu
ans. Cet état de tétanisme généralisé dure environ une minute. 2e période . (Clownisme). Après un moment de calme très cou
ode. (Clownisme). Après un moment de calme très court, commence une période de grands mouvements pendant laquelle l'enfant
angue pend au dehors de la bouche, mais elle n'est pas mordue. 3e période (Délire). Après ces contorsions, l'enfant exé-
ossible d'ouvrir la bouche. Ainsi nous sommes ramenés à la première période (rigidité, cligne- ments des paupières, etc.),
iode (rigidité, cligne- ments des paupières, etc.), et une nouvelle période clo- nique ne tarde pas à se produire. L'inte
. Il n'y a pas d'écume ni de stertor. Ainsi se trouve constituée la période épileptoïde, qui est suivie d'un repos très cou
la période épileptoïde, qui est suivie d'un repos très court. 2° Période clonique, caractérisée par de grands mou- vemen
re de l'enfant devient souriante. ' - Dans une autre attaque avec période épileptoide éga- lement suivie d'une période cl
une autre attaque avec période épileptoide éga- lement suivie d'une période clonique à grands mouvements, l'enfant exécute
quelques secondes dans cette position. - Dans d'autres attaques, la période de délire est très net- 42 2 HI STÉRO-IsPILEPSI
e reparaît et tout se borne à une seule attaque. Il n'y a pas eu de période de délire. Une autre attaque produite dans les
taques, exactement analysées, reproduisent tout à fait les diverses périodes de l'attaque hystérique connue. Chez lui comme
t accentuées ; tantôt réduite aux deux premières ou même à la seule période épileptoïde main- tcs fois enregistrée pour un
de meilleurs résultats, nous avons entrepris, à Bicêtre, durant une période de deux mois, une série d'expériences sur des é
nt anes- thésique ne provoquerait pas de toux ; il existerait une période de convulsions toniques ; enfin, la résolution
a presque toujours été, comme le pouls, un peu accélérée à la même période ; jamais elle ne s'est trouvée gênée notablemen
nu par des aides, qu'on voyait survenir la résolution et bientôt la période du délire ; il y avait eu,en définitive, avorte
tenus ont été extrêmement différents. L'inhalation commencée dès la période toni- que a, dans trois cas, produit en quelque
peuvent quelquefois être en- rayés en donnant le médicament dès la période tonique ; le plus souvent l'inhalation reste sa
mure d'éthyle, administré en inhalations quotidiennes pendant une période d'un à deux mois, diminue très notablement la f
es qui l'entourent. C'est ainsi que, le 31 septembre 1876, dans une période d'exaltation extrême, le malade se lève furieux
inhalation, mais presque toujours ces accès restèrent limités à la période tonique. Il y avait, en somme, une amélioration
tre, que les malades qui appartien- nent à cette catégorie, ont une période difficile à passer, dans laquelle les accès son
35 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
y resta toujours aussi turbulente et difficile à sur- veiller ; ses périodes d'agitation devenaient plus fréquentes, sou- ve
s instincts avaient disparu ; l'enfant ne présentait plus que des « périodes d'excitation ». Son inlel- ligence, faible, cst
articulier : Marcelle ? 12 ans, « atteinte de débilité mentale avec périodes d'excitation par intervalles » (,1. Voisin), qu
urricière en est enchantée. Lucienne... Il ans, débilité mentale et périodes d'excitation. Onanisme ». Placée à Usmery avec
t à moins de responsabilité. D'un autre côté, ces enfants en pleine période de déve- loppement, consomment une quantité de
e si elle était persistante, ne disparaît-elle pas bientôt pour une période souvent très longue ; car elle est sans rapport
intervention particulière des vaso-dilatateurs. En dehors de cette période , l'action de ceux-ci serait pour ainsi dire nulle
3° Homme de 38 ans; les réflexes patellaires varient d'abord par périodes d'un mois environ; puis, pendant les 3 derniers m
issent que dans certains mois (surtout février à mai), et, dans les périodes intermédiaires, il y a souvent des paresthésies
s fréquent, il se rencontre surtout dans la forme catatonique, à la période de début. Les ictus appartien- nent-ils en prop
t-ils des cir- culaires frustes pour qui l'involution constitue une période critique Il est à noter que les accès de manie-
lytiques généraux qui ne sont en réalité que des intermittents à la période d'involution ;c'est là,dit M. Ducosté, un cas d
double forme sont des cas ' de folie intermittente dans lesquels la période normale a été prise pour une période de dépress
intermittente dans lesquels la période normale a été prise pour une période de dépression,et le diagnostic peut en présenter
elle une cause de danger ; à ce point de vue nous sommes dans une période de transition du système pénitentiaire et la spéc
chambre ; ? en attaques d'hys- térie le plus souvent limitées à la période délirante. Ces crises délirantes, extrêmement f
rariété de famille, tomba en condition seconde. Pendant toute cette période , elle eut des crises convubiles et délirantes alt
, elle eut des crises convubiles et délirantes alter- nant avec des périodes de calme et d activité, en apparence normale. L
l ressort très nettement des écrits de la malade que c'est dans une période d'état second, de somnam- bulisme délirant en u
atologie de l'hystérie s'épanouit sous toutes les for- mes ; 2° les périodes intercalaires où domine la neuras- thénie pure
t conscience de leur caractère immoral et répréhensible. Dans les périodes d'hystérie, tout change : une deu- xième person
ique de cette affection est de se reproduire par accès. Quant aux périodes intercalaires, quelquefois très longues, qui sé
e ne crois pas qu'au cours de cette affection il puisse exister des périodes de rémission et de lucidité complète. 138 CON
ises de dépression mélancolique, entre lesquelles on retrouve des périodes de suractivité productive, avec expansion de l'hu
lles il composa des centaines de lieder : entre les crises, longues périodes d'inactivité et de silence musical absolu. Ces
durant la première phase des troubles men- taux. Durant la seconde période , les phénomènes d'excitation ont tenu la plus g
oissons alcooliques et eut de la confusion mentale après une courte période prodromique de mélancolie anxieuse avec tentati
rurent et la confusion mentale alla en s'atténuant peu à peu. Deux périodes de traitement par l'iodothyrine en cachets à do
nues et réprimées par les lois d'airain de l'ordre établi, dans les périodes qui pré- cèdent les grandes révolutions morales
olutions morales, sociales et politiques. Elle n'appartient pas aux périodes de décadence des peuples. Elle se manifeste che
ns les dernières années de sa vie (phase présénile, il arrive à une période moins aiguë, moins intense avec quel- que chose
ouci les dramati- ques événements de sa vie d'autrefois. C'est la période où il écrit son dernier ouvrage : les «Rêve- ri
nérale. M. minou (Moscou) représente au tableau par un schéma les périodes de syphilis simple chez les malades et celles de
hilis tabétique. Il donne du mercure naturellement dans la première période , mais il tâte le terrain dans la seconde, dans
, le ccivcau présentait un aspect rosâtre, tandis qu'au cours de la période clonique, l'écorce cérébrale avait une colorati
s étant encore très incomplets, l'auteur a dû les grou- peren trois périodes caractérisées chacune par le processus histogé-
térisées chacune par le processus histogé- nétique prédominant : 1° Période de préparation (les deux premiers mois, avant l
rticale ; multiplication des cellules ; déblaiement des voies) ; 2° Période de différenciation, jusqu'à la moitié de la vie
différencie des couches in- ternes plus voisines de l'épendyme ; 3° Période de stratification (2e moitié de la vie foetale
ennent adultes et constituent des cou- ches différenciées. A chaque période sont rattachées, en des para- graphes distincts
de entre en crise ou subit son vertige. On a signalé, pendant cette période , des paralysies di- verses et passagères des mu
ns une aqua- « relie à la sépia. » L'anesthésie chromatique de la période d'aura pré- sente des caractères qui ont été mi
même, chez plusieurs, l'alimentation a été défectueuse à plusieurs périodes comme à la phase terminale de la ma- ladie. (
é- sions immédiates développées au. moment même et au cours de la période d'état de la maladie ; atrophie du neurone avec
se modérée, mais il s'agissait à vrai dire de malades arrivés à une période terminale et chez lesquels là lymphocytose pouv
des auteurs que si le processus anatomo-pa- thologique existe à la période confirmée de la démence LÉSIONS ANATOMIQUES ATT
tat d'une méningite chronique ancienne ; c'est l'aboutis- sant, la période terminale d'une maladie. A l'époque où le diagn
effectivement un poste dans un de ces établissements pendant une période d'au moins deux ans. Art. 3. Les conditions du
pé effectivement un poste dans un de ces établissements pendant une période d'au moins deux ans etqu'ils n'aientpas dépassé
entales. Au début cela fut évidemment difficile ; nous avons eu une période de transition du restraint au no-restraint pend
ment le territoire du nerf frontal, survenue spontanément après une période de vives douleurs névralgiques. Ce type morbide
ésie est plus complète en- cote ; elle s'étand non seulement sur la période remplie par le dé- lire mais encore sur l'idée
sur les symp- tômes isolés,mais sur les états hystériques, sur les périodes de la vie pendant lesquelles se groupent un gra
lysie aussi momentanée de tous les muscles qui se manifeste par une période de dépression absolue, d'inertie,de archives, :
n courant continu, ayant 110 interruptions par minute et à 1 /10 de période , comme cela est expliqué dans ma thèse de Paris,
s au niveau des membres inférieurs. A partir du quatrième mois à la période de paraplégie flaccide, succéda une période de
du quatrième mois à la période de paraplégie flaccide, succéda une période de paraplégie spasmodique que l'on constate act
de 1897 à 1906 a été de 253. la moyenne des sorties durant la même période n'a été que de 113 ; celle des décès a été de 1
été, depuis cette époque, de 237. 2 °'o tandis que, durant la même période , la populatioq ne s'augmen- tait que de 77.5. %
ur lui aucune impression particulière. Chose à noter que dans cette période de sa vie le malade ne faisait aucune attention
iques dans son enfance, et il n'est pas difficile de voir que cette période rudimentaire de développement de l'anomalie est
de développement de l'anomalie est tout à fait analogue à la même période de développement des tendances se- xuelles norm
ésique prématurément et peut- être trop intensivement développé. La période suivante d'abstinence involontaire, après le dé
iculière d'associa- tions psychiques, notre malade a passé toute la période de sa puberté dans un milieu où de pareilles ch
supérieure). Pourtant on ne peut nier la coexistence fréquente, aux périodes avancées de la pégé de l'im'm. réfl. et des lés
n jour entier ». Elle paraît avoir traversé, il y a quinze ans, une période vaguement délirante, réduction de son état actu
durée à trois jours et qui en tout cas a dé- passé 36 heures. Cette période de narcose semble s'être installée brusquement
. Cette période de narcose semble s'être installée brusquement sans période initiale d'excitation motrice, ni de dé- lire.
avoir une même origine.Nous pro- posons cette hypothèse : durant sa période de narcose la malade est tombée de son lit ; ap
origine centrale. Le lecteur se rappelle sans doute que durant sa période de nar- 342 CLINIQUE MENTALE. cose, notre mal
labeur à l'insuffisance des ressources de la maison. Durant cette période , ils ont de nouveau deux enfants, l'un d'eux, le
us de 6 mois dans aucu- ne d'elles; cette situation occupe toute la période qui va de juillet 1903 à juillet 1907. En décem
unissant deux cellules, qu'il aurait sou- vent rencontrées à cette période du développement (13e Réunion des neurologistes
t avec les courbes de fatigue,afin d'intercaler au moment utile des périodes de repos entre les périodes d'effort ; ils aura
e,afin d'intercaler au moment utile des périodes de repos entre les périodes d'effort ; ils auraient besoin de savoir aussi
a soudure de ses cartilages s'est faite de très bonne heure dans la période de croissance. F. TissoT. LV. Obésité familiale
hypnose et le moment où le cerveau reprend ses fonctions, il y a la période des rêves incohérents, qui peut se prolonger av
ntéressantes dont nous nous occuperons maintenant. A une certaine période de la maladie, les symptômes névritiques, chez
fussent consommées, mais on ne peut pas préciser la durée de cette période . Quoi qu'il en soit, le diagnostic de la maladi
oins courte, pour se terminer par la mort, après l'une on l'autre période , ou parla guérison. Ici, il n'y a qu'une période,
s l'une on l'autre période, ou parla guérison. Ici, il n'y a qu'une période , la période convulsive. Le nombre des accès a é
utre période, ou parla guérison. Ici, il n'y a qu'une période, la période convulsive. Le nombre des accès a été con- sidé
stitué et la mort peut arriver. (Fig. 1). Mais le plus souvent la période convulsive comprend nous le répétons un grand n
t. II. 28 434 CLINIQUE NERVEUSE. Dans d'autres cas, après cette période convulsive, les accès cessent, la connaissance
s'abaisse. Cette amélioration dure 2 ou 3 jours, alors éclate la période méningitique : contractures partielles, roideur
nue après 229 accès. Ici l'état de mal ne s'est com- posé que d'une période convulsive. REVUE CRITIQUE Grundzüge der Psyc
ations jouent le rôle principal, du moins à partir d'une cer- taine période , et, par leurs assauts répétés, hâtent plus ou mo
re 442 revue CRITIQUE. quelques-uns de ses caractères pendant des périodes plus ou moins longues : il arrive alors qu'elle
our le traite- ment des maladies nerveuses et des cas de folie à la période du dé- but où l'internement n'est pas possible.
mande s'il existait de la prédisposition. - - F. TrssoT. XIII. La période médico-légale prodromique de la démence pré- co
difier les habitudes.Si bien que nous n'en sommes encore qu'à cette période enfantine où l'on croit que « péché caché est à
raticiens devront justifier de l'occupation effec- tive pendant une période d'au moins deux années d'un poste, soit dans le
36 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
des Vieillards matériaux recueillis, chemin faisant, pendant cette période de recherches, s'étaient accumulés en grand nombr
st arrivé à reconnaître que tantôt la maladie parcourt rapidement les périodes successives quelle doit traverser, pour atteindre
rtant, il nous est donné de suivre ici les malades pendant une longue période de leur existence, au lieu d'assister à un simple
actères les plus géné-raux des maladies qui surviennent à la dernière période de la vie. I. L'importance d'une étude spécia
d. On sait que, d'après Ros-tan, cette altération, si fréquente à une période avancée de la vie, loin d'être le résultat d'un t
WZ 7 CHA ris skrictus, qui domine à peu près exclusivement dans la période de décrépitude. L'émaciation dont il s'agit est
, qui nous met le plus souvent sur la voie du dia-gnostic, aux autres périodes de la vie, peut manquer com-plètement chez le vie
n évolution, et de comparer, sous ce rapport, cet âge avec les autres périodes de la vie. Mais nous aurons surtout à cœur de vou
admi-nistré en potion à la dose de 120 grammes. Pendant la pre-mière période de la maladie vous voyez la température s'a-baiss
reconnaître chez les vieillards l'exploration thermométrique dans la période de déclin de l'état fébrile, ou, comme on dit en
ssieurs, Dans la dernière conférence, nous avons vu qu'à toutes les périodes de son évolution, la goutte coïncidait avec un ex
ntre même de cette sur-face, pour s'éloigner de la synoviale. A une période plus avancée de la maladie, quand l'état chro-niq
umatisme articulaire chronique. Ces masses crayeuses, à la première période de leur évolu-tion, sont d'une consistance molle
er l'anthélix, ou la face interne du pavil-lon ; ils traversent trois périodes dans leur évolution ; d'abord mous, ils se durcis
se déclarent en général à la fin de l'hiver (Trousseau). Enfin, la période intermédiaire se réduisant de plus en plus, les a
ution, qui a été fort bien décrite par Moore, en 1811, comprend trois périodes . À la suite de l'accès (1), clans un intervalle d
r la peau, ainsi que l'avait observé Gcelius Aurelianus. A la seconde période , ces dépôts se solidifient et prennent la forme d
accès, et même dans l'intervalle des attaques. Enfin, à la troisième période la peau s'ulcère et livre passage à des quan-tité
uentes dans la goutte, et deviennent presque la règle, à une certaine période de la maladie. Elles sont rares, au contraire, da
ang des goutteux (3), dans la sueur et dans les urines, en dehors des périodes où se manifeste la 1. Scudamore, loc. cit., p.
tensité des phénomènes ; une transition insensible nous conduit de sa période initiale à son apogée et à son déclin. La termina
Embolies capillaires. — Lésions de canalisation. — Etat typhoïde. — Période chronique de la maladie. — Affections multiples q
n'attendent guère, pour semanifester, que la maladie ait traversé sa période initiale. Il ne s'agit plus ici de troubles purem
sente une réaction sem-blable à celle du mucus. Telle est la première période de la maladie. Fig. 17. — Endocardite aiguë. Co
Lehrb, der pathol. Gewelebehre. Leipzig 1866, p. 186. A la seconde période , les mamelons ont quelquefois acquis une organisa
scéral. Thèse de concours pour l'agrégation, 1866, p. 28. trentà la période chronique de la maladie. Le travail phleg-masique
tisme chronique, la néphrite albumineuse est assez fréquente dans les périodes avancées, d'après les recherches que j'ai entrepr
qui se rattachent à l'état général. Arthropathies. A la première période , les fohénomçnes ? artiçùTtSwfes, si l'on fait ab
ère, et quel-quefois permanente, des membres affectés. A la seconde période , des désordres permanents se sont dé-veloppés. La
chez de jeunes sujets ; bien au contraire, on la constate souvent aux périodes moins avancées de la vie; et c'est là un point qu
-contestable. — Statistiques empruntées à divers auteurs. — Age. — La période classique du rhumatisme aigu s'étend de quinze à
e à trente ans. — Le rhumatisme chronique se rencontre surtout à deux périodes de la vie : de vingt à trente ans et de quarante
à l'étude, et je ne saurais me prononcer là-dessus. III. Age.— La période classique du rhumatisme articulaire air/u s'étend
isme noueux, nous avons démontré, M. Tras-tour et moi, qu'il est deux périodes dans la vie où l'on est plus particulièrement exp
uelle, la maladie n'éclate pas brusquement; il y a lopins souvent une période d'incu-bation, pendant laquelle les sujets n'épro
n sait aussi que souvent le rhumatisme chronique se développe à cette période de la vie. 1. Voyez à ce sujet la discussion qu
cas de pneumonie lobaire observés à la Salpêtrière, et où, pendant la période d'état, les maxima ont plusieurs fois dépassé 40°
ns lesquelles il y a une ascension lente et progressive. b) Dans la période d'étal, la température parvenue à un certain nive
ications qui résultent de l'emploi des médicaments. c) La troisième période se traduira par uue courbe diffé-rente, suivant q
use ou, au contraire, fatale. Dans le premier cas, on observera une période de déferves-cence de bon aloi, emi sera parfois p
beaucoup plus rare chez le vieillard qu'on ne l'a prétendu. Dans la période pyrogénétique, l'ascension est lente et sac-cadée
la période pyrogénétique, l'ascension est lente et sac-cadée. Dans la période d'état, les oscillations diurnes sont as-sez gran
e dans certains cas. La température peut rester abaissée, pendant une période de temps souvent longue, à 36 degrés ou au-dessou
t vers le soir, et la mort eut lieu tout-à-coup. Pendant cette longue période lipothymique intermédiaire aux deux syncopes, les
symptômes peut se montrer à toutes les époques de la maladie. Dans la période d'état, l'apparition du collapsus résulte le plus
plupart des cas, nous n'avons assisté ni au début, ni auxpremiôres périodes de l'affection. Les nodosités reconnaissent des
tails ; Tableau, des jointures le plus souvent affectées pendant la période d'état, sur 40 cas. Articulations des phalanges
ellement ; l'une d'elles allaita son enfant, bien qu'elle fût dans la période d'accroissement de la maladie, et déjà percluse d
vations III et V). Beaucoup de nos malades ont conservé, pendant la période .d'état, de l'embonpoint et toutes les apparences
ements sont devenus impossibles. On remarque généralement durant la période , souvent très longue, qui précède les rétractions
ermis de suivre pas à pas l'envahissement successif des jointures. La période d'in-vasion peut durer un an, trois ans, six ans,
ès rapide ; on peut, dans la seconde et dans la troisième, suivre une période d'invasion bien dessinée. Observation lï. — Gra
chambre, âgée de quarante ans. Bâtiment Saint-Jacques, 2° dortoir ( période d'invasion bien dessinée). — Cette malade assure
pendant trois ans sans pouvoir se lever. Jamais, même au début, de la période d'état elle n'a eu de fièvre ; elle n'a pas cessé
la maladie. Ainsi 3 femmes seulement sur 33 furent prises pendant la période de la menstruation régulière. De ces 3 femmes, 2
le-ment avaient dépassé 60 ans. D'où cette conclusion : il y a deux périodes dans la vie, où se montre principalement le début
vie, où se montre principalement le début de la maladie ; la première période s'étend de 20 à 30 ans ; la seconde de 40 à 60 an
premiers symptômes, et s'il existe, comme dit Haygarth, une sorte de période d'incubation. 16 malades seulement ont pu nous do
mi-flexion légère, beaucoup moins incommode. Pendant cette sorte de période d'acuité, elle n'a pas cessé d'être réglée. Elle
ations tibio-tar-siennes, et aux deux articulations du poignet. Cette période d'acuité dure huit jours environ, pendant lesquel
membes supérieurs qui sont le siège des douleurs, à cotte nouvelle période de la maladie; c'est alors qu'il commence à aperc
fection habituelle des articulations, qui est dans ce moment dans une période , de rémission ; 2° une affection pectorale. Voici
l'empereur Na-poléon Ie'', et peut-être a-t-elle vécu, pendant cette période de sa vie, relativement dans l'aisance. De son ma
être l'état atrophique et granuleux du rein tenait-il uniquement à la période avancée de la maladie où étaient mort ses malades
érations rénales fait par M. Dickin-son (1), dans les autopsies d'une période de dix ans, à l'hô-pital Saint-Georges, à Londres
ulations tibio-tarsiennes et aux deux articulations du poignet. Cette période d'acuité dure huit jours environ, pendant lesquel
ut les mem-bres supérieurs qui sont le siège du mal, à cette nouvelle période de la maladie. C'est alors qu'il commence à aperc
affection habituelle de l'articulation qui est en ce mo-ment dans une période de rémission ; 2° une affection pectorale. Voic
que les articulations des membres supérieurs sont encore, dans cette période ultime, plus souvent et plus profondément affecté
la poitrine, — dans certains cas d'urémie et, en particulier dans la période dite typhoïde du choléra asiatique, est constitué
e art"u-uluire chronique chez la femme. — Il y a chez les femmes deux périodes de la vie où le rhumatisme articulaire chronique
laire chronique généralisé éclate de préfé-rence : la première de ces périodes s'étend de vingt à trente ans, la seconde de quar
t. Iff, p. 302). La néphrite albumineuse n'est pas très rare dans les périodes avancées du rhumatisme articulaire chroni-que gén
uleusc grossie 150 fois.) Fig. 4. — Cette figure est relative à une période de la dissolution de ces dépôts, sous l'influence
—Embolies capillaires. — Lé-sions de canalisation. — Etat typhoïde. — Période chronique de la ma-ladie. — Affections mutiples q
contestable. — Statistiques empruntées à di-vers auteurs. — Age. — La période classique du rhumatisme aigu s'é-tend de quinze à
e à trente ans. — Le rhumatisme chronique se rencontre surtout à deux périodes de la vie : de vingt à trente ans et de quarante
37 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de dix-sept ans, les attaques ne se renouvellent pas, mais, à cette période de son existence, elle éprouve un jour une cont
tantôt on constatera un repos d'une ou plusieurs minutes, tantôt la période d'accalmie sera seulement de quelques secondes.
aient jamais complètement disparu; les parents ont bien noté deux périodes de calme relatif, chacune de quelques semaines de
à des malades dont les accès choréiques étaient entrecoupés par des périodes de calme absolu. Si de ces particularités nous
face. La ténacité de l'affection est mise en évidence par la longue période écoulée depuis le début de la maladie. L'appari
trine de la Salpêtrière. En effet, notre malade, pendant une longue période de sa maladie, aurait représenté un type parfait
18 mai 1892. - Vilm... Poids : 50 kil., 5, âgée de dix-huit ans. Période de calme. Urines intercalaires. - Pour ses accè
Pendant la série, cet abaissement persiste moins marqué que dans la période pro-paroxyslique. La courbe tend déjà à se rele
u de Hug...), mais néanmoins, la toxicité la plus faible répond aux périodes proe-convulsives, la plus forte aux périodes po
plus faible répond aux périodes proe-convulsives, la plus forte aux périodes post-convulsives. S° La toxicité urinaire en de
ous de la normale. Les expériences que nous avons faites pendant la période du délire nous montrent aussi qu'un malade suje
limination de ces pro- duits. En effet, avant l'accès et pendant la période paroxystique, les urines sont hypotoxiques, ce
es mentaux et phy- siques que présentent les malades au début de la période pré- paroxystique et l'accumulation de ces toxi
de pré- paroxystique et l'accumulation de ces toxines explique la période paroxystique avec son hypotoxicité urinaire et so
son hypotoxicité urinaire et son état gastrique. A la fin de cette période paroxystique, on signale de la polyurie, de la
de ces accès elle fit deux tentatives de suicide. A cette première période de l'affection en a succédé une seconde, caract
l. 0 L'auteur en montre un cas chez un héréditaire présentant des périodes d'excitation et de dépression avèc idées de persé
érébrale ramollie, lésions d'une paralysie générale arri- vée à une période avancée et que ne pouvait faire soupçonner l'état
encore succession de ces stades. Pronostic favorable, même dans la période de démence. C'est une psychose d'épuisement, pe
emeure des mois limitée à la substance nerveuse, 'ce n'est qu'à une période avancée que le tissu conjonctif est atteint. Ch
hénomène n'apparaît qu'après les hallucinations, c'est-à-dire, à la période d'état de la maladie. L'opinion n'est pas encor
lucinations verbales psycho-motrices, et ce n'est qu'à une certaine période de son délire de persécution (période mégaloman
et ce n'est qu'à une certaine période de son délire de persécution ( période mégalomaniaque) qu'on les voit apparaître et pr
pendant, l'évolution de son délire de persécution commençant par la période d'inquiétude, traver- sant la seconde phase, en
rodromique de dépression, puis le malade devient gai ou, s'il a des périodes de tristesse, celles-ci ne sont que passagères. C
aux anciens canaux et espaces médullaires de l'os décalcifié. A une période un peu plus avancée, ou découvre des îlots d'os
u nombre de deux cents); à Neinstedt on enverra, pendant cette même période de début, des idiots jusqu'à concurrence de six c
nservent, malgré leur cécité, la faculté de marcher jusque dans une période très avancée de la maladie. » Vous pourrez trou
, p. 180. 3 Axenfeld, loc. cil., p. 67. 3 Fournier. Leçons sur la période pré-alaxiquc du tabès d'origine syphilitique, 1
diaques, rénales et cérébrales de nature scléreuse, et de même à la période d'hypertension, au moment de l'asystolie et de
soulage d'une façon très évidente, quand on sait discerner à quelle période d'hypertension ou d'hypoten- sion en est le mal
f.. Le nommé B... est atteint de paralysie générale à la dernière période : complètement dément, gâteux, il ne quitte plus
tude chez les paralytiques généraux, même tout à fait à la dernière période de la maladie. La figure 20, prise trois semain
hobie, de l'état de la digestion, de la constitution, de l'âge, des périodes d'agitation (Obs. XXV111). 262 REVUE DE PATHOLO
te. Quelques jours après, il tombait dans un état mélancolique avec périodes d'exci- tation par intervalles, état qui nécess
ER s'étonne que les idées de persécution aient persisté pendant les périodes d'excitation. M. Séglas a observé une persécuté
Les cerveaux appartiennent tous au type humain, variant suivant, la période de la vie embryonnaire, où se produit l'arrêt d
es évolutionisles, car cette formation n'a jamais existé pendant la période historique de l'espèce humaine. § IX. Note SU
mmé pour trois ans, et il peut être renommé de nouveau pour la même période . Le candidat doit être docteur, n'avoir pas dép
compte. Ses réponses sont va- . gués quand on l'interroge sûr cette période initiale de la maladie. 11 raconte cependant qu
ble avait été suffisante po ur provoquer une paralysie brachiale. Période de méditation. On entend par ces mots la période
ralysie brachiale. Période de méditation. On entend par ces mots la période qui s'étend depuis l'apparition de la cause acc
s seize cas, il nous a été impossible de préciser la durée de cette période ; dans les autres cas, les choses, ont été comme
plus tard que les mem- bres inférieurs diminuèrent de volume. A une période assez rap- prochée du début, la faiblesse et l'
e aussi considérable que parce que la myopathie, dans sa dernière période , s'est compliquée d'une lésion de vertèbres. Mais
t durait plus de dix ans. Cependant son cas ne présentait guère des périodes . L'observation de Nomolle (hémianesthésie hysté
nt avec chaque malade, varient aussi chez un même malade, selon les périodes de l'affection et sans qu'il soit possible, le pl
d ils existent, subissent des variations d'inten- sité aux diverses périodes de l'affection, les troubles' moteurs qui corre
ux, on peut dire qu'ils restent à peu près invariables à toutes les périodes . Les sujets sont tou- jours des émotifs, des hé
e commune et ne se développant, dans les cas typiques, qu'après une période plus ou moins longue de mélancolie anxieuse.
des malades, sauf les idiots et les imbéciles, ont eu, pendant les périodes graves du choléra, la notion exacte de leur sit
où elle paraît pouvoir peut-être se rattacher à la méno- pause. La période d'incubation est longue, souvent inobservée, et
ce d'une hallucination. Après une durée plus ou moins longue, cette période aboutit, pour quelques auteurs à la démence vra
et que l'on retrouve en germe dans les vagues appréhensions de la période prodomique de la paranoia chronique. C'est à ces
cun fait héréditaire notable; début de la ma- ladie à l'âge adulte; période d'inquiétude; période du délire de persécution
otable; début de la ma- ladie à l'âge adulte; période d'inquiétude; période du délire de persécution systématisé ; délire m
icités, émotivité, idées fixes; début de la maladie à l'âge adulte; période d'inquiétude ; délire de persécution systématis
rée cinq ans. III : Hérédité légère, début à l'âge adulte; longue période d'incubation; délire de persécution systématisé d
nconnue; début il y a cinq ans, à l'âge de trente-six ans; première période inconnue; délire de persécution systématisé; de
ité légère, début de la maladie à l'âge adulte, il y a quatre ans ; période d'incubation assez longue; période de persécuti
'âge adulte, il y a quatre ans ; période d'incubation assez longue; période de persécution; période de grandeur; confusion me
re ans ; période d'incubation assez longue; période de persécution; période de grandeur; confusion mentale. VII : pas d'hér
édité ; développement de la maladie à l'âge adulte (novembre 1885), période d'incubation ; période de gran- deur suivie par
e la maladie à l'âge adulte (novembre 1885), période d'incubation ; période de gran- deur suivie par une longue période de
période d'incubation ; période de gran- deur suivie par une longue période de rémission, réelle ou appa- rente ; période d
suivie par une longue période de rémission, réelle ou appa- rente ; période de persécution; mélange d'idées de grandeur; dé-
cas REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 391 dans lesquels manque une des périodes , spécialement celle de grandeur (obs. III), que
édominante de cette tourne, laissant de coté le mode de début et la période terminale, est le délire de persécution, qui mê
usses choréiques peisistent durant le sommeil dépend beaucoup de la période de la maladie sur laquelle porte l'observation.
consécutif à une vive émo- tion, mais le plus souvent il existe une période prémonitoire très tranchée, indiquant nettement
me une . grosse négligence de la part de l'administration. Dans une période 412 VARIA. relativement courte plusieurs gran
er des journées ou même des mois entiers : il donne naissance à ces périodes de seconde exis- tence dont M. Azam a montré l'
te idée provocatrice qui ne se retrouve net- tement que pendant les périodes d'état second naturelles ou provoquées et c'est
n des malades, dément, gâteux, paraly- tique général à la troisième période , il y eut pendant deux mois une amélioration tr
venteur prétend qu'il guérit 95 p. 100 des ivrognes, mais, comme la période de traitement dure quatre semaines et que les m
rveuse, dans l'excitation surtout motrice, dans l'insomnie, dans la période d'exaltation de la folie circulaire, dans la pa
amnésie complète de l'accès et amnésie rétro- grade comprenant une période de trois mois et demi avant le jour où éclata l
mort subitement 464 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. au déclin d'une période d'excitation; le coeur était hypertrophié, gras
le, coeur très hypertrophié. Comme état mental : stupidité avec des périodes d'excitation caractérisées par REVUE DE PATHOLO
hyalins et granuleux. 2° Femme de soixante-sept ans, mélancolique, périodes de dé- pression alternant avec des périodes de
sept ans, mélancolique, périodes de dé- pression alternant avec des périodes de gaieté exhubérante. Urine pâle, acide, avec
38 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de l'esprit du jeune D... Déjà, au cours de la démutisation, dès la période préparatoire dont nous avons parlé, l'oeil de c
connus. Telle est sommairement la marche suivie. dans la première période de l'enseignement logique du langage aux jeunes s
s diverses constructions synthétiques de la phrase et du rôle de la période dans le discours. » 40 THÉRAPEUTIQUE MÉDICO-P
x cas suivants : Dans le premier la maladie est déjà parvenue à une période avancée; il s'agitd'une femme de cinquante-cinq
indifférente. L'histoire des aliénés devrait déjà comprendre trois périodes : 1° celle des temps anciens, où ils étaient ab
blés dans des asiles spéciaux pour y être soignés ; et enfin, 3° la période actuelle de traitement réellement scientifique.
réellement scientifique. Malheureusement il ne peut y voir que deux périodes , la première barbare, la seconde actuelle d'int
os d'un fait clinique des plus intéressants (pendant une première période le malade semble atteint d'une paralysie ascendan
spondent. ' Je n'hésite pas à symboliser clans votre esprit cette période par le nom de Charcot, parce que son nom est insé
la physiologie elle-même et lui a imposé ses découvertes. C'est la période où s'établit cet immense chapitre des loca- lis
tre fréquemment aux chevilles, aux jambes, aux cuisses, à certaines périodes même il atteint le scrotum et les lombes. Il ex
ple. On y verra une jeune femme enceinte de deux mois. arrivée à la période de cachexie par suite d'un défaut complet d'ali
ez bien con- servés, la faiblesse augmente et la malade arrive à la période de cachexie, sans albumine cependant et sans te
ble : les malades deviennent alors emportés, violents, sujets à des périodes d'excitation accompagnée d'hallucinations. C'es
rectement à cette cause, était en moyenne de 713 par année, dans la période de 1866 à po ; il a été, en 1893, de 3 386. I
même temps, qu'elles soient courtes, moyennes ou longues ? A quelle période se prennent les fibres endogènes ? Les cellules
dans l'examen en coupes sériées de moelles tabétiques à diverses périodes de leur évolution; en d'autres termes, nous avo
lus tardivement. Cet envahissement des faisceaux endo- gènes, à une période plus ou moins avancée de la maladie, démontre q
ondaire, car il succède au processus primitif arrivé à une certaine période de son évolution (période de la disparition tot
processus primitif arrivé à une certaine période de son évolution ( période de la disparition totale du tube nerveux). Les
endre que l'évolution des symptômes vienne faire la lumière. - A la période prodromique, la paralysie générale peut être so
athogénique que je soutiens : il a été prouvé, en effet, qu'à cette période de la vie le surmenage n'existait pas. Il en es
la pour deux raisons : la première, c'est qu'il n'apparaît qu'à une période beaucoup trop avancée de la maladie; la seconde
rale ; or, il est loin d'eu être toujours ainsi. On observe à la période prodromique de la paralysie générale une surexcit
aque, et qui ont versé ensuite dans la paralysie générale après une période déiirante plus ou moins longue, quelquefois mêm
par des convulsions épilepti- formes, des paralysies à la première période ; la décadence intel- lectuelle initiale est moi
ante. L'histoire de l'hystérie infantile peut être divisée en trois périodes . Dans la première, les anciens reconnaissent qu
le petit garçon. Ils en parlent, mais sans la décrire. La seconde période est remplie par les travaux de la Salpêtrière,
ée sous ses formes non convulsives, et même larvées. La troisième période , qui chevauche un peu sur la précédente et arri
1888, époque de l'apparition de ce très important travail. Pour la période qui nous occupe en ce moment, Clopatt cite, à c
être classés dans l'épilepsie, la chorée, le nervosisme. Deuxième période . - Elle est tout entière résumée dans le nom de
elle était au moment où parut cet impor- tant travail. Troisième période . - En mars 1880 parut la thèse de Paris, ins- p
ent de la puberté, mais avant de disparaître elle est sujette à des périodes tantôt de rémission, tantôt d'exacerba- tion. E
olescence ou de la puberté, les névroses qui se développent à cette période de la vie doivent être distinguées de celles de l
besoin d'être vu tous les jours, même deux fois par jour pendant la période aiguë ; mais un épileptique dont le traitement
oute pour cette étude, attendons. (A suivre.) CLINIQUE MENTALE. PÉRIODES TERMINALES ET MORT DANS LES SOI-DISANT PARALYSI
ent par leurs terminaisons, comme elles se distin- guaient avant la période paralytiforme par leur symptoma- tologie premiè
pas eu même symptomatologie de début, même évolution, bien que la période paralytique ou paralytiforme affecte encore que
au HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 99U marasme et à la fin de cette période ; 3° les paralysés généraux appartenant à la par
n'a pas encore atteint la vieillesse qui est, en un mot, en pleine période d'activité sexuelle. L'histoire de l'hystérie i
VENDÉE. 311 Celait la nuit; le lendemain matin, au coma succède une période d'agitation extrême, il faut l'aide de plusieur
e son affection, et il se porte beaucoup mieux que dans la première période de sa maladie. 1. - .HYSTÉRIE INFANTILE EN VE
otuliens furent abolis dès le commencement de la maladie. Après une période stationnaire qui dura environ six semaines, les m
ugmentation considérable de la pression artérielle, même pendant la période de ralentissement du coeur. REVUE DE PATHOLOG
oit par la rup- ture du coeur qui se produirait, surtout pendant la période toxique. En général, la rupture du coeur, comme
uit mois de la paralysie du moteur oculaire externe ; pendant cette période , atténuation de l'hémicranie, Deux ans après, h
c température élevée, céphalée intolérable, puis prostration. Cette période aiguë fut de courte durée ; mais les vomissemen
ébattant, d'avoir une large respiration qui ne vient pas. A cette période de crises, caractérisées par des étouffements,
s. A cette période de crises, caractérisées par des étouffements, période qui dure un mois, en succède une autre marquée pa
intéressants parmi ceux qu'il m'a été donné d'étudier pendant cette période de huit années, passée en Vendée, et avant tout
lument que les maladies susceptibles de frapper l'homme' à cette période organique de la vie, la méningite est fréquente
serait-il possible, que je ne le conseillerais pas à cette première période de la vie. Pour mon compte, je ne l'ai pas essa
r tous simultanément; elle a lieu successivement, durant une longue période . De ces neurones, les uns sont déjà arrivés à l
psychologique qu'elle exerce sur la race humaine. Si le jour est la période de l'activité énergique, la nuit est celle du r
ctuelle des angoisses qu'il a éprouvées pendant qu'il était dans la période d'accès ; il se souvient parfaitement de l'état
logiques. La grande -découverte qui a été faite dans cette première période est due à Nissl, qui a montré Archives, 2e séri
umulés dans les mailles du spongioplasma ; ce stade correspond à la période des spasmes rabiques ; mais la cellule ne peut su
table dans le tabes. Néanmoins, il reste indiqué dans la première période de la maladie encore en pleine voie d'évolution,
ntigrammes par vingt-quatre heures, par cures de dix jours, dans la période d'augment de la maladie ; SOCIÉTÉS SAVANTES. 4S
aiguës ou subaiguës, dans le tabes ; beaucoup moins utile dans les périodes franchement chroniques et plutôt nuisible dans
congestives qui précèdent et préparent les poussées scléreuses. Ces périodes sont surtout marquées, en clinique, par une rec
ormes spinales et myopathiques des atro- phies musculaires. A une période plus avancée d'atrophie myopathique primaire, o
ation : dédire, contractures et crises jack- sonniennes. Enfin, une période terminale de coma et de paralysie. Souvent une
une période terminale de coma et de paralysie. Souvent une ou deux périodes manquent, ou les symptômes, d'une marche capric
périmentale subaiguë par intoxication tétanique ; par M. H. Claude; Période réfractaire dans les centres nerveux; par MM. A
'étude du réflexe pharyngien étudié sur les mêmes malades aux trois périodes de la paralysie générale; par le Dr E. Marandon
ques diurnes; mais ils indiquent surtout que, en laissant à part la période de sommeil de minuit à six heures du matin, qui
révolution quotidienne, établir très nettement, d'une part, trois périodes minima de trois heures chacune, suivant immé- d
00 du nombre total des attaques quotidiennes; d'autre part, trois périodes maxima de trois heures chacune, pendant lesquelle
LINIQUE NERVEUSE. U3.G p. 100, 21,3 p. 100, soit ensemble, pour une période de neuf heures, 52.9 p. 100 du nombre total des
séries et dont les séries le plus souvent on\.-débuté pendant les périodes maxima. Aussi pouvons-nous dire, d'après ce que
e suivent une marche paral- lèle. Les urines examinées à la fin des périodes maxima de l'alcalescence sanguine, c'est-à-dire
in des périodes maxima de l'alcalescence sanguine, c'est-à-dire aux périodes maxima des attaques, ont presque constamment do
cence DU sang CHEZ LES épileptiques. 475 nombreuses que pendant les périodes antérieures. Elévation transitoire du degré de
avec fond mélancolique. Les attaques sont précédées d'une courte période de subexcitation et suivies d'une aggravation de
tous les quinze jours environ.Elles sont précédées et suivies d'une période d'excitation violente. Dans les intervalles la
total des attaques. Pendant la dernière quinzaine, pas d'altaques. Période d'excitation suivie de dépression. Augmentation
usieurs années. Imbécillité. Perver- sion des instincts. Fréquentes périodes d'agitation. Impulsions vio- lentes. État physi
s, ni après. Les injections ont toutes été pratiquées au cours de périodes maxima des attaques, et cependant, dans aucun c
91 galiques, dont l'intelligence garde son intégrité à toutes les périodes , notre malade a été prise, il est vrai, d'un accè
comme maladif. Cet état psy- chique était plus accentué pendant les périodes de digestion pénible. On sait l'influence de l'
après la guérison, ou, plus exactement dans notre cas, pendant .la période d'améliora- tion de la psychose. Avons-nous l
pratiqués pendant l'enfance avec plaisir. On distin- guerait quatre périodes . Une période, dite d'immoralité enfantine, rela
ant l'enfance avec plaisir. On distin- guerait quatre périodes. Une période , dite d'immoralité enfantine, relative aux dépr
tre sexe, qui, plus tard, apparaîtront coin me actes blâmables; une période de maturité sexuelle, souvent prématurée ; au sou
r effort conscient, le symptôme de défense primitif ; -la troisième période est celle des scrupules, ce la houle, de la défia
s sont rejetés; ils reviennent plus obsédants que jamais (quatrième période ). Il en existe deux formes, suivant que l'obses
, qu'elles datent de la vie foetale, de la prime jeunesse, ou de la période de maturité, même chez les gens âgés, pourvu qu
tement réfractaires. La sus- ceptibilité revient de nouveau dans la période de convalescence. Ce fait explique pourquoi on
de meilleurs résultats par l'appli- cation de l'hypnotisme dans les périodes où la maladie commence à devenir stationnaire.
e momentanée plus sévère, y sont ramenés. , Les malades, après la période d'observation, sont placés dans les familles; i
llucinations, mais ne sont pas des'hallucinés. Les deux pre- mières périodes de la paralysie générale et les formes mélancoliq
usions suivantes : 0 : 1° L'hystérie, quand elle apparaît en pleine période aiguë des infections, reconnaît ces dernières c
la manie de gifler diminua, ne fut plus constante, se présenta par périodes . Le 22 juin 1892, Villac... passa dans l'une de
46; Giraud, 247; Domrebente, 247 ; Pelrucci, 247; Cullel'le, 219. Périodes terminales et mort dans les soi-disant -, par A
39 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pût sortir sans être accom- pagnée. 11 y a, entre chaque crise, des périodes de sept à neuf mois, où la malade est tout à fa
paralysie de l'ac- commodation), et dure quelques semaines. Dans la période libre d'accès existe une parésie d'intensité mo
tait pas ; il est vrai qu'au moment où nous voyions la malade, la période aiguë avait en partie disparu. Au point de vue
Mais un bien plus haut intérêt s'attachait à ce fait que, à aucune période de la maladie, les phénomènes paralytiques et l
u-dessous des trochanters, et la réduction a dû être faite dans une période où le malade avait des alternatives de phénomèn
ents décolorés. Dans le second cas, les phénomènes débutent par une période d'excitation parfois extrêmement marquée. Il y
r une vivacité inaccoutumée, une loquacité qui rappelle la première période de l'ivresse; la parole est brève, rapide, bred
la-première. Le coma, ici, 58 REVUE CRITIQUE. est précédé par une période d'excitation et de réaction avec élévation de l
2° Troubles gastro-intestznaux. Ces troubles marquent en général la période de début de l'intoxication ; ils consistent en
ssous de la normale. Cela est vrai, d'une manière cons- tante, à la période terminale, dans la phase comateuse. Mais, au dé
étonémie aiguë. L'acétonémie aiguë présente dans son évolution deux périodes : une période initiale, d'excitation, et une pé
L'acétonémie aiguë présente dans son évolution deux périodes : une période initiale, d'excitation, et une période terminal
volution deux périodes : une période initiale, d'excitation, et une période terminale, de coma. Le thermomètre peut, dans u
. Outre cette légère réaction fébrile, les symptômes de la première période sont de la céphalalgie, des vertiges, une sensa
xaspérant par moments sous forme de crises dyspnéiques. La deuxième période s'annonce par une somnolence et une torpeur inv
t huit à dix et douze jours avant d'aboutir à la mort. C'est sur la période d'excitation que porte cette prolongation; car,
eut rétrécissement concentrique du champ visuel très prononcé à la période d'acmé de la maladie.- C. Hémicrdnie, tic doulo
cun de ces cas précoces il n'y a eu d'idées de grandeur, ni même de période quelconque d'excitation, mais que les symptômes
étracté, ce qui naturellement ne peut s'être produit que pendant la période embryonnaire ; les fibres nerveuses déplacées p
rté; avec ou sans stade prodromique mélancolique, il se produit une période maniaque courte suivie d'un stade terminal de d
'ona- nisme, souvent issu d'ii ritation spinale. En vérité, à cette période où la puberté s'installe, c'est-à-dire dès les
étermination quantitative de l'ozone a eu lieu chaque jour en trois périodes , à l'aide du papier iodo-amidoné, d'après l'éch
not dircteur, plusieurs pavillons ont été surajoutés; c'est à cette période , que remonte la création des pensionnats des deux
ient un peu; l'agitation et l'affais- sement ne reviennent plus par périodes comme précédemment; ces deux ordres de phénomèn
ènes d'agitation succèdent, dans le courant d'une même journée, des périodes d'affaissement ou mieux de somnolence; pendant
ée, des périodes d'affaissement ou mieux de somnolence; pendant ces périodes , en effet, B... dort, et on peut voir ainsi dan
psychiques ont beaucoup perdu de leur intensité. Durant cette même période , la tuméfaction oedémateuse s'est lentement acc
d'aliénation mentale qui se traduit dans les premiers temps par des périodes d'agitation violente alternant avec des période
iers temps par des périodes d'agitation violente alternant avec des périodes de torpeur, et par un ensemble de symptômes psy
ie nous montre que cette méningo-encé- phalite n'a pas parcouru ses périodes ordinaires ; elle n'est pas arrivée jusqu'à la
la désorganisation de la subs- tance nerveuse, elle est restée à sa période d'irritation et a rétrocédé ensuite,ainsi que l
rébelleux, de Goll et zones radiculaires postérieures). A la même période appartiennent encore l'observa- tion de 13abesi
itait, par sortes d'accès, les membres du malade dans les premières périodes de l'affection, et qui était parfois assez inte
Observ. de tabes-avec phéiio ? 7z. cpilept, pendant les pre- mières périodes de l'affection. (Revue de mérlec.), 18S ? , 142.
'autre part, on a constaté chez ce malade, pendant une assez longue période de temps, des contractures plus ou moins fortes
pieds, avec flexion spas- modique des orteils. Pendant une certaine période aussi, le membre inférieur du côté droit était
but des douleurs fulgurantes, qui conlinuent de temps en temps, par périodes . En 1873, il commence à aller à la Matou, puis
e nettement intermittents furent les principaux phénomènes de cette période . Son état général était meilleur, mais le coeur
les convulsions s'effacent peu à peu pour être substi- tuées par la période de. repos relativement courte chez Arch... n'ay
t commencé à souffrir le plus de ses migraines, justement à la même période de la vie. Ensuite, c'est au même moment que la
HUMATISME ARTICULAIRE AIGU. 227 sente un cas type dans lequel trois périodes principales sont nette- ment observables : 1° l
n est à peu près la même qu'auparavant et expérimente sur les trois périodes de l'hypnose, afin d'en observer ~ les modifica
la moitié droite ou dans la moitié gauche du corps. A droite, les périodes de l'hypnotisme ont conservé leurs phéno- mènes
ILEPSIE AVEC LE RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU. 229 ticulières à cette période . A droite, pas d'injonctions; absence des manif
gauche ne causent pas de plaintes. La recherche des caractères des périodes de l'hypnose, dans le but d'en voir les changem
gauche; suggestions somnambuliques pénibles et difficiles; à cette période comme à la première elle se plaint quand on rem
on remue ses membres. Le 4, les phénomènes propres à chacune des périodes ne se manifestent aujourd'hui que dans le membr
a loi biologique universelle qui veut que, chez « l'être vivant, la période d'activité soit la période de désorgani- « sati
e qui veut que, chez « l'être vivant, la période d'activité soit la période de désorgani- « sation, et que la désorganisati
s vibrations fonc- «tiotinelles, et avec laquelle il rentre dans la période de repos et « de réintégration. » Le lecteur
elles son activité consciente « peut trouver à s'exercer durant des périodes sans limites et à « l'abri du risque d'être réd
u'il ait un vocabulaire plus étendu qu'à cinq ans; pendant toute sa période de stupeur, il a entendu ce qui se disait autou
gauche ; répétition de cet accident de plus en plus fréquente avec périodes de sopor de plus en plus marquées ; par là-dessus
ême sort, deux fois les réactions en question, tandis qu'à d'autres périodes , bien que les circonstances parussent être iden
sent successivement : d'un stade lypéma- niaque (incubation), d'une période de manie avec affaiblisse- ment intellectuel, d
ais, en revanche, l'asthme ne laisse plus au pa- tient que quelques périodes de tranquillité. La guérison des trou- bles men
communication, il est le type des processus chroniques, car, dès la période foetale, il a pu atteindre un développement éle
anvier a décrites sur le bout in- férieur d'un nerf sectionné. A la période initiale, le noyau des segments interannulaires
térées les apparences ou les vestiges du cylindre-axe. Si, dans les périodes initiales, ce tractus peut être masqué par l'ab
, dire si cette fille n'avait pas obéi à une suggestion pendant une période de somnambulisme provoqué, si elle ne devait pa
les règles apparurent. Annette G... fut sujette à chaque retour des périodes menstruelles à des douleurs vives dans la régio
ttie dans un coin, sous une table; le désordre mental pendant celte période fut complet; elle tutoyait tout le monde, disai
même, sans aucune intervention de notre part; elle aune très courte période d'étonnement, et, sans autre transition, elle r
es obéissant, sans résistance possible, à un ordre donné pendant la période d'hypnotisme. Nous ne croyons pas utile d'entre
subintrantes, nou- velle injection de 0,01 d'apomorphine pendant la période des convulsions toniques; deux minutes après, d
inctes ; la partie supérieure, plus récente, n'était encore qu'à la période de ramollissement rouge. D'après les auteurs, c
paralysie gé- « nérale, et cette infériorité est plus marquée à la période active « et à la période de paralysie complète
et cette infériorité est plus marquée à la période active « et à la période de paralysie complète de la maladie que durant
t à la période de paralysie complète de la maladie que durant « les périodes intermédiaires d'inactivité et de calme. « 50 O
en pareil cas, se rapproche souvent par la nature du délire, de la période initiale de la paralysie générale. La durée de
ion à l'alimentation forcée. Une fois le delirium tremens passé, la période de dépression est quelquefois extrêmement accus
galement au point de vue controversé de l'action du coeur durant la période d'invasion des attaques épilep- tiques ou épile
essai de nosographie .à l'aide d'une étude synthétique des diverses périodes de l'hypnotisme. 3° Tout un appendice intitulé
sens. Ces accidedts aflectent une marche qu'on peut diviser en deux périodes : période d'excitation et période de dépression
ccidedts aflectent une marche qu'on peut diviser en deux périodes : période d'excitation et période de dépression. Quelquef
arche qu'on peut diviser en deux périodes : période d'excitation et période de dépression. Quelquefois on observe une incoo
40 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nelles ou empruntées. Observation. Maladie de Raynaud à la deuxième période , affec- tant la forme d'état de mal asphyxique,
res séances, nous dîmes à la malade d'écrire alors qu'elle était en période d'asphyxie. Elle refusa d'abord parce qu'elle a
onner une consécra- tion clinique à cette esquisse didactique de la période des grandeurs. La première rentre à peine dans
de la période des grandeurs. La première rentre à peine dans cette période ; mais la transition n'en est pas moins apparen
État normal jusqu'à 42 ans. Genèse du délire en deux ans. Deuxième période à 44 ans. Hallucinations de l'ouïe, troubles de
police. Nombreuses réactions. Néologismes. Début de la troi- sième période : modifications dans l'attitude; allusions ci des
Aujourd'hui ce diagnostic est confirmé, car la malade est en pleine période des grandeurs. Cas. IV. D... femme Ch ? 53 ans.
s héréditaires. Intégrité de l'état mental jusqu'à 39 ans. Première période dure 3 ans, deuxième période 12 ans ; hallucina
l'état mental jusqu'à 39 ans. Première période dure 3 ans, deuxième période 12 ans ; hallucinations auditives. Troisième pé
ans, deuxième période 12 ans ; hallucinations auditives. Troisième période à 52 ans. Délire ambitieux systématisé. Augusti
n, mais elle sup- porte ce deuil avec courage. Pendant cette longue période , de la plus jeune enfance à l'âge mûr, nous not
es. Cependant, au mois de mars 1893, douze ans après le début de la période de persécution, sa tenue se modifie. Elle refuse
as sa sortie, elle fera tomber nos têtes sur l'échafaud. ,. De la période des grandeurs qui marque déjà un certain degré
impose avec rigueur le pronos- lie. Et si, à la fin de la première période ou au début de la deuxième, la maladie marque p
durée est illimitée. Il est impossible de fixer, pour cha- cune des périodes , le nombre d'années qu'elle met à évoluer. Si l
périodes, le nombre d'années qu'elle met à évoluer. Si la première période dure en moyenne de deux à trois ans, on la voit
ite, par exemple sous l'influence des abus de boissons. La deuxième période qui dure environ une quinzaine d'années, peut m
ans des illusions et même dans des hallucinations de la mémoire. La période d'acmé de la maladie est caractérisée par des h
; 2° il y a généralement une cessation complète d'accès pendant une période variant de huit jours à quelques mois; 3° la fr
ndant la première année, diminuée de plus de moitié ; 4° après la période de cessation complète, les accès qui surviennent
s sont les alcooliques qu'on y enfermera ? Les prendra-t-on dans la période d'agitation, pendant qu'ils sont atteints de foli
oirs que devait leur imposer leur profession. C'est pendant cette période qu'il couronna ses travaux par la publication d
lles ont un début souvent insidieux, commencent habituellement à la période de convales- cence, présentent une marche régul
ellent cli- nique, hôpital, asile ou sanatorium. Ainsi, pendant une période de douze années, du le, avril 1880 au le,* avri
e, les mêmes phénomènes se reproduisant. A l'âge de vingt-cinq ans ( période des 4 litres de vin quotidiens), le malade a ép
ade ne conserve pas le souvenir de ce qui s'est passé pendant cette période . Les actes résultent des conceptions délirantes e
somniation avec obnubilation de la conscience) n'est qu'une courte période , l'accès atté- nué, le stade de développement e
e perturbation dans l'association des idées, très considérable à la période d'acmé delà maladie. Du reste, la confusion men
in point respecté les degrés de la maladie. Elle a commencé par une période syncopale à laquelle a succédé la période asphy
. Elle a commencé par une période syncopale à laquelle a succédé la période asphyxique. Pendant le traitement, les crises a
FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÈLALGIE. 'Ill longés. Bic...t est à la période delà ménopause. Les règles sont irrégulières et
e suivis, 13 d'entre ces derniers n'eurent plus d'accès pendant des périodes variant de quatre mois à un an; 3 restèrent dans
es qui l'ont modifiée. Il y a lieu cependant de reconnaître qu'à la période prodromique de toute maladie mentale, il y a un
a un état sentimental particulier, mais il est pas- sager, et, à la période de développement de la maladie, on peut, dans l
éoccupé, plus soucieux et plus fatigué que pendant cette laborieuse période . » Durant cet intérim, M. Motet eut l'occasion
st blanche où bleue suivant l'intensité de l'émotion, et suivant la période de la maladie (début, période d'état, période d
intensité de l'émotion, et suivant la période de la maladie (début, période d'état, période d'amélioration). D'ailleurs m
motion, et suivant la période de la maladie (début, période d'état, période d'amélioration). D'ailleurs maladie de Raynaud
ège les deux mains, surtout la gauche, qui sont survenus pendant la période menstruelle. Elle avait antérieurement accusé l
e dans les parties homologues des deux parties du corps. Quant à la période menstruelle, Vulpian pense qu'elle met le systè
blié en 1882 deux observations de folie circu- laire où pendant les périodes de dépression, les malades pré- sentaient de l'
r représentant le délire des persécutions de Lasègue augmenté d'une période , celle du délire des grandeurs, et terminé par
ence mentale ? S'il y a une folie systématique progressive à quatre périodes . Les uns (Paul Garnier, Briand, Lwoif) soutienn
celui-ci; il s'y joint. Et, ajoute M. Delasiauve, il s'y joint aux périodes les plus différentes, voire au début, l'évoluti
rait légitime, à son sens, de donner le nom de Lasègue à la seconde période (des persé- cutions) du délire chronique, et ce
cutions) du délire chronique, et celui de Foville à sa troisième période (mégalomaniaque). Mais, en réalité, pour lui, le
des hallucinations sensorielles. Fréquemment aussi il existe une période latente au cours de laquelle il est difficile d'é
t constituée, suivant lui, par les éléments du délire existant à la période aiguë des maladies et survivant à cette période
élire existant à la période aiguë des maladies et survivant à cette période aiguë ; on en a un exemple dans la mélancolie a
n a un exemple dans la mélancolie avec délire et hallucinations; la période aiguë dis- paraît emportant l'état dépressif et
nératives héréditaires, il cherche avec soin ces éléments à quelque période de la vie passée, pour confirmer la dégénéresce
moment du repas du soir, et qu'elle s'étendait en avant à toute la période REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 203 de ranimeme
irium tremens, on les placera dans un asile ordinaire pendant cette période d'aliénation et ils seront transférés à l'asile s
ant d'un groupement de symptômes particuliers, revêt à une certaine période de la maladie, parfois même dès le début, une a
il est terrible; terribles aussi sont les abus d'alcool pendant la période de sevrage de la morphine. M. Kirm. On obtien
uivent le déclin de la fièvre, ou aux psychopathies qui occupent la période intermédiaire entre l'éruption et la suppuratio
conséquences. Il n'est pas rare de voir survenir, à la suite, une période d'agitation avec propos incohérents, confusion co
re a été accusée, mais le délire initial en question apparaît à une période où la fièvre manque, disparait lorsque celle-ci
ous en assurer, nous avons fait des lavages de l'estomac à diverses périodes , tantôt avant l'accès, tantôt pendant la série,
ue, que ce soit un vertige, un accès, une série d'attaques ou une période d'agitation ; ensuite ils disparaissent si l'accè
tômes semblent acquérir nettement leur maximum d'intensité dans les périodes d'agitation prolongées et surtout dans l'état d
tion soupçonneuse (inquiétude de Magnan,), dont parle Meynert, ou période d'attention exagérée, des persécutés, constituée
NIQUE MENTALE. .L'étude de la bibliographie démontre que les quatre périodes du délire chronique n'ont jamais été, observées
atique chronique simple (einfaclae chronische Paranoïa), même à une période avancée, fort avancée, de celle-ci; en pareil 2
ooliques. Ce désordre intellectuel dit paranoïque à son plus haut période serait aussi considéré par certains observateurs
dant successivement sur tous les muscles du corps. Après une courte période de convulsions localisées, une attaque classiqu
LOGIE MENTALE. 313 moteurs et trophiques qu'on observe aux diverses périodes de la démence paralytique a conduit l'auteur à
à savoir que les symptômes de la démence paralytique, à la première période , sont dus à une paralysie vaso-motrice des vais
halite corticale et les processus dégénératifs que l'on observe aux périodes postérieures sont consécutifs à la paralysie va
ysie spasnzo- dique occupant tous les muscles du corps, à certaines périodes de la vie (voy. Deuslche Zeitschrift f. Nervenh
t 's'élever au-dessus-de.la normale,-à la.fin;dès'que commence; la» période du stertor. Quant à mesurer la tension artériel
er la tension artérielle : pendant l'ac- cès, lui-même, pendant les périodes toniques et cloniques, nous ne comprenons.pas c
durbe DE l'intoxication ' dans 'l'épilepsie. 363 . ''au ? » des périodes tonique et clonique, le pouls ne pouvait être sen
faisant une inspiration profonde et supérieure, fut entrée dans la période du stertor, le pouls reparut rapide et plein, b
entuer, de plusten-plus, ne pas disparaître complè- teintent d'une, période àja-suivante'et finalement devenir per- manents
rapidement ensuite tout en laissant ce côté plus faible. Dans la période clonique les mouvements sont plus marqués à gauch
qu'au début la différenciation du sexe joue aucun rôle. A une autre période , probablement quand les sensations commencent à
des courbes); °dans la manie il y a hyperthermie de 0,3 u 0,5 à la période d'acmé comparée avec le [stade prodromique et a
trophie musculaire prononcée ayant son origine et dans cette longue période d'inaction musculaire et dans l'alimentation défe
ent puissamment l'un sur l'autre ; or, le foetus pendant toute la période de la gestation participe entièrement à la vie ma
le plus fragile d'entre eux. C'est d'ailleurs pendant les premières périodes de la gestation que l'influence des chocs morau
mes qui dure plus ou moins longtemps, et qui peut être suivie d'une période de trouble mental ou d'agitation d'une durée va
Peut-être ce fait peut-il s'expliquer. La femme passe là par une période où elle est évidemment moins résistante, témoin
pilepsie trauma- tique. Il arrive aux conclusions suivantes : 10 la période latente de l'excitation corticale diminue notab
s et au-dessous des pôles, on augmente la résistance mais après une période de diminution qui tient à un effet d'inhibition
et, consécutivement, abaissement de l'ac- tivité réactionnelle. La période de début du processus est quelque- fois caracté
cessus est quelque- fois caractérisée par de l'irritabilité, et les périodes plus avancées par de la torpidité de réaction.
t avantageux dans la folie de l'adolescence, delà ménopause et delà période puerpérale; 7° son emploi est souvent utile dan
médication serait avanta- geuse si le traitement intervenait à une période suffisamment précoce de la maladie; 11° enfin l
e de cas de folie avec leurs signes précur- seurs, leur début, leur période d'étatetleur terminaison. (Anzericaa lozrrzal o
41 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
inguer dans l'évolution de la syphilis des artères cérébrales, deux périodes assez distinctes : l'une pendant laquelle les é
i ne peuvent plus rétrocéder. Nous décrirons successivement : 1° la période des accidents curables; 2° la période des accid
rons successivement : 1° la période des accidents curables; 2° la période des accidents incurables. - z10 Période des acc
accidents curables; 2° la période des accidents incurables. - z10 Période des accidents curables. On peut dès celte pério
curables. - z10 Période des accidents curables. On peut dès celte période accepter la division, proposée par Dieulafoy', en
e décharge nerveuse, un ictus épilep- tiforme. Il est rare, dans la période de début de la syphilis artérielle, que l'on ne
l'une de ces deux causes : le surmenage, ou l'intoxication. A cette période de début se rattache trois formes symptomatique
accidents sérieux ne tarderont pas à survenir. Cependant une longue période de santé en appa- rence parfaite peut suivre; p
siantes. Toutes les formes précédentes peuvent s'observer : à cette période du moins les artérites ectasiantes comme les ob
décrits par Spillmanu=. Pour compléter cette symptomatologie de la période de début, nous dirons qu'on a voulu rattacher à
certains cas de migraine ophtalmique; que souvent on peut dès cette période voir des paralysies oculaires, dues probablemen
virus syphilitique sur le neu- rone moteur périphérique. Dès cette période aussi on peut noter des troubles de la nutritio
syphilitiques. La fièvre n'est pas non plus exceptionnelle à cette période , mais nous ne sommes pas encore bien fixés sur
l ? t.c/eerMft<o/. et syphil., 1886. 10 CLINIQUE NERVEUSE. II. Période des accidents incurables. Il ne s'agit plus d'i
les intellectuels que nous avons décrits plus haut, dès la première période , évoluent souvent vers la démence d'une façon p
symptômes trophiques observés sont fréquents. Il' observe, dans la période de cachexie, l'alopécie « si le cuir chevelu n'
dégénérescence des paralytiques ne se manifestent qu'à la dernière période de la maladie. Il oublie également de noter s'i
purpura, hématémèse. Tout dernièrement M. Arnaud', en parlant de la période 1 Régis. Manuel pratique de médecine mentale, 1
agnan et Sérieux. De la paralysie générale, p. 47. 7 Arnaud. Sur la période terminale de la paralysie générale et sur la mo
érale appréciable dès le début, mais elle est surtout notable à une période avancée, où l'on trouve même parfois une analgé
les de même nature. La malade n'a eu ni douleur ni fièvre durant la période d'érup- tion. Un mois plus tard (janvier 189' !
sur un délire systématisé chronique. Il y a alternance continue de périodes .d'exaltation et de dépression avec ou sans int
.d'exaltation et de dépression avec ou sans intervalle de calme. La période d'exaltation coïncide régulièrement avec une excr
es, atteignant 6,000 cent. cubes, la densité s'abaissant à 1001. La période de dépression se traduit par une diminution con
ès la même quantité d'aliments solides; mais il lui faut pendant la période d'exaltation ingurgiter d'incroyables quantités
kitogs ; à peine perd-elle quelques livres à la phase d'acné de la période d'exaltation. On a chimiquement déterminé, para
xaltation. On a chimiquement déterminé, parallèlement dans les deux périodes l'élimination de l'azote total et de l'azote re
i en fournissent. Voyez les tableaux. IL en résulte que, pendant la période , d'exaltation la malade excrète proportionnelle
re d'acide urique et d'éléments xanthiques, parce que pendant cette période il se forme, dans la nutrition, plus d'azote, q
à l'état d'acide urique et d'éléments xanthiques, que pendant la période de dépression. L'azote de ces corps provient de s
nt la fonte des tissus du corps. Il y a donc en réalité, pendant la période d'exaltation destruction des tissus de l'organi
e phase de réparation succède à la phase de dégénérescence. A cette période les cellules lésées se distinguent par leur hyp
chronicilé. Comment la cellule et la camisole, restes surannés des périodes primitives, peuvent-elles subsister ? L'opinion
lètement oublié, comme au sortir d'une crise de som- nambulisme, la période par laquelle elles venaient de passer et se cro
ne condui- saut à la terminaison fatale qu'après une assez longue période , l'évolution peut aussi être rapide, aiguë; et il
scène. Si le processus se localise ci la base, après cette première période on note des vertiges, des troubles psychiques,
re. On pourrait, comme dans la syphilis artérielle, distinguer deux périodes dans son évo- DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYP
u'il faut avoir recours pour l'explication des poussées aiguës, des périodes d'exacerbations, dans lesquelles les phé- nomèn
ac- téristique est de se faire par poussées successives, avec des périodes de rémission souvent très longues. Suivant le siè
l'interrogatoire ne révèle aucun symptôme de syphi- lis pour cette période . Elle a deux enfants bien portants, l'une qua-
prononcée : mouvements respiratoires rapides, irréguliers, avec des périodes d'accélération, des pauses et même de courtes p
rs, avec des périodes d'accélération, des pauses et même de courtes périodes d'apnée, mais sans régularité. Rien d'anormal à
halluci- nations dans telle paralysie générale ou plutôt dans la période paralytiforme de telle intoxication (saturnine, p
s, notons-le incidemment, ne conduisant qu'exceptionnellement à une période paraly- tiforme ou paralytique, cela résulte de
aractéristiques de telles ou telles intoxications aboutissant à une période dite de paralysie générale. C'est une probabili
s ou auto-intoxications comprenant dans leur évolution complète des périodes para- lytiformes ou paralytiques dites pseudo-p
ue rien de l'étiologie de la maladie dont elle ne représente qu'une période , de même que le dia- gnostic «ascite » tout cou
Les symptômes sont ceux de la dépression avec tendances au suicide, périodes d'excitation maniaque, arrêt de la compréhensio
ear » nous donne une intéres- sante description de la folie dans la période sénile, description dont l'auteur fait ressorti
par l'extrait thyroïdien. Des photographies prises aux différentes périodes de traitement accompagnent le texte. A. V. XIV.
ts : quel traite- ment doit subir le paralytique général pendant la période initiale REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 163 d'excita
ladie, comment éviter les accidents et les fractures ? 2° durant la période de calme, comment est-il main- tenu propre ? 3°
de de calme, comment est-il main- tenu propre ? 3° doit-il, à cette période , suivre un régime spécial afin d'éviter un embo
t-on se servir de l'isolement ? 6° comment éviter les eschares à la période ultime de l'alitement ? * ? Le traitement le pl
on déclare faire suivre à ses paraly- tiques généraux à la première période . Il les isole et leur fait prendre du sulfonal
dizaine de jours de ce traitement le malade passe directement de la période d'excitation dans celle de calme. Le Dr Campbell
iques sur la pression du sang chez l'homme, par Binet et Vaschide; - Période réfractaire dans les centres nerveux, par A. Br
bre. G... Jean est grand, gros, bien musclé. Il est à la deuxième période de la paralysie générale. La sensibilité cutanée
ont morts tous d'accidents cérébraux. J... Gabriel est à la seconde période de la paralysie générale. 11 est petit, gros, rou
rands pas ; elle atteint l'apogée au commencement de la troisième période , dans la période de démence paralytique, puis le
e atteint l'apogée au commencement de la troisième période, dans la période de démence paralytique, puis le processus s'arr
a- gérée aux fractures chez les paralytiques généraux ». Dans une période de six ans et demi, sur 250 cas, il n'a pas obser
ie d'avec les atrophies diffuses qui se montrent dans les dernières périodes de la maladie et qui sont dues aux névrites pér
s, une augmentation des phosphates et des sulfates, surtout dans la période cachexique. On a également signalé la polyurie,
end comment le mâle et la femelle sont identiques, adéquats, à la période de leur tout premiers rudiments, alors qu'ils ne
it alors comme agent toxique et produit les symptômes notés dans la période post-convulsive, a trouvé récemment sa confirma
nts à l'épilepsie de l'encéphalite. Ces cas présentent une première période d'épuisement nerveux suivi par des états vertig
ce de l'alcool fournira 7 kilogrammètres dans la pre- mière minute ( période de surénergie) ; mais aussitôt il descendra si
le thé et le café, a pu établir par la même méthode pratique que la période de surénergie de l'influence alcoolique se reprod
ste vésanique ou symptomatique d'une lésion organique comme dans la période prodromique do la paralysie générale pro- BIBLI
is on a aucun renseignement sur ses fonctions génitales. Pendant la période où ils ont eu leurs enfants, le père et la mère
garçons qu'il s'agissait. D'ailleurs, depuis, pendant ses longues périodes de continence, il n'a jamais eu de rêves lubrique
servation. Dans tous les cas, en général, on rencontre une première période avec des signes de méningite ; des symptômes cé
involontaires qu'on rencontre dans le cours du tabes dorsalis à la période ataxique ne forment pas une com- plication de c
en des renseignements précieux, car ils ne se produisent plus à une période avancée de la maladie et ne se manifestent qu'en
° Le délire de persécution semble parfois borner son évolution à la période d'état, sans présenter ni phase mégalomaniaque ni
ord et surtout nocturne ; il se manifeste prin- cipalement dans les périodes hypnagogiques et se prolonge dans 1 Voir Archiv
constitue alors soit une attaque hysté- rique réduite à sa dernière période , soit, ce qui en est l'équiva- lent, une attaqu
M. J. Falret a souvent insisté sur ce fait, à savoir que dans la période mélancolique initiale un assez grand nombre de
intestins et sentait la meute aboyer). Un de nos malades, après une période de dépression mé- lancolique avec préoccupation
olution chronique. Avant de se croire possédés, ils passent par une période de déses- pérance et d'inhibition où ils se cro
avec les vaisseaux; il a même vu ces ramifications apparaître à une période où il n'existait pas de vaisseaux dans la subst
u mo- PERTE DE LA VISION BILATÉRALE. 391 ment des époques, et des périodes d'excitation cérébrale suivies de dépression av
reprises différentes, dans un espace de cinq années, à la suite de périodes con- vulsives, est restée pendant une douzaine
le traitement mercuriel est formellement contre-indiqué dans les périodes plus avancées du tabès, lorsque les malades sont
ination motrice. L'indication devient plus pressante encore dans la période alaxi- que de la maladie et il s'y ajoute deux
tuel, et les l'em- pêcher de la compromettre par des excès, dans la période d'exci- tation. M. Charpentier. Si la paralys
ns les préparations au picro-carmin ou à l'hématoxyline, jusqu'à la période d'état. Pour ce qui est de l'objection soulevée
riaque, dit Cotard (p. 322), surtout moral au début, devient, à une période plus avancée, et sur- tout quand la maladie pas
e. L'hypochondrie du début est surtout physique ; ce n'est qu'à une période avancée que les malades se préoccupent de leurs
rtois). (Exécutions en masse par le feu dans ces régions'.) A cette période la démonopathie affecte une forme 1 tiriesinger
La phase silencieuse de l'intoxication téta- nique correspond à la période pendant laquelle s'effectue la com- louaison de
, névrophatique, choréique, pendant les rémis- sions de la première période de la paralysie générale. Pour guider les médec
fl f. Krankenpflege les résultats obtenus dans cet hospice pour une période de sept ans. C'est à ce travail fort inté- ress
42 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Chez ces malades, on ne voit pas non plus survenir la qua- trième période , celle de pseudo-démence. Tant qu'ils vivent,.et
èse des idées délirantes, ' Toutes réserves faites sur la quatrième période , dite de démence. 48 PATHOLOGIE NERVEUSE. le
ours été et est encore gros mangeur et boit beaucoup. Il y a eu une période de polyurie, mais ce fait est assez difficile à
archer seul. » La recherche du sucre n'a pas été faite durant cette période . Etat actuel (2 septembre 1891). Homme d'aspect
mon collègue, M. Carrier, qui eut l'occasion de l'observer à cette période . Cer- taines influences cependant le suspendaie
glée qu'à vingt-deux ans, et à partir de cette époque, avant chaque période menstruelle, elle éprouve un malaise général, d
x, de troubles trophi- ques des cheveux et des dents (à cause de la période initiale de la maladie). Infiltration sous-cuta
rçue à cause de la fonction compensative du petit rond. La première période est due à une paralysie (par névrite) du brachi
achexie, on peut observer des paralysies avec ou sans atrophie à la période préterminale de la maladie de Par- kinson; 2° d
observation en question, a simulé les convulsions de la troi- sième période du quinisme ordinaire. En effet le malurien en qu
dans la doctrine contemporaine de la paranoïa typique sont : une période prodomique très longue; le développement latent d
seins et le système pileux restèrent à l'état rudimentaire. Dans la période d'état, quand la maladie est bien confirmée les
de vue symptomatique, eu médecine mentale. Elle com- prend trois périodes . La seconde période se signale par des idées sy
ue, eu médecine mentale. Elle com- prend trois périodes. La seconde période se signale par des idées systématisées de persé
hallucinations de l'ouïe et de la cénesthésie. Dans la troisième période , qui manque parfois, aux troubles précé- dents
ées de grandeur. C'est pendant le cours des deuxième et troisième périodes , particulièrement pendant le cours de la deuxiè
e se manifeste jamais au début de l'affection, mais bien dans une période assez avancée et lorsque le délire est nette- m
GALE.' 1 Lasègue, la tendance au 'meurtre n'apparaît que dans les périodes avancées de l'affection ? i - j i v ' l, '' Les
ntécédents. ' i , , A son entrée, le malade semble être arrivé à la période finale d'un accès de manie, ses idées sont trou
seulement). Il, paraît aussi',que, les fumeurs d'opium, ;dans ,les1 périodes .avancées de l'empoisonnement, ,sont,,sujets;-p
parler plus haut. Ainsi, nous avons vu des persécutés arrivés à une période déterminée de leur affection, tuer après mûre d
certains malades non dégénérés - primitivement, mais arrivés à une période avancée d'une- affection chronique du cerveau,
que l'amblyopie du tabes peut par conséquent être confondue à cette période avec celle du diabète et de l'alcoolisme chroni
ant eut alors des convulsions qui l'effrayèrent beaucoup. Au début, période de tristesse, d'apa- thie, perte de sommeil; pu
ssé qu'une rente de 600 francs. Il y a cinq ans, à la suite d'une période de surmenage, elle parait avoir eu une première
normale. 11 a été fait fi5 dosages de l'urée, dont 14 à la première période , 42 à la seconde période, et 9 à la troisième p
5 dosages de l'urée, dont 14 à la première période, 42 à la seconde période , et 9 à la troisième période de la paralysie gé
à la première période, 42 à la seconde période, et 9 à la troisième période de la paralysie générale. Chez 8 sur 10 des mal
e de la paralysie générale. Chez 8 sur 10 des malades à la première période , l'urée n'atteignait pas la limite inférieure n
mes : il en a été de même chez 10 sur 14 des malades à la seconde période , et chez 4 sur 6 des malades à la troisième pério
es à la seconde période, et chez 4 sur 6 des malades à la troisième période . - C'est un fait généralement reconnu que dans
om- breuses exceptions. L'auteur a constaté que, dans la première période , la température rectale était à peu près normale.
ode, la température rectale était à peu près normale. Dans les deux périodes suivantes, elle n'est pas seulement plus élevée,
; B, dans la paralysie générale des aliénés, surtout à la première période ; C, dans la folie chronique. R. M. C. IV. No
pathologique du tabes syphilitique. - Il s'agit d'un syphilitique ( période tertiaire) atteint simultanément de lésion sysl
t les gencives présentent le liseré caractéristique. A une certaine période , dans l'un et l'autre cas, le tableau symplomat
u Sud, cette même proportion est de 3,4 p. 100, tandis que, pour la période quinquennale correspondante elle était en Angle
itoyen pour VARIA. 273 deux, chacun pouvant être renommé pour des périodes subsé- quentes de six ans. 1 ' , , Cette comm
ouloir gnérir, et elle s'est abstenue. Un point à noter : durant la période d'intoxication chro- nique par l'opium, elle av
omme le jour précédent. Après vingt minutes de sommeil léthargique, période d'agitation avec déclamations incohérentes, et
lybromures, valérianates d'ammoniaque, de quinine, de zinc, dans la période d'accalmie... la série des crises ne fut point
re jours suivants, différant des crises régulières par l'absence de période léthargique, par l'état de demi-conscience dans
poisonnement qui l'avait vivement préoccupée, n'existe pas dans les périodes calmes, mais reparait avec intensité dans les c
apporta un élément nouveau aux préoccupatious qu'elle avait dans la période active de ses crises. Elle décla- mait contre l
on de santé ! - Mon nom ayant été prononcé devant elle, dans sa période calme, elle le chercha dans l'almanach de Paris
ppression, ni bavardage, eu un mot dans un état tout semblable à la période léthargique qui précédait les crises, à cette d
emière grande 'crise du matin vint comme d'habitude, précédée de sa période léthargique, et ne différa en rien de celles qu
t sa crise habi- tuelle, semblable aux précédentes, mais pendant la période de loquacité et de bavardage elle ne cessa de p
NIQUE MENTALE. délire et d'actes inconscients. Enfin, pendant une période de sa vie, s'étant adonnée aux abus de bois- so
'attaque, quinze minutes au plus après le début des convulsions; la période de trouble mental ayant été extra- ordinairemen
été probablement de même pour Fol... Nous avons recherché dans les périodes non convulsives, si nos malades présentaient en
ne de compte ? Nous ne le croyons pas. En effet, telle malade a une période stertoreuse très accentuée qui n'a pas d'albumi
toreuse très accentuée qui n'a pas d'albuminurie, telle autre a une période stertoreuse rela- tivement courte et son albumi
nt des manifestations accès ou vertiges suivant les sujets puis une période de calme de quatre, sept, huit, quinze jours. U
e période de calme de quatre, sept, huit, quinze jours. Une seconde période d'accidents, suivie elle-même d'une seconde pér
rs. Une seconde période d'accidents, suivie elle-même d'une seconde période de calme, etc., etc... Or, nous tenons à faire
re remarquer que les vertiges surviennent eux aussi au moment des périodes d'accidents, ils s'entremêlent plus ou moins aux
xysmes. III. - Les examens d'urines d'épileptiques présentant une période délirante consécutive aux accès ou les précédan
r M. Olivier, interne en pharmacie du service. Vill..., pendant une période d'excitation violente, aui ait eu un jour 4 gra
Si cet état se prononçait davantage, le malade entrerait dans une période de stupeur. 14. 11 se plaint davantage encore q
es nerveuses par des manchons de myéline correspond à peu près à la période de parfait développement d'un organe, c'est-à-d
la période de parfait développement d'un organe, c'est-à-dire à la période où cet organe va se mettre à fonc- tionner. Mai
La méningite chronique n'existe pas toujours nécessairement à cette période ; il n'y a pas encore d'altération de la substance
les mouvements visibles. Ce renforcement s'observe aux premières périodes de l'existence tandis que la cérébration complexe
e l'existence tandis que la cérébration complexe appar- tient à des périodes plus avancées du développement. (77). Action di
ement, paraissent succéder aux impressions capables de produire une période d'inhibition du mouvement; des combinaisons et
efférents émanant des centres. L'hypothèse, c'est que « durant « la période d'inhibition, il se forme entre les cellules nerv
ent la folie; à l'asile l'honnêteté. Ils arrivent en évoluant à une période de cynisme dans laquelle ils avouent leur simul
Charpentier provient de ce qu'il ne voit pas les malades à la même période que nous les voyons à l'infirmerie du Dépôt ou
de Gheel assistent toute espèce de formes vésaniques, même à leurs périodes primitives : c'est un asile, ou pour être plus
a de soi que cette amélioration dépend de la forme, du degré, de la période de leur perturbation mentale. La plupart d'entr
s en l'espace de cinq mois et habilement dissimulées. Pendant cette période délictueuse, on ne trouve pas 440 SOCIÉTÉS SAVA
e facteur pathologique. C'est pendant la détention cellulaire de la période d'instruction que, sous l'influence d'hallucinati
pilepsie proprement dite ; il n'en a eu que deux légères pendant la période , si défavorable pour lui, qui s'é- tend de son
éréditaire ; mais, ni à l'époque de l'acte incriminé, ni pendant la période d'observation à laquelle il a été soumis, on ne
43 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
olente, cessant en quelques jours, parfois brusquement et suivis de périodes de calme. Vingt- sept examens périmétriques.
e l'atrophie papillaire, fréquemment constatée dans les dermières périodes de la paralysie générale. Enfin dans un assez g
(De la valeur diagnostique des troubles ocu- laires aux différentes périodes de la paralysie générale appuyée surtout par de
mples de ces fugues que l'ont pres- que tous les circulaires à leur période d'excitation. (4) Il convient ici de faire une
ooliques, celles qui sont dues au besoin de mouvement des premières périodes de l'ivresse et celles qui sont exécutées en ét
il 1904.) Il s'agit d'une femme de 65 ans,morte à l'asile après une période de faiblesse et d'agitation. Il y avait atrophi
abes ne se distin- gue en rien du tabes vulgaire si ce n'est que la période ataxiqe paraît assez précoce. Les accidents spé
e la mémoire s'étend sur toutes les circonstances et sur toutes les périodes afférentes à un état donné. Quand elle est dans
, puis de l'état normal à un autre état anormal. L'apparition d'une période intercalaire normale entre deux états anormaux
aussi qu'elles aient débuté dans l'enfance ou la jeunesse ou à une période plus avan- cée de la vie et qu'elles relèvent o
s admis annuellement, nous trouvons une moyenne de 32.23 %, pour la période décennale antérieure à l'institution des sortie
antérieure à l'institution des sorties d'essai et de 40.2 % pour la période correspondant à celle des sorties. Le chiffre des
s malades pour lesquels l'internement ne s'impose guère que vers la période d'involution pré-sénile, pré- (1) Voir Archives
gence est au-dessus de la moyenne. Il a passé toute sa le par des périodes d'affaissement parfois très marquées et poussée
marquées et poussées jusqu'à l'inertie à peu près complète ; et des périodes d'excitation plus ou moins violente. lia été inte
decin traitant porte le diagnostic de « neurasthénie psychi- que '. Périodes de stupeur. Sorti cinq mois après son en- trée,
ion d'un débile circulaire qui a fait de nombreuses fugues dans ses périodes de manie. Observation 'I. X., 17 ans. entre à l
ecluels névropathes. Le malade est un type de circulaire : il a des périodes de dé- pression d'une dizaine de jours environ,
n, où il reste dans le mu- tisme et la stupeur, devient gâteux. Les périodes d'excitation sui- vent sans transition, durent
à revenir. Lorsque les paralytique généraux font des fugues à la période d'état de leur maladie,ces fugues frappées au coi
e diagnostic.il n'en est plus de même au début de la ma- ladie,à la période , justement dénommée « médico-légale), » alors q
ux espèces de fugues : 1° fugues du début de la paralysie générale ( période mé- dico-légale). La conscience et la mémoire s
sont si souvent d'un diagnostic si difficile, particulièrement à la période préataxique : des trois cas que rapporte l'auteur
nce précoce, qui présenta au début même de la maladie, pen- dant la période délirante, de la stéréotypie graphique. Pour l'au
s il ne faut pas perdre de vue la possibilité d'une syncope dans la période aiguë ; 5° une augmen- tation de poids très acc
imple et nette par l'accroissement de poids du cerveau durant cette période de la vie. Toutes les fonctions organiques sont
ant : Valeur diagnostique des symptômes oculaires aux di.jjé renies périodes de la paralysie générale, appuyée Slll'tout SllI'
tisé, étape correspondant, dans le délire chronique de Magnan, à la période des idées de gran- deur. Hypochondriaques et pe
thologiques présentées par un débile, délirant chronique, mort à la période des idées ambitieuses. A l'autopsie on trouvera u
l hypnotisé, présente donc seul les diverses ma- nifestations des - périodes léthargique, cataleptique et som - nambulique.L
u gustatives unilatérales et opposées etc.) « La malade est dans la période somnambulique »; on ferme l'oreille droite et o
s du corps. Il en résulte que tous les phénomè- nes des différentes périodes de l'hypnotisme sont opposés pour les régions s
impaire), la symétrie bilatérale est très accusée durant une longue période du développement , notamment chez les larves li
e si elle était persistante, ne disparaît-elle pas bientôt,pour une période souvent très longue,car elle est sans rapport d
on » caractérise, ainsi que le fait remarquer l'Auteur (p. 122), la période (de 3 à 18 mois) où s'organisent les fonctions
souffrent des mêmes humeurs et des mêmes besoins, ont ensemble des périodes d'épuisement et d'activi- té, de santé et de ma
ns a fait la remarque que son nervosisme esl à son apogée après une période plus ou moins courte d'abattement. Un ennui qui
'action spéciale biologique ; cette adaptation est précédée par une période préparatoire. V. Considérations sur l'action in
mécanisme de l'adaptation. On remarque surtout : la longueur de la période d'attente, la rapidité de développement de la réa
s spécifiques qui peuvent notablement varier d'intensité suivant la période de l'année. Les périodes de toxicité maxima cor
t notablement varier d'intensité suivant la période de l'année. Les périodes de toxicité maxima correspondent au printemps e
s élevé et peut même dépasser celui de l'aspergillus fumigatus. Les périodes de toxicité minima correspondent au milieu de l
rme peuvent encore être de nature différente et opposée suivant les périodes de l'année ; certains principes toxiques sont d
blissements privés sans que la durée du traité puisse excéder cette période décennale. Les traités passés parles départemen
IE CLINIQUE MENTALE Formes mélancoliques de la démence précoce ( Période initiale) ; Par \111e PASCAL. t'1· avail Vu S
ient qu'au début de toutes les affections de l'âme on rencontre une période triste, la mélancolie. On sait actuellement que
Au congrès de Lille, j'ai apporté le résultat de mes études sur la période prodromique de 75 déments précoces de la maison
nté de Ville-Evrard. Chez aucun de ces malades je n'ai trouvé cette période d'excitation eu- phorique ou de dynamie fonctio
de la démence sénile et que M. Ilégis a magistralement décrite à la période d'invasion de la pa- ralysie générale. Il n'y a
ternement. Si lapériode prodromique appartient aux praticiens, la période initiale est exclusivement du ressort des aliénis
), oùil étudie 40 cas,nous donne des renseigne- ments précis sur la période initiale (période d'augment), de 29 malades.
cas,nous donne des renseigne- ments précis sur la période initiale ( période d'augment), de 29 malades. . , 10 cas : mél
ur 75 déments précoces nous fait cons- tater les faits suivants : Période prodromique. 65 cas : états dépressifs (neurast
tats psychasthéniques (neurasthénies avec obsessions et phobies.) Période initiale. 35 cas : mélancolies. 21 cas : état
émontrent que les états dépres- sifs prédominent non seulement à la période prodromi- que, mais encore à la période initial
dominent non seulement à la période prodromi- que, mais encore à la période initiale. Ils nous appren- nent également qu'à
en- nent également qu'à la phase mélancolique succède souvent une période d'agitation maniaque. Ces états mixtes se trouv
une période d'agitation maniaque. Ces états mixtes se trouvent à la période initiale de toutes les va- riétés de la démence
s que dépendent toutes les modalités et les nuances cliniques de la période prodromique. Les dill'érences de sensibilité fo
e plus souvent, le déficit intellectuel est peu appréciable à cette période . Pour en mesurer le degré, on est obligé de rec
iment ne se trouve pas chez les dé- ments précoces même pendant les périodes de lucidité si fréquentes a cette période. (1
récoces même pendant les périodes de lucidité si fréquentes a cette période . (1) Iiltmr. Maladies de la pérsoll11alité, pag
s négations » depuis l'entêtement simple, puéril et opiniâtre de la période prodromique jusqu'au négatisme démentiel « auto
, les idées de négation peuvent se fixer et persister jusqu à une période avancée. M. Rogues de Fursac (2) cite des cas d
d'agitation dangereuses mais de courte durée, elles sont suivies de période de calme. Il demande lui-même à être mis en cel
. étudiant en médecine, âge de 30 ans. Débuta 18 ans pai une longue période prodromique caractérisée par de la dé- pression
on morale avec des crises d'anxiété, ouvrent la scène morbide de la période initiale. Il est obsédé par des idées d'empoiso
se réprouve pendant qu'il boit »,les « personnes lunatiques qui par périodes sont aimables ou hargneuses» (p. 47) témoignent
. \ se porte l'attention de l'Auteur, le sujet avait présenté une période de réveil des sentiments moraux, absolu- ment s
ment semblable, moins les troubles de la parole à certai- nes des périodes envisagées par l'Auteur, et au cours de laquell
ses graduées d'alcool ont très nettement montré l'existence de deux périodes , l'une primitive caractériséo par la stimulatio
aire du pneu- mogastrique. L'intensité et la durée de la première période paraissent être en raison inverse de la dose d'
ndis que l'abaissement est net dans tous les cas. Dans la seconde période (parésié' vasculaire et abaissement de la press
rtionnelles à la dose ingérée ; la crise thermique,c'est- à-dire la période du maximum de thermogénie, survient plus tar- d
il faut insister, c'est que dans tous les cas, durant les premières périodes , alors que la perte du sens musculaire est prof
cette région de l'écorce, et l'on en peut dire autant des premières périodes de la folie alcoolique; bien plus, une sembla-
dmissions. En 1892, la moyenne des admissions était de 240 pour une période de '2t ans. Pour la période décennale de 189 :
ne des admissions était de 240 pour une période de '2t ans. Pour la période décennale de 189 : ; à 1903, elle était arrivée
fractures de côtes. Diagnos- tic de la tuberculose pulmonaire à la période cavitaire; luxation de l'épaule. Révision DE
éries distinctes, dont l'une est quelquefois de son côté dédoublée ( périodes de non-communication entre les coêtres) ; ,- ma
la« conscience » à chaque étape considérée. L'Auteur reconnaît deux périodes l'une où la vie psychique est tout entière l'oe
licats, la question de la dualité de la conscience dans la première période puis dans la seconde, la question de la coopéra
développe parallèlement à eux, et malgré eux : « La deuxième grande période peut s'appeler celle du développement parallèle
emaines et s'accompagnent de leucocytose, et que dans les dernières périodes la leucocytose re- parait de temps en temps san
e est repousséo avec succès (phagocytisme), après quoi survient une période plus ou moins longue où le bacille est tenu à d
dérant comme des choses différentes ce qui n'est en réalité que des périodes différentes d'un seul et même processus, et on
on 428 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. constate, pendant de courtes périodes , des degrés moins accusés d'écholalie, mais il
accompagnent la manie grave, à début précoce et présentant à leur période initiale des symptômes de folie aiguë. Plusieur
sujet : 1° variations dans la marche de la maladie aux différentes périodes de la vie ; 2° influence du sexe ; 3° effets de
emble qu'il reste peu de chances de guérison passagère si après une période qui dépasse six mois on ne constate aucune amél
le dit généralement ; elle est inconstante et irrégulière dans les périodes de début ; la toux est rare le jour, plus commune
nque, à traverser, au cours de.leur progression, très lentement les périodes où elles ont été le plus malades,le plus engour
ssues qui représentent à l'âge adulte les cônes'de croissance de la période embryonnaire. Ces fibres à massues ne sont poin
44 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
res rigides ont été pris de fortes secousses. Après cette première- période quia a duré environ une minute, le corps est de
érale, dite idiopathique, nous ont permis de constater, à certaines périodes de l'affection, la présence .constante d'un mic
globules rouges par une de leurs extrémités. Il arrive/suivant les périodes et les individus, que ces uermt'CM/M font défau
oie au démon -de l'hystérie : pour raconter les événements de cette période , il faut décrire les symptômes de son mal ; ce
et rrialadive; elle nous en fera le récit plus tard, lorsque, la période active de l'affection ayant disparu, laissera l'e
grande, lorsqu'éclata la crise première, début de la maladie. DE la PÉRIODE aiguë. L'hystérie, avant de devenir chronique,
rie, avant de devenir chronique, est le plus souvent précédée d'une période dite aiguë, qu'on pourrait plus exactement dési
ite aiguë, qu'on pourrait plus exactement désigner sous le nom de période du lit, car, pour des raisons variées, les unes
sque cette émotion est religieuse, la guérison s'appelle miracle. PÉRIODE aiguë DE sainte thérèse. Thérèse eut cette péri
lle miracle. PÉRIODE aiguë DE sainte thérèse. Thérèse eut cette période de maladie : elle garda le lit durant trois ann
e sommeil hypnotique : Enfin sainte Thérèse eut aussi pendant cette période , un sommeil hypnotique de quelques jours dont n
s consécutives et qui lui firent garder le lit pendant cette longue période de temps. Un jour pourtant, pendant cette pér
nt cette longue période de temps. Un jour pourtant, pendant cette période de lit, Thérèse se trouva guérie subitement dur
près guérie ». Sommeil hypnotique DE Thérèse. C'est pendant cette période de lit qu'elle eut dans la maison de son père, à
tardent pas à envahir leurs parois et à les rendre fibreuses. A une période encore plus avancée, les vaisseaux n'ont plus de
vant : Valeur diagnostique des symptômes oculaires, aux différentes périodes de la Paralysie générale; valeur appuyée surtou
si grand nombre de cas de tabes restés sans aucune progression à la période de début sans traitement, qu'on peut hésiter à
ffres des dernières douze années et si nous les partageons en trois périodes chacune de quatre années, nous recevrons les do
celui des paralytiques femmes. En partageant ces mêmes données par périodes de quatre années nous aurons les résultats suiv
s malades ont été répartis encore en huit groupes, ayant chacun une période de, cinq années. De 67.3 paralytiques (hommes
nt été répartis de la manière suivante : 202 CLINIQUE MENTALE. La période la plus longue (dans un cas) était de trente-troi
nsi donc, dans 90 p. 100 de paralysie générale chez les hommes, les périodes entre l'infection par la syphilis et l'appariti
de la paralysie générale nous avons déterminé pour chaque dernière période de quatre ans la quantité des malades atteints
nt trau- matisme crânien, elle ne survient habituellement qu'à la période des grandes dépressions des psychoses, du délire
er pendant quatre ou cinq jours et même davantage. Souvent aussi la période menstruelle est inter- ' Voir pour un historiqu
tte activité même, oscilla- tions dont les maxima correspondent aux périodes mens- truelles et, souvent, il se produit aussi
IONS hystériques. - Maintenant, avec soeur Thérèse, entrons dans la période des hallucinations, celles habituelles aux hyst
par des peintres et des sculpteurs ou imaginée par des écrivains. Période démoniaque. -Maintenant Thérèse est en proie au
llucinations démoniaques. Bien des fois encore, Thérèse, dans cette période de deux années, aura des hallu- cinations démon
les phases suivantes : 1° une phase de mélancolie primitive; 20 une période de doute (Vallon) décrite par Lasègue sous le n
si chez des gens nulle- ment prédisposés à devenir aliénés. Dans la période prodromique de la folie, surviennent des tics d
évolue et remplacés par d'autres symptômes plus accentués. Dans la période d'état, chez un fou hypochondriaque ayant des c
er le 27 à la normale et s'y maintenir. L'état mental est le même : période de lucidité avec phases de délire hallucina- to
n dou- teux d'hystérie, entrait, de sa propre volonté, dans cette période de jouissance extatique ; elle se retirait dans s
sions, perversions des sens, tels sont les troubles variés de cette période . Après la crise révulsive, il y a paifois la pé
ariés de cette période. Après la crise révulsive, il y a paifois la période des contorsions toujours bizarres et effrayante
maître de lui. » Pendant la longue durée de cet état nerveux, les périodes d'extase et d'union viennent remplir l'in- terv
ent à la pauvre convulsée. Enfin, lorsque la malade se réveille, la période est finie, elle est brisée comme de coups reçus
toute son intelligence reconquise, son train de vie ordinaire. La période de ravissement de sainte Thérèse s'appelle d'un
st heureux de constater les améliora- tions apportées pendant cette période et les progrès réalisés. Enfin la série des Loa
traumatisme doit de même conduire le chirurgien, dans les premières périodes du traumatisme à ne négliger aucune indi- catio
t ans avec tous les signes de la paralysie générale, puis après une période d'amélioration son état est resté station- nair
sitoire, ne doit presque jamais êlre interné à l'asile : une courte période de mise en observation suffira le plus souvent
hez sept malades, dont la paralysie générale avait déjà atteint une période avancée, on trouvait cinq atrophies papillaires
des faits passés depuis longtemps; fréquemment le malade, même à la période paralytique, ne pourra pas indiquer le quantièm
ou suivi l'apparition d'une de ces infections, alors que pendant la période où la syphilis était seule, aucun accident tabé
à interprétation pessimiste. Le diagnostic n'est délicat qu'avec la période d'incubation du délire clinique à évolution sys-
ue l'épilogue rapide d'une tuberculose pulmonaire chronique à la 3° période . Au contraire, dans les 4 cas où les lésions fu
processus conduisant à l'atrophie simple peut être divisé en trois périodes : 1° Le début, caractérisé par ce que G. Durant
ême trouble de développement; 1' gigantisme se manifeste pendant la période de la croissance, et l'acromégalie quand cette
e pendant la période de la croissance, et l'acromégalie quand cette période est termi- née. Si l'on se rappelle, en outre
as la forme consomptive (pneu- monie caséuse). ' , Au début de la période aiguë, ses deux soeurs la soignaient alternativ
t : « C'est étonnant. on croirait lire un écrivain ! » Ce fut une période de bonheur parfait, puis vint la guerre, le siè
ssé. Veuf à cinquante-trois ans ; ne s'est pas remarié ; a vécu par périodes avec une ancienne malade de la Salpêtrière, « a
ié D. Cet affaissement et cette déviation se manifestent encore par périodes . Chutes nombreuses. Gourmes fréquentes : les pl
nt très fréquents, on ignore les rapports qu'ils affectent avec les périodes d'évolution de la mala- die, leur mode de distr
tour de la vision comprend, comme dans le fait qu'il a observé, une période d'hé- mianopsie. Il ne 'croit même pas pouvoir
, les troubles de la sensibilité cutanée sont exceptionnels dans la période préataxique ; ils sont la règle dans l'état ata
intéressants : 1° Au point de vue clinique, l'apparition en pleine période secondaire d'une petite'gomme artérielle ayant
nt aussi fréquents dans la convalescence de la folie que pendant la période d'aliénation. Il est à peine nécessaire de dire
pouvant être atteints ensemble ou isolément. Aussi trouve-t-on à la période de début, soit un trouble de la sensibilité cut
Souvent au début, il n'y a qu'altération des conducteurs sensibles ( période préataxique), mais généralementla marche ultéri
il est associé à d'autres manifestations morbides. Ainsi, dans les périodes ini- tiales du tabes dorsal, s'il est escorté d
yphilis du cerveau, la syphilis de la peau, ont toutes traversé une période pendant laquelle leur nature syphilitique est r
nt laquelle leur nature syphilitique est restée douteuse. · Cette période a été courte parce que l'on s'est vite aperçu que
rdhui à reconnaître lorsqu'ils se développent chez des individus en période de santé mentale, peuvent se montrer aussi sous
ns soudaines, symptôme qui domine la scène et persiste même dans la période de démence terminale. En résumé : apparition co
ont de l'imbé- cile, du faible d'esprit, à l'idiot complet. Trois périodes sont à considérer dans son histoire : la période
ot complet. Trois périodes sont à considérer dans son histoire : la période d'incubation, la période délirante, et la pério
s sont à considérer dans son histoire : la période d'incubation, la période délirante, et la période terminale de démence.
son histoire : la période d'incubation, la période délirante, et la période terminale de démence. L'enfance des malades p
de remarque. Dans le plus grand nombre des cas, après une première période de fatigue, d'énervement, de neurasthénie, le d
utre inconnue, qui est la prédisposition. Quand la maladie est à la période d'état, le seul élément de diagnostic certain r
XXV. Évolution comparée des troubles de la sensibilité aux trois périodes de la paralysie générale ; par le De MARANDON de
un enfant est sou- vent trompeur et que ce n'est qu'après toute une période d'obser- vations et après tentative d'éducation
e la mortalité relative par phti- sie chez les adultes jeunes, à la période que l'on pourrait appeler période d'élection de
sie chez les adultes jeunes, à la période que l'on pourrait appeler période d'élection de la phtisie, est à peu près égale à
en esclavage et ne considérait d'ailleurs l'humanité que comme une période pu- rement transitoire dans le mouvement ascens
Je. Ireland, Nietzche passa de la santé mentale à la folie par des périodes de transition D, et ce passage fut long. Dans
ont été observés chez 108 sujets paraly- tiques aux deux premières périodes de la maladie. De ces divers cas, l'auteur pens
moteurs excessifs peuvent se montrer de pré- férence à la première période et réciproquement, les troubles légers à la sec
la motricité si le paralytique est à la pre- mière ou à la seconde période de la maladie. A la seconde période, la fréquen
à la pre- mière ou à la seconde période de la maladie. A la seconde période , la fréquence des troubles est d'autant plus gr
st plus élevé, le fait inverse n'a pas été observé pour la première période . A cette première période, les rémissions dans
erse n'a pas été observé pour la première période. A cette première période , les rémissions dans les troubes moteurs ont ét
Les troubles moteurs ont été trouvés beaucoup plus accusés aux deux périodes dans la paralysie générale précoce et de l'âge
es, moteut-s, l'alcool semble jouer le principal rôle-à la première période , puis la syphilis et le traumatisme. AI. IIAMEL
erbaum, 511. Evolution comparée des - de la sensibilité aux trois périodes de la paralysie générale, par Marandon de Mon-
45 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
plusieurs fois constaté chez les malades Dus... et So... que les périodes de dépression coïncidaient avec l'oligurie ou une
r. Ce dé- lire hallucinatoire, surtout nocturne, alternait avec des périodes de confusion simple. Au milieu de la nuit, réve
de ne plus voir clair, et voulait allumer la lampe. Il avait des périodes de lucidité, au cours desquelles il attribuait
açon régulière. Un groupe de cinq infirmiers est attaché pour une période de cinq jours au service d'un pavillon ; et les c
q jours au service du pavillon des pension- naires, puis durant une période égale au pavillon des tranquilles, suivie d'un
gités, qu'il quitte pour un service plus facile. ' Pendant chaque période de cinq jours un même infirmier n'est en contac
convénients. Le service de veille se fait par demi-nuit pendant une période de cinq jours : un infirmier est de garde alter
mis en liberté peuvent être réintégrés sans formalités pendant une période de trois mois à partir du jour de leur sortie.
de nombreux stigmates de dégénérescence, photographié pendant une période d'excitation mentale '. La deuxième partie trai
ant, sautant et paraissant manquer totalement de lucidité. Dans ces périodes il est impossible de rien en tirer ; l'attentio
constatée peu après l'entrée. Elle a été plus mar- quée à certaines périodes et revient encore de temps en temps. Les cas de
seize mois que le malade a passés à l'asile. 2° Pendant la dernière période de la vie, il y a eu des vomissements qui parai
ce nerveuse, dont le degré d'acti- vité varie simplement suivant la période de développement ner- veux ; 9° L'inhibition
ntellement et ne se manifestent avec une certaine intensité qu'à la période confirmée de l'ataxie. Leur intensité et leur a
, 30 août 1902). Il s'agit'd'un homme de 35 ans, qui au cours d'une période de six mois d'excès alcooliques constata une di
venu, et sans avoir gardé aucun souvenir des faits appartenant à la période intercalaire, qui avait duré six semaines, 16 a
e fois seulement, affaiblis. L'exagé- ration est nette à toutes les périodes de la maladie. Toutefois chez certains malades,
, apparaissaient des alternatives d'enphorie et d'hypochondrie. Les périodes d'hypochondrie avec anxiété coïncidaient avec l
obtenir que le traitement sera fait au début de la maladie, dans la période dite préataxique (Revue neurologique, juillet 1
survenue après la naissance sous des influences diverses. Certaines périodes de la vie de l'enfant sont des périodes d'électio
luences diverses. Certaines périodes de la vie de l'enfant sont des périodes d'élection pour des modifications mentales pass
ir.-La folie puerpérale est un trouble mental qui survient dans une période courte consécutivement à la délivrance, à laque
cide. La plupart des infanticides commis plus tardivement dans la période puerpérale sont dus à des troubles mentaux de typ
attention des auteurs M. Séglas en a observé un cas portant sur une période de vingt- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 169 q
porté trois exemples très curieux. Dans le premier, l'étendue de la période rétrograde de l'amnésie a été de plus d'un an,
très débile et offrant toute la série des symptômes d'un tabes à la période d'incoordina- tion motnce. Le malade présente d
normal, sauf exceptions individuelles, l'extension des orteils; une période de transition est marquée souvent par l'ex- ten
tion. L'analyse des urines de vingt- quatre heures a donné dans une période d'euphorie les résultats suivants : 20 i CLIN
dante, élimination retardée et prolongée du bleu de méthylène, puis période d'amélioration après reprise du régime lacté in
alade fut plus docile jusqu'en octobre 1901. En octobre 1901, une période d'excitation avec propos grossiers coïncida ave
! ». Ces expressions, grossières ou non, avaient cours pendant une période plus ou moins longue pour faire place à d'autre
se des cris perçants, prononce des paroles grossières. Durant cette période d'exacerbation tout travail régulier est diffic
e légère contraction de la face. Le malade, à ce moment-là dans une période de dépression et de mutisme, a cependant deux foi
g des paralytiques, que j'ai pratiqué avec M. Lefas aux différentes périodes de la maladie, semble confirmer ces vues théori
ncéphalite paralytique, dont elle marque aussi bien le début que la période terminale. C'est encore en raison de la virulence
le du sujet est totalement changée. Pour cela, il faut une première période de mobilisation passive. qui peut durer de quel
guère être conduite et appliquée que par le médecin. Cette première période de mobilisation est suivie d'une deuxième pério
n. Cette première période de mobilisation est suivie d'une deuxième période de rééducation, pendant laquelle il faut réappr
à cause de cette maladie. La statistique de M. Chervin embrasse une période de cinquante années, de 1850 à 1900 et comme il y
ente-cinq ans. Légères crises d'hydror- rhée nasale Au moment de la période congestive qui précède l'écoulement, impossibil
des aggravations, sous l'influence de divers états physiologiques ( période de pubeité, période d'involution, processus pue
ous l'influence de divers états physiologiques (période de pubeité, période d'involution, processus puerpéral, etc.), et pa
tieuse, cause à notre sens de l'anencéphalie, remontait déjà à une période éloignée, et comme d'autre part l'état de conserv
le bulbe n'est pas nécessaire au développement foetal, jusqu'à une période très tardive de la vie intra-utérine ; peut-êtr
observations se rapportent à des paralytiques généraux avérés à une période peu avancée de leur maladie. Quelle est donc l'
ue ne peut être mis en cause. Chez les paraly- tiques généraux à la période de cachexie, l'eedème permanent s'accompagne d'
a paralysie générale ; mais il l'a observé très fréquem- ment à des périodes plus avancées de la maladie. Marcel BRIAND. SOC
nstater cette variété d'insomnie. Cependant elle est fréquente à la période d'in- cubation des vésanies. Ce qu'ils observen
mes de la courbe se retrouveraient chez les circu- laires : dans la période dépressive, ces malades s'endorment diffi- cile
tête et se sentent plus ou moins fatigués dans la journée. Dans la période d'agitation, itssendormentviteetpro- fondément
t tirer une indication thérapeutique de ces constatations : dans la période dépressive, il conseille de faire prendre au ma
ire prendre au malade de la paraldéhyrle, qui agit vite, et dans la période maniaque, du sulfonal. il' a, en effet, éprouvé q
est assez rapide, parfois même ins- tantané, et habituellement sans période d'excitation manifeste. Il ne s'accompagne pas
s l'accoutumance est rapide et parfois le sommeil est précédé d'une période d'excitation qui peut prendre la forme d'une vé
son emploi. Dans la manie, l'opium est indiqué, mais seulement à la période de décroissance. Dans les cas aigus, l'al- cool
gère contraction de la face. Le malade, à ce moment-là, dans une période de dépression et de mutisme, a cependant deux foi
e aigu, hystérie ( ? ), épilepsie, paralysie générale à la dernière période ). Poussant la thèse plus loin encore, l'auteur
rmes de délire circulaire. Mais ce qui est singulier, c'est que les périodes de dépression mélancolique et d'agitation demi-
paranoïaque, de la psychose dont la catatonie marquerait la seconde période apparaîtra constante, à mon avis, si l'on peut
temps après le retour des troubles intellectuels, après une longue période de préoccupations, d'idées tristes, et 412 ) CL
émotionnelle déter- minante, une phase de délire mélancolique, une période transitoire de confusion mentale, une phase de
on de la santé physique, phase de préoccupation, d'idées tristes, période de transition avec confusion mentale, et, enfin,
ce en quelque sorte progressivement les troubles primitifs. A cette période intermédiaire de con- fusion mentale succède la
de ce pronostic, quant à l'appréciation de la durée probable de la période pruidémenlielle. Voici un fait qui me paraît as
sur ce fait particulier. Nous observons de loin en loin encore des périodes de mutisme, d'inertie cérébrale, avec sourires
-trois, tous parai) tiques généraux à la deuxième ou à la troisième période . Le fond de l'oeil de chacun d'eux a été exa- m
s congestifs, le malade C... est passé de la seconde à la troisième période de la paralysie générale ; parallèlement sa pap
ctuel- lement blanchâtre. Le malade B... paralytique à la seconde période ne présentait lors du premier examen aucune lés
sont d'autant plus mar- quées que les paralytiques ont atteint une période plus avancée de leur maladie, c'est ainsi que l
s deux cas alors que les malades avaient à peine atteint la seconde période de la paralysie générale. Le résultat de l'exan
sont des paralytiques généraux déjà arri- vés au moins à la seconde période de leur affection. L'acuité visuelle, difficile
ression sanguine générale. 17° L'attaque épileptoïde entraîne, à la période tonique, la dilatation de la rate, à la période
oïde entraîne, à la période tonique, la dilatation de la rate, à la période clonique, une vive contraction de longue durée, q
léniques, l'attaque épileptoïde détermine encore le gonflement à la période tonique, la contraction à la période clonique.
mine encore le gonflement à la période tonique, la contraction à la période clonique. l'. KEMAVAL. XXSV11. Dégénérescence
s des autres sens. La démence arrive promptement, et, à la dernière période , les symptômes pré- sentés par les malades ont
vec ceux REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ' 447 que l'on observe à la période correspondante de la paralysie géné- rale à for
relle des recherches qui ont, en grande partie, absorbé la première période de sa carrière : confiné dans le domaine de l'o
atoire de nature infectieuse. Il y a eu dans son développement deux périodes distinctes : la première, qui, très vraisemblab
tieuses, franchement inflammatoires, qui ont marqué les dernières périodes de la vie et ont donné lieu à la sympto- matolo
il faudra que je recommence. » La verbigération des catatoniques en période d'excitation reconnaît peut-être aussi la même
élirants à forme de rêve, dans les somnambulismes hystériques, la période délirante des attaques hystériques ou des accès é
iétudes peu justifiées, Au bout d'un certain temps, il arrive à une période de délire systématique secondaire avec idées d'
c idées d'auto-accusation, de négation, d'énormité. Voici à cette période un de ses monologues : « Avez-vous jamais vu un
épouvantable, le monde entier a la vérole. » Ajoutons qu'à cette période , le monologue n'est plus intermit- tent comme a
chancre et les ravages de la syphilis ? Ce malade est moit a cette période , sans cela il eût évolué sans nul doute, de la
el : le premier coïncide généralement avec des formes aiguës ou des périodes d'agitation. Le se- cond se rencontre dans les
uivies et les résultats obtenus à l'Asile de Sunderland pendant une période de quatre années, les proposi- tions suivantes
mentiel des hallucinations des paralytiques généraux à une certaine période de leur maladie. Il faut, conclut- il, être vra
solution, mais non le sommeil complet, commandements durant cette période . Résultats presque nuls. lihu de méthylène. Bra-
de maîtres distingués et qui le chéris- saient. Il fit une nouvelle période de quatre années d'internat à Paris. Ses goûts,
46 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
ie, reconnaissant pour cause des excès alcooliques. Ce malade a des périodes de calme assez longs. Dans ces circons- tances,
lument tranquille pendant une dizaine d'années. C'est pendant cette période qu'elle se maria. Puis elle redevint nerveuse, di
e pas ainsi chez les persécutés ordinaires : c'est alors, après une période plus ou moins longue de prépa- ration, les idée
primitive; tandis que, chez un délirant chronique, elle marque une période très avancée du délire, n'apparaît qu'après de
émence avant que ses idées, déli- rantes en soient arrivées à cette période de leur évolution. D'un autre côté, si l'on con
elle différence ! ces derniers en effet, une fois arrivés à cette période de leur délire, se consolent facilement des souff
oque chez ces malades ont aussi des caractères distincts. Après une période plus ou moins longue, le persécuté qui commence
ques les symptômes que nous indiquons. Marcé indique à une certaine période de la mélancolie l'appari- tion d'idées hypocho
s encore, dans le cours de cet accès lui-même, après une certaine période de délire mélancolique ordinaire. Cet état spécia
u'il appelle le délire des 68 REVUE CRITIQUE. négations, sorte de période secondaire de certains états mé- lancoliques an
Centralbl., 1882.) Femme de 28 ans ; pas d'hérédité; éclampsie à la période de la dentition (1 ? année). En 1875, refroidis
ractère anatomique ni symptomatique spécial; 3" Elle appartient aux périodes tardives de la syphilis et n'appa- rait général
adie, la constitution des malades, le mode de l'électrisa- tion, la période de la \ie du patient, doivent entrer en ligne de
avec ses principaux caractères le tableau de ]'hystero-épi)cpsie. périodes épileptoide, clonique et délirante pendant les at
nts à l'accès d'épilepsie. Mais, le plus souvent les deux dernières périodes de l'attaque hystérique séparent de telle façon
rois jours de médication, c'est-à-dire le 10 février. Pendant cette période de vingt jours, du 33 janvier au 10 février, on
reste tout à fait indemne. A la phase tonique, succède bientôt une période de convul- sions cloniques. Les muscles de la f
d'un jour à 150 ou 200 environ. Or, jamais, pendant cette longue période convulsive, la température ne s'est, chez Co...,
antage rapproché de la dernière, de la démence. C'est ainsi qu'à la période d'inquiétude, la maladie est curable, qu'elle l
iode d'inquiétude, la maladie est curable, qu'elle l'est moins à la période de'persécution, moins encore à la période ambit
qu'elle l'est moins à la période de'persécution, moins encore à la période ambitieuse, et que la démence, synonyme de dis-
tisme, l'élec- tricité, toutes les inventions modernes; à certaines périodes de notre histoire, sous le dernier Empire par e
plus, les mômes conceptions^et, pro- ,,Fessiveniciit, la1 deuxième période est franchie. ? «, aftik;js ! ) t)T ? h n ihrf,
nique se montre simultanément avec l'épilepsie. , Le pronostic à la période d'inquiétude est le moins grave, certaines' règ
à un certain point d'entraver la marche de la maladie ; mais à la période de persécution et surtout d'ambition; la terminai
est presque constamment fatale.1 - , * Diagnostic. Difficile à la période d'inquiétude, il est aisé V|Jé* . "" ., i , °l'
vh .,nl yJ,l6(t v ' ? V ' ' i ' ' DU DELIRE CHRONIQUE. i 7 à la période de persécution, que l'on pourrait seulement con-
s, caractéristiques, aideront encore à reconnaître la maladie. La période expansive ne sera pas confondue avec la paralysie
d des voix, on fouille sa pensée. ' Elle reste en ce moment el la période de la persécution, après avoir parcouru très ra
le inutile de multiplier les observations de ^délire chronique à la période de persécution, elles sont plus' ou moins toute
t dès ce moment incons- cientes. A trente ans,-V... est arrivé à la période expansive de son délire chronique. Il entend la
t se borne son 'action ? Sans l'épilepsie, ce délirant suivrait ses périodes de systématisation lente sans dévier du type no
que de la scissure. Pendant la vie foetale, en ,,effet, il est une, période , pu, elle forme une véritable fosse. Et. .du re
e paralytique générale l'amélioration a commencé durant la dernière période de la fièvre et a suffisamment pro- gressé pour
re que ce réflexe peut varier chez le même individu à diffé- rentes périodes de la maladie; il s'en faut aussi qu'il soit touj
une .p ? '* '' ? ii 1 t , «mvififiiii.A m/ II'" 'i.lt-l 5>' ,- période maniaque d une grande violence, ainsi que les idé
'SOCIÉTÉS SAVANTES. "pàra)ytiquës"genéra'ux"'arrtvés à la dernière période de leur ma- ladie'Qtiaiid je m'étonnais que ces
oublie que le développement du système nerveux central comporte une période fondamentale dans laquelle se forme une riche s
a pas besoin d'éclats de voix pour comprendre. Les hallucinés, à la période d'affaiblissement intellectuel, répètent souven
cultés intellectuelles ; cette genèse n'a rien de surprenant, à une période où se développent les deux ordres d'éléments ps
en folie systématique, mais il a vu des fous systématiques, aune période avancée de leur maladie (démence), être tourmenté
, se lamentent sur leur sort, on trouve qu'ils ont été, pendant une période préalable plus ou moins longue, le jouet d'hall
ncolie et la folie systématique n'a jamais été chez ses malades une période de parfaite santé; le nouveau complexus psychiq
par le morphinisme. Complications. Impuissance génitale après une période d'excita- bilité génésique ; aménorrhée fréquen
là à l'état permanent, paraissant s'accentuer un peu à la su'te des périodes d'attaques dont nous allons parler; s'atténuer
est dans l'extension forcée et en tétanisme. (Fig. 10.) Après la période de convulsions toniques précédemment indiquées,
muscles convulsés; ces secousses constituent comme l'ébauche d'une période de convulsions cloniques. L'attaque est alors t
s venons de la décrire, on ne constate aucun phénomène rappelant la période des grands mouvements, ou la période hallucinat
e aucun phénomène rappelant la période des grands mouvements, ou la période hallucinatoire de l'attaque de grande hystérie.
dent est terminé. II. Variétés de l'attaque. Dans la plupart de ces périodes de crises, les attaques ont revêtu les caractèr
e n'a jamais dépassé 37°, 5. V. État de la malade au sortir de la période de crise. D'habitude, à la suite de ses crises,
CLUSIONS : 1° Les attaques d'hystérie, du moins à-leur pre- mière période , ressemblent très fréquemment, comme on sait, a
que les 29t CLINIQUE NERVEUSE. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. diverses périodes constitutives de l'attaque n'ont pas le temps d
ra... reprend généralement connaissance de suite sans avoir eu de période de stertor, ni de ronflement; toutefois on a noté
IL DE FAITS. formes étaient égales des deux côtés; mais, pendant la période clonique, les secousses étaient plus prolongées
ntielles supérieures manque encore com- plètement; on C'est à une période plus tardive que se forment les fibres nerveuse
ffaiblissement des extrémités gauches avec convulsions toniques par périodes ; augmentation très prononcée des réflexes tendi
noyau, est suivi de rétraction du contenu cellulaire; pendant cette période , le noyau devient fortement réfringent, tandis qu
s grumeaux amorphes en partie soluble, dans l'éther. Dès la seconde période , le carmin ne teint que difficilement le protop
z les sujets hypnotisés, les symptômes objectifs varient suivant la période et le type; nulle description théorique n'est c
- blement l'appétit. Le pouls s'accélère au début, et, pendant la période d'activité du haschisch, la pupille se dilate. Ce
emarquer que Kussmaul a observé un état sem- blable au moment de la période de convalescence de l'alexie, tandis que les ob
orme ondulatoire, dont la genèse, aujourd'hui spontanée, pendant la période de repos, est d'autres fois provoquée, soit par
eignaient, après plusieurs heures et même plusieurs semaines, à une période d'acmé caractérisée par une rigidité tétanique
ns l'ensemble du processus, et chaque phase res- semble à l'une des périodes de la convulsion des nerfs mourants (réaction d
e démence paralytique progressive rapide, galopante. A une certaine période de son développement, la phase ou l'accès envi-
r LAPRFVOTTF. Thèse de Paris, 1884. Des troubles trophiques de la période p)'cBa<n.BtM6 du tabès spéci- fique ; par P.
47 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sans transition à l'inconti- nence physiologique du nourrisson ; la période comprise entre sept et huit ans, et celle qui s
rtaines épilepsies symptomatiques de lésions encéphaliques. Dans la période qui suit la dixième année la boîte cranienne se
gités, de vrais cauchemars qui se produisent dans la toute première période du sommeil et qui ont le caractère pénible des
est devenue très forte. Deux fois seulement depuis 1893, pendant la période menstruelle, il lui est arrivé de se mouiller l
chez le père et l'aîné des fils, puisqu'elles se produisent dans la période hypnogogique qui suit le coucher. Observation
s nuits de suite vers deux heures du malin, environ, puis vient une période de quelques nuits sèches. Son infirmité lui éta
je crois pouvoir en conclure qu'elle est de nouveau entrée dans une période satisfaisante. C. INSUCCÈS. Observation XXI
t reprises à intervalles assez irréguliers. Bien qu'il y ait eu une période de quatorze jours sans accidents, les parents s
s'était établi progressivement sans ictus, et après avoir subi une période d'aggravation, il tendait à rétrocéder. Quel est
nitales, suité d'abus sexuel pratiqué par une autre personne, et la période de la vie qui renferme cet événe- ment funeste
et reproduisaient le tableau clinique de la paralysie générale à sa période termi- nale. Chez un malade dont le coeur était
pression brusque de l'opium, on a noté des vomissements. Pendant la période du traitement bromuré, les accès ont diminué de n
. M. Falret. Il existe un délire de persécution classique, à quatre périodes et, si Lasègue a vu seulement la période d'état
ution classique, à quatre périodes et, si Lasègue a vu seulement la période d'état, en revanche, il faut admettre aujourd'h
ériode d'état, en revanche, il faut admettre aujourd'hui les quatre périodes si bien décrites par M. Magnan. Mais ce délire
es par M. Magnan. Mais ce délire de persécution classique, à quatre périodes , n'est qu'une variété clinique du délire de per
rédominant. Mais apparaissent- elles à la première ou à la deuxième période du délire chronique, l'absence d'hallucinations
la sensibi- lité générale et les hallucinations génitales. A quelle période apparaissent-elles ? Est-ce au début ? - Il fau
faut admettre qu'elles apparaissent à la deuxième et à la troisième période . Cependant elles n'existent pas chez tous les p
la démence est loin de composer le tableau clinique de la dernière période . A ce moment, c'est plutôt un simple affaiblisse-
rapports entre les variétés du début et les variétés cliniques des périodes ultérieures ? Quels sont-ils ? tel est le problèm
critique sûre et judicieuse. Cette époque peut se diviser en quatre périodes : Bell inaugure la première, qui s'étend jusqu'en
se constitue sur de nouvelles bases anatomo-cliniques. La troisième période commence avec l'élude des localisations cérébrale
par la méthode de Frenkel. Chez le tabétique qui ne marche plus, la période des exercices au lit durera naturelle- ment plu
bizarre, comment la fatigue se manifeste chez le tabétique Dans la période pré- ataxique les malades accusent presque touj
de cour- bature, de lourdeur, de plomb dans les membres). A cette période d'hyperesthésie succède une période d'anesthésie
lomb dans les membres). A cette période d'hyperesthésie succède une période d'anesthésie à la fatigue. Le malade n'éprouve
n. - TRAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS. 169 Après une~ période d'amélioration relativement rapide de l'incoord
re et musculaire dans le cours du tabes. Il est certain que dans la période ataxique la sensibilité musculo- articulaire es
s troubles de la sensibilité mus- culo-articulaire,'surtout dans la période avancée de la maladie. - A notre avis l'argumen
de la maladie, on verra que dans les cas de tabes aigu, et dans la période d'aggravation rapide des phénomènes ataxiques l
ement par la rééducation des mouvements n'est in- diqué que dans la période d'ataxie du tabes. Selon nous il n'a aucune rai
e d'ataxie du tabes. Selon nous il n'a aucune raison d'être dans la période préataxique, car dans cette période le malade e
aucune raison d'être dans la période préataxique, car dans cette période le malade est complètement maitre de tous les mou
uels la méthode de Frenkel doit être formellement interdite dans la période préataxique. Contre-indications. En thèse génér
ra commencer les exercices que quand la maladie sera arrivée à la période d'état ou de progrès lent, chronique. En effet no
donc de s'abstenir de tout exercice, même de la marche, pendant ces périodes . On fera mieux de laisser reposer les malades.
ux troubles de la sensibilité. Nous avons dit plus haut que dans la période préataxique notre traitement n'est d'aucune uti
ies pénibles et de l'hyperesthésie musculaire. Con- trairement à la période ataxique pendant laquelle les malades ont souve
ci d'ailleurs la succession de ces différentes phases pen- dant une période d'observation de douze jours. 27 avril. Une att
une centaine dans la journée. En revanche le malade traverse des périodes de huit à dix jours sans en éprouver. L'accès com
coup de revolver à la tempe, tentative de suicide commise dans la période d'inquiétude. Le malade entend un ennemi différen
sensation de brûlure, des élancements; après l'accès se déclare une période de réaction avec fourmillements insupportables,
es ongles sedéforment. D'après Raynaud cette maladie comprend trois périodes : la période d'invasion caractérisée par l'asph
rment. D'après Raynaud cette maladie comprend trois périodes : la période d'invasion caractérisée par l'asphyxie locale, du
risée par l'asphyxie locale, durant de quelques jours à un mois; la période d'état, accompagnée d'accès de douleur et de ga
d'accès de douleur et de gangrène, durant une dizaine de jours; la période d'élimination des escarres durant de vingt jours
andis que la cyanose de Raynaud se manifeste par accès suivis d'une période de réaction, qu'elle s'accompagne souvent de do
lieu d'être progres- sive présente des rémissions, c'est-à-dire des périodes pendant lesquelles la plupart des symptômes s'a
ladie, sans s'amender, à proprement parler, s'arrête à une certaine période , se cristallise pour ainsi dire pendant des ann
ue. Quant aux arrêts, ils surviennent généralement dans la deuxième période , lorsque les malades prennent de l'em- bonpoint
nt à l'utilité des visites à volonté sans aucune réserve quant à la période et aux phases de la maladie et sans fixation aucu
onstante plus exagéré le soir que le matin. Il existe toutefois des périodes pendant lesquelles le ma- lade, se trouvant tou
ne défectueux, les troubles respiratoires très accusés et jusqu'aux périodes d'exa- cerbation et de rémission. Ce sont là au
i passent par une phase tonique et une phase clonique; à la face la période to- nique existe seule; de plus les troubles mo
ique ? Quels change- ments sont-ils survenus pendant et après cette période ? ' ! Les manifestations de l'instinct sexuel o
Mastur- bation ? Depuis quand ? De quelle manière ? Comment cette période a-t-elle été franchie par d'autres mem- bres de
dans le travail actuel. La syphilis peut frapper la moelle à trois périodes de l'existence : pendant la vie intra-utérine,
ent intellectuel plus ou moins considérahle, de l'hébétude avec des périodes d'excitation ; plus rarement se manifestent des
e quatre mois et nécessite l'inter- nement du malade. Pendant cette période il passe d'abord par une phase d'excitation man
de observé par M : Lührmauu pré- sentait lui aussi, dans la seconde période de sa maladie, une forme d'excitation maniaque
stèmes dont le développement n'était pas encore commencé avant la période d'inanitiation; 9° En outre l'ouverture palpébral
ndant plusieurs jours et perdit la mémoire de sa tentative et de la période consécutive. Il n'y eut pas d'accidents convulsif
ne pas oublier, au point de vue médico-légal, l'existence de cette période d'amnésie rétroactive ; les observations de Wes
s faites de 1880 à 1896, des améliorations réalisées durant la même période et de terminer par les der- niers rapports admi
tion de ses mouvements. Il est certain que sans notre traitement la période de convalescence aurait été beaucoup plus longu
trois mois avec une mtensité moindre qu'en septembre 1892, mais par périodes de huit à dix jours, séparées par des intervall
la réveillent au milieu de la nuit. Un peu de céphalée pendant ces périodes de crises. Le phénomène plantaire est très pron
accident il reste couché pendant six semaines. Pendant toute cette période crises de douleurs fulgu- rantes atroces à l'en
lle, c'est-à-dire que le nombre des aliénés a triplé. Pendant cette période de temps, six asiles publics ont été construits
santé apparente de quatre semaines ; 2° manie avec mégalomanie, et périodes dépressives, avec idée d'empoisonne- ment, puis
taux, de natureopposée, alternant régulière- ment entre eux ; à une période d'expansion et d'activité succédait, chez eux,
; à une période d'expansion et d'activité succédait, chez eux, une période de dépression et d'impuissance, et toujours ain
sité décroissait progressivement, et à leur suite s'établissait une période de dépression qui durait plusieurs semaines par
L'écriture de l'aphasique sensoriel est toujours très troublée à la période d'état. L'écriture spontanée est impossible; ma
malade atteint de délire chronique varie, non seulement, suivant la période de la psychose, mais encore, avec ses croyances
deux variétés de psychose décrites par les auteurs précédents. 1° Période commune d'incubation. Inquiétudes vaques. 420 0
tions parallèles de la connaissance, S'il y a dédoublement à cette période , il porte sur le monde extérieur, mais la perso
e était doué de la même faculté, Fane de Balaam éga- lement 2. 3c période . (Théomanie.) - Au début, les hallucinations ef
lé,il donne un corps aux produits de son enten- lement". » Dès la période intermédiaire où les deux courants délirants 1
oup de revolver à la tempe, tentative de suicide commise pendant la période d'inquiétude. Il entend un ennemi différent log
n'a pas été mieux partagé que les autres départements, car, pour la période qui a précédé l'organisation de l'asile actuel,
reproduisons in extenso, car elles renseigneront le lecteur sur une période encore bien inconnue, quoiqu'elle date d'hier :
sécutives à la section nerveuse, il y a à distinguer également deux périodes : la 1'° où les éléments cliromatopliiles subis
48 (1934) Oeuvre scientifique
s précises au point de vue thérapeutique ; il peut les donner à une période de la maladie où le traitement mercuriel est en é
s lignes ont été écrites jusqu'à ce jour, c'est- à-dire pendant une période de dix-huit ans, je n'ai pas manqué de renou- v
CLINIQUE ET SYMPTÔMES SUBJECTIFS 23 appelés à la soigner pendant la période de i ans où elle avait été malade, impotente. E
e à dire qu'il est sou- vent impossible de distinguer à la première période l'hémiplégie hysté- rique de l'hémiplégie organ
es mani- festations du tabes se présentent, au moins à une certaine période , sous une forme asymétrique. L'irréflectivité
moindre. Nous venons de voir que l'hémiplégie de l'adulte, dans la période où la dégénération secondaire est constituée, s
ne hémorragie méningée. Les réflexes tendineux peuvent, pendant une période plus ou moins longue, se comporter comme dans l
ieurs n'ont jamais été exagérés et qui même s'était manifesté, à sa période ini- tiale, par de l'affaiblissement des réflex
n mode de l'activité musculaire, et elle est stable, au moins à une période de son évolution. Mais, comme nous venons de le v
Il est certain que l'hémiplégie organique est plus commune dans les périodes avancées de la vie que dans le jeune âge et que c
sie faciale dans l'hémiplégie organique. A l'état de repos, dans la période de flaccidité, la face présente l'aspect suivan
raités classiques, l'asymétrie faciale à l'état de repos et dans la période de contracture serait l'inverse de celle qui vi
abaissement de la commissure du côté de la paralysie, comme dans la période de flaccidité. Les mouvements unilatéraux de la
n est de même des mouvements bilatéraux, que l'hémiplégie soit à la période de flaccidité ou dans celle de contracture. L'a
normaux, exagérés, affaiblis ou abolis, tandis que dans la deuxième période , c'est-à-dire à partir de la quatrième ou de la c
de à dire qu'il est souvent impossible de distinguer il la première période l'hémiplégie hystérique de l'hémiplégie organique
dénomination de phé- nomène des orteils, appartient à toutes les périodes de l'hémiplégie. 8" La forme de la contracture
re possible. Or, il en est géné- ralement ainsi, quelle que soit la période de l'hémiplégie dont il s'agisse. Il en résulte
semblable. Comme dans le cas précédent, on ne constata durant cette période , ni hallucinations, ni confusion, ni fabulation.
bre inférieur ne dure généralement pas, du moins dans les premières périodes de la paraplégie, et, après un temps variable, il
... « Dans la plupart des cas, on constate, au moins à une certaine période , de la sur- réflectivité tendineuse, mais celle
tendineuses se sont développées, ce qui est la règle à une certaine période de la maladie. Mais la contracture cutanéo-réfl
ité, que nous avons en vue, n'at- teint son niveau maximum qu'à une période plus ou moins tardive de l'évolution de la mala
n, l'affaiblissement des réflexes tendineux peut survenir après une période plus ou moins longue pendant laquelle il y a eu
ivité, que nous avons en vue, n'atteint son niveau maximum qu'à une période plus ou moins tardive de l'évolution de la mala
e les réflexes de défense sont, d'une manière générale et sauf à la période initiale quand il y a shock, plus ' accentués d
aximum de dégénération, peuvent aussi se manifester, à une certaine période de leur évolution, par des réflexes de défense
complète de la moelle, ces réflexes s'affaiblissent d'habitude à la période qui précède la mort. J'ai été amené à vous indi
ion contraire de celle qu'on observe, comme nous l'avons dit, à une période plus avancée des RÉFLEXES DE DÉFENSE 1/13 lés
n mode de l'activité musculaire, et elle est stable, au moins à une période de son évolution. Mais, comme nous venons de le v
jamais primitive. Les réflexes de défense sont d'autant plus forts ( période de shock mise à part) que la séparation entre l
nt un certain degré de tonicité que n'atteignent pas, même après la période de shock, les muscles dans les cas de paraplégie
er à ce propos que dans les sections totales de la moelle, après la période de shock, lorsque les réflexes cutanés reparais
i le témoin d'une réaction ancestrale, ayant apparu toutefois à une période du développement plus avancée que les réflexes de
ée que les réflexes de défense dont il a été précédemment question, période où les orteils servaient de griffe ? Cette réac
et il m'avait semblé qu'il persistait approximativement jusqu'à la période où l'enfant commence à marcher, ce qui s'expliq
mois, mais il y a des variétés individuelles ; il peut y avoir une période de transition assez prolongée, marquée par des al
é alors d'hyperalgésie. Observation III. Homme de 53 ans. Après une période de malaises vagues ayant duré plusieurs mois, l
ant la presque tota- lité des troubles observés chez l'animal à une période donnée. En clinique humaine le terme ataxie a é
bilité électrique des muscles, après la mort, serait précédée d'une période d'augmentation. Enfin, d'après Jeanselme et Ler
'), chez les cholé- riques, le muscle avant de mourir passerait une période caractérisée par l'exagération de l'excitabilit
e de ces muscles subit après la mort des modifica- tions qui, à une période donnée, offrent une très grande analogie avec la
dès le 3e ou 4e jour après la section du facial, c'est-à-dire à une période où, le bout périphérique du nerf étant dégénéré
aires conser- vent encore leur excitabilité électrique propre à une période où l'excitabi- lité des fibres nerveux intra-mu
uption, sauf pendant les trois ou quatre jours consécutifs à chaque période menstruelle, pendant lesquels ils disparaissaient
calmie qui succédait toujours, chez la malade que je présente, à la période menstruelle ; elle me paraît comparable à l'eff
LES devant entraîner la mort, car elle rend supportable la dernière période de la vie, qui, d'ailleurs, peut se prolonger p
Voici comment les choses se passent d'habitude : dans une première période de l'affection, le malade qui se plaint de lour
l'insuffisance des moyens plus simples, et la faire cependant à la période où elle est capable de fournir le plus de bénéf
ppelé, le plus souvent les troubles oculaires sont précédés par une période parfois très longue où le malade ne pré- sente
rielle ou de méningo-encé- phalite diffuse. Or, dans cette première période , on dispose largement du temps nécessaire pour
ète, de continuer l'usage de ces médicaments pendant cette nouvelle période . L'efficacité de ces deux ordres de moyens peut
uand il jouait ou quand il courait. Vers l'âge de 10 ans, après une période de deux années environ de bon état relatif, l'e
troubles moteurs des membres du côté gauche reparurent pendant une période de trois mois. Le traitement consista en des ma
estable que les observations sont d'autant plus instructives que la période pendant laquelle les malades ont été suivis apr
s moyens thé- rapeutiques d'ordre médical mis en oeuvre pendant une période sufli- samment longue, surtout lorsque le malad
d'encéphalite léthargique avec forte fièvre, délire et insomnie. La période fébrile a duré environ trois semaines au bout d
rt bien, car il ne s'est presque pas du tout alimenté pendant cette période de huit jours; ce qui l'en empêche, c'est que l
la malade ; acuité visuelle OD = 5 OG = 35· » 15 35 Pendant une période de deux mois, la situation ne se modifie pas d'un
exes ten- dineux qui n'ont jamais paru exagérés, quelle que soit la période de la maladie à laquelle l'examen a été fait, a
me trait com- mun, une forme de paralysie crurale caractérisée à sa période d'état par une contracture très intense amenant
e rejeter cette hypothèse parce que s'il en était ainsi, pendant la période de trois mois qu'a duré l'hémi- plégie, une dég
ement une opération, si ce traitement venait à échouer. Pendant une période de plusieurs mois le malade est soumis à l'usage
e persistent toujours, mais sont plus ou moins intenses suivant les périodes . Les réflexes tendineux et les réflexes cutanés
ident générale- ment avec les reprises de la médication. Dans cette période deux crises épileptiformes. En octobre, le Dr J
que intense sans provoquer de nausées, ni de douleurs de tête à une période quelconque de son évolution et que, par conséqu
t des cas que j'ai suivis, j'ai constaté, au moins à une cer- taine période , de l'exagération des réflexes tendineux, mais ce
t capable de marcher et n'était pas encore contracturée, jusqu'à la période terminale où la contracture en flexion avait at
nt de minute en minute, depuis les premières inhalations jusqu'à la période de relâche- ment musculaire complet ; j'ai pu s
ns sacrées se produisent dans la généralité des cas, du moins à une période avancée de l'évolution de l'affection. Dans q
de pair, apparaissant en même temps et s'épuisant de même. Dans la période de douze heures qui sépare les crises ils semblen
i" Crises sympathiques de 6 à 7 heures de durée ; séparées par des périodes de calme de 12 heures. 2" Chaque crise elle-mêm
ère et très courte rémission vers la 15e seconde, puis survient une période de relâ- chement de 15 à 20 secondes. Un pare
trière (2) : et qui ensuite fut remise à la Pitié. observation (1re période ). 12 août 790 ? La nommée L ? âgée de 48 ans, e
naire. Elle quitte l'hôpital après y avoir séjourné deux mois. 2e période . Le 13 juin 1 9 10 neuf mois après sa sortie de
d'extension de la cuisse et de la jambe gauches. Après une nouvelle période de trois semaines, la malade exécute ces mouvemen
quelques troubles pas- sagers du côté du membre supérieur droit, la période post-opératoire s'est déroulée sans incidents s
uence de la compression des jugulaires. Notons enfin que, sauf à la période terminale, il n'y a eu ni troubles sphinctériens,
les envisage dans leur mode d'association, notamment à la première période du séjour de la malade à l'hôpital, ils sortent d
tte fonction ne s'est pas indéfiniment maintenue, puisque, dans une période plus avancée de l'évolution de la maladie, la c
uments sont sans valeur ; ne savons-nous pas, en effet, que dans la période préataxi- que du tabes il se développe souvent
s. On ne voit plus de ces grandes attaques avec les quatre fameuses périodes , ces grands états hypnotiques carac- térisés pa
tends nullement reconstituer le « Grand Hypnotisme » avec ses trois périodes . Par ces mots je désigne non pas deux phases ma
collègue Richardière, à l'hôpital des Enfants Malades. Pendant une période de dix-huit ans où près de 20000 décès y furent
elle et sensitive, avec ovarie du môme côté qui, pendant cette longue période de quinze ans, n'a pas été modifiée, même tempo
rouvons chez elle encore aujourd'hui, c'est-à-dire après une longue période de trente-quatre ans ! Cette malade est soumise à
accident. Pour la clarté de l'exposition, nous distinguerons quatre périodes dans les faits observés : i. à bord, immédiat
ré l'explosion de la torpille de la disparition complète du navire ( période d'émotion pure); . 2° immersion de 18 heures,
immersion de 18 heures, dont une nuit entière, accrochés à un radeau ( période d'émotion et de souffrance physique : froid) ;
- 3° il bord du torpilleur qui est venu nous secourir le lendemain ( période de phéno- mènes pithiatiques et de thérapeutiqu
partis, pendant les huit jours qui ont précédé noire mise en route ( période de retour à la vie normale) Comme le remarque
ire, ni dans l'élément civil, de cas d'hystérie pas plus pendant la période de recul, qu'au moment de l'exode de la populatio
ragies médullaires, les syringomyélies et retrouvées récemment à la période de début des héma- tomyélies consécutives aux é
ommeil chloroformique ; elles peuvent être, du moins à une certaine période de leur évolution, aussi fixes que les contractur
uaient deux phases dans leur évolution : si, pen- dant une première période , ils disparaissent dès que la constriction cesse,
, ils disparaissent dès que la constriction cesse, dans la deuxième période , ils s'organisent et leur régression est alors
tat du service de santé le voeu « qu'Une soit plus présenté dans la période actuelle, en aucune circonstance, aucun militaire
cédait que dans le sommeil jirofond ; elle subsistait encore à une période où le réflexe conjonctival était aboli et où les
de la réflecti- vité et de la tonicité musculaire, aux différentes périodes de la narcose chloroformique, nous ont conduits
rature des téguments ; ces phénomènes restent très nets pendant une période de 8 à 15 jours, et quelquefois plus longtemps
ammes ; les injections sont répétées une fois par semaine pendant une période de cinq semaines ; elles sont interrompues alor
calisa- tion des compressions de la moelle, au moins à une certaine période de leur évolution, peut être généralement établ
m, qui devint le siège de douleurs très vives. Vers la fin de cette période , l'anesthésie toutefois subit une légère atténuat
u maxillaire inférieur une troisième opération qui fut suivie d'une période de bien-être, dont la durée ne fut pas supérieu
ommencé le 7 octobre 1907 fut achevé le 24 février igo8. Durant cette période on effectua 22 séances d'une durée moyenne de 1
la dose de 4 grammes par jour. Cette cure est continuée pendant une période de six semaines, c'est-à-dire jusque vers le mi
49 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
n ; rarement incontinence; un peu de constipation. Cette première période peut durer des mois entiers sinon des années :
est rare, le malade consulte rarement le médecin avant la deuxième période , c'est-à-dire à l'é- poque où sont survenus des
ou très rarement. Elle est susceptible d'elle-même de s'arrêter a une période de son évolution, et de fait elle s'arrête souv
s qui s'observent peu ne viennent consulter qu'après cette première période toujours insidieuse, comme nous l'avons dit : e
use, comme nous l'avons dit : et il est possible que cette première période ait passé totale- ment inaperçue chez notre mal
on médullaire. Peut-être aussi est-ce bien parce que cette première période est méconnue par les médecins consultés, et qui
atrice. Il faudrait donc pouvoir intervenir de bonne heure, à cette période où les malades ne songent pas à attirer l'atten-
nts en particulier, la dissociation est fré- quente pour les quatre périodes de la grande attaqne (1). Quand existe seulemen
quatre périodes de la grande attaqne (1). Quand existe seulement la période des grands mouvements et de l'arc de cercle, cett
ement la période des grands mouvements et de l'arc de cercle, cette période suffit en général au diagnostic, mais elle peut m
de suffit en général au diagnostic, mais elle peut manquer comme la période des hallucinations et la période de délire. L'att
c, mais elle peut manquer comme la période des hallucinations et la période de délire. L'attaque se réduit alors à la pério
lucinations et la période de délire. L'attaque se réduit alors à la période épileptoïde : c'est dans ce cas surtout qu'on peu
rs deux faits assez convaincants à cet égard. Dans le pre- mier, la période épileptoïde de la grande attaque d'hystérie avait
poser également pour une lésion intra-crânienne. Observation V. Période épileptoïde faisant croire à une tumeur cérébrale
si des phénomènes apoplec- tiformes ont précédé la monoplégie. Une période à' incubation précède au contraire les monoplég
progressif ou stationnaire. La forme pro- gressive peut offrir une période parétique. Dans les cas extrêmes le malade ne p
malade ne peut ni marcher ni se tenir debout. Ce n'est que dans la période paré- tique et notamment dans ces cas extrêmes
en général dans la forme stationnaire comme dans les deux premières périodes de la forme progressive un amendement notable,
et je ne crois pas qu'elle soit rationnelle dans les deux premières périodes du tabes. Elle ne peut agir à mon avis sur les
re et une aggravation continue ! Ce pro- cédé convient plus pour la période parétique du tabès. La faradisation de la régio
. La faradisation du plexus de l'aorte est indiqué dans la première période de la coxalgie, les nerfs vaso-moteurs de l'art
n. Encore ne faudrait-il pas regarder comme absolue la division par périodes adoptée parles classiques. Car, même à ce point
mettre sur la voie du diagnostic. Or, les auteurs dé- crivent à la période d'invasion de la maladie trois phénomènes princip
cidents bulbaires sont plus fré- quents et beaucoup plus graves aux périodes ultimes, quand le processus morbide généralisé
avait défendu de remuer. Il n'avait pas d'appareil. Pendant cette période il eut une crise de vomissements qui dura 7 à 8
u bout de 4 mois. La photographie a été tirée en chambre pendant la période d'a- mélioration. Mimique : Affaiblissement d
sieurs reprises, depuis la même époque, elle a vu double. Après une période de répit, les céphalées et les dou- leurs cervi
e d'enchaînement des différents accidents nerveux dans cette longue période , débutant par des céphalées syphilitiques, pour
ent de calibre des vaisseaux nourriciers. Nous dé- crirons ces deux périodes en donnant à l'appui quelques observations nouv
ux périodes en donnant à l'appui quelques observations nouvelles. PÉRIODE PRÉMONITOIRE Mentionnée par la plupart des aute
ambaco, Ladreit de La Char- rière, Heubner, Gilbert et Lion), cette période prodromique consiste es- sentiellement en troub
teuil. Ces céphalées se sont ainsi répétées chaque nuit pendant une période de 4 à 5 semaines. La douleur siégeait principa
nce considérable qu'il y a il reconnaître la signification de cette période prodromique avant que le tissu médullaire ne so
t inaugurée par des céphalées d'une grande violence ; et, après une période d'accalmie, apparaissent des douleurs sourdes d
admission à la Salpêtrière. Il n'est pas exceptionnel enfin que la période prémonitoire manque en- tièrement, ou bien que
e la méningo-myélite. DE LA nIÉNINGO-niYÉLITE SYPIIILITIQUE 237 PÉRIODE DES PARALYSIES MÉDULLAIRES Des diverses formes
paraplégies syphilitiques. Quelqu'ait été le mode de début : que la période douloureuse prépara- toire ait présenté les car
s en vue du diagnostic. Nous avons vu com- bien les accidents de la période prodromique étaient parfois significatifs à cet
ercher. Ces circonstances sont de deux ordres : 1° Caractères de la période pré- monitoire ; 2° Vestiges actuels d'une pous
sans paralysies... etc. Nous avons insisté assez longuement sur la période prodromique des pa- ralysies médullaires, sur l
élire nuit et jour, il perdit con- naissance en partie. Toute cette période n'a laissé dans son esprit qu'un sou- venir con
erv. VU et le cas de Goldllam cité plus haut) (1). Mais soit que la période prémonitoire n'ait pas présenté de caractères si-
icord, l'autre chez Trousseau. C'étaient deux jeunes gens en pleine période se- condaire, qui eurent une paraplégie rapidem
était surtout l'invraisemblance de complications si graves dans une période peu avancée de l'infection syphilitique qui motiv
te que 30 à 3o cas de paraplégie syphilitique, observés pendant une période de 10 ans. En 1889, MM. Gilbert et Lion, en réuni
s inadmissible que certaines céphalées, certaines rachialgies de la période secondaire soient en relation avec des poussées
de loi absolue, établissant une concordance en- tre les différentes périodes de la syphilis et la forme des lésions spécifi-
t falalement limitée, circonscrite parce qu'elle se développe à une période éloignée des premiers accidents infectieux, admet
tions pathologiques plus ou moins analogues caractérisent seules la période tertiaire, c'est s'exposer à méconnaître la nat
tte conception théorique de la division absolue de la syphilis en 3 périodes ; il a pensé que, la nature des lésions élémentair
nouveau à des désordres anatomiques analogues à ceux des premières périodes de l'infection.. Nous n'avons pas à aborder ici
méningo-myé- lite syphilitique présentent dans leur évolution deux périodes correspon- dant aux localisations de la syphili
la syphilis sur les méninges d'abord et sur la moelle ensuite. La période prodromique est marquée par des troubles de la se
ée rachialgie syphilitique. Il est très commun d'obser- ver à cette période , et souvent a son début, des accidents cérébraux
es. Les paralysies spinales syphilitiques caractérisent la deuxième périodes celle des lésions médullaires. Ces paralysies,
is en se fondant sur les particularités in- diquées plus haut de la période prodromique, et sur la coexistence de phé- nomè
syphilitiques évoluent avec une grande rapidité, ai la suite d'une période prodromique courte et peu significative, et ave
es, etc. C'est ainsi du moins qu'on les a décrites. Pendant cette période l'appétit reste normal. Urines normales. Insomnie
he, les muscles de la face se con- tractent les premiers (après une période de petits mouvements) et sont suivis par ceux d
des accès spasmodiques ; bientôt ces phénomènes firent place à une période d'excitation motrice, pendant laquelle la malad
therine à Moscou; elle y reste jusqu'au 26 mars 1890. Pendant cette période l'état reste stationnaire. 27 mars 1890. La m
Fig. 51. LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE 835 Pendant toute cette période les attaques se reproduisirent a intervalles de
ge. De lui-même, il le compare fort judicieusement avec la dernière période de l'aura, ou le début d'une attaque qui avorte
50 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ion de la densité et de l'hémoglobine; 3° si .dans le cours d'une période d'exaltation, ou de dépression, le poids spécifiq
euvent commettre, même quand ces crimes sont commis en dehors des périodes aiguës de leur affection. Krafft-Ebing a fait voi
cident; il tiendra compte de la limitation exacte de l'amnésie à la période de la perte de connaissance. Parmi les causes p
MÉDECINE LÉGALE. le traumatisme, tantôt ils en sont séparés par une période variable. La neurasthénie revêt le plus souvent
- mence. La marche de ces psychoses est chronique. Au cours de la période latente il arrive que les malades commettent des
traduire au dehors par des raisonnements étranges et présenter des périodes d'accal- mie, ne manquent plus d'invoquer, les
ait donc au cours d'une des dernières phases de la puberté et d'une période prémenstruelle. Or on sait que la puberté est u
rtiori chez les dégénérés : il en est de même de la chorée et de la période prémenstruelle. Il faut tenir compte aussi des fr
ses dont Charcot a donné la description. Cette succession des trois périodes épileptoïde, cloniques et des attitudes passion
me ainsi lui-même. « L'attaque convulsive d'hystérie comprenant une période d'ana- lyse des vingt-quatre heures à dater de
nd dans le nombre des malades admis dans les asiles pendant la même période , déduc- tion faite des transferts et des réadmi
la société. L'augmentation de la propor- tion des aliénés durant la période de vingt années qui va de 1871 1 à 1891, a port
ccumulation de cas chroniques. D'autre part, il y a eu pour la même période une diminulion dans la proportion qui existe en
tion de cet accroissement a été en diminuant, car si, pendant la période décennale 1871-1881 l'accroissement de la proport
ion a été de 7,04 p. 100, il n'a atteint que 3,23 p. 100 pendant la période décennale 1881-1891. Si ces conclusions sont, e
lté de Médecine de Paris. Elle s'ouvrira le 8 août 1895, pendant la période de l'Exposition, deux jours avant la clôture du
ans plusieurs cas et spécialement dans des états de mal ou dans des périodes d'excitation ou de trouble mental consécutifs a
mpérature de 32° à 34° ont été d'un heureux effet; de même dans les périodes d'excitation. La malade Lep... que nous avons s
ue nous avons soumise à ce traitement dans deux états de mal et une période d'excitation, a pu échapper à ces états graves
'une et l'autre viennent d'avoir quelques attaques et sont dans une période d'agitation légère. Ce ne sont là que deux essa
médi- cations soient à employer d'une façon continuelle entre les périodes d'accès. Il faut étudier les malades et les suivr
les accidents épileptiques ne doivent pas être continuées entre les périodes d'accès ; 11° Les accidents de l'épilepsie par
.) 1. Dans les premières semaines de la vie, jusqu'à une certaine période qui n'est pas la même dans tous les cas, les nerf
que chez l'a- dulte (méthode de Weigert et de Pal); 2° il certaines périodes post- embryonnaires précoces, un certain nombre
de l'adulte, mais il ne l'a pas encore complètement atteint; 9° La période des troisième à sixième semaines de la vie est un
as de mélancolie que pour les cas de manie observés pendant la même période ; 5 dans la majo- rité des cas, la dépression me
oportionnellement moins fréquente que la manie durant les premières périodes de la vie; elle l'est davantage, au contraire,
rand nombre de cas, les premières manifestations coïncident avec la période de la ménopause. Sauf Krafft-Ebing qui accorde la
ses. R. DE l\ ! USGRAVE CLAY. XXVII. SUR la paralysie générale A la PÉRIODE DU DÉVELOPPEMENT PHYSIQUE; par James Middlemiss
Mental Science, janvier 1893.) Les cas de paralysie générale à la période de l'adolescence ou de la puberté ne sont pas c
aires n'avaient pas dépassé, au point de vue du développe- ment, la période infantile, et que les règles n'avaient pas encore
es cliniques de la maladie ont été tels qu'on les a décrits à cette période de la vie : le trait le plus caractéristique a
mental à début insidieux et à progrès réguliers. L'état émotif des périodes de début était généralement un état de douce sa
s plaques de tissu conjonctif, localisées du côté nasal jusqu'à une période avancée de la maladie, et envahissant plus tard
.) E. B. XXXVI. Observation d'hébéphrénie ; par le D LANE. En une période de dix ans, l'auteur a observé à l'asile de Bos
de hérédité - alcoolique et vésanique ; l'auteur note chez elle une période pré- monitoire caractérisée par un délire de pe
hogéniques bien différents. Ainsi, dans la puerpéra- lité, à chaque période correspond un élément pathogénique un peu spéci
l'unani- mité. A partir de cette date, l'Association entra dans une période plus active et plus fertile. La maison située d
mbres inférieurs. Ces troubles persistèrent t par la suite avec des périodes d'amélioration et des retours, pendant tout le
articuliers. Le délire a débuté subite- ment après une assez longue période de dépression mélanco- lique ; l'affaiblissemen
nque guère de constater au début de la maladie de Basedow. C'est la période fonc- tionnelle. L'hyperthyroïdisation crée u
x. Alors apparaissent les symptômes majeurs basedowiens, ceux de la période d'intolérance qui se termine par une cachexie m
e d'intolérance qui se termine par une cachexie mortelle ou par une période de tolérance et d'effacement des symptômes morb
nts de coeur). En dehors de ces deux symp- tômes, on constatait une période d'excitation très manifeste (éclat particulier
par le suc thyroïdien dans certains cas de maladie de Basedow à la période secondaire d'hypothyroïdisation. Étant donnés
lation, dans ces cas, c'est de prendre la température rectale, à la période de ronflement ou terminale, un quart d'heure, u
cas, le début a été subit, signalé par un ictus apoplectique. A la période d'état on constate une augmentation de la faibl
il s'agit bien manifestement ici d'un tabes vulgaire, arrivé à une période avancée de «on évolution. L'étude des coupes co
rose lente des vaisseaux d'un faisceau pyramidal dégénéré à quelque période qu'on l'examine. Les vaisseaux et le tissu conn
en ques- tion) ; les convulsions sont rares; enfin le manque d'une période secondaire d'excitation n'est pas en faveur de
te-sept ans présentant des symptômes de mélancolie avec stupeur, et périodes alternantes d'excitation et d'abattement. On co
son boyau était remonté au cou, etc. Entrée en 1888, elle a eu des périodes de mé- lancolie avec stupeur suivies de rémissi
orain des poussées secondaires. Lorsque la mélancolie apparaît à la période parasyphilitique, son résultat est très douteux
é méconnu au moment de leur con- damnation. M. Paul Garnier pour la période quinquennale 1886 à 1890 en a relevé 255 cas à
886 à 1890 en a relevé 255 cas à Paris ; M. H. Monod pour la même période en a relevé 271 cas en province. Dans la grande m
Il résulte de quarante-huit essais faits chez des malades en pleine période d'excitation maniaque (à la dose de 0,02 à 0,06 p
du développement de l'assistance des aliénés en Allemagne quatre périodes , sans prétendre d'ailleurs attacher à de pareille
res, une importance qu'elles ne sauraient avoir. La première de ces périodes com- prend le moyen âge : les fous sont justici
éciaux pour leur traitement et leur hospitalisation. La quatrième période , qui se continue aujourd'hui, est caractérisée pa
les causes de la folie se perpétuent encore au cours de la deuxième période ; mais déjà d'autres opinions commencent à se fa
t de les mettre hors d'état de nuire, de les enfermer. La troisième période de l'histoire de l'assistance des aliénés, péri
er. La troisième période de l'histoire de l'assistance des aliénés, période scientifique, ne commence qu'au début du xixc s
ormation suffisante pour justifier la descrip- tion d'une quatrième période . La conception de l'asile d'aliénés s'est en ef
nucléole devient lui-même irrégulier et se désagrège. A la dernière période le noyau, complètement décoloré, ne se distingu
BERKLEY. Les recherches de l'auteur l'ont amené à établir les trois périodes suivantes dans l'histoire anatomo-pathologique
ré d'irritation aussi bien musculaire que mentale; 2° à une seconde période , l'apport des matériaux de nutrition est si fai
constate du côté des cellules une sorte d'autopha- gisme ; à cette période correspondent l'excitation motrice et les idées
se, accompagnée d'accroissement des tissus de soutènement : à cette période correspondent la démence terminale et la parésie
, mais leur maintien, malgré eux, ne devrait pas être autorisé. Une période d'observation de quinze jours suffit pour dé- c
uelques cas d'idiotie, de' manie périodique. La durée moyenne de la période mensuelle a varié entre 4 jours 1/2 et 5 jours
it l'existence d'attaques graves et fréquentes suivies d'une longue période d'obnubilation. 420 SOCIÉTÉS SAVANTES. En 188
ré d'Yvon. - L'éiixir est prescrit pour atténuer les bpasmes et les périodes d'irritation. Les progrès continuent en lecture e
tement, reprise de l'élixir polybromuré en rai- son des retours des périodes d'excitation. Le développement de la puberté co
tes. C'est une amnésie ordinairement temporaire, inclure entre deux périodes de mémoire normale, limitée aux faits récents a
a sensibilité à la douleur moindre. Dans la folie paralytique, à la période initiale, la sensibilité à la douleur est quelq
; les tendineux et idio-mus- culaires sont exagérés, - A la seconde période , exagération du plan- taire, affaiblissement de
e, affaiblissement de la sensibilité à la douleur. - A la troisième période , la sensibilité à la douleur devient très faible,
erte de la conscience de l'état maladif est caractéristique, dès la période de début. M. H.411N (de Breslau). Examen anat
t le substratum de l'affection. La malade dont il s'agit, après une période prodromique de mélancolie anxieuse ayant duré u
ieures, démarche incertaine. Mort le trente-deuxième jour après une période de stupeur. L'examen microscopique a porté sur
s la-, par Kaes, 35. -, à forme tabétique par Jo11roy, 46. Sur la période de développement physique de la -, par Middle
51 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
façon la plus impartiale, tous les travaux accomplis, pendant la même période de temps, dans le domaine de l'hypnotisme. Nos le
à-coups, ainsi que le développement de son organisme physique; à des périodes de paresse succèdent des phases d'activité, suivi
res pour l'élude que nous voulions faire du travail dans ses diverses périodes . Depuis longtemps déjà nous la préparions à l'i
e pour la première fois. Abandonnée à elle-même pendant la première période de la dilatation du col. elle supporte très impat
ouve bien dans cet état.' A partir de la dernière heure, pendant la période d'expulsion, nous n'avons plus eu d'action sur el
L'effet analgésique de l'hypnose complet et absolu, dans la longue période de dilatation du col, aurait-il donc été insuffis
Bien qu'elle eût paru ressentir vivement les dernières douleurs de la période d'expulsion, aucun souvenir de cette dernière pha
malade. Or, c'est dans cette grande crise et en général pendant la période qui correspond, quoique d'une façon vague, à la p
al pendant la période qui correspond, quoique d'une façon vague, à la période dite de délire, que se produisent les déroulement
nuit est employée par V... à des manifestations que nous résumons, la période du délire de l'attaque nous permettant de noter,
se plus avancée de sa vie, reproduisait à diverses reprises les mêmes périodes de son existence, mais en général on y retrouvait
fond, V... s'est retrouvé durant un temps assez long comme fixé à des périodes anciennes de son existence. Ainsi, le 10 octobr
e, comme aussi il n'est possible d'hypnotiser V... que dans certaines périodes distinctes de sa vie. Or, il est toujours facil
malade semble relire et dérouler sa vie passée en oubliant les autres périodes de son existence, et s'arrêter parfois comme pour
passion pendant des semaines sans manger et sans dormir. Pendant les périodes , leur caractère s'aigrit; ce sont des disputes et
es. Il est fréquent d'observer des dipsomanes qui, dans la première période de leurs accès, se livrent à toutes sortes d'exce
guérison ne peut être obtenue que par une sobriété forcée pendant une période assez longue pour faire disparaître la tendance m
ode assez longue pour faire disparaître la tendance maladive à boire, période qui, dans certains cas, doit être portée à deux o
y a 4 ou 5 ans, elle a commencé à manifester des besoins de boire aux périodes menstruelles et elle en est arrivée à prendre 5 à
s émotives qui. motu pro-prio. en dehors de notre volonté, entrent en période d'éréthisme. Elles s'élèvent, elles s'abaissent d
diagnostic certain. Eh bien! lorsque après avoir plongé un sujet en période de léthargie tout d'abord et avoir mis en œuvre c
isé la flaccibilité des muscles, etc.. on arrive à le faire passer en période de catalepsie, on constate alors, au point de vue
sque complètement le développement cérébral qu'ils doivent avoir a la période d'apogée. Voici encore une autre preuve à l'app
nce le tableau du véritable . surmenage cérébral si fréquent dans les périodes inquiètes de la vie de l'âge adulte. Il y a d'a
e employée a un lieu d'élection différent, le sujet ne reste pas à la période de léthargie ; il s'élève d'un degré dans l'échel
e d'un degré dans l'échelle des phénomènes hypnotiques. Il monte à la période de somnambulisme lucide, et alors il entend, il e
ctuellement elles expriment le calme et une douce langueur. C'est une période de détente qui se manifeste. La photographie expr
a plupart des expériences, le sujet E ne demeure pas cantonné dans la période de catalepsie. L'action stimulatrice de l'alcool
n stimulatrice de l'alcool le fait monter d'un cran, et il passe à la période de somnambulisme lucide. Alors il parle, devient
de véritables processus spécifiques, qui suivent d'eux-mêmes une période ascendante, une période de saturation et une péri
ssus spécifiques, qui suivent d'eux-mêmes une période ascendante, une période de saturation et une période de décours, suivant
d'eux-mêmes une période ascendante, une période de saturation et une période de décours, suivant que la substance alcoolique q
e. — Dans ces cas. le sujet hypnotisé, au lieu d'évoluer sur place en période de catalepsie silencieuse et de manifester sans m
renverse foudroyé par son émotion autogène et repasser ipso facto en période léthargique. J'ai obtenu des réactions semblabl
On s'assure de ce fait lorsque le sujet est revenu spontanément à la période de léthargie de retour et que l'hyperexcitabilité
ar la privation de la substance stimulatrice, est retombé d'emblée en période léthargique, comme cela se voit dans certaines ex
s son livre, le Dr Regnard n'est pas remonté au delà du moyen âge. La période qui s'étend du quinzième siècle jusqu'à nos jours
e aussi chez les hystériques. Les phases sont absolument semblables : période tétanique, période classique, période de grands m
stériques. Les phases sont absolument semblables : période tétanique, période classique, période de grands mouvements, puis les
es sont absolument semblables : période tétanique, période classique, période de grands mouvements, puis les hallucinations et
jours, qui n'était jamais restée plus de vingt et un jours entre deux périodes menstruelles, arrive par suggestion hypnotique à
durent trois jours au lieu de cinq à six jours. Dans les premières périodes après la suggestion, Mme H... n'arrivait pas jusq
s analogues à ceux de la grossesse accompagnent la prolongation de la période aménorrhéique. La suggestion lait acte d'inhibiti
oute suggestion est impossible. Parfois on se borne, « pour éviter la période d'agacement prodromique (ce sont les expressions
es oreilles moyennes, surtout accusées à gauche (otite chronique à la période d'hyperplasie et de ramollissement). Les sons imp
mme sujette à l'hystérie. A l'âge de la nubilité, c'est-à-dire à la période de la vie durant .laquelle le flux cataménial se
Au mois d'octobre 1887, pendant ses époques, la malade traversa une période particulièrement agitée. Son fiancé vint me trouv
istoire des développements de l'hypnotisme comprend trois phases : la période primitive ou mystique; la période empirique, au d
pnotisme comprend trois phases : la période primitive ou mystique; la période empirique, au dix-septième et dix-huitième siècle
période empirique, au dix-septième et dix-huitième siècle; enfin, la période scientifique qui s'ouvre avec les expériences de
e qui existe entre telle malade et une seconde mise dans les diverses périodes léthargique, cataleptique ou somnambulique du gra
é de convulsions et de secousses : d'intensité variable. Quand la période convulsive est terminée, le malade reste encore p
on doit la description classique de l'état hypnotique divisé en trois périodes bien connues : catalepsie, somnambulisme et létha
par le procédé à la Reine, et nous la maintiendrons constamment à la période de somnambulisme, sans arriver à celle de létharg
mais si le sujet ne dort pas profondément, comme cela arrive dans la période de catalepsie, alors la conscience n'est pas abol
le sujet s'endort plus profondément, il y a au contraire relâchement ( période de léthargie). D'autre part, si nous parvenons à
d'autre preuve qu'un seul cas, celui d'une hystérique qui, pendant la période som-nambulique de son attaque, m'ayant entendu di
hypnotiseur, la victoire reste souvent à l'utérus, surtout pendant la période d'expulsion. » 6° Certaines femmes accouchant
ou même la léthargie pendant la dilatation du col ; mais, pendant la période d'expulsion, on laissera l'hypnotisme de côté et
tenant à en faire connaître le résultat à l'Académie. C'est dans la période léthargique de l'hypnotisme que, suivant M. Luys.
quelle est inscrit le nom du médicament. Une fois le malade dans la période léthargique, M. Luys prend Un de ces tubes ce le
alors de lui mettre la camisole. Elle avait sans cesse, pendant cette période , l'injure à la bouche; elle se servait d'expressi
che, et depuis 4 mois que je la fais dormir pendant tout le temps des périodes menstruelles, je suis arrivé a remplacer l'agitat
s tels qu'il était nécessaire de lui mettre la camisole pendant cette période . Sous l'influence des règles, elle se roulait à t
D'abord suis-je justifié à dire que nous sommes, en France, dans la période des monographies ? Il est certain qu'il n'existe
succès que dans tout autre. Voilà un inventaire bien long pour une période bien courte ; et pourtant je n'ai parlé ni des pu
mportance et les résistances qu'il a dû vaincre. 11 est entré dans la période triomphante. J'ai peur qu'il n'ait triomphé trop
que savons-nous du fond des choses .' Il est probable qu'après cette période de production à outrance, la critique fera son œu
52 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
façon la plus impartiale, tous les travaux accomplis, pendant la même période de temps, dans le domaine de l'hypnotisme. Nos le
à-coups, ainsi que le développement de son organisme physique; à des périodes de paresse succèdent des phases d'activité, suivi
res pour l'élude que nous voulions faire du travail dans ses diverses périodes . Depuis longtemps déjà nous la préparions à l'i
e pour la première fois. Abandonnée à elle-même pendant la première période de la dilatation du col. elle supporte très impat
ouve bien dans cet état.' A partir de la dernière heure, pendant la période d'expulsion, nous n'avons plus eu d'action sur el
L'effet analgésique de l'hypnose complet et absolu, dans la longue période de dilatation du col, aurait-il donc été insuffis
Bien qu'elle eût paru ressentir vivement les dernières douleurs de la période d'expulsion, aucun souvenir de cette dernière pha
malade. Or, c'est dans cette grande crise et en général pendant la période qui correspond, quoique d'une façon vague, à la p
al pendant la période qui correspond, quoique d'une façon vague, à la période dite de délire, que se produisent les déroulement
nuit est employée par V... à des manifestations que nous résumons, la période du délire de l'attaque nous permettant de noter,
se plus avancée de sa vie, reproduisait à diverses reprises les mêmes périodes de son existence, mais en général on y retrouvait
fond, V... s'est retrouvé durant un temps assez long comme fixé à des périodes anciennes de son existence. Ainsi, le 10 octobr
e, comme aussi il n'est possible d'hypnotiser V... que dans certaines périodes distinctes de sa vie. Or, il est toujours facil
malade semble relire et dérouler sa vie passée en oubliant les autres périodes de son existence, et s'arrêter parfois comme pour
passion pendant des semaines sans manger et sans dormir. Pendant les périodes , leur caractère s'aigrit; ce sont des disputes et
es. Il est fréquent d'observer des dipsomanes qui, dans la première période de leurs accès, se livrent à toutes sortes d'exce
guérison ne peut être obtenue que par une sobriété forcée pendant une période assez longue pour faire disparaître la tendance m
ode assez longue pour faire disparaître la tendance maladive à boire, période qui, dans certains cas, doit être portée à deux o
y a 4 ou 5 ans, elle a commencé à manifester des besoins de boire aux périodes menstruelles et elle en est arrivée à prendre 5 à
s émotives qui. motu pro-prio. en dehors de notre volonté, entrent en période d'éréthisme. Elles s'élèvent, elles s'abaissent d
diagnostic certain. Eh bien! lorsque après avoir plongé un sujet en période de léthargie tout d'abord et avoir mis en œuvre c
isé la flaccibilité des muscles, etc.. on arrive à le faire passer en période de catalepsie, on constate alors, au point de vue
sque complètement le développement cérébral qu'ils doivent avoir a la période d'apogée. Voici encore une autre preuve à l'app
nce le tableau du véritable . surmenage cérébral si fréquent dans les périodes inquiètes de la vie de l'âge adulte. Il y a d'a
e employée a un lieu d'élection différent, le sujet ne reste pas à la période de léthargie ; il s'élève d'un degré dans l'échel
e d'un degré dans l'échelle des phénomènes hypnotiques. Il monte à la période de somnambulisme lucide, et alors il entend, il e
ctuellement elles expriment le calme et une douce langueur. C'est une période de détente qui se manifeste. La photographie expr
a plupart des expériences, le sujet E ne demeure pas cantonné dans la période de catalepsie. L'action stimulatrice de l'alcool
n stimulatrice de l'alcool le fait monter d'un cran, et il passe à la période de somnambulisme lucide. Alors il parle, devient
de véritables processus spécifiques, qui suivent d'eux-mêmes une période ascendante, une période de saturation et une péri
ssus spécifiques, qui suivent d'eux-mêmes une période ascendante, une période de saturation et une période de décours, suivant
d'eux-mêmes une période ascendante, une période de saturation et une période de décours, suivant que la substance alcoolique q
e. — Dans ces cas. le sujet hypnotisé, au lieu d'évoluer sur place en période de catalepsie silencieuse et de manifester sans m
renverse foudroyé par son émotion autogène et repasser ipso facto en période léthargique. J'ai obtenu des réactions semblabl
On s'assure de ce fait lorsque le sujet est revenu spontanément à la période de léthargie de retour et que l'hyperexcitabilité
ar la privation de la substance stimulatrice, est retombé d'emblée en période léthargique, comme cela se voit dans certaines ex
s son livre, le Dr Regnard n'est pas remonté au delà du moyen âge. La période qui s'étend du quinzième siècle jusqu'à nos jours
e aussi chez les hystériques. Les phases sont absolument semblables : période tétanique, période classique, période de grands m
stériques. Les phases sont absolument semblables : période tétanique, période classique, période de grands mouvements, puis les
es sont absolument semblables : période tétanique, période classique, période de grands mouvements, puis les hallucinations et
jours, qui n'était jamais restée plus de vingt et un jours entre deux périodes menstruelles, arrive par suggestion hypnotique à
durent trois jours au lieu de cinq à six jours. Dans les premières périodes après la suggestion, Mme H... n'arrivait pas jusq
s analogues à ceux de la grossesse accompagnent la prolongation de la période aménorrhéique. La suggestion lait acte d'inhibiti
oute suggestion est impossible. Parfois on se borne, « pour éviter la période d'agacement prodromique (ce sont les expressions
es oreilles moyennes, surtout accusées à gauche (otite chronique à la période d'hyperplasie et de ramollissement). Les sons imp
mme sujette à l'hystérie. A l'âge de la nubilité, c'est-à-dire à la période de la vie durant .laquelle le flux cataménial se
Au mois d'octobre 1887, pendant ses époques, la malade traversa une période particulièrement agitée. Son fiancé vint me trouv
istoire des développements de l'hypnotisme comprend trois phases : la période primitive ou mystique; la période empirique, au d
pnotisme comprend trois phases : la période primitive ou mystique; la période empirique, au dix-septième et dix-huitième siècle
période empirique, au dix-septième et dix-huitième siècle; enfin, la période scientifique qui s'ouvre avec les expériences de
e qui existe entre telle malade et une seconde mise dans les diverses périodes léthargique, cataleptique ou somnambulique du gra
é de convulsions et de secousses : d'intensité variable. Quand la période convulsive est terminée, le malade reste encore p
on doit la description classique de l'état hypnotique divisé en trois périodes bien connues : catalepsie, somnambulisme et létha
par le procédé à la Reine, et nous la maintiendrons constamment à la période de somnambulisme, sans arriver à celle de létharg
mais si le sujet ne dort pas profondément, comme cela arrive dans la période de catalepsie, alors la conscience n'est pas abol
le sujet s'endort plus profondément, il y a au contraire relâchement ( période de léthargie). D'autre part, si nous parvenons à
d'autre preuve qu'un seul cas, celui d'une hystérique qui, pendant la période som-nambulique de son attaque, m'ayant entendu di
hypnotiseur, la victoire reste souvent à l'utérus, surtout pendant la période d'expulsion. » 6° Certaines femmes accouchant
ou même la léthargie pendant la dilatation du col ; mais, pendant la période d'expulsion, on laissera l'hypnotisme de côté et
tenant à en faire connaître le résultat à l'Académie. C'est dans la période léthargique de l'hypnotisme que, suivant M. Luys.
quelle est inscrit le nom du médicament. Une fois le malade dans la période léthargique, M. Luys prend Un de ces tubes ce le
alors de lui mettre la camisole. Elle avait sans cesse, pendant cette période , l'injure à la bouche; elle se servait d'expressi
che, et depuis 4 mois que je la fais dormir pendant tout le temps des périodes menstruelles, je suis arrivé a remplacer l'agitat
s tels qu'il était nécessaire de lui mettre la camisole pendant cette période . Sous l'influence des règles, elle se roulait à t
D'abord suis-je justifié à dire que nous sommes, en France, dans la période des monographies ? Il est certain qu'il n'existe
succès que dans tout autre. Voilà un inventaire bien long pour une période bien courte ; et pourtant je n'ai parlé ni des pu
mportance et les résistances qu'il a dû vaincre. 11 est entré dans la période triomphante. J'ai peur qu'il n'ait triomphé trop
que savons-nous du fond des choses .' Il est probable qu'après cette période de production à outrance, la critique fera son œu
53 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nature syphilitique en mon- trant qu'elle peut se développer à une période très précoce de l'infection, à une période, par
peut se développer à une période très précoce de l'infection, à une période , par conséquent, où le lien causal saute bien m
us-orbitaires et les tempes, elle est à peu près continue, avec des périodes d'exacerbation accentuées surtout vers le soir.
t une détente, marquée surtout sur le côté gauche du corps. Cette période de calme est bientôt suivie d'une nouvelle crise
de l'élimination de déchets organiques trop abondants pendant la période d'agitation maniaque qui a terminé la vie, ou bie
rler, le. délire de négation, i qui ne s'est' ainsi 'révélé qu'aune période déjà avancée de la' maladie; à l'heure actuelle,
la rapidité d'évolution, et de l'autre l'amnésie complète ou de la période délirante, ou même de celle qui suit. Cette amm
n d'établir chez une détenue si l'acte incriminé a coïncidé avec la période menstruelle. Et sous ce nom de période, nous co
incriminé a coïncidé avec la période menstruelle. Et sous ce nom de période , nous comprenons non pas seulement les jours pe
névropalhique ou l'existence de, troubles psychi- ques pendant les périodes menstruelles antérieures, ou quand le -fait lui
rdres. L'auteur conseille'donc : 1° De prolonger dans les asiles la période de convalescence ; 2° De créer des maisons spéc
is cinq ans dans mon service et 64 SOCIÙTÙS SAVANTES. arrivé à la période ultime de marasme paralytique. Il mourut subi-
aralysie générale vraie. La pseudo-paralysie saturnine n'est que la période intermédiaire au saturnisme et à la méningo-enc
t que la paralysie générale vraie peut s'arrêter dans ses premières périodes . Les pseudo-paralysies générales ne sont donc q
ères périodes. Les pseudo-paralysies générales ne sont donc que des périodes de transition entre le saturnisme ou l'alcoolis
rable ou quand on n'en peut espérer la guérison dans le délai d'une période à déter- miner. P. K. Qu'il s'agisse de l'Ang
sistance , mixte qui en.,hospitalise[un. certain nombre pendant les périodes graves de leur< affection et assiste les aut
tiquért Silsn , i. - j ? i.-1-i *^, i f «* ICI tflf passent cette période avec succès, ils sont nommés assistants et sont
ité des produits, cette influence ne se mani- festerait que dans la période qui suit d'assez près l'extirpation de la gland
s on perçoit les signes d'une tuberculose' avancée,' arrivée' à' la période cavitaire. . r aum-r ? ` u , uu . : m nt` 1«I ?
racté la 1 syphilis en 1885 ; deux ans plus tard, c'est-à-dire aune période assez précoce, il est pris de douleurs' à parox
commence à souffrir du mauvais- étude son appareil de nutrition/La période de -résistance peut être-, fort longue ainsi qu
.Quant aux formes morbides, la psychopathie maniaque arrive à la période critique de l'attaque de grippe, la mélancolie ne
ons à vibration de différents tons. On peut pendant ou peu après la période hallucinatoire provoquer, par ces appareils, de
... , «.oj-'i. - -t·4c . 1 l - -1" .,a 1 ,. *. *,il y^'jyrii'ii t Période . de début. Apathie, céphalalgie, vertiges, tintou
dansles membres, contractures dans divers groupes musculpires.\ 'i Période -.d'état. Contractures 'survenant 'par accès so
chlorhydrique libre et organique, qui s'accentue sur- tout dans la période de diarrhée etde cachexie, contr'indiquerait une
mité dans le dosage, ce qui tient à ce que 1 on est''encore ' à1 la période de' tâtonnement j'irrestëT'pour'la^même raison)
périence, on doit trouver des résultats contradictoires suivant les périodes de la maladie auxquelles les examens sont faits
chentwcellésbdites. hypnagogiques , (qui,^se ? produisent -dans la; période intermédiaire. entre la veillent le^sommeil. Dé
ier mémoire'de' \I : lLannelonue;enthousiasme'àuquel a - succède la période dèidénigremenb»7. Il- signale les objections fa
REVUE ? DE' PATHOLOGIE* MENTALE. ( 287 -1 bientôt : c'est à cette période que la malade a tendance, à quitter son intérie
dmettre la, prédominance. du,sexe, masculin, =, Qüènt·ù a l'âge, la période de vingt à cinquante ans a,paru ,à l'autetir,p,u.
ois que l'idée de 'persécution'domine toujours fa, scène, même à la période des grandeurs. Pour l'école de M. Magnan, chaqu
même à la période des grandeurs. Pour l'école de M. Magnan, chaque période est caracté- risée par une'note dominante, laqu
érés. Etude' statistique de la réflectivité 'dans* les* différentes périodes de la pnafaly'siëïgéhérâleS ^M.'lBmYND^comrnuhi
relatives aux modifications des réflexes envisagés 'aux différentes périodes de la paralysie générale; : B : l les autres touc
es autres touchant l'ensemble de la réflectivité indépendamment des périodes . thtt)r- ,Ai C021elusio71s du et l'irrégula-
- rité pupillaires ne sont pas sensiblement plus fréquentes à'une période qu'à une autre.aob è-ièjl £ ,nsiî5nYiiîifq 9r5''j
e), altération-^ va., en progression continue'jusqu'à la, troisième période où elle. est maxima ? , 3 £ ,, Ili. Il n'y a pa
'il porte tous ses fruits ilestindispen- sable qu'il ait lieu à des périodes déterminées, commeiles concours -des hôpitaux d
netteté avec laquelle se manifestèrent ces troubles au cours d'une période de rémission, l'absence pro longée de tout autr
ier de couture; elle est tranquille, réservée et a conscience de la période ; q loi · CLINIQUE MENTALE. f ., ,T>, déli
angue, exagération des réflexes); la marche de la maladie, avec une période , de rémission xçaracté- risée, pailla dispariti
êt clinique mous voulons parler de l'apparition,. au. cours d'une ? période de rémission, , d'hallucinations motrices verba
la bouche et dans les dents. "Si," à'de rares' intervalles et à une période déjà- avancée' il lui'`ést'ârriâé"d'émployerrtè
du trijumeau (centre masticateur) est un plié- y nomène banal'à la période . avancée, dé la paralysie générale (mâchonnemen
'l{ ? }f'l"l , Observation,. XIV. Paralysie générale à la première période : étât·stationliaire péndânt,plus'd;un, an, luc
ccès délirants survenus au cours.de la démence paralytique et de la période de rémission, nous, avons à noter certains poin
t * , ,<^ : .U >*\ .cavtnmh -.me*.1 ? C'est au cours de, cette. période de rémission très 1 accentuée que survint le, t
, l'intelligence était suffisamment' conservée : aussi, après une période assez longue d'hésitation pendant laquelle la pat
es masticateurs. c) Apparition de ces hallucinations au cours d'une période de rémission, à l'état de symptôme ' isolé, san
rve com- munément sur le cadavre. L'aspect de la dure-mère, à cette période de la formation pachyméningitiqïïe7est d'ailleu
satrice du liquide céphalo-rachidien, la lésion passe à la deuxième période : il se fait à travers les vaisseaux superficie
ans les cas types, c'est à ce point précis que s'arrête(la deuxième période . «.. , , Quand l'excès de distension des vaisse
et si l'on ^n'observe pas plus ce coagulum fibrineux, c'est que la période pendant laquelle il peut apparaître est très cour
elle il peut apparaître est très courte. . La troisième et dernière période est la période hémorrliagique les hémorrhagies
paraître est très courte. . La troisième et dernière période est la période hémorrliagique les hémorrhagies primitives sont
s aussi, on la voit apparaître précocé;7sucédâlit à une très courté période de troublés vésaniques et', dans ces derniers c
ombre infini de cellules et peut aisé- ment induire en* erreur ? La période contemporaine fourmille de procédés et de mélan
ce- travail de 200 pages à l'élude des tra- vaux sur, la rage, à la période preco-romaine, au moyen âge,'et. xviie siècle.
r de leur naissance. 30j aujrnËX f, fri 9 : · 7 -.i,m'1 · 4;,af ]Ln période - dû·moyenâge,, estmoiys riche, de, faits, et fau
e, i Gordon, Jîuy, de Cliauliàc; peu d'originalité dans les écrits; période dej'igueur dans le traite- ment de la ragé, : l
s3 nuits sontïfj bonnes." Cet état persiste environ'six; mois,'puis période d'accalmie 11 ? jusqu'en mars 1890., s'nm sLpcs
nts semblables/chacune'à'une* quinzaine* de jours d'iutervalle °Les périodes intercalaires ne furent '. marquées par aucun p
la malade suit les conseils d'un médecin ucu- liste ! Durant'cette période , aucun phénomène anormal ne se serait produit,
étiologique, envisâgeons lai sÿmptë- matologie de l'affection" Deux périodes bien' distinctes la carac- térisent : l'une, la
ques. Anse prendre en considération que les symptômes de la seconde période , leur signification est des plus nettes, ils pr
écisent la paralysie générale progressive. Pour ceux de la première période , l'hésitation non plus ne paraît guère per- mis
.phénomènestdemé,me nature ^que, l'on, a, coutume d'observer - à,la période préataxiqùédu ``tabes.lbVÎz tf( -fi ? itonu af'
demain^ nouvelle crise, en tout point semblable,,et-cela durant,une période qui va de, dix. à. douze, jours. Elles ne se e
1 ? ? fB)U3 j,,^ n(.'l 1- 9- h i,^,Il jft- En .thèse générale, à la période préataxique, il n y a.pas.de fulgùratiôns;,t,le
'3,·8csT.GTeI,WG iî. ;-. oi^c ? î at . 1 A. Fournier. Leçons sur la période préalaxique du tabès, p~ 207. jl 12 i ui ? ...i
éaction normale .a.1 l'accommodation. f; ? . , .. , , . » , ..-2e période : ,7 ? Ouverture, pupillaire sensiblement égale d
te sa preté.ï ? ,i ra ` , .9lrj t,s·t^;s » ,01fyf0 «.rn,^ " I(J 311 période . rPupilles parfaitement égales : à- droite, .tout
e' très vague* avec ceux-de même nature que l'on observe*-1* à la j période J préataxique ? èt;r d'autre 1 pat)ldé"y ! nptôme
s prétexte que cela a déjà été fait. ° ' ' ' Pendant une première période d'une semaine, deux analyses d'u- rine ont été
ctuelles de l'or- ganisme de l'expérimentateur. Pendant une seconde période de huit jours, il s'est'soumis une ou deux fois
s deux jours une analyse d'urine était faite. Pendant une troisième période sans bains statiques, la fréquence du pouls, la
l pendant le. stadejprodromique et le stade initial; il cesse à une période plus avancée de la maladie.^ ., DiscussioN : M
durant la Archives, t. XXVII. - 30 466 BIBLIOGRAPHIE. première période , ils témoignent encore plus,, si c'est possible,
semblable- tâche et fassent comprendre aux familles que la-première périodes du traitement -médico-pédagogique est t hérissé
la -santé- générale-, 'il' peàt'surve' *nir dès le dixième jour une période "de-guérison'apparente,;mais-"dans les cas d'une c
54 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r dépressif. Exemples : les mélancoliques qui cherchent, pendant la période douloureuse du début de leur affection, sans ce
faut pour cela avoir la chance d'observer l'idée fixe à sa première période . Une fois, en effet, que les ma- ladies mentale
. A11P., s. 7, t. XV, p. r21. U Taret. MYSTICISME ET FOLIE. 35 La période naturaliste prend fin, l'homme a pu abstraire e
on serait tenté de croire, s'est toujours produite rapidement, sans période d'excitation bien vive. Au cours de la convales
L'importation, qui était en moyenne de 1.672.sou litres pendant la période 1881-1885, a atteint 2.967.300 litres en 1895 e
les villes ; les décès causés par l'alcoolisme comptés pendant des périodes quinquen- nales depuis 1856 jusqu'à 1896, ont é
été de 33, 22, 24, 29, 18, 10, 8 et 10,5 pour 10.000. Pendant la période de 1856 à 1890, 13,7 p. 1C0 des aliénés étaient
tant de 1826 à 1850, ont diminué depuis; ils avaient été pendant la période 1846-1850 de 109 par million d'habitants et par
1850 de 109 par million d'habitants et par an, et pendant les trois périodes quinquennales 1881-1896, ils sont descendus à 6
e était en moyenne par an de 194,5 par 100.000 habitants pendant la période de 1851 à 1855, elle n'était plus que de 180,3
a période de 1851 à 1855, elle n'était plus que de 180,3 pendant la période 1871-1874 et de 142,1 pendant la période 1891-1
us que de 180,3 pendant la période 1871-1874 et de 142,1 pendant la période 1891-1894. (Bulletin de l'Office du Travail de
l existe toujours des hallucinations dans le délire chronique à une période avancée. Le plus habituellement les premiers tr
l- lucinations multiples qui a succédé à l'idée fixe première. La période de transformation de la personnalité n'est encore
roupe, chez les agités chroniques, chez les débiles et déments avec périodes d'excitation ; chez les autres malades, son act
rphiniser par la méthode lente ; il y est parvenu trois fois, à une période où il ne prenait que des doses relativement fai
rt des accidents de la démorphinisation, conseille, pen- dant cette période , l'emploi des lavages d'estomac; ce moyen adjuv
tétanos généralisé se montre, l'enfant refuse toute nourriture, la période d'aggravation continue douze heures. Pour calmer
nfant commence à avaler du pain. On injecte le quatrième flacon, la période d'aggravation plus forte que les précédentes du
au la morphine. Le douzième jour on injecta le cinquième flacon. La période de réaction dura six heures et' fut très inquié
ait, les secousses disparaissaient, mais avec l'emploi ultérieur la période réactionnaire dura plus ou moins longtemps, mai
connus jusqu'à ce jour, où le sérum fut appliqué, pour juger si la période réactionnaire dépend de chaque individu ou si e
13. IX. Du sens algésique étudié chez les mêmes malades aux trois périodes de la paralysie générale ; par le De MARANDON de
bsenent REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 143 surtout au début et à la période ultime de la maladie. Elles n'ont du reste aucu
r affection mentale, on obtient le tableau suivant qui indique, par période de dix ans, la période il laquelle remonte leur a
obtient le tableau suivant qui indique, par période de dix ans, la période il laquelle remonte leur affection, et le nombr
affection, et le nombre des malades se rapportant à chacune de ces périodes décennales : 11 résulte de ce tableau que d'a
issement de la population saine d'après l'àge, exprimé également en périodes décennales, et où on voit également dans les ta
ppliquer. M. ARNAUD. Si la paralysie générale est encore dans une période d'évolution, au point de vue de l'histologie, la
ses et intéressantes observations de M. Chartier. Ce n'est qu'à une période avancée de la phtisie que la psychose peut pren
ic. Après avoir rappelé les signes qui révèlent la tuberculose à sa période de germination, signes d'uue haute valeur pour
mais primitif. Cependant notre observation III nous montre que la période de début d'une apoplexie progressive dans son e
e rétrocession ; elle est flasque bien qu'il puisse exister dans sa période d'établissement une rigidité passagère qui para
urée de la maladie. Nous avons vu, en effet, qu'il peut exister des périodes intercalaires de lucidité, une sorte d'améliora
plus d'évidence : de telle sorte que l'on pourrait considérer la période qui s'écoule entre les premiers accidents et le c
iode qui s'écoule entre les premiers accidents et le coma comme une période prodromique très prolongée et progres- sivement
it aux conclusions les plus divergentes en passant par deux grandes périodes : la première commencée par Rolando et qui a ét
algré la fièvre qui peut changer la manifestation toxique les trois périodes assez bien caractérisée. L'ivresse palustre app
pendant l'élévation de température. On y retrouve : une ébauche de période d'excitation de courte durée, qui fait place à la
e période d'excitation de courte durée, qui fait place à la seconde période (éb1'iellse) avec perturbations de l'intelligence
accès impaludique se termine, comme l'ivresse, par le sommeil de la période comateuse : sommeil profond avec perte complète d
Il a fait sept ans de service militaire en France ; pendant cette période , il a mené joyeuse vie : il reconnaît qu'il a bea
, dans la confusion mentale. Ces constata- tions, faites pendant la période aiguë de la maladie, ont été con- firmées par l
e tableau de l'ensemble des faits qui se sont écoulés pendant cette période de trouble cérébral. Peu à peu, en même temps que
rvé la notion la plus exacte; ceux au contraire, qui remontent à la période de début de son affection n'ont laissé, pour la p
u reste, la seule personne qu'il ait toujours reconnue pendant la période aiguë de sa maladie. A l'asile, « il a été comm
rébraux ont présenté un carac- tère d'acuité très marqué pendant la période au cours de laquelle la santé générale a été le
a été mas- qué dans une certaine mesure, pendant une assez longue période de temps, par un délire hallucinatoire (délire on
x premières phases du développement embryogé- nique ; il existe une période où ovaires ou testicules ne sont pas encore net
nez de la malade ayant été obstrué réellement pendant une longue période de temps, la respiration nasale constituait en ré
râne ; par ARE1LZ \. (Revisla de medicina y cirugia, 576.) . A la période de commotion succède une période d'anémie aiguë
e medicina y cirugia, 576.) . A la période de commotion succède une période d'anémie aiguë qui paraît indépendante de toute
de le vingt-cinquième ou le trentième jour, c'est-à-dire pendant la période d'excitabilité maxima. L'excursion de la pau- R
lombaire d'un idiot de dix-huit ans, mort subitement pendant une période d'agitation apyrétique ayant duré depuis plusieur
nor- male et qui réagissait déjà d'une façon pathologique dans la période prémorbide ainsi que dans l'intervalle des accès.
eux quelques différences de détail dont la plus importante est une période intervallaire de mélancolie continue. Quoi qu
itement il un moment variable des règles et se termine de même. Les périodes intervallaires sont lucides en général dit le D
rellement indiqués ; dans les accès de forme dépressive et dans les périodes dépressives si fré- quentes à la suite des accè
ze jours plus tard et continue jusqu'à ce jour. Pendant la deuxième période fébrile elle eut souvent des .accès d'opistotonus
ue celle du 13. Les dernières ont montré quelque différence dans la période de résolution. Au lieu des secousses tétaniform
ères en raccourci; durée, dix minutes. Le 28, une attaque ; dans la période de résolution, Gabiiel tout en poussant des cri
z deux patients un état de stupidité consécutif à l'agitation de la période d'hyperexcitabilité et d'hyperesthésie. En résu
amélioration de l'ataxie. Dans le troisième cas, tabes dorsal à la période pré-ataxique, la ponction fut purement expérime
ovale), avec troubles maniaques transitoires, corres- pondant à la période de début du processus nécrobiotique. « Les lési
s les plus prononcés; que ces troubles comprennent généralement une période prodro- mique avec tristesse ou excitation, hal
our les convalescents, les chro- niques, et les incurables'. Deux périodes peuvent être distinguées dans l'histoire du tra
es, plus rarement de délires maniaques subfébriles. Dans la seconde période , au contraire, le traitement par le lit est env
rescris le repos du corps... Le lit sera, pendant toute la première période du mal, une des grandes ressources du traitemen
soit mélancoliques, doivent être maintenus au lit pendant certaines périodes de leur affection, considérés comme malades phy
sile de llildesheim en '18vil, Eschenburâ 1 Lubeck en 1874. A cette période se rattache également un travail de Rabow0. E
Au bout de quelques mois ce délire cesse et est remplacé par une période de rémission. Pendant cette période de rémissio
cesse et est remplacé par une période de rémission. Pendant cette période de rémission, sans nouvel appoint alcoolique, s
ène encore de l'amélioration et le malade, entré dans une véritable période de rémission, va travailler aux ateliers de ser
éclipses rythmiques de leur excitabilité, et, presque toujours, les périodes d'excitabilité et de repos se succèdent, exacte
ant de l'attaque d'épilepsie : a) celles du jéjunum commencent à la période clonique de l'attaque, un peu après la cessation
1» celles de l'intestin grêle débu- tent à peu près au milieu de la période clonique ; c) celles du gros intestin apparaiss
clonique ; c) celles du gros intestin apparaissent soit pendant la période tonique,'soit pendant la période clonique ; ell
estin apparaissent soit pendant la période tonique,'soit pendant la période clonique ; elles se montrent assez souvent au déb
a période clonique ; elles se montrent assez souvent au début de la période clonique ; d) celles de la vessie paraissent d'or
ique ; d) celles de la vessie paraissent d'ordinaire au début de la période tonique. 4u Les contractions intestinales et vé
de l'autre à la même époque; atrophie bilatérale des papilles à une période plus avancée de la maladie.^ Atteinte ultérieur
e, on serait sans aucun doute étonné de leur conservation après une période très longue d'excitation chez les maniaques non a
e, 141. Du sens algésique étudié chez les mêmes malades au\ trois périodes de la - . pal' Marandon de )lontyel. 1.>2.
55 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
iles et en tout cas fort inopportuns. Elle a toujours eu de longues périodes de tristesse, alternant 4 PATHOLOGIE MENTALE.
délirants, tantôt au 6 PATHOLOGIE MENTALE. contraire, pendant les périodes de repos. Dans l'observation suivante, aux rire
des affections médullaires, L'évolution 'des symptômes jusqu'à la période de maladie confirmée, s'est faite assez rapide-
ère commun : ils appartiennent tous à une même époque, à une même période de la vie de la malade. Le plus souvent les cho
nnus, je préfère insister sur d'autres amnésies qui portent sur des périodes en apparence normales. Permettez-moi de vous ci
ulsions. Elle n'a jamais su au réveil ce qui se passe pendant cette période , il semble qu'il y ait là un oubli complet prod
l sur ce fait plutôt que sur un autre ? Pourquoi oublient-ils telle période de leur existence plutôt que telle autre ? Je m
six semaines, je n'avais retrouvé aucune mé- moire de cette longue période '. Cette femme présentait, comme cela arrive fr
roit et se trouvait également hémi-anesthésique gauche pen- dant la période des trois mois dont le souvenir avait été perdu
'était accompagné de la restauration de tous les souvenirs de cette période . Des faits de ce genre ont été, je crois, assez
stérie. Avec plus de précision, elle a, à la fin de l'attaque, deux périodes de somnambulisme différentes. Dans la première,
s les événements survenus depuis qu'elle est malade. Cette dernière période se termine par quelques convulsions et la malad
er, si on insiste. Elle nous raconte ce qui est arrivé pendant la période de sommeil qui suit la crise, que telle personne
pourra me le répéter, dans sa prochaine crise, pendant cette même période de sommeil. Ce sont donc là deux états à mémoire
deuxième somnambulisme de son attaque et réciproquement dans cette période de l'attaque elle se souvient de ses som- nambu
uses amnésies, ses crises, ses somnambulismes nocturnes, toutes les périodes du somnambulisme artificiel, de longues époques
erti par une sorte de vertige. La crise est classique : cri, chute, période tonique, période clonique et coma avec ronfleme
e de vertige. La crise est classique : cri, chute, période tonique, période clonique et coma avec ronflement. Il n'y a pas
ui a été longtemps un caissier modèle dans cette maison. Dans ces périodes de crises dipsomaniques, il est, dit sa femme,
rappelle très bien l'état spécial dans lequel il se trouve dans ces périodes ; il s'en rend parfaitement compte. « Je voudrais
premiers jours de mai 1890. Elle a été immédiatement précédée d'une période de dipsomanie qui a duré une dizaine de jours.
dement et corrigées par le jugement; on les retrouve du reste à une période ultérieure, tardive de la paranoïa. Appelons-le
l s'agit maintenant de savoir s'il a accompli son crime pendaut une période de luci- dité ou pendant qu'il était irresponsa
masse du stade initial, et dans les accidents paralytiques de la période terminale. Toutefois, les phénomènes bulbaires pr
. Parce que l'on nous envoie des épileptiques dan- gereux aussi par périodes . Enfin parce que nous gardons des aliénés incur
mplement. Or, quand on songe' 92 SOCIÉTÉS SAVANTES. au nombre des périodes initiales de psychopathies, à la quantité de le
oir été un témoin oculaire et nous nous rappelons avec bonheur la période florissante où le célèbre professeur réunit autou
elle attribue également une influence malfaisante ou funeste. Par périodes , cette obsession- du treize devient insupportable
et bientôt la peur la saisit et l'inquiète. Elle a eu de longues périodes de calme sans idées obsédantes; mais celles-ci
les mots mort ou enterrement. * A diverses reprises, elle a eu des périodes de dépression avec des idées mystiques et de pe
u velou- tée d'une pêche. ' Il a présenté à diverses reprises des périodes de tristesse, quel- quefois même des idées de s
trois jours. Il a présenté au cours des expériences deux ou trois périodes de calme d'une dizaine de jours. 180 PHYSIOLOGI
on recueille vers 8 heures du matin, à l'aide de la sonde, avant la période clonique d'un accès, l'urine de Sep..., dont vo
cueille à une heure de l'après-midi, à l'aide de la sonde, avant la période clonique de l'accès, l'urine de Mon... Or, Mo
squ'à la mort du cobaye. II). Le 2 octobre, on recueille avant la période clonique du deuxième accès, à l'aide de la sond
ets de jour. Un accès de nuit. (A remarquer la longue durée de la période de calme avec des urines très toxiques.) 11 a
ction nettement acide, contenant un peu de sang (commencement de la période menstruelle), filtrées. Q 1070c.c.. . . Lapin
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. -DE LA TOXICITÉ URINAIRE. Urines pendant la période de calme. 28 avril. Hug... peut être considerée
de calme. 28 avril. Hug... peut être considerée comme étant'dans sa période calme. Elle n'a pas de délire depuis la dernièr
Coeffi- cient urotoxique : 0,212. , 4 mai 1892. On profite de la période d'obnubilation qui suit immédiatement la série
ai), 2 heures de l'après-midi; le soir du 4 mai, commencement de la période délirante. 1 Urines recueillies du 3 mai, 4 h
d'amblyopie transitoire soient séparées, alternées et marchant par périodes distinctes. 1 Comment reconnaître si le syndrôm
s froides et quelquefois pendant plusieurs jours de suite, et à des périodes très rapprochées. Il y a à peu près un mois, en
traitement des trauma- tismes crâniens, et bien longtemps avant le période historique elle-même, la trépanation du crâne a
gros aux yeux des chirur- giens qu'à l'époque moderne, surtout à la période d'hospitalisa- tion. C'est ainsi que Corneliu
Paralysie faciale périphérique tout au début de la syphilis, à la période du premier exanthème, alors qu'il ne saurait être
épileptoide jus- qu'au parfait et complet développement des quatre périodes de Charcot. Chez une seule et même malade on a
onds d'anxiété qui disparaît avec l'arrivée de la démence. Dans les périodes avancées, on rencontre un délire pseu- do-mégal
et comme le délire d'énormité, elle représentait pour Cotard une période très avancée du délire typique. D'un autre côté
après ce que j'ai pu observer, celte phase est précédée d'une autre période qui n'a pas été assez mise en lumière, période
précédée d'une autre période qui n'a pas été assez mise en lumière, période de doute ou de délire d'interrogation, pendant
ropos, pour aboutir ensuite à la négation confirmée. Entre ces deux périodes il y a une phase ou interroga- tion et négation
état nosologique spécial. Je ne peux voir dans leur apparition une période nouvelle s'étageant sur d'autres anté- rieures
avec idées de ruine, craintes de supplices, en février survint une période de calme qui ne dura guère que quinze jours, au
nc il y a des faits où le délire des négations succède à une longue période de mélancolie anxieuse, il en est d'autres où il
semblable, au moins com- parable, celui d'une femme qui, après une période d'accidents neurasthéniques et dyspeptiques trè
ne, a présenté les symptômes d'une paralysie générale à la dernière période . Au bout de quelques mois, les signes du satur-
onsidérée comme une entité morbide distincte, mais comme une simple période de l'évo- lution du saturnisme vers la paralysi
lit une observation sur un cas d'hystérie avec automatisme dans la période d'aura des attaques; variations spon- tanées de
roduction de l'attaque dont elles cons- tituent en quelque sorte la période d'aura, pour disparaître avec elles, c Il me se
de l'insomnie, de l'inappétence, des vomisse- ments. Pendant cette période , le fonds émotionnel change, le malade devient
e. A sa suite, tous les phénomènes d'automatisme qui ont signalé la période d'aura ont complètement disparu. Il existe chez
t dans un sens absolument parallèle. C'est ainsi que, au moment des périodes d'automatisme, on voit le champ visuel se rétré
nt du champ de conscience, s'augmentent chez un hystérique dans les périodes d'automa- tisme où la désagrégation psychique,
Il ne croit pas que ce médicament puisse avoir de l'action sur les périodes maniaques de la folie circulaire. M. MABILLE ne
us envoyer. La température ACTUELLE.-Nous venons de traverser une période de chaleurs exceptionnelles. Les cas d'insolati
depuis cette époque, elle a présenté à diverses reprises de courtes périodes de tristesse, jusqu'à vingt-deux ans. A cette é
restaurant Duval et l'oc- cupe jusqu'au 28 février 1890. Dans cette période son état de santé empira continuellement; les r
ux ou trois fois par semaine, plus fréquemment la nuit et pendantla période de menstruation avec les mêmes caractères. Dans
antla période de menstruation avec les mêmes caractères. Dans cette période l'état mental de Mme Gi... était notablement tr
nous paraît extrême- ment intéressante; on y trouve à une certaine période de son évolution un type clinique parfait d'épi
402 PATHOLOGIE NERVEUSE. le plus absolu pendant un mois ; à cette période il commença à tous- ser, particulièrement le ma
passé par Cha... dans la clinique (douze jours), et pen- dant cette période le malade n'a pas présenté d'attaques. En outre
té à la Salpêtrière jusqu'aux premiers jours de juillet. Dans cette période il a présenté des attaques en tout semblables a
e avec l'hystérie qu'avec l'épilepsie. En outre de cela, pendant la période comateuse de l'attaque, Bar... crie : « Maman !
on provoque des douleurs qui s'irradient dans le ventre. Dans cette période de temps, il avait de temps à autre des accès d
Dia- noux. Mais, justement l'examen de ces photesthésies dans la période initiale (d'excitation) de la narcose par chlorof
substance - cérébrale, qui peut être suivie dans certains cas d'une période de congestion (Latham). Cette hypothèse fut rep
admis pour expliquer l'amblyopie transitoire. En effet, pendant la période des prodromes et le premier temps de la douleur
ment de nature hystérique, ou liées à l'épilepsie partielle dans la période prodromique de la démence paralytique, le syndr
à être soustrait à la vie commune et placé dans un asile pendant la période la plus longue de l'évolution de sa maladie. Ma
sur le terrain de la folie onze ans avant son arrestation, par une période d'inquiétude des plus manifestes avec jalousie
et de sodium pourrait agir avec plus d'efficacité dans la première période du mal, en permettant des rémissions; dans les de
56 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Les choses se passent en général de la façon suivante. Pendant la période apoplectique, toute 34 CLINIQUE NERVEUSE. exp
se précipite sur le sol et se contusionne le crâne et la face. Des périodes de calme succèdent à l'agitation, mais il reste
he semble avoir été assez singu- lière. Il y aurait eu une première période durant laquelle on n'aurait observé qu'un accès
ses d'ergot de seigle, 0,20 contigr. avant chaque repas pendant des périodes de quatre jours séparées par des intervalles de
suicide. En dehors de ces symptômes, surviennent souvent, dans la période ultime du morphinisme, des accès de fièvre qui mé
onostic relativement favorable. I. Cent sept cas appartiennent à la période fébrile. L'alcoo- lisme étant établi comme terr
s lesquels l'hérédité exerçait une influence indéniable. Ceux de la période fébrile, d'une durée de quatre, douze jours à d
être rattachées à l'exis- tence de l'hyperthermie (stade initial et période de suppura- tion) ou de l'asthénie (phase d'éru
et période de suppura- tion) ou de l'asthénie (phase d'éruption et période terminale). De là le maintien des deux catégori
héniques se développent : les unes, avec la chute,de la T. entre la période d'éruption et la fièvre de suppu- ration ; les
er la raison du délire asthénique qui peut se montrer à celte seule période . En cette double occurrence, on a affaire à une
cillité succédant pendant la convalescence à un délire gai de la période fébrile. Durée habituelle : une semaine. Gué- r
lables aux délires initiaux (formes de pas- sage) ; puis ceux de la période d'état de l'affection : c'est alors qu'intervie
urt que 21,8 p. 100 malades en proie aux accidents psychiques de la période d'état. Les symp- tômes défavorables sont : les
emples relatifs à la. fièvre récurrente, dont cinq appartenant à la période fébrile (manie furieuse) et un au stade apyréti
fection septique. Le pa- ralysé général dont il s'agit, arrivé à la période de démence, subit pour une arthrite fongueuse u
détention qui ressor- lissent au ministère de l'intérieur dans une période de dix années. Tous les ans on compterait cinqu
nels et délinquants aliénés qu'observa M. Guttstadt dans la même période z83 hommes, 136 femmes), il s'est écoulé moins de
ès trente-six heures de durée cet état cède la place à une nouvelle période de moyenne agitation avec loquacité qui dure un
ité qui dure un temps égal pour être remplacée à son tour par une période de calme et ainsi de suite. La fin de chaque péri
n tour par une période de calme et ainsi de suite. La fin de chaque période est marquée par la diminution de l'agitation au
ngtemps. Les rémissions observées ne consti- tuaient pas de simples périodes d'épuisement nerveux, car on re- marquait penda
s que la patiente se souvint de ce qui s'était passé au cours de la période d'agitation ; elle savait simplement que quelqu
ter- valle des crises fit disparaître la régularité du type dans sa période et dans sa durée. La séance est levée sur cette
ataxie est une manifestation appartenant presque exclusivement à la période ter- tiaire : elle peut apparaître à toutes les
ode ter- tiaire : elle peut apparaître à toutes les étapes de cette période , mais elle est surtout fréquente de la sixième
ssi M. Fournier insiste-L-it avec soin sur la symptomatologie de la période de début, préataxiquo du tabès; en particulier
ulier sur les troubles oculaires etgénito-urinaires. Au début de la période ataxique, l'incoordination motrice peut passer in
axiques ; 2° développement du tabès presque exclu- sivement dans la période tertiaire de la vérole ; 3" association fréquen
tre part, les mélancoliques à idées de culpabilité, arrivés à une période plus ou moins avancée de leur maladie, revêtir
délire des persécutions, dont elle n'est souvent que la première période , et c'est surtout l'évolution diverse des deux
Le délire hypochondriaque, surtout moral au début, devient, à une période plus avancée et surtout quand la' maladie passe
t inverse. L'hypochondrie du début est surtout physique; mais à une période plus avancée, les malades se préoccupent de leu
ure chez les néga- teurs : elle frappe brusquement, souvent vers la période moyenne de la vie, des personnes dont la santé
érisent par les symptômes de la démence. Pen- dant une assez longue période , ces infortunés ont la perception de leur état
rs précédée, comme l'a établi 111. Doutrebente dans sa thèse, d'une période mélanco- lique. Or, tandis que les malades ' n'
. Hérédité congestive. Paralysie générale progressive à la première période , datant de deux ans. Conscience des troubles ps
que, et préférant la mort à de telles tortures morales. Après une période de début plus ou moins longue, la folie progres
ode de début plus ou moins longue, la folie progresse et passe à sa période d'état. D'ordi- naire la conscience est vaincue
és bientôt dans tous leurs détails. D'autres fois, il y a durant la période d'état comme des éclaircies de raison ; la cons
e la folie que nous avons vue pour ainsi dire caractéristique de la période de début ne se retrouve plus ici. Entre ces deu
ralement aux conceptions, mais pas régulièrement à chacune d'elles ( périodes dans lesquelles le malade peut résister). Le mé
e malade, toujours aussi incapable de se souvenir et d'analyser les périodes de l'évolution de sa crise, de les reproduire m
Coupard. Thèse de Paris, 1882. Des périostoses crâniennes dans la période secondaire de la syphilis ; pat' N,UDET. Thèse
ge se répète fréquemment, et se termine par la chute, il existe des périodes franches de calme dans lesquelles l'affection d
terre et pousse des gémissements. Ces paroxysmes alternent avec des périodes d'immobilité et de mutisme. 1-0 C... prétend qu
cès maniaques suivis de stupeur, ne conservait aucun souvenir de la période d'excitation. Vidal et Legrand du Saulle. (Aîi7
s. L'une d'elles avait un bec-de-lièvre. Chez l'une, existaient des périodes d'excitation et de dépression ; chez l'autre, d
projets de suicide. Eu six mois, il fait cinq places, et après une période de dépression avec idées mélancoliques il est r
elle de chaleur, états à distinguer des véritables fris- sons de la période de consomption (Trousseau). La sensibilité tact
de l'oreille ? M. Raynaud6 a décrit l'otite moyenne survenant à la période ultime de la phthisurie. Chez une malade de Tro
bien des opi- nions admises, et pas plus que ce qu'on observe à la période terminale de la plitllisie pulmonaire, n'est fa
font relever cette rétinite de l'albumi- nurie qui survient à cette période du diabète. Il ne croit pas cependant la chose
compte, soit pendant le délire, soit à un autre moment. Mais cette période passée, il sembla totalement aphasique, et, mêm
e NERVEUSE. 377 semaines. L'abcès chronique est caractérisé par une période latente prolongée, interrompue parfois par des
s que lien ait pu faire soupçonner son existence. La durée de cette période latente varie de quelques semaines à plusieurs
n de la tête, d'une affection fébrile aiguë, ainsi qu'à la première période de la paralysie générale. » ' R. DE M.-C. XVI
traitement de la paralysie générale. La maladie, même à la dernière période , n'est pas une contre-indica- tion à l'anesthés
57 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
ncore cet avantage, c'est que personne ne peut y être soumis à aucune période , à moins de consentement libre ». Et il ajoute :
s de suite il s'abstient pendant trois ou quatre semaines. Pendant la période d'alcoolisme, le malade boit à tel point que, la
ivresse il est très colérique et capable de toutes les violences. Les périodes d'alcoolisme vont se rapprochant. Pendant ces pér
violences. Les périodes d'alcoolisme vont se rapprochant. Pendant ces périodes le malade boit seul. Lorsqu'il vint chez moi pour
en distinguer les alcooliques et les dipso-manes. Ceux-ci boivent par périodes ; ce sont des dégénérés mentaux. Devenus mélancol
s quantités considérables et sont difficiles à intoxiquer. Pendant la période dépressive, on ne peut pas les empêcher de boire
e dépressive, on ne peut pas les empêcher de boire ; c'est pendant la période de calme qu'on doit les entrainer à ne plus boire
gt;! Bérillon. — En soumettant ces malades à la suggestion pendant la période de calme, on arriverait, sinon à guérir, du moins
t-être encore plus curieux par ce qu'il se -produisit en dehors de la période carnavalesque et dans un temps où les travestisse
odeur pénétrante exhalée par les parties génitales des femelles, à la période du rut, qui est le principal stimulant de leur ex
quatre fois. J'obtins le sommeil hypnotique du 2e degré. La première période de l'accouchement se passa sans -douleurs. La mal
poir et sous l'influence de ces idées noires. Vint ensuite une courte période de joie, quand elle connut mon retour. Mais l'éco
loi du somnoforme qui avait eu de bons résultats dans les 2??• et 3me périodes de l'accouchement antérieur. PÉDAGOGIE DES EN
uatre jours, pour que l'enfant récupère son poids de naissance. Cette période initiale de la vie est donc perdue, en général, p
s en proie à ces rêves et à leurs conséquences inconnues. Pendant les périodes du sommeil narcotique qui sont favorables aux sug
e et un souvenir très-exact de tous les actes accomplis pendant cette période d'excitation fugace. Matignon eut l'occasion d'
s semaines après cette tragique aventure, se souvenait d'avoir eu une période de grande excitation cérébrale, et d'avoir tenu d
du fait que signale Victor Meunier. On connaît à quel degré, dans la période du rut, les individus males dans un grand nombre
n corpore virili inclusa, et cette transmutation datait delà première période embryonnaire, avant la différenciation des organe
cachais dans mon lit et que je baisais avec exaltation. Puis vint une période malheureuse que maintenant encore je maudis. Celu
bien mis en lumière par l'analyse psychologique de la malade dans la période de sa vie qui peut être considérée comme l'état d
de sa vie qui peut être considérée comme l'état de santé. Dans cette période la personnalité de la malade est constituée par t
il arrive elle ne regrette jamais ce qu'elle a fait. Dans toute cette période de sa vie, la malade donne l'impression d'un cara
nt attirés l'un vers l'antre par la perception olfactive et que, à la période du rut, il s'exhale de leurs parties génitales un
, qu'un embarras. La caractéristique de son état mental, tant dans la période de sa vie où elle était en santé que dans la péri
al, tant dans la période de sa vie où elle était en santé que dans la période de maladie, est l'exagération. De même qu'elle ét
rée, une prédisposée névropathique héréditaire.Dans tonte la première période de sa vie, elle nous apparaît comme une femme d'u
atisme, les phénomènes morbides ne s'installent qu'après une certaine période de rumination, de même la suggestion ne produit t
me le dit très justement ?1. Magninl'hystéro-traumatisme comporte une période de rumination et celle-ci est principalement noct
lisme, le malade traverse, d'après lui, trois phases : d'abord, une • période de fatigue », puis une * période d'influence somn
s lui, trois phases : d'abord, une • période de fatigue », puis une * période d'influence somnambulique » et enfin une - périod
igue », puis une * période d'influence somnambulique » et enfin une - période de passion somnambulique ». La première phase se
rquable qui se maintient depuis deux ans. Mon observation touchant la période de fatigue est, en principe, la même que celle de
pe, la même que celle de la plupart des hypnothérapeutes de Nancy. La période d'influence et la période de passion de Janet off
a plupart des hypnothérapeutes de Nancy. La période d'influence et la période de passion de Janet offrent plus d'intérêt que la
uence et la période de passion de Janet offrent plus d'intérêt que la période de fatigue. La période d'influence est caractéris
passion de Janet offrent plus d'intérêt que la période de fatigue. La période d'influence est caractérisée par la disparition c
ierre Jaoet : Névroses et Idées Tires. Parle 1904. bulisme. Cette période peut durer de quelques heures à quelques mois. II
ématique, au bout d'un temps plus ou moins court et alors apparaît la période de passion somnambulique. Celle-ci est caractéris
cependant quelque peu sa façon de voir en déclarant plus loin que les périodes de passion somnambulique ne sont autre chose que
s rapportée à la nature de la maladie.Le seul fait spécifique dans la période de passion serait donc le désir qu'a le malade d'
st qne palliatif. Il dit cependant que chez la plupart des malades la période d'influence tend à se prolonger. Pour ce qui conc
donne pas, à mon avis, une réponse satisfaisante. Il reconnaît que la période d'influence se prolonge en raison de la durée de
ivre ce genre de traitement. En parlant des malades chez lesquels les périodes d'influence sont de courte durée, il dît : « Il e
bservateurs ne se sont accupés du sexe de l'enfant. Ce n'est qu'à une période assez récente que l'on s'est demandé s'il y avait
inte, l'hypnose expérimentale offre moins d'inconvénients qne dans la période préliminaire. Si une suggestion ne se réalise pas
qu'à un degré très avancé. Nous venons, il est vrai, de traverser une période très Fâcheuse de notre esprit guerrier, comme je
un monument historique d'une haute importance. Nous sommes en pleine période féodale, période qui durera jusqu'au troisième si
orique d'une haute importance. Nous sommes en pleine période féodale, période qui durera jusqu'au troisième siècle. Ce ne sont
es élèves, les Nobles portent le sabre ou l'épée ! C'est durant cette période que naissent Confucius et Laocius. Confucius est
nt Général termine la dynastie des Han. Nous sommes à la plus belle période de l'Histoire de Chine, la période des Trois-Boya
Han. Nous sommes à la plus belle période de l'Histoire de Chine, la période des Trois-Boyaunies (San-Koué) c'est elle qui a f
, cette Armada périt dans un typhon avec plus de 80.000 hommes. Une période de calme semblait régner depuis quelques années,
tout chinois soucieux de la dignité de son pays de se rappeler cette période pendant laquelle les exigences arbitraires de l'é
et qu'elle sait que par ordre du médecin elle doit y rester pour une période de temps prescrite et limitée. Dans d'autres ca
énomène, les vibrations du train peuvent avoir provoqué l'arrivée des périodes , mais je ne puis pas ne pas croire que les six mo
onoré la gloire des armées : Koang-Ti, ce fameux général de la grande période chinoise des Trois-Royaumes, n'est-il pas eu quel
tain d'une évolution vers la guérison. La raideur réapparaît avec les périodes d'accès de l'hystérie, de la neurasthénie et de l
est du devoir des parents et du médecin de s'en occuper, car c'est la période d'une thérapeutique relativement facile et il fau
sans réflexion de sa part. Quant à la fascination du mâle pendant la période du rut, elle existe ; le chien notamment en donne
as ne donner son plein effet qu'après un certain temps, une veritable période d'incubation ». Ces observateurs ont même ajout
la traduction d'objets extérieurs, et qu'il se présentât, pendant la période primaire surtout, sous forme de jeu. Dans G « Ini
breux pointe, en ce qui concerne son mode de terminaison, et aussi sa période d'invasion. Si le retour à l'état normal, au li
nt tourmentée par l'excitation génitale qu'elle éprouvait pendant ses périodes de malaises gastriques. En terminant, je tiens
de lésions définitives, car après la guérison, ou simplement dans les périodes de rémission, les malades recouvrent habituelleme
suggestive, /lierapolitique révolutionnaire au premier chef. » Une période d'une vingtaine d'années s'écoula entre la public
confiées k l'Assistance publique : j'ai adopté pour ce classement les périodes suivantes : 1° Enfants abandonnées dès leur nai
de dégénérescence mentale avec, dans la plupart des cas. débilité et périodes d'excitation, ou tentative de suicide, perversité
phrases dont les idées accessoires se succèdent et s'emmêlent. en périodes superposées, appelant l'attention, la tendant, la
58 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
les phases de son existence, en s'étendant principalement sur la période de son aliénation mentale prétendue. Il me remit
fet, ce n'était pas le type Lasègue, puisqu'on ne retrouvait pas la période des inter- prétations morbides préparant l'érét
s du sens musculaire sont pour ainsi dire la règle dans la première période de l'hémiplégie cérébrale, il nous est plus dif
orté par l'auteur est un cas de folie aiguë dé- veloppée pendant la période florissante de la syphilis. C'est une forme de
mastérien et du pharyngien étudiés chez les mêmes malades aux trois périodes de la paralysie générale; par nI. DIAR1NUON de
de ces réflexes, leur degré et leur fréquence relative aux diverses périodes et dans les diverses formes de la paralysie gén
que les autres (dans plus des deux tiers des cas), à la pre- mière période de la paralysie générale, et, par la suite, il es
de la déchéance du sujet, tant au physique qu'au moral, avant la période des grandes attaques. E. BLIN. XII. Un cas de p
ner lieu à une expertise : 1 dans l'état de maladie, 2° pendant les périodes de lucidité et 3° après sa mort. Dans l'état de
é et 3° après sa mort. Dans l'état de maladie il faut distinguer la période prodromique, la période d'état et la période de
ans l'état de maladie il faut distinguer la période prodromique, la période d'état et la période de démence. Pendant la pér
il faut distinguer la période prodromique, la période d'état et la période de démence. Pendant la période prodromique le s
odromique, la période d'état et la période de démence. Pendant la période prodromique le système nerveux central du préve
ceux qui présentent un caractère de morbidité plus accentué. A la période d'état ainsi qu'à celle de démence il va de soi q
ier des sug- gestions étrangères au sommeil lui-même; c'est dans la période hypnagogique qu'on utilise alors avec le plus d
. Quelques particularités intéressantes ont été notées pendant la période d'amélioration ; ce sont les suivantes : 1° desqu
ensibilité, suivie de sclérose. Dans ces conditions, et la première période de la maladie consis- tant en de simples altéra
auteur expose que dans la syphilis tertiaire, tout comme aux autres périodes de la maladie, il faut un traitement énergique et
et duraient trois à quatre heures chaque nuit. Jamais il n'eut de période de tristesse ni de mélancolie au début de sa ma
degré extraordinaire. Il ne manque peut-être jamais à une certaine période de la maladie, à moins d'une déchéance précoce
. Il arrivera un moment où le chiffre des nouveaux aliénés dans une période 134 ACTUALITÉS. de temps donnée sera inférieu
34 ACTUALITÉS. de temps donnée sera inférieur à celui de ceux de la période pré- cédente et d'autant moindre que les causes
respectifs, jugés atteints d'une affection mentale longue, ou d'une période aiguë à évolution pro- longée. Il convient cepe
ssi les bromures se montrent- ils surtout utiles dans les premières périodes du traitement, pour engourdir l'irritabilité co
essive habituelle, que la mort ne survient pas, pendant la première période , il la suite de mala- dies incidentes ou d'un t
basée que sur 14 individus dont la moitié sont morts à la première période , au bout de 2 à 4 mois. Il est d'ailleurs imp
on n'est pas fatalement progressive, mais elle présente souvent des périodes de rémissions très longues. C'est la forme lent
tique quelconque présente, comme d'ailleurs le sommeil naturel, des périodes aussi favorables à la suggestion que l'hypnotis
la selle que tous les huit jours. Elle souffre beaucoup pendant la période de ses règles; elle n'a jamais de pertes. Elle
igrissement de la malade qui mangeait excessivement peu et qui, par périodes , ren- dait à peu près tout ce qu'elle prenait.
résumé le bénéfice de l'intervention a été passager, et, après une période de repos, les attaques sont revenues comme avant.
ire intermittente. Il s'agit d'un paralytique chez lequel, avant la période définitive dans laquelle les pupilles devinrent
ndrie, la démence précoce, la démence sénile, la phrénasthénie, les périodes interparoxystiques de l'épi- lepsie et de l'hys
sychose mé- lancolique reuvent cependant se développer à toutes les périodes de la vie, le plus souvent à la période moyenne
se développer à toutes les périodes de la vie, le plus souvent à la période moyenne. La femme est plus prédisposée que l'ho
ée L'évolution est divisée en une d'incidents psychopathiques, à la période aigué et une chronique suite desquels peut surv
aura existe, même lorsqu'elle est insensible à l'état de veille, la période tonique est une phase d'immobilisation, d'angoiss
la période tonique est une phase d'immobilisation, d'angoisse, la période clonique d'agitation, de fuite, de lutte; enfin l
oppe à mesure que la maladie progresse, et n'existe pas encore à la période initiale. Dans ces différents cas, le traitemen
losophe qui puisse diagnostiquer la folie ». La possibilité pour la période prodromique de durer plusieurs années ajoute so
a difficulté du diagnostic, sans compter que les symptômes de cette période , comme ceux des périodes suivantes d'ailleurs,
ic, sans compter que les symptômes de cette période, comme ceux des périodes suivantes d'ailleurs, peuvent être influencés p
n ou la perte de la puissance sexuelle est souvent précédée par une période d'activité génitale exagérée. Ou ne sau- rait t
agnostic à ne pas admettre que la démence paralytique à sa première période est caractérisée par un ensemble bien défini de
rité des cas les réflexes profonds sont exagérés durant la première période ; quant aux réflexes tendineux ils demandent à ê
La sensibilité géné- rale n'a pas été suffisamment étudiée dans les périodes de début, mais si l'on se reporte aux lésions n
on d'observer que l'auteur conseille une étude très attentive de la période initiale de la paralysie générale et recommande
é. Pas de stigmates hystériques. 10 avril. Elle est en ce moment en période menstruelle ; se plaint toujours d'étourdisseme
e, voulant se précipiter pour obéir à l'appel des démons, etc. La période délirante prend fin avec le retour des règles qui
nous avons cherché à savoir si, pendant sa fièvre typhoïde ou à la période de convalescence, X... n'aurait pas eu de local
moment, et quelques semaines après la brûlure, mais qu'après cette période d'amélioration passagère, les crises sont reven
némie persis- tante des éléments nerveux, comme par exemple dans la période ultime de la paralysie générale, le poids spéci
e, comme dans le délire aigu, la folie épileptique alcoo- lique, la période congestive delà paralysie générale, le poids spé-
es pupilles par la paupière s'expliquerait, d'après Galassi, par la période de réparation au début de laquelle serait l'ocu
'état de veille. deve- nait intermittent pendant le sommeil : à une période d'apnée absolue qui dure sept à huit secondes,
période d'apnée absolue qui dure sept à huit secondes, succède une période de respiration composée de dix à douze mouvemen
développement du canal médullaire et du cerveau rhomboïdal dans une période qui corres- pond environ au deuxième ou troisiè
res. La mortalité de l'asile de Dijon e<t assez élevée ; pour la période septennale qui s'étend de 1892 à 189S, elle a é
s souffrances, les privations et les secousses de cette douloureuse période avaient rendus plus nombreux. Une ambulance fut
atastrophes sociales sur la production de la folie. Pendant cette période de deuil, Bouchereau fit tout son devoir. Le jo
in qui fut appelé immédiatement. Plus récemment, dès le début de la période de vingt-huit jours que notre malade accomplit
n'est le traitement spécifique. Par suite de cela, à la fin de la période plus aiguë de la syphilis qui donne diverses af
nt cette Archives, 2° série, t. IX. ' 26 402 CLINIQUE NERVEUSE. période de son séjour temporaire dans l'organisme, il agi
s- paraissait. Parfois, dans les cas invétérés du tabès, quand la période des douleurs aiguës et lancinantes est déjà passé
malade ne conservait aucun souvenir des actes accomplis pendant la période délirante. Cet homme n'étant ni un buveur d'hab
l'état aigu d'alcoolisme ou de manie alcoolique et d'autre part la période paroxystique de la folie épileptique, celle qui
e mental qui est caractéristique de l'état post-épileptique, et une période durant laquelle, bien que la conscience soit ab
c doit être beaucoup plus réservé chez les malades qui n'ont pas de période de sommeil après l'attaque et chez ceux qui ont
tabes classique, le mari est lui-même tabétique, mais encore à la période préataxique. Il nie la syphilis et reconnaît avoi
mari, qui a eu un chancre en 1879, est aussi tabétique encore à la période préataxique. Considérant ces deux cas et les se
u aussi les contractions lentes et traînantes, il a constaté que la période latente de l'excitation corticale du muscle est
dire pas de diffé- rence chez le nouveau-né entre la durée de cette période latente et le temps que demande à s'effectuer l
dans le dos et les jambes. Les anesthésies ne surviennent qu'à une période avancée de la maladie et il peut y avoir dissoc
eints et les troubles oculaires font presque toujours défaut. A une période avancée, surviennent des troubles du rectum et
aquant le système nerveux central prédisposé de ceux qui sont de la période de déclin de leur vie. POULAIID. XXXIV. Forme
une intoxication alcoolique profonde, accompagnant quelquefois la période d'épuisement après l'usage prolongé des narcotiqu
rs la fin de la deuxième semaine. Ponction lom- baire à la dernière période : liquide séreux, abondant, stérile. Tableau cl
ent. Ces troubles laryngés apparaissent brusquement au moment de la période fébrile d'invasion de la maladie; ils suivent la
lysie générale. Troubles com- parés des dlvels réflexes aux trois périodes de la -, par llalandon de Monlyel, 46. De la ch
59 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
emportements violents. Pas de maladies caractérisées pendant cette période . Nous parlerons plus loin de ses antécédents hé
ets du shock nerveux n'ont pas cessé de se faire sentir pendant une période de trois mois. Toutes les nuits pendant ce temp
Le lendemain 27, de nouvelles attaques se produisent, suivies d'une période de délire ; elle s'écrie : « Ce n'est pas moi q
s phénomènes convulsifs, semblent avoir été réduites à la troisième période (attitudes passionnelles). Le délire est essen-
solée et prolongée de l'attaque d'hystéro-épilep- sie, la troisième période , dite des attitudes passionnelles. Pen- dant de
t la règle dans les paralysies hystéro-trau- matiques il y a eu une période de méditation ; ce laps de temps nécessaire pou
- taque, durant aussi l'état mental si profondément troublé de la période délirante consécutive à celle-ci, le terrain étai
cieux, le sommeil assez bon. La menstruation est régulière, mais la période menstruelle est toujours l'occasion d'une recru
lassique de la grande attaque hystérique, avec prédomi- nance de la période de clownisme. Nous n'insistons pas sur la des-
moins nets que ceux de la motilité, chez les épileptiques, dans les périodes qui suivent et séparent les accès convulsifs. S
lbl., 1888, 277. DE L'ÉPILEPSIE CORTICALE. 1'19 soutient que, des périodes de convulsions toniques et cloniques qui consti
qui succède à l'ablation du goitre, on constate chez le chien, à la période convulsive consécutive à l'extirpation du corps t
ir les lois qui régissent l'évolution nosographique, voici venir la période critique. Il s'agit maintenant de discerner les
ns fétide; le drain est toujours en place. Alors commence une bonne période . Les forces sont revenues : -. P... se lève, ma
ons intermittentes remarquées pendant la vie, surtout à la dernière période ). TRAUMATISME AVEC PERFORATION DU CRANE. 183
ont entrés à l'asile des aliénés criminels de Broadmoor pendant une période de vingt-trois ans z1861-1887). Il constate tou
r la dégénérescence granulo-graisseuse, et le cerveau même dans les périodes avancées. C'est là le principal processus dégén
symptômes cliniques de la para- lysie générale correspondent à une période déjà avancée de ses lésions anatomiques ; tant
ur l'alcoolisme chronique ^comme cause de la paralysie. » Après une période d'excitation de '.cinq à six mois, surviennent
siste le caractère d'incurable. Il y a lieu de distinguer certaines périodes où l'assistance s'impose aussi à certains autres
stade convulsif s'observent quelques oscilla- tions ; puis vient la période de stertor, au cours de laquelle la tem- pératu
; elle s'élève même au-dessus, de quelques dixièmes, au cours de la période de résolution ; l'existence de ce plateau consé
nfin une modification complémentaire des urines, correspondant à la période ascensionnelle finale, mais non à la période de
, correspondant à la période ascensionnelle finale, mais non à la période de crise; on trouve une notable quantité d'acide
tte époque, persistance des mêmes préoccupations délirantes, avec périodes plus ou moins longues de rémission relative. Depu
iffi- " eut tés de l'opération, malgré sa simplicité. La première période est plus favorable pour l'application de ces ag
rapeutiques ; ils provoquent des rémissions et même dans la seconde période ils sont indiqués comme augmentant la résis- ta
moment de la défervescence fébrile (une observation). Voilà pour la période fébrile. Enfui, elles peuvent survenir huit à q
tre d'entre elles, l'onde mens- truelle (graphiques) montre que les périodes de dépression ou d'excitation se manifestaient
sement et réchauffement oscillatoire des centres nerveux pendant la période d'activité, d'où il résulte que le travail cérébr
on. Des crises de ? )'Mont été observées plusieurs fois pendant les périodes d'accès. BIBLIOGRAPHIE. 289 Dans plusieurs ca
mum de fréquence de la maladie. . Durée. - Les crises forment des périodes durant de une à plu- sieurs semaines, périodes
s crises forment des périodes durant de une à plu- sieurs semaines, périodes après lesquelles tout disparaît complète- ment,
est donc la nature' de cette affection ? L'excitation réflexe de la période active de la dentition peut, dans certains cas,
t faire leur apparition à un âge où la dentition n'est pas dans une période active, on ne peut ranger cette affection parmi
l'avait relatée en ces termes : « L'urine au début de la deuxième période du tabes peut avoir une composition normale...
jà et que l'accident n'a influé que sur l'apparition de la deuxième période du tabes. En effet, Rec... raconte que, depuis
délire de persécution ne survient pas d'emblée, qu'il succède à une période d'incubation plus ou moins longue (qu'à mon sen
écution n'est plus une affection distincte; il n'est que la seconde période , la seconde étape d'une maladie mentale à évolu
ose systé= matisée progressive (Paul Garnier). Après une première période d'incubation, d'inquiétude, pen- dant laquelle
ong, succède le délire ambitieux. La démence constitue la quatrième période ou phase termi- nale. Or, quels sont les poin
professe que le délire ambitieux arrive fatalement comme troisième période du délire chronique. Il me paraît important d'é
ade. L'intelligence est atteinte depuis plusieurs années; après une période de persécution, la maladie a rapidement évolué
rnot tolère les traitements qu'on lui inflige; c'est sans doute une période d'épreuve qu'il doit traverser, mais il trouve
précédent, un bel exemple de délire chronique ; les trois premières périodes ont été très nettes. Depuis assez longtemps déj
pparence indifférent à ce qui se passe autour de lui. C'est à cette période qu'il semble tombé en démence, et je suis persu
repris à 10 h. 35. - M. Bourne- ville arrive au moment où après la période épileptoïde, le malade fait l'arc de cercle leq
fortement dilatées, la respi- ration bruyante. ' . Une troisième période épileptoïde survient marquée par le cri « Euh !
e inférieur droit, tandis que le gauche est soulevé à 45°. Nouvelle période épileptoïde débutant par le même cri étouffé que
h ! oui, quand je suis sorti j'ai trouvé Paris changé ». - Nouvelle période épileptoide. Repos, respiration toujours bruyan
e côté gauche, puis il retombe brusquement à genoux. Cri étouffé, période épileptoïde, secousses tétaniformes. Repos. Eva
convulsifs latéraux, la bouche est déviée à droite. Puis il y a une période de stertor, avec ronflement pendant laquelle le
dée comme l'autre d'un gémissement. Il est impossible de saisir une période tonique; les convulsions cloniques arrivent pre
ns diverses. 11 a à son réveil perdu complètement le souvenir de sa période de sommeil. 7.-On l'hypnotise de nouveau et on
rie de secousses tétaniformes de plus en plus rapides suivies d'une période de stertor avec écume. Il est bientôt prisd'une
ses iétaniformes de plus en plus rapides, après quoi sur- vient une période de stertor, avec rapidité de -la respiration et
ussi intenses d'un côté que de l'autre.-La crise se termine par une période de stertor bruyant, avec résolution complète et
20 nouvelle attaque avec : 1° rigidité; 2° phase tétani- forme ; 3° période clonique avec mouvements étendus; 4° stertor. A
ar les viandes saignantes et les bains sédatifs, et pen- dant celte période , il eut deux ou trois attaques. Il eut huit atta-
és et les globes oculaires convulsés en haut et en dedans. Après la période de résolution il rouvre les yeux. Le regard est
che, léger stertor. Il se retourne alors brusquement. - 1° Nouvelle période épileptoïde, puis secousses tétaniformes des ja
st de 12 p. 100, pour les femmes de 4 p. 100." . ' En divisant la période de trente ans comprise dans ces recherches en t
d'un homme de quarante-deux ans, paralytique général à la première période et chez lequel on a constaté l'existence de tum
e gauche. Intégrité de la moelle. Cirrhose hépatique fréquente à la période d'atrophie (épaississement des parois vascu- la
n. ' Somme toute, l'amylène n'exerça d'action spéciale ni sur les périodes d'agitation, ni sur les crises d'angoisse, ni sur
communes et principalement de la commune de Berlin ; pendant cette période , pas un seul suicide rie put être exécuté. Mais
odium et dans la restriction rapide de l'usage du narcotique. Cette période de restriction dure de dix à douze jours. (Rev.
60 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
des attaques vulgaires. Les choses restent telles quelles pendant une période de temps variable qui,chez notre sujet, ne dépass
ne forme grave. Depuis cette époque en effet, c'est-à-dire durant une période de six mois, les crises nerveuses, avec les troub
médicine de nancy L'amnésie du sommeil provoqué peut s'étendre à la période qui a précédé le sommeil. 11 m'arrive souvent, da
e typhoïde prolongée, avec délire ou stupeur, à partir d'une certaine période , du huitième jour, par exemple, ont oublié pendan
ndant leur convalescence, non seulement ce qui s'est passé pendant la période de délire ou de stupeur, mais encore ce qui s'est
udiées, déterminer une amnésie rétroactive, c'est-à-dire étendue à la période préexistante. LES FORMES INFÉRIEURES DE L'ACTIV
n au moment où il se reforme •près le sommeil, l'esprit passe par une période de rétrécissement naturel et inévitable. C'est le
et grandir. Il y a d'abord, comme dans toute maladie virulente, une période d'incubation ; l'idée nouvelle passe et repasse d
crimes ne peuvent pas être punis lorsqu'ils ont été commis pendant la période délirante aiguë ou subaiguë d'un accès d'alcoolis
l'hystérie le lait lui parait incontestable. Souvent, en effet, à la période secondaire de la syphilis on voit se manifester d
terminantes de l'hypnotisation. J'ai hâte cependant d'arriver á une période nouvelle de progrés dans l'étude de l'hypnotisme
de suggestion verbale de Nancy, pratiquée sans violence et après une période d'entraînement par persuasion d'autant plus prolo
uer de délire de persécution ou de délire mélancolique anxieux, à une période avancée de la maladie, tout en conservant toujour
'après mon maître M. le professeur Charcot, c'est précisément à celle période que les phénomènes psychiques acquièrent leur plu
hagie. Ici, il n'y a plus lieu du distinguer la vaso-dilatation de la période léthargique de la vaso-constriction de la catalep
a trouvons dans un excellent état. Elle est restée ensuite une longue période de temps sans nouvelles métrorrhagies. OBSERVAT
i, dans le traitement des troubles menstruels par l'hypnothérapie, la période de somnambulisme sera l'état le plus favorables a
de médecin. C'est la première ordonnance qui lui a été délivrée à une période de sa maladie où l'emploi du médicament était jus
apoplectique commune de l'hémorrhagie cérébrale, ce n'est ni dans la période de paralysie qui suit l'ictus, et dont le pronost
uit l'ictus, et dont le pronostic n'est pas encore dégagé, ni dans la période d'encéphalite réactionnelle qu'il faut tenter d'a
remblant et nerveux, ne sachant rien de ce qui s'est passé dans cette période , mais se rappelant parfaitement les (ails intérie
n général, dans un grand dégoût pour les aliments. Puis, il y a une période de dépression mentale, alternant avec de l'assoup
n état normal, seulement un peu nerveux. Le troisième stade est une période d'insomnie pendant laquelle le malade est exessi-
pendant quelques minutes seulement, et à se réveiller. On a ainsi une période de sommeil succédant à la veille. On arrive a s'e
ouvements respiratoires fréquents, amples et précipités. Or, dans les périodes de sommeil et de réveil qui ont succédé, le révei
le chloral, par la morphine et par tous autres narcotiques, avait des périodes aussi suggestiblesque l'hypnotisme somnambulique
e de l'affirmation de M. Rilat. La chlorophormisation, à la fin de ia période plus ou moins notable d'excitation nerveuse, et d
les précautions nécessaires pour voir si je réussirais à prolonger la période de suggestibilité, et de cette répétition sortit
uggestion donna le résultat obtenu. Je suggérai aux autres pendant la période de suggestibilité de chlorophormisation, qu'ils r
'accompagne et par les suggestions; de transformation, faites dans la période opportune du sommeil. Ceci était concluant, qua
s l'inhalateur suffirent pour provoquer, en moins de cinq minutes, la période suggestible du sommeil anesthésique et j'entrepri
est : Par la chlorophormisation préalable et la suggestion dans sa période suggestible, on arrive toujours à l'hypnotisati
uérir, je vis se dérouler la grande crise d'hystérie, avec les quatre périodes classiques ; je continuai la suggestion, sans m'i
dans cet état, comme à l'état normal. A partir du mois d'avril, les périodes d'état normal deviennent de plus en plus longues
s qui, sans cela, sont, parait-il, irrégulières et peu abondantes. La période menstruelle produit toujours une augmentation de
versation où à continuer la lecture ou l'ouvrage commencés pendant le période de somnambulisme précédente et qu'elle avait oubl
ement des dents, sifflements, etc., (phase tonique). Vient ensuite la période des grands mouvements, véritable attaque de clown
alade se hisse en s'y accrochant par les pieds, etc., etc. Pendant la période de délire qui suit, la malade voit des chats, (qu
on existence toute entière, tandis que dans l'état normal, toutes les périodes d'état second en sont complètement effacées. No
e. On peut provoquer chez elle, avec une extrême facilité, pendant la période cataleptique et le somnambulisme, toutes les hall
longtemps, entravé la marche progressive vers l'amélioration; chaque période menstruelle, par son retentissement sur le systèm
oisins, le tonnerre, la fou-dre la faisaient trembler. Puis, vient la période de formation accompagnée d'étourdissements, de dé
00 francs. Par surcroit, il tomba malade (fièvre, délire) pendant une période d'instruction militai e. Comme la plupart des t
2" S'il y a discontinuité entre les phénomènes de conscience de la période de condition seconde et ceux de la vie normale, i
y a, au contraire continuité entre les phénomènes de conscience des périodes de condition seconde. Ainsi, Emile X..., dans s
Emile X..., dans son état normal, ignore ce qu'il a fait pendant les périodes d'automatisme ambulatoire, mais il suffit, en le
ondamné, par le tribunal de Vassy, pour filouterie commise pendant sa période d'automatisme ambulatoire. Le jugement a été annu
e chez les vieillards, M. le Dr Thivet montre que le suicide, à cette période de la vie,est plus fréquent qu'on ne le croit gén
l'auteur étudie l'évolution générale dans les pays créoles pendant la période esclavagiste, pendant la période d'émancipation e
ale dans les pays créoles pendant la période esclavagiste, pendant la période d'émancipation et pendant ce qu'il appelle la pér
ste, pendant la période d'émancipation et pendant ce qu'il appelle la période d'assimilation. Au temps de l'esclavage, dit-il
l'autre, lorsque le sujet ignore ce qu'il a fait pendant une certaine période de son existence. Mais l'amnésie est elle consume
courage de se supprimer; il souhaite qu'on le fasse mourir. Dans les périodes de calme, il reste déprimé, voit tout en noir; le
érébrospinal dans les manifestations symptomatiques, surtout dans les périodes aiguës. Dans ces périodes, les hallucinations t
stations symptomatiques, surtout dans les périodes aiguës. Dans ces périodes , les hallucinations tenaient toute la scène. A pe
e éréthisme, et l'hallucination surgit. Notre malade, même dans ses périodes de calme, possédait le pouvoir d'évoquer l'appari
le eût cessé de venir me voir de temps en temps. Pendant cette longue période de temps, nous avions pu constater, un grand nomb
sont, en ce qui regarde l'attaque: 1° l'attaque convulsive aux quatre périodes ; 2° l'attaque bornée à l'une de ses périodes ou a
ue convulsive aux quatre périodes; 2° l'attaque bornée à l'une de ses périodes ou avec prédominance de cette période : forme épi
'attaque bornée à l'une de ses périodes ou avec prédominance de cette période : forme épileptoïde, léthargique, etc. ; 3° l'att
, etc. Dans tous les cas, les résultats des analyses, comprenant la période des vingt-quatre heures à partir du début de l'at
sur des hystériques plongées dans l'état hypnotique que. pendant les périodes de léthargie, de catalepsie et de somnambulisme p
ant lesquelles.à bon droit, ils reculent. Asiles u'aîtente pour les périodes de remission de l'aliénation mentale M. Gilbert
ce problème. L'imagination s'est donné libre carrière, et, devant une période bien des fois séculaire, nous ne sortons pas du m
s le pays étrangers. 30 p. in 8° 1887. icard. — La femme pendant la période menstruelle : 1890. Alcan. 380 p. in-8° FéRé.—
même état pathologique se reproduit. Le somnambule possède ainsi deux périodes distinctes: l'une, dite normale, dans laquelle il
inctes: l'une, dite normale, dans laquelle il n'a que le souvenir des périodes normales : l'autre, somnambulique, dans laquelle
, somnambulique, dans laquelle il se rappelle les événements des deux périodes . C'est le phénomène de la mémoire alternante et l
ui- « librer, et conditionnée, déterminée, fixée par les moments ou périodes « d'équilibration, c'est-à-dire par leur solidari
e d'Amsterdam. Compte rendu des résultats obtenus pendant La première période bis-annuelle 1887-1889 (Comptes-rendus du congrès
61 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
spasmodique, après un lent développement pour arriver à sa dernière période , guérit quelquefois complètement soit pour repa
tes de paraplégie spasmodique par mal de Pott arrivée à sa dernière période , à la contracture des membres inférieurs, et no
t les différentes heures du jour, ou mieux, pendant les différentes périodes de la journée, (matin, après-midi, nuit), chez
tre ridicule ! « mais tout aussitôt elle recommence. A de certaines périodes elle se croit obligée de res- ter debout pendan
use et prétentieuse à l'excès; vers dix-huit ans, elle traversa une période de tristesse pendant laquelle elle se sentit pr
'extraordinaire jusqu'à vingt-huit ans; elle eut alors une nouvelle période de dépression mélancolique qui dura deux ou trois
et pleurs involontaires analogues aux tics. Boutes sur l'Infini. Périodes dépressives irrégulières dans tout le cours de la
debout. Depuis cette époque jusqu'à soixante ans, il a traversé des périodes irrégulières de dépression aux- quelles se sont
durée, et de temps il autre, depuis cette époque, se produisent des périodes .mcuuL, t. X. 1 1 162 pathologie mentale. d
. Observation III. Mère très émotive. Dèséquilibration men- tale. Période 'dépressive et accès de délire alcoolique avant l
r plus de sécurité, il ne voyage plus qu'avec un Bottin. A diverses périodes il a été poussé à se rappeler des airs qu'il av
traitements : hydrothérapie (1881, 1882, 1883) : c'est durant cette période qu'ila a eu le moins d'accès; bromure de nickel
, la dix-huitième une, etc. On y voit aussi très nette- ment que la période de raccourcissement du muscle est sen- siblemen
sen- siblement égale dans toutes les contractions,- tandis que la période de relâchement (qui correspond sur le tracé aux l
. psych. (janvier 1882). Un cas de dédoublement de la personnalité. Période amnésique d'une année chez un jeune /tysté- riq
Le malade ne peut nous fournir de renseignements sur cer- taines périodes de sa vie, dont le souvenir lui échappe. Nous r
e qui n'a qu'une grossière analogie avec celui de Chcyne-Slokes, La période d'apnée ne se limite pas ici à quarante ou cinq
il souffre n'empêchent pas la thoracalgie de reparaitre. Dans ses périodes de somnambulisme provoqué, on le soumet facilem
nomène nouveau. Son caractère est modifié. Il était doux pendant la période de contracture; il est indiscipliné, taquin, vo
rimant fortement le tendon, et le malade entrait de nouveau dans la période de somniation ou dans l'état de veille. L'attaq
" 2 ? 2 Cl RECUEIL DE FAITS. n'avait encore présenté qu'une seule période d'état second, à savoir : les douze mois (mai 1
res inférieurs. Au mois de janvier 1884, il tombe dans une deuxième période d'état second, coïncidant encore avec une contr
, avait autant de lacunes dans la mémoire qu'elle avait présenté de périodes antérieures d'état second. Pour user de la phra
souvenait alors de tout l'ensemble de son existence, à la fois des périodes d'état prime et des phases antérieures d'état s
ue, il est l'ana- logue du sujet de M. Azam. Mais, dans la deuxième période d'état second que nous avons observée (janvier-
servée (janvier-avril 1884), il ne s'est pas souvenu de la première période d'état second (mai 1879, mai 1880). Le malade s
tracture. Car, et ceci est le point essentiel de l'observation, ses périodes d'état second ont exactement coïncidé avec des
ut à fait au début de la maladie, soit dans le cours de la première période du tabes. Cette paralysie guérit habituellement.
lement aucune trace dans la mémoire (équivalents psychiques), des périodes d'obnubilation durant souvent des jours entiers,
somatique, én)o- tion dépressive, spontanéité), on rencontre, à la période d'acmé ou parfois prématurément, une diminution
se livrer ad travail et jouir de la plus grande liberté pendant les périodes d'accal- mie, voire au sein de leur famille ; a
icultés se pré- sentent que pour les aliénés périodiques; quand lés périodes 1 Vôy. Archivés dé Neurologie, t. V, p. 369 ; i
M. Rieger. Toutes les difficultés gisent dans les alternatives de périodes de calme, de raison et de folie. Détenir dans un
el épileptique sous prétexte que, malgré ses allures normales de la période lucide, il peut toujours commettre un acle qui
riase qui se présentera, le dernier facteur entraut en jeu dans les périodes les plus avancées de l'accès. Il y a quelques a
à preuve que, depuis la mort de ses parents, il avait accompli une période de vingt-huit jours en 1875, et une autre pé- r
saniques, frappés d'un développement incomplet de l'intellect, à la période de la puberté, rusés et men- teurs, empressés à
ques, frappés d'un déve- loppement intellectuel incomplet qui, à la période de la puberté, ont allumé des incendies multipl
. Durant cette année, on a remarqué, comme les autres années, des périodes de une ou deux semaines durant lesquelles il est
sme convergent et asthénie générale. Elle était turbulente avec des périodes d'excitation; elle avait de mauvais instincts. El
comme un coup de fouet donné au délire et pourra être l'occasion de périodes d'agitation maniaque fort dangereuses. Or, si
. Avec les idées délirantes dispa- raîtront aussi petit à petit les périodes d'agitation maniaque, quelquefois excessive, qu
inhibitoire des agents hypnotiques peur influencer directement; les périodes d'agitation sont aussi souvent dues à des troub
boule remonte graduellement à la gorge et l'attaque se déclare. La période épileptoïde n'est re- présentée que par des sec
violentes secousses, pas d'écume ni de stertor. - Arrive ensuite la période de grands mouvements, parmi lesquels l'arc de cer
s, parmi lesquels l'arc de cercle antérieur dorsal est constant. La période des attitudes passion- nelles manque souvent, c
ement. Ce qu'il y a de plus particulier dans les attaques, c'est la période des hallucinations et du délire qui est très lo
r la compression de l'ovaire gauche et si on peut le faire avant la période délirante, le délire habituel reste ce qu'il étai
poison qui lui fait si mal à la tête (clou). 4. - Attaque : dans la période de délire, on veut lui faire boire du poison, i
e de l'hyperesthésie dans les zones citées. 9. = Deux attaques avec période de délire très longue et hallu- cinations (corb
uivent toujours. 21. - Plusieurs attaques convulsives suivies d'une période très longue de délire loquace. Même état maniaq
par des clignotements des paupières et de profonds soupirs. Dans la période léthargique nous trouvons le phénomène caractér
res et demie, et la malade réveillée n'a aucune conscience de cette période . Le mal de tête est toujours moins fort, et les
'une attaque. Ayant remarqué déjà l'influence des attaques, de leur période de délire, sur le retour des idées déli- rantes
ai dit qu'il n'y avait plus d'agents politiques. Pendant toute une période qui dure jusqu'au 15 septembre, la malade est t
, est calme, cause raisonnablement. 8. -Attaque convulsive avec une période de délire où elle voit des taureaux, du sang, d
suicide. C'est l'époque des règles. 1885. - si janvier. - Courte période d'excitation génitale : pas d'onanisme. 13. A
e tremblement diminue la marche est possible. Pen- dant toute cette période la malade n'a cessé de demander si on était bie
sée au début par de simples interprétations délirantes; survient la période d'hallucination de l'ouie, puis s'ajoute la sys
mme d'un de nos confrères des plus dis- tingues, commence, dans ses périodes d'excitation maladive, ses harangues, vers huit
un séjour à Sainte-Anne. Tout son souvenir est borné à cette courte période de sa vie. Troisième état. - Variété du précéde
e Saint-Georges. Tout ce qui précède, tout ce qui suit cette courte période de sa vie, lui est totalement étranger. Quatriè
ostic d'intégrité absolue, ont perdu plus tard, notamment quand une période de somnolence a passé par là-dessus, le sou- ve
e connaissance, laissèrent à leur suite de l'hébétude. Pendantcette période d'hébétude, pen- dant ces trois jours consignés
l'insula; on cons- tate la disparition de ces éléments à toutes les périodes et dans toutes les formes de la démence paralyt
paralytique sous les formes les plus variées et à n'importe quelle période de son évolution(43 h. 4 f.); les observations so
62 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
DE MAL ÉPILEPTIQUE. Il 1 majorité des cas, nous avons eu, ici, deux périodes bien distinctes : l'une convulsive, l'autre dit
nt, les malades succombent et l'état de mal est composé d'une seule période ; d'autres fois, et Lamb... rentre dans cette c
s, et Lamb... rentre dans cette catégorie, on observe une seconde période dont la durée, chez elle, a été assez courte. S
elle, a été assez courte. Selon la règle, il y a eu, entre ces deux périodes , une espèce de répit. En effet, après l'applica
é peu marquée, transitoire, est plus prononcée et plus longue. La période méningitique, de son côté, a une durée plus gra
et 0 gr. 15 le bromure de camphre, ne nous a rien pro- curé. Cette période de tâtonnements a duré près d'un mois. Alors, s
1873, elle avait eu 35 accès et 871 vertiges, elle n'a eu durant la période correspondante de 1874, pendant laquelle elle a
mettre en regard des accès notés pendant le traitement, ceux de la période correspondante de l'année ou des an- nées précé
ur l'accepter une première fois pendant deux mois, et, durant cette période , les attaques furent notablement moins fréquent
tenses et plus rares. Actuellement (9 février), II... est dans la période des palpi- tations cardiaques. Elle u'ofl're au
6 RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES. dû 1 ? janvier au 1er septembre 1875; ( période correspondant au traitement) on n'a compté que
, Ko... a eu 9 accès et 7 attaques ; du 1r mai au 31 décembre 1874 ( période de traitement), elle a eu 15 accès, 14 attaques
sque toujours, ce- pendant, nous avons pu noter, durant la première période de l'intoxication, un ralentissement de cette f
rite d'amyle détermine une sensation de vertige, coïncidant avec la période de chaleur et de . congestion de la face; puis,
la malade mange n'impose quel aliment. A différentes reprises, par périodes , vomissements loi RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES.
de la craie. Puis, dans les deux ou trois derniers jours de cette période , elle ressent des douleurs qui siègent au sommet
e des lèvres se creuse profondément : de là, un aspect hideux. 2° Période de rigidité générale; - 3° période démoniaque sui
nt : de là, un aspect hideux. 2° Période de rigidité générale; - 3° période démoniaque sui- vie de secousses cloniques, de
ojette violemment contre les barres de son lit ; c'est durant cette période qu'on assiste à une série d'actes bizarres. Ler
ouvent à ces cris, à cette agitation violente, succède une nouvelle période convulsive, ou bien on voit survenir une sorte
le bruit que font, les chiens qui mordent quelque chose. Nouvello période convulsive. Contorsions des membres ; grimaces
rdre. La respiration, rare, pour ainsi dire suspendue pen- dant les périodes convulsives, devient alors très-fréquente. Ces
rise d'une atta- que subitement, sans cri initial. Après une courte période té- tanique, suivie de ronflements, elle s'est
e dirigent en haut et à gauche, la rigidité est générale. - A cette période en succède une autre, caractérisée surtout par
ontracture. M. Char- cot fait administrer le chloroforme. Après une période d'exci- tation assez courte, on obtient la réso
e vagin, n'ont pas discontinué. Elles sont plus marquées durant les périodes où les urines sont très-diminuées. C'est surtou
pitations cardiaques, laryngisme, phénomènes céphaliques. - - La période convulsive n'avait rien de spécial. - La crise
ion qui a été signalée dans le cours de l'observation, une nouvelle période d'oligurie reparaît (jan- vier z) ; et ici nous
ble, et nous allons d'ailleurs re- trouver ce même résultat dans la période que nous avons pu observer nous-même. » Etch.
erons l'ischurie d'abord, les crises urinaires ensuite, et enfin la période qui succéda à la guérison. , ^L'ischurie était
On voit, par exemple, qu'entre deux crises urinaires, pendant une période de vingt-quatre jours, E... rend une somme tota
ée et la sécrétion retombait à 0. » Déjà, dans les deux premières périodes , de semblables iS8 13ST1 : R0-I : PIL1 : PSIL;.
ent parler, la règle dans les cas de ce genre. Pendant une longue période (1G6 i), les crises hysté- ro-épileptiques n'av
63 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
ines peuvent agir dans les différentes époques de la vie : toute la période ontogénétique étant soumise à leur influence; tou
nétiques que les glandes à sécrétion interne peuvent exercer sur la période embryonnaire et foetale de l'organogénèse. A M.
tudier l'organogénèse en rap- port aux fonctions endocrines dans la période embryonnaire : il propose d'un côté la méthode
landes à sécrétion interne peuvent exercer sur l'organogénèse de la période embryonnaire, il est important de pouvoir établir
s cas consécutifs à des altérations hypophysaires survenues dans la période du développement embryonnaire. Il convient de r
se du crâne dans une région où les altérations survenues pendant la période foetale pouvaient donner lieu à une transformatio
duit à la synostose pathologique des os de la base du crâne dans la période foetale, nous échappe encore complètement. (1
dissipèrent en quinze jours environ. Ce fut, en effet, après cette période que le malade recourut à nous afin qu'on le guéri
mplis de vacuoles ; ' 3° D. R., âgée de 35 ans ; malade 4 mois de 3 périodes de la pellagre. Le sang donne les mêmes tableau
ne m'est jamais arrivé de rencontrer dans les cas ordinaires de la période aiguë. Passons maintenant là l'appréciation des
ncohérentes et diffuses à prédominance mégalomaniaque, avec longues périodes de stupeur. En 1900, un peu amélioré dans les man
on et la disparition de ces stéréotypies. Nées toujours pendant une période d'inaction, elles disparurent constamment penda
t une période d'inaction, elles disparurent constamment pendant les périodes d'occupation, et si parfois elles surgissent de n
t. Celle forme d'évolution peut se répéter plusieurs fois, mais.les périodes de trêve sont moindres chaque fois et les phéno
orsque la formation de la tumeur du tronc nerveux se trouve dans la période ascendante, alors la pression sur la tumeur même
conservent la sensibilité cutanée ils sont en grand nombre dans la période peu avancée de la maladie accusent, lorsqu'on p
rticulaire existe pour tout le pied. Dans le tabès, surtout dans sa période ataxique, on trouve la dite anesthésie dans tou
de, fait que beaucoup de malades, ayant : des mains et des pieds en période avancée d'atrophie musculaire et même avec muti
à se servir de leurs membres su- périeurs et inférieurs jusqu'à une période tardive de l'évolution du mal. La figure 211 ap
s quelques névrites dites sensitives suivant leur intensivité el la période de leur évolution). En troisième lieu, le fait
éflexes dans quelques cas de paraplégie spasmodique surtout dans sa période avancée où les extrémités sont en flexion. Dans c
les contractures, il n'est point nécessaire qu'ils en arrivent à la période d'atrophie avancée ; il arrive que l'irréflectivi
atose propre de celle variété de lèpre qui apparaît dans toutes les périodes de la maladie chez beaucoup de lé- preux, tant
on le sait, est différente si elles apparaissent dans les premières périodes de la maladie ou dans les périodes plus avancées
apparaissent dans les premières périodes de la maladie ou dans les périodes plus avancées . et si elles se présentent sur l
de pseudo-rlmmatisme lépreux. Ces arthrites apparaissent dans des périodes distinctes de la maladie et de préférence dans
em- ment chroniques et lorsqu'elles apparaissent dans les premières périodes , elles peuvent se résoudre. Leur évolution la p
niaque, fils d'une hypocondriaque an- goisaeuse, engendra, dans des périodes de relative mélancolie circulaire, deux enfanta
actéristique de l'affection, tout au- moins pendant une très longue période (PI. XXXII, XXXIV). Aux membres supérieurs, les
de Bertrand (2), qu'habituellement dans le diabète, au cours de la période d'état, quand la glycosurie atteint son maximum,
orale et qu'elles ne sont indiquées qu'au début et pendant toute la période d'augment de la maladie ; leur emploi serait co
de d'augment de la maladie ; leur emploi serait contre-indiqué à la période de déclin et de déchéance : « Au cours du gigan
les signes principaux qui manifestent cliniquement le passage de la période d'aug- ment à la période de déclin, qui contre-
manifestent cliniquement le passage de la période d'aug- ment à la période de déclin, qui contre-indiquent l'emploi thérapeu
s plaident d'ailleurs en faveur de celle hypo- thèse, à savoir : la période de latence qui très souvent s'inteipose entre l
terminant d'ordinaire une dépression céneslhésique, d'autre part la période de latence qui s'interpose très souvent entre l'é
vague, nié par les uns, accepté par les autres. Pourtant il y a une période dans l'histoire de la physiologie, pendant laqu
x fils actuellement bien portants. En 1897, à la suite d'une longue période de surmenage intellectuel, le ma- lade est pris
r intermittences, il ne sent pas passer les matières ni les gaz. En période de diarrhée, il y a incontinence. L'expulsion des
- ner. Mais ces rémissions n'en étaient pas moins troublées par des périodes d'excitation, rêvasseries suivies de dépression
reille de cette mystérieuse myélopathie qu'on peut diviser en trois périodes . La première caractérisée par des troubles sens
os, sinon de réintégration des lésions médullaires. Cet étal, cette période de guérison apparente se maintient assez stable
les mêmes phénomènes susdits qui se manifestent à nouveau troisième période d'abord légers, transitoires, puis allant crescen
let que fut confié le traitement de Mme X... pendant cette dernière période de son existence. « Sous l'influence, dit-il, d
h ; d FIG. 1 a : l h Fc. 2 Fic. 4. - Première et deuxième périodes . - Coupe schématique de la moelle et de la lume
me de Brown Sequard. d, racine postérieure. l Fie. 2. - Troisième période . Coupe schématique longitudinale, a. tumeur. b. r
irations abondantes et accompagnés d'inappétence et de nausées. Des périodes de délire plus ou moins systématisé succèdent à d
s. Des périodes de délire plus ou moins systématisé succèdent à des périodes d'intégrité intellectuelle parfaite. Pendant ce
rophie congénitale, mais pouvant se manifester ' cliniquement à une période plus ou moins tardive. (Il BABONNEIX, Gazette d
ymptômes de foyer plus légers. Ils man- quent complètement dans les périodes inlerparoxysinales et n'ont, comme les autres p
pour le diagnostic différentiel. S'ils sont aussi présents dans les périodes interparoxysmales, il doit exister, sans aucun
ôté, ils indiquent alors, même s'ils sont toujours absents dans les périodes sans attaques, une inflammation du cerveau (éco
lepsie 383 augmentation se montrerait le plus distinctement dans la période in- terparoxysmale pour atteindre son maximum i
unilatéraux (des spasmes et même le phénomène de Babinski dans les périodes interparoxysmales). Et en deuxième lieu, l'augm
e les antitoxines furent suffisantes pour soulager l'animal dans la période la plus dangereuse, à savoir quand les glandes
l entre autres). L'urine aussi bien que la sueur excrétées dans les périodes libres d'attaques ou interparoxysmales paraissent
eviennent plus forts, plus aclifs, moins fatigués. Chez la femme la période menstruelle est une condition excitante pour le
t souvent à des variantes périodiques, mensuelles et annuelles. Les périodes se trouvent fréquemment liées à celles de la sp
janvier 4911.). Le malade se rappelle ce qu'il a dit au cours de sa période d'excitation maniaque, surtout si on l'aide par l
e dont il ne partageait pas les opinions politiques. Au sujet de sa période de stupeur, il raconte : « J'entendais très bien,
r tué quelqu'un (cela explique qu'un jour, lorsque, au sortir de sa période de stupeur, on lui demandait la cause de sa trist
re paru récemment (1). Dans le cas auquel nous faisons allusion, la période d'asthénie prolongée avait duré, comme ici, plu
64 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ur qu'une maladie infectieuse se développe, il lui faut toujours la période d'incubation qui est plus ou moins longue, selo
e, chez C..., dans les derniers temps de la vie, c'est-à-dire à une période très avancée de la paralysie générale, et nous
de cette manière de voir, car le mal perforant s'est développé à la période ultime de la paralysie générale. Enfin, il ré
nfin, il résulte du cas de C... que dans la paralysie générale à sa période d'état, alors même que le malade peut encore vi
, leur mode d'apparition, leur succes- sion et l'évolution même des périodes de la maladie. Il nous semble superflu de dével
lle se montre triste sans raison et recherche l'isolement. En juin, période d'ex- citation maniaque; elle devient insubordo
monde, car une voix le lui commande ; les vers la rongent. A cette période , elle a présenté des états de raideur presque g
suivre la marche indiquée par Kalhbaum, c'est à dire passer par une période de mélancolie simple ou même par un état d'exal
stitue dans ces 64 REVUE CRITIQUE. LA CATATONIE. circonstances la période d'état de la maladie, les autres phases n'étant
monitoires et souvent d'une durée peu longue eu égard à celle de la période de stupeur : ajoutons même que cette dernière p
es pièces et peut passer par différents stades avant d'arriver à la période d'état, faut-il la rejeter pour cela ? Si cela
es deux faits que les troubles de la sensibilité se montrent dès la période initiale de la névrite et disparaissent au bout
a observée à Villejuif. La maladie a débuté en 1870 et présente une période d'incubation avec anxiété qui s'accentuant de p
e. Il est donc très pro- bable que l'hypertrophie des fibres est la période prodromique de l'atrophie. Discussion. MM. IU
on du genou qu'à ceux qui avaient subi une contusion violente, à la période d'atrophie survenue d'ail- leurs rapidement, su
ue des malades entrant dans ces quartiers d'observation, pendant la période légalement considérée comme placement provisoir
, de z à 1846, une législation admirable. » C'est vrai, c'est une période qu'on pourrait appeler la période parlementaire c
dmirable. » C'est vrai, c'est une période qu'on pourrait appeler la période parlementaire clas- sique au point de vue de la
vité. Dans son état ordi- naire elle perd le souvenir de toutes ses périodes d'état second, ce qui, on le comprend, trouble
icité ou de sensi- bilité : elles évolueraient d'ordinaire en trois périodes , l'une de début caractérisée par la prédominanc
ation, écrasement du nerf. Les animaux étaient sacrifiés à diverses périodes de temps après l'opération. Après l'élongation,
une complication accidentelle et paraissent habituelle- ment à une période plus tardive. Non seulement ils ne caractérisen
, la main, par exemple (OBS. VI). D'un autre côté, à une certaine période de la maladie, la surface totale du corps peut
le thorax, a sa partie inférieure, Job (OBs. Il) et à une certaine période de la maladie 111me L. (OBs. XVI ! ) avait une
uées et presque horizontales. Chez M. B. (Cas. III), à une certaine période de la maladie, la région anesthésiée se dessina
s les autres espèces de sen- sibilité étaient atteintes. Dans les périodes ultérieures de la maladie, lorsque le tableau f
viennent déjà dans DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 213 les premières périodes de la maladie et contribuent d'une manière cons
sidérables de l'hypertonie sont cependant observés parfois dans les périodes relativement précoces de la maladie. A l'extens
. Tous les symptômes décrits peuvent se rencontrer à une certaine période de la maladie sous des combi- naisons diverses
rtionnels à l'intensité des causes provocatrices. On constate, à la période d'acmé de l'accès : de l'obnubilation de la con
rateurs ont reconnu avoir observé des aliénés traversant les quatre périodes , est la preuve de la synthèse de M. Magnan et l
- tuant un ensemble spécial et typique. La longue durée de chaque période tient à la longue évolution de toute folie quelle
chronique n'étant pas connue, il n'y a rien d'étonnant à ce que la période ambi- tieuse soit passée inaperçue. Quant aux d
l ou physique Quand il existe un opiniâtre refus de nourriture à la période de convalescence, soit par nostalgie, soit par
u non, cristallise dans leur délire et pousse à la démence. A cette période , il n'est pas rare que la sortie en- traîne une
vrent. Alais dans la folie systématique aiguë il faut en user, à la période de convalescence, quand le malade reprend un pe
r s'en servir. Ces réflexions sont applicables à la stupidité, à la période de convalescence, notamment lorsque le malade c
qu'il y ait acétonurie abondante et non diacéturie, jusque dans la période comateuse mortelle, tandis qu'un diabétique con-
. C'est que l'ère des persécutions touche à sa fin, et la troisième période du délire chronique est probablement en voie d'
e cette forme. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 349 2. Période paralytique OU paraplégique. Il paraît que pour
, à chaque coup, il croyait que ses reins s'ouvraient en deux. 3. PÉRIODE DU syndrome spasmodique L'examen direct de l'ét
t est éminemment polymorphe, mais une fois entré dans la deuxième période et au delà, le polymorphisme disparaît; elle de
escription clinique nous impose, croyons- nous, de distinguer trois périodes : 1° la période des symptômes du début ou extri
ue nous impose, croyons- nous, de distinguer trois périodes : 1° la période des symptômes du début ou extrinsèques; 2° la p
iodes : 1° la période des symptômes du début ou extrinsèques; 2° la période paralytique, et 3° la période des syndromes spa
tômes du début ou extrinsèques; 2° la période paralytique, et 3° la période des syndromes spasmo- dique et tabétoïde. I.
ue, et 3° la période des syndromes spasmo- dique et tabétoïde. I. Période de symptômes DU début OU EXTRINSEQUES. Nous all
s brièvement exposer les différents symptômes qui constituent cette période , car ils se présentent au clinicien, presque so
Le court exposé des différents symptômes qui peuvent constituer la période du début de cette forme, nous fait clairement v
les et les plus multiples combinaisons peuvent avoir lieu à cette période ; tantôt c'est un symptôme d'un syndrome quelcon
tômes de plu- sieurs syndromes peuvent se combiner pour former la période du début, c'est ce qui est arrivé pour l'OB- se
douleurs dans l'aine gauche et aux articulations des coudes. II. Période paralytique. L'invasion de la para- lysie chez
eu sans intervalle entre la disparition de tous les symptômes de la période du début et la période paralytique. Chez les tr
la disparition de tous les symptômes de la période du début et la période paralytique. Chez les trois autres, au con- tra
ses du canal central ou de sa partie pos- térieure détachée dans la période embryonnaire. Ces altérations anatomiques n'ont
. Les cellules épithéliales du canal central qui sont restées de la période embryonnaire emprisonnées dans les cordons post
ulièrement important de diagnostiquer la maladie dans ses premières périodes et d'examiner avec pré- cision le caractère et
élat intcllectuel du malade tombé presque en démence et sujet à des périodes d'excitation ma- niaque, accompagnées d'idées r
li- cations précises sur les caractères des accès aux différentes périodes de la maladie. En ce qui concerne l'anatomie pa
t primitive, avec les phénomènes procursifs observés à une certaine période de l'affec- tion de ce malade , de l'étendue de
enerveux central par K. IlEss. (Arclt, f. Psych., XIX, 1.) Courte période prodomique : une attaque apoplectiforme suivie
ervation de la santé physique et de l'ouïe. La maladie a atteint sa période d'acmée en quatre à six semaines. M. BERKXAN et
, du traitement, s'agit-il parti- culièrement du traitement dans la période provisoire, les méde- cins ont toute latitude;
ir la chambre du conseil. » M. de Gavardie. Vous confondez deux des périodes ; il s'agit ici du début... M. LE Président.
ocrn-llnvatse. Je ne confonds pas le moins du monde les différentes périodes , je dis que, dans cette article 30, des garanti
65 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
t même cal, qui passe par divers degrés d'ossification; mais à aucune période de sa formation, les bouts des fragmens ne partic
mouvement de rotation peut lui-même être incomplet et s'arrêter à une période plus ou moins avancée. Ainsi, dans le cas de M. L
tée à une parotide; presque toujours les parotides apparaissent à une période avancée de l'entérite folliculeuse, rarement dans
nt à une période avancée de l'entérite folliculeuse, rarement dans la période d'accroissement, jamais au début, et, à peu d'exc
rentes, on trouve, à l'autopsie, les lésions appartenant aux diverses périodes de l'inflammation, depuis l'œdème avec injection
asion rare de voir une inflammation parotidienne parcourir toutes ses périodes pendant la vie de la malade. Voici le fait : Un
it tous les signes physiques et rationnels d'un cancer au foie. A une période avancée de cette maladie, la bouche devint sèche
n un peu abondante. Je n'ai observé de parotide suppurée que dans les périodes avancées des maladies aiguës et chroniques, et j'
s les follicules. Il est assez fréquent de voir, dans les dernières périodes des maladies chroniques, des érosions hémorrhagiq
s (1821), elle devint enceinte , et sa grossesse parcourut toutes ses périodes de la manière la plus régulière ; ses règles fure
lace, ni le lait, ni le bouillon par cuillerées. Le 5 mars survint la période d'affaissement : les douleurs diminuèrent; les vo
eur développement, elle les suit encore dans leurs diverses phases ou périodes depuis le premier moment de leur apparition, depu
. L'ulcère chronique s'observe presque constamment dans la dernière période de la phthisie pulmonaire, et cette coïncidence e
la fin de l'intestin grêle d'un individu mort du choléra, pendant la période de réaction, le 21 décembre i832. Cette anse inte
icelle. Le 17, apparition d'una variole discrète, qui parcourut ses périodes d'une manière régulière et pendant laquelle on cr
constances semblables que j'ai pu étudier la dysenterie à sa première période ; pour toute altération, je trouvais une coloratio
aculté assimilatrice. Il y a eu , dans le cours de cette maladie, des périodes plus ou moins longues, où la perdrix, le gibier,
qui établit que toute tumeur cancéreuse passe nécessairement par deux périodes : la période de crudité et la période de ramollis
e toute tumeur cancéreuse passe nécessairement par deux périodes : la période de crudité et la période de ramollissement. Sans
passe nécessairement par deux périodes : la période de crudité et la période de ramollissement. Sans doute, dans un grand nomb
ce dans la consistance de ces tumeurs, établit, non une différence de périodes , mais une différence primordiale de variété. La v
e fonction importante, le cancer peut parcourir impunément toutes ses périodes . Le foie représenté pl. v, xxme livr., apparten
aissant, en sorte que l'on pouvait y étudier le cancer à ses diverses périodes depuis le premier moment de son apparition jusqu'
quent la gravité des accidens qui ont signalé ie début et la première période de la maladie. Ici le diagnostic était facile. Le
a respiration, (i) Autant les saignées sont utiles dans la première période de la pneumonie, autant elles sont nuisibles à la
la première période de la pneumonie, autant elles sont nuisibles à la période de suppuration : qu'on ne s'en laisse pas imposer
plus promptement qu'il ne l'aurait fait sans la saignée. Il est une période de la pneumonie où j'emploie le camphre depuis do
ons. La maladie dont on vient de lire l'histoire a présenté plusieurs périodes : première période, développement de tubercules;
on vient de lire l'histoire a présenté plusieurs périodes : première période , développement de tubercules; deuxième période, i
rs périodes : première période, développement de tubercules; deuxième période , inflammation du sommet du poumon droit; troisièm
; deuxième période, inflammation du sommet du poumon droit; troisième période , pleurésie; quatrième période, phlegmon diffus.
on du sommet du poumon droit; troisième période, pleurésie; quatrième période , phlegmon diffus. L'affection tuberculeuse étai
ation des poumons était remarquable : la pneumonie était arrivée à la période de suppuration, son tissu était mollasse comme il
omme établissant non une différence de nature, mais une différence de période dans la maladie ; que, s'il pouvait exister quelq
res d'altérations qui correspondaient XXXIIe LIVRAISON. '2 à deux périodes bien distinctes de cicatrisation. L'altération la
être identiquement les mêmes. J'ai constamment observé que, dans la période aiguë, douloureuse de cette maladie, les évacuati
s leur structure. Les tuniques interne et moyenne ne manquent qua une période plus avancée de la maladie, et souvent alors il e
ues moyenne et interne, ce qui se voyait quelquefois dans la première période de la maladie ; mais ce qui arrivait presque néce
adie ; mais ce qui arrivait presque nécessairement dans les dernières périodes , soit qu'il y eût poche secondaire surajoutée à l
'appui de ce que j'ai avancé ailleurs, savoir que, dans leur première période , les anévrysmes qui occupent une certaine étendue
les tuniques plus ou moins altérées, et que c'est seulement dans une période plus avancée que les parois artérielles,venant à
ailleurs que le développement de l'idée de Haller. Dans la première période de la péricardite, le sac du péricarde, distendu
bjections : i° l'explication précédente suppose que, dans la première période de la péricardite , il y a toujours épanchement d
ours par les poumons. La cyanose que l'on observe si souvent dans les périodes avancées des maladies du cœur, tient exclusivemen
me le moyen principal de guérison, ou plutôt de soulagement, dans les périodes avancées des maladies du cœur ; tandis que dans l
ériodes avancées des maladies du cœur ; tandis que dans les premières périodes , un exercice modéré en plein air, la marche à pas
du ventricule gauche. Ce dernier fait ne semble-t-il pas la première période d'une altération dont le précédent serait une pér
pas la première période d'une altération dont le précédent serait une période un peu plus avancée, et dont le kyste cartilagine
avancée, et dont le kyste cartilagineux et osseux serait la dernière période . Il établit en outre qu'une altération préalable
lemens à la joue gauche, la perte du goût survenus dans les dernières périodes de la maladie tiennent bien manifestement et à la
s les signes rationnels d'une pneumonie aiguë, parvenue à sa dernière période . L'état de la malade me parut désespéré : elle re
t dans le premier cas et lui arrachent un cri dans le second. A cette période , je croyais à une affection rhumatismale limitée
marche des symptômes établit que la méningite rachidienne est dans sa période d'augmentation, et qu'il y a compression et irrit
tre membre; i° une paralysie des muscles par douleur dans la première période ; une paralysie des muscles avec insensibilité da
riode ; une paralysie des muscles avec insensibilité dans la deuxième période . Les muscles sont douloureux et par le fait de la
t contre la douleur, un grand effort de volonté peut dans la première période de la maladie produire la contraction musculaire,
, insister sur la longue durée des prodromes ou plutôt de la première période . Mademoiselle Gault suivit ma visite à la Materni
je n'hésiterais pas à employer des saignées répétées dans la première période , et des purgatifs drastiques dans la seconde, ou
tissu propre des reins. Dans l'observation qui précède, la dernière période delà maladie, qui date du a3 décembre, a été domi
e de la guérison, si toutefois cette évacuation avait eu lieu à cette période de la maladie, dans laquelle la moelle était simp
es, est tout-à-fait sans douleur. On conçoit, en outre, qu'arrive une période où la paraplégie douloureuse et la paraplégie non
aralysie complète vient à l'atteindre XXXVIIIe LIVRAISON. 2 à une période peu avancée de son développement, ce membre, sans
admettre, dans les lésions des centres nerveux par compression, deux périodes bien distinctes: une première période, dans laque
nerveux par compression, deux périodes bien distinctes: une première période , dans laquelle le tissu déprimé n'a subi aucune a
ssu déprimé n'a subi aucune altération dans sa structure; une seconde période , dans laquelle ce tissu est le siège de ramolliss
issement blanc et l'apoplexie capillaire ne sont autre chose que deux périodes de la même altération ; mais je prie de remarquer
e le ramollissement rouge et le ramollissement blanc ne sont pas deux périodes de la même lésion, correspondantes aux deux pério
ne sont pas deux périodes de la même lésion, correspondantes aux deux périodes d'induration rouge et d'induration grise de la pn
degré d'une inflammation ; que le ramollissement blanc n'était pas la période avancée d'une lésion, dout le ramollissement roug
avancée d'une lésion, dout le ramollissement rouge serait la première période , mais que le ramollissement blanc était blanc dès
période, mais que le ramollissement blanc était blanc dès sa première période ; que la matière colorante du sang laissait dans t
nombre de cas; que l'apoplexie capillaire n'est nullement la première période d'une lésion dont le ramollissement blanc serait
u'on doit regarder l'abcès enkysté du cerveau comme appartenant à une période de la maladie bien antérieure à l'inflammation de
et la céphalalgie sont les seuls symptômes observés dans la première période , qui débuta le 11 et finit le 3o décembre : dan
oute extrémité. Je ne compris rien dans cette maladie à la première période qui embrasse l'intervalle du n au 3o décembre; à
nuisible : la saignée ne va pas bien avec l'inflammation arrivée à la période de suppuration; cet axiome thérapeutique s'appliq
de tranquillité, de silence, d'immobilité existaient dès la première période , quoique à un moindre degré que dans la seconde,
dans la seconde, et ces symptômes m'auraient éclairé. La troisième période date des mouvemens convulsifs qui ont eu lieu deu
e a été brusque, sans agonie. Si l'on voulait rattacher à ces trois périodes les lésions observées, on pourrait dire que dans
au moment où le pus a été ramassé en foyer et enkysté; que la seconde période a été déterminée par le ramollissement de la port
portion du cerveau qui entourait le kyste ; et qu'enfin la troisième période de symptômes répond à l'ouverture du foyer dans l
sie qui a appartenu à un jeune enfant de cinq à six ans, mort dans la période d'éruption de la petite-vérole. On sait que de to
a pu se lever pour aller à la selle; ce ne pourrait être que dans la période d'assoupissement, et il est plus que douteux que
ques que présente une pareille maladie ? Evidemment, dans la première période , la seule indication, c'est de remédier à l'état
suite des plaies ou des opérations chirurgicales: puisqu a toutes les périodes de l'inflammation veineuse, dit cet observateur d
ours séquestré par des caillots ou des fausses membranes à toutes les périodes de l'inflammation veineuse, il ne peut pas y avoi
s le principe, lorsque cette tumeur reste stationnaire; mais qu'à une période plus avancée elle offre une grande vascularité, e
é de suc d'apparence synoviale infiltre la tumeur : que c'est à cette période avancée que la tumeur peut acquérir en très peu d
é : l'observation m'a prouvé depuis long-temps que la distinction des périodes de crudité et de ramollissement des maladies canc
ême que celui de l'utérus, appartienne à l'âge critique ou mieux à la période de la vie de la femme, comprise entre trente et c
s'appuyant sur quelques faits, qu'il est, dans certains cancers, une période où la maladie semble purement locale. La gangrè
'infection ; or, si cette cause d'infection n'est pas douteuse, à une période donnée de la maladie , elle est encore douteuse d
favorables pour observer le cancer de l'utérus arrive à ses dernières périodes , je me propose de publier successivement sur cett
l'âge et aux conditions diverses dans lesquelles il se manifeste ! La période de la vie affectée à cette cruelle maladie est ci
e clinique, nous voyons qu'une malade affectée de cancer utérin à une période très avancée, éprouve des secousses convulsives r
mpagnée de la hernie des ovaires et des trompes, et dans une première période , il ne devra y avoir qu'un ovaire et qu'une tromp
y avoir qu'un ovaire et qu'une trompe. Ce n'est que dans une deuxième période , lorsque la totalité du fond de l'utérus aura été
: on peut même conjecturer que, si cette terminaison avait lieu à une période peu avancée, si elle envahissait toutes les parti
en des manières : i° Le fœtus peut parcourir dans l'ovaire toutes les périodes de son développement, ce qui est fort rare; le pl
greur extrême attestaient une maladie chronique arrivée à sa dernière période . Je la reçus immédiatement dans mon service. Le
siégeant dans un lieu plus ou moins éloigné. 16 liv., pl. ni, p- i.— Périodes de formation de ces abcès ; obscurité du diagnost
e aux dépens de l'os frontal. 23e liv., pl. v, p. 5. — Cancer utérin. Période de la vie qu'il affecte. Ignorance des circonstan
pl. 1, 11, mi, iv, v, p. /2. — De la respiration. Du refroidissement. Périodes du choléra moyen. Terminaison adynamique ou typho
intestin. Inflammation et eschares de l'intestin grêle. Dangers de la période de réaction. 14e liv., pl. 1, 11, ni, iv, v, p. 2
4e liv., pl. 1, 11, 11, iv, v, p. 3o. — Surveillance que nécessite la période de réaction. = Choléra très grave arrêté à la pre
ite la période de réaction. = Choléra très grave arrêté à la première période du froid et de la lividité. Assoupissement très c
1, lit, iv, v, p. 3i.— Dangers de l'usage immodéré de l'opium dans la période asphyxique du choléra. llxe liv., pl. 1. 11, m, i
pl. 1, n, m, îv, v, p. 45. — Traitement curatif : Thérapeutique de la période de concentration ou asphyxique. A. Moyens thérape
que générale de ce moyen en France. Difficultés de la saignée dans la période de concentration. De l'emploi des injections dans
1, n, m, iv, \,p. 5o, — Réflexions générales sur le traitement de la période de concentration. Thérapeutique de la période de
sur le traitement de la période de concentration. Thérapeutique de la période de réaction. 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 5t.
. i,n, ni, iv, v, p. 35.— Causes de la cyanose qu'on observe dans les périodes avancées des maladies du cœur. 39e liv., pl. vi,
pérations chirurgicales : ces abcès sont le résultat de la phlébite ; périodes de formation de ces abcès; obscurité du diagnosti
l. 1, 11, ni, iv, v, p. 12, — De la respiration ; du refroidissement. Périodes du choléra moyen ; terminaison adynamique ou typh
intestin. Inflammation et escharcs de l'intestin grêle. Dangers de la période de réaction. 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 2g.
r. 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 3o.—Surveillance que nécessite la période de réaction. = Choléra très grave arralé à la pre
ite la période de réaction. = Choléra très grave arralé à la première période du froid et de la lividité. Assoupissement très c
n, ni, iv, v, p. 3i. — Dangers de l'usage immodéré de l'opium dans la période asphyxique du choléra. 14e liv., pl. 1,11, m, iv,
., pl. 1,11, ni, iv,v,p .45.— Traitement curaiif: Thérapeutique de la période de concentration ou asphyxique : A. Moyens thérap
ue générale de ce moyen en France; inconvéniens de la saignée dans la période de concentration. De l'emploi des injections dans
1,111, iv, v, p. 5o. — Réflexions générales sur le traitement de la période de concentration .^Thérapeutique de la période de
ur le traitement de la période de concentration .^Thérapeutique de la période de réaction. 14e liv., pl. 1, n , m, iv, v, p. 5i
11, 111, iv, v, p. 4.—Dangers de l'usage immodéré de l'opium dans la période asphyxique du choléra. 14e liv., pl. 1, 11, ni, i
sans gangrène. = Exemple d'inflammation parotid ienne dans toutes les périodes . = La distinction des parotides en critiques et s
resque constante de l'ulcère chronique des intestins dans la dernière période de laphthisie pulmonaire. 31e liv., pl. ni,p. / (
v., pl. 1,11, m, iv, v, p. ig, 42. — Thérapeutique du choléra dans la période de réaction. 14e liv., pl. 1, n, ni, iv, v,p. 5i.
ce moyen en France; difficultés et inconvéniens de la saignée dans la période de concentration. 14e liv., pl. i, n, m, iv, v, p
4e liv., pl. i, n, m, iv, v, p. ôo. — Avantages de la saignée dans la période de réaction. 14e liv., pl. i, n, m, iv, v. p. 5/,
u choléra. 14e liv., pl. i, n, m , iv, v, ». ¿5.— Thérapeutique de la période de réaction du choléra. 14e liv., pl. i, n, ni, i
66 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on; nous n'avons pu disposer d'embryons de lapins pris à toutes les périodes du développement, ' Kupffer. Op. cit., page 9 :
justifie la présence des illusions et des hallucinations, ni les périodes d'excitation maniaque observées dans certains c
étion des veines. Enfin une démence complète profonde termine cette période par un calme absolu. Bientôt après c'est à une
ls se divise, chez nos voisins, d'outre-Manclie, eu quatre, grandes périodes . ^Durant la première"ils étaient confondus, dan
asiles avec les aliénés ordinaires; c'est ce qui «marque la seconde période . Peu après, on entra dans la période dite de ré
'est ce qui «marque la seconde période. Peu après, on entra dans la période dite de réaction ? ce n'était pas assez d'avoir s
réclamaient contre cette promiscuité. L'on en arriva peu à peu a la période de centralisation;, en fondant un asile central
t les plus vrais, il faut citer celui du mélancolique à la première période . « Dans le plus grand nombre des cas, l'état mé
Elle perdait d'habitude pendant cinq à six jours; souvent même, la période menstruelle durait jusqu'à huit jours. Ses règl
ne d'idées délirantes. Ne voit-on pas souvent des aliénés en pleine période de calme, être pris tout à coup d'idées déliran
ionnelles ou de délire; nous rappellerons seulement que la deuxième période est ordinairement caractérisée par des contorsi
ercle à convexité ventrale est un épisode des plus communs de cette période . La de L'HYS'l'BItO-1'ILEPSIi : . Kil I malad
de qui fait le sujet de l'observation qu'on va lire nous montre une période de grands mouvements qui i diffère sensiblement
nt répétés à peu près tous les jours, au moins pendant une certaine période . Le père, qui a disparu depuis plusieurs années
les attaques l'insensibilité, est totale et complète. A toutes les périodes , on peut mettre le doigt au contact de la corné
ils ont vu l'anesthésie et les attaques disparaitre à la dernière période de la phthisie pulmonaire ' ; mais, 1 Rourncull
r de ce moment la température ne monta plus au dessus de 38°, et la période aiguë de l'attaque de rhumatisme put être consi
la tnodifienthas davan- tage. D'autre part, nous voyons pendant la période fébrile des menaces d'attaque, qui ont eu un co
on les disait très violents. Ils s'annonçaient généralement par une période d'excitation, accompagnée d'une céphalalgie in-
veux du jeune âge, dévoilent bien le caractère hystérique dès cette période de l'existence : une petite fille de dix ans est
es contractures de la paupière. Les trois enfants nés pendant cette période et nourris par la malade sont morts vingt, tren
est encore fort obscure débute brus- quement, et il n'existe pas de période durant laquelle on observe des désordres pouvan
tance des réflexes peut s'observer non seulement dans la pre- mière période de l'affection, mais jusqu'à une période très ava
ulement dans la pre- mière période de l'affection, mais jusqu'à une période très avancée lorsqu'il existe déjà des troubles
rès fréquentes dans la paralysie générale, s'observent à toutes les périodes de cette affection, mais principa- lement dans
utes les périodes de cette affection, mais principa- lement dans la période de démence. Dans la première période, elles peu
mais principa- lement dans la période de démence. Dans la première période , elles peuvent revêtir le caractère psychique ;
es terreurs, puis des conceptions délirantes orgueil- leuses. Cette période de début ou d'excitation, qui peut durer de tro
re qui ressemble à s'y méprendre au delirium tremens. La deuxième période est une période de dépression ; quelques-uns ne p
le à s'y méprendre au delirium tremens. La deuxième période est une période de dépression ; quelques-uns ne peuvent se teni
on croirait de vrais paralytiques généraux arrivés à la dernière période . Les pupilles restent égales. Cette période dure
x arrivés à la dernière période. Les pupilles restent égales. Cette période dure en moyenne deux mois. Enfin survient une p
égales. Cette période dure en moyenne deux mois. Enfin survient une période d'amélioration graduelle et progressive, se ter
gressive, se terminant par une guérison complète. Au début de cette période , on peut observer des vertiges épileptiques, la p
ée ; mais au lieu d'un délire accom- pagné des accès violents de la période de début, le malade est dans la torpeur ; la gu
sant de fois, il m'a été permis, à un certain mo- ment, dans chaque période et pour chaque malade, de constater que la pulp
es obser- vations de M. Bourneville'; M. Bicher 2 dit que dans la période épileptoïde la pupille est tantôt ré- trécie, t
endant toute la première partie de cette première phase, pendant la période tonique, la pupille reste contractée. Sitôt que
ts de mal, a des attaques incomplètes constituées seulement par une période de grands mouvements avec arc do cercle, j'ai o
à ses di- mensions normales. Chez les malades qui, au début de la période tonique, offrent une contraction pupillaire de
ns l'épilepsie et dans l'hystéro-épilepsie. Cela est facile pour la période clo- nique, dans laquelle l'épileptique offre u
dans quelques accès, une contraction de la pu- pille au début de la période tonique ; mais il s'agit là d'un fait isolé, au
'hys- téro-épilepsie, viennent d'être étudiées. Rappelons qu'à la période des attitudes passionnelles, ou observe dans la
ue les points douloureux correspondent au siège des ovaires à cette période de la gros- sesse. Le travail a commencé dans
, et nous avons vu des malades suspendre leurs attaques pendant des périodes inouïes auparavant; l'une d'elles, par exemple,
ommeil hyp- notique n'est plus susceptible 'd'être divisé en deux périodes distinctes : état léthargique avec hyperexcita-
; - juillet, 5; - août, 14. Les accès ont été suspendus durant la période aiguë de l'éiysipéle.(22 avril 4 mai). Autopsie
ême et s'accompagne de vertiges, qui ont pu être constatés dès la période précédente. Des nausées et des vomissements ter-
rouvait la pupille droite dilatée avec la dépression mentale; à une période plus avancée, quand il rencontrait les phénomèn
rs prodromes. Le myographe lui a permis de faire des deux premières périodes é,pileptoide et de elowitisine, là où tout para
ilité sensorielle, la variété du délire distinguent de la troisième période (des poses plastiques), la'quatrième (de délire
nales de la science, auxquelles s'applique nettement la division en périodes établies par le professeur de la Salpétiière. M.
e, variétés dépendant soit de l'extension, de la prédominance d'une période , soit de l'immixtion d'éléments étrangers de so
67 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
re était très forte. Ainsi, il en a eu un le 13 et le 14 janvier ( période d'invasion) ; un le 15 et le 16 (période d'érupti
un le 13 et le 14 janvier (période d'invasion) ; un le 15 et le 16 ( période d'éruption) ; un le 18 et le 21. Observation
'autant plus intéres- sant, que les lésions étaient parvenues a une période très avancée de leur évolution, pour ainsi dire
, 20 ? juillet, 5 ; août, 14. Les accès ont été suspendus durant la période aiguë de l ? Stpè ! e (22 avril 4 mai). Autop
rche semble avoir été assez singulière. Il y aurait eu une première période durant la- quelleon n'aurait observé qu'un accè
M. Dezairs, 1111\;1.. Marri, Couta- rel. » Caractère. - Il a des périodes de calme où sa physiono- mie est douce; dans d'
. Il faut d'ordinaire deux ou trois personnes pour le maintenir. La période de délire comprend deux phases : tantôt il se m
aissons ne laisse aucun doute sur leurs principaux caractères. La période de rigidité paraît avoir été toujours assez cou
s, nous trouvons celle-ci : toujours] ? 'aide dans le début. » La période clonique était, au contraire, prolongée et s'ac-
t multiples et variées, ainsi que les attitu- des passionnelles. La période de délire était, elle aussi, parfaitement carac
sur lequel l'attention des auteurs ne paraît pas s'être fixée. La période des contorsions, les injures adressées par le m
le probable que le travail de prolifération a dû s'effectuer, à des périodes distinctes, en trois poussées successives. Quan
les disait très violents. Ils s'annonçaient généra- lement par une période d'excitation accompagnée d'une céphalalgie inte
et les vertiges, dont nous avons donné la marche pendant une longue période , ont sensiblement di- minué. Nous devons sign
enfant entre à l'infirmerie avec le& signes d'une rougeole à la période d'invasion; fièvre, somnolence, coryza; conjonc
ntenant, que J... a eu un accès le 8 janvier, c'est-à-dire avant la période prodromique ou au début et qu'il n'en a pas eu
pilepsie les 8, 9, 10, 12, 13 et 15 janvier, alors qu'il était à la période des pro- dromes et à la période d'éruption de l
15 janvier, alors qu'il était à la période des pro- dromes et à la période d'éruption de la rougeole (8-15 janv.) ; puis l
1. 13,janvier. L'enfant présente les symptômes d'une- rougeole à la période d'invasion : coryza, conjonctivite, épistaxis,
rpeur profonde, au lieu de la somnolence qui est de régie à cette période , nous avons observé une agitation extrême, avec
'enfant entre à l'infirmerie avec les symptômes d'une rougeole à la période d'invasion. Hier, il a eu une rJpistnxis avec f
. L'enfant entre à l'infirmerie avec les signes d'une rougeole à la période d'invasion : somno- lence, anorexie, conjonctiv
croûtes dans les cheveux, de l'eczéma post-auriculaire; dans cette période la vue se mit à baisser et finit par disparaîtr
is restait plu- sieurs jours de suite en état d'ivresse. Durant ces périodes , il se livrait à des violences au dire de sa fe
81. 21 janvier. L'enfant entre à l'infirmerie avec la rougeole à la période d'éruption. L'exanthème ne se voit qu'à la face
hydrocéphalie et un an. - Idiotie complète. - Rougeole. - Mort à la période d'invasion. -Au- topsie. Pas de lésions viscéra
rougeole dans le service, nous diagnostiquons cette affection à la période d'invasion. T. R. 38°,4. (Bouillon, lait, julep
e avec soin. Nous n'avons pas été favorisés en ce qui concerne la période d'incubation, ce qu'explique suffisamment l'é-
lution rapide de l'épidémie et l'état mental de nos ma- lades. La période prodromique a pu être mieux suivie et plusieurs
e diminution matinale de moins en moins accentuée. Du- rant cette période , le maximum de la température a été de 40 ? ; m
bserve une nouvelle élévation de la température qui correspond à la période ou à la fièvre d'éruption. La température acqui
notait la persistance de quelques-uns des symptômes des premières périodes . Nous n'insisterons pas sur les tracés relatifs
68 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
apparaît seule- ment au début de la crise rhumatismale pendant la période des localisations indécises. Dans notre obser-
voilà à l'étude physiologico-pathologique des accidents spinaux. La période prodromique de ces acci- dents est la même pour
ne qui a survécu huit mois à l'opération '. Il faut distinguer deux périodes et même trois. Dans la première, ce qui domine,
imal est redevenue normale. C'est donc uniquement dans la seconde période qu'on peut étudier les phénomènes de déficit di
qu'on le désigne du vieux mot d'asthénie. Enfin, dans la troisième période , les effets indirects et lointains de la suppre
application du courant galvanique sur la voûte crânienne pendant la période léthargique de l'hypnotisme chez les hystérique
LES FONCTIONS DU CERVEAU. 89 une hystéro-épileptique qui, durant la période léthar- gique de ses attaques, manifesterait au
ieu du mois de décembre. Elle n'a pas eu d'attaques. Durant cette période elle a travaillé d'abord chez un bandagiste avec
i du cuir chevelu, à l'exception d'une légère sécheresse pendant la période de stupeur. L'auteur, après une étude soigneuse
cas, d'après des exa- mens microscopiques des cheveux à différentes périodes et du cuir chevelu après la mort, suppose que l
e complet de la connaissance, survenant régulièrement pendant une période de temps mensurable, et par une suspension moment
s empêcher de trop engraisser, ce qui favoriserait dans la dernière période de la maladie la for- mation des eschares. Il f
névroses convulsives, ainsi que le délire des persécutions avec ses périodes caractéristiques. Malgré ces éliminations succe
ce varierait bien moins chez la femme que chez l'homme aux diverses périodes de l'existence. Une autre question qui, comme
). Le poids spécifique du cervelet atteint un chiffre élevé dans la période juvénile, entre vingt et trente ans chez les de
l à augmenter le poids spécifique du cerveau, spécialement dans les périodes intermédiaires de la vie. Les plus hautes densi
tères tout opposés : irrégularité et bizarrerie d'évolution dans la période délirante où les conceptions mégalomaniaques se
la forme anormale de la maladie tient au jeune àge du sujet et aux périodes de rémission qu'elle a présentées. Il ne voit pas
e du corps atteint presque 38° C. ; elle s'abaisse à 37° pendant la période su- dorale. Le pouls atteint 90, 100 et même 10
iâtre constipation qui résiste à toute espèce de médicaments; à une période plus avancée, les sensations anormales s'exaspère
aire se compo- saient de faisceaux de fibres arrivées à la dernière période de l'hypertrophie et constellées de vacuoles. L
, on avait constaté, sans transition, durant quelques heu- res, une période de lucidité parfaite. Le second concerne une dé
a lumière. Délire des grandeurs, affaiblissement de la mémoire avec périodes d'excitation maniaque; myosis, pronostic grave.
ce qui nuus sépare du fondateur de cette dynastie pour arriver à la période à peu près contemporaine, nous voyons qu'après
est nécessaire de l'arra- cher à son milieu ordinaire, pendant une période suffisante pour pouvoir le désalcooliser, pour
ntrant s'engager à rester au moins trois mois dans la maison, cette période minima étant abso- lument nécessaire à un trait
e avec le tabes et une confusion possible avec cette maladie à sa période préataxique. Mais quelques auteurs vont encore
e suivie d'une sorte de rémission dans la polydipsie. Pendant cette période , il maigrit d'environ trente livres au mi- nimu
des deux côtés. Il n'a rien remarqué à droite; à gauche il a eu une période de huit jours environ pendant laquelle il souff
les cas nouveaux d'aliénation mentale et la population du- rant les périodes sur lesquelles on opère; les chiffres ainsi obten
ion) le chiffre de 1859. Si l'on compare la première et la dernière période quinquen- nales étudiées, c'est-à-dire les péri
e et la dernière période quinquen- nales étudiées, c'est-à-dire les périodes de 1861-65 et de 1881-85, on trouve pour celle
es périodes de 1861-65 et de 1881-85, on trouve pour celle dernière période une augmentation de 37,5 p. 100. Si l'on comp
nière période une augmentation de 37,5 p. 100. Si l'on compare la période quinquennale 1871-75 avec la pé- riode quinquen
ombre de ces mêmes aliénés en 1859. Ici encore, si l'on compare les périodes quinquennales de 1861-65 et de 1881-85 on const
100 (49.9). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 40 1 Si l'on compare la période quinquennale de 1871-75 à celle de 1881-85, l'a
en tenant compte de l'accroissement de la population) a été pour la période quinquennale 1881-85 de 28,5 p. 100 sur lapériode
p. 100 sur lapériode quinquennale 1861-65 et de 5.86 p. 100 sur la période quinquen- unie 1871-75. Ce pourcentage (5.86) e
urcentage (5.86) est bien inférieur celui que l'on obtient pour les périodes correspondantes, lorsque l'on compte les aliéné
état d'internement, au lieu de compter les admis- sions. Pour la période 1859-1885, l'accroissement est à peu près régu-
es restent à peu près stationnaires ; il sont même dans la dernière période (1881-85) un peu inférieurs à ceux de la périod
e dans la dernière période (1881-85) un peu inférieurs à ceux de la période précédente (1876-1880). 4° Si, du chiffre des a
faite que depuis l'année 1869, on cons- tate en comparant les deux périodes quinquennales de 1871-75 et de 1881-85 que l'au
1-75 et de 1881-85 que l'augmentation est un peu plus forte pour la période correspondante que celle qui a été signalée au
puis le taux diminue, et il est un peu inférieur, pour la dernière période quinquennale, à celui de la période quinquennale
peu inférieur, pour la dernière période quinquennale, à celui de la période quinquennale précédente. 5° Si l'on déduit du
encore celui des réadmissions, on constate que l'augmentation de la période 1881-85 sur la période 1871-75 est de 5,38, et
ssions, on constate que l'augmentation de la période 1881-85 sur la période 1871-75 est de 5,38, et qu'elle est par conséqu
génital), on constate que, pendant les huit dernières années (seule période pour laquelle ces données puissent être obtenue
troubles primitifs aigus ; car on la voit fréquemment survenir sans période primitive aiguë, et son apparition est dépourvu
ctionnent plus depuis longtemps; ou bien ils peuvent constituer une période avancée de l'état pathologique qui est la vérit
ns l'élat actuel de la scieuce, nous ne savons pas reconnaître à sa période de début. VARIA. 427 -1 18. Aucune théorie pu
anifestent après le développement complet de l'individu et avant la période de déchéance organique, comme par exemple la fo
'inhibition ou avec délusions, ne constituent pas aussi souvent les périodes préliminaires de la démence secondaire que les
accès de mélancolie et de manie, ne pré- sentent pourtant, avant la période sénile, aucun état qui corres- ponde à la démen
on, de temporiser plus ou moins longtemps afin de laisser passer la période d'excitation. Si l'on se bornait à ces précauti
69 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
agie cérébrale seulement figurent sur les cahiers d'autopsie pour une période de trois années(1). Mais il faut tenir compte de
partir de la vingtième année, nous les avons rencontrés à toutes les périodes de l'âge adulte ; et seulement alors chez des ind
u'on sait de la fréquence de l'hémorrhagie cérébrale, aux différentes périodes de l'existence. Assurément, nous ne pouvons pas m
de contracture permanente. La démence était devenue complète avec des périodes d'excitation. Mort le 11 août 1860. A Vautopsie
miplégie récente. Les eschares qui se forment si fréquemment dans les périodes ultimes de l'hémiplégie ancienne, siègent en géné
e série de modifications de la température centrale répondant à trois périodes successives. Dans la première période, qui compre
ure centrale répondant à trois périodes successives. Dans la première période , qui comprend les premières heures qui succèdent
variable de jours, il oscille entre 36°, 5 et 38°. Enfin, la deuxième période , qui aboutit nécessairement et rapidement à la mo
dans la méningite cérébro-spinale (1), dans le choléra, même dans la période algide, et pour ce qui concerne cette dernière ma
tuellement de rechercher dans l'histoire de la maladie si la première période de la formation des néo-membranes n'aurait pas ét
ci : elle est généralemeut chronique et exsudative. Dès les premières périodes se développe une couche mince d'un exsudât comme
M. Schuberg (/or. cit.), grouper ainsi qu'il suit : Dans une première période , qui s'étend souvent à plusieurs mois, il y a, en
ontinue ou rémittente, générale ou partielle ; puis, dans une seconde période , à mesure que les troubles de l'intelligence s'ag
aiblesse des membres, et, en un mot, tous les symptômes des premières périodes , procèdent de la pachyméningite. Des recrudescenc
très fréquemment. Quant aux: symptômes apoplectiques cle la dernière période , ils dépendent de l'irruption plus ou moins brusq
dant les deux ans qui se sont écoulés depuis son accès, et dans cette période , il a eu deux ou trois autres attaques dont il ne
éral, pour la plupart, aucune altération appréciable à cette première période ; mais déjà ils prennent, cela n'est pas douteux,
De fait, il n'est pas très rare de voir survenir, dans les premières périodes de l'ataxie, indépendamment des douleurs fulguran
e soixanle-et- 1. L'atrophie des racines postérieures peut, à cette période de la maladie, manquer complètement. (Charcot et
Les deux yeux sont entièrement achromatiques. M. Burq a donné à cette période le nom à'anesthésie de retour, parce que l'hémian
ct des pièces métalliques avec la peau, il y a, comme on le sait, une période de réaction pendant laquelle les phénomènes de re
té. Il y a onze ans que je la connais et je déclare que pendant cette période de onze années, elle n'a jamais cessé d'être liém
si que l'ovarie suivant la règle, les phases classiques de l'attaque, période épileptoïde, contorsions, attitudes passionnelles
s membres et tout le corps, loin de présenter la té utilisation de la période épileptoïde, sont dans la résolution la plus comp
des contractures hystériques, si ce phénomène se manifeste. Dans une période d'accalmie, il suffit d'une pression subite sur c
rrait appeler la zoopsie. En effet, dans nos salles, môme pendant les périodes de calme, nos hystériques sont parfois épouvantée
états signalés plus haut représentent en quelque sorte les phases ou périodes d'un même processus. Laissant de côté les varié
ns de décrire. notique n'est plus susceptible d'être divisé en deux périodes distinctes : état léthargique avec hyperexcifabil
t de l'écume aux lèvres. Nous assistons en somme, à une ébauche de la période épileptoïde de la grande attaque hystérique. Cett
sculaire. Mais bientôt une agitation excessive se déclare, c'est la période des grands mouvements de la grande attaque. Nous
Le système sensitif cutané est donc inexcitable mécaniquement dans la période de léthargie hypnotique dont il s'agit ici. C'e
l'application sur la voûte du crâne du courant galvanique, pendant la période . léthargique de l'hypnotisme chez les hystérique
faits d'automatisme qui se produisent chez les hystériques pendant la période cataleptique de l'hypnotisme sous l'influence de
Note sur quelques faits d'automatisme cérébral observés pendant la période cataleptique de l'hypnotisme chez les hystériques
s, une série d'hypnofisations successives a été pratiquée pendant une période de près de trois heures. Durant fout ce temps, le
itement. A la vérité, nous sortons à peine, sur cette question, de la période des essais préparatoires ; mais, ce que nous avon
s cle l'hypnose dans lesquelles on ne trouve pas la division en trois périodes . — Un ou deux des trois états peuvent manquer, d'
lusieurs variétés possibles ; la catalepsie est, dans cette forme, la période qui nous paraît manquer le plus souvent. — Dans d
i nous paraît manquer le plus souvent. — Dans d'autres cas, les trois périodes se confondent, et alors, tantôt les caractères so
t, et alors, tantôt les caractères somatiques et psychiques des trois périodes se trouvent réunis, tantôt on ne constate la prés
ne constate la présence que d'un ou de deux de ces caractères. — Deux périodes , les périodes léthargique et somnambulique, peuve
présence que d'un ou de deux de ces caractères. — Deux périodes, les périodes léthargique et somnambulique, peuvent être confon
être progressive. Voici, par exemple, un sujet chez lequel les trois périodes sont confondues pendant un ce.-tain temps. À un m
temps. À un moment donné, on remarque une tendance à la formation de périodes distinctes ; lorsque les yeux sont fermés, la con
a malade reste ainsi dix-huit mois à la Salpêtrière et, pendant cette période , on essaie à maintes reprises de développer la ca
nd hypnotisme. Dans l'attaque d'hysteria major, il existe plusieurs périodes distinctes comme dans le grand hypnotisme. — Les
stérie peuvent dévier du type normal par l'absence d'une ou plusieurs périodes ou par la confusion de deux périodes. N'est-ce pa
par l'absence d'une ou plusieurs périodes ou par la confusion de deux périodes . N'est-ce pas ce que nous avons vu à propos de l'
ccentués. Il était impossible de provoquer par la suggestion, dans la période somnambulique, le développement d'une hallucinati
travail, que l'hypnotisme pouvait être comparé au point de vue de ses périodes , des variétés qu'il présente, à l'attaque hystéri
l'application sur la voûte du cràue du courant galvanique pendant la période léthargique de l'hypnotisme chez les hystériques.
Notes sur quelques faits d'automatisme cérébral observé pendant la période cataleptique de l'hypnotisme chez les hystériques
70 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n° 4, 1900.) Développement, chez le même sujet, du gigantisme à la période de croissance et de l'acromégalie après la péri
gigantisme à la période de croissance et de l'acromégalie après la période de croissance, avec manifestations diabétiques
côté, avant 52 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de se propager. A la période d'état, la maladie peut se présenter sous diver
ent de troubles mentaux, en particulier de démence dans la dernière période . Il termine par la description détaillée du sys
réditaire, elle a été l'objet de monographies de Lieving etMobius : période prodro- mique; malaise, mal de tête unilatéral;
erminée, ayant sa principale localisation dans le poumon. Après une période de rémission trompeuse, les phénomènes myasthén
ant le plus clair est l'ostéo- malacie. Vierordt en distingue : une période d'acmé, et une période de régénération osseuse.
'ostéo- malacie. Vierordt en distingue : une période d'acmé, et une période de régénération osseuse. La couche corticale ex
marqué du mercure. Dans la dix-huitième observation il s'agit d'une période névralgique et préataxique de trente-cinq ans.
bouche, et l'éclat métallique terne des yeux également noté à cette période . Cet éclat métallique terne du regard suit, tou
ne hypertrophie du membre supérieur droit survenue à la suite d'une période fébrile de quelques jours. A l'âge de trois ans
tent un enfant de neuf ans qui eut à l'âge de quatre ans une courte période fébrile suivie d'hémiplé- gie gauche complète,
es atteints d'oedème unilatéral de la jambe consécutif ou non à des périodes fébriles, d'un cas d'oedème de la joue gauche.
auto-intoxication gastro-intestinale et troubles comateux à chaque période menstruelle, puis démentiels. A l'autopsie, la
ment entre ce cas et ce qui se passe dans l'alcoolisme où après une période de résistance assez longue, brusquement la rési
ravail était de trouver un signe aidant à la diagnose des premières périodes de la paralysie générale. L'auteur procédait au
onnaître, le traitement étiologique n'est vraiment efficace qu'à la période de début. Quand la névrite est constituée, il n
ne au mot : décroître. Cette affection est. continue, mais avec des périodes de crises suivies de périodes d'accalmie relative
ffection est. continue, mais avec des périodes de crises suivies de périodes d'accalmie relative. Ces deux périodes sont dif
ériodes de crises suivies de périodes d'accalmie relative. Ces deux périodes sont différenciées par le caractère de plus à m
moins. Elle est donc non intermittente,^ mais rémittente. Dans les périodes d'accalmie, je rougis moins souvent, je me ressai
ins et même pas du tout à ma facilité et à ma peur de rougir. Les périodes de crise sont très variables comme fréquence, com
Et là. l'influence de l'éreuthophobie est indiscutable. Suis-je en période d'accalmie ? Bien que ma philosophie ne varie pas
n mot, je suis capable d'entrevoir la « joie de vivre ». Suis-je en période de crise ? Le levain pessimiste fermente. La vie
sensation a perdu en fréquence. Je citerai encore ceci : je suis en période d'accalmie depuis huit, L'OBSESSION DE LA ROUGE
pium, de l'éther à faibles doses, à de très grands intervalles, par périodes très courtes (deux ou trois jours au maximum).
ant de rechercher les variations des réactions de la peau aux trois périodes de la 198 - CLINIQUE MENTALE. paralysie génér
ades de la maladie. De ces 38 malades, 14 sont restés à la première période , 12 à la seconde, 4 à la troisième ; enfin 5 on
4 à la troisième ; enfin 5 ont passé de la pre- mièré à la seconde période et 3 de la seconde à la troisième. On voit par
re de nos sujets. Néanmoins ceux qui sont toujours restés à la même période ont eu les réactions suivantes de la peau. "
tes les réactions de la peau que nous avons ren- contrées aux trois périodes de la paralysie générale : soit 19 sujets à la
nous ait présenté de la dermographie excessive était à la troisième période et des deux qui eurent de l'altér- - nance de l
façon complète l'évolu- tion de la réaction de la peau à toutes les périodes de la para- lysie générale chez les mêmes malad
aralytique chez lequel la réaction complètement nulle à la première période a reparu affaiblie à la seconde et une autre qu
normal il nous fournit un résultat inattendu. Certes à toutes nos périodes de dix en dix ans nous le trouvons inférieur
es cas où Tomlinson a trouvé des troubles mentaux aux dif- férentes périodes de la maternité, des troubles mentaux avaient e
une maladie, non le caractère qu'elle peut présenter à l'une de ses périodes , mais son cours pendant toute la vie du sujet e
sparu; - 5° dans le cours delà folie hystérique, il y a parfois des périodes , plus ou moins courtes, où le tableau clinique es
ar un accident nouveau, ou par un retour d'accidents anciens, les périodes de rémissions plus ou moins longues et complètes
on par accès, par. crises plus ou moins violentes, que séparent des périodes de calme à peu près complet, est encore peu com
, mais comme je l'ai dit, j'ai traversé dans ces derniers temps une période malheu- reuse et j'étais résigné à le faire. Un
nanisme, une autre pour mensonges. - Sournois, hypocrite, jaloux. - Périodes de mélancolie (1890). Traitement médico-pédagog
de vue de la véracité et de l'assi- duité au travail. Du 14 au 21, période de mélancolie et de tacitur- nité provoquée san
servons pas la névrite' multiple depuis son début, qu'il existe une période latente qui ne se manifeste par aucune sensatio
ffisance de la mémoire des sons. Il en est qui n'ont pas dépassé la période du vocalisme primitif : c'est de la mutité acou
des pupilles est normal au début, parfois il est rétréci; dans la période tonique et clonique il y a dilatation, et souvent
signes de la paralysie générale, ce malade faisait; au cours d'une période d'instruction militaire, de nom- breux excès de
n voit souvent des femmes être prises de cette idée au moment de la période mégalomaniaque de leur maladie. Une de mes mala
la clermorpliinisation ne sera commencée qu'après une assez longue période de préparation. Je le- laisse fixer lui-même la
e les mêmes résultats chez tous les morphinomanes et à toutes les périodes de la maladie. M. Joffroy répond qu'il l'appliq
i jouer un rôle pré- dominant dans certaines psychoses chroniques : période d'incuba- tion des délires de persécution, déli
ue, persistance de l'intégrité des facultés intellectuelles (pas de période de démence). C'est à cette forme clinique déjà
psychose à base d'interprétations, débute en général au cours de la période de la vie comprise entre vingt et quarante ans,
s fonctions de contrôle ; ils sont analogues à ceux que présente la période d'excitation du sommeil chloroformique. Leur co
, mouvements choréiques, etc. Avec M. Bérillon, je considère que la période d'ex- citation du sommeil cliloroformique prése
sa théorie sur une base solide. A cette fin il soumit, pendant des périodes de trois à quatre mois, à un régime absolument
ue jour, nous voyons qu'elle varie quotidiennement, même dans les périodes sans accès, d'une ,quantité qui va parfois du sim
antité qui va parfois du simple au dou- ble. Supposons que dans ces périodes il se fusse produit des accès, certains d'entre
oires, à l'apnée. La phase d'hyperpnée s'accompagne d'une véritable période d'excitation avec loquacité débordante et même
ée ; les écoule- ments cessèrent et, au bout de trois semaines, les périodes firent leur première apparition, pour revenir d
ré (124). La respiration est d'abord saccadée, puis, à la fin de la période convulsive, elle cesse pendant plusieurs second
dre d'une façon bruyante et devenir ster- toreuse. La durée de la période convulsive est de deux minutes environ, puis la
a perte absolue de la con- naissance, la phase stertoreuse après la période convul- sive, etc., mettenthors de doute la nat
leptique étant due surtout au travail musculaire produit pendant la période tonique, il peut se faire que, exceptionnelleme
qui a été entraînée par la chute et le retour à la conscience, une période d'obnubilation, de rêvasserie, comparable à cel
ce sont les explosions de manifestations actives alternant avec des périodes comparati- vement silencieuses : les manifestat
naires. Il semble que ce soit le propre du virus syphilitique, à la période exsudative, d'affecter spéciale- ment les parti
bien avec ce mode d'évolution. Au demeurant, L..., est parvenu à la période de la vie, où des hémorrhagies cérébrales, révé
tous les signes de la paralysie générale progressive, arrivée à une période très avancée : inégalité pupil- laire, tremblem
état est le suivant : paralysie générale progressive parvenue à une période très avancée. Mémoire éteinte. Embarras de la pa-
les symptômes psychiques et somatiques de la folie paralytique à la période d'état. Six mois après elle succombe dans le ma
on certificat. L'admission n'est en général que provisoire pour une période qui varie de quinze jours à six mois. Dans un
oi, les privations de sortie et les amendes (de 3 à 10 marks.) La période d apprentissage varie de huit jours à un an. Elle
précoces : il n'y a pas de catatonie périodique, mais seulement des périodes de rémission, qui, comme dans la paralysie géné
71 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
peut se diviser en deux phases princi- pales : l'une comprenant la période antérieure à son entrée en traitement et son pr
it que nous avons appris ce qui s'était passé en réalité dans cette période , et su qu'elle avait encore au sanatorium enten
ugace, le souvenir des phénomènes hallucinatoires éprouvés dans des périodes semblables est au contraire très net. L'ensem
surtout celle de Deus, appelées avec une ardente ferveur. Dans ces périodes de grande activité symptomatique, les voix inco
pendant des mois, se répé- tant presque tous les jours à certaines périodes . « Cela m'agace quelquefois, dit Cam..., alors
uses disparaissent alors faute d'irrigation sanguine ; à cette même période des lésions, on voit disparaître les travées conj
mme nous l'avons indiqué, l'amaurose tabétique évolue, suivant deux périodes consécutives, la première, d'évolution aiguë, gén
lle-ci puisse présenter entre les poussées paroxystiques de longues périodes d'accalmie, le plus souvent les lésions et leur
les lèvres de Deus. Ces sensations on;. lieu aussi bien pendant les périodes d'exaltation que dans des intervalles de calme,
je te parle, ma fille » et un peu plus tard, après une assez longue période de silence, il s'explique : « Je suis toujours
souvenirs de tout ce qu'elle avait dit, vu et entendu dans cette période avaient paru s'effacer pendant l'intervalle relat
, tous ces souve- nirs s'effaçaient pour ne reparaître que dans les périodes paroxys- tiques qui ravivaient l'activité spiri
et moins brus- quement. Il y avait chaque fois une transition, une période d'effa- cement graduel avant la disparition tot
elle, était tombé dans le délire hallucinatoire après une longue période de rêveries religieuses, il s'est comme elle en
t ému à la plupart de ses évocations pendant toute une assez longue période . MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 145 Guérie, Cam... avo
nnants de la famille des délirants mystiques. ' Pendant sa longue période de névrose phobique, le malade avait précisémen
un régime et à un mode d'existence uni- formes, soit pendant cette période d'observation, soit pendant la période d'essai
formes, soit pendant cette période d'observation, soit pendant la période d'essai sérothérapique, et pesés régulièrement ;
ossède actuellement une autre de paralysie géné- rale à la dernière période , où l'hémisphère entier trahit l'atrophie des f
n a consi- dérée longtemps comme une complication obligatoire de la période terminale de la paralysie générale. Une opinion
e ceux-ci, d'où une ulcération anfractueuse ne suppurant pas; enfin période de réparation rapide. Le pronostic de ces compl
côtés et dans le bras droit resta la paralysie atrophique ; dans la période de l'amélioration des mouvements, apparurent de
F le plus souvent est provoquée par l'alcool ; mais dans ces cas la période initiale de la maladie n'est pas si accentuée q
ale de M. Gilbert-Ballet, M. Arnaud distingue seulement, suivant la période de la vie à laquelle elles apparaissent, deux f
phes, mais offrant néanmoins certains caractères particuliers. A sa période d'état, la maladie s'affirme par un affaiblisse
r, d'athlète, etc. Lorsque à cette agitation motrice fait place une période de calme et de répit, les malades se dissimulen
s émotionnels. Quand on interroge, en effet, les malades, dans leur période de rémission ou dans leurs intervalles lucides,
précoce que dans la forme paranoïde. Ils appartiennent surtout à la période d'état de la mala- die et diminuent en nombre e
d'état de la mala- die et diminuent en nombre et en intensité à la période terminale. Leur valeur sémiologique est encore
pelle l'opposition qu'a rencontrée M. Magnan pour faire accepter la période démentielle de son délire chronique à évolution
s exemples les plus simples. Dans la forme paranoïde, il existe une période délirante qui peut être la première en date. En
s le sang de 30 malades atteints de démence précoce à différentes périodes de l'affection. Nous avons pu constater, au début
e nouvelle rémission de mai à novembre 1902 et enfin une der- nière période de stupeur avec accès d'excitation cacatonique. A
l'aide de la méthode de Nissl sont nombreuses. Dans une pre- mière période , les auteurs se sont contentés des sections nerve
oyaux latéraux, l'extension aux noyaux centraux. Dans une seconde période , on a enlevé les muscles et les résul- tats fur
olles nécrosées. En outre, signes de tuberculose pulmonaire à la 2e période . Mai- greur extrême, sitiophobie, ptyalisme, ab
suffit en effet de placer le malade sur le côté gauche, pendant la période tonique, pour supprimer la période clonique et
e sur le côté gauche, pendant la période tonique, pour supprimer la période clonique et voir le patient revenir bientôt à l
ssantes à relever dans ce cas sont les suivantes : ' 1° La longue période pendant laquelle l'encéphale a pu s'adap- terav
mbraneuse, chez une mère de famille de cinquante-trois ans ; chaque période d'amélioration de l'entéro-colite amenait une a
abes avancés, quoique pouvant apparaître parfois dans les premières périodes . La cause de l'in- fection est la stase qui rés
oup supérieur à celui trouvé chez les paralytiques généraux à la 1° période . 278 SOCIÉTÉS SAVANTES. Rôle des muscles spin
ois, tantôt ils étaient plus courts. Dans les intervalles entre les périodes de l'état maniaque, parfois d'assez longue duré
excitation sexuelle et parfois de pollutions fréquentes. L'une des périodes de l'état dépressif s'était manifestée dans une f
s symp- tômes psychiques peut être rencontrée dans le cours de la période mélancolique de la psychose circulaire, de même
sensation de chute que chacun a éprouvé au moins une fois dans la période hypnagogique. N'ayant plus aucune percep- tion
ts paralytiques, tient à ce que l'affection est survenue pendant la période de développe- ment du sujet. L'atrophie avec pa
uë. , P. KERAVAL. XXXIII. Des affections mentales et nerveuses à la période secon- daire de la syphilis; par M. Scu.ISwvrTS
convulsive, post-convulsive de la grande atta- que d'hystérie : la période préconvulsive comprenant des auras sensitives (
minale, gonflement thoracique, constriction laryngée) ; la deuxième période comprenant une phase tonique avec immobilisatio
E NERVEUSE. longues et convulsives et toux explosive ; la troisième période enfin correspondant à la période post-convulsiv
s et toux explosive ; la troisième période enfin correspondant à la période post-convulsive et se terminant d'ordinaire bru
vés. A l'Asile on peut encore observer des réactions suicides à une période plus avancée, mais elles perdent de plus en plu
utions associées à la der- nière et surtout le pseudo-suicide à une période avancée de la maladie : le malade se tuant sans
es problèmes nombreux et complexes qui sont à résoudre pendant la période de scolarité de ces petits déshérités. Question
le traitement curatif à l'approche et pendant toute la durée de la période menstruelle, c'est-à-dire pendant huit à dix jo
moins quelques jours avant l'époque présumée des règles. pendant la période menstruelle et quelques jours après ; elles peu
n'avaient ainsi produit que des symptômes d'irritation, qui, en une période ultérieure, auraient fait place à des symptômes
alors même que la malade étendue à terre était à peine sortie de la période de torpeur consécutive à la crise, la ruminatio
he persistait pendant la phase entière, atteignait son maximum à la période d'acmé de cette dernière et disparaissait ensui
ue et de l'ouïe; puis s'est déclarée, plus ou moins rapidement, une période de mélancolie anxieuse entrecoupée de poussées
n examen prolongé des coupables qui plai- dent la folie pendant une période d'observation suffisante à l'asile. SIMON. II
le médecin. Ce ne sera pas parce que certains aliénés auront eu des périodes d'agitation durant lesquelles ils se seront mon
s. L'état de mal épileptique n'a offert, ici, que la pre- mière période ou période convulsive, composée seulement de 8
de mal épileptique n'a offert, ici, que la pre- mière période ou période convulsive, composée seulement de 8 accès, ces
ouvent elle s'élève à un chiffre supérieur. D'autres fois, après la période convulsive, après la cessation des accès, la te
ve plus ou moins vite, monte au delà de 40° et le malade succombe '( période méningitique) . Enfin, dans d'autres cas, les a
s le nom de parésie spasmodique des vieillards atheromateux. A la période d'état, la démarche parêto-spasmodique coïncide
'auteur; mais il a tendance à rattacher à la partu- rition, et à la période immédiatement voisine un délire avec agita- tio
des -- toxiques par Alter, 151. Des - mentales et nerveuses à la période secon- daire de la syphilis, par Schai- kewit
72 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
st repris à 10 h. 35. M. Bourne- ville arrive au moment où après la période épileptoïde, le malade fait l'arc de cercle leq
lles fortement dilatées, la respi- ration bruyante. Une troisième période épileptoïde survient marquée par le cri c Euh !
e inférieur droit, tandis que le gauche est soulevé à 45°. Nouvelle période épileptoïde débutant par le même cri étouffé que
tas ! oui, quand je suis sorti j'ai trouvé Paris changé. » Nouvelle période épileptoïde. Repos, respiration toujours bruyan
e côté gauche, puis il retombe brusquement à genoux. Cri étouffé, période épileptoïde, secousses tétaniformes. Repos. Eva
convulsifs latéraux, la bouche est déviée à droite. Puis il y a une période de stertor, avec ronflement pendant laquelle le
dée comme l'autre d'un gémissement. Il est impossible de saisir une période tonique; les convulsions cloniques arrivent pre
ns diverses. Il a à son réveil perdu complètement le souvenir de sa période de sommeil. 7.-On l'hypnotise de nouveau et on
rie de secousses tétaniformes de plus en plus rapides suivies d'une période de stertor avec écume. Il est bientôt pris d'un
ses tétaniformes de plus en plus rapides, après quoi sur- vient une période de stertor, avec rapidité de la respiration et
ussi intenses d'un côté que de l'autre.-La crise se termine par une période de stertor bruyant, avec résolution complète et
20 nouvelle attaque avec : 1° rigidité; 2° phase tétani- forme ; 3° période clonique avec mouvements étendus; 4° stertor. A
par les viandes saignantes elles bains sédatifs, et pen- dant cette période , il eut deux ou trois attaques. Il eut huit atta-
és et les globes oculaires convulsés en haut et en dedans. Après la période de résolution il rouvre les yeux. Le regard est
anche, léger stertor. Il se retourne alors brusquement. 1° Nouvelle période épileptoïde, puis secousses tétaniformes des ja
on est sur les Fig. 7. Température dans un état de mal limité à la période convulsive Le signe correspond à la T. aussitôt
Fig. 8. - Température dans un état de mal terminé par la mort à la période méningitique. Le signe- correspond la T. une de
ous avons distingué dans l'état- de : mal épileptique complet- deux périodes : une période convulsive et une période méningi
ngué dans l'état- de : mal épileptique complet- deux périodes : une période convulsive et une période méningitique. Dans
pileptique complet- deux périodes : une période convulsive et une période méningitique. Dans certains cas; l'état de mal
ns cas; l'état de mal est constitué exclusive- ment par la prcm'jre période . Alors, ainsi que le montre la figure i, la tem
ès une asccnsion considérable de la température, correspondant à la période convulsive, les accès disparaissant, on voit le
même temps que la température diminue (fig. 7) ; puis survient la période méningitique qui peut se terminer par la mort (
s consécutifs a des séuiesOtllil72 état de mal; déchéance. Gâtisme. Périodes mélancoliques. (7S5. Etat de mal; broncho-pneum
nhalations, l'anesthésie d'abord, puis larésolution musculaire ; la période d'excitation n'a jamais été bien accusée ; le r
à se cacher dans tous les coins du service. Il présente souvent des périodes d'agitation qui obli- gent, faute de cellule ou
ie à laquelle le malade était soumis depuis le 9 juin. Durant cette période de traitement le nombre des accès a toujours ét
e à cause de la multiplicité des accès; il ne gâte que durant ses périodes d'accès. Puberté. Léger duvet à la lèvre supéri
e brutale sur le front, plaies confuses fréquentes de la tête ; - périodes d'excitation maniaque; accès sériels ou états d
r à poser un diagnostic précis. C'est ainsi que Schad.. avait des périodes durant lesquelles il était calme, se tenait plu
t casser. 13 mars. La parole est toujours défectueuse. Il y a des périodes où l'enfant est paresseux. Il a peu de goût pour
u'il ne l'était en 1880. 3 juin-li août. L'enfant a eu durant cette période une dysenterie assez intense (selles sanguignol
susceptibles, peut-être d'être rattachés à l'urémie. Durant cette période la température a oscillé entre 37°, 9 et 36°, 6.
73 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sens musculaire du côté gauche). Dr..., en 1865, à la suite d'une période de tristesse, causée par des chagrins particuli
Dans un certain nombre de cas, il précède ou il suit le mutisme. La période d'aphasie peut être relativement très courte, a
d'une attaque convulsive. Peut-être existe- t-il dans ces cas, une période aphasique assez courte, pour échapper au malade
y était qu'un incident accessoire. Dans les nôtres au contraire, la période d'aphasie a été tellement courte que ce symptôm
endant le sommeil. maladie DES tics et tremblement. 29 Durant les périodes troublées, on peut évaluer en moyenne aux chiff
type a duré longtemps, restant fidèle à lui-même pendant une longue période . Aucune lenteur et aucune gauoherie dans les mo
. Dans notre cas, l'unique manifestation a été, pendant toute une période , cette rare localisation. L'histoire de la mala
S. leptiques disparaissent ordinairement plus ou moins pendant la période aiguë et fébrile de la maladie intercurrente. Mai
ilepsie compliquée d'une affection aiguë intercurrente, pendant les périodes les plus aiguës de celle-ci, l'épilepsie ne se
le, les troubles de l'ouïe pouvant se produire à n'im- porte quelle période du tahes. - M. Fano a soumis trente-six d'entre
s : actuellement il gagne sa vie. Un incident caractéristique de la période d'impuissance apparente des quatre membres : un
ale que la valeur terminologique de mots propres à caractériser une période , un épisode, de processus morbides com- plexes
originel, primitif; il apparaît dans les psychoses après une courte période de délire, et se manifeste souvent sous forme d
sus inflammatoire. A l'état physiologique, elles appartiennent à la période de développement du jeune acte, mais font absolum
ervé qu'un moi- gnon court, partiellementmobile. Ainsi, pendant une période de cin- REVUE d'anatomie ET DE physiologie path
ion artérielle est la règle chez eux. Dans l'état de mal et dans la période d'inconscience de l'attaque d'épilepsie, le tracé
pouls varie suivant les phases de la maladie : a) dans la première période , la systole est éner- gique, niais brusque, la
nt la conséquence des tremblements musculaires ; b) dans la seconde période , l'impulsion du choc est modérément torte et la
ui annonce une tension aftériette assez élevée; c) dans la dernière période , la systole ventriculaire est faible, et le tra
tracé est assez semblable à celui que l'on observe dans la première période . (il, Le tracé du pouls dans la démence indique
nt d'obstruction aortique, lorsque ces af- fections ont atteint une période avancée. R. M. C. Il. Tabès \TAXO-SPA.5M')DfU
ûmesd'exatlation et d'expansion qui caractérisent si communément la période de début de la paralysie générale vraie. D'autr
s que, chez quelques sujets, la neurasthénie entre dans une seconde période qui est celle des troubles mentaux élémentaires
oit avoir une termi- naison favorable, soit aboutir à une troisième période , celle de la névrose et de la psychose organisé
ression (idées de persécution) chaque cycle durant six mois; pas de période de lucidité intermédiaire. Pen- dant la phase d
ase dépressive, sitiophobie, insomnie, déchéance soma- tique; cette période se montre de préférence l'eté, l'état maniaque
e myéline ont diminué de volume; on croirait assister aux premières périodes de développement des fibres cérébelleuses. Para
pendant la guerre franco-allemande et bien qu'exposé pendant cette période à des fatigues et des privations de toute espèc
Au contraire, dans l'hystérie pathologique, autrement dit dans ces périodes où les troubles hystériques se manifestent soit
e manifestent soit par la grande attaque convulsivc avec ses quatre périodes , soit par l'attaque simplement bornée à l'une d
ériodes, soit par l'attaque simplement bornée à l'une de ces quatre périodes , soit encore par la crise à forme d'épilepsie p
c'est la règle, l'asphyxie a marqué le début des accidents. A la période comateuse succède une période de parésie généra
a marqué le début des accidents. A la période comateuse succède une période de parésie généralisée qui cesse au bout de que
nous faisons allusion (Alberti 2) la jambe droite au sortir de la période comateuse était tout à fait inerte, le pied tou
çon automatique. Le type de cet état spécial nous est fourni par la période sommanbulique du grand hypnotisme, mais il est
ndons ou autres tissus, dé- termine de véritables réflexes, mais la période latente de la contraction est alors plus lente
rente chiens de divers âges ; depuis l'âge d'une semaine jusqu'à la période adulte. Après leur avoir fait subir toutes sort
des. L'acide phosphorique excrété n'est pas augmenté, même dans les périodes de suractivité intellectuelle. Sur 5.000 analys
t de la paralysie générale, et elle est ordinairement limitée à une période variable et s'étend à tous les faits de cette p
limitée à une période variable et s'étend à tous les faits de cette période . La paralysie générale et la manie consécutives
un examen plus rigoureux à l'entrée des détenus, et une plus longue période d'observation. Chaque fois que des troubles psy
chopalho- génétique comme des autres maladies infectieuses aiguës à période fébrile égale. Les condamnés qu'il a l'habitude
ent la crainte de supplices imaginaires. Au bout d'un mois environ, période d'accalmie, la malade raconte que les semaines
claudication intermittente du coeur et du rein pendant la première période ; troubles viscéraux, urémie, troubles nerveux
bulbe (respiration de Cheyne-Stokes). Le vertige appar- tient à une période antérieure à ces derniers troubles ; on le renc
par la pression exercée sur la région affectée. - Cette première période dure dix jours. Aux accès de cépha- lalgie vien
née de la région externe de la jambe. ' Enfin, après une nouvelle période de cinq jours, quelques-uns des phénomènes que
es quinze jours, sans présenter, du reste, aucune relation avec les périodes menstruelles. La malade put observer ainsi avec
jà utilisé par l'un de nous dans ses recherches antérieures (sur la période latente et sur la secousse musculaire) faites à
ervice et pendant les premiers jours, la malade a présenté quelques périodes d'excitation d'ailleurs peu accentuées. Elle pr
hysionomie un peu mystique. Nous avons pu reproduire ce délire à la période d'excitation du chloroforme, et le voici transcri
aine de l'inconscient. Quant au temps passé (je parle surtout de la période postérieure à l'accouchement), elle en raccourc
mplis d'autre part, le travail qui seul aurait pu exiger une longue période , et je me trouve très loin de ce que j'espérais f
oute spontanéité semble abolie; mais habituellement ces animaux, la période de calme passée, font quelques courses Les loca
e série d'observations attentives sur des chiens pendant une longue période après une destruction très grande des deux hémi
orce et l'application des électrodes sur les fibres médullaires, la période de retard descend à 30 secondes, environ un tie
deux fonctions, abolition parallèle, uniforme, qui se perpétue à la période d'atrophie du tissu nerveux. L'intégrité des réfl
lement de l'analyse années par années mais encore du groupement par périodes quinquen- nales. ~ P. K. XLVII. Folie DE l'en
74 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
clarté, nous reconnaîtrons dans notre description l'existence de deux périodes . Première période. 1° Le mode d'invasion de la
trons dans notre description l'existence de deux périodes. Première période . 1° Le mode d'invasion de la paralysie infantile
ls sont, Messieurs, les caractères les plus saillants de la pre-mière période de la paralysie infantile ; je vous demande la pe
, les glo-bules rouges discoïdes, létat adulte et, les microcytes, la période de sénilité. Entre ces phases bien distinctes on
de d'un vomitif, dans de sem-blables conditions et n'importe à quelle période de la maladie, avait une véritable efficacité ; l
teinte du croup et admise à l'hôpital au commencement de la troisième période , dite d'asphyxie ou d'anes-thésie progressive et
acenlhèse. Par ses mensurations, M. Woillez a pu constater: 1° que la période d'état, c'est-à-dire celle dans laquelle l'épanch
c'est-à-dire celle dans laquelle l'épanché* ment reste stationnaire, période qu'on croyait constante, est assez rare dans la p
presque aussitôt que l'ampliation a cessé de se produire, el que la période d'état dure vingt-quatre ou quarante-huit heures
ulement, M. Woillez a con-staté à la mensuration l'existence de cette période d'état. 2° Vers le vingtième jour, la pleurésie
M. CHRCOT, à la Salpêtrière (juillet 1870). § Il (suite). Deuxième période . Messieurs, la régression des symptômes dont nous
es symptômes dont nous venons de vous entretenir, inaugure la seconde période de la paralysie infantile. Elle commence à s'accu
ou dix mois après le début, époque qui marque la terminaison de cette période rétrograde, les muscles qui n'ont pas recouvré le
jours ou même de quelques semaines. Il est d'autres cas où dans la période de régression il se produit des temps d'arrêt ou
st là un sujet qui réclame encore de nou-velles études. A. Première période . C'est surtout relativement aux premières phases
a majeure partie des faisceaux primitifs subirait dans celte première période , l'atrophie simple, sans dégénération graisseuse.
, d'une façon très-nette, dans des cas de date ancienne. B. Seconde période . Si l'on étudie les muscles altérés à une épo-que
ent accru de manière à reproduire exactement ce qu'on observe dans la période ultime de l'affection décrite par 1 Volkmann, l
vons éprouvés dans une de nos expériences. Le délireest alors dans sa période d'état: les idées se pressent en foule, s'entre-c
qui n'est pas toujours le même ; ils peuvent être interrompus par des périodes de calme suivies de périodes d'exacerbation; mais
e ; ils peuvent être interrompus par des périodes de calme suivies de périodes d'exacerbation; mais leurs plus grandes variation
veur de l'efficacité du Hachisch, que la guérison eut lieu clans la période où la maladie a l'habitude de se terminer parla m
ents, toux, etc. » Il y aurait donc nécessairement pour Spring deux périodes dans la méningo-encéphalocèle : dans une première
pring deux périodes dans la méningo-encéphalocèle : dans une première période , antérieure à la naissance, la tumeur ne contiend
ance, la tumeur ne contiendrait que de la sérosité ; dans une seconde période , postérieure à la naissance, la tumeur contien-dr
peut même exister au septième mois de la vie intra-utérine. Les deux périodes indiquées par Spring ne sont donc nullement néces
suivie pas à pas par l'auteur, est indiquée et résumée dans les trois périodes suivantes : Première période : Digitaline ci do
st indiquée et résumée dans les trois périodes suivantes : Première période : Digitaline ci doses thérapeutiques. — Elle prod
iquides et solides, morbides d'abord, et. normaux ensuite. Deuxième période : à doses contro-stimulantes.—Il y a deux actions
xcentriques, cutanée, muqueuse, salivaire, biliaire, etc. Troisième période : à doses toxiques. On observe deux temps suc-cess
Au premier temps : Exagération de tous les phénomènes de la deuxième période . Au deuxième temps : 1° hyposlhénisation des ce
gues à se cicatriser complètement. M. Peltier étudie les diffé-rentes périodes de ces plaies, et donne le traitement employé.
, je crois, pour vous convaincre, messieurs, que, dans cette première période , la simulation a été impossible. Mes amis, MM. le
ié entre 0 et 5 grammes : moyenne, 2sr,50 en 24 heures. Pendant cette période , l'ischurie a été absolue de deux jours l'un. E
les deux phénomènes. Quel a été l'état général pendant cette longue période de quatre mois qu'a duré l'observation? A aucune
elle-ci : chez notre malade, l'anurie complète n'a jamais dépassé une période de dix jours. Or, d'après les explications qui pr
par les vomis-sements a sans doute frappé votre attention. Durant une période de douze jours, avons-nous dit, elle n'avait rend
été con-sidérée, pendant si longtemps, comme l'état régulier à cette période de la vie. C'est donc chez les jeunes femmes nul
cle cardiaque lui-même l'est davantage ; les accidents de la deuxième période des maladies du cœur sont préci-pités (troubles d
ont préci-pités (troubles de l'hématose) et le passage à la troisième période est accéléré (troubles de l'hématopoièse). Des in
On verra, en effet, par les détails de notre observation que, dans la période ascendante de l'éclampsie, le thermomètre s'est é
re s'est élevé progressivement jusqu'à 59 degrés, tandis que, dans la période décroissante de la ma-ladie, il a baissé successi
aisemblable de l'état cachectique actuel, est arrivée elle-même à une période avancée. La voix, qui pendant longtemps est demeu
plus haute importance : il faut de l'immobilité au début, pendant la période de la fièvre et des accidents inflammatoires. Ell
int sur lequel je veux surtout insister, —jamais pendant cette longue période convulsive la tempé-rature rectale ne s'est sensi
ns cas hybrides d'atrophie musculaire pro-gressive, et à une certaine période de cette affection, dans les para-lysies traumati
rend de la fermeté. Le sommeil est plus calme. 1er avril. Après une période prodromique de trois jours, le malade est pris de
.). — Le cancer du col cle l'utérus est beaucoup mieux connu dans ses périodes avancées qu'à son stade de début. La plupart des
ous avons observé souvent des femmes atteintes de carci-nome dans une période avancée, traitée depuis longtemps par leur médeci
ture dépasse 37° lorsque les accidents inflammatoires débutent; à une période plus avancée, elle est inférieure à celle de la r
parsemé d'un nombre va-riable d'éléments embryonnaires à différentes périodes de leur dé-veloppement. — Le» vaisseaux paraissen
t par état puerpéral l'auteur comprend avec le professeur Pajot cette période qui commence avec la délivrance et finit au retou
i en constitue le tableau symptomatique et qui domine, à une certaine période , toute la scène morbide. » C'est cette lésion ner
s spéciaux à la myélite du mal de Pott, en l'étudiant aux différentes périodes de son évolution. Alors qu'il n'existe pas enco
75 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
1895, 1896 et 1897 que chez les épileptiques, qui sont dans leurs périodes d'accès, le timbre de la voix devient moins cla
icl2e.s, convulsifs ou psychiques, les autres des impulsions ou des périodes d'excitation, ces jours-la et les jours qui sui
venus de la grosseur d'une olive. , C.... est très II10hile ; a des périodes alternatives 'dE bitm et de maul ; taquiné ses
us le rapport des exercices scolaires, mais il ne travaille que par périodes . Il essaye de fumer des bouts de cordon, du jon
eux séries de troubles, évoluant simultanément, caracté- risent ces périodes d'excitation : c'est d'une part un trouble ment
nu, les selles sont régulières. Elle est taquine, rusée, durant ses périodes de lucidité. Ainsi, durant la nuit du 19 au 20,
istance de la toux et de l'expectoration. 22-24 avril. - Durant les périodes de calme, la malade est abattue. Il lui arrive
nt de plus en plus triste, on essaie en vain de la distraire. Cette période mélancolique dure de la mi-décembre à la mi-fév
ours et, aussitôt, elle lui fait des propositions et s'exhibe. La période a a duré depuis le 6 avril jusqu'à la fin de ju
remonte à la gorge ». Pas de paralysie d'un côté du corps. Pas de période d'incontinence d'urine. Aime beaucoup rester au
ressé des injures à tout le monde. Au bout cle plu- sieurs jours la période d'excitation s'est progressive- ment atténuée.
il est calme, en- trecoupé de réveils brusques avec cris, suivis de périodes de calmes. 28 novembre. L'enfant entre il l'i
de quitte l'infirmerie le 5 octobre. Traitement : Durant toute la période d'état de la maladie, le traitement a consisté
fs.locaux sur le. thorax. Il semble que ce malade soit entré à la période de défervescence de la lièvre typhoïde et qu'il
, en fournis- sent l'explication. V. La fièvre typhoïde, sauf une période passagère d'agitation, paraissait avoir une mar
été soigné dès le début des accidents ; tous se sont présentés à la période d'état de leur affection, les uns offrant déjà
- Conduite et travail réguliers jusqu'en juin 1894 (16 ans j/2)' - Périodes de tristesse et de taciturnité alter- nant avec
/2)' - Périodes de tristesse et de taciturnité alter- nant avec des périodes de bavardage et d'excitation ; cépha- lalgies s
sionné par la cérémonie funèbre de Carnot (Juin 1894). - Retour des périodes de mélancolie alternant avec des périodes d'exc
(Juin 1894). - Retour des périodes de mélancolie alternant avec des périodes d'excitation. - Contrariété, achat de trousseau
té consécutive. Nouveaux essais de placement. - En décembre 1894, période de mélancolie et de loquacité. - Emprunts d'ar-
it pas à ses parents, mais continuait à parler aux clients ; il ces périodes de mutisme succédaient des période.1' de bavard
t à parler aux clients ; il ces périodes de mutisme succédaient des période .1' de bavardage exagéré : en même temps douleur
rices, ses cha- peaux ne lui plaisaient plus. l'uis est survenu une période de mélancolie. Il va passer quinze jours chez u
lie et la /o(juacilé sont de plus en plus accentuées; pas de bonnes périodes . Le 2'juin (1895), Edouard emprunte 40 francs i
onvenablement. - Il a conservé les connaissances acquises durant sa période d'écolagc, les a augmentées par des lectures di
ssent de l'état du moment : très lisible et très régulière dans les périodes de rémission, elle est tourmentée et irrégulièr
périodes de rémission, elle est tourmentée et irrégulière dans les périodes d'excitation, la lettre qu'il a écrite de Belfo
le 20, qui disparait le 25. Le bavardage incessant persiste; pas de période de mélancolie. Décembre. L'enfant est très tran
ticulier; mais au moment où Edouard devient pubère, on remarque des périodes d'excitation et de (1) [Depuis la rédaction de
1888. DÉPRESSION, EXCITATION. Il f bavardage, alternant avec des périodes de mélancolie et de taciturnité, le tout accomp
zarres, éprouve un besoin de mouvement sans but, puis, survient une période de mélancolie il laquelle succède une période d
puis, survient une période de mélancolie il laquelle succède une période de loquacité ; et l'alternance de ces phénomène
iage disparaît, Edouard n'est plus indiscret; on ne constate qu'une période courte cle mélancolie, et elle reste isolée ; l
76 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
nt la quantité tous les dix jours, de telle sorte qu'à la fin de la période de traite- tement chaque malade prenait dix cen
rothérapique ; nous donnons ici le relevé de leurs accès pendant la période où ils ont pris le bromure d'or et pendant les
érapie et nous aurons soin de com- parer les accès notés durant les périodes correspondant au traitement avec ceux qui ont é
rrespondant au traitement avec ceux qui ont été relevés aux mêmes périodes durant l'année ou les années antérieures. C'est
t a eu 40 accès et 2 vertiges, et 28 accès et 2 vertiges pendant la période correspon- dante de 1880. De mai à décembre 188
16 janvier 1881 du bromure de potassium : il n'a pas pré- senté de périodes d'excitation pendant le traitement hydrothé- ra
ervations. 69 dante; la face, qui était devenue violacée pendant la période clonique, devient progressivement très pâle (10
en 1882 a ce- pendant eu 23 accès de moins qu'en 1881 pendant la période correspondante au traitement hydrothérapique de
idérable d'observations, relatives à des malades soumis pendant une période plus longue au traitement hydrothérapique. C'es
durée du traitement (4 mois) tandis que l'an- née dernière, pour la période correspondante, nous trou- vons 115 accès et 14
29 avril. La nuit a été plus calme ; cependant il y eu encore deux périodes de cris. A la visite, agitation moindre qu'hier
u cas, ainsi que vous pouvez vous en assurer, la lésion était à une période relativement moins avancée ; la substance grise
n cri et tombe en avant; on le dégage et on le couche par terre; la période de rigidité est assez courte; elle est remplacé
t les quatre membres et la face et durant un peu plus longtemps; la période clonique est caractérisée par des convulsions f
es convulsions fortes, assez prolon- gées et égales des deux côtés. Période de stertor : ron- flement bruyant, bouche rempl
27 au 31 août 1881, on signale à la suite d'une sé- rie d'accès une période de stupeur assez marquée; le ma- lade n'a pas d
que nous raconterons plus loin, telle qu'il l'a décrite du- rant la période de délire d'une de ses crises. Il quitta alors
soulevé en masse et jeté sur le lit voisin. Il y aurait aussi une période terminale de délire dans laquelle il parle do l
au- trefois avec une fille ; ceci dure environ de 6 à 7 minutes. Période tonique. - Soudain, il se met sur son séant et
dirigé en haut, les lèvres agi- tées d'un tremblement convulsif. Période de délire. - Cet état de tétanisme disparait et
, il veut retourner au gymnase et appeler l'infirmier. Attaque, - Période épileptoïde. En descendant l'esca- lier de cinq
uré environ 10 minutes et parait avoir été tout à fait limitée à la période épileptoïdc. - Nous le voyons au moment où il v
lade est pris d'une attaque d'hystérie : Pas de cri initial, pas de période tonique; mais, dès les premiers spasmes, il ren
résulte qu'elles offraient la plupart des symptômes classiques. La période de délire était, ici, très caractéristique, et
les inhalations, anesthésie d'abord puis résolution musculaire ; la période d'excitation n'a jamais été bien accusée ; réve
77 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
fortes, chacun le sait, ont la dangereuse propriété, à la première période de leur action sur le cerveau, d'exagérer les m
and ces dispositions d'esprit sont intermittentes, séparées par des périodes de bonne humeur et de jovialité, elles ont une
ue de la première évolution génitale, une au retour d'âge. Ces deux périodes sont les périodes cri- tiques de l'existence, c
évolution génitale, une au retour d'âge. Ces deux périodes sont les périodes cri- tiques de l'existence, celles où l'organe
ques constatés étaient semblables à ceux qu'elle présenta durant la période criminelle du 28 juillet au 19 août. Observat
étaient devenus incoercibles. Il succomba le 23, à la suite - d'une période fébrile intense, à un cancer du foie, comme l'a
le de la tète et de l'ab- sence absolue, pendant toute cette longue période de vingt- six années (1857-1883), de symptômes
terons que cette monomanie exaltée est absolument confondue avec la période prodromique de la paralysie générale et certain
ux sous-variétés. La première, hallucinatoire dépressive, après une période d'incu- bation très longue, éclate souvent à la
délire des persé- cutions, qu'il décrit complètement avec ses trois périodes hypo- chondriaque , de persécution , de grandeu
r à l'état chronique. La forme chro- nique peut se diviser en trois périodes . Le début de la première est difficile à précis
e surtout par des tendances hypochondriaques. Puis, dans la seconde période apparaît un délire de persécutions à développem
de grandeurs; c'est surtout ce délire qui caractérise la troisième période , laquelle peut aboutir à la démence. Comme variét
mode uniforme et continu dans la voie de la folie chronique, où les périodes s'éta- ient dans une coordination rigoureuse ?
que le fond morbide tend, peu à peu, à se modifier; c'est une autre période qui se dessine, et qui n'est pas sans apporter
apparais- sant invariablement dans le même ordre : Il La première période , dite d'incubation, où le malade qu'on trouve i
ou moins longues, les interprétations délirantes; 2° La deuxième période , constituée par l'organisation d'un dé- lire de
nstallent, se coordon- nent et se systématisent ; 3° La troisième période , caractérisée par l'intervention d'idées de gra
me du délire et la transformation du moi maladif; 4° La quatrième période , phase terminale de l'évolution vésa- nique où
iller six à huit semaines de suite. M. GRASHEY. Mais, pendaut cette période , les agents ont parfois douze heures de parfait
facile à expliquer que l'humeur mélancolique fût fréquente dans les périodes de début de la ma- ladie. Dès les premières a
rlatine régulière ; anthrax; 2° Signes et diagnostic de la première période de la phthisie pulmonaire ; frac- tures de la c
de Seeligmüller ; dans le nôtre, il pouvait arriver que pendant une période de repos complet plusieurs des muscles le plus
rqua qu'il frappait le sol fortement avec ses talons. Pendant cette période de temps, il marchait, dit-il, comme un homme i
er en folie systématique; mais il a vu des fous systématiques à une période avancée de la maladie (démence), avoir des conc
ancolie et la folie systématique n'ajamais été chez ses malades une période de parfaite santé, le nouveau complexus psychique
lus ni moins d'hérédité que dans la manie ou la mélancolie. 5° La période de maladie des formes aiguës et le début de cel
chronique (suite de la discussion). M. FALRET con- firme les quatre périodes du délire chronique telles que les a exposées M
rquer M. Cotard, c'est le délire des négations qui serait plutôt la période terminale de la mélancolie anxieuse. M. Dagon
une même évolution, évolution fatale et caractérisée par plusieurs périodes nettement définies. Aussi le délire des persécu
une vésanie ou psychose à marche progressive et chronique dont les périodes successives sont une phase d'inquié- tude, suiv
éterminée d'une vésanie chronique impli- quant nécessairement comme période antécédente le délire des persécutions. Dénom
agnan nous a aussi cité des délirants chroniques qui ont guéri à la période des persécutions. M. PICHON lit deux observatio
i constituent le tableau symptomatique de la lèpre anesthésique. La période anesthésique est précédée de douleurs névralgiq
de l'ouïe (Leloir). L'auteur 'étudie en détail les symptômes de la période d'état : -. Il l'anesthésie souvent d'une remar
tracture réflexe d'origine articulaire, Migraine ophthalmique, à la période initiale de la paralysie générale. VI. Hystérie
améliorations; sur les dix enfants qui étaient soumis à une seconde période de tiaitement (rechutes ou simples améliorations
tique si l'on veut, mais caractérisée par une course remplaçant les périodes tonique et clonique de l'accès ordinaire. Pou
s se trouve modifié ; le malade ne se lève pas; on n'observe pas de période tonique, mais seulement de grands mouvements de
injection de la face, en général, sans aura, ni cri, ni chute, ni période tonique. La période clonique semblait remplacée
ce, en général, sans aura, ni cri, ni chute, ni période tonique. La période clonique semblait remplacée par la course; le r
de est couché, il lui arrive le plus souvent de ne pas se lever. La période tonique manque comme ci-dessus, mais la course
e ci-dessus, mais la course qui semble cor- respondre chez lui à la période clonique est rem- placée par de grands mouvemen
ces derniers mois, on a noté l'apparition d'accès ordinaires (cri, périodes tonique et clonique, bave, morsure de la langue
ouleur est excruciante, mais elle varie d'intensité aux différentes périodes de la"maladie. Lorsqu'il y a quelque temps qu
de, même la généralisation possible de celles-ci. Vient ensuite la période ^paralytique dans laquelle Jackson ne manque pa
succéder à de simples tendances délirantes qui semblent en être la période prodromique et dont ils ne sont en somme que l'
ncien délire systématisé. Cette pé- riode de démence est plutôt une période de confusion mentale. A l'inverse des auteurs q
tres les admettent comme une forme rudimentaire, d'autres comme une période prodromique, d'autres enfin comme un épisode da
olitude et n'ayant des préoccupations que pour sa santé (pre- mière période ) plus tard, persécuté autant qu'on peut l'être po
les francs-maçons mis en campagne par son concierge, etc. (deuxième période ;) puis orgueilleux, ambitieux, mégalomane en un
r sa seule influence une guerre dont nous étions menacés (troisième période ). Que voulez-vous de plus ? Pour nous l'observa
. Dagouet qui l'a considéré comme guéri sans avoir passé par aucune période ambitieuse. Ne semble-t-il pas que ce soitaller u
tions comme une espèce nosologique distincte qu'il divise en quatre périodes successives correspondant à peu de chose près à
t encore que si l'intelligence des persécutés arrivés à la dernière période s'all'ai- blissait, toutefois la manifestation
art dans cette affection un substratum somatique manifeste. Dans la période prémonitoire les malades ont de l'angoisse, de'
de manie intermittente, mais les accès sont séparés par de longues périodes d'équilibre intellectuel complet. MARCEL Briand
stion mentale), pour aboutir au braidisme les auteurs arrivent à la période moderne de l'hypizo- tisme. c Bref, disent-ils,
: les procédés de l'hypnotisation, les symptômes de l'hypnose, les périodes hypnotiques, l'hypnose fruste, - la théorie de
78 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
a subi la fonte granuleuse dans toute son épaisseur, représente la période d'état du processus dégénératif; en c où la myé
rve le dernier terme de ce processus; tandis qu'au delà, en b, la période de restauration commence et s'accuse par la for
ine au moment où commencera la NÉVRITE SEGMENTAIRE PÉRI-AXILE. 23 période de réparation; celle-ci s'effectuerait alors à
t pas eu le temps de se développer et se montre par conséquent à sa période initiale, il peut se faire, comme nous l'avons
a névrite segmentaire périaxile 2Ï le ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ' la période de restauration ou à la fin de la période de dé
ATOMIE PATHOLOGIQUE. ' la période de restauration ou à la fin de la période de dégénération. Quant aux modifications qui on
aucoup d'analogie avec celles que produit la névrite périaxile à la période de restauration, comme il est facile de s'en as
s et minces limités par des étranglements annulaires bien marqués. ( Période de restauration.) fit. 2. Fibre nerveuse vue à
Dicnze lésion que dans la / ! yM ? jt);'ece ? : <e arrivée, une période ^un peu plus avancée de son évolution. - A, cylind
laccidité des muscles à l'état de repos, caractères déjà notés aune période avancée de l'ataxie. Nous avons de plus constat
'avons pas rencontré ces variations chez les tàbétiques encore à la période des douleurs fulgurantes et' qui n'avaient poin
psie avaient le même siège, que le sujet, fût, ou ,non, arrivé à la période d'incoordination., La seule diu'p- rence anatom
aux. Si, dans de telles conditions, le malade est à la pre- mière période de la paralysie générale, il ne se pré- sente p
tard, les antécédents connus, il devient facile de reconstituer la période prodromique de la paralysie générale ainsi trav
exacerbations par intervalles irréguliers. C'est à la suite d'une période d'excitation avec prédomi- nance d'idées mélanc
NOTES SUR l'idiotie. 85 Nouvelle description de l'accès. Première période : Pas de cris. On note d'abord quelques petites
dirigés en avant ; les pupilles ne paraissent pas changer. Seconde période . La face et les yeux se dévient à droite. Il se
rature cépha- lique avait été notée chez le même malade pendant une période de calme. Ces résultats ont été consignés dans
température s'élève dans chacune des régions céphaliques pendant la période d'accès. c s f ! " li m M m x o
que ees asiles dont les malades sont sans instruc- tion ; 2° qu'une période d'excitation survenant chez un jeune homme par
ale gauche et à la compression cérébrale ainsi produite pendant les périodes de gonflement inflammatoire. Le sujet de la d
uits par de la méningite et de la pachyméningite apparte- nant à la période secondaire de la syphilis. La démence ne survie
es signes flagrants d'hérédité morbide. Nous insisterons'peu sur la période du moyen âge, qui nous est si familière. Sans d
ans, chez les nubiles adolescentes, parmi les adultes, aux diverses périodes , et jusque dans la vieillesse la plus avancée.
oduire desr JH'¡1J11jll'J)1 , 1, , l.fli, , - avec des produire des périodes d'excitation' maniaque avec des- hallucinations
ée, bien qu'elle soit très prononcée, même parve- nue à sa dernière période , ne se traduit anatomique- ment par aucune lési
prodromes et la malade se remet vite non cependant sans une courte période de stertor; quelque- § A. Leroy, loc. cit., p.
elle a été arrêtée et conduite à Sainte-Anne. Pendant toute cette période elle aurait eu un certain nombre d'accès d'épi-
nvolontaire; pas de coma à la suite de l'accès). Durant toute cette période , l'intelligence était devenue de plus en plus o
es qui l'entourent. C'est ainsi que, le 31 septembre 1876, dans une période d'exal- tation extrême, le malade se lève furie
et, ce qui existe; il y a ankylose cérébro-méningée. Enfin, dans la période de ce processus qui paraît la plus avancée, on
es a constater dans la n,v mr.t : .1'i lLl ? 1 tjt.b ? jfx-tntj a période initiale, que ces cellules, relativement peu nom,
symptômes de la paralysie ! . générale. Ce m'est qu'à ,la dernière, période ,que,la similitude existe. En ! efFet,nous n;avo
lité des pupilles, etc., etc. que l'on observe dans les, premières, périodes ,, de, la -.paralysie. générale., vil s'agit,, b
tion, et on en devine aisément la' raison : c'est que, durant cette période , la machine, électrique a été en quelque sorte
des défaillances, des lypothymies, c'est-à-dire dans les dernières périodes . Dans ces circonstances, il faut bien reconnaît
èrent les épileptiques comme irres- ponsables que pendant la courte période qui précède ou suit immédiatement leurs accès,
essus indiquées ne se rencon- treraient guère isolément que dans la période initiale de l'épi- lepsie. ,i,r ? ! l Il , Ex
re mystique, dont il ne garde aucun souvenir; c'est dans une de ces périodes qu'étant entré dans une église et voulant s'y d
ne voit les attaques d'épilepsie se montrer que dans les dernières périodes , mais elles sont alors permanentes et incu- rab
constant. Au contraire, au début du ramollissement, et pendant une période plus ou moins prolongée, il existerait une tend
de l'aisselle» (page 92). On y distingue, par conséquent, les trois périodes classiques, depuis les recherches de MM. Charco
ur répondre à celle de la méningite tuberculeuse dans sa première période . 2° L'hypothèse d'accidents aigus, greffés sur
ments du bras gauche, en pré- sence de la rémission qui a séparé la période d'excita- tion de celle de dépression à laquell
résentés par le malade rappellent ceux d'un typhi- que mourant à la période d'état. -Langue sèche et brune, fuliginosités a
diotie. 393 pagne où il est restéjusqu'à 6 ans et demi : dans cette période , les convulsions auraient reparu à plusieurs re
à la douleur, de telle sorte qu'à l'anesthésie complète succède une période d'analgésie. De même la sensibilité thermique n
du mal de Bright seraient précédées pres- que invariablement d'une période plus ou moins longue de neurosthénie. H. D'O.
s troubles psychiques (1855). L'observation do l'auteur comprend la période incluse entre l'année 1857 et la mort du malade
éra- lisés. Abstraction faite de sa manie spéciale et pendant les périodes de calme, le malade avait conservé assez de mémoi
res se répétant sur le même modèle et avec la même uniformité à des périodes relativement de lon- gue durée. Ainsi le malade
ment guérie par une fièvre typhoïde intercurrente au moment de la période d'apyrexie ; -une démence paralytique rétrocédant
QUES.- 1 Observation de AI. Régis : folie circulaire continue, sans période de rémission intermédiaire aux accès alternatif
e dans la grande analogie entre l'accès d'excitation et la première période d'exaltation fonctionnelle de la paralysie géné
ées quelquefois chez les ataxi- ques à la première ou à la deuxième période . L'hémiplégie spasmodique, dit M. Brissaud, n'e
n (V'.t4r( ? (t ? J,... ., les'douleurs enl éclairs' fugaces de la période tout a fait ECCHYMOSES.TABËTIQUE ? . 557 1.J1
nissant pas de fais- ceaux de nouvelles fibres aux anciennes. Cette période est enfin caractérisée par la disparition des n
ralysie infantile spinale. Les pièces anatomiques exa- minées à une période récente du début de cette affection (ô et It mo
ro- noncée bientôt suivie d'hémiplégie gauche ; dans' la dernière période , on observait l'impossibilité d'articuler d'une f
les plus constants du tabes dorsalis. Elle est fréquente même à la période initiale; elle est cons- tante dans le stade at
partenaient au stade de début du tabes; les vingt-huit autres, à la période ataxique. Le myosis avec immobilité pupillaire
ieurs années, est le retour complet de la sensibilité cutanée à une période avancée de la maladie, en même temps qu'une dim
plupart de ces désordres psychiques, ou 29 0/0, appartenaient à la période de la vie comprise entre 31 et 35 ans ; il y a,
dans le rapport de 43,5 0/0; toutefois, si l'on fait la part de la période de la puerpéralité, il faut convenir que la mél
urnalier. Il n'a pas même, comme ceux- ci, l'avantage de donner une période de stimulation intellec- tuelle.-Lepronosticdel
une moitié du corps, se manifestent par séries, composées des trois périodes classiques de l'épilepsie, et durant de 10 ou 1
ez rare, la miction invp\o,r.rt¡tire,¡)),st l,encore davantage, 'la période de stertor est assez^courte, peu prononcée et m
quelquefois la connaissance est conservée. Il n'y a en somme qu'une période tonique qu'on peut subdiviser en phase tonique
est perdue, les convul- sions de la face sont plus prononcées, à la période tonique succède une période clonique de convuls
s de la face sont plus prononcées, à la période tonique succède une période clonique de convulsions circonscrites aux membr
et prédominant au membre inférieur; quelquefois, il y a une courte période de stertor. Enfin, dans une troisième variété,
t envahir le côté droit, et cet accès généralisé se termine par une période éphémère de stertor. Dans les accès isolés, la
ance des asiles d'aliénés, viennent d'être nommés pour une nouvelle période de cinq années, depuis le 1 Il janvier 1881 .
s et minces limités par des étranglements annulaires bien marqués. ( Période de restauration.) Fig. 2. Fibre nerveuse vue à
. Fig. 1. Mène lésion que dans la figure précédente arrivée à une période un peu plus avancée de son évolution. - A, cylind
79 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
disparition de la contracture n'apparaît qu'au bout d'une lon- gue période de maladie ; régulièrement après un repos prolong
auses diverses, peut être d'intensité variable; soit que pendant la période initiale elle produise un tissu scléreux plus ou
car même dans les hémiplégies d'origine cé- rébrale survenues à une période plus avancée de la vie, la paralysie faciale s'
coce pour permettre il ces fibres de s'étaler en avant pendant leur période de développement. On sait en effet, d'après les r
spasmodique. La comparaison de ces deux malades, frap- pés aux deux périodes extrêmes de la vie,est donc intéressante. Chez le
es extrémités, mais il n'a eu aucune influence sur l'apparition des périodes douloureuses et ulcéreuses. Le paludisme est un
fonctionnels apparais- saient ou s'exagéraient. Pendant toute la période active de sa vie (il fut d'abord tisseur, puis ho
u'il existe des trophcedèmes dont l'évolution est traversée par des périodes de poussée douloureuse, et d'autres qui s'accom
xemple de trophaedéme indolore. Voilà un homme qui pendant toute la période active de son existence s'est livré à un travai
raction. Exceptionnellement, d'autre part, le dément peut, dans une période d'hilarité, sourire à ses propres décora- tions
our laquelle un individu peut prendre au sérieux, même après que la période d'excitalion a cessé, un symbole adopté pendant
citations, pendant les intervalles des- quelles il avait de longues périodes d'inactivité (Dupré et Nathan) (1) ; et Schuman
st scolastique ; et qu'il est possible qu'un sujet qui commence une période de mal avec un peu de gaieté, en voyant une fle
les maniaques ne façonnent d'ornements à leurs habits que dans les périodes les moins graves de leur maladie. On affirme to
uvelle. 2° On n'observe aucune forme d'ornement du costume dans les périodes de mélancolie de la psychose maniaque-dépressiv
stées dans le même état jusqu'à la mort. Pendant toute cette longue période , la tolérance et l'accoutumance du cerveau ont
ne moelle saine durcie dans le liquide de Millier pen- dant la même période de temps, colorées avec les mêmes réactifs. La co
inière. En d'autres termes, une même cause agissant pendant la même période de temps sur des systèmes entiers de neurones a
D'ALIÉNÉS CIRCULAIRES. (Pailhas) . (Observation I) A. Dans une période de calme relatif. DESSINS ET MANIFESTATIONS D'A
t cas et usage qu'au moment des accès délirants, réservant pour les périodes de calme toutes ses prédilections pour la musiq
observation, se montrait nettement cir- culaire et substituait aux périodes d'exaltation lypémaniaque des périodes franchem
- culaire et substituait aux périodes d'exaltation lypémaniaque des périodes franchement maniaques se succédant à intervalle
le. La malade dit d'elle-même qu'elles se produisent juste avant la période menstruelle ou immédiatement après ; elles comm
il peut être héréditaire et ne se développer que plus tard et à une période constante après la naissance (puberté) comme dans
de l'hystérie : il existe, en effet, dans l'hémorragie cérébrale, une période de début de l'hémiplégie, variable comme durée
ut au moins distinguer dans la démarche hémiplégique organique deux périodes : une première période, démarche hémiplégique fla
ans la démarche hémiplégique organique deux périodes : une première période , démarche hémiplégique flasque, dans laquelle l
jambe presque à la façon de l'hémiplégie hystérique, et un eseconde période , démarche hémiplégique spasmodique, durant laqu
t en fauchant. C'est seulement sur les caractères de cette deuxième période de démar- che hémiplégique que Todd et Charcot
le membre raccourci. Examinons de plus près la démarche pendant la période douloureuse de la maladie, la seule qui nous in
e ce fait que pres- que tous sont des tuberculeux avancés (2e ou 3e période ). Si nous sépa- rons, en 2 tableaux, ces tuberc
peu ou pas progressive ; si bien qu'on voit ces malades, après une période grave, présenter des pério- des d'un bien-être
e se comporter du foie et du rein, cela à plusieurs reprises en des périodes différentes. Et là où le foie au commencement n
e l'urée et des différents groupes azotés), j'ai constaté, dans une période ultérieure l'apparition de l'urobiline dans l'uri
lation du pourcentage des éosinophiles lors des examens faits à des périodes diverses. Dans le premier des cas décrits ci-de
le. La pre- mière fois les recherches furent continuées pendant une période de 7 jours. On dosa dans les aliments l'azote,
. Les^divers éléments des aliments et des fèces étaient dosés à des périodes fixes ; pour les fèces, chaque période était dé-
s fèces étaient dosés à des périodes fixes ; pour les fèces, chaque période était dé- limitée par le moyen du charbon anima
rétention de Ca 0 degr. 3,50. IIe cas. Les recherches durèrent une période de six jours. Pour les urines, nous avons à rem
herches aient commencé. Toutefois on examina les urines pendant une période de 5 jours et les altérations se montrèrent en
calcium et de ma- gnésium. Dans le premier cas, correspondant à la période grave où il existait des symptômes de lésions i
e crois qu'en allant de ce pas, son malade se trouverait, après une période de temps pas très longue, à avoir ses dépôts de
anges dans le Basedow, il faut admettre que dans ces maladies à des périodes de pertes fortes en succèdent d'au- tres de rét
azoturie, phosphaturie et, peut- être même, perte de chaux, qu'aux périodes les plus graves, tandis que ces pertes sont trè
les plus graves, tandis que ces pertes sont très limitées dans les périodes de bien-être, où l'on peut même, à ce qu'il par
re et d'une rétention assez prononcée de chaux, on passe. après une période de deux ans, à un moin- dre déficit du phosphor
it-il comporté de semblable sorte s'il avait été fait aux premières périodes de la maladie ou pendant la reprise d'aggra- va
ne les a pas trouvées; vient de ce que le pa- tient était dans une période de trêve, de bien-être, périodes qui ne sont pa
ce que le pa- tient était dans une période de trêve, de bien-être, périodes qui ne sont pas rares dans l'acromégalie. Et
térations pour chaque malade, les résultats varieront : a) selon la période de la maladie; b) selon qu'il s'agit de formes
rmes aiguës ou chroniques, de formes légères ou graves; c) dans les périodes stationnaires les altérations seront légères et
core, même actuellement la silhouette, des objets. 11 y a donc deux périodes au cours de cette évolution : la première sembl
il n'y ait eu aucun phénomène inflammatoire.C'est peut-être à cette période de troubles que l'on peut trouver une cause dan
réduit à une fente : le courant ventriculaire est obstrué. C'est la période des céphalées violentes, du délire,. de la désori
délire,. de la désorientation, de l'état démentiel. Cette dernière période dura environ 3 mois. L'examen des coupes sériée
en somme la seule manifestation. Après, il est vrai, sur- vint une période de troubles psychiques intenses, au point de rend
s intenses, au point de rendre l'examen détaillé impossible ; cette période dura seulement 5 semaines. Nous allons chercher
. L'apparition des symp- tômes généraux marque alors le début d'une période terminale de peu de durée. NOUVELLLE Iconogra
amille. Elle a été réglée à 13 ans, et jusqu'à l'âge de 45 ans, ses périodes menstruelles sont revenues régulièrement, et en q
environ une heure ; un état de stupeur leur fait suite. Pendant les périodes de calme, Pierre, qui a conservé le souvenir de
t d'impulsions violentes. Les crises d'agitation étaient suivies de périodes de stupeur avec mutisme et négativisme. Le ma
; non, elles réalisent le type le plus pur de l'adolescent dans la période proepubère ; si nous ne savions pas leur âge no
ose qu'un état dystrophique général produit et entretenu pendant la période de croissance par une maladie chronique congéni
re physiologique de l'adolescence qui se traduisent, jusque dans la période adulte, par la débilité, la gracilité, la petites
les CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 441 t périodes précoces de la vie une influence analogue doit êt
veloppement pau- vredes mutations affectives qui se produisent à la période de la puberté : infantilisme psychique dans le
ult, Edinger, iJ11ngazzini. etc.). II est toujours très rare qu'une période aussi longue que dans notre cas, se passe sans
d'alcali ; la plaque était absolu- ment aseptique ; seulement à la période de l'ulcération les ensemencements donnèrent li
80 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
12' septembre 18 ! 17), l'enfant parlait à peine, était gâteux par périodes . Il savait à peine tenir une cuiller et avalait
, 1896, 1897 et 1898 que chez les épileptiques, qui sont dans leurs périodes d'accès, le timbre de la voix devient moins cla
ptiques, convulsifs ou psychiques, les autres des impulsions ou des périodes d'excitation, ces jours-là et les jours qui sui
unes filles atteintes de cette maladie, quand elles sont dans leurs périodes d'accès, le timbre de la voix devient non seule
Au point de vue thérapeutique aucun résultat. En effet, durant la période correspondante de 1897, D.. a eu 17 accès et 1
orrespondante de 1897, D.. a eu 17 accès et 1 vertige et pendant la période de trai- tement, 23 accès et 2 vertiges. OBS.
este encore des plaques violacées. En résumé, nous notons durant la période corres- pondant au traitement (t ? mars au 31 m
die et en particulier durant les mois de 189'J correspondant à la période de traitement en 1898.] Voici, il titre de docu
ue celle du 13. Les dernières ont montré quelque différence dans la période de résolution. Au lieu des secous- ses tétanifo
es en raccourci ; durée, dix minutes. - Le 28, une attaque; dans la période de résolution, Gabriel tout en poussant des cri
emps qu'un état de nervosité qui rend l'enfant insupportable. Une période de rémission incomplète nous montre le bégaieme
t ce qui se trouve à leur portée. Au bout d'une minute commence une période de rémission relative. Les bras se croisent dev
attaque prolongée a durée une heure et demie, avec quelques petites périodes de rémission incomplète. IL., a poussé quinze c
firmerie générale afin de faciliter sa réadmission dans l'hospice. ( Période d '(,,\'<1cerbal ion), 1900. IG mars. - Ce m
on), 1900. IG mars. - Ce matin le malade : est dans une véritable période de rémission. - Debout, pendant assez longtemps,
e régulièrement de sa chaise. Lui-même fait remarquer que clans ses périodes de faiblesse, en se levant de sa chaise, il.ret
e actuellement et qu'il ne voit pas double, ce qui lui arrive par périodes . En chantant, il toute époque, le tremblement de
le malade), se sont montrés le plus souvent, dans le service, par périodes intermittentes et ont disparu même durant un lo
e développement ; à partir de ce moment le thymus entrerait dans la période de régression'. - priori, on doit donc trouver
en répondu à toutes nos questions, mais elle était dans une bonne période , car depuis un mois elle a été reprise de trouble
899 il n'est plus sorti. Pendant quelques années, il a présenté des périodes de lucidité durant lesquelles on a pu le faire
notre service. Après une rémission du 9 au 23 mars, survient une période [d'excitation maniaque : cris, chants, inco- hé
rémission du 3(1 mill's-<t-tt--21 avril, suivie d'une nou- velle période de dépression mélancolique mais très atténuée p
x manuels, employés durant les rémissions, puis après la dernière période mélancolique, ont certainement contribué à affe
plus tard, le 2'c janvier par suite d'une fièvre typhoïde. nans la période des prodromes, il a eu des peurs semblables ia
gaucho et la pommette correspondante. la suite des derniers accès, période d'excitation. Au lieu de rester hébété, (le s'e
'aperçoit de l'imminence de l'accès, nous prévient. On le couche. Période tonique. - Face pâle, immobile, yeux convulsés
t cette phase tétaniforme, la face devient de plus en plus rouge. Période clonique. - Secousses cloniques assez étendues
face est rempla- cée par une coloration bleu plombé très marquée. Période de stertor. - Ronflement, écume, face plombée,
écume, face plombée, lèvres noires, décomposition des traits. Cette période dure une vingtaine de minutes. Le corps est en
ion com- plète. Le malade s'endort pendant dix minutes. Durant la période clonique, les pupilles, étaient légèrement dilaté
sont dilatées davantage et même il un degré très accusé, durant la période (le stertor. Au bout do dix minu- tes, le malad
s sa famille. 14 décembre. - Après son dernier accès, il a eu une période d'excitation qui a duré plus d'une heure. Il voul
faire des demandes de secours. Le' moral est meilleur pendant cette période . 9 novembre. Les choses ont change : depuis deu
rajet, il parla continuelle- ment d'une façon inintelligible. Cotte période de manie épi- leplique persista de 10 heures du
s c'est la première fois qu'il a un accès de folie aussi grave. Par périodes , il est impuissant Descendance. 2g et il en r
e transitoire, de secous- ses, d'altération profonde des traits, de périodes d'ex- citation maniaque, parfois violente. IV
81 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
ves qui s'y produisent. Ce que nous appelons le sommeil constitue une période de repos pour celles de nos fonctions que nous ac
une nouvelle énergie. Le besoin de sommeil se fait ainsi sentir de période en période, sans qu'il faille pour cela que le te
le énergie. Le besoin de sommeil se fait ainsi sentir de période en période , sans qu'il faille pour cela que le temps de veil
u la cause du besoin de sommeil mais Preyer la supposé que, durant la période de veille, il se formait dans l'organisme des cor
ns. Aussi les rêves ne se produisent-ils pas dans la règle pendant la période du plus profond sommeil, mais peu temps avant le
la conscience, comme on l'a appelé, est certainement déplacé dans la période du sommeil, mais ni l'excitabilité périphérique,
er, sous l'influence du froid et du manque de pâture, dans une longue période non interrompue de sommeil, pendant laquelle les
Tout en traversant ces séries de crises il avait voyagé pendant une période de dix ans (1599-1609). II était d'abord parti av
eur mère est aussi tout à fait en bonne santé; leur père est à la période ataxique du tabès; il nie avoir eu la syphilis.
ur développer chez le malade l'aptitude à l'hypnotisation. Pendant la période d'entrainement hypno-suggestif, on commence par d
sorte que je n'osais m'asseoir lors-« que j'étais seule ». A cette période de la maladie, Marie Alacoque avait des attaques
de son état; elle déclare dans un endroit du récit, que pendant cette période d'extase, ses compagnes faisaient de vains effort
de ayant des symptômes identiques à ceux de Marie Alacoque pendant sa période d'amour ; je cite : « Pendant vingt minutes, raco
le ventre, » Plus tard, chez Marie Alacoque, nous entrons dans une période plus grave de la maladie : c'est celle que je nom
une période plus grave de la maladie : c'est celle que je nommerai la période du feu : les sens de l'ouïe et du toucher sont to
et « souffrir pendant trois mois; je souffris beaucoup pendant cette période , « car cette âme ne me quitta point. Marie Alac
s allons maintenant, avec les accès de manie aiguë, voir survenir une période plus grave ; le Démon et l'enfer vont entrer en s
liers. * Nous avons borné cette élude à l'Antiquité, car dans les périodes ultérieures et plus rapprochées de nous, l'examen
ie. On sait que presque toujours les hystériques, ayant atteint les périodes graves de l'aliénation, commettent les actes les
te dépravation du goût paraissait monstrueuse. Pendant cette triste période , les mômes hallucinations poussent Marie Alacoque
ez plus malade », elle était guérie. Si j'arrivais avant la fin de la période convulsive, je la faisais cesser de la même façon
use à la fois dans l'évolution de la série animale, et à une certaine période de la vie embryonnaire des vertébrés; elle intére
tuberculeux. Il est d'autant plus accentué, que la maladie est à une période plus avancée, ou qu'elle a enlevé plus rapidement
intellectuelle, sentimentale et notoire. D'ailleurs à une première période d'hyperexcitabilité succède l'apathie lorsque la
énomènes psychiques. Discussion M. Bérillon. — C'est déjà dans la période prodromique, au cours de la lente incubation, que
te dos troubles nerveux et mentaux. Ce qui m'a le plus frappé à cette période où les médecins ne songent pas encore à la tuberc
ique médicale, 1902, p. 700. médicaments. Les tuberculeux, dès la période prodromique, sont des abouliques ; ils font toute
pas ; ce sont des êtres diminués au point de. vue de l'action. A une période plus avancée, ils sont extrêmement égoistes. Un m
étaient odieux. M. Paul Magnin. — Je suis tout à fait d'avis que la période prébacillaire s'accompagne de changements du cara
es fausses sensations, soit pendant l'état de veille, soit pendant la période d'extase ou sommeil hypnotique que certaines femm
sa mort, elle conserva sa bonne humeur et sa gaité. ' Dans la seconde période de l'endocardite vulgaire, quand le cœur commence
Nous n'insistons pas sur les modifications psychiques propres à la période ultime de certaines affections cardiaques. La sta
vec de courtes rémissions et des exacerbations fréquentes. Dans lés périodes de rémission, Mme F. vit à peu près comme tout le
n, de la maladie de Lasègue, à très lente évolution, avec sa série de périodes bien marquées? Non, car, ici, le contenu du délir
a séance d'avril tombant pendant les vacances de Pâques et pendant la période des Congrès, sera reportée au mois suivant. L'h
loppée dans le numéro de novembre. Monsieur le Dr Rouby établit trois périodes successives et grandissantes d'hallucination : a
ois périodes successives et grandissantes d'hallucination : a A celte période de la maladie » (p. 152).... a Plus tard chez Mar
» (p. 152).... a Plus tard chez Marie-Alacoque nous entrons dans une période plus grave.... » (p. 154). « Mais nous allons mai
us allons maintenant avec les accès de manie aiguë, voir survenir une période plus grave...» (p. 157}. Plusieurs faits sont cit
grave...» (p. 157}. Plusieurs faits sont cités comme symptômes de ces périodes successives, faits qui d'après la théorie, doiven
s ils avaient eu lieu. Voici le résultat que j'ai obtenu : Première période : 1674, 1675, 1678, 1680, 1674, 1672. Seconde p
: Première période : 1674, 1675, 1678, 1680, 1674, 1672. Seconde période : 1673, 1674 ; il est impossible dans l'état actu
nu fait cité p. 155 (apparition du religieux bénédictin}. Troisième période : 1673, 1673, 1677 (?) Dès lors, période de la
x bénédictin}. Troisième période : 1673, 1673, 1677 (?) Dès lors, période de la manie aiguë, c'est la troisième ; période d
1677 (?) Dès lors, période de la manie aiguë, c'est la troisième ; période du feu, " c'est la seconde ; période plus calme,
anie aiguë, c'est la troisième ; période du feu, " c'est la seconde ; période plus calme, c'est la première, sont contemporaine
venu s'installer à Paris, il prit ses repas au restaurant pendant la période de son déménagement. Malgré mes objurgations il s
accalmie qui durent des jours,.des semaines, des années ; pendant ces périodes qui ressemblent à la guérison, le malade jouit de
lacoque ; mais pour cette dernière il se trouve que c'est non dans sa période raisonnable qu'elle fonda le culte du Sacré-Cœur,
t peu à la barbarie des peuples inférieurs, mais précisément dans une période de folie hystérique pendant laquelle ses hallucin
82 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
au gré de son client. Lors donc de son retour, N ? en était à cette période delà morphini- sation où le sujet entrevoit cla
arfaite, une fois soustraits il la su- jétion du toxique ; dans ses périodes de guérison, le jeune L... ne manqua jamais de
En deuxième lieu, l'organisation des asiles était encore dans sa période d'essai ; cette organisation avait néces- sité
nation de ce pays depuis l'annexion (1861). Alors que pendant cette période de 44 ans, la population de la Savoie passait d
é à des malades attteinls d'épilepsie grave ou surtout, pendant les périodes d'état de mal dui,assezsouvent se produisent sa
s tremblements, céphaliqueSj la fièvre typhoïde en activité ou à la période de convalescence ; chez les gens en bonne santé
des centres etconducteurs cérébro-spinaux moteurs ou trophiques et période ultime deshémorrhagies, myélites, névrites; c)
19 fem- mes. Sur initiative préfectorale, des sorties d'essai, avec période mensuelle renouvelable, ont été accordées. Deux
nt à l'histoire contemporaine de l'hypochondrie, c'est- à-dire à la période qui s'étend de 1880 à 1905 et qu'il qualifie, a
e qui s'étend de 1880 à 1905 et qu'il qualifie, avec Wollemberg, de période neurasthénique . En effet, l'avè- nement delà m
nt les uns ont guéri, dont les autres, encore aujourd'hui en pleine période délirante, ont subi la ponction lombaire sans q
ns ces cas, d'ordre bien différent. Au cours du té- tanos,durant la période d'incubation, l'ascension nerveuse periphérique
ques mois,les symptômes d'en- vahissement se limitent à la première période ; et la régres- LE SYNDROME DE LA NÉVRITE ASCEN
ysie générale, et si l'on examine une série dt malades arrivés à la période finale, il est bien rare qu'on ne l'observe pas
s à la période finale, il est bien rare qu'on ne l'observe pas. Aux périodes de début et d'état; on le ren- contre moins sou
les 10 présentant le signe de Kernig avec évidence, 8 étaient à la période finale de la maladie et 2 étaient à la phase d'ét
en effet, un signe de diagnostic, puisqu'on le trouve à toutes les périodes de la paralysie générale, on le trouve souvent
pique des maladies mentales, s'efforçant de les prévenir, soit à la période des premiers prodromes, soit, comme sim- ple pr
ongés et de l'hydro- thérapie, lorsque j'ai été consulté dans cette période prodro- mique où s'organise la folie. Leur avan
leur évolution doit pouvoir, suivant nous, se faire aux différentes périodes de ces maladies. Nous avons classé en trois gro
ncnl d'une façon constante chez ces mêmes malades, au moins à une période de leur maladie. Enfin l'évolution même de ces
ur- née, travailler à l'aiguille, etc. 11 est à noter qu'à aucune période de son affection, la malade n'a attiré notre at
la maladie, un obstacle à l'alimentation ; son poids pendant cette période est descendu de GO à 50 Kilos pour revenir à son
s, de l'agitation, etc.. ; cette phase d'anxiété succède une longue période délirante caracté- risée d'abord par quelques i
e, dont elle a cependant conservé un souvenir très exact. A cette période délirante fait suite, au bout de 5 à mois, une
rigueur de se ré- duire à deux principales : 1° les psychoses de la période (1) Extrait du Précis de Psychiatrie (3° éditio
oses préfébriles et les psychoses fébriles ; 2° les psychoses de la période terminale ou psychoses post-infectieuses, compr
tible de s'observer dans toutes les infections aiguës, soit dans la période hyperthermique, soit surtout dans la convalesce
ns aiguës, nous avons à examiner dans la grippe les psychoses de la période fébrile ou psychoses pergrippales (1) ]\;OllS n
convalescence ou psychoses post- grippa les z 1° Psychoses de la période aigué. La grippe, de même que les autres maladi
r peut être évitée. Les psychoses pergrippales vraies, celles de la période fébrile ou d'état, ont été distinguées par Kirn
importe surtout d'indiquer, c'est que les psychoses grippales de la période fébrile se traduisent par de la confusion menta
te des microbes ou de leurs toxines, ce qui a lieu surtout dans les périodes aiguës, soit aux auto-intoxications secondaires
es. 4° Pronostic. Les psychoses grippales, aussi bien celles delà période aiguë que celles de la convalescence, 276 PATHO
ons distinguer, comme pour les précédentes : 1° les psychoses de la période aiguë ; 2° les psychoses de la convalescence.
aiguë ; 2° les psychoses de la convalescence. 1° Psychoses de la période aiguë. ? Il n'est pas rare LES PSYCHOSES DES IN
ou quelque infection qui ne tarde pas à éclater. Le délire de la période d'état de la pneumonie est très fréquent ; pour
se termine ordinairement par la mort » (Potain). Le délire de la période d'état de la pneumonie peut affecter aussi le t
une sorte d'état second ecmnésique faisant revivre le malade à une période ancienne de son existence. The Lancet a récemme
e, c'est-à-dire celles survenant plus ou moins longtemps après la période fébrile, sont moins fréquentes que dans les aut
définitif, le cerveau se forme progres- sivement. Il y a toute une période d'évolution ana- tomique pendant laquelle la co
ue pendant laquelle la conscience se développe parallèlement. Cette période d'évolution est longue ; les psychologues l'ont
effet, le caractère de l'étude de l'enfant est d'être celle d'une période de formation. Au sommet de cette ascension vers
e, il faut que l'organe entier soit en état de fonc- tionner. Cette période de la vie correspond assez exac- tement à la ge
linisation n'est pas plus avancée que celle des indi- vidus dont la période embryonnaire n'est pas prolongée; d'autre part,
ont toute la vie ; leur pouvoir, reproducteur s'est ar- rêté dès la période embryonnaire. Cependant ces faits sont insuffis
maire. L hy- drocéphalie a pu se produire progressivement depuis la période em- bryonnaire. A ce point de vue la,l'observat
ts dont les urines furent recueillies quotidien- nement pendant une période de 6 à 8 mois pour ces recherches, cinq seuleme
Décembre. La déchéance s'accentue; clic 'diminue légè- rcmentpnr périodes . L'ëcriiure est devenue à peu près nulle. Le ca
nt ordinairement le siège de sensations douioureu- l'euses qu -¡lia période moyenne delà vie ou même plus lard, il s'ensuit
nt les coliques hépatiques, néphrétiques, etc., si communes à cette période de la v ie. Mlle -OTES'IV0 a répondu que les co
placées par des injections épidurales - n'a encore guère franchi la période de tâtonne- menls. mais elle semble appelée àun
IÉDO\v.(OIlO ? rénié psichialrii, IX, 1904.) Etude portant sur la période 1883-1902 de l'hôpital des aliénés de o (Gouver
l'amour de la contradiction, des manière-, des néologismes ; celle période ,1 été suivie d'un Il all'aihli"l'lllI'nl spéci
né à vingt-deux ans; son observation a pour inlt'" rL principal des périodes hallucinatoires accompagnées d'ag-iLa- tion int
s 30 ans au lieu de 70 à 80 pour le pseudo-Paget ; une assez longue période douloureuse précède les déformations, il y a hy
ut de eu temps que son intelligence « s'éclaircit ». Si, dans celte période , il commettait un délit ou un crime, serait-il
délits dans la folie, le ^[onde des J ? ces. etc., parus pendant sa période d'exercice, a a publié, dans ses loisirs des de
nt convulsivant des cultures, tout en manifestant le regret que les périodes de la crise ne fussent pas plus nettementtranch
alors beaucoup plus de l'épi- lepsie aiguë,de l'état de mal où les périodes s'imbriquent, se confondent que de l'épilepsie
de générali- sationpéritonéale et pulmonaire qui présenta, dans la période ulti- me delà maladie, de l'épilepsie localisée
ar de nombreux spécimens d'écriture, recueillis à leurs différentes périodes , avant ou après leurs manifestations paroxystiq
83 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
s cellules hépatiques dans certains cas de diabète. Dans une première période , le foie des diabétiques est volumineux, à peu pr
, est très accentuée. Ceci, je le répète, ne concerne que la première période de l'altération diabétique du foie, car, plus Lar
rait la cause de l'ictère qui s'observe d'habitude et dès la première période (1) Cette disparition des cellules s'opère surt
tantes, certes, qui, tout au contraire, occupent dans leurs premières périodes les espaces interlobulaires. Vous n'avez pas ou
'agit, dans tous ces cas; de la cirrhose atrophique, observée dans la période del'ascite. L'urée des 24 heures, chez les malade
ril 8, 1871. quelle j'ai déjà fait allusion. Trois fois,, durant la période des coliques, — alors que le foie, ainsi que l'a
s facile à mettre en relief, en raison de la succession régulière des périodes fébriles et des périodes apyrétiques. Vous n'igno
ef, en raison de la succession régulière des périodes fébriles et des périodes apyrétiques. Vous n'ignorez pas (i) que pendant t
consi-dérablement augmentée (de un tiers au plus), relativement à la période apyréfique, malgré que pendant celle-ci l'alimen-
ermittente symptomatique, étudiée sous ce rap-port. Ainsi, dans les périodes d'apyrexie, avec une température de 37% 4, vous v
suivant les recherches de M. Garrod, com-mence à se produire dans la période qui précède l'apparition des accès de goutte. C'e
portion notable apparaissait régulièrement dans les urines pendant la période de digestion des féculents, re- (1) Revue des c
pour compléter le tableau. Notons en passant que dès cette première période , chez l'animal au moins, les altérations dont il
féren-tes de celles que nous avons indiquées à propos de la pre-mière période . Quelquefois néanmoins, à un moment donné, ces
, le stade de sueur surtout, peut être absent. 2° Très souvent, les périodes apyrétiques sont nettement marquées et les retour
a totalité des faits de ce genre recueillis à Guy's Hospital dans une période de 21 ans (1) fait remarquer que, dans la plupart
oux, on qualifie les inflammations qui, d'emblée, sans passer par une période aiguë, se constituent telles quel-les, à l'état s
première phase de la cirrhose vulgaire, le foie passe souvent par une période d'hypertrophie. R. Bright paraît être un des prem
couleur brune qui l'emporte ; d'autres fois, enfin, surtout dans les périodes avancées, on note une coloration verte ou ti-rant
oses, du moins dans les points où les lésions ne sont encore qu'à une période relativement peu avancée. Si maintenant, à l'aide
si originellement affectées. Assurément, ce ne sont pas, du moins aux périodes initiales du processus, les ramifications les plu
sseur des parois des veines, dans leur voisinage immé-diat, et, à une période plus avancée, on observe sur ces mê-mes points du
peine appréciable. — b) Urines abondantes, au moins dans la première période ; quelquefois, véritable polyurie ; elles sont
historiques. — Lésions du rein dans la néphrite interstitielle, à la période la plus avancée. — Granulations. — Étude histo-lo
Granulations. — Étude histo-logique. Lésions du rein à la première période de la néphrite interstitielle. Analyse des alté
t de rechercher en quoi consistent ces altérations dans les premières périodes du mal. Nous possédons sur ce sujet peu de rens
es cas sont rares. Quelques auteurs parlent avec complaisance d'une période congestive, dont ils indiquent en détail les cara
n'était l'histo-logie, qui fournit des caractères décisifs dès cette période . Vétude histologique, en effet, fait reconnaîtr
effet de limiter la circulation dans le glomérule. — 3e Enfin, à une période plus avancée, le glomérule a subi la transformati
elevé, c'est que, à une époque de la mala-die, qu'on pourrait appeler période d'état, non seulement la quantité des urines n'es
hrite interstitielle, c'est la persistance à peu près constante, à la période d'état, du taux de l'urée. Ainsi, dans plusieurs
econnu dans ces cas l'absence des cylindres. Au contraire, dans les périodes avancées de l'altération rénale, l'apparition des
B. Quoi qu'il en soit, que le début ait été lent ou rapide, dans la période d'état de la maladie, les symptômes sont tou-jour
tou-jours à peu près les mômes. 1° Les urines sont rares et dans la période aiguë quelque-ois très rares ; dans les condition
euse, ou ne s'y montrent, (d'après quelques observateurs) que dans la période atrophique. La mort survient par suite de circo
st surtout entre 20 et 30 ans qu'elle se montre, c'est-à-dire dans la période pendant laquelle do-mine la phthisie, 111. Ap
ut même faire défaut à plusieurs reprises, parfois pendant une longue période , au cours de la maladie. Mais enfin ralbuminurie
ne et que leur quantité est très faible. Plus tard, quand survient la période de réaction, alors que la cyanose cesse, et que l
historiques. — Lésions du rein dans la né-phrite interstitielle, à la période la plus avancée. — Granulations. — Étude histolog
— Granulations. — Étude histologique. Lésions du rein à la première période de la néphrite interstitielle. Analyse des alté
6.— ittio-logie, 357. — Lésions, 358. — Symptôme de début, 364. —Delà période d'état, 366 : — Hydropisies. 367. — Cachexie, com
Rein contracté, 278, 322, 325. ?—• Lésions du début, 333 ; — do la période d'olat, 329. —Topographie des lésions, 330. — Gra
84 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
pour porter la pelle était plus faible que la droite. Pendant cette période également, le bras, le tronc du côté droit et l
ond guère qu'aux phases d'acuité excessive du tremblement. Dans les périodes de calme relatif, le tremblement semble localisé
e degré d'intensité. Sous des influences diverses, il passe par des périodes de recrudescence suivies d'apaisement. Voici ce
à son maximum d'intensité pendant une heure ou deux. Pendant les périodes de calme relatif, ce tremblement n'apporte aucu
de dérobement des jambes qui- n'existait chez Hacq... que dans les périodes de recrudes- pence, du tremblement. - . Cette
s tracés que nous venons de produire ont été recueillis pendant une période de calme relatif; ils représentent pour ainsi d
as à chaque instant dans les descriptions des auteurs qui, avant la période actuelle inaugurée par les travaux de M. Charco
e et Regnard, ne commence pas uniquement avec les convulsions. La période prodromique peutêtre assez longue, 1 jour, 2 jour
globes oculaires, placées lu pour ainsi dire pour mon- trer que la période convulsive ne perd que bien rarement ses droits.
e importance capitale dans l'espèce. C'est ce rêve, en effet, cette période des attitudes passionnelles si magistralement é
les hystériques ces lacunes de la mémoire, l'abolition de toute une période de la vie passée, période qui, le lendemain', p
s de la mémoire, l'abolition de toute une période de la vie passée, période qui, le lendemain', peut revivre avec intensité
st que, nous le répétons, chez les enfants le cerveau est en pleine période évolutive, l'impression reçue peut être vivement
ssant, incapable de rien faire (PI. IX) 3. Cette combinaison, cette période de préparation neuras- 1. Pour la discussion, V
depuis le jour où la métastase du cancer s'est produite. Une longue période latente suit l'extraction des derniers ganglion
zones hystéro5ènes qui existent chez le malade. Tandis que dans les périodes de calme il ne gêne que peu ou point les mouvemen
i intense que le malade ne put pas quitter le lit. Au bout de cette période , le tremble- ment des membres s'étant amendé, m
X... a souffert de douleurs très vives dans le bas-ventre à chaque période menstruelle. De plus clic riait et pleurait san
aujourd'hui. Pendant cette première attaque, il y eut une courte période de convulsions avec perte de connaissance, puis l
nger ses excréments ou les conserver en souvenir. 1 Pendant cette période d'excitation, il refusait de manger et on était
des mois. sans que la santé générale semble en souffrir. A cette période , ou même lorsque les bâillements revêtent cette
chorée rhythmée, toux, dyspnée hystérique, des vestiges des quatre périodes classiques. Outre les phénomènes prémonitoires
nts représen- tatifs des attitudes passionnelles et de la quatrième période ou de délire. La prédominance des bâillements f
service de M. le professeur Charcot, que l'analyse des urines de la période des vingt-quatre heures comprenant l'attaque, d
surtout la nuit.. " - Étal actuel. -- Il est actuellement dans une période de torpeur. Il reste continuellement assis, les
peut-être à des hallucinations. Sauf celles qu'il a eues pendant sa période d'excitation, ces hallucinations, si tant est q
es paralytiques agitants, surtout lorsqu'ils se présen- taient à la période moyenne de leur maladie, ont retiré des bénéfices
faut pas, au début du traitement, que l'affection soit arrivée à la période d'impotence complète. Nous arrivons à l'ataxie
ur une statistique plus étendue, nous dirons : 100 ataxiques à la période moyenne de leur affection, soumis à la suspensi
tifs, vomissant tout ce qu'elle prenait. On lui donna pendant cette période beaucoup d'huile de foie de morue, de sirop ant
e permanente ces divers troubles qui ne font que s'exagérer dans la période postparoxystique. Quelquefois ces divers troubl
eptiques présentent souvent à l'état habituel, mais surtout dans la période postparoxys- tique une forme particulière du tr
nt étudié les mouvements des paralytiques généraux que, jusqu'à une période avancée et même quel- quefois jusqu'à la finale
ami M. Charpentier, ce n'est que -chez le seul qui fût arrivé à la période de démence que la force de ;projection de la la
de muscles; 3° Contractilité électrique affaiblie dès la première période dans les muscles paralysés, en raison directe d
altéré ; 4° Déformations partielles et variées des membres dans une période très avancée ; 5° Pas de troubles des sphinct
ophthalmoplégie est d'autant plus remarquable qu'elle porte sur une période de dix années. Cette fois l'ophthalmoplégie ex-
ffirmer qu'il ne s'agit pas d'un diabétique par- venu à la dernière période de sa dyscrasic. Il y a une dizaine d'années, e
85 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
bre considérable atteints d'épilepsie, sujets par conséquent à des périodes d'excitation ma)na(/ue; qu'il en est d'autres,
tique si l'on veut, mais caractérisée par une course remplaçant les périodes tonique et clonique de l'accès ordinaire. Pou
dans la première moitié de notre siècle, c'est-à-dire durant une période où l'on considérait les accidents que nous étud
ie n'avait point cessé. Elle n'avait été suspen- due, pendant cette période de plus de cinq ans, que pendant six mois, susp
s se trouve modifié ; le malade ne se lève pas; on n'observe pas de période tonique, mais seulement de grands mouvements de
injection de la face, en général, sans aura, ni cri, ni chute, ni période tonique. La période clonique semblait remplacée
ce, en général, sans aura, ni cri, ni chute, ni période tonique. La période clonique semblait remplacée par la course; le r
est couché, il lui arrive le plus souvent de ne pas se lever. - La période tonique manque comme ci-dessus, mais la course
ci-dessus, mais la course - qui semble cor- respondre chez lui à la période clonique - est rem- placée par de grands mouvem
ces derniers mois, on a noté l'apparition d'accès ordinaires (cri, périodes tonique et clonique, bave, morsure de la langue
'ÉPILEPSIE PROCUR1VI ? démence. Le tableau des accès comprenant une période de treize ans mérite aussi de fixer l'attention
ite dans la cour; il pâlit, tombe comme une masse sans cri initial. Périodes tonique et clonique'. - Pas d'écume. - Coma. Pa
l'extension, la bouche s'ouvre, tout le corps devient rigide. Cette période de rigidité ne dure que quelques secondes, et,
iculier. Puis secousses tétani- formes de la face et des membres. Période clonique. - 1° La face se tourne à droite, le bra
uche sont pris de con- vulsions cloniques à leur tour. Durant cette période , le visage s'est congestionné; les yeux étaient
sés en haut directe- ment, d'abord à droite, puis enfin à gauche. Période de stertor. - Décomposition de la face qui devien
solution complète, écume non sanglante et abondante. Cette dernière période dure longtemps et aboutit à un sommeil profond
ssez bien conservée; la parole est libre. Le malade est sujet à des périodes d'excitalz*o ? ? , violente après les accès. Dy
ion des accès. - Cri étranglé, se produisant parfois à la fin de la période tonique. - Chute tantôt en arrière, tantôt en a
: lotions vinaigrées, sinapismes, sangsues à l'anus. 44° accès. - Période tonique très écourtée. Rien de particu- lier, s
avec les deux sommets classiques, l'un correspondant à la fin de la période convulsive, l'autre correspondant à la période
ndant à la fin de la période convulsive, l'autre correspondant à la période ménin- gotique terminale. Observation XXVI. M
s.- Vertiges. - Aura médiate au début. - Diminution de la mémoire.- Périodes de mélancolie et d'agitation.- Rhumatismes. - A
état intellectuel du malade tombé presque en démence et sujet à des périodes d'excitation ma- niaquc, accompagnées d'idées r
li- cations précises sur les caractères des accès aux différentes périodes de la maladie. En ce qui concerne l'anatomie pa
t primitive, avec les phénomènes procursifs observés à une certaine période de l'affec- tion de ce malade , de l'étendue de
ère a senti un choc en elle, et a senti l'enfant remuer. » Sur la période de 1857 à 1864, nous avons quelques renseigne-
que le traitement était institué à une époque plus rapprochée de la période d'invasion de la maladie. Passons maintenant à
déambulation avec lesyeux fermés nesontplus possibles et enfin, aux périodes les plus avancées, la force musculaire s'affaibli
atteindre son maximum d'intensité et d'étendue dès le début. A la période d'état, le churéique est agité par les mouve- m
des exacerbations et des rémissions chez le choréique, présente une période d'ag- gravation progressive, une période d'état
le choréique, présente une période d'ag- gravation progressive, une période d'état, puis décroît avec une plus ou moins gra
z nos jeunes sujets qui en présentent lorsqu'ils arriveront à cette période (1). Sur 1.000 individus, on en trouve en moyen
obéissant à l'école et à l'atelier. Interrogé sur ses habitudes 254 périodes d'excitation. d'onanisme, il nie énergiqucment.
ie il devient rapidement violent. - Il a toujours l'air pensif et périodes d'excitation. 255 préoccupé, la tête penchée su
es rapports imaginaires avec sa mère. Nous devons relever aussi les périodes d'excitation, dont la plus violente semble s'êt
86 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tir du 31 mai, et il a été continué jusqu'à ce jour. Durant cette période , soit plus de deux mois, nous avons fait par de
. Le poids qui avait augmenté, ainsi que nous l'avons vu, durant la période de suspension du traitement sans revenir toutef
e simulés ? Nous ne saurions, on le conçoit, nous prononcer sur une période de l'existence de Delannoy qui n'a pas été soum
complète. Il est fort remarquable de faire ces constatations à une période où il n'existe encore que des altérations minim
me l'analogue de celles des tubes nerveux et qui sont les premières périodes d'une lésion dont le dernier terme est tout sem
enue rapidement après l'apparition des premiers symptômes, avant la période d'inco- ordination, par tuberculose pulmonaire,
ntres corticaux. M. Shukow a déterminé les lois suivantes : 1° La période latente de l'excitabilité de l'écorce est considé
il y a sura- bondance de tissu adipeux sous-cutané. A une certaine période de la maladie, il se produit des lordoses et de
es désordres ; mais ces désordres ont surtout été observés dans les périodes de tâtonnement de cette nouvelle médication, et
ès vif, il commença à se plaindre de céphalalgie et à présenter des périodes d'inconscience, durant lesquelles il était priv
une hérédité chargée et à qui il suffisait, même en dehors de toute période délirante, de concentrer sa pensée sur une pers
rque, dont nous lui laissons la res- ponsabilité, que, surtout à la période de convalescence, les opéra- tions pratiquées s
s et les troubles mentaux n'avaient pas eu le temps d'atteindre une période avancée, l'auteur a rencontré des lésions très
s suivantes : 1° dans huit cas de paralysie générale examinés à une période relativement précoce de la maladie, on n'a pas no
cartât sensiblement de la normale; - 2° dans les cas observés à des périodes diverses de la maladie la proportion entre les
ux sulfates préformés était très , élevé, ce qui indique pour cette période de la maladie une aug- mentation très notable d
ices hospitaliers en qualité d'externe et de stagiaire. De plus, la période d'appren- tissage dans les asiles nécessite un
, ils peuvent être prolongés dans leurs fonctions pour une nouvelle période de trois années. Il en est de même, à peu de ch
n Russie. Les assistants, qui sont doc- teurs, sont nommés pour une période souvent illimitée. Les nominations sont faites
inq, six, sept ans. A Vienne, les assistants sont nommés pour une période de deux années, renouvelable plusieurs fois. Ils
n que nous citons dit que l'on doit diviser le traite- ment en deux périodes : dans la première, qui comporte le traitement
us les deux ou trois jours ; dans la seconde, que l'on peut appeler période de l'amélioration sta- tionnaÏ1'e, il suffit po
ie de la capsule interne. Cette exagé- ration s'observe encore à la période de début de la démence para- lytique, sauf dans
ui, en passant par la somno- lence aboutit au coma et à la mort. La période primitive est très souvent suivie d'un trouble
lles courts, plus ou moins réguliers, des défaillances. Pendant ces périodes de défaillance, on constatait une diminution de
condes suivant l'époque de l'examen, la fonction examinée, etc. Les périodes de fonctionnement normal ou temps intermédiaires
ue et suspend les attaques. Celles-ci augmentent de fréquence aux périodes menstruelles. Les malades en question étaient suj
yphilitique, habi- tuellement dans la stupeur, et qui au moment des périodes mens- truelles s'excite, a des hallucinations e
e part les faits rapportés ne sont pas tous concluants, faute d'une période d'observation suffisamment longue (plusieurs an
s convulsifs. SOCIÉTÉS SAVANTES. 241 Discussion : M. BERaIIaN. La période de cessation des accès consécutive au traitemen
uisse parler de guérison. Dans les observations communiquées, cette période va de quelques mois jusqu'à vingt mois. Or on voi
fonctions des internes, en spécifiant qu'à l'expiration de cette période , ceux-ci seraient susceptibles d'être investis de
nt passé leur thèse. Une fois docteurs, et nommés pour une nouvelle période , leurs attributions pourraient être éten- 1 Le
la suite d'un concours sur titres). être nommés assistants pour une période de deux années. Cette période accomplie, ceux-c
s). être nommés assistants pour une période de deux années. Cette période accomplie, ceux-ci pourront être autorisés à ac
rt, affaissée, sans au- cune réaction physique ou mentale. Quelques périodes d'excita- liou. 1884. Même état. Hallucinatio
t, un pavillon pour les épileptiques, un pour les paralytiques à la période terminale, avec dortoirs au rez-de-chaussée (pa
erstenried, que la maladie du roi Othon est arrivée à sa der- nière période . Les accès de folie furieuse ont fait place à l'é
rans- sudation exagérée, un oedème d'abord léger et à la première période de « l'oedème bleu », nous devons plutôt mettre l
ant d'un mois. Fièvre typhoïde à forme adynamique grave. Pendant la période d'état, disparition brusque et complète des sym
s persécutés systématiques à évolution progres- sive, on trouve une période d'incubation, une période d'invasion et une pér
à évolution progres- sive, on trouve une période d'incubation, une période d'invasion et une période d'état. La première p
, on trouve une période d'incubation, une période d'invasion et une période d'état. La première période peut être précoce et
cubation, une période d'invasion et une période d'état. La première période peut être précoce et très longue ; elle est con
uxquelles peuvent s'ajouter celles de la sensibilité générale. A la période d'état le délire se systématise et il comporte
issaire, devient dangereux. Enfin, aux idées de persécu- tion, à la période d'état du délire, peuvent s'ajouter des idées de
s de la sensibilité générale le sont moins, et assez souvent, à une période variable de l'évolution du délire, on constate
e le processus acromégalique, sur- venant dans l'enfance ou dans la période embryogénique, allon- gerait les os comme il le
ois elle a lieu lentement, graduellement, parfois aussi, avec une période intermittente de bégaiement. A cet égard les trou
s moteurs posthémi- plégiques c'est-à-dire une alternance entre, la période de paralysie complète et les troubles moteurs v
plus tendre jeunesse ; il arrive que la migraine disparait pour une période de deux à trois mois pendant laquelle arri- ven
uence, mais les symptômes ne se sont guère modifiés. A une certaine période les crises se répétaient au nombre de cinq ou s
1888. A la 388 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. période douloureuse, du moins au début, on constate des p
rversion des instincts assez prononcée, qui a paru s'exagérer par périodes durant lesquelles, entraîné par ses impulsions ma
côtés du corps et donnent une idée de leur croissance durant cette période de .huit années. L'hémiplégie s'accompagne en o
ses à jour dans ces dernières années, ont été l'objet, durant cette période , de nombreux travaux. Elles ont d'abord été étu
ssion n'apparaissait chez les maniaques et les agités que durant la période de collapsus et préagonique. La majeure par- ti
r : seule une maniaque très agitée présenta, durant cette seconde période de l'infection, un état transitoire de calme et d
relevé aussi des cas de grande chorée, des états qui rappellent la période de clownisme (Charcot), des états de somnambuli
87 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
herchons un peu l'esprit, nous trouvons assez nettement marquées deux périodes . Dans la première qui s'étend jusqu'à M. Chassaig
fallait interpréter ces faits si graves, si singuliers. Une deuxième période commence, celle des explications, sous laquelle n
ns qui précèdent nous fournissent des ren-seignements précieux sur la période d'état des arthropathies. Nous 1 Voir Revue photo
thropathie des ataxiques que la deuxième. Une fois parvenue à cette période , l'arthropathie ne se modifie guère : les symptôm
-sant exécuter des mouvements au bras, on perçoit des craque-ments. Période d'état. 18 juin. 11 existe à la partie antérieure
l'orifice externe ; leur aspect indique qu'elles sont arrivées à une période avancée de la digestion intestinale. 30 juin. —
fait remarquer, — surviennent le plus souvent à la fin de la première période de la maladie ou au commencement de la seconde, p
sidère. Ainsi, chez deux de nos malades, l'ataxie était arrivée à une période déjà ancienne dans les membres inférieurs, et éta
à ancienne dans les membres inférieurs, et était à peine à la seconde période aux membres supérieurs ou, en d'autres termes, l'
notre description aussi claire que possible, nous distinguerons deux périodes : l'une d'état, l'autre de déformation. Période
distinguerons deux périodes : l'une d'état, l'autre de déformation. Période d'état. L'articulation où siège l'arthropathie es
affection, pas plus qu'au début, on ne note de douleurs spontanées. Période de déformation. La maladie poursuivant sa marche,
I et II en fournissent de beaux spé-cimens. Les mouvements, à cette période , loin d'avoir plus d'amplitude qu'à l'état normal
in d'avoir plus d'amplitude qu'à l'état normal comme dans la première période , sont au con-traire plus limités, et cette limita
biles formées par les corps étrangers, Marche. La durée de ces deux périodes est très-différente. Dans la première, les lésion
e ; en quelques semaines elles sont profondes, incurables. La seconde période , elle, dure en quel-que sorte indéfiniment ; le t
poque déjà ancienne des acci-dents, alors que l'arthropathie est à la période de déformation, les commémoratifs d'une part, ens
é d'anomal. La durée totale de cette syphilide a été de trois mois, période un peu plus longue qu'elle ne l'eût été dans les
oche les résultats obtenus à la clinique d'accouchements, pendant une période de seize ans, tels qu'ils sont exposés dans la th
la température axillaire, notée presque quo-tidiennement durant cette période , oscilla entre 34°,7 et 35°,8. Une inflammation é
sur l'ovaire et avoir montré que cet organe présente au moment de la période menstruelle une congestion plus ou moins vive, et
les et sacrées. Elle est continue, paro-xystique et augmente à chaque période cataméniale. — La tumeur formée par l'ovaire peut
on élémentaire qui puisse être rapportée à l'eczéma, à au-cune de ses périodes de vésiculation (il n'y a pas trace de vésicules)
auvèrent par ce moyen la vie à une accou-chée qui était à la dernière période de l'agonie; c'est là le premier succès authentiq
sont à leur maximum d'acuité, les fumigations sont inutiles. A cette période , il convient de recourir aux ventouses scarifiées
e toutes les lésions qui peuvent se manifester sur la langue, à cette période de la maladie. Certaines autres formes, en généra
lcéreuses, ont été confondues avec les manifestations de la troisième période , les gommes. » Cette citation indique le but que
rtout clinique, et ter-mine par les conclusions suivantes : « 1° La période secondaire de la syphilis ne se manifeste pas seu
même des symptômes de la cachexie persistante ; elle échappe, à cette période , à l'observation la plus at-tentive, et ce n'est
dre des services aux accoucheurs : Io pendant l'accouchement, dans la période de dilatation du col, toutes les fois qu'il y a i
ements à M. Siebel ; on oublie bien des phrases un peu longues et des périodes quelque peu ger-maniques, lorsqu'on songe à tout
ataxie locomotrice, vous le savez certainement, messieurs, offre deux périodes bien distinctes dans son évolution : la première
les de la motilité. C'est presque toujours vers la fin de la première période et le commencement de la seconde, à l'époque où l
d'un certain degré d'incoordination des mouvements; c'est dans cette période intermédiaire que se mani-festent le plus souvent
les occasionnent. En effet, les cas les plus graves appartiennent aux périodes les plus avancées de la maladie, et notre malade
l'Inde, chargé de l'autopsie des morts subites, a rencontré, dans une période de deux ans et demi, plus de vingt cas de rupture
stance avait été administrée à dix cholériquesj pendant la première période de l'épidémie, alors que la plus grande partie de
88 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
es cérébrologistes et les cliniciens sont encore à ce sujet dans la période du tâtonnement. Bartholin, Flechsig préconisent
t d'une distension lente, sans quoi on constaterait, à une première période , tous les signes d'une arthrite, d'une hydarthr
lieu à des craquements ; généralement les autopsies se font à une période éloignée du début des accidents et il est diffi
grâce à l'atrophie des muscles, quoique les lésions remontent à une période ancienne, elles intéressent surtout le scapulum
ime comme les débiles. En proie à ce malaise général de la première période mélancolique, il sent qu'il perd pied, redoute
elle et une sensation de fatigue dans les membres inférieurs. Cette période de début est progressive, mais avec intermitten
voie survenir la forme aiguë ou pernicieuse; immédiatement après la période prodromique, on observe ordinairement une pério
tement après la période prodromique, on observe ordinairement une période d'une durée variable, constituant un stade subaig
-ils avec soin toutes les causes d'irritation; et, après une longue période de calme, sont mieux portants et réagissent bea
e ce traitement moral se trouve spécialement indiqué à une certaine période de la folie circulaire, alors que le malade est d
cessivement, détruisant chaque fois l'amélioration produite dans la période de repos et toujours augmentant l'impuissance m
t l'impuissance musculaire. Entre deux crises, il y eut au plus une période de deux mois de calme. . Au mois de juin 4 876
elle attaque (semblable à la précédente) se produisit, et, après la période convulsive, X... resta plongé dans un coma profon
i2zal et du nerf splanclmique. Pendant les plus violentes douleurs ( période menstruelle), il faitpasser de la région lom- b
extrême des troubles sensitifs dans l'intervalle des accès ou à la période prodromique chez les épileptiques dont on const
, avec, ceux qu'auraient donnés des saignées -faites pendant les périodes d'excitation antérieures, aux, autres, chez, les
ne certain, et il rappelle que, dans la syphylis, on trouve dans la période de début l'hyperémie de la peau (roséole, éryth
nclusion, que, dans, la grande majorité, des cas, c'est pendant, la période "d'éouptioy qu'on les, observe. ..1 MI' Puis,
ésions artérielles dans les hémorrhagies cérébrales des premières périodes de la syphilis, Lechner recherche quelles sont ce
5 8t S9jrfi JxrolTira .aaj[)T'(.mà1 1 L'hémorrhagie cérébrale de la période des accidents secon-; daires survient dans les
accidents secon-; daires survient dans les premiers temps de cette période (du ? t ' ," '1t)- t-ttt "fh ' tr.'ttt W 't ft '
e plus en plus rare/à mesure, que, le ( malade avance dans cette, période secondaire; plus tard, il est vrai, on pourra voi
période secondaire; plus tard, il est vrai, on pourra voir dans la période des ace id e t iair s 1 'l orr i* iaoie cérébrale
attaques apo- plectiformes, la rapidité de la marche (trois mois de période d'état), l'absence de rémissions, l'apparition
plectique , , quit. ont pu être observés avec c détail pendant june période de 13 jours, (céphalalgie persistante, (sensation
rer, de la' néces- sité, de faire l'éducation de chaque centre à la période naissante de ce centre,, et le danger d'attendr
période naissante de ce centre,, et le danger d'attendre que cette période soit pas- sée. Ils donnent en même, temps^à l'é
-l'évolution dui processus(et,;méritent,(qu'eÿles,se ^montrent à la période prodromique'ou durant,la * phase,pyré- 2 tique
courent au même,résultat : ajoutons-y les stases- sanguines de' la. période d'anergie cardiaque, bientôt, réalisée par.fla ha
exsultante, assez semblable par les violences qu'elle déchaine aux périodes d'agi-, tation,des .épileptiques^.d'ailleurs ?
le, une influence hypnotique, puisque dans le cas particulier à une période où le chloral'et la morphine étaient in ...hV ?
u biceps' gauche (en plein ventre' du muscle), on constatait que la période des contractions et raideurs tétaniques excessi
tact et de la sensibilité générale. il divise son affection en deux périodes : la première, caractérisée par du délire intel-'
nt de ce département, c'est-à-dire de f"ééo"rëe du' cerveau ? 3 La" période "61 de1 délire intellectuel" né"'coïncidé -, pas
|la, progéniture engendrée par les pères paraly- ,tiques pendant la période d'état,de, l'afFection ? é serâitlvidéy- mentik
moyens de contention dont la douceur n'est qu'apparente; cha-' que période : de repos, ainsi obtenue est;'à' ses yeux ? un c
' o £ V ? " -^ Hémorrhagie cérébrale (pathogénie de la) dans les périodes précoces r,lee la syphilis, par Lechner, 251.
89 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
raumatisme; 2° ceux dans lesquels la folie ne survient qu'après une période prodromique plus ou moins longue, caractérisée
tudiés, et sur lesquels on trouve le plus de documents à toutes les périodes de l'histoire de la médecine. Les ouvrages de B
é faites sur des malades dont l'état de l'intelligence, surtout aux périodes avancées LES FONCTIONS DU CERVEAU. 53 de la m
halluci- nations, dit Tamburini, ne se manifestent guère qu'à la période irritative des affections cérébrales; elles cèd
n'est pas moins vrai, que c'est toujours à titre de symptôme de la période du début d'une importance secondaire. Ces sympt
On chloroformise le malade, le sommeil se produit facile- ment sans période d'excitation. On constate qu'il existe un clapier
ou réciproque. Pendant son séjour à Bicêtre, nous avons observé des périodes de calme et des périodes durant lesquelles ces
séjour à Bicêtre, nous avons observé des périodes de calme et des périodes durant lesquelles ces impulsions devenaient vio-
ives de mélancolie profonde et d'excitation cérébrale ; que dans sa période d'excitation, il avait fait des achats inconsid
e responsabilité civile que le médecin légiste est consulté dans la période qui ~~suit immédiatement le traumatisme. Il pou
s dé- lictueux ou même criminels, commis par le blessé dans cette période somnambulique qui succède au choc, et qui peut
u choc, et qui peut durer vingt-quatre heures et plus. Dans cette période , le blessé continue à agir comme s'il était dan s
. Morvan émit l'opinion que le myxoedème n'apparaît jamais avant la période de la puberté; la gravidité paraît ne pas influ
rait diviser en trois états successifs : .¡ 0 pérl'ode nerveuse; 2° période mucinoïde; 3° période atro- hlaique. La période
états successifs : .¡ 0 pérl'ode nerveuse; 2° période mucinoïde; 3° période atro- hlaique. La période nerveuse présentait d
rl'ode nerveuse; 2° période mucinoïde; 3° période atro- hlaique. La période nerveuse présentait des symptômes ner- veux, co
organes en général. Les animaux jeunes ne survivaient guère à cette période . La période mucinoïde consiste dans l'accumulat
énéral. Les animaux jeunes ne survivaient guère à cette période. La période mucinoïde consiste dans l'accumulation de la mu
n'apparaît clairement que chez les singes. Si l'animal survitàcette période , il passe au troisième, à l'état atrophique, qu
t. A quoi M. RITTI répond qu'elles se montrent toujours alors à une période antérieure où elles sont nées lorsque l'activit
érissable; la mort peut survenir par suicide ou par cachexie ; à la période ultime, on observe souvent le dèlire des négati
n'amène le sommeil que très irréguliè- rement et toujours après une période d'excitation fâcheuse. MM. Séglas d'une part, e
qui le rapprochent beaucoup de l'hystérie : au point de vue de ses périodes il peut être comparé à l'attaque hystérique; il
ut l'entraîner. A un autre point de vue, le crime commis pendant la période délirante d'un accès d'alcoolisme ne peut être
e de lui suggérer la catalepsie, ni à la trop courte durée de cette période . C'est en vain encore que le sujet vous avouera
e passa- gèrement, dans un état d'inconscience, ou qui traverse une période de perturbation morbide de l'activité mentale;
près de la moitié, étaient à l'hospice depuis plus d'un mois. La période d'observation est parfois très longue encore. C
étexte, cette mesure ne doit être prise dans le but de prolonger la période d'observation contrairement aux instructions de
t au rapport de M. le conseil- ler R... montre que dix-neuf fois la période d'observation a dé- passé 15 jours et que dix f
a nulle part cette dégénérescence pigmentaire que l'on observe à la période de tuméfaction des cellules dans la para- lysie
VIII. Schad..., 1864-1886, est un idiot épilep- tique, qui a eu une période d'amélioration, a appris à parler, puis est tom
épilepsie, elles avaient ce caractère d'être précédées d'une courte période pen- dant laquelle le malade courait droit deva
perdent la faculté d'opérer même avec des chiffres simples. Dans la période suivante de la maladie, on voit apparaître les
qui s'était passé. Ces attaques étaient toujours précédées d'une période d'irritabilité qui durait de deux à trois jours.
cop/tttt<mt6; une demi-année plus tard, une struma. Durant cette période , l'état de la malade élait oumis à des changeme
roïde de notre malade. La glande s'était un peu agrandie pendant la période de fureur épileptique et revint à son volume or
ME OU CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 431 nous observons dans les premières périodes du myxoedème et ces symptômes peuvent s'accentu
e pneumonie, affection que l'on sait être fatalement mortelle à une période avan- cée de la paralysie générale. Enfin, cl
e Cheyne-Stokes, moins la phase apnéique : il est constitué par des périodes successives de dyspnée, qui sont essentiellemen
u type Cheyne-Stokes, et les différentes phases de chacune de ces périodes dyspnéiques constituent dans leur ensemble un c
commencement de ce cycle respiratoire : alors commence une nouvelle période de dyspnée. Dans certains cas la période descen
lors commence une nouvelle période de dyspnée. Dans certains cas la période descendante est soit considérablement, soit sen
nte est soit considérablement, soit sensiblement plus courte que la période ascendante. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 437
sées. Délivré ultérieurement de tout accident hystérique durant une période de cinq années, il vit ses attaques reparaître
- cerveau antérieur, mais cette perfection ne se produit qu'à une période relativement avancée du développement de l'animal
aut résoudre, car il en est de l'aliénation min- tale à son dernier période comme du tabès, ni plus ni moins. 460 SOCIÉTÉS
sonne interdite pour cause d'aliénation mentale, même pendant la période d'un intervalle lucide ne pourra contracter maria
e la phase dépressive, l'éréthisme du stade d'agitation, ces deux périodes étant closes par un état de bien-être parfait jus
nalée, sur les crises d'irritation cardiaque, l'organe affolant par périodes sans effectuer de travail utile ; surles légers a
90 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
ose qu'un état dystrophique général produit et entretenu pendant la période de croissance par une maladie chronique congéni
re physiologique de l'mlnlescence qui se traduisent, jusque dans la période adulte, par « la débilité, la gracilité, la petit
les diffé- rences de degré suivant les cas, c'est-à-dire suivant la période de début de l'insuffisance thyroïdienne. Mais i
t constitué chez le premier malade, vers l'âge de 36 ans, après une période de fruste myxoedème ; chez le second, vers l'âge
de la parole... Au bout d'un an, la malade présenta une très longue période de rémission qui dura à peu près jusque au commen
émission de plusieurs mois. Le malade fut pris ensuite d'une courte période d'excitation pendant quelques jours, au bout de
é ses parents, on veut le tuer parce qu'il a brûlé la France. Cette période dure une huitaine de jours et se termine par des
toujours été normales depuis, excepté pendant trois mois lors de la période la plus accentuée de la première atteinte de l'
sparu complètement à deux reprises, de telle sorte que, pendant une période assez longue, la malade a pu se croire complète
s qui la caractérisent sont primitivement mus- culaires, et si, aux périodes avancées de la maladie, le squelette participe
, comme l'a fait remar- quer Jendrassik, de préférence soit dans la période de formation, soit dans la période de régressio
ssik, de préférence soit dans la période de formation, soit dans la période de régression de l'organisme ; leurs symptômes on
de certains systèmes histologiques, elles existent en germe dès la période de forma- tion embryonnaire et leurs effets vis
embryonnaire et leurs effets visibles ne se manifesteront qu'à une période plus oumoins avancée de la vie. Si on leur appliq
a formule anatomo-clinique de ce cas de maladie d'évolution dont la période d'acti- vité a été d'une douzaine d'années envi
éforme sera bientôt accomplie, on n'en est cependant encore qu'à la période des voeux platoniques et des timides projets. La
ôt cérébrale, survenue dans un quar- tier de Gènes, dans une courte période de temps. Dans quelques fa- milles où plusieurs
de la respiration sont tellement graves que la malade meurt dans la période aiguë et que l'on ne peut,par conséquent observ
ffet, dans deux cas appartenant à l'épidémie de Medin et morts à la période aiguë, observe des lésions inflammatoires et dé
deux cas (3) observés à une main chez des jeunes filles pendant la période mentruelle, l'un d'eux lui-même périodique. (t)
en 1906. Elle a parfois desimpies vertiges précédés et suivis d'une période d'excitation pendant laquelle elle tourne sur ell
anément dans les masses adipeuses en voie de développement avec des périodes de paroxysmes et d'accalmie se succédant à interv
ontre que si ceux-ci ont existé, ils n'ont pas persisté jusqu'à une période aussi éloignée du début de l'affection. Nous
e Uruguay, 1903. 222 JACINTO DE LÉON La plus grande durée de la période fébrile et ses rechutes (cas o), déjà notées pa
sa valeur, quand les enfants se prêtent à cette investigation. La période de régression si caractéristique de la paralysie
ë infantile ; il existe dans cette maladie-ci, comme de raison, une période de rétablissement, le retour il l'état normal, ma
en résulte, que nécessairement ce néoplasme cérébral eut une longue période latente. Je chercherai à l'expliquer par l'étude
'hôpital que^dans les premiers mois du siège; 3 pendant la première période , 26 pendant la seconde et 8 après la capitulati
de, 26 pendant la seconde et 8 après la capitulation. La première période donne seulement 3 cas d'aliénation, car à ce mo-
ent. 346 WLADYCZKO Dans les deux cas déclarés pendant la première période du siège, la maladie se maintint in statu quo j
es les par- ties de l'activité intellectuelle et morale. Pendant la période du siège nous observâmes 3 cas semblables, le q
i ai-je offensé le Seigneur ? » C'est sèulement pendant la première période du siège que de sembla- bles tableaux se présen
° Le nombre de militaires atteints de troubles cérébraux pendant la période du siège (officiers et soldats) est de 39 sur 5 ?
t encore altérer l'aspect du tégument au point le plus exposé. La période ulcéreuse est parfois précédée d'une phase de des
rigine; elles sem- blent plutôt devoir prendre naissance pendant la période embryonnaire, à une époque assez avancée de cel
tion qui ne se produirait chez les vertébrés supérieurs que dans la période de l'état embryonnaire est observée bien plus c
s de vertébrés à sang froid, soit seule- ment pendant les premières périodes de l'existence, soit même encore pour quelques
ons extérieures, à des traumatismes subis par la mère pendant cette période embryonnaire. Une objection que l'on peut faire
re anté- rieures à la vie foetale et remonter pour la plupart à la. période embryon- naire, à une époque où le système nerv
on- naire, à une époque où le système nerveux central est en pleine période de développement, où ses fonctions paraissent n
D (Sicard et Descomps) A. B. Attitudes du malade dans la première période de l'observation. C. Appareil plâtré. D. E. Att
ébauchant une contraction qui avorte et qui est suivie d'une courte période de relâchement, bientôt remplacée à son tour par
avait lui-même constaté-, une évolution capricieuse,traversait des périodes d'accalmie el d'aggravation, sans qu'on puisse
à craindre que les dé- faillances qui s'y produisent pendant cette période de crise lui fassent perdre une partie de son e
t qu'à se fatiguer et à s'exaspérer. On doit, pendant ces mauvaises périodes , réduire le nombre et la durée des séances, en
t diminué d'intensité, et le trapèze gauche qui a, pendant toute la période que je viens de traverser, joué certainement un
à ce point de vue la résistance invincible que j'éprouvais avant ma période de lit. Une autre conséquence a été la sup- pre
contractions se produisent au lit, et ce n'est qu'après de longues périodes d'agitation que j'arrive quelquefois à obte- ni
uasi- impossibilité de réfréner les mouvements convulsifs, dans ces périodes aiguës, permet aussi de considérer ceux-ci comm
x si j'arrive à ce résultat, car ce qui me chagrine le plus dans la période que je traverse, c'est l'impossibilité de faire l
ce que j'ai toujours eue à Paris pendant les séances, même dans les périodes de crises. 3° Les secousses convulsives de tout
Ce n'est qu'une fois celui-ci terminé, ou tout au moins passé à la période de consolidation,que je rentrerai chez moi ; j'év
i depuis une quinzaine de jours entravés; je n'ai pas eu dans cette période de nouvelles améliorations dans la marche, les re
rès difficiles à obtenir, tandis que je les réussissais avant cette période . Je traverse très probablement une crise qui se
(mais, que de choses bizarres dans cette mala- die) ? pendant cette période de fléchissement (que je pourrais appeler nouvell
able dans les exercices, au moins quant à l'ensemble, et une courte période m'enlevait la possibilité d'en exécuter aucun c
régularité progressive est d'un bon pronostic. A noter une nouvelle période dans laquelle lerétrocolis tendait à rem- place
La quasi-guérison que je vous annonçais s'est affirmée sans aucune période de dépression ; les dermers vestiges de mon mal n
séances d'exercices, mais je ne les ai abandonnés que pendant deux périodes de vingt jours environ chacune. En ce moment, j
des mouvements les moins aisés, et, de temps en temps, pendant des périodes de dix ou quinze jours je me livre malin et soir
il était douloureux de fixer un objet, car précisément pendant la' période d'occlusion, l'oeil était resté dans la positio
91 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
le montre un tracé que nous avons pris au mois d'août 1890. Et, par périodes , il a reparu avec sa violence primitive. Si on
nt offre quelque chose d'insolite; il est très variable suivant les périodes ; il existe parfois au repos; il est rhythmé, pl
en vomissements et en douleurs gastralgiques. Pendant une certaine période , les vomissements ont été absolument incoer- ci
ment effectuée pour qu'on pût enlever l'appareil. Pendant toute cette période d'immobilisation au lit, les membres supérieurs
ntrées pendant trois jours. La sensibilité a persisté pendant cette période . Vers la fin du troisième jour, la main se refroi
peut se montrer le premier. Au fond, il n'existe donc pas plus une période préconvulsive de l'hystérie qu'il n'existe une pé
pas plus une période préconvulsive de l'hystérie qu'il n'existe une période 1. Leçon du mardis juin 188 ! J. - Observation
pressions sensitives et sensorielles dans le délire de la troisième période de l'attaque hysté- rique, recherches qui seron
ets présentant ce qu'on appelle le grand hypnotisme, avec ses trois périodes bien délimitées, léthargie, catalepsie et somna
dix ans. C'est une grande hystérique, avec grandes attaques à trois périodes , atta- ques de contracture, et portant tous les
ation d'un objet brillant et elle tombe en léthargie. Pendant cette période , les di- verses excitations que nous faisons po
ous l'hypnotisons par la pression sur les globes oculaires. Dans la période léthargique, aucune réaction aux diverses excit
plus variées. Nous n'avons pu ni à l'état de veille, ni pendant la période som- nambulique obtenir le récit des tableaux o
e étaient l'expression. Tout sou- venir avait disparu. Pendant la période somnambulique de l'hypnotisme les diverses exci
... LA S"'LPP.rI1"RF T. iv. PL VI. SUGGESTIONS PAR LES SENS DANS LA PÉRIODE CATALEPTIQUE DU GRAND HYPNOTISME LECROSNIER &
e DF la Salpêtrière T. iv. PL. vu. SUGGESTIONS PAR LES SENS DANS LA PÉRIODE CATALEPTIQUE DU GRAND HYPNOTISME LECROSNIER &
sorielles, comme chez nos deux autres malades, non plus que dans la période somnambulique, ainsi que nous le disions plus h
D la SALPÈrII"RE . T. iv. PL. vin SUGGESTIONS PAR LES SENS DANS LA PÉRIODE CATALEPTIQUE DU GRAND HYPNOTISME LECROSNIER &
E DF LA SALPTIFRE - T. IV. PL. ix. SUGGESTIONS PAR LES SENS DANS LA PÉRIODE CATALEPTIQUE DU GRAND HYPNOTISME LECROSNIER &
usieurs fois constaté sur le crâne ces déformations provenant de la période intra-utérine. On y trouve deux dépressions oppos
'apparition du tremblement a été pré- cédée chez eux d'une sorte de période préparatoire faite d'excitabilité nerveuse, d'i
n temps par un arc de cercle caractéristique. Pendant celle seconde période le malade crie, cherche à se mordre les mains, dé
ujet hystérique et hypnotisable est plongé artificiellement dans la période somnambulique du grand hypnotisme; il suffit de f
e de vingt-deux ans(Hémianes- thésie droite). Elle est mise dans la période somnambulique, et sans qu'elle s'en aperçoive,
guérie. Seule l'hémianeslhésie a persisté. Elle esl plongée dans la période somnambulique et le même traumatisme donne lieu à
llement. Elle ne présente pas d'anesthésie cutanée. Plongée dans la période somnambulique et « traumatisée » expéri- mental
ie complète et totale. Seule la cornée est respectée. Depuis un an, périodes d'anesthésie vési- cale avec incontinence d'uri
rs et la tête; et depuis ce jour il a toujours per- sisté, avec des périodes d'aggravation et d'apaisement, mais sans disparaî
frayeur), jusqu'à la première. semaine de septembre. Pendant cette période de trois mois, nous avons attentivement observé c
blessures, c'est-à-dire pendant une dizaine de jours. Durant cette période il se plaignait surtout de ne pou- voir pas dor
roît seulement d'une façon notable. Tout ce qui précède a trait aux périodes dans lesquelles la malade, ayant eu peu de temp
pendant le sommeil. Mais il n'en est pas toujours ainsi. Après les périodes « d'agitation » viennent des périodes de calme re
pas toujours ainsi. Après les périodes « d'agitation » viennent des périodes de calme relatif, dans lesquelles le tremblemen
heure sans interruption. Enfin, il arrive de temps en temps que les périodes d'arrêt du trem- blement se prolongent pendant
e liberté de ses mouvements. L'année suivante, en 188G, après une période de malaise vague pendant laquelle son caractère
ie de quelques mois à cinq ans. Puis vient une plus ou moins longue période de repos. Après un temps d'arrêt de six mois, u
embres, qui dura sept mois et se termina par la guérison. Après une période de santé de deux ans et demi, le malade fut rep
, l'existence de ces douleurs violentes qui caractérisent l'une des périodes de la pachyméningite cervicale hypertrophique.
gique. Au moment de son admission, c'est un tabétique à la dernière période : im- possibilité de se tenir debout, anesthési
infériorité relative. Elles dénotent un arrêt de développement à la période foetale ou infantile (bec de lièvre, cryptorchi
ire si elle avait éprouvé z des sensations particulières daus cette période préparatoire de la disparition de la paraplégie
ente quelque analogie avec la poitrine en entonnoir. A une certaine période de la myopathie atrophique progressive de l'enf
aires de ce qui se passe, au même point de vue, dans les diverses périodes de l'hypnose, la contrac- ture survenant à la s
ésique. Elle est hypnotisée par les procédés ordinaires. Pendant la période cataleptique, son attention est attirée sur sa
de connaissance complète, sans cri, sans miction. Après une courte période de stupeur, le malade se lève pour aller et ven
a vu les troubles circulatoires se manifester exclusivement dans la période dé- pressive. Ce fait peut être cité à l'appu
n de Bicêtrc. 1. Ritti, De l'asphyxie locale des extrémités dans la période de dépression de la folie ci double forme (AmI.
bras gauche, le cou, l'oreille et la joue du même côté. Durant celle période de brûlure l'enfant avait été obligé de garder
ideur dans la nuque. Le délire dura deux mois environ. Durant celle période délirante, la température atteignit 40°, 41° et m
ents imprimés au tronc, comme les jambes d'un tabétique arrivé à la période paralytique. Troubles sensoriels. L'odorat, l'o
obile, sans oser se redresser, de peur de les exagérer. Après cette période de trois semaines, ces accidents dou- loureux s
e droite. L'anesthésie généralisée n'est com- plète que pendant les périodes qui suivent les attaques. Entre temps, la sen-
ent arrivé de refaire automatiquement son lit la tête aux pieds. La période de stupeur proprementjdite est remplacée dans tou
a démographie est encore plus marqué que précédemment, même dans la période postparoxystique dont il vient d'être parlé; il
nsi, la suspension aurait dû donner de meilleurs résultats dans les périodes initiales du tabès, tandis que, comme nous l'avon
tabès, tandis que, comme nous l'avons déjà constaté, c'est dans ces périodes qu'elle aggrave généralement la ma- ladie. D'
d'Heberden, idiotie, 25 (p. 271). Suggestions par les sens dans la période ca- taleptique du grand hypnotisme, 6, 7, S, 9.
92 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
solument nulle, il a des tics plus ou moins nombreux. La première période du traitement médico- péda- gogique consiste à
t, chariot, etc.) et à lui apprendre à devenir propre. La seconde période du traitement znéctieo-péclago- gique consiste
(Henri), 18 ans 1 ? . - Imbécillité, Epilepsie. - Après une longue période de paresse, l'enfant s'est mis au travail, est
iques, convulsifs ou psy- chiques, les autres des impulsions ou des périodes d'excitation, ces jours-là et les jours qui sui
pation, le temps accordé pour telle autre, En Allemagne, pour une période de six jours on attribue 24 heures à l'étude. A
pratique nous a permis de constater que les entrants étaient it la période d'incubation d'une affection aiguë ordinaire ou
bres rigides ont été pris de fortes secousses. Après cette première période qui a duré environ une minute, le corps est dev
nanisme, une autre pour mensonges. - Sournois, hypocrite, jaloux. - Périodes de mélancolie (1896). - Traitement médico-pédag
de vue de la véracité et de l'assi- duité au travail. Du 14 au 21, période de mélancolie et de tacitur- nité provoquée san
et revient seul. Tout parait bien aller. Juin, juillet. - Bonnes périodes , mais il parait se produire à son sujet des tir
ssé. Veuf à cinquante-trois ans ; ne s'est pas remarié ; a vécu par périodes avec une ancienne malade de la Salpêtrière, « a
ié ». Cet affaissement et cette déviation se manifestent encore par périodes . Chutes nombreuses. Gourmes fréquentes : les pl
e corps progresse en avant d'une façon normale il existe : 1° une période durant laquelle le corps repose sur les deux pied
repose sur les deux pieds, c'est le temps du double appui ; 2° une période où l'un des membres, quittant le sol pour y rev
jets ont été atteints de leur affection hémiplégi- que durant cette période de croissance : leur musculature faible les a m
ïl se fait une éraflure du nez. Le 16, dans un accès très léger, la période congestive, le sang a coulé de l'éraflure, form
u 3e mois. Vertiges au réveil de 3 mots à 18 mois. - Durant la même période , crises convulsives tous les 3 mois prédominant
mais de un an à un an et demi, elles avaient diminué. Durant cette période , il lui est arrivé d'avoir à peu près tous les
s. D'un autre côté, pourtant, il faut se souvenir que, durant une période , les convulsions ont prédominé à droite, ce qui
jours d'excitation corres- pondant à l'époque menstruelle absente, période 111élancoti- que durant. trois semaines, Retour
L'état d'agitation dure jusqu'il la fin de janvier 1899. Nouvelle période d'excitation, précédant les règles. En mai, l'enf
eure. Elle a été gardée par ses parents jusqu'à 5 ans. Durant cette période elle s'est toujours bien portée. De 5 à 7 ans
par jour; toniques.- L'amaigrissement conti- nue. Septembre. A la période de. préoccupation et de loqua- cité a succédé u
bre. A la période de. préoccupation et de loqua- cité a succédé une période d'indifférence. Elle participe non- chalemment
survenue, avant la puberté, Ù 15 ans; elle aurait consisté en une période d'excitation suivie d'une période de torpeur. A
ans; elle aurait consisté en une période d'excitation suivie d'une période de torpeur. Au bout de quelques jours, IL. étai
l'excitation. A partir du 3 février, l'agitation fait place il une période de mélancolie : Marguerite devient de plus en p
ques cle folie, sauf l'intensité, ont offert les mêmes caractères : période d'excitation maniaque, période mélancolique. El
ont offert les mêmes caractères : période d'excitation maniaque, période mélancolique. Elles ont eu une durée différente
utiles ; brise son mobi- lier et commet « mille folies ». Entre ses périodes d'ivresse il semble « intelligent, mais dépourv
nairement calmes. Le 3 novembre, dans la journée, s'établissent des périodes d'accalmie, de dépression même, où la malade vi
26 novembre l'agitation tend progressive- ment il disparaître, les périodes de tranquillité sont plus longues et plus rappr
longues et plus rapprochées ; mais on constate que, même dans ces périodes de calme, la malade n'est pas complètement 172
93 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
pomatose symétrique- lorsque l'affection est arrivée à une certaine période de son développe- ment, est tout à fait caracté
rappelait le faciès spécial que pré- sentent les leucémiques à une période avancée de leur maladie. Il y a là un état qui
indiquée depuis longtemps par les cliniciens. Les névralgies de la période secon- 't54 ' R. CESTAN daire ou tertiaire qu
d et Barthélémy auraient constaté dans la paralysie du cubital à la période secondaire une hypertrophie du cubitus, hypertr
oit dans ses malades que deux cas d'analgésie totale au cours de la période secondaire et sa description clinique ne permet p
syphilitique. Les troubles nerveux font leur apparition pendant la période secondaire de la syphilis à une date du chancre
s que la néphrite et la pleurésie que l'on voit survenir pendant la période se- condaire de syphilis. La rareté et la bén
simple sont d'après Richer, dont j'ai confirmé la description : 1° période de double appui ; 2° pas posté- rieur ; 3° mome
des hôpitaux. Faculté. L'adéno-lipomatose symétrique, arrivée à sa période d'état, est une ma- ladie toujours semblable à
qui portât sur tous les traumatismes crâniens pendant une certaine période de temps, de laquelle on extraierait le nombre
nt tombée, on reconnut que la vision était normale. Pendant cette période aiguë, et un peu après il lui est arrivé de gâter
l'accident. A. Hémiplégie traumatique. On peut lui considérer une période aiguë qui dure pendant les quelques jours qui s
ë qui dure pendant les quelques jours qui suivent l'accident et une période de chronicité qui survient ensuite à moins d'in
it à déterminer une série de secousses. Il y a parfois pen- dant la période aiguë des mouvements épileptoïdes du côté paralys
la suite d'une heureuse intervention ou même dans le décours de la période aiguë les troubles de la parole s'améliorent, l
e prend ici une certaine valeur dans l'ensemble des symptômes de la période aiguë. Enfin à la période aiguë appartiennent
eur dans l'ensemble des symptômes de la période aiguë. Enfin à la période aiguë appartiennent encore les grandes élévations
s'amendent au bout d'un certain temps. Ce que nous qualifions de période aiguë et qui comprend les grands signes immédia
notices. Mais, nous ne croyons pas que l'on ait signalé encore une période de temps si longue où le souvenir a été effacé co
moment des règles, mais ne se montraient pas régulièrement à chaque période mens- truelle. Elles furent surtout fréquentes
les et durent quinze jours. Pendant le mois de calme qui suit cette période douloureuse, Marie M... se livre aux mêmes trav
he, le haut du corps se casse et se porte en avant. Dans une nouvelle période de douleurs plus intenses que les précédentes,
ra en août 1899 une congestion pulmonaire. Abattue par cette longue période de souffrances cruelles, la malade fut emportée
t son retour d'âge en 1894, par conséquent à SI ans, sans que cette période critique fut marquée par des accidents particul
façon très précise qu'au moment même de cette contrariété, ou de la période de neurasthénie, sa marche était correcte, son
onc pendant la station debout, l'absence de signe de Romberg. A une période plus avancée, les membres supérieurs se prennen
mendèrent puis reparurent plus in- tenses à 33 ans à la suite d'une période de fièvre et de frissons ; puis il 3 ans il pré
nt pas donné de résultat positif. Suivant Tornsend la plus longue période de temps qui sépare le coup, de l'apoplexie ser
ieurs dans la même journée et pendant plusieurs jours de suite. Une période de repos survient alors qui dure environ six jo
gantisme comme une seule et même maladie dont le développement à la période de croissance engendrerait le gigantisme et, ap
la période de croissance engendrerait le gigantisme et, après cette période achevée, l'acromégalie. Or, chez notre malade,
peu de développe- ment depuis quelque, temps. Mais pendant cette période la motilité des doigts est troublée. Il y a un
mation de l'ataxie des mem- bres inférieurs. C'est à cette dernière période qu'il convient, ce nous sem- ble, de les rattac
0-ARTHROPATUIES VERTÉBRALES DANS LE TABES 427 raisons à la première période de leur affection vertébrale, à celle que nous
r affection vertébrale, à celle que nous désignerons sous le nom de période des déviations simples. Plus tard en raison de
lors identiquement à la description donnée par Ilal- lion. C'est la période des déviations dues à des lésions vertébrales loc
ent peuvent donc se diviser en deux groupes. Le premier répond à la période des déviations simples, il comprend la presque
nous y ajoutons l'esquisse de P.Richer (obs. VIII). Le second à la période des déviations dues à des lésions localisées : le
pathies vertébrales tabétiques sont essen- tiellement insidieux, la période des déviations simples s'écoule de même sans la
ins. Le crâne, la peau, le bassin, sont rarement intéressés à cette période . Le thorax au con- traire présente des altérati
les retrouver plus complètes et plus typiques dans un instant, à la période suivante; elles se prêteront mieux alors à une
'est l'indolence complète. Ces s stade évolue, à son four, comme la période de début, sans la moindre dou- leur. Il n'exist
vertébrale. Il est à remarquer en effet, que dès le début de cette période , les mouvements intrinsèques de la colonne vert
u poumon expliquant ainsi un dénouement fatal aussi brusque. A la période des déviations simples succède la période des lés
fatal aussi brusque. A la période des déviations simples succède la période des lésions loca- lisées. La transition est ino
ssive des lésions. Il n'en est cependant pas toujours ainsi : celte période de phénomènes bruyants peut faire en- tièrement
dieuse, 'ou bien qu'il existe une transition brusque etbruyante, la période des lésions localisées et des déviations second
), l'intervention de ces courbures (obs. VI) se montrent dans cette période comme dans les précédentes, mais ici elles ne son
ité propre de la colonne vertébrale nous ne pouvons le dire à cette période . Une seule observation fait mention de ces mouv
sumerons seulement ici les signes qui caractérisent les différentes périodes . A la période de début, appartiennent l'altitud
ent ici les signes qui caractérisent les différentes périodes. A la période de début, appartiennent l'altitude vicieuse du
ude et il est difficile de leur assigner une durée quelcon- que. La période des déviations simples peut être constituée en qu
ue sont coni- mandées par l'inflexion vertébrale primitive. À cette période succède brusquement celle de localisation des l
tion des lésions : il y a place cependant en- tre les deux pour une période intermédiaire, faite de phénomènes plus apparen
tôt sa marche torpide et indolente. Elle est parvenue à sa dernière période , celle caractérisée par une localisation manife
sée par une localisation manifeste des lésions vertébrales. A cette période appartiennent la gibbosité dorso-lombaire, les no
porte à des faits d'ostéo-arthropathies vertébrales, parvenues à la période de localisation de lésions. A la période des dévi
ertébrales, parvenues à la période de localisation de lésions. A la période des déviations rachi- diennes simples, l'existe
es éta- pes que la clinique nous a appris à désigner sous le nom de période de déviations simples, période de phénomènes br
s a appris à désigner sous le nom de période de déviations simples, période de phénomènes brusques et bruyants, période enf
de déviations simples, période de phénomènes brusques et bruyants, période enfin de localisation des lésions. Au début du
tent de nouvelles altérations aux modifications déjà ac- quises. La période des déviations simples est ainsi constituée. Elle
esure qu'elle se produit, la destruction d'un de ses segments. A la période de déviations simples succède insidieusement la
ments. A la période de déviations simples succède insidieusement la période de localisation des lésions. Mais il n'en est p
e diagnostic différentiel doit 1 être établi pour chacune des trois périodes de la maladie. Dans la première, il existe une
as éviter de prendre pour un ataxique vrai un hérédo-ataxique. A la période de transition, trois éléments se surajoutent aux
ailleurs le tableau symptomatique change aussitôt et la troi- sième période va se dérouler longuement avec des signes plus ne
ait usage déjà de sa réserve chroma- tique, reconstituée pendant la période de réparation. Le nombre des éléments composant
ous avons ici également un certain nombre de cellules qui sont à la période de réparation ; elles réorganisent leur substance
nerveuses non pas, comme on pourrait le supposer, aux confins de la période de réaction seulement; mais aussi lorsque la ré
suivie de chromatolyse intense et irrémédiable. Il n'y a jamais de période de réparation ; toutes les cel- lules dont les
94 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
istré chez les enfants qui présentent quelques-uns des accidents delà période de dentition, caractérisés par l'agitation, par l
fait trouver le procédé suivant, qui rend tolerable pour le malade la période si douloureuse de la vésica-tion. Au moment d'app
ante comme on le voit si souvent dans l'eczéma des jambes arrivé à la période squameuse terminale. Quoi qu'il en soit de ces
les membres supérieurs, et n'atteint les membres inférieurs qu'à une période fort avancée ; elle détruit les muscles partielle
e la contractilité électrique est affaiblie ou abolie dès la première période , bien que le tissu musculaire soit encore intact.
e dans notre exemple de la planche XII : ce signe indique surtout une période inflammatoire du molluscum. MM. Heylaud et Virc
veloppement de la tumeur, il y avait des poussées inflammatoires, des périodes de douleurs analogues à celles qui existent dans
syphilitique, phénomène intermédiaire ¿1 la seconde et à la première période de la syphilis, ne cède jamais au traitement spéc
re apparaît seule ou conjointement avec d'autres manifestations de la période secondaire ou intermédiaire. Elle est caractérisé
de sa nocuité. Du iel' janvier t 861 au 3i décembre 1866, pendant une période de six années, 13,818 femmes arrêtées pour fait d
ur les 3,85o filles publiques enregistrées, on ne trouva dans la même période qu'une malade sur 7. Mais il y a de plus cette di
e maisons de tolérance va sans cesse en diminuant : De 233 pendant la période de 1840 à 1845, il n'est plus que de 212 de i85t
vent; la statistique du service de M. Fournier, recueillie pendant la période de quinze à seize mois, a donné, sur un total de
dit que : trop penser rend ladre.) On a voulu distinguer plusieurs périodes dans cette maladie, mais en réalité elles ne sont
us attirerons particulièrement l'attention du lecteur sur la deuxième période ou tuberculeuse que nous avons mieux étudiée, grâ
s ou moins longue finissent presque toujours par s'ulcérer (troisième période des auteurs), soit parla fonte de la matière qui
hylactiques soient prises dans la maison d'un tuberculeux arrivé à la période hectique, et notre savant confrère les formule de
tc., et mettre à neuf la chambre dans laquelle il a passé la dernière période de la maladie. » BIBLIOGRAPHIE Traité du diag
et moins marquées à gauche. Les membres inférieurs, après une courte période de tonicité, sont également pris de convulsions c
pent sur d'autres points, à la vulve notamment. Elle apparaît dans la période secondaire de la syphilis, mais toujours à un ter
daire de la syphilis, mais toujours à un terme un peu avancé de cette période . Elle se distingue des tubercules linguaux, avec
M. Liebreich a vu l'anesthésie se produire chez les animaux après une période de sommeil, puis la mort succéder à cette anesthé
mal, produit Y anesthésie chez ce dernier, et cela sans passer par la période d'excitation qui se produit toujours avec le chlo
connus. On fera une recherche semblable sur du sang pris pendant une période d'apyrexie, entre deux accès, et Ton y suivra l
dont M. Giraldès préconise l'emploi aussi avantageux qu'innocent à la période infantile de l'existence; sur Yanesthésie locale,
95 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
ntrent souvent très tôt à une définitions RÉCENTES DE l'hystérie. période où les idées fixes ne pourraient avoir cette forc
ées d'une angoisse comme d'une aura, aux somnambulismes mêmes des périodes bizarres où le malade ne se reconnaît plus lui-mê
tent une insuffisance psychologique qui reste latente pendant l les périodes moins difficiles. Dans un esprit prédisposé parol
les plus intéressantes qu'il avait pu recueillir durant la première période de sa vie de praticien 2. 1 Dans une profession
t 382, on en déporta 919, on en emprisonna 77 à vie, 92 pendant des période variables, on en acquitta 20; 31 moururent pend
olution, par l'intensité des phéno- mènes spastiques, par la longue période qui s'est écoulée entre le début des symptômes
dues si caractérisez tiques de l'affection dans,lettabes, même à la période tertiaire, et l'articulation est décrite comme
leur de tête intense, élévation de tempéra- ture à 39° et enfin une période de sommeil. A, la suite du som- meil une forte
liques encore susceptibles de relations sexuelles; il apparaît à la période tardive * de l'alcoolisme généralement sous la
me Charcot, sans ses encouragements, la plupart des leçons de cette période auraient eu le même sort que celles de 1867 et
nt (1867), il occupa cette chaire jusqu'en 1881. C'est durant cette période qu'il fit ses Lecons sur les maladies du poumon
erchent à se tenir au cou- rant de la science. C'est durant cette période qu'il publia ses Leçons sur les anomalies de l'
eptiques et aux hystériques, quelques services rendus pendant cette période au personnel de la maison, nous y avaient donné
ques jours encore après l'abandon de la mé- dication et même qu'une période plus ou moins longue de calme s'établit. A cet
D'une manière générale il résulte de cet exposé que la durée de la période de tranquillité, après abandon du remède, a été
entes la duboisine ait réduit la durée des crises et pro- longé les périodes de lucidité et d'apaisement. Néanmoins, il n'es
I. Emile Sem..., trente-six ans, paralysie géné- rale à la première période avec violente agitation presque toute la journé
Emile Merl..., quarante-deux ans; paralysie générale à la première période , avec violente agitation presque .toute la jour
e Ellingh..., quarante-cinq ans; para- lysie générale à la première période avec vive agitation; deux ou trois heures de tr
gène Roll..., cinquante et un ans; paralysie générale à la première période ; agitation à peu près continue. Un milligramme
Félix Hasc..., quarante et un ans; paralysie générale à la première période ; agitation à peu près continue. Un milligramme
Charles Col..., trente-quatre ans; paralysie générale à la première période ; très violente agitation à peu près continue. U
Arthur Laff..., quarante-cinq ans; paralysie générale à la première période ; agitation à peu près continue. Un milligramme
ie-Ange Rab.... trente-sept ans; para- lysie générale à la première période ; agitation furieuse continue. Un milligramme de
Edouard Carb..., trente-huit ans; paralysie générale à la première période avec violente agitation une bonne partie de la
Alfred Ceml..., quarante-cinq ans; paralysie générale à la première période avec agitation à peu près continue toute la jou
- Adrien Lor..., trente et un ans; paralysie générale à la première période avec vive agitation la plus grande partie de la
il est vrai, s'est établie plus ou moins rapidement, mais après une période d'action efficace, étaient également des cas ai
abandon du remède et parfois même il est arrivé qu'une assez longue période de calme ait suivi la suppression de la médicat
il physiologique et ne s'accompagne pas de dépression ; 2° dans les périodes d'exci- tation, comme agent sédatif; il peut ic
tions à leur véritable origine, mais elles peuvent se produire à la période d'incubation et provo- quer une erreur judiciai
oteurs, impulsions et phéno- mènes d'arrêt. Puis, dans une deuxième période , ces symptômes se développent, il apparaît des
origine embryogénique, se comportent comme les neuroblasles de la période embryonnaire et donnent naissance indifféremment
tion; il s'agissait , évidemment d'une , (inclusion remontant à la, période embryonnaire. ' 1 Lesage et Legrand ont décrit
. Chaque semaine ils reçoivent : asiles d'aliénés. 309 lugubres périodes . Jusqu'en 1865, une épidémie de dysenterie s'ab
t estimer qu'en éliminant les cas de folie simple déjà arrivés à la période de démence, on renvoie guéris la moitié des aut
utanés et tendineux est modifiée chez l'aliéné, mais la durée de la période latente (temps perdu), la durée du réflexe lui-
tion électrique de l'écorce. Voici ces conclusions : 1° Pendant la période tonique de l'accès d'épilepsie, les réflexes pate
ar les muscles sont tendus; géné- ralement ils apparaissent dans la période clonique. 2° A la suite d'un fort accès d'épile
tude presque aussitôt ou quelques secondes après la cessation de la période clonique. 4° La complète disparition des réflex
etit nombre où la quantité des globules est physiologique.-Dans les périodes d'agitation, sur- tout si elles se prolongent,
trouvent dans des conditions phy- siologiques ; tandis que dans les périodes d'agitation prolongée qui parfois conduisent au
n de ce qu'on peut appeler une « action mentale », et que durant la période d'inhibition pendant laquelle la microkinèse es
orsqu'ils se manifestent, ces troubles psychiques présentent quatre périodes : 1° une période prémonitoire, dans laquelle il
estent, ces troubles psychiques présentent quatre périodes : 1° une période prémonitoire, dans laquelle il y a exaltation d
sensibi- lités particulières et des facultés imaginatives ; 2° une période de dépression ou de mélancolie ; 3° une période
aginatives ; 2° une période de dépression ou de mélancolie ; 3° une période de transition, caracté- risée par de la manie o
élancolie avec excitation, ou bien par des états convulsifs; 4° une période finale de démence. ' L'auteur décrit avec soin
e période finale de démence. ' L'auteur décrit avec soin ces quatre périodes , en s'attachant sur- tout à la forme alcoolique
on. Nous devons observer qu'il a pu à diverses reprises, dans des périodes où son équilibre mental était meilleur, se soustr
zarres. D'un aspect anxieux et affaissé, elle traversait de longues périodes de décou- ragement, sans qu'aucune circonstance
des se succèdent. T... a maintenant trente-cinq ans; après quelques périodes d'anxiété, d'insomnie, de cauchemars, il vient
re; il est remarquable en outre : 10 par la longueur inusitée de la période de stupeur, durant laquelle la volition et la c
is on constate une proportion d'hémoglobine très élevée pendant les périodes d'exaltation très accusée; 4° dans ces divers é
565 autopsies DU cerveau faites A l'asile DE V.1AEFIELD pendant une période DE onze années; par F. ST. JOHN BULLEN. (The Jo
conclusions même de l'auteur. Chez les malades ayant succombé à la période aiguë de la manie et de la mélancolie, il est a
e rentre chez elle où elle meurt au bout de trois mois. Après une période d'excitation maniaque d'environ huit jours, elle
t aux idées' de pos- session peut ne survenir qu'après une certaine période de maladie n'offrant guère de symptômes différe
96 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
Cette jeune femme continuait à souffrir, surtout au moment de chaque période menstruelle, et était condamnée à garder le lit p
e menstruelle, et était condamnée à garder le lit pendant toute cette période , et même plusieurs jours avant et après la venue
ntant en une sorte de neige ou facules lumineuses correspondant à une période de réfection de notre vitalité intime après une f
r de l'enveloppe en contact avec la surface du corps, au moment de la période vibratoire ; la plaque occluse mise dans un petit
ent de la volonté et du contrôle personnel » ; il y voit encore a une période cette confiance en soi » qui,chez l'homme normal,
u qu'il est impossible de commettre ou de suggérer un crime durant la période vigilante de l'hypnose, rien de ce que j'ai vu ne
moindre raison de supposer qu'un crime pouvait être commis durant la période profonde. Dans la relation de quelques opérations
endus par Charcot et par les diverses écoles et en démontrant que, la période des interprétations théoriques ayant pris fin, il
mplètement réfractaires. La susceptibilité revient de nouveau dans la période de convalescence. Ce fait explique pourquoi on ob
nt les meilleurs résultats par l'application de l'hypnotisme dans les périodes où la maladie commence à devenir stationnaire.
cessives. Manie aiguë intermittente, coïncidence des accès avec les périodes menstruelles. — Arrêt de ces accès par la suggest
s juin 1896 elle a eu des accès de manie semblables, tousjes mois aux périodes menstruelles ; ces accès durent de 12 à 15 jours
s règles huit jours. 8 mars 1897.— Date du mois qui correspond à la période menstruelle. Nous lui avons suggéré do dormir jus
lit dans la position du sommeil. Il lui sera donné comme pendant les périodes menstruelles des autres mois, 5 gr. de bromure et
gnée d'hallucinations auditives chez un jeune névropathe, arrivé à la période de la puberté, surmené intellectuellement, intoxi
ets les axatiques, dans ce que l'on est convenu d'appeler la première période du tabes, bien que, dans le cas dont je m'occupe,
n que, dans le cas dont je m'occupe, ceci ait eu lieu dans la seconde période ! Jusqu'ici les moyens thérapeutiques usités re
dix ans ; elle a éprouvé tous les syptomes classiques de la première période , et, de plus, elle souffre au moment de ses règle
nie de longue durée, constipation, dyspepsie, dysménorrhée, insomnie. Périodes de dépression profonde depuis dix ans. Migraines
ls parlent à l'état de veille; ils passent, en définitive, de longues périodes de temps dans une sommation automatique pendant l
ve, manifestement hystérique depuis son enfance, a présenté, avant la période .actuelle, les accidente névropathiques les plus
logique, I. Le vin ; Hoffmann : Revue des Deux Mondes, lxv" innée, 4« période , t. 132-, p. 337 (15 novembre 1895). (1) Voir l
et l'activité nutritive persiste ; les aliments fournis pendant cette période produisent plus d'éléments que ceux qui sont détr
mitateurs insuffisamment préparés à son application. Intervenant à la période de l'utilisation pratique, ils dédaignent d'étudi
onnels physiques. C'est l'hyperacousie, la suracuité de ce sens, à la période extatique et hypnotique de la grande hystérie, et
l'espoir inaltérable de bon nombre de phthisiques arrivés au dernier période de leur affection ; cette euphorie paradoxale s'o
vénements vrais ou supposés qui lui étaient arrivés pendant la longue période où il avait déliré activement. 3° sensibilité r
retracera les grandes étapes d'une scionce arrivée actuellement à la période véritablement scientifique de son histoire. La dé
e sente : il perd jusqu'au réflexe pal-pébral comme dans la troisième période de l'anesthésie chlorofor-mique ; mais on ne peut
e persistance possible de la conscience du sommeil au-delà même de la période du sommeil physiologique? Sans doute, on devra pr
ui, sans plus de raison, comme absolument matériels. Dans une seconde période dite de l'animisme, il sépare des objets l'âme qu
l'âme qu'il leur attribue et invente les esprits. Dans une troisième période , où, la généralisation et l'abstraction apparaiss
attraction vers 1 idéal, reste de l'amour dominant durant la seconde période !1). Aussi voyons-nous toutes les religions abouti
ouve « à point » et que le moment est propice pour la suggestion ; la période préparatoire est terminée, la phase véritablement
pp. 337-3510 Dans cet article. M. Ricliet définit ce qu'il appelle la période réjractaire, c'ost-à-Jlrc le temps pendant lequel
e de toutes les recommandations ci-dessus énoncées et les inévitables périodes de repos, ne peut guère comporter moins d'une dem
retour, j'ai fait encore une douzaine de séances pendant une nouvelle période de quinze jours. Au bout de ce temps, l'état de l
s la même séance, j'interposais, entre deux suggestions pénibles, une période de repos, la respiration redevenait promptement t
; grâce à elle, on pourra parvenir à jeter quelque lumière sur cette période qui comprend, en somme, le tiers de notre vie psy
les résultats suivants : Chez les malades circulaires, le début d'une période d'excitation se manifeste par de Vhypoglobulie, —
émotion. L'observateur peut donc être prévenu avant le malade que la période de dépression va remplacer la période d'excitatio
prévenu avant le malade que la période de dépression va remplacer la période d'excitation ou inversement. Par exemple {p. 630)
s), par le Dr Tokarsky, 73. Manie aiguë intermittente, pendant, les périodes menstruelles, traitement par la suggestion, par l
97 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
natomie pathologique, nous cherchons à provoquer dans les premières périodes de la maladie une 22 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
ques qui produisent la destruction des fibres nerveuses. Dans les périodes avancées de la maladie, il devient encore plus év
ents toxiques. C'est ainsi que la suspension sera nuisible dans les périodes initiales des processus morbides inflamma- toir
la- des dont les lésions ne sont pas encore trop avancées. Dans les périodes trop avancées de la maladie, le tissu conjoncti
on doit toujours considérer comme contre- indications absolues les périodes inutiles des processus morbides inflam- matoire
efois sans fièvre. J'ai vu plusieurs ma- lades de variole qui, à la période de dessiccation, quand leur température était n
épassait 40° et il était de la même nature que celui de la dernière période des convulsions : elle voyait des hommes et leu
t, et elle se renfermait dans un mutisme absolu. Durant toute cette période , les vomis- sements furent continuels, de sorte
e dura trois mois environ, oscillant entre 39° et 41° 3. Pendant la période fébrile, on ne put point reconnaître de lésion vi
ril; la courbe thermographique se divisa pendant ce temps en quatre périodes . On attendait que la malade entrât en une franche
vulsions sont pas- sagères ; ailleurs elles se répètent pendant une période de plusieurs mois ; dans d'autres cas elles peu
dire de la mère. L'attaque apoplectiforme sur- vient aussi dans la période ultime de la maladie. Kurella signale chez son
, dans l'évolution plus ou moins fatalement progressive du mal, des périodes successives. La première période a été appelée
atalement progressive du mal, des périodes successives. La première période a été appelée par Duchenne période prodromique.
ériodes successives. La première période a été appelée par Duchenne période prodromique. Elle précède en effet l'incoordina
existe. Le mot prodromique caractérise donc bien mal cette première période ; c'est pourquoi j'ai pro- posé, y a vingt ans,
st pourquoi j'ai pro- posé, y a vingt ans, de la désigner du nom de période des douleurs fnlgu- mntes; car ce sont, dans la
époque, ce champ d'étude où nous avons posé les premiers jalons, la période des douleurs fulgurantes, comme nous l'appellio
eurs fulgurantes, comme nous l'appellions, s'appelle communément la période préataxiqite, dénomination mieux appropriée que l
; 4° la parésie vésicale, qui constituent le tableau clinique de la période préataxique. Mais, Messieurs, il n'en est pas t
tendre avant de se prononcer que quelque autre phénomène de la même période vienne lever les doutes. Nous voici maintenant
s noire service. Au mois de septembre dernier, il a dû accomplir sa période d'instruc- tion militaire, dite des 28 jours, d
mouvements oscillatoires de p" en ? ; ensuite apparaît une nouvelle période de repos apparent de 8 secondes, puis les mouve
s ; l'incontinence des matières et des urines ne se montre qu'à une période avancée, lorsque par suite de leur profonde déc
on, il faut établir une distinction, suivant que la chorée est à sa période d'état, et d'une intensité moyenne, ou bien, su
ouvons en face d'une malade atteinte de la chorée de Sydenham, à la période d'état, le premier signe qui nous frappe comme da
un mois environ. On trouve sur la malade des éléments à toutes les périodes de leur évo- lution. Tous ces éléments sont rég
x coïncide, comme dans certains cas de paralysie infantile, avec la période de développement du rachis. S'agit-il d'une con
GRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. qu'à l'état normal, autrement dit que la période d'excitation latente était augmentée. Signalo
1888) (1) a trouvé, dans un cas type de maladie de Thomsen, que la période d'exci- tation latente, pour les courants galva
resse, les jambes écartées en chancelant comme un homme ivre. A une période avancée la marche et la station debout de- vien
upart des cas, produire les convulsions artificiellement pendant la période intercalaire, en comprimant les gros troncs art
que les mouvements invo- lontaires qui caractérisent normalement la période d'incoordination des tabès, il n'existe aucune
pour le moment, car, vous le voyez, les expériences sont en pleine période d'activité : ce que j'ai rapporté est suf- fisa
ocondrie avec névralgie occipitale on réussit à procurer une courte période de calme. 4° Dans le traitement de l'insomnie d
gie, 3'' série, t. IV, 1889, pag. 38, et Gazelle des beaux-arts, Be période , t. III, pag. 59. 3lui NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
e croissance qui les régis- sent. l. Très rapide dans la première période de la vie, la croissance diminue au sur et à me
4 fois à 1 an ; 5 fois à 4 ans ; , 6 fois à 9 ans ; 7 fois à la période de l'adolescence ; 7 fois 1/2 chez l'adulte arr
2 à 3 ans ; Briquet en ajoute lui-même un assez grand nombre. Celte période de l'enfance qui va de 3 à 10 ans figure à peu
octurnes, se terminant souvent par une crisedelar- mes; déplus, une période de surexcitation particulière, causée parla renco
e en plaques. Les deux graphiques ci-joints (fig. 43), pris à cette période et dus à l'obligeance de M. Dutil, se rapporten
pas pour guérir la phthi- sie, et la raison en est claire. Dans une période avancée de la maladie la faradisation de la rég
olyclès fils de Timarcilide, artiste grec des premiers temps cle la période gréco-romaine et qu'il ne faut pas confondre avec
98 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
ux besoins du pré- sent, mais encore à ceux de l'avenir, durant une période assez longue. Il repose sur ce principe : Faire
ray ? reprend généralement connaissance de suite sans avoir eu de période de stertor, ni de ronflement; toutefois on a noté
KSOè\NIENNE. formes étaient égales des deux cotés; mais, pendant la période clonique, les secousses étaient plus prolongées
, du reste, incomplètes, et l'absence de tableaux d'accès durant la période de traitement ne permet aucune comparai- son av
t une statis- tique avec des points comparatifs antérieurs dans une période à peu près pareille. » Beigel' a injecté dans
e MM. H. Liouville et A. Voisin clôt, en quelque sorte, la première période dans laquelle le curare a été em- ployé contie
é qu'à droite, bien que ce soit à droite que la rigidité prédomine. Période téta- uniforme : la face devient de plus en plu
, puis dans les quatre membres, avec légère prédominance à droite.- Période clonique : peu accentuée; quelques secousses da
de potassium 3 grammes. Voici quelques températures durant cette période : le 5 octobre au soir, T. R. 38°,6; - le 6, T. R
ousses cloniques aussi prononcées à droite qu'à gauche. Parfois, la période clonique manque. - Au bout d'une minute environ
ure en- viron 4 minutes, puis le stertor cesse. Pendant la dernière période de l'accès, l'enfant est très congestionné et s
ctobre. - Revacciné sans résultat. 30 décembre . Progrès à l'école. Période d'agitation ma- niaque à la suite d'accès. 18
érie d'accès cette nuit (12 accès); ce matin à la fin d'un accès la période de stertor étant passée, on le trouve la face d
res qu'il n'auraitjamais prononcées auparavant.» 24 décembre. - Les périodes d'excitation maniaque et les accès de violence
aux réprimandes. Les accès de colère persistent. 8 juillet. - Les périodes d'excitation maniaque sont plus rares. Traiteme
e nombre des vertiges a considérablement augmenté pendant la même période ; que, de plus, Lef... était sujet à des rémissio
stré en 1878(458), ni même celui de 1879 (317) première année de la période décroissante signalée plus haut. Observation XX
es le 15 août. Réflexions. Si nous comparons les accès de la même période de 1883 et de 1884, nous trouvons une notable amé
ant à gauche. Onanisme. - Vertiges et accès il treize ans et demi. - Période d'excitation maniaque. - - Affaiblissement des
, du catarrhe oculaire, nasal et bronchique, phénomène oblige de la période prodromique de la fièvre morbilleuso. Jamais, e
a rougeole ou la scarlatine Elle se sépare de la précédente par une période d'incu- bation qui est plus longue, et qui se r
on, mais aussi par l'absence de desquamation ou d'al- buminurie. La période de convalescence ne présente pas les com- plica
de la roséole, suivant la plupart des au- teurs, est précédée d'une période d'incubation de 14 à 21 jours. Dans les cas que
empérature qui va jusqu'à 42" et même davantage. Ici le tracé de la période ascen- sionnelle est interrompu par des chutes
nous a été pos- sible d'avoir la marche de la température durant la période prodromique. Le tracé ci-après mérite donc un e
prodromique. Le tracé ci-après mérite donc un examen spécial.- La période prodromique semble s'être annoncée par une élév
ainsi obtenu a persisté jusqu'au 7 octobre, et pendant toute cette période , le malade n'a pas eu d'atta- ques. Elles ont r
êté trois fois comme vagabond et rendu il ses parents. Durant une période assez longue, il s'isolait dans ses fuites ; ma
99 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
e lui dis: « Vous allez, maintenant revivre d'une façon précise cette période de votre existence, en reproduisant, en particuli
cune façon en ce moment ; quand il est arrivé dans le sommeil à cette période de l'année, il a vu ce voyage se dérouler à ses y
— Nous prenons toujours comme type le sujet consentant et préparé. La période pendant laquelle le sommeil est obtenu varie entr
intoxication quelle qu'elle soit, aucune crainte de syncope, à aucune période , un sommeil calme et reposant, aussi reposant que
dans lequel on obtient l'insensibilité, une tranquillité absolue, une période suggestive où, après avoir réveillé le sujet, on
séparée de son milieu familial pendant une durée prolongée. 2° Une période assez longue devra être consacrée à son observati
vra être consacrée à son observation clinique et psychologique. Cette période dans laquelle elle ne sera l'objet d'aucune contr
serva ces fonctions pendant près de douze années. C'est pendant cette période . Messieurs, que Liégeois montra toute l'énergie d
s étrangers dont les noms sont dans toutes les mémoires. Dans cette période initiale a laquelle je viens de faire allusion, L
nt noté le fait, ce sont des moments d'excitation qui traversent, |ar périodes , le calme habituel. Chez d'autres, la torpeur e
ides d'écollcra en Allemagne La statistique d'Eulenburg porte sur une période de vingt-six ans et ses observations médicales ex
es. Paris, 1906, in-12, p. 263. — Voir aussi idem, p. 255-266. la période proterminale de son évolution. Elle nous apparaît
, et qui, cinq ans plus tard, mariée, accourut à mon appel, en pleine période de travaux champêtres, rien que pour se laisser p
lissement de règles relatives aux jeûnes ritualiques. En réalité, ces périodes d'abstinence ont toujours eu pour but de rendre l
des dyspeptiques un sommeil aussi prolongé que possible et exempt de périodes prolongées de réveil. Ce fait, banal en lui-mêm
quelque sorte mélangés, coexistant au même moment sans distinction de périodes , contrairement à ce qui a lieu dans le grand hypn
t par des états analogues à l'hypnotisme qu'il désigne sous le nom de période d'hgstèrie post-convntsive. Nous croyons utile de
« Le fait capital dit-il,est de savoir si pendant la durée de cette période la malade est en état de sommeil hypnotique. Or,
ni délire musical. Bien plus ! si pendant que la malade est en pleine période post-convulsive on relève doucement les paupières
attendrait pas une demi-heure ou davantage pour souffrir ; il y a une période de préparation de l'estomac à souffrir, préparati
ce et des alternatives qui en affectent le développement à toutes les périodes d'un devenir indivisible. Aussi ne la mettrons no
on peut légiti- mentent considérer coiuuie une image exacte de la période excitante de La neurasthénie. Naturellement surme
ments qu'il a provoqués. C'est alors que commence pour lui la seconde période de la neurasthénie, celle de l'épuisement. Lais
pres et dans la signature du scripteur. Quand le malade est dans la période de dépression il a une tendance à laisser baver s
on est légitime avant la suppression : elle l'est encore plus dans la période de convalescence. Dr Raffegeac. — Je suis heure
s spécialement des obsessions et phobies, leur attribue, par delà des périodes de latence — otade de méditation — une origine ém
des, toute la série des rythmes qu'il observe dans la vie psychique : Périodes masculines, périodes féminines comportant les une
es rythmes qu'il observe dans la vie psychique : Périodes masculines, périodes féminines comportant les unes et les autres, des
t, parco que rien ne prouve. tant s'en faut, que ce soil durant cette période que s'élaborent les manifestations destinées it s
oins peut revenir, que la vie corporelle et spirituelle accomplit une période de 28 ou de 23 jours (1), minute par minute.... L
cées et irrégulières à mesure qu'avec plus (1) Swoboda admet, comme périodes prédominantes : a) celles de 28 et de 23 jours, q
sont les grandes ; b) celles de 18 et 23 heures qui sont les petites périodes . Des doux premières, celle de 25 jonrs est la fém
etours périodiques. 2° Ces retours se font automatiquement et à des périodes prédéterminées (1), projetant alors des fragments
nt après sa publication, à, cause de son contenu obscène et (l) Les périodes de 23 et 28 jours sont, avons-nous dit, celles qu
e do préférence à ces retours. Pour notre part, il doos a paro que In période de sept jours (le septénaire) devait être présent
t de dépression qui s'établissait peu à peu pour arriver bientôt à la période aigUe dont la durée était généralement de quatre
arrivé à l'âge qu'il considérait comme fatal pour lui. Pendant les périodes de crise M. X... présentait une analgésie presque
odure d'éthyle que j'avais sous la main. Pendant toute la durée de la période anesthésique je tins conversation & mon malad
is une atténuation de symptômes qui caractérisaient les crises ou les périodes intercalaires, c'est leur disparition complète gr
z ceux des manèges de chevaux de bois : l'excitation d'abord puis une période de résolution, un certain abandon, un état de béa
la peur du contact, la folie du doute et des phobies diverses, à des périodes de dépression, pouvant aller jusqu'aux idées de s
e dépression, pouvant aller jusqu'aux idées de suicide, succèdent des périodes d'agitation. Celles-ci sont d'autant plus intense
gnes de récriture. La graphologie n'est donc pas encore arrivée à une période assez positive. Mais les étndes sur cette discnss
partant de ta seconde division (c'est-à-dire en allongeant un peu la période de suggestion dormitive). Si le sommeil n'était
100 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
tenir une guérison absolue. J'arrivais ainsi assez facilement à une période d'engourdissement et de véritable automatisme, pe
est, pour ainsi dire, vide de pensée, o anidéisé ». Alors, à cette période préparatoire va succéder la phase vraiment active
élait habitué l’esprit des biologistes. Il a groupé ces phénomènes en périodes précises ; il les a répartis en tableaux schémati
z que toujours, excepté chez les tout jeunes enfants, il survient une période d’agitation très viv ', pendant laquelle la perso
rait à en chloroformiscr une autre, pousse son essai au delà de celte période , par crainte que les cris de sa victime ne soient
femmes que l’on endort à l’aide du chloroforme aient au moment de la période d'excitation, des rêves érotiques dont elles gard
d'effort. C'est devenu pour cette femme une posture normale. Dans ses périodes de crise extatique, elle reste pendant des heures
t, Gall, Flourens, Bouiltaud, Vulpian, etc. Ici encore, comme pour la période précédente, on trouve la même méthode impeccable
les propriétés servent à définir la nature même de l’âme. * ♦ La PÉRIODE CONTEMPORAINE commence à Broca, qui le premier ét
ité propre de l’écorce cérébrale. Dans cette partie, consacrée à la période contemporaine, et qui comprend presque les deux t
t avoir pour annoncer l'entrée de la psychologie musicale dans sa période objective. Ce jour-là n’est pas encore près de ve
ui a trait à son action curative. L’hypnose peut s’exercer dans les périodes les plus aiguës des états toxiques et infectieux.
xemple, le cas de ce malade, rapporté par le Dr Dufour qui, durant la période de défervescence d’une fièvre typhoïde, alors que
effectuée dans l’espace de cinq mois, puisque c’est au bout de cette période que la guérison a été obtenue. II faut admettre a
ie des Sciences, les remarquables dessins qui reproduisent toutes les périodes et attitudes de l’attaque sont devenus classiques
leur production, car il déclare que l’hypnotisation, à aucune de ses périodes ne peut-être déteminée sans le consentement de la
l’imprudence de lui demander plus quelle ne peut donner. Les trois périodes historiques de l’hypnotisme : spirites, magnétise
per; on sait qu’elle est encore fort en honneur de nos jours. 3° La période scientifique a commencé quand on a relié ces phén
ablissement spécial. Le traitement psychothérapique comprend quatre périodes distinctes : 1° Période de préparation au TRAIT
raitement psychothérapique comprend quatre périodes distinctes : 1° Période de préparation au TRAITEMENT. — La première parti
° Période de préparation au TRAITEMENT. — La première partie de cette période sera consacrée à l’examen psychologique du sujet.
soutenir pendant le cours de la démorphinisation. La durée de cette période préparatoire est d'environ quinze jours. 2° Pér
durée de cette période préparatoire est d'environ quinze jours. 2° Période de diminution graduelle de la morphine. — Apres u
lui sera faite de la dose réelle qui lui est administrée. Dans cette période , l’emploi de la suggestion hypnotique facilite la
et en atténuant les sensations de l’état de besoin. La durée de cette période varie de deux à trois semaines. 3° PÉRIODE de
oin. La durée de cette période varie de deux à trois semaines. 3° PÉRIODE de suppression complète. — Lorsque le malade ne p
par le séjour au lit auquel le malade s'est accoutumé dans la seconde période . Pendant la période de suppression, le malade ser
auquel le malade s'est accoutumé dans la seconde période. Pendant la période de suppression, le malade sera, autant que possib
, et surtout elle fortifie l'autorité morale du médecin. La troisième période est assez courte pour les malades chez lesquels l
été faite d’une façon régulière. Elle est d’environ une semaine. *o Période de convalescence. — La période de convalescence e
. Elle est d’environ une semaine. *o Période de convalescence. — La période de convalescence est d’autant moins longue que le
n sait aussi que l’amnésie hystérique intéresse fréquemment toute une période de la vie du sujet. Cela prouve que les empreinte
ie du sujet. Cela prouve que les empreintes recueillies dans une même période de la vie se fixent dans une même province de l’é
iques que j’attribue ces éclairs de mémoire qui surviennent après une période de tension d'esprit correspondant à la tension du
ries du malade approchent de la réalité, et qu’il revit en détail des périodes entières de sa vie délire ecmnésique de Pitres.)
ont que de grands tics organisés, s'expliquent de la même manière. La période épileptoïde de l’attaque, qui consiste dans une c
généralisée, correspond à la première et à la plus forte décharge, la période des contorsions à une série de décharges moins vi
eur intelligence n’est jamais aussi étendue, même dans les meilleures périodes , qu’elle le serait s’ils étaient guéris ; et ils
mbulisme. On comprend pourquoi le sujet peut, lors de chaque nouvelle période d’état second ou de chaque nouvelle crise de somn
elle crise de somnambulisme, exprimer des souvenirs se rapportant aux périodes et aux crises antérieures. Il peut arriver dans
z l’enfant, par Duprat, p. 29. Pédagogique (Psychologie), p. 319. Périodes historiques de l’hypnotisme (Les trois), par Féli
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