à cette conception delà grande attaque hys-térique divisée en quatre
périodes
, conception si simple qu'on s'étonne de ne l'avoi
n état d'entière régularité et de complet développement. Les diverses
périodes
de l'attaque y sont décrites, en autant de cha-pi
de ses règles, et durent plusieurs jours. Elles sont précédées d'une
période
prodromique marquée par la plupart des signes sur
s'approche, mais il l'étreint trop violemment, elle étouffe, c'est la
période
épi-leptoïde qui survient. §2. — TROUBLES DES F
lque chose dans la production de l'écume qui vient aux lèvres dans la
période
épileptoïde. B... raconte qu'au moment de l'inv
démontrer qu'elles peuvent être considérées comme des ébauches de la
période
épi-leptoïde. Dans les prodromes de l'attaque,
ffocation est extrême, et bientôt la con-science se perd. La première
période
de l'attaque ou période épilep- oïde est commen
t bientôt la con-science se perd. La première période de l'attaque ou
période
épilep- oïde est commencée. En outre des phén
s, et le résultat obtenu ne saurait changer. CHAPITRE II PREMIÈRE
PÉRIODE
. — PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Une attaque complète d'é
sultat obtenu ne saurait changer. CHAPITRE II PREMIÈRE PÉRIODE. —
PÉRIODE
ÉPILEPTOÏDE Une attaque complète d'épilepsie vr
isés ; 3° Résolution générale et stertor. Nous retrouvons dans la
période
épileptoïde de l'attaque hys-téro-épileptique le
ression ovarienne arrête brusquement l'attaque à quelque moment de la
période
épileptoïde qu'on la pratique; 2° les interversio
bre 1878 de la Revue mensuelle de médecine et de chirurgie. C'est à
PÉRIODE
ÉPILEPTOÏDE DE L'ATTAQUE HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE. (Tr
ple observation avait déjà donné, et nous divisons en trois phases la
période
épileptoïde de l'attaque hystéro-épileptique :
s progrès de la marée hystérique, dont le flot monte par degrés, la
période
épileptoïde est précédée de quelques phénomènes c
résolution la plus complète. des zones hystérogènes, le début de la
période
épileptoïde peut être tellement brusque que la ma
résentée. et a lieu dans la totalité des cas, en ce qui concerne la
période
épi-leptoïde del'attaque hystéro-épileptique.—La
de connaissance est complète pendant toute la durée de cette première
période
de l'attaque, et nous avons entre les mains un mo
oute sa connaissance. Si donc on vient à l'exercer pendant les autres
périodes
de l'attaque, la malade qui reprend ses sens, rac
parfaitement le sujet des hallucinations qui président à ces diverses
périodes
, comme nous le verrons plus loin; mais pendant la
ue, mais il ne se produit pas au début. Il fait partie de la deuxième
période
et est le plus souvent aigu et prolongé, toute-fo
'on serait tenté de confondre avec les con- torsions de la deuxième
période
, dont nous parlerons plus loin, si l'on ne remarq
cifiement, qui est parfois une attitude passion-nelle de la troisième
période
. (Fig. 21.) Enfin il semble que la grande convu
relâchement musculaire complet qui constitue la troisième phase de la
période
épileptoïde. § i. — PHASE DE RÉSOLUTION MUSCULA
t dans un membre. Cette contracture imprime à la malade, pendant la
période
du stertor, des attitudes variées. (Fig. 28.) F
sont animées de courtes et rapides oscillations. § 5. — DURÉE DE LA
PÉRIODE
ÉPILEPTOÏDE ET DE SES DIVERSES PHASES. La pério
5. — DURÉE DE LA PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE ET DE SES DIVERSES PHASES. La
période
épileptoïde n'a guère de durée constante que dans
de la séparer de l'intervalle de calme qui souvent se trouve entre la
période
épileptoïde et la deuxième période de l'attaque,
lme qui souvent se trouve entre la période épileptoïde et la deuxième
période
de l'attaque, et par-fois elle manque complètemen
et par-fois elle manque complètement. En moyenne on peut dire que la
période
épileptoïde dure dans son ensemble plusieurs minu
tage. Mais s'il est diffi-cile d'être précis sur la durée de toute la
période
épileptoïde, il n'en est pas de même relativement
nt immédiatement aux mouvements cloniques, enfin le peu^e durée de la
période
épileptoïde tout entière. Nos tracés ont été pr
grandes variations. § G. — QUELQUES OBSERVATIONS. — VARIÉTÉS DE LA
PÉRIODE
ÉPILEPTOÏDE. Avant de signaler les diverses mod
signaler les diverses modifications dont est susceptible la première
période
de l'attaque, je crois qu'il ne sera pas superflu
oncrets, choisis parmi celles de nos malades qui nous ont présenté la
période
épileptoïde dans son type le plus régulier et le
égulier et le plus complet. Gl... (9 avril 1878). Description de la
période
épileptoïde. Début. — Quelques secousses généra
oule le long du menton. Après un repos de courte durée, la deuxième
période
de l'attaque com-mence : les contorsions, les gra
ue nous dirons plus loin. Marc... (3 avril 1878). Description de la
période
épileptoïde. L'attaque débute par un mouvement
ourt. Et la malade passe ensuite aux grands mouvements de la deuxième
période
. Math... 13 juillet Période épileptoïde. Débu
te aux grands mouvements de la deuxième période. Math... 13 juillet
Période
épileptoïde. Début. — Les yeux se convulsent à
entrecoupée de secousses généralisées. Alphonsine Bar... Juin 1878.
Période
épileptoïde. Début. — Fixité du regard; la resp
tor pro-noncé, et l'écume coule en abondance. Witt... 23 mars 1878.
Période
épileptoïde. 1° Phase tonique. —a) Mouvements t
se montrent plus fortes dans les membres supé-rieurs. Telle est la
période
épileptoïde complète et régulière : mais elle peu
ment étranger vient se surajouter à ceux qui d'ordinaire composent la
période
épileptoïde, par exemple : la contracture permane
Marc... 26 février 1878.— Les attaques se succèdent avec leurs trois
périodes
diversement accusées. La première période est éco
succèdent avec leurs trois périodes diversement accusées. La première
période
est écourtée. Les yeux se convulsent, la tête tou
endent brusquement, et commentent les grands mouvements de la seconde
période
de l'attaque. Ici, la période épileptoïde est uni
ent les grands mouvements de la seconde période de l'attaque. Ici, la
période
épileptoïde est uniquement représentée par les gr
tonique peut se prolonger et môme représenter à elle seule toute, la
période
épilep-toïde de l'attaque. d) Les petits mouvem
épileptoïde. Il arrive parfois, que les deux premières phases de la
période
épileptoïde, phase tonique, phase clonique, se ré
ement chez Marc... 9 avril 1878. Marc... a ses grandes attaques. La
période
épileptoïde se com-pose des diverses phases déjà
de cercle. ) A.Delahayc et E. Lecroanier. CHAPITRE III DEUXIÈME
PÉRIODE
. — PÉRIODE DES CONTORSIONS ET DES GRANDS MOUVEMEN
) A.Delahayc et E. Lecroanier. CHAPITRE III DEUXIÈME PÉRIODE. —
PÉRIODE
DES CONTORSIONS ET DES GRANDS MOUVEMENTS (CLONISM
s assez court, mais le plus souvent bien marqué, commence la deuxième
période
. La deuxième période dans ses différentes phase
plus souvent bien marqué, commence la deuxième période. La deuxième
période
dans ses différentes phases et dans ses va-riétés
ire. C'est, si l'on veut me passer une expression un peu vulgaire, la
période
des tours de force; et ce n'est pas sans raison q
ices musculaires auxquels se livrent les acrobates. En effet, cette
période
comprend deux phases, celle des atti-tudes illogi
ogiques par M. Charcot pour les opposer aux attitudes de la troisième
période
, attitudes pas- sionnelles, qui toujours sont l
ues de l'épilepsie. Si dans quelques cas les contorsions suivent la
période
épi-leptoïde de si près qu'elles semblent se conf
e et que la distinction entre les attitudes tétaniques de la première
période
dont nous avons parlé, et les attitudes illogique
ode dont nous avons parlé, et les attitudes illogiques de la deuxième
période
dont il s'agit, devient difficile; il en est d'au
ntorsions apparaissent dans l'ordre indiqué, nettement séparées de la
période
épileptoïde. Il suffira d'en citer quelques-uns :
(25 mars 1878) est en attaque depuis 9 heures du matin. Les diverses
périodes
se succèdent ainsi : La première période existe d
ures du matin. Les diverses périodes se succèdent ainsi : La première
période
existe dans son entier développement et avec ses
ire place aux secousses, puis à la résolution musculaire. La première
période
est complète et bien terminée. Deuxième période
ulaire. La première période est complète et bien terminée. Deuxième
période
. Après un repos de quelques minutes pendant lesqu
la forme de « salutations » et sont accompagnés de.cris. Troisième
période
. Surviennent ensuite les scènes mouvementées delà
e période. Surviennent ensuite les scènes mouvementées delà troisième
période
et les attitudes passionnelles dont il sera parlé
t par des secousses d'abord éloignées qui se rapprochent. La première
période
est marquée par les grands mouve-ments toniques e
rolonge et l'attaque s'en tient là, pour recom-mencer par la première
période
au bout de quelques instants. Ou bien, après un
de quelques instants. Ou bien, après un instant de calme les autres
périodes
se succèdent dans leur ordre habituel. On voit al
mouvements rythmiques et les attitudes pas-sionnelles de la troisième
période
, avec les hallucinations et le délire. Je pourr
avec tous leurs caractères, et parfaitement distinctes de la première
période
, apparaissaient sous trois formes différentes, se
ont au nombre de trois. Fig. 45. — Contorsion. Après une première
période
épileptoïde fort bien marquée par la roideur toni
lèvres et les mouvements cloniques généralisés, survient la deuxième
période
qui débute par les kicher. • (i grands mouvem
ou contorsion, par laquelle elle passe avant d'arriver à la troisième
période
de son attaque. En effet il se produit encore que
lucina-tions et les attitudes passionnelles qui marquent la troisième
période
. Cette Fig. 46. — Variété de l'arc de cercle.
uvements ou après. Il est distinct de celui qui s'observe à la même
période
, au mi-lieu des mouvements désordonnés. B. — Le
avril 1878. Attaques remarquables par une prolongation de la deuxième
période
marquée par les mouvements les plus variés. Pre
uxième période marquée par les mouvements les plus variés. Première
période
. — Tétanisme généralisé suivi de convulsions clon
coule des lèvres. Suit un sommeil stertoreux peu accusé. La première
période
dure de une à deux minutes. Deuxième période. —
eu accusé. La première période dure de une à deux minutes. Deuxième
période
. — Commence par une contorsion dans l'attitude de
Enfin l'agitation échappe à une description régulière. La deuxième
période
, composée uniquement de ces mouvements variés, du
ments variés, dure en moyenne vingt à ving'-cinq minutes. Troisième
période
. — Puis Gen... appelle Camille..., etc. La troisi
ec les mêmes caractères. Enfin les grands mouvements de la deuxième
période
sont sus-ceptibles de nombreuses variétés, dont l
alpêtrière que j'ai eu l'occasion d'observer récemment. A la deuxième
période
de son attaque, elle imite le bruit d'une locomo-
ite. Ses attaques sont presque exclusivement composées de la deuxième
période
qui se prolonge et revêt une forme qui s'éloigne
onge et revêt une forme qui s'éloigne du type vulgaire. La première
période
est représentée par quelques grands mouvements on
alors surviennent les petits mouvements cloniques généralisés. Cette
période
dure fort peu de temps. Deuxième période. — Apr
oniques généralisés. Cette période dure fort peu de temps. Deuxième
période
. — Après un instant de repos, ou bien tout de sui
ntremêlent et se répètent, prolongeant ainsi indéfiniment la deuxième
période
, qui peut durer sans trêve jusqu'à cinq ou dix mi
e, qui peut durer sans trêve jusqu'à cinq ou dix minutes. Troisième
période
. — J'ai observé la malade près d'une heure et je
vements de frayeur, et des phrases entre-coupées marquer la troisième
période
. Le plus souvent les convulsions toniques décrite
aient les mêmes mouvements. 10 juillet. Grande attaque. La deuxième
période
est marquée par l'arc de cercle et l'imitation
t 1879. Attaques plus complètes que celles du 5 juillet. La pre-mière
période
, ou période épileptoïde, s'y présente avec ses di
ques plus complètes que celles du 5 juillet. La pre-mière période, ou
période
épileptoïde, s'y présente avec ses diverses phase
l'évolution régulière que nous avons décrite plus haut. La troisième
période
, ou période des attitudes passionnelles, y est re
régulière que nous avons décrite plus haut. La troisième période, ou
période
des attitudes passionnelles, y est représentée pa
sur lesquelles nous aurons occasion d'insister plus loin. La deuxième
période
imite le chemin de fer, de la façon que nous avon
e rien. Au contraire, réveillée de la même façon pendant la troisième
période
, elle a parfaitement raconté le sujet de ses hall
u chemin de fer est encore en quelque sorte plus parfaite. Après la
période
épileptoïde suivie d'un instant de repos, le « ch
Je n'insiste pas, en terminant, sur les variétés de cette deuxième
période
de l'attaque. Les contorsions et les mouvements p
nom d'attaques démoniaques. § 3. — ÉTAT MENTAL PENDANT LA DEUXIÈME
PÉRIODE
, La perte de connaissance n'est pas la règle du
E PÉRIODE, La perte de connaissance n'est pas la règle durant cette
période
, comme il arrive pour la période épileptoïde. Il
ance n'est pas la règle durant cette période, comme il arrive pour la
période
épileptoïde. Il est d'ailleurs fort difficile de
onnage qui joue un grand rôle dans les hallucinations de la troisième
période
. Wit..., réveillée par la pression ovarienne au
'arc de cercle mise par nous au nombre des contorsions de la deuxième
période
, la perte de connaissance n'est pas aussi absolue
ode, la perte de connaissance n'est pas aussi absolue que pen-dant la
période
épileptoïde, et qu'il existe parfois une hallucin
gré la présence de cette hallucination, les contorsions de la seconde
période
se séparent nettement des attitudes de la trois
e nom d'altitudes passionnelles con-vient parfaitement à la troisième
période
, la dénomination d'atti-tudes illogiques n'est pa
ogiques n'est pas moins justifiée pour ce qui a lieu dans la deuxième
période
. CHAPITRE IV TROISIÈME PÉRIODE. — PÉRIODE DES
our ce qui a lieu dans la deuxième période. CHAPITRE IV TROISIÈME
PÉRIODE
. — PÉRIODE DES ATTITUDES PASSIONNELLES Entre la
a lieu dans la deuxième période. CHAPITRE IV TROISIÈME PÉRIODE. —
PÉRIODE
DES ATTITUDES PASSIONNELLES Entre la deuxième p
ME PÉRIODE. — PÉRIODE DES ATTITUDES PASSIONNELLES Entre la deuxième
période
et la troisième, la limite n'est pas toujours aus
rsion, et même pendant les grands mouvements. Le caractère de cette
période
se trouve parfaitement défini par le nom que lui
se trouve parfaitement défini par le nom que lui a donné M. Charcot,
période
des attitudes passion-nelles ou des poses plastiq
e concorde en tous points avec ce que l'on a observé. Pendant cette
période
des hallucinations, elle est complètement insensi
dant un temps plus ou moins long et doit être rangé dans la quatrième
période
. Nous y reviendrons au chapitre suivant. Ce que
a justesse de la dé-nomination sous laquelle M. Charcot désigne cette
période
de l'at-taque. Les divers tableaux qui la compose
cun d'eux, notée pendant l'une quelconque des attaques. Secondes.1°
Période
épileptoïde............... 502° Grands mouvements
ur à tour gai ou triste, que se développe invariablement la troisième
période
de l'attaque de Marc... Pour l'interpréter, notre
suppléer par quelques figures. Les grands mouvements de la deuxième
période
, dont il a été question page 86 et représentés fi
ttitudes passionnelles. parles visions d'animaux, Mais la troisième
période
de l'attaque est finie; elle afait place à la qua
sième période de l'attaque est finie; elle afait place à la quatrième
période
avec ses hallucinations spéciales, jusqu'à ce qu'
ement convulsif des paupières ou de l'abdomen indique le retour de la
période
épileptoïde d'une nouvelle attaque, comme cela a
lire dure souvent fort longtemps, mais il fait partie de la quatrième
période
, dont nous parlerons plus loin. . En dehors de
lles on peut distinguer, malgré une apparente complication, les trois
périodes
ordinaires. 9 heures 20. Après un moment de cal
er... ait repris connaissance, par un autre attaque qui débute par la
période
épileptoïde, et se reproduit à peu près de la mêm
varié. La thèse dcDunant J'ai dit précédemment que cette troisième
période
de l'attaque hystéro-épileptique, ou période des
ment que cette troisième période de l'attaque hystéro-épileptique, ou
période
des attitudes passionnelles, va-riait suivant la
auver ou à se soustraire... Elle lutte... Aussi chez elle la deuxième
période
semble-t-elle se confondre avec la troisième. N
lucination commençait pen-dant les grandes salutations de la deuxième
période
, et qu'à ce moment elle s'imaginait courir et se
ements du tronc, qui ca-ractérisent plus particulièrement la deuxième
période
. Nous pouvons opposer àl'observation de Ler...
nt entréeà la Salpêtrière, et dont les attaques présentent les quatre
périodes
que nous décrivons. Pendant la troisième période,
ésentent les quatre périodes que nous décrivons. Pendant la troisième
période
, elle assiste à des scènes de pure, imagination ;
de ce genre. Sans parler delà régularité de succes-sion des diverses
périodes
de l'attaque qu'une malade ne saurait in-venter,
'hystérie sur la nature des hallucinations qui composent la troisième
période
de l'attaque, et montré comment, dès le début, l'
r augmenter la durée et la variété des hallucinations de la troisième
période
, mais la plus grande part en revient toujours aux
muet s'établit entre elle et un être ima-ginaire. Tout d'un coup la.
période
épileptoïde la surprend au milieu de son sourire.
r assez court pendant lequel l'écume coule plus abondante. Deuxième
période
. —Après un repos assez court la malade est. prise
nographie photographique de la Salpêtrière, t. I, p. 125. Troisième
période
. — Bientôt le rire et la satisfaction reviennent
l'étouffer et elle perd connaissance. C'est le moment où survient la
période
épileptoïde. Quand l'hallucination reparaît elle
rouvera presque toujours la raison des hallucinations de la troisième
période
de l'attaque. Pour terminer, je résumerai en qu
inctifs de cet état nerveux particulier qui carac-térise la troisième
période
de l'attaque hystéro-épileptique, et que nous avo
ade garde le souvenir de ses hallucinations. CHAPITRE V QUATRIÈME
PÉRIODE
. — PÉRIODE DE DÉLIRE Après la période des attit
e souvenir de ses hallucinations. CHAPITRE V QUATRIÈME PÉRIODE. —
PÉRIODE
DE DÉLIRE Après la période des attitudes passio
ons. CHAPITRE V QUATRIÈME PÉRIODE. — PÉRIODE DE DÉLIRE Après la
période
des attitudes passionnelles ou poses plas-tiques,
de quelques troubles du mouvement. Ce délire constitue une quatrième
période
par laquelle passe la malade avant de retrouver s
ar terre, je parvins à lui comprimer l'ovaire. Fig. 79. — Quatrième
période
: Délire triste. Habituellement ce délire est p
d les premières lignes de quelques pages. Ce délire de la quatrième
période
porte sur les sujets les plus variés. Il est tant
m'apprenait à lire et à écrire..., etc. » Ce délire de la quatrième
période
, bien que souvent accom-pagné d'hallucinations su
nettement des attitudes passionnelles qui carac-térisent la troisième
période
et dont nous avons longuement parlé. On conçoit q
ensibilité (hallucina-tions, illusions), la troisième et la quatrième
période
puissent parfois se confondre.* Peut-être les lim
ériode puissent parfois se confondre.* Peut-être les limites des deux
périodes
ne sont-elles pas toujours nettement tranchées; m
de mémoire, dans l'autre c'est le délire d'action. Dans la quatrième
période
, la malade converse et raconte; dans la troisième
des attitudes variées; là, des paroles, des discours. Si la quatrième
période
se parle, la troisième se joue. Les hallucination
raison d'être, la condition nécessaire, sine quâ non de la troisième
période
, les attitudes passionnelles n'en étant en quelqu
-duction objective; elles manquent le plus souvent dans la qua-trième
période
, et sont remplacées par des illusions. Pour acc
ur accuser encore davantage les différences qui séparent la troisième
période
de la quatrième, nous pouvons opposer à la mobili
uvons opposer à la mobilité des conceptions délirantes delà quatrième
période
, ce caractère spécial des hallucinations de la
me période, ce caractère spécial des hallucinations de la troisième
période
de se reproduire d'une façon toujours identique.
attitudes, des paroles qui ne varient pas. Le délire de la quatrième
période
n'est pas ainsi stéréotypé. Il est varié à l'infi
revivre dans tous leurs détails, comme cela a lieu dans la troisième
période
. Mais le plus souvent ce délire de la fin puise s
lligence et des divers sens permet encore de distinguer la troi-sième
période
de la quatrième. Dans la troisième période, la ma
e distinguer la troi-sième période de la quatrième. Dans la troisième
période
, la malade est complètement distraite du monde ex
en dehors d'elle ne saurait influencer son délire. Dans la quatrième
période
, sans avoir complètement recouvré ses sens, elle
n attaque par la pression ovarienne, amène ce délire de la qua-trième
période
» Chez une même malade la distinction de la troi
hez une même malade la distinction de la troisième et de la quatrième
période
est toujours facile à établir. Le contraste est s
ujours facile à établir. Le contraste est saisissant lorsque les deux
périodes
existent, mais il ne faut pas oublier, comme nous
lus loin en traitant des variétés de l'attaque, que l'une de ces deux
périodes
peut faire défaut. . Ce que nous avons dit du d
défaut. . Ce que nous avons dit du délire de Marc... à la quatrième
période
de l'attaque, montre assez combien il est différe
bleau si varié qu'offrent les attitudes passionnelles de la troisième
période
. Gl... nous offre un nouvel exemple non moins fra
nouvel exemple non moins frappant. Fig. 80. Délire de la quatrième
période
. On se souvient des scènes si émouvantes qui co
On se souvient des scènes si émouvantes qui composent la troisième
période
de l'attaque de Gl... Nous les avons décrites tou
de Gl... Nous les avons décrites tout au long. La fin de la troisième
période
est toujours marquée par les mêmes hallucinations
ns considérer cette phase de délire comme appar-tenant à la quatrième
période
de l'attaque. Peu à peu les larmes cessent et la
composer les grandes séries qui durent plusieurs heures, la quatrième
période
de l'attaque est représentée pour le moins par le
venons d'indiquer. Mais il est des attaques qui offrent une quatrième
période
beaucoup plus étendue, comme le prouvent les quel
à mettre en relief les caractères spéciaux du délire de la quatrième
période
sur lesquels nous avons insisté. Gl..., dans se
. Gl..., dans ses attaques du 14 mars 1878, présente une qua-trième
période
plus longue que de coutume et dont voici quel-que
ntendu sonner... (Nous avons fait remarquer que, pendant la troisième
période
, la malade demeure insensible à toute espèce de b
i on savait, etc. » A la suite d'une nouvelle attaque, la quatrième
période
est marquée par un délire analogue. Elle converse
maman, j'ai vu je ne sais quoi, etc. » Si le délire de la quatrième
période
n'esf pas toujours aussi accusé chez notre malade
prendre une extension bien plus considérable aux dépens des autres
périodes
de l'attaque. Et il constitue si bien quelque cho
ue. Et il constitue si bien quelque chose de distinct de la troisième
période
, qu'on l'a vu, dans quelques cas, remplacer les a
heure de l'après-midi et ne s'est terminée que le soir. Les diverses
périodes
se succèdent comme d'habitude. — La 4e période es
le soir. Les diverses périodes se succèdent comme d'habitude. — La 4e
période
est marquée d'un délire dont voici quelques exemp
issent habituellement du côté gauche de son lit. Fig. 81. Quatrième
période
. Zoopsie. Gen... 26 février 1878.— Après une sé
er 1878.— Après une série de 14 attaques, survient le délire de la 4e
période
. — « Chameau, C..., va c'est fini, je ne te rever
son attaque par une phase qui présente à un haut Fig. 82. Quatrième
période
. Zoopsie. degré les principaux caractères que n
. degré les principaux caractères que nous assignons à la quatrième
période
. — Le délire si violent, si terrible, dont nous a
onné un exemple plus haut (p. 418) et qui fait partie de la troisième
période
, fait place à un délire plus calme. L'agitation c
tracturer partiellement. Voici quelques exemples de cette quatrième
période
des attaques de notre malade Ler... 11 février
ncé à sept heures et demie. Il est dix heures cinq minutes. Après une
période
épileptoïde bien marquée, et une période de grand
ures cinq minutes. Après une période épileptoïde bien marquée, et une
période
de grands mouvements désordonnés et de rage, sa f
s. » Elle crie par la fenêtre et va regagner son Fig. 83. Quatrième
période
. Ler... « souffle le feu ». lit. A pçine couché
nt nous avons parlé, Gl..., qui, au moment où se termine la troisième
période
de l'at-taque, ne manque jamais d'entendre la mus
— A sept heures moins le quart, attaqueuniqne composée d'une première
période
épileptoïde bien nette, d'une deuxième période de
omposée d'une première période épileptoïde bien nette, d'une deuxième
période
de grands mouvements (soulèvements du tronc, gran
nc, grandes salutations, agitation des jambes, etc.), d'une troisième
période
avec un délire très agité, mêlé de grands mouveme
c un délire très agité, mêlé de grands mouvements, et d'une quatrième
période
qui se pré-sente ainsi : Ler... exécute plusieu
e d'eau d'un seul trait et tout paraît finid. » C'est pendant cette
période
de l'attaque que se produisent les affirmations l
ou partielle persiste souvent après l'at-taque. Fig. 84. Quatrième
période
. Contractures généralisées. A. — Contracture gé
la contracture arrachent des cris à la patiente. Fig. 85. Quatrième
période
. Contractures généralisées. La contraction des
ce avec les attitudes que nous avons décrites dans le tétanisme de la
période
épileptoïde et dans la période des contor-sions,
avons décrites dans le tétanisme de la période épileptoïde et dans la
période
des contor-sions, s'en distinguent aisément. Nous
lade a parfaitement conscience de son état; elle Fig. 86. Quatrième
période
. Contractures généralisées. souffre horriblemen
lle, qui par-fois succède aux attaques et se montre dans la quatrième
période
, n'est habituellement pas douloureuse. Elle attei
e attaque, qui commence à trois heures i demie, présente les diverses
périodes
dont il a été question et se termint ainsi : Aprè
es se terminaient par une abondante salivation 3. » Cette quatrième
période
peut durer de quelques heures à plu sieurs jours.
TAT DE MAL HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUU A. Marche des attaques. Durée. — Les
périodes
dont on vient de lire la description se succèdent
constituer une attaque d'hystéro-épilepsie régulière et complète. La
période
épileptoïde dure en moyenne de une à trois minute
ire elle est nettement séparée, par un moment de calme, de la seconde
période
(clonisme : grands mouvements et contorsions), do
nts et contorsions), dont la durée est à peu près égale à celle de la
période
épileptoïde. Enfin la ligne de démarcation est bi
est bien moins nette entre les attitudes passionnelles et la deuxième
période
, l'hallucination commençant quelquefois pen-dant
période, l'hallucination commençant quelquefois pen-dant celle-ci. La
période
des attitudes passionnelles est la plus longue, e
elle dure en moyenne de cinq minutes à un quart d'heure. Ces trois
périodes
, qui constituent à proprement parler l'attaque, o
e une durée moyenne d'un quart d'heure à une demi-heure. La quatrième
période
, qui est plutôt une sorte de prolonga-tion de l'a
La malade ne reprend pas con- naissance. Dans ce cas, la quatrième
période
fait défaut, et les at-titudes passionnelles sont
et les at-titudes passionnelles sont brusquement interrompues par la
période
épileptoïde d'une nouvelle attaque. La quatrième
mpues par la période épileptoïde d'une nouvelle attaque. La quatrième
période
ne se montre qu'à la fin de la série. 2° Les at
un quart d'heure. Dans ce cas l'attaque est complète et la quatrième
période
est représentée. Le nombre des attaques qui com
eurs heures. Dès le début l'attaque est souvent incomplète; une des
périodes
fait entièrement défaut ou ne se présente qu'à l'
u ne se présente qu'à l'état d'ébauche. Bientôt les trois principales
périodes
se montrent complètement développées; période épi
les trois principales périodes se montrent complètement développées;
période
épileptoïde, période des contorsions et des grand
s périodes se montrent complètement développées; période épileptoïde,
période
des contorsions et des grands mouvements, période
ériode épileptoïde, période des contorsions et des grands mouvements,
période
des attitudes passionnelles se suivent sans inter
a malade ni trêve ni repos. C'est en quelque sorte le fastigium ou la
période
d'état de la série; la durée en est plus ou moins
ongue. Puis la violence des accidents diminue peu à peu. Les diverses
périodes
sont séparées par un intervalle dereposet les att
et les attitudes passionnelles sont suivies du délire de la quatrième
période
, qui prend une importance de plus en plus giande.
acent peu à peu, cédant la place aux accidents variés de la quatrième
période
. Le délire se prolonge, les contractures générale
nent et arrachent des cris à la patiente. Il ne reste plus des autres
périodes
de l'attaque que quelques phénomènes épileptiform
emeure encore en proie à quelques-uns des phé-nomènes de la quatrième
période
, qui cessent bientôt entièrement, ou persistent a
. Voici quelques observations dans lesquelles la durée des diverses
périodes
a été notée avec soin ; on y trouvera quelques ex
ient les attaques vers la fin de la série. 14 mars. — Gl... I. 1°
Période
épileptoïde................................... 85
s erotiques de courte durée........................... 135 II. 1°
Période
épileptoïde.................................... 8
" Phase terrible..................................... 40" III. 1°
Période
épileptoïde................................... 60
45" Lubricité........,................................ 45" IV. 1°
Période
épileptoïde................................... 60
es attaques suivantes, observées chez Marc..., ne présentent que deux
périodes
: a) période épileptoïde; b) période des hallucin
ivantes, observées chez Marc..., ne présentent que deux périodes : a)
période
épileptoïde; b) période des hallucinations et de
Marc..., ne présentent que deux périodes : a) période épileptoïde; b)
période
des hallucinations et de délire. 1° — Période é
riode épileptoïde; b) période des hallucinations et de délire. 1° —
Période
épileptoïde.....................................
Délire indifférent...................................... 15' 2° —
Période
épileptoïde.....................................
élire triste, plaintes...................,............... 15" 3° .—
Période
épileptoïde.....................................
" Défi.................................................. 50" 4° —
Période
épileptoïde.....................................
10 Gaieté............................................... 45" 5° —
Période
épileptoïde.....................................
5° — Période épileptoïde..................................... 90 La
période
épileptoïde se répète sans interruption..........
Hallucination.......................................... 15" 6° —
Période
épileptoïde.....................................
° — Période épileptoïde..................................... 35" La
période
épileptoïde se répète comme dans l'attaque précé-
Désespoir, s'arrache les cheveux.......................... 40" 70 —
Période
épileptoïde.....................................
lre Attaque. Durée de quinze minutes. Elle est ainsi composée : a)
Période
épileptoïde. b) Grands mouvements et contorsion
ode épileptoïde. b) Grands mouvements et contorsions de la deuxième
période
. c) Hallucinations terribles de la troisième pé
de la deuxième période. c) Hallucinations terribles de la troisième
période
. 2e Attaque. Durée de quinze minutes. a) Péri
de la troisième période. 2e Attaque. Durée de quinze minutes. a)
Période
épileptoïde. b) Grands mouvements et contorsion
ode épileptoïde. b) Grands mouvements et contorsions de la deuxième
période
. c) Hallucinations terribles de la troisième pé
de la deuxième période. c) Hallucinations terribles de la troisième
période
. d) Le délire de la quatrième période apparaît.
ons terribles de la troisième période. d) Le délire de la quatrième
période
apparaît. 3e Attaque. Durée de six minutes. Bie
aractères que le numéro 1. On n'observe pas le délire de la quatrième
période
. 4e Attaque. Durée de quatorze minutes et plus.
trième période. 4e Attaque. Durée de quatorze minutes et plus. a)
Période
épileptoïde. b) Contorsions et grands mouvement
ode épileptoïde. b) Contorsions et grands mouvements de la deuxième
période
. c) Les hallucinations terribles de la troisièm
a deuxième période. c) Les hallucinations terribles de la troisième
période
n'existent pas. d) Délire de la quatrième pério
s de la troisième période n'existent pas. d) Délire de la quatrième
période
. 5e Attaque. Durée de trente et une minutes.
quatrième période. 5e Attaque. Durée de trente et une minutes. a)
Période
épileptoïde. b) Rage et grands mouvements. c)
b) Rage et grands mouvements. c) Les hallucinations de la troisième
période
ne reparaissent pas. d) La quatrième période se
ations de la troisième période ne reparaissent pas. d) La quatrième
période
se prolonge. L'on voit dans la seconde moitié d
la seconde moitié de cette série les hallucinations de la troisième
période
se supprimer pour faire place au délire de la qua
sième période se supprimer pour faire place au délire de la quatrième
période
. 18 mars 1878. —Marc... a ses grandes attaques
dix-neuf attaques. Les attaques sont composées des trois premières
périodes
. Voici comment se déroule l'attaque dont nous som
ttaque dont nous sommes témoin à notre arrivée : 20e attaque. — l10
période
. Grands mouvements toniques décrits p. 51, et rep
puis mou-vements cloniques généralisés. Ondulation du ventre. — Cette
période
est très courte. ^"période. Trois grands mouvem
néralisés. Ondulation du ventre. — Cette période est très courte. ^"
période
. Trois grands mouvements de « salutation ». Trois
salutation ». Trois cris perçants et prolongés.— arc de cercle. 3e
période
. Délire lubrique avec attitudes passionnelles en
ote de la durée des attaques qui suivent : 21° attaque. — lre et 2e
période
............................. 35" 3e période....
1° attaque. — lre et 2e période............................. 35" 3e
période
.................................. 4' 40" 22e at
e.................................. 4' 40" 22e attaque. — lrc et 2e
période
............................. 1' 10" 3e période.
attaque. — lrc et 2e période............................. 1' 10" 3e
période
.................................. 5' 23e attaqu
3e période.................................. 5' 23e attaque. — lre
période
................................. 50" 2e période
23e attaque. — lre période................................. 50" 2e
période
.................................. 45" 3e périod
......... 50" 2e période.................................. 45" 3e
période
.................................. 30' Pendant c
ériode.................................. 30' Pendant cette dernière
période
, qui se prolonge 1/2 heure, les attitudes passion
nsi que nous l'avons raconté plus haut (p. 103). 24e attaque. — lre
période
.................................. 1' 2e période
24e attaque. — lre période.................................. 1' 2e
période
manque. Les attitudes passionnelles font égalem
ntes et de contrac-tures généralisées que l'on doit ranger dans la 4e
période
. La durée de cette 4e période est de.............
alisées que l'on doit ranger dans la 4e période. La durée de cette 4e
période
est de................................... 2f 25
ode est de................................... 2f 25e attaque. — lre
période
.................................. 40" 2e périod
25e attaque. — lre période.................................. 40" 2e
période
n'existe pas. 3e période avec attitudes passion
................................. 40" 2e période n'existe pas. 3e
période
avec attitudes passionnelles bien carac-térisées
ais c'est pour la dernière fois. Dans les attaques qui suivent, la 3e
période
n'existe plus et est remplacée par les phénomènes
3e période n'existe plus et est remplacée par les phénomènes de la 4e
période
. Cette modification des attaques présage la fin d
ication des attaques présage la fin de la série. 26° attaque. — lrc
période
, consistant surtout en grands mou-vements tonique
hase de résolution n'existe pas............................. 70" 2°
période
n'existe pas. 3" période fait défaut. 4e péri
pas............................. 70" 2° période n'existe pas. 3"
période
fait défaut. 4e période marquée par un délire t
....... 70" 2° période n'existe pas. 3" période fait défaut. 4e
période
marquée par un délire triste, accom-pagné de plai
sées; la connaissance revient en partie...... 6' 27e attaque. — lro
période
.................................. 60" 2e et 3°
taque. — lro période.................................. 60" 2e et 3°
période
manquent 4° période comme précédemment.........
................................ 60" 2e et 3° période manquent 4°
période
comme précédemment.............. 3' 28e attaque
4° période comme précédemment.............. 3' 28e attaque. — lrc
période
................................. 80" 2e et 3e p
ttaque. — lrc période................................. 80" 2e et 3e
période
manquent. 4e période marquée par un délire plus
............................... 80" 2e et 3e période manquent. 4e
période
marquée par un délire plus calme. Elle pleure abo
per-s;ste néanmoins......................... 4' 29e attaque. — lre
période
................................. 55" 4e période
29e attaque. — lre période................................. 55" 4e
période
avec pleurs, plaintes et contracture gé-néralisée
e gé-néralisée.........¦..................... 3' 30e attaque. — lrc
période
................................. 50" 4e période
30e attaque. — lrc période................................. 50" 4e
période
se prolonge. Marc... pleure, la contracture se
pé-riode être remplacées par des phénomènes qui appartiennent à la 4e
période
. 1er février 1878. — Marc..., pendant que nous
idement, nous notons leur durée ainsi qu'il suit : 4e attaque. — 1°
Période
épileptoïde écourtée, réduite à une téta-nisation
tudes passionnelles. Lubricité............. 1' 20" 5e attaque. — 1°
Période
épileptoïde écourtée................. 15" 2° Cr
des passionnelles. Lubricité et dégoût..... 1' 15" 6e attaque. — 1°
Période
épileptoïde........................ 30" 2° Cris
Attitudes passionnelles..................... 3'45" 7e attaque. — 1°
Période
épileptoïde........................ 15" 2° Gran
ttitudes passionnelles...................... l'30" 8e attaque. — 1°
Période
épileptoïde......................... 15" 2° Cri
Attitudes passionnelles...................... l'30" 9e attaque. —1°
Période
épileptoïde plus accusée............. 45" 2° Cr
titudes passionnelles..................... 3' 15" 10e attaque. — 1°
Période
épileptoïde écourtée................. 10" 2° Gr
titudes passionnelles...................... l'25" 41e attaque. — 1°
Période
épileptoïde........................ 10" 2° Gran
des passionnelles, dégoût, lubricité, fureur. 12' 12° attaque. — 1°
Période
épileptoïde........................ 20" 2° Gran
titudes passionnelles...................... 6'35" 13e attaque. — 1°
Période
épileptoïde----.................... 25" 2° Gran
Altitudes passionnelles..................... 13' 15e attaque. — 1°
Période
épileptoïde très accusée : phase tonique avec les
Attitudes passionnelles...................... 13' 18e attaque. — 1°
Période
épileptoïde........................ 20" 2° Cris
Attitudes passionnelles...................... 2' 19e Attaque. — 1°
Période
épileptoïde bien marquée............ 45" 2° Gra
° Attitudes passionnelles..................... 2' 20e Attaque. — 1°
Période
épileptoïde........................ 25" 2° Gran
Attitudes passionnelles..................... 15" 21e Attaque. — 1°
Période
épileptoïde, avec phase tonique et clo-nique bien
rviennent les contractures généralisées, et le délire triste de la 4e
période
. 22e attaque. — 1° Période épileptoïde.........
néralisées, et le délire triste de la 4e période. 22e attaque. — 1°
Période
épileptoïde........................ 25" 2° Gran
our de la connaissance........................ 3' 23e attaque.—4°
Période
épileptoïde courte.................. j 4° Contr
° Contracture généralisée, plaintes............ | 24e attaque. — 1°
Période
épileptoïde bien marquée, avec phase \ tonique, g
Délire triste, demande pardon............... / 25e attaque. — 1°
Période
épileptoïde....................... j ^ 4° Plain
4° Plaintes et contractures.................... j 26e attaque. — 1°
Période
épileptoïde............. •......... ) 4° Délire
4° Délire triste............................. ) 27° attaque. —1° La
période
épileptoïde est réduite aux grands mouvements t
e la connaissance............................ 3' 28e attaque. —¦ 1°
Période
épileptoïde marquée, au milieu de la contracture
e généralisée............................ 2'15" 29e attaque. — 1°
Période
épileptoïde comme précédemment..... 30 4° Contr
Contracture généralisée, plaintes............. 5' 30e attaque. — 1°
Période
épileptoïde incomplète. 2° Plaintes et contract
rité que nous avons signalée dans le mode de succes-sion des diverses
périodes
d'une attaque, peut se retrouver dans le mode de
pte quatre attaques qui se succèdent ainsi qu'il suit : N° I. — lr0
Période
. — Tétanisme prolongé; membres dans l'extension;
nsion; — mouvements cloniques;— secousses; — stertor; — écume. 2e
Période
. — Grands mouvements; —; la tète frappe l'oreille
. 2e Période. — Grands mouvements; —; la tète frappe l'oreiller. 3e
Période
. — Attitudes passionnelles ; — elle voit le lion
e ; — crainte, terreur et menace; elle lève le poing. N° IL — lrc
Période
. — Semblable à la précédente. 2° Période. — Gra
ve le poing. N° IL — lrc Période. — Semblable à la précédente. 2°
Période
. — Grands mouvements; — la tête frappe l'oreiller
extension; les yeux ne sont pas convulsés; respiration normale. Cette
période
se prolonge de deux à trois minutes. La période
tion normale. Cette période se prolonge de deux à trois minutes. La
période
des attitudes passionnelles fait défaut. N° III
La période des attitudes passionnelles fait défaut. N° III. — lre
Période
. — Ne varie pas. 2e Période. — Grands mouvement
sionnelles fait défaut. N° III. — lre Période. — Ne varie pas. 2e
Période
. — Grands mouvements; — pas de contorsion. 3e P
rie pas. 2e Période. — Grands mouvements; — pas de contorsion. 3e
Période
. —Attitudes passionnelles ; elle voit Alphonse; s
e; scène lubrique; réveillée, elle se plaint amèrement. N°IV. — lrc
Période
. — Toujours la même. ^Période. — Grands mouveme
le se plaint amèrement. N°IV. — lrc Période. — Toujours la même. ^
Période
. — Grands mouvements; — puis contorsion qui ne re
mains sur la poitrine; — durée, deux à trois minutes. La, troisième
période
manque, comme dans l'attaquen° II. Après cette
tion dans les scènes d'hallucinations et de délire des deux dernières
périodes
, comme on pourra le voir par les quelques exemple
èdent pour former une série. Nous en notons plusieurs : I. — a). La
période
épileptoïde est bien marquée, mais assez courte.
d'un coup survient une nouvelle attaque. II. —10 h. 10 min. a). La.
période
épileptoïde dure une minute. La phase tonique a l
h! ah !..» 10 h. 17. Une nouvelle attaque survient. III. — a). La
période
épileptoïde présente les mêmes caractères que pré
. Mais bientôt survient spontanément une nouvelle attaque. IV.— a).
Période
épileptoïde (phase tonique, phase clonique, écume
pression sur le point hyperesthésique mammaire pro-voque une nouvelle
période
épileptoïde qu'on ne parvient pas à arrêter par u
cette phrase qu'une nou-velle attaque survient. V. — 10 h. 33. a).
Période
épileptoïde semblable aux précédentes, à cela prè
ttaque qui ne tarde pas à éclater. VI. — 10 heures 38. a). Première
période
comme précédemment. b). Contorsions, cris, gran
VIL — 10 heures 48. a).Période épileptoïde comme précédemment. b).
Période
des contorsions et des grands mouvements, semblab
le attaque. VIII. —10 heures 54. a), b). La première et la deuxième
période
ne pré-sentent rien de nouveau. Elles durent ense
vingt-six grandes attaques complètes et de cinq attaques bornées à la
période
épileptoïde. Les grandes attaques n'ont pas chang
gé de caractère, elles se ressemblent toutes et ne varient que par la
période
des hallucinations et du délire, dont la variété
té paraît inépuisable. En voici un échantillon : 11 heure 50 a). La
période
épileptoïde est d'assez courte durée, on y distin
ous avons donnée. Nous y relèverons les caractères si accusés de la
période
épileptoïde, la régularité de la période des cont
caractères si accusés de la période épileptoïde, la régularité de la
période
des contorsions, qui se montrent sous trois forme
açon, enfin la nature des hallucinations qui président à la troisième
période
, dont la source est dans l'imagi-nation de notre
une heure. Si dans cette attaque nous trouvons sans difficulté une
période
épilep-toïde et une période des contorsions et de
attaque nous trouvons sans difficulté une période épilep-toïde et une
période
des contorsions et des grands mouvements, la péri
lep-toïde et une période des contorsions et des grands mouvements, la
période
des attitudes passionnelles paraît faire complète
Il est facile de distinguer dans ce que nous venons de rapporter la
période
épileptoïde, la période des contorsions et des gr
nguer dans ce que nous venons de rapporter la période épileptoïde, la
période
des contorsions et des grands mouvements et les é
d'observer chez cette malade le 9 septembre 1879 présentent les trois
périodes
habituelles, avec les parti-cularités suivantes :
des habituelles, avec les parti-cularités suivantes : l°La première
période
n'est qu'esquissée. Au début de l'attaque, la ma-
ues, et tout le corps demeure un instant rigide dans l'exten-sion. La
période
épileptoïde s'arrête là. Quelquefois même elle pa
Quelquefois même elle paraît man-quer complètement. 2° La deuxième
période
est bien marquée par des arcs de cercle, de l'agi
e l'agi-tation et de grands sauts de tout le corps. 3° La troisième
période
se prolonge pendant un temps fort long. Les hallu
te phase tonique, qui dure peu d'instants, représente à elle seule la
période
épilep-toïde. b). Aussitôt après, Léonore exécu
elle se met à exécuter les grands sauts déjà signalés. Cette fois, la
période
épileptoïde a paru faire complètement défaut. L
écédente. Puis commencent les attitudes passionnelles de la troisième
période
. Expression d'anxiété. La malade se tient la la
frotte la poitrine et exécute aussitôt les grands sauts de la seconde
période
. Les attitudes passionnelles' se succèdent ains
tout d'un coup. Si nous pouvons retrouver là la phase tonique de la
période
épileptoïde, la phase clonique manque complètemen
elle est au milieu des attitudes passionnelles. I. — 10 h. 36. a).
Période
épileptoïde marquée par une raideur de tout le co
uivie bientôt d'un tremblement généralisé et violent. ô).La seconde
période
est marquée par cinq grandes « salutations» rapid
geant de physionomie atout instant. II.— 10 heures 40. a). Nouvelle
période
épileptoïde semblable à la précé-dente. b.) Plu
nt général est suivi de quelques secousses. b). c). Les deux autres
périodes
suivent, présentant des caractères sembla-bles au
res périodes suivent, présentant des caractères sembla-bles aux mômes
périodes
des attaques précédentes. 1. Ce mouvement, qu'o
Dans la série d'attaques qui vient d'être rapportée, on observe une
période
épileptoïde nettement indiquée, bien que de court
eptoïde nettement indiquée, bien que de courte durée. Les deux autres
périodes
offrent un remarquable développement. La série
ment. La série suivante offre beaucoup d'analogie avec celle-là, la
période
épi-leptoïde est encore mieux accusée. 30 septe
mmencent aussitôt. I. — 10 h. 27. a). Tout le corps se raidit et la
période
épileptoïde se développe, passant successivement
erreur. II. — 10 h. 30. Une nouvelle attaque débute subitement. à).
Période
épileptoïde semblable à la précédente. b). Gran
c). Hallucination. La malade se tient la tête, elle veut fuir. Cette
période
est très courte. III. — 10 h. 32. a). La tête t
œuvre que l'hal-lucination reparaît à l'instant même, et la troisième
période
de l'attaque continue comme si de rien n'était. —
3. Nouvelle attaque aussitôt qu'on cesse la compression. a). Première
période
semblable aux précédentes. b). Deuxième période
ssion. a). Première période semblable aux précédentes. b). Deuxième
période
. Sauts, cris et contorsions variées. c). Troisi
Deuxième période. Sauts, cris et contorsions variées. c). Troisième
période
. Hallucinations et attitudes passionnelles. Elle
e survient, qu'on arrête par la compression ovarienne au milieu de la
période
des contorsions. On place de nouveau à la malad
l'attaque est suspendue. On voit en somme que pendant une troisième
période
fort développée, cette malade cause fort peu. Dan
e pé-riode conserve l'empreinte d'une vive originalité. La première
période
est remarquable par son intensité et a déjà été d
lus haut, page 67. Les grands mouvements et les cris de la deuxième
période
ont subi chez cette malade une modification singu
taques que nous avons pu observer chez cette malade, nous avons vu la
période
épileptoïde ne pas se répéter régulièrement à cha
à un danger. 10 h. 14 m. Nouvelle attaque qui débute par la seconde
période
. La période épileptoïde fait complètement défaut.
10 h. 14 m. Nouvelle attaque qui débute par la seconde période. La
période
épileptoïde fait complètement défaut. Retombée da
gus et prolongés qui imitent le sifflet de la locomotive. Troisième
période
. — Puis elle se place brusquement dans une attitu
ataleptique se reproduire souvent et marquer le début de la troisième
période
. Ensuite l'hallucination survient. Spontanément l
es cris « de sifflet » ne manquent pas. 10 h. 10 m. 30 s. Troisième
période
. Attitude cataleptique semblable à celle de l'att
frayeur. 10 h. 17 m. 30 s. Nouvelle attaque qui présente les trois
périodes
. Première période très marquée. La malade se ra
m. 30 s. Nouvelle attaque qui présente les trois périodes. Première
période
très marquée. La malade se raidit en faisant ente
a phase de résolution accompagnée d'un stertor peu accusé. Deuxième
période
. — 10 h. 18 m. 30 s. « Chemin de fer » avec grand
e fer » avec grands sauts et cris « de sifflet » répétés. Troisième
période
. — 10 h. 19 m. 30 s. Attitude de frayeur, son vis
nou-velle attaque commence qui débute par le « chemin de fer». Cette
période
se reproduit comme précédemment avec les cris aig
ou gaies. 10 h. 36 m. Nouvelle attaque analogue à la précédente.
Période
des grands mouvements et contorsions. Grands saut
ts. Le « chemin de fer » n'est qu'esquissé. Gris « de sifflet ». La
période
des attitudes passionnelles commence par l'attitu
érieure. C'est le début d'une nouvelle attaque qui présente les trois
périodes
. Période épileptoïde. La face se contracte, la
st le début d'une nouvelle attaque qui présente les trois périodes.
Période
épileptoïde. La face se contracte, la bouche ouve
accentuées que dans l'attaque précédente qui a présenté également une
période
épileptoïde. 10 h. 41 m. 30 s. Période des cont
qui a présenté également une période épileptoïde. 10 h. 41 m. 30 s.
Période
des contorsions et des grands mouvements. Imita-t
« chemin de fer » telle qu'elle a déjà été décrite. lOh. 43m. 30s.
Période
des attitudes passionnelles. Cette période commen
décrite. lOh. 43m. 30s. Période des attitudes passionnelles. Cette
période
commence par l'attitude cataleptique déjà signalé
ndiquent le retour d'une nouvelle attaque. 10 h. 55 m. Attaque sans
période
épileptoïde. La période des contorsions et grands
nouvelle attaque. 10 h. 55 m. Attaque sans période épileptoïde. La
période
des contorsions et grands mouvements se borne à l
ci très développée et dure 2 minutes et demie. 10 h. 57 m. 30 s. La
période
des attitudes passionnelles débute par l'at-titud
resserrées. 11 h. 14 m. Nouvelle attaque composée seulement de deux
périodes
comme la précédente. 11 h. 20 m. Nouvelle attaq
ndort la malade par le chloroforme. En résumé, chez cette malade la
période
épileptoïde est très-accusée. La deuxième pério
z cette malade la période épileptoïde est très-accusée. La deuxième
période
est marquée par une forme de grands mouvements to
té observée jusque-là. Et les attitudes passionnelles de la troisième
période
ont ceci d'irrégulier, qu'elles revêtent plusieur
le jour et a dormi. En résumé, nous voyons que chez cette malade la
période
épileptoïde manque complètement. Les attitudes pa
t empruntés aux contorsions, cris et grands mouvements de la deuxième
période
, et au délire avec zoopsie de la quatrième périod
nts de la deuxième période, et au délire avec zoopsie de la quatrième
période
. Nous avons eu occasion d'observer une attaque
s ne sont guère composées que de phénomènes appartenant à la deuxième
période
. En voici un exemple : 1er octobre. Attaques. —
rit les diverses phases de l'attaque que nous venons de rapporter. La
période
épileptoïde n'y est pas représentée; mais la prem
ses contorsions en forme d'arc de cercle, représente bien la deuxième
période
ou période des grands mouvements et des contorsio
ions en forme d'arc de cercle, représente bien la deuxième période ou
période
des grands mouvements et des contorsions, pendant
ième phase n'est autre chose qu'une attitude passion-nelle (troisième
période
de Vattaqué). Enfin la troisième phase présente t
Enfin la troisième phase présente tous les caractères de la quatrième
période
, retour in-complet de la connaissance, visions d'
ue de grande hystérie, à Tordre dans lequel se succèdent les diverses
périodes
, à la trame secrète qui relie les uns aux autres
t que l'ornementa-tion seule diffère. Nous voyons, par exemple, une
période
épileptoïde qui, tout en présentant une marche id
malade à l'autre. Chez Math..., les grands mouvements de la seconde
période
revêtent cette forme bizarre et inaccoutumée de l
ien présenté de semblable. Enfin les hallucinations de la troisième
période
se modifient d'une malade à l'autre; chacune en p
r chacune leur originalité. Les troubles qui composent la quatrième
période
sont aussi très variables. Bien que les visions d
certaines parties de l'attaque, et principalement des deux dernières
périodes
. Nous trouverons là la raison des grandes épidémi
est facile de dis-tinguer les phénomènes épileptoïdes de la première
période
, puis les contorsions (arc de cercle) et grands m
is les contorsions (arc de cercle) et grands mouvements de la seconde
période
se succédant dans l'ordre que nous avons indiqué.
. Rien du côté du cœur, ni des organes génitaux. Les deux premières
périodes
sont ici facilement reconnaissables. La raideur d
raideur des membres du début de l'attaque appartient évidem-ment à la
période
épileptoïde. Parmi les variétés de mouvements qui
ileptoïde. Parmi les variétés de mouvements qui composent la deuxième
période
, nous avons insisté sur le ba-lancement de la par
morragie se trouva supprimée; mais au dixième jour elle reparut. La
période
épileptoïde ne semble représentée ici que par les
que; suivaient les phénomènes que nous avons décrits dans la deuxième
période
: la contorsion (arc de cercle) et les grands mou
aissance. Survenait alors un' peu d'écume à la bouche. Cette première
période
durait de deux à trois minutes. Ensuite apparaiss
psie, qui rentre dans les troubles intel-lectuels et sensoriels de la
période
prodromique. SIXIÈME OBSERVATION. M. Pascal a
être observé, les grands mouvements et les contorsions de la deuxième
période
, suivis d'une agitation et d'un délire qui parais
n-trer dans les troubles intellectuels qui caractérisent la quatrième
période
. SEPTIÈME OBSERVATION. M. le docteur Bouyer a
es trois mois suivants : contractions toniques et cloniques (première
période
?), crises qui occupaient autour d'elle dix ou dou
aisait, pendant une demi-heure, des bonds prodigieux ; dans une autre
période
, c'était un autre genre de convulsion; son corp
s épileptoïdes et aux grands mouvements et contorsions de la deuxième
période
, les attitudes passionnelles qui caractérisent la
e période, les attitudes passionnelles qui caractérisent la troisième
période
de la grande attaque. DIXIÈME OBSERVATION. Hy
n que, dans ses contorsions, lorsqu'à la forme cataleptique (première
période
) succédera le désordre des mouvements (deuxième p
es mouvements (deuxième pé-riode) et la forme passionnelle (troisième
période
) de la crise, la malade ne puisse ni s'échapper,
ttences de la crise pour alimenter la malade. Nous entrions dans la
période
des règles. Effectivement le neuvième jour elles
la description que nous avons donnée. Nous y trouvons en effet : \a
période
épileptoïde avec son début Drusque, le tétanism
Drusque, le tétanisme et la durée de une à deux minutes; la deuxième
période
avec la tendance à l'arc de cercle, la violence d
le, la violence des grands mouvements et les cris; enfin la troisième
période
avec l'attitude passionnelle de la prière ou de l
on a observé quelques-uns des troubles qui rentrent dans la quatrième
période
: anesthésie, contracture de la main gauche, amau
Weill, externe des hôpitaux, qui l'a recueillie en ville. Les quatre
périodes
de l'at-taque y sont parfaitement indiquées. L'hy
embres sont dans l'extension forcée, l'avant-bras en pronation. Cette
période
est caractérisée uniquement par des mouvements to
ière phase de l'attaque succède, sans transition aucune, une nouvelle
période
pendant laquelle la malade est agitée de violents
aques ont offert, à un moment donné, tous les caractères des diverses
périodes
que nous avons décrites. Il n'est pas sans intérê
-même témoin, et qui offrait, bien que peu déve-loppées, les diverses
périodes
facilement reconnaissables. 24 juillet 1879. —
grincent forte-ment. Cette phase, qui doit être considérée comme une
période
épileptoïde composée uniquement des grands mouvem
que la bouche s'ouvre et se ferme. Ce mouvement représente la seconde
période
(période des grands mouvements). En effet, suiv
uche s'ouvre et se ferme. Ce mouvement représente la seconde période (
période
des grands mouvements). En effet, suivent des h
. Arrive enfin la perte de connaissance, la ma-lade se renverse et la
période
épileptoïde commence. — Cet état a duré de quelqu
rées se répètent plus souvent. Le hoquet survient fréquemment à cette
période
, et avec lui les traits de la physionomie prennen
tés en avant comme pour conjurer un péril imminent. C'est la deuxième
période
qui commence. Un second effet de la compression
compression dans les séries d'attaques, c'est le pas-sage subit à la
période
des contorsions, sans passer par la phase de réso
essaye de pleurer ou pleure réel-lement, et vient alors la troisième
période
qui ne dure pas longtemps. — Les yeux se ferment,
rt font le principal objet de ces hallucinations. Tant que dure cette
période
elle ne peut pas supporter la lumière. Des contra
sont les derniers), dès la compression ovarienne s'est développée la
période
des contorsions et des grands mouvements. Je puis
ariété démoniaque. C'est une forte note de plus ajoutée à la deuxième
période
que j'ai déjà dépeinte. Les trois der-nières séri
Après un calme de une à deux minutes, quelquefois trois, commence la
période
des contorsions et des grands mouvements. Les m
s'accentue et ces grands mouvements ne sont que plus accusés. 3° La
période
d'attitudes passionnelles manque souvent ; quand
, la malade, sans coma, sans respi-ration stertoreu.se, entre dans la
période
de contorsions et de grands mou-vements. 2° Les
ns qui se présentent, c'est la pé-riode de délire post-hystérique, la
période
des hallucinations; la malade a de la zoopsie, el
ncipalement des singes, toujours du même côté, à gauche. Toutes ces
périodes
durent un quart d'heure à vingt minutes. Elles se
be dans la résolution et le calme. 2° Cet entr'acte est suivi d'une
période
de convulsions et de grands mou-vements. Ce sont
uant la lutte et l'effroi. Parfois, il n'y a qu'une esquisse de cette
période
, et même elle manque assez souvent. 4° Le délir
la vue, battements dans la tête, puis perte de connaissance. 1° La
période
qui suit cet état est caractérisée par de la raid
tantôt c'est celle d'un prédicateur; mais elles durent à peine et la
période
de délire et des hallucinations commence. ¦4° L
'autre jambe s'élève, le pied tendu montrant l'espace. Durant cette
période
, la perte de connaissance ne paraît pas complète;
exté-rieur. Mais peut-être y avait-il alors de l'hallucination. C.
Période
des attitudes passionnelles. La malade estencore
t les bras croisés, elle semble révéler une tristesse réfléchie. D.
Période
de délire. La malade a repris ses sens, mais inco
nvulsif du bassin se dessine tout d'un coup immédiatement après cette
période
de délire; c'est l'annonce, le début d'une attaqu
e perd connaissance. L'attaque commence (dé-cembre 1878) : Première
période
. — La malade reste dans la position où elle a été
rge électrique; enfin, après s'être éloignées, elles font place à une
période
de calme et de relâchement musculaire. Dans cet
dormir; elle est en résolution complète, sans contracture. Deuxième
période
. —Elle est souvent nette, mais simplement ébauché
maçante. Il n'y a pas de grands mouvements, de clownisme. Troisième
période
. — Celle-ci n'est encore qu'esquissée. On peut sa
aimant, elle est reprise de mouvements rappelant ceux de la pre-mière
période
(phase clonique) et son attaque semble troublée d
clonique) et son attaque semble troublée dans ses phases. Quatrième
période
. — La malade porte la main à la région ovarienne
C'est là souvent le prélude de l'attaque (janvier 1878). Première
période
. — Celle-ci s'annonce par des mouvements exagérés
en même temps que tout le corps se contourne et se tortille. C'est la
période
épileptoïde avec les grands mouvements toniques.
s aurez, à très peu près, le tableau de la première scène. Deuxième
période
. —C'est celle-là qui prédomine, c'est l'attaque d
t de rage. La malade a perdu complètement connaissance. Troisième
période
. — Il n'y a pas d'attitudes passionnelles ni de p
sées à un être imaginaire. Les membres sont contractures. Quatrième
période
. — Cette contracture, accompagnée de crampes dou-
même au milieu de quelques rares mouvements, ébauches de la deuxième
période
, la jeune ma-lade prend une attitude et une physi
on des sens, pure création d'une imagination ardente et exaltée. D.
Période
de délire. — C'est la dominante chez cette jeune
squelles les attaques n'ont présenté qu'un certain nombre des traits (
période
épileptoïde, pé-riode des contorsions et grands m
ns les quinze autres rien ne manque au tableau et toutes nos diverses
périodes
, depuis les phénomènes épileptoïdes jusqu'aux att
ue le premier accès a paru. Elles couloient imparfaitement Lcians les
périodes
qui suivirent. Elles devinrent plus abondantes ;
és seulement de phénomènes appartenant à la première et à la deuxième
période
. J'appellerai l'attention sur le début de l'acc
avec ceux que nous avons ob-servés chez nos malades est frappante. La
période
épileptoïde existe avec la contraction tétanique
tc., de la phase clonique. Puis l'agitation devient plus grande (2e
période
) et survient un délire pendant lequel la malade a
quelques phénomènes qui appartiennent à la première et à la deuxième
période
sont encore plus accusés; comme le gonflement du
présentent des phénomènes qu'il est facile de rapprocher des diverses
périodes
que nous avons décrites. La période épileptoïde
ile de rapprocher des diverses périodes que nous avons décrites. La
période
épileptoïde est suffisamment indiquée par le débu
c., enfin l'écume à la bouche. Les grands mouvements de la deuxième
période
sont décrits avec leur violence et la fureur qui
trer dans les troubles mentaux qui caractérisent souvent la quatrième
période
. CINQUIÈME OBSERVATION1. Observation incomplè
lsions présentaient les caractères de la troisième et de la quatrième
période
. Second degré. — Il est caractérisé par la pert
me inusitée qu'ont présentée ici les grands mouve-ments de la seconde
période
, il est difficile de méconnaître les ana-logies q
malade; » puis elle tombe si elle est debout. Pendant cette première
période
de l'attaque qui s'accompagne de boule hystérique
s de la face qui devient livide, un peu d'écume à la bouche, c'est la
période
épileptiforme. Juin 1861. — Les attaques se son
eant. Nous retrouvons facilement dans cette observation la première
période
(période épileptoïde) et la deuxième période avec
ous retrouvons facilement dans cette observation la première période (
période
épileptoïde) et la deuxième période avec les gran
observation la première période (période épileptoïde) et la deuxième
période
avec les grands mouvements et la contorsion si co
e dans laquelle on peut reconnaître les caractères de notre quatrième
période
. ONZIÈME OBSERVATION1. C... (Fanny), âgée de
environ, elle est malade pendant plusieurs jours de suite. Entre ces
périodes
, elle a des accès d'épilepsie isolés, mais pas tr
face grimace, le regard se fixe : c'est un accès d'épilepsie à trois
périodes
, tonique, clonique et résolutive avec stertor, éc
le délire des grandes attaques, revient sans cesse à son esprit. La
période
épileptoïde est fort bien décrite, les mouvements
en décrite, les mouvements très étendus et l'agitation de la deuxième
période
sont également indiqués. Enfin le délire avec hal
de V extase dont il est parlé, suffisent à ca-ractériser la troisième
période
. DOUZIÈME OBSERVATION i. B... (Henriette), âg
iques, puis les épileptiques. On trouve ici réunis les signes de la
période
épileptoïde et de la période de clownisme, bien q
On trouve ici réunis les signes de la période épileptoïde et de la
période
de clownisme, bien que l'ordre de succession para
attaque hystérique, telle que nous l'avons décrite avec ses di-verses
périodes
. Cette analogie estfortintéressante à constater
alogies avec notre description. On y retrouve sans peine les diverses
périodes
. La malade voit du sang pendant la période des ha
e sans peine les diverses périodes. La malade voit du sang pendant la
période
des hallucinations. Nous savons que le vertige
attaque débute par des phénomènes épileptiformes non douteux, mais la
période
épileptoïde n'est pas complète, la phase tonique
ine. L'agitation violente qui suit rentre clairement dans la deuxième
période
. Enfin le chloro-forme suscite des hallucinations
ui présentent quel-ques caractères de la troisième et de la quatrième
période
. Nous verrons plus loin que les inhalations d'éth
te aux attitudes passionnelles et aux hal-lucinations de la troisième
période
. Nous signalerons cependant ici une différence. D
érence. Dans la règle, le souvenir des hallucinations de la troisième
période
persiste après l'attaque, tandis que la malade de
ique, que l'on rencontre d'une façon intermittente pendant toutes les
périodes
de l'attaque. Inutile d'ajouter que toutes les se
ui se prolongea pendant dix minutes environ, fut suivi d'une nouvelle
période
de phénomènes tout. différents. La mousse avait c
mnambuliques et cataleptiques s'y sont surajoutés. Les deux premières
périodes
ont toujours conservé les mêmes carac-tères. Nous
i hallucinations, et était tout à fait cohérente et raisonnable. A la
période
menstruelle qui suivit, les règles firent presque
iques étaient plus graves. On peut les diviser arbitrairement en deux
périodes
Vépileptique et l'hystérique, Vune suivant l'autr
ffraient les contorsions les plus bizarres et des contractures. Cette
période
des atta-ques correspond à ce que M. Charcot appe
t cela», et se mettait à parler couramment. D'autres fois, une courte
période
d'aphasie ataxique sui-vait l'aphonie. L'action r
dire que, dans son hystérie épi-leptiforme, cet auteur n'a vu que la
période
épileptoïde de la grande hystérie. Mais voilà q
s hallucinations qui caractérisent notre troisième et notre quatrième
période
; dans le troisième degré, en dehors des cas de c
ction entre les convulsions de la première et celles de la deuxième
période
est parfaitement indiquée un peu plus loin. Apr
hystériques et épileptiques... » La distinction des deux premières
périodes
(période épilep-toïde et période de clownisme) ne
es et épileptiques... » La distinction des deux premières périodes (
période
épilep-toïde et période de clownisme) ne saurait
La distinction des deux premières périodes (période épilep-toïde et
période
de clownisme) ne saurait être mieux faite. Et leu
it confondre avec eux. » Par contre, les phénomènes de la troisième
période
sont expres-sément indiqués plus loin dans le cou
scription, que l'on puisse rapporter à la troisième ou à la quatrième
période
. « Peu de temps après l'apparition du globe hys
érique ordinaire,parce que les phénomènes qui composent notre seconde
période
y sont décrits fort longuement. Les contorsions e
t les grands mouvements y sont même clairement désignés; la troisième
période
est sommai-rement indiquée. « Symptômes des cri
-lons entre la grande et la petite hystérie. Voici qui a trait à la
période
épileptoïde. « La gène gutturale, occasionnée p
ellectuels et sensoriaux qui caractéri-sent la troisième et quatrième
période
, l'auteur qui les a déjà indiqués sommairement da
convulsions qui se rattachent plus particulière-ment à notre deuxième
période
, ajoute : « Pendant la durée des convulsions, i
a manifestement trait aux convulsions épileptiformes de la pre-mière
période
: ' « La face se gonfle... Les mâchoires se ser
gnaler est très court, et des convulsions plus ou moins générales (2°
période
) suc-cèdent immédiatement à la perte de connaissa
aissance. » Qui ne reconnaîtra là, pour le moins, une ébauche de la
période
épileptoïde? La deuxième période semble constit
, pour le moins, une ébauche de la période épileptoïde? La deuxième
période
semble constituer à elle seule la plusgrande part
qui ac-compagnent souvent les mouvements désordonnés de cette seconde
période
: «Il est cependant un certain nombre d'hystéri
sordre qu'elles pré-sentent. Les membres, un instant raidis (première
période
), se tordent con-vulsivement, se projettent en di
s font pour en ar-racher l'obstacle qui les étouffe. » La troisième
période
, ou période des attitudes passionnelles, n'est
en ar-racher l'obstacle qui les étouffe. » La troisième période, ou
période
des attitudes passionnelles, n'est pas moins ne
n'est pas moins nettement indiquée, dans ces descriptions, que les
périodes
précédentes. M. Bernutz môme se sert d'un mot qui
t faits pour se défendre de lui. » Enfin, le délire de la quatrième
période
n'a pas plus échappé à la sagacité de ces observa
Au moment où cette expression s'efface (l'expression passionnée de la
période
précédente), on voit les yeux s'humidifier, puis
que les accidents convulsifs variés qui composent les deux premières
périodes
. Les observations d'hallucinations dans l'hysté
pressions pas-sionnées, qui se produisent dans la seconde phase de la
période
con-vulsive de l'accès hystérique, parce qu'en ra
ucoup moindre que dans la forme vulgaire. La brièveté excessive de la
période
convulsive, qu'on observe dans quelques-uns de ce
ivant deux modes principaux : 1° par extension ou pré-dominance d'une
période
aux dépens des autres, lesquelles s'atté- 1. No
chacune de ces variétés. 1. La grande attaque se compose de quatre
périodes
qui peuvent se combiner et se grouper différemmen
combiner et se grouper différemment : en prenant d'abord chacune des
périodes
isolémenl puis deux à deux, puis trois à trois. O
rois. Ou verra si l'on veut faire le calcul que sans interversion des
périodes
, le nombre des combinaisons possibles est de quat
variétés qui ne reposent que sur le nombre et le groupement varié des
périodes
, viennent se joindre celles infiniment plus nombr
ations survenues dans les phénomènes mômes qui composent les diverses
périodes
. Il est donc complètement impossible de remplir,
noncés. CHAPITRE PREMÎEll VARIÉTÉ PAR MODIFICATION DE LA PREMIÈRE
PÉRIODE
. ATTAQUES ÉPILEPTOÏDES Les auteurs qui ont décr
sont contentés d'exposer les phénomènes qui composent notre première
période
. Témoin la description qu'en donne Briquet. ((
enir qu'à une partie seulement de l'attaque hystéro-épileptique, à la
période
épilep-toïde, et encore est-elle bien incomplète
ut (page 69) quelques-unes des modi-fications dont est susceptible la
période
épileptoïde, dans le cours d'une grande attaque d
ode épileptoïde, dans le cours d'une grande attaque dont les diverses
périodes
évoluent régulièrement. Il est ici question des c
els l'efface-ment ou même la suppression complète des trois dernières
périodes
laissent à la première un rôle exclusif ou pour l
à la première un rôle exclusif ou pour le moins prédomi-iianl. Lu,
période
épileptoïde est alors régulière et complète, ou p
l peut s'y adjoindre quelques éléments habituelle-ment étrangers à la
période
épileptoïde et appartenant aux autres périodes de
lle-ment étrangers à la période épileptoïde et appartenant aux autres
périodes
de l'attaque. En outre des modifications qui po
En outre des modifications qui portent sur les éléments mêmes de la
période
épileptoïde, la façon dont cette période se répèt
sur les éléments mêmes de la période épileptoïde, la façon dont cette
période
se répète pour produire les attaques épileptoïdes
nomination s'applique aux séries d'attaques composées de leurs quatre
périodes
. Entre ces deux extrêmes, l'attaque épileptoïde i
as rare de voir l'attaque hystéro-épileptiquc se borner à sa première
période
. La période épileptoïde évolue comme nous l'avons
oir l'attaque hystéro-épileptiquc se borner à sa première période. La
période
épileptoïde évolue comme nous l'avons dit : phase
ce point avec beaucoup de raison. «... Jamais pendant cette longue
période
convulsive la tempéra-ture rectale ne s'est, chez
ble, quelquefois plu-sieurs minutes; c'est une ébauche de la deuxième
période
. Ou bien, au sortir du sommeil, la malade prend u
s instants dans une sorte d'extase; c'est un fragment de la troisième
période
, qui vient en quelque sorte mettre le cachet de l
la langue existe égale-ment au milieu des contorsions de la deuxième
période
et nous la retrouverons lors de la description de
s fois le spasme peut constituer le pliénomène le plus saillant de la
période
convulsive. Ainsi chez une dame que j'ai soignée
ujet des signes différentiels des attitudes tétaniques de la première
période
et des attitudes illogiques de la seconde, on con
ra sans peine qu'ici l'arc de cercle décrit pai- Hammond relève de la
période
épileptoïde et non de celle des contorsions. Mais
erd connaissance un instant, et il se produit comme une ébauche de la
période
épileptoïde. Dans la journée Gen... a plusieurs
aque épileptoïde. Chez une même malade on observe souvent, pendant la
période
prodromique, de petits accès épilep-toides fort i
ctures est toujours la même avant comme après l'accès. Et, pendant la
période
de stertor, la résolution musculaire ne se pro-du
faiblement. Ce qui semblerait permettre de rattacher cet état à la
période
épileptoïde, c'est, outre le tétanisme généralisé
Lccrosnipr. GHA'PJTRE II VRIÉTÉS PAR MODIFICATION DE LA DEUXIÈME
PÉRIODE
. — 1°AT-TAQUE DE CONTORSION OU ATTAQUE DÉMONIAQUE
NIAQUE. De la description des phénomènes musculaires de la deuxième
période
, grands mouvements et contorsions, il n'y a qu'un
rtains cas, se trouver réduite à peu près exclusivement à la deuxième
période
, dont les symptômes se trouvent alors portés à le
ortés à leur plus haut degré de développement. Supposez une seconde
période
dans laquelle tous les phéno-mènes les plus étran
és que j'ai décrits éga-lement parmi les signes de cette même seconde
période
. Prenez en outre tout ce qui, dans les autres pér
te même seconde période. Prenez en outre tout ce qui, dans les autres
périodes
de l'attaque, pré-sente un dehors plus ou moins e
isées de la fin, ou quelques hallucinations horribles de la troisième
période
. Et vous aurez ainsi constitué une variété de l'a
rtlllemcnls et que M. Charcot a qualifiées de démoniaques. Première
Période
. — Dans ces sortes d'attaques, la période épilep
de démoniaques. Première Période. — Dans ces sortes d'attaques, la
période
épilep toïde est toujours facilement reconnaissab
, pour qu'il soit impossible de les méconnaître. Le plus souvent la
période
épileploïde est représentée ainsi qu'il suit. Les
erses situations, et la phase épileptoïde semble se confondre avec la
période
des contorsions qui la suit. Deuxième Période.
se confondre avec la période des contorsions qui la suit. Deuxième
Période
. — Les contorsions sont ici dans leur plus large
t l'agite vio-lemment avec de sourds grognements de rage. Troisième
Période
. — Les attitudes passionnelles n'existent pas à p
ase est courte eo général et manque parfois complètement. Quatrième
Période
. — Alors la malade revient à elle, mais la contra
es, elles disent ne perdre connaissance que par in-stants (pendant la
période
épileptoïde), et se plaignent de souffrir les tou
ans peine tous les points sur l(îs(|uels nous avons insisté : dans la
période
épileptoïde, prédominance des graiids mouvements
ptoïde, prédominance des graiids mouvements toniques; dans la seconde
période
, prédominance de la con-torsion, de la rage; peu
n-torsion, de la rage; peu d'altitudes passionnelles; enfin quatrième
période
mar-quée par les contractures généralisées et dou
ons variées qui composent les attaques se rapportent à notre deuxième
période
. La prédominance de la contorsion (attitude illog
l'attaque démoniaque, que je viens d'essayer de dé-crire, la deuxième
période
, qui en fait presque tous les frais, se trouve su
attaque hysléro-épileplique également créée aux dépens de la deuxième
période
, mais composée surtout de la phase des grands mou
-épiiepsie ni à la petite hystérie ou hystérie vulgaire. En effet, la
période
épi-leptoïde y est peu ou poini représentée, et t
attaques se sont principalement bornées aux phénomènes de la deuxième
période
. Mademoiselle X est âgée de 16 ans. Eiîe est né
interruption pendant une heure ou plus, et elles furent suivies d'une
période
de détente pendant laquelle la malade riait et pl
riété dont sont susceptibles les « grands mouvements » de la deuxième
période
. A. M., jeune personne de treize ans, de forte
oulrc des convulsions variées qui composent ordinairement la deuxième
période
(mouvements iTthinés des membres, soulève-ments e
i^aideur de tout le corps et grincement des dents, qui rcpiTsetile la
période
épileptoïde. Toute la série de ces accirlents b
variées que peuvent revêtir les « grands mouve-ments » de la deuxième
période
. En tenant coinpte, en ouire, des synq:)tôines ét
i évidemment se rappix)chcnt de ce que nous observons dans la seconde
période
de la grande attaque. On pourrait rapprocher de c
iodiipies. » GILVPITRE m variété pau modification de LA troisième
période
. — attaque d'attitude passionnelle. — attaque d'e
piuaître les halkicinations qui composent habituellement la troisième
période
de son attaque. Sans passer par la période épi-le
abituellement la troisième période de son attaque. Sans passer par la
période
épi-leploïde et par celle des grands mouvements,
ar celle des grands mouvements, elle entre d'emblée dans la troisième
période
et exécute les poses plastiques qui répon-dent à
alades l'attaque hystéro-épileptique se trouve réduite à sa troisième
période
, les attitudes passionnelles s'y montrent nombreu
trent nombreuses et variées. Mais il peut arriver que cette troisième
période
ne se compose que d'une seule attitude passionnel
sidérée comme une attaque d'hystérie dans laquelle les deux dernières
périodes
ont pris un développement exagéré et insolite, ma
ent fixes et grands ouverts. Voici ce que nous observons durant cette
période
: )) 1 b. 10 m. Les bras sont saisis d'un trend
ent que peuvent prendre les attitudes passionnelles de la ti'oi-sième
période
de la grande attaque hystérique. Je me réserve de
LA QUATRIÈME TÉRiODE. ATTAQUE DE DÉLIRE. Le délire de la quatrième
période
, avec les caractères variés que nous lui avons as
assignés, peut acquérir une importance exagérée aux dépens des autres
périodes
, s'isoler même complètement et constituer ainsi u
s'accompngnent de phénomènes hystériques qui appartiennent aux autres
périodes
de l'attiique et dont la présence est comme le sc
gulation avec les phénomènes douloureux de l'aura hysterica, soit une
période
épilcptoïde, complète ou écourtée, soit quelques
ourtée, soit quelques grands mouvements ou contorsions do la deuxième
période
, soit des atti-tudes d'extase qui caractérisent p
i-tudes d'extase qui caractérisent plus particulièrement la troisième
période
. La variété qui résulle de ces diverses combinais
es troubles psy-chiques et des phénomènes épileptoïdes de la première
période
, soit que ceux-ci précèdent l'attaque délirante,
d pas connais-sance. Ce sont les crampes généralisées de la quatrième
période
qui com-mencent à apparaître. Sa voix tremble, el
mmobile, le regard est fixe; les bras se croisent et sans avoir eu ni
période
épileptoïdc ni période clonique, elle retombe dan
fixe; les bras se croisent et sans avoir eu ni période épileptoïdc ni
période
clonique, elle retombe dans la période du délire;
r eu ni période épileptoïdc ni période clonique, elle retombe dans la
période
du délire; il s'agit donc là d'attaques constitué
il s'agit donc là d'attaques constituées uniquement par la troisième
période
et annoncées, comme on le voit, par les modificat
délire en outre s'accompagnait de phé-nomènes appartenant aux autres
périodes
de l'attaque (grands mouvements, agitation,arc de
fs des membres. Ces accidents ne se montrent guère qu'un peu avant la
période
d'agitation: ils en sont comme les signes avant-c
es et des reproches que lui adressaient ces voix atteignit dans cette
période
de la ma-ladie le degré le plus élevé, et les int
rise de la danse de Saint-Guy, mais plus forte. Pendant cette seconde
période
de dix-huit mois, elle eut des at-taques dans les
que. Nous en avons déjà longuement parlé au sujet des symptômes de la
période
prodromique et plus particulièrement de la quatri
es de la période prodromique et plus particulièrement de la quatrième
période
de la grande attaque. Mais afin de préciser davan
onnais-sance qui accompagne le plus souvent le délire de la quatrième
période
. Les accès délirants de la période prodromique of
souvent le délire de la quatrième période. Les accès délirants de la
période
prodromique offrent habituellement ce même caract
les membres et tout le corps, loin de présenter la tétanisation de la
période
épileptoïde, sont le plus souvent dans la résolut
êter tout d'un coup, et l'attaque hystéro-épileptique commence par la
période
épilep-toïde, puis se déroulerait tout entière, s
lées, qui ressemblent beaucoup à ce qui se passe pendant la troisième
période
de la grande attaque, avec cette différence toute
jet lui-même. Nous avons déjà vu, d'ailleurs, que dans la troisième
période
de l'attaque hystéro-épileptique de cette malade
les malades se rapproche beaucoup de ce qui a lieu dans la quatrième
période
de la grande attaque. Il existe là comme une péri
ans la quatrième période de la grande attaque. Il existe là comme une
période
de transition pendant laquelle l'hallucination et
cours de ses expériences sur l'hypnotisme. « Si, dit-il, pendant la
période
de catalepsie, je place les bras de mademoiselle
grande ressemblance avec les at-titudes passionnelles de la troisième
période
de la grande attaque hystérique, avec cette diffé
tanément dans le cours d'une grande attaque au milieu de la troisième
période
. Un nouveau point de rapprochement consiste dans
istence d'une manière irréfragable. (Loc cit., p. 10). « Pendant la
période
d'anesthésie survient celle d'hyperesthésie; je m
. Telle est la phase tonique qui, à elle seule, paraît représenter la
période
épilep-toïde. Puis l'arc de cercle s'accuse, la m
s'accuse, la malade s'agite en tous sens, se con-torsionne (deuxième
période
) et bientôt retombe inerte; elle est reprise de s
n sommeil. Le sommeil vient donc ici au lieu et place de la troisième
période
avec laquelle les rêves et le souvenir qu'elle en
s de phénomènes convulsifs, pouvant être rapportés aux deux premières
périodes
de la grande attaque. Elles ont, avec la léthar
oïdes, tantôt plus étendus. Ce sei\ait donc à la suite de la première
période
de la grande attaque ou apt^ès la seconde que l'a
La catalepsie complique les attitudes passionnelles de la troi-sième
période
de l'attaque hystéro-épileptique ; b) Les accès
. Bourdin, Traité de la catalepsie, p. 71. appartenant aux diverses
périodes
de l'attaque hystéro-épileptique ; c) La catale
bien curieuse à observer à cause de la physionomie spéciale de la 3°
période
. Description de l'attaque. Première période.
mie spéciale de la 3° période. Description de l'attaque. Première
période
. — Début par les grands mouvements cloniques des
ement parler de ster-tor. Ce calme dure fort peu de temps. Deuxième
période
. — Contorsions. Arc de cercle. Grands mouvements.
de fer et cris (déjà décrits p. 90). Réveillée pendant cette deuxième
période
, elle n'a conscience de rien. Et cependant il sem
urtout du côté droit, où ils ont beaucoup plus d'étendue. Troisième
période
. — Puis Math... demeure immobile, le visage souri
s elles pâlissent... Je ne les vois plus. » Pendant cette troisième
période
, la persistance partielle des sens lui per-met de
tat cataleptique sans hallucination. L'on voit combien la troisième
période
de l'attaque offre ici de ressem-blances avec les
tre. Le bruit du gong demeure sans effet pendant les deux premières
périodes
de l'attaque, pendant la troisième, il modifie l'
elle, les secousses se précipitent et les attaques surviennent : 1°
Période
épileptoide. Les grands mouvements de circumducti
uvements de circumduction de la phase tonique sont très marqués. 2°
Période
des grands mouvements. Imitation du chemin de fer
ce matin, chez Math... présentent les particularités suivantes : La
période
épileploïde n'est pas constante. L'attaque débute
t pas constante. L'attaque débute parfois par les phénomènes de la,2"
période
. Quand elle existe, la période épileptoïde revêt
te parfois par les phénomènes de la,2" période. Quand elle existe, la
période
épileptoïde revêt les caractères consignés plus h
e épileptoïde revêt les caractères consignés plus haut. La deuxième
période
se reproduit toujours semblable à celles que nous
que nous avons observées. C'est le « chemin de fer ». La troisième
période
ou période des attitudes passioniielles est fort
vons observées. C'est le « chemin de fer ». La troisième période ou
période
des attitudes passioniielles est fort longue. Deu
régulière la catalepsie puisse se substituer à une ou à plusieurs des
périodes
que nous avons décrites et plus particulièrement
, se rapprochaient de plus en plus; puis survenait le tétanisme de la
période
épileptoïde. Dans la relation d'une attaque d'h
voit la catalepsie survenir à la suite des contorsions de la deuxième
période
, et remplacer en quelque sorte les attitudes de l
période, et remplacer en quelque sorte les attitudes de la troisième
période
. L'attaque se termine par quelques convulsions.
attitudes qui rappellent les attitudes passionnelles de la troisième
période
. Elisabeth Delvigne, âgée de 25 ans, fut attaqu
t les hallucinations et le délire caractéristiques des deux dernières
périodes
de l'attaque. Une jeune fille nerveuse de 19 an
re malade Gen... dont les attaques sont pai^fois suivies d'une longue
période
délirante. Pendant le carême de 1737, une dame
ible, qui paraît être une de ses compagnes de la ferme. Pendant cette
période
, on peut lui faire prendre un peu de lait, qu'ell
se montrer sans mélange d'autres phénomènes appartenant aux diverses
périodes
de l'attaque, et alter-ner chez une même malade,
près le vertige épileptique, à ce moment qu'il désigne sous le nom de
période
de retour. Nous avons eu oc-casion d'en observer
ccompagné que de quelques-uns des phénomènes appartenant aux diverses
périodes
de la grande attaque hystérique; c) Le somnambu
ttachent le somnambulisme aux attitudes passionnelles de la troisième
période
de l'attaque. Les accès d'hystérie étaient comp
isme n'ont appartenu qu'à l'une des phases de la maladie; nés dans la
période
occasionnelle de l'hys-térie, ils ont grandi avec
ans transi-' tion, et, par là même, paraissent remplacer la troisième
période
des attitudes passionnelles. L'extase décrite ici
violent accès d'hystérie. Cet accès dure dix minutes, est suivi d'une
période
de catalepsie d'environ dix minutes aussi; puis s
t le plus élevé, d'au moins 50 centimètres. » Nous profilâmes d'une
période
de catalepsie pour déshabiller la malade et la me
eparut plus; seu-lement il y eut pendant cinq ou six nuits encore une
période
d'excitation, pendant laquelle la malade s'entret
Cet état durait de trois à cinq heures, et répon-dait exactement aux
périodes
de somnambulisme. » Plus tard les convulsions h
d'hystérie observée par leD' Billet, et composée des trois premières
périodes
. La même malade vit, dans la suite, ses attaques
a même malade vit, dans la suite, ses attaques se modifier un peu. La
période
des hallucinations présenta plusieurs des caractè
a catalepsie et du somnambulisme. La persistance des deux premières
périodes
, qui se montrèrent toujours bien distinctes, rend
u sensiblement de ce que j'avais observé la veille, mais arrivée à la
période
des hallucinations, la scène changea beaucoup. Ma
ion arrive nette et animée. Par suite de ce fait, il faut, pendant la
période
des hallucinations, que je la tienne, ou la touch
ues, tantôt hys-tériques, répondent parfaitement à nos deux premières
périodes
. Dans la seconde apparaît le délire somnambulique
la seconde apparaît le délire somnambulique qui tient la place de la
période
des attitudes passionnelles. Après l'accès, la ma
cédentes, que le som-nambulisme hystérique présente avec la troisième
période
de la grande attaque, des affinités qu'on ne saur
montre de préférence mêlé aux attitudes passionnelles de la troisième
période
, ou les remplaçant dans le cours d'une attaque.
accompagné que de quelques-uns des phénomènes appartenant aux quatre
périodes
de l'attaque. Deux observations recueilhes dans
d'étourdissement et de douleur vive à la tempe gauche. Enfin la A'^
période
est nettement marquée par ce besoin de prédiction
i définitive et disparaît assez rapidement, celle qui a pour objet la
période
de somniation est complète, absolue, et semblable
um à 320 grains, c'est-à-dire à 18000 gouttes de laudanum. La seconde
période
, celle des tortures était commencée. » Je me co
e dans les accès délirants du hachisch lesphénomè-nes de la troisième
période
de la grande attaque et ceux de la qua-trième soi
soient mélangés. Contrairement à ce qui se passe pendant la troisième
période
, mais semblablement à ce qui a lieu pendant la qu
ttaques convul-sives, et fait en quelque sorte partie de la quatrième
période
; mais elle se montre également, à titre de sympt
o-épileptique régulière, la contracture se rencontre dans la première
période
(période épileptoïde), dans la seconde période (c
ique régulière, la contracture se rencontre dans la première période (
période
épileptoïde), dans la seconde période (contorsion
ontre dans la première période (période épileptoïde), dans la seconde
période
(contorsions), et parfois aussi dans la quatrième
la seconde période (contorsions), et parfois aussi dans la quatrième
période
. La contracture hystérique estalorsgé-nérale et t
gie de l'hystérie. Ils ont avec les mouvements rhythmés de la seconde
période
de la grande attaque des analogies tellement frap
fférents selon qu'ils ont été appelés à l'examiner danstelle ou telle
période
de sa maladie. Elle a été tour à tour trai-tée co
s les fonctions organiques s'accomplissent normalement. A la dernière
période
, les malades sont gâteuses, ne quittent plus leur
taque s'arrêter; le délire loquace, qui caractérise quelquefois la 4"
période
, surve-nait et durait jusqu'à ce qu'une crise inc
n jour, et nous avons vu qu'il y avait 12 fois moins d'accès dans une
période
où passait le courant que pendant un temps égal o
l nous sommes arrivés sur lafig. 103. Une attaque commence en T, la
période
tonique se développe. On produit brusquement la c
m-tam l'évolution d'une grande attaque d'hystéro-épilepsie, à quelque
période
que se fasse l'expéri-mentation. Il est donc ra
v. nant alors que l'excitation religieuse ait provoqué, à certaines
périodes
d'exaltation, ces effets de réaction sur le systè
La grande attaque s'y retrouve avec la succession de ses différentes
périodes
. Nous avons vu plus haut quelles variétés de form
nt revêtir les agitations et les « grands mouvements » de la deuxième
période
^ Dans les possessions c'est la « con-torsion » q
: la présence d'hallucinations qui rappellent celles de la troisième
période
de la grande attaque; les contorsions qui se trou
mort. Aux accidents convulsifs nous voyons s'adjoindre les longues
périodes
délirantes. En dehors de leurs convulsions les
arfois par une phase d'immobilité qui rappelle la phase tonique de la
période
épileptoïde. 1. AUvertet les religieuses accusè
e compte des hallucinations erotiques qui font partie de la troisième
période
de la grande attaque hys-térique. La description
ages suivants il est facile de retrouver les symptômes de la deuxième
période
de la grande attaque hystérique, avec les contors
ar-rivée dans le corps de la possédée. Ce n'est qu'ensuite, dans une
période
Loudun et fut témoin de l'aventure du comte du
lle elle était, 1. C'est bien là l'état d'une hystérique dans cette
période
d'excitation délirante qui suit ou précède les at
me que « la contorsion » telle que nous l'avons décrite à la deuxième
période
de la grande attaque hystérique (voy. p. 73 et p.
semblèrent un lambeau de la grande attaqae hystérique, détaché de la
période
des attitudes passionnelles. Le souvenir des hall
s phénomènes variés (grands mouvements et contorsions) de la deuxième
période
de la grande tttaque, auxquels venait parfois s'a
lièrement aux phénomènes qui caractérisent la première et la deuxième
période
de la grande attaque (période épilepto'ide et pér
aractérisent la première et la deuxième période de la grande attaque (
période
épilepto'ide et période des contorsions et grands
et la deuxième période de la grande attaque (période épilepto'ide et
période
des contorsions et grands mouvements), pendant qu
euvent, suivant les circonstances, subir la troisième et la quatrième
période
, c'est-à-dire les phénomènes d'halluci-nation et
défenseurs ont donné de leur authenticité 2. » Pendant cette première
période
il n'est aucunement question de convulsions. 2"
arbre même du tombeau on peut retrouver les signes des deux premières
périodes
de l'attaque de grande hystérie. « Sur le champ
gus et lamentables, qui percent le cœur des assistants.» La seconde
période
est indiquée encore avec plus force un peu plus l
convulsives ne saurait échapper. Les grands mouvements de la deuxième
période
en font les frais. Nous trouvons dans la suite de
es convulsives empruntaient toutes leurs manifestations à la première
période
et principalement à la deuxième période de la gra
manifestations à la première période et principalement à la deuxième
période
de la grande attaque hystérique telle que nous l'
ènes hallucinatoires et délirants de la troisième et de la qua-trième
période
de la grande attaque. J'emprunte à Calmeil^ le
es qui, mêlées aux hallucinations tristes, caractérisent la troisième
période
de la grande attaque? Mais les attitudes passio
udes passionnelles, ainsi que le délire qui caractérise la qua-trième
période
de la grande attaque, se montraient de préférence
part de l'extravagance et de la lubricité ne manquait pas dans cette
période
déhrante, ainsi qu'on peut le voir par les extrai
e avec perte de connaissance rappelant une des variétés delà première
période
ou période épileptoïde de la grande attaque. Au s
e de connaissance rappelant une des variétés delà première période ou
période
épileptoïde de la grande attaque. Au sortir de là
et poses expressives, qui se rapproche en tous points de la troisième
période
de la grande attaque ou période des attitudes pas
proche en tous points de la troisième période de la grande attaque ou
période
des attitudes passionnelles. Les visions sont tan
tôt effrayantes tantôt agréables. L'arc de cercle qui appartient à la
période
des contorsions y est également signalé. Enfin le
cription que nous pourrions rapporter fort exactement à la troi-sième
période
de la grande attaque, avec les attitudes expressi
étés de l'attaque de grande hystérie, formée surtout aux dépens de la
période
des attitudes passionnelles. Je me contenterai
, et, par suite, offrent les plus grandes analogies avec la troisième
période
de la grande attaque hystérique. vie DE DOUCELI
tion, et, par suite, avec les attitudes passionnelles de la troisième
période
de la grande attaque d'hys-térie. Je me content
dans les diffé-rentes phases de l'extase. ..... Durant la première
période
, de huit heures du matin à deux heures après-midi
aux chapitres dans lesquels il a été traité plus haut de la troisième
période
de la grande attaque hystérique (p. 94-), de la v
(p. 94-), de la variété qui résulte de la prédominance marquée de la
période
des attitudes passion-nelles (attaque d'extase) (
.......................................... «^^ Chap. II. — Première
période
. — Période épileptoïde.................. 41 § 1
............................... «^^ Chap. II. — Première période. —
Période
épileptoïde.................. 41 § 1. — 3Iode d
ution musculaire............................. 59 § 5. — Durée de la
période
épileptoïde et de ses diverses phases ...... 62
erses phases ...... 62 § 6. — Quelques observations. Variétés de la
période
épdeptoïde....... 64 Chap. III. ~ Deuxième péri
. Variétés de la période épdeptoïde....... 64 Chap. III. ~ Deuxième
période
. — Période des contorsions et des grands mouvem
de la période épdeptoïde....... 64 Chap. III. ~ Deuxième période. —
Période
des contorsions et des grands mouvements (clovr
......................... 83 § 3. — État mental pendant la deuxième
période
..................... 92 Chap. IV. — Troisième p
t la deuxième période..................... 92 Chap. IV. — Troisième
période
. — Période des attitudes passionnelles.. 94 Cii
me période..................... 92 Chap. IV. — Troisième période. —
Période
des attitudes passionnelles.. 94 CiiAi. V. — Qu
e. — Période des attitudes passionnelles.. 94 CiiAi. V. — Quatrième
période
. Période de délire................... 125 J. —
ode des attitudes passionnelles.. 94 CiiAi. V. — Quatrième période.
Période
de délire................... 125 J. — Délire...
rique. Chai'Itue premier. — Variété par modification de la première
période
. Attaques épileptoïdes... ". ..................
rmanente. . 297 Ghap. II. — Variété par modification de la deuxième
période
.......... § 1. — Attaque de contorsion ou attaq
......... 310 Ghap. III. — Variété par modification de la troisième
période
. — Attaque d'attitude passionnelle. — Attaque d'e
......... 319 Ghai'. IV. — Variété par modification de la quatrième
période
. — At-taque de délire---------- - -..............
délire s'accompagnant de quelques phénomènes appar-tenant aux autres
périodes
de la grande attaque..................... 334 §
e catalepsie sont accompagnés de phénomènes appar-tenant aux diverses
périodes
de l'attaque hystéro-épileptique........ 465 c)
accompagné que de quelques-uns des phénomènes appartenant aux quatre
périodes
de l'attaque.......... 494 c) . — Le somnambuli
NCHES ERRATA l'âge 73, titre du troisième chapitre. — au heu de :
Période
des grands mouve-ments (c/onisTOe); lisez : Pério
re. — au heu de : Période des grands mouve-ments (c/onisTOe); lisez :
Période
des contorsions et des grands mouvements (clownis
nsaij. Page 334, dernière ligne du titre. — Au lieu de : aux autres
périodes
de l'attaque; lisez : aux autres périodes de la g
. — Au lieu de : aux autres périodes de l'attaque; lisez : aux autres
périodes
de la grande attaque. Page 343, ligne 4. — Au l
xandre de Sivry Page 494, ligne 14 et 15. — Au lieu de : aux quatre
périodes
de l'attaque; lisez : aux quatre périodes de la g
. — Au lieu de : aux quatre périodes de l'attaque; lisez : aux quatre
périodes
de la grande attaque. PAUIS. — 1.«P,IIMER1Ë EMI
cès, rappelant ceux qui caractérisent l'épilepsie, composés des trois
périodes
classiques (tétanisme, clonisme, stertor) et dans
rition de la contracture a été tardive. On voit donc que, après une
période
durant laquelle les membres sont flasques, il sur
ques secousses cloniques, plus fortes et plus prolongées à droite. La
période
clonique a été très-courte, elle est suivie simpl
jamais pu voir, par nous-même, que, chez une seule malade, toutes les
périodes
des accès de cette variété d'épilepsie hémiplégiq
ique. Le plus souvent, nous n'avons observé directement qu'une de ces
périodes
. C'est donc beaucoup plus par les renseignements
avo is constaté que, tandis que les diverses phases qui composent la
période
épileptuïde de l'attaque hysté-ro-épileptique éta
é-ro-épileptique étaient séparées par un repo3 ainsi que les diverses
périodes
(p. epileptoïde, cljniqae, délirante), les périod
que les diverses périodes (p. epileptoïde, cljniqae, délirante), les
périodes
de l'accès épileptique se succèdent sans repos in
relevons dès maintenant. Le cri initial fait en général défaut.
Période
tonique. — La rigidité est ou circonscrite au côt
scrite au côté paralysé, ou prédomine à un haut degré dans ce côté.
Période
clonique. — Les convulsions cloniques sont presqu
ume est assez rare; la miction involontaire l'est encore davantage.
Période
de stertor.—Elle est très-courte, peu prononcée e
s, dans bien des cas, il est malaisé de s'assurer de la différence.
Période
de délire. — Les malades reviennent promp-tement
rès-importante au point de vue de la marche de la maladie. Durant une
période
variable, assez longue du reste et qu'il ne sera
ès venaient plus d'une fois par semaine et c'est surtout durant cette
période
que la main a pris l'attitude qu'elle a aujourd'h
Ces accès complets ont une durée d'une ou deux minutes. Dans toute la
période
antérieure à octobre 1875, M... prévenait, disant
accompagnées de bruits laryngés. L'accès dure quelques minutes ; la
période
stertoreuse fait défaut. La malade revient très-v
gauche ; les paupières battent rapidement; la face est pâle. A cette
période
tonique, qui dure environ une minute, succèdent d
dent des secousses clo-niques assez circonscrites et assez distantes (
période
clo-nique). — Enfin, la face se cyanose ; les lèv
la respiration est sterto-reuse;les membres sont dans la résolution (
période
de sler-tor).1. V. 37°,7. (L'exploration a été fa
17 — ... 29 22 nov . . 15 18 — ... 27 23 nov. . . » Durant cette
période
de dix jours, bien que P... ait eu 235 crises, la
eux membres inférieurs au-dessus du lit de telle façon que, durant la
période
clonique, la malade ne repose plus que sur les fe
PARTIELLE DÉBUT DE L'ATTAQUE Planche X. EPILEPSIE PARTIELLE
PÉRIODE
TONIQUE gauche; les paupières sont écartées ;
e trentaine de secondes, les deux phases précédentes qui composent la
période
tonique, font place à la période clonique, caract
phases précédentes qui composent la période tonique, font place à la
période
clonique, caractérisée par de grandes secousses q
temps par des : Aïe ! aïe ! et par des mouvements de déglutition. La
période
de stertor, peu accusée, comme on le voit, dure 5
issance est conservée. L'accès, en définitive, se compose d'une seule
période
, la période tonique, susceptible d'être décomposé
conservée. L'accès, en définitive, se compose d'une seule période, la
période
tonique, susceptible d'être décomposée en deux ph
posée en deux phases : une phase tonique et une phase tétaniforme. La
période
clonique et la période de stertor font défaut.
une phase tonique et une phase tétaniforme. La période clonique et la
période
de stertor font défaut. B. Dans une autre varié
e l'on note déjà dans la première variété, sont plus prononcées. A la
période
tonique, qui est la même, succède une période clo
t plus prononcées. A la période tonique, qui est la même, succède une
période
clonique consistant en convulsions circonscrites
gauche et prédominant au membre inférieur. Parfois, enfin, il y a une
période
de stertor, en général de courte durée. C. Dans
d'autres malades. — Enfin, ces accès généralisés se terminent par une
période
de stertor qui, aujourd'hui comme autrefois, n'a
evée jusqu'à 6 ans. V... ne peut donner aucun renseignement sur cette
période
de son existence. A 6 ans, sa mère, qui s'était
ion. Cette rigidité générale persiste durant 2, 3 ou même 4 minutes. (
Période
tonique.) Alors, V... secoue la tête à gauche e
les bras, soulève le ventre. Simultanément la face se congestionne. (
Période
clonique.) Quelquefois les attaques ne se compo
clonique.) Quelquefois les attaques ne se composent que de ces deux
périodes
et la malade retombe dans l'état de rigidité dont
u de ronflement et d'écume, et la congestion de la face s'exagère. (
Période
de stertor.) Enfin, la malade prononce quelques p
elle fait des mouvements, comme si, effrayée, elle voulait s'enfuir (
Période
de délire). T. V. 38°,6. La vulve est humide ; l'
es, exulcération des lèvres (la malade s'est mordue) — Le début et Là
période
tonique (Pl. XII) n'ont pas changé ; la période c
due) — Le début et Là période tonique (Pl. XII) n'ont pas changé ; la
période
clonique est beaucoup plus accusée que dans la sé
cée, taquinait les autres malades, chan- Planche XII. ATTAQUE
PÉRIODE
TONIQUE geoitde place, s'asseyait, se levait,
uyeux, ça !... Ce n'est pas loyal... » Alors éclate une attaque :
période
tonique qui dure 1 5 secondes ; — période cloniqi
rs éclate une attaque : période tonique qui dure 1 5 secondes ; —
période
cloniqite qui dure 10 secondes ; celle-ci est div
ure 10 secondes ; celle-ci est divisée en deux par un court repos ; —
période
de sterior : Ronflement,écume; les paupières sont
s lèvres frémissent ; la respiration est très-fréquente (Pl. XIII).
Période
de délire : « C'est défendu de passer de l'autre
nière inintelligible. Nouvelle attaque : incomplète, composée d'une
période
tonique et d'une période clo-nique; puis, autre a
ouvelle attaque : incomplète, composée d'une période tonique et d'une
période
clo-nique; puis, autre attaque complète. A la fin
R. 37°,8. 3 sept.—T. R. 37°,9. La sur- Planche XIII. ATTAQUE;
PÉRIODE
ËPILEPTOÏDE STERTOH dite et la rétention d'
aques reparaissent. Nous n'avons à relever que les modifications delà
période
de délire. « C'est la planche!... Non, non... »
ouvelle série, ce matin, à 6 heures et demie. Pas de cris au début.
Période
tonique. — Elle se compose de deux phases : a) To
d'écume blanche à la bouche, dure environ 30 secondes. Entre cette
période
et la suivante, il y a un court repos. Période
ondes. Entre cette période et la suivante, il y a un court repos.
Période
clonique.—V... s'asseoit tout à coup, en poussant
nement ballonné. Ces derniers phénomènes séparent toujours la seconde
période
de la troisième. Période de délire. — « Maman !
rs phénomènes séparent toujours la seconde période de la troisième.
Période
de délire. — « Maman ! maman !... Madame ne s'est
nace.) Après une attaque avortée, c'est-à-dire ne comprenant que la
période
tonique : « Maximin! Maximin!... Seras-tu revenu
s caractères habituels. Nous relèverons seulement ce qui a trait à la
période
de de-lire : « Le monstre!... Faites-le donc pa
cinq attaques ; trois d'entre elles n'étaient composées que de la
période
tonique et de la période de délire, la période cl
d'entre elles n'étaient composées que de la période tonique et de la
période
de délire, la période clonique faisait défaut. A
nt composées que de la période tonique et de la période de délire, la
période
clonique faisait défaut. A la fin d'une de ses at
ques épilepti-formes, c'est-à-dire composées seulement de la première
période
. Chloroforme: arrêt de la série. La nuit a été tr
bras et surtout au bras gauche. Le cou n'est pas roide. Attaque. 1°
Période
tonique. La face et les yeux se portent à gauche
ent et un peu d'écume, puis un court repos, auquel succède la seconde
période
. Période clonique : grands mouvements de balanc
eu d'écume, puis un court repos, auquel succède la seconde période.
Période
clonique : grands mouvements de balancement du tr
ents de balancement du tronc avec soulèvement alternatif du ventre.
Période
de délire (administration de Véther) : Non... mon
vient à elle. La rigidité générale qui avait persisté durant toute la
période
de délire, disparait tout à coup. 30 oct. — Dan
s caractères habituels. Le plus souvent, elles se composent des trois
périodes
décrites à maintes reprises : 1° période épileptû
lles se composent des trois périodes décrites à maintes reprises : 1°
période
épileptûïde ; 2° p clonique ou des grands mouveme
autres fois, les attaques sont uniquement constituées par la première
période
. On les désigne bien à tort dans les relevés sous
sent, disons-nous, l'attaque épileptiforme, répondent absolument à la
période
épileptoïde des attaques complètes. Les attaque
passim, et p. 124. (3) Après ces attaques épileptiformes, durant la
période
de stertor, les membres demeurent rigides, ce qui
e stertor, les membres demeurent rigides, ce qui n'a pas lieu dans la
période
correspondante de Y accès épileptique (telle est
attaques (juillet 4877) : prodromes lointains; — aura; — d"bul ; —
périodes
. — Attaques composées seulement de la période de
— aura; — d"bul ; — périodes. — Attaques composées seulement de la
période
de délire : leurs caractères particuliers. Chor
agards, fixes; les pupilles se dilatent, l'attaque éclate sans cri.
Période
épileptoïde. a) La tète et le thorax se portent à
u ventre sur place, plaintes, grincement de dents, puis cris aigus.
Période
clonique. G... reporte le corps sur le milieu du
elle s'asseoit et retombe brusquement sur le lit. Nouveau repos.
Période
de délire. — Regard effrayé: « Attrapez les rats!
souvent les attaques, sontaujourd'hui très-accusés. Deux fois, à la
période
de délire, L... a offert des phénomènes extatique
ont paru le 4; elles ont coulé assez bien jusqu'à ce matin. Durant la
période
menstruelle, X... est énervée, plus (l) En prés
bras après la quatrième attaque et de la jambe après la cinquième.
Période
de délire. — X... crachotte, puis elle parle: « C
nations gaies et les hallucinations tristes se succèdent. Après une
période
de délire, sans qu'il y ait eu de 'période épilep
e : a) de \pé-riode clonique, avec les grands mouvements ; — b) de la
période
de délire (1). Dans quelques attaques, mais non
es du même genre, c'est-à-dire composées seulement des deux dernières
périodes
, chez Wit... ments de circumduction assez lents
5 complètes. Arrêt par le nitrite d'amyle. 4 0 avril. — Attaques. —
Période
de délire : physionomie effrayée : « Oh la ! la !
our échapper aux étreintes de quelqu'un. Dans une attaque, après la
période
des grands mouvements, elle est restée, pendant q
yeux se portent en haut, la malade a perdu connaissance. Première
période
(période épileptoïdé). a) Phase tonique : Tout le
ortent en haut, la malade a perdu connaissance. Première période (
période
épileptoïdé). a) Phase tonique : Tout le corps de
ne diagnostique qui pourrait rendre service dans des cas douteux.
Période
clonique. Elle offre deux variétés qui, quelquefo
ds mouvements cloniques de flexion et d'extension. Nouveau repos.
Période
de délire. L... s'asseoit à demi, un peu de côté,
mobile, le regard est fixe ; les bras se croisent et sans avoir eu ni
période
épileptoïde ni période clonique, elle retombe dan
ixe ; les bras se croisent et sans avoir eu ni période épileptoïde ni
période
clonique, elle retombe dans la période du délire
r eu ni période épileptoïde ni période clonique, elle retombe dans la
période
du délire ; il s'agit donc là d'attaques constitu
il s'agit donc là d'attaques constituées uniquement par la troisième
période
et annoncées, comme on le voit, par les modificat
a eu cinq attaques épileptiformes, c'est-à-diri ne comprenant que la
période
épileptoïde. Elle ne conserve plus, à onze heures
e cri, on note parfois des secousses, du hoquet, de la suffocation.
Période
épileptoïde. — En poussant le cri, la malade devi
secousses isolées soit des épaules, soit des membres (20 secondes.)
Période
de détire. — Gris d'effroi, de douleurs, pleurs é
et quelques instants après, reprend connaissance. Nouvelle attaque.
Période
épileploïde.a) Phase tétanique : 15 secondes ; —
15 secondes ; — b) phase tétant forme : 10"; — c) sterlor ; 20'. — La
période
épileptoïde a donc duré 45'. — Repos. 2° Période
sterlor ; 20'. — La période épileptoïde a donc duré 45'. — Repos. 2°
Période
clonique ou des grands mouvements : 25'. Après
ues instants reprend connaissance. Dans une autre attaque, après la
période
épileptoïde et la période clonique, nous observon
issance. Dans une autre attaque, après la période épileptoïde et la
période
clonique, nous observons l'attitude du crucifieme
indications de M. Gharcot et les nôtres (1). C'est aussi durant cette
période
qu'ont été observés, chez elle, l'influence du ma
t on a pu voir que, assez souvent, des attaques surviennent durant la
période
menstruelle, en général très-courte (1 ou 2 jours
entre les événements de la vie réelle et les différentes phases de la
période
de délire des attaques. Les antécédents de X...
ades dont nous avons précédemment parlé. Nous y retrouvons toutes les
périodes
qui constituent les attaques complètes. Il nous p
épileptif ormes, ou attaques avortées car elles ne comprennent que la
période
épileptoïde des grandes attaques hystéro-épilepti
et môme 49°. b) Les attaques se répétant, il arrive parfois que, la
période
épileptoïde faisant défaut, l'attaque comprend se
a période épileptoïde faisant défaut, l'attaque comprend seulement la
période
clonique et la période de délire (p. 139). c) E
aisant défaut, l'attaque comprend seulement la période clonique et la
période
de délire (p. 139). c) Enfin l'attaque peut n'ê
lire (p. 139). c) Enfin l'attaque peut n'être constituée que par la
période
de délire : les détails que nous avons consignés
-toire. Les analogies qui existent entre ces attaques de délire et la
période
de délire des attaques complètes sont de toute év
77, entre autres, elle a eu une attaque de ce genre, non précédée des
périodes
épileptoïde et clonique, et dans laquelle elle ét
ardiaques, la-ryngisme, troubles céphaliques), suivie de délire, sans
période
épileptoï'de et sans période clonique : ces attaq
les céphaliques), suivie de délire, sans période épileptoï'de et sans
période
clonique : ces attaques duraient une ou deux heur
re que la rigidité tétanique du corps, que l'on observe à la première
période
des attaques. On disait que les religieuses de Lo
ent la violence des mouvements qu'exécutent les hystériques durant la
période
clonique et savent combien il est difficile de le
c) Chez X..,, et chez bien d'autres malades, à l'une des phases de la
période
clonique, souvent à la fin, le corps se met en ar
nièce, déclare quelle est « en-» têtée. f Parfois, on remarquait des
périodes
pendant lesquelles A... était lourde, indolente;
visions d'animaux. Bientôt, elle suffoque et perd connaissance. 10
Période
épileptoïde. — a) Phase tonique: Immobilité, la r
iration bruyante, précipitée, bruits nasaux, écume. (Pl. XXXIV). 2°
Période
clonique : Après un repos, d'ordinaire court, la
se met en arc, ne reposant plus que sur la nuque et les talons. 3°
Période
de délire : Durant les premiers temps du séjour d
ttaques avortées ou incomplètes) et qui se composent uniquement de la
période
épileptoïde. Quelquefois, les attaques se bornent
épileptoïde. Quelquefois, les attaques se bornent aux deux premières
périodes
, une nouvelle crise éclatant avant l'apparition d
mières périodes, une nouvelle crise éclatant avant l'apparition de la
période
de délire. Nous avons vu aussi des attaques dan
iode de délire. Nous avons vu aussi des attaques dans lesquelles la
période
clonique faisait défaut et, en sortant de la péri
ns lesquelles la période clonique faisait défaut et, en sortant de la
période
épileptoïde, la malade tombait dans la période de
t et, en sortant de la période épileptoïde, la malade tombait dans la
période
de délire : cris, effroi, agitation, lutte, etc.
attaques ordinaires. Signalons encore diverses particularités de la
période
de délire, consistant en extases plus ou moins pa
aques. — Les attaques ont pu être suspendues ou arrêtées à toutes les
périodes
: 1° par l'application des pôles de la pi le Trou
t dans les discours de la malade et n'était nullement comparable à la
période
de délire de ses attaques. Pendant les quatre d
s. IV. — Les attaques d'A... ressemblent, quant à la succession des
périodes
, aux attaques des malades dont (l) Leçons de
papier de soie. ERRATA Page 148, col. 1, ligne 12, au lieu de :
période
du délire, lisez : période de délire. Page 150,
Page 148, col. 1, ligne 12, au lieu de : période du délire, lisez :
période
de délire. Page 150, col. 2, ligne 5, au lieu d
lus puissants, tandis que d'autres — ou les mêmes malades à une autre
période
de leur existence — tombent dans un état léthargi
fficulté de la compression ovarienne. — Attaques ne comprenant que la
période
de délire. — Contracture partielle du sterno-mas-
— Contracture partielle du sterno-mas-toïdien droit. — Attaques sans
période
apparente de délire. — Refus de manger. — Modific
é-thyle, chloroforme, éther. — Action de ces divers agents; délire.
Périodes
d'excitation maniaque. — Contractures des membres
'âge de sept ans que sa situation se serait améliorée. — Durant cette
période
, accès de colère, rougeole, croûtes dans les chev
s heures, que se greffent pour ainsi dire les attaques elles-mêmes.
Période
épilepto'ide. —La rigidité augmente ; la respirat
est plus abondante. Parfois, on note quelques secousses tétaniques.
Période
clonique. — Après un court repos, on observe des
ui, bientôt, se soulève et bat l'oreiller durant quelques secondes.
Période
de délire. — Respiration plus fréquente ; pupille
inutes. Aujourd'hui les attaques présentent quelques modifications.
Période
épilcptoïde. — Augmentation de la rigidité, puis
ecousses tétaniformes générales, respiration plus fréquente, écume.
Période
clonique. — Après un court repos, durant lequel o
ands mouvements que M. Charcot a décrits sous le nom de clownisme).
Période
de délire. — Mêmes caractères. Pendant cette sé
dant cette série qui a duré une demi-heure, nous avons vu survenir la
période
de délire à l'état isolé. Ainsi, la malade étant
. Ainsi, la malade étant en rigidité générale, sans qu'il y ait eu ni
période
épi-leptoïde, ni période clonique, s'est mise à m
en rigidité générale, sans qu'il y ait eu ni période épi-leptoïde, ni
période
clonique, s'est mise à marmotter, puis à dire : «
n un mot, les attaques se composeraient uniquement des deux premières
périodes
: épileptoïde et clonique. Relevons en passant qu
rmales, les paupières se ferment, tout le corps est pris de rigidité (
période
épileptoïde, phase tonique). On note ensuite quel
l'écume avec respiration précipitée (phase de stertor incomplète).
Période
clonique : grands mouvements du tronc, des jambes
— Attaques : inhalation à'iodure d'èthyle. L'attaque est arrêtée à la
période
tonique ; l'inhalation étant continuée, W... déli
uit, attaques qui ont continué sans interruption jusqu'à la visite.
Période
épileptoïde. — a) Phase tonique : exacerbation de
— c) Phase de stertor : respiration un peu bruyante, écume blanche.
Période
clonique. — Après un repos momentané, grands mouv
pos momentané, grands mouvements eloniques, puis cri modulé, repos.
Période
de délire. — Elle parle d'un Emile, qu'elle voit
la commissure labiale gauche laisse sortir une écume blanche. B. —
Période
clonique. — Sans qu'il y ait de repos appréciable
ciable, on voit se produire les grands mouvements (clownisme). C. —
Période
de délire. — W... remonte dans son lit, s'asseoit
nt, elle dit qu'elle voit un lion rouge. (Pl. IV.) ne attaque. — a)
Période
épileptoïde. — Mêmes caractères. — b) Période clo
IV.) ne attaque. — a) Période épileptoïde. — Mêmes caractères. — b)
Période
clonique. — Petits cris précédant les grands mouv
rvée pendant une vingtaine de secondes. (Pl. III.) m" attaque. — a)
Période
épileptoïde. — Mêmes caractères. b) Période clo
II.) m" attaque. — a) Période épileptoïde. — Mêmes caractères. b)
Période
clonique. —Petits cris et vagues abdominales, sui
ements habituels, dont le nombre varie de cinq à dix; pas d'arc. c)
Période
de délire. — W... se couche à droite, se tortille
e dans les bras de son amant. (Pl. V.) ive attaque (11 h. 25). — a)
Période
tonique. — Caractères ordinaires ; dans aucune de
ns aucune de ces attaques, il n'y a eu de mouvement de moulinet. b)
Période
clonique. — Grands mouvements, durant quatre seco
) Période clonique. — Grands mouvements, durant quatre secondes. c)
Période
de délire. — Attitude de la sirène, corps tendu,
sses, bras gauche tourné. Durée quarante secondes. ve attaque. — a)
Période
épileptoïde. — Quarante-cinq secondes. — b) Pério
ve attaque. — a) Période épileptoïde. — Quarante-cinq secondes. — b)
Période
clonique. — Dix secondes. 3 c) Période de dél
arante-cinq secondes. — b) Période clonique. — Dix secondes. 3 c)
Période
de délire.— Quarante secondes. Effroi « Maman! ôt
e à gauche ; les pupilles sont normales. (Pl. IV.) vi° attaque.— a)
Période
épileptoïde. — b) Période clo-nique. — Bat le lit
sont normales. (Pl. IV.) vi° attaque.— a) Période épileptoïde. — b)
Période
clo-nique. — Bat le lit. c) Période de délire.
.— a) Période épileptoïde. — b) Période clo-nique. — Bat le lit. c)
Période
de délire. — W... se met en sirène, couchée sur l
ffrayé; pupilles très dilatées. Durée une minute. vne attaque. — a)
Période
épileptoïde. — Durée cinquante secondes. — b) Pér
e attaque. — a) Période épileptoïde. — Durée cinquante secondes. — b)
Période
clonique. —Durée six secondes. — c) Période de dé
cinquante secondes. — b) Période clonique. —Durée six secondes. — c)
Période
de délire. —- Soixante-quatre secondes. W... est
des. W... est en arc, à convexité antérieure. vin" attaque. — a, b)
Périodes
épileptoïde et clonique. — Les mêmes. c) Périod
attaque. — a, b) Périodes épileptoïde et clonique. — Les mêmes. c)
Période
de délire. — W... soupire : « Maman! on frappe !
Oh ! maman ! oh ! non ! » Elle pleure de nouveau. ix° attaque.—a, b)
Périodes
épileptoïde et clonique. —Mêmes caractères. c)
taque.—a, b)Périodes épileptoïde et clonique. —Mêmes caractères. c)
Période
de délire. — Immobile sur le dos ; figure calme,
compression étant suspendue, nouvelle attaque. xe attaque. ¦— a, b)
Périodes
épileptoïde et clonique. — Mêmes caractères. c)
. ¦— a, b) Périodes épileptoïde et clonique. — Mêmes caractères. c)
Période
de délire. — Peur, regard fixe ; pupilles dilatée
vons observé des modifications des pupilles, particulièrement dans la
période
de délire ; dans d'autres séries, il nous a sembl
taques éclatent, offrant quelques modifications en ce qui concerne la
période
de délire, qui roule sur les incidents de son esc
t cette série, nous avons pratiqué plusieurs fois la compression à la
période
du délire : la malade, réveillée, n'a jamais voul
net avec les bras. Elle s'endort définitivement avec lenteur. Mais la
période
de délire est courte. 12 septembre. — W... est
chloroformique, il y a des réminiscences des événements comme dans la
période
de délire des attaques ou le sommeil lui-même.
auche et en haut et que les conjonctives sont humides. Durant cette
période
, comme nous l'avons vu , il existe une hyper exci
e qu'elles ont subi des modifications remarquables. A l'origine, la
période
êpileptdide l'emportait de beaucoup sur lapériode
iode êpileptdide l'emportait de beaucoup sur lapériode clonique et la
période
de délire, qui n'existaient pour ainsi dire qu'à
t pour ainsi dire qu'à l'état d'ébauche. Peu à peu ces deux dernières
périodes
se sont accusées davantage, et, aujourd'hui, nous
t, aujourd'hui, nous observons les grands mouvements cloniques et une
période
de délire bien plus longue et bien plus variée.
gidité; — les attaques épileptiformes, qui se bornent à la première
période
de l'attaque complète : c'est là une 1 Iconogra
il a sous les yeux, non pas une hystérique mais une épileptique. La
période
clonique elle-même a prédominé sur les autres pér
ileptique. La période clonique elle-même a prédominé sur les autres
périodes
, contrairement à la règle commune. Enfin, et c'
us a offert une attaque de délire, à l'état isolé, indépendamment des
périodes
épileptoïde et clonique. Nous n'insisterons pas d
posées. Dans toutes les attaques qui forment Y attaque composée, la
période
épileptoïde est la même ; seules la période cloni
nt Y attaque composée, la période épileptoïde est la même ; seules la
période
clonique et la période de délire subissent des mo
la période épileptoïde est la même ; seules la période clonique et la
période
de délire subissent des modifications. Après la
nique et la période de délire subissent des modifications. Après la
période
épileptoïde de la première attaque, il y a un cou
pousse un grand cri, se soulève, exécute les grands mouvements de la
période
clonique, suivis d'un nouveau moment de calme.
. La compression étant suspendue, une nouvelle attaque survient. La
période
épilepîoïde a les caractères ordinaires. La pério
aque survient. La période épilepîoïde a les caractères ordinaires. La
période
cIonique n'est constituée que par des mouvements
— ce qui est à peu près la règle — et une troisième attaque éclate :
période
épi-leptoïde habituelle ; — période clonique à pe
et une troisième attaque éclate : période épi-leptoïde habituelle ; —
période
clonique à petits mouvements. Alors, W... se tour
! non! c'est bête... » Elle rit. Une quatrième attaque se produit :
période
épilep-toïde; — période clonique à grands mouveme
lle rit. Une quatrième attaque se produit : période épilep-toïde; —
période
clonique à grands mouvements. Ensuite, W... esqui
faisantes : souvent W... refuse de faire des confidences. A quelque
période
que ce soit, la compression de l'ovaire gauche ar
mpression opérée au début d'une attaque en supprime toutes les autres
périodes
. Supposons, par exemple, que W... soit à la pér
tes les autres périodes. Supposons, par exemple, que W... soit à la
période
de délire de la première attaque de l'attaque com
mait, troisième attaque; si, alors, on comprime encore, on empêche la
période
de délire, caractérisée par la scène d'amour, de
ération, à savoir, suspension de la compression, laisse apparaître la
période
épileptoïde de la quatrième attaque; la compressi
, nous avons relevé des modifications plus ou moins temporaires de la
période
de délire et reconnaissant pour cause l'intervent
avons vu s'ajouter à la série ancienne, deux attaques nouvelles : la
période
de délire, dans l'une, était silencieuse, — la ma
contact déterminant une vive souffrance. Chez Marc..., aune certaine
période
de sa maladie, la simple application de la main s
es. — Il n'y a pas d'hallucinations. 1 Les attaques comprennent les
périodes
classiques : p. épi-lepto'ide très brève, ébauché
it que ces sortes d'attaques sont limitées à la phase tétanique de la
période
épileptoïde. Sommeil. — Avant l'apparition des
ngeait pendant 3 heures. 6 il heures sans avoir devisions dans la
période
intermédiaire à la veille et au sommeil. Une fois
t-elle, et dès qu'on approche de mon lit, je me réveille. » Dans la
période
de délire des attaques hystéro-épileptiques, elle
ant rapidement la main sur le front. Elle est, par conséquent dans la
période
de sommation ou de somnambulisme. En tapotant sur
stion. — Les paupières des deux côtés sont ouvertes, P... est dans la
période
cataleptique. On place les membres, le corps, dan
plus souvent au bout d'une heure, et ne voit pas de fantômes dans la
période
intermédiaire à la veille et au sommeil. Une fo
endant les deux premiers mois, elles étaient absolument limitées à la
période
épileptoïde. a) Phase tonique. — Les paupières
survient une première modification : Les attaques se composent de la
période
épileptoïde, avec tous les caractères que nous lu
cation s'est produite et M... a des attaques complètes avec les trois
périodes
: p. épileptoïde, p. clonique et p. de délire.
aques qui, de même que les précédentes, sont absolument limitées à la
période
épileptoïde de la grande attaque hystéro-épilepti
ques. Nous avons vu qu'elles étaient constituées exclusivement par la
période
épileptdide des grandes attaques hystéro-épilepti
lle-même montraient que l'épilepsie était hors de question. Durant la
période
de stertor, de même que chez Ma... (Obs. III), la
es offrent plusieurs variétés; d'ordinaire elles sont complètes et la
période
de délire se compose d'une phase gaie et d'une ph
sommeil n'arrive que 2 ou 3 heures après qu'elle est couchée. Dans la
période
intermédiaire à la veille et au sommeil, elle voi
eprésentent moins souvent à son esprit durant son sommeil que dans la
période
^ de délire des attaques. Le sommeil est interro
plus possible. 3 II est commun d'observer chez les hystériques des
périodes
de 2, 3, 4 mois durant lesquelles il ne se produi
et de chir. prat. la moitié du corps qui est insensible. Dans cette
période
intermédiaire à la veille et au sommeil, elles on
ques sont, en général, les plus mauvaises ; c'est surtout, dans cette
période
, qu'elles ont des rires nerveux, des cauchemars p
est lente à s'endormir, il lui faut souvent plus d'une heure. Dans la
période
intermédiaire de la veille au sommeil, elle a des
nce de cette idée, sa maladie aurait redoublé d'intensité et, dans la
période
de délire des crises convulsives, elle voyait le
l'estomac. » Elle se couche brusquement sur le ventre. Durant cette
période
, les paupières restent fermées; les conjonctives
i. —- Règles. —D... s'endort le 20 mai, à 9 heures du soir, après une
période
d'agitation, de cris, de rires inextinguibles, et
gulièrement ; elle a aujourd'hui 45 ans. Eh bien, durant cette longue
période
, Vintelligence n'a pas changé; en dehors des atta
vaga lions des charlatans qui se moquaient d'eux, c'est la deuxième
période
du magnétisme. A ce moment, il a paru des centa
restait guère aux hommes de science qu'à se retirer en attendant une
période
meilleure, un moment où, les naïfs étant désabusé
situation où elle se trouve durant une partie de la phase gaie de la
période
de délire des attaques. Effets consécutifs aux
ompresseur, l'élher, le chloroforme On note, à diverses reprises, des
périodes
d'agitation, dans lesquelles elle casse, brise le
ne peut plus marcher. lb juillet, —Deux attaques syncopales. Hier,
période
d'agitation. 23 juillet. — Deux attaques épilep
B..., avec la plus grande facilité. Nous relèverons incidemment les
périodes
d'agitation maniaque, accompagnées parfois de vio
— H.mi-léthargie et hémi-catalepsie. Tentative d'empoisonnement. —
Périodes
d'excitation. — Règles et attaques. — Fuite de la
s. Tout d'un coup , sans pousser de cri, elle tombe en attaques. 1°
Période
tonique. — Tout le corps est rigide, les membres
rigide, les membres sont dans l'extension, le cou gonflé, tendu. 2°
Période
des contorsions. — Au bout d'un temps très court,
t les pieds. Brusquement, S... N... reprend le décubitus dorsal. 3°
Période
de délire.— Après un court repos, éclate le délir
) phase clonique ébauchée ; — c) stertor léger, un peu d'écume. Cette
période
est beaucoup plus courte chez S... que chez la pl
es autres malades et est quelquefois limitée à la phase tonique. 2°
Période
clonique.— Le corps se met encro?ar,puis en arc d
e roule, pousse des cris de rage et quelquefois mord l'oreiller. 3°
Période
de délire.— Après quelques instants d'immobilité,
près quelques instants d'immobilité, de réflexion, S... entre dans la
période
de délire : « Ah! que c'est joli..., quel beau ba
s assistons à une nouvelle série d'attaques dans lesquelles les trois
périodes
se succèdent régulièrement. La période de délire
ues dans lesquelles les trois périodes se succèdent régulièrement. La
période
de délire présente en général deux phases qui, as
t les séries. — On a noté, en outre, des accès de colère et plusieurs
périodes
d'excitation. ¦ 1880. — Rien de particulier va.
vec ses symptômes ordinaires, \esattaques étaient constituées par les
périodes
classiques. Notons seulement, pour mémoire, les a
iées (crucifiement, sirène, arc de cercle, etc.) et la longueur de la
période
de délire. Les attaques se montraient en général
uvent des sensations analogues à celles qu'elles ressentaient dans la
période
de délire. Suzanne, à la sortie du sommeil arti
mianesthésie. — Hyperesthésie ovarienne. — Description des attaques :
périodes
. — Urines. — Température. — Traitement et marche
terrain que se développent les attaques proprement dites. Première
période
, a) La tète se soulève, se dirige sur l'épaule ga
niques envahissent tout le corps et surtout les membres inférieurs.
Période
clonique. La tète et le corps se reportent sur la
cloniques très-étendus des bras, des jambes et du tronc : c'est cette
période
qui nécessite l'emploi de la camisole. Période
tronc : c'est cette période qui nécessite l'emploi de la camisole.
Période
terminale. Th. tombe en résolution ; la respirati
ait sur aucun point des deux ovaires un seul follicule de Graaf à une
période
quelconque de son développement ascensionnel. On
La muqueuse utérine était dans l'état qu'elle présente au début de la
période
menstruelle. Les vaisseaux étaient nombreux et go
ité générale de tout le corps et des membres constituent une première
période
très-courte, que l'on pourrait désigner sous le n
emière période très-courte, que l'on pourrait désigner sous le nom de
période
épileptoïde. Puis, survient une seconde période
gner sous le nom de période épileptoïde. Puis, survient une seconde
période
,quenous appellerons, (l) C'est ce qui explique
s reproduisons, L... est représentée toute nue. avec M. Charcot, la
période
des contorsions. Le bras droit s'élève dans l'ext
cture et les orteils sont vigoureusement fléchis (1). Cette seconde
période
pré- (l ) L'auteur de Y Histoire des Diables de
la plupart de ses attaques, le ventre se ballonne démesurément (1).
Période
de délire. — Aux convulsions succèdent des phénom
rand-Duché de Luxembourg, chez une de ses tantes : c'est durant cette
période
qu'aurait débuté sa maladie convul-sive. (il L'
jusqu'à 10 heures 3/4. A onze heures les attaques recommencent. a)
Période
tonique. — Pas de cri. La tête se porte dans l'ex
ment intense. Le crucifiement est complet. (Planches XI et XII.) b)
Période
clonique. — Au bout de deux minutes, les bras e
ine, tantôt le ventre ; d'autres fois, elle se tortille. Durant cette
période
, la respiration est précipitée, haletante. Aprè
Après un court répit survient une nouvelle attaque (11 heures 6\ a)
Période
tonique. — La tète prend la même position que dan
! oue! qui se succèdent rapidement pendant deux minutes environ. b)
Période
clonique. — Puis, le décrucifiement s'opère ; les
le cou tendu. A onze heures douze minutes, troisième attaque. a)
Période
tonique {crucifiement). — L'attitude delà tète, l
s comme tout-à-l'heure, mais comme une personne qui souffre (1). c)
Période
terminale. — La malade revient entièrement à elle
ompagnes, Madeleine tombe par terre, en poussant un cri étouffé. a)
Période
tonique. — La face est colorée, très-rouge, vermi
la même des deux côtés.Ces phénomènes durent environ une minute. b)
Période
cloniqtie. — Elle est constituée seulement par
lle est constituée seulement par quelques secousses cloniques. c)
Période
de stertor. — Résolution générale , cyanose bleue
Pas d'aura. Souvent cris répétés, prolongés, au début et pendant la
période
clo-nique : rarement absence de cris. Rigidité
'une (Planches VI, VII, IX) et chez l'autre Pl. XI et XII), durant la
période
tonique d'une variété d'attaques, nous observons
gés en haut et à gauche, les pupilles dilatées. La bouche est fermée (
Période
tonique). — Surviennent alors des convulsions rap
nue dans les membres où se produisent quelques secousses cloniques [
Période
clonique). — Puis, stertor, écume, évacuations in
Lateau et Léontine V..., chez lesquelles le principal symptôme de la
période
tonique des attaques, est une contracture général
anesthésie et hyperesthésie ovarienne du côté gauche. — Caractères et
périodes
des attaques : température. — Délire hystérique.
elle avait naguère coupé le mamelon. Sortie le 28 avril. Pendant la
période
de 1868 à 1870, nous ignorons quelle a été l'exis
vante en témoigne, sont tout-à-fait ceux de Yhystéro-épilepsie. 1 °
Période
épileptoïde. — Immobilité complète du corps; batt
os, laryngisme, pha-ryngisme , stertor , écume. (Planche XVII). "i0
Période
cloni que.-Cris perçants, répétés, mouvements dés
, de telle sorte que la tète vient battre violemment l'oreiller. 3°
Période
de délire. — Les i convulsions cloniques ont j ce
s phénomènes sont bientôt suivis d'une attaque qui se termine par une
période
de délire où l'érotisme prédomine. Les règles ont
us accentués avant ou après les attaques qui se produisent durant les
périodes
menstruelles. — Tympanile considérable. — Plusieu
ttaques. Ce matin, G... a eu une crise épileptiforme, terminée par la
période
de stertor (Planche XVI). La malade était dans la
up de poing et se blesse au poignet gauche. 13 avril. — Attaque, a)
Période
du début. G... se plaignait des douleurs qui anno
nt ani- Planche XV. DÉBUT DE L'ATTAQUE Planche XVI. ATTAQUE :
PÉRIODE
ÉPILEPTOÏDE Planche XVII. ATTAQUE : PÉRIODE É
nche XVI. ATTAQUE : PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Planche XVII. ATTAQUE :
PÉRIODE
ÉPILEPTOÏDE Planche XVIII. ATTAQUE ; PÉRIODE
he XVII. ATTAQUE : PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Planche XVIII. ATTAQUE ;
PÉRIODE
TERMINALE mées de mouvements rapides, les muscl
joues et des lèvres sont agités par des convulsions incessantes. b)
Période
épileptoïdc.—Alors commence une seconde période :
ons incessantes. b) Période épileptoïdc.—Alors commence une seconde
période
: la tète se porte lentement dans l'extension, la
s sur les poignets (Planche XVIPi. La respiration est suspendue. c)
Période
cIonique. — Au bout d'une minute environ, la rigi
e. A ces phénomènes en succèdent d'autres qui constituent la dernière
période
. d) Période de délire. — G... est immobile, cou
mènes en succèdent d'autres qui constituent la dernière période. d)
Période
de délire. — G... est immobile, couchée sur le do
a description d'autres phénomènes très-curieux qui.se rattachent à la
période
de délire. Toutefois, nous croyons utile de menti
déjà décrites (Pl. XV) et qui se compose, suivant la règle : 1° d'une
période
tonique ou épileptoïde (Pl. XVII) ; 2° d'une péri
règle : 1° d'une période tonique ou épileptoïde (Pl. XVII) ; 2° d'une
période
clonique avec mouvements de balancement ; — 3° d'
2° d'une période clonique avec mouvements de balancement ; — 3° d'une
période
de délire, qui, tout en offrant encore aujourd'hu
t'aime... Sans toi, fille chérie, je me serais donné Planche XIX.
PÉRIODE
TERMINALE : DELIRE MÉLANCOLIQUE Planche XX. P
lanche XIX. PÉRIODE TERMINALE : DELIRE MÉLANCOLIQUE Planche XX.
PÉRIODE
TERMINALE : DÉLIRE MÉLANCOLIQUE Planche XXI P
Planche XX. PÉRIODE TERMINALE : DÉLIRE MÉLANCOLIQUE Planche XXI
PÉRIODE
TERMINALE : DÉLIRE MÉLANCOLIQUE la mort.... Pou
manifeste le délire erotique... L'attitude de la malade pendant la
période
de délire mélancolique n'est pas constante. Outre
asse-moi !... Donne-moi... Tiens voilà mon... » Et ses Planche XXII
PÉRIODE
TERMINALE . EXTASE Planche XX11I PÉRIODE TERM
» Et ses Planche XXII PÉRIODE TERMINALE . EXTASE Planche XX11I
PÉRIODE
TERMINALE : EXTASE Planche XXIV PÉRIODE TERMI
EXTASE Planche XX11I PÉRIODE TERMINALE : EXTASE Planche XXIV
PÉRIODE
TERMINALE : EXTASE gestes accentuent encore la
figure est froide, glacée. 6 mai. Attaque (Yhystéro-épi-lepsie. 1°
Période
épileptoïde (Pl. XVII) ; — 2° Période ctonique ;
ttaque (Yhystéro-épi-lepsie. 1° Période épileptoïde (Pl. XVII) ; — 2°
Période
ctonique ; — 3° Compression ovarienne, la malade
avancé que les hystériques faisaient fréquemment allusion, pendant la
période
de délire, aux événements qui avaient frappé leur
e. Lorsque nous l'observons, à quatre heures, elle est à la fin de la
période
de délire. Elle se lamente, parle de l'ancienne s
cette réunion de symptômes constitue une sorte d'exacerba-tion de la
période
tonique. La respiration devient ensuite fréquen
mouvements cloniques sont moins étendus et moins violents que dans la
période
clonique complète ; ce n'est en somme qu'une ébau
période clonique complète ; ce n'est en somme qu'une ébauche de cette
période
telle qu'elle se présente d'ordinaire. Enfin, G
rter vers la gauche. Outre ces variations, qui surviennent pendant la
période
tonique, il en est qui se montrent à la période c
urviennent pendant la période tonique, il en est qui se montrent à la
période
clonique : ainsi, dans l'une de ces exa-cerhation
s le service, aux cris des bètes féroces ; ou bien, à la fin de cette
période
, la physionomie est lubrique. Malgré ces modifica
se convulsent; tout le corps est envahi par une rigidité extrême : la
période
tonique est complète. Bientôt éclate la période c
rigidité extrême : la période tonique est complète. Bientôt éclate la
période
clonique avec grands mouvements du tronc, project
s autre chose, » Suspension de la compression : attaques avec leurs
périodes
ordinaires. Compression ; G... appelle son amant,
his, le pouce en dehors. Ceci dure 23 à 30 secondes et on observe une
période
de calme, du reste assez courte. Bientôt, la ph
ttaques. Le 23, nous assistons à une nouvelle série, dans laquelle la
période
destertor est plus accusée que de coutume : la fa
ons fait le tableau d'un certain nombre de ses attaques, décrit leurs
périodes
et leurs variétés qui permettent de voir comment
end des voix qui lui donnent des ordres, etc. Souvent, durant cette
période
, les hystériques cherchent à se faire mal. Nous a
sparaît au bout de 15 à 30 secondes : C'est une sorte d'ébauche de la
période
épileptique. La connaissance paraît conservée (?)
s et s'est dissipée lentement (1). 4 février.—Attaques : 1°Première
période
, a) Torsion de la tète, face déviée à gauche, rou
ition ou des efforts de vomissement, séparent d'ordinaire la première
période
de la seconde. 8° Période clonique. — La malade
ssement, séparent d'ordinaire la première période de la seconde. 8°
Période
clonique. — La malade exécute de grands mouvement
après le début de cette série, composée d'attaques dans lesquelles la
période
de délire a fait défaut, M... revient à elle et p
objets qui lui tombent sous la main. 8 avril. — Attaques. Première
période
. Souvent la première attaque d'une série débute s
oulevé par des mouvements onduleux, avec borborygmes très-bruyants.
Période
clou'ique.— Ensuite, M... pousse un cri aigu, mod
, on l'entend bientôt dire : Planche XXVI. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : 3°
PÉRIODE
Planche XXVII. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : 3e PÉRIODE
YSTÉRO-ÉPILEPSIE : 3° PÉRIODE Planche XXVII. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : 3e
PÉRIODE
« Ernest ! Ernest ! » De la tète, elle lui fait
urd'hui à une série d'attaques qui, tout en étant composées des mêmes
périodes
et des mêmes phases, offrent des particularités n
s phases, offrent des particularités nouvelles. Les prodromes et la
période
épileptoïde n'ont pas subi de modification. Mais
de n'ont pas subi de modification. Mais il n'en est pas de même de la
période
clonique : nous avons vu précédemment que, au déb
période clonique : nous avons vu précédemment que, au début de cette
période
, M... se tortillait puis qu'elle s'asseyait brusq
aie. Elle n'a pas eu d'attaques hys-léro-épileptiques durant toute la
période
douloureuse qui précède. — Soir. T. R. 37°,7. 1
les modifications. Nous assistons à une série de ces attaques : 10 La
période
tonique ou épileptoïde n'a pas changé. Entre elle
riode tonique ou épileptoïde n'a pas changé. Entre elle et la seconde
période
, M... regarde en face, puis incline la tète à dro
à gauche, exécute quelques légers mouvements auxquels succède, 2° la
période
clonique : elle fléchit et laisse retomber brusqu
à huit ou dix reprises, comme auparavant. Alors, elle s'assied et la
période
des hallucinations commence : c'est sur elle que
eures : elles ont présenté les caractères du type ancien, régulier.
Période
de délire. — Elle est heureuse, se tortille légèr
.) et quant à la sensibilité (anesthésie, analgésie, etc.), durant la
période
comprise entre le 29 octobre et le 1er décembre.
génitale-ment son contact. VIII. — Les prodromes des attaques et la
période
épileptoïde ne soulèvent aucune remarque nouvelle
le. Il n'en est pas de même des intervalles qui séparent les diverses
périodes
, ni du délire. Entre la période épileptoïde et
ervalles qui séparent les diverses périodes, ni du délire. Entre la
période
épileptoïde et la période clonique, il se produit
diverses périodes, ni du délire. Entre la période épileptoïde et la
période
clonique, il se produit, chez M..., comme chez la
des proportions aussi considérables que chez Geneviève . Durant la
période
clonique — et c'est là un phénomène que nous n'av
balancement sur lesquels nous n'avons pas à insister (1). Reste la
période
de délire. — L'un des symptômes qui frappent le p
séance d'exor- (1) Cette attitude sépare parfois deux phases de la
période
clonique. Planche XL. ESQUISSE DE RUBENS : DÉ
e, quoique permanente, resta cependant toujours incomplète jusqu'à la
période
ultime. Les résultats de l'autopsie devaient d'
impressions sensitives et sensorielles dans le délire de la troisième
période
de l'attaque hystérique (voir plus loin, n°XXVI),
ujets présentant ce qu'on appelle le grand hypnotisme, avec ses trois
périodes
bien délimitées, léthargie, catalepsie et somnamb
e dix ans. C'est une grande hystérique, avec grandes attaques à trois
périodes
, attaques de contracture, et portant tous les sti
ixation d'un objet brillant et elle tombe en léthargie. Pendant cette
période
, les diverses excitations que nous faisons porter
nous l'hypnotisons par la pression sur les globes oculaires. Dans la
période
léthargique, aucune réaction aux diverses excitat
plus variées. Nous n'avons pu ni à l'état de veille, ni pendant la
période
somnambulique obtenir le récit des tableaux ou de
nomie étaient l'expression. Tout souvenir avait disparu. Pendant la
période
somnambulique de l'hypnotisme les diverses excita
sorielles, comme chez nos deux autres malades, non plus que dans la
période
somnam-bulique, ainsi que nous le disions plus ha
nations, le plus souvent visuelles. On sait aussi que cette troisième
période
de l'attaque peut, dans certains cas, prendre un
vers le 15 juin on remarque qu'à la fin do chaque crise survenait une
période
d'hallucinations avec délire. Le sujet de ce déli
cette seconde série d'expériences, on suggère au malade, pendant la
période
hallucinatoire 'de l'attaque, de raconter les tab
duré dix jours. Elle a de plus des attaques d'hystérie classique avec
période
épileptoïde, phase des grands mouvements et arcs
s grands mouvements et arcs de cercle, attitudes passionnelles. Cette
période
des attitudes passionnelles est chez elle dévelop
nstance pour provoquer l'attaque hystérique, en lui suggérant dans la
période
somnambulique qu'elle va avoir une crise. Une foi
lade sous l'influence d'excitations sensorielles analogues pendant la
période
cataleptique du grand hypnotisme (1). Chose remar
nt exagéré. Dans une attaque provoquée, après avoir laissé passer les
périodes
épileptoïde et des grands mouvements, nous abando
la manière d'un automate, et ne reprend sa lucidité qu'au bout d'une
période
de temps dont la durée peut varier de quelques he
ifestés à partir de l'âge de 35 ans, et ont été au nombre de 7 en une
période
de 3 ans ; leur durée a varié de 2 heures à 6 jou
crises convulsives dans ses antécédents, et surtout si le début de la
période
d'inconscience est marqué par des prodromes d'ord
s somnambulismes hystériques comme des transformations d'une certaine
période
de l'attaque hystéro-épileptique, celle qui dans
euvent exister à l'état d'isolement, il arrive aussi que la troisième
période
se manifeste d'emblée. Cette manière d'attaque es
nception, représenterait l'une des phases dissociées de l'attaque, la
période
(1) Paul Blocq. — Revue générale de clinique et
n premier groupe de faits, il s'agit d'une attaque d'hystérie dont la
période
convulsive est raccourcie, et dont la période pas
aque d'hystérie dont la période convulsive est raccourcie, et dont la
période
passionnelle, exagérée par sa durée, offre l'appa
mouvements de torsion des mains, qui représentent, en raccourci, les
périodes
convulsives de l'attaque. Il se livre d'emblée au
oir plus loin n° XXVIII (G. G.). seconde, et ne se souvient que des
périodes
normales antérieures. (Ribot.) La malade que M.
ues mots. Nous rappelons que M. Charcot désigne ainsi l'une des trois
périodes
du grand hypnotisme tel qu'il l'a décrit chez les
crit chez les hystéro-épileptiques. On l'obtient, consécutivement aux
périodes
de léthargie et de catalepsie, par de légers frot
à plus de dix ans (2). Elle est divisée, ainsi qu'on sait, en quatre
périodes
: lô période épileptoïde ; 2° période des grands
ans (2). Elle est divisée, ainsi qu'on sait, en quatre périodes : lô
période
épileptoïde ; 2° période des grands mouvements ;
e, ainsi qu'on sait, en quatre périodes : lô période épileptoïde ; 2°
période
des grands mouvements ; 3° période des attitudes
odes : lô période épileptoïde ; 2° période des grands mouvements ; 3°
période
des attitudes passionnelles ; 4° période terminal
e des grands mouvements ; 3° période des attitudes passionnelles ; 4°
période
terminale. Mais il s'en faut de beaucoup qu'elle
de hystérie, hysteria major ou hystéro-épilepsie. Quelquefois une des
périodes
peut manquer et l'attaque se borner par exemple a
même dans le livre de M. Richer que déjà Bernutz avait considéré une
période
de délire comme inhérente à la constitution de l'
au second plan. Dans les cas les plus ordinaires, les deux dernières
périodes
durent peu ou même peuvent manquer complètement.N
ionnelles prédominer avec grande violence, au point de constituer une
période
plus ou moins prolongée d'un délire généralement
mnambuliques, toujours précédées et suivies, comme la première, d'une
période
convulsive, la malade est en proie à des hallucin
ns musculaire exceptés. Chez lui la transition de la vie normale à la
période
délirante se faisait cepen- (1) P. Richer. — ho
s, ne se ressemblent pas cependant absolument. Les uns présentent une
période
délirante courte, marquée par une incoordination
tal, les attaques de ce petit malade se modifièrent notablement. La
période
délirante se raccourcit peu à peu, l'élément conv
eau de quelques habitants. Elle avait des attaques dans lesquelles la
période
délirante prenait un développement tel que, devan
duisait généralement dans l'après-midi ou la soirée. Après une courte
période
convulsive, le petit malade entrait dans son somn
n peu plus longtemps (2 minutes) mais il est exactement le même. Même
période
de contorsion des bras et des mains précédant l'i
provoquée par la fixation d'une grosse tête d'épingle brillante. Même
période
de contorsions des membres ; même délire : la bêt
n nettement tranchés. On peut les résumer en quelques mots : 1° Une
période
de contorsions, portant principalement sur les me
phase des attitudes passionnelles qui prédomine de beaucoup. 2° Une
période
de délire, caractérisée par la présence d'halluci
st à remarquer que le ton, sinon la voix du malade, change pendant la
période
délirante. A l'état normal, il parle posément, do
s en temps qu'entre deux tableaux il existe une sorte d'ébauche de la
période
de contorsions qui commence l'attaque. Le malade
ez variées chez un même malade, leur nombre peut s'augmenter quand la
période
somnambulique s'allonge, mais elles forment une s
ect bien caractéristique de la grande attaque hystéro-épileptique. La
période
des attitudes passionnelles est allongée au point
ovoquions généralement l'attaque en suggérant à la malade, pendant la
période
somnambulique de l'hypnose, qu'elle allait avoir
ous avons pu constater chez elle des phénomènes de même ordre dans la
période
cataleptique du grand hypnotisme. Nous les avons
ne décrivons pas en détail les résultats obtenus chez Sch... dans la
période
cataleptique de l'hypnose à l'aide de l'excitatio
ystérie le mieux caractérisées du monde. Elle se composent : 1° d'une
période
épileptoïde fort nette avec phase tonique et clon
hase tonique et clonique, stertor, écume à la bouche, etc. ; 2° d'une
période
de grands mouvements, salutations, arcs de cercle
, arcs de cercle, attitudes illogiques, accompagnés de cris; 3° d'une
période
d'attitudes passionnelles. Mais cette troisième p
ttaque prend un développement hors de proportion avec les deux autres
périodes
. Elle peut durer à elle seule toute une après-mid
ait la phase épileptoïde de l'attaque, suivie à bref délai des autres
périodes
, grands mouvements et attitudes passionnelles. Il
premier point établi : le somnambulisme a sa place dans la troisième
période
de la grande attaque. Passons maintenant à la t
ccompagné que de quelques-uns des phénomènes appartenant aux diverses
périodes
de la grande attaque hystérique. » Conclusion : q
e en a rapporté des exemples fort probants (1). Considérant une autre
période
de l'attaque classique, la phase épileptoïde, on
e, que la majorité des attaques d'hystérie ne présente pas les quatre
périodes
classiques. Mais est-ce là une raison pour nier l
réalité des faits. Notre description de la grande attaque à quatre
périodes
, notre étalon, nous sert précisément à interpréte
ttaque la plus fréquente est celle ou la deuxième phase domine, où la
période
épileptoïde est plus ou moins fruste, et où les a
connu cependant, ainsi que nous le disions au début de ce travail, la
période
délirante comme un élément caractéristique du typ
ers côtés, en Suède, en Suisse, et à faire bonne chère. Pendant cette
période
de fêtes continuelles, il a cependant peu fait d'
se roulant sur le plancher et ces convulsions étaient entrecoupées de
périodes
d'assoupissement. Dans la suite il n'eut pas d'au
ible d'accepter des suggestions quelconques, analogues à celles de la
période
som-nambulique du grand hypnotisme (1). Nous lui
dortoir des malades, une attaque spontanée qui avait été suivie de la
période
délirante habituelle. Il a les yeux grands ouvert
les arbres ; l'm qui est ajoutée sur le fac-similé l'a été pendant la
période
délirante, lorsque nous lui avons mis son manuscr
hystérique classique et, pour l'appeler par son nom, de la troisième
période
ou phase des attitudes passionnelles. L'élément
rappeler aussi à ce point de vue le second malade de M. Mesnet. Deux
périodes
paraissent avoir fait époque dans sa vie. Il a ét
setBlanc-Fontenille(2), dans lequel la malade se croit reportée à une
période
antérieure, quelquefois très éloignée, de son exi
eurs besoins. On rencontre un semblable état de monoidéisme dans la
période
cataleptique du grand hypnotisme dont il est, à
ement dit, le souvenir d'un délire antérieur est-il conservé dans une
période
ultérieure de somnambulisme ? La réponse à cette
l'attaque hystérique classique avec allongement et prédominance de la
période
des attitudes passionnelles, au détriment des pha
de somnambulisme hystérique, que ce somnambulisme était précédé d'une
période
convulsive, qu'on le faisait cesser en touchant u
rande hysté- Charcot, t. ii. H rique, qui a de temps en temps des
périodes
de noctambulismo pouvant se répéter pendant plusi
l s'agissait simplement d'attaques d'hystérie avec prédominance de la
période
somnámbulo-delirante. Il est généralement facil
quelque sorte mélangés, coexistant au même moment sans distinction de
périodes
, contrairement à ce qui a lieu dans le grand hypn
dans mon service où elle est restée depuis. En 1884, après une longue
période
d'état de mal hystérique, — cet état de mal, que
e se souvient seulement des divers incidents datant de cette dernière
période
. Cependant ces deux états, si nettement séparés
estibilité) qui se montraient à un si haut degré dans l'état B. Ces
périodes
d'état A sont, en général, assez courtes. Elles n
qui sont, elles, incontestablement des modifications de la troisième
période
de la grande attaque d'hystérie (Voir plus haut,
représentant, conformément aux vues de M. le Pr Charcot, la troisième
période
de la grande attaque d'hystérie. Dans la descript
ie. Dans la description classique de l'attaque, donnée par lui, cette
période
, dite phase des attitudes passionnelles, présente
elles, présente un développement proportionné à celui des deux autres
périodes
. La première, phase épileptoïde, est généralement
iforme, où la phase épileptoïde prédomine à un haut degré, de même la
période
des attitudes (1) Par Georges Guinon. — Ce trav
bant, le somnambule conserver le souvenir des actes exécutés dans une
période
somnambulique antérieure; et cela avec une précis
et. — Les altérations de la personnalité. — (Rev. des Deux-Mondes. 3e
période
, t. OUI, 15 février 1891). Or, il semble démont
istoire de sa vie que par morceaux séparés les uns des autres par des
périodes
ignorées, qui sont les accès de condition seconde
férentes n'en ont de leurs natures respectives; par exemple, dans les
périodes
d'état ancien, elle possède toutes les connaissan
ure. Dans l'état normal, au contraire, elle a perdu tout souvenir des
périodes
de somnambulisme. Elle est donc forcément gauche,
rable et qui nous permet sans contredit d'assimiler véritablement les
périodes
d'état second à des attaques vulgaires d'hystérie
ystérique est largement représenté. Chaque accès se compose de quatre
périodes
. Tout d'abord, on remarque « un stade de collapsu
es pendant lesquelles le malade parle, crie, chante, gesticule. Cette
période
, dont la durée est de dix à quinze minutes, peut
tuel de ses pensées et de ses actes, l'autre qui s'étend à toutes les
périodes
du somnambulisme... Mais dans l'état de veille il
les convulsions, les grands mouvements, l'arc de cercle de la seconde
période
, ainsi que les hallucinations accompagnant et car
sort de l'une pour tomber dans l'autre, comme certaines passent de la
période
convulsive de l'attaque ordinaire dans la phase d
versation ou à continuer la lecture ou l'ouvrage commencés pendant la
période
de somnambulisme précédente et qu'elle avait oubl
mémoire qui existent à l'état normal, et portent alors sur toutes les
périodes
d'état second. Si cette malade entre dans son v
ui faisait perdre le souvenir de tout ce qui s'était passé pendant la
période
précédente, cet accès la rendait muette. Une seco
plongée dans son existence seconde, et ainsi de suite. Peu à peu, les
périodes
d'existence normale sont devenues de plus en plus
des personnes présentes et, d'ailleurs, n'a aucune notion des autres
périodes
de son existence. A la suite d'une autre applic
(t est obligé d'épeler ses lettres pour y arriver. Toutes les rutres
périodes
de la vie, tant antérieures que postérieures à 18
ui de Félida X... M. Azam a observé cette malade pendant une longue
période
de trente-deux ans (1858 à 1890) et après avoir p
'ignorance complète où elle est de tout ce qui s'est passé pendant la
période
qui précède, quelle qu'ait été sa durée. Je ne ra
sse. » « Il en était ainsi, en 1858. Dans les années suivantes, les
périodes
de condition seconde se sont accrues et elles ont
de condition seconde se sont accrues et elles ont égalé en durée les
périodes
d'état normal. Alors Félida présentait ce phénomè
e la vie normale, il s'est trouvé que, pendant nombre d'années, les
périodes
d'état normal ne duraient que trois à quatre jour
condition seconde empiétaient de plus en plus sur la vie normale, les
périodes
de transition par l'intermédiaire desquelles elle
tellectuel, quel est son état. « Depuis environ neuf à dix ans, les
périodes
de condition seconde ont diminué de longueur, et
normal, les phénomènes convulsifs reparaissent, bientôt suivis d'une
période
d'état second qui dure un peu plus d'un mois. Enf
91. Les recherches que nous avons faites sur son compte pendant cette
période
de dix-huit mois ont donc pu être contrôlées à ma
érie, pas très violentes, mais suffîsammentcaractéristiques. Pas de
période
épileptoïde nette, non plus que de phase d'attitu
ndant les années qui se sont écoulées depuis sa naissance jusqu'à une
période
assez nettement définie. Cette période, dont cepe
epuis sa naissance jusqu'à une période assez nettement définie. Cette
période
, dont cependant on ne peut exactement fixer la da
rme, et être transportées dans l'état A. Alors la malade, pendant une
période
d'état normal provoquée, voit et retrouve encore
u service coiffé d'un casque à panache ou d'un bonnet de coton. Cette
période
d'état A passée, elle voit encore l'hallucination
tat B consécutive, ce qui prouve nettement la continuité des diverses
périodes
d'état second, même interrompues par des périodes
inuité des diverses périodes d'état second, même interrompues par des
périodes
intercurrentes d'état normal. Disons tout de su
manœuvres sur lesquelles nous reviendrons plus loin. En tous cas, les
périodes
accidentelles d'état A, tant spontanées que provo
les atteignent rarement un quart d'heure. Une seule fois, on a vu une
période
spontanée consécutive à une attaque, dans la jour
me convaincre qu'il n'y avait aucune différence entre les diverses
périodes
et qu'il s'agissait bien là d'un état unique, tou
de son amie qui fond en larmes, au grand étonnement de l'autre. Cette
période
accidentelle spontanée d'état A fut la plus longu
même état, étant ainsi restée soumise à notre observation pendant une
période
de dix-huit mois, pendant lesquels les phénomènes
ne phase de transition, composée, ainsi que je l'ai dit plus haut, de
périodes
d'états A et B enchevêtrées les unes dans les aut
e reproduisent plusieurs fois sous forme d'états de mal pendant cette
période
. (1) Voir plus haut, n° XIX, p. 168 : Charcot.
à raison de trois cent cinquante attaques par jour environ. Dans une
période
de treize jours, on en a compté quatre mille cinq
uelque sorte mélangés, coexistant au même moment, sans distinction do
périodes
, contrairement à ce qui a lieu dans le grand hypn
squ'elle est prise d'une attaque présentant le type classique à trois
périodes
. Quand elle reprend ses sens, elle se trouve « dr
es attaques d'hystérie vulgaires, classiques, avec phase épileptoïde,
période
des grands mouvements et arcs de cercle, phase d'
uveau, et en particulier au milieu de 1890, atteinte d'une nou» velle
période
d'état de mal hystérique épileptiforme, identique
» velle période d'état de mal hystérique épileptiforme, identique aux
périodes
précédentes dont nous avons parlé plus haut. En
s le moindre souvenir de tout ce qui s'est passé antérieurement à une
période
assez mal délimitée qui paraît comprendre la seco
des oscillations entre les deux états qui ont probablement rempli la
période
mal délimitée de 1884 à 1885. Elle ne sait poin
econde moitié de 1884 et la première moitié de 1885. Il y a eu là une
période
traversée par des oscillations irrégulières entre
se passait chez Marguerite D..., laquelle avait toujours conservé une
période
nocturne d'état normal, l'état B existe d'une faç
at prime (a, b, c.) ; habituel depuis 1885. X. Phase de transition,
période
des grands états de mal hystériques de 1884-85.
la condition seconde, il n'y a point de lacunes de mémoire. Dans les
périodes
d'état normal, au contraire, il y a des lacunes p
ontraire, il y a des lacunes plus ou moins grandes, correspondant aux
périodes
de vigilambulisme antécédentes. D'où un état de m
ue médico-légal. lre édition, p. 245 et suivantes. séparées par une
période
d'attitudes passionnelles modifiée sous forme de
dira-t-on, si l'on peut admettre à la rigueur l'assimilation avec la
période
des attitudes passionnelles dans les cas où la cr
s et des années, interrompu seulement de temps à autre par do courtes
périodes
d'état normal, A cette objection la réponse me pa
s passionnelles. Mais au début de la maladie il s'était produit une
période
d'état second de trois mois de durée. Ce dgilambu
s ici, à savoir que le vigilambulisme n'est qu'une modification de la
période
passionnelle de l'attaque. On connaît des cas d
ns périodiques d'états A et B, trouble qui n'existe point du fait des
périodes
somnambuliques chez les somnambules hystériques p
vie de Mme D..., depuis la naissance jusqu'au 21 décembre 1891. A
Période
normale (près de 34 ans de durée). De la naissanc
illet 1891.............. B j_14 juillet 1891 (10 heures du soir).
Période
d'amnésie rétrograde (15 juillet-28 août)........
août 1891 (événement causal,. C J_ début de l'attaque d'hystérie).
Période
de la crise d'hystérie. Amnésie de la crise (18 a
)------............. Y) J_3l août (fin de l'attaque d'hystérie) I
Période
d'o.mnèsie antérograde (31 août-22 décembre).....
n mari et la longue crise de trois jours qui en est résultée. Cette
période
de six semaines, qui s'étend du 15 juillet au 28
s'étend du 15 juillet au 28 août, nous l'appellerons, si vous voulez,
période
d'amnésie rétrograde (B C), pour employer un term
té à l'histoire des amnésies traumatiques. Nous réserverons le nom de
période
normale à la période A B, qui s'étend de la naiss
mnésies traumatiques. Nous réserverons le nom de période normale à la
période
A B, qui s'étend de la naissance au 14 juillet, e
re souligné en passant, durant ce laps de temps oublié par la malade (
période
d'amnésie rétrograde), la mémoire s'est exercée d
onnel, peut-être unique jusqu'ici ! Appelons, si vous voulez, cette
période
qui s'étend du 31 août au moment présent période
i vous voulez, cette période qui s'étend du 31 août au moment présent
période
d'amnésie anté-rograde (D E), par opposition à la
ent présent période d'amnésie anté-rograde (D E), par opposition à la
période
rétrogade. Vous comprenez maintenant le sens de c
t si accentué de l'amnésie de notre malade. En vous entretenant de la
période
rétrogade, je vous disais que les souvenirs accum
iode rétrogade, je vous disais que les souvenirs accumulés dans cette
période
n'existent plus ou paraissent ne plus exister. En
n'existent plus ou paraissent ne plus exister. En vous parlant de la
période
antérograde et actuelle, j'insistais sur ce fai
ui nous a été fait par le mari de cette malade. Tout d'abord, dans la
période
rétrograde, rien d'anormal : aucune modification
uel. Vous savez cependant que tous les souvenirs accumulés dans cette
période
ont complètement disparu. Cette disparition s'est
is, Messieurs, que cette femme avait oublié tous les événements de la
période
rétrograde. Quelques-uns d'entre eux sont pourtan
1) Avant de questionner la malade sur les principaux événements de la
période
rétro-antérograde, on l'avait au préalable interr
semble avoir joué un rôle important. Messieurs, cette amnésie de la
période
antérograde porte non seulement sur les faits vul
e, dans ses rêves, elle parlait parfois de tel ou tel événement de la
période
amnésique, soit rétrograde, soit antérograde, qu'
sommeil hypnotique, elle nous a raconté tous les événements de cette
période
, nous apprenant même des détails que nous ignorio
d'hystéro-épilepsie prolongée sous forme d'amnésie. Vous savez que la
période
délirante de l'attaque se transforme souvent et q
us2 l'avait relatée en ces termes : « L'urine au début de la deuxième
période
du labes peut avoir une composition normale... Da
déjà et que l'accident n'a influé que sur l'apparition de la deuxième
période
du tabès. En effet, Rec... raconte, que depuis ci
ujours été et est encore gros mangeur et boit beaucoup. Il y a eu une
période
de polyurie, mais ce fait est assez difficile à p
marcher seul. » La recherche du sucre n'a pas été faite durant cette
période
. Etat actuel (2 septembre 1891). — Homme d'aspe
t que l'amblyopie du tabès peut par conséquent être confondue à celte
période
avec celle du diabète et de l'alcoolisme chroniqu
ne point tomber sur ces personnes imaginaires. Pendant toute cette
période
, il continua son métier de correcteur à l'imprime
'avons pas fait d'examen précis au sujet du pouls pendant la première
période
de la maladie. En tous cas, on peut affirmer qu'i
venu impossible. Il reste bien entendu cependant que, pendant cette
période
prémonitoire qui a reçu le nom d'aura, le patient
ès est très variable ; il y a eu. un intervalle d'un an ; surtout aux
périodes
menstruelles. Pas de petit mal. Accès typiques,
l est vrai, s'y rencontrer à l'état de phénomène transitoire, dans la
période
plus ou moins longue qui suit l'accès. Or il est
es d'un an à dix-huit mois, par séries donnant lieu à de véritables
périodes
d'état de mal d'une durée de douze à quinze heure
somnambulisme. Début des accès à 24 ans. Le premier fut suivi d'une
période
d'excitation maniaque ayant nécessité le transpor
trer qu'à 18 ans avec les premières règles; généralement suivis d'une
période
plus ou moins courte d'automatisme. Aura précéd
à 29 ans. Ils se répètent à peu près régulièrement tous les mois, aux
périodes
menstruelles, sans compter les absences qui sont
x à trois fois par semaine, avec une recrudescence avant et après ses
périodes
menstruelles. Aura variable, pas toujours la mê
ournées à se faire électriser dans une baraque de foire, suivie d'une
période
de stupeur de plusieurs jours. Les premiers accès
u service (2). Elle comprend 37 consultations du mardi. Pendant cette
période
dejieuf mois, le chiffre totaJj|es consultations
ffres généraux résultant du tableau ci-dessus, nous trouvons dans une
période
de neuf mois (février à novembre 1891), pour 37 j
dans service le 15 juin 1886. Sa mère, âgée de 65 ans, aurait, par
périodes
de quatre à cinq jours, des crampes, des douleurs
passagers, et des désordres locaux et étendus parcourent toutes leurs
périodes
, atteignent celle de la réparation et de la guéri
ète que possible de la nature et des effets de cette affection. lre
période
. Invasion de ta maladie. — La maladie peut commen
d'une ostéite, d'une nécrose; 3° début par l'intérieur de l'os. 2e
période
. Destruction. — La destruction des parties consti
y a raccourcissement, diminution de la taille. (1) J'ai décrit deux
périodes
du mal vertébral : l'une de lésion, d'altération
aide desquels la nature répare les désordres qu'elle a produits. 3e
période
. Réparation. — Vous trouverez dans Pott et dans d
euses ou fîbro-cartilagineuses. IIIe cas. — Un troisième cas, où la
période
de réparation succède à la séparation, va nous oc
'affection vertébrale, présente, comme celui des fractures, plusieurs
périodes
dans son évolution. Ce qui le produit, c'est une
et du diagnostic anatomique. bouvier. 2 Je distinguerai ici trois
périodes
, différentes de celles de la lésion anatomique.
i trois périodes, différentes de celles de la lésion anatomique. 1"
période
. — Une première période, que j'appellerai latente
entes de celles de la lésion anatomique. 1" période. — Une première
période
, que j'appellerai latente, est celle qui ne se tr
ont plus de valeur ; ils servent à éclaircir le diagnostic dans celle
période
. Dans tous les cas, on devra s'éclairer des antéc
les cas, on devra s'éclairer des antécédents, de l'état général. 2e
période
. — Les signes sont encore peu marqués au début. L
x portions du rachis étant d'effacer leur courbure naturelle. Cette
période
est d'un diagnostic quelquefois difficile. Ne con
ral d'un simple défaut naturel de cambrure du cou et des lombes. 3e
période
. — Deux moyens d'exploration, la vue et le touche
, la vue et le toucher, permettent d'arriver au diagnostic dans cette
période
, où la déformation bien manifeste présente des as
inférieure de la gibbosité. Cette variété appartient spécialement aux
périodes
les plus avancées ; elle peut succéder à chacune
ophyse épineuse. Ce cas se rapporte non à l'état latent, mais à cette
période
de déformation équivoque qui lui succède. Quand l
a région de l'ilium. On peut considérer comme un quatrième degré la
période
d'ouverture de ces abcès. Le malade n° 28 de la s
e nouveau, en sens inverse, quand la guérison a lieu, les différentes
périodes
par lesquelles elle a passé une première fois à s
ints du mal vertébral. Si ces moyens sont employés dans les premières
périodes
du mal, ils peuvent causer des distensions fâcheu
quelques faits épars d'une terminaison semblable. Dans la première
période
des abcès migrateurs, la guérison spontanée est p
l'emploi des cautères dans les différentes espèces et dans toutes les
périodes
du mal vertébral, sur le témoignage d'un compatri
'une maladie guérie dans le sein de la mère; il est sujet, dans cette
période
de son existence, à des inflexions, des tiraillem
luxation congénitale? Malheureusement nous l'ignorons. Cette première
période
est infiniment moins claire dans ce dernier ordre
cas, la luxation était complète. On n'a bien observé.que la deuxième
période
de la luxation; je ne connais que trois ou quatre
s nécessaires, les obscurités que j'ai à vous exprimer au sujet de la
période
initiale des pseudarthroses congénitales de la ha
st sujet à des maladies dont le résultat peut être le même pendant la
période
intra-utérine qu'après la naissance. Tout cela
secondée par d'autres causes qui n'existent pas généralement dans la
période
de l'inclusion fœtale. Mais le grand argument con
us mis le doigt sur ce que nous cherchons? Est-ce bien là la première
période
de la luxation congéniale? La solution de cette q
qu'il n'y a jamais eu d'articulation normale, et que, dès la première
période
du déplacement, la capsule présente l'allongement
tions peuvent être produites par plusieurs causes. Dans la deuxième
période
, c'est-à-dire à l'état parfait de la luxation , l
e un insuccès. Dans les luxations coxalgiques, je distinguerai deux
périodes
sous le rapport de la réductibilité du déplacemen
a réussi, mais la luxation se reproduit fréquemment. Dans la deuxième
période
, alors que l'état inflammatoire est passé, il res
été un peu plus fréquemment couronnées de succès que dans la première
période
; on n'est pas toujours parvenu^ il est vrai, à m
des os ou des articulations, je distingue deux phases successives, la
période
douloureuse de l'affection et la période indolent
deux phases successives, la période douloureuse de l'affection et la
période
indolente. C'est ce qu'on a déjà vu dans l'histoi
u'on retrouve dans la coxalgie, dont il est ici question. La première
période
de la luxation coxalgique fait partie de la pério
tion. La première période de la luxation coxalgique fait partie de la
période
douloureuse du coxarthrocace ; la deuxième consti
de la période douloureuse du coxarthrocace ; la deuxième constitue la
période
indolente des variétés de coxalgie qui sont suivi
g Ier. — Histoire pathologique des pieds bots. Elle comprend deux
périodes
: 1° la période de formation ou de déviation comm
re pathologique des pieds bots. Elle comprend deux périodes : 1° la
période
de formation ou de déviation commençante ; 2° la
odes : 1° la période de formation ou de déviation commençante ; 2° la
période
de déviation confirmée. I. Première période du
ion commençante ; 2° la période de déviation confirmée. I. Première
période
du pied bot. — Elle peut être considérée dans le
dentel, acquis, et dans le pied bot natif ou congénial. A. Première
période
du pied bot accidentel. — Nous assistons en quelq
déviations arrêtées à leur début ou qui sont restées à leur première
période
. C'est à ce titre que je les décris ici. Je veux
s, on a encore peu étudié les causes qui le produisent. B. Première
période
du pied bot congénital. — La période de formation
qui le produisent. B. Première période du pied bot congénital. — La
période
de formation du pied bot congénital s'accomplit d
aux conjectures, on ne peut rien affirmer de positif. II. Deuxième
période
du pied bot. — Vous savez que nous avons rattaché
urs degrés. Il n'y a sous ce rapport qu'une nuance entre la fin de la
période
de formation du pied bot accidentel, et les premi
Certains pieds bots congénitaux eux-mêmes sont sur la limite des deux
périodes
; ils semblent encore en voie de formation à l'ép
rsiste toute la vie et s'aggrave même avec l'âge, surtout prn-dant la
période
d'accroissement du corps. La cause de cet arrêt d
rvatif et curatif. Le traitement préservatif est celui de la première
période
ou période de formation, pendant laquelle les mus
uratif. Le traitement préservatif est celui de la première période ou
période
de formation, pendant laquelle les muscles sont c
eur fait ensuite mieux supporter l'action des appareils. Dans cette
période
de l'enfance, l'indocilité des malades peut être
des os et des cartilages. Ce phénomène de réparation comprend deux
périodes
: Io la période d'inflammation ; 2° la période de
rtilages. Ce phénomène de réparation comprend deux périodes : Io la
période
d'inflammation ; 2° la période de réunion. La p
aration comprend deux périodes : Io la période d'inflammation ; 2° la
période
de réunion. La période d'inflammation ne manque
iodes : Io la période d'inflammation ; 2° la période de réunion. La
période
d'inflammation ne manque jamais. Vous entendrez p
, à laquelle il donne une densité nouvelle. C'est alors la deuxième
période
de la réparation. Le plasma est organisé; un lien
déjà d'une légère céphalalgie; la maladie était alors évidemment à sa
période
d'incubation. La suppuration peut encore être l
use dans cette maladie présentent divers degrés qui forment autant de
périodes
successives, lorsque le mal ne s'arrête pas à son
nuances du rachitisme à deux états des os qui caractérisent les deux
périodes
principales de la maladie ; et comme !c système o
e troisième forme quand la guérison a lieu, j'établirai en tout trois
périodes
, répondant à trois états distincts, bien que ceux
ncts, bien que ceux-ci ne se succèdent pas nécessairement. Première
période
: état atrophiquc, ou résorption interstitielle d
de : état atrophiquc, ou résorption interstitielle des os. Deuxième
période
: état fibroïde ou cartilaginiforme, ou de ramoll
: état fibroïde ou cartilaginiforme, ou de ramollissement. Troisième
période
: état éburné. A. Première période.—La première
ou de ramollissement. Troisième période : état éburné. A. Première
période
.—La première période est caractérisée par l'atrop
. Troisième période : état éburné. A. Première période.—La première
période
est caractérisée par l'atrophie, par la raréfacti
les deux âges. La souplesse de l'os rachilique, dans cette première
période
, peut encore être accrue par un commencement de p
calcaire dans quelques analyses que j'ai fait faire d'os pris à cette
période
; mais ces faits sont trop peu nombreux pour faire
turelle dans l'enfance, suffit-il pour déterminer, dès cette première
période
, des courbures plus ou moins considérables dans
général, cette prédominance n'est bien sensible que dans la deuxième
période
. Un autre caractère général des os rachitiques
ode. Un autre caractère général des os rachitiques dans la première
période
, c'est l'abondance des vaisseaux sanguins. On a v
prêté un grand rôle dans l'évolution du rachitisme. Cette première
période
du rachitisme répond à ce degré de la maladie qui
uses. Ces nœuds n'existent pas toutefois dès le commencement de cette
période
. Il y a un moment où la seule altération osseuse
ns aucune manifestation extérieure : c'est ce que M. Broca appelle la
période
latente du rachitisme. B. Deuxième période. — L
que M. Broca appelle la période latente du rachitisme. B. Deuxième
période
. — La deuxième période a pour caractère un état f
a période latente du rachitisme. B. Deuxième période. — La deuxième
période
a pour caractère un état fibroïde des os. J'emplo
et aux aponévroses. Ceci posé, voyons ce qui arrive dans la deuxième
période
du rachitisme. bouvier. 18 Il y a une décompo
a une décomposition chimique bien plus prononcée que dans la première
période
. L'os se déphosphate; ce qui persiste n'est pas d
t les changements que le tissu osseux éprouve dans les deux premières
périodes
du rachitisme; les membranes qui entourent ce tis
dation des fractures chez les sujets rachitiques est subordonnée à la
période
, au degré du rachitisme. Tantôt elle se fait très
-lentement, tantôt aussi vite que dans les os normaux. C. Troisième
période
.—J'arrive à la troisième période. Je vous ai dit
dans les os normaux. C. Troisième période.—J'arrive à la troisième
période
. Je vous ai dit que c'était la période de guériso
riode.—J'arrive à la troisième période. Je vous ai dit que c'était la
période
de guérison, de reconstitution de l'os, de réossi
reprise du travail de l'os-téose, suspendu ou ralenti dans les autres
périodes
. Quand ce travail succède à la période atrophiq
ou ralenti dans les autres périodes. Quand ce travail succède à la
période
atrophique, il a pour effet de combler les vides
u'il ne l'était primitivement. Mais c'est surtout après la deuxième
période
que le nouvel os est très-différent de l'ancien.
oit dans le cal ; le canal mé-dulaire, presque effacé dans la seconde
période
au point culminant des courbures, ne se reproduit
mbres, d'où la petitesse de la stature. Déjà, dans les deux premières
périodes
, l'accroissement en longueur est ralenti ; mais
yez-vous pas là un rachitisme intra-utérin, ayant parcouru jusqu'à sa
période
d'éburnation dans l'utérus, et ayant ainsi forcé
chitisme crânien, il faut, comme pour les autres os, tenir compte des
périodes
parcourues. L'éburnation est fort rare dans le cr
itisme crânien n'est pas un des plus communs. Ce n'est guère qu'à une
période
avancée de l'altération générale du système osseu
en dedans. Nous avons là un cas de rachitisme à la fin de la deuxième
période
, car il ne reste qu'une très-légère flexibilité d
dans certains cas de rachitisme ancien, à ce qu'il a disparu dans la
période
de rêossification. Cette exception à la loi de
e trois ans ; le rachitisme règne au contraire précisément dans cette
période
. Il est donc possible que la forte proportion de
hasse. Dans ces espèces, le rachitisme parcourt très-rapidement ses
périodes
, ce qui est en rapport avec la promptitude de l'o
e rachitisme est donc léger, et dans le crâne il est déjà arrivé à la
période
de guérison. IIe cas. — Je vous présente cette
nt plus fortes, tant que la lésion n'est pas entrée dans sa troisième
période
. L'âge exerce une influence marquée sur la natu
é d'un état aigu du rachitisme ; cet état est réel et paraît lié à la
période
de ramollissement des os. C'est alors que l'enfan
moyens redresseurs. Les machines n'ont qu'un effet très-borné dans la
période
d'éburnation. C'est surtout pendant la période de
fet très-borné dans la période d'éburnation. C'est surtout pendant la
période
de ramollissement que leur action peut être utile
ndue, mais douloureuse. C'est un cas où la maladie est encore dans la
période
de ramollissement. IIIe cas. — Petite fille âgé
os sont flexibles, presque sans douleur, ce qui fait supposer que la
période
aiguë est passée. IVe cas. — Voici un cas bien
lée. Chez cette malade, le rachitisme a passé depuis longtemps à la
période
d'éburnation ; on ne peut presque plus rien atten
t enfant, qui a une cyphose rachitique, n'est encore qu'à la première
période
, et vous voyez qu'à l'aide de la manœuvre que j'i
que l'exagération de la légère voussure dorsale qui s'établit dans la
période
d'accroissement du corps. Cette déformation recon
latéral des ligaments précède l'affaissement des os. Il y aurait une
période
de déformation ligamenteuse, dans laquelle la con
tion des os serait normale. La chose n'est pas impossible, mais cette
période
a été jusqu'à présent insaisissable. Lisez tout c
une prédomine au début de l'affection; l'autre appartient surtout aux
périodes
plus avancées. L'angle de rotation des vertèbre
ques-unes. La forme de déviation la plus commune dans les premières
périodes
de la scoliose, la courbure sigmoïde, a deux vous
ieurs exemples de cette gibbosité simple , la plus fréquente dans les
périodes
avancées de la scoliose. Un grand nombre sont des
assin. Les individus gib-beux, non rachitiques, parcourent une longue
période
de leur existence sans que le bassin s'éloigne se
giques conserve le cachet de son origine, au moins dans ses premières
périodes
; son siège, son étendue, sont en rapport avec les
tuent, lorsque la déviation ne s'arrête pas dans sa marche, autant de
périodes
successives, savoir : 1° A l'état latent, pério
arche, autant de périodes successives, savoir : 1° A l'état latent,
période
latente; 2° A l'état de déviation visible, péri
A l'état latent, période latente; 2° A l'état de déviation visible,
période
de déviation confirmée; 3° A l'état de déviatio
tat de déviation assez avancée pour produire une véritable gibbosité,
période
de gibbosité. a. Pe période, état latent. — Cet
pour produire une véritable gibbosité, période de gibbosité. a. Pe
période
, état latent. — Cette période se confond par des
ibbosité, période de gibbosité. a. Pe période, état latent. — Cette
période
se confond par des nuances insensibles avec la co
on extrémité sternale. On commence assez souvent à voir, dans cette
période
, des dé- « formations de la région antérieure de
t très-légère; peut-être même n'y a-t-il que simple flexion. b. IIe
période
. — Les caractères extérieurs qui se sont montrés
ode. — Les caractères extérieurs qui se sont montrés dans la première
période
s'exagèrent dans la deuxième; il s'y joint en out
n, qui masque entièrement les incurvations du rachis dans la première
période
, les atténue dans celle-ci, et ce n'est qu'en ten
la flèche des courbures. Dans les courbures obliques de la troisième
période
, on obtiendrait ainsi la flèche d'une sorte de co
les formes variées que les courbures peuvent revêtir dès la deuxième
période
: je les ai indiquées dans l'anatomie pathologiqu
oncent, les gibbosités, qui ne faisaient que poindre dans la première
période
, commencent à se dessiner peu à peu ; mais elles
qui les produisent ; c'est là un des caractères qui distinguent celte
période
de la suivante. Les déformations de la région t
ntérieure sont plus constantes et plus prononcées dans cette deuxième
période
que dans la première. Toute la région antéro-gauc
à convexité gauche, sur la conformation des dernières côtes. c. IIP
période
. — Elle commence, dans la scoliose commune, au mo
iter l'effet de cette seconde inflexion. C'est dans cette troisième
période
que se montre la gibbosité proprement dite, formé
antérieures prennent le plus grand développement dans cette troisième
période
; c'est alors que se voient les dépressions profon
lombaire égales, la courbure cervico-dorsale principale, la troisième
période
ne se distingue de la deuxième que par le degré d
s caractères extérieurs de la scoliose dans ses deuxième et troisième
périodes
. Ier cas. — Jeune fdle de onze ans et demi. Sco
urbure à convexité gauche ; le côté droit du dos est aplati. Deuxième
période
commençante. IVe cas. — Fille de trois ans et d
— Fille de trois ans et demi. Courbure rachitique à gauche. Deuxième
période
. Ve cas. — Garçon de sept ans, sujet rachitique
e. VIIe cas. — Jeune fdle de quatorze ans, au début de la troisième
période
, présentant une gibbosité dorsale commençante. La
orso-lombaire, une courbure clorso-lombaire principale à sa troisième
période
. XIII0 cas. — Fille de deux ans et demi. Courbu
omme dans le IVe cas, mais plus prononcée, approchant de la troisième
période
. L'enfant est rachitique, comme le prouve la conv
izontale. De même, des déviations dorsales dominantes de la troisième
période
, accompagnées, pendant la station, de celte incli
ograder et repasser à l'état d'S verticale qui caractérise la seconde
période
, quand la position horizontale vient diminuer la
dérivent des altérations fonctionnelles. La première et la deuxième
période
n'apportent toutefois que peu de changements dans
e fort peu prononcée. Nous sommes ici au commencement de la troisième
période
ou à la fin de la deuxième. Il se hanche sur la h
date de trois à quatre ans; elle est arrivée à la fin de la deuxième
période
ou au commencement de la troisième. Elle a paru s
ous ai parlé des conditions nouvelles de la vie que crée la troisième
période
de la scoliose, conditions bien moins favorables
ne pas s'y tromper. (1) Electrisation localisée, p. 424. g. A une
période
plus avancée, la scoliose pourrait donner lieu à
par l'effet de l'accroissement du corps, même au début de la première
période
. La courbure sigmoïde de la deuxième période ne s
au début de la première période. La courbure sigmoïde de la deuxième
période
ne s'efface jamais d'elle-même. Ce qui a souvent
ants atteints de mal vertébral, qui manquent rarement, à une certaine
période
de la maladie, d'appuyer les mains sur les cuisse
ue l'inclinaison des lombes à droite, au commencement de la troisième
période
de la courbure dorsale droite, est singulièrement
revenir à notre malade, elle porte une courbure sigmoïde à la seconde
période
; la courbure lombaire est très-longue, la courbur
s. Scoliose spontanée dorsale droite, au commencement de la troisième
période
. En faisant élever le bras et fléchir le tronc su
es sujets étaient debout. Si la déviation est forte, à sa troisième
période
, comme sur ces autres enfants, la courbure princi
les plus grands efforts que le sujet a eus à suppor ter pendant une
période
de temps. Le plus commode est encore le ressort e
ns, une courbure dorsale principale à droite, parvenue à la troisième
période
, c'est-à-dire accompagnée d'obliquité de l'arc lo
aison de l'arc lombaire qui caractérise celte forme dans la troisième
période
de la scoliose. On ne se contente pas pour cela d
malgré son emploi, la courbure sigmoïde tend à passer à la troisième
période
, à se convertir en dorsale principale. Il est bon
progrès du mal. Telle déviation est facilement arrêtée à sa première
période
par un léger soutien placé sous les vêtements, jo
la courbure lombaire commence à s'incliner à droite, où la troisième
période
, en un mot, succède à la deuxième. Le plus ordina
ur égalité. La transformation qui ramène la déviation de la troisième
période
à la deuxième, substitue donc à une cause d'aggra
gner longtemps cette déviation pour prévenir un retour à la troisième
période
; mais cela se réduit à un traitement prophylacti
quement produite par le mouvement des vertèbres; car, si la troisième
période
est plus avancée, si l'inclinaison est en partie
1) Adversaria med.-pracL, 1771, t. II, part. 2, p. 333. La première
période
de la courbure de l'épine, celle dans laquelle il
artie, aux moyens de traitement. Ramener la déviation de la troisième
période
à la deuxième, de celle-ci à la première, est cho
ultats avantageux du traitement sont souvent moins frappants dans les
périodes
les moins avancées. Cela semble au premier abord
leur état primitif que la courbure dorsale principale de la troisième
période
, dont Yinctinaison lombaire a pu être complètemen
...... § Ier. — Anatomie pathologique................. ¦ Première
période
. Invasion.................. ib. Deuxième périod
..... ¦ Première période. Invasion.................. ib. Deuxième
période
. Destruction................ 9 Troisième périod
... ib. Deuxième période. Destruction................ 9 Troisième
période
. Réparation................. 12 Lésions concomi
.. § II. — Diagnostic du mal vertébral............... 17 Première
période
...................... 1* Deuxième période......
........... 17 Première période...................... 1* Deuxième
période
...................... Troisième période........
............. 1* Deuxième période...................... Troisième
période
...................... *' Valeur diagnostique de
, — Histoire pathologique des pieds bots. ,........ 173 I. Première
période
du pied bot................ 'b. A. Première pér
3 I. Première période du pied bot................ 'b. A. Première
période
du pied bot accidentel......... »»• Pied plat..
.......... I77 Pied creux........................ 179 B. Première
période
du pied bot congénital......... 180 II. Deuxièm
. Première période du pied bot congénital......... 180 II. Deuxième
période
du pied bot............... 183 A. Varus........
ib. ï. Lésions du système osseux................. ib. A. Première
période
.................... 270 B. Deuxième période....
..... ib. A. Première période.................... 270 B. Deuxième
période
.................., 273 C. Troisième période....
..... 270 B. Deuxième période.................., 273 C. Troisième
période
................... 277 Rachitisme des différent
432 A. Formes extérieures de la scoliose............. ib. a. I";
période
..................... 433 b. IIe période........
e............. ib. a. I"; période..................... 433 b. IIe
période
..................... 435 c. III'' période......
............ 433 b. IIe période..................... 435 c. III''
période
..................... 436 B. Influence des mouve
cune description au vrai sens du mot ; elle peut se diviser en deux
périodes
, toutes deux de bien minime importance. En 18
Jones'; mais elles n'inspirèrent aucunes recherches. La deuxième
période
est de date toute récente et plus féconde que l
urent fort étonnés et très désagréablement surpris lorsque,dans les
périodes
les plus accentuées de la maladie, au mot de merd
fré- quents. Aujourd'hui, et depuis quinze jours, il est dans une
période
d'éuervement : à tous propos, il a des secousses
'il s'en souvient, il nous dit ne pas se rappeler si, pendant cette
période
, les mouvements qui étaient alors beaucoup moin
agérer et les se- cousses envahirent tous les muscles. Il y eut des
périodes
d'excitation telles que le sommeil qui, général
alais. « La mère, nous écrit- on, croit se rappeler que, pendant la
période
aiguë de la maladie, les mouvements, s'ils n'on
vements étaient variés, changeaient de forme. Pendant toute cette
période
, qui s'étend de 1870 jusqu'au 26 juillet 1889.,
e au malade que tous les quarante ou quarante-cinq ours, il y a des
périodes
d'aggravation qui durent dix ou quinze jours. L
jette à des crises nerveuses, à de la boulimie et quelquefois à des
périodes
de tristesse pendant lesquelles elle refuse abs
, du reste, incomplètes, et l'absence de tableaux d'accès durant la
période
de traitement ne permet aucune comparai- son av
t une statis- tique avec des points comparatifs antérieurs dans une
période
à peu près pareille. » Beigel ' a injecté dan
e MM. H. Liouville et A. Voisin clôt, en quelque sorte, la première
période
dans laquelle le curare a été em- ployé contre
plète des muscles néces- saire pour indiquer la venue de la seconde
période
et, s'il y a le stertor, il n'est jamais intens
xécuté une mimique quelconque, dénonçant le tableau de la troisième
période
avec ses deux phases gaie et triste. Pour la de
sième période avec ses deux phases gaie et triste. Pour la dernière
période
, tout en riant et pleurant elle nous dit qu'ell
l'atténuation et de l'effacement même, que nous avons noté pour les
périodes
et de ne voir là qu'une sorte de compensation,
normal d'un organe, il ne faut pas se borner à le consi- dérer à sa
période
d'entier achèvement, il faut encore suivre atten-
- rations anatomiques modérées appartiendraient les psychoses des
périodes
avancées. La prédisposition jouerait un rôle très
té se sont multipliés dans des proportions in- quiétantes. Dans une
période
de moins de quinze jours, j'ai été commis, pour
sychique. Les troubles de la nutrition générale peuvent, pendant la
période
embryonnaire, porter sur les parties constituti
x murs, gémit, supplie son mari de la tuer : à cet état succède une
période
de sopor. Elle entre à la Charité. Le 2 ! t, à
alalgies, et d'assez fréquents vertiges accompagnés de lipothymies;
périodes
de calme alternant avec des phases de grande ag
aboutissent au relèvement de l'état général; avec lui se montre une
période
d'accalmie pendant laquelle disparait la sen- s
alpitations, et presque toujours des troubles dyspeptiques. A cette
période
, la maladie convenablement traitée peut rétrocéde
dix semaines. Les douleurs de dos persistèrent pendant toute cette
période
, et il s'y joignit également des douleurs dans
ions apparentes lorsqu'un traumatisme grave a amené la mort dans la
période
primitive, il l'est moins de trouver des lésion
pendamment de ces étals fébriles, les malades peuvent traverser des
périodes
de rémission, de même qu'il existe des périodes
uvent traverser des périodes de rémission, de même qu'il existe des
périodes
d'exacerbation peu- dant lesquelles l'incoordin
torze ans dans les ob- servations V et VU). Donc, pendant toute une
période
qui peut comprendre jusqu'à seize années (Obs.
fférentiel, qui sera surtout difficile pendant toute cette première
période
. Il nous faut encore, avant de passer outre, in
ysique et moral du sujet, état qui ne variera pas du reste dans les
périodes
ultérieures. Disons-le de suite, pendant toute
date de cette apparition, car, nous avons déjà dit que, pendant une
période
com- prise dans nos observations entre quelques
ssant de la façon suivante. La plupart du temps, pendant une de ces
périodes
d'excitation que nous avons signalées, subiteme
n motrice, il semble être un des derniers à persister pendant les
périodes
d'accalmie, nous ne disons pas de guérison qui
x faire que répéter ce que nousavons dit en traitant de la première
période
, il est excellent sous tous les rapports, sauf
nt si- multanément. En regard de ces exacerbations, pla- cons les
périodes
de rémission ou d'accalmie. Sous des influences
souvent dans les muscles de la face (Obs. I, II, III, V, VII). Ces
périodes
de calme peuvent du reste être assez longues (O
symptômes aussi accentués qu'auparavant, jusqu'au jour où une autre
période
rémissionnelle vient rétablir le calme. Est-ce
est qu'on puisse considé- rer l'affection comme constituée à cette
période
; mais, lorsqu'à l'incoordination se sont jointe
, il y a lieu d'établir ici quelques divisions d'après les diverses
périodes
par lesquelles passe l'affection : 1" cas. L'
a bouche se dévie, le tout successivement, lentement et pendant une
période
assez longue, nos malades ont des secousses bru
la face. Etant donné que, de même que chez nos malades, pendant les
périodes
de début ou d'accalmie, l'incoordination semble
otrice viennent se joindre des cris inarticulés . A cette seconde
période
, le diagnostic devient déjà sensiblement plus f
de mots articulés avec écholalie et coprolalie. A partir de cette
période
, le diagnostic s'établit pour ainsi dire de lui
a paru amender les symptômes et 200 CLINIQUE NERVEUSE. amener ces
périodes
de rémission si favorables : l'isole- ment, com
é qu'à droite, bien que ce soit à droite que la rigidité prédomine.
Période
téta- niforme : la face devient de plus en plus
te, puis dans les quatre membres, avec légère prédominance adroite.
Période
clonique : peu accentuée; quelques secousses da
de potassium 3 grammes. Voici quelques températures durant cette
période
: le 3 octobre au soir, T. li. 38-,6; le 6, T. Il
ousses cloniques aussi prononcées à droite qu'à gauche. Parfois, la
période
clonique manque. Au bout d'une minute environ,
ure en- viron 4 minutes, puis le ttcrlor cesse. Pendant la dernière
période
de l'accès, l'enfant est très congestionné et s
octobre. Revacciné sans résultat. 30 décembre . Progrès t l'école.
Période
d'agitation ma- niaque à la suite d'accès. 18
rie d'accès cette nuit (12 accès) ; ce matin à la fin d'un accès la
période
de slertor étant passée, on le trouve la face d
ières qu'il n'auraitjamais prononcées auparavant.» 24 décembre. Les
périodes
d'excitation maniaque et les accès de violence
e aux réprimandes. Les accès de colère persistent. 8 juillet. Les
périodes
d'excitation maniaque sont plus rares. Traiteme
mes de terre, la quantité d'acide phosphorique rendu pendant chaque
période
de 21 heures est très variable, tandis que cett
mps, de vieux lypémano-hypochondriaques qui, par suite d'une longue
période
morbide préalable, ont graduellement perdu leur
s le temps et la pathogénie étiologique; on constate aussi, à cette
période
, des troubles sensoriels, sensibles et moteurs.
ger les formes rapides de la sénilité, formes rapides parce que des
périodes
d'ac- célération viennent varier la lenteur uni
dinaire uniformément lente et de ses variétés de formes rapides par
périodes
d'accélération transi- toires ou rapides d'embl
e le côté gauche, et cette différence se maintient pendant toute la
période
de rétablissement des fonctions. Nous retrouvon
oduisent rarement de bonne heure, qu'on ne les observe que dans les
périodes
avancées de la maladie, lorsque le ramollisseme
étaient loin d'être rétablies dans leur inté- grité. Là s'arrête la
période
que nous pouvons appeler de commotion. A partir
rapporté, est d'établir nettement dans la marche cli- nique deux
périodes
, celle des phénomènes primitifs et celle des tr
enant à la commotion, les seconds à l'inflammation. La pre- mière
période
comporte une durée de quarante-sept jours; elle
t pas empêché la marche vers la guérison de s'accentuer. La seconde
période
est de cinq mois et se termine par la mort. Ell
nutrition qui caractérisent la myélite. Les lésions de la deuxième
période
sont ici bien po- sitives, ce sont celles de la
s cellules nerveuses. Celles qu'on pourrait rattacher à la première
période
, font complètement défaut, car nous ne pouvons
race; j'ajouterai même que le travail inflammatoire de la seconde
période
, aurait dû les accuser davantage. Rap- pelons q
e nombre des vertiges a considérablement augmenté pendant la même
période
; que, de plus, Lef... était sujet à des rémissio
tré en 1878 (458), ni même celui de 1879 (317) première année de la
période
décroissante signalée plus haut. Observation
es le 15 août. Réflexions. Si nous comparons les accès de la même
période
de 1883 et de 1884, nous trouvons une notable amé
nant ci gauche. Onanisme. Vertiges et accès ci treize ans et demi. -
Période
d'excitation maniaque. - Affaiblissement des fa
ones, Beale); que dans la manie ces sels sont augmentés pendant les
périodes
de paroxysme et diminués pendant les périodes d
augmentés pendant les périodes de paroxysme et diminués pendant les
périodes
de dépression (Sutherland, Beale, Lombroso), qu
né, relativement à l'état sain, mais de cette élimination dans deux
périodes
consécutives et de courte durée d'une même mala
ues légères différences qui se fondent si on porte l'examen sur une
période
de huit jours, que le cycle des mêmes aliments
vient chaque quatre jours. Nous désignerons ce cycle sous le nom de
période
ali- menlaire. Ces conditions étant remplies,
ination de l'acide phosphorique par jour et ce 'qu'elle devient par
période
de quatre et de huit jours. Pour cela, prenons
plusieurs. Pour cela, nous avons examiné pen- dant un eou plusieurs
périodes
alimentaires dix individus sains, vivant à l'as
oyenne de l'acide phosphorique par 94 heures pendant la durée d'une
période
alimentaire chez dix individus sains, vivant ci
osphorique par vingt-quatre heures peut, si l'on tient compte de la
période
alimentaire, varier, suivant les individus, entre
malades suivre le régime ordinaire de l'asile, à tenir compte de la
période
alimentaire et à surveiller qu'ils mangent la p
devient encore plus simple; on n'a, en tenant compte toujours de la
période
alimentaire, qu'à comparer chez lui l'éliminati
ditions de milieu et d'alimen- tation (nous avons tenu compte de la
période
alimentaire) ren- dait en moyenne par vingt-qua
mois, pendant un accès d'agitation, alors que la maladie était à sa
période
d'état et l'intelligence du malade très embroui
res, 0,99, acide phosphorique uni aux alcalis, 1,42. 3° Pendant une
période
de dépression, du 23 au 26 octobre : Azote, 22,
es, 0,C)6; acide phosphorique uni aux alcalis, 0,83. 4° Pendant une
période
de rémission, du 28 octobre au no- vembre : A
9. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 371 5o Pendant une seconde
période
d'agitation (novembre 1879), alors que les trou
acide phosphorique uni aux alcalis, 1,43. 6° Pendant une troisième
période
d'agitation (mai 1880), l'agi- tation étant plu
res. 0,52; acide phosphorique uni aux alcalis, 1,74. 7° Pendant une
période
de rémission (juin 4880) : Azote, 19,S5; acide
res, 0,40; acide phosphorique uni aux alcalis, 1,42. 8° Pendant une
période
de dépression (juin 1880) : Azote, 20,75; acide
res, 0,88; acide phosphorique uni aux alcalis, 0,94. 9° Pendant une
période
d'agitation, à l'époque du déclin de la maladie
'acide phosphorique et que cette influence est variable suivant les
périodes
. A ce dernier point de vue, cette maladie peut
ce dernier point de vue, cette maladie peut être divisée en quatre
périodes
: agitation, dépression, rémission, convalescen
e intensité différente sur chacun d'eux suivant les cas. Pendant la
période
d'état de la maladie, alors que les troubles cé
essort des résultats que nous avons obtenus dans les deux premières
périodes
d'agita- tion que nous avons indiquées. Dans ce
p. 100 au lieu de 35 p. 100 qu'il est à l'état normal. Pendant les
périodes
de déclin de la maladie, alors que les troubles
roportions : 0 gr. 66 et 0 gr. 88 au lieu de 0 gr. 48. Pendant la
période
de rémission, la quantité d'azote éliminé parvi
de manie que nous avons examinés. G.g... est un maniaque qui, à une
période
de convalescence très avancée, rend par vingt-q
. Ce malade rend, 4° sous l'influence d'un accès d'agitation à la
période
dite de la maladie : Azote, 25,12; acide phosph
zote. A ce point de vue, l'état maniaque peut être divisé en quatre
périodes
: agitation, dépression, rémission, conva- lesc
roubles sont superficiels. Dans le premier cas, qui correspond à la
période
d'état de la maladie, l'agitation produit les m
idérablement t augmentés. Dans le second cas, qui correspond à'ia
période
de déclin de la maladie, l'agitation modifie de
c'est dans des proportions beaucoup moins considérables que dans la
période
précédente; L'acide phosphorique est augmenté
espèces de phosphates, mais à l'inverse de ce qui se passe dans la
période
précédente, davantage sur l'acide phosphorique
e augmenté. DE LA NUTRITION DU SYSTEME NERVEUX. 375 i Pendant les
périodes
de rémission : 1° La quantité d'azote éliminé e
l'azote et de l'acide phosphorique n'est pas modifié. ` Pendant la
période
d'agitation, l'acide phosphorique uni aux terre
phorique uni aux terres est augmenté; il en est de même pendant les
périodes
de dépression, tandis que cet acide est diminué
l'augmenta- tion de l'acide phosphorique uni aux terres, dans deux
périodes
aussi dissemblables symptomatologiquement que l
ans deux périodes aussi dissemblables symptomatologiquement que les
périodes
de dépression et d'agitation, prouve d'une mani
l l'agita- tion. Et si on remarque, d'une part, que c'est dans la
période
d'état, alors que les troubles cérébraux sont l
, que l'augmentation de cet acide est plus considérable pendant les
périodes
de dépression que pendant les périodes d'agitat
s considérable pendant les périodes de dépression que pendant les
périodes
d'agitation du déclin de la maladie, alors que le
e uni aux terres, on est obligé d'admettre que la manie, dans les
périodes
d'agitation et de dépression, augmente les échang
e l'acide phosphorique uni aux alcalis qu'on constate pendant les
périodes
d'agitation de la manie ? Cette augmentation, lié
ion de l'azote et de l'acide phospho- rique pendant l'agitation des
périodes
d'état et des périodes de déclin de la manie, o
acide phospho- rique pendant l'agitation des périodes d'état et des
périodes
de déclin de la manie, on retrouve dans les pér
d'état et des périodes de déclin de la manie, on retrouve dans les
périodes
de déclin proportionnellement plus d'acide phos
ainsi qu'il arrive sous l'influence du travail musculaire; dans les
périodes
d'état, au contraire, alors cepen- dant que le
musculaire est mis en activité d'une ma- nière aussi intense qu'aux
périodes
de déclin, l'acide phospho- rique uni aux alcal
tient pas à ce que cet acide est éliminé en moindre quantité qu'aux
périodes
de déclin, c'est l'inverse qui existe ; elle ti
ve la nutrition générale. C'est l'inverse qui se produit dans les
périodes
* de dépres- sion. Ici en effet, nous retrouvons
tème nerveux, influence qui semble se poursuivre encore pendant les
périodes
de rémission et de convalescence; mais nous n'i
ce point. Nous ferons seulement remarquer que, dans la manie, les
périodes
de dépression étant de très courte durée d'une
rée d'une 378 REVUE CRITIQUE. manière absolue et relativement aux
périodes
d'agitation, c'est la suractivité de la nutriti
'azote dans la manie : 1° la manie modifie diversement, suivant LES
PÉRIODES
, l'élimination par LES urines DE l'acide PHOSPH
anie retentit SUR la NUTRITION générale, qu'elle SURACTIVE dans LES
PÉRIODES
d'agitation ET QU'ELLE ralentit dans LES PÉRIOD
URACTIVE dans LES PÉRIODES d'agitation ET QU'ELLE ralentit dans LES
PÉRIODES
DE DÉPRESSION. Lypémanie et acide phosphorique.
dant unepériode de huit jours ; au mois d'octobre 1881, pendant une
période
de quatre jours; au mois de mars 1883, pendant
dant une période de quatre jours; au mois de mars 1883, pendant une
période
de quatre jours; et que, dans tous ces cas, nou
ance au suicide, rend en moyenne par vingt-quatre heures pendant la
période
station- naire de la maladie : Azote, t î,32
dividu est à son état ordinaire, ades attaques, ou bien est dans sa
période
épileptique, nous obtenons les ré- sultats cons
terres, 0,73; acide phosphorique uni aux alcalis, 1,56. Pendant la
période
épileptique : Azote, 20,34 ; acide phosphorique
terres, 0,56; acide phosphorique uni aux alcalis, 1,13. Pendant la
période
épileptique : Azote, 20,32; acide phosphorique
délire chronique de Magnan) peut se développer sans être précédé de
période
mé- lancolique ou maniaque; Griesinger se ralli
es sortes de conceptions baroques et d'actes pervers, il existe des
périodes
de santé relative, des mois durant, pendant les
i. On l'amène à Goerlitz en 1872, où elle séjourne jus- qu'en 1878;
périodes
d'agitationduranttroisàquatremois, suivies de p
denicli. Enfin, en 1880, elle demeure quatre mois à Pirna. En 1881,
période
d'agitation à Vienne; relations avec des artist
fusée. A ce moment, accès d'agitation de quelques mois, suivi d'une
période
d'amabilité et de suractivité intellectuelle do
tant de réprimer les écarts de son affectivité. C'est pendant cette
période
qu'a lieu l'instruction. M. Loehr, tout en exposa
IOGRAPHIE. point de vue les choréiques en deux catégories : dans la
période
où la volonté n'a aucune prise sur les puissanc
de 22 ans, est atteint de phtisie pulmo-naire parvenue à la dernière
période
. 11 présente en outre les signes d'une carie du r
ésentant un seul noyau, s'y montrent accumulés en grand nombre. A une
période
plus avancée, une couche plus ou moins épaisse de
ême dans les régions les plus profondément atteintes, jusque vers les
périodes
ultimes de la maladie. Le développement des lésio
e, 1870, p. 499. généralisation, marquée surtout dans les premières
périodes
, des temps d'arrêts fréquents, suivis de l'envahi
ononcées de la contractilité élec-trique ; habituellement, enfin, une
période
cle retour survient, pendant laquelle les muscles
d'une femme morte, dans cet hospice, pendant le cours de la première
période
de l'ataxie 1. Kolliker. — Histologie humaine,
ravail de réaction, d'élimination, suivi, dans les cas heureux, d'une
période
de réparation trop souvent entravée dans son déve
eux, car vous devez vous attendre à les voir figurer souvent dans la
période
ultime d'un grand nombre d'affections du cerveau,
du chiffre thermique. Cet abais-sement a pu être observé à toutes les
périodes
de l'affection du nerf; on l'a constaté aune époq
l'a constaté aune époque voisine du début (2), plus souvent dans les
périodes
avancées (3). Pour ce qui a trait aux 1. Horner
mentaux de la paralysie agitante. — C'est une maladie de la seconde
période
de la vie. — Ses symptômes. — Modifications de la
n et à la rétropulsion. — Début; ses modes; il est lent ou brusque. —
Période
d'état. — Le tremblement respecte la tête et le c
— Influence de la nature des convulsions (stati-ques ou dynamiques).
Période
terminale. — Confinement au lit. Troubles de la n
soit, elle trouve sa place naturelle dans les maladies de la seconde
période
de la vie. Mais ce serait aller trop loin que de
ttre plus de clarté dans notre description, nous établirons plusieurs
périodes
que nous caractériserons les unes après les autre
qu'ait été le mode de début, de un à deux ou trois ans environ. C.
Période
d'état. Lorsque la paralysie agitante a acquis so
parties plus ac-cusées, plus larges que d'autres. Plus tard, vers la
période
d'état, par exem-gle, les altérations de l'écritu
force dynamométrique est aussi réelle chez deux de nos malades, à une
période
relativement peu avancée de la paralysie agitante
où prédomine le trem-blement. (B.) car on la voit quelquefois aune
période
peu avancée de la ma-ladie,alors quel'inclinaison
au n° 22 de la salle Saint-Alexandre. Getle femme est parvenue à une
période
plus avancée de la paralysie agitante que les deu
un temps plus ou moins long ; puis, tôt ou tard, on voit survenir une
période
qui précède l'issue fatale, et 1. Cinq cas nouv
qu'il a employé. 'Note delà 2" édition . que l'on pourrait appeler
période
terminale. L'affection pour-suivant sa marche, la
aitement exact, ainsi que l'ont annoncé plusieurs auteurs, qu'à cette
période
terminale, on voit souvent diminuer et même cesse
us longue. Elle peut durer trente ans ; les symptômes de la troisième
période
seuls, ainsi que j'en ai été témoin, peuvent se p
ique. Sommaire. —Historique de la sclérose en plaques disséminées :
Période
fran-çaise ; — Période allemande; — Nouvelles rec
orique de la sclérose en plaques disséminées : Période fran-çaise ; —
Période
allemande; — Nouvelles recherches françaises. A
laire que j'ai eu l'occasion d'observer, ont présenté, à une certaine
période
de l'affection, un faciès vraiment particulier. L
e chez V... que très récem-ment : elle est, en effet, un symptôme des
périodes
avancées de la maladie. Toujours, dans l'évolutio
ignés dans un certain nombre d'observations que j'ai réunies et où la
période
parétique s'est développée suivant les conditions
s fulgurantes, qui jouent un rôle si prédominant dans les premières
périodes
de l'ataxie locomotrice progressive, font ici déf
as d'emblée, sans transition, à laparésie. A une certaine époquede la
période
parétique, on voit se reproduire, soit spontanéme
porairement, de concert avec la rigidité, même pendant le cours de la
période
parétique, sous l'influence d'un ou de plusieurs
ON Des attaques appoplectiformes dans la sclérose enpla-ques. — Des
périodes
et des formes. — Physiologie pathologique. — Etio
— Impor-tance de la température ou point de vue du diagnostic. Des
périodes
dans la sclérose en plaques. —Première, seconde e
périodes dans la sclérose en plaques. —Première, seconde et troisième
périodes
. — Symptômes de paralysie bulbaire. — Des formes
lever encore progressivement pendant toute la durée de l'accès. DES
PÉRIODES
ET DES KOKMES DAISS LA SCLÉROSE EN PLAQUES. Mes
ultiloculaire lorsqu'il s'agit d'un cas complet et parvenu déjà à une
période
avancée de son cours, il convient de montrer, par
posé d'établir, dans le développement progressif de la maladie, trois
périodes
: la première s'étend de l'instant où apparaissen
ns oulfrent d'une manière sensible. Il y aura lieu, à propos de cette
période
ultime, de relever les accidents, qui, dans l'ord
s de la maladie et précipitent la terminaison fatale. 1. Première
période
.— Le mode d'invasion et d'enchaînement des symptô
lui donnant tous les développements qu'il comporte. II. Deuxième
période
. — En général, dès la fin de la première période,
te. II. Deuxième période. — En général, dès la fin de la première
période
, la sclérose multiloculaire se présente déjà doué
chambre ou même au lit. La contracture qui signale le début de cette
période
est unphénomènepresque toujours très tardif; ilne
premiers accidents de la sclérose multiloculaire. III. Troisième
période
. —Le commencement de cette dernière période est m
laire. III. Troisième période. —Le commencement de cette dernière
période
est marqué, ainsi que je vous l'annonçais, par l'
de ne s'exprime plus que par un grognement 1. C'est surtout à cette
période
de la maladie que Ton peut voir survenir des in
er la terminaison fatale avant même que les phénomènes de la dernière
période
se soient manifestés. En même temps que la parole
, je crois, pour vous convaincre, Messieurs, que, dans cette première
période
, la simulation a été impossible. Mes amis, MM. Br
grammes : moyenne, 2 grammes 50 en vingt-quatre heures. Pendant cette
période
, l'ischurie a été absolue de deux jours l'un (Pl.
les deux phénomènes. Quel a été l'état général pendant cette longue
période
de quatre mois qu'a duré l'observation ? A aucune
chappé. Voyons succinctement ce qui s'est passé dans cette deuxième
période
. Après une rémission plus ou moins complète des s
rie des 1. Etch.... a offert, cette année môme (1875), une nouvelle
période
d'ischurie hystérique. En examinant le tracé (Pl.
à quatre litres d'urine, renfermant 27 grammes d'urée.— Pendant cette
période
, Etch.... n'a pas présenté de vomissements par où
nts par où l'urée ait pu s'évacuer, comme cela avait eu lieu dans les
périodes
dont il est question dans la leçon (Voir, à ce pr
elle-ci : chez notre malade, l'anurie complète n'a jamais dépassé une
période
de dix jours. Or, d'après les explications qui pr
par les vomissements, a sans doute frappé votre attention. Durantune
période
de douze jours, avons-nous dit, elle n'a rendu qu
l'état de la fonction urinaire et les vomissements. Dans une première
période
de temps comprise entre le 9 et le 16 septembre,
qu'elle prend pendant les quatre derniers jours. » Dans une seconde
période
comprenant neuf jours (du 18 au 26 septembre ) la
spendue dans les sept jours qui suivent. » Enfin dans une troisième
période
qui dure quatre jours (du 27 au 30 sept.), nous v
issance sur le tombeau du diacre Paris, mort en 1727, a présenté deux
périodes
bien distinctes (2). La première a été remarqua
accusés. Quant aux attaques elles-mêmes, elles se composent de trois
périodes
: a) convul-sions tétaniformes, épileptiformes, é
s, écume; — b) grands mouve-ments du tronc et des membres inférieurs (
période
des contor-sions) ; dans ce temps la malade prono
nt d'accidents épileptiformes; C... se mord la langue, écume, etc. La
période
des contorsions vient ensuite et est très accentu
ce qui concerne les attaques elles-mêmes, elles se divisent en trois
périodes
: 1° convulsions épileptiformes, écume et stertor;
uis, grands mouvements des membres et de tout le corps; — 3° enfin,
période
de délire, pendant laquelle elle raconte tous les
eur déterminée par Fig. 19. —Attitude de Ler... pendant l'attaque :
période
des contorsions. (Fac-similé d'un croquis fait d'
, et, alors, con- Fig. 20. — Attitude de Lér... pendant l'attaque :
période
des contorsions. (Fac-similé d'un croquis fait d'
yantes, rappelle les attitudes que l'histoire prête aux démoniaques. [
Période
des contorsions (Fig. 19,20 et 21.)] A ce moment
allaque, elle est en proie Fig. 21. — Attaque hystéro-épileptique. —
Période
des contorsions. (Dessin fait par M. P. iticher,
21 mai pouvait se résumer ainsi qu'il suit : rétention d'urine, avec
périodes
d'ischurie, depuis neuf ans; — contracture du mem
int sur lequel je veux sur-fout insister'.jamais pendant cette longue
période
convulsive la température rectale ne s'est, chez
lte jeune fille présenter journellement dans cet hospice, pendant une
période
de près de deux années, de la à 17 ans environ, e
des convulsions épileptiformes généralisées, ter-minée par une courte
période
de stertor ; 2° Phase clonique par excellence oud
des passionnelles ou, si vous l'aimez mieux, des poses plastiques. La
période
du délire consécutif à la crise si prononcée chez
lesphénomènes de l'attaque quels qu'ils soientet qu'elle que soit la
période
durant laquelle la manœuvre est pratiquée. J'en
cylindres axiles opposent à l'enva-hissement de la lésion, mêmes aux
périodes
avancées de la maladie, résistance que M. Charcot
tion de l'attaque complète. — L'attaque complète se compose de quatre
périodes
; elle est précède de prodromes. a) Quelques jou
nte description sont pour la presque totalité atteintes Yovarie. 1°
Période
épilepioïde, — Elle peut ressembler et ressem-ble
er les convulsions de l'épilepsie vraie. Il y a lieu de diviser cette
période
épileptoïde en trois phases : a) Phase tonique.
eront donné à l'aide dumyographe de Marey, le tracé de cette première
période
de l'attaque (1). 1. Études graphiques sur l'at
ique, par Regnard ctlli-ehei\ [Revue Mensuelle, septembre 1878). 2°
Période
des contorsions et des grands mouvements. Clownis
Après un moment de calme assez court qui. suit le stertor, la seconde
période
commence. Elle est cons-tituée par deux ordres de
la porte à se frapper, à se mordre ou à s'ar-racher les cheveux. 3°
Période
des attitudes passionnelles. —L'hallucination pré
ssionnelles. —L'hallucination préside manifestement à cette troisième
période
. La malade entre elle-même en scène et par la mim
es assassinats, etc. ; presque toujours, il y a du sang répandu. 4°
Période
terminale. Enfin la malade revient au monde réel.
. L'attaque régulière, l'attaque type, ainsi composée de ces quatre
périodes
, offre une durée moyenne d'un quart d'heure ; mai
religieux et prophétique qui se rattachent clairement au délire de la
période
terminale de l'attaque. Un point d'étude, d'un
a manifestement trait aux convulsions épileptiformes cle la première
période
: « La face se gontle... Les mâchoires se serre
a là, pour le moins, une ébauche de la pé-riode épileptoïde ? La 2e
période
semble constituer à elle seule la plus grande par
qui accompagnent souvent les mouvements désordonnés de cette seconde
période
: « Il est cependant un certain nombre d'hystér
e du désordre qu'elles présentent. Les membres un instant raidis (lrc
période
) se tordent convulsivement, se projettent en dive
qu'elles font pour en arracher l'obstacle qui les étouffe. » La 3e
période
ou période des attitudes personnelles n'estpas mo
ont pour en arracher l'obstacle qui les étouffe. » La 3e période ou
période
des attitudes personnelles n'estpas moins netteme
.. des hallucinations.., des extases... » Enfin, le délire de la 4e
période
n'a pas non plus échappé à la sagacité de ces obs
u moment où cette expression s'efface (l'expression passion-née de la
période
précédente), on voit les yeux s'humidifier, puis
uivant deux modes principaux : 1° par extension ou prédominance d'une
période
aux dépens des autres lorsqu'elles s'atténuent ou
t la catalepsie par exemple. A. Variétés par prédominance d'une des
périodes
. — lre Variété. —Forme ép ileptoïde. L'attaque hy
se trouve,dans cette variété, réduite en quelque sorte à la première
période
, à l'exclusion plus ou moins complète des autres
ns l'intervalle des accès épileptoïdes paraître un lambeau des autres
périodes
qui vient s'intercaler ôn quelque sorte. Ce sera,
rinci-palement constituée par la prédominance des phénomènes de la 2e
période
, clownisme,grands mouvements, et l'atténuation de
2e période, clownisme,grands mouvements, et l'atténuation des autres
périodes
. Les contorsions prennent un développement exagér
reux, des accès de rage, complètent l'horreur de ce tableau. — La lre
période
épileptoïde est le plus souvent représentée, dans
lques-uns de ces phénomènes convul-sifs particuliers, mais les autres
périodes
font d'habitude complètement défaut. 3e Variété
inhalations d'éther. Elle est constituée par lapré-dominance de la 3e
période
ou des attitudes passionnelles, pré-cédées parfoi
ulisme viennent compliquer l'attaque, ils succèdent à la l'e ou la 2e
période
, remplaçant la 3e période ; ou bien ils s'interca
l'attaque, ils succèdent à la l'e ou la 2e période, remplaçant la 3e
période
; ou bien ils s'intercalent entre deux phases épi
eprésente les variations de la quantité d'urine et d'urée pen-dant la
période
d'ischurie hystérique observée chez Etch... (Leço
se tenir toujours aux envi-rons de la normale. Pendant toute cette
période
d'ischurie, l'alimentation de la malade a été fai
amentaux de la paralysie agitante. — C'est une maladie delà seconde
période
de la vie. — Ses symptômes. — Modifications de la
n et à la rétropulsion. — Début: ses modes: il est lent Ou brusque. —
Période
d'état. — Le tremblement respecte la tête et le c
— Influence de la nature des convulsions (stati-ques ou dynamiques).
Période
terminale. — Confinement au lit. Troubles de la n
que. Sommaire. — Historique de la sclérose en plaques disséminées :
Période
fran-çaise ; — Période allemande ; — Nouvelles re
orique de la sclérose en plaques disséminées : Période fran-çaise ; —
Période
allemande ; — Nouvelles recherches françaises.
— Impor-tance de la température ou point de vue du diagnostic. Des
périodes
dans la sclérose en plaques. —Première, seconde e
riodes dans la sclérose en plaques. —Première, seconde et troisième
périodes
. — Symptômes de paralysie bulbaire. — Des formes
Pouls et température, 254. Attaque hystérique : Description, 435. —
Période
épileptoïde, 537; P. des contorsions et des grand
énéraux de la —, 161. — Début, ses modes, 164, 166, 410, — Symptômes,
période
d'état, 166, 410. — Caractères du tremblement, 16
tremblement, 172, 414. — Sensa-tions pénibles dans la —. 176, 413, —
Période
terminale, 179. — Ter-minaisons, 180. — Anatomie
ig. 5. — Bâillements par imitation chez une hystérique placée dans la
période
du somnambulisme auprès de Ler..... Ainsi von
is signaler encore que le retour fréquent des bâillements pendant les
périodes
d'amorphinisme pourrait contribuer à révéler l'ex
produisaient quelquefois presque sans cesse et sans trêve pendant une
période
de vingt-quatre heures. Evidemment, il s'agissait
aisant apparaître chez elle le phénomène somatique qui caractérise la
période
en question. Un simple frôlement d'un membre, une
u quatre heures et qui semblent à peu près toujours inaugurés par une
période
prodromique marquée par des symptômes qui rappell
effet dure depuis cinq ans déjà, ayant présenté pendant cette longue
période
des hauts et des bas. La douleur aujourd'hui étan
ues : Leçons sur les maladies du système nerveux, t. III p. 322. Io
période
épileptoïde ; 28 période des grands mouvements; 3
dies du système nerveux, t. III p. 322. Io période épileptoïde ; 28
période
des grands mouvements; 3° attitudes passionnelles
ut d'une vingtaine de jours, de sa chorée molle, sans repasser par la
période
des mouvements convulsifs. Elle a malheureusement
son état mental pouvait être comparé à celui des hypnotiques dans la
période
somnambulique. Les dissertations faites autour de
le n'a pas cessé de dormir chaque année une ou deux fois, pendant des
périodes
de un ou deux, quelque fois trois mois, rappelant
uses, les points hystérogènes dont l'excitation dans l'intervalle des
périodes
de sommeil est capable de faire éclater les accès
enant des attitudes et en prononçant des paroles très significatives (
période
des attitudes passionnelles). Ainsi l'on peut dir
x animaux en hibernation, et qui leur permettent de vivre pendant une
période
de temps relativement longue sans s'alimenter, du
ats s'accompagnent de phénomènes somatiques correspondants. Seule, la
période
dite léthargique de ce genre d'hypnotisme caracté
ée. Ceci rappelle jusqu'à un certain point ce que l'on voit dans la
période
cataleptique de l'hypnotisme. Mais entre les deux
s membres inférieurs a été absolument complète. Il y a eu plusieurs
périodes
de relèvement et de rechutes successives, enfin l
a démarche du steppeur était déjà manifeste en 1882. Pendant toute la
période
d'activité du mal, un certain nombre de symptômes
l n'y a point manqué, en eftet, et souvent, surtout dans une certaine
période
de sa vie, ses excès ont été véritablement énorme
rapporter à l'abus des boissons alcooliques. On note pendant cette
période
qui s'étend jusqu'en 1887, date de l'entrée à l'h
royons pouvoir affirmer, en nous fondant sur l'histoire des premières
périodes
de la vie de notre malade qu'il a été frappé de t
c'est la règle, sur les extenseurs des pieds ; puis à l'époque de la
période
régressive, le phénomène du pied tombant ainsi qu
connaître, dans l'histoire pathologique de B...ot l'existence de deux
périodes
successives : l'une, la première, marquée par la
avec issue fatale; le D'Dickinson, à Saint-Georges hospital, pour une
période
de 31 ans,16 cas ; a l'hôpital des Enfants malade
période de 31 ans,16 cas ; a l'hôpital des Enfants malades, dans une
période
de 15 ans, on n'en a pas compté plus de 6 cas.
plusieurs mois avant que celle-ci n'ait paru, autrement dit, dans la
période
précomi-tiale. Les secousses peuvent permettre al
, p. 129. mais encore le souvenir de ce qui s'est passé pendant une
période
de temps, plus ou moins longue, antérieurement à
ar jour. Dès les premiers jours le mal est fait: bientôt survient une
période
de réparation pendant laquelle les éléments nerve
muscles reviendront sur ce membre à l'état normal. En général, cette
période
de réparation, de reconstitution évolue en trois
rétrocession s'est lui-même arrêté. C'est alors qu'est constituée la
période
des infirmités. Le membre affecté, considé- 21
plus guère d'espoir de voir se produire quelque retour favorable. La
période
d'infirmité est donc définitivement constituée.
ment moins rare lorsque la paralysie spinale frappe les adultes. La
période
de rétrocession a commencé au bout de 15 jours ;
fait remarquer, il y a quinze ou seize ans, figurent souvent, dans la
période
aujourd'hui dite préataxique, parmi les symptômes
uellement, ainsi que je vous le ferai reconnaître dans un instant. La
période
préataxique est close. L'incoordination motrice e
rite optique. Alors, même quand la lésion du nerf en est arrivée à la
période
atrophique,il est généralement facile encore de d
sement inégal qui se voit dans l'atrophie tabétique et aussi dans les
périodes
avancées de l'atrophie par névrite optique. Il fa
vous l'avouerez une bonne course. Et, messieurs, pendant cette longue
période
de dix-neuf années, il n'y aeuà observer rien d'a
he. Je puis le garantir, ayantsaisi maintes fois pendant cette longue
période
de temps, presque chaque année une fois, l'occasi
atant de trois ans, et, ayant persisté au plus haut degré pendant une
période
d'une année puisse guérir ainsi sans laisser de t
ologiques : mais, la ménopause, vous ne l'ignorez pas, représente une
période
de la vie particulièrement favorable au développe
connaître l'existence du mal vertébral tuberculeux dans les premières
périodes
de son évolution,alors par exemple que la gibbosi
sont manifestés lentement, progressivement, successivement durant une
période
de trois mois et ils ne se sont pas démentis un s
atorze cas d'ataxie locomotrice traités par la suspension pendant une
période
moyenne de trois mois,nous notons,dans dix cas un
sans atténuation,pendant une quinzaine de jours. Pendant cette longue
période
, le pauvre homme n'a pas cessé, pour ainsi dire,
et sans trêve. Il y a lieu de relever encore, pendant cette longue
période
de vertige permanent, la présence d'une diplopie
e s'était produit aucune amélioration sensible pendant cette première
période
. On recommença l'emploi du sulfate de quinine à
s, en tout semblable à celle qui s'était produite lors de la première
période
du traitement. Mais cela ne dura point; à partir
e la fièvre; celle-ci s'est montrée maintes fois pendant cette longue
période
, par séries de 15, 20 jours et plus, marquée par
, peut, dans la maladie de Basedow, s'établir même pendant de longues
périodes
sans conduire à mal et nous voilà quelque peu ras
les symptômes paraplégiques, s'accusant d'abord de temps à autre, par
périodes
suivies de rémissions durant lesquelles se montra
des attaques vulgaires. Les choses restent telles quelles pendant une
période
de temps variable qui, chez notre sujet, ne dépas
ne forme grave. Depuis cette époque en effet, c'est-à-dire durant une
période
de six mois, les crises nerveuses, avec les troub
airement ainsi que les autres symptômes qui l'accompagnent pendant la
période
qui suit immédiatement les repas. — Idées sombres
, il resta là, au lit, pendant une huitaine de jours, et durant cette
période
, une conjonctivite de l'œil gauche et une certain
ouvons l'étudier aujourd'hui, trois mois environ après le début de la
période
d'état. Ainsi que nous l'avons annoncé, les sym
ant de Vhystérie. Le blépharospasme et le spasme glosso-labié de la
période
préparatoire ont actuellement complètement dispar
température rectale moyenne a été de 37,4. Antérieurement, durantla
période
des vomissements incoercibles les pesées avaient
e à la suite d'un traumatisme insignifiant, précédé cependant par une
période
d'incubation ; le caractère, au moins dans le gen
ortir de l'hôpital, se croyant complètement guéri. Ici commence une
période
qu'il serait fort intéressant de pouvoir étudier
ercice d'une profession manuelle, occupent seuls la scène pendant une
période
de près de six mois, et tout à coup, sans inciden
Fig. ¡64. — 12ïdécembre ¡1888. d a Fig. 65. — 23 janvier 1889.
période
de plusieurs mois avant l'apparition des symptôme
ordre neurasthénique qui seuls ont régné chez notre homme pendant une
période
de plus de douze mois. Il semble que chez ces nat
à la manière d'un automate et ne reprend sa lucidité qu'au bout d'une
période
de temps dont la durée peut varier de quelques he
t ainsi de suite sans interruption même d'un jour, pendant une longue
période
de temps, 6 mois pour commencer. Cette prescripti
n soit, à partir de ce quatrième accès, la maladie pendant une longue
période
de quatorze mois n'est plus représentée désormais
ord et éloignés,disparaissent ensuite complètement pendant une longue
période
de temps; on cesse d'administrer le bromure et vo
dicament immédiatement et en continuer désormais l'emploi pendant une
période
de temps indéterminée. Les doses seront ce qu'ell
nts du côté droit. Craignant d'avoir fait quelque bévue pendant cette
période
d'inconscience, elle déshabille l'enfant qu'elle
'a pu jusqu'ici se rappeler rien de ce qu'elle a fait pendant cette
période
qui a été de cinq heures et demie environ, de 2 h
emblent parfaitement adaptés à un but. Il est vrai que la durée de la
période
automatique n'a pas dépassé cinq heures dans le c
lsion morbide à la déambulation, ont, comme chez Men..s, embrassé une
période
de plusieurs jours, huit jours dans quelques cas.
e remarquer tout d'abord que, à son sujet, nous en sommes encore à la
période
des informations (1), les observations régulières
ption delà grande attaque hystero-épileptique, nous avons appelé « la
période
des attitudes passionnelles » (troisième phase de
ndu somnambulisme spontané des hystériques n'est autre chose que « la
période
des attitudes passionnelles » prolongée au delà d
ils se sont établis pour ainsi dire en permanence pendant une longue
période
de cinq années, s'exaspérant seulement de temps à
si particuliers peuvent permettre d'établir le diagnostic pendant la
période
souvent fort longue, qui, dans la règle, précèdeF
du tabès, appartiennent fort souvent, le plus souvent peut-être, à la
période
de la maladie où l'ataxie motrice n'a pas encore
taxie motrice n'a pas encore paru et que j'appelais, à l'époque, la «
période
des douleurs fulgurantes ». On a proposé tout réc
aux troubles locomoteurs,la dénomination beaucoup plus appropriée de
période
préataxique'à laquelle je souscris bien volontier
s à la Salpêtrière, t. II,'1" partie. 2. A. Fournier, Leçons sur la
période
préataxique du Tabès, 1885. symptômes — crises
se terminent également tout à coup. Ainsi, nuit et jour, pendant une
période
de temps qui peut s'étendre à trois, cinq, huit,
s souvent à peu près la même pour chaque cas particulier, pendant une
période
de temps qui peut s'étendre à trois, quatre, cinq
itre des anomalies. 5° Lorsqu'elles se montrent dans le cours de la
période
préataxique, les crises gastriques du tabès se tr
iées aux autres syndromes de la série tabétique qui remplissent cette
période
, et cette circonstance contribue, avec les caract
vé dans l'observation que, après avoir vomi nuit et jour, pendant une
période
de cinq ou six jours, le malade s'écriait tout à
dans l'évolution du tabès, et précédant, presque isolées, pendant une
période
de trois, quatre, cinq ans, l'apparition de î'ata
atre, cinq ans, l'apparition de î'ataxie, ne sont pas chose rare. Une
période
de- six ans ne dépasse donc pas la mesure du poss
façon à sévir pour ainsi dire, sans cesse et sans trêve, pendant une
période
de plusieurs mois, neuf mois dans un cas de M. Bu
symptômes qui surviennent de temps et autre, et contrastent avec des
périodes
d'apaisement. II En ce qui concerne les crise
de telle sorte que je n'étais tout à fait tranquille que pendant une
période
de quinze à vingt jours chaque mois puisque, comm
s celle de Vulpian, le vomissement noir n'apparaît jamais que dans la
période
des crises ; cela n'est-il pas de nature à faire
r qui semble avoir été entretenue avec persistance pendant une longue
période
de trois années. Il me paraît, que cette assertio
ofthe legs) qu'on observe si fréquemment chez les tabétiques dans la
période
préataxique. Dans la marche ces troubles atteig
ur ces matières nous n'en sommes encore, à beaucoup d'égards, qu'à la
période
des études préparatoires. Mais je crois avoir i
haut degré. Cependant,cette perte de conscience prolongée pendant une
période
de trois jours, peut-elle être considérée comme a
sursaut, tout épouvanté. A partir de cette époque, pendant une longue
période
de huit ou dix ans, presque toutes les nuits, ce
'exposé des suites de cet accident, au moment où le malade, après une
période
amnésique que nous avons considérée comme relev
e par l'action de sinapismes qui lui avaient été appliqués pendant la
période
comateuse. Ces brûlures avaient été recouvertes d
aujourd'hui, n'avaient pas cessé même un instant d'exister durant une
période
d'environ trois mois. Vous me demanderez mainte
de; ils nous ont été communiqués par son beau-frère, qui durant cette
période
l'a suivie de près. Ce furent des Iroubles intell
uis et que nous allons retrouver par la suite. Pendant cette longue
période
de dix années, les excès alcooliques n'ont pas ma
et classée des attaques hystéro-épileptiques, consistant en ce que la
période
dite épileptoïde se présente à l'état d'isolement
tôt de la jambe droite, tantôt de ces divers points en même temps. La
période
épileptoïde est en général très courte ; le perte
urs mois, absolument complète. Puis est survenue,suivant la règle, la
période
de rétrogression ou de rétrocession, comme vous v
, un instant frappé de paralysie complète, s'était cependant, dans la
période
de rétrocession, à peu près complètement dégagé.
a vie en exerçant sa profession de bijoutier, et pendant cette longue
période
il n'avait éprouvé aucune maladie, aucune indispo
nen. Pig. 86, — Mouvements de salutation. sens qu'il présente une
période
de convulsions toniques puis de convulsions cloni
Fig. 87. — Arc de cercle. Emprosthotonos. Voici enfin la troisième
période
, celle des attitudes passionnelles, comme je l'ap
contraire que Fig. 90. — Periode der Hallucinationen. Fig. 91. —
Période
der Hallucinationen. l'urée a diminué. On n'a p
hystérie ou de la morphinomanie ? Des deux peut-être. Nous appelons
périodes
d'euphorie les périodes pendant lesquelles le mal
nomanie ? Des deux peut-être. Nous appelons périodes d'euphorie les
périodes
pendant lesquelles le malade n'éprouve pas le bes
espace convenablement ses piqûres et s'arrange de façon à ce que les
périodes
d'euphorie se confondent les unes avec les autres
arquée, aucune gêne, il ne profère aucune plainte. Mais lorsque les
périodes
d'euphorie sont séparées par des entr'actes d'amo
l faut bien connaître. Notre malade est, en ce moment, au début de la
période
de besoin. Elle s'annonce chez lui entre autres p
apparaît quand l'alcoolique est à jeun d'alcool, il se montre dans la
période
d'amorphinisme et s'apaise après la prise du médi
lement rapide au premier chef. Il persiste, mais très faible, dans la
période
d'euphorie. Dès que le besoin de morphine se fait
ction.)^«g-j] g Voici ce qui se passe le plus communément, dans les
périodes
amorphini-ques. Le malade accuse des sueurs froid
connaissance, et son intelligence resta intacte pendant les diverses
périodes
de l'accident. » « Un matelot à bord de la remo
: examinez comparativement les deux malades pendant une assez longue
période
de temps, et vous reconnaîtrez que chez Ch..., la
., on les voit de temps en temps, s'arrêter complètement, pendant une
période
de 4r5 minutes et même plus. J..., par un effor
ne put pas quitter le lit. Les accidents nerveux, au bout de cette
période
, s'étant amendés, il voulut un matin, se croyant
on n'ont été possibles qu'avec le secours de béquilles. Puis vint une
période
où la marche pouvait s'exécuter simplement à l'ai
tes, et qui, elle aussi, se répéta à peu près incessamment durant une
période
de deux ou trois jours. Au bout de ce temps, les
it dans les cas ou l'abasie, après s'être montrée absolue pendant une
période
de temps plus ou moins longue, commence à s'amend
e départ de tous les désordres, mais l'absence bien constatée de la «
période
douloureuse » au début de la maladie avait bien v
ans l'histoire passée de notre malade. Cette histoire comporte deux
périodes
distinctes. La première a commencé il y a, trois
es blessures, c'est-à-dire pendant une dizaine de jours. Durant cette
période
, il se plaignait surtout de ne pouvoir pas dormir
ection dont elle a souffert et qui l'a immobilisée au lit pendant une
période
de plus de vingt-quatre mois. Mais je pense que s
a poitrine. Il y a donc eu peut-être une participation dorsale. Cette
période
douloureuse a duré six mois ; puis s'est développ
amais été qu'ébauchée, c'est-à-dire que les accidents de la troisième
période
ne se sont pas complètement accusés ; mais, par c
de-chaussée humide. L'affection a débuté il y a quatre ans. Après une
période
douloureuse classique de six mois, il s'est dével
développé une paraplégie cervicale atrophique, et enfin la troisième
période
n'a été qu'esquissée et a été caractérisée par un
t automatisme ambulatoire, 317. — et epilepsie, 322. Amorphinismf, (
Périodes
d'), 431. Amyotrophie. (Voy. Atrophie musculair
Etat mental. {Voy. Mental (Etat.) eulenbourg, 164,166. Euphorie (
Périodes
d'), 431. Extenseurs (Paralysies des), 84. F
ntagion, 254. — (Dangers de 1'), 247. — et Hystérie mâle, 100, 380. —
Période
de léthargie, 70. — (Restriction de 1'), 255. — S
69. — Paralysie, 521. — Paraplégie (diagnostic avec Fabasie), 366. — (
Périodes
de la grande attaque), 33. — (Signe de Todd dans
sq. — Diarrhée, 432. —Hystérie, epilepsie, 420 ^sq. — Importance des
périodes
au point de vue diagnostic, 433. — Périodes d'amo
420 ^sq. — Importance des périodes au point de vue diagnostic, 433. —
Périodes
d'amorphinisme, 431. — Périodes d'euphorie, 431.
es au point de vue diagnostic, 433. — Périodes d'amorphinisme, 431. —
Périodes
d'euphorie, 431. — Sueurs, 432. — Traitement, 433
(Infirmités résultant de la), 143. — (Lésions de la) 141, 142, 408. —
Période
de réparation, 143. — Réactions électriques, 143.
k, 110. Peltier, 446. Persécution (Idées de) dans la chorée, 105.
période
préataxique du tabes, 333. Personnalité (double
radiculai-res, 182. — Traitement, 177. Powell, 110. Préataxique (
Période
) du tabès, 156. Prévost, 141. Progression (Vari
ice 157. — Inégalité pupil-laire, 158. — Parésie vésicale, 155, 157.—
Période
préataxique, 333. — (Rachialgie dansle), 153. —
nsuffi-sante, et nous croyons pouvoir affirmer que, dès les premières
périodes
de l'ataxie, alors même que la maladie, encore à
postérieurs. Type classique de l'ataxie locomotrice progressive. —
Période
prodromiquc ou des douleurs fulgurantes. — Périod
ice progressive. — Période prodromiquc ou des douleurs fulgurantes. —
Période
de la maladie constituée ou de l'incoordination t
Période de la maladie constituée ou de l'incoordination tabétique. —
Période
paralytique. Des douleurs fulgurantes. — Leurs
rice, qu'on suppose évoluer d'une façon normale, un certain nombre de
périodes
. On en reconnaît, en général, trois principales.
onnaît, en général, trois principales. La première a reçu le nom de
période
prodromique. Pour-quoi prodromique ? L'appellatio
ent, la lésion est constituée, visible. Et d'ailleurs, conçoit-on une
période
prodromique susceptible de s'étendre à de nombreu
8, 10, 12, 15 ans par exemple ? Peut-être vaudrait-il mieux l'appeler
période
des douleurs fulgurantes. Ces douleurs, en effet,
t pas absolument constant. Quoi qu'il en soit, la maladie, dans cette
période
, est représentée cliniquement par deux ordres de
ntés, à cette époque, par les douleurs fulgurantes. Dans la seconde
période
, dite de la maladie constituée, et qui pourrait r
de la maladie constituée, et qui pourrait recevoir la désignation de
période
dincoordination motrice, le tableau clinique se c
au clinique se compose, en premier lieu, des symptômes de la première
période
, en proportion variée ; ainsi les symptômes cépha
s parties profondes : muscles, articulations, os, etc. La troisième
période
mériterait peut-être la qualification de période
etc. La troisième période mériterait peut-être la qualification de
période
paralytique. En même temps que la plupart des aut
ype. V. Attachons-nous, en premier lieu, à l'étude de la première
période
. C'est alors qu'il importe surtout de reconnaître
ou même 20 ans. D'ailleurs, elle s'arrête parfois d'elle-même à cette
période
, sans jamais pousser plus loin, mais aussi sans r
Mais de tous les symptômes viscéraux qui peuvent se montrer dès la
période
des douleurs fulgurantes, un des plus remarquab
uls sans fièvre est d'ailleurs un fait très commun, dès les premières
périodes
de l'ataxie, et en dehors des crises gastriques e
es lésions variées des nerfs crâniens et bulbaires. Dès les premières
périodes
, ainsi que nous l'a-vons dit déjà, les douleurs f
la papille dans ces deux formes ou, si vous le voulez, dans ces deux
périodes
de la névrite optique, et opposons-les aux caract
ne tumeui occupant le lobe occipital et un cas d'ataxie à la première
période
? Ce sont deux maladies qu'on ne rapproche pas d'h
anoma-lies qui se présentent le plus habituellement dans la première
période
de l'ataxie locomotrice progressive. T 1. J
astriques d'autres affections vis-cérales qui peuvent encore, dans la
période
des douleurs ful-gurantes, coexister seules avec
de la participation du grand sympathique cervical. Dès la première
période
de l'ataxie, il est commun d'obser-ver une inégal
hie en question est toujours un phénomène précoce, c'est-à-dire de la
période
initiale de la ma-ladie spinale ; et, pour précis
prend place, du moins en général, à une époque intermédiaire entre la
période
dite prodromique et la période d'incoordination.
l, à une époque intermédiaire entre la période dite prodromique et la
période
d'incoordination. Si l'affection apparaît quelque
m-plètement. A ces phénomènes peuvent s'adjoindre, surtout dans les
périodes
plus avancées de l'afîeclion, un certain nombre d
ncéreux. La pachyméningite cervicale hypertrophique, dans la première
période
, s'accompagne, elle aussi, de douleurs assez anal
infantile.— Elle sera considérée comme maladie d'éludé. — Symptômes:
période
d'invasion, ses modes; — seconde période ou ré-gr
aladie d'éludé. — Symptômes: période d'invasion, ses modes; — seconde
période
ou ré-gression des symptômes avec localisation de
logique de la paralysie infantile. — Lésions des muscles aux diverses
périodes
; surcharge graisseuse. — Lésions du système ner-
larté, nous recon-naîtrons dans notre description l'existence de deux
périodes
. Première période. 1° Le mode d'invasion de la
trons dans notre description l'existence de deux périodes. Première
période
. 1° Le mode d'invasion de la paralysie in-fantile
els sont, Messieurs, les caractères les plus saillants de la première
période
delà paralysie infantile ; je vous demande la per
bsence d'escarres ou d'autres troubles trophiques cutanés. Deuxième
période
. Messieurs, la régression des symptômes, dont nou
ou dix mois après le début, époque qui marque la terminaison de cette
période
rétrograde, les muscles qui n'ont pas recouvré le
ou même de quelques semaines. Il est d'autres cas enfin où, dans la
période
de régression, il se produit des temps d'arrêt ou
est là un sujet qui réclame encore de nouvelles études. A. Première
période
. C'est surtout relativement aux pre-mières phases
majeure partie des faisceaux primitifs subirait, dans cette première
période
, l'atrophie simple sans 1 Voir Heine et Duchenn
, d'une façon très nette, dans des cas de date ancienne. B. Seconde
période
. Si l'on étudie les muscles altérés à une époque
nt accru, de manière à reproduire exactement ce qu'on observe dans la
période
ultime de l'affection décrite par Duchenne (de Bo
a tempéra-ture centrale y ont été nolées pendant toute la durée de la
période
fébrile ini-tiale. Ces observât ons ont été publi
ut, pour vider la vessie, sonder plusieurs fois le malade pendant une
période
de 36 heures. Il importe de relever que la rétent
t à fait transitoire. Elle ne se renouvela plus par la suite. Cette
période
fébrile se termina au bout de cinq ou six jours,
rusque, presque subit, des accidents paralytiques, et mar-qué par une
période
fébrile bien distincte, la flaccidité et l'atroph
eulement qu'il a beaucoup grandi en fort peu de temps. 1 Pendant la
période
qui s'étend du 19 août 1873 au 1er août 1874, le
i-tation galvanique et l'hydrothérapie ; c'est dans le cours de cette
période
surtout que les progrès se sont le plus remarquab
it une partie du jour. La seule particularité à noter, durant cette
période
de trois jours, c'est l'apparition sur le tronc d
trouble dans l'exercice des fonctions de la vessie ou du rectum. La
période
de rétrocession a commencé à s'établir fort peu d
que des jeunes enfants. (J.-M. G.) plus souvent fort éloignée de la
période
infantile, ont été faites, incontestablement, par
vous le savez, pendant 8, 10 ans, 15, 20 ans même. 2° Durant celte
période
, comparativement courte, il est de règle que les
s; — b) les contractions fibrillaires qui se montrent surtout dans la
période
active de l'atrophie ; — c) la conservation de la
ré qui ne se voit, dans l'atrophie musculaire protopathique, qu'à une
période
avan-cée, éloignée par exemple de deux ou trois a
re. Les muscles, au contraire, peuvent conserver jusqu'aux der-nières
périodes
de la maladie un relief et une consistance qui co
s laquelle, vous vous le rappelez, ces membres ne sont envahis qu'aux
périodes
ultimes. Ils constituent, pour ainsi dire, les ca
times. Ils constituent, pour ainsi dire, les caractères d'une seconde
période
; la troisième étant marquée, ainsi que nous allo
n'y a pas de tendance à la formation des escarres. 3° Une troisième
période
est constituée par l'aggravation des symptômes pr
; — de la moelle épinière ; — des nerfs périphéri-ques. — Symptômes :
Période
douloureuse (douleur-» cervicales, rigidité du co
s et engourdissements ; — parésie ; — éruptions cuta-nées . — Seconde
période
(paralysie, atrophie, griffe, contracture, plaque
méningite cervicale et être demeurée, par ce fait, pendant une longue
période
, confinée au lit dans une impuissance absolue, es
héno-mènes en rapport avec cette double lésion composent une première
période
ou période douloureuse, qui dure deux ou trois mo
en rapport avec cette double lésion composent une première période ou
période
douloureuse, qui dure deux ou trois mois, et dont
'y produit un certain degré saire à l'existence des symptômes de la
période
douloureuse. Cela est bien mis en évidence dans u
insi que l'ensemble des symptômes qui consti-tuent ce que j'appelé la
période
douloureuse, les anesthésies partielles disséminé
l en soit, il y a lieu, au point du vue clinique, d'y distinguer deux
périodes
, reconnues du reste par tous les au-teurs. La pre
se montrant même, parfois, manifestement atrophiés 2. Dans la seconde
période
, beaucoup plus longue la parésie tend à se généra
ypertro-phique. (Phase intermédiaire entre la pre-mière et la seconde
période
du processus). — I, I, Ilots de tissu conjonctif.
dinale d'un muscle dans la paralysie pseudo-hypertro-phique (deuxième
période
du processus morbide). Cellules adipeuses partout
(de Boulogne), ne devrait rigoureusement s'appliquer qu'aux premières
périodes
de la maladie, tandis que celles atrophia musculo
ement usitées par les auteurs allemands, conviendraient seulement aux
périodes
avancées. VI. L'histoire de la paralysie pseu
alysie des muscles mo-teurs de l'œil, appartiennent également à cette
période
. Enfin l'incontinence d'urine, la dysurie, les cr
ement dater, vous le savez, ce qu'on est convenu d'appeler la seconde
période
de l'ataxie locomotrice du moment où les phénomèn
ue les caractères distinc-tifs ne sont pas moins accentués dans cette
période
que dans les précédentes. 1 Loc. cit., p. 427.
nouveau la trépidation épileptoïde, comme se montrant aune cer-taine
période
de la sclérose en plaques disséminées, des parapl
ez bonne idée. En outre de ces désordres, il existe encore, dans la
période
que nous considérons, bien d'autres phénomènes pr
uer maintes fois, que c'est là une complication assez fréquente à une
période
avancée des diverses formes de la sclérose spinal
'articulation des mots. J'ajouterai, de plus, que, pendant cette même
période
, il y aurait eu momen-tanément, si l'on croit son
ement à Marseille, jusqu'à la fin d'octobre, autrement dit durant une
période
de près de quatre mois, ils n'ont pas cessé de se
st temps d'en revenir au cas particulier de M. K... Durant une longue
période
de quatre mois, des pratiques hy-drothérapiques m
à exécution d'une façon régulière. Trois ou quatre fois, durant cette
période
, il se produisit des rechutes de l'af-fection cér
admise à la Salpê-trière, l'affection semblait être rentrée dans une
période
d'arrêt, et l'on n'a remarqué aucune aggravation
eut observer dans les autres les caractères de la lésion à toutes les
périodes
de son déve-loppement. La plupart, envahiesdéjà p
ins à la région cervicale, les lésions paraissent être arrivées à une
période
plus avancée de leur évolution dans le côté gauch
yperthrophiqve (Phase intermé-diaire entre la première et ]a se-conde
période
du processus). — 1, I, îlots de tissu conjonctif.
rition des faisceaux musculaires : elle s'accuse déjà dès la première
période
, alors que le tissu conjonctif in-terstitiel comm
emment accessoire. Cette première phase paraît répondre à la première
période
clinique signalée par tous les observateurs, péri
re à la première période clinique signalée par tous les observateurs,
période
dans la-quelle les seuls symptômes appréciables c
rfois, manifestement atrophiés 3. Que se passe-t-il dans la seconde
période
de la maladie, alors que les muscles paralysés co
(de Boulogne) ne devrait rigoureusement s'appliquer qu'aux premières
périodes
de la maladie, tandis que celles d'atrophia muscu
ment usitées par les auteurs alle-mands, conviendraient seulement aux
périodes
avancées ; mais je ne veux pas insister plus long
postérieurs. Type classique de l'ataxie locomotrice progressive. —
Période
prodro-mique ou des douleurs fulgurantes. — Pério
ce progressive. — Période prodro-mique ou des douleurs fulgurantes. —
Période
de la maladie constituée ou de l'incoordination t
Période de la maladie constituée ou de l'incoordination tabétique. —
Période
paralytique. Des douleurs fulgurantes. — Leurs
nfantile. — Elle sera considérée comme maladie d'étude. — Symptômes :
période
d'invasion, ses modes ; seconde période ou régres
aladie d'étude. — Symptômes : période d'invasion, ses modes ; seconde
période
ou régression des symptômes avec localisation des
ue de la paralysie infantile. — Les lésions des mus-cles aux diverses
périodes
; surcharge gaisseuse. —Lésions du système ner-ve
; — de la moelle épinière ; — des nerfs périphéri-ques. — Symptômes :
Période
douloureuse (douleurs cervicales, rigidité du cou
s et engourdissements ; — parésie ; — éruptions cuta-nées . — Seconde
période
(paralysie, atrophie, griffe, contracture, plaque
inaux, 26. — Dou-leurs fulgurantes, 29, 366. — In-coordination, 28. —
Période
para-lytique, 28. — Symptômes viscé-raux, 34. — T
ébut de cette maladie et qu'ils font pour ainsi dire partie de la
période
céphalique ». Nous n'avons pas besoin de faire
agnostic d'ataxie locomotrice progressive. Du reste, à aucune autre
période
de la maladie, les troubles paraplégiques n'ont
mélancolie simple. Dans le second, ces idées apparaissent dans la
période
mélancolique d'une folie périodique alternante. E
upations constantes M"° A... semble avoir passé à ce moment par une
période
de perplexité et de légère confusion dans les i
elle avait perdu, de certains faits qui s'étaient passés pendant la
période
J'acuité de la maladie. Mais elle est déprimée
). Appa- 2'ilion d'idées de négation au cours du quatrième accès ;
période
de stupeur de quatre mois de durée (août à déce
ymptômes ne durent que peu de jours. Après quelques alterna- tives,
période
normale de trois mots (février-mai 1806). En juin
tives, période normale de trois mots (février-mai 1806). En juin,
période
d'excitation de trois semaines. Depuis, légère dé
es. Depuis, légère dépression mélancolique persistante avec courte,
périodes
d'anxiété hallucina- toire (avril t89.) .) 11
e ensuite dans la stupeur avec gâtisme : l'accès se termine par une
période
d'anxiété extrême où elle voyait des enfants éc
ourriture, désespoir. Elle a des hallucinations terrifiantes. Cette
période
dure plusieurs mois. Puis, après des alternativ
e avec gâtisme. A la fin du mois de décembre survient subitement la
période
d'anxiété. Au moment où nous la voyons pour la
elle-même,que cela ressemble à ce qu'elle éprouvait à la fin de la'
période
d'anxiété du début de l'année : ce sont comme d
ressive ascendante pouvant durer plusieurs mois, puis s'établit une
période
d'état qui n'a aucune tendance à rétrocéder nat
sistance des phénomènes douloureux pendant les premiers jours de la
période
paralytique; douleur occupant le front et l'occ
e ainsi plus d'assurance dans ses mouve- ments. Ensuite commence la
période
vraiment utile de la méthode de rééducation où
énérale vraie, mais il ne la produit pas d'emblée; il va une longue
période
préparatoire. De plus, cette paralysie générale
lasse; M. le Dr Papillon a été nommé à litre provisoire et pour une
période
de trois mois, médecin adjoint de lliontdevergu
elles de 20 para- lytiques décédés à l'asile de Toulouse , dans une
période
de près de deux ans. Elles n'ont été l'objet d'
de même ordre dans chaque cas, et, dans le même cas, à différentes
périodes
de l'évolution de la maladie. Le réflexe rotuli
les troubles de la sen- sibilité chez un paralytique général. A une
période
avancée de la maladie, cette recherche est, pou
force musculaire peut être grossièrement appréciée. C'est dans la
période
prodromique de la paralysie générale que les sy
onclusions. 1. Tous les paralytiques généraux nécrop- siés dans une
période
de près de deux ans, à l'asile de Tou- louse, o
les de Mille K... ; elle se maintient très bien. Je pense que cette
période
de trois ans qui s'est écoulée depuis la sortie
e fièvre typhoïde à furme ady- namique grave se déclare. Pendant la
période
d'état, dispa- rition brusque et complète des s
s, langue rôtie, presque tous les signes d'une fièvre typhoïde à la
période
d'état. La malade est devenue plus calme, mais
rir, même si on lui rend l'oxygène. L'excitation électrique à cette
période
accélère la mort du muscle. Lorsque le travail
au muscle pour que son excitabilité reparaisse assez rapidement; la
période
de restauration est même activée par un travail
rne), étudiant l'action physiologique du courant galvanique dans sa
période
d'état variable de fermeture, a démon- tré : 1°
gue, amplitude diminuée.); 2° courbe paralytique (allongement de la
période
latente, diminution de la hauteur de la courbe)
hances de succès sont grandes. On doit donc le commencer dès que la
période
fébrile a pris fin. Nous avons communiqué au Co
araît pas seulement chez les géants. Le premier survient pendant la
période
de croissance proprement dite ; la seconde au t
et ne continuant pas le traitement. La mort survenant pendant la
période
active du traitement est rare. A l'infirmerie roy
indiscipliné et mobile. Chute dans un escalier, suivie d'une courte
période
de subconscience; plaie peu grave de la région
détermine une augmentation de la pression du sang, à la suite d'une
période
latente plus ou moins longue, quand on excite l
, chez plusieurs sujets dont on analysa exactement les liquides, la
période
d'administration de l'opium en augmente remarqu
iles il ne voit que des maladies bien caractérisées arrivées à leur
période
d'état. A tous égards, dans l'intérêt des malad
sériels dont l'intervalle lucide est long : un jour, et chez qui la
période
intercalaire peut être de huit ou quinze jours
cas, nous avons fait, à la vérité, l'injection de bleu pen- dant la
période
des attaques, mais au moment où la série allait
a série allait prendre fin et où la malade allait entrer dans une
période
intercalaire plus ou moins longue, ainsi que nous
me on peut obtenir un retard si on fait l'injection au moment où la
période
intercalaire va se terminer, c'est- à-dire au m
e du bleu à la 95° heure bien que l'injection fût faite pendant une
période
intercalaire. Mais, dansée cas, nous avions not
spondent : ,NI 1. Ch... (vingt ans, moyenne des accès par mois, 4),
période
intercalaire : Maximum à la 3° heure; absence
ure. tao 2. Au... (dix-neuf ans, moyenne des accès par mois, 10),
période
intercalaire. Col. bleu à la ire heure ; maximu
LENE 193 N° 2. Aug…, dix-neuf ans. Injection le 31 mai à 11 heures,
période
intercalaire. 194 CHIMIE PHYSIOLOGIQUE N° 3
ccès par mois, 9). N° 4. Esn…, dix-huit ans. Injection de 0 gr. 10 (
période
intercalaire) le 25 mai. L’élimination tombe à
on. Par exemple : 9° Ces idées délirantes peuvent carac- tériser la
période
prodromique d'une manie terminée par la démence
dans le cours d'une aliénation héréditaire dont elles inaugurent la
période
démen- tielle terminale. 3° Elles peuvent se pr
population de cet asile à celui de ce service pendant une certaine
période
de temps, de 1888 à 1897 par exemple. Au commen
de de temps, de 1888 à 1897 par exemple. Au commencement de cette
période
l'asile d'Evreux avait 855 aliénés ; pendant sa d
e leur nombre parce qu'il y en aura eu 2,700 de reçus pendant cette
période
qu'il aura fallu étudier longuement, pour lesqu
été l'objet de cette observation aucun des symptômes de la première
période
de la pachyméningite, et, loin d'avoir de la ri
é- lique de la sensibilité. Dans les cas cités par cet auteur, la
période
douloureuse a toujours existé avec ses symptômes
es établissements d'aliénés de l'Empire allemand, et ce pendant une
période
de 5 années. (Petit Parisien, 27 septembre 1898
emble pas avoir eu grande influence sur lui, car pen- dant toute la
période
fébrile, ce n'est pas le délire mais l'obtusion
els que la crise panophobique transitoire signalée au début de la
période
d'état et les rêves terrifiants dont le malade s'
crises nous paraissent de nature hystérique et constituées par une
période
épileptoïde pure et simple sans phases convulsi
; se soumettait des régimes excentriques, ne consentant pendant des
périodes
de .quinze jours et plus à ne prendre avec son
fuse à faire du délire toxi-infectieux et seule la somnolence de la
période
terminale est la preuve qu'il est cependant inf
e pas se produire, ou encore que lorsque le délire éclate après une
période
d'abstinence alcoolique, le foie étant malade,
MENTALE. DU SENS TACTILE ÉTUDIÉ CHEZ LES MÊMES MALADES AUX TROIS
PÉRIODES
DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE ; Par le D E. JIARANDO
élevé de para- lytiques, suivis de cette façon, depuis la première
période
de la maladie jusqu'à la troisième, jusqu'à la
celui de M. Auguste Voisin. L'auteur examine le tact aux diverses
périodes
de lamaladie, en commençant par la prodromique.
ne sommes en mesure de fournir que des renseignements sur les trois
périodes
de la maladie confirmée. M. Auguste Voisin, avo
e. M. Auguste Voisin, avons-nous dit, examine le tact à ces trois
périodes
. A la première phase, dit-il, l'hyperesthésie p
RALE. 379 conceptions délirantes hyponchondriaques ; à la seconde
période
, ajoute-t-il, d'après quelques auteurs, l'anesthé
cet auteur reconnaît que le plus souvent vers la fin de la deuxième
période
ou au début de la troisième la sensibilité s'ém
complètement. M. Régis a constaté à la 380 PATHOLOGIE MENTALE.
période
prodromique des anesthésies et des hyperesthésies
maladie confirmée et devient nulle ou presque nulle à la troisième
période
. M. Gilbert Ballet et M. Paul Bloch, qui ont ré
s que des anesthésies plus ou moins durables ont été signalées à la
période
initiale. A la période d'état, dit-il, la sensi
s ou moins durables ont été signalées à la période initiale. A la
période
d'état, dit-il, la sensibilité aussi peut être tr
ubles du sens tactile chez les mêmes paralysés généraux aux trois
périodes
de la paralysie générale. Si nous nous adressons
atteinte. Elle est peu trou- blée au début ; aussi peut-on à cette
période
établir le diagnostic différentiel avec l'alcoo
est couvert de plumes, le malade est transformé en ange). Dans les
périodes
avancées, la sensibilité est émous- sée à un ha
recherches, il en est d'autres qui le sont de tous points. Pour la
période
prodromique il se borne à rappeler l'opinion du
eler l'opinion du Dr de Crozant qu'il paraît rejeter. A la première
période
il a observé de l'hyperesthésie soit réelle, so
e, due aux vives préoccu- pations mentales des sujets. A la seconde
période
il a souvent vu la sensibilité cutanée diminuée
au contraire rare comparativement au stade précédent. A la dernière
période
de la paralysie générale le sens du tact est su
née est obscurcie dans beaucoup de cas, particulièrement dans les
périodes
extrêmes. D'après M. lliclcle. l'hyperesthésie,
près M. lliclcle. l'hyperesthésie, qui est quelquefois observée aux
périodes
initiales, peut être l'origine d'idées hypochon
e courte durée et parfois survient durant les rémissions ; dans les
périodes
avancées elle peut apparaître, après une attaqu
rmette cette expression, tantôt sur un paralytique à telle ou telle
période
, tantôt- sur un autre à telle ou telle autre ph
roportion le tact est altéré dans la paralysie générale et à chaque
période
en particulier; quelle est la proportion des di
ils contractent l'habitude de ces recherches qui, à la troi- sième
période
, n'aboutiraient pour ainsi dire jamais si elles
mort, malades qui lors de leur admission étaient tous à la première
période
de la paralysie générale. Mais de ces 108 paral
la maladie, les autres ayant succombé au nombre de 30 à la deuxième
période
et de 32 à la première ; quant aux 4 restant pa
RALYSIE GÉNÉRALE. 387 progrès de la maladie. De rares à la première
période
, une fois moins rares à la seconde, les trouble
ficiles, ainsi qu'il était à prévoir ; c'est ainsi qu'à la première
période
3 p. 100 seule- ment de nos constatations furen
ule- ment de nos constatations furent infructueuses; à la seconde
période
, rios échecs furent cinq fois plus fréquents, soi
cinq fois plus fréquents, soit de 15 p. 100 ; enfin, à la troisième
période
nous avons échoué dans plus de la moitié des ca
OGIE MENTALE. de l'exagération et de l'affaiblissement aux diverses
périodes
. Pour ce dernier nous avons : LE SENS TACTI
sants. En premier lieu l'état constamment normal du tact durant les
périodes
de rémission ; en effet, 119 fois nos paralytiq
ux-ci, poursuivies également chez les mêmes sujets durant les trois
périodes
de la maladie, cette assertion de M. Briand que
st, d'une manière générale, beau- coup plus souvent altéré dans les
périodes
d'agitation que dans les phases de calme. En ef
vrages sont difficiles à mettre en paral- lèle pour des pays ou des
périodes
différentes. Quelques tableaupc seulement peuve
alculé séparément les moyennes annuelles : 1° pour chacune des deux
périodes
de quinze années ( 1865=I 8 ï J et l S80-1894)
ze années ( 1865=I 8 ï J et l S80-1894) ; 2" pour chacune des six
périodes
quinquennales comprises dans les mêmes trente a
t indique les résultats obtenus. Suicides par pendaison pendant une
période
de 30 années ( 18G3=189 ! r). RECHERCHES SU
élevées ou qu'elles soient faibles semblent rester stationnaires de
période
à période.,Je ne puis indiquer ces proportions
u'elles soient faibles semblent rester stationnaires de période à
période
.,Je ne puis indiquer ces proportions que pour les
omtés séparément avant cette époque. Je prends toutefois les deux
périodes
de neuf années cha- cune, 1877 à 1885 et 1886 à
es, montrent exactement le même chiffre (26 par million pour chaque
période
de neuf années). Je constate également que le g
le district S.-0, de l'Ecosse offre une proportion pour la première
période
de neuf années de 14 par million, et pour la se
emière période de neuf années de 14 par million, et pour la seconde
période
de 13 par million. Cela nous démontre que le su
cide et d'accidents par armes à feu et armes blanches pour les deux
périodes
de quinze années allant de 1865 à 1894. Morts p
marquable pour les proportions dans chaque contrée pendant les deux
périodes
successives. Les proportions sont à peu près le
sives. Les proportions sont à peu près les mêmes pour chaque même
période
autant qu'elles peuvent l'être sans être abso-
ux pays que la proportion des suicides a augmenté dans la seconde
période
et que cette augmentation est balancée par une
gistrement de morts sous la rubrique « Suicides », qui dans l'autre
période
auraient été considérées comme accidentelles ?
mpoisonnement ou immersion sont totalisées pour une certaine longue
période
de temps, l'irrégularité des chiffres deviendra
venant environ deux heures après le repas. Cette douleur, après une
période
de rémission, est devenue plus violenle que jam
é, qui va en augmen- tant, puis en diminuant, jusqu'au retour de la
période
de calme. Les mouvements cloniques sont d'abord
e l'irritation spinale étant à son maximum d'inten site, lors d'une
période
comitiale paroxystique, le paramyoclonus lui-mê
dans le tétanos. A cette phase convulsive, fait suite une troisième
période
, caracté- risée par de la dyspnée, de la cyanos
leptiques, c'est-à-dire les accès épileptiques mêmes, en partie les
périodes
précédant et suivant l'accès, l'état de démence é
ivant l'accès, l'état de démence épileptique, ainsi qu'en partie la
période
du passage de l'esprit normal à la démence, et
lui en prit, car huit jours après sa confession, le malade eut une
période
d'agi- tation au cours de laquelle revinrent le
huit ans que ce malade est à l'asile, il est maintenant tombé à la
période
de démence terminale. En présence d'un cas de s
mmatoire des kystes et cicatrices pigmentés. Donc à la fin de celte
période
qui se termine en 1868, on ne connaissait bien
X. Du réflexe patellaire étudié chez les mêmes malades aux trois
PÉRIODES
DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE : par le D1' 11.1naDO\ D
éré à la première qu'à la seconde et à la seconde qu'à la troisième
période
. 4. C'est dans la forme dépressive de la paraly
e cérébrale, puisqu'elle a sou minimum de fréquence à la dernière
période
où cette suppression est au contraire à son maxim
période où cette suppression est au contraire à son maximum. 7. La
période
des altérations du réllexe patellaire n'a aucune
ues, puisque cotte conservation est plus fréquente à la troi- sième
période
qu'aux deux autres. - 9. Il n'est pas rare que,
existence les particularités d'un simple persécuté, entre dans la
période
mégatomaniaque du délire chronique en se baptisan
cas de delirium tremens observés à l'hôpital Saint-Jean pendant une
période
de trois années. Tous ces malades étaient des a
réussissent facilement et invariablement, non seulement pendant la
période
même du délire alcoolique, mais encore un long te
iv. sp. di fren., 1897, fasc. I.) La sueur des épileptiques dans la
période
prodromique des accès, injectée dans la circula
s augmentent à mesure que l'accès est plus proche et durent dans la
période
qui suit immédia- tement le paroxysme, en rappo
e, n'exercent pas d'influence sur la toxicité de la sueur. Dans les
périodes
éloignées des accès, l'action de la sueur des é
spasmes musculaires, des crises de pleurs et de rires et enfin une
période
d'agitation maniaque qui détermina la mort un moi
son maximum dans le cours de la troisième semaine; elle est à sa
période
d'acmé à la fin de la quatrième semaine dans les
des traces dans le centre d'association moyen, pré- parant ainsi la
période
bien plus tardive (vers la fin de la deuxième a
atifs. Comment reconnaître, en effet, pendant le cours de la première
période
, qu'il ne s'agit pas tout simplement d'une synoqu
es anomales et malignes de ces maladies peuvent parfois, pendant leur
période
prodromique et en l'absence de certains symptômes
on deutéropathique 1731. E.). Le choléra pestilentiel (1675), dans sa
période
de réaction, présente quelques traits de ressembl
eil cas, des symptômes typhoïdes bien dessinés peuvent succéder à une
période
algide peu pronon-cée, ou qui même aura passé pre
mieux les indications rationnelles (114. C. D. E.). Ici, surtout, les
périodes
de la maladie, la forme qu'elle affecte primitive
rnant le typhus (1571). B. Au début et dans le cours de la première
période
, si la ma-ladie se montre franchement sous la for
ises conditions pour faire face à l'adynamie qui, lors de la deuxième
période
, se manifeste presque inévitablement, au moins à
e les oreilles), voire même quelquefois, dans le cours de la deuxième
période
. Passé le dixième jour cependant, ou tout au plus
rencon-trée plusieurs fois chez des sujet qui avaient succombé à une
période
avancée de la fièvre typhoïde. que relation de
tensité, un certain nombre de symptômes qui caractérisent la première
période
de la maladie. B. Première période. — Céphalalg
es qui caractérisent la première période de la maladie. B. Première
période
. — Céphalalgie frontale plus ou moins vive, avec
re reconnaître cette dernière maladie pendant le cours de sa première
période
, fassent ici complètement défaut ; mais il est lo
rt sur-vienne dans le cours ou dès le commencement de cette pre-mière
période
, avant même que l'éruption se soit manifestée. Lo
, sans qu'il se soit présenté aucun indice de réaction. C. Deuxième
période
. — a. Apparition de quelques symp-tômes nouveaux,
aux, et aggravation de la plupart de ceux qui constituent la première
période
. Vers le commencement du deuxième septénaire, la
loration très foncée, et paraît comme grillée. — Vers la fin de cette
période
, il est assez commun d'observer du météorisme et
pondent aux angles des côtes, etc. Si pendant le cours de la première
période
, l'exa-men de la poitrine a permis de constater l
es sudamina apparaissent fréquemment, pendant le cours de la deuxième
période
. E. Durée de la maladie, convalescence. — En te
rapide, et le malade peut suc-comber pendant le cours de la première
période
. En temps or-dinaire, la durée moyenne de la mala
manie, etc.), se dessinent rapidement, et acquièrent, dès la première
période
, une grande intensité. — Nous avons dit, pour n'y
la fosse iliaque droite, qui caractérisent la fièvre typhoïde dans sa
période
d'augment, n'appartiennent pas au typhus fever. L
de la maladie, ne présente pas de couenne ; les saignées faites à une
période
avancée présentent en géné-ral un caillot foncé e
série de deux, plus rarement de trois accès fébriles, séparés par une
période
de rémission très accusée. Le moment où se termin
ires simulant celles du rhumatisme, se manifestent parfois, dès celte
période
, et persistent ensuite, pendant toutp la durée du
briles a donné des résultais qui méritent d'être signalés. Après la
période
prodromique, qui, en général, est de courte durée
ndres excitations ; jamais il ne s'est montré dicrote. La durée de la
période
d'intermission varie entre quatre et dix jours.
ant les sensations de douleur, et comme un remède fortifiant, dans la
période
de convalescence, où il a été quelquefois employé
mptômes de la peste foudroyante (a.) s'amendent pour faire place aune
période
de réaction plus ou moins bien dessinée ; des bub
de nécroscopique va le démontrer plus pleinement encore, une sorte de
période
prodromique o. Ces cas rares, auxquels nous fai
ion plus haut, et dans lesquels la peste à bubons parcourt toutes les
périodes
, sans jamais être accompagnée de fièvre, ont été
ces. — Le pronostic varie, d'ailleurs, en règle générale, suivant les
périodes
d'une même épidémie. Au début, tous les cas sont
bons se soient manifestés (p. \ 02. G.); plus tard, elle parcourt ses
périodes
assez régulièrement et se montre moins meurtrière
es bubons et les charbons manquaient, en général, pendant la première
période
de l'épi-démie; l'hématurie, les selles sanglante
anque de renseignements positifs sur l'état de l'Egypte pendant cette
période
. — La peste éclata un grand nombre de fois en Egy
ent être mises en œuvre dans chaque cas indistinctement, à toutes les
périodes
de la maladie et dans toutes ses formes. Tantôt,
es géogra-phiques, est remarquable surtout par la succession de trois
périodes
, dont la première est caractérisée par une réacti
nt à l'impro-viste, principalement dans les cas graves. B. Première
période
. — L'invasion se fait quelquefois par un frisson
ouvent assez bien marquées, s'établit ensuite et jusqu'à la fin de la
période
. Le pouls est régulier, vite, tendu, plein et for
coma sont des symptômes qu'on observe rarement dans le cours de celte
période
; une vive anxiété, un sentiment d'effroi, ou, au
e qui s'accomplit dans l'espace de deux ou trois jours. C. Deuxième
période
. — Elle est signalée par une grande atténuation e
it se manifester bientôt les sinistres avant-coureurs de la troisième
période
: les dou-leurs épigastriques, la soif, les nausé
uantité du principe colo-rant de la bile (La Roche). — Cette deuxième
période
de la fièvre jaune dure environ vingt-cinq ou tre
fièvre jaune dure environ vingt-cinq ou trente heures. D. Troisième
période
. —Le pouls devient d'une faiblesse extrême; il fu
blit brusquement, lorsque la maladie s'arrête à la fin de la première
période
ou au milieu delà seconde; dans le cas contraire,
est remarquable surtout par l'intensité des phénomènes fébriles de la
période
initiale ; le pouls est résistant, la peau est ch
d'accès. Mais, dans quelques épidé-mies et surtout pendant certaines
périodes
de quelques épi-démies, il est incontestable auss
mplication, celte maladie se montre cons-tamment, pendant sa première
période
, sous la forme d'une fièvre continue présentantpa
tre pas d'autre intermission que celle qui a lieu lors de la deuxième
période
, ou période de calme et qui constitue d'ailleurs,
tre intermission que celle qui a lieu lors de la deuxième période, ou
période
de calme et qui constitue d'ailleurs, comme nous
tenant compte des caractères propres qu'ils présentent suivant chaque
période
, qu'on parvient au diagnos-tic de la fièvre jaune
et se trouve, par suite, divisée en deux accès (première et troisième
période
), ayant une physionomie bien différente et presqu
t, suivant l'ingénieuse remarque de M. Littré {loc. cit., p. 301), la
période
algide remplacée par une période typhoïde, qui jo
de M. Littré {loc. cit., p. 301), la période algide remplacée par une
période
typhoïde, qui joue, pour ainsi dire, par rapport
vement fébrile n'existe, à proprement parler, que pendant la première
période
, c'est-à-dire pendant les deux ou trois premiers
me qui survient habituellement après l'accomplissement de la première
période
: tel malade chez qui les plus graves accidents o
prédominance de certains symptômes, la forme que revêt la maladie, la
période
à laquelle elle est parvenue. Dans les deux premi
eurs le mettre dans de fort mauvaises conditions pour faire face à la
période
de collapsus. Les boissons acidulées, les bains f
loyer tant que la maladie en est encore à sa première phase. Dans les
périodes
ultérieures, il s'agit principalement de soutenir
elatives à des malades dont la température a été examinée, pendant la
période
de réaction (réaction typhoïde). L'algidité était
r plusieurs observateurs, à savoir que, chez les cholériques, dans la
période
algide, le refroidissement reste superficiel et n
ée, si j'ai bonne mé-moire, aux extrémités supérieures. On y voit une
période
aiguë avec rou-geur, douleur, etc., suivie d'une
n y voit une période aiguë avec rou-geur, douleur, etc., suivie d'une
période
chronique, avec atrophie et défor-mations diverse
chement. Dans quelques cas, ces kystes ont pu arriver à la dernière
période
de leur évolution, et leur perforation a été suiv
s quatre mois envi-ron. Les symptômes qu'il a remarqués pendant cette
période
de sa maladie sont de l'oppression et une douleur
dans l'orbite; les extrémités sont froides, cyanosées, comme dans la
période
algide du choléra. Le malade est transporté à la
res, les autres déchirées et vides. Il ne se manifesta, pendant cette
période
de temps, aucune douleur, et l'état du malade éta
s souvent, qu'on tenterait d'en enrayer la marche, d'en supprimer les
périodes
? La médecine agissante, dans ces cas-là, n'est d
a durée, annoncer quelles complications seront à redouter pour chaque
période
, prévoir les accidents qui viendront troubler la
omènes morbides dont l'accomplisse-ment est désormais nécessaire. Aux
périodes
ultérieures, de nouvelles indications pourront se
de la matité. Tous les malades, sans exception aucune, ont guéri, la
période
de dé-clin s'étant manifestée en moyenne le septi
e onzième jour et une fraction (3/10). Dans plu-sieurs de ces cas, la
période
de déclin était annoncée ou au moins s'accompagna
iques, sueurs profuses, épistaxis ou groupes d'herpès labialis. Cette
période
de déclin se manifestait le plus souvent brusque-
re fois, recours à l'arsenic. A partir de cette époque et pendant une
période
de près de dix années, il se soumit ainsi qu'il s
peu, avec les mêmes caractères qu'auparavant. Vers la fin de cette
période
de dix années, Jean avait acquis, principalement
l'œil droit. Pour terminer l'énu-mération des symptômes delà première
période
delà maladie, il faut signaler encore une salivat
é complètement et n'ont point reparu. — Le traitement, pen-dant cette
période
dont la durée est de deux mois, a été : sangsues
, elle n'a plus quitté le lit. Elle paraît, d'ailleurs, pendant cette
période
de deux ans, n'avoir été soumise à aucune médicat
été institué, la maladie était parvenue, depuis longtemps déjà, à une
période
où elle est généralement considérée comme incurab
des malades qui ont subi un traitement de ce genre pendant une longue
période
, et qui ont absorbé des quantités considérables d
des phé-nomènes qu'il détermine peut, selon nous, se diviser en trois
périodes
distinctes. 1° Au début, les malades paraissent
s intes-inaux, le seul phénomène appréciable qui se manifeste à cette
période
, ce sont des démangeaisons générales, et quelquef
. Quant aux cas favorables, ils appartenaient tantôt à la pre-mière
période
de la maladie, tantôt aune époque beaucoup plus a
médecins américains recommandent l'azotate d'argent dans la dernière
période
de cette affection : Balstow a réussi à diminuer
C. Coqueluche. —Berger prétend avoir retiré de bons effets, dans la
période
aiguë de cette maladie, de l'usage interne du nit
7 ;— synonymie, 128; — symptômes, 128; — prodomes, 128 ; — première
période
, frissons, fièvre, coup de barre, 129; — ac-ciden
; — ac-cidents gastriques, délire, coma, 130;— durée, 131 ; —deuxième
période
, 131; — rémission, 131 ; — troisième période, p
durée, 131 ; —deuxième période, 131; — rémission, 131 ; — troisième
période
, pouls, ic-tère, vomissements, hémorrha-gies, 132
e, 53; — épidémie, 53; — synonymie, 57; — pro-dromes, 57 ; - première
période
, 58; — deuxième période, 59; — exanthème, 61 ; -
synonymie, 57; — pro-dromes, 57 ; - première période, 58; — deuxième
période
, 59; — exanthème, 61 ; - phases de l'exanthème, 6
le sans limites, hémorragies, etc.). L'atrophie ne se voit qu'à une
période
avancée. En présence d'encoches du champ visuel
tre. Cette alternance n'existe d'ailleurs que pendant les premières
périodes
du strabisme non paralytique. Il, est une autre
ateur. La chloroformisation produit une, mydriase paralytique, à la
période
finale, au moment de l'agonie.. Mydriase spas
s fibres nerveuses, il existe sou- TROUBLES PUPILLAIRES. vent une
période
d'irritation, pendant laquelle on constate lexisl
s. Névroses, hystérie, épilepsie, certaines maladies mentales aux
périodes
d'excitation. Des alternatives de dilatation et d
stence d'une, inflammation antérieure de l'oeil. Le glaucome, il la
période
aiguë, donne il la pupille une déformation légè
on légère, de forme ovalaire, sans angles. Le glaucome ancien, à la
période
d'atrophie de l'iris, donne aussi des déformati
nerveuses (méningite tuberculeuse...). On le voit aussi pendant la
période
de régression des paralysies de l'iris. Trouble
ts volontaircs des globes oculaires sont très diminués pendant, les
périodes
de nystagmus. La cause en est mal connue. On l'
pour les couleurs. 11 en conclut que l'hemiachromatopsie marque une
période
de transition, une étape, non obligatoire, dans
on des couleurs est très altérée. La cécité survient souvent il une
période
avancée. Symptômes objectifs : Une atrophie pap
LES.- 123 Saillie des yeux. Cette saillie des yeux se produit à une
période
avancée dans l'évolution de la tumeur. Troubl
rrhée, et même, si l'on en croit Jérusalem et Fallmcr, celles de la
période
de dilatation dans l'accouchement ! . 3" Troubl
er lieu au vertige, et cela surtout soit il leur début, soit il une
période
tardive et dans les formes adynamiques. On l'
re simulé par l'arlério- SÉMÉI0L0G1E. 175 sclérose au début, à la
période
d'hypertension qui précède et présage celle des
e celle des localisations organiques; or, c'est précisément à celte
période
de l'artério-sclérosc cérébrale qu'on observe s
s de vertige laryngé tabé- tique : ce vertige peut survenir à toute
période
, mais surtout à la période preataxique. - . L
tique : ce vertige peut survenir à toute période, mais surtout à la
période
preataxique. - . L'accès est précédé d'une so
la quinine préconisé par Char- cot (0 gr. 50 à 1 gramme pendant des
périodes
répétées de 10 à la jours) : on obtient par la
de la polioencéphalile supérieure, aiguë, s'observent également des
périodes
de somnolence. Ces affections sont, à vrai dire
erte, passif en un mol. Dans une série de faits tout différents, la
période
; de sommeil n'est nulle- ment une période de re
faits tout différents, la période; de sommeil n'est nulle- ment une
période
de repos absolu. Le cerveau du malade et le malad
ues la déterminent aussi. Les tuberculeux, les syphi- litiques à la
période
secondaire dorment peu et dorment mal; il en est
dée, répétée, spasmodique; l'articulation coupée, suspendue par des
périodes
d'arrêt plus ou moins longues, plus ou moins inte
lle permanente ou transitoire tels que l'idiotie, l'imbécillité, la
période
post- paroxystique de l'épilepsie. On les renco
pas compte (épileptiques, traumatisés, paralytiques géné- raux à la
période
d'état). La mémoire est une fonction psychique
les événe- ments dont le souvenir est' perdu appartiennent à telle
période
de la vie du malade; l'épileptique qui a perdu
nir d'un événe- ment et celui de tous les faits se rapportant à une
période
plus ou moins longue de son existence précédant
vent après les traumatismes. Si le malade a perdu le souvenir d'une
période
de son existence suivant immédiate- ment un évé
u- cinations se constatent dans de multiples circonstances, dans la
période
intermédiaire à la veille et au sommeil (halluc
rantes sont, très fréquentes dans la mélancolie délirante, dans les
périodes
mélancoliques de la folie intermittente. Dans la
ndrome de Cotard. Les idées de damnation s'observent aussi dans les
périodes
mélancoliques de la folie intermittente. ' Le
rale. Il est indispensable pour cela que le malade soit sorti de la
période
de coma ou de demi-coma dans lequel l'a plongé
coma ou de demi-coma dans lequel l'a plongé l'attaque apoplectique,
période
pendant laquelle son état d'obnubilation cérébral
plusieurs années; il s'agit, en général, d'une locali- sation de la
période
tertiaire. On retrouve, dans la plupart des cas,
aralysie générale ; enfin dans les hémorragies méningées, soit à la
période
d'état, soit à la période prodromique. Dans l
dans les hémorragies méningées, soit à la période d'état, soit à la
période
prodromique. Dans les affections du cerveau, la
u cerveau. Dans la syphilis, la céphalée peut s'observer soit il la
période
secon- TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 5
con- TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 5C7 claire, soit à la
période
tertiaire. Qu'elle soit précoce ou tardive dans s
s la discussion de la valeur séméio- logique de la céphalée. A la
période
secondaire, la céphalalgie accompagne fréquemment
ouvés par ponction lombaire dans le liquide céphalo-rachidien. A la
période
tertiaire, la céphalée est un des symptômes prédo
). On l'observe dans les deux tiers environ des cas, au cours de la
période
prodromique de l'affection; elle est persistant
SY.] ] 5C8 SENSIBILITÉ. céphalée, très prononcée dans la première
période
de l'affection, peut s'atténuer ou même dispara
elu. Dans l'épilepsie essentielle, la céphalée se rencontre dans la
période
prodromique de l'accès; elle peut être il elle
ébrale par exemple), la céphalée est constante; elle existe dans la
période
qui sépare les accès (ce qui ne se voit pas dans
dysesthésies représentent à elles seules les signes subjectifs de la
période
d'invasion ou de syncope locale. Ce sont des se
moro-cutané. .... 5" Dans les affections de la moelle, surtout à la
période
prodromique, les sensations dysesthésiques sont
complexus sympto- matique de la maladie. C'est donc surtout à cette
période
d'invasion qu'elles peuvent servir dans la rech
ingites) ; elles acquièrent plus d'importance séméiologique dans la
période
initiale des affections dues - aux troubles de
ent soit comme phénomène durable, soit comme signe passager dans la
période
prodromique des crises convulsives. Dans Vépile
du tréponème pâle ou de ses toxines. Les névralgies tardives de la
période
tertiaire sont des névralgies créées par des pé
exagéré : on le trouve dans les hémiplégies et paraplé- gies il la
période
de contracture naissante. On peut, grâce il sa
ES Les réflexes tendineux gardent-ils leurs caractères à toutes les
périodes
de la vie ou subissent-ils des variations dans
olition des réflexes se manifeste le plus souvent dès les premières
périodes
de cette affection. , Cependant il y a des exce
, grâce il lui. dépister des cas frustes ou des tabès à la première
période
de la maladie. L'abolition des réflexes tendine
ection, l'exagération des réflexes est la règle et ce n'est qu'à la
période
terminale que s'observe l'abolition des réflexe
e soit dès le début, comme élans l'anémie perni- cieuse, soit à une
période
avancée, comme dans la forme décrite parles aut
aladie, il y a alors abolition des réflexes. Puis, dans une seconde
période
cette abolition des réflexes disparaît pour être
ement l'affaiblis- sement ou la disparition des réflexes lorsque la
période
terminale appa- raît et lorsqu'elle entraîne le
L'fa1'v TOUIi\IS l'alt I,'l,\ : 1H1.\ DI : S RI,ILI : \I;S. 4 ! 4.ï
périodes
de la paralysie générale; il semble, d'après lui,
cée. Le maximum des altérations se trouve en effet il la pre- mière
période
et le minimum à la troisième. C'est surtout à la
e période et le minimum à la troisième. C'est surtout à la première
période
qu on trouve le maximum des abolitions des réflex
qu on trouve le maximum des abolitions des réflexes, il la seconde
période
on constate le maximum de fréquence d'exagération
maximum de fréquence d'exagération des réflexes et il la troisième
période
le maximum des affaiblissements des réflexes.
cas, l'abolition des réflexes. Ce symptôme a été noté à toutes les
périodes
de l'affection, quelquefois il persistait pendant
hez les syphilitiques d'ancienne date, mais encore dans la première
période
de la maladie, c'est-à-dire de un mois à deux ans
une tumeur osseuse s'accompagne de paraplégie spasmodique dans une
période
; qui suil la paraplégie flasque. '20 Exagératio
est un phénomène plutôt grave. Dans la grossesse, dans la seconde
période
, el beaucoup Irlns encore pendant l'accouchemen
e. ' Marandon de Montyel a étudié le réflexe crémastérien aux trois
périodes
de la paralysie générale : il est altéré dans 8
s : dans le tabès, Salrrazès a pn le constater chez un tabétique en
période
de crise de douleurs fulgurantes dans les membr
z/. Suivant cet auteur, il se montre très fréquemment, surtout à la
période
finale de la maladie ; il indique l'apparition de
lesquelles les accidents moteurs ne se manifes- tèrent qu'après une
période
, de troubles sensitifs purs. , Paraplégies croi
atisée du faisceau pyramidal. Elle présente dans son évolution deux
périodes
dis- tinctes, l'une d'atrophie progressive avec
ésentent égale- ment de l'atrophie du type Aran-Duche11lH', et à la
période
d'étal, le malade peut ressembler un peu à un s
uéri. L'exagération des réflexes persiste naturellement pendant ces
périodes
où la contracture diminue, où la marche est facil
t cette brève évolution. La paralysie est parfois ascen- dante a la
période
terminale et atteint le tronc, les membres supéri
ces affections qui ne réalisent un syndrome paraplé- gique qu'à une
période
tardive de leur évolution. La névrite interstit
es ou toxiques. De ce nombre sont les paralysies transitoires de la
période
préataxique du tabès et particulièrement le phé
t et la santé de- meure excellente dans leur intervalle. Pendant la
période
d'état, le coeur est dilaté; le malade ruissela
erons remarquer seulement que presque toute paraplégie présente des
périodes
de rémission parfois longues, souvent marquées;
lette consécutif aux paralysies radicu- laires survenant pendant la
période
de croissance. Les accoucheurs admettent le plu
monoplégie d'origine corticale est facile il reconnaître. Après une
période
de paralysie flasque les contractures se montrent
, les adé- nopathies, les tumeurs cervicales ou médiastines. A la
période
d'état les deux cordes sont immobiles, en positio
culature. de sorte que, à l'examen d'un amyotrophique arrivé il une
période
avancée, il peut être impossible de reconnaître
. La pseudo-hypertrophie fait généralement place à l'atrophie à une
période
avancée de l'évolution. MYOPATHIE SCAPULO-IIU31
ntement progressive, insi- dieuse, entrecoupée parfois de longues
périodes
d'arrêt, surtout quand le début a été tardif. L
des mouvements sont les mêmes pour le tronc et les membres, il une
période
avancée, dans la forme d'Erb et dans la forme L
dans la forme d'Erb et dans la forme Landouzy-Dejerine : seule leur
période
d'apparition diffère. Ce qui caractérise seulem
essentiels à la vie et n'oblige le malade à garder le lit qu'à une
période
extrêmement avancée, qui peut aller jusqu'à la vi
* La contractilité électrique varie pour chaque muscle suivant la
période
de l'atrophie, et même pour chaque faisceau muscu
lecture des observations antérieures, qui ont toutes pré- cédé la
période
où la pratique courante de la ponction lombaire
e distinguées des atrophies tardives, plus fréquentes, qui, dans la
période
d'incoordination confirmée, réduisent symétrique-
ns les nouveaux procédés de recherches, et toutes datent d'avant la
période
où l'on a attribué quelque importance à la path
12e ou 15e jour, parfois dès le 4e ou 5e jour, par conséquent à une
période
où l'on ne peut incriminer le repos prolongé. E
t l'intensité et la localisation exacte de la lésion, suivant et la
période
du développement, peut-être aussi suivant des pré
dues à la lésion des nerfs et surtout des racines; l'apparition des
périodes
successives de paralysie flasque et de paralysi
oment donné vers la régression et vers la guérison : on observe une
période
d'augment qui peut être rapide ou lente, une pé
on observe une période d'augment qui peut être rapide ou lente, une
période
d'état et une période de décroissance. 1. Lésio
d'augment qui peut être rapide ou lente, une période d'état et une
période
de décroissance. 1. Lésions traumatiques des ne
érieurs, rarement d'une façon précoce, en général tardivement, à la
période
d'in- coordination. Elle commence par les m
ra procéder au massage et à la mobili- sation qu'une fois passée la
période
aiguë et douloureuse. Quant à l'électrisation,
; elle sera ,des plus utiles aussi dans les névrites, mais après la
période
des douleurs. )/é)ectrotherap)e sera, au contra
s cet acci- dent si subit et si momentané, survenant souvent dès la
période
dite « préataxique » du tabès ; il est en effet
ingite syphilitique [A. LERI.] ] 7<i2 INCOORDINATIONS. de la
période
secondaire ou du début de la période tertiaire (i
7<i2 INCOORDINATIONS. de la période secondaire ou du début de la
période
tertiaire (il est d'ail- leurs de plus en plus
nérale, il faut éviter avec soin pour commencer une rééducation les
périodes
d'évolution aiguë ou subaiguë que l'on observe
ercices varie naturellement sui- vant le degré de l'ataxie à chaque
période
de la cure. Les exercices des membres inférieur
as de <i3 centim. (ces derniers ne devront être obtenus qu'à une
période
avancée de la cure). Faire des demi-pas, des tr
ce très difficile, mais des plus utiles : il doit être lente il une
période
avancée de la cure ou dans les cas d'ataxie faibl
'à un certain point, un pronostic; 2° au cours de la cure, et à une
période
plus ou moins avancée, il sera bon, de temps en
eurs laryngés provoque une dyspnée permanente, sifflante, coupée de
périodes
de tirage ou même de crises de sufl'ocation dra
familiales ; mais il est avant tout caractéristique de la dernière
période
évolutive de la sclé- rose latérale amyolrophiq
de de début de l'affection étudiée, le syndrome mor- bide est, à la
période
d'état, vraiment typique. Hémiplégiques doubles,
: ainsi, après une amélioration très prononcée suivie d'une longue
période
d'état stationnaire, la maladie peut reprendre,
céphale expliquent suffisamment ce phénomène. C'est surtout il la
période
ultime de la sclérose latérale amyol1y¡pltique,
es chro- niques telles que la tuberculose, la syphilis (début de la
période
secon- daire), le cancer, le diabète, l'urémie,
ons des excitations très rapprochées, atteignant le muscle il toute
période
de sa contraction : il y aura fusion des secous
ystérie convulsive chez l'enfant. Elle se compose souvent de quatre
périodes
comme chez l'adulte (voir plus loin) : période
e souvent de quatre périodes comme chez l'adulte (voir plus loin) :
période
de convulsions, toniques ou cloniques, période de
e (voir plus loin) : période de convulsions, toniques ou cloniques,
période
de contorsions, période d'attitudes passionnell
iode de convulsions, toniques ou cloniques, période de contorsions,
période
d'attitudes passionnelles, enfin période de délir
s, période de contorsions, période d'attitudes passionnelles, enfin
période
de délire. Mais c'est une crise souvent très in
nstatation de ce dernier signe (signe de Chvostek), au moment d'une
période
d'accalmie naturellement - on ne trouverait rien
suivie d'une phase clonique et de résolution : le tout constitue la
période
épileptoïde. Puis, au milieu de cris, de soubre
au milieu de cris, de soubresauts, le sujet entre dans la deuxième
période
, celle des contorsions et des grands mouvements
ériode, celle des contorsions et des grands mouvements, dite encore
période
de c/0 ! <; ! u.< ? . Il se contorsionne,
vent. [ROUSSY] ] 852 CONVULSIONS ET CRISES CONVULSIVES. Dans la
période
des altitudes passionnelles, les jeux de physiono
passé avec leur cortège d'émotions tristes ou gaies. La quatrième
période
, dite période de délire, annonce la fin de la c
r cortège d'émotions tristes ou gaies. La quatrième période, dite
période
de délire, annonce la fin de la crise. C'est un
e aura, suivie de perte de connaissance plus ou moins complète. Une
période
convulsive survient, tonique, puis clonique, avec
cercle et d'attitudes passionnelles, et la crise se termine par une
période
post-convulsive ou de délire. Ici, comme dans l
ontinence d'urine, de morsure de la langue, est suivie d'une longue
période
, de stertor. Mais quelques-uns de ces caractère
à la main. Ce clonus est un véritable tremblement, il apparaît à la
période
de contracture ou le précède et est caractérist
is cependant il peut passer sous des influences diverses par des 's
périodes
de recrudescence après lesquelles il redevient tr
souvent à marche lente et progressive et ils sont varia- bles il la
période
d'étal; ils s'améliorent par les soins hygiénique
s deviennent prédominants, l'affection est alors constituée. A la
période
d'état, les troubles moteurs ont les caractères q
les appartenant en propre à la chorée, sont ceux qu'on observe à la
période
prodromique et leur constance est un argument e
La marche de la maladie est progressive au début, mais arrivée à sa
période
toutefois, sa durée est indéfinie ; il existe cep
te est mal tranchée, entre le geste, normal et le tic, il y a « une
période
1. Cruciif.t. Sur un cas de tic de la lèle, et.
ition : l'éducation du tic était faite par la première atteinte, la
période
d'hésitation n'a plus de raison d'être. Les tics
es, ils apparaissent plus rapidement que les tics vul- gaires, sans
période
préliminaire d'éducation du tic, parfois à l'occa
s tics, évoluant sur un terrain de dégénérescence mentale. Dans les
périodes
où les tics prédominent, le diagnostic avec les
ces de mouvements commandés. La cure comprend schématiquement trois
périodes
: 1" Dans le premier stade, on recherchera seul
dre aux malades à imiter leur tic, : cette imitation, en dehors des
périodes
de tic, est généralement très malaisée au début
atteignent chez les différents malades ou chez le même malade à des
périodes
différentes des muscles très différents, et qu'
e Marie (Thèse de Paris, 1898). Elle peut s'observer souvent dès la
période
préataxique; le plus souvent, l'hypotonie est l
élie et les névrites, spécialement les névrites traumatiques. A une
période
avancée de la maladie, il est ordinaire d'observe
, tout au moins dans les cas typiques, pu bien si l'on veut, à la
période
d'état. Une moitié de la face, en effet, est ré
aut, l'arti- culation est alors littéralement effon- Orée. A la
période
d'état, au-dessous d'un tégument normal ou ne pré
ès la mort. La fièvre s'observe dans la méningite tuberculeuse à la
période
du début, et la température est généralement mo
nous l'avons vu, l'hypothermie peut se rencontrer dans la troisième
période
de la méningite tuberculeuse. Marchand et Oli
irculation. Dans la tuberculose la tachycardie se voit soit dans la
période
du début où la névrite est due à l'imprégnation
irmée : mais c'cst NÉVRALGIES VESICALES. - ' 947 à cette dernière
période
qu'on les observe surtout; elle sont rarement t
e pendant des mois et des années, elles sont surtout violentes à la
période
confirmée : fréquence très grande, irrésistible
souvent encore dans la méningite tuberculeuse, sinon il la première
période
à laquelle la rétention complète ou surtout incom
incontinence. L'influence des myélites sur la miction varie avec la
période
de 1 affec- tion, qu'elles soient aiguës ou chr
ne vide jamais complè- tement sa vessie. On dit généralement qu'aux
périodes
suivantes il y a incontinence; cette dernière t
ara- plégie est progressive, comme dans lés compressions lentes, la
période
de rétention complète ou incomplète est supprim
e phénomènes mictionnels propres à la lésion cérébrale excepté à la
période
ultime, à laquelle d'ailleurs l'incontinence es
iode ultime, à laquelle d'ailleurs l'incontinence est la règle. Aux
périodes
moins avancées, les troubles mictionnels se con
t intermittente el les besoins d'uriner dispa- raissent à certaines
périodes
. La rétention complète est toujours assez rapid
te et surtout dans la méningite tuberculeuse, excepté à la dernière
période
. L'incontinence constitue un des signes pathogn
signes pathognomoniques de l'épi- lepsie et se produit il plusieurs
périodes
pendant les accès, les vertiges, les absences;
isme est un symptôme du début de la sclérose en plaques, mais cette
période
dure peu et fait place rapidement à l'impuissance
hilis cérébrale et surtout dans la paralysie générale à la première
période
. Elle est au début accompagnée d'érection, mais
e où elles sont douloureuses. Enfin, et surtout dans le tabès à l'a
période
initiale, sou- vent même les excitations génita
on l'observe dans l'hystérie et surtout dans le tabès à la première
période
. Elle annihile le point de départ des réflexes pa
rin- gomyélie et surtout dans la sclérose en plaques, à la deuxième
période
, constante dans les compressions lentes de la m
la para- plégie, etc., l'impuissance succède presque toujours à une
période
d'excitation sexuelle exagérée. Cette successio
gitée de secousses vermi- culaires violentes, s'observe encore à la
période
terminale de la sclérose latérale amyotrophique
post-paroxystique est spécialement dangereux; survenant pendant la
période
de résolution, il peut provoquer la mort par chut
du tabes. - Le tabes provoque des crises viscé- rales surtout à la
période
preataxique; il s'agit donc de symptômes pré- c
nté entre les crises. A ces vomissements incoercibles succèdent des
périodes
par- faites, sans le moindre signe de dyspepsie
, ou parce qu'elle a voulu maigrir. Nous n'en sommes alors qu'il la
période
encore volontaire, pour ainsi l, Dans ce cas, l
ormations complexes, il est souvent facile en clinique. jusqu'à une
période
plus ou moins tardive, de distinguer s'il s'agit
rène symétrique des extrémités ou maladie de Raynaud débute par une
période
plus ou moins prolongée d'asphyxie locale qui n
moins prolongée d'asphyxie locale qui ne peut être distinguée de la
période
de début de la sell"J'odaclylie : les doigts, s
ent des marbrures livides le long des mains et des avant-bras. A la
période
suivante, la maladie de Raynaud se distingue tout
adie de Raynaud se distingue tout lait de la sclérodactylie ; cette
période
se caractérise par la production de phlyctènes,
les (`) (6g. 14) ou de paralysies spinales aiguës de l'adulte, à la
période
flaccide des hémiplé- gies, à une période très-
iguës de l'adulte, à la période flaccide des hémiplé- gies, à une
période
très- tardive des myopathies progressives, à un
s, à une période très- tardive des myopathies progressives, à une :
période
également tardive dès atrophies musculaires pro
. Enfin, cette même déformation de.la main peut s'observer il une
période
généralement tardive des- myopathies facio-scapul
hi- ques, e) fonctionnelles. a) Dans l'hémiplégie cérébrale, à la
période
de flaccidité, on observe un pied immobile et h
vent, dans certains cas, coexister avec des lésions nerveuses à une
période
avancée de la maladie, de nombreux cas ont été
Il est rare que des plaques muqueuses s'observent en dehors de la
période
secondaire de la syphilis, cependant on peut obse
malement puis tout à coup se met à dépérir rapidement, ou après une
période
normale il dépérit graduel- lement et meurt, c'
fantile chez les syphilitiques. Quoi qu'il en soit. l'enfant, à cette
période
, a l'aspect sénile. A un âge plus avancé, la ta
ur ce sujet, car le traitement est très fréquemment commencé il une
période
beaucoup trop tardive, alors que les lésions so
n font ressortir un autre point intéressant : les lymphocytes de la
période
avancée. [O. CROUZON.} 1154 LIQUIDE CÉPHALO-R
s que ceux du début, il y aurait donc une micro- lymphocytose de la
période
avancée; 2° Examen bactériologique. Achard, Loe
urologie, 5 mars 1905). Tel est encore la paralysie faciale de la
période
secondaire de Thibierge et Ravaut (Soc. médic.
e céphalo-rachidien. Dans ce but, ils ont examiné des malades il la
période
secondaire, présentant de la céphalée et se sont
avait trouvé une lymphocytose discrète dans deux cas de syphilis en
période
secondaire. Thibierge et Bayant ont constaté pl
ôpitaux, ! ) octobre 1905) qui a montré que sur 54 syphilitiques en
période
secondaire, sans accidents, ou avec accidents c
ne accélération du pouls et de la respiration qui persiste dans les
périodes
d'apyrexie, un ptosis fréquent ? Abstraction
importants pour le neurologisle, car ils surviennent souvent à une
période
où le traumatisme est oublié et où le malade n'
avoir une valeur quelconque, surtout étant donné que. même à cette
période
, il ne montre que la déformation osseuse sans e
sus localisés d'ostéite apparaissant chez des sujets non plus à une
période
avancée du tabès, non plus même il la période pré
sujets non plus à une période avancée du tabès, non plus même il la
période
préataxique. mais bien comme symptôme tout à fa
et avec la résistance opposée par le corps. Le courant passe par la
période
d'état variable de fermeture. Si [E HUENT ] z
manière que le courant continue il passer, nous avons affaire à une
période
d'étal permanent du courant. Puis, si nous agis
cuit, l'intensité retombe presque immédiatement à zéro, c'est la
période
d'état variable d'ouver- ture. Nous pouvons
plus favorables ; c'est Fig. 18. - Schéma de l'onde galvanique AF,
période
d'état variable de fermeture; 1<'0, période
'onde galvanique AF, période d'état variable de fermeture; 1<'0,
période
d'état penna- lIellt; OB, période d'état variab
t variable de fermeture; 1<'0, période d'état penna- lIellt; OB,
période
d'état variable d'ouverture. ÉTATS VARIABLES DU
s muscles, de quelques millièmes à un centième de seconde; c'est la
période
d'excitation latente; puis, la contraction commen
teindre un maximum en trois à quatre centièmes de seconde, c'est la
période
d'énergie croissante; alors commence la décontr
PPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ. atteindre la ligne de repos, c'est la
période
d'énergie décroissante, qui i dure de trois à c
st revenu à l'état de repos, les mêmes phénomènes se reproduisent :
période
d'excitation latente, période d'énergie croissa
es mêmes phénomènes se reproduisent : période d'excitation latente,
période
d'énergie croissante et période d'énergie décro
ent : période d'excitation latente, période d'énergie croissante et
période
d'énergie décroissante, et ainsi de même tant q
ouvelle excitation se trouve produite lorsque le muscle est dans la
période
d'énergie décroissante, celui-ci, après le temps
gie décroissante, celui-ci, après le temps perdu correspondant à la
période
d'excitation latente, entre de nouveau en contr
ontraction avant d'être revenu à l'état de repos; il recommence une
période
d'énergie croissante, en atteint le maximum, puis
urant primaire, P, et du courant induit ou courant secondaire, S. F A
période
d'étal variable de fermeture du courant primair
orrespond l'onde induite de ferme- ture F' A' de sens inverse : A 0
période
d'état permanent du courant primaire pendant la
pendant laquelle il n'y a pas d'induction dans le. secondaire; 0 B
période
d'état variable d'ouver- ture du courant primai
t telle qu'une nouvelle excitation atteigne le muscle e dans sa
période
d'énergie croissante ou vers la fin de cette
dans sa période d'énergie croissante ou vers la fin de cette
période
, le muscle ne peut commencer sa décontraction
nerveux central, encéphale et moelle, surtout à leur début ou à des
périodes
peu avancées. On l'a constatée dans des paralys
ne, l'augmentation de l'excitabilité électrique peut s'observer aux
périodes
initiales, plus tard elle se trouve remplacée s
e la diminution simple de l'excitabilité électrique, surtout il des
périodes
déjà assez avan- 1. Lorsqu'on explore l'excitab
t normale, on même être aug- mentée, comme nous l'avons vu pour les
périodes
initiales. Dans les atrophies musculaires qu'on
poliomyélite antérieure aiguë, par exemple, on peut ne trouver à la
période
initiale que de la diminution simple des réaction
, et ils récupèrent plus ou moins rapidement leurs fonctions. A des
périodes
éloignées du début de ces affections on peut au
té électrique s'observe aussi dans des névrites périphériques à une
période
tardive de leur évolution, alors qu'elles ont p
t une certaine évolution dans laquelle nous aurons à distinguer une
période
de début, une période d'état et une période de
on dans laquelle nous aurons à distinguer une période de début, une
période
d'état et une période de déclin. Laissant de
aurons à distinguer une période de début, une période d'état et une
période
de déclin. Laissant de côté pour l'instant la p
état et une période de déclin. Laissant de côté pour l'instant la
période
initiale, sur laquelle nous reviendrons plus lo
us reviendrons plus loin, nous nous occuperons dès maintenant de la
période
d'état. Les altérations des réactions électriqu
entement ('). Cette lenteur de la contraction, très prononcée ;t la
période
d'état de la DU dans les processus aigus, est à e
habituellement comme dans la DR complète, augmentée au début de la
période
d'étal, diminuée plus tard; elle est, de plus, al
citation directe du muscle distance et. s'observent surtout dans la
période
où les muscles présentent de l'hyperexcilabilit
'il est im- portant de connaître pour les applications cliniques.
Période
initiale de la DR. Avant d'aboutir à la période d
ications cliniques. Période initiale de la DR. Avant d'aboutir à la
période
d'état, dont nous venons d'exposer les principa
enons d'exposer les principales manifestations, la DU passe par une
période
initiale qu'on a bien étudiée expérimentalement,
de la moelle. Les modifications de l'excitabilité électrique dans la
période
initiale de la DR présentent d'ailleurs quelque
ue des muscles. On peut alors considérer la DR comme entrée dans sa
période
d'état; c'est généralement dans le cours de la
es voir apparaître ainsi tardive- ment dans la paralysie faciale.
Période
d'état de la DR. Par période d'état de la DR nous
ive- ment dans la paralysie faciale. Période d'état de la DR. Par
période
d'état de la DR nous enten- dons le temps penda
i la caractérisent de la façon que nous avons dite plus haut. Celte
période
est de longue durée ; elle se prolonge au moins
peut la voir même s'étendre sur plusieurs années. Ainsi comprise la
période
d'état de la DR pourrait se subdiviser elle-mêm
a période d'état de la DR pourrait se subdiviser elle-même en trois
périodes
. La première correspond au temps pendant lequel
est variable suivant les cas ; on pourrait d'ailleurs réunir cette
période
à la précédente en estimant que la durée de ces d
cette période à la précédente en estimant que la durée de ces deux
périodes
réunies varie en moyenne de quelques semaines à
isant la DU restant encore bien nettes; cette dernière partie de la
période
d'état de la DR est assez longue et se prolonge
de la DR est assez longue et se prolonge souvent de nombreux mois.
Période
terminale de la DR. A la période d'état de la DR
prolonge souvent de nombreux mois. Période terminale de la DR. A la
période
d'état de la DR succède 1. A cette période de l
terminale de la DR. A la période d'état de la DR succède 1. A cette
période
de la DU on observe assez souvent, en excitant le
nce de 1 l'yperexcitabilite galvanique des muscles existant à cette
période
de la DU. [E. HUET ] 1252 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC.
cette période de la DU. [E. HUET ] 1252 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. une
période
terminale ou de déclin, que l'on doit envisager d
s ou moins diminuées. L'excitabilité galvanique des muscles à cette
période
de la DR est habituellement assez diminuée ; se
n comparable en beaucoup de points à celle de la DR complète. A une
période
assez rapprochée de son début l'excitabilité ga
à assez peu excitables pour que la DR n'y soit pas constatable à la
période
d'état ; mais, sur d'autres, le processus étant
. La connaissance des caractères que présente la DR, à ses diverses
périodes
, est de nature à éclaircir ce point du diagnostic
ons électriques, on peut trouver sur certains muscles de la DR à sa
période
d'état et,sur d'autres muscles de la- DR à une
e la DR à sa période d'état et,sur d'autres muscles de la- DR à une
période
plus -avancée : on est en droit de conclure que l
ins éloignés, de sorte qu'au moment d'un examen, on la trouve à des
périodes
différentes de son évolution suivant les région
lus favorable que la forme commune de la DR dans laquelle, il cette
période
, l'excitabilité galvanique des muscles est bien c
int un mini- mum relatif, passant pour arriver à ce minimum par une
période
de chute de la résistance . Le minimum atteint
sistance moindre que celle du minimum relatif qui précède, nouvelle
période
de régime décroissant de la résistance aboutiss
s, la résis- tance initiale se montre donc plus ou moins élevée; sa
période
de régime décroissant est aussi plus ou moins l
té relativement élevée, la résistance initiale se montre faible, la
période
de régime décroissant de la résistance est le p
s téguments comme dans l'érysipèle, la rougeole, la scarlatine à la
période
d'éruption. Ces auteurs rapportent cette augmen
es fièvres paludéennes la résistance se montre augmentée jusqu'à la
période
des sueurs ; elle est alors au contraire diminuée
es ; leur excitabilité est même souvent augmentée dans une première
période
. On a certainement abusé et on abuse parfois en
semblable. Faut-il commencer le traitement de bonne heure, dès la
période
d'in- vasion ? Quelques électrothérapeutes, s'a
ps nécessaire pour que la DR se développe avec ses caractères de la
période
d'état, l'examen devient très démonstratif et p
it les contractions mini- males des muscles, intensité qui il cette
période
de la poliomyélite peut être comprise en moyenn
bile pourrait être employée aussi comme mode de traitement dans les
périodes
de la poliomyélite auxquelles s'adressent les e
t. A mesure que l'on s'éloigne davantage du début de la maladie les
périodes
de repos du traitement électrique peuvent être pl
-spinale sont passibles du même traitement. Il faut attendre que la
période
aiguë de la méningite ait pris fin pour commenc
e trop bonne heure; il faut attendre que les phénomènes aigus de la
période
d'invasion soient en rétrocession; c'est donc s
ut : lorsque celle-ci est com- - plète, on voit assez souvent, à la
période
de réparation, la paralysie rem- placée peu à p
et en rapport avec l'état de l'excitabilité galva- nique ; dans la
période
d'hyperexcitabilité une intensité de 1/2 il 1 m.
rs semaines dans les applications du traitement électrique. A une
période
assez éloignée du début, lorsque l'excitabilité f
a contracture secondaire. Celle-ci ne se v développe que lorsque la
période
de réparation de la paralysie est com- ! mencée,
entrecoupées de séries de repos plus ou moins prolongé. Pendant ces
périodes
de repos il y a souvent lieu de continuer. ou d'i
lgie. En somme il n'est pas il conseiller habituellement pendant la
période
aiguë d'une névralgie; on pourrait l'essayer lors
après avoir notablement diminué, se prolongent néanmoins dans une
période
de déclin plus ou moins traînante. Les névralgi
raitement nous paraît, comme le précédent, moins utilisable dans la
période
aiguë des névralgies que dans leur période de déc
moins utilisable dans la période aiguë des névralgies que dans leur
période
de déclin. L'électrisa- hon statique est employ
s le Irai- tement de névralgies sciatiques qui après avoir passé la
période
aiguë se montraient plus ou moins persistantes,
tion le traitement de ces troubles de la sphère motrice. Pendant la
période
aiguë de la névralgie le traitement ne différer
ation simple et facile; elle convient tout particulièrement dans la
période
aiguë des névralgies; les formes et les dimension
soutenu sont souvent nécessaires; c'est ce que Zimmern a appelé la
période
de cure active. On peut alors, si l'amélioration
ec des séances plus espacées, au nombre de une il deux par semaine,
période
de soutien (Zimmern). Lorsque la névralgie ne s
iques et propriétés phy- siologiques de l'onde faradique, 1250. -
Période
d'excitation latente, période d'énergie croissa
logiques de l'onde faradique, 1250. - Période d'excitation latente,
période
d'énergie croissante, 1251. - Période d'énerg
Période d'excitation latente, période d'énergie croissante, 1251. -
Période
d'énergie décroissante, 1252. Appli- cations
oints moteurs, 1248. - Formes de la réaction par- tielle, 1249. -
Période
initiale de la IL D., 1250. l'ériode d'état, pé
ielle, 1249. - Période initiale de la IL D., 1250. l'ériode d'état,
période
terminale, 1251. Syndromes de dé- générescenc
de sa maladie, celle-ci s'aggrava après son accouchement, pendant la
période
de lactation. La nutrition laissait à désirer. Ch
aissait à désirer. Chez elle aussi le doute s'était présenté dans une
période
avancée de sa maladie. Elle se lavait les mains à
relatif; chez les femmes, les plus fortes crises coïncidaient avec la
période
. Il faudrait trop de temps et de développements
nombre d'observations, entre les phases de la grande hystérie et les
périodes
du grand hypnotisme, est bien réelle. Il en a don
dant le sommeil hynoplique, voici ce que je répondrai : Si pendant la
période
où le sommeil naturel est encore incomplet, M. Be
irs étaient précis jusqu'à une certaine heure du bal, confus pour une
période
intermédiaire d'environ une heure, abolis pour la
cessives dans le champ de la conscience sont toutes comprises dans la
période
dont l'oubli général est imposé par l'ébranlement
rite dans notre cerveau ; et nous savons que dans le sommeil, dans la
période
hypnagogique qui précède le sommeil, et même dans
es époques menstruelles. — Une malade que j'avais déjà hypnotisée aux
périodes
cataméniales pour de la manie aiguë a été atteint
s d'elle, pendant ma visite, au moment où elle présentait la première
période
de l'attaque : respiration précipitée (80 resp.),
ro-épîleptiques en état d'hypnose, arrête les préludes et la première
période
d'attaques qui peuvent survenir pendant ce sommei
t l'existence des phénomènes, qui seraient caractéristiques des trois
périodes
décrites par Charcot, et considèrent ainsi le gra
considérés comme tout à fait caractéristiques des ainsi nommées trois
périodes
du grand hypnotisme, nous voyons qu'ils se réduis
ut obtenir dan* la sphère psydiique, sont à peu près commun aux trois
périodes
. En effet, dans la période dite léthargique, da
iique, sont à peu près commun aux trois périodes. En effet, dans la
période
dite léthargique, dan* ceUe désignée sous le nom
mmeil. Au contraire, ce qui différencierait essentiellement les trois
périodes
, ce sont les phénomènes musculaires, et préciséme
usculaires, et précisément t'hyperexcitabilité neuro-musculaire de la
période
léthargique, c'est-à-dire les contractions et les
par le courant électrique, la flexibilité de cire des membres dans la
période
cataleptique, thyperexcitabitité cutanée, c'est-à
s contractures provoquées par la simple excitation de la peau dans la
période
somnambuliqite. Nous avons nettement constaté c
c'est dans ces seuls cas rares que l'on constate les trois prétendues
périodes
caractéristiques, avec leurs phénomènes neuro-mus
ne plus rien saisir de cette suite aussi limpide, aussi évidente des
périodes
établies, comme type de la phénoménologie hypnoti
er la division nosographique admise par l'école de Charcot, des trois
périodes
du grand hypnotisme, qui ne constitueraient pas s
ribuzione alto studio delf Ipnotismo, 3*1 communica-zione. pay. 19.
périodes
d'une manière apparente, ne justifient point leur
seraient les seuls vraiment caractéristiques et distinctifs des trois
périodes
léthargique, cataleptique et somnambulique {puisq
phénomènes sensoriels et psychiques sont à peu près communs aux trois
périodes
), el qui, précisément par leur objectivité, aurai
jeu l'excitabilité réflexe exagérée. En effet, pour produire dans la
période
léthargique (qui n'est eu réalité pour nous qu'un
imulants que nous employons. Comment provoque-l-on le passage de la
période
léthargique à la période cataleptique? On se sert
ns. Comment provoque-l-on le passage de la période léthargique à la
période
cataleptique? On se sert d'ordinaire des stimulat
s dans leur intensité à l'intensité de ceux-ci. Finalement, dans la
période
dite somnambulique, qu'on provoque généralement p
pour ce qui concerne le phénomène qui serait caractéristique de cette
période
, Y/iyperexcitabUilé culano~musculaire (la contrac
oyées. Ceci prouve que, dans tous ces phénomènes des prétendues trois
périodes
(qui se réduisent en résumé à des manifestations
bilité réflexe augmentée, effets qui varient, nou pas en raison dea
périodes
, mais selon la nature, la durée, l'intensité et l
eux-mêmes. Et qu'il en soit ainsi, et que ces phénomènes des trois
périodes
n'aient pas la valeur des caractères nosograpbiqu
es spéciaux, dont chacun serait caractéristique d'une seule des Irois
périodes
, se rencontrent, au contraire, dans beaucoup de c
oins assez typiques, du grand hypnotisme, mixtea dans les différentes
périodes
, et qu'on peut, même, les observer indifféremment
t qu'on peut, même, les observer indifféremment dans n'importe quelle
période
. Ainsi, la contracture dite somnambulique a été r
l nomme cataleptiforme, qui réunit, d'après lui, les phénomènes de la
période
léthargique et de la période cataleptique. Et si
éunit, d'après lui, les phénomènes de la période léthargique et de la
période
cataleptique. Et si l'on doit juger de la fréquen
ser que le mélange de ces phénomènes somatiques, dans les différentes
périodes
, est plutôt la règle que l'exception. Si nous ajo
pas possible d'établir une distinction nosographique des différentes
périodes
de l'hypnotisme sur les dits phénomènes, mais qu'
eulement ne sont pas caractéristiques, comme on l'a cru, des diverses
périodes
de l'hypnotisme, ne justifiant pas, par conséquen
cataleptique qu'on obtient dans l'état hypnotique lorsque, pendant la
période
dite léthargique, on fait agir un stimulant très
es, qui correspondent aux diverses variétés qu'on observe pendant les
périodes
léthargiques et cataleptiques de l'hypnotisme. Ma
le, l'existence de tous les phénomènes neuro-musculaires des diverses
périodes
de l'hypnotisme, c'est-à-dire les contractions et
e sont pas de nature à justifier la division nosogra-phique des trois
périodes
du grand hypnotisme, puisque nous les observons d
dant laquelle on remarquait, avec une succession assez régulière, les
périodes
léthargique, cataleptique et somnambulique, bien
stifiée non plus, car, non seulement la distinction nosographique des
périodes
, par laquelle le premier serait caractérisé, ne c
es, arrachant des cris à la malade. Toutefois, je réussis, dans cette
période
des grandes douleurs, à endormir la malade par su
ait complètement étalée sur la tête du feetus. Chacun sait combien la
période
d'expulsion est douloureuse, surtout chez les pri
sence on l'atténuation des douleurs pendant la première et la seconde
période
du travail. Elle est encore remarquable, el c'est
uggestion verbale, ne pas sentir les cruelles douleurs de la dernière
période
de l'accouchement. Enfin, celte observation montr
une excitation musculaire. Noos n'avon* jamais pu obtenir les trois
périodes
léthargique, cataleptique et somnambulique qu'on
laquelle on a appliqué des cautères, «ans aucun suecès. Les quatre
périodes
de l'hystéro-épilepsie sont très marquées chez ce
es chez cette jeune fille, et leur durée est d'an moins une heure. La
période
des mouvements de elonisme est très inten«e : il
servée. Au cours même de l'intoxication morphinique, non pendant la
période
d'abstinence, la morphine provoque-l-elle des imp
ent dans le cours même du morpbinisme, en dehors bien entendu de la
période
d'abstinence. Les morphinomanes aiment bien se ré
l'abstinence et calmer les symptômes douloureux et pénibles de celte
période
. Au fur et à mesure que vous vous éloignez du jou
issement excluent l'idée de névrite ou névralgie sciatique. Est-ce la
période
préataxique du tabès? La localisation et la const
nt revenir complètement à son état normal. Pendant la crise, après la
période
bruyante et convulsive, elle entrait en somnambul
ut de somnambulisme hystérique dans lequel passait la malade après la
période
convulsive, et la possibilité de le comparer à l'
omnambulisme hypnotique, la malade était calme, ne passait par aucune
période
convulsive; elle n'entendait que moi et n'était e
me classique, le plus souvent héréditaire; elle subit l'influence des
périodes
menstruelles, et la perturbation nervo;0- menta
ruelles, et la perturbation nervo;0- mentale, limitée d'abord à ces
périodes
, s'étend peu à peu à l'intervalle des règles. L
les offrent le caractère particulier d'être plus intenses pendant les
périodes
calaméniales. Leurs hallucinations provoquent des
u arrêter la marche, conduit à l'incohérence et à la démence. A cette
période
, ces aliénées se livrent aux instincts les plus s
s la iwriode de l'hypnotisme désignée sous le nom de léthargie. Celle
période
étant essentiellement caractérisée par la résolut
éblouissante, l'effet obtenu serait l'étal de catalepsie. Dans celte
période
, rhyperexcilabilité neuro-musculaire a disparu. E
exercer une pression sur le vertex d'un sujet placé dans ??? des deux
périodes
précédentes aurait pour effet de provoquer la pér
s ??? des deux périodes précédentes aurait pour effet de provoquer la
période
dite de somnambulisme, dans laquelle le sujet rep
peau amène la contracture des muscles sous-jaceuts. On aurait dans la
période
de somnambulisme de l'by perexcita-bililé culano-
neuro-muscu-lairc de la [triode de léthargie. L'étude do ces trois
périodes
a vivement surexcité la curiosité de3 expérimenta
é à provoquer chez elles par les divers procédés appropriés les trois
périodes
de l'hypnotisme, ainsi que les états somatiques c
s de l'hypnotisme, ainsi que les états somatiques correspondant à ces
périodes
. La Société pourra constater sur les malades que
malade, de provoquer chez elle les diverses manifestations des trois
périodes
du grand hypnotisme, et cela sans recourir ? la s
beau type de sujet, pré-senianl avec une netteté admirable les trois
périodes
du grand hypnotisme. En un mot, après la compress
à provoquer les mêmes expériences chez elle. Immédiatement les trois
périodes
ont été éublies, rhyperexcita--bilité neuro-muscu
grand hypnotisme cl elle peut servir à la démonstration clinique des
périodes
décrites à U Salpétrière. Obs. V. — Hystérie in
yperexcilabilité ueuro-musculaïre, et malgré son jeune âge, les trois
périodes
du grand symptôme apparaissent chez elle aussi ne
lumière dans les yeux, la pression sur le vértex qui amènent, non la
période
indiquée comme correspondant à ces manœuvres, mai
des épileptiques. C'est là une condition qui peut être favorable à la
période
d'hallucinations. CAS DE NÉVROPATHIE AVEC PERSÉ
ssé, il est nécessaire de diviser la vie de cette malade en plusieurs
périodes
. Une première période, qu'on peut désigner sous l
de diviser la vie de cette malade en plusieurs périodes. Une première
période
, qu'on peut désigner sous le nom de période AB, e
rs périodes. Une première période, qu'on peut désigner sous le nom de
période
AB, est formée par toute la première partie de so
t;ix «cmaines, tout ce qui se passe est complètement oublié; c'est la
période
d'amnésie rétrograde proprement dite. ain»i qu'il
e rétrograde proprement dite. ain»i qu'il va être dit tout S l'heure,
période
qu'on peut indiquer par les lettres CD. (Test l
l'événement qui a déterminé ce* phénomènes et il s'est éeouté là une
période
de trois jour» qu'on peut désigner sous le nom de
, des convulsion*, etc. Mais ici, après le 30 août, t'e*t ouverte une
période
d'amnésie que M. Charcot appelle antérograde, amn
e se souvient bien de la ville» où elle a habité autrefois pendant la
période
AB, mais ne fait où elle est maintenant, car elle
ttaque de nerfs, suivi d'un délire qui dura quatre heures, puis d'une
période
de sommeil de quatorze heures; le délire reprit e
as douteuse, l'état actuel a été constitué, c'est-à-dire que toute la
période
étendue du 13 juillet au 28 août, période CD, a d
, c'est-à-dire que toute la période étendue du 13 juillet au 28 août,
période
CD, a disparu de son souvenir. La journée du 11 j
vient de ce jour comme de tout ce qui s'est passé dans le reste de la
période
AB, qui se termine le soir de ce Jour-même : c'es
n somme la véritable amnésie rétrograde qui embrasse ici une première
période
de six semaines environ; pendant toute cette péri
ici une première période de six semaines environ; pendant toute cette
période
, la vie de la malade n'avait pas différé de ce qu
ment, en effet, à partir du moment où l'événement qui a déterminé une
période
d'amnésie rétrograde s'est produit, la mémoire se
notion, sans toutefois avoir perdu celles qu'elle a acquises dans la
période
AB, la période normale de sa rie. Lorsqu'ca eff
outefois avoir perdu celles qu'elle a acquises dans la période AB, la
période
normale de sa rie. Lorsqu'ca effel on l'interro
parce qne cette notion remonte à une époque antérieure à son amnésie (
période
A B], elle ne sait pas qu'elle est venue à Paris,
constance très intéressante a noter : c'est qu'avant que commençât la
période
J'amnésio rétrograde, elle avait vu fréquemment c
ant aux élève» et aux médecin* du servie que rien ne rattache à cette
période
antérieure. Us restent toujour» dVs inconnu* pour
u chien enragé qui s'est passée le 30 octobre, par conséquent dans la
période
d'amnésie antérograde et à une époque à laquelle
individu, tandis qu'ici la perte de la personnalité est limitée à une
période
relativement courte de l'existence, cl que -la mé
courte de l'existence, cl que -la mémoire peut rattacher ensemble la
période
actuelle et la période antérieure à t*amné*ie.
cl que -la mémoire peut rattacher ensemble la période actuelle et la
période
antérieure à t*amné*ie. Pour expliquer maintena
Un d'une violente attaque hystérique; or, on sait que les différentes
périodes
de l'attaquo hystérique so transforment, m prolon
adie. Pour obvier a cet inconvénient, M. Giurkovechky conseille, a la
période
chronique, de calhéiériser le malade trois fois p
trois fois par Jour avec une soude enduite de baarae de copahu. La
période
terminale de la maladie aérait abrégée par ce tra
le membre qui a reçu le choc devienne impotent. H est rare que cetlc
période
d'incubation donne plus de trois à quatre Jours.
outte reparut et ramena la raison; mais, chose à noter, pendant cette
période
de trouble psychique, il conserva toute son éloqu
e, etc.), survient d'habi- tude et marque, dans ce cas, la dernière
période
de la crise qui ne se prolonge guère au delà de
une de nos malades, aliénée depuis J819, a pré- senté une première
période
caractérisée par des idées de persé- cution à t
u, il s'intitule Edouard, le balayeur du Christ '. Après une longue
période
d'incubation et de per- sécution il eut une vis
e en langue ordinaire. Un illuminé de Cazanwielh 2 après une longue
période
de dépression profonde, avec idées de suicide,
sur l'élimination de l'acide phosphorique et de l'urée, pendant la
période
dépressive d'une folie alternante, il espère ap
sforma en une folie alternante typique, dont voici la formule : lre
période
ma- niaque avee ses trois stades, début, acmé,
ériode ma- niaque avee ses trois stades, début, acmé, rémission; 2°
période
intervallaire pendant laquelle le malade est ré
pendant laquelle le malade est réellement un homme normal. C'est la
période
normale post-maniaque; 3e période de dépression
llement un homme normal. C'est la période normale post-maniaque; 3e
période
de dépression avec ses trois stades, début. acm
de de dépression avec ses trois stades, début. acmé, rémission ; 4°
période
normale post-dépressive. Les périodes maniaque
s, début. acmé, rémission ; 4° période normale post-dépressive. Les
périodes
maniaque et dépressive durent chacune treize jo
Les urines furent analysées tous les matins à partir du début de la
période
dépressive et jusqu'à sa fin, c'est-à-dire pend
Eh bien, l'étude de ce tableau fait voir que, dès le début de la
période
de dépression, la proportion d'acide urique dimin
orique, qui commence, en réalité, dès avant le pre- mier jour de la
période
dépressive, s'accentue rapidement. Le troisième
s'accentue rapidement. Le troisième jour du stade de début de cette
période
; on a le chiffre minimum d'acide, 0,91. A part
mente mais irrégulièrement; il arrive enfin, avant la fin de la,
période
dépressive, à remonter au chiffre des phases d'ét
mêmes groupes musculaires et dont la terminaison est précédée d'une
période
comateuse. F. Boissier. XXI. Tétanie d'origine
exécute le mouvement spontanément. Dans la polynévrite aiguë, à la
période
de convalescence, on ne l'observe pas ; à la pé
aiguë, à la période de convalescence, on ne l'observe pas ; à la
période
d'acuité, il y a trop de douleur pour qu'on puiss
litement. On l'observe alors vingt fois sur vingt malades. Entre la
période
praeataxique et les cas extrêmes, tantôt on le
M. Garnier figurera à l'ordre du jour de la prochaine séance. La
période
terminale de la paralysie générale. M. ARNAUD.
comme les plus récents, à nous montrer le paralytique général à la
période
terminale sous l'apparence d'un malade amaigri, t
des n'ont présenté le tableau classique du paralytique général à la
période
ultime. Les 15 autres malades ont traversé avan
iode ultime. Les 15 autres malades ont traversé avant de mourir une
période
plus ou moins longue d'impotence et de séjour a
ne présentent pas ces symptômes. Quand ils apparaissent, pendant la
période
d'état, on peut prévoir avec une grande vraisem
nombreux et assez rapprochés, la mort ne surviendrait qu'après une
période
assez longue d'impotence mus- culaire et d'alit
e. Les paralytiques généraux peuvent mourir subitement à toutes les
périodes
de leur maladie. J'en ai vu mourir un, sous mes
croire. M. A. Voisin ne couche ses paralytiques qu'à la dernière
période
et cependant il a constaté la présence d'escarr
ayant cours sur l'aliénation mentale. Les idées sur la folie de la
période
hippocratique, du galénisme, des Arabes, du moy
Si. chez l'homme, la dégénérescence homolatérale persiste, dans les
périodes
plus tardives, il faut en attribuer la cause pour
ait dans 8 à 10 p. 100 des cas environ. Elle se montre à toutes les
périodes
de lamaladie,surtoutàla période préataxique. Le
viron. Elle se montre à toutes les périodes de lamaladie,surtoutàla
période
préataxique. Les dents, souvent saines et intac
isées par leur prédominance dans la sphère visuelle à la deuxième
période
et parfois dès la première. On observe là un doub
qui, depuis des années, présente un enchaînement ininterrompu de
périodes
de dépression mélancolique, puis d'excitation man
possession démoniaque. Le travail de systématisation constitue la
période
de prépa- ration de la maladie; elle dure jusqu
ceptions soient mêlés, mais ils se succèdent régu- lièrement en des
périodes
nettement distinctes et d'une oppo- sition tran
ièvres intermittentes de vingt-sept à trente-cinq; c'est dans cette
période
qu'est né le malade. Pas de syphilis. [Père incon
oit. On le faisait manger, et il ne dépérit pas trop. Après cette
période
, on put le lever, et on s'aperçut que le côté d
u 1er avril au 31 octobre tandis qu'il en avait eu 652 dans la même
période
de 1882. Onanisme fréquent. 1884. Hydrothérap
es un peu ulcérées au trochanter droit. t. 23. Depuis sa dernière
période
de grands accès (21 et 2S juin) ses jambes ne l
faut tenir compte de la nature de la maladie, et même des diverses
périodes
de la même maladie mentale; mais si l'on y a re
du corps; ce poids, en effet, ne change pas sensiblement durant les
périodes
où il n'y a pas eu d'attaques. Il ne semble pas
tion cérébrale; 3° il est excessivement probable que, à certaines
périodes
de la vie, le traitement thyroïdien fournit à l'o
méra- tion paraît être celui de la fréquence relative; 3° Dans la
période
initiale des fièvres, et aprèsrles blessures et l
du nez. En résumé la crise nasale se caractérise par une première
période
, l'aura paresthésique de la joue, du cou et du ne
ra paresthésique de la joue, du cou et du nez, puis par une seconde
période
accusée par des picotements dans la narine gauc
tes, un goût très amer, constaté très souvent depuis six mois (à la
période
ataxique); une sensation de rigidité et de chat
i différenciée ont sans doute perdu la faculté de proliférer dès la
période
embryologique de leur existence. Il en est autr
su, les fibres, cette méthode est incapable de poursuivre jusqu'aux
périodes
embryon- naires l'histoire de ces fibres, car à
lules, cela n'est exact, chez l'homme, suivant Weigert, que pour la
période
embryonnaire et pour les états pathologiques du
jusque sous la pie-mère, traversant tout le centre nerveux. Dans la
période
embryonnaire des oiseaux et des mammifères, et
ant la myélite aiguë, être cousidé- rés, dans le cerveau, comme les
périodes
successives des foyers de ramollissement d'orig
torze ans dans 8 cas, de dix-sept à dix-huit dans 5 cas. Les autres
périodes
de la jeunesse comprises entre neuf et vingt- d
ire, chez le paralytique il n'est pas rare d'observer, même dans la
période
prodromique, certains phé- nomènes de nature ex
mmerçant, âgé de quarante-cinq ans, tombe malade en 1890, après une
période
prodromique dépressive accompagnée d'idées de p
e l'état de rêve épileptique, peuvent se continuer au delà de cette
période
et faire partie des acquisitions du sujet revenu
rent à certaines heures de la journée. Pronostic favorable. Dans la
période
de la puberté, on observe aussi fréquemment des
rapidement tout ce qu'ils peuvent donner, puis ils entrent dans la
période
de satisfaction d'eux-mêmes et de négligence. D
age pas complètement les opinions émises précédemment. La meilleure
période
d'un infirmier doit être placée plus tardivemen
il ajoute certains moyens qui suppriment la souffrance pen- dant la
période
de suppression. Enfin l'ouvrage se termine par un
1897. N° 18. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE. SUR LA
PÉRIODE
TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE ET SUR LA MO
a paralysie générale a donné lieu, en ce qui concerne ses premières
périodes
, ses différentes formes clini- ques, sa nature
t bien loin d'être réalisé encore. Il en est tout autrement de la
période
terminale de la mala- die et de la mort des par
Bayle ', qui a établi la division de la paralysie générale en trois
périodes
, distinguait trois degrés dans la période termi
alysie générale en trois périodes, distinguait trois degrés dans la
période
terminale. Au 2 degré de la 3e période, écrivai
inguait trois degrés dans la période terminale. Au 2 degré de la 3e
période
, écrivait-il en 1826, « les malades ne peuvent
Dictionnaire de Jaccoud : « Lorsque les malades sont arrivés à la
période
terminale,... les mains ne peuvent rien faire, le
es du cerveau, 2 volu- mes. Paris, J.-B. Baillière et fils, 1859.
PÉRIODE
TERMINALE DE LA PARALYSIE GENERALE. '435 végète
compagne assez souvent de diarrhée et de marasme (p. 860). A la 3°
période
, la paralysie envahit les membres enfin, des es
attaques conges- tives (p. 448) ». Pour Magnan et Sérieux 3, « la
période
terminale..., la mar- che devient impossible ..
tôt par une attaque épileptiforme ou une pneumonie (p. 12). - A la
période
ultime..., sensibilité, mou- vements volontaire
ce point l'opinion des auteurs français. Kroepelin écrit qu' « à la
période
ultime, les malades ne savent plus ni se mouvoi
r tous les malades, quelle qu'ait été l'évolution ou la forme de la
période
intervallaire... La démar- che devient impossib
hiatrie, 5° édition. Traduction E. Laurent. Paris, Maloine, 1897.
PÉRIODE
TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 437 à la de
97. PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 437 à la dernière
période
de leur maladie, les paralytiques géné- raux de
dérable, mais il a sa valeur, et d'autant plus que, réparti sur une
période
de sept années, on ne peut guère objecter qu'il
pratique. Mon intention n'est pas de décrire dans son ensemble la
période
terminale de la paralysie générale, ni d'étudier
ale masculine seule que devront s'appliquer mes conclu- sions. I.
Période
terminale. Plus de la moitié de nos paralyti- q
t réalisé le tableau classique du paralytique général à sa dernière
période
. Ils étaient plus ou moins affaiblis, leurs mou
e paralytique, signalés par tous les auteurs comme caractérisant la
période
finale de la paralysie générale. Aucun n'a eu d
ilepliforme; ce chiffre représente les 4/5 du total des 33 morts.
PÉRIODE
TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 439 2. Dans
ions intercur- rentes sont tous mort debout sans avoir traversé une
période
d'affaiblissement considérable. La durée de la
se rangent 14 malades emportés par ictus cérébral, mais après une
période
d'affaiblissement plus ou moins marqué. La durée
traditionnelle nous montrant le paralytique général à la troisième
période
toujours immobilisé dans son fauteuil d'abord e
e-même qu'à une tout autre cause. Les paralytiques parvenus à une
période
avancée sont plus ou moins affaiblis, ils gâtent
ance très active; de leur prodiguer des soins minutieux d'hygiène
PÉRIODE
TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 441 et de p
t que, dans les cas où la paralysie générale s'est terminée par une
période
plus ou moins longue d'impo- tence motrice, les
pas qu'on les ait mis en rapport avec telle ou telle modalité de la
période
terminale de la mala- die. Mes observations me
de l'impotence fonctionnelle. Apparaissant assez longtemps avant la
période
d'immobilisation, ils s'aggra- vent et persiste
aient que très atténués chez les malades qui sont morts debout. 1
PÉRIODE
TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 443 Ces deu
ou deux ictus peu graves, souvent apoplectiformes, à la première
période
de la maladie. Puis, un long intervalle (un an, d
- breux et assez rapprochés, la mort ne surviendrait qu'après une
période
d'impotence musculaire (sans paralysie vraie) et
é, la maladie aurait habituellement une durée plus longue. Dès la
période
d'état, on peut prévoir la terminaison future,
es physiques, le tableau uniforme que les auteurs ont tracé de sa
période
finale : ' Voir à ce sujet, l'intéressante thès
nclut aussi à l'existence de variétés distinctes dans les dernières
périodes
de la paralysie générale. Contrairement à l'opi
tamment, a montré que la perte de connaissance est complète dans la
période
épilep- toide de la grande attaque d'hystérie.
soient, être résumées dans les propositions suivantes : 1° Dans la
période
proe-convulsive des attaques hystériques complè
ctérisées par les phénomènes faisant habituellement partie de cette
période
(attaques de sanglots, de spasmes, etc.) la consc
onscience et la mémoire sont intégralement conservées. 2° Dans la
période
convulsive des attaques régulières, et dans les
qu'ils ont eu des mouvements désordonnés, involontaires. 4° Dans la
période
post-convulsive dos attaques régulières, et dan
myxoedème, est que, dans cette affection, et encore au début de la
période
de demyxoedémisation, l'urine est faiblement to
un mot par un autre ; ce qui était plus marqué surtout pendant la
période
de la plus grande confusion d'association; 3° par
erre, en Ecosse et en Irlande. - On admet généralement que, dans la
période
contemporaine, le nombre des aliénés a augmenté.
ons aurait augmenté de 1871 à 1892, pour la première et la dernière
période
de cinq ans, de 14,2 p. 100. Ce dernier chiffre
, le nombre de sujets atteints de folie ne varie pas, pour une même
période
et pour une même popula- tion. L'accroissement
olutions divisent l'anatomie pathologique du tabes en trois grandes
périodes
. Dans la première période, avec le mémoire orig
e pathologique du tabes en trois grandes périodes. Dans la première
période
, avec le mémoire original de Bourdon et Luys (1
ternes des cordons postérieurs. En 1879, Vulpian ouvre la troisième
période
, en admettant l'origiue primitive des lésions des
oupes sériées (4000 environ) de 10 cas de tabes observés à diverses
périodes
, dans le service de M. A. Gombault à l'hospice
; par le Dr SCIlAEFFER. (Th. de Lyon, 1896.) La vieillesse est la
période
de déclin normal de l'organisme, intermédiaire
Au point de vue mental, l'évolution sénile peut se diviser en trois
périodes
admettant entre elles de nombreuses transitions.
riodes admettant entre elles de nombreuses transitions. La première
période
est caractérisée surtout par une tournure d'esp
ou très difficilement acquérir de nouvelles notions. La deuxième
période
, préface de la démence, est caractérisée : 1° p
ments moraux ou altruistes; 4° sentiments esthétiques. La troisième
période
est la période démentitielle. Les vieillards y
altruistes; 4° sentiments esthétiques. La troisième période est la
période
démentitielle. Les vieillards y parviennent ou
eillards y parviennent ou insensiblement ou brusquement après une
période
de suractivité physique ou intellectuelle. Chez c
lesse. La responsabilité est presque toujours entière à la première
période
de lasénilité, elle estpartielle et limitée àla
ue, souvent même il n'a pas d'antécédents héréditaires. La première
période
de l'affec- BIBLIOGRAPHIE. 493 tion est une p
. La première période de l'affec- BIBLIOGRAPHIE. 493 tion est une
période
d'inquiétude progressive et longue, à laquelle
petit se subs- tituent aux idées de persécution. C'est la troisième
période
de l'évolution de la maladie qui se termine tou
Faciale dite rhumatismale, par Neumann, 474. Paralysie générale.
Période
termi- nale de la -, par Armand, 67, 433. Cen
la paralysie générale, elles peuvent être observées dans toutes les
périodes
de cette affection, mais principalement dans la
toutes les périodes de cette affection, mais principalement dans la
période
de démence. Dans la première période, elles peu
n, mais principalement dans la période de démence. Dans la première
période
, elles peuvent revêtir le caractère psychique;
lucinatians peuvent revêtir le caractère psychique dans la première
période
alors qu'elles sont plutôt psycho-senso-' riell
ionnelle initiale de la paralysie générale au début ou au déclin de
périodes
de calme relatif de l'affection, dans les cas d
E. , des muscles masticateurs. c) Leur apparition au cours 'd'une
période
de rémission il l'état de symptôme isolé sans ass
lucinations psycho-motrices ne se révèlent au médecin que dans les
périodes
de rémission du paralytique général. D'où l'ind
as des hallucinations motrices de la para- lysie générale, c'est la
période
de la maladie à laquelle on les observe. Il sem
ificat suivant de M. Garnier : « Para- lysie générale à la première
période
. Excès alcooliques probables. Démence. Embarras
lente. Du sens génital étudié chez les' mêmes malades : aux trois
périodes
de la paralysie générale'; Par le D' E. 11.1Ra\
.., quarante-deux ans, gazier, entré le 20 juil- let 1891. Première
période
. Syphilis, alcool et excès vénériens, forme sur
NS GÉNITAL DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 19 20 octobre 1891. Première
période
. Syphilis et hérédité congestive. Impuissance d
bouchés et qu'il est anémique. En janvier 1893 passage à la seconde
période
; Mail... devient gâteux, le délire hypocondriaq
.., trente-deux ans. mécanicien, entré le 9 novembre 1893. Première
période
. Alcool et surmenage cérébral. A son entrée il
...', trente-huit ans, mécanicien; entré le 27 avril 1891. Première
période
. Syphilis et surmenage cérébral. Forme expansiv
891. Pas de causes bien définies : ni syphilis, ni alcool. Première
période
, forme mixte. Délire d'inventions et de richesses
une extrême rapidité; en quatre mois, Car... a parcouru les ti ois
périodes
et s'est éteint dans le marasme. Or DU SENS GÉN
trente-huit ans, bijoutier ; entré le 25 juil- let 4891 . Première
période
. Syphilis et misère. Forme expansive calme avec
n Bi..., trente-cinq ans, menuisier; entré le 2 août 1892. Première
période
. Syphilis et alcool. Forme mixte. Le ma- lade a
rreur. Qu'on ait la patience de suivre les mêmes paralytiques de la
période
prodromique à la période marasmatique et on vér
e de suivre les mêmes paralytiques de la période prodromique à la
période
marasmatique et on vérifiera l'exactitude de nos
n recherchant si les altérations du sens génital aux deux premières
périodes
de la paralysie générale sont proportionnelles
moins accusés. 24 CLINIQUE MENTALE. On sait combien à la seconde
période
surtout certains para- tiques ont l'habitude de
idence, étant donnée l'extrême fréquence de l'impuissance à cette
période
de la maladie. Un dernier rapport est à recherc
pronostic et du diagnostic. Il n'est pas douteux pour nous qu'à la
période
prodromique, les troubles génitaux par leur pré
u sexe mas- culin. I. En suivant les mêmes paralytiques aux trois
périodes
de la paralysie générale et en utilisant l'obse
énital. Nos échecs ont été en diminuant de la première à la seconde
période
et de la seconde à la troisième, le paralytique
ntrairement à l'opinion ayant cours, égale- mentplus fréquente à la
période
prodromique que l'altération en plus; mais il e
aculation est ensuite le trouble qui s'est surtout présenté à cette
période
, deux fois plus fré- quent que le trouble inver
à ce moment. X. D'après nos constatations on aurait : 1° Aux trois
périodes
delà maladie : l'exagération, l'éjaculation' re
on, l'éjaculation' retardée et l'im- puissance totale 2° Aux seules
périodes
prodromiques, pre- mière et deuxième : l'affaib
libido associé ou non à la possibilité d'éjaculer. 3° Aux seules
périodes
prodromiques et première les pertes séminales,
'opinion ayant cours c'est dans les formes démentielles et lors des
périodes
de calme que nous avons observé le maximum d'al
tales des paraly- tiques généraux. "' : XVIII. Aux deux premières
périodes
de la maladie, nous avons trouvé le sens génita
euvent grandement aider au diagnostic de la paralysie générale à la
période
prodromique, de même leur persistance lors des
uent, à n'importe quel moment de la durée de ée substratum, dans sa
période
d'évolution comme dans ses phases d'involution.
la dilatation et l'immobilité des pupilles dans les deux premières
périodes
de l'attaque ; l'immobilité pupillaire a été no
forme commune et amène la mort en douze ou vingt-quatre mois. La
période
d'incubation est impossible il déterminer, étant
rte de cons- cience, écume à la bouche et miction involontaire : la
période
consécutive de stupeur est suivie d'une grande
'une manière confuse et pour UN cas d'amnésie continue. 89 'q une
période
mal déterminée sur les évènemeuts antérieurs à la
atiquement. Son amnésie porte du reste non seu- lement sur toute la
période
morbide apparente qui va de février 1895 jusqu'
partie de l'influence de l'alcoolisme, influence qui, dans la même
période
, ainsi que l'attestent les statistiques de mortal
sang. La grande fréquence de ces névroses et des folies pendant la
période
de développement de la vie, et surtout pendant
endant la période de développement de la vie, et surtout pendant la
période
de maturation des fonctions ' nerveuses plaide
ards cependant, à la folie avec délu- sions que l'on rencontre à la
période
tertiaire de la maladie et dans laquelle les dé
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.' 143 * absolue, la courte durée des
périodes
ambulatoires et enfin l'ab-- sence de manifesta
irement limitée à un seul hémisphère. Cliniquement, il existe une
période
prQdroznique qui peut se dé- rouler brusquement
une véritable anomalie. Ici se terminerait la prétendue première
période
de cette vie, pendant laquelle M. Ballet nous f
-t-elle malgré tout naturelle quand nous le voyons pénétrer dans la
période
dite seconde et franchement délirante de sa car
e nous venons de décrire, recommencent jusqu'à ce qu'une nouvelle
période
de calme se produise ; et ainsi de suite pendant
s avons des renseignements sur 'ses états-, psychiques, pendant ces
périodes
hallucinatoires. d'abord parles phrases qu'elle
produit-il pas physiologiquement à la'suite d'un rêve ? Pendant une
période
très courte qui s'étend entre le sommeil et la
s évolutionnelles de l'espèce. On ne sait pas exac- tement à quelle
période
de l'évolution de la vie organique elle fait se
bli soit héréditairement, soit par suite de maladies antérieures.
Période
prodromique. - Cette période est plus ou moins lo
t par suite de maladies antérieures. Période prodromique. - Cette
période
est plus ou moins longue. Elle s'accompagne de
ls se plaignent d'une angoisse violente. P,Ja : i,otc d'élut. Cette
période
se compose de deux phases de ..clique aiguë. La
et Krafft-Ebing, l'hyperexcitabilité muscu- laire dans la première
période
, la paralysie toxique du pharynx et du voile du
paralysie toxique du pharynx et du voile du palais dans la seconde
période
. La constipation est habituelle. Elle peut être
Des symptômes somatiques importants se montrent dès le début de la
période
d'excitation ; les plus constants sont la sitio
peut constater de l'anurie. La constipation est habituelle. - 2°
Période
de collapsus. Au bout de huit à dix jours, si les
-10 et les malades meurent dans le coma. Il est très rare que cette,
période
dépasse deux jours, le plussouventelle ne dure
ce alors vers le cinquième ou sixième jour, quelquefois plus, de la
période
d'excitation. La terminaison peus.ejaire parla
, ~il*s'agit de- bâcilles êntl'és"dans la circulation à la dernière
période
de la mala- die. La possibilité de cette émigra
toxiques. C'est un symptôme constant de la 256 SOCIÉTÉS SAVANTES.
période
prémonitoire et qui persiste encore dans la pério
IÉTÉS SAVANTES. période prémonitoire et qui persiste encore dans la
période
d'état. Elle s'observe dans le délire aigu, com
ver moi-même plusieurs cas personnels. On peut voir de même dans la
période
prémonitoire du délire aigu des attaques hystér
importance pour le diagnostic et on la trouve non seulement dans la
période
prémonitoire, mais aussi dans la période d'état
ouve non seulement dans la période prémonitoire, mais aussi dans la
période
d'état. On dirait des maniaques par leur extrêm
se fait une éraflure du nez. Le 16, dans un.accès très léger, à la
période
congestive, le sang a coulé de l'éraflure, -for
rs reprises, et, chaque fois, l'intervalle de guérison séparant. la
période
de torticolis de celle du tic aug-[ 272 SOCIÉTÉ
te d'hystérie, mais il reste un neurasthénique avéré entre chaque
période
. Le père était un névropathe, un de ses frères es
une hyperthermie de deux à cinq dixièmes de degré; puis, après une
période
stationnaire, il produit, au contraire, une hyp
n la rencontre dans un peu plus de la moitié des cas à toutes les
périodes
du tabès. Cette analgésie, qui est de recherche f
eau suivant donne une idée du nombre de malades alcooliques dans la
période
qui va de 1885 à 1900; d'autre part le relevé d
te exagération est pro- gressive, quelquefois précédée d'une courte
période
de diminution, elle atteint son maximum au mome
urnal of the Médical Sciences, juillet 1900.) L'auteur, pendant une
période
de cinq années, a examiné systé- matiquement to
spasmodiques des muscles extrinsèques du globe oculaire. A cette
période
, dans la majorité des cas, la pupille est un peu
suivis par des signes de dégénéra- tion. On Voit alors survenir une
période
d'amélioration apparente des symptômes objectif
les tissus voisins. La vision pour la forme et la couleur, après la
période
d'amé- lioration dont nous avons parlé, diminue
cteur par secteur, pour aboutir à la cécité absolue. Durand cette
période
, la période préataxique, comme on l'ap- pelle i
secteur, pour aboutir à la cécité absolue. Durand cette période, la
période
préataxique, comme on l'ap- pelle improprement,
ouvent dans les cliniques de maladies nerveuses. Pendant une longue
période
, en dépit de lésions objectives très nettes de
, c'est une cécité temporaire périodique,, survenant dans premières
périodes
de la maladie.Ces attaques de cécité sont secon
quarante ans après le chancre). D'autre part, si longue que soit la
période
écoulée depuis l'infection, on ne peut jamais d
adelphie, il est rare de rencon- trer des cas présentant les quatre
périodes
décrites par les auteurs français et fréquent a
lée, d'embarras gastrique, de lassitude générale. Il entre dans une
période
d'inappétence et d'insomnie qui dure jusqu'au 23
prit, les épileptiques et les jeunes délinquants. Au début de cette
période
de soixante années, il existait à Paris deux éc
les différentes modifications phy- siques que l'on observe dans les
périodes
aiguës et subaiguës de la mélancolie; par Lewis
ntait une marche plus ou moins définie. Au début de l'attaque, à la
période
d'agitation et de troubles mentaux aigus, cette p
des malades dans ses rapports avec la tension artérielle : dans la
période
aiguë la quantité moyenne d'urine émise était d
t de 29 onces et demi et l'urée de 200 grains (12 grammes). Dans la
période
subaiguë la quantité d'urine attei- gnait 41 on
et demi et la dose d'urée était de 430 grains (25 grammes). Dans la
période
aiguë, sécheresse de la peau ; dans la subaigue
de tremblement fibrillaire incoordonnés. Cet état s'atténue dans la
période
subaiguë. Les hallucinations, très vives, influ
ès vives, influençant la conduite du malade, se rencontrent dans la
période
aiguë : et dans la subaiguë, elles manquent, ou s
une marche définie avant de guérir ou de devenir chronique. Dans la
période
aiguë, on constate les symptômes suivants : 1° gr
considérable. L'influence du sexe est très nette. Quant à l'àge, la
période
de trente à quarante ans est la période de préd
ès nette. Quant à l'àge, la période de trente à quarante ans est la
période
de prédilection des excès alcooliques. Au point
es étals analogues à ceux que l'on a coutume de rencontrer dans les
périodes
avancées de la paralysie générale : un seul cas
étés nosologiques, mais notamment aux formes maniaques légères, aux
périodes
de dépression de la folie circulaire, à certain
rer au vagabondage et à la men- dicité sont en premier lieu : 1° la
période
de seize à vingt ans, à laquelle l'homme doit,
t ans, à laquelle l'homme doit, seul, subvenir à ses besoins; 2° la
période
de la plus grande concurrence (de vingt-cinq à
à trente ans, d'après la statistique de l'Empire allemand) ; 3° la
période
de trente-cinq .à quarante ans, à laquelle l'in
toxication par l'alcool fait le plus sentir ses effets. Enfin, à la
période
plus tardive, prennent place les individus immi
mmigrés. Certaines différences existent entre les sujets suivant la
période
à laquelle ils ont adopté leur genre de vie : l
blent appuyer l'idée délirante qui leur a donné naissance. C'est la
période
où les stéréotypies se montrent dans toute leur
voit successivement disparaître avec l'activité intellectuelle des
périodes
précédentes le fonds maladif de la sensibilité
duelle- ment développées les idées délirantes. » Alors qu'à cette
période
, survient la ruine mentale du sujet, les stéréoty
disparaissent pas : elles persistent; mais un élément, présent à la
période
précédente, vient à faire défaut; c'est la cons
ntes. Mais remarquons qu'au début de l'affec- tion, d'une part, les
périodes
(mélancolie, aLLonilæt, ma- nie), sont passagèr
séquent les attitudes,, les mouvements, les actes changent avec ces
périodes
; d'autre part, les gestes et les positions son
nomène en soi, les accidents appartiennent en effet, par- fois à la
période
prodromique de la paralysie générale pro- gress
ement. Cliniquement en effet, il y a chez l'hystérique de longues
périodes
sans aucun mouvement, fait rare dans les stéréoty
ainsi que les actes ou mouvements automatiques accomplis dans la
période
d'hébétude qui suit le vertige ou l'accès (épilep
idées différentes et peut- être aussi parce qu'on les observe à une
période
trop tardive de la maladie, pour pouvoir précis
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES, 519 due simplement à la
période
de développement individuelle à laquelle débute
tère particulier. L'aphasie sensorielle qui a été constatée, à la
période
terminale, semble due à des hémorrhagies du tissu
uvat, 1. Du sens génital étudié chez les mûmes malades, aux trois
périodes
de la - , par Marandon de Montyel, 4r. i. Pat
dix minutes et ne retombait dans un coma final qu'après une longue
période
d'un violent délire d'action. Notre malade pr
MENTALE. Du sens génital étudié chez les mêmes malades aux trois
périodes
de la paralysie générale; Par le D' E. MARANDON
combien dans beaucoup de cas, le paralytique général, même à une
période
déjà avancée, restait conscient de l'état de sa
e sujet à des excès vénériens, à l'onanisme. D'après M. Iluet, à la
période
initiale, les fonctions génésiques sont assez s
chique, assez fréquente au contraire. Cet auteur ne dit rien des
périodes
d'état et de terminaison. Pour M. Voisin, au co
sique acquiert souvent des propor- tions extraordinaires pendant la
période
prodromique. Les individus deviennent insatiabl
cas. M. Voisin ajoute que cette excitation s'accentue à la première
période
et l'attribue à l'hypércsthëaie, l'excitation g
attribue à l'hypércsthëaie, l'excitation génitale, qui à la seconde
période
se manifeste par des pra- tiques d'onanisme. Il
. M. Gilbert Ballet ne parle des troubles du sens génital qu'à la
période
prodromique. On observe bien souvent, dit-il, une
e tous les états d'excitation, nous apprend M. Sollier, la première
période
de la paralysie générale est celui où l'éro- ti
it presque invariablement pour durer plus ou moins longtemps à la
période
prodromique et est la source la plus fréquente
ajoutent-ils. on voit quelquefois des paralytiques, arri- vés à une
période
très avancée, qui se livrent avec fureur à l'on
au coït et même de devenir pères. M. Régis signale seulement à la
période
prodromique des altérations en divers sens de la
s M. Dagonet ni dans M. Culerre, mais M. Grasset spécifie qu'à la
période
prodromique, certains paralytiques commet- tent
le les troubles du sens génital ni à la deuxième, ni à la troisième
période
; seulement à l'occasion des formes spinales, il
d M. Schule, sont en général exagérées au début de la maladie, à la
période
d'excitation; la manière inconvenante dont leur
ment préoccupé les observateurs. Ensuite à entendre les uns, aux
périodes
initiales, l'impuissance serait le fait le plus f
avons rapporté sur les modifications du sens génital aux diverses
périodes
de la maladie, la nature des altérations, leurs
aralytiques, il n'en est que 42 qui aient parcouru toutes les trois
périodes
de la maladie pour aboutir au marasme paralytiq
r aboutir au marasme paralytique; 32 ont succombé à la pre- mière
période
; 30 à la seconde; enfin il en est quatre qui .
quée; autant il est facile de s'assurer qu'un malade à la troisième
période
a le sens génital aboli, autant cette constatat
ssance, la dissimule. Nos échecs ont donc été de 55 à la première
période
, soit 3 p. 100; de 29, à la seconde, soit 1,6 p
is que si les auteurs insistent tant sur l'excitation génitale à la
période
prodromique de la paralysie générale, c'est qu'
continue, chez les 30 autres elle a été intermittente, éclatant par
périodes
que séparaient des intervalles d'accalmie, voir
ible de nous renseigner exactement sur les pertes séminales à cette
période
, la plupart des femmes ignorant ce phénomène pa
nos constatations qu'elles appartiennent plus particulièrement à la
période
prodromique, mais leur rareté à l'asile peut n'
ortions les troubles que nous avons notés se répartissent aux trois
périodes
de la paralysie générale. 26 CLINIQUE MENTALE
haut. Quant au détail des altérations en plus ou en moins aux trois
périodes
, il est fourni par le tableau suivant : DU SE
. Il est deux états que nous avons constatés seulement à la seconde
période
, mais comme nous savons qu'ils existent à la ph
, il est certain que si nous ne les avons pas relevés à la première
période
, cela tient à une observation incomplète qu'exp
retardée avec excitation vénérienne a été vérifiée par nous à la
période
prodromique et aux deux dernières périodes; elle
té vérifiée par nous à la période prodromique et aux deux dernières
périodes
; elle est donc de toutes les phases de la malad
n avec éjaculation retardée, et l'impuissance totale; 2° aux seules
périodes
prodromique, première et deuxième : l'affaiblis
mpuissance avec libido et possibilité d'éjaeulation ; 3° aux seules
périodes
prodromique et pre- mière : les pertes séminale
s formes mixtes que la proportion de l'altération en plus, dans les
périodes
de calme, est plus élevée de 7,5 p. 100. C'est
e, qui n'est pas à l'abri de toute critique. 1 1° L'alcoolomanie,
période
latente de l'alcoolisme, contre laquelle est di
3° idiots de l'espèce la plus inférieure; 4° malades à la dernière
période
de la paralysie générale ; 5° la plupart des épil
puberté. Il faudrait donc ranger les chorées survenant après cette
période
et notamment celles de la grossesse à l'hystéri
bsolument les mêmes effets, que les expériences faites pen- dant la
période
d'administration de l'opium montrent que celte
ne présentant que des accidents très légers et seulement pendant la
période
progressive de la cure d'opium. Ils n'ont eu au
ns cette particularité que chez l'un d'entre eux qui se trouvait en
période
d'accès répétés avec excitation délirante lorsq
rsonne, qui les fait, a devant les yeux un but déterminé. Après une
période
de huit jours, les exercices avec poids de 50 g
bles où l'abla- tion même de la lésion causale n'a pu amener qu'une
période
relativement courte d'amélioration comme pour l
viés à gauche, après une série de mouvements cloniques arrivait une
période
de stertor avec rougeur de la face et écume aux
bien répondu à toutes nos questions, mais elle était dans une bonne
période
, car depuis un mois elle a été reprise de troub
9 il n'est plus sorti. Pendant quelques années, il a pré- senté des
périodes
de lucidité durant lesquelles on a pu le faire
e nouvelle rémission du 30 mars au '21 avril, suivie d'une nouvelle
période
de dépres- sion mélancolique mais très atténuée
aux manuels, employés durant les rémissions, puis après la dernière
période
mélancolique, jus- qu'à sa sortie (juin), ont c
es mouvements associés tels qu'on les a décrits jus- qu'ici dans la
période
post hémiplégique, dans les diplégies, la paral
évolué, depuis l'adolescence jusqu'à la mort, en passant par trois
périodes
: une période d'hypochondrie simple, une période
l'adolescence jusqu'à la mort, en passant par trois périodes : une
période
d'hypochondrie simple, une période d'hypochondr
passant par trois périodes : une période d'hypochondrie simple, une
période
d'hypochondrie délirante, une période d'hypocho
de d'hypochondrie simple, une période d'hypochondrie délirante, une
période
d'hypochondrie avec idées de négation. On ne tr
ytiques généraux, par les Drs Ch. Vallon et Wahl (de Paris). Sur la
période
terminale de la paralysie générale et sur la mo
Il est manifeste que nous sommes actuellement, en France, dans une
période
de transition pour tout ce qui a trait à l'assist
soixante-treize jours. Le chiffre moyen des entrées par an, pour la
période
1889-1896, est de 207. Le chiffre moyen de la p
moyen de la population présente le 1er janvier a été, pour la même
période
, de 40. Enfin, l'admission des cas aigus est tr
le terrain nécessaire au développement de la paralysie générale. La
période
qui s'écoule entre l'infection syphilitique et
uelle), qu'il rattache au myxoedème. Ces symptômes ont apparu à une
période
où les signes de goitre exophtalmique s'étaient
dans les asiles et la prison de Québec, il résulte que, pendant une
période
de dix-sept années, de 1881 à 1897, 1.197 alién
tion chirurgicale ! Il va sans dire que nous sommes encore là à une
période
de tâton- nements qui n'est pas sans soulever d
coles avec villas ou bâtiments séparés et à une infirmerie pour les
périodes
de crises et les affections incidentes. Pour le
es de la puberté les affections mentales qui se développent dans la
période
de la puberté, c'est-à- dire entre 14 et 2 ans.
ns la période de la puberté, c'est-à- dire entre 14 et 2 ans. Cette
période
est caractérisée par la matte- rité sexuelle et
re et largement espacées au cours de son existence, avec de longues
périodes
in- tercalaires de santé psychique plus on moin
la lracture sponta- née a pu se montrer comme premier symptôme à la
période
pré- tabétique, de même elle peut exister à la
ymptôme à la période pré- tabétique, de même elle peut exister à la
période
préparalytique comme première et unique manifes
d'empêcher l'exécution de cet acte. Le traitement se divise en deux
périodes
. La première période, d'une durée de une semain
de cet acte. Le traitement se divise en deux périodes. La première
période
, d'une durée de une semaine à un mois et plus,
oin séjour au lit, telles sont t les principales pratiques de cette
période
, au bout de laquelle on assure au malade, que s
te de lui tout ce qui pourrait la lui rappeler. Durant la seconde
période
, le rôle du médecin consiste à faire accomplir
ir l'acte redouté sans trace d'émotion. Pendant toute cette seconde
période
de même que pendant la première, il n'est jamai
u malade confiance et espoir. C'est donc en réalité dans la seconde
période
que commence véritablement le traitement de la
rocédé de choix dans-le traitement des phobies inhibitoires. Sur la
période
terminale de la paralysie générale et sur la mort
nus impotents. Les 38 restants donnent 19 malades ayant traversé la
période
d'im- potence, et 19 également qui sont morts d
ui meurent debout ne présentent pas ces phénomènes spasmodiques. La
période
terminale de la paralysie générale présente don
es qui poursuivent sa restauration. Enfin, au cours de cette même
période
, Waller nous révélait l'existence des centres t
otrices des cornes antérieures de la moelle. Au cours de cette même
période
, une origine analogue fut recon- nue à la paral
es cornes antérieures. Cette succession de découvertes embrasse une
période
de vingt années à peine. Au sortir de cette pér
es embrasse une période de vingt années à peine. Au sortir de cette
période
, les cadres de la patho- logie médullaire se tr
t tout à fait inexact. Presque tous les malades, après une certaine
période
, parfois courte, de leur maladie aiguë, ont bes
que tous les malades atteints de formes aiguës des psychoses à leur
période
initiale. Lorsque la maladie passe de la périod
psychoses à leur période initiale. Lorsque la maladie passe de la
période
initiale à la phase stationnaire, il faut user du
iduelles presque à toutes les psychoses à forme aiguë, surtout à la
période
initiale de la maladie. 11 agit surtout favorab
nes d'affaiblissement, ni de dilatation. Toutefois, surtout dans la
période
terminale de ce second séjour à l'hôpital, il s
typhoïde de trois semaines de durée et de formes régulières, à la
période
d'apyrexie de laquelle apparurent quelques doul
s un rôle de tout premier ordre. L'infection se localise pendant la
période
aiguë sur la glande, puis, après guérison compl
te, dans l'anatomie pathologique de l'idiotie, et ce n'est qu'à une
période
ultérieure que les particu- larités morphologiq
ractéristique dans ces cas, qui affectent, chez les enfants dans la
période
de croissance, aussi bien les cellules que les fi
INTERNATIONAL DE MÉDECINE. turellement, dans beaucoup de cas, à la
période
terminale. D'après ses expériences, Beach remar
et sur les mémoires et les notes qui ont été publiés durant la même
période
sur l'idiotie ou mieux les idioties, nous sommes
à combattre. Il'est donc à recommander, quelquefois déjà pendant la
période
aiguë, de combiner l'alitement avec le travail
N. (Psychiati-ic, Barth, Leipzig, 1899.) Sous le nom de folie de la
période
d'involution sénile, l'auteur groupe tous les t
ne série de troubles psychiques qui peuvent apparaître aux diverses
périodes
de la vie ; mais il n'est pas moins certain qu'
verses périodes de la vie ; mais il n'est pas moins certain qu'à la
période
d'involution sénile peuvent écla- ter des psych
ns avec les psychoses de la sénilité, les troubles psychiques de la
période
d'involution s'en distinguent cependant. La mél
pour Kraepelin, toutes les modifica- tions anxieuses morbides de la
période
avancée de la vie qui ne peuvent être considéré
en rapport avec la grossesse, ou la lactation, et se montrent à une
période
moins avancée de la vie, BIBLIOGRAPHIE. 33 Av
e cinquante ans aux premières années de la soixantaine : dans cette
période
, les hommes devien- nent rarement mélancoliques
cette manière de voir, il résulte que tous les états dépressifs des
périodes
moins avancées de la vie ne font point partie d
lure du mélan- colique traduit son humeur anxieuse ou excitable, la
période
dépressive de la folie circulaire est caractéri
l s'en trouvait 15 p. 100 qui avaient anté- rieurement traversé une
période
mélancolique ; celle-ci était en général surven
t affectif plus constant et plus vif, un développement subaigu sans
période
prodromique parlent en faveur de la mélan- coli
acture les phénomènes électromoteurs varient suivant le degré et la
période
de celle-ci et sont toujours en rapport direct
d'action peut manquer totalement. Dans la contracture à la seconde
période
le caractère diphasique du courant d'action est
a 410 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. rive gauche qui est à 92
périodes
. Arrivant au tableau au potentiel de 110 volts
ones. On peut supposer que la myélinisation se fera, à une certaine
période
du développement embryonnaire, dans un complexu
éflexe cutané plantaire. Ces. Aâostini 3 dit que dans la première
période
de la paralysie générale, il y a défaut ou dimi
exagéré, et accen- tuation des réflexes tendineux. Dans la deuxième
période
le réflexe s'exagère encore. III. Par ce rapi
s cherchons à établir un rapport entre l'état de ces réflexes et la
période
évolutive il laquelle est parvenue la paralysie
le, on ne puisse affirmer a priori une relation quelconque entre la
période
d'évolution de la maladie et une allure particu
plantaire', nous pouvons cependant dire : a). Que, dans la première
période
, nous l'avons trouvé tantôt normal, tantôt dimi
ait beaucoup plus 460 CLINIQUE NERVEUSE. fréquemment i : t cette
période
que les autres modifications (7 fois exagéré, 3
exagéré, 3 fois diminué, 3 fois normal). b). Que, dans la deuxième
période
, le réflexe plantaire ne s'est jamais trouvé ex
ou, le plus souvent, diminué (6 fois). c). Enfin, dans la troisième
période
, nous ne l'avons trouvé jamais exagéré, et plus
es d'origine syphilitique, six d'entre eux, tous parvenus soit à la
période
d'état, soit à la période de déclin de la malad
six d'entre eux, tous parvenus soit à la période d'état, soit à la
période
de déclin de la maladie ont présenté cette moda
tion du réflexe plantaire. c). Le septième malade, tout à fait à la
période
initiale de sa cérébropathie syphilitique, ne n
mps perdu, je suis d'avis que la différence de la longueur de celte
période
tient à la différence de localisation des réflexe
et viennent, vaquent à leurs occupations et n'ont jamais dépassé la
période
dite préataxique. En résumé, si l'atrophie papi
ré dans 10/20 cas de fièvre typhoïde. Il est apparu aux différentes
périodes
de la maladie : 9° jour, 21°, 25°, a persisté u
L1SIE générale . Du sens génital chez les mêmes malades aux trois
périodes
de la ,au Marandon de Alontyel, 16, - chez l'
Lalanne, 248. Fractures spon- tanées dans la -, par Lalanne, 248.
Période
terminale de la - par Arnaud, 250. chez un su
ocaitis; Membre de la Société Médico-psychologique de Paris. III.
Période
DES syndromes spasmodiques ET TABÉ- toïdes. Cet
s. III. Période DES syndromes spasmodiques ET TABÉ- toïdes. Cette
période
commence avec les symptômes spasmodiques et tab
s. L'étude attentive des différents symptômes qui constituent cette
période
nous permet de mettre en relief : 1° des symptô
, XVIII. - ). Symptômes sensitifs. Nous avons vu qu'à la deuxième
période
, ces troubles marchent de compa- gnie avec les
u'on est sur- pris de la fréquence des symptômes céphaliques à la
période
très fugitive du début, au contraire plus tard,
peu qu'on fixe son attention sur la symptomatologie de la première
période
, on est frappé etde la multiplicité et de la va
t éminemment polymorphe. Mais du moment qu'elle passe à la deuxième
période
, le polymorphisme dispa- raît et l'uniformité f
sté- rieure. Avant de procéder à la description des différentes
périodes
de cette forme, je me hâte de remarquer que che
ion ultérieure de ces trois cas nous permettent de distinguer trois
périodes
: 1° la période des symp- tômes du début ou ext
ces trois cas nous permettent de distinguer trois périodes : 1° la
période
des symp- tômes du début ou extrinsèques; 2° la
des : 1° la période des symp- tômes du début ou extrinsèques; 2° la
période
de la paraplégie ou paralytique, et 3° la pério
trinsèques; 2° la période de la paraplégie ou paralytique, et 3° la
période
du syn- drome tabétoïde. I. Période DE symptô
égie ou paralytique, et 3° la période du syn- drome tabétoïde. I.
Période
DE symptômes DU début. Des divers et multiples
et multiples symptômes constitutifs de la symptoma- tologie de la
période
du début chez nos malades, les uns sont cépllal
bi- naison de ces différents symptômes pour la constitution de la
période
du début, nous devons remarquer qu'elle n'est s
la toux quinteuse, l'hémoptisie. Quel polymorphisme du début ! 2.
Période
paralytique. Chez le malade de l'OBSER- vation
eu lieu avant la disparition complète de tous les symptômes de la
période
du début, en d'autres termes durant cette pério
symptômes de la période du début, en d'autres termes durant cette
période
. Chez le malade de l'OBSERVATION XXI, l'apparit
té à 2 h. et demie du soir; à 10 heures du soir, tout symptôme delà
période
du début disparaît et le malade reste éveillé,
contraire, de la réten- tion. C..E'uo<Mo7t de la paralysie. La
période
para- lytique finit de jouer son rôle dans l'év
peine, et chez celui de l'OBSERVATION XXI, d'un mois et demi. 3.
Période
de sranisooe TnfroïnL. Cette période commence i
N XXI, d'un mois et demi. 3. Période de sranisooe TnfroïnL. Cette
période
commence immédiatement après la disparition de
xiste dans les trois cas et qui domine l'état des malades à cette
période
. C'est le caractère essentiel et fondamental, c
par les trois malades. Ce symptôme a fait son apparition pendant la
période
paralytique, dès le début de la paralysie et pe
, constituant un des symptômes les plus sail- lants de la troisième
période
. 2° Douleurs en ceinture. Ce symptôme qui a f
nsation servant en quelque sorte de symptôme de transition entre la
période
paralytique et celle du syndrome tabétoïde. N'é
sibilité qui a été constatée au moment de l'invasion de la deuxième
période
, au sur -et à mesure que le temps s'avançait, r
ndrome a commencé chez les trois malades dès le premier temps de la
période
paralytique : à ce 'moment, sa place au tableau
par ce syndrome, c'est à cette époque que le malade entre dans la
période
du syndrome tabétoïde. Poursuivons l'évolution
lètes. B). Symptômes négatifs. A côté de symptômes positifs de la
période
du syndrome tabétoïde, il y a des symptômes nég
Observations XX et XXI immédiatement après la dis- parition de la
période
du début ont définitivement disparu pour ne plu
ié de fixer l'attention de notre lecteur sur le polymorphisme de la
période
du début, mais au mo- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLO
PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 55 ment de l'invasion de la deuxième
période
, l'unifor- mité apparaît par une symptomatologi
suivra immédiatement, d'aucun des symptômes qui appartiennent à la
période
du début des autres formes spinales. En effet,
des accidents par l'emploi des scaphan- dres et des symptômes de la
période
du début des autres formes spinales nous donne
tologie et leur évolution ultérieure nous oblige à diviser en trois
périodes
la pathologie de cette forme : 1° la période de
ge à diviser en trois périodes la pathologie de cette forme : 1° la
période
des symptômes du dé- but ou extrinsèques; 2° la
rme : 1° la période des symptômes du dé- but ou extrinsèques; 2° la
période
monoplégique et 3° la période du syndrome spasm
s du dé- but ou extrinsèques; 2° la période monoplégique et 3° la
période
du syndrome spasmodique. 1° Période de symptôme
période monoplégique et 3° la période du syndrome spasmodique. 1°
Période
de symptômes du début. L'invasion des symptômes
mes d'accidents spinaux provenant de l'emploi des scaphandres. 2°
Période
monoflégique. L'invasion de cette pé- riode che
es vésicaux. La vessie qui est presque constamment troublée à cette
période
dans les autres formes spinales, parmi les quat
archer sans appui. Nous revien- drons dans la suite en décrivant la
période
du syn- drome spasmodique sur l'évolution ultér
olution ultérieure de cette monoplégie et de ses terminaisons. 3.
Période
DU syndrome spasmodique. L'examen DES ACCIDENTS
ces symptômes sont parmi ceux qui, très souvent, figurent dans la
période
du début, d'autre part, il n'y a pas un seul ca
d'autre part, il n'y a pas un seul cas où nous les trouvions à une
période
ulté- rieure à son stade du syndrome spasmodiqu
er que le polymorphisme du début est, au moment de l'invasion de la
période
monoptégiquc, remplacé par une uniformité carac
ajoutons les particularités cliniques spéciales des symptômes de la
période
du début, le mode de l'invasion de la monoplégi
écoulement vagi- nal glaireux qui dure plusieurs jours. Pendant ces
périodes
, la face deviendrait plus colorée, les lèvres p
ts signalés plus haut représentent en quelque sorte les phases ou
périodes
du même processus. « lu Etat cataleptique. Il p
serve habituellement un 1 Certains sujets pourtant sont, dans celte
période
, susceptibles d'être facilement suggestionnés,
s d'être facilement suggestionnés, plus facilement même que dans la
période
Homnambunque. GhANt) Et PETIT hypnotisme. 99
de l'hypnose dans lesquelles on ne trouve pas la division en trois
périodes
. Un ou deux des trois états peuvent manquer, d'
eurs variétés possibles ; la cata- lepsie est, dans cette forme, la
période
qui nous parait man- quer le plus souvent. Dans
ous parait man- quer le plus souvent. Dans d'autres cas,. les trois
périodes
se confondent, et alors, tantôt les caractères
et alors, tantôt les caractères somatiques et psychiques des trois
périodes
, se trouvent réunis, tantôt on ne constate la p
constate la présence que d'un ou de deux de ces caractères. Deux
périodes
, les périodes léthargique et somnambulique, peu
présence que d'un ou de deux de ces caractères. Deux périodes, les
périodes
léthargique et somnambulique, peuvent être conf
tre progressive. Voici, par exemple, un sujet chez lequel les trois
périodes
sont confondues pendant un certain temps. A un
emps. A un moment donné, on remarque une tendance à la formation de
périodes
distinctes; lorsque les Consulter, Sur les J'or
malade reste ainsi dix-huit mois à la Salpètrière et, pendant cette
période
, on essaie à maintes reprises de développer la
nd hypnotisme. Dans l'attaque d'hysteria major, il existe plusieurs
périodes
distinctes comme dans le grand hypnotisme. Les
érie peuvent dévier du type normal par l'absence d'une ou plusieurs
périodes
ou par la confusion de deux périodes. N'est-ce
r l'absence d'une ou plusieurs périodes ou par la confusion de deux
périodes
. N'est-ce pas ce que nous avons vu a propos de
as être incriminé, et où, en faisant remonter l'enquête jusqu'à une
période
antérieure à l'ad- mission du malade, on peut p
ion, l'instinct sexuel et ses abus, la grossesse, la parturiton, la
période
puerpérale, la lactation, l'onanisme. Les quest
cience totale, l'acte incri- miné correspondant soi-disant avec une
période
de ce genre. En troisième ligne sont esquissés
. 1 stupide, suite de folie systématique hallucinatoire aiguë, a la
période
do désordre, avec incohérence dans les idées, 1
elle circulaire qui limite à quinze jours au plus la durée de cette
période
de mise en observation. » SÉNAT. 143 La dispo
]31cêLi,e et de la Salpêtrière qui ont constitué durant une longue
période
les seuls asiles consacrés aux aliénés dans le dé
. 1. FORME APHASIQUE. On sait déjà que, parmi les symptômes de la
période
du début, les troubles de la parole ont plus d'
it déjà que la- surdité des mots a figuré à titre de symptôme de la
période
du début de la- forme centrale spinale postérie
. Tous . ces'troubles sensoriels ont figuré comme symptômes de la
période
du début des différentes formes spinales ; en d
er- valles rapprochés, bruits de cascade), comme symp- tôme de la
période
de début. Nous allons main- tenant les voir à t
centués. Il était impossible de pro- voquer par suggestion, dans la
période
somnambulique, le dé- veloppement d'une halluci
ravail que l'hypnotisme pouvait être comparé au point de vue de ses
périodes
, des variétés qu'il présente, di l'attaque hysté-
s'est servi d'embryons humains de 28 centimètres de long ; à cette
période
, toutes les fibres de la région comprise entre
musculaire. « Une impulsion, dit Helmoitz, survenant pen- dant la
période
latente de l'excitation fournie par une impul-
xcitation des nerfs sensitifs. La dilata- tion directe présente une
période
latente moins longue, arrive plus rapidement à
opposé à l'excitation. Si l'on sectionne le sympathique au cou, la
période
latente de la dilatation réflexe devient trois
'il n'y a pas de rapport entre ces deux ordres de phénomè- nes : La
période
latente de la dilatation directe et de la dilata-
tation directe et de la dilata- tion réflexe est plus courte que la
période
latente de l'augmen- tation de pression dans le
teint son maximum le quatrième ou le cinquième jour.' Pendant cette
période
, la pupille réagit lentement à la lumière et se
t'âge adulte. Pèie choréique. Encéphalite corticale diffuse à la
période
d'atrophie et d'organisation conjonctive au nivea
di- que se distinguant de la paranoia intermittente en ce que les
périodes
sont espacées d'intervalles de lucidité pure. M
me. En effet, si on suit l'histoire de ces individus, on trouve des
périodes
de délire portant -ur certaines choses, tandis
ruction déterminée de l'écorce sont plus complexes. Au lieu de deux
périodes
, l'une dans laquelle les phénomènes de déficit
i apparaissent immédiatement après l'opération, ou dans la première
période
. Dans la seconde période, on ne pourrait exclur
t après l'opération, ou dans la première période. Dans la seconde
période
, on ne pourrait exclure absolument l'interventi
xcessivement pénibles, frissons très violents mais de courte durée,
périodes
de chaleur au contraire très longues; au contac
vons déjà rencontré les vertiges, surtout parmi les symptômes de la
période
du début des diverses formes cliniques. Il ne m
ait. Seuls les symptômes locaux persistent. Ce n'est que dans une
période
plus ou moins an- térieure, au sur et à mesure
ut donc des années pour que le z syndrome de Ménière arrive à cette
période
. Main- tenant, que le lecteur veuille bien jete
ploi des sca- phandres, et surtout, dans la symptomatologie de la
période
du début des formes spinales. Les obser- vation
ieurs fois rencontré des symptômes céphaliques faisant partie de la
période
du début, mais ce sont là des symptômes absolum
udes ont été faites sur ce sujet par il. Kouznetzoff. A la première
période
de l'hyperémie, une grande quantité de cel- lul
ats et l'exsudat plasmatique suivent le trajet des vaisseaux. A une
période
plus avancée, l'épaisseur des cylindres-axes es
imes et décelée, ainsi, comme une psychose chronique à nom- breuses
périodes
systématiquement étagées, grâce enfin à toutes
ment après la perte. L'auteur, avec Crothers et Mauns, admet deux
périodes
dans BIBLIOGRAPHIE. 193 l'évolution de l'ivro
périodes dans BIBLIOGRAPHIE. 193 l'évolution de l'ivrognerie, la
période
nerveuse ou prémonitoire et la deuxième celle d
erveuse ou prémonitoire et la deuxième celle de la dypsamonie. La
période
prémonitoire présente d'abord les symptômes vul
s dans leurs maladies, quelle que soit la neurasthénie. La deuxième
période
c'est l'ivrognerie proprement dite : alcoolisme
que hystérique, aujourd'hui réduite à une formule très simple. Quatre
périodes
se succèdent dans l'attaque complète avec la régu
4° délire terminal. Mais l'attaque peut être incomplète; chacune des
périodes
peut se montrer isolément; ou encore une ou deux
ussi la maladie est caractérisée, dans le? attaques régulières, par 4
périodes
, dont l'une, la première, s les apparences de l'é
arrivent là; cette situation se prépaie lentement; dans une première
période
, vous avez une paraplégie avec flaccidité des mem
l y a seulement exagération des réflexes tendineux; dans une deuxième
période
, vous voyez survenir des accès de rigidité; dans
it dans l'extension ou la demi-flexion; et, enfin, dans une quatrième
période
qu'on n'observe presque jamais, ou du moins excep
ations cervicales. Cet envahissement successif s'est fait pendant une
période
de quatre ans. Les douleurs ont été peu vives, le
'origine articulaire. — II. Migraine ophthalmique se manifestant à la
période
initiale de la paralysie générale. Sommaire. —
iculation dans une situation fixe. En examinant les malades pendantla
période
d'acuité de l'affection, on reconnaît que, loin d
oient spontanées ou provoquées, les attaques sont constituées par une
période
épileptoïde, plus marquée dans une moitié du corp
d'ailleurs l'attaque avec la même facilité. L'attaque est régulière;
période
épileptoïde, période de grands mouvements avec at
avec la même facilité. L'attaque est régulière; période épileptoïde,
période
de grands mouvements avec attitude en arc de cerc
résumer Y hystérie, qu'un examen plus sérieux rend évidente. Dans les
périodes
intercalaires, on constate, en effet, que, du côt
éformation a été permanente, sans cesse ni trêve, excepté pendant une
période
de deux mois, où elle a été atténuée, sous l'infl
s'était développée. La douleur que, depuis ce moment, et pendant une
période
de trois mois environ, il n'a pas cessé d'éprouve
ou détruits; ainsi, par exemple, dans la paralysie infantile après la
période
de réparation, ou encore dans les myélites centra
du cancer vertébral. — II. Pachyméningite cervicale hypertrophique ;
période
pseudo-névralgique ; période paralytique ; périod
achyméningite cervicale hypertrophique ; période pseudo-névralgique ;
période
paralytique ; période spasmodique. — Cas particul
e hypertrophique ; période pseudo-névralgique ; période paralytique ;
période
spasmodique. — Cas particulier ; Guérison avec ré
stématique. Au point de vue symptomatique, on peut distinguer trois
périodes
.. La première période,période névralgique ou ps
vue symptomatique, on peut distinguer trois périodes.. La première
période
,période névralgique ou pseudo-névralgique, se fai
ptomatique, on peut distinguer trois périodes.. La première période,
période
névralgique ou pseudo-névralgique, se fait remarq
e sont les nerfs qui la traversent, mais non la moelle. La deuxième
période
, période parahjtique, est caractérisée par l'impu
s nerfs qui la traversent, mais non la moelle. La deuxième période,
période
parahjtique, est caractérisée par l'impuissance m
ne sont-ils pas compris au même degré dans l'altération? Troisième
période
. Quelquefois, les choses en restent là, et tantôt
n séjour de plusieurs années dans une habitation humide et froide. La
période
douloureuse a duré six mois, les douleurs occupai
rs, mais encore le thorax ; la moelle dorsale était donc atteinte. La
période
paralytique a débuté par les membres supérieurs,
mélioré aujourd'hui d'une façon notable, il faut donc distinguer deux
périodes
: l'une du 3 au 30 mars, la seconde du 1er au 15
brisée xy z sont un peu plus longues et plus irrégulières que dans la
période
de repos, mais elles ne le sont jamais autant que
our la première fois, à l'occasion d'une dispute, survenue pendant la
période
menstruelle, et après une de ces attaques vulgair
es mouvements malléaloires. La malade a les yeux fermés. Puis à celte
période
succède une période de spasmes toniques et de tor
loires. La malade a les yeux fermés. Puis à celte période succède une
période
de spasmes toniques et de torsion des bras et de
rendre à leur travail ou de se livrer à leurs occupations pendant des
périodes
de plusieurs mois ou même de plusieurs années, ne
elle et sensitive, avec ovarie du même côté qui, pendant cette longue
période
de 15 ans, n'a pas été modifiée, même temporairem
etrouvons chez elle encore aujourd'hui, c'est-à-dire après une longue
période
de 34 ans ! — Cette malade est soumise à notre ob
nce et Y attaque proprement dite commence. Elle est divisée en quatre
périodes
bien nettes et bien séparées. Dans la première, l
le malade esquisse quelques convulsions épileptiformes. Puis vient la
période
des grands mouvements de salutation, d'une violen
endant ce temps, le malade pousse des cris sauvages. Puis vient la 3a
période
dite des attitudes passionnelles, pendant laquell
mpe du même côté. Le malade perd alors complètement connaissance ; la
période
épileptoïde est commencée : d'abord augmente et s
contraction con-vulsive des muscles pectoraux. Après cela survient la
période
des contorsions, caractérisée surtout par des mou
clownisme que j'ai proposée pour désigner cette partie de la deuxième
période
de l'attaque. De temps en temps, les contorsions
ous montrent, en effet, que pour ce qui concerne là régula rite des
périodes
et le caractère épique des diverses altitudes, le
invoquer chez lui l'influence de l'imitation contagieuse. Seule la
période
des hallucinations et des attitudes passionnelles
ase épilep-loïde est en général peu accentuée et très courte, mais la
période
des grands mouvements et des contorsions qui lui
une friction même peu vigoureuse. Après l'aura classique survient une
période
épileptoïde très nettement caractérisée. La pério
ique survient une période épileptoïde très nettement caractérisée. La
période
des grands mouvements, comprenant l'attitude en a
t ou quinze jours environ, et il se vit obligé, durant cette longue
période
, de cesser tout travail, à cause de l'état de fai
« Je vais te tuer..., un coup de fusil..., tu vas voir. » Après cette
période
, marquée par le délire et les attitudes passionne
quée par le délire et les attitudes passionnelles correspondantes, la
période
épileptoïde se reproduit spontanément, inaugurant
ar un côté, s'éloigne notablement du type classique. Dans la première
période
, en effet, nous voyons les accidents convulsifs r
puis, car actuellement les attaques existent. Mais pendant une longue
période
de lt mois, il s'est agi ici d'un cas fruste, d'u
t il ri avait pas pu faire usage, un seul instant, pendant une longue
période
de près de 10 mois. La paralysie motrice n'était
actes volontaires, plus ou moins prémédités. D'ailleurs, dans cette
période
somnambulique, tous les sens sont ouverts et l'on
s, pour vous rappeler d'une façon très générale quels sont, dans la
période
somnambulique, les grands caractères des phénomèn
elque sorte mélangés, coexistant, au môme moment, sans distinction de
périodes
, contrairement à ce qui a lieu dans le grand hypn
'on ne peut, par conséquent, assigner à ce moyen, — au moins dans les
périodes
dont il s'agit, — une valeur diagnostique absolue
, dit-il, dans les premiers temps, le membre gonflé; au bout de cette
période
, il commença à marcher avec des béquilles, puis i
ait analogue à celui qui s'observe dans la coxalgie organique à la 3*
période
. — La jointure est immobile, la cuisse comme soud
ats de notre exploration : Au bout de six à sept minutes, après une
période
d'excitation très courte, contrairement à ce que
ous faire connaître les phénomènes présentés par ce malade pendant la
période
du réveil : — la raideur commença à reparaître à
'état mental produit par le shock nerveux et celui qui caractérise la
période
som-nambulique de l'hypnotisme, mais je crois en
urs individus hypnotisés, nous sommes parvenus à produire, pendant la
période
somnambulique, ce même genre de paralysie, en app
membre tout entier peut se montrer parésié et insensible, pendant une
période
de temps plus ou moins longue. Une simple contusi
qui, comme au début, était resté absolument insensible. Pendant une
période
de 15 jours, l'avant-bras fut placé dans une gout
diffère peut-être, vous le voyez, de la contracture provoquée dans la
période
léthargique du grand hypnotisme que par l'intensi
de rentrer en complète possession de l'état normal, il traversera une
période
où se montre un bégaye-ment particulier, consista
a paralysie labio-glosso-laryngée en général, jusque dans sa dernière
période
— celle dont notre deuxième malade offre un exemp
gnes d'être notées; toutefois, j'insiste sur ce fait que, pendant une
période
de six ans, de 24 à 30 ans, il a eu des attaques
ficiellement ce phénomène du mutisme. La malade étant plongée dans la
période
somnambulique de l'hypnotisme, vous commencez par
l'impossibilité d'articuler. Ce mutisme artificiel, obtenu pendant la
période
somnambulique, persiste, comme vous voyez, à l'ét
iellement produite par suggestion chez les hystériques hypnotisables (
période
somnambulique). moelle épinière, soit, par exem
ve chez une hystérique hé-mianesthésique hypnotisée, lorsque, dans la
période
somnambulique on détermine chez elle, par suggest
hez les hystériques hémianesthésiques hypnolisables, lorsque, dans la
période
somnambulique, on vient à déterminer chez elles,
on peut, chez les sujets hémianesthésiques hypnotisables, pendant la
période
somnambulique^ déterminer, par suggestion orale,
premier lieu, il est certain que l'état mental qui s'observe dans la
période
somnambulique de l'hypnotisme ne constitue pas la
taques, très violentes, sont classiques (aura, perte de connaissance,
période
tonique, clonique, etc.). Quand le malade reprend
e celte époque à ce jour, c'est-à-dire plusieurs années, il y eut des
périodes
de quelques jours et accidentellement d'une semai
réponse suif immédiatement la demande, si le sujet sait écrire. A la
période
de retour de la parole, quand l'aphonie est moins
uire, par la suggestion hypnotique, le mutisme hystérique. Pendant la
période
de somnambulisme, on fait causer une malade; puis
origine articulaire. — II. migraine ophtiialmique se manifestant a la
période
initiale de la paralysie générale. Sommaire. —
du cancer vertébral. — II. Pachyméningite cervicale hypertro-phique;
période
pseudo-névralgique; période paralytique ; période
Pachyméningite cervicale hypertro-phique; période pseudo-névralgique;
période
paralytique ; période spas-modique. — Cas particu
le hypertro-phique; période pseudo-névralgique; période paralytique ;
période
spas-modique. — Cas particulier : Guérison avec r
liés clans mon service de clinique et sous ma direction pendant cette
période
de temps. J'ai pensé qu'il pouvait y avoir quelqu
ître les plus intéressants et les plus importants se rapportant à une
période
donnée (novembre 1889 à novembre 1891) en les r
escription se sont quelque peu modifiés de 1883 à 1889, pendant cette
période
de six ans. Le premier mémoire de M. Morvan (18
al simultanément et peuvent quelquefois se succéder ainsi pendant des
périodes
de temps extrêmement longues. Ainsi dans l'observ
ossédions, les panaris se sont succédé les uns aux autres pendant une
période
de plus de quarante années, de douze à cinquante-
pour porter la pelle, était plus faible que la droite. Pendant cette
période
, également, le bras, le tronc du côté droit et la
ntral, d'où M. P. Marie a eu l'amabilité de nous l'envoyer. Dans la
période
antérieure de sa vie, il n'avait eu aucun trouble
ue: cas de Möbius, Hasner, Senator, Saundby, Parinaud et Marie, etc..
Période
de douleur; période de paralysie portant sur tous
asner, Senator, Saundby, Parinaud et Marie, etc.. Période de douleur;
période
de paralysie portant sur tous les filets de la 3e
ur; période de paralysie portant sur tous les filets de la 3e paire ;
période
de rémission ; leurs caractères, leur retour péri
de migraines véritables datant de l'âge de 15 ans. Longue durée do la
période
douloureuse. Période paralytique: Ophthalmoplegie
es datant de l'âge de 15 ans. Longue durée do la période douloureuse.
Période
paralytique: Ophthalmoplegie interne et externe o
ulo-moteur n'apparaît jamais, autant qu'on sache, qu'à la suite d'une
période
douloureuse le plus souvent accompagnée de vomiss
ises, de nausées et de vomissements. Dans l'accès la durée de cette
période
douloureuse est variable ainsi que nous le dirons
dans le fait qui va vous être présenté. Un autre caractère de cette
période
douloureuse c'est qu'elle se termine brusquement,
nt pour faire place à la paralysie qui persistera ensuite pendant une
période
de temps qui peut varier de quelques jours à plus
de migraine ophthalmoplégique ; il se compose essentiellement de deux
périodes
successives : l'une, la première en date, qui peu
micranie, le malaise et les vomissements; l'autre, la seconde, est la
période
paralytique. Mais vous auriez, Messieurs, une idé
u l'accès ne s'étend pas à plus de 3, 4, 5, 6 jours, tout compris :
période
douloureuse et période paralytique. Remarquez à c
pas à plus de 3, 4, 5, 6 jours, tout compris : période douloureuse et
période
paralytique. Remarquez à ce propos que la durée d
ique; j'ajouterai que dans les cas où l'accès est de courte durée les
périodes
intercalaires sont relativement courtes ou, autre
Ce cas met en lumière le fait intéressant que chez quelques sujets la
période
douloureuse peut, dans certains accès, exister se
peut, dans certains accès, exister seule et ne pas être suivie de la
période
paralytique. 2° Cas de Manz (Berlin, klin. Woch
eu lieu seulement une fois environ chaque année, mais la durée de la
période
douloureuse qui s'accompagne de vomissements est
Les accès ont lieu depuis cette époque chaque année au printemps. La
période
douloureuse est marquée par une nh%ralgie orbitai
violente surtout vers le soir. Bien qu'ils aient été séparés par une
période
de près de 7 années, il est difficile de ne pas c
dant une longue série de jours. Dans ce premier accès, la durée de la
période
douloureuse n'a pas été de moins d'un mois. Au
out de ce temps, suivant la règle, elle a fait place tout à coup à la
période
paralytique : chute de la paupière de l'œil droit
sme, mydriase, obnubilation de la vue de ce même œil, diplopie. Cette
période
a duré également environ un mois ; après quoi les
s'est produit à peu près un an après le premier, en février 1886. La
période
douloureuse n'a pas duré cette fois plus de trois
te conformément au type, se sont montrés fort accentués pendant une
période
de 8 jours, après quoi ils se sont atténués ; mai
à un certain degré, pour ainsi dire en permanence, pendant une longue
période
de 3 années, fin 1886, 1887, 1888 et une partie d
à se rendre en province à propos de la mort non prévue de sa mère. La
période
douloureuse, qui a été marquée par tous les incid
les fluxions. Où siègent les unes et les autres ? Les douleurs de la
période
hémicraniquo établissent suffisamment une partici
venir de la même façon et prolongée, autant que possible, pendant une
période
de 8 ou 10 mois. Observation. — Cet..., Berthe,
— Depuis novembre 1889, jusqu'au 28 janvier 1890, la malade a eu une
période
de repos complet pendant laquelle tout était à l'
taques. Vomissements ; exaspération de la douleur vers le soir. Cette
période
douloureuse a duré jusqu'au 20 février. Alors, la
ible. En effet le malade, ainsi que je l'avais prévu dans la première
période
de sa maladie, est sujet à des grandes attaques d
taines hys- tériques,par suggestion,après les avoir placées dans la
période
somnambulique du grand hypnotisme. Nous avons c
ie, somnambulisme. Le 26 avril 1890, la malade étant placée dans la
période
somnambulique de l'hypnotisme, on lui suggère que
a le défaire. Je fais placer pour cela de nouveau la malade dans la
période
somnambulique et on va lui suggérer devant vous q
ceau de bois vint heurter son poignet et le dos de sa main. Après une
période
d'incubation de plusieurs jours, pendant lesquels
pour une tumeur blanche des articulations de la main. Pendant cette
période
de temps, pas d'attaques de nerfs, pas de perte d
pendant la guerre franco-allemande, et, bien qu'exposé pendant cette
période
à des fatigues et des privations de toute espèce,
rare, tant s'en faut, car ces accidents figurent vulgairement dans la
période
préataxique. liest moins souvent donné de rencont
on des cellules motrices. L'évolution s'est faite rapidement dans une
période
de 6 à 7 mois. Aujourd'hui nous assistons à la pé
ement dans une période de 6 à 7 mois. Aujourd'hui nous assistons à la
période
de rétrocession ; le malade, chez lequel l'ophtha
lement le second plan, et même dans certains, au moins à une certaine
période
de leur évolution, peut faire complètement défaut
ment effectuée pour qu'on pût enlever l'appareil. Pendant toute cette
période
d'immobilisation au lit, les membres supérieurs a
membres, qui dura sept mois et se termina par la gué-rison. Après une
période
de santé de deux ans et demi, le malade fut repri
de, l'existence de ces douleurs violentes qui caractérisent l'une des
périodes
de la pachy-méningite cervicale hypertrophique.
logie avec le tabès et une confusion possible avec cette maladie à sa
période
préataxique. Mais quelques auteurs vont encore
tre suivie d'une sorte de rémission danslapolydipsie. — Pendant cette
période
, il maigrit d'environ trente livres au minimum.
des deux côtés. Il n'a rien remarqué à droite; à gauche il a eu une
période
de huit jours environ pendant laquelle il souffra
es emportements violents. Pas de maladies caractérisées pendant cette
période
. Nous parlerons plus loin de ses antécédents héré
ffets du shock nerveux n'ont pas cessé de se faire sentir pendant une
période
de trois mois. Toutes les nuits, pendant ce temps
nt attribuées à une attaque de rhumatisme et que, durant cette longue
période
hémiplégique, une thérapeutique variée : électric
hémiplégiques hystériques (démarche de Todd). Pendant cette longue
période
d'hémiplégie (deux ans), elle présentait toujours
ntir les lois qui régissent l'évolution nosographique, voici venir la
période
critique. Il s'agit maintenant de discerner les f
e encore davantage do l'absence de tous les signes fondamentaux de la
période
praataxique : ni les phénomènes visuels, ni les d
chez les individus d'un certain âge, l'hystérie a été précédée d'une
période
de neurasthénie préparatoire : tristesse, abattem
«e X... a souffert de douleurs très vives dans le bas-ventre à chaque
période
menstruelle. De plus, elle riait et pleurait sans
rque aujourd'hui. Pendant cette première attaque, il y eut une courte
période
de convulsions avec perte de connaissance, puis l
et des mois sans que la santé générale semble en souffrir. A cette
période
, ou même lorsque les bâillements revêtent cette a
es, chorée rythmée, toux, dyspnée hystérique, des vestiges des quatre
périodes
classiques. Outre les phénomènes prémonitoires
timents représentatifs des attitudes passionnelles et de la quatrième
période
ou de délire. La prédominance des bâillements fix
e service de M. le professeur Charcot, que l'analyse des urines de la
période
des vingt-quatre heures comprenant l'attaque donn
us avons observé et qui nous a fourni huit analyses dont quatre de la
période
d'attaque, l'état normal hystérique caractérisé p
permanents était également entrecoupé par des bâillements espacés, la
période
d'accès se caractérisant par quelques-uns des pro
, se groupant sous forme d'attaque. Or, nous notons encore dans cette
période
d'accès comparée à la période d'état normal un ab
aque. Or, nous notons encore dans cette période d'accès comparée à la
période
d'état normal un abaissement du volume, une dimin
sion de la formule, absolument comparables à ce qui s'observe dans la
période
des vingt-quatre heures correspondantes de l'atta
Cas de Möbius, Ilasner, Senator, Saundby, Parinaud et Marie, etc....
Période
de douleur; période de paralysie portant sur tous
ner, Senator, Saundby, Parinaud et Marie, etc.... Période de douleur;
période
de paralysie portant sur tous les filets de la 3e
ur; période de paralysie portant sur tous les filets de la 3e paire ;
période
de rémission ; leurs caractères, leur retour péri
de migraines véritables datant de l'âge de 4 ans. Longue durée de la
période
douloureuse. Période paralytique : Ophthalmoplegi
les datant de l'âge de 4 ans. Longue durée de la période douloureuse.
Période
paralytique : Ophthalmoplegie interne et externe
présente un tableau de lésion mentale à cours périodique (dont les
périodes
viennent d'être citées) et avec troubles moteur
ne idée de tout le cours de sa maladie. La maladie a débuté par une
période
mélancolique avec des idées d'autoaccusation tr
paru la forme secondaire ? Par conséquent, l'analyse clinique de la
période
initiale de la maladie doit occuper ici le prem
tonie . ' Ce qui parle encore en faveur de la catatonie, c'est la
période
mélancolique initiale, ensuite l'excitation hallu
toire dans la floraison de la maladie. et la démence pré- coce à la
période
terminale. Le cours de cette maladie pré- sente
avant l'entrée du malade à l'hôpital) la \ maladie a débuté par une
période
mélancolique; mais nous ', n'avons pas de descr
peu nombreu- { ses, il est vrai, que nous connaissons concernant la
période
[, initiale de la maladie, nous devons noterque
oppée à un âge jeune (vingt-trois ans), qu'il y avait 1 d'abord une
période
de dépression, puis une excitation con- t sécut
rrêter encore sur une particularité intéressante de ce cas, sur les
périodes
d'affaiblissement du procès morbide. Après le
(état dépressif, irritabilité, des positions forcées) ; 3° Dans la
période
terminale toujours une démence. ¡ En comparant
le l'abaissement de l'intelligence très-prématuré, l'alypie de la
période
initiale, la stéréotypie du cours de la maladie e
ire que pour l'amentia de Meynert, le début de la maladie par une
période
mélancolique ne convient pas, et le délire dans
dans la sphère motrice de l'écorce cérébrale ; assurément dans la
période
primordiale de la maladie, toute l'affaire se b
u tableau clinique, en admettant la possibilité de l'enlèvement des
périodes
iso- lées. Dans l'état contemporain des choses
que. Pour différencier cette forme de la mélancolie pure, dans la
période
primordiale on peut noter déjà un cours atypique
acta la syphilis à vingt-deux ans et chez lequel survint pendant la
période
secon- 68 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. daire
apparaissent et prolongent leur action bienfaisante jusque dans la
période
de veille. La codéine n'est pas un hypnotique,
; 13 cas : (petits lymphocytes, grands lymphocytes, albumine ; pgp.
période
, d'état stationnaire) ; c) accentuée; 7 cas : (
n des attaques convulsives et des troubles psy- chiques pendant les
périodes
d'ascension et d'état de la ma- ladie infectieu
éré 1, avait remarqué déjà « que beaucoup de femmes étaient dans la
période
menstruelle lorsqu'elles avaient éprouvé la fra
gée de cinquante ans, atteinte de paralysie générale à la seconde
période
. Ses antécédents héréditaires sont assez vagues :
oins dans la croyance au pouvoir de' l'hypnotiseur. Aussi, avant la
période
scientifique, des personnes instruites ont pu c
port aux entrants quelconques est de 14,3 p. 100 pour la première
période
, et de 14,4 pour la seconde : celte proportion en
22 août 1898 il est en état d'agitation maniaque consécutive à une
période
de dépression qui a. duré dix-huit mois. Il est
oit faire soupçonner la fièvre typhoïde; . 2° Les psychoses de la
période
fébrile, proprement dites, sont les plus fréque
ur le syndrome paralyti- que qui dominait la scène dans la dernière
période
de la maladie. A l'autopsie on trouva une gomme
qui pourrait, d'après Lombroso, aller jusqu'au génie, du moins à la
période
de début. Trois ob- servations personnelles du
a respiration moins rapide, de sorte que la mort est précédée d'une
période
de calme relatif, si elle ne s'est pas produite
es onanistes éphémères : - 2. Dans les intervalles qui séparent les
périodes
d'abus, le sentiment de bien- être général, l'a
et le tassement du sujet font seuls soupçonner la maladie-; à cette
période
le diagnostic est souvent méconnu. L'auteur'- r
lue de la.tête rentrée dans les épaules, accompagnée d'une longue
période
douloureuse qui semblait correspondre à la phase
énomène plus ou moins constant, voire provisoire, concomitant d'une
période
d'excitation. - 5. Il faut la ranger dans la caté
cience, juillet 1903.) Les recherches de l'auteur ont porté sur une
période
qui va de 1890 à 1902, durant laquelle furent c
u deux mois par exemple - à la durée de ce séjour temporaire, cette
période
suffira-t-elle pour que le traitement ait des eff
stion : Valeur diagnostique des symptômes oculaires aux différentes
périodes
de la paralysie générale, appuyée sur des obser
. SOCIÉTÉS SAVANTES. 259 En réalité l'évolution se divise en deux
périodes
: une première période aiguë, durant six ou hui
En réalité l'évolution se divise en deux périodes : une première
période
aiguë, durant six ou huit mois, au maximum deux o
, toute notion de la couleur et de la forme des objets, une seconde
période
essentiellement chronique, durant au minimum, t
péchant. La maladie dura à peu près deux ans, s'exprimant, vers la
période
terminale, par des profondes atrophies musculai
uez aussi qu'elle ne présente pas la teinte cireuse habituelle à la
période
terminale d'un cancer, mais plutôt une mélanode
us occupent - à condition toutefois que le décès soit survenu à une
période
de l'invasion rachidienne pas assez avancée pou
arc pos- térieur ou aux corps vertébraux ue s'effectuant qu'à une
période
plus lointaine de l'évolution. Les racines sero
ébraux, à la faveur d'un trouble circulatoire fréquent à toutes les
périodes
du mal de Bright, à la faveur de l'ocdéme céré-
une attaque d'urémie avec délire. Reste à savoir si ce délire de la
période
terminale a eu une origine toxique. La quatrièm
ncestrale chez les héréditaires, etc. 4° Ces délires éclatent à une
période
quelconque du mal de Bright, tantôt au début, t
que le coefficient urotoxique est sensi- blement le même pendant la
période
délirante et en dehors d'elle. 5° Dans les auto
res à la phase dépressive, disparaissent pour la plupart pendant la
période
maniaque et l'intervalle lucide. Néanmoins pend
nt la période maniaque et l'intervalle lucide. Néanmoins pendant la
période
dé- pressive du quatrième accès, on se demande
inique d'Heidelberg affectées de folie simple, intervenait, pour la
période
- antérieure à 1890, dans le diagnostic, dans l
ertain nombre de symptômes caractéristiques qui sont les suivants :
période
pro- dromique à début graduel aboutissant à la
s suivants : période pro- dromique à début graduel aboutissant à la
période
d'invasion aiguë avec hallucinations de l'ouïe,
katatonique des mus- cles et hyperleucocytose, qui, à la fin de la
période
aiguë indique^ une toxémie virulente. A la dern
n de la période aiguë indique^ une toxémie virulente. A la dernière
période
, état de stupeur avec résistance des muscles au
vorable. 3" L'immunisation active chez des malades ayant atteint la
période
de stupeur n'adonné aucuu résultat curatif. G°
peur n'adonné aucuu résultat curatif. G° L'immunisation active à la
période
du début aigu de la maladie, essayée jusqu'ici
u trois minutes : la douleur est complètement jugulée. Pen- dant Ja
période
d'hyponarcose qui précède le retour à l'état de
ndant les premiers temps ; plus tard, il y eut plutôt alternance de
périodes
de stupeur et d'irritabilité; la mort survint alo
illaire de la langue et des lèvres qui peuvent manquer jusqu'à une'
période
avancée de la maladie, et que d'autre part on p
des et par conséquent, dans la majorité des cas, dans la première
période
de la paralysie générale. Sur ces 227 malades,
on n'a pas signalé de troubles oculaires, un examen ultérieur à une
période
plus avancée de la maladie en eut fait observer
n du signe d'Argyll chez des malades qui venaient d'entrer dans une
période
de rémission de leur affection. En voici l'obse
ne sont plus abolis, ils sont seulement affaiblis, le malade est en
période
de rémission et sort du service. Quelques temps
m- modateur seul est extrêmement rare, et que souvent, même à une
période
avancée de la paralysie générale, le réflexe ac
odation atteinte. Une réserve toutefois est à faire, c'est qu'à une
période
avancée de leur affection, il est impossible ch
elle serait tout à fait exceptionnelle et ne se produirait qu'à une
période
avancée de la maladie où il est impossible de l
t, puis cette tonicité mus- culaire croît et bientôt on arrive à la
période
que nous pourrions dénommer de contracture, les
à laquelle fait suite une phase clonique, et qui se termine par une
période
d'adynamie et de repos. b) Dans la production
es gouttelettes disparaissent par résorption graduelle. Dans aucune
période
de Tannés, on ne peut déceler de semblable forma-
vail mental est plus intense et plus rapide, peut-être parce que la
période
inspi- ratoire n'est pas la plusfavorable à l'e
ul est plus intense durant l'expiration, si l'on fait exception des
périodes
de travail accomplies pendant quelques pauses.
logique la plus habituelle des diverses pauses est d'indiquer une
période
de repos mental relatif ou absolu. 15° Très souve
oublier cependant qu'une pause quelconque peut être associée à une
période
de travail mental, et être alors l'expression,
ne augmentation de la pro- fondeur de la respiration correspond aux
périodes
de repos men- - tal absolu ou relatif. - 20° Au
iodes de repos men- - tal absolu ou relatif. - 20° Au contraire aux
périodes
d'activité mental correspondent des respiration
vocation s'associe une diminution de la fréquence respiratoire; aux
périodes
d'activité calculatrice presqu'automatique, s'a
manifestations des tumeurs. Le début de l'affection se fit par une
période
d'affaiblissement général, lentement progressiv
prédisposition héréditaire et vers la puberté : il peut y avoir une
période
de dépression avec idées de suicide, ou bien, d
hallucina- tions disparaissent. Il peut y avoir cependant quelques
périodes
d'excitation. Une démence très accusée apparaît
ez ancien pour que l'on ait pu constater la démence des dernières
périodes
. Il est intéressant de rechercher quels sont les
idemment considérable, mais elle n'est vraie que pour les premières
périodes
de la première de ces deux maladies, et les dif
ion, elles disparaissent le plus souvent ou s'atténuent une fois la
période
d'évolution aiguë franchie. Or chez six de nos
nt été les sujets sont de vieux tabes sortis depuis longtemps de la
période
inflammatoire. La choline n'accompagne donc pas
ériode inflammatoire. La choline n'accompagne donc pas seulement la
période
de désassi- milation, ce qui réduit la valeur d
ait conservé le souvenir très net des événements antérieurs à cette
période
. Pendant le cours de ce sommeil, elle ne fut po
colonne pour se tuer. 11 est probable que le délire ou du moins la
période
de trou- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉC
mental, il ne cherche aucune occu- pation. Il dit lui-même dans les
périodes
où il se trouve un peu mieux, le 17 octobre par
il a mené de 1890 à 1903. Evidemment nous serons obligés pour cette
période
, d'accepter le témoignage du malade et les rens
, s'en attrister davantage. Le malade semble néanmoins avoir eu des
périodes
d'inquiélude et de préoccupations déterminées p
t mental des dégénérés. La maladie de M. N... scinde sa vie en deux
périodes
bien tranchées; son mode de vie, son état menta
mais le diagnostic pouvait certainement être posé dès la fin de la
période
aiguë. Il est nécessaire, en effet, de pratique
ques paralytiques prédisposés par leurs antécédents vésaniques à la
période
de début ou durant les rémissions, les idées de
ons visuelles et auditives). A partir de cette époque C... a eu des
périodes
intermittentes 'le calme et de trouble. Mais
venons de décrire, pendant tout le reste de l'année 1903 avec des
périodes
de légère rémission pendant lesquelles C... n'est
lirantes, elle s'occupe quelque peu à l'épluchage. Elle jouit d'une
période
de deux mois environ de calme et, pendant ce te
e trouver des malades aussi dangereux et pendant une aussi longue
période
que F..., de l'Ous. II. Ces idées morbides semb
conservation du sentiment de la personnalité, de l'amnésie pour la
période
du délire et une grande suggestibilité. Au poin
ps, au lieu et à l'entourage, la conservation de la mémoire pour la
période
du délire. Du côté émotif, par une angoisse trè
nce prédominent. Nous comprendrions ainsi que la mémoire, pour la
période
de délire, doit faire défaut dans le délire tre
a été de trois jours (de la nuit du 20-21 au 23). Au cours de cette
période
, et principa- lement à son paroxysme, elle mani
u, elle se réveille calme et orientée, avec amnésie des faits de la
période
de delirium tremens, mais conservant par contre
tremens, mais conservant par contre le souvenir intact de toute la
période
hallucinatoire auditive et considérant comme ré
OLOGIE PATHOLOGIQUES. 2° Elle est abaissée dans la manie pendant la
période
d'excita- tion. 3° Elle subit des variations
es dans l'épilepsie : a) elle est au-dessous de la normale dans les
périodes
inter-paroxysti- ques, b) elle subit une diminu
durée des spasmes musculaires, et du degré de l'alcalinité dans la
période
inter-paroxystique, d) le sang reprend progress
icroscopique. G. G. XIX. Guérison de la méningite tuberculeuse à sa
période
prodro- mique par l'emploi répété des vésicatoi
Tripier rapporte six observations de ménin- gite tuberculeuse à le
période
prodromique, guérie* par l'applica- tion répété
lités ; mais il pense que, si le traitement qu'il pr conise dans la
période
prodromique réussit dans tous les cas où '. mén
aujourd'hui comme à peu près incurable, à la condition d'agir à une
période
bien déterminée avant qu'il n'y ait la moindre
présence d'un malade dont les symptômes semblent se rapporter à la
période
prodromique de la méningite, on devra appliquer
guë. 11 n'y avait pas eu de trouble notable de la sensibilité. A la
période
aiguë du début avait succédé une phase d'état trè
la fragmentation ne présente que l'un des phénomènes et l'une des
périodes
de la dégénérescence du nerf. W.-K. ROTH compte
rs, comme paralysie générale, s'étant développée en liaison avec la
période
puerpérale, doivent être rapportés aussi à la g
lues ne s'excluent pas l'un l'autre et dans le cours d'une certaine
période
intermé- diaire peuvent exister parallèlement.
es s'accompagnent de troubles physiques. surtout accentués dans les
périodes
aiguës. Ce sont, d'après Kroepelin : exagératio
de l'auteur portent sur 3445 cas, entrés dans son asile pendant une
période
de douze ans, et se décomposant en 1693 hommes
par \icolas et Arloing, 393. Gué- rison de la tuberculeuse à sa
période
prodromique par l'em- ploi répété des vwcatores
il j 1 heure 1/2 après la prise. UBS, XI. M™0 IL, 42 ans. Après uue
période
de confusion mentale (1898) avec excitation man
'u'a( ? quud(;7 ? U)'t"-parnui(. Excepté chez un catatonique, t1 la
période
initiale de la maladie, le véronal a eu dans ob
ues très intenses d'une durée do 15 jours à 3 semaines suivis d'une
période
de dépression légère d'égale durée. 11 existe e
tique produit son action habi- Luelle au déclin des accès et -il la
période
mélancolique. 10 THÉRAPEUTIQUE. Uss. XIX. 17t
de convul- sions ; elle n'était pas plus intelligente pendant cette
période
. A partir de 3 ans et 2 mois, tous les mois, ac
ès résister à celle pratique pourvu qu'on l'applique au début de la
période
tonique. Je ne doute pas que des exceptions puiss
rquer les fâcheuses conséquences de son vice. Dès lors apparaît une
période
de défense. Il lâche de chasser de son esprit t
le qui s'accompagne d'atrophie des nerfs optiques. Seulement ici la
période
latente est de 7-12 an-, Archives, 2- série, 19
Ellc est dans un état habituel de dépression mélancolique avec des
périodes
de rêverie où elle peni la notion de ce qui l'e
ppe un véritable syndrome mélancolique anxieux avec thanatophobieet
périodes
de mentisme ou confu- sion mentale passagère en
l s'est jeté sur sa femme pour l'étrangler. Par moments, il a des
périodes
de calme avec demi-stupeur, se couche et gémit :
née se passe dans les mêmes conditions. Hurlements de désespoir par
périodes
. Débraillé, sale, dechireur, abruti quand il n'
l reproduites avec intensité a diverses reprises, notamment dan- la
période
qui a précédé la mort qui est survenue le 2G oc-
s accès de rire spas- modiques constatés chez ce malade pendant une
période
assez longue me semblent appartenir au même méc
',\ ! l'èll1C : excitation 11lnlliallUea\l'c dl'- sordre des actes,
périodes
de stupeur avec phénomènes catatoni- (jules, cr
i Labie fureur de maslurhal ion.lc loul l'nll'CCOII- pé de quelques
périodes
lucides muisaveeulfuiblissement 1res mi- (leili
z banal dans les maladies mentales ; . on l'observe souvent dans la
période
d'invasion, non seulement des psychoses organiq
on le Il mai 1904, atteinte de (lé- mence parah tique à la dernière
période
. La mère de celle femme, née Eliennelle IL ? a
r aller tra- vailler à 9 It. du soir. Il perd de l'argent. Dans ses
périodes
de calme, où sa tristesse habituelle cède, un s
esse ; on la rencontre encore plus tard et jusqu'après la fin de la
période
du développement sexuel. 11 n'est pas obligatoi
dicale. Le type ther- mique inverse s'observe assez souvent dans la
période
de stupeur. La genèse de la catatonie n'est pas
esthoniens, chas- tes, chez qui l'affection s'était développée a la
période
de la matu- rité sexuelle.. Par conséquent conc
rvelet avecpachyméningile. \ M. BALLET. - Quelle était la durée des
périodes
délirantes ? M.DouTREBENTE. Plusieurs années.
ions de l'ouïe ; c) Signes ressemblant il ceux de l'alcoolisme avec
période
som- Incil. 1. Ce sont précisément ces signes
tance des aliénés en ' .\II<'lI1agl1l' peul se diviser en qualre
périodes
. La pl'I'rni.,1'1' l'om- ]'l'l'IIIIII' mO)l'n à
ll'ÏhlllHlll'\, d,' et non de la science médicale. Dans la deuxième
période
les fous sont considérés comme des lIjl'lsdan¡
Ijl'lsdan¡ ? el'l'lI'\ et onlll'ai- lés comme des criminels ; celle
période
s'étend de la fin de «'e· siècle au commencemen
alades et traités dans des l'ta- blissements spéciaux. La quatrième
période
est par le développement de l'assistance des al
mouvement p (1), parait avoir en vue les actes musculai- res de la
période
active, ceux des catatoniques en parti- culier.
précoce, les attitudes pro- longées et les mouvements répétés de la
période
active d'une part, les attitudes prolongées et
'une part, les attitudes prolongées et les mouvements répétés de la
période
résiduelle d'autre part ; car, outre que la gen
1. 1. 204 clinique mentale. mêmes mouvements monotones pendant la
période
de début n'est qu'une manifestation exagérée, u
che à fonder la pathogénie de l'affection, il semble bien que la
période
active soit marquée par des modifications dans
plus aucune de ces bizarreries depuis qu'elle est entrée dans la
période
résiduelle d'affaiblissement. Il semble donc qu
ouvements en question. 203 CLINIQUE MEN1AL1Î. contemporains de la
période
d'intoxication diffuse, si l'on peut dire, sont
ions que lui a laissées le processus éteint. En d'autres termes, la
période
aiguë passée, la cellule amoindrie, mais non pl
dées délirantes et des représentations hallucina- toircs pendant la
période
aiguë de l'affection ; et nous ne 208 CLINIQUE
PIE DES DÉMENTS PRÉCOCES. 213 toniques dominent la scène pendant la
période
de début, et les manifestations résiduelles qui
e chronique et relativement torpide d'emblée, et il semble que la
période
active soit plus ou moins fondue avec la périod
il semble que la période active soit plus ou moins fondue avec la
période
résiduelle : alors, les phénomènes à grand spec-
quence suivant' la forme de /'t ? fection ; c) Fréquence suivant la
période
de la maladie. a) La fréquence globale nous a p
chacune des formcs cliniques en bloc, on les con- sidère suivant la
période
de la maladie. Les catatoniques. après avoir pr
oir présenté de la fixité des attitudes et des mouvements durant la
période
active de l'affection, perdent le plus souvent
ent le plus souvent de celle fixité lors- qu'ils s'engagent dans la
période
de déchéance définitive, sans être exempts tout
ctivité stéréotypée semble s'accumuler presque exclusivement sur la
période
finale de la maladie. 13. Causes d'erreur. Pour
plus vrai- semblable que le sujet traversait un peu plus tard une
période
de mutisme, et opposait à la plupart des sollici-
emprunte à la stéréotypie. , c) Si nous passons maintenant de la
période
initiale ou d'activité à la période terminale o
i nous passons maintenant de la période initiale ou d'activité à la
période
terminale ou de démence défini- tive, nous devo
le- quel le malade devra définitivement s'immobiliser après s la
période
active de la maladie ? ' ? Avant de répondre il
, c cst-a-dire les altitudes fixes et les mouve- ments répétés delà
période
active qui sont des manifes- tations directes d
r.c cst-a-dire les attitudes fixes et les mouvements répétés de la
période
résiduelle, qui témoignent d'une désagrégation
ande pituitaire. Ces trou- bles se sont certainement produits à une
période
embryonnaire très primitive. La partie relati
''quel'urine a une réaction acide plusou moins intense à la seconde
période
de l'observai ion ; 2° qu'elle n'a jamais eu une
sie générale, 10 cas d'idiotie ou ¡J'0pÍlcl'"ie,« C'est toujours la
période
de la vie comprise entre 20 et, 'i0 ans qui est
n'existaient que pendant les deux semaines intermédiai- res, de la
période
menstruelle et beaucoup moins souvent. Cet enfa
ifs à son crime. En même temps, il y avait une mémoire exacte de la
période
intercalaire, même de l'amnésie rétro-anlérogra
ontribution à l'étude des altérations de la voix aux deux premières
périodes
de la paralysie générale; par le Dr Marandon de
as, la voix a été trouvée cons- tamment normale, aux deux premières
périodes
de la paralysie 'générale ; dans un autre tiers
ériodes de la paralysie 'générale ; dans un autre tiers, api es une
période
plus ou moins longue de normalité, elle s'est a
s troubles vocaux ont eu une bien moins grande fixité à la première
période
qu'à la seconde. Chez le même parah tique, les
s troubles delà voix n'ont pas évo- lué de la même manière aux deux
périodes
; il y a eu au con- traire une variété excessiv
is aussi le de- gré d'intensité de ces troubles. Soit pour chaque
période
isolément, soit pour les deux prises ensemble,
esdeux formes existent. Dans le 1) pl' Chaslin, il y a à la seconde
période
des idées délirantes, des hallucinations, des i
ve (Fournier). L'éminent. clinicien - insiste surtout sur la longue
période
pendant laquelle la Il'an- mission est possible
ataxiques, etc., etc.), et, à titre temporaire, pour l' y subir une
période
d'observation, les aliénés du département du Do
ne réclamant plus de traitement spécial (paralytiques généraux à la
période
démen- tielle ou pré-démentielle, déments sénil
e sais, sur un terrain brûlant. Sans doute l'humanité a traversé la
période
éruptive. L'une des conséquences du progrès sci
érêts que l'liiéropsychologie. Pour moi, je n'ai guère dépassé la
période
d'observa- tion. Et c'est pourquoi ce cours mér
x cas pour con- firmer l'opinion de l'auteur. On ne réussit qu'à la
période
initiale de la crise, celle qui correspond il l
moïdoesl moins constante el moins forte. -3" II existe toujours une
période
d irritation latente, dont la durée va- rie sui
ritation latente, dont la durée va- rie suivantles individus. Celte
période
est moindre quand on ex- cite la première zone,
alades ne réagissant pas du tout au, excitations extérieures. Cette
période
est remplacée par une phase de surdité et de cé
et de cécité psychiques. Celle-ci cède à son tour la place à une
période
de cécité mentale exclusive, surtout pour les per
ion de la personnalité, qui a duré près de trois ans. Pendant cette
période
, celte jeune fille avait toutes les appa- rence
le mais qui se borna ;i examiner une 'seule l'ois les sujets, à une
période
quel- conque de la maladie. Il nous a semblé
e soin de suivre les mêmes malades depuis leur entrée à la première
période
de l'affection jus- qu'à sa terminaison par la
E jets, nombre insuffisant pour permettre, surtout aux di- verses
périodes
du mal,une statistique de quelque valeur. Afin
it jamais tout d'un coup, niais qu'elle est toujours précédée d'une
période
plus ou moins lon- gue ou plus ou moins courte
équent on examine d'autant plus souvent le malade qu'il est à une
période
plus avancée, ce que nous avons fait, l'affaiblis
ui, que le lumineux est beaucoup plus souvent anormal à la dernière
période
qu'aux deux au- tres. En effet, à la seconde pé
à la dernière période qu'aux deux au- tres. En effet, à la seconde
période
, l'anormalité cons- tante r emporte sur celle d
avait été trouvé anormal dans une forte proportion dès la première
période
, mais que tou- jours. l'état normal à cette pha
tableau, tandis que la normalité constante va en diminuant d'une
période
à l'autre, l'anormalité constante au contraire va
fférente aux deux yeux, ils se répartissent comme il suit aux trois
périodes
: LE RÉILEXE LUMINEUX DANS LI l' : 1R1L1'S11 :
s avons constaté que 3 des 13 constantes durant toute la première
période
avaient persisté durant un certain temps après
tance avec les progrès du mal. En effet, il y en a 15 à la première
période
, seulement 9 la .se- conde et pas une seule à l
ire n'ont été que mo- mentanées. Enfin c'est seulement à la seconde
période
que nous avons rencontré l'anormalité différent
t notre méthode. Quant aux diverses espèces d'altérations aux trois
périodes
les voici : 4=28 CLINIQUE MENTALE. La success
iodes les voici : 4=28 CLINIQUE MENTALE. La succession durant les
périodes
des deux altérations en moins ne présente pas d
de 1902 qui avaient fourni une minorité considérable à la dernière
période
. L'explication de cette différence est celle qu
non seulement affaibli momentanément, mais en- core durant toute la
période
, sans jamais d'abolition ; bien plus, ils le tr
s ressor- tiront davantage en faisant leur somme totale il chaque
période
, des constantes et des momentanées. LI : 1(1'1,
tiques il évolution 1 complète, ceux qui sont morts il la troisième
période
dans le marasme ultime, tous les résultats préc
durée est d'autant plus courte que la paralysie générale est il une
période
plus avancée. Les alternatives d'affaiblissemen
Je. L'anormalité constante augmente de la première il la seconde
période
, et de celle-ci à la troisième. La nor- malité
atives des deux états sont d'une fréquence égale aux deux premières
périodes
, mais trois fois plus rares à la dernière où l'
la paralysie générale pour disparaître complètement à la troisième
période
. Seulement, à la seconde, nous avons vu des ano
est. il litre exceptionnel, la normalité constante durant toute la
période
. ' CHIRURGIE DES ALIENES Des corps étrangers
uve. Une malade observée à l'asile de Vauclusc avala au cours d'une
période
de mé- lancolie anxieuse et à l'insu du personn
du mouvement, puis par des phénomènes respiratoires, enfin, à la
période
de développement plus ou moins complet de la régi
chez tous les syphilitiques un peu anciens les signes légers de la
période
pré-ataxique du tubes. \Vl H 1,. LXXVIII. Syn
e se montre le plus fréquemment de vingt à cinquante ans, dans la
période
de la vie où les causes occasionnelles ont leur m
iance que nul incident n'est venu ébranler pendant une aussi longue
période
d'années. ' La liste est longue des pauvres m
. Contribution à l'étude des altérations de la aux deux premières
périodes
de la pa- ralysie générale, par Maran- don de
complètement. Du reste, il n'étudia que très peu durant toute cette
période
, et mena an grand air une vie très active. En
elles ont toutes .certains, carac- tères communs. Dans une première,
période
,,en effet, le patient, souffre, «est déprimé, s
de'de l'évolution du délire vésa- nique, on pourrait donc l'appeler
période
de dépression', déconcentration pénible', d'apr
vera jauoun ^moment { ce sentiment quii caractér iserl lai aeuxième
période
, dite excr.nsiv,e.3·r`fi ? nI a9cme'ieqqG ao^nc
df)-4c.cette, deuxième étapedu"déliervé; sanique 2 ? Une,,fois,;la
période
dépressive traversée i le ni4j4de,se tioiy,j pr
vre j peu à peu, cette loi générale : ,Dans le délire chronique, la
période
expansive 1 ne. fait jamais que succéder ci la
hronique, la période expansive 1 ne. fait jamais que succéder ci la
période
de dépression; et ce qui caractérise essentiell
période de dépression; et ce qui caractérise essentiellement chaque
période
, c'esti l'altéra- tion f ? e/c't/M sentiment. '
l - . «(}est' de cette'phasedntermédiaire aux deux- princi- pales
périodes
de l'évolution,'vésanique, qu'a parlé .'1. Ach.
ue soient le manteau, l'incarna- tion adoptés, s'installe en,pleine
période
expansive, y DU 'DÉLIRE DANS LA' VÉSANIE. <-
mie érioderide 'concentration pénible pour le délire, enfin, une
période
d'expansion. Le'malade/d'ailleurs, loin' de sau
t déjà devenu très notable, au moment surtout où est appa- rue la
période
d'expansion. - ' ' Mais' ce qui doit, avant tou
... cï la perception de cette modification. D'après èlle, durant la
période
expansive, sa sensibilité devient de plus en pl
nscientes paraissent se montrer -'de préférence chez la-femme a'la)
période
de ! la' méno- a pause ? Il 1 hml'Ib ''l'Iw1 mo
blée au summum, 1>ien,·loin·d'êLre·progressive. Il y a ici, à la
période
d'état, prédominance de l'amyotrophie paralytique
T.DTiy in'd '.i/ affaiblissement très prononce du cote droit, .sans
période
connais- ! '{ U IWI ? .\ i' ' ' .'l{BJ ? 'li" * ?
eil, et d'où il résulte que la somnambule ne peut plus, pendant une
période
indéter- minée, avoir de réactions propres et o
SAVANTES. La fièvre ne saurait, servir,de guide, car. même , à la.
période
d'acmé, on constate ,de, grandes oscillations t
on plus aussi soudaine; prédominance des hal- lucinations au début;
période
d'acmé, comme plus haut. Ces entités se dévelop
{iilême jusqu'au ventricule. Suivant qu'on l'examine \ différentes'
périodes
de la rétrocession, il y a lieu de distinguer :
rne, j'affirme que Nouaux est un vertigineux épileptique, ayant des
périodes
d'accès s'accompagnant d'hallucinations de la v
i un simulateur. Il est toujours de bonne foi, et, dans ses longues
périodes
de calme, VERTIGES ÉPILEPTIQUES. 1 G;j de luc
, et en même temps heur- tée, décousue. Souvent, à n'importe quelle
période
, surtout sous l'influence du traitement, il y a
Enfin se produisent souvent des reculs : un imbécile déjà en pleine
période
expansive peut, à certains mo- ments, ressentir
ou bien, en sens inverse, un imbécile qui n'en est encore qu'à la
période
de dépression peut, au beau milieu de ses idées
ouffée de sentiments ambi- tieux'. Quoi qu'il en soit, à toutes les
périodes
, les conceptions délirantes des imbéciles auron
9, qui guérit d'un accès remontant à cinq ans, et déjà parvenu à la
période
expansive. Nous-mème 1 : \Iagnan, - Leçons fait
e d'affirmer l'incurabilité de l'accès délirant, * même arrivé à la
période
de systématisation. Ces faits cliniques ont leu
au bout d'un nombre fixe d'années 1. » Parvenu enfin à la dernière
période
de sa vésauie, ayant perdu tout espoir de retou
pénibles si, chez eux, l'évolution vésanique s'est attardée à cette
période
. Mais le plus souveut, chez ces vieux halluciné
hroniques, de vieux vésaniques devenus déments à la suite de leur
période
d'expansion, c'est la réapparition de préoc- cu
es premiers temps, et, par suite, les conceptions délirantes de ces
périodes
extrêmes ne pourront présenter le même ensemble
a, il sera facile de reconnaître qu'il s'agit tout simplement de la
période
dépressive, de la période d'hyperalgésie mental
naître qu'il s'agit tout simplement de la période dépressive, de la
période
d'hyperalgésie mentale (perversion douloureuse
térieure du délire chronique au cours de son évolution, à savoir la
période
d'expansion apparaissant peu à peu et coïncidan
irant, préparant toutes les idées délirantes. Isoler chacune de ces
périodes
, les présen- ter comme des individualités morbi
es; il n'y a que le vésanique, délirant chronique, aux di- verses
périodes
de son évolution. La lypémanie suicide ou homic
à suivre du même pas l'évolution vésanique au travers de toutes ses
périodes
classiques; ils peuvent s'attarder à telle phas
'évolution même pourra être incomplète, et telle de ses dernières
périodes
fera défaut. Mais il n'y a aucune raison pour c
fait et que, guérie momentanément, elle peut reparaître dans une
période
de même repos. Tel a été le cas de D... qui, pa
Mais c'est un fait curieux de constater combien, pendant ces deux
périodes
de la vie, les sensations se localisent dans des
t ; mais celle des membres du côté gauche persiste pendant toute la
période
des attaques pour ne cesser que quelques jours
ttaques pour ne cesser que quelques jours après la fin d'une de ces
périodes
d'attaques convulsives. La première attaque a e
ans, pendant six semaines environ, où elles ont été sui- vies d'une
période
de calme de huit mois. A cette époque, nouvelle
ion totale. On peut donc par- faitement admettre que, pendant cette
période
, l'irritation se propage sur le tissu interstit
lles et des parties excentriques, leur état, présente la première
période
de l'évolution d'un processus qui est très intére
rses parties du système nerveux central, M. Klebs dis- tingue trois
périodes
bien tranchées dans leur évolution : hy- pertro
des noyaux et nucléoles dans ces parties hyper- trophiées. Dans les
périodes
plus avancées, ces tumeurs subis- sent une alté
que deux fois : une fois 10 et l'autre 15. Les accès, dans la même
période
, ont été au nombre de 15(i. Les diurnes ont été
c'th'M-nnque''as ? cp'b'c[a'&]&L('8tib ? Jth6e)''p' titi la
période
d'agitation. Ici la température baisse égâ]61HéYi
s de l'état hystérique, puis nous avons passé en revue les diverses
périodes
de l'attaque, avec les modifications qui s'y in
inus- culaire est très précoce et très' développée ; même dans les
périodes
pou- 'avancées' de' la'' maladie ? il''y a' dim
» C'est toujours deux ou trois mois après l'opération et après une
période
de bien-être assez marquée, que ces accidents s
isparaissent, en général, mais toujours très lentement et après une
période
sta- tionnaire souvent fort longue. Quelle pe
la troisième année de la vie de l'enfant. Les manifestations de la
période
antérieure ne sont rapportées qu'autant qu'elle
, et cette substitution, du moins en ce qui concerne une certaine
période
, offre des traits constants qu'il est facile de
réus- sis, ont un caractère équivoque. Dans le cours de toute la
période
de l'apprentissage du langage, on ren- contre à
manifeste assez tôt; nous les appelerons, pour abréger, sons de la
période
anté- rieure; toutes les voyelles s'y rattachen
r inten- sité absolue. Il faut rapporter au nombre des sons de la
période
antérieure les consonnes labiales m, p, v, f, l
j, ch, z, r, l. Pourquoi le développement s'ac- complit-il en deux
périodes
? On peut répondre à cette question par les con
e boire, zalade au lieu de salade). Le développement des sons de la
période
ultérieure naît des formes de sons fondamentale
e la période ultérieure naît des formes de sons fondamentales de la
période
antérieure. Les voies physiologiques qu'affecte
enfin un son sifflant au lieu de la voyelle i. De même que dans la
période
antérieure, vient à son tour le différenciement
fcent la même variabilité et la même inconstance que les sons de la
période
anté- rieure, et l'enfant les emploie sans choi
ions nouvelles, constituées d'après les exigences phonétiques d'une
période
don- née, tandis que, parallèlement, subsistent
e chronique; d'abord persécuté, il en est arrivé au- jourd'hui à la
période
ambitieuse. Dès l'âge de quatorze ans, la grand
lepsie, rien ne manque au délire chronique : influence héréditaire,
périodes
d'in- quiétude, de persécution, phase ambitieus
marche progressive pour aboutir après sa phase ambi- tieuse à la
période
de dissolution des idées, à la dé- mence. - A
épondant au côté droit, voué à la tristesse et marquant la première
période
de la mala- die ; l'hémisphère droit répondant
é à la joie et faisant presque entièrement les frais de' la seconde
période
. Je rappellerai, à propos de l'inter- prétation
elles sont expan- sives, au contraire, si elles interviennent à la
période
de systématisation et de transformation ambitie
dans l'intensité des symptômes morbides, ne survint pendant cette
période
; mais, vers la fin du séjour de Mennschof à l'h
AMYOTROPHIQUE. 361 Mennschof vécut encore trois mois; pendant cette
période
, il ne se produisit aucun changement essentiel
et les dérangements du bulbe ne s'observent que pendant la dernière
période
de la maladie, c'est-à-dire long- temps après l
nt même inaperçus; les éructations manquent aussi sou- vent à cette
période
. La durée de la rumination ainsi que le nombre
de sept à huit, et le maximun de trente. A un moment, il y eut une
période
de trois mois qui se passa sans accès et pendan
oculaires sont tournés en haut et la bouche est largement ouverte. (
Période
to- nique.) Petites secousses tétaniformes dans
ermiques, et, en parti- culier, la mélancolie avec stupeur en trois
périodes
: 1 0 période de début ou d'agitation : T. R. n
n parti- culier, la mélancolie avec stupeur en trois périodes : 1 0
période
de début ou d'agitation : T. R. normale ou hypo
idu sain, c'est-à-dire qu'il en fournit moins. -La ntauieoffre a la
période
de dépression prodromique une hypothermie qui p
dépression prodromique une hypothermie qui peut aller à 36,S; à la
période
d'agitation extrême, une hypo- thermie qui rest
xtrême, une hypo- thermie qui restitue la température normale; à la
période
de calme ou d'épuisement une nouvelle hypotherm
calme ou d'épuisement une nouvelle hypothermie. Type inverse à la
période
de complet développement du secondstade. Diminuti
es de la circulation qui donnent à l'observation son cachet. Chaque
période
de manie était caractérisée par une fréquence t
inversement, on peut oblenir des tracés tenant plus ou moins de la
période
qui va venir, c'est-à-dire tenant plus de celle q
nature sur le tait, car la transformation est prompte. Enfin, si la
période
maniaque est teintée de dépression, on a un pou
asthme) qui hantèrent tou- jours, dans l'observation envisagée, la
période
maniaque. Les médi- caments (nitrite d'amyle, m
urent au reste que peu ou point d'ac- tion sur l'une ou l'autre des
périodes
. P. K. XXIV. UN cas de paralysie progressive; p
jours d'un myosis maxima qui très promptement se transforme, dès la
période
de convulsions toniques, en mydriase maxima. A
onvulsions toniques, en mydriase maxima. A la phase d'acmé de cette
période
l'iris n'existe plus tant la dilatation est ext
de des- cente, ou bien il était lent et ne devenait fréquent qu'aux
périodes
d'agitation, ou bien enfin, il présentait un tr
e parfait. En ce qui concerne la folie périodique (4 faits), chaque
période
n'est pas invariablement accompagnée d'une inég
ta une fréquence considérable, une plénitude plus grande pendant la
période
clonique; le pouls ordinaire du sujet qui était
arrive aux conclusions suivantes : 10 Chez les pellagreux, à la 3°
période
, les réflexes tendineux manquent rarement, et q
é- rature. 3° Ce qui vient d'être dit pour les pellagreux à la 3e
période
s'applique aussi dans les autres périodes, mais
our les pellagreux à la 3e période s'applique aussi dans les autres
périodes
, mais dans des proportions moins notables. 4°
valescence de la manie; par SIOLI. (Neurol. Centralbl., 1882.) La
période
d'agitation se manifesta dans les deux observatio
avorisée par un traumatisme ; l'absence d'accidents de ce genre, la
période
de calme où l'on était alors, la multiplicité des
ccessoire, on trouve la langue pendante ? Mais même il la troisième
période
, la langue est mobile et tout le monde a remarq
que se montre le paralytique général ? Celui-ci, même à la dernière
période
(à moins de délire hypochondriaque), dès que vo
ure dans laquelle il fut presque écrasé, cet individu serait, à des
périodes
de quatre à six semaines, en proie à des accès d'
ker sur l'action des doses réfractées d'hydrate de chloral dans les
périodes
d'agitation. Il s'agit de l'agitation exces- si
iques et cholériformes. Enfin plus rarement, phase d'épuisement. C.
Période
comateuse. Une fois établi, le coma rétrocède r
e dans les lésions des), 107. Chloral à doses réfractées dans les
périodes
d'agitation, 423. Congrès annuel delaSociété de
partie. La SU C-"CSI i 0 Il est l'épétée plusieurs fois pendant une
période
de quinze jours. La malade paît com- plètement
parfai- tement dans les membres inférieurs. Pendant cette seconde
période
il y eut aussi de l'anurie pen- dant trois jour
ec prolifération du noyau de leurs parois ; chez quelques-uns à une
période
plus avancée, de l'épanouissement marqué des pa
intermittents, ce qui tendrait à faire admettre qu'à la suite de la
période
d'excitation produisant l'éphidrose et la mydri
pas de frottements. En résumé, tuberculose pulmonaire à la deuxième
période
et pleurésie tuberculeuse à droite. En outre
l'extension, la bouche s'ouvre, tout le corps devient rigide. Cette
période
de rigidité ne dure que quelques secondes, et,
iculier. Puis secousses tétani- formes de la face et des membres.
Période
clonique. - 10 La face se tourne à droite, le bra
uche sont pris de con- vulsions cloniques à leur tour. Durant cette
période
, le visage s'est congestionné ; les yeux étaien
ent, d'abord à droite, puis enfin à gauche. 78 CLINIQUE NERVEUSE.
Période
de stertor. Décomposition de la face qui devient
solution complète, écume non sanglante et abondante. Cette dernière
période
dure longtemps et aboutit à un sommeil profond
ssez bien conservée; la parole est libre. Le malade est sujet à des
périodes
d'excitation violente après les accès. Dynamomè
ns que, jusqu'à ces derniers temps, c'est-à-dire pendant une longue
période
, le malade n'a présenté aucun phénomène procurs
ur la différence des termes, qui sont si fréquentes aux premières
périodes
de la description raisonnée d'une maladie. Et p
en montrant que cette attaque présentait presque constamment quatre
périodes
dont les unes pouvaient être plus ou moins atté
er ouvrent pour ainsi dire ce que nous appellerions volontiers la
période
actuelle de la question, période féconde, compren
ue nous appellerions volontiers la période actuelle de la question,
période
féconde, comprenant plusieurs travaux important
soulève les paupières. Fig. 13. 104 REVUE CRITIQUE. Pendant ces
périodes
d'excitation provoquée, la face se colore, le p
s de phénomènesconvulsifs pouvant être rapportés aux deux premières
périodes
de la grande attaque. » Néanmoins, comme on le
lsifs toniques et cloniques ne constituent que les deux premières
périodes
de la grande attaque. Or il est assez souvent don
s les cordons latéraux a été la première en date; d'où une première
période
de paralysie spasmodique; puis, les organes pér
és savantes. Séance du 28 novembre 1887. Présidence de M. Magnan.
Période
pré-délirante de la paralysie générale. - M. Chri
x que l'on observe dans le tabès et qui forment les symptômes de la
période
pré- ataxique de l'ataxie locomotive progressiv
u tous les troubles morbides qu'il a énumérés et d'en constituer la
période
pré-déli- rante de la paralysie générale. M.
rganes sensoriels situés dans le domaine de la tête. A une certaine
période
de leur développement, les nerfs crâniens dits
radiculaires postérieures jusque dons la moelle cervicale. A aucune
période
de la maladie il ne s'était produit d'accidents
aminer, tout seul, dans le courant d'une année, c'et-à-dire dans la
période
de l'année où l'on peut faire des inspections,
DE L'ASTASIE ET DE L'ABASIE. 205 lombaire; seulement, pendant la
période
paraplé- gique, il ne pouvait être mis en jeu f
gées dans l'état de grand hypno- tisme. Gr... est plongée dans la
période
somnambulique du grand hyp- notisme, eton lui s
ntré que la première phase d'une paralysie du sympathique était une
période
d'excitation caracté- risée par de l'abaissemen
deux cas, la phase de destruction des cellules avait remplacé la
période
d'excitation et ainsi s'expliquerait fort bien
ion des accès. - Cri étranglé, se produisant parfois à la fin de la
période
tonique. Chute tantôt en arrière, tantôt en ava
t : lotions vinaigrées, sinapismes, sangsues à l'anus. 44e accès.
Période
tonique très écourtée. Rien de particu- lier, s
avec les deux sommets classiques, l'un correspondant à la fin de la
période
convulsive, l'autre correspondant à la période
ndant à la fin de la période convulsive, l'autre correspondant à la
période
mél71ll- gilique terminale. ' Observation XXX
s. - Vertiges. - Aura médiate au début. - Diminution de la mémoire.
Périodes
de mélancolie et (['agitation.- Rhumatismes. .A
tation. Il n'y aurait pas de vraie manie dans la Catatonie; dans la
période
de stupeur, il n'y a pas toujours émotion triste,
décrit la Catatonie comme une vésanie spéciale caractérisée par des
périodes
alternatives, se présentant avec plus ou moins
entielle d'une consti- tution neuropathique, ni en rapport avec les
périodes
biolo- giques. Elle figure dans la classe des m
e ne suffirait pas par exemple aux échanges qui se font pendant les
périodes
normales de l'existence. C'est du reste l'opini
ils feraient une attaque ordinaire d'hystéro- épilepsie aux quatre
périodes
. C'est chez ceux-ci qu'on observe ces phases di
e de l'attaque, épiphénomènes inclus ; la durée absolue comprend la
période
de sommeil comprise entre deux convulsions, car
de quel intérêt capital est le diagnostic de l'hystérie, tant à la
période
d'apoplexie qu'à la période qui suit le au réve
le diagnostic de l'hystérie, tant à la période d'apoplexie qu'à la
période
qui suit le au réveil. 1° L'individu est dans
ue la terminaison doit être fatale à bref délai. Dans la première
période
de l'hémorrhagie cérébrale, la tem- pérature de
ouve en présence d'une attaque de sommeil. De même, pendant cette
période
, les phénomènes qui se passent du côté de la fa
ancolie anxieuse, chez les individus du sexe féminin, anémiés, à la
période
de con- valescence des affections fébriles dénu
usieurs observations de délire am- bitieux survenu après une longue
période
de délire des persécu- tions, ce qui constitue
ue dans le délire chronique ce ne serait pas tant la succession des
périodes
qu'on peut aussi rencontrer chez les dégé- néré
sponsabilité est nulle toutes les fois que le crime appartient à la
période
délirante aiguë ou subaiguë d'un accès d'alcool
oubles fonctionnels, mais qu'importe ? 2 Nous en sommes encore à la
période
d'élaboration pré- paratoire dans laquelle on r
upant le côté gauche de la face et revenant fréquemment, mais à des
périodes
irrégulières; ces douleurs ont disparu complète-
attaques présentent les phases classiques de l'hystéro-épilepsie :
période
épileptiforme, période des grands mouvements, e
s phases classiques de l'hystéro-épilepsie : période épileptiforme,
période
des grands mouvements, etc. Les faits dont il
e, M. Ritti 2/' signale la présence des états cataleptiques dans la
période
I mélancolique; il en rapporte quelques observa
mélancolie symp- tomatique : on les rencontre par exemple dans les
périodes
de dépression de la folie circulaire (ilitli) e
ntent aucun caractère régulier. On peut les rencontrer à toutes les
périodes
, dans toute la durée de la maladie, ou à une se
tes les périodes, dans toute la durée de la maladie, ou à une seule
période
: ils peuvent dominer la scène ou être considér
rvenu plusieurs années avant, afin d'établir la suppléance avec une
période
maniaque d'un accès de catatonie propre- ment d
e propre- ment dite, sans compter que ce n'est pas toujours cette
période
maniaque qui ouvre la scène de la catatonie. Outr
que le traitement était institué à une époque plus rapprochée de la
période
d'invasion de la maladie. Passons maintenant à
ambulation avec lesyeux fermés ne sont plus possibles et enfin, aux
périodes
les plus avancées, la force musculaire s'affaibli
atteindre son maximum d'intensité et d'étendue dès le début. A la
période
d'état, le choréique est agité par les mouve- m
des exacerbations et des rémissions chez le choréique, présente une
période
d'ag- gravation progressive, une période d'état
le choréique, présente une période d'ag- gravation progressive, une
période
d'état, puis décroit avec une plus ou moins gra
- paré aux faits de Marcé et Skae, ce fait montre que la première
période
de l'amnésie a été de l'asymbolie, que l'amnésie
ième malade, à son entrée à l'asile Sainte-Anne, était à la seconde
période
du délire chronique ; elle avait des halluci- n
du délire chronique tel qu'il nous a été décrit ici. » Les trois
périodes
, en effet (inquiétude, délire de persécutions e
ue à base hypo- chondriaque; l'hypochondrie n'est point la première
période
du délire chronique. J'ai déjà eu l'occasion, l
du délire chronique; lors du passage de la pre- mière à la seconde
période
, c'est-à-dire de l'inquiétude, des inter- préta
délire chronique sans hal- lucinations. J'ajouterai qu'à la seconde
période
(période de persé- cution) je n'ai pas uu seul
ronique sans hal- lucinations. J'ajouterai qu'à la seconde période (
période
de persé- cution) je n'ai pas uu seul cas de dé
grandeurs qu'on ne doit pas con- fondre avec la mégalomanie. A une
période
plus ou moins an- cienne du délire anxieux il s
éritables idées de grandeur; l'apposition d'idées de grandeur à une
période
avancée d'un délire chronique n'est pas spéciale
re de persécution. Pour bien établir le type, il s'en est tenu à la
période
d'état, négligeant ainsi la marche de la maladie.
gligeant ainsi la marche de la maladie. Il a indiqué, toutefois, la
période
prodromique, mais il fait observor que si certa
avec peine le premier degré. Si Lasègue ne se fût pas arrêté à la
période
de floraison, comme il le dit, et s'il eût contin
arrivé à ce résultat inévitable que les persécutés chez lesquels la
période
pro- dromique fait défaut, sont justement les p
riques. Ils ont les apparences d'un délirant chronique à la seconde
période
, mais ils en diffèrent totalement par leurs ant
ayant compris dans le délire des perséculions, des persécutés sans
période
prodromique, des persécutés sans hallu- cinatio
és souvenlcurables, s'est trouvé naturellement porté à admettre une
période
de dé- croissance du délire de persécution, com
«J'ai suivi le délire de persécution depuis son début jus- qu'à sa
période
d'état.Comme je ne veux qu'établir un type et d
s l'évolution du délire de persécution tel qu'il le comprend. A une
période
d'incubation que nous admettons comme lui, succ
ode d'incubation que nous admettons comme lui, succède une deuxième
période
carac- térisée par des hallucinations auditives
et des idées systématisées de persécution, puis vient une troisième
période
avec des halluci- nations de l'ouïe, du goût, d
té générale se montrent assez sou- vent dès le début de la deuxième
période
: avec les premières injures, tel malade se pla
plus simple de comprendre le délire de persécution dans la deuxième
période
et le délire ambitieux dans la troisième périod
n dans la deuxième période et le délire ambitieux dans la troisième
période
; c'est à ce moment que les idées délirantes ten
ce moment que les idées délirantes tendent à se stéreotyper; cette
période
précède la dernière étape, celle de la déchéanc
e développent les hallucinations dans l'oreille ambitieuse 1. Cette
période
fait donc corps avec le délire chronique au mêm
suppuration dans l'éruption variolique. M. Falret ne veut pas de la
période
de démence et cependant, s'il est vrai que cert
Foville puisque, du moins, nous aurions sous ce vocable les trois
périodes
: incubation, persécution, ambition. Mais M. Falr
t autant qu'il ne sera devenu l'héritier des Bourbons, qu'après une
période
d'incubation et d'interprétations délirantes su
e de délire des persécutions devait toujours pré- senter les quatre
périodes
signalées par nos deux collègues, d'après la do
trine qu'on fasse le diagnostic de cette affection à telle ou telle
période
? Le délire chronique est ou n'est pas. Si on p
u cours de la vie infra- utérine guérissent si bien pendant la même
période
qu'on n'en voit plus de traces et que l'arrêt d
». Ces expressions supposent que l'état du malade aura compris des
périodes
succes- sives de recrudescence et d'accalmie, e
100 de guérison maintenue après la sortie de l'hôpital pendant une
période
de six à huit ans. Le contrôle légal et la légi
entiques trouvées dans la première observation, mais arrivées à une
période
plus avancée de leur processus évolutif. En effet
x caractérisées de méningo-myélites syphili- tiques présentent deux
périodes
. La première qui correspond à la localisation d
la localisation de la., syphilis sur les méninges seules, c'est la
période
prodromique, est caractérisée par des;troubles
constants, comme la céphalée, les paralysies oculaires.'1La seconde
période
, celle 'des-lésions, médullaires,' est' constitué
in point,' non par les symptômes du' moment,' mais par ceux de' la1
période
'prodro- mique, c'est-à-dire, que," quand' la p
ceux de' la1 période 'prodro- mique, c'est-à-dire, que," quand' la
période
Prodomiquela existé, il y a forte présomption e
mps de la syphilis,- elle' est caractérisée par'une courte et vague
période
prodromique et par lés symptômes ; de' la myélite
appelle l'attention , sur, la fréquence des délits commis dans la
période
préparalytiqte ti, 4 dynamie fonctionnelle. Ces
on' défavorable dans les psy- chopathies dépressives, surtout à la,
période
aiguë de., celles-ci,, et tout particulièrement
nt' de "deli ? "itim" ti'èl,e;2,s, 1 oil* constata, à la suite^'une
période
d'agitation de quatre jours, que pendant vingt
i vive et aussi continue'' que les'aliénés en dépensent pendant une
période
' d'agitation.n (Allg : Zeitsch. f. Psyçhiatrie
héréditaire. A eu un rhumatisme articulaire aigu à dix-sept ans.
Période
de début ou prodromique.-Il est malade depuis le
rarement brusque. Elle est presque toujours pré- cédée de plusieurs
périodes
névropathiques que le malade attribue à des cau
de trois ans, n'ont eu que de 96 PATHOLOGIE NERVEUSE. une à trois
périodes
neurasthéniques, sans aucun autre signe de palu
eux, souvent mesme se sont expliquées en latin quelquefois par des
périodes
entières, quelquefois avec des discours achevés
e le temps d'observation à treize ans environ. Pendant cette longue
période
, trente malades ont été atteintes d'hypothermie
et cela dans chacun des districts; mais bientôt, à la fin de cette
période
décennale, comme on admettait d'année en année
vec conscience elles obsessions; il a décrit, le premier, les trois
périodes
successives de l'évolution des délires partiels
Le 15 juin 1847, il était élu, à l'Académie de médecine, à cette
période
difficile où les portes ne s'ouvraient pour chaqu
i pénétrante, si judicieuse du fonc- tionnement cérébral dans cette
période
intercalaire à la- veille et au sommeil, dans l
ar l'émotion de l'incendie de sa maison, et qui s'éten- dait sur la
période
de sa vie consécutive à cet accident et remonta
\Ie 13... doit comprendre trois parties : état des souvenirs de la
période
de temps contemporaine du choc moral, de celle
viendrai d'ailleurs là-dessus. Mais, en résumé, les souvenirs de la
période
qui a suivi l'accident sont à peu près nuls; il
fait qui a précédé immédiate- ment l'incendie. Les souvenirs de la
période
antérieure à l'émotion du feu sont plus nombreu
présente les symptômes d'une amnésie très étendue, portant sur la
période
de temps contemporaine de l'accident, sur celle
ans la cité qui vit naître Pascal, les phrases creuses, les longues
périodes
, les vains discours sont moins qu'ailleurs à redo
être ici. 1 . , ',1 ^ , or Je voudrais être encore à cette heureuse
période
de la vie, où l'imagination se plaît à nous fai
ouve à la phase prodro- mique, pendant la troisième et la quatrième
période
de la crise. Les troubles psycbiques,de la phas
ensibilité générale. Ces phénomènes prennent fin pendant la seconde
période
ou période épileptoïde. Il y a perte de connais-
générale. Ces phénomènes prennent fin pendant la seconde période ou
période
épileptoïde. Il y a perte de connais- sance et
ence au moins apparente de délire. Il n'en est plus de même dans la
période
des contorsions, des attitudes illogiques et des
la transportent dans un monde imaginaire. La quatrième et dernière
période
de l'attaque porte le nom de période de délire.
re. La quatrième et dernière période de l'attaque porte le nom de
période
de délire. C'est assez indiquer que les conceptio
imes ne peuvent pas être punis lorsqu'ils ont été commis pendant la
période
délirante, aiguë ou subaiguë d'un accès d'alcoo
tteint d'une nouvelle maladie infectieuse, la rougeole, qui, dès la
période
d'incubation, aggrava notablement son état psyc
à l'état normal, le souvenir de tout ce qui s'est passé pendant la
période
pathologique. Ces états ne doivent pas être étu
mbulatoire, sommeil produit par l'éther ou le chloroforme, dernière
période
de la grande attaque), il faut joindre un certa
tacte avant le premier accès, ils retrouvent de même, pendant les
périodes
intercalaires, la plénitude de leurs facultés.
e la périodicité des accès, de l'intégrité de l'état mental dans la
période
intercalaire, de l'ap- parition du premier accè
du développement brusque, sans cause déterminante énergique, sans
période
prémonitoire (ce qui écarte les mélancoliques et
it-il pas possible ? Pourquoi ne le serait-il pas aussi pendant ces
périodes
de rémission qui interrompent la marche de la p
n qui interrompent la marche de la paralysie générale à la première
période
? Je n'en veux pour preuve que ce para- lytique
st jamais considérable, sauf une fois en 1892. Si l'on divise cette
période
décennale en deux périodes quin- quennales, on
uf une fois en 1892. Si l'on divise cette période décennale en deux
périodes
quin- quennales, on voit que la moyenne annuell
nnales, on voit que la moyenne annuelle des entrées pour la seconde
période
quinquennale n'est pour ainsi dire pas plus élevé
émie, on avait noté dans l'at- 308 HISTOIRE ET CRITIQUE. taque la
période
des contorsions; le corps de la religieuse étan
ccompagnées de cris et de hurlements, précédaient ordinairement une
période
de délire proprement dit, où les possédées entr
ù l'on tirait une preuve nouvelle de la possession. C'est à cette
période
aussi qu'on observait ce besoin de mouvement, for
mais au début c elle marchait de travers *. Elle a donc parcouru la
période
que représente aujourd'hui l'état de son frère.
contre sa cause un traitement approprié. DES URINES A la SECONDE
PÉRIODE
DE la paralysie générale ,, ltii. 11LIPPEL et S
es caractères généraux de l'excrétion urinaire moyenne à la seconde
période
de la paralysie générale. Il existe alors une p
qu'une coïncidence. C'est comme un équivalent moteur atténué, à la
période
de dynamie fonctionnelle, du processus à la foi
ants correspondent à la survivance d'idées de persécution dans la
période
mégalomaniaque. Dans les deux autres observations
int de départ de l'amnésie qui, en réalité, présente ainsi déjà une
période
rétrograde de quelques heures, comprise entre la
ues heures, comprise entre la venue du gendarme et l'attaque. Cette
période
rétrograde comprend même quelques souvenirs épa
difficiles à pré- ciser. Quoi qu'il en soit, la malade pendant la
période
de Strumpell donne tous les détails possibles s
la période de Strumpell donne tous les détails possibles sur cette
période
rétrograde. Cela nous montre donc que les souve
x qui se sont passés jusqu'à son entrée dans le service, et depuis (
période
antérograde), tous, même les plus minimes, même
gendarme, du rappel de son père, de son émancipation. Et dans la
période
délirante de son attaque, c'est l'hallucination v
duits éliminés. Ces modifications qui se produisent dès la première
période
sont surtout marquées à la troisième et lorsque
die est tra- versée par des crises épileptiformes. A la troisième
période
, ajoute M. Voisin, l'urine est souvent fétide e
vants : 1° la composition moyenne de l'urine dans chacune des trois
périodes
de la pa- ralysie générale ; 2 °la variation de
le ; 3° la variation de l'urine chez un même individu dans une même
période
de la maladie, suivant les phases épisodiques d
érerons-nous l'urine de paraly- tique général que durant la seconde
période
. Nous n'avons pas, en effet, eu l'occasion d'ét
chives, t. XXVIII. 24 370 O CHIMIE PATHOLOGIQUE. dans la première
période
, et quanta ceux qui sont entrés dans la troisiè
allons exposer : Constitu- tion moyenne de L'urine dans la seconde
période
de la paralysie générale. Pour y arriver nous
nt très petite. i Constitution moyenne DE L'URINE dans la SECONDE
PÉRIODE
DE la paralysie générale. A. Caractères GÉNERAU
caractères généraux de l'excrétion urinaire moyenne dans la seconde
période
de la paralysie générale, comme suit : // y a
paralysie générale, comme suit : // y a polyurie dans la seconde
période
de la paralysie géné- rale ; les urines ont une
touche les urines de la paralysie générale en dehors de la seconde
période
de la mala- die, ainsi que les variations dues
ne rien faire du tout. Voici cependant quelques chiffres : dans une
période
de deux ans, à l'asile de Bron, trente ventes m
tion d'une femme atteinte de paralysie générale qui, au cours d'une
période
de rémission, présenta des hallucinations motri
aités par notre Société. Si pendant trois années, au cours de cette
période
, nous n'avons pas tenu séance, c'est que le con
les cas récents de mélancolie, pas de visites, du moins pendant les
périodes
d'augment et d'acmé de la maladie. L'angoisse a
t les stades d'agitation exclut les visites ; on les autorisera aux
périodes
plus avancées; 9° dans la folie alcoolique, on ch
n. M. KMPEUN. Sans doute il est bon de supprimer les visites à la
période
d'acmé de la démence aiguë, mais pendant la conva
l antérieur des délirants chroni- ques. Genèse du délire : première
période
ou période d'in- quiétude : Indécision, soupçon
des délirants chroni- ques. Genèse du délire : première période ou
période
d'in- quiétude : Indécision, soupçons. Interpré
cision, soupçons. Interprétations délirantes. Illusions. Deuxième
période
: Hallucinations de l'ouïe ; sa progres- sion c
et modes de réaction. Observation I. Délire chronique à la deuxième
période
: Hallucinations de l'ouïe : c'est le Parisien
, menaces de mort. Observation IL -Délire chronique à la deuxième
période
: Développement croissant de l'hallucination de
ersonnalité. Diminution de la résis- tance cérébrale. . Troisième
période
: Période des grandeurs. Mécanisme des transfor
é. Diminution de la résis- tance cérébrale. . Troisième période :
Période
des grandeurs. Mécanisme des transformations. C
ons. Observation III. Délire chronique au début de la troi- sième
période
: Modifications dans l'attitude, allusions à des
riode : Hallucinations. Idées ambitieuses systématisées. Quatrième
période
: Démence, Durée. Messieurs, Dans la précéden
mental, ils n'entrent pas d'emblée dans la folie : une assez longue
période
les y prépare. Le délire chronique débute, en e
chronique débute, en effet, d'une manière insi- dieuse. La première
période
, période d'inquiétude, d'incuba- lion, ne s'off
débute, en effet, d'une manière insi- dieuse. La première période,
période
d'inquiétude, d'incuba- lion, ne s'offre pas av
cination de l'ouïe; et avec celle-ci, il est entré dans la deuxième
période
du délire chronique, celle des hallucinations m
incessantes tortures, le patient n'est pas éloigné d'entrer dans la
période
des réactions dangereuses. Depuis longtemps, en
prêt à l'attaque. Les modes de réaction varient, en effet, avec les
périodes
de son délire de persécution. Au début, il ne p
t laquelle l'agitation intérieure, sourdement créée à la première
période
, n'a fait que grandir. L'idée délirante de perséc
- chose ; vous y trouverez tous les détails de ses deux premières
périodes
. - DÉLIRES SYSTÉMATISÉS DANS LES PSYCHOSES. 441
ans alztécé- dents héréditaires ; début à trente-deux ans; première
période
d'une durée de trois ans; deuxième période : ha
rente-deux ans; première période d'une durée de trois ans; deuxième
période
: hallucinations de l'ouïe, systématisation rap
e bien portante. Bonne santé jusqu'à quarante-trois ans. Pre- mière
période
de trois ans. Deuxième période : développement
squ'à quarante-trois ans. Pre- mière période de trois ans. Deuxième
période
: développement croissant de l'hallucination de
par aucun accident; la seule affection à noter, durant cette longue
période
, est une pneumonie qu'elle contracta en 1873, à
tte a alors quarante-cinq ans; il y a bien près de trois ans que la
période
d'inquiétude a commencé. Maintenant les persécu-
t cependant, à mesure que son délire s'est coordonné et stéréotypé (
période
de cristallisation de Falret), sa personnalité
e syphilis médullaire authentique, publiés avec au- topsie. Mais la
période
contemporaine semble avoir pris à tâche de comb
ésente deux phases distinctes dans son évolution clinique : a. La
période
prodromique ou méningitique répond au tableau c
érébrale de la base qui inaugure cette série d'accidents. b. A la
période
des paralysies, l'ensemble symptomatique st bea
que les guérisons radicales des lésions médullaires parvenues à la
période
des paralysies sont rares. Les myélites aiguës
478 PATHOLOGIE MENTALE. ne font d'ordinaire point défaut pendant la
période
de créa- tion des idées délirantes, au moment d
s idées délirantes, au moment des exacerbations de la maladie, à la
période
de transition d'une phase à une autre, comme pa
ter dans les espèces de ce mémoire. Les séries étaient composées de
périodes
dans cha- cune desquelles il y avait alternativ
tique (Ver)'MC/<</tC ! <) hypocondriaque qui passe par les
périodes
de l'hypocondrie, du délire des persécutions et
égalomanes; on peut donc dire que la maladie est déjà épanouie à la
période
de la jeunesse, pendant ou après la pu- berté.
NTES. 497 disparition de ces dernières, soit assez vite, soit à une
période
plus tardive; finalement la guérison a lieu. Il
lutôt à penser que, dans un grand nombre de cas, dès le début, à la
période
de méfiance, on n'a pas du tout affaire à l'idé
as toujours ainsi; du moins ne peut-on toujours le démontrer. A une
période
plus avancée on ne sait plus ce qui se passe en
de ses propres développements. La psychiatrie en effet traverse une
période
de développement dans laquelle la description com
is, cette rigidité tétanique transitoire serait diminuée pendant la
période
de la digestion et lorsque le malade a fait un
e inconvénient; elles seraient aussi bien moins intenses pendant la
période
de la digestion. après un repas copieux : c'est
é d'ailleurs pour que l'ébranlement soit possible (otite chronique,
période
de ramollissement, avec en- fonçure de l'étrier
pro- voqué par le bruit. (Obs. X.) OBSERVATION X (résumée). Dame;
période
de la méno- pause ; chagrins, fatigues auprès d
omique en est, elle aussi, à sa phase initiale ou même encore à une
période
relativement avancée par des modifications dans
cerveau hu- main qui soit exactement symétrique, quelle que soit la
période
de son développement. Cette asymétrie n'est du
le " ses fortes attaques. » « L'attaque est toujours précédée d'une
période
prodromique, qui consiste dans des malaises, de
rdonne- ments dans les oreilles. La malade nous a raconté que cette
période
d'aura, qui se prolonge parfois pendant une heu
us calme. Il n'y a pas de stertor. DE L'HYSTÉRO-ÙPILrPSIE. 69 «
Période
des contorsions et des grands moMuemeH<s. Bien
minute, elle retombe et les attitudes passionnelles apparaissent. «
Période
des attitudes passionnelles. On remarque des pose
l'attaque est désignée par les malades de la salle sous le nom delà
période
«X... Ycc-t'-ea ! ». Ceci dure quelques minutes
minutes (cinq à dix) ; puis survient le délire post-hystérique. «
Période
de délire. Cette période est peu accentuée chez n
puis survient le délire post-hystérique. « Période de délire. Cette
période
est peu accentuée chez notre malade. Elle consi
fois elle s'imagime être une autre personne, etc. « En un mot cette
période
a le caractère d'une aliénation temporaire. «
escription qui précède du Dr Drzewiecki, tous les signes des quatre
périodes
classiques de la grande attaque régulière. DE
mise sur son lit, qu'une nouvelle crise éclata. Il y eut une courte
période
de spasme tonique ou rigidité tétanique, la têt
stérie dans laquelle prédo- mineraient les symptômes de la deuxième
période
, contorsions et grands mouvements. Le gonflemen
on est accompagnée d'un bon dessin qui représente la malade à cette
période
de la crise. Il suffit d'un simple coup d'oeil
uisaient cependant sans cause d'excitation apparente. Pendant une
période
variant de six ci douze heures environ avant l'
érisation, ou par une vive faradisation des membres et du tronc. La
période
qui suivait les convulsions n'était pas toujours
type d'hystéro-épilepsie sont faciles à constater. Les différentes
périodes
et souvent les diverses phases peuvent être ret
e retrouvées sans grande difficulté. L'attaque était précédée d'une
période
prodromique caractérisée par une altération du
ons cloniques et la résolution. Tout ceci se rattache à la première
période
ou période épileptoïde. Dans la période des con
es et la résolution. Tout ceci se rattache à la première période ou
période
épileptoïde. Dans la période des contorsions, l
i se rattache à la première période ou période épileptoïde. Dans la
période
des contorsions, l'arc de cercle 80 REVUE CRITI
crise et aussi par les paroles qu'elle proférait. Enfin souvent la
période
de délire était représentée bien imparfaitement
sembla- bles à celles de l'hystéro-épilepsie, mais les différentes
périodes
et phases de l'attaque ne paraissent pas pouvoi
La crise semblait surtout composée des phénomènes de la deuxième
période
de l'attaque type, convulsions étranges, contorsi
ne des attitudes dites passionnelles qui caractérisent la troisième
période
. Enfin quelques crises furent suivies d'un somm
'observe le délire des négations que lorsque les idées en sont à la
période
de chronicité ; il se continue jusqu'à la démence
e : M. Putnam attribue l'oedème de la papille observé à la première
période
, à une inflammation du nerf optique. M. Rockwel
nn montre la proportion des jeunes gens qui échouent pendant leur
période
de scolarité. Ceux qui n'échouent point ressortis
physiques des corps en formation et leur réserver un moment dans la
période
de l'éducation. M. Snell se ral- lie entièremen
re des accès et des vertiges, pendant la durée du traitement, et la
période
correspondante des années précé« dentés. Le nom
e serait pas rare de rencontrer la pachy-méningite dans la dernière
période
des maladies chroniques, telles que le mal deBr
quemment chez les individus atteints de cette même affection. La
période
d'excitation nous parait marquer le début de la
er. Les attaques, que la prédominance des phénomènes de la deuxième
période
rapprochait du type démoniaque, offraient de gr
andes attaques offraient une pré- dominance marquée de la troisième
période
ou période des at- titudes passionnelles ; par
ues offraient une pré- dominance marquée de la troisième période ou
période
des at- titudes passionnelles ; par contre la d
e ou période des at- titudes passionnelles ; par contre la deuxième
période
, ou période des contorsions ou des grands mouve
des at- titudes passionnelles ; par contre la deuxième période, ou
période
des contorsions ou des grands mouvements, a tou
ata une crise de gastralgie. Ces accès douloureux, bien qu'avec des
périodes
dorépit 22 t REVUE CRITIQUE. assez longues, a
epsie, attaque encore mal dessinée, et caractérisée surtout par une
période
épileptoïde avec attitude tétanique du corps. La
er). La durée totale de l'aura est d'environ sept à huit minutes.
Période
épileptoïde. Durée totale deux à trois minutes. L
oupir et par le défléchissement lent et progressif des doigts. La
période
des contorsions et des grands mouvements fait abs
s fait abso- lument défaut et la malade entre immédiatement dans la
période
des attitudes passionnelles d'une durée totale
ence de la même façon. Une seule fois j'ai constaté le retour de la
période
épileptoide du début de l'attaque. Dans toutes
toide du début de l'attaque. Dans toutes les autres attaques, cette
période
ne s'est produite qu'au début, tandis que la pé
ttaques, cette période ne s'est produite qu'au début, tandis que la
période
des attitudes pas- sionnelles revenait deux on
rence dans l'accentuation des gestes et du jeu de la physionomie.
Période
terminale. Pendant toute la durée de l'attaque la
ne durée d'environ une heure, présente les phénomènes déjà décrits.
Période
épileptoide avec phase tonique et phase clo- ni
bratoire qui est comme le rudiment des secousses cloniques de cette
période
). La période épileptoïde dure environ quarante
est comme le rudiment des secousses cloniques de cette période). La
période
épileptoïde dure environ quarante secondes. La
période). La période épileptoïde dure environ quarante secondes. La
période
des grands mouvements fait tou- jours défaut. L
fait tou- jours défaut. Le tétanisme est immédiatement suivi par la
période
des (ttl itudes passionnelles. La malade ouvr
uite les mêmes gestes à deux ou trois reprises différentes, puis la
période
tétanique revient, et quand elle en sort ce n'e
n'est pas pour recommencer ses attitudes, mais pour entrer dans une
période
de délire doux, avec hallucinations et discours
s du soir jusqu'au 8 octobre à dix heures du matin. Pendant cette
période
, la malade a eu quatre séries d'attaques absolu
es, toutefois, dans la phase des attitudes passionnelles et dans la
période
de délire, que nous voyons appa- raitre et que
ivi les gesticulations, tantôt s'est montrée immédiatement après la
période
épilep- tolde. Dans l'attaque qui s'est produ
est survenue la crise. Comme d'ordinaire, l'attaque commence par la
période
épilep- toide, période d'assez courte durée, y
Comme d'ordinaire, l'attaque commence par la période épilep- toide,
période
d'assez courte durée, y compris les deux phases,
instants, puis peu à peu survient sur celle idée de la musique, la
période
de délire. On la prie de chanter, elle sourit,
fin de l'autre, elles sont subintrantes. Enfin elle entre dans une
période
de calme et passe la nuit dans 230 REVUE CRITIQ
es du lendemain les hommes noirs reviennent prendre leur place à la
période
des attitudes passionnelles. Au milieu de ses s
délire. Mais elle n'imagine point le mode d'évolution des diverses
périodes
qui composent une attaque. Elle n'invente point
int la façon dont s'enchevêtrent les hallucinations de la troisième
période
, l'espèce d'opiniâtreté maligne avec laquelle l
nterrompre les hallu- cinations d'un caractère gai ou agréable. Une
période
de l'attaque peut faire défaut, mais l'ordre gé
contorsions et les grands mouvements qui caractérisent la deuxième
période
ne se montrent pas, et la raison pourrait en êt
me dans l'intervalle des crises. Mais chaque attaque débute par une
période
épileptoïde nettement caractérisée. Sous des de
ion ou contracture des muscles par simple excitation mécanique), la
période
catalep- tique par la flexibilité plastique des
termine son travail par les conclusions sui- vantes : 1° Dans la
période
initiale, le myxaedèmc est essentiellement sous
mentaux les plus accusés, tels que l'aliénation survenant dans les
périodes
de l'affection, sont dus à des lésions du cerve
araît en même temps brillant et parsemé de raies obscures : à cette
période
, on en obtient une très bonne coloration à l'ai
de malades, ayant des accès de manie pendant plusieurs années, les
périodes
de rémission sont caractérisées par un état psy
de 1 écume aux lèvres. Nous assistons, en somme, aune ébauche de la,
période
épileptoïde.de la. grande attaque hystérique. C
me sei'sitifr'cutané'e'st·donc 'iuexcitablé' mécaniquëmentrdans la'
période
de létlîârië'liÿpilci ? tique dont .il.s'agit i
es, le changement d'humeur et- des psychoses, appartenant à la même
période
et au même appareil (nerveux), doivent être rel
ques jours après, phase de dépression Li]Lé- rieurement avec des
périodes
dé manie. Peu à1 peu se montrent des intervalle
à enregistrer que des accès convulsifs nocturnes chez la mère, sans
période
connaissance. Enfant taciturne montrant de l'anti
stic de l'altéralioni et de l'atteinte de la région lombaire, à une
période
où .il n'exis- tait encore ni trouble de, la se
e atteint autrefois de syphilis, qui, après avoir joui d'une longue
période
de bonne santé, fut frappé tout à coup d'aphasie
. I. -Dans le plus grand nombre des cas, la maladie débute par la
période
de dépression. Cette phase peut se présenter avec
l'obscurité. L'obnubilation des sens, qui persiste pendant toute la
période
de dépression, .disparaît avec elle, et elle es
n, .disparaît avec elle, et elle est souvent remplacée pen- dant la
période
d'excitation par un certain degré d'hyperesthésie
de d'excitation par un certain degré d'hyperesthésie. Pendant cette
période
le sommeil est généralement bon. Il. - 1,,L I)é
omanie, érotomanic. A ces troubles psychiques, opposés à ceux de la
période
de dépres- sion, [répondent des symptômes physi
it, prennent de l'embon- point, etc. L'insommie est de règle. Cette
période
est remarquable par l'existence d'accidents cér
pupillaire, des attaques épilepti- formes. Dans les accès à courte
période
, l'agitation survient sou- vent d'emblée : un m
ncolique la veille, se ré- veille maniaque. Dans les accès à longue
période
, [l'excitation se développe au contraire lentem
r le stade d'exci- tation. On observe divers modes de passage d'une
période
à l'autre : 1° tantôt la transition se fait bru
ou un maniaque simple. Quandl'équilibre semble se rétablir avant la
période
d'excitation, on peut croire à la fin d'un accès
aucoup à un accès de manie. Les hallucinations qui accompagnent ces
périodes
délirantes peuvent être le point de départ d'ac
maximum, 4,500 fr. Le passage du minimum au maximum aura lieu par
période
de 500 fr. tous les trois ans. Le conseil génér
ent cru pouvoir, de leur propre autorité, aug- menter le nombre des
périodes
que les pharmaciens actuels doivent parcourir.
e dans trois ans. De même, pour celui de Sainte- Anne, une nouvelle
période
a été arbitrairement créée. Nous espé- rons que
parésie de certains groupes de muscles, et c'est en général à cette
période
de la maladie que la main UNE FORME PARTICULIÈR
sseux le plus ordinairement. On pourrait, en somme,distinguer trois
périodes
dans cette évolulion, l'une de début caractéris
nde attaque. Il se produit au début, pendant la phase tonique de la
période
épilep- toïde. 11 suit la perte de connaissance
au quatrième mois après le début de l'accident, coïncidant avec la
période
la plus forte de l'état spasmodique des muscles
ns des caractères qui sont généralement moins- considérables dans les
périodes
d'épuisement; mais la formede chaquelettre n'es
er un soulagement à des maux souvent imaginaires. Ce fut la belle
période
, celle des grosses recettes, celle où les socié
ssant de travailler, gardant les yeux très fixes; huit jours après,
période
d'excitation pendant laquelle la malade cherche
a description de Kahlbaum et que, en plus, nous retrouvons dans ces
périodes
successives denombreuxsymptômes, entre autres l
s attirer l'attention c'est la présence de certains symptômes de la
période
de stupeur. A dif- férentes reprises Marcéb a i
ive. Ces faits sont très évidents chez notre malade. - '¡ Dans sa
période
de stupeur la respiration est superficielle et pe
l'âge de quatorze ans, la menstruation s'établit ; tout d'abord les
périodes
se montrèrent un peu en avance, puis ensuite en
laisse échapper quelques plaintes. On remarque même que pendant la
période
somnambulique ces douleurs provoquées sont plus v
e maître a montré qu'on pouvait faire naître ces affections dans la
période
somnambulique du grand hypnotisme, soit à l'aid
s attachée ne lui aurait pas dit bonjour. Elle était alors dans une
période
cala- méniale; les règles se suppriment, elle r
se répètent tous les quinze jours, et pendant cette année il a une
période
d'une semaine environ pendant laquelle ils appara
il en eut jusqu'à seize en vingt-quatre heures. Pendant toutes ces
périodes
il fut surexcité : tantôt il se jetait contre l
89. - Trois accès. 3 février. Quatre accès de jour; Il est dans une
période
d'excitation. Il parle de la France, de Il n'y
ntes gravures reproduites dans les divers journaux. 4 février. - La
période
d'excitation persiste avec les mêmes caractères.
s, mais un pas définitif, fait par la psychiatrie pour sortir de la
période
métaphysique de son histoire, est retombée dans
la paralysie générale : Scinde dit pourtant que dans les dernières
périodes
la peau devient sèche, cassante et squa- meuse
is toujours très inexact il finit par se faire renvoyer. Pendant la
période
de temps qu'il passa à Paris de 1861 à 1877, il f
e; on sonde la malade toutes les quatre heures. Pendant toute celte
période
il est impossible, dans le but de la tirer de c
d'excita- tion assez souvent prémonitoire des attaques. Pendant la
période
somnam- bulique, tant par suggestion que par pr
et leur surface fortement rugueuse fait naître l'idée que, dans une
période
de ramollissement, le tissu osseux aurait cédé
obes oculaires est encore plus accen- tuée. D'ailleurs, pendant une
période
de la maladie où l'hyperexcita- bilité neuro-mu
OGRAPHIE DE LA SAH'ËTR ! ËRË. L'année suivante, en 188(i, après une
période
de malaise général et de névralgies faciales pe
rée très courte, très rapide. Attaque. - Elle est constituée parles
périodes
suivantes : 1° Epilepto'ide, raideur (phase ton
ntracture des bras survint plus brusquement encore. Pendant cette
période
de dix mois à dater de l'accident, la main droite
es articulations. Ce phénomène s'est repro- duit plusieurs fois par
périodes
dont les unes ne duraient que quelques jours et
s (pl. XLIII). Il n'y a donc pas obstacle, mais' simplement retard,
période
latente d'autant plus longue que l'anesthésie a
taillée, que Mlle B... était bien plongée, à cette époque, dans une
période
de véritable sommeil hystérique que le D' Charl
Je ne retrouve plus la zone hystérogène de la région sternale. Les
périodes
de grands mouvements qui entrecoupaient le somm
ourrie. II ' ' La conservation de l'existence pendant ces longues
périodes
de sommeil hystérique, dans lesquelles l'alimen
t, en ce qui regarde l'attaque : 1° l'attaque convulsive aux quatre
périodes
; 2° l'attaque bornée à l'une de ces périodes ou
convulsive aux quatre périodes; 2° l'attaque bornée à l'une de ces
périodes
ou avec prédominance de cette période : forme é
ttaque bornée à l'une de ces périodes ou avec prédominance de cette
période
: forme épileptoïde, léthargique, etc.; 3° l'at
s, etc. Dans tous ces cas, les résultats des analyses comprenant la
période
des vingt-quatre heures à dater du début de l'a
a été fait 91 analyses des 2-1. heures de sommeil sans compter les
périodes
d'état normal. L'état de mal le plus court que
peut se prolonger pendant beaucoup plus longtemps. Pendant cette
période
, le sujet est susceptible d'absorber une alimen
e d'un état de mal, d'une attaque de sommeil n'ayant pas dépassé la
période
de 24 heures. TABLEAU A. - ATTAQUE DE SOMMEIL H
sidérer le tableau A, on verra que l'attaque de sommeil bornée à la
période
de 24 heures se comporte exactement, au point d
mule des phosphates. L'attaque de sommeil hystérique, comprenant la
période
de 24 heures, est donc entièrement assimilable,
it 39 kil. le 31 janvier, jour du début de l'attaque. Pendant cette
période
, elle a excrété en moyenne, par jour, 655 gr. d
apidement à son poids normal, elle engraisse même, puisque pour une
période
de huit jours, du 12 ou 20 janvier 1888, elle p
t de mal de sommeil hystérique (Les traits pointillés indiquent les
périodes
d'état normal avant et après l'attaque). , 302
érations relatives à la diminution des déchets urinaires pendant la
période
fébrile nous avaient frappés. On pouvait, 1. Le
. (R ? ) M. 370,li ; S. 37', 3. Les analyses portent donc sur trois
périodes
de vingt-quatre heures ; de ces trois périodes,
rtent donc sur trois périodes de vingt-quatre heures ; de ces trois
périodes
, l'une (21 novembre) est fébrile : T. M. ;9°,4;
t presque certainement de température rectale. Or, pendant ces deux
périodes
apyrétiques, la malade excrète de 5 à 7 grammes
rait dire que, dans un cas de goitre exophtalmique, pendant deux
périodes
d'apyrexiede vingt-quatre heures, les déchets uri
: que le chiffre des déchets uri- naires est très abaissé dans les
périodes
apyrétiques du goitre exophtal- mique par rappo
mique par rapport à la moyenne physiologique. Il se relève dans les
périodes
fébriles, sans toutefois dépasser cette moyenne p
odes d'évolution de cette maladie; nous avons choisi chez elles des
périodes
apyrétiques dans l'intervalle de complications,
s phénomènes disparurent. Le thermomètre révéla pendant toute-cette
période
un état fébrile subcontinu, allant de 89°, 2 ma
poser : 1° Que, dans trois cas de goitre exophtalmique, pendant des
périodes
apyrétiques de huit jours, les analyses ont mon
normaux; 1° Que dans un cas de goitre exophtalmique, pendant une
période
fébrile de six jours, allant de 38° il 39°, 2,
briles, les excréta urinaires sont restés normaux comme pendant les
périodes
apyrétiqnes. En terminant, nous serions heureux
de suite sa conscience et répondait correctement FiG. 89. - Aus der
Période
der Contorsioncn. Fic,. 90. - Période der Ilall
ectement FiG. 89. - Aus der Période der Contorsioncn. Fic,. 90. -
Période
der Ilallucinationcn. ;) : ! 2 NOUVELLE ICONOGR
a grande hystérie de Charcot peu de jours après le début; les trois
périodes
étaient bien nettes. Le sujet avait la sensatio
phase, la plus courte, de l'attaque proprement dite débute par une
période
de contractions musuculaires toniques, géné- ra
res, ni pertes séminales, ni morsures de la langue. Dans la seconde
période
, que Charcot caractérise si bien sous le nom de p
la seconde période, que Charcot caractérise si bien sous le nom de
période
des grands mouvements, période des contorsions,
t caractérise si bien sous le nom de période des grands mouvements,
période
des contorsions, clownisme, qui se sé- pare si
e de la façon la plus bizarre; on observe égale- ment pendant cette
période
les mouvements de salutation et l'arc de cercle
s, la pupille dilatée réagit sans retard à la lumière. Dans la 3e
période
, des attitudes passionnelles, qui ne se sépare pa
riode, des attitudes passionnelles, qui ne se sépare pas FIG, 91. -
Période
der 1 lill urina iloiien. L'IIISTÉRIE DANS L'AR
finit généralement par l'attitude du crucifiement. Dans cette 3e
période
, les yeux sont également ouverts d'ordinaire et
ques (3-6) séparées par un intervalledeunedemieàplusieurs Fic. 9. -
Période
der Halfucinalionen. FIG. 93. - Période der Ila
demieàplusieurs Fic. 9. - Période der Halfucinalionen. FIG. 93. -
Période
der Ilallucicationen. 321. 1 NOUVELLE ICONOGRAP
, les attaques perdirent peu à peu leur ca- ractère de netteté, les
périodes
d'attitudes passionnelles et de contor- sions d
tor- sions devenant plus courtes et plus incomplètes, tandis que la
période
épileptoïde conservait encore son caractère pro
ses phases de son histoire. Cette histoire peut se diviser en trois
périodes
: La première s'étend depuis les âges les plus
rts réciproques de la manie et de la mélancolie ; on peut l'appeler
période
des temps anciens prolongée ; La 2" période c
e ; on peut l'appeler période des temps anciens prolongée ; La 2"
période
comprend la seconde moitié du siècle qui vient
e de la folie circulaire et de la folie à double forme ; c'est la
période
française par excellence, celle où l'Ecole psyc
sychiatrique de la Salpêtrière a brillé d'un si vif éclat ; La 3°
période
est caractérisée par la synthèse de tous les ét
mencé en 1899, elle peut être désignée à bon droit sous le nom de
période
contemporaine, ou. d'après les travaux qu'elle
s les travaux qu'elle compte jusqu'ici à son actif, sous celui de
période
allemande. I. Période ancienne (d'IIippocratc a
compte jusqu'ici à son actif, sous celui de période allemande. I.
Période
ancienne (d'IIippocratc au milieu du XIX0 siècl
cratc au milieu du XIX0 siècle). Je ne m'appesantirai pas sur cette
période
parce qu'elle n'a, en réalité, que des rapports
s fondre dans une même espèce morbide. 4 Clinique mentale. IL
Période
française (1831-1899). On peut faire commencer
. IL Période française (1831-1899). On peut faire commencer cette
période
avec les leçons publiées en 1851, dans la Gazet
e la manie « un autre élat d'in- termittence qui s'observe entre la
période
d'affaisse- ment et la période d'excitation de
termittence qui s'observe entre la période d'affaisse- ment et la
période
d'excitation de Informe circulaire des maladies
sion de l'intelligence. Une pé- riode d'excitation alterne avec une
période
d'affaisse- ment, ordinairement plus longue ».
e sur un genre de folie dont les accès sont caractérisés par deux
période
? régulier es, l'une de dépression et l'autre d
stade mé- lancolique est, dit-il, généralement plus court que les
périodes
d'excitation et d'affaissement considérées iso-
chiatrie française. H a pris fin en 1899, époque où 'commence la 3°
période
. III. Période allemande (1899-1906). C'est en
se. H a pris fin en 1899, époque où 'commence la 3° période. III.
Période
allemande (1899-1906). C'est en 1899 que Kroepc
l suffit d'indiquerque l'accès qui la compose est constitué par une
période
de manie et une période (1) Gilbert Hau.f.t. In
'accès qui la compose est constitué par une période de manie et une
période
(1) Gilbert Hau.f.t. In Tmit¿ de 111édecille,2,
que les symptômes d'excitation maniaque ont été pré- cédés d'une
période
prodromique caractérisée par une dépression plu
soient un peu émotives, des pé- riodes de gaieté faire place à des
périodes
de dépression sinon de tristesse et inversement
très limities, l'eapectation pure eL simple l'om eIHu1l ,eule à la
période
de généralisation. M. Debove montre qu'actuelle
calmés, que l'état est devenu stable : il faut d'abord une première
période
d'exercices passifs de mobilisation, pendant la
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES, intenses et anciennes. Dans une seconde
période
onprovoquedes mouvements volontaires avec aide
ont satisfaisants, les traitements doivent être interrompus par des
périodes
de repos pendant lesquelles le malade ne doit p
motrices. L'oedème de la papille ne fut jamais constaté. Entre les
périodes
d'asthénie, la malade présenta plusieurs fois d
e, la malade présenta plusieurs fois de véritables fugues. Dans les
périodes
d'accalmie, la température revenait la normale.
ns les périodes d'accalmie, la température revenait la normale. Les
périodes
d'asthénie et de dépression s'aggravèrent progr
tranges, dans lesquels un diagnostic, établi nette- ment pendant la
période
délirante, semble contredit par une restitution
illusions, confu- sion mentale, refus d'aliments, et entrecoupé de
périodes
d'exci- tation et de dépression; morte au bout
acté- risée par de l'excitation intellectuelle et motrice. c) Une
période
délirante de 20 jours, dont la fOl'll1ediniljlWCO
courbe thermique et celle du pouls. Celle-ci, en effet, pendant la
période
d'état delà maladie a montré le tracé d'une vér
alysie générale, il faut observer ces symptômes oculaires aux trois
périodes
de la Para- lysie générale,et, à chacune de ces
aux trois périodes de la Para- lysie générale,et, à chacune de ces
périodes
, étudier suc- cessivement. : 1° les troubles pu
fond de l'oeil; 5° les symptômes oculaires accessoires. Première
période
, TROUBLES PUPILL 11RES. -y L'inégalité des pupi
lus fréquemment observé que le vrai Argyll- Robertson, surtout à la
période
d'état. Les déformations et irrégularités pupil
édecine légale que pour les contrats d'assurance. Dès la première
période
il faut signaler aussi : la per- te de la dilat
rines. Le rétrécissement du champ visuel est rare à la pre- mière
période
el alors qu'il n'y a aucune lésion visible à 1'
ophtalmoscopiques expliquant ce fait. Quel- quefois, à la première
période
, le malade souffre de né- m'algie oculaire. L
econnaître dans l'oeil des para- lytiques généraux, dès la première
période
, certains signes qui n'ont d'importance qu'à la
d'hémorrhagies multiples et dissé- minées de la rétine. Deuxième
période
. - Tandis qu'à la première, les troubles oculai
termittentes, et des ictus plus ou moins fré- quents, à la deuxième
période
, les troubles pupillaires deviennent presque to
mes peu accusés et varia- bles de la papille signalés à la première
période
: liséré 2)é-iuctsculai;-e, oedème pé1'ipapilla
écit en premier lieu comme chez l'alcoolique. Comme à la première
période
, les Iésionsdec7zoTOï- dite, de clWJ"io-Î"etini
té de l'examen des urines du malade en traitement. 1. , Troisième
période
. A la fin de l'évolution de la paralysie généra
malades se laissent le plus facilement examiner. 3° En effet, à la
période
la plus avancée de la maladie, alors que les lé
SIER. - De la valeur diagnostique des symptômes oculaires aux trois
périodes
de la paralysie générale. (Dupuy, éditeur, Mont
ns, certains symptômes oculaires s'accusent, tantôt dès la première
période
, tantôt au contraire ne surviennent qu'à la fin
onsidéré comme spécifique. Les germes retirés du sang en dehors des
périodes
hyper- thermiques peuvent être considérés comme
ES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. vieillesse est la dernière
période
de la vie, on peut lui fixer un début conventio
convulsive décrits par Schule ; 3° les ictus qui apparaissent à une
période
tardive où toute trace de névrose est ellacée c
annoncent le début de la maladie, au même titre que les ictus de la
période
initiale de la paralysie générale. Leur patho
la paralysie générale. Leur pathogénie est différente suivant la
période
à laquelle ils apparaissent. Leur rareté au cou
chiques, tandis qu'elle ne présente plus rien d'anormal dans les
périodes
avancées de cette maladie, .t. Séglas. XIX. L'a
i Freniatria, 1 ! 1OL roI. XXX, fascicule ? Il,111.1 ' Pendant la
période
qui précède les règles, et pendant la pé- l'ind
uation du degré de l'excitabilité neuro-musculaire, et mesure de la
période
de résistance qui correspond à l'excitation. Enfi
t plus mauvais en qualité que le travail fait le malin dans la même
période
de temps ; 4" Aussi bien le malin que dans l'ap
'une qualité plus mauvaise que le même travail obtenu dans une même
période
de femps, au début de l'année d'enseignement. .
miné. C'est ainsi que chez des épileptiques jeunes, qui pendant une
période
de bro- muration intense (S. gr. de bromure de
les expériences précédentes : le régime fut poursuivi pendant cinq
périodes
de 30 jours. Le tableau I donne pour chaque mal
ade le nombre des 1(i ? 1 THÉRAPEUTIQUE. accès pendant chaque
période
; en les réunissant nous avons les résultats su
lle à accès très nombreux, de très heureux résultats. Ces courtes
périodes
de déchloruration laissent reposer l'organisme,
ndons par contre les alternatives de régime ordinaire et de courtes
périodes
de régime sans sel, et, entre autres, le régime
potassium, 10 jours à 10 gr. avec régime ordinaire pendant ces deux
périodes
, puis 10 jours de régime sans sel et sans bromu
à l'égard de tous les autres complexus morbides, encore dans une
période
de tâtonnement, puisqu'au milieu des innombrabl
ge privé tenu par les jé- suites, où il reste de 1890 à 1894. Cette
période
est caractérisée par 180 CLINIQUE MENTALE.
ais peu à peu ». « Au fond, voyez-vous, c'est durant six mois une
période
de mélancolie, une longue dépression suivant un
que, s'il est très difficile de dépister la paralysie générale à la
période
dite pré-paraty- tique, il est bien plus diffic
ode de progrès, nous avons pensé utile de vous faire con- naître la
période
de déchéance. Permettez-nous une remarque à pro
é chez deux jeunes filles de vingt-six ans. Dans le premier cas, la
période
fébrile a duré environ un mois. La maladie s'es
la deuxième malade, fille d'alccolique, le début été brusque. La
période
fébrile observée a duré deux mois. Les princi-
'une très violente agitation avec hallucina- tions. Après quoi, une
période
proche de la normale à laquelle succéda un état
ituel ; néanmoins, il y avait, comme chez foutes les maniaques, des
périodes
de demi-rémission d'une durée peu longue, amené
que et a si bien coïncidé, hallucina- tions,conceltions délirantes.
périodes
d'incohérence complète et de vive agitation. pr
01e; dans le premier mois de l'entrée, l'autre de 12.22 % dans la
période
allant de 20 à 50 mois d'internement. On peut e
de celle maladie infectieuse chez des malades qui ont présenté des
périodes
de stupeur et que, dan» les nouv el- ses classi
es physiques présentés par lo malade. , Cette étude porte sur une
période
de plus d'un an, D ? entré à l'hôpital d'Arment
il ne pouvait parler; bien plus, l'amnésie rétrograde embrasse une
période
de plusieurs mois , il ne sait plus qu'il est v
anges respiratoires sont augmentés chez les phtisiques à toutes les
périodes
de la maladie; cette aptitude à fixer trop d'ox
urable, répète l'au- torité de Jaccoud et de Bouchard, à toutes les
périodes
et surtout au début. Grancher la considère comm
n individu à un aulre et chez un môme individu pendant les diverses
périodes
de la maladie, 2° si l'on fait chez des épilept
rquer que, chez les trois sujets examinés, les lésions étaient à la
période
de début dans les deux circonvolutions centrales
deux fois de faire un diagnostic contrôlé par l'autopsie : longues
périodes
au cours desquelles on observe la symptomatolog
sur la ville de Pavie donnent un to- tal de 81 suicides pendant la
période
151)-ltJOa. Sur ces SI suici- des, il y en a eu
ternementni même lafréqucnce de cette redoutable affection dans une
période
relativement ancienne; les statistiques n'exis-
e. L'exagération de l'accommodateur ne s'observe qu'à la première
période
, et les états différents à un oeil et l'autre, qu
durée est d'autant plus courte que la paralysie générale est à une
période
plus avancée. G. Deny. SOCIETES SAVANTES SOCI
au 31 décembre 1905 : 533 (265 Il. ; 268 F.). Pendant la dernière
période
décennale la population s'est élevée de 580 en 18
ronchite, on est obligé de suspendre la glande thyroïde, pendant la
période
de température qui dure une dizaine de jours.
de la taille qui élait arrêtée et n'était observée que pendant les
périodes
de trai- lemenl. A chacune des périodes thérape
it observée que pendant les périodes de trai- lemenl. A chacune des
périodes
thérapeutiques, le poids a baissé, quelquefois
- res, alors que plus habituellement la température s'élève il la
période
finale. L'étude des cas publiés montre que l'év
ne montre mieux cette transformation que la pathologie (différentes
périodes
du délire chronique). On doit considérer la per
able, il était souventagité et même impulsif; puis est survenue une
période
de dépression quand il fut amené à l'hospice. A
n état moral. Ce mutisme est de temps en temps interrompu par des
périodes
d'agitation impulsive, quajid la malade profère d
emonte à la gorge >. Pas de paralysie d'un côté du corps. Pas de
période
d'incontinence d'urine. Aime beaucoup rester au
tabès, qui, fait son apparition, à peu d'exceptions près, dans la
période
préataxique et peut servir à diagnostiquer le tab
rapide : en effet, la durée n'a été que de onze mois, y compris la
période
préparalytique. Les symptômes physiques ont dom
ez des idiots, un chez une femme démente paralytique à la troisième
période
, un chez un maniaque aigu et deux chez des affa
cutanés, notamment abdominaux et épigastriques, paraissent dans les
périodes
de début du tabes, notablement-exa- gérés, tand
RVEUSE. surtout au mollet, apparaît parfois aussi dès les premières
périodes
de la maladie, alors que la sensibilité muscula
de chorée ; vers cinquante-quatre ans, elle devient sujette à.des
périodes
d'excitation avec idées vagues de persécution ; e
de la vue et de l'ouïe ; un cas de tumeur du centre ovale avec des
périodes
d'évolution, l'un à forme cérébelleuse, l'autre
es de l'intoxication par la morphine qui peut être divisée en trois
périodes
: i° la période d'euphorie dont la durée est va
ion par la morphine qui peut être divisée en trois périodes : i° la
période
d'euphorie dont la durée est variable suivant l
e d'euphorie dont la durée est variable suivant les doses; c'est la
période
où la morphine semble apporter du bien être, ma
s, les malaises nécessitent de nouvelles piqûres. Le malade à celle
période
pour user moins de la morphine ajoute souvent à
ation celle produite par la cocaïne, la spartéine, l'alcool ; 2° la
période
intermédiaire est marquée par l'usage de 25 à 3
pétit se perd, l'amaigrissement et l'insomnie surviennent ; 3° à la
période
cachec- tique l'organisme est saturé, la morphi
us les inconvénients sans en éprouver le moindre bénéfice, c'est la
période
terminale marquée par des syncopes, souvent des
s de la démor- phinisation doivent être suivis de très près ; à une
période
d'excita- tion que l'on cherchera à combattre p
les bains chauds, le bro- mure de potassium, succédera souvent une
période
de dépression, accompagnée de troubles gastro-i
e, doit être combattue par une injection de mor- phine. Pendant la,
période
de convalescence, il y a de temps à autre des c
UBITAL. 101 Si nous divisons ces paralytiques généraux d'après la
période
de leur maladie, les résultats sont les suivants
. Elle est d'ailleurs grossière, malpropre et inca- pable, dans les
périodes
de calme, de toute occupation. Aujourd'hui âgée
alcoolique sciatique, dansl'ataxie locomotrice et dans la première
période
de la syringomyélie; elles correspondent à une
es vési- cules séminales après un laps de temps variable ; 2° cette
période
varie chez les différents animaux, six jours po
ar l'intoxication, et surveiller les morphinomanes pendant toute la
période
nécessaire à la répa- ration glandulaire ». Il
cellules altérées par le poison. Il se produit ensuite pendant une
période
de six semaines à deux mois eu moyenne, une sér
éviée sur la droite. Pupilles égales, névrite optique à la première
période
. Réflexe rotulien exagéré. La sensibilité est é
nignes. Ce n'est d'ailleurs pas 168 SOCIÉTÉS SAVANTES. à toutes
périodes
de l'infection qu'on devient paralytique, c'est
pas dire que la méningo-encé- phalite chronique soit une quatrième
période
de la diathèse spé- cifique. Les lésions de la
MENTALE. DU SENS TACTILE ÉTUDIÉ CHEZ LES MÊMES MALADES AUX TROIS
PÉRIODES
DE LA. PARALYSIE GÉNÉRALE ' ; ; Par le D E. MAR
ance de-suivre les mêmes malades en assez grand nombre à toutes les
périodes
de la maladie, on arrive aux constatations rapp
nne à eux-mêmes, ne seraient constamment nus. C'est sur- tout aux
périodes
intermédiaires de l'affection paralytique qu'on
ne fournissent sur ce point aucun éclaircissement. A la troi- sième
période
, quand ils sont confinés au lit, ce sont les co
oubles avec le développement de la maladie. Mais aux deux premières
périodes
de la paralysie générale, à la première surtout
GIE MENTALE. même des sujets gâteux, par conséquent à la deuxième
période
de l'affection paralytique, avec un minimum de
ison directe de la moti- lité, si on trouve pour les deux premières
périodes
le paral- lélisme constaté dans l'ensemble de l
s constatations trouvé le tact normal à la première et à la seconde
période
, non seulement quand les troubles moteurs sont
est fortement accentué. Le fait est surtout frappant à la première
période
. Si on envisage les troubles légers et modérés
ifs on voit cet écart 'élever brusquement à 11 p. 100. A la seconde
période
les écarts sont, selon le degré d'altération de
. 100 et 7 p. 100. Ajoutons à cela que c'est seulement à la seconde
période
et avec les troubles excessifs de la motilité q
'exagération se rencontra de préférence non seulement à la première
période
, mais encore chez les paralytiques dont les tro
je crois, que les altérations du sens tactile aux deux premières
périodes
de la paralysie générale sont l'apanage des sujet
à croire que les troubles du tact chez les paralytiques Première
période
. 196 PATHOLOGIE MENTALE. LE SKKS TACTILE
trouvée : le maximum des altérations se rencontrerait à la première
période
et le minimum à la phase dernière de la maladie
e paralytique général est beau- coup moins alcoolisé à la troisième
période
qu'à la période initiale. J'estime en conséquen
néral est beau- coup moins alcoolisé à la troisième période qu'à la
période
initiale. J'estime en conséquence qu'il y a pou
les para- lysés généraux, dans lesquels on constate à la première
période
des troubles du tact, n'auront ni une marche aigu
habituelles. En effet, nos sujets, -qui présentèrent à la première
période
les altérations du tact relevées dans nos const
ls apportent, les réflexes étudiés chez les mêmes malades aux trois
périodes
de la paralysie générale : Crémaslérien in Arch
s conclusions suivantes : I. En suivant les mêmes malades aux trois
périodes
de la paralysie générale, nous avons réussi dan
a maladie était à une phase plus avancée : 3 p. 100 à la première
période
, 15 p. 100 à la seconde, 5-1 p. 100 à la troisièm
anormal du tact avec les progrès de la maladie; rares à la première
période
, une fois moins rares à la seconde, les altérat
té, l'abolition de l'autre se montrent en sens inverse aux diverses
périodes
de la paralysie générale ; les deux premiers, a
; les deux premiers, avec leur maxi- mum de fréquence à-la première
période
, deviennent de plus en plus rares avec les prog
progrès de la maladie pour disparaître complètement à la troisième
période
, tandis que celle-ci, au contraire, tout à fait
que l'affection paralytique marche pour atteindre son maximum à la
période
terminale. Quant aux affaiblissements, leur mar
s'est jamais altéré que lors des crisesd'agitation. XII. Durant les
périodes
de calme, nous n'avons jamais relevé ni exagéra
modaient. XVI. Les altérations du sens tactile aux deux premières
périodes
de la maladie ont été constatées de beaucoup le p
ons constatées semblent indiquer, quand ellesexistent à la première
période
, à en juger par l'évolution de nos cas, que la
es de la mélancolie. La mélancolie est ordinairement précédée d'une
période
d'incu- bation de durée variable avant de se ca
es familles hésiteraient moins à faire pla- cer leurs malades, à la
période
la plus curable de l'affection. D'autre part, c
conscience ou la désintégration de la conscience normale pendant la
période
de temps où un tel homi- cide peut être accompl
lcrlz médical journal, juillet 1898.) Le début de la folie est la
période
où cette maladie est le plus curable. Souvent p
Observation d'une femme de trente-six ans, migraineuse, qui dans la
période
prémonitoire de chacun de ses accès croit recon-
teur apporte douze observations très résumées de tabétiques dans la
période
préataxique, dans la période ataxique et dans la
ns très résumées de tabétiques dans la période préataxique, dans la
période
ataxique et dans la dernière période. Il étudie
a période préataxique, dans la période ataxique et dans la dernière
période
. Il étudie l'étiologie du tabes, syphilis, hérédi
la VARIA. 255 grande majorité des cas; qu'ils sont sujets à des
périodes
d'excitation, à des impulsions qui les rendent
et Sérieux, p. 110. 264 CLINIQUE mentale. dérant avec Morel la
période
d'inquiétudes (ancienne période hypocondriaque)
NIQUE mentale. dérant avec Morel la période d'inquiétudes (ancienne
période
hypocondriaque) comme l'équivalent de l'accès m
e, qui depuis des années présente un enchaînement inin- terrompu de
périodes
de dépression mélancolique puis d'excitation ma
le type hystérique, épileptique, comateux, et survenir à toutes les
périodes
de la maladie. Nous avons noté, on l'a vu, dans
bord et surtout nocturne; il se mani- feste principalement dans les
périodes
hypnagogiques, et se prolonge dans le sommeil o
de délire toxi-infectiew. Il va sans dire que c'est surtout dans la
période
d'état ou de déclin se prolongeant outre mesure
tématique dans le traitement de la confusion mentale. Lorsque les
périodes
d'agitation aiguë sont passées et que survienne
progressivement et attei- gnent leur maximum au bout de cent jours,
période
à laquelle s'effectue le retour à l'état normal
uration fibreuse et stade d'ossification; clinique- ment, ces trois
périodes
sont moins distinctes, elles se confondent succ
a malade dans un raptus d'une intensité souvent extrême. Dans les
périodes
d'accalmie, Il H... reste étendue sur son lit,
éveiller qu'au matin. Il semble donc que nous voici arrivés à une
période
de conva- lescence ou tout au moins d'accalmie
je ne veux pas, je ne veux pas ! ... » Cet état persiste avec des
périodes
plus ou moins longues de calme relatif, et dure
joue un rôle important, le développementen est rapide : il y a une
période
prémonitoire d'inquiétude, de confusion, d'ango
commandées par une altération des centres trophiques remontant à la
période
foetale. (Revue neurologique, oct. 1898.) E. B.
cieusement les indications du traitement, faisant ainsi succéder la
période
rationnelle à la période du tâtonnement et du h
s du traitement, faisant ainsi succéder la période rationnelle à la
période
du tâtonnement et du hasard. Au surplus, si l
ablissement à,l'autre, Aubanel fut directeur intérimaire pendant la
période
d'installation, et ce n'est qu'après avoir tout
m- breux. La mélancolie, sous toutes ses formes et à ses diverses
périodes
, se complique de délires systématisés dont la sys
est constitué et l'auteur assigne à l'évolution de ce délire trois
périodes
distinctes (trop distinctes peut être, car en r
lousie, la dépression mélancolique, les idéos de : ui- cide ; 2° la
période
d'état caractérisée par la persécution et les h
celui des examinés. M. Chervin a fait porter ses recherches sur une
période
de dix ans, 1886 à 1895. Ce qui est remarquable
d'emblée, primitivement. Jamais il n'est précédé ni préparé par une
période
de dépression physique, morale, intellectuelle,
ée que vers le commence- ment de notre siècle. Ensuite, il vint une
période
de silence pendant laquelle ces questions sont
conceptions ver- bales aux souvenirs automatiques des mots. A la
période
initiale du développement du langage chez l'enf
ne lacune complète : de tous les événements se rap- portant à cette
période
il n'a gardé aucun souvenir; il ne se rap- pell
e parait moyenne. La mémoire est fidèle, sauf en ce qui concerne la
période
de cinquante-sept jours, s'étendant du commence
t le souvenir de tout ce qu'il avait pu dire ou faire pendant cette
période
. Une pareille amnésie ne saurait non plus être
nt a été atteint notre malade : les souvenirs se rapportant à celle
période
peuvent être obnubilés mais jamais abolis. Enfi
s jamais abolis. Enfin troisième fait : en même temps que toute une
période
de son existence s'effaçait de sa mémoire, P...
rieure momentanément disparu. L'état de P...... pendant toute la
période
qui s'étend du 8 décembre 1896 au 3 février 189
devait rester ignorée d'elle. Les impressions règnes pendant celle
période
ne se sont pas agrégées à son ancienne personna
'autre, de la membrane néoformée, parvenue dans le premier cas à la
période
d'état, dans le deuxième cas à la période initi
dans le premier cas à la période d'état, dans le deuxième cas à la
période
initiale. D'où il se dégage naturellement cette o
quantité normale oscillant entre 1.150 ce. et 2.000 ce; pendant les
périodes
d'amélioration le chiffre descend à 1.500 ce. e
générale. Du sens tactile étudié chez les mêmes malades aux trois
périodes
de la ,par iniai-atidoii de bloiityel, 189. -
fatigable J.-F. Meckel (35) en publiant les faits reeueillis Jcma une
période
de cinquante ans par son aïeul, par son père et p
ini (***), où l'on voit la transformation vésiculeuse dans toutes ses
périodes
: je ne parle point de la couleur rougeâtre du li
sent cette singulière altération, qu'alors la grossesse parcourût ses
périodes
accoutumées et que l'enfant vînt au monde vivant
ependant l'observation n'a pas encore démontré si, passé une certaine
période
, la fibre musculaire, devenue graisseuse, peut re
ne fluxion sanguine considérable; l'inflammation devait parcourir ses
périodes
, le mouvement fébrile symptomatique persister. Le
sang? Je ne le pense pas, car la pneumonie observée dans ses diverses
périodes
ne présente pas d'hémorrhagie avec déchirure. Mai
e assez peu considérable et simuler celle qui a lieu dans la dernière
période
des affections du cœur comme dans l'observation q
our la gangrène du poumon. Il nous présente cette maladie à plusieurs
périodes
, et nous rend témoins des efforts prodigieux que
e, anatomiquement parlant, que la gangrène du poumon dans sa première
période
, aux lambeaux noirâtres et horriblement fétides q
hérissent de toutes parts le foyer gangreneux. Mais, dans la seconde
période
, lorsque le travail de cicatrisation a commencé,
du moment où le ventre s'est énormément ballonné. H y a donc eu trois
périodes
dans cette maladie. Du 18 septembre jusqu'au 6 oc
s tous les autres tissus, lorsqu'elles sont parvenues à leur dernière
période
. Toutefois les trous de conjugaison étant desti
ré; mais autre chose est une incurabilité résultant du siège et de la
période
de la maladie ; autre chose est une incurabilité
u un symptôme caractéristique de cette maladie, même dans la première
période
. Il serait d'ailleurs difficile de faire la part
soit dans différens reins inégalement altérés , toutes les phases ou
périodes
de cette transformation ; et il m'est arrivé souv
de Pinel, qui comparait la marche d'une maladie fébrile aux diverses
périodes
de l'accroissement d'un végétal, il n'y a pas moi
, soit à la région iliaque droite; quelquefois, dès le début ou à une
période
peu avancée, une saignée au bras ou une forte app
ffire dans quelques cas, si elle convient en général dans la première
période
de la maladie, il arrive bien souvent qu'elle est
point de clinique aussi solidement établi que possible, qu'il est une
période
dans l'entérite folliculeuse aiguë où la méthode
valescence. D'ordinaire, l'appétit s'éveille aussitôt que commence la
période
de déclin de l'entérite folliculeuse, et l'on est
se manifestent sont tous plus ou moins équivoques. Dans une première
période
, point de symptômes, au moins chez le plus grand
t du cerveau , soit de ses membranes, qui peuvent survenir à diverses
périodes
de la maladie, doivent être tenus en ligne de com
lle est tout-à-fait nulle, i° parce que ces tumeurs, dans la première
période
, ne se manifestent le plus souvent par aucuns sym
es, et que les symptômes qui révèlent leur existence dans la deuxième
période
sont tous plus ou moins équivoques; i° parce que,
nflammation des sinus de la dure-mère parcourir le cercle complet des
périodes
que je viens denumérer pour la phlébite en généra
la phlébite en général. Plusieurs malades succombent dans la première
période
, c'est-à-dire, par l'effet de la seule coagulatio
nvexité, d'après les observateurs modernes, n'avaient existé à aucune
période
de la maladie. Les deux observations suivantes no
de la maladie, on évitera toute espèce d'erreur, même dès la première
période
. VI. Comme traitement préservatif du ramollisse
re tous les caractères de l'altération commençante : à cette première
période
, la tunique musculeuse fas-ciculée, comme les mus
atisfaisant, elle nous dévoile le jour, l'heure de l'invasion, et des
périodes
de symptômes tout-à-fait en harmonie avec des pér
vasion, et des périodes de symptômes tout-à-fait en harmonie avec des
périodes
de lésion. xie livraison. 1 V. Les abcès visc
ets, si je puis m'exprimer ainsi; car si les malades succombent à une
période
moins avancée de la maladie, on rencontre toutes
nt à une période moins avancée de la maladie, on rencontre toutes les
périodes
de l'inflammation circonscrite des poumons ou du
le médecin dans toutes les dégénérations organiques qui passent à la
période
qu'on appelle de ramollissement, ou à celle d'ulc
duction analogique sont déduites.avec une grande sagacité, toutes les
périodes
de la formation de ces abcès parfaitement indiqué
ammations circonscrites qui parcourent plus ou moins rapidement leurs
périodes
pour produire des abcès ; que ce pus, comme le me
veineuses. Or, la formation de caillots compactes adhérens (première
période
, premier degré de toute phlébite) n'a d'inconvé-n
phlébite des sinus de la dure-mère est mortelle d ans cette première
période
, parce que la circulation veineuse du cerveau est
s; mais la phlébite est très-positivement curable dans cette première
période
, même la phlébite utérine. Je suis fondé à penser
l'épaisseur du muscle soléaire; il me fut facile de suivre toutes les
périodes
de la formation de ces abcès. Dans la première pé
re toutes les périodes de la formation de ces abcès. Dans la première
période
, un pus lie de vin était ramassé au centre d'un c
t de la phlébite doit en quelque sorte se concentrer dans la première
période
, la période de la coagulation du sang ; car une f
bite doit en quelque sorte se concentrer dans la première période, la
période
de la coagulation du sang ; car une fois la suppu
le plus grand nombre des phlébites utérines. Mais, passé la première
période
, aussitôt que les phénomènes généraux commencent
ent un effet cadavérique, n'a ordinairement lieu que dans la première
période
, c'est-à-dire, dans celle des caillots sanguins a
sentèrent des altérations analogues qu'on peut considérer comme trois
périodes
de la même lésion. La rate, plus volumineuse qu
du foie représentait assez bien l'aspect d'un granit. Cette première
période
de la suppuration du foie, dans laquelle chaque g
rs pneumoniques AL, A'L', A"L", qui ne sont point encore arrivés à la
période
de l'abcès. Dans presque tous, une couche épaisse
rmé dans le lieu même, à la suite d'une inflammation qui parcourt ses
périodes
accoutumées. 11e. Livraison. Pl. 3. MALADIES
ique dans ses formes et dans sa texture ; la suivre dans ses diverses
périodes
; établir quel est l'élément anatomique spécialem
tement après la ponction pratiquée pour l'ascite, si commune dans les
périodes
avancées de cette maladie. Ce signe est pathognom
e couleur, de consistance, lesquelles dénotent assez généralement des
périodes
diverses de développement, ne semblent-elles pas
oraines ; mais que les unes sont à l'état embryonnaire, d'autres à la
période
d'accroissement, d'autres à l'état de développeme
de ces tumeurs, et qu'on peut étudier la succession de leurs diverses
périodes
. Nous avons vu ( xie liv., Phlébite) qu'il en éta
série plus ou moins nombreuse de transformations. Les expressions de
période
de crudité et de période de ramollissement, par l
reuse de transformations. Les expressions de période de crudité et de
période
de ramollissement, par lesquels on désigne habitu
te et l'anasarque, non moins communes que l'ictère, sur-tout dans les
périodes
avancées , sont-elles la suite constante et exclu
le rôle du médecin se bornera à la contemplation stérile des diverses
périodes
de la maladie et des lésions qu'elle laisse après
i), c'est que la phlébite n'est grave que lorsqu'elle est passée à la
période
de suppuration. Or, c'est peut-être à des applica
blables à celles de l'enfantement, douleurs qui se renouvellent à des
périodes
plus ou moins considérables y et qui se calment p
tement réussi dans des cas analogues. La stomatite survenant dans une
période
avancée, et résistant aux moyens accoutumés, m'a
d'un rouge foncé offrant l'aspect étonné des cholériques arrivés à la
période
de réaction; la peau est chaude, le pouls lent, l
tantôt comme une forme peu grave du choléra, tantôt comme la première
période
du choléra le plus grave. IV. Le choléra moyen,
moyen, lorsqu'il ne dégénère pas en choléra asphyxique, présente deux
périodes
bien tranchées : i° la période de concentration ,
en choléra asphyxique, présente deux périodes bien tranchées : i° la
période
de concentration , i° la période de réaction', ce
deux périodes bien tranchées : i° la période de concentration , i° la
période
de réaction', celle-ci est toujours proportionnel
temporaire; elle peut devenir funeste. Le malade qui a triomphé de la
période
de concentration n'a échappé qu'à une partie des
prononcé : tous les malades que j'ai observés ont eu à traverser une
période
plus ou moins orageuse. Il est donc probable que
ons pu noter nous-même des différences remarquables dans les diverses
périodes
de l'épidémie de Paris, autre chose était le chol
ipe de la vie et présente plus de prise aux agents thérapeutiques. La
période
de réaction si rare, au moins d'une manière franc
dérable. XXIV. Dans le cas précédent, la malade a succombé après la
période
de réaction. Cette période est pleine de dangers,
s précédent, la malade a succombé après la période de réaction. Cette
période
est pleine de dangers, car il faut que l'équilibr
XXV. Il semble donc que plus la maladie se sera prolongée après la
période
de réaction, et plus les traces de l'inflammation
quée .de la muqueuse : tandis que lorsque la mort a été voisine de la
période
de réaction, les lésions anatomiques ont été très
beaucoup de soin. XXVI. Lors donc qu'un cholérique a triomphé de la
période
asphyxique, il n'a échappé qu'à une partie des da
uvent subordonnée au genre de moyens qui ont été mis en usage dans la
période
de concentration; d'où la nécessité d'une grande
s les instants nécessite et quelle série d'indications présente cette
période
de réaction. Choléra très-grave arrêté à la pre
cette période de réaction. Choléra très-grave arrêté à la première
période
du froid et de la lividité. Assoupissement très c
oïdienne ou dans les ventricules. L'usage immodéré de l'opium dans la
période
asphyxique a souvent entraîné ce fâcheux résultat
u cadavre. - L'aspect du cadavre des cholériques morts pendant la
période
bleue, diffère peu de celui que présentent les ma
leue, diffère peu de celui que présentent les malades arrivés à cette
période
, où ils sont en quelque sorte cadavérisés, comme
sence de cette sueur visqueuse qui inonde la peau pendant la dernière
période
du choléra : chez plusieurs sujets, au bout de di
ides de l'estomac. Chez un certain nombre d'individus morts dans la
période
bleue, j'ai trouvé l'intestin rempli et même dist
e épaisse de mucosités rougeâtres. Lorsque le cholérique résiste à la
période
bleue et succombe plus ou moins long-temps après
guinolent. Chez la plupart des individus morts quelque temps après la
période
de réaction, j'ai trouvé une pulpe jaunâtre ou ve
possible et complètement vide, au moins chez les sujets morts dans la
période
asphyxique. Elle contient de l'urine chez les ind
hyxique. Elle contient de l'urine chez les individus morts pendant la
période
de réaction. Des organes de la circulation et d
chique présente une couleur violacée chez les individus morts dans la
période
d'asphyxie. Appareil nerveux. Cerveau et cerv
le rencontre constamment chez les individus qui ont succombé dans la
période
asphyxique. 4° Que le sang présente un état par
que. Traitement curatif : i° Ranimer, ressusciter la vie pendant la
période
de concentration; i° diriger la période de réacti
ressusciter la vie pendant la période de concentration; i° diriger la
période
de réaction; 3° dissiper les désordres fluxionnai
llons donc étudier, dans un résumé rapide : i° la thérapeutique de la
période
de concentration; i° la thérapeutique de la pério
érapeutique de la période de concentration; i° la thérapeutique de la
période
de réaction; 3° la thérapeutique des accidents co
3° la thérapeutique des accidents consécutifs. Thérapeutique de la
période
asphyxique : Pendant cette période, où la vie est
consécutifs. Thérapeutique de la période asphyxique : Pendant cette
période
, où la vie est menacée dans sa source, il n'y a é
tive. Je n'ai eu recours à la glace appliquée extérieurement, dans la
période
asphyxique, que partiellement, et pour remplir de
, aromatiques, chlorurés ou autres, ne peuvent être supportés dans la
période
asphyxique. La pression qu'exerce le liquide sur
ante a prouvé que si les stimulants à petite dose sont utiles dans la
période
de concentration pour ressusciter la vie, leur us
ur la muqueuse digestive, et que l'inflammation est imminente dans la
période
de réaction. Nous croyons aussi que les pratici
e a présenté moins souvent des traces d'inflammation à la suite de la
période
de réaction, que la muqueuse intestinale. La form
e la muqueuse intestinale. La formule suivante m'a paru utile dans la
période
asphyxique: Eau de cannelle orgée, de menthe po
nt dans lequel sont plongés les malades. Donné à fortes doses dans la
période
de concentration, il a paru s'opposer à la réacti
qu'a rendus la glace dans cette terrible épidémie. Cependant, dans la
période
asphyxique, j'ai eu recours aux boissons prises
36°, devaient être préférés aux lavements frais ou froids, pendant la
période
de concentration. Je les faisais renouveler toute
Il n'y a qu'une difficulté dans l'emploi de la saignée appliquée à la
période
de concentration ; c'est l'impossibilité d'obteni
hyxique dans lequel je n'aie eu recours à la saignée générale dans la
période
de concentration. Plusieurs veines ont été piquée
as la vie des malades. Réflexions générales sur le traitement de la
période
de concentration. Je ne saurais trop recommander
persévérance dans les soins administrés aux cholériques pendant cette
période
. Promptitude des secours, continuité de ces secou
ugent la question que d'un seul point de vue. Thérapeutique dans la
période
de réaction. La saignée que la plupart des prat
La saignée que la plupart des praticiens tiennent en réserve pour la
période
de réaction, me parait formellement contre-indiqu
le cerveau congestionné. Les bains que nous avons proscrits dans la
période
asphyxique sont ici de la plus grande utilité : q
en s'est repenti d'avoir employé l'opium à trop forte dose pendant la
période
asphyxique. N'oublions jamais que l'économie inse
la convalescence : combien de malades échappés au double danger de la
période
asphyxique et de la période de réaction, ont succ
e malades échappés au double danger de la période asphyxique et de la
période
de réaction, ont succombé convalescents, victimes
de mucosités épaisses, semblables à celles d'un catarrhe arrivé à la
période
de coction. Les phlyctènes annoncent-elles consta
matique d'une lésion grave du canal intestinal, et se manifeste à une
période
plus ou moins avancée des maladies aiguës ou chro
s pseudo-membraneuses d'aspect si dissemblable me parait dénoter deux
périodes
bien distinctes dans cette maladie; la couche gra
elle n'ont aucune espèce de rapports. Elles ne parcourent jamais les
périodes
et ne déterminent jamais les accidens des tubercu
ailleurs suivre la formation de ces abcès dans toutes leurs phases ou
périodes
: i° taches sanguines brunâtres, dont le siège pa
de la masse primitivement envahie. Existe-t-il dans les plaies une
période
au-delà de laquelle les abcès consécutifs ne soie
à l'abri de semblables lésions. Dans le scorbut parvenu à sa dernière
période
, on trouve quelquefois, dans l'épaisseur de ces o
le placenta. Dans ce cas, une grossesse ovarique étant parvenue à une
période
avancée, le kyste , les membranes de l'œuf s'étai
yste s'était formé; et, s'il y avait eu rupture de l'utérus, à quelle
période
de la grossesse avait eu lieu cette rupture ? Evi
e parmi les dégénérations cancéreuses, et pour laquelle il admet deux
périodes
, une période de crudité et une période de ramolli
générations cancéreuses, et pour laquelle il admet deux périodes, une
période
de crudité et une période de ramollissement , et
t pour laquelle il admet deux périodes, une période de crudité et une
période
de ramollissement , et quatre formes : i° celle d
se. (Archives de Médecine). De ce qui précède, il suit que les deux
périodes
de crudité et de ramollissement admises dans la m
nt à succéder à l'autre , l'état de pigmentum liquide qui répond à la
période
de ramollissement de quelques auteurs peut précéd
ques auteurs peut précéder l'état de pigmentum solide qui répond à la
période
de crudité. J'ai émis ailleurs une opinion sembla
même côté. Flaccidité des membres droits ; pouls naturel. Pendant la
période
de rigidité, la respiration et la circulation s'a
s qu'il convient d'examiner. La perforation peut survenir : dans la
période
d'accroissement de l'ulcère lorsque des adhérence
uite de forts vomissemens. Ylhémorrhagie peut survenir : pendant la
période
d'accroissement de l'ulcère, elle est alors le ré
ont été précédemment publiés, l'emploi du sommeil provoqué pendant la
période
de dilatation, n'en a pas retardé le travail, qui
travail, qui s'est accompli pour ainsi dire à l'insu de la malade. La
période
d'expulsion a été rendue pins facile, plus réguli
développement de l'aliénation mentale à Paris. Par exemple, pour une
période
de 17 ans, de 1872 à 1888 inclus, la statistique
ès légères variations, et le résultat final est celui-ci : dans cette
période
de 17 ans, le nombre des aliénés s'est augmenté d
otestataires. Le paralytique général y apparaît surtout à la première
période
, où, actif encore, mais inconscient déjà, il se m
états du grand hypnotisme décrits par Charcot. D'après lui, dans la
période
léthargique, cette excitabilité est augmentée, da
ans la période léthargique, cette excitabilité est augmentée, dans la
période
cataleptique elle est stationnaire au moins en pr
neuromusculaire. Dumontpallier et Magnin prétendent qu'à toutes les
périodes
de l'hypnose, ils ont vu l'excitabilité nerveuse
re qu'elles n'ont pas été faites avec les mêmes précautions, dans les
périodes
appropriées et surtout chez des sujets atteints d
se comporte l'excitabilité-électrique à l'état normal et pendant les
périodes
de léthirgie, de catalepsie et de somnambulisme.
de la population. On a reconnu que les garçons passaient par trois
périodes
différentes de développement : vers 7 ou S ans, i
'une façon peu accusée. Chez les jeunes filles, on retrouve ces mêmes
périodes
, mais elle se montrent toujours quelques années p
mparaison, on a reconnu que les jeunes garçons américains, pendant la
période
de puberté, ont une taille et un poids supérieurs
le-ci. Il semble qu'une cause quelconque les empêché d'entrer dans la
période
la plus importante de leur accroissement, en même
grandissent peu de la fin de novembre à la de mars; dans une seconde
période
, qui va de mars à juillet et août. !a taille s'ac
ille s'accroît beaucoup, mais non le poids; enfin, dans une troisième
période
, qui va jusqu'à la lin de novembre, l'accrois
iffre des malades s'abaisse d'année en année, jusqu'à la fin de celle
période
. Aussitôt qu'elle est terminée il se fait une rec
ts offre peu de résistance aux influences extérieures. Puis vient une
période
pendant laquelle cette résistance grandit d'année
ent de celle-ci s'améliore à peine dans les dernières années de cette
période
. Le mode d'éducation des filles explique aisément
nique. C'est une paralysie-épilogue, un phénomène concomitant avec lu
période
de déclin de l'affection. Hn outre, dans l'espèce
t des choses aussi prodigieuses. Il ajoute que pendant une certaine
période
de sa carrière professionnelle, il a déjà travers
rtaine période de sa carrière professionnelle, il a déjà traversé une
période
pendant laquelle l'emploi du mesmérisme et de l'h
rmittente, ¡'ai tenu à bien établir les caractères particuliers de la
période
intercalaire pendant laquelle l'in-telligence res
parcourt dans son évolution métho- dique quatre étapes qui sont : 1°
période
d'incubation : 2° période de perse- cution ; 3° p
on métho- dique quatre étapes qui sont : 1° période d'incubation : 2°
période
de perse- cution ; 3° période ambitieuse ; 40 pér
qui sont : 1° période d'incubation : 2° période de perse- cution ; 3°
période
ambitieuse ; 40 période de démence. Les éléments
incubation : 2° période de perse- cution ; 3° période ambitieuse ; 40
période
de démence. Les éléments symp- tomatiques princip
es, mais différant par leur nature agréable de celles de la troisième
période
; la quatrième, par une déchéance intellectuelle
inations et de la tendance au suicide. On peut leur décrire plusieurs
périodes
qui sont : 1°stade prodromique dans lequel le m
s mouvements sont faciles, mais il est constamment agité. Ce sont des
périodes
d'excitation qui alternent avec de la dépression
t des diverses manifestations de l'hystérie. Chorêe. — Dans la même
période
, nous avons traité environ vingt cas de chorée pa
r que cinq cas de paralysie agitante. Tous étaient déjà arrivés à une
période
avancée de la maladie. L'atro- phic musculair
urs malades mises en léthargie, et ils ont constaté que, durant cette
période
léthargique prolongée de huit à vingt jours, la n
n mentale tout à fait spéciale, une véritable entité morbide, à trois
périodes
distinctes, ayant sa marche, ses terminaisons et
aire concurrence aux fonctions cérébraies? Tout d'abord, pendant la
période
de sommeù qui suit immédiatement h piqûre, on con
les poussées se soutiennent, enfin le dégagement se fait. Pendant la
période
d'expulxion le Dr Robino faisait prendre au bras
esse. Un mois après les régles reparaissent, puis cessent pendant une
période
de huit mois qui présente toute la série des sign
Lorsqu'il sortit de sa torpeur, le malade avoua que, pendant toute la
période
du sommeil apparent, il n'avait cessé de se croir
elle mesure les fonctions cérébrales ont pu se ressentir de la longue
période
comateuse dans laquelle elle a été plongée A la s
de» prostituées. Les observations du Dr Tarnowski s'étendent à une
période
de quatre ans pendant lesquels 150 protituées fur
nts de toutes sortes. Devenue enceinte avant son mariage, pendant une
période
de condition seconde, elle ignorait, dans l'autre
istinctes n'en ont de leurs natures respectives; par exemple, dans là
période
d'état ancien, elle possède toutes les connaissan
t complètement le souvenir de ce qu'ils ont appris pendant une longue
période
de leur existence, pendant les cinq ou six derniè
netteté parfaite. Dans ces attaques, Albertine se croit revenue à une
période
antérieure de sa vie : !. tantôt elle se querel
e aurait tel âge, ou qu'elle exécuterait tel acte se rapportant à une
période
bien déterminée de son existence; 2° En fixant
eaux, 1887. (2) camuset. Un cas de dédoublement de la personnalité.
Période
amnésique d'une année chez un jeune hystérique, A
aincre ses auditeurs, s'appliqua-t-il à provoquer chez lui toutes les
périodes
de l'hypnotisme, et à déterminer toutes les contr
ontrant pas en dehors de l'hystérie, et qoi est caractérisé par trois
périodes
: la catalepsie, la léthargie et le somnambulisme
par trois périodes : la catalepsie, la léthargie et le somnambulisme,
périodes
par lesquelles on fait passer successivement le s
dans l'état de léthargie par la simple occlusion des yeux. Dans cette
période
, on constate l'exis-tense de l'hyperexcitabilité
ple friction sur le vértex, on fait entrer le sujet dans la troisième
période
, la période somnambulique, période où ce dernier
sur le vértex, on fait entrer le sujet dans la troisième période, la
période
somnambulique, période où ce dernier est éminemme
entrer le sujet dans la troisième période, la période somnambulique,
période
où ce dernier est éminemment suggestible et prése
tible et présente de l'hyperexcitabilité cotano-musculaire. Ces trois
périodes
, ainsi que les caractères matériels qu'elles prés
bien en présence d'un hypnotique et non d'un simulateur. Lorsque les
périodes
manquent ou sont incomplètes, on a affaire alors
partisans du grand hypnotisme, à savoir que les caractères des trois
périodes
regardées comme caractéristiques de cet état ne s
suggestion, chez beaucoup d'hypnotiques, produire à volonté les trois
périodes
précédentes, avec leurs caractères classiques; on
es par M. Dumontpallier et son élève M. Magnin ; on peut inverser ces
périodes
, en modifier les caractères, créer, par exemple,
, la catalepsie les yeux fermés, rendre suggestible le malade dans la
période
de léthargie, produire l'hyperexcitabilité neuro-
, produire l'hyperexcitabilité neuro-musculaire dans n'importe quelle
période
, etc. En un mot, il est facile, chez un sujet trè
par l'hémianesthésie hystérique, les zones hystérogènes et les quatre
périodes
de la grande attaque (1). Et ce n'est plus par
le D., tous les sujets hystériques agissant spontanément (4) dans une
période
som-nambulique de leur affection, il sortit net d
reff (V.). — Cas de trouble dans les idées, guéri par suggestion à la
période
initiale de l'hypnotisme. (Vestnik klin, i sudebn
plonge pendant une heure ou pendant huit heures un sojt>t dans une
période
de grand hypnotisme, on note : la diminution de v
tion morale, est sujette à des accès d'agitation maniaque pendant les
périodes
menstruelles. En dehors de ces accès, elle reco
famille. Je l'ai endormie du sommeil hypnotique pendant une de ces
périodes
et j'ai fait durer le sommeil quinze jours 'état
end les habitudes de sa vie normale, sans garder aucun souvenir de la
période
pathologique qu'il vient de traverser. Conduit de
les caractères somaliques, rhyperexcitabilité neuro-musculaire de la
période
dite léthargique, rhyperexcitabilité cuianc-muscu
période dite léthargique, rhyperexcitabilité cuianc-musculaire de la
période
dite somnaxnbulique, le transfert par les aimants
patiente comme une femme nerveuse, avait beaucoup redouté la dernière
période
de l'accouchement. L'enfant, une petite fille, pe
emme qui paraissait souffrir beaucoup, mais se taisait. A la dernière
période
, je m'aperçus que la jeune dame faisait des effor
s en plus calme, au fur et à mesure que l'accouchement avançait. La
période
la plus tranquille a été précisément celle de la
eignit 9, puis 12 lignes de longueur. Que la combustion, pendant la
période
chimique, puisse provoquer l'émanation lohique, o
contre, chacune des trois phases de l'hypnotisme produisait, dans la
période
d'expérience des vingt-quatre heures, un abaissem
que nous appellerons approximative) des vingt-quatre heures, pour une
période
de quatre jours, a été : volume, 1,012c.c; résidu
dividu saiu. Le sujet fut alors plongé en somnambulisme pendant trois
périodes
, chacune de plusieurs jours consécutifs. On lui s
spécial, ce qui fut volontairement exécuté. La moyenne de ces trois
périodes
, telle qu'elle nous a été communiquée par M. Hara
nt ce dernier étal, il est impossible d'établir, entre celui-ci et la
période
somnambulique où elles le furent complètement, un
yen de la faire sortir pour l'amener dans l'état aomnambulique, seule
période
, disaient-ils, dans laquelle la suggestion était
ermine l'ouvrage. L'évolution de la neurasthénie s'est faite en trois
périodes
: la première, qui est très longue, ne comprend q
s « les vapeurs » jusqu'au « nervosisme ¦ ; enfin la troisième est la
période
moderne, qui date du livre de Beard (1880). Rie
nante qui le quittait très rarement; elle persistait mémo pendant les
périodes
où il était débarrassé da ses vomissements. Enfin
vulsions violentes qui se répétèrent jusqu'à midi, alternant avec des
périodes
de sommeil. A une heure de l'après-midi seulement
me^Il cite le cas d'une déséquilibrée de trente-cinq ans en proie par
périodes
à un éréthisme génital se traduisant par du pruri
ir un tableau représentant son apparition. A dix-neuf ans, elle a des
périodes
de surexcitation, elle est agacée, énervée, elle
. De plus en plus émotive, il36 G... pleurait souvent; elle avait des
périodes
d'énervement, entendait que tout le monde lui céd
IQUE NERVEUSE. motrice et l'éclosion d'une crise convulsive dans la
période
hyperpyrétique d'une dothiénentérie; ce dernier
franche, la première avec une phase tonique très courte et dont la
période
classique s'est prolon- gée pendant une heure,
lade jusqu'au moment de la mort à 10 heures. Pendant toute cette
période
, les bras s'agitent, les yeux sont con- vulsés
s à une distance notable de la ville universitaire. Dans la seconde
période
, qui a débuté, il y a vingt ans à peine, par la
de nombreux stigmates de dégéné- rescence, photographié pendant une
période
d'excitation men- tale 1. « L'emploi du phono
uTAR. (1'he Journal, of Mental Science, juillet 1897.) Pendant la
période
de cinq ans qui va de 1890 à 1895, 85 malades s
de l'accommodation. Kahibaum a signalé aussi dans la katatonie à la
période
mélan- colique une diminution du nombre normal
on que nous reprodui- sons ici : I. Folie de la syphilis précoce (
période
primaire et secon- daire) : 1° folie toxique ai
ent due à l'anémie cérébrale. - II. Folie de la syphilis tardive (
période
tertiaire) : 1° folie due à une lésion syphilit
gine composite et de nature complexe, et ils persistent, dans une
période
d'accroissement et par conséquent moins fixe et p
elation) qui les co.r.bine suivant une marche définie ; pendant ces
périodes
l'enfant est particulièrement impressionnable p
onna- lité, ainsi que de la volition. Les instincts propres à cette
période
sont surtout égoïstes (gourmandise, appropriati
3° A mesure que le développement progresse, l'enfant franchit cette
période
; et le cerveau antérieur, par l'accroissement de
- ment et rapidement (comme les organes qui se rattachent à cette
période
de la vie) des instincts et des sentiments d'un o
eau qui réorganisent, et, partiellement, transforment le moi. Cette
période
est caractérisée aussi parle développement d'aspi
ue plusieurs de ces évolutions du cerveau et de l'esprit, depuis la
période
foetale (somnolence végétative) jusqu'à celle d
lade estjeune, la maladie aboutit à la guérison ; s'il a dépassé la
période
moyenne de la vie, le cas se termine promptemen
ement leurs réflexes tendineux, une hémiplégie organique resté à la
période
flaccide. Nous insistons à nouveau sur l'import
n effet, si un traitement peut être efficace, c'est surtout dans la
période
initiale, et je dois dire que sur la plupart de
te depuis de nombreuses années de folie systématisée chronique à la
période
ambitieuse. Un frère jumeau jouit d'une réputat
de vingt-quatre ans, atteinte de démence paralytique à la troisième
période
à laquelle elle succombe au bout d'un an. A exe
la tête à coups de poing, à la façon de certains- idiots. Dans les
périodes
de calme, elle manifeste la plus grande indiffé
nce acariâtre : leur état mental reflète exactement, à ses diverses
périodes
, ces particularités morales qu'accuse même leur
teur des idées; il disait lui-même qu'il perdait la tête. Après une
période
de mieux, il fut repris d'exci- tation l'année
es né- V1'oses de développement on ne considère qu'un moment, une
période
déterminée plus ou moins courte, comme l'ont fa
e délire des persécutions, de démence progressive, et cela dès la
période
préataxique du tabes. Les deux affections, dans d
écoces et se montrent, comme ceux de la névrite optique, pendant la
période
préataxique (diminution de l'acuité auditive, s
' d'habitude, des cellules à peu près saines et d'autres à : diverses
périodes
de la dégénérescence granuleuse ... . 140 REVU)
plutôt spéciale à cette affection. Les troubles surviennent à des
périodes
diverses de l'infection malarienne; ils peuvent
ers muscles du groupe radiculaire supérieur; par l'absence de toute
période
fébrile d'invasion et par la cause qui a produi
ralysie établie à la suite d'un,¡ apoplexie, elle subit bientôt une
période
de dimi- nution d'intensité. III. - Les contr
sivement carac- téristiques et variés dans les deux affections à la
période
de la contracture. Dans la contracture hystér
proprement dit a rétrocédé après une durée de dix ans. Pendant la
période
de démolition du délire, l'aliéné expliquait rais
ues ne pourraient pas expliquer la persistance des accès pendant la
période
pyrétique de la fièvre. M. Voisin soigne en ce
ue ni jour ni nuit; aucune d'elles n'a jamais eu d'accès pendant la
période
pyrétique. Ceux-ci ne se sont montrés qu'au mom
rifiantes et était en outre sujette à des impulsions' verbales. Une
période
de doute et d'interrogations avait précédé l'ap
sion mélancolique avec idées hypocondriaques. Il traverse aussi des
périodes
au cours desquelles il accuse ses persécuteurs
oint comme le stade ultime d'évolution d'un délire spécial avec ses
périodes
suc- cessives (idée fausssement attribuée à Cot
tions de cataplas- mes de 'farine de moutarde.1 Enfin, durant cette
période
,' la jambe - avait maigri et, à l'heure actuell
boitait : cette infirmité, qui a complète- ment disparu après cette
période
de repos, était la conséquence de l'attaque de
cédé une marche absolument semblable. Dans les trois cas, après une
période
d'acuité plus ou moins longue, l'affection disp
question» singulièrement obscure. L'auteur insiste sur lai longue
période
de latence qui peut exister entre le moment' où
ement) etil'appa- rilioirs de. lai paralysie- traumatique ; : cette
période
peut ! s'étendre de quatre semaines à cinq ans.
ses études et, une fois son diplôme obtenn,accom- plit une nouvelle
période
de service de six mois. 'Riais alors' il n'a plus
ns magistrales' l'assistance est obligatoire pen- dant une certaine
période
;... pour chaque spécialité, l'Étudiant ! trouve
l'inauguration des cliniques urbaines comme le début d'une nouvelle
période
pour l'enseignement académique de neuro- pathol
II. LES psychoses DES lésions CÉRÉBRALES. VIII. Les psychoses DE la
période
d'involution : A. Mélancolie. B. Délire de préj
oisine est utile à la condition' d'être employée seulement dans les
périodes
d'excitation ; dans la manie chronique, résulta
e, mais jamais d'anesthésie com- plète. Dans les cas bénins et à la
période
de début, les réflexes cutanés restaient normau
cal Journal, 12 février 1898.) Les symptômes les plus communs de la
période
initiale, sont les douleurs et l'abolition du r
lôpie, la paralysie des cordes vocales ont aussi été observées à la
période
initiale. On remarque aussi des altérations art
ièrement les crises gastriques se rencon- trent fréquemment dans la
période
pré-ataxique. La coïncidence de l'un des symptô
intensité, sa durée, semble moins influencée, quand on compare les
périodes
alternatives de lever et de coucher sur un même
transitoires séniles; par L. Miciiaud. (Thèse de Lyon, 1900.) Les
périodes
délirantes qui se montrent parfois sous forme de
Elles ont tou- jours prédominé dans le côté droit Au cours de cette
période
, il aurait eu une entérite, une pneumonie et un
de quinze à vingt jours de sa vie, durant les premiers temps de la
période
convulsive, une ophtalmie purulente : les yeux
s qu'il pousse des cris perçants qui désolent la famille. A cette
période
d'excitation, succède de nouveau une accalmie d
nous donne les renseignements sur l'accident de ce matin et sur la
période
d'agitation qui l'avait suivi, nous dit que l'e
i la scène morbide, la phase comateuse qui survint si vite après la
période
d'excitation jointe à l'absence d'albumine et à
ébrale apoplectiformi chez un enfant subitement refroidi, en pleine
période
digestive. On lui applique deux sangsues derriè
e la névroglie Ils sont sphériques, ovoïdes ou pyriformes, et à des
périodes
plus avancées, ils peuvent être- crénelés, disp
s- unes des influences qui ont aidé la psychologie à passer de la
période
métaphysique à la période scientifique et de mont
ui ont aidé la psychologie à passer de la période métaphysique à la
période
scientifique et de montrer que l'élan nouveau d
qui existent- entre la structure et la fonction aux différente';
périodes
de la vie de l'individu. Celte corrélation de la
s rapports plus étroits que jamais, et quand le sujet entre dans la
période
où les facultés intellectuelles commencent à ba
ations s'établissent entre le tractus olfactif et l'écorce; à cette
période
, le cerveau de l'enfant est fonclionnellement c
els que le sommeil et les divers degrés de conscience ; pendant les
périodes
d'activité sul7-cousclente, les prolongements c
rétracteraient pour subir un nouveau mouvement d'expansion dans les
périodes
plus actives de cons- cience. ' · . Van Giese
onstitués que dans des masses de protoplasma non différencié. A une
période
plus avancée de développement, on voit nettemen
étude de cinquante-sept cas faite par l'au- teur c'est que dans la
période
initiale, le sang bien loin d'être au- dessous
, octobre 1898.) le Homme de vingt-huit ans, épileptique : après la
période
ordi- naire de passivité stertoreuse, il prend
les données étiologiques déjà indiquées, et montrent aussi que la
période
de 20 à 37 ans est celle ou l'apparition de la fo
t sérieux : 1° les défectuosités dans le traite- ment des premières
périodes
de la maladie sont absolues et com- plètes ; 2°
niennes. La céphalée disparaissait pour quelques jours après chaque
période
menstruelle, ainsi que les vomissements quotidi
encore que nombreux étaient les cas de mélancolie appartenant à la
période
initiale de la paralysie générale ou à une phas
e précoce se caractérise par de l'apathie, de l'in- différence, des
périodes
d'excitation, de la tendance aux impulsions, du
té observé chez un Européen. Le cours delà ma- ladie présente trois
périodes
: 1° initiale avec langueur progres- sive, tris
progres- sive, tristesse inertie, somnolence, accidents légers; 2"
période
d'état, sommeil continu avec réveils faciles à
, réflexes nor- maux, affaiblissement graduel de l'intelligence; 3°
période
termi- ncale, profonde léthargie, malade confin
sa guérison. Il faut encore que celle-ci se maintienne pendant une
période
de temps suffisamment longue, avant qu'on puiss
qu'on puisse la consi- dérer comme définitive. Horsley a fixé cette
période
d'obser- vation à cinq ans. Braun est d'avis qu
tres ont été donnés comme des exemples de guérison. A vrai dire, la
période
d'observation post-opératoire n'a pas dépassé s
de guérison, sous toutes réserves, car dans trois cas seulement, la
période
d'observa- tion post-opératoire a dépassé trois
e clinique de cette affection : apparition de troubles nerveux à la
période
secon- daire variant de un à quinze mois avant
Les symptômes précoces de l'ataxie locomotrice appartiennent à la
période
préataxique de la maladie et sont d'une importanc
r nettement des formes secondaires et métastatiques du cancer. La
période
initiale de la formation du néoplasme n'a pas pu
savoir, l'ectodennze, ils prennent leur origine dans ce tissu à des
périodes
différentes de son développement. Le carcinome co
Le carcinome correspon- drait alors à la cellule ectodermique d'une
période
embryonnaire plus jeune, et le gliome à la cell
bryonnaire plus jeune, et le gliome à la cellule ectodermique d'une
période
plus avancée. Suivant cette théorie le terme ca
bryon jeune, et l'ori- gine analogue du gliome appartiendrait à une
période
plus avan- cée, et même à l'état adulte avec po
i établir que la maladie dont il s'agit est une manifestation de la
période
tertiaire, et une lésion de dégénérescence, très
on étudie maintenant la pathologie de la maladie, on y observe deux
périodes
, l'une de dégénérescence lente, l'autre Se modifi
tation et d'agitation qu'on pourrait appeler manie syphilitique. La
période
prémoni- toire est courte, d'intensité variable
tensité variable, quelquefois assez légère pour passer inaperçue.La
période
d'invasion a un début brusque, caracté- risé pa
. - phtisie chez les hommes de 35 à 45 ans,' c'est-à-dire pour la
période
décennale qui, dans la population générale, fourn
ans quelques cas, de petites doses, administrées pendant une longue
période
de temps, produisent une réaction suffisante; 1
iphérique : il est actuel- lement en bonne voie de guérison, et les
périodes
d'excitation n'ont pas reparu. L'auteur ajoute
ins accessibles au traitement. Parmi les autres, tous étaient à une
période
plus ou moins avancée de la maladie, quelques-u
de psychoses se développe peu à peu, lentement; on observe donc une
période
prodromique, intermédiaire entre la santé et la
ilicat d'études. Elle eut aussi îles mélancolies alternant avec les
périodes
d'agitation de attaques épileptiformes et de l'
uté et rejeté l'hypolhèse d'altérations infectueuses survenues à la
période
ultime, passent en revue les diverses lésions s
es 51 malades, étaient tous des paralytiques généraux arrivés à une
période
avancée de la maladie, c'est dire que nous n'av
hez sept malades, dont la paralysie générale avait déjà atteint une
période
avancée, nous avons trouvé des lésions plus par
l'atrophie blanche de la papille, peut-être ont-ils moins étudié la
période
de début de cette atrophie, période marquée par
-être ont-ils moins étudié la période de début de cette atrophie,
période
marquée par l'état flou, lavé, de la papille tel
l présente tous les signes de la paralysie générale à la der- nière
période
. Sa mémoire est abolie, son inconscience est abso
à perdre la vue, son acuité visuelle s'affaiblit peu à peu avec des
périodes
d'amélioration et d'aggravation, un an avant l'
trouve chez 7 malades dont la paralysie générale a déjà atteint une
période
avancée, 5 fois de l'atrophie papil- laire blan
ent restées dans cet état, lorsqu'il y a deux ans, à la suite d'une
période
pendant laquelle les obsessions avaient été plu
r pu commettre le crime dont il avait lu le récit. Apre* une courte
période
de doute conscient à ce sujet, il en arriva à se
e place parmi les méthodes régulières de la thérapeutique : cette
période
est marquée par l'influence française. Le profe
nous sommes habitués à voir la majorité des tabes se fixer à une
période
quelconque et parfois de façon définitive, nous
nts ; au contraire, quand un tabès est fixé, quand on assiste à une
période
d'accalmie, le moment est venu de regagner tout
événements qui se sont passés pendant leur état d'ivresse, pour une
période
de temps embrassant parfois plusieurs heures, o
e ou l'ablation das testicules. M. f3éan.r.on. C'est déjà dans la
période
prodomique, au cours de la lente incubation, qu
- gère, ainsi que le font les médicaments Les tuberculeux, dès la
période
prodromique, sont des abouliques; ils font toutes
pas ; ce sont des êtres diminués au point de vue de l'action. A une
période
plus avancée, ils sont extrêmement égoïstes. Un
i étaient odieux. M. Paul Magnin. Je suis tout à fait d'avis que la
période
pré- bacillaire s'accompagne de changements de
ostic différentiel de la rougeole et de la scarlatine à la première
période
; fracture de la base du crâne; 2° pathologie et
contact et subis- sant de's influences nocives communes. Dans la
période
qui s'étend de 1881 à 1885, de nombreux Moreau
t spécial de son terrain. Il passe donc, pour ainsi dire, par trois
périodes
succes- sives dont les deux dernières se confon
ucces- sives dont les deux dernières se confondent : une première
période
d'ébranlement cérébral qui correspond à l'accepta
l'accepta- tion des idées délirantes du sujet actif ; une deuxième
période
de réveil vésanique correspondant à l'éclosion
allucinations, calqués sur ceux du sujet actif. Enfin une troisième
période
, se confon- dant en général avec la précédente,
ion ou impulsion, qui se répète à titre d'épisode aux différentes
périodes
de sa vie, soit un nombre plus ou moins considé-
e répète à plusieurs reprises à titre d'épisode. Dans les dernières
périodes
maladives, le syndrome devient plus accentué, m
Tous ceux-ci apparaissent petit à petit et se succèdent dans une
période
de cinq années, époque qui marque le début de s
ces troubles comme trois maladies distinctes adéquates aux trois
périodes
, car dans ce cas il faudrait créer trois états
ait créer trois états différents qui seraient liés à chacune de ces
périodes
mort . bides. De cet exposé enfin, tel qu'il
et l'apparition du délire du toucher marque le début d'une seconde
période
dans l'entité morbide formée par cette associat
es étudiées par la radiographie. Il insiste sur l'existence d'une
période
préataxique osseuse chez les tabétiques, caract
rs 1900 avec des signes indéniables de tuberculose pulmonaire il la
période
cavitaire, dans un état tel que tout examen dev
emps à se lamenter, bien à tort d'ailleurs. - Pendant toute cette
période
, ajoute la femme, il aurait souffert de sensat
les règles ont toujours été régulières et normales, mais à chaque
période
, deux ou trois jours avant et pendant leur durée,
l'avons trouvée d'autant plus marquée que le malade traversait une
période
plus douloureuse de sa crise. Dans les périodes
alade traversait une période plus douloureuse de sa crise. Dans les
périodes
d'analgésie, elle disparaît complète- ment. Est
r le retour de leurs crises. L'autre cause est l'appari- tion de la
période
menstruelle; il y a à ce moment chez la femme u
ion de la période menstruelle; il y a à ce moment chez la femme une
période
d'hypéralgie toujours très accentuée. Nous nous
aitement, si, ne constatant encore aucun résultat, ou traversant la
période
hyperalgique, le malade se trouvait découragé,
mois d'abord, puis pendant huit à dix jours les mois consécutifs, (
période
de cure active pendant trois mois, période de s
s les mois consécutifs, (période de cure active pendant trois mois,
période
de soutien. la suite), représentent la thérapeu
NÉVRALGIE FACIALE. 257 Il arrive en effet bien souvent qu'après la
période
d'amé- lioration qui se montre presque toujours
ur affirmer que cette comparaison n'est plus possible même dans les
périodes
les plus douloureuses. « Ce ne sont plus des éc
ersonne donnée, de façon à finale- ment constituer l'histoire d'une
période
de sa vie, ainsi que nous, médecins, établisson
ilton. {Médical Record, 28 décembre 1901.) L'auteur applique à la
période
présénile les vues déjà émises à la phase prépa
ctique et à l'hygiène du travail intellectuel des gens arrivés à la
période
critique de l'insénescence prochaine. XLVIII. C
ène progressa encore. Dans le cours de la maladie on nota plusieurs
périodes
d'exacerbation de l'ataxie, de sorte que, quatr
rs de maladie, caractérisé par l'in- constance de symptômes dans la
période
primordiale de la maladie et par l'échange subi
ble. Elle s'émotionne et pleure facilement. Elle se trouve dans une
période
d'irrégularité menstruelle, due vraisemblable-
séance, qui a progressé, mais très lente- ment jusqu'à la 30°. Les
périodes
menstruelles d'avril, mai, juin, sont marquées
presque entièrement cédé. Du 19 au 26 décembre elle a encore eu une
période
assez pénible. Du 10 au 25 janvier 1902, nouv
eu une période assez pénible. Du 10 au 25 janvier 1902, nouvelle
période
très pénible due peut- être à la constipation i
l est arrivé à la malade d'être en proie à ces douleurs pendant une
période
continue parfois très longue, mais cette allure
s ont presque complètement disparu. En septembre, il se produit une
période
douloureuse. A la fin de septembre, on cesse le
ela à titre préventif. Les règles d'octobre ont été précédées d'une
période
doulou- reuse de quelques jours, mais qui a ces
sant à titre prophylactique quelques séances tous les mois avant la
période
menstruelle, et depuis cette époque, elle n'a p
, les règles de septembre 190t et de mars 1902. Toutes les autres
périodes
se sont passées sans douleur appréciable. Ces.
se survient qui augmente insensiblement d'intensité et arrive à une
période
d'acmé qui dure une minute entière. Puis la doule
eaucoup moins longues qu'autrefois, les douleurs moins intenses. La
période
menstruelle n'a amené cette fois aucune recrude
ion est surtout très caractérisée à partir de la fi0°. Le 17 avril,
période
douloureuse qui dure jusqu'au 25, et depuis lor
ignent peu à peu pour ne revenir qu'à intervalles très espacés. Une
période
douloureuse a pu être notée du 10 au 21 juillet
ues séances de qua- rante-cinq minutes ou une heure de durée, cette
période
doulou- reuse se calme; les douleurs deviennent
le malade est en proie à sa névral- gie qui ne cède que pendant des
périodes
de deux à trois mois. En mai 1900, la douleur c
eux fugitifs. Mais depuis le l'le août 1900 jusqu'au 15 octobre, la
période
algique fait de nouveau son apparition. Les cri
uis un certain temps. Il nous fait* remarquer qu'il a déjà eu des
périodes
complètement dépourvues de crises et que la plus
odes complètement dépourvues de crises et que la plus longue de ces
périodes
a été de cinq mois. Revu six mois après, en fév
forme grave que présente ce malade, il existe de temps à autre des
périodes
où apparaissent de petites crises d'un caractèr
joue. On constate au moment de l'accès et seulement pendant cette
période
, une hyperesthésie marquée du côté malade. La fac
ouleurs avaient une durée variable, mais présentaient cependant une
période
de calme, elle-même plus ou ou moms longue. Six
ongue. Six mois après, ces douleurs disparaissent, et pendant cette
période
de rémission la malade se marie. Réapparition d
un an environ. Ensuite nouvelle rémission entrecoupée de quelques
périodes
douloureuses seulement. A partir de 1893 retour
évralgie. Depuis 1893 les douleurs n'ont pas cessé, il n'y a pas de
périodes
de rémission sauf en été pendant deux mois enviro
ayant subi depuis plusieurs jours une recrudescence marquée ; les
périodes
de rémission n'ont jamais été absolument calmes,
émission n'ont jamais été absolument calmes, il y a toujours eu des
périodes
de névralgie atténuée. Elle s'est fait arra- ch
nte, rougeur des paupières. L'épiphora n'apparaît plus que dans les
périodes
très violentes. Bien entendu la malade a épuisé
sont fixées à la région frontale. Ces douleurs sont continues avec
périodes
d'exacerbation, consistant en élance- ments qui
et de délire en rapport avec des illu- sions, qui reviennent à des
périodes
régulières et ne varient point. ' L.-F. ARNAUD.
e compression cérébrale générale disparurent pour faire place à une
période
psychique caractérisée par des troubles de la R
bre, la fillette fut atteinte d'un typhus abdominal assez grave, la
période
fébrile dura à peu près trois semaines. Dans la
grave, la période fébrile dura à peu près trois semaines. Dans la
période
de la chute de température les accès convulsifs r
vomissements et de ralentissement du pouls. Mais avec le temps les
périodes
d'exacerbation devinrent de plus en plus rares
de temps après de l'abducteur gauche. L'échange à tour de rôle des
périodes
de l'exacerbation des symp- tômes principaux av
des périodes de l'exacerbation des symp- tômes principaux avec les
périodes
de rémissions ici aussi ressort au premier plan
lui des hommes aliénés ; d'après les données de la Clinique pour la
période
de temps sus-indiqué, le rapport du nombre de m
atériel de la Clinique psy- chiatrique de Saint-Pétersbourg dans la
période
de temps de 1870-1890 a trouvé parmi 1323 malad
e, être supprimé. Tout le monde sait qu'il y a dans l'épilepsie une
période
où le malade est parti- culièrement irritable :
Les phénomènes sus-décrits commencèrent à se développer en 4889. La
période
initiale de la maladie était signa- lée par un
hommes aux obsessions dans la proportion de z 2 et quec'est dans la
période
moyenne de la vie, entre vingt et quarante-cinq
observations se rapportent à des paralytiques généraux avéré» à une
période
peu avancée de leur maladie. Quelle est donc l'
ue ne peut être mis en cause. Chez les paralytiques géné- raux à la
période
de cachexie, l'oedème permanent, s'accompagne d
s paralytiques généraux présentent des oedèmes non symétriques à la
période
de début. Je me rallie complètement à la théori
es supérieurs. Je ne pense pas toutefois qu'ils se présentent à une
période
aussi précoce. 548 SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ
ivers nerfs cérébraux. Cas 1. Malade K ? de soixante-cinq ans. La
période
initiale de la maladie est apoplectique. Au déb
tegmentum du pont de Varole. Cas Il[. Malade, de quarante-deux ans.
Période
initiale apo- plectique de la maladie. Au début
es à de grandes oscillations de leur état intensif et extensif. Des
périodes
de régression alternent avec des périodes d'acc
intensif et extensif. Des périodes de régression alternent avec des
périodes
d'accroissement, même si l'affection date de long
imites naturelles qui bien que fort élastiques la placent entre une
période
de réaction à manifestations multiples et une p
ent entre une période de réaction à manifestations multiples et une
période
d'écroulement, indice d'une tare patho- logique
L'auteur ne connaît qu'un seul asile où ce sys- tème ait franchi la
période
d'expérimentation pour entrer en fonc- tionneme
n est pas de même pour nos malades, chez lesquels on peut suivre,
période
par période, l'évolution des grandes attaques,
de même pour nos malades, chez lesquels on peut suivre, période par
période
, l'évolution des grandes attaques, depuis longt
es attaques : Prodromes et aura; Convulsions présen7 tant les trois
périodes
: épileptoïde, clonique et déli- rante de l'hys
de phénomènes d'importance secondaire et par la durée des diverses
périodes
, parfois très fugaces et presque insaisissables
par quelques petites se- cousses tétaniformes d'un côté. Dès cette
période
de rigi- dité, nous avons quelquefois vu le mal
la main entre la colonne lombaire et le plan du lit. Cette première
période
ne s'accompagne pas d'écume ni dc stertor. La d
lement relever les bras qui restent appliqués le long du corps. (
Période
épileptoïde) . 2° P. clonique (clownisme). Ensu
peur (souvenir du fait de Berck). Pas de visions d'animaux. A cette
période
, l'enfant parait comprendre ce qu'on lui dit, m
n'est pas besoin d'insister pour faire recon- naître dans les trois
périodes
que nous venons de décrire, les trois périodes
aître dans les trois périodes que nous venons de décrire, les trois
périodes
épileptoide, clonique et délirante de la grande
re. 27 janv. Début des attaques à une heure de l'après-midi. 1 le
période
. Chute, puis rigidité générale, surtout mar- qu
ans. Cet état de tétanisme généralisé dure environ une minute. 2e
période
. (Clownisme). Après un moment de calme très cou
ode. (Clownisme). Après un moment de calme très court, commence une
période
de grands mouvements pendant laquelle l'enfant
angue pend au dehors de la bouche, mais elle n'est pas mordue. 3e
période
(Délire). Après ces contorsions, l'enfant exé-
ossible d'ouvrir la bouche. Ainsi nous sommes ramenés à la première
période
(rigidité, cligne- ments des paupières, etc.),
iode (rigidité, cligne- ments des paupières, etc.), et une nouvelle
période
clo- nique ne tarde pas à se produire. L'inte
. Il n'y a pas d'écume ni de stertor. Ainsi se trouve constituée la
période
épileptoïde, qui est suivie d'un repos très cou
la période épileptoïde, qui est suivie d'un repos très court. 2°
Période
clonique, caractérisée par de grands mou- vemen
re de l'enfant devient souriante. ' - Dans une autre attaque avec
période
épileptoide éga- lement suivie d'une période cl
une autre attaque avec période épileptoide éga- lement suivie d'une
période
clonique à grands mouvements, l'enfant exécute
quelques secondes dans cette position. - Dans d'autres attaques, la
période
de délire est très net- 42 2 HI STÉRO-IsPILEPSI
e reparaît et tout se borne à une seule attaque. Il n'y a pas eu de
période
de délire. Une autre attaque produite dans les
taques, exactement analysées, reproduisent tout à fait les diverses
périodes
de l'attaque hystérique connue. Chez lui comme
t accentuées ; tantôt réduite aux deux premières ou même à la seule
période
épileptoïde main- tcs fois enregistrée pour un
de meilleurs résultats, nous avons entrepris, à Bicêtre, durant une
période
de deux mois, une série d'expériences sur des é
nt anes- thésique ne provoquerait pas de toux ; il existerait une
période
de convulsions toniques ; enfin, la résolution
a presque toujours été, comme le pouls, un peu accélérée à la même
période
; jamais elle ne s'est trouvée gênée notablemen
nu par des aides, qu'on voyait survenir la résolution et bientôt la
période
du délire ; il y avait eu,en définitive, avorte
tenus ont été extrêmement différents. L'inhalation commencée dès la
période
toni- que a, dans trois cas, produit en quelque
peuvent quelquefois être en- rayés en donnant le médicament dès la
période
tonique ; le plus souvent l'inhalation reste sa
mure d'éthyle, administré en inhalations quotidiennes pendant une
période
d'un à deux mois, diminue très notablement la f
es qui l'entourent. C'est ainsi que, le 31 septembre 1876, dans une
période
d'exaltation extrême, le malade se lève furieux
inhalation, mais presque toujours ces accès restèrent limités à la
période
tonique. Il y avait, en somme, une amélioration
tre, que les malades qui appartien- nent à cette catégorie, ont une
période
difficile à passer, dans laquelle les accès son
y resta toujours aussi turbulente et difficile à sur- veiller ; ses
périodes
d'agitation devenaient plus fréquentes, sou- ve
s instincts avaient disparu ; l'enfant ne présentait plus que des «
périodes
d'excitation ». Son inlel- ligence, faible, cst
articulier : Marcelle ? 12 ans, « atteinte de débilité mentale avec
périodes
d'excitation par intervalles » (,1. Voisin), qu
urricière en est enchantée. Lucienne... Il ans, débilité mentale et
périodes
d'excitation. Onanisme ». Placée à Usmery avec
t à moins de responsabilité. D'un autre côté, ces enfants en pleine
période
de déve- loppement, consomment une quantité de
e si elle était persistante, ne disparaît-elle pas bientôt pour une
période
souvent très longue ; car elle est sans rapport
intervention particulière des vaso-dilatateurs. En dehors de cette
période
, l'action de ceux-ci serait pour ainsi dire nulle
3° Homme de 38 ans; les réflexes patellaires varient d'abord par
périodes
d'un mois environ; puis, pendant les 3 derniers m
issent que dans certains mois (surtout février à mai), et, dans les
périodes
intermédiaires, il y a souvent des paresthésies
s fréquent, il se rencontre surtout dans la forme catatonique, à la
période
de début. Les ictus appartien- nent-ils en prop
t-ils des cir- culaires frustes pour qui l'involution constitue une
période
critique Il est à noter que les accès de manie-
lytiques généraux qui ne sont en réalité que des intermittents à la
période
d'involution ;c'est là,dit M. Ducosté, un cas d
double forme sont des cas ' de folie intermittente dans lesquels la
période
normale a été prise pour une période de dépress
intermittente dans lesquels la période normale a été prise pour une
période
de dépression,et le diagnostic peut en présenter
elle une cause de danger ; à ce point de vue nous sommes dans une
période
de transition du système pénitentiaire et la spéc
chambre ; ? en attaques d'hys- térie le plus souvent limitées à la
période
délirante. Ces crises délirantes, extrêmement f
rariété de famille, tomba en condition seconde. Pendant toute cette
période
, elle eut des crises convubiles et délirantes alt
, elle eut des crises convubiles et délirantes alter- nant avec des
périodes
de calme et d activité, en apparence normale. L
l ressort très nettement des écrits de la malade que c'est dans une
période
d'état second, de somnam- bulisme délirant en u
atologie de l'hystérie s'épanouit sous toutes les for- mes ; 2° les
périodes
intercalaires où domine la neuras- thénie pure
t conscience de leur caractère immoral et répréhensible. Dans les
périodes
d'hystérie, tout change : une deu- xième person
ique de cette affection est de se reproduire par accès. Quant aux
périodes
intercalaires, quelquefois très longues, qui sé
e ne crois pas qu'au cours de cette affection il puisse exister des
périodes
de rémission et de lucidité complète. 138 CON
ises de dépression mélancolique, entre lesquelles on retrouve des
périodes
de suractivité productive, avec expansion de l'hu
lles il composa des centaines de lieder : entre les crises, longues
périodes
d'inactivité et de silence musical absolu. Ces
durant la première phase des troubles men- taux. Durant la seconde
période
, les phénomènes d'excitation ont tenu la plus g
oissons alcooliques et eut de la confusion mentale après une courte
période
prodromique de mélancolie anxieuse avec tentati
rurent et la confusion mentale alla en s'atténuant peu à peu. Deux
périodes
de traitement par l'iodothyrine en cachets à do
nues et réprimées par les lois d'airain de l'ordre établi, dans les
périodes
qui pré- cèdent les grandes révolutions morales
olutions morales, sociales et politiques. Elle n'appartient pas aux
périodes
de décadence des peuples. Elle se manifeste che
ns les dernières années de sa vie (phase présénile, il arrive à une
période
moins aiguë, moins intense avec quel- que chose
ouci les dramati- ques événements de sa vie d'autrefois. C'est la
période
où il écrit son dernier ouvrage : les «Rêve- ri
nérale. M. minou (Moscou) représente au tableau par un schéma les
périodes
de syphilis simple chez les malades et celles de
hilis tabétique. Il donne du mercure naturellement dans la première
période
, mais il tâte le terrain dans la seconde, dans
, le ccivcau présentait un aspect rosâtre, tandis qu'au cours de la
période
clonique, l'écorce cérébrale avait une colorati
s étant encore très incomplets, l'auteur a dû les grou- peren trois
périodes
caractérisées chacune par le processus histogé-
térisées chacune par le processus histogé- nétique prédominant : 1°
Période
de préparation (les deux premiers mois, avant l
rticale ; multiplication des cellules ; déblaiement des voies) ; 2°
Période
de différenciation, jusqu'à la moitié de la vie
différencie des couches in- ternes plus voisines de l'épendyme ; 3°
Période
de stratification (2e moitié de la vie foetale
ennent adultes et constituent des cou- ches différenciées. A chaque
période
sont rattachées, en des para- graphes distincts
de entre en crise ou subit son vertige. On a signalé, pendant cette
période
, des paralysies di- verses et passagères des mu
ns une aqua- « relie à la sépia. » L'anesthésie chromatique de la
période
d'aura pré- sente des caractères qui ont été mi
même, chez plusieurs, l'alimentation a été défectueuse à plusieurs
périodes
comme à la phase terminale de la ma- ladie. (
é- sions immédiates développées au. moment même et au cours de la
période
d'état de la maladie ; atrophie du neurone avec
se modérée, mais il s'agissait à vrai dire de malades arrivés à une
période
terminale et chez lesquels là lymphocytose pouv
des auteurs que si le processus anatomo-pa- thologique existe à la
période
confirmée de la démence LÉSIONS ANATOMIQUES ATT
tat d'une méningite chronique ancienne ; c'est l'aboutis- sant, la
période
terminale d'une maladie. A l'époque où le diagn
effectivement un poste dans un de ces établissements pendant une
période
d'au moins deux ans. Art. 3. Les conditions du
pé effectivement un poste dans un de ces établissements pendant une
période
d'au moins deux ans etqu'ils n'aientpas dépassé
entales. Au début cela fut évidemment difficile ; nous avons eu une
période
de transition du restraint au no-restraint pend
ment le territoire du nerf frontal, survenue spontanément après une
période
de vives douleurs névralgiques. Ce type morbide
ésie est plus complète en- cote ; elle s'étand non seulement sur la
période
remplie par le dé- lire mais encore sur l'idée
sur les symp- tômes isolés,mais sur les états hystériques, sur les
périodes
de la vie pendant lesquelles se groupent un gra
lysie aussi momentanée de tous les muscles qui se manifeste par une
période
de dépression absolue, d'inertie,de archives, :
n courant continu, ayant 110 interruptions par minute et à 1 /10 de
période
, comme cela est expliqué dans ma thèse de Paris,
s au niveau des membres inférieurs. A partir du quatrième mois à la
période
de paraplégie flaccide, succéda une période de
du quatrième mois à la période de paraplégie flaccide, succéda une
période
de paraplégie spasmodique que l'on constate act
de 1897 à 1906 a été de 253. la moyenne des sorties durant la même
période
n'a été que de 113 ; celle des décès a été de 1
été, depuis cette époque, de 237. 2 °'o tandis que, durant la même
période
, la populatioq ne s'augmen- tait que de 77.5. %
ur lui aucune impression particulière. Chose à noter que dans cette
période
de sa vie le malade ne faisait aucune attention
iques dans son enfance, et il n'est pas difficile de voir que cette
période
rudimentaire de développement de l'anomalie est
de développement de l'anomalie est tout à fait analogue à la même
période
de développement des tendances se- xuelles norm
ésique prématurément et peut- être trop intensivement développé. La
période
suivante d'abstinence involontaire, après le dé
iculière d'associa- tions psychiques, notre malade a passé toute la
période
de sa puberté dans un milieu où de pareilles ch
supérieure). Pourtant on ne peut nier la coexistence fréquente, aux
périodes
avancées de la pégé de l'im'm. réfl. et des lés
n jour entier ». Elle paraît avoir traversé, il y a quinze ans, une
période
vaguement délirante, réduction de son état actu
durée à trois jours et qui en tout cas a dé- passé 36 heures. Cette
période
de narcose semble s'être installée brusquement
. Cette période de narcose semble s'être installée brusquement sans
période
initiale d'excitation motrice, ni de dé- lire.
avoir une même origine.Nous pro- posons cette hypothèse : durant sa
période
de narcose la malade est tombée de son lit ; ap
origine centrale. Le lecteur se rappelle sans doute que durant sa
période
de nar- 342 CLINIQUE MENTALE. cose, notre mal
labeur à l'insuffisance des ressources de la maison. Durant cette
période
, ils ont de nouveau deux enfants, l'un d'eux, le
us de 6 mois dans aucu- ne d'elles; cette situation occupe toute la
période
qui va de juillet 1903 à juillet 1907. En décem
unissant deux cellules, qu'il aurait sou- vent rencontrées à cette
période
du développement (13e Réunion des neurologistes
t avec les courbes de fatigue,afin d'intercaler au moment utile des
périodes
de repos entre les périodes d'effort ; ils aura
e,afin d'intercaler au moment utile des périodes de repos entre les
périodes
d'effort ; ils auraient besoin de savoir aussi
a soudure de ses cartilages s'est faite de très bonne heure dans la
période
de croissance. F. TissoT. LV. Obésité familiale
hypnose et le moment où le cerveau reprend ses fonctions, il y a la
période
des rêves incohérents, qui peut se prolonger av
ntéressantes dont nous nous occuperons maintenant. A une certaine
période
de la maladie, les symptômes névritiques, chez
fussent consommées, mais on ne peut pas préciser la durée de cette
période
. Quoi qu'il en soit, le diagnostic de la maladi
oins courte, pour se terminer par la mort, après l'une on l'autre
période
, ou parla guérison. Ici, il n'y a qu'une période,
s l'une on l'autre période, ou parla guérison. Ici, il n'y a qu'une
période
, la période convulsive. Le nombre des accès a é
utre période, ou parla guérison. Ici, il n'y a qu'une période, la
période
convulsive. Le nombre des accès a été con- sidé
stitué et la mort peut arriver. (Fig. 1). Mais le plus souvent la
période
convulsive comprend nous le répétons un grand n
t. II. 28 434 CLINIQUE NERVEUSE. Dans d'autres cas, après cette
période
convulsive, les accès cessent, la connaissance
s'abaisse. Cette amélioration dure 2 ou 3 jours, alors éclate la
période
méningitique : contractures partielles, roideur
nue après 229 accès. Ici l'état de mal ne s'est com- posé que d'une
période
convulsive. REVUE CRITIQUE Grundzüge der Psyc
ations jouent le rôle principal, du moins à partir d'une cer- taine
période
, et, par leurs assauts répétés, hâtent plus ou mo
re 442 revue CRITIQUE. quelques-uns de ses caractères pendant des
périodes
plus ou moins longues : il arrive alors qu'elle
our le traite- ment des maladies nerveuses et des cas de folie à la
période
du dé- but où l'internement n'est pas possible.
mande s'il existait de la prédisposition. - - F. TrssoT. XIII. La
période
médico-légale prodromique de la démence pré- co
difier les habitudes.Si bien que nous n'en sommes encore qu'à cette
période
enfantine où l'on croit que « péché caché est à
raticiens devront justifier de l'occupation effec- tive pendant une
période
d'au moins deux années d'un poste, soit dans le
des Vieillards matériaux recueillis, chemin faisant, pendant cette
période
de recherches, s'étaient accumulés en grand nombr
st arrivé à reconnaître que tantôt la maladie parcourt rapidement les
périodes
successives quelle doit traverser, pour atteindre
rtant, il nous est donné de suivre ici les malades pendant une longue
période
de leur existence, au lieu d'assister à un simple
actères les plus géné-raux des maladies qui surviennent à la dernière
période
de la vie. I. L'importance d'une étude spécia
d. On sait que, d'après Ros-tan, cette altération, si fréquente à une
période
avancée de la vie, loin d'être le résultat d'un t
WZ 7 CHA ris skrictus, qui domine à peu près exclusivement dans la
période
de décrépitude. L'émaciation dont il s'agit est
, qui nous met le plus souvent sur la voie du dia-gnostic, aux autres
périodes
de la vie, peut manquer com-plètement chez le vie
n évolution, et de comparer, sous ce rapport, cet âge avec les autres
périodes
de la vie. Mais nous aurons surtout à cœur de vou
admi-nistré en potion à la dose de 120 grammes. Pendant la pre-mière
période
de la maladie vous voyez la température s'a-baiss
reconnaître chez les vieillards l'exploration thermométrique dans la
période
de déclin de l'état fébrile, ou, comme on dit en
ssieurs, Dans la dernière conférence, nous avons vu qu'à toutes les
périodes
de son évolution, la goutte coïncidait avec un ex
ntre même de cette sur-face, pour s'éloigner de la synoviale. A une
période
plus avancée de la maladie, quand l'état chro-niq
umatisme articulaire chronique. Ces masses crayeuses, à la première
période
de leur évolu-tion, sont d'une consistance molle
er l'anthélix, ou la face interne du pavil-lon ; ils traversent trois
périodes
dans leur évolution ; d'abord mous, ils se durcis
se déclarent en général à la fin de l'hiver (Trousseau). Enfin, la
période
intermédiaire se réduisant de plus en plus, les a
ution, qui a été fort bien décrite par Moore, en 1811, comprend trois
périodes
. À la suite de l'accès (1), clans un intervalle d
r la peau, ainsi que l'avait observé Gcelius Aurelianus. A la seconde
période
, ces dépôts se solidifient et prennent la forme d
accès, et même dans l'intervalle des attaques. Enfin, à la troisième
période
la peau s'ulcère et livre passage à des quan-tité
uentes dans la goutte, et deviennent presque la règle, à une certaine
période
de la maladie. Elles sont rares, au contraire, da
ang des goutteux (3), dans la sueur et dans les urines, en dehors des
périodes
où se manifeste la 1. Scudamore, loc. cit., p.
tensité des phénomènes ; une transition insensible nous conduit de sa
période
initiale à son apogée et à son déclin. La termina
Embolies capillaires. — Lésions de canalisation. — Etat typhoïde. —
Période
chronique de la maladie. — Affections multiples q
n'attendent guère, pour semanifester, que la maladie ait traversé sa
période
initiale. Il ne s'agit plus ici de troubles purem
sente une réaction sem-blable à celle du mucus. Telle est la première
période
de la maladie. Fig. 17. — Endocardite aiguë. Co
Lehrb, der pathol. Gewelebehre. Leipzig 1866, p. 186. A la seconde
période
, les mamelons ont quelquefois acquis une organisa
scéral. Thèse de concours pour l'agrégation, 1866, p. 28. trentà la
période
chronique de la maladie. Le travail phleg-masique
tisme chronique, la néphrite albumineuse est assez fréquente dans les
périodes
avancées, d'après les recherches que j'ai entrepr
qui se rattachent à l'état général. Arthropathies. A la première
période
, les fohénomçnes ? artiçùTtSwfes, si l'on fait ab
ère, et quel-quefois permanente, des membres affectés. A la seconde
période
, des désordres permanents se sont dé-veloppés. La
chez de jeunes sujets ; bien au contraire, on la constate souvent aux
périodes
moins avancées de la vie; et c'est là un point qu
-contestable. — Statistiques empruntées à divers auteurs. — Age. — La
période
classique du rhumatisme aigu s'étend de quinze à
e à trente ans. — Le rhumatisme chronique se rencontre surtout à deux
périodes
de la vie : de vingt à trente ans et de quarante
à l'étude, et je ne saurais me prononcer là-dessus. III. Age.— La
période
classique du rhumatisme articulaire air/u s'étend
isme noueux, nous avons démontré, M. Tras-tour et moi, qu'il est deux
périodes
dans la vie où l'on est plus particulièrement exp
uelle, la maladie n'éclate pas brusquement; il y a lopins souvent une
période
d'incu-bation, pendant laquelle les sujets n'épro
n sait aussi que souvent le rhumatisme chronique se développe à cette
période
de la vie. 1. Voyez à ce sujet la discussion qu
cas de pneumonie lobaire observés à la Salpêtrière, et où, pendant la
période
d'état, les maxima ont plusieurs fois dépassé 40°
ns lesquelles il y a une ascension lente et progressive. b) Dans la
période
d'étal, la température parvenue à un certain nive
ications qui résultent de l'emploi des médicaments. c) La troisième
période
se traduira par uue courbe diffé-rente, suivant q
use ou, au contraire, fatale. Dans le premier cas, on observera une
période
de déferves-cence de bon aloi, emi sera parfois p
beaucoup plus rare chez le vieillard qu'on ne l'a prétendu. Dans la
période
pyrogénétique, l'ascension est lente et sac-cadée
la période pyrogénétique, l'ascension est lente et sac-cadée. Dans la
période
d'état, les oscillations diurnes sont as-sez gran
e dans certains cas. La température peut rester abaissée, pendant une
période
de temps souvent longue, à 36 degrés ou au-dessou
t vers le soir, et la mort eut lieu tout-à-coup. Pendant cette longue
période
lipothymique intermédiaire aux deux syncopes, les
symptômes peut se montrer à toutes les époques de la maladie. Dans la
période
d'état, l'apparition du collapsus résulte le plus
plupart des cas, nous n'avons assisté ni au début, ni auxpremiôres
périodes
de l'affection. Les nodosités reconnaissent des
tails ; Tableau, des jointures le plus souvent affectées pendant la
période
d'état, sur 40 cas. Articulations des phalanges
ellement ; l'une d'elles allaita son enfant, bien qu'elle fût dans la
période
d'accroissement de la maladie, et déjà percluse d
vations III et V). Beaucoup de nos malades ont conservé, pendant la
période
.d'état, de l'embonpoint et toutes les apparences
ements sont devenus impossibles. On remarque généralement durant la
période
, souvent très longue, qui précède les rétractions
ermis de suivre pas à pas l'envahissement successif des jointures. La
période
d'in-vasion peut durer un an, trois ans, six ans,
ès rapide ; on peut, dans la seconde et dans la troisième, suivre une
période
d'invasion bien dessinée. Observation lï. — Gra
chambre, âgée de quarante ans. Bâtiment Saint-Jacques, 2° dortoir (
période
d'invasion bien dessinée). — Cette malade assure
pendant trois ans sans pouvoir se lever. Jamais, même au début, de la
période
d'état elle n'a eu de fièvre ; elle n'a pas cessé
la maladie. Ainsi 3 femmes seulement sur 33 furent prises pendant la
période
de la menstruation régulière. De ces 3 femmes, 2
le-ment avaient dépassé 60 ans. D'où cette conclusion : il y a deux
périodes
dans la vie, où se montre principalement le début
vie, où se montre principalement le début de la maladie ; la première
période
s'étend de 20 à 30 ans ; la seconde de 40 à 60 an
premiers symptômes, et s'il existe, comme dit Haygarth, une sorte de
période
d'incubation. 16 malades seulement ont pu nous do
mi-flexion légère, beaucoup moins incommode. Pendant cette sorte de
période
d'acuité, elle n'a pas cessé d'être réglée. Elle
ations tibio-tar-siennes, et aux deux articulations du poignet. Cette
période
d'acuité dure huit jours environ, pendant lesquel
membes supérieurs qui sont le siège des douleurs, à cotte nouvelle
période
de la maladie; c'est alors qu'il commence à aperc
fection habituelle des articulations, qui est dans ce moment dans une
période
, de rémission ; 2° une affection pectorale. Voici
l'empereur Na-poléon Ie'', et peut-être a-t-elle vécu, pendant cette
période
de sa vie, relativement dans l'aisance. De son ma
être l'état atrophique et granuleux du rein tenait-il uniquement à la
période
avancée de la maladie où étaient mort ses malades
érations rénales fait par M. Dickin-son (1), dans les autopsies d'une
période
de dix ans, à l'hô-pital Saint-Georges, à Londres
ulations tibio-tarsiennes et aux deux articulations du poignet. Cette
période
d'acuité dure huit jours environ, pendant lesquel
ut les mem-bres supérieurs qui sont le siège du mal, à cette nouvelle
période
de la maladie. C'est alors qu'il commence à aperc
affection habituelle de l'articulation qui est en ce mo-ment dans une
période
de rémission ; 2° une affection pectorale. Voic
que les articulations des membres supérieurs sont encore, dans cette
période
ultime, plus souvent et plus profondément affecté
la poitrine, — dans certains cas d'urémie et, en particulier dans la
période
dite typhoïde du choléra asiatique, est constitué
e art"u-uluire chronique chez la femme. — Il y a chez les femmes deux
périodes
de la vie où le rhumatisme articulaire chronique
laire chronique généralisé éclate de préfé-rence : la première de ces
périodes
s'étend de vingt à trente ans, la seconde de quar
t. Iff, p. 302). La néphrite albumineuse n'est pas très rare dans les
périodes
avancées du rhumatisme articulaire chroni-que gén
uleusc grossie 150 fois.) Fig. 4. — Cette figure est relative à une
période
de la dissolution de ces dépôts, sous l'influence
—Embolies capillaires. — Lé-sions de canalisation. — Etat typhoïde. —
Période
chronique de la ma-ladie. — Affections mutiples q
contestable. — Statistiques empruntées à di-vers auteurs. — Age. — La
période
classique du rhumatisme aigu s'é-tend de quinze à
e à trente ans. — Le rhumatisme chronique se rencontre surtout à deux
périodes
de la vie : de vingt à trente ans et de quarante
de dix-sept ans, les attaques ne se renouvellent pas, mais, à cette
période
de son existence, elle éprouve un jour une cont
tantôt on constatera un repos d'une ou plusieurs minutes, tantôt la
période
d'accalmie sera seulement de quelques secondes.
aient jamais complètement disparu; les parents ont bien noté deux
périodes
de calme relatif, chacune de quelques semaines de
à des malades dont les accès choréiques étaient entrecoupés par des
périodes
de calme absolu. Si de ces particularités nous
face. La ténacité de l'affection est mise en évidence par la longue
période
écoulée depuis le début de la maladie. L'appari
trine de la Salpêtrière. En effet, notre malade, pendant une longue
période
de sa maladie, aurait représenté un type parfait
18 mai 1892. - Vilm... Poids : 50 kil., 5, âgée de dix-huit ans.
Période
de calme. Urines intercalaires. - Pour ses accè
Pendant la série, cet abaissement persiste moins marqué que dans la
période
pro-paroxyslique. La courbe tend déjà à se rele
u de Hug...), mais néanmoins, la toxicité la plus faible répond aux
périodes
proe-convulsives, la plus forte aux périodes po
plus faible répond aux périodes proe-convulsives, la plus forte aux
périodes
post-convulsives. S° La toxicité urinaire en de
ous de la normale. Les expériences que nous avons faites pendant la
période
du délire nous montrent aussi qu'un malade suje
limination de ces pro- duits. En effet, avant l'accès et pendant la
période
paroxystique, les urines sont hypotoxiques, ce
es mentaux et phy- siques que présentent les malades au début de la
période
pré- paroxystique et l'accumulation de ces toxi
de pré- paroxystique et l'accumulation de ces toxines explique la
période
paroxystique avec son hypotoxicité urinaire et so
son hypotoxicité urinaire et son état gastrique. A la fin de cette
période
paroxystique, on signale de la polyurie, de la
de ces accès elle fit deux tentatives de suicide. A cette première
période
de l'affection en a succédé une seconde, caract
l. 0 L'auteur en montre un cas chez un héréditaire présentant des
périodes
d'excitation et de dépression avèc idées de persé
érébrale ramollie, lésions d'une paralysie générale arri- vée à une
période
avancée et que ne pouvait faire soupçonner l'état
encore succession de ces stades. Pronostic favorable, même dans la
période
de démence. C'est une psychose d'épuisement, pe
emeure des mois limitée à la substance nerveuse, 'ce n'est qu'à une
période
avancée que le tissu conjonctif est atteint. Ch
hénomène n'apparaît qu'après les hallucinations, c'est-à-dire, à la
période
d'état de la maladie. L'opinion n'est pas encor
lucinations verbales psycho-motrices, et ce n'est qu'à une certaine
période
de son délire de persécution (période mégaloman
et ce n'est qu'à une certaine période de son délire de persécution (
période
mégalomaniaque) qu'on les voit apparaître et pr
pendant, l'évolution de son délire de persécution commençant par la
période
d'inquiétude, traver- sant la seconde phase, en
rodromique de dépression, puis le malade devient gai ou, s'il a des
périodes
de tristesse, celles-ci ne sont que passagères. C
aux anciens canaux et espaces médullaires de l'os décalcifié. A une
période
un peu plus avancée, ou découvre des îlots d'os
u nombre de deux cents); à Neinstedt on enverra, pendant cette même
période
de début, des idiots jusqu'à concurrence de six c
nservent, malgré leur cécité, la faculté de marcher jusque dans une
période
très avancée de la maladie. » Vous pourrez trou
, p. 180. 3 Axenfeld, loc. cil., p. 67. 3 Fournier. Leçons sur la
période
pré-alaxiquc du tabès d'origine syphilitique, 1
diaques, rénales et cérébrales de nature scléreuse, et de même à la
période
d'hypertension, au moment de l'asystolie et de
soulage d'une façon très évidente, quand on sait discerner à quelle
période
d'hypertension ou d'hypoten- sion en est le mal
f.. Le nommé B... est atteint de paralysie générale à la dernière
période
: complètement dément, gâteux, il ne quitte plus
tude chez les paralytiques généraux, même tout à fait à la dernière
période
de la maladie. La figure 20, prise trois semain
hobie, de l'état de la digestion, de la constitution, de l'âge, des
périodes
d'agitation (Obs. XXV111). 262 REVUE DE PATHOLO
te. Quelques jours après, il tombait dans un état mélancolique avec
périodes
d'exci- tation par intervalles, état qui nécess
ER s'étonne que les idées de persécution aient persisté pendant les
périodes
d'excitation. M. Séglas a observé une persécuté
Les cerveaux appartiennent tous au type humain, variant suivant, la
période
de la vie embryonnaire, où se produit l'arrêt d
es évolutionisles, car cette formation n'a jamais existé pendant la
période
historique de l'espèce humaine. § IX. Note SU
mmé pour trois ans, et il peut être renommé de nouveau pour la même
période
. Le candidat doit être docteur, n'avoir pas dép
compte. Ses réponses sont va- . gués quand on l'interroge sûr cette
période
initiale de la maladie. 11 raconte cependant qu
ble avait été suffisante po ur provoquer une paralysie brachiale.
Période
de méditation. On entend par ces mots la période
ralysie brachiale. Période de méditation. On entend par ces mots la
période
qui s'étend depuis l'apparition de la cause acc
s seize cas, il nous a été impossible de préciser la durée de cette
période
; dans les autres cas, les choses, ont été comme
plus tard que les mem- bres inférieurs diminuèrent de volume. A une
période
assez rap- prochée du début, la faiblesse et l'
e aussi considérable que parce que la myopathie, dans sa dernière
période
, s'est compliquée d'une lésion de vertèbres. Mais
t durait plus de dix ans. Cependant son cas ne présentait guère des
périodes
. L'observation de Nomolle (hémianesthésie hysté
nt avec chaque malade, varient aussi chez un même malade, selon les
périodes
de l'affection et sans qu'il soit possible, le pl
d ils existent, subissent des variations d'inten- sité aux diverses
périodes
de l'affection, les troubles' moteurs qui corre
ux, on peut dire qu'ils restent à peu près invariables à toutes les
périodes
. Les sujets sont tou- jours des émotifs, des hé
e commune et ne se développant, dans les cas typiques, qu'après une
période
plus ou moins longue de mélancolie anxieuse.
des malades, sauf les idiots et les imbéciles, ont eu, pendant les
périodes
graves du choléra, la notion exacte de leur sit
où elle paraît pouvoir peut-être se rattacher à la méno- pause. La
période
d'incubation est longue, souvent inobservée, et
ce d'une hallucination. Après une durée plus ou moins longue, cette
période
aboutit, pour quelques auteurs à la démence vra
et que l'on retrouve en germe dans les vagues appréhensions de la
période
prodomique de la paranoia chronique. C'est à ces
cun fait héréditaire notable; début de la ma- ladie à l'âge adulte;
période
d'inquiétude; période du délire de persécution
otable; début de la ma- ladie à l'âge adulte; période d'inquiétude;
période
du délire de persécution systématisé ; délire m
icités, émotivité, idées fixes; début de la maladie à l'âge adulte;
période
d'inquiétude ; délire de persécution systématis
rée cinq ans. III : Hérédité légère, début à l'âge adulte; longue
période
d'incubation; délire de persécution systématisé d
nconnue; début il y a cinq ans, à l'âge de trente-six ans; première
période
inconnue; délire de persécution systématisé; de
ité légère, début de la maladie à l'âge adulte, il y a quatre ans ;
période
d'incubation assez longue; période de persécuti
'âge adulte, il y a quatre ans ; période d'incubation assez longue;
période
de persécution; période de grandeur; confusion me
re ans ; période d'incubation assez longue; période de persécution;
période
de grandeur; confusion mentale. VII : pas d'hér
édité ; développement de la maladie à l'âge adulte (novembre 1885),
période
d'incubation ; période de gran- deur suivie par
e la maladie à l'âge adulte (novembre 1885), période d'incubation ;
période
de gran- deur suivie par une longue période de
période d'incubation ; période de gran- deur suivie par une longue
période
de rémission, réelle ou appa- rente ; période d
suivie par une longue période de rémission, réelle ou appa- rente ;
période
de persécution; mélange d'idées de grandeur; dé-
cas REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 391 dans lesquels manque une des
périodes
, spécialement celle de grandeur (obs. III), que
édominante de cette tourne, laissant de coté le mode de début et la
période
terminale, est le délire de persécution, qui mê
usses choréiques peisistent durant le sommeil dépend beaucoup de la
période
de la maladie sur laquelle porte l'observation.
consécutif à une vive émo- tion, mais le plus souvent il existe une
période
prémonitoire très tranchée, indiquant nettement
me une . grosse négligence de la part de l'administration. Dans une
période
412 VARIA. relativement courte plusieurs gran
er des journées ou même des mois entiers : il donne naissance à ces
périodes
de seconde exis- tence dont M. Azam a montré l'
te idée provocatrice qui ne se retrouve net- tement que pendant les
périodes
d'état second naturelles ou provoquées et c'est
n des malades, dément, gâteux, paraly- tique général à la troisième
période
, il y eut pendant deux mois une amélioration tr
venteur prétend qu'il guérit 95 p. 100 des ivrognes, mais, comme la
période
de traitement dure quatre semaines et que les m
rveuse, dans l'excitation surtout motrice, dans l'insomnie, dans la
période
d'exaltation de la folie circulaire, dans la pa
amnésie complète de l'accès et amnésie rétro- grade comprenant une
période
de trois mois et demi avant le jour où éclata l
mort subitement 464 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. au déclin d'une
période
d'excitation; le coeur était hypertrophié, gras
le, coeur très hypertrophié. Comme état mental : stupidité avec des
périodes
d'excitation caractérisées par REVUE DE PATHOLO
hyalins et granuleux. 2° Femme de soixante-sept ans, mélancolique,
périodes
de dé- pression alternant avec des périodes de
sept ans, mélancolique, périodes de dé- pression alternant avec des
périodes
de gaieté exhubérante. Urine pâle, acide, avec
de l'esprit du jeune D... Déjà, au cours de la démutisation, dès la
période
préparatoire dont nous avons parlé, l'oeil de c
connus. Telle est sommairement la marche suivie. dans la première
période
de l'enseignement logique du langage aux jeunes s
s diverses constructions synthétiques de la phrase et du rôle de la
période
dans le discours. » 40 THÉRAPEUTIQUE MÉDICO-P
x cas suivants : Dans le premier la maladie est déjà parvenue à une
période
avancée; il s'agitd'une femme de cinquante-cinq
indifférente. L'histoire des aliénés devrait déjà comprendre trois
périodes
: 1° celle des temps anciens, où ils étaient ab
blés dans des asiles spéciaux pour y être soignés ; et enfin, 3° la
période
actuelle de traitement réellement scientifique.
réellement scientifique. Malheureusement il ne peut y voir que deux
périodes
, la première barbare, la seconde actuelle d'int
os d'un fait clinique des plus intéressants (pendant une première
période
le malade semble atteint d'une paralysie ascendan
spondent. ' Je n'hésite pas à symboliser clans votre esprit cette
période
par le nom de Charcot, parce que son nom est insé
la physiologie elle-même et lui a imposé ses découvertes. C'est la
période
où s'établit cet immense chapitre des loca- lis
tre fréquemment aux chevilles, aux jambes, aux cuisses, à certaines
périodes
même il atteint le scrotum et les lombes. Il ex
ple. On y verra une jeune femme enceinte de deux mois. arrivée à la
période
de cachexie par suite d'un défaut complet d'ali
ez bien con- servés, la faiblesse augmente et la malade arrive à la
période
de cachexie, sans albumine cependant et sans te
ble : les malades deviennent alors emportés, violents, sujets à des
périodes
d'excitation accompagnée d'hallucinations. C'es
rectement à cette cause, était en moyenne de 713 par année, dans la
période
de 1866 à po ; il a été, en 1893, de 3 386. I
même temps, qu'elles soient courtes, moyennes ou longues ? A quelle
période
se prennent les fibres endogènes ? Les cellules
dans l'examen en coupes sériées de moelles tabétiques à diverses
périodes
de leur évolution; en d'autres termes, nous avo
lus tardivement. Cet envahissement des faisceaux endo- gènes, à une
période
plus ou moins avancée de la maladie, démontre q
ondaire, car il succède au processus primitif arrivé à une certaine
période
de son évolution (période de la disparition tot
processus primitif arrivé à une certaine période de son évolution (
période
de la disparition totale du tube nerveux). Les
endre que l'évolution des symptômes vienne faire la lumière. - A la
période
prodromique, la paralysie générale peut être so
athogénique que je soutiens : il a été prouvé, en effet, qu'à cette
période
de la vie le surmenage n'existait pas. Il en es
la pour deux raisons : la première, c'est qu'il n'apparaît qu'à une
période
beaucoup trop avancée de la maladie; la seconde
rale ; or, il est loin d'eu être toujours ainsi. On observe à la
période
prodromique de la paralysie générale une surexcit
aque, et qui ont versé ensuite dans la paralysie générale après une
période
déiirante plus ou moins longue, quelquefois mêm
par des convulsions épilepti- formes, des paralysies à la première
période
; la décadence intel- lectuelle initiale est moi
ante. L'histoire de l'hystérie infantile peut être divisée en trois
périodes
. Dans la première, les anciens reconnaissent qu
le petit garçon. Ils en parlent, mais sans la décrire. La seconde
période
est remplie par les travaux de la Salpêtrière,
ée sous ses formes non convulsives, et même larvées. La troisième
période
, qui chevauche un peu sur la précédente et arri
1888, époque de l'apparition de ce très important travail. Pour la
période
qui nous occupe en ce moment, Clopatt cite, à c
être classés dans l'épilepsie, la chorée, le nervosisme. Deuxième
période
. - Elle est tout entière résumée dans le nom de
elle était au moment où parut cet impor- tant travail. Troisième
période
. - En mars 1880 parut la thèse de Paris, ins- p
ent de la puberté, mais avant de disparaître elle est sujette à des
périodes
tantôt de rémission, tantôt d'exacerba- tion. E
olescence ou de la puberté, les névroses qui se développent à cette
période
de la vie doivent être distinguées de celles de l
besoin d'être vu tous les jours, même deux fois par jour pendant la
période
aiguë ; mais un épileptique dont le traitement
oute pour cette étude, attendons. (A suivre.) CLINIQUE MENTALE.
PÉRIODES
TERMINALES ET MORT DANS LES SOI-DISANT PARALYSI
ent par leurs terminaisons, comme elles se distin- guaient avant la
période
paralytiforme par leur symptoma- tologie premiè
pas eu même symptomatologie de début, même évolution, bien que la
période
paralytique ou paralytiforme affecte encore que
au HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 99U marasme et à la fin de cette
période
; 3° les paralysés généraux appartenant à la par
n'a pas encore atteint la vieillesse qui est, en un mot, en pleine
période
d'activité sexuelle. L'histoire de l'hystérie i
VENDÉE. 311 Celait la nuit; le lendemain matin, au coma succède une
période
d'agitation extrême, il faut l'aide de plusieur
e son affection, et il se porte beaucoup mieux que dans la première
période
de sa maladie. 1. - .HYSTÉRIE INFANTILE EN VE
otuliens furent abolis dès le commencement de la maladie. Après une
période
stationnaire qui dura environ six semaines, les m
ugmentation considérable de la pression artérielle, même pendant la
période
de ralentissement du coeur. REVUE DE PATHOLOG
oit par la rup- ture du coeur qui se produirait, surtout pendant la
période
toxique. En général, la rupture du coeur, comme
uit mois de la paralysie du moteur oculaire externe ; pendant cette
période
, atténuation de l'hémicranie, Deux ans après, h
c température élevée, céphalée intolérable, puis prostration. Cette
période
aiguë fut de courte durée ; mais les vomissemen
ébattant, d'avoir une large respiration qui ne vient pas. A cette
période
de crises, caractérisées par des étouffements,
s. A cette période de crises, caractérisées par des étouffements,
période
qui dure un mois, en succède une autre marquée pa
intéressants parmi ceux qu'il m'a été donné d'étudier pendant cette
période
de huit années, passée en Vendée, et avant tout
lument que les maladies susceptibles de frapper l'homme' à cette
période
organique de la vie, la méningite est fréquente
serait-il possible, que je ne le conseillerais pas à cette première
période
de la vie. Pour mon compte, je ne l'ai pas essa
r tous simultanément; elle a lieu successivement, durant une longue
période
. De ces neurones, les uns sont déjà arrivés à l
psychologique qu'elle exerce sur la race humaine. Si le jour est la
période
de l'activité énergique, la nuit est celle du r
ctuelle des angoisses qu'il a éprouvées pendant qu'il était dans la
période
d'accès ; il se souvient parfaitement de l'état
logiques. La grande -découverte qui a été faite dans cette première
période
est due à Nissl, qui a montré Archives, 2e séri
umulés dans les mailles du spongioplasma ; ce stade correspond à la
période
des spasmes rabiques ; mais la cellule ne peut su
table dans le tabes. Néanmoins, il reste indiqué dans la première
période
de la maladie encore en pleine voie d'évolution,
ntigrammes par vingt-quatre heures, par cures de dix jours, dans la
période
d'augment de la maladie ; SOCIÉTÉS SAVANTES. 4S
aiguës ou subaiguës, dans le tabes ; beaucoup moins utile dans les
périodes
franchement chroniques et plutôt nuisible dans
congestives qui précèdent et préparent les poussées scléreuses. Ces
périodes
sont surtout marquées, en clinique, par une rec
ormes spinales et myopathiques des atro- phies musculaires. A une
période
plus avancée d'atrophie myopathique primaire, o
ation : dédire, contractures et crises jack- sonniennes. Enfin, une
période
terminale de coma et de paralysie. Souvent une
une période terminale de coma et de paralysie. Souvent une ou deux
périodes
manquent, ou les symptômes, d'une marche capric
périmentale subaiguë par intoxication tétanique ; par M. H. Claude;
Période
réfractaire dans les centres nerveux; par MM. A
'étude du réflexe pharyngien étudié sur les mêmes malades aux trois
périodes
de la paralysie générale; par le Dr E. Marandon
ques diurnes; mais ils indiquent surtout que, en laissant à part la
période
de sommeil de minuit à six heures du matin, qui
révolution quotidienne, établir très nettement, d'une part, trois
périodes
minima de trois heures chacune, suivant immé- d
00 du nombre total des attaques quotidiennes; d'autre part, trois
périodes
maxima de trois heures chacune, pendant lesquelle
LINIQUE NERVEUSE. U3.G p. 100, 21,3 p. 100, soit ensemble, pour une
période
de neuf heures, 52.9 p. 100 du nombre total des
séries et dont les séries le plus souvent on\.-débuté pendant les
périodes
maxima. Aussi pouvons-nous dire, d'après ce que
e suivent une marche paral- lèle. Les urines examinées à la fin des
périodes
maxima de l'alcalescence sanguine, c'est-à-dire
in des périodes maxima de l'alcalescence sanguine, c'est-à-dire aux
périodes
maxima des attaques, ont presque constamment do
cence DU sang CHEZ LES épileptiques. 475 nombreuses que pendant les
périodes
antérieures. Elévation transitoire du degré de
avec fond mélancolique. Les attaques sont précédées d'une courte
période
de subexcitation et suivies d'une aggravation de
tous les quinze jours environ.Elles sont précédées et suivies d'une
période
d'excitation violente. Dans les intervalles la
total des attaques. Pendant la dernière quinzaine, pas d'altaques.
Période
d'excitation suivie de dépression. Augmentation
usieurs années. Imbécillité. Perver- sion des instincts. Fréquentes
périodes
d'agitation. Impulsions vio- lentes. État physi
s, ni après. Les injections ont toutes été pratiquées au cours de
périodes
maxima des attaques, et cependant, dans aucun c
91 galiques, dont l'intelligence garde son intégrité à toutes les
périodes
, notre malade a été prise, il est vrai, d'un accè
comme maladif. Cet état psy- chique était plus accentué pendant les
périodes
de digestion pénible. On sait l'influence de l'
après la guérison, ou, plus exactement dans notre cas, pendant .la
période
d'améliora- tion de la psychose. Avons-nous l
pratiqués pendant l'enfance avec plaisir. On distin- guerait quatre
périodes
. Une période, dite d'immoralité enfantine, rela
ant l'enfance avec plaisir. On distin- guerait quatre périodes. Une
période
, dite d'immoralité enfantine, relative aux dépr
tre sexe, qui, plus tard, apparaîtront coin me actes blâmables; une
période
de maturité sexuelle, souvent prématurée ; au sou
r effort conscient, le symptôme de défense primitif ; -la troisième
période
est celle des scrupules, ce la houle, de la défia
s sont rejetés; ils reviennent plus obsédants que jamais (quatrième
période
). Il en existe deux formes, suivant que l'obses
, qu'elles datent de la vie foetale, de la prime jeunesse, ou de la
période
de maturité, même chez les gens âgés, pourvu qu
tement réfractaires. La sus- ceptibilité revient de nouveau dans la
période
de convalescence. Ce fait explique pourquoi on
de meilleurs résultats par l'appli- cation de l'hypnotisme dans les
périodes
où la maladie commence à devenir stationnaire.
e momentanée plus sévère, y sont ramenés. , Les malades, après la
période
d'observation, sont placés dans les familles; i
llucinations, mais ne sont pas des'hallucinés. Les deux pre- mières
périodes
de la paralysie générale et les formes mélancoliq
usions suivantes : 0 : 1° L'hystérie, quand elle apparaît en pleine
période
aiguë des infections, reconnaît ces dernières c
la manie de gifler diminua, ne fut plus constante, se présenta par
périodes
. Le 22 juin 1892, Villac... passa dans l'une de
46; Giraud, 247; Domrebente, 247 ; Pelrucci, 247; Cullel'le, 219.
Périodes
terminales et mort dans les soi-disant -, par A
pût sortir sans être accom- pagnée. 11 y a, entre chaque crise, des
périodes
de sept à neuf mois, où la malade est tout à fa
paralysie de l'ac- commodation), et dure quelques semaines. Dans la
période
libre d'accès existe une parésie d'intensité mo
tait pas ; il est vrai qu'au moment où nous voyions la malade, la
période
aiguë avait en partie disparu. Au point de vue
Mais un bien plus haut intérêt s'attachait à ce fait que, à aucune
période
de la maladie, les phénomènes paralytiques et l
u-dessous des trochanters, et la réduction a dû être faite dans une
période
où le malade avait des alternatives de phénomèn
ents décolorés. Dans le second cas, les phénomènes débutent par une
période
d'excitation parfois extrêmement marquée. Il y
r une vivacité inaccoutumée, une loquacité qui rappelle la première
période
de l'ivresse; la parole est brève, rapide, bred
la-première. Le coma, ici, 58 REVUE CRITIQUE. est précédé par une
période
d'excitation et de réaction avec élévation de l
2° Troubles gastro-intestznaux. Ces troubles marquent en général la
période
de début de l'intoxication ; ils consistent en
ssous de la normale. Cela est vrai, d'une manière cons- tante, à la
période
terminale, dans la phase comateuse. Mais, au dé
étonémie aiguë. L'acétonémie aiguë présente dans son évolution deux
périodes
: une période initiale, d'excitation, et une pé
L'acétonémie aiguë présente dans son évolution deux périodes : une
période
initiale, d'excitation, et une période terminal
volution deux périodes : une période initiale, d'excitation, et une
période
terminale, de coma. Le thermomètre peut, dans u
. Outre cette légère réaction fébrile, les symptômes de la première
période
sont de la céphalalgie, des vertiges, une sensa
xaspérant par moments sous forme de crises dyspnéiques. La deuxième
période
s'annonce par une somnolence et une torpeur inv
t huit à dix et douze jours avant d'aboutir à la mort. C'est sur la
période
d'excitation que porte cette prolongation; car,
eut rétrécissement concentrique du champ visuel très prononcé à la
période
d'acmé de la maladie.- C. Hémicrdnie, tic doulo
cun de ces cas précoces il n'y a eu d'idées de grandeur, ni même de
période
quelconque d'excitation, mais que les symptômes
étracté, ce qui naturellement ne peut s'être produit que pendant la
période
embryonnaire ; les fibres nerveuses déplacées p
rté; avec ou sans stade prodromique mélancolique, il se produit une
période
maniaque courte suivie d'un stade terminal de d
'ona- nisme, souvent issu d'ii ritation spinale. En vérité, à cette
période
où la puberté s'installe, c'est-à-dire dès les
étermination quantitative de l'ozone a eu lieu chaque jour en trois
périodes
, à l'aide du papier iodo-amidoné, d'après l'éch
not dircteur, plusieurs pavillons ont été surajoutés; c'est à cette
période
, que remonte la création des pensionnats des deux
ient un peu; l'agitation et l'affais- sement ne reviennent plus par
périodes
comme précédemment; ces deux ordres de phénomèn
ènes d'agitation succèdent, dans le courant d'une même journée, des
périodes
d'affaissement ou mieux de somnolence; pendant
ée, des périodes d'affaissement ou mieux de somnolence; pendant ces
périodes
, en effet, B... dort, et on peut voir ainsi dan
psychiques ont beaucoup perdu de leur intensité. Durant cette même
période
, la tuméfaction oedémateuse s'est lentement acc
d'aliénation mentale qui se traduit dans les premiers temps par des
périodes
d'agitation violente alternant avec des période
iers temps par des périodes d'agitation violente alternant avec des
périodes
de torpeur, et par un ensemble de symptômes psy
ie nous montre que cette méningo-encé- phalite n'a pas parcouru ses
périodes
ordinaires ; elle n'est pas arrivée jusqu'à la
la désorganisation de la subs- tance nerveuse, elle est restée à sa
période
d'irritation et a rétrocédé ensuite,ainsi que l
rébelleux, de Goll et zones radiculaires postérieures). A la même
période
appartiennent encore l'observa- tion de 13abesi
itait, par sortes d'accès, les membres du malade dans les premières
périodes
de l'affection, et qui était parfois assez inte
Observ. de tabes-avec phéiio ? 7z. cpilept, pendant les pre- mières
périodes
de l'affection. (Revue de mérlec.), 18S ? , 142.
'autre part, on a constaté chez ce malade, pendant une assez longue
période
de temps, des contractures plus ou moins fortes
pieds, avec flexion spas- modique des orteils. Pendant une certaine
période
aussi, le membre inférieur du côté droit était
but des douleurs fulgurantes, qui conlinuent de temps en temps, par
périodes
. En 1873, il commence à aller à la Matou, puis
e nettement intermittents furent les principaux phénomènes de cette
période
. Son état général était meilleur, mais le coeur
les convulsions s'effacent peu à peu pour être substi- tuées par la
période
de. repos relativement courte chez Arch... n'ay
t commencé à souffrir le plus de ses migraines, justement à la même
période
de la vie. Ensuite, c'est au même moment que la
HUMATISME ARTICULAIRE AIGU. 227 sente un cas type dans lequel trois
périodes
principales sont nette- ment observables : 1° l
n est à peu près la même qu'auparavant et expérimente sur les trois
périodes
de l'hypnose, afin d'en observer ~ les modifica
la moitié droite ou dans la moitié gauche du corps. A droite, les
périodes
de l'hypnotisme ont conservé leurs phéno- mènes
ILEPSIE AVEC LE RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU. 229 ticulières à cette
période
. A droite, pas d'injonctions; absence des manif
gauche ne causent pas de plaintes. La recherche des caractères des
périodes
de l'hypnose, dans le but d'en voir les changem
gauche; suggestions somnambuliques pénibles et difficiles; à cette
période
comme à la première elle se plaint quand on rem
on remue ses membres. Le 4, les phénomènes propres à chacune des
périodes
ne se manifestent aujourd'hui que dans le membr
a loi biologique universelle qui veut que, chez « l'être vivant, la
période
d'activité soit la période de désorgani- « sati
e qui veut que, chez « l'être vivant, la période d'activité soit la
période
de désorgani- « sation, et que la désorganisati
s vibrations fonc- «tiotinelles, et avec laquelle il rentre dans la
période
de repos et « de réintégration. » Le lecteur
elles son activité consciente « peut trouver à s'exercer durant des
périodes
sans limites et à « l'abri du risque d'être réd
u'il ait un vocabulaire plus étendu qu'à cinq ans; pendant toute sa
période
de stupeur, il a entendu ce qui se disait autou
gauche ; répétition de cet accident de plus en plus fréquente avec
périodes
de sopor de plus en plus marquées ; par là-dessus
ême sort, deux fois les réactions en question, tandis qu'à d'autres
périodes
, bien que les circonstances parussent être iden
sent successivement : d'un stade lypéma- niaque (incubation), d'une
période
de manie avec affaiblisse- ment intellectuel, d
ais, en revanche, l'asthme ne laisse plus au pa- tient que quelques
périodes
de tranquillité. La guérison des trou- bles men
communication, il est le type des processus chroniques, car, dès la
période
foetale, il a pu atteindre un développement éle
anvier a décrites sur le bout in- férieur d'un nerf sectionné. A la
période
initiale, le noyau des segments interannulaires
térées les apparences ou les vestiges du cylindre-axe. Si, dans les
périodes
initiales, ce tractus peut être masqué par l'ab
, dire si cette fille n'avait pas obéi à une suggestion pendant une
période
de somnambulisme provoqué, si elle ne devait pa
les règles apparurent. Annette G... fut sujette à chaque retour des
périodes
menstruelles à des douleurs vives dans la régio
ttie dans un coin, sous une table; le désordre mental pendant celte
période
fut complet; elle tutoyait tout le monde, disai
même, sans aucune intervention de notre part; elle aune très courte
période
d'étonnement, et, sans autre transition, elle r
es obéissant, sans résistance possible, à un ordre donné pendant la
période
d'hypnotisme. Nous ne croyons pas utile d'entre
subintrantes, nou- velle injection de 0,01 d'apomorphine pendant la
période
des convulsions toniques; deux minutes après, d
inctes ; la partie supérieure, plus récente, n'était encore qu'à la
période
de ramollissement rouge. D'après les auteurs, c
paralysie gé- « nérale, et cette infériorité est plus marquée à la
période
active « et à la période de paralysie complète
et cette infériorité est plus marquée à la période active « et à la
période
de paralysie complète de la maladie que durant
t à la période de paralysie complète de la maladie que durant « les
périodes
intermédiaires d'inactivité et de calme. « 50 O
en pareil cas, se rapproche souvent par la nature du délire, de la
période
initiale de la paralysie générale. La durée de
ion à l'alimentation forcée. Une fois le delirium tremens passé, la
période
de dépression est quelquefois extrêmement accus
galement au point de vue controversé de l'action du coeur durant la
période
d'invasion des attaques épilep- tiques ou épile
essai de nosographie .à l'aide d'une étude synthétique des diverses
périodes
de l'hypnotisme. 3° Tout un appendice intitulé
sens. Ces accidedts aflectent une marche qu'on peut diviser en deux
périodes
: période d'excitation et période de dépression
ccidedts aflectent une marche qu'on peut diviser en deux périodes :
période
d'excitation et période de dépression. Quelquef
arche qu'on peut diviser en deux périodes : période d'excitation et
période
de dépression. Quelquefois on observe une incoo
nelles ou empruntées. Observation. Maladie de Raynaud à la deuxième
période
, affec- tant la forme d'état de mal asphyxique,
res séances, nous dîmes à la malade d'écrire alors qu'elle était en
période
d'asphyxie. Elle refusa d'abord parce qu'elle a
onner une consécra- tion clinique à cette esquisse didactique de la
période
des grandeurs. La première rentre à peine dans
de la période des grandeurs. La première rentre à peine dans cette
période
; mais la transition n'en est pas moins apparen
État normal jusqu'à 42 ans. Genèse du délire en deux ans. Deuxième
période
à 44 ans. Hallucinations de l'ouïe, troubles de
police. Nombreuses réactions. Néologismes. Début de la troi- sième
période
: modifications dans l'attitude; allusions ci des
Aujourd'hui ce diagnostic est confirmé, car la malade est en pleine
période
des grandeurs. Cas. IV. D... femme Ch ? 53 ans.
s héréditaires. Intégrité de l'état mental jusqu'à 39 ans. Première
période
dure 3 ans, deuxième période 12 ans ; hallucina
l'état mental jusqu'à 39 ans. Première période dure 3 ans, deuxième
période
12 ans ; hallucinations auditives. Troisième pé
ans, deuxième période 12 ans ; hallucinations auditives. Troisième
période
à 52 ans. Délire ambitieux systématisé. Augusti
n, mais elle sup- porte ce deuil avec courage. Pendant cette longue
période
, de la plus jeune enfance à l'âge mûr, nous not
es. Cependant, au mois de mars 1893, douze ans après le début de la
période
de persécution, sa tenue se modifie. Elle refuse
as sa sortie, elle fera tomber nos têtes sur l'échafaud. ,. De la
période
des grandeurs qui marque déjà un certain degré
impose avec rigueur le pronos- lie. Et si, à la fin de la première
période
ou au début de la deuxième, la maladie marque p
durée est illimitée. Il est impossible de fixer, pour cha- cune des
périodes
, le nombre d'années qu'elle met à évoluer. Si l
périodes, le nombre d'années qu'elle met à évoluer. Si la première
période
dure en moyenne de deux à trois ans, on la voit
ite, par exemple sous l'influence des abus de boissons. La deuxième
période
qui dure environ une quinzaine d'années, peut m
ans des illusions et même dans des hallucinations de la mémoire. La
période
d'acmé de la maladie est caractérisée par des h
; 2° il y a généralement une cessation complète d'accès pendant une
période
variant de huit jours à quelques mois; 3° la fr
ndant la première année, diminuée de plus de moitié ; 4° après la
période
de cessation complète, les accès qui surviennent
s sont les alcooliques qu'on y enfermera ? Les prendra-t-on dans la
période
d'agitation, pendant qu'ils sont atteints de foli
oirs que devait leur imposer leur profession. C'est pendant cette
période
qu'il couronna ses travaux par la publication d
lles ont un début souvent insidieux, commencent habituellement à la
période
de convales- cence, présentent une marche régul
ellent cli- nique, hôpital, asile ou sanatorium. Ainsi, pendant une
période
de douze années, du le, avril 1880 au le,* avri
e, les mêmes phénomènes se reproduisant. A l'âge de vingt-cinq ans (
période
des 4 litres de vin quotidiens), le malade a ép
ade ne conserve pas le souvenir de ce qui s'est passé pendant cette
période
. Les actes résultent des conceptions délirantes e
somniation avec obnubilation de la conscience) n'est qu'une courte
période
, l'accès atté- nué, le stade de développement e
e perturbation dans l'association des idées, très considérable à la
période
d'acmé delà maladie. Du reste, la confusion men
in point respecté les degrés de la maladie. Elle a commencé par une
période
syncopale à laquelle a succédé la période asphy
. Elle a commencé par une période syncopale à laquelle a succédé la
période
asphyxique. Pendant le traitement, les crises a
FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÈLALGIE. 'Ill longés. Bic...t est à la
période
delà ménopause. Les règles sont irrégulières et
e suivis, 13 d'entre ces derniers n'eurent plus d'accès pendant des
périodes
variant de quatre mois à un an; 3 restèrent dans
es qui l'ont modifiée. Il y a lieu cependant de reconnaître qu'à la
période
prodromique de toute maladie mentale, il y a un
a un état sentimental particulier, mais il est pas- sager, et, à la
période
de développement de la maladie, on peut, dans l
éoccupé, plus soucieux et plus fatigué que pendant cette laborieuse
période
. » Durant cet intérim, M. Motet eut l'occasion
st blanche où bleue suivant l'intensité de l'émotion, et suivant la
période
de la maladie (début, période d'état, période d
intensité de l'émotion, et suivant la période de la maladie (début,
période
d'état, période d'amélioration). D'ailleurs m
motion, et suivant la période de la maladie (début, période d'état,
période
d'amélioration). D'ailleurs maladie de Raynaud
ège les deux mains, surtout la gauche, qui sont survenus pendant la
période
menstruelle. Elle avait antérieurement accusé l
e dans les parties homologues des deux parties du corps. Quant à la
période
menstruelle, Vulpian pense qu'elle met le systè
blié en 1882 deux observations de folie circu- laire où pendant les
périodes
de dépression, les malades pré- sentaient de l'
r représentant le délire des persécutions de Lasègue augmenté d'une
période
, celle du délire des grandeurs, et terminé par
ence mentale ? S'il y a une folie systématique progressive à quatre
périodes
. Les uns (Paul Garnier, Briand, Lwoif) soutienn
celui-ci; il s'y joint. Et, ajoute M. Delasiauve, il s'y joint aux
périodes
les plus différentes, voire au début, l'évoluti
rait légitime, à son sens, de donner le nom de Lasègue à la seconde
période
(des persé- cutions) du délire chronique, et ce
cutions) du délire chronique, et celui de Foville à sa troisième
période
(mégalomaniaque). Mais, en réalité, pour lui, le
des hallucinations sensorielles. Fréquemment aussi il existe une
période
latente au cours de laquelle il est difficile d'é
t constituée, suivant lui, par les éléments du délire existant à la
période
aiguë des maladies et survivant à cette période
élire existant à la période aiguë des maladies et survivant à cette
période
aiguë ; on en a un exemple dans la mélancolie a
n a un exemple dans la mélancolie avec délire et hallucinations; la
période
aiguë dis- paraît emportant l'état dépressif et
nératives héréditaires, il cherche avec soin ces éléments à quelque
période
de la vie passée, pour confirmer la dégénéresce
moment du repas du soir, et qu'elle s'étendait en avant à toute la
période
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 203 de ranimeme
irium tremens, on les placera dans un asile ordinaire pendant cette
période
d'aliénation et ils seront transférés à l'asile s
ant d'un groupement de symptômes particuliers, revêt à une certaine
période
de la maladie, parfois même dès le début, une a
il est terrible; terribles aussi sont les abus d'alcool pendant la
période
de sevrage de la morphine. M. Kirm. On obtien
uivent le déclin de la fièvre, ou aux psychopathies qui occupent la
période
intermédiaire entre l'éruption et la suppuratio
conséquences. Il n'est pas rare de voir survenir, à la suite, une
période
d'agitation avec propos incohérents, confusion co
re a été accusée, mais le délire initial en question apparaît à une
période
où la fièvre manque, disparait lorsque celle-ci
ous en assurer, nous avons fait des lavages de l'estomac à diverses
périodes
, tantôt avant l'accès, tantôt pendant la série,
ue, que ce soit un vertige, un accès, une série d'attaques ou une
période
d'agitation ; ensuite ils disparaissent si l'accè
tômes semblent acquérir nettement leur maximum d'intensité dans les
périodes
d'agitation prolongées et surtout dans l'état d
tion soupçonneuse (inquiétude de Magnan,), dont parle Meynert, ou
période
d'attention exagérée, des persécutés, constituée
NIQUE MENTALE. .L'étude de la bibliographie démontre que les quatre
périodes
du délire chronique n'ont jamais été, observées
atique chronique simple (einfaclae chronische Paranoïa), même à une
période
avancée, fort avancée, de celle-ci; en pareil 2
ooliques. Ce désordre intellectuel dit paranoïque à son plus haut
période
serait aussi considéré par certains observateurs
dant successivement sur tous les muscles du corps. Après une courte
période
de convulsions localisées, une attaque classiqu
LOGIE MENTALE. 313 moteurs et trophiques qu'on observe aux diverses
périodes
de la démence paralytique a conduit l'auteur à
à savoir que les symptômes de la démence paralytique, à la première
période
, sont dus à une paralysie vaso-motrice des vais
halite corticale et les processus dégénératifs que l'on observe aux
périodes
postérieures sont consécutifs à la paralysie va
ysie spasnzo- dique occupant tous les muscles du corps, à certaines
périodes
de la vie (voy. Deuslche Zeitschrift f. Nervenh
t 's'élever au-dessus-de.la normale,-à la.fin;dès'que commence; la»
période
du stertor. Quant à mesurer la tension artériel
er la tension artérielle : pendant l'ac- cès, lui-même, pendant les
périodes
toniques et cloniques, nous ne comprenons.pas c
durbe DE l'intoxication ' dans 'l'épilepsie. 363 . ''au ? » des
périodes
tonique et clonique, le pouls ne pouvait être sen
faisant une inspiration profonde et supérieure, fut entrée dans la
période
du stertor, le pouls reparut rapide et plein, b
entuer, de plusten-plus, ne pas disparaître complè- teintent d'une,
période
àja-suivante'et finalement devenir per- manents
rapidement ensuite tout en laissant ce côté plus faible. Dans la
période
clonique les mouvements sont plus marqués à gauch
qu'au début la différenciation du sexe joue aucun rôle. A une autre
période
, probablement quand les sensations commencent à
des courbes); °dans la manie il y a hyperthermie de 0,3 u 0,5 à la
période
d'acmé comparée avec le [stade prodromique et a
trophie musculaire prononcée ayant son origine et dans cette longue
période
d'inaction musculaire et dans l'alimentation défe
ent puissamment l'un sur l'autre ; or, le foetus pendant toute la
période
de la gestation participe entièrement à la vie ma
le plus fragile d'entre eux. C'est d'ailleurs pendant les premières
périodes
de la gestation que l'influence des chocs morau
mes qui dure plus ou moins longtemps, et qui peut être suivie d'une
période
de trouble mental ou d'agitation d'une durée va
Peut-être ce fait peut-il s'expliquer. La femme passe là par une
période
où elle est évidemment moins résistante, témoin
pilepsie trauma- tique. Il arrive aux conclusions suivantes : 10 la
période
latente de l'excitation corticale diminue notab
s et au-dessous des pôles, on augmente la résistance mais après une
période
de diminution qui tient à un effet d'inhibition
et, consécutivement, abaissement de l'ac- tivité réactionnelle. La
période
de début du processus est quelque- fois caracté
cessus est quelque- fois caractérisée par de l'irritabilité, et les
périodes
plus avancées par de la torpidité de réaction.
t avantageux dans la folie de l'adolescence, delà ménopause et delà
période
puerpérale; 7° son emploi est souvent utile dan
médication serait avanta- geuse si le traitement intervenait à une
période
suffisamment précoce de la maladie; 11° enfin l
e de cas de folie avec leurs signes précur- seurs, leur début, leur
période
d'étatetleur terminaison. (Anzericaa lozrrzal o
inguer dans l'évolution de la syphilis des artères cérébrales, deux
périodes
assez distinctes : l'une pendant laquelle les é
i ne peuvent plus rétrocéder. Nous décrirons successivement : 1° la
période
des accidents curables; 2° la période des accid
rons successivement : 1° la période des accidents curables; 2° la
période
des accidents incurables. - z10 Période des acc
accidents curables; 2° la période des accidents incurables. - z10
Période
des accidents curables. On peut dès celte pério
curables. - z10 Période des accidents curables. On peut dès celte
période
accepter la division, proposée par Dieulafoy', en
e décharge nerveuse, un ictus épilep- tiforme. Il est rare, dans la
période
de début de la syphilis artérielle, que l'on ne
l'une de ces deux causes : le surmenage, ou l'intoxication. A cette
période
de début se rattache trois formes symptomatique
accidents sérieux ne tarderont pas à survenir. Cependant une longue
période
de santé en appa- rence parfaite peut suivre; p
siantes. Toutes les formes précédentes peuvent s'observer : à cette
période
du moins les artérites ectasiantes comme les ob
décrits par Spillmanu=. Pour compléter cette symptomatologie de la
période
de début, nous dirons qu'on a voulu rattacher à
certains cas de migraine ophtalmique; que souvent on peut dès cette
période
voir des paralysies oculaires, dues probablemen
virus syphilitique sur le neu- rone moteur périphérique. Dès cette
période
aussi on peut noter des troubles de la nutritio
syphilitiques. La fièvre n'est pas non plus exceptionnelle à cette
période
, mais nous ne sommes pas encore bien fixés sur
l ? t.c/eerMft<o/. et syphil., 1886. 10 CLINIQUE NERVEUSE. II.
Période
des accidents incurables. Il ne s'agit plus d'i
les intellectuels que nous avons décrits plus haut, dès la première
période
, évoluent souvent vers la démence d'une façon p
symptômes trophiques observés sont fréquents. Il' observe, dans la
période
de cachexie, l'alopécie « si le cuir chevelu n'
dégénérescence des paralytiques ne se manifestent qu'à la dernière
période
de la maladie. Il oublie également de noter s'i
purpura, hématémèse. Tout dernièrement M. Arnaud', en parlant de la
période
1 Régis. Manuel pratique de médecine mentale, 1
agnan et Sérieux. De la paralysie générale, p. 47. 7 Arnaud. Sur la
période
terminale de la paralysie générale et sur la mo
érale appréciable dès le début, mais elle est surtout notable à une
période
avancée, où l'on trouve même parfois une analgé
les de même nature. La malade n'a eu ni douleur ni fièvre durant la
période
d'érup- tion. Un mois plus tard (janvier 189' !
sur un délire systématisé chronique. Il y a alternance continue de
périodes
.d'exaltation et de dépression avec ou sans int
.d'exaltation et de dépression avec ou sans intervalle de calme. La
période
d'exaltation coïncide régulièrement avec une excr
es, atteignant 6,000 cent. cubes, la densité s'abaissant à 1001. La
période
de dépression se traduit par une diminution con
ès la même quantité d'aliments solides; mais il lui faut pendant la
période
d'exaltation ingurgiter d'incroyables quantités
kitogs ; à peine perd-elle quelques livres à la phase d'acné de la
période
d'exaltation. On a chimiquement déterminé, para
xaltation. On a chimiquement déterminé, parallèlement dans les deux
périodes
l'élimination de l'azote total et de l'azote re
i en fournissent. Voyez les tableaux. IL en résulte que, pendant la
période
, d'exaltation la malade excrète proportionnelle
re d'acide urique et d'éléments xanthiques, parce que pendant cette
période
il se forme, dans la nutrition, plus d'azote, q
à l'état d'acide urique et d'éléments xanthiques, que pendant la
période
de dépression. L'azote de ces corps provient de s
nt la fonte des tissus du corps. Il y a donc en réalité, pendant la
période
d'exaltation destruction des tissus de l'organi
e phase de réparation succède à la phase de dégénérescence. A cette
période
les cellules lésées se distinguent par leur hyp
chronicilé. Comment la cellule et la camisole, restes surannés des
périodes
primitives, peuvent-elles subsister ? L'opinion
lètement oublié, comme au sortir d'une crise de som- nambulisme, la
période
par laquelle elles venaient de passer et se cro
ne condui- saut à la terminaison fatale qu'après une assez longue
période
, l'évolution peut aussi être rapide, aiguë; et il
scène. Si le processus se localise ci la base, après cette première
période
on note des vertiges, des troubles psychiques,
re. On pourrait, comme dans la syphilis artérielle, distinguer deux
périodes
dans son évo- DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYP
u'il faut avoir recours pour l'explication des poussées aiguës, des
périodes
d'exacerbations, dans lesquelles les phé- nomèn
ac- téristique est de se faire par poussées successives, avec des
périodes
de rémission souvent très longues. Suivant le siè
l'interrogatoire ne révèle aucun symptôme de syphi- lis pour cette
période
. Elle a deux enfants bien portants, l'une qua-
prononcée : mouvements respiratoires rapides, irréguliers, avec des
périodes
d'accélération, des pauses et même de courtes p
rs, avec des périodes d'accélération, des pauses et même de courtes
périodes
d'apnée, mais sans régularité. Rien d'anormal à
halluci- nations dans telle paralysie générale ou plutôt dans la
période
paralytiforme de telle intoxication (saturnine, p
s, notons-le incidemment, ne conduisant qu'exceptionnellement à une
période
paraly- tiforme ou paralytique, cela résulte de
aractéristiques de telles ou telles intoxications aboutissant à une
période
dite de paralysie générale. C'est une probabili
s ou auto-intoxications comprenant dans leur évolution complète des
périodes
para- lytiformes ou paralytiques dites pseudo-p
ue rien de l'étiologie de la maladie dont elle ne représente qu'une
période
, de même que le dia- gnostic «ascite » tout cou
Les symptômes sont ceux de la dépression avec tendances au suicide,
périodes
d'excitation maniaque, arrêt de la compréhensio
ear » nous donne une intéres- sante description de la folie dans la
période
sénile, description dont l'auteur fait ressorti
par l'extrait thyroïdien. Des photographies prises aux différentes
périodes
de traitement accompagnent le texte. A. V. XIV.
ts : quel traite- ment doit subir le paralytique général pendant la
période
initiale REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 163 d'excita
ladie, comment éviter les accidents et les fractures ? 2° durant la
période
de calme, comment est-il main- tenu propre ? 3°
de de calme, comment est-il main- tenu propre ? 3° doit-il, à cette
période
, suivre un régime spécial afin d'éviter un embo
t-on se servir de l'isolement ? 6° comment éviter les eschares à la
période
ultime de l'alitement ? * ? Le traitement le pl
on déclare faire suivre à ses paraly- tiques généraux à la première
période
. Il les isole et leur fait prendre du sulfonal
dizaine de jours de ce traitement le malade passe directement de la
période
d'excitation dans celle de calme. Le Dr Campbell
iques sur la pression du sang chez l'homme, par Binet et Vaschide; -
Période
réfractaire dans les centres nerveux, par A. Br
bre. G... Jean est grand, gros, bien musclé. Il est à la deuxième
période
de la paralysie générale. La sensibilité cutanée
ont morts tous d'accidents cérébraux. J... Gabriel est à la seconde
période
de la paralysie générale. 11 est petit, gros, rou
rands pas ; elle atteint l'apogée au commencement de la troisième
période
, dans la période de démence paralytique, puis le
e atteint l'apogée au commencement de la troisième période, dans la
période
de démence paralytique, puis le processus s'arr
a- gérée aux fractures chez les paralytiques généraux ». Dans une
période
de six ans et demi, sur 250 cas, il n'a pas obser
ie d'avec les atrophies diffuses qui se montrent dans les dernières
périodes
de la maladie et qui sont dues aux névrites pér
s, une augmentation des phosphates et des sulfates, surtout dans la
période
cachexique. On a également signalé la polyurie,
end comment le mâle et la femelle sont identiques, adéquats, à la
période
de leur tout premiers rudiments, alors qu'ils ne
it alors comme agent toxique et produit les symptômes notés dans la
période
post-convulsive, a trouvé récemment sa confirma
nts à l'épilepsie de l'encéphalite. Ces cas présentent une première
période
d'épuisement nerveux suivi par des états vertig
ce de l'alcool fournira 7 kilogrammètres dans la pre- mière minute (
période
de surénergie) ; mais aussitôt il descendra si
le thé et le café, a pu établir par la même méthode pratique que la
période
de surénergie de l'influence alcoolique se reprod
ste vésanique ou symptomatique d'une lésion organique comme dans la
période
prodromique do la paralysie générale pro- BIBLI
is on a aucun renseignement sur ses fonctions génitales. Pendant la
période
où ils ont eu leurs enfants, le père et la mère
garçons qu'il s'agissait. D'ailleurs, depuis, pendant ses longues
périodes
de continence, il n'a jamais eu de rêves lubrique
servation. Dans tous les cas, en général, on rencontre une première
période
avec des signes de méningite ; des symptômes cé
involontaires qu'on rencontre dans le cours du tabes dorsalis à la
période
ataxique ne forment pas une com- plication de c
en des renseignements précieux, car ils ne se produisent plus à une
période
avancée de la maladie et ne se manifestent qu'en
° Le délire de persécution semble parfois borner son évolution à la
période
d'état, sans présenter ni phase mégalomaniaque ni
ord et surtout nocturne ; il se manifeste prin- cipalement dans les
périodes
hypnagogiques et se prolonge dans 1 Voir Archiv
constitue alors soit une attaque hysté- rique réduite à sa dernière
période
, soit, ce qui en est l'équiva- lent, une attaqu
M. J. Falret a souvent insisté sur ce fait, à savoir que dans la
période
mélancolique initiale un assez grand nombre de
intestins et sentait la meute aboyer). Un de nos malades, après une
période
de dépression mé- lancolique avec préoccupation
olution chronique. Avant de se croire possédés, ils passent par une
période
de déses- pérance et d'inhibition où ils se cro
avec les vaisseaux; il a même vu ces ramifications apparaître à une
période
où il n'existait pas de vaisseaux dans la subst
u mo- PERTE DE LA VISION BILATÉRALE. 391 ment des époques, et des
périodes
d'excitation cérébrale suivies de dépression av
reprises différentes, dans un espace de cinq années, à la suite de
périodes
con- vulsives, est restée pendant une douzaine
le traitement mercuriel est formellement contre-indiqué dans les
périodes
plus avancées du tabès, lorsque les malades sont
ination motrice. L'indication devient plus pressante encore dans la
période
alaxi- que de la maladie et il s'y ajoute deux
tuel, et les l'em- pêcher de la compromettre par des excès, dans la
période
d'exci- tation. M. Charpentier. Si la paralys
ns les préparations au picro-carmin ou à l'hématoxyline, jusqu'à la
période
d'état. Pour ce qui est de l'objection soulevée
riaque, dit Cotard (p. 322), surtout moral au début, devient, à une
période
plus avancée, et sur- tout quand la maladie pas
e. L'hypochondrie du début est surtout physique ; ce n'est qu'à une
période
avancée que les malades se préoccupent de leurs
rtois). (Exécutions en masse par le feu dans ces régions'.) A cette
période
la démonopathie affecte une forme 1 tiriesinger
La phase silencieuse de l'intoxication téta- nique correspond à la
période
pendant laquelle s'effectue la com- louaison de
, névrophatique, choréique, pendant les rémis- sions de la première
période
de la paralysie générale. Pour guider les médec
fl f. Krankenpflege les résultats obtenus dans cet hospice pour une
période
de sept ans. C'est à ce travail fort inté- ress
Chez ces malades, on ne voit pas non plus survenir la qua- trième
période
, celle de pseudo-démence. Tant qu'ils vivent,.et
èse des idées délirantes, ' Toutes réserves faites sur la quatrième
période
, dite de démence. 48 PATHOLOGIE NERVEUSE. le
ours été et est encore gros mangeur et boit beaucoup. Il y a eu une
période
de polyurie, mais ce fait est assez difficile à
archer seul. » La recherche du sucre n'a pas été faite durant cette
période
. Etat actuel (2 septembre 1891). Homme d'aspect
mon collègue, M. Carrier, qui eut l'occasion de l'observer à cette
période
. Cer- taines influences cependant le suspendaie
glée qu'à vingt-deux ans, et à partir de cette époque, avant chaque
période
menstruelle, elle éprouve un malaise général, d
x, de troubles trophi- ques des cheveux et des dents (à cause de la
période
initiale de la maladie). Infiltration sous-cuta
rçue à cause de la fonction compensative du petit rond. La première
période
est due à une paralysie (par névrite) du brachi
achexie, on peut observer des paralysies avec ou sans atrophie à la
période
préterminale de la maladie de Par- kinson; 2° d
observation en question, a simulé les convulsions de la troi- sième
période
du quinisme ordinaire. En effet le malurien en qu
dans la doctrine contemporaine de la paranoïa typique sont : une
période
prodomique très longue; le développement latent d
seins et le système pileux restèrent à l'état rudimentaire. Dans la
période
d'état, quand la maladie est bien confirmée les
de vue symptomatique, eu médecine mentale. Elle com- prend trois
périodes
. La seconde période se signale par des idées sy
ue, eu médecine mentale. Elle com- prend trois périodes. La seconde
période
se signale par des idées systématisées de persé
hallucinations de l'ouïe et de la cénesthésie. Dans la troisième
période
, qui manque parfois, aux troubles précé- dents
ées de grandeur. C'est pendant le cours des deuxième et troisième
périodes
, particulièrement pendant le cours de la deuxiè
e se manifeste jamais au début de l'affection, mais bien dans une
période
assez avancée et lorsque le délire est nette- m
GALE.' 1 Lasègue, la tendance au 'meurtre n'apparaît que dans les
périodes
avancées de l'affection ? i - j i v ' l, '' Les
ntécédents. ' i , , A son entrée, le malade semble être arrivé à la
période
finale d'un accès de manie, ses idées sont trou
seulement). Il, paraît aussi',que, les fumeurs d'opium, ;dans ,les1
périodes
.avancées de l'empoisonnement, ,sont,,sujets;-p
parler plus haut. Ainsi, nous avons vu des persécutés arrivés à une
période
déterminée de leur affection, tuer après mûre d
certains malades non dégénérés - primitivement, mais arrivés à une
période
avancée d'une- affection chronique du cerveau,
que l'amblyopie du tabes peut par conséquent être confondue à cette
période
avec celle du diabète et de l'alcoolisme chroni
ant eut alors des convulsions qui l'effrayèrent beaucoup. Au début,
période
de tristesse, d'apa- thie, perte de sommeil; pu
ssé qu'une rente de 600 francs. Il y a cinq ans, à la suite d'une
période
de surmenage, elle parait avoir eu une première
normale. 11 a été fait fi5 dosages de l'urée, dont 14 à la première
période
, 42 à la seconde période, et 9 à la troisième p
5 dosages de l'urée, dont 14 à la première période, 42 à la seconde
période
, et 9 à la troisième période de la paralysie gé
à la première période, 42 à la seconde période, et 9 à la troisième
période
de la paralysie générale. Chez 8 sur 10 des mal
e de la paralysie générale. Chez 8 sur 10 des malades à la première
période
, l'urée n'atteignait pas la limite inférieure n
mes : il en a été de même chez 10 sur 14 des malades à la seconde
période
, et chez 4 sur 6 des malades à la troisième pério
es à la seconde période, et chez 4 sur 6 des malades à la troisième
période
. - C'est un fait généralement reconnu que dans
om- breuses exceptions. L'auteur a constaté que, dans la première
période
, la température rectale était à peu près normale.
ode, la température rectale était à peu près normale. Dans les deux
périodes
suivantes, elle n'est pas seulement plus élevée,
; B, dans la paralysie générale des aliénés, surtout à la première
période
; C, dans la folie chronique. R. M. C. IV. No
pathologique du tabes syphilitique. - Il s'agit d'un syphilitique (
période
tertiaire) atteint simultanément de lésion sysl
t les gencives présentent le liseré caractéristique. A une certaine
période
, dans l'un et l'autre cas, le tableau symplomat
u Sud, cette même proportion est de 3,4 p. 100, tandis que, pour la
période
quinquennale correspondante elle était en Angle
itoyen pour VARIA. 273 deux, chacun pouvant être renommé pour des
périodes
subsé- quentes de six ans. 1 ' , , Cette comm
ouloir gnérir, et elle s'est abstenue. Un point à noter : durant la
période
d'intoxication chro- nique par l'opium, elle av
omme le jour précédent. Après vingt minutes de sommeil léthargique,
période
d'agitation avec déclamations incohérentes, et
lybromures, valérianates d'ammoniaque, de quinine, de zinc, dans la
période
d'accalmie... la série des crises ne fut point
re jours suivants, différant des crises régulières par l'absence de
période
léthargique, par l'état de demi-conscience dans
poisonnement qui l'avait vivement préoccupée, n'existe pas dans les
périodes
calmes, mais reparait avec intensité dans les c
apporta un élément nouveau aux préoccupatious qu'elle avait dans la
période
active de ses crises. Elle décla- mait contre l
on de santé ! - Mon nom ayant été prononcé devant elle, dans sa
période
calme, elle le chercha dans l'almanach de Paris
ppression, ni bavardage, eu un mot dans un état tout semblable à la
période
léthargique qui précédait les crises, à cette d
emière grande 'crise du matin vint comme d'habitude, précédée de sa
période
léthargique, et ne différa en rien de celles qu
t sa crise habi- tuelle, semblable aux précédentes, mais pendant la
période
de loquacité et de bavardage elle ne cessa de p
NIQUE MENTALE. délire et d'actes inconscients. Enfin, pendant une
période
de sa vie, s'étant adonnée aux abus de bois- so
'attaque, quinze minutes au plus après le début des convulsions; la
période
de trouble mental ayant été extra- ordinairemen
été probablement de même pour Fol... Nous avons recherché dans les
périodes
non convulsives, si nos malades présentaient en
ne de compte ? Nous ne le croyons pas. En effet, telle malade a une
période
stertoreuse très accentuée qui n'a pas d'albumi
toreuse très accentuée qui n'a pas d'albuminurie, telle autre a une
période
stertoreuse rela- tivement courte et son albumi
nt des manifestations accès ou vertiges suivant les sujets puis une
période
de calme de quatre, sept, huit, quinze jours. U
e période de calme de quatre, sept, huit, quinze jours. Une seconde
période
d'accidents, suivie elle-même d'une seconde pér
rs. Une seconde période d'accidents, suivie elle-même d'une seconde
période
de calme, etc., etc... Or, nous tenons à faire
re remarquer que les vertiges surviennent eux aussi au moment des
périodes
d'accidents, ils s'entremêlent plus ou moins aux
xysmes. III. - Les examens d'urines d'épileptiques présentant une
période
délirante consécutive aux accès ou les précédan
r M. Olivier, interne en pharmacie du service. Vill..., pendant une
période
d'excitation violente, aui ait eu un jour 4 gra
Si cet état se prononçait davantage, le malade entrerait dans une
période
de stupeur. 14. 11 se plaint davantage encore q
es nerveuses par des manchons de myéline correspond à peu près à la
période
de parfait développement d'un organe, c'est-à-d
la période de parfait développement d'un organe, c'est-à-dire à la
période
où cet organe va se mettre à fonc- tionner. Mai
La méningite chronique n'existe pas toujours nécessairement à cette
période
; il n'y a pas encore d'altération de la substance
les mouvements visibles. Ce renforcement s'observe aux premières
périodes
de l'existence tandis que la cérébration complexe
e l'existence tandis que la cérébration complexe appar- tient à des
périodes
plus avancées du développement. (77). Action di
ement, paraissent succéder aux impressions capables de produire une
période
d'inhibition du mouvement; des combinaisons et
efférents émanant des centres. L'hypothèse, c'est que « durant « la
période
d'inhibition, il se forme entre les cellules nerv
ent la folie; à l'asile l'honnêteté. Ils arrivent en évoluant à une
période
de cynisme dans laquelle ils avouent leur simul
Charpentier provient de ce qu'il ne voit pas les malades à la même
période
que nous les voyons à l'infirmerie du Dépôt ou
de Gheel assistent toute espèce de formes vésaniques, même à leurs
périodes
primitives : c'est un asile, ou pour être plus
a de soi que cette amélioration dépend de la forme, du degré, de la
période
de leur perturbation mentale. La plupart d'entr
s en l'espace de cinq mois et habilement dissimulées. Pendant cette
période
délictueuse, on ne trouve pas 440 SOCIÉTÉS SAVA
e facteur pathologique. C'est pendant la détention cellulaire de la
période
d'instruction que, sous l'influence d'hallucinati
pilepsie proprement dite ; il n'en a eu que deux légères pendant la
période
, si défavorable pour lui, qui s'é- tend de son
éréditaire ; mais, ni à l'époque de l'acte incriminé, ni pendant la
période
d'observation à laquelle il a été soumis, on ne
olente, cessant en quelques jours, parfois brusquement et suivis de
périodes
de calme. Vingt- sept examens périmétriques.
e l'atrophie papillaire, fréquemment constatée dans les dermières
périodes
de la paralysie générale. Enfin dans un assez g
(De la valeur diagnostique des troubles ocu- laires aux différentes
périodes
de la paralysie générale appuyée surtout par de
mples de ces fugues que l'ont pres- que tous les circulaires à leur
période
d'excitation. (4) Il convient ici de faire une
ooliques, celles qui sont dues au besoin de mouvement des premières
périodes
de l'ivresse et celles qui sont exécutées en ét
il 1904.) Il s'agit d'une femme de 65 ans,morte à l'asile après une
période
de faiblesse et d'agitation. Il y avait atrophi
abes ne se distin- gue en rien du tabes vulgaire si ce n'est que la
période
ataxiqe paraît assez précoce. Les accidents spé
e la mémoire s'étend sur toutes les circonstances et sur toutes les
périodes
afférentes à un état donné. Quand elle est dans
, puis de l'état normal à un autre état anormal. L'apparition d'une
période
intercalaire normale entre deux états anormaux
aussi qu'elles aient débuté dans l'enfance ou la jeunesse ou à une
période
plus avan- cée de la vie et qu'elles relèvent o
s admis annuellement, nous trouvons une moyenne de 32.23 %, pour la
période
décennale antérieure à l'institution des sortie
antérieure à l'institution des sorties d'essai et de 40.2 % pour la
période
correspondant à celle des sorties. Le chiffre des
s malades pour lesquels l'internement ne s'impose guère que vers la
période
d'involution pré-sénile, pré- (1) Voir Archives
gence est au-dessus de la moyenne. Il a passé toute sa le par des
périodes
d'affaissement parfois très marquées et poussée
marquées et poussées jusqu'à l'inertie à peu près complète ; et des
périodes
d'excitation plus ou moins violente. lia été inte
decin traitant porte le diagnostic de « neurasthénie psychi- que '.
Périodes
de stupeur. Sorti cinq mois après son en- trée,
ion d'un débile circulaire qui a fait de nombreuses fugues dans ses
périodes
de manie. Observation 'I. X., 17 ans. entre à l
ecluels névropathes. Le malade est un type de circulaire : il a des
périodes
de dé- pression d'une dizaine de jours environ,
n, où il reste dans le mu- tisme et la stupeur, devient gâteux. Les
périodes
d'excitation sui- vent sans transition, durent
à revenir. Lorsque les paralytique généraux font des fugues à la
période
d'état de leur maladie,ces fugues frappées au coi
e diagnostic.il n'en est plus de même au début de la ma- ladie,à la
période
, justement dénommée « médico-légale), » alors q
ux espèces de fugues : 1° fugues du début de la paralysie générale (
période
mé- dico-légale). La conscience et la mémoire s
sont si souvent d'un diagnostic si difficile, particulièrement à la
période
préataxique : des trois cas que rapporte l'auteur
nce précoce, qui présenta au début même de la maladie, pen- dant la
période
délirante, de la stéréotypie graphique. Pour l'au
s il ne faut pas perdre de vue la possibilité d'une syncope dans la
période
aiguë ; 5° une augmen- tation de poids très acc
imple et nette par l'accroissement de poids du cerveau durant cette
période
de la vie. Toutes les fonctions organiques sont
ant : Valeur diagnostique des symptômes oculaires aux di.jjé renies
périodes
de la paralysie générale, appuyée Slll'tout SllI'
tisé, étape correspondant, dans le délire chronique de Magnan, à la
période
des idées de gran- deur. Hypochondriaques et pe
thologiques présentées par un débile, délirant chronique, mort à la
période
des idées ambitieuses. A l'autopsie on trouvera u
l hypnotisé, présente donc seul les diverses ma- nifestations des -
périodes
léthargique, cataleptique et som - nambulique.L
u gustatives unilatérales et opposées etc.) « La malade est dans la
période
somnambulique »; on ferme l'oreille droite et o
s du corps. Il en résulte que tous les phénomè- nes des différentes
périodes
de l'hypnotisme sont opposés pour les régions s
impaire), la symétrie bilatérale est très accusée durant une longue
période
du développement , notamment chez les larves li
e si elle était persistante, ne disparaît-elle pas bientôt,pour une
période
souvent très longue,car elle est sans rapport d
on » caractérise, ainsi que le fait remarquer l'Auteur (p. 122), la
période
(de 3 à 18 mois) où s'organisent les fonctions
souffrent des mêmes humeurs et des mêmes besoins, ont ensemble des
périodes
d'épuisement et d'activi- té, de santé et de ma
ns a fait la remarque que son nervosisme esl à son apogée après une
période
plus ou moins courte d'abattement. Un ennui qui
'action spéciale biologique ; cette adaptation est précédée par une
période
préparatoire. V. Considérations sur l'action in
mécanisme de l'adaptation. On remarque surtout : la longueur de la
période
d'attente, la rapidité de développement de la réa
s spécifiques qui peuvent notablement varier d'intensité suivant la
période
de l'année. Les périodes de toxicité maxima cor
t notablement varier d'intensité suivant la période de l'année. Les
périodes
de toxicité maxima correspondent au printemps e
s élevé et peut même dépasser celui de l'aspergillus fumigatus. Les
périodes
de toxicité minima correspondent au milieu de l
rme peuvent encore être de nature différente et opposée suivant les
périodes
de l'année ; certains principes toxiques sont d
blissements privés sans que la durée du traité puisse excéder cette
période
décennale. Les traités passés parles départemen
IE CLINIQUE MENTALE Formes mélancoliques de la démence précoce (
Période
initiale) ; Par \111e PASCAL. t'1· avail Vu S
ient qu'au début de toutes les affections de l'âme on rencontre une
période
triste, la mélancolie. On sait actuellement que
Au congrès de Lille, j'ai apporté le résultat de mes études sur la
période
prodromique de 75 déments précoces de la maison
nté de Ville-Evrard. Chez aucun de ces malades je n'ai trouvé cette
période
d'excitation eu- phorique ou de dynamie fonctio
de la démence sénile et que M. Ilégis a magistralement décrite à la
période
d'invasion de la pa- ralysie générale. Il n'y a
ternement. Si lapériode prodromique appartient aux praticiens, la
période
initiale est exclusivement du ressort des aliénis
), oùil étudie 40 cas,nous donne des renseigne- ments précis sur la
période
initiale (période d'augment), de 29 malades.
cas,nous donne des renseigne- ments précis sur la période initiale (
période
d'augment), de 29 malades. . , 10 cas : mél
ur 75 déments précoces nous fait cons- tater les faits suivants :
Période
prodromique. 65 cas : états dépressifs (neurast
tats psychasthéniques (neurasthénies avec obsessions et phobies.)
Période
initiale. 35 cas : mélancolies. 21 cas : état
émontrent que les états dépres- sifs prédominent non seulement à la
période
prodromi- que, mais encore à la période initial
dominent non seulement à la période prodromi- que, mais encore à la
période
initiale. Ils nous appren- nent également qu'à
en- nent également qu'à la phase mélancolique succède souvent une
période
d'agitation maniaque. Ces états mixtes se trouv
une période d'agitation maniaque. Ces états mixtes se trouvent à la
période
initiale de toutes les va- riétés de la démence
s que dépendent toutes les modalités et les nuances cliniques de la
période
prodromique. Les dill'érences de sensibilité fo
e plus souvent, le déficit intellectuel est peu appréciable à cette
période
. Pour en mesurer le degré, on est obligé de rec
iment ne se trouve pas chez les dé- ments précoces même pendant les
périodes
de lucidité si fréquentes a cette période. (1
récoces même pendant les périodes de lucidité si fréquentes a cette
période
. (1) Iiltmr. Maladies de la pérsoll11alité, pag
s négations » depuis l'entêtement simple, puéril et opiniâtre de la
période
prodromique jusqu'au négatisme démentiel « auto
, les idées de négation peuvent se fixer et persister jusqu à une
période
avancée. M. Rogues de Fursac (2) cite des cas d
d'agitation dangereuses mais de courte durée, elles sont suivies de
période
de calme. Il demande lui-même à être mis en cel
. étudiant en médecine, âge de 30 ans. Débuta 18 ans pai une longue
période
prodromique caractérisée par de la dé- pression
on morale avec des crises d'anxiété, ouvrent la scène morbide de la
période
initiale. Il est obsédé par des idées d'empoiso
se réprouve pendant qu'il boit »,les « personnes lunatiques qui par
périodes
sont aimables ou hargneuses» (p. 47) témoignent
. \ se porte l'attention de l'Auteur, le sujet avait présenté une
période
de réveil des sentiments moraux, absolu- ment s
ment semblable, moins les troubles de la parole à certai- nes des
périodes
envisagées par l'Auteur, et au cours de laquell
ses graduées d'alcool ont très nettement montré l'existence de deux
périodes
, l'une primitive caractériséo par la stimulatio
aire du pneu- mogastrique. L'intensité et la durée de la première
période
paraissent être en raison inverse de la dose d'
ndis que l'abaissement est net dans tous les cas. Dans la seconde
période
(parésié' vasculaire et abaissement de la press
rtionnelles à la dose ingérée ; la crise thermique,c'est- à-dire la
période
du maximum de thermogénie, survient plus tar- d
il faut insister, c'est que dans tous les cas, durant les premières
périodes
, alors que la perte du sens musculaire est prof
cette région de l'écorce, et l'on en peut dire autant des premières
périodes
de la folie alcoolique; bien plus, une sembla-
dmissions. En 1892, la moyenne des admissions était de 240 pour une
période
de '2t ans. Pour la période décennale de 189 :
ne des admissions était de 240 pour une période de '2t ans. Pour la
période
décennale de 189 : ; à 1903, elle était arrivée
fractures de côtes. Diagnos- tic de la tuberculose pulmonaire à la
période
cavitaire; luxation de l'épaule. Révision DE
éries distinctes, dont l'une est quelquefois de son côté dédoublée (
périodes
de non-communication entre les coêtres) ; ,- ma
la« conscience » à chaque étape considérée. L'Auteur reconnaît deux
périodes
l'une où la vie psychique est tout entière l'oe
licats, la question de la dualité de la conscience dans la première
période
puis dans la seconde, la question de la coopéra
développe parallèlement à eux, et malgré eux : « La deuxième grande
période
peut s'appeler celle du développement parallèle
emaines et s'accompagnent de leucocytose, et que dans les dernières
périodes
la leucocytose re- parait de temps en temps san
e est repousséo avec succès (phagocytisme), après quoi survient une
période
plus ou moins longue où le bacille est tenu à d
dérant comme des choses différentes ce qui n'est en réalité que des
périodes
différentes d'un seul et même processus, et on
on 428 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. constate, pendant de courtes
périodes
, des degrés moins accusés d'écholalie, mais il
accompagnent la manie grave, à début précoce et présentant à leur
période
initiale des symptômes de folie aiguë. Plusieur
sujet : 1° variations dans la marche de la maladie aux différentes
périodes
de la vie ; 2° influence du sexe ; 3° effets de
emble qu'il reste peu de chances de guérison passagère si après une
période
qui dépasse six mois on ne constate aucune amél
le dit généralement ; elle est inconstante et irrégulière dans les
périodes
de début ; la toux est rare le jour, plus commune
nque, à traverser, au cours de.leur progression, très lentement les
périodes
où elles ont été le plus malades,le plus engour
ssues qui représentent à l'âge adulte les cônes'de croissance de la
période
embryonnaire. Ces fibres à massues ne sont poin
res rigides ont été pris de fortes secousses. Après cette première-
période
quia a duré environ une minute, le corps est de
érale, dite idiopathique, nous ont permis de constater, à certaines
périodes
de l'affection, la présence .constante d'un mic
globules rouges par une de leurs extrémités. Il arrive/suivant les
périodes
et les individus, que ces uermt'CM/M font défau
oie au démon -de l'hystérie : pour raconter les événements de cette
période
, il faut décrire les symptômes de son mal ; ce
et rrialadive; elle nous en fera le récit plus tard, lorsque, la
période
active de l'affection ayant disparu, laissera l'e
grande, lorsqu'éclata la crise première, début de la maladie. DE la
PÉRIODE
aiguë. L'hystérie, avant de devenir chronique,
rie, avant de devenir chronique, est le plus souvent précédée d'une
période
dite aiguë, qu'on pourrait plus exactement dési
ite aiguë, qu'on pourrait plus exactement désigner sous le nom de
période
du lit, car, pour des raisons variées, les unes
sque cette émotion est religieuse, la guérison s'appelle miracle.
PÉRIODE
aiguë DE sainte thérèse. Thérèse eut cette péri
lle miracle. PÉRIODE aiguë DE sainte thérèse. Thérèse eut cette
période
de maladie : elle garda le lit durant trois ann
e sommeil hypnotique : Enfin sainte Thérèse eut aussi pendant cette
période
, un sommeil hypnotique de quelques jours dont n
s consécutives et qui lui firent garder le lit pendant cette longue
période
de temps. Un jour pourtant, pendant cette pér
nt cette longue période de temps. Un jour pourtant, pendant cette
période
de lit, Thérèse se trouva guérie subitement dur
près guérie ». Sommeil hypnotique DE Thérèse. C'est pendant cette
période
de lit qu'elle eut dans la maison de son père, à
tardent pas à envahir leurs parois et à les rendre fibreuses. A une
période
encore plus avancée, les vaisseaux n'ont plus de
vant : Valeur diagnostique des symptômes oculaires, aux différentes
périodes
de la Paralysie générale; valeur appuyée surtou
si grand nombre de cas de tabes restés sans aucune progression à la
période
de début sans traitement, qu'on peut hésiter à
ffres des dernières douze années et si nous les partageons en trois
périodes
chacune de quatre années, nous recevrons les do
celui des paralytiques femmes. En partageant ces mêmes données par
périodes
de quatre années nous aurons les résultats suiv
s malades ont été répartis encore en huit groupes, ayant chacun une
période
de, cinq années. De 67.3 paralytiques (hommes
nt été répartis de la manière suivante : 202 CLINIQUE MENTALE. La
période
la plus longue (dans un cas) était de trente-troi
nsi donc, dans 90 p. 100 de paralysie générale chez les hommes, les
périodes
entre l'infection par la syphilis et l'appariti
de la paralysie générale nous avons déterminé pour chaque dernière
période
de quatre ans la quantité des malades atteints
nt trau- matisme crânien, elle ne survient habituellement qu'à la
période
des grandes dépressions des psychoses, du délire
er pendant quatre ou cinq jours et même davantage. Souvent aussi la
période
menstruelle est inter- ' Voir pour un historiqu
tte activité même, oscilla- tions dont les maxima correspondent aux
périodes
mens- truelles et, souvent, il se produit aussi
IONS hystériques. - Maintenant, avec soeur Thérèse, entrons dans la
période
des hallucinations, celles habituelles aux hyst
par des peintres et des sculpteurs ou imaginée par des écrivains.
Période
démoniaque. -Maintenant Thérèse est en proie au
llucinations démoniaques. Bien des fois encore, Thérèse, dans cette
période
de deux années, aura des hallu- cinations démon
les phases suivantes : 1° une phase de mélancolie primitive; 20 une
période
de doute (Vallon) décrite par Lasègue sous le n
si chez des gens nulle- ment prédisposés à devenir aliénés. Dans la
période
prodromique de la folie, surviennent des tics d
évolue et remplacés par d'autres symptômes plus accentués. Dans la
période
d'état, chez un fou hypochondriaque ayant des c
er le 27 à la normale et s'y maintenir. L'état mental est le même :
période
de lucidité avec phases de délire hallucina- to
n dou- teux d'hystérie, entrait, de sa propre volonté, dans cette
période
de jouissance extatique ; elle se retirait dans s
sions, perversions des sens, tels sont les troubles variés de cette
période
. Après la crise révulsive, il y a paifois la pé
ariés de cette période. Après la crise révulsive, il y a paifois la
période
des contorsions toujours bizarres et effrayante
maître de lui. » Pendant la longue durée de cet état nerveux, les
périodes
d'extase et d'union viennent remplir l'in- terv
ent à la pauvre convulsée. Enfin, lorsque la malade se réveille, la
période
est finie, elle est brisée comme de coups reçus
toute son intelligence reconquise, son train de vie ordinaire. La
période
de ravissement de sainte Thérèse s'appelle d'un
st heureux de constater les améliora- tions apportées pendant cette
période
et les progrès réalisés. Enfin la série des Loa
traumatisme doit de même conduire le chirurgien, dans les premières
périodes
du traumatisme à ne négliger aucune indi- catio
t ans avec tous les signes de la paralysie générale, puis après une
période
d'amélioration son état est resté station- nair
sitoire, ne doit presque jamais êlre interné à l'asile : une courte
période
de mise en observation suffira le plus souvent
hez sept malades, dont la paralysie générale avait déjà atteint une
période
avancée, on trouvait cinq atrophies papillaires
des faits passés depuis longtemps; fréquemment le malade, même à la
période
paralytique, ne pourra pas indiquer le quantièm
ou suivi l'apparition d'une de ces infections, alors que pendant la
période
où la syphilis était seule, aucun accident tabé
à interprétation pessimiste. Le diagnostic n'est délicat qu'avec la
période
d'incubation du délire clinique à évolution sys-
ue l'épilogue rapide d'une tuberculose pulmonaire chronique à la 3°
période
. Au contraire, dans les 4 cas où les lésions fu
processus conduisant à l'atrophie simple peut être divisé en trois
périodes
: 1° Le début, caractérisé par ce que G. Durant
ême trouble de développement; 1' gigantisme se manifeste pendant la
période
de la croissance, et l'acromégalie quand cette
e pendant la période de la croissance, et l'acromégalie quand cette
période
est termi- née. Si l'on se rappelle, en outre
as la forme consomptive (pneu- monie caséuse). ' , Au début de la
période
aiguë, ses deux soeurs la soignaient alternativ
t : « C'est étonnant. on croirait lire un écrivain ! » Ce fut une
période
de bonheur parfait, puis vint la guerre, le siè
ssé. Veuf à cinquante-trois ans ; ne s'est pas remarié ; a vécu par
périodes
avec une ancienne malade de la Salpêtrière, « a
ié D. Cet affaissement et cette déviation se manifestent encore par
périodes
. Chutes nombreuses. Gourmes fréquentes : les pl
nt très fréquents, on ignore les rapports qu'ils affectent avec les
périodes
d'évolution de la mala- die, leur mode de distr
tour de la vision comprend, comme dans le fait qu'il a observé, une
période
d'hé- mianopsie. Il ne 'croit même pas pouvoir
, les troubles de la sensibilité cutanée sont exceptionnels dans la
période
préataxique ; ils sont la règle dans l'état ata
intéressants : 1° Au point de vue clinique, l'apparition en pleine
période
secondaire d'une petite'gomme artérielle ayant
nt aussi fréquents dans la convalescence de la folie que pendant la
période
d'aliénation. Il est à peine nécessaire de dire
pouvant être atteints ensemble ou isolément. Aussi trouve-t-on à la
période
de début, soit un trouble de la sensibilité cut
Souvent au début, il n'y a qu'altération des conducteurs sensibles (
période
préataxique), mais généralementla marche ultéri
il est associé à d'autres manifestations morbides. Ainsi, dans les
périodes
ini- tiales du tabes dorsal, s'il est escorté d
yphilis du cerveau, la syphilis de la peau, ont toutes traversé une
période
pendant laquelle leur nature syphilitique est r
nt laquelle leur nature syphilitique est restée douteuse. · Cette
période
a été courte parce que l'on s'est vite aperçu que
rdhui à reconnaître lorsqu'ils se développent chez des individus en
période
de santé mentale, peuvent se montrer aussi sous
ns soudaines, symptôme qui domine la scène et persiste même dans la
période
de démence terminale. En résumé : apparition co
ont de l'imbé- cile, du faible d'esprit, à l'idiot complet. Trois
périodes
sont à considérer dans son histoire : la période
ot complet. Trois périodes sont à considérer dans son histoire : la
période
d'incubation, la période délirante, et la pério
s sont à considérer dans son histoire : la période d'incubation, la
période
délirante, et la période terminale de démence.
son histoire : la période d'incubation, la période délirante, et la
période
terminale de démence. L'enfance des malades p
de remarque. Dans le plus grand nombre des cas, après une première
période
de fatigue, d'énervement, de neurasthénie, le d
utre inconnue, qui est la prédisposition. Quand la maladie est à la
période
d'état, le seul élément de diagnostic certain r
XXV. Évolution comparée des troubles de la sensibilité aux trois
périodes
de la paralysie générale ; par le De MARANDON de
un enfant est sou- vent trompeur et que ce n'est qu'après toute une
période
d'obser- vations et après tentative d'éducation
e la mortalité relative par phti- sie chez les adultes jeunes, à la
période
que l'on pourrait appeler période d'élection de
sie chez les adultes jeunes, à la période que l'on pourrait appeler
période
d'élection de la phtisie, est à peu près égale à
en esclavage et ne considérait d'ailleurs l'humanité que comme une
période
pu- rement transitoire dans le mouvement ascens
Je. Ireland, Nietzche passa de la santé mentale à la folie par des
périodes
de transition D, et ce passage fut long. Dans
ont été observés chez 108 sujets paraly- tiques aux deux premières
périodes
de la maladie. De ces divers cas, l'auteur pens
moteurs excessifs peuvent se montrer de pré- férence à la première
période
et réciproquement, les troubles légers à la sec
la motricité si le paralytique est à la pre- mière ou à la seconde
période
de la maladie. A la seconde période, la fréquen
à la pre- mière ou à la seconde période de la maladie. A la seconde
période
, la fréquence des troubles est d'autant plus gr
st plus élevé, le fait inverse n'a pas été observé pour la première
période
. A cette première période, les rémissions dans
erse n'a pas été observé pour la première période. A cette première
période
, les rémissions dans les troubes moteurs ont ét
Les troubles moteurs ont été trouvés beaucoup plus accusés aux deux
périodes
dans la paralysie générale précoce et de l'âge
es, moteut-s, l'alcool semble jouer le principal rôle-à la première
période
, puis la syphilis et le traumatisme. AI. IIAMEL
erbaum, 511. Evolution comparée des - de la sensibilité aux trois
périodes
de la paralysie générale, par Marandon de Mon-
plusieurs fois constaté chez les malades Dus... et So... que les
périodes
de dépression coïncidaient avec l'oligurie ou une
r. Ce dé- lire hallucinatoire, surtout nocturne, alternait avec des
périodes
de confusion simple. Au milieu de la nuit, réve
de ne plus voir clair, et voulait allumer la lampe. Il avait des
périodes
de lucidité, au cours desquelles il attribuait
açon régulière. Un groupe de cinq infirmiers est attaché pour une
période
de cinq jours au service d'un pavillon ; et les c
q jours au service du pavillon des pension- naires, puis durant une
période
égale au pavillon des tranquilles, suivie d'un
gités, qu'il quitte pour un service plus facile. ' Pendant chaque
période
de cinq jours un même infirmier n'est en contac
convénients. Le service de veille se fait par demi-nuit pendant une
période
de cinq jours : un infirmier est de garde alter
mis en liberté peuvent être réintégrés sans formalités pendant une
période
de trois mois à partir du jour de leur sortie.
de nombreux stigmates de dégénérescence, photographié pendant une
période
d'excitation mentale '. La deuxième partie trai
ant, sautant et paraissant manquer totalement de lucidité. Dans ces
périodes
il est impossible de rien en tirer ; l'attentio
constatée peu après l'entrée. Elle a été plus mar- quée à certaines
périodes
et revient encore de temps en temps. Les cas de
seize mois que le malade a passés à l'asile. 2° Pendant la dernière
période
de la vie, il y a eu des vomissements qui parai
ce nerveuse, dont le degré d'acti- vité varie simplement suivant la
période
de développement ner- veux ; 9° L'inhibition
ntellement et ne se manifestent avec une certaine intensité qu'à la
période
confirmée de l'ataxie. Leur intensité et leur a
, 30 août 1902). Il s'agit'd'un homme de 35 ans, qui au cours d'une
période
de six mois d'excès alcooliques constata une di
venu, et sans avoir gardé aucun souvenir des faits appartenant à la
période
intercalaire, qui avait duré six semaines, 16 a
e fois seulement, affaiblis. L'exagé- ration est nette à toutes les
périodes
de la maladie. Toutefois chez certains malades,
, apparaissaient des alternatives d'enphorie et d'hypochondrie. Les
périodes
d'hypochondrie avec anxiété coïncidaient avec l
obtenir que le traitement sera fait au début de la maladie, dans la
période
dite préataxique (Revue neurologique, juillet 1
survenue après la naissance sous des influences diverses. Certaines
périodes
de la vie de l'enfant sont des périodes d'électio
luences diverses. Certaines périodes de la vie de l'enfant sont des
périodes
d'élection pour des modifications mentales pass
ir.-La folie puerpérale est un trouble mental qui survient dans une
période
courte consécutivement à la délivrance, à laque
cide. La plupart des infanticides commis plus tardivement dans la
période
puerpérale sont dus à des troubles mentaux de typ
attention des auteurs M. Séglas en a observé un cas portant sur une
période
de vingt- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 169 q
porté trois exemples très curieux. Dans le premier, l'étendue de la
période
rétrograde de l'amnésie a été de plus d'un an,
très débile et offrant toute la série des symptômes d'un tabes à la
période
d'incoordina- tion motnce. Le malade présente d
normal, sauf exceptions individuelles, l'extension des orteils; une
période
de transition est marquée souvent par l'ex- ten
tion. L'analyse des urines de vingt- quatre heures a donné dans une
période
d'euphorie les résultats suivants : 20 i CLIN
dante, élimination retardée et prolongée du bleu de méthylène, puis
période
d'amélioration après reprise du régime lacté in
alade fut plus docile jusqu'en octobre 1901. En octobre 1901, une
période
d'excitation avec propos grossiers coïncida ave
! ». Ces expressions, grossières ou non, avaient cours pendant une
période
plus ou moins longue pour faire place à d'autre
se des cris perçants, prononce des paroles grossières. Durant cette
période
d'exacerbation tout travail régulier est diffic
e légère contraction de la face. Le malade, à ce moment-là dans une
période
de dépression et de mutisme, a cependant deux foi
g des paralytiques, que j'ai pratiqué avec M. Lefas aux différentes
périodes
de la maladie, semble confirmer ces vues théori
ncéphalite paralytique, dont elle marque aussi bien le début que la
période
terminale. C'est encore en raison de la virulence
le du sujet est totalement changée. Pour cela, il faut une première
période
de mobilisation passive. qui peut durer de quel
guère être conduite et appliquée que par le médecin. Cette première
période
de mobilisation est suivie d'une deuxième pério
n. Cette première période de mobilisation est suivie d'une deuxième
période
de rééducation, pendant laquelle il faut réappr
à cause de cette maladie. La statistique de M. Chervin embrasse une
période
de cinquante années, de 1850 à 1900 et comme il y
ente-cinq ans. Légères crises d'hydror- rhée nasale Au moment de la
période
congestive qui précède l'écoulement, impossibil
des aggravations, sous l'influence de divers états physiologiques (
période
de pubeité, période d'involution, processus pue
ous l'influence de divers états physiologiques (période de pubeité,
période
d'involution, processus puerpéral, etc.), et pa
tieuse, cause à notre sens de l'anencéphalie, remontait déjà à une
période
éloignée, et comme d'autre part l'état de conserv
le bulbe n'est pas nécessaire au développement foetal, jusqu'à une
période
très tardive de la vie intra-utérine ; peut-êtr
observations se rapportent à des paralytiques généraux avérés à une
période
peu avancée de leur maladie. Quelle est donc l'
ue ne peut être mis en cause. Chez les paraly- tiques généraux à la
période
de cachexie, l'eedème permanent s'accompagne d'
a paralysie générale ; mais il l'a observé très fréquem- ment à des
périodes
plus avancées de la maladie. Marcel BRIAND. SOC
nstater cette variété d'insomnie. Cependant elle est fréquente à la
période
d'in- cubation des vésanies. Ce qu'ils observen
mes de la courbe se retrouveraient chez les circu- laires : dans la
période
dépressive, ces malades s'endorment diffi- cile
tête et se sentent plus ou moins fatigués dans la journée. Dans la
période
d'agitation, itssendormentviteetpro- fondément
t tirer une indication thérapeutique de ces constatations : dans la
période
dépressive, il conseille de faire prendre au ma
ire prendre au malade de la paraldéhyrle, qui agit vite, et dans la
période
maniaque, du sulfonal. il' a, en effet, éprouvé q
est assez rapide, parfois même ins- tantané, et habituellement sans
période
d'excitation manifeste. Il ne s'accompagne pas
s l'accoutumance est rapide et parfois le sommeil est précédé d'une
période
d'excitation qui peut prendre la forme d'une vé
son emploi. Dans la manie, l'opium est indiqué, mais seulement à la
période
de décroissance. Dans les cas aigus, l'al- cool
gère contraction de la face. Le malade, à ce moment-là, dans une
période
de dépression et de mutisme, a cependant deux foi
e aigu, hystérie ( ? ), épilepsie, paralysie générale à la dernière
période
). Poussant la thèse plus loin encore, l'auteur
rmes de délire circulaire. Mais ce qui est singulier, c'est que les
périodes
de dépression mélancolique et d'agitation demi-
paranoïaque, de la psychose dont la catatonie marquerait la seconde
période
apparaîtra constante, à mon avis, si l'on peut
temps après le retour des troubles intellectuels, après une longue
période
de préoccupations, d'idées tristes, et 412 ) CL
émotionnelle déter- minante, une phase de délire mélancolique, une
période
transitoire de confusion mentale, une phase de
on de la santé physique, phase de préoccupation, d'idées tristes,
période
de transition avec confusion mentale, et, enfin,
ce en quelque sorte progressivement les troubles primitifs. A cette
période
intermédiaire de con- fusion mentale succède la
de ce pronostic, quant à l'appréciation de la durée probable de la
période
pruidémenlielle. Voici un fait qui me paraît as
sur ce fait particulier. Nous observons de loin en loin encore des
périodes
de mutisme, d'inertie cérébrale, avec sourires
-trois, tous parai) tiques généraux à la deuxième ou à la troisième
période
. Le fond de l'oeil de chacun d'eux a été exa- m
s congestifs, le malade C... est passé de la seconde à la troisième
période
de la paralysie générale ; parallèlement sa pap
ctuel- lement blanchâtre. Le malade B... paralytique à la seconde
période
ne présentait lors du premier examen aucune lés
sont d'autant plus mar- quées que les paralytiques ont atteint une
période
plus avancée de leur maladie, c'est ainsi que l
s deux cas alors que les malades avaient à peine atteint la seconde
période
de la paralysie générale. Le résultat de l'exan
sont des paralytiques généraux déjà arri- vés au moins à la seconde
période
de leur affection. L'acuité visuelle, difficile
ression sanguine générale. 17° L'attaque épileptoïde entraîne, à la
période
tonique, la dilatation de la rate, à la période
oïde entraîne, à la période tonique, la dilatation de la rate, à la
période
clonique, une vive contraction de longue durée, q
léniques, l'attaque épileptoïde détermine encore le gonflement à la
période
tonique, la contraction à la période clonique.
mine encore le gonflement à la période tonique, la contraction à la
période
clonique. l'. KEMAVAL. XXSV11. Dégénérescence
s des autres sens. La démence arrive promptement, et, à la dernière
période
, les symptômes pré- sentés par les malades ont
vec ceux REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ' 447 que l'on observe à la
période
correspondante de la paralysie géné- rale à for
relle des recherches qui ont, en grande partie, absorbé la première
période
de sa carrière : confiné dans le domaine de l'o
atoire de nature infectieuse. Il y a eu dans son développement deux
périodes
distinctes : la première, qui, très vraisemblab
tieuses, franchement inflammatoires, qui ont marqué les dernières
périodes
de la vie et ont donné lieu à la sympto- matolo
il faudra que je recommence. » La verbigération des catatoniques en
période
d'excitation reconnaît peut-être aussi la même
élirants à forme de rêve, dans les somnambulismes hystériques, la
période
délirante des attaques hystériques ou des accès é
iétudes peu justifiées, Au bout d'un certain temps, il arrive à une
période
de délire systématique secondaire avec idées d'
c idées d'auto-accusation, de négation, d'énormité. Voici à cette
période
un de ses monologues : « Avez-vous jamais vu un
épouvantable, le monde entier a la vérole. » Ajoutons qu'à cette
période
, le monologue n'est plus intermit- tent comme a
chancre et les ravages de la syphilis ? Ce malade est moit a cette
période
, sans cela il eût évolué sans nul doute, de la
el : le premier coïncide généralement avec des formes aiguës ou des
périodes
d'agitation. Le se- cond se rencontre dans les
uivies et les résultats obtenus à l'Asile de Sunderland pendant une
période
de quatre années, les proposi- tions suivantes
mentiel des hallucinations des paralytiques généraux à une certaine
période
de leur maladie. Il faut, conclut- il, être vra
solution, mais non le sommeil complet, commandements durant cette
période
. Résultats presque nuls. lihu de méthylène. Bra-
de maîtres distingués et qui le chéris- saient. Il fit une nouvelle
période
de quatre années d'internat à Paris. Ses goûts,
ie, reconnaissant pour cause des excès alcooliques. Ce malade a des
périodes
de calme assez longs. Dans ces circons- tances,
lument tranquille pendant une dizaine d'années. C'est pendant cette
période
qu'elle se maria. Puis elle redevint nerveuse, di
e pas ainsi chez les persécutés ordinaires : c'est alors, après une
période
plus ou moins longue de prépa- ration, les idée
primitive; tandis que, chez un délirant chronique, elle marque une
période
très avancée du délire, n'apparaît qu'après de
émence avant que ses idées, déli- rantes en soient arrivées à cette
période
de leur évolution. D'un autre côté, si l'on con
elle différence ! ces derniers en effet, une fois arrivés à cette
période
de leur délire, se consolent facilement des souff
oque chez ces malades ont aussi des caractères distincts. Après une
période
plus ou moins longue, le persécuté qui commence
ques les symptômes que nous indiquons. Marcé indique à une certaine
période
de la mélancolie l'appari- tion d'idées hypocho
s encore, dans le cours de cet accès lui-même, après une certaine
période
de délire mélancolique ordinaire. Cet état spécia
u'il appelle le délire des 68 REVUE CRITIQUE. négations, sorte de
période
secondaire de certains états mé- lancoliques an
Centralbl., 1882.) Femme de 28 ans ; pas d'hérédité; éclampsie à la
période
de la dentition (1 ? année). En 1875, refroidis
ractère anatomique ni symptomatique spécial; 3" Elle appartient aux
périodes
tardives de la syphilis et n'appa- rait général
adie, la constitution des malades, le mode de l'électrisa- tion, la
période
de la \ie du patient, doivent entrer en ligne de
avec ses principaux caractères le tableau de ]'hystero-épi)cpsie.
périodes
épileptoide, clonique et délirante pendant les at
nts à l'accès d'épilepsie. Mais, le plus souvent les deux dernières
périodes
de l'attaque hystérique séparent de telle façon
rois jours de médication, c'est-à-dire le 10 février. Pendant cette
période
de vingt jours, du 33 janvier au 10 février, on
reste tout à fait indemne. A la phase tonique, succède bientôt une
période
de convul- sions cloniques. Les muscles de la f
d'un jour à 150 ou 200 environ. Or, jamais, pendant cette longue
période
convulsive, la température ne s'est, chez Co...,
antage rapproché de la dernière, de la démence. C'est ainsi qu'à la
période
d'inquiétude, la maladie est curable, qu'elle l
iode d'inquiétude, la maladie est curable, qu'elle l'est moins à la
période
de'persécution, moins encore à la période ambit
qu'elle l'est moins à la période de'persécution, moins encore à la
période
ambitieuse, et que la démence, synonyme de dis-
tisme, l'élec- tricité, toutes les inventions modernes; à certaines
périodes
de notre histoire, sous le dernier Empire par e
plus, les mômes conceptions^et, pro- ,,Fessiveniciit, la1 deuxième
période
est franchie. ? «, aftik;js ! ) t)T ? h n ihrf,
nique se montre simultanément avec l'épilepsie. , Le pronostic à la
période
d'inquiétude est le moins grave, certaines' règ
à un certain point d'entraver la marche de la maladie ; mais à la
période
de persécution et surtout d'ambition; la terminai
est presque constamment fatale.1 - , * Diagnostic. Difficile à la
période
d'inquiétude, il est aisé V|Jé* . "" ., i , °l'
vh .,nl yJ,l6(t v ' ? V ' ' i ' ' DU DELIRE CHRONIQUE. i 7 à la
période
de persécution, que l'on pourrait seulement con-
s, caractéristiques, aideront encore à reconnaître la maladie. La
période
expansive ne sera pas confondue avec la paralysie
d des voix, on fouille sa pensée. ' Elle reste en ce moment el la
période
de la persécution, après avoir parcouru très ra
le inutile de multiplier les observations de ^délire chronique à la
période
de persécution, elles sont plus' ou moins toute
t dès ce moment incons- cientes. A trente ans,-V... est arrivé à la
période
expansive de son délire chronique. Il entend la
t se borne son 'action ? Sans l'épilepsie, ce délirant suivrait ses
périodes
de systématisation lente sans dévier du type no
que de la scissure. Pendant la vie foetale, en ,,effet, il est une,
période
, pu, elle forme une véritable fosse. Et. .du re
e paralytique générale l'amélioration a commencé durant la dernière
période
de la fièvre et a suffisamment pro- gressé pour
re que ce réflexe peut varier chez le même individu à diffé- rentes
périodes
de la maladie; il s'en faut aussi qu'il soit touj
une .p ? '* '' ? ii 1 t , «mvififiiii.A m/ II'" 'i.lt-l 5>' ,-
période
maniaque d une grande violence, ainsi que les idé
'SOCIÉTÉS SAVANTES. "pàra)ytiquës"genéra'ux"'arrtvés à la dernière
période
de leur ma- ladie'Qtiaiid je m'étonnais que ces
oublie que le développement du système nerveux central comporte une
période
fondamentale dans laquelle se forme une riche s
a pas besoin d'éclats de voix pour comprendre. Les hallucinés, à la
période
d'affaiblissement intellectuel, répètent souven
cultés intellectuelles ; cette genèse n'a rien de surprenant, à une
période
où se développent les deux ordres d'éléments ps
en folie systématique, mais il a vu des fous systématiques, aune
période
avancée de leur maladie (démence), être tourmenté
, se lamentent sur leur sort, on trouve qu'ils ont été, pendant une
période
préalable plus ou moins longue, le jouet d'hall
ncolie et la folie systématique n'a jamais été chez ses malades une
période
de parfaite santé; le nouveau complexus psychiq
par le morphinisme. Complications. Impuissance génitale après une
période
d'excita- bilité génésique ; aménorrhée fréquen
là à l'état permanent, paraissant s'accentuer un peu à la su'te des
périodes
d'attaques dont nous allons parler; s'atténuer
est dans l'extension forcée et en tétanisme. (Fig. 10.) Après la
période
de convulsions toniques précédemment indiquées,
muscles convulsés; ces secousses constituent comme l'ébauche d'une
période
de convulsions cloniques. L'attaque est alors t
s venons de la décrire, on ne constate aucun phénomène rappelant la
période
des grands mouvements, ou la période hallucinat
e aucun phénomène rappelant la période des grands mouvements, ou la
période
hallucinatoire de l'attaque de grande hystérie.
dent est terminé. II. Variétés de l'attaque. Dans la plupart de ces
périodes
de crises, les attaques ont revêtu les caractèr
e n'a jamais dépassé 37°, 5. V. État de la malade au sortir de la
période
de crise. D'habitude, à la suite de ses crises,
CLUSIONS : 1° Les attaques d'hystérie, du moins à-leur pre- mière
période
, ressemblent très fréquemment, comme on sait, a
que les 29t CLINIQUE NERVEUSE. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. diverses
périodes
constitutives de l'attaque n'ont pas le temps d
ra... reprend généralement connaissance de suite sans avoir eu de
période
de stertor, ni de ronflement; toutefois on a noté
IL DE FAITS. formes étaient égales des deux côtés; mais, pendant la
période
clonique, les secousses étaient plus prolongées
ntielles supérieures manque encore com- plètement; on C'est à une
période
plus tardive que se forment les fibres nerveuse
ffaiblissement des extrémités gauches avec convulsions toniques par
périodes
; augmentation très prononcée des réflexes tendi
noyau, est suivi de rétraction du contenu cellulaire; pendant cette
période
, le noyau devient fortement réfringent, tandis qu
s grumeaux amorphes en partie soluble, dans l'éther. Dès la seconde
période
, le carmin ne teint que difficilement le protop
z les sujets hypnotisés, les symptômes objectifs varient suivant la
période
et le type; nulle description théorique n'est c
- blement l'appétit. Le pouls s'accélère au début, et, pendant la
période
d'activité du haschisch, la pupille se dilate. Ce
emarquer que Kussmaul a observé un état sem- blable au moment de la
période
de convalescence de l'alexie, tandis que les ob
orme ondulatoire, dont la genèse, aujourd'hui spontanée, pendant la
période
de repos, est d'autres fois provoquée, soit par
eignaient, après plusieurs heures et même plusieurs semaines, à une
période
d'acmé caractérisée par une rigidité tétanique
ns l'ensemble du processus, et chaque phase res- semble à l'une des
périodes
de la convulsion des nerfs mourants (réaction d
e démence paralytique progressive rapide, galopante. A une certaine
période
de son développement, la phase ou l'accès envi-
r LAPRFVOTTF. Thèse de Paris, 1884. Des troubles trophiques de la
période
p)'cBa<n.BtM6 du tabès spéci- fique ; par P.
sans transition à l'inconti- nence physiologique du nourrisson ; la
période
comprise entre sept et huit ans, et celle qui s
rtaines épilepsies symptomatiques de lésions encéphaliques. Dans la
période
qui suit la dixième année la boîte cranienne se
gités, de vrais cauchemars qui se produisent dans la toute première
période
du sommeil et qui ont le caractère pénible des
est devenue très forte. Deux fois seulement depuis 1893, pendant la
période
menstruelle, il lui est arrivé de se mouiller l
chez le père et l'aîné des fils, puisqu'elles se produisent dans la
période
hypnogogique qui suit le coucher. Observation
s nuits de suite vers deux heures du malin, environ, puis vient une
période
de quelques nuits sèches. Son infirmité lui éta
je crois pouvoir en conclure qu'elle est de nouveau entrée dans une
période
satisfaisante. C. INSUCCÈS. Observation XXI
t reprises à intervalles assez irréguliers. Bien qu'il y ait eu une
période
de quatorze jours sans accidents, les parents s
s'était établi progressivement sans ictus, et après avoir subi une
période
d'aggravation, il tendait à rétrocéder. Quel est
nitales, suité d'abus sexuel pratiqué par une autre personne, et la
période
de la vie qui renferme cet événe- ment funeste
et reproduisaient le tableau clinique de la paralysie générale à sa
période
termi- nale. Chez un malade dont le coeur était
pression brusque de l'opium, on a noté des vomissements. Pendant la
période
du traitement bromuré, les accès ont diminué de n
. M. Falret. Il existe un délire de persécution classique, à quatre
périodes
et, si Lasègue a vu seulement la période d'état
ution classique, à quatre périodes et, si Lasègue a vu seulement la
période
d'état, en revanche, il faut admettre aujourd'h
ériode d'état, en revanche, il faut admettre aujourd'hui les quatre
périodes
si bien décrites par M. Magnan. Mais ce délire
es par M. Magnan. Mais ce délire de persécution classique, à quatre
périodes
, n'est qu'une variété clinique du délire de per
rédominant. Mais apparaissent- elles à la première ou à la deuxième
période
du délire chronique, l'absence d'hallucinations
la sensibi- lité générale et les hallucinations génitales. A quelle
période
apparaissent-elles ? Est-ce au début ? - Il fau
faut admettre qu'elles apparaissent à la deuxième et à la troisième
période
. Cependant elles n'existent pas chez tous les p
la démence est loin de composer le tableau clinique de la dernière
période
. A ce moment, c'est plutôt un simple affaiblisse-
rapports entre les variétés du début et les variétés cliniques des
périodes
ultérieures ? Quels sont-ils ? tel est le problèm
critique sûre et judicieuse. Cette époque peut se diviser en quatre
périodes
: Bell inaugure la première, qui s'étend jusqu'en
se constitue sur de nouvelles bases anatomo-cliniques. La troisième
période
commence avec l'élude des localisations cérébrale
par la méthode de Frenkel. Chez le tabétique qui ne marche plus, la
période
des exercices au lit durera naturelle- ment plu
bizarre, comment la fatigue se manifeste chez le tabétique Dans la
période
pré- ataxique les malades accusent presque touj
de cour- bature, de lourdeur, de plomb dans les membres). A cette
période
d'hyperesthésie succède une période d'anesthésie
lomb dans les membres). A cette période d'hyperesthésie succède une
période
d'anesthésie à la fatigue. Le malade n'éprouve
n. - TRAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS. 169 Après une~
période
d'amélioration relativement rapide de l'incoord
re et musculaire dans le cours du tabes. Il est certain que dans la
période
ataxique la sensibilité musculo- articulaire es
s troubles de la sensibilité mus- culo-articulaire,'surtout dans la
période
avancée de la maladie. - A notre avis l'argumen
de la maladie, on verra que dans les cas de tabes aigu, et dans la
période
d'aggravation rapide des phénomènes ataxiques l
ement par la rééducation des mouvements n'est in- diqué que dans la
période
d'ataxie du tabes. Selon nous il n'a aucune rai
e d'ataxie du tabes. Selon nous il n'a aucune raison d'être dans la
période
préataxique, car dans cette période le malade e
aucune raison d'être dans la période préataxique, car dans cette
période
le malade est complètement maitre de tous les mou
uels la méthode de Frenkel doit être formellement interdite dans la
période
préataxique. Contre-indications. En thèse génér
ra commencer les exercices que quand la maladie sera arrivée à la
période
d'état ou de progrès lent, chronique. En effet no
donc de s'abstenir de tout exercice, même de la marche, pendant ces
périodes
. On fera mieux de laisser reposer les malades.
ux troubles de la sensibilité. Nous avons dit plus haut que dans la
période
préataxique notre traitement n'est d'aucune uti
ies pénibles et de l'hyperesthésie musculaire. Con- trairement à la
période
ataxique pendant laquelle les malades ont souve
ci d'ailleurs la succession de ces différentes phases pen- dant une
période
d'observation de douze jours. 27 avril. Une att
une centaine dans la journée. En revanche le malade traverse des
périodes
de huit à dix jours sans en éprouver. L'accès com
coup de revolver à la tempe, tentative de suicide commise dans la
période
d'inquiétude. Le malade entend un ennemi différen
sensation de brûlure, des élancements; après l'accès se déclare une
période
de réaction avec fourmillements insupportables,
es ongles sedéforment. D'après Raynaud cette maladie comprend trois
périodes
: la période d'invasion caractérisée par l'asph
rment. D'après Raynaud cette maladie comprend trois périodes : la
période
d'invasion caractérisée par l'asphyxie locale, du
risée par l'asphyxie locale, durant de quelques jours à un mois; la
période
d'état, accompagnée d'accès de douleur et de ga
d'accès de douleur et de gangrène, durant une dizaine de jours; la
période
d'élimination des escarres durant de vingt jours
andis que la cyanose de Raynaud se manifeste par accès suivis d'une
période
de réaction, qu'elle s'accompagne souvent de do
lieu d'être progres- sive présente des rémissions, c'est-à-dire des
périodes
pendant lesquelles la plupart des symptômes s'a
ladie, sans s'amender, à proprement parler, s'arrête à une certaine
période
, se cristallise pour ainsi dire pendant des ann
ue. Quant aux arrêts, ils surviennent généralement dans la deuxième
période
, lorsque les malades prennent de l'em- bonpoint
nt à l'utilité des visites à volonté sans aucune réserve quant à la
période
et aux phases de la maladie et sans fixation aucu
onstante plus exagéré le soir que le matin. Il existe toutefois des
périodes
pendant lesquelles le ma- lade, se trouvant tou
ne défectueux, les troubles respiratoires très accusés et jusqu'aux
périodes
d'exa- cerbation et de rémission. Ce sont là au
i passent par une phase tonique et une phase clonique; à la face la
période
to- nique existe seule; de plus les troubles mo
ique ? Quels change- ments sont-ils survenus pendant et après cette
période
? ' ! Les manifestations de l'instinct sexuel o
Mastur- bation ? Depuis quand ? De quelle manière ? Comment cette
période
a-t-elle été franchie par d'autres mem- bres de
dans le travail actuel. La syphilis peut frapper la moelle à trois
périodes
de l'existence : pendant la vie intra-utérine,
ent intellectuel plus ou moins considérahle, de l'hébétude avec des
périodes
d'excitation ; plus rarement se manifestent des
e quatre mois et nécessite l'inter- nement du malade. Pendant cette
période
il passe d'abord par une phase d'excitation man
de observé par M : Lührmauu pré- sentait lui aussi, dans la seconde
période
de sa maladie, une forme d'excitation maniaque
stèmes dont le développement n'était pas encore commencé avant la
période
d'inanitiation; 9° En outre l'ouverture palpébral
ndant plusieurs jours et perdit la mémoire de sa tentative et de la
période
consécutive. Il n'y eut pas d'accidents convulsif
ne pas oublier, au point de vue médico-légal, l'existence de cette
période
d'amnésie rétroactive ; les observations de Wes
s faites de 1880 à 1896, des améliorations réalisées durant la même
période
et de terminer par les der- niers rapports admi
tion de ses mouvements. Il est certain que sans notre traitement la
période
de convalescence aurait été beaucoup plus longu
trois mois avec une mtensité moindre qu'en septembre 1892, mais par
périodes
de huit à dix jours, séparées par des intervall
la réveillent au milieu de la nuit. Un peu de céphalée pendant ces
périodes
de crises. Le phénomène plantaire est très pron
accident il reste couché pendant six semaines. Pendant toute cette
période
crises de douleurs fulgu- rantes atroces à l'en
lle, c'est-à-dire que le nombre des aliénés a triplé. Pendant cette
période
de temps, six asiles publics ont été construits
santé apparente de quatre semaines ; 2° manie avec mégalomanie, et
périodes
dépressives, avec idée d'empoisonne- ment, puis
taux, de natureopposée, alternant régulière- ment entre eux ; à une
période
d'expansion et d'activité succédait, chez eux,
; à une période d'expansion et d'activité succédait, chez eux, une
période
de dépression et d'impuissance, et toujours ain
sité décroissait progressivement, et à leur suite s'établissait une
période
de dépression qui durait plusieurs semaines par
L'écriture de l'aphasique sensoriel est toujours très troublée à la
période
d'état. L'écriture spontanée est impossible; ma
malade atteint de délire chronique varie, non seulement, suivant la
période
de la psychose, mais encore, avec ses croyances
deux variétés de psychose décrites par les auteurs précédents. 1°
Période
commune d'incubation. Inquiétudes vaques. 420 0
tions parallèles de la connaissance, S'il y a dédoublement à cette
période
, il porte sur le monde extérieur, mais la perso
e était doué de la même faculté, Fane de Balaam éga- lement 2. 3c
période
. (Théomanie.) - Au début, les hallucinations ef
lé,il donne un corps aux produits de son enten- lement". » Dès la
période
intermédiaire où les deux courants délirants 1
oup de revolver à la tempe, tentative de suicide commise pendant la
période
d'inquiétude. Il entend un ennemi différent log
n'a pas été mieux partagé que les autres départements, car, pour la
période
qui a précédé l'organisation de l'asile actuel,
reproduisons in extenso, car elles renseigneront le lecteur sur une
période
encore bien inconnue, quoiqu'elle date d'hier :
sécutives à la section nerveuse, il y a à distinguer également deux
périodes
: la 1'° où les éléments cliromatopliiles subis
s précises au point de vue thérapeutique ; il peut les donner à une
période
de la maladie où le traitement mercuriel est en é
s lignes ont été écrites jusqu'à ce jour, c'est- à-dire pendant une
période
de dix-huit ans, je n'ai pas manqué de renou- v
CLINIQUE ET SYMPTÔMES SUBJECTIFS 23 appelés à la soigner pendant la
période
de i ans où elle avait été malade, impotente. E
e à dire qu'il est sou- vent impossible de distinguer à la première
période
l'hémiplégie hysté- rique de l'hémiplégie organ
es mani- festations du tabes se présentent, au moins à une certaine
période
, sous une forme asymétrique. L'irréflectivité
moindre. Nous venons de voir que l'hémiplégie de l'adulte, dans la
période
où la dégénération secondaire est constituée, s
ne hémorragie méningée. Les réflexes tendineux peuvent, pendant une
période
plus ou moins longue, se comporter comme dans l
ieurs n'ont jamais été exagérés et qui même s'était manifesté, à sa
période
ini- tiale, par de l'affaiblissement des réflex
n mode de l'activité musculaire, et elle est stable, au moins à une
période
de son évolution. Mais, comme nous venons de le v
Il est certain que l'hémiplégie organique est plus commune dans les
périodes
avancées de la vie que dans le jeune âge et que c
sie faciale dans l'hémiplégie organique. A l'état de repos, dans la
période
de flaccidité, la face présente l'aspect suivan
raités classiques, l'asymétrie faciale à l'état de repos et dans la
période
de contracture serait l'inverse de celle qui vi
abaissement de la commissure du côté de la paralysie, comme dans la
période
de flaccidité. Les mouvements unilatéraux de la
n est de même des mouvements bilatéraux, que l'hémiplégie soit à la
période
de flaccidité ou dans celle de contracture. L'a
normaux, exagérés, affaiblis ou abolis, tandis que dans la deuxième
période
, c'est-à-dire à partir de la quatrième ou de la c
de à dire qu'il est souvent impossible de distinguer il la première
période
l'hémiplégie hystérique de l'hémiplégie organique
dénomination de phé- nomène des orteils, appartient à toutes les
périodes
de l'hémiplégie. 8" La forme de la contracture
re possible. Or, il en est géné- ralement ainsi, quelle que soit la
période
de l'hémiplégie dont il s'agisse. Il en résulte
semblable. Comme dans le cas précédent, on ne constata durant cette
période
, ni hallucinations, ni confusion, ni fabulation.
bre inférieur ne dure généralement pas, du moins dans les premières
périodes
de la paraplégie, et, après un temps variable, il
... « Dans la plupart des cas, on constate, au moins à une certaine
période
, de la sur- réflectivité tendineuse, mais celle
tendineuses se sont développées, ce qui est la règle à une certaine
période
de la maladie. Mais la contracture cutanéo-réfl
ité, que nous avons en vue, n'at- teint son niveau maximum qu'à une
période
plus ou moins tardive de l'évolution de la mala
n, l'affaiblissement des réflexes tendineux peut survenir après une
période
plus ou moins longue pendant laquelle il y a eu
ivité, que nous avons en vue, n'atteint son niveau maximum qu'à une
période
plus ou moins tardive de l'évolution de la mala
e les réflexes de défense sont, d'une manière générale et sauf à la
période
initiale quand il y a shock, plus ' accentués d
aximum de dégénération, peuvent aussi se manifester, à une certaine
période
de leur évolution, par des réflexes de défense
complète de la moelle, ces réflexes s'affaiblissent d'habitude à la
période
qui précède la mort. J'ai été amené à vous indi
ion contraire de celle qu'on observe, comme nous l'avons dit, à une
période
plus avancée des RÉFLEXES DE DÉFENSE 1/13 lés
n mode de l'activité musculaire, et elle est stable, au moins à une
période
de son évolution. Mais, comme nous venons de le v
jamais primitive. Les réflexes de défense sont d'autant plus forts (
période
de shock mise à part) que la séparation entre l
nt un certain degré de tonicité que n'atteignent pas, même après la
période
de shock, les muscles dans les cas de paraplégie
er à ce propos que dans les sections totales de la moelle, après la
période
de shock, lorsque les réflexes cutanés reparais
i le témoin d'une réaction ancestrale, ayant apparu toutefois à une
période
du développement plus avancée que les réflexes de
ée que les réflexes de défense dont il a été précédemment question,
période
où les orteils servaient de griffe ? Cette réac
et il m'avait semblé qu'il persistait approximativement jusqu'à la
période
où l'enfant commence à marcher, ce qui s'expliq
mois, mais il y a des variétés individuelles ; il peut y avoir une
période
de transition assez prolongée, marquée par des al
é alors d'hyperalgésie. Observation III. Homme de 53 ans. Après une
période
de malaises vagues ayant duré plusieurs mois, l
ant la presque tota- lité des troubles observés chez l'animal à une
période
donnée. En clinique humaine le terme ataxie a é
bilité électrique des muscles, après la mort, serait précédée d'une
période
d'augmentation. Enfin, d'après Jeanselme et Ler
'), chez les cholé- riques, le muscle avant de mourir passerait une
période
caractérisée par l'exagération de l'excitabilit
e de ces muscles subit après la mort des modifica- tions qui, à une
période
donnée, offrent une très grande analogie avec la
dès le 3e ou 4e jour après la section du facial, c'est-à-dire à une
période
où, le bout périphérique du nerf étant dégénéré
aires conser- vent encore leur excitabilité électrique propre à une
période
où l'excitabi- lité des fibres nerveux intra-mu
uption, sauf pendant les trois ou quatre jours consécutifs à chaque
période
menstruelle, pendant lesquels ils disparaissaient
calmie qui succédait toujours, chez la malade que je présente, à la
période
menstruelle ; elle me paraît comparable à l'eff
LES devant entraîner la mort, car elle rend supportable la dernière
période
de la vie, qui, d'ailleurs, peut se prolonger p
Voici comment les choses se passent d'habitude : dans une première
période
de l'affection, le malade qui se plaint de lour
l'insuffisance des moyens plus simples, et la faire cependant à la
période
où elle est capable de fournir le plus de bénéf
ppelé, le plus souvent les troubles oculaires sont précédés par une
période
parfois très longue où le malade ne pré- sente
rielle ou de méningo-encé- phalite diffuse. Or, dans cette première
période
, on dispose largement du temps nécessaire pour
ète, de continuer l'usage de ces médicaments pendant cette nouvelle
période
. L'efficacité de ces deux ordres de moyens peut
uand il jouait ou quand il courait. Vers l'âge de 10 ans, après une
période
de deux années environ de bon état relatif, l'e
troubles moteurs des membres du côté gauche reparurent pendant une
période
de trois mois. Le traitement consista en des ma
estable que les observations sont d'autant plus instructives que la
période
pendant laquelle les malades ont été suivis apr
s moyens thé- rapeutiques d'ordre médical mis en oeuvre pendant une
période
sufli- samment longue, surtout lorsque le malad
d'encéphalite léthargique avec forte fièvre, délire et insomnie. La
période
fébrile a duré environ trois semaines au bout d
rt bien, car il ne s'est presque pas du tout alimenté pendant cette
période
de huit jours; ce qui l'en empêche, c'est que l
la malade ; acuité visuelle OD = 5 OG = 35· » 15 35 Pendant une
période
de deux mois, la situation ne se modifie pas d'un
exes ten- dineux qui n'ont jamais paru exagérés, quelle que soit la
période
de la maladie à laquelle l'examen a été fait, a
me trait com- mun, une forme de paralysie crurale caractérisée à sa
période
d'état par une contracture très intense amenant
e rejeter cette hypothèse parce que s'il en était ainsi, pendant la
période
de trois mois qu'a duré l'hémi- plégie, une dég
ement une opération, si ce traitement venait à échouer. Pendant une
période
de plusieurs mois le malade est soumis à l'usage
e persistent toujours, mais sont plus ou moins intenses suivant les
périodes
. Les réflexes tendineux et les réflexes cutanés
ident générale- ment avec les reprises de la médication. Dans cette
période
deux crises épileptiformes. En octobre, le Dr J
que intense sans provoquer de nausées, ni de douleurs de tête à une
période
quelconque de son évolution et que, par conséqu
t des cas que j'ai suivis, j'ai constaté, au moins à une cer- taine
période
, de l'exagération des réflexes tendineux, mais ce
t capable de marcher et n'était pas encore contracturée, jusqu'à la
période
terminale où la contracture en flexion avait at
nt de minute en minute, depuis les premières inhalations jusqu'à la
période
de relâche- ment musculaire complet ; j'ai pu s
ns sacrées se produisent dans la généralité des cas, du moins à une
période
avancée de l'évolution de l'affection. Dans q
de pair, apparaissant en même temps et s'épuisant de même. Dans la
période
de douze heures qui sépare les crises ils semblen
i" Crises sympathiques de 6 à 7 heures de durée ; séparées par des
périodes
de calme de 12 heures. 2" Chaque crise elle-mêm
ère et très courte rémission vers la 15e seconde, puis survient une
période
de relâ- chement de 15 à 20 secondes. Un pare
trière (2) : et qui ensuite fut remise à la Pitié. observation (1re
période
). 12 août 790 ? La nommée L ? âgée de 48 ans, e
naire. Elle quitte l'hôpital après y avoir séjourné deux mois. 2e
période
. Le 13 juin 1 9 10 neuf mois après sa sortie de
d'extension de la cuisse et de la jambe gauches. Après une nouvelle
période
de trois semaines, la malade exécute ces mouvemen
quelques troubles pas- sagers du côté du membre supérieur droit, la
période
post-opératoire s'est déroulée sans incidents s
uence de la compression des jugulaires. Notons enfin que, sauf à la
période
terminale, il n'y a eu ni troubles sphinctériens,
les envisage dans leur mode d'association, notamment à la première
période
du séjour de la malade à l'hôpital, ils sortent d
tte fonction ne s'est pas indéfiniment maintenue, puisque, dans une
période
plus avancée de l'évolution de la maladie, la c
uments sont sans valeur ; ne savons-nous pas, en effet, que dans la
période
préataxi- que du tabes il se développe souvent
s. On ne voit plus de ces grandes attaques avec les quatre fameuses
périodes
, ces grands états hypnotiques carac- térisés pa
tends nullement reconstituer le « Grand Hypnotisme » avec ses trois
périodes
. Par ces mots je désigne non pas deux phases ma
collègue Richardière, à l'hôpital des Enfants Malades. Pendant une
période
de dix-huit ans où près de 20000 décès y furent
elle et sensitive, avec ovarie du môme côté qui, pendant cette longue
période
de quinze ans, n'a pas été modifiée, même tempo
rouvons chez elle encore aujourd'hui, c'est-à-dire après une longue
période
de trente-quatre ans ! Cette malade est soumise à
accident. Pour la clarté de l'exposition, nous distinguerons quatre
périodes
dans les faits observés : i. à bord, immédiat
ré l'explosion de la torpille de la disparition complète du navire (
période
d'émotion pure); . 2° immersion de 18 heures,
immersion de 18 heures, dont une nuit entière, accrochés à un radeau (
période
d'émotion et de souffrance physique : froid) ;
- 3° il bord du torpilleur qui est venu nous secourir le lendemain (
période
de phéno- mènes pithiatiques et de thérapeutiqu
partis, pendant les huit jours qui ont précédé noire mise en route (
période
de retour à la vie normale) Comme le remarque
ire, ni dans l'élément civil, de cas d'hystérie pas plus pendant la
période
de recul, qu'au moment de l'exode de la populatio
ragies médullaires, les syringomyélies et retrouvées récemment à la
période
de début des héma- tomyélies consécutives aux é
ommeil chloroformique ; elles peuvent être, du moins à une certaine
période
de leur évolution, aussi fixes que les contractur
uaient deux phases dans leur évolution : si, pen- dant une première
période
, ils disparaissent dès que la constriction cesse,
, ils disparaissent dès que la constriction cesse, dans la deuxième
période
, ils s'organisent et leur régression est alors
tat du service de santé le voeu « qu'Une soit plus présenté dans la
période
actuelle, en aucune circonstance, aucun militaire
cédait que dans le sommeil jirofond ; elle subsistait encore à une
période
où le réflexe conjonctival était aboli et où les
de la réflecti- vité et de la tonicité musculaire, aux différentes
périodes
de la narcose chloroformique, nous ont conduits
rature des téguments ; ces phénomènes restent très nets pendant une
période
de 8 à 15 jours, et quelquefois plus longtemps
ammes ; les injections sont répétées une fois par semaine pendant une
période
de cinq semaines ; elles sont interrompues alor
calisa- tion des compressions de la moelle, au moins à une certaine
période
de leur évolution, peut être généralement établ
m, qui devint le siège de douleurs très vives. Vers la fin de cette
période
, l'anesthésie toutefois subit une légère atténuat
u maxillaire inférieur une troisième opération qui fut suivie d'une
période
de bien-être, dont la durée ne fut pas supérieu
ommencé le 7 octobre 1907 fut achevé le 24 février igo8. Durant cette
période
on effectua 22 séances d'une durée moyenne de 1
la dose de 4 grammes par jour. Cette cure est continuée pendant une
période
de six semaines, c'est-à-dire jusque vers le mi
n ; rarement incontinence; un peu de constipation. Cette première
période
peut durer des mois entiers sinon des années :
est rare, le malade consulte rarement le médecin avant la deuxième
période
, c'est-à-dire à l'é- poque où sont survenus des
ou très rarement. Elle est susceptible d'elle-même de s'arrêter a une
période
de son évolution, et de fait elle s'arrête souv
s qui s'observent peu ne viennent consulter qu'après cette première
période
toujours insidieuse, comme nous l'avons dit : e
use, comme nous l'avons dit : et il est possible que cette première
période
ait passé totale- ment inaperçue chez notre mal
on médullaire. Peut-être aussi est-ce bien parce que cette première
période
est méconnue par les médecins consultés, et qui
atrice. Il faudrait donc pouvoir intervenir de bonne heure, à cette
période
où les malades ne songent pas à attirer l'atten-
nts en particulier, la dissociation est fré- quente pour les quatre
périodes
de la grande attaqne (1). Quand existe seulemen
quatre périodes de la grande attaqne (1). Quand existe seulement la
période
des grands mouvements et de l'arc de cercle, cett
ement la période des grands mouvements et de l'arc de cercle, cette
période
suffit en général au diagnostic, mais elle peut m
de suffit en général au diagnostic, mais elle peut manquer comme la
période
des hallucinations et la période de délire. L'att
c, mais elle peut manquer comme la période des hallucinations et la
période
de délire. L'attaque se réduit alors à la pério
lucinations et la période de délire. L'attaque se réduit alors à la
période
épileptoïde : c'est dans ce cas surtout qu'on peu
rs deux faits assez convaincants à cet égard. Dans le pre- mier, la
période
épileptoïde de la grande attaque d'hystérie avait
poser également pour une lésion intra-crânienne. Observation V.
Période
épileptoïde faisant croire à une tumeur cérébrale
si des phénomènes apoplec- tiformes ont précédé la monoplégie. Une
période
à' incubation précède au contraire les monoplég
progressif ou stationnaire. La forme pro- gressive peut offrir une
période
parétique. Dans les cas extrêmes le malade ne p
malade ne peut ni marcher ni se tenir debout. Ce n'est que dans la
période
paré- tique et notamment dans ces cas extrêmes
en général dans la forme stationnaire comme dans les deux premières
périodes
de la forme progressive un amendement notable,
et je ne crois pas qu'elle soit rationnelle dans les deux premières
périodes
du tabes. Elle ne peut agir à mon avis sur les
re et une aggravation continue ! Ce pro- cédé convient plus pour la
période
parétique du tabès. La faradisation de la régio
. La faradisation du plexus de l'aorte est indiqué dans la première
période
de la coxalgie, les nerfs vaso-moteurs de l'art
n. Encore ne faudrait-il pas regarder comme absolue la division par
périodes
adoptée parles classiques. Car, même à ce point
mettre sur la voie du diagnostic. Or, les auteurs dé- crivent à la
période
d'invasion de la maladie trois phénomènes princip
cidents bulbaires sont plus fré- quents et beaucoup plus graves aux
périodes
ultimes, quand le processus morbide généralisé
avait défendu de remuer. Il n'avait pas d'appareil. Pendant cette
période
il eut une crise de vomissements qui dura 7 à 8
u bout de 4 mois. La photographie a été tirée en chambre pendant la
période
d'a- mélioration. Mimique : Affaiblissement d
sieurs reprises, depuis la même époque, elle a vu double. Après une
période
de répit, les céphalées et les dou- leurs cervi
e d'enchaînement des différents accidents nerveux dans cette longue
période
, débutant par des céphalées syphilitiques, pour
ent de calibre des vaisseaux nourriciers. Nous dé- crirons ces deux
périodes
en donnant à l'appui quelques observations nouv
ux périodes en donnant à l'appui quelques observations nouvelles.
PÉRIODE
PRÉMONITOIRE Mentionnée par la plupart des aute
ambaco, Ladreit de La Char- rière, Heubner, Gilbert et Lion), cette
période
prodromique consiste es- sentiellement en troub
teuil. Ces céphalées se sont ainsi répétées chaque nuit pendant une
période
de 4 à 5 semaines. La douleur siégeait principa
nce considérable qu'il y a il reconnaître la signification de cette
période
prodromique avant que le tissu médullaire ne so
t inaugurée par des céphalées d'une grande violence ; et, après une
période
d'accalmie, apparaissent des douleurs sourdes d
admission à la Salpêtrière. Il n'est pas exceptionnel enfin que la
période
prémonitoire manque en- tièrement, ou bien que
e la méningo-myélite. DE LA nIÉNINGO-niYÉLITE SYPIIILITIQUE 237
PÉRIODE
DES PARALYSIES MÉDULLAIRES Des diverses formes
paraplégies syphilitiques. Quelqu'ait été le mode de début : que la
période
douloureuse prépara- toire ait présenté les car
s en vue du diagnostic. Nous avons vu com- bien les accidents de la
période
prodromique étaient parfois significatifs à cet
ercher. Ces circonstances sont de deux ordres : 1° Caractères de la
période
pré- monitoire ; 2° Vestiges actuels d'une pous
sans paralysies... etc. Nous avons insisté assez longuement sur la
période
prodromique des pa- ralysies médullaires, sur l
élire nuit et jour, il perdit con- naissance en partie. Toute cette
période
n'a laissé dans son esprit qu'un sou- venir con
erv. VU et le cas de Goldllam cité plus haut) (1). Mais soit que la
période
prémonitoire n'ait pas présenté de caractères si-
icord, l'autre chez Trousseau. C'étaient deux jeunes gens en pleine
période
se- condaire, qui eurent une paraplégie rapidem
était surtout l'invraisemblance de complications si graves dans une
période
peu avancée de l'infection syphilitique qui motiv
te que 30 à 3o cas de paraplégie syphilitique, observés pendant une
période
de 10 ans. En 1889, MM. Gilbert et Lion, en réuni
s inadmissible que certaines céphalées, certaines rachialgies de la
période
secondaire soient en relation avec des poussées
de loi absolue, établissant une concordance en- tre les différentes
périodes
de la syphilis et la forme des lésions spécifi-
t falalement limitée, circonscrite parce qu'elle se développe à une
période
éloignée des premiers accidents infectieux, admet
tions pathologiques plus ou moins analogues caractérisent seules la
période
tertiaire, c'est s'exposer à méconnaître la nat
tte conception théorique de la division absolue de la syphilis en 3
périodes
; il a pensé que, la nature des lésions élémentair
nouveau à des désordres anatomiques analogues à ceux des premières
périodes
de l'infection.. Nous n'avons pas à aborder ici
méningo-myé- lite syphilitique présentent dans leur évolution deux
périodes
correspon- dant aux localisations de la syphili
la syphilis sur les méninges d'abord et sur la moelle ensuite. La
période
prodromique est marquée par des troubles de la se
ée rachialgie syphilitique. Il est très commun d'obser- ver à cette
période
, et souvent a son début, des accidents cérébraux
es. Les paralysies spinales syphilitiques caractérisent la deuxième
périodes
celle des lésions médullaires. Ces paralysies,
is en se fondant sur les particularités in- diquées plus haut de la
période
prodromique, et sur la coexistence de phé- nomè
syphilitiques évoluent avec une grande rapidité, ai la suite d'une
période
prodromique courte et peu significative, et ave
es, etc. C'est ainsi du moins qu'on les a décrites. Pendant cette
période
l'appétit reste normal. Urines normales. Insomnie
he, les muscles de la face se con- tractent les premiers (après une
période
de petits mouvements) et sont suivis par ceux d
des accès spasmodiques ; bientôt ces phénomènes firent place à une
période
d'excitation motrice, pendant laquelle la malad
therine à Moscou; elle y reste jusqu'au 26 mars 1890. Pendant cette
période
l'état reste stationnaire. 27 mars 1890. La m
Fig. 51. LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE 835 Pendant toute cette
période
les attaques se reproduisirent a intervalles de
ge. De lui-même, il le compare fort judicieusement avec la dernière
période
de l'aura, ou le début d'une attaque qui avorte
ion de la densité et de l'hémoglobine; 3° si .dans le cours d'une
période
d'exaltation, ou de dépression, le poids spécifiq
euvent commettre, même quand ces crimes sont commis en dehors des
périodes
aiguës de leur affection. Krafft-Ebing a fait voi
cident; il tiendra compte de la limitation exacte de l'amnésie à la
période
de la perte de connaissance. Parmi les causes p
MÉDECINE LÉGALE. le traumatisme, tantôt ils en sont séparés par une
période
variable. La neurasthénie revêt le plus souvent
- mence. La marche de ces psychoses est chronique. Au cours de la
période
latente il arrive que les malades commettent des
traduire au dehors par des raisonnements étranges et présenter des
périodes
d'accal- mie, ne manquent plus d'invoquer, les
ait donc au cours d'une des dernières phases de la puberté et d'une
période
prémenstruelle. Or on sait que la puberté est u
rtiori chez les dégénérés : il en est de même de la chorée et de la
période
prémenstruelle. Il faut tenir compte aussi des fr
ses dont Charcot a donné la description. Cette succession des trois
périodes
épileptoïde, cloniques et des attitudes passion
me ainsi lui-même. « L'attaque convulsive d'hystérie comprenant une
période
d'ana- lyse des vingt-quatre heures à dater de
nd dans le nombre des malades admis dans les asiles pendant la même
période
, déduc- tion faite des transferts et des réadmi
la société. L'augmentation de la propor- tion des aliénés durant la
période
de vingt années qui va de 1871 1 à 1891, a port
ccumulation de cas chroniques. D'autre part, il y a eu pour la même
période
une diminulion dans la proportion qui existe en
tion de cet accroissement a été en diminuant, car si, pendant la
période
décennale 1871-1881 l'accroissement de la proport
ion a été de 7,04 p. 100, il n'a atteint que 3,23 p. 100 pendant la
période
décennale 1881-1891. Si ces conclusions sont, e
lté de Médecine de Paris. Elle s'ouvrira le 8 août 1895, pendant la
période
de l'Exposition, deux jours avant la clôture du
ans plusieurs cas et spécialement dans des états de mal ou dans des
périodes
d'excitation ou de trouble mental consécutifs a
mpérature de 32° à 34° ont été d'un heureux effet; de même dans les
périodes
d'excitation. La malade Lep... que nous avons s
ue nous avons soumise à ce traitement dans deux états de mal et une
période
d'excitation, a pu échapper à ces états graves
'une et l'autre viennent d'avoir quelques attaques et sont dans une
période
d'agitation légère. Ce ne sont là que deux essa
médi- cations soient à employer d'une façon continuelle entre les
périodes
d'accès. Il faut étudier les malades et les suivr
les accidents épileptiques ne doivent pas être continuées entre les
périodes
d'accès ; 11° Les accidents de l'épilepsie par
.) 1. Dans les premières semaines de la vie, jusqu'à une certaine
période
qui n'est pas la même dans tous les cas, les nerf
que chez l'a- dulte (méthode de Weigert et de Pal); 2° il certaines
périodes
post- embryonnaires précoces, un certain nombre
de l'adulte, mais il ne l'a pas encore complètement atteint; 9° La
période
des troisième à sixième semaines de la vie est un
as de mélancolie que pour les cas de manie observés pendant la même
période
; 5 dans la majo- rité des cas, la dépression me
oportionnellement moins fréquente que la manie durant les premières
périodes
de la vie; elle l'est davantage, au contraire,
rand nombre de cas, les premières manifestations coïncident avec la
période
de la ménopause. Sauf Krafft-Ebing qui accorde la
ses. R. DE l\ ! USGRAVE CLAY. XXVII. SUR la paralysie générale A la
PÉRIODE
DU DÉVELOPPEMENT PHYSIQUE; par James Middlemiss
Mental Science, janvier 1893.) Les cas de paralysie générale à la
période
de l'adolescence ou de la puberté ne sont pas c
aires n'avaient pas dépassé, au point de vue du développe- ment, la
période
infantile, et que les règles n'avaient pas encore
es cliniques de la maladie ont été tels qu'on les a décrits à cette
période
de la vie : le trait le plus caractéristique a
mental à début insidieux et à progrès réguliers. L'état émotif des
périodes
de début était généralement un état de douce sa
s plaques de tissu conjonctif, localisées du côté nasal jusqu'à une
période
avancée de la maladie, et envahissant plus tard
.) E. B. XXXVI. Observation d'hébéphrénie ; par le D LANE. En une
période
de dix ans, l'auteur a observé à l'asile de Bos
de hérédité - alcoolique et vésanique ; l'auteur note chez elle une
période
pré- monitoire caractérisée par un délire de pe
hogéniques bien différents. Ainsi, dans la puerpéra- lité, à chaque
période
correspond un élément pathogénique un peu spéci
l'unani- mité. A partir de cette date, l'Association entra dans une
période
plus active et plus fertile. La maison située d
mbres inférieurs. Ces troubles persistèrent t par la suite avec des
périodes
d'amélioration et des retours, pendant tout le
articuliers. Le délire a débuté subite- ment après une assez longue
période
de dépression mélanco- lique ; l'affaiblissemen
nque guère de constater au début de la maladie de Basedow. C'est la
période
fonc- tionnelle. L'hyperthyroïdisation crée u
x. Alors apparaissent les symptômes majeurs basedowiens, ceux de la
période
d'intolérance qui se termine par une cachexie m
e d'intolérance qui se termine par une cachexie mortelle ou par une
période
de tolérance et d'effacement des symptômes morb
nts de coeur). En dehors de ces deux symp- tômes, on constatait une
période
d'excitation très manifeste (éclat particulier
par le suc thyroïdien dans certains cas de maladie de Basedow à la
période
secondaire d'hypothyroïdisation. Étant donnés
lation, dans ces cas, c'est de prendre la température rectale, à la
période
de ronflement ou terminale, un quart d'heure, u
cas, le début a été subit, signalé par un ictus apoplectique. A la
période
d'état on constate une augmentation de la faibl
il s'agit bien manifestement ici d'un tabes vulgaire, arrivé à une
période
avancée de «on évolution. L'étude des coupes co
rose lente des vaisseaux d'un faisceau pyramidal dégénéré à quelque
période
qu'on l'examine. Les vaisseaux et le tissu conn
en ques- tion) ; les convulsions sont rares; enfin le manque d'une
période
secondaire d'excitation n'est pas en faveur de
te-sept ans présentant des symptômes de mélancolie avec stupeur, et
périodes
alternantes d'excitation et d'abattement. On co
son boyau était remonté au cou, etc. Entrée en 1888, elle a eu des
périodes
de mé- lancolie avec stupeur suivies de rémissi
orain des poussées secondaires. Lorsque la mélancolie apparaît à la
période
parasyphilitique, son résultat est très douteux
é méconnu au moment de leur con- damnation. M. Paul Garnier pour la
période
quinquennale 1886 à 1890 en a relevé 255 cas à
886 à 1890 en a relevé 255 cas à Paris ; M. H. Monod pour la même
période
en a relevé 271 cas en province. Dans la grande m
Il résulte de quarante-huit essais faits chez des malades en pleine
période
d'excitation maniaque (à la dose de 0,02 à 0,06 p
du développement de l'assistance des aliénés en Allemagne quatre
périodes
, sans prétendre d'ailleurs attacher à de pareille
res, une importance qu'elles ne sauraient avoir. La première de ces
périodes
com- prend le moyen âge : les fous sont justici
éciaux pour leur traitement et leur hospitalisation. La quatrième
période
, qui se continue aujourd'hui, est caractérisée pa
les causes de la folie se perpétuent encore au cours de la deuxième
période
; mais déjà d'autres opinions commencent à se fa
t de les mettre hors d'état de nuire, de les enfermer. La troisième
période
de l'histoire de l'assistance des aliénés, péri
er. La troisième période de l'histoire de l'assistance des aliénés,
période
scientifique, ne commence qu'au début du xixc s
ormation suffisante pour justifier la descrip- tion d'une quatrième
période
. La conception de l'asile d'aliénés s'est en ef
nucléole devient lui-même irrégulier et se désagrège. A la dernière
période
le noyau, complètement décoloré, ne se distingu
BERKLEY. Les recherches de l'auteur l'ont amené à établir les trois
périodes
suivantes dans l'histoire anatomo-pathologique
ré d'irritation aussi bien musculaire que mentale; 2° à une seconde
période
, l'apport des matériaux de nutrition est si fai
constate du côté des cellules une sorte d'autopha- gisme ; à cette
période
correspondent l'excitation motrice et les idées
se, accompagnée d'accroissement des tissus de soutènement : à cette
période
correspondent la démence terminale et la parésie
, mais leur maintien, malgré eux, ne devrait pas être autorisé. Une
période
d'observation de quinze jours suffit pour dé- c
uelques cas d'idiotie, de' manie périodique. La durée moyenne de la
période
mensuelle a varié entre 4 jours 1/2 et 5 jours
it l'existence d'attaques graves et fréquentes suivies d'une longue
période
d'obnubilation. 420 SOCIÉTÉS SAVANTES. En 188
ré d'Yvon. - L'éiixir est prescrit pour atténuer les bpasmes et les
périodes
d'irritation. Les progrès continuent en lecture e
tement, reprise de l'élixir polybromuré en rai- son des retours des
périodes
d'excitation. Le développement de la puberté co
tes. C'est une amnésie ordinairement temporaire, inclure entre deux
périodes
de mémoire normale, limitée aux faits récents a
a sensibilité à la douleur moindre. Dans la folie paralytique, à la
période
initiale, la sensibilité à la douleur est quelq
; les tendineux et idio-mus- culaires sont exagérés, - A la seconde
période
, exagération du plan- taire, affaiblissement de
e, affaiblissement de la sensibilité à la douleur. - A la troisième
période
, la sensibilité à la douleur devient très faible,
erte de la conscience de l'état maladif est caractéristique, dès la
période
de début. M. H.411N (de Breslau). Examen anat
t le substratum de l'affection. La malade dont il s'agit, après une
période
prodromique de mélancolie anxieuse ayant duré u
ieures, démarche incertaine. Mort le trente-deuxième jour après une
période
de stupeur. L'examen microscopique a porté sur
s la-, par Kaes, 35. -, à forme tabétique par Jo11roy, 46. Sur la
période
de développement physique de la -, par Middle
façon la plus impartiale, tous les travaux accomplis, pendant la même
période
de temps, dans le domaine de l'hypnotisme. Nos le
à-coups, ainsi que le développement de son organisme physique; à des
périodes
de paresse succèdent des phases d'activité, suivi
res pour l'élude que nous voulions faire du travail dans ses diverses
périodes
. Depuis longtemps déjà nous la préparions à l'i
e pour la première fois. Abandonnée à elle-même pendant la première
période
de la dilatation du col. elle supporte très impat
ouve bien dans cet état.' A partir de la dernière heure, pendant la
période
d'expulsion, nous n'avons plus eu d'action sur el
L'effet analgésique de l'hypnose complet et absolu, dans la longue
période
de dilatation du col, aurait-il donc été insuffis
Bien qu'elle eût paru ressentir vivement les dernières douleurs de la
période
d'expulsion, aucun souvenir de cette dernière pha
malade. Or, c'est dans cette grande crise et en général pendant la
période
qui correspond, quoique d'une façon vague, à la p
al pendant la période qui correspond, quoique d'une façon vague, à la
période
dite de délire, que se produisent les déroulement
nuit est employée par V... à des manifestations que nous résumons, la
période
du délire de l'attaque nous permettant de noter,
se plus avancée de sa vie, reproduisait à diverses reprises les mêmes
périodes
de son existence, mais en général on y retrouvait
fond, V... s'est retrouvé durant un temps assez long comme fixé à des
périodes
anciennes de son existence. Ainsi, le 10 octobr
e, comme aussi il n'est possible d'hypnotiser V... que dans certaines
périodes
distinctes de sa vie. Or, il est toujours facil
malade semble relire et dérouler sa vie passée en oubliant les autres
périodes
de son existence, et s'arrêter parfois comme pour
passion pendant des semaines sans manger et sans dormir. Pendant les
périodes
, leur caractère s'aigrit; ce sont des disputes et
es. Il est fréquent d'observer des dipsomanes qui, dans la première
période
de leurs accès, se livrent à toutes sortes d'exce
guérison ne peut être obtenue que par une sobriété forcée pendant une
période
assez longue pour faire disparaître la tendance m
ode assez longue pour faire disparaître la tendance maladive à boire,
période
qui, dans certains cas, doit être portée à deux o
y a 4 ou 5 ans, elle a commencé à manifester des besoins de boire aux
périodes
menstruelles et elle en est arrivée à prendre 5 à
s émotives qui. motu pro-prio. en dehors de notre volonté, entrent en
période
d'éréthisme. Elles s'élèvent, elles s'abaissent d
diagnostic certain. Eh bien! lorsque après avoir plongé un sujet en
période
de léthargie tout d'abord et avoir mis en œuvre c
isé la flaccibilité des muscles, etc.. on arrive à le faire passer en
période
de catalepsie, on constate alors, au point de vue
sque complètement le développement cérébral qu'ils doivent avoir a la
période
d'apogée. Voici encore une autre preuve à l'app
nce le tableau du véritable . surmenage cérébral si fréquent dans les
périodes
inquiètes de la vie de l'âge adulte. Il y a d'a
e employée a un lieu d'élection différent, le sujet ne reste pas à la
période
de léthargie ; il s'élève d'un degré dans l'échel
e d'un degré dans l'échelle des phénomènes hypnotiques. Il monte à la
période
de somnambulisme lucide, et alors il entend, il e
ctuellement elles expriment le calme et une douce langueur. C'est une
période
de détente qui se manifeste. La photographie expr
a plupart des expériences, le sujet E ne demeure pas cantonné dans la
période
de catalepsie. L'action stimulatrice de l'alcool
n stimulatrice de l'alcool le fait monter d'un cran, et il passe à la
période
de somnambulisme lucide. Alors il parle, devient
de véritables processus spécifiques, qui suivent d'eux-mêmes une
période
ascendante, une période de saturation et une péri
ssus spécifiques, qui suivent d'eux-mêmes une période ascendante, une
période
de saturation et une période de décours, suivant
d'eux-mêmes une période ascendante, une période de saturation et une
période
de décours, suivant que la substance alcoolique q
e. — Dans ces cas. le sujet hypnotisé, au lieu d'évoluer sur place en
période
de catalepsie silencieuse et de manifester sans m
renverse foudroyé par son émotion autogène et repasser ipso facto en
période
léthargique. J'ai obtenu des réactions semblabl
On s'assure de ce fait lorsque le sujet est revenu spontanément à la
période
de léthargie de retour et que l'hyperexcitabilité
ar la privation de la substance stimulatrice, est retombé d'emblée en
période
léthargique, comme cela se voit dans certaines ex
s son livre, le Dr Regnard n'est pas remonté au delà du moyen âge. La
période
qui s'étend du quinzième siècle jusqu'à nos jours
e aussi chez les hystériques. Les phases sont absolument semblables :
période
tétanique, période classique, période de grands m
stériques. Les phases sont absolument semblables : période tétanique,
période
classique, période de grands mouvements, puis les
es sont absolument semblables : période tétanique, période classique,
période
de grands mouvements, puis les hallucinations et
jours, qui n'était jamais restée plus de vingt et un jours entre deux
périodes
menstruelles, arrive par suggestion hypnotique à
durent trois jours au lieu de cinq à six jours. Dans les premières
périodes
après la suggestion, Mme H... n'arrivait pas jusq
s analogues à ceux de la grossesse accompagnent la prolongation de la
période
aménorrhéique. La suggestion lait acte d'inhibiti
oute suggestion est impossible. Parfois on se borne, « pour éviter la
période
d'agacement prodromique (ce sont les expressions
es oreilles moyennes, surtout accusées à gauche (otite chronique à la
période
d'hyperplasie et de ramollissement). Les sons imp
mme sujette à l'hystérie. A l'âge de la nubilité, c'est-à-dire à la
période
de la vie durant .laquelle le flux cataménial se
Au mois d'octobre 1887, pendant ses époques, la malade traversa une
période
particulièrement agitée. Son fiancé vint me trouv
istoire des développements de l'hypnotisme comprend trois phases : la
période
primitive ou mystique; la période empirique, au d
pnotisme comprend trois phases : la période primitive ou mystique; la
période
empirique, au dix-septième et dix-huitième siècle
période empirique, au dix-septième et dix-huitième siècle; enfin, la
période
scientifique qui s'ouvre avec les expériences de
e qui existe entre telle malade et une seconde mise dans les diverses
périodes
léthargique, cataleptique ou somnambulique du gra
é de convulsions et de secousses : d'intensité variable. Quand la
période
convulsive est terminée, le malade reste encore p
on doit la description classique de l'état hypnotique divisé en trois
périodes
bien connues : catalepsie, somnambulisme et létha
par le procédé à la Reine, et nous la maintiendrons constamment à la
période
de somnambulisme, sans arriver à celle de létharg
mais si le sujet ne dort pas profondément, comme cela arrive dans la
période
de catalepsie, alors la conscience n'est pas abol
le sujet s'endort plus profondément, il y a au contraire relâchement (
période
de léthargie). D'autre part, si nous parvenons à
d'autre preuve qu'un seul cas, celui d'une hystérique qui, pendant la
période
som-nambulique de son attaque, m'ayant entendu di
hypnotiseur, la victoire reste souvent à l'utérus, surtout pendant la
période
d'expulsion. » 6° Certaines femmes accouchant
ou même la léthargie pendant la dilatation du col ; mais, pendant la
période
d'expulsion, on laissera l'hypnotisme de côté et
tenant à en faire connaître le résultat à l'Académie. C'est dans la
période
léthargique de l'hypnotisme que, suivant M. Luys.
quelle est inscrit le nom du médicament. Une fois le malade dans la
période
léthargique, M. Luys prend Un de ces tubes ce le
alors de lui mettre la camisole. Elle avait sans cesse, pendant cette
période
, l'injure à la bouche; elle se servait d'expressi
che, et depuis 4 mois que je la fais dormir pendant tout le temps des
périodes
menstruelles, je suis arrivé a remplacer l'agitat
s tels qu'il était nécessaire de lui mettre la camisole pendant cette
période
. Sous l'influence des règles, elle se roulait à t
D'abord suis-je justifié à dire que nous sommes, en France, dans la
période
des monographies ? Il est certain qu'il n'existe
succès que dans tout autre. Voilà un inventaire bien long pour une
période
bien courte ; et pourtant je n'ai parlé ni des pu
mportance et les résistances qu'il a dû vaincre. 11 est entré dans la
période
triomphante. J'ai peur qu'il n'ait triomphé trop
que savons-nous du fond des choses .' Il est probable qu'après cette
période
de production à outrance, la critique fera son œu
façon la plus impartiale, tous les travaux accomplis, pendant la même
période
de temps, dans le domaine de l'hypnotisme. Nos le
à-coups, ainsi que le développement de son organisme physique; à des
périodes
de paresse succèdent des phases d'activité, suivi
res pour l'élude que nous voulions faire du travail dans ses diverses
périodes
. Depuis longtemps déjà nous la préparions à l'i
e pour la première fois. Abandonnée à elle-même pendant la première
période
de la dilatation du col. elle supporte très impat
ouve bien dans cet état.' A partir de la dernière heure, pendant la
période
d'expulsion, nous n'avons plus eu d'action sur el
L'effet analgésique de l'hypnose complet et absolu, dans la longue
période
de dilatation du col, aurait-il donc été insuffis
Bien qu'elle eût paru ressentir vivement les dernières douleurs de la
période
d'expulsion, aucun souvenir de cette dernière pha
malade. Or, c'est dans cette grande crise et en général pendant la
période
qui correspond, quoique d'une façon vague, à la p
al pendant la période qui correspond, quoique d'une façon vague, à la
période
dite de délire, que se produisent les déroulement
nuit est employée par V... à des manifestations que nous résumons, la
période
du délire de l'attaque nous permettant de noter,
se plus avancée de sa vie, reproduisait à diverses reprises les mêmes
périodes
de son existence, mais en général on y retrouvait
fond, V... s'est retrouvé durant un temps assez long comme fixé à des
périodes
anciennes de son existence. Ainsi, le 10 octobr
e, comme aussi il n'est possible d'hypnotiser V... que dans certaines
périodes
distinctes de sa vie. Or, il est toujours facil
malade semble relire et dérouler sa vie passée en oubliant les autres
périodes
de son existence, et s'arrêter parfois comme pour
passion pendant des semaines sans manger et sans dormir. Pendant les
périodes
, leur caractère s'aigrit; ce sont des disputes et
es. Il est fréquent d'observer des dipsomanes qui, dans la première
période
de leurs accès, se livrent à toutes sortes d'exce
guérison ne peut être obtenue que par une sobriété forcée pendant une
période
assez longue pour faire disparaître la tendance m
ode assez longue pour faire disparaître la tendance maladive à boire,
période
qui, dans certains cas, doit être portée à deux o
y a 4 ou 5 ans, elle a commencé à manifester des besoins de boire aux
périodes
menstruelles et elle en est arrivée à prendre 5 à
s émotives qui. motu pro-prio. en dehors de notre volonté, entrent en
période
d'éréthisme. Elles s'élèvent, elles s'abaissent d
diagnostic certain. Eh bien! lorsque après avoir plongé un sujet en
période
de léthargie tout d'abord et avoir mis en œuvre c
isé la flaccibilité des muscles, etc.. on arrive à le faire passer en
période
de catalepsie, on constate alors, au point de vue
sque complètement le développement cérébral qu'ils doivent avoir a la
période
d'apogée. Voici encore une autre preuve à l'app
nce le tableau du véritable . surmenage cérébral si fréquent dans les
périodes
inquiètes de la vie de l'âge adulte. Il y a d'a
e employée a un lieu d'élection différent, le sujet ne reste pas à la
période
de léthargie ; il s'élève d'un degré dans l'échel
e d'un degré dans l'échelle des phénomènes hypnotiques. Il monte à la
période
de somnambulisme lucide, et alors il entend, il e
ctuellement elles expriment le calme et une douce langueur. C'est une
période
de détente qui se manifeste. La photographie expr
a plupart des expériences, le sujet E ne demeure pas cantonné dans la
période
de catalepsie. L'action stimulatrice de l'alcool
n stimulatrice de l'alcool le fait monter d'un cran, et il passe à la
période
de somnambulisme lucide. Alors il parle, devient
de véritables processus spécifiques, qui suivent d'eux-mêmes une
période
ascendante, une période de saturation et une péri
ssus spécifiques, qui suivent d'eux-mêmes une période ascendante, une
période
de saturation et une période de décours, suivant
d'eux-mêmes une période ascendante, une période de saturation et une
période
de décours, suivant que la substance alcoolique q
e. — Dans ces cas. le sujet hypnotisé, au lieu d'évoluer sur place en
période
de catalepsie silencieuse et de manifester sans m
renverse foudroyé par son émotion autogène et repasser ipso facto en
période
léthargique. J'ai obtenu des réactions semblabl
On s'assure de ce fait lorsque le sujet est revenu spontanément à la
période
de léthargie de retour et que l'hyperexcitabilité
ar la privation de la substance stimulatrice, est retombé d'emblée en
période
léthargique, comme cela se voit dans certaines ex
s son livre, le Dr Regnard n'est pas remonté au delà du moyen âge. La
période
qui s'étend du quinzième siècle jusqu'à nos jours
e aussi chez les hystériques. Les phases sont absolument semblables :
période
tétanique, période classique, période de grands m
stériques. Les phases sont absolument semblables : période tétanique,
période
classique, période de grands mouvements, puis les
es sont absolument semblables : période tétanique, période classique,
période
de grands mouvements, puis les hallucinations et
jours, qui n'était jamais restée plus de vingt et un jours entre deux
périodes
menstruelles, arrive par suggestion hypnotique à
durent trois jours au lieu de cinq à six jours. Dans les premières
périodes
après la suggestion, Mme H... n'arrivait pas jusq
s analogues à ceux de la grossesse accompagnent la prolongation de la
période
aménorrhéique. La suggestion lait acte d'inhibiti
oute suggestion est impossible. Parfois on se borne, « pour éviter la
période
d'agacement prodromique (ce sont les expressions
es oreilles moyennes, surtout accusées à gauche (otite chronique à la
période
d'hyperplasie et de ramollissement). Les sons imp
mme sujette à l'hystérie. A l'âge de la nubilité, c'est-à-dire à la
période
de la vie durant .laquelle le flux cataménial se
Au mois d'octobre 1887, pendant ses époques, la malade traversa une
période
particulièrement agitée. Son fiancé vint me trouv
istoire des développements de l'hypnotisme comprend trois phases : la
période
primitive ou mystique; la période empirique, au d
pnotisme comprend trois phases : la période primitive ou mystique; la
période
empirique, au dix-septième et dix-huitième siècle
période empirique, au dix-septième et dix-huitième siècle; enfin, la
période
scientifique qui s'ouvre avec les expériences de
e qui existe entre telle malade et une seconde mise dans les diverses
périodes
léthargique, cataleptique ou somnambulique du gra
é de convulsions et de secousses : d'intensité variable. Quand la
période
convulsive est terminée, le malade reste encore p
on doit la description classique de l'état hypnotique divisé en trois
périodes
bien connues : catalepsie, somnambulisme et létha
par le procédé à la Reine, et nous la maintiendrons constamment à la
période
de somnambulisme, sans arriver à celle de létharg
mais si le sujet ne dort pas profondément, comme cela arrive dans la
période
de catalepsie, alors la conscience n'est pas abol
le sujet s'endort plus profondément, il y a au contraire relâchement (
période
de léthargie). D'autre part, si nous parvenons à
d'autre preuve qu'un seul cas, celui d'une hystérique qui, pendant la
période
som-nambulique de son attaque, m'ayant entendu di
hypnotiseur, la victoire reste souvent à l'utérus, surtout pendant la
période
d'expulsion. » 6° Certaines femmes accouchant
ou même la léthargie pendant la dilatation du col ; mais, pendant la
période
d'expulsion, on laissera l'hypnotisme de côté et
tenant à en faire connaître le résultat à l'Académie. C'est dans la
période
léthargique de l'hypnotisme que, suivant M. Luys.
quelle est inscrit le nom du médicament. Une fois le malade dans la
période
léthargique, M. Luys prend Un de ces tubes ce le
alors de lui mettre la camisole. Elle avait sans cesse, pendant cette
période
, l'injure à la bouche; elle se servait d'expressi
che, et depuis 4 mois que je la fais dormir pendant tout le temps des
périodes
menstruelles, je suis arrivé a remplacer l'agitat
s tels qu'il était nécessaire de lui mettre la camisole pendant cette
période
. Sous l'influence des règles, elle se roulait à t
D'abord suis-je justifié à dire que nous sommes, en France, dans la
période
des monographies ? Il est certain qu'il n'existe
succès que dans tout autre. Voilà un inventaire bien long pour une
période
bien courte ; et pourtant je n'ai parlé ni des pu
mportance et les résistances qu'il a dû vaincre. 11 est entré dans la
période
triomphante. J'ai peur qu'il n'ait triomphé trop
que savons-nous du fond des choses .' Il est probable qu'après cette
période
de production à outrance, la critique fera son œu
nature syphilitique en mon- trant qu'elle peut se développer à une
période
très précoce de l'infection, à une période, par
peut se développer à une période très précoce de l'infection, à une
période
, par conséquent, où le lien causal saute bien m
us-orbitaires et les tempes, elle est à peu près continue, avec des
périodes
d'exacerbation accentuées surtout vers le soir.
t une détente, marquée surtout sur le côté gauche du corps. Cette
période
de calme est bientôt suivie d'une nouvelle crise
de l'élimination de déchets organiques trop abondants pendant la
période
d'agitation maniaque qui a terminé la vie, ou bie
rler, le. délire de négation, i qui ne s'est' ainsi 'révélé qu'aune
période
déjà avancée de la' maladie; à l'heure actuelle,
la rapidité d'évolution, et de l'autre l'amnésie complète ou de la
période
délirante, ou même de celle qui suit. Cette amm
n d'établir chez une détenue si l'acte incriminé a coïncidé avec la
période
menstruelle. Et sous ce nom de période, nous co
incriminé a coïncidé avec la période menstruelle. Et sous ce nom de
période
, nous comprenons non pas seulement les jours pe
névropalhique ou l'existence de, troubles psychi- ques pendant les
périodes
menstruelles antérieures, ou quand le -fait lui
rdres. L'auteur conseille'donc : 1° De prolonger dans les asiles la
période
de convalescence ; 2° De créer des maisons spéc
is cinq ans dans mon service et 64 SOCIÙTÙS SAVANTES. arrivé à la
période
ultime de marasme paralytique. Il mourut subi-
aralysie générale vraie. La pseudo-paralysie saturnine n'est que la
période
intermédiaire au saturnisme et à la méningo-enc
t que la paralysie générale vraie peut s'arrêter dans ses premières
périodes
. Les pseudo-paralysies générales ne sont donc q
ères périodes. Les pseudo-paralysies générales ne sont donc que des
périodes
de transition entre le saturnisme ou l'alcoolis
rable ou quand on n'en peut espérer la guérison dans le délai d'une
période
à déter- miner. P. K. Qu'il s'agisse de l'Ang
sistance , mixte qui en.,hospitalise[un. certain nombre pendant les
périodes
graves de leur< affection et assiste les aut
tiquért Silsn , i. - j ? i.-1-i *^, i f «* ICI tflf passent cette
période
avec succès, ils sont nommés assistants et sont
ité des produits, cette influence ne se mani- festerait que dans la
période
qui suit d'assez près l'extirpation de la gland
s on perçoit les signes d'une tuberculose' avancée,' arrivée' à' la
période
cavitaire. . r aum-r ? ` u , uu . : m nt` 1«I ?
racté la 1 syphilis en 1885 ; deux ans plus tard, c'est-à-dire aune
période
assez précoce, il est pris de douleurs' à parox
commence à souffrir du mauvais- étude son appareil de nutrition/La
période
de -résistance peut être-, fort longue ainsi qu
.Quant aux formes morbides, la psychopathie maniaque arrive à la
période
critique de l'attaque de grippe, la mélancolie ne
ons à vibration de différents tons. On peut pendant ou peu après la
période
hallucinatoire provoquer, par ces appareils, de
... , «.oj-'i. - -t·4c . 1 l - -1" .,a 1 ,. *. *,il y^'jyrii'ii t
Période
. de début. Apathie, céphalalgie, vertiges, tintou
dansles membres, contractures dans divers groupes musculpires.\ 'i
Période
-.d'état. Contractures 'survenant 'par accès so
chlorhydrique libre et organique, qui s'accentue sur- tout dans la
période
de diarrhée etde cachexie, contr'indiquerait une
mité dans le dosage, ce qui tient à ce que 1 on est''encore ' à1 la
période
de' tâtonnement j'irrestëT'pour'la^même raison)
périence, on doit trouver des résultats contradictoires suivant les
périodes
de la maladie auxquelles les examens sont faits
chentwcellésbdites. hypnagogiques , (qui,^se ? produisent -dans la;
période
intermédiaire. entre la veillent le^sommeil. Dé
ier mémoire'de' \I : lLannelonue;enthousiasme'àuquel a - succède la
période
dèidénigremenb»7. Il- signale les objections fa
REVUE ? DE' PATHOLOGIE* MENTALE. ( 287 -1 bientôt : c'est à cette
période
que la malade a tendance, à quitter son intérie
dmettre la, prédominance. du,sexe, masculin, =, Qüènt·ù a l'âge, la
période
de vingt à cinquante ans a,paru ,à l'autetir,p,u.
ois que l'idée de 'persécution'domine toujours fa, scène, même à la
période
des grandeurs. Pour l'école de M. Magnan, chaqu
même à la période des grandeurs. Pour l'école de M. Magnan, chaque
période
est caracté- risée par une'note dominante, laqu
érés. Etude' statistique de la réflectivité 'dans* les* différentes
périodes
de la pnafaly'siëïgéhérâleS ^M.'lBmYND^comrnuhi
relatives aux modifications des réflexes envisagés 'aux différentes
périodes
de la paralysie générale; : B : l les autres touc
es autres touchant l'ensemble de la réflectivité indépendamment des
périodes
. thtt)r- ,Ai C021elusio71s du et l'irrégula-
- rité pupillaires ne sont pas sensiblement plus fréquentes à'une
période
qu'à une autre.aob è-ièjl £ ,nsiî5nYiiîifq 9r5''j
e), altération-^ va., en progression continue'jusqu'à la, troisième
période
où elle. est maxima ? , 3 £ ,, Ili. Il n'y a pa
'il porte tous ses fruits ilestindispen- sable qu'il ait lieu à des
périodes
déterminées, commeiles concours -des hôpitaux d
netteté avec laquelle se manifestèrent ces troubles au cours d'une
période
de rémission, l'absence pro longée de tout autr
ier de couture; elle est tranquille, réservée et a conscience de la
période
; q loi · CLINIQUE MENTALE. f ., ,T>, déli
angue, exagération des réflexes); la marche de la maladie, avec une
période
, de rémission xçaracté- risée, pailla dispariti
êt clinique mous voulons parler de l'apparition,. au. cours d'une ?
période
de rémission, , d'hallucinations motrices verba
la bouche et dans les dents. "Si," à'de rares' intervalles et à une
période
déjà- avancée' il lui'`ést'ârriâé"d'émployerrtè
du trijumeau (centre masticateur) est un plié- y nomène banal'à la
période
. avancée, dé la paralysie générale (mâchonnemen
'l{ ? }f'l"l , Observation,. XIV. Paralysie générale à la première
période
: étât·stationliaire péndânt,plus'd;un, an, luc
ccès délirants survenus au cours.de la démence paralytique et de la
période
de rémission, nous, avons à noter certains poin
t * , ,<^ : .U >*\ .cavtnmh -.me*.1 ? C'est au cours de, cette.
période
de rémission très 1 accentuée que survint le, t
, l'intelligence était suffisamment' conservée : aussi, après une
période
assez longue d'hésitation pendant laquelle la pat
es masticateurs. c) Apparition de ces hallucinations au cours d'une
période
de rémission, à l'état de symptôme ' isolé, san
rve com- munément sur le cadavre. L'aspect de la dure-mère, à cette
période
de la formation pachyméningitiqïïe7est d'ailleu
satrice du liquide céphalo-rachidien, la lésion passe à la deuxième
période
: il se fait à travers les vaisseaux superficie
ans les cas types, c'est à ce point précis que s'arrête(la deuxième
période
. «.. , , Quand l'excès de distension des vaisse
et si l'on ^n'observe pas plus ce coagulum fibrineux, c'est que la
période
pendant laquelle il peut apparaître est très cour
elle il peut apparaître est très courte. . La troisième et dernière
période
est la période hémorrliagique les hémorrhagies
paraître est très courte. . La troisième et dernière période est la
période
hémorrliagique les hémorrhagies primitives sont
s aussi, on la voit apparaître précocé;7sucédâlit à une très courté
période
de troublés vésaniques et', dans ces derniers c
ombre infini de cellules et peut aisé- ment induire en* erreur ? La
période
contemporaine fourmille de procédés et de mélan
ce- travail de 200 pages à l'élude des tra- vaux sur, la rage, à la
période
preco-romaine, au moyen âge,'et. xviie siècle.
r de leur naissance. 30j aujrnËX f, fri 9 : · 7 -.i,m'1 · 4;,af ]Ln
période
- dû·moyenâge,, estmoiys riche, de, faits, et fau
e, i Gordon, Jîuy, de Cliauliàc; peu d'originalité dans les écrits;
période
dej'igueur dans le traite- ment de la ragé, : l
s3 nuits sontïfj bonnes." Cet état persiste environ'six; mois,'puis
période
d'accalmie 11 ? jusqu'en mars 1890., s'nm sLpcs
nts semblables/chacune'à'une* quinzaine* de jours d'iutervalle °Les
périodes
intercalaires ne furent '. marquées par aucun p
la malade suit les conseils d'un médecin ucu- liste ! Durant'cette
période
, aucun phénomène anormal ne se serait produit,
étiologique, envisâgeons lai sÿmptë- matologie de l'affection" Deux
périodes
bien' distinctes la carac- térisent : l'une, la
ques. Anse prendre en considération que les symptômes de la seconde
période
, leur signification est des plus nettes, ils pr
écisent la paralysie générale progressive. Pour ceux de la première
période
, l'hésitation non plus ne paraît guère per- mis
.phénomènestdemé,me nature ^que, l'on, a, coutume d'observer - à,la
période
préataxiqùédu ``tabes.lbVÎz tf( -fi ? itonu af'
demain^ nouvelle crise, en tout point semblable,,et-cela durant,une
période
qui va de, dix. à. douze, jours. Elles ne se e
1 ? ? fB)U3 j,,^ n(.'l 1- 9- h i,^,Il jft- En .thèse générale, à la
période
préataxique, il n y a.pas.de fulgùratiôns;,t,le
'3,·8csT.GTeI,WG iî. ;-. oi^c ? î at . 1 A. Fournier. Leçons sur la
période
préalaxique du tabès, p~ 207. jl 12 i ui ? ...i
éaction normale .a.1 l'accommodation. f; ? . , .. , , . » , ..-2e
période
: ,7 ? Ouverture, pupillaire sensiblement égale d
te sa preté.ï ? ,i ra ` , .9lrj t,s·t^;s » ,01fyf0 «.rn,^ " I(J 311
période
. rPupilles parfaitement égales : à- droite, .tout
e' très vague* avec ceux-de même nature que l'on observe*-1* à la j
période
J préataxique ? èt;r d'autre 1 pat)ldé"y ! nptôme
s prétexte que cela a déjà été fait. ° ' ' ' Pendant une première
période
d'une semaine, deux analyses d'u- rine ont été
ctuelles de l'or- ganisme de l'expérimentateur. Pendant une seconde
période
de huit jours, il s'est'soumis une ou deux fois
s deux jours une analyse d'urine était faite. Pendant une troisième
période
sans bains statiques, la fréquence du pouls, la
l pendant le. stadejprodromique et le stade initial; il cesse à une
période
plus avancée de la maladie.^ ., DiscussioN : M
durant la Archives, t. XXVII. - 30 466 BIBLIOGRAPHIE. première
période
, ils témoignent encore plus,, si c'est possible,
semblable- tâche et fassent comprendre aux familles que la-première
périodes
du traitement -médico-pédagogique est t hérissé
la -santé- générale-, 'il' peàt'surve' *nir dès le dixième jour une
période
"de-guérison'apparente,;mais-"dans les cas d'une c
r dépressif. Exemples : les mélancoliques qui cherchent, pendant la
période
douloureuse du début de leur affection, sans ce
faut pour cela avoir la chance d'observer l'idée fixe à sa première
période
. Une fois, en effet, que les ma- ladies mentale
. A11P., s. 7, t. XV, p. r21. U Taret. MYSTICISME ET FOLIE. 35 La
période
naturaliste prend fin, l'homme a pu abstraire e
on serait tenté de croire, s'est toujours produite rapidement, sans
période
d'excitation bien vive. Au cours de la convales
L'importation, qui était en moyenne de 1.672.sou litres pendant la
période
1881-1885, a atteint 2.967.300 litres en 1895 e
les villes ; les décès causés par l'alcoolisme comptés pendant des
périodes
quinquen- nales depuis 1856 jusqu'à 1896, ont é
été de 33, 22, 24, 29, 18, 10, 8 et 10,5 pour 10.000. Pendant la
période
de 1856 à 1890, 13,7 p. 1C0 des aliénés étaient
tant de 1826 à 1850, ont diminué depuis; ils avaient été pendant la
période
1846-1850 de 109 par million d'habitants et par
1850 de 109 par million d'habitants et par an, et pendant les trois
périodes
quinquennales 1881-1896, ils sont descendus à 6
e était en moyenne par an de 194,5 par 100.000 habitants pendant la
période
de 1851 à 1855, elle n'était plus que de 180,3
a période de 1851 à 1855, elle n'était plus que de 180,3 pendant la
période
1871-1874 et de 142,1 pendant la période 1891-1
us que de 180,3 pendant la période 1871-1874 et de 142,1 pendant la
période
1891-1894. (Bulletin de l'Office du Travail de
l existe toujours des hallucinations dans le délire chronique à une
période
avancée. Le plus habituellement les premiers tr
l- lucinations multiples qui a succédé à l'idée fixe première. La
période
de transformation de la personnalité n'est encore
roupe, chez les agités chroniques, chez les débiles et déments avec
périodes
d'excitation ; chez les autres malades, son act
rphiniser par la méthode lente ; il y est parvenu trois fois, à une
période
où il ne prenait que des doses relativement fai
rt des accidents de la démorphinisation, conseille, pen- dant cette
période
, l'emploi des lavages d'estomac; ce moyen adjuv
tétanos généralisé se montre, l'enfant refuse toute nourriture, la
période
d'aggravation continue douze heures. Pour calmer
nfant commence à avaler du pain. On injecte le quatrième flacon, la
période
d'aggravation plus forte que les précédentes du
au la morphine. Le douzième jour on injecta le cinquième flacon. La
période
de réaction dura six heures et' fut très inquié
ait, les secousses disparaissaient, mais avec l'emploi ultérieur la
période
réactionnaire dura plus ou moins longtemps, mai
connus jusqu'à ce jour, où le sérum fut appliqué, pour juger si la
période
réactionnaire dépend de chaque individu ou si e
13. IX. Du sens algésique étudié chez les mêmes malades aux trois
périodes
de la paralysie générale ; par le De MARANDON de
bsenent REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 143 surtout au début et à la
période
ultime de la maladie. Elles n'ont du reste aucu
r affection mentale, on obtient le tableau suivant qui indique, par
période
de dix ans, la période il laquelle remonte leur a
obtient le tableau suivant qui indique, par période de dix ans, la
période
il laquelle remonte leur affection, et le nombr
affection, et le nombre des malades se rapportant à chacune de ces
périodes
décennales : 11 résulte de ce tableau que d'a
issement de la population saine d'après l'àge, exprimé également en
périodes
décennales, et où on voit également dans les ta
ppliquer. M. ARNAUD. Si la paralysie générale est encore dans une
période
d'évolution, au point de vue de l'histologie, la
ses et intéressantes observations de M. Chartier. Ce n'est qu'à une
période
avancée de la phtisie que la psychose peut pren
ic. Après avoir rappelé les signes qui révèlent la tuberculose à sa
période
de germination, signes d'uue haute valeur pour
mais primitif. Cependant notre observation III nous montre que la
période
de début d'une apoplexie progressive dans son e
e rétrocession ; elle est flasque bien qu'il puisse exister dans sa
période
d'établissement une rigidité passagère qui para
urée de la maladie. Nous avons vu, en effet, qu'il peut exister des
périodes
intercalaires de lucidité, une sorte d'améliora
plus d'évidence : de telle sorte que l'on pourrait considérer la
période
qui s'écoule entre les premiers accidents et le c
iode qui s'écoule entre les premiers accidents et le coma comme une
période
prodromique très prolongée et progres- sivement
it aux conclusions les plus divergentes en passant par deux grandes
périodes
: la première commencée par Rolando et qui a ét
algré la fièvre qui peut changer la manifestation toxique les trois
périodes
assez bien caractérisée. L'ivresse palustre app
pendant l'élévation de température. On y retrouve : une ébauche de
période
d'excitation de courte durée, qui fait place à la
e période d'excitation de courte durée, qui fait place à la seconde
période
(éb1'iellse) avec perturbations de l'intelligence
accès impaludique se termine, comme l'ivresse, par le sommeil de la
période
comateuse : sommeil profond avec perte complète d
Il a fait sept ans de service militaire en France ; pendant cette
période
, il a mené joyeuse vie : il reconnaît qu'il a bea
, dans la confusion mentale. Ces constata- tions, faites pendant la
période
aiguë de la maladie, ont été con- firmées par l
e tableau de l'ensemble des faits qui se sont écoulés pendant cette
période
de trouble cérébral. Peu à peu, en même temps que
rvé la notion la plus exacte; ceux au contraire, qui remontent à la
période
de début de son affection n'ont laissé, pour la p
u reste, la seule personne qu'il ait toujours reconnue pendant la
période
aiguë de sa maladie. A l'asile, « il a été comm
rébraux ont présenté un carac- tère d'acuité très marqué pendant la
période
au cours de laquelle la santé générale a été le
a été mas- qué dans une certaine mesure, pendant une assez longue
période
de temps, par un délire hallucinatoire (délire on
x premières phases du développement embryogé- nique ; il existe une
période
où ovaires ou testicules ne sont pas encore net
nez de la malade ayant été obstrué réellement pendant une longue
période
de temps, la respiration nasale constituait en ré
râne ; par ARE1LZ \. (Revisla de medicina y cirugia, 576.) . A la
période
de commotion succède une période d'anémie aiguë
e medicina y cirugia, 576.) . A la période de commotion succède une
période
d'anémie aiguë qui paraît indépendante de toute
de le vingt-cinquième ou le trentième jour, c'est-à-dire pendant la
période
d'excitabilité maxima. L'excursion de la pau- R
lombaire d'un idiot de dix-huit ans, mort subitement pendant une
période
d'agitation apyrétique ayant duré depuis plusieur
nor- male et qui réagissait déjà d'une façon pathologique dans la
période
prémorbide ainsi que dans l'intervalle des accès.
eux quelques différences de détail dont la plus importante est une
période
intervallaire de mélancolie continue. Quoi qu
itement il un moment variable des règles et se termine de même. Les
périodes
intervallaires sont lucides en général dit le D
rellement indiqués ; dans les accès de forme dépressive et dans les
périodes
dépressives si fré- quentes à la suite des accè
ze jours plus tard et continue jusqu'à ce jour. Pendant la deuxième
période
fébrile elle eut souvent des .accès d'opistotonus
ue celle du 13. Les dernières ont montré quelque différence dans la
période
de résolution. Au lieu des secousses tétaniform
ères en raccourci; durée, dix minutes. Le 28, une attaque ; dans la
période
de résolution, Gabiiel tout en poussant des cri
z deux patients un état de stupidité consécutif à l'agitation de la
période
d'hyperexcitabilité et d'hyperesthésie. En résu
amélioration de l'ataxie. Dans le troisième cas, tabes dorsal à la
période
pré-ataxique, la ponction fut purement expérime
ovale), avec troubles maniaques transitoires, corres- pondant à la
période
de début du processus nécrobiotique. « Les lési
s les plus prononcés; que ces troubles comprennent généralement une
période
prodro- mique avec tristesse ou excitation, hal
our les convalescents, les chro- niques, et les incurables'. Deux
périodes
peuvent être distinguées dans l'histoire du tra
es, plus rarement de délires maniaques subfébriles. Dans la seconde
période
, au contraire, le traitement par le lit est env
rescris le repos du corps... Le lit sera, pendant toute la première
période
du mal, une des grandes ressources du traitemen
soit mélancoliques, doivent être maintenus au lit pendant certaines
périodes
de leur affection, considérés comme malades phy
sile de llildesheim en '18vil, Eschenburâ 1 Lubeck en 1874. A cette
période
se rattache également un travail de Rabow0. E
Au bout de quelques mois ce délire cesse et est remplacé par une
période
de rémission. Pendant cette période de rémissio
cesse et est remplacé par une période de rémission. Pendant cette
période
de rémission, sans nouvel appoint alcoolique, s
ène encore de l'amélioration et le malade, entré dans une véritable
période
de rémission, va travailler aux ateliers de ser
éclipses rythmiques de leur excitabilité, et, presque toujours, les
périodes
d'excitabilité et de repos se succèdent, exacte
ant de l'attaque d'épilepsie : a) celles du jéjunum commencent à la
période
clonique de l'attaque, un peu après la cessation
1» celles de l'intestin grêle débu- tent à peu près au milieu de la
période
clonique ; c) celles du gros intestin apparaiss
clonique ; c) celles du gros intestin apparaissent soit pendant la
période
tonique,'soit pendant la période clonique ; ell
estin apparaissent soit pendant la période tonique,'soit pendant la
période
clonique ; elles se montrent assez souvent au déb
a période clonique ; elles se montrent assez souvent au début de la
période
clonique ; d) celles de la vessie paraissent d'or
ique ; d) celles de la vessie paraissent d'ordinaire au début de la
période
tonique. 4u Les contractions intestinales et vé
de l'autre à la même époque; atrophie bilatérale des papilles à une
période
plus avancée de la maladie.^ Atteinte ultérieur
e, on serait sans aucun doute étonné de leur conservation après une
période
très longue d'excitation chez les maniaques non a
e, 141. Du sens algésique étudié chez les mêmes malades au\ trois
périodes
de la - . pal' Marandon de )lontyel. 1.>2.
iles et en tout cas fort inopportuns. Elle a toujours eu de longues
périodes
de tristesse, alternant 4 PATHOLOGIE MENTALE.
délirants, tantôt au 6 PATHOLOGIE MENTALE. contraire, pendant les
périodes
de repos. Dans l'observation suivante, aux rire
des affections médullaires, L'évolution 'des symptômes jusqu'à la
période
de maladie confirmée, s'est faite assez rapide-
ère commun : ils appartiennent tous à une même époque, à une même
période
de la vie de la malade. Le plus souvent les cho
nnus, je préfère insister sur d'autres amnésies qui portent sur des
périodes
en apparence normales. Permettez-moi de vous ci
ulsions. Elle n'a jamais su au réveil ce qui se passe pendant cette
période
, il semble qu'il y ait là un oubli complet prod
l sur ce fait plutôt que sur un autre ? Pourquoi oublient-ils telle
période
de leur existence plutôt que telle autre ? Je m
six semaines, je n'avais retrouvé aucune mé- moire de cette longue
période
'. Cette femme présentait, comme cela arrive fr
roit et se trouvait également hémi-anesthésique gauche pen- dant la
période
des trois mois dont le souvenir avait été perdu
'était accompagné de la restauration de tous les souvenirs de cette
période
. Des faits de ce genre ont été, je crois, assez
stérie. Avec plus de précision, elle a, à la fin de l'attaque, deux
périodes
de somnambulisme différentes. Dans la première,
s les événements survenus depuis qu'elle est malade. Cette dernière
période
se termine par quelques convulsions et la malad
er, si on insiste. Elle nous raconte ce qui est arrivé pendant la
période
de sommeil qui suit la crise, que telle personne
pourra me le répéter, dans sa prochaine crise, pendant cette même
période
de sommeil. Ce sont donc là deux états à mémoire
deuxième somnambulisme de son attaque et réciproquement dans cette
période
de l'attaque elle se souvient de ses som- nambu
uses amnésies, ses crises, ses somnambulismes nocturnes, toutes les
périodes
du somnambulisme artificiel, de longues époques
erti par une sorte de vertige. La crise est classique : cri, chute,
période
tonique, période clonique et coma avec ronfleme
e de vertige. La crise est classique : cri, chute, période tonique,
période
clonique et coma avec ronflement. Il n'y a pas
ui a été longtemps un caissier modèle dans cette maison. Dans ces
périodes
de crises dipsomaniques, il est, dit sa femme,
rappelle très bien l'état spécial dans lequel il se trouve dans ces
périodes
; il s'en rend parfaitement compte. « Je voudrais
premiers jours de mai 1890. Elle a été immédiatement précédée d'une
période
de dipsomanie qui a duré une dizaine de jours.
dement et corrigées par le jugement; on les retrouve du reste à une
période
ultérieure, tardive de la paranoïa. Appelons-le
l s'agit maintenant de savoir s'il a accompli son crime pendaut une
période
de luci- dité ou pendant qu'il était irresponsa
masse du stade initial, et dans les accidents paralytiques de la
période
terminale. Toutefois, les phénomènes bulbaires pr
. Parce que l'on nous envoie des épileptiques dan- gereux aussi par
périodes
. Enfin parce que nous gardons des aliénés incur
mplement. Or, quand on songe' 92 SOCIÉTÉS SAVANTES. au nombre des
périodes
initiales de psychopathies, à la quantité de le
oir été un témoin oculaire et nous nous rappelons avec bonheur la
période
florissante où le célèbre professeur réunit autou
elle attribue également une influence malfaisante ou funeste. Par
périodes
, cette obsession- du treize devient insupportable
et bientôt la peur la saisit et l'inquiète. Elle a eu de longues
périodes
de calme sans idées obsédantes; mais celles-ci
les mots mort ou enterrement. * A diverses reprises, elle a eu des
périodes
de dépression avec des idées mystiques et de pe
u velou- tée d'une pêche. ' Il a présenté à diverses reprises des
périodes
de tristesse, quel- quefois même des idées de s
trois jours. Il a présenté au cours des expériences deux ou trois
périodes
de calme d'une dizaine de jours. 180 PHYSIOLOGI
on recueille vers 8 heures du matin, à l'aide de la sonde, avant la
période
clonique d'un accès, l'urine de Sep..., dont vo
cueille à une heure de l'après-midi, à l'aide de la sonde, avant la
période
clonique de l'accès, l'urine de Mon... Or, Mo
squ'à la mort du cobaye. II). Le 2 octobre, on recueille avant la
période
clonique du deuxième accès, à l'aide de la sond
ets de jour. Un accès de nuit. (A remarquer la longue durée de la
période
de calme avec des urines très toxiques.) 11 a
ction nettement acide, contenant un peu de sang (commencement de la
période
menstruelle), filtrées. Q 1070c.c.. . . Lapin
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. -DE LA TOXICITÉ URINAIRE. Urines pendant la
période
de calme. 28 avril. Hug... peut être considerée
de calme. 28 avril. Hug... peut être considerée comme étant'dans sa
période
calme. Elle n'a pas de délire depuis la dernièr
Coeffi- cient urotoxique : 0,212. , 4 mai 1892. On profite de la
période
d'obnubilation qui suit immédiatement la série
ai), 2 heures de l'après-midi; le soir du 4 mai, commencement de la
période
délirante. 1 Urines recueillies du 3 mai, 4 h
d'amblyopie transitoire soient séparées, alternées et marchant par
périodes
distinctes. 1 Comment reconnaître si le syndrôm
s froides et quelquefois pendant plusieurs jours de suite, et à des
périodes
très rapprochées. Il y a à peu près un mois, en
traitement des trauma- tismes crâniens, et bien longtemps avant le
période
historique elle-même, la trépanation du crâne a
gros aux yeux des chirur- giens qu'à l'époque moderne, surtout à la
période
d'hospitalisa- tion. C'est ainsi que Corneliu
Paralysie faciale périphérique tout au début de la syphilis, à la
période
du premier exanthème, alors qu'il ne saurait être
épileptoide jus- qu'au parfait et complet développement des quatre
périodes
de Charcot. Chez une seule et même malade on a
onds d'anxiété qui disparaît avec l'arrivée de la démence. Dans les
périodes
avancées, on rencontre un délire pseu- do-mégal
et comme le délire d'énormité, elle représentait pour Cotard une
période
très avancée du délire typique. D'un autre côté
après ce que j'ai pu observer, celte phase est précédée d'une autre
période
qui n'a pas été assez mise en lumière, période
précédée d'une autre période qui n'a pas été assez mise en lumière,
période
de doute ou de délire d'interrogation, pendant
ropos, pour aboutir ensuite à la négation confirmée. Entre ces deux
périodes
il y a une phase ou interroga- tion et négation
état nosologique spécial. Je ne peux voir dans leur apparition une
période
nouvelle s'étageant sur d'autres anté- rieures
avec idées de ruine, craintes de supplices, en février survint une
période
de calme qui ne dura guère que quinze jours, au
nc il y a des faits où le délire des négations succède à une longue
période
de mélancolie anxieuse, il en est d'autres où il
semblable, au moins com- parable, celui d'une femme qui, après une
période
d'accidents neurasthéniques et dyspeptiques trè
ne, a présenté les symptômes d'une paralysie générale à la dernière
période
. Au bout de quelques mois, les signes du satur-
onsidérée comme une entité morbide distincte, mais comme une simple
période
de l'évo- lution du saturnisme vers la paralysi
lit une observation sur un cas d'hystérie avec automatisme dans la
période
d'aura des attaques; variations spon- tanées de
roduction de l'attaque dont elles cons- tituent en quelque sorte la
période
d'aura, pour disparaître avec elles, c Il me se
de l'insomnie, de l'inappétence, des vomisse- ments. Pendant cette
période
, le fonds émotionnel change, le malade devient
e. A sa suite, tous les phénomènes d'automatisme qui ont signalé la
période
d'aura ont complètement disparu. Il existe chez
t dans un sens absolument parallèle. C'est ainsi que, au moment des
périodes
d'automatisme, on voit le champ visuel se rétré
nt du champ de conscience, s'augmentent chez un hystérique dans les
périodes
d'automa- tisme où la désagrégation psychique,
Il ne croit pas que ce médicament puisse avoir de l'action sur les
périodes
maniaques de la folie circulaire. M. MABILLE ne
us envoyer. La température ACTUELLE.-Nous venons de traverser une
période
de chaleurs exceptionnelles. Les cas d'insolati
depuis cette époque, elle a présenté à diverses reprises de courtes
périodes
de tristesse, jusqu'à vingt-deux ans. A cette é
restaurant Duval et l'oc- cupe jusqu'au 28 février 1890. Dans cette
période
son état de santé empira continuellement; les r
ux ou trois fois par semaine, plus fréquemment la nuit et pendantla
période
de menstruation avec les mêmes caractères. Dans
antla période de menstruation avec les mêmes caractères. Dans cette
période
l'état mental de Mme Gi... était notablement tr
nous paraît extrême- ment intéressante; on y trouve à une certaine
période
de son évolution un type clinique parfait d'épi
402 PATHOLOGIE NERVEUSE. le plus absolu pendant un mois ; à cette
période
il commença à tous- ser, particulièrement le ma
passé par Cha... dans la clinique (douze jours), et pen- dant cette
période
le malade n'a pas présenté d'attaques. En outre
té à la Salpêtrière jusqu'aux premiers jours de juillet. Dans cette
période
il a présenté des attaques en tout semblables a
e avec l'hystérie qu'avec l'épilepsie. En outre de cela, pendant la
période
comateuse de l'attaque, Bar... crie : « Maman !
on provoque des douleurs qui s'irradient dans le ventre. Dans cette
période
de temps, il avait de temps à autre des accès d
Dia- noux. Mais, justement l'examen de ces photesthésies dans la
période
initiale (d'excitation) de la narcose par chlorof
substance - cérébrale, qui peut être suivie dans certains cas d'une
période
de congestion (Latham). Cette hypothèse fut rep
admis pour expliquer l'amblyopie transitoire. En effet, pendant la
période
des prodromes et le premier temps de la douleur
ment de nature hystérique, ou liées à l'épilepsie partielle dans la
période
prodromique de la démence paralytique, le syndr
à être soustrait à la vie commune et placé dans un asile pendant la
période
la plus longue de l'évolution de sa maladie. Ma
sur le terrain de la folie onze ans avant son arrestation, par une
période
d'inquiétude des plus manifestes avec jalousie
et de sodium pourrait agir avec plus d'efficacité dans la première
période
du mal, en permettant des rémissions; dans les de
. Les choses se passent en général de la façon suivante. Pendant la
période
apoplectique, toute 34 CLINIQUE NERVEUSE. exp
se précipite sur le sol et se contusionne le crâne et la face. Des
périodes
de calme succèdent à l'agitation, mais il reste
he semble avoir été assez singu- lière. Il y aurait eu une première
période
durant laquelle on n'aurait observé qu'un accès
ses d'ergot de seigle, 0,20 contigr. avant chaque repas pendant des
périodes
de quatre jours séparées par des intervalles de
suicide. En dehors de ces symptômes, surviennent souvent, dans la
période
ultime du morphinisme, des accès de fièvre qui mé
onostic relativement favorable. I. Cent sept cas appartiennent à la
période
fébrile. L'alcoo- lisme étant établi comme terr
s lesquels l'hérédité exerçait une influence indéniable. Ceux de la
période
fébrile, d'une durée de quatre, douze jours à d
être rattachées à l'exis- tence de l'hyperthermie (stade initial et
période
de suppura- tion) ou de l'asthénie (phase d'éru
et période de suppura- tion) ou de l'asthénie (phase d'éruption et
période
terminale). De là le maintien des deux catégori
héniques se développent : les unes, avec la chute,de la T. entre la
période
d'éruption et la fièvre de suppu- ration ; les
er la raison du délire asthénique qui peut se montrer à celte seule
période
. En cette double occurrence, on a affaire à une
cillité succédant pendant la convalescence à un délire gai de la
période
fébrile. Durée habituelle : une semaine. Gué- r
lables aux délires initiaux (formes de pas- sage) ; puis ceux de la
période
d'état de l'affection : c'est alors qu'intervie
urt que 21,8 p. 100 malades en proie aux accidents psychiques de la
période
d'état. Les symp- tômes défavorables sont : les
emples relatifs à la. fièvre récurrente, dont cinq appartenant à la
période
fébrile (manie furieuse) et un au stade apyréti
fection septique. Le pa- ralysé général dont il s'agit, arrivé à la
période
de démence, subit pour une arthrite fongueuse u
détention qui ressor- lissent au ministère de l'intérieur dans une
période
de dix années. Tous les ans on compterait cinqu
nels et délinquants aliénés qu'observa M. Guttstadt dans la même
période
z83 hommes, 136 femmes), il s'est écoulé moins de
ès trente-six heures de durée cet état cède la place à une nouvelle
période
de moyenne agitation avec loquacité qui dure un
ité qui dure un temps égal pour être remplacée à son tour par une
période
de calme et ainsi de suite. La fin de chaque péri
n tour par une période de calme et ainsi de suite. La fin de chaque
période
est marquée par la diminution de l'agitation au
ngtemps. Les rémissions observées ne consti- tuaient pas de simples
périodes
d'épuisement nerveux, car on re- marquait penda
s que la patiente se souvint de ce qui s'était passé au cours de la
période
d'agitation ; elle savait simplement que quelqu
ter- valle des crises fit disparaître la régularité du type dans sa
période
et dans sa durée. La séance est levée sur cette
ataxie est une manifestation appartenant presque exclusivement à la
période
ter- tiaire : elle peut apparaître à toutes les
ode ter- tiaire : elle peut apparaître à toutes les étapes de cette
période
, mais elle est surtout fréquente de la sixième
ssi M. Fournier insiste-L-it avec soin sur la symptomatologie de la
période
de début, préataxiquo du tabès; en particulier
ulier sur les troubles oculaires etgénito-urinaires. Au début de la
période
ataxique, l'incoordination motrice peut passer in
axiques ; 2° développement du tabès presque exclu- sivement dans la
période
tertiaire de la vérole ; 3" association fréquen
tre part, les mélancoliques à idées de culpabilité, arrivés à une
période
plus ou moins avancée de leur maladie, revêtir
délire des persécutions, dont elle n'est souvent que la première
période
, et c'est surtout l'évolution diverse des deux
Le délire hypochondriaque, surtout moral au début, devient, à une
période
plus avancée et surtout quand la' maladie passe
t inverse. L'hypochondrie du début est surtout physique; mais à une
période
plus avancée, les malades se préoccupent de leu
ure chez les néga- teurs : elle frappe brusquement, souvent vers la
période
moyenne de la vie, des personnes dont la santé
érisent par les symptômes de la démence. Pen- dant une assez longue
période
, ces infortunés ont la perception de leur état
rs précédée, comme l'a établi 111. Doutrebente dans sa thèse, d'une
période
mélanco- lique. Or, tandis que les malades ' n'
. Hérédité congestive. Paralysie générale progressive à la première
période
, datant de deux ans. Conscience des troubles ps
que, et préférant la mort à de telles tortures morales. Après une
période
de début plus ou moins longue, la folie progres
ode de début plus ou moins longue, la folie progresse et passe à sa
période
d'état. D'ordi- naire la conscience est vaincue
és bientôt dans tous leurs détails. D'autres fois, il y a durant la
période
d'état comme des éclaircies de raison ; la cons
e la folie que nous avons vue pour ainsi dire caractéristique de la
période
de début ne se retrouve plus ici. Entre ces deu
ralement aux conceptions, mais pas régulièrement à chacune d'elles (
périodes
dans lesquelles le malade peut résister). Le mé
e malade, toujours aussi incapable de se souvenir et d'analyser les
périodes
de l'évolution de sa crise, de les reproduire m
Coupard. Thèse de Paris, 1882. Des périostoses crâniennes dans la
période
secondaire de la syphilis ; pat' N,UDET. Thèse
ge se répète fréquemment, et se termine par la chute, il existe des
périodes
franches de calme dans lesquelles l'affection d
terre et pousse des gémissements. Ces paroxysmes alternent avec des
périodes
d'immobilité et de mutisme. 1-0 C... prétend qu
cès maniaques suivis de stupeur, ne conservait aucun souvenir de la
période
d'excitation. Vidal et Legrand du Saulle. (Aîi7
s. L'une d'elles avait un bec-de-lièvre. Chez l'une, existaient des
périodes
d'excitation et de dépression ; chez l'autre, d
projets de suicide. Eu six mois, il fait cinq places, et après une
période
de dépression avec idées mélancoliques il est r
elle de chaleur, états à distinguer des véritables fris- sons de la
période
de consomption (Trousseau). La sensibilité tact
de l'oreille ? M. Raynaud6 a décrit l'otite moyenne survenant à la
période
ultime de la phthisurie. Chez une malade de Tro
bien des opi- nions admises, et pas plus que ce qu'on observe à la
période
terminale de la plitllisie pulmonaire, n'est fa
font relever cette rétinite de l'albumi- nurie qui survient à cette
période
du diabète. Il ne croit pas cependant la chose
compte, soit pendant le délire, soit à un autre moment. Mais cette
période
passée, il sembla totalement aphasique, et, mêm
e NERVEUSE. 377 semaines. L'abcès chronique est caractérisé par une
période
latente prolongée, interrompue parfois par des
s que lien ait pu faire soupçonner son existence. La durée de cette
période
latente varie de quelques semaines à plusieurs
n de la tête, d'une affection fébrile aiguë, ainsi qu'à la première
période
de la paralysie générale. » ' R. DE M.-C. XVI
traitement de la paralysie générale. La maladie, même à la dernière
période
, n'est pas une contre-indica- tion à l'anesthés
ncore cet avantage, c'est que personne ne peut y être soumis à aucune
période
, à moins de consentement libre ». Et il ajoute :
s de suite il s'abstient pendant trois ou quatre semaines. Pendant la
période
d'alcoolisme, le malade boit à tel point que, la
ivresse il est très colérique et capable de toutes les violences. Les
périodes
d'alcoolisme vont se rapprochant. Pendant ces pér
violences. Les périodes d'alcoolisme vont se rapprochant. Pendant ces
périodes
le malade boit seul. Lorsqu'il vint chez moi pour
en distinguer les alcooliques et les dipso-manes. Ceux-ci boivent par
périodes
; ce sont des dégénérés mentaux. Devenus mélancol
s quantités considérables et sont difficiles à intoxiquer. Pendant la
période
dépressive, on ne peut pas les empêcher de boire
e dépressive, on ne peut pas les empêcher de boire ; c'est pendant la
période
de calme qu'on doit les entrainer à ne plus boire
gt;! Bérillon. — En soumettant ces malades à la suggestion pendant la
période
de calme, on arriverait, sinon à guérir, du moins
t-être encore plus curieux par ce qu'il se -produisit en dehors de la
période
carnavalesque et dans un temps où les travestisse
odeur pénétrante exhalée par les parties génitales des femelles, à la
période
du rut, qui est le principal stimulant de leur ex
quatre fois. J'obtins le sommeil hypnotique du 2e degré. La première
période
de l'accouchement se passa sans -douleurs. La mal
poir et sous l'influence de ces idées noires. Vint ensuite une courte
période
de joie, quand elle connut mon retour. Mais l'éco
loi du somnoforme qui avait eu de bons résultats dans les 2??• et 3me
périodes
de l'accouchement antérieur. PÉDAGOGIE DES EN
uatre jours, pour que l'enfant récupère son poids de naissance. Cette
période
initiale de la vie est donc perdue, en général, p
s en proie à ces rêves et à leurs conséquences inconnues. Pendant les
périodes
du sommeil narcotique qui sont favorables aux sug
e et un souvenir très-exact de tous les actes accomplis pendant cette
période
d'excitation fugace. Matignon eut l'occasion d'
s semaines après cette tragique aventure, se souvenait d'avoir eu une
période
de grande excitation cérébrale, et d'avoir tenu d
du fait que signale Victor Meunier. On connaît à quel degré, dans la
période
du rut, les individus males dans un grand nombre
n corpore virili inclusa, et cette transmutation datait delà première
période
embryonnaire, avant la différenciation des organe
cachais dans mon lit et que je baisais avec exaltation. Puis vint une
période
malheureuse que maintenant encore je maudis. Celu
bien mis en lumière par l'analyse psychologique de la malade dans la
période
de sa vie qui peut être considérée comme l'état d
de sa vie qui peut être considérée comme l'état de santé. Dans cette
période
la personnalité de la malade est constituée par t
il arrive elle ne regrette jamais ce qu'elle a fait. Dans toute cette
période
de sa vie, la malade donne l'impression d'un cara
nt attirés l'un vers l'antre par la perception olfactive et que, à la
période
du rut, il s'exhale de leurs parties génitales un
, qu'un embarras. La caractéristique de son état mental, tant dans la
période
de sa vie où elle était en santé que dans la péri
al, tant dans la période de sa vie où elle était en santé que dans la
période
de maladie, est l'exagération. De même qu'elle ét
rée, une prédisposée névropathique héréditaire.Dans tonte la première
période
de sa vie, elle nous apparaît comme une femme d'u
atisme, les phénomènes morbides ne s'installent qu'après une certaine
période
de rumination, de même la suggestion ne produit t
me le dit très justement ?1. Magninl'hystéro-traumatisme comporte une
période
de rumination et celle-ci est principalement noct
lisme, le malade traverse, d'après lui, trois phases : d'abord, une •
période
de fatigue », puis une * période d'influence somn
s lui, trois phases : d'abord, une • période de fatigue », puis une *
période
d'influence somnambulique » et enfin une - périod
igue », puis une * période d'influence somnambulique » et enfin une -
période
de passion somnambulique ». La première phase se
rquable qui se maintient depuis deux ans. Mon observation touchant la
période
de fatigue est, en principe, la même que celle de
pe, la même que celle de la plupart des hypnothérapeutes de Nancy. La
période
d'influence et la période de passion de Janet off
a plupart des hypnothérapeutes de Nancy. La période d'influence et la
période
de passion de Janet offrent plus d'intérêt que la
uence et la période de passion de Janet offrent plus d'intérêt que la
période
de fatigue. La période d'influence est caractéris
passion de Janet offrent plus d'intérêt que la période de fatigue. La
période
d'influence est caractérisée par la disparition c
ierre Jaoet : Névroses et Idées Tires. Parle 1904. bulisme. Cette
période
peut durer de quelques heures à quelques mois. II
ématique, au bout d'un temps plus ou moins court et alors apparaît la
période
de passion somnambulique. Celle-ci est caractéris
cependant quelque peu sa façon de voir en déclarant plus loin que les
périodes
de passion somnambulique ne sont autre chose que
s rapportée à la nature de la maladie.Le seul fait spécifique dans la
période
de passion serait donc le désir qu'a le malade d'
st qne palliatif. Il dit cependant que chez la plupart des malades la
période
d'influence tend à se prolonger. Pour ce qui conc
donne pas, à mon avis, une réponse satisfaisante. Il reconnaît que la
période
d'influence se prolonge en raison de la durée de
ivre ce genre de traitement. En parlant des malades chez lesquels les
périodes
d'influence sont de courte durée, il dît : « Il e
bservateurs ne se sont accupés du sexe de l'enfant. Ce n'est qu'à une
période
assez récente que l'on s'est demandé s'il y avait
inte, l'hypnose expérimentale offre moins d'inconvénients qne dans la
période
préliminaire. Si une suggestion ne se réalise pas
qu'à un degré très avancé. Nous venons, il est vrai, de traverser une
période
très Fâcheuse de notre esprit guerrier, comme je
un monument historique d'une haute importance. Nous sommes en pleine
période
féodale, période qui durera jusqu'au troisième si
orique d'une haute importance. Nous sommes en pleine période féodale,
période
qui durera jusqu'au troisième siècle. Ce ne sont
es élèves, les Nobles portent le sabre ou l'épée ! C'est durant cette
période
que naissent Confucius et Laocius. Confucius est
nt Général termine la dynastie des Han. Nous sommes à la plus belle
période
de l'Histoire de Chine, la période des Trois-Boya
Han. Nous sommes à la plus belle période de l'Histoire de Chine, la
période
des Trois-Boyaunies (San-Koué) c'est elle qui a f
, cette Armada périt dans un typhon avec plus de 80.000 hommes. Une
période
de calme semblait régner depuis quelques années,
tout chinois soucieux de la dignité de son pays de se rappeler cette
période
pendant laquelle les exigences arbitraires de l'é
et qu'elle sait que par ordre du médecin elle doit y rester pour une
période
de temps prescrite et limitée. Dans d'autres ca
énomène, les vibrations du train peuvent avoir provoqué l'arrivée des
périodes
, mais je ne puis pas ne pas croire que les six mo
onoré la gloire des armées : Koang-Ti, ce fameux général de la grande
période
chinoise des Trois-Royaumes, n'est-il pas eu quel
tain d'une évolution vers la guérison. La raideur réapparaît avec les
périodes
d'accès de l'hystérie, de la neurasthénie et de l
est du devoir des parents et du médecin de s'en occuper, car c'est la
période
d'une thérapeutique relativement facile et il fau
sans réflexion de sa part. Quant à la fascination du mâle pendant la
période
du rut, elle existe ; le chien notamment en donne
as ne donner son plein effet qu'après un certain temps, une veritable
période
d'incubation ». Ces observateurs ont même ajout
la traduction d'objets extérieurs, et qu'il se présentât, pendant la
période
primaire surtout, sous forme de jeu. Dans G « Ini
breux pointe, en ce qui concerne son mode de terminaison, et aussi sa
période
d'invasion. Si le retour à l'état normal, au li
nt tourmentée par l'excitation génitale qu'elle éprouvait pendant ses
périodes
de malaises gastriques. En terminant, je tiens
de lésions définitives, car après la guérison, ou simplement dans les
périodes
de rémission, les malades recouvrent habituelleme
suggestive, /lierapolitique révolutionnaire au premier chef. » Une
période
d'une vingtaine d'années s'écoula entre la public
confiées k l'Assistance publique : j'ai adopté pour ce classement les
périodes
suivantes : 1° Enfants abandonnées dès leur nai
de dégénérescence mentale avec, dans la plupart des cas. débilité et
périodes
d'excitation, ou tentative de suicide, perversité
phrases dont les idées accessoires se succèdent et s'emmêlent. en
périodes
superposées, appelant l'attention, la tendant, la
les phases de son existence, en s'étendant principalement sur la
période
de son aliénation mentale prétendue. Il me remit
fet, ce n'était pas le type Lasègue, puisqu'on ne retrouvait pas la
période
des inter- prétations morbides préparant l'érét
s du sens musculaire sont pour ainsi dire la règle dans la première
période
de l'hémiplégie cérébrale, il nous est plus dif
orté par l'auteur est un cas de folie aiguë dé- veloppée pendant la
période
florissante de la syphilis. C'est une forme de
mastérien et du pharyngien étudiés chez les mêmes malades aux trois
périodes
de la paralysie générale; par nI. DIAR1NUON de
de ces réflexes, leur degré et leur fréquence relative aux diverses
périodes
et dans les diverses formes de la paralysie gén
que les autres (dans plus des deux tiers des cas), à la pre- mière
période
de la paralysie générale, et, par la suite, il es
de la déchéance du sujet, tant au physique qu'au moral, avant la
période
des grandes attaques. E. BLIN. XII. Un cas de p
ner lieu à une expertise : 1 dans l'état de maladie, 2° pendant les
périodes
de lucidité et 3° après sa mort. Dans l'état de
é et 3° après sa mort. Dans l'état de maladie il faut distinguer la
période
prodromique, la période d'état et la période de
ans l'état de maladie il faut distinguer la période prodromique, la
période
d'état et la période de démence. Pendant la pér
il faut distinguer la période prodromique, la période d'état et la
période
de démence. Pendant la période prodromique le s
odromique, la période d'état et la période de démence. Pendant la
période
prodromique le système nerveux central du préve
ceux qui présentent un caractère de morbidité plus accentué. A la
période
d'état ainsi qu'à celle de démence il va de soi q
ier des sug- gestions étrangères au sommeil lui-même; c'est dans la
période
hypnagogique qu'on utilise alors avec le plus d
. Quelques particularités intéressantes ont été notées pendant la
période
d'amélioration ; ce sont les suivantes : 1° desqu
ensibilité, suivie de sclérose. Dans ces conditions, et la première
période
de la maladie consis- tant en de simples altéra
auteur expose que dans la syphilis tertiaire, tout comme aux autres
périodes
de la maladie, il faut un traitement énergique et
et duraient trois à quatre heures chaque nuit. Jamais il n'eut de
période
de tristesse ni de mélancolie au début de sa ma
degré extraordinaire. Il ne manque peut-être jamais à une certaine
période
de la maladie, à moins d'une déchéance précoce
. Il arrivera un moment où le chiffre des nouveaux aliénés dans une
période
134 ACTUALITÉS. de temps donnée sera inférieu
34 ACTUALITÉS. de temps donnée sera inférieur à celui de ceux de la
période
pré- cédente et d'autant moindre que les causes
respectifs, jugés atteints d'une affection mentale longue, ou d'une
période
aiguë à évolution pro- longée. Il convient cepe
ssi les bromures se montrent- ils surtout utiles dans les premières
périodes
du traitement, pour engourdir l'irritabilité co
essive habituelle, que la mort ne survient pas, pendant la première
période
, il la suite de mala- dies incidentes ou d'un t
basée que sur 14 individus dont la moitié sont morts à la première
période
, au bout de 2 à 4 mois. Il est d'ailleurs imp
on n'est pas fatalement progressive, mais elle présente souvent des
périodes
de rémissions très longues. C'est la forme lent
tique quelconque présente, comme d'ailleurs le sommeil naturel, des
périodes
aussi favorables à la suggestion que l'hypnotis
la selle que tous les huit jours. Elle souffre beaucoup pendant la
période
de ses règles; elle n'a jamais de pertes. Elle
igrissement de la malade qui mangeait excessivement peu et qui, par
périodes
, ren- dait à peu près tout ce qu'elle prenait.
résumé le bénéfice de l'intervention a été passager, et, après une
période
de repos, les attaques sont revenues comme avant.
ire intermittente. Il s'agit d'un paralytique chez lequel, avant la
période
définitive dans laquelle les pupilles devinrent
ndrie, la démence précoce, la démence sénile, la phrénasthénie, les
périodes
interparoxystiques de l'épi- lepsie et de l'hys
sychose mé- lancolique reuvent cependant se développer à toutes les
périodes
de la vie, le plus souvent à la période moyenne
se développer à toutes les périodes de la vie, le plus souvent à la
période
moyenne. La femme est plus prédisposée que l'ho
ée L'évolution est divisée en une d'incidents psychopathiques, à la
période
aigué et une chronique suite desquels peut surv
aura existe, même lorsqu'elle est insensible à l'état de veille, la
période
tonique est une phase d'immobilisation, d'angoiss
la période tonique est une phase d'immobilisation, d'angoisse, la
période
clonique d'agitation, de fuite, de lutte; enfin l
oppe à mesure que la maladie progresse, et n'existe pas encore à la
période
initiale. Dans ces différents cas, le traitemen
losophe qui puisse diagnostiquer la folie ». La possibilité pour la
période
prodromique de durer plusieurs années ajoute so
a difficulté du diagnostic, sans compter que les symptômes de cette
période
, comme ceux des périodes suivantes d'ailleurs,
ic, sans compter que les symptômes de cette période, comme ceux des
périodes
suivantes d'ailleurs, peuvent être influencés p
n ou la perte de la puissance sexuelle est souvent précédée par une
période
d'activité génitale exagérée. Ou ne sau- rait t
agnostic à ne pas admettre que la démence paralytique à sa première
période
est caractérisée par un ensemble bien défini de
rité des cas les réflexes profonds sont exagérés durant la première
période
; quant aux réflexes tendineux ils demandent à ê
La sensibilité géné- rale n'a pas été suffisamment étudiée dans les
périodes
de début, mais si l'on se reporte aux lésions n
on d'observer que l'auteur conseille une étude très attentive de la
période
initiale de la paralysie générale et recommande
é. Pas de stigmates hystériques. 10 avril. Elle est en ce moment en
période
menstruelle ; se plaint toujours d'étourdisseme
e, voulant se précipiter pour obéir à l'appel des démons, etc. La
période
délirante prend fin avec le retour des règles qui
nous avons cherché à savoir si, pendant sa fièvre typhoïde ou à la
période
de convalescence, X... n'aurait pas eu de local
moment, et quelques semaines après la brûlure, mais qu'après cette
période
d'amélioration passagère, les crises sont reven
némie persis- tante des éléments nerveux, comme par exemple dans la
période
ultime de la paralysie générale, le poids spéci
e, comme dans le délire aigu, la folie épileptique alcoo- lique, la
période
congestive delà paralysie générale, le poids spé-
es pupilles par la paupière s'expliquerait, d'après Galassi, par la
période
de réparation au début de laquelle serait l'ocu
'état de veille. deve- nait intermittent pendant le sommeil : à une
période
d'apnée absolue qui dure sept à huit secondes,
période d'apnée absolue qui dure sept à huit secondes, succède une
période
de respiration composée de dix à douze mouvemen
développement du canal médullaire et du cerveau rhomboïdal dans une
période
qui corres- pond environ au deuxième ou troisiè
res. La mortalité de l'asile de Dijon e<t assez élevée ; pour la
période
septennale qui s'étend de 1892 à 189S, elle a é
s souffrances, les privations et les secousses de cette douloureuse
période
avaient rendus plus nombreux. Une ambulance fut
atastrophes sociales sur la production de la folie. Pendant cette
période
de deuil, Bouchereau fit tout son devoir. Le jo
in qui fut appelé immédiatement. Plus récemment, dès le début de la
période
de vingt-huit jours que notre malade accomplit
n'est le traitement spécifique. Par suite de cela, à la fin de la
période
plus aiguë de la syphilis qui donne diverses af
nt cette Archives, 2° série, t. IX. ' 26 402 CLINIQUE NERVEUSE.
période
de son séjour temporaire dans l'organisme, il agi
s- paraissait. Parfois, dans les cas invétérés du tabès, quand la
période
des douleurs aiguës et lancinantes est déjà passé
malade ne conservait aucun souvenir des actes accomplis pendant la
période
délirante. Cet homme n'étant ni un buveur d'hab
l'état aigu d'alcoolisme ou de manie alcoolique et d'autre part la
période
paroxystique de la folie épileptique, celle qui
e mental qui est caractéristique de l'état post-épileptique, et une
période
durant laquelle, bien que la conscience soit ab
c doit être beaucoup plus réservé chez les malades qui n'ont pas de
période
de sommeil après l'attaque et chez ceux qui ont
tabes classique, le mari est lui-même tabétique, mais encore à la
période
préataxique. Il nie la syphilis et reconnaît avoi
mari, qui a eu un chancre en 1879, est aussi tabétique encore à la
période
préataxique. Considérant ces deux cas et les se
u aussi les contractions lentes et traînantes, il a constaté que la
période
latente de l'excitation corticale du muscle est
dire pas de diffé- rence chez le nouveau-né entre la durée de cette
période
latente et le temps que demande à s'effectuer l
dans le dos et les jambes. Les anesthésies ne surviennent qu'à une
période
avancée de la maladie et il peut y avoir dissoc
eints et les troubles oculaires font presque toujours défaut. A une
période
avancée, surviennent des troubles du rectum et
aquant le système nerveux central prédisposé de ceux qui sont de la
période
de déclin de leur vie. POULAIID. XXXIV. Forme
une intoxication alcoolique profonde, accompagnant quelquefois la
période
d'épuisement après l'usage prolongé des narcotiqu
rs la fin de la deuxième semaine. Ponction lom- baire à la dernière
période
: liquide séreux, abondant, stérile. Tableau cl
ent. Ces troubles laryngés apparaissent brusquement au moment de la
période
fébrile d'invasion de la maladie; ils suivent la
lysie générale. Troubles com- parés des dlvels réflexes aux trois
périodes
de la -, par llalandon de Monlyel, 46. De la ch
emportements violents. Pas de maladies caractérisées pendant cette
période
. Nous parlerons plus loin de ses antécédents hé
ets du shock nerveux n'ont pas cessé de se faire sentir pendant une
période
de trois mois. Toutes les nuits pendant ce temp
Le lendemain 27, de nouvelles attaques se produisent, suivies d'une
période
de délire ; elle s'écrie : « Ce n'est pas moi q
s phénomènes convulsifs, semblent avoir été réduites à la troisième
période
(attitudes passionnelles). Le délire est essen-
solée et prolongée de l'attaque d'hystéro-épilep- sie, la troisième
période
, dite des attitudes passionnelles. Pen- dant de
t la règle dans les paralysies hystéro-trau- matiques il y a eu une
période
de méditation ; ce laps de temps nécessaire pou
- taque, durant aussi l'état mental si profondément troublé de la
période
délirante consécutive à celle-ci, le terrain étai
cieux, le sommeil assez bon. La menstruation est régulière, mais la
période
menstruelle est toujours l'occasion d'une recru
lassique de la grande attaque hystérique, avec prédomi- nance de la
période
de clownisme. Nous n'insistons pas sur la des-
moins nets que ceux de la motilité, chez les épileptiques, dans les
périodes
qui suivent et séparent les accès convulsifs. S
lbl., 1888, 277. DE L'ÉPILEPSIE CORTICALE. 1'19 soutient que, des
périodes
de convulsions toniques et cloniques qui consti
qui succède à l'ablation du goitre, on constate chez le chien, à la
période
convulsive consécutive à l'extirpation du corps t
ir les lois qui régissent l'évolution nosographique, voici venir la
période
critique. Il s'agit maintenant de discerner les
ns fétide; le drain est toujours en place. Alors commence une bonne
période
. Les forces sont revenues : -. P... se lève, ma
ons intermittentes remarquées pendant la vie, surtout à la dernière
période
). TRAUMATISME AVEC PERFORATION DU CRANE. 183
ont entrés à l'asile des aliénés criminels de Broadmoor pendant une
période
de vingt-trois ans z1861-1887). Il constate tou
r la dégénérescence granulo-graisseuse, et le cerveau même dans les
périodes
avancées. C'est là le principal processus dégén
symptômes cliniques de la para- lysie générale correspondent à une
période
déjà avancée de ses lésions anatomiques ; tant
ur l'alcoolisme chronique ^comme cause de la paralysie. » Après une
période
d'excitation de '.cinq à six mois, surviennent
siste le caractère d'incurable. Il y a lieu de distinguer certaines
périodes
où l'assistance s'impose aussi à certains autres
stade convulsif s'observent quelques oscilla- tions ; puis vient la
période
de stertor, au cours de laquelle la tem- pératu
; elle s'élève même au-dessus, de quelques dixièmes, au cours de la
période
de résolution ; l'existence de ce plateau consé
nfin une modification complémentaire des urines, correspondant à la
période
ascensionnelle finale, mais non à la période de
, correspondant à la période ascensionnelle finale, mais non à la
période
de crise; on trouve une notable quantité d'acide
tte époque, persistance des mêmes préoccupations délirantes, avec
périodes
plus ou moins longues de rémission relative. Depu
iffi- " eut tés de l'opération, malgré sa simplicité. La première
période
est plus favorable pour l'application de ces ag
rapeutiques ; ils provoquent des rémissions et même dans la seconde
période
ils sont indiqués comme augmentant la résis- ta
moment de la défervescence fébrile (une observation). Voilà pour la
période
fébrile. Enfui, elles peuvent survenir huit à q
tre d'entre elles, l'onde mens- truelle (graphiques) montre que les
périodes
de dépression ou d'excitation se manifestaient
sement et réchauffement oscillatoire des centres nerveux pendant la
période
d'activité, d'où il résulte que le travail cérébr
on. Des crises de ? )'Mont été observées plusieurs fois pendant les
périodes
d'accès. BIBLIOGRAPHIE. 289 Dans plusieurs ca
mum de fréquence de la maladie. . Durée. - Les crises forment des
périodes
durant de une à plu- sieurs semaines, périodes
s crises forment des périodes durant de une à plu- sieurs semaines,
périodes
après lesquelles tout disparaît complète- ment,
est donc la nature' de cette affection ? L'excitation réflexe de la
période
active de la dentition peut, dans certains cas,
t faire leur apparition à un âge où la dentition n'est pas dans une
période
active, on ne peut ranger cette affection parmi
l'avait relatée en ces termes : « L'urine au début de la deuxième
période
du tabes peut avoir une composition normale...
jà et que l'accident n'a influé que sur l'apparition de la deuxième
période
du tabes. En effet, Rec... raconte que, depuis
délire de persécution ne survient pas d'emblée, qu'il succède à une
période
d'incubation plus ou moins longue (qu'à mon sen
écution n'est plus une affection distincte; il n'est que la seconde
période
, la seconde étape d'une maladie mentale à évolu
ose systé= matisée progressive (Paul Garnier). Après une première
période
d'incubation, d'inquiétude, pen- dant laquelle
ong, succède le délire ambitieux. La démence constitue la quatrième
période
ou phase termi- nale. Or, quels sont les poin
professe que le délire ambitieux arrive fatalement comme troisième
période
du délire chronique. Il me paraît important d'é
ade. L'intelligence est atteinte depuis plusieurs années; après une
période
de persécution, la maladie a rapidement évolué
rnot tolère les traitements qu'on lui inflige; c'est sans doute une
période
d'épreuve qu'il doit traverser, mais il trouve
précédent, un bel exemple de délire chronique ; les trois premières
périodes
ont été très nettes. Depuis assez longtemps déj
pparence indifférent à ce qui se passe autour de lui. C'est à cette
période
qu'il semble tombé en démence, et je suis persu
repris à 10 h. 35. - M. Bourne- ville arrive au moment où après la
période
épileptoïde, le malade fait l'arc de cercle leq
fortement dilatées, la respi- ration bruyante. ' . Une troisième
période
épileptoïde survient marquée par le cri « Euh !
e inférieur droit, tandis que le gauche est soulevé à 45°. Nouvelle
période
épileptoïde débutant par le même cri étouffé que
h ! oui, quand je suis sorti j'ai trouvé Paris changé ». - Nouvelle
période
épileptoide. Repos, respiration toujours bruyan
e côté gauche, puis il retombe brusquement à genoux. Cri étouffé,
période
épileptoïde, secousses tétaniformes. Repos. Eva
convulsifs latéraux, la bouche est déviée à droite. Puis il y a une
période
de stertor, avec ronflement pendant laquelle le
dée comme l'autre d'un gémissement. Il est impossible de saisir une
période
tonique; les convulsions cloniques arrivent pre
ns diverses. 11 a à son réveil perdu complètement le souvenir de sa
période
de sommeil. 7.-On l'hypnotise de nouveau et on
rie de secousses tétaniformes de plus en plus rapides suivies d'une
période
de stertor avec écume. Il est bientôt prisd'une
ses iétaniformes de plus en plus rapides, après quoi sur- vient une
période
de stertor, avec rapidité de -la respiration et
ussi intenses d'un côté que de l'autre.-La crise se termine par une
période
de stertor bruyant, avec résolution complète et
20 nouvelle attaque avec : 1° rigidité; 2° phase tétani- forme ; 3°
période
clonique avec mouvements étendus; 4° stertor. A
ar les viandes saignantes et les bains sédatifs, et pen- dant celte
période
, il eut deux ou trois attaques. Il eut huit atta-
és et les globes oculaires convulsés en haut et en dedans. Après la
période
de résolution il rouvre les yeux. Le regard est
che, léger stertor. Il se retourne alors brusquement. - 1° Nouvelle
période
épileptoïde, puis secousses tétaniformes des ja
st de 12 p. 100, pour les femmes de 4 p. 100." . ' En divisant la
période
de trente ans comprise dans ces recherches en t
d'un homme de quarante-deux ans, paralytique général à la première
période
et chez lequel on a constaté l'existence de tum
e gauche. Intégrité de la moelle. Cirrhose hépatique fréquente à la
période
d'atrophie (épaississement des parois vascu- la
n. ' Somme toute, l'amylène n'exerça d'action spéciale ni sur les
périodes
d'agitation, ni sur les crises d'angoisse, ni sur
communes et principalement de la commune de Berlin ; pendant cette
période
, pas un seul suicide rie put être exécuté. Mais
odium et dans la restriction rapide de l'usage du narcotique. Cette
période
de restriction dure de dix à douze jours. (Rev.
des attaques vulgaires. Les choses restent telles quelles pendant une
période
de temps variable qui,chez notre sujet, ne dépass
ne forme grave. Depuis cette époque en effet, c'est-à-dire durant une
période
de six mois, les crises nerveuses, avec les troub
médicine de nancy L'amnésie du sommeil provoqué peut s'étendre à la
période
qui a précédé le sommeil. 11 m'arrive souvent, da
e typhoïde prolongée, avec délire ou stupeur, à partir d'une certaine
période
, du huitième jour, par exemple, ont oublié pendan
ndant leur convalescence, non seulement ce qui s'est passé pendant la
période
de délire ou de stupeur, mais encore ce qui s'est
udiées, déterminer une amnésie rétroactive, c'est-à-dire étendue à la
période
préexistante. LES FORMES INFÉRIEURES DE L'ACTIV
n au moment où il se reforme •près le sommeil, l'esprit passe par une
période
de rétrécissement naturel et inévitable. C'est le
et grandir. Il y a d'abord, comme dans toute maladie virulente, une
période
d'incubation ; l'idée nouvelle passe et repasse d
crimes ne peuvent pas être punis lorsqu'ils ont été commis pendant la
période
délirante aiguë ou subaiguë d'un accès d'alcoolis
l'hystérie le lait lui parait incontestable. Souvent, en effet, à la
période
secondaire de la syphilis on voit se manifester d
terminantes de l'hypnotisation. J'ai hâte cependant d'arriver á une
période
nouvelle de progrés dans l'étude de l'hypnotisme
de suggestion verbale de Nancy, pratiquée sans violence et après une
période
d'entraînement par persuasion d'autant plus prolo
uer de délire de persécution ou de délire mélancolique anxieux, à une
période
avancée de la maladie, tout en conservant toujour
'après mon maître M. le professeur Charcot, c'est précisément à celle
période
que les phénomènes psychiques acquièrent leur plu
hagie. Ici, il n'y a plus lieu du distinguer la vaso-dilatation de la
période
léthargique de la vaso-constriction de la catalep
a trouvons dans un excellent état. Elle est restée ensuite une longue
période
de temps sans nouvelles métrorrhagies. OBSERVAT
i, dans le traitement des troubles menstruels par l'hypnothérapie, la
période
de somnambulisme sera l'état le plus favorables a
de médecin. C'est la première ordonnance qui lui a été délivrée à une
période
de sa maladie où l'emploi du médicament était jus
apoplectique commune de l'hémorrhagie cérébrale, ce n'est ni dans la
période
de paralysie qui suit l'ictus, et dont le pronost
uit l'ictus, et dont le pronostic n'est pas encore dégagé, ni dans la
période
d'encéphalite réactionnelle qu'il faut tenter d'a
remblant et nerveux, ne sachant rien de ce qui s'est passé dans cette
période
, mais se rappelant parfaitement les (ails intérie
n général, dans un grand dégoût pour les aliments. Puis, il y a une
période
de dépression mentale, alternant avec de l'assoup
n état normal, seulement un peu nerveux. Le troisième stade est une
période
d'insomnie pendant laquelle le malade est exessi-
pendant quelques minutes seulement, et à se réveiller. On a ainsi une
période
de sommeil succédant à la veille. On arrive a s'e
ouvements respiratoires fréquents, amples et précipités. Or, dans les
périodes
de sommeil et de réveil qui ont succédé, le révei
le chloral, par la morphine et par tous autres narcotiques, avait des
périodes
aussi suggestiblesque l'hypnotisme somnambulique
e de l'affirmation de M. Rilat. La chlorophormisation, à la fin de ia
période
plus ou moins notable d'excitation nerveuse, et d
les précautions nécessaires pour voir si je réussirais à prolonger la
période
de suggestibilité, et de cette répétition sortit
uggestion donna le résultat obtenu. Je suggérai aux autres pendant la
période
de suggestibilité de chlorophormisation, qu'ils r
'accompagne et par les suggestions; de transformation, faites dans la
période
opportune du sommeil. Ceci était concluant, qua
s l'inhalateur suffirent pour provoquer, en moins de cinq minutes, la
période
suggestible du sommeil anesthésique et j'entrepri
est : Par la chlorophormisation préalable et la suggestion dans sa
période
suggestible, on arrive toujours à l'hypnotisati
uérir, je vis se dérouler la grande crise d'hystérie, avec les quatre
périodes
classiques ; je continuai la suggestion, sans m'i
dans cet état, comme à l'état normal. A partir du mois d'avril, les
périodes
d'état normal deviennent de plus en plus longues
s qui, sans cela, sont, parait-il, irrégulières et peu abondantes. La
période
menstruelle produit toujours une augmentation de
versation où à continuer la lecture ou l'ouvrage commencés pendant le
période
de somnambulisme précédente et qu'elle avait oubl
ement des dents, sifflements, etc., (phase tonique). Vient ensuite la
période
des grands mouvements, véritable attaque de clown
alade se hisse en s'y accrochant par les pieds, etc., etc. Pendant la
période
de délire qui suit, la malade voit des chats, (qu
on existence toute entière, tandis que dans l'état normal, toutes les
périodes
d'état second en sont complètement effacées. No
e. On peut provoquer chez elle, avec une extrême facilité, pendant la
période
cataleptique et le somnambulisme, toutes les hall
longtemps, entravé la marche progressive vers l'amélioration; chaque
période
menstruelle, par son retentissement sur le systèm
oisins, le tonnerre, la fou-dre la faisaient trembler. Puis, vient la
période
de formation accompagnée d'étourdissements, de dé
00 francs. Par surcroit, il tomba malade (fièvre, délire) pendant une
période
d'instruction militai e. Comme la plupart des t
2" S'il y a discontinuité entre les phénomènes de conscience de la
période
de condition seconde et ceux de la vie normale, i
y a, au contraire continuité entre les phénomènes de conscience des
périodes
de condition seconde. Ainsi, Emile X..., dans s
Emile X..., dans son état normal, ignore ce qu'il a fait pendant les
périodes
d'automatisme ambulatoire, mais il suffit, en le
ondamné, par le tribunal de Vassy, pour filouterie commise pendant sa
période
d'automatisme ambulatoire. Le jugement a été annu
e chez les vieillards, M. le Dr Thivet montre que le suicide, à cette
période
de la vie,est plus fréquent qu'on ne le croit gén
l'auteur étudie l'évolution générale dans les pays créoles pendant la
période
esclavagiste, pendant la période d'émancipation e
ale dans les pays créoles pendant la période esclavagiste, pendant la
période
d'émancipation et pendant ce qu'il appelle la pér
ste, pendant la période d'émancipation et pendant ce qu'il appelle la
période
d'assimilation. Au temps de l'esclavage, dit-il
l'autre, lorsque le sujet ignore ce qu'il a fait pendant une certaine
période
de son existence. Mais l'amnésie est elle consume
courage de se supprimer; il souhaite qu'on le fasse mourir. Dans les
périodes
de calme, il reste déprimé, voit tout en noir; le
érébrospinal dans les manifestations symptomatiques, surtout dans les
périodes
aiguës. Dans ces périodes, les hallucinations t
stations symptomatiques, surtout dans les périodes aiguës. Dans ces
périodes
, les hallucinations tenaient toute la scène. A pe
e éréthisme, et l'hallucination surgit. Notre malade, même dans ses
périodes
de calme, possédait le pouvoir d'évoquer l'appari
le eût cessé de venir me voir de temps en temps. Pendant cette longue
période
de temps, nous avions pu constater, un grand nomb
sont, en ce qui regarde l'attaque: 1° l'attaque convulsive aux quatre
périodes
; 2° l'attaque bornée à l'une de ses périodes ou a
ue convulsive aux quatre périodes; 2° l'attaque bornée à l'une de ses
périodes
ou avec prédominance de cette période : forme épi
'attaque bornée à l'une de ses périodes ou avec prédominance de cette
période
: forme épileptoïde, léthargique, etc. ; 3° l'att
, etc. Dans tous les cas, les résultats des analyses, comprenant la
période
des vingt-quatre heures à partir du début de l'at
sur des hystériques plongées dans l'état hypnotique que. pendant les
périodes
de léthargie, de catalepsie et de somnambulisme p
ant lesquelles.à bon droit, ils reculent. Asiles u'aîtente pour les
périodes
de remission de l'aliénation mentale M. Gilbert
ce problème. L'imagination s'est donné libre carrière, et, devant une
période
bien des fois séculaire, nous ne sortons pas du m
s le pays étrangers. 30 p. in 8° 1887. icard. — La femme pendant la
période
menstruelle : 1890. Alcan. 380 p. in-8° FéRé.—
même état pathologique se reproduit. Le somnambule possède ainsi deux
périodes
distinctes: l'une, dite normale, dans laquelle il
inctes: l'une, dite normale, dans laquelle il n'a que le souvenir des
périodes
normales : l'autre, somnambulique, dans laquelle
, somnambulique, dans laquelle il se rappelle les événements des deux
périodes
. C'est le phénomène de la mémoire alternante et l
ui- « librer, et conditionnée, déterminée, fixée par les moments ou
périodes
« d'équilibration, c'est-à-dire par leur solidari
e d'Amsterdam. Compte rendu des résultats obtenus pendant La première
période
bis-annuelle 1887-1889 (Comptes-rendus du congrès
spasmodique, après un lent développement pour arriver à sa dernière
période
, guérit quelquefois complètement soit pour repa
tes de paraplégie spasmodique par mal de Pott arrivée à sa dernière
période
, à la contracture des membres inférieurs, et no
t les différentes heures du jour, ou mieux, pendant les différentes
périodes
de la journée, (matin, après-midi, nuit), chez
tre ridicule ! « mais tout aussitôt elle recommence. A de certaines
périodes
elle se croit obligée de res- ter debout pendan
use et prétentieuse à l'excès; vers dix-huit ans, elle traversa une
période
de tristesse pendant laquelle elle se sentit pr
'extraordinaire jusqu'à vingt-huit ans; elle eut alors une nouvelle
période
de dépression mélancolique qui dura deux ou trois
et pleurs involontaires analogues aux tics. Boutes sur l'Infini.
Périodes
dépressives irrégulières dans tout le cours de la
debout. Depuis cette époque jusqu'à soixante ans, il a traversé des
périodes
irrégulières de dépression aux- quelles se sont
durée, et de temps il autre, depuis cette époque, se produisent des
périodes
.mcuuL, t. X. 1 1 162 pathologie mentale. d
. Observation III. Mère très émotive. Dèséquilibration men- tale.
Période
'dépressive et accès de délire alcoolique avant l
r plus de sécurité, il ne voyage plus qu'avec un Bottin. A diverses
périodes
il a été poussé à se rappeler des airs qu'il av
traitements : hydrothérapie (1881, 1882, 1883) : c'est durant cette
période
qu'ila a eu le moins d'accès; bromure de nickel
, la dix-huitième une, etc. On y voit aussi très nette- ment que la
période
de raccourcissement du muscle est sen- siblemen
sen- siblement égale dans toutes les contractions,- tandis que la
période
de relâchement (qui correspond sur le tracé aux l
. psych. (janvier 1882). Un cas de dédoublement de la personnalité.
Période
amnésique d'une année chez un jeune /tysté- riq
Le malade ne peut nous fournir de renseignements sur cer- taines
périodes
de sa vie, dont le souvenir lui échappe. Nous r
e qui n'a qu'une grossière analogie avec celui de Chcyne-Slokes, La
période
d'apnée ne se limite pas ici à quarante ou cinq
il souffre n'empêchent pas la thoracalgie de reparaitre. Dans ses
périodes
de somnambulisme provoqué, on le soumet facilem
nomène nouveau. Son caractère est modifié. Il était doux pendant la
période
de contracture; il est indiscipliné, taquin, vo
rimant fortement le tendon, et le malade entrait de nouveau dans la
période
de somniation ou dans l'état de veille. L'attaq
" 2 ? 2 Cl RECUEIL DE FAITS. n'avait encore présenté qu'une seule
période
d'état second, à savoir : les douze mois (mai 1
res inférieurs. Au mois de janvier 1884, il tombe dans une deuxième
période
d'état second, coïncidant encore avec une contr
, avait autant de lacunes dans la mémoire qu'elle avait présenté de
périodes
antérieures d'état second. Pour user de la phra
souvenait alors de tout l'ensemble de son existence, à la fois des
périodes
d'état prime et des phases antérieures d'état s
ue, il est l'ana- logue du sujet de M. Azam. Mais, dans la deuxième
période
d'état second que nous avons observée (janvier-
servée (janvier-avril 1884), il ne s'est pas souvenu de la première
période
d'état second (mai 1879, mai 1880). Le malade s
tracture. Car, et ceci est le point essentiel de l'observation, ses
périodes
d'état second ont exactement coïncidé avec des
ut à fait au début de la maladie, soit dans le cours de la première
période
du tabes. Cette paralysie guérit habituellement.
lement aucune trace dans la mémoire (équivalents psychiques), des
périodes
d'obnubilation durant souvent des jours entiers,
somatique, én)o- tion dépressive, spontanéité), on rencontre, à la
période
d'acmé ou parfois prématurément, une diminution
se livrer ad travail et jouir de la plus grande liberté pendant les
périodes
d'accal- mie, voire au sein de leur famille ; a
icultés se pré- sentent que pour les aliénés périodiques; quand lés
périodes
1 Vôy. Archivés dé Neurologie, t. V, p. 369 ; i
M. Rieger. Toutes les difficultés gisent dans les alternatives de
périodes
de calme, de raison et de folie. Détenir dans un
el épileptique sous prétexte que, malgré ses allures normales de la
période
lucide, il peut toujours commettre un acle qui
riase qui se présentera, le dernier facteur entraut en jeu dans les
périodes
les plus avancées de l'accès. Il y a quelques a
à preuve que, depuis la mort de ses parents, il avait accompli une
période
de vingt-huit jours en 1875, et une autre pé- r
saniques, frappés d'un développement incomplet de l'intellect, à la
période
de la puberté, rusés et men- teurs, empressés à
ques, frappés d'un déve- loppement intellectuel incomplet qui, à la
période
de la puberté, ont allumé des incendies multipl
. Durant cette année, on a remarqué, comme les autres années, des
périodes
de une ou deux semaines durant lesquelles il est
sme convergent et asthénie générale. Elle était turbulente avec des
périodes
d'excitation; elle avait de mauvais instincts. El
comme un coup de fouet donné au délire et pourra être l'occasion de
périodes
d'agitation maniaque fort dangereuses. Or, si
. Avec les idées délirantes dispa- raîtront aussi petit à petit les
périodes
d'agitation maniaque, quelquefois excessive, qu
inhibitoire des agents hypnotiques peur influencer directement; les
périodes
d'agitation sont aussi souvent dues à des troub
boule remonte graduellement à la gorge et l'attaque se déclare. La
période
épileptoïde n'est re- présentée que par des sec
violentes secousses, pas d'écume ni de stertor. - Arrive ensuite la
période
de grands mouvements, parmi lesquels l'arc de cer
s, parmi lesquels l'arc de cercle antérieur dorsal est constant. La
période
des attitudes passion- nelles manque souvent, c
ement. Ce qu'il y a de plus particulier dans les attaques, c'est la
période
des hallucinations et du délire qui est très lo
r la compression de l'ovaire gauche et si on peut le faire avant la
période
délirante, le délire habituel reste ce qu'il étai
poison qui lui fait si mal à la tête (clou). 4. - Attaque : dans la
période
de délire, on veut lui faire boire du poison, i
e de l'hyperesthésie dans les zones citées. 9. = Deux attaques avec
période
de délire très longue et hallu- cinations (corb
uivent toujours. 21. - Plusieurs attaques convulsives suivies d'une
période
très longue de délire loquace. Même état maniaq
par des clignotements des paupières et de profonds soupirs. Dans la
période
léthargique nous trouvons le phénomène caractér
res et demie, et la malade réveillée n'a aucune conscience de cette
période
. Le mal de tête est toujours moins fort, et les
'une attaque. Ayant remarqué déjà l'influence des attaques, de leur
période
de délire, sur le retour des idées déli- rantes
ai dit qu'il n'y avait plus d'agents politiques. Pendant toute une
période
qui dure jusqu'au 15 septembre, la malade est t
, est calme, cause raisonnablement. 8. -Attaque convulsive avec une
période
de délire où elle voit des taureaux, du sang, d
suicide. C'est l'époque des règles. 1885. - si janvier. - Courte
période
d'excitation génitale : pas d'onanisme. 13. A
e tremblement diminue la marche est possible. Pen- dant toute cette
période
la malade n'a cessé de demander si on était bie
sée au début par de simples interprétations délirantes; survient la
période
d'hallucination de l'ouie, puis s'ajoute la sys
mme d'un de nos confrères des plus dis- tingues, commence, dans ses
périodes
d'excitation maladive, ses harangues, vers huit
un séjour à Sainte-Anne. Tout son souvenir est borné à cette courte
période
de sa vie. Troisième état. - Variété du précéde
e Saint-Georges. Tout ce qui précède, tout ce qui suit cette courte
période
de sa vie, lui est totalement étranger. Quatriè
ostic d'intégrité absolue, ont perdu plus tard, notamment quand une
période
de somnolence a passé par là-dessus, le sou- ve
e connaissance, laissèrent à leur suite de l'hébétude. Pendantcette
période
d'hébétude, pen- dant ces trois jours consignés
l'insula; on cons- tate la disparition de ces éléments à toutes les
périodes
et dans toutes les formes de la démence paralyt
paralytique sous les formes les plus variées et à n'importe quelle
période
de son évolution(43 h. 4 f.); les observations so
DE MAL ÉPILEPTIQUE. Il 1 majorité des cas, nous avons eu, ici, deux
périodes
bien distinctes : l'une convulsive, l'autre dit
nt, les malades succombent et l'état de mal est composé d'une seule
période
; d'autres fois, et Lamb... rentre dans cette c
s, et Lamb... rentre dans cette catégorie, on observe une seconde
période
dont la durée, chez elle, a été assez courte. S
elle, a été assez courte. Selon la règle, il y a eu, entre ces deux
périodes
, une espèce de répit. En effet, après l'applica
é peu marquée, transitoire, est plus prononcée et plus longue. La
période
méningitique, de son côté, a une durée plus gra
et 0 gr. 15 le bromure de camphre, ne nous a rien pro- curé. Cette
période
de tâtonnements a duré près d'un mois. Alors, s
1873, elle avait eu 35 accès et 871 vertiges, elle n'a eu durant la
période
correspondante de 1874, pendant laquelle elle a
mettre en regard des accès notés pendant le traitement, ceux de la
période
correspondante de l'année ou des an- nées précé
ur l'accepter une première fois pendant deux mois, et, durant cette
période
, les attaques furent notablement moins fréquent
tenses et plus rares. Actuellement (9 février), II... est dans la
période
des palpi- tations cardiaques. Elle u'ofl're au
6 RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES. dû 1 ? janvier au 1er septembre 1875; (
période
correspondant au traitement) on n'a compté que
, Ko... a eu 9 accès et 7 attaques ; du 1r mai au 31 décembre 1874 (
période
de traitement), elle a eu 15 accès, 14 attaques
sque toujours, ce- pendant, nous avons pu noter, durant la première
période
de l'intoxication, un ralentissement de cette f
rite d'amyle détermine une sensation de vertige, coïncidant avec la
période
de chaleur et de . congestion de la face; puis,
la malade mange n'impose quel aliment. A différentes reprises, par
périodes
, vomissements loi RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES.
de la craie. Puis, dans les deux ou trois derniers jours de cette
période
, elle ressent des douleurs qui siègent au sommet
e des lèvres se creuse profondément : de là, un aspect hideux. 2°
Période
de rigidité générale; - 3° période démoniaque sui
nt : de là, un aspect hideux. 2° Période de rigidité générale; - 3°
période
démoniaque sui- vie de secousses cloniques, de
ojette violemment contre les barres de son lit ; c'est durant cette
période
qu'on assiste à une série d'actes bizarres. Ler
ouvent à ces cris, à cette agitation violente, succède une nouvelle
période
convulsive, ou bien on voit survenir une sorte
le bruit que font, les chiens qui mordent quelque chose. Nouvello
période
convulsive. Contorsions des membres ; grimaces
rdre. La respiration, rare, pour ainsi dire suspendue pen- dant les
périodes
convulsives, devient alors très-fréquente. Ces
rise d'une atta- que subitement, sans cri initial. Après une courte
période
té- tanique, suivie de ronflements, elle s'est
e dirigent en haut et à gauche, la rigidité est générale. - A cette
période
en succède une autre, caractérisée surtout par
ontracture. M. Char- cot fait administrer le chloroforme. Après une
période
d'exci- tation assez courte, on obtient la réso
e vagin, n'ont pas discontinué. Elles sont plus marquées durant les
périodes
où les urines sont très-diminuées. C'est surtou
pitations cardiaques, laryngisme, phénomènes céphaliques. - - La
période
convulsive n'avait rien de spécial. - La crise
ion qui a été signalée dans le cours de l'observation, une nouvelle
période
d'oligurie reparaît (jan- vier z) ; et ici nous
ble, et nous allons d'ailleurs re- trouver ce même résultat dans la
période
que nous avons pu observer nous-même. » Etch.
erons l'ischurie d'abord, les crises urinaires ensuite, et enfin la
période
qui succéda à la guérison. , ^L'ischurie était
On voit, par exemple, qu'entre deux crises urinaires, pendant une
période
de vingt-quatre jours, E... rend une somme tota
ée et la sécrétion retombait à 0. » Déjà, dans les deux premières
périodes
, de semblables iS8 13ST1 : R0-I : PIL1 : PSIL;.
ent parler, la règle dans les cas de ce genre. Pendant une longue
période
(1G6 i), les crises hysté- ro-épileptiques n'av
ines peuvent agir dans les différentes époques de la vie : toute la
période
ontogénétique étant soumise à leur influence; tou
nétiques que les glandes à sécrétion interne peuvent exercer sur la
période
embryonnaire et foetale de l'organogénèse. A M.
tudier l'organogénèse en rap- port aux fonctions endocrines dans la
période
embryonnaire : il propose d'un côté la méthode
landes à sécrétion interne peuvent exercer sur l'organogénèse de la
période
embryonnaire, il est important de pouvoir établir
s cas consécutifs à des altérations hypophysaires survenues dans la
période
du développement embryonnaire. Il convient de r
se du crâne dans une région où les altérations survenues pendant la
période
foetale pouvaient donner lieu à une transformatio
duit à la synostose pathologique des os de la base du crâne dans la
période
foetale, nous échappe encore complètement. (1
dissipèrent en quinze jours environ. Ce fut, en effet, après cette
période
que le malade recourut à nous afin qu'on le guéri
mplis de vacuoles ; ' 3° D. R., âgée de 35 ans ; malade 4 mois de 3
périodes
de la pellagre. Le sang donne les mêmes tableau
ne m'est jamais arrivé de rencontrer dans les cas ordinaires de la
période
aiguë. Passons maintenant là l'appréciation des
ncohérentes et diffuses à prédominance mégalomaniaque, avec longues
périodes
de stupeur. En 1900, un peu amélioré dans les man
on et la disparition de ces stéréotypies. Nées toujours pendant une
période
d'inaction, elles disparurent constamment penda
t une période d'inaction, elles disparurent constamment pendant les
périodes
d'occupation, et si parfois elles surgissent de n
t. Celle forme d'évolution peut se répéter plusieurs fois, mais.les
périodes
de trêve sont moindres chaque fois et les phéno
orsque la formation de la tumeur du tronc nerveux se trouve dans la
période
ascendante, alors la pression sur la tumeur même
conservent la sensibilité cutanée ils sont en grand nombre dans la
période
peu avancée de la maladie accusent, lorsqu'on p
rticulaire existe pour tout le pied. Dans le tabès, surtout dans sa
période
ataxique, on trouve la dite anesthésie dans tou
de, fait que beaucoup de malades, ayant : des mains et des pieds en
période
avancée d'atrophie musculaire et même avec muti
à se servir de leurs membres su- périeurs et inférieurs jusqu'à une
période
tardive de l'évolution du mal. La figure 211 ap
s quelques névrites dites sensitives suivant leur intensivité el la
période
de leur évolution). En troisième lieu, le fait
éflexes dans quelques cas de paraplégie spasmodique surtout dans sa
période
avancée où les extrémités sont en flexion. Dans c
les contractures, il n'est point nécessaire qu'ils en arrivent à la
période
d'atrophie avancée ; il arrive que l'irréflectivi
atose propre de celle variété de lèpre qui apparaît dans toutes les
périodes
de la maladie chez beaucoup de lé- preux, tant
on le sait, est différente si elles apparaissent dans les premières
périodes
de la maladie ou dans les périodes plus avancées
apparaissent dans les premières périodes de la maladie ou dans les
périodes
plus avancées . et si elles se présentent sur l
de pseudo-rlmmatisme lépreux. Ces arthrites apparaissent dans des
périodes
distinctes de la maladie et de préférence dans
em- ment chroniques et lorsqu'elles apparaissent dans les premières
périodes
, elles peuvent se résoudre. Leur évolution la p
niaque, fils d'une hypocondriaque an- goisaeuse, engendra, dans des
périodes
de relative mélancolie circulaire, deux enfanta
actéristique de l'affection, tout au- moins pendant une très longue
période
(PI. XXXII, XXXIV). Aux membres supérieurs, les
de Bertrand (2), qu'habituellement dans le diabète, au cours de la
période
d'état, quand la glycosurie atteint son maximum,
orale et qu'elles ne sont indiquées qu'au début et pendant toute la
période
d'augment de la maladie ; leur emploi serait co
de d'augment de la maladie ; leur emploi serait contre-indiqué à la
période
de déclin et de déchéance : « Au cours du gigan
les signes principaux qui manifestent cliniquement le passage de la
période
d'aug- ment à la période de déclin, qui contre-
manifestent cliniquement le passage de la période d'aug- ment à la
période
de déclin, qui contre-indiquent l'emploi thérapeu
s plaident d'ailleurs en faveur de celle hypo- thèse, à savoir : la
période
de latence qui très souvent s'inteipose entre l
terminant d'ordinaire une dépression céneslhésique, d'autre part la
période
de latence qui s'interpose très souvent entre l'é
vague, nié par les uns, accepté par les autres. Pourtant il y a une
période
dans l'histoire de la physiologie, pendant laqu
x fils actuellement bien portants. En 1897, à la suite d'une longue
période
de surmenage intellectuel, le ma- lade est pris
r intermittences, il ne sent pas passer les matières ni les gaz. En
période
de diarrhée, il y a incontinence. L'expulsion des
- ner. Mais ces rémissions n'en étaient pas moins troublées par des
périodes
d'excitation, rêvasseries suivies de dépression
reille de cette mystérieuse myélopathie qu'on peut diviser en trois
périodes
. La première caractérisée par des troubles sens
os, sinon de réintégration des lésions médullaires. Cet étal, cette
période
de guérison apparente se maintient assez stable
les mêmes phénomènes susdits qui se manifestent à nouveau troisième
période
d'abord légers, transitoires, puis allant crescen
let que fut confié le traitement de Mme X... pendant cette dernière
période
de son existence. « Sous l'influence, dit-il, d
h ; d FIG. 1 a : l h Fc. 2 Fic. 4. - Première et deuxième
périodes
. - Coupe schématique de la moelle et de la lume
me de Brown Sequard. d, racine postérieure. l Fie. 2. - Troisième
période
. Coupe schématique longitudinale, a. tumeur. b. r
irations abondantes et accompagnés d'inappétence et de nausées. Des
périodes
de délire plus ou moins systématisé succèdent à d
s. Des périodes de délire plus ou moins systématisé succèdent à des
périodes
d'intégrité intellectuelle parfaite. Pendant ce
rophie congénitale, mais pouvant se manifester ' cliniquement à une
période
plus ou moins tardive. (Il BABONNEIX, Gazette d
ymptômes de foyer plus légers. Ils man- quent complètement dans les
périodes
inlerparoxysinales et n'ont, comme les autres p
pour le diagnostic différentiel. S'ils sont aussi présents dans les
périodes
interparoxysmales, il doit exister, sans aucun
ôté, ils indiquent alors, même s'ils sont toujours absents dans les
périodes
sans attaques, une inflammation du cerveau (éco
lepsie 383 augmentation se montrerait le plus distinctement dans la
période
in- terparoxysmale pour atteindre son maximum i
unilatéraux (des spasmes et même le phénomène de Babinski dans les
périodes
interparoxysmales). Et en deuxième lieu, l'augm
e les antitoxines furent suffisantes pour soulager l'animal dans la
période
la plus dangereuse, à savoir quand les glandes
l entre autres). L'urine aussi bien que la sueur excrétées dans les
périodes
libres d'attaques ou interparoxysmales paraissent
eviennent plus forts, plus aclifs, moins fatigués. Chez la femme la
période
menstruelle est une condition excitante pour le
t souvent à des variantes périodiques, mensuelles et annuelles. Les
périodes
se trouvent fréquemment liées à celles de la sp
janvier 4911.). Le malade se rappelle ce qu'il a dit au cours de sa
période
d'excitation maniaque, surtout si on l'aide par l
e dont il ne partageait pas les opinions politiques. Au sujet de sa
période
de stupeur, il raconte : « J'entendais très bien,
r tué quelqu'un (cela explique qu'un jour, lorsque, au sortir de sa
période
de stupeur, on lui demandait la cause de sa trist
re paru récemment (1). Dans le cas auquel nous faisons allusion, la
période
d'asthénie prolongée avait duré, comme ici, plu
ur qu'une maladie infectieuse se développe, il lui faut toujours la
période
d'incubation qui est plus ou moins longue, selo
e, chez C..., dans les derniers temps de la vie, c'est-à-dire à une
période
très avancée de la paralysie générale, et nous
de cette manière de voir, car le mal perforant s'est développé à la
période
ultime de la paralysie générale. Enfin, il ré
nfin, il résulte du cas de C... que dans la paralysie générale à sa
période
d'état, alors même que le malade peut encore vi
, leur mode d'apparition, leur succes- sion et l'évolution même des
périodes
de la maladie. Il nous semble superflu de dével
lle se montre triste sans raison et recherche l'isolement. En juin,
période
d'ex- citation maniaque; elle devient insubordo
monde, car une voix le lui commande ; les vers la rongent. A cette
période
, elle a présenté des états de raideur presque g
suivre la marche indiquée par Kalhbaum, c'est à dire passer par une
période
de mélancolie simple ou même par un état d'exal
stitue dans ces 64 REVUE CRITIQUE. LA CATATONIE. circonstances la
période
d'état de la maladie, les autres phases n'étant
monitoires et souvent d'une durée peu longue eu égard à celle de la
période
de stupeur : ajoutons même que cette dernière p
es pièces et peut passer par différents stades avant d'arriver à la
période
d'état, faut-il la rejeter pour cela ? Si cela
es deux faits que les troubles de la sensibilité se montrent dès la
période
initiale de la névrite et disparaissent au bout
a observée à Villejuif. La maladie a débuté en 1870 et présente une
période
d'incubation avec anxiété qui s'accentuant de p
e. Il est donc très pro- bable que l'hypertrophie des fibres est la
période
prodromique de l'atrophie. Discussion. MM. IU
on du genou qu'à ceux qui avaient subi une contusion violente, à la
période
d'atrophie survenue d'ail- leurs rapidement, su
ue des malades entrant dans ces quartiers d'observation, pendant la
période
légalement considérée comme placement provisoir
, de z à 1846, une législation admirable. » C'est vrai, c'est une
période
qu'on pourrait appeler la période parlementaire c
dmirable. » C'est vrai, c'est une période qu'on pourrait appeler la
période
parlementaire clas- sique au point de vue de la
vité. Dans son état ordi- naire elle perd le souvenir de toutes ses
périodes
d'état second, ce qui, on le comprend, trouble
icité ou de sensi- bilité : elles évolueraient d'ordinaire en trois
périodes
, l'une de début caractérisée par la prédominanc
ation, écrasement du nerf. Les animaux étaient sacrifiés à diverses
périodes
de temps après l'opération. Après l'élongation,
une complication accidentelle et paraissent habituelle- ment à une
période
plus tardive. Non seulement ils ne caractérisen
, la main, par exemple (OBS. VI). D'un autre côté, à une certaine
période
de la maladie, la surface totale du corps peut
le thorax, a sa partie inférieure, Job (OBs. Il) et à une certaine
période
de la maladie 111me L. (OBs. XVI ! ) avait une
uées et presque horizontales. Chez M. B. (Cas. III), à une certaine
période
de la maladie, la région anesthésiée se dessina
s les autres espèces de sen- sibilité étaient atteintes. Dans les
périodes
ultérieures de la maladie, lorsque le tableau f
viennent déjà dans DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 213 les premières
périodes
de la maladie et contribuent d'une manière cons
sidérables de l'hypertonie sont cependant observés parfois dans les
périodes
relativement précoces de la maladie. A l'extens
. Tous les symptômes décrits peuvent se rencontrer à une certaine
période
de la maladie sous des combi- naisons diverses
rtionnels à l'intensité des causes provocatrices. On constate, à la
période
d'acmé de l'accès : de l'obnubilation de la con
rateurs ont reconnu avoir observé des aliénés traversant les quatre
périodes
, est la preuve de la synthèse de M. Magnan et l
- tuant un ensemble spécial et typique. La longue durée de chaque
période
tient à la longue évolution de toute folie quelle
chronique n'étant pas connue, il n'y a rien d'étonnant à ce que la
période
ambi- tieuse soit passée inaperçue. Quant aux d
l ou physique Quand il existe un opiniâtre refus de nourriture à la
période
de convalescence, soit par nostalgie, soit par
u non, cristallise dans leur délire et pousse à la démence. A cette
période
, il n'est pas rare que la sortie en- traîne une
vrent. Alais dans la folie systématique aiguë il faut en user, à la
période
de convalescence, quand le malade reprend un pe
r s'en servir. Ces réflexions sont applicables à la stupidité, à la
période
de convalescence, notamment lorsque le malade c
qu'il y ait acétonurie abondante et non diacéturie, jusque dans la
période
comateuse mortelle, tandis qu'un diabétique con-
. C'est que l'ère des persécutions touche à sa fin, et la troisième
période
du délire chronique est probablement en voie d'
e cette forme. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 349 2.
Période
paralytique OU paraplégique. Il paraît que pour
, à chaque coup, il croyait que ses reins s'ouvraient en deux. 3.
PÉRIODE
DU syndrome spasmodique L'examen direct de l'ét
t est éminemment polymorphe, mais une fois entré dans la deuxième
période
et au delà, le polymorphisme disparaît; elle de
escription clinique nous impose, croyons- nous, de distinguer trois
périodes
: 1° la période des symptômes du début ou extri
ue nous impose, croyons- nous, de distinguer trois périodes : 1° la
période
des symptômes du début ou extrinsèques; 2° la p
iodes : 1° la période des symptômes du début ou extrinsèques; 2° la
période
paralytique, et 3° la période des syndromes spa
tômes du début ou extrinsèques; 2° la période paralytique, et 3° la
période
des syndromes spasmo- dique et tabétoïde. I.
ue, et 3° la période des syndromes spasmo- dique et tabétoïde. I.
Période
de symptômes DU début OU EXTRINSEQUES. Nous all
s brièvement exposer les différents symptômes qui constituent cette
période
, car ils se présentent au clinicien, presque so
Le court exposé des différents symptômes qui peuvent constituer la
période
du début de cette forme, nous fait clairement v
les et les plus multiples combinaisons peuvent avoir lieu à cette
période
; tantôt c'est un symptôme d'un syndrome quelcon
tômes de plu- sieurs syndromes peuvent se combiner pour former la
période
du début, c'est ce qui est arrivé pour l'OB- se
douleurs dans l'aine gauche et aux articulations des coudes. II.
Période
paralytique. L'invasion de la para- lysie chez
eu sans intervalle entre la disparition de tous les symptômes de la
période
du début et la période paralytique. Chez les tr
la disparition de tous les symptômes de la période du début et la
période
paralytique. Chez les trois autres, au con- tra
ses du canal central ou de sa partie pos- térieure détachée dans la
période
embryonnaire. Ces altérations anatomiques n'ont
. Les cellules épithéliales du canal central qui sont restées de la
période
embryonnaire emprisonnées dans les cordons post
ulièrement important de diagnostiquer la maladie dans ses premières
périodes
et d'examiner avec pré- cision le caractère et
élat intcllectuel du malade tombé presque en démence et sujet à des
périodes
d'excitation ma- niaque, accompagnées d'idées r
li- cations précises sur les caractères des accès aux différentes
périodes
de la maladie. En ce qui concerne l'anatomie pa
t primitive, avec les phénomènes procursifs observés à une certaine
période
de l'affec- tion de ce malade , de l'étendue de
enerveux central par K. IlEss. (Arclt, f. Psych., XIX, 1.) Courte
période
prodomique : une attaque apoplectiforme suivie
ervation de la santé physique et de l'ouïe. La maladie a atteint sa
période
d'acmée en quatre à six semaines. M. BERKXAN et
, du traitement, s'agit-il parti- culièrement du traitement dans la
période
provisoire, les méde- cins ont toute latitude;
ir la chambre du conseil. » M. de Gavardie. Vous confondez deux des
périodes
; il s'agit ici du début... M. LE Président.
ocrn-llnvatse. Je ne confonds pas le moins du monde les différentes
périodes
, je dis que, dans cette article 30, des garanti
t même cal, qui passe par divers degrés d'ossification; mais à aucune
période
de sa formation, les bouts des fragmens ne partic
mouvement de rotation peut lui-même être incomplet et s'arrêter à une
période
plus ou moins avancée. Ainsi, dans le cas de M. L
tée à une parotide; presque toujours les parotides apparaissent à une
période
avancée de l'entérite folliculeuse, rarement dans
nt à une période avancée de l'entérite folliculeuse, rarement dans la
période
d'accroissement, jamais au début, et, à peu d'exc
rentes, on trouve, à l'autopsie, les lésions appartenant aux diverses
périodes
de l'inflammation, depuis l'œdème avec injection
asion rare de voir une inflammation parotidienne parcourir toutes ses
périodes
pendant la vie de la malade. Voici le fait : Un
it tous les signes physiques et rationnels d'un cancer au foie. A une
période
avancée de cette maladie, la bouche devint sèche
n un peu abondante. Je n'ai observé de parotide suppurée que dans les
périodes
avancées des maladies aiguës et chroniques, et j'
s les follicules. Il est assez fréquent de voir, dans les dernières
périodes
des maladies chroniques, des érosions hémorrhagiq
s (1821), elle devint enceinte , et sa grossesse parcourut toutes ses
périodes
de la manière la plus régulière ; ses règles fure
lace, ni le lait, ni le bouillon par cuillerées. Le 5 mars survint la
période
d'affaissement : les douleurs diminuèrent; les vo
eur développement, elle les suit encore dans leurs diverses phases ou
périodes
depuis le premier moment de leur apparition, depu
. L'ulcère chronique s'observe presque constamment dans la dernière
période
de la phthisie pulmonaire, et cette coïncidence e
la fin de l'intestin grêle d'un individu mort du choléra, pendant la
période
de réaction, le 21 décembre i832. Cette anse inte
icelle. Le 17, apparition d'una variole discrète, qui parcourut ses
périodes
d'une manière régulière et pendant laquelle on cr
constances semblables que j'ai pu étudier la dysenterie à sa première
période
; pour toute altération, je trouvais une coloratio
aculté assimilatrice. Il y a eu , dans le cours de cette maladie, des
périodes
plus ou moins longues, où la perdrix, le gibier,
qui établit que toute tumeur cancéreuse passe nécessairement par deux
périodes
: la période de crudité et la période de ramollis
e toute tumeur cancéreuse passe nécessairement par deux périodes : la
période
de crudité et la période de ramollissement. Sans
passe nécessairement par deux périodes : la période de crudité et la
période
de ramollissement. Sans doute, dans un grand nomb
ce dans la consistance de ces tumeurs, établit, non une différence de
périodes
, mais une différence primordiale de variété. La v
e fonction importante, le cancer peut parcourir impunément toutes ses
périodes
. Le foie représenté pl. v, xxme livr., apparten
aissant, en sorte que l'on pouvait y étudier le cancer à ses diverses
périodes
depuis le premier moment de son apparition jusqu'
quent la gravité des accidens qui ont signalé ie début et la première
période
de la maladie. Ici le diagnostic était facile. Le
a respiration, (i) Autant les saignées sont utiles dans la première
période
de la pneumonie, autant elles sont nuisibles à la
la première période de la pneumonie, autant elles sont nuisibles à la
période
de suppuration : qu'on ne s'en laisse pas imposer
plus promptement qu'il ne l'aurait fait sans la saignée. Il est une
période
de la pneumonie où j'emploie le camphre depuis do
ons. La maladie dont on vient de lire l'histoire a présenté plusieurs
périodes
: première période, développement de tubercules;
on vient de lire l'histoire a présenté plusieurs périodes : première
période
, développement de tubercules; deuxième période, i
rs périodes : première période, développement de tubercules; deuxième
période
, inflammation du sommet du poumon droit; troisièm
; deuxième période, inflammation du sommet du poumon droit; troisième
période
, pleurésie; quatrième période, phlegmon diffus.
on du sommet du poumon droit; troisième période, pleurésie; quatrième
période
, phlegmon diffus. L'affection tuberculeuse étai
ation des poumons était remarquable : la pneumonie était arrivée à la
période
de suppuration, son tissu était mollasse comme il
omme établissant non une différence de nature, mais une différence de
période
dans la maladie ; que, s'il pouvait exister quelq
res d'altérations qui correspondaient XXXIIe LIVRAISON. '2 à deux
périodes
bien distinctes de cicatrisation. L'altération la
être identiquement les mêmes. J'ai constamment observé que, dans la
période
aiguë, douloureuse de cette maladie, les évacuati
s leur structure. Les tuniques interne et moyenne ne manquent qua une
période
plus avancée de la maladie, et souvent alors il e
ues moyenne et interne, ce qui se voyait quelquefois dans la première
période
de la maladie ; mais ce qui arrivait presque néce
adie ; mais ce qui arrivait presque nécessairement dans les dernières
périodes
, soit qu'il y eût poche secondaire surajoutée à l
'appui de ce que j'ai avancé ailleurs, savoir que, dans leur première
période
, les anévrysmes qui occupent une certaine étendue
les tuniques plus ou moins altérées, et que c'est seulement dans une
période
plus avancée que les parois artérielles,venant à
ailleurs que le développement de l'idée de Haller. Dans la première
période
de la péricardite, le sac du péricarde, distendu
bjections : i° l'explication précédente suppose que, dans la première
période
de la péricardite , il y a toujours épanchement d
ours par les poumons. La cyanose que l'on observe si souvent dans les
périodes
avancées des maladies du cœur, tient exclusivemen
me le moyen principal de guérison, ou plutôt de soulagement, dans les
périodes
avancées des maladies du cœur ; tandis que dans l
ériodes avancées des maladies du cœur ; tandis que dans les premières
périodes
, un exercice modéré en plein air, la marche à pas
du ventricule gauche. Ce dernier fait ne semble-t-il pas la première
période
d'une altération dont le précédent serait une pér
pas la première période d'une altération dont le précédent serait une
période
un peu plus avancée, et dont le kyste cartilagine
avancée, et dont le kyste cartilagineux et osseux serait la dernière
période
. Il établit en outre qu'une altération préalable
lemens à la joue gauche, la perte du goût survenus dans les dernières
périodes
de la maladie tiennent bien manifestement et à la
s les signes rationnels d'une pneumonie aiguë, parvenue à sa dernière
période
. L'état de la malade me parut désespéré : elle re
t dans le premier cas et lui arrachent un cri dans le second. A cette
période
, je croyais à une affection rhumatismale limitée
marche des symptômes établit que la méningite rachidienne est dans sa
période
d'augmentation, et qu'il y a compression et irrit
tre membre; i° une paralysie des muscles par douleur dans la première
période
; une paralysie des muscles avec insensibilité da
riode ; une paralysie des muscles avec insensibilité dans la deuxième
période
. Les muscles sont douloureux et par le fait de la
t contre la douleur, un grand effort de volonté peut dans la première
période
de la maladie produire la contraction musculaire,
, insister sur la longue durée des prodromes ou plutôt de la première
période
. Mademoiselle Gault suivit ma visite à la Materni
je n'hésiterais pas à employer des saignées répétées dans la première
période
, et des purgatifs drastiques dans la seconde, ou
tissu propre des reins. Dans l'observation qui précède, la dernière
période
delà maladie, qui date du a3 décembre, a été domi
e de la guérison, si toutefois cette évacuation avait eu lieu à cette
période
de la maladie, dans laquelle la moelle était simp
es, est tout-à-fait sans douleur. On conçoit, en outre, qu'arrive une
période
où la paraplégie douloureuse et la paraplégie non
aralysie complète vient à l'atteindre XXXVIIIe LIVRAISON. 2 à une
période
peu avancée de son développement, ce membre, sans
admettre, dans les lésions des centres nerveux par compression, deux
périodes
bien distinctes: une première période, dans laque
nerveux par compression, deux périodes bien distinctes: une première
période
, dans laquelle le tissu déprimé n'a subi aucune a
ssu déprimé n'a subi aucune altération dans sa structure; une seconde
période
, dans laquelle ce tissu est le siège de ramolliss
issement blanc et l'apoplexie capillaire ne sont autre chose que deux
périodes
de la même altération ; mais je prie de remarquer
e le ramollissement rouge et le ramollissement blanc ne sont pas deux
périodes
de la même lésion, correspondantes aux deux pério
ne sont pas deux périodes de la même lésion, correspondantes aux deux
périodes
d'induration rouge et d'induration grise de la pn
degré d'une inflammation ; que le ramollissement blanc n'était pas la
période
avancée d'une lésion, dout le ramollissement roug
avancée d'une lésion, dout le ramollissement rouge serait la première
période
, mais que le ramollissement blanc était blanc dès
période, mais que le ramollissement blanc était blanc dès sa première
période
; que la matière colorante du sang laissait dans t
nombre de cas; que l'apoplexie capillaire n'est nullement la première
période
d'une lésion dont le ramollissement blanc serait
u'on doit regarder l'abcès enkysté du cerveau comme appartenant à une
période
de la maladie bien antérieure à l'inflammation de
et la céphalalgie sont les seuls symptômes observés dans la première
période
, qui débuta le 11 et finit le 3o décembre : dan
oute extrémité. Je ne compris rien dans cette maladie à la première
période
qui embrasse l'intervalle du n au 3o décembre; à
nuisible : la saignée ne va pas bien avec l'inflammation arrivée à la
période
de suppuration; cet axiome thérapeutique s'appliq
de tranquillité, de silence, d'immobilité existaient dès la première
période
, quoique à un moindre degré que dans la seconde,
dans la seconde, et ces symptômes m'auraient éclairé. La troisième
période
date des mouvemens convulsifs qui ont eu lieu deu
e a été brusque, sans agonie. Si l'on voulait rattacher à ces trois
périodes
les lésions observées, on pourrait dire que dans
au moment où le pus a été ramassé en foyer et enkysté; que la seconde
période
a été déterminée par le ramollissement de la port
portion du cerveau qui entourait le kyste ; et qu'enfin la troisième
période
de symptômes répond à l'ouverture du foyer dans l
sie qui a appartenu à un jeune enfant de cinq à six ans, mort dans la
période
d'éruption de la petite-vérole. On sait que de to
a pu se lever pour aller à la selle; ce ne pourrait être que dans la
période
d'assoupissement, et il est plus que douteux que
ques que présente une pareille maladie ? Evidemment, dans la première
période
, la seule indication, c'est de remédier à l'état
suite des plaies ou des opérations chirurgicales: puisqu a toutes les
périodes
de l'inflammation veineuse, dit cet observateur d
ours séquestré par des caillots ou des fausses membranes à toutes les
périodes
de l'inflammation veineuse, il ne peut pas y avoi
s le principe, lorsque cette tumeur reste stationnaire; mais qu'à une
période
plus avancée elle offre une grande vascularité, e
é de suc d'apparence synoviale infiltre la tumeur : que c'est à cette
période
avancée que la tumeur peut acquérir en très peu d
é : l'observation m'a prouvé depuis long-temps que la distinction des
périodes
de crudité et de ramollissement des maladies canc
ême que celui de l'utérus, appartienne à l'âge critique ou mieux à la
période
de la vie de la femme, comprise entre trente et c
s'appuyant sur quelques faits, qu'il est, dans certains cancers, une
période
où la maladie semble purement locale. La gangrè
'infection ; or, si cette cause d'infection n'est pas douteuse, à une
période
donnée de la maladie , elle est encore douteuse d
favorables pour observer le cancer de l'utérus arrive à ses dernières
périodes
, je me propose de publier successivement sur cett
l'âge et aux conditions diverses dans lesquelles il se manifeste ! La
période
de la vie affectée à cette cruelle maladie est ci
e clinique, nous voyons qu'une malade affectée de cancer utérin à une
période
très avancée, éprouve des secousses convulsives r
mpagnée de la hernie des ovaires et des trompes, et dans une première
période
, il ne devra y avoir qu'un ovaire et qu'une tromp
y avoir qu'un ovaire et qu'une trompe. Ce n'est que dans une deuxième
période
, lorsque la totalité du fond de l'utérus aura été
: on peut même conjecturer que, si cette terminaison avait lieu à une
période
peu avancée, si elle envahissait toutes les parti
en des manières : i° Le fœtus peut parcourir dans l'ovaire toutes les
périodes
de son développement, ce qui est fort rare; le pl
greur extrême attestaient une maladie chronique arrivée à sa dernière
période
. Je la reçus immédiatement dans mon service. Le
siégeant dans un lieu plus ou moins éloigné. 16 liv., pl. ni, p- i.—
Périodes
de formation de ces abcès ; obscurité du diagnost
e aux dépens de l'os frontal. 23e liv., pl. v, p. 5. — Cancer utérin.
Période
de la vie qu'il affecte. Ignorance des circonstan
pl. 1, 11, mi, iv, v, p. /2. — De la respiration. Du refroidissement.
Périodes
du choléra moyen. Terminaison adynamique ou typho
intestin. Inflammation et eschares de l'intestin grêle. Dangers de la
période
de réaction. 14e liv., pl. 1, 11, ni, iv, v, p. 2
4e liv., pl. 1, 11, 11, iv, v, p. 3o. — Surveillance que nécessite la
période
de réaction. = Choléra très grave arrêté à la pre
ite la période de réaction. = Choléra très grave arrêté à la première
période
du froid et de la lividité. Assoupissement très c
1, lit, iv, v, p. 3i.— Dangers de l'usage immodéré de l'opium dans la
période
asphyxique du choléra. llxe liv., pl. 1. 11, m, i
pl. 1, n, m, îv, v, p. 45. — Traitement curatif : Thérapeutique de la
période
de concentration ou asphyxique. A. Moyens thérape
que générale de ce moyen en France. Difficultés de la saignée dans la
période
de concentration. De l'emploi des injections dans
1, n, m, iv, \,p. 5o, — Réflexions générales sur le traitement de la
période
de concentration. Thérapeutique de la période de
sur le traitement de la période de concentration. Thérapeutique de la
période
de réaction. 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 5t.
. i,n, ni, iv, v, p. 35.— Causes de la cyanose qu'on observe dans les
périodes
avancées des maladies du cœur. 39e liv., pl. vi,
pérations chirurgicales : ces abcès sont le résultat de la phlébite ;
périodes
de formation de ces abcès; obscurité du diagnosti
l. 1, 11, ni, iv, v, p. 12, — De la respiration ; du refroidissement.
Périodes
du choléra moyen ; terminaison adynamique ou typh
intestin. Inflammation et escharcs de l'intestin grêle. Dangers de la
période
de réaction. 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 2g.
r. 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 3o.—Surveillance que nécessite la
période
de réaction. = Choléra très grave arralé à la pre
ite la période de réaction. = Choléra très grave arralé à la première
période
du froid et de la lividité. Assoupissement très c
n, ni, iv, v, p. 3i. — Dangers de l'usage immodéré de l'opium dans la
période
asphyxique du choléra. 14e liv., pl. 1,11, m, iv,
., pl. 1,11, ni, iv,v,p .45.— Traitement curaiif: Thérapeutique de la
période
de concentration ou asphyxique : A. Moyens thérap
ue générale de ce moyen en France; inconvéniens de la saignée dans la
période
de concentration. De l'emploi des injections dans
1,111, iv, v, p. 5o. — Réflexions générales sur le traitement de la
période
de concentration .^Thérapeutique de la période de
ur le traitement de la période de concentration .^Thérapeutique de la
période
de réaction. 14e liv., pl. 1, n , m, iv, v, p. 5i
11, 111, iv, v, p. 4.—Dangers de l'usage immodéré de l'opium dans la
période
asphyxique du choléra. 14e liv., pl. 1, 11, ni, i
sans gangrène. = Exemple d'inflammation parotid ienne dans toutes les
périodes
. = La distinction des parotides en critiques et s
resque constante de l'ulcère chronique des intestins dans la dernière
période
de laphthisie pulmonaire. 31e liv., pl. ni,p. / (
v., pl. 1,11, m, iv, v, p. ig, 42. — Thérapeutique du choléra dans la
période
de réaction. 14e liv., pl. 1, n, ni, iv, v,p. 5i.
ce moyen en France; difficultés et inconvéniens de la saignée dans la
période
de concentration. 14e liv., pl. i, n, m, iv, v, p
4e liv., pl. i, n, m, iv, v, p. ôo. — Avantages de la saignée dans la
période
de réaction. 14e liv., pl. i, n, m, iv, v. p. 5/,
u choléra. 14e liv., pl. i, n, m , iv, v, ». ¿5.— Thérapeutique de la
période
de réaction du choléra. 14e liv., pl. i, n, ni, i
on; nous n'avons pu disposer d'embryons de lapins pris à toutes les
périodes
du développement, ' Kupffer. Op. cit., page 9 :
justifie la présence des illusions et des hallucinations, ni les
périodes
d'excitation maniaque observées dans certains c
étion des veines. Enfin une démence complète profonde termine cette
période
par un calme absolu. Bientôt après c'est à une
ls se divise, chez nos voisins, d'outre-Manclie, eu quatre, grandes
périodes
. ^Durant la première"ils étaient confondus, dan
asiles avec les aliénés ordinaires; c'est ce qui «marque la seconde
période
. Peu après, on entra dans la période dite de ré
'est ce qui «marque la seconde période. Peu après, on entra dans la
période
dite de réaction ? ce n'était pas assez d'avoir s
réclamaient contre cette promiscuité. L'on en arriva peu à peu a la
période
de centralisation;, en fondant un asile central
t les plus vrais, il faut citer celui du mélancolique à la première
période
. « Dans le plus grand nombre des cas, l'état mé
Elle perdait d'habitude pendant cinq à six jours; souvent même, la
période
menstruelle durait jusqu'à huit jours. Ses règl
ne d'idées délirantes. Ne voit-on pas souvent des aliénés en pleine
période
de calme, être pris tout à coup d'idées déliran
ionnelles ou de délire; nous rappellerons seulement que la deuxième
période
est ordinairement caractérisée par des contorsi
ercle à convexité ventrale est un épisode des plus communs de cette
période
. La de L'HYS'l'BItO-1'ILEPSIi : . Kil I malad
de qui fait le sujet de l'observation qu'on va lire nous montre une
période
de grands mouvements qui i diffère sensiblement
nt répétés à peu près tous les jours, au moins pendant une certaine
période
. Le père, qui a disparu depuis plusieurs années
les attaques l'insensibilité, est totale et complète. A toutes les
périodes
, on peut mettre le doigt au contact de la corné
ils ont vu l'anesthésie et les attaques disparaitre à la dernière
période
de la phthisie pulmonaire ' ; mais, 1 Rourncull
r de ce moment la température ne monta plus au dessus de 38°, et la
période
aiguë de l'attaque de rhumatisme put être consi
la tnodifienthas davan- tage. D'autre part, nous voyons pendant la
période
fébrile des menaces d'attaque, qui ont eu un co
on les disait très violents. Ils s'annonçaient généralement par une
période
d'excitation, accompagnée d'une céphalalgie in-
veux du jeune âge, dévoilent bien le caractère hystérique dès cette
période
de l'existence : une petite fille de dix ans est
es contractures de la paupière. Les trois enfants nés pendant cette
période
et nourris par la malade sont morts vingt, tren
est encore fort obscure débute brus- quement, et il n'existe pas de
période
durant laquelle on observe des désordres pouvan
tance des réflexes peut s'observer non seulement dans la pre- mière
période
de l'affection, mais jusqu'à une période très ava
ulement dans la pre- mière période de l'affection, mais jusqu'à une
période
très avancée lorsqu'il existe déjà des troubles
rès fréquentes dans la paralysie générale, s'observent à toutes les
périodes
de cette affection, mais principa- lement dans
utes les périodes de cette affection, mais principa- lement dans la
période
de démence. Dans la première période, elles peu
mais principa- lement dans la période de démence. Dans la première
période
, elles peuvent revêtir le caractère psychique ;
es terreurs, puis des conceptions délirantes orgueil- leuses. Cette
période
de début ou d'excitation, qui peut durer de tro
re qui ressemble à s'y méprendre au delirium tremens. La deuxième
période
est une période de dépression ; quelques-uns ne p
le à s'y méprendre au delirium tremens. La deuxième période est une
période
de dépression ; quelques-uns ne peuvent se teni
on croirait de vrais paralytiques généraux arrivés à la dernière
période
. Les pupilles restent égales. Cette période dure
x arrivés à la dernière période. Les pupilles restent égales. Cette
période
dure en moyenne deux mois. Enfin survient une p
égales. Cette période dure en moyenne deux mois. Enfin survient une
période
d'amélioration graduelle et progressive, se ter
gressive, se terminant par une guérison complète. Au début de cette
période
, on peut observer des vertiges épileptiques, la p
ée ; mais au lieu d'un délire accom- pagné des accès violents de la
période
de début, le malade est dans la torpeur ; la gu
sant de fois, il m'a été permis, à un certain mo- ment, dans chaque
période
et pour chaque malade, de constater que la pulp
es obser- vations de M. Bourneville'; M. Bicher 2 dit que dans la
période
épileptoïde la pupille est tantôt ré- trécie, t
endant toute la première partie de cette première phase, pendant la
période
tonique, la pupille reste contractée. Sitôt que
ts de mal, a des attaques incomplètes constituées seulement par une
période
de grands mouvements avec arc do cercle, j'ai o
à ses di- mensions normales. Chez les malades qui, au début de la
période
tonique, offrent une contraction pupillaire de
ns l'épilepsie et dans l'hystéro-épilepsie. Cela est facile pour la
période
clo- nique, dans laquelle l'épileptique offre u
dans quelques accès, une contraction de la pu- pille au début de la
période
tonique ; mais il s'agit là d'un fait isolé, au
'hys- téro-épilepsie, viennent d'être étudiées. Rappelons qu'à la
période
des attitudes passionnelles, ou observe dans la
ue les points douloureux correspondent au siège des ovaires à cette
période
de la gros- sesse. Le travail a commencé dans
, et nous avons vu des malades suspendre leurs attaques pendant des
périodes
inouïes auparavant; l'une d'elles, par exemple,
ommeil hyp- notique n'est plus susceptible 'd'être divisé en deux
périodes
distinctes : état léthargique avec hyperexcita-
; - juillet, 5; - août, 14. Les accès ont été suspendus durant la
période
aiguë de l'éiysipéle.(22 avril 4 mai). Autopsie
ême et s'accompagne de vertiges, qui ont pu être constatés dès la
période
précédente. Des nausées et des vomissements ter-
rouvait la pupille droite dilatée avec la dépression mentale; à une
période
plus avancée, quand il rencontrait les phénomèn
rs prodromes. Le myographe lui a permis de faire des deux premières
périodes
é,pileptoide et de elowitisine, là où tout para
ilité sensorielle, la variété du délire distinguent de la troisième
période
(des poses plastiques), la'quatrième (de délire
nales de la science, auxquelles s'applique nettement la division en
périodes
établies par le professeur de la Salpétiière. M.
e, variétés dépendant soit de l'extension, de la prédominance d'une
période
, soit de l'immixtion d'éléments étrangers de so
re était très forte. Ainsi, il en a eu un le 13 et le 14 janvier (
période
d'invasion) ; un le 15 et le 16 (période d'érupti
un le 13 et le 14 janvier (période d'invasion) ; un le 15 et le 16 (
période
d'éruption) ; un le 18 et le 21. Observation
'autant plus intéres- sant, que les lésions étaient parvenues a une
période
très avancée de leur évolution, pour ainsi dire
, 20 ? juillet, 5 ; août, 14. Les accès ont été suspendus durant la
période
aiguë de l ? Stpè ! e (22 avril 4 mai). Autop
rche semble avoir été assez singulière. Il y aurait eu une première
période
durant la- quelleon n'aurait observé qu'un accè
M. Dezairs, 1111\;1.. Marri, Couta- rel. » Caractère. - Il a des
périodes
de calme où sa physiono- mie est douce; dans d'
. Il faut d'ordinaire deux ou trois personnes pour le maintenir. La
période
de délire comprend deux phases : tantôt il se m
aissons ne laisse aucun doute sur leurs principaux caractères. La
période
de rigidité paraît avoir été toujours assez cou
s, nous trouvons celle-ci : toujours] ? 'aide dans le début. » La
période
clonique était, au contraire, prolongée et s'ac-
t multiples et variées, ainsi que les attitu- des passionnelles. La
période
de délire était, elle aussi, parfaitement carac
sur lequel l'attention des auteurs ne paraît pas s'être fixée. La
période
des contorsions, les injures adressées par le m
le probable que le travail de prolifération a dû s'effectuer, à des
périodes
distinctes, en trois poussées successives. Quan
les disait très violents. Ils s'annonçaient généra- lement par une
période
d'excitation accompagnée d'une céphalalgie inte
et les vertiges, dont nous avons donné la marche pendant une longue
période
, ont sensiblement di- minué. Nous devons sign
enfant entre à l'infirmerie avec le& signes d'une rougeole à la
période
d'invasion; fièvre, somnolence, coryza; conjonc
ntenant, que J... a eu un accès le 8 janvier, c'est-à-dire avant la
période
prodromique ou au début et qu'il n'en a pas eu
pilepsie les 8, 9, 10, 12, 13 et 15 janvier, alors qu'il était à la
période
des pro- dromes et à la période d'éruption de l
15 janvier, alors qu'il était à la période des pro- dromes et à la
période
d'éruption de la rougeole (8-15 janv.) ; puis l
1. 13,janvier. L'enfant présente les symptômes d'une- rougeole à la
période
d'invasion : coryza, conjonctivite, épistaxis,
rpeur profonde, au lieu de la somnolence qui est de régie à cette
période
, nous avons observé une agitation extrême, avec
'enfant entre à l'infirmerie avec les symptômes d'une rougeole à la
période
d'invasion. Hier, il a eu une rJpistnxis avec f
. L'enfant entre à l'infirmerie avec les signes d'une rougeole à la
période
d'invasion : somno- lence, anorexie, conjonctiv
croûtes dans les cheveux, de l'eczéma post-auriculaire; dans cette
période
la vue se mit à baisser et finit par disparaîtr
is restait plu- sieurs jours de suite en état d'ivresse. Durant ces
périodes
, il se livrait à des violences au dire de sa fe
81. 21 janvier. L'enfant entre à l'infirmerie avec la rougeole à la
période
d'éruption. L'exanthème ne se voit qu'à la face
hydrocéphalie et un an. - Idiotie complète. - Rougeole. - Mort à la
période
d'invasion. -Au- topsie. Pas de lésions viscéra
rougeole dans le service, nous diagnostiquons cette affection à la
période
d'invasion. T. R. 38°,4. (Bouillon, lait, julep
e avec soin. Nous n'avons pas été favorisés en ce qui concerne la
période
d'incubation, ce qu'explique suffisamment l'é-
lution rapide de l'épidémie et l'état mental de nos ma- lades. La
période
prodromique a pu être mieux suivie et plusieurs
e diminution matinale de moins en moins accentuée. Du- rant cette
période
, le maximum de la température a été de 40 ? ; m
bserve une nouvelle élévation de la température qui correspond à la
période
ou à la fièvre d'éruption. La température acqui
notait la persistance de quelques-uns des symptômes des premières
périodes
. Nous n'insisterons pas sur les tracés relatifs
apparaît seule- ment au début de la crise rhumatismale pendant la
période
des localisations indécises. Dans notre obser-
voilà à l'étude physiologico-pathologique des accidents spinaux. La
période
prodromique de ces acci- dents est la même pour
ne qui a survécu huit mois à l'opération '. Il faut distinguer deux
périodes
et même trois. Dans la première, ce qui domine,
imal est redevenue normale. C'est donc uniquement dans la seconde
période
qu'on peut étudier les phénomènes de déficit di
qu'on le désigne du vieux mot d'asthénie. Enfin, dans la troisième
période
, les effets indirects et lointains de la suppre
application du courant galvanique sur la voûte crânienne pendant la
période
léthargique de l'hypnotisme chez les hystérique
LES FONCTIONS DU CERVEAU. 89 une hystéro-épileptique qui, durant la
période
léthar- gique de ses attaques, manifesterait au
ieu du mois de décembre. Elle n'a pas eu d'attaques. Durant cette
période
elle a travaillé d'abord chez un bandagiste avec
i du cuir chevelu, à l'exception d'une légère sécheresse pendant la
période
de stupeur. L'auteur, après une étude soigneuse
cas, d'après des exa- mens microscopiques des cheveux à différentes
périodes
et du cuir chevelu après la mort, suppose que l
e complet de la connaissance, survenant régulièrement pendant une
période
de temps mensurable, et par une suspension moment
s empêcher de trop engraisser, ce qui favoriserait dans la dernière
période
de la maladie la for- mation des eschares. Il f
névroses convulsives, ainsi que le délire des persécutions avec ses
périodes
caractéristiques. Malgré ces éliminations succe
ce varierait bien moins chez la femme que chez l'homme aux diverses
périodes
de l'existence. Une autre question qui, comme
). Le poids spécifique du cervelet atteint un chiffre élevé dans la
période
juvénile, entre vingt et trente ans chez les de
l à augmenter le poids spécifique du cerveau, spécialement dans les
périodes
intermédiaires de la vie. Les plus hautes densi
tères tout opposés : irrégularité et bizarrerie d'évolution dans la
période
délirante où les conceptions mégalomaniaques se
la forme anormale de la maladie tient au jeune àge du sujet et aux
périodes
de rémission qu'elle a présentées. Il ne voit pas
e du corps atteint presque 38° C. ; elle s'abaisse à 37° pendant la
période
su- dorale. Le pouls atteint 90, 100 et même 10
iâtre constipation qui résiste à toute espèce de médicaments; à une
période
plus avancée, les sensations anormales s'exaspère
aire se compo- saient de faisceaux de fibres arrivées à la dernière
période
de l'hypertrophie et constellées de vacuoles. L
, on avait constaté, sans transition, durant quelques heu- res, une
période
de lucidité parfaite. Le second concerne une dé
a lumière. Délire des grandeurs, affaiblissement de la mémoire avec
périodes
d'excitation maniaque; myosis, pronostic grave.
ce qui nuus sépare du fondateur de cette dynastie pour arriver à la
période
à peu près contemporaine, nous voyons qu'après
est nécessaire de l'arra- cher à son milieu ordinaire, pendant une
période
suffisante pour pouvoir le désalcooliser, pour
ntrant s'engager à rester au moins trois mois dans la maison, cette
période
minima étant abso- lument nécessaire à un trait
e avec le tabes et une confusion possible avec cette maladie à sa
période
préataxique. Mais quelques auteurs vont encore
e suivie d'une sorte de rémission dans la polydipsie. Pendant cette
période
, il maigrit d'environ trente livres au mi- nimu
des deux côtés. Il n'a rien remarqué à droite; à gauche il a eu une
période
de huit jours environ pendant laquelle il souff
les cas nouveaux d'aliénation mentale et la population du- rant les
périodes
sur lesquelles on opère; les chiffres ainsi obten
ion) le chiffre de 1859. Si l'on compare la première et la dernière
période
quinquen- nales étudiées, c'est-à-dire les péri
e et la dernière période quinquen- nales étudiées, c'est-à-dire les
périodes
de 1861-65 et de 1881-85, on trouve pour celle
es périodes de 1861-65 et de 1881-85, on trouve pour celle dernière
période
une augmentation de 37,5 p. 100. Si l'on comp
nière période une augmentation de 37,5 p. 100. Si l'on compare la
période
quinquennale 1871-75 avec la pé- riode quinquen
ombre de ces mêmes aliénés en 1859. Ici encore, si l'on compare les
périodes
quinquennales de 1861-65 et de 1881-85 on const
100 (49.9). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 40 1 Si l'on compare la
période
quinquennale de 1871-75 à celle de 1881-85, l'a
en tenant compte de l'accroissement de la population) a été pour la
période
quinquennale 1881-85 de 28,5 p. 100 sur lapériode
p. 100 sur lapériode quinquennale 1861-65 et de 5.86 p. 100 sur la
période
quinquen- unie 1871-75. Ce pourcentage (5.86) e
urcentage (5.86) est bien inférieur celui que l'on obtient pour les
périodes
correspondantes, lorsque l'on compte les aliéné
état d'internement, au lieu de compter les admis- sions. Pour la
période
1859-1885, l'accroissement est à peu près régu-
es restent à peu près stationnaires ; il sont même dans la dernière
période
(1881-85) un peu inférieurs à ceux de la périod
e dans la dernière période (1881-85) un peu inférieurs à ceux de la
période
précédente (1876-1880). 4° Si, du chiffre des a
faite que depuis l'année 1869, on cons- tate en comparant les deux
périodes
quinquennales de 1871-75 et de 1881-85 que l'au
1-75 et de 1881-85 que l'augmentation est un peu plus forte pour la
période
correspondante que celle qui a été signalée au
puis le taux diminue, et il est un peu inférieur, pour la dernière
période
quinquennale, à celui de la période quinquennale
peu inférieur, pour la dernière période quinquennale, à celui de la
période
quinquennale précédente. 5° Si l'on déduit du
encore celui des réadmissions, on constate que l'augmentation de la
période
1881-85 sur la période 1871-75 est de 5,38, et
ssions, on constate que l'augmentation de la période 1881-85 sur la
période
1871-75 est de 5,38, et qu'elle est par conséqu
génital), on constate que, pendant les huit dernières années (seule
période
pour laquelle ces données puissent être obtenue
troubles primitifs aigus ; car on la voit fréquemment survenir sans
période
primitive aiguë, et son apparition est dépourvu
ctionnent plus depuis longtemps; ou bien ils peuvent constituer une
période
avancée de l'état pathologique qui est la vérit
ns l'élat actuel de la scieuce, nous ne savons pas reconnaître à sa
période
de début. VARIA. 427 -1 18. Aucune théorie pu
anifestent après le développement complet de l'individu et avant la
période
de déchéance organique, comme par exemple la fo
'inhibition ou avec délusions, ne constituent pas aussi souvent les
périodes
préliminaires de la démence secondaire que les
accès de mélancolie et de manie, ne pré- sentent pourtant, avant la
période
sénile, aucun état qui corres- ponde à la démen
on, de temporiser plus ou moins longtemps afin de laisser passer la
période
d'excitation. Si l'on se bornait à ces précauti
agie cérébrale seulement figurent sur les cahiers d'autopsie pour une
période
de trois années(1). Mais il faut tenir compte de
partir de la vingtième année, nous les avons rencontrés à toutes les
périodes
de l'âge adulte ; et seulement alors chez des ind
u'on sait de la fréquence de l'hémorrhagie cérébrale, aux différentes
périodes
de l'existence. Assurément, nous ne pouvons pas m
de contracture permanente. La démence était devenue complète avec des
périodes
d'excitation. Mort le 11 août 1860. A Vautopsie
miplégie récente. Les eschares qui se forment si fréquemment dans les
périodes
ultimes de l'hémiplégie ancienne, siègent en géné
e série de modifications de la température centrale répondant à trois
périodes
successives. Dans la première période, qui compre
ure centrale répondant à trois périodes successives. Dans la première
période
, qui comprend les premières heures qui succèdent
variable de jours, il oscille entre 36°, 5 et 38°. Enfin, la deuxième
période
, qui aboutit nécessairement et rapidement à la mo
dans la méningite cérébro-spinale (1), dans le choléra, même dans la
période
algide, et pour ce qui concerne cette dernière ma
tuellement de rechercher dans l'histoire de la maladie si la première
période
de la formation des néo-membranes n'aurait pas ét
ci : elle est généralemeut chronique et exsudative. Dès les premières
périodes
se développe une couche mince d'un exsudât comme
M. Schuberg (/or. cit.), grouper ainsi qu'il suit : Dans une première
période
, qui s'étend souvent à plusieurs mois, il y a, en
ontinue ou rémittente, générale ou partielle ; puis, dans une seconde
période
, à mesure que les troubles de l'intelligence s'ag
aiblesse des membres, et, en un mot, tous les symptômes des premières
périodes
, procèdent de la pachyméningite. Des recrudescenc
très fréquemment. Quant aux: symptômes apoplectiques cle la dernière
période
, ils dépendent de l'irruption plus ou moins brusq
dant les deux ans qui se sont écoulés depuis son accès, et dans cette
période
, il a eu deux ou trois autres attaques dont il ne
éral, pour la plupart, aucune altération appréciable à cette première
période
; mais déjà ils prennent, cela n'est pas douteux,
De fait, il n'est pas très rare de voir survenir, dans les premières
périodes
de l'ataxie, indépendamment des douleurs fulguran
e soixanle-et- 1. L'atrophie des racines postérieures peut, à cette
période
de la maladie, manquer complètement. (Charcot et
Les deux yeux sont entièrement achromatiques. M. Burq a donné à cette
période
le nom à'anesthésie de retour, parce que l'hémian
ct des pièces métalliques avec la peau, il y a, comme on le sait, une
période
de réaction pendant laquelle les phénomènes de re
té. Il y a onze ans que je la connais et je déclare que pendant cette
période
de onze années, elle n'a jamais cessé d'être liém
si que l'ovarie suivant la règle, les phases classiques de l'attaque,
période
épileptoïde, contorsions, attitudes passionnelles
s membres et tout le corps, loin de présenter la té utilisation de la
période
épileptoïde, sont dans la résolution la plus comp
des contractures hystériques, si ce phénomène se manifeste. Dans une
période
d'accalmie, il suffit d'une pression subite sur c
rrait appeler la zoopsie. En effet, dans nos salles, môme pendant les
périodes
de calme, nos hystériques sont parfois épouvantée
états signalés plus haut représentent en quelque sorte les phases ou
périodes
d'un même processus. Laissant de côté les varié
ns de décrire. notique n'est plus susceptible d'être divisé en deux
périodes
distinctes : état léthargique avec hyperexcifabil
t de l'écume aux lèvres. Nous assistons en somme, à une ébauche de la
période
épileptoïde de la grande attaque hystérique. Cett
sculaire. Mais bientôt une agitation excessive se déclare, c'est la
période
des grands mouvements de la grande attaque. Nous
Le système sensitif cutané est donc inexcitable mécaniquement dans la
période
de léthargie hypnotique dont il s'agit ici. C'e
l'application sur la voûte du crâne du courant galvanique, pendant la
période
. léthargique de l'hypnotisme chez les hystérique
faits d'automatisme qui se produisent chez les hystériques pendant la
période
cataleptique de l'hypnotisme sous l'influence de
Note sur quelques faits d'automatisme cérébral observés pendant la
période
cataleptique de l'hypnotisme chez les hystériques
s, une série d'hypnofisations successives a été pratiquée pendant une
période
de près de trois heures. Durant fout ce temps, le
itement. A la vérité, nous sortons à peine, sur cette question, de la
période
des essais préparatoires ; mais, ce que nous avon
s cle l'hypnose dans lesquelles on ne trouve pas la division en trois
périodes
. — Un ou deux des trois états peuvent manquer, d'
lusieurs variétés possibles ; la catalepsie est, dans cette forme, la
période
qui nous paraît manquer le plus souvent. — Dans d
i nous paraît manquer le plus souvent. — Dans d'autres cas, les trois
périodes
se confondent, et alors, tantôt les caractères so
t, et alors, tantôt les caractères somatiques et psychiques des trois
périodes
se trouvent réunis, tantôt on ne constate la prés
ne constate la présence que d'un ou de deux de ces caractères. — Deux
périodes
, les périodes léthargique et somnambulique, peuve
présence que d'un ou de deux de ces caractères. — Deux périodes, les
périodes
léthargique et somnambulique, peuvent être confon
être progressive. Voici, par exemple, un sujet chez lequel les trois
périodes
sont confondues pendant un ce.-tain temps. À un m
temps. À un moment donné, on remarque une tendance à la formation de
périodes
distinctes ; lorsque les yeux sont fermés, la con
a malade reste ainsi dix-huit mois à la Salpêtrière et, pendant cette
période
, on essaie à maintes reprises de développer la ca
nd hypnotisme. Dans l'attaque d'hysteria major, il existe plusieurs
périodes
distinctes comme dans le grand hypnotisme. — Les
stérie peuvent dévier du type normal par l'absence d'une ou plusieurs
périodes
ou par la confusion de deux périodes. N'est-ce pa
par l'absence d'une ou plusieurs périodes ou par la confusion de deux
périodes
. N'est-ce pas ce que nous avons vu à propos de l'
ccentués. Il était impossible de provoquer par la suggestion, dans la
période
somnambulique, le développement d'une hallucinati
travail, que l'hypnotisme pouvait être comparé au point de vue de ses
périodes
, des variétés qu'il présente, à l'attaque hystéri
l'application sur la voûte du cràue du courant galvanique pendant la
période
léthargique de l'hypnotisme chez les hystériques.
Notes sur quelques faits d'automatisme cérébral observé pendant la
période
cataleptique de l'hypnotisme chez les hystériques
n° 4, 1900.) Développement, chez le même sujet, du gigantisme à la
période
de croissance et de l'acromégalie après la péri
gigantisme à la période de croissance et de l'acromégalie après la
période
de croissance, avec manifestations diabétiques
côté, avant 52 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de se propager. A la
période
d'état, la maladie peut se présenter sous diver
ent de troubles mentaux, en particulier de démence dans la dernière
période
. Il termine par la description détaillée du sys
réditaire, elle a été l'objet de monographies de Lieving etMobius :
période
prodro- mique; malaise, mal de tête unilatéral;
erminée, ayant sa principale localisation dans le poumon. Après une
période
de rémission trompeuse, les phénomènes myasthén
ant le plus clair est l'ostéo- malacie. Vierordt en distingue : une
période
d'acmé, et une période de régénération osseuse.
'ostéo- malacie. Vierordt en distingue : une période d'acmé, et une
période
de régénération osseuse. La couche corticale ex
marqué du mercure. Dans la dix-huitième observation il s'agit d'une
période
névralgique et préataxique de trente-cinq ans.
bouche, et l'éclat métallique terne des yeux également noté à cette
période
. Cet éclat métallique terne du regard suit, tou
ne hypertrophie du membre supérieur droit survenue à la suite d'une
période
fébrile de quelques jours. A l'âge de trois ans
tent un enfant de neuf ans qui eut à l'âge de quatre ans une courte
période
fébrile suivie d'hémiplé- gie gauche complète,
es atteints d'oedème unilatéral de la jambe consécutif ou non à des
périodes
fébriles, d'un cas d'oedème de la joue gauche.
auto-intoxication gastro-intestinale et troubles comateux à chaque
période
menstruelle, puis démentiels. A l'autopsie, la
ment entre ce cas et ce qui se passe dans l'alcoolisme où après une
période
de résistance assez longue, brusquement la rési
ravail était de trouver un signe aidant à la diagnose des premières
périodes
de la paralysie générale. L'auteur procédait au
onnaître, le traitement étiologique n'est vraiment efficace qu'à la
période
de début. Quand la névrite est constituée, il n
ne au mot : décroître. Cette affection est. continue, mais avec des
périodes
de crises suivies de périodes d'accalmie relative
ffection est. continue, mais avec des périodes de crises suivies de
périodes
d'accalmie relative. Ces deux périodes sont dif
ériodes de crises suivies de périodes d'accalmie relative. Ces deux
périodes
sont différenciées par le caractère de plus à m
moins. Elle est donc non intermittente,^ mais rémittente. Dans les
périodes
d'accalmie, je rougis moins souvent, je me ressai
ins et même pas du tout à ma facilité et à ma peur de rougir. Les
périodes
de crise sont très variables comme fréquence, com
Et là. l'influence de l'éreuthophobie est indiscutable. Suis-je en
période
d'accalmie ? Bien que ma philosophie ne varie pas
n mot, je suis capable d'entrevoir la « joie de vivre ». Suis-je en
période
de crise ? Le levain pessimiste fermente. La vie
sensation a perdu en fréquence. Je citerai encore ceci : je suis en
période
d'accalmie depuis huit, L'OBSESSION DE LA ROUGE
pium, de l'éther à faibles doses, à de très grands intervalles, par
périodes
très courtes (deux ou trois jours au maximum).
ant de rechercher les variations des réactions de la peau aux trois
périodes
de la 198 - CLINIQUE MENTALE. paralysie génér
ades de la maladie. De ces 38 malades, 14 sont restés à la première
période
, 12 à la seconde, 4 à la troisième ; enfin 5 on
4 à la troisième ; enfin 5 ont passé de la pre- mièré à la seconde
période
et 3 de la seconde à la troisième. On voit par
re de nos sujets. Néanmoins ceux qui sont toujours restés à la même
période
ont eu les réactions suivantes de la peau. "
tes les réactions de la peau que nous avons ren- contrées aux trois
périodes
de la paralysie générale : soit 19 sujets à la
nous ait présenté de la dermographie excessive était à la troisième
période
et des deux qui eurent de l'altér- - nance de l
façon complète l'évolu- tion de la réaction de la peau à toutes les
périodes
de la para- lysie générale chez les mêmes malad
aralytique chez lequel la réaction complètement nulle à la première
période
a reparu affaiblie à la seconde et une autre qu
normal il nous fournit un résultat inattendu. Certes à toutes nos
périodes
de dix en dix ans nous le trouvons inférieur
es cas où Tomlinson a trouvé des troubles mentaux aux dif- férentes
périodes
de la maternité, des troubles mentaux avaient e
une maladie, non le caractère qu'elle peut présenter à l'une de ses
périodes
, mais son cours pendant toute la vie du sujet e
sparu; - 5° dans le cours delà folie hystérique, il y a parfois des
périodes
, plus ou moins courtes, où le tableau clinique es
ar un accident nouveau, ou par un retour d'accidents anciens, les
périodes
de rémissions plus ou moins longues et complètes
on par accès, par. crises plus ou moins violentes, que séparent des
périodes
de calme à peu près complet, est encore peu com
, mais comme je l'ai dit, j'ai traversé dans ces derniers temps une
période
malheu- reuse et j'étais résigné à le faire. Un
nanisme, une autre pour mensonges. - Sournois, hypocrite, jaloux. -
Périodes
de mélancolie (1890). Traitement médico-pédagog
de vue de la véracité et de l'assi- duité au travail. Du 14 au 21,
période
de mélancolie et de tacitur- nité provoquée san
servons pas la névrite' multiple depuis son début, qu'il existe une
période
latente qui ne se manifeste par aucune sensatio
ffisance de la mémoire des sons. Il en est qui n'ont pas dépassé la
période
du vocalisme primitif : c'est de la mutité acou
des pupilles est normal au début, parfois il est rétréci; dans la
période
tonique et clonique il y a dilatation, et souvent
signes de la paralysie générale, ce malade faisait; au cours d'une
période
d'instruction militaire, de nom- breux excès de
n voit souvent des femmes être prises de cette idée au moment de la
période
mégalomaniaque de leur maladie. Une de mes mala
la clermorpliinisation ne sera commencée qu'après une assez longue
période
de préparation. Je le- laisse fixer lui-même la
e les mêmes résultats chez tous les morphinomanes et à toutes les
périodes
de la maladie. M. Joffroy répond qu'il l'appliq
i jouer un rôle pré- dominant dans certaines psychoses chroniques :
période
d'incuba- tion des délires de persécution, déli
ue, persistance de l'intégrité des facultés intellectuelles (pas de
période
de démence). C'est à cette forme clinique déjà
psychose à base d'interprétations, débute en général au cours de la
période
de la vie comprise entre vingt et quarante ans,
s fonctions de contrôle ; ils sont analogues à ceux que présente la
période
d'excitation du sommeil chloroformique. Leur co
, mouvements choréiques, etc. Avec M. Bérillon, je considère que la
période
d'ex- citation du sommeil cliloroformique prése
sa théorie sur une base solide. A cette fin il soumit, pendant des
périodes
de trois à quatre mois, à un régime absolument
ue jour, nous voyons qu'elle varie quotidiennement, même dans les
périodes
sans accès, d'une ,quantité qui va parfois du sim
antité qui va parfois du simple au dou- ble. Supposons que dans ces
périodes
il se fusse produit des accès, certains d'entre
oires, à l'apnée. La phase d'hyperpnée s'accompagne d'une véritable
période
d'excitation avec loquacité débordante et même
ée ; les écoule- ments cessèrent et, au bout de trois semaines, les
périodes
firent leur première apparition, pour revenir d
ré (124). La respiration est d'abord saccadée, puis, à la fin de la
période
convulsive, elle cesse pendant plusieurs second
dre d'une façon bruyante et devenir ster- toreuse. La durée de la
période
convulsive est de deux minutes environ, puis la
a perte absolue de la con- naissance, la phase stertoreuse après la
période
convul- sive, etc., mettenthors de doute la nat
leptique étant due surtout au travail musculaire produit pendant la
période
tonique, il peut se faire que, exceptionnelleme
qui a été entraînée par la chute et le retour à la conscience, une
période
d'obnubilation, de rêvasserie, comparable à cel
ce sont les explosions de manifestations actives alternant avec des
périodes
comparati- vement silencieuses : les manifestat
naires. Il semble que ce soit le propre du virus syphilitique, à la
période
exsudative, d'affecter spéciale- ment les parti
bien avec ce mode d'évolution. Au demeurant, L..., est parvenu à la
période
de la vie, où des hémorrhagies cérébrales, révé
tous les signes de la paralysie générale progressive, arrivée à une
période
très avancée : inégalité pupil- laire, tremblem
état est le suivant : paralysie générale progressive parvenue à une
période
très avancée. Mémoire éteinte. Embarras de la pa-
les symptômes psychiques et somatiques de la folie paralytique à la
période
d'état. Six mois après elle succombe dans le ma
on certificat. L'admission n'est en général que provisoire pour une
période
qui varie de quinze jours à six mois. Dans un
oi, les privations de sortie et les amendes (de 3 à 10 marks.) La
période
d apprentissage varie de huit jours à un an. Elle
précoces : il n'y a pas de catatonie périodique, mais seulement des
périodes
de rémission, qui, comme dans la paralysie géné
peut se diviser en deux phases princi- pales : l'une comprenant la
période
antérieure à son entrée en traitement et son pr
it que nous avons appris ce qui s'était passé en réalité dans cette
période
, et su qu'elle avait encore au sanatorium enten
ugace, le souvenir des phénomènes hallucinatoires éprouvés dans des
périodes
semblables est au contraire très net. L'ensem
surtout celle de Deus, appelées avec une ardente ferveur. Dans ces
périodes
de grande activité symptomatique, les voix inco
pendant des mois, se répé- tant presque tous les jours à certaines
périodes
. « Cela m'agace quelquefois, dit Cam..., alors
uses disparaissent alors faute d'irrigation sanguine ; à cette même
période
des lésions, on voit disparaître les travées conj
mme nous l'avons indiqué, l'amaurose tabétique évolue, suivant deux
périodes
consécutives, la première, d'évolution aiguë, gén
lle-ci puisse présenter entre les poussées paroxystiques de longues
périodes
d'accalmie, le plus souvent les lésions et leur
les lèvres de Deus. Ces sensations on;. lieu aussi bien pendant les
périodes
d'exaltation que dans des intervalles de calme,
je te parle, ma fille » et un peu plus tard, après une assez longue
période
de silence, il s'explique : « Je suis toujours
souvenirs de tout ce qu'elle avait dit, vu et entendu dans cette
période
avaient paru s'effacer pendant l'intervalle relat
, tous ces souve- nirs s'effaçaient pour ne reparaître que dans les
périodes
paroxys- tiques qui ravivaient l'activité spiri
et moins brus- quement. Il y avait chaque fois une transition, une
période
d'effa- cement graduel avant la disparition tot
elle, était tombé dans le délire hallucinatoire après une longue
période
de rêveries religieuses, il s'est comme elle en
t ému à la plupart de ses évocations pendant toute une assez longue
période
. MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 145 Guérie, Cam... avo
nnants de la famille des délirants mystiques. ' Pendant sa longue
période
de névrose phobique, le malade avait précisémen
un régime et à un mode d'existence uni- formes, soit pendant cette
période
d'observation, soit pendant la période d'essai
formes, soit pendant cette période d'observation, soit pendant la
période
d'essai sérothérapique, et pesés régulièrement ;
ossède actuellement une autre de paralysie géné- rale à la dernière
période
, où l'hémisphère entier trahit l'atrophie des f
n a consi- dérée longtemps comme une complication obligatoire de la
période
terminale de la paralysie générale. Une opinion
e ceux-ci, d'où une ulcération anfractueuse ne suppurant pas; enfin
période
de réparation rapide. Le pronostic de ces compl
côtés et dans le bras droit resta la paralysie atrophique ; dans la
période
de l'amélioration des mouvements, apparurent de
F le plus souvent est provoquée par l'alcool ; mais dans ces cas la
période
initiale de la maladie n'est pas si accentuée q
ale de M. Gilbert-Ballet, M. Arnaud distingue seulement, suivant la
période
de la vie à laquelle elles apparaissent, deux f
phes, mais offrant néanmoins certains caractères particuliers. A sa
période
d'état, la maladie s'affirme par un affaiblisse
r, d'athlète, etc. Lorsque à cette agitation motrice fait place une
période
de calme et de répit, les malades se dissimulen
s émotionnels. Quand on interroge, en effet, les malades, dans leur
période
de rémission ou dans leurs intervalles lucides,
précoce que dans la forme paranoïde. Ils appartiennent surtout à la
période
d'état de la mala- die et diminuent en nombre e
d'état de la mala- die et diminuent en nombre et en intensité à la
période
terminale. Leur valeur sémiologique est encore
pelle l'opposition qu'a rencontrée M. Magnan pour faire accepter la
période
démentielle de son délire chronique à évolution
s exemples les plus simples. Dans la forme paranoïde, il existe une
période
délirante qui peut être la première en date. En
s le sang de 30 malades atteints de démence précoce à différentes
périodes
de l'affection. Nous avons pu constater, au début
e nouvelle rémission de mai à novembre 1902 et enfin une der- nière
période
de stupeur avec accès d'excitation cacatonique. A
l'aide de la méthode de Nissl sont nombreuses. Dans une pre- mière
période
, les auteurs se sont contentés des sections nerve
oyaux latéraux, l'extension aux noyaux centraux. Dans une seconde
période
, on a enlevé les muscles et les résul- tats fur
olles nécrosées. En outre, signes de tuberculose pulmonaire à la 2e
période
. Mai- greur extrême, sitiophobie, ptyalisme, ab
suffit en effet de placer le malade sur le côté gauche, pendant la
période
tonique, pour supprimer la période clonique et
e sur le côté gauche, pendant la période tonique, pour supprimer la
période
clonique et voir le patient revenir bientôt à l
ssantes à relever dans ce cas sont les suivantes : ' 1° La longue
période
pendant laquelle l'encéphale a pu s'adap- terav
mbraneuse, chez une mère de famille de cinquante-trois ans ; chaque
période
d'amélioration de l'entéro-colite amenait une a
abes avancés, quoique pouvant apparaître parfois dans les premières
périodes
. La cause de l'in- fection est la stase qui rés
oup supérieur à celui trouvé chez les paralytiques généraux à la 1°
période
. 278 SOCIÉTÉS SAVANTES. Rôle des muscles spin
ois, tantôt ils étaient plus courts. Dans les intervalles entre les
périodes
de l'état maniaque, parfois d'assez longue duré
excitation sexuelle et parfois de pollutions fréquentes. L'une des
périodes
de l'état dépressif s'était manifestée dans une f
s symp- tômes psychiques peut être rencontrée dans le cours de la
période
mélancolique de la psychose circulaire, de même
sensation de chute que chacun a éprouvé au moins une fois dans la
période
hypnagogique. N'ayant plus aucune percep- tion
ts paralytiques, tient à ce que l'affection est survenue pendant la
période
de développe- ment du sujet. L'atrophie avec pa
uë. , P. KERAVAL. XXXIII. Des affections mentales et nerveuses à la
période
secon- daire de la syphilis; par M. Scu.ISwvrTS
convulsive, post-convulsive de la grande atta- que d'hystérie : la
période
préconvulsive comprenant des auras sensitives (
minale, gonflement thoracique, constriction laryngée) ; la deuxième
période
comprenant une phase tonique avec immobilisatio
E NERVEUSE. longues et convulsives et toux explosive ; la troisième
période
enfin correspondant à la période post-convulsiv
s et toux explosive ; la troisième période enfin correspondant à la
période
post-convulsive et se terminant d'ordinaire bru
vés. A l'Asile on peut encore observer des réactions suicides à une
période
plus avancée, mais elles perdent de plus en plu
utions associées à la der- nière et surtout le pseudo-suicide à une
période
avancée de la maladie : le malade se tuant sans
es problèmes nombreux et complexes qui sont à résoudre pendant la
période
de scolarité de ces petits déshérités. Question
le traitement curatif à l'approche et pendant toute la durée de la
période
menstruelle, c'est-à-dire pendant huit à dix jo
moins quelques jours avant l'époque présumée des règles. pendant la
période
menstruelle et quelques jours après ; elles peu
n'avaient ainsi produit que des symptômes d'irritation, qui, en une
période
ultérieure, auraient fait place à des symptômes
alors même que la malade étendue à terre était à peine sortie de la
période
de torpeur consécutive à la crise, la ruminatio
he persistait pendant la phase entière, atteignait son maximum à la
période
d'acmé de cette dernière et disparaissait ensui
ue et de l'ouïe; puis s'est déclarée, plus ou moins rapidement, une
période
de mélancolie anxieuse entrecoupée de poussées
n examen prolongé des coupables qui plai- dent la folie pendant une
période
d'observation suffisante à l'asile. SIMON. II
le médecin. Ce ne sera pas parce que certains aliénés auront eu des
périodes
d'agitation durant lesquelles ils se seront mon
s. L'état de mal épileptique n'a offert, ici, que la pre- mière
période
ou période convulsive, composée seulement de 8
de mal épileptique n'a offert, ici, que la pre- mière période ou
période
convulsive, composée seulement de 8 accès, ces
ouvent elle s'élève à un chiffre supérieur. D'autres fois, après la
période
convulsive, après la cessation des accès, la te
ve plus ou moins vite, monte au delà de 40° et le malade succombe '(
période
méningitique) . Enfin, dans d'autres cas, les a
s le nom de parésie spasmodique des vieillards atheromateux. A la
période
d'état, la démarche parêto-spasmodique coïncide
'auteur; mais il a tendance à rattacher à la partu- rition, et à la
période
immédiatement voisine un délire avec agita- tio
des -- toxiques par Alter, 151. Des - mentales et nerveuses à la
période
secon- daire de la syphilis, par Schai- kewit
st repris à 10 h. 35. M. Bourne- ville arrive au moment où après la
période
épileptoïde, le malade fait l'arc de cercle leq
lles fortement dilatées, la respi- ration bruyante. Une troisième
période
épileptoïde survient marquée par le cri c Euh !
e inférieur droit, tandis que le gauche est soulevé à 45°. Nouvelle
période
épileptoïde débutant par le même cri étouffé que
tas ! oui, quand je suis sorti j'ai trouvé Paris changé. » Nouvelle
période
épileptoïde. Repos, respiration toujours bruyan
e côté gauche, puis il retombe brusquement à genoux. Cri étouffé,
période
épileptoïde, secousses tétaniformes. Repos. Eva
convulsifs latéraux, la bouche est déviée à droite. Puis il y a une
période
de stertor, avec ronflement pendant laquelle le
dée comme l'autre d'un gémissement. Il est impossible de saisir une
période
tonique; les convulsions cloniques arrivent pre
ns diverses. Il a à son réveil perdu complètement le souvenir de sa
période
de sommeil. 7.-On l'hypnotise de nouveau et on
rie de secousses tétaniformes de plus en plus rapides suivies d'une
période
de stertor avec écume. Il est bientôt pris d'un
ses tétaniformes de plus en plus rapides, après quoi sur- vient une
période
de stertor, avec rapidité de la respiration et
ussi intenses d'un côté que de l'autre.-La crise se termine par une
période
de stertor bruyant, avec résolution complète et
20 nouvelle attaque avec : 1° rigidité; 2° phase tétani- forme ; 3°
période
clonique avec mouvements étendus; 4° stertor. A
par les viandes saignantes elles bains sédatifs, et pen- dant cette
période
, il eut deux ou trois attaques. Il eut huit atta-
és et les globes oculaires convulsés en haut et en dedans. Après la
période
de résolution il rouvre les yeux. Le regard est
anche, léger stertor. Il se retourne alors brusquement. 1° Nouvelle
période
épileptoïde, puis secousses tétaniformes des ja
on est sur les Fig. 7. Température dans un état de mal limité à la
période
convulsive Le signe correspond à la T. aussitôt
Fig. 8. - Température dans un état de mal terminé par la mort à la
période
méningitique. Le signe- correspond la T. une de
ous avons distingué dans l'état- de : mal épileptique complet- deux
périodes
: une période convulsive et une période méningi
ngué dans l'état- de : mal épileptique complet- deux périodes : une
période
convulsive et une période méningitique. Dans
pileptique complet- deux périodes : une période convulsive et une
période
méningitique. Dans certains cas; l'état de mal
ns cas; l'état de mal est constitué exclusive- ment par la prcm'jre
période
. Alors, ainsi que le montre la figure i, la tem
ès une asccnsion considérable de la température, correspondant à la
période
convulsive, les accès disparaissant, on voit le
même temps que la température diminue (fig. 7) ; puis survient la
période
méningitique qui peut se terminer par la mort (
s consécutifs a des séuiesOtllil72 état de mal; déchéance. Gâtisme.
Périodes
mélancoliques. (7S5. Etat de mal; broncho-pneum
nhalations, l'anesthésie d'abord, puis larésolution musculaire ; la
période
d'excitation n'a jamais été bien accusée ; le r
à se cacher dans tous les coins du service. Il présente souvent des
périodes
d'agitation qui obli- gent, faute de cellule ou
ie à laquelle le malade était soumis depuis le 9 juin. Durant cette
période
de traitement le nombre des accès a toujours ét
e à cause de la multiplicité des accès; il ne gâte que durant ses
périodes
d'accès. Puberté. Léger duvet à la lèvre supéri
e brutale sur le front, plaies confuses fréquentes de la tête ; -
périodes
d'excitation maniaque; accès sériels ou états d
r à poser un diagnostic précis. C'est ainsi que Schad.. avait des
périodes
durant lesquelles il était calme, se tenait plu
t casser. 13 mars. La parole est toujours défectueuse. Il y a des
périodes
où l'enfant est paresseux. Il a peu de goût pour
u'il ne l'était en 1880. 3 juin-li août. L'enfant a eu durant cette
période
une dysenterie assez intense (selles sanguignol
susceptibles, peut-être d'être rattachés à l'urémie. Durant cette
période
la température a oscillé entre 37°, 9 et 36°, 6.
sens musculaire du côté gauche). Dr..., en 1865, à la suite d'une
période
de tristesse, causée par des chagrins particuli
Dans un certain nombre de cas, il précède ou il suit le mutisme. La
période
d'aphasie peut être relativement très courte, a
d'une attaque convulsive. Peut-être existe- t-il dans ces cas, une
période
aphasique assez courte, pour échapper au malade
y était qu'un incident accessoire. Dans les nôtres au contraire, la
période
d'aphasie a été tellement courte que ce symptôm
endant le sommeil. maladie DES tics et tremblement. 29 Durant les
périodes
troublées, on peut évaluer en moyenne aux chiff
type a duré longtemps, restant fidèle à lui-même pendant une longue
période
. Aucune lenteur et aucune gauoherie dans les mo
. Dans notre cas, l'unique manifestation a été, pendant toute une
période
, cette rare localisation. L'histoire de la mala
S. leptiques disparaissent ordinairement plus ou moins pendant la
période
aiguë et fébrile de la maladie intercurrente. Mai
ilepsie compliquée d'une affection aiguë intercurrente, pendant les
périodes
les plus aiguës de celle-ci, l'épilepsie ne se
le, les troubles de l'ouïe pouvant se produire à n'im- porte quelle
période
du tahes. - M. Fano a soumis trente-six d'entre
s : actuellement il gagne sa vie. Un incident caractéristique de la
période
d'impuissance apparente des quatre membres : un
ale que la valeur terminologique de mots propres à caractériser une
période
, un épisode, de processus morbides com- plexes
originel, primitif; il apparaît dans les psychoses après une courte
période
de délire, et se manifeste souvent sous forme d
sus inflammatoire. A l'état physiologique, elles appartiennent à la
période
de développement du jeune acte, mais font absolum
ervé qu'un moi- gnon court, partiellementmobile. Ainsi, pendant une
période
de cin- REVUE d'anatomie ET DE physiologie path
ion artérielle est la règle chez eux. Dans l'état de mal et dans la
période
d'inconscience de l'attaque d'épilepsie, le tracé
pouls varie suivant les phases de la maladie : a) dans la première
période
, la systole est éner- gique, niais brusque, la
nt la conséquence des tremblements musculaires ; b) dans la seconde
période
, l'impulsion du choc est modérément torte et la
ui annonce une tension aftériette assez élevée; c) dans la dernière
période
, la systole ventriculaire est faible, et le tra
tracé est assez semblable à celui que l'on observe dans la première
période
. (il, Le tracé du pouls dans la démence indique
nt d'obstruction aortique, lorsque ces af- fections ont atteint une
période
avancée. R. M. C. Il. Tabès \TAXO-SPA.5M')DfU
ûmesd'exatlation et d'expansion qui caractérisent si communément la
période
de début de la paralysie générale vraie. D'autr
s que, chez quelques sujets, la neurasthénie entre dans une seconde
période
qui est celle des troubles mentaux élémentaires
oit avoir une termi- naison favorable, soit aboutir à une troisième
période
, celle de la névrose et de la psychose organisé
ression (idées de persécution) chaque cycle durant six mois; pas de
période
de lucidité intermédiaire. Pen- dant la phase d
ase dépressive, sitiophobie, insomnie, déchéance soma- tique; cette
période
se montre de préférence l'eté, l'état maniaque
e myéline ont diminué de volume; on croirait assister aux premières
périodes
de développement des fibres cérébelleuses. Para
pendant la guerre franco-allemande et bien qu'exposé pendant cette
période
à des fatigues et des privations de toute espèc
Au contraire, dans l'hystérie pathologique, autrement dit dans ces
périodes
où les troubles hystériques se manifestent soit
e manifestent soit par la grande attaque convulsivc avec ses quatre
périodes
, soit par l'attaque simplement bornée à l'une d
ériodes, soit par l'attaque simplement bornée à l'une de ces quatre
périodes
, soit encore par la crise à forme d'épilepsie p
c'est la règle, l'asphyxie a marqué le début des accidents. A la
période
comateuse succède une période de parésie généra
a marqué le début des accidents. A la période comateuse succède une
période
de parésie généralisée qui cesse au bout de que
nous faisons allusion (Alberti 2) la jambe droite au sortir de la
période
comateuse était tout à fait inerte, le pied tou
çon automatique. Le type de cet état spécial nous est fourni par la
période
sommanbulique du grand hypnotisme, mais il est
ndons ou autres tissus, dé- termine de véritables réflexes, mais la
période
latente de la contraction est alors plus lente
rente chiens de divers âges ; depuis l'âge d'une semaine jusqu'à la
période
adulte. Après leur avoir fait subir toutes sort
des. L'acide phosphorique excrété n'est pas augmenté, même dans les
périodes
de suractivité intellectuelle. Sur 5.000 analys
t de la paralysie générale, et elle est ordinairement limitée à une
période
variable et s'étend à tous les faits de cette p
limitée à une période variable et s'étend à tous les faits de cette
période
. La paralysie générale et la manie consécutives
un examen plus rigoureux à l'entrée des détenus, et une plus longue
période
d'observation. Chaque fois que des troubles psy
chopalho- génétique comme des autres maladies infectieuses aiguës à
période
fébrile égale. Les condamnés qu'il a l'habitude
ent la crainte de supplices imaginaires. Au bout d'un mois environ,
période
d'accalmie, la malade raconte que les semaines
claudication intermittente du coeur et du rein pendant la première
période
; troubles viscéraux, urémie, troubles nerveux
bulbe (respiration de Cheyne-Stokes). Le vertige appar- tient à une
période
antérieure à ces derniers troubles ; on le renc
par la pression exercée sur la région affectée. - Cette première
période
dure dix jours. Aux accès de cépha- lalgie vien
née de la région externe de la jambe. ' Enfin, après une nouvelle
période
de cinq jours, quelques-uns des phénomènes que
es quinze jours, sans présenter, du reste, aucune relation avec les
périodes
menstruelles. La malade put observer ainsi avec
jà utilisé par l'un de nous dans ses recherches antérieures (sur la
période
latente et sur la secousse musculaire) faites à
ervice et pendant les premiers jours, la malade a présenté quelques
périodes
d'excitation d'ailleurs peu accentuées. Elle pr
hysionomie un peu mystique. Nous avons pu reproduire ce délire à la
période
d'excitation du chloroforme, et le voici transcri
aine de l'inconscient. Quant au temps passé (je parle surtout de la
période
postérieure à l'accouchement), elle en raccourc
mplis d'autre part, le travail qui seul aurait pu exiger une longue
période
, et je me trouve très loin de ce que j'espérais f
oute spontanéité semble abolie; mais habituellement ces animaux, la
période
de calme passée, font quelques courses Les loca
e série d'observations attentives sur des chiens pendant une longue
période
après une destruction très grande des deux hémi
orce et l'application des électrodes sur les fibres médullaires, la
période
de retard descend à 30 secondes, environ un tie
deux fonctions, abolition parallèle, uniforme, qui se perpétue à la
période
d'atrophie du tissu nerveux. L'intégrité des réfl
lement de l'analyse années par années mais encore du groupement par
périodes
quinquen- nales. ~ P. K. XLVII. Folie DE l'en
clarté, nous reconnaîtrons dans notre description l'existence de deux
périodes
. Première période. 1° Le mode d'invasion de la
trons dans notre description l'existence de deux périodes. Première
période
. 1° Le mode d'invasion de la paralysie infantile
ls sont, Messieurs, les caractères les plus saillants de la pre-mière
période
de la paralysie infantile ; je vous demande la pe
, les glo-bules rouges discoïdes, létat adulte et, les microcytes, la
période
de sénilité. Entre ces phases bien distinctes on
de d'un vomitif, dans de sem-blables conditions et n'importe à quelle
période
de la maladie, avait une véritable efficacité ; l
teinte du croup et admise à l'hôpital au commencement de la troisième
période
, dite d'asphyxie ou d'anes-thésie progressive et
acenlhèse. Par ses mensurations, M. Woillez a pu constater: 1° que la
période
d'état, c'est-à-dire celle dans laquelle l'épanch
c'est-à-dire celle dans laquelle l'épanché* ment reste stationnaire,
période
qu'on croyait constante, est assez rare dans la p
presque aussitôt que l'ampliation a cessé de se produire, el que la
période
d'état dure vingt-quatre ou quarante-huit heures
ulement, M. Woillez a con-staté à la mensuration l'existence de cette
période
d'état. 2° Vers le vingtième jour, la pleurésie
M. CHRCOT, à la Salpêtrière (juillet 1870). § Il (suite). Deuxième
période
. Messieurs, la régression des symptômes dont nous
es symptômes dont nous venons de vous entretenir, inaugure la seconde
période
de la paralysie infantile. Elle commence à s'accu
ou dix mois après le début, époque qui marque la terminaison de cette
période
rétrograde, les muscles qui n'ont pas recouvré le
jours ou même de quelques semaines. Il est d'autres cas où dans la
période
de régression il se produit des temps d'arrêt ou
st là un sujet qui réclame encore de nou-velles études. A. Première
période
. C'est surtout relativement aux premières phases
a majeure partie des faisceaux primitifs subirait dans celte première
période
, l'atrophie simple, sans dégénération graisseuse.
, d'une façon très-nette, dans des cas de date ancienne. B. Seconde
période
. Si l'on étudie les muscles altérés à une épo-que
ent accru de manière à reproduire exactement ce qu'on observe dans la
période
ultime de l'affection décrite par 1 Volkmann, l
vons éprouvés dans une de nos expériences. Le délireest alors dans sa
période
d'état: les idées se pressent en foule, s'entre-c
qui n'est pas toujours le même ; ils peuvent être interrompus par des
périodes
de calme suivies de périodes d'exacerbation; mais
e ; ils peuvent être interrompus par des périodes de calme suivies de
périodes
d'exacerbation; mais leurs plus grandes variation
veur de l'efficacité du Hachisch, que la guérison eut lieu clans la
période
où la maladie a l'habitude de se terminer parla m
ents, toux, etc. » Il y aurait donc nécessairement pour Spring deux
périodes
dans la méningo-encéphalocèle : dans une première
pring deux périodes dans la méningo-encéphalocèle : dans une première
période
, antérieure à la naissance, la tumeur ne contiend
ance, la tumeur ne contiendrait que de la sérosité ; dans une seconde
période
, postérieure à la naissance, la tumeur contien-dr
peut même exister au septième mois de la vie intra-utérine. Les deux
périodes
indiquées par Spring ne sont donc nullement néces
suivie pas à pas par l'auteur, est indiquée et résumée dans les trois
périodes
suivantes : Première période : Digitaline ci do
st indiquée et résumée dans les trois périodes suivantes : Première
période
: Digitaline ci doses thérapeutiques. — Elle prod
iquides et solides, morbides d'abord, et. normaux ensuite. Deuxième
période
: à doses contro-stimulantes.—Il y a deux actions
xcentriques, cutanée, muqueuse, salivaire, biliaire, etc. Troisième
période
: à doses toxiques. On observe deux temps suc-cess
Au premier temps : Exagération de tous les phénomènes de la deuxième
période
. Au deuxième temps : 1° hyposlhénisation des ce
gues à se cicatriser complètement. M. Peltier étudie les diffé-rentes
périodes
de ces plaies, et donne le traitement employé.
, je crois, pour vous convaincre, messieurs, que, dans cette première
période
, la simulation a été impossible. Mes amis, MM. le
ié entre 0 et 5 grammes : moyenne, 2sr,50 en 24 heures. Pendant cette
période
, l'ischurie a été absolue de deux jours l'un. E
les deux phénomènes. Quel a été l'état général pendant cette longue
période
de quatre mois qu'a duré l'observation? A aucune
elle-ci : chez notre malade, l'anurie complète n'a jamais dépassé une
période
de dix jours. Or, d'après les explications qui pr
par les vomis-sements a sans doute frappé votre attention. Durant une
période
de douze jours, avons-nous dit, elle n'avait rend
été con-sidérée, pendant si longtemps, comme l'état régulier à cette
période
de la vie. C'est donc chez les jeunes femmes nul
cle cardiaque lui-même l'est davantage ; les accidents de la deuxième
période
des maladies du cœur sont préci-pités (troubles d
ont préci-pités (troubles de l'hématose) et le passage à la troisième
période
est accéléré (troubles de l'hématopoièse). Des in
On verra, en effet, par les détails de notre observation que, dans la
période
ascendante de l'éclampsie, le thermomètre s'est é
re s'est élevé progressivement jusqu'à 59 degrés, tandis que, dans la
période
décroissante de la ma-ladie, il a baissé successi
aisemblable de l'état cachectique actuel, est arrivée elle-même à une
période
avancée. La voix, qui pendant longtemps est demeu
plus haute importance : il faut de l'immobilité au début, pendant la
période
de la fièvre et des accidents inflammatoires. Ell
int sur lequel je veux surtout insister, —jamais pendant cette longue
période
convulsive la tempé-rature rectale ne s'est sensi
ns cas hybrides d'atrophie musculaire pro-gressive, et à une certaine
période
de cette affection, dans les para-lysies traumati
rend de la fermeté. Le sommeil est plus calme. 1er avril. Après une
période
prodromique de trois jours, le malade est pris de
.). — Le cancer du col cle l'utérus est beaucoup mieux connu dans ses
périodes
avancées qu'à son stade de début. La plupart des
ous avons observé souvent des femmes atteintes de carci-nome dans une
période
avancée, traitée depuis longtemps par leur médeci
ture dépasse 37° lorsque les accidents inflammatoires débutent; à une
période
plus avancée, elle est inférieure à celle de la r
parsemé d'un nombre va-riable d'éléments embryonnaires à différentes
périodes
de leur dé-veloppement. — Le» vaisseaux paraissen
t par état puerpéral l'auteur comprend avec le professeur Pajot cette
période
qui commence avec la délivrance et finit au retou
i en constitue le tableau symptomatique et qui domine, à une certaine
période
, toute la scène morbide. » C'est cette lésion ner
s spéciaux à la myélite du mal de Pott, en l'étudiant aux différentes
périodes
de son évolution. Alors qu'il n'existe pas enco
1895, 1896 et 1897 que chez les épileptiques, qui sont dans leurs
périodes
d'accès, le timbre de la voix devient moins cla
icl2e.s, convulsifs ou psychiques, les autres des impulsions ou des
périodes
d'excitation, ces jours-la et les jours qui sui
venus de la grosseur d'une olive. , C.... est très II10hile ; a des
périodes
alternatives 'dE bitm et de maul ; taquiné ses
us le rapport des exercices scolaires, mais il ne travaille que par
périodes
. Il essaye de fumer des bouts de cordon, du jon
eux séries de troubles, évoluant simultanément, caracté- risent ces
périodes
d'excitation : c'est d'une part un trouble ment
nu, les selles sont régulières. Elle est taquine, rusée, durant ses
périodes
de lucidité. Ainsi, durant la nuit du 19 au 20,
istance de la toux et de l'expectoration. 22-24 avril. - Durant les
périodes
de calme, la malade est abattue. Il lui arrive
nt de plus en plus triste, on essaie en vain de la distraire. Cette
période
mélancolique dure de la mi-décembre à la mi-fév
ours et, aussitôt, elle lui fait des propositions et s'exhibe. La
période
a a duré depuis le 6 avril jusqu'à la fin de ju
remonte à la gorge ». Pas de paralysie d'un côté du corps. Pas de
période
d'incontinence d'urine. Aime beaucoup rester au
ressé des injures à tout le monde. Au bout cle plu- sieurs jours la
période
d'excitation s'est progressive- ment atténuée.
il est calme, en- trecoupé de réveils brusques avec cris, suivis de
périodes
de calmes. 28 novembre. L'enfant entre il l'i
de quitte l'infirmerie le 5 octobre. Traitement : Durant toute la
période
d'état de la maladie, le traitement a consisté
fs.locaux sur le. thorax. Il semble que ce malade soit entré à la
période
de défervescence de la lièvre typhoïde et qu'il
, en fournis- sent l'explication. V. La fièvre typhoïde, sauf une
période
passagère d'agitation, paraissait avoir une mar
été soigné dès le début des accidents ; tous se sont présentés à la
période
d'état de leur affection, les uns offrant déjà
- Conduite et travail réguliers jusqu'en juin 1894 (16 ans j/2)' -
Périodes
de tristesse et de taciturnité alter- nant avec
/2)' - Périodes de tristesse et de taciturnité alter- nant avec des
périodes
de bavardage et d'excitation ; cépha- lalgies s
sionné par la cérémonie funèbre de Carnot (Juin 1894). - Retour des
périodes
de mélancolie alternant avec des périodes d'exc
(Juin 1894). - Retour des périodes de mélancolie alternant avec des
périodes
d'excitation. - Contrariété, achat de trousseau
té consécutive. Nouveaux essais de placement. - En décembre 1894,
période
de mélancolie et de loquacité. - Emprunts d'ar-
it pas à ses parents, mais continuait à parler aux clients ; il ces
périodes
de mutisme succédaient des période.1' de bavard
t à parler aux clients ; il ces périodes de mutisme succédaient des
période
.1' de bavardage exagéré : en même temps douleur
rices, ses cha- peaux ne lui plaisaient plus. l'uis est survenu une
période
de mélancolie. Il va passer quinze jours chez u
lie et la /o(juacilé sont de plus en plus accentuées; pas de bonnes
périodes
. Le 2'juin (1895), Edouard emprunte 40 francs i
onvenablement. - Il a conservé les connaissances acquises durant sa
période
d'écolagc, les a augmentées par des lectures di
ssent de l'état du moment : très lisible et très régulière dans les
périodes
de rémission, elle est tourmentée et irrégulièr
périodes de rémission, elle est tourmentée et irrégulière dans les
périodes
d'excitation, la lettre qu'il a écrite de Belfo
le 20, qui disparait le 25. Le bavardage incessant persiste; pas de
période
de mélancolie. Décembre. L'enfant est très tran
ticulier; mais au moment où Edouard devient pubère, on remarque des
périodes
d'excitation et de (1) [Depuis la rédaction de
1888. DÉPRESSION, EXCITATION. Il f bavardage, alternant avec des
périodes
de mélancolie et de taciturnité, le tout accomp
zarres, éprouve un besoin de mouvement sans but, puis, survient une
période
de mélancolie il laquelle succède une période d
puis, survient une période de mélancolie il laquelle succède une
période
de loquacité ; et l'alternance de ces phénomène
iage disparaît, Edouard n'est plus indiscret; on ne constate qu'une
période
courte cle mélancolie, et elle reste isolée ; l
nt la quantité tous les dix jours, de telle sorte qu'à la fin de la
période
de traite- tement chaque malade prenait dix cen
rothérapique ; nous donnons ici le relevé de leurs accès pendant la
période
où ils ont pris le bromure d'or et pendant les
érapie et nous aurons soin de com- parer les accès notés durant les
périodes
correspondant au traitement avec ceux qui ont é
rrespondant au traitement avec ceux qui ont été relevés aux mêmes
périodes
durant l'année ou les années antérieures. C'est
t a eu 40 accès et 2 vertiges, et 28 accès et 2 vertiges pendant la
période
correspon- dante de 1880. De mai à décembre 188
16 janvier 1881 du bromure de potassium : il n'a pas pré- senté de
périodes
d'excitation pendant le traitement hydrothé- ra
ervations. 69 dante; la face, qui était devenue violacée pendant la
période
clonique, devient progressivement très pâle (10
en 1882 a ce- pendant eu 23 accès de moins qu'en 1881 pendant la
période
correspondante au traitement hydrothérapique de
idérable d'observations, relatives à des malades soumis pendant une
période
plus longue au traitement hydrothérapique. C'es
durée du traitement (4 mois) tandis que l'an- née dernière, pour la
période
correspondante, nous trou- vons 115 accès et 14
29 avril. La nuit a été plus calme ; cependant il y eu encore deux
périodes
de cris. A la visite, agitation moindre qu'hier
u cas, ainsi que vous pouvez vous en assurer, la lésion était à une
période
relativement moins avancée ; la substance grise
n cri et tombe en avant; on le dégage et on le couche par terre; la
période
de rigidité est assez courte; elle est remplacé
t les quatre membres et la face et durant un peu plus longtemps; la
période
clonique est caractérisée par des convulsions f
es convulsions fortes, assez prolon- gées et égales des deux côtés.
Période
de stertor : ron- flement bruyant, bouche rempl
27 au 31 août 1881, on signale à la suite d'une sé- rie d'accès une
période
de stupeur assez marquée; le ma- lade n'a pas d
que nous raconterons plus loin, telle qu'il l'a décrite du- rant la
période
de délire d'une de ses crises. Il quitta alors
soulevé en masse et jeté sur le lit voisin. Il y aurait aussi une
période
terminale de délire dans laquelle il parle do l
au- trefois avec une fille ; ceci dure environ de 6 à 7 minutes.
Période
tonique. - Soudain, il se met sur son séant et
dirigé en haut, les lèvres agi- tées d'un tremblement convulsif.
Période
de délire. - Cet état de tétanisme disparait et
, il veut retourner au gymnase et appeler l'infirmier. Attaque, -
Période
épileptoïde. En descendant l'esca- lier de cinq
uré environ 10 minutes et parait avoir été tout à fait limitée à la
période
épileptoïdc. - Nous le voyons au moment où il v
lade est pris d'une attaque d'hystérie : Pas de cri initial, pas de
période
tonique; mais, dès les premiers spasmes, il ren
résulte qu'elles offraient la plupart des symptômes classiques. La
période
de délire était, ici, très caractéristique, et
les inhalations, anesthésie d'abord puis résolution musculaire ; la
période
d'excitation n'a jamais été bien accusée ; réve
fortes, chacun le sait, ont la dangereuse propriété, à la première
période
de leur action sur le cerveau, d'exagérer les m
and ces dispositions d'esprit sont intermittentes, séparées par des
périodes
de bonne humeur et de jovialité, elles ont une
ue de la première évolution génitale, une au retour d'âge. Ces deux
périodes
sont les périodes cri- tiques de l'existence, c
évolution génitale, une au retour d'âge. Ces deux périodes sont les
périodes
cri- tiques de l'existence, celles où l'organe
ques constatés étaient semblables à ceux qu'elle présenta durant la
période
criminelle du 28 juillet au 19 août. Observat
étaient devenus incoercibles. Il succomba le 23, à la suite - d'une
période
fébrile intense, à un cancer du foie, comme l'a
le de la tète et de l'ab- sence absolue, pendant toute cette longue
période
de vingt- six années (1857-1883), de symptômes
terons que cette monomanie exaltée est absolument confondue avec la
période
prodromique de la paralysie générale et certain
ux sous-variétés. La première, hallucinatoire dépressive, après une
période
d'incu- bation très longue, éclate souvent à la
délire des persé- cutions, qu'il décrit complètement avec ses trois
périodes
hypo- chondriaque , de persécution , de grandeu
r à l'état chronique. La forme chro- nique peut se diviser en trois
périodes
. Le début de la première est difficile à précis
e surtout par des tendances hypochondriaques. Puis, dans la seconde
période
apparaît un délire de persécutions à développem
de grandeurs; c'est surtout ce délire qui caractérise la troisième
période
, laquelle peut aboutir à la démence. Comme variét
mode uniforme et continu dans la voie de la folie chronique, où les
périodes
s'éta- ient dans une coordination rigoureuse ?
que le fond morbide tend, peu à peu, à se modifier; c'est une autre
période
qui se dessine, et qui n'est pas sans apporter
apparais- sant invariablement dans le même ordre : Il La première
période
, dite d'incubation, où le malade qu'on trouve i
ou moins longues, les interprétations délirantes; 2° La deuxième
période
, constituée par l'organisation d'un dé- lire de
nstallent, se coordon- nent et se systématisent ; 3° La troisième
période
, caractérisée par l'intervention d'idées de gra
me du délire et la transformation du moi maladif; 4° La quatrième
période
, phase terminale de l'évolution vésa- nique où
iller six à huit semaines de suite. M. GRASHEY. Mais, pendaut cette
période
, les agents ont parfois douze heures de parfait
facile à expliquer que l'humeur mélancolique fût fréquente dans les
périodes
de début de la ma- ladie. Dès les premières a
rlatine régulière ; anthrax; 2° Signes et diagnostic de la première
période
de la phthisie pulmonaire ; frac- tures de la c
de Seeligmüller ; dans le nôtre, il pouvait arriver que pendant une
période
de repos complet plusieurs des muscles le plus
rqua qu'il frappait le sol fortement avec ses talons. Pendant cette
période
de temps, il marchait, dit-il, comme un homme i
er en folie systématique; mais il a vu des fous systématiques à une
période
avancée de la maladie (démence), avoir des conc
ancolie et la folie systématique n'ajamais été chez ses malades une
période
de parfaite santé, le nouveau complexus psychique
lus ni moins d'hérédité que dans la manie ou la mélancolie. 5° La
période
de maladie des formes aiguës et le début de cel
chronique (suite de la discussion). M. FALRET con- firme les quatre
périodes
du délire chronique telles que les a exposées M
rquer M. Cotard, c'est le délire des négations qui serait plutôt la
période
terminale de la mélancolie anxieuse. M. Dagon
une même évolution, évolution fatale et caractérisée par plusieurs
périodes
nettement définies. Aussi le délire des persécu
une vésanie ou psychose à marche progressive et chronique dont les
périodes
successives sont une phase d'inquié- tude, suiv
éterminée d'une vésanie chronique impli- quant nécessairement comme
période
antécédente le délire des persécutions. Dénom
agnan nous a aussi cité des délirants chroniques qui ont guéri à la
période
des persécutions. M. PICHON lit deux observatio
i constituent le tableau symptomatique de la lèpre anesthésique. La
période
anesthésique est précédée de douleurs névralgiq
de l'ouïe (Leloir). L'auteur 'étudie en détail les symptômes de la
période
d'état : -. Il l'anesthésie souvent d'une remar
tracture réflexe d'origine articulaire, Migraine ophthalmique, à la
période
initiale de la paralysie générale. VI. Hystérie
améliorations; sur les dix enfants qui étaient soumis à une seconde
période
de tiaitement (rechutes ou simples améliorations
tique si l'on veut, mais caractérisée par une course remplaçant les
périodes
tonique et clonique de l'accès ordinaire. Pou
s se trouve modifié ; le malade ne se lève pas; on n'observe pas de
période
tonique, mais seulement de grands mouvements de
injection de la face, en général, sans aura, ni cri, ni chute, ni
période
tonique. La période clonique semblait remplacée
ce, en général, sans aura, ni cri, ni chute, ni période tonique. La
période
clonique semblait remplacée par la course; le r
de est couché, il lui arrive le plus souvent de ne pas se lever. La
période
tonique manque comme ci-dessus, mais la course
e ci-dessus, mais la course qui semble cor- respondre chez lui à la
période
clonique est rem- placée par de grands mouvemen
ces derniers mois, on a noté l'apparition d'accès ordinaires (cri,
périodes
tonique et clonique, bave, morsure de la langue
ouleur est excruciante, mais elle varie d'intensité aux différentes
périodes
de la"maladie. Lorsqu'il y a quelque temps qu
de, même la généralisation possible de celles-ci. Vient ensuite la
période
^paralytique dans laquelle Jackson ne manque pa
succéder à de simples tendances délirantes qui semblent en être la
période
prodromique et dont ils ne sont en somme que l'
ncien délire systématisé. Cette pé- riode de démence est plutôt une
période
de confusion mentale. A l'inverse des auteurs q
tres les admettent comme une forme rudimentaire, d'autres comme une
période
prodromique, d'autres enfin comme un épisode da
olitude et n'ayant des préoccupations que pour sa santé (pre- mière
période
) plus tard, persécuté autant qu'on peut l'être po
les francs-maçons mis en campagne par son concierge, etc. (deuxième
période
;) puis orgueilleux, ambitieux, mégalomane en un
r sa seule influence une guerre dont nous étions menacés (troisième
période
). Que voulez-vous de plus ? Pour nous l'observa
. Dagouet qui l'a considéré comme guéri sans avoir passé par aucune
période
ambitieuse. Ne semble-t-il pas que ce soitaller u
tions comme une espèce nosologique distincte qu'il divise en quatre
périodes
successives correspondant à peu de chose près à
t encore que si l'intelligence des persécutés arrivés à la dernière
période
s'all'ai- blissait, toutefois la manifestation
art dans cette affection un substratum somatique manifeste. Dans la
période
prémonitoire les malades ont de l'angoisse, de'
de manie intermittente, mais les accès sont séparés par de longues
périodes
d'équilibre intellectuel complet. MARCEL Briand
stion mentale), pour aboutir au braidisme les auteurs arrivent à la
période
moderne de l'hypizo- tisme. c Bref, disent-ils,
: les procédés de l'hypnotisation, les symptômes de l'hypnose, les
périodes
hypnotiques, l'hypnose fruste, - la théorie de
a subi la fonte granuleuse dans toute son épaisseur, représente la
période
d'état du processus dégénératif; en c où la myé
rve le dernier terme de ce processus; tandis qu'au delà, en b, la
période
de restauration commence et s'accuse par la for
ine au moment où commencera la NÉVRITE SEGMENTAIRE PÉRI-AXILE. 23
période
de réparation; celle-ci s'effectuerait alors à
t pas eu le temps de se développer et se montre par conséquent à sa
période
initiale, il peut se faire, comme nous l'avons
a névrite segmentaire périaxile 2Ï le ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ' la
période
de restauration ou à la fin de la période de dé
ATOMIE PATHOLOGIQUE. ' la période de restauration ou à la fin de la
période
de dégénération. Quant aux modifications qui on
aucoup d'analogie avec celles que produit la névrite périaxile à la
période
de restauration, comme il est facile de s'en as
s et minces limités par des étranglements annulaires bien marqués. (
Période
de restauration.) fit. 2. Fibre nerveuse vue à
Dicnze lésion que dans la / ! yM ? jt);'ece ? : <e arrivée, une
période
^un peu plus avancée de son évolution. - A, cylind
laccidité des muscles à l'état de repos, caractères déjà notés aune
période
avancée de l'ataxie. Nous avons de plus constat
'avons pas rencontré ces variations chez les tàbétiques encore à la
période
des douleurs fulgurantes et' qui n'avaient poin
psie avaient le même siège, que le sujet, fût, ou ,non, arrivé à la
période
d'incoordination., La seule diu'p- rence anatom
aux. Si, dans de telles conditions, le malade est à la pre- mière
période
de la paralysie générale, il ne se pré- sente p
tard, les antécédents connus, il devient facile de reconstituer la
période
prodromique de la paralysie générale ainsi trav
exacerbations par intervalles irréguliers. C'est à la suite d'une
période
d'excitation avec prédomi- nance d'idées mélanc
NOTES SUR l'idiotie. 85 Nouvelle description de l'accès. Première
période
: Pas de cris. On note d'abord quelques petites
dirigés en avant ; les pupilles ne paraissent pas changer. Seconde
période
. La face et les yeux se dévient à droite. Il se
rature cépha- lique avait été notée chez le même malade pendant une
période
de calme. Ces résultats ont été consignés dans
température s'élève dans chacune des régions céphaliques pendant la
période
d'accès. c s f ! " li m M m x o
que ees asiles dont les malades sont sans instruc- tion ; 2° qu'une
période
d'excitation survenant chez un jeune homme par
ale gauche et à la compression cérébrale ainsi produite pendant les
périodes
de gonflement inflammatoire. Le sujet de la d
uits par de la méningite et de la pachyméningite apparte- nant à la
période
secondaire de la syphilis. La démence ne survie
es signes flagrants d'hérédité morbide. Nous insisterons'peu sur la
période
du moyen âge, qui nous est si familière. Sans d
ans, chez les nubiles adolescentes, parmi les adultes, aux diverses
périodes
, et jusque dans la vieillesse la plus avancée.
oduire desr JH'¡1J11jll'J)1 , 1, , l.fli, , - avec des produire des
périodes
d'excitation' maniaque avec des- hallucinations
ée, bien qu'elle soit très prononcée, même parve- nue à sa dernière
période
, ne se traduit anatomique- ment par aucune lési
prodromes et la malade se remet vite non cependant sans une courte
période
de stertor; quelque- § A. Leroy, loc. cit., p.
elle a été arrêtée et conduite à Sainte-Anne. Pendant toute cette
période
elle aurait eu un certain nombre d'accès d'épi-
nvolontaire; pas de coma à la suite de l'accès). Durant toute cette
période
, l'intelligence était devenue de plus en plus o
es qui l'entourent. C'est ainsi que, le 31 septembre 1876, dans une
période
d'exal- tation extrême, le malade se lève furie
et, ce qui existe; il y a ankylose cérébro-méningée. Enfin, dans la
période
de ce processus qui paraît la plus avancée, on
es a constater dans la n,v mr.t : .1'i lLl ? 1 tjt.b ? jfx-tntj a
période
initiale, que ces cellules, relativement peu nom,
symptômes de la paralysie ! . générale. Ce m'est qu'à ,la dernière,
période
,que,la similitude existe. En ! efFet,nous n;avo
lité des pupilles, etc., etc. que l'on observe dans les, premières,
périodes
,, de, la -.paralysie. générale., vil s'agit,, b
tion, et on en devine aisément la' raison : c'est que, durant cette
période
, la machine, électrique a été en quelque sorte
des défaillances, des lypothymies, c'est-à-dire dans les dernières
périodes
. Dans ces circonstances, il faut bien reconnaît
èrent les épileptiques comme irres- ponsables que pendant la courte
période
qui précède ou suit immédiatement leurs accès,
essus indiquées ne se rencon- treraient guère isolément que dans la
période
initiale de l'épi- lepsie. ,i,r ? ! l Il , Ex
re mystique, dont il ne garde aucun souvenir; c'est dans une de ces
périodes
qu'étant entré dans une église et voulant s'y d
ne voit les attaques d'épilepsie se montrer que dans les dernières
périodes
, mais elles sont alors permanentes et incu- rab
constant. Au contraire, au début du ramollissement, et pendant une
période
plus ou moins prolongée, il existerait une tend
de l'aisselle» (page 92). On y distingue, par conséquent, les trois
périodes
classiques, depuis les recherches de MM. Charco
ur répondre à celle de la méningite tuberculeuse dans sa première
période
. 2° L'hypothèse d'accidents aigus, greffés sur
ments du bras gauche, en pré- sence de la rémission qui a séparé la
période
d'excita- tion de celle de dépression à laquell
résentés par le malade rappellent ceux d'un typhi- que mourant à la
période
d'état. -Langue sèche et brune, fuliginosités a
diotie. 393 pagne où il est restéjusqu'à 6 ans et demi : dans cette
période
, les convulsions auraient reparu à plusieurs re
à la douleur, de telle sorte qu'à l'anesthésie complète succède une
période
d'analgésie. De même la sensibilité thermique n
du mal de Bright seraient précédées pres- que invariablement d'une
période
plus ou moins longue de neurosthénie. H. D'O.
s troubles psychiques (1855). L'observation do l'auteur comprend la
période
incluse entre l'année 1857 et la mort du malade
éra- lisés. Abstraction faite de sa manie spéciale et pendant les
périodes
de calme, le malade avait conservé assez de mémoi
res se répétant sur le même modèle et avec la même uniformité à des
périodes
relativement de lon- gue durée. Ainsi le malade
ment guérie par une fièvre typhoïde intercurrente au moment de la
période
d'apyrexie ; -une démence paralytique rétrocédant
QUES.- 1 Observation de AI. Régis : folie circulaire continue, sans
période
de rémission intermédiaire aux accès alternatif
e dans la grande analogie entre l'accès d'excitation et la première
période
d'exaltation fonctionnelle de la paralysie géné
ées quelquefois chez les ataxi- ques à la première ou à la deuxième
période
. L'hémiplégie spasmodique, dit M. Brissaud, n'e
n (V'.t4r( ? (t ? J,... ., les'douleurs enl éclairs' fugaces de la
période
tout a fait ECCHYMOSES.TABËTIQUE ? . 557 1.J1
nissant pas de fais- ceaux de nouvelles fibres aux anciennes. Cette
période
est enfin caractérisée par la disparition des n
ralysie infantile spinale. Les pièces anatomiques exa- minées à une
période
récente du début de cette affection (ô et It mo
ro- noncée bientôt suivie d'hémiplégie gauche ; dans' la dernière
période
, on observait l'impossibilité d'articuler d'une f
les plus constants du tabes dorsalis. Elle est fréquente même à la
période
initiale; elle est cons- tante dans le stade at
partenaient au stade de début du tabes; les vingt-huit autres, à la
période
ataxique. Le myosis avec immobilité pupillaire
ieurs années, est le retour complet de la sensibilité cutanée à une
période
avancée de la maladie, en même temps qu'une dim
plupart de ces désordres psychiques, ou 29 0/0, appartenaient à la
période
de la vie comprise entre 31 et 35 ans ; il y a,
dans le rapport de 43,5 0/0; toutefois, si l'on fait la part de la
période
de la puerpéralité, il faut convenir que la mél
urnalier. Il n'a pas même, comme ceux- ci, l'avantage de donner une
période
de stimulation intellec- tuelle.-Lepronosticdel
une moitié du corps, se manifestent par séries, composées des trois
périodes
classiques de l'épilepsie, et durant de 10 ou 1
ez rare, la miction invp\o,r.rt¡tire,¡)),st l,encore davantage, 'la
période
de stertor est assez^courte, peu prononcée et m
quelquefois la connaissance est conservée. Il n'y a en somme qu'une
période
tonique qu'on peut subdiviser en phase tonique
est perdue, les convul- sions de la face sont plus prononcées, à la
période
tonique succède une période clonique de convuls
s de la face sont plus prononcées, à la période tonique succède une
période
clonique de convulsions circonscrites aux membr
et prédominant au membre inférieur; quelquefois, il y a une courte
période
de stertor. Enfin, dans une troisième variété,
t envahir le côté droit, et cet accès généralisé se termine par une
période
éphémère de stertor. Dans les accès isolés, la
ance des asiles d'aliénés, viennent d'être nommés pour une nouvelle
période
de cinq années, depuis le 1 Il janvier 1881 .
s et minces limités par des étranglements annulaires bien marqués. (
Période
de restauration.) Fig. 2. Fibre nerveuse vue à
. Fig. 1. Mène lésion que dans la figure précédente arrivée à une
période
un peu plus avancée de son évolution. - A, cylind
disparition de la contracture n'apparaît qu'au bout d'une lon- gue
période
de maladie ; régulièrement après un repos prolong
auses diverses, peut être d'intensité variable; soit que pendant la
période
initiale elle produise un tissu scléreux plus ou
car même dans les hémiplégies d'origine cé- rébrale survenues à une
période
plus avancée de la vie, la paralysie faciale s'
coce pour permettre il ces fibres de s'étaler en avant pendant leur
période
de développement. On sait en effet, d'après les r
spasmodique. La comparaison de ces deux malades, frap- pés aux deux
périodes
extrêmes de la vie,est donc intéressante. Chez le
es extrémités, mais il n'a eu aucune influence sur l'apparition des
périodes
douloureuses et ulcéreuses. Le paludisme est un
fonctionnels apparais- saient ou s'exagéraient. Pendant toute la
période
active de sa vie (il fut d'abord tisseur, puis ho
u'il existe des trophcedèmes dont l'évolution est traversée par des
périodes
de poussée douloureuse, et d'autres qui s'accom
xemple de trophaedéme indolore. Voilà un homme qui pendant toute la
période
active de son existence s'est livré à un travai
raction. Exceptionnellement, d'autre part, le dément peut, dans une
période
d'hilarité, sourire à ses propres décora- tions
our laquelle un individu peut prendre au sérieux, même après que la
période
d'excitalion a cessé, un symbole adopté pendant
citations, pendant les intervalles des- quelles il avait de longues
périodes
d'inactivité (Dupré et Nathan) (1) ; et Schuman
st scolastique ; et qu'il est possible qu'un sujet qui commence une
période
de mal avec un peu de gaieté, en voyant une fle
les maniaques ne façonnent d'ornements à leurs habits que dans les
périodes
les moins graves de leur maladie. On affirme to
uvelle. 2° On n'observe aucune forme d'ornement du costume dans les
périodes
de mélancolie de la psychose maniaque-dépressiv
stées dans le même état jusqu'à la mort. Pendant toute cette longue
période
, la tolérance et l'accoutumance du cerveau ont
ne moelle saine durcie dans le liquide de Millier pen- dant la même
période
de temps, colorées avec les mêmes réactifs. La co
inière. En d'autres termes, une même cause agissant pendant la même
période
de temps sur des systèmes entiers de neurones a
D'ALIÉNÉS CIRCULAIRES. (Pailhas) . (Observation I) A. Dans une
période
de calme relatif. DESSINS ET MANIFESTATIONS D'A
t cas et usage qu'au moment des accès délirants, réservant pour les
périodes
de calme toutes ses prédilections pour la musiq
observation, se montrait nettement cir- culaire et substituait aux
périodes
d'exaltation lypémaniaque des périodes franchem
- culaire et substituait aux périodes d'exaltation lypémaniaque des
périodes
franchement maniaques se succédant à intervalle
le. La malade dit d'elle-même qu'elles se produisent juste avant la
période
menstruelle ou immédiatement après ; elles comm
il peut être héréditaire et ne se développer que plus tard et à une
période
constante après la naissance (puberté) comme dans
de l'hystérie : il existe, en effet, dans l'hémorragie cérébrale, une
période
de début de l'hémiplégie, variable comme durée
ut au moins distinguer dans la démarche hémiplégique organique deux
périodes
: une première période, démarche hémiplégique fla
ans la démarche hémiplégique organique deux périodes : une première
période
, démarche hémiplégique flasque, dans laquelle l
jambe presque à la façon de l'hémiplégie hystérique, et un eseconde
période
, démarche hémiplégique spasmodique, durant laqu
t en fauchant. C'est seulement sur les caractères de cette deuxième
période
de démar- che hémiplégique que Todd et Charcot
le membre raccourci. Examinons de plus près la démarche pendant la
période
douloureuse de la maladie, la seule qui nous in
e ce fait que pres- que tous sont des tuberculeux avancés (2e ou 3e
période
). Si nous sépa- rons, en 2 tableaux, ces tuberc
peu ou pas progressive ; si bien qu'on voit ces malades, après une
période
grave, présenter des pério- des d'un bien-être
e se comporter du foie et du rein, cela à plusieurs reprises en des
périodes
différentes. Et là où le foie au commencement n
e l'urée et des différents groupes azotés), j'ai constaté, dans une
période
ultérieure l'apparition de l'urobiline dans l'uri
lation du pourcentage des éosinophiles lors des examens faits à des
périodes
diverses. Dans le premier des cas décrits ci-de
le. La pre- mière fois les recherches furent continuées pendant une
période
de 7 jours. On dosa dans les aliments l'azote,
. Les^divers éléments des aliments et des fèces étaient dosés à des
périodes
fixes ; pour les fèces, chaque période était dé-
s fèces étaient dosés à des périodes fixes ; pour les fèces, chaque
période
était dé- limitée par le moyen du charbon anima
rétention de Ca 0 degr. 3,50. IIe cas. Les recherches durèrent une
période
de six jours. Pour les urines, nous avons à rem
herches aient commencé. Toutefois on examina les urines pendant une
période
de 5 jours et les altérations se montrèrent en
calcium et de ma- gnésium. Dans le premier cas, correspondant à la
période
grave où il existait des symptômes de lésions i
e crois qu'en allant de ce pas, son malade se trouverait, après une
période
de temps pas très longue, à avoir ses dépôts de
anges dans le Basedow, il faut admettre que dans ces maladies à des
périodes
de pertes fortes en succèdent d'au- tres de rét
azoturie, phosphaturie et, peut- être même, perte de chaux, qu'aux
périodes
les plus graves, tandis que ces pertes sont trè
les plus graves, tandis que ces pertes sont très limitées dans les
périodes
de bien-être, où l'on peut même, à ce qu'il par
re et d'une rétention assez prononcée de chaux, on passe. après une
période
de deux ans, à un moin- dre déficit du phosphor
it-il comporté de semblable sorte s'il avait été fait aux premières
périodes
de la maladie ou pendant la reprise d'aggra- va
ne les a pas trouvées; vient de ce que le pa- tient était dans une
période
de trêve, de bien-être, périodes qui ne sont pa
ce que le pa- tient était dans une période de trêve, de bien-être,
périodes
qui ne sont pas rares dans l'acromégalie. Et
térations pour chaque malade, les résultats varieront : a) selon la
période
de la maladie; b) selon qu'il s'agit de formes
rmes aiguës ou chroniques, de formes légères ou graves; c) dans les
périodes
stationnaires les altérations seront légères et
core, même actuellement la silhouette, des objets. 11 y a donc deux
périodes
au cours de cette évolution : la première sembl
il n'y ait eu aucun phénomène inflammatoire.C'est peut-être à cette
période
de troubles que l'on peut trouver une cause dan
réduit à une fente : le courant ventriculaire est obstrué. C'est la
période
des céphalées violentes, du délire,. de la désori
délire,. de la désorientation, de l'état démentiel. Cette dernière
période
dura environ 3 mois. L'examen des coupes sériée
en somme la seule manifestation. Après, il est vrai, sur- vint une
période
de troubles psychiques intenses, au point de rend
s intenses, au point de rendre l'examen détaillé impossible ; cette
période
dura seulement 5 semaines. Nous allons chercher
. L'apparition des symp- tômes généraux marque alors le début d'une
période
terminale de peu de durée. NOUVELLLE Iconogra
amille. Elle a été réglée à 13 ans, et jusqu'à l'âge de 45 ans, ses
périodes
menstruelles sont revenues régulièrement, et en q
environ une heure ; un état de stupeur leur fait suite. Pendant les
périodes
de calme, Pierre, qui a conservé le souvenir de
t d'impulsions violentes. Les crises d'agitation étaient suivies de
périodes
de stupeur avec mutisme et négativisme. Le ma
; non, elles réalisent le type le plus pur de l'adolescent dans la
période
proepubère ; si nous ne savions pas leur âge no
ose qu'un état dystrophique général produit et entretenu pendant la
période
de croissance par une maladie chronique congéni
re physiologique de l'adolescence qui se traduisent, jusque dans la
période
adulte, par la débilité, la gracilité, la petites
les CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 441 t
périodes
précoces de la vie une influence analogue doit êt
veloppement pau- vredes mutations affectives qui se produisent à la
période
de la puberté : infantilisme psychique dans le
ult, Edinger, iJ11ngazzini. etc.). II est toujours très rare qu'une
période
aussi longue que dans notre cas, se passe sans
d'alcali ; la plaque était absolu- ment aseptique ; seulement à la
période
de l'ulcération les ensemencements donnèrent li
12' septembre 18 ! 17), l'enfant parlait à peine, était gâteux par
périodes
. Il savait à peine tenir une cuiller et avalait
, 1896, 1897 et 1898 que chez les épileptiques, qui sont dans leurs
périodes
d'accès, le timbre de la voix devient moins cla
ptiques, convulsifs ou psychiques, les autres des impulsions ou des
périodes
d'excitation, ces jours-là et les jours qui sui
unes filles atteintes de cette maladie, quand elles sont dans leurs
périodes
d'accès, le timbre de la voix devient non seule
Au point de vue thérapeutique aucun résultat. En effet, durant la
période
correspondante de 1897, D.. a eu 17 accès et 1
orrespondante de 1897, D.. a eu 17 accès et 1 vertige et pendant la
période
de trai- tement, 23 accès et 2 vertiges. OBS.
este encore des plaques violacées. En résumé, nous notons durant la
période
corres- pondant au traitement (t ? mars au 31 m
die et en particulier durant les mois de 189'J correspondant à la
période
de traitement en 1898.] Voici, il titre de docu
ue celle du 13. Les dernières ont montré quelque différence dans la
période
de résolution. Au lieu des secous- ses tétanifo
es en raccourci ; durée, dix minutes. - Le 28, une attaque; dans la
période
de résolution, Gabriel tout en poussant des cri
emps qu'un état de nervosité qui rend l'enfant insupportable. Une
période
de rémission incomplète nous montre le bégaieme
t ce qui se trouve à leur portée. Au bout d'une minute commence une
période
de rémission relative. Les bras se croisent dev
attaque prolongée a durée une heure et demie, avec quelques petites
périodes
de rémission incomplète. IL., a poussé quinze c
firmerie générale afin de faciliter sa réadmission dans l'hospice. (
Période
d '(,,\'<1cerbal ion), 1900. IG mars. - Ce m
on), 1900. IG mars. - Ce matin le malade : est dans une véritable
période
de rémission. - Debout, pendant assez longtemps,
e régulièrement de sa chaise. Lui-même fait remarquer que clans ses
périodes
de faiblesse, en se levant de sa chaise, il.ret
e actuellement et qu'il ne voit pas double, ce qui lui arrive par
périodes
. En chantant, il toute époque, le tremblement de
le malade), se sont montrés le plus souvent, dans le service, par
périodes
intermittentes et ont disparu même durant un lo
e développement ; à partir de ce moment le thymus entrerait dans la
période
de régression'. - priori, on doit donc trouver
en répondu à toutes nos questions, mais elle était dans une bonne
période
, car depuis un mois elle a été reprise de trouble
899 il n'est plus sorti. Pendant quelques années, il a présenté des
périodes
de lucidité durant lesquelles on a pu le faire
notre service. Après une rémission du 9 au 23 mars, survient une
période
[d'excitation maniaque : cris, chants, inco- hé
rémission du 3(1 mill's-<t-tt--21 avril, suivie d'une nou- velle
période
de dépression mélancolique mais très atténuée p
x manuels, employés durant les rémissions, puis après la dernière
période
mélancolique, ont certainement contribué à affe
plus tard, le 2'c janvier par suite d'une fièvre typhoïde. nans la
période
des prodromes, il a eu des peurs semblables ia
gaucho et la pommette correspondante. la suite des derniers accès,
période
d'excitation. Au lieu de rester hébété, (le s'e
'aperçoit de l'imminence de l'accès, nous prévient. On le couche.
Période
tonique. - Face pâle, immobile, yeux convulsés
t cette phase tétaniforme, la face devient de plus en plus rouge.
Période
clonique. - Secousses cloniques assez étendues
face est rempla- cée par une coloration bleu plombé très marquée.
Période
de stertor. - Ronflement, écume, face plombée,
écume, face plombée, lèvres noires, décomposition des traits. Cette
période
dure une vingtaine de minutes. Le corps est en
ion com- plète. Le malade s'endort pendant dix minutes. Durant la
période
clonique, les pupilles, étaient légèrement dilaté
sont dilatées davantage et même il un degré très accusé, durant la
période
(le stertor. Au bout do dix minu- tes, le malad
s sa famille. 14 décembre. - Après son dernier accès, il a eu une
période
d'excitation qui a duré plus d'une heure. Il voul
faire des demandes de secours. Le' moral est meilleur pendant cette
période
. 9 novembre. Les choses ont change : depuis deu
rajet, il parla continuelle- ment d'une façon inintelligible. Cotte
période
de manie épi- leplique persista de 10 heures du
s c'est la première fois qu'il a un accès de folie aussi grave. Par
périodes
, il est impuissant Descendance. 2g et il en r
e transitoire, de secous- ses, d'altération profonde des traits, de
périodes
d'ex- citation maniaque, parfois violente. IV
ves qui s'y produisent. Ce que nous appelons le sommeil constitue une
période
de repos pour celles de nos fonctions que nous ac
une nouvelle énergie. Le besoin de sommeil se fait ainsi sentir de
période
en période, sans qu'il faille pour cela que le te
le énergie. Le besoin de sommeil se fait ainsi sentir de période en
période
, sans qu'il faille pour cela que le temps de veil
u la cause du besoin de sommeil mais Preyer la supposé que, durant la
période
de veille, il se formait dans l'organisme des cor
ns. Aussi les rêves ne se produisent-ils pas dans la règle pendant la
période
du plus profond sommeil, mais peu temps avant le
la conscience, comme on l'a appelé, est certainement déplacé dans la
période
du sommeil, mais ni l'excitabilité périphérique,
er, sous l'influence du froid et du manque de pâture, dans une longue
période
non interrompue de sommeil, pendant laquelle les
Tout en traversant ces séries de crises il avait voyagé pendant une
période
de dix ans (1599-1609). II était d'abord parti av
eur mère est aussi tout à fait en bonne santé; leur père est à la
période
ataxique du tabès; il nie avoir eu la syphilis.
ur développer chez le malade l'aptitude à l'hypnotisation. Pendant la
période
d'entrainement hypno-suggestif, on commence par d
sorte que je n'osais m'asseoir lors-« que j'étais seule ». A cette
période
de la maladie, Marie Alacoque avait des attaques
de son état; elle déclare dans un endroit du récit, que pendant cette
période
d'extase, ses compagnes faisaient de vains effort
de ayant des symptômes identiques à ceux de Marie Alacoque pendant sa
période
d'amour ; je cite : « Pendant vingt minutes, raco
le ventre, » Plus tard, chez Marie Alacoque, nous entrons dans une
période
plus grave de la maladie : c'est celle que je nom
une période plus grave de la maladie : c'est celle que je nommerai la
période
du feu : les sens de l'ouïe et du toucher sont to
et « souffrir pendant trois mois; je souffris beaucoup pendant cette
période
, « car cette âme ne me quitta point. Marie Alac
s allons maintenant, avec les accès de manie aiguë, voir survenir une
période
plus grave ; le Démon et l'enfer vont entrer en s
liers. * Nous avons borné cette élude à l'Antiquité, car dans les
périodes
ultérieures et plus rapprochées de nous, l'examen
ie. On sait que presque toujours les hystériques, ayant atteint les
périodes
graves de l'aliénation, commettent les actes les
te dépravation du goût paraissait monstrueuse. Pendant cette triste
période
, les mômes hallucinations poussent Marie Alacoque
ez plus malade », elle était guérie. Si j'arrivais avant la fin de la
période
convulsive, je la faisais cesser de la même façon
use à la fois dans l'évolution de la série animale, et à une certaine
période
de la vie embryonnaire des vertébrés; elle intére
tuberculeux. Il est d'autant plus accentué, que la maladie est à une
période
plus avancée, ou qu'elle a enlevé plus rapidement
intellectuelle, sentimentale et notoire. D'ailleurs à une première
période
d'hyperexcitabilité succède l'apathie lorsque la
énomènes psychiques. Discussion M. Bérillon. — C'est déjà dans la
période
prodromique, au cours de la lente incubation, que
te dos troubles nerveux et mentaux. Ce qui m'a le plus frappé à cette
période
où les médecins ne songent pas encore à la tuberc
ique médicale, 1902, p. 700. médicaments. Les tuberculeux, dès la
période
prodromique, sont des abouliques ; ils font toute
pas ; ce sont des êtres diminués au point de. vue de l'action. A une
période
plus avancée, ils sont extrêmement égoistes. Un m
étaient odieux. M. Paul Magnin. — Je suis tout à fait d'avis que la
période
prébacillaire s'accompagne de changements du cara
es fausses sensations, soit pendant l'état de veille, soit pendant la
période
d'extase ou sommeil hypnotique que certaines femm
sa mort, elle conserva sa bonne humeur et sa gaité. ' Dans la seconde
période
de l'endocardite vulgaire, quand le cœur commence
Nous n'insistons pas sur les modifications psychiques propres à la
période
ultime de certaines affections cardiaques. La sta
vec de courtes rémissions et des exacerbations fréquentes. Dans lés
périodes
de rémission, Mme F. vit à peu près comme tout le
n, de la maladie de Lasègue, à très lente évolution, avec sa série de
périodes
bien marquées? Non, car, ici, le contenu du délir
a séance d'avril tombant pendant les vacances de Pâques et pendant la
période
des Congrès, sera reportée au mois suivant. L'h
loppée dans le numéro de novembre. Monsieur le Dr Rouby établit trois
périodes
successives et grandissantes d'hallucination : a
ois périodes successives et grandissantes d'hallucination : a A celte
période
de la maladie » (p. 152).... a Plus tard chez Mar
» (p. 152).... a Plus tard chez Marie-Alacoque nous entrons dans une
période
plus grave.... » (p. 154). « Mais nous allons mai
us allons maintenant avec les accès de manie aiguë, voir survenir une
période
plus grave...» (p. 157}. Plusieurs faits sont cit
grave...» (p. 157}. Plusieurs faits sont cités comme symptômes de ces
périodes
successives, faits qui d'après la théorie, doiven
s ils avaient eu lieu. Voici le résultat que j'ai obtenu : Première
période
: 1674, 1675, 1678, 1680, 1674, 1672. Seconde p
: Première période : 1674, 1675, 1678, 1680, 1674, 1672. Seconde
période
: 1673, 1674 ; il est impossible dans l'état actu
nu fait cité p. 155 (apparition du religieux bénédictin}. Troisième
période
: 1673, 1673, 1677 (?) Dès lors, période de la
x bénédictin}. Troisième période : 1673, 1673, 1677 (?) Dès lors,
période
de la manie aiguë, c'est la troisième ; période d
1677 (?) Dès lors, période de la manie aiguë, c'est la troisième ;
période
du feu, " c'est la seconde ; période plus calme,
anie aiguë, c'est la troisième ; période du feu, " c'est la seconde ;
période
plus calme, c'est la première, sont contemporaine
venu s'installer à Paris, il prit ses repas au restaurant pendant la
période
de son déménagement. Malgré mes objurgations il s
accalmie qui durent des jours,.des semaines, des années ; pendant ces
périodes
qui ressemblent à la guérison, le malade jouit de
lacoque ; mais pour cette dernière il se trouve que c'est non dans sa
période
raisonnable qu'elle fonda le culte du Sacré-Cœur,
t peu à la barbarie des peuples inférieurs, mais précisément dans une
période
de folie hystérique pendant laquelle ses hallucin
au gré de son client. Lors donc de son retour, N ? en était à cette
période
delà morphini- sation où le sujet entrevoit cla
arfaite, une fois soustraits il la su- jétion du toxique ; dans ses
périodes
de guérison, le jeune L... ne manqua jamais de
En deuxième lieu, l'organisation des asiles était encore dans sa
période
d'essai ; cette organisation avait néces- sité
nation de ce pays depuis l'annexion (1861). Alors que pendant cette
période
de 44 ans, la population de la Savoie passait d
é à des malades attteinls d'épilepsie grave ou surtout, pendant les
périodes
d'état de mal dui,assezsouvent se produisent sa
s tremblements, céphaliqueSj la fièvre typhoïde en activité ou à la
période
de convalescence ; chez les gens en bonne santé
des centres etconducteurs cérébro-spinaux moteurs ou trophiques et
période
ultime deshémorrhagies, myélites, névrites; c)
19 fem- mes. Sur initiative préfectorale, des sorties d'essai, avec
période
mensuelle renouvelable, ont été accordées. Deux
nt à l'histoire contemporaine de l'hypochondrie, c'est- à-dire à la
période
qui s'étend de 1880 à 1905 et qu'il qualifie, a
e qui s'étend de 1880 à 1905 et qu'il qualifie, avec Wollemberg, de
période
neurasthénique . En effet, l'avè- nement delà m
nt les uns ont guéri, dont les autres, encore aujourd'hui en pleine
période
délirante, ont subi la ponction lombaire sans q
ns ces cas, d'ordre bien différent. Au cours du té- tanos,durant la
période
d'incubation, l'ascension nerveuse periphérique
ques mois,les symptômes d'en- vahissement se limitent à la première
période
; et la régres- LE SYNDROME DE LA NÉVRITE ASCEN
ysie générale, et si l'on examine une série dt malades arrivés à la
période
finale, il est bien rare qu'on ne l'observe pas
s à la période finale, il est bien rare qu'on ne l'observe pas. Aux
périodes
de début et d'état; on le ren- contre moins sou
les 10 présentant le signe de Kernig avec évidence, 8 étaient à la
période
finale de la maladie et 2 étaient à la phase d'ét
en effet, un signe de diagnostic, puisqu'on le trouve à toutes les
périodes
de la paralysie générale, on le trouve souvent
pique des maladies mentales, s'efforçant de les prévenir, soit à la
période
des premiers prodromes, soit, comme sim- ple pr
ongés et de l'hydro- thérapie, lorsque j'ai été consulté dans cette
période
prodro- mique où s'organise la folie. Leur avan
leur évolution doit pouvoir, suivant nous, se faire aux différentes
périodes
de ces maladies. Nous avons classé en trois gro
ncnl d'une façon constante chez ces mêmes malades, au moins à une
période
de leur maladie. Enfin l'évolution même de ces
ur- née, travailler à l'aiguille, etc. 11 est à noter qu'à aucune
période
de son affection, la malade n'a attiré notre at
la maladie, un obstacle à l'alimentation ; son poids pendant cette
période
est descendu de GO à 50 Kilos pour revenir à son
s, de l'agitation, etc.. ; cette phase d'anxiété succède une longue
période
délirante caracté- risée d'abord par quelques i
e, dont elle a cependant conservé un souvenir très exact. A cette
période
délirante fait suite, au bout de 5 à mois, une
rigueur de se ré- duire à deux principales : 1° les psychoses de la
période
(1) Extrait du Précis de Psychiatrie (3° éditio
oses préfébriles et les psychoses fébriles ; 2° les psychoses de la
période
terminale ou psychoses post-infectieuses, compr
tible de s'observer dans toutes les infections aiguës, soit dans la
période
hyperthermique, soit surtout dans la convalesce
ns aiguës, nous avons à examiner dans la grippe les psychoses de la
période
fébrile ou psychoses pergrippales (1) ]\;OllS n
convalescence ou psychoses post- grippa les z 1° Psychoses de la
période
aigué. La grippe, de même que les autres maladi
r peut être évitée. Les psychoses pergrippales vraies, celles de la
période
fébrile ou d'état, ont été distinguées par Kirn
importe surtout d'indiquer, c'est que les psychoses grippales de la
période
fébrile se traduisent par de la confusion menta
te des microbes ou de leurs toxines, ce qui a lieu surtout dans les
périodes
aiguës, soit aux auto-intoxications secondaires
es. 4° Pronostic. Les psychoses grippales, aussi bien celles delà
période
aiguë que celles de la convalescence, 276 PATHO
ons distinguer, comme pour les précédentes : 1° les psychoses de la
période
aiguë ; 2° les psychoses de la convalescence.
aiguë ; 2° les psychoses de la convalescence. 1° Psychoses de la
période
aiguë. ? Il n'est pas rare LES PSYCHOSES DES IN
ou quelque infection qui ne tarde pas à éclater. Le délire de la
période
d'état de la pneumonie est très fréquent ; pour
se termine ordinairement par la mort » (Potain). Le délire de la
période
d'état de la pneumonie peut affecter aussi le t
une sorte d'état second ecmnésique faisant revivre le malade à une
période
ancienne de son existence. The Lancet a récemme
e, c'est-à-dire celles survenant plus ou moins longtemps après la
période
fébrile, sont moins fréquentes que dans les aut
définitif, le cerveau se forme progres- sivement. Il y a toute une
période
d'évolution ana- tomique pendant laquelle la co
ue pendant laquelle la conscience se développe parallèlement. Cette
période
d'évolution est longue ; les psychologues l'ont
effet, le caractère de l'étude de l'enfant est d'être celle d'une
période
de formation. Au sommet de cette ascension vers
e, il faut que l'organe entier soit en état de fonc- tionner. Cette
période
de la vie correspond assez exac- tement à la ge
linisation n'est pas plus avancée que celle des indi- vidus dont la
période
embryonnaire n'est pas prolongée; d'autre part,
ont toute la vie ; leur pouvoir, reproducteur s'est ar- rêté dès la
période
embryonnaire. Cependant ces faits sont insuffis
maire. L hy- drocéphalie a pu se produire progressivement depuis la
période
em- bryonnaire. A ce point de vue la,l'observat
ts dont les urines furent recueillies quotidien- nement pendant une
période
de 6 à 8 mois pour ces recherches, cinq seuleme
Décembre. La déchéance s'accentue; clic 'diminue légè- rcmentpnr
périodes
. L'ëcriiure est devenue à peu près nulle. Le ca
nt ordinairement le siège de sensations douioureu- l'euses qu -¡lia
période
moyenne delà vie ou même plus lard, il s'ensuit
nt les coliques hépatiques, néphrétiques, etc., si communes à cette
période
de la v ie. Mlle -OTES'IV0 a répondu que les co
placées par des injections épidurales - n'a encore guère franchi la
période
de tâtonne- menls. mais elle semble appelée àun
IÉDO\v.(OIlO ? rénié psichialrii, IX, 1904.) Etude portant sur la
période
1883-1902 de l'hôpital des aliénés de o (Gouver
l'amour de la contradiction, des manière-, des néologismes ; celle
période
,1 été suivie d'un Il all'aihli"l'lllI'nl spéci
né à vingt-deux ans; son observation a pour inlt'" rL principal des
périodes
hallucinatoires accompagnées d'ag-iLa- tion int
s 30 ans au lieu de 70 à 80 pour le pseudo-Paget ; une assez longue
période
douloureuse précède les déformations, il y a hy
ut de eu temps que son intelligence « s'éclaircit ». Si, dans celte
période
, il commettait un délit ou un crime, serait-il
délits dans la folie, le ^[onde des J ? ces. etc., parus pendant sa
période
d'exercice, a a publié, dans ses loisirs des de
nt convulsivant des cultures, tout en manifestant le regret que les
périodes
de la crise ne fussent pas plus nettementtranch
alors beaucoup plus de l'épi- lepsie aiguë,de l'état de mal où les
périodes
s'imbriquent, se confondent que de l'épilepsie
de générali- sationpéritonéale et pulmonaire qui présenta, dans la
période
ulti- me delà maladie, de l'épilepsie localisée
ar de nombreux spécimens d'écriture, recueillis à leurs différentes
périodes
, avant ou après leurs manifestations paroxystiq
s cellules hépatiques dans certains cas de diabète. Dans une première
période
, le foie des diabétiques est volumineux, à peu pr
, est très accentuée. Ceci, je le répète, ne concerne que la première
période
de l'altération diabétique du foie, car, plus Lar
rait la cause de l'ictère qui s'observe d'habitude et dès la première
période
(1) Cette disparition des cellules s'opère surt
tantes, certes, qui, tout au contraire, occupent dans leurs premières
périodes
les espaces interlobulaires. Vous n'avez pas ou
'agit, dans tous ces cas; de la cirrhose atrophique, observée dans la
période
del'ascite. L'urée des 24 heures, chez les malade
ril 8, 1871. quelle j'ai déjà fait allusion. Trois fois,, durant la
période
des coliques, — alors que le foie, ainsi que l'a
s facile à mettre en relief, en raison de la succession régulière des
périodes
fébriles et des périodes apyrétiques. Vous n'igno
ef, en raison de la succession régulière des périodes fébriles et des
périodes
apyrétiques. Vous n'ignorez pas (i) que pendant t
consi-dérablement augmentée (de un tiers au plus), relativement à la
période
apyréfique, malgré que pendant celle-ci l'alimen-
ermittente symptomatique, étudiée sous ce rap-port. Ainsi, dans les
périodes
d'apyrexie, avec une température de 37% 4, vous v
suivant les recherches de M. Garrod, com-mence à se produire dans la
période
qui précède l'apparition des accès de goutte. C'e
portion notable apparaissait régulièrement dans les urines pendant la
période
de digestion des féculents, re- (1) Revue des c
pour compléter le tableau. Notons en passant que dès cette première
période
, chez l'animal au moins, les altérations dont il
féren-tes de celles que nous avons indiquées à propos de la pre-mière
période
. Quelquefois néanmoins, à un moment donné, ces
, le stade de sueur surtout, peut être absent. 2° Très souvent, les
périodes
apyrétiques sont nettement marquées et les retour
a totalité des faits de ce genre recueillis à Guy's Hospital dans une
période
de 21 ans (1) fait remarquer que, dans la plupart
oux, on qualifie les inflammations qui, d'emblée, sans passer par une
période
aiguë, se constituent telles quel-les, à l'état s
première phase de la cirrhose vulgaire, le foie passe souvent par une
période
d'hypertrophie. R. Bright paraît être un des prem
couleur brune qui l'emporte ; d'autres fois, enfin, surtout dans les
périodes
avancées, on note une coloration verte ou ti-rant
oses, du moins dans les points où les lésions ne sont encore qu'à une
période
relativement peu avancée. Si maintenant, à l'aide
si originellement affectées. Assurément, ce ne sont pas, du moins aux
périodes
initiales du processus, les ramifications les plu
sseur des parois des veines, dans leur voisinage immé-diat, et, à une
période
plus avancée, on observe sur ces mê-mes points du
peine appréciable. — b) Urines abondantes, au moins dans la première
période
; quelquefois, véritable polyurie ; elles sont
historiques. — Lésions du rein dans la néphrite interstitielle, à la
période
la plus avancée. — Granulations. — Étude histo-lo
Granulations. — Étude histo-logique. Lésions du rein à la première
période
de la néphrite interstitielle. Analyse des alté
t de rechercher en quoi consistent ces altérations dans les premières
périodes
du mal. Nous possédons sur ce sujet peu de rens
es cas sont rares. Quelques auteurs parlent avec complaisance d'une
période
congestive, dont ils indiquent en détail les cara
n'était l'histo-logie, qui fournit des caractères décisifs dès cette
période
. Vétude histologique, en effet, fait reconnaîtr
effet de limiter la circulation dans le glomérule. — 3e Enfin, à une
période
plus avancée, le glomérule a subi la transformati
elevé, c'est que, à une époque de la mala-die, qu'on pourrait appeler
période
d'état, non seulement la quantité des urines n'es
hrite interstitielle, c'est la persistance à peu près constante, à la
période
d'état, du taux de l'urée. Ainsi, dans plusieurs
econnu dans ces cas l'absence des cylindres. Au contraire, dans les
périodes
avancées de l'altération rénale, l'apparition des
B. Quoi qu'il en soit, que le début ait été lent ou rapide, dans la
période
d'état de la maladie, les symptômes sont tou-jour
tou-jours à peu près les mômes. 1° Les urines sont rares et dans la
période
aiguë quelque-ois très rares ; dans les condition
euse, ou ne s'y montrent, (d'après quelques observateurs) que dans la
période
atrophique. La mort survient par suite de circo
st surtout entre 20 et 30 ans qu'elle se montre, c'est-à-dire dans la
période
pendant laquelle do-mine la phthisie, 111. Ap
ut même faire défaut à plusieurs reprises, parfois pendant une longue
période
, au cours de la maladie. Mais enfin ralbuminurie
ne et que leur quantité est très faible. Plus tard, quand survient la
période
de réaction, alors que la cyanose cesse, et que l
historiques. — Lésions du rein dans la né-phrite interstitielle, à la
période
la plus avancée. — Granulations. — Étude histolog
— Granulations. — Étude histologique. Lésions du rein à la première
période
de la néphrite interstitielle. Analyse des alté
6.— ittio-logie, 357. — Lésions, 358. — Symptôme de début, 364. —Delà
période
d'état, 366 : — Hydropisies. 367. — Cachexie, com
Rein contracté, 278, 322, 325. ?—• Lésions du début, 333 ; — do la
période
d'olat, 329. —Topographie des lésions, 330. — Gra
pour porter la pelle était plus faible que la droite. Pendant cette
période
également, le bras, le tronc du côté droit et l
ond guère qu'aux phases d'acuité excessive du tremblement. Dans les
périodes
de calme relatif, le tremblement semble localisé
e degré d'intensité. Sous des influences diverses, il passe par des
périodes
de recrudescence suivies d'apaisement. Voici ce
à son maximum d'intensité pendant une heure ou deux. Pendant les
périodes
de calme relatif, ce tremblement n'apporte aucu
de dérobement des jambes qui- n'existait chez Hacq... que dans les
périodes
de recrudes- pence, du tremblement. - . Cette
s tracés que nous venons de produire ont été recueillis pendant une
période
de calme relatif; ils représentent pour ainsi d
as à chaque instant dans les descriptions des auteurs qui, avant la
période
actuelle inaugurée par les travaux de M. Charco
e et Regnard, ne commence pas uniquement avec les convulsions. La
période
prodromique peutêtre assez longue, 1 jour, 2 jour
globes oculaires, placées lu pour ainsi dire pour mon- trer que la
période
convulsive ne perd que bien rarement ses droits.
e importance capitale dans l'espèce. C'est ce rêve, en effet, cette
période
des attitudes passionnelles si magistralement é
les hystériques ces lacunes de la mémoire, l'abolition de toute une
période
de la vie passée, période qui, le lendemain', p
s de la mémoire, l'abolition de toute une période de la vie passée,
période
qui, le lendemain', peut revivre avec intensité
st que, nous le répétons, chez les enfants le cerveau est en pleine
période
évolutive, l'impression reçue peut être vivement
ssant, incapable de rien faire (PI. IX) 3. Cette combinaison, cette
période
de préparation neuras- 1. Pour la discussion, V
depuis le jour où la métastase du cancer s'est produite. Une longue
période
latente suit l'extraction des derniers ganglion
zones hystéro5ènes qui existent chez le malade. Tandis que dans les
périodes
de calme il ne gêne que peu ou point les mouvemen
i intense que le malade ne put pas quitter le lit. Au bout de cette
période
, le tremble- ment des membres s'étant amendé, m
X... a souffert de douleurs très vives dans le bas-ventre à chaque
période
menstruelle. De plus clic riait et pleurait san
aujourd'hui. Pendant cette première attaque, il y eut une courte
période
de convulsions avec perte de connaissance, puis l
nger ses excréments ou les conserver en souvenir. 1 Pendant cette
période
d'excitation, il refusait de manger et on était
des mois. sans que la santé générale semble en souffrir. A cette
période
, ou même lorsque les bâillements revêtent cette
chorée rhythmée, toux, dyspnée hystérique, des vestiges des quatre
périodes
classiques. Outre les phénomènes prémonitoires
nts représen- tatifs des attitudes passionnelles et de la quatrième
période
ou de délire. La prédominance des bâillements f
service de M. le professeur Charcot, que l'analyse des urines de la
période
des vingt-quatre heures comprenant l'attaque, d
surtout la nuit.. " - Étal actuel. -- Il est actuellement dans une
période
de torpeur. Il reste continuellement assis, les
peut-être à des hallucinations. Sauf celles qu'il a eues pendant sa
période
d'excitation, ces hallucinations, si tant est q
es paralytiques agitants, surtout lorsqu'ils se présen- taient à la
période
moyenne de leur maladie, ont retiré des bénéfices
faut pas, au début du traitement, que l'affection soit arrivée à la
période
d'impotence complète. Nous arrivons à l'ataxie
ur une statistique plus étendue, nous dirons : 100 ataxiques à la
période
moyenne de leur affection, soumis à la suspensi
tifs, vomissant tout ce qu'elle prenait. On lui donna pendant cette
période
beaucoup d'huile de foie de morue, de sirop ant
e permanente ces divers troubles qui ne font que s'exagérer dans la
période
postparoxystique. Quelquefois ces divers troubl
eptiques présentent souvent à l'état habituel, mais surtout dans la
période
postparoxys- tique une forme particulière du tr
nt étudié les mouvements des paralytiques généraux que, jusqu'à une
période
avancée et même quel- quefois jusqu'à la finale
ami M. Charpentier, ce n'est que -chez le seul qui fût arrivé à la
période
de démence que la force de ;projection de la la
de muscles; 3° Contractilité électrique affaiblie dès la première
période
dans les muscles paralysés, en raison directe d
altéré ; 4° Déformations partielles et variées des membres dans une
période
très avancée ; 5° Pas de troubles des sphinct
ophthalmoplégie est d'autant plus remarquable qu'elle porte sur une
période
de dix années. Cette fois l'ophthalmoplégie ex-
ffirmer qu'il ne s'agit pas d'un diabétique par- venu à la dernière
période
de sa dyscrasic. Il y a une dizaine d'années, e
bre considérable atteints d'épilepsie, sujets par conséquent à des
périodes
d'excitation ma)na(/ue; qu'il en est d'autres,
tique si l'on veut, mais caractérisée par une course remplaçant les
périodes
tonique et clonique de l'accès ordinaire. Pou
dans la première moitié de notre siècle, c'est-à-dire durant une
période
où l'on considérait les accidents que nous étud
ie n'avait point cessé. Elle n'avait été suspen- due, pendant cette
période
de plus de cinq ans, que pendant six mois, susp
s se trouve modifié ; le malade ne se lève pas; on n'observe pas de
période
tonique, mais seulement de grands mouvements de
injection de la face, en général, sans aura, ni cri, ni chute, ni
période
tonique. La période clonique semblait remplacée
ce, en général, sans aura, ni cri, ni chute, ni période tonique. La
période
clonique semblait remplacée par la course; le r
est couché, il lui arrive le plus souvent de ne pas se lever. - La
période
tonique manque comme ci-dessus, mais la course
ci-dessus, mais la course - qui semble cor- respondre chez lui à la
période
clonique - est rem- placée par de grands mouvem
ces derniers mois, on a noté l'apparition d'accès ordinaires (cri,
périodes
tonique et clonique, bave, morsure de la langue
'ÉPILEPSIE PROCUR1VI ? démence. Le tableau des accès comprenant une
période
de treize ans mérite aussi de fixer l'attention
ite dans la cour; il pâlit, tombe comme une masse sans cri initial.
Périodes
tonique et clonique'. - Pas d'écume. - Coma. Pa
l'extension, la bouche s'ouvre, tout le corps devient rigide. Cette
période
de rigidité ne dure que quelques secondes, et,
iculier. Puis secousses tétani- formes de la face et des membres.
Période
clonique. - 1° La face se tourne à droite, le bra
uche sont pris de con- vulsions cloniques à leur tour. Durant cette
période
, le visage s'est congestionné; les yeux étaient
sés en haut directe- ment, d'abord à droite, puis enfin à gauche.
Période
de stertor. - Décomposition de la face qui devien
solution complète, écume non sanglante et abondante. Cette dernière
période
dure longtemps et aboutit à un sommeil profond
ssez bien conservée; la parole est libre. Le malade est sujet à des
périodes
d'excitalz*o ? ? , violente après les accès. Dy
ion des accès. - Cri étranglé, se produisant parfois à la fin de la
période
tonique. - Chute tantôt en arrière, tantôt en a
: lotions vinaigrées, sinapismes, sangsues à l'anus. 44° accès. -
Période
tonique très écourtée. Rien de particu- lier, s
avec les deux sommets classiques, l'un correspondant à la fin de la
période
convulsive, l'autre correspondant à la période
ndant à la fin de la période convulsive, l'autre correspondant à la
période
ménin- gotique terminale. Observation XXVI. M
s.- Vertiges. - Aura médiate au début. - Diminution de la mémoire.-
Périodes
de mélancolie et d'agitation.- Rhumatismes. - A
état intellectuel du malade tombé presque en démence et sujet à des
périodes
d'excitation ma- niaquc, accompagnées d'idées r
li- cations précises sur les caractères des accès aux différentes
périodes
de la maladie. En ce qui concerne l'anatomie pa
t primitive, avec les phénomènes procursifs observés à une certaine
période
de l'affec- tion de ce malade , de l'étendue de
ère a senti un choc en elle, et a senti l'enfant remuer. » Sur la
période
de 1857 à 1864, nous avons quelques renseigne-
que le traitement était institué à une époque plus rapprochée de la
période
d'invasion de la maladie. Passons maintenant à
déambulation avec lesyeux fermés nesontplus possibles et enfin, aux
périodes
les plus avancées, la force musculaire s'affaibli
atteindre son maximum d'intensité et d'étendue dès le début. A la
période
d'état, le churéique est agité par les mouve- m
des exacerbations et des rémissions chez le choréique, présente une
période
d'ag- gravation progressive, une période d'état
le choréique, présente une période d'ag- gravation progressive, une
période
d'état, puis décroît avec une plus ou moins gra
z nos jeunes sujets qui en présentent lorsqu'ils arriveront à cette
période
(1). Sur 1.000 individus, on en trouve en moyen
obéissant à l'école et à l'atelier. Interrogé sur ses habitudes 254
périodes
d'excitation. d'onanisme, il nie énergiqucment.
ie il devient rapidement violent. - Il a toujours l'air pensif et
périodes
d'excitation. 255 préoccupé, la tête penchée su
es rapports imaginaires avec sa mère. Nous devons relever aussi les
périodes
d'excitation, dont la plus violente semble s'êt
tir du 31 mai, et il a été continué jusqu'à ce jour. Durant cette
période
, soit plus de deux mois, nous avons fait par de
. Le poids qui avait augmenté, ainsi que nous l'avons vu, durant la
période
de suspension du traitement sans revenir toutef
e simulés ? Nous ne saurions, on le conçoit, nous prononcer sur une
période
de l'existence de Delannoy qui n'a pas été soum
complète. Il est fort remarquable de faire ces constatations à une
période
où il n'existe encore que des altérations minim
me l'analogue de celles des tubes nerveux et qui sont les premières
périodes
d'une lésion dont le dernier terme est tout sem
enue rapidement après l'apparition des premiers symptômes, avant la
période
d'inco- ordination, par tuberculose pulmonaire,
ntres corticaux. M. Shukow a déterminé les lois suivantes : 1° La
période
latente de l'excitabilité de l'écorce est considé
il y a sura- bondance de tissu adipeux sous-cutané. A une certaine
période
de la maladie, il se produit des lordoses et de
es désordres ; mais ces désordres ont surtout été observés dans les
périodes
de tâtonnement de cette nouvelle médication, et
ès vif, il commença à se plaindre de céphalalgie et à présenter des
périodes
d'inconscience, durant lesquelles il était priv
une hérédité chargée et à qui il suffisait, même en dehors de toute
période
délirante, de concentrer sa pensée sur une pers
rque, dont nous lui laissons la res- ponsabilité, que, surtout à la
période
de convalescence, les opéra- tions pratiquées s
s et les troubles mentaux n'avaient pas eu le temps d'atteindre une
période
avancée, l'auteur a rencontré des lésions très
s suivantes : 1° dans huit cas de paralysie générale examinés à une
période
relativement précoce de la maladie, on n'a pas no
cartât sensiblement de la normale; - 2° dans les cas observés à des
périodes
diverses de la maladie la proportion entre les
ux sulfates préformés était très , élevé, ce qui indique pour cette
période
de la maladie une aug- mentation très notable d
ices hospitaliers en qualité d'externe et de stagiaire. De plus, la
période
d'appren- tissage dans les asiles nécessite un
, ils peuvent être prolongés dans leurs fonctions pour une nouvelle
période
de trois années. Il en est de même, à peu de ch
n Russie. Les assistants, qui sont doc- teurs, sont nommés pour une
période
souvent illimitée. Les nominations sont faites
inq, six, sept ans. A Vienne, les assistants sont nommés pour une
période
de deux années, renouvelable plusieurs fois. Ils
n que nous citons dit que l'on doit diviser le traite- ment en deux
périodes
: dans la première, qui comporte le traitement
us les deux ou trois jours ; dans la seconde, que l'on peut appeler
période
de l'amélioration sta- tionnaÏ1'e, il suffit po
ie de la capsule interne. Cette exagé- ration s'observe encore à la
période
de début de la démence para- lytique, sauf dans
ui, en passant par la somno- lence aboutit au coma et à la mort. La
période
primitive est très souvent suivie d'un trouble
lles courts, plus ou moins réguliers, des défaillances. Pendant ces
périodes
de défaillance, on constatait une diminution de
condes suivant l'époque de l'examen, la fonction examinée, etc. Les
périodes
de fonctionnement normal ou temps intermédiaires
ue et suspend les attaques. Celles-ci augmentent de fréquence aux
périodes
menstruelles. Les malades en question étaient suj
yphilitique, habi- tuellement dans la stupeur, et qui au moment des
périodes
mens- truelles s'excite, a des hallucinations e
e part les faits rapportés ne sont pas tous concluants, faute d'une
période
d'observation suffisamment longue (plusieurs an
s convulsifs. SOCIÉTÉS SAVANTES. 241 Discussion : M. BERaIIaN. La
période
de cessation des accès consécutive au traitemen
uisse parler de guérison. Dans les observations communiquées, cette
période
va de quelques mois jusqu'à vingt mois. Or on voi
fonctions des internes, en spécifiant qu'à l'expiration de cette
période
, ceux-ci seraient susceptibles d'être investis de
nt passé leur thèse. Une fois docteurs, et nommés pour une nouvelle
période
, leurs attributions pourraient être éten- 1 Le
la suite d'un concours sur titres). être nommés assistants pour une
période
de deux années. Cette période accomplie, ceux-c
s). être nommés assistants pour une période de deux années. Cette
période
accomplie, ceux-ci pourront être autorisés à ac
rt, affaissée, sans au- cune réaction physique ou mentale. Quelques
périodes
d'excita- liou. 1884. Même état. Hallucinatio
t, un pavillon pour les épileptiques, un pour les paralytiques à la
période
terminale, avec dortoirs au rez-de-chaussée (pa
erstenried, que la maladie du roi Othon est arrivée à sa der- nière
période
. Les accès de folie furieuse ont fait place à l'é
rans- sudation exagérée, un oedème d'abord léger et à la première
période
de « l'oedème bleu », nous devons plutôt mettre l
ant d'un mois. Fièvre typhoïde à forme adynamique grave. Pendant la
période
d'état, disparition brusque et complète des sym
s persécutés systématiques à évolution progres- sive, on trouve une
période
d'incubation, une période d'invasion et une pér
à évolution progres- sive, on trouve une période d'incubation, une
période
d'invasion et une période d'état. La première p
, on trouve une période d'incubation, une période d'invasion et une
période
d'état. La première période peut être précoce et
cubation, une période d'invasion et une période d'état. La première
période
peut être précoce et très longue ; elle est con
uxquelles peuvent s'ajouter celles de la sensibilité générale. A la
période
d'état le délire se systématise et il comporte
issaire, devient dangereux. Enfin, aux idées de persécu- tion, à la
période
d'état du délire, peuvent s'ajouter des idées de
s de la sensibilité générale le sont moins, et assez souvent, à une
période
variable de l'évolution du délire, on constate
e le processus acromégalique, sur- venant dans l'enfance ou dans la
période
embryogénique, allon- gerait les os comme il le
ois elle a lieu lentement, graduellement, parfois aussi, avec une
période
intermittente de bégaiement. A cet égard les trou
s moteurs posthémi- plégiques c'est-à-dire une alternance entre, la
période
de paralysie complète et les troubles moteurs v
plus tendre jeunesse ; il arrive que la migraine disparait pour une
période
de deux à trois mois pendant laquelle arri- ven
uence, mais les symptômes ne se sont guère modifiés. A une certaine
période
les crises se répétaient au nombre de cinq ou s
1888. A la 388 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques.
période
douloureuse, du moins au début, on constate des p
rversion des instincts assez prononcée, qui a paru s'exagérer par
périodes
durant lesquelles, entraîné par ses impulsions ma
côtés du corps et donnent une idée de leur croissance durant cette
période
de .huit années. L'hémiplégie s'accompagne en o
ses à jour dans ces dernières années, ont été l'objet, durant cette
période
, de nombreux travaux. Elles ont d'abord été étu
ssion n'apparaissait chez les maniaques et les agités que durant la
période
de collapsus et préagonique. La majeure par- ti
r : seule une maniaque très agitée présenta, durant cette seconde
période
de l'infection, un état transitoire de calme et d
relevé aussi des cas de grande chorée, des états qui rappellent la
période
de clownisme (Charcot), des états de somnambuli
herchons un peu l'esprit, nous trouvons assez nettement marquées deux
périodes
. Dans la première qui s'étend jusqu'à M. Chassaig
fallait interpréter ces faits si graves, si singuliers. Une deuxième
période
commence, celle des explications, sous laquelle n
ns qui précèdent nous fournissent des ren-seignements précieux sur la
période
d'état des arthropathies. Nous 1 Voir Revue photo
thropathie des ataxiques que la deuxième. Une fois parvenue à cette
période
, l'arthropathie ne se modifie guère : les symptôm
-sant exécuter des mouvements au bras, on perçoit des craque-ments.
Période
d'état. 18 juin. 11 existe à la partie antérieure
l'orifice externe ; leur aspect indique qu'elles sont arrivées à une
période
avancée de la digestion intestinale. 30 juin. —
fait remarquer, — surviennent le plus souvent à la fin de la première
période
de la maladie ou au commencement de la seconde, p
sidère. Ainsi, chez deux de nos malades, l'ataxie était arrivée à une
période
déjà ancienne dans les membres inférieurs, et éta
à ancienne dans les membres inférieurs, et était à peine à la seconde
période
aux membres supérieurs ou, en d'autres termes, l'
notre description aussi claire que possible, nous distinguerons deux
périodes
: l'une d'état, l'autre de déformation. Période
distinguerons deux périodes : l'une d'état, l'autre de déformation.
Période
d'état. L'articulation où siège l'arthropathie es
affection, pas plus qu'au début, on ne note de douleurs spontanées.
Période
de déformation. La maladie poursuivant sa marche,
I et II en fournissent de beaux spé-cimens. Les mouvements, à cette
période
, loin d'avoir plus d'amplitude qu'à l'état normal
in d'avoir plus d'amplitude qu'à l'état normal comme dans la première
période
, sont au con-traire plus limités, et cette limita
biles formées par les corps étrangers, Marche. La durée de ces deux
périodes
est très-différente. Dans la première, les lésion
e ; en quelques semaines elles sont profondes, incurables. La seconde
période
, elle, dure en quel-que sorte indéfiniment ; le t
poque déjà ancienne des acci-dents, alors que l'arthropathie est à la
période
de déformation, les commémoratifs d'une part, ens
é d'anomal. La durée totale de cette syphilide a été de trois mois,
période
un peu plus longue qu'elle ne l'eût été dans les
oche les résultats obtenus à la clinique d'accouchements, pendant une
période
de seize ans, tels qu'ils sont exposés dans la th
la température axillaire, notée presque quo-tidiennement durant cette
période
, oscilla entre 34°,7 et 35°,8. Une inflammation é
sur l'ovaire et avoir montré que cet organe présente au moment de la
période
menstruelle une congestion plus ou moins vive, et
les et sacrées. Elle est continue, paro-xystique et augmente à chaque
période
cataméniale. — La tumeur formée par l'ovaire peut
on élémentaire qui puisse être rapportée à l'eczéma, à au-cune de ses
périodes
de vésiculation (il n'y a pas trace de vésicules)
auvèrent par ce moyen la vie à une accou-chée qui était à la dernière
période
de l'agonie; c'est là le premier succès authentiq
sont à leur maximum d'acuité, les fumigations sont inutiles. A cette
période
, il convient de recourir aux ventouses scarifiées
e toutes les lésions qui peuvent se manifester sur la langue, à cette
période
de la maladie. Certaines autres formes, en généra
lcéreuses, ont été confondues avec les manifestations de la troisième
période
, les gommes. » Cette citation indique le but que
rtout clinique, et ter-mine par les conclusions suivantes : « 1° La
période
secondaire de la syphilis ne se manifeste pas seu
même des symptômes de la cachexie persistante ; elle échappe, à cette
période
, à l'observation la plus at-tentive, et ce n'est
dre des services aux accoucheurs : Io pendant l'accouchement, dans la
période
de dilatation du col, toutes les fois qu'il y a i
ements à M. Siebel ; on oublie bien des phrases un peu longues et des
périodes
quelque peu ger-maniques, lorsqu'on songe à tout
ataxie locomotrice, vous le savez certainement, messieurs, offre deux
périodes
bien distinctes dans son évolution : la première
les de la motilité. C'est presque toujours vers la fin de la première
période
et le commencement de la seconde, à l'époque où l
d'un certain degré d'incoordination des mouvements; c'est dans cette
période
intermédiaire que se mani-festent le plus souvent
les occasionnent. En effet, les cas les plus graves appartiennent aux
périodes
les plus avancées de la maladie, et notre malade
l'Inde, chargé de l'autopsie des morts subites, a rencontré, dans une
période
de deux ans et demi, plus de vingt cas de rupture
stance avait été administrée à dix cholériquesj pendant la première
période
de l'épidémie, alors que la plus grande partie de
es cérébrologistes et les cliniciens sont encore à ce sujet dans la
période
du tâtonnement. Bartholin, Flechsig préconisent
t d'une distension lente, sans quoi on constaterait, à une première
période
, tous les signes d'une arthrite, d'une hydarthr
lieu à des craquements ; généralement les autopsies se font à une
période
éloignée du début des accidents et il est diffi
grâce à l'atrophie des muscles, quoique les lésions remontent à une
période
ancienne, elles intéressent surtout le scapulum
ime comme les débiles. En proie à ce malaise général de la première
période
mélancolique, il sent qu'il perd pied, redoute
elle et une sensation de fatigue dans les membres inférieurs. Cette
période
de début est progressive, mais avec intermitten
voie survenir la forme aiguë ou pernicieuse; immédiatement après la
période
prodromique, on observe ordinairement une pério
tement après la période prodromique, on observe ordinairement une
période
d'une durée variable, constituant un stade subaig
-ils avec soin toutes les causes d'irritation; et, après une longue
période
de calme, sont mieux portants et réagissent bea
e ce traitement moral se trouve spécialement indiqué à une certaine
période
de la folie circulaire, alors que le malade est d
cessivement, détruisant chaque fois l'amélioration produite dans la
période
de repos et toujours augmentant l'impuissance m
t l'impuissance musculaire. Entre deux crises, il y eut au plus une
période
de deux mois de calme. . Au mois de juin 4 876
elle attaque (semblable à la précédente) se produisit, et, après la
période
convulsive, X... resta plongé dans un coma profon
i2zal et du nerf splanclmique. Pendant les plus violentes douleurs (
période
menstruelle), il faitpasser de la région lom- b
extrême des troubles sensitifs dans l'intervalle des accès ou à la
période
prodromique chez les épileptiques dont on const
, avec, ceux qu'auraient donnés des saignées -faites pendant les
périodes
d'excitation antérieures, aux, autres, chez, les
ne certain, et il rappelle que, dans la syphylis, on trouve dans la
période
de début l'hyperémie de la peau (roséole, éryth
nclusion, que, dans, la grande majorité, des cas, c'est pendant, la
période
"d'éouptioy qu'on les, observe. ..1 MI' Puis,
ésions artérielles dans les hémorrhagies cérébrales des premières
périodes
de la syphilis, Lechner recherche quelles sont ce
5 8t S9jrfi JxrolTira .aaj[)T'(.mà1 1 L'hémorrhagie cérébrale de la
période
des accidents secon-; daires survient dans les
accidents secon-; daires survient dans les premiers temps de cette
période
(du ? t ' ," '1t)- t-ttt "fh ' tr.'ttt W 't ft '
e plus en plus rare/à mesure, que, le ( malade avance dans cette,
période
secondaire; plus tard, il est vrai, on pourra voi
période secondaire; plus tard, il est vrai, on pourra voir dans la
période
des ace id e t iair s 1 'l orr i* iaoie cérébrale
attaques apo- plectiformes, la rapidité de la marche (trois mois de
période
d'état), l'absence de rémissions, l'apparition
plectique , , quit. ont pu être observés avec c détail pendant june
période
de 13 jours, (céphalalgie persistante, (sensation
rer, de la' néces- sité, de faire l'éducation de chaque centre à la
période
naissante de ce centre,, et le danger d'attendr
période naissante de ce centre,, et le danger d'attendre que cette
période
soit pas- sée. Ils donnent en même, temps^à l'é
-l'évolution dui processus(et,;méritent,(qu'eÿles,se ^montrent à la
période
prodromique'ou durant,la * phase,pyré- 2 tique
courent au même,résultat : ajoutons-y les stases- sanguines de' la.
période
d'anergie cardiaque, bientôt, réalisée par.fla ha
exsultante, assez semblable par les violences qu'elle déchaine aux
périodes
d'agi-, tation,des .épileptiques^.d'ailleurs ?
le, une influence hypnotique, puisque dans le cas particulier à une
période
où le chloral'et la morphine étaient in ...hV ?
u biceps' gauche (en plein ventre' du muscle), on constatait que la
période
des contractions et raideurs tétaniques excessi
tact et de la sensibilité générale. il divise son affection en deux
périodes
: la première, caractérisée par du délire intel-'
nt de ce département, c'est-à-dire de f"ééo"rëe du' cerveau ? 3 La"
période
"61 de1 délire intellectuel" né"'coïncidé -, pas
|la, progéniture engendrée par les pères paraly- ,tiques pendant la
période
d'état,de, l'afFection ? é serâitlvidéy- mentik
moyens de contention dont la douceur n'est qu'apparente; cha-' que
période
: de repos, ainsi obtenue est;'à' ses yeux ? un c
' o £ V ? " -^ Hémorrhagie cérébrale (pathogénie de la) dans les
périodes
précoces r,lee la syphilis, par Lechner, 251.
raumatisme; 2° ceux dans lesquels la folie ne survient qu'après une
période
prodromique plus ou moins longue, caractérisée
tudiés, et sur lesquels on trouve le plus de documents à toutes les
périodes
de l'histoire de la médecine. Les ouvrages de B
é faites sur des malades dont l'état de l'intelligence, surtout aux
périodes
avancées LES FONCTIONS DU CERVEAU. 53 de la m
halluci- nations, dit Tamburini, ne se manifestent guère qu'à la
période
irritative des affections cérébrales; elles cèd
n'est pas moins vrai, que c'est toujours à titre de symptôme de la
période
du début d'une importance secondaire. Ces sympt
On chloroformise le malade, le sommeil se produit facile- ment sans
période
d'excitation. On constate qu'il existe un clapier
ou réciproque. Pendant son séjour à Bicêtre, nous avons observé des
périodes
de calme et des périodes durant lesquelles ces
séjour à Bicêtre, nous avons observé des périodes de calme et des
périodes
durant lesquelles ces impulsions devenaient vio-
ives de mélancolie profonde et d'excitation cérébrale ; que dans sa
période
d'excitation, il avait fait des achats inconsid
e responsabilité civile que le médecin légiste est consulté dans la
période
qui ~~suit immédiatement le traumatisme. Il pou
s dé- lictueux ou même criminels, commis par le blessé dans cette
période
somnambulique qui succède au choc, et qui peut
u choc, et qui peut durer vingt-quatre heures et plus. Dans cette
période
, le blessé continue à agir comme s'il était dan s
. Morvan émit l'opinion que le myxoedème n'apparaît jamais avant la
période
de la puberté; la gravidité paraît ne pas influ
rait diviser en trois états successifs : .¡ 0 pérl'ode nerveuse; 2°
période
mucinoïde; 3° période atro- hlaique. La période
états successifs : .¡ 0 pérl'ode nerveuse; 2° période mucinoïde; 3°
période
atro- hlaique. La période nerveuse présentait d
rl'ode nerveuse; 2° période mucinoïde; 3° période atro- hlaique. La
période
nerveuse présentait des symptômes ner- veux, co
organes en général. Les animaux jeunes ne survivaient guère à cette
période
. La période mucinoïde consiste dans l'accumulat
énéral. Les animaux jeunes ne survivaient guère à cette période. La
période
mucinoïde consiste dans l'accumulation de la mu
n'apparaît clairement que chez les singes. Si l'animal survitàcette
période
, il passe au troisième, à l'état atrophique, qu
t. A quoi M. RITTI répond qu'elles se montrent toujours alors à une
période
antérieure où elles sont nées lorsque l'activit
érissable; la mort peut survenir par suicide ou par cachexie ; à la
période
ultime, on observe souvent le dèlire des négati
n'amène le sommeil que très irréguliè- rement et toujours après une
période
d'excitation fâcheuse. MM. Séglas d'une part, e
qui le rapprochent beaucoup de l'hystérie : au point de vue de ses
périodes
il peut être comparé à l'attaque hystérique; il
ut l'entraîner. A un autre point de vue, le crime commis pendant la
période
délirante d'un accès d'alcoolisme ne peut être
e de lui suggérer la catalepsie, ni à la trop courte durée de cette
période
. C'est en vain encore que le sujet vous avouera
e passa- gèrement, dans un état d'inconscience, ou qui traverse une
période
de perturbation morbide de l'activité mentale;
près de la moitié, étaient à l'hospice depuis plus d'un mois. La
période
d'observation est parfois très longue encore. C
étexte, cette mesure ne doit être prise dans le but de prolonger la
période
d'observation contrairement aux instructions de
t au rapport de M. le conseil- ler R... montre que dix-neuf fois la
période
d'observation a dé- passé 15 jours et que dix f
a nulle part cette dégénérescence pigmentaire que l'on observe à la
période
de tuméfaction des cellules dans la para- lysie
VIII. Schad..., 1864-1886, est un idiot épilep- tique, qui a eu une
période
d'amélioration, a appris à parler, puis est tom
épilepsie, elles avaient ce caractère d'être précédées d'une courte
période
pen- dant laquelle le malade courait droit deva
perdent la faculté d'opérer même avec des chiffres simples. Dans la
période
suivante de la maladie, on voit apparaître les
qui s'était passé. Ces attaques étaient toujours précédées d'une
période
d'irritabilité qui durait de deux à trois jours.
cop/tttt<mt6; une demi-année plus tard, une struma. Durant cette
période
, l'état de la malade élait oumis à des changeme
roïde de notre malade. La glande s'était un peu agrandie pendant la
période
de fureur épileptique et revint à son volume or
ME OU CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 431 nous observons dans les premières
périodes
du myxoedème et ces symptômes peuvent s'accentu
e pneumonie, affection que l'on sait être fatalement mortelle à une
période
avan- cée de la paralysie générale. Enfin, cl
e Cheyne-Stokes, moins la phase apnéique : il est constitué par des
périodes
successives de dyspnée, qui sont essentiellemen
u type Cheyne-Stokes, et les différentes phases de chacune de ces
périodes
dyspnéiques constituent dans leur ensemble un c
commencement de ce cycle respiratoire : alors commence une nouvelle
période
de dyspnée. Dans certains cas la période descen
lors commence une nouvelle période de dyspnée. Dans certains cas la
période
descendante est soit considérablement, soit sen
nte est soit considérablement, soit sensiblement plus courte que la
période
ascendante. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 437
sées. Délivré ultérieurement de tout accident hystérique durant une
période
de cinq années, il vit ses attaques reparaître
- cerveau antérieur, mais cette perfection ne se produit qu'à une
période
relativement avancée du développement de l'animal
aut résoudre, car il en est de l'aliénation min- tale à son dernier
période
comme du tabès, ni plus ni moins. 460 SOCIÉTÉS
sonne interdite pour cause d'aliénation mentale, même pendant la
période
d'un intervalle lucide ne pourra contracter maria
e la phase dépressive, l'éréthisme du stade d'agitation, ces deux
périodes
étant closes par un état de bien-être parfait jus
nalée, sur les crises d'irritation cardiaque, l'organe affolant par
périodes
sans effectuer de travail utile ; surles légers a
ose qu'un état dystrophique général produit et entretenu pendant la
période
de croissance par une maladie chronique congéni
re physiologique de l'mlnlescence qui se traduisent, jusque dans la
période
adulte, par « la débilité, la gracilité, la petit
les diffé- rences de degré suivant les cas, c'est-à-dire suivant la
période
de début de l'insuffisance thyroïdienne. Mais i
t constitué chez le premier malade, vers l'âge de 36 ans, après une
période
de fruste myxoedème ; chez le second, vers l'âge
de la parole... Au bout d'un an, la malade présenta une très longue
période
de rémission qui dura à peu près jusque au commen
émission de plusieurs mois. Le malade fut pris ensuite d'une courte
période
d'excitation pendant quelques jours, au bout de
é ses parents, on veut le tuer parce qu'il a brûlé la France. Cette
période
dure une huitaine de jours et se termine par des
toujours été normales depuis, excepté pendant trois mois lors de la
période
la plus accentuée de la première atteinte de l'
sparu complètement à deux reprises, de telle sorte que, pendant une
période
assez longue, la malade a pu se croire complète
s qui la caractérisent sont primitivement mus- culaires, et si, aux
périodes
avancées de la maladie, le squelette participe
, comme l'a fait remar- quer Jendrassik, de préférence soit dans la
période
de formation, soit dans la période de régressio
ssik, de préférence soit dans la période de formation, soit dans la
période
de régression de l'organisme ; leurs symptômes on
de certains systèmes histologiques, elles existent en germe dès la
période
de forma- tion embryonnaire et leurs effets vis
embryonnaire et leurs effets visibles ne se manifesteront qu'à une
période
plus oumoins avancée de la vie. Si on leur appliq
a formule anatomo-clinique de ce cas de maladie d'évolution dont la
période
d'acti- vité a été d'une douzaine d'années envi
éforme sera bientôt accomplie, on n'en est cependant encore qu'à la
période
des voeux platoniques et des timides projets. La
ôt cérébrale, survenue dans un quar- tier de Gènes, dans une courte
période
de temps. Dans quelques fa- milles où plusieurs
de la respiration sont tellement graves que la malade meurt dans la
période
aiguë et que l'on ne peut,par conséquent observ
ffet, dans deux cas appartenant à l'épidémie de Medin et morts à la
période
aiguë, observe des lésions inflammatoires et dé
deux cas (3) observés à une main chez des jeunes filles pendant la
période
mentruelle, l'un d'eux lui-même périodique. (t)
en 1906. Elle a parfois desimpies vertiges précédés et suivis d'une
période
d'excitation pendant laquelle elle tourne sur ell
anément dans les masses adipeuses en voie de développement avec des
périodes
de paroxysmes et d'accalmie se succédant à interv
ontre que si ceux-ci ont existé, ils n'ont pas persisté jusqu'à une
période
aussi éloignée du début de l'affection. Nous
e Uruguay, 1903. 222 JACINTO DE LÉON La plus grande durée de la
période
fébrile et ses rechutes (cas o), déjà notées pa
sa valeur, quand les enfants se prêtent à cette investigation. La
période
de régression si caractéristique de la paralysie
ë infantile ; il existe dans cette maladie-ci, comme de raison, une
période
de rétablissement, le retour il l'état normal, ma
en résulte, que nécessairement ce néoplasme cérébral eut une longue
période
latente. Je chercherai à l'expliquer par l'étude
'hôpital que^dans les premiers mois du siège; 3 pendant la première
période
, 26 pendant la seconde et 8 après la capitulati
de, 26 pendant la seconde et 8 après la capitulation. La première
période
donne seulement 3 cas d'aliénation, car à ce mo-
ent. 346 WLADYCZKO Dans les deux cas déclarés pendant la première
période
du siège, la maladie se maintint in statu quo j
es les par- ties de l'activité intellectuelle et morale. Pendant la
période
du siège nous observâmes 3 cas semblables, le q
i ai-je offensé le Seigneur ? » C'est sèulement pendant la première
période
du siège que de sembla- bles tableaux se présen
° Le nombre de militaires atteints de troubles cérébraux pendant la
période
du siège (officiers et soldats) est de 39 sur 5 ?
t encore altérer l'aspect du tégument au point le plus exposé. La
période
ulcéreuse est parfois précédée d'une phase de des
rigine; elles sem- blent plutôt devoir prendre naissance pendant la
période
embryonnaire, à une époque assez avancée de cel
tion qui ne se produirait chez les vertébrés supérieurs que dans la
période
de l'état embryonnaire est observée bien plus c
s de vertébrés à sang froid, soit seule- ment pendant les premières
périodes
de l'existence, soit même encore pour quelques
ons extérieures, à des traumatismes subis par la mère pendant cette
période
embryonnaire. Une objection que l'on peut faire
re anté- rieures à la vie foetale et remonter pour la plupart à la.
période
embryon- naire, à une époque où le système nerv
on- naire, à une époque où le système nerveux central est en pleine
période
de développement, où ses fonctions paraissent n
D (Sicard et Descomps) A. B. Attitudes du malade dans la première
période
de l'observation. C. Appareil plâtré. D. E. Att
ébauchant une contraction qui avorte et qui est suivie d'une courte
période
de relâchement, bientôt remplacée à son tour par
avait lui-même constaté-, une évolution capricieuse,traversait des
périodes
d'accalmie el d'aggravation, sans qu'on puisse
à craindre que les dé- faillances qui s'y produisent pendant cette
période
de crise lui fassent perdre une partie de son e
t qu'à se fatiguer et à s'exaspérer. On doit, pendant ces mauvaises
périodes
, réduire le nombre et la durée des séances, en
t diminué d'intensité, et le trapèze gauche qui a, pendant toute la
période
que je viens de traverser, joué certainement un
à ce point de vue la résistance invincible que j'éprouvais avant ma
période
de lit. Une autre conséquence a été la sup- pre
contractions se produisent au lit, et ce n'est qu'après de longues
périodes
d'agitation que j'arrive quelquefois à obte- ni
uasi- impossibilité de réfréner les mouvements convulsifs, dans ces
périodes
aiguës, permet aussi de considérer ceux-ci comm
x si j'arrive à ce résultat, car ce qui me chagrine le plus dans la
période
que je traverse, c'est l'impossibilité de faire l
ce que j'ai toujours eue à Paris pendant les séances, même dans les
périodes
de crises. 3° Les secousses convulsives de tout
Ce n'est qu'une fois celui-ci terminé, ou tout au moins passé à la
période
de consolidation,que je rentrerai chez moi ; j'év
i depuis une quinzaine de jours entravés; je n'ai pas eu dans cette
période
de nouvelles améliorations dans la marche, les re
rès difficiles à obtenir, tandis que je les réussissais avant cette
période
. Je traverse très probablement une crise qui se
(mais, que de choses bizarres dans cette mala- die) ? pendant cette
période
de fléchissement (que je pourrais appeler nouvell
able dans les exercices, au moins quant à l'ensemble, et une courte
période
m'enlevait la possibilité d'en exécuter aucun c
régularité progressive est d'un bon pronostic. A noter une nouvelle
période
dans laquelle lerétrocolis tendait à rem- place
La quasi-guérison que je vous annonçais s'est affirmée sans aucune
période
de dépression ; les dermers vestiges de mon mal n
séances d'exercices, mais je ne les ai abandonnés que pendant deux
périodes
de vingt jours environ chacune. En ce moment, j
des mouvements les moins aisés, et, de temps en temps, pendant des
périodes
de dix ou quinze jours je me livre malin et soir
il était douloureux de fixer un objet, car précisément pendant la'
période
d'occlusion, l'oeil était resté dans la positio
le montre un tracé que nous avons pris au mois d'août 1890. Et, par
périodes
, il a reparu avec sa violence primitive. Si on
nt offre quelque chose d'insolite; il est très variable suivant les
périodes
; il existe parfois au repos; il est rhythmé, pl
en vomissements et en douleurs gastralgiques. Pendant une certaine
période
, les vomissements ont été absolument incoer- ci
ment effectuée pour qu'on pût enlever l'appareil. Pendant toute cette
période
d'immobilisation au lit, les membres supérieurs
ntrées pendant trois jours. La sensibilité a persisté pendant cette
période
. Vers la fin du troisième jour, la main se refroi
peut se montrer le premier. Au fond, il n'existe donc pas plus une
période
préconvulsive de l'hystérie qu'il n'existe une pé
pas plus une période préconvulsive de l'hystérie qu'il n'existe une
période
1. Leçon du mardis juin 188 ! J. - Observation
pressions sensitives et sensorielles dans le délire de la troisième
période
de l'attaque hysté- rique, recherches qui seron
ets présentant ce qu'on appelle le grand hypnotisme, avec ses trois
périodes
bien délimitées, léthargie, catalepsie et somna
dix ans. C'est une grande hystérique, avec grandes attaques à trois
périodes
, atta- ques de contracture, et portant tous les
ation d'un objet brillant et elle tombe en léthargie. Pendant cette
période
, les di- verses excitations que nous faisons po
ous l'hypnotisons par la pression sur les globes oculaires. Dans la
période
léthargique, aucune réaction aux diverses excit
plus variées. Nous n'avons pu ni à l'état de veille, ni pendant la
période
som- nambulique obtenir le récit des tableaux o
e étaient l'expression. Tout sou- venir avait disparu. Pendant la
période
somnambulique de l'hypnotisme les diverses exci
... LA S"'LPP.rI1"RF T. iv. PL VI. SUGGESTIONS PAR LES SENS DANS LA
PÉRIODE
CATALEPTIQUE DU GRAND HYPNOTISME LECROSNIER &
e DF la Salpêtrière T. iv. PL. vu. SUGGESTIONS PAR LES SENS DANS LA
PÉRIODE
CATALEPTIQUE DU GRAND HYPNOTISME LECROSNIER &
sorielles, comme chez nos deux autres malades, non plus que dans la
période
somnambulique, ainsi que nous le disions plus h
D la SALPÈrII"RE . T. iv. PL. vin SUGGESTIONS PAR LES SENS DANS LA
PÉRIODE
CATALEPTIQUE DU GRAND HYPNOTISME LECROSNIER &
E DF LA SALPTIFRE - T. IV. PL. ix. SUGGESTIONS PAR LES SENS DANS LA
PÉRIODE
CATALEPTIQUE DU GRAND HYPNOTISME LECROSNIER &
usieurs fois constaté sur le crâne ces déformations provenant de la
période
intra-utérine. On y trouve deux dépressions oppos
'apparition du tremblement a été pré- cédée chez eux d'une sorte de
période
préparatoire faite d'excitabilité nerveuse, d'i
n temps par un arc de cercle caractéristique. Pendant celle seconde
période
le malade crie, cherche à se mordre les mains, dé
ujet hystérique et hypnotisable est plongé artificiellement dans la
période
somnambulique du grand hypnotisme; il suffit de f
e de vingt-deux ans(Hémianes- thésie droite). Elle est mise dans la
période
somnambulique, et sans qu'elle s'en aperçoive,
guérie. Seule l'hémianeslhésie a persisté. Elle esl plongée dans la
période
somnambulique et le même traumatisme donne lieu à
llement. Elle ne présente pas d'anesthésie cutanée. Plongée dans la
période
somnambulique et « traumatisée » expéri- mental
ie complète et totale. Seule la cornée est respectée. Depuis un an,
périodes
d'anesthésie vési- cale avec incontinence d'uri
rs et la tête; et depuis ce jour il a toujours per- sisté, avec des
périodes
d'aggravation et d'apaisement, mais sans disparaî
frayeur), jusqu'à la première. semaine de septembre. Pendant cette
période
de trois mois, nous avons attentivement observé c
blessures, c'est-à-dire pendant une dizaine de jours. Durant cette
période
il se plaignait surtout de ne pou- voir pas dor
roît seulement d'une façon notable. Tout ce qui précède a trait aux
périodes
dans lesquelles la malade, ayant eu peu de temp
pendant le sommeil. Mais il n'en est pas toujours ainsi. Après les
périodes
« d'agitation » viennent des périodes de calme re
pas toujours ainsi. Après les périodes « d'agitation » viennent des
périodes
de calme relatif, dans lesquelles le tremblemen
heure sans interruption. Enfin, il arrive de temps en temps que les
périodes
d'arrêt du trem- blement se prolongent pendant
e liberté de ses mouvements. L'année suivante, en 188G, après une
période
de malaise vague pendant laquelle son caractère
ie de quelques mois à cinq ans. Puis vient une plus ou moins longue
période
de repos. Après un temps d'arrêt de six mois, u
embres, qui dura sept mois et se termina par la guérison. Après une
période
de santé de deux ans et demi, le malade fut rep
, l'existence de ces douleurs violentes qui caractérisent l'une des
périodes
de la pachyméningite cervicale hypertrophique.
gique. Au moment de son admission, c'est un tabétique à la dernière
période
: im- possibilité de se tenir debout, anesthési
infériorité relative. Elles dénotent un arrêt de développement à la
période
foetale ou infantile (bec de lièvre, cryptorchi
ire si elle avait éprouvé z des sensations particulières daus cette
période
préparatoire de la disparition de la paraplégie
ente quelque analogie avec la poitrine en entonnoir. A une certaine
période
de la myopathie atrophique progressive de l'enf
aires de ce qui se passe, au même point de vue, dans les diverses
périodes
de l'hypnose, la contrac- ture survenant à la s
ésique. Elle est hypnotisée par les procédés ordinaires. Pendant la
période
cataleptique, son attention est attirée sur sa
de connaissance complète, sans cri, sans miction. Après une courte
période
de stupeur, le malade se lève pour aller et ven
a vu les troubles circulatoires se manifester exclusivement dans la
période
dé- pressive. Ce fait peut être cité à l'appu
n de Bicêtrc. 1. Ritti, De l'asphyxie locale des extrémités dans la
période
de dépression de la folie ci double forme (AmI.
bras gauche, le cou, l'oreille et la joue du même côté. Durant celle
période
de brûlure l'enfant avait été obligé de garder
ideur dans la nuque. Le délire dura deux mois environ. Durant celle
période
délirante, la température atteignit 40°, 41° et m
ents imprimés au tronc, comme les jambes d'un tabétique arrivé à la
période
paralytique. Troubles sensoriels. L'odorat, l'o
obile, sans oser se redresser, de peur de les exagérer. Après cette
période
de trois semaines, ces accidents dou- loureux s
e droite. L'anesthésie généralisée n'est com- plète que pendant les
périodes
qui suivent les attaques. Entre temps, la sen-
ent arrivé de refaire automatiquement son lit la tête aux pieds. La
période
de stupeur proprementjdite est remplacée dans tou
a démographie est encore plus marqué que précédemment, même dans la
période
postparoxystique dont il vient d'être parlé; il
nsi, la suspension aurait dû donner de meilleurs résultats dans les
périodes
initiales du tabès, tandis que, comme nous l'avon
tabès, tandis que, comme nous l'avons déjà constaté, c'est dans ces
périodes
qu'elle aggrave généralement la ma- ladie. D'
d'Heberden, idiotie, 25 (p. 271). Suggestions par les sens dans la
période
ca- taleptique du grand hypnotisme, 6, 7, S, 9.
solument nulle, il a des tics plus ou moins nombreux. La première
période
du traitement médico- péda- gogique consiste à
t, chariot, etc.) et à lui apprendre à devenir propre. La seconde
période
du traitement znéctieo-péclago- gique consiste
(Henri), 18 ans 1 ? . - Imbécillité, Epilepsie. - Après une longue
période
de paresse, l'enfant s'est mis au travail, est
iques, convulsifs ou psy- chiques, les autres des impulsions ou des
périodes
d'excitation, ces jours-là et les jours qui sui
pation, le temps accordé pour telle autre, En Allemagne, pour une
période
de six jours on attribue 24 heures à l'étude. A
pratique nous a permis de constater que les entrants étaient it la
période
d'incubation d'une affection aiguë ordinaire ou
bres rigides ont été pris de fortes secousses. Après cette première
période
qui a duré environ une minute, le corps est dev
nanisme, une autre pour mensonges. - Sournois, hypocrite, jaloux. -
Périodes
de mélancolie (1896). - Traitement médico-pédag
de vue de la véracité et de l'assi- duité au travail. Du 14 au 21,
période
de mélancolie et de tacitur- nité provoquée san
et revient seul. Tout parait bien aller. Juin, juillet. - Bonnes
périodes
, mais il parait se produire à son sujet des tir
ssé. Veuf à cinquante-trois ans ; ne s'est pas remarié ; a vécu par
périodes
avec une ancienne malade de la Salpêtrière, « a
ié ». Cet affaissement et cette déviation se manifestent encore par
périodes
. Chutes nombreuses. Gourmes fréquentes : les pl
e corps progresse en avant d'une façon normale il existe : 1° une
période
durant laquelle le corps repose sur les deux pied
repose sur les deux pieds, c'est le temps du double appui ; 2° une
période
où l'un des membres, quittant le sol pour y rev
jets ont été atteints de leur affection hémiplégi- que durant cette
période
de croissance : leur musculature faible les a m
ïl se fait une éraflure du nez. Le 16, dans un accès très léger, la
période
congestive, le sang a coulé de l'éraflure, form
u 3e mois. Vertiges au réveil de 3 mots à 18 mois. - Durant la même
période
, crises convulsives tous les 3 mois prédominant
mais de un an à un an et demi, elles avaient diminué. Durant cette
période
, il lui est arrivé d'avoir à peu près tous les
s. D'un autre côté, pourtant, il faut se souvenir que, durant une
période
, les convulsions ont prédominé à droite, ce qui
jours d'excitation corres- pondant à l'époque menstruelle absente,
période
111élancoti- que durant. trois semaines, Retour
L'état d'agitation dure jusqu'il la fin de janvier 1899. Nouvelle
période
d'excitation, précédant les règles. En mai, l'enf
eure. Elle a été gardée par ses parents jusqu'à 5 ans. Durant cette
période
elle s'est toujours bien portée. De 5 à 7 ans
par jour; toniques.- L'amaigrissement conti- nue. Septembre. A la
période
de. préoccupation et de loqua- cité a succédé u
bre. A la période de. préoccupation et de loqua- cité a succédé une
période
d'indifférence. Elle participe non- chalemment
survenue, avant la puberté, Ù 15 ans; elle aurait consisté en une
période
d'excitation suivie d'une période de torpeur. A
ans; elle aurait consisté en une période d'excitation suivie d'une
période
de torpeur. Au bout de quelques jours, IL. étai
l'excitation. A partir du 3 février, l'agitation fait place il une
période
de mélancolie : Marguerite devient de plus en p
ques cle folie, sauf l'intensité, ont offert les mêmes caractères :
période
d'excitation maniaque, période mélancolique. El
ont offert les mêmes caractères : période d'excitation maniaque,
période
mélancolique. Elles ont eu une durée différente
utiles ; brise son mobi- lier et commet « mille folies ». Entre ses
périodes
d'ivresse il semble « intelligent, mais dépourv
nairement calmes. Le 3 novembre, dans la journée, s'établissent des
périodes
d'accalmie, de dépression même, où la malade vi
26 novembre l'agitation tend progressive- ment il disparaître, les
périodes
de tranquillité sont plus longues et plus rappr
longues et plus rapprochées ; mais on constate que, même dans ces
périodes
de calme, la malade n'est pas complètement 172
pomatose symétrique- lorsque l'affection est arrivée à une certaine
période
de son développe- ment, est tout à fait caracté
rappelait le faciès spécial que pré- sentent les leucémiques à une
période
avancée de leur maladie. Il y a là un état qui
indiquée depuis longtemps par les cliniciens. Les névralgies de la
période
secon- 't54 ' R. CESTAN daire ou tertiaire qu
d et Barthélémy auraient constaté dans la paralysie du cubital à la
période
secondaire une hypertrophie du cubitus, hypertr
oit dans ses malades que deux cas d'analgésie totale au cours de la
période
secondaire et sa description clinique ne permet p
syphilitique. Les troubles nerveux font leur apparition pendant la
période
secondaire de la syphilis à une date du chancre
s que la néphrite et la pleurésie que l'on voit survenir pendant la
période
se- condaire de syphilis. La rareté et la bén
simple sont d'après Richer, dont j'ai confirmé la description : 1°
période
de double appui ; 2° pas posté- rieur ; 3° mome
des hôpitaux. Faculté. L'adéno-lipomatose symétrique, arrivée à sa
période
d'état, est une ma- ladie toujours semblable à
qui portât sur tous les traumatismes crâniens pendant une certaine
période
de temps, de laquelle on extraierait le nombre
nt tombée, on reconnut que la vision était normale. Pendant cette
période
aiguë, et un peu après il lui est arrivé de gâter
l'accident. A. Hémiplégie traumatique. On peut lui considérer une
période
aiguë qui dure pendant les quelques jours qui s
ë qui dure pendant les quelques jours qui suivent l'accident et une
période
de chronicité qui survient ensuite à moins d'in
it à déterminer une série de secousses. Il y a parfois pen- dant la
période
aiguë des mouvements épileptoïdes du côté paralys
la suite d'une heureuse intervention ou même dans le décours de la
période
aiguë les troubles de la parole s'améliorent, l
e prend ici une certaine valeur dans l'ensemble des symptômes de la
période
aiguë. Enfin à la période aiguë appartiennent
eur dans l'ensemble des symptômes de la période aiguë. Enfin à la
période
aiguë appartiennent encore les grandes élévations
s'amendent au bout d'un certain temps. Ce que nous qualifions de
période
aiguë et qui comprend les grands signes immédia
notices. Mais, nous ne croyons pas que l'on ait signalé encore une
période
de temps si longue où le souvenir a été effacé co
moment des règles, mais ne se montraient pas régulièrement à chaque
période
mens- truelle. Elles furent surtout fréquentes
les et durent quinze jours. Pendant le mois de calme qui suit cette
période
douloureuse, Marie M... se livre aux mêmes trav
he, le haut du corps se casse et se porte en avant. Dans une nouvelle
période
de douleurs plus intenses que les précédentes,
ra en août 1899 une congestion pulmonaire. Abattue par cette longue
période
de souffrances cruelles, la malade fut emportée
t son retour d'âge en 1894, par conséquent à SI ans, sans que cette
période
critique fut marquée par des accidents particul
façon très précise qu'au moment même de cette contrariété, ou de la
période
de neurasthénie, sa marche était correcte, son
onc pendant la station debout, l'absence de signe de Romberg. A une
période
plus avancée, les membres supérieurs se prennen
mendèrent puis reparurent plus in- tenses à 33 ans à la suite d'une
période
de fièvre et de frissons ; puis il 3 ans il pré
nt pas donné de résultat positif. Suivant Tornsend la plus longue
période
de temps qui sépare le coup, de l'apoplexie ser
ieurs dans la même journée et pendant plusieurs jours de suite. Une
période
de repos survient alors qui dure environ six jo
gantisme comme une seule et même maladie dont le développement à la
période
de croissance engendrerait le gigantisme et, ap
la période de croissance engendrerait le gigantisme et, après cette
période
achevée, l'acromégalie. Or, chez notre malade,
peu de développe- ment depuis quelque, temps. Mais pendant cette
période
la motilité des doigts est troublée. Il y a un
mation de l'ataxie des mem- bres inférieurs. C'est à cette dernière
période
qu'il convient, ce nous sem- ble, de les rattac
0-ARTHROPATUIES VERTÉBRALES DANS LE TABES 427 raisons à la première
période
de leur affection vertébrale, à celle que nous
r affection vertébrale, à celle que nous désignerons sous le nom de
période
des déviations simples. Plus tard en raison de
lors identiquement à la description donnée par Ilal- lion. C'est la
période
des déviations dues à des lésions vertébrales loc
ent peuvent donc se diviser en deux groupes. Le premier répond à la
période
des déviations simples, il comprend la presque
nous y ajoutons l'esquisse de P.Richer (obs. VIII). Le second à la
période
des déviations dues à des lésions localisées : le
pathies vertébrales tabétiques sont essen- tiellement insidieux, la
période
des déviations simples s'écoule de même sans la
ins. Le crâne, la peau, le bassin, sont rarement intéressés à cette
période
. Le thorax au con- traire présente des altérati
les retrouver plus complètes et plus typiques dans un instant, à la
période
suivante; elles se prêteront mieux alors à une
'est l'indolence complète. Ces s stade évolue, à son four, comme la
période
de début, sans la moindre dou- leur. Il n'exist
vertébrale. Il est à remarquer en effet, que dès le début de cette
période
, les mouvements intrinsèques de la colonne vert
u poumon expliquant ainsi un dénouement fatal aussi brusque. A la
période
des déviations simples succède la période des lés
fatal aussi brusque. A la période des déviations simples succède la
période
des lésions loca- lisées. La transition est ino
ssive des lésions. Il n'en est cependant pas toujours ainsi : celte
période
de phénomènes bruyants peut faire en- tièrement
dieuse, 'ou bien qu'il existe une transition brusque etbruyante, la
période
des lésions localisées et des déviations second
), l'intervention de ces courbures (obs. VI) se montrent dans cette
période
comme dans les précédentes, mais ici elles ne son
ité propre de la colonne vertébrale nous ne pouvons le dire à cette
période
. Une seule observation fait mention de ces mouv
sumerons seulement ici les signes qui caractérisent les différentes
périodes
. A la période de début, appartiennent l'altitud
ent ici les signes qui caractérisent les différentes périodes. A la
période
de début, appartiennent l'altitude vicieuse du
ude et il est difficile de leur assigner une durée quelcon- que. La
période
des déviations simples peut être constituée en qu
ue sont coni- mandées par l'inflexion vertébrale primitive. À cette
période
succède brusquement celle de localisation des l
tion des lésions : il y a place cependant en- tre les deux pour une
période
intermédiaire, faite de phénomènes plus apparen
tôt sa marche torpide et indolente. Elle est parvenue à sa dernière
période
, celle caractérisée par une localisation manife
sée par une localisation manifeste des lésions vertébrales. A cette
période
appartiennent la gibbosité dorso-lombaire, les no
porte à des faits d'ostéo-arthropathies vertébrales, parvenues à la
période
de localisation de lésions. A la période des dévi
ertébrales, parvenues à la période de localisation de lésions. A la
période
des déviations rachi- diennes simples, l'existe
es éta- pes que la clinique nous a appris à désigner sous le nom de
période
de déviations simples, période de phénomènes br
s a appris à désigner sous le nom de période de déviations simples,
période
de phénomènes brusques et bruyants, période enf
de déviations simples, période de phénomènes brusques et bruyants,
période
enfin de localisation des lésions. Au début du
tent de nouvelles altérations aux modifications déjà ac- quises. La
période
des déviations simples est ainsi constituée. Elle
esure qu'elle se produit, la destruction d'un de ses segments. A la
période
de déviations simples succède insidieusement la
ments. A la période de déviations simples succède insidieusement la
période
de localisation des lésions. Mais il n'en est p
e diagnostic différentiel doit 1 être établi pour chacune des trois
périodes
de la maladie. Dans la première, il existe une
as éviter de prendre pour un ataxique vrai un hérédo-ataxique. A la
période
de transition, trois éléments se surajoutent aux
ailleurs le tableau symptomatique change aussitôt et la troi- sième
période
va se dérouler longuement avec des signes plus ne
ait usage déjà de sa réserve chroma- tique, reconstituée pendant la
période
de réparation. Le nombre des éléments composant
ous avons ici également un certain nombre de cellules qui sont à la
période
de réparation ; elles réorganisent leur substance
nerveuses non pas, comme on pourrait le supposer, aux confins de la
période
de réaction seulement; mais aussi lorsque la ré
suivie de chromatolyse intense et irrémédiable. Il n'y a jamais de
période
de réparation ; toutes les cel- lules dont les
istré chez les enfants qui présentent quelques-uns des accidents delà
période
de dentition, caractérisés par l'agitation, par l
fait trouver le procédé suivant, qui rend tolerable pour le malade la
période
si douloureuse de la vésica-tion. Au moment d'app
ante comme on le voit si souvent dans l'eczéma des jambes arrivé à la
période
squameuse terminale. Quoi qu'il en soit de ces
les membres supérieurs, et n'atteint les membres inférieurs qu'à une
période
fort avancée ; elle détruit les muscles partielle
e la contractilité électrique est affaiblie ou abolie dès la première
période
, bien que le tissu musculaire soit encore intact.
e dans notre exemple de la planche XII : ce signe indique surtout une
période
inflammatoire du molluscum. MM. Heylaud et Virc
veloppement de la tumeur, il y avait des poussées inflammatoires, des
périodes
de douleurs analogues à celles qui existent dans
syphilitique, phénomène intermédiaire ¿1 la seconde et à la première
période
de la syphilis, ne cède jamais au traitement spéc
re apparaît seule ou conjointement avec d'autres manifestations de la
période
secondaire ou intermédiaire. Elle est caractérisé
de sa nocuité. Du iel' janvier t 861 au 3i décembre 1866, pendant une
période
de six années, 13,818 femmes arrêtées pour fait d
ur les 3,85o filles publiques enregistrées, on ne trouva dans la même
période
qu'une malade sur 7. Mais il y a de plus cette di
e maisons de tolérance va sans cesse en diminuant : De 233 pendant la
période
de 1840 à 1845, il n'est plus que de 212 de i85t
vent; la statistique du service de M. Fournier, recueillie pendant la
période
de quinze à seize mois, a donné, sur un total de
dit que : trop penser rend ladre.) On a voulu distinguer plusieurs
périodes
dans cette maladie, mais en réalité elles ne sont
us attirerons particulièrement l'attention du lecteur sur la deuxième
période
ou tuberculeuse que nous avons mieux étudiée, grâ
s ou moins longue finissent presque toujours par s'ulcérer (troisième
période
des auteurs), soit parla fonte de la matière qui
hylactiques soient prises dans la maison d'un tuberculeux arrivé à la
période
hectique, et notre savant confrère les formule de
tc., et mettre à neuf la chambre dans laquelle il a passé la dernière
période
de la maladie. » BIBLIOGRAPHIE Traité du diag
et moins marquées à gauche. Les membres inférieurs, après une courte
période
de tonicité, sont également pris de convulsions c
pent sur d'autres points, à la vulve notamment. Elle apparaît dans la
période
secondaire de la syphilis, mais toujours à un ter
daire de la syphilis, mais toujours à un terme un peu avancé de cette
période
. Elle se distingue des tubercules linguaux, avec
M. Liebreich a vu l'anesthésie se produire chez les animaux après une
période
de sommeil, puis la mort succéder à cette anesthé
mal, produit Y anesthésie chez ce dernier, et cela sans passer par la
période
d'excitation qui se produit toujours avec le chlo
connus. On fera une recherche semblable sur du sang pris pendant une
période
d'apyrexie, entre deux accès, et Ton y suivra l
dont M. Giraldès préconise l'emploi aussi avantageux qu'innocent à la
période
infantile de l'existence; sur Yanesthésie locale,
ntrent souvent très tôt à une définitions RÉCENTES DE l'hystérie.
période
où les idées fixes ne pourraient avoir cette forc
ées d'une angoisse comme d'une aura, aux somnambulismes mêmes des
périodes
bizarres où le malade ne se reconnaît plus lui-mê
tent une insuffisance psychologique qui reste latente pendant l les
périodes
moins difficiles. Dans un esprit prédisposé parol
les plus intéressantes qu'il avait pu recueillir durant la première
période
de sa vie de praticien 2. 1 Dans une profession
t 382, on en déporta 919, on en emprisonna 77 à vie, 92 pendant des
période
variables, on en acquitta 20; 31 moururent pend
olution, par l'intensité des phéno- mènes spastiques, par la longue
période
qui s'est écoulée entre le début des symptômes
dues si caractérisez tiques de l'affection dans,lettabes, même à la
période
tertiaire, et l'articulation est décrite comme
leur de tête intense, élévation de tempéra- ture à 39° et enfin une
période
de sommeil. A, la suite du som- meil une forte
liques encore susceptibles de relations sexuelles; il apparaît à la
période
tardive * de l'alcoolisme généralement sous la
me Charcot, sans ses encouragements, la plupart des leçons de cette
période
auraient eu le même sort que celles de 1867 et
nt (1867), il occupa cette chaire jusqu'en 1881. C'est durant cette
période
qu'il fit ses Lecons sur les maladies du poumon
erchent à se tenir au cou- rant de la science. C'est durant cette
période
qu'il publia ses Leçons sur les anomalies de l'
eptiques et aux hystériques, quelques services rendus pendant cette
période
au personnel de la maison, nous y avaient donné
ques jours encore après l'abandon de la mé- dication et même qu'une
période
plus ou moins longue de calme s'établit. A cet
D'une manière générale il résulte de cet exposé que la durée de la
période
de tranquillité, après abandon du remède, a été
entes la duboisine ait réduit la durée des crises et pro- longé les
périodes
de lucidité et d'apaisement. Néanmoins, il n'es
I. Emile Sem..., trente-six ans, paralysie géné- rale à la première
période
avec violente agitation presque toute la journé
Emile Merl..., quarante-deux ans; paralysie générale à la première
période
, avec violente agitation presque .toute la jour
e Ellingh..., quarante-cinq ans; para- lysie générale à la première
période
avec vive agitation; deux ou trois heures de tr
gène Roll..., cinquante et un ans; paralysie générale à la première
période
; agitation à peu près continue. Un milligramme
Félix Hasc..., quarante et un ans; paralysie générale à la première
période
; agitation à peu près continue. Un milligramme
Charles Col..., trente-quatre ans; paralysie générale à la première
période
; très violente agitation à peu près continue. U
Arthur Laff..., quarante-cinq ans; paralysie générale à la première
période
; agitation à peu près continue. Un milligramme
ie-Ange Rab.... trente-sept ans; para- lysie générale à la première
période
; agitation furieuse continue. Un milligramme de
Edouard Carb..., trente-huit ans; paralysie générale à la première
période
avec violente agitation une bonne partie de la
Alfred Ceml..., quarante-cinq ans; paralysie générale à la première
période
avec agitation à peu près continue toute la jou
- Adrien Lor..., trente et un ans; paralysie générale à la première
période
avec vive agitation la plus grande partie de la
il est vrai, s'est établie plus ou moins rapidement, mais après une
période
d'action efficace, étaient également des cas ai
abandon du remède et parfois même il est arrivé qu'une assez longue
période
de calme ait suivi la suppression de la médicat
il physiologique et ne s'accompagne pas de dépression ; 2° dans les
périodes
d'exci- tation, comme agent sédatif; il peut ic
tions à leur véritable origine, mais elles peuvent se produire à la
période
d'incubation et provo- quer une erreur judiciai
oteurs, impulsions et phéno- mènes d'arrêt. Puis, dans une deuxième
période
, ces symptômes se développent, il apparaît des
origine embryogénique, se comportent comme les neuroblasles de la
période
embryonnaire et donnent naissance indifféremment
tion; il s'agissait , évidemment d'une , (inclusion remontant à la,
période
embryonnaire. ' 1 Lesage et Legrand ont décrit
. Chaque semaine ils reçoivent : asiles d'aliénés. 309 lugubres
périodes
. Jusqu'en 1865, une épidémie de dysenterie s'ab
t estimer qu'en éliminant les cas de folie simple déjà arrivés à la
période
de démence, on renvoie guéris la moitié des aut
utanés et tendineux est modifiée chez l'aliéné, mais la durée de la
période
latente (temps perdu), la durée du réflexe lui-
tion électrique de l'écorce. Voici ces conclusions : 1° Pendant la
période
tonique de l'accès d'épilepsie, les réflexes pate
ar les muscles sont tendus; géné- ralement ils apparaissent dans la
période
clonique. 2° A la suite d'un fort accès d'épile
tude presque aussitôt ou quelques secondes après la cessation de la
période
clonique. 4° La complète disparition des réflex
etit nombre où la quantité des globules est physiologique.-Dans les
périodes
d'agitation, sur- tout si elles se prolongent,
trouvent dans des conditions phy- siologiques ; tandis que dans les
périodes
d'agitation prolongée qui parfois conduisent au
n de ce qu'on peut appeler une « action mentale », et que durant la
période
d'inhibition pendant laquelle la microkinèse es
orsqu'ils se manifestent, ces troubles psychiques présentent quatre
périodes
: 1° une période prémonitoire, dans laquelle il
estent, ces troubles psychiques présentent quatre périodes : 1° une
période
prémonitoire, dans laquelle il y a exaltation d
sensibi- lités particulières et des facultés imaginatives ; 2° une
période
de dépression ou de mélancolie ; 3° une période
aginatives ; 2° une période de dépression ou de mélancolie ; 3° une
période
de transition, caracté- risée par de la manie o
élancolie avec excitation, ou bien par des états convulsifs; 4° une
période
finale de démence. ' L'auteur décrit avec soin
e période finale de démence. ' L'auteur décrit avec soin ces quatre
périodes
, en s'attachant sur- tout à la forme alcoolique
on. Nous devons observer qu'il a pu à diverses reprises, dans des
périodes
où son équilibre mental était meilleur, se soustr
zarres. D'un aspect anxieux et affaissé, elle traversait de longues
périodes
de décou- ragement, sans qu'aucune circonstance
des se succèdent. T... a maintenant trente-cinq ans; après quelques
périodes
d'anxiété, d'insomnie, de cauchemars, il vient
re; il est remarquable en outre : 10 par la longueur inusitée de la
période
de stupeur, durant laquelle la volition et la c
is on constate une proportion d'hémoglobine très élevée pendant les
périodes
d'exaltation très accusée; 4° dans ces divers é
565 autopsies DU cerveau faites A l'asile DE V.1AEFIELD pendant une
période
DE onze années; par F. ST. JOHN BULLEN. (The Jo
conclusions même de l'auteur. Chez les malades ayant succombé à la
période
aiguë de la manie et de la mélancolie, il est a
e rentre chez elle où elle meurt au bout de trois mois. Après une
période
d'excitation maniaque d'environ huit jours, elle
t aux idées' de pos- session peut ne survenir qu'après une certaine
période
de maladie n'offrant guère de symptômes différe
Cette jeune femme continuait à souffrir, surtout au moment de chaque
période
menstruelle, et était condamnée à garder le lit p
e menstruelle, et était condamnée à garder le lit pendant toute cette
période
, et même plusieurs jours avant et après la venue
ntant en une sorte de neige ou facules lumineuses correspondant à une
période
de réfection de notre vitalité intime après une f
r de l'enveloppe en contact avec la surface du corps, au moment de la
période
vibratoire ; la plaque occluse mise dans un petit
ent de la volonté et du contrôle personnel » ; il y voit encore a une
période
cette confiance en soi » qui,chez l'homme normal,
u qu'il est impossible de commettre ou de suggérer un crime durant la
période
vigilante de l'hypnose, rien de ce que j'ai vu ne
moindre raison de supposer qu'un crime pouvait être commis durant la
période
profonde. Dans la relation de quelques opérations
endus par Charcot et par les diverses écoles et en démontrant que, la
période
des interprétations théoriques ayant pris fin, il
mplètement réfractaires. La susceptibilité revient de nouveau dans la
période
de convalescence. Ce fait explique pourquoi on ob
nt les meilleurs résultats par l'application de l'hypnotisme dans les
périodes
où la maladie commence à devenir stationnaire.
cessives. Manie aiguë intermittente, coïncidence des accès avec les
périodes
menstruelles. — Arrêt de ces accès par la suggest
s juin 1896 elle a eu des accès de manie semblables, tousjes mois aux
périodes
menstruelles ; ces accès durent de 12 à 15 jours
s règles huit jours. 8 mars 1897.— Date du mois qui correspond à la
période
menstruelle. Nous lui avons suggéré do dormir jus
lit dans la position du sommeil. Il lui sera donné comme pendant les
périodes
menstruelles des autres mois, 5 gr. de bromure et
gnée d'hallucinations auditives chez un jeune névropathe, arrivé à la
période
de la puberté, surmené intellectuellement, intoxi
ets les axatiques, dans ce que l'on est convenu d'appeler la première
période
du tabes, bien que, dans le cas dont je m'occupe,
n que, dans le cas dont je m'occupe, ceci ait eu lieu dans la seconde
période
! Jusqu'ici les moyens thérapeutiques usités re
dix ans ; elle a éprouvé tous les syptomes classiques de la première
période
, et, de plus, elle souffre au moment de ses règle
nie de longue durée, constipation, dyspepsie, dysménorrhée, insomnie.
Périodes
de dépression profonde depuis dix ans. Migraines
ls parlent à l'état de veille; ils passent, en définitive, de longues
périodes
de temps dans une sommation automatique pendant l
ve, manifestement hystérique depuis son enfance, a présenté, avant la
période
.actuelle, les accidente névropathiques les plus
logique, I. Le vin ; Hoffmann : Revue des Deux Mondes, lxv" innée, 4«
période
, t. 132-, p. 337 (15 novembre 1895). (1) Voir l
et l'activité nutritive persiste ; les aliments fournis pendant cette
période
produisent plus d'éléments que ceux qui sont détr
mitateurs insuffisamment préparés à son application. Intervenant à la
période
de l'utilisation pratique, ils dédaignent d'étudi
onnels physiques. C'est l'hyperacousie, la suracuité de ce sens, à la
période
extatique et hypnotique de la grande hystérie, et
l'espoir inaltérable de bon nombre de phthisiques arrivés au dernier
période
de leur affection ; cette euphorie paradoxale s'o
vénements vrais ou supposés qui lui étaient arrivés pendant la longue
période
où il avait déliré activement. 3° sensibilité r
retracera les grandes étapes d'une scionce arrivée actuellement à la
période
véritablement scientifique de son histoire. La dé
e sente : il perd jusqu'au réflexe pal-pébral comme dans la troisième
période
de l'anesthésie chlorofor-mique ; mais on ne peut
e persistance possible de la conscience du sommeil au-delà même de la
période
du sommeil physiologique? Sans doute, on devra pr
ui, sans plus de raison, comme absolument matériels. Dans une seconde
période
dite de l'animisme, il sépare des objets l'âme qu
l'âme qu'il leur attribue et invente les esprits. Dans une troisième
période
, où, la généralisation et l'abstraction apparaiss
attraction vers 1 idéal, reste de l'amour dominant durant la seconde
période
!1). Aussi voyons-nous toutes les religions abouti
ouve « à point » et que le moment est propice pour la suggestion ; la
période
préparatoire est terminée, la phase véritablement
pp. 337-3510 Dans cet article. M. Ricliet définit ce qu'il appelle la
période
réjractaire, c'ost-à-Jlrc le temps pendant lequel
e de toutes les recommandations ci-dessus énoncées et les inévitables
périodes
de repos, ne peut guère comporter moins d'une dem
retour, j'ai fait encore une douzaine de séances pendant une nouvelle
période
de quinze jours. Au bout de ce temps, l'état de l
s la même séance, j'interposais, entre deux suggestions pénibles, une
période
de repos, la respiration redevenait promptement t
; grâce à elle, on pourra parvenir à jeter quelque lumière sur cette
période
qui comprend, en somme, le tiers de notre vie psy
les résultats suivants : Chez les malades circulaires, le début d'une
période
d'excitation se manifeste par de Vhypoglobulie, —
émotion. L'observateur peut donc être prévenu avant le malade que la
période
de dépression va remplacer la période d'excitatio
prévenu avant le malade que la période de dépression va remplacer la
période
d'excitation ou inversement. Par exemple {p. 630)
s), par le Dr Tokarsky, 73. Manie aiguë intermittente, pendant, les
périodes
menstruelles, traitement par la suggestion, par l
natomie pathologique, nous cherchons à provoquer dans les premières
périodes
de la maladie une 22 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
ques qui produisent la destruction des fibres nerveuses. Dans les
périodes
avancées de la maladie, il devient encore plus év
ents toxiques. C'est ainsi que la suspension sera nuisible dans les
périodes
initiales des processus morbides inflamma- toir
la- des dont les lésions ne sont pas encore trop avancées. Dans les
périodes
trop avancées de la maladie, le tissu conjoncti
on doit toujours considérer comme contre- indications absolues les
périodes
inutiles des processus morbides inflam- matoire
efois sans fièvre. J'ai vu plusieurs ma- lades de variole qui, à la
période
de dessiccation, quand leur température était n
épassait 40° et il était de la même nature que celui de la dernière
période
des convulsions : elle voyait des hommes et leu
t, et elle se renfermait dans un mutisme absolu. Durant toute cette
période
, les vomis- sements furent continuels, de sorte
e dura trois mois environ, oscillant entre 39° et 41° 3. Pendant la
période
fébrile, on ne put point reconnaître de lésion vi
ril; la courbe thermographique se divisa pendant ce temps en quatre
périodes
. On attendait que la malade entrât en une franche
vulsions sont pas- sagères ; ailleurs elles se répètent pendant une
période
de plusieurs mois ; dans d'autres cas elles peu
dire de la mère. L'attaque apoplectiforme sur- vient aussi dans la
période
ultime de la maladie. Kurella signale chez son
, dans l'évolution plus ou moins fatalement progressive du mal, des
périodes
successives. La première période a été appelée
atalement progressive du mal, des périodes successives. La première
période
a été appelée par Duchenne période prodromique.
ériodes successives. La première période a été appelée par Duchenne
période
prodromique. Elle précède en effet l'incoordina
existe. Le mot prodromique caractérise donc bien mal cette première
période
; c'est pourquoi j'ai pro- posé, y a vingt ans,
st pourquoi j'ai pro- posé, y a vingt ans, de la désigner du nom de
période
des douleurs fnlgu- mntes; car ce sont, dans la
époque, ce champ d'étude où nous avons posé les premiers jalons, la
période
des douleurs fulgurantes, comme nous l'appellio
eurs fulgurantes, comme nous l'appellions, s'appelle communément la
période
préataxiqite, dénomination mieux appropriée que l
; 4° la parésie vésicale, qui constituent le tableau clinique de la
période
préataxique. Mais, Messieurs, il n'en est pas t
tendre avant de se prononcer que quelque autre phénomène de la même
période
vienne lever les doutes. Nous voici maintenant
s noire service. Au mois de septembre dernier, il a dû accomplir sa
période
d'instruc- tion militaire, dite des 28 jours, d
mouvements oscillatoires de p" en ? ; ensuite apparaît une nouvelle
période
de repos apparent de 8 secondes, puis les mouve
s ; l'incontinence des matières et des urines ne se montre qu'à une
période
avancée, lorsque par suite de leur profonde déc
on, il faut établir une distinction, suivant que la chorée est à sa
période
d'état, et d'une intensité moyenne, ou bien, su
ouvons en face d'une malade atteinte de la chorée de Sydenham, à la
période
d'état, le premier signe qui nous frappe comme da
un mois environ. On trouve sur la malade des éléments à toutes les
périodes
de leur évo- lution. Tous ces éléments sont rég
x coïncide, comme dans certains cas de paralysie infantile, avec la
période
de développement du rachis. S'agit-il d'une con
GRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. qu'à l'état normal, autrement dit que la
période
d'excitation latente était augmentée. Signalo
1888) (1) a trouvé, dans un cas type de maladie de Thomsen, que la
période
d'exci- tation latente, pour les courants galva
resse, les jambes écartées en chancelant comme un homme ivre. A une
période
avancée la marche et la station debout de- vien
upart des cas, produire les convulsions artificiellement pendant la
période
intercalaire, en comprimant les gros troncs art
que les mouvements invo- lontaires qui caractérisent normalement la
période
d'incoordination des tabès, il n'existe aucune
pour le moment, car, vous le voyez, les expériences sont en pleine
période
d'activité : ce que j'ai rapporté est suf- fisa
ocondrie avec névralgie occipitale on réussit à procurer une courte
période
de calme. 4° Dans le traitement de l'insomnie d
gie, 3'' série, t. IV, 1889, pag. 38, et Gazelle des beaux-arts, Be
période
, t. III, pag. 59. 3lui NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
e croissance qui les régis- sent. l. Très rapide dans la première
période
de la vie, la croissance diminue au sur et à me
4 fois à 1 an ; 5 fois à 4 ans ; , 6 fois à 9 ans ; 7 fois à la
période
de l'adolescence ; 7 fois 1/2 chez l'adulte arr
2 à 3 ans ; Briquet en ajoute lui-même un assez grand nombre. Celte
période
de l'enfance qui va de 3 à 10 ans figure à peu
octurnes, se terminant souvent par une crisedelar- mes; déplus, une
période
de surexcitation particulière, causée parla renco
e en plaques. Les deux graphiques ci-joints (fig. 43), pris à cette
période
et dus à l'obligeance de M. Dutil, se rapporten
pas pour guérir la phthi- sie, et la raison en est claire. Dans une
période
avancée de la maladie la faradisation de la rég
olyclès fils de Timarcilide, artiste grec des premiers temps cle la
période
gréco-romaine et qu'il ne faut pas confondre avec
ux besoins du pré- sent, mais encore à ceux de l'avenir, durant une
période
assez longue. Il repose sur ce principe : Faire
ray ? reprend généralement connaissance de suite sans avoir eu de
période
de stertor, ni de ronflement; toutefois on a noté
KSOè\NIENNE. formes étaient égales des deux cotés; mais, pendant la
période
clonique, les secousses étaient plus prolongées
, du reste, incomplètes, et l'absence de tableaux d'accès durant la
période
de traitement ne permet aucune comparai- son av
t une statis- tique avec des points comparatifs antérieurs dans une
période
à peu près pareille. » Beigel' a injecté dans
e MM. H. Liouville et A. Voisin clôt, en quelque sorte, la première
période
dans laquelle le curare a été em- ployé contie
é qu'à droite, bien que ce soit à droite que la rigidité prédomine.
Période
téta- uniforme : la face devient de plus en plu
, puis dans les quatre membres, avec légère prédominance à droite.-
Période
clonique : peu accentuée; quelques secousses da
de potassium 3 grammes. Voici quelques températures durant cette
période
: le 5 octobre au soir, T. R. 38°,6; - le 6, T. R
ousses cloniques aussi prononcées à droite qu'à gauche. Parfois, la
période
clonique manque. - Au bout d'une minute environ
ure en- viron 4 minutes, puis le stertor cesse. Pendant la dernière
période
de l'accès, l'enfant est très congestionné et s
ctobre. - Revacciné sans résultat. 30 décembre . Progrès à l'école.
Période
d'agitation ma- niaque à la suite d'accès. 18
érie d'accès cette nuit (12 accès); ce matin à la fin d'un accès la
période
de stertor étant passée, on le trouve la face d
res qu'il n'auraitjamais prononcées auparavant.» 24 décembre. - Les
périodes
d'excitation maniaque et les accès de violence
aux réprimandes. Les accès de colère persistent. 8 juillet. - Les
périodes
d'excitation maniaque sont plus rares. Traiteme
e nombre des vertiges a considérablement augmenté pendant la même
période
; que, de plus, Lef... était sujet à des rémissio
stré en 1878(458), ni même celui de 1879 (317) première année de la
période
décroissante signalée plus haut. Observation XX
es le 15 août. Réflexions. Si nous comparons les accès de la même
période
de 1883 et de 1884, nous trouvons une notable amé
ant à gauche. Onanisme. - Vertiges et accès il treize ans et demi. -
Période
d'excitation maniaque. - - Affaiblissement des
, du catarrhe oculaire, nasal et bronchique, phénomène oblige de la
période
prodromique de la fièvre morbilleuso. Jamais, e
a rougeole ou la scarlatine Elle se sépare de la précédente par une
période
d'incu- bation qui est plus longue, et qui se r
on, mais aussi par l'absence de desquamation ou d'al- buminurie. La
période
de convalescence ne présente pas les com- plica
de la roséole, suivant la plupart des au- teurs, est précédée d'une
période
d'incubation de 14 à 21 jours. Dans les cas que
empérature qui va jusqu'à 42" et même davantage. Ici le tracé de la
période
ascen- sionnelle est interrompu par des chutes
nous a été pos- sible d'avoir la marche de la température durant la
période
prodromique. Le tracé ci-après mérite donc un e
prodromique. Le tracé ci-après mérite donc un examen spécial.- La
période
prodromique semble s'être annoncée par une élév
ainsi obtenu a persisté jusqu'au 7 octobre, et pendant toute cette
période
, le malade n'a pas eu d'atta- ques. Elles ont r
êté trois fois comme vagabond et rendu il ses parents. Durant une
période
assez longue, il s'isolait dans ses fuites ; ma
e lui dis: « Vous allez, maintenant revivre d'une façon précise cette
période
de votre existence, en reproduisant, en particuli
cune façon en ce moment ; quand il est arrivé dans le sommeil à cette
période
de l'année, il a vu ce voyage se dérouler à ses y
— Nous prenons toujours comme type le sujet consentant et préparé. La
période
pendant laquelle le sommeil est obtenu varie entr
intoxication quelle qu'elle soit, aucune crainte de syncope, à aucune
période
, un sommeil calme et reposant, aussi reposant que
dans lequel on obtient l'insensibilité, une tranquillité absolue, une
période
suggestive où, après avoir réveillé le sujet, on
séparée de son milieu familial pendant une durée prolongée. 2° Une
période
assez longue devra être consacrée à son observati
vra être consacrée à son observation clinique et psychologique. Cette
période
dans laquelle elle ne sera l'objet d'aucune contr
serva ces fonctions pendant près de douze années. C'est pendant cette
période
. Messieurs, que Liégeois montra toute l'énergie d
s étrangers dont les noms sont dans toutes les mémoires. Dans cette
période
initiale a laquelle je viens de faire allusion, L
nt noté le fait, ce sont des moments d'excitation qui traversent, |ar
périodes
, le calme habituel. Chez d'autres, la torpeur e
ides d'écollcra en Allemagne La statistique d'Eulenburg porte sur une
période
de vingt-six ans et ses observations médicales ex
es. Paris, 1906, in-12, p. 263. — Voir aussi idem, p. 255-266. la
période
proterminale de son évolution. Elle nous apparaît
, et qui, cinq ans plus tard, mariée, accourut à mon appel, en pleine
période
de travaux champêtres, rien que pour se laisser p
lissement de règles relatives aux jeûnes ritualiques. En réalité, ces
périodes
d'abstinence ont toujours eu pour but de rendre l
des dyspeptiques un sommeil aussi prolongé que possible et exempt de
périodes
prolongées de réveil. Ce fait, banal en lui-mêm
quelque sorte mélangés, coexistant au même moment sans distinction de
périodes
, contrairement à ce qui a lieu dans le grand hypn
t par des états analogues à l'hypnotisme qu'il désigne sous le nom de
période
d'hgstèrie post-convntsive. Nous croyons utile de
« Le fait capital dit-il,est de savoir si pendant la durée de cette
période
la malade est en état de sommeil hypnotique. Or,
ni délire musical. Bien plus ! si pendant que la malade est en pleine
période
post-convulsive on relève doucement les paupières
attendrait pas une demi-heure ou davantage pour souffrir ; il y a une
période
de préparation de l'estomac à souffrir, préparati
ce et des alternatives qui en affectent le développement à toutes les
périodes
d'un devenir indivisible. Aussi ne la mettrons no
on peut légiti- mentent considérer coiuuie une image exacte de la
période
excitante de La neurasthénie. Naturellement surme
ments qu'il a provoqués. C'est alors que commence pour lui la seconde
période
de la neurasthénie, celle de l'épuisement. Lais
pres et dans la signature du scripteur. Quand le malade est dans la
période
de dépression il a une tendance à laisser baver s
on est légitime avant la suppression : elle l'est encore plus dans la
période
de convalescence. Dr Raffegeac. — Je suis heure
s spécialement des obsessions et phobies, leur attribue, par delà des
périodes
de latence — otade de méditation — une origine ém
des, toute la série des rythmes qu'il observe dans la vie psychique :
Périodes
masculines, périodes féminines comportant les une
es rythmes qu'il observe dans la vie psychique : Périodes masculines,
périodes
féminines comportant les unes et les autres, des
t, parco que rien ne prouve. tant s'en faut, que ce soil durant cette
période
que s'élaborent les manifestations destinées it s
oins peut revenir, que la vie corporelle et spirituelle accomplit une
période
de 28 ou de 23 jours (1), minute par minute.... L
cées et irrégulières à mesure qu'avec plus (1) Swoboda admet, comme
périodes
prédominantes : a) celles de 28 et de 23 jours, q
sont les grandes ; b) celles de 18 et 23 heures qui sont les petites
périodes
. Des doux premières, celle de 25 jonrs est la fém
etours périodiques. 2° Ces retours se font automatiquement et à des
périodes
prédéterminées (1), projetant alors des fragments
nt après sa publication, à, cause de son contenu obscène et (l) Les
périodes
de 23 et 28 jours sont, avons-nous dit, celles qu
e do préférence à ces retours. Pour notre part, il doos a paro que In
période
de sept jours (le septénaire) devait être présent
t de dépression qui s'établissait peu à peu pour arriver bientôt à la
période
aigUe dont la durée était généralement de quatre
arrivé à l'âge qu'il considérait comme fatal pour lui. Pendant les
périodes
de crise M. X... présentait une analgésie presque
odure d'éthyle que j'avais sous la main. Pendant toute la durée de la
période
anesthésique je tins conversation & mon malad
is une atténuation de symptômes qui caractérisaient les crises ou les
périodes
intercalaires, c'est leur disparition complète gr
z ceux des manèges de chevaux de bois : l'excitation d'abord puis une
période
de résolution, un certain abandon, un état de béa
la peur du contact, la folie du doute et des phobies diverses, à des
périodes
de dépression, pouvant aller jusqu'aux idées de s
e dépression, pouvant aller jusqu'aux idées de suicide, succèdent des
périodes
d'agitation. Celles-ci sont d'autant plus intense
gnes de récriture. La graphologie n'est donc pas encore arrivée à une
période
assez positive. Mais les étndes sur cette discnss
partant de ta seconde division (c'est-à-dire en allongeant un peu la
période
de suggestion dormitive). Si le sommeil n'était
tenir une guérison absolue. J'arrivais ainsi assez facilement à une
période
d'engourdissement et de véritable automatisme, pe
est, pour ainsi dire, vide de pensée, o anidéisé ». Alors, à cette
période
préparatoire va succéder la phase vraiment active
élait habitué l’esprit des biologistes. Il a groupé ces phénomènes en
périodes
précises ; il les a répartis en tableaux schémati
z que toujours, excepté chez les tout jeunes enfants, il survient une
période
d’agitation très viv ', pendant laquelle la perso
rait à en chloroformiscr une autre, pousse son essai au delà de celte
période
, par crainte que les cris de sa victime ne soient
femmes que l’on endort à l’aide du chloroforme aient au moment de la
période
d'excitation, des rêves érotiques dont elles gard
d'effort. C'est devenu pour cette femme une posture normale. Dans ses
périodes
de crise extatique, elle reste pendant des heures
t, Gall, Flourens, Bouiltaud, Vulpian, etc. Ici encore, comme pour la
période
précédente, on trouve la même méthode impeccable
les propriétés servent à définir la nature même de l’âme. * ♦ La
PÉRIODE
CONTEMPORAINE commence à Broca, qui le premier ét
ité propre de l’écorce cérébrale. Dans cette partie, consacrée à la
période
contemporaine, et qui comprend presque les deux t
t avoir pour annoncer l'entrée de la psychologie musicale dans sa
période
objective. Ce jour-là n’est pas encore près de ve
ui a trait à son action curative. L’hypnose peut s’exercer dans les
périodes
les plus aiguës des états toxiques et infectieux.
xemple, le cas de ce malade, rapporté par le Dr Dufour qui, durant la
période
de défervescence d’une fièvre typhoïde, alors que
effectuée dans l’espace de cinq mois, puisque c’est au bout de cette
période
que la guérison a été obtenue. II faut admettre a
ie des Sciences, les remarquables dessins qui reproduisent toutes les
périodes
et attitudes de l’attaque sont devenus classiques
leur production, car il déclare que l’hypnotisation, à aucune de ses
périodes
ne peut-être déteminée sans le consentement de la
l’imprudence de lui demander plus quelle ne peut donner. Les trois
périodes
historiques de l’hypnotisme : spirites, magnétise
per; on sait qu’elle est encore fort en honneur de nos jours. 3° La
période
scientifique a commencé quand on a relié ces phén
ablissement spécial. Le traitement psychothérapique comprend quatre
périodes
distinctes : 1° Période de préparation au TRAIT
raitement psychothérapique comprend quatre périodes distinctes : 1°
Période
de préparation au TRAITEMENT. — La première parti
° Période de préparation au TRAITEMENT. — La première partie de cette
période
sera consacrée à l’examen psychologique du sujet.
soutenir pendant le cours de la démorphinisation. La durée de cette
période
préparatoire est d'environ quinze jours. 2° Pér
durée de cette période préparatoire est d'environ quinze jours. 2°
Période
de diminution graduelle de la morphine. — Apres u
lui sera faite de la dose réelle qui lui est administrée. Dans cette
période
, l’emploi de la suggestion hypnotique facilite la
et en atténuant les sensations de l’état de besoin. La durée de cette
période
varie de deux à trois semaines. 3° PÉRIODE de
oin. La durée de cette période varie de deux à trois semaines. 3°
PÉRIODE
de suppression complète. — Lorsque le malade ne p
par le séjour au lit auquel le malade s'est accoutumé dans la seconde
période
. Pendant la période de suppression, le malade ser
auquel le malade s'est accoutumé dans la seconde période. Pendant la
période
de suppression, le malade sera, autant que possib
, et surtout elle fortifie l'autorité morale du médecin. La troisième
période
est assez courte pour les malades chez lesquels l
été faite d’une façon régulière. Elle est d’environ une semaine. *o
Période
de convalescence. — La période de convalescence e
. Elle est d’environ une semaine. *o Période de convalescence. — La
période
de convalescence est d’autant moins longue que le
n sait aussi que l’amnésie hystérique intéresse fréquemment toute une
période
de la vie du sujet. Cela prouve que les empreinte
ie du sujet. Cela prouve que les empreintes recueillies dans une même
période
de la vie se fixent dans une même province de l’é
iques que j’attribue ces éclairs de mémoire qui surviennent après une
période
de tension d'esprit correspondant à la tension du
ries du malade approchent de la réalité, et qu’il revit en détail des
périodes
entières de sa vie délire ecmnésique de Pitres.)
ont que de grands tics organisés, s'expliquent de la même manière. La
période
épileptoïde de l’attaque, qui consiste dans une c
généralisée, correspond à la première et à la plus forte décharge, la
période
des contorsions à une série de décharges moins vi
eur intelligence n’est jamais aussi étendue, même dans les meilleures
périodes
, qu’elle le serait s’ils étaient guéris ; et ils
mbulisme. On comprend pourquoi le sujet peut, lors de chaque nouvelle
période
d’état second ou de chaque nouvelle crise de somn
elle crise de somnambulisme, exprimer des souvenirs se rapportant aux
périodes
et aux crises antérieures. Il peut arriver dans
z l’enfant, par Duprat, p. 29. Pédagogique (Psychologie), p. 319.
Périodes
historiques de l’hypnotisme (Les trois), par Féli
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