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1 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
aux correspondants. OBS. I. IDIOTIE hydrocéphalique. Soawntnr;. - Père , caractère emporté; excès de boisson (absinthe)
ique d'un arrêt DE DEVELOP- pement DES circonvolutions. Sommaire. Père , convulsions iL 2 tiis ; quelques excès de bois
'UN arrêt DE DÉVELOPPE- ment DES CIRCONVOLUTIONS. SOI\I : 11RE. - Père , plagiocéphalie, aucun antécédent dans sa famil
transparentes. (Fig. 9). OBS. VII. IDIOTIE congénitale. Sommaire. Père , rien de particulier. Oncle paternel alcoolique
lles violentes. Mère, migraines, diminuées par le mariage. Grand- père maternel, excès de boisson, paralysé du côté gauc
le. ! Fig. 10). ' 1 ' OBS. VIII. - IDIOTIE congénitale. SOMMAIRE. Père , fièvres intermittentes, devenu épileptique à l
GAUCHE ET DE MÉNINGITE DE L'HÉ- MtSPHKHE DROIT. ! 50\II : OftI ? Père , nerveux, convulsions de l'enfance ; fièvres in
Disque. Sclérose atrophique. Tuberculose AHDOMI- \.ALE. Sommaire. Père , alcoolique, emporté. - C¡'and-père pater- nel
XI )1S.-IDIOTIE SI'11PT01L11'IQUU de sclérose cérébrale. SOMMAIRE. Père , caractère violent. Grand'mère mater- nelle, mo
ET DE MÉNÜWO-ENCÉ- PHALITE DE L'HÉMISPHÈRE DROIT. ? 0\IJIAIItI;. - Père , convulsions de l'enfance, nerveux,. sujet à de
ATIQUE de IÉN[NGO-EKCÉPHAL1TE ET DE SCLÉROSE CÉRÉBRALE. SoMMAinE. Père , caractère très emporté. Grand-père paternel, c
.(fit. 30); " OBS. XV. - IDIOTIE myxoedémateuse (). . SmDIA1RE. - Père , mort tuberculeux. - Grand-père pa te1'iw l, i
ariétale. , -- OBS. -XVI.- 1DIOTIr, nIIgODÉIAT1·JUSI ? Sommaire. - Père , grand et fort, l2ez aquilin, canitie complète
rtement des os. Orls. XVII. Idioiie méningitique (1). Sommaire. - Père , quelques excès de boisson, caractère emporté.
liquées d'hydrocéphalie ; distension DES SUTUIiCS('1. SO\I\L111W. - Père , migraineux dans l'enfance, très colère, nombre
rieux de HI : OSSIIIC : 11'10\ DE la brèche OSSEUSE. SOD1AIIIE, - Père , excès de boisson. Grand-père paternel, alcooli
ngénitale; double crâniectomie; TUBERCULOSE PULMONAIRE. Sommaire. Père , sujet à des céplialalgies fréquentes. Grand- p
IRE. Sommaire. Père, sujet à des céplialalgies fréquentes. Grand- père paternel, mort probablement d'une affection de l'
illité congénitale prononcée; IMPUL. . SIONS GÉNITALES. Sommaire. Père , coléreux, renseignements insuffisants sur sa f
IE PROBABLEMENT SYMPTOMATIQUE.DE SCLÉROSE ' CÉRÉBRALE. Sommaire. - Père , nombreux excès deboisson, violent, empri- sonn
mencé il. parler à un an. Vers 1-1 mois, peur occasionnée par son père ; qui a renversé une glace sur sa mère et sur lui;
ingitique ; paraplégie avec PIEDS BOTS. Sommaire. Enfant naturel. Père , excès de boisson; pas d'autres renseignements
. - Tante paternelle, imbécile. Mère, très coléreuse. -GT'zl7lfl- père maternel, excès de boisson. Grand-oncle maternel,
80 IDIOTIE. OBS. V. Imbécillité ET instabilité mentale. Sommaire. Père , aliéné, peintre en bâtiments, excès de bois- s
x en mieux de 1882 à 1891. OBS. VI. IDIOTIE complète. Sommaire. Père , céphalalgies occipitales ctiite- tère très emp
nsanguinité. Inégalité d'âge d'un an. Conception à l'époque où le père était déjà très exalté. Marche tardive. Gâtisme
évidenoe ses progrès. OI3S. VII. IDIOTIE congénitale. Sommaire. Père , quelques excès de boisson, sang endormi. Rense
OBS. VIII. Imbécillité très prononcée. Sommaire. - Enfant assisté : père mort de bronchite en 1879 ; mère morte de p)vtl
ale : imbécillité ET hémiplégie DROITE AVEC ATHÉTOSE. SOMMAIRE. - Père alcoolique, tuberculeux. Grand'mère nerveuse. -
IPLÉGIE DROITE, symptomatiques DE SCLÉROSE CÉRÉBRALE. SOMMAIRE. - Père mort tuberculeux, nombreux excès de boisson, ex
1886 à 1893. OBS. XI. IDIOTIE MICROCÈPHAMQUE complète. Sommaire. Père , rien de particulier. Grand-père paternel, alco
r alliance. Ces renseignements, de seconde main, sont insuffisants. Père , vidangeur, mort à 55 ans d'une fièvre typhoïde
ependant jamais s'abandonner à aucune violence ; pas de migraines. [ Père , mort d'accident ; aucune maladie. Mère, morte
une bonne santé. - Aucun renseignement sur la famille maternelle du père de l'enfant. Un frère, bien portant, ainsi que
des douleurs rhumatismales ; caractère calme, pas de migraines. - [ Père , buveur, brutal, n'est jamais malade. Mère, nat
rédité. Rappelons seulement les excès alcooliques probables chez le père , certains chez le grand père maternel de l'enfa
ralysie générale enfantile). PAR BOURNEVILLE et LENOtR. Sommaire. Père , caractère très emporté. - Grand-père paternel,
ntécédents (Renseignements fournis par sa mère le 26 juillet 1892). Père , 37 ans, arbustier, sobre, n'a jamais eu de con
as de traumatisme sérieux. Caractère violent, coléreux. [Famille du père : Père, mort à 36 ans de tuberculose pulmonaire
raumatisme sérieux. Caractère violent, coléreux. [Famille du père : Père , mort à 36 ans de tuberculose pulmonaire, orfèv
tourne autour d'elle ». Pas de vomissements. [Famille de la mère : Père , 15 ans, briquetier, sobre, caractère calme. Mè
- cendance est particulier ornent riche en antécédents morbides : père d'un caractère violent; grand-père paternel, em
ie symptomatique ; DÉBILITÉ MEN- tale consécutive. ,9oâitAirir. - Père , migraines, névralgies, gastralgie. Grand'mère
LLE) le 7 février 1887. Antécédents (Renseignements fournis par son père et par sa mère le 16 février 1887. Père, 37 ans
seignements fournis par son père et par sa mère le 16 février 1887. Père , 37 ans, sobre, employé à la Ville, bien portan
douleurs rhumatismales; névralgies faciales à droite, gastralgie. [ Père tué, en 186'2, par un bran- card de voiture. -
énation mentale. Au 3"uC mois de l'allaitement d'une soeur aînée du père du malade, elle s'était mise à boire. Elle a ét
une enfant naturelle et ce qu'on sait de ses parents, c'est que son père était « un viveur». - Deux soeurs sont rhumatisan
e, sans attaques de nerfs ; lymphatique, aurait eu une punaisie. [ Père , mort à 55 ans, de bronchite chronique. - Mère, m
XL Épilepsie ; démence ; 111ÉNIN.GO-ENCPHALITE Mort. SOMMAIRE. - Père , rhumatisant, bronchite. Grand'mèrepa- ternelle
BOURNEVILLE), le 20 mars 1886. Renseignements fournis par sa mère. Père , 60 ans. bien portant; pas d'excès alcooliques,
d'excès alcooliques, pas d'épilepsie ; aucune maladie nerveuse. - [ Père mort à 57 ans, d'une affection pul- monaire ; p
digestion, accompagnées de douleursoculaires et de phosphè- nes. [ Père d'un caractère calme, mort à 53 ans, d'hémorragie
un accès ASPHYXIÉ PAR UN CORPS ÉTRANGER DE LA TRACHÉE. Sommaire. Père , syphilis à 19 c12s. Jlè1'e, migraineuse aliéna
M. Bourneville), le 19 février 1892. Renseignements fournis par le père , le 26 février 1892. Père, 52 ans, ajusteur; pa
ier 1892. Renseignements fournis par le père, le 26 février 1892. Père , 52 ans, ajusteur; pas de convulsions ; ni lièvre
accidents secondaires après 2 mois de traitement, sobre et calme. [ Père , non nerveux, jamais malade, mort à 5 ans d'u-
6 mois et, actuellement, quoique libre, elle est toujours folle. [ Père , mort d'une fluxion de poitrine à 52 ans. Mère,
eil de 2 heures environ, en ronflant, sans congestion du visage. Le père prétend qu'après ces accès, il restait inconsci
observés durant la vie. Observation XXI (p. 140). I. Dû côté du père nous devons relever la syphi- lis survenue à l'
par ses caractères et son siège, mérite d'être signalée. Sommaire. Père , rien de particulier. Gra71cZ'71xère, grand 'On
le 19 juin 1891. ' ANTÉCÉDENTS. - (Renseignements fournis par le père et la mère de l'enfant, le 26 juin 1891). Père,
ments fournis par le père et la mère de l'enfant, le 26 juin 1891). Père , 3(i ans, journa- lier au chemin de fer, n'a ja
'air intelligent et répond très bien aux questions qu'on lui pose. [ Père , mort à 44 ans.d'une fluxion de poitrine. Il n'
rte faci- lement, « battrait son mari si elle était assez forte. » [ Père , 56 ans, très bien portant, boit facilement le
artielle du. coté DROIT; état DE MAL épileptique; mort. Sommaire. Père rhumatisant, attaque d'apoplexie avec hémiplégi
BOU11NEVILLE). Renseignements fournis par sa mère (24 mai 1882). - Père , serrurier, soldat pendant sept ans, marié à 32
alysie, suivies d'une attaque d'apoplexie avec hémiplégie gauche. [ Père , ex-agent de police, s'est tué d'un coup de pis
s temps d'orage, après des contrariétés ou de mauvaises nouvelles. [ Père , mort d'une fluxion de poitrine ; sobre. Mère,
autre. Pas de consanguinité. Il y a 16 ans de différence entre le père et la mère du malade. Sept enfants : 1° Fille,
aler l'hérédité du côté paternel (attaques paralytiques répétées du père , mort hémi- plégique, excès de boisson et suici
éréditaire d'autant plus qu'il paraît avoir été conçu alors que son père avait eu déjà des attaques paralytiques. Signal
s. OBS. Il.- Hydrocéphalie simple. Ectopie du rectum. SOMMAIRE. - Père , rhumatisant, un peu alcoolique. Grand- père pa
rectum. SOMMAIRE. - Père, rhumatisant, un peu alcoolique. Grand- père paternel, excès de boisson. Mère, rhumatisante,
vice de M. Bourneville). Antécédents (Renseignements fournis par le père et la mère de l'enfant). - Père, 46 ans, tonnel
ents (Renseignements fournis par le père et la mère de l'enfant). - Père , 46 ans, tonnelier, assez grand, fort, marié à
iques : il rentre cinq ou six fois ivre dans l'année. [Famille du père : Père, mort on ne sait de quoi à 45 ans, cul-
il rentre cinq ou six fois ivre dans l'année. [Famille du père : Père , mort on ne sait de quoi à 45 ans, cul- tivateu
s syncopes ; assez coléreuse, mariée à23 ans. [Famille de la mère : Père , mort il )'2 ans des suites d'un traumatisme gr
: antécédents. · OBS. III. Hydrocéphalie ventriculaire. Sommaire. Père , absinthique. Arrière-grand-père pater- nel, bt
cédents (Renseignements fournis par la mère, le 5 novembre 1892). - Père , 39 ans, boulanger, puis concierge, n'ajamais e
Bien constitué physique- ment, il est d'ordinaire vif et emporté. [ Père , boulanger, mort à 68 ans, en deux ou trois jou
neuro-arthritique, psychique, etc., dans le reste de la famille du père .] f Mère, 36 ans, cuisinière, puis concierge, e
, vigoureuse, nie tout accident nerveux et tout excès alcoolique. [ Père , mar- chand ambulant, mort par accident à 80 an
QUE. ' t . Obs. IV. HYDROCÉPHALIE; - IDIOTIE complétée Sommaire. - Père , alcoolique, brutal, migraineux. - Grand' mère
l a le visage couperosé et est sujet à de fréquentes migraines.- du père .Père, 55 ans, cultivateur, sobre, bien pOl'tant
rascible, mais n'a jamais eu d'at- taques. - [Famille de la mère. - Père , u7 ans, cultivateur, bien portant et sobre. Gr
eu trois enfants intelligents n'ayant jamais eu de convulsions. Le père de notre malade a eu d'elle deux enfants : 1 No
tractés sans lésions macroscopiques....... Notons l'ivrognerie du père et son caractère vio- lent ; les migraines de l
d'origine méningée. Ol3S. VI. IDIOTIE hydrocéphaliuue. Sommaire. Père , excès de boisson. Grand-père patenter alcooliq
t('ClCl8121S (Renseignements fournis par sa mère le 29 avril 1887). Père , 26 ans, journalier, de petite taillé, réformé
me. Il cohabitait avec la mère un an avant le mariage. [Famine du père . - Père, 51 ans, tailleur de pierre, alcoo- liq
ohabitait avec la mère un an avant le mariage. [Famine du père. - Père , 51 ans, tailleur de pierre, alcoo- liqtte au d
ique d'ordre nerveux méritant d'être noté. [Famille de la mère. - Père , 59 ans, corroyeur, alcoolique, buvait surtout
estins : rien de parti- culier à noter. ' L'alcoolisme du côté du père , les migraines et les convulsions de la mère, l
vice de M. Bourneville). Antécédents (Renseignements fournis par le père , 3 avril 1889). - Père, 50 ans, employé de comm
Antécédents (Renseignements fournis par le père, 3 avril 1889). - Père , 50 ans, employé de commerce dans une fabri-, q
un homme sobre, fumant très peu, d'un oaractère calme. [Famille du père . Père, mort à la suite de complications d'une b
mme sobre, fumant très peu, d'un oaractère calme. [Famille du père. Père , mort à la suite de complications d'une blessur
utre antécédent morbide et psychique dans le reste d3 la famille du père ]. Mère, lingèrc, morte tuberculeuse à 45 ans, a
lle n'aurait eu d'autres accidents morbides. [Famille de la mère. - Père , 68 ans, cocher, sobre,- un peu bègue. Mère, 70
psychique dans la famille de la mère.] . - Pas de consanguinité; père savoyard, mère normande. Inégalité d'âge : 8 an
uents de 14 à 15 ans, puis devinrent assez rares de 16 à 9 ans; son père le faisait alors boire, il se cal-' mait, pouss
4 ans il était sujet à ces accès que ne nous avait pas signalés son père . Voici du reste le nombre des accès durant l'an
suicidé, des accidents cérébraux et la tuberculose tant du côté du père que de celui de la mère suffisent à fournir à R
leuse de ce dernier. OBS. VIII. IDIOTIE HYDROCÉPHALIQUE. SoiAiRE. Père , violent, cardiaque. Arrière-grand-père paterne
nel, ivrogne, mort subitement. Mère, convulsions à 4 a71s. Grand- père maternel, enfant naturel. Grand'mère maternelle,
(Renseignements fournis par la mère de l'enfant, le 28 mars 1888). Père , 44 ans, maçon, grand et fort, très sobre, ne f
ême, il n'aurait jamais battu sa femme, ni ses enfants. [Famille du père . Père, maçon, 77 ans, bien portant, sobre. Mère
l n'aurait jamais battu sa femme, ni ses enfants. [Famille du père. Père , maçon, 77 ans, bien portant, sobre. Mère, 75 a
est en bonne santé. Pas d'autres renseignements sur la famille du père .] , Mère, 35 ans, journaliers, tète plutôt peti
et n'aurait jamais eu d'accidents nerveux. [Famille de la mère. - Père , enfant naturel, tailleur de pierres, 67 ans, fai
ère, enfant naturelle, morte à 67 ans, on ne sait de quoi. Grand- père paternel inconnu. Grand'mère paternelle, morte
i les principales dimen- sioiis : . Hydrocéphalie; cerveau. 253 père et mère de la mère de l'enfant, les convulsions
raient. OBS. IX. IDIOTIE CONSÉCUTIVE , l'hydrocéphalie. SOMMAIRE. Père et grand'mère paternels, alcooliques. lIIère, n
espèces de kystes ». OBS. X. IDIOTIE HYDROCÉPHALIQUE. Sommaire. Père , excès de boissons dans sa jeunesse, gra- velle
(Renseignements fournis par la mère de l'en- fant le 23 mars 1888). Père , 51 ans, limonadier, est marié en secondes noce
et vigoureux il est actuelle- ment atteint de gravelle. [Famille du père . Père, mort à 83 ans, on ne sait de quoi. Mère,
oureux il est actuelle- ment atteint de gravelle. [Famille du père. Père , mort à 83 ans, on ne sait de quoi. Mère, morte
is.' A part cela, rien de particulier à signaler dans la famille du père ]. Mère, 27 ans, s'est mariée malgré la grande d
eure facilement. Elle paraît intelligente. [Famille de la 7zzèz'c. - Père , mort tuberculeux, a eu de nombreuses hémoptys
cidents convulsifs, la tubercu- lose se manifestent tant du côté du père que du côté de la mère. Une particularité à not
re. Une particularité à noter est l'inégalité d'âge des parents. Le père avait 24 ans de plus que la mère. Nous enregist
r.) . OBS. XI. - Hydrocéphalie ventriculaire : idiotie. Sommaire. Père , alcoolique. - Tante maternelle, nëuropa- thiqu
cune affection nerveuse chez les ascendants directs ou collatéraux. Père , marchand de pois- son à la halle, alcoolique d
, de son côté, nous parait pouvoir être attribuée à l'alcoolisme du père qui, dès les pre- miers temps du mariage, comme
e d' hydrocéphalie OBS. XII. Scaphocéphalie (Résumé). SOMMAIRE. - Père ) colérique, eczémateux. - Rien de parti- culier
ÉPHALIE. Résorption DU LIQUIDE. . Cachexie progressive. Sommaire. Père , rhumatisant, nerveux. Grancl'mè1'e maternelle,
e paternet bègue. Mère, fièvres intermittentes à 11 ans. - Grand- père maternel, apoplexie et hémiplégie transitoire.
ntécédents. (Renseignements fournis par sa mère, 1.r juillet 1891.) Père , ébéniste, .14 ans, est un homme intelli- juill
. Il est sobre, doux avec les siens, mais un peu vif. - [Famille du père . Père, 81 ans, très bien portant, sobre, travai
st sobre, doux avec les siens, mais un peu vif. - [Famille du père. Père , 81 ans, très bien portant, sobre, travaille en
Aucune tare, ni indice neuropathique dans le reste de la famille du père .] Mère, 43 ans, couturière, a été pendant 18 mo
il toutes les questions que nous lui posons. [Famille de la mère. Père , 73 ans, était bien portant quand il y a quelques
- Hydrocéphalie SCAPHOÏDE; - méningite TUBERCULEUSE. SOMMAIRE. - Père , céphalalgies légères.-Grand-père pater- nel, l
ents. - (Renseignements fournis par la mère, le 17 novembre 1885.) - Père , 34 ans, bijoutier, n'a comme acci- dent nerveu
is eu de mala- dies vénériennes, ni de dermatoses, etc. [Famille du père . Père, mort à 51 ans, à l'hôpital Cochin, des s
mala- dies vénériennes, ni de dermatoses, etc. [Famille du père. Père , mort à 51 ans, à l'hôpital Cochin, des suites de
gique ou psychique intéressant connu dans le reste de la famille du père .] . Mère, 27 ans, bonne santé, intelligente san
nté, intelligente sans antécédents ouspecte. - [Famille de la mère. Père , 50 ans, sobre et bien Antécédents personnels.
ents. (Renseignements fournis par sa mère, le 19 décembre 188 ! 1.) Père , 33 ans, fumiste, bien portant faisait 2 ou 3 f
bre mais n'est pas méchant et mène une vie régu- lière. [Famille du père . Père, enfant naturel, 61 ans, scieur de long,
is n'est pas méchant et mène une vie régu- lière. [Famille du père. Père , enfant naturel, 61 ans, scieur de long, sobre
eu de con- vulsions. Aucun autre renseignement sur la famille du père .] ] Mère, 27 ans, brune, grande, physionomie ag
s. Étant jeune elle était sujette à la gourme. [Famille de la mère. Père , mort en 1871, devenu brusquement aliéné. Il ét
ules. ' OBS. XVI. - 11-1-DROCI"PHALIE SCAPHOCÉPHALIQUE. Sommaire. Père , ivrogne, mort tuberculeux. Oncle paternel, mor
ntécédents (Renseignements fournis par sa mère le 23 février 1880). Père , mécanicien-ajusteur, mort à 34 ans de tubercul
té d'accidents nerveux. 300 IITDRO-SCAPHOCI·.PHALI1;. [Famille du père : Père, mort du choléra, était sobre. Mère, mor
cidents nerveux. 300 IITDRO-SCAPHOCI·.PHALI1;. [Famille du père : Père , mort du choléra, était sobre. Mère, morte on n
ent neuroarlhriti- que, psycliopathique ou autre dans la famille du père .] Mère, 40 ans, femme do ménage, auparavant ouv
e santé, n'a jamais eu de troubles nerveux. [Famille de la mère : Père , sobre, calme, mort écrasé par une voiture. - M
phalie symptomatique DE méningo- encéphalite CHRONIQUE. Sommaire. Père , céphalalgies. - Cousin maternel, épilep- tique
técédents. (Renseignements fournis par sa mère, 18 octobre 1883). - Père , 51 ans, forgeron, grand, fort, très sobre, n'a
ne. Absolumentrien de suspect dans sa santé antérieure. [Famille du père . Père, journalier, sobre ; il mourut à 75 ans d
solumentrien de suspect dans sa santé antérieure. [Famille du père. Père , journalier, sobre ; il mourut à 75 ans de l'ém
uspect au point de vue pathologigue et psychique dans la famille du père .] 308' Hydrocéphalie symptomatique. Mère, 41
lière, intelligente ! n'a jamais été malade. [Famille de la mère. - Père , ajus- teur, enfant naturel, mort à 70 ans d'un
pliquées d'hydrocéphalie; distension DES sutures ( 1 %. Sommaire. Père migraineux dans l'enfance, très colère, nombreu
uve, ici, sa place naturelle. OBS. XX. Hydrocéphalie. Sommaire. Père , enfant naturel. Grand-père paternel, ivrogne.
orte enfant de convulsions. - Têtes volumineuses dans la famille du père ( ? ). Mère, convulsions à 18 mois, fièvre typh
Antécédcnts (Renseignements fournis par sa mère le 25 juin 1892 je Père , enfant naturel, 33 ans, doreur sur bois, n'a j
i professionnelle. Il est cal- me, sobre, bien portant. [Famille du père : Père : ivrogne, mort à l'hôpital Saint-Louis
ssionnelle. Il est cal- me, sobre, bien portant. [Famille du père : Père : ivrogne, mort à l'hôpital Saint-Louis d'une a
rès son retour d'âge. Elle était sobre, a vécu maritalement avec le père jusqu'à la mort de ce dernier et se maria ensui
. Deux frères : la l'un a 40 ans, est ivrogne, a les défauts de son père ; 2" le second, 28 ans, est sobre. - Une sur, m
le ne l'aurait jamais eue volumineuse. Elle prétend que, du côté du père de l'enfant, tout le monde avait la tête fort g
out le monde avait la tête fort grosse ( ? ). [Famille de la mère. - Père , 60 ans, bien portant, mais violent, méchant, a
uable exem- ple. OBS. XXI. Hydrocéphalie chronique. SOMMAIRE. - Père , absinthique, rhumatisant. - Grand-père paterne
ses, paralysie postclipl2tcr·itique, émotive, dyspeptique. Grand- père maternel asthmatique. Grand'mère maternelle, ca
BOURNEVILLE). Antécédents. (Renseignements fournis par sa mère). Père , 53 ans, homme de peine, eczémateux, atteint de r
ssources du ménage. Vers 33 ans (âge où notre malade fut conçu), le père buvait ses quatre absinthes par jour, sans comp
la, il était bon ouvrier, intelligent et travailleur. [Famille du père . -Père, charretier, mort écrasé à 63 ans, était
était bon ouvrier, intelligent et travailleur. [Famille du père. - Père , charretier, mort écrasé à 63 ans, était très a
nt de vue neuropathique et psychique dans le reste de la famille du père .] Mère, 53 ans, couturière, femme très nerveuse
r, porter, par terre, pain, eau, nana, Fig. 75. - Esco... (avec son père ), à de 3 ans 1 mois. .A 368 Hydrocéphalie c
2 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
I. Idiotie méningitique; PAR BOURNEVILLE et NOIR. Sommaire. - Père et grand-père paternel, excès de boisson. Tante
s avant de venir dans notre service. Renseignements fournis par son père (8 février). - Père, 40 ans, blanchisseur. Il r
s notre service. Renseignements fournis par son père (8 février). - Père , 40 ans, blanchisseur. Il raconte qu'il n'a mar
petite fille de 8 ans, gourmande et ayant, d'après les dires de son père , une tendance au vol très marquée pour satisfaire
t les renseigne- ments semblent sujets à caution, aurait affirmé au père que l'enfant n'avait jamais eu de convulsions,
XIONS. - I. Les antécédents héréditaires relèvent de l'alcoolisme : père , mère, grands-parents sont ivrognes. C'est le c
'hémisphère droit ; - Par nOUJL\'EVlUÆ et Paul FEIUUEU. Sommaire. Père nerveux, convulsions de l'enfance ; fièvres int
EVILLE). Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par le père de l'enfant.) - Père, 29 ans, facteur des postes.
s héréditaires. (Renseignements fournis par le père de l'enfant.) - Père , 29 ans, facteur des postes. Aurait eu des conv
te facilement. Il parait robuste, bien constitué et intelligent. - [ Père , 55 ans, marbrier en pendules; excès habituels
de péri- tonite après accouchement chez elle par une sage-femme. [ Père , mort à 40 ans de congestion cérébrale après 3 se
plutôt que de l'autre. Il se passait dans sa gorge un bruit que le père définit : « comme si on l'étranglait.»» Les membr
heure. Ces accidents se reproduisirent pendant trois se- maines. Le père affirme que, ultérieurement, lorsque l'enfant a
i elle était près d'un mur, elle s'y frappait la tête et riait. Son père attribue ces ac- cidents à la dentition. Depu
hangement de position sur le côté, et elle se rendormait », dit son père . Absolument aucune autre maladie qu'une entérit
t de son séjour chez ses parents, elle parais- sait reconnaître son père ; pleurait lorsqu'il partait, essayait de quitt
es choses vinaigrées. Elle ne voulait prendre ni lait ni vin. Son père a dit qu'elle buvait toujours chaud, le plus souv
berculose abdominale. PAR BOURNEVILLE et J. HOIR. 0\i\fAIfiE. - Père , alcoolique, emporté. - Grand-père pater- nel,
Bourneville). Antécédents. (Renseignements fournis par sa mère.) Père , /il ans, gratteur de chaudière dans une chandell
a, plus il devient violent », nous dit sa femme. Il ne fume pas. - [ Père , meunier, sobre et calme, serait mort d'une « a
, aveugle-né, est tombé à 27 ans d'une trappe dans le moulin de son père , s'est fracturé la colonne vertébrale et a succ
bles pathologiques de nature nerveuse. - Dans le reste de la (1) Le père ; interrogé à part, affirme -n'avoir jamais en d'a
en d'accidents vénériens. Idiotie MICROCÉPHALIQUE. 25 famille du père nous n'avons à signaler, ni idiots, ni aliénés
et des bestiaux de la petite ferme que son mari avait louée. -- [ Père , laboureur, sobre, mort à 50 ans d'une pleu- ré
t il eut des convulsions. Elles consistaient, si nous on croyons le père qui en fut témoin, en rotation de la tête adroi
che sont considérablement atrophiés. Réflexions. I. L'alcoolisme du père est le seul antécédent héréditaire auquel on pu
égie droite avec athétose; PAn BOURNEVILLE et DAUilTAC. SOMMAIRE. Père , quelques excès de boisson, mort phtisi- que. -
édents. (Renseignements fournis par sa mère, le 11 octobre 1882). - Père , employé de commerce, mort en 1878 de la poitri
ilis, ni dartres. Il vivait en bonne intelligence avec sa femme. - [ Père , perruquier, sobre et sans antécédents ner- veu
ons de l'enfance, attaques de nerfs etc. Pas de maladies de peau.- [ Père , excès modérés de cidre, mort d'une maladie de
il n'y a rien du côté paternel sauf quelques excès de boisson du père . Du côté maternel, nous trouvons des migraines
de sclérose atrophique ; PAR BOURNEVILLE ET FERMER. SOMMAIRE. - Père tuberculeux. - Grand'mère paternelle morte d'ap
cédents (Renseignements fournis par sa mère le 29 décembre 1890). - Père , 45 ans, maçon, sobre, pas de convul- sions, de
es, ou de syphilis. Tuberculose pulmonaire chronique; dyspepsie. ( Père , mort à 73 ans, d'accident; pas d'excès de boisso
intelligence moyenne, elle n'a eu ni rhumatismes, ni dartres, etc. [ Père violent, buveur, s'est noyé involontairement, à
gents. Pas d'aliénés, de suicidés, etc.] Pas de consanguinité. ( Le père et la mère sont de Paris.) Différence d'âge : 3
ont le volume d'un haricot. 64 RÉFLEXIONS. Réflexions. - I. Le père de cette enfant est tuber- culeux ; elle l'étai
Idiotie méningitique ; Pau BOURNEVILLE et J. NOIR. SOMMAIRE. - Père , convulsions, fièvre typhoïde avec délire viole
Antécédents. - (Renseignements fournis par sa mère le 8 mars 1892). Père , 38 ans, charron, enfant naturel, placé par sa
sse frontale étant nettement plus développée à gauche qu'à droite. [ Père , mort à 45 ans ; on en ignore la cause. Alcooliqu
use, n'a pas eu de convulsions; - 3° Notre malade. Rappelons que le père de l'enfant a eu d'un premier mariage une fille
berculose pulmonaire; - Par BOURNEVILLE, et DAURIAC. S0liIAIRE : - Père aHënë. G ? 'and'mérepaternene nerveuse. Deux ta
ires. nièce du Dr Bl.. qui l'accompagnait le jour de son entrée). Père , âgé de 4G ans. Il a exercé plusieurs professions
hroniques telles que : affections nerveuses, dartres, rhumatismes. [ Père , architecte : il partit tout jeune en Rou- mani
ans de mariage. Une 2° soeur est hallucinée; après la mort de son père , elle résolut de ne point se marier, et. dès lors
res intermittentes à partir de 15 ans. Rien autre chose à noter. - [ Père , sobre, 82 ans, n'a jamais été malade. Mère, 60
re malade. - Rien de particulier à la conception. A cette époque le père n'était pas aliéné. - Grossesse : Pendant les 4
est ici très manifeste en ce qui concerne le côté pater- nel. Le père , deux tantes paternelles et une cousine sont al
ncéphalie vraie ; Par BOUR.\E%'ILLE et 11.\Ultl.\I. Sownainr. - Père et grand père paternel, quelques excès de boiss
Antécédents. (Renseignements fournis par sa mère, le 13 mai 1892). Père , 'il ans, garçon de bureau. Aucun rensei- gneme
50 de tabac par jour) ? ) Il n'a jamais subi aucun n traumatisme. [ Père , journalier, mort à 79 ans, d'une hernie étrang
veuses. Parfois elle devient subitement pâle; point de migraines. -( Père , 71 ans, bûcheron, aurait actuellement « une tu
sont peu chargés dans ce cas : quelques excès de boisson chez le père et. le grand-père paternel de l'enfant et des c
tuberculose pulmonaire ; Par BOURNEVILLE et FERRIER. SOMMAIRE. - Père , excès de boisson, mort de laryngite tuber- cul
le patron' et surtout par l'oncle de l'enfant, le 22 avril 1892.) - Père , a eu des convulsions dans l'enfance. Pas de ch
un mois après sans que la canule eut été enlevée; il avait39ans.- [ Père , mort en 1871, à 58 ans, d'un coup de feu. Sobr
de l'enfant, cette femme s'adonnait à la bois- son comme son mari. [ Père , mort phtisique, à 50 ans. Mère, de 7 ans plus
, dans la famille.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 4 ans ( père plus âgé). Deux enfants : 1° une fille venue
ure ? D'après son patron, « il s'adonnait à la boisson, comme son père et peut- être sa mère. » Il a commencé à tousser
e observation, incomplète à quelques égards, c'est l'alcoolisme des père et mère du malade et du malade lui-même. II.
té de la ttt- berettlose. Ici la prédisposition venait à la fois du père et de la mère et même des ascendants. III. L'
ion de la brèche osseuse; Par BOURTVEVILLE et NOIR. Sommaire. - Père : excès de boisson. ^ Grand-père paternel 1 alc
Antécédents (Renseignements fournis par sa mère, le 26 juin 1891). Père , 48 ans, ébéniste, n'a jamais été malade, fait
rt accent alsacien ; elle avoue être vive et un peu coléreuse. - [ Père , mort à 41 ans, d'une chute de voiture, laboureur
2) qu'ilyparvint. Dans la même année, il commença à reconnaître son père , sa mère, ses frères et soeurs et souriait « to
réditaire qui mérite surtout d'être relevée, c'est l'alcoolisme, du père et du grand- père paternel de l'enfant. II. L
surtout d'être relevée, c'est l'alcoolisme, du père et du grand- père paternel de l'enfant. II. L'idiotie complète ob
ite de l'hémisphère droit; , Par BOURNEVILLE et NOIR. SOMMAIRE. Père : convulsions de l'enfance, nerveux, sujet à de
de M. Bourneville) : Antécédents. - (Renseignements fournis par le père et la mère de l'enfant le 9 nouembre 1892.) - P
s fournis par le père et la mère de l'enfant le 9 nouembre 1892.) - Père , 69 ans, em- ployé à la Compagnie d'Orléans; il
onomie assez expressive. Il serait irritable, Violent, coléreux. - [ Père , 65 ans, artiste peintre, sobre, aurait de fré-
crises de nerfs qu'elle a toujours cherché à dissimuler. - Grand- père paternel, mort d'une hémarrhagie cérébrale à 54 a
ans. - Arrière-grand'mère paternelle, morte à' 7f¡' ans. -'Grand- père maternel, mort à 77 ans, d'accident, était petit
pathes; elle prétend être d'un caractère triste et mélan- colique. [ Père , 73 ans. travaille encore dans un chantier de b
idiots, ni aliénés, ni épileptiques, etc.] - Pas de consanguinité ( père , parisien, mère, bourguignonne). - Egalité d'âg
ose' pulmonaire; ,, - , Par BOURNEVILLE et DAURIAC. Sommaire. - Père sujet à des céphalalgies fréquentes. Grand-- pè
AC. Sommaire. - Père sujet à des céphalalgies fréquentes. Grand-- père paternel, mort probablement d'une affection de l'
écédents héréditaires. Antécédents. (Renseignements fournis par son père le 10 juin 1892.) - Père, 40 ans, agent-voyer.
técédents. (Renseignements fournis par son père le 10 juin 1892.) - Père , 40 ans, agent-voyer. n'a jamais eu de con- vul
oi fréquent du sulfate de quinine. Carac- tère violent et emporté. [ Père , maître modeleur, grand fu- meur, sobre, très v
té paternel que du côté maternel. 11 sait seulement que le grand- père maternel serait mort jeune, noyé accidentellement
Mère, 40 ans. ni migraines, ni convulsions, ni dartres, etc. ; - [ Père , sobre, mort d'une affection de l'estomac ( ? ) ;
ux. L'enfant reconnaît ses parents et semble joyeux à la vue de son père . Il s'attache aux personnes qui le soignent et
e. A la suite de cette opération, pen- dant un moment, il sembla au père que le regard de son fils devenait plus fixe et
alade. 151 Un an après, le 15 décembre 1891, sur les instances du père et à son corps défendant M. Lannelongue refit une
urd' hui l'enfant est redevenu ce qu'il était auparavant. Alors son père se décida à l'envoyer à Bicétre (1). 1892. Etat
ot)' : T. R. 39°, 6. . 7 août. - Nuit mauvaise. - T. R. 39°, 9. Son père est venu ce malin et, à sa vue, Ter.. a pleuré
s attaques de congestion cérébrale. Quelques céphalalgies chez le père , chez cette même grand'mère et chez une tante,
Idiotie méningitique; Par BOURNEVILLE et FERRIE II. SOMMAIRE. - Père , quelques excès de boisson, caractère empatté.
ents fournis par ta grand'mère paternelle de l'enfant le 28 mai.) - Père , 32 ar.s, imprimeur en taille douce. Pas de con
, il ne s'enivrait jamais.) Pas de migraines. Caractère emporté. - [ Père , ébéniste, sobre, mais violent, mort à 65 ans,
adie de vessie. Elle lit beaucoup de romans et fait des vers. - [ [ Père , mort phthisique ; caractère doux. Mère, 55 ans
us pronon- cer d'une manière précise sur les excès alcooliques du père et de la grand'mère paternelle de l'enfant en pré
uvelle enquête n'était venue les confirmer. Les excès de boisson du père de l'enfant auraient été constatés dès le trois
a pas de doute : elle a des crises nerveuses. Un des arrière-grands pères maternels de est mort d'une « paralysie au ce
ois après le mariage et probablement durant l'ivresse alcoolique du père : « Quand il avait bu, il était très porté là-d
e la température; mort. Par BOURNEVILLE et DAURIAC. Sommaire. - Père nerveux, quelques excès de boisson. - Tante pat
vralgies faciales; excès de boisson durant la grossesse. - Grand- père maternel, mort asthmatique. Cousine, morte de m
eignements fournis par la mère le 5 décembre 1890. complétés par le père le 16 mars 1891 - Père, 47 ans, ancien notaire,
la mère le 5 décembre 1890. complétés par le père le 16 mars 1891 - Père , 47 ans, ancien notaire, s'occupe d'affaires. I
sans avoir aucun parent dans ce département L'enfant est né là. Le père n'a jamais eu de rhumatismes ni de dartres. Il
. Il a perdu toutes ses res- sources dans un cabinet d'affaires. - [ Père , brigadier des douanes, mort à 39 ans d'une flu
r lesquelles on lui a souvent fait des injections de mor- phine. - [ Père , mort d'un asthme à 72 ans. Il n'a eu que cette
petites crises nerveuses. Pas de consanguinité; mais notons que le père et la mère du père étaient cousins germains, de
uses. Pas de consanguinité; mais notons que le père et la mère du père étaient cousins germains, de même que les grands-
la mère du père étaient cousins germains, de même que les grands- pères et grands'mères paternels et maternels de l'enfan
pères et grands'mères paternels et maternels de l'enfant (côté du père ). Un seul enfant : notre malade. A la conceptio
eul enfant : notre malade. A la conception, rien de particulier; le père ne buvait pas. La grossesse a été mau- vaise :
2' rou- geole compliquée de convulsions nouvelles. - A 7 ans, son père rentre ivre, une nuit où l'enfant était couché av
enfant était couché avec sa mère. Celle-ci avait fermé sa porte; le père la défonça. L'en- fant se mit à crier : « au se
défonça. L'en- fant se mit à crier : « au secours. », parce que son père voulait battre sa mère ; les agents montèrent e
ce, mais amenèrent un certain degré d'inhabileté dans les mains. Le père alla consulter à la Salpêtrière. On administra
essie. Réflexions. - I. March.. est d'une souche ner- veuse : son père est un violent dont la vie passable- ment agité
r de fortes émo- tions, dues à des scènes de violence faites par le père . L'enfant, né à huit mois, a eu, trois jours ap
succéda à la frayeur nocturne éprou- vée par l'enfant en voyant son père ivre, avait déjà le caractère des accès d'épile
é un certain degré d'inhabi- leté dans les mains de son fils que le père alla consul- ter à la Salpêtrière. Jusqu'au mom
dents héréditaires. (Renseignements fournis par la mère le 22 mai.) Père , 65 ans, employé de commerce, ni 208 Antécédent
otre malade, est morte de la poitrine, il y a 20 ans. - [Famille du père . - Père, mort d'une fièvre muqueuse et de scarl
ade, est morte de la poitrine, il y a 20 ans. - [Famille du père. - Père , mort d'une fièvre muqueuse et de scarlatine à
'a jamais eu de maladies du cerveau. - De son premier mariage, le père de notre malade avait eu 5 enfants; le premier es
rveuse. émotive, mais sans crises nerveuses. - [Famille de la mère. Père , boulanger, mort à 78 ans, sobre, gai, un peu v
ti- que, probablement atteinte d'une affection cardiaque. Grands- pères et grand ? mères paternels et maternels,' morts d
et parait être morte en état RÉFLEXIONS. 9<5 5 de mal. Chez le père il est impossible de trouver aucun stigmate de
ue de sclérose atrophique; PAR BOURNEVILLE et DAURIAC. SomfAmE. - Père , caractère emporté. Mère, caractère vif, morte
aus un asile spécial. v Antécédents. (Renseignements fournis par le père le 29 Antécédents héréditaires ET personnels. 2
e le 29 Antécédents héréditaires ET personnels. 217 mars 1892). - Père , 31 ans, teinturier, très vif de caractère. Il
oint de vue du tabac et de l'alcool. Il n'a jamais de migraines. - [ Père , mort à 81 ans, sans avoir jamais été malade. -
nels sont morts de vieillesse. - Six oncles ou tantes paternels. Le père ne les connaît pas et n'a jamais entendu dire q
malade et n'aurait présenté ni convulsions, ni fièvre typhoïde. [ Père , mort à 50 ans, on ne sa' de quoi. - Mère, morte
ses reprises jusqu'à l'âge de deux ans. Rappelons que, au dire du père , elles étaient prononcées surtout à la face. To
se cérébrale atrophique ; Par BOURNEVILLE et NOIR. Sommaire.. - Père , violent, excès de boisson. - Grand'mère patern
cédents. (Renseignements fournis par la mère le 10 janvier 1892). - Père , entrepreneur de déchargement à la gare du Nord
re, il devenait méchant, étant ivre. Il était enfant naturel et son père ainsi que toute sa famille est inconnu. 224 A
ni idiots, ni épilep- tiques, etc., dans le reste de la famille du père , à la con- naissance de lanière de l'enfant.]
ce de lanière de l'enfant.] Mère, giletière, 52 ans, vivait avec le père sans jamais avoir été mariée. Fièvres paludéenn
pathique parait médiocrement intel- ligente. - [Famille de la mère. Père , cultivateur, mort à 62 ans du choléra, buvait
conception n'eut pas lieu pendant l'i- vresse, mais la brutalité du père , l'hostilité de sa famille à l'é- gard de la mè
due à des symptômes d'étr tnglement herniaire qu'aurait alors eu le père . Aucun autre accident. Accouchement normal, à t
; distension des sutures; Par BOURNEVILLE ET FERRIER. SOMMAIRE. - Père migraineux dans l'enfance, très colère, nombreu
ation Vallée(service de M. BOURNEVILLE). Antécédents fournis par le père et la mère. (Juin 1890). Père, 30 ans, employé
EVILLE). Antécédents fournis par le père et la mère. (Juin 1890). Père , 30 ans, employé au restaurant Duval; auparavant
est mort à 3 ans, on ne sait de quoi. Il n'y a dans la famille du père , ni épileptiques, ni aliénés, ni bègues, ni sourd
de mélancolie. Elle Unit dans un asile d'alié- nés près de Dijon. - Père , mort a 60 ans, à la suite d'excès alcooliques.
es : aliénation, apoplexie, ramollissement, suicide, alcoolisme. Le père , qui est déjà un dégénéré, et ne possède que tr
constater que la famille, nombreuse à un mo- ment donné, puisque le père avait douze oncles ou tantes maternels, se rédu
omissements bilieux. (Nous avons vu qu'il en était de même pour son père dans l'enfance.) Alors les jambes s'affaiblisse
rébrale; - Tics nombreux : PAR BOURXEVILLE ET NOIR. SOMMAIRE. - Père , céphalalgies, coléreux, rhumatisme, acci- dent
ntécédents (Renseignements fournis par la mère, le 28 mars 1887). - Père , 51 ans, sculpteur sur bois, homme vif, emporté
257 poque de la conception de l'enfant. Il n'use pas de tabac. - [ Père , sobre, mort à soixante et onze ans, de la suite
e à la suite de sa quatrième couche. Dans le reste de la famille du père , aucune affection psychique, ner- veuse, arthri
voir jamais eu de crises, ni d'accidents nerveux d'au- cune sorte - Père , robuste, sobre, d'habitude bien portant, ést m
ien d'intéressant, à part cela, à signaler. Pas de consanguinité ( père originaire d'Italie, mère fran- comtoise). L'in
es accidents neuro-arthri- tiques abondent, tant dans la famille du père que dans celle de la mère. L'alcoolisme du père
dans la famille du père que dans celle de la mère. L'alcoolisme du père , la conception probable pendant l'ivresse, l'hy
SYMPTOMATIQUE DE MÉNINGO-ENCÉPHALITE; craniectomie. OII.11R1;. - Père , migraineux, rhumatisant, graveleux. - Grand-pè
1, est décédée le 5 novembre 1891. Antécédents. (Juillet 1891). - Père , 48 ans, voyageur de 294 Antécédents héréditair
mariage. Ni blennorrhagie, ni syphilis. Santé habituelle bonne. - [ Père , mort à 57 ans, à la suite de plusieurs attaques
portants ainsi que leurs enfants. - Deux frères du 1 .rli lit (son père s'est marié 3 fois). Un est mort de la poitrine
eur est bien portante, sans enfants. Une soeur du même lit que le père est un peu nerveuse, sans crises, intelligente. D
est un peu nerveuse, sans crises, intelligente. Dans sa famille, le père n'a jamais entendu parler d'idiots, d'aliénés,
mes, etc ? elle est assez nerveuse, très émotive mais sans crises. [ Père , 60 ans, n'a jamais eu aucune maladie nerveuse.
e la concep- lion ni pendant la grossesse, sauf que les affaires du père ne marchaient pas très bien et qu'il y avait pa
le époque elle a eu sa pre- mière dent ni sa dentition complète. Le père ne se rappelle pas à quel âge elle a commencé à
urs été très enretard. Elle n'aurait jamais eu de convul- sions. Le père ignore si elle a eu des maladies infectieuses.
sa nourrice sèche presque jusqu'au moment où on l'a opérée, et son père n'allait la voir qu'à des intervalles assez élo
is instincts, ni gourmande, ni voleuse, etc. Pas d'ona- nisme. Le père ne sait si clle grince des dents, si elle a des s
crofuleux, pas d'engelures, etc. 296 Antécédents héréditaires. Le père ne sait à quoi attribuer la maladie. Ayant lu dan
semblait indiquée. La crâniectomie a eu lieu le 15 mars. Depuis, le père n'a constaté aucune modification dans l'état de
e avec appétit, salement, avec ses doigts, sans salacité d'après le père ; son goût est peu développé, elle mangeait de
pas plus claires ; elle n'est pas plus susceptible d'éducation. Le père dit que, a l'hôpital de Rouen, la soeur s'occup
, un geste. Disons que tous ces rensignements sont bien vagues ; le père n'a pas Description DE la malade. 297 l'air d
Son vocabulaire n'est guère plus étendu, contrairement aux dires du père . Crdne très petit, peu élevé. Bosse occipitale
une tuberculisation de l'intestin et du péritoine. 2 novembre. - Le père dit que sa fille ne vomissait pas à la maison ;
omplète symptomatique de double porencéphalie vraie. SooaLaIBE. - Père et grand père paternel quelques excès de boisso
. - Sclérose ATIIOPHIQUE. - TUBERCULOSE ABDOMI- NALE. SowoAIRE. - Père , alcoolique, emporté. - Grand-père pater- nel,
he en sont une preuve. Obus. X. - Idiotie méningitique. Sommaire. Père et grand-père paternel, excès de boisson. Tante
- tes parties de son corps. · OBS. II. - Imbécillité. Sommaire. Père , doreur sur métaux, très nerveux et em- porté,
rand-père paternel, mort paralysé. Mère, lniqrclinense. -Grïit2d- père maternel, mort phthisiqwe. - Arrière-grand-père m
aternel, mort - Pts (le co ? lsa7l- guinité ; mère plus âgée que le père de 14 mois. - Soeur, morte d'une méningite avec
probablement symptomatique DE > sclérose cérébrale. Sommaihe. Père emporté, céphalalgies, excès alcooliques et vén
tableau des couleurs. . OBS. IV. - IDIOTIE congénitale. Sommaire. Père , peintre en bâtiments ; t921<1; étourdisse-
de tête; pertes de connaissance de 7 à 27 anus. - Arrière-grand- père maternel, excès de boisson, suicidé par pendaison
fectible. OBS. V. - Imbécillité prononcée ; ÉPILEPSIE, 8ouvetaE ? Père , rien de particulier, mort de phtisie. Grand pè
ale par arrêt DE développement DES circonvolutions. S011\fAIRE. - Père , quelques excès de boisson, eczéma. - Mère migr
rfois paresseux. OBS. VII. - Imbécillité symptomatique. SOMMAIRE. Père , plombier, excès de boisson, non satur 330 1 .
'pèrepaternet,plombier, alcoolique. -Mère plus âgée de 4 ans que le père . Grand'père maternel, excès de boisson. Concept
n très notable. OBS VIII. - IDIOTIE IICROCI"PHALIQUE. SOMMAIRE, - Père , rien cle particulier. - Grand -père pater- nel
3 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
ymptomatiques de méningite ; PARBOURXËVtLLEETjLEmCHE. Sommaire. - Père , alcoolique et scrofuleux. - Grand'mère paterne
dents (Renseignements fournis par sa mère le. 19 jan- vier 1883). - Père , imprimeur, mort en 1880, à 34 ans, d'une tumeu
he du genou; abcès froids au cou. Excès de boissons hebdomadaires. [ Père mort asthmatique à 88 ans. - Mère morte d'un «
riétés. Pas de migraines. S.mté bonne. Intelligence dévelop- pée. [ Père alcoolique, mort u'une attaque d'apoplexie. Mèr
vulsions internes ; à l'époque de la concep- tion de cet enfant, le père commettait plus d'excès de bois- son que lorsqu
ut exercer la pro- fession. Bien que, dans ce cas, la profession du père ne fut point, par elle-même, insalubre, elle l'
t sa progéniture : ici elle est évi- dente. Les excès de boisson du père n'ayant point cessé de progresser, nous voyons
rre- ville). Renseignements fournis par sa mère le -16 mai 1891. - Père ; âgé de 36 ans, garçon de magasin dans une mais
ampagne. Il a un caractère froid, calme ; il est travailleur et bon père de famille. Son instruction se borne à savoir l
ère de famille. Son instruction se borne à savoir lire et écrire. -[ Père , 58 ans, cultivateur dans l'Orne, bien portant;
ès nulle, elle sait à peine lire et écrire ; n'est pas nerveuse. - [ Père , mort à 70 ans, d'une affection stoma- cale ; n
mère qui donne les renseignements est enceinte. [En avril 1893, le père de l'enfant nous dit que sa femme est morte en
a maladie de leur enfant à la fièvre typhoïde. En. avril 1893, le père nous a fourni les renseignements suivants sur c
céphalite généralisée ; PAR BOURNEVILLE et DUBARRY. SOMMAIRE. - Père , enfui à l'étranger après escroquèrie. - Arrièr
gnements fournis par sa tante maternelle (` ? 0 décem- bre 1883.).- Père , 50 ans, sobre, bien portant, notaire, a quitté
e l'année dernière après avoir fait 150.000 francs de dettes.- [Son père , également notaire, est mort du choléra en z Sa
a suite d'une chute, n'est nullement nerveuse, très intelligente.- [ père mort d'une affection cardiaque. - Mère morte à
ns d'une hydropisie consécutive à une maladie du coeur. Le grand- père etla grand'mère étaient cousins germains issus de
soeurs bien portants ainsi que leurs enfants]. Consanguinité : le père et la mère de notre malade sont cousins germain
Renseignements fournis par la mère de l'enfant (10 juillet 1893). Père né au Brésil, de parents français, vint en France
avait un caractère bizarre. - [On n'a pas de renseignements sur son père et sa Il était fils unique. - On ignore s'il y
omito negro, et accoucha avant terme. Elle a vécu trois ans avec le père de son enfant, qui lui faisait subir de mauvais
céda la naissance de l'enfant que nous avons dans le service.- [Son père est mort à 71 ans; sa mère, à 63 ans, en démenc
u considérable. Dans le cas actuel, le doute n'est pas possible. Le père était syphilitique et tout semble indiquer qu'i
; Lésions méningitiques; Par nOURXE\'IUÆ et DARDEL. Sommaire. - Père , rien de particulier. - Grand-père pater- nel,
e pater- nel, nombreux excès de boisson, coléreux. Arrière-grand- père paternel, médecin, mort de la gravelle. - Arrière
er 1895. Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par le père de l'enfant). Père, 39 ans, bouc;heur à l'émeri ,
nts héréditaires. (Renseignements fournis par le père de l'enfant). Père , 39 ans, bouc;heur à l'émeri , sobre ; pas de c
telligent, travailleur (gagne de 5 à G fr. par jour). - [Famille du père . Père, mort. 5G ans « à force de boire » ; 42 E
ent, travailleur (gagne de 5 à G fr. par jour). - [Famille du père. Père , mort. 5G ans « à force de boire » ; 42 Epileps
née, morte à 31 ans de tuberculose pulmonaire. [Famille de la mère. Père , mort à 60 ans, mère, à 50 ans, on ne sait de q
abituelle, travailleur et intel- ligent ; en apprentissage chez son père ; 3° notre malade; - 4° une fille, i i ans, bien
nception, rien de particulier. - La grossesse s'est bien passée. Le père se souvient cependant être rentré un jour par h
hiite sur le côté et fracture du bras gauche. - Dès son enfance, le père aurait remarqué qu'elle avait une cer- taine di
ence et de colère, mais était un peu entêtée. Il y a trois mois, le père est allé consulter M. Charcot, qui ordonna du b
Déchéance; - État de mal ; Par BOURNEVILLE et COMTE. SOMMAIRE. - Père et grands parents paternels, rien de par- ticul
auche; ÉPILEPSIE. 53 Antécédents. - (Renseignements fournis par son père le 28 décembre 1891). - Père, 48 ans, homme de
nts. - (Renseignements fournis par son père le 28 décembre 1891). - Père , 48 ans, homme de peine, vigoureux, un peu d'em
ormé. Depuis, il a toujours un peu toussé, sans jamais s'aliter. [ Père , tailleur de pierre, caractère un peu emporté, mo
arriva à en avoir presque tous les jours. C'est ce qui a décidé son père à le DESCRIPTION DU malade. 55 faire entrer à
yer. Réflexions. - I. Les renseignements sur les deux familles du père et de la mère sont très incomplets. Nous avons
t très incomplets. Nous avons essayé, mais en vain, de retrouver le père , pour combler, les lacunes. Nous n'avons qu'à r
complète probablement congénitale; Par %'VILLE et QUEL SOMMAinE. Père , fièvres intermittentes, épileptique avec accès
de M. BOURNEVILLE,). Antécédents. (Renseignements fournis par le père le 15 novembre 1892) : - Père, 44 ans, charpent
dents. (Renseignements fournis par le père le 15 novembre 1892) : - Père , 44 ans, charpentier, n'a jamais eu de convulsi
ment aux questions ; les yeux sont cependant un peu hagards. - [Son père est mort à 31 ans d'un « chaud et froid », il é
squ'à 1G ans ; éprouve de rares maux de tête mal carac- térisés. - [ Père , mortalG9 ans de i congestion au cerveau ·> :
- I. Relevons, au point de vue de l'hériclité, l'épilepsie chez le père de l'enfant ; -l'in- continence d'urine jusqu'à
hoïde avec rechute ; mort ; Par BOL'UNKVILLE et TISSIÉ. Sommaire. Père et grand-père paternel, violent. - AlTière , gr
e de 16 ans. 1 Antécédents. (Renseignements fournis par sa mère). Père , employé de commerce au moment où il a quitté sa
de sa femme à l'amiable pour incompatibilité d'humeur. [Famille du père . Le père de cet homme était bien portant au mom
mme à l'amiable pour incompatibilité d'humeur. [Famille du père. Le père de cet homme était bien portant au moment de l'
notée; les renseignements sur son caractère manquent. - Le grand- père maternel est mort d'un cancer, ainsi qu'une tante
Famille, de la mère. - Sa mère est morte à 76 ans, asthmatique. Son père , nerveux, violent alcoolique, de tempérament ar
wn-Séquard; Par BOURXEVILLE et SOLLIER. SoMMAinE. Rien du côté du père . Mère, nerveuse. Grand-père maternel, alcooliqu
e mate1'- nelle, hémiplégique droite avec aphasie. Arrière-grand- père paternel, mort paralysé. - Cousine maternelle, ch
il est décédé le 8 mai 1894. Renseignements fournis par la mère. - Père , 50 ans, doreur sur métaux (1), fort, de taille
dans les membres. Exem- pté du service militaire par son numéro.- [ Père , 75 ans, tail- leur, sobre ; pas de maladies ne
bergiste, très sobre ce- (1) Nous notons toujours la profession des père et mère de nos malades afin de pouvoir, un jour
aux de tête passagers. Caractère très doux mais impressionnable. - [ Père , mort il 77 ans de pneumonie, ne faisait pas d'
épileptiques, etc.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 9 ans ( père plus âgé). Deux enfanta : le garçon, 21 ans,
ère plus âgé). Deux enfanta : le garçon, 21 ans, employé chez son père , a eu des convulsions dans l'enfance au retour
compléter que nous publions l'obser- vation suivante. . Sommaire. Père . nombreux excès de boisson, syphili- . tique, m
cédents. (Renseignements fournis par sa mère le 13 juin 189 ? 2). - Père , enfant naturel, 47 ans, marchand de meu- bles,
sions habituelles et très prononcées de la par lysie générale. » - [ Père , inconnu, partant aucun renseignement sur sa fa
técédents personnels. -Notre malade. à l'époque delà conception, le père , afrir- me-t-on, était sous le coup d'une nouve
pour elle un véri- table bonheur. » En 1890, après la mort de son père , l'enfant, qui avait 6 ans, a été placée à la c
loide(i). Réflexions I. - Ici, l'hérédité est très chargée. Le père était syphilitique et a succombé à la para- lys
er , une tante . par la phtisie. II. A l'époque de la conception, père et mère, (il L'autopsie a été 'hite le jour de
e craniestomie ; PAI\ 110CUNEVILLE, LOMBARD et 1'tLHET. Sommaire. Père , excès de boisson, caractère sombre, vio- lent.
ILLE, Bicêtre, 1895.. , 8 114 Antécédents héréditaires. 4 mai). - Père , âgé de 45 ans, palefrenier, intelligent, marié
n'a jamais eu de maladies de peau, ni de signes de syphilis. - [Son père , cultivateur, est mort à GO ans, des suites d'u
taques de nerfs, ni de paralysie. - Grands-parents, tant du côté du père que de la mère, pas de renseignements. - Elle n
sesse ; elles ont un peu diminué dans ces der- nières années. - Son père , très sobre, sans antécédents ner- veux ni arth
notre malade.-A la conception (plus de 7 ans après le mariage), le père se livrait de plus en plus à l'i- vrognerie et
cool isme sur laquelle nous avons si sou- vent appelé l'attention : père et grand'père paternel ivrognes. Notons en outr
me relatif ; - obésité ; Par BOURNEVILLE et .I. X01U. Sommaire. - Père , accidents scrofuleux de naissance. - Grand'tan
is par la belle-mère de l'enfant le 6 mai 18SO et complétés par son père en 1893.) Père, 40 ans, est depuis 1854, contre
ère de l'enfant le 6 mai 18SO et complétés par son père en 1893.) Père , 40 ans, est depuis 1854, contre-maître àla manuf
boisson, fume très modérément. Intelligence normale. - [Famille du père . Père mort à 55 ans d'une affection pul- monair
on, fume très modérément. Intelligence normale. - [Famille du père. Père mort à 55 ans d'une affection pul- monaire au d
édents pathologiques ni psychiques inté- ressants sur la famille du père .] Mère, morte ia 29 ans en 1871 d'une affection
sobre et avait reçu une certaine éducation. - [Famille de la mère. Père , cuisinier, serait mort « de la poitrine 9. Il
itrinaire. Elle n'aurait jamais eu d'accidents nerveux. Le grand- père paternel, géomètre arpenteur il la campagne, y av
us à noter dans la famille de la mère]. Pas de consanguinité. (Le père est de Paris et la mère de l'Oise.) - Inégalité
de la cuillère. Pas d'onanisme constaté. Il est affectueux avec son père et sa belle-mère dont il parait même jaloux. -
nelle, mais cette affection a disparu depuis qu'elle a rapporté au père les méfaits dont il se rendait coupable en son ab
aquinent et comme sa surdité s'est accrue, il est leur victime. Son père vient demander son retour à l'isolement des syp
BOURNEVILLE). Antécédents. (Renseignements fournis par sa mère). Père né avec deux autres jumeaux ; pas de convulsions
quelques minutes; il toussait un peu depuis un mois. - [Famille du père . .Père, âgé de 80 ans, vigoureux, caractère dou
nne santé ain- si que leurs enfants ; la troisième était jumelle du père de no- tre malade. Le troisième enfant jumeau é
de convulsions, pas de migraines, etc. - [F'atnille de la mère.- Père , 69 ans, journalier, toujours bien portant, de ca
Notre malade. L'enfant n'aurait pas été conçu pendant l'ivresse du père . - La grossesse n'a été signalée par aucun acci
ien com- prendre, par gestes, de ses petits camarades. A 6 ans, son père lui ayant fait des remontrances parce qu'il ava
t impressionné on assistant à l'hémoptysie foudroyante qui tua .son père . Les symptômes qu'il présentait se sont aggravé
tait plus souvent ; à chaque instant, il voulait aller chercher son père et, comme on s'y opposait, il entrait dans de v
uence notable. Nous n'avons à consigner que l'alcoolisme relatif du père et, collatéralement, les convulsions chez une s
e. A 12 ans, une nouvelle émotion - la mort presque subite de son père - aggrave la situation de C... La parole est de
e cas. Observation I. - Idiotie rlYY0EDÉ111 : 1TEUSE. SOMMAIRE. - Père tuberculeux ( ? ). - Oncle maternel para- lysé,
L. 0, tracé n° 1.) OSS. II. - IDIOTIE myxoedémateuse. SOMMAIRE. - Père , fièvres intermittentes. - Grand-père paternel,
; OBS. III. Idiotie myxoedémateuse. SOMMAIRE. - Enfant naturelle. - Père , sobre, caractère - sournois ; renseignements i
euse. 185 toute sa famille. - Mère, rien de particulier. - Grand- père maternel, excès de boisson, mort d'apoplexie. - O
it cousin, pieds bots. Pas de consanguinité. Egalité d'âge entre le père et la mère. Grossesse : émotion vive au quatriè
nt (le 6 sep- tembre 1894). La malade est une enfant naturelle. - Père , valet de chambre, a eu des rapports avec la mè
u'elle se soit mariée il y a 10 ans elle n'a pas eu d'enfant. Son père , menuisier, buvait la « goutte » tous les matins
nel issu de germain, a les pieds tournés. Pas de consanguinité : le père est du départe- ment de la Seine;- la mère est
r la différence de forme du nez de la malade de celle du nez de ses père et mère que nous avons mentionné, détail qui a pu
s et coprolalie ; PAR BOUIi\I : \'1LLI : et .1. IIOYEU. Sommaire. Père , céphalalgies. Grand'mère paternelle migraineus
le 1 1 février 1893. ANTÉcéDENTS. - (Renseignements fournis par le père et la mère le 23 avril 1893.) Père bien portant
- (Renseignements fournis par le père et la mère le 23 avril 1893.) Père bien portant, quarante-huit ans ; assez grand,
tismes, marié à 27 ans ; pas de mala- dies vénériennes. [Famille du père . Père. Mort d'une flu- xion de poitrine à cinqu
, marié à 27 ans ; pas de mala- dies vénériennes. [Famille du père. Père . Mort d'une flu- xion de poitrine à cinquante-s
nte-cinq ans de refroidissement; rien à signaler dans la famille du père , sinon un oncleet une tante paternels-peu intel
repoussaient vite et de plus en plus bruns. [Famille de la mère. - Père , mort écrasé par un mur, sobre, très intelligen
pas de bronchite, pas d'ophlhalmie. pas d'adénites, pas d'abcès. Le père attribue la maladie à la forte émotion de la mè
très sommairement. OIIS. I. - Epilepsie vertigineuse. Sommaire. - Père violent, nombreux excès de boisson; mort de tub
vait eu 81. OI3S. III. - Idiotie complète ; Epilepsie. 5oawauie.- Père , arrêt de développement intellectuel : céphalal
llité A UN DEGRÉ PRONONCÉ ET Épilepsie symptomatique. SOMMAIRE. - Père peu intelligent, violent; traumatisme céphaliqu
4 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
naturel qui a été reconnu par le mari alors qu'il avait 18 mois. Père , encore vivant, est di, 37 ans, homme de peine da
ait subir, il vit aujourd'hui maritalement avec une autre femme. - [ Père , boulanger, violent, « bête brute D, ivrogne in
lle se maria et, depuis, sa conduite aurait été régulière. Grand- père et mère paternels, grand-père maternel, pas de re
u, elle est méchante, coléreuse et s'emporte pour des futilités. - [ Père , laboureur, alcoolique (vin), très sujet aux rh
maladie de G... : l'hérédité et l'alcoolisme. Du côté paternel, le père ivrogne à l'excès, violent, indisci- pliné ; le
ins sont embarrassés et G... en fournit la preuve. Il n'a plus de père ; sa mère est domestique. Malgré cela, M. Deny
haux. - Pneumonie caséeuse. - Marche de la température. Sommaire. Père mort tuberculeux. Mère un peu ner- veuse, morte
Antécédents (Renseignements fournis par la mère de l'en- fant). - Père , 37 ans, sculpteur sur bois, ne fait pas d'excès
peu énergique, faible de constitution, phthi- sique depuis 2 ans. [ Père , chapelier, sobre, bien portant, surdité acquis
mportée et impressionnable, aucune autre manifestation nerveuse. - [ Père , 62 ans, cafetier, puis homme de peine, sobre,
ptembre. Potd.s ; 12 kilogr. 600 : Taille : 0'"88. 16 octobre. - Le père et la mère du malade viennent de succomber à la
SONNELS. 29 Ons. II. - Épilepsie suivie de démence. ' Sommaire. - Père d'une intelligence bornée, bègue, non alcooliqu
le) le 16 juillet 1880. Antécédents. (Renseignements fournis par le père de l'en- tant). - Père, 66 ans, scieur de long,
Antécédents. (Renseignements fournis par le père de l'en- tant). - Père , 66 ans, scieur de long, puis journalier, enfin
peu rhumatisant ; s'est « démonté l'épaule » il y a a 12 mois. [Son père est mort après avoir été paralysé pendant 6 ans
r un chemin» ; a deux enfants intelligents d'un 1er mariage. [Son père , laboureur, ivrogne, est mort paralysé à 70 ans.
influence de l'hérédité. Ce que nous savons peut se résumer ainsi : père peu intelligent, bègue ; - mère bornée, voleuse
aves sur l'intelli- gence et peut produire l'épilepsie. Sommaire. Père , rien de particulier. Grand-père pater- nel, ex
Antécédents. - (Renseignements fournis par la mère de l'enfant). - Père , 49 ans, ferblantier; taille moyenne, un peu ne
n peu nerveux, bonne santé, ne fait pas d'excès alcooliques. [Son père se livrait à la boisson, nul autre détail sur lui
; aucune maladie antérieure autre qu'un érysipèle h '2'1 ans. [Son père , cou- vreur en chaume, serait mort, h 3't ans,
porencéphalie unilatérale et de méningo-encéphalite. Sountntar;. - Père , fièutes intetmittet2tes polongées, attaques ép
9 (avec Dauriac). 42 Antécédents héréditaires. A la conception, père atteint d'impaluclisa22e. - Émotion vive au 4°
décédée le 6 mars 1897. Antécédents (Renseignements fournis par le père et la mère de l'enfant). (Janvier 1892). - Péii
alysie, d'hémianesthësie. Pas de syphi- lis. Assez grand fumeur. - [ Père , mort à 48 ans, ouvrier, on ne peut donner aucu
ni migraines, ni con- vulsions, ni syphilis; sobre, non nerveuse. [ Père , 67 ans, d'habitude en bonne santé; il y a 15 a
s un autre asile où elle est décédée.] Inégalité d'âge de 3 mois ( père plus âgé). Pas de consan- guinité. - Un seul en
ade. - Au moment de la conception, rien de particulier, sauf que le père était atteint cl'ir2paludisme et faisait encore
it encore quelques excès d'alcool. - Au 4e mois de la grossesse, le père s'enivra et rentra chez, lui très excité, ce qu
nnait que son biberon » ; autrefois elle paraissait reconnaître son père , plus maintenant. Quelquefois, accès de colère,
de développe- ment. . RÉFLEXIONS. I. Nous devons relever chez le père des excès de boisson, des attaques de nerfs, de
rsonnels de l'enfant, nous avons à noter la conception alors que le père était sous l'influence de l'impaludisme et comm
tale complète symptomatique de poren- céphalie vraie. ' SOMMAIRE. Père , hydrocéphale à la naissance, céphalal- gies fr
e 28 mars 1895. Antécédents (Renseignements fournis par sa mère). - Père , 37 ans, typographe, a une tête énorme, de 61 c
ux, emporté, se déchirant les ongles quand il ne sait que faire. - [ Père , aurait contracté la syphilis, après la naissan
; très nerveuse, très impressionnable, mais point d'attaques. - [ Père , mort à 40 ans d'excès de boisson, après plusieur
ée et très affectée par la mort d'une per- sonne de sa famille ; le père était sans travail; toutes ces causes réunies p
ie casé- euse ; - mort; PAn BOURNEVILLE ET JACOMET. w SOMMAIRE. Père , enfant naturel, rien de particulier. - Mère, r
BOURNEVILLI;.) Antécédents. (Renseignements fournis par sa mère). - Père , 59 ans, menuisier, est un enfant naturel. Pas
s de migraines. - Les rensei- gnements sur sa famille manquent. Son père est mort de cause inconnue. Sa mère est morte à
maladie de peau. - Elle n'est pas nerveuse, caractère calme. - [Son père , mort des suites d'un coup de pied de cheval, é
ernelle, morte vers le même âge, également asthmatique. -- Grand- père maternel, inconnu. - Grand'mère maternelle, morte
ue des deux lobes frontaux ; PAR BOURNEVILLE ET DAUDEL. SOMMAIRE. Père , rien de particulier. Grand' père pater- nel mo
BOURNEVILLE ET DAUDEL. SOMMAIRE. Père, rien de particulier. Grand' père pater- nel mort de congestion cérébrale. - Arri
cédents. (Renseignements fournis par sa mère et com- plétés par son père ). - Père, 58 ans, garde républicain, n'a eu ni
(Renseignements fournis par sa mère et com- plétés par son père). - Père , 58 ans, garde républicain, n'a eu ni convulsio
s l'âge de 27 ans. Marié à 29 ans. - Très sobre et bien portant. - [ Père , mort subitement, sans doute d'une congestion c
n nerveuse, bien qu'un peu vive de caractère. Jamais de maladies. - Père 70 ans, très rhumatisant, sobre. Pas de maladie
es grands parents paternels étaient les grands parents maternels du père . - Les oncles et tantes de son père sont les mê
s grands parents maternels du père. - Les oncles et tantes de son père sont les mêmes que ceux du mari. - Elle n'a pas
lsions. La mère de l'enfant est fille unique.] Consanguinité : le père et la mère sont cousins germains. « Ma mère et
mon beau-père sont frère et soeur ». - Inéga- litâ..d'ye de 13 ans ( père plus âgé). Deux autres enfants, nés après la ma
onner. De là des discus- sions vives, des reproches, des menaces du père de l'enfant de revenir à Paris, ce qui tourment
bien tété. Le sommeil était bon. - Elle ressemblait beaucoup à son père tandis que les deux autres enfants ne lui resse
tion cérébrale ; des excès de boisson chez l'un des arrière-grands pères paternels, chez un grand oncle et chez les deux
rocéphalique acquise; Par KOUHNE\ ! LLE et.i. : \'O((L SOMMAIRE,- Père tuberculeux e t 71e ? uettx.-Gîaiid-p,i,e pater-
seignements fournis par la mère de l'enfant le 25 décembre 1893). - Père , peintre en décors, est mort à 32 ans de phtisi
nt « très nerveux » et se laissait facilement abattre. Famille du père . Père, 63 ans, inspecteur des égouts, c'est un
rès nerveux » et se laissait facilement abattre. Famille du père. Père , 63 ans, inspecteur des égouts, c'est un travai
i marche et parle. - Rien à signaler dans le reste de la famille du père . Les mem- bres de cette famille ont plutôt en g
e légère blépharite ciliaire dans son enfance. Famille de la mère . Père , mort à 45 ans de tuberculose pulmonaire. Cet h
le, intelligente, n'a pas la tête grosse et tient beau- coup de son père . - La seconde est morte à 2 mois du choléra inf
, grâce à l'éducation qu'essayait de lui donner la mère. La mort du père mit un terme aux soins maternels et les progrès
tat de mal; élévation considérable de la température. SOMMAIRE, - Père migraineux; rien de plus du côté pater- nel. -
Renseignements fournis par sa mère et sa grand'mère -maternelle). - PÈRE , âgé de 33 ans, tailleur d'habits, grand et min
aines violentes et courtes revenant tous les mois. - [La famille du père ne présente absolument aucun accident morbide,
alées ni d'évanouissements ; son caractère est tran- quille. - [Son père , âgé de 60 ans, est affecté de catarrhe pulmona
e mal; mort ; élévation considérable de la température. Sommaire. Père , grand fumeur, alcoolique, syphilitique. - Gran
Antécédents. (Renseignements fournis par sa mère le 10 août 1893). Père , u3 ans, bijoutier, n'a jamais eu ni convul- si
n. caractère violent, frappe sa femme et ses enfants. [Famille du père . Son père s'est suicidé il 71 ans à la suite de m
tère violent, frappe sa femme et ses enfants. [Famille du père. Son père s'est suicidé il 71 ans à la suite de mauvaises
e autre soeur, de 15 ans, est eu bonne santé. Une soew' jumelle (du père de l'enfant) est bien portante ; c'est la moins
utres idiots, aliénés ou suicidés iL signaler. Toutes les soeurs du père tantes paternelles de l'enfant ont eu une mauva
nduite et de ses mauvais traite- luenls. - [Famille de la mère. Son père , décédé iL U7 ans d'une maladie du coeur, était
la famille.] Pas de consanguinité. - Différence d'âge de 9 mois ( père plus jeune). 7 enfants : 1° garçon, mort-né ;
ctère colère ; assez affectueux pour sa mère, il l'est peu pour son père et ses frères qu'il insulte. Il a fait plusieurs
La mère attribue la maladie convulsive aux mauvais traitements du père , car, repete-t-ellc, ilji a pas eu d'épileptiques
t des douches. Debie... alla vivre les trois mois suivants avec son père qui lui fit boire de tout. Quand il revint chez
de tout. Quand il revint chez s'a mère, en juin 1893, parce que son père le frappait, aux accès s'étaient ajoutés des ve
réditaires de l'enfant, assez chargés, peuvent se résumer ainsi : père syphilitique, alcoolique, tabagique, débauché,
sin germain idiot; mère migraineuse; grand-père et arrière-grand- père maternels violents; - oncle maternel buveur ; ;-
ernel buveur ; ;- frère violent, convulsions de l'enfance. II. Le père , avons-nous dit, avait contracté la syphilis de
II. L'enfant a été conçu dans l'ivresse alcoolique et alors que les père et mère étaient dans des condi- tions morales d
fluence, peut-être, des mauvais traitements exercés sur lui par son père , l'enfant, jusque-là normal, assurc-t-on, a été
une fièvre typhoïde ; PAR nOU1\NE\'H,I,E et DA1\\I1¡L. Sommaire. Père , quelques excès de boissons, rien dans le reste
nseignements fournis par une cousine maternelle et complétés par le père ). Père, 43 ans, pale- frenier, bien portant; pa
ments fournis par une cousine maternelle et complétés par le père). Père , 43 ans, pale- frenier, bien portant; pas de co
prend de l'absinthe tous les jours, est rarement ivre. Fume peu. - [ Père , en bonne santé, n'a jamais présenté d'accident
emière. Trois enfants l'eurent également, dont notre malade. - [Ses père et mère vivent encore ; ils n'auraient eu ni mi
difformes, etc.] Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 2 ans ( père plus âgé). Six enfants : 1° garçon, 19 ans, d
aît plus rien comprendre. « Il ne me reconnaît même pas », dit le père . - On essaya de lui faire suivre l'école, de 6 à
colère. Deux fois, il lui est arrivé de se sauver et de quitter son père en courant, sans qu'il fût possible de l'arrêter.
idémiquo dans la famille, frappant non seulement l'enfant, mais son père , sa mère, un de ses frères et une de ses soeurs
co-pédagogique , reposant sur la Méthode physiologique. Sommaire. Père eczémateux, nombreux excès de boisson. - Mère m
2 juillet 1884. Antécédents (Renseignements fournis par sa mère). - Père , 35 ans, coupeur-tailleur, grand, fort, caractè
et il des poussées d'eczéma. Aucun indice de syphilis. Famille du père . - Son père, paveur, sobre, a succombé à une ma
ussées d'eczéma. Aucun indice de syphilis. Famille du père. - Son père , paveur, sobre, a succombé à une maladie du coe
règles réapparais- saient après le sevrage. Famille de la mère. - Père , sobre, en bonne santé (1). - Mère morte de l'i
s nerveuses dans le reste de la famille. ' Pas de consanguinité. ( Père et mère de Lille). - Inégalité d'âge de deux an
vers, ni onanisme. (La mère attri- bue la maladie à l'alcoolisme du père ). 1884. Ici devrait figurer la description du m
il était ivre, son dernier enfant, malgré l'alcoolisme chronique du père , est sain d'esprit et de corps, et n'a pas eu d
5 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
st pas moins -démonstratif, que les pré- cédents. - SOMMAIRE... ? Père , rien de particulier. Grand-père paternel mort
ne ville). Antécédents héréditaires (Renseignements fournis par le père et la mère). Père, 37 ans, polisseur, d'une bon
dents héréditaires (Renseignements fournis par le père et la mère). Père , 37 ans, polisseur, d'une bonne constitu- tion
fièvre de croissance a 13 ans; pas de syphilis, pas d'ethylisme. - [ Père mort il 50 ans, après un séjour Ù l'hospice de Bi
endant les grossesses. Aucune maladie de la peau; pas de syphilis. [ Père , 55 ans, cultivateur, en bonne sauté, ainsi que
on infec- tieuse). - Grand'mère paternelle morte à 85 ans. Grand- père maternel mort il 75 ans. Grand'mère maternelle, 8
e]. . Consanguinité (cousins germains). Inégalité d'âge de 4 ans ( père plus âgé). Deux enfants : 10 notre malade; 2° g
cédents. - (Renseignements fournis par sa mère le 16 juillet 1892). Père , 32 ans, jadis cultivateur, depuis 15 ans, homm
obre, fume peu. Il est d'un caractère un peu emporté. - [Famille du père . Père, 66 ans, cultivateur très sobre, bien por
me peu. Il est d'un caractère un peu emporté. - [Famille du père. Père , 66 ans, cultivateur très sobre, bien portant, d'
thique, ni diathésique bien constaté dans le reste de la famille du père .] Mère, 30 ans environ, toujours bien portante,
(1) Signalons en outre une demi-soeur, née d'un premier mariage dn père , intelligente et bien portante. Description D
les tics convulsifs ; PAR BOUIINEVILLE et CHAPOT ! N SOMMAIRE. - Père , rien de particulier. - Grand-pére pater- nel,
édents.- (Renseignements fournis par la mère te 16 juillet 1886.) - Père , 42 ans, ancien garçon aux magasins du Louvre,
7 alcooliques, mais ne boit que du vin et n'est jamais ivre. [Son père , cultivateur, sobre, a toujours été bien portant
ent nerveux (migraines, crises nerveuses, syn- copes, etc.). - [Son père , cultivateur, mort à 73 ans, on ne sait de quoi
te de la famille.] Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge d'un an ( père plus âgé). Quatre enfants : 1° Une fille mort
s se réduisent à peu de chose : quelques excès de boisson chez le père ; une attaque A'apoplexie suivie d'itéini- plégi
et pieds bots ; PAR BOURNEVILLE et sébilleau. Sommaire. Enfant - père alcoolique. - Ren- seignements insuffisants sur
sa mère le (24 no- vembre 1884.) Le malade est un enfant naturel. - Père , doit avoir 37 ans environ, commis voyageur en
lgies violentes. Pas de syncope, ni syphilis, ni excès de boisson. [ Père , vigneron, a fait beaucoup d'excès de boisson,
cès de boisson, mort asthmatique. - Mère, bien portante. - Grand- père paternel ; mort asthmatique à 8 ans. Pas de détai
tares dans sa famille ni de tuberculeux.] Pas de consanguinité (le père . est de Dijon, la mère de Mussy-sur-Seine, près
ents personnels : méningite. Notre malade. - Lors de la conception, père et mère en bonne santé. La conception n'aurait
re lui avait fait fabriquer des genouillères. Plus tard son beau- père lui fait faire des béquilles avec lesquelles il b
33). OItscItvAZ·tov Il. -Charles lIan..., né le 2 novembre 1884. Père alcoolique. Accouchement à terme sans asphyxie, m
ndante). Observation IV. - Louis Dalon..., né le 3 novembre 1877. Père alcoolique. Accouchement facile ; grossesse norma
analogue à l'une des variétés de la manie des adultes. Sommaire. Père , rien de particulier, sauf quelrlues.dou- leurs
douleurs articulaires ne nécessitant jamais l'alitement. Famille du père . Père, grand buveur de vin et de rhum, mort à 5
rs articulaires ne nécessitant jamais l'alitement. Famille du père. Père , grand buveur de vin et de rhum, mort à 51 ans
orte à 67 ans, « usée par le travail » ; pas de paralysie. Grand- père maternel, sujet à des idées noires, s'est empoiso
'il a bu; a deux enfants très calmes « qui ne tiennent nullement du père ». - Quatre soeurs, toutes mortes en nourrice,
s en nourrice, on ne sait de quoi. Dans le reste de la famille du père , pas d'aliénés, ni d'épileptiques, ni bègues, n
Bicêtre, 1898. 5 66 Manie DE l'adolescence. - Famille de la mère. Père , cultivateur, mort à l'àge de 60 ans d'artério-
i épileptiques, etc. Pas de consanguinité. - Différence d'âge des père et mère : 4 ans. Trois enfants : Il garçon de
. Réflexions. I. L'hérédité est relativement assez chargée. Si le père lui-même ne présente rien autre que des manifes
imbécillité morale ; Par j6OURNEVI-LLr, et J. BOYER. SOMMAIRE. - Père , soixante et un ans, asthmatique, très nerveux.
e coxalgie, méningite terminale. - .. Conception : graves ennuis du père . - Premières con- . vulsions à quatre ans. - Di
6 juillet 1896. Antécédents (Renseignements fournis par sa mère). - Père , soixante et un ans, asthmatique, très nerveux,
lsions, apprend convenablement. Notre malade. - A la conception, le père dit « qu'il avait le sang en révolution », ce q
r, il donne des coups de pied de tous les côtés, visant surtout son père ; il se frappe la tète de ses poings, raidit tou
h ! tu me laisses dire trois... tu verras... lâche-moi donc ! » Son père nous quitte et c'est à nous qu'il s'adresse alors
a nuit. 20. - Ne mange pas au premier déjeuner, veut écrire à son père il qui il adresse une lettre incohérente et plein
sont insuffisants, surtout dans la lignée maternelle. Du côté du père , une tante est morte d'une attaque d'apoplexie.
édents hérédi- taires de Pint..., c'est qu'il est enfant naturel de père inconnu, que sa mère, lingère. était âgée de 25
s froids s'est élevé à 52. Cas. II. - Idiotie légère. Sommaire. Père : tics nombreux durant la jeunesse, abcès froid
ns l'en- fance, dix grossesses dont trois fausses couches. Grand- père maternel asthmatique. Un frère /¡queux. Syncope
dépassé 12. uns. IV. - Débilité mentale et épilepsie. SOMMAIRE, - Père et mère rien de particulier. Grand- Cas guéris.
MAIRE, - Père et mère rien de particulier. Grand- Cas guéris. 105 père maternel très nerveux mort d'un cancer de l'estom
14-septembre. - OBS.V. Rachitisme.Idiotie congénitale. Sommaire. Père , caractère emporté. Grand'tante pater- nelle pa
0. OBs. VI. Syphilis héréditaire ; idiotie congénitale. SoMMA)HE. Père syphilitique, alcoolique. - Grand-père paternel
accidents. OBs. VII. - Idiotie légère ; surdi-mutité. SOMMAIRE. - Père eczémateux. - Grand'père paternel mort d'hémorr
mériter d'être publiées en entier. Obs. XV. Épilepsie. Sommaire. Père divorcé, caractère très emporté. Un oncle pater
erforations intestinales (1). OBS. XVII. - Épilepsie. Sommaire. Père , r intermittentes, e.vcès de boisson, tremble-
ns les bras et le pied gauche. - Grand-père, deux arrière-grands- pères , grand-oncle maternels alcooliques. - Un grand-
rconvolutions. Fièvre typhoïde, perforation intestinale.. Sommaire. Père arriéré, se livre à l'onanisme jusqu'à un âge a
a surpris les mains sur les parties géni- tales de l'enfant. [Son Père , 75 ans, huissier retraité du ministère des finan
ente. - Grands-parents paternels, pas de renseignements. - Grand- père maternel simple d'esprit, » mort d'un cancer de l
s. Pas de maladies de peau, pas de rhumatismes, pas de névralgies. [ Père . 77 ans, très ner- veux, n'a jamais été malade.
mbécile, jumelle avec le malade. Notre malade. - A la conception, père bien portant, mais la mère était convalescente
péritonite généralisée consécutive à une appendicite. . SOMMAIRE, - Père , famille du père, rien de particulier. . Mère b
lisée consécutive à une appendicite. . SOMMAIRE, - Père, famille du père , rien de particulier. . Mère bien portante. - F
lier. . Mère bien portante. - Famille de la mère tuberculeuse : . père , mère, frère et deux soeu1'S tuberculeux. ' . P
s d'accidents rhumatismaux, ni d'affections cutanées. - [Famille du père . - Son père est mort tige, sa '1lIè1'e est mort
s rhumatismaux, ni d'affections cutanées. - [Famille du père. - Son père est mort tige, sa '1lIè1'e est morte à 74 anus
tismales, ni d'affec- tions cutanées, etc. - [Famille de la mère. - Père mort il h9 ans de tuberculose pulmonaire ; pas
'âge de 20 ans.) Pas de consanguinité. - Différence d'âge de G ans ( père , plus âgé). (i enfants dont 5 vivants ; pas d
océphalie. Fièvre typhoïde ;. perforations multiples. Sommaire. - Père alcoolique ; otite entraînant des maux de tête
894. Antécédents. (Renseignements fournis par sa mère en 189G.) - Père , 51 ans, déménageur, bien portant ; pas de convul
e pas. Pas de rhumatismes, pas de syphilis probable. [Sa famille. - Père , cultivateur, mort h 71 ans; peu de renseigneme
coloré, physionomie fran- che, assez intelligente. [Sa famille. - Père , inconnu. Mère, morte à 54 ans ; Hydrocéphalie.
r sa famille.] Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 13 ans ( père plus âgé). A 18 ans la mère avait un amant dont
lade ; pas de fausse couche. Notre malade. - État satisfaisant du père et de la mère au moment de la conception. Celle
s suivis DE décès. 163 paternelle, excepté les excès alcooliques du père . Quant à la mère, elle est nerveuse, a eu des a
r- nelle. Signalons en passant l'inégalité d'âge de 13 ans de ses père et mère, circonstance que nous relevons toujour
). III. Sur les seize malades du service, quatre provien- nent de pères faisant de nombreux excès de boissons. Chez un
co-pédagogique ; guérison ; PAR nounRrNEVIr.E et, BOYER Sommaire. Père , rien de particulier. - Grand-père pater- nel d
bilité. - Vol paternel. - Nouveaux emprunts chez des clients de son père : - Voyages multiples. - Description du malade
ique, le 3 octobre 1895. Antécédents (Renseignements fournis par le père et la-mère le 8 octobre 1895). - Père, 50 ans,
Renseignements fournis par le père et la-mère le 8 octobre 1895). - Père , 50 ans, épicier, actuellement en repos; bien p
an- quille, sobre, « aimant un peu de tout sans passion ». Grand- père paternel, mort à 73 ans, était devenu triste et «
mait ni ne buvait. Il est resté deux mois avec le successeur de son père qui était z très content de lui. - Est allé dan
ait pouvoir manger du chocolat qui, disait-il, venait de chez son père . De retour chez lui, il se montre excité et désob
ur lui demander 10 francs, lui promettant de rentrer a Paris. Son père va le chercher; il le rencontre dans les rues; Ed
ui, 1111 paquet d'objets les plus di- vers, vole vingt francs à son père et va, sous prétexte de faire une course, chez
la banlieue ; il découche, emprunte le lendemain à des amis de son père un franc par ci, quatre francs par quinze franc
de revenir il Paris, emprunte encore 7 francs il un client de son père et prend le chemin de fer pour aller voir son onc
été une véritable guérison. La dernière fois que nous avons vu son père , ce dernier nous a dit : « Je n'aurais jamais c
autorisés, placements spontanés et multiples, vol d'argent à son père , emprunts à. des amis de la famille, gros- sièr
tracer la nosographie de cette forme curieuse d'idiotie. SOMMAIRE. Père quelques excès de boisson. Arrière grand'mère m
ice le 12 février 1896. Antécédents. (Renseignements fournis par le père et la mère en 1896 et 'complétés en mars 1897.)
nis par le père et la mère en 1896 et 'complétés en mars 1897.) . Père , 38 ans, courtier en vins, aucun accident nerveux
ès de boisson, parfois pituite, n'a pas l'aspect d'un alcoolique. -[ Père ¡ mère en bonne santé, sobres. Grand'pèa·e pater
es névralgies dentaires, carac- tère impérieux, un peu nerveuse. - [ Père sujet à Aes cépha- lalgies, sobre ? Mère en bon
été le lendemain confiée à une nourrice bien portante et sobre. Le père affirme que sa fille, à six mois', était plus f
insi que les sentiments affectifs. Elle ressem- ble davantage à son père qu'a sa mère; elle ne reconnaît pas ses parents
ille. Du côté paternel, nous relevons; quelques excès de boisson du père , une con- gestion cérébrale chez l'une des arri
uis le 1er janvier 1879 jusqu'à la date du ICI' janvier 1898. Les pères de fi(i7 enfants faisaient des excès de boisson
Les mères de .')9 enfants faisaient des excès de boissons. Les pères et mères de 21 enfants faisaient des excès de b
ns pas de ren- seignements sur l'alcoolisme des ascendants. Les pères et mères de 775 enfants étaient sobres. 1.77.'3
aient sobres. 1.77.'3 En outre, la conception durant l'ivresse du père a été relevée chez 154 malades et la conception
6 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
ecte ou indirecte, dans les travaux de Séguin, « le fondateur et le père de ce grand mouve- ment philanthropique, » pour
nt presque sans arrêts et surtout la nuit des cris aigus, empêchant père , mère, frères et soeurs de reposer. Et cependan
ères et soeurs de reposer. Et cependant.le lendemain-il faut que le père retourne à son travail, que la mère vaque aux s
e j'ai vu aujourd'hui, et j'en ferai mon profit, comme homme, comme père de famille, comme citoyen, comme ministre d'un
28 mai 1882, parait ignorer complètement la publication que fit son père de cette affection. « J'ai fait allusion, dit-il,
tidiens à type procursif. Observation XVII. Epilepsie PROCURSIVE. Père neurasthénique, sujet à des céphalalgies. - Grand
E). Antécédents (Renseignements fournis par sa mère et son grand- père paternel . (6 mai 1881.) - Père, quarante-huit an
s fournis par sa mère et son grand- père paternel . (6 mai 1881.) - Père , quarante-huit ans, cor- donnier, de petite tai
ssements, ni vision colorée; il n'est ni colérique, ni alcoolique. [ Père , soixante-dix-sept ans, homme de peine ; pas d'
ce : les deux autres sont bien portants; remariée à vingt-septans. [ Père , quatre-vingt-cinq ans, cordonnier, « n'aja- ma
ge ; son patron l'avait repris jusqu'à trois fois. Etant chez son père , il se fait arrêter à diverses reprises pour br
s de carreaux, de glaces, vol de pommes de terre fri- tes, etc. Son père l'a fait renfermer deux fois (un mois chaque fo
ue fois), à la petite Roquette. Trois fois il a fait perdre à son père sa place de concierge. A seize ans, il est mis
s à la colonie de Mettray, où il reste quatre ans. - Repris par son père qui essaie en vain de le faire travailler avec
a veste de la maison. Evadé à midi il n'est allé à la maison de son père que vers minuit; il s'y est blotti derrière une
ère que vers minuit; il s'y est blotti derrière une porte, mais son père prévenu par un locataire l'a fait rentrer chez
la Sûreté. 25 - Tous les mois son grand-père le conduit chez son père , ou parfois chez d'autres parents. Il est rare qu
nt dépensé les trois francs qu'il possé- dait, il est allé chez son père qui l'a ramené à l'hospice. - Il est envoyé à l
ours au même endroit : une voisine l'a fait monter et a prévenu son père ; il a été envoyé à l'infirmerie du dépôt, puis
Observation XVIII. - EPILEPSIE PROCURSIVE; EPILEPSIE partielle. Père , peintre en bâtiment. - Grand-père paternel, excè
excès de boisson; - grand'mère paternelle, paralytique. - Grand- père maternel, mort apoplectique. - Arrière-grand'mère
RNEVILLE). Renseignements fournis par sa mère (16 novembre 1885). Père , quarante-neuf ans et demi, enfant naturel, peint
atur- nine ; -il est sobre, bien portant, mais un peu emporté. - [ Père , mécanicien, a disparu depuis la guerre de 1870-7
s mois de ses grossesses, mais sans perte absolue de connaissance. [ Père , homme de peine au che- min defer, sobre, mortà
nde son couteau pour s'ouvrir le ventre et dit : « Je veux voir mon père avant de mourir. » 1885. 28 février - Ecchymose
psie PROCURSIVE. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 59 Consanguinité : le père et le mère du malade étaient cousins germains e
a été forcé de donner sa démission au bout de deux ans. Ensuite son père l'a gardé chez lui, où il a continué à dessiner
éguliers à grand rayon, évitant les personnes, les arbres, etc. Son père ne saurait dire si la rotation s'opérait toujou
n sont peut-être qu'une exagération. Observation XX. - Epilepsie. - Père , hémiplégie droite Mère nerveuse ; - grand-père
>·;.) Renseignements fournis par sa mère (1) décembre 1885). - Père , fabricant de chapeaux, intelligent, fort, de tai
avait été précédée pendant trois ans de violentes céphalalgies. [ Père , fabricant de chapeaux, mort à trente et un ans.
ée, elle s'est mariée à vingt-six ans, et n'a jamais été malade. - [ Père , mort à quatre-vingt-un ans d'une pneumonie. Mè
quelquefois des fai- blesses et même des pertes de connaissance. - [ Père , cordon- nier, alcoolique, a succombé à une aff
ournis sur ma demande par le médecin traitant : " Elle est née de père et de mère bien portants, non parents. Du côté pa
qu'en Vendée, en ma- tière d'idiotie, l'intoxication alcoolique du père au moment de la conception doit toujours être s
dans lequel il tombe après l'acte procursif. Observation XXIII. - Père tourneur en cuivre, alcoolique. Grand-père et o
juin 1883. Renseignements fournis par sa mère (27 février 1882). Père , trente-six ans, tourneur en cuivre, a quitté sa
ourneur, il a tout bu et sa femme a dû se placer comme domestique. [ Père mort de la poitrine à trente-huit ans, tourneur
ière assez agréable, n'a jamais eu que des né- vralgies violentes. [ Père , laboureur, sobre, mort à cinquante- neuf ans,
ade qui fait l'objet de l'observation suivante : Observation XXIV.- Père , múrt phthisique. Mère migrai- neuse de l'âge d
(service de M. Bourneville). Renseignements fournis par la mère. - Père naturel, plom- bier zingueur, pas d'accidents s
nts saturnins, sobre, mort de phthisie l'âge de quarante-deux ans. [ Père et mère, soeurs et frères bien portants. - Pas
e pleurésie et une pneumonie, mais est actuellement bien portante. [ Père , pas de détails. - Mère, migraineuse, morte du
lonne vertébrale. Notre malade est né treize mois avant le décès du père . Grossesse, bonne. - Accouchement, normal. - Pa
1VG. 97 Renseignements fournis par sa mère (8 novembre z1884). -- Père , tailleur, assez grand, très sobre, calme, mort à
quante ans, il y a un mois, probablement d'une tumeur du bassin. [ Père , mort des suites d'un refroidissement ( ? ) en tr
plutôt petite, impressionnable, assez colère, assez intelligente. [ Père , mort en 1871, de la varioloïde, menuisier. Excès
re. - Grand-père et Grand'mère paternels pas de détails. - Grand- père maternel, mort d'une tumeur abdominale à soixante
migraines. Conception par viol. - Grande différence d'âge entre les père et mère. - Premières convulsions ci six mois. -
ie, attribuée ci des coups qu'il aurait reçus d'une employée de son père . Jarr..., né le 20 mars 1876. Ce malade' a des
e. - Après les accès nocturnes il se lève parfois, va embrasser son père inconsciemment et se recouche. Observation XXVI
asser son père inconsciemment et se recouche. Observation XXVIII. - Père mort d'un cancer de la langue. Cousine germaine
les armoires, de prétendus rats et des souris. Observation XXIX. - Père douteux. - Mère débauchée. - Début des accès à
i- table lit. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 11 OBSERVATION la\Il. - Père , mort phtlcisique. - Un frère, mort de convulsi
rtir, il fallait le maintenir, le surveiller. Observation XXXIII. - Père mort phthisique. - Un oncle paternel phthisique
atisme à la suite d'un accès le 8 février 1882. Observation XXXV. - Père diabétique. - Grand'mère paternelle phthisique.
lacre de coudre au moins pendant dix minutes. Observation XXXVII. Père alcoolique, céphalalgique, rhumatisant, mort d'
e complète. - Le fils d'un médecin, pris à table un jour devant son père , jette au loin le verre dont il buvait le conte
vés chez des malades du service de Bicêtre : Observation XXXIX. - Père alcoolique. - Mère phthisique. - Soeurs et père
bservation XXXIX. - Père alcoolique. - Mère phthisique. - Soeurs et pères malformés et convulsifs. - Hydrocéphalie légère.
nt : « Oh ! j'ai mal à la tête, je vais tomber. » Observation XL. - Père alcoolique, colérique, eczémateux, mort phthisi
nt coup de main sur l'épaule de sa mère. - Jamais il n'a frappé son père ; il lui disait : « Papa attache-moi ! » Dans se
lin, 1867. Observ. I, p. 2L DE l'épilepsie PROCURSIVE. 119 Son père vit encore, sa mère est morte maniaque à l'âge de
y est décédé le 16 septembre 1885. Renseignements fournis par le père et lamère (7 septembre 1885). - Père, cinquante
Renseignements fournis par le père et lamère (7 septembre 1885). - Père , cinquante-neuf ans, cocher, assez corpulent, aur
de maux de tête, épistaxis fré- quentes vers l'âge de douze ans. - [ Père , journalier, mort à l'âge de soixante et onze a
le a eu, il y a deux ans, un abcès à la jambe droite avec fistule. [ Père , enfant naturel, mort alcoolique, à l'âge de so
' Il est très diflicile d'obtenir des renseignements bien précis, le père et la mère étant d'une intelligence au-dessous
ie cérébrale. - Hémiplégie gauche. Débilité mentale et épilepsie. Père et grand-père paternel alcooliques. - Grand-père
l" avril 1885. Renseignements fournis par sa mère (28 mars 1882). - Père , quarante-sept ans, travaillait aux champs autr
(vin, un peu d'eau-de-vie); pas de migraines, pas de dartres, etc. [ Père , maçon, bien portant, nombreux excès de boisson
aille ordinaire; pas de migraines, pas d'antécédents nerveux, etc. [ Père , homme de peine au chemin de fer, mort au bout
conception ; pas de rapports sexuels durant l'ivresse alcoolique du père . - Grossesse : au sixième mois, émotion vive de
illité. Renseignements fournis par sa SOE ! I1' (22 février 1882). - Père , intelligent, d'un caractère doux, a été trente
leurs rhumatis- maies ; pas de maladies de peau, pas de migraines. [ Père , maître d'école en Hollande, pas de détails, -
maladies de peau, ni d'attaques; n'est pas nerveuse, aucun excès. [ Père , mort on ne sait de quoi. - Mère, morte en couc
as d'aliénés, d'idiots, d'épileptiques, etc.] Pas de consanguinité ( père hollandais, mère lorraine). 8 enfants : 1° un m
mieux marcher avec ses souliers que pieds nus. Observation II. - Père très nerveux, sujet ci des accidents probable-
BÉCILLITÉ. 171 Renseignements fournis par sa mère (24 avril 1882) - Père , char- retier, mort en 1871 à la Pitié, à la su
alade), lui avait emporté sa maladie et qu'il était moins nerveux. [ Père , garde champêtre, est mort très âgé; on croit q
nomie indifférente, assez intelligente cependant. Elle a perdu son père quand elle avait sept ans : « J'ai été menée à co
urs de tête; pas de migraines; pas d'attaques; n'est pas nerveuse. [ Père , culti- tivateur ; excès de boissons, mort à la
la conception, le mariage datait de 3 mois. Il est probable que le père était ivre, car il était surtout porté aux rapp
observation curieuse également à d'autres titres. OBSERVATION. - Père débauché, alcoolique. - Grand père paternel alc
consultation le 11 août 1887. Renseignements fournis par sa mère. - Père , 43 ans, était bien portant jusqu'en 1876, époq
, ni de névralgies, ou de rhumatismes; aucune affection cutanée. [ Père , scieur de pierres; mort d'excès de boisso2.-Mére
d'homme parce que a ce sont des choses qui ne la tentent pas ». [ Père mort du choléra, vers 185t, carrier dans les mont
lus d'impor- tance qu'il ne conviont. L'alcoolisme héréditaire du père , les antécédents nerveux du côté paternel aussi
éréditaires. Renseignements fournis par sa mère (21 juin 1884). - Père , 49 ans, cordonnier, bien portant, marié à 31 ans
de peau ni de syphilis. Pas de migraines ni de rhumatismes. Sobre. [ Père mort à 73 ou 74 ans; on ne sait de quoi. Journa
emarié et avait abandonné les enfants du pre- mier lit, dont est le père de notre malade. Il n'était ni en enfance, ni p
ie de peau ni de rhumatisme. Caractère calme ; n'est pas nerveuse. [ Père , berger, mort à GO ans d'une fluxion de poitrin
nocturnes, il répondait par des raisons niaises ou pas du tout. Son père est alors allé voir son patron et celui-ci lui
i ordonna des dou- ches qu'il prit régulièrement à Saint-Louis. Son père essayait de le faire travailler à la maison : t
ouvert, bien qu'il ne plut pas. Ses parents écrivirent alors à son père qu'ils ne pouvaient plus le garder et qu'il fal
i on voulait l'em- mener d'Argentan, il ferait un mauvais coup. Son père ré- pondit qu'on le lui renvoyât, mais, ayant p
s faire arrêter ; il ne parlait que du commissaire de police. Son père fut de nouveau prévenu, et sa mère vint le cherch
et vivre indépendant. » Il ne parlait pas d'incorporation (1). Son père est alors venu à Argentan et lui a dit qu'on lui
t passa une assez bonne nuit. Le lendemain matin il alla avec son père à l'Asile clinique. La consultation n'ayant lie
se leva de table et prit son paletot. « Où vas-tu ? lui demanda son père ? » « Moi je ne couche pas ici, répondit- il, d
i, répétant que pour sa sécurité il ne voulait pas coucher chez ses père et mère. Le lendemain, son père alla le cherche
il ne voulait pas coucher chez ses père et mère. Le lendemain, son père alla le chercher chez son cousin. Il était calm
loir se rendre à la maison et entama une vive discussion avec son père qui fit signe à un agent. Quand celui-ci voulut
re. Il trouvait bêtes ceux qui s'amusaient. Il était sombre, et son père lui disait : -. « Mais, mon garçon, tu es plus
s'est montré grossier envers sa mère. De là une dis- pute avec son père qui lui a donné un soufflet dont il a es- sayé
eu de scène sembla- ble, et jamais il ne s'était révolté contre son père . On as- sure que jamais il n'avait parlé d'inco
t sa mère, il nous blâmait un jour, et dit à ses parents, « que son père était un juif, et que moi j'étais une grosse va
malade aimait assez sa mère jusqu'à 12 ans ; il n'a jamais aimé son père , qui le corrigeait quelquefois. Sa mère assure
uelquefois. Sa mère assure ne l'avoir jamais frappé, tandis que son père était exigeant pour ses leçons et très ambitieu
la plainte que j'ai portée contre mes parents, Antoine Gaug.... mon père et Célina B.Iz... son épouse, ma mère, demeuran
décentes réellement revécu- tées par ma mère de complicité avec mon père , la nuit pen- dant mon sommeil, depuis âge de 1
e lendemain pour me conduire à la con- sultation à Sainte-Anne, mon père vint en effet me chercher, et il voulut me cond
endemain, je fis ma déclaration au commissaire de police devant mon père ; je fus conduit au dépôt et de là à Sainte-Ann
r, et sa mère s'incorporait à lui pour calmer ses nerfs à clle. Son père était probable- ment d'accord avec sa mère. De
é jusqu'ici et que je sus alors que ma mère, de complicité avec mon père , exerçait l'incor- poration sur moi la nuit pen
ut, qu'elle ne faisait cela que dans le but de prétendre devant mon père qui devait arriver le lendemain, que j'étais un
d'attentats à la pudeur commis par ma mère, de complicité avec mon père , depuis l'âge de 14 ans l/2 ? Là je réclamai à me
rs, il refuse d'aller travailler à l'atelier de tailleur. Quand son père lui parle de ses anciennes idées, il détourne l
oration cependant, et consent maintenant plus facilement à voir son père et sa mère ot les reçoit bien. Il embrasse sa m
7 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
lors, se sont éveillés ; André a fait beaucoup plus d'accueil à son père lors de ses visites, la parole est devenue moin
avec plaisir, heureux et fier des résultats obtenus; lors- que son père vient le voir il veut lui montrer ses cahiers,
on. (8.-et-0.1, entre dans le service le 28 avril 1888. Fils d'un père alcoolique et d'une mère névropathe et al- cool
dans le service le 27 mars l88j. On trouve dans ses antécédents : père nerveux ; rien à signaler du côté des grands-pare
usse couche à la suite de laquelle elle aurait été très malade. Son père serait mort il y a 18 mois, on ne sait de quoi.
OBS.X\\ ! V. Idiotie ; nanisme et infantilisme prononcés. Sommaire. Père et sa famille, mère, rien ci signaler. Grand-pè
s héréditaires et personnels. (Renseignements fournis par sa mère). Père : 33 ans. Pas de profession insa- lubre. Aucune
alcoolisme. Aucune maladie nerveuse. Pas de tabagisme. [Famille du père . Hère morte à 77 ans et père à 66 ans, on ne sa
erveuse. Pas de tabagisme. [Famille du père. Hère morte à 77 ans et père à 66 ans, on ne sait de quoi. Aucun renseigneme
n, aucune maladie grave, de caractère calme. [Famille de la mère. - Père mort à 43 ans d'une hématé- inèse(1),était mala
nce : Pusillanimité. Naïveté : 1 Nanisme avec infantilisme, 47 du père . Père mort du choléra, à Lyon en 1804, habituelle
Pusillanimité. Naïveté : 1 Nanisme avec infantilisme, 47 du père. Père mort du choléra, à Lyon en 1804, habituelle- me
. Ni sy- philis, ni alcoolisme, ni caféisme. - [Famille de la mère. Père , Il 1 ans. bien portant, sobre. Mère, 6-'r ans,
héréditaires. (Renseignements fournis par la mère de l' enfant). - Père , 3Ô ans,scieur de bois à la méca- nique. Pas de
'index sciés huit jours avant la naissance de l'enfant. [Famille du père . Père mort à 78 ans « de vieillesse », sobre, e
sciés huit jours avant la naissance de l'enfant. [Famille du père. Père mort à 78 ans « de vieillesse », sobre, emporté
mporté. In- telligence vive, bien portante.- [Famille de la mère. - Père mort à 55 ans, l'asile de Ville-Evrard en 1885
anguinité. Différence d'âge entre les parents : 7 ans, en faveur du père . 5 enfants, la mère est en ce moment prête d'ac
re, caféisme ; caractère très vio- lent ; colères furieuses. Grand' père maternel, mort de tuber- Nanisme avec infantili
nin- gite. - Pas de consanguinité . - Inégalité d'âge de 15 ails ( père plus âgé). Frère mort d'une méningite. Concep-
éréditaires (Renseignements fournis par lui mère, le 3 mai 1893). - PÈRE , 60 ans, journalier ; alcoolique avéré ; il éta
ractère vio- lent et emporté, vindicatif. Rhumatisant. Famille du père . Père mort à 72 ans, alcoolique. Mère, très ner
e vio- lent et emporté, vindicatif. Rhumatisant. Famille du père. Père mort à 72 ans, alcoolique. Mère, très nerveuse,
malade pendant huit jours. Elle mesure lm 59. Famille de la mère. Père mort à 53 ans de tuberculose pulmo- naire. Mère
E nanisme. Le malade. - A l'époque de la conception, éthylisme du père , mais la conception n'a pas eu lieu dans l'ivress
8. Passé dans l'une des divisions de l'hospice le 3 février 1900. Père mort à 43 ans de méningite tuberculeuse. Tante ma
Il est né le 29 février 1878. - On trouve dans ses antécédents : père alcoolique ; un grand-père paternel alcoolique
XInVL- ARRH ! RATON intellectuelle : nanisme ; obésité. SOMMAIRE. - Père , pas d'accidents nerveux. Renseignements insuff
isants sur sa famille. Mère hys(crirlue' ? - Dans les fa- milles du père et de la mère, on ne signale aucun obèse, ni au-
1. Antécédents. (Renseignements fournis par la mire du ma- lade). Père , jardinier, mort à 79 ans de bronchite chronique,
is. Caractère très calme. Il était grand et non obèse. Famille du père . Ses -père et mère sont morts alors qu'il n'ava
re très calme. Il était grand et non obèse. Famille du père. Ses - père et mère sont morts alors qu'il n'avait que 14 a
oyen. Elle est bien conservée pour son âge. « Famille de la mère. Père sobre, mort à 65 ans, d'une affec- tion pulmona
à signaler. Pas de tares nerveuses, etc. Pas de consanguinité. Le père était de Flexbourg (canton de 11'aselalype), la
deux familles ni nains, ni goitreux, ni obéses.Dansla famille du père ,on était en général grand. Inégalité d'âge des de
néral grand. Inégalité d'âge des deux conjoints : vingt-trois ans. ( Père plus âgé.) Sept enfants. Le père de notre malad
ux conjoints : vingt-trois ans. (Père plus âgé.) Sept enfants. Le père de notre malade a eu 4 enfants d'un premier mar
na-nisme, OBÉSITÉ. SO\I\I : 11RI's.-f111téCif.Lel7tS héréditaires. Père éthylisme, ago- raphobie, neurasthénie ; bégaie
ditaires. (Renseignements fournis par la mère le 21 Janvier 1891).- Père , marchand ambulant, mort il 42 ans d'une pleuré
es. Pas de rhumatismes. Écrouelles dans le jeune âge. [Famille du père . - Père de petite taille, mort à 75 ans. Asthma
s de rhumatismes. Écrouelles dans le jeune âge. [Famille du père. - Père de petite taille, mort à 75 ans. Asthmatique de
vul- sions et est en bonne santé.- Dans le reste de la famille du père , il n'y aucune autre tare -physique, morale ou in
me qui permette de faire penser àla syphilis. [Famille de la mère. Père alcoolique, mort à 59 ans. Mère enfant assistée
es, respiratoires, etc., normales. L'enfant ressemble plutôt au son père qu'à sa mère, qui attribue la maladie de son enfa
re, qui attribue la maladie de son enfant à l'état névropathique du père et son intoxication alcooli- que. Etat actuel
ds augmente. OBs. L. - Imbécillité, obésité, nanisme. SowuAtnE. - Père : 61 ans, ouvrier boulanger, robuste, ni alcool
congénitales. Pas de consanguinité. Différence d'aîge : vingt ans ( Père plus âgé). Cinq enfants dont quatre bien port
e. OBS. LI (Résumée). Imbécillité, nanisme, POLYSARCIE. Sommaire. Père , épileptique; rhumatisme chronique, céphalalgie
e méningite grave A 3 ANS. - Nanisme. - Obésité. S0lf\f : IIRE. - Père , monteur en bronze, excès de bl)iSS012otsur- to
i 1883, est entrée le 21 mars 1902. Renseignements fournis par le père et la mère le 20 avril 1902. Antécédents héré
le père et la mère le 20 avril 1902. Antécédents héréditaires. - PÈRE , 49 ans, monteur en bronze, manie un peu le plo
cès à cause de douleurs gastriques. Caractère violent. Famille du père : Père mort à 66 ans à la suite d'une chute fai
ause de douleurs gastriques. Caractère violent. Famille du père : Père mort à 66 ans à la suite d'une chute faite dans
tous les sujets ont une taille moyenne, sauf un oncle paternel du père qui était petit, gros et court. On ne trouve aucu
. Elle est de taille petite mais non obèse. Famille de la mère, - Père , mort il 44 ans de tuberculose pulmonaire, sobr
ces de l'alcoolisme auquel se joint l'action du saturnisme, chez le père . Signalons le caféisme chez la mère. L'abus du
ice le 13 septembre 1893. Antécédents héréditaires et personnels. - Père , 44 ans, bien portant, a eu des coliuul.ion.s j
. Coléreux, ni alcoolisme, ni syphilis, ni rhumatisme. Famille du père : Aucune tare morale, intellectuelle ou physiqu
diotie ; obésité. Sommaire. Antécédents personnels et héréditaires. Père : névropathe. Consanguinité des grands parents
mais non brutal. Pas de renseignement sur la syphilis. [Famille du père : Père sobre, de caractère doux. Mère violente,
on brutal. Pas de renseignement sur la syphilis. [Famille du père : Père sobre, de caractère doux. Mère violente, sobre.
e du père : Père sobre, de caractère doux. Mère violente, sobre. Le père et la mère étaient cousins germains. Aucun rens
Trois frères, normaux. On ne signale aucune tare dans la famille du père . Ni aliénés, ni épileptiques, ni paralyti- ques
menstrue. Sa conduite serait fort suspecte. - [Famille de la mère. Père sobre, de caractère violent. - Mère, morte à 43
famille de l'enfant, qu'il nous a été impossible de compléter, les père et mère ayant disparu, ne nous a pas permis de
de son rachitisme. 085. LV. - Nanisme ET rachitisme. SOMMAIRE. - Père , 20 ans plus âge que la mère, caractère Í1Ti- t
maternelle myope. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 20 ans, père plusâgé. Une soeur a eu des convulsions ; strab
LVII. - Idiotie mongolienne ; tuberculose PULMONAIRE. SOMMAIRE. - Père rien de particulier; - Mère, rien à noter, satt
MES DE nanisme. Pas de consanguinité, - Inégalité d'âge de 7 ans. - Père . plus âgé. Conception rien d'anormal. - Gros
4 mars 109u. . Antécédents (Renseignements fournis par sa mère). PÈRE , 58 ans, forgeron, très-bien portant, né au Creus
philis ; exempté du service militaire pour défaut de taille. [Son père , mort il 72 ans de pneumonie, ne buvait pas. Sa
lisme; aucun indice il Nanisme mongolien. 151 de syphilis. - [Son père , mort à 48 ans des suites d'un acci- dent de vo
autre exemple de type mongolien.] Pas de consanguinité, bien que le père et la mère soient tous deux du Creuset. Inégali
e et la mère soient tous deux du Creuset. Inégalité d'âge de 7 ans ( père plus âgés Mariés : le père il 27 ans, la mère à
ux du Creuset. Inégalité d'âge de 7 ans (père plus âgés Mariés : le père il 27 ans, la mère à. 20. Neuf enfants, pas de
la de la placer pour l'améliorer.- L'enfant ne ressemble ni à son père ni à sa mère.- Comme maladies infectieuses, elle
alade est née de parents déjà un peu âgés (la mère avait 42 ans, le père 49), et ayant entre eux une assez grande différ
t en- trée à la Fondation Vallée le 2 mai 190 ? >. SOMMAIRE. - Père et grand-père maternel, excès de boisson. - Onc
e convulsions. - Pas de consanguinité. - Inégalité d'« ge de 2 ans ( Père plus âgé). Conception dans l'il'J'esse. - Rense
particularités cliniques et anato- mo-pathologiques. SOMMAIRE. - Père , fièvre typhoïde à 16 ans; rien de parti- culie
8 août 1899, et y est décédée le 29 janvier 1904. Antécédents. - Père , 34 ans, cocher de maison bourgeoise. Pas de co
raumatismes. Caractère un peu vif. Pas de migraines. [Sa famille. - Père , 67 ans, et Mère, 57 ans ; bien portants et sob
fficile dé décider s'il s'agit de vraies migraines. [Sa famille,. Père , mort à 36 ans, noyé accidentellement ; 200 Scl
ttres. Elle n'a pas d'aptitudes particulières. Elle ressemble à son père aux points de vue physique et moral. Comme ma
ol ie et de l'épilepsie. En outre la conception durant l'ivresse du père ou de la mère a été relevée chez 275 malades et
catégories nous fournit les chiffres suivants : 35, 8 <);0 des pères font des excès de boisson. 3 0/0 des mères 1,
des pères font des excès de boisson. 3 0/0 des mères 1, 5 0/0 des pères et mères. oit 40, 4 0/0 des parents faisant des
du corps calleux; . Par BOURNEVILLE et Reine MAUGERET Sommaire. - Père et sa famille, rien de particulier. - Petite cou-
ents héréditaires. 249 Antécédents, (Renseignements fournis par son père et par sa tante maternelle). Père, cinquante-de
, (Renseignements fournis par son père et par sa tante maternelle). Père , cinquante-deux ans, terrassier, exempté du ser-
obre, ne fume pas, est de caractère doux, n'a pas de migraines. Son père , potier, mort à soixante-sept ans de pneumonie,
and mère à soixante-dix. Grand-parents maternels, morts, le grand père à soixante-dix ans, la grand'mère à soixante-huit
s sobre, d'un caractère très doux, et n'avait pas de migraines. Son père est mort à quarante-sept ans, de tuber- culose
na- ler d'anormal. Pas d'autre épileptique. Pas de consanguinité. Père et mère, tous deux des Côtes-du-- Nord, mais de
'aurait jamais été tourné. Auparavant, il... était très fort, et le père affirme qu'il marchait seul depuis une dizaine
r pour ne plus remarcher qu'à cinq ans. Avant les convnl- sions, le père répète que son enfant était intelligent, prononça
e six en Antécédents personnels. 251 vingt-quatre heures. Mais le père peut mal préciser la marche de la maladie. Il s
s prononcé du membre inférieur; il s'agit, d'après ce que montre le père , de trépidation avec frappe- ment du talon sur
ffectifs sont développés : l'enfant est obligeant, et aime bien son père et ses frères et soeurs. Il n'est pas impressionn
ni lire ni écrire. Aucune aptitude particulière. Il ressemble à son père physiquement, et à sa mère psychiquement. Pas d
de mal ; Température. Par BOUItNL'ILLI : et L. IZOU. SOMMAIRE. - Père : quelques excès de boisson. - Grand- . père pa
L. IZOU. SOMMAIRE. - Père : quelques excès de boisson. - Grand- . père paternel, mort à sa seconde attaque de paralysie.
ec convulsions. - Pas de con- sanguinité. Inégalité d'âge de 3 ans ( père plus âgé). Conception, Grossesse, Accouchement,
Antécédents héréditaires (Renseignements fournis par sa mère). - Père , 41 ans, homme de peine. \ été mineur pen- dant
. N'a pas eu la syphilis. - Il fume un peu. Pas de migraine. [Son père est mort d'une seconde attaque de paralysie, à
ernels et maternels sont morts très vieux. Pas de consanguinité, ( père et mère de l'Allier). Inéga- lité d'âge de 5 an
anguinité, (père et mère de l'Allier). Inéga- lité d'âge de 5 ans, ( père plus âgé). Quatre enfants : Une fille morte en
e convulsions. - Notre malade - Conception, rien de particulier. Le père et 1. mère s'entendent bien. Ils ne boivent ni
t un peu gourmand, son caractère est paisible. - Il ressemble à son père . - On ne sait à quoi attribuer son épilepsie.
belleux gauche; .. Par BOURNEVILLE et Julien NOIR. Sommaire. - Père : alcoolique ( ? ); accès de colère et cépha- l
2 . ANTÉCÉDENTS HÉRÉDITAIRES. Antécédents. - (Renseignements par le père de l'enfant, le U mars 18'16, sur sa propre fam
e, pa ? - la mère le 18 mars 1896 pour le reste des antécédents). - Père , 29 ans, garçon de recettes au Comptoir d'Escom
accès de colère et à d'assez fréquents maux de tête. [Famille du père . - Son père, âgé de de 62 ans, est fer- blantie
lère et à d'assez fréquents maux de tête. [Famille du père. - Son père , âgé de de 62 ans, est fer- blantier. Il serait
es deux dernières années de sa vie. Dans le reste de la famille, le père relève, un oncle maternel asthmatique ( ? ) mor
ns, sans avoir jamais présenté de troubles nerveux manifestes. Le père a trois soeurs, l'ainée mariée a eu une fille qui
sions. Aucun autre détail intérressant à relever dans la famille du Père ]. MÈRE, 25 ans, sans profession, d'un aspect tr
is eu d'accidents nerveux d'aucun'' sorte [Famille de la mère. Le père est mort, il y a un an, ;\ 56 ans de tuberculos
e pathologique. Pas de consanguinité - Différence d'âge de 3 ans ( père plus âgé). Notre malade est. le premier et l'
8 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
instables, débiles à l'entrée, sont devenus un soldat, un ouvrier, un père de famille, un membre utile de la société. Quand,
à mesure qu'il a pu écrire. 5° Un autre, frère du précédent, marié, père de famille, éga-lement ancien pensionnaire de Bic
rses et inconnues.......... 53 340 NOMS. des _ Observations. du père . de la mère. grossesses. décédés. vivants. Bel.
dés. vivants. Bel............. Tourneur » 4 ,, Notre malade, idiot. Père et Mère sur cuivre. excès de boisson. Belthoi
hoi.......... Peintre » 7 5 enfants morts en bas-âge N. m., imbécile. Père excès de en bâtiments. de méningite. boisson.
Plombier. » 9 3 g. morts en bas-âge de con-2 g. ophtbalmie purulente. Père excès de valsions. 1 g. détraqué. boisson. 1
tion. N. m., idiot. Beff............. Peintre » 2 » 1 g. nerveux. Père et Mère décorateur. N. m., idiot, épileptique.
............ Peintre » 5 1g. mort à 9 mois de mé- 1 f. bien portante. Père excès de en bâtiments. ningite. N. m., imbécill
ié........... Peintre » 4 2fausses couches. Un g., né à 7 mois.idiot. Père excès de en bâtiments. N. m., née à 8 mois, idi
............. Peintre » 5 f. morte à 3 ans 1/2 de 2 g. bien portants. Père excès de en bâtiments. ironchite. 1 g. convuls.
enfance. boisson. N- m., idiote. NOMS. des ~~" Observations. du père . de la mère. grossesses. décédés. vivants. Bru.
.. Polisseur » 11 1 Fille morte à 14 mois de 1 Garçon et 1 Fille bien père alcoolique sur métaux. la coqueluche. portants.
Chapelière. 1 | garçon mort à la naissan- N. m., Idiotie, paralysie, Père alcoolique. Gémellaire. ce paraissait un fœtus
atelassière. 11 3 enfants morts de convul- 1 Garçon et une Fille très Père et Mère sions. nerveux. alcooliques. 3 fausse
rneville, Bicêtre, 1904. NOMS. ~~~~~~"~"~~~des _ Observations. du père . de la mère. grossesses. décédés. vivants. Lésa
écédés. vivants. Lésa............. Peintre » 2 « 1 g. bien portant. Père excès de en bâtiments. N. m., imbécile. boisson
... « Manufacture des 6 1 g. mort de méningite à 3 1 S- Dien portant. Père excès de tabacs. jours. N. m. imbécile, athétos
.. » Chiffons. 4 {garçon décédé à 8 mois de 1 fill°. 16 ans- chétive. Père alcoolique, méningite. 1 garçon 5 ans 1/2, bien
........ Mouleur » 3 1 garçon mort de méningi- 1 Fille bien portante. Père alcoolique. en cuivre. ^ te tuberculeuse. N. m.
tuberculeuse. N. m., Epilepsie. NOMS, des ————— i observations du père . de la mère. grossesses. décédés. vivants. I No
sait de quoi. Fria............ » Photographie. 2 » N. m., Idiotie. Père un peu (Ether) 1 fille, 2 ans 1/2, bien por- al
ante. _ Peyr............ Plombier. « 1 „ ]V. m., hystéro-épilepsie. Père alcoolique Nés............. « » 2 » i garçon bi
ie. Père alcoolique Nés............. « » 2 » i garçon bien portant. Père alcoolique JV. m., épilepsie. Blav...........
f............ Polisseur » 2 Ifille morte à 6 mois du JV. m., idiotie. Père alcoolique sur métaux. croup. Madel..........
.. Teinturier. » 7 1 f. morte à 28 jours. 1 g. et 1 f. bien portants. Père alcoolique 1 g.mort de bronchite. JV. m., idiot
rier. Teinturière 10 |2g. morts du croup. 3 g. et 1 f. bien portants. Père alcoolique 1 g-mort d'entérite. N.m., épilepsie
V. m., idiot, épileptique. » NOMS. ~~""""" des - Observations. du père . de la mère. grossesses décédés. vivants. Men..
ivants. Men............ Plombier. » 5 « 3 f. et 1 g. bien portants. Père alcoolique N. m., idiot. Bidoi ........... Pl
........ Peintre » 5 1 fille morte du choléra. 1 fille bien portante. Père alcoolique en bâtiments. 1 garçon mort? l garço
..... Plombier. « 7 3garçons morts de ménin- 1 f. 1 g. bien portants. Père gite. 1 garçon convulsions. alcoolique. JV. m
...... Peintre « 7 2 garçons morts de ménin- 4 garçons bien portants. Père en bâtiments. gite. N. m., épileptique. alcooli
ue. alcoolique. Morill........... Polisseur « 1 « JV. m., imbécile. Père et mère sur métaux. alcooliques. Bellcm......
en bâtiments. JV. m., épileptique. NOMS. des " Observations. du père . de la mère. grossesses. décédés. vivants. Sta.
........ Peinter » 7 Is. mort du croup à3 ans. 1 garçon bien portant. Père alcoolique. en baitmcnts. 11. mort de diarrhée.
.. Mouleur » 8 i s. mort de cholérino à 6 3 f. et 2 g. bien portants. Père alcoolique. sur cuivre. mois. N. m., idiot. I
ch.......... Plombier- » 4 Hausses couches. N. m., idiot épileptique. Père alcoolique. ferblantier. 1 g. mort de méningite
tre en ligne de compte, l'aicoo-lisme. En effet, sur 143 familles, 79 pères et 4 mères faisaient des excès de boisson (58 0/0
a profession se trouve doublée par ce fait qu'elle est exercée par le père et la mère ; — 2° que 4 mères et 4 pères étaient
it qu'elle est exercée par le père et la mère ; — 2° que 4 mères et 4 pères étaient atteints de syphilis. — Ces statisti-ques
a. — N. m., signifie : notre malade. NOMS. des " Observations. du père . de la mère. grossesses. décédés. vivants. Sud.
de con-vulsions. Guillau......... Tourneur « 1 « JV. m., imbécile. Père aliéné mort à sur cuivre. l'asile de Ville- E
eau statistique sur l'alcoolisme. Garçons Filles. Totaux, Les pères de... Les mères de... Les pères et mè-res de...
Garçons Filles. Totaux, Les pères de... Les mères de... Les pères et mè-res de............ Pour........... Les
es de... Les pères et mè-res de............ Pour........... Les pères etmè-|res de............ Totaux......... 913
nts. étaient sobres. Le tableau ci-dessus résume la situation des pères et mères de tous ces enfants sous le rapport des
iotie et de l'épilepsie. En outre la conception durant l'ivresse du père ou de la mère a été relevée chez 292 malades et l
erses catégories nous fournit les chiffres suivants : 35, 6 0/0 des pères font des excès de boisson. 3, 0/0 des mères — 1
es pères font des excès de boisson. 3, 0/0 des mères — 1, 6 0/0 des pères et mères — Soit 40, 2 0/0 des parents faisant d
peut être considérée comme tout à fait caractéristique. Sommaire. — Père , accidents méningiliques de l'enfance; excès de b
accidents méningiliques de l'enfance; excès de boisson ainsi que son - père [grand'père -paternel de l'enfant). — Mère, rien
905. Antécédents. — (Renseignements fournis par sa mère en 1895). — Père , 40 ans, mécanicien, excès alcooliques antérieurs
1901 des suites d'une pleurésie avec hémoptysie. Su famille. — Son père buvait beaucoup (vin) et serait mort d'une affect
ièvre typhoïde à 12 ans ; aucun accident nerveux, Sa famille. — Son père est mort de la rupture d'un anô-vrisme do l'aorte
as de renseignements sur la consanguinité. — Inégalité d'âge d'un an ( Père plus âgé). 10 enfants : 1° Fille morte d'entéri
es conversations. Il demande aux infirmières : « Voulez-vous être mon père , dites ? » — Fig. V. — Mars 1897. accès en 18
ons cru intéressant de les rapprocher. Observation I. Sommaire. — Père : excès de boisson (absinthe, vin). Fièvres inter
morte le 21 août 1899. Antécédents. (Renseignements fournis par le père et la mère en juillet et en octobre 1899.) — Père
ents fournis par le père et la mère en juillet et en octobre 1899.) — Père : 55 ans ; tourneur sur bois. Pasde convulsions d
escéphaliquesjpas de migraines; bon caractère. Marié à 34 ans. — [Son père , mort à 68 ans, buvait « comme un trou » du vin,
ou maternels. N'a ni frère ni sœur. — Dans le reste de la famille du père , on ne connaît ni idiots, ni aliénés, ni épilep-t
colère facilement, mais sa colère ne dure pas; point de migraines. — [ Père mort on ne sait de quoi. — Mère morte à 63 ans, d
imi-nels, pas de tuberculeux, etc., etc.] Pas de consanguinité ; le père est de 11 ans plus âgé que la mère de notre malad
sont assez développés. Au dire de la mère, l'enfant ressemble à son père au point de vue du caractère, à sa mère au point
tant : « est atteinte d'imbécillité, myopie, paraplégie, malpropreté. Père alcoolique, opéra-tion très récente sur le crâne,
...... — Réflexions. — I. Excès de boisson habituels,. paludisme du père ; — excès de boisson et paralysie du grand'pèrc pa
re, voilà pour l'héré-dité (1). II. À l'époque de la conception, le père était alcoo-lique depuis longtemps, mais elle n'a
ère. Observation' II. Méningo-encéphalite chronique, Sommaire.— Père , a quitté sa femme depuis 12 ans; carac-tère très
eur abdominale. — Pas de consanguinité. — Inégalité d'âge de 3 a?is. ( Père plus âgé.) Misère au moment de la conception et
rs. Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par sa mère.) Père , 45 ans, marchand ambulant; né à Varsovie; israél
plus de méningite. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 3 ans. ( Père plus âgé). Deux enfanta (pas de fausse couche)
lligente. Notre malade. — Conception : misère, discussions entre le père et la mère. Grossesse, beaucoup de misère à cause
elles, toutefois, nous n'avons que des renseigne-ments insuilisants. ( Père , polonais, mère, russe.) II. Misère, ennuis, fr
des ce hommes de peine » ou à des ce filles d'office ». Sommaire. — Père : Coxnlgie a 8 ans, guérison intégrale. — Serait
nts fournis par sa mère (24 nov. 1901). — Antécédents héréditaires. — Père , 46 ans, mouleur en cuivre, coxalgie à 8 ans, gué
ant. Pas le plus léger soupçon de syphilis. Caractère emporté. [Son père , mort subitement à 44 ans, était comme lui mou-le
ectieuses, pas d'alcoolisme, pas de traumas, caractère plutôt calme. [ Père inconnu. —Mère, 62 ans, en bonne santé. — Grands
ure de four-nir de plus amples détails.] Pas de consanguinité. — Le père est plus âgé de 4 ans. 7 enfants : 1° Une fille
ionnée par une chute. Antécédents personnels. — A la conception, le père et la mère en parfaite santé. G7'ossesse régulièr
sont pas venir : malgré cela, il est resté en apprentissage avec son père , contremaître dans une fonderie de cuivre, de 13
I. Dans les antécédents héréditaires, nous relevons l'alcoolisme du père , le mal vertébral de Pott chez une sœur, des conv
ncubation à l'entrée ; par BOURNEVILLE et G. FRIEDEt. Sommaire. — Père sujet aux céphalalgies, intelligence très moyenne
ticulier. Consanguinité des deux côtés. — Inégalité d'âge de 7 ans ( père plus âgé). Conception rien. — Grossesse : quelq
écédée le 29 mars 1901. Antécédents. (Renseignements fournis par le père et la mère le 20 décembre 1900). — Père, 38 ans,
Renseignements fournis par le père et la mère le 20 décembre 1900). — Père , 38 ans, cocher de fiacre n'a eu ni convulsions n
caractère. Paraît d'une intelligence très moyenne. Sa famille. Son père , instituteur, sujet aux maux de tête, mort à 76 a
est mort d'une fluxion de poitrine. — Dans le reste de la famille du père il n'y a pas eu de tuberculeux, pas d'idiots, pas
ement habillée. Elle paraît intelli-gente. [Famille de la mère. Son père , âgé de 70 ans, a quel-ques douleurs rhumatismale
à signaler pour le reste de la famille.] Inégalité d'âge de 7 ans ( père plus âgé). — Consanguinité : Les père et mère do
e.] Inégalité d'âge de 7 ans (père plus âgé). — Consanguinité : Les père et mère do l'enfant sont doublement consanguins :
: Les père et mère do l'enfant sont doublement consanguins : Ie leurs pères sont cousins germains : 2e la mère du père et le
nt consanguins : Ie leurs pères sont cousins germains : 2e la mère du père et le grand-père maternel de la mère étaient cous
sa joie est très grande, elle rit et pleure en même temps, chérit son père avec frénésie. Il faut l'arracher des bras patern
u côté paternel, qui pesait sur l'enfant : i"du côté de la famille du père : céphalal-gies, migraine* que l'on retrouve souv
9 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
ique. Nous avons pu faire l'autopsie de l'un d'eux (1). SOMMAIRE. Père et mère bien portants, non alcooliques ; non sy
litiques ; aucune tare nerveuse. Une cousine germaine maternelle du père a été hémiplégique. Une cousme éloignée paterne
cédents héréditaires. (Fournis par le grand-père maternel et par la mère - Père , 43 ans, fait le com- merce de volailles, beurr
eu de convul- sions ; marié à 23 ans; pas d'indices de syphilis. - [ Père , mort it 7'1 ans, subitement, d'une maladie de
ucation, a obtenu son certificat d'études, s'est mariée il 18 ans. [ Père , celui qui nous ren- seigne, âgé de G7 ans, bie
as de consanguité. Différence d'âge de 5 ans entre les deux époux. ( Père plus âgé.) .. Sept enfants et trois fausses cou
ts, quittant tout le monde pour caresser sa mère et surtout son père . Mâche assez bien. Bon appétit; mange de tout
ès intern. de médecine de 1900, section de Neurologie). Sommaire. Père , peintre pour enseignes, céphalalgies, bègue, c
janvier 1898 et en est sortie le 14 no- vembre 1900. Antécédents. PÈRE , conçu à la Martinique, est né à Angers, sa mèr
é par sa snrdité; il a une hernie, est asthmatique. [Sa famille : Père , sobre, mort à 52 ans d'une maladie du foie, co
and'mère paternelle, morte à 72 ans d'une maladie du foie. Grand- père maternel, faisait des excès de boisson, ancien so
e jour, ni fièvre typhoïde, ni fièvre intermittente. [Sa famille. Père : mort à 61 ans, poitrinaire et ayant « une mal
Il est mort vieux, on ne sait de quoi.] Pas de consanguinité (le père est né à Angers d'un père de Verdun et d'une mè
e sait de quoi.] Pas de consanguinité (le père est né à Angers d'un père de Verdun et d'une mère de Paris Sa mère est né
ne-et-Oise et d'une mère parisienne). Inégalité d'âge de trois ans ( père plus âgé). 7 enfants : 1° notre malade; 2° un g
paru (1). Il a une bonne conduite, il apprend bien le métier de son père mais est turbulent, plutôt désobéissant et entê
e méningite ; un frère épileptique. Rappelons aussi que le grand- père et un oncle ont succombé à la tuberculose, qu-'il
sophage chez un idiot; Hématémèses foudroyantes ; Mort. Sommaire. Père alcoolique. Tante paternelle morte d'un abcès c
Antécédents héréditaires. -. Renseignements fournis par sa mère. - Père , 45 ans, maçon, n'a jamais eu de convulsions, p
ois en colère, dit-il, je ne sais plus ce que je fais ». Famille du père . Père, mort il 78 ans, jamais malade, buvait p
colère, dit-il, je ne sais plus ce que je fais ». Famille du père . Père , mort il 78 ans, jamais malade, buvait peu, ne
lle est sourde depuis fort longtemps. Les grands parents du côté du père et du coté de la mère sont tous morts vieux. Tr
ans de tuberculose pulmonaire. Elle avait sept ans de moins que le père . Jamais de convulsions, ni de chorée; f. typhoï
it très nerveuse et d'un caractère emporté. Famille de la mère. - Père inconnu. Aucun rensei- gnements sur la mère qui
a famille, on ne trouve rien à signaler. Pas de consanguinité. Le père avait sept ans de plus que la mère. Neuf enfa
se, il manifesta l'envie d'étrangler sa soeur âgée de 1'1 ans et le père dut intervenir pour l'en empêcher. L'enfant n'e
ment nul. L'enfant sait un peu lire et compter. Il ressemble il son père , au double point de vue physique et moral. Il a
e chez un idiot; Hématé- mèses foudroyantes ; Mort (1). SOMMAIRE. Père , fréquentes céphalalgies, éthylique. - Grand'mè
nfant, naturel. Antécédents (Renseignements fournis par la mère). - Père , 37 ans, maroquinier, bien portant, n'aurait ja
ment avec la mère pendant six ans. Ils se sont séparés parce que le père voyait d'autres femmes. Son père est mort de pn
. Ils se sont séparés parce que le père voyait d'autres femmes. Son père est mort de pneumonie, aupa- ravant bien portan
ers l'âge de 70 ans et une tante morte vers 8-4 ans. Une cousine du père est entrée à la Salpêtrière pour débilité menta
uis que rarement, la dernière date de 1897. Pas de mi- graines. Son père est mort de diabète, sa mère vivante, très nerv
vante, très nerveuse, a présenté des périodes d'amnésie. - Grand- père paternel mort vers 72 ans, sobre. Grand'mère pate
ns la famille, etc. Pas de consanguinité. Différence d'âge, 6 ans. ( Père plus âgé). Quatre enfants : 1er Garçon, mort
ous leurs mouvements. Membres inférieurs de même, (1) Toutefois, le père était très porté aux rapports quand il avait bu.
aussi un demi oncle et une demi tante maternels aliénés, dont le père était épileptique et qui ont eu des concul- sio
ntré à l'âge de 4 ans et sorti très-amélioré à 8 ans. Sommaire. - Père , rien de particulier. - Arrière grand' mère pat
novembre- 1900. Antécédents. (Renseignements fournis par la mère. Père : 30 ans, sergent dans l'infanterie de marine, où
ndices de syphilis. En 189 ? il la suite de chagrins, de revers, le père de l'enfant s'est mis à boire. Il buvait de l'a
ne cassait rien. Il est parti pour les colonies on août 1895. Son père était parisien; on n'a aucun détail sur lui; sa
ancune. » Réglée à 15 ans, a toujours été bien réglée depuis. Son père est en bonne santé. Sa mère est atteinte de mét
rères, ni soeurs. Pas de consangui- nité. Inégalité d'âge de 5 ans ( père , plus âgé, de Paris , mère de Châtellerault).
ption, la mère 70 Idiotie profonde. supportait des privations. Le père avait une bonne place, mais comme il était très
mme il était très joueur ; il dépensait tout ce qu'il gagnait. - Le père et la mère, néanmoins, s'entendaient bien à ce
emars ni halluci- nations. Il est beaucoup plus affectueux pour son père , que pour sa mère, que dans ses mouvements de c
u'il comprend C3 qu'on lui dit. Il ressemble plutôt à la mère qu'au père . L'enfant a été mis dans une crèche jusqu'à l'â
lle du côté maternel, est relativement chargée dans la famille du père , alcoolique, au moins à une époque. Un arrière
s auteurs il y aurait là le sujet d'une thèse sérieuse. Sommaire. - Père , très intelligent, rien de particulier. Grand-pèr
te de méningite. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de deux ans ( père plus âgé). - ' Revue de médecine, 18S8, p. 46
» (Signé : Dr Netter.) Antécédents. Renseignements fournis par son père . - Père, vingt- six ans, planteur, grand, brun,
é : Dr Netter.) Antécédents. Renseignements fournis par son père. - Père , vingt- six ans, planteur, grand, brun, pas de
il y a trois mois. Il descend, par les femmes, de Denis Papin. [Son père , soixante-trois ans, aurait eu des migraines pend
dormie plusieurs autres fois et avec une extrême faci- lité. - [Son père , soixante ans, sans troubles névropathiques, fai-
aujourd'hui. Les convulsions ayant cessé, dans le septième mois, le père a Antécédents PERSONNELS. 85 essayé d'étendre
e des jambes, quand on les allongeait, est nettement décrite par le père . Il fait remarquer que si elles étaient fléchie
ont toujours été nulles. La sensibilité générale semble obtuse. Son père a remarqué que lorsqu'on le pinçait il y avait
ètres de l'habita- tion. » L'odorat, au contraire, était nul. Son père lui a soufflé de la fumée de tabac dans les nar
, comme si elle était lourde. Les muscles du cou m'ont paru, dit le père , « peu développés, il avait l'air de rattraper
ment de la taille aurait subi une marche ré- gulière (fig. 9). Le père dit que dès les premiers temps de la vie, avant l
s ultimes du processus de désintégration. Réflexions. I. Du côté du père , qui « descend par les femmes de Denis Papin »,
eux, que la migraine chez le grand-père et l'un des arrière-grands- pères de l'enfant. En revanche, les cas de tuberculos
a consé- quence d'un traumatisme céphalique de l'enfance, car ses père , sauf quelques excès de boisson, mère, frères et
lcoolisme sous une série de formes : 10 L'alcoolisme chronique du père ou de la mère, ou des deux ; 2° L'alcoo- lisme
s. Nous avons résumé, dans le tableau suivant, la situa- tion des pères et mères de tous ces enfants sous le rapport de
mtaeuse ; pleurésie ; mort; Par BOURNEVILLE et LAURENS. Sommaire. Père , rien de particulier, sauf quelques excès de bo
sonnels. (Renseignements four- nis par la mère, le 27 août 1898). PÈRE , 41 ans, né à Ugine (Savoie), palefrenier, pas de
ié à 30 ans. Il a le nez aquilin et les cheveux noirs. Famille du père . Père alcoolique, mort à 62 ans d'un chaud et f
30 ans. Il a le nez aquilin et les cheveux noirs. Famille du père. Père alcoolique, mort à 62 ans d'un chaud et froid,
e a eu pendant longtemps des pertes blanches. Famille de la mère. - Père , mort à fi5 ans d'une maladie cachectisante, ca
nsanguinité, - Inégalité d'âge : la mère a 2 ans 1/2 de plus que le père . Deux Enfants : 1° garçon ou fille mort à 4 moi
ion : pas de misère, bonne entente, sympathie. La mère croit que le père , au moment du coït, avait bu plus que de coutum
ons. - I. L'hérédité est peu chargée : quelques excès de boisson du père et du grand'père paternel, des convulsions de l
and'tante, une tante et une cousine du côté mater- nel. Bien que le père et la mère soient nés en Savoie, il n'y a ni go
. L'enfant a probablement été conçue durant l'ivresse alcoolique du père . Relevons l'intensité des mouvements foetaux, l
chacun des autres. Ors. VIII. - IDIOTIE. Microcéphalie. Sommaire. Père alcoolique. Oncle paternel alcoolique et pi1;l'
disparu. OBS. X. IMBÉCILLITÉ prononcée. Microcéphalie. Sommaire. Père , accès de mélancolie; suicide, grand-père pater
1889. (Obs. I et II.) ()as. I. - Idiotie profonde. SOMMAIRE. - Père alcoolique ? Oncle paternel alcoolique et paral
ur (1). - OBS. III. IDIOTIE MICROCÉPHALIQUE COMPLÈTE. SOIMAÚOE. - Père , quelques excès de boisson, rhumatisant. Grand-
ternel, con- vulsions de l'enfance. Géaneltarité. Consanguinité : Père et mère cousins germains. Inégalité d'âge de 8 an
jour (12 ans). OBS. V. IDIOTIE MICROCI : PH1LIQU1 : . Sommaire. - Père nombreux excès de boisson. Caractèr emporté. -
rès cous- tauts (1).... ' OuS.VII. IDIOTIE- complète. Sommaire. Père , chorée,iL 12 ans, mort d'albuminurie. - Grand-
.) Microcéphalie. 19 1 Oas. VIII. Idiotie complète. SOMMAIRE. - Père , boucheur à l'émeri, mort d'une tumeur cérébral
10 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
ée (Hippolyte-Tranquille) est né le 23 mars 1816 à Cherbourg où son père était gendarme. Il fréquenta l'école primaire j
Cousin germain choréique Pas de consanguinité. -Inégalité d'âge du père et de la mère (15 ans ? Gëmettarttë. - Frère :
BOURNEVILLE), Renseignements fournis par sa mère (24 août 1885). Père , 55 ans, homme de peine, sobre, bien portant, cal
, 55 ans, homme de peine, sobre, bien portant, calme, intelligent. [ Père , cultivateur, mort à 87 ans d'affection cardia-
ment ; femme intelligente, nerveuse, maisn'ajamais eu d'attaques. -[ Père , 66 ans, sourd, a une cataracte; pas d'accident
elle a eu deux enfants, sur lesquels on n'a pas de détails. Grand père paternel mort de tuberculose pulmonaire à 44 ans
Rien de spécial, lors de la conception. Pen- dant la grossesse, son père , mécontent de sa femme, devenait méfiant, désag
maternel. II. Signalons en passant l'inégalité d'âge de 15 ans du père et de la mère du malade, inégalité invoquée par
M. BOURNEVILLE. Antécédents. (Renseignements fournis par sa mère). Père 39 ans, ciseleur sur bronze, toujours bien port
aux. Caractère un peu emporté ; pas d'alcoolis- me ; petit fumeur. [ Père corroyeur, mort accidentellement, excès de bois
? pas de troubles nerveux ou mentaux ni d'affections vénériennes. [ Père a abandonné sa fem- me, pas de renseignements s
ce de M. BOURNEVILLE) le 31 mai 1889. Renseignements fournis par le père (30 août 1889). Père, 37 ans, assez grand, empl
le 31 mai 1889. Renseignements fournis par le père (30 août 1889). Père , 37 ans, assez grand, employé chez un marchand
l'enfance, ni arthritisme, ni affections cutanées ou vénériennes. [ Père , maçon, mort d'une bronchite à 67 ans, sobre. Mèr
depuis qu'elle a quitté son mari, débauchée, conduite déplorable. [ Père mort à 40 ans d'une- fièvre typhoïde compliquée
cidents cérébraux. « Mère, alcoolique assez bien portante. Grand- père maternel buveur et coureur.- Un frère débauché a
u'il s'agissait ici 'd'un cas d'icLiotieconénitale. w - . III. Le père dit avoir remarqué, à 6 mois, que son fils n'ét
s héréditaires. (Renseignements fournis par la mère de l'enfant). - Père , 38 ans, surveillant à Mazas, grand, fort, bien
s nerveuses ou cutanées. Marié à 26 ans. Intelligence moyenne.-[Son père est mort accidentellement, il était sobre. Sa m
ons nerveuses ou arthritiques. Elle est d'un caractère assez doux. [ Père mort à 75 ans de vieillesse. Mère morte à 35 an
te; elle a eu une tumeur blanche du genou. De son deuxième mari, le père de notre malade, elle a eu 5 enfants et une fau
n i ng o-encép hal itique) ; Par BOURNEVILLE et MORAUX. SoMMAfUE. Père mort de tuberculose pulmonaire ; fièvre typhoïd
. ' Antécédents (Renseignements fournis par la mère de l'enfant). Père , facteur, mort à 39 ans de tuberculose pulmonai
s de boissons; dans ses colères il cassait tout, battait sa femme. [ Père , 75 ans, bien portant, sobre. Mère, 72 ans, bie
s'est mariée deux fois, elle a eu 2 enfants du lit et4 du second. [ Père , mort avec toute son intelligence, à 94 ans. Mè
Montargis, mère du canton de Berne). Inégalité d'âge de 2 ans. Le père a eu de sa première femme une fille de 15 ans qui
elet, la pie-mère est absolument normale. 6 ! Réflexions. I. Le père et la mère se sont mariés chacun deux fois. Les
n'ayant pas eu de convulsions, tandis que ceux du premier lit du père en ayant eu, on est naturellement enclin à attri-
, on est naturellement enclin à attri- buer aux excès de boisson du père les accidents ner- veux chez le malade et chez
in 1886. ' Renseignements fournis par sa mère (16 décembre 1885). Père , 37 ans, mécanicien, intelligent, sobre, petit, t
técédents. tule anale qui ne s'est fermée qu'en septembre dernier. [ Père , sculpteur sur bois et marbre, mort en 1880, d'
grande, forte, n'a jamais eu de migraines ni d'accidents nerveux. [ Père , 63 ans, blanchisseur, bien portant, sobre. Mèr
ans enfants ; une 3° est morte à 15 jours d'une bronchite. Grand- père maternel mort à 85 ans. Une tante maternelle a 80
a famille maternelle est exempte de toute tare mais, du côté de son père , nous relevons la tuber- culose, l'alcoolisme e
chez lui, les lésions nerveu- ses ont été plus graves que chez son père et son fils a été encore plus sérieusement atte
doit peut-être attribuer à ce que ce dernier est né pendant que son père devenait tuberculeux. Petit fils d'alcoolique,
1 ? îc et Cancer, 1891. Réflexions : impressions maternelles. '85 père et un peu de leur mère, mais parfois entièrement
, nous en avons ajourné la publication. Observation I. SoMtfAinE. Père rhumatisant et migraineux. Grand' mère paternel
héréditaires (Renseignements fournis par sa mère, 30 janvier 1880). Père , 56 ans, employé de commerce, 90 Antécédents.
; migraines fréquentes de 25 à 40 ans, revenant tous les 15 jours. [ Père : mort d'une hernie étranglée à 78 ans; mère, m
Mère : 56 ans, intelligente, un peu nerveuse, mais sans attaques. ( Père , mort d'éléphantiasis (Il avait été à Jérusalem
e de couches, n'aurait pas été nerveuse.- Deux frères, dont l'un de père seulement, sont bien portants; une soeur est mo
ants; 2° notre malade, 3° une fille 23 ans, mariée avec le frère de père de sa mère, migraineuse et rhumatisante, n'a pa
réditaires (Renseignements fournis par son frère le 29 avril 1882). Père comptable, bien portant, sobre et rangé, un peu
lle était de 10 ans plus jeune que son mari. [Pas de détails sur le père ; la mère serait morte à 72 ans d'un catar- rhe
hales. ((Partout, dit-il, où des renseignements nous sont transmis, père et mère jouissaient d'une bonne santé, étaient
dents pathologiques de nos malades sont très chargés. Pour Jan. : père alcoolique ; oncle maternel aliéné; deux frères
convulsions; lui-même a eu des convulsions à un an. Pour Mari.. : père suicidé ; grand-père paternel mort fou. Pour
d-père paternel mort fou. Pour mère nerveuse (attaques); grand- père maternel alcoolique ; grand'tante maternelle mi-
aternelle mi- graineuse, convulsions chez le malade. Pour Nig.. : père alcoolique et rhumatisant. Con- vulsions. Pou
.. : père alcoolique et rhumatisant. Con- vulsions. Pour Cliq.. : père migraineux, mort d'intoxication mercurielle (mi
nels ; mère et grand'mère maternelle migraineuses. Pour Cher.. : père , oncle paternel et frère alcooli- ques ; mère,
es ; mère, pertes de connaissance mal caractérisées. Pour Edern.. : père , hébétudes passagères consé- cutives à une gran
le) le 17 avril 1889. Antécédents (Renseignements fournis par son père et sa mère).- Père quarante-huit ans, homme de
9. Antécédents (Renseignements fournis par son père et sa mère).- Père quarante-huit ans, homme de peine, auparavant l
peau. Ni rhumatismes, ni migraines, ni névralgies, ni syphilis. [ Père ,laboureur, sobre, bien portant, sans accidents ne
0\Te typho- ide, ni migraines, ni névralgies, ni maladies de peau. [ Père , laboureur, sobre, non nerveux de même que la M
abondantes qu'on avait peine à les arrêter. 11 ne distingue ni son père ni sa; mère et partant, ne leur a jamais témoig
écis sur ce point. 134 Antécédents. Observation II. SOMMAIRE. - Père alcoolique. Oncle paternel alcoolique et paraly
Antécédents. (Renseignements fournis par samère, novem- bre 1879). Père , quarante-sept ans, garçon de chantier chez un
ostérieurement à la naissance de Jan... Pas d'indices de syphilis. [ Père , vigoureux; quelques excès de boissons; très ra
lalgie frontale; un peu nerveuse; pas de maladie de peau, etc. - [ Père mort, à quatre-vingt-deux ans, on'ne sait de quoi
. Notre malade. - La conception n'a pas eu lieu dans l'ivresse du père mais « il était peut-être entre deux vins ». -Gro
e sortir, eh bien, elle va voir ça. Sale pourriture ! Je l'em... le père Boutillier et aussi le père Agnus; c'est lui qu
ûterai sur une pierre. Que feras-tu hors d'ici ? Le métier de mon père , charretier. Mais personne ne voudra de toi. Mais
(Renseignements fournis par la mère en juin 1885). Enfant naturel. Père environ trente ans, domesti- que chez l'oncle d
un peu nerveuse, mais n'a ni migraine ni attaques de nerfs, etc. [ Père , bien portant, excès de boisson ; il s'est remari
e cinquième s'est enfui du pays parce qu'il était maltraité par son père et sa grand'mère paternelle ; les deux autres s
en- fanas : Le premier est notre malade ; la seconde, d'un autre père , est morte on ne sait pas de quelle maladie ; ell
; elle aurait eu des convulsions. Notre malade. A la conception, père et mère bien portants. La mère pensait épouser
AUX... 160 MWHOCÉPHALIE; antécédents. Observation IV. Sommaire. Père accès de mélancolie ; suicidé, Grand- père pate
ervation IV. Sommaire. Père accès de mélancolie ; suicidé, Grand- père paternel mort aliéné. Antécédents maternels nuls.
0. Antécédents. (Renseignements fouruispvrsamèrele2Sjclill fSS9(. Père , commerçant, sobre, s'est suicidé à quarante-sept
; mais n'a pas été enfermé; pas d'aulnes manifestations nerveuses. [ Père , mort fou à Charentôn, à la suite de perles d'a
i de maladie de peau, ni de céphalalgies, etc. Mariée à seize ans. [ Père , mort à quarante-trois ans d'une maladie de foie;
s et leurs enfants. Pas de consanguinité. Différence d'âge entre le père et la mère, quatorze ans. Un seul enfant et deu
as montré d'émotion, quand, il y a trois mois, on lui a dit que son père était mort. Il a essayé plusieurs fois de se sa
elle suicidée. Tante aliénée.- Inégalité d'âge de sept ans entre le père et la mère. A l'entrée, Mazi... était complètem
t décédé le 5 octo- bre 1883. Renseignements fournis par sa mère. Père trente-trois ans, plumassier, grand, fort, bien
convulsions dans l'enfance sur lesquelles on n'a pas de détails. - [ Père , bien portant, sobre. Mère, morte à vingt trois
e syncopes. Formée à dix-huit ans. 'Mariée à dix-huit ans et demi. [ Père , bien portant, solide, sobre. Mère, bien portan
d' mère paternelle, morte très âgée d'usure » ; 13 enfants. Grand père paternel, forgeron, mort à soixante treize ans, o
renseigne- ments qui nous ont été donnés, tant sur antécédents du père et de la mère que sur la grossesse, de trouver
dilaté. OIIS. IV. PSEUDO-YOItENCPH : ILIE UNILATÉHALE. Sommaire. Père , suicidé. Grand'mère, hystérique. Mère, névralg
.Antécédents. (Renseignements fournis par la mère de l'en- fant). - Père , plombier, calme, sobre, s'est suicidé par pea2-
2- daison à cinquante-huit ans à la suite de mauvaises affaires. [ Père , mort du choléra. Mère, sujette jusqu'à la ménopa
rendu une môle, il y a deux ans et demi; maladive depuis deux ans. [ Père , quatre-vingt-quatre ans, sobre, encore très in
urait ou riait aux éclats. Le saisissement produit parla vue de son père aurait diminué l'intensité des accès. On attri-
d'idiots et d'imbéciles de Newcastle (N. S. W.) en avril 1888. Son père , irlandais, sobre, était laid, un peu courtaud
les particularités qui leur sont communes. Antécédents paternels. Père , 43 ans, occupant une bonne position sociale, c
diques de fièvre, revenant chaque année à l'époque des foins, Son père est mort à 72 ans d'une maladie de la vessie, S
de maladie sérieuse. Pas de détails sur ses 7 frères ou soeurs. Son père et un oncle étaient atteints d'épi- lepsie. Ses
onne le tableau de la taille de ses mala- des, prise en 1884 par le père et en 1889 par lui. 216 IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE.
is plusieurs années déjà il l'asile départemental de Mâcon. - Son père et sa mère sont morts, et il n'est visité pas auc
11 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
ont la musique fait ressembler les enfants à des petits anges. Le père ne veut pas que son fils dise : dada; la mère n'e
I. Vas... (Georges), cinq ans, habitant la com- mune de Pinthières. Père , grand, fort, physionomie régulière, intelligen
istence. Voici cette intéressante observa- tion. Observation III. Père alcoolique et grand-père violent. Oncles et tan
dans la famille paternelle, non plus dans la famille maternelle. Le père et la mère sont bien portants. La mère paraît e
pathique, mais elle est rhu- matisante et issue de rhumatisants. Le père , d'ailleurs bien portant, est un ivrogne endurc
une famille nombreuse : six frères, une strur, tous ivrognes. Leur père était également buveur. ' Nous avons constaté c
nt. Il ne faut retenir de cette histoire qu'une chose, c'est que le père est un ivrogne et qu'il entre en fureur quand i
porter un diagnostic exact. Voici son observation : Observation. Père , éléphantiads de la jambe gauche. - Saur hémipl
s l'avons examinée; elle ne mesurait pas un mètre de hau- teur. Son père a. souffert longtemps d'un éléphantiasis de la
utes ces observations, l'absence ou la présence de parenté entre le père et la mère des malades a tou- jours été exactem
aring..., Catherine. Hystérie. Parents : cousins issus de germains. Père alcoolique et colère. Début de la maladio à 3 a
21 1 2° Kesle... Epilepsie. Parents : cousins issus de germains. Père colère. Mère nerveuse. Début de la maladie à 40 a
3° Caille... Délire des persécutions. Parents : cousins germains. Père alcoolique et syphilis douteuse. Début de la ma
me. 4° Charin...Epilelsie et idiotie. Parents : cousins germains. Père arthritique. Mère migraineuse, nerveuse et impres
e (1). 5° Motte... Epilepsie tardive. Parents : cousins germains. Père sujet à de violents accès de colère. Début de la
symptomatique de nénizgo-ezcé- phalite. Parents : cousins germains. Père colère et désé- quilibré. Début congénital. I
ivantes, il existe des anté- cédents marqués, non seulement chez le père et la mère, mais aussi le plus souvent chez les
cas : 1° I'arr... Epilepsie. Parents : cousins issus de germains. Père apoplectique. Mère très nerveuse et colère. Grand
e à 10 ans. 2° lliontcout... Epilepsie. Parents : cousins germains. Père alcoolique et olie rhumatismale. Grand-père pat
4° Cousi..., L. Epilepsie. Consanguinité à un degré non indiqué. Père très nerveux et suicidé ( ? ). Début de la maladi
al. G Denoy... Epilepsie. Consanguinité à un degré non indi- qué. Père alcoolique migraineux et colère. Grand-père pater
it 4 ans. 7° Maupi... Manie. Parents : cousins issus de germains. Père aliéné. Grand'mère paternelle, démence précoce (6
de. 8° Doubl... Imbécillité. Parents : cousins issus de germains. Père colère et migraineux. Grand-père paternel alcooli
paternel alcoolique avec accès de delirium tremcns. Petit-cousin du père mort idiot à Bicêtre. Mère migraineuse. Grand -
ladie congénitale. 9° Eug... Epilepsie. Parents : cousins germains. Père rhu- matisant. Cousin germain du père, sourd-mu
. Parents : cousins germains. Père rhu- matisant. Cousin germain du père , sourd-muet. Grand'mère DE LA CONSANGUINITÉ. 23
ladie à 18 mois. 11° Brun... Epilepsie. Parents : cousins germains. Père colère. Grand-père paternel alcoolique et mort
ns. 12" Jacq... Epilepsie et idiotie. Parents : cousins germains. Père migraineux et impressionnable. Grand-père paterne
ébut congénital, 13" Thei... Epilepsie. Parents : cousins germains. Père , fièvre typhoïde et alcoolisme ; accidents sync
Père, fièvre typhoïde et alcoolisme ; accidents syncopaux. Grand- père paternel alcoolique. Mère, accidonts cérébraux à
ie à 8 mois. - [/10 Gordi... Epilcpsie. Parents : cousins germains. Père , convulsions. Mère, attaques d'hystérie. Grand'
e à 2 ou 3 mois. 15° Trib... Epilepsie. Parents : cousins germains. Père sa- turnin. Tante paternelle morte aliénée. Mèr
t congénital. - 160 Idiotie. Parents : cousins issus de germains. Père , enfant naturel. Oncle paternel imbécile. Mère, a
s. 17° Fargi... Epilepsie et idiotie. Parents : cousins germains. Père alcoolique et excentrique Mère, migraines, fièvre
symptomatique de mnizgo-encé2ha- lite. Parents : cousins germains. Père migraineux et nerveux, quelques excès alcooliqu
ie iL 14 mois. )9" Wath... Imbécillité. Parents : cousins germains. Père impaludique. Grand-père paternel apoplectique.
. Début congénital. 20° Bul... Idiotie. Parents : cousins germains. Père , ma- riage tardif, alcoolique et absinthique, s
... Imbécillité et excitation maniaque. Parents : cousins germains. Père arthritique, colère et très impression- nable.
ali... Epilepsie hémiplégique. Parents : cousins issus de germains. Père migraineux. Grand'mère paternelle nerveuse. Onc
matique de méningo-encépha- lite. Consanguinité, degré non indiqué. Père , caractère em- porté, tentatives de suicide. On
ns. 25° Duva... Imbécillité. Parents : cousins issus de germains. Père très alcoolique et migraineux. Mère nerveuse, acc
s. 26° Pigne... Méningite. Parents : cousins issus de ger- mains. Père , convulsions dans l'enfance. Grand-père /paternel
Dol... Epilepsie idiopathique. Parents : cousins issus de germains. Père eczémateux. Grand-père paternel arriéré. Grand-
Grand-père maternel alcoolique. Grand'tante (tante paternelle du père et cousine issue de germain) épileptique. Début d
otie symptomatique. Epilepsie. Parents : cousins issus de germains. Père alcoolique. Grand'mère et oncle paternels dartr
l'état mental du produit. C'est ainsi que nous avons relevé chez le père la colère, l'alcoolisme, l'a.rth·itisne, 1'ï«i)
ente le graphique du nommé Doud... Epilepsie 'idiopathique, 15 ans. Père , paludéen ; tante maternelle, épileptique; gran
ici l'histoire résumée : De Bus..., 24 ans, épilepsie idiopathique. Père , diabétique; mère, hystérique ; deux cousins ge
18 août 1883. Renseignements fournis par sa mère (22 août 1883). Père , 49 ans, tourneur en bois, grand, fort, bien port
régulier. » On ne sait s'il a eu des convulsions dans l'enfance. Père , anglais, cocher de maison, écrasé par sa voiture
dies de peau ; mariée à 22 ans ; aucune maladie depuis le mariage. [ Père , mort en 8 jours d'une affection cérébrale, à 7
de quoi. Ni aliénés, ni épileptiques, etc.] Pas de consanguinité. ( Père né à Bordeaux de parents anglais; mère, de Pari
Bicêtre (service de M. Boowewt). Renseignements fournis par samère. Père , trente-six ans, garde républicain, grand, fort
, 1888. O 6.) IMBÉCILLITÉ LÉGÈRE. accident nerveux; rhumatisant. [ Père , nombreux excès de bois- son, surtout d'absinth
s à des céplwl- algies. Pas de migraines,pas d'attaques nerveuses. [ Père , soixante- six ans, cultivateur, n'a jamais eu
e- ment). Cette femme a un fils jusqu'ici bien portant. Un grand- père serait devenu fou au dire de la mère de l'enfant.
LITÉ LÉGÈRE. n'a guère d'afléctioirque pour sa mère; il déteste son père qui bien des fois l'a corrigé. Ses accès de col
t séparés boulevard Sébastopol. Alors Court... serait allé chez son père qui l'aurait fait manger puis lui aurait intimé
7. Aujourdhui il avoue qu'il a menti, qu'il n'est pas allé chez son père , mais est revenu spontanément â l;ic8lre. INSTA
MENTALE. I.i ,"> que son fils n'a pu rester à la caserne où son père est maréchal des logis, parce qu'on l'en avait
mission que j'ai été chargé par elle de vous transmettre. Elle es- père que vous accepterez les propositions qu'elle vous
12 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
tion des IDIOTS. peu sensible, et si près de la normale, dit Séguin père , que des médecins compétents peuvent il peine é
t commissaire général de l'exposition de Tunisie. Il est ma- rié et père de deux enfants. Transporté il l'hôpital, les bal
ICÎ : TItE SERVICE DU Dr BOURNEVILLE (1880-1901.) Antécédents PÈRE : a profession; en cas de profession insalubre, y
aptitudes particulières. Ressemblance de l'enfant; tient-il plus du père que de la mère au point de vue physique et au p
me nerveux. Observation I. - Epilepsie symptomatique. Sommaire. - Père , excès de boissons. Oncle paternel, excès de bois
ts de méningite. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de cinq ans ( père plus âgé). Notre malade : première dent à sept
allée, en est sortie le 5 février 4901. Antécédents héréditaires. - Père : mort à trente-huit ans d'une hernie étranglée
èvre typhoïde. Il buvait beaucoup, mais n'était que rarement ivre. [ Père : pas de renseignements. Mère : soixante-quator
pas de migraines, ni de syphilis, ni alcoolisme, vive et emportée. [ Père : sobre, mort il cinquante-neuf ans. Mère : mor
e de la famille.] Pas de consanguife. Inégalité d'âge de cinq ans. ( Père plus âgé). Dix enfants : 4° garçon, dix-neuf an
bien détaché. Tronc bien conformé. Membres supérieurs et infé- ' Le père , comme nous l'avons dit, commettait de fréquents
quatre ans, ouvrier en vitraux, serait fils de sourds et muets, son père à partir de quatre ans, à la suite d'une chute,
hérédité est très peu chargée. Ce qui domine, c'est l'alcoolisme du père , qui parait s'être traduit chez ses enfants, pa
idiopathique ( ? ). Bromure DE CAUP11RIS. . Guérison. Sommaire. - Père , aucun accident nerveux, mort de tuberculose en
berculose. - Pas de consanguinité . - Inégalité d'âge de huit ans. ( Père plus âgé.) Conception, rien d'anormal. Grossess
Antécédents HÉRÉDITAIRES. {Renseignements fournis par sa mère). - Père , quarante-cinq ans, rhumatisant ; tourneur de sou
usd'alcool ni de tabac. Caractère vif. Marié à vingt-sept ans. - Le père de la malade est d'origine italienne, et on ne
evant l'oeil gauche..Ni rhumatisme, ni chorée, ni lièvre typhoïde. [ Père , mort à soixante-un ans, d'un refroidissement,
rabiques, etc.] Pas de consanguinité. Différence d'âge de huit ans ( père plus âgé). - Aucun indice de syphilis ni chez l
s personnels. - A la conception, rien de spécial si ce n'est que le père était déjà souffrant. - Grossesse dans des condi-
- Elle a eu trois vertiges le jour où elle a appris la mort de son père . 1900. Janvier. - Puberté. Même état des aissel
bservation III. - Imbécillité ET ÉPILEPSIE symptomatique. Sommaire. Père , enfant naturel, aucun accident syphilitique. C
tie morale ; légère arriération , , INTELLECTUELLE 1. Sommaire. - Père mort aliéné. 'Grand-oncle, grand'mère et grand'-
e, paresseux. Pas de cotzsangzczté. - Inégalité d'tîge de sept ans { père plus âgé). Conception, grossesse, accouchement,
'où il est sorti le 31 décembre 1897. - Antécédents héréditaires- - Père mort' à quarante ans d'une «paralysie au cervea
de cocaïnisme. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de sept ans ( père plus âge). Deux enfants : 1° un garçon de dix
équence de son état morbide. Bien qu'au moment de la conception, le père de l'enfant n'ait pas encore pré- senté de trou
servation IL - IDIOTIE morale. Ariération INTELLECTUELLE. Sommaire. Père , rhumatissant, déséquilibré. - Grand'père pater
lmique ( ? ). - Pas de con- sanguinité. - Inégalité d'âge de 6 ans ( père plus âgé). Conception, grossesse, accouchement,
» Kleptomanie. - Paresse. - Fugues. - Accusation de viol contre son père . - Description de la malade à l'entrée. - Détai
7 octobre 1882, est entré à la Fondation Vallée, le 17 août 1890. Père , cinquante-six ans, cordonnier. Pas de convulsion
ées dans le reste de la famille maternelle. Pas de consanguinité ( père savoyard, mère luxembourgeoise). - Inégalité d'
père savoyard, mère luxembourgeoise). - Inégalité d'âge de six ans ( père plus âgé). Deux enfants : 1° Notre malade. - 2°
un mois. Gâtisme jusqu'à six ans ; aurait été propre du jour où son père , pour la corriger, lui aurait mis le nez dans s
le, la rougeole et la scarlatine, mais sans aucune complication. Le père aurait cepen- dant remarqué que l'enfant marcha
n porte-monnaie contenant 20 francs, en dépense 2, et raconte à son père que son cousin, sa cousine, sa tante lui ont do
rs de comptes d'argent ; un jour, craignant d'être corrigée par son père , elle ne rentre pas, disant partout qu'on l'ava
issaire qu'on la battait chez elle. Elle ment sans cesse, dit à son père qu'elle va travailler et n'y va pas. Chez elle,
n'y va pas. Chez elle, elle brise tout, pour se venger, nous dit le père , des repro- ches et des corrections qu'elle enc
le encourait. Elle perd l'argent qu'on lui confie, parle mal de son père à tout le monde et finit par le dénoncer au com
ntredit dans ses réponses, le commissaire se méfie, fait appeler le père et le met en ici demeure de faire visiter sa fi
; mais peu affective ; ne témoigne pas sa sympathie ; parle de son père qu'elle semble aimer ; elle raisonne assez bien,
avec des détails, qui font supposer une réelle expérience, que son père avait des rapports avec elle depuis plus de tro
atouiller avec ». Après, avait lieu le nettoyage, pendant lequel le père faisait des menaces si elle s'avisait jamais de
he lequel des deux ment, il n'y avait pas de témoins ! » D'après le père , ces femmes qui l'auraient ainsi poussée à faire
un atelier où une apprentie avait la réputation de coucher avec son père . En janvier 1897, le caractère d'Albertine aprè
xions. I. Albertine est sous le coup d'une hérédité assez chargée : père à migraines violentes, accompagnées de vertiges
x-mêmes, et exagérations voulues dans le but de porter tort à son père . Le père avoue qu'il eut, une nuit d'hiver, l'imp
et exagérations voulues dans le but de porter tort à son père. Le père avoue qu'il eut, une nuit d'hiver, l'imprudence
échauffer. Peut-être y a-t-il eu d'autres imprudences, peut-être le père n'a pas eu devant sa fille, soit dans sa toilet
mensonge monstrueux peut s'expli- quer d'abord par l'imprudence du père , qui, comme cela se passe si souvent dans les m
d dire, entre autres choses, qu'une apprentie « couche » avec son père ; enfin par l'intervention de ces voisines, qui, i
e ces voisines, qui, ins- pirées par la haine qu'elles ont vouée au père , ont pu, volon- tairement ou non, suggérer l'id
s accès survenus pendant l'éruption ne semblent pas la modifier. Le père de l'une de nos malades, Cast..., nous a affirm
lutions du coin gauche ; -, Par BOURNEVILLE ET CROUZON. Sommaires Père : chorée à 13 ans, assez nerveux. - Grand-père
nel hydrocéphale. Pas de consanguinité. Inégalité d'aîge de 6 ans. ( Père plus âgé.) Gémellarité dans les deux familles.
Bicêtre le G juin 1887. Antécédents (Renseignements fournis par son père et sa mère les 17 et 20 juin 1887). Père, 37 an
eignements fournis par son père et sa mère les 17 et 20 juin 1887). Père , 37 ans, voyageur de com- merce (vins), grand,
de névralgies. Marié à 31 ans. Assez nerveux, mais non emporté. - [ Père , mort il 60 ans d'une congestion cérébrale, dan
de la poitrine (en 3 ou 4 ans), pas d'accidents nerveux. - Grand- père paternel mort à 70-72 ans d'un anévrysme ( ? ) da
ntelligente ; grande, châtaine. Pas de maladies depuis le mariage. [ Père , mort d'une affection du coeur à 58 ans, négoci
st mort en naissant, il avait la tète grosse « pleine d'eau » ; (le père de cet enfant avait épousé sa cousine germaine,
aternel a eu deux jumeaux mort nés.) Notre malade. A la conception, père et mère bien portants ; ils n'avaient pas encor
- Il reconnaît très bien sa bonne, reconnait un peu sa mère et son père et c'est tout. Il parait aimer la « musique dou
est assez chargée. D^u côté paternel, nous avons à relever, chez le père lui- même, un tempérament nerveux et la chorée
grand'mère, des attaques apoplectiques chez l'un des arrière-grands pères , l'hydrocéphalie chez un cousin. Mentionnons, e
ntale ; tuberculose, mort. Par BOURNEVILLE ET AMBARD. SOMMAIRE. - Père , convulsions de l'enfance ; quelques excès, de
enseignements fournis par la soeur de la malade et complétés par le père ). Père, 54 ans, marchand colporteur, a eu des c
ements fournis par la soeur de la malade et complétés par le père). Père , 54 ans, marchand colporteur, a eu des convulsi
se placer devant le feu et tout cela sans raisons (1). Famille du père . Son père est mort à 52 ans de bronchite chroni
r devant le feu et tout cela sans raisons (1). Famille du père. Son père est mort à 52 ans de bronchite chronique. - Sa
, elle ne se plaignait jamais de la tête. Famille de la mère. Son père et sa mère sont morts vieux ( ? ). On n'a pas d
dix-huit mois (mère plus âgée). 114 Folie DE l'adolescence. Le père a eu dix enfants : quatre d'un premier mariage,
sparut au bout de deux jours, une sorte de torpeur lui succéda. Son père l'emmena avec lui à Besan- çon. C'est avec la p
ses soeurs. A leur arrivée à Besançon, au grand étonnement de son père , l'enfant était absolument dans son état normal.
vec ses compagnes, elle aime beaucoup ses soeurs, ses frères, son père ; elle parle souvent d'eux et manifeste le désir
ous de tout le monde, je suis riche ! Vous n'avez qu'iL trouver mon père à son bureau, il vous donnera 500.000 francs !
peut pour se rendre utile et faire plaisir à tous. La mort de son père , survenue en octobre, l'a beaucoup affectée mais
extrémité postérieure qui n'est pas bifurquée. Réflexions. T. Le père de notre malade a eu des convulsions de l'enfan
L Idiotie du type mongolien ; i' PAR BOURNEVILLE. v SOMMAIRE. - Père et sa famille, rien de particulier, sauf f un o
dans le service le 18 février 1901. Renseignements fournis par son père et sa mère le 23 février 1901. Antécédents héré
r son père et sa mère le 23 février 1901. Antécédents héréditaires. Père , 45 ans, jar- dinier, sobre, aucun indice de sy
ttribuée au froid (purgatif, sang- sues), guérie en 48 heures. [Son père , 67 ans,- sobre, est en bonne santé.- Sa mère e
e ou rougeatre, étourdissements, nausées sans vomis- sements, etc. [ Père , maçon, sobre, tué en tombant d'un écha- faudag
ls morts très vieux, ainsi que la grand' mère maternelle.- Grand- père maternel mort subitement d'apoplexie.- Sa mère a
phalie des deux hémisphères ; Par BOURNEVILLE ET MOREL. Sommaire. Père , déserteur, envoyé aux Cies de discipline, . di
. Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par la mère). - Père , 39 ans, employé de commerce. N'a jamais 's été
lorsqu'elle alla en Afrique présenter sa demande en divorce. [Son père est mort il 63 ans, depuis le divorce, on ne sait
Caractère doux. Sobre, elle boit habituellement de la bière. [Son père , est mortà.61 ans, en novembre 1901, d'une tumeur
lles. Pas de consanguinité. - Différence d'âge de près de 10 ans ( père plus âgé). Enfants : un seul, notre malade. Pas
fausses couches. Conception. A eu lieu après un mois de mariage. Le père n'était pas ivre : « quand il avait bu il était
cide d'un grand'oncle. II. La conception de l'enfant, bien que le père fut alcoolique, n'aurait pas eu lieu dans l'ivr
13 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
n, un peu incomplète, nous rele- vons les particularités ci-après : Père migraineux ; grand père paternel excès de boiss
rele- vons les particularités ci-après : Père migraineux ; grand père paternel excès de boisson; mère, d'un caractère
autres cas, l'ait par MM. les Drs Philippe et Oberthur. Sommaire. Père , convulsions de l'enfance, caractère . emporté;
'J5 ans. Mère lymphatique, morte d'une attaque d'apoplexie. Grand père maternel, excès de boisson, mort de tuberculose.
r la seconde fois lé 26 juin 1900.. Renseignements fournis par le père (janvier 1895) et la grand'mé1'e de l'enfant (j
in 1902). Antécédents héréditaires. = Antécédents héréditaires. 5 Père , 45 ans, marinier, a eu de 8 mois à 2 ans une vin
t, excès de bois- sons (absinthe); caractère emporté. - [Famille du père : Père, rhumatisant, nombreux excès de boissons
s de bois- sons (absinthe); caractère emporté. - [Famille du père : Père , rhumatisant, nombreux excès de boissons, mort
e, eut des convulsions et mourut en 7 heures. [Famille DE la mère : Père , excès de boissons, mort vers 40 ans de tubercu
re de Nogent-sur-Scine, mère de Paris). - Inégalité d'âge de 3 ans, père plus âgé. 4 enfants : 1° 6 G ans (en 1895), int
rieure de la tète. 3-9 avril. Revaccinée sans résultat. 2G mm. Le père étant marinier, n'a pas de domicile fixe : l'un
reau. Le département de Seine- et-Marne a demandé son transfert, le père s'y refusant, on signe la sortie. - Depuis so
s et plisse son front, ce qu'elle ne faisait pas au- trefois. Son père s'est remarié avec la soeur de sa première femme.
: Type mongolien ; Par BOURNEVILLE ET J. DOYEn. rS'0\IrtAIIiC. - Père , rhumatisant, très emporté. Grand'père - patern
e dans, les rapports sexuels, acceptant malles grossesses. Grand- père maternel phtisique. Grand'mère maternelle, mort
ue le 2 juin 1898, sortie le 31 mai 1901. Antécédents héréditaires. Père , 47 ans, pas d'accidents nerveux graves; mais t
'est dans ma famille. » Pas de dartres, pas d'accidents vénériens. [ Père , mort d'un coup d'apoplexie, à 65 ans, sobre. M
rnité. Malgré cela, excellente femme, travailleuse, « coeur d'or», [ Père , mort poitrinaire à 39 ans. Mère, morte à G3 an
es dents ont paru les premières, les incisives, les dernières. (Son père a eu sa pre- mière dent à 8 mois). Dentition co
le buste est resté enfant », dit 32 Imbécillité mongolienne. son père . Le thorax tranche avec les membres qui sont dé
susceptibles d'être amendés (1). (1) Lois de sa dernière visite le père nous a rappelé qu'un jour, avant l'en- trée à l
ppendice anormal ; - "PAR BOURNEVILLE. ETL. E. MOREL. SOMMAIRE. - Père , nerveux, emporté, alcoolique, mort à 46 ails d
n ' de spécial sur le teste de la famille, l'as de consanguinité. Père deux ans de plus que la mère. - Conception prob
de plus que la mère. - Conception probablement pendant l'ivresse du père . Gros- , sesse normale, rien à signaler. - Acco
, , Renseignements fournis par la mère. Antécédents héréditaires. PÈRE mort à 46 ans d'une maladie du foie. Antécédent
ladie du foie. Il n'a jamais eu de migraine, ni de convulsions. Son père , est mort à 40 ans, on ne sait de quoi : les re
a toujours été nerveuse. Pas de céphalagie, ni de migraines. Son père , qui était sobre, s'est tué accidentellement dans
fants qui n'ont jamais eu de convulsions. Pas de consanguinité ; le père avait deux ans de plus que la mère. Douze enf
nels. Conception. La mère était en par- faite santé; par contre, le père s'adonnait à la boisson et la mère (. croit que
ption a eu lieu pendant l'ivresse du 38 ' Antécédents personnels. père ". La grossesse fut bonne au début; ni coups, ni c
soit un total de 2.846. Le tableau suivant résumé la situation des pères et mères de tous ces enfants sous le .rapport d
de l'insula) ; - - ? PAH : BOURNErILLE m LE11A11tE. Sommaire. - Père , syndactylie^ - Grand-père paternel, '- alcooli
éréditaires. [Renseignements fournis le 17 avril 1901 par sa mère). Père , ? 8 ans, rabatteur en fer, tra- vaille dans un
me, boit un litre de vin par jour. Caractère doux et affectueux. Le père est syndac- tyle : il a les 2c et 3° orteils de
n ne peut les écarter. Il n'y aurait pas de palmature. Famille du père . Père, mort à 91 ans, éthylisme (eau de vie). A
eut les écarter. Il n'y aurait pas de palmature. Famille du père. Père , mort à 91 ans, éthylisme (eau de vie). Aucun a
vement brusque du bras gauche. Caractère calme, sobre. Elle a eu le père du petit malade alors qu'elle était déjà un peu
s et n'ont jamais eu de convulsions. Dans le reste de la famille du père , on ne signale aucune autre tare morale, intell
migraines. Caractère doux, excellent ménage. Famille de la mère. Père , 70 ans, bien portant, pas d'é- thylisme, genu-
is à côté de lui. Sentiments affectifs : nuls. Ne reconnaît pas son père . Sa mère dit que son enfant la reconnaissait. I
égion lombaire est excavée. (Comp/I'-rendu de 1889, p. G9.) 8° Le père d'une myxoedémateusc espagnole nous signale qu'
ples de myxoedème infantile que l'on puisse rencontrer. Sommaire. Père tuberculeux ( ? ). Oncle maternel para- lysé, a
casse, les renseigne- ments suivants sur sa famille. Antécédents. Père , ouvrier dans une fabrique de toile, sujet iL d
H Idiotie myxoedémateuse. blcment une hémoptysie), en deux heures. [ Père , mort vers quatre-vingts ans. Mère, pas de rens
it d'une taille moyenne, forte, brune et d'un caractère très doux. [ Père et mère, aucun ren- seignement. Un frère, mort
me. Elle a eu une fièvre typhoïde à deux ans, en même temps que son père et trois de ses frères ou soeurs. Jusqu'à vingt
on obtient de très sérieux résultats. Sommaire. - Enfant naturel. - Père , rien à noter. - Renseigne- ments nuls sur sa f
héréditaires. - Renseignements fournis par la mère le a mai 1890. - Père : quarante-cinq ans, typographe, toujours en bo
s de signes de syphilis. Intelligence moyenne. Famille DE la sikre. Père , sobre, mort d'une paralysie au cer- veau ( ? )
Pas de consanguinité. 12 ans de différence d'âge entre les parents ( père plus âgé). Quatre enfants : 1° Garçon mort du c
nfantilisme. RÉFLEXIONS. -1. Nous n'avons,rien à relever du côté du père , enfant naturel, dont la famille est inconnue.
elle- ment sa place dans une discussion sur les tics. Sommaire. - Père rhumatisant. Grand'mère paternelle, hémiplégie
à la Fondation Vallée le il mai 1900. Antécédents héréditaires. - PÈRE , trente-huit ans, voyageur de commerce à l'étra
bien portante : ni l'une ni l'autre n'ont eu de convulsions.- [Son père , âgé de quatre-vingt-deux ans, sobre, est en bonn
é. Elle a succombé le 8 mai dernier à une attaque d'apoplexie. [Son père , alcoolique, est mort à soixante-dix- huit ans,
Conception dans des conditions normales, mais nous rappelons que le père avait onze ans de moins que sa maîtresse. Gross
oolisme, la tuberculose, enfin l'inégalité d'âge con- sidérable des père et mère, celle-ci ayant près de douze ans 'de p
opathique, guérison; Par BOURSE VILLE et Max BLUMEKFELD SOMMAinE. Père : caractère emporté; rien de particulier. G1'an
alique, ni de migraines ; caractère emporté, très vif. Famille du père : Père, rhumatisant, Age de 5U ans, ne boit pas
ni de migraines ; caractère emporté, très vif. Famille du père : Père , rhumatisant, Age de 5U ans, ne boit pas, aucun
oïde. Elle a eu 13 enfants et a fait deux fausses couches. Grand- père paternel ? . Grand'mère paternelle, morte à 85 an
les règles. Sobre, caractère nerveux, emporté. Famille de la mère : Père , vivant, sobre, serait sujet à des migraines et
et oncle était le frère de ma. mère et avait épousé la sceur de mon père , ils ont eu deux enfants, un garçon marié. Peur
riminels, etc.. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 18 mois ( père plus âgé). Cinq enfants : 1 notre malade ; 2"
truit, i eu des prix de dessin, d'écriture. Ressemblance avec son père et davantage à un oncle pater- el ; son caractè
et davantage à un oncle pater- el ; son caractère tient de celui du père . Pas de maladies infectieuses, sauf les oreillo
était pas chez son grand-père, il s'est imaginé que 'était chez son père . Le lendemain on s'est aperçu qu'il fixait . ta
té. Mme V... (Léonie), âgée cle 20 ans, née à Paris ainsi que son père , bien constituée, s'est mariée à 1 i ans. Elle
te très profonde au menton. Elle prétend qiil en est de même de son père et même de sa mère. Seul de ses parents son grand
même de son père et même de sa mère. Seul de ses parents son grand- père paternel, qni n'avait pas la mèche, était rhumati
e la jeune fille dont nous allons relater l'histoire. SOMMAIRE. - Père très impressionnable, instabilité mentale passa
'indignité, refus d'aliments. Insomnie. » Antécédents héréditaires. Père , 47 ans, employé d'une administration publique,
d'indice de syphilis. Caractère plutôt égal et doux. Sa famille : Père et mère, rien à signaler. Demi-soeur paternelle
raissent normaux. Pas de con- sanguinité. Inégalité d'âge de G ans ( père plus âgé). Deux enfants : 1° un fils de 21 ans,
tion continue. R.. est allée le 28 se promener il Robinson avec son père , sa mère et son frère. Le soir elle a raconté s
nts desservent les tables, il n'y a que moi qui reste assise. » Son père étant venu la visiter, elle lui a dit qu'elle n
nsuflisants. Nous avons à relever cependant l'état névropathique du père , qui (1) Depuis son entrée le 4 mars jusqu'au 1
emple d'autophagie que nous ayions rencontré jusqu'ici. Sommaire. Père , caractère vif, sobre. Grand-père pater- nel, a
rnelle, morte aliénée. Consanguinité. - Inégalité d'âge de 6 ans ( père plus âgé). Conception, grossesse, accouchement,
1895. Antécédents. (Renseignements fournis par sa mère en 1895J. Père , 31 ans, cocher; marié à 25 ans, réformé pour rhu
gies à partir de 10 ans. Très sobre, mais caractère vif, coléreux. [ Père , mort à 53 ans de pneumonie, très nerveux, alco
i syphilis, ni dartres, morte de tuberculose pulmo- naire en 1898. [ Père , mort à 38 ans de tuberculose pulmo- il souffra
e de la famille]. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 6 ans ( Père plus âgé). 208 Antécédents personnels. Notr
loppée. Il n'est jamais allé à l'école. Il ressemblerait surtout au père . La famille ne connait aucune cause défi- nie à
rache les cheveux, s'égra- tigne les oreilles ; il ne cède qu'à son père qui paraît avoir une grande autorité sur lui.
odique, et dont nous avons pu faire l'autopsie (1). SostrtAlns. - Père et mère bien portants, non alcooliques; non syp
tiques ; aucune tare nerveuse. - Une cousine germaine maternelle du père a été hémiplégique. - Une cousine éloignée pate
r 1886, p. 3), etc. 23n Affection familiale. nel et par la mère). Père , 43 ans, fait le commerce de volailles, beurre
s eu de convulsions; marié à 23 ans ; pas d'indices de syphilis. - [ Père , mort à 71 ans, subitement d'une maladie de coe
ucation, a obtenu son certificat d'études, s'est mariée a 18 ans. [ Père , celui qui nous ren- seigne, âgé de 67 ans, bie
de consanguinité. Différence d'âge de 5 ans entre les deux époux. ( Père plus âgé.) Sept enfants et trois fausses couche
nts quittant tout le monde pour caresser sa mère et surtout son père . Mâche assez bien. Bon appétit; mange de tout
14 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
s à Saint-Louis (il y a 5 ans) ; il était quelque peu rhumatisant. [ Père , cultivateur, bien portant, ainsi que la mère e
ssionnable, mais n'a jamais eu d'attaques de nerfs ni de svncones. \ Père . marchand de vins, sobre, bien portant ; mère.
du choléra, en 18G;) ; une soeur bien portante a épousérü' frère du père de notre malade et est la mère des quatre/en^ f
grossesse, sa mère s'est heauc y-' fatiguée ; elle servait chez son père ; elle pense qu'il est ne 8 mois à peine (8 moi
is il se touche derrière le monde. A trois ans, étant auprès de son père , il a eu sans cause connue un premier accès ; l
pter ; il faisait quelques commissions ; il est affectueux pour son père et sa mère. Depuis six mois, l'intelligence n'a
21 mars 1882. Renseignements fournis par sa mère (17 mars 4882). - Père ; 65 ans, forgeron, a quitté sa femme, il y a h
té soldat, on ne croit pas qu'il ait eu de maladies vénériennes. [ Père mort à 76 ans ; - mère morte à 40 ans ; « de chag
lques-unes ; elles ont disparu vers 30 ans; pas d'autres maladies. [ Père mort à 87 ans d'une ma- ladie de l'estomac,sobr
M. Bourneville). Renseignements fournis par sa mère (15 mars 1880.) Père , sous- brigadier à la Préfecture de Police, mor
eu d'être appelé au dehors pour son service, il restait au bureau. [ Père , cordonnier, mort à 60 ans d'un catharre pulmon
is n'a jamais eu d'attaques de nerfs, de syncopes ou de migraines. [ Père , menuisier, sobre, mort empoisonné accidentelle
NT HYDROTHÉRAPIQUE. Accès surtout nocturnes. - Cousine germaine (du père ) épileptique. - Amélioration. Délai..., Edoua
vulsions fréquentes de six mois à un an. - Début à un an. - Aura. - Père alcoolique. - Soeur aliénée ? Amélioration asse
- Début à 12 ans. - Affaiblissement des facultés intellectuelles. - Père alcoolique. - Soeur épileptique. - Amélioration
ns. - Affaiblissement des facultés intellectuelles. - Onanis- me. - Père alcoolique. - Amélioration légère pendant le trai
ovembre 1882. Renseignements fournis par sa mère (31 mai 1881). - Père , 40 ans, ouvrier portemonnaietier, d'habitude b
; il buvait, proférait des menaces et ne voulait pas tra- vailler. [ Père , marchandeur à la ferraille, mère, blanchisseuse,
une de ses deux premières grossesses. - Pas de grandes maladies. - [ Père , émailleur, mort à 50 ans, d'une maladie de poi
s; - mère; bro- deuse morte à 50 ans d'un asthme, peu nerveuse, son père est mort de paralysie, en un jour; sa mère est
la mettre à la porte.) Notre malade. Au moment do la conception, le père n'était pas ivre ; comme ils n'étaient pas mari
il avait été vacciné) ; pas d'autres maladies. - Vers trois ans son père l'aurait enivré ; il aurait eu la nuit suivante
aient plus mar- quées à gauche qu'à droite; à 3 ans 1/2 : peur; son père ivre en tapant sur une table aurait renversé du
ations. 47 obstiné, il était taquin et un peu en dessous, comme son père . A 12 ans étant il l'hippodrome, il eut peur et
ations. 49 changement ; un peu colérique, se bat assez souvent. Son père est venu le voir 3 ou 4 fois; au dire de la mèr
Observation XXV. Epilepsie idiopathique. Onanisme. - Début à 9 ans. Père et « . mère morts phthisiques. - Légère amélior
ans. - Stupeur. - Affaiblisse- ment des facultés intellectuelles. - Père alcoolique. - Mère migraineuse. - Crises nerveu
1880 (service de M. BOURNI;VILLE). Renseignements fournis par son père (19 août 1880.) - Père, 44 ans, brunisseur sur
OURNI;VILLE). Renseignements fournis par son père (19 août 1880.) - Père , 44 ans, brunisseur sur métaux, n'a pas de trem
raines, ni maladies vénériennes et ne fait pas d'excès de boisson. [ Père , couvreur en paille, mort à 67 ans, on ne sait
graines, elle n'a eu ni maladies de peau, ni maladies vénériennes. [ Père : pas de renseignements. - Mère morte à 71 ans,
s dans un jour. - Avant d'entrer ici, il est resté un mois chez son père ; dans ce mois il eut des accès quotidiens sans un
durée 5, 6, 7 minutes; Dog..., paraît avoir une aura ; d'après son père , « quand il a le temps de prendre son mouchoir et
oujours la même, et Dog ? ne serait pas devenu plus irascible. Le père répète qu'il ne sait à quelle cause attribuer la
déclare aussi l'ignorer ; il aurait reçu quelques soufllets de son père ; sa mère le battait souvent (coups de poings, g
Antécédents (Renseignements fournis par la mère, 28 février IF82). Père , 30 ans, journalier chez un emballeur; idiotie
très peu. Assez nerveux; pas d'attaques. Marié à vingt-trois ans. [ Père , soixante-quatre ans, Mère, soixante- et-un ans
'étranglement à la gorge. Pas de convulsions, pas de dartres, etc. [ Père , 54 ans ; -Mère, 56 ans, fileurs de soie, bien
ennes (exostoses) et récentes {fracture du crâne). Observation. - Père alcoolique, mort d'un coup de sang. - Grand'mèr
bre 1880. Renseignements fournis par sa mère (15 février 1881). - Père menuisier, mort en 1862 à 55 ans « d'un coup de
syphilis; sujet à quelques douleurs de tête; pas de rhu- matisme. [ Père , menuisier, mort on ne sait de quoi, à 72 ans :
ur), plus fortes depuis qu'elle n'est plus réglée. Pas de dartres. [ Père et mère inconnus; est enfant de l'hospice]. P
- A l'époque de la conception, comme nous l'avons dit plus haut, le père du malade faisait déjà des excès de boisson. On
us semble présenter plusieurs points intéressants. Observation. - Père alcoolique. - Mère cancéreuse. Frère peu intell
E. 123 Renseignements fournis par le malade (le, février 1881). - Père mort « d'une colique » en une journée, à 30 ans
i- que n'ayant pas d'attaques de nerfs ; pas d'excès de boisson. [ Père , pas de détails. - Mère morte il y a 6 ans, on
ent chez les jeunes filles l'éclosion de l'hystérie : alcoolisme du père , aban- don ou défaut de surveillance de l'enfan
1875 (service de M. BOURNI;VILLE. Renseignements fournis par son père et sa mère (25 avril 1882.) - Père, 39 ans. ser
Renseignements fournis par son père et sa mère (25 avril 1882.) - Père , 39 ans. serrurier, ne fait pas d'excès de bois
s d'excès de boisson; pas de dermatoses ni d'affections nerveuses. [ Père , tué dans une carrière, alcoolique; - mère, bla
en- taires ; érysipèle ; ne croit pas avoir eu de convulsions. - [ Père , 76 ans, maçon, fait quelques excès alcooliques.
a maison; les facultés intellectuelles ont notablement baissé. Le père et la mère prétendent que, depuis un an, la mé-
. Observation IL Epilepsie idiopathique. - Excitation maniaque. - Père alcoolique. - Cousine épileptique. - Cauchemars
écédents. (Renseignements fournis par sa mère, 10 novembre 1881.) - Père , 59 ans, terrassier, n'a jamais été malade,sauf
ie. - Ni dermatoses, ni traces de maladies vénériennes ; fumeur. [ Père et mère morts on ne sait de quoi ; une soeur, m
ni attaques de nerfs, ni convulsions, etc.; n'a jamais été malade. [ Père , mineur, mort à la Pitié il y a plus de 30 ans
. Ces cauchemars existaient depuis 3 semaines, quand, une nuit, son père étant rentré ivre, furieux, l'enfant, réveillé
15 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
notre malheureux ami. Bricon est né à Paris, le 1 ? août 1848. Son père , n'écoutant que ses propres préférences, voulut
bien portant, sobre, pas d'acci- dents nerveux, aucune maladie. Son père , mort subitement d'une hernie étranglée à 84 an
e migraines, mais douleurs de tête jusqu'à la ménopause (32 ans). - Père mort d'apoplexie à 52 ans. Mère morte d'une flu
n'y a pas de jumeaux du côté maternel, mais une cousine germaine du père du malade a eu deux jumeaux. (i l'HI : R : 1 f'
p polybromuré. 1888. Nouvelles séries d'accès, lesquels, au dire du père seraient ramenés par les douches. 1889. janvi
BROMURE D'OR. 17 OBSERVATION VI Epilepsie partielle gauche. - Père , sciatique : excès de bois- son avec crises ner
BSERVATION XI Epilepsie et imbécillité prononcée, symptomatiques. - Père peu intelligent, alcoolique, violent; attaques
ignements fournis par sa mère et sa tante, le 23 sep- tembre 1883. - Père , 40 ans, scieur delong, d'une intelligence au-d
ois d'aliénation. Excès de boissons habituels. Colères violentes. - Père , boulanger, bien por- tant, 72 ans. - [Mère mor
ée à sept ans pendant un an puis réglée définitivement à 12 ans. - [ Père , entrepreneur, puis homme de peine, sobre, mort
le suivante : -. 3 4 THÉRAPEUTIQUE. Frayeur occasionnée par son père qui le battait. Premiers accès à 10 ans à la la
t 1887. Renseignements fournis par la mère (24 septembre 1887). - Père mort à 38 ans de tuberculose pulmonaire ; employé
d'accidents nerveux, ni de rhumatisme, ni de maladie de peau. - [ Père , 73 ans, a eu dernièrement une attaque de paral
'école, était intelligent, apprenait bien. A la maison, lorsque son père avait bu, il le battait beaucoup et l'enfant av
accès s'est montré à 10 ans, un soir, après avoir été battu par son père . A l'origine, il ne perdait pas tout à fait con-
resté 18 mois sans accès. Ils reparu- rent en 1883 à la mort de son père , dont il fut témoin et qui l'impressionna vivem
aissés par rapport à 1887. OBSERVATION XV Epilepsie idiopathique. Père : excès de boisson. - Grand- père maternel mort
TION XV Epilepsie idiopathique. Père : excès de boisson. - Grand- père maternel mort de délire aigu.- Grand'mère materne
ie idiopathique. - Grand'mère paralytique. - Grand-père paternel et père suicidés. Oncle paternel aliéné. - Cousine pate
'une semblable maladie dans la famille, de l'un et l'autre côté. Le père est un artisan dans une situation confortable.
e 4 ans, atteinte de cré- tinismo sporadique, née à Birmingham. Son père , homme rangé, est mort d'une inflammation des p
ion fran- çaise pour l'avancement des sciences. Observation IV. - Père , fièvres intermittentes. - Grand- père paternel
ciences. Observation IV. - Père, fièvres intermittentes. - Grand- père paternel apoplectique. - Grand'mère maternelle, e
décembre 1875. Renseignements fournis par sa mère. (Juin 1887.) - Père de 52 ans, menuisier ébéniste, assez grand et for
ouffert jusqu'à 50 ans. Il est mort en 1888 d'un cancer du larynx. [ Père , fossoyeur, sobre, mort d'une atta- que d'apopl
aucun accident nerveux, che- veux blonds un peu roux, nez aquilin. [ Père , couvreur, sobre, mort d'une attaque d'apoplexi
it de quoi. Deux tantes maternelles mortes ; l'une était la mère du père de la malade. - 3 frères, deux sont morts jeune
utres aliénés, etc., dans la famille.] Consanguinité : La mère du père et celle de la mère de la malade étaient les de
à une époque assez éloignée d'un accès de fièvre inter- mittente du père . - Grossesse bonne, sauf une chute avec contusi
i- diennes ; pas de vers, pas d'hémorrhoïdes. La mastication s'o- père convenablement... 1888, 20 août L'état général
e myxoedémateuse. Y... X...'de B... (Espagne), est âgée de ans. - Père , 33 ans, négociant, assez grand, jouit d'une bo
eu à 18 ans des fine- vres intermittentes qui ont duré'cinq jours. [ Père , 70 ans, opéré autrefois par Ricord d'un calcul
plutôt petite, est ordinairement en bonne santé, quoique anémique. [ Père , grand, bien constitué, lym- phatique. Mère, mo
é rédigée d'après les notes très bien prises que nous a remises son père et d'après les renseignements complémentaires q
ômes qui caractérisent l'idiotie myxoeclémateuse. Observation VI. - Père mort tuberculeux. Grand-père paternel excès de
décembre 1887. Renseignements fournis par sa mère (16 décembre z Père , 32 ans, garçon de café depuis l'âge de 13 ans. n
gné à l'hôpital Lariboisière pour une bronchite tuberculeuse p). [ Père , cultivateur, mort étouffé sous un sac de blé, ét
une contrariété. Tempérament très nerveux, caractère changeant. - [ Père , charron, excès de boisson, mort en 1870, à 43
qu'à 47 ans. - Grands parents paternels, pas de détails. - Grand- père maternel, mort à 65 ans d'une paralysie du côté d
atteinte, elle aussi, d'idiotie myxoedémateuse. Observation VII. - Père tuberculeux au moment de la conception. - Perte
t est la soeur du malade précédent. A l'époque de la conception, le père était déjà sous le coup de la tuber- culose pul
les parents ont les cheveux bruns ou blonds. Observation VIII. - Père , fièvres intermittentes, paraly- tique général.
oplectique. - Oncle paternel migraineux ; mère nerveuse. - Grand- père paternel mort de tuberculose. - Grand'mère matern
re maternelle hémiplégique. - Arrière-grand-père maternel aliéné. Père au début de sa paralysie générale à l'époque de l
vril 1889 (24 mars 1889) (1). Renseignements fournis par sa mère. - Père , 44 ans, ser- gent de ville, est depuis trois m
aractérisés depuis son mariage jusque dans ces dernières années. - [ Père , sobre, mort d'une attaque d'apoplexie, en 8 jo
âchoire supérieure. Dents mal implantées ; oreilles mal ourlées. - [ Père , sobre, mort à 27 ans de tuber- culose. - Mère
, mi- graineuse, morte à 81 ans, d'un cancer de la face. - Grand- père maternel mort aliéné à 72 ans. - Grand' mère mate
MYXOEDÉMATEUSE. 89 Notre malade. - A l'époque de la conception, le père , as- sure-t-on, ne présentait aucun indice de t
ès épaisse, que la malade laisse voir entre les arcades den- (1) Le père a le nez aquilin et les cheveux très bruns et trè
bservations et encore dans l'une d'elles il n'existait pas chez les père et mère, mais chez les 2 grand'- mères. La tu
e paraît jouer un rôle im- portant. Nous l'avons rencontrée chez le père , la mère, une soeur et une tante du malade de 1
t une tante du malade de 1'OBSERVATION X (le`' mémoire) ; - chez le père de deux autres (OBs. VI et VII ci-dessus) ; - c
oncles ma- ternels (Cas. V ci-dessus) ; chez 1 bisaïeul, 1 grand- père et plusieurs oncles ou tantes maternels (Of3s. VI
s). - Le cancer est cité chez les ascendants de 4 malades, etc. Les pères de 3 autres (OBS. IV, V et VIII ci-dessus) ont
VI du 1er mé- moire) ; celle d'un éléphantiasis delà jambe chez le père d'une autre malade(OBS. IV du2" mém.). Quant au
moelle. Pruvo..., 1877-1885. Idiotie complète, excès de boisson du père , mère nerveuse, quatre frères et soeurs mortes
1' : \TIUN VI. - Assas..., 1870-1884. Idiotie congénitale complète. Père alcoolique, balancement antéro-laléral, grince-
qu'ils ont pu être suivis durant plusieurs années. Observation I. Père nerveux, szijets à des névralgies de la face. -
onvulsions dans l'enfance. Jamais d'excès de boisson, ne fume pas. [ Père , rentier, sobre, mort vers soixante-dix ans, on n
n château. A eu son enfant vers trente ans alors que son maître, le père , en avait cinquante-cinq. On ne sait de quoi elle
ns. Aucune mala- die, sauf des accidents suite de fausses couches. [ Père , disparu eu 1870, boulanger ; nombreux excès de
ésenter rien de particulier. Le soir, ne le voyant pas rentrer, son père va à l'atelier. On ne l'y avait pas vu. On fait
d'attirer sérieusement l'attention de nos lecteurs. Observation. - Père tuberculeux ( ? ). - Oncle maternel paralysé, a
casse, les renseignements suivants sur sa famille. Antécédents. - Père , ouvrier dans une fabrique de toile, sujet à de
d'une hémorrhagie (probablement une hémop- tysie), en deux heures. [ Père mort vers quatre-vingts ans. - Mère, pas de ren
d'une taille moyenne, forte, brune et d'un carac- tère très doux. [ Père et mère, aucun renseignement. Un frère, mort à
ATEDSE. a eu une fièvre typhoïde à-deux ans, en même temps que son. père et trois de ses frères ou soeurs. Jusqu'à vingt
lrologie. Rappelons seulement l'existence de la tuberculose chez le père de Deb., un frère et une soeur. II. Dans ce c
16 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
èves de leur famille et leur présentons successive- ment les mots : père , mère, frère. Enfin viennent les animaux domest
INATE DE SODIUM. 7 OBS. II. - Épilepsie symptomatique. So)t[AtnE. Père , quelques excès de boisson, caractère emporté.
cès et 2 vertiges. OBS. III. -Épilepsie idiopathique. Sommaire. - Père rhumatisant, coxalgie de l'enfance. - Grand-pèr
es. 16 Epilepsie. Ons. Vf. Epilepsie symptomatique. Sommaire. - Père rhumatisant. Oncle paternel alcoolique. - Grand
Ous. VII. - Imbécillité et Épilepsie symptomatiques. Sommaire. - Père , strabisme. - Grand'mère paternelle très ^nerve
lle très ^nerveuse. - Grand-oncle, paternel alcoolique. - Grand : père maternel alcoolique, emporté. - Arrière-grand' mè
- Idiotie, épilepsie et hémiplégie droite symptomatiques. SoMMA]HE. Père mort tuberculeux. Grand-père paternel alcooliqu
llité, hémiplégie droite et épilepsie symptomati- ques. SOMMAIRE. Père : rhumatismes, migraines, névralgies. Grand'mèr
e qu'en 1897 et 1899. Ons, XI. Épilepsie symptomatique. Sommaire. Père migraineux, caractère emporté. Grand'mère pater
. 28 . Épilepsie. OBs. XII. - Épilepsie idiopathique. SoMMAjRE. Père très nerveux, sujet aux migraines et aux névral
es ni attaques. Oss. XIII. - Épilepsie héréditaire. - SOMMAIRE. - Père , rien de particulier. - Grand'mère pater- nelle
paternels alcooliques. - Tante paternelle migraineuse. - Cousine du père épi- leptique. - Mère- épileptique. Grand'mère
IPieiz de particulier dans les antécédents : dif- férence d'âge du père et de la mère treize ans. - Convul- sions Ù qua
. Résultat négatif.; OBs. XVL Epilepsie idiopathique. Sommaire. - Père , convulsions. Grand-père paternel mort paralysé
ges. 36 Épilepsie.... "0115. Epilepsie symptomatique. Sommaire. Père , quelques excès de boisson. Grands pères patern
symptomatique. Sommaire. Père, quelques excès de boisson. Grands pères paternel et maternel, alcooliques. - Un arrière
llité, hémiplégie gauche et épilepsie symptoma- tiques. Sommaire. Père , savoyard, goitreux. - Grand-père paternel goit
llité, hémiplégie gauche et épilepsie sympto- matiques. Sommaire. Père , caractère emporté, - Grand-père mater- nel, tr
r. - Épilepsie probablement symptomatique ; déchéance. SoMMAtnr : . Père bègue jusqu'à 16 ans. Oncle paternel 1t ! /pocl
ue d'origine cérébrale ; PAR DOUttNEVttjLE ET 1)tItURL. Sommaire. Père , fréquents maux de tête. - Grand-père paternel,
novembre 1897. Antécédents. (Renseignements fournis par sa mère.) - PÈRE , 43 ans, tailleur d'habits, bien portant, grand
dies de peau ; pas de syphilis. Caractère calme, mais cause peu. - [ Père , mort à 75 ans d'une bronchite de nature sus- p
dont il a eu un enfant bien portant. - Pas de tantes, ni du côté du père ni du côté de la mère. Deux frères, sobres et e
u. Fréquentes crampes d'estomac depuis dix ans. Mariée à 24 ans. - [ Père , mort à 46 ans, d'un « chaud et froid » après p
fausse couche à 3 mois : 1° un enfant avant son mariage (d'un autre père ), mort à 21 jours et qui n'aurait pas eu de con
rie avec affaiblissement momentané de l'intelligence. SOMMAIRE, - Père , excès de boissons, mort à trente-huit ans d'un
is par la grand'mère paternelle et par le médecin de la famille). - Père négociant en vins, excellent sujet, mais à la s
ans la famille. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de six ans, père plus âge. Quatre enfants : 1° Garçon de dix-s
7 octobre. Réflexions. I. L'hérédité de l'enfant est chargée : le père est un alcoolique, la mère une névropathe, la g
s se bornent à l'état de ner- vosité dans laquelle se trouvaient le père et la mère, au moment cle la conception et cle
enfance. - Somnambulisme. Arriération intellectuelle. Sommaire. - Père , rien de particulier, renseignements insuffisan
ignements insuffisants sur sa famille. - Mère, rien noter. Grand- père maternel excentrique, très alcoolique, mort de se
é à l'Institut médico-pédagogique le 10r mai 1897. Antécédents. - Père , soixante-deux ans, en bonne santé, grand et fo
rt, intelligent, cultivateur. Aucun renseignement sur la famille du père . - Mère, cinquante-deux ans, bien portante, pas
cer du sein. Pas de consanguinité ; inégalité d'âge de dix ans ; le père et la mère sont du même pays. Deux enfants :
as à le réveiller un médecin fut appelé. On a dit le lende- main au père que R... avait eu une forte crise nerveuse, et
il tort, comme épileptique, ainsi qu'on le verra par la suite. Le père attribue la maladie de l'enfant il la peur signal
l'enfant est nulle ; nous ne trouvons de tare que chez le grand- père maternel d'un caractère excentrique et qui est
nt de donner les autres dans le Compte-rendu de'1900. Sommaire. - Père , quelques excès alcooliques. - Oncle paternel a
nements fournis par sa mère en septembre 1882 et février 1883). Son père , âge de 35 ans en 1882, est fondeur en cuivre e
raines. Il n'y a pas trace chez lui d'accidents syphilitiques. [Son père , âgé de 67 ans, est sobre. Il souffre de varice
vec un délire incohérent : il a beaucoup d'argent; il a remplace le Père éternel. » L'état général était très défectueux.
ci se sont arrêtées et elle a eu plusieurs crises nerveuses. - [Son père , alcoolique, devenu aliéné en 1850 (3), a été i
vulsions 90 fille, 8 ans, pas de convulsions (ju'¡letI89Î J, (2) Le père faisait déjà des excès de boisson et, alors, il é
Elle est convaincue pourtant que notre malade n'a pas été conçu le père ayant bu, tandis qu'il en aurait été ainsi pour L
congé renouvelable, pendant lequel il essaie de travailler avec son père dans une fonderie de cuivre ; mais il est ramen
xième. - La conception a proba- blement eu lieu durant l'ivresse du père . - Grossesse, accou- chement, naissance, rien d
té mis en apprentissage dans la fonderie de cuivre où travaille son père . Au bout de 15 jours, il n'a plus voulu rien fa
assiette au visage, qu'il était de plus en plus violent envers son père auquel il avait donné des coups de poing. Elle af
gique des maladies ner- veuses chroniques de l'enfance. Sommaire. Père , rien d'anormal. Grand-père paternel,, coléreux
Antéeidants. (Renseignements fournis par sa mère en nov. '1897). - PÈRE , 30 ans, ébéniste, grand, vigoureux, sobre, auc
d, emme- nant avec lui la soeur de celle-ci, âgée de 16 ans. - [Son père , 68 ans, ne fait nas d'excès de boisson; il est
l'enfance des manifes- tations rachitiques qui ont disparu. - [Son père est sobre et n'offre aucun accident à signaler.
es soeurs sont'bien portantes dont là plus jeune est partie avew le père de l'enfant, comme nous l'avons dit plus haut.
. Celui que nous allons donner figure sur ce tableau. SOMMAIRE. - Père , eczémateux, alcoolique, affaiblissement physiq
Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par sa mère). - Père , 42 ans, peintre en voitures, n'a pas eu de col
nté. » Il est violent surtout quand il a pris de l'absinthe. - [Son père , qui exerçait la même profession, est indemne d
ère des migraines ; nul indice de syphilis ; mariée il 21 ans. - [ Père , aucun détail, ni sur sa famille. - Mère, 75 ans,
ileptiques, etc.] Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 6 ans ( père plus âgé). Trois enfants : Deux sont morts à
ulsions ; un autre était idiot. Plusieurs membres de la famille -du père , et lui-même, étaient eczémateux; quelques-uns
re étant enfant naturelle, nous n'avons aucun renseignement sur son père et sa famille. Un cousin est mort de tuberculos
et ses trois enfants seraient morts de méningite i IL Bien que le père fut alcoolique et eût souvent des rapports sexu
tes. Ceci dit, arrivons à notre nouvelle observation. Sommaire. - Père alcoolique, emporté. - Grand'père pater- nel et
Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de trois ans en faveur du père . Grossesse : fréquentes querelles de ménage, co
Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par sa .mère). - PÈRE , âgé de 40 ans, exerce la profession de cordon-
rnit que peu de renseignements sur les antécédents pathologiques du père de l'enfant. Il avait habituellement une bonne
temps en temps. Il était d'un caractère naturellement emporté. Son père , concierge, d'un caractère violent, fait de fré-
dées mélancoliques aujourd'hui dissipées, peut être rendue il son père qui la réclame et s'engage à la surveiller. » J
se de troubles intellectuels et d'incohérence dans les idées. Son père , sobre, atteint de cataracte, presque aveugle,
A la conception, il n'y avait plus d'entente entre les parents. Le père était très porté aux rap- ports, surtout quand
océphalie ; Par KOUKNEVILLE et J. NOIR. Sommaire. Rien du côté du père . - Mère migraineuse. - Grand-père maternel mort
- Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par la mère). Père , 51 ans, forgeron, robuste, toujours bien portant
d- BOURNEVILLE, Bicêtre, 1899. 14 210 Antécédents héréditaires. père paternel, mort il 72 ans de diarrhée ( ? ), avait
sont en bonne santé. Aucun autre rensei- gnement sur la famille du père . Mère, 39 ans, ménagère, très bien portante, ré
12 ans des migraines qui reviennent régulièrement chaque mois. Son père , qui aurait été toujours en bonne santé, serait
dire d'un côté très important de la question sociale. Sommaire. - Père , rien de particulier. - Grand-père pater- nel,
n cousin aliéné. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 9 arts ( Père plus âgé J.. Enfant normal jusqu'à 13 ans. -
taires. (Renseignements fournis par sa mère le .28 janvier 1880). - Père , 45 ans, fort et bien por- tant, a eu, étant ga
syphilis, ni d'affections cutanées, pas d'excès de boisson (1 [Son père , faisait de fréquents excès de boisson attribué
l y a un an. C'est une femme brune, de bonne con- formation. - [Son père , tué dans un éboulement, était bien portant, so
ligence n'aurait pas changé. A la maison, il travail- lait avec son père , ébéniste; il s2 montrait assez habile. Son car
a mère, malgré nos conseils, le reprend afin qu'il puisse aider son père qui est ébéniste. . Depuis la lin de 1880 jusqu
bains. 28 avril. Il travaille assez bien à l'ébénisterie chez son père . Il se met en colère et aurait été très désagréab
cer chez un ébéniste, sous prétexte qu'il serait mieux que chez son père . A partir du 20 août, il prend de Vélixir polyb
n traite- ment. Depuis janvier 188'i, il ne travaille plus avec son père , mais au dehors. Depuis deux mois, il est sans
t des outils ». Sa femme consacre tout son temps il son enfant. Son père ne travaille que d'une façon intermittente. Sa
Sa femme; est enceinte de G mois 1/2. Elle no tra· vaille pas. Son père , malade, est alité depuis trois semaines. Lui-m
indiquer qu'il n'y a pas eu d'interposition et qu'il en est bien le père . Deux sont morts d'athrepsie et une de cholérin
17 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
e droite et paraplégie inférieure; Par BOURNEVILLE. Sommaire. - Père , excès de boisson. - Grand-oncle paternel suici
ns notre service le 24 novembre 1888. Antécédents héréditaires. - Père , cinquante-cinq ans, homme de peine dans un lav
d'eau-de- vie. Sa physionomie dénote ses habitudes alcooliques. - [ Père mort à quarante-huit ans (fusillé au fort d'Ivr
erfs ni de migraines, mais des accès de colère suivis de pleurs. - [ Père mort de bronchite chronique; nombreux excès de
peut fournir de détails. Depuis lors il n'en a plus eu, affirme son père . Quand 15... est revenu chez ses parents, à deu
jours, à l'aide de poids. Lorsque ! ! ...est rentré de Berck, son père a remarqué qu'il avait les genoux collés et qu'
qui n'existaient pas au moment du départ : « Avant mou départ, mon père me portait sur ses épaules et j'écar- Lais bien
s et les inci- sions auraient produit de vives douleurs. Au dire du père ,13 ? n'au- rait rieu appris dans celte maison :
ar la rotation du bras et de l'épaule. Aucun traumatisme connu du père et de l'enfant n'explique cette laxité des ligame
ent frappée par la vue d'un mendiant atteint d'hémiplégie et que le père prétend que son fils a un bras et une jambe qui
e du côté droit, ainsi que la paraplégie inférieure. Si, d'après le père , on n'a pas remarqué de paralysie à la nais- sa
; kyste de la dure-mère ; Par BOURNEVILLE et METTETAL. Sommaire. Père et mère sans particularités. - Grand'père mater
3 juin 1895. Antécédents. (Renseignements fournis par sa mère). - Père , 31 ans, employé de chemin de fer, n'a eu ni conv
, mais fume beaucoup, ni migraines, ni traumatismes céphaliques. - [ Père , 68 ans, se porte bien, ne boit ni ne fume. - M
atismes, de dartres, de syphi- lis, de traumatismes céphaliques. - [ Père , 64 ans, mécani- cien, fait des excès de boisso
yeux (1) On ne connaît pas de cas de gémellarité dans la famille du père , mais l'arrière grand'mère maternelle de l'enfa
896. 130UANEVILLE, Bicêtre, 1896. 4 50 Médication thyroïdienne. Père , grand, bien portant, excès de boisson ; aucun ac
iérée. Mère, crises nerveuses de dix-neuf à vingt-six ans. Grand- père maternel, excès de boisson, mort aliéné. - Arrièr
rapporter ici avec tous les détails qu'elle comporte. SOMMAIRE. - Père , caractère un peu emporté, excès de bois- son,
ignements fournis par la mère et la qrand'mère maternelle en 1893). Père , 28 ans, mécanicien a la C"' Bison, grand, bien
s de peau. Elle ne pense pas qu'il ait eu de maladie vénérienne. - [ Père , 53 ans, bien portant, a tenu des bains, puis u
ses nerveuses occasionnées par les contrariétés dues à ce que son père faisait de nombreux excès de boisson, puis s'empo
pas de crises, pas de chorée, de migraines, de maladie de peau. - [ Père , facteur d'orgue s'est mis à boire au bout de 1
Antécédents. (Renseignements fournis par sa mère le 5 juin 9889J. - PÈRE , 33 ans, l'allineur, aurait eu à 15 ans, 'duran
dermatoses. - Caractère violent, il se met facilement en colère. - [ Père , 70 ans, n'a jamais eu de crises analogues à ce
autre antécédent névropathique ou psychopathique dans la famille du père .] Mère, 30 ans, femme de ménage, brune à physio
s et n'aurait jamais eu de traces de dermatoses. ni de syphilis. - [ Père , mort à 35 ans, sa fille ne peut donner aucun r
de développement du cerveau. 81 grand'mère aliénée et paralytique, père atteint de crises convulsives, probablement hys
roite et épilepsie consécutives ; .. Par BOURNEVILLE. Sommaire. - Père , excès de boisson, fièvres, intermittentes , Gr
Renseignements fournis par sa mère.) Antécédents héréditaires. 83 Père , 47 ans, homw ,le prioe : 1 ? 7, r ? '1" ,r.ld :
; c'est dans cette période qu'est né le malade. Pas de syphilis. - [ Père , inconnu, Mère, faisait des excès de boisson, m
ans, fruitière, intelligente, sobre, peu nerveuse bien portante. - [ Père , débardeur, quelques excès de bois- son, plusie
l : xloNS. - I. Les antécédents héréditaires sont assez chargés. Le père , sous l'influence de fièvres intermittentes lor
ns les antécédents et dans la description clinique. ' SOMMAIRE. - Père , bronchite ' chronique, rhumatisant, caractère
Antécédents (Renseignements fournis par sa mère en juillet 1895). - PÈRE , 38 ans, représentant de commerce, a eu une fiè
fection ner- veuse. - Pas d'autres renseignements sur la famille du père ]. Mère, 27 ans, a eu des convulsions fréquentes
t est sujette à des palpitations fréquentes. [Famille de la mère. - Père , mort à 25 ans, pas de rensei- gnements. - Mère
ingo- encéphalitique ; Par BOURNEVILLE et METTETAL. Sommaire. - Père , rhumatisant, migraineux, contusion de la tête.
à 13 ans, rhumatisante, migraineuse, caractère emporté. - Grand- père mort d'excès de boisson et de tabac; très emporté
que sa femme était déjà enceinte (premier mois) de notre malade. - [ Père , 70 ans, forgeron, très bien portant, très nerv
es deux cotés et ma vue est brouillée. Caractère vif et emporté. [ Père , 72 ans, cordonnier, a eu la syphilis, mais après
ction nerveuse.] Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 12 ans ( père plus âgé). Six enfants : l'un est mort de mén
re un peu lire, écrire et coudre, ressemble physiquement plus à son père qu'à sa mère et psychique- ment plus à sa mère
à son père qu'à sa mère et psychique- ment plus à sa mère qu'à son père . Tendance invincible au sommeil : si on l'avait
ar vous-mêmes des résultats obtenus. Observation I. Sommaire. - Père et mère, rien de particulier . - Un cas de géme
héréditaires. - (Renseignements fournis par sa mère, oct. 1895). - Père , 26 ans, homme de peine ; taille un peu au-dess
de syphilis. Pas d'excès de boisson ; pus de goitre. - [Famille du père . - Père, 60 ans, vit à Sermoyer, dans l'Ain, cu
is. Pas d'excès de boisson ; pus de goitre. - [Famille du père. - Père , 60 ans, vit à Sermoyer, dans l'Ain, cultivateur,
arents paternels ou maternels. Deux oncles paternels bien portants, pères d'enfants en bonne santé. Pas de tantes paterne
ère. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1896. 10 146 IDIOTIE myxoedémateuse. Père , 53 ans, bien portant, sobre, aucun accident nerv
mêmes que ceux cle mon mari, car nous sommes cousins germains : mon père et le père de mon mari étaient frères. » Grand-
eux cle mon mari, car nous sommes cousins germains : mon père et le père de mon mari étaient frères. » Grand-père et mèr
nels, aucun détail. - Deux oncles paternels ; les mômes que ceux du père de l'enfant. - Pas d'onces ni de tantes materne
Consanguinité ; cousins germains. - Inégalité d'âge de deux ans. Père et mère du même pays. - Une seule enfant : la m
heureux de la voir devenue attentive, rieuse, vive, car, au dire du père « c'était une masse de chair que l'on faisait b
parents lui ont apportés. Elle tire les cheveux et la barbe de son père . Elle essaie d'imiter ce qu'on fait devant elle
son père. Elle essaie d'imiter ce qu'on fait devant elle. Ainsi son père faisant claquer ses lè- vres et disant ta-ta-ta
fectue con- venablement. L'enfant est toujours heureuse de voir ses père et mère et se montre très gentille avec eux. On
ATEUSE. OBSERVATION II : Sommaire. Rien de particulier du côté du père , - Rensei- gnements insuffisants sur sa famille
nements fournis par sa' mère les 23 juillet et 31 décembre 1895). - PÈRE , 32 ans, de nationalité russe (Odessa), tailleu
où, assure-t-elle, il n'y a pas de goitreux. [Famille de la mère. - Père , Antécédents héréditaires ET personnels. 165
de relever l'exis- tence ou l'absence des excès de boisson chez les père et mère et chez les ascendants de nos malades.
et méningo- encéphalite ; , PAR BOURNEVILLE ET RELLAY SOMMAIRE. Père , rien de particulier. Arrière-grand-père patern
ifestes d'idiotie et d'épilepsie ». ? Antécédents héréditaires. - Père , 45 ans, chauffeur mécani- cien, bonne santé, n
i aucune maladie, syphilis, etc. ; caractère très doux. [Famille du père . » Son père et sa mère sont morts à un âge 208
adie, syphilis, etc. ; caractère très doux. [Famille du père. » Son père et sa mère sont morts à un âge 208 Alcoolisme D
ce. avancé, sans présenter de troubles nerveux ; sobres. - Grand- père maternel disparu en 1848; il était bien portant,
, ne boit pas; ni convulsions, ni migraines. [Famille de la mère. Père ; 58 ans, se porte bien, sobre. - La mère, morte à
es bègues, etc.] Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 10 ans ( père plus âgé). Trois enfants : Une fille de 13 an
ibués à une indigestion; il s'endort et le lendemain au réveil, son père le trouve sans connaissance et froid, la tète a
dix-huit mois qui ont précédé son entrée, il était à Paris chez ses père et mère. Là aussi ou était obligé de l'attacher
gogique le J avril 1803. Antécédents (Renseignements fournis par le père et la mère, en mai 1893.) Père, quarante ans, b
dents (Renseignements fournis par le père et la mère, en mai 1893.) Père , quarante ans, bien portant, grand et fort, mar
quatorze ans. Réglée il douze ans et demi. [Faillite de la mère.- Père , bien portant, cultivateur, sobre. - Mère, douleu
frappe clu pied, renverse les chaises. Il vent une bicyclette, son père refuse, il se sauve et va en louer une. En févr
e infantile, nous paraissent offrir un réel intérêt. SOI111AIR1 ? Père , céphalalgies. - Grand-père paternel, ex- cès d
été admis le 17 avril 1886 à Bicêtre. Antécédents héréditaires. - Père , 55 ans, menuisier, sobre, sujet à des céphalal
ticulaire aigu. Pas de syphilis. Caractère assez calme. [Famille du père . Son père, qui faisait de nom- breux excès de b
aigu. Pas de syphilis. Caractère assez calme. [Famille du père. Son père , qui faisait de nom- breux excès de boisson, es
rents paternels et maternels (1). - (t) Sa mère avait 48 ans et son père 45 quand il est né, ce qui explique nous dit-on
t. Elle n'a jamais eu de crises nerveuses. [Famille de la mère. Son père est mort de tuberculose à 57 ans ; il faisait t
te de la famille.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de fl ans ( père plus âge). H enfants, dont cinq survivants. Cin
n'y a pas d'exemples de cette malformation dans les familles de son père et de sa mère . Imbécillité ET paraplégie spasm
fance, hémi- plégie transitoire au cours d'une grossesse ; grand- père excès de boisson et tuberculose ; oncle ivrogne;
18 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
son service militaire; il mime des scènes de knout. Il voit aussi son père , mort aujourd'hui. Après son attaque, il no conse
Verre bleu foncé— (Elle sourit, puis regarde avec attention.) « Mon père , je veux me retirer ces idées. Tu as toujours été
u'est-ce que tu veux ? j'ai toujours été nerveuse . Tu me gâtais, mon père , tu avais un penchant pour moi... Je cours tout d
costume, Marie-Jeanne. » Sulfate de quinine. — « J'ai promis à mon père de ne pas me suicider. (Elle a fait autrefois deu
vous parle pas, Monsieur. J'aime pas ces manières-là... J'appelle mon père ... Oh! ce qu'il est taquin! » Caresses sur la j
! Seulement sans m'endormir... Monsieur, je meurs, allez chercher mon père ... C'est long comme tout, cette opération ! Oh !
fants, âgé de onze ans, criait qu'il voyait des lions, des loups, son père mort, se battait à coups de sabre avec des ennemi
ondes. Alors commençait tout de suite le délire. Il s'adressait à son père , effaré de voir son enfant dans cet état, et lui
état, et lui disait : « Allez-vous-en, Monsieur. Vous n'êtes pas mon père . » Puis il sautait à cheval sur le traversin de s
iaque gauche. Un autre petit garçon, âgé de 12 ans, était fils d'un père qui, à la suite d'un accident survenu clans un éb
rands mouvements violents. A l'époque où nous avons pu l'examiner, le père du jeune Feren... ne présentait aucun stigmate, n
aisait conduire au théâtre de la ville et en rentrant racontait à son père la pièce qu'il avait vu jouer. Le lendemain matin
erçant la profession de couturière. Elle est enfant naturelle, née de père inconnu. Elle vivait chez son oncle maternel qui
e jeune Jules Letel..., âgé de 16 ans 1/2, est garçon charcutier. Son père avait des habitudes d'ivrognerie, et, quand il ét
s'est produite pendant la messe que l'on célébrait en mémoire de son père mort, dix jours après la mort de celui-ci. Lui-
ques, de son plein gré. Il avait déjà fait son apprentissage chez son père . A cette époque, il n'avait, sans aucun doute, ja
esljamais reproduitjusqu'au 12 janvier, jouroù il est rentré chez son père . Chez ce dernier, au contraire, les hallucination
quelle il délirait, mimait des scènes de la vie militaire, voyait son père mort, etc. Au réveil il ne se souvenait absolumen
es maladies du système nerveux (1). Antécédents héréditaires. — Son père , âgé de 52 ans, journalier à Saint-Denis, jouit d
d'une bonne santé, mais il est vif, coléreux et emporté. (La mère du père , morte à 84 ans, était aussi vive et nerveuse; el
ements qui nous ont été fournis, des attaques d'hystérie. Un frère du père est mort à 51 ans, en 1882, d'une hernie étranglé
couches. Elle était un peu nerveuse et s'impatientait facilement. (Le père de la mère est mort jeune. La mère est morte à 71
. Antécédents personnels. — La malade est née à Saint-Denis, où son père habite depuis 35 ans. Elle a marché et parlé de b
te époque, elle était assez améliorée pour pouvoir retourner chez son père , et pour se remettre quelque temps après (août 18
i se battent, mon Dieu ! avec des fusils. Tiens, il ressemble à mon père . Mon Dieu, c'est la guerre. Ils vont se tuer, les
sais je ne suis pas une tête à ça..... « ..... Je vous dis que mon père n'est pas rouge ; il n'a pas de robe rouge, non
mène sur la face l'expression de l'attention, puis de l'extase: « Mon père , je veux me retirer ces idées..., tu as toujours
? nous sommes nerveuses, j'ai toujours été diable. Tu me gâtais, mon père , tu avais un penchant pour moi... Je cours tout d
ous plaçons du sulfate de quinine sur la langue : « J'ai promis à mon père de ne plus me suicider..., je ne ferai pas comme
us parle pas, Monsieur... J'aime pas ces manières-là... J'appelle mon père ... Oh ! ce qu'il est taquin ! » Nous faisons qu
seulement sans m'en-dormir... Monsieur, je meurs. Allez chercher mon père ... C'est long comme tout cette opération... Monsi
se, qui est atteinte de tics convulsifs. Du côté paternel, on note un père sujet à de violents accès de colère, trois oncles
ont laissé une certaine fortune qu'il a dissipée de 18 à 20 ans. Son père est mort d'une hypertrophie cardiaque d'origine r
é en femme, etc. Les oncles paternels étaient tous emportés comme son père , mais rien de plus. Pas de maladies nerveuses non
à Saint-Denis le 15 décembre 1853. Elle est donc âgée de 38 ans. Son père , très nerveux, est mort en 1871 d'un ulcère de l'
st ainsi qu'elle ne sait me répondre où elle est née, ce que fait son père , s'il est vivant ; pourquoi elle n'a pas de nouve
nseigné. Il ne reconnaît plus les personnes qui l'entourent, sauf son père , sa mère et la religieuse qui lui donne des soins
i intéressant. Ses antécédents héréditaires sont assez chargés. Son père , mort poitrinaire à trente-trois ans, était alcoo
stituer le dédoublement delà personnalité. Elle connaît le nom de son père , mais il ne faut pas lui en demander plus long; c
de la personne première. La malade connaît, on l'a vu, le nom de son père , son adresse, mais elle a totalement oublié les m
» D. « Tu n'as jamais vu de mort? » R. « Non. » D. « Eh bien ! et ton père ? » R. « Je ne sais pas. » D. « Où va-t-on après l
s par les renseignements fournis par ses parents. Elle sait que son père et sa mère sont morts, et de quelles maladies, pa
a. En ce qui concerne sa famille, elle ne connaît rien touchant son père , quelle profession il exerçait, s'il est mort et
2 ans, dit-elle), à Saint-Denis, Grande-Rue de La Chapelle, n° 3. Son père , qui était très nerveux, est mort d'un ulcère de
ue dix-huit ans), elle habitait boulevard Ornano, passage Mosset. Son père tenait un garni et était en outre mécanicien au c
de discussions de famille ; elle est morte d'ictus apoplectique. Son père serait, paraît-il, un homme violent, ivrogne et d
ésenter par un fort simple tableau généalogique. Un individu, né d'un père goutteux et d'une mère aliénée, présente un beau
t Fleury, Savage, de los Santos, Leroux, etc., etc.. Jordao 1 a vu un père épileptique engendrer un fils épileptique et diab
fils épileptique et diabétique. Marchai (de Calvi)2 a vu le fils d'un père diabétique présenter un tremblement des mains, en
d'un diabétique. Zimmer rapporte le cas d'un jeune diabétique dont le père était névropathe ; une de ses sœurs et son grand-
ns un fait de Grantham2 on voit l'alternance qui suit : TABLEAU è père Epilepsie et delirium tremens. _!_ Fille de
voici résumée : TABLEAU III COTE PATERNEL Oncle. Diabétique. Père . Aliène. Fils. Fille. Broncho-pneumonie, Ar
te ont disparu. La paralysie agitante seule persiste. TABLEAU VII père (Famille israélite). Mélancolie. (Plusieurs acc
te | nodosités d'Heber- Une fille suicidée. den. TABLEAU VIII père (Famille israélite). Maladie des voies unitaires.
Fille. Rien (?) Petit-fils. Paralysie gêné' raie. TABLEAU IX père (Famille israélite). Diabète et goutte. I F
ite-fille. Asthme, eczéma et paraplégie spasmodique. TABLEAU X1 père mère Alcoolique, suicidé. Arthritique. _I_,__;_
maternel côté paternel I Oncle. Tante. Diabète. Diabète. Mère. Père . Diabète, aliénation et suicide. Cancer de la l
iabète sucré avec hérédité névropathique. Une de ses malades avait un père epileptique; elle-même avait été atteinte d'épile
é de l'enfermer dans une maison de santé. La troisième enfin avait un père aliéné. « La fréquence, dit-il, des troubles inte
Mme B..., quarante ans, nie formellement toute hérédité autre qu'un père migraineux. Dès avant vingt ans elle a eu des mig
ot2 : TABLEAU xv . côté paternel côte maternel i I 1 I Frère. Père . Mère. Sœur. Aliénation. Tumeur stomacale. Diab
eur stomacale. Diabète. Aliénation. I X. . Tabes. TABLEAU XVI père Tabès. Th..., fondeur en cuivre, crises gastr
arcot mentionnait les rapports du tabes avec le rhumatisme chronique, père du diabète, en ces termes. « J'ai vu, dit-il, plu
Fournier. Tabès, s ans après la syphilis. Mélancolie. TABLEAU XIX père Diabète. I FILS Tabès, peu d'années après l
t on peut résumer ainsi le pedigree. Fille. Tabes. TABLEAU XX PÈRE Diabète (mort dans le coma). _I_ I Fils.
(personnelle). Rec..., trente-cinq ans, voyageur de commerce, a son père diabétique et goutteux. L'existence du diabète et
ère suivante : TABLEAU XXI COTE PATERNEL COTE MATERNEL Tante. Père . Aliénation mentale. Diabète, goutte. Mère. T
service de M. le professeur Charcot. Antécédents héréditaires.— Son père , très obèse et très alcoolique, est mort subiteme
eur et un noceur. Il sait aussi qu'une de ses tantes, une sœur de son père avait des crises de somnambulisme. En somme, son
U xxii CÔTÉ PATERNEL CÔTÉ MATERNEL Grand-père. Alcoolique. Tante. Père . Mère. Somnambule. Obèse et alcoolique. Asthme
ne peut donner aucun renseignement précis sur ses grands parents. Son père est mort dans la démence sénile ; il avait des hé
BLEAU XXIII fa mille israélite CÔTÉ PATERNEL COTÉ MATERNEL Oncle. Père . Mère. Oncle. Aliéné. Démence sénile. Colère. G
79 ans d'une attaque. d'une affection de l'estomac (?) I_1 I Père Ni goutteux, ni rhumatisant. Mort aliéné à G4 a
AU XXVI FAMILLE ISRAÉLITE CÔTÉ PATERNEL CÔTÉ MATERNEL I Mère uu père . Hystérique. I I I-1 Oncle. Père. Mère. Oncle
RNEL CÔTÉ MATERNEL I Mère uu père. Hystérique. I I I-1 Oncle. Père . Mère. Oncle maternel. Mort. Asthmatique. Morte
ique. TABLEAU XXVII F xi MILLE P. . . côté maternel lticn. Le Père . Oncle. Tante. Diabétique. Diabétique. Rien. Ta
tolet). I_I _L Mère. Nerveuse. Plusieurs parents apoplectiques. Père . Goutteux, colère. _I Fils. Physiologiste
iaque. CÔTÉ PATERNEL Oncle. Diabétique. Mère. Diabétique. Père . MU0 X..., 18 ans. Névropathe, hypocondriaque
t mélancolique. 2° TABES ET DIABÈTE TABLEAU XXXIII FAMILLE R... père Diabétique, avec névrite diabétique, zona, etc.
EAU XXXV CÔTÉ PATERNEL CÔTÉ MATERNEL Tante. Manie puerpérale. Père . Diabète. Cataracte diabétique. Mère. Cousine g
e. Père. Diabète. Cataracte diabétique. Mère. Cousine germaine du père . M. B... Quelques symptômes tabétiques (?) Pa
ue. a vécu jusqu'à 72 ans. I Mère. Migraineuse et névropathe. Père . Rhumatismes articulaires souvent répétés. La
ittré, service de M. le Dr Brissaud. Antécédents héréditaires. — Le père du malade est mort à 48 ans d'une affection intes
souvenir. Observation VI. Decol... Caroline, 34 ans, tailleuse. Père mort d'une paralysie (?) ayant duré 20 ans. Con
nt les accès.. Observation XIII. Vry... Anatole, 19 ans, épicier. Père alcoolique, mort de delirium tremens. Sœur attein
, t. ii. 26 Observation XV. Ren... Henriette, 16 ans, couturière. Père original, aurait eu, à la suite d'une peur, une p
igraine. Observation XVII. Roll... Ernestine, 40 ans, couturière. Père diabétique. Convulsions dans l'enfance. Début v
point de vue médicodégal. Observation XIX. Legr... Marie, 21 ans. Père nerveux, mère migraineuse. La malade est une enfa
ie véritable. Observation XX. Lav... Louis, 15 ans, charretier. Père alcoolique, sujet à des crises de nerfs. Début
la suite d'une violente émotion (mauvais traitements infligés par son père en état d'ivresse) suivie immédiatement du premie
Bourg... Gustave, 33 ans, ancien marchand de vins. Mère épileptique. Père faible d'esprit, buveur, suicidé par pendaison.
ant à noter. Observation XXIII. Burg... Henri, 25 ans, tapissier. Père suicidé par pendaison. Deux frères névropathes.
n précédés d'aura. Observation XXVII. ' Jonch... Pauline, 32 ans. Père alcoolique, atteint de crises convulsives. Convul
sance. Observation XXVIII. Lem... Marie, 39 ans, femme de ménage. Père alcoolique, très violent, mort subitement d'une a
ndantes. Observation XXX. Heil... Pauline, 25 ans, blanchisseuse. Père alcoolique avéré. Début à l'âge de 15 ans, à la
t. ii. 27 Observation XXXVI. Fr... Léonie, 40 ans, institutrice. Père asthmatique. Deux sœurs, dont l'une est paralysée
allucinations du goût). Observation XXXVIII. Del... Anna, 38 ans. Père buveur; mère suicidée en se jetant par la fenêtre
des. Observation XLI. Dr... Emile, 33 ans, fabricant de fleurs. Père nerveux et violent. Mère très nerveuse, sujette à
cursifs. Observation XLIII. Lois... Céline, 38 ans, casquettière. Père alcoolique. Mariée à 27 ans, elle a eu cinq enfan
eur. Grand'mère épileptique. » Mère nerveuse. » Mère épileptique. Père suicidé. Mère épileptique, aliénée. Mère nerveuse
épileptique. Père suicidé. Mère épileptique, aliénée. Mère nerveuse. Père suicidé. » » » Cousine épileptique. Père buve
aliénée. Mère nerveuse. Père suicidé. » » » Cousine épileptique. Père buveur. Cousin épileptique. » Père paralytiqu
» » » Cousine épileptique. Père buveur. Cousin épileptique. » Père paralytique. * Mère suicidée. Père buveur. Fami
uveur. Cousin épileptique. » Père paralytique. * Mère suicidée. Père buveur. Famille nerveuse. » » » Convulsions che
. Sœur paraplégique. Méningite chez un frère. » Enfant trouvée. » Père alcoolique. Mère nerveuse. Grand-père alcooliqu
e. » Père alcoolique. Mère nerveuse. Grand-père alcoolique. » Père alcool., attaques dé nerfs. Convulsions chez un
. » Père alcool., attaques dé nerfs. Convulsions chez un frère. Père alcool., attaques de nerfs. Père nerveux. Convuls
nerfs. Convulsions chez un frère. Père alcool., attaques de nerfs. Père nerveux. Convulsions chez un frère. » Père alco
ool., attaques de nerfs. Père nerveux. Convulsions chez un frère. » Père alcoolique. Mère nerveuse. 2 cousines épileptique
e. » Père alcoolique. Mère nerveuse. 2 cousines épileptiques. » i Père alcoolique. | Fils choréique. » » Convulsio
rand-mère épileptique. » Parents nerveux. Enfant trouvée. » » » Père névropathe, î Mère hystérique. Cousin hystériqu
e. » » » Père névropathe, î Mère hystérique. Cousin hystérique. Père diabétique. ». » » » Père alcoolique. Sœur ép
î Mère hystérique. Cousin hystérique. Père diabétique. ». » » » Père alcoolique. Sœur épileptique. » » » 1 » »
» 5 nayeut. i Chagrins. Peur. Peur. » Peur de l'orage. Vue de son père . Peur, traumatisme. » » Règles. » » Émoti
cumule également ; il est à la fois violoncelliste et épicier; son père , également musicien, avait monté un magasin d'ins
ditaires nerveux ou arthritiques ; seulement elle a été élevée par un père brutal qui souvent la battait et la maltraitait a
fille de Bordeaux, âgée de quinze ans, ayant eu une tante aliénée, un père tiqueux, tiqueuse elle-même et qui dans les parox
raitement dans le service depuis un an. Antécédents héréditaires. — Père violent, joueur; la mère aurait eu des attaques
ez un alcoolique. La prédisposition nerveuse existe à un haut degré : père violent, oncle vraisemblablement ataxique, mère h
19 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
ions cérébrales; par MM. BOURNBVILLfi et BONNAIRE. Observation I. Père peu intelligent. Mère et bis- aïeule alcoolique
iineville). Renseignements fournis par sa mère (24 janvier 1881). Père , 41 ans, boulanger; de taille petite (réformé); d
i- vie d'une diminution de la mémoire. Pas d'excès de bois- son. [ Père , mort d'une affection du coeur à 32 ans; maçon;
ue à chacune de ses grossesses; alcoolique; s'est mariée à 25 ans. [ Père mort à 70 ans; mère, morte à 72 ans d'une tumeu
. BOURNEVILLE). 10 IDIOTIE. Renseignements fournis par sa mère. - Père , 35 ans, de bonne santé habituelle, assez intel
ucun trouble névropathique. Pas d'autre maladie qu'une varioloïdc. [ Père bien portant, brocanteur. Un de ses frères a eu
sa jeunesse,elle a eu quelques éruptions dartreuses aux jambes. [ Père mort d'une affection gastro-intestinale aiguë; no
OBSERVATION. - Idiotie, épilepsie, abcès de la marge de l'anus.- Père : convulsions il 6 ans. - Mère : condui- sions
1. Antécédents. (Renseignements fournis par la mère de l'enfant.) Père , 38 ans, marin, puis comptable. Bien por- tant,
yages; aurait eu des convulsions jusqu'à l'âge de 6 ou 7 ans. [ Son père est mort subitement ( ? ); il était sobre. Sa m
1870; pas de trace du scrofule, de dartre, ni d'herpétisme. [ Son père a toujours fait de nombreux excès de boissons (vi
re au mariage des parents : « J'ai pleuré pendant les 9 mois et mon père m'a battue plusieurs fois. Au sixième mois, peu
microcéphalie au point de vue de l'atavisme (2). Observation 1. - Père , oncle paternel et frère alcooliques. Mère : pe
icêtre le 25 mai 1872 (service de M. Bourneville). Antécédents. - Père : .-boulanger, alcoolique (vin blanc), mort d'u
d'une vive frayeur (voleur caché dans la chambre à farine de son père ), il eut sa première crise; il tomba privé de con
tion qui mérite d'être rapprochée de la première. Observation II. Père : hébétude passagère, consécutive iL une grande
(service de M. DELASIAUVE) le 13 janvier 1850. Antécéde : 2ts.-Son père , employé, parait assez capable; il serait tombé
t les modifications successives de la sensibilité. OBSERVATION. - Père et grand père paternel nerveux et migraineux.-
cellente, 56 II1 STPO-T;PILPPSII;, Renseignements fournis par son père . - Père, 42 ans, garçon de bureau à la Ville de
, 56 II1 STPO-T;PILPPSII;, Renseignements fournis par son père. - Père , 42 ans, garçon de bureau à la Ville depuis 10
ns. Aujourd'hui il se montre très préoccupé de l'état de son fils. [ Père , 81 ans, sabotier, bien portant. Il n'a jamais
névralgies de la tête qui sont aujourd'hui en voie de diminution. [ Père , mort à 67 ans,d'une fluxion depoitrine; ni exc
utres accidents ner- veux dans la famille.] , Consanguinité. - Le père et la mère sont cousins ger- mains, issus du fr
; les marionnettes l'amusent. Les autres soirs il reconnaissait son père à la bague qu'il porte au doigt; il n'en est ri
l porte au doigt; il n'en est rien en ce moment, et il frappe son père comme les autres personnes. Il se mord lui- mêm
egard féroce, et me crache la figure. A ce moment, il reconnaît son père à sa bague et l'embrasse ; il sourit à sa mère.
tation se calme un peu. Il entend ce qu'on lui dit; recon- naît son père à sa barbe et l'embrasse. Il veut se lever et s
d'oreillers sur lesquels il veut monter ; joue au cheval avec son père ; s'agace contre son ombre qu'il ne peut atteindre
. BOURNEVILLE. Renseignements fournis par sa femme (9 mars 1881). Père , mort on ne sait de quoi, âgé de plus de 60 ans ;
de M. BOURNEVILLE). Renseignements fournis par sa belle-soeur (1). Père , cultivateur, mort on ne sait de quoi. Mère, mo
déchéance progressive des facultés intellectuelles. Observation. Père hémiplégique. Tante pater- nelle hystérique. Co
. CHARCOT. Renseignements fournis par sa mère (22 novembre 1866). Père ordinairement bien portant, sobre, était hémiplég
des attaques de nerfs après des contrariétés. Un cousin germain du père est aliéné et en- fermé dans un asile ; il est
Mère, asthmatique, a eu des hémoptysies, n'est pas ner- veuse. Son père est mort du choléra en 1832, à 48 ans ; sa mère
ant bien portant. Notre malade est née 13 mois après le mariage, le père avait alors 25 ans et demi, et la mère 24. La m
psie le 20 décembre 1877. Antécédents héréditaires. Rien du côté du père . La mère est très nerveuse, colérique; un de se
pice de Bicêtre (service de M. Bourneville), le 1G novembre 1880. Père rhumatisant; mère très nerveuse; consanguinité.
entré à Bicêtre, le 1" octobre 1879 (service de M. Bourneville). Père , 59 ans, fruitier; très nerveux; fait des excès d
e de Bicêtre (service de M. Bourneville). Antécédents héréditaires. Père , 43 ans, scrofuleux très accentué, sujet à se t
entré le 10 novembre 1876, à Bicêtre (service de M. BOURNEVILLE). Père , 34 ans, charretier, de santé débile (un frère de
neville). . Renseignements fournis par sa mère (22 janvier 1881). Père , mort d'anémie pernicieuse progressive ( ? ) à l'
ébut de sa maladie, à des vertiges et des palpitations cardiaques. [ Père et mère, sains. Un frère est mort soldat en Afr
pathiques. Elle a ou une attaque de rhumatisme arti- culaire aigu. [ Père rhumatisant ; pas de troubles nerveux dans la f
rneville). Renseignements fournis par sa mère. (7 Janvier 1881).- Père , 4(j ans, garçon d'hôtel, ne présente pas de trou
de céphalalgie, sans autres manifestations morbides et nerveuses. [ Père , mort d'une affection de la poitrine. Mère, mor
ce dernier, âgée de 15 ans, est un peu imbécile. Consanguinité : père et mère cousins germains. Quatre enfants : Il g
encontrées jusqu'ici à la suite de la rou- geole. Observation XI. Père alcoolique. Mère nerveuse. - Accidents névropat
de 5 ans. Renseignements fournis par sa mère. (9 janvier 1880 ? - Père , 37 ans, garçon marchand de vin, a fait de nom-
séparée de lui (mai 1879) et n'en a pas reçu de nouvelles depuis. [ Père et trois frères morts de fièvre typhoïde.] Mè
rvice de M. Bourneville), à Bicêtre. Renseignements fournis par son père (20 janvier 1831 1. Père, 39 ans, employé de ch
Bicêtre. Renseignements fournis par son père (20 janvier 1831 1. Père , 39 ans, employé de chemin de fer, n'a jamais eu
ns, il a été atteint de fièvre typhoïde : il s'est marié à 22 ans. [ Père mort phthisique; mère, morte asth- matique ; 10
s la naissance de notre malade, elle a eu des troubles menstruels. [ Père , mère, et deux frères en bonne santé; nulle tra
s et demi. Renseignements fournis par sa mère (25 novembre 1879). Père , 35 ans, maçon, intelligent, bonne santé habi-
on, intelligent, bonne santé habi- tuelle. Nul antécédent morbide. [ Père , mort on ne sait de quoi. Mère, morte de cholér
es grossesses, il lui est arrivé plusieurs fois de se trouver mal. [ Père , bien portant, homme de peine. - Mère, morte d'
ort a été occasionnée par une broncho-pneumonie. Observation XVI. Père alcoolique. Grand'mère maternelle morte phtisiq
s et demi. Renseignements fournis par sa mère (7 février 1881). Père , 33 ans, horloger, de petite taille, bien portant
huile de cade; elle prit en même temps « des pilules au mercure ». [ Père , aveugle à 27 -ans est mort d'une bronchite aig
de, de la plèvre, du péricarde et du péritoine. Observation XVII. - Père et mère en bonne santé. , Consanguinité. Peurs
re 188U (service de M. Bourneville.) Renseignements fournis par son père . Père, 43 ans, employé de commerce ; ne présent
U (service de M. Bourneville.) Renseignements fournis par son père. Père , 43 ans, employé de commerce ; ne présente pas
ns, employé de commerce ; ne présente pas d'accidents ner- veux. [ Père rhumatisant; pas de maladies nerveuses dans la
Mère, 44 ans, couturière, intelligente, sujette à la jalou- sie. [ Père , alcoolique, mort avec des douleurs de tête très
20 (1907) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1906
ile de Villejuif, le 7 août. Amélioration très légère. Rendue à son père qui la réclame, le 13 septembre. Même état. Ren
s eu d'accès pendant les 1 mois qu'elle est restée en traitement. Son père l'a reprise, elle suit l'école primaire pour pass
'enfant avait même certaine délicatesse. Elle a été reprise par son père et placée comme bonne dans un restaurant où elle
t à Villejuil). —A été en traitement pendant 3 ans, puis rendue à son père qui habite Marseille où il tient uii commerce de
commerce. Elle se tient très bien, a même un air très distingué et le père est con-tent de la conduite de sa "fille. S;i sœu
à peu près une enfant normale. Comme sa sœur, elle a été rendue à son père ; elle suit l'école pri-maire à Marseille et appr
t appris à compter, car elle était totalement nulle à son entrée. Son père lui-même constate une amélioration nota-ble, il l
ainsi en aide à sa mère qui travaille aux halles. Nous avons revu le père en octobre 190G, il nous a dit que jusqu'à présen
eau statistique sur l'alcoolisme. Garçons Filles. Totaux, Les pères de... | Les mères de... Les pères et mè-¦cs de.
Garçons Filles. Totaux, Les pères de... | Les mères de... Les pères et mè-¦cs de............ Pour........... Les
es de... Les pères et mè-¦cs de............ Pour........... Les pères et mô-•es de............ Totaux......... 949
ments. étaient sobres. En outre la conception durant l'ivresse du père ou de la mère a été relevée chez 292 malades et l
verses catégories nous fournit les chiffres suivants : 35,6 0/0 des pères font des excès de boisson. 3, 0/0 des mères — 1
des pères font des excès de boisson. 3, 0/0 des mères — 1,6 0/0 des pères et mères — Soit 40,2 0/0 des parents faisant de
lcoolisme pendant l'année 1906, à la Fondation Vallée (Filles). Les pères do 13 enfants faisaient des excès de boisson. P
e boisson. Pour....... 19 nous n'avons pas de renseignements. Les pères et mères de. 19 étaient sobres. Total.......J
plus particulièrement. Le tableau ci-dessus résume la situation des pères et mères de tous ces enfants sous le rapport des
....... 55 . 354 NOMS Bir. Ññßà Gor Pet PROFESSION DU PÈRE DE LA MÈRE Peintre en bâtiments Imprimeur
t. ¦1 fille, notre malade, Idiotie profonde, gâtisme, impulsions. Père alcoolique, absinthique. DEUXIÈME PARTIE Clin
l'hémisphère gauche; Par BOURNEVILLE et Maurice KOYEK. Sommaire : Père , excès de boisson (absinthe) . — Grands-pa-rents
dans sa famille. — Pas de consanguinité. — Inégalité d'âge de 10 ans ( père plus âgé). — La malade: Conception, grossesse, na
amère de la malade le 29 décembre 1900). —Antécédents héréditaires. — Père : maçon, âgé de 36 ans ; n'a pas eu de convulsion
; ne se serait pas plaint pendant son séjour de cépha-lalgie. •— Son - père est mort à 77 ans. n'avais jamais été ma-lade, cu
20 ans; n'a jamais eu de dartres, ni de traces de maladies de peau. —( Père : bien portant, fait quel-ques excès de boisson (a
de prostituées, pas de condamnés. (1) Depuis ces renseignements le père est mort d'une fluxion de poitrine, en 1902, Pa
nguinité ; pure du Bcrry, mère de Paris. Iné-galité d'âge de dix ans ( père plus âgé). Trois enfants : 1° un garçon âgé de
pas de brû-lures, pas de sévices des parents. L'enfant ressemble au père . Comme la malade était arrié- rée avant les pre
l'arriération de l'enfant. Elle ne reconnaissait à ca moment que son père et sa mère. Elle fut alors examinée au point de
'héridité, nous n'avons à ci-ter que les nombreux excès de boisson du père (ab-sinthe) et des excès semblables, moins nombre
augcret (Compte rendu de 1903, p. 87). Observation I. Sommaire. — Père : rien de particulier, fièvre typhoïde en 1887, l
Grand-père maternel mort d'une hypertrophie du cœur.— Consanguinité: père et mère cousins-germains. Inégalité d'âge: père p
cœur.— Consanguinité: père et mère cousins-germains. Inégalité d'âge: père plus âgé de 8 ans. —• Deux cas de gémellarité dan
1887. Antécédents (Renseignements fournis par sa mère le 12 août). Père , Agé de 31 ans, ouvrier distillateur en liqueurs
voir (janvier 87), la fièvre typhoïde, n'a pas eu de délire. — [Son père , âgé de 60 ans, boulanger, est sobre, doux « plut
de suicidés, pas de criminels, pas de débauchés (cependant la mère du père de l'enfant « n'aurait pas toujours eu une condui
aire, plutôt agréable, blond châtain (l'enfant ressemble plutôt à son père qu'à elle) ; est bien portante, n'a eu ni migrain
se, « colère, mais c'est vite passé, je n'ai pas de rancune ». [Son père , mort d'une hypertrophie du creur à 62 ans, était
paternels. — Son grand-père maternel était le grand-père paternel du père de l'enfant; boulanger, mort elle ne sait do quoi
els, etc., etc.; pas de microcéphale (non plus que dans la famille dû père ). ] Consanguinité : le père et la mère sont cou
éphale (non plus que dans la famille dû père). ] Consanguinité : le père et la mère sont cousins-germains (le grand-père p
: le père et la mère sont cousins-germains (le grand-père paternel du père de l'enfant étant aussi le grand-père maternel de
le de l'enfant étaient frère et sœur). Inégalité d'âge de 8 ans, le père étant le plus âgé. — Deux cas de gèmellnr.ilè dan
r de sa mère a eu deux jumeaux. Pas de gémellarité dans la famille du père . Deux enfants : 1° notre malade; — 2° un garçon
de la conception, qui eut lieu dans les premiers jours du mariage, le père et la more étaient tous deux bien portants ; la m
clo vue de l'hérédité, nous ne trouvons à noter que la consanguinité ( père et mère cousins germains), l'alcoolisme très prob
mains), l'alcoolisme très probable, quoique peut-être peu marqué du père , et enfin deux cas do gémellarité dans la famille
Le malade. — Lors de la conception, la mère était bien portante. Le père , employé distillateur, (gagnant 150 francs par mo
21 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
Il avait déjà été vu à la consultation externe par le Dr Baxter. Le père et la mère étaient bien portants; sobres, ils men
h... Et le Pacha, a succombé il y a quelques mois. Observation V. - Père : incontinence nocturne d'urine jusqu'à dix- hu
Renseignements fournis par une tante paternelle (12 mars 4880). - Père né à Strasbourg 2, mort en 1878 de la poitrine, à
'a jamais monté en grade; a pissé au lit jusqu'à dix-huit ans. [Son père , journalier aux champs, ne savait ni lire ni éc
intelligente, de taille assez élevée, était sujette aux migraines. [ Père ? - Mère serait encore vivante et habite- rait
embre 1885. Renseignements fournis par sa mère (22 octobre 4 879).- Père , architecte, présentait une malformation du bra
utive à une attaque d'apoplexie survenue dix-huit mois auparavant. [ Père , mort vers soixante-treize ans, d'une attaque d
son pays, elle auraitvu autrefois un homme ressemblant à son fils. [ Père , cultivateur, sobre, mort à quatre- vingts ans,
. - Pas d'aliénés, etc.. dans la famille.] Pas de consanguinité. Le père est né à Paris, la mère est de Courancelle (Meu
ée à cette époque ; il n'y aurait jamais eu de scènes violentes; le père était marié et ne l'a épousée qu'après la mort
éditaires de Th..., nous ne trouvons aucun idiot ou épileptique; le père , intelli- gent, présentait seul une malformatio
s de crétins; le goitre y est rare et la population est saine. - Le père , âgé actuellement de quarante-cinq ans, parait
Rien à noter du côté des autres parents; les ascendants du côté du père et de la mère sont morts à un âge avancé. W...,
nu au monde bien développé ; il aurait pesé, s'il faut en croire le père , 12 livres à sa naissance, ce qui est assurémen
ngt-deux ans, étaient en pleine santé au moment de sa naissance. Le père cependant mourut douze ans et la mère seize ans
alade à dix-sept ans et de la soeur de sa mère à vingt-sept ans. Le père était né dans le Hampsphire etla mère dans le B
fut confirmé successivement par MM. Gowers, Ord, Barlow et Houth père . Il insiste sur les aualogies nombreuses 61 fi.
ommuniquée à la Société d'anthropologie en 1883. Observation XI. - Père : quelques rares excès alcooliques ; hémi- plég
et y est décédé le 4°l août 1882. Renseignements fournis par son père et sa mère (4 1 octobre 1886). - Père, soixante
enseignements fournis par son père et sa mère (4 1 octobre 1886). - Père , soixante-sept ans, a été pendant onze ans cocher
nvers sa femme ou ses en- fants. Il s'est marié à vingt et un ans. [ Père , mort hydropique à cinquante- sept ou cinquante
quoi; elle n'était ni paralysée, ni démente ni goitreuse. - Grand- père paternel, mort vers soixante-dix-huit ou quatre-v
igraines (quelquefois des céphalalgies); aucune affection cutanée. [ Père , couvreur, mort d'une chute à cinquante-huit an
1 La physionomie du malade se rapproche beaucoup plus de celle du père que de celle de la mère. CACHEXIE PACHYDERMIQUE
hré... Lors de la conception la mère avait quarante et un ans et le père trente et un ; ils étaient tous deux bien porta
çon ; peu après, la dyspnée reparait; trachéotomie. Un an après, le père écrit « qu'on renvoie tous les jours l'enfant de
nfants. , Observation. Mère névropathe, idées noires. Grand- z° père paraplégique; oncle, convulsions; frère, convul-
de M. Boume- ville.) Renseignements fournis par sa mère (12 mai). Père : 32 ans, mécanicien, bien portant, très fort.
ant de démangeaisons. Il a été guéri par des lo- tions phéniquées. [ Père : employé de chemin de fer, mort 7 à quarante a
hloro-anémie et aurait, de plus, suivant son médecin, une métrite. [ Père : tué dans une bagarre (frac- ture du crâne). I
acgregor. The Lancer 11 déc. 18S6). -G. M..., âgé de 7 ans, né d'un père pthisiqueet d'une mère saine, présente en ce mo
aussi de l'histoire de l'une des formes de l'idiotie. Observation. Père mort tuberculeux. Oncle paternel paralysé. - Mè
6. Renseignements fournis par une cousine materneile du malade. - Père , employé à la préfecture de la Seine, mort en 1
ntelligent , pas ner- veux, jamais de rhumatisme ni de dermatoses. [ Père , 70 ans, sobre, bien portant; mère morte on ne
est morte à l'hôpital le 23 mai 1886, d'un cancer de l'uténis (1). [ Père , 70 ans, tonnelier, excès de boisson fréquents.
à l'année der- nière, l'enfant s'est toujours bien porté ; mais, le père étant mort, la mère malade, il a souffert de la
le plus impor- tant, c'est la tuberculose à laquelle a succombé son père et l'existence d'une paralysie chez l'un de ses
e (service de M. BOUnNt : .VILLt : ). Renseignements fournis par le père et par la mère. - Père, 29 ans, cuisinier dans
.VILLt : ). Renseignements fournis par le père et par la mère. - Père , 29 ans, cuisinier dans un hôtel particulier, gra
migraines, etc.), ni de rhumatismes, de dermatoses ou de syphilis. [ Père , 62 ans, cultivateur, bien portant, sobre. Mère
mpagnée de délire intense et non suivie de troubles intellectuels. [ Père , mort d'une affection cardiaque vers 42 ans ; f
phrase entière. Il était resté affectueux et reconnaissait bien son père et sa mère. Depuis janvier, les accès venaient
7 juin et à Bicêtre le 12 juin. En l'amenant dans cet hospice, son père a remarqué qu'il avait la fièvre. Le lendemain,
t l'histoire clinique offre encore tant de lacunes. OBSERVATION.- Père : convulsions dans l'enfance, peu in- telligent
manipulant le sulfure de carbone, migraines consécutives. Grand- père paternel et arrière-grand' mère maternelle, alcoo
ars 1885. Renseignements fournis par sa mère (8 décembre 1884). - Père , 29 ans, homme de peine, grand, peu intelligent,
, pain, ou n'importe quel autre objet) dès qu'il ne travaille pas. [ Père , homme de peine, bien portant, fait do fréquent
Grand'mère patern ! 3lle : excès de boissons fréquents. - Grand- père et grand'mère maternels, pas de détails. Un frè
sa sortie, elle n'aurait plus ressenti aucun trouble psychique. [ Père , mort à 47 ans d'un asthme; il faisait,dit-on, qu
as eu de convulsions. Notre malade. A l'époque de la conception, le père de l'enfant travaillait déjà dans une fabrique
s colères; il aime à se frotter les mains l'une contre l'autre (son père fait souvent de môme) : il est atteint d'un bal
é, dans ce cas, une influence notable qu'explique l'état nerveux du père , et l'aliénation antérieure de la mère. II. U
encore être invoquée, c'est la profession insalubre exercée par le père à l'époque do la conception. On sait, en effet,
pas d'habitudes d'intempérance; elle était très intelli- gente.-Le père était intelligent, sobre et rangé ; la mère aur
BOURNEVILLE) le 19 septembre 1882. Renseignements fournis par ses père et mère. Père, 31 ans, professeur de piano, pet
le 19 septembre 1882. Renseignements fournis par ses père et mère. Père , 31 ans, professeur de piano, petit, d'apparenc
t ni aux migraines, ni à aucun accident nerveux; pas de dermatose. [ Père , peintre en tableaux, sobre, mort d'une affecti
e, intelligente; pas de convulsions; de mi- graines ni d'attaques. [ Père , tailleur, sobre, mort d'une pleurésie. - Mère,
e à 64 ans. Pas d'aliénés, de nerveux, etc.]. Pas de consanguinité ( père et mère de Paris). 3 enfants et une fausse-couc
bien portante, sans convulsions. Notre malade. A la conception, le père et la mère étaient bien portants, n'avaient pas
s' 1886, est décédé le 20 mars. Renseignements fournis par sa mère. Père , 37 ans, charpentier, d'une constitution robust
s, il n'a été atteint d'aucune affection nerveuse ou syphilitique. [ Père , bien portant, cultivateur, sobre, pas d'accide
e n'a jamais eu d'attaques de nerfs, maiscst très impressionnable. [ Père , mort à66 ans d'une maladie de coeur; il fit, à
es chez les ascendants directs ou collatéraux, la bonne santé des père et mère. Nous ne trouvons chez les ascendants ni
n jusqu'à la fin de 1864, les indications suivantes fournies par le père du malade en décembre 1863. La santé de Ménag
se mettait en croix, disait être Jésus-Christ et voulait bénir son père et sa mère. Au début, les accès étaient annoncé
abattement. Une dit rien,ouvre les yeuxquand ilentend parler de son père ; appétit conservé. Pupilles légèrement contract
levés, 50, ion, 190 et davantage. OBSERVATION. 239 OBSERVATION. - Père , quelques excès de boisson. Oncle paternel, att
mère mater- nelle, apoplectique. -Inégalité d'âge (6 ans) entre les père et mère. - Emotion vive au huitième mois de la
le 7 décembre 1885. Renseignements fournis par sa mère (23 déc.) - Père : grand, fort, bien portant, ne fumant pas, n'a
28 ans, mort en 137 : i, âgé de 37 ans, d'une fluxion de poitrine. [ Père , maçon, mort on ne sait de quoi. - Mère, tricot
tre maladie nerveuse, ni manifestations rhumatismales ou cutanées. [ Père , chauffeur, sobre, mort de fatigue ( ? ). - Mère
ien de particulier. Pas d'a- liénés, etc.] Pas de consanguinité. ( Père , de la Manche ; mère, du Loi- ret.) 1° Une fa
22 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
Turin (3); Mme Séan, Mme Sermoise, Mme la confesse de Turenne avec le père et la grand-mère d'un enfant. M. Tounot, lieute
Taisaient des excès de boisson. Les mères de... 79 21 100 — Les pères et mè- ?-os de............ 41 12 53 — Pour...
ur........... 389 149 538 nous n'avons pas de renseignements. Les pères et mè-res de............ 1071 • 353 1424 étaient
........ 2529 742 3271 Le tableau ci-dessus résume la situation des pères et mères de tous ces enfants sous le rapport des
diotie et de Yépilepsie. En outre la conception durant l'ivresse du père ou de la mère a été relevée chez 298 malades et l
erses catégories nous fournit les chiffres suivants : 35, 3 0/0 des pères font des excès de boisson. 3, 2 O/O des mères —
pères font des excès de boisson. 3, 2 O/O des mères — 1, 6 0/0 des pères et mères — Soit 40, 1 0/0 des parents faisant d
3 01 PROFESSION. NOMBRE ENFANTS NOMS. des " Observations. du père . de la mère. grossesses. décédés. vivants. Bel.
édés. vivants. Bel............. Tourneur » 1 » Notre malade, idiot. Père et Mère sur cuivre. excès de boisson. Belthoi
lthoi.......... Peintre » 7 enfants morts en bas-âge N. m., imbécile. Père excès de en bâtiments. de méningite. boisson.
.. Plombier. » 9 g. morts en bas-âge decon-2 g. ophthalmie purulente. Père excès de misions. 1 g. détraqué. boisson, fil
tion. N. m., idiot. Beff............. Peintre » 2 » 1 S- nerveux. Père et Mère décorateur. N. m., idiot, épileptique.
j............ Peintre » 5 S-raort à 9 mois de me- 1 f. bien portante. Père excès de en bâtiments. ningite. N. m., imbécill
ézié........... Peintre » 4 tasses couches. Un g., né à 7 mois,idiot. Père excès de en bâtiments. N. m., née à 8 mois, idi
edI............. Peintre » 5 morte a 3 ans 1/2 de 2 g. bien portants. Père excès de en bâtiments. ^onchite. 1 g. oonvuls.
ENFANTS NOMS. ——^—————. DES ~"_"~—————————————— OBSERVATIONS. DU PÈRE . DE LA MÈRE. GROSSESSES. DÉCÉDÉS. VIVANTS. ~ I
... Polisseur » 11 1 Fille morte à H mois de 1 Garçon et 1 Fille bien Père alcoolique sur métaux. ]a coqueluche. portants.
Chapelière. 1 1 garçon morifa la naissan-Ar. m., Idiotie, paralysie, Père alcoolique. Gémellaire. ce paraissait un fœtus
atelassière. 11 3 enfants morts de convul- 1 Garçon et une Fille très Père et Mère sions. nerveux. alcooliques. 3 fausse
eole. AT. m., Epilepsie, Idiotie. NOMS. ' des |i Observations. DU PÈRE . DE LA MÈRE. GROSSESSES. j DÉCÉDÉS. VIVANTS. Lé
ÉCÉDÉS. VIVANTS. Lésa............. Peintre » 2 « 1 g. bien portant. Père excès de en bâtiments. N. m., imbécile. boisson
... Chiffons. 4 1 garçon décédé à 8 mois de 1 fille. 16 ans, chétive. Père alcoolique, méningite. 1 garçon 5 ans 1/2, bien
........ Mouleur » 3 ' ëarÇOn mort de méningi- 1 Fille bien portante. Père alcoolique. en cuivre. ^ te tuberculeuse. AT. m
berculeuse. AT. m., Epilepsie. NOMS. : ~~ DES " " OBSERVATIONS DU PÈRE . DE LA MÈRE. GROSSESSES. DÉCÉDÉS. VIVANTS. Noe.
sait de quoi. Fria............ » Photographie. 2 » Ar. m., Idiotie. Père un peu (Ether) i fille, 2 ans 1/2, bien por- al
tante. Peyr............ Plombier. « 1 » jy. m., hystéro-épilepsie. Père alcoolique Nés............. « » 2 » 1 garçon bi
ie. Père alcoolique Nés............. « » 2 » 1 garçon bien portant. Père alcoolique Ar. m., épilepsie. Blav...........
f............ Polisseur » 2 1 fille morte à 6 mois du N. m., idiotie. Père alcoolique sur métaux. croup. Madel..........
., Teinturier. » 7 1 f. morte à 28 jours. 1 g. et 1 f. bien portants. Père alcoolique 1 g. mort de bronchite. N. m., idiot
rier. Teinturière 10 2 g. morts du croup. 3 g. et 1 f. bien portants. Père alcoolique 1 g. mort d'entérite. N. m., épileps
rice. N. m., idiot, épileptique. » NOMS. : des Qbseevations. . du père . de la mère. grossesses. décédés. vivants. Men.
ivants. Men............ Plombier. » 5 « 3 f. et 1 g. bien portants. Père alcoolique Ar. m., idiot. Bidoi........... Pl
........ Peintre » 5 1 fille morte du choléra. 1 fille bien portante. Père alcoolique en bâtiments. 1 garçon mort? 1 garço
.... Plombier. » 7 3 garçons morts de ménin- 1 f. 1 g. bien portants. Père gite. 1 garçon convulsions. alcoolique. N. m.
...... Peintre » 7 i garçons morts de ménin- 4 garçons bien portants. Père en bâtiments. rife. N. m., épileptique. alcooli
que. alcoolique. Morill........... Polisseur » 1 « N. m., imbécile. Père et mère sur métaux. alcooliques. Bellem......
iments 1 N. m., épileptique. \ NOMS. des " " " ~ Observations. du père . de la mère. grossesses. déckdés. vivants. Sta.
....... Peintre » 7 1 g. mort du croup à3 ans. 1 garçon bien portant. Père alcoolique. en bâitments. 1 g. mor{ dc diarrhée
.. Mouleur » 8 i g. mort de cholérine à 6 3 f. et 2 g. bien portants. Père alcoolique. sur cuivre. mois. N. ni., idiot.
......... Plombier- » 4 .'fausses couches. \N. m., idiot épileptiquc. Père alcoolique. ferblantier. 1 g. mort de méningite
MBRE ENFANTS NOMS. •——————-——DEg ——————————————— Observations. du père . de la mère. grossesses. décédés. vivants. Sud.
de con-vulsions. Guillau......... Tourneur » i » N. in., imbécile. Père aliéné mort à sur cuivre. l'asile de Ville- _
tique. » Pebr............ Plombier. » 1 _________ » N. m., idiot. Père alcoolique. Tourneur „ " ' — ' ~~~ UrUh?sur cui
s. Uasur cuivre. 1 g. mort de diarrhée. i g. et 1 f. bien portants. Père alooolique. --.-..---1 f. morte de méningite. N-
tre en ligne de compte, l'alcoo-lisme. En effet, sur 150 familles, 83 pères et 4 mères faisaient des excès de boisson (58 0/0
a profession se trouve doublée par ce fait qu'elle est exercée par le père et la mère ; — 2° que 4 mères et 4 pères étaient
it qu'elle est exercée par le père et la mère ; — 2° que 4 mères et 4 pères étaient atteints de syphilis. — Ces statisti-ques
nés........ Inconnus....... 17 2 9 61 Notons enfin que 26 pères et 2 mères faisaient des excès de boisson (soit 6
res faisaient des excès de boisson (soit 60 °/0) ; que une mère et un père étaient atteints de syphilis, et que un père et u
/0) ; que une mère et un père étaient atteints de syphilis, et que un père et une mère étaient épileptiques Nota. — N. m.,
tent trop, mais noter les faits qu'ils citent dans leurs échappées. Père : âge, profession; en cas de profession insalubre
ues, carac-tère, migraines. Soldat ou réformé et pourquoi ? ... , ? Père , mère, grands-pères et grançl'mèrespa- nu. e eu
renseignements. Consanguinité. — Inégalité d'âge. Pays d'origine du père et de la mère. (Goitre, fièvres paludéennes, etc.
egré intellectuel. Fausses couches ; causes. (Le Malade). État du père ,' Misère, alcoolisme, bonne entente, absence et
e supposer une interposi-à la concep- j tion ? Eu cas d'aliénation du père ou de la tion. [ mère signaler si elle existait à
la nourrice ; grossesse ; syphilis. Accidents nerveux, Son mari, ses père et mère buvaient-ils. Motifs du retrait de l'enfa
affectifs; impressionnabilité. Mauvaise entente de l'enfant avec son père et sa mère ; discussions, violences, Elourdisse
titudes particulières. Resse?nbZa?ice de l'enfant; tient-il plus du père que de la mère au point de vue physique et au poi
s intéressés à ces malades: Itahd, Belhomme, Esquirol, Perrus, Palret père , Seguin, Félix Voisin, Delasiauve, etc., ont. mis
23 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
un moine, cornigere, et celui d'un gentil- homme padouan, issu d'un père cornigère. Ce fut Fabrice d'Acquapendcnte (De v
là présence des cornes, pensaient que les mérycoles étaient fils ou pères de cornigères. Plus tard, on n'admit plus que l
ison du rnérycisme chez le fils ; et la présence antérieure chez le père d'éructations acides. D'autres fois, et le plus
e relatif à un jeune homme dc Bristol, âgé de vingt ans, et dont le père était mérycole. Lui- môme ruminait depuis aussi
oujours suspendue dans le cours des mala- dies intercurrentes. Le père et l'un des frères de cette personne étaient rumi
eints de troubles chroniques de la digestion. Observation XVII bis. Père ruminant. Développement tar- dif de la marche e
N..., étudiant en philoso- phie. Il est âgé de vingt ans, fils d'un père ayant autrefois ruminé. Il dit qu'on ne pourrai
n paternelle, car elle guérit spontanément déjà avant le mariage du père . Ce dernier se rappelle avoir souvent ruminé de
d'une constipation opiniâtre, ayant un estomac peu dilaté, dont le père rumina jadis, qui a eu du pyrosis, puis des renvo
sa mère, qui a toujours joui d'une excellente santé, ainsi que son père , ses grands-pères et grandes-mères. Sa santé ne l
Antécédents. (Renseignements fournis par sa mère, 9 décembre 1880). Père , quarante ans, marié à vingt-cinq ans et demi, so
e, n'a jamais fait de maladies ; pas de migraines, taille petite. [ Père , mort il y a longtemps, on ne sait de quoi; ne bu
te, pas de migraine, ni d'attaques de nerfs. Elle était enceinte du père de notre malade avant d'être mariée et l'abando
rs. Elle n'a jamais eu d'attaques de nerfs, ni de maladies graves. [ Père , mort par accident, buvait beaucoup, n'a jamais
s d'aliénés, etc., dans la famille.] Pas de mérycoles ni du côté du père , ni du côté de la mère. - Pas de consanguinité.
ques monosyllabes. Seulement on ne s'en inquiétait pas parce que le père avait lui-même parlé très tard. A trois ans et
e M. 130UItNE- ville.) Antécédents.-Renseignements fournis par le père (24 octobre 18 î 9). Père, quarante et un ans,
ntécédents.-Renseignements fournis par le père (24 octobre 18 î 9). Père , quarante et un ans, forgeron, vigoureux et bien
uit ans « un coup de sang » et le « sang brûlé ». Pas de syphilis. [ Père , soixante-dix- huit ans, receveur d'octroi, bie
vralgies, de migraines ; variole grave en 1870. Pas de dermatoses. [ Père , mort d'une inflammation d'inte5-h'.o : aucun e
prend rien et ne fait même aucun signe. Il reconnait maintenant son père et sa mère, ce qu'il ne faisait pas t'entrée. I
Antécédents. - Renseignements fournis par sa mère (16 août 1880). Père : quarante-trois ans, petit, mais bien portant ;
impressionnable ; pas de migraines, quelques névralgies dentaires. [ Père : pas d'excès alcooliques, ni d'affections nerv
cide. Elle souffre de calculs biliaires. Intelligence ordinaire. - [ Père : mort phthisique à cinquante-trois ans, après av
d'accidents nerveux dans la famille. - Pas de mérycoles du côté du père ni de la mère.] Pas de consanguinité. Six enf
énéral, il n'y aurait pas eu, ici, de jumeaux ni dans la famille du père , ni dans celle de la mère. 62 DU MÉRYCISME. d
técédents. - (Renseignements fournis par sa mère. 13 juillet 1882). Père , trente-cinq ans, mécanicien, très bien constitué
t souvent sans motifs ; jamais d'attaques de nerfs ni de syncopes. [ Père et mère : ils n'ont présenté d'acci- dents nerv
r. Jamais cette rumination n'a atteint le même degré que chez son père . C'est tout au plus s'il lui revenait après le re
r, entre l'hystérie de la femme et celle de l'homme. Observation. Père alcoolique. Deux soeurs mortes de convul- sions
técédents. (Renseignements fournis par sa mère). (2; octobre 1880). Père , cinquante-sept ans, briquetier. C'est un homme d
toujours été bonne. Excès de boisson envi- ron deux fois par mois. [ Père , mort à soixante-six ans, mère, morte à soixant
te d'un prolapsus utérin qui date de la naissance de notre malade. [ Père , mort d'une fluxion de poitrine; mère morte d'u
antécédents hérédi- taires, à l'exception des excès alcooliques du père qui sont pro- bablement plus fréquents qu'on ne
ILLE). 104 IDIOTIE ET ÉPILEPSIE. , Renseignements fournis par son père (10 novembre 1882). Père, quarante-cinq ans, ho
PILEPSIE. , Renseignements fournis par son père (10 novembre 1882). Père , quarante-cinq ans, homme de peine ; pas d'excè
'excès d'aucun genre ; assez intelligent; pas d'accidents nerveux. [ Père , cultivateur, mort à soixante-quatre ans «de pa
rveuse et se trouve quel- quefois mal, à la suite de contrariétés. [ Père , soixante-quatre ans, fruitier, en bonne santé.
nt avec une cuiller. Il bave depuis dix-huit mois. Il reconnaît son père , mais moins sa mère; autrefois cares- sant, il
plusieurs cas ont été déjà publiés par l'un de nous. Observation. Père et grand'mère paternels alcooli- ques. Mère ner
de M. BOURNEVILLE). Renseignements fournis par sa mère (14 juin).- Père , 33 ans, lithographe, commettait au commencemen
t, il est sobre; santé d'habitude bonne; aucun accident nerveux. [ Père , mort d'une maladie de coeur, à 50 ans, non alcoo
lles ; elle se met facilement en colère, et cela depuis l'enfance. [ Père , 46 ans, sobre, administré de Bicêtre, où il es
ette époque, le ménage était troublé par des disputes, parce que le père se grisait fréquemment et ne rapportait pas son
ant l'ivresse. Pendant la grossesse, ces scènes ont continué ; le père allait au cabaret jusqu'à deux ou trois heures du
ndant aujourd'hui que dans les mois précé- dents ; il reconnaît son père et sa mère. Fonctions diges- tives bonnes ; sel
ons rapporter appartient à cette dernière catégorie. Observation. Père absinthique, suicidé par pendai- son. Grand-pèr
BOURNEVILLE). .Renseignements fournis par sa mère (22 mars 1882). Père , tapissier, buveur d'absinthe, suicidé par pendai
telligente, nerveuse, mais sans attaques, sujette à des migraines. [ Père alcoolique, mort phtisique . Mère en bonne sant
à 15 jours d'une bronchite. Notre malade. Lors de la conception, le père ne fai- sait pas encore d'excès de boisson. Gro
24 (1886) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1885
les suppose, ne remplaceront jamais ceux des frères, ou soeurs, du père et surtoutdela mère,- d'autres fois il n'y a pl
DES FAMILLES D'IDIOTS. tions nerveuses d'un autre ordre. Ce que le père transmet à l'enfant, ce n'est pas sa folie; c'e
et nerveuses, 1861, p. 289.) Aucun anlécédent du côté paternel. Le père est bien 'conformé et intelligent. La mère, ass
Acr (marié). 8 DES FAMILLES D'IDIOTS .... 111. Famille 13ONT... Père : faible d'esprit, épileptiquc, buveur. Grand'mèr
éréditaires. (Renseignements fournis par la mère, 13 juillet 4881.) Père : ouvrier journalier, travaillait dans les plât
u plus. A mesure qu'il vieillissait ils devenaient plus fréquents. [ Père , mort on ne sait de quoi, il travaillait à la ter
DIOTS. 9 convulsions. Ces deux frères sont plus intelligents que le père de nos malades. Une Soell1', bien portante, mar
nce d'une pleura-pneumonie; la malade avait alors trente-huit ans. [ Père , travaillait à la terre, est mort très vieux. I
de secousses, de stertor, d'écume, ni de morsure de la langue. (Le père et le frère aîné se mordaient la langue, ronfla
sant, n'était pas gourmand; il mangeait salement « comme défunt son père »; il s'habillait et se lavait seul, mais mal et
endant la mère assure que cet enfant, comme les autres, est bien du père légal : pas d'alcoolisme. Accou- chement à term
LLES D'IDIOTS. de l'hérédité se fait déjà sentir dans la famille du père qui voit plusieurs de ses neveux mourir de conv
duit plusieurs enfants idiots ou imbéciles. IV. Famille Horn... Père alcoolique ( ? ) - 4lène débauchée, enfant nature
ditaires. (Renseignements fournis parla grand'- mère maternelle, le père et la mère). - trente-sept ans, assez DES FAMIL
quillement avec sa femme. Pas d'autres maladies que sa bronchite'. [ Père , cantinier, mort à soixante- dix-sept ans d'un
ée suivante, elle est accouchée à l'Hôtel- Dieu d'un enfant du même père et qui est mort-né. Ensuite elle a eu , d'un au
(hommes et femmes), ce qui aurait amené une brouille entre elles3. [ Père , do- 1 11 est mort en 1884 de sa bronchite tube
(la mère de nos malades), et n'avoir pas connu d'autre homme que le père de sa fille : cette dernière l'accuse au contra
repris et on s'est aperçu qu'il avait des habitudes d'onanisme. Son père nourricier avait déjà signalé ce fait : il a co
D IDIOTS. 29 Antécédents personnels. (Renseignements fournis par le père et la mère, 9 juin 4881 '.) Grossesse bonne.-Ac
'accumule depuis deux générations. Du côté paternel, même chose. Le père des Horu... ne présentait pas d'accidents nerve
connexions avec l'épilepsie. On peut donc aisé- ment admettre qu'un père atteint d'asthme transmette à ses descendants u
éditaires. (Renseignements fournis par la mère, 20 octobre 1879.) - Père : ébéniste, quarante-deux ans, bien por- tant,
graines, pas d'accidents nerveux ni rhumatismaux ; caractère doux. [ Père : soixante-sept ans, n'a jamais été malade; auc
dent cutané, rhumatis- mal ou pulmonaire ; pas de maladies graves. [ Père : mort d'un asthme à soixante ans, sans'avoir p
rapidement la mort. 40 DES FAMILLES D'IDIOTS. Consanguinité : le père et la mère du malade sont cousins au cinquième
s du soir. Marche des accès : 46 DES FAMILLES D'IDIOTS. côté du père et du côté de la mère. L'influence de l'alcoolism
qui succombe à un délire mélancolique bien caractérisé. Quoique le père de nos malades ait été sain de corps et d'espri
fait, admis par les aliénistes. D'un autre côté, la mère, dont le père était asthmatique, et qui compte déjà un idiot
lit ; il a des frayeurs et ne veut coucher que dans les bras de son père . Parfois, il ne peut rester assis. En buvant, i
placer sous les yeux du lecteur l'observation suivante. Sommaire. Père : excès de boisson; eczéma; migraines. - Tante
e 22 dé- cembre 1884. Antécédents (Renseignements fournis par son père el sa wère).-Pé1·l' 52 ans, faïencier, trapu, s
nsité et leur durée l'obligeaient souvent à suspendre son travail. [ Père mort, à 70 ans, d'une enflure des jambes, il ét
rée. Pas de convulsions, pas d'attaques. Mariage tardif, à 30 ans. [ Père mort de la poitrine iL li-2 ans ; sobre. -Mère,
i en bonne santé. Pas d'aliénés, etc.]. Pas de consanguinité. (Le père est de Vierzon et la mère des environs de Tours.)
té. (Le père est de Vierzon et la mère des environs de Tours.) Le père du malade a été marié trois fois et a eu de sa pr
était un peu égaré. Elle confirme le récit précédent relatif à son père : Il est ivrogne, fainéant et bat sans cesse sa
us intéressantes de ce cas. L'hérédité a joué un rôle important. Le père de Mor... était alcoolique, violent et migraine
25 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ans, caissier dans une maison de commerce. Antécédents de famille : Père , soixante-cinq ans, bien portant ; mère morte,
II. M. N..., trente-deux ans, négociant. Antécédents héréditaires : Père arthritique, d'ailleurs bien por- tant ; mère n
le 10 août 1882. - Antécédents héréditaires : Mère bien portante ; père très nerveux ; un oncle paternel est paralytique
. Antécédents héréditaires : Grand'mère pater- nelle hémiplégique ; père souffre fréquemment de névralgies faciales; mèr
3 juin 1883.- Antécédents de famille : DE LA PARALYSIE FACIALE. 7 Père mortparalytiquegénéral; mère névropathe. - Antécé
vient nous consulter le 9 juillet 1881.. - Antécédents de famille : Père bien portant ; mère nerveuse, a souvent des cri
s, nous est adressée le 22 mars 1885. Antécédents héréditaires : Le père de la malade est mort aliéné ; un frère est épi
çant, nous est adressé le I février 1886.- Antécédents de famille : Père mort d'apoplexie; mère aliénée, s'est suicidée;
loyé de commerce, âgé de vingt-deux ans. Antécédents héréditaires : Père atteint depuis quatre ans de paralysie agitante
une affection men- tale après avoir eu le délire de la persécution; père mort d'un congestion cérébrale à l'âge de cinqu
t des attaques d'hystérie et une grande bizarrerie de caractère. Le père était indemme de tout cas pathologique. Quant à
s le même groupe plusieurs membres de la même famille. J'y ai vu le père et les deux fils. M. le Dr Mohamed-ben-Larbey m
résentant des antécédents nerveux. Il m'en citait un qui avait un père épileptique, l'autre un frère goitreux et idiot,
nheur, il existe une autre méthode, dont la découverte est due au père de la physiologie métrique à 1 ? 1. Weber. Cett
28 mai 1882, paraît ignorer complètement la publication que fit son père de cette affection. « J'ai fait allusion, dit-il,
ditaires nuls. - La mère, deux frères et deux soeurs bien portants. Père rhumatisant, mort récemment. Début. - En septem
enté des phénomènes de mélancolie; sa mère était paralytique et son père mourut d'apoplexiependant la durée de l'observa
'un établissement fonde en 1848 par Falret SOCIÉTÉS SAVANTES. 123 père , et ayant pour but la protection morale et matéri
e séquestration; s'il est, en outre, traité dans sa famille par son père ou l'un de ses ascendants ou descendants, son con
dans d'au- tres conditions; si, par exemple, il l'est, même par son père et par sa mère, dans une maison spéciale au lie
oigné môme seul, même, ainsi que je le dirai tout à l'heure, par le père de famille ou par son préposé sous sa surveilla
e dans la maison paternelle ou qu'il soit en dehors, que ce soit le père lui-même, si on le veut, qui lui prodigue perso
devoir aussi impérieux et un droit aussi respectable, celui qu'a le père ou le chef de la 'famille de surveiller ses pro
stiendrons do surveillance sénat. 139 dans le cas seulement où le père , la mère, le tuteur, le conjoint, le frère ou l
a fidélité à l'exécution de ses ordres. Et vous voulez que, si un père de famille fait soigner son enfant à côté de lu
ue le malade sera traité sous la surveillance et sous l'autorité du père de famille ou d'un proche parent en qui vous de
e côté il n'y aura pas de séquestration, je vous dirai : Laissez le père de famille accomplir sa tâche, ne le soumettez
et sa responsabilité. » En un mot, ce que je veux, c'est que si un père de famille, je sup- pose, faitsoignerson enfant
is au moins faudrait-il à mes yeux, dans tous les cas, assimiler au père de famille les collatéraux de la branche ascend
que tout au moins on respecte le droit le plus naturel, le droit du père de famille. L'amour paternel ne peut pas être
dération que je veuille invoquer devant vous - que vous demandez au père de famille une déclaration bien pénible pour lu
l cas l'article 67. Vous vous trouveriez dans cette situation qu'un père de famille qui donnerait tous les soins possibl
s les plus propres à l'éclairer sur le traitement à suivre ; que ce père de famille, après avoir donné de pareilles preu
pense, en effet, que lorsqu'un aliéné reste confié aux soins de son père ou de ses enfants, de son conjoint, ou de ses frè
t, toujours chez une per- sonne qui est investie de la confiance du père de famille, il me semble, dis-je, que l'article
il y avait dans cette ville une jeune fille appelée Marguerite. Son père se nommait Sevfrit Vueis et sa mère Barbara. Pa
s quasi-contractés, ne pouvaient plus remplir leurs fonctions. Le père inquiet sur le sort de sa fille, et dans l'espoir
dent aux habitants des campagnes toutes sortes de drogues, donna au père quelques racines d'herbes à propriétés merveill
la fit venir vers lui au mois de février. Elle était seule avec son père . L'enfant avait à cette époque dépassé sa douzi
gne. Les antécé- dents héréditaires sont incomplètement connus. Son père est bien portant, mais la malade ne connait pas
cas où j'ai pu être renseigné (environ 200), j'ai trouvé 15 fois le père ou la mère aliénés; 6 fois le grand- père ou la
j'ai trouvé 15 fois le père ou la mère aliénés; 6 fois le grand- père ou la grand'mère; 11 malades avaient un frère o
tteints d'épilepsie; enfin 14 fois j'ai noté l'hérédité congestive ( père alcoolique 5; mère somnambule 2; père ou mère h
i noté l'hérédité congestive (père alcoolique 5; mère somnambule 2; père ou mère hémiplé- giques 6, etc.). Si incomple
eptiformes. Le second cas se rapporte à un négociant grec, marié, père de plusieurs enfants, âgé de quarante- huit ans
-trois ans, employéde commerce, épileptique depuis son enfance (son père était également épileptique). Il s'était cepend
itaine d'infanterie. Prédisposition héréditaire : l'un des parents ( père ou mère ? ) aliéné. En 1870, pendant la guerre,
en 1879. Je terminerai par l'observation suivante' : F... a eu un père alcoolique, un oncle aliéné; cependant, jusqu'à
né, et il n'avait qu'à cheminer paisiblement dans l'ornière que son père avait tracée. Il en est tout autrement aujourd'
n sont peut-être qu'une exagération. Observation XX. - Epilepsie. - Père , hémiplégie droite. Mère nerveuse ; grand-père
- VILLE.) Renseignements fournis par sa mère (9 décembre 1885). Père , fabricant de chapeaux, intelligent, fort, de tai
avait été précédée pendant trois ans de violentes céphalalgies. [ Père , fabricant de chapeaux, mort à trente et un ans.
ée, elle s'est mariée à vingt-six ans, et n'a jamais été malade. - [ Père , mort à quatre-vingt-un ans d'une pneumonie. Mè
édé le 21 octobre 1879. Renseignements fournis par les parents. - Père , cinquante- trois ans, joaillier, bien portant,
r- veuse, ni cutanée, il a perdu par des attaques d'apoplexie son père à soixante-quatre ans, sa mère à cinquante-cinq a
a quelquefois des fai- blesses et même des pertes de connaissance. [ Père , cordon- nier, alcoolique, a succombé à une aff
ournis sur ma demande par le médecin traitant : « Elle est née de père et de mère bien portants, non parents. Du côté pa
qu'en Vendée, en ma- tière d'idiotie, l'intoxication alcoolique du père au moment de la conception doit toujours être s
4, est décédé le 9 dé- cembre 1886. Renseignements fournis par le père . Père, soixante-dix- huit ans, bien portant, ma
décédé le 9 dé- cembre 1886. Renseignements fournis par le père. Père , soixante-dix- huit ans, bien portant, marié à
gt-huit ans, a eu une fluxion "de poitrine il y a cinq ou six ans. [ Père et mère morts âgés (quatre-vingts ans).] Mère
âge de cinquante ans, elle l'a gardée jusqu'à soixante-quatre ans. [ Père et mère morts vieux. Un cousin germain du côté
t atteint d'épilepsie.] 250 CLINIQUE NERVEUSE. Consanguinité : le père et le mère du malade étaient cousins germains e
a été forcé de donner sa démission au bout de deux ans. Ensuite son père l'a gardé chez lui, où il a continué à dessiner
éguliers à grand rayon, évitant les personnes, les arbres, etc. Son père ne saurait dire si la rotation s'opérait toujou
lus tôt les derniers renseignements qui nous ont été fournis par le père du malade, nous l'au- rions mise à côté de cell
e treize ans mérite aussi de fixer l'attention. Observation XXIV. - Père tourneur en cuivre, alcoolique. Grand-père et o
n 1883. Renseignements fournis par sa mère (27 février 1882). - - Père , trente-six ans, tourneur en cuivre, a quitté sa
ourneur, il a tout bu et sa femme a dû se placer comme domestique. [ Père mort de la poitrine à trente-huit ans, tourneur
ière assez agréable, n'a jamais eu que des né- vralgies violentes. [ Père , laboureur, sobre, mort à cinquante- neuf ans,
hanter, nous écrit sa mère, et l'enfant n'a jamais entendu « que le père et la mère qui lui chantaient des chansons ». 2
végétation, les légumineuses et les vrais aliments créés par Notre Père pour ceux créés par lui à son image. Tout cela
deux ans; aucune tare héréditaire ; c'est un agriculteur marié et père de trois enfants, adonné à la boisson; à la suite
morte d'une maladie de poitrine à l'âge de quarante et un ans. Son père , rhumatisant et asthmatique, a succombé à une a
développée, mais une impressiounabilité très grande; gâtée par son père , elle a pris un. caractère capricieux et entêté
gies, etc.). - Mariée à dix-sept ans et demi avec un ouvrier de son père qu'elle n'aimait pas, elle a eu neuf enfants do
fois diathésique (tubercu- leuse chez la mère, arthritique chez le père ) et névr- pathique (nervosisme chez la mère, as
e (nervosisme chez la mère, asthme et apo- plexie cérébrale chez le père ). A cela s'ajoutent une mauvaise éducation donn
ez le père). A cela s'ajoutent une mauvaise éducation donnée par le père qui laisse se développer un caractère capricieu
nvier 1882. Renseignements fournis par sa sceur (22 février 1882). - Père , intelligent, d'un caractère doux, a été trente
leurs rhumatis- males ; pas de maladies de peau, pas de migraines. [ Père , maître d'école en Hollande, pas de détails, ni
maladies de peau, ni d'attaques; n'est pas nerveuse, aucun excès. [ Père , mort on ne sait de quoi. Mère, morte en couche
d'aliénés, d'idiots, d'épileptiques, etc.] . Pas de consanguinité ( père hollandais, mère lorraine). 8 enfants : 4° un m
re mieux marcher avec ses souliers que pieds nus. Observation II. Père très nerveux, sujet à des accidents probable- m
16 octobre 1872. Renseignements fournis par sa mère (24 avril 1882) Père , char- retier, mort en 1871 à la Pitié, à la su
lade), lui avait emporté "sa maladie et qu'il était moins nerveux. [ Père , garde champêtre, est mort très âgé; on croit q
nomie indifférente, assez intelligente cependant. Elle a perdu son père quand elle avait sept ans : « J'ai été menée à co
urs de tête; pas de migraines; pas d'attaques; n'est pas nerveuse. [ Père , culti- tivateur; excès de boissons, mort à la
la conception, le mariage datait de 3 mois. Il est probable que le père était ivre, car il était surtout porté aux rapp
ifs de l'aliéné. On se demandait notamment ce qui arriverait si, le père étant aliéné, le fils était chargé de l'ex- plo
26 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
es accès à dix-sept ans par un état de mal. - Aura du pouce gauche. Père très nerveux, pAstçMe. Grand'mère, tantes pater
ntécédents. (Renseignements fournis par sa mère, 53 août 1 881 .) - Père , cinquante-trois ans, boulanger, maigre, d'une ta
is fréquentes depuis deux ans; un peu d'acné faciale depuis un an. [ Père , mort à soixante-sept ans « un peu d'inconduite
ul- sions ; surdité à gauche ; affaiblissement de la vue à droite. [ Père , charpentier, mort à quatre-vingt-deux ans, d'u
s autres bien 1 Le 7 mai t883, lors de la mort de notre malade, son père était en traitement à l'Hôtel-Dieu pour une « b
Bourneville). Renseignements fournis par sa mère (28 avril 18S1). - Père , qua- rante-deux ans, hien portant, éperonnier-
a peau, etc. ; marié depuis qua- torze ans, « c'est un hou mari ». [ Père , éperonnier, mort en 1872, à l'âge de soixante-
elle n'a jamais eu de maladies de peau ni fait de maladies graves. [ Père , jardinier, faisait quelques excès de boisson,
c'était fini. (Vertiges). Unjour en marchant tenu à la main par son père , celui-ci sentit que l'enfant serrait plus fort
quatre mois et même depuis une quinzaine de jours; il a reconnu ses père et mère, mais ne leur a pas parlé (avril 1881).
te transitoire notée à la fin de l'année 1884. Observation XVI. - Père alcoolique mort de paralysie générale. - Grand-
ligence, qui avait été assez développée, était donc déjà atteinte. [ Père , mort à soixante- dix-huit ans ; il était « hal
que l'on ne peut préciser, « avait la figure tournée de côté»; le père de celle-ci s'était remarié à soixante ans « avec
a eu beaucoup d'ennuis avec son mari. Jamais de maladie de peau. - [ Père , mort de vieillesse, à soixante-dix-huit ans, «
s « quand je suis venue au monde, dit-on ». Ni frère, ni soeur; mon père était Suisse, ma mère Espagnole et je ne puis pas
ma famille.] - Pas de con- sanguinité. Six enfants dont quatre du père du malade : 4 notre malade ; 2° garçon, douze a
e l'enfant précédent; après la naissance de ce troisième enfant, le père ayant déjà été enfermé à l'asile de Montdevergn
apporté. DANS L'ÉPILEPSIE. 41 Notre malade. - A la conception, le père de l'enfant était déjà malade, et buvait beauco
eures du soir. Renseignements fournis par sa mère (28 août 1882). - Père , cin- quante-deux ans, menuisier, taille moyenn
s; il est un peu cholérique, bon ouvrier; marié à vingt et un ans. [ Père , mort à quatre-vingts ans; on l'a noyé, pense-t
a jamais eu de convulsions dans l'enfance, ni de maladies de peau. [ Père , soixante et onze ans, maçon, bien portant, tra
maternelle, morte vers soixante ans, on ne sait de quoi. -Grand- père paternel, mort du choléra en 832. - Grand'mère ma
ois accès chez ses parents, avec lesquels il se serait querellé. Le père s'enivrerait avec de l'absinthe. Le bro- mure d
nts héréditaires, nous n'avons à citer que les excès alcooliques du père et des aïeuls et des convulsions chez une cousi
rébrale. - Epilepsie symptoma- tique et imbécillité. Hypospadias. - Père alcoolique. - Mère hystérique. Tante et oncle m
E Observation XXV. - Instabilité mentale; épilepsie idiopathique. Père alcoolique. Mère : crises nerveuses en 4 883. - G
cès en janvier 1885. Observation XXVI. - Epilepsie symptomatique. - Père mort phthi- sique. - Mère migraineuse et coléri
jours). 76 DU CURARE Observation XXX. - Epilepsie idiopathique. - Père alcoolique. - Convulsions à sept ou huit mois.
DANS L EPILEPSIE. 77 Observation XXXI. - Epilepsie idiopathique. - Père alcoolique ( ? ). - Fièvre intermittente (trois
bservation XXXIII. - Epilepsie idiopathique. - Cousine germaine (du père ) épileptique. - Convulsions ci dix-huit mois. - P
NEVILLE). Renseignements fournis par sa femme (6 juin 1881). - Père et mère, pas de détails. Le malade a eu plusieurs
st aujourd'hui âgé d'une trentaine d'années ; c'est un bon ouvrier, père de cinq ou six enfants bien conformés et en bon
ne lésion congénitale. Observation. - Idiotie complète congénitale. Père alcoolique et violent. - Grand'mère paternelle
ril 1884. Renseignements fournis par sa mère (2 1 novembre 1882). Père , 37 ans, maçon, grand, fort, marié à 29 ans; il b
lent : « j'ai 18 idiotie cérébrale. été battue pour commencer. » [ Père , mort on ne sait de quoi, à 45 ans. Il avait fa
ncopes; pas de dermatoses. Elle a eu une fièvre typhoïde à 18 ans. [ Père , mort de fièvre typhoïde à 45 ans, à l'époque o
» Pas d'aliénés, etc., dans la famille.] Pas de consanguinité. Le père du malade a eu d'une première femme, morte poit
parler et à marcher. Notre malade. A l'époque de la conception, le père buvait beaucoup ; il était très violent et batt
relever, dans les anté- cédents des ascendants, que l'alcoolisme du père et du grand-père paternel et, durant la grosses
d'instabilité mentale avec perversion des instincts. Observation. - Père : onanisme, tentative de suicide ; mort d'apopl
mbre 1882, à l'âge de 1G ans. Renseignements fournis par sa mère. Père mort on 1878, à l'âge de 78 ans, d'une attaque
A 57 ans, tentative de suicide à la suite de pertes d'argent. [Son père , aubergiste, est mort on ne sait de quoi; on ig
alourdissements qui ont repris depuis la ménopause (51 ans).-[on père est mort à 73 ans,à sa 3" attaque de para- lysi
réglée ». Ni aliénés, ni épileptiques, etc.] Pas de consanguinité ( père breton, mère marseillaise). 3 enfants : 1° Fill
nstincts ; impulsions ; Par BOURNEVILLE, et LEFLAIVE. Sommaire. - Père , peintre en bâtiments; saturnin, alcoolique, al
paternelle suicidée. amère, convulsions dans l'enfance. - Grand. père maternel alcoolique. Tante maternelle hémi- plé
plégique. - Sono" convulsions. Conception durant l'aliénation du père . Grossesse acci- dentée par des émotions; perte
Bourneville). Renseignements fournis par sa mère (15 nov. 1880). Père , peintre en bâtiments, n'aurait jamais eu de coli
ut de 5 mois de traitement, il fut rendu très amélioré à sa femme. [ Père , mort à 83 ans de la pierre ? peintre en bâtime
nce : sa tenue est convenable ; elle a une intelligence ordinaire. [ Père , alcoolique, mort du choléra en 1849. - Mère, n
bien portants. Deux mois avant la conception de notre malade, son père avait eu la tête un peu dérangée pendant quinze
ette à des migraines et à des étourdis- sements. L'un de ses grands pères maternels est mort à sa troisième attaque de pa
des dégénérescences. Or, à l'époque de la naissance de Sim..., son père avait 66 ans et sa mère 39, soit une différence
ig... Deux de ses grands parents ont fait des excès de boisson. Son père a été aliéné, il a fini par succomber. L'une de
il y a encore l'action de deux causes puissantes, réunies chez le père : l'alcoolisme et l'intoxication saturnine. Tout
é allaité par une nourrice folle, Brig... a été conçu alors que son père était aliéné et sa mère, en le portant, a été s
27 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ts de méningite. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de cinq ans ( père plus âgé). Notre malade : première dent à sept
Vallée, en est sortie le 5 février 1901. Antécédents héréditaires. Père * : mort à trente-huit ans d'une hernie étranglé
èvre typhoïde. Il buvait beaucoup, mais n'était que rarement ivre. [ Père : pas de renseignements. Mère : soixante-quator
pas de migraines, ni de syphilis, ni alcoolisme, vive et emportée. [ Père : sobre, mort à cinquante-neuf f ans. 31èi-e :
e de la famille.] Pas de consanguité. Inégalité d'âge de cinq ans. ( Père plus âgé). Dix enfants : 1° garçon, dix-neuf an
bien détaché. Tronc bien conformé. Membres supérieurs et infé- 1 Le père , comme nous l'avons dit, commettait de fréquents
quatre ans, ouvrier en vitraux, serait fils de sourds et muets, son père à partir de quatre ans, à la suite d'une chute,
hérédité est très peu chargée. Ce qui domine, c'est Y alcoolisme du père , qui parait s'être traduit chez ses enfants, pa
sie idiopathique z). Bromure DE camphre. Guérison. ' ' Sommaire . Père , aucun accident nerveux, mort de tuberculose en
tuberculose . - Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de huit ans. ( Père plus âgé.) - 1 ? Conception, rien d'anormal. Gr
. Antécédents héréditaires. [Renseignements fournis par sa mère). Père , quarante-cinq ans, rhumatisant ; tourneur de son
abusd'alcool ni de tabac. Caractère vif. Marié à vingt-sept ans. Le père de la malade est d'origine italienne, et on ne
evant l'oeil gauche. Ni rhumatisme, ni chorée, ni fièvre typhoïde. [ Père , mort à soixante-un ans, d'un refroidissement,
rabiques, etc.] Pas de consanguinité. Différence d'âge de huit ans ( père plus âgé). Aucun indice de syphilis ni chez l'u
nts personnels. A la conception, rien de spécial si ce n'est que le père était déjà souffrant. Grossesse dans des condi-
lle a eu trois vertiges le jour où elle a appris la'] Ï mort de son père . ' ' 1900. JetKUte ? Pu6e ? ? Même état des ais
Observation III. Imbécillité ET épilepsie SYMPTOMATIQUE. Sommaire. Père , enfant naturel, aucun accident syphilitique. C
bles de l'équilibre depuis deux mois, avec surdité verbale pure. Le père était, alcoolique, l'enfant est intelligent mai
t sujet suisse, il est né à Genève le 18 juin 1864. Il est marié et père de famille, (Le Iiépu- blicain Orléanais, 26 ju
vient de juger un jeune Arabe, âgé de treize ans, qui avait tué son père d'un coup de fusil pour se venger d'une correct
ère n'a jamais été malade, n'a jamais fait de fausses cou- ches. Le père tousse continuellement, crache parfois, sue par-
maçon de son mé- tier. Il n'y a pas de tousseurs dans la famille du père et de la mère. Aucune autre personne ne tremble
me garçon est mort à trois mois et demi de diarrhée infantile. Le père est mort de dysenterie chronique à l'âge de quara
les deux pupilles réagissent ci la lumière et ci lléflexes normaux. Père mort alcoo- lique. Plusieurs particularités d
tare appa- rente. Une tante paternelle aurait une légère myopie. Le père a une myopie forte. La grossesse a été normal
n... Joseph, dix-sept aîzs, vient consulter le 23 novembre 1901. Le père est mort tuberculeux. La mère, 3 soeurs et un f
mblyope par défaut d'usage). 11 existe un staphylome postérieur. Le père du sujat est également atteint de nystagmus et
système nerveux. Observation IV. App... Jean, soixante-quatre ans. Père du précé- dent. Nystagmus mixte, horizontal et
ellaires sont normaux. Observation V. Renseignements fournis par le père de deux enfants. Le père, M. M..., âgé de trent
servation V. Renseignements fournis par le père de deux enfants. Le père , M. M..., âgé de trente-deux ans, n'a jamais été
x enfants aurait quelque chose dans le regard (Obs. IX). Le grand père maternel est mort il y a vingt ans environ. La gr
soixante-onze ans est bien portante. ' Du côté latewzel Un frère du père est bien portant et a des enfants qui sont norm
. Il ne parait pas exister de troubles de sensibilité. D'après le père , le tremblement des yeux aurait toujours existé.
ême époque. Un troisième enfant est mort à l'âge de vingt jours. Le père ne sait pas s'il tremblait des yeux. Chez Yves
lle 9 personnes sont frappés de Nystagmus Essentiel congénital : le père , la mère, 1 fille, 4 garçons ; l'un d'emre eux
frères sont .morts en bas âge ; deux soeurs sont bien portantes; le père est mort à l'étranger d'accidents paludéens ; s
INTE THLRÈSE couches de savants; les volumes coûteux achetés par le père ne sont plus utilisés par le fils, étudiant à s
jeunes gens ; elle se plaisait tellement en leur compagnie que son père , le comte de Cépèda, se vit obligé de la mettre
heures : elle avait été transportée à Bécèdes, une campagne de son père , pour changer de climat; mais le mal ne faisait
'est pendant cette période de lit qu'elle eut dans la maison de son père , à Avila, une crise de sommeil hypnotique; voic
à la tête ». Comme, à un moment où elle se croyait plus malade, son père , pour lui enlever l'inquiétude de la mort, s'op
ison d'Al- 138 L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE phonse de Cépèda, son père , pour assister au convoi de sa fille, et dans u
qu'elle faisait, ce fut pour tirer une espèce de ven- geance de son père qui lui avait refusé la confession et la commun
ux et s'être rattachées au chagrin que leur a donné la mort de leur père . Toutes deux sont demeurées dans le même état dep
à Vanves, le 18 avril 1824, dans la Maison de santé fondée par son père et par Félix Voisin, Jules Falret, sous la ferme
et par Félix Voisin, Jules Falret, sous la ferme direc- tion de son père , dont l'exemple lui était un simulant et un guide
rbanité qu'il n'a jamais blessé un adversaire. Après la mort de son père (1870) et de F. Voisin (1872), un sur-' croit d
ore, et au plus haut degré, un' philanthrope, un homme de bien. Son père avait fondé l'oeuvre profondément humanitaire d
ion de la clinique psychiatrique de : llloscou le 10 mars 1899. Son père s'adonnait aux boissons fortes et avait support
ue psychiatrique 198 CLINIQUE-MENTALE. le 24 janvier de 1900. Son père boit très fort, l'oncle paternel aussi. . La
it très fort, l'oncle paternel aussi. . La malade ne boit pas. Le père avait des plaies (syphilitiques ? ) aux jambes.
tation de la clinique psychiatrique de Moscou, le 10 mars 1892. Son père buvait peu, sa mère était aliénée. Lui-même buv
n II. Joseph V..., âgé de deux ans et demi, enfant délicat, issu de père alcoolique, de mère névropathe. Le 9 février 19
âgée de dix-huit ans et demi, domestique. Antécédents héréditaires. Père vivant, âgé de cinquante-six ans, un peu'buveur
iel. « Je vis aussi, pendant le grand recueillement d'une messe, un Père de notre ordre, mort dans une autre ville, mont
NEZ. Un enfant de quatre ans va faire une longue promenade avec son père ; il retient un peu fatigué, en traînant la jam
père ; il retient un peu fatigué, en traînant la jambe gauche. Son père et sa- mère, affolés, se lamentent, craignant q
d'abord la névropathie du milieu familial, en particulier celle du père et de la mère ; à cette condition seulement, l'
bien faire comprendre, raconter tout d'abord leur vie bizarre. Leur père parait avoir été d'un caractère au moins original
commerce, ce qu'une d'elles pour- tant avait déjà fait lorsque leur père vivait encore. La mort de lenr mère (1895) en l
e par les propos de ses soeurs : elle ne veut pas convenir que leur père était riche. Elle cherche à restreindre la port
partenait et nous avions bien le droit de le perdre. « D. « Votre père avait eu, à un moment, une grosse for- tune ? »
itimes.. Ce n'est pas notre faute si nous sommes des castors. Notre père a eu le grand tort de ne pas nous en avertir. S
allusions : jamais une explication franche... D. Monsieur, votre père était-il aussi un « Castor » ! R. Nous ne le sa
D. A quel moment avez-vous eu les preuves d'une ligue contre votre père ? R. - Avant les Castors, tout au commencement.
s fournis par une amie qui connaît le malade depuis douze ans. Le père , alcoolique, est mort il y a trente-cinq ans d'un
t à dix-sept ans. Dans les anté- cédants héréditaires, on releva un père syphilitique et alcoolique. une mère nerveuse a
chemin de fer d'Orléans, était venue passer quelques jours chez son père , M. Champommier, à Montluçon (Allier). Pendant
canton de Vassy, s'est pendu dans sa grange. Ce malheu- reux homme, père de cinq enfants, était depuis près d'un mois en
ue simple paysanne, elle était d'une érudition universelle. » Mon père , ouvrier ajusteur à l'arsenal maritime de Cher-
jugé sous le nom de Monnier, de Cornulier. On a voulu remplacer son père par le colonel Henry; son père et lui ont été d
Cornulier. On a voulu remplacer son père par le colonel Henry; son père et lui ont été détruits aux archives, les Planè
rvation II. Idiotie morale. ARI1 : RATfON intellectuelle. SOMMAIRE. Père , rhumatisant, déséquilibré. Grand' père paterne
N intellectuelle. SOMMAIRE. Père, rhumatisant, déséquilibré. Grand' père paternel, rhumatisant, alcoolique, rp<7ep<
talmique ( ? ). - Pas de con- sanguinité. Inégalité d'âge de 6 ans ( père plus âgé). Conception, grossesse, accouchement,
er. » Kleptomanie. - Paresse. Fugues. Accusation de viol contre son père . Description de la malade et l'entrée. Détails
7 octobre 1882, est entré à la Fondation Vallée, le 17 août 1896. Père , cinquante-six ans, cordonnier. Pas de convulsion
ées dans le reste de la famille maternelle. Pas de consanguinité ( père savoyard, mère luxembourgeoise). Inégalité d'âg
(père savoyard, mère luxembourgeoise). Inégalité d'âge de six ans ( père plus âgé). Deux enfants : 1° Notre malade. 2° G
un mois. Gâtisme jusqu'à six ans ; aurait été propre du jour où son père , pour la corriger, lui aurait mis le nez dans s
le, la rougeole et la scarlatine, mais sans aucune complication. Le père aurait cepen- dant remarqué que l'enfant marcha
n porte-monnaie contenant 20 francs, en dépense 2, et raconte à son père que son cousin, sa cousine, sa tante lui ont do
rs de comptes d'argent ; un jour, craignant u'être corrigée par son père , elle ne rentre pas, disant partout qu'on l'ava
issaire qu'on la battait chez elle. Elle ment sans cesse, dit à son père qu'elle va travailler et n'y va pas.%Chez elle,
n'y va pas.%Chez elle, elle brise tout, pour se venger, nous dit le père , dès repro- ches et des corrections qu'elle enc
le encourait. Elle perd l'argent qu'on lui confie, parle mal de son père à tout le monde et finit par le dénoncer au com
ntredit dans ses réponses, le commissaire se méfie, fait appeler le père et le met en demeure de faire visiter sa fille
; mais peu affective ; ne témoigne pas sa sympathie ; parle de son père qu'elle semble aimer ; elle raisonne assez bien,
avec des détails, qui font supposer une réelle expérience, que son père avait des rapports avec elle depuis plus de tro
atouiller avec ». Après, avait lieu le nettoyage, pendant lequel le père faisait des menaces si elle s'avisait jamais de
he lequel des deux ment, il n'y avait pas de témoins ! » D'après le père , ces femmes qui l'auraient ainsi poussée à faire
un atelier où une apprentie avait la réputation découcher avec son père . "- En janvier 1897, le caractère d'Albertine a
xions. I. Albertine est sous le coup d'une hérédité assez chargée : père à migraines violentes, accompagnées de vertiges
x-mêmes, et exagérations voulues dans le but de porter tort à son père . Le père avoue qu'il'eut, une nuit d'hiver, l'imp
et exagérations voulues dans le but de porter tort à son père. Le père avoue qu'il'eut, une nuit d'hiver, l'imprudence
échauffer. Peut-être y a-t-il eu d'autres imprudences, peut-être le père n'a pas eu devant sa fille, soit dans sa toilet
mensonge monstrueux peut s'expli- quer d'abord par l'imprudence du père , qui, comme cela se passe si souvent dans les m
d dire, entre autres choses, qu'une apprentie « couche » avec son père ; enfin par l'intervention de ces voisines, qui, i
e ces voisines, qui, ins- pirées par la haine qu'elles ont vouée au père , ont pu, volon- tairement ou non, suggérer l'id
sa savante direction que le jeune disciple, qui avait appris de son père il aimer les aliénés et qui avait trouvé en lui
le exclusif de médecin d'asile ; se rappelant les traditions de son père Grégoire Dagonet et de son maître Renaudin, il
aire, il exerce les professions de verrier ou de journalier. Marié, père de trois enfants. Les recherches sur ses anté
religieuses avaient forcé de chercher un refuge en Allemagne : son père était ministre luthérien et sa mère la fille d'un
quit le 13 octobre 1844 à Rücl : en. dans la Saxe prus- sienne. Son père souffrit pendant onze mois d'une affection cérébr
urs générations, dans la famille de sa mère comme dans celle de son père il y avait une prédisposition à la folie. L'enfan
ur avoir le droit de la proclamer, il avait abandonné la foi de ses pères , la croyance en Dieu, l'espoir d'une vie future
28 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
conviendrait que les visites fussent régulièrement enregistrées. Le père d'une malade d'un de nos asiles, nommée Mar...,
ntenterai d'une citation extraite de l'ouvrage de M. le D1' Falret, père , médecin de la Salpêtrière, intitulé : Des mala
animés des sentiments qui avaient guidé Fcrrus, F. Voisin, Falret, père , Parcliappe, Dclasiauve, etc., que le Conseil m
d'hystérie mâle ; Par BOURNEVILLE et P. 80X.LlER I Sommaire. Père , excès de boisson, nerveux. Grand-père paternel ,
Bourneville). Renseignements fournis par sa mère (27 février 1885). Père , cin- quante ans, soldeur, auparavant marchand
ne bat pas ses enfants, « il est au contraire trop bon pour eux ». [ Père , mort d'une maladie d'intestins à soixante-huit
nerveuse; pas d'alcoo- lisme. Faisait le commerce avec son mari.- [ Père , mort à soixante- dix ans; il avait une maladie
tous les deux ; leurs affaires allaient bien ; pas de chagrins ; le père commençait à boire un peu de temps en temps, mais
chands et rentrait le soir chez ses parents. La mère assure que son père ne le battait pas. Jusqu'au mois d'avril 1884 i
er et était toujours désobéissant. Il était peu affectueux pour son père et ses frères et soeurs, mais était jaloux. Trè
de diphtérie; pas de chorée; pas de douleurs de tête. Un jour son père l'ayant envoyé porter 7 fr. 80 à un loueur de v
faire des niches. Un jour il vint dire à sa mère qu'il avait vu son père entrer aux Folies dramatiques avec une fruitièr
ons à signaler chez les ascen- dants, des excès alcooliques chez le père et le grand-père du malade; des migraines chez
est peut-être possible de rattacher aux tendances alcooliques du père qui existaient déjà lors de la conception. III.
sa production puisqu'elle existait dès l'enfance. II. Sommaire. Père , convulsions de l'enfance; nerveux et irritable.
e M. BOURNEVILLE), le 25 juin 1887. Renseignements fournis par le PÈRE . Père, quarante-cinq ans. bijoutier, taille ord
BOURNEVILLE), le 25 juin 1887. Renseignements fournis par le PÈRE. Père , quarante-cinq ans. bijoutier, taille ordinaire
ttaques de nerfs, mais très ner- veux, très irritable. Intelligent. Père , mort quand il avait douze ans, d'ennui surtout
être, 1891. 2 18 DEUX NOUVELLE* OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. son père , effrayé et disant qu'il y avait des voleurs : «
s'endormait. D'autres fois il criait : « Au feu, venait trouver son père , la figure très effrayée et les yeux ouverts. C
RVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. 21 1 aussitôt endormi sans rien dire. Son père , croyant à une plaisan- terie, l'a secoué pour
à pleurer et à demander du papier et un crayon pour écrire à son père qu'il voyait clair. 11. -- A 8 heures du matin,
anie; exostcse du fémur; Par BOURNEVILLE et ISC11-WALL. Sommaire. Père , violent, nombreux excès de boisson. Cousine pa
dents. [Renseignements fournis par sa mère, le 10 Novembre 1591.) - Père , a9 ans, terrassier, n'a jamais été malade, sau
oses, ni traces 58 Antécédents. de maladies vénériennes; fumeur. [ Père et mère morts on ne sait de quoi; une scieur mo
ues de nerfs, ni convulsions, etc... ; elle n'a jamais été malade. [ Père , mineur, mort à la Pitié, il y a plus de 30 ans.
ivis de délire m3niaque, - Il voulait se sauver pour aller voir son père , sa mère, sa soeur Ernestinc. Empalement de la
les antécédents héréditaires les fréquents excès de bois- son du père , accompagnés de violentes colères, la tuberculo
hez une soeur. II. Signalons, en passant, l'inégalité d'âge des père et mère (12 ans) à laquelle divers auteurs ont
les dissiper, quand une nuit, l'enfant fut vivement effrayé par son père qui rentrait ivre. Un mois après cette peur, l'
réparé Réflexions. 81 par la dégénérescence due à l'alcoolisme du père , aggravée par l'asphyxie de l'enfant à la naiss
écédé le 8 juin 1891. Renseignements fournisparla mère du malade, - Père , 28 ans, journalier, cultivateur. Elle ne peut
'a pas revu depuis cinq ans; toutefois, elle sait seulement que son père est mort, et que sa soeur est enfermée comme al
ême place. Pas de migraine, de rhumatisme, de maladie de peau, etc. Père , 59 ans, cultiva- teur, fort, bien portant. Pas
tles mortes de vieillesse. Pas de consanguinité. Egalité d'Age du père et delà mère. Notre malade. Au moment de la con
la conception, aucun état d'i- vresse.-Excellents rapports entre le père et la mère qui étaient domestiques dans la même
le cas de la malade dont on va lire l'histoire. OI3SLIt ? 1TI0`1. Père , grand-père et cousins paternels alcooliques. -
Antécédents héréditaires fournis par sa mère (1h juin 1888). - Son père , marchand de chevaux, est mort à 52 ans ; il avai
turbait. Dans l'adolescence il aurait eu la fièvre typhoïde ( ? ). [ Père , carrier, mort à 66 ans, on ne sait de quelle c
e; on le ramassait souvent dans les rues. Mère, morte en couches du père de la malade. Grands- pas de renseignements. Un
ents montrent qu'elle est très nerveuse, ainsi qu'elle l'avoue ? [ Père , perruquier à l'hospice de Bicêtre, est mort à 60
lexions. -I. Nous avons à relever tout d'abord l'alcoolisme chez le père et plusieurs membres de sa famille et de la fam
urs d'une coqueluche ; . Par BOUREVI1.LE et BANZET. SOMMAIRE. - Père , excès de boisson, violent. - Antécédents cancé
Service de M. Bourneville). : Renseignements fournis par S.1 mè¡'e. Père , il ans, crieur aux halles. Fièvre typhoïde éta
colère, buveur mais rarement en état d'ivresse. Assez intelligent. [ Père mort subitement à 67 ans. Depuis de longues ann
ns, très nerveuse; 6o Notre malade. Notre malade, - Alcoolisme du père au moment de la .conception.- Rien de particuli
e ; Tubercules du cerveau ; Par BOURNEVILLE et FINET. SOMMAIRE. - Père ; excès de boisson. Grand-père paternel cancére
éditaires. (Renseignements fournis par la mère le 17 juillet 1883). Père , 55 ans, courrier à la poste ; de taille moyenn
s rares (vin). Fume peu. Pas de syphilis probable. Marié à 35 ans. [ Père , gazier, sobre, mort d'un cancer de l'intestin.
ce, ni d'attaques de nerfs. Mariée à 33 ans, un peu malgré elle. [ Père , grainetier, sobre, mort d'une gastrite. Mère, mo
29 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, le 15 décembre 1886. Antécédents héréditaires. Mère rhumatisante. Père mort d'une maladie d'estomac. Frère atteint de
ion de M. CHARCOT, le 22 juillet Il 887. Antécédents héréditaires . Père mort à cinquante-deux ans d'entérite, dit la ma
re maternelle atteinte depuis longtemps de névropathie générale. Le père , né de parents goutteux, est mort de myélite ai
russ, dans le service de M. Charcot. Antécédents héréditaires. Le père est ordinairement bien portant, ainsi que les o
et a eu une attaque de rhumatisme polyarticulaire aigu. Le grand- père maternel est rhumatisant. Rien à noter chez les a
rment sesparents. Sa mère est jeune et jouit d'une bonne santé; son père est mort depuis plusieurs années. Le petit mala
(arc de cercle, attitudes passionnelles) d'après la description du père . Les crises, qui au début duraient parfois la j
se sert de ses membres supérieurs, mais les mains sont fermées : le père assure que pendant le sommeil on peut dé- flécl
s et demi, a été examinée par M. Charcot, le 18 décembre 1883. Le père de la malade, banquier, a été condamné pour atten
êtrière, dans le service de M. Charcot. Antécédents héréditaires. - Père , auteur dramatique et acteur, mort à soixante-t
s quatorze mois, demeurant en province. Antécédents héréditaires. Père et mère bien portants. Une cousine germaine a é
qui fait l'objet de l'observation sui- vante : Observation XXV. - Père , mort phthisique. Mère migrai- neuse de l'âge d
77 (service de M. BouRNEVILLE). Renseignements fournis par la mère. Père naturel, plom- bier zingueur, pas d'accidents s
s saturnins, sobre, mort de phthisie à l'âge de quarante-deux ans. [ Père et mère, soeurs et frères bien portants. Pas d'
e pleurésie et une pneumonie, mais est actuellement bien portante. [ Père , pas de détails. Mère, migraineuse, morte du ch
lonne vertébrale. Notre malade est né treize mois avant le décès du père . Grossesse, bonne. Accouchement, normal. Pas d'
ence) en '18lu et appartenait à une famille influente et riche. Son père , homme énergique et singulièrement tenace, le d
s signes évi- dents d'aliénation mentale fut, sur la demande de son père , interné pour la première fois le 28 septembre
nière fois que je vous ai vu, avez-vous reçu des nouvelles de voire père ? - li..\ou, je n'ai icçu de nouvelles de perso
je n'ai icçu de nouvelles de personne. D. Avez-vous écrit à votre père ? R. Oui, monsieur, souvent; je ne compte plus
rsonne. RAPPORT SUR MISTRAL. 83 Je vous ai dit que, de ce que mon père ne m'avait pas répondu, j'eu ai conclu qu'il ne
on verrait autre chose que des cil .'-. D. Vous n'avez plus votre père ? E<=t-il mort ? R.fH'et cer- tainement ; si
inte-13enoîle (Aisne), adonnée aux travaux des champs, est née d'un père alcoolique qui a quitté le domicile conjugal. S
que d'apoplexie suivie de perte complète de la parole; il la récu- père , mais en ayant perdu la notion des noms qui s'app
conservées. Dans les anté- cédents héréditaires on constate que son père était dypsomane et sa soeur hystérique. Les pre
Dès l'enfance, il buvait de l'eau-de-vie, parfois avec excès; son père l'enivrait lorsqu'il était tout petit. Plus tard,
Eleclro-contructilité. Courant constant. Les chiffres en milliam- pères . L'électrode d'épreuve a 1 centimètre de diamètre
.., âgé de cinquante-quatre ans, est un militaire en re- traite. Le père avait souffert de céphalalgies intenses, le frère
n grand-père était un vieillard robuste, mort il y a trois ans. Son père est mort quatre ans plus tôt d'une maladie aigu
un fils, se portant bien. Mathieu se maria à vingt-un ans et devint père de six enfants, qui moururent dans la première
rs 1886. Renseignements fournis par sa mère (8 novembre 1884). -- Père , tailleur, assez grand, très sobre, calme, mort à
quante ans, il y a un mois, probablement d'une tumeur du bassin. [ Père , mort des suites d'un refroidissement ( ? ) en tr
plutôt petite, impressionnable, assez colère, assez intelligente. [ Père , mort en 1871, de la varioloïde, menuisier. Excès
nd'mère paternels pas de détails. - Grand- 230 CLINIQUE NERVEUSE. père maternel, mort d'une tumeur abdominale à soixante
migraines. Conception par viol. - Grande différence d'âge entre les père et mère. - Premières convulsions Ii six mois. -
sie, attribuée à des coups qu'il aurait reçus d'une employée de son père . Jarr..., né le 20 mars 18G. Ce malade a des ve
e. - Après les accès nocturnes il se lève parfois, va embrasser son père inconsciemment et se recouche. Observation .T1R
asser son père inconsciemment et se recouche. Observation .T1RI\. - Père mort d'un cancer de la langue. - Cousine germai
s, les armoires, de prétendus rats et des souris. Observation XL. Père douteux. Mère débauchée. - Début des accès a qu
un véri- table lit. 246 CLINIQUE NERVEUSE. Observation XLIII. - Père , mort plzllhisique. Un frère, mort de convulsio
sortir, il fallait le maintenir, le surveiller. Observation XLIV. - Père mort phthisique. Un oncle paternel phthisique.
atisme à la suite d'un accès le 8 février 1882. Observation XLVI. - Père diabétique. Grand'mère paternelle phthisique. M
e complète. - Le fils d'un médecin, pris à table un jour devant son père , jette au loin le verre dont il buvait le conte
bservés chez des malades du service de Bicêtre : Observation L. - Père alcoolique. - Mère phthisique. - Soeurs et père
Observation L. - Père alcoolique. - Mère phthisique. - Soeurs et pères ¡¡¡¡¡lfomu;s et convulsifs. - Hydrocéphalie légèr
: « Oh ! j'ai mal il la tète, je vais tomber. » · Observa noN Ll. - Père alcoolique, colérique, eczémateux, mort phthisi
lent coup de main sur l'épaule de sa mère. Jamais il n'a frappé son père ; il lui disait : « Papa attache-moi ! «Dans ses
ducteur de chemin de fer, est un individu pâle, un peu chétif. Son père vit encore, sa mère est morte maniaque à l'âge de
ne santé parfaite, n'avait jamais éprouvé de maladies graves; son père et ses trois enfants n'avaient jamais eu de malad
arrivée chez lui, qu'il parlait avec tous ses amis et aida même son père à découvrir les toits. Sans vouloir insister su
ntérêt tout particulier aujourd'hui que tous ces phénomènes que nos pères regardaient comme sur- naturels sont rentrés da
oût 4881;, soit depuis deux ans environ. Antécédents de famille : Père bien portant, mère très nerveuse. Un oncle mate
ec une paralysie faciale du côté gauche. Antécédents héréditaires : Père mort à cinquante-neuf ans à la suite d'une atta
est paralysée du côté gauche de la face. Antécédents de famille : Père mort depuis dix ans à la suite d'une maladie ne
st atteint d'une paralysie faciale droite. Antécédents de famille : Père a eu il y a trois ans une hémiplégie du côté ga
ment guéri; un oncle paternel est aliéné; un autre oncle du côté du père souffre habituellement de névralgies de la face
de la Salpêtrière le 12 juillet 4887. Antécédents héréditaires : Père mort, il y a dix ans, à l'âge de soixante ans à
tpara- lysée du côté droit de la face. Antécédents héréditaires : Père mort il y a cinq ans à la suite d'une maladie d
ale qui occupe le côté droit de la face. Antécédents héréditaires : Père bien portant. 31èi,e âgée aujour- d'hui de quar
ie faciale siégeant du côté droit. ' Antécédents héréditaires : Son père , très nerveux, s'est noyé il y a treize ans (le
renseignements que nous donne le malade au sujet de la mort de son père permettent de conclure au suicide) ; sa mère est
e et sur les siens sont les suivants : Antécédents de famille : Son père est bien portant. Sa mère, nous dit-il, a eu, d
1 octobre 1887. Antécédents héréditaires : Mère morte phtisique, père ataxique. La malade a trois soeurs qui toutes s
rt après avoir été enfermé pendant dix ans dans un asile d'aliénés. Père mort ataxique à l'âge de cinquante-huit ans, mè
ires : Grand-père et grand'mère paternels sans affection nerveuse ; père rhumatisant mort d'une affection 366 CLINIQUE N
Adrienne D... est née de parents consanguins {cousins germains); le père est bien portant, la mère est nerveuse, a eu so
aternel est mort il y a deux ans paralytique général ; une soeur du père , atteinte d'aliénation mentale, s'est suicidée ;
u père, atteinte d'aliénation mentale, s'est suicidée ; un oncle du père est tabétique. Antécédents personnels : Adrienn
ts héréditaires. Grand-père paternel, mort d'hémorrhagie cérébrale; père arthritique, a souvent des poussées d'eczéma de l
ts sur ses : Antécédents de famille : Grand-père paternel goutteux, père éga- lement goutteux, un oncle paternel rhumati
atteint d'une paralysie faciale gauche. Antécédents héréditaires : Père mort à la suite d'une tumeur abdominale; mère,
et y est décédé le 16 septembre z. Renseignements fournis par le père et la mère (7 septembre 1885). Père, cinquante-
Renseignements fournis par le père et la mère (7 septembre 1885). Père , cinquante-neuf ans, cocher, assez corpulent, aur
s de maux de tête, épistaxis fré- quentes vers l'âge de douze ans. [ Père , journalier, mort à l'âge de soixante et onze a
le a eu, il y a deux ans, un abcès à la jambe droite avec fistule. [ Père , enfant naturel, mort alcoolique, à l'âge de so
Il est très difficile d'obtenir des renseignements bien précis, le père et la mère étant d'une intelligence au-dessofls
rs eu, dit M. Sé- ' glas, la manie de la propreté, un peu comme son père . » Or, qu'avait le père ? « Celui-ci avait l'ha
, la manie de la propreté, un peu comme son père. » Or, qu'avait le père ? « Celui-ci avait l'habitude, quand on le toucha
30 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
antécédents et sur sa famille, les renseignements qui suivent : Son père est mort d'un accident, alors que sa mère était e
1er décembre 1853, à la Salpê-trière (section des épilepti-ques). Son père nous a fourni, en 1866, les renseignements qui su
rant des coups de fusil sur la (l)\A l'époque de la conception, son père avait 29 ans et sa mère 22 ans. Planche m.
e aujourd'hui. Renseignements fournis par 'sa mère (1866 et 1878). — Père , mort en 1870 d'une hypertrophie du cœur ; il ava
vait eu, en 1869, une congestion cérébrale ; pas d'alcoolisme , etc. [ Père , pas de renseigne -ments. — Mère, morte à 75 ans
cidents nerveux, pas de rhumatismes. Migraines jusqu'à la ménopause. [ Père et mère vivants et bien portants. —Une sœur a eu
onstances : Ayant eu, lors de sa seconde (l) A l'époque dumariagele père avait 25 ans 1/2 et la mère 17 ans 1/2. couch
M. De-lasiatjve), le 3 octobre 1872. Renseignements fournis par son père (juillet 1877). — Père, 49 ans, commis voyageur,
octobre 1872. Renseignements fournis par son père (juillet 1877). — Père , 49 ans, commis voyageur, impressionnable. C'est
ssie, mais pas d'accidents syphilitiques. Pas de maladies nerveuses. [ Père , mort d'une fièvre typhoïde à 42 ans ; il n'était
es de peau ; santé très-bonne. Elle ne s'occupait que de son ménage. [ Père , mort d'une fluxion de poitrine ; il n'était pas
circonscrites aux membres du côté droit et à la face « Emma, dit son père , avait un tic dans l'œil droit. » Les membres, en
rogressivement et, petit à petit, pour nous servir des expressions du père de la malade, les membres paralysés se sont ratat
sortie (2 mai 1868), elle parlait un peu mieux qu'à son entrée. Son père l'avait reprise chez lui parce qu'un individu lui
e l'intelligence dans la situation où nous la voyons aujourd'hui. Son père lui avait fait faire de la gymnastique du bras ;
règles et à des jours différents. Si l'on s'en rapporte au récit du père de la malade, les convulsions primitives ont été,
1875. Renseignements fournis par sa grand'mère (16 décembre 1876).— Père , on ne sait s'il est vivant, on ignore tout ce qu
'a plus de ses nouvelles; pas de maladies de peau; elle était saine. [ Père , 69 ans, santé excellente. — Mère, 68 ans, bien p
e et ne peut donner que des renseignements vagues sur sa famille. Son père était alcoolique; elle n'aurait pas connu d'exemp
ns dans l'observation que nous allons donner en entier. Sommaire. — Père alcoolique; — Consanguinité. — Luxation de l'épau
ssédons que les renseignements qu'elle nous a fournis elle-même.— Son père , adonné à la boisson, est mort hydropique en 1861
ière, en 1875, d'une « bronchite chronique. » — Consanguinité : Son père et sa mère étaient cousins issus de germains. — P
t... Il ne vit pas avec vous... Il a bien raison d'être, honteux d'un père comme vous... Vous avez honte... Oui, c'est votre
... Mais je ne voudrais pas me marier avec lui... J'aurais honte d'un père comme vous... (Elle lutte avec une extrême violen
en que je parte maintenant... Vous m'avez brisée... Je n'avais pas de père ... Vous avez voulu le remplacer... 11 est beau, l
'avais pas de père... Vous avez voulu le remplacer... 11 est beau, le père !... Je vois quelqu'un... Il vient à mon secours..
Votre fils... Maxime !... Je vois bien que tu ne m'en veux pas...Ton père est mort... Je l'ai su depuis... Je me suis débat
et demi. Renseignements fournis par sa mère. (2 novembre 1875). •— Père , âgé de 45 ans, domestique, sobre, sujet à des cé
et à des céphalalgies ; il est en convalescence d'une pleurésie. [Son père aurait eu une paralysie. — Aucun autre accident n
bligeaient à se coucher ; elles ont disparu quand elle s'est mariée. [ Père , meulier, mort de la poitrine ; il faisait des ex
ligeait L... à embrasser ce monsieur et voulait qu'elle l'appelât son père . Revenue définitivement à Paris, L... fut placé
ulière amena des discussions très vives entre la malade, sa mère, son père et son frère. Elle finit par s'apercevoir que sa
bras sont croisés. « Toi qui aimes tant ta fille ! (Allusion à son père ). L... fait des signes de la tête; air de mépris
la tête; air de mépris : « De quoi?... Tu es une mère infâme ! Et mon père t'a pardonné!... Tu es une sale femme, tu es une
re infâme? c'est de la canaille... J'ai fini aussi par croire que mon père était lâche .. Un an après... J'ai bien fait... I
r, qu'après cela le Démon alla la jeter le ventre » à terre au pié du Père , qui tenoit le Saint-Sacrement » en main, et qtia
ées (service de M. Charcot). Renseignements fournis par sa tante. — Père mort il y a une douzaine d'années (suicide par pe
olice de lui confier sa nièce. [Mère, morte asthmatique à 68 ans. — Père mort aux Invalides, à 70 ans, on ne sait de quell
temps de nouvelles attaques. A partir de l'époque de la mort de son père (1869) jusqu'en 1872, A... était, comme nous l'av
sentiments qu'elle éprouve. A la remarque que M. X... n'est pas le père de son enfant, elle répond : « Il vaudrait mieux
efois comme un ami ou comme un » époux passionné d'amour, ou comme un père blessé » d'amour pour son enfant unique et en d'a
31 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
pleine dissolution un royaume qu'il avait reçu très florissant de son père . Le bégaiement de Méhémet-el-Naser avait égalemen
t'ai toujours connu, au contraire, extrêmement prudent. Ton excellent père , dont je m'honore grandement d'avoir été l'ami, m
les enfants des hommes est celui dont l'éducation a été faite par un père et par une mère possédant eux-mêmes un caractère
rillon. -- A lui, plus qu'à personne, s'applique le vieil adage « tel père , tel fils ». Oh ! quelques mots seulement me suff
si des hommes utiles à leur pays et à l'humanité ? N'est-ce pas ton père , dis-moi ? Et la mère aussi, qu'il a le bonheur d
Messieurs, je m'arrête, j'ai essayé de vous faire comprendre, par son père et sa mère l'homme que vous connaissez-tous. Et c
e du Dr Bérillon. Moi aussi, je l'ai connu et je dirai : « Tel fut le père , tel est le fils ! Aussi, comme je veux termine
de Psychologie. Dès les premiers jours du mois de novembre 1904, un père de famille vient me trouver et me dit ce qui suit
ribution des prix. Dès les premiers jours d'octobre, à la rentrée, le père du jeune Z. voudrait savoir, au juste, quels prix
et menteur cynique, vous jugez la déception et la colère de ce pauvre père de famille ! Le lendemain, je reçois la visite
milieu d'un torrent de larmes, il m'ouvre son cœur. Il a peur de son père ; ou plutôt, les façons de faire de celui-ci, son
t et autoritaire. Au début de l'année scolaire 1903-1904, quand son père lui demande quelle place il a eue en composition,
inzième, douzième, dixième... — « Ce n'est pas suffisant, réplique le père , tu dois mieux faire ! » Ces simples mots, dits s
tion, il se représente avec anxiété la scène qui surviendra quand son père lui dira : « Tu dois mieux faire ! » Et il se rép
de la façon que je viens de dire, il a obtenu la dernière place. Son père l'interroge : « Et cette fois, ta place a-t-elle
avec mes trois aînés. » C'est que ces trois aînés ressemblent à leur père et notre jeune homme à sa mère. Sans être le mo
K... (1) est née à Hülsweiller-lez-Saarlouis, le 23 janvier 1889. Le père , mineur, est d'une santé robuste. La mère est hys
une pointe de mélancolie. Il y a un absent à cette fête; c'est votre père , que j'ai vu à l'œuvre et suivi dans la dernière
ées. Paul Bert, qui était député de l'Yonne et ami personnel de mon père , m'avait fait, dès mon arrivée à Paris, l'acc
ble ce soir, ce serait d'entendre rappeler les vertus civiques de mon père . Il n'a pas exagéré en le montrant toujours prêt
eporté sur moi toute l'ardeur de la vieille amitié qui le liait à mon père , il a voulu que ses meilleurs amis devinssent éga
qui les a inspirés lorsqu'ils ont rappelé la façon si élevée dont mon père comprenait sa mission de chef de famille et le co
s disciples, j'ai démontré que son auteur est le seul et le véritable père de la doctrine de la Suggestion en Hypnotisme S
des siens même ingrats. On écrit aux enfants : Venez chercher votre père , il peut, si vous lui assurez quelques soins, la
il a assuré la vie, dont il a guidé les premiers pas, qui refusent au père , à la fin de ses jours, les mêmes pré- cautio
région où elle exerçait son métier. Cette voyante, endormie par son père ou, à son défaut, par son frère, était assisiée d
myosihénie, etc.), nous l'avons fait endorniir puis réveiller par son père ; nous l'avons ensuite hypnotisée nous-mème très f
ue M"* X..., se soumet aux expériences d'hypnotisme réalisées par son père et son frère. A cet égard, existe chez elle l'éta
ubles nerveux d'ordre physique ou d'ordre mental accentués, MM. X..., père et fils se trouveraient avoir assumé une notable
enfant de huit ans affligée d'une coxalgie devait partir à Berck. Le père de la voyante décide la mère de l'enfant à consul
ce qu'on veut. Revenir dans dix-neuf jours. La lettre est signée du père de la voyante et du médecin. Inutile d'ajouter
que celui d'exercice illégal de la médecine et condamné MIU X..., son père et son frère à une amende insignifiante. Le malhe
un Chamite ; mais rien ne prouve non plus qu'il soit Sémite et que le Père de la multitude (Abraham) ait été si enchanté'que
II fut ramené par un agent. A douze ans, sur une observation de son père , il est parti et est resté dehors jusqu'à minuit.
en apprentissage. Un beau matin, ayant trouvé un chèque adressé à son père , il a eu l'idée de le toucher: la réflexion lui v
t il accomplit son service militaire. Sa conduite est excellente. Son père le considère comme guéri complètement, car il n'a
ement, j'entreprendrai votre cure. » N... expose, de nouveau, à son père et à sa mère sa détresse morale. II a eu un premi
chez elle, la maladie a débuté, ce semble, dès le premier âge. Née de père alcoolique, elle a eu des convulsions dans son en
gardent un silence absolu, et restent immobiles devant les vieux, les pères de famille, les instituteurs, en signe de respect
ns son foyer, un petit seigneur, un petit tyran. Prenons d'abord le père de famille. La plupart du temps, il mange tout se
partir de cet âge, de temps en temps ils prennent part à la table du père , mais jamais quand il y a un parent ou un étrange
eût-il 20 ou 25 ans, n'a pas le droit de prendre la parole devant son père , ni de demander des explications sur un sujet que
es hommes, n'ont pas le droit d'assister aux réunions où se trouve le père , soit à la maison, soit au dehors. Voioi ce que
é de vingt-six ans et appartient à une famille noble de province. Son père , homme lettré, lui défend d'assister aux réunions
s tolérer cet état de choses, cet étudiant, sans la permission de son père , entra dans une réunion de nuit, prit place dans
sées, sans ouvrir la bouche. Cette attitude vexa et mit en colère son père , qui lui fit des remontrances très sévères après
mpagne. Pendant tout mon séjour, je vis les frères plus âgés, mariés, pères de famille, habitant la maison paternelle, à l'ex
ne prit part ni aux repas, ni aux réunions où je me trouvais avec le père . Faisant semblant de no pas être au courant, je
père. Faisant semblant de no pas être au courant, je demandai au père pourquoi les deux fils aines n'assistaient point
iarité, la bonté et la bienveillance des vieux envers les jeunes, des pères envers leurs enfants, etc., sont des choses presq
ire, à Alexandrie et dans d'autres villes de l'Egypte, j'ai connu des pères de famille qui traitaient leurs enfants tout à fa
s de ses œuvres et de s'être fait tout seul. Seul! Avec l'aide de son père , de sa mère et de ses aïeux. Seul I Avec la multi
l'analyse de ces biographies. J'étudierai la famille de Jésus, son père , le dévot charpentier de Nazareth, sa mère, la dé
se lève, regarde de droite à gauche, et, quand l'intervention de son père ne se produit pas aussitôt pour l'amener au calme
a pas le droit de prendre la parole sur un sujet quelconque devant le père , ou de demander des explications. On l'invite au
nds, les jeunes gens doivent écouter et tenir la bouche « fermée». Le père interdit également à ses enfants, jusqu'à l'âge d
la bonté et la bienveillance des gens âgés à l'égard des jeunes, des pères de famille envers leurs enfants, des instituteurs
lesse des pages saisissantes de vérité, qui nous montrent combien son père lui inspirait de crainte. Il évoque dans ses Mémo
on profonde qu'il devait en garder toute sa vie. ïl nous trace de son père le portrait suivant : « M. de Chateaubriand était
enir vous frapper comme une balle. « Une seule passion dominait mon père , celle de son nom. Son état habituel était une tr
ite les tristes soirées d'automne et d'hiver, et la promenade que son père faisait régulièrement après le souper dans la gra
de salle qui servait à la fois de salle à manger et de salon. « Mon père commençait alors une promenade qui ne cessait qu'
urmure du vent. o Dix heures sonnaient à l'horloge du château : mon père s'arrêtait et s'avançait vers sa chambre à couche
a mère, ma sœur et moi, transformés en statues par la présence de mon père , nous recouvrions les fonctions de la vie. Le pre
dive, d'une intelligence vive. Mère atteinte de folie de persécution, père de goitre exophtalmique, tante maternelle folie r
nent de cyanose. Les antécédents héréditaires sont assez chargés : le père est alcoolique, fils lui-même d'alcooliques. « A
ans et demi. « Docteur, dit-il, je suis un pauvre malheureux ; mon père a perdu sa situation, il est sans travail depuis
32 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
si nous pourrons lui donner ce qu'elle demande, ou plutôt ce que son père demande pour elle. Yous comprendrez tout à l'heur
e. Nous ne voulons rien révéler, quant à présent, de notre opinion au père non plus qu'à la fille, dans la crainte de perdre
re de la Russie méridionale; tous ses parents sont en bonne santé, le père est très impressionnable et nerveux, mais sans ri
e lésion organique, et le pronostic aurait été déclaré très grave. Le père , qui aime son fils à la folie, a entrepris le voy
as de délire. Il est cependant intéressant d'examiner l'attitude du père , quand approche l'heure de l'attaque ; il prend s
provoquer l'exaltation de l'état nerveux, ou, du moins, de la part du père , un maintien plus réservé et plus ferme ; 2° l'em
drothérapie qui, j'en suis convaincu, fera merveille. J'espère que le père ne refusera pas d'obtempérer à ces prescriptions
diennes, en même temps qu'il suivait un régime reconstituant. Mais le père ne voulut pas consentir à se séparer de son fils,
onné. Plusieurs semaines se passèrent ainsi et rien ne changeait : le père , désolé, voulait renoncer au traitement ; ce ne f
irigée par des religieuses. Mais, circonstance plus intéressante, son père a succombé à l'asile d'aliénés d'Orléans, où il a
second, c'est un homme vigoureux, un forgeron âgé de 35 ans, marié et père de plusieurs enfants. La jeune fille a été déjà
us les attributs du sexe mâle, des militaires, des artisans mariés et pères de famille, des hommes, en un mot, chez lesquels
n que de l'hystérie. Notre malade est un homme de 3i ans, forgeron, père de quatre enfants, assez robuste, sans aucun attr
âgé de 40 ans, assez vigoureux, bien constitué, vous le voyez. Il est père de deux enfants. A. Je tiens à établir tout d'a
dité, nous ne trouvons aucun antécédent nerveux dans sa famille ; son père est encore vivant et bien portant, sa mère est mo
ans cette langue, Virgile et Horace lui étaient très familiers. Son père , professeur de langues orientales à L..., possède
y a un an encore, d'une mémoire aussi remarquable. Comme celle de son père et de son fils, c'était surtout une mémoire visue
chez mon frère, professeur de droit à l'Université de X... ; chez mon père , orientaliste, connu dans le monde scientifique,
vant M. Gallon, un don de famille, et, de fait, le frère, la sœur, le père de M. X. la possèdent tous à un haut degré. 1.
rtes et pendants le long du corps. Je vous présente actuellement la père de cette jeune fille. Il est âgé de 44 ans, et es
âgé de 44 ans, et est atteint de la môme affection qu'elle. Entre le père et la fille, vous le voyez, la ressemblance est f
typiques de la forme infantile décrite par Duchenne (de Boulogne). Le père d'un côté, le fils de l'autre (fig. 32 et 33), so
es attaques d'hystérie nettement caractérisées. Notons encore que son père était un rhumatisant avéré. M. et Mme X... ont
famille tout entière se trouva réunie à l'occasion des vacances : le père et la mère vaquant à leurs occupations habituelle
bornée à appuyer les mains sur la table, lorsque, le vendredi 29, son père essaya à nouveau de savoir si son tour d'être méd
, au même moment, ses bras se raidirent et son regard devint fixe. Le père effrayé lui jeta un verre d'eau à la face : elle
it des lions, des loups; puis il se lève, frappe les portes, voit son père mort, veut tuer des brigands imaginaires avec un
igands, des assassins qu'il veut frapper. C'estle 9 décembre que le père et la mère désolés, et, devant un traitement rest
des malades du lieu où leur maladie s'était déclarée ; Vabsence du père et de la mère devenus eux-mêmes très nerveux, et
que de rester dans la maison paternelle, en contact perpétuel avec le père et la mère, et entre eux dans des relations de to
s mon opinion. Oui, il faut séparer les enfants, les adultes, de leur père et de leur mère dont l'influence, l'expérience le
tion chez la petite malade d'Angoulême lorsque je reçus une lettre du père me dépeignant cet état lamentable et me priant de
sentement fut difficile à obtenir, malgré toutes mes remontrances. Le père surtout ne pouvait pas comprendre qu'un médecin p
père surtout ne pouvait pas comprendre qu'un médecin pût exiger qu'un père s'éloignât de son enfant au moment du danger. La
m'animait, je fus peut-être éloquent, car la mère céda d'abord et le père la suivit en maugréant et n'ayant, je crois, qu'u
ises depuis quinze jours, et hier il est allé souhaiter la fête à son père ; il est sorti triomphant de cette épreuve. Il n'
ois sont devenus très rares depuis quinze jours ; néanmoins, chez son père , où il accompagnait son frère cadet, il a présent
s antécédents héréditaires sont fort remarquables chez ce malade. Son père vit encore ; il est âgé de 76 ans. De 38 à 44 ans
Il est arrivé à Taris à l'âge de 32 ans, travaillant d'abord chez son père , puis employé comme garçon de magasin dans une us
té nerveuse si fortement accentuée dans sa famille : hystérie chez le père , très vraisemblablement pour le moins; grand oncl
tate rien de bien particulier dans les antécédents héréditaires. Son. père , qui était très violent, est mort à 60 ans, à la
n collègue, M. le docteur Luys. De ses parents, il ne connaît que son père qui est mort à l'âge de 48 ans, alcoolique avéré,
s héréditaires, on ne trouve à relever, ici, que l'alcoolisme chez le père , et parmi les antécédents personnels dans l'enfan
on de taille moyenne, peu développé et plutôt d'apparence débile. Son père , qui a exercé la profession de charretier, est al
son métier, le fils d'un de ses camarades fut rudement frappé par son père ; témoin de la scène, L... voulut s'interposer; ma
est morte à l'âge de 46 ans, à la suite « de rhumatismes » (?) ; son père est alcoolique. Une de ses sœurs, âgée de 16 ans
les ponts, dans les salles d'attente des gares de chemins de fer. Son père l'ayant placé en apprentissage chez un fruitier,
agnie d'une bande de jeunes vagabonds et interné à la Roquette où son père le laissa pendant un an. Il y a deux ans, à l'â
squelles elle s'affaissait sur elle-même et perdait connaissance. Son père , grand buveur d'absinthe, n'a jamais présenté d'a
ouffre depuis bientôt 3 ans. C'est un homme de 45 ans, nommé Ch..., père de sept enfants, qui ne présente pas d'antécédent
Communiqué par M. le professeur Lannelongue). Petite fille ce 13 ans. Père atteint de paralysie infantile; mère ayant eu des
habituelle, est blanchisseuse et va laver sur la Seine au bateau. Son père , fabricant de verres de lunettes, actuellement âg
ant subitement la parole au moment où un soldat ennemi va frapper son père , cette histoire est peut-être un exemple de mutis
catarrhe, a eu un fils alcoo-licpje et considéré comme irresponsable. Père , mort d'une laryngite tuberculeuse à l'âge de 57
di-mutité serait survenue à la lecture d'une lettre dans laquelle son père lui reprochait sa conduite et lui refusait de l'a
lpêtrière le 21 avril 1885, service de M. le professeur Charcot. Le père a eu des convulsions fréquentes ; le frère de son
mblement que plusieurs médecins ont qualifié de chorée hystérique. Le père lui-même est très nerveux. Jusqu'à ces dernière
par des discussions et des scènes violentes qui eurent lieu entre son père et sa mère; c'est à ces chagrins domestiques qu'e
, entrée à l'hôpital de la Pitié le 27 mars 1885. Mère très nerveuse; père hypochondria-que. Il y a deux ans, la malade a eu
opération, gaie, jouant avec sa poupée et causant avec sa mère et son père . Au moment de la section du tendon, elle poussa u
33 (1895) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1894
piquos, dans les stations balnéaires ou villes d'eaux et cer- tains pères de famille, sous les yeux de qui il était tombé,
it-il, le directeur joue le rôle et as- sume la responsabilité d'un père de famille. Or, quel père de famille consentira
e rôle et as- sume la responsabilité d'un père de famille. Or, quel père de famille consentirait à laisser soumettre ses
odieux. (Bruit.) M. Le- rolle. Je répète ce qu'on a déjà dit : Quel père de famille consentirait à soumettre ses enfants
mbres de la Commission a bien qualifié ces faits, en demandant quoi père de famille suppor- terait cela pour ses enfants
fants. Je fais appel de vous à vous- mêmes, des hommes de parti aux pères de famille, et je vous posera question : « Qui
e tout et de son autorité elle couvre tout. L'opinion jugera et les pères de famille apprécieront (Bruit prolongé.) Voi
elle et morale très remarquables. (Imbécillité morale). Sommaire. Père : aurait eu clans sa jeunesse et jusqu'à 18 ans
ue. Cousin paternel pervers. Àfère nerveuse, sans attaque. Grand- père maternel, excès de boisson. Grand'mère mater- n
être, dans notre service, le 10 mai 1886. Antécédents héréditaires. Père , 34 ans, garçon de labo- ratoire à la ferme-éco
n'a jamais présenté, au dire de sa femme, d'accidents nerveux. Son père , mort en 2 ou 3 heures, à 73 ans, était migrain
ac et du foie. » Mère nerveuse, sans convulsions ; lymphatique. Son père fait de nombreux excès de boisson, antérieurs à
'ouïe. Il est menteur, aime à nuire : un jour, dans la ferme où son père est employé, il s'est amusé a détruire tout un
cesse la classe, où il n'était gardé que par considération pour son père . III. C'est dans cette situation qu'Ét... nous
tueuses à l'entrée dans le service, ainsi que nous le rappelait son père il y a quelques jours, sont devenues tout à fai
ptitudes particulières. Ressemblance cle l'enfant; tient-il plus du père que de la mère au point physique et au point de
ngénitale complète par arrêt simple de ' développement. Sommaire. Père , nerveux, rhumatisant, psoriasique. , Tante pat
ntécédents. (Renseignements fournis par sa mère le 2 février Ï890.) Père , mort à 52 ans d'une bronchite" chronique datan
1879, avait autrefois fumé beaucoup. Caractère doux. [Famille du père . Père, bûcheron, sobre, mort à la suite d'une p
9, avait autrefois fumé beaucoup. Caractère doux. [Famille du père. Père , bûcheron, sobre, mort à la suite d'une piqûre
maternelle morte à 90 ans, de vieillesse. Un frère, 57 ans, marié, père de 3 enfants vigoureux et intelligentes. Une so
ant peu intelligent; elle s'est ensuite mariée avec un autre que le père de l'enfant et a eu 4 enfants parmi lesquels ét
gnaler au point de vue pathologique et psychique dans la famille du père .] Mère, 43 ans, couturière, à physionomie intel
i n'apparaissaient jamais durant la grossesse. [Famille de la mère. Père , menuisier, mort à 75 ans d'un cancer du pylore
mars 1893. Jîenseig'nements fournis par sa mère (octobre. 1891). Père , mort, à54 ans, enoctobre 1891, probablement d'un
appartenant à la franc-maçonnerie, est intervenuet l'a sauvé. » [ Père , instituteur, sobre, mort à 72 ans d'une attaque
rhumatisme. C'est une femme intelligente, cl d'un caractère calme. [ Père , mort àfiÛ ans, hydrnpique : on ne peut précise
ons. Antécédents personnels. 97 Notre malade. A la conception, le père et la mère étaient bien portants et vivaient en
ant les gros- sesses. II. Mentionnons la canitie survenue chez le père , en quelques heures, à la suite d'une émotion v
ernant la famille. Elle a pourtant sa raison. Nous avons dis que le père et la mère avaient le nez aquilin, afin de fair
ontraste avec le nez camus de la malade. De même pour les cheveux : père et mère bruns, la malade, châtains roux. IV.
34 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
ait âgée de 18 ans. Renseignements fournis par sa mère (juin 1874). Père , mort à 42 ans, d'une pleurésie; il était très-ir
minaient par des pleurs et du tremblement, duraient 10 à 15 minutes. [ Père , nerveux, mort à 83 ans d'une rétention d'urine.
portante.] Mère, sujette à des bronchites; aucun accident nerveux. [ Père , mort d'une attaque d'apoplexie à 60 ans. — Mère,
L... eut une première peur. Allant un jour porter le déjeuner de son père nourricier qui travaillait dans un autre village,
ton : nous retrouvons la même chose chez les possédées : « Bientôt le Père , répétant le commandement qu'il avait déjà fait,
ier leur Maître, et » lui témoignant alégresse de le voir. Alors le Père » Lactance Gabriel, Recollet, et l'un des Exorc
, le 16 septembre 1875. Renseignements fournis par sa sœur aînée. — Père , ouvrier gazier, a fait de tout temps des excès d
intervalles, elle travaillait chez le marchand de vin où logeait son père . — L'intelligence n'aurait pas baissé depuis troi
ans et demi, son « promis » est mort d'une « fièvre cérébrale. » Son père nourricier, craignant qu'elle ne fit des scènes,
de cœur si on l'en croit, Camille, elle parle de son second amant, le père de sa fille, de sa fille elle-même, etc. : « Pa
Geneviève !.. . Ton existence est bien triste.. oh! ma fille !... Ton père je ne l'ai jamais aimé... Oh! le traître !... » E
mpression ovarienne : Détente générale, délire: G... appelle l'amant, père de sa fille, regarde sans se rendre (l) Allusio
avec leurs périodes ordinaires. Compression ; G... appelle son amant, père de sa fille, L... : « Oh ! L... ! Oh! L... ! Les
n'était pas seulement des rivaux qu'il avait à craindre, c'était des pères et des maris outrés et furieux de la mauvaise rép
n 1870 dans le service de M. Charcot. Renseignements fournis par le père de la malade et par la malade elle-même. (Juin 18
.— De ses parents connus, aucun n'aurait eu d'affections nerveuses. Père , horloger, comédien, âgé actuellement de 53 ans,
'un vieil alcoolique. Il s'est marié deux fois ; il a eu 15 enfants. [ Père , ivrogne, mort à 63 ans, on ne sait de quoi. — Mè
-Malades. Après la mort de sa mère (7 ans), elle resta un an avec son père ; durant ce temps, on l'envoya à l'école ; elle a
ssèrent; l'une d'elles prit une voiture pour reconduire M... chez son père ; elle donna une série de fausses adresses et se
ence d'urine, couchaient au grenier, pêle-mêle, sur de la paille. Son père la reprit vers l'âge de 12 ans. Placée en appre
que la scène que nous allons ra conter, la décida à tout dire à son père . Sa patronne, cultivant plus les plaisirs que s
s causèrent une grande frayeur à M...: le soir, elle avoua tout à son père qui la retira de chez cette trop aimable patronne
à son apprentie paresseuse. M... eut un panaris et retourna chez son père . Une fois guérie, elle fut placée, pendant deux m
que si elle n'était pas plus raisonnable et revenait à la maison, son père aurait à choisir entre sa fille et sa femme, M...
trer à la Pitié, d'où elle fut envoyée au Vésinet. Revenue chez son père , elle travailla avec sa belle-mère qui est brodeu
renseignements ; ce que nous pouvons assurer, c'est que les dires du père et de la fille, interrogés séparément, concordent
epuis son admission à la Sal-pétrière qu'auparavant. Dehors, avec son père , elle ne parle que d'hommes, de mariage, d'envie
ses appétits vénériens qu'elle ne dissimule nullement, ainsi que son père nous l'a déjà dit. 1871 (1). Description d'Une
s. Les accidents nerveux, constatés à la fois chez la mère et chez le père ; de plus, l'alcoolisme chez celui-ci, ont assuré
ives de coït infructueuses. Yers 1871, M ... sortit en ville avec son père qui, le soir, chargea un jeune voisin de la recon
35 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
ssion de maçon. Sa mère, une « nerveuse », est morte phtisique. Son père vit encore et se porte bien. Nous n'avons rien
... a eu aussi de l'incontinence d'urine, dans le jeune âge. Il est père d'une petite fille., âgée de 2 ans, qui, elle aus
, tousse beaucoup et a eu des hémoptysies. Ch... est marié ; il est père de deux enfants, qui sont d'une bonne santé hab
vant avoir quelque intérêt dans la suite de cette observation, que le père de X... éprouvait une certaine difficulté à acc
'occasion des premières bouchées d'aliments. Nous avons dit que son père présentait ce même symptôme. En second lieu, lo
dansTacte de la masti- cation au début des repas, symptôme que son père éprouvait également. Si ces phénomènes réunis n
ée, il est vrai, à l'acte de la mastication a pu être notée chez le père du malade constituent un ensem- ble symptomatiq
Lieu de nais- La ville de Twer. Twer. Twer. sance. Antécédents Le père de ces trois malades est mort à l'âge de 64 ans
acquis un haut degré d'inten- sité. Antécédents héréditaires. Le père de cet homme a vécu jusqu'à ,1 81 ans ; il trav
e l'oeil correspondant au côté de l'oreille atteint. Je sa- vais le père atteint d'un tabès à marche très lente, qui avait
plus commandées par la nécessité de la vision active ni par les re- pères de la perspective objective, les globes.oculaires
nts nous trouvons la grand'mère paternelle qui était nerveuse et le père qui, sujet à des crises d'épilepsie, se suicida
Bruegel ne sont pas toujours des co- pies exactes des créations du père de famille. La donnée et l'ensemble res- tent l
ernier a composé sa peinture d'après le dessin ou la gravure de son père en y introduisant un personnage de sa façon. Il
i d'ailleurs n'a aucune ressemblance avec la signature des Bruegel, père ou fils. Telles sont la description et l'interp
consultation de la cli- nique infantile le 15 novembre 1898. ' ' Père et mère bien'portants. 10 enfants vivants. Il y a
., âgée de 11 ans, entre au service des enfants le 23 février 1899. Père âgé de 37 ans, tubercu- leux. Mère morte tuberc
férents appareils sont normaux. Observation III. Fillette de 6 ans. Père et mère bien portants. Grand-père maternel mort
. Vue il la consultation de la clinique infantile le 4e avril 1898. Père bien portant, légèrement dyspeptique. Mère nerv
ns, vue à la consultation de la Clinique infantile le 29 mars 1898. Père 58 ans, journalier, zouave pendant 7 ans en Afr
iligo et la scléro- dermie. Chez une fillette de 10 ans, issue d'un père français el d'une femme arabe, nous avons décou
de la petite salle. , Antécédents héréditaires et collatéraux : . Père mort en 1881 il l'âge de 61 ans d'une grosse hern
endante, soit descendante. C'est ainsi que la malade est issue d'un père obèse, adipeux et pesant un poids considérable, e
lle qui n'est ni difforme ni obèse. Il est à remarquer aussi que le père de cette femme est mort d'une hernie étran- glé
orts de méningite et de convulsions. Enfin, s'il est prouvé qu'un père peut transmettre héréditairement la syphilis à
A diverses reprises j'ai vu ces deux jeunes filles, ainsi que leur père . et jamais je n'ai observé la moindre trace de sy
hollandais la vocation de peintre se transmettait comme un métier de père en fils. Dirck Iloogstraaten, le plus ancien, n
7-1678) fit ses pre- miers essais de peinture dans l'atelier de son père , et devint ensuite l'élève de Rem- brandt. Rapi
re, portraits, paysages, natures mor- tes, etc. ayant hérité de son père la correction du dessin et la fraicheur du colori
r un myxoedème fruste. Nemo dat quod non IrrcGcl. Examinez aussi le père . Faites une enquête soignée sur les frères et s
'obtins difficilement des renseignements exacts sur les parents. Le père serait mort d'hydropisie et de rhumatismes. La
e abondamment réglée, au point d'en être fortement affai- blie. Son père est encore en vie; sa mère est morte d'albuminuri
la fin, elles ont été profuses, interminables. Son grand-père et son père , quatre de ses frères et soeurs sont morts de t
res, fins, minces. Le visage est plaqué de psoriasis. (Fig. 26.) Le père est mort tuberculeux. La mère est obèse et je n
atteints, Vizioli a cependant publié une observation concernant le père et le fils, où l'on avait noté une atro- phie d
obre 1891, n° 41). 332 ANDRÉ RICHE ET DE GOTIIARD Antécédents. Le père est mort à 57 ans, d'une maladie de coeur, la mèr
a Salpê- trière, salle Cruveilhier, lit n° 9. Antécédents . - Son père est mort à 60 ans subitement, sa mère est morte
trée le 20 octobre 1896, salle Broca, lit n° 10. Antécédents. Son père est mort à 65 ans des suites d'un accident de che
re 1898, salle Duchenne de Boulogne, lit n° 14. , Antécédents. Le père est mort à 84 ans ; la mère est morte du choléra
er maçon, 61 ans (Pl. LXII, fig. F et G). Antécédents héréditaires. Père mort à 61 ans, cause inconnue; mère morte à 71
famille n'a eu de maladie nerveuse ni d'atrophie muscu- laire. . Père mort il 80 ans. Mère morte à 45 ans. A encore
les membres et serait morte dans un grand état d'amaigrissement. Père mort à 66 ans, de pneumonie; dans les ascendants
., 42 ans, cocher (P,j. LX, fig. A et B). Antécédents héréditaires. Père atteint de paralysie infantile, attaque d'apopl
arents ont atteint un âge avancé; mère morte à 57 ans, asthmatique; père mort d'accident. Un frère, atteint de bronchite
traitement. Les antécédents de cet homme sont peu instructifs. Son père , qui tou- jours aurait joui d'une bonne santé,
édents, il n'existe aucune affection ner- veuse particulière et son père était, paraît-il, d'une sobriété parfaite. 388
ts héréditaires sont assez incomplets. Nous savons seulement que le père est mort à 80 ans de vieillesse, la mère à 50 a
stroeten (35) donne en 1889 deux observations. Dans la première, le père est triste et mélancolique, la mère meurt d'apopl
e d'esprit; plusieurs oncles sont alcooliques. Dans la deuxième, le père est buveur, la mère, goitreuse. Gïtiiioîî,(11),
1890, publie le cas d'une malade acromégalique et hys- térique ; le père et les parents paternels sont inconnus ; on sait
veuse, avait supporté beaucoup d'émotions pendant la grossesse ; le père était un ner- veux, bizarre et exalté. Le pèr
la grossesse ; le père était un ner- veux, bizarre et exalté. Le père d'un malade d'Uzverricht (34) meurt d'apoplexie.
'Haskovec (13) a sa mère et un oncle maternel mélan- coliques. Le père du géant acromégalique illustré par Brissaud et M
Froussard (7) publient le cas d'un malade de M. Bris- saud, dont le père , alcoolique, s'est suicidé, et dont quatre frères
), 47 ans, couturière ; entrée le 18 avril 1896. Antécédents. - Son père est mort subitement il 55 ans, sa mère est âgée d
ntrée le 13 juillet 1897, salle Rayer, lit no 3. Antécédents. Son père est mort à 63 ans accidentellement, sa mère est
10 août 1897 petite salle Cruveilhier, lit n° 4. Antécédents. - Le père est mort à 72 ans, d'une fluxion de poitrine ; la
1899 à la Salpêtrière, salle Rayer, lit n° 14. Antécédents. - Le père est mort à G5 ans, d'une pneumonie ; la mère est
: une famille éplorée, réduite à la plus noire misère, suppliant un père insensé qui gas- pille tout son avoir à la pour
le vieux, Willem VAN Mieris (1GU2-174.7), élève et imitateur de son père , a peint un assez joli tableau, aujourd'hui dan
souvenirs de la mère sont à cet égard très affirmatifs. Quant au père des deux jeunes filles c'est un homme de bonne sa
huitième et dernier représentant de cette famille oedémateuse : le père de cette vieille femme, l'arrière grand-père de n
il est question d'un enfant sujet à des poussées d'oedème aigu. Le père de l'enfant présentait des accidents identiques
onstruosités, il est de notoriété courante que de mère en fille, de père en fils, les anomalies osseuses, cutanées, sens
étude des antécédents héréditaires n'a rien donné d'intéressant. Le père et la mère sont bien portants, une soeur plus jeu
30 ans, jardinier. Antécédents héréditaires. - Le grand-père et le père du malade étaient bègues. Chez l'un comme chez
tensité; il diminue ensuite à mesure que le sujet avance en âge. Le père du malade qui vit encore ne bégaie plus en ce m
! 'age de 8 ans X... commence à bégayer comme son grand-père et son père . Comme eux il a vu son bégaiement augmenter dép
érieurs. On ne connaît pas de maladie semblable dans sa famille. Le père a suc- combé à )'age de 79 ans; il ne s'était a
36 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
le composée de six enfants, tous les ni m rongeaient les ongles. Leur père , alcoolique, leur avait transmis la dégénéresce
. âgé de 16 ans, n'a pas d'antécédents héréditaires tres chargés. Son père cal bien portant ; sa mère esl très impressionnab
, mais ils ont disparu rapidement sous l'influence du traitement. Son père est nerveux Cl doué d'un caractère emporté. Sa mè
s diarrbées alternent rhrs |n¡ avec des constipations opiniâtres. Son père esl apathique. Sa grand'mère du roté paternel est
rescence. Il faut cependant la considérer comme une héréditaire ; son père est alcoolique, buveur ; sa mère a élé somnambule
les doigts et rongé Ions les oagles. Elle lient celle habitude de son père qui. âgé de 10 ans. se ronge les ongles encore ma
e l'habitude à l'influenre de l'imitation el à l'exemple donné par le père . L'enfant a fait preuve de beaucoup de bonne volo
donnent des signes de frayeur. On finil cependant par les décider. Le père de ces six enfants, marchand de vins, est un buve
La durée delà crise varie de quelques minutes â nu quart d'heure. Son père esl marchand de vins, c est-à-dire buveur profess
cle et sa tante, ceux-ci, au bout de fort peu île temps, demandent au père de reprendre sa fille. Malgré le boa vouloir
agine, et la belle-mère car la jeune tille n'a plus sa mère, et sou père est remarié; la Iwlle-nière donc écrivit confiden
, si bien, que les religieuses profitèrent du prétexte pour écrire au père de reprendre sa Mlle, heureuses de se débarrasser
ico-légales, avéc lequel ce fait peut du reste être rapproché, car le père de renfaut dont je vous parle pensait sérieusemen
este sou histoire. Madame D... est âgée actuellement de 38 ans. Sou père est mort a 58 ans eu 1883 de démence paralvtiipie
nous recueillons disa Bere les renseignements suivants ; Son mari, père de la malade, a été placé à Bicétre deux fois et
e les ongles avec rage. Les antécédents héréditaires sont mauvais. Le père était buveur nu moment où il l'a engendrée. La mè
elaterons ici seulcmeut deux observations ; dans la première c'est un père qui veut luer sa lille, mais le meurtre n'a pas é
commis; dans la seconde, au contraire, un lils qui veut tuer son père , il y a eu tentative d'assassinat. Ces doux faits
ne jeune fille de douze ans. Tout alla bien jusqu'à l'innée 1891 : le père n'avait jamais eu aucun trouble de l'intelligence
précédents, il n'y a pas de cas d'aliénation dans sa famille, mais le père est un alcoolique invétéré, il était alcoolique a
jours cuire deux vins pour me servir d'une expression populaire. Ce père a supporté admirablement l'alcool ; il est bruyan
ues scènes de colère orgueilleuse se produisent, il retourne chez son père à 13 ans. Place dans un collège secondaire, il tr
demander de l'argent pour vivre, s'ils le veulent bien, dit-il. Son père accourt pour le chercher: le lils lu borde comme
tures scîentifiques et autres: des scènes ont lieu : aux reproches du père , il répond par des injures, bientôt il ne peut pl
r des injures, bientôt il ne peut plus le supporter. Enfin un jour le père qui pourtant aime ce lils unique plus que lui-mêm
l'idée maladive. A ce moment nait chez M, Y... la pensée de luer son père : le coup qu'il a reçu lui donne, croit-il, le
alors éclate une violente scène de colère: le jeune homme injurie son père , plus rarement sa mère: il menace, il veut frappe
re, mais d'un accès de folie. Dans une de ces crises, il poursuit son père avec une bûche de bois disant qu'il veut le tuer,
sant qu'il veut le tuer, tout le village est ameuté par ses crîs : le père s'est enfermé et il faut plusieurs personnes pour
nte dans une chambre haute, un énorme bloc de pierre et il guette son père pour l'écraser au passage. Lorsque celui-ci sort
effleurant le bras. Sa volonté est très précise ; il a voulu tuer son père ; il me le dit encore huit jours après, au moment
e', mais il n'a rien fait de mal : il a eu raison de vouloir tuer son père , telles sont ses réponses. — Son père quitte sa m
a eu raison de vouloir tuer son père, telles sont ses réponses. — Son père quitte sa maison et et va se réfugier chez des pa
it très malheureux d'être séparé de sa mère cl demande sa sortie. Son père vient le voir, avec lui il est moins affectueux,
ant l'entrevue; le malade reste glacé au milieu «les effusions du père : d'autres entrevues avec le père ont lieu, elles
te glacé au milieu «les effusions du père: d'autres entrevues avec le père ont lieu, elles ont le même caractère, aucune cri
re des persécutions persiste. Il m'a demandé à aller au devant de son père , jusqu'à h gare, ce que j'ai autorisé. Il voit so
devant de son père, jusqu'à h gare, ce que j'ai autorisé. Il voit son père descendre du train, il se cache et pendant que so
. Il voit son père descendre du train, il se cache et pendant que son père vient chez nous le chercher, le malade prend un a
aison. Discussion ; Supposons que le crime ait été commis et que le père ait été tué par le fils dans le guet-apens prépar
and-père très bien portant, une grand'mêrc diabétique, une mère et un père tres sains et deux enfants, le jeune A... et sa s
oir, à s'ennuyer de lui. (iliaque jour, en rentrant avec sa mère, son père la trouve mieux et constate un progrès nouveau.
e Dr À. Mavroukakis. M. Gaston Volb... est iigé «le douze ans ; son père est atteint d'artro-phie musculaire progressive,
s entendu parler, ce lîls ayant à la suite d'une altercation avec son père , quille la maison paternelle et juré «le ne plus
qui l'obsédait, peut-être par une sorte de fatalité héréditaire (son père , homme fort honorable d'ailleurs, s'était {I) M
tomac, des borborygme». L'influence héréditaire est très marquée; son père est lui-même neurasthénique hypocondriaque, sa mè
er. Chez ce malade, l'iuftucuce héréditaire est très manifeste. Son père est un homme irritable, de relations difficiles U
t des plus ngîtées. Né en 1817 â Port-Louis, dans l'île Maurice, d'un père anglais et d'une mère trnnçnise, le jeune savant
2 in-4°.393 pages. C. HcinnaM et Cie .éditeurs. 15. rue des Saints. Pères . Paris, 1893. emm. vauchez. — Manuel d'instruct
de 36 ans ; il est gros, très fort et d'un tempérament sanguin — Son père , mort à 55 ans d'apoplexie, cuit également sangui
tion I. Mademoiselle V..., âgée de 26 ans, domestique. Antécédents: père mort très jeune, alcoolique. Grand'mèrc paternell
Observation II. B. ., âgé de 17 ans, garçon épicier. Antécédents : père mort à 36 ans, d'une pneumonie; mère bien portant
z les nosophobes. 1° Louis C…, 21 ans, célibataire, garçon boucher. Père alcoolique, mort d'un cancer de l'estomac. Mère h
Il s'agît n'un négociant, M. Alfred A.... 43 ans, célibataire. Son père était d'un tempérament très nerveux, et sa grand'
37 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
re bon sens. Marie-Anne de la Ville naquit à Bordeaux en 1680 : son père était avocat ; sa mère mourut peu de temps après
llucinations qui modifièrent profondément son esprit prédisposé : son père l'envoya à Paris au couvent de la Visitation. Mal
y, septentriont ou canton de la terre par la puissance de Dieu le père f, par la sagesse de Dieu le fils f et par la ver
sant vous foudroyra et reléguera au plus profond des enfers au nom du Père 7 et du Fils -J* et du Saint esprit f ainsi soit-
Elle a une hérédité très chargée : son grand-père s'est suicidé; son père avait des phobies; sa mère est nerveuse; son frèr
ntécédents que nous avons recueillis confirment notre diagnostic : le père est vif, emporté, très probablement ôthylique; la
e; la mère a eu, pendant les sept années qui ont suivi la mort de son père , des crises convulsives avec accès de larmes. Ell
vous bénirons . Un peu plus loin, dans une chaire en plein air, un père exhorte les fidèles à la pénitence, et d'autres m
emain, il dépose sa couronne. Galien pendant un rêve apprend de son père qu'il sera médecin ; et Galien s'adonne à l'étude
a été versée, mais il ne possède ni ne trouve dans les papiers de son père aucune pièce justificative du payement. Il va êtr
t. Il va être condamné à verser ladite somme quand, dans un rêve, son père lui révèle que le reçu se trouve chez un certain
20.000 poitrines. Devant l'église du Rosaire, au milieu, est venu un Père à la voix puissante, dominant la masse des fidèle
avec respect, crient de toutes leurs forces, répétant les paroles du Père à la voix surhumaine : « Hosannah au fils de Da
ble. C'était le dernier et le plus chétif de ses frères et sœurs. Son père mourut en 1580, alors qu'il n'avait que trois ans
en portants. Leur mère est aussi tout à fait en bonne santé; leur père est à la période ataxique du tabès; il nie avoir
nfluence psychique de bien plus grande importance. La vue du tabes du père a influé sur l'état psychique de la malade. (1)
et les drapeaux se sont successivement rangés en haut des marches. Un Père ' entonne le Magnificat; la foule immense répète
ent universel des transformations dans la nature. « Le ferment est le père des transmutations. » C'est la chimie qui le lui
commence à réapparaître : elle était attendue! Quand elle tousse, son père lui dit à plusieurs reprises : « Cesse donc de to
eaux vers la fin de l'année 1680, d'une mère qui mourut jeune et d'un père auquel ses occupations d'avocat besoîgneux laissè
ait demandé au médium d'obtenir une empreinte du visage de son défunt père sur un bloc de stuc déposé sur la table autour de
il se lamente, et, songeant aux reproches qu'il aura à subir de leur père commun, il s'écrie : « Quelles invectives, quel o
; mais ne semble-t-il pas que Sophocle, en donnant à l'aliéné Ajax un père sombre, irritable, violent, ait voulu marquer que
é. En cercle se tenaient rangés le chœur gracieux de ses fils, et son père et Magara; déjà on portait autour de l'autel
e. Tout à coup il s'écrie, riant comme un insensé : « Pourquoi, 0 mon père , songer à des purifications avant d'avoir tué Eur
Mycènes et fait entendre des menaces furieuses contre Eurysthée. Son père alors, touchant sa robuste main, lui adresse ces
tu as tués qui te trouble l'esprit ? Mais lui, croyant que c'était le père tremblant d'Eurysthée qui touchait sa main pour l
e un oiseau effarouché. Leur mère s'écrie : « Que fais-tu, malheureux père , tu veux donc tuer tes enfants? » Le vieillard cr
'écrie-t-il. un des fils d'Eurysthée; il a payé pour la haine que son père m'a toujours témoignée. » Il tend alors son arc c
'autel, se croyait à l'abri. Le malheureux se jette aux genoux de son père , élevant vers lui des mains suppliantes. « Père c
tte aux genoux de son père, élevant vers lui des mains suppliantes. « Père chéri, lui dit-il, ne me tue pas ; je suis ton fi
me et son fils. Puis, comme il se hâtait pour aller immoler son vieux père , on vit une figure merveilleuse : Pallas apparut,
j'arrive, je trouve toute la famille consternée. Depuis 9 heures, le père du jeune bébé, retenu à son usine, a déjà télépho
nseignements que je recueille : La veille, l'enfant a fait avec son père une longue promenade à pied; sur le point de rent
guérir, au préalable, ou, tout au moins, d'enrayer la névropathie du père ou de la mère. Que de fois encore, dans notre p
ousser des cris déchirants, il va, en toute confiance, demander à son père d'embrasser l'endroit contus et instantanément la
uire la férocité des tribus anthropophages sur lesquelles régnait son père et qu'il les rendit sensibles aux notions du bien
qu'on ne l'est généralement à son âge, exerçant la profession de son père . La maladie remonte à trois ans. Depuis cette épo
pour faire disparaître cette sensation douloureuse et fort gênante.Le père , chargé des frictions, a remarqué que sur le côté
Ainsi, par exemple, au lieu de s'intéresser à ce que me racontait son père , il attachait ses regards sur les tableaux de mon
ards sur les tableaux de mon cabinet, et quand je l'interrogeais, son père était souvent obligé de répondre pour lui. Je v
et musculaire. Et là-dessus, les renseignements sont très précis : le père raconte avec un certain orgueil, les exploits de
i est accepté. A peine assis, le malade, au grand étonnement de son père , tombe dans un sommeil profond, pendant lequel je
r, assiste au théâtre à une représentation : elle est entourée de son père , de sa mère et de ses sœurs qui ne s'aperçoivent
(1) par M. le professeur Raymond. Cet homme est âgé de 38 ans. Son père était un alcoolique qui a présenté des accidents
iture Cela ne manqua point, et presque aussitôt je vis, en effet. les père et mère —je suppose que c'étaient eux — donner la
t rien obtenir et qui mettait le désordre dans sa classe. Fils d'un père bien portant mais d'une mère et d'une grand'mère
cas d'une enfant de 11 ans, onychophage depuis l'enfance, fille d'un père alcoolique et d'une mère nerveuse et qui était su
'orthonutrition. Un de mes malades avait l'idée fixe d'assassiner son père ; il en fut complètement débarrassé par des prescr
yant entre eux les rapports de parenté les plus étroits, c'est-à-dire pères ou mères, fils ou filles, frères ou sœurs, oncles
des mouvements, des promenades, des voyages. Le cardiaque -est un bon père ; il aime ses enfants, ne peut se faire à l'idée d
l'antipathie, de l'animosité, de la répulsion. Il y a deux ans, son père meurt. Ce gros chagrin la démonte encore plus. Dè
agité et elle a des rêves terrifiants. Elle assiste à l'agonie de son père ; puis le cadavre se désagrège, il ne reste plus
38 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
insi que, d'après Flemming, les enfants conçus pendant l'ivresse du père sont très exposés aux psychoses; plusieurs mère
soi-disant consécutifs à une chute sur la tête d'un lieu élevé, - Père aliéné. Observation II. - M"° C..., huit ans et
servation VIII. - \I ? X..., de T..., dix-neuf ans, hys- térique. - Père et mère migraineux. Observation IX. Mlle E. 8..
nel, mort fou ù Bicêtre. Observation X. NI'ne J..., hystérique. - Père bizarre, délire passager. Grand-père paternel p
s. Observation XI. M"° D..., douze ans. Contracture hysté- rique. Père original. - Mère hystérique. - Frère imbécile.
ervation XIII. - M"0 F..., dix-neuf ans. Contracture hystérique. Le père a été atteint plus tard de mélancolie pendant s
à la Salpêtrière. Mère hystérique (a deux frères mal équilibrés). - Père alcoo- lique. - Quatre frères : l'ainé a été à
, hystérique. Grand-père maternel mélancolique. Mère névralgique. Père , crises nerveuses ( ? ) jusqu'à treize ans. Obs
ique à crises convulsives et psychiques. Hyperesthésie plantaire. Père mélancolique, agoraphobe. Ces névroses méritent
e avant sa mère). Observation XXIII. Dr X..., paralytique général.- Père atteint de paralysie agitante. Observation XX
, goitre ophthalmique à dix-huit ans ; hystérie et somnambulisme. - Père excen- trique. Mère mélancolique. Deux fils d'u
s. Observation XXVI. - J... Tachycardie, tremblement des mains. - Père alcoolique. - Mère épileptique. - Oncle ma- ter
e déterminante. Observation XXXI. --Le Dr V..., trente-neuf ans. - Père rhumatisant. Dans son enfance, plusieurs fois,
ation XXXII. - M. H.... trente-quatre ans, paraly- tique général. - Père original. -Le malade a eu des convul- sions dan
e. Oncle maternel gâteux ( ? ). Observation XLV. M. M..., ataxique. Père encore vivant à quatre-vingt-deux ans, a eu dou
le et soeur aliénés. Observation L. - M. M..., peintre, ataxique. Père atteint d'une affection de la moelle épinière (
du système nerveux. Duchenne (de Boulogne) cite un sujet dont le père fut atteint plus tard d'ataxie locomotrice 4. L
6. Observation LIX. - M. D... Paralysie infantile à dix-huit ans. Père aliéné. Grand-père maternel aliéné. Observation
relevée encore par Dunlop2, qu'est basée la théorie cérébrale. Le père des trois malades de Dunlop est mort aliéné. D'
ie générale. Observation LXVII. - mye X... Sclérose en plaques. - Père et deux tantes maternelles aliénés. - Fils, tic d
cidé, d'un être vicieux ou criminel. Si on interroge séparément la père et la mère, on a plus de chance d'obtenir la vé
entre l'hystérie de la femme et celle de l'homme. Observation. - Père alcoolique. - Deux soeurs mortes de convul- sio
toujours été bonne. Excès de boisson envi- ron deux fois par mois. [ Père , mort à soixante-six ans, mère, morte à soixant
te d'un prolapsus utérin qui date de la naissance de notre malade. [ Père , mort d'une fluxion de poitrine ; mère morte d'
antécédents hérédi- taires, à l'exception des excès alcooliques du père qui sont pro- bablement plus fréquents qu'on ne
. Antécédents. Renseignements fournis par sa mère (16 août 1880). Père : quarante-trois ans, petit, mais bien portant ;
impressionnable; pas de migraines, quelques névralgies dentaires. [ Père : pas d'excès alcooliques, ni d'affections nerv
cide. Elle souffre de calculs biliaires. Intelligence ordinaire. - [ Père : mort phthisique à cinquante-trois ans, après av
as d'accidents nerveux dans la famille. Pas de mérycoles du côté du père ni de la mère.] Pas de consanguinité. 104 REV
énéral, il n'y aurait pas eu, ici, de jumeaux ni dans la famille du père , ni dans celle de la mère. DU MÉRYCISME. 105
cédents. - (Renseignements fournis par sa mère. 13 juillet 1882). - Père , trente-cinq ans, mécanicien, très bien constitué
nt souvent sans motifs; jamais d'attaques de nerfs ni de syncopes. [ Père et mère : n'ont présenté d'accidents nerveux d'
r. Jamais cette rumination n'a atteint le même degré que chez sun père . C'est tout au plus s'il lui revenait après le re
n-Baptiste, lit n° 3, le 15 mai 1883. Antécédents héréditaires. - Père , mort tuberculeux à vingt- neuf ans. Mère, mo
ation. M. Ollivier rapporte l'exemple d'une fille hémimèle, dont le père était épileptique et le grand- père apoplectiqu
d'une fille hémimèle, dont le père était épileptique et le grand- père apoplectique ? On a noté l'hérédité combinée et
eptique depuis l'âge de trente-neuf ans. - Grand-père paternel et père gout : eux ; tante maternelle folle, suicidée. De
ion LXXVII. M. J. G..., quarante-six ans, héré- dité névropathique ( père sujet à de violentes colères ; mi- graineux, at
de M. E. VIDAL. Pas d'antécédents syphilitiques ou héréditaires. Père mort à trente-huit ans d'hémorrhagies multiples
nte et un ans, fut admise à la Salpêtrière le 3 août 1870. Née d'un père bu- veur et d une mere morte a cinquante et u
er- nelle. Mais dans la lignée paternelle on trouve : grand-père, père et oncle buveurs et très alcooliques. L'oncle est
tions. Trousseau, par exemple, a rapporté la suivante : Un grand- père se suicide, le père est alaxique, les deux fils s
par exemple, a rapporté la suivante : Un grand- père se suicide, le père est alaxique, les deux fils sont ataxi- ques. M
entiments affectifs, fut conduit au pensionnat de Ville-Evrard. Son père qui habite l'ile de la Réunion a toujours con-
erie de médecine, le 26 novembre 188 : 2. Antécédents héréditaires. Père et mère morts vers soixante-quinze ans d'affect
ne nouvelle preuve. 3 r4 le REVUE CRITIQUE. Observation XVII bis. Père ruminant. Développement tar- dif de la marche e
N..., étudiant en philoso- phie. Il est âgé de vingt ans, fils d'un père ayant autrefois ruminé. Il dit qu'on ne pourrai
n paternelle, car elle guérit spontanément déjà avant le mariage du père . Ce dernier se rappelle avoir souvent ruminé de
d'une constipation opiniâtre, ayant un estomac peu dilaté, dont le père rumina jadis, qui a eu du pyrosis, puis des renvo
sa mère, qui a toujours joui d'une excellente santé, ainsi que son père , ses grands-pères etgrandes-mères. Sa santé ne la
ileptiques jusqu'au bisaïeul. Paralysie spinale spasmodique chez le père . II. Enfant de huit ans et demi. Absence complè
teil. III. Enfant de huit ans et demi. Pas de phénomène du genou. Père bien portant, mais ne manifestant pas non plus le
aucun bénéfice soit matériel, soit moral pour les malades. Il es- père donc que si cet article est maintenu dans son pri
39 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
A... M... veuve Ducom..., vivait alors en concubinage avec Cing... père , veuf de son côté. Deux mois après sa naissance,
ui, à l'époque où il fut conçu, étaient d'un âge avancé, puisque le père avait soixante-deux ans, la mère quarante-six.
cedents personnels et héréditaires n'ont pu être établis. Cing... père vécut jusqu'à l'âge de soixante-treize ans et fut
. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 69 Observation IL,- Jeune fille dont le père est médecin, dix- huit ans, excellente santé, t
a guérison fut parfaite. 4° Observation VIII. - Garçon de neuf ans; père criminel, mère douce et intelligente. Notion du
tobre 1808.) Observation I. - Homme de vingt ans, né à sept mois. Père REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 79 alcoolique. N'a ma
nse ni de crises épileptiformes. Observation IL Garçon de sept ans. Père alcoolique : en 1897 douleur à la jambe droite.
que la maladie était particulière à Long-Island (Etals-Unis) où son père et son grand-père, qui étaient aussi médecins,
sieurs cas d'épilepsie dans sa famille. Deuxième génération. - Le père était paysan. Il mourut cho- réique et paralysé
onnels. - Alfred 13... était en très bas âge lors de la mort de son père . il fut toujours chétif et très nerveux. Il mar
ns l'observation VIII, chez une choréique de cinquante ans, dont le père était épileptique, il est ques- tion d'impulsio
se de maladies spéciales en raison de la paralysie générale de leur père ou de leur mère, ce n'est point à la folie, mai
plus fréquents. B. Natalité. Deuxième génération (oncles, tantes, pères , mères). Dans les 40 familles de paralytiques gén
00 morts et i ? a p. 100 vivants. Les 59 morts se composent de 31 pères et de 28 mères. Les 21 vivants se composent de
posent de 31 pères et de 28 mères. Les 21 vivants se composent de 9 pères et de 12 mères, soit 12,25 p. 100 pères vivants
1 vivants se composent de 9 pères et de 12 mères, soit 12,25 p. 100 pères vivants et 20,33 p. 100 mères vivantes. 11f. l3
. l3all et Régis trouvent dans les familles des paralytiques, 20,31 pères vivants et 48,95 mères vivantes p. 100; et dans l
,95 mères vivantes p. 100; et dans les familles norniales 31 p. 100 pères vivants et 54 p. 100 mères vivantes. Troisièm
église pendant la nuit et avait sonné les cloches à toute volée. Le père dit qu'il a tué son fils pour le punir de cette
pendu, le cou pris dans une cordelette, un enfant de trois ans. Le père gisait inanimé sur le lit, la tête trouée par des
s de l'enfant était froid. La mort remontait à plusieurs heures. Le père respirait encore. Son état n'a pas permis de l'in
e prévoir le drame qui s'est passé hier soir. Dans l'après-midi, le père s'était rendu à son travail. Vers quatre heures,
ir avant d'avoir repris connaissance. On peut juger du désespoir du père quand, rentrant chez lui vers sept heures, il v
nier riposta par deux vigoureux coups de pied dans l'abdomen de son père , qui s'affaissa et mourut presque sur-le-champ.
seur Pitres, le 12 décembre 1895 pour troubles de la miction. Son père est mort à l'âge de quarante et un ans, à la suit
Antécédents héréditaires. Grand-père paternel mort paraplé- gique ; père et mère assez nerveux, s'emportant facilement.
, est entrée à l'asile d'aliénés de La Charité le 14 mars 1837. Son père est épi- leptique et il est à l'asile depuis le
t fortement constitué, est âgé aujour- d'hui de trente-six ans. Son père est mort goutteux ; sa mère est vivante et bien
pour des phénomènes névritiques récents aux membres inférieurs. Le père du malade est mort de tuber- culose. La mère es
qu'il ne fallait pas ajouter foi à ces paroles, car le démon est le père des mensonges. « Lorsque tu parles, reprit le s
les cérémonies. J'arrivai aux questions : « - Crois-tu en Dieu le père , tout-puissant, créateur du ciel et de la terre
nt, pour obéir à une voix d'en haut, sacrifié dans la même nuit son père , sa mère et leur domestique, s'était servi d'un
un jeûne homme qui, dans une crise délirante, assomma presque soii père en lui assénant sur la tête un coup porté avec
son. C..., femme L..., trente-huit ans, est admise le 27 mars 1890. Père et mère vivants, très âgés, non malades. Une ni
rs 1890. Père et mère vivants, très âgés, non malades. Une nièce du père s'est pendue dans un accès de délire ; une soeu
que/ainé de huit enfants, tous bien portants et bien constitués. Le père , âgé de soixante ans, sourd depuis l'âge de dix-n
out l'objet de ses défiances : la nuit dernière il a fait venir son père auprès de son lit et à un moment où il avait le d
c'est, en quelque sorte, en connaissance de cause qu'il frappe son père après l'avoir fait approcher de son lit et en pro
e-quatre ans, mariée, sans enfants, admise le 18 décembre 1899. Son père , âgé de soixante-dix ans, est un ivrogne invété
entale à l'Unirersité de Lon. Sommaire. - Antécédents héréditaires. Père mort ci soixante ans d'une attaque d'apoplexie,
physiquement et moralement ; ceux-ci à leur tour l'adoraient. Son père , esprit ouvert, franc, aventureux et indépendant,
qualités du coeur de sa mère et de la droiture du caractère de son père . Elève du collège de Blois, il vient à e Paris
rne des hôpitaux en 1863, il est successivement interne de Falret père , de Vulpian et de Charcot à la Salpêtrière et sui
durant son internat il la Salpêtrière, dans les services de Falret père et de Baillarger, de Charcot et de Vulpian. Ces
émotion plus vive que moi- « même, j'unis dans un même hommage les pères aux fils « dans nos applaudissements. » 364 N
norer la mémoire de vos maîtres qui avaient noms : Andral, Falret père , Baillarger, Vulpian, Charcot, est un enseignemen
enons à nos malades. II. Observation I. Dégénérescence mentale. Père alcoolique ; frères buveur*. Habitudes alcooliq
. Sortie le juillet à 6 heures du soir. Antécédents héréditaires. Père charbonnier, mort il y a deux 392 CLINIQUE MENT
nsférée il l'Asile clinique. Voilà donc une première malade dont le père était alcoo- lique. Les enfants de cet ivrogne
rivée. Antécédents héré liiaires. Grand-père maternel alcoolique. Père ébéniste, séparé de sa femme, non buveur. - Mère
PERESTHÉSIE CORTICALE DANS L'ALCOOLI811E AIGU. 397 Î Observation il Père buveur. Habitudes alcooliques surtout depuis qu
sorti le 8juin à six heures du soir. Antécédents héréditaires. - Père mort, d'hémorrhagie cérébrale, très buveur. Mèr
a tués à coups de hache, puis a fait subir le même sort à son vieux père qui venait essayer de le désarmer. Sa femme, de
grand buveur, il est mort des suites d'une affection cardiaque. Le père de notre malade, fut bien portant durant sa jeune
s mouvements qui persistent même pendant le sommeil (comme chez son père et chez son frère). L'évolution est lente mais
n. . Antécédents héréditaires. Mère morte d'une maladie de coeur. Père , jardinier, buveur. Deux frères et deux soeurs bi
réditaires. Grands parents bourguignons, vignerons, buveurs de vin. Père , marchand de vin, mort d'une maladie de foie. M
ées de mariage, abandonnant sa femme et ses deux petits enfants. Ce père , dénué de sentiments, a disparu depuis des anné
le 12 avril à Ville-Evrard. L'hérédité chez ce malade est nette. Le père , alcoolique, bizarre, déséquilibré a donné nais
'hyperesthésie corticale. Observation VII. Hérédité très lourde : Père et mère alcooliques et épileptiques. - Alcoolis
M... Alphonse, âgé de trente-sept ans. Antécédents héréditaires. Père buveur, avait des attaques épi- leptiformes ; e
de suite. C... André, trente-trois ans. Antécédents héréditaires. Père mort tuberculeux, a eu pendant plusieurs mois d
logique des maladies nerveuses chroniques de l'enfance. Sommaire. Père rien d'anormal. - Grand-père paternel coléreux,
Antécédents (Renseignements fournis par sa mère en novembre 1897). Père , trente ans, ébéniste, grand, vigoureux, sobre,
, emmenant avec lui la soeur de celle-ci, âgée de seize ans. - (Son père , soixante-huit ans, ne fait pas d'excès de bois
dans l'enfance des manifestations rachitiques qui ont disparu. (Son père est sobre et n'offre aucun accident à signaler.
SOEW'S sont bien por- tantes dont la plus jeune est partie avec le père de l'enfant, comme nous l'avons dit plus haut.
la forêt voisine. A l'àge de six ans, il partit pour Evreux, où son père venait d'obtenir une' place à l'administration
r à devenir instituteur, soit d'entrer dans l'administration où son père , malgré le court séjour qu'il y avait fait, n'a
out homme aux prises avec la fortune adverse. Depuis la mort de mon père , mon léger patrimoine ne s'était pas accru, et
40 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
s* dynastie ihébalne, représentée avec de la barbe. ditions que son père leur avait imposées, il « entra en fureur comme u
Marie d'Autriche, reine de Hongrie. En 1532, à l'âge de dix ans, son père la maria à Alexandre, duc de Florence, qui fut tu
a maladie doivent, ce nous semble, être rattachées à l'hérédité : son père , François Soubi-rous. meunier de son état, après
d'ouvrage, c'est qu'il se livrait à la boisson. Or l'alcoolisme des pères , — c'est là pour nous le point intéressant, — eng
sante etde l'autre combien fréquente. C'est à cet empoisonnement du père par l'alcool que nous rattachons la névrose de la
magistrat ne l'empêchait nullement de remplir chez lui ses devoirs de père de famille, au palais, ses fonctions de magistrat
petites divinités tutélaires. et qui exerçaient sur la maison, sur le père de famille, sur la famille et même sur les biens,
ar les parents (c'est-à-dire non pas seulement la mère, mais aussi le père ), pourrait-elle être assez profonde pour se réper
s faits semblables, comme la transmission des habitudes machinales du père (où il ne pouvait être question de l'imitation à
(aJ. La possibilité de la transmission des impressions visuelles du père est également digne d'intérêt. L'étude de ces c
demanda pour prix de sa victoire, la main de la belle Wilgeforte. Le père , qui était resté païen la lui accorda. Pour échap
l'épouse du fils de Dieu. De l'autre côté, elle comparait devant son père qui tente de la détourner de sa foi. Au-dessous,
un costume en rapport avec le rang qu'elle occupait à la cour de son père , roi de Portugal. Il n'est donc pas possible d'ét
de sa conduite. Celui-ci après l'avoir morigénée, tança vertement son père qui permettait un tel scandale. Puis le Procureur
Comtesse, qui, en 1190, consentit avec sa mère à une donation que son père lit à l'abbaye de Longpont, et Gertrude, mariée e
fief d'Attichy, approuva par lettres de 1231 et 1233 les legs que son père avait faits aux églises du Mesnel, du Bois-St-Pèr
a prévôté de Montmorency, concéda à celle de St-Denis tout ce que son père avait acheté de Pierre d'Espineul, autorisa une d
enterré au chapitre de l'abbaye de Saint-Pierre-de-Préaux près de son père . Il épousa Elisabeth de France, hfaut Elisabeth d
our lui faire éprouver du dégoût ; mais tout est inutile. A la fin le père , désespéré, vient me demander mon avis. Je lui co
, vient me demander mon avis. Je lui conseille l'hypnotisme ; mais le père s'y refuse, prétendant que l'hypnotisme est dange
bouche. Puis le matin, dès qu'il est éveillé, l'enfant court vers son père et lui dit : « Papa je ne mettrai plus la main da
n'est pas d'avis d'appliquer l'hypnotisme : je conseille également au père la suggestion pendant le sommeil naturel. Après q
e l'examiner, la déclarèrent atteinte de démonomanie. Pendant que les Pères priaient à son intention, son visage grimaçait ho
ès l'Angélus la malade dit : « Il faut encore prier trois : Gloire au Père , etc. » Alors je lui demandai : « Croyez-vous êtr
s de leurs adorateurs, sans cependant abandonner la religion de leurs pères . Fig. 99.— Camée romain, représentant Astarté.
quc d'Auxerre, à l'abbaye de Parcd en 999, mourut longtemps avant son père vers 1004, et fut enterré dans l'abbaye de Saint-
l'abbaye de Cluny « pour le soulagement de l'âme du comte Landry, son père , de la comtesse Mathilde, sa mère, et de Guy, son
laissent pas persuader. Cette femme a une hérédité très nette ; son père était alcoolique et sa mère nerveuse ; elle a eu
enèrent dans le couvent des Capucins, à Wemding. A divers signes, les Pères reconnurent qu'il était possédé par le diable. L'
doué d'une telle force, que trois hommes ne pouvaient le dompter. Les Pères disaient la benedictio a dtemone vexa-toi^um et l
ue Pancrace, d'Augsbourg, était en visite chez le curé de Wemding. Le père de l'enfant malade le lui amena et l'évêque s'ava
e Père Aurélien a fait de cette scène le récit suivant : « Lorsque le Père voulait amener l'enfant dans le chœur, celui-ci r
ssait des hurlements fous. Il se débattait avec une telle rage que le Père et l'enfant tombaient à terre et que quatre homme
t'appelles-tu? » — « Je ne sais pas. » Malgré les objurgations du Père , Satan resta dans l'enfant. L'exorcisme dura deux
e était la seule qui présentât cette précocité du système pileux. Son père avait une barbe très fournie, mais sa mère ne pré
ent généralement issues de mères dont les joues étaient glabres et de pères fortement barbus, nous inclinons à admettre que d
relief le fait qu'en Biologie, comme en Droit, l'enfant hérite de son père et de sa mère en proportion de la richesse de l'u
eur agréable qui aimait les ecclésiastiques et les religieux comme un père aime ses enfants » (8). Le 3'i octobre 1048, il s
église ; enfin W&rin d'Alençon-Perche. Celui-ci, mort avant son père , épousa Mélisende, vivante en 1031, sœur d'Hugues
ourut en 1202. Il eut deux garçons et une fille; Jean, mort avant son père en 1193, Jean III, trésorier de l'église cathédra
e l'église collégiale de St-George de Vendôme, et Geoffroy, U YeniiM- père de Jean de Vendôme-Chartres J. CfarUti Jean de
incère, probe, désintéressé, fidèle. A la mort de son frère René, son père le fit pourvoir de l'évéché de Beauvais. Il fut s
par une retraite de dix mois à l'ordination, lisant l'Ecriture et les Pères . C'est là qu'il apprit que son oncle s'était démi
sse de la cathédrale. Le reste de la journée était employé à lire les Pères , les Canons des conciles et les meilleurs auteurs
e Buzanval et de Madeleine Potier, Louis Choart de Buzanval, était le père de deux religieuses qui font l'objet de cette obs
te à l'eau. Ce larcin ne comporta pas de suites judiciaires ; mais le père , après une vigoureuse correction, chassa l'enfant
ntra peu docile aux enseignements de ses maîtres, et à la mort de son père , il obtint de sa mère la liberté de suivre sa voc
tte malade, l'inefficacité des médicaments, proposa de l'endormir. Le père s'y opposa, lui remontrant qu'il risquait de s'al
illage de Beaumont « pour le soulagement de l'âme du comte Landry son père , de la comtesse Mathilde sa mère, et de Guy, son
aèl, en France. Sa mère est bien portante, ainsi que ses frères ; son père est alcoolique. C'est une enfant du peuple, jolie
dans une petite pièce obscure et mal aérée, qu'elle partage avec son père , sa mère et un frère; elle couche par terre sur u
érison ; celle-ci ne survint pas. Ce fut en désespoir de cause que le père de la malade vint me la confier. Lors de mon ex
41 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
du reste, chez notre malade est fortement accu- sée. En effet, son père ancien militaire, employé d'octroi, était très
mbre 1888. Il y a peu de chose à signaler dans ses antécédents. Son père était plus jeune que sa femme de cinq à six ans
« Sa tête était la même chose que celle de sa fille (notre malade). Père , quatre vingt-cinq ans, encore vivant « a toujo
8 au bureau d'admission de Sainte-Anne. Antécédents héréditaires. - Père : vivait en mauvaise intelli- gence avec sa fam
athie chez les grands parents (goutte, rhumatisme, asthme, etc.) Le père , très bien portant, est d'une taille et d'une f
ents héréditaires : Consanguinité chez les ascendants di- rects (le père et la mère étaient cousins). Le père est mort d'u
z les ascendants di- rects (le père et la mère étaient cousins). Le père est mort d'une affection hépatique; la mère a u
fatigues 'et des émotions causées par la maladie et la mort de son père , apparaissent les premiers phénomènes nerveux :
- sons. Un sujet n'est pas prédisposé uniquement parce qu'il a un père ou une mère aliénés. Ces cinq malades, qui ont
etc.). A sa sortie, même état de délire. Antécédents héréditaires : père suicidé, délire guéri assez rapidement. Dia- gn
ar l'éclusier Bailly et un employé du chemin de fer, en présence du père qui dirigeait les recherches. Après les constat
ter par un fort simple tableau généalogique. Un individu, né d'un père goutteux et d'une mère'aliénée, présente un beau
Fleury, Savage, de los Santos, Leroux, etc., etc.. Jordao ' a vu un père épileptique engendrer un fils épileptique et di
épileptique et diabétique. Marchai (de Calvi) 2 a vu le fils d'un père diabétique présenter un tremble- ment des mains
diabétique. Zimmer rapporte le cas d'un jeune diabé- tique dont le père était névropathe ; une de ses soeurs et son gra
de l'enfermer dans une maison de santé. La troisième enfin avait un père aliéné. « La fré- quence, dit-il, des troubles
1m° B..., quarante ans, nie formellement toute hérédité autre qu'un père migraineux. Dès avant vingt ans, elle a eu des mi
(personnelle). Rec..., trente-cinq ans, voyageur de commerce, a son père dia- bétique et goutteux. L'existence du diabèt
Ann. méd. psychol., M. Doutrebente raille agréablement nI. Dagonet père et son élève 1\1. Christian, qui n'admettent en
z les jésuites dont il a été un des élèves les plus bril- lants. Le père est un ancien employé de ministère, retraité; il
ssantes. Mais c'est surtout dans sa manière d'être vis-à-vis de son père que nous pûmes juger des progrès de l'idée délira
il n'a jamais voulu dire lequel. Observation IV. - C... a eu pour père un homme exalté, ancien Saint-Simonien, grand c
le délire ne s'est en rien modifié. Des récriminations contre son père , son beau-frère et d'autres membres de sa famille
ple, il tire un coup de pistolet sur une ancienne domestique de son père . A Charenton depuis 1880. Divagations continuel
liens très étroits. Ne veut plus rien savoir de sa mère, ni de son père , ce sont des men- diants qui veulent l'exploite
monde s'acharnait à lui rendre la vie impossible. Revenu chez son père , il le prit en aversion, l'accusa de vouloir Je
ment préoccupé de sa santé, et de plus en plus mal disposé pour son père . Il quitta le journalisme, abjura ses idées réact
de-vie. Il fut obligé de donner sa démission et de revenir chez son père , où il passa plusieurs mois dans une oisiveté com
table nom de L... n'est pas L..., qu'il n'a rien de commun avec son père , que, depuis son enfance, la « séquelle chrétie
t. Mon nom est Rex. - Rex, roi ? lui dis-je ? - Certainement. Mon père aussi était Rex. - De quel pays ? - Mais vous le
as de graves prédispositions héréditaires neuro ou psychopathiques. Père mort à quarante-huit ans d'un cancer de l'estom
ONS D'HYSTÉRIE MALE; Par BOURNEVILLE et P. SOLLIER; I Sommaire. Père , excès de boisson, nerveux. - Grand-père paternel
nNEVft.Lç). , Renseignements fournis par sa mère (27 février 1885). Père , cin- quante ans, soldeur, auparavant marchand
e bat pas ses enfants, il il est au contraire trop bon pour eux. » [ Père , mort d'une maladie d'intestins à soixante-huit
nerveuse ; pas d'alcoo- lisme. Faisait le commerce avec son mari.-[ Père , mort à soixante- dix ans; il avait une maladie
tous les deux ; leurs affaires allaient bien ; pas de chagrins ; le père commençait à boire un peu de temps en temps, mais
chands et rentrait le soir chez ses parents. La mère assure que son père ne le battait pas. Jusqu'au mois d'avril 1884 i
er et était toujours désobéissant. Il était peu affectueux pour son père et ses frères et soeurs, mais était jaloux. Trè
e diphthérie; pas de chorée; pas de douleurs de tête. Un jour son père l'ayant envoyé porter 7 fr. 80 à un loueur de v
faire des niches. Un jour il vint dire à sa mère qu'il avait vu son père entrer aux Folies dramatiques avec une fruitièr
ons à signaler chez les ascen- dants, des excès alcooliques chez le père et le grand-père du malade; des migraines chez
est "peut-être possible de rattacher aux tendances alcooliques du père qui existaient déjà lors de la conception. III.
roduction puisqu'elle existait dès l'enfance. 1 II. Sommaire. - Père , convulsions de l'enfance; nerveux et irritable.
e M. BOUANEYILLE), le 25 juin 1887. Renseignements fournis par le père . - Père, quarante-cinq ans. bijoutier, taille o
OUANEYILLE), le 25 juin 1887. Renseignements fournis par le père. - Père , quarante-cinq ans. bijoutier, taille ordinaire
taques de nerfs, mais très ner- veux, très irritable. Intelligent. [ Père , mort quand il avait douze ans, d'ennui surtout
rès impressionnable. Aucune maladie sérieuse depuis son ma- riage. [ Père , bien portant; excès de boisson de tout temps, ma
Jean Wier. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. 377 î son père , effrayé et disant qu'il y avait des voleurs : «
endormait. D'autres fois il criait : « Au feu o, venait trouver son père , la figure très effrayée et les yeux ouverts. C
g. 35. 380 RECUEIL DE FAITS. aussitôt endormi sans rien dire. Son père , croyant à une plaisan- terie, l'a secoué pour
à pleurer et à demander du papier et un crayon pour écrire à son père qu'il voyait clair. 11. -- A 8 heures du matin,
i sont familiers avec les causes de cet état savent que l'action du père ne peut avoir ici qu'une légère influence. Presqu
héréditaire directe vient entièrement aussi bien de la mère que du père . Tout bien considéré, on peut con- clure que la
n- clure que la forme particulière du travail cérébral suivi par le père ne peut exercer qu'une très minime influence su
ant démasqué, le malade avoua son passé et raconta de. plus que son père était mort d'un accès de delirium tremens. 4M 8
urmontable goût de tuer, Théodore Werner a essayer d'assassiner son père . Cette tentative de parricide s'est accomplie r
tentative de parricide s'est accomplie rue Vercingétorix, 22. Le père est un mécanicien de la Société des téléphones; l
42 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
ternel, rhu- matisant, est mort d'une hémorrhagie cérébrale, et son père d'une phtlli- sie laryngée. Tant du côté patern
essivement symé- trique : la maladie a commencé vers les 12 ans. Le père du malade est un homme bien portant, la mère es
rappelant celles qu'on avait observées sur la peau de la paume. Le père du malade est un vieillard fort et bien portant
âgé qui atteignit l'âge de 9 ans était fort et bien constitué. Le père , encore vivant, s'est toujours très bien porté ;
image d'un myxoedémateux, si fruste soit-il. Mais, détail ;i noter, père et mère étaient cousins germains. Aussitôt né,
alors qu'il avait été mal soigné par sa nourrice, laquelle, dit le père , lui aurait laissé prendre des habitudes vicieu
reparu plus fort, et avec elle des palpita- lions qui décidèrent le père à le conduire à l'Hôtel-Dieu, dans le service d
peu du type ordinaire. ` D'abord, il a maigri, et même, nous dit le père , dans des proportions très notables. Aussi semb
litre documentaire, que les parents étaient cousins germains et le père alcoolique, que cet infantile myxoedémateux est l
rriture et d'hygiène. La consanguinité des parents, l'alcoolisme du père , l'alimentation vicieuse dans le jeune âge et a
est la tuberculose qui semble seule coupable : L'enfant est né d'un père tuberculeux, mort de tuberculose, et il est tu-
lose qu'il faut incriminer ; encore ne peut-on pas accuser celle du père , puisqu'après la naissance du petit malade, ont é
e par sa mère. Celle-ci est de bonne santé, nullement nerveuse; son père , très émotif, est alcoolique. 0... a deux frè
ne connaît pas d'accidents névropathiques dans ses ascendants. Son père est mort d'une affection aiguë, il était sobre et
lades dont nous publions les observations. Sympson a noté chez le père et le fils ( ! ) une anomalie identique, l'hall
s sont morts de la variole ; lus six autres sont bien portants. Ses père et mère sont morts très âgés ; aucun membre de
l'hôpital Cochin, salle Woillez, dans le service du Dr Chauffard. Père mort hémiplégique à 68 ans, très alcoolique, d'ap
mates de dégénérescence. X... avait 15 ans lorsqu'elle perdit son père qu'elle aimait énorme- SUR UN cas DE TUMEUR DU
e. Elle ne parlait de rien moins que de se tuer sur la tombe de son père . En même temps elle devint d'une extrême jalous
igine tu- berculeuse du néoplasme. Rappelez-vous, Messieurs, que le père de notre malade a été emporté par la tuberculos
otographie ci-jointe. que j'ai pu recueillir dans le service de mon père (Fig. 1). On remarquera sur cette photographie
on (M. le professeur LANNELONGUE). Fillette de quatre ans, née d'un père syphilitique. - L'autopsie révèle sur elle une sé
nier) (résumée). Enfant micro- céphale, sourd et aveugle, issu d'un père syphilitique. - X..., sujet bien portant, vigou
. Le troisième enfant (conçu il la suite d'nn nouveau traitement du père ) offre un développement moyen. Il est resté ind
Observation (M. le professeur Lannelongue) (Inédite). I. - Grand- père maternel âgé de soixante-neuf ans. A eu, il y a d
au, de pénétrer dans la cavité abdominale et de palper le foie. Il. Père et mère sains, bien portants ; pas de stigmates a
orisés qui ont paru ces derniers temps. Et cependant, dès 1880, mon père avait, dans son enseignement et dans son livre
ur moi que l'influence syphilitique héréditaire (voire limi- tée au père seul) constitue une prédisposition à l'hydrocépha
e, a eu coup sur coup trois enfants hydrocéphales ». Plus tard, mon père écrivait encore ceci dans son livre sur la Syphil
is, aucune protestation, do cette date de 1880, date à laquelle mon père indiquait si formellement le rôle de la syphili
ntré de la façon la plus nette et la plus claire, la vérité que mon père avait énoncée il y a maintenant dix-huit ans. J
tes (1). Observation (M. le professeur A. Fourrier) (inédite). - Père syphilitique et mère saine. - Trois grossesses.
opres de syphilis. Deux ans après la mort de son dernier enfant, le père a présenté une arthrite temporo-maxillaire de n
potassium. Observation (M. le professeur A. Fournier) (inédite). - Père syphilitique et mère saine. Premier enfant hydr
é le résultat de cette médication. Nul antécédent nerveux chez le" père et la mère, qui sont tous deux de cons- titutio
ur A. FOURNIEU) (inédile). Trois enfants hydrocé- phales issus d'un père syphilitique. M. X..., homme de constitution robu
eur A. Fournier) (inédite). - Hydrocéphalie sur un enfant issu d'un père syphilitique. - Jeune homme contractant la syphil
- dives ». Observation (M. le professeur A. Fournier) (inédite).- Père affecté de syphi- lis en 1869 : deux chancres i
ne s'accompagne d'aucun trouble. Marche facile; parole normale. Le père dit même que son fils est intelligent ( ? ). Nu
trois heures. Observation (M. le professeur A. Fournier) (inédite). Père syphilitique : chancre induré, roséole, plaques
jours. Observation (communiquée par M. le Dr Parisot [de Nancy]). - Père et mère syphilitiques. Enfant né le 4 juin 18
FOURNIER Observation (communiquée par M. le professeur Spillmann). Père âge de trente-deux ans, syphilitique. Mère âg
broncho-pulmonaire. Observation (communiquée par M. le Dr Jacquet). Père syphilitique ; a encore récemment présenté des
érébraux. Observation (communiquée par M. le Dr 13AnTnr : r.EUY). - Père ayant con- tracté la syphilis en 1879, et n'aya
servation (communiquée par M. KEIM, interne des hôpitaux de Paris). Père syphilitique ; ayant contaminé sa femme six mois
sé à sept mois et demi. présentant une énorme hydro- céphalie. Le père recommence alors un traitement énergique, qu'il c
'ai ajouté, d'une part, 12 observations empruntées aux notes de mon père ; - et, d'autre part, 11 observations que je dois
émentaires. Le symptôme en question a été signalé ci décrit par mon père dans les termes suivants : « Il m'est arrivé
técédents héréditaires. - Sa mère est morte de suites de couches. Son père de maladie inconnue. Sur 9 enfants qu'ils ont e
Mère morte bacillaire, à 44 ans, de même un frère, âgé de 19 ans. Père robuste, bien portant. OBs. X. - Skinner, Tlae
I, p. 13, 1867 ; vol. LXI, p. 524, 1874. Jeune fille de 14 ans. Père buveur, succomba pendant une attaque d'épilepsie;
Arch.de Virchow, vol. LXXIV, p. 159, 1878(1). Lisette K..., 22 ans. Père , soeur et mère morts de tuberculose. Début de la
e de la première phalange des gros orteils d'origine congénitale. Père bien portant, mère morte de tuberculose ; 3 frère
XXIII.- KRAUSE, in thèse de Pinter, 1883. Marie B..., née en 1872. Père graveleux. Bientôt après la naissance,on re- ma
, 18 ans et demi, comptable. Bien portant jusqu'à l'âge de 3 ans. Père âgé de 69 ans, bien portant. - Mère âgée de 51
sentation du 8 janvier 1886. Alfred Ch., 7 ans. Rougeole à 2 ans. Père rhumatisant. Grands-parents paternels rhumatisant
s les autres articulations de la racine des membres. Antécédents. Père et mère bien portants, non rhumatisants. Duf... n
e semblable dans sa famille, du côté de ses grands- parents, de son père et de sa mère. Pas de consanguinité. La mère, don
ie a progressé. Antécédents héréditaires. - Pas de syphilis chez le père . 2 février 1891. - Tentative de libérer le bras
tres le soin de publier quelques-uns des souvenirs in- times de son père , Jean Charcota donné l'exemple d'une modestie env
Antiquaille, salle Ste- Clotilde, service des maladies nerveuses. Père vivant et en bonne santé ; mais il est alcoolique
e maladie d'une congestion cérébrale. Pas de consanguinité entre le père et la mère; pas de différence d'âge appréciable;
/2, petit, mais fort, actif et intelligent. Santé générale bonne. Père âgé de 40 ans, toujours bien portant et n'ayant j
. lVe7,venk., 1895, t. XXVII, p. 611. , Felicitas lui..., 15 ans. Père et mère bien portants. Accouchement naturel. A
commença à peu près à la même époque. Antécédents héréditaires. - Père , mère, 3 frères et soeurs bien portants. Grand'
ci quelques-uns. Tous ceux qui ont été admis dans l'intimité de son père lui sauront gré d'un témoignage si naturel de v
doué. Charcot, semble-l-il. tenait ses aptitudes artistiques de son père , qui, dans son métier de carrossier, savait tro
43 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
; sa mère est morte de chagrin ( ? ) à l'âge de trente-six ans. Son père mort à soixante-dix-neuf ans. Frère mort de la
- nelle. Enfin, pour employer l'expression caractéristique de son père , a ses manières étaient toujours d'un homme plus
avait perdu son avenir; il trouvait que sa mère avait pâli, que son père était malade, et il demandait à son médecin de
, au point de vue des antécédents héré- ditaires pathologiques. Son père , d'une intelligence peu dévelop- pée, était un
tiques suivis de fugues et autres actes incons- cients. Un jour son père l'envoie faire une commission; elle est frappée
vérité. La vue d'une tache de vin l'impressionne très vivement; son père présente cette même particularité. Enfin, je vo
quelle elle n'avait plus voulu revenir. Cependant, appelé à voir le père , qui dans le cours d'un nouvel accès mélancoliq
anie ou d'estlliomanie ; quoi qu'il en soit voici son histoire : Le père était un original à carac- tère un peu vif, c'e
rte d'hémichorée gauche. C'est un enfant de quatorze ans, issu d'un père rhumatisant (affection cardiaque ? ), et d'une
r un de ses fils pour le punir d'avoir projeté une mésalliance. Son père avait une grande passion pour le jeu; toutefois
a suite d'un violent chagrin, de la perte à peu d'intervalle de son père et d'un de ses frères, elle est devenue triste,
t dont nous allons en quelques mots rapporter l'observation, est le père d'une malade sur laquelle nous aurons plus tard
éréditaire à des af- fections nerveuses d'un autre ordre. Ce que le père transmet à l'enfant, ce n'est pas sa folie; c'e
s elnerveuses, 1861, p. 289.) Aucun antécédent du côté paternel. Le père est bien 'conformé et intelligent. La mère, ass
s finales plus frappantes et plus terribles. III. Famille BONT... Père : faible d'esprit, épileptique, buveur. Grand'mèr
éréditaires (Renseignements fournis par la mère, 13 juillet -1881). Père : ouvrier journalier, travaillait dans les plàt
u plus. A mesure qu'il vieillissait ils devenaient plus fréquents. [ Père , mort on ne sait de quoi, il travaillait à la ter
is eu de convulsions. Ces deux frères sont plus intelligents que le père de nos malades. - Une soeur, bien portante, mar
ce d'une pleuro-pneumonie ; la malade avait alors trente-huit ans. [ Père , travaillait à la terre, est mort très vieux. I
de secousses, de slertor, d'écume, ni de morsure de la langue. (Le père et le frère ainé se mordaient la langue, ronfla
sant, n'était pas gourmand; il mangeait salement « comme défunt son père »; il s'habillait et se lavait seul, mais mal et
ndant la mère assure que cet enfant, comme les, autres, est'bien)du père légal : pas d'alcoolisme. Accou- chement à term
{¡ eu sixenfants. Les troispremiers,ressemblant physiquement à leur père , n'ont' jamais présenté- aucun ^trouble appréci
r, L Ilu, 9n Glbln lh,jJ1LL11W' -J"<"I ">* ,d commerce de son père ; ? ? ? 3° Le troisième enfant était une fille
ie avant l'admission...,i-i ' , ¡ . oJ 10° A. Y avait-il parenté du père et de la mère ? ... A quel degré ? ... SOCIÉTÉS
sciences naturelles n'indiquant pas une vocation bien arrêtée, son père , modeste médecin de campagne, l'autorisa à fair
la lignée paternelle et maternelle de l'accusé. Dans la famille du père il n'y avait à relever qu'une myopie héréditair
le du père il n'y avait à relever qu'une myopie héréditaire : Saron père est myope, Claude Saron l'est, ainsi qu'un jeun
une instruction primaire complète, qui suppléait et remplacait son père soit comme huilier, soit comme cultivateur. T
11 ajouta qu'une demoiselle Lapos..., sa cousine germaine, dont le père fut grand buveur, était morte aliénée à l'asile
un autre côté, une cousine germaine aliénée est morte à l'asile; le père de cette malade buvait, c'est encore vrai, mais
s le fléau du village. Héréditaire vésanique par sa mère et par son père qui appartenaient l'un et l'autre à des famille
usieurs enfants idiots ou imbéciles. IV. Famille HORN... ' ty Père alcoolique ( ? ) Mère débauchée, enfant naturelle
itaires. (Renseignements fournis par la grand'- mère maternelle, le père et la mère). - Père : trente-sept ans, assez 1
ents fournis par la grand'- mère maternelle, le père et la mère). - Père : trente-sept ans, assez 1 Voir tome X, page 18
uillemennt avec sa femme. Pas d'autres maladies que sa bronchite'. [ Père , cantinier, mort à soixante- dix-sept ans d'un
ée suivante, elle est accouchée à l'Hôtel- Dieu d'un enfant du même père et qui est mort-né. Ensuite elle a eu ; d'un au
(hommes et femmes), ce qui aurait amené une brouille entre elles3. [ Père , do- Il est mort en 1884 de sa bronchite tuberc
(la mère de nos malades), et n'avoir pas connu d'autre homme que le père de sa fille : cette dernière l'accuse au contra
repris et on s'est aperçu qu'il avait des habitudes d'onanisme. Son père nourricier avait déjà signalé ce fait : il a co
que mentale. Antécédents personnels. (Renseignements fournis par le père et la mère, 9 juin -1851'.) Grossesse bonne.Aec
'accumule depuis deux générations. Du côté paternel, même chose. Le père des Horn... ne présentait pas d'accidents nerve
connexions avec l'épilepsie. On peut donc aisé- ment admettre qu'un père atteint d'asthme transmette à ses descendants u
éditaires. (Renseignements fournis par la mère, 20 octobre 1879.) - Père : ébéniste, quarante-deux ans, bien por- tant,
igraines, pas d'accidents nerveux ni rhumatismaux; caractère doux. [ Père : soixante-sept ans, n'a jamais été malade; auc
ident cutané, rhumatis- mal ou pulmonaire; pas de maladies graves. [ Père mort d'un astfime à soixante ans, sans avoir pr
rapidement la mort. DES FAMILLES D'IDIOTS. 369 Consanguinité : le père et la mère du malade sont cousins au cinquième
u soir. Marche des accès : ; DES FAMILLES D'IDIOTS. 375 côté du père et du côté de la mère. L'influence de l'alcoolism
qui succombe à un délire mélancolique bien caractérisé. Quoique le père de nos malades ait été sain de corps et d'espri
fait, admis par les aliénistes. D'un autre côté, la mère, dont le père était asthmatique, et qui compte déjà un idiot
nes idées. - 3. - Elle se ressouvient d'elle-même de la mort de son père 390 RECUEIL DE FAITS. qu'elle n'a pas voulu a
pleure, n'est pas hallucinées : elle supplie qu'on lui dise que son père est simple- ment en voyage. - L'après-midi, à t
es conditions, la syphilis ne peut guère être mise en doute chez le père du malade en question. L'autopsie complète n'a
ère, qui l'assistait, n'a pas noué le cordon. L'enfant est mort. Le père et la mère de l'idiote l'ont enterré dans un trou
te », fut acquittée; la mère fut condamnée à six mois de prison, le père à quinze jours de prison comme co-auteur. (Il n'e
l n'est pas question dn misérable qui a abusé de l'idiote.) Puis le père de l'idiote a comparu devant la cour d'assises
44 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
que les investigations dirigées dans ce sens nous font reconnaître : Père inconnu ; cela est déjà quelque chose, car il n'e
moralement, tout à fait normal d'abandonner un enfant dont on est le père ; quoi qu'il en soit, voilà tout un côté de la fa
ondent et ils sont fort significatifs. Grands parents inconnus. Son père est mort de la poitrine. Un de ses oncles paterne
nerveuse n'est pas en cause. S'adressant à la fois à la mère et au père : Avez-vous connu des membres de votre famille at
lle atteints de maladies nerveuses ou ayant eu la tête dérangée? Le père . — Ma grand'mère qui est morte à 82 ans a été lon
édents héréditaires du sujet qui sont assez fortement accentués : son père en effet est aliéné et il est actuellement intern
e paralysie faciale périphérique avec hérédité nerveuse. Cas n° 1 : père aliéné, grand-père irrégulier, etc. Cas n° 2 :
apprendrez qu'Eudoxie H... est née d'une mère épileptique (?) et d'un père alcoolique, qu'elle a commencé à avoir des attaqu
tte jeune fille les antécédents de famille révélés par sa mère. Son père a été il y a trois ans renfermé comme aliéné, à l
e malade : Oui, monsieur, c'est chez nous une maladie de famille. Mon père «st bègue, mon grand-père paternel l'était égalem
de l'hérédité nerveuse : pour le moment je me borne à relever que son père âgé de 57 ans est un ivrogne fieffé, batailleur,
été jeté « sur notre sale planète », Tristram Shandy en accusait son père qui, dans un moment solennel, s'était malencontre
tive à une famille de quatre enfants dont un seul, conçu alors que le père était en état d'ivresse, était demi-idiot et pr
itime ; aussi n'avons-nous pas à nous étonner de voir l'alcoolisme du père retentir sur lui septième enfant, sous la forme d
e régnent, au contraire, dans toute cette histoire. L'alcoolisme du père a retenti sur le fils sous la forme de la paralys
la forme de la paralysie infantile spinale. Les abus du fils, dont le père encore est au moins en partie responsable, ont dé
le suicide jetant par la fenêtre. l'âge de 43 ans. de sa femme. Le père du malade La mère du malade Suicide Hémoptysies
téressant pour nous, dans l'évolution de cet arbre généalogique. Le père du malade exerçait la profession de peintre sur p
ui à la suite de l'émotion vive qu'il aurait éprouvée en trouvant son père pendu danslacave de la maison. Déjà, quelques ann
ir rien de bien précis. • L'enfant est orpheline ; elle a perdu son père et sa mère alors qu'elle était encore très petite
hargé de tares nerveuses. COTÉ PATERNEL COTÉ MATERNEL Un frère du père est mort Père, 45 ans. Mère, 38 ans. tliéné à 1
nerveuses. COTÉ PATERNEL COTÉ MATERNEL Un frère du père est mort Père , 45 ans. Mère, 38 ans. tliéné à 1 âge de 30 ans
es antécédents de famille ne fournit aucun renseignement intéressant. Père mort d'un cancer du larynx à l'âge de 56 ans ; la
du côté paternel cette fois, est faible d'esprit, presque idiot ; le père est un homme excitable, très emporté, il se met t
ts héréditaires dignes d'être signalés ; il raconte seulement que son père est éminemment irascible, violent même. Lui exerç
est un enfant de l'hospice de Valognes ; elle n'a jamais connu ni son père ni sa mère. Il est vrai que cette qualité d'être
ntécédents héréditaires signalent plutôt l'influence arthritique; son père est atteint de la gravelle ; elle a un oncle mate
tout ? La mère. — Oui, monsieur, de mon côté. — Vous connaissez son père .— Il a été atteint à 27 ans d'ataxie locomotrice.
Rien de fort remarquable à noter dans les antécédents héréditaires : père , mort à 52 ans, d'une maladie du cœur ; mère mort
u féminine. Dans ses antécédents héréditaires il faut relever que son père a été atteint d'une tumeur blanche au pied pour
sif. Rappelez-vous d'abord les antécédents héréditaires du malade : père amputé pour une tumeur blanche ; chez le malade l
d'inspecteur dans un commissariat. Hérédité nerveuse très prononcée ; père exalté, instituteur, s'occupant activement de pol
contre les causes occasionnelles ne font pas défaut. Notre malade est père de quatre enfants; il a récemment fait,en juin et
e Vaux. C'est donc l'hérédité de transformation qui est en cause. Son père a été à deux reprises frappé d'hémiplégie, mais n
re en abrégé.Les antécédents héréditaires sont ici très instructifs : père alcoolique ; il a bien des fois rendu les enfants
il y a 2 ans, peu de jours après une scène terrible dans laquelle son père , sous le coup d'un accès de delirium tremens, l'a
; la grand'mère maternelle était sujette à des attaques de nerfs. Le père était vif, emporté, chagrin. 11 avait été autrefo
u même genre. C'est pour mettre fin, si possible, à tout cela, que le père nous l'a amené, et d'après notre conseil l'a remi
aut chez celui-ci : COTÉ PATERNEL COTÉ MATERNEL tante autre tante père mère tante Aliénée ; dipso- Dipsomane. Aucune m
ernant les antécédants de notre jeune « dormeuse ». La famille de son père n'est pas connue ; son père est mort « de la poit
tre jeune « dormeuse ». La famille de son père n'est pas connue ; son père est mort « de la poitrine ». Sa mère n'a jamais é
uis l'âge de 61 ans, a été folle pendant quelque temps. Un frère du père , Père, cousin de la mort en 1886, à65ans. mère,
âge de 61 ans, a été folle pendant quelque temps. Un frère du père, Père , cousin de la mort en 1886, à65ans. mère, âgé d
t connaître ses antécédents héréditaires. COTÉ PATERNEL Deux Oncles Père Très" emportés et Alcoolique, empor-buveurs, té
able, je crois utile de vous rappeler qu'il est âgé de 37 ans, marié, père de deux enfants bien portants et qu'il est fort r
e le placenta, le tourne, le retourne, déplie les membranes et dit au père : « Vous pouvez jeter cela. » Puis elle lave la m
autres parfaitement significatifs ainsi que vous allez le voir. Son père s'est suicidé par pendaison. Cela a été, paraît-i
vec eux pour la plupart une tare nerveuse plus ou moins accentuée : Père Alcoolisme — Suicide par amour (?) » Pendaison.
us allons vous présenter dos p.: Léccdents de notre malade. m Son père était un alcoolique ; il est mort à l'âge de cinq
l'autre : « Qu'avons-nous fait, ô Zeus, pour cette destinée ? « Nos pères ont failli : mais nous qu'avons-nous fait ? (1)
nts, le chemin est coupé; il ne connaît pas du tout la famille de son père . Sa mère et sa tante sont mortes de maladie car
nder son admission à la Clinique. Voici du reste son histoire : son père avait pour profession d'aller chercher des champi
ntôt des rêves où il voit des animaux menaçants, l'enterrement de son père auquel il assiste la nuit, sans lumière, et autre
ssé les premières années de son enfance. Puis il a habité Lyon où son père , officier d'infanterie, se trouvait en garnison.
chassé de l'établissement. Il était alors âgé de 18 ans. Furieux, son père l'obligea à s'engager. Il partit comme soldat dan
rçant la profession d'infirmier à l'hôpital du Midi. Il est issu d'un père émotif qui a eu plusieurs crises nerveuses (?) et
lui aurait affirmé, mais un mystère semble régner sur ce point. Son père était artiste dramatique ; il a été tué à Blidah
s eu, dit-il, une santé magnifique. » C'est un homme régulier, marié, père de deux enfants ; il n'a connu ni la syphilis, ni
ans la ligne collatérale, aucun élément d'hérédité névropathique. Son père est mort à l'âge de 68 ans, il était « d'un tempé
quer les principaux traits de l'histoire de cette malade. Elle a un père aliéné mort à l'asile de Glermont ; elle a 25 ans
at de santé de ses parents sont fort incomplets. Il n'a pas connu son père , il ne sai rien de sa mère qui mourut pendant qu'
de paralysie faciale périphérique avec hérédité nerveuse. Cas n° 1 : père aliéné, grand-père irrégulier, etc. Cas n° 2 : pl
45 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
Ang... reçoit, les nuits qui précèdent ses attaques, la visite de son père qui est mort. Le fantôme a l'air profondément tri
L... eut une première peur. Allant un jour porter le déjeuner de son père nourricier qui travaillait dans un autre village,
ie, je n'ai pas été à la Salpêtrière... On nous suivra partout; mon père mettra tout à ma poursuite. » Elle semble alors
je t'aimerai toujours. Je n'ai jamais aimé personne!... Laf... est le père de ma fille, etc. » Le délire continue sur sa fil
'ont pas de tête rouge. » Elle les chasse du geste. « Tiens, voilà le père , maintenant. » Elle soulève son oreiller, regarde
hystérique, paralysée des membres inférieurs pendant quinze mois. Le père très nerveux, la mère très lympha-tique. Lorsqu
entre les mains d'un précepteur, et tout d'abord de l'éloigner de son père et de sa mère, puis de le soumettre pendant trois
mère sont toutes deux mortes tuberculeuses à l'âge de trente ans. Son père est mort fou dans une maison de santé, à la suite
hommes noirs qui veulent l'enchaîner, comme ils ont déjà enchaîné son père . Elle les apostrophe, lutte contre eux; sa figure
nt un séjour à Vichy, au mois de juin 1879, nécessité par la santé du père , l'état, de notre malade est satisfaisant ; un se
me se rétablisse et que les effusions re-commencent. Elle appelle son père , sa mère, essaye de pleurer ou pleure réel-lement
latérale; la mère cependant a longtemps souffert de l'esto-mac, et le père a eu en 1861 une attaque de paralysie. La malade
anny), âgée de vingt ans. Mère très irritable, morte il y a cinq ans; père bien portant; pas de frère ni sœur. Convulsions
ME OBSERVATION i. B... (Henriette), âgée de vingt-six ans, lingère. Père mort poitrinaire, mère bien portante; sur huit fr
IZIÈME OBSERVATION l. D... (Fanny-Dôsirée), âgée de vingt-cinq ans. Père épileptique, mort dans une attaque; grand-père pa
mbule; un oncle paternel aliéné; une cousine issue de germaine de son père est épileptique et idiote; mère hystéro-épileptiq
'attaque fut provoquée par l'annonce brusque de la mort subite de son père ; la malade tomba dans un état de dépression bient
pression bientôt suivi d'excitation, et se créa la persuasion que son père n'était pas mort, qu'elle le voyait dans la chamb
ode. Mademoiselle X est âgée de 16 ans. Eiîe est née à La Havane de père fran-çais et de mère espagnole. Le père et la mèr
. Eiîe est née à La Havane de père fran-çais et de mère espagnole. Le père et la mère sont morts depuis deux ans. Le père es
de mère espagnole. Le père et la mère sont morts depuis deux ans. Le père est mon à l'àge de cinrjuante-dcux ans de la fièv
on nom de baptême. (c Toi qui aimes tant la fille ! (Allusion à son père ) » L... fait des signes de la tête, air de mépris
tête, air de mépris : « De quoi?... Tu es une mère infâme !... Et mon père t'a pardonné!... Tu es une sale femme, tu es une
re infâme? c'est de la canaille... J'ai fini aussi par croire que mon père était lâche... Un an après... J'ai bien fait... I
fé qu'il avait récemment fréquenté, et ceux qui l'en-vironnaient (son père , ses amis et moi qu'on était venu chercher précip
e ne manifeste cependant par ses paroles aucune idée délirante. Son père est mort à cinquante ans d'une pneumonie. Sa mè
., quarante-deux ans. Entrée le 23 mars 1867. Piqueuse de bottines. Père mort subitement à l'âge de quatre-vingt-deux ans.
. Obs. III. S... (Christine), trente ans. Entrée le 24 août 1865. Père mort à soixante-deux ans, atteint d'une hémiplégi
d'une santé parfaite, n'avait jamais éprouvé de maladies graves ; son père et ses trois enfants n'avaient jamais eu de malad
ticulier, pendant lequel la malade, les yeux fermés, causait avec son père qu'elle avait perdu depuis plusieurs mois (souven
depuis plusieurs mois (souvent elle prenait ma main pour celle de son père ), elle lui racontait (en citant les noms, les dat
sé. L... (Alexandrine-Maria), âgée de vingt-deux ans, brocheuse. Le père , deux sœurs et un frère se portent bien; la mère
iennent plus franchement hystéro-épileptiques. « Le 4 septembre, ie père vient me dire que la veille à 4 heures du soir, a
e la « rancune » et ne veuille l'empoisonner. Elle voit ensuite son père qui se jette sur sa mère pour l'empêcher de se tu
érêt. ftICHEK. . (33 G. Jean*, 27 ans, ancien soldat, est né d'un père mélancolique, adonné aux excès de boisson, et qui
tille couvert d'ordures L.... Auguste, 36 ans, charcutier, dont le père était ivrogne, a joui d'une bonne santé pendant s
r terre; je me prosternai à la manière des musulmans, en disant : Mon père , je m'accuse, etc., comme si je commençais une co
côté de l'archevêché, assez loin, y accoururent, et, adjuré par ledit père pourquoi il criait tant, répondit : J'enrage !
eur qui lui dit : « Ma fille, n'ayez point peur, je suis votre défunt père qui vient vous visiter. Hélas, mon père, lui dit
nt peur, je suis votre défunt père qui vient vous visiter. Hélas, mon père , lui dit cette pauvre fille, que venez vous faire
en la personne qui parlait à elle. Ce n'était plus la personne de son père confesseur défunt, mais le visage et la ressembla
es religieuses. (( Au nom de la très sainte et suradmirable trinile Père , Fils et Saint-Esprit, nous soussignés étant asse
tez-nous de voir un aussi précieux trésor. « — Très volontiers, mon père , repartit le comte. « On ouvre la boîte en prés
monsieur, vous vous moquez de nous, repartit piteusement l'excellent père . « — Oui, monsieur, comme vous vous moquez de D
, h jura : Par le Dieu que voilà, je ne le dirai pas : que comme » le père insistait, lui ordonnant absolument de le dire, l
de l'avoir perdu librement m'ôte la liberté de l'adorer : mais que le père répétant le commandement qu'il lui avait fait, il
: qu'après cela le démon alla sejeter le ventre à terre aux pieds du père , qui tenait le saint sacrement en main, et qu'aya
le père Tranquille demanda d'oîi lui venait cette audace de vexer le Père ; d répondit en furie s'adressant au père Surin m
etit souffle par le nez : qu'ede était presque insensible, puisque le père lui prit la peau du bras et la perça d^outre en o
cependant il les obligeait d'adorer la nature humaine en son Fils. Le père lui demande ensuite quelle était la meilleure voi
frapper les assistants, et faisant de grands efforts pour outrager le père même, qui la conduisit pourtant enfin dou-cement
t la forme de quelques religieuses qui disaient à sœur Anne du mal du père confesseur et de ses supérieures, avec des parole
es. Son appétit en était fort excité jusqu'à ce qu'elle l'eiit dit au père confesseur et à sa mère, car elle se sentit alors
les mêmes enseignements et consolations, se fait tout pareil â notre père : et en prend immédiatement la forme, laquelle, un
e discours que vous me venez de tenir... » Un peu après, quandnotre père confesseur m'envoya quérir tout de bon, je n'y vo
e fus pourtant tellement importunée, que j'allai au parloir, là où le père confesseur me lit voir clairement que c'était le
re le reste. «..... Un jour, sur les trois heures après midi, notre père m'envoya quérir au parloir; j'y fus aussitôt, e
t sa forme que je trouvais au parloir, lequel m'entretint comme notre père environ une demi-heure. Je lui disais tous mes se
la crainte que j'avais d'être surprise, je disais toujours : Oui, mon père , je vous promets cela en tant que ce sera la volo
. Mais comme je lui disais les soupçons que j'avais eus de lui, notre père entra au parloir, et aussitôt ce diable passa par
et m'ôta les soupçons que je m'étais for-més, dans l'esprit, de notre père confesseur..... » Vrai Dieu ! à quel point cet
e, et incroyablement embarrassée, je m'en allai au parloir voir notre père , à qui je celai le discours de l'hostie marquée:
n pût dire. » Après la messe, je fus au confessionnal trouver notre père ; je lui racontai tout ce que cet ange m'en avait
en forme fort horrible qui me cUt : « J'ai commandement exprès de ton père confesseur de me mettre dans l'hostie qu'il te do
tra infailliblement noire. » Cela arriva comme il avait dit, et notre père eut bien de la peine à me communier, il me montra
ladite Eglise et Docteur en Théologie, Billard, Curé de Vernon, deux pères jésuites le révérend père Ragon, Recteur de Rouen
allait grimper sur les arbres. Elle fut guérie par intimidation, son père la menaçant à dessein de la tuer. Une autre sœu
ns, devint malade vers la fin du même mois de mai. « Unjour, dit le père , étant dehors elle sentit une grande douleur à la
résistance. Plus tard, c'était en revenant de l'enterrement de son père , il monta sur un énorme sapin, sur lequel personn
nir sur ses jambes, ni à peine remuer les bras; j'ai essayé (c'est le père qui parle) plusieurs fois de la mettre debout, ma
J'ai déjà cité la jeune PI... qui fut guérie par les menaces de son père . Il enfui ainsi de plusieurs autres, notamment de
. Il enfui ainsi de plusieurs autres, notamment de Julienne L...; son père , la saisissant par les cheveux et brandissant une
s après les émo-tions d'une retraite prêchée avec grande pompe par un père jésuite. La première malade, jeune fdle de ving
avoir humectée et touchée avec une petite croix de saint Paris, et le père directeur enfonce en quatre ou cinq coups de mart
nement de Dieu, elle s'en allait sur les terrasses de Vauberge de son père , et dessus les petites pierres qu'elle trouvait e
et en bonnes coutumes (habitudes). Elle était de grande obéissance au père et à la mère, et volontiers faisait leurs mandeme
ls se transportèrent à Hyères, et désormais y habitèrent toujours. Le père voulut qu'elle servît les pauvres qu'd avait cout
recevait allègrement avec grande humilité, obéissant au mandement du père , et les administrait avec grande dévotion, et ne
46 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
L'auteur du rapport, M. Gololoboff, cite comme exemple la lettre d'un père dont le fils est devenu alcoolique. Nous pouvons
telle personne plutôt que telle autre. Ainsi je n'ai jamais vu ni mon père , ni ma mère, tandis que j'ai vu plusieurs fois un
, ignorant, qui, dans un rêve, voit apparaître un être qu'il a perdu, père , frère, compagne. Cet être lui parle, va, vient,
d'être sculpté sur le couvercle de la tabatière de buis, chère à dos pères . Il convient de reconnaître que la scène a ét
être doué de barbe. Elle s'appelait Rosina Margarita Müllerin. Son père était au service de Jean Georges III, grand élect
ille de gens velus. Cette famille se composait de cinq personnes : le père , un fils et trois filles. Elle fut exhibée et étu
une petite ville voisine d'Ins-pruck, dans le Tyrol. 11 parait que le père était originaire des lies Canaries. On ne sait co
bienveillance ou tout au moins leur neutralité. Les portraits du père , du fils et de'deux des filles nous ont été trans
alent hors ligne- dont nous donnons la reproduction {Fig. 10). Le père , debout, a la figure et les mains velues, auprès
ion symbolique. Cet Individu est le type du dégénéré supérieur. Son père est mort de paralyBie générale ; sa mère, grande
seulement elle commença, à deux ans, à se couvrir de poils comme son père . Les poils. qui occupaient d'abord l'oreille, e
années (flg. 21). Celte femme avait tout à fait la physionomie de son père ; l'abondance et la disposition des poils étalent
pathologique. Son caractère est très gai et Basante florissante. Son père , cultivateur aisé, robuste et bien portant, a rem
it rien de précis sur les ascendants. Toutefois, une demi-sœur de son père était épileptique. Une familière de la maison, qu
igure manifeste une sorte de stupéfaction doulouieusc û la vue de son père qu'elle trouve considérablement vieilli. Regardan
t très bien portée. Point d'angoisse, ni d'attaques. Le 25 avril, son père est mort. A l'annonce de ce deuil, elle a eu une
n à l'Hôtel-Dieu. Elle y entra dans le service de M. le D' Horteloup, père . Un dessin cl-jofnt ta montre à l'âge de soixante
uelque intérêt. Sa mèreétailnormale, sescheveux étaient châtains. Son père , par contre, était très brun. Sa barbe et ses fav
cela n'arrive pas. Son mari, sa mère ne s'en sont jamais aperçus. Son père seul, qui était plus observateur, l'a remarqué ;
es volontés, la haine d'Iahvé sera sur vous, comme elle a été sur vos pères » {'). Et le peuple effrayé de répondre : « A tou
ur bientôt: ce sont les causes du vénérable Vianney, curé d'Ars; d'un père jésuite martyrisé au Japon ; d'un religieux barna
tait guérisseur ; et je sais que vous pouvez faire ce que faisait mon père . — Alors je suis donc sorcier comme lui ? Elle
tre que son esprit était d'une tournure toute spéciale. En effet, son père était guérisseur ; cela veut dire : Que dans sa
uérir comme un don : impression anccstralc. Que dans sa famille son père avait ce don : impression paternelle. Qu'étant
n état spécial, dans celui de l'attente. Et son sorcier habituel, son père , n'étant pas là, elle en crée un de toutes pièces
és ultérieures. Que si rfen de cette hérédité ne transparaît chez les père et mère, on en recherchera la source chez les asc
est fortement barbu. I) est blond «t tient cette particularité de son père . Mme Augeard ne présentait pas, en dehors de la
été conduite à l'autel par l'homme incombustible, faisant fonction de père de famille. Les garçons et demoiselles d'honneur
proverbe rappelé par Euripide : o Honnête homme ne saurait naître de père malhonnête ». Dans un autre de ses drames, il dit
ent sans comprendre, il leur dit : a Ces deux chiens sont nés du même père et de la même mère, mais comme j'ai donné à chacu
élévation d'esprit exceptionnelle. L'autre évoquera les paroles d'un père , d'un parent, d'un chef, d'un ami. d'un maitre ;
ymbolisée par le sang nourricier et le vin généreux du Bacchus indien père de tous les autres Bacchus, Noe et Cie...? Atte
e-t-on, percevrait par le moyen d'un fil conducteurlcs pensées de son père ; l'un est du D'Naoum-Kotik (d'Odessa), l'autre d
s le silence d'un cabinet inviolable, notre ami et cher maître, le D' Père , s'adonne avec une constance inouïe à ses expérie
bien fermées, ou 11 faut qu'elle compte jusqu'à cinquante, sinon son père pourrait mourir, car il a cinquante ans... etc.
e et demi de lait par jour ; et elle voudrait imposer ce régime à son père , à sa mère, à sa sœur... Sa mère, allume un feu d
le renverse le fourneau, en disant : « Vous allez me damner... ou mon père va mourir! » Pendant dix jours, sa famille n'a ma
Science. Avril 1877, p. 86. soins du ménage dans la maison de son père . Les premiers symptômes que l'on observa chez ell
e aucune nourriture. Elle avait des antécédents héréditaires, car son père était mort à 56 ans d'une mélancolie terminée par
capable de l'aguerrir et de lui donner l'assurance qui lui manque. Le père de notre jeune homme fait, à ce sujet, au fond de
la mauvaise foi persistent à colporter au sujet de l'hypnotisme. Le père n'ose pas soumettre son enfant à une thérapeutiqu
e de lettres éplorées. Cinq jours avant le Concours, il écrit à son père que la situation n'est plus tenable et que, pour
asse, il n'a plus qu'à « se faire sauter le caisson >. Le pauvre père , affolé, accourt à Paris et vient me voir. Nous c
t eu des crises d'excitation avec manie de destruction. Elle a eu son père , un frère et une sœur atteints de folie et sa mèr
puis trois ans et qui vend ses habits pour avoir de l'eau-de-vie. Son père , dans le courant de ces trois années, lui a achet
8}, est encore plus surprenante. Peu de temps avant sa naissance, son père et sa mère qui habitaient à cette époque l'Afriqu
ne promenade en voiture dans une forêt. Un lion les attaqua et tua le père . La mère ne dut son salut qu'à l'intervention de
ssède ma volonté et m'impose de l'épouser, malgré l'opposition de mon père . « J'ai cessé de travailler à un examen que je
s dans ton sommeil de signifier d'une façon formelle ta volonté à ton père . « II le faut cl puisque j'ai pris la volonté,
omme je te l'ai dit, va aujourd'hui à X... et parle franchement à ton père , sans détour. i Ma volonté te suivra toute la j
-dessus, il fut extrêmement troublé et se disposa à aller trouver son père pour lui demander son consentement au mariage. Il
t de ne pas recevoir son exécution. II est d'ailleurs probable que le père ne lui aurait pas accordé son autorisation. Xot
mon souvenir, de brûler ses lettres, etc. Je ne veux pas offenser mon père en épousant une intrigante qui m'a trompé indigne
eune fille a une double hérédité ; sa mère était très nerveuse et son père alcoolique. Dès sa naissance, elle est chétive ;
47 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
é de ses grands parents, on ne trouve que peu de renseignements. Le père de sa grand' mère paternelle est mort aliéné da
rnelle est mort aliéné dans une maison de santé, près de Nancy. Son père est bien portant, c'est un homme de soixante-di
il est méchant pour ses camarades : « J'en suis très fâché, dit son père ... si j'étais là, je le mange- rais plutôt ! »
nner aucun renseignement précis sur leur histoire pathologique. Son père est mort à soixante-sept ans d'une fluxion de p
eu treize frères ou soeurs dont cinq seulement de la même mère (son père s'est remarié et a eu huit enfants du second lit)
es- seur Dieulafoy, à l'hôpital Necker. Antécédents héréditaires. Père alcoolique, atteint à deux reprises d'aliénatio
travail. Six mois après, il se marie et devient en quelques années père de quatre enfants : deux meurent en bas âge, de
t ans victime d'un lare héré- ditaire nerveuse. Fils, frère, neveu, père d'épileptiques ou d'aliénés, il est depuis dix-
c. dans le service de M. le D' Joffroy. Antécédents héréditaires. Père mort accidentellement; n'était pas nerveux. Mèr
tel est du moins le diagnostic qui ressort de ses descriptions; son père était goutteux et il est mort d'une attaque d'apo
de dix-huit ans, meurt le 5 octobre 1875. Antécédents héréditaires. Père mort d'apoplexie cérébrale, il avait eu la dans
voitures. Antécédents héréditaires. Le malade n'a jamais connu son père non plus que sa famille paternelle. Du côté mat
Antécédents héréditaires. Mère morte iclérique à soixante-deux ans. Père en bonne santé, ni alcoolique ni nerveux. Pas d'a
il l'Hôtel-Dieu, salle Saint-Denis. Antécédents héréditaires. - Son père est bien portant et a aujourd'hui cinquante-hui
duc- teurs de la cuisse. Dans ses antécédents nous relevons que son père , saltimbanque comme lui, était un alcoolique in
x, et présenté du reste au cou quelques cicatrices de scrofule. Son père a commencé à le disloquer à 1 an, et depuis l'â
Mère épileptique, morte en état de mal, a l'âge de trente-six ans. Père mort de pneumonie à soixante-huit ans, pas nerv
cune sorte; il n'est ni alcoolique ni syphilitique. Il est marié et père d'un enfant âgé de six ans. Histoire de là mala
re, manger et parfois marcher. Comme antécédents héré- ditaires, un père bien portant, pas alcoolique, une mère ayant des
que il a abandonné cet usage. Il a deux- enfants bien portants. Bon père de famille et ardent travailleur, il se livre à
é aux accidents névropathiques par le fait de son hérédité, car son père et sa mère étaient vivants et bien portants. 11
mort de soif dans le désert d'Arizona. Ses parents sont morts : son père est mort de la fièvre jaune à la Nouvelle-Orléa
on d'Aumont, comte de Châteauroux; par le/septième enfant d'un même père , sans que la naissance'd'aucune fille fût venue
ervice de M. le professeur Charcot. Antécédents héréditaires. Son père est un enfant « naturel », élevé par l'Assistan
Rien ne trahit en apparence l'état mental qu'elle présente. Ni le père ni la mère de notre malade ne présentent autre ch
ait fortement alcoolique et dénaturée, si l'on en croit le récit du père de la malade. Celait un cuisinière de grande ma
rand-père serait mort d'une attaque d'apoplexie. En somme, ni son père ni sa mère n'ont vu ni connu dans leur famille
ade elle-même et ont été contrôlés et confirmés par le récit de son père et de sa mère que nous avons longuement interro
une vive frayeur : un locataire récalcitrant menaçant de battre son père , concierge de la maison, la petite fille a eu t
ement frappante que l'un de nous la voyant à la consultation avec son père a demandé à celui-ci si ce n'était point sa mèr
sa mère qui est à Sainte- Anne, fait la plupart des courses de son père , etc. Sa force musculaire est 174 NOUVELLE ICON
dans le service de M. le docteur Joffroy. Antécédents héréditaires. Père , mort d'accident, pas nerveux. -1}1 ère, morte
le. Côté paternel. Grands- parents ne sont pas connus de la malade. Père très emporté, coléreux, al- coolique. Trois onc
3 août dernier, après avoir assisté à une querelle violente que son père eut avec un individu, elle fut prise presque au
le service de M. le professeur Charcot. Antécédents héréditaires. Père alcoolique et de race juive; mère hys- térique.
le mois de mai 1885, dans les circonstances que voici : Un soir son père rentra chez lui en état d'ivresse furieuse, crian
très colé- reuse. Une tante du côté maternel a des crises de nerfs. Père bien portant, pas nerveux, pas alcoolique. La m
qu'il donne, au point de vue nerveux ou mental, sont négatifs. Son père , âgé aujourd'hui de soixante-trois ans, est bien
partient à une famille de cultivateurs honnêtes et travailleurs. Le père se plaint surtout de douleurs articu- laires, p
. 301 signaler. Grand-père paternel mort d'apoplexie cérébrale. Son père et sa mère étaient cousins germains. Le père es
oplexie cérébrale. Son père et sa mère étaient cousins germains. Le père est mort accidentellement; il était alcoolique.
profes- seur Charcot en décembre 1885. Antécédents héréditaires. Père mort de tuberculose pulmonaire à l'âge de quara
e le 9 mai 1887 dans le service de M. le D'Empis. Antécédents. - Le père de la malade était très irascible; sa mère est
harcot avec le Dr Charpentier (de Meaux). Antécédents héréditaires. Père et mère bien portants, non névropathes. Dans la
ait cinq ou six frères. Ceux qui ont embrassé la profession de leur père (cultiva- teur), qui ne demande pas de surmenag
et quelques mois après, vers 1849, se pendit chez son beau- frère, père de la jeune fille. Un autre oncle, sorti de l'Eco
deur et la trépidation des membres inférieurs étaient extrêmes. Son père écrivait au Dr Beni-Barde, le 24 novembre 1881, u
repasseuse, entre le 8 décem- bre 1885. Antécédents héréditaires. Père mort, il y a cinq ans, de tuberculose pulmonair
professeur Dieulafoy, à l'hôpital Necker. Antécédents héréditaires. Père , mort à trente-neuf ans de tuberculose pulmonai
ds-parents, on ne trouve aucune tare héréditaire névropathique. Son père est mort à trente-quatre ans de tuberculose pul
e-deux ans, né en Ecosse, est issu d'une famille d'alcooliques. Son père s'est brûlé la cervelle. C'est un dégé- néré su
a colonie de Vaucluse). T..., neuf ans, imbécillité très accentuée. Père déséquilibré, alcoolique. D'autres membres de l
à l'âge de soixante ans; elle était aliénée depuis quinze ans. Son père vit encore; il est atleint de rhumatisme chro-
sont morts, l'un de vieillesse, l'autre d'apoplexie cérébrale. Son père est mort à soixante-quinze ans. C'était un « or
ditaires. -Du côté paternel, grands-parents sans lare nerveuse. Son père est alcoolique. Du côté maternel, sa grand'mère
ts héréditaires. Pas de renseignements sur les grands- parents. Son père est bien portant, il n'est pas alcoolique et n'a
ds-parents, rien il signaler au point de vue nerveux ou mental. Son père est un alcoolique renforcé. Il boit de l'absint
e Saint-Charles, n° 24, à Pllôlel-Dieu. Antécédents héréditaires. Père mort il quarante-quatre ans phthisique et éthyl
mort à trente-sept ans, à la suite d'un accès de colère violente. Père mort de bronchite chronique à quarante-six ans, u
mort de bronchite chronique à quarante-six ans, un peu nerveux. Le père et la mère sont cousins germains. Ils' ont eu sep
48 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
au Havre; employé comptable dans un bureau des ponts et chaussées. Père bien portant ; la mère a des antécédents tuberc
ous complétons l'exposé au moyen des documents particuliers que son père et sa mère nous four- nissent en son absence.
né de l'observer. Il est né au Havre, où habitent ses parents. Le père et la mère, que nous voyons à différentes reprise
re, que nous voyons à différentes reprises, sont bien portants : le père n'accuse aucun antécédent parti- culier ; la mè
i- culier ; la mère est une enfant naturelle et n'a pas connu son père ; elle-même n'était pas encore mariée lorsqu'elle
ec tout le confort désirable : son DE L'INCOORDINATION MOTRICE 31 père est armateur et possède une fortune qui le met à
rne de M. le professeur Charcot, hospice de la Salpêtrière. ' Son père est mort, dit-il, d'une fièvre typhoïde, sa mère
ne semble pas y avoir d'antécédents héréditaires dans la lignée du père qui, après avoir tenu une maison d'épi- cerie,
..., onze ans, né en 1873. Grand'mère maternelle migrai- neuse ; le père , qui est magistrat, est migraineux ; la mère est
unes que nous voyons et qui sont bien portants. J..., nous dit le père , a toujours été nerveux, c'est un enfant doux o
n moins accentuée, plus rares et plus faibles. » « Pour moi, dit le père , je me souviens aussi comme elle, qu'à la fin,
st pas encore tout à fait débarrassé. » Au mois d'octobre 1884., le père amène son enfant en consul- tation chez M. Char
r mécanicien, né le 13 avril 1863 à Paris. La mère est de Paris, le père de la Bourgogne. Grands parents paternels : mor
ère maternelle aurait eu la chorée ou une affection analogue ( ? ). Père tonnelier, non alcoolique, très impressionnable
le n'est pas réglée. Sa mère n'a jamais eu d'accidents nerveux. Son père a un tic convulsif non douloureux de la face. E
sort incomplètement guéri, le 1"' février IS83. Le 28 février, son père demande de nouveau son internement, mais le commi
ngt-trois ans, est né au Havre de parents d'origine normande. Son père est mort à soixante-sept ans d'une anévrysme ( ?
amille sur laquelle j'expérimentais il y ayahçuatre sauteurs : le père , le fils et deux petits-fils âgés de quatre à sep
raineux, mère très nerveuse. Obs. VII. Chorée des grands-parents, père très nerveux, une .soeur atteinte de la même af
e, 1884, janvier et mars.) 166 CLINIQUE NERVEUSE. Obs. VIII. Le père a un tic non douloureux de la face; tante alién
rière ; M.X... rentre dans la salle : « Ah le voilà ce vieux c.. de père X..., ce vieux c.. ! » - le tout prononcé rapid
ille où j'expérimentais, il y avait quatre sauteurs (lunzhers) : le père , le fils et deux petits-fils âgés de quatre et
ns dans l'observation VIII, qui a trait à une jeune fille dont le père avait un tic non douloureux de la face, et qui
la peau, etc.; marié depuis qua- torze ans, « c'est un bon mari ». [ Père , éperonnier, mort en )8' ! 2, à t'age de soixan
elle n'a jamais eu de maladies de peau ni fait de maladies graves. [ Père , jardinier, faisait quelques excès de boisson,
sc'étaitlini. (Vertiges). Unjour en marchant tenu à la main par son père , celui-ci sentit que l'enfant serrait plus fort
quatre mois et même depuis une quinzaine de jours; il a reconnu ses père et mère, mais ne leur a pas parlé (avi il 1881)
ite transitoire notée à la fin de l'année 188'N. Observation XVI. Père alcoolique mort de paralysie générale. Grand*pè
ligence, qui avait été assez développée, était donc déjà atteinte. [ Père , mort à soixante- dix-huit ails ; il était « ha
que l'on ne peut préciser, « avait la figure tournée de coté»; le père de celle-ci s'était remarié à soixante ans « avec
s « quand je suis venue au monde, dit-on ». Ni frère, ni soeur. mon père était Suisse, ma mère Espagnole et je ne puis pas
ma famille.] - Pas de con- sanguinité. Six enfants dont quatre du père du malade : 10 notre malade ; 2° garçon, douze
e l'enfant précédent; après la naissance de ce troisième enfant, le père ayant déjà été enfermé à l'asile de Montdevergn
poité. 214 f1. THÉRAPEUTIQUE. Notre malade. - A la conception, le père de l'enfant était déjà malade, et buvait beauco
ls ils ont donné naissance chez les ascendants, de la profession du père , de l'âge des parents au moment où l'enfant est
eu avec elle de coït normal. Tel autre homme très bien, très rangé, père de famille, etc., a des accès autrement curieux
heures du soir. Renseignements fournis par sa mère (28 août 1882). Père , cin- quante-deux ans, menuisier, taille moyenn
s; il est un peu cholérique, bon ouvrier; marié à vingt et un ans. [ Père , mort à quatre-vingts ans; on l'a noyé, pense-t
a jamais eu de convulsions dans l'enfance, ni de maladies de peau. [ Père , soixante et onze ans, maçon, bien portant, tra
maternelle, morte vers soixante ans, on ne sait de quoi. -Grand- père paternel, mort du choléra en 1832. - Grand'mère m
ois accès chez ses parents, avec lesquels il se serait querellé. Le père s'enivrerait avec de l'absinthe. Le bro- mure d
nts héréditaires, nous n'avons à citer que les excès alcooliques du père et des aïeuls et des convulsions chez une cousi
cérébrale. Epilepsie symptoma- tique et imbécillité. Hypospadias. - Père alcoolique. Mère hystérique. Tante et oncle mat
Observation X1111. Instabilité mentale ; épilcpsic idiopathiquè. Père alcoolique. Mère : crises nerveuses en 4883. - Gr
accès en janvier 1885. Observation XXIV. Epilepsie symptomatique. - Père mort hletlei- sique. Mère migraineuse et coléri
'ÉPILEPSIE. 3 1-7 0 13 S E R V. TI 0l 11. - Epilepsie idiopathique. Père alcoolique Convulsions ci sept ou huit mois. Ve
318 THÉRAPEUTIQUE. OusEw-a'rcov \111. -Epilepsic idiopathique. - Père alcoolique ( ? ). Fièvre intermittente (trois a
. Observation XXXI. E4pilepsie idiopathique. Cousine germaine (du père ) épileptique. Convulsions à dix-huit mois. Parési
aternelles, y fut découverte et tuée avec ce dernier par son propre père . Ce martyrologe lui valut la réputation de sainte
L'opinion vulgaire est encore que l'homicide ne fut commis par le père que dans un accès de délire. Toujours est-il que
49 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ndividus atteints de cette infirmité. Il y a relevé l'alcoolisme du père , l'hystérie de la mère, toutes les variétés de
ons cependant relevé, comme les auteurs précédents, l'alcoolisme du père , l'hystérie, la déséquilibration mentale, diver
èse de l'auteur précédent, nous voyons un jeune incontinent dont le père avait eu la même infirmité jusqu'à quatorze ans
leur enfance. Dans notre observation IV ci-après, nous trouvons un père inconti- nent ayant quatre de ses enfants attei
cès. A. - Guérisons. Observation l.-V..., garçon de onze ans. Son père est mort de tuberculose pulmonaire; sa mère est
simple suggestion. Observation II. - 0. B..., fille de treize ans. Père vivant, nor- mal ; mère cinquante-six ans, prof
a suggestion hypnotique. Observation 111. H..., garçon de huit ans. Père mort de tu- berculose pulmonaire; mère dont le
à cette maladie. Observation IV. te. V..., garçon de quatorze ans. Père névro- pathe, ayant été atteint lui-même jusqu'
olontaires sont le' résultat de rêves mictionnels, au moins chez le père et l'aîné des fils, puisqu'elles se produisent
AR SUGGESTION. 17 Observation VII. F. M..., sept ans, fille unique. Père tuber- leux, mère normale, intelligente, bien p
e ramener la malade. Observation X. T. U..., fille de treize ans. Père normal; mère lymphatique; tante ayant pissé au
s elle pissait au lit malgré les pré- cautions. Il y a six mois son père , employé au chemin de fer a été victime d'un ac
'est levée pendant la nuit. Observation XL C..., garçon de dix ans. Père mort d'une tumeur de l'oeil. Mère normale. Soeu
ever et le coucher. Observation XII. M. B... fille de quatorze ans. Père d'une intelligence peu développée. Mère présent
de son infir- mité. Observation XIX. M. T..., garçon de onze ans. Père et mère 26 THÉRAPEUTIQUE. d'apparence normale
e. B. Améliorations. Observation XXI. Bée..., fille de douze ans. Père normal; mère nerveuse; ils ont plusieurs autres
tion XXII. M. C.... fille de treize ans. Mère morte de tuberculose, père souffreteux, de mine tuberculeuse. Enfant chéti
is tout haut de ses jeux. Elle pisse au lit depuis sa naissance. Le père pense qu'elle fait deux fois par nuit, vers min
14. Ça va beaucoup mieux; semaine presque entièrement sèche ; le père n'est même pas sûr qu'il y ait eu des mictions in
ent peu, mais ça lui est arrivé chaque nuit depuis le 26 avril. Son père s'est aperçu que c'est tou- jours dans le cours
onne saur, du cachot noir plein de rats et qu'elle a très peur. Son père nous apprend alors qu'elle a été pendant un cer
te. C. INSUCCÈS. Observation XXIII. - A. B... garçon de neuf ans. Père bien portant; intelligent, mais buveur; mère no
très plausible. Observation XXIV. P. G..., douze ans fils unique. Père mort de tuberculose du rachis ; mère morte de p
ner- vosisme s'agit-il ? II nous a été impossible de le savoir. Le père du malade s'est pendu; il était très hypocondri
parce qu'on l'accuse de vouloir assassiner quelqu'un ; il se déses- père , proteste de son innocence. Un autre jour, les
dant plusieurs jours. Le malade ne mange pas parce qu'il entend son père lui défendre de se nourrir. (Ce dernier était m
tres lui parlent par l'esprit». Quand on lui dit de causer avec son père , on voit ses lèvres remuer, mais on ne l'entend
l'entend prononcer aucune parole. 11 continue à entendre ainsi son père et sa soeur, et à leur répondre; jamais il n'a eu
(Noitu. Iconog. de la Salpêtrière. 1895, n° 5.) Homme de vingt ans, père inconnu, mère hystérique. Comme antécédents per
est-il bien supérieur. Enfin la statistique dressée par M. Chervin père permet d'évaluer à près de 130,000 le nombre de
salaire insuffisant probablement pour faire face à ses besoins. Son père , hystérique, refuse de lui venir en aide et sa mè
re touffues et soyeuses d'un châtain clair, peau fine et saine. Son père , vieil attbritiffue, est atteint d'un asthme re
ba par terre. La scène se pas- sait dans une auberge appartenant au père de la jeune fille, une ligne de chemin de fer p
véri- tables. Du côté paternel, ni aliéné, ni épileptique, mais le père est sourd et ivrogne. Quant à Roberto, convul
vingt ans, est porteur d'une très lourde tare héréditaire. , Son père , à cause de ses excentricités, n'était appelé que
était musicien et jouait de l'orgue avec passion. Enfin, comme son père , on l'avait surnommé le fou. A noter que dans l
s et bien portants, parents sains (issus de germains), une soeur du père idiote, deux cousins épilepliques, un frère aîn
s de traitement. 0. R... âgé de quarante-trois ans, négociant. Le père est mort à soixante-cinq ans d'une maladie de c
nt identiquement aux mères, tandis que les poules ressemblaient aux pères . Pour éviter l'objec- tion d'influence d'imprég
ulaire aigu. Son hérédité était peu chargée : mère morte en couche, père , âgé de soixante-dix ans, bien portant; deux fr
e d'origine israélite était, depuis longtemps établie à Odessa ; le père qui est brocanteur ne serait pas buveur et para
. j 7 2§8 · CLINIQUE mentale. A. K... avait douze ans lorsque son père , pris du désir de faire fortune, se décida à ab
CHARCOT, chef de clinique.) Observation. Femme, trente-huit ans, père tombé en démence à un âge peu avancé, soeur mor
de la Salpêtrière, 1896, n° 1.) Observation. Femme, vingt-huit ans, père et mère tubercu- leux, probablement tuberculeus
étéorolo- gique particulière au pays, car il possédait autrefois un père galant qui avait séduit une jeune fille et l'av
sorte héréditaire, d'autant plus qu'il avait le même péché que son père sur la conscience. Aussi, chaque fois que le ciel
M. F..., âgé de soixante-neuf ans, ancien directeur d'hôpital. Le père du malade était alcoolique, mort à l'âge de quara
de traitement. P. F..., âgé de quarante-neuf ans. Magistrat. Son père est gout- teux. Sa mère était toujours très ner
éances de traitement. M. M... âgé de quarante ans, négociant. Son père était goutteux, il est mort à l'âge de soixante
ent. M. M..., âgé de cinquante-deux ans, fonctionnaire. Le grand- père paternel est mort de paralysie générale. Pas d'au
taires, les observations suivantes. 1° Un musicien de quarante ans ( père tuberculeux, mère névro- pathe), est pris à l'â
n et oubli continuels des lettres en écrivant). 3° G..., vingt ans. Père alcoolique. Trois frères, l'un homicide, l'autr
nt), les antécédents hérédi- taires des sujets (l'un d'eux avaitson père atteint d'épilepsielarvée). En résumé donc il s
aît en souriant avec fierté les faits qui lui sont reprochés. Son père , M. François Janot, un très honorable charretier,
lisons (p. 37, t. I) le passage suivant : « Une autre soeur de mon père , la baronne d'Almais de Curnieux, qui vivait av
ncendiaires, c'est le fils d'un no- taire de 1110ntl'ichard dont le père ne veut pas prononcer le terrible mot de folie
ès chargés, on compte plusieurs aliénés parmi ses ascendants et son père et sa mère sont cousins germains. Trois de ses
ns ce beau pays d'Italie, qui donna le jour à J.-B. de la Porte, le père de l'anthropologie criminelle et auxLombroso, M
896.) - Le nommé Victor Beuret, âgé de trente et un ans, marié et père de famille, cultivateur à la Rivière, fut trouvé
50 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oussière, près de Kantes, a tiré hier des coups de revolver sur son père et sa mère. Fonteneau était atteint d'une espèc
it revenu depuis deux mois chez ses parents. C'est au moment où son père travail- lait dans un champ qu'il a tiré sur lu
s deux faibles d'esprit, issus d'une mère également débile, et d'un père bien constitué au moral et au physique. L'un d'
mates de dégénérescence. Il a une soeur jumelle jusqu'ici indemne. Père mort phtisique, mère névropathe et calculeuse.
», dit l'enquête. Une soeur aînée aliénée, morte dans un asile. Le père , original, était atteinte de folie processive.
alcoolique subaigu; dégénéré nain à stigmates multiples, fils d'un père phtisique appartenant à une famille de phtisiques
orté à la méchanceté' et à la violence, surtout quand il a bu. Le père est un alcoolique d'une santé précaire, fils uniq
e, fils unique dont DEUX NOUVEAUX CAS DE FOLIE GÉMELLAIRE. 103 le père est mort d'une pyrexie et la mère d'une affection
u près normale, se plaint cependant de troubles névropathiques. Son père , alcoolique, est mort des suites d'un accident
t par « fo- leiller » et qu'elle ne pourrait prendre le dessus. Son père en lirait * prétexte pour la battre étant ivre.
ivrer à des actes extravagants ou nuisibles ; idée fixe de tuer son père et sa mère contre qui elle manifeste une aversi
i exactement à ce que nous avons précédemment exposé : du côté du père nous trouvons l'alcoolisme, du côté de la mère
ur laquelle nous avons recueilli les renseignements suivants : Le père est mort à cinquante-trois ans d'une fièvre typho
eux ans, de la poitrine. Puis vient un garçon, vivant bien portant, père d'un enfant normal ; ensuite les jumeaux; en de
is l'âge de six ans. J'ai fait au moins trente- deux campagnes. Mon père est le colonel de Guéret, dans la Creuse. J'ai
voyée dans une maison de correction jusqu'à sa vingtième année. Son père est civilemeut responsable. Le Bonhomme Normand
cendants directs, personne n'a jamais été frappé de paralysie ; son père est mort d'hydropisie. Il a eu huit enfants don
iers, les deux fils aînés ont été paralysés de la même façon que le père . Cette paralysie les a frappés après vingt ans.
ucre ni albumine. En résumé, trois individus de la même famille, le père et deux fils, sont frappés au même âge de phéno
son individua- lité clinique que par des questions- de détail' : le père , frappé à une seule reprise, ne présente plus a
sque le malade ne s'observe pas suffisamment. On'peut considérer le père comme absolument et totalement guéri ; le seul
s'agisse dans ces cas que de phénomènes toxiques venant frapper le père . et le fils d'une façon identique. Nous préféro
tre le moins sous son vrai jour, puisqu'il se sent surveillé; et le père , la mère de famille ne nous induiront- ils pas,
des auteurs il y aurait là le sujet d'une thèse sérieuse. Sommaire. Père , très intelligent, rien de particulier. Grand-pèr
ATHOLOGIQUE. ' · Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de deux ans ( père plus âgé). Grossesse accidentée par une chute
Signé : D1' Nelter.) 1° Antécédents. Renseignements fournis par son père .-1- Père, vingt- six ans, planteur, grand, brun
1' Nelter.) 1° Antécédents. Renseignements fournis par son père.-1- Père , vingt- six ans, planteur, grand, brun, pas de
il y a trois mois. Il descend, par les femmes, de Denis Papin. [Son père , soixante-trois ans, aurait eu des migraines pend
endormie plusieurs autres fois et avec une extrême faci- lité. [Son père , soixante ans, sans troubles névropathiques, fai-
jourd'hui. * Les convulsions ayant cessé, dans le septième mois, le père a 1 DIOTI E- ? Il CROC PHALIQUE.. 277 Î essay
e des jambes, quand on les allongeait, est nettement décrite par le père . Il fait remarquer que si elles étaient fléchie
ont toujours été nulles. La sensibilité générale semble obtuse. Son père a remarqué que lorsqu'on le pinçait il y avait
ètres de l'habita- tion. » L'odorat, au contraire, était nul. Son père lui a soufflé de la fumée de tabac dans les nar
, comme si elle était lourde. Les muscles du cou m'ont paru, dit le père , « peu développés, il avait l'air de rattraper
pement de la taille aurait subi une marche ré- gulière (y. G). Le père dit que dès les premiers tempsde la vie, avant le
ts ultimes du processus de désintégration. Réflexions I. Du côté du père , qui « descend par les femmes » de Denis Papin,
eux, que la migraine chez le grand-père et l'un des arrière-grands- pères de l'enfant. En revanche, les cas de tuberculos
a consé- quence d'un Iraamalisme céphalique de l'enfance, car ses père , sauf quelques excès de boisson, mère, frères et
vainement la moindre trace de tramuntisme sur le cuir chevelu. Le père qui nous donne les renseignements sur l'accident
rents eux-mêmes sont bien portants et sobres; ni dans la famille du père , ni dans celle de la mère, on n'a remarqué de ma-
nous avait pas vu entrer; je réunis les mains du docteur et de son père , faisant étendre la main droite de ce dernier sur
fonctions, puis je commandai à haute voix : souffrez, réagissez. Le père sentit un choc, le docteur rien, mais la malade
te également sur les deux sexes, que la transmission vienne soit du père soit de la mère. ' . Chez 64. hommes et 22 fe
re à la folie atteint son maximum quand elle est reçue à la fois du père et de la mère; 4° L'influence maternelle a une
smission de la tendance à la folie ; 5° La folie transmise par le père est légèrement plus dange- reuse pour les fils
la roua de coups. Alors le fils, prenant un revolver, tira sur son père et le tua. Il s'est constitué prisonnier. (Le B
que qui était placée au hameau de Gagne, chez M. Fontbastier; son père est au bagne et sa mère est dans une maison centr
e rapporte à un cas de paraplégie spasmodique chez un homme dont le père et la soeur avaient déjà présenté la même affec
t de vue cérébral du côté des grands-parents paternels Une soeur du père , âgée de cinquante-cinq ans, d'une santé très dél
faiblie intellectuellement et incapable de tout travail ' manuel. Père charretier, buveur, mais surtout débauché, remari
ie de matrice (cancer de l'utérus ? ). De son premier mariage, le père avait eu : 1° fils vivant, vingt- six ans, très
6° fille née à terme, morte à huit jours. De son second mariage, le père eut également trois enfants bien venus et vivan
enseignements de la tante du malade avaient permis de penser que le père était syphilitique. Mais ce n'était là qu'une p
nements très précis sur les parents de votre protégé Victor L... Le père que j'ai connu avant son mariage, était fils d'
RÉDITAIRE. 455 Je puis donc affirmer que Victor est syphilitique de père et de mère et que lui-même a eu dès le bas âge
e de notre malade, j'entends la descendance du premier lit de son père , sur laquelle nous avons des détails précis, prés
âgé de vingt-cinq mois, naquit à terme, accouche- ment facile. -Son père et sa mère n'ont souffert d'aucune maladie, son
t facile. -Son père et sa mère n'ont souffert d'aucune maladie, son père mourut de la variole en l'année 1898. Sa mère est
ue psy- chomotrices vraies. 11 entend la voix des esprits et de son père qui lui ordonnent de prier et il s'use les geno
é est bonne, aucun des ascendants ne tremble. La mère est saine, le père a commis des excès alcooliques. Le tremblement es
i avait frappé sa mère d'un coup de cou- teau. Robert N..., dont le père est palefrenier, habite avec ses parents, passa
an, 431. Bromures. Tolérances des chez les épileptiques âgés, par Père , 237. - dans l'épilepsie, par Tou- louse, 307
51 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
partenait à une famille d'artistes dont aucun ne fut négligeable. Son père avait acquis dans le dessein d'ornement une réput
des tendances à s'évanouir. Cet état a cessé depuis dix ans environ. Père arthritique et sanguin. Pendant sa grossesse, Mme
long le suce. La personne qui l'a élevé devient en quelque sorte le père ou la mère du Polong selon que c'est un homme ou
s qui t'a donné ordre de venir, pourquoi tu es venu ici ? qui est ton père et qui est ta mère ? » Tantôt le Polong se tait,
mère ? » Tantôt le Polong se tait, refusant d'indiquer le nom de son père et de sa mère, tantôt il avoue : « Laissez-moi di
e son père et de sa mère, tantôt il avoue : « Laissez-moi dit-il, mon père s'appelle un tel, ma mère une telle. Je suis venu
ère une telle. Je suis venu ici parce que un tel est venu trouver mon père ou ma mère pour lui demander aide. Il leur a donn
uelconque. Très souvent il ment parce qu'il veut cacher le nom de son père ou de sa mère. Quand on sait qui a envoyé le Po
giennes. Il les admit dans le sein de sa famille (car il est marié et père de iamille) et commença dans une des plus grandes
vie de famille et M. Quinqué l'applique avec méthode. Il veut être le père de ces enfants, se faire aimer d'eux, et il y réu
réer la famille — et le cas est particulièrement fréquent, lorsque le père est remarié — ce terrain de débilité mentale, fer
à Athènes, Romulus et Numa à Rome. Mais ici il était pratiqué par le père . Celui-ci avait le droit de ne pas reconnaître so
s préférences à l'avortement. Chez les Spartiates, l'omnipotence du père subsistait : il ne présentait aux anciens que l'e
es dans les décombres. Créées au premier et au deuxième siècles avant Père chrétienne, ces statuettes furent peut-être brisé
. Cette affection a pris naissance sur un terrain névropathique. Le père buvait ; la mère était assez nerveuse. La malade
te, un nombre de fois déterminé, l'enfant porteur de l'infirmité, son père et sa mère se tenant de chaque coté. Cela fait, o
des maladies nerveuses de la Faculté l'importante collection que son père avait réunie dans le cours de sa laborieuse carri
ivité de son intelligence, à 85 ans. Albert Hubbard m'écrit : « Mon père , à 87 ans, est l'homme le plus robuste mentalemen
uadrupèdes. Là c'est un petit serin mal conformé et que la mère ou le père jettent obstinément en dehors du nid, quelques pr
de six ou sept ans aime mieux s'amuser que faire son devoir. Si le père dit à l'enfant une seule fois : fais ton devoir,
l'enfant continue à s'amuser et n'exécute pas la suggestion. Si le père réitère vingt fois la suggestion en variant la fo
ggestion vingt fois ou cent fois réitérée : fais ton devoir, comme le père le dit à son enfant. Qu'est-ce qui remplacera l
ors, en égoïste, sans penser à la douleur qu'elle allait causer à son père et à sa mère, elle leur adresse le télégramme qu'
respectable pour quiconque a conservé ce qu'on appelle la foi de ses pères , on sent fort bien qu'aujourd'hui l'imposer à qui
la mémoire de son fils contre de telles imputations, M. le Ij- Curie père vient d'adresser au Matin la lettre suivante :
lés, roulés par terre par leurs camarades, comme si ceux-ci, dont les pères sont souvent méchants, ivrognes et durs à leur fe
ntale. Certaines injures faites aux esclaves. Le jus occidendi du père de famille. Le jus occidendi du mari (en cas d'
e pas la fille du Mupbti, qu'il fit enlever et renvoyer ensuite à son père en la traitant avec mépris. Sous l'influence de
âufer comme on dit en Allemagne. Agé de 34 ans, instituteur, marié et père de quatre enfants, il s'enivre tous les trois moi
nts, il s'enivre tous les trois mois pour trois ou quatre jours ; son père , lui aussi, était un buveur. Il est venu me deman
de dix-sept ans,séminariste, estissu d'une mèrehys- " térique et d'un père alcoolique. On relève, parmi ses panents, du côté
mai vint me consulterunemployéde banque, âgé de trente-deux ans. Son père est mort d'une apoplexie cérébrale, sa mère est n
e, trois ont des mèches de cheveux blancs à la même place que chez le père . Des neuf enfants de sa fille aînée, les cinq pre
ent et put rester très longtemps cachée à tout l'entourage excepté au père du malade. Personne dans la famille, sauf un oncl
ricateurs. Enfin, d'autres prophètes eurent des fils qui, comme leurs pères , étaient pris, au son de la musique, de véritable
le public et j'ai, plusieurs fois, été consulté à cet égard, par des pères de familles inquiets. Voici un couplet populaire
s impulsions instinctives. Pendant que le sultan Geias Toghlak, son père , était allé commander une expédition militaire da
Toghlak fut chargé du gouvernement en qualité de vice-roi. Quand son père , à la tète de son armée victorieuse, revint prend
mmed ordonna qu'on apporta des pioches et des pelles pour dégager son père , maïs il fit signe de ne pas se presser. Les outi
re était, chez lui, un peu héréditaire. Un jour, sous le règne de son père , on fit courir le bruit que le sultan était mort.
d'un groupe familial. 11 est vrai que chez les anciens l'autorité du père de famille était empreinte d'une certaine rudesse
1er cas. — En pleine nuit on m'appelle chez Mlle S.... En chemin, le père me raconte que sa fille se lamente d'une façon in
nt, en vacances pendant six mois, chez une tante très hystérique ; le père est alcoolique. La malade se tord dans son lit. i
émie de méningite. Deuxième cas : Ancienne institutrice, 49 ans, de père et mère aliénés. Même attaque brusque de thanatop
lui d'un confrère, médecin directeur d'un asile d'aliénés, 40 ans, de père mort de tuberculose, de mère mélancolique. Un enf
articulier ; la mère est bien portante et ne semble pas nerveuse ; le père , également d'une bonne santé, est employé de chem
52 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e desquels survenaient des hématémèses et des névralgies faciales. - Père de la mère mort en vingt-quatre heures à la sui
. Le 22 août 1885, le malade à la suite d'une discussion avec son père , fut frappé par ce dernier avec un rouleau à pâti
. f. Psych., XVI, 1, 2, 3.) L'auteur a étudié des familles dont les père et mère ont été à un même établissement, par co
Il avait déjà été vu à la consultation externe par le Dr Baater. Le père et la mère étaient bien portants; sobres, ils men
Th... Et le Pacha, a succombé il y a quelques mois. Observation V.. Père : incontinence nocturne d'urine jusqu'à dix- hu
Renseignements fournis par une tante paternelle (12 mars 1880). - Père né à Strasbourg ', mort en 1 878 de la poitrine,
'a jamais monté en grade; a pissé au lit jusqu'à dix-huit ans. [Son père , journalier aux champs, ne savait ni lire ni éc
telligente, de taille assez élevée, était sujette aux migraines. - [ Père ? Mère serait encore vivante et habite-, rail L
Salpêtrière. Antécédents héréditaires. Grands-parents morts âgés. Père , mort à cinquante ans, d'une maladie aiguë. Mère,
édents héréditaires. Aucun des membres de sa famille qu'il connaît ( père , mère, trois soeurs, tantes, oncles) ne présent
técédents, le malade affirme que ses parents, sa mère ainsi que son père étaient atteints de la syphilis. Le père est mo
nts, sa mère ainsi que son père étaient atteints de la syphilis. Le père est mort paralytique et la mère est morte par sui
. étudiant en médecine à l'Université d'Helsingfors. Né en l83o. Le père , mort à soixante-quatorze ans d'une hé- moi rha
tion, subi un développement exagéré. Après avoir vu son beau-frère, père de huit enfants, subir les premières atteintes
uins, étaient demeurés indemnes. Mais la tante paternelle, issue de père et mère consanguins, en est affectée et, après
, en est affectée et, après elle, ses nièceset neveux. Le cousin du père de ces derniers épouse sa cousine, qui est la s
du père de ces derniers épouse sa cousine, qui est la soeur de leur père , ou leur tante; deux enfants issus de ce mariag
itation rigoureuse. Il faudrait savoir limiter son rôle à l'état du père au moment de la con- ception, ou à celui de la
J'ai observé une dame toujours à la pour- suite d'un mot et dont le père offrait la même bizarrerie. Vous connaissez aus
i toute la nuit tourmente son mari par des discours sans suite; son père obligeait de même sa femme à l'entendre des heu
ère adorait les rubans rouges. Morel enfin rapporte l'histoire d'un père et de sa fille qui ne pouvaient toucher a un ch
vembre 1885. Renseignements fournis par sa mère (22 octobre 't879). Père , architecte, présentait une malformation du bra
utive à une attaque d'apoplexie survenue dix-huit mois auparavant. [ Père , mort vers soixante-treize, ans d'une attaque d
on pays, elle aurait vu autrefois un homme ressemblant à son fils. [ Père , cultivateur, sobre, mort à quatre- vingts ans,
s. Pas d'aliénés, etc... dans la famille.] Pas de consanguinité. Le père est né à Paris, la mère est de Courancelle (Meu
ée à cette époque ; il n'y aurait jamais eu de scènes violentes; le père était marié et ne l'a épousée qu'après la mort
éditaires de Th..., nous ne trouvons aucun idiot ou épileptique; le père , intelli- gent, présentait seul une malformatio
s de crétins; le goitre y est rare et la population est saine. - Le père , âgé actuellement de quarante-cinq ans, paraît
Rien à noter du côté des autres parents; les ascendants du côté du père et de la mère sont morts à un âge avancé. W...,
nu au monde bien développé ; il aurait pesé, s'il faut en croire le père , 12 livres à sa naissance, ce qui est assurémen
ngt-deux ans, étaient en pleine santé au moment de sa naissance. Le père cependant mourut douze ans et la mère seize ans
alade à dix-sept ans et de la soeur de sa mère à vingt-sept ans. Le père était né dans le Hampsphire etiamèrb dans le Be
fut confirmé successivement par MM. Gowers, Ord, Barlow et Routh père . Il insiste sur les analogies nombreuses IDIOTI
mmuniquée à la Société d'anthropologie en 1883. Observation XI. - Père : quelques rares excès alcooliques; hémi- plégi
) et y est décedé le )2 août 1882. Renseignements fournis par son père et sa mère (11 octobre 1886). - Père, soixante-
Renseignements fournis par son père et sa mère (11 octobre 1886). - Père , soixante-sept ans, a été pendant onze ans cocher
nvers sa femme ou ses en- fants. Il s'est marié à vingt et un ans. [ Père , mort hydropique à cinquante-sept ou cinquante-
quoi; elle n'était ni paralysée, ni démente ni goitreuse. - Grand- père paternel, mort vers soixante-dix-huit ou quatre-v
igraines (quelquefois des céphalalgies); aucune alfectlon cutanée. [ Père , couvreur, mort d'une chute à cinquanle-huit an
1 La physionomie du malade se rapproche heaucoup plus de celle du père que de celle de la mère. 340 CLINIQUE NERVEUSE.
Chré... Lors de la conception la mèreavait quarante et un ans et le père trente et un ; ils étaient tous deux bien porta
çon; peu après, la dyspnée reparaît ; trachéotomie. Un an après, le père écrit « qu'on renvoie tous les jours l'enfant de
tive. Modification momentanée du délire. Antécédents héréditaires. - Père , bien portant; buveur, de temps en temps a des
devra correspondre à une force électrotonique de 4/2 à 2 milliam- pères ; un courant moyen de 3 à 4 milliampères suffit à
de parents habi- tuellement adonnés (généralement il s'agissait du père ) à l'eau- de-vie. M. Demme s'élève contre la co
xécuteurs testamentaires ont pu permettre, à l'époque de la mort du père , qu'un jeune homme accablé par la prédisposi- t
53 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
et elle amplifie tant qu'elle peut. En outre, elle raconte sur son père et sur sa mère des vilenies et des atrocités qu'e
une vocation, elle fut dirigée vers les pratiques religieuses par son père , « fort affectionné, nous dit-elle, à la lecture
rter me fait quelquefois considérer combien « grande est la faute des pères et des mères qui ne prennent pas soin « d'empêche
ous oubliions nos autres devoirs « pour ne penser qu'à cela seul. Mon père le trouvait si mauvais qu'il « fallait bien prend
se que quelqu'un offensât Dieu pour l'amour de « moi... « Comme mon père était extrêmement prudent, il ne permettait « l'e
'avais tant de passion. » Mais ici-bas tout passe et tout casse, le père do Thérèse, Antonio dô Cêpêdit, comprit, un peu l
Et parce que les médecins ne réussissaient point â me traiter, mon « père me fit transporter dans un autre lieu où il y en
s deux bras, au milieu de sa nombreuse famille et des ouvriers de son père . Avec toutes les précautions nécessaires et com
s je relève 14 cas d'incontinence. Dans une famille, je trouve le père , sa sœur et deux de ses enfants atteints de celte
deux de ses enfants atteints de celte infirmité : dans une autre, le père et les deux fils; dans une troisième, le père et
té : dans une autre, le père et les deux fils; dans une troisième, le père et la fille. DEUXIÈME CONGRÈS INTERNATIONAL DE
e est mariée depuis deux ans. Rien comme antécédents héréditaires : père et mère bien portants : un frère et une sœur mort
mpions du monde entier. Les parents de Hugo sont de petite taille; le père mesure 1 m. 64 et la mère 1 m. 68; son frère cade
que d'Amiens, mort en 1537. Philippe de Halhvin, qui mourut avant son père et qui eut pour fils unique : Antoine de Halhvi
trois enfants. L'un mourut jeune, un autre sans alliance et avant son père . Le troisième était Charles de Silli. Des qua
s), son frère Charles fut tué. Sa sœur Marie était déjà morte, et son père , n'ayant plus qu'elle d'enfant, voulut la reprend
), ses avis l'affermirent de telle sorte dans sa vocation, que M. son Père ne put rien gagner sur elle, quoiqu'il redoublât
devant elle, la conjurant avec larmes de se rendre à la volonté d'un Père qui se voyait sans enfant, et de prendre parti da
normales stimulées et développées. Gaston C-, âgé de 9 ans, dont le père est garçon boulanger et la mère lessiveuse, é
espoir de sa mère. Comme hérédité, rien à noter que l'alcoolisme du père . C'est dans ces conditions que sa mère me l'ame
nage, admise à l'asile le 21 juin 1896. Sa sœur est hystérique, son père alcoolique. Sa fonction menstruelle a toujours ét
e est faite par des spécialistes qui se transmettent la profession de père en fils. Les cautérisateurs les plus en renom s
immédiatement. Quelques jours plus tard, il fut convenu avec M. D. père , que l'opération aurait lieu sous l'influence de
n de cocaine et vous enlèvera votre dent sans douleur aucune n. M. D. père vint me prévenir du résultat de sa visite chez le
Le jour convenu, je vis arriver chez moi M. D. fils accompagné de son père ; sans mot dire et comme mû par une force invisibl
me a 52 ans. Sa mère était une triste et avait de grandes crises; son père était nerveux, colère, irritable. Elle a été régl
ns de violence » ('). Elle était dès lors « dans un tel état, que son père eût eu assez de peine à trouver un couvent (autre
ems des inquiétudes » (10). suggestibilïté. — « Destinée par M. son père , cadet de sa maison, à être Religieuse » ("), ell
cette matière » (*). Elle avait paru entrer dans le dessein de son père , à, la condition toutefois qu'elle se retirerait
stations de la tuberculose pulmonaire. Sur ces entrefaits, « M. son père , prévenu par les faux bruits répandus contre cett
out en colère. Mais ses serviteurs s'approchèrent et lui dirent : mon père , si le prophète t'eût dit quelque chose de diffic
du ventre et celle-ci ne parais- a sait pas en avoir. Je priai le père de me laisser un moment seul avec a sa fille, pou
« Pourquoi imaginer des histoires absurdes qui mettent votre brave « père au désespoir?— Mais monsieur, je n'invente rien.
e! € — Ah! vous nous délivrez d'un bien gros poids ! « Je tins au père , à peu près le discours suivant : votre fille est
i se serait retirée dans un couvent. Notre malade habite avec son père qui, veuf depuis de longues années, ne vit que po
ordante et... maladroite. En effet, dès qu'ils se mettent à table, ce père est inquiet, anxieux; il regarde sa fille avec co
une voisine vient en pleurant chercher quelqu'un pour « décrocher son père » ; il y court et voit un homme se balancer au pl
fils du docteur Théophraste Renaudot, continuait les Galettes de son père , et s'occupait moins de médecine que de journalis
12 ans. Elle n'est jamais sortie de son village, détail à souligner. Père cultivateur, nerveux; mère journalière, obtuse.
u peux, toutes choses sont possibles à celui qui croit. » Aussitôt le père de l'enfant s'écria : Je crois ! viens en aide à
rédacteur en chef vient d'être cruellement éprouvé par la mort de son père , M. Eugène lîérillon, décédé subitement à l'âge d
e dans leur pensée en ineffaçables caractères cette sublime parole du père de la médecine : « C'est une œuvre divine que de
ions dans lesquelles son état s'est constitué sont intéressantes. Son père était un homme nerveux qui avait de la tendance à
d complètement guérie (*). Voici l'histoire de cette malade : Son père est sommelier et éthylique ; sa mère est morte à
déjà eu des crises analogues, il y a deux ans. Elle est (illc d'un père à la fois épilcptiquc et alcoolique. Toute jeune-
54 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
técédents, nous ne pouvons extraire aucun renseignement positif. Le père est âgé de 78 ans et se porte bien ; la mère es
, obèse, constipée, ayant fait des cures à Brides et Marienbad. Son père est mort à 77 ans,d'une affection du cervelet,
Ces travaux sont-ils suffisants pour lui méri ter les titres de « père » et restaura- teur de la chirurgie française q
t à une famille pauvre, ou tout au moins de condition modeste ; son père était coffretier. Il commença son apprentissage c
té de Paris. » Ayant donné cette explication toute naturelle, j'es- père qu'on m'excusera d'énumérer quelques-unes des for
ramener dans leur pays. 108 DEBOVE Les cigognes nourrissent leur père et leur mère dans leur vieillesse. Ces animaux
ents pathologiques héré- ditaires et collatéraux assez chargés. Son père fut atteint d'accidents men- taux qui nécessitè
robable : sclérose en plaques. Le 23 novembre de la même année, son père l'amène à l'asile de llünsingen (Berne). K... e
rgofranco d'Ivrea, entro à l'hôpital Mauriziano le 20 avril 1901. Père mort à l'âge de 50 ans, on ne sait de quelle mala
s, - Sa mère est morte d'affection cardiaque avec hydropisie. Son père , à l'âge de 49 ans, succomba à la suite d'une rup
ernel est mort d'une affec- tion cardiaque à l'âge de 42 ans. Son père est bien portant. Sa mère, actuellement bien po
la dothiénentérie. » 204 VALOBRA OBS. II. E. Lévi, 13 ans, juive. Père hémophilique typique. Deux pe- tits frères sont
décéla l'examen des urines. En résumé : « Chez deux soeurs, dont le père est hémophilique, l'injection de sérum anti-dip
r de l'hôpital. OBs. Vit C. Lorenzo, 15 ans, confiseur de son état. Père alcoolique. Mère hystérique. Rougeole à 5 ans.
solidement bâti et fortement musclé. Antécédents héréditaires. Son père jouit, à l'heure présente,d'une santé assez bon
né sur ses antécédents les quelques rensei- ments suivants. . Son père est mort jeune, sa mère est bien portante. M... a
rer à aucun travail. Son hérédité est relativement peu chargée. Son père est mort à 78 ans d'hé- morragie cérébrale, mai
. III. Bordier Louis-Charles, blanchisseur, mort à 80 ans. C'est le père des deux malades précédents. Nous ne l'avons pas
elui qui a les déformations les plus marquées, nous a dit : « Mon père est mort à 80 ans. Il était asthmatique, rhumatis
ir par devant, qu'il suffit de me voir marcher pour se rappeler mon père ». Son attitude était de- venue dans les dernie
nne maintenant. » Le malade de l'observation 2 nous a dit : « Mon père avait une tête aussi grosse que la mienne. Seuls
discutée. Si on l'accepte, c'est donc, dans une même fa- mille, un père et deux de ses enfants qui sont atteints. Si on l
x de l'ostéite déformante. Pick (1883) a observé une malade dont le père aurait eu les mêmes déformations osseuses. Lunn (
4) les a constatées chez les deux frères. Richard (1887) dit que le père de son malade avait les jambes arquées. Dans le
é- rédo-syphilis. Mais ne peut-on pas objecter avec raison que le père de nos deux ma- lades était probablement attein
renseignements intéressants. Les parents de la mère sont morts, son père à )'age de 36 ans, de cause ignorée, sa mère à
l'a recherchée de parti-pris sans la retrouver chez les autres. Le père , qui ne présente pas la tare en question, est fil
à 21 mois, tuberculeux , Ces deux enfants qui n'étaient pas du même père que ceux qui nous occupent étaient bien conform
agues. Sa mère est morte depuis longtemps. Elle ignore de quoi. Son père vit encore : il est vigoureux et bien bâti. C'est
description de ces auteurs la première famille (A) est composée du père et du fils, la deuxième famille (E) com- prend
de la même famille. Les cas de MM. Pinard et Varnier concernent le père et la fille ; nous donnons ci- contre (fig. 1,
les caractères particuliers de la face et l'hérédité proba- ble, le père du sujet ayant présenté le même crâne et les même
nt de la malformation spéciale de la tête et de la scoliose chez le père du cas 21 et du rachitisme'de la mère dans le cas
tr'au- tres mentionnent la ressemblance frappante du sujet avec son père et concluent cependant à une dysostose hérédita
r que chez le malade observé par MM. Pierre Marie et Sainton (A, le père ) ces auteurs ont vu depuis quelques années se dé-
alforma- tion hérédo-syphilitique, se transmettant ainsi in toto du père au fils. » Shorstein, Gross et Sachs pensent au
s pu que la soupçonner en nous basant sur les crises convulsives du père , les fausses couches et les tibias de la mère,
ôté maternel. 1. Grand-père paternel, grand buveur d'absinthe. 2. Père , bien portant jusqu'à l'âge de 5 ans, a été pris
s, qui lui rendaient la station debout difficile. 3. Une soeur du père présente également du tremblement dans tous les m
riminer l'absinthisme du grand-père paternel, dont deux enfants (le père de nos malades et une soeur de celui-ci) furent
eur Marinesco de l'hôpital Pantelimon. Antécédents héréditaires. Le père du patient est bien portant. La mère est morte
a interrompu ses études, parce que son frère aîné étant malade, son père l'a pris pour l'aider aux travaux des champs. L
d'hyperesthésie à la pression sur la région ovarienne droite. Le père est mort de cause inconnue, la mère souffre de «
use. L'anamnèse de l'enfant ne présente guère de particularité. Son père est mort de congestion célébrale, il était, par
sur l'épaule droite. Comme antécédents héréditaires, on note que le père est en excellente santé, que la mère, quoique b
un torticolis qui date de la veille. Antécédents héréditaires. - Père bien portant, légèrement alcoolique, mère morte
nne vertébrale. Les antécédents héréditaires nous apprennent que le père est bien portant, que la mère est morte d'accid
a quitté l'hôpital le 3 juin complètement guérie. En septembre, le père a écrit une lettre de remerciements. En décembre,
nt de se tenir debout. Pour antécédents héréditaires on note que le père est mort de tuberculose pul- monaire,la mère es
lle était plutôt d'un tempérament calme. Elle eut 7 enfants du même père . Deux sont morts de bacillose pulmonaire après
nestée par ses compagnes : « Tu es bien bête d'avoir eu peur de ton père , si le mien m'en faisait autant, je le tuerais
e d'avoir une progéni- ture. L'hérédité s'est montrée, soit chez le père (Boeckh, Nau, Apert, Seves- tre), soit chez la
ouchés. Boeckh rapporte l'histoire d'une famille où le bisaïeul, le père et deux filles auraient été achon- droplasiques
droplasiques, et dans les deux observations de Poncet et Leriche, le père et le grand-père étaient achondroplases. S. M
33 ans, né dans un petit village de Rou- manie (Plenitza-Dolj). Son père vit, et il est de stature moyenne. Sa mère est
s avoir préalablement pris l'avis de son pa- tron qu'il appelle son père . Il a les allures psychiques d'un enfant. La perc
point de vue étant celui relaté par Boeckh dans lequel un aïeul, le père et une soeur de la malade ont été achondroplasi
endiant ambulant de son état (PI. LVIII). Il nous affirme que son père et sa mère étaient sains, et bien conformés : ils
jardinier, entré dans le service le 19 janvier 1905. Il a perdu son père et sa mère l'année même de sa naissance et ne peu
orte à 23 ans de fièvre puerpérale 17 jours après sa naissance. Son père , alcoolique invétéré, nerveux, irritable, atteint
cêtre à 43 ans : il y avait 20 ans de différence entre l'âge de son père et celui de sa mère. Il n'a eu ni frère, ni soeur
système nerveux. Ce sera d'abord la prédisposition héréditaire, le père alcoolique, nerveux, agité de tremblements contin
EXOSTOSES MULTIPLES 623 Il est né, aux environs de Beauvais, d'un père polonais et d'une mère fran- çaise. Ses parents
ère est morte des suites de couches au moment de sa naissance ; son père , très vigoureux, a succombé à 35 ans ; il était
e la même lare squelettique. L'un de ces enfants devient à son tour père de dix enfants : trois sont couverts d'exostose
tayer, les exostoses avaient un ca- ractère nettement familial : le père , le grand-père et le grand-oncle du petit malad
nettement diaphysaires et sans doute d'origine sous-périostée. Son père et son grand-père paternel avaient, aux jambes
ssaire de voir l'affection se reproduire d'une façon inté- grale du père ou de la mère à l'enfant, celui-ci pouvant hérite
ns, fils de parents vivants et bien portants. Dans sa jeunesse, son père aurait souffert d'une pneumonie double, qui, à
, à son dire, fut de longue durée, elle n'a pas laissé de trace. Ce père est hernieux, il n'a pas eu la syphilis, il n'e
ulement au genou affecté,mais aussi à la hanche correspondante ; le père a souffert de pneumonie bilatérale à long cours
, 32 ans, serrurier, entré le 27 mars 1903,décédé le 29 avril 1903. Père alcoolique mort à 54 ans ; mère vivante, bien por
i d'une bonne santé et n'était atteinte d'aucune malformation ; son père est mort à un âge avancé et on ne relève non pl
ai de verres correcteurs.) Mme F... a eu sept enfants, tous du même père , dont l'aînée était une fille normalement confo
ularité dans ses antécédents héréditaires, directs ou collatéraux : père et mère, cinq frères et une soeur en bonne sant
ois- sance à 18 ans par une pleurésie, mais complètement rétabli et père de trois enfants sains et bien constitués. An
un assez grand nombre de cas, on retrouve la syphilis soit chez le père , soit chez la mère des pseudencéphales, soit à la
55 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
Observation. Filippa Michèle, âgé de 48 ans, garde d'octroi. Son père et sa mère sont X : CII1 1 - BERTOLOTTI mor
a mère sont X : CII1 1 - BERTOLOTTI morts depuis longtemps. Son père était un véritable géant, il mesurait au moins
e temps, on a publié plusieurs cas d'enfants acromégales issus d'un père ou d'une mère elle aussi acromégale. Fraënzel a d
, qui eut un enfant acromégalique, Bonardi a publié l'histoire d'un père et d'un fils acroméaliques,Fraënkel,Schvoner, N
es courts et courbés. Antécédents. Ses parents sont bien portants : père aproximativement âgé de 60 ans ; mère, 50. Quat
nes. De sa seconde femme il n'a pas d'enfants. Nie la syphilis. Son père est mort d'une maladie du cerveau, sa mère, dan
premier degré, et qui avaient leurs parents consanguins, furent le père et la mère de nos trois malades. La grand'mère
mourut dans sa chaumière en 9 : )OU., à l'îige de 50 ans. - - Son père et sa mère étaient morts âgés depuis peu de temps
re à l'asile de Blois le 16 avril 1903. Antécédents héréditaires. - Père mort de congestion cérébrale à l'âge de 79 ans
cription sur son insouciance. Tous ces lépreux, nous racontent les Pères Missionnaires qui les soignent avec tant do dév
que, dans le cas particulier, il y aurait intérêt à défi- nir. Les pères de famillesurtout, que l'inquiétude égare sur, le
ncles maternels, tous grands, un est phtisique. 240 CHEVALLIER LE père est petit lui aussi, dépassant sa femme d'à peine
'un premier lit moururent tuberculeux. Du deuxième lit naquirent le père de notre malade, un oncle dont le cinquième ort
convulsions. La troisième, âgée de 13 ans, déjà plus grande que son père , normale de constitution, est intel- ligente et
dix ans de méningite ; le deuxième est violent et impulsif comme son père ; il n'y a pas de fausses couches. Notre garçon
l'existence d'une véritable famille achon- droplasique, composée du père , de la mère et d'un enfant, nous croyons qu'il
âgé de 59 ans, de Jaenza, colporteur. Antécédents héréditaires. Son père est mort d'accident à 54 ans (explo- sion de mi
gé de 35 ans, né à Cologne, jongleur. Antécédents héréditaires. Son père est mort depuis longtemps on ne sait de quelle
B., de Posen, jongleur, âgé de 23 ans. Antécédents héréditaires. Le père est mort depuis beaucoup d'années, on ne peut p
ment ; sa tête est grosse, les extrémités sont très raccourcies et le père dit qu'elle reproduit un peu pins en petit le p
de ces cas on peut tirer peu de chose ; rien à conclure à propos du père , de la mère, des frères et des soeurs, tous étaie
l y a des familles entières de myxoedématiques et de crétins, où le père et la mère peuvent transmettre à leurs enfants
nts faibles ou malades sont faibles eux-mêmes; ainsi par exemple un père alcoolique a des enfants souvent insuffisants d
dents héréditaires n'offrent rien de particulier à mentionner : son père est mort à 55 ans à la suite d'une pneumonie ; sa
dans la Sabine, manoeuvre-extra aux chemins de fer, célibataire. Le père boit : il a cinq frères, tous dédiés à l'alcool
Il a fait cinq classes élémentaires ; de 13 à 18 ans, il a aidé son père dans des travaux de manutention des voies ferré
. Observation. M. G..., 40 ans environ, femme de service, mariée. Père mort de pneumo- nie ; mère morte paralytique à
i- lisme. L'histoire de la fillette est incomplètement connue. Le père , fils d'alcoolique, absinthique invétéré et que
; poids du corps : 23 kil. 500. 'i Antécédents héréditaires. - Le père et la mère de notre sujet étaient des individus
ut présenté, pendant leur vie, aucune maladie digne de mention ; le père n'était pas alcoolique et n'avait pas contracté
T. XXIII. Pl. LVIII MICROSOMIE HEREDO-FAMILIALE. (Ettore Levi). Père et fils M... - Obs. I et II. Déformation identiqu
nfant de son âge et même à beaucoup d'adultes. Il suit toujours son père avec lequel il est exposé dans un ciné- matogra
la reproduction parfaite en petites pro- portions, de celui de son père ; il est seulement un peu plus proportionné au
l. Le nez présente aussi exactement la même déformation que chez le père : seulement l'ossification des os du nez n'étan
, on a ici un apla- tissement de la racine qui n'existe pas chez le père . Les soudures crâniennes sont normales et les f
t fermées ; la fontanelle centrale n'est pas déprimée comme chez le père . Les cheveux sont abondants, blonds,soyeux, pas
x yeux est de 4 millimètres supérieure à celle qu'on constate chez le père . Le nez ensellé et aplati à sa racine est relev
ôté du nez ; l'oreille est mieux conformée, plus finie, que chez le père , mais, comme chez celui-ci, elle est relativeme
conduit auditif externe présente les mêmes déformations que chez le père . L'ouïe est parfaite. Le larynx est bien confor
type infantile indifférencié. La voûte palatine est, comme chez le père , restreinte dans le sens latéral, et la muqueus
le type carré. Les doigts des mains sont,quoique moins que chez le père , déformés à leur extrémité en baguette de tambour
baguette de tambour. Les trois orteils centraux sont, comme chez le père , implantés sur une base com- mune. Aucun sign
étaient de taille normale et jouissaient d'une excellente santé. Le père , au contraire, tout en étant fort et d'intelligen
le Gazzano, on ne connaît pas d'autres cas de nanisme, eu dehors du père de notre sujet ; nous devons cependant faire re
anormal ; on ne croyait pas,en conséquence, qu'il resterait comme son père d'une taille tellement inférieure à la moyenne.
fille saine, qui a actuel- lement 2 ans, qui est le portrait de son père et qui fera l'objet de l'observa- tion suivante
on du nez qui est identique à celle que nous avons décrite chez son père ; sa mère est, comme nous l'avons déjà dit, une
pas complète, l'aspect de cet organe n'est pas identique à celui du père tout en le rappelant beaucoup. La conformatio
xtrémités (IIochheim) ; brachymélie d'un seul mé- tacarpien chez le père , des quatre extrémités chez le fils (Rieder). Mai
rce qu'il avait été bon plutôt que puissant parmi les séculiers, le père prieur Thomas lui permit mainte consolation mon
tures. Pour recevoir les étrangers qui lui venaient dans ce but, le père prieur Thomas autorisa Hugues à monter à la chamb
ressé et incompétent, notamment la tentative de mélolhérapie que le père prieur, au nom de ses souvenirs bibliques, crut d
ur paternité est indis- culable,car ces enfants ressemblent à leurs pères d'une façon frappante; le premier de nos nains,
élé paternelle : dans la première famille, en effet, la mère et le père de notre nain étaient de taille normale, mais n
it épousé une femme de taille normale ; dans la seconde famille, le père de notre sujet était nain aussi, cependant que
xtrêmement petits et qui vraisemblablement resteront nains comme le père et le grand- père, a une femme que nous avons v
et qui vraisemblablement resteront nains comme le père et le grand- père , a une femme que nous avons vue et qui est de tai
tout point de vue très intéressant; issu d'une mère normale et d'un père typiquement micro- somien, il est venu au monde
issance, son extrême petitesse frappa ses pa- rents. Comme chez son père , le nanisme date chez lui certainement de la na
leur petitesse en .rapport avec l'àge, et si'nous ignorions que son père est un nain vrai et que chez lui le nanisme dat
ente un type clinique différent de celui qui nous est montré par le père auquel cependant il ressemble énormément; chez
il est très courageux,et très souvent c'était lui qui poussait son père à sesoumettre à nos recherches. En somme notr
admettre que chez lui le syndrome est loin d'être pur comme chez le père ; l'influence .pathologique du nanisme paternel
ractères sexuels secondaires, alors notre sujet deviendra, comme le père , unmicrosomien ; ce sera un microsomien vrai qui
oigts qui sont identiques à celles que nous avons décrites chez son père dont il est d'ailleurs, pal toutson aspect extéri
jà chez elle la déformation légère du nez qui est si nette chez son père et chez nos deux autres sujets. Toute la confor
ent la fille d'un microsome classique qui, à son tour, descend d'un père certainement touché par la même anomalie. Elle
Sera-t-elle, dans l'avenir, une microsomienne pure comme l'est son père ou plutôt deviendra-t-elle comme notre deuxième s
ndre à ces questions : nous ferons remarquer cependant que chez son père aussi l'arrêt du développement manifeste ne s e
t deux oncle et tante maternels sont migraineux et rhumatisants. Le PÈRE , cousin germain de sa femme, est alcoolique ; tou
trique », impulsive, dont le fils est élevé à l'asile de Vaucluse. Le père lui- même, atteint de convulsions pendant sa pr
56 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n'a succombé que vers une heure de l'après-midi. Il était marié et père de trois enfants. Le capitaine Fauchon comptait
vêtue d'un costume de cycliste, et tenant un balai à la main. « Mon père , s'écriait-elle, meurt ce soir à l'Hôtel des In
x était presque nu et dans un état de pros- tration lamentable. Son père et sas deux frères ont été arrêtés » Séquestrée
G. Marie, âgée de 46 ans, couturière. Antécédents héréditaires. Son père , alcoolique avéré est mort de ' Cette observati
ière est âgée de soixante-quinze ans. Antécédents héréditaires. Son père est mort à quatre-vingt ans Sa mère est morte à
nombre, comme autant d'entités morbides nettement définies (Falret père , Legrand du Saule) (paranoiarudimentaire deMend
té réformé, à cause de ce défaut cérébral, du service militaire. Le père de la malade est lui-même mort à l'âge de soixa
oint que l'évêque dût s'en mêler; 2° la circonstance suivante : son père , instituteur, faisait à cette époque une confér
'elle et d'autant plus qu'ils lui sont plus chers, spécialement son père , ne la quittait plus; à la vue de celui-ci, l'i
re lente,, mais elles n'étaient pas sans laisser, des traces. Son père , qui connaissait ces souffrances physiques et mor
ré de ballonnement du ventre. II y a deux ans, une maladie de son père fut une nouvelle cause pour l'éclosion de la ci
dainement s'éveilla de nouveau en elle l'idée obsédante de tuer son père ; toutes les fois qu'elle se trouvait en sa prése
r éviter tout dénouement malheureux, elle s'empressa de quitter son père pour céder la. place à sa soeur. Peu de temps
son père pour céder la. place à sa soeur. Peu de temps après, son père mourut, et la malade souffrant énormément, rent
même suffisants pour mettre en relief le rôle de l'hérédité. Son père , alcoolique, est mort à un âge avancé à la suite
sanique morte dans un asile à Rennes; 'la mère morte paralysée. Son père , faible d'esprit, mort^à la suite d'une attaque
manifestement chargé. Le grand père maternel était alcoolique. Son père , hystérique, est mort à la suite d'une crise; é
interpréta- tions qu'il a reçu de la part des aliénistes. Falret père , qui décrivit la folie du doute pour la pre- mi
arde ». Les personnes désignées par l'article en question sont : le père et la mère pour leurs enfants mineurs demeurant
e (assassinat d'une femme par son mari et d'un petit enfant par son père ) est assez banale en elle-même, et si fauteur d
. Le mari interrogé nous fournit les renseignements suivants : Le père de la malade, de constitution délicate, supporte
lleurs prédisposée à la folie ; car une cousine était aliénée et le père alcoolique. Observation II (communiquée par M.
est entrée dans le service de M. le Dr FeBvRE, le 30 juin 1899. Le père était normal; la mère est morte d'un cancer, s'
Renseignements fournis par la malade. Antécédents hérédi- taires : Père et mère d'origine normande. Père mort à soixante-
lade. Antécédents hérédi- taires : Père et mère d'origine normande. Père mort à soixante- trois ans de cachexie cancéreu
le ait gardé souvenir. Quelques angines. A partir de la mort de son père survenue quand elle avait dix-neuf ans, la mala
. Renseignements fournis par la femme : Antécédents héréditaires. Père , mort à soixante-dix ans, traumatisme crânien. Mè
OPÉRATOIRES. 231 la jeune fille est mort de paralysie générale; son père , sa mère et son frère se portent bien, mais son
en, ouvrier tourneur, dont les antécédents familiaux sont chargés : père alcoolique mort du delirium-tremens. Frère mort
ses applications, Boudet employait des intensités de 5 milli-am- pères environ. Bergonié au contraire insiste sur l'ut
honu- trition. Un de mes malades avait l'idée fixe d'assassiner son père ; il en fut complètement débarrassé par des pres
encore une de sesgrand'mères. En juin 1665, (trente-deux ans), son père vivait encore. En mai, il l'engagea en pleurant
n, et l'après-midi à proportion dans la chapelle des Ursulines. Son père , son oncle l'abbé de Flécelles, et sa mère l'enga
Parmi les antécédents héréditaires il y a lieu de signaler que son père a eu des douleurs fulgurantes et' d'autres sign
atisfaction et de richesses : « elle a fait un gros héritage de son père ; elle a plus de cent mille francs » ; pas d'em
on suivante : a Je ne suis pas malade; c'est de l'ennui; mon pauvre père est mort; il n'y pas longtemps... Quel malheur
s, née à terme et sans accident. Point de lues chez les parents. Le père mort à la suite d'un coup d'apoplexie, était un
ait 12 frictions d'onguent gris (2,0). Cas II. Malade de vingt ans. Père alcoolique. Mère provenant d'une famille tuberc
s sont notées des maladies nerveuses et mentales et l'alcoolisme du père et de la mère (68,78 p. 100), dans 6 cas il y a
ns, mariée, mère d'un enfant de quatre ans et demi se portant bien. Père et mère ner- veux : le père a eu des atteintes
de quatre ans et demi se portant bien. Père et mère ner- veux : le père a eu des atteintes de neurasthénie, la mère est t
otions de l'automobilisme. Observation III. M. F... trente-six ans. Père mort à soixante- cinq ans d'une congestion pulm
rale. Du Vergier lui montra « la nécessité indispensable qu'ont les pères et les mères de s'appli- quer avec tout le soin
autres dévots au château des Troux près Chwreuse, écrivait : « lion père commença à craindre, comme un père vraiment chr
près Chwreuse, écrivait : « lion père commença à craindre, comme un père vraiment chrétien, que n'étant plus retenu comm
va encore personne, il dit à son confesseur en s'écriant : Ah ! mon père , ce n'est pas vous que cela regarde. Et il prit
5 (trente et un ans), au moment où il se préparait à aller voir son père mourant, une autre maladie l'obligea à différer
le formulait antijanséniste, il en fut « pénétré de douleur »3. Son père , qui le destinait à l'état ecclésiastique, le fit
ugai, doc- leur enSoiboune,au château des Troux près Chevreuse. Son père , ainsi qu'Antoine de Singlinet LeMaistre de Sac
ns), Le Maistre de Saci l'engagea à ne pas prendre la charge de son père qui venait de mourir, et à continuer à mener la v
. même à titre de causes secondes. Si l'on conçoit, en effet, qu'un père dégénéré puisse engendrer une fille douée d'un
lus souvent, était transmise de la mère au fils et plus rarement du père à la fille. Les rapporteurs pensent que les per
1903.) Hue Boursault, le petit llarcel Martoret, onze ans, que son père réprimandait parce qu'il se querellait avec des
ce psychopathique. Mme B..., soixante-douze ans, appartient par son père à une famille où la longévité n'est pas rare. S
ient par son père à une famille où la longévité n'est pas rare. Son père et un oncle sont morts à quatre-vingt-huit ans,
, mais il a dans sa famille des tares nerveuses importantes, et son père et sa mère étaient tous deux de grands alcooliq
r. de la Salpêtrière, n° 1,1902) Femme de quarante-six ans ayant un père atteint de la même affection : amyotrophie, réa
dans la maison. Les enfants, au réveil, ont trouvé le corps de leur père et de leur mère dans un flot de sang. La mère n
dans un flot de sang. La mère ne donnait plus signe de vie, mais le père respirait encore. On croit que le pauvre fou s'
57 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ons cru intéressant de les rapprocher. Observation I. Sommaire. - Père : excès de boisson (absinthe, vin). F'mièvres i
morte le 21 août 1899. Antécédents. (Renseignements fournis par le père et la mère en juillet et en octobre 1899. ) Pèr
nts fournis par le père et la mère en juillet et en octobre 1899. ) Père : 55 ans ; tourneur sur bois. Pasde convulsions
ccphaliclucs; pas de migraines; bon caractère. Marié à 34 ans. [Son père , mort it 68 ans, buvait « comme un trou » du vi
ou maternels. N'a ni frère ni soeur. Dans le reste de la famille du père , on ne connait ni idiots, ni aliénés, ni épilep-
colère facilement, mais sa colère ne dure pas; point de migraines. [ Père mort on ne sait de quoi. - Mère morte à 63 ans,
nels, pas de tuberculeux, etc., etc.] ] . Pas de consanguinité; le père est de 11 ans plus âgé que la mère de notre mal
t assez développés. Au dire de la mère, l'enfant ressemble il son père au point de vue du caractère, à sa mère au poin
nt : « est atteinte d'imbécillité, myopie, paraplégie, malpropreté. Père alcoolique, opéra- tion très récente sur le crâ
voilà pour l'héré- dité (1). II. A l'époque de la conception, le père était alcoo- lique depuis longtemps, mais elle
ophie plus intenses de cet hémisphère. Observation Il. Somr.unE.- Père , a quitté sa femme depuis 12 ans; carac- tèr2 t
meur abdominale. - Pas de consanguinité. - Inégalitè d'âge de ans. ( Père plus âgé.) Misère au moment de la conception et
aladies vénériennes. Ne buvait pas. N'était pas tubercu- leux. [Son père est mort de vieillesse. - Sa mère est bien por-
semblerait indiquer le caractère migraineux de ces accidents. Son père a 73 ans, bien portant. Sa mère est morte il 70
lus de méningite. Pas de consanguinité. In égalité d'âge de 3 ans. ( Père pi us âgé). Deux enfants (pas de fausse couche)
lligente. Notre malade. Conception : misère, discussions entre le père et la mère. Grossesse, beaucoup de misère à cause
nue par certains auteurs, Observation. Mme z ? 51 ans, est fille de père buveur et de mère nerveuse. Une tante maternell
ités sur lesquelles insiste surtout l'auteur sont l'alcoolisme du père coïncidant avec une hérédité névro-psychopathique
roits à la retraite et nommé Directeur honoraire. (1) Le Il' Véilie père a .été le premier médecin-directeur de l'a- Sit
ignements sur la famille de la malade, nous savons seulement que le père , voyageur de commerce, breton d'origine, après
t présumer que l'homme qui a épousé plus tard la mère, est aussi le père réel ( ! ). Du côté du père présumé donc, la fa
épousé plus tard la mère, est aussi le père réel ( ! ). Du côté du père présumé donc, la famille se compose de gens tous
un enfant. Pas de suicides dans la famille. Pasde consanguinité. Le père est un solide gaillard, mais aussi un buveur en
formation d'hérédité : car il côté de l'alcoolisme invétéré chez le père , il y a une hé- rédité nerveuse et surtout ment
ésentant pas d'antécédents héréditaires au point de vue nerveux. Le père serait mQrt à 24 ans d'une affection cardiaque.
dans le service le 15 septembre 1905. Antécédents héréditaires. - Père mort de pleurésie. Mère goitreuse, morte quelqu
de, déclare qu'elle ne veut pas les laisser entre les mains de leur père .[« Ils ont encore besoin des caresses et des sol-
malmenés du diverses manières, frappés sans raison, etc., par un père ou une mère aliénés, les cas sont assez nombreux.
énés, les cas sont assez nombreux. Qui de nous ne se souvient de ce père , qui, interrogé sur les débuts de la folie de s
demeurant à SainL-Lérier (Loire-Inférieurel, a tenté d'assommer son père à coups de barre de fer. Il est allé ensuite se
r H)Q5. Elle présente des antécédents héré- ditaires presque nuls : père asthmalique, mort à G7 ans. Mère morte de pneum
n'êtes pas des nôtres ; vous partagez les opinions de votre beau- père qui nous fait beaucoup de mal. puis vous avez un
uartier d'hospice du Saint -Jacques, consacré aux aliénés, dont son père était, médecin un chef. Après avoir été externe
és à ces malades : h'A 1\ u, 13L11Owur., Esquirol, 1'lJRnUS, FALHET père , S);GUIN, Félix Voisin, Delasiauve, etc., ont m
latoire. Nouvelle série et coma suivi de mort en mai (1901, le 19). Père mort de rupture d'anévrisme. Plu- sieurs frères
ie. Délire violent consécutif aux crises. (Dr Cestan). A. Il.- Le père aurait eu des accidents convulsifs. Un oncle se-
ri. Conserve seulement un certain degré d'émotivité pleurs faciles. Père atteint de cyrrhose du foie, attribuée à un séjou
e, une série de rhumatismes graves en rapport avec sa profession. Père mort d'une affection médullaire ; mère démente ay
n. de la Salpêtrière, 1'.)f), n° 3.) Les malades dont il s'agit, le père et ses deux fils, étaient blan- chisseurs, donc
avait manifesté plusieurs fois l'intention de se suicider. 11 était père de 5 enfants. - On a trouvé, pendu dans sa cham
t des lares affreu- ses qui sont à la charge de cette famille. Le père de la femme Schuhinger était fou par intermittenc
d'enfants el présente une hérédité pathologique grave. Son grand- père maternel était un épileptique mort aliéné; sa gra
t bien portante- au point de vue physique et psychique. Lb grand- père paternel de la cliente était un mahométan de moeu
on d'exploits de Schamyl, un véritable coupe- jarret. Les frères du père sont morts jeunes en combattant contre les Russ
rères du père sont morts jeunes en combattant contre les Russes. Le père a été aussi maintes fois blessé dans les com- b
eurs, des blessures aux jambes et d'accès d'angoisse. Les soeurs du père n'ont rien de particulier. A l'exception de notre
s en convulsions en bas âge. Les enfants des deux autrcsfem- mes du père sont aussi morts en bas âge ; ceux qui sont resté
dégénérescence épileptique. Il s'agit d'un soldat malade, fils d'un père alcoolique, dont les hallucinations prenaient l
Nous avons recueilli sur le malade les renseignements sui- vants : Père mort épileptique. Mère morte à 74 ans d'une affec
pendant qu'il n'est pas sans antécédents névropathiques puisque son père a succombé à une affection épileptique. OBS.
. lI. - M ? Marie, femme B ? 48 ans, est entrée le 19 octobre 1903. Père mort à G5 ans de paralysie. C'était un alcooli-
que nous avons pu recueillir sur le malade sont très incomplets. Le père est mort jeune, on ne sait de quoi. La mère est
deux malades, l'ainéeL le cadet de 7 enfants atteints ainsi que le père de névrite interstitielle hyperlrophique avec t
58 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de trente-huit ans, à l'asile depuis six mois; hérédité puissante ( père et mère morts à l'asile). Paralysie générale. A
ractères relatifs à l'accusé : paysan ; pas de mobile; imbécillité; père ivrogne; ruse et mensonge; prévenu réputé non a
ne possède aucun renseignement sur ses antécédents de famille. Son père , ancien gendarme, était mort au moment de son a
ait que quelqu'un la lui ouvrait avec un instrument tranchant. Le père et la mère furent questionnés ainsi que les paren
a été élevée par'des parents honnêtes et de bonne répu- tation. Son père était Stéphane Schreier et sa mère Marie Yung.
es parents sont si accablés et se désolent tant, voilà pourquoi son père et sa mère demandent chaque jour à Dieu si bon,
de la loi. Lorsque ce moment viendra, le Sénat reconnaîtra, j'es- père , que la commission n'a pas cédé à un goût malsain
représentent plus de respon- sabililité, plus d'intelligence qu'aux pères de famille, qu'aux mères de famille, qu'aux frè
nients ; mais où n'y ena-t-il pas ? Est-ce que, sous prétexte qu'un père dirige mal l'instruction de son fils ou de sa fil
ladies nerveuses delà clinique de l'Université à Helsing- fors. Son père , mort à soixante-dix ans d'une maladie de poi-
ternels et maternels, n'ont jamais eu d'affec- tions nerveuses, son père est mort d'accident, et sa mère, ses oncles et
pour être dispensé d'une surveillance spéciale : il faudrait que le père , la mère, l'ascendant, le descendant, le conjoi
as où il s'agit d'un de ces aliénés qui ne sont soi- gnés ni par le père , ni par la mère, ni par le conjoint, etc., du m
our de la table avec la Bible et le livre de prières devant eux. Le père et la mère frap- paient du poing sur la table e
idiens à type procursif. Observation I. Epilepsie PROCURSIVE. ' Père neurasthénique, sujet à des céphalalgies. Grand'm
. Aztécédents(Ilenseignenzeals fourltis par sa mère et son grand- père paternel. (G mai 4881.) - l'ère, quarante-lruit a
ssements, ni vision colorée; il n'est ni colérique, ni alcoolique. [ Père , soixante-dix-sept ans, homme de peine ; pas d'
ce : les deux autres sont bien portants; remariée à vingt-septans. [ Père , quatre-vingt-cinq ans, cordonnier, « n'aja- ma
ge ; son patron l'avait repris jusqu'à trois fois. Etant chez son père , il se fait arrêter à diverses reprises pour br
s de carreaux, de glaces, vol de pommes de terre fri- tes, etc. Son père l'a fait renfermer deux fois (un mois chaque fo
ue fois), à la petite Roquette. Trois fois il a fait perdre à son père sa place de concierge. A seize ans, il est mis
mis à la colonie de Mettray, où il reste quatre ans. Repris par son père qui essaie en vain de le faire travailler avec
a veste de la maison. Evadé à midi il n'est allé à la maison de son père que vers minuit ; il s'y est blotti derrière un
re que vers minuit ; il s'y est blotti derrière une porte, mais son père prévenu par un locataire l'a fait rentrer chez
la Sûreté. 25 Tous les mois son grand-père le conduit chez son père , ou parfois chez d'autres parents. Il est rare qu
nt dépensé les trois francs qu'il possé- dait, il est allé chez son père qui l'a ramené à l'hospice. Il est envoyé à la
ours au même endroit : une voisine l'a fait monter et a prévenu son père ; il a été envoyé à l'infirmerie du dépôt, puis
ire. Observation II. Epilepsie PROCURSIVE; EPILEPSIE partielle. Père , peintre en bâtiments. Grand-père paternel, excès
l, excès de . boisson; grand-mère paternelle, paralytique. Grand- père maternel, mort apoplectique. Arrière grand'mère
RNEVLLLE). Renseignements fournis par sa mère (16 novembre 1885). Père , quarante-neuf ans et demi, enfant naturel, peint
e satur- nine ; il est sobre, bien portant, mais un peu emporté. [ Père , mécanicien, a disparu depuis la guerre de 4810-7
s mois de ses grossesses, mais sans perte absolue de connaissance. [ Père , homme de peine au che- mindefer, sobre, mortà
nde son couteau pour s'ouvrir le ventre et dit : « Je veux voir mon père avant de mourir. » 1885. 28 février Ecchymose s
de violence épileptiforme. Brise, frappe. Arrêté pour injures à son père . » Parents bien portants. Frères bien portants
ptiformes. Il brisait, frappait. Il a été arrêté pour injures à son père . A son entrée, il est dans l'hébétude, dans la de
.., me trouvant à Nimes, chez M. B... je fis la connaissance de son père , vieillard de soixante-deux ans, vif et alerte,
ès continuellement dans un air vicié par la fumée du tabac, M. B... père est grand fumeur lui- même. Pas d'antécédent pa
ritant d'être signalés. Tandis que nous causions, je voyais M. B... père tendre l'oreille en contractant les traits et n
nt pathologique notable, soit personnel, soit héréditaire. Marié et père de famille ; ses enfants au nombre de trois, to
ntré le 22 octobre 1884 à la Salpêtrière (service de M. Charcot). Père , mort à la guerre, pas de maladies nerveuses. Mèr
germains. Sa grand'mère maternelle et sa mère sont hystériques, son père , mal équilibré, se faisait remarquer par des em
s poils d'un blond pâle sont fins et peu abondants. Observation II. Père mélancolique suicidé ; oncle et tante ma- terne
âgé de 25 ans, est entré à l'asile Sainte-Anne le 18 mai 1885. Son père , mélancolique, faisait par- fois des excès de b
ue les perturbations nutritives se sont produites. Observation III. Père ivrogne. Débilité mentale sur laquelle se greff
dans un accès d'agitation avec délire mélancolique et mystique. Son père , adonné à l'ivrognerie est mort d'une apoplexie
ccupe du ménage, fait la cuisine, coud et tricote. A la mort de son père , il s'éloigne de sa famille pour suivre en qual
ne communauté de religieux, non sans avoir subi un double examen du Père supé- rieur qui finit par le reconnaitre mascul
t, le roi des Juifs ; «Je suis un misérable, tuez-moi, j'ai tué mon père et ma mère. » Il croit qu'on veut l'empoisonner
st que le sujet fréquentait de préférence une certaine détenue; son père croit avoir re- 424 SOCIÉTÉS SAVANTES. marqué
einte et une atteinte grave aux droits de la famille, aux droits du père de famille. Ah ! je comprends que vous interven
59 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
ession qui aurait lieu dans l'après-midi, après les vêpres. Mais leur père , jugeant que les intérêts de sa ferme passaient a
ôpital atteint de surdité et de mutisme absolus, avec paraplégie. Son père est mort de tuberculose pulmonaire ; il était, di
c à l'église; on le salue quand il passe. C'est un fou mari et un bon père . Sa femme Catherine, qui ne se doule de rien, l'a
e par moi me fit le récit suivant : La famille Rocher se compose du père , de la mère et de quatre enfants : un garçon de d
plein vent; les affaires vont mal, les enfants sont contraints par le père à commettre des larcins, surtout dans les jardins
des larcins, surtout dans les jardins. En face de cette misère, le père dit un jour à la mère : « Nous n'avons pas de quo
it a l'eau. Par trois fois, le petit être revint à la surface et le père fut obligé de couper une gaule le long de la rivi
as, ne put, tout en se meurtrissant les mains, escalader le mur. Le père alors, pris do rage, lui frappa violemment le vis
virons, elle me répond aussitôt qu'avant de l'attacher à l'arbre, son père lui a enlevé son costume de saltimbanque, sa robe
ts de saltimbanques, mais elle n'a pas de peine à me démontrer que le père leur a appris à lire pour qu'ils puissent mieux j
ision des couleurs qu'elle dépeint et qui y jouent un grand rôle : le père a un paletot gris, un pantalon de coutil blanc ja
ette chorée comme étant de nature rhumatismale, d'autant plus que les père el mère n'étaient point rhumatisants. Le père est
, d'autant plus que les père el mère n'étaient point rhumatisants. Le père est mort phtisique : la mère est anémique ; ta gr
uis de l'eau amère. La malade a des antécédents nêvropathiques. Son père est mort à quarante-deux ans; il était buveur. Sa
r se calmer; elle est allée ensuite passer deux mois à D.... chez son père ; sa santé physique était excellente; elle mangeai
gne. On venait d'installer la petite malade dans sa chambre, où son père l'avait portée lui-même dans ses bras, lorsque j'
érapique. Tels sont les renseignements qui me furent fournis par le père et la mère, qui sont vigoureux, bien portants, et
est mariée depuis l'âge de 27 ans, mais n'a jamais eu d'enfants. Son père est mort d'un accident, sa mère d'une maladie de
técédents héréditaires. — E .. est âgé de vingt deux ans et demi. Son père est entrepreneur de charpente; de bonne santé hab
oldat dans l'infanterie de marine, est un névropathe héréditaire de « père et de mère. Je l'ai soigné, il y a plusieurs anné
quentes à mesure qu'il avance en âge. Vers l'âge de quatorze ans, son père , voyant que les études lai profitent peu ;il Bais
issage, qui l'avait beaucoup froissé, on butte aux réprimandes de son père qui loi reprochait de ne pas avoir su profiter de
ion de la clinique infantile de la Faculté, le 27 décembre 1891. Le père est, nous dit-on, bien portant. La mère est très
de lait agissait avec elle, qu'elle l'appelait son petit mari, que le père et le grand-père de celui-ci avaient abusé d'elle
as d'un enfant qui simula la surdi-mutité pendant un an parce que son père l'avait menacé de le tuer s'il parlait. Motet (4)
e ans. qui prétend avoir été abandonné et est un jour reconnu par son père . Fouruier relate le fait d'une fillette de huit a
raconte qu'un enfant, rudoyé par un magistrat, finit par dire que son père a assassiné une jeune fille. Lasègue (2j cite un
à la Salpè-trière le 20 décembre 1892. Antécédents héréditaires. — Père alcoolique. Mère bien portante. Trois frères et u
ent. Point n'est besoin de l'iman de la Mosquée pour la pratiquer; le père de l'enfant, ou A son défaut, le tuteur naturel,
che, celles de l'ikameth (*): ces deux prières prononcées, l'iman. le père ou le tuteur, l'adressant A l'enfant même, lui di
lui dit : « Ibraim... (ou Ali, ou tout autre des noms indiqués par le père et acceptes par la mère), est ton nom. » On vol
tout ce qu'elle renferme d'ordre moral et sociologique se perpétue de père en fils, en conservant la même puissance d'unific
ains de banlieue qui nous font regretter les vieilles pataches de nos pères , toi, tu prends l'express et l'on n'a pas le temp
e et l'état normal. Observation 1. — Jeanne U... possède encore son père et sa mère, l'un est âgé de quarante-neuf ans, l'
ctuellement le lit 10 de la salle 37. Ses parents sont vivants, son père est bien portant, sa mère a une tumeur dans le ve
lit 3 de la salle 8. Fig. 9. — Champs visuels d'Eudoxie M... Son père est mort a cinquante-deux ans de la fièvre typhoï
Molenbeck on février 1893. Elle occupe le lit 1 de la salle 9. Son père est bien portant; il a cinquante-trois ans. Sa mè
rofond. Observation VIII. — Mme B... est Agée do cinquante an». Son père est mort A quarante-sept ans de tuberculose pulmo
en mars 1893, le lit 2 de la salle 9, à l'hôpital do Molenbeck. Son père est mort d'ivrognerie à trente-cinq ans. Sa mère
e le lit 8 de la salle 37. Sa mère est morte de cause inconnue. Son père est bien portant: il est buveur. Deux frère et sœ
it le lit 14 de la salle 9. Ses grands-parents sont morts âgés, son père a succombé à l'âge de quarante-trois ans à la tub
il y a huit mois, à la suite d'un rêve dans lequel elle avait vu son père tuer sa mère, elle a eu une attaque de nerfs ; le
Mugnier, auprès de Mlle Alphonsine C..., Agée de dix-neuf ans. Son père et ses cinq frères et sœurs ont toujours été dune
ion nerveuse de la tille, comme vous allez le voir par la suite. Le père de ma malade, la sachant ai impressionnable et la
as gauche, dont la tendance à la contracture a vivement préoccupé son père , s'est également dissipé. Le :résultat ainsi ob
Jules J..., photographe, est marie et Agé de soixante-quatre ans. Son père est mort d'une congestion cérébrale et sa mère d'
60 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
lle les reproduisait sur le papier. C’était une lettre adressée à son père , et dans laquelle elle lui demandait pardon de l’
squ'elle eut terminé sa lettre, elle la ferma, y mit l'adresse de son père , et la laissant en évidence sur la table, elle re
ile que d’accumuler un nombre infini de textes des livres saints, des Pères et des conciles, qui renferment de la manière la
devoirs de notre charge de prémunir les fidèles contre les pièges du père du mensonge, de veiller à la pureté de la foi et
ête. Un fait digne de remarque dans cette observation, c’est que le père de la malade était aussi sensible au magnétisme,
magnétisme, mais l’enfant l’est davantage depuis qu’il est malade. Le père est insensible ; il n’a pas le bruit de souffle.
pat-voie d’hérédité. Ainsi, le seul fait que l'individu est issu d’un père ou d’une mère sensible au magnétisme, est une for
uer que cette transmission héréditaire avait lieu le plus souvent des pères aux (illes et des mères aux garçons. 11 sera faci
bilité magnétique du sujet lui ail élé transmise par sa nourrice, son père et sa mère étant insensibles? Il semble qu’il pui
trine plus digne de le porter. Homme de bon conseil : c’était notre père . Depuis trois ans environ, il avait cessé les p
« Je dormais, a-t-elle dit, quand j’ai été frappée à la gorge, et mon père était près de mon lit. Je rêvais que l’on m’assas
n rêve est fini : oh ! quel bonheur ! Ouvrant les yeux, j’aperçus mon père debout près de moi, et je sentis couler mon sang
sang le long de mon cou. Je me suis assise dans mon lit, et alors mon père , mettant sa main sur ma poitrine, a déchiré ma ch
chemise et m’a porté un coup au-dessus du sein; j’ai pu renverser mon père , me diriger vers la porte fermée à clef, l’ouvrir
’approcher de son lit une personne qu’il reconnut pour la sœur de son père . Sa tante lui saisit la main et lui coupa le doig
au souvenir de son lève, il poussa uu cri déchirant, en appelant sou père . ci Quelles ne furent pas la surprise et la dou
r jusqu’à l’os. Ils se perdirent en conjectures sur cet événement. Le père fit même une démarche auprès de sa sœur pour lui
rds sont revenus à leur poste. Depuis lors, fidèle à la maxime de ses pères , le nouveau président n’a cessé de protéger de so
bien posée a son marcou. Si vous êtes né le septième garçon d un môme père , sans interruption de la ligne mâle, vous êtes ma
s posés, passons au fait. Quoique jeune encore, M. Delaage est déjà père d’une demi-douzaine d’ouvrages sur le magnétisme,
èvera les plus humbles, les plus déshérités entre les enfants du môme père . Ne suffit-il pas, en un mot, de réfléchir sur la
XII, p. 88,112, 138 et 161 : Correspondance entre le docteur Despine père et l'archevêque de Chambéry. — Pour ce qui est du
ces dans cette noble mission. Les indigents avaient en lui un ami, un père ; son bonheur était de consoler ceux qui souffrai
11 est grand. — Peux-tu me dire qui est cet homme ? — C’est votre père , — me dit-il après avoir bien regardé. — Y a-t-
— me dit-il après avoir bien regardé. — Y a-t-il longtemps que mon père est près de moi ? _ — Oh ! il y a un si grand n
un si grand nombre d'années que je ne puis pas les préciser. » Mon père est mort en Espagne, en 1825 ; il était grand.
table avec moi, interroger et obtenir pour ré- Sonse le nom de son père , qui, lui touchant la main,lui roi-it tout le bra
délire véritable d’Arétée, son causus. Il répète tous les sermons des Pères , même les plus confits ; il parle Écriture sainte
soit par moi, soit par d’autres expérimentateurs ; Gall lui-mème, le père de la phrénologie, n’a-t-il pas dit : « S’il ét
et l’a amenée chez lui. » « A ce moment entra le Dr Gaddock avec le père de l’enfant perdu, le même qui avait écrit la let
été perdue à une distance considérable de Bolton (où nous étions); le père était venu directement vers M. Gaddock ; il était
même dans la ville de Bolton, jusqu’à la fin de la séance, et que le père , comme je viens de le dire, en avait apporté les
son âge, son extérieur et son caractère, ;'t l’extrême étonnement du père . Celui-ci confirma toutes ses déclarations, dans
expliquait qu’elle voulait désigner une certaine direction; niais le père s’imagina qu’il en découvrait une meilleure , et
it qu’il 11e la trouverait pas, mais que l’enfant se retrouverait. Le père ne réussit pas effectivement dans sa recherche, e
i ce qu'elle éprouvait. Elle mè dit qu'elle avait eu la vision de son père , enseveli dans un linceul. Son père vit encore, e
qu'elle avait eu la vision de son père, enseveli dans un linceul. Son père vit encore, et je ne puis savoir pourquoi elle vi
agnétique. J’ai pu me convaincre que cette demoiselle tenait de son père sa grande sensibilité magnétique; car, en moins d
lus qu’un animal mû par une sorte d’électricité; les croyances de nos pères , touchant la vie future, sont traitées de rêverie
e pour un temps considé-jable, reçut la nouvelle de la maladie de son père . 11 était alors à se promener ; il revint sur ses
ait un détour pour prendre le sentier conduisant chez lui, il vit son père debout dans un champ le luzerne entouré de clôtur
e choses qui lui parurent fort étranges. Le ministre remarqua que son père ava.it bonne mine, et il le crut parfaitement gué
tesse, et elle lui dit: a Mon cher enfant, vous venez de voir votre « père pour la dernière fois; il a été inhumé ircant nie
e fois; il a été inhumé ircant nier. » Il assura que c’était bien son père qu'il venait de voir, et qu’il ne lui avait jamai
es physiques et même occultes, se trouvait à Bourg-\rgental, chez mon père , M. de Fogères, alors maire de cette ville. En
de cette ville. En parlant des cures opérées par le magnétisme, mon père avait témoigné le désir de voir améliorer par ce
se rendre à ses désirs. Les expériences devaient avoir lieu chez mon père , où se rendit un grand nombre de personnes. Le
Argental et des communes voisines, qui se rendirent en foule chez mon père . Le jeune enfant , accablé de demandes et de ques
sait le cadavre du jardinier. Le malheureux Julien venait de tuer son père . Pierre D..., paraîtrait-il, était somnambule;
c son moral et montrer l’influence de l'hérédité, nous dirons que son père a donné à plusieurs reprises des traces frappante
stique , que toute la famille avait vu dans la malheureuse maladie du père les conséquences d’un sort (c'est ainsi qu’elle s
chose d’extraordinaire. Dans son village on se rappela la maladie du père et les sorciers qui avaient jeté sur lui un sort
s visions relatives tantôt au présent, tantôt à l’avenir. Un jour son père la gronda injustement pour un objet qu’elle avait
entièrement. Bientôt elle rêva que, tombée malade, elle entendait son père et deux médecins chercher ensemble les moyens de
ns le journal de M. R..., de Stuttgard, un phénomène de ce genre : le père de M. R.... et lui-même rêvèrent plusieurs fois d
ges des esprits el des âmes. Le 2 juin 1828, jour de la mort de son père , à quatre lieues d’elle, elle le vit mourir et s’
sprits se sont triplés au lieu de se doubler seulement comme elle. Le père d'un nommé llubschman, de Stuttgard, est apparu,
p. Une foule d’êtres remuants, échcvelés, rabâchent ce qu’ont dit nos pères ,, et touchant malproprement cet. acier poli, le r
nc à la possibilité de reproduire les phénomènes merveilleux dont nos pères furent témoins ? — On fera bientôt des œuvres p
— Je fus charmée d’une visite que nous fîmes à Mesmer, le chef et le père du magnétisme. Je l’avais connu en Alsace et j'ai
ls, tout jeune homme, qui jouait la comédie chez M”* de Montesson; le père jouait également, et fort bien, et avait fait rep
nfer, nous t’adjurons de sortir du corps de cette personne, au nom du Père , du Fils et du Saint-Esprit. » « — C’est exacte
61 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
vation 1 (PI. I). Jean San Pietro, 6 ans et demi, né à Turin. Son père est un homme de 44 ans très bien portant, mécanic
et bien portants ; pas de consanguinité chez eux. Il paraît que le père n'est ni alcoolique, ni syphilitique, il n'a jama
I. III). Marie Raccanelli, née en 1901, actuellement âgée de 9 ans. Père et mère sont vivants et bien portants, pas d'au
les parents ni la syphilis, ni la tuberculose, ni l'alcoolisme. Le père et la mère de l'enfant ne sont pas consanguins.
t une conformation bizarre, en pain de sncre, de telle façon que le père en avait été frappé et en avait fait l'observatio
ans, n'a jamais été malade ; aucune tare morbide dans sa famille. Père âgé de 36 ans, très vigoureux, huit frères tous v
ections pour hommes. Antécédents héréditaires el collatéraux. Son père s'est suicidé par em- poisonnement. Sa mère est
udiant l'Ecole des Arts et Métiers. Antécédents héréditaires. - Son père est bien portant, sa mère se plaint de temps en
temps en temps. L'apathie el la somnolence se sont accentuées. Son père nous dit qu'il a changé beaucoup comme état psy-
son intelligence est réduite. Cet état continuant à s'aggraver, son père l'amène à Bucarest dans le ser- vice de cliniqu
morte subi- tement a 78 ans ; grand père mort à 74 sans maladie. Père mort il 67 ans d'usure physiologique; une tante e
ale située au sud de Stockholm. Ses parents sont bien portants ; le père est cordon- nier, et B... l'a, autrefois-, aidé
rograde : ainsi, les idées plus anciennes delà maison familiale, du père et de la mère, les frères et soeurs, de son enfan
e fer desservant sa commune natale, il se rappela en- suite que son père était venu le chercher avec une voiture, qu'il
des prières qu'on fait habituellement réciter aux enfants (le Notre père , etc.) ni les dix commandements, ni le credo ; ma
e observation : Sur demande, B. écrit correctement l'adresse de son père de la même manière qu'il l'écl'i.. rait sur une
mol, je ne le puis « pas. Chaque fois que je vois un regard de mon père , ça me fait mal, quand « il est un peu sévère a
. Le grand-père maternel (riz ans) est très violent lui aussi. Le père a 51 ans ; il est calme et très doux. La mère a
que son garçon ». Il faut noter que plusieurs ascendants du côté du père étaient de haute sta- ture, mais aucun d'eux n'
ses reconnaissances. Il fait une tentative de vio- lence contre son père d'origine passionnelle. Actuellement, janvier 1
nte et très bien conformée (âgée de 20 ans, taille : 1 m. 58). Le père est vivant et bien portant : sa taille est au-des
ne hernie étranglée, la veille du jour où on devait l'opérer. Son père a été trouvé sans connaissance un matin dans son
arie et Sainton (1) présentèrent les observations des deux malades, père et fils, atteints de troubles de développement tr
éres- sant surtout l'ossification du crâne et de la clavicule, Le père âgé de 39 ans avait eu deux enfants dont le premi
e palatine. Ses dents étaient presque toutes cariées (comme chez le père de la première commu- nication). Chez la fille,
pçonner l'hérédosyphilis en se basant sur les crises convulsives du père , sur les fausses couches et l'état des tibias de
ierre Marie et P. Sainton. - Observation d'hydrocéphalie héréditaire ( père el fils) , par vice de développement du crâne e
e près du bourg de Monsteraas, sur le littoral est de la Suède. Son père , qui est petit mé- tayer et pécheur, naquit au
ésenté des dispositions anormales, ni qu'elle ait été maladive ; le père et les frères étaient d'avis qu'elle s'était comp
'abord accuser d'autres symptômes de maladie, du moins au su de son père et de ses frères ; ceux-ci ne savaient pas non
ni ne l'avaient entendue prononcer une seule parole. Par contre, le père raconta que, trois ou quatre fois, il l'avait tro
tète, la mère lui versait un verre de lait ou deux par jour ; ni le père , ni les frères ne pensaient qu'elle eût jamais
resque toujours seules. Lorsque, en 1905, la mère mourut, et que le père annonça la nouvelle de sa mort à Caroline, cell
un autre changement dans son état. A partir de ce moment, ce fut le père qui, une fois par semaine, faisait le lit de Caro
ntiments. Durant la période qui précéda immédiatement le réveil, le père et les frères n'avaient remarqué aucun changeme
ne diminution très notable de la conscience. La ferme conviction du père et des frères que Caroline n'ait jamais absorbé
que. Observation. Battiata Andréa, âgé de 16 ans, de Trapani. Son père a eu quatre ul- cères en même temps. Ces ulcère
remarquer chez ses collatéraux. Lors de la conception du sujet, son père avait 38 ans et sa mère 28. Il est né à terme, et
! ... « J'ai vu tout à l'heure une tête de mort qui devait être mon père ... Mon pa- « tron, reprend-il, est arrivé et a
! qu'est-ce « que c'est ? ... je croyais alors qu'il était mon vrai père ... Je voyais ma « mère se jeter par la fenêtre.
ut... Nous ne sommes rien sur la terre ici-bas.... rt Oui ! Dieu le père Eternel I... » Il pousse des cris de douleur, s
. «Va-t'en... Va-t'en... (Il appelle Dieu à son secours). Au nom du Père , du Fils, du Saint-Esprit ! ... Laisse couler l
vais « pris un os au cimetière de Lorient... J'ai vu la tête de mon père ... je tapais « par terre... Je voyais la tête.
te du petit malade. Les antécédents héréditaires sont très lourds. Le père , bien portant jusqu'à l'âge de vingt-deux ans,
que tout le monde (son entourage et les jour- naux) disait que son père avait été assassiné. Il se croyait persécuté par
gouttière, tombe et se tue. L'enfant est né après l'internement du père . Ainsi lorsque ce petit malade nous fut a mené,
sie et troubles mentaux. Antécédents héréditaires et collatéraux. - Père mort d'obstruction intes- tinale. Mère, accuse
ion : D. Monteverde, 48 ans, paysan. Antécédents héréditaires. Le père aurait souffert de rhumatisme articu- laire et
nt pas de ses aïeuls ; ses parents sont- morts à un âge avancé, son père d'une maladie du coeur à 62 ans, et sa mère à 5
fatigue. 422 E. MONIZ Antécédents héréditaires. Mère hystérique. Père aveugle par kératite ( ? ). Il n'y a pas de tub
s eu d'avorte- ments. 424 E.' MONIZ . Antécédents héréditaires. Père alcoolique, mort. Mère bien portante. Il n'y a
rvation. .1. R..., 45 ans, reçu dans l'hospice le 20 juin 1911. Son père ne vit plus, mais nous ignorons la cause de sa
est morte à 25 ans, de tuberculose aiguë (alcoolisme possible). Son père est mort a 56 ans, très probablement d'un cance
62 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
te. La recherche de ses antécédents héréditaires nous apprend que son père était saturnin, de plus très probablement alcooli
quelquefois d'hérédité nerveuse et migraineuse. Chez notre malade, le père a été saturnin, et il y a eu du côté maternel une
ulait du mal....., qu'on la magnétisait, etc.. Côté paternel : Le père , âgé de 70 ans, compositeur d'imprimerie, a eu pl
concerne la famille de la mère. Celle-ci est nerveuse elle-même. Son père , le grand-père de notre malade, avait été atteint
es antécédents héréditaires ne décèlent rien de bien particulier. Son père est bien portant. Dans la ligne paternelle : son
ngtemps de douleurs, dont la malade ne sait pas définir la nature. Le père est inconnu. La malade ne connaît pas non plus
re est inconnu. La malade ne connaît pas non plus la famille de son père . Antécédents personnels. — La malade a toujours
s. — Mère morte à cinquante-huit ans d'une hernie étranglée opérée. — Père mort à cinquante-neuf ans, courtier en vins ; aur
es paroles incohérentes. Une cousine de son grand-père est folle. Son père est sain, ni alcoolique, ni nerveux; un de ses fr
Frère, paroles incohérentes, perte de mémoire par accès. Grand» père sain. Son frère. Fille folle. Frère asthmat
Grand»père sain. Son frère. Fille folle. Frère asthmatique. Père sain. Pascal. Mère violente, colère, nerveu
ée V... D... Léonie est âgée de 27 ans. Antécédents héréditaires. — Père buveur, travaillait dans une usine de caoutchouc,
prises depuis quelques mois. Il a trait à un homme de 43 ans, fils de père et de mère diabétiques ; lors de mon premier exam
vé moi-même un fait de cette catégorie. — Une jeune Anglaise, dont le père est ataxique, fut prise tout d'abord de troubles
oplégique. M. X..., âgé de quarante-quatre ans, israélite, avait un père , vif et emporté, qui est mort diabétique à l'âge
(1). Jeune fille de trente et un ans, d'origine anglaise, née d'un père ataxique. Début de la maladie il y a trois ans
oitures. Antécédents héréditaires. — Le malade n'a jamais connu son père non plus que sa famille paternelle. Du côté mater
Antécédents héréditaires. — Mère morte ictérique à soixante-deux ans. Père en bonne santé, ni alcoolique ni nerveux. Pas d'a
Gaucher, département de Seine-et-Marne. Antécédents héréditaires. — Père , devenu aveugle à la suite d'ophthalmie traumatiq
istoire un point particulièrement intéressant en neuropathologie. Son père , vous ai-jedit, était un ivrogne et s'est suicidé
ésenter par un fort simple tableau généalogique. Un individu, né d'un père goutteux et d'une mère aliénée, présente un beau
qui, du reste, chez notre malade est fortement accusée. En effet, son père ancien militaire, employé d'octroi, était très ne
polonais, fort buveur et très alcoolique, paraît-il. L'alcoolisme du père constitue le seul facteur névropa-thique (du côté
a famille qui vit en Pologne et qu'elle ne connaît pas. Cette tare du père nous suffirait à la rigueur, car vous n'ignorez p
à trois par semaine), elles sont aujourd'hui beaucoup plus rares. Le père est un émigré polonais qui, paraît-il, n'a jamais
aveur du tabès. Il appartient à une famille où les hommes, soldats de père en fils, ont eu et ont encore une santé robuste;
ns. M. X... raconte qu'à cette époque, montant à cheval à côté de son père , il se sentait pencher à gauche sur sa selle, com
elle, comme s'il était plus lourd de ce côté ; il se rappelle que son père lui faisait des remontrances sur cette mauvaise a
ente-quatre ans, a les antécédents héréditaires les plus chargés. Son père est alcoolique et vous savez quel grand générateu
inq ans, intelligent jadis, et peintre de céramique ; il est marié et père de famille. L'accident dont nous avons à étudier
ents héréditaires r.e sont point chargés au point de vue nerveux. Son père est mort d'une hydropisie probablement cardiaque,
ligne. Les grands-parents maternels sont peu connus ; ceux du côté du père ne le sont point du tout. La recherche des anté
inique des maladies du système nerveux. Antécédents héréditaires. — Père inconnu. — Mère, trente-cinq ans, domestique, est
de couturière. Antécédents héréditaires. — 1° Côlé paternel. — Son père est atteint d'une maladie de cœur. Il est sujet
maladies du système nerveux, avriH890. Antécédents héréditaires. — Père cinquante-deux ans, rhumatisant. Mère quarante-hu
stème nerveux, au mois de mai 1890. Antécédents héréditaires. — Son père est mort de la rupture d'un anévrysme, Il était r
63 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
1892, p. 62. 4 CLINIQUE NERVEUSE. joué ici un rôle quelconque. Le père est migraineux, et sa mère très nerveuse. A l
de une hérédité nerveuse mani- feste démontrée par les migraines du père , par le nervosisme ^de la mère, et par ses céph
rvation I. An... L..., quarante-deux ans. Antécédents héréditaires. Père , cultivateur, décédé à quatre- vingt-deux ans,
outent ceux du côté paternel quevoici : 14 PATHOLOGIE NERVEUSE. Père , quarante-huit ans, sanguin, coléreux; pas de rhu
. M..., quarante-quatre ans, célibataire. Antécédents héréditaires. Père , enfant naturel, originaire de la Manche, exerç
t deux soeurs sont bien portants. Parmi les collatéraux, du côté du père , tous renseignements font défaut; du côté de la
a... ne relève pas de l'hérédité simi- laire, directe; sa mère, son père ne sont pas des tiqueux. Ce serait, en effet; a
dérations dont il est impossible de ne pas tenir compte. Du côté du père , si les renseignements man- quent pour les asce
bien portants, alors qu'elle seule a été victime de l'inconduite du père . D'ailleurs, l'alcoolisme du père a laissé sur
a été victime de l'inconduite du père. D'ailleurs, l'alcoolisme du père a laissé sur l'enfant une marque indélé- bile.
IV. z V..., douze ans et demi. Antécédents héréditaires. Du côté du père , le bisaïeul paternel est mort à quatre-vingt-s
quatre ans; des deux autres, l'un. est mort aliéné; le. second, le père de la malade, est âgé. de quarante-un ans. Bisaie
s attaques convulsives qui ont disparu depuis le retour d'âge. Le père deJ... exerce laprofession de représentant de com
service de M. le professeur Charcot). Antécédents DE famille. Son père mourut à l'âge de cin- quante-huit ans à la sui
uteur relate l'intéressante observation, frappée de ce fait que son père , sa mère et l'un de ses frères étaient morts aprè
uelques jours plus tard. Ces pièces proviennent de la collection du père de l'auteur de ce mémoire. La racine motrice du
les services rendus chaque année par le patronage fondé par Falret père d'abord, puis par Baillarger et au- quel s'est
a pas arrêté même un jour. Antécédents héréditaires. Côté paternel. Père vif, emporté. Dans son enfance il avait des peu
u côté maternel, il n'y a absolument aucun antécédent ner- veux. Le père est atteint d'une myopathie de même nature, ainsi
a pu le constater sur l'OBSERVATION III qui le concerne. La mère du père était atteinte de la même affection. La mère de
IE CÉRÉBRALE; TICS NOMBREUX; Par BOURNEVILLE et NOIR. Sommaire. Père , céphalalgies, coléreux, rhumatismes, accidents
Antécédents {Renseignements fournis par sa mère, le 28 mars 1887). Père , cinquante et un ans, sculpteur sur bois, homme v
à l'é- poque de la conception de l'enfant. il n'use pas de tabac. [ Père sobre, mort à soixante et onze ans, de la suite
e à la suite de sa quatrième couche. Dans le reste de la famille du père , aucune autre affection psychique, nerveuse, ar
avoir jamais eu de crises, ni d'accidents nerveux d'aucune sorte. [ Père robuste, sobre, d'ha- tude bien portant, est mo
gâteux (avril 1887). 230 RECUEIL de faits. Pas de consanguinité ( père originaire d'Italie, mère franc- comtoise). L'i
, les accidents neuro-arthritiques abondent tant dans la famille du père que dans celle de la mère. L'alcoolisme du père
ans la famille du père que dans celle de la mère. L'alcoolisme du père , la conception probable pendant l'ivresse, l'hydr
ssi désespérés après une opération, la mère qui aime, la mère ou le père qui espèrent, tous les parents, en un mot, verrai
tc., etc. LES TRANSFERTS DES ENFANTS ALIÉNÉS. Le 16 mars 1891, le père de l'enfant March..., que nous préve- nions off
g, nous supplie en pleurant de conserver son enfant à Bicêtre. Le père est né à Marseille de parents lorrains et la mère
seille de parents lorrains et la mère est de Meurthe-et-Moselle. Le père du père de l'enfant étant douanier fut envoyé à
e parents lorrains et la mère est de Meurthe-et-Moselle. Le père du père de l'enfant étant douanier fut envoyé à Marseil
sourde et presque idiote. L'innocente se défendit cependant, et son père et son frère accoururent à son secours. Ils eng
. XXV. 21 1 322 1), CLINIQUE NERVEUSE. Antécédents héréditaires. - Père , aubergiste, buveur, querelleur, maltraitait so
ents héréditaires. Rien à noter dans les antécédents, sinon que son père était emporté. Antécédents personnels. Peintre
nt depuis quelques années des arthrites rhumatismales chroniques. Père . Caractère vif. Hère. Sa santé a été toujours bon
maladies pour se faire examiner. La jeune fille, réclamée par son père , devait sortir de l'asile de Marseille malgré u
lgré un rapport défavorable de M. Marandon de Mon- tyel lorsque, le père étant mort, elle fut transférée à Saint-Yon. (A
S. VARIA LES TRANSFERTS DES ENFANTS ALIÉNÉS Le 16 mars 1891, le père de l'enfant March..., que nous préve- nions off
g, nous supplie en pleurant de conserver son enfant à Bicêtre. Le père est né à Marseille de parents lorrains et la mère
seille de parents lorrains et la mère est de Meurthe-et-Moselle. Le père du père de l'enfant étant douanier fut envoyé à
e parents lorrains et la mère est de Meurthe-et-Moselle. Le père du père de l'enfant étant douanier fut envoyé à Marseil
rvation. Jean M...re, cinquante-six ans'. Antécédents héréditaires. Père , cultivateur, mort à soixante- douze ans d'une
maladie subissait d'ailleurs une hérédité névropathique manifeste ( père alcoolique et mère hysté- rique) : elle-même pr
ue temps, il a été en rela- tions amicales avec elle, encore que le père de la jeune fille, à cette époque mineure, lui
à refusé son consentement. Son idée fixe l'a amené à considérer le père de la jeune fille comme son ennemi et à voir de
64 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
appartements de la Vierge et le cabinet de l’enfant Jésus, où Dieu le père était venu la prendre pour lui faire voir son Par
fait ¡’énumération (1) Hisl. de France , liv. ix. — Vies des Saints Pères , ch. 10. (2) Cœl. Aurel. lardarum passionum lib
du département de l’Yonne, La Cha- pelle, commune de Sennevoy. Mon père , comme ses ancêlres, y possédait une seigneurie q
onnais qu’une noblesse véritable : c’est celle de l’intelligence. Mon père pensait autrement que moi; cependant il n émigra
ment ; mais, en entendant le saint homme me demander gravement : « Le Père est-il Dieu? Je répondais: Oui, monsieur. — Le Fi
des peines de l’enfer ou du purgatoire, dont on me menaçait; car mon père avait dit devant moi qu’on avait bien fait d’inve
veux donc toujours me désoler, et être une cause de chagrin pour ton père et ta mère? » Puis, prenant enfin le ton d’une fe
n cœur : je devins mélancolique et rêveur. Le même jour, je priai mon père de disposer de moi: « Mais tu n’es propre à rien.
rit plus de maître, le temps était passé. Je n’en accuse que moi. Mon père avait vu disparaître une grande partie de sa fort
entré comme noble dans la maison du roi, que l’on formnit alors ; mon père savait bien que je u’eusse point dérogé. Un gen
je pris congé du maître, ayant seulement trois louis doubles, que mon père m’avait laissés : c’était là tout mon avoir; mais
dre plus imposant. Ensuite le roi et la reine, du ton affectueux d’un père et d'une mère, adressent à leurs bien-aimés enfan
a Société du Magnétisme, avec l’aide de MM. Dupont, Leclézio, Liénard père , Elysé Liénard, Plantin, Mailhol et moi. Cette So
, il vint, en i838, se fixer à Poughkeepsie pour y exercer avec son père la profession de cordonnier. Employé ensuite dans
royez-vous qu’ils se fassent de M. le professeur la même idée que nos pères se faisaient de Sylva ou de Tronchet? En voyant l
ur rendre à la santé mon enfant assez sérieusement malade. — Avis aux pères et mères de famille. L. BOMÉA. Valence, 21 ma
esmérisme militant comme une consécration du principe soutenu par nos pères et propagé par nous. C’est comme le baptême de la
vant de loin, triplant mes pas comme un enfant qui veut atteindre son père , j’ai vu bien des choses à côté de vous; j'ai eu
deux jeunes enfants de onze et douze ans, une jeune fille au lit, le père et la mère. Toutes ces figures, quoique séparées
i semblait inattaquable par quoi que ce soit de la vie matérielle. Le père et la mère regardaient leur fille, pauvre enfant!
a science deMcsmer a commencé? Qui fait où elle s’arrêtera? Dans le père et la mère, pas la moindre surprise : je me deman
it-elle plus bas), ils émigreront, moi je resterai en France. Que mon père seul reste aveenous. — Nous sommes seuls. — Bien.
seul reste aveenous. — Nous sommes seuls. — Bien.» Alors, entre le père et la fille, s’établit un dialogue où je ne compr
ue où je ne compris rien, sinon que la fille semblait commander et le père obéir; aux gestes énergiques de son enfant, il ré
nais pas, mais je sentais... O puissance de l’harmonie! Eh bien! le père , devant ce tableau, ne me parut pas plus ému que
, et puis l’enfant n’a plus souvenance des larmes d'hier..... « Won père est fort, il saura ne pas pleurer; puis il sait m
ommença lentement un chant singulier de gravité et de pénétration. Le père se recueillit, la mère et les enfants s’agenouill
eux enfants, qui semblaient peu comprendre, ouvrirent la marche, le père et la mère suivaient.....pas une lar? me..... p
on— «Je ne donne pas les noms, parce que, sur serment, j’ai juré au père de ne jamais révéler que les faits..... Il est
ez-de chaussée, qu’habite une honnête famille d’ouvriers, composée du père , de la mère cl de trois enfants. Une honorable ai
nos confrères, qui avait égaré la pièce essentielle, le certificat du père de la victime. Nous sommes heureux d’avoir élé en
à. » La chose s’est trouvée juste. D’ailleurs, voyez le certificat du père de ce malheureux jeune homme. I'rosper QUÉNARD.
s qu’en peu de mots, ne pouvant nous livrer à une polémique. Que le père de l’homéopathie fût un grand génie, les magnétis
t. Il est dû à un Anglais, RI. Braid; 011 peut le considérer comme le père de l’électro-biologie, tant parce qu’il est plus
la promesse que son infirmité n’en serait pas aggravée. Le Dr Despine père , consulté, partagea l’avis de M. Fleuret sur la n
rs magnétiseurs aurait peut-être conservé la vie à un bon citoyen, un père à une famille qui avait besoin de lui!... J. B.
pusses magnétiques n’aient pu conserver la vie à ce bon citoyen, à ce père de famille dont vous parlez. Mais permettez que n
nfiance à des personnes sensées : nous nous retirâmes, croyant que le père ou la mère nous aurait remplacé, mais celle-ci no
toutes si on l’employait à leur début, et cela parce qu’ainsi que le Père de la matière médicale pure l’a dit : « Les agent
état meilleur, vous le laissez aux soins magnétiques, dites-vous, du père et de la mère.... Le mari n’avait pas le temps ;
ste, Dieu du feu et du a souille, Deus ignis algue spiritus numen. Le Père de « toutes choses résulte de la vie et de la l
lligent, principe de notre intelligence, et plaçant au-dessus le Dieu père du feu intelligent. Les Guèbres, encore aujourd
apparitions de la Divinité on voit toujours un feu. A cet égard les Pères les plus habiles et les plus orthodoxes disent co
des rayons de la première lumière. » C’est en général le style des Pères avant et depuis le concile de Nicée. « Le Verbe,
ns son essence, puisque de chez vous votre somnambule a vu ce que son père faisait à une grande distance , puisqu’elle a pu
son , même le magnétisme. Ah ! ah! contez-moi cela au long, dis-je au père . « Ce fut un médecin, demeurant à la campagne,
n mal à la hanche, fut reçu à la fin de novembre, et le 14 avril, son père , qui l’avait d’abord fait soigner par les meilleu
s la même voie qu’on verra se compléter l’ceuvre restée imparfaite du père de la médecine ? Tous ces célèbres manipulateurs
avec celte distinction, elle répond laconiquement, sans doute pour le père : « C’est lui ! » Puis aussitôt détourne la conve
nt faites pour amener cette jeune fille à Tulle, mais on doute que le père y consente. Les gens n’osent en faire la proposit
ransmettre la science antique. Jetons un voile sur les erreurs de nos pères , et tachons de renouer la chaîne des temps. La
rger depuis plus d’une année, elle indique la place où il est, et son père l’v retrouve en présence de plusieurs témoins. A
65 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ôpital Broussais, salle Delpech. Antécédents IIÉnF : Dl'fAIlOES.- Père mort d'accident, mère d'hydro- pisie. Un frère
lit n° 20 bis, à l'hôpital Broussais. Antécédents héréditaires. -- Père , âgé de 74 ans, bien portant. - Mère morte apha
usqu'à 17 ans, on l'a toujours, par prudence, fait coucher avec son père , car, souvent, il était pris la nuit, pendant son
es- seur PROUST, suppléé par M. Ballet. Antécédents héréditaires. Père mort en 1870, fusillé par les Prussiens ; mère
m'ont été fournies par mon chef de clinique, M. Rau- zier : . Le père de la malade est rhumatisant, ou du moins éprouve
r le bord du siège afin de ne point venir au contact du dossier. Le père de cette jeune fille, qui, toute sa vie, avait
rs fières et moeurs, aucun d'eux n'était épileptique ou aliéné. Son père est mort à cinquante ans d'un cancer de l'estom
ience, avril 1887.) L'observation du malade peut se résumer ainsi : Père alcoo- ]ique j âge du malade, vingt-quatre ans
vation qu'il a relatée dans tous ses détails : 1. Excentricité du père ; la mère meurt avec abaissement pro- gressif p
ses parents. Vif désappointement à l'ouverture du testament de son père ; c'est à ce moment que débute probablement la p
montrent son attitude et son langage à. l'égard du testament de son père . Absence de toute décision précise. Santé génér
plainle; l'enfant parut au tribunal correctionnel accompagné de son père désolé et tout en larmes. Le père réclama son f
l correctionnel accompagné de son père désolé et tout en larmes. Le père réclama son fils, promettant de le mieux survei
er à l'avenir. Sans s'émou- voir des supplications touchantes de ce père , sans s'arrêter une minute au spectacle de l'ex
voulurent l'appré- hender au corps, mais celui-ci s'élança sur Malé père qu'il terrassa 144 BULLETIN bibliographique.
antécédents héréditaires ne décèlent rien de bien particulier. Son père est bien portant. Dans la ligne paternelle : son
Son père est bien portant. Dans la ligne paternelle : son grand- père est mort d'une attaque d'apoplexie, sa grand'mère
mps de douleurs, dont la malade ne sait pas définir la na- ture. Le père est inconnu. La malade ne connaît pas non plus
re est inconnu. La malade ne connaît pas non plus la famille de son père . Antécédents personnels. La malade a toujours é
- Mère morte à cinquante-huit ans d'une hernie étranglée opérée. - Père mort à cinquante-neuf ans, courtier en vins; au
paroles incohérentes. Une cousine de son grand-père est folle. Son père est sain, ni alcoolique, ni nerveux; un de ses
habitant Lunel, pour entrer à l'hôpital, le 18 février 1890. Son père était vif, emporté, facilement irritable. Il est
cette affection aucun détail précis. Elle affirme seulement que son père avait joui, durant toute sa vie, d'une excellen
e sa maladie actuelle qui semble avoir coïncidé avec la mort de son père et une certaine histoire de mariage manqué sur
que l'instauration menstruelle et peu de temps après la mort de son père . La jeune fille était alors au pensionnat. Rapp
es. Celles-ci, d'après les observations del'auteur et celles de son père et de son grand-père, également médecins, prése
brusque et émotionnel, de l'affection à la suite de la mort de son père , cette histoire d'amour contrarié dont le détai
istait, où faudrait-il la localiser ? Six mois après la mort de son père , la jeune fille pré- senta des troubles menstru
, 1, 2.) Observation d'un héréditaire dégénéré. Famille de voleurs. Père mort paralytique général. Escroc dès l'âge de q
atteinte de crétinisme, Marie Faure, qui avait été enfermée par son père FAITS DIVERS. 297 et son frère dans un réduit
aille, n'ayant pour toute nourriture que les restes de la table. Le père et le fils Faure ont été mis en état d'arrestat
petite fille de six ans, enfant d'un locataire de l'immeuble de son père , entra dans une telle colère qu'il prit une hac
Prud..., âsé de vingt-un ans, graveur. Antécédents héréditaires. - Père et mère bien portants. Neuf frères et soeurs, d
sparu. E. R..., âgée de vingt-deux ans. Antécédents héréditaires. Père original. Un oncle et un cousin fous. Mère suje
De l'âge de quatorze à seize ans, E. R... est tourmentée par son père , adepte d'une religion nouvelle, qui cherche par
recueillir ne sont pas très complets. Cependant nous savons que le père s'est suicidé. Il avait le cancer des fumeurs et
l avait dix à douze années de moins. Elle prenait son mari pour son père et cependant au fond, « elle savait, dit-il, qu
ue son fils ne lui a pas donné de bouquet. Elle se rappelle que son père était employé au gaz, sa mère ménagère. Elle le
nts spino-cérébranx à cet âge. Aussi les indications données par le père et la consta- tation des accidents de syphilis
Psych. XLV, 4.) Type de dégénéré (enfant gâté ayant un buveur pour père na- turel). A la suite d'un traumatisme céphali
mune de 340 habitants, habitait la fa- mille Berbessan, composée du père , de la mère et d'une fille de vingt-cinq ans, i
qu'ils étaient devenus, et une épouvantable découverte eut lieu. Le père , la mère et la jeune fille étaient étendus au mil
eau qui fit les constatations médico-légales. Thomas était marié et père de deux enfants en bas âge. Il était très estim
66 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
M. le professeur Raymond. Ce jeune homme est âgé de seize ans. Son père est mort de la fièvre typhoïde ; sa mère est très
r avaient d'efficacité. Ce fils s'appela Sulim, comme l'ascète, — son père dans l'ordre du mystère, — et ce fut lui qui plus
rôle considérablement plus actif que nous. C'est Leibnitz qui est le père de l'expression « l'aperception ». Il entendait p
et, et n'ont pas hésité à déclarer que, par exemple, consultés par un père qui leur demanderait s'il peut en toute sécuri té
aire rompre un mariage en éveillant les préoccupations financières du père de la fiancée. Le futur gendre avait la syphilis,
pre famille sans révéler le secret de mon malade. Je fis remarquer au père de la fiancée que son gendre n'apportait que les
une assurance sur la vie proportionnée à la dot de la jeune fille. Le père de celle-ci accepta, il exposa sa volonté en ce s
chaine séance, — fut aussi religieux, mais à son corps défendant. Son père le fit tonsurer de bonne heure, et Hildegarius, é
Sens et de Reims, il finit par avoir les yeux crevés par ordre de son père , et fut enfermé dans l'abbaye de Corbie, d'où il
de la main, dont je vous ai déjà présenté plusieurs cas. Fille d'un père éthylique et d'une mère nerveuse, cette femme épo
estitua à celle de Ste-Catherine de Rouen la cure de Gravigny que son père avait usurpée, et fut enterré dans l'abbaye de Fo
t Amauri 111. Amauri de Montfort 111 consentit à la donation de son père à l'abbaye de St-Magloire de Paris, et assista en
prieur (prior inter pares). Dans l'abbaye, l'abbé {abba, en syriaque père ou supérieur) était élu par les religieux, et le
îmes et leurs dépendances, approuva quelque temps après celle que son père avait faites des églises de Marly à l'abbaye de C
ût en 1082 une donation à cette église pour le repos des âmes de son père , de sa mère, d'un oncle maternel et de son frère
terre (1) et en eut cinq garçons dont: Henri, mort jeune et avant son père ; Thibaud, qui confirma en 1160, en présence de so
rougeur qu'elle accuse d'être la cause de son état. La seconde a un père brutal qui la reçoit très mal et, pour des futili
il n'y fallait pas songer. La dame me demanda de l'hypnotiser. Son père y consentit. L'insensibilité arriva, au bout de t
Je l'hypnotisais tous les jours pendant une demi-heure, en effet. Son père fixa pour l'opération une chambre derrière la mai
gue avec tousses biens, confirma à ce monastère les donations que son père y avait faites, ratifia en ! 182 la fondation de
da le II avril 1093les anniversaires de Robert son aieul, d'Henry son père et d'Hugues son frère dans l'église de Saint-Etie
de cette abbaye, mourut en 1141, et fut enterré ù Citeaux près de son père . Il épousa Mahaud de Turennc. t. Mahaud de Ture
ommodes et peu naturelles pendant quelques instants. Déjà en 1646, le père jésuite Athanasius Kircher décrivit de telles exp
096, en présence de Guillaume IV et de Renaud ses enfants, ce que son père avait donné dans Lons-le-Saulnier à l'abbaye de C
nt, âgé de 12 ans, est le second de quatre enfants tous vivants. Le père est mort tuberculeux probablement. L'enfant a e
tant entre eux les rapports de parenté les plus étroits, c'est-à-dire pères ou mères, fils ou filles, frères ou sœurs, neveux
e la forme corporelle mais aussi des idées et des inclinations de nos pères . Montaigne Un cas observé dans ma pratique de
saillie par un étalon guagga dont elle eut un poulain ressemblant au père . Ensuite, se trouvant chez un autre maître, elle
in IS78), le fait suivant : Enervé par les cris de son premier-né, le père se met, la nuit, à le bercer du pied. Bientôt, il
it de biais sur le nez même et glissait dessus très vite (1). Chez le père , chez le fils et chez la petite-fille l'habitude
bligé de le suggestionner de nouveau â Saratow. Il prétendait que son père présentait la même fâcheuse disposition toutes le
les états psychiques sont transmis par la mère aussi bien que par le père ; c'est-à-dire que nous pouvons considérer la cel
rement vrai en ce qui concerne la transmission de l'état psychique du père à l'enfant (par l'intermédiaire du sperme). Il es
n du sexe dépend de phénomènes psychiques. Erasme Darwin admet que le père exerce une influence psychique sur la formation d
du prieuré de Ste-Honorine de Conflans pour le repos des âmes de son père , de sa mère, d'un oncle maternel et d'un frère ;
cet effet : 1. Avez-vous abusé des boissons alcooliques ? a) Votre père ? Votre mère ? Vos frères et sœurs? Leurs e
ernels? C) Vos oncles et vos tantes maternels ? 2. Est-ce que votre père buvait, ou votre mère, ou tous les deux, avant qu
pendant quatre jours ! Toute sa famille en pleurait de désespoir. Le père , heureusement, conserva son sang-froid, et dans s
œnigsberg le célèbre Kant, que la pos,-lérîté a surnommé justement le père de la philosophie contemporaine ». A l'occasion d
s règles, elle esquisse quelques petites crises. Il y a deux ans, son père meurt et aussitôt apparaissent des séries de gran
67 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
: la mère, le 23 décembre 1893 par suite de fièvre typhoïde, et le père le 26 février 1901, emporté par une pneumonie e
nmoins prendre le sein et a été allaité pen- dant un an. D'après le père son enfant aurait dit papa et maman aussitôt qu
ns mêmes de la conception, elles semblent à leur tour négatives, le père ayant nié formelle- ment avoir été, soit en éta
oque où se place la conception du malade, c'est-à-dire en juin,' le père pouvait être sur- mené par les travaux de la fe
un labeur considérable; mais nous avons appris qu'à ce moment le père n'avait aucun surmenage. Quant à la mère, elle ne
ves on obtient de très sérieux résultats. Sommaire. Enfant naturel. Père , rien à noter. Renseigne- meH<s nuls sur sa
nts héréditaires. Renseignements fournis par la mère le 3 mai 1890. PÈRE : quarante-cinq ans, typographe, toujours en bo
as de signes de syphilis. Intelligence moyenne. Famille de la mère. Père , sobre, mort d'une paralysie au cer- veau (' ?
Pas de consanguinité. 12 ans de différence d'âge entre les parents ( père plus âgé). Quatre enfants : 1° Garçon mort du c
NTILISME. 51 L Réflexions. I.Nous n'avons rien à relever du côté du père , enfant naturel, dont la famille est inconnue.
ui est dénuée déraison : elle n'est en aucune façon responsable. Le père a reconnu qu'il laissait son fils Henri et sa f
que de sa peau et l'examen histologique de son cerveau. Sommaire. Père tuberculeux ( ? ). Oncle maternel paralysé, ali
ommencée par nous. lllae... A., trente-huit ans, rattacheur, marié, père de deux enfants, entre à l'asile des aliénés d'
e jeune homme, d'ailleurs bien portant, a cessé de vivre avec son père , veuf depuis très longtemps, à l'âge de huit ans,
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Sa soeur est scrofuleuse, mais ni le père ni la mère, ni celle-ci ne présentent de troubl
Centrulbl. XXI, 1902). Il s'agit de toute une famille composée du père , de la mère, d'un enfant'de deux ans, asphyxiés
ébro-spinale. L'auteur attribue celte différence à ce que le lit du père était plus éloigné des portes et fenêtres et pl
Pour toute réponse, la prévenue pleure abondamment. M. Ecker, le père de la jeune fille : Je suis le père de la préve
ure abondamment. M. Ecker, le père de la jeune fille : Je suis le père de la prévenue. Je viens vous demander de la me
CLINIQUE MENTALE. tardives de son oncle paternel sur son véritable père . Elle eut un développement normal et ne présent
uatre ans, marié, héréditaire vésanique par la ligne paternelle; le père aliéné est mort dans un asile, une soeur est hy
ns il ne se gênait guère pour envoyer promener toute la famille. Le père fut désolé d'avoir un tel enfant, puis surgit e
rtades du petit pour se montrer, et prit une intensité telle que le père , effrayé eut peur de succomber ; il son- gea à
ussit pas et l'enfant succomba à des accidents cérébraux. Le pauvre père devint alors complètement aliéné. Il s'accusa d
oté plus haut, d'une famille dégéné- rative, elle est la fille d'un père qui souffrait d'une jalousie pathologique ; le
urelle- ment sa place dans une discussion sur les tics. Sommaire. Père rhumatisant. Grand' mère paternelle, hémiplégie
e à la Fondation Vallée le 21 mai 1900. Antécédents héréditaires. Père , trente-huit ans, voyageur de commerce à l'étra
bien portante; ni l'une ni l'autre n'ont eu de convulsions.- [Son père , âgé de quatre-vingt-deux ans, sobre, est en bonn
é. Elle a succombé le 8 mai dernier à une attaque d'apoplexie. [Son père , alcoolique, est mort à soixante-dix- huit ans,
Conception dans des conditions normales, mais nous rappelons que le père avait onze ans de moins que sa maîtresse. Gross
oolisme, la tuberculose, enfin l'inégalité d'âge con- sidérable des père et mère, celle-ci ayant près de douze ans de pl
e nasale. 11. le D'' SIZRET rappelle le procédé préconisé par son père dans le Dictionnaire de Dechambre et par lequel
faciale. · Au point de vue héréditaire il y a lieu de noter que le père , offi- cier de cavalerie, était d'un caractère
bord été placé au collège des Maristes de Hiom, puis il a suivi son père en Afrique, et là, il aurait pris une insolatio
rapport SUR l'état mental DU nommé D... 291 ment recommandé par son père , ami du colonel. Peu dégourdi, d'une allure cha
as, que « vous avez bien aimée, ayez pitié d'un malade, d'un pauvre père de t famillequi n'est pas coupable. Aies facult
ix mois, une journée d'agitation et une journée de dépression. Le père de la malade était alcoolique et syphilitique ; c
. A. Bmsr. 1 vol. in-80- de '760 pages, 8° année (1902). Schleicher père et C ? Paris. Comme les années précédentes, cet
e ans, de Bruay, près Valen- ciennes, a tué ou contribué à tuer son père qui, rentré ivre, cher- chait dispute à sa mère
airement grand de taille (192 ctm.), il surpassait la taille de son père de la moitié Fin. 2;i. 31M THERAPEUTIQUE. d
rès lequel elle serait rentrée très améliorée dans sa famille. Le père fait remonter les derniers troubles, qu'il consid
énées ; alors ce n'est plus à quinze jours, comme me l'avait dit le père , que remonte le début des troubles mélanco- liq
i serait faite un jour par le mariage de ce frère et la mort de son père , elle se tracassait à la pensée de se trouver s
un jour; quelques mots échappés de temps en temps, à l'insu de son père et de son frère, et sa tristesse habituelle indi-
A L'ÉTUDE DE LA CACATONIE. 411 préoccupations qu'elle cachait à son père , etc., et une vague cons- cience de sa situatio
pu être soignée, maintenant il n'y a plus de maisons de fous où mon père puisse me placer ». Les con- ceptions sont lent
on une plume en main, l'invitant à écrire un aeul mot destiné à son père , elle la tient, la regarde hébétée ; si l'on in
ssion, au commencement du mois, de semi-lucidité, peut écrire à son père une lettre affectueuse, assez raisonnable, dans
ion mentale. (Si l'on ajoutait foi aux renseignements donnés par le père , auquel la malade cachait le plus possible ses
mper sur son corps, sur les murs apparaNsen' les por- traits de son père et de sa mère. Elle se répand en pleurs et en g
ons nerveuses sont toujours hérédi- taires. Le célèbre More) est le père de la science de la dégénéres- cence héréditair
séquili- brés ; sur le rôle de l'hérédité morbide double du côté du père et du côté de la mère. On sait que, selon Clrar
68 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
octobre 1892, salle St-Louis n° 22, Jiôpital St-Louis. A. 1. - Son père s'est suicidé par pendaison à 48 ans. 3 frères
ittré, service de M. le Dr Brissaud. Antécédents héréditaires. Le père du malade est mort à 48 ans d'une affec- (1) Vo
sièreté de langage qui contraste avec sa position sociale élevée. Père de tempérament pblegmatique, sans tare nerveuse p
1. Antécédents héréditaires. Mère nerveuse sans maladie déterminée. Père alcoolique. Dans la famille de la mère, une soe
était en visite chez le curé de la ville M. Scheide, à Wemding. Le père du malheureux en- fant, ayant eu connaissance d
a au vénérable évêque une audience qui lui fut accordée. Dès que le père entra avec son fils dans la salle d'audience, l
fûmes les témoins il faut ajouter que quelques autres personnes (le père et la mère de l'enfant et d'autres assistants tan
on, bien plus il devint de plus en plus pénible. C'est alors que le père écrivit an vénérable évêque d'Augsbourg pour lu
liberté de choisir le prêtre qui ac- complirait ce lourd devoir. Le père dût s'adresser aux capucins de Wemding en 58 NO
Et cependant la suite devait être encore plus effrayante. Quand le père voulut apporter son fils dans le sanctuaire il fû
ins fort que son faible enfant. Ce faible enfant jeta son vigoureux père par terre avec une telle force qu'une profonde
onde inquiétude nous saisit tous. Enfin, après une longue lutte, le père put l'apporter, grâce à l'aide des témoins sus-no
tait. Antérieurement il m'avait tou- jours menti. C'est du reste le père du mensonge. Je fis alors faire à l'enfant le s
éclatante au sujet de cet enfant. (C) Causes de la possession. Le père de l'enfant est catholique, sa mère protestante.
isaient suivre il leurs enfants une école évangélique. Cependant le père fut un jour pris de remords ; il voulut rachete
o- pre lettre, il l'avait annoncée aussi quelques jours avant. Le père de l'enfant, qui était venu nous voir plusieurs f
s. UNE RÉCENTE EXORCISATION EN BAVIÈRE. 63 encore plus grande. Le père devint de nouveau un fervent catholique : les en-
ité de deux évêques. Depuis le 3 août 1891, d'après les rapports du père et du fils, tout est nor- mal chez cet enfant.
revint et elle existe en- core. Le jour de l'Ascension de Marie, le père est venu avec son fils pour me remercier encore
). Joséphine F. 59 ans, polisseuse. Antécédents héréditaires. Son père s'est suicidé. Soeur alcoolique, morte de néphr
rée le 25 avril 1892, n° 1, salle Parrot. Antécédents héréditaires. Père inconnu. Mère séparée depuis 7 ans de sa fille
Antécédents héréditaires. B... n'a pas connu ses grand-parents. Son père est mort, à72 ans, huit mois après un ictus qui
u di- gne de remarque. B..., 28 ans. Antécédents héréditaires : Père mort phthisique à 52 ans. Mère, atteinte de str
errait la gorge et il se frappait la poitrine. Après la mort de son père , il avait onze ans, les accès sont redevenus plus
le professeur Charcot, le 8 mars 1893. Antécédents héréditaires. Père : mort il y a 4 ans à 72 ans sans pa- ralysie.
orle d'une fluxion de poitrine. Sa mère était fille unique. Son père avait 3 soeurs et 1 frère du premier lit ; 2 frèr
mme sans coeur, homme malheureux 1 Bientôt je me reposerai dans mon Père ; mais toi, tu n'auras pas de repos dans ce mon
t, salle Bouvier iio 20, le 18 mars 1893. Antécédents héréditaires. Père mort des suites d'un accident de voiture il l'â
ce du malade. Antécédents personnels. Né d'un second mariage de son père , il a eu 2 frères et 1 soeur du même lit. Les d
( à de 30 ans), il perdit une soeur (née du premier mariage de son père ) qu'il aimait beaucoup. Il eut une sorte de cri
lpêtrière, salle Cruveilher, iio 27. Antécédents héréditaÍ1'es. Son père exerce encore le métier de marbrier, il (1) Dan
incomparable. J.-M. Charcot naquit à Paris le 29 novembre 1825. Son père , modeste carrossier, était plus artiste qu'arti
lui-même font encore l'admiration des gens du métier. Aussi de son père hérita-t-il, au moins, d'une passion véritable
vice de M. le Dr Brissaud. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 257 Père mort tuberculeux. Le malade connaît assez mal sa
ltats précis ; mais il nous a raconté l'histoire d'un de ses grands pères mort en z8 en Russie, « sous le knout ( ? ) », et
eurs, il lutta longtemps avant de se décider à renier la foi de ses pères ; se sentant près de succomber, il s'enfuit brusq
eux provoqués par un coup de foudre. Israélite, lui9 ans, né d'un père allemand etd'une mère italienne; son grand'père
che, pas de renseignements sur les autres. L'aîné de ces 5 enfants, père du malade mourut a 88 ans, rhumatisant. Du côté
est née en Russie à Dugnan. Sa mère s'est mariée à (le 13 ans. Son père n'était lui-même âgé que de "15 ans. Ils ont
69 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
toujours à la base de l'initiation sociale : dans la famille. Car le père est et sera toujours le premier maître, le premie
aturels l'amour paternel chez les peuples où l'oncle passait avant le père , la jalousie en amour dans les tribus où règnait
s, dentition facile. Mère migraineuse, morte a 56 ans, d'apoplexie. Père mort à 10 ans environ, d une affection intestinal
t. Il ne présente dans ses antécédants aucune tare héréditaire; son père et sa mère qui habitent la province, sont sobres
insupportables et tyranni-ques. Je me souviens qu'à mes débuts mon père m'envoya un jour à sa place voir uu enfant dérang
l'enfant avait une indigestion. Et qu'avez-vous fait ? me demanda mon père . —Mais je l'ai mis à la diète, tout simplement, —
er davantage de leur santé et de leur vigueur. II y a cent ans que le père de l'hygiène scolaire. jean-Pierre Frank a demand
remment assez forte. Elle ne présente pas d'anomalies crâniennes. Son père , ingénieur des ponts et chaussées, mort à trente
compromise par le chagrin causé par les agissements meurtriers de son père , m'a confié, avec force larmes, un de ses procédé
lle composée de cinq personnes, présenta des accidents typhoïdes : le père et les deux fils moururent; la mère et la servant
mars 1889, Elle y est adressée par le docteur Hubert, de Paris. Le père de cette malade est mort à vingt-huit ans de tube
ain simienne. La malade a de graves antécédents héréditaires. Son père est moit à cinquante-six ans des suites dune hémi
mauvais traitements. Un jour (elle avait alors dix-sept ans), son père la jeta a la porte de chez lui. Elle se dirigea v
abac, écrivit au crayon sur un morceau de papier : Maltraitée par mon père ne voulant pas me conduire mal je mets fin à mes
ant pas me conduire mal je mets fin à mes jours : , je pardonne à mon père . il est fou » Cela fait, elle plia le papier dans
e était souvent réprimandés par ses parents, particulièrement par son père . Un soir d'été que celui-ci l'avait gourmandéc
surtout aux objets métalliques. C'est à cette forme de folie que mon père a donne le nom de folie du doute... » Constaton
ie du doute... » Constatons que la maladie appelée ainsi par Falret père répondait au délire du toucher et non pas â la fo
ne se pose de questions. En venant me consulter, accompagné de son père , le malade m'ap-porte un cahier d'une écriture li
La maladie se caractérise par des remissions et des exacerbations. Le père dit qu'il n'y a pas de maladies nerveuses dans la
e dès l'âge de deux ans. Tare béré-ditaire névtopathique tris lourde. Père alcoolique. Plusieurs suicides dans la famille. E
très régulièrement. S mère est morte d'un dépérissement à 44 ans. Le père peu d'années .après de fièvre chaude, suite d'ivr
ans un coin de la maison, etc.. Hérédité paternelle. Deux frères du père se sont tués, l'un s'est empoisonne parce que. di
ère est parti pour l'étranger et l'on n'en a plus eu de nouvelles. Le père avait deux sœurs, mortes toutes deux, ni l'une ni
e morphine pendant quelque temps, mais 'on inquiétude au sujet de son père , qui devait subir une opération à la fin du même
est, d'ailleurs, pas lui seul qu'il veut justifier : c'est encore son père , puis sa mère, son frère, tous ses parents. Et il
auvre apprenti se croyait, aussitôt qu'il tombait en état de sommeil, père de famille, riche, sénateur, et reniait son eut d
enfant lui avant dit qu'il aimait mieux mourir que de vivre avec son père , elle accepte'cette résolution, absorbe une certa
me la Baronne de Rothschild lors de son récent voyage a Cologne. Le père du voleur, ancien comptable d'une des plus grande
: Louis V..., actuellement âgé de vingt-cinq ans, est né a Paris de père et mère inconnus. 11 parait avoir eu. dès son enf
ère, 1890. M. Jules Falret a eu l'heureuse idée, à l'exemple de son père , le Dr Jean-Pierre Falret, de réunir en deux volu
ui est raconté ainsi par notre honorable collègue, M. le Dr Warlomont père : « A quelques jours de distance, le même impre
émique, nerveuse, sensation d'une boule à la moindre contrariété. Son père a des crises nerveuse. Grande, bien conformée, bi
ossières et se reprocher de n'avoir pas continué à tâtonner comme ses pères . Il n'en était pas moins dans la voie féconde où
formes au plus. La première succéda à une admonestation faite par son père . Elle débuta par un sommeil calme; il se réveilla
ère est vive et impressionnable, sans avoir de crise* nerveuse* ; son père , ancien marin, souffre de rhumatismes. Etat act
xuelles, idées et tentatives de suicide. Antécédents héréditaires : Père , homme sobre, rangé. Un oncle paternel était « rf
nésique avait disparu. H y a sept ans, à l'occasion de la mort de son père , les règles se supprimèrent et n'ont pas reparu.
son histoire antérieure, elle peut se résumer en quelques mots : son père était alcoolique et sujet à de grandes attaques h
nce, je crois devoir publier le suivant. Je le dois à l'obligeance du père du blessé et à celle de mon collègue et ami, M. D
te de cheval. Il est renversé en arrière et tombe sur un sol uni. Son père et d'autres personnes se précipitent et le relève
façon dont sa chute est arrivée. Mais environ dix minutes après, son père l'avant conduit à pied dans une maison voisine, s
ur lesquels elle ne peut donner de renseignements précis. — Elle a un père très nerveux, un frère nerveux, une mère très imp
a journée jusqu'au jour de son entrée à l'hôpital, le jeudi 26. Son père est bien portant, sa mère a abandonné le domicile
70 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
thrométalgie. Cas N° 3. Souques et GASNE (3). Homme, 23 ans, maçon. Père alcoolique, mère nerveuse. A 21 ans, vient à Pa
bservât., n° 1443 de la collection de M. le prof. Bard, 1902). Le père du malade est âgé de 52 ans ; il est en bonne san
affection pathologi- que, à part quelques émotions dues à ce que le père , alcoolique, est parfois très violent quand il
ne, « très sains » ; on n'a gardé le souvenir d'aucun « géant ». Le père et la mère n'étaient pas consanguins; ils ont d'a
si l'on remarque que cette jeune personne est accom- pagnée de son père . IIeureusement, celui-ci s'est endormi sur un div
ditaires. - Aucun membre de la famille de B... n'a été interné. Son père bien portant au moment de l'admission de la malad
s maladies ner- veuses, le 17 mai 1902. Antécédents héréditaires. Père âgé de 70 ans vivant et bien portant. Pas de ma
altérations des dents; de plus elle est confirmée par les aveux du père . La seconde, âgée de la ans, issue d'un père ta
irmée par les aveux du père. La seconde, âgée de la ans, issue d'un père tabétique et d'une mère ayant accouché avant term
diffuse. A cette occasion, M. Souques a parlé d'une famille dont le père est mort dans une maison d'aliénés de paralysie
ut de l'absinthe. Voici ce que nous apprennent les antécédents : le père âge de 82 ans est depuis longtemps presque aveu
ans sa famille, il n'existe aucun cas de difformités analogues. Son père , encore vivant, mais actuellement tuber- culeux
eurs membres de sa famille auraient atteint une taille élevée : son père aurait mesuré 1 m. 95 et un oncle paternel 2 m.
de cinq ans et demi (PI. XLI1). Dans sa famille, ni du côté de son père , ni de celui de sa mère il n'y eut de maladies
ate que du temps où elle a eu des désa- gréments avec son fils. Son père est un homme énergique, capricieux, qui ne fuit
le gwin ardent à bon marché s'est substitué au vin de pommes de nos pères , sans le remplacer. Je ne m'occupe dans cette
te étude, ni du Breton habitant ou voisin des villes, alcoolique de père en fils, livré à tous les vices et les mauvais
coupe voyageait indéfiniment autour de la table. Outre le vin, nos pères s'enivraient aussi avec la cervoise, sorte de b
« Après la soupe, une goutte de vin est une bonne médecine. » Nos pères savaient aussi qu'il est plus mauvais de boire à
ui, entre lesquels son fils Alexandre qui surpassa même renommée du père . [Ce tableau a déjà été décrit dans une étude d
tant mort peu de temps après, Thamar retourna dans la maison de son père . Judas étant devenu veuf rencontra un jour sur
gens tremblent ainsi de bonne heure ; on peut même remarquer que le père de notre malade tremblait un peu, mais peu. Cep
ir les doigts légèrement fléchis dans la paume de la main droite. Père mort à 40 ans ; aurait perdu la vie dans un asile
ier-maître mécanicien ; éthylisme probable, pas de syphilis. Grand- père paternel nerveux, très irritable ; un oncle et un
lement de grands enfants parfaitement normaux. Dans la famille du père , aucune anomalie notable, non plus que chez les
uatre ans aupa- ravant, un excellent cultivateur, un bon mari et un père exemplaire. Sa femme et les trois enfants qu'il
e morphinisme, on doit songer une paralysie générale associée (Per- père ). Mais puisque nous savons qu'il a existé des t
écédents héréditaires, on relève les particularités suivantes : son père était un ivrogne et est mort jeune, probablemen
é et a vécu jusqu'à 92'ans. Un oncle paternel, alcoolique comme son père , s'est pendu. Une soeur est atteinte d'imbécill
Il ne souffrait pas de maux de tête, sa mémoire était bonne. Son père mourut de la tuberculose et sa mère après une att
un autre cas. J. B..., âgé de 54 ans, employé, célibataire, dont le père mourut de marasme et la mère de pneumonie. De q
con- fortable moderne remplacent avantageusement l'abondance de nos pères ; que la lumière électrique vaut bien toutes le
sièges de bois gros- siers, mais certainement la nourriture de nos pères devait être plus saine, et leurs boissons plus
elque bon orchestre interpréter les chefs-d'oeuvre des maîtres, nos pères dans leurs festins aimaient à entendre rappeler
oivent aussi avoir leur origine dans la soi-disant faculté, que nos pères attribuaient à leurs prêtresses, de revêtir diver
ce de M. le Président de la Commission du Musée de Bourges, dont le père fut aussi celui du Musée de cette ville si riche
Irlande une princesse très chrétienne, nommée Dymphne. Le roi, son père , un affreux païen, se prit pour elle d'une pass
La scène est inspirée par la guérison du jeune « lunatique » que son père présenta à Jésus, en disant : « Seigneur, aye
ain droite un geste rituel de conjuration. Dans le fond, on voit le père de l'enfant, entouré de plusieurs personnages. A
exerce au régiment les fonctions de jardinier, puis d'infirmier. Père bien portant, mère atteinte de coliques hépatique
ité, dans 20 cas il y a l'alcoolisme des parents, principalement du père , dans 3 des maladies nerveuses et men- tales ch
itryon, le second de Jupiter. Ainsi le cadet est plus grand par son père que l'aîné par le sien. Vous comprenez bien cel
, pour cacher de son manteau, et sans l'avoir vue, la nudité de son père , les brus de Noé s'approchent de là vigne où gît
ICO-ARTISTIQUE Gilles de la TouKETT] ! . Tobie rendant la vue à son père (Bas-Relief d'Alfred Bou- cher), p. 263-264(1 p
71 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
ssentiellement clinique. OBSERVATION I SoMmaibe. — Antécédents. — Père aliéné ; — mère et sœur nerveuses. — Convulsions
alors âgée de dix-huit ans. Renseignements fournis par la malade. — Père , d'origine suisse charpentier, sobre, caractère v
fait suivant. OBSERVATION II Sommaire. — Grand-père alcoolique. — Père alcoolique ; intelligence médiocre. —Oncle patern
ère (service de M. Delasiauve) le 27 décembre 1878. — Rien du côté du père . — La mère a eu pendant longtemps des attaques d'
sion et d'une régularité remarquables. OBSERVATION IV Sommaire. — Père alcoolique. — Mère nerveuse, alcoolique. — Pas de
rter des exemples de ces deux variétés. OBSERVATION V Sommaire. — Père et oncle paternel alcooliques. — Mère sujette aux
ccasion de l'observer lorsque nous remplacions notre vénéré maître. Père , ouvrier en paillassons, mort en 1878, à l'âge de
t comme on se moquait d'elle dans le quartier, elle se plaignit à son père delà besogne qu'on lui imposait ; celui-ci vint a
ec eux à faire des tapis. Elle avait souvent des discussions avec son père . Au bout d'un an, ayant noué des relations avec
emeurant dans le voisinage. Bientôt, elle se sauve; le lendemain, son père la découvre â la foire aux pains d'épice, montée
Vers 15 ans et demi, elle a eu une peur très vive occasionnée par son père qui, rentré ivre, tenta de se couper le cou avec
lles il ne se produit pas d'attaques. OBSERVATION VII Sommaire. — Père sujet à des migraines. — Tante maternelle hystéri
était auparavant, nous fournissent les renseignements suivants : Son père , qui travaille dans les fermes, est ivrogne : il
qu'à ce jour, nous l'avons suivie régulièrement. Antécédents. — Son père serait mort d'un asthme (?) ; — sa mère aurait su
s misères », elle pleurait, disait qu'elle allait sur la tombe de son père et de sa mère ; qu'elle était enterrée depuis dix
r, vers 5 heures, accès de rire, excitation. H... crie : « Viens, mon père , c'est toi qui es cause que je suis ici. » Et ell
qui portent des petits fagots et lui disent que ce sont les os de son père . L'inhalation continuant, elle devient tendre :
24 mars 1873. Renseignements fournis par sa mère (29 mars 1879). — Père , commissionnaire en marchandises; 48 ans, sobre,
naturelle, on ne peut nous fournir aucun détail sur la famille de son père ; ce qu'on sait, en gros, c'est qu'il n'y aurait
e, 49 ans, lingère, bien portante, mais impressionnable: un jour, son père l'ayant souffletée, alors qu'elle avait ses règle
enton. Depuis ce moment, elle n'a jamais eu de maladies nerveuses. — [ Père , mort du choléra en 1866; c'était un homme solide
our elle. Sa mère lui est presque indifférente ; elle lui préfère son père auquel elle fait toujours bon accueil. Elle se co
72 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ion. Son enfance se serait passée grise et peu caressée auprès d'un père aimant le faste et le luxe, nerveux, qu'elle a à
de ce passe-temps ; un guéridon épela sous sa main le nom de son père . « Elle avait, dit-elle, toujours cru à l'occulti
ne de sa voix, sans qu'elle la reconnût pourtant comme celle de son père et qui eut une grande influence sur la marche de
C'est Cam... et Deus dans les bras l'un de l'autre priant Dieu le « Père de bénir leur union » . Un moment après avoir t
oureuses le soir sous la voûte des « cieux étoilés, .priant Dieu le père , de leur donner des bénédic- " tt0)is pour la c
peines de Cam... lui parle en hallucinations psychiques et Dieu le père prend immé- diatement après lui la parole de la
ves. Tentatives de suicide. Henri B... étudiant en médecine, marié, père d'une enfant bien portante, a une hérédité char
marié, père d'une enfant bien portante, a une hérédité chargée. Son père fort, intelligent mais nerveux, est mort depuis
Le lendemain matin, il se réveille au petit jour et l'esprit de sou père lui apparait sous la lorme d'une trainée lumineus
que les désincarnés lui disent. Il revoit un matin l'esprit de son père . Il l'entend quelque- fois. Il retombe dans ses
ommeil naturel. M. Paul FaREZ. - Un homme de vingt-cinq ans, marié, père de famille, boit chaque jour un litre de vin, p
de gens simples et parce qu'elle travaille beaucoup. J'ai perdu mon père et ma mère de bonne heure; je me suis aperçu qu
je me suis aperçu qu'ils étaient timides. Ma tante, soeur de notre père , entre les mains de qui nous tombâmes, était un
uatorze ans, mariée, divorcée, morphinomane, prostituée, etc.), son père , au moment où elle est née, était en pleine par
tobre 1903 et observée dans cet asile depuis juillet 1899. Née d'un père alcoolique, délirant intermittant, soeur d'une pa
e prêtres où les punitions corporelles étaient en honneur, mais son père avait 292 CLINIQUE mentale. défendu de les lu
discipline dans l'espoir qu'on passerait outre à la défense de son père et qu'on lui administrerait la punition cor- po
ction- naire de l'Etat, est également un héréditaire vésanique. Son père s'est suicidé sans motif connu, probablement so
ému. Il n'en fut pas de même cette fois. La mort mystérieuse de son père lui revint en mémoire et pour la première fois,
s la larme à l'oeil. De treize à dix-sept ans, il a habité avec son père , fonctionnaire de la Marine, une colonie intert
des frères, tantôt il lui semblait qu'il voyait le portrait de son père défunt, en aspect d'un crâne avec des yeux; ces f
Pas d'hérédité neiveuse ni d'antécédents morbides. Il est marié et père de deux enfants dont l'aîné est bien portant et
enfant ; je le montrerai en prenant comme exemple le foetus dont le père ou la mère sont épileptiques. Cet enfant est év
la mère que lorsqu'il y a crainte de sypllilis. L'enfant nait d'un père ou d'une mère épileptique, on ne se préoccupe g
de trente ans, qui habitait avec ses parents à Falmenta, a tué son père , sa mère et sa soeur dans des circonstance terr
se trouvaient réunis dans la cabane des Zanaii, qui sont pâtres, le père et la mère du fou, sa soeur, son beau-frère et
i. Il atteignit sa mère à la poitrine, la mort fut mtanstanée. Le père , le corps labouré d'entailles profondes, se réfug
vèrent Frédéric couché dans une mare de sang auprès du corps de son père et de sa mère. On le crut mort, mais à peine ét
traqué, ayant fait à quia- torre ans des fugues non motivées. - , Père : intelligent, pondéré, bonne conduite, sans stig
de a présenté des convulsions. Emilienne naquit à terme lorsque son père avait vingt ans et sa mère dix-huit ; elle comm
entes impulsions ; « il 4S3 MÉDECINE LÉGALE. lui prenait, dit son père , des envies de rire ou des envies déjouer qui n
cestrale, concentrant ses tares sur la jeune malade, -alors que son père est indemne et sa mère peu touchée. L'absence
re cérébral droit. 1 Par BOURNEVILLE ET Reine MAUGERET Sommuhe. Père et sa famille, rien de particulier. Petite cou-
462 recueil DE faits. Antécédents. (Renseignements fournis par son père et par sa tante maternelle). Père, cinquante-de
. (Renseignements fournis par son père et par sa tante maternelle). Père , cinquante-deux ans, terrassier, exempté du ser-
obre, ne fume pas, est de caractère doux, n'a pas de migraines. Son père , potier, mort il soixante-sept ans de pneumonie
nd mère à soixante-dix. Grand-pare7tls maternels, morts, le grand père à soixante-dix ans, la grand'mère à soixante-huit
s sobre, d'un caractère très doux, et n'avait pas de migraines. Son père est mort à quarante-sept ans, de tuber- culose
na- ler d'anormal. Pas d'autre épileptique. Pas de consanguinité. Père et mère, tous deux des Côtes-du- Nord, mais de
n'aurait jamais été tourné. Auparavant, IL.. était très fort, et le père affirme qu'il marchait seul depuis une dizaine
r pour ne plus remarcher qu'à cinq ans. Avant les convul- sions, le père répète que son enfant était intelligent, prononça
été de six en 464 RECUEIL DE faits. vingt-quatre heures. Mais le père peut mal préciser la marche de la maladie. Il s
s prononcé du membre inférieur; il s'agit, d'après ce que montre le père , de trépidation avec frappe- ment du talon sur
ffectifs sont développés : l'enfant est obligeant, et aime bien son père et ses frères et soeurs. Il n'est- pas impression
i lire ni écrire.1 Aucune aptitude particulière. Il ressemble à son père physiquement, et à sa mère psychiquement. Pas d
on dont le caractère héré- ditaire et familial est des plus net (le père du malade et un de ses frères étaient atteints
lettres éplorées. Quatre jours avant le concours, il annonce à son père sa détermination de se tuer. Le père accourt 51
le concours, il annonce à son père sa détermination de se tuer. Le père accourt 512 2 SOCIÉTÉS SAVANTES. à Paris, aff
parait à peine guéri aujourd'hui. Plainte fut donc portée par le père du jeune malade; une enquête ' laborieuse inter
73 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Grand-père maternel aliéné. Enfant unique, a perdu très jeune son père , a été élevé par sa mère qui n'avait aucune aut
it; l'héritage maternel fut rapidement dissipé. Pendant ce temps le père , retiré à la campagne, -dans un de ses domaines
..., cinquante ans, propriétaire. N'a jamais pu s'entendre avec son père , qui était du reste un homme singulier. Quand c
service de M. le professeur Charcot. Antécédents HÉRÉDITAIRES.- Son père , très obèse et très alcoo- lique, est mort subi
et un noceur. Il sait aussi qu'une de ses tantes, une soeur de son père avait des crises de somnambulisme. En somme, so
peut donner aucun renseignement précis sur ses grands parents. Son père est mort dans la démence sénile; il avait des h
cumule également; il est à la fois violoncelliste et épicier; son père , également musicien, avait monté un magasin d'i
itaires nerveux ou arthritiques; seulement elle a été élevée par un père brutal qui souvent la battait et la maltraitait
ainte-Marthe, 1. Entrée le 6 juin 1891. . Antécédents héréditaires. Père mort aliéné dans un asile de Lausanne. Mère mor
avait eu lieu dans les mêmes circonstances. Cette fois, c'était un père de famille qui avait enlevé sa fille, âgée de d
chette et essaie d'en frapper ceux qui se trouvent à sa portée. Son père est mort fou il y a un an, sa grand'mère est mo
el. Le grand-père était âgé de cinquante-deux ans à la naissance du père du malade. Il est mort à soixante-huit ans hémi
ndant lesquels il s'enferme chez lui et ne veut voir personne. Le père du malade est maintenant en parfaite santé, mais
ant le premier mois, mais .en février 1890 son patron écrivit à son père que son fils était inca- pable de faire du comm
rues il avait passé. A la même époque (février et mars 1890), son père et son frère remarquèrent, en se promenant avec
europathique, non pas très accentuée mais certaine, l'alcoolisme du père , tels sont les seuls éléments étiologiques auxq
tantôt discrète, tantôt massive. Associée ou non à l'alcoolisme du père ou à l'hérédité arthritique, elle figure d'une
ente-huit ans est entrée à la Salpêtrière, le 22 décembre 1887. 1 Père buvait à l'occasion; mère un peu nerveuse. Dévelo
lle était gaie et avait du caractère. Antécédents héréditaires. Son père est mort du choléra à soixante-seize ans. Sa mè
r et ne pouvant s'occuper d'affaires. Antécédents héréditaires. Son père est mort à trente-cinq ans d'un refroidissement
ou du moins qu'elle la voyait passer. Elle a dit aussi avoir vu le père de sa bru, et avoir entendu son amie Amélie. Mais
tive, et voulait qu'on lui obéisse. Antécédents héréditaires. Son père était maniaque. Sa mère avait une maladie de co
e dix personnes ainsi composée au point t de vue névropathique : le père , la mère et six enfants étaient aliénés ou idio
t respectivement convaincus d'avoir réalisé leur voyage au ciel. Le père , qui paraît surtout faible d'esprit, et qui est
. Les débats sont présidés par M. Richard. ' M. et Mmo Dourches, le père et la mère de Louise, n'ont pas été compris dan
able qu'elle serait aujourd'hui guérie et en liberté. M. Dourches père travaille à Puteaux. Il va chez sa femme tuus l
nt de mille choses, et sans con- naitre ceux qui l'entourent. Son père met à son insu un peu de vin dans son verre, elle
re que cette dernière est bien et dûment la fille pathologique du père . Et à ce propos je rappellerai l'histoire d'un de
e de l'un d'eux ne pouvait pas toucher les mon- naies de cuivre, le père de l'autre avait la crainte du contact du chien
s sont très chargés : son grand-père paternel était alcoolique. Son père est mort d'apoplexie et pendant sa vie il avait
montrent rien d'anormal. L'alcoolisme du grand-père, l'épilepsie du père ont préparé chez L... le fond de dégénérescence
Isabelle, qui nous présente le type de l'hystérie la plus banale : père alcoolique, accidents névro- pathiques dans l'e
Charcot, qui était interne l'année dernière dans le service de son père , a construit ce petit ins- trument pour étudier
lle dans laquelle on n'a jamais observé ni folie, ni épilepsie. Son père et sa mère sont morts assez jeunes et tous deux
asse. Il buvait un peu quelquefois, mais il n'était pas un ivrogne. Père de famille rangé, laborieux, doux et serviable,
suivants : sa mère a soixante- cinq ans et se porte assez bien. Son père mort à soixante-dix-huit ans avait vingt-un ans
l'encéphalite qui nous occupe ? Dans trois de nos observations, le père avait eu la syphilis avant son mariage. Deux de
On fit le diagnostic de syphilis héréditaire par les indications du père , car il n'y avait aucun élément d'infection, au
efs et ses collègues les ignorent. Il convient de mentionner que le père de l'accusé était un misan- thrope original, qu
r des remontrances à notre illuminée, celle-ci le prit pour Dieu le père et se jeta à genoux avec de grandes démonstrati
on n'a jamais pu savoir), elle allait prendre dans la maison de son père , jusque dans les poches du pantalon de celui-ci
74 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sang de son frère; puis, d'une voix effrayante : « La volonté « du Père céleste est accomplie ! -» s'écrie-t-il. » Il e
mulant un tic d'habitude. La jeune fille dont il s'agit, issue d'un père absinthique, et présentant elle-même de nombreu
ère malade, il s'agit d'une femme originaire de l'île de Ré, née de père et mère alcooliques. Alcoolique elle-même, elle
du musée et auteur du monument qui va perpétuer le souvenir de son père , a remercié vivement le congrès en quelques par
érèse, âgée de douze ans, qui à ce moment se tenait cachée chez son père , ayant été appelée, a avoué son crime, et, comm
uement : C'est une idée comme cela ! La jeune criminelle issue d'un père arabe et d'une mère espa- gnole, est le vice in
ntécédents héréditaires. Côté paternel : grand-père un peu buveur ; père , soixante-huit ans, un peu emporté ; un oncle b
c. Evolution chronique. L.... Rose, quarante-cinq ans, est née d'un père religieux, excen- trique et psychopathe. Pubert
moindre tare physique. Son hérédité n'est pas très chargée : son père était nerveux de la même manière qu'elle, et pa
mbrassé la reli- gion protestante. L'homme au masque de fer est son père , et il écrit aux journaux pour les en informer.
r à lui. Plus tard, vers l'âge de sept ans, on rapporta un soir son père mort, à la maison. Cette mort était des plus my
i raconte B... ; mais comme j'étais obsédé, depuis la mort de mon père , par Vidée fixe qu'un jour je saurais pourquoi ce
mort, j'en conclus par la suite, que le père Il... n'était que mon père adoptif, et que, comme il ne voulait pas se dépar
sont pas ses parents, mais seulement des parents adoplifs; que son père a été assassiné pour lui ravir plus sûrement se
moniales, auxquelles il a coupé court parce qu'il a constaté que le père de la jeune fille ne faisait pas de bonnes affa
ère) le 3 décembre 1876, dans une famille robuste. D'après lui, son père est rhumatisant sa grand'mère paternelle était
Asile public d'aliénés de Saint-Pierre. Antécédents héréditaires. - Père mort à cinquante ans, mère à quarante-cinq ans.
observation succincte. Georges L : ..., vingt-huit ans. bijoutier. Père alcoolique, mère morte de diabète. Le malade se
'aliénés deNaugeat, le 6 avril 1898. Antécédents héréditaires. Le père du malade est mort d'une affection pulmonaire,
de parler; hallucinations delà vue et de l'ouïe; voit et entend son père mort depuis quinze ans; menace des per- sonnes
enace des per- sonnes imaginaires. Antécédents héréditaires. - Le père se suicide il cinquante-deux ans, à la suite de
otion un peu forte, une crise de manie aiguë franche. Le suicide du père après quelques troubles mentaux, il y a quinze
(on sait que cette maladie est rarement directement transmise); le père était un ivrogne (fait noté par Ladame dans l'e
rs, un enfant de onze ans et demi, Adolphe Loth, demeurant chez son père , rue Jobert-Lucas, quittait la maison paternell
ttention à ce propos, mais l'enfant n'étant pas rentré le soir, son père , inquiet, commença des recherches. On fouilla le
femme. Son fils Jules, seize ans, voyant sa mère en danger, tua son père d'un coup de couteau. 11 a été arrêté. (boit- h
olles (Eure-et-Loir) un enfant imbécile, âgé de huit ans, fils d'un père ivrogne et d'une mère débauchée, a mis le feu,
Une lourde hérédité pèse sur elle; sa grand'mère. une aliénée, son père un alcoolique auraient dû lui servir de leçon e
ervice de M. le D' Magnan). - Dégénérescence mentale; grand-père et père alcooliques. Habitudes alcooliques depuis longt
erbale. facteur il Paris, tlente-six ans. 380 CLINIQUE MENTALE. Père alcoolique, mort; s'enivrait souvent. Mère morte;
ernel mort aliéné à Bicêtre. Tante paternelle morte à Sainte- Anne. Père presque en démence, alcoolique, boit du rhum tous
depuis le commencement de 1897, voyant sa mère souffrante et son père incapable de travailler, T... se désolait ; pour
jouer de mauvais tours, le tuer même. On allait également tuer son père pour s'emparer de sa boutique. L'examen physi
B... Pierre, soixante ans, cultivateur. Antécédents héréditaires. Père alcoolique fieffé, mort en prison; arrêté pour
ions. B..., comme tous les autres est un dégénéré héréditaire : son père alcoolique n'a pu avoir que des enfants faibles
usieurs égards d'attirer l'attention de nos lec- teurs. Sommaire. Père , excès de boissons, mort ci trente-huit ans d'une
par la grand'mère pater- nelle et par le médecin de la famille). - Père , négociant en vins, excellent sujet, mais à la
dans la famille. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de six ans, père plus âgé. Quatre enfants : 1° Garçon de dix-s
e la paralysie générale semble«due à l'héré- dité du malade dont le père présenta également des idées mélancoliques. « C
e la moelle. Eugène X..., chauffeur mécanicien, est né en 1854. Son père est mort de ramollissement cérébral à l'asile d
înés par une locomotive sur laquelle il monte et qu'il conduit. Son père , ses frères, sa mère, ses oncles, morts depuis
nt en éléphants, en sangliers et ont tous des jambes de girafe. Son père le regarde fumant sa pipe dans le ventre d'un c
lytiques généraux. J'ai adopté, pour ma part, la méthode de Foville père , qui mettait ses agités dans des bains prolongés
Dans un taudion de la rue Magnaque s'abritent trois personnes : le père , journalier de l'arsenal, et ses deux fils Michel
ichel M..., âgé de dix-sept ans, et Honoré M..., âgé de dix ans. Le père passait trois sous par jour à ses deux enfants
ingles de leur lit, à peine recouvertes de vieux sacs. Pourtant, le père a, à sa disposition, un drap et une couver- tur
terme, en ce qui concerne les jeunes Michel et Honoré M... Quant au père , seul maintenant, il pourra se suffire. Une m
érèse, âgée de douze ans, qui à ce moment se tenait cachée chez son père , ayant été appelée, a avoué son crime, et comme
ne idée VARIA. 525 comme cela ! » La jeune criminelle, issue d'un père arabe et d'une mère espagnole, est le vice inca
e fils Eudeline, soldat au 74°, en garnison à Paris, vint aider son père . Il chargeait des gerbes d'orge pendant que Lag
899.) Alcoolisme DE l'enfance. Georges Bommert, cinq ans, dont le père habite près le Mans (Sarthe), où il est bouilleur
75 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
hypnotique, c'est-à-dire par une simple parole, au point de tuer son père sans hésitation ni remords? Est-il rien de plus i
1760). Un accusé criminel, Patenotte, témoignait, à l'instar de son père , d'une même répugnance invincible pour tout alime
dinaire. On lit dans l'histoire d'Ecosse qu'une jeune fille, née d'un père qui avait un penchant irrésistible à manger de la
put fort bien le faire parce qu'elle apprit la perversion de son père . Ainsi se suicident certains individus à l'âge et
es renseignements que j'ai obtenus sont les suivants : Bonne santé du père et de la mère. Un frère bien portant. Pas de mala
eures, pas d'antécédents héréditaires, ni nerveux, ni tuberculeux. Le père et la mère sont bien portants ; il est le 3e sur
déposèrent à ses pieds la malade qui lut dit avec une grande foi : « Père , voyez en que, état je suis : donnez-moi votre bé
ir s'en servir. Elle eut la dévotion de baiser la robe du Bienheureux Père , et aussitôt son infirmité disparut sans laisser
toute la question est de décider si Hamlet savait qu'en vengeant son père il agissait contrairement à la loi. La réponse
lement hystérique, elle est morte à 27 ans, de pyoémie, dit-on. Son père , remarié depuis sept à huit ans, est alcoolique e
sseux, menteur et peu intelligent. Il a un caractère bizarre. Son père est un nerveux, un peu buveur et fumeur endurci d
bon caractère. Il se laisse gronder et rudoyer sans rien dire. Son père est un alcoolique, un brightique et un syphilitiq
elle est momentanément entourée ou dont elle se croit atteinte. Le père est légèrement voûté ; ma malade s'imagine alors
ne pas l'attrister : le regard de toute personne, quelle qu'elle fût, père , mère, frères, sœurs, parents, étrangers, domesti
re affection apparente, antécédents névropathiques très chargés ; son père et un de ses frères sont somnambules. Antécéden
osé atteint. Une troisième ressent une violente antipathie pour son père ; elle veut se livrer à des voies de fait sur une
citations venant de tant de côtés à la fois, que je finis par dire au père — je n'avais pas encore vu le sujet—de conduire s
oyez ce que vous pouvez faire sur l'élément douleur. Observation : le père a tout fait pour guérir sa fille. U...., pharmaci
nné ceci, lui a donné cela et fait beaucoup de remèdes familiers ! Au père donc promettre peu si l'on ne veutêtre classé dan
anité. Mais on revint à la charge ; on s'adressa à de mes amis ; le père me lit parvenir des lettres de recommandation. De
douleur ! Comme il n'y avait pas d'autre témoin de cette scène que le père , j'appelle mon tîls, étudiant en médecine, pour c
r si on voulait le lui arracher: et voilà qu'elle le tient ferme ! Le père , en voyant ce résul- tat, qui me surprenait m
biter un quartier éloigné de chez moi. Dernièrement j'ai rencontré le père . Sa fille n'avait pas eu même un semblant de rech
isse. Je renouvelai mon injonction. Il tourna alors les yeux vers son père — je lui avais fait ouvrir les yeux sans le tirer
le recevoir à la fin de Tannée 1892. Il eut le malheur de perdre son père en janvier 1893. Je ne reçus de lui aucune nouvel
is frères présentant des antécédents héréditaires neu-ropathiques. Le père est mort d'alcoolisme chronique; la mère, après d
~ « gneur votre Dieu, le Dieu fort et jaloux qui venge l'iniquité des pères « sur les enfants jusqu'à la troisième et quatriè
ion de se brûler la cervelle à la fin de son repas. Heureusement, son père , prévenu, accourt et le ramène à la maison, où il
ron, ne voulant pas le livrer à la justice, le remet aux mains de son père , qui le châtie très sévèrement. Cette nouvelle
ant rien prendre ailleurs, vole de l'argent dans le secrétaire de son père . Soupçonnant alors qu'il s'agit peut-être d'un
, il volait de menus objets. Plus tard, il vola de l'argent, chez son père d'abord, puis chez ses amis et ses connaissances.
2° de rêver la nuit dernière, qu'un individu volait la montre de son père et qu'il en éprouvait une profonde horreur. Inter
l déclare qu'il a revu la nuit qu'un individu volait la montre dc son père et qu'il en a éprouvé une profonde horreur. On lu
rapide par la suggestion hypnotique. — Antécédents héréditaires : le père n'était point alcoolique; sa vie ne nous donn
à la prison de celte ville comme vagabond. Ramené chez lui par son père et mis en notre présence, il nous raconta que, la
ntre autres des événements qui signalèrent la vie de Jeanne d'Arc. Le père du jeune homme avait, à ce propos, parlé d'un séj
j'avais reçue au temps dc ma première enfance. Je me souviens que mon père , qui était très matinal, venait à mon lit avant m
t bas dc cette cruauté. J'en ai plus tard remercié mon brave homme de père , qui m'avait ainsi, dès mon jeune âge, endurci au
76 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
mement remarquable. Nos médecins de la Faculté en seront étourdis. Le père de ce malheureux petit être m’a donné l’attestati
elle est dirigée par le motif le plus pieux : elle veut savoir si son père vit encore. La troisième, Maria Fauveau, est une
nt une petite fdle ; qu’elle n’obtiendrait pas le consentement de son père et qu’elle serait obligée de lui faire des sommat
le vaste champ de l’avenir, de faire enfin pour nos fils ce que nos pères avaient fait pour nous. Mais rien ne pourra peind
s bruits dont la cause leur est toujours restée inconnue. « — Votre père était élève de Mesmer, il avait pour amis plusieu
r lui-même, bien des choses touchant les sciences occultes? « — Mon père m’a toujours dit que le courage lui avait manqué
nstant, et faillit payer cette témérité de sa vie. Un des amis de mon père me racontait que, dans une de ses évocations magi
depuis longtemps, languissait dans une maison de sauté, à Milan. Son père apporta à notre somnambule lucide une mèche des c
préparé les organes à cette crise salutaire; je m’y attendais, et le père de la malade avait été lui-même prévenu, dès le c
rès-midi. Sa fuite fut constatée peu d’heures après, et je laisse aux pères de famille à juger quelle dut être notre inquiétu
écit de ce déplorable événement, et que, prenant part à ma douleur de père , il consentit à tenter immédiatement l’expérience
t enfui, elle répondit que lui-même avait raconté qu’ayantperdu son père et sa mère, il avait été obligé de quitter la mai
e ferait» ; de celui qui recommande «au maçon, digne du beau titre de père de famille, de devenir magnétiseur, afin d’en pou
nt de Mesmer. « Messieurs, le jour où Mesmer remit aux mains de nos pères le principe nouveau qu’il avait découvert, comme
la tient sans doute à la brièveté de sa brochure, que l’Ecriture, les Pères , et l’Eglise ont toujours promis cette puissance
si prodigues , nous sommes heureux de nous rappeler, pour imiter nos pères , que nous sommes les descendants de ces gardes-fr
ade fut de nouveau plongée dans le sommeil magnétique ; mais comme le père 15... tison retour de vêpres, avait l’air de crai
nt ridicule sans doute le fils inclinant le front sous la main de son père qui le bénit. XI. — De la bénédiction dans la t
ration et gestation physiques. Et, pour le dire en passant, lorsqu’un père s’est sérieusement occupé de l’éducation de son e
s colère? En un mot, vous sentez-vous pour eux à la fois l’amour d’un père et d’une mère, ou, ce qui est la même chose, vous
t. § III. f 18. « L’enfant crut ; et étant un jour allé trouver son père , qui Clait avec les moissonneurs, ÿ la. « Il lui
s, ÿ la. « Il lui dit : La tèto me fait mal, la tète me fait mal. Son père dit à un de scs serviteurs : Prenez cet enfant, e
(échappé des doigts d’une jeune fille de dix-sept ans, près de son père eide sa mère) n’est-il pas très-surprenant? Il re
e. « Des mains s’annonçant comme étant celles de nos frères, sœurs, pères , mères et autres parents décédés , ont saisi nos
nt : — Jean, est-ce vous ? Une voix lui répondit : — Non, c’est votre père . La conversation continua quelques minutes entre
s longtemps. Ce n’est que le jour suivant qu’on apprit la mort de son père . — Plusieurs membres, notamment MM. Brittan et Be
sas. Lo merveilleux, fils né de l'ignorance, a été de tout temps le père do la superstition. Je dois à la société entièr
tomba malade pour la première fois. C’est aussi en ce temps-là que le père réclama pour son enfant les soins d’un docteur ;
itements qui ne furent pas continués à cause de l’état peu fortuné du père (cet homme, ouvrier fileur chez M. Paul Sevaistre
cet homme, ouvrier fileur chez M. Paul Sevaistre, deux fois veuf, est père de trois enfants en bas âge) ; la maladie alors,
choses ayant rapport à la religion catholique, ou bien encore de son père . Je dois l’avouer, ce qui m’avait été raconté à
r religion, j’ai amené des accès immédiats ; si on lui parlait de son père , on était loin de produirç les mêmes effets, on e
une autre dame, moyennant un laps de temps et soixante francs que le père devait solder ; quelques mois après, la jeune fil
il ne m’appartient pas de juger. De là, querelle et mécompte entre le père et cette maîtresse couturière. C’est alors que ce
ui expliquerait les crises à ce sujet, comme aussi les brusqueries du père dans une crise, expliqueraient la répulsion de l’
amener l’enfant à l’amour de Dieu par la prière, à l’affection de son père par la reconnaissance, à la société par la gratit
revient d’elle-même aux idées religieuses comme à l’affection de son père . La musique l’intéresse, et je la fais monter che
on de son père. La musique l’intéresse, et je la fais monter chez son père en lui jouant sur le violoncelle l’air de la Grâc
semaines, sa main écrivit le nom de W illiam Mitchell,* qui était le père de son mari, qui a été soldat dans la guerre de 1
confiance dans ces recherches, et il n’avait pas connaissance que son père eût reçu aucune concession de terres, ni qu’il fû
l’honorable John Wilson, commissaire des terres, établissant que son père avait été gratifié d’une étendue de terres louées
ion avait été écrite. M. Mitchell n’avait aucune connaissance que sou père eût été gratifié de terres, et par conséquent il
tte guerre. Il n’a appris tous ces faits que par le témoignage de son père habitant le monde des esprits et par la confirmat
des communications d’un esprit qui s’annonça comme étant celui de son père . M. Mitchell est maintenant âgé de quarante-deux
est maintenant âgé de quarante-deux ans, il n’a aucun souvenir de son père lors de la mort duquel il était fort jeune. « J
quinze jours. Nous prîmes part aux expériences, et nous invitâmes le père à visiter notre établissement avec la jeune clair
ns son étal surnaturel. « Pensant que peut-être la présence '’e son père pouvait exercer une certaine influence sur ses fa
décrit tout dans l’obscurité aussi bien qu’à la lumière du jour. Son père nous a raconté beau- coup d’expériences intéres
77 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
LE; IMBÉCILLITÉ MORALE ; Par HOURNEVILLE et J. BOYER. SoMMA)nE. Père , soixante et un ans, asthmatique, très nerveux.
s de coxalgie, méningite terminale. Conception : graves ennuis du père . Premières convulsions ci quatre, ans. Diminuti
DE L'ENFANCE. 51 Antécédents {^enseignements fournis par la mère). Père , soixante et un ans, asthmatique, très nerveux,
ions, apprend convenable- ment. Notre malade. A la conception, le père dit « qu'il avait le sang en révolution », ce q
r, il donne des coups de pied de tous les côtés, visant surtout son père ; il se frappe la tête de ses poings, raidit to
h ! tu me laisses dire trois... tu verras... lâche-moi donc ! » Son père nous quitte et c'est à nous qu'il s'adresse alo
la nuit. 20. Ne mange pas au premier déjeuner, veut écrire à son père à qui il adresse une lettre incohérente et pleine
sont insuffisants, surtout dans la lignée maternelle. Du côté du père ,~une tante est morte d'une attaque d'apoplexie. U
roglique ; isthme et moelle indemnes. 3° Homme, quarante-six ans ( père choréique à trente-neuf ans, mprt d'accident à
éditaire ? A ces questions sont consacrées les leçons suivantes. Un père est atteint de tabes dorsal classique ; le fils
jours eu un carac- tère mélancolique, qu'il a une soeur aliénée, un père mort d'apoplexie. Sa maladie date depuis huit m
ais très excavée. Antécédents. Malade depuis le 10 février 1896. Le père de la malade est mort il y a huit ans, probable
. La malade âgée de quarante-cinq ans, mariée depuis vingt ans; son père était alcoolique et est mort il y a douze ans.
DENCE de M. Meuriot. Le Président annonce la mort de M. Semelaigne, père , dont il prononce l'éloge funèbre. LE Secréta
Mis en présence de celui-ci, ils lui présentèrent une lettre de son père réclamant son internement et un certificat de m
sté inconnu. Les 42 morts se répartissent de la façon suivante : 2S pères don- nant au moment de leur mort oxo ans, 17 mè
-100 morts et 42,5 p. 100 vivants. Les 42 morts se composent de 25 pères et de 17 mères. Les 37 vivants se composent de
sent de 25 pères et de 17 mères. Les 37 vivants se composent de -14 pères et de 23 mères. Soit 37,83 p. 100 pères vivants
vivants se composent de -14 pères et de 23 mères. Soit 37,83 p. 100 pères vivants et 62,16 p. 100 mères vivantes. Dans le
res vivantes. Dans les familles normales, nous trouvons : 31 p. 100 pères vivants et 54 p. 100 mères vivantes. Troisièm
que de M. Arnaud, le départ entre les fils de paralytiques dont les pères sont eux-mêmes exempts de toute tare héréditair
aralysie générale, ils seront indemnes. S'ils naissent après que le père a été frappé de méningo-encéphalite, ils n'ont ri
la même affection, et dont l'hérédité, en dehors de l'alcoolisme du père , ne présente rien d'anormal. Personne dans leur
ion s'étendit en même temps à cinq autres membres de sa famille (le père et la mère, un frère et deux soeurs). Cette pet
rs, hystériques à stigmates, guéri- rent les premières ainsi que le père et la mère, les deux frères se calmèrent à leur
n des membres de la famille; les soeurs allèrent à la ville avec le père et la mère, le fils cadet changea de pays; notr
le mettait en prison, on le condamnait et, pen- dant ce temps, son père , déshonoré, se suicidait. Tout cela se déroula
tit de son sommeil et revint à la réalité à l'asile, en face de son père , qu'il croyait mort. Point important à signaler
lformations. En effet, les quatre sujets se répartissent ainsi : un père et son fils, une mère et sa fille; les premiers
eS : Observation I. Paysanne, âgée de cinquante-cinq ans, dont le père , nerveux, était affecté d'une scoliose. Parésie d
ires. Les renseignements fournis par le mari nous apprennent que le père de 111°1° H... a toujours été très nerveux et e
du monde dans son lit, qu'elle entend des voix qui l'insultent. Son père était un alcoolique franc et est mort, à trente
mmasi DE Amicis. (iVouu. Iconogr. de la Salpétrière, n° 1, 1899.) Père et mère syphilitiques, ayant eu, avant l'infectio
Jehain-Victor-Alfred), est né à Marseille, le'16 janvier 1828 ;-son père , homme d'une grande érudition, était chef de divi
nages vivants, des parents, une fille, en tout point digne d'un tel père et mariée à un grand industriel, chevalier de l
Aype)'Op/tt'e iiiiiseil- lai,e. Malade, âgé de douze ans, né d'un père alcoolique. Six enfants sont morts de causes in
ar la famille du jeune homme interné n'est pas dans la misère ; son père touche- rait même une pension de retraite assez
dèche, 'CL Saint-André-de-Cruzières, une fillette idiote perdit son père et sa mère, et resta seule au monde. Nos paysan
er. Quant à Louis Zigan, qui est mort sur le coup, il était veuf et père de deux enfants, âgés de qua- torze et de dix a
es ren- seignements de première importance. Notons d'abord que le père de ce jeune homme est mort dans un .asile d'ali
jeune homme est mort dans un .asile d'aliénés ; un oncle, frère du père , a présenté également des symptômes d'aliénatio
santé générale reste bonne. M. B..., âgé de quarante ans, fils d'un père nerveux, exalté, très original, et d'une mère h
, robuste, bien constitué, P... est âgé de cinquante-trois ans. Son père avait des habitudes d'intempérance, il est mort à
ihïswout. (l3rccin L\VItct L\V111.) I. Homme de vingt-quatre ans ( père alcoolique) normal jusqu'à treize ans ; affaibl
du musée et auteur du monument qui va perpétuer le souvenir de son père , a remercié vivement le congrès en quelques par
, 26 ans, s'est pendu dans le gre- nier de la ferme occupée par son père , cultivateur à Saint-Gatien- des-Bois, près Hon
il avait eu affaire avec la justice pour violences exercées sur son père . Les causes de sa fu- neste détermination sont
nts, 21, rue de Chartres. L'enfant vivait assez solitairement ; son père , garçon de magasin, et sa mère, femme de ménage
78 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
oque une épidémie de dipthé- rie dans le village. D'après ce que le père raconte, elle avait une fièvre intense, elle re
rofesseur Raymond, salle Prüss, n° 6. Antécédents héréditaires. Son père est mort à 78 aus, après 10 ans de paralysie ;
uccessifs du régime propre à la santé dont avaient usé nos premiers pères . Car plus leurs successeurs ont été corrompus p
endants, de sorte que cette corruption en passant successivement de père en fils et de là n'ayant fait que s'ac- croître
C'est Lactance qui nous indique la raison de cette dénomination. Le père de la médecine guérit en effet plusieurs malade
n régime, il prit chez lui onze jeunes neveux, tous enfants du même père et de la même mère, tous de figure aimable et d
levé le vieillard était entouré de la foule des fillettes, comme un père est envi- ronné de ses enfants, et à l'envi tou
qui ait pu être cause des malformatious dont il est atteint. Son père a été bien portant jusqu'à l'année dernière ; dep
nt expert en l'art de guérir tous les maux. « Qu'il vienne ! dit le père , et s'il sauve ma fille, je lui don- nerai la r
elait Podalyre. Il appartenait à une célèbre famille médicale ; son père avait nom Esculape, dieu de la médecine. Tell
re. Et cependant Podalyre n'avait pas le mérite de l'invention. Son père Esculape, lui-même, avait appris, dit-on, la sa
ntre pour la première fois à Ste-Clotilde le 13 septembre 1899. Son père était un alcoolique qui devint épileptique à 27
avait dés crises ana- logues à celles que nous retrouverons chez le père , crises assez fréquentes pour qu'on fût obligé
au milieu de son travail, à 59 ans environ. II. Frères et soeur du père . - 1 Frère du père. Bien portant. A deux enfant
ravail, à 59 ans environ. II. Frères et soeur du père. - 1 Frère du père . Bien portant. A deux enfants dont l'un à la su
ers 26 ans, une opération qui fut suivie de guérison. 2° Frère du père . - Mort au service militaire, étant sergent-fourr
, à la suite d'un accident (chute dans un escalier). 3o S'ceur du père . - Morte à 30 ans. Elle était, au dire du malade,
Elle était, au dire du malade, livide au moment de sa mort. IIf. Père . - Le père du malade a 68 ans. Il n'a jamais fait
, au dire du malade, livide au moment de sa mort. IIf. Père. - Le père du malade a 68 ans. Il n'a jamais fait, il la con
mont de ces neuro-diélectri- ques (1). Le fils de cette femme (le père de notre malade) a hérité de ces neuro- diélect
oppés. - On n'a pas oublié qu'un naevus gauche existe aussi chez le père , et qu'il est moins étendu que celui du fils. A
quoi tient cette différence ? Appelons N la colonie neuronienne du père , Mies neurones qui man- quent congénitalement c
r introspection mentale 239 Observation. L... Maria, 43 ans. - Le père est mort d'une attaque d'apoplexie à 69 ans. Il
sait pas se coucher quand elle était seule à la maison. Lorsque son père rentrait ivre elle tremblait et per- dait la vo
re sujet avait également des scrupules exagérés. Ainsi, lorsque son père ou son mari lui demandaient quelque service et
imaginations ». V L... nous dit parfois qu'elle entend causer son père ou son mari morts depuis plusieurs années. Elle
pertrichose lombaire chez trois membres d'une même famille : grand- père , père, fils. Cité par Juger. 30. Juger, - Disse
chose lombaire chez trois membres d'une même famille : grand- père, père , fils. Cité par Juger. 30. Juger, - Dissert. St
produire les plus typiques. Eugénie X... est âgée de 9 ans 1/2. Son père et sa mère sont d'une excellente santé ; le pèr
de 9 ans 1/2. Son père et sa mère sont d'une excellente santé ; le père nie toute intoxication syphilitique ou alcoolique
les empêche pas de récidiver. Ou bien l'enfant est normal comme le père , ou bien il ressemble absolument à la mère, il es
Breckh amême rapporté l'histoire d'une famille où le trisaïeul, le père et deux filles auraient été tous quatre achondr
nous avons pu obtenir, avoir présenté de déformations osseuses. Le père serait mort bacillaire. Un frère et une soeur.
Bégouin pour une difformité de la main gauche. NLdans la famille du père , ni dans celle de la mère on ne trouve traces de
e de la mère on ne trouve traces de difformités quelconques. . Le père , cultivateur, est bien portant (ni alcoolisme, ni
a eu aussi une maladie du coeur ; une de ses tantes également ; son père est mort paralysé à 73 ans ; un frère est mort
rver aussi dans la microdactylie. Rieder (1) a rapporté le cas d'un père et de sa fille ; chez le premier, il y avait se
diagnostic « tremblement hystérique ». Antécédents héréditaires. - Père , grand buveur. Des amis ont dit à W... qu'il ét
ion. Haudeb... François, 41 ans, maçon. Antécédents héréditaires. Père , éthylique. Mère bien portante jusqu'à 37 ans.
t la con- sultation des maladies nerveuses depuis trois mois. Son père est mort à 69 ans de l'influenza : il était très
e 28 ans, mariée, sans enfants, fille unique de pa- rents sains, le père étautbeaucoup plus vieux que la mère, occupée aux
onvulsions ou autres troubles nerveux. Accouchement facile à terme. Père et mère jeunes, 33 et 23 ans, le mari de 10 ans p
pour son âge. Son système dentaire est défectueux et incomplet. Le père présente un certain degré d'exophtalmie. Il a le
nfantilisme et cet infantilisme est d'origine dysthyroïdienne. Le père est mort jeune, de pneumonie. La mère, d'après qu
ayant souvent les jambes enflées. Renseignements recueillis : le père de ? était olaunacctismat et son frère et sa so
les renseignements que nous avons pu re- cueillir indiquent que le père était « rhumatisant-chronique ». Et l'on se sou
e fut prise d'une crise nerveuse, elle se jeta dans les bras de son père , puis elle se raidit, la crise dura en tout deu
nt les choses se sont pas- sées : Elle était assise auprès de son père ; tout d'un coup, le regard prend une expression
79 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
mois plus tard. Antécédents héréditaires. - 1° Côté paternel. - Le père , cultivateur, est mort à t'age de 59 ans d'une
u géant, les petites tailles sont fréquentes et particulièrement le père et la mère étaient très petits. De cette union
l ne se rappelle pas en avoir éprouvé. - Il ne sait pas lire. Son père , ayant besoin de son travail, n'a pas songé à l
famille, les petites tailles sont fréquentes, et, en particulier le père et la mère étaient très petits. Or, il faut avoue
té maternel, qui a aussi frappé son frère et encore la petitesse du père et de la mère, qui, en définitif, consti- titue
Dans le cas de Hoenicke (10), il s'agit d'un homme de 47 ans ayant un père aliéné et qui souffre depuis 3 ou 4 ans de faib
rente ans, né à Sinescola (Sas- sari), journalier, célibataire. Son père est mort d'une pneumonie. Sa mère vit encore et
me s'ils étaient tout petits. La grand- mère est âgée de 20 ans, le père a le même âge, le fils entre dans sa 80e année
ées, et qui leur donue de bons ap- pointements », ou bien chez leur père mourant, ou encore sOigner leur mari (mort depu
choter, se disputer dans l'escalier, et reconnaissent la voix de leur père ou de leur soeur. Dans tous ces cas, l'alcool s
'on leur ex- plique leur erreur. Ils trouvent tout naturel que leur père ait le même âge qu'eux-mêmes ; que leur fils so
personne qu'il n'a pas vue depuis longtemps » ! Il va peu chez son père , qui lui reproche de s'amu- ser et fait toujour
aît l'interne, qu'elle dit avoir vu chez elle. « J'ai 38 ans, mon père est contrarié qu'on m'ait amenée ici, car je ne s
t amenée ici, car je ne suis pas malade; vous ne connaissez pas mon père ? Il est fatigué, mais il n'est pas mort. Il es
e vis avec lui, quai Bourbon. » « Je couche dans ma chambre, et mon père dans une autre à côté ; il s'oc- cupe actuellem
aille guère, il a des varices. » « Aujourd'hui, j'ai mangé avec mon père des côte- lettes ; je lui prépare tout ce qu'il
il faut.» « On a parlé, au dîner, de la famille ; il parle peu, mon père , et toujours de la famille ». « Des cousins m'ont
eaux partis, mais je ne veux pas me remarier, je veux rester avec mon père pour le soigner. » - Elle répète, à très peu
ences ; on lui apporte des gâteaux. « Je vais en garder un pour mon père », dit-elle, « il sera si content, ce pauvre Eugè
nt, ce pauvre Eugène 1 » Un jour, en pleurant, elle raconte que son père vient de se casser la jambe. En réalité, son pè
e raconte que son père vient de se casser la jambe. En réalité, son père est décédé depuis plus de 30 ans ; après la mort
mère, la malade a, pendant plusieurs années, habité seule avec son père qui était bouclier, souffrait de varices, et a
n III, rajeunie d'une trentaine d'années, se consacre à soigner son père , mort depuis longtemps et songe à se,marier ; ell
ur la mécanique que, lorsqu'il eut atteint l'âge de quinze ans, son père le conduisit à Amsterdam et le mit en apprentis
demi (Diagn. clin. Spond. rhizomélique). Anamnèse. - Le malade a un père alcoolique et sa mère est morte de la tuberculo
est malade depuis 5 ans (PI. XVIII). " Anamnèse, - Le malade a un père alcoolique et lui-même s'adonne à la boisson. I
ique : Spondylose rhizomélique. Tuberculosis pulmonum. Anamnèse. Le père du malade était alcoolique. On ne trouve pas dans
puis 4 ans 1/2 (Diagnostic, : Spond. rhizomélique). Anamnèse. - Le père du malade a le dos un peu voûté, la mère souffre
s antécédents héréditaires n'offre rien à signaler. Il est marié et père de 2 enfants en bonne santé. Lui-même n'avait j
était à la clinique. 2o juillet 1891. Renseignements fournis par le père du malade. Le père et le côté paternel n'offrir
2o juillet 1891. Renseignements fournis par le père du malade. Le père et le côté paternel n'offriraient rien de particu
ez le grand-père. La mère, hystérique, a des attaques de nerfs. Son père est mort de la poitrine, sa mère d'un cancer à
était aussi très méticuleux ; un de ses camarades l'avait surnommé le père La Brosse, parce que si G. sortait dix fois dan
main). Je ne tra- vaille pas, mais je ne suis pas une p... « Mon père m'a cassé les dents. « Je fais des peignes avec
tout ce qui se passe autour de lui. Accueille avec indifférence son père et sa mère, leur parle à voix basse de choses ban
pieds. Au point de vue héréditaire, on note. Du côté paternel : Père boulanger, très sobre, de taille moyenne, 1 m. 65
e a une soeur, très grande : 1 m. 73, mariée et de bonne santé. Son père et sa mère vivants, sont bien portants et de tail
Il nous a été impossible de trouver des traces de syphilis chez le père ou chez la mère. Quant aux trois avortements,
Histoire clinique. E. Attilio, âgé de 27 ans, cordonnier. Il a son père et trois soeurs ; sa mère et un frère sont mort
paru dès 1884, ue fait que progresser. Aniécédents irÉRÉDiTAiRES. Père asthmatique ( ? ),mère morte d'une tumeur l' ut
et sorti le 17 avril de la même année. Antécédents héréditaires. Père mort d'un anthrax. Mère vit et bien por- tante.
tature élevée ainsi que ses grands-parents qu'elle a bien connus. Son père était gendarme et sa mère était plus grande que
ourd'hui de 64 ans, est né le 8 avril 18'>7 au Vigan (Gard). Son père , qui y était huissier, était normalement constitu
possédons pas de détails précis sur les antécédents du malade. Son père ne vit plus. Sa mère est bien portante. Les paren
che bénigne, suivie de kérato-con- jonctivite phlycténulaire. Son père , sans être alcoolique, n'a pas toujours été d'une
Observation XIV (CLAUDE et GOUGEROT, résumée). Homme de 49 ans ; père alcoolique, mère hystérique ; ni blennorrhée, ni
bumine. Antécédents héréditaires et personnels. Il n'a connu ni son père ni sa mère qui est morte lorsqu'il n'avait que
6 ans, appartenant à la tribu Yao ; observé le 19 avril 1911. Son père et sa mère, ses frères aînés et puînés sont tous
mètres ; elle dit que sa mère était aussi petite qu'elle-même ; son père était de taille moyenne. Elle n'a ni frère ni s
80 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
u mime genre. C'est pour mettre fin, si possible, à tout cela, que le père nous l'a amené et, (1) Revue de l'hypnotisme, 1
é nerveuse est très chargée (grand'mère folle, grand-père alcoolique, père épileptique, mère hystérique, un oncle épileptiqu
te. Il appelle à plusieurs reprises : « Papa! papa! ». Il appelle son père à son aide, invective le personnage qui excite sa
é victime d'un empoisonnement en rapport avec son métier, était né de père nerveux irascible et de mère hystérique. Sa sœur
très fréquentes et de troubles sexuels se rattachant à l'onanisme. Le père et un des frères du malade ont souffert également
mme caractère essentiel dans la définition de la folie. Esquirol, mon père , M. Baillarger, se sont exprimés à cet égard de l
e, Cratippe. lsocrate, Solon, Démosthène. Xénophon, Alcibiade. et les pères de la médecine. Hippocrate et Galien. N'oublions
ns, chez qui l'inversion sexuelle paraît innée. D'après son dire, son père est très nerveux et sa mère est morte d'un cancer
s jours, au contraire, les parents étalent leurs vices à ses yeux :le père s'enivre, vole et va en prison; la mère se prosti
lit même de son mari. Et le fils devient ivrogne et voleur comme son père , et la fille se fait prostituée comme sa mère.
que de ne point lui faire de reproches. Jeanne a dix-sept ans. Son père était un ivrogne, un homme violent et emporté, se
e. Elle devint rapidement savante en vices. Souvent, le dimanche, son père s'enfermant seul avec sa mère, la chassait, l'env
aire la noce avec des miches chouettes ». Sarah a dix-huit ans. Son père est mort fou. Sa mère est une femme sans pudeur q
bant sous ce rapport. F... a perdu sa mére. depuis longtemps et son père l'a abandonné fort jeune. Cest un garçon de seize
is entre mille. D..., dix-sept ans, est né à Paris. Ayant perdu son père de bonne heure, il était brutalisé par sa mère et
evé par si mère, excellente femme qui le gâtait. « La main ferme d'un père , m'êcrit-il. aurait pu peut-être me corriger de c
ouse sur le tard et sans connaître ses antécédents, une femme dont le père avait été longtemps aliéné. Cette femme est bient
r l'éducateur de se jamais presser le fils Je suivre ta profession du père , toutes les fois du noms que cette profession, co
t pas sans quelque raison que les Chinois décorent et anoblissent les pères au lieu des fils : les fils célèbres sont des enf
se. , Antécédents héréditaires: Ses parents sont bien portants. Son père est vif. Un frère bien portant. Un oncle aliéné.
alogie de Mohammed Toghlak ne remonte pas haut. D'après Ferishta, son père , Geias u din Toghlak. était un esclave turc, et s
oir joué un rôle important dès l'origine, fut d'abord employé par son père aux expéditions militaires chez les rajahs Hindou
na ordonna qu'on apportât des pioches et des pelles pour chercher son père , mais il fit signe de ne pas se presser,et les ou
eine de plaisanterie sinistre était un peu héréditaire du côte de son père , qui. quoique gouverneur oriental, n'avait cepend
e grands honneurs a cause de leur naissance et de la conduite de leur père . L'autre Rajah, n'ayant pas la même fermeté, aban
e .Mohammed Toghlak, Kichlu Khan, qui avait tant fait pour placer son père sur le trône, souleva une formidable révolte (132
été confirmés. Au nombre de ces souverains dégrades était son propre père . L'envoyé fut récompensé, reçut des présents à pr
ue nous avons chaque four ; elle est en vers et elle débute ainsi : Père et patron, saint Antoine de Pade. Qui vous invi
ents héréditaires ne paraissait la prédisposer à la névropathie : son père est mort d'une maladie de cœur, sa mère des suite
rès bon pour elle; rien ne l'intéresse plus dans ce bas monde, ni son père , ni toute autre personne de sa famille ; il lui e
'à Paris; je suis contente, « courageuse, j'aime bien mon mari et mon père , et j'ai repris du goût « dans mon ménage ; j'ai
its moments de tristesse, car depuis « que je suis venue ici. mon bon père est tombé malade. Depuis quel-« ques jours il est
as d'aliénation mentale ; un cas au moins dansla ligne maternelle. Le père , â la suite d'une discussion, est mort dans un ac
1) Médecin de l'Hôtel-Dieu de Paris Emile X..., 33 ans; fils d'un père original et buveur; mère nerveuse, un frère cadet
oire qui écrasait le pauvre diable, certain d'être condamné! Seul, le père inconnu de l'enfant aurait bien ri pendant les dé
assinat d'une famille entière de sept ou huit personnes. II attire le père dans une forêt de l'Alsace, l'empoisonne avec l'a
êle dans la fosse. II veut gagner l'Amérique, se faire passer pour le père qu'il a assassiné et par je ne sais quelle combin
ement émotive, peureuse, craintive; elle est morte tuberculeuse. Le père assez mal équilibré, faisait des excès d'absinthe
xion délicate, et surtout d'un tempérament nerveux très prononcé. Son père est mort à cinquante et un an d'une affection chr
ct grimaçant. A seize ans. la menstruation apparaît: la mort de son père survient à la même époque : alors se manifesta la
. Sa mère a toujours été nerveuse, d'une extrême sensibilité. Son père , irascible et violent. Elle, mariée à dix-sept
, nous apprenons qu'il est enfant naturel, qu'il n'a jamais connu son père , et que sa mère est morte de la poitrine. 11 es
es extérieures jusqu'au 27 em jour de la vie embryonnaire. Quand le père est beaucoup plus âgé que la mère, le produit de
e masculin ; il en sera de même quand il sera beaucoup plus jeune. Le père dans la force de l'âge engendrera plus de filles
81 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
une maladie nerveuse assez mal déterminée dont est mort son grand- père paternel à l'âge de soixante-dix-huit ans. Lui-mê
ie cérébrale, la grand'mère maternelle d'une affection utérine. Son père a succombé à une broncho-pneumonie, sa mère est
leur étendue; celte disposition est congénitale et existait chez le père et la' mère de la malade. , Les muscles du mo
tendineuses. - Intervention chirurgicale. - Guérison. Ho... a un père aliéné mort à l'asile de Clermont; elle a vingt-c
r 1884 à la Salpêtrière dans le service de M. le prof. Charcot. , Père , quarante-septans, bijoutier; mère, quarante-deux
ladroit de ses mains; on s'en est aperçu principalement lorsque son père a voulu lui faire apprendre son métier de bijou
êtrière au mois d'août 1885, service de M. Legrand du Salle.' Son père est bien portant; il a exercé le métier de cordon
inte depuis une dizaine d'années de tremblement sénile. Un frère du père est bien portant; une soeur est morte jeune, no
paternelle, âgée de soixante-dix-neuf ans, est originale, le grand- père maternel, soixante-quatre ans, est bien portant,
soixante ans, a une affection gastrique; un oncle est bien portant; père rhumatisant. La mère qui est bien portante a
la Clinique, salle Duchenne (de Boulogne), le 2 fé- vrier 1888. 1 Père alcoolique, adonné à l'absinthe, esprit faible se
r Jacquin, le 14 décem- bre 1887. Antécédents héréditaires. - Son père , exerçant la profession de maçon, était alcooli
. On ne trouve pas d'antécédents nerveux héréditaires ni du côté du père ni du côté de la mère qui ont eu trois enfants
ccupe le n° 9 de la salle Rayer.... Antécédents héréditaires. Son père , qui était un enfant trouvé, est mort d'une flu
ent, mais non nerveux. La malade, en raison de l'état social de son père , ne connaît rien sur ses antécédents paternels.
u système nerveux, le 15 décembre 1887 i. Antécédents héréditaires. Père mort du choléra, mère morte d'un ané- vrysme à
é, malformation crânienne. La soeur du malade nous a appris que son père était sobre et qu'il avait toujours eu une bonn
entré le 17 février 1888 dans mon service comme épileptique. Son père est mort des suites de brûlures qu'il s'était fai
and on la touche. 156 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Le père de notre malade est âgé de quarante-huit ans. Il
s également, du côté de la mère, se portent bien. Un frère de son père a eu, à l'âge de sept ans, des convulsions à la s
marcher qu'avec l'aide de béquilles. Tous les autres parents de son père se portent bien : il en est de même chez les cous
périences qu'il a provoquées. B... estagé de vingt-trois ans. Son père , âgé de quarante-sept ans, est un homme nerveux
gt-deux ans, se porte admirablement, n'a pas encore perdu une dent. Père mort à cinquante- huit ans (ramollissement céré
fils, où se trouvent admirablement représentés et l'empressement du père et l'incertitude de l'aveugle. Les jambes courent
, salle Saint-Jean, dans le service de M. le professeur Richet. Son père et sa mère sont morts, cette dernière a succombé
de M. le professeur Charcot. Grand'mère maternelle rhumatisante. Père et mère bien portants. Un frère et une soeur so
re morte de bronchite, pas de rhumatisme, pas d'affection nerveuse. Père mort asthmatique, pas de rhumatisme. Pas de r
rut à vingt-trois ans à la suite d'une maladie à marche rapide; son père à plus de cinquante-sept ans d'un squirrhe de l
82 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
es antécédents héréditaires ne décèlent rien de bien important. Son père , bien portant, est mort de vieillesse àquatre-
e et partie pour Vienne le 3 décembre'. Antécédents héréditaires. - Père asthmatique ; mère migraineuse, dyspeptique et
ue et très nerveuse; une soeur aînée idiote; une tante (la soeur du père ) poitrinaire. Pas d'autres renseignements sur les
nel, jouissaient d'une santé parfaite et sont morts très vieux. Son père s'est noyé involontairement à l'âge de quarante-c
rmination hysté- rique alors absolument inconnue. Le malade, marié, père de famille, vivant d'une modeste place de compt
du système nerveux, le 1 février 1890. Antécédents héréditaires. - Père mort à soixante-quinzeansavecde l'anasarque gén
mère qui a eu de l'incontinence nocturne d'urine jusqu'à 13 ans. Le père est irascible, mais sans trou- bles caractérisé
ls, du coté paternel, du grand musicien dont il porte le nom. Son père était artiste dramatique; il a été tué à Blidah e
nique des maladies du système nerveux. Antécédents héréditaires. - Père inconnu. Mère, trente-cinq ans, domestique, est
ier de couturière. Antécédents héréditaires. ° Côté paternel. - Son père est atteint t d'une maladie de coeur. Il est su
maladie de coeur. Il est sujet à de violentes colères. Son grand- I père est mort fou et sa grand'mère avait des attaques
en de bien parti- culier au point de vue nerveux, ni du côté de son père ni du côté de sa mère. Son père est bien portan
t de vue nerveux, ni du côté de son père ni du côté de sa mère. Son père est bien portant; il n'est ni alcoolique ni arthr
hiques. Il écrivit peu à sa famille et son écriture, au dire de son père , n'était plus la même, mais rien cependant ne r
adies du système nerveux, avril 1890. Antécédents héréditaires. - Père cinquante-deux ans, rhumatisant. Mère quarante-
stème nerveux, au mois de mai 1890. Antécédents héréditaires. - Son père est mort de la rupture d'un anévrysme. Il était
garçon de vingt ans. La mère atteinte de strabisme interne et le père sont bien portants tous deux et n'ont aucun sig
n signe d'alcoolisme ou de syphilis. Ils sont de taille moyenne, le père est plutôt petit. Les grands parents paternels
cédents héréditaires sont muets du côté paternel. La famille de son père et son père lui-même lui sont inconnus. Elle sait
ditaires sont muets du côté paternel. La famille de son père et son père lui-même lui sont inconnus. Elle sait seule- me
frères ni soeurs. Elle a eu un frère, mais qui n'était pas du même père qu'elle et qui est mort tout petit. 'l'rois onc
vice de M. le professeur Charcot. Antécédents hériditaires. - Son père , atteint de cécité, est mort à l'age de quarant
cédents hérédt ? ne sont point chargés au point de vue nerveux. Son père est mort d'une hydropisie probablement cardiaque,
gne. Les grands-parents maternels sont peu connus ; ceux du côté du père ne le sont point du tout. La recherche des anté
le service de M. le professeur Charcot. Antécédents héréditaires. - Père mort de pneumonie contractée sur les remparts e
avec la précédente. Elle est pleine de mouvement -* et d'effroi. Un père amène son fils possédé du démon aux disciples i
rait depuis une quinzaine d'années d'une bronchite chronique. Son père était obèse; il est mort à quarante-neuf ans d'un
opléiq2ce. M..X..., âgé de quarante-quatre ans, Israélite, avait un père , vif et emporté, qui est mort diabétique à l'âg
erne. Jeune fille de trente et un ans, d'origine anglaise, née d'un père ataxique. Début de la maladie il y trois ans pa
83 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
bénite ; a Sors, infâme, au nom de Jésus-Christ ! Quand le véritable père confesseur l’envoya quérir pour tout de bon, elle
ieu de plus belle au monastère de Louviers. Un jour que le révérend père , en parlant du démon, s’animait plus qu’à l’ordin
H LA DÉMONOMANIE DE LOUDUN. URBAIN GRANDIER, par M. Alexandre Douas père . Ce travail, réuni à un autre intitulé : Massac
n- (i) 11 fallait dire plutôt un esprit. ( tra dans le corps du père , qui demeura possédé- ou obsédé « presque tout le
ij ne fût qu’incomplètement initié dans la mystérieuse science de son père , soit qu’il fût incapable de la mettre en pratiqu
en évidence sur la table de travail. Elle était adressée à M. Bernard père et était conçue en ces termes : « Un négociant
ndormi sa fille, sujet très-lucide, lui demanda ce qu'eLe voyait. — Père , murmura la somnambule, je vois un trésor. ->
, murmura la somnambule, je vois un trésor. -> u_ Où? s’écrie le père en lançant à son enfant une nouvella dose de flui
e Gadâgne, célèbre datrt lés annales de l’histoire dti Lyonnais. Le père de la somnambule se rendit aussitôt chez ses part
einte influent puissamment sur son fruit ; je sais que les pensées du père peuvent également exercer une influence, et que l
ourdes, une toute petite jeune fille, nommée Bernadette Savi, dont le père est un simple ouvrier vivant chaque jour du produ
s ce temps, il a recouvré rapidement la santé,, i« Le ma'ade et ses père et mère sont prêts- à attester par serment tous c
s, comme si quelque malédiction avait frappé cette pauvre famille, le père , la mère, un frère, sont tous atteints d'une mala
’il y a nécessité de recourir à des agents d'ane autre sorte. « Mon père étant gravement malade, appela un médecin ; mais
’entendis cette décision avec l’émotion d’un fils menacé de perdre un père tendrement aimé. Pourtant il restait un espoir •
it perdu ; car, m'avait dit le docteur, aussitôt que je le vis, votre père est encore vivant, il peut vivre encore douze heu
je ne lui donnai aucun renseignement. jeme bornai à lni dire: Mon père est très-malade, j’ai besoin de vous pour venir l
es à attester ces faits si quelqu’un en doutait. Depuis ce temps, mon père a été de mieux en mieux; au bout de quelques jour
tat du premier milieu de la création. Cette terre touche la maison du Père , le ciel parfait, l’éther ineffable où s’épanche
manière à reformer le bâton sur une surface unie. « Les sieurs M... père et fils ne se contentaient point de ces moyens ab
lque supercherie, c’est mentalement que je le fis. Je demandai si mon père était présent: trois'coups frappés sur la table,
insi entouré de ceux que j’avais tant aimés. Alors, m’adressant à mon père à haute voix, en italien, sachant qu’aucun de la
. Après le chant, je fis mentalement cette prière: Si c’est vous, mon père , qui êtes ici présent, donnez-m’en une preuve pou
ière séance. L’effet quelle eut sur moi fut d’adresser un vœu à notre Père qui est aux cieux, de me conduire à l’avenir de m
s étaient nombreux. Après les demandes d’usage, il fut prouvé que mon père était absent, mais que le reste de mes défunts ét
scendit précisément comme ferait un enfant quittant les genoux de son père . Ainsi finit ma seconde soirée spiritua-liste. La
e sans contact apparent : nous en étions éloignés de deux mètres. Mon père étant présent, je le priai en italien de tourner
dée de son idiotisme, si je vous dis qu’il est même plus bête que son père . Je regrette de voir qu’un homme de l’esprit de
notre premier sang, avec le rudiment de vie que nous transmirent nos pères ; ces nouveaux germes travaillent sourdement en no
airer la question. Lors du concile de Nicée, tenu en 325, trois des Pères moulurent après la dernière séance, mais avant d’
at obligé pour son rôle, c’est-à-dire dans une innocence parfaite. Le père était présent et décidé à reprendre son fils, dan
partisans de la religion nouvelle. , [_a famille Park, composée du père , de la mère et de trois enfants qui ont déjà l'âg
ande satisfaction et à celle de mes amis. « Peu de temps après, mon père et un jeune homme du voisinage furent atteints d’
t atteints d’une fièvre bilieuse, un Esprit se chargea de traiter mon père ; en deux jours la fièvre fut dissipée, et il put
Harriei M. Vincent. COMMUNICATION MAGNÉTIQUE. Tonin est fils d’un père somnambule naturel. Depuis 1 âge de sept ans, i
pour terminer ses études de médecine. 11 aime une jeune fille que son père lui a refusée parce qu’il n’est pas riche. — Va
er des changements inouïs. » Peut-on avoir sur l’art dont on est le père , une opinion plus dégagée des aveuglements de la
fille d'un riche Syracusain, a secrètement répudié la religion de ses pères et a embrassé avec ardeur la foi du Christ. Elle
ument contre les idoles se trouve souvent dans les écrits des anciens Pères , et pourtant il suffit de réfléchir un instant po
en sursaut et raconte en pleurant à sa mère qu’elle a vu en rêve son père et son oncle entourés de plusieurs paysans qui vo
trouvent cinq cadavres sur les confins d’un bois. C’étaient les deux pères avec les deux filles et le cocher qui les avait c
as plus long qu’elle. —Voyez donc comme mon enfant parle bien, dit un père , idolâtre de son bambin , il a prononcé papa et m
it sans en tirer aucune conséquence; nous vivons sur les idées de nos pères , sans chercher s’ils étaient dans l’erreur; les m
discussion, par M. Morin, 529. Urbain Grandier, par Alexandre Dumas père . Réfutation, par M. La-mothe, 105. Vérité (la)
és, rapportés, commentés on réfutés dans ce volume. Alexandre Dumas père , 103, 580. Alexis Didier, 146, 296. Allait Kard
84 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
célèbres ; tous les traitements suivis l'avaient été sans succès. Son père l'amena chez moi, me priant de lui donnermessoins
ervice à celui qui avait été si longtemps l’appui, le bienfaiteur, le père de tous les malheureux. Une telle fin, Messieur
cts de la brute ne sont pas même dignes de commander aux animaux. Les Pères du désert étaient servis par les lions et par les
de la faculté qu’on lui attribuait. L’anné précédente, le comte \V., père de la comtesse M., avait épousé la princesse S. P
rincesse T., sa belle-sœur, et Marie épousera elle-même le prince S., père de celle-ci. > La mère et la fille n’attachère
laisse démolir pièce à pièce l’édifice religieux où s’abritaient nos pères , sans chercher s’il ne serait point possible de f
ôt 011 a vu apparaître derrière elle un homme que l’on a dit être son père , et qui s’est mis à la suivre pas à pas dans son
e notre conférence, parce que les fils légitimes ne reniant pas leurs pères , je me fraie ainsi l’espoir de mieux assouplir la
es entraves du passé ne sont point détruites. Nous luttons, comme nos pères , contre le despotisme d’autres hommes qui ont aus
paritions, les esprits se mollirent avec des yeux comme nous. « Mon père possédait en Bretagne la ci-devant abbaye de Lent
ère, je le priai de «la quitter pour voir ce qui faisait souffrir mon père , malade en ce moment. 11 nous dit que mon père av
i faisait souffrir mon père, malade en ce moment. 11 nous dit que mon père avait une « douleur au bras, laquelle était la su
elle était la suite d’une saignée mal « faite. Or, la douleur que mon père ressentait était le ré-« sultat d’un mouvement an
’ai la conviction intime que si M. B... en avait agi à l’égard de son père comme à l’égard de sa mère, c’est-à-dire s’il n’a
s’il n’avait pas imité les endormeurs et qu’il eût fait examiner son père pendant une séance, à ce destinée, il eût obtenu
ait son immobilité cataleptique, sans cesser de regarder fixement son père , dont le visage n’était plus qu’un long rideau de
porta heureuse, mais défaillante, presque évanouie, dans ceux de son père , dont la joie fut de la folie. Le soleil tombai
cordé la miraculeuse faveur de rendre à la vie la jeune fille dont le père venait en récompense de lui accorder publiquement
umière. « La vie est la lumière et la lumière e^t un dieu; c’est le père dont l'homme est né. Si tu comprends que tu es vi
s te constituent, un jour tu rentreras de nouveau dans la vie. « Le père de toutes choses a constitué de vie et de lumière
parfaits dans l'ordre divin ou le règne de la Création, la maison du Père . » (Voir le Journal du Magnétisme, t. XVII, p. 29
pour les malades, après une préparation convenable, afin d'obtenir du Père céleste leur guérison, ou tout au moins leur soul
c. Madame Ogier trace rapidement ces mots sur le papier : « C’est mon père ! 11 est heureux ! Il est avec ma mère. » Le collo
langue égyptienne signifie mystère. Son rôle particulier est celui de père et de créateur suprême des êtres. Les textes anti
uprême des êtres. Les textes antiques attribuent formellement au dieu père l’unité absolue et i’existence par lui-même. 11 e
mps, au milieu du polythéisme effréné qui déshonora l’Égypte. Le dieu père était associé dans son rôle de créateur à une mèr
tiens entendaient l’existence dti dieu fils Cli Ce sons que le dieu père se procréait et s’engendrait lui-même éternelleme
i-même éternellement dans le sein de cette mère, en sorte qu’il était père ou fils, suivant la face sous laquelle on le cons
espèce; sa matière, sou essence en possibilité, en virtualité, est le Père ; son espèce, son essence en activité, en manifest
son maître pour en reconstituer la trinité. La volonté de Dieu fut le Père , la raison ou loi universelle fut le Fils, l’amou
t (1) Trinité d'Athaxase. « Nous croyons on un Dieu non engendré, père el roi de toutes choses, et qui csl par lui même
sse, son Fils engendré dès le commencement cl perpétckllemk.mt par le Père .... « Nous croyons aussi en l'Esprit, le Saint
Cf. Valer. Flaccus, lil). VII, •403. Afir.'4 (1 ), mot qui selon ce père de l’tëglise étaient tous d’ori • gine phrygienne
85 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e rechute et, comme il se destinait à la carrière artistique de son père , il abandonna ses études pour se vouera la pein
Observation III. -11. C..., âgé actuellement de quinze ans, né de père et mère arthritiques, fils unique. Il n'a jamais
.., âgé de treize ans, fils unique d'une mère bien portante et d'un père n'ayant éprouvé que de légères atteintes de rhu
E LA CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS. 15 Observation VIII. - X..., né d'un père rhumatisant, a com- mencé à souffrir de la tête
¡' tWHt< 'l.l5t OI3,SE}}X ¡l.TI,qt', i, J : i M1,1,0. e X née de père ;,et de;mère bien j portants. Grand.parents du c
el. L'enfant est un peu pâle ; il a beaucoup grandi, au dire de son père , dans les deux dernières années ; il va avoir d
866. Hérédité paternelle : un frère du grand-père et deux soeurs du père ont été aliénés. Au point de vue physique r2 ?
ur"âgé de trente-huit ans, marié, instruction 'J primaire complète, père etgrand ;père aliénés. Doué d'une bonne santé p
te-huit ans, marié, instruction 'J primaire complète, père etgrand ; père aliénés. Doué d'une bonne santé physique'ét psy
ensionnaire à l'asile de Marseillp ? Ie 3 août;, 1881. Une soeur du père .a été aliénée,, une soeurGde, la malade,morte d
eille le 25 juin 1880. Pas d'hérédité vésanique proprement dite; le père était viveur et coureur, on l'avait surnommé le
;' entré- comme pensionnaire à'l'asile de Toulouse'en' mars' 1874.- Père congestif; peu intelligent, défiant/dépourvu de
moine, cornigère, et celui [d'un gentil- homme padouan, issu, d'un père (cornière : rIzFT î/ ,L4181 n51 pi Ce fut Fabric
ve ou active), déployée par le malade. Il faut toujours agir en bon père de famille. La mesure est impossible à détermin
statistique municipale de la ville de Paris, en remplacement de son père , M. le Dr A. Bertillon, récemment décédé. Asi
l'enfant étant allé passer quelques jours il Fontainebleau avec son père , il s'y sentit si bien qu'on résolut de l'y lai
nner, l'enfant étant incapable de fournir aucun travail sérieux. Le père , désolé, fut obligé de renoncer complètement à
31cêtre (service de M. Bourneville). Renseignements fournis par son père (10 novembre 4 88` ? ). - Père, quarante-cinq a
lle). Renseignements fournis par son père (10 novembre 4 88` ? ). - Père , quarante-cinq ans, homme de peine ; pas d'excè
'excès d'aucun genre ; assez intelligent; pas d'accidents nerveux. [ Père , cultivateur, mort à soixante-quatre ans «de pa
rveuse et se trouve quel- quefois mal, à la suite de contrariétés. [ Père , soixante-quatre ans, fruitier, en bonne santé.
nt avec une cuiller. Il bave depuis dix-huit mois. Il reconnaît son père , mais moins sa mère; autrefois cares- sant, il
la présence des cornes, pensaient que les mérycoles étaient fils ou pères de cornigères. Plus tard, on n'admit plus que l
son du mérycisme chez le . fils ; et la présence antérieure chez le père d'éructations acides. 248 REVUE CRITIQUE. D'a
e relatif à un jeune homme de Bristol, âgé de vingt ans, et dont le père était mérycole. Lui- même ruminait depuis aussi
oujours suspendue dans le cours des mala- dies intercurrentes. Le père et l'un des frères de cette personne étaient rumi
allez voir pourquoi : En quoi, m'a-t-on demandé, le fait d'avoir un père aliéné constitue-t-ii pour un criminel un droit
enu par ses amis, eut le temps de se ren- fermer chez lui; mais son père , qui venait le voir, reçut une balle de revolve
elle et la mère sont épileptiques de même qu'un de ses frères. Le père alcoolique, violent et brutal, est mort infirme à
. Un autre malade, âgé de trente-quatre ans, serru- rier, dont le père était alcoolique, avait trois soeurs atteintes
des boissons alcooliques, âgé de trente-cinq ans ; il est né d'un père ivrogne qui a voulu se suicider, et d'une mère
Antécédents. (Renseignements fournis par sa mère, 9 décembre 1880). Père , quarante ans, marié à vingt-cinq ans et demi, so
me, n'a jamais fait de maladies; pas de migraines, taille petite. [ Père , mort il y a longtemps, on ne sait de quoi; ne bu
te, pas de migraine, ni d'attaques de nerfs. Elle était enceinte du père de notre malade avant d'être mariée et l'abando
rs. Elle n'a jamais eu d'attaques de nerfs, ni de maladies graves. [ Père , mort par accident, buvait beaucoup, n'a jamais
s d'aliénés, etc., dans la famille.] Pas de mérycoles ni du côté du père , ni du côté de la mère. Pas de consanguinité. D
ques monosyllabes. Seulement on ne s'en inquiétait pas parce que le père avait lui-même parlé très tard. A trois ans et
técédents.-Renseignements fournis par le pe1'e (24 octobre 187J). - Père , quarante et un ans, forgeron, vigoureux et bien
uit ans « un coup de sang » et le « sang brûlé ». Pas de syphilis. [ Père , soixante-dix- huit ans, receveur -d'octroi, bi
vralgies, de migraines'; variole grave en 1870. Pas de dermatoses. [ Père , mort d'une inflammation d'intestin : aucun exc
DU MÉRYCISME. 3'.)'.) même aucun signe. Il reconnaît maintenant son père et sa mère, ce qu'il ne faisait pas à l'entrée.
en démence, et un cousin germain idiot. Il prétend en outre que son père , après avoir souffert de la goutte pendant ving
86 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
morts tous deux de fluxion de poitrine, au dire de la malade. Son père est mort à vingt-huit ans de fièvre typhoïde. C'é
vers son mari, mais apprend qu'un de ses fils est parti de chez son père par suite de* discussions avec lui, et trouve une
plus de 50,000 francs, que dans sa famille ils sont tous riches de père en fils, qu'elle a elle-même de grandes proprié
mère qui s'est toujours montrée intelligente et bien pondérée. Son père , mort il y a quelques années d'une ma- ladie de
e Mme Calmeil. Louis-Florentin Calmeil est né le 9 août 1798. Son père , reçu avocat, s'était retiré de bonne heure dan
mille qui devait se compléter par la naissance de trois filles. Son père attachait la plus grande importance à l'éducation
mutuel de l'enfant le plus vicieux aux autres. Un grand nombre de pères de familles ont entrepris de suivre le contrepi
t. De tout temps j'ai été très impression- nable et craintif. Mon père jouissait d'une excellente santé,'il est mort à s
eu un mal de jambes temporaire non sans analogie avec le mien. Mon père et ma mère étaient cousins germains. J'ai un fr
héréditaires. Mère vivante, rhumatisante, quatre- vingt-neuf ans. Père mort par apoplexie; frère légèrement rhumatisant.
, cinquante-deux ans, déjà signa- lée à propos du rhumatisme. Son père et sa mère étaient impressionnables, coléreux, sa
lui causaient parfois des contrariétés pour faire l'expérience. Le père de la malade, éthylique, goutteux, nerveux, attei
ans l'observation V, il s'agit d'une jeune fille qui vit mourir son père phtisique, le veilla après sa mort et en res- s
Elle eut une violente attaque de nerfs à la suite de la mort de son père . Elle présente, en outre, une anesthésie et ana
e ses ascendants n'a pas été sans influence sur son état moral. Son père est mort dans une maison de santé. (La Petite R
-parents du côté maternel ne pré- sentent rien de particulier. Le père de la malade était d'un' tempérament sanguin. Il
ois, il y a coexistence de ces phénomènes chez deux soeurs, chez un père et sa fille. 13. - 6° Il est certaine forme d'é
r ces écarts de régime des gros mangeurs, dont a parlé M. Lépine' ; M. Père ajoute cependant : « Il faut remarquer, d'aille
ans, vint me consulter pour la première fois le 22 avril 1893. -Son père , fer- mier, souffre de la poitrine, la mère est
s. D'après les renseignements de la malade elle-même et ceux de son père , elle était avertie de l'arrivée de l'attaque p
' t ' -; j"" . ' ' 1 1 1 · le : ? t)j ? ' ,,vu le cercueil dèi son père j'entoure, de fleurs rouges) a'conçn r une.horr
rvation. Vaud... dix-neuf ans, épilepsie. Antécédents héréditaires. Père alcoolique, emporté. Mère morte tuberculeuse. S
iste. Cir..., vingt-six ans. Epilepsie. Antécédents héréditaires. Père mort de la variole à quarante DE l'intoxication
pendant sa grossesse. Cette enfant fut conçue pendant l'ivresse du père . Ac- couchement normal à terme. Antécédents p
te au point de vue étiologique : Mlle Jeanne A... est la fille d'un père arthritique et d'une mère nerveuse, qui a elle-
PIEDS ET DES mains; par Stewart 1VORVELL et RAMSAY SMITH. Chez le père et le fils les malformations consistaient dans la
4 % FAITS DIVERS. Dix personnes au nombre desquelles se trouvent le père , le mari, deux femmes, tous parents de la victi
ses parents, s'est asphyxiée, avant-hier jeudi, par le charbon. Son père , en rentrant de son travail, à 7 heures du soir
eine-et-Marne), déclara-t-il. Le 3 avril, je me suis rendu chez mon père à Sene- zergues (Cantal) ; j'ai vu là que mon p
s rendu chez mon père à Sene- zergues (Cantal) ; j'ai vu là que mon père martyrisait mon frère Alphonse, âgé de douze an
uze ans, et que j'aimais beaucoup. J'ai fait des remontrances à mon père , il m'a envoyé promener. Alors, j'ai emmené mon
de partir avec moi, mais il n'a pas voulu me suivre par peur de mon père . Alors, ma foi, comme j'ai vu que je ne parvien
quets. Ne pleure pas, chéri, lui dis-je. C'est pour ton bien, notre père ne te battra plus, et tu seras heureux là-haut
position de Laborie ? Des dépêches ont été envoyées dans le pays du père , à Senezergues et à Saint-Denis (Seine-et-Marne).
épilepsie passant du grand'père au petit-fils sans avoir atteint le père . On peut se demander si les deux opinions ne so
accidents de l'épilepsie avant qu'ils se soient manifestés chez le père . On peut donc concevoir que, pour une raison ou p
e fils n'ait pas eu le temps ou l'occasion de se manifester chez le père , bien que celui-ci ait également hérité de la p
r plus tard le jour à des petits épileptiques bien que d'un autre père . Il semble qu'il y ait là un phénomène d'hérédité
lepsie, la disproportion d'âge entre les parents; l'âge avancé du père , et surtout de la mère; l'existence dans les ancê
DE l'intoxication dans l'épilepsie. 443 Antécédents héréditaires. Père alcoolique mort à soixante-cinq ans, mère bien
ne intensité de 1 milliampère ; réaction oculaire pour 2 milliam- pères . Les réactions polaires sont étudiées successivem
ousses un peu douloureuses avec un courant de plus de 10 milliam- pères . On peut aussi, en mettant une lance à faible o
ir de l'y retrouver quelque jour à l'état sauvage. Samuel Tuke, son père , était un Quaker bien connu et, par conséquent,
psychologie à l'école de médecine d'York. En 1857, à la mort de son père , il fut décidé que la vieille maison de famille
87 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'exposé de chaque cas. ORSERVATION I. IDIOTIE I,fYSyDÉ3fATEUSE. Père tuberculeux ( ? ). Oncle maternel paralysé, alién
tion l'enfant a gagné 4°.] Observation II. IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE Père , fièvres intermittentes. Grand-père paternel, apo
.. Observation III. IDIOTIE MYXOEDËMATEUSE. , , Enfant naturelle. Père sobre,' caractère sournois; renseignements- , i
ousin, pieds bots. - Pas de consanguinité. - Egalité d'dge entre le père et la mère. - Grossesse : émotion vive au qua
l'enfant (le 6 septembre 1894). La malade est une enfant naturelle. Père , valet de chambre, a eu des rapports avec la mè
qu'elle se soit mariée il y a dix ans elle n'a pas eu d'enfant. Son père , menuisier, buvait la a goutte » tous les matins
issu de ger- main a les pieds tournés. Pas de consanguinité : le père est du département de la Seine ; la mère est de
r la différence de forme du nez de la malade de celle du nez de ses père et mère que nous avons mentionné, détail qui a
ison, Delannoy resta pendant quelque temps comme jardinier chez les Pères missionnaires ; puis un beau soir il disparut,
a trait à une femme qui avait commis des actes de violence sur son père et sa mère et qui croyait sa maison entourée d'
Une légère amélioration se produit dans la, santé générale, et son père qui vient la voir accepte volontiers l'idée d'une
te que les femmes et les enfants soient soustraits à la tyrannie de pères et d'époux alcoolisés, en confiant à la femme, da
rère du suicidé s'est noyé dans la Marne, il y a quelques mois, son père avait à plusieurs reprises tenté de se pendre.
revendeuse à la toilette, s'ingénia d'abord à détacher l'enfant du père . Ce premier résultat obtenu, elle fit la leçon
r l'enfant ayant constaté qu'elle n'avait subi aucune violence, son père fut aussitôt remis en liberté provisoire. Conti
porté secours à la victime, les gendarmes ont mis les menottes à ce père dénaturé et l'ont emmené. Le parquet a pris les
ints de perversion morale ou d'épilepsie. Assurément la conduite du père de cette « simple d'esprit » est inhumaine et b
ropathiques. Ses parents et grands parents sont tous morts âgés, le père à quatre-vingt-seize ans, la mère à quatre-ving
ible s'est déroulée, hier, rue Blomet, dans une famille composée du père , M. L..., âgé de soixante-cinq ans, de la mère
rise d'un subit accès de folie furieuse, et a tenté d'élrangler son père et sa jeune soeur, en ce moment alitée. Jeanne
. Concernant l'héré- dité nous avons appris les faits suivants : le père du malade était un homme énergique et actif ; l
gogique le 9 avril 1893. Antécédents {Renseignements fournis par le père et la mère, en mai 1893). - Père, quarante ans,
nts {Renseignements fournis par le père et la mère, en mai 1893). - Père , quarante ans, bien portant, grand et fort, mar
chand de vins en gros. Aucun renseignement précis sur la famille du père . Il n'y aurait dans sa famille, ni aliénés, ni ne
quatorze ans. Réglée à douze ans et demi. - [Famille de la mère. - Père , bien portant, cultivateur, sobre. Mère, douleu
: frappe du pied, renverse les chaises. Il veut une bicyclette, son père refuse, il se sauve et va en louer une. En fé
bserve très bien, et possède une excellente mémoire. Elle dit à son père qu'elle sait bien qu'elle est une malade très dif
une malade très difficile; elle se loue des infirmières et prie son père de leur apporter des ca- deaux. Au moment même
porter des ca- deaux. Au moment même où elle tient ce langage à son père , il ne faut pas, pour la maintenir, moins de de
De quoi donc est-elle atteinte ? Comment, lorsqu'elle a eu dans nos pères et nos grand'pères des travailleurs si opiniâtr
malade avait une bonne santé. A l'âge de huit ans, il commença (son père tenait un débit de spiritueux) à faire usage de
l'une d'elles. Observation IL - Femme de quarante-six ans, dont le père a 268 .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. présenté
résultat fut une amélioration qui dura environ une année. Comme son père était dans le commerce du houblon, on le chargea
ÉGIE DROITE ET PARAPLÉGIE INFÉRIEURE ; Par BOURNEVILLE. Sommaire. Père , excès de boisson. - Grand-oncle paternel suici
notre service le 24 novembre 1888. - - Antécédents héréditaires. Père , cinquante-cinq ans, homme de peine dans un lav
gé d'eau-de- vie. Sa physionomie dénote ses habitudes alcooliques. [ Père mort à quarante-huit ans (fusillé au fort d'Ivr
nerfs ni de migraines, mais des accès de colère suivis de pleurs. [ Père mort de bronchite chronique ; nombreux excès de
peut fournir de détails. Depuis lors il n'en a plus eu, affirme son père . Quand B... est revenu ehez ses parents, à deux
e jours, à l'aide de poids. Lorsque B... est rentré de Berck, son père a remarqué qu'i7 avait les genoux collés et qu'
s qui n'existaient pas au momentdu départ : « Avant mon départ, mon père me portait sur ses épaules et j'écar- tais bien
s et les inci- sions auraient produit de vives douleurs. Au dire du père , 8..., n'au- rait rien appris dans cette maison
ar la rotation du bras et de l'épaule. Aucun traumatisme connu du père et de l'enfant n'explique cette laxité des ligame
ent frappée par la vue d'un mendiant atteint d'hémiplégie et que Je père prétend que son fils a un bras et une jambe qui
e du côté droit, ainsi que la paraplégie inférieure. Si, d'après le père , on n'a pas remarqué de paralysie à la nais- sa
88 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
gauche et autant de fois du pied droit. S'il ne le faisait pas. son père mourrait. Si des occupations le retenaient le jou
menade la nuit, même par les plus mauvais temps. Après la mort de son père , il supprima ces courses. Il lui est arrivé de fa
'un colonel, âgée de 37 ans, descend d'une famille névropathique. Son père a souffert de diabètes melUtus; une sœur de sa mè
comprend tous les devoirs de tutelle intellectuelle et morale dont le père se décharge. Mais Rollin lui-même donne des conse
ans le jardin, d'individus qui lui disaient que j'avais assassiné son père , que j'étais un monstre, et elle ne pouvait prête
s sont favorables : il ne connaît pas de nerveux dans sa famille. Son père est mort à soixante-douze ans, après avoir joui d
'une mère un peu nerveuse et affligée de fréquents maux de tète ; son père n'a jamais été malade. Elle a quatre enfants, deu
vec excès et H étaildipsomane. Il avaithéritéde cette tendance de son père , et une de ses sœurs était morte d'alcoolisme. Il
otique. L'enfant Georges H..., Agé de huit ans, m'est amené pas son père , le 9 avril 1891, de ???-le-Duc, envoyé par son m
seul pendant son sommeil. Quand il allait aux cabinets, il priait son père de l'accompagner pour qu'il ne succombât pas à la
ggestions, je ne pus le faire rester en repos. Il était indocile; son père était onaniste et l'est encore. C'était chez cet
aux poules les cris du perroquet quand on en approchait laçage. Mon père , avec lequel je parlais un jour des impressions m
les autres petits, de même que les jeunes animaux descendant d'autres pères portent toujours les traces du premier père (3).
maux descendant d'autres pères portent toujours les traces du premier père (3). Le premier maie produit probablement sur l
'il s'est mis à faire ses devoirs : .\ midi, il est allé chercher son père à l'atelier; le père est venu avec un de ses ami»
ses devoirs : .\ midi, il est allé chercher son père à l'atelier; le père est venu avec un de ses ami» qui est resté à déje
ls d'Artena depuis 1S52, et il y a toujours trouvé les mêmes noms. Le père , le fils, le petii-fils se suivaient à distance,
les annales judiciaires : l'une do sept personnes, l'autre de six, le père , la mère et les fils; pas un ne manquait. — On pe
ouvrier à la cristallerie de Baccarat. Agé de vingt-huit ans, marié, père de deux enfants, heureux dans son ménage, il n'ac
autre manifestation nerveuse. Son nervosisme parait héréditaire. Son père , sur lequel il ne peut fournir de renseignements,
uelle de celui on de ceux qui le lui ont choisi. En effet, quand un père ou one mère afiùbleut sans motif raisonnable un d
yons maintenant ce qu'étaient les ancêtres de Lœtitia-Cymadocée. Le père ne fut pour rien dans le choix des prénoms de sa
démêlés avec la justice. Un jour môme il est allé jusqu'à frapper son père . La mère est un esprit plus borné encore. C'est
e cette femme étaient, eux aussi, des gens très peu intelligents. Son père louchait; sa mère était capricieuse, bizarre, vio
sprit très borné, d'une religiosité superstitieuse et exagérée. Son père est un type pariait d'imbécillité prétentieuse. D
ts héréditaires. Mère morte d'une piqûre de serpent il y a douze ans. Père , 47 ans, bien portant, présente peut-être quelque
un homme de 35 ans, employé de commerce, d'un aspect vigoureux. Son père , bien portant, est cependant un migraineux; sa mè
estibililé. — Hypnotisation facile. Angèle D..., âgée de vingt ans; père hystérique, atteint de monoplégie brachiale. Elle
juin 1891, clic a vu survenir une nouvelle crise en apprenant que son père venait de se casser la jambe. Elle revient à la c
grande. — Hypnotisation facile. Jeanne C..., âgée de quatorze ans; père mort de tuberculose à l'âge de trente-huit ans. P
a vingt ans». La môme chose fut observée par M. Hartli. qui vit son père mort et reçut deux baisers; tout le monde vit aus
s parent* morts, en entendirent les voix. La pensée de la femme et du père de ces messieurs se transmit au médium et par lui
s détails. Cette malade a des antécédents héréditaires fâcheux : un père buveur, débauché, une sœur tombant facilement en
lle en avoit esté empeschée do ce faire, retenue par ledit Isaac, son père ». Dès qu'un démouiaque était signalé, les mini
te. Il y a maintenant lieu d'espérer qu'elle ne retournera devant nos pères conscrits que pour y être entérinée purement et s
t, el sortoil (ledit Jacob) de sa maison un matin pour aller chez son père ; et comme il fust au bout de son allée, entrant d
la guérir? R. Qu'elle luy fist un signe de la croix, disant au nom du Père , du Fils et du Sainct E=prit, etc. et luy bailla
cun esgard à la verge qui le frappait, ains seulement à la volonté du père . La verge punit le fils et toutesfois le fils ne
qu'il ne soit encores enfant sans raison. Mais il dit que ça esté son père qui tient la verge en la main, el s'en sert à le
89 (1881) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1880
de M. Boun : OEYILLE). Antécédents héréditaires. - Nuls du côté du père qui ne présente ni alcoolisme, ni diathèses, ni
ies ; pas d'aliénés, d'épileptiques, d'idiots, de suicides, etc. Le père et le grand-père paternel seuls sont morts d'ap
e paternel seuls sont morts d'apoplexie. Pas de consanguinité; le père est né à Paris : la mère est de Courancelle (Me
analogues sont très rares. 24 IDIOTIE ET ÉPILEPSIE. Observation. Père alcoolique ? Frayeur au 5e mois de la grossesse
de 12 ans. Renseignements fournis par sa mère (2 avril 1880). -- Père , enfant naturel, 55 ans, peintre en voitures ; il
émateuses. Elle est nerveuse, mais n'a pas eu d'attaques de nerfs. [ Père et mère morts du choléra en 1849. - Soeur morte
i- gent.] Il va de soi qu'on ne heutinvoduer la consanguinité, le père étant enfant trouvé de Paris et la mère étant née
a sensibilité. Observation. Antécédents névropathiques du côté du père .-Scrofule;. séjour àBercJz et à la Roclze-Guyon.-
32 IIYSTÉRO-ÉPIL.EPSIE. Antécédents. (Renseignements fournis par le père et la mère. Décembre 1879.) Père, 46 ans, mus
. (Renseignements fournis par le père et la mère. Décembre 1879.) Père , 46 ans, musicien ambulant ; devenu aveugle à l'â
fièvre typhoïde, un érysipèle et la teigne ; intelligence moyenne. [ Père mort d'une hernie étranglée; pas d'excès. - Mèr
inguinales, de plaques mu- queuses ni d'alopécie; mariée à 18 ans. [ Père devenu aveugle à 61 ans par suite d'ophthalmie
pétigo du cuir chevelu jusqu'à 11 ans. Variole bénigne à 16 ans. Le père a toujours été bien portant; la mère est morte
e de M. BOURNEVILLE, alors dirigé par M. Falret). Antécédents. Le père et la mère, tous deux bien portants, n'ont jama
boisson.-Pas de consanguinité. Une cousine de l'enfant, du côté du père , est morte épileptique. Interrogée sur la march
ental. L'intelligence est presque nulle, P... ne re- connaît ni son père , ni sa mère ; aucune parole. Il fre- donne de t
90 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
fille d'une mère arthritique au suprême degré et graveleuse, et d'un père alcoolique. A l'âge de 7 ans. elle a eu du rhumat
chloro-anémiquc. Un peu plus tard, elle éprouve une grande peur : son père , en état d'ivresse, ayant mis en joue avec un fus
it tout simplement atteint d'astérophie essentielle. Obs. II. — Mon père avait une vieille tante, sans autres infirmités q
, Monsieur le capitaine, quêter pour l'éducation des enfants que leur père et mère ont abandonnés. Nous implorons votre géné
manie avec idées de suicide et céphalée. Antécédents héréditaires : Père rhumatisant, mort d'une affection cardiaque; mère
dès l'enfance des habitudes d'onanisme. Nous apprenons aussi que le père était très menteur; qu'étant malade à l'Hôtel-Die
ien il refusait de solder son compte quand on le lui réclamait. Son père avait des habitudes d'ivrognerie. A l'âge de quin
t pas resté et est parti pour Neufchâteau ; puis, dans le pays de son père , où il s'est livré à outrance aux excès de boisso
si : c'est, du reste, une habitude héréditaire dans la famille de son père . Il ne peut plus se rappeler comment il est par
tion III (de M. Crothers, résumée). Le sieur A., loueur de chevaux. Père faible d'esprit, mort phtisique. Mère folle penda
ion VI (de M. Bouchet z, résumée). . Victor Henry, âgé de 23 ans. Père presque habituellement ivre et brutal, mère irrit
se purge tous les deux jours. Il avait perdu sa mère, à 3 ans. Son père , qui l'avait instruit et éduqué, lui répétait sou
s religieux, le désir de convertir. Pascal commença par sermonner son père , qui, tout en ayant un très grand respect de la r
ux ans et d'un esprit qui, ayant été précoce, restait peu commun. Son père refusa à Jacqueline l'autorisation d'entrer en re
st quand je tire « argument des actes des somnambules naturels. Qu'un père « croyant tuer une bête fauve qui veut le dévorer
e. L'aphasique peut-il faire un testament valable ? Alexandre Dumas père a déjà résolu, il y a longtemps, la question au p
s le cas présent d'un enfant de huit ans, Louis Oh.., né à Paris d'un père alcoolique, brutal, sujet à des accès de dêlirium
... avait une mère âgée de 43 ans, atteinte d'épilepsie ; quant à son père , il était mort à 45 ans, à la suite d'une hémiplé
Je te prie de veiller sur lui, Et te paierai de mes deniers, Son père est satisfait Quand il commence à lire. Et so
. L'action du cerveau, l'influence du moral, comme auraient dit nos pères , sur les organes de la génération est profonde, .
e à Paris, elle a été orpheline toute jeune et ne sait rien ni de son père ni de sa mère ; elle n'a de renseignements que su
ix-huit ans, appartient à une famille manifestement névropathique. Le père , atteint de mélancolie-suicide consciente, s'est
e deux à trois semaines. L'ainée des filles a hérité de la maladie du père ; mariée à un homme honnête et bon, mère de deux
ette fois, désespérée, elle ne me consulta pas et se pendit comme son père . Des trois filles restant, deux sont d'un dévergo
enfant à se laisser détatouer. Nous n'hésitons pas à répondre que le père de famille a le droit centaine de détenus, un s
e famille d'ouvriers fixée à Paris depuis une quinzaine d'années. Son père , emphysémateux, sujet à de violentes crises d'ast
anne F.... rentre un soir de son travail, juste à temps pour voir son père lui tomber mort dans les bras. Le choc est terrib
uplé de cauchemars évoluant autour d'un souvenir funèbre : la mort du père dans les circonstances que l'on sait. La malade
ué à travailler et à se bien porter. L'anniversaire de la mort de son père n'a ramené aucun accident morbide. Quant à la cas
veuse de Jeanne F... qui a rendu possible chez elle, après la mort du père , la désagrégation psychologique avec ses corollai
Ses antécédents héréditaires sont d'ailleurs des plus favorables. Son père et sa mère, bien portants, ne sont pas peureux ;
irraisonnée. Depuis ce moment, il eut peur de l'obscurité. Quand son père l'envoyait à la cave, il se mettait à trembler et
e deux ans. Il a des antécédents héréditaires assez défavorables. Son père est doué d'un caractère emporté ; sa mère est trè
couler du sang, quand sa sceur avait des crises, et surtout quand son père s'emportait. Il avait également une peur extrêm
91 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
gociant âgé de 44 ans. Ses antécédents héréditaires sont chargés. Son père était irritable, nerveux. Sa mère avait 49 ans lo
97, dans le service de M. le Dr Rondot. Antécédents héréditaires. — Père vivant, quarante-cinq ans, bien portant. Mère mor
r dans mon cabinet une fillette de 12 ans, portée sur les bras de son père , et qu'on m'amenait d'une ville voisine. Elle éta
on cabinet et sans douleur. Elle n'avait d'égale que l'émotion de son père , à qui je n'avais dit un mot de mes intentions, e
mon cabinet, s'en retourna à pied, ne donnant pas même le bras à son père . Deux mois après, la même scène se renouvelait.
ne se renouvelait. La même enfant était reportée, sur les bras de son père , dans mon cabinet, avec les mêmes accidents. Ils
de personnes interposées. Seront réputés personnes « interposées les père et mère, les enfants et descendants, ot l'époux d
tation. S'agit-il d'une attaque d'apoplexie ? Rien de spécial pour le père qui est mort à 40 ans d'une affection de cœur et
Un sieur Czvnski, magnétiseur de bas étage, parvint, quoique marié et père de famille, à séduire, par des manœuvre de sugges
e mariage religieux, par un complice déguisé en pasteur. A la fin, le père et le frère de la baronne de Z... déposent un
ées par M. le Dr Van Renterghem d'Amsterdam et par M. le Dr Crocq père , membre de l'Académie de Médecine de Belgique.
ses grands-parents. D'après son frère ils n'étaient pas nerveux. Son père alcoolique s'est suicidé sans qu'on ait su le mot
femme « comprend ces choses-là. M. Apollinaire habite lui. Laissez le père « tranquille. Mon frère est en zouave, il n'est p
tares uévropathiques quelconques. Il n'a ni frère, ni sœur ; son père et sa mère sont bien portants, âgés l'un de 50, l
tique de Braid n'existe pas. Malgré ces divergences, Braid reste le père de la doctrine suggestive ; l'Ecole de Nancy proc
l'état de veille. Jules C. est un Breton de 34 ans, fort gaillard, père d'une nombreuse famille, ouvrier d'une usine de t
st quand je tire argument des actes des somnambules naturels. « Qu'un père , dit-il, croyant tuerune béte « fauve qui veut dé
s circonstances qui avaient amené cette malheureuse affaire. Mais son père lui avait défendu d'aVoir aucun rapport avec nous
ns frayes. Ces principes que nous disons innés ont été acquis par nos pères , et nous les acquérons nous-mêmes, mais incompara
terrestres, a présenté un travail de concentration continuel. Au père de famille correspondait le dieu familial, an che
i réclament ses soins. Sa moralité laisse beaucoup à désirer ; marié, père de famille, il vit avec son médium, dont il a eu
st vrai que ce tétégramme ne porte aucune signature ! Cependant, le père et le frère de la baronne de Z... ont appris la c
rut, Gilbertc avait six ans, Biaise trois ans, Jacqueline un an. Leur père , qui les aimait tendrement, se chargea de leur in
y être soumis. Ces maximes, qui lui étaient souvent réitérées par un père pour qui il avait une très grande estime, et en q
ance. Voici des strophes qu'elle écrivit à treize ans, en 1638: « Père de ce grand univers, Si l'ardeur de faire des v
écédants héréditaires de l'enfant. Jeanne P..'sont très clvirgés. Son père est névropathique : il grince des dents la nuil e
e et répète tous les mots grossiers quelle a entendu proférer par son père dans des étals d'emportement. Les expressions de
CHAPITRE III. LES SUGGESTIONS DE 1646. En Janvier 1C46, Pascal le père , qui depuis six ans habitait Rouen comme commissa
bonne vie que l'on connaissait, écrit Gilberte, donnèrent envie à mon père , à mon frère, à ma sœur devoir les livres qu'on j
réé. Là, durant six ans, les deux théologiens étudièrent ensemble les Pères , les Conciles et la tradition. Ils crurent y trou
e Arnauld avait trente-quatre ans. Il était d'origine auvergnate. Son père . Arnauld l'avocat, subvenait de ses deniers aux b
enflammoit de telle sorte qu'il se répandoit sur toute la maison. Mon père même, n'ayant pas honte de se rendre aux enseigne
s habitudes et changea ses relations, elle voulut se marier. Mais son père , ayant surpris ses intentions, lui extorqua lu si
clôture, si sévère sur ce dernier point qu'elle empêchait son propre père d'entrer à l'abbaye. Elle subissait d'ailleurs l'
92 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
888; il était âgé alors de 34 ans. Antécédents héréditaires : Son père a eu la gravelle et a subi la lithotritie en 18
La planche VII est la paraphrase de la précédente. Par terre git le père Ilervier, l'apologiste de Mesmer. La planche
s le service de M. le professeur Charcot. Antécédents héréditaires. Père . Mort à 36 ans d'une fièvre typhoïde avec manif
ement en bonne santé. Pas de consanguinité. Du côté pateruel. - Son père était fils unique, ni lui ni ? iiièi-0 ne connais
le service ile 11. le professeur Charcot. Antécédents héréditaires. Père de 39 ans, ouvrier sobre et bien portant mais t
spect tout-a-fait particulier. Le nommé G... âgé de 27 ans, né d'un père arthritique et calculons âgé ac- tuellement de
é chétif, difficile à élever. Il a été très jeune maltraité par son père qui l'appelait « le sournois », et le fil travail
onger cependant à l'in- fluence de l'hérédité. Ici nous trouvons un père alcoolique : or, je vous l'ai "' dit maintes fo
germe, la famille neuropathidue tout entière ». De plus, le grand- père paternel aurait eu des attaques convulsives sur l
rcot à la Salpêtrière, salle Prus, n° 11. ' A. H. Mère asthmatique. Père mort en 1881 de bronchite chronique. Un ; frère
dans le ser- vice de M. le professeur Charcot, salle Prus. A. Il. Père hémiplégique il 50 ans. Mère morte de maladie aig
as de maladies nerveuses connues dans la fa- mille. Le malade est père de 5 enfants bien portants : son sixième et derni
, salle Parmentier, à la Sal- pêtrière. Antécédents héréditaires. Père très alcoolique. Mère hystérique, issue elle- m
suivante, 2°, où le courant avait la même intensité de 25 milliam- pères , et la ligne 4°, où l'intensité du courant était
lles du pôle négatif se montrent déjà avec un courant de 6 milliam- pères ; la forme des tracés montre que les secousses du
e et d'ouverture au pôl(négal1f : 10 à 1C. XX éléments, 15 milliam- pères ; pour les autres lignes comme il est indiqué sur
re signalé l'hérédité similaire directe ou col- latérale, allant du père au fils, de l'oncle au neveu. Hérédité de trans
es oeuvres du sculpteur Alfred Boucher : Tobie rendant la vue à son Père . - Pour plusieurs raisons nous nous. sommes dép
tionnel, implore l'assistance du Très-Haut, Tobie se penche vers son père et s'apprête à toucher ses yeux avec le fiel du
l'a déjà si mer- veilleusement tiré du péril que la guérison de son père ne fait pas pour lui le moindre doute. C'est un
doute. C'est un croyant qui opère et semble dire : « Allons mon bon Père , dans un instant vous verrez la lumière et vous b
la Raison placée par l'artiste vis-à-vis celle de la Foi. Quant au Père , le plus intéressant de tous pour nous médecins,
tendrement aimé qui vient accompagné d'un messager du ciel. Et le Père se livre tout entier dalls un transport de foi, a
Antécédents héréditaires. Ses grands parents lui sont inconnus; son père est mort de pneumonie ( ? ) et sa mère d'hémoptys
de M. Bourneville le 23 février 1887. Antécédents héréditaires . - Père 36 ans, charretier, taille ordinaire, fort bien
ni de maladie de peau, aucun indice de syphilis. Caractère emporté. Père mort à l'hôpital de la Charité, il y a 15 ans,
il y a 15 ans, d'excès alcoolique. Mère morte en couches de lui (lo père de l'enfant) 6 semaines après l'accouchement. G
rents paternels, pas de détails. Un seul oncle du côté paternel. Le père de la mère de l'enfant. Pas de tare nerveuse. Un
rhumatismes, ni dartreux, aucun accident nerveux. Mariée à 20 ans. Père mort d'une chute d'un arbre. Mère d'une attaque d
11 jours. v 20 298 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. Les père et mère paternels morts on ne sait de quoi. Grand
nts dere- Fig. 40. 322 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. père les mêmes également. Notre intention n'est pas da
on paraît encore frappée de ces mouvements dont il a été le témoin. Père actuellement âgé de 45 ans, de constitution peu r
. Craignant les re- montrances de cette personne en présence de son père , il est cloué sur place : ses jambes se déroben
es jambes se dérobent sous lui, sans qu'il perde connaissance, et son père est forcé de le prendre entre ses bras pour le
93 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
de 25 ans, née à Borgo d'Ale, mariée depuis 7 ans, ménagère. Sou père et sa mère sont encore vivants et très bien porta
âgé de 47 ans. Il nous raconte que son grand-père paternel, et son père , étaient atteints d'un tremblement continu des
il, pour « faiblesse de constitution ». Antécédents héréditaires. Père (68 ans) et mère (56 ans) en bonne santé. Deux
s, de Vallombrosa (Toscane) (PI. XIX). Antécédents héréditaires. Le père est mort d'une maladie infectieuse aiguë à 45 a
Pédiatrie de Paris (16 fé- , vrier 1909) d'une famille composée du père et de trois enfants tous achondroplasiques à un
peut encore marcher et vaquer à des occupations assez actives. Son père mort depuis quelques années était aussi myopath
ice de M. le Professeur agrégé Vires). Antécédents héréditaires. Le père du malade a joui d'une bonne santé jusqu'à l'âg
dité de notre malade de trace d'hérédité nerveuse ; sim- plement un père mort de baccillose bien après la naissance de H..
mourut à l'âge de 60 ans à la suite d'une maladie intestinale. Son père , lui aussi, sauf quelques accès de goutte, n'a pa
transmission héréditaire. Il s'agit d'un sujet de58 ans, dont le père a eu le doigt annulaire courbé avant la naissan
ant le travail ; le fils, âgé alors de 1 ans, a entendu faire à son père , ce récit quand il lui a demandé la cause de ce d
, ce récit quand il lui a demandé la cause de ce doigt recourbé. Le père est mort il y a 18 ans, à Page de 91 ans. Quinze
ença à voir se courber,doigt annulaire on droit de même que chez le père ; ce doigt se rétracta peu à peu. Le même sort
e doigt frappé est le même qui a été blessé el contracturé chez son père . S'agit-il d'une coïncidence accidentelle, ou b
dentelle, ou bien y a [-il quelque rapport avec le trau- matisme du père ? Si elle n'est pas accidentelle, il est nécessai
port de la contracture du fils avec le traumatisme du 268 ROUDNEW père ? Est-ce la cause héréditaire par suite de prédis
e la cause héréditaire par suite de prédisposition transmise par le père qui a agi, et la contracture pourrait-elle être c
cerveau le fait du doigt fléchi qu'il voyait tous les jours chez le père . Le temps aidant, la contrac- ture a pu se crée
ention dans son enfance; il raconte qu'il apprit par hasard que son père s'était blessé au doigt. Chez le fils, la contrac
cture du doigt commença à se développer quinze ans après la mort du père . Au commencement, il n'y prit pas garde et quan
t atteint un certain degré, il pensa : « mais, c'est comme chez mon père ». L'apparition de la contrac- ture à l'autre m
ture à l'autre main l'étonna davantage : cela n'existait pas chez son père . Mais parce que le doigt était symétrique, le m
mière hypothèse, comme si l'in- fluence héréditaire était vraie. Le père a transmis au fils la contracture que lui même
s immédiatement après la naissance, mais presque au même âge que le père l'a acquise. S'il en est ainsi, la transmission
ne maladie d'origine corticale ; c) voyant le doigt fléchi chez son père ,il a pu se graver involontairement dans le cervea
ntre à l'asile de Blois le 8 avril 1904. Antécédents héréditaires.- Père mort à 73 ans d'une maladie de coeur ; mère mor
n'existe pas de syphilis héréditaire. Antécédents héréditaires. Son père et sa mère sont vivants, en bonne santé ; son p
éréditaires. Son père et sa mère sont vivants, en bonne santé ; son père a 60 ans et se plaint de douleurs rhumatismales ;
al de tête. Le lendemain il est resté au lit, et le 11 novembre, le père du malade tenant son fils sur ses genoux a obse
rien à noter de particulier dans ses antécédents héréditaires : sou père et sa mère sont vivants et bien portants ; elle a
66 ans, de Florence, sans profession. Antécédents héréditaires. Le père mourut à 52 ans à la suite d'une cys- tite ; de
taille exceptionnelle éveillait autour de lui. Ayant hérité de son père une fortune assez rondelette, il la dépensa en qu
hèse. Celle-ci est rendue beaucoup plus probable par le fait que le père de Palazzi a été, à ce qu'il nous dit, très pro
l'existence du caractère héréditaire possible de l'acromégalie; le père de cette jeune fille est un acromégalique des p
and-père est mort à l'tige de 110 ans ; sa grand'mère à 98 ans ; le père et la mère à 60 ans. Notre sujet était bien por
ier, marié dePisa. Il entre à la clinique le 27 janvier 1909. Son père mourut à l'âge de 73 ans d'une maladie de coeur ;
et Agasse-Lafont. En interrogeant avec soin Lippi, j'appris que son père avait une tète assez grosse ; dans les dernière
on entrée à l'asile d'Evreux, en 1901. Antécédents héréditaires. Le père du malade est encore vivant. Cet homme semble p
observe en outre chez lui des troubles accusés du caractère que son père nous décrit ainsi : « Il avait une résistance à
hutes, au manège, sans gravité d'ailleurs. Un jour il écrit à son père qu'il se sentait malade, et qu'il n'avait plus au
cet état caractérisé par du mutisme avec indifférence absolue. Son père et son frère viennent le voir, il ne les reconnaî
Sorti du régiment il est employé dans une compagnie industrielle ; le père de B... remarque chez son fils de nombreuses «
e congédie. ULCÉRATIONS TROPHIQUES 543 Revenu de nouveau chez son père , il passe ses journées à errer dans le jar- din
dans tous les coins. Au mo- ment où il s'y attendait le moins, son père le voyait tout à coup se dresser de- vant lui,
de cet incident, il est condamné à cinq ans de travaux publics. Son père est mort alors qu'il avait six ans ; sa mère es
effet sujet italien et prétend qu'on l'a incorporé à tort, car son père était de nationalité italienne. Informations pris
frappé brutalement. Cet homme, dont l'hérédité était très chargée ( père alcoolique, mère nerveuse) avait présenté à plu
nnée 1907. Albert D..., actuellement âgé de cinq ans. Hérédité. - Père 24 ans, bien portant. Mère, 25 ans. N'a jamais
très exactement l'ori- gine et le début de l'affection. D'après le père , l'enfant, très gros, aux jambes cerclées, n'au
ût 1905, à l'âge de 15 ans. A cette date on note : Antécédents. Son père est un ancien alcoolique, il avoue l'habitude de
LXIX). , S. P..., âgé de 22 ans, marié avec enfants, sculpteur. Son père a bonne santé, mais grand buveur de vin. Sa mèr
état de faiblesse déterminé probablement par les excès d'alcool du père s'est uni un processus infectieux chronique tuber
ion ; une soeur est en revanche normalement conformée, ainsi que le père et la mère. Il semble donc bien s'agir d'une ma
ion scientifique de la nature humaine. L'homme n'est pas ce que nos pères avaient rêvé et toutes les institutions fondées
r et de savoir si les mêmes phénomènes avaient déjà existé chez ses pères et les pères de ceux-ci, aussi loin qu'il put rem
r si les mêmes phénomènes avaient déjà existé chez ses pères et les pères de ceux-ci, aussi loin qu'il put remonter. Ses
à devenir le mécanicien de la machine humaine. Les croyances de nos pères étaient bien simples, mais elles devaient être te
94 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
juge d'instruction ; au bout de quelques heures, l'enfant avoue : son père a attiré la jeune fille à la synagogue; l'enfanta
le trou de la serrure ; il a vu la scène de boucherie : il accuse son père . 11 maintient ses affirmations à l'audience ; en
se son père. 11 maintient ses affirmations à l'audience ; en vain son père le conjure devant Dieu de dire la vérité : l'enfa
jour; il n'a jamais fait aucun excès, ni alcoolique, ni vénérien. Son père , cordonnier, a 60 ans et se porte bien, ainsi que
est depuis longtemps au service, aimé des sœurs et des malades. Son père , alcoolisé, a abandonné sa mère en septembre dern
nt de paralysie infantile, n'ayant pas eu d'autres troubles nerveux ; père , mère et une sœur bien portants. Assez intelligen
convalescent de pleurésie, sans antécédent nerveux, bien constitué ; père et mère bien portants, deux sœurs et un frère bie
mpose comme directeur de sa famille quand celle-ci vient à manquer du père , son chef naturel. Tel il est à l'âge de dix à do
x ans, est née d'une famille dans laquelle on trouve, tant du côté du père que du côté de la mère, de nombreux cas de névrop
A ces noms, nous devons ajouter celui de M. E. Bérillon (de Joigny), père de notre rédacteur en chef. Ce qui a valu à M. Bé
d'entretenir l'Académie l'an dernier. Dans une famille composée du père et de deux fils, le diamètre antéro-postéricur de
du père et de deux fils, le diamètre antéro-postéricur de la tête du père , âgé de quarante-huit ans . mesurait 19 cent. 8.
présentait déjà 17 cent. 8, soit 2 centimètres seulement moins que le père . Un an après, il présentait 17 cent. 9, et à huit
. 9, et à huit ans 18 cent. 1, c'est-à-dire 1 cent. 7 de moins que le père . Pour l'examen des autres diamètres, bi-auriculai
é des cas, ces sujets-là ce sont des héréditaires, ou bien ils ont un père paralytique ou bien une mère névropathique. La
ertain nombre de sujets de cette catégorie. Ayant donné des soins aux pères et aux mères de ces jeunes enfants, je me suis tr
ajouterai, pour finir, qu'il n'y a pas de gauchers dans la famille du père ou de la mère, ni chez les grands-parents, et que
t point, les prières, les supplications de l'amitié, la tendresse des pères , des mères, des enfants, rien ne peut détourner c
individus atteints d'une affection cérébrale ou de vices graves. Son père est très modéré. Sa mère est abstinente et ne tou
ne jeune fille de seize ans, bien constituée ; elle est l'enfant d'un père alcoolique, elle a, depuis l'âge de six ans, de f
l'hôpital de Rochefort pendant un mois, il y a 4 ans. » Du côté du père , rien de particulier i signaler. La mère, depuis
puis plus longtemps qu'aucun d'eux. Ancien secrétaire de M. Laurenty, père de la future Mme de Givray, il était parvenu à se
décisive à ce sujet. Sachant combien Mme Chas- sîn avait aimé son père , combien elle était aimée de lui, il lui ordonne
e, combien elle était aimée de lui, il lui ordonne d'écrire : « Mon père a toujours été avec moi violent, brutal, mauvais.
neur de sa famille. Voici quels sont ses antécédents héréditaires : Père mort tuberculeux à 39 ans; était très nerveux, tr
séance. Debove appelait l'attention sur un homme de 36 ans, robuste, père de famille, et dont l'excès de sensibilité nerveu
aît-il, qu'elle devint somnambule. Elle se souvient très bien que son père et sa mère racontaient souvent qu'ilsavaient dû l
N... appartient à une famille de petite bourgeoisie de province. Son père est mort laissant une veuve avec sept enfants, et
e. Croyant bien faire, elle avait laissé reconnaître l'enfant par son père , en se proposant toutefois de l'élever elle-même.
hée se présente avec une nourrice, emporte l'enfant, en disant que le père doit se présenter dans la journée pour lui donner
ras au bas de l'escalier, « tu verras ta petite fille, portée par son père , passer devant la loge du « concierge, et tu la p
and-père maternel est mort à 76 ans d'une hémorrhagic cérébrale ; son père a été emporté par une maladie de foie, a l'âge de
dans la proportion formidable de 5o pour too. L'épi-lepsie. celle du père notamment, y prédispose singulièrement les filles
il ne le joua. Je le vois encore, chez M. et Mme D..., en présence du père et de la mère de cette dernière ; on lui remit en
vons que la grand'mère paternelle a des crises épileptiformes, que le père et la mère sont des personnes très nerveuses ; la
95 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
juge d'instruction ; au bout de quelques heures, l'enfant avoue : son père a attiré la jeune fille à la synagogue; l'enfanta
le trou de la serrure ; il a vu la scène de boucherie : il accuse son père . 11 maintient ses affirmations à l'audience ; en
se son père. 11 maintient ses affirmations à l'audience ; en vain son père le conjure devant Dieu de dire la vérité : l'enfa
jour; il n'a jamais fait aucun excès, ni alcoolique, ni vénérien. Son père , cordonnier, a 60 ans et se porte bien, ainsi que
est depuis longtemps au service, aimé des sœurs et des malades. Son père , alcoolisé, a abandonné sa mère en septembre dern
nt de paralysie infantile, n'ayant pas eu d'autres troubles nerveux ; père , mère et une sœur bien portants. Assez intelligen
convalescent de pleurésie, sans antécédent nerveux, bien constitué ; père et mère bien portants, deux sœurs et un frère bie
mpose comme directeur de sa famille quand celle-ci vient à manquer du père , son chef naturel. Tel il est à l'âge de dix à do
x ans, est née d'une famille dans laquelle on trouve, tant du côté du père que du côté de la mère, de nombreux cas de névrop
A ces noms, nous devons ajouter celui de M. E. Bérillon (de Joigny), père de notre rédacteur en chef. Ce qui a valu à M. Bé
d'entretenir l'Académie l'an dernier. Dans une famille composée du père et de deux fils, le diamètre antéro-postéricur de
du père et de deux fils, le diamètre antéro-postéricur de la tête du père , âgé de quarante-huit ans . mesurait 19 cent. 8.
présentait déjà 17 cent. 8, soit 2 centimètres seulement moins que le père . Un an après, il présentait 17 cent. 9, et à huit
. 9, et à huit ans 18 cent. 1, c'est-à-dire 1 cent. 7 de moins que le père . Pour l'examen des autres diamètres, bi-auriculai
é des cas, ces sujets-là ce sont des héréditaires, ou bien ils ont un père paralytique ou bien une mère névropathique. La
ertain nombre de sujets de cette catégorie. Ayant donné des soins aux pères et aux mères de ces jeunes enfants, je me suis tr
ajouterai, pour finir, qu'il n'y a pas de gauchers dans la famille du père ou de la mère, ni chez les grands-parents, et que
t point, les prières, les supplications de l'amitié, la tendresse des pères , des mères, des enfants, rien ne peut détourner c
individus atteints d'une affection cérébrale ou de vices graves. Son père est très modéré. Sa mère est abstinente et ne tou
ne jeune fille de seize ans, bien constituée ; elle est l'enfant d'un père alcoolique, elle a, depuis l'âge de six ans, de f
l'hôpital de Rochefort pendant un mois, il y a 4 ans. » Du côté du père , rien de particulier i signaler. La mère, depuis
puis plus longtemps qu'aucun d'eux. Ancien secrétaire de M. Laurenty, père de la future Mme de Givray, il était parvenu à se
décisive à ce sujet. Sachant combien Mme Chas- sîn avait aimé son père , combien elle était aimée de lui, il lui ordonne
e, combien elle était aimée de lui, il lui ordonne d'écrire : « Mon père a toujours été avec moi violent, brutal, mauvais.
neur de sa famille. Voici quels sont ses antécédents héréditaires : Père mort tuberculeux à 39 ans; était très nerveux, tr
séance. Debove appelait l'attention sur un homme de 36 ans, robuste, père de famille, et dont l'excès de sensibilité nerveu
aît-il, qu'elle devint somnambule. Elle se souvient très bien que son père et sa mère racontaient souvent qu'ilsavaient dû l
N... appartient à une famille de petite bourgeoisie de province. Son père est mort laissant une veuve avec sept enfants, et
e. Croyant bien faire, elle avait laissé reconnaître l'enfant par son père , en se proposant toutefois de l'élever elle-même.
hée se présente avec une nourrice, emporte l'enfant, en disant que le père doit se présenter dans la journée pour lui donner
ras au bas de l'escalier, « tu verras ta petite fille, portée par son père , passer devant la loge du « concierge, et tu la p
and-père maternel est mort à 76 ans d'une hémorrhagic cérébrale ; son père a été emporté par une maladie de foie, a l'âge de
dans la proportion formidable de 5o pour too. L'épi-lepsie. celle du père notamment, y prédispose singulièrement les filles
il ne le joua. Je le vois encore, chez M. et Mme D..., en présence du père et de la mère de cette dernière ; on lui remit en
vons que la grand'mère paternelle a des crises épileptiformes, que le père et la mère sont des personnes très nerveuses ; la
96 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
-pathologiques. SCLÉROSE ATROPHIQUE HÉMISPHÉRIQUE. 19 SOMMAIRE. - Père , fièvre typhoïde à 16 ans; rien de parti- culie
le 8 août 1899, et y est décédée le 29 janvier 1904. Antécédents. Père , 34 ans, cocher de maison bourgeoise. Pas de co
raumatismes. Caractère un peu vif. Pas de migraines. [Sa famille. - Père , 67 ans, et Mère, 57 ans, bien portants et sobr
ficile de décider s'il s'agit de vraies migraines. [Sa famille. - Père , mort à 3G ans, noyé accidentellement : sobre.
ttres. Elle n'a pas d'aptitudes particulières. Elle ressemble à son père aux points de vue physique et moral. Comme ma
Elle est grièvement bridée. (Journal du 3 tI{,¡;.). La folie d'un père . Lu Progrès de Lyon raconte qu'un nom- tiré E n
prolongée. - ]L.. Ügé dl' 30 an, ( ? l admi,,]1' 10. août 1883. Son père el sa mère sont morts de maladies inconnues. De
tation génilale prolongée. ' IL.. 26 ans, admis le 25 juin 1899. Le père el la mère, vivants, sont bien portants. La mèr
, admise le 20 juin 1901 appartient il une famille de dégénérés. Le père parait indemne, mais son frère est mort à 45 ans
vane, trois morls île phtisie et un mort pendant la guerre de 1870. Père aliéné. Les premier* signes de folie se sont ma
ile d'une congestion cérébrale, Gel individu était lils unique d'un père qui avait également ulu séquestré à rétablissem
cidents paralytiques, attendu que, du côté du mari, on trouvait son père , dé- ment sénile, mort il l'asile de ramollisse
sa mentalité, lo moindre symptôme suspect ; et cependant ce frère, père de famille, entrepreneur ayant brassé des affai
ide. et paralysie générale chez le fils d'une mère alcoolisée, d'un père suicidé, lui- même étant syphilitique et alcool
s qui aurait eu des habitudes de boisson assez prononcées ; pl d'un père qui s'est pendu au moment de la Commune par peu
vec réaction et suicide, dont le malade héritait directement de son père ; des accidents alcooliques, éga- ÉP1Ll : PSI1
1 s'agit d'une jeune fille de 14 ans, qui devine les pensées de son père et de plusieurs médecins. Nombreuses expériences
à la Salpetriere, el tenta l'éducation des petites idio- tes. Faire père créa une école qui existe encore ; elle est dirig
res âgés respectivement de 5 ans et demi et 4 ans. Consanguinité du père et de la mère, alcoolisme du père, famille taré
t demi et 4 ans. Consanguinité du père et de la mère, alcoolisme du père , famille tarée des deux côtés. Début chez l'un
L'enfant est complètement malade. n'est, bien l'enfant conçu par un père de constitution morlide. ll suulfre de fréquents
constitue l'apanage tragique de la famille. Il est epileptique. Son père , Alexandre III, est mort de tuberculose 23() fa
cruauté subite envers les bêtes. Ils portèrent les lares de leur père , Paul 1er, surnommé Paul le Fou, que samère Cathe
que ; grossesses interrompues. Un garçon de 8 ans est amené par bon père et sa mère accompagnes parla grand'mère materne
vue, sur l'ouïe, surlegoùt, sur l'odorat, -même sur le toucher; le père qui se pique de psychologie, les énumère avec c
dans la jour- née, brusques et rapides, stéréotypées. Il entend son père lui dire : « Tu tombes oilsarretotoutacoup, pui
ce saine, que l'on voit toujours, ayant trois enfants normaux. Le père etla mère avaient une bonne apparence et aussi
e etla mère avaient une bonne apparence et aussi la gruml'mèrc. (Le père a 33 ans et la mère 30). A la suite de cet enfa
rme el les caractères du Iroplui'dème. Pas d'hérédité sinon chez le père une tendance aux troubles vaso-moleurs. IL C.
itée la. maladie est sans danger : d'où l'utilité du traitement du« père de famille » ; el, à propos de la transmissibit
malade. AMBLYOPIE HYSTÉRIQUE MONOCULAIRE ; SA DISPARITION 339 Le père , cordonnier, est mort en 1897, à 35 ans, dans un
tir de cet âge, jusqu'à 5 ans, elle avait une telle frayeur de son père , qui la maltraitait sans cesse, que la vue de ce
ou des matières. Cauchemars nocturnes. A 7 ans, après la mort du père , les crises ont complètement cessé, mais elle a c
dents : « Je suis née de parents bizarres et faibles d'esprit. )Ion père était un simple. Ma mère n'avait aucun caractèr
rs une pâle malléable. J'aurais voulu que mon amant lut pour moi un père .... un père sévère et autoritaire ; il me l'all
malléable. J'aurais voulu que mon amant lut pour moi un père.... un père sévère et autoritaire ; il me l'allaiL un mailr
anelles, développement exagéré du diamètre transversal du crâne. Le père est absolument sain de toute tare héréditaire ou
et paralysie générale chez le fils d'une mère alcoolisée, d'un, · père suicidé, lui-même étant syphilitique et alcooli
ociatives, par Bian- chi, 137. Folie. Drame de la , 79. La d'un père , 79. à double forme avec syndrome paraly- tiq
97 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
écrit une folie à double forme, étudiée déjà et dénommée par Falpet père folie circulaire. Alternant dans des phases suc
buste, d'une complexion un peu forte, d'un tempérament sanguin, est père de deux garçons bien portants et d'une fille ma
rticulier jusqu'en 1872. A cette époque, il perd en trois mois, son père , une tante et 48 MÉDECINE LÉGALE. sa femme; c
us lugubres. Peu à peu il s'imagine être la cause de la mort de son père , de celle de sa femme; il croit porter malheur
le voirrevenir au milieu d'eux, en les obligeant à surveiller leur père , à ne jamais l'abandonner complètement à lui-mê
ris, 1880. In-4° de 96 pages. RECUEIL DE FAITS. 53 ODSEI1VATIOY ? Père , oncle paternel et frère alcooliques. Mère : pe
à Bicêtre le 2 mai 1872 (service de M. Bourneville). Antécédents. Père , boulanger, alcoolique (vin blanc), mort d'un a
on d'une vive frayeur (voleur caché dans la chambre à farine de son père ), il eut sa première crise : il tomba privé de
'<MM. o f tlae Clin. Soc. of London, vol. XIV, 1881, p. 1.) Le père est mort depuis deux ans, d'une maladie deBright;
est aliéné. Deux de ses cousins seraient aussi aliénés. La mère du père était paralysée de la langue, quand elle est mo
e plusieurs cas d'aliénation mentale et d'affections nerveuses. Son père a suc- combé à une maladie pendant laquelle il
grand'mère et une grand'tante, ainsi qu'une cousine du côté de son père étaient connus par leur originalité et leurs ex
affection d'une femme dévouée, les devoirs d'abord d'époux, puis de père , contien- draient cette effervescence et auraie
ltérieure d'une rechute men- tale et morale, etsouvent de rendre un père de famille aux siens. Bien plus, les établissem
pas d'âge; .où ils sont nés ? ils ne sont pas nés; qui étaient leur père et leur mère ? ils n'ont 1 H Il CLINIQUE JIKNTA
t leur père et leur mère ? ils n'ont 1 H Il CLINIQUE JIKNTALK. ni père , ni mère, ni femme ni enfants; s'ils ont ma] à
visiter; elle prétend qu'elle n'a jamais été mariée, qu'elle n'a ni père , ni mère, ni mari, ni enfants. A..., sa ville n
es en novembre -1880. En 1875, à la suite .de la mort subite de son père et de l'opération du strabisme faite à son fils
c insomnie etbuillements continuels, obsédée par la crainte que son père n'ait été enterré vivant et que son fils ne devin
M. C..., âgé de quarante-cinq ans, de constitution robuste, marié, père de famille, ayant toujours mené une existence r
assure qu'il n'est pas marié, qu'il n'a pas d'enfants, qu'il n'a ni père , ni mère, qu'il n'a pas de nom. Il prétend qu'il
este pas moins des conditions fâcheuses; l'àge disproportionné du père et de la mère, les bizarreries et les extrava-
des attaques et despériodes de vive excitation intellectuelle ; son père , mort à soixante-qua- torze ans, était asthmati
e la verge. M. X..., âgé de trente-quatre ans, marié, est né d'un père et d'une mère qui avaient tous deux un tempéram
ysiques de dégénérescence. Observation IV. Famille d'excentriques : père halluciné, s'essuye le visage avec une peau de
d'une bonne constitution, est issu d'une famille d'excentriques. Le père , fort original, très extravagant, très irréguli
isme. La soeur du malade, âgée de trente- huit ans, demeure avec le père , elle n'a jamais eu de disposi- tion pour le ma
Anne le 3t novembre 1881. Il offre une double hérédité morbide, son père alcoolique est mort d'une cirrhose hépatique; s
ne fille de vingt- ]ici] mct'p .est hysléro-épileptique, et dont le père metancu- 1. [(Ill(" çs n).0t't, : i la suite d'
nations de l'ouïe : elle se souvient d'avoir entendu la voix de son père bien qu'elle ne l'entende plus. Elle sort au bo
98 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
chez ce malade. Observation clinique. Antécédents héréditaires. - Père mort de fièvre typhoïde, mère morte aveugle.
AIUDES, 1 thèse Strasbourg, 1878, obs. 9, p. 20. Homme de 33 ans. Père mort d'une maladie de poitrine ( ? ). Mère, frère
Homme de 40 ans, cocher, paraissant d'une bonne santé habituelle Père de enfants bien portants. Grand buveur. Adénite c
uffrait également de névralgie crânienne « à se rouler par terre ». Père très vigoureux, boit régulièrement beaucoup d'alc
ologie nerveuse lui avait affirmé cette nécessité de l'isolement ; le père s'était heurté à une telle résistance de la par
en oeuvre, m'acharnant cette cure, je n'ai pas gagné un gramme. Le père finit par vainc e la résistance de la mère, il
re travail. Il est suspect de simulation. Antécédents héréditaires. Père âgé de 63 ans, bien portant, point rhu- matisan
, R... Clau- dia, qui entra à la Charité le 26 septembre 1899. Le père est mort d'une affection gastrique : la mère, bie
erre II Bruegel d'Enfer qui copia ou imita plusieurs oeuvres de son père ? Ou bien, comme il s'agit d'une peinture sur t
t111art ait fortement alourdi le dessin du maître. A côté, un com- père en bonnet regarde l'opération. - Le Doyen de Ro
is si le tabac eut ses détracteurs, il eut aussi ses apologistes : un père jésuite réfuta le Misocapnos de Jacques le', pa
e M. Demons, le 6 mai 1885 pour une affection du gros orteil. Son père et sa mère sont morts plus que septuagénaires. Il
connaît aucun détail sur sou hérédité : elle sait seulement que son père et sa mère étaient rhumatisants. Dès l'âge de q
salle Fouquet, n° 19. Antécédents héréditaires. - N'a connu ni son père ni sa mère. (1) Nos radiographies sortent du la
énéralisé. Les antécédents héréditaires sont peu intéressants : son père est mort subi- tement, sa mère est nerveuse. Il
et... Eugène, 34 ans, paveur. Pas d'antécédents héréditaires nerveux. Père et mère morts à 58 et 56 ans de maladie aiguë.
traitement mercuriel. Poth..., 27 ans, journalier. Mère aliénée. Père et deux frères bien portants. Pas d'antécédents p
dès l'enfance à manier le crayon et le hurin dans l'atelier de son père , peintre de vitraux, et que son premier maître, C
de tête, telles que les a représentées 1>. llruegel le Vieux,le père de l'auteur de ce tableau. Le charlatan de la Ker
ltant d'un accident survenu le mois pré- cédent. Antécédents. Son père m'a fait le récit suivant : Le 6 mars 1890, le je
ord interne de la paupière inférieure. L'oeil ne fut pas blessé, le père dit que la tige avait dû pénétrer de 2 pouces à
M. le Dr SABRAZÈs (Pl. XXXVI, b,c,d). Jules K.. 48 ans, tonnelier. Père rhumatisant, mort à 68 ans de rhu- matisme. M
son hospitalisation le 28 février 1896. Antécédents héréditaires. - Père mort à 98 ans, emporté en 48 heures, il n'avait
mais été malade. Mère, fille unique, sans tare nerveuse, issue d'un père dans la famille duquel il y avait eu des grosse
âgé de cinquante-quatre ans, conducteur des postes en retraite. Son père est mort de vieillesse à quatre-vingts ans, sa mè
, âgé de cinquante-deux ans, camionneur. Ses parents sont morts, le père , le malade ne sait de quoi, la mère, d'hydro- p
service de M. le professeur Pitres, pour troubles ataxiques. Son père est mort à l'âge de quarante-neuf ans d'une pneum
bre 1899 pour douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs. Son père ést mort à l'âge de soixante-dix ans d'une affect
e l'un de nous. Ses parents d'une bonne santé, sont morts vieux, le père à 73 ans, la mère à 83 ans ; elle était l'aînée
enseignements assez vagues sur ses an- técédents héréditaires : son père est mort à 46 ans, mais il ignore de quelle mal
lle où les grandes tailles sont habituelles. Sa'soeura 1 m.80 ; son père , mort à 65 ans d'une maladie indéterminée, avait
elligent. Sa mère est bien portante, elle n'est pas nerveuse. Son père est mort à l'âge de trente ans, sans doute phtisi
lis chez une arrière- grand'mère qui contamine ensuite sou mari. Le père du malade a présenté dans son enfance des manif
et aux femmes. Les jeunes gens imitent volontiers les adultes, le père prend du tabac, pourquoi le fils n'en prendrait
oût 1889. A cette époque, elle avait 49 ans. Elle raconta que son père , mort à 60 ans, faisait de grands excès alcooli
maternels sont morts d'apoplexie, l'un à 80 ans, l'autre à 66. Son père jouit t d'une bonne santé. Ses grands-parents p
tique tardive.) Michel Henri, 43 a.ns. Antécédents héréditaires.- Père 60 ans ? en bonne santé, mère 58 ans ? en bonne
te paralytique à 95 ans(serait restée longtemps dans un fauteuil) ; père mort à 70 ans. Un frère mort à 78 ans, un frère
nvignan Félix, 43 ans, garçon brasseur. Antécédents héréditaires. - Père 80 ans en bonne santé, un frère âgé de 47 ans e
anne du nom de Catarina, il ne connut pas sa mère avec laquelle son père rompit aussitôt sa naissance, pour épouser pres
rès bonne santé ; cette dernière nous ap- prend qu'elle a perdu son père d'une affection de poitrine à l'âge de 51 ans,
couches. Voici les renseignements que nous avons obtenus du côté du père de notre malade. Il n'est ni alcoolique, ni syp
là, sa santé a toujours'été excellente. ' Il nous apprend que son père actuellement âgé de 68 ans a toujours été bien
entre dans le service des maladies nerveuses le 6 août 1897. Son père fréquente depuis longtemps la consultation extern
; un frère âgé de 28 ans qui est maigre et tousse l'hiver, c'est le père de l'enfant de l'Observation VI ; une soeur âgé
ne P..., âgée de 3 ans, est la nièce de notre première ma- Iade.Son père est maigre, sans aucune trace d'oedème, un peu ne
sans aucune trace d'oedème, un peu nerveux ; pas de crises. » Le père donne les renseignements suivants : il a deux aut
mais on voit qu'elle a peur et elle se laisse tomber aussitôt. Le père qui avait depuis quelque temps l'intention de me
manquer, comme c'est le cas pour ma quatrième petite malade dont le père est resté indemne. Mes quatre malades apparti
ner, à côté de l'hérédité maternelle de notre cas, l'é- pilepsie du père qui n'est peut-être pas sans avoir joué un rôle d
8 : à ce moment, il est âgé de 14 ans. Antécédents héréditaires. Le père , âgé de 62 ans, et la mère âgée de 56 ans, sont
99 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
depuis 40 ans. Les parents ont toujours joui d'une bonne santé ; le père est mort subite- ment, encore jeune, la mère eu
23 ans, blanc, brésilien (district fédéral), célibataire, barbier. Père vivant, vagabond ; mère morte depuis plusieurs an
on XIV (PI. VIII). J. F., 14 ans, blanc, brésilien. Fils unique ; père morl de tuberculose pulmonaire, mère obèse. Enf
rmale. Observation XV (PI. VIII). M. J., 14 ans, noir, brésilien. Père mort de tuberculose pulmonaire. Trois frères mi
ville. Son entourage remarque qu'elle parle en bredouillant. Sou père aurait souffert de la vue depuis l'âge de 25 ans
ire de Volo, figé de 20 ans, célibataire, journalier. Antécédents : père alcoolique. Il est le premier enfant de la famill
- fant de la famille, les autres se portent bien. Antécédents : son père quelque- fois seulement se saoule. A souffert d
e 33 ans, journalier, célibataire. Antécé- dents héréditaires : son père et son frère sont épileptiques. Il y a trois ans,
é de 26 ans, cultivateur, célibataire. Anté- cédents héréditaires : père alcoolique, mère ainsi que deux soeurs hystérique
re du Pirée, célibataire, âgé de 35 ans, débardeur. Antécé- dents : père grand buveur de vins et spiritueux. Le malade lui
4). - S. M..., du Pirée, célibataire, âgée de 27 ans. Antécédents : père alcoolique, un frère fou. Menstruation toujours
llement rhumatisants, frère de quatre soeurs très bien portantes et père d'un enfant de 15 mois très vigoureux, il est m
s tous les renseignements anatomiques concernant notre sujet et son père . Observation (PI. XXXVI, XXXVII, XXVIII). Pon
es considérations, nous allons comparer ces radiographies celles du père de notre malade qui présente, lui aussi, ainsi
qui nous a permis notamment de constater que si, extérieurement, le père et le fils présentaient, l'un comme l'autre, ving
vingt- trois doigts ou orteils, le pied droit seul était normal, le père , à l'inverse du fils, avait, en réalité, six or
moins que notre homme a dans sa famille sa fille, deux frères, son père , un oncle, sa grand'mère, un grand-oncle et son a
père, un oncle, sa grand'mère, un grand-oncle et son arrière-grand- père , atteints de polydactylie, ce qui fait un total d
l'autre femelle. Si les deux gamètes ont le même caractère (ici un père et une mère polydactyle), la zygote est pure ou
us qu'à décroître. Or de ses deux enfants, l'un est semblable à son père il ne régresse donc pas ; l'autre n'a pas de do
ration de l'oreille gauche ne s'est tarie qu'il y a deux ans. Son père est rhumatisant, alcoolique, ictérique. Sa mère e
ot. Quand y a griot y a pas moyen mal faire parce qu'il connaît Ion père , le père de ton père, ton grand frère. Il conna
y a griot y a pas moyen mal faire parce qu'il connaît Ion père, le père de ton père, ton grand frère. Il connaît tout qu'
a pas moyen mal faire parce qu'il connaît Ion père, le père de ton père , ton grand frère. Il connaît tout qu'est-ce que t
t même recommen- ceront à se battre. Ils donnent cette raison « Mon père y a toujours fait guerre avec père de lui. Le p
. Ils donnent cette raison « Mon père y a toujours fait guerre avec père de lui. Le père de mon père aussi. Moi faire comm
tte raison « Mon père y a toujours fait guerre avec père de lui. Le père de mon père aussi. Moi faire comme eux. » La
Mon père y a toujours fait guerre avec père de lui. Le père de mon père aussi. Moi faire comme eux. » La latence actu
l y a aussi régression atrophique, mais elle est pro- bable, car le père se souvient qu'avant l'accident, les testicules é
l n'a pas perdu d'enfant, sa femme n'a pas eu de fausse couche. Son père est mort à 70 ans de « bronchite chronique », sa
ne présente rien de remarquable dans ses antécédents héréditaires ( père et mère vivants et en bonne santé; pas de soeur
nelle de ce malade. Sa mère, âgée de 73 ans, est bien portante; son père est mort à 63 ans de pneumonie aiguë ; trois frèr
za B..., 48 ans, blanche, domestique. Antécédents héréditaires. Son père est mort. Sa mère, qui était grasse, est morte
gé de 24 ans. Le patient n'a pas de tuberculose dans sa famille. Le père aliéné. Il a tou- jours été bien portant dans s
ture qu'il pratiquait dans la région de Marmande. Il est marié et père d'un enfant bien portant. - D'après ses dires,
ERTIAIRE eiôâ Observation (PI. LXIII). M. Ch..., 64 ans, gantier. Père mort jeune accidentellement. Mère morte jeune,
100 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
1872. ANTÉCÉDENTS. - Renseignements fournis par sa mère. - z Son père , mort à 54 ans d'une fluxion de poitrine, était t
jamais pré- senté d'accidents névropathiques, [Aucun détail sur son père ; - sa mère, qui n'était pas nerveuse, est morte
, bien portante, est un peu nerveu- se, sans avoir d'attaques. [Son père est mort, elle ne sait de quoi, à 78 ans; - sa
est entrée à la Salpétrière le 28 oc- tobre 1867. Antécédents. - Père , tailleur, vivant, âgé de 52 ans; pas d'excès d
0. C'est une enfant naturelle, aussi n'avons-nous pu obtenir de son père nourri- cier que des renseignements assez vague
uera-t-on le trai- tement en élevant la dose. - Observation IX. - Père alcoolique. - Grand'mère maternelle morte d'apo
re (service de M. CHARCOT). , Renseignements fournis par sa mère. - Père , excès de bois- son ; mort en 1870 à la suite d
0 à la suite des violences exercées sur lui par les Prussiens. [Son père et sa mère, morts dans un âge avancé, auraient
ancé, auraient fait des excès de boisson.] - Mère bien por- tante. [ Père mort à 75 ans, coléreux ; - mère morte à 70 ans
M. DI;LASIAUVE). C'est une enfant natu- relle. Antécédents. - Son père est bien portant ; il a abandonné sa mère quand
Première peur. - A onze ans, L..., allant porter le déjeuner à son père nourricier qui travaillait dans un village voisin
ours - avec le succès qu'on va voir - aux exorcismes : Bientôt « le Père , répétant le commande- ment (exorcisme) qu'il a
M. Charcot, le 16 juin 1869. Elle était alors âgée de 39 ans. Son père , qui était maitre d'école, est mort du choléra en
ne santé et n'était pas d'un tempérament nerveux.Nul détail sur son père (grand père paternel d'E...). Sa mère est morte
était pas d'un tempérament nerveux.Nul détail sur son père (grand père paternel d'E...). Sa mère est morte à 90 ans, n'a
le a parlé de bonne heure. Jusqu'à 9 ans, bien qu'elle fut chez son père , instituteur, on ne lui enseigna rien : « Dans
nfessait de temps en temps, communiait une ou deux fois par an. Son père , très-pieux, son oncle, le curé, n'auraient pas
é. Un jour qu'elle conduisait un enfant, un individu s'en disant le père voulut le lui enlever. Des passants l'empêchère
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