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1 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
ré- cise le nombre, le siège, la forme et la structure des segments osseux normaux ou anormaux. C'est déjà un premier av
reille occurrence réservent souvent bien des surprises. Telle pièce osseuse sur laquelle on croyait pouvoir compter n'existe
MEIGE qu'il ne suffit pas de s'assurer de l'indépendance des pièces osseuses . Une intervention, ayant pour but de séparer le
ossibilité de connaître exactement la disposi- tion de la charpente osseuse , constitue un élément de diagnostic de réelle i
te bien visible sur la radiographie est l'indice de cette soudure osseuse . Elle n'est plus visible dans la moitié supér
vient d'ajouter pour la décharge des observateurs, que les segments osseux pré- sentent souvent entre eux des soudures; il
hors, l'or- teil supplémentaire. Ce dernier présente trois segments osseux ; la pha- lange est bien conformée, à peine plu
st pas moins déformé que son satellite ; ses deux derniers segments osseux sont cependant un peu plus gros. Quant à la fou
cavité ne correspond pas au métacarpien, mais à un petit tubercule osseux , isolé, qui s'articule lui-même, sans y adhérer,
u côté du médius une saillie destinée à l'articulation du tubercule osseux isolé que nous avons signalé. Ce der- nier repr
par un rudiment de corps dirigé vers le 4° métacarpien. Cette masse osseuse est peu compacte, comme l'indique sa plus grande
ire où nous remarquons encore la soudure des deux premiers segments osseux , phalange et pha- langine. Les os qui le cons
main gauche, un bouquet digital formé de deux doigts char- pente osseuse et d'un appendice charnu pauvrement ongulé. O
istent cependant. Il est presque impossible de décrire la charpente osseuse des doigts de la main droite, l'arrêt de dévelo
ette du poignet. C'est une « pince de homard » véritable. Le massif osseux du carpe, d'une lecture déjà malaisée sur les rad
tion rigou- reuse. Sur le bord radial s'articule une courte pièce osseuse , ébauche d'un premier métacarpien qui se prolon
cinquième métacarpien informe se détache, et, après lui, un segment osseux recourbé en sens inverse du précédent forme la
sont pourvus d'ongles, d'ailleurs très atro- phiés. Enfin, la masse osseuse du carpe présente trois saillies mamelon- nées
physaires des phalanges sont encore très minces, séparées des corps osseux , et non renflées sur leurs bords. (PI. XV, C).
et les métacarpiens la différence est à peine sensi- ble. Le massif osseux du carpe est cependanl plus développé chez l'infa
areil âge, on n'en est pas moins surpris de trouver une char- pente osseuse à ce point constituée chez un sujet qui a la tail
on de l'appareil locomoteur caractérisée par la formation de masses osseuses dans les muscles, les aponévroses, les ligament
hydrargyrique, dit Henry, et l'emploi de bains salés, les tu- meurs osseuses rétrocédèrent manifestement; finalement le malade
cs et comme tendineux, ayant dans di- vers endroits des concrétions osseuses ; quelques-uns de ces muscles n'étaient pas dan
enus si denses qu'ils paraissaient . avoir été chargés en substance osseuse ; changement qui du reste ne fut pas constaté à
s, ancien journalier, malade depuis trois ans. Il présente une lame osseuse comme la paume de la main dans le grand dorsal dr
uxième lame fusiforme dans le biceps brachial droit, dure, mais non osseuse . Dureté des fléchis- seurs des avant-bras sans
rochlée de l'humérus droit; au-dessus, une protubérance plane. Tumeur osseuse près du petit trochanter ; hyperostose sur l'ex
né droit. Entre les adducteurs et la longue portion du biceps, lame osseuse de 22 centimètres correspondant au demi-membran
s, Le malade s'aperçoit par hasard qu'il était porteur d'une tumeur osseuse à la partie interne du tiers supérieur de la cu
co- pique, s'exprime ainsi : « Dans le dos siègent d'énormes masses osseuses dans les membranes aponévrotiques, entre les mu
oplate et l'humérus, en lias jusqu'à la crête iliaque où les masses osseuses atteignent un développement remarquable et fixent
- dons, les aponévroses, et très probablement aussi dans le système osseux . Nous le décrirons surtout dans le système musc
s traî- nées offrent déjà de grandes analogies avec des bandelettes osseuses : La substance fondamentale est condensée, mais
la tumeur, une ébauche de cellules cartilagineuses et de trabécules osseuses , elle indique le sens dans lequel vont évoluer
lésions survenues dans le tissu conjonctif du pour- tour des masses osseuses , Munchmeyer en conclut que le processus d'ossi-
utir plus tard au tissu conjonctif dense des cicatrices ou au tissu osseux . Dans maints faits la tumeur s'arrête au stade
e si l'on y fait alors une coupe, on trouve : 1° Au centre un noyau osseux ; 2° Plus en dehors se voit une couche plus ou
ssification progresse toujours sur du- tissu fibreux, et les dépôts osseux ne se rencontrent nulle part ailleurs que dans
'innervation des mus- cles déterminé par la pression que les masses osseuses peuvent exercer sur les nerfs et les vaisseaux,
fonc- tionnelle à laquelle conduit le développement de ces tumeurs osseuses qui bridant les articulations, immobilisent tou
ut se développer indistinctement du tissu cartilagineux ou du tissu osseux (Munchme.) er). Plus souvent une petite partie
, tandis que la masse presque tout entière .est formée par du tissu osseux solide (tumeurs de la région fessière dans notr
nctif avec des nombreuses cellules embryonnaires, ailleurs du tissu osseux , plus loin du cartilage (Lexer) ; 3° Un grand n
ltration embryonnaire, dégénérescence fibreuse, car- tilagineuse et osseuse : « Sur un fragment ossifié, enlevé au biceps, on
tif, cartila- gineux,étagés de la périphérie au centre de la tumeur osseuse » (liuemmel). La myosite ossifiante progressive
rieure du péroné, sur les côtes. D'autres fois ce sont des je- tées osseuses , allant d'un segment du squelette à un autre de f
et le tibia gauches sont solidement réunis par un pont de substance osseuse , siégeant il la région poplitée, en dedans du p
espondant aucun muscle. Il est probable que cette volumineuse masse osseuse a suivi le trajet de la gaine conjonc- tive du
res lésions. Ils sont en général très volumineux, certaines parties osseuses sont même extraordinairement développées ; c'est
Munchmeyer, Mays a constaté une raréfaction notable de la substance osseuse des côtes avec des fractures multiples de ces der
uvé également une ostéoporose de tout le squelette, sauf des masses osseuses néoformées. Cette constatation semble- rait don
ns la myosite ossifiante progressive un déplacement de la substance osseuse . Le tissu conjonctif est en général très dévelo
l'avant-bras. C'est encore au cou que Mays a constaté une formation osseuse large de 3 centimètres, longue de 6, développée d
la première pièce du sternum. Il estprobable également que la bande osseuse , qui va de l'épine iliaque antérieure et supérieu
ossifications qui les entourent et leur forment parfois un manchon osseux complet, ne présentent rien d'anormal, tout au pl
mmédiat du squelette, comme c'est le cas le plus fréquent, la masse osseuse néoformée se joint intimement à ce dernier de faç
E LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 121 daires, témoins, les jetées osseuses qui vont de l'ossification de la partie externe
lette, appartiennent le cas de Munchmeyer et le nôtre. Les masses osseuses intra-musculaires sont le plus souvent plates,
les conservent en général la forme de ces derniers. « Les tumeurs osseuses sont blanches, moins dures et moins denses qu'u
rents par place. Au microscope, elles offrent la structure du tissu osseux compact; on y constate des trous nourriciers, d
stance pâ- teuse d'abord, plus ferme et fibreuse plus tard et enfin osseuse , et, ce n'est que le hasard, qui fait constater
dans le cas de Hawkins, on a constaté « le 14 juin 1843 une tumeur osseuse ,à droite, au niveau des deux ou trois vertèbres
strien ; car le malade, examiné le 25 octobre, offrait « une tumeur osseuse aux lombes gauches, un grand nombre de DE LA MY
apophyses épineuses des vertèbres avec, au centre, une petite masse osseuse , dans le rhomboïde et une autre tumeur osseuse
re, une petite masse osseuse, dans le rhomboïde et une autre tumeur osseuse sur le grand dentelé ». Il y eut donc, dans ce ca
e s'arrête au deuxième stade ; ailleurs, le centre de la tumeur est osseux , sa péri- phérie donne absolument la sensation
ficiel s'est parfois développé sur la peau qui recouvrait la tumeur osseuse ; plus rarement l'oedème et la dilatation variqu
a contraction idio-musculaire; Pincus a noté, au contact des masses osseuses , des con- tractions fibrillaires intenses qu'il
e, nous trouvons que souvent tout le muscle est transformé en tissu osseux ou fibreux; d'autres fois seule la portion char
érieurement il survient quelques particularités : ou bien la tumeur osseuse disparaît complètement (ossification du sterno-ma
ien, Rogers ; bandelette abdominale, IIelférich) ou bien, la tumeur osseuse néoformée se réunit au squelette sous-jacent; o
presque molle, plus tard fibreuse et dure et finalement tout à fait osseuse , nous avons résumé les différentes modification
ent cervical postérieur. Les muscles longs du dos forment une masse osseuse unique. Plus tard les muscles de l'épaule, le d
ébrales et des grands dorsaux, se trouve transformé en une carapace osseuse , garnie de bosselures et de dépressions profondes
nie de bosselures et de dépressions profondes, vérita- ble charnier osseux couvert par une peau pâle, épaissie, ayant perdu
ce,. bien longtemps avant ceux qui laissent à leur suite des masses osseuses comme vestiges de leur passage ; ainsi, le mala
ermis de contrôler. A l'arrivée du petit malade, le développe- ment osseux n'était guère plus avancé que celui d'un enfant d
on dorsale chez un homme de 32 ans, atteint de rhumatisme chronique osseux . Nous trouvons également dans les Annales de De
décolorée, lisse. Il semble exister, par places, de la raréfaction osseuse entraînant une dépression nettement sensible il
euse à la partie inférieure du grand pectoral droit, et des tumeurs osseuses occupant la place du brachial anté- rieur des d
les malades), l'ossification du grand dorsal transformé en une lame osseuse allant s'insérer sur l'humérus, du grand pector
es. L'articulation co.ro-fémol'ltllJ est immobilisée par des jetées osseuses qui, parties des masses lombaires, vont se fixe
pieds, Munchmeyer signale l'ossification de tous les muscles inter- osseux dorsaux à droite, indépendamment des tubérosités
cles inter- osseux dorsaux à droite, indépendamment des tubérosités osseuses que l'on rencontre dans maintes observations. N
dépendante évidem- ment des pseudo-cyphoses causées par les tumeurs osseuses si fréquentes dans ces régions. Une question
licolis gauche alors que dans d'autres, et cela lorsque les lésions osseuses sont aussi prononcées d'un côté que de l'autre,
s par les muscles envahis les premiers. Au bras, lorsque les masses osseuses sont aussi volumineuses sur le biceps que sur l
e entre les muscles, qui ont une nutrition très active, et le tissu osseux dont les échanges sont si restreints. Hawkins a
s sens ne sont pas touchés. Cependant Zollinger a trouvé une plaque osseuse dans la choroïde avec amaurose, Pinter et Kohols
comme Rogers en a constaté deux, à l'autopsie, derrière les masses osseuses des grands pectoraux et contenant chacun 150 et
té du pus; 8 mois après, l'auteur trouve à son niveau une formation osseuse ; l'observation d'Helferich est absolument analo
endant les pauses, il y a des déchirures vasculaires par les masses osseuses , épanchement de micro-organismes au sein des tiss
s en Angle- terre ; les races germanique et saxonne d'une charpente osseuse puissante, revendiquent ainsi les quatre cinqui
t Volkmann se demande si notre affection ne relève pas d'un trouble osseux île la croissance. S'il en était ainsi d'où vient
eil locomoteur. ' Ziégler pour expliquer la localisation des masses osseuses dans le tissu conjonctif de l'appareil locomote
ogose du début l'hyperplasie conjonctive, et la formation de masses osseuses au seii muscles, ne retentissent pas sur les te
ions peuvent se montrer au niveau de la peau qui couvre les tumeurs osseuses ; elles peuvent être l'origine d'abcès multi- pi
e progres- sive est facile il diagnostiqueur. La présence de masses osseuses multiples sur tout l'appareil locomoteur, muscl
ples sur les os ; l'immobilisation des articulations par un manchon osseux périarticulaire, les articles eux- mêmes restan
le céphalllaemalome offre un bord bien net, sous forme de bourrelet osseux , alors que la myosite ossifiante forme des tumeur
diffuses, sans limites bien précises. La localisation des masses osseuses primitives à la nuque pourrait faire songer au
ral des ostéomes abarticulaires on périarticulaires, leur caractère osseux dès l'instant de leur apparition, leur peu de s
ntraire les muscles sont atrophiés, cà et là on constate des masses osseuses qui détruisent l'harmonie des formes. Le pseudo
DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE ni Afin de rendre les dépôts osseux solubles, Hawkins a employé l'acide phosphoriqu
quoi l'opération devient inutile. Pollard, ayant enlevé une tumeur osseuse de la nuque, n'a obtenu aucune amélioration. «
es tumeurs ne tardent pas à réapparaître. Pollard extirpe une masse osseuse libre du tendon du grand dorsal gauche et obtie
endant très longtemps : Gybney, ayant en effet opéré un petit noyau osseux du tendon d'Achille, ne le vit plus se reproduire
t souvent les régions malades, a pu se rendre compte que les masses osseuses néoformées augmentaient de volume avec le temps
t voir à Assaky et Billroth qui lui enlevèrent chacun une languette osseuse pour en faire l'examen microscopique. Il a été
rde tendue. De l'apophyse coracoïde droite on voit partir une jetée osseuse qui se pro- longe obliquement en bas et en deho
te. L'articulation s(,,a pu lo- li uni 6ral e, bridée parles masses osseuses , se trouve ankylosée ; l'épaule se soulève, mais
te à la fois. L'avant-bras est intact; les quelques tubéro- sités osseuses de nouvelle formation que l'on remarque, exista
u'on pourrait qualifier de parfaite, dans la répartition des masses osseuses et l'envahissement des mus- cles par les travée
et les fosses qu'ils comblent sont assez accusées. ' Deux jetées osseuses partent des angles supérieurs et internes des omo
t en dedans et se confondent avec le trapèze cervical ; ces travées osseuses semblent indiquer la transformation des muscles a
remarque une grosse masse transversale, d'où partent deux colonnes osseuses , obliquement dirigées en bas et en dehors ; ell
st surtout marquée à gauche. L'ischion droit offre une grosse masse osseuse au niveau de laquelle il s'est développé une la
rne. (Fig. 2.) Autour du genou, il n'existe pas d'autres formations osseuses , la rotule est libre. L'ankylose du genou a e
raphie du genou gauche; elle montre dans le creux poplité une masse osseuse solidement réunie au fémur et au tibia et jetée c
ose. De la partie externe de son extrémité libre, part un appendice osseux , du volume d'une noix et donnant l'apparence d'un
guement étendus sur les transformations survenues dans les systèmes osseux et musculaires, nous serons beaucoup plus brefs s
pour plaire à Brouwer : gros nez crochu, menton de galoche, visage osseux et labouré de rides, que l'on dirait sculpté dans
régions voisines. Autour des articulations et au-dessus des sutures osseuses la sensibilité douloureuse est toujours plus gr
niveau des bosses frontales, proéminence constituée par une matière osseuse spongieuse et granulée de couleur marron ; parois
eau du frontal ; le long de la suture sagittale, bande de substance osseuse granulée comme celle des bosses frontales ; et
ie considérable, confluente, de dépressions pénétrant dans le tissu osseux et y faisant de véritables lacunes, les unes punc
te un reste de liséré blanchâ- tre, comme cartilagineux. La paroi osseuse est très épaisse et dure; hyperostose de la table
ifestation spécifi- que jusqu'à fin de 1872. A ce moment, accidents osseux des fosses nasales. Coryza chronique, souvent s
ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX, DANS UN CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE D'ORIGINE ARTICULAIRE PAR CH. ACHARD et LÉO
trophie musculaire. Mais il est possible d'observer aussi l'aplasie osseuse , consécutivement à une affection purement périp
lose du -genou droit. Atrophie du membre inférieur droit et aplasie osseuse . Atrophie médullaire et cérébrale. liourl... Fr
par rapport à ceux du côté gauche. Examen macroscopique du système osseux et nerveux. - Il existe des diffé- rences consi
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T XI. PL, XXXIII ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE D'ORIGINE ARTICULAIRE (Radiographies des membre
ankylose. Il y a lieu d'insister sur quelques points. L'aplasie osseuse a été consécutive à une arthrite chronique (traum
tions, est une notion connue. M. Heydenreich (1) parle de l'aplasie osseuse par inaction qu'on observe, par exemple, à la s
extension complète du membre était impossible. Le fait de l'aplasie osseuse est donc bien établi. Notre cas en fournit un n
ion d'altérations médullaires au cours des atrophies musculaires ou osseuses d'origine périphérique, deux ob- servations de
t. Il existe une atrophie musculaire très accentuée et une atrophie osseuse portant sur les divers segments du membre : le
une l'ois interprétée, reste à invoquer sa relation avec l'aplasie osseuse . Klippel (2) a insisté sur ce fait que les cent
on de cette présentation, M. Achard attira l'attention sur l'atrophie osseuse bien manifeste sur la pièce et qui permet de ra
co- rail, de sorte qu'elles formaient une espèce de juste-au-corps osseux et fixe. 0ns. III. John Copping, Philosoph. t1'
s avaient envoyé de tous côtés des ramifications et des tubérosités osseuses irréguhères, semblables aux rameaux et aux noeu
ornes comme les éperons du coq ; les incrustations et les productions osseuses étaient telles, dit Copping, qu'il serait très
scles de l'avant-bras jusqu'au coude et les transforma en une masse osseuse . Le membre supérieur gauche, depuis le poignet ju
eur et tuméfaction au cou-de-pied droit avec formation de substance osseuse s'élevant jusqu'à la partie moyenne de la jambe.
çon de 14 ans, ayant le dos recouvert de saillies formant une masse osseuse qui s'insère sur les apophyses épineuses et va se
fection musculaire. Mais si nous tenons compte du siège des tumeurs osseuses , principalement au dos et à la nuque, localisatio
ifié il sa partie supérieure, de la cla- vicule au bras. Les dépôts osseux forment une masse surélevée et irrégulière. Le
SIM plus ou moins atteints. Le grand dorsal forme une grande plaque osseuse , de- puis son origine jusqu'à l'angle de l'omop
formant une grosse tubérosité. Le long dorsal ressemble il une lame osseuse déterminant l'immobilité de la colonne lombaire.
les mêmes conditions. En plusieurs endroits, on voyait des pointes osseuses , longues de 5 ;') 10 cent. et il n'est pas dout
plus grande partie du tenseur du fascia-lata gauche. 16° Une masse osseuse qui s'unit au précédent et qu'où ne sait pas il q
us avons placé ailleurs. Oiis. VIII. - Hawkins, Un cas de formation osseuse dans les muscles, London med. gaz., 1844, p. 27
au moment de sa première admission, et, au milieu, une petite masse osseuse s'étendant sur les côtes, comme si elle était dan
i levé, ni remué ; le gauche se déplace facilement, mais les masses osseuses qui remplissent en arrière un espace de 5 centi
evé. A la base de l'omoplate on sent des craque- ments. Cette masse osseuse augmentant très vite et se fixant à l'épine, je l
n connexion avec le grand dentelé, élastique et ferme, elle n'est pas osseuse et crépite à la pression. Cette tumeur s'est dé
minue vers le 15. Ce jour-là le pectoral gauche contient une tumeur osseuse et semble commencera se ramol- lir légèrement.
lage. La réunion des différentes pièces du sternum n'est pas encore osseuse . Le côté droit de la cage thoracique est diminué
et celle de la 66 à deux pouces de la colonne. Nombreuses plaques osseuses dans les muscles, particulièrement dans les pec
ers l'angle inférieur de l'omoplate où elle se réunit à un fragment osseux de 2 pouces adhérant par des fibres tendineuses i
rs le milieu de la 6e côte droite ; une autre sur la 9°. Des bandes osseuses , longues de 3 à si pouces, siégeant au milieu des
le reste du muscle est pâle, atrophié. Des bandes et des plaques osseuses se voient dans les muscles abaisseurs de la mâc
ans les muscles abaisseurs de la mâchoire inférieure. Un fragment osseux , d'un pouce de circonférence, s'insère à la point
a- diaux. Rien dans les articulations. Les nouvelles formations osseuses sont plus denses et plus dures que l'os naturel
usqu'à son insertion au radius. Un certain nombre de petits nodules osseux peuvent être sentis dans ce trajet et une pla-
ent à devenir plus ou moins fixes et l'existence d'une longue crête osseuse allant de l'épicondyle jusqu'au tiers inférieur d
u, dans le trapèze, immédiatement au niveau de son insertion, masse osseuse , dure, comme un oeuf de pigeon ; plus bas, entre
u'à son insertion à l'épine est dur et offre, çà et là, des nodules osseux . 286 A. WEILL ET .1. NISSIM A droite, à 5 cen
grand dorsal. Dans la région loinbiîre, des deux côtés, des masses osseuses . Un petit noyau d'une noix sur le calcanéum dro
ie inférieure de la portion médiane partent, à gauche, des branches osseuses qui vont en partie sur le sacrum, en partie sur l
. Sur l'astragale et la malléole externe gauche se voit une saillie osseuse . L'ex- trémité inférieure des couturier, semi-t
t à 19 ans de tuberculose aigué. 1874. Autopsie. Toutes les tumeurs osseuses signalées plus haut sont augmentées de volume.
s au dos. On sent, sous la peau, des tubérosités et des bandelettes osseuses irrégulières autour de la colonne lombaire, d'où
ons. Cette masse émet de chaque côté, en bas et en dehors,une bande osseuse qui va dans le grand fessier. Les bandes donnen
avec la 2° phalange du médius gauche, sont empêchés par des dépôts osseux ou cartilagineux. Exostose à la partie interne
mobile parce qu'il était empêché dans ses mouvements par la réunion osseuse des côtes avec les muscles de la poitrine. Un p
plète, pronation complète. Sensibilité de l'articulation, tubérosité osseuse entre l'épitrochlée et l'olécrane adhérant au c
leurs tendons. Grand ligament de la nuque trans- formé en une masse osseuse énorme. Une bande osseuse suit le bord externe
ent de la nuque trans- formé en une masse osseuse énorme. Une bande osseuse suit le bord externe du grand dorsal de chaque
ontractile. Trapèzes durs comme la pierre ; dans le gauche une lame osseuse allant de la colonne vertébrale à l'omoplate et f
iée de façon à immobiliser le grand trochanter et le sacrum. Masses osseuses sur la face antérieure du fémur droit s'étendan
és vers la plante du pied. Ligament cervical ossifié. Bande- lettes osseuses au-dessus des omoplates. Perte de substance de la
e. Atrophie du deltoïde, l'acromion émet sous lui quelques lamelles osseuses . Epaississement notable de la capsule arti- cul
sissement t considérable des aponévroses antibrachiales. Des noyaux osseux dans le flé- chisseur commun superficiel des do
3e côte, vers l'apophyse coracoïde et une 3e vers le sternum. Noyau osseux au niveau de l'insertion du deltoïde. Noyau osseu
e sternum. Noyau osseux au niveau de l'insertion du deltoïde. Noyau osseux sur le segment du deltoïde qui s'insère à l'hum
deltoïde qui s'insère à l'humérus. Clavicule gauche fixée par un pont osseux parti de l'apophyse coracoïde ; la droite est m
at d'une fracture mal réduite et consolidée avec un gros cal. Masse osseuse sur le segment inférieur qui suit le trajet des
oppée. Fractures multiples des côtes et raréfaction de la substance osseuse . Déviations de la colonne : à gauche et en arri
ombaire. Atrophie de la musculature de la cuisse droite ; une masse osseuse s'insérant sur l'épine iliaque antérieure et su
ule munie de multiples élevures aux bords. A gauche : Des aiguilles osseuses partent de la crête iliaque ; une bandelette su
rand adducteur, depuis son origine jusqu'à sa ter- minaison. Plaque osseuse dans la partie inférieure du vaste externe. Même
Thromboses dans les veines des extrémités inférieures. Une bande osseuse , partie de l'occiput, se dirige directement en ba
plate et la colonne. L'angle inférieur de l'omoplate émet une bande osseuse qui va s'insérer sur l'os iliaque ; une autre m
e, située sur l'iliaque gauche, va s'insérer sur le sacrum. Un pont osseux va du rebord costal gauche à l'iliaque gauche. At
dans le système musculaire ; le thorax est entouré par une carapace osseuse complète ue laissant pas voir le contour des côte
tumeur sur grand dorsal qui s'est bientôt transformée en une pointe osseuse . Bientôt après apparition des mêmes phénomènes
, et, en peu de temps, tout le creux axillaire a présenté une masse osseuse ; ces phénomènes furent précédés de chutes fréq
fications moniliformes. Sterno-mastoïdiens traversés par des noyaux osseux . Il en est de même des muscles qui s'insèrent au
quent l'origine de la portion cos- tale du grand pectoral. Une lame osseuse , réunie à la clavicule, et une autre sous forme
e coraco-brachial se confond à droite avec le biceps dans une masse osseuse , à gauche il contient deux noyaux osseux. Bas
le biceps dans une masse osseuse, à gauche il contient deux noyaux osseux . Bassin poussé vers la droite ; la hanche droit
ent. Réunion des arcs des vertèbres les uns aux autres par un tissu osseux . La masse osseuse, formée par la fusion des arc
arcs des vertèbres les uns aux autres par un tissu osseux. La masse osseuse , formée par la fusion des arcs vertébraux, est fo
e épaisse, très compacte, et intérieurement par une couche de tissu osseux friable et cassant. Friabilité semblable des corp
rononcée, quelques-uns sont fibreux, d'autres graisseux. Des masses osseuses se voient dans les parties molles ; celles-ci tan
nt libres. Muscles de la mimique normaux, masséters fibreux, noyaux osseux dans les temporaux. Mobilité abolie dans la mâc
les temporaux. Mobilité abolie dans la mâchoire inférieure. Un pont osseux unit le corps de l'os hyoïde à la partie moyenne
ites élevures. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 297 .. Masses osseuses dans les muscles postérieurs du cou. La portion d
s sous-jacentes, surtout il gauche. La tête est fixée par une masse osseuse qui commence il l'apophyse mastoïde gauche et sui
ur le bord antérieur de l'angulaire de l'omoplate, on voit une pointe osseuse tellement mobile sur l'angle supérieur de l'os
on. Sous le splénius du côté droit, dans un fascia, existe une lame osseuse libre. Sous le grand pectoral droit aminci, siège
libre. Sous le grand pectoral droit aminci, siège une grosse masse osseuse qui se met en rapport avec plusieurs muscles et p
e qui siège sur le bord inférieur du muscle, partent des expansions osseuses ; l'une d'elles, arciforme, va vers l'angle infér
n du biceps, très atrophiée, t peine reconnaissable, offre un noyau osseux ,qui se réunit avec la portion bra- chiale de la
noyau osseux,qui se réunit avec la portion bra- chiale de la masse osseuse décrite plus haut et avec l'ossification du brach
e. Apophyse coracoïde réunie il la clavicule par un puis- sant pont osseux . Exostose sur le bord antérieur de la clavicule,
point d'in- sertion du grand pectoral. A droite également, masse osseuse sur le bord inférieur du grand pectoral, au cre
oral, au creux axillaire ; cette masse envoie, en dedans une plaque osseuse qui se ra- mifie et couvre les 2% 3c et fil, cô
coracoïde sans s'y insérer. Sur le chef externe du triceps un noyau osseux . v1Sur l'aponévrose du bras une lame osseuse au
rne du triceps un noyau osseux. v1Sur l'aponévrose du bras une lame osseuse au-dessus de l'olécrane ;.elle est libre. Le cu
le vers le ligament interosseux et envoie, il ce niveau, une pointe osseuse dans le même ligament. Epaississement de la 4e
s le 5e espace intercostal. 3e et 10° côtes épaissies par une masse osseuse faisant saillie dans la cage tho- racique. Su
re de l'iliaque gauche, en avant des fibres du grand fessier, masse osseuse comme un neuf de poule. Tumeur semblable sur la c
iliaque droite. De ces deux tumeurs s'étend sur tout le dos une masse osseuse , très irrégulièrement conformée. Elle offre en
icalement, jusqu'à la 8e côte, où elle se confond avec la formation osseuse du grand rond qui se prolonge jusqu'à l'humérus.
moitié gauche du dos se réunit à la 10e côte seulement par du tissu osseux , elle surplombe les autres côtes. Cordon osse
ment par du tissu osseux, elle surplombe les autres côtes. Cordon osseux sur le bord inférieur de la 9° côte, il se réunit
le bord inférieur de la 9° côte, il se réunit à d'autres formations osseuses ; sur la paroi latérale gauche du thorax, on voit
t une tubé- rosité qui s'insère sur la 7e côte, et, formant un pont osseux perpendiculaire aux côtes, s'insère sur la 6e.
e aux côtes, s'insère sur la 6e. De cette tubérosité part une corde osseuse qui se dirige en bas et en arrière en couvrant
9° côtes. Un centimètre 1/2 en arrière du point où cette formation osseuse se réunit à la 60 côte, on voit une ossificatio
ophié. Les muscles profonds du dos passent à droite sous les bandes osseuses ; à gauche,ils entrent en rapport avec elles. Atr
-dessous de l'épine iliaque antérieure et supérieure naît une bande osseuse qui se prolonge jusqu'au-dessous du petit troch
rtie interne de la branche horizontale du pubis partent des aiguilles osseuses qui se prolongent dans les adducteurs et le dro
insère au fémur; de son point d'in- sertion au fémur part un cordon osseux , qui suit la direction du psoas iliaque. Lamell
un cordon osseux, qui suit la direction du psoas iliaque. Lamelles osseuses très minces dans le tissu conjonctif qui s'insère
l'obturateur externe une membrane épaisse traversée par des noyaux osseux . Ossification complète du muscle crural. Atroph
ure de la jambe; hypertrophie considérable des aponévroses. Masse osseuse considérable sur la cuisse gauche allant de la mo
tendon commun du quadriceps; le tendon contient également un noyau osseux . Atrophie des muscles de la jambe ; sur l'extré
rs des deux côtés. Dans la musculature abdominale droite, un cordon osseux gros comme le doigt s'étendant du rebord costal
tés supé- rieures restent attachées au thorax; on y voit des noyaux osseux dans leurs muscles. Pas de changement dans la c
olonne dorsale semble fortement cyphotique par suite des formations osseuses au niveau des apophyses épineuses des 3e, 4e et
re sout possibles. Les creux axillaires sont limités par des parois osseuses . Des ossifications dans les grands pectoraux, les
ur le bord infé- rieur du maxillaire inférieur quelques bandelettes osseuses se dirigent vers le plancher buccal. Ecartement
mètres de la ligne blanche, sous la peau, se voient des bandelettes osseuses , grosses comme des plumes à écrire et allant de
es à écrire et allant de haut en bas. Dans les trapèzes, des masses osseuses . Légère diminution dans l'étendue de la flexion
osté- rieure gauches des aisselles sont constituées par des travées osseuses . Le bras gauche est fixé, une légère adduction
'aine li à 5 ganglions indolores, gros comme une amande. Résistance osseuse dans la moitié inférieure de la région fessière
a la région inguinale, immédiatement sous la peau saine, une tumeur osseuse , indolore it la pression, composée de petits tube
difications suivantes (Cenlr. BI. sur Chirurgie, 1881). Les travées osseuses du dos se sont étendues et épaissies. Les bandele
avicule gauche tout près des insertions du trapèze in- tact. Tumeur osseuse derrière l'angle inférieur de l'omoplate gauche a
'elle , dans l'épaisseur du muscle grand dorsal, se voit une arcade osseuse indépendante. Le bord inférieur du grand pectoral
- cence fibreuse des muscles profonds droits du cou. Une tubérosité osseuse re- pose près de l'angle inférieur de l'omoplat
ndelette qui suit le bord externe du triceps. Dans le triceps noyau osseux mobile, gros comme une noisette. L'ankylose de l'
fformité congénitale du pouce analogue à celle du côté opposé. Lame osseuse dans la région lombaire, plus large à gauche qu
ans l'os iliaque droit t 306 A. WEILL ET a. NISSIM une bandelette osseuse large dans le muscle tenseur du fascia lata ; au
articulation de la hanche est manifestement entravée par une arcade osseuse du muscle couturier venaut se terminer par une
en plus d'épaisseur et finalement apparurent sous forme d'exostoses osseuses (Fig. 5 et 6). A 6 ans, scarlatine. A 12 ans,
côté gauche de l'occipital émettant, à sa droite, une bande- lette osseuse de cinq centimètres qui va se perdre dans le pari
neuse de la 5e vertèbre cervicale gauche se trouve une petite saillie osseuse d'apparence mobile. Epaississement notable du l
um plus que la gauche. Les grands pectoraux offrent des bandelettes osseuses , qui, parties de la deuxième côte, vont au bras
aisselle. Relâchement du biceps et du triceps brachiaux. Bandelette osseuse correspondant au coraco- brachial droit ; elle
inférieure du droit antérieur de l'abdomen droit et une bandelette osseuse va de l'épine iliaque antérieure et supérieure à
ineuses et les ligaments susépineux sont trans- formés en une masse osseuse . L'apophyse épineuse de la 7" dorsale, épaisse
au des apophyses des 11° et 12e dorsales, elle envoie deux branches osseuses ; plus bas encore, au niveau des 3e et 4e lomba
nches vont en bas et en dehors jusqu'à la crête iliaque. Des bandes osseuses suivent la direc- tion des fibres du trapèze da
omme une noisette sur le bord externe de l'omoplate droite. Le bassin osseux et sa musculature externe sont normaux. Flexion
transformés en une tumeur dure, fibreuse, contenant uue bandelette osseuse . Les tendons de la partie interne du genou, sur
ont transformés en une masse fibreuse ; à côté des tendons,nn noyau osseux comme une noisette. Flexion de la jambe d'envir
ération des végétations adénoïdes. Le 15 mars, on en- lève une lame osseuse de sept centimètres et demi insérée un peu -en de
du dos, tantôt il la partie inférieure, apparu- rent des tubercules osseux dans tous les muscles de la poitrine, aux dentelé
es masséters ; en 1883, dans les muscles de la cuisse. Les noyaux osseux sont ronds, coniques, pointus, tranchants, recouv
; la tuméfaction est un peu sensible et laisse après elle un noyau osseux dans les muscles. Ainsi, dans l'ossification de
s de l'avant-bras limités. Atrophie des muscles char- gés de noyaux osseux . A peine peut-on découvrir trace du cal dans la f
complète du deltoïde ; le biceps gauche est transformé en une corde osseuse qui fixe l'articulation du coude dans une légère
. Sur l'angle supérieur et interne de l'omoplate,se voit une pointe osseuse à base large ; deux autres semblables, mais plu
de l'os, le grand dorsal gauche notamment, se montre comme une lame osseuse colossale. Tandis que les côtes supérieures offre
fonds du cou et de la région hyoïdienne sont durs, mais sans noyaux osseux . Le côté gauche du thorax semble bosselé, le droi
ement en dehors, l'autre en bas et en dehors. On voit deux saillies osseuses des deux côtes des 9" et 10° vertèbres dorsales
en rameaux allant sur l'os iliaque droit, le sacrum et les saillies osseuses indiquées. Scoliose dorsale à convexité gauche
n centimètre dans la cir- conférence des deux bras. Des stalactites osseuses , parties de l'humérus, suivent le trajet du bic
e l'articulation métacarpo-phalangiennedu pouce, il existe un noyau osseux sur le tendon du long extenseur propre du pouce.
aie et radio-carpienne. L'extension atteint 140°, 170°. Une expansion osseuse , partie de l'épitrochlée, suit le trajet du ron
le. Dans le grand palmaire et le cubital antérieur on voit une lame osseuse ,mobile. Mouvements de la main gauche plus limit
lata, coutu- rier, psoas iliaque pectine, adducteurs ; bandelettes osseuses , mobiles avec les muscles, dans la moitié infér
de la cuisse gauche, elle est plus épaisse par suite de formations osseuses plus abondantes- Mêmes transformations qu'il la c
-membraneux et biceps sont entièrement réu- nies au fémur. Une lame osseuse , large comme la main, appartenant au droit anté
nt dj la nuque, les splénius et les trapèzes, renferment des noyaux osseux . Le thorax est immobile dans la respiration, ce
xostoses qui semblent partir des côtes et de l'hu- mérus. Des lames osseuses suivent le trajet de ces muscles. Le bord inférie
ial antérieur gauche possède, dans sa partie supérieure, une pointe osseuse qui se perd dans le muscle. Masse osseuse sur l
ie supérieure, une pointe osseuse qui se perd dans le muscle. Masse osseuse sur l'articulation du coude qui descend jusqu'à l
bluxée avec ankylose complète du genou. Pied en varus équin. Pointe osseuse à la partie supérieure du tenseur du fascia lata
le tendon du biceps, ou trouve un noyau de 3 cent. 1/2. Tubérosités osseuses sur la face postérieure du tibia. Scoliose de l
ification des mus- cles des gouttières vertébrales. Large expansion osseuse allant vers l'angle de l'omoplate droite. De la
rs l'angle de l'omoplate droite. De la 11° côte part une bandelette osseuse dans l'épaisseur 316 A. WEILL ET J. NISSIM du
ta, huit mois après l'ap- parition des premières douleurs, un noyau osseux à la partie supérieure et externe de l'avant-br
t abolie. Tête ronde, 55 centimètres de circonférence, de structure osseuse normale, sans ossifications. Séborrhée assez abon
muscle grand pectoral droit. A droite de la papille ( ? ) une masse osseuse comme une noisette ; les cartilages costaux sont
te, un peu à droite du sternum, on cons- tate un point d'une dureté osseuse , large comme un franc. Atrophie du grand pector
ale part verticalement en haut jusqu'à la 4e cer- vicale, une masse osseuse fixe, avec une large base, et pourvue de plusieur
muscles du bras et de la main.Dans le brachial antérieur une masse osseuse sous forme de stylet, longue de 8 centimètres,
est longue de 22 centimètres, large de 6; une lame de consis- tance osseuse , indolore, longue de 17 centimètres, large de 9,
osté- rieur de l'aisselle jusqu'à l'insertion du deltoïde. Une lame osseuse recouvre les muscles élévateurs de la colonne v
oucher la table que par les deux extrémités seulement de la colonne osseuse soudée, par le front et le genou ; le corps for
ntal que par les deux extrémités, tête et genou gauche, de la colonne osseuse constituée par l'ankylose. 5. - A gauche, le
n partie, de l'ossification des disques intervertébraux. Des points osseux relient les ver- lèbres aux côtés ; ils sont de
orales sont particulièrement affectées et présentent des bourrelets osseux manifestes à la limite du périoste et du cartilag
mière dorsale ; dans la région lombaire se montrent des tubérosités osseuses très saillantes sur les parties latérales des c
s n'en est pas moins solidement réalisée par des couches de tractus osseux qui, très nettement, sont le ré- sultat de l'os
ies entre elles (non pas sur toutes les vertèbres), par des tractus osseux d'aspect analogue aux précédents et ayant égale
usqu'à la 7e cervicale, sont soudées ensemble par un large filament osseux dont l'origine n'est autre chose que le ligamen
ossifié. En outre le sacrum est réuni à l'os iliaque par des jetées osseuses ; un grand nombre de côtes sont sou- dées aux a
e le processus mor- bide a surtout consisté dans une transformation osseuse des différentes couches fibreuses péri-vertébra
ondylose rhizomélique sont de deux ordres : Une production de tissu osseux sur l'os (exostoses, liyperostoses, synos- tose
- leurs semblent donc tenir a la sensibilité propre des végétations osseuses . Les douleurs qui se produisent a l'occasion de
ation par contact des ra- cines postérieures par quelque végétation osseuse au voisinage du trou de conjugaison des vertèbr
s avec des ostéophytes en des points situés plus bas. La végétation osseuse a d'ailleurs très probablement dans la région in-
aits anatomiques, la calcification des li- gaments et la végétation osseuse , semblent devoir être rapportés les deux grands
é est abaissée vers la droite. Il n'est pas question d'hypertrophie osseuse . « Oas. IL (aLLIER, Gazette médicale de Lyon, 1
s'hypertrophier tant dans ses par- ties molles que dans ses parties osseuses ; d'autres fois, les tissus mous sont pris excl
i 1886. T. D..., 3 ans, en 188 déjà l'enfant présentait des plaques osseuses dans le grand dorsal droit et un noyau induré à
bord externe du grand dorsal (ou du petit rond) se voit une plaque osseuse de 4 pouces, dans la paroi postérieure de l'aisse
rs. Lé- gers mouvements entre l'omoplate et l'humérus : les plaques osseuses ne sem- blent pas être réunies aux os sous-jace
e et déviée vers la droite ; le cou est raide ; il offre des masses osseuses ; les steruo-mastoïdiens et les trapèzes sont lib
oi antérieure des aisselles. 3$$A. 4\'1's1L ET J. ISS1DI Un noyau osseux mobile devant la tubérosité externe du tibia. H
oté au-dessous de l'angle inférieur de l'omoplate gauche, une masse osseuse fixée aux tissus sous-jacents. La tête était fi
dure et bosselée. De l'angle inférieur de l'omoplate part une crête osseuse qui se dirige vers la première vertèbre lombaire
, la tuméfaction se tassa laissant à sa suite des nouvelles plaques osseuses et une difficulté dans les mouvements de l'épau
endre une certaine mobilité par l'extirpation de cer- taines masses osseuses sur quelques points du squelette. Il a trouvé qu'
région montagneuse. A la palpation, on sent partout une masse dure, osseuse . Nombreuses exostoses sur les parties infé- rie
ides. Sous le muscle mylo-hyoïdien, on sent une sorte de stalactite osseuse . Muscles abdominaux durs. Rigidité des muscles de
qu'ils se placent sous le 2e orteil. 1. Des tumeurs de consistance osseuse se trouvent dans différents endroits du corps,
s et minces. Sur la 8° côte droite, au niveau de l'angle, un nodule osseux ; un autre sur la 8e côte gauche au même niveau
Sur le côté externe du genou droit, au-dessus du péroné, une masse osseuse , plate, d'un pouce de diamètre, et un nodule co
de l'omoplate, rigidité de la nuque sans qu'on y trouve des masses osseuses . 3e année : masse dure entre la crête iliaque dro
ée : nuque très raide, pour la première fois on y trouve des masses osseuses ; plusieurs autres sur les côtes. 7° année : ra
tomber. Mouvements de la tête très limités, nuque très raide. Masse osseuse entre le menton et le sternum; elle se fixe sur
rde arrondie et dure. Des angles de cette masse partent deux cordes osseuses , l'une il droite et l'autre à gauche ; elles se
on sterno-claviculaire. Saillie des sterno-mastoïdiens sl4ns noyaux osseux ; les muscles latéraux de la nuque sont exempts
s du creux axillaire. Dans la paroi postérieure de l'aisselle masse osseuse allant en bas jusqu'à l'angle inférieur de l'om
, l'adduction complète est impossi- ble. Dans le grand dorsal masse osseuse étendue de l'angle inférieur de l'omo- plate à
la crête iliaque aux côtes. Un peu au-dessus et en arrière un noyau osseux plus petit, mobile. Pas d'ossifications «dans l
ant occuper le fascia lata. Même disposition à gauche. Une pointe osseuse étendue du tubercule du 3° adducteur dans le tend
limitée ; flexion, libre. Les deux tibias offrent des excroissances osseuses juste au-dessous des tubérosités. 21 juillet 18
n des muscles profonds. Les os enlevés avaient l'apparence du tissu osseux normal. 24 décembre. Reproduction des tumeurs o
antérieure de l'aisselle raccourcis et fermes ; pas de for- mation osseuse à leur niveau ; la paroi postérieure est occupée
nctions exploratrices, faites dans le but de s'assurer de la nature osseuse ou cartilagineuse des tumeurs, sont restées sans
tumeur du grand pectoral est restée stationnaire rappelant le tissu osseux par sa consistance. Amélioration appréciable surt
PROGRESSIVE 397 de la masse sacro-lombaire aux lombes en une masse osseuse large de 4 pou- ces 1/2 dont deux pouces à droi
u'à l'état normal. Dans la paroi postérieure de l'aisselle des noyaux osseux irréguliers, mobiles plus développés à gauche e
s. Avril 1893. Pas d'augmentation de la raideur du dos ; les masses osseuses , surtout celles du grand dorsal, sont augmentée
celles du grand dorsal, sont augmentées de volume. Nouvelles masses osseuses il gauche de la colonne commençant vers la 8° ver
courbés ; les coudes séparés des parties latérales du tronc. Tumeur osseuse à la partie moyenne de la mâchoire comme un pet
vers la nuque. A sa première moitié il existe une masse irrégulière, osseuse mesurant un demi-pouce. La base de cette tumeur
respiratoires limités. A la partie moyenne de la 5° côte une masse osseuse , triangulaire, se pro- , longeant en arrière et
sectionne le tendon du grand dorsal il droite, on excise une masse osseuse très dense et très dure, mais une nouvelle mass
amènera un cer- tain degré de voussure et de dilatation de la cage osseuse . Enfin l'action exagérée des inspirateurs acces
niveau de la paroi antérieure de l'aisselle, se trouvent des noyaux osseux irréguliers se déplaçant légèrement avec les 47
t au niveau de son insertion. Là ils se continuent avec des plaques osseuses se trouvant sous le deltoïde et le grand dorsal
plate même ne paraissent pas atteints. Du côté gauche. Infiltration osseuse aussi dans le pectoral, il y a plus de noyaux q
rtion ; ils se continuent ainsi que du côté opposé avec des plaques osseuses sous le deltoïde et aussi avec le grand dorsal
ès peu progressé. Les deux cordons latéraux ont disparu. Les masses osseuses paraissent plus fixes et semblent unies intimemen
cités sont durs, mais ne contiennent pas de noyaux. Epaississement osseux dans les muscles longs du dos ; on constate des
te des protubérances sur le bord interne des omoplates, des plaques osseuses dans le grand dorsal. Les bras, le plus souvent f
ure de l'humé- rus, des deux côtés, sous le biceps atrophié, tumeur osseuse occupant la place du brachial antérieur. Sous l
place du brachial antérieur. Sous le long supinateur droit, tumeur osseuse de 5 cen- timètres de longueur et de largeur, e
tendineuse du premier radial. L'anconé est transformé en une pointe osseuse ; les autres muscles sont durs, il en est ainsi
lisées aux membres supérieurs. Dans certains endroits des plaques osseuses se sont développées dans le fas- cia et les mus
ux os comme dans le grand fessier à droite. A gauche une bandelette osseuse se trouve dans les muscles abdominaux et offre
tte elle-même. Ostéoporose de tout le squelette ; les néoformations osseuses n'en offrent pas. Epaississement des mâchoires
cles, qu'elles se sont réunies au travers des muscles par des pouts osseux , qu'elles se montrent daus le tissu conjonctif in
paissi ; au niveau de la fracture des os du nez on voit des pointes osseuses . Stase veineuse très prononcée au nez, aux mains
re du cou semble ne former qu'une seule masse garnie de bandelettes osseuses . Saillie notable de la 7° vertèbre cervicale, tan
oïdes en partie fibreux, en partie atrophiés, on trouve des pointes osseuses dans le droit. Bras dans l'adduction. On voit d
osseuses dans le droit. Bras dans l'adduction. On voit des masses osseuses tout autour de la région axillaire, surtout dan
partie saillantes ; les parties saillantes sont dues à des dé- pots osseux . Scoliose à gauche de la colonne cervicale, à dro
le droit. Les pectoraux des deux côtés sont pris. Transformation osseuse des muscles du dos, ça et là quelques parties fib
vertébrale et les apophyses épineuses sonl transformés en une masse osseuse . L'ossification des muscles du dos va sans inte
bablement jusqu'au carré lombaire. '^Partout à la limite des masses osseuses on constate des contractions fibrillaires. Celles
fessiers qui, au niveau de la crête iliaque,o(Trent des bandelettes osseuses , partout ailleurs ces muscles sont atrophiés. L
iliaqne des deux côtés. Dans le fascia lata droit se voit une masse osseuse . De même à gauche. Mouvements du genou limités.
al, particulièrement s'ils se trouvent dans le voisinage des masses osseuses . La réaction est bonne dans les muscles de la m
lcaires. Un morceau d'os enlevé au semi-membraneux a donné du tissu osseux à l'examen microscopique. Ons. L. D. BoKS, Be
peut pas être porté en arrière ; rotation très diminuée. Deux lames osseuses dans la paroi antérieure de l'aisselle, l'interne
uche, s'étendant jusqu'au thorax et envoyant dans le bras une bande osseuse jusqu'au pli cubital, immo- bilité sur l'épaule
on droit ; le bras ne peut être porté en arrière. Une petite tumeur osseuse située au- dessous du mamelon gauche se réunit
re du même côté. - Examen microscopique de la pièce enlevée : tissu osseux normal. Quelques préparations montrent le passa
Quelques préparations montrent le passage du tissu fibreux au tissu osseux et la trans- formation des cellules conjonctive
eux et la trans- formation des cellules conjonctives en corpuscules osseux . Observation Lf. - 13URGGnfIOUT, Thèse de Leyde
ts ; les fessiers, le quadriceps, les adducteurs offrent des masses osseuses . Autant que l'état des muscles le permet, les art
, elles- mêmes, plus tard, pour former les lIw1nèl'es. Le système osseux , atteint lui-même dans la myosite ossifiante, dér
urnis par le tissu le plus répandu dans son organisme, par le tissu osseux , aussi durant la dernière période de six jours,
e surtout les éléments nécessaires à la reconstitution de son tissu osseux . Il est arrivé ainsi aux conclusions de Munck d
sécrétion des phosphates est en rapport avec la destruction du tissu osseux et contrairement à l'opinion plus anciennede Zu
l'appareil locomoteur ; elle se caractérise par le dépôt de masses osseuses dans le tissu conjonclif des muscles, dans les
Atrophie des cent/'es nerveux, dans un cas d'atrophie musculaire el osseuse d'origine articulaire, par Achard et Ltol'OL1&g
rophie des cen- tres nerveux dans un cas d'atrophie musculaire et osseuse d'origine articu- laire (2 fig. et 3 pl.), 262.
Atrophie des centres nerveux dans un cas d'atrophie musculaire et osseuse d'origine articu- laire (2 fig. et 3 pl.), 262.
veux (Achard et Lsoron Lévi), XXXIV, XXXV. Atrophie musculaire et osseuse d'origine articulaire (Achard et Léopold Lévi),
2 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
sorte de Traité pratique sur les principales difformités des systèmes osseux et musculaire. Il n'y manque qu'un autre ordre; m
, c'est-à-dire du système nerveux , du système musculaire, du système osseux (y compris ses annexes, ligaments, cartilages, me
eux locomoteur fait sentir ses effets dans les systèmes musculaire et osseux . Tout état morbide des muscles exerce une influen
nce sur le squelette. Il y a donc une série de désordres du système osseux qui dérivent des lésions des muscles, une série d
rivent des lésions des muscles, une série d'affections musculaires et osseuses dont la source est dans le système nerveux. Mai
ux. Mais ce principe de subordination n'est pas absolu ; le système osseux peut être affecté en lui-même, indépendamment des
e indépendamment du système nerveux. De là une autre série de lésions osseuses et musculaires, les lésions qu'on peut appeler in
ilité, et leur nutrition est très-active. Les caractères du système osseux , chez l'enfant, sont des plus remarquables. Une p
des cartilages qui ne se rencontrent plus chez l'adulte. La substance osseuse elle-même est plus souple, plus molle, plus poreu
telle autre. Par ce motif, je commencerai par les maladies du système osseux . Il est naturel de diviser les maladies chroniq
à aucune classification systématique, et nous grouperons les lésions osseuses , tantôt d'après leur siège, tantôt d'après leur n
tendue variable, et qui est suivie de la formation d'un nouveau tissu osseux , véritable cicatrice comblant le vide, unissant l
ui constitue le mal vertébral et qui amène la destruction des disques osseux et fibreux du rachis. On a pendant longtemps rapp
par l'os peut commencer à la surface ou dans l'intérieur du cylindre osseux . Dans le premier cas, il existe un ulcère de la
ces supérieure et postérieure du corps vertébral. Outre les disques osseux et fibreux, il y a dans l'enfance des disques car
rps vertébraux. L'atlas-, dont le corps est remplacé par un tubercule osseux , ne présente pas ces lames cartilagineuses ; l'ax
ur nombre se trouve réduit à quarante-cinq. Intimement unis au disque osseux , dont ils tirent les éléments de leur nutrition,
lors flottant au milieu d'une collection formée de pus et de détritus osseux , et conservant en partie leurs propriétés physiqu
ion de ces organes. Une ostéite peut aussi s'emparer de cette surface osseuse et provoquer le décollement du cartilage, comme l
huit corps vertébraux ont disparu ; par cette autre, où neuf disques osseux sont détruits en totalité ou en partie. De là u
ébral commun antérieur, par le tissu cellulaire tuméfié, des débris osseux et tuberculeux, du pus, des exsudations de différ
ice solide au sein des parties lésées. Dans le mode de l'altération osseuse , trois cas se présentent : Ier cas. — Il consis
la formation d'une lame compacte , mince, sur la surface de la plaie osseuse ; plusieurs de nos pièces nous montrent cette lam
ui sécrètent le plasma qui revêtira plus tard les propriétés du tissu osseux en se pénétrant de sels calcaires. Serait-ce pour
é par les parties qui entourent l'excavation et s'organisant en tissu osseux , après avoir passé par l'état fibreux et par l'ét
ineux. La colonne vertébrale, divisée par une affection des disques osseux qui la composent, se réunit au moyen de deux cals
ans les tissus fibreux extérieurs; le deuxième est dû à la production osseuse qui s'effectue entre les fragments, comme dans be
iste dans ces ponts étendus d'une vertèbre à l'autre, dans ces masses osseuses surajoutées, ces stalactites d'autant plus étendu
ète du rachis. Le second cal, intérieur, réunit les deux extrémités osseuses . Voici une des plus admirables pièces sur lesquel
e colonne vertébrale nous offre une variété curieuse de consolidation osseuse . Les vertèbres supérieures du fragment inférieur,
rale ; l'autre affection ne s'accompagne d'aucune altération du tissu osseux et tient seulement à une inégale distribution des
dans quelque partie du corps? il est presque certain que l'affection osseuse est de nature tuberculeuse. Chez l'adulte, la d
flocons d'apparence caséeuse ou albumineuse, et parfois de parcelles osseuses éburnées. Ce pus devient ordinairement fétide peu
D. Abcès ossifluents. — D'autres abcès, produits par diverses lésions osseuses ayant un autre siège que le corps des vertèbres,
forte courbure du rachis, cela peut tenir à la destruction de l'arête osseuse . Il n'est pas impossible non plus que la moelle,
a, ai-je dit, d'autres causes de compression de la moelle que l'arête osseuse dont il a été fait mention ; toutes les matières
e même de la moelle, telles que myélite, ramollissement ; des pointes osseuses viennent quelquefois irriter les membranes ; ces
celles qui sont produites par l'anévrysme de l'aorte, par une tumeur osseuse de nature syphilitique, un carcinome ou des tuber
t que la nature, après s'être servie du pus pour dissoudre les pièces osseuses , le rappelât dans les voies générales de la circu
at peut durer de longues années. Il faudrait, pour arrêter la maladie osseuse , favoriser l'évolution des phases curatives de la
ique également aux deux autres cas, puisqu'il faut traiter la maladie osseuse en même temps que les accidents dont elle s'accom
offre un cas analogue au précédent, tant par le siège de l'affection osseuse que par celui de la paralysie. Celle-ci est en vo
nce de la suppuration. — La membrane du kyste d'une part, l'affection osseuse de l'autre, sont les deux sources de la sécrétion
12e vertèbres dorsales sont réduites de volume et converties en coins osseux dont la base est postérieure. Cette altération es
elle a été véritablement lente à mourir. Encore un mot de la lésion osseuse chez cette malade. Il n'y a pas ramollissement de
ux apophyses articulaires, et à un bien moindre degré. Les affections osseuses , cartilagineuses et ligamenteuses forment la deux
ales, ainsi que je l'ai établi plus haut : la synovite et l'affection osseuse . I. Synovite. — Je commence par l'étude de la s
phatiques peuvent offrir des altérations secondaires. II. Affection osseuse . — Les lésions primitives qui lui donnent lieu so
re, si l'arc antérieur de l'atlas se trouve détruit. La desiruction osseuse donne lieu à des effets différents, suivant qu'el
sous-occipitale. On n'en a fait mention que pour les cas d'affection osseuse ; mais on l'observe plus souvent encore dans la sy
e ou à gauche, etc. Des luxations sont le résultat des destructions osseuses dont je viens de parler. Ces luxations se produis
suffire à produire des inclinaisons en divers sens, sans destruction osseuse . Ce qui différencie l'affection sous-occipitale
table qu'on n'ait point recherché si ce foyer contenait des parcelles osseuses . La pièce a été macérée pendant plusieurs semaine
es. Si la disparition de ces os est bien réellement due à l'affection osseuse , ce fait serait unique dans la science. Malgré ce
a moelle était comme ramassée et revenue sur elle-même. L'affection osseuse sous-occipitale ne peut durer quelque temps sans
que dans l'autre, des changements qui surviennent dans son enveloppe osseuse . Il se peut néanmoins qu'elle ne soit ni déformée
s et de l'atlas. Dans le foyer se trouvaient contenus quelques débris osseux et les cartilages d'encroûtement des facettes cor
étaient formés entre les vertèbres , ils sont résorbés. L'affection osseuse sous-occipitale guérit, comme le mal vertébral de
ébral des autres régions, par le rapprochement, la réunion des restes osseux . Il y a affaissement d'un côté ou de l'autre de
du système nerveux. L'ankylose a lieu sans déplacement des surfaces osseuses ou avec luxation des vertèbres. Elle est rare dan
es portions contiguës des os, mais même à l'aide d'ostéides, de ponts osseux , entre des parties maintenues à distance. Dans un
survenue entre l'axis et l'occipital. Il ne restait plus qu'un point osseux de l'atlas en arrière. DÉFORMATION DE LA TÊTE E
sous-occipitale comprend celui de la synovite et celui de l'affection osseuse . Il est basé sur les symptômes suivants : I. Do
les mouvements. Ceux-ci sont surtout très-douloureux dans l'affection osseuse ; la moindre secousse, la marche sont une cause de
rapport avec la protubérance occipitale externe; ces deux éminen-ces osseuses ne se trouvent plus situées sur une même ligne ve
à la tête ; la contracture symptoniatique d'une lésion articulaire ou osseuse est intermittente ; elle est subordonnée à la dou
oduit par des lésions de l'appareil locomoteur est aigu ou chronique, osseux ou musculaire ; celui-ci, à son tour, est continu
maladie d'un enfant; ils vont nous servir pour distinguer l'affection osseuse du torticolis musculaire continu. Ce que je vous
ctés et en rapport avec le mode d'action de ces muscles ; l'affection osseuse donne lieu à une attitude différente, telle que c
dans le torticolis musculaire. Les symptômes propres de l'affection osseuse vertébrale sont aussi un moyen de diagnostic. S
ente, lorsque l'affection est purement musculaire; dans le torticolis osseux , au contraire, les muscles ne se contractent que
iste dans le corps même du muscle, et non à ses attaches ; la douleur osseuse est plus profonde que le muscle; elle est réveill
ension extrême du muscle, et une tension moins forte dans l'affection osseuse ; dans celle-ci on peut, avec de la douceur, obten
de aux tractions du sterno-cléido-mastoïdien , et de même l'affection osseuse donne souvent lieu au raccourcissement de ce musc
us avons vu cet état être la conséquence des torticolis musculaire et osseux . Ce qui, dans un cas, est effet, peut devenir cau
e le divise en traitement de la synovite et traitement de l'affection osseuse . Ce que j'ai à vous dire s'appliquera à chacune d
Martin et Bonnet ont publié des faits analogues. Dans le torticolis osseux , on devra user des plus grandes précau tions da
, les manipulations ont souvent une heureuse influence sur la maladie osseuse . M. Bonnet a émis ce principe général, que l'on a
ce que dans le torticolis musculaire. II. Traitement de l'affection osseuse . — La lésion osseuse sous-occipitale est traitée
olis musculaire. II. Traitement de l'affection osseuse. — La lésion osseuse sous-occipitale est traitée généralement par cett
nants, je l'ai déjà accordé. Que faire donc en face d'une affection osseuse sous-occipitale? Recourir aux mêmes moyens révuls
du reste du squelette. J'ai aussi indiqué un grand ordre d'affections osseuses à propos du diagnostic de l'affection sous-occipi
reste qu'un rudiment imperceptible du cotyle. On voit une production osseuse hémisphérique bouvier. 7 correspondant à la t
quelquefois une amphiarthrose, d'autres fois une fusion des surfaces osseuses . Ce dernier mode d'union est, comme ©n l'a vu,
sont évidemment ceux d'une coxalgie; il n'existait point d'altération osseuse ; le membre avait une attitude fixe ; les mouvemen
cavité normale; le manchon fibreux refoulé s'éloigne avec la portion osseuse qui lui donne insertion; il présente un étranglem
ischions. On remarque aussi une diminution de hauteur de la ceinture osseuse ; elle esi comme écrasée. Les iliums sont, au con
ffre une couche épaisse de tissu adipeux sous-cutané et des éminences osseuses arrondies, cette précision est souvent difficile
2° L'écartement du grand trochanter résulte de ce que cette éminence osseuse se trouve séparée de la ligne médiane du corps, c
postérieur à l'ancien cotyle. La projection en arrière de l'éminence osseuse est, en outre, en rapport avec la rotation du mem
position sur les fémurs et qui dépendent des attitudes de la ceinture osseuse et des mouvements du membre inférieur. Pour bien
déformé, effacé en partie, de manière à ne pouvoir plus loger la tête osseuse . Quelques auteurs ont avancé, il est vrai, que ce
s ici, pour cette année, l'étude des affections chroniques du système osseux . Mais je désire ne pas me séparer de vous sans av
s les tissus morbides. 1° Le pied bot accidentel, de cause purement osseuse , est rare et toujours symplomalique. Il succède à
scles ne se rétractent que consécutivement. On comprend qu'une tumeur osseuse pourrait produire le même effet en sens inverse.
, sur la foi de certains systèmes, que presque toutes les difformités osseuses ont une origine musculaire. Nous verrons, en effe
'un grand nombre de ces difformités ont leur principe dans le système osseux lui-même. Quoi qu'il en soit, le pied, plus peu
l'ordinaire. Le dos du pied, incliné en dehors, présente une saillie osseuse formée par la tête de l'astragale, et une autre m
mité postérieure du cinquième métatarsien forme une troisième saillie osseuse sur le côté convexe de l'angle médio-tarsien. D
pointe du pied, qu'il est presque impossible de relever. Les saillies osseuses sont bien marquées au dos du pied. Les mouvements
un point très-rapproché de sa base. Plus tard, l'astragale, devenu osseux , perd jusqu'au poli de sa surface, là où le scapb
té sur ce point est souvent indiqué par l'allongement de la substance osseuse , sous forme d'une apophyse styloïde, à l'angle in
ole interne, ou bien encore avec le scaphoïde. (1) Les déformations osseuses que nous avons étudiées dans la précédente séance
s peu importantes; je ne m'y arrêterai pas. Toutes ces déformations osseuses sont plus prononcées dans le varus congénial, par
ité du pied. Il se développe autour des articulations des végétations osseuses ; on a rencontré sur les surfaces articulaires ell
oir si la rétraction musculaire existait avant ou après l'inclinaison osseuse dans le pied bot. Les uns ont soutenu , d'après D
re, étant le fait primitif, précédait toute altération articulaire ou osseuse ; les autres ont dit, avec Scarpa (2), que le racc
rement, comme la contraction simple, les altérations ligamenteuses ou osseuses ; il est consécutif à la torsion comme ces dernièr
ôté rentrant en dehors. Sur le côté saillant, on voit trois éminences osseuses ; l'une est formée par la malléole interne, l'autr
raîné le pied dans leur sens. Tout ce que j'ai dit des déformations osseuses , des changements subis par les ligaments et les m
forme d'un petit tuber- (1) Huitième leçon, 11 juillet 1856. cule osseux . Celle du côté gauche est plus volumineuse, et l'
ité postérieure du calcanéum et le tendon d'Achille, sur les saillies osseuses de l'astragale et du calcanéum, vis-à-vis l'extré
ompu le tendon d'Achille quinze ans auparavant, on trouva la cicatric osseuse . Je vais maintenant opérer devant vous deux enf
prédomine, la ténotomie peut réussir ; si c'est l'élément fibreux ou osseux , l'opération est contre-indiquée dans les pieds b
§ 1er. — anatomie pathologique du rachitisme. I. Lésions du système osseux . — Le fait le plus général, dans l'histoire du ra
c'est le trouble du grand acte de la nutrition qui crée la substance osseuse ; c'est la marche anormale de l'ossification, de l
commencerons l'étude du rachitisme. Les altérations de la substance osseuse dans cette maladie présentent divers degrés qui f
ent les deux périodes principales de la maladie ; et comme !c système osseux se présente sous une troisième forme quand la gué
e est caractérisée par l'atrophie, par la raréfaction de la substance osseuse . Cette atrophie est plus sensible à l'intérieur q
des os. Elle résulte de la résorption interstitielle de la substance osseuse , qui n'est point remplacée par une nouvelle subst
chez les enfants, elle les rend plutôt flexibles, parce que le tissu osseux est différent dans les deux âges. La souplesse
e fibreuse plus prononcée. U° Os : Structure aréolaire, corpuscules osseux remplaçant les corpuscules cartilagineux. Le ti
rsistance, l'étendue, la mollesse de ces formes transitoires du tissu osseux , concourent puissamment à lui ôter sa solidité. N
rties du squelette. Peut-être aussi, comme je l'ai déjà dit, le tissu osseux est-il, en outre, déjà plus mou par la prédominan
ne cause active de la plupart des modifications subies par le système osseux . Je n'ai rien observé qui soit de nature à me fai
oués, ainsi nommés des nœuds ou renflements formés par les extrémités osseuses ou cartilagineuses. Ces nœuds n'existent pas tout
ommencement de cette période. Il y a un moment où la seule altération osseuse consiste dans l'excès de développement des tissus
t plutôt les considérer comme le produit d'une altération des couches osseuses normales, que comme une production pathologique n
uerel et Rodier. (1) Je vous ai décrit les changements que le tissu osseux éprouve dans les deux premières périodes du rachi
pas des fractures, mais résultent d'un simple arrêt de développement osseux , qui interrompt la continuité de l'os. Cet arrêt
sans qu'il en reste de traces dans le squelette. Certaines courbures osseuses disparaissent même à la longue par les progrès de
qu'il en soit ainsi. Outre les déformations qui persistent, le tissu osseux nouveau diffère souvent de l'ancien. Il peut arri
roné, du côté concave de la courbure, des couches dont l'organisation osseuse est d'autant plus avancée qu'elles sont plus prof
par cette sorte de pétrification de leur moule organique. Les parties osseuses épaissies conservent leur excès de volume, et on
disparaît même plus complètement dans cette exubérance de la matière osseuse . Ces changements anatomiques dans la structure
formés, et d'une consistance êburnée dans leurs diaphyses. La matière osseuse manque au contraire dans divers points. Les chair
chitisme agit aussi en s'opposant à une première formation de matière osseuse , en arrêtant le dépôt des principes calcaires. De
tiples. Non-seulement les os wormiens se multiplient, mais les rayons osseux eux-mêmes sont décomposés en petites aiguilles sé
st guère qu'à une période avancée de l'altération générale du système osseux , qu'il existe à un degré bien prononcé. Néanmoins
ne affection tuberculeuse ou d'une carie qui aurait guéri par soudure osseuse . Mais les caractères anatomiques des os, la consi
le, indépendamment de toute déviation du rachis. C'est une altération osseuse tout à fait propre au rachitisme, comme l'a fort
is et aux cavités cotyloïdes. Dans la première variété, la ceinture osseuse tend à se resserrer (1) Treizième leçon, 16 aoû
de la maladie, plusieurs associations ou combinaisons de déformations osseuses qu'on rencontre le plus communément et qui sont a
t ceci que l'âge doit influer sur le siège spécial des déformations osseuses . Sur 16k enfants rachitiques dont j'ai fait autre
avons étudié les altérations que produit le rachitisme dans le tissu osseux et dans (1) Quatorzième leçon, 22 août 1856.
ur texture intime. La plupart sont des effets consécutifs des lésions osseuses . Quelques-unes précèdent ou accompagnent ces lési
. Dans l'ordre physiologique, l'antagonisme du cerveau et de sa boîte osseuse est marqué, chez le foetus et le nouveau-né, par
le et poussent les viscères en avant. La portion abdominale du thorax osseux , soulevée par ces viscères, est plus dilatée que
ns le sens de leur concavité ; ils tendent à former la corde des arcs osseux du côté de la concavité. Mais, dans ces modific
de, p. 46 et suiv,, Leyde, 1680. entre les deux extrémités de l'arc osseux , en décrivant des courbes beaucoup moins prononcé
te de cette circonstance compense le raccourcissement que la courbure osseuse leur a fait subir. Vous avez vu, dans la dernière
rations analomiques, et, en particulier, les transformations du tissu osseux qui constituent le rachitisme. Glisson (1), et
roduits dans l'organisme. Quand ces conditions manquent, la formation osseuse est suspendue, il y a rachitisme. M. Broca (1)
tres, dont la constitution est beaucoup moins altérée, ont le système osseux profondément déformé. Quoi qu'il en soit, le se
i qui se rattache à cette doctrine d'un simple arrêt de la production osseuse par la diminution de la vitalité générale de l'or
Westphalie était héréditaire. Daubenton (1) se demande si les formes osseuses produites par un rachitisme ancien et guéri ne po
située à gauche de la ligne médiane, sur laquelle on sent une saillie osseuse qui appartient au pariétal droit. C'est là un exe
iques vous sont déjà connus : ce sont toutes les lésions rachitiques, osseuses ou autres, perceptibles à l'extérieur. Le chapele
marquée, celte sensibilité se montre d'autant plus vive que le tissu osseux a moins de consistance. Elle est également excité
à laquelle elles se manifestent, et suivant l'état général du système osseux . J'en dirai autant des déviations du genou et d
ement favorisera le développement musculaire et la formation du tissu osseux ; malheureusement, il doit souvent se réduire à un
es appareils, il faut qu'une pression porte sur la convexité des arcs osseux , et une autre à chaque extrémité de l'arc, du côt
sont permanentes, et résultent de la conformation même de cette tige osseuse ; ce sont les courbures normales proprement dites.
ète, si la constitution générale donne peu de résistance aux systèmes osseux et ligamenteux, si l'état de grossesse est accomp
e des corps vertébraux, qui sont élargies. On dirait que la substance osseuse comprimée a reflué vers la circonférence de l'os.
ligaments intervertébraux, il existe, comme on sait, entre les noyaux osseux des corps des vertèbres de véritables cartilages
par se souder aux vertèbres , après avoir formé de petites épiphyses osseuses . On ne sait trop quelles sont les déformations qu
utre. Cette déformation m'a paru moins prononcée que celle des noyaux osseux . 2° Colonne postérieure. — Ici les déformations
pressés les uns contre les autres dans un étroit espace ; les parties osseuses sont alors confondues, refoulées, déviées d'une m
voit distinctement sur les corps vertébraux la trace de cette torsion osseuse , qui fait tourner leurs deux faces horizontalemen
sujet, quelles remarquables différences s'établissent entre ces arcs osseux à la convexité et à la concavité des courbures (1
en avant; 2° par l'abaissement et l'obliquité plus grande de ces arcs osseux , qui se rapprochent ainsi de l'axe de la poitrine
e cause que la courbure du rachis, à l'altération générale du système osseux (3). L'ostéomalacie de la jeunesse et de l'âge ad
ement de ses deux moitiés peut s'étendre aux os coxaux. La ceinture osseuse formée par les trois os offre assez souvent, chez
re latérale de l'épine. Elle change de forme, en effet, avec son étui osseux ; elle en suit les ondulations et décrit les mêmes
étui membraneux, ici distendu par le liquide et remplissant le canal osseux , là desséché et rétracté autour de la moelle, don
de pression des côtés droit et gauche, et la forme arquée de la tige osseuse devient permanente. Plus tard, l'effort des muscl
le siégeant clans le rachis : celte cause est l'altération des tissus osseux et ligamenteux, qui diminuent de consistance. Les
le de déformer le rachis; la pression latérale de l'aorte sur la tige osseuse altérée exerce sans doute parfois la même influen
point d'altération sensible, point de ramollissement de la substance osseuse ou ligamenteuse. L'acte physiologique de l'accroi
laisse la colonne vertébrale parfaitement droite, lorsque l'affection osseuse ne porte pas sur les vertèbres. Nous ne pouvons
us gras, dans la scoliose, que lorsque c'était un effet de l'atrophie osseuse causée par les progrès de l'âge. L'amaigrisseme
vation n'est pas, en général, troublée directement par la déformation osseuse ; nous en avons vu la raison dans l'anatomie patho
la convexité des courbures, et favorisent mécaniquement la formation osseuse , l'expansion ligamenteuse dans le sens de leur co
articulations, diminuer la solidité et la résistance de la substance osseuse . On peut, à la vérité, suppléer au défaut de loco
toutes les déviations encore peu prononcées; on croit la déformation osseuse très-tardive. Cette méprise rejaillit inévitablem
'ossification des ligaments intervertébraux. Dans l'enfance, le noyau osseux des corps vertébraux a peu de volume par rapport
ure. Autour de ce noyau se passent des phénomènes actifs de formation osseuse . Tant que cet état persiste, on a plus de chances
ès de l'âge, les lames cartilagineuses sont envahies par la substance osseuse , et que le travail ostéogénique devient moins act
itement jusqu'à ce que l'âge ait donné plus de consistance au système osseux , jusqu'à ce que le temps ait arrêté définitivemen
...... 70 I. Synovite.......................... **• II. Affection osseuse ..................• • • 71 Mécanisme de la guéri
ent de la synovite................. ¦ II. Traitement de l'affection osseuse .............. 92 ART. III. -pseud arthroses cox
omie pathologique du rachitisme.......... ib. ï. Lésions du système osseux ................. ib. A. Première période.......
3 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
très nette des divers muscles, pas d'atrophie musculaire, réflexes osseux et tendineux abolis. Un tremblement statique bi
cette idée et de définir la place du syudrôme parmi les altérations osseuses que l'on peut rencontrer chez le vieillard. A
ce que doit occuper le pseudo-Paget parmi toutes les défor- mations osseuses séniles. Fixe. 2 DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUE
1901, p. 552-569. (2) Richard, Contribution à l'étude de la maladie osseuse de Paget. Thèse de Paris, 1886-87. (3) NÉGELL
, en- fin des cas où la déformation relève avant tout d'altérations osseuses . C'est à la première classe seule'que nous rése
début. Plus tard en effet elles peuvent se compliquer d'altérations osseuses et se rapprocher des autres cyphoses séniles.
groupe nous classerons les vieillards chez lesquels une raréfaction osseuse nous semble être à la base de tous les phénomènes
chez les gens âgés à jouer le rôle des fardeaux. Lorsque le système osseux s'affaiblit, point n'est besoin d'avoir été porte
ompagnant d'autres déformations liées au trouble général du système osseux . Ce sont là les vraies cyphoses sé- niles, cell
rédisposante à longue échéance sur des déformations dont l'atrophie osseuse sénile est la seule vraie cause. Le rhumatisme
nent les lésions. Il y a des hyperostoses et il se produit du tissu osseux éburné. Quant à la spondylose rhizomélique, c'e
e friabilité et sur le cadavre on peut avec le doigt enfoncer la lame osseuse externe en produisant une crépitation spéciale.
e. En somme, ce sont là des lésions d'ostéoporose sénile d'atrophie osseuse simple. L'analyse chimique du fémur d'un de nos
l'ostéoporose sénile se résumait en un seul symptôme, la fragilité osseuse . « L'ostéoporose sénile, dit Poncet, n'a pas de s
ile. Cliniquement on retrouve c dans tous les cas de ramollissement osseux chez les vieillards, le tableau symptomatique d
le tableau symptomatique de l'ostéomalacie des adultes : dou- leurs osseuses multiples, surtout provoquées par la pression sur
onstaté certai- nes déformations que l'on a attribuées à l'atrophie osseuse . La fréquence des fractures du col du fémur, du
. 193 et sui- vantes ; CHARi,y, Des variétés chirurgicalés du tissu osseux . Revue de chirurgie, Paris, 1884, pp. 689-709
XVI. Paris, 1856. (3) Richard, Contribution à l'étude de la maladie osseuse de Paget. Thèse de Paris, 1887, p. 76 et 77.
les du squelette sont en cause. Il s'agit d'ostéoporose, d'atrophie osseuse banales. Mais lorsque certains détails du syndrom
pouvant faire place, parce qu'il se trouvait serré contre la paroi osseuse du foramen occipital a souf- fert tout autant d
main droite et 30 pour la main gauche. Les réflexes tendineux et osseux , normaux à gauche, sont nettement exagé- rés à
us ses diamètres, surtout dans son diamètre vertical ; les saillies osseuses sont bien marquées, apophyses orbi- taires, rac
squelette de la face, on perçoit très bien les différentes saillies osseuses très augmentées de volume. Il faut noter en par
ux sont très agrandis ; au niveau des bosses frontales, l'épaisseur osseuse est de 23 milli- mètres, elle est de 18 millimè
onser- vées pour l'examen histologique. Etant donnée l'hypertrophie osseuse des ex- trémités dans la maladie de Marie, il é
essant de savoir s'il y avait trace d'une reviviscence de la moelle osseuse . Sur des coupes longitudinales et transversales
s dans l'acide picrique,nous n'avons constaté aucun foyer de moelle osseuse en activité. Nulle part on ne voyait de leucocyte
. Il est bien probable que, si l'on faisait l'examen des extrémités osseuses au moment même de la poussée acromégalique, on
moment même de la poussée acromégalique, on trouverait une moelle osseuse en hyperactivité, mais si ce processus doit exist
os- tiquer par la radiologie, est un élément nécessaire du syndrome osseux que Marie a le premier complètement décrit les
acromégaliques, mais seulement des malades atteints de dystrophies osseuses à tendance hypertrophique des extrémités, qui,
'acromégaliser de longues années avant sa mort, mais comme le tissu osseux laisse indélébiles ses hypertrophies, ses défor
onne vertébrale ? Il y a lieu d'éliminer tout de suite une lésion osseuse (ostéomalacie, mal de Pott) dont on ne trouve a
dent. Les dessinateurs ont tou- jours choisi le temps de la section osseuse et les opérateurs sont toujours représentés arm
re. HOPITAL BROUSSAIS. SERVICE DE M. LE DOCTEUR OETTINGER MALADIE OSSEUSE DE PAGET TROIS CAS OBSERVÉS DANS UNE MÊME FAMIL
diaques et vasculaires,qui caractérisent essentiellement la maladie osseuse de Paget. ' Pour n'avoir pas à répéter, à propo
lle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XVIII. 111. XXXVII MALADIE OSSEUSE DE PAGET FAMILIALE (OE/tinger et Aftasse-Lafol1
(OE/tinger et Aftasse-Lafol1t) Masson et Cie, Editeurs MALADIE OSSEUSE DE PAGET 293 OBS. I. Bordier Louis-Victor, âgé
LLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XVIII. Pl. XXXVIII MALADIE OSSEUSE DE PAGET FAMILIALE (OEttillger et Agasse-Lafoii
OSSEUSE DE PAGET FAMILIALE (OEttillger et Agasse-Lafoiii) MALADIE OSSEUSE DE PAGET 295 que le gauche, présente eu outre d
NGER ET AGASSE-LAFONT Telles sont nos trois observations de maladie osseuse de Paget. La troi- sième peut être discutée. Si
a observé une malade dont le père aurait eu les mêmes déformations osseuses . Lunn (1884) les a constatées chez les deux frè
urs heures au milieu d'une atmosphère surchargée de chlore. MALADIE OSSEUSE DE PAGET 297 couverte de deux autres cas dans s
sés à l'intoxication (13). 298 OETTINGER ET AGASSE-LAFONT MALADIE OSSEUSE DE PAGET 299 de Moizard et Bourges (1892) (1).
Marie. Enfin, étant donné l'existence incontestable de la syphilis osseuse de l'adolescent et de l'adulte (2), on peut adm
e des cas d'hérédo-syphilis. Le rachitisme présente avec la maladie osseuse de Paget d'étranges ana- logies : même évolutio
douleurs, mêmes reliquats, même confu- sion avec des manifestations osseuses de l'hérédo-syphilis. Or on a trouvé dans la dy
plus apparente que réelle. Sans doute on ne peut comparer le tissu osseux dans l'organisme au fragment d'os que l'on fait
cide lactique, qui va troubler l'évolution et la structure du tissu osseux . Ainsi, il n'est pas il logique d'admettre que
ides minéraux puisse jouer un rôle dans la pathogénie de la maladie osseuse de Paget, ce rachitisme des vieillards. Il est vr
? C'est le point qu'il faut éclaircir. BIBLIOGRAPHIE DE LA MALADIE OSSEUSE DE PAGET, EN FRANCE [Nous avons groupés ensembl
(11 BESANÇON et LABBÉ, Traité d'hématologie, 1904, p. 36. MALADIE OSSEUSE DE PAGET ' 301 28-29, LANNELON6UE, Bulletin méd
ivant l'incidence des rayons, comme s'il s'agis- sait d'une lamelle osseuse aplatie (PI. XLI). On ne voit que ce fragment sur
fille est plus nette : à droite et à gauche on aperçoit un fragment osseux au-dessus du bord supérieur de l'omoplate, séparé
. Dans l'excavation ainsi produite on sent les diffé- rents reliefs osseux et les battements de l'artère sous-clavière qui e
e par l'arceau claviculaire. De même on peut constater des saillies osseuses anormales, au ni- veau du squelette avoisinant,
ressants entr'autres l'exagération du sinus frontal, la raréfaction osseuse de la voûte et la position du trou occipital qui
aisemblablement limiter son action à certaines parties du squelette osseux . La dysostose cléido -crânienne est donc l'expr
ression d'une tare générale avec prédominance sur un certain groupe osseux . Nous trouvons en effet chez la plupart des malad
t dépasser sa localisation classique pour atteindre d'autres points osseux , ou exagérer ses lésions locales comme au nivea
ait la rupture et la destruction tant du cerveau que des formations osseuses ; les membranes conjonctives « se déta- chent d
osseuses ; les membranes conjonctives « se déta- chent des plaques osseuses déjà formées, et il en résulte, non seulement que
E DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 349 aussi que la masse osseuse déjà formée périt, faute de nourriture. C'est pou
il moins accusé. Ce cas particulier correspond à des dis- positions osseuses peu fréquentes qui demandent une description spéc
à la masse de gauche : l'orifice est alors circonscrit par un cercle osseux complet. A ces masses latérales s'ajoute le car
d'elles à son tour s'articule par son extrémité libre avec un bloc osseux de forme trapézoïdale, plus ou moins réduit sui
être été plus considérable, car l'état d'altération de la substance osseuse indiquait une destructiou secon- daire. Hanno
. individus où le trou occipital n'est pas circonscrit par un cercle osseux : les masses latérales sont déjetées en dehors,
al exister également et il croit le reconnaître dans une bandelette osseuse qui bordée¡i pariétal ; il paraît difficile de
ux de la base du crâne renfermés dans des conduits cartilagineux ou osseux trop étroits. - L'inanité de toutes ces explica
HOGÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 377 des conduits osseux renfermant des vaisseaux, il est, non pas la caus
cun doute sur la réalité du phénomène. c) Pachyméningite et voûte osseuse du crâne. Si la propagation du pro- cessus méni
ningite, il suffit que celle-ci existe, pour que la différenciation osseuse de la voûte membraneuse soit entravée, pour que
au moment de la naissance ; ils apparaissent seuls sur le plancher osseux formés par les corps vertébraux et les arcs éta
V. Crouzon (3) ont aussi communiqué un cas indiscutable d'atro- phe osseuse de l'humérus avec fracture, chez un malade attein
tat actuel. D'apparence bien développé, notre malade a le squelette osseux bien conformé. L'intelligence assez bonne, si l'o
s la région occipitale droite on voit et l'on sent un aplatissement osseux assez pro- noncé. La face est symétrique, on n'
urtout une douleur fixe, à la pression localisée, sur une extrémité osseuse , sur un cul-de-sac accessible de la synoviale. Et
ucune particularité. Le toucher pharyngien ne décèle aucune saillie osseuse anormale, et est d'autant plus facile qu'on peu
stoïdien tendu, contracture, nullement douloureux. Aucune saillie osseuse anormale, aucun ganglion enflammé. A l'examen d
par pression des condyles fémoraux. Il n'existe pas de modification osseuse . En plus, si l'on essaie de renverser la déviat
ation attentive les démontre superficielles plutôt que profondes et osseuses . Chez un malade de Raymond une pression forte e
HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 465 maladie chronique, une tuberculose osseuse ou articulaire, la grand'mère ne sait pas au ju
es hôpitaux, Chef du laboratoire de la Maternité. Les dystrophies osseuses congénitales ont longtemps été confondues sous le
sification plus rigoureuse des troubles de dé- veloppement du tissu osseux . Toutefois, malgré les travaux multiples parus su
articulièrement en vue, dans les pages qui suivent, les dystrophies osseuses entraînant la micromélie. En se basant sur cett
caniques ne rentrent pas, à proprement parler, dans les dystrophies osseuses . Historique. Chaussier au commencement du siè
pidement et confirment l'exis- tence chez le foetus d'une affection osseuse distincte du rachitisme vrai et de la syphilis.
ue rentrant dans la grande famille des ano- malies du développement osseux , différait toutefois de l'achondroplasie clas-
, s'est portée sur la pathogénie et le point de départ de la lésion osseuse . La diversité des lésions observées explique la d
genila selon l'état de raréfaction plus ou moins prononcée du tissu osseux (Kundrat, Paltauf) ; Aplasie périostale avec os
ct. L'un de nous a proposé de diviser l'ensemble de ces dystrophies osseuses congénitales, confondues sous la dénomination s
lé- gère des muscles concorde avec le développement des tubercules osseux d'inser- tion. Nous la retrouverons, plus marqu
vue du diagnostic de l'achondroplasie d'avec les autres dystrophies osseuses . Le tronc est généralement bien conformé et d'u
leur ossification. Les fontanelles se ferment tard, mais les noyaux osseux des os courts et des épiphyses apparaissent et
ésion surajoutée du système nerveux venant compliquer la dystrophie osseuse . 13. Examen radiographique. L'étude radiograp
ne sont indi- quées que par l'espace vide qui sépare les extrémités osseuses . Déformation sigmoïde surtout marquée sur le ra
upplémentaires qui relèvent, ici, des incurvations et des fractures osseuses . LUS MICIiOMI,LI1 : S CONGÉNITALES 495 Les di
nous semble-t-il, demeurer en suspens, car diffé- rentes affections osseuses , particulièrement le rachitisme et le myxoedème,
ail de modelage physiologique effectué par le périoste et la moelle osseuse dont l'activité est normalement conservée. Tê
ement défaut (Salvetti, Franqué, Lampe). Les déformations du palais osseux (voûte ogivale) signalées par Kassowitz n'ont p
is ou s'ils ne. représentent pas diverses variétés de dys- trophies osseuses que le microscope nous permet aujourd'hui de dist
seule en cause ou s'il s'agit de formes mixtes où d'autres lésions osseuses sont venues com- pliquer la lésion primitive.
épaisseur. Chaque colonne caitilagineuse s'ouvre ici dans la moelle osseuse qui envoie une anse vasculaire dans chacune d'ell
els calcaires. Elles seront, en effet, l'amorce des futures travées osseuses . A leur surface se disposeront les ostéoblastes a
de travées directrices et qui, par apposition successive de lamelles osseuses , constitueront l'os définitif. 2° OM ? ca<
leur surface, sécrètent de l'oséine et se transforment en cellules osseuses . Les travées ainsi formees délimitent des espac
travées primitives de rangées d'ostéoblastes et formation de lames osseuses concentriques constituant les systèmes de Ilavers
proéminent comme des promontoires déchiquetés du côté de la moelle osseuse ; dans l'autre, par des bourgeons médullaires v
ation. Ils renferment souvent il leur intérieur quelques trabécules osseuses développées sur place, mais de- meurent netteme
tomosique entre les vais- seaux épiphysaires et ceux de la diaphyse osseuse . e) Les travées nées de la ligne d'ossification
ne de rivulation. - c) ligne d'ossi- fication. d) moelle et travées osseuses . Fio. 10. Achondroplasie. Coupe longitudinale d
mmuniquer les vaisseaux de la bande fibreuse avec ceux de la moelle osseuse . s) zone de ri- vulation. La rivulation y fait
niveau de la ligne d'ossification qui est irrégulière. - o) travées osseuses larges et bien calcifiées sans débris cartilagi
es colonnes cartilagineuses dans les espaces médullaires. d) moelle osseuse avec larges es- paces médullaires et étroites t
oelle osseuse avec larges es- paces médullaires et étroites travées osseuses bien calcifiées. NOUVELLE Iconographie DE la Sa
érioste. o) couche régulière des ostéoblastes tapissant les travées osseuses . LES MICROMÉLIES CONGÉNITALES 505 Parfois on
ssure à lui seul l'union de ces deux parties. La faiblesse du tissu osseux formé au-dessous de la ligne d'ossification aux
lamelles ainsi formées, des ostéoblastes transformés en corpuscules osseux . Dans quelques cas, cependant, les canaux de Ha
rtilages qui ne s'ossifie que secondairement pour constituer le cal osseux définitif. Ces formations libro-cartilagineuses
être remplacé, comme nous l'avons observé, par deux séries de lames osseuses , ver- ticales, plus ou moins épaisses, parallèl
tout cas, trop récentes pour pouvoir leur attribuer les altérations osseuses . Mais ces mêmes lésions d'ordre congestif et in
. Dans la partie centrale de la coupe, un certain nombre de travées osseuses présen- tent une portion axiale plus claire qui
égulièrement aux dépens du périoste qui donne naissance à des lames osseuses . Celles-ci sont encore séparées par des espaces a
ces de Havers. Dans la portion droite de la figure quelques travées osseuses se forment par transformation directe de faisce
dans la dysplasie périoslale. Absence presque complète de formation osseuse . L'os périostal est représenté uni- quement par
t, sinon constante, du moins fréquente. Cette variété de dystrophie osseuse congénitale, plus rare que la précédente, s'en
oupent les observations, distinguent ces deux formes de dystrophies osseuses et cherchent à établir leurs caractères différe
de petites plaques os- seuses irrégulières ou de traînées de dépôts osseux . Os de la face plus petits, plns minces et plus
ion différente du rachitisme. C'est également dans cette dystrophie osseuse que rentrent les faits de Bor- denave, Sandfort
sification étoilés et largement espacés, ou constitués par un tissu osseux mince, dépressible, crépitant sous le doigt com
10 ponAK L'r DURANTE centre, un large canal médullaire. L'enveloppe osseuse peut être si mince que la diaphyse se déprime e
n ossification ne s'effectue que très imparfaitement. La métaplasie osseuse fait défaut, les formations médullaires l'emporte
t défaut, les formations médullaires l'emportent sur les formations osseuses compactes. Il y a ou dysplasie osseuse. Dans le s
mportent sur les formations osseuses compactes. Il y a ou dysplasie osseuse . Dans le second cas, l'ébauche embryonnaire ell
ique. LES MICR0MÉL1ES CONGÉNITALES 511 Mais plus bas, les travées osseuses nées du cartilage n'augmentent pas de volunze,
estent petites comme si il y avait défaut d'apposition de substance osseuse par les cellules médullaires (Stilling) ou même
e rencontre plus, dans de larges espaces médullaires, que des travées osseuses rares, disloquées, disséminées et souvent dépou
de leur revêtement d'os- téoblastes (Porak et Durante). La moelle osseuse est riche en tissu fibrillaire, en leucocytes, en
ttribuer à ces ostéoclastes un rôle dans la disparition des travées osseuses à la surface desquelles ils occupent des encoches
servent de supports aux ostéoblastes. Ceux-ci forment des systèmes osseux en jeu de patience et, plus loin, constituent d
, et font place soit à un vaste espace médullaire pauvre en travées osseuses , soit à un tissu spongieux à larges mailles au
it elle-même défaut et est remplacée par des la- melles, des noyaux osseux tapissés d'ostéoblastes et d'ostéoclastes. La dia
Durante). Ces formations paraissent indépendantes de l'af- fection osseuse et répondent à la présence de fractures en voie d
rissaud, ces infections entraîneraient le nanisme moins par lésions osseuses que par lésions thyroïdiennes et conditions génér
retard considérable dans l'apparition' des os courts et des points osseux épiphysaires, un retard considérable dans le proc
e ont été également confondus. Avant Parrot, toutes les dystrophies osseuses congénitales en dehors de la syphilis LES MICRO
d'autres qui semblent confondre entre elles toutes les dystrophies osseuses , nous ne croyons pas à la grande rareté du rach
forme de tableau les caractères principaux de ces trois dystrophies osseuses (Voy. p. 521). Ainsi que l'on peut en juger,
e aussitôt, formée par suite d'une résorption excessive des travées osseuses . Les lésions respectent les épiphyses et intére
per- dent leur tissu compact et sont réduits à de fragiles lamelles osseuses . Comme localisation la dysplasie périostale se
E L'ACHONDROPLASIE ET DE LA. DYSPLASIE PÉRIOSTALE Les dystrophies osseuses congénitales que nous venons d'étudier présentent
est en partie la cause des confusions dont l'étude des dystrophies osseuses se ressent encore. Pendant une première période
essent encore. Pendant une première période, toutes les dystrophies osseuses , en dehors des lésions syphilitiques classiques
Si, an- ciennement, confondant avec lui la plupart des dystrophies osseuses , on lui attribuait une fréquence certainement e
larité de la ligne d'ossification, la non- ossification des travées osseuses qui demeurent cartilagineuses n'est pas excep-
rité complète ou re- lative de l'ossification périostale. La moelle osseuse présente également des si- gnes de sclérose. Da
s os- téoblastes ne viennent pas régulièrement sécréter de lamelles osseuses . L'achondroplasie, en tant que sclérose est une
agérée des ostéoclastes qui, normalement, ne servent qu'au modelage osseux . Elle ne serait donc pas une lésion dégénérative
édullaires sont, en effet, susceptibles d'entraîner des altérations osseuses comme des altérations musculaires, quoique plus
uvoir être interpré- tées comme le point de départ de la dystrophie osseuse . L'achondroplasie paraît indépendante du systèm
La syphilis congénitale détermine, chez le nouveau-né, des lésions osseuses de nature très variable. Si les unes sont spéci
eu, à côté des lésions syphilitiques des os, de décrire les lésions osseuses du syphilitique, au même titre que l'on distingue
r le nouveau-né spécifique, il ne s'ensuit pas que cette altération osseuse soit un signe de syphilis : N'oublions pas que
d'un microbe ou d'une toxine unique, spécifique de cette dystrophie osseuse . Nous y voyons plutôt le résultat d'agents path
périostale la sclérose fait défaut. La résorption exagérée du tissu osseux relève d'une hyperactivité des ostéoblastes et re
isée il un tissu, à une espèce de cellules (musculaire dans un cas, osseuse dans l'autre). Dans l'une et l'autre forme morb
que le foetus, atteint déjà de dysplasie, se trouve en infériorité osseuse . Dès lors, l'achondroplasie vient se surajouter à
aires simples ou multiples, qui réagissent leur tour sur la cellule osseuse , chacun selon sa formule personnelle, et donnent
ool) ; mais la caractéristique de cette affection est la localisation osseuse LES M1CR0MÉL1ES CONGÉNITALES S31 et particuli
n- droplasiques vraies afin de les distinguer des autres affections osseuses de nature ou de siège différents que l'on avait
VII CONCLUSIONS 1° Après avoir confondu toutes les dystrophies osseuses avec le rachitisme on les assimile trop aisémen
par les coudures généralement juxta-épiphysaires, par les saillies osseuses exagé- rées, par l'absence de fractures, par le
et relevant de lésions his- tologiques distinctes, ces dystrophies osseuses ne doivent pas plus être con- fondues entre ell
et d'Obstétr., 1903). DEPAUL. - Sur une maladie spéciale du système osseux développée pendant la vie embryonnaire et qui e
as d'achondroplasie (Nouv. Icon. de la Salpêtr., 1904). Dons Pièces osseuses pathol. expérim. (VlIlo Gongl'. de Chir. de Paris
droplasie (Rev. méd. de la Suisse Romande, 1902). - Les dystrophies osseuses congénitales. Achondroplasie et rachitisme (Ac. d
891. PARNOT. - Sur une pseudo-paral. causée par une aller, du syst. osseux chez les nouveau-nés atteints de syph. héréd. (
nornx. et path., IV, 1871- 1872). L'achondroplasie et les lésions osseuses de la syph. héréd. et du rachitisme (Arch. de P
is, 1900, et Ann. de Gyn. et d'Obstétl'. 1900). - Les dystrophies osseuses congénitales (Rapport pour la Séance annuelle de
nochenwachsthum (Izzaug. Diss. Greisswald, 1874). TnEUYEY. Syphilis osseuse congénitale (Séance annuelle de la Soc. obstélr.
res. Chez les foetus ces auteurs ont observé, outre les altérations osseuses , des lésions nerveuses qui tendraient, d'après eu
ences, 8 juin 1903. 34. Richon et jEANDELixE. Remarques sur la tête osseuse de lapins adultes cas- trés dans le jeune âge.
ée de la tête du péroné, sur le fémur il y a un cercle de substance osseuse néoformée, qui fait saillie sur la surface du f
une ombre radiographique. Elle nous démon- tre que la néoformation osseuse entoure le fémur à ce niveau. En résumé, le nan
s par excès et par défaut que nous avons dé- crites dans le système osseux , sans altération de la fonction du système vaso
nts. 598 LANNOIS L'examen révèle en outre des lésions cutanées et osseuses très importantes. A la partie inférieure du rad
plus longue description. Il est évident que ces lésions cutanées et osseuses sont de nature syphiliti- que. Mais il est diff
utanées (cicatrices de gommes, rétractions palmaires) et de lésions osseuses qui ne laissent aucun doute sur la gra- vité de
pour- rait-elle pas être simplement sous la dépendance des lésions osseuses , avoir été déterminée par elles ? Gela ne nous
en ce moment n'a pas eu de douleurs véritables, malgré ses lésions osseuses , et l'affec- tion évolue chez lui depuis plus d
ésions se propagent en dehors vers les enve- loppes conjonctives et osseuses , en dedans vers l'axe nerveux sous forme d'un t
ue la néoformation dont la structure nous est connue. Des membranes osseuses , les lésions se propagent à la peau : nous savo
e avec le cartilage de la base ; on n'a jamais signalé de fragments osseux isolés sur le sommet du crâne. Si la propagatio
lammation se propage, détruit dans une certaine mesure les ébauches osseuses , et les fragments libérés cédant à la traction
ion squelettique qui change les conditions d'emboitement des pièces osseuses . A défaut de cette modification squelettique, l
ma- croscopiques et les rapports topographiques de ces exubérances osseuses . Ces nouveaux moyens d'investigation ont confir
l- leurs confirmer la fréquence relativement grande des végétations osseuses , décrites dans les classiques sous le nom d'exo
e ? Si le processus qui préside à la production de cette dystrophie osseuse est, comme nous le montrerons plus loin, encore
ailleurs aussi bien le médecin que le chirurgien. La malformation osseuse peut être observée dès ses premières phases d'é
icale des hôpitaux, a clairement résumé les caractères des saillies osseuses qu'elle détermine. « C'est, outre ['indolence e
s de ses membres, dont la palpation permet de reconnaître la nature osseuse . Le malade se souvient parfaitement qu'il porta
al de sa face et de son cou, qui ne présentent aucune prolifération osseuse ; c'est aussi l'inégal développement des membre
t radius sont intimement liés : il existe là un véritable cha- peau osseux fixé au radius et surplombant les extrémités des
cavernes. Elles ressemblent à des cavités limitées par des travées osseuses . Il faut noter que, lorsque le malade est couch
plus petite à la partie supérieure de la même face, et des saillies osseuses sur les extrémités métatarsiennes et pha- langi
exostoses sont moins volumineuses ; il faut noter la prolifération osseuse à la partie interne de la tête du tibia et l'hype
ou moins volumineuses, séparées les unes des autres par des travées osseuses . Il en est tout particulièrement ainsi pour le
vées osseuses. Il en est tout particulièrement ainsi pour le massif osseux qui surplombe l'extrémité supérieure du fémur gau
rieure, le fémur est moins déformé, mais il est hérissé de saillies osseuses plus ou moins développées. On en compte quatre
lantation. Au niveau du condyle ex- terne existent deux productions osseuses volumineuses ; l'une d'elles s'est re- courbée
e d'elles s'est re- courbée de façon à constituer un véritable pont osseux ; l'autre s'est étalée et présente une surface
ace des plus irrégulières. Sur la face postérieure de la dia- physe osseuse , il s'est formé, entre les deux masses latérales,
et leurs contours. Dajis l'espace intercondylien existe une saillie osseuse , de consistance bien ferme, d'aspect blanchâtre
ais il est solidement rattaché en haut, à son congénère parunemasse osseuse des plus irrégulières, qui, pen- dant la vie. f
partie inférieure, les deux os sont entièrement soudés par un pont osseux épais et irrégulier. Les photographies ci-joint
exostoses montre que si quelques-unes sont constituées par du tissu osseux compact, la plu- OU\'[LI E Ic-O"OGl ! APHIE HF.
entant une fine dentelle. Dans toute la moitié externe, les travées osseuses deviennent plus épaisses et les mailles, qui le
dont la paroi est rendue anfractueuse par des saillies ou des ponts osseux . Sur toute la périphérie de la masse, le tissu
ou des ponts osseux. Sur toute la périphérie de la masse, le tissu osseux se condense et devient compact et résistant. C'es
osseux se condense et devient compact et résistant. C'est du tissu osseux éburné, mais sa minceur est, sur certains point
e pour qu'on puisse, en examinant la surface,apercevoir les cavités osseuses les plus super- ficielles. - L'étude histolog
u médullaire. Plus profondément enfin existent des travées de tissu osseux vrai limitant de larges cavités médullaires. Qu
ment curieuse de ce genre d'altérations est la fréquence de lésions osseuses similaires chez les ascendants des malades. Si
ples et symétriques siégeant, comme à l'ordinaire, aux ex- trémités osseuses les plus fertiles, mais nettement diaphysaires et
éterminer chez eux une prédisposition morbide, localisée au système osseux . « La prédisposition, comme le remarquent Auvray
des malformations qui rappellent celles du rachitisme. Les troubles osseux , observés en pareil cas, sont en rapport avec l
vement en augmentant de volume. En même temps d'autres tuméfactions osseuses commencèrent à se mon- trer sur différentes par
t on peut compter sur le squelette de cet individu 4 de ces tumeurs osseuses : 1° Sur le bord supérieur et interne du biceps
Ce fut sur celui-ci, cependant, que se développa la première tumeur osseuse , exactement au tiers supérieur de j'humérus, en
marqua les tuméfactions de ses jambes, lui-même les jugea de nature osseuse . Ces tumeurs ne lui firent jamais mal, et il ne f
une petite tumeur ronde, grosse comme une noisette, de consistance osseuse , indolente. La malade ne sait donner aucune ind
nfance. Il a le long de la crête du tibia gauche, deux tuméfactions osseuses à saillie médiocre ; au-dessus de la surface de
e la tumeur, que l'on sentait manifestement constituée par du tissu osseux spongieux, avec des aréoles de dimensions médiocr
nt une enveloppe cartilagineuse, sous laquelle on trouve les tissus osseux , propose comme moyen diagnostic différentiel' l
el' l'acupuncture. « Si l'épingle, dit-il, est arrêtée par un tissu osseux résistant, il s'agit d'une exostose épiphysaire
t une forme plus ou moins irrégulièrement arrondie, une consistance osseuse , la superficie pleine de bosses et mamelonnée.
73) a examiné au microscope huit yeux énucléés, y a trouvé du tissu osseux de nouvelle formation à plusieurs périodes de dév
oint de sa circonférence un de ces cartilages produit plus de tissu osseux qu'il n'est nécessaire pour l'augmentation de l
t aussi pourquoi ces sels vont précisément se déposer dans le tissu osseux , plutôt que dans d'autres tissus ; et aussi, po
t des exostoses, dit que la forme la plus simple de la néoformation osseuse est celle dans laquelle le périoste ou la moell
tie en une substance fondamentale homogène, en par- tie en cellules osseuses (1). Il est donc à penser que plus est grande la
dans les états d'irritation chronique, il se forme de la substance osseuse dans les tissus connectifs, qui d'ordinaire n'o
, pas de stigmates de syphilis héréditaire. Systèmes musculaires et osseux normaux. Rien de spécial du côté du système ner
ous sommes précédemment ex- pliqué : l'arrêt de croissance du tissu osseux est un effet purement local de l'inflammation m
nerveux. Destruction du tissu céré- bro-spinal, arrêt de croissance osseux sont deux effets parallèles d'une même (1) Etie
tant, parcheminé, conservant les dimensions et l'aspect de la voûte osseuse . Celle-ci d'ailleurs ne fait pas complètement d
Ce que nous trouvons ici, c'est un dévelop- pement retardé du crâne osseux , c'est une désagrégation probablement is- (1) E
de tissu conjonctif, en trop petite quantité pour que le squelette osseux se différencie : le rachis est donc ouvert ; mais
eischer, de laquelle il ressort que l'ab- sence partielle de tissus osseux dépend d'une cause tout à fait différente, pro-
-) (2 pl., 2 tig.), par J\locQuoT et Moutier, 61. Paget (Maladie osseuse de ) trois cas observes dans une même famille.
6. QEttinger et E. Agasse-Lafont. Maladie 710 TABLE DES AUTEURS osseuse de Paget. Trois cas observés dans une même fami
adie de Friedreich (Itnrnlonn), là à III, XVIII à XXII. Maladie osseuse de Paget familiale (ont- TI1'o'GEH et AGASSE -
4 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
inverse, entre les glandes sexuelles et le développement du système osseux . Mais, comme judicieusement l'observent MM. Launo
dans la castration,il se produit un excès de développement du tissu osseux , l'auteur tire la conclusion que dans la castra
de l'élargissement considérable des canaux de Hawers. La substance osseuse (décalcifiée) avoisinant ces lacunes est souvent
pact et un agrandissement. parallèle du canal médullaire. La moelle osseuse très abondante qui remplit ce canal élargi est
ation de la moelle. Il faut toutefois remarquer que les altérations osseuses ne sont pas partout égales. C'est ainsi qu'elle
t d'un autre service nous constatâmes avec surprise des altérations osseuses semblables à celles du cas précédent. Etant don
ordants, savoir : l'augmentation très importante de la transparence osseuse , l'élargissement considérable du canal médullaire
de trois femmes présentant comme troubles com- muns des altérations osseuses considérables consistant en une réduction très
en une réduction très importante de la substance compacte du tissu osseux avec transforma- tion de cette dernière en subs
médullaires ainsi que du canal central par résorp tion de la paroi osseuse . Cette altération coexiste dans le premier cas
re avaient complètement disparu. Faut-il voir entre les altérations osseuses et celles de la glande thy- roïde dans ces troi
ortant - peut-être le seul - dans la production du ramol- lissement osseux . En ne tenant compte que de notre expérience pe
'expliquer par un trouble d'ordre pa- ralytique ou par une anomalie osseuse , semble bien pouvoir ètre considérée comme une
dow et partage l'opinion de von Reklinghausen que le ramollis- ment osseux était en rapport avec la vaso-dilatation des os.
rt avec la vaso-dilatation des os. Mais il doute si cette affection osseuse est identique à l'ostéomalacie vraie qui se dév
ées très friables et n'étaient plus représentées que par une écorce osseuse très mince. Dans les os du bassin on trouvait des
difficilement, avec un couteau. Pas de tumeurs ni d'épaississements osseux . Tolot et Sarvouat (11) ont publié l'intéressan
eux ; par contre les éosinophiles sont relativement rares. Le tissu osseux avait son aspect habituel, mais les travées étaie
a substance spon- gieuse est très apparente. Au niveau des fentes osseuses , on observait aussi un processus de répara- tio
pérale, car la malade n'a jamais eu de gros- sesse, les séparations osseuses se faisaient sans déficit de la substance osseuse
e, les séparations osseuses se faisaient sans déficit de la substance osseuse et les os du bassin étaient, moins atteints, et
on assistait à la formation des calus bien que pauvres en substance osseuse . Le processus ne rappelle pas non plus le rachi
a pas donné l'impulsion au processus particulier de la dégénérescence osseuse , en rappelant que les suppurations chroniqnes c
tération de la fonction thyroïdienne a été responsable du processus osseux , mais n'admetteut pas, comme le fait Iloenicke
s précèdent souvent les 52 IIIARINESCO, PARHON ET M1NEA processus osseux , d'autres faits prouvent encore l'existence d'une
existence d'une action du corps thyroïde dans la nutrition du tissu osseux . Nous citerons d'abord l'arrêt ou le retard con
nner la raison de l'influence de cette même glande sur la nutrition osseuse . CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'OSTÉOMALACIE 53
trouvée par Scholz a peut-être des rapports avec le ramollissement osseux et la sensibilité osseuse à la pression. C'est
t-être des rapports avec le ramollissement osseux et la sensibilité osseuse à la pression. C'est d'ailleurs aussi l'avis de
s aussi la trophicité d'autres tisssus. Pour ne parler que du tissu osseux , nous rappellerons que dans certains des cas qu
ment des canaux de Havers avec résorption progressive de leur paroi osseuse , ce qui donne un certain appui à l'opinion que
trer que les parathyroïdes interviennent dans la nutrition du tissu osseux . C'est ainsi que Léopold et 13eus (67) ont obse
istence d'une influence des parathyroïdes sur la nutrition du tissu osseux , influence exercée vraisem- blablement par l'in
départ ovarien et grâce auquel il se produisait une vasodilatation osseuse avec hyperhémie passive, accumulation d'acide c
e l'intervention des capsules surrénales dans la nutrition du tissu osseux . L'infantilisme surrénal décrit par 1<lorlat
po- physe, que filassay (121) a observé d'importantes déforma lions osseuses chez les jeunes chiens traités par un sérum hyp
n certain point la raison de l'influence de celle glande sur le tissu osseux . Malheureusement ces recherches ne sont pas non
étant dans les excrétions dans la même proportion que dans le tissu osseux , on peut admettre que leur perte est due à la d
peut admettre que leur perte est due à la désassimilation du tissu osseux . L'existence d'une ostéomalacie infantile, les
landes interviennent encore probablement dans la nutrition du tissu osseux . On peut penser au pancréas, glande qui à plusi
des faits prouvant l'action des glandes endocrines sur la nutrition osseuse et le rôle de leurs troubles dans la pathogénie
se de l'ostéomalacie en trouvant des microorganismes dans la moelle osseuse . Pétrone (140) aurait trouvé dans le sang et la
elle osseuse. Pétrone (140) aurait trouvé dans le sang et la moelle osseuse de ces ma- lades le microbe nitrifiant de Winog
dernières. Pecaud (144) réussit à isoler un diplocoque de la moelle osseuse et d'au- tres organes des chevaux ostéomalaciqu
icrocoque se trouve, d'après ces au- teurs, dans le sang, la moelle osseuse , l'urine, etc. Dans le cas de notre crétine ave
ons que l'ostéomalacie représente le syndrome de la décalcification osseuse , n'importe qu'elle soit la raison de cette déca
s'agissait d'un épithéliome tubulé, généralisé à tous les conduits osseux , et lequel avait d'ailleurs donné aussi des mé-
landulaire ame- nant par exemple une réaction spéciale de la moelle osseuse (prolifération des ostéoclastes) qui à son tour
r déterminerait, par un mécanisme mal pré- cisé, la décalcification osseuse . CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'OSTÉOMALACIE 63
y aurait à connaître d'une façon exacte les réactions de la moelle osseuse dans les différentes modifi- cations cliniques
avers due d'après Dejerine ( 151) à une décalcification des travées osseuses de leur voisinage qui serait elle-même secondai
t sont atteints de dégénérescence granulo-graisseuse. « La moelle osseuse subit en même temps une transformation embryon-
l'ostéomalacie. Il est vrai que dans ces cas de tabes avec troubles osseux si marqués, il serait intéressant de connaître
graphiques j'ai pu dessiner. Il représente exactement les altérations osseuses de la région radio-carpienne observées dans not
arpe. Consécutivement et secondai- rement, pendant le développement osseux , les cartilages de conjugai- son de la tête rad
de façon parfaitement symétrique ; soit enfin pour les altérations osseuses mêmes, qui à l'examen radiogra- phique simulent
trouve dans les ascendants ou les collatéraux d'autres difformités osseuses ou articulaires (cas lez et 3e de Siegrist) ; e
ain, tant du côté ulnaire que du côté radial, possède des rudiments osseux qui auraient la signification philogénétique de
on, 1896. 88 COSTANTINI n'a avec eux aucun rapport de connexion osseuse , ligamenteuse ou tendi- neuse, s'il n'a avec eu
ébrale et les articulations coxo- fémorales sont soudées en un bloc osseux , tandis que les articulations des .extrémités r
r que l'im- mobilité de la colonne vertébrale tient aux altérations osseuses et non à la mus- culature le Dr Rosanoff, chiru
des genoux. Les autres arti- culations sont intactes. Pas de dépôt osseux . Douleurs aux régions lombaire et dorsale, aux
casion des mouve- ments ; la palpation révèle l'existence de points osseux douloureux. Atrophie Nouvelle Iconographie DE l
t saillie en avant ; les apo- physes épineuses forment un bourrelet osseux uni; les extrémités internes des clavicules et
es métatarsiens gauches. Absence d'autres déformations et de dépôts osseux sur tout le reste du corps . Toute la colonne v
et des bras sont intactes. Absence d'osléophytes et de déformations osseuses . La région du pharynx est diminuée dans son dia
sation des douleurs. Les parties ankylosées sont soudées en un bloc osseux , « qu'il est plus facile de briser que de lléch
la spondylose rhizomélique est l'absence presque absolue de dépôts osseux et de déformations des os (sauf une déviation c
ation douloureuse qui aurait pu signaler la présence d'un processus osseux . On parvient quelquefois à trouver des points d
culations affectées, mais ils n'ont aucun rapport avec le squelette osseux . 22° Dans une des 14 observations (obs. XI) il
u moins pour la seconde partie, cellequi conCel'I1aI il les tumeurs osseuses de la cuisse gauche et de la poitrine, notre diag
ans laquelle la néoformation spécifique, formée aux dépens du tissu osseux , qui paraît épaissi, se distingue par une zone
limitée par un cercle som- bre. Ce qui caractérise ici le néoplasme osseux , c'est l'érosion de l'os fail 1 par celui-ci, q
nt chez un cancéreux cachectique, comme des lésions articulaires et osseuses analogues surviennent chez les tabétiques ? Et
sise dans la région de l'hypophyse, se continuait dans la substance osseuse de la selle turcique. En ne tenant compte que
es régions occipitales. ' Il s'agit donc probablement d'altérations osseuses de date ancienne, 'ayant débuté déjà avant la t
rophiques. Laissant de côte les troubles trophiques articulaires et osseux et les trou- bles sécrétoires sudoraux, nous co
e résistance sont normales. Le sens stéréognostique, la sensibilité osseuse ne sont pas modifiés. Un phénomène digne d'être
la préparation anatomique ne fut plus constituée que pal' l'élément osseux . Après avoir été placée sur la table, la partie
ions avec leurs capsules articulaires apparurent soudées en un bloc osseux homogène; les por- tions des côtes ressemblaien
rvertébraux sont de dimension nor- male ; il existe une raréfaction osseuse des vertèbres très augmentée ; leur poids est d
rmo do rayons sur le corps de la vertèbre. Absence totale do dépôts osseux et de transformations. (Gr. nul). FIG. 2. - Vue
ur toute la longueur des corps des vertèbres, forment une colonne osseuse . Les lig. sus-bpinew sont ossifias. (Gross. : 1
y a pas d'exostose, donc pas de déformations. Par contre,les masses osseuses ont conservé leur disposition radiée et là où l
culent avec les deux vertèbres adja- centes, ces ligaments rayonnes osseux ont uni en un seul bloc, par un point ininterro
gament jaune, sont remplis sur notre pièce anatomique par une masse osseuse et compacte.Cette masse a le même aspect et la
hangé d'épaisseur, se sont transformés par endroits en petits ponts osseux qui unissent les extrémités d'apophyses épineus
gueur de la pièce forment, avec les arcs des vertèbres, une colonne osseuse (fig. 2 et 3, PI. XX.V). Les ligaments ossifiés
t imprégnés de sels de chaux ou s'ils sont composés d'un vrai tissu osseux et présentent par suite des phénomènes de métap
résentent par suite des phénomènes de métaplasie ou de néoformation osseuse . Dans ce but, nous avons fait une série de coup
idien et tout le ligament d'avant en arrière est composé d'un tissu osseux spon- gieux..4M microscope apparaissent tous le
gieux..4M microscope apparaissent tous les éléments d'un vrai tissu osseux : canaux de Havers, corpuscules et lamelles oss
d'un vrai tissu osseux : canaux de Havers, corpuscules et lamelles osseuses , il n'existe pas de vesti- ges de la structure
des élargissements en forme d'anse. Les corpuscules et les lamelles osseuses , qui forment la substance fondamentale au point
rniers, un système irrégulier de lamelles intercalées : les cavités osseuses où se trouvent les corpuscules osseux s'anastom
s intercalées : les cavités osseuses où se trouvent les corpuscules osseux s'anastomosent entre elles, avec les parois des c
SALPÊTRIÈRE. T. XXIV, PL.XXXVI Fin. 5. - Coupe sèche dune lamelle osseuse , prise dans le ligament jaune ossifié de notre
nir. 26). A la place de réseau des fibres élastiques (ng. 4), tissu osseux véritable. (Gross. : 4.) FIG. 6. - La même pi
lia\ers dans la coupe longitudinale avec de nom- breux corpuscules osseux . Lamelles osseuses. Colo- lation à fuchsine (mé
coupe longitudinale avec de nom- breux corpuscules osseux. Lamelles osseuses . Colo- lation à fuchsine (métbode Zimmermann).
de Havers : a, lumière du canal de Ilavois : b, cavités et lamelles osseuses qui forment des cercles concentriques réguliers a
la face ant. de la colonne vertébrale il il est séparé par le tbsu osseux , spongieux (F) qui est néoformé ; ainsi ce dern
e de cartilages et de cavités articulaires, partout do petits ponts osseux et des cavités médullaires d'un tissu osseux ho
tout do petits ponts osseux et des cavités médullaires d'un tissu osseux homogène et spongieux qui a soudé entre eux le
sto-transversal et les autres) présentent la même structure : tissu osseux vrai. Les disques intervertébraux ne se sont pa
us coloré par le bleu de méthylène, mais reste rose, comme le tissu osseux de la vertèbre ; toute cette partie antérieure
t sont conservés. Quelques-uns de ces éléments sont formés de tissu osseux , les autres sont formés de faisceaux tendineux
nsformées. Ces faisceaux tendineux se continuent dans les bâtonnets osseux néofor- 240 ELl>AnOFF niés ou dans le tiss
e la région où se trouvait l'articulation est envahie par une masse osseuse spongieuse et homogène, qui passe uniformément
ilages se transforment par endroits en une sorte de poutre en tissu osseux compact qui a gardé la configuration du cartilage
mplacé par un tissu spongieux à larges mailles, parsemé de lamelles osseuses (fig. 11 d, PI. XXVII). A une étude minutieuse
lles isolées du cartilage, entourées de tous les côtés par un tissu osseux , qui remplace le cartilage (lig. 13 et 1.4, PI.
rtilage et des cellules carti- laginenses; b, petits ponts du tissu osseux spongieux qui entourent la parcelle du cartilag
du canal de Havers; e, cellule cartilagineuse détachée par le tissu osseux néol'ormé. Pièce décalcifiée, colo- ration à la
ification uniforme se sont transformés de haut en bas en deux liges osseuses unies; les facettes articulaires ne se distinguen
erse toute la colonne des apophyses articulaires apparaît une masse osseuse , spongieuse et ho- mogène. LES GRANDES ARTICU
articulaire n'est pas visible et à sa place apparaît une substance osseuse ; tout le reste de la surface articulaire est c
s toutes ses dimensions ; elle est privée de cartilage et a un fond osseux tubéreux et corrodé. Les bords de la partie usé
ns et dans tous les os, qui ont été analysés, il n'y a pas de dépôt osseux . L'analyse microscopique du cartilage des artic
es cervicales su- périeures, se recouvrent d'exostoses et de dépôts osseux qui forment sail- lie sur la surface extérieure
pression de la moelle épinière et des racines nerveuses. Les dépôts osseux extérieurs peuvent être sentis sous la peau d'u
ections-provoquent, en outre, des déformations locales du squelette osseux , à caractère atrophique et hypertrophique, ce qui
mo- bilité et une difformité très prononcée du rachis, des saillies osseuses anormales et une série de troubles radiculaires
sculaires d'origine dégénérative) qui sont provoqués par les dépôts osseux compresseurs. Dans cette forme, les petites art
rale constitutionnelle qui provient d'une altération sénile du tissu osseux (mal sénile, morbus coxae senilis). III. L'ar
tissu conjonctif nouvellement formé en os spongieux) une « arthrite osseuse ou arthrilis ankilopoetica de Ziegler ». Enfin, i
jonctive des ligaments normaux. On ne voit partout qu'un vrai tissu osseux ; tandis que quelques restes microscopiques des ca
ne cause en dehors de la couche cartilagineuse ou de la subs- tance osseuse spongieuse capable d'expliquer toutes ces altérat
loppe progressivement, comme nous venons de le signaler, l'ankylose osseuse dans les articulations du rachis. L'ensemble de
ormation du rachis et des « ra- cines des membres » en un seul bloc osseux . L'ostéoporose est la lésion primordiale, mais
s résultats de ces troubles généraux portent surtout sur le système osseux . PRONOSTIC 1. La maladie qui se développe trè
al et de l'hypoglosse s'explique relati- vement bien par une lésion osseuse , il devient beaucoup plus malaisé d'expliquer c
e du facial et surtout du moteur oculaire externe dont les rapports osseux sont beaucoup plus importants. Enfin nous avons
s'accordent d'ailleurs avec l'examen radiographique des extrémités osseuses qui montrent les épiphyses définitivement soudées
hyses sont déjà soudées (le malade n'a que 20 ans). - Les travées osseuses sont très nettes et leur architecture remarquable
tesque. Toutefois, nous avons cru devoir insister sur sa charpente osseuse solide, sur son architecture puissante. Son tho
ant entre la fonction de l'hypophyse et le développement du système osseux (acromégalie). Aussi peut-on supposer que tous ce
use mécanique, c'est-à-dire de l'absence de fixation des extrémités osseuses dans leurs articulations et, quand il s'agit de l
, se trouvent maintenues immobiles et par conséquent les extrémités osseuses intra-articulaires sont maintenues bout à bout
illeurs aussi l'opinion de Constantini. Les mul- tiples altérations osseuses rencontrées par Regnault et Lépinay (1) dans la
es os. Le petit apendice chirnu n'a pas de rapports avec le squelette osseux . Malade de la seconde observation. Remarquer le
tion par contre-coup et d'une façon toujours tardive ? Les troubles osseux du massif facial (voûte palatine, nez et maxillai
te aux expériences de Thaon et à celles de Delille sur les troubles osseux d'origine hypophysaire, on ne trouve rien d'exac-
s a montré des cartilages soudés (voir la planche) et une structure osseuse normale. Le système ne> veux est normal par
e cons- tatai ni céphalée, ni glycosurie, ni hypertrophie du massif osseux de la face ; mais il y avait de la cyphoscolios
qu'il existe une certaine laxité ligamenteuse et que les sur- faces osseuses de l'articulation ne sont pas parfaitement consti
n chez certains de nos malades, leur association aux manifestations osseuses n'infirme pas l'hypothèse de l'arrêt de dévelop
ive observée dans tout membre condamné à l'immobilité. Le système osseux présente, lui aussi,après certains traumatismes,d
Limites du sujet. Il ne s'agit pas dans nos observations de lésions osseuses consécutives à des traumatismes intéressant direc
aso-motrices et sudorales. Nous n'aurons en vue ici que les lésions osseuses consécutives à des traumatismes dans lesquels a
men indispensable actuellement pour établir l'existence des lésions osseuses de ce genre. Historique. Les altérations de s
kdans un article de la Revue de chirurgie (1903) (2). Ces atrophies osseuses calcaires tantôt uniformes, tantôt disposées par
opique. Or les blessés chez lesquels se produit celte raréfac- tion osseuse accusent une diminution de la force musculaire et
e mettre en évidence. Quoi qu'il en soit, la coexistence de lésions osseuses et de douleurs accusées par le blessé mérite de r
r 7<OH6ns<ra/teH, 1902. (2) Imbert et GACNOEKE, Des atrophies osseuses calcaires consécutives à un trauma- tisme, Revu
dème. L'augmentation de volume porte principale- ment sur le massif osseux , plus spécialement au niveau de l'extrémité infé-
loïde du cubitus. Mais ce qui frappe surtout, c'est une raréfaction osseuse intéressant tous les os du carpe, l'extrémité i
re du radius et du cubitus, la tête des méta- carpiens. Les travées osseuses sont effacées. L'os est devenu plus transparent.
ordre observées plus tard dans les muscles et la peau. Les lésions osseuses ne sont pas limi- tées aux os intéressés par le
une certaine distance du foyer primitivement lésé. Les altérations osseuses , manifestes 470 ' HALIPRÉ ET JEANNE quatre mo
rémité infé- rieure du radius et du cubitus présentent une atrophie osseuse très marquée. Les os sont transparents ; on ne
Les os sont transparents ; on ne retrouve aucune trace des travées osseuses normales ; la décalcification est très prononcé
ge radiographique par des oedèmes. Il s'agit donc bien d'une lésion osseuse . Cet exemple leverait tous les doutes s'il en pou
e une amélioration manifeste. Les os sont plus opaques, les travées osseuses se reconstituent. Toutefois la comparaison des
uatre ans plus tard montre une reconstitution partielle de la trame osseuse au niveau du carpe, laissant toutefois subsister
t soupçonner entre les amyotrophies abarticulaires et les atrophies osseuses posl-traumatiques. Observation III (PI. LXXV).
t conservé une structure sensiblement normale est détaché du massif osseux et a perdu de ce fait ses connexions vasculaires
males avec les centres nerveux pré- sentent au contraire l'atrophie osseuse caractéristique. La lésion s'étend au delà du f
que. La lésion s'étend au delà du foyer traumatisé. Il y a atrophie osseuse articulaire et abrcrti- culaire comme il y avai
ravail. S'il est intéressant de connaître l'existence des atrophies osseuses post- DYSTROPHIES OSSEUSES t'oST=r111UVIATIQUI.
sent-ils, de statistique, mais ont l'impression que les atro- phies osseuses sont assez fréquentes. Pour notre part, nous avon
avec ses caractères habituels. Chez notre premier malade, la lésion osseuse persiste dix mois après l'accident. Et cela malgr
remier malade, n'a pas repris le travail. L'existence de l'atrophie osseuse étant démontrée, y a-t-il lieu d'en tenir compt
és du travail ? Comme nous l'avons vu, la constatation d'une lésion osseuse chez notre première malade modifia complètement
çon les troncs nerveux, une décalcification, véritable dystro- phie osseuse , de la région blessée et des os voisins. Cette al
ce du traumatisme ; 2° L'analogie qui existe entre cette dystrophie osseuse et les amyotro- phies abarticulaires permet d'a
dance du système ner- veux, on peut considérer également l'atrophie osseuse post-traumatique comme un véritable trouble tro
umatique comme un véritable trouble trophique. 3° Les dystrophies osseuses peuvent constituer un élément d'apprécia- tion
it impossible de déterminer exactement l'influence de ces atrophies osseuses sur les incapacités fonctionnelles, il est légiti
ent un peu fléchies. Pour étendre celles-ci, il faut que les inter- osseux et lombricaux entrent en jeu pour leur propre com
recherches. TABLE DES MATIÈRES Accidents du travail (Dystrophies osseuses post-trwtlnaliques. Leur importance au point
ngénllales associées des mains (2 pi.), par Fuii 329. Dystrophies osseuses post-traumatirlues, leur importance au point de
re. et de la moelle allongée, 360. JEANNE et Halipré. Dystrophies osseuses post-traumatiques (2 pl.). 472. Jonnesco (Vic
e et déformations acromé- galoïdes (Mikulski), LI. 11) ;,trophics osseuses post-traumatiques et .Tetsse), LXXIII à LXXV.
5 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
PROPOS D'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE. LA PATHOGÉNIE DE LA MALADIE OSSEUSE DE PAGET, PAR M. KLIPPEL, Médecin de l'hôpi
bien connus, James Paget (1) eut donné droit de cité à l'affection osseuse qui porte aujourd'hui son nom, et que Huilier (
. London, 1882. (2) Cités par P,\GR'r, (3) JULES VINRENT, Maladie osseuse de Paget. Thèse Paris, 1904. (4) Lancereaux, Tr
horaciques. La malade venait nous trouver, moins pour son affection osseuse , que pour des palpitations qui lui empêchaient
t, et qui sem- blent liées à une insuffisance mitrale. Les troubles osseux , très typiques, ne permettent aucun doute sur l
ie générale de Bouchard, t. III, p. 9-92. (2) L. Jacquet, Maladie osseuse de Paget guérie par le traitement antisyphilitiqu
r- thermie locale, et, peut-être, plutôt au processus de rénovation osseuse qu'à celui de raréfaction (ce sont ces deux pro
première vue, lorsqu'on examine cette malade, c'est la déformation osseuse qu'elle présente au niveau du membre inférieur dr
sa dernière grossesse, qui remonte à onze ans, que les déformations osseuses de Mme Baud... ont débuté, au niveau du tibia d
es de la malade ce serait surtout depuis cet ictus que les troubles osseux seraient de- venus plus manifestes. NOUVELLLE
côté du membre supérieur on ne constate aucune grossière altération osseuse ; les mensurations du bras, du coude, de l'avant-
rhumatisme ostéo-hypertrophique de Féréol). Si le nom de « maladie osseuse de Pagel» » a prévalu, c'est qu'il ne préjuge de
yphilis un rôle capital et exclusif dans l'étiologie de cette maladie osseuse . Une telle théorie est-elle actuellement fondée
s qui existent entre la syphilis héréditaire tardive, et la maladie osseuse de Paget, cette « syphilis ultra- tardive » de
ur, 1907-1908). ). (1) Ménétrier et G,WCKLKR, Deux cas de maladie osseuse de Paget avec examen anatomique, Société médica
Soc. méd., 1903, p. 574. (2) l1rrreTmsn et liuBCVS-D VAL. Maladie osseuse de Pagel et Syphilis. Soc. méd. des hôpitaux, 2
, loc. Ci(. (4) ,1 E \ FIIICCIIOU, Des rapports de Thérédo-syphilis osseuse tardive avec l'osteile déformante progressive,
juger d'un certain nombre d'observations de ce genre que la maladie osseuse de Paget a peut-être plus de prédilec- tion à s
que » (Fournier). Une preuve, bien (1) Gaucher et ROSTA1NE, Maladie osseuse de Paget améliorée par le traitement antisyphil
c. Cit.. (4) Fréchou, loc. cil. (5) Du Castel et SFBIPER, Maladie osseuse de Pagel. Soc. de dermat. et syphil., 11 avril
s chiffres qu'elle tire toute sa force, a été fournie par la chimie osseuse . On sait que l'os pagétique est caractérisé ess
montrent l'insuffisance de la théorie syphi- litique de la maladie osseuse de Paget. Gaston Legros (3) et André Léri (4) o
oup, il y a une dislocation, une désorientation extrême des travées osseuses qui ont sur une image radiographique l'aspect e
aines analogies cliniques unissent l'ostéite de Paget à la syphilis osseuse , il n'en est pas moins vrai que des différences
t sans doute une cause adjuvante pour le développement de sa lésion osseuse tardive, mais il n'y a pas entre cette lésion e
n, Verein Freiburger Aerzte, 30 mai 1902. (5) BAa1'HÉLEItT, Maladie osseuse de Paget chez l'homme et maladie du son chez le
de cer- tains troubles nerveux peuvent se développer des accidents osseux , dont le type est l' : rrêt de développement qu
(3) Ki,iPPEL et P1ERRE-WEIL, Présentation d'un squelette de maladie osseuse de Pagel. Soc. de Neurol., séance du 5 novembre
STROPHIANTES DES OS 1 (A. Léri G. Legros). J Un tibia de syphilis osseuse héréditaire tardive (A) et un tibia de maladie de
fficile d'af- ' , firmer que ces lésions sont cause des altérations osseuses : le fait estmême très peu probable, étant donn
permis, aujourd'hui, de les considérer comme la cause de la maladie osseuse . Elles sont liées sans doute à des troubles de l'
la moelle ; certaines peut-être sont conditionnées par la lésion * osseuse primitive. Toutes ces lésions, nullement systém
diffuses de légère sclérose médullaire ne sont à la base des lésions osseuses de la maladie de Paget. Mais il est probable po
es lé- sions une fois formées, contribuent à aggraver les processus osseux et ar- ticulaire. Mais, si l'origine médullai
artères des membres, incrustées de sels calcaires. « Les lésions osseuses de la maladie de Paget semblent être, selon lui,
onc l'athérome est fréquent, sinon constant, au cours de la maladie osseuse de Paget ; malheureusement dans toutes les obse
ut-être serait-ce moins par une susceptibilité héréditaire du tissu osseux que du tissu artériel, qu'il faut expliquer .cert
se-Lafont(7), J. Walter. La pathogénie « artérielle » de la maladie osseuse de Paget explique bien comment l'affection peut
e médecine, 3 mars 1903. (7) OI : TT1GER et AG.155GL.1FOVT. Maladie osseuse de Pagel. Trois cas observés dans une même fami
n qu'à un moindre degré. « Cette singulière répartition des lésions osseuses du squelette de la main jointe à l'intégrité de
ressant qu'à demi Tarière nourricière de l'os voisin... Les lésions osseuses de la mala- die de Paget semblent être des lési
fet, ont mis en relief les analogies qui existent entre les lésions osseuses pagétiques et celles des scléroses viscérales :
par un tissu conjonctif f pauvre en vaisseaux ; « dans les lamelles osseuses prédomine une subs- tance, physiologiquement ho
iologiquement homologue de la substance conjonctive, la subs- tance osseuse fondamentale, avec diminution du nombre des éléme
ez les pagétiques que l'on peut assurer qu'elle provoque ce trouble osseux , car, combien n'y a-t-il pas d'artério-scléreux q
clérose est trop fréquente, et l'ostéite déformante, cette « sclérose osseuse hypertrophique » (Ménétrier et Gauckler),est tr
ur important nous échappe encore dans la pa- thogénie de la maladie osseuse de Paget.. N SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DB ? i7S S
ELQUES AFFECTIONS DYSTROPHIANTES DES OS (MALADIE DE PAGET, SYPHILIS OSSEUSE , OSTÉl\L\.L.\.CIE, RACHITISME). PAR R ' G. LE
E). PAR R ' G. LEGROS et A. LERI. Un certain nombre de maladies osseuses ont été souvent jusqu'ici diffi- ciles à différ
musée Dupuylren nous offrait la réunion d'une série de déformations osseuses dont nous ne pouvions espérer trouver l'équiva-
er aujourd'hui ceux que nous a fournis l'étude de quatre affections osseuses dystrophiantes qui présentent entre elles certain
nes similitudes cliniques : d'une part maladie de Paget et syphilis osseuse tardive dont les manifestations sont considérée
ez comparables entre elles. D'une façon générale toutes les lésions osseuses dystrophiques ou in- flammatoires ont été ramen
t épaississement, for- mée de couches concentriques de néoformation osseuse ; rien dans le canal osseux, rien dans les épiph
e couches concentriques de néoformation osseuse; rien dans le canal osseux , rien dans les épiphyses ne rappelait l'aspect ou
vait au contraire la disposition régulière et normale des tra- vées osseuses (3). (Il Un tibia par exemple nous a montré, à
que cette déformation est considérée comme le type des déformaiions osseuses de la syphilis tardive ; mais elle est beaucoup p
ts tout à fait typiques une différenciation des diverses affections osseuses préci- tées, différenciation qui assurément ne
existe une fragilité spéciale de l'os. Les altérations du sys- tème osseux bien connues dans le tabes rendent parfaitement c
'est assurément la théorie qui invoque un trouble dans la nutrition osseuse , théorie soutenue aussi par KIRAIISSON, qui corre
ors que la malade tient sa tête fléchie en avant, l'on voit un relief osseux très prononcé au niveau de la troisième vertèbr
rition de la fo.s-- sette sous- occipitale, palpation d'une saillie osseuse par le toucher pha- ryngien, troubles dans la d
nt très atrophiées ; les deuxièmes apparaissent comme des boulettes osseuses informes ; les troisièmes sont très petites, tria
écrites par M. P. Marie et qui prouvent que les différents segments osseux des membres ne sont pas chez les achondroplasique
chez un homme normal du même âge ; la proportion relative du tissu osseux compact et spongieux est normale aussi dans tou
et Durante pour invoquer une étude histologique complète du système osseux de ces animaux; seulement la démonstration de l'i
ments, soit seulement dans leurs dernières phalanges. Si les inter- osseux se contractent, on observe une flexion de la prem
£ TnE (Service de M. le Professeur PIEIInu MARI). LES ALTÉRATIONS OSSEUSES AU COURS DE LA MYOPATHIE PAR PIERRE MERLE e
MYOPATHIE PAR PIERRE MERLE et RAULOT-LAPOINTE. Les altérations osseuses ont été étudiées au cours de différentes maladies
ou. Ces considérations nous ont engagé à rechercher l'état du tissu osseux sur une série de myopathiques par l'exploration
avons ici affaire à un processus frappant le développement du tissu osseux en tous ses points, bien différents de l'atroph
tableau d'ensemble s'écartant de toutes les ma- ladies et atrophies osseuses typiques. » Lothar Dreyer (2), dans deux cas ob
pas subi de modifications. Le dessin carac- téristique des travées osseuses est altéré. Les nervures sont plus écartées et
istincte qu'à l'ordinaire. Noïca (3) conclut à l'absence de lésions osseuses après examen radio- graphique de deux cas de my
un 1/ ! ? Iopalhique, Presse médicale févr. 1909. LES ALTÉRATIONS OSSEUSES AU COURS DE LA MYOPATHIE 231 quels ont porté no
LLLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. PI. XXVI ALTÉRATIONS OSSEUSES DANS LA MYOPATHIE (Pierre Merle et Raulot - Gap
. A. - Genou normal. B. - Genou de myopathique LES ALTÉRATIONS OSSEUSES AU COURS DE LA MYOPATHIE 233 rieurs sont atro
sont mieux conservés, ou ne peut obtenir de réflexes. Modifications osseuses . Genou. C'est l'articulation qui nous a montré
sparents, ce qui. indique la dimi- nution de la densité des couches osseuses aussi bien du tissu compact que du tissu spongi
les, en particulier, n'ont pas le développement normal ; leur masse osseuse , qui d'ordinaire fait une saillie marquée en ar
presque transparente, sans aucun relief, et la raréfaction du tissu osseux est ici remarquable. Le véritable bouclier du t
urs extrêmement transparente et montre la même raréfaction du tissu osseux . Chez Mes ! ... Léopold (no 3),et Meus... Arthu
LLLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. PL XXVII ALTÉRATIONS OSSEUSES DANS LA MYOPATHIE (Pierre Merle et Raulot-Lapoi
(12 ans). B. - Bras d'un myopathique de même âge. LES ALTÉRATIONS OSSEUSES AU COURS DE LA MYOPATHIE 235 morale, ensuite le
ilité extrême des os portant sur les diaphyses, et l'aspect du tube osseux dû à l'atrophie du tissu spongieux. Humérus.
nousa donné moins de renseignements que celle du genou. Les reliefs osseux sont moins accentués à ce niveau, il est plus d
image apla- tie, homogène de nuance ; absence complète des saillies osseuses d'inser- tion musculaire. Le même genre de modi
cavité olécranienne. Chez la plupart de nos malades, les trabécules osseuses ontpresque disparu. L'opacité des parties compa
e de l'atrophie des éminences thénar et hypothénar, les altérations osseuses ne sont pas extrêmement marquées. Il existe cep
ELLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. XXVIII ALTÉRATIONS OSSEUSES DANS LA MYOPATHIE (Pierre Merle et Raulot - Lap
s. B. - Myopathie avec atrophie des masticateurs. LES ALTÉRATIONS OSSEUSES AU COURS DE LA MYOPATHIE 237 distingue cependan
U COURS DE LA MYOPATHIE 237 distingue cependant bien les trabécules osseuses ; la diminution de tissu compact sur les côtés
iser d'une façon tout à fait nette la superposition des altérations osseuses et musculaires. De plus chez notre myopathique
partage l'ordinaire. Nous voyons qu'il s'agit bien d'une altération osseuse parallèle l'atro- phie musculaire et non pas d'
ion. C'est bien plutôt Bel... qui devrait présenter des altérations osseuses , si l'on admet- tait cette pathogénie : il ne p
laire et peuvent se préciser de la manière suivante : 1° Le tissu osseux subit des modifications de quantité (amincissemen
E ET RAULOT Les modifications du premier genre portent sur le tissu osseux dans son ensemble : les altérations du tissu co
dans l'humérus. La disparition ou l'atténuation de tous les reliefs osseux et apophyses d'inserlions musculaires. Les co
airement à l'atrophie mus- culaire, et l'on conçoit que les reliefs osseux puissent s'émousser quand les muscles n'agissen
plus sur leurs insertions. Mais l'examen des radio- LES ALTÉRATIONS OSSEUSES AU COURS DE LA MYOPATHIE 239 graphies qui conce
oncernent les sujets jeunes donne bien l'impression que les lésions osseuses observées constamment se développent parallèlemen
ations, et d'éliminer l'inaction, comme cause possible d'altération osseuse , puisque ce malade se sert journellement de ses m
rophique atteignant les deux systèmes, ou à une lésion d'involution osseuse parallèle à l'involu- tion musculaire, c'est un
dre. Elles montrent seulement la coexistence des deux altérations : osseuse et musculaire au cours de la myopathie, ou, pour
tachent pas, mais elles sont très nettement visibles et les reliefs osseux se dessinent sous la peau. Les bras grêles dans
e nosographique nettement distinct des autres affections du système osseux et dans ces dernières années on a publié succes
OUVELLLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. XXXI MALADIE OSSEUSE DE PAGET (Pascarolo et Bei-tolotti). Photogra
s'être déplacée en avant. Malgré toutes ces altérations du système osseux , l'état général du malade ne commença à se modi
n fin duvet grisâtre ; au toucher on sent sous la peau que la boîte osseuse du crâne est lisse, que les soudures sont réguliè
res sont régulières sans aucune hypé- rostose ni autre irrégularité osseuse . Aucun point douloureux n'existe sur toute la s
oux comme chez les singes. Toutes les altérations de la charpente osseuse semblent nettement plus ac- centuées du côté ga
UVELLLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. XXXII MALADIE OSSEUSE DE PAGET 1 (Pascarolo et Bertolotti). Masso
des clichés médiocres où l'on peut voir confirmées les déformations osseuses , sans que l'on puisse en étudier les détails. I
hie nous a permis de relever des altérations particulières au tissu osseux . En effet à l'état normal la radiographie de la
noires parallèles ou très légèrement obliques, qui sont les travées osseuses et qui forment entr'elles des mailles très allo
de l'os. En regardant au niveau des épiphyses on voit que les travées osseuses se font plus grandes et plus nombreuses et sont
PI. XXXIII) se montre plus transparent qu'un os normal. Les travées osseuses sont très irrégulières, elles ont perdu leur di
aires irrégulièrement épaissies. Ça et là on remarque de l'atrophie osseuse , tandis qu'à côté on peut voir des travées irré
irrégulièrement semées qui témoignent d'une véritable néoformation osseuse . . En somme, on peut remarquer dans ce cliché,
. Dans cette radiographie on voit tout de suite que les altérations osseuses du tibia sont bien plus évidentes que celle du
n n'étant visible dans sa diaphyse, c'est à peine si les trabécules osseuses sont un peu irrégulières et transversales à la
velle Iconographie DE*LA*SALPLTRItRE" T. XXII. PI. XXXIII MALADIE OSSEUSE DE PAGET (Pescarolo et l3erlolofli). NOUVELLE
ltération des articulations des petites phalanges. Les trabécules osseuses sont altérées, le tissu spongieux aussi ; l'inter
es ses formes : les sensibilités : tactile, douloureuse, thermique, osseuse , stéréognostique, etc. ont été trouvées normale
s. . La motilité des membres s'accomplit au prorata des altérations osseuses et articulaires. - Le tonus musculaire est pe
n peut remarquer d'abord l'évolution très lente de cette dystrophie osseuse , qui a débuté il y a plus de 15 ans et qui ne sem
e une certaine lenteur dans l'évolu- tion, puisque les déformations osseuses du malade, que nous avons étu- diées cliniqueme
s. Au contraire il n'est pas rare de voir des cas où la déformatiou osseuse se fait d'une façon presque subaiguë rappelant
UN CAS D'OSTÉITE DEFORMANTE DE PAGET 263 dominance de la dystrophie osseuse du côté gauche. En effet le thorax, les épaules
de Neurologie de Paris le 5 novembre 1908, sur un cas de mala- die osseuse de Paget à forme unilatérale. L'observation des a
quelques troubles articulaires qui sont secondaires aux altérations osseuses . Pour ce qui a trait au rhumatisme des petites jo
il, comme il a été dit plus haut, il s'agissait d'un cas de maladie osseuse de Paget à forme unilatérale et à ce propos les
urieux à savoir que, du côté malade où il existait des déformations osseuses , on avait trouvé ü plusieurs reprises une hy- p
LO ET BERTOLOTTI 1 notre malade pour noter l'importance des lésions osseuses et articulaires des phalanges, qui révèlent un
t, avec raison, que ces nodosités sont une manifestation du trouble osseux hypertrophique, puisque leur malade ne présenta
itique. Bien que l'attention se concentre avant tout sur le système osseux , il y a d'autres lésions et d'autres symptômes
e les troubles cardio-vasculaires sont consécutifs aux déformations osseuses . , On a entendu beaucoup parler dans ces dernie
s, peuvent être retenus dans l'organisme et accumulés dans le tissu osseux . Cette expli- cation n'est pas légitime, il suf
ve, où dans la plupart des cas on avait constaté un état de malacie osseuse et une di- minution très sensible des phosphate
déjà assemblés. Son pas est lourd et incertain. Ses mains, pâles et osseuses , tâtent l'air, pour mieux se diriger dans l'omb
ssance sexuelle. Obésité de haut degré ; atrophies et hypertrophies osseuses du squelette. Altérations de l'échange matériel
diffé- rentes parties à cause de l'épaisseur différente des parois osseuses . Le ressaut post-lambdoïdien est très accentué.
des parties molles, car la radiographie nous apprend que le profil osseux des dernières phalanges n'est pas altéré en ce
auche on voit, du côté ex- terne de la dernière phalange, une épine osseuse bien dessinée ; le profil de la dernière phalan
sus épineux; surtout évidente est à la surface inférieure une épine osseuse qui correspond à l'insertion de l'apo- névrose
res sont par- faitement ossifiés. Si nous confrontons ces lésions osseuses à celles que l'on trouve en gé- néral dans l'ac
ominant est repré- senté par l'association de phénomènes d'atrophie osseuse liés à des faits d'hypertrophie. Nous voyons pa
s la présence d'ostéophytes, d'exostoses à forme d'éperon, d'épines osseuses anormales. Ces exostoses existaient dans notre
oblitérée. Ce ganglion montre, dans un endroit, un morceau de tissu osseux , avec des cellules osseuses très nettes, situé
tre, dans un endroit, un morceau de tissu osseux, avec des cellules osseuses très nettes, situé entre les fibres et les cellul
, situé entre les fibres et les cellules gan- glionnaires. Ce foyer osseux est entouré par une mince couche de tissu con-
cette fente est oblitérée dans sa région médiane par une tubérosité osseuse entre la troisième et la quatrième vertèbre. La
e pour la fente entre la cinquième et la sixième vertèbre. Du tissu osseux de nouvelle formation oblitère également l'espa
s devant, mais sont oblitérées latéralement par des épaississements osseux . Les vertè- bres dorsales supérieures sont atro
te fente est fermée latéralement et à gauche par une bande de tissu osseux qui se présente sous forme d'un ligament, d'asp
sous forme d'un ligament, d'aspect plus blanc que le reste du tissu osseux . Les deuxième, troisième et quatrième vertèbres
sacrée. Les côtes sont réunies à la colonne vertébrale par du tissu osseux (synos- tose) ; il en résulte une ankylose comp
plus d'exostoses. Les ligaments n'étaient pas envahis par du tissu osseux , mais étaient pour la plupart atrophiés ou comp
rtilages intervertébraux ainsi qu'à la mise en contact des surfaces osseuses des vertèbres voisines. Ce n'est donc pas un pr
sur un terrain neuropathique est une altération trophique du tissu osseux . C'est pourquoi, dit-il, la cause réside dans les
terew. Enfin, Marie, Marie et Léri, sont d'avis que les altérations osseuses sont la cause de la spondylose rhizomélique. Il
ossification est précédé par l'ostéoporose. La raréfaction du tissu osseux était observée au fond de la cavité cotyloïde, à
tée dans certaines parties est comme com- pensée par l'infiltration osseuse des ligaments; la spondylose rhizoméli- que se
ommeuses des os ; dans le second, de troubles trophiques du système osseux . Les lésions syphili- tiques des os sonl caract
ce que nous avons également observé chez notre malade. La sclérose osseuse était de la même origine que la sclérose vascul
lysie générale. Il en est résulté des altérations graves du système osseux . Si cependant la sclérose, comme résultat des t
tat des troubles trophiques, peut expliquer l'évolution des lésions osseuses , nous nous demandons d'où vient l'ankylose des
les vieillards, chez qui les cartilages subissent la transformation osseuse , nous sommes bien obligé d'admettre que la syno
ertèbres lombaires, elles sont réunies en avant par de petits ponts osseux formés aux dépens du cartilage intervertébral et
pour la formation d'une ankylose que toute autre partie du système osseux . Ces articulations sont moins mobiles que nos a
s voisines ; l'appareil ligamentaire subit aussi une transformation osseuse . Le disque intervertébral est en général atroph
ntées de volume et accessibles à la palpation. On note une tumeur osseuse sur le côté gauche de la colonne vertébrale, im-
La déviation de la colonne vertébrale et le volume de la tuméfaction osseuse n'ont pas subi de modifications. Il présente
on éten- due, comblée par endroits de cannelures ou d'arborisations osseuses . Faces irrégulières, plus ou moins dépolies et
anatomo-pathologique de l'arthropathie tabétique et des altérations osseuses qui l'accompagnent, a déjà, par lui-même, d'une f
, il peut être totalement résorbé et rem- placé par de la substance osseuse spongieuse. La capsule articulaire peut s'épais
syno- viales, avec formation de corps articulaires cartilagineux et osseux . Les ligaments s'allongent, se relâchent; ils p
vertèbres disparaissent ; sur d'autres se déposent des productions osseuses de nouvelle formation, irrégulières et de dimen-
volumineuse. Le processus hypertrophique consiste en néoproductions osseuses et se manifeste spécialement sur les vertèbres
de la vertèbre sus- jacente plus atrophiée, forment comme des ponts osseux entre les vertè- bres qui participent en plus g
s qui participent en plus grande partie au processus morbide, ponts osseux qui permettent une stabilité suffisante de la col
e façon très claire, des processus de résorption et de néoformation osseuse . 3° et 4° Cas de Baduel (I. c.). Dans tous les
ébraux existent des zonesclaires, indice d'une raréfaction du tissu osseux , qui est plus marquée en certains points ; les su
s (ostéophytes) et qui en certains points forment presque des ponts osseux entre une vertèbre et l'autre. Chez un des malade
colonne lombaire est représentée sur la radiographie par une masse osseuse amorphe, irrégulièrement t cylindrique, avec de
indrique, avec des zones de raréfaction et des zones de néoproduction osseuse . Notre radiographie confirme pleinement tout ce
e probabilité, la 3e lombaire, vertèbre sur laquelle la raréfaction osseuse avait atteint son maximum d'intensité, quand el
s cité à maintes reprises. Mais en concomitance avec la raréfaction osseuse , comme s'il se préparait un travail pour obvier
t sur un fait, que je crois en rapport direct avec les déformations osseuses dues à l'os lé-oa rili ropa (li ie : sur l'atro
hropalhie, Il reste maintenant à discuter de quelle façon la lésion osseuse a pu engendrer celte atrophie. Les éventualités
ù la vertèbre a cédé à cause de la pré- dominance de la raréfaction osseuse , on ne peut le penser, quand on se rappelle que
inférieure, présente sur la face dorsale des points de néoformation osseuse qui semblent s'être fondus en une masse unique,
iron en avant de l'articulation tibio-tarsienne. Cette néoformation osseuse paraît, dans son ensemble, être grosse comme la
ants de tabes qu'il pré- sen ta i t. 't) M. EGGER, La sensibilité osseuse (ltev. Neurol., 1908, n° 8, 30 avril, page 345).
die, rapprochent plus ou moins le cas d'autres formes dystrophiques osseuses . Je passe de suite à l'exposé de l'histoire cli
. Homme d'une constitution squelettique irrégulière par difformités osseuses et articulaires des membres, spécialement delà pa
ent le long de la portion gauche de la suture lambdoïde. Les lignes osseuses d'insertion des muscles sur l'apophyse mastoïde
me ovarique et le cancer gastrique probable de sa femme. La maladie osseuse dont Lippi est affecté date de 15 ans; elle com-
s sa moitié postérieure; il est asymétrique et présente les reliefs osseux normaux très prononcés. Donc dolichocéphalie (I
uel a contribué la déformation thoracique, conséquence du trophisme osseux altéré. Pour ce qui concerne le système cardi
s auteurs sur la maladie de Pagel, la distribution des déformations osseuses a dans ce cas quelque chose de spécial. En effe
, je crois qu'il me sera facile d'éliminer les autres dis- trophies osseuses qui pourraient encombrer le'champ diagnostique.
t du critérium de l'âge : nous savons sûrement que les déformations osseuses ont débuté chez Lippi à 43 ans ; or les formes
but toutes avant 20 ans, cela sans tenir compte du type des lésions osseuses , qui dans les deux maladies sont bien différentes
surie, une évolution plus rapide. Pour ce qui concerne la syphilis osseuse je me réserve d'en parler plus tard. ' Récemm
de mon cas; il ne vaut pas la peine d'insister sur d'autres formes osseuses qui tiennent une place intermédiaire entre les
is, -pour le rapprocher plus ou moins d'autres formes de dystrophie osseuse . C'est ainsi que Gilles de la Tourette et Magde
des os, la déformation du bassin, les fractures, les traces de cals osseux et le jeune âge du malade (30 ans dans le cas d
tte maladie, ont eu recours, pour l'étude appro- fondie des lésions osseuses , aux rayons X. Très récemment Legros et Lévi (1
M. tendaient à mettre en rapport de cause à effet avec les lésions osseuses , ont été confirmées par les cons- tatations de
la moelle épinière sénile. Du reste, la distribution des lésions osseuses , malgré que parfois elles prévalent d'un côté e
e sont ordinairement d'un certain âge et c'est pourquoi les lésions osseuses et vasculaires pourraient coexister, comme on a
actuel des choses, un jugement absolu sur l'étiologie de la maladie osseuse de Paget est prématuré. Considérant les nombreu
ubstances introduites dans l'organisme, d'une altération du système osseux qui est très riche en phosphates ter- reux. I
constater dans certains cas des faits très mani- festes d'atrophie osseuse liés à des faits non moins évidents d'hypertro-
te : Etat général. Le malade, de constitution moyenne, a le système osseux normal, le tissu graisseux est presque disparu,
s a comme conséquence un retard dans l'ossifica- tion des épyphyses osseuses et une croissance exagérée des os en longueur.
dans la castration il se produit un excès de développement du tissu osseux , l'auteur tire la con- clusion que dans la cast
oire que le raccourcissement de l'humérus droit est dû à une lésion osseuse juxla-épiphysaire dont ces cicatrices seraient la
clavicules. La première paire de côtes s'articule avec deux plaques osseuses distinctes reliées l'une à l'autre par du carti
auche, elle s'articule par un très étroit cartilage avec une plaque osseuse qui semble provenir de l'ossification isolée du p
tilages de la 30 et de la 6° côtes gauches la présence d'une plaque osseuse isulée. Le point particulièrement intéressant d
ce qui saute aux yeux, c'est l'accroissement démesuré des saillies osseuses destinées aux insertions musculaires. Le radius
hypertrophiée, sa surface articulaire est inégale. Les tubérosités osseuses servant aux insertions des muscles sont excessive
s sont courbés en arc parallèlement l'un à l'autre. Les tubérosités osseuses servant aux insertions musculaires également ici
ablement leurs dimensions habituelles. L'exploration du squelette osseux des extrémités inférieures montre le pé- roné g
is assez bien prononcée et accompagnée d'hypertrophie des épiphyses osseuses . Le rac- courcissement porte un caractère mixte
et Anglada, 240, 732 TABLE DES MATIÈRES Myopathies (Altérations osseuses au cours des - ) (3 pl.), par Meule et RAULOT-L
affections dystrophianles des ), (4 pi.), par Legros et Léri, 24. Osseuses (Altérations - au cours des myo- pathies) (3 pl
229. Ostéite déformante (Un cas d ? La pathogé- nie de la maladie osseuse de Paget) (4 pi.), par KLIPPEL et yVEIL, 1. -
Pagel (Un cas d'ostéite déformante. La pa- thoqénie de la maladie osseuse de -) (4 pL). par 11LIPPEL et Reil, 1. - (Ost
propos d'un cas d'ostéite déformante. La pathogénie de la maladie osseuse de l'aget (4 pl ? 1. De la disposition radicula
elques affections dystrophiantes des os (maladie de Paget, syphilis osseuse , osteomalacie, rachitisme) (4 pl.), 24. LÉJO¡
affections dystro- phiantes des os (maladie de Paget, sy- philis osseuse , ostéomalacie, rachitisme) (4 pl.), 24. LEVI
(2 pl.), 97. MRBLE (Pierre) et Rujlot-Lapointe. Les altérations osseuses au cours de la myo- pathie (3 pl ), 229. Xoue
opos d'un cas d'ostéite déformante. La patho- génie de la maladie osseuse de Paget (i pL), 1. - De la disposition radic
l.), 329, RAULOT-LAPOI : VTE et Merle (Pierre). Les altérations osseuses au cours de ' la myopathie (3 pl.), 229. " Ru
ennr ? \\'r.rl.), LII1. Nain achondroplasique (Etlore LEVI), XXV. Osseuses (Altérations - dans la myopa- thie) (Pierre Mer
ue de la colonne vertébrale [Roasenda), LV et LVI. Paget (Maladie osseuse de -) (Pascarolo et Bertolotti), XXXI a XXXIV.
6 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
tion du rocher apparaissent seulement au troisième mois. « Deux lames osseuses , disent Rambaud et Renault, partent du vestibule
ommet. Ces trois points formeront par leur réunion une sorte de coque osseuse . Peu de temps après se montrent les lames d'encro
« De l'extrémité antérieure du canal vertical supérieur part une lame osseuse qui descend obliquement jusque sur le sommet du l
me âgé de 5o à 60 ans, elle se présentait sous la forme d'une colonne osseuse qui se dirigeait obliquement en bas, en dehors et
che qu'à droite (Okada). Pour sortir du crâne, elle traverse un canal osseux , creusé en biais dans l'épaisseur de l'écaillé ma
et dont l'orifice exocrânien constitue le trou mastoïdien. Le canal osseux qui livre passage à la veine émissaire a, en géné
arrivé à cette conclusion après avoir mesuré l'épaisseur de la paroi osseuse du sillon transverse dans sa partie la plus mince
la profondeur du sillon d'après la mesure de l'épaisseur de la paroi osseuse , comprise entre le sillon et le conduit. On peut
nt de la portion pétreuse. Les deux groupes sont séparés par une lame osseuse , vestige de la séparation primitive de l'écaillé
noix. Une trépanation au lieu d'élection ouvrit, à travers une couche osseuse compacte, un petit antre à muqueuse congestionnée
oge le muscle interne du marteau, et l'inférieur constitue la portion osseuse de la trompe d'Eustache. i'ÉREZ. - OREILLE ET E
6 crânes, nous avons trouvé ces deux segments séparés par une cloison osseuse complète. Les dimensions des trous déchirés pos
cervelet. Elle délimite, avec la paroi interne de l'antre, un segment osseux , plus ou moins épais, dont Jansen a conseillé l'é
fice antérieur du canal carotidien. Structure du rocher. — Un tissu osseux finement spongieux remplit, pendant les premières
n voit une séparée de la cavité tympanique par une très mince cloison osseuse . Ce système pneumatique intra-pétreux se continue
e de papier. Sur quelques préparations, il a trouvé sur cette lamelle osseuse au sommet du rocher de petites lacunes, par lesqu
tia arcuata; il est séparé de la fosse cérébrale moyenne par une lame osseuse , souvent aussi mince que le tegmen tympani. La br
peu en dedans de l'hiatus de Fallope: il en est séparé par une couche osseuse épaisse de 3-,'$ millimètres. En bas et en avant,
t en avant, il repose sur Je coude du canal carotidien. Le labyrinthe osseux communique avec la fosse cérébelleuse, à travers
uire qu'une simple réaction du labyrinthe membraneux sans altérations osseuses du vestibule, des canaux demi-circulaires ou du l
tout son pourtour, sa gaine ou apophyse vaginale, le conduit auditif osseux , dont le bord antérieur est en saillie sur la par
squamosal, le pétrosal ou le tyrnpanal. Cet os complète l'cngainement osseux de la première fente branchiale, en formant le pl
visible d'une suture importante entre l'anneau tympanique et la lame osseuse qui forme le plancher de la caisse du tympan et l
ano-tympanique délimitent, en arrière du canal carotidien, un segment osseux triangulaire, à sommet postérieur répondant au tr
ugulaire. De par l'anatomie comparée, on doit considérer ce segment osseux qui forme la paroi externe de la fosse jugulaire
hiscence à bords irréguliers, séparée en deux parties par une lamelle osseuse et à une distance de /| millimètres du cadre tymp
amidale, elle a été bien étudiée en 1879 par Steinbrûgge. Deux crêtes osseuses la limitent quelquefois très nettement en haut et
postérieure de la caisse. Quelquefois on trouve une troisième travée osseuse qui passe comme un pont au milieu de la cavité so
s sur /|/|5 crânes. Paroi externe. —Le tiers supérieur, entièrement osseux , constitue le mur de la logette des osselets (Gel
mètres de long et de t\ millimètres de large, qui naît près du cercle osseux dans lequel est enchâssée la membrane du tympan e
formée par un repli de la lame fibreuse, sinon par une petite saiilie osseuse dirigée vers le col du marteau et par les organes
e. Aplatie d'avant en arrière, celle-ci comprend deux portions, l'une osseuse et l'autre fibro-cartilagineuse, qu'on a comparée
mparées à deux cônes réunis par leurs sommets. (Valsalva.) La portion osseuse ou portion tympanique mesure 12-1/1 millimètres,
se en deux segments. A la partie inférieure, on remarque un bourrelet osseux (dent d'arrêt de Helmholtz). L'enclume possède
ampoules des canaux demi-circulaires externe et supérieur. Une couche osseuse , dont l'épaisseur atteint 2-3 millimètres, la sép
ont la longueur atteint 12 millimètres, il traverse une zone de tissu osseux compact, interposée entre la cavité tympanique et
ui l'a étudiée spécialement, désigne cette zone sous le nom de massif osseux du facial. Ce dernier mesure 10 millimètres de ha
nuso-digastriques creusent en arrière le massif du facial. Un segment osseux cunéiforme, dont la base mesure 3-/| millimètres
a jugulaire interne, tout près du golfe. Elle parcourt un petit canal osseux qui commence dans la rampe tympanique, immédiatem
trou déchiré et la fosse jugulaire se trouvent situés dans ce segment osseux de la base du crâne inclus entre deux plans verti
passant par le bord antérieur, l'autre par le bord postérieur du méat osseux auditif externe. (P. Laurens.) Pyohémie otitiqu
. Le conduit cartilagineux est ensuite séparé complètement du conduit osseux . On effondre alors, avec la pince de Lùer, les pa
rtilagineux peut avoir des suites fâcheuses : le sacrifice du conduit osseux , du tympan, de l'apophyse styloïde, de l'oreille
re-mère, une crête de tissu compact, formant la paroi externe du dôme osseux qui contient le bulbe». (Chipault.) Arrivé là,
sac endo-lymphatique se trouve un peu au-dessus et en dehors du pont osseux qu'il faut réséquer. Alors, après avoir décollé l
réséquer. Alors, après avoir décollé la dure-mère, on charge ce pont osseux avec le bec du protecteur de Stakes, et on l'abat
te la surface endocrânienne du temporal et forme, autour des orifices osseux , de véritables canaux fibreux qui engainent nerfs
trée par Ghipault et Berezouski, provoquent la formation d'une couche osseuse qui double le lambeau cutané et protège efficacem
our Macewen. D'après cet auteur, les micro-organismes partis du foyer osseux pénétreraient dans un des sillons de la face infé
en achevé, on poursuivra l'intervention en se guidant sur les lésions osseuses . Si elles siègent sur le tegmen antri ou sur le
onservant, au-dessus du pôle supérieur du conduit auditif, un segment osseux qui mesure au maximum un centimètre de hauteur. L
frontal mastoïdien. Chez les hémianopsiques, on reportera la brèche osseuse encore plus en arrière, au niveau du plan frontal
re par la voie squameuse, en ménageant entre les deux brèches un pont osseux suffisamment large pour servir de soutien à l'hém
lé (M. E.), Précis des maladies de l'oreille. Paris, i885. — Massif osseux du facial. Annales des medadies de l'oreille, 189
, en rapport immédiat avec le cervelet, qui limite en arrière le bloc osseux auquel nous avons donné le nom de bloc de Jansen.
l demi-circulaire externe et le canal de Fallope, avec sa mince gaine osseuse facile à entamer. FH0T0TYPIE PEUSER BUENOS AI
ur, qui est à droite, entre la caisse et l'antre, on aperçoit un pont osseux qui porte l'empreinte de deux canaux superposés :
l ; l'inférieur, à la portion tympanique du canal de Fallope. Ce pont osseux fait partie de la paroi interne de l'aditus. Su
al est ouvert au niveau de Yeminentia arcuata. Une très mince cloison osseuse le séparait de la fosse cérébrale moyenne. La bra
t, dans chaque cas particulier, en rapport avec l'étendue des lésions osseuses . La figure i reproduit seulement le point essenti
artiennent au groupe sinuso-digastrique. C'est là que siège la lésion osseuse dans la mastoïdite de Bezold (mastoïdite sinuso-d
7 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
Dans l'acromégalie on a trouvé souvent une altération des surfaces osseuses auxquelles s'attachent les tendons ; or il est
ion sur les bords des premières phalanges qui présentent des épines osseuses bien déli- mitées. Les cartilages épiphysaire
quelques petites exostoses. Si nous comparons à présent les lésions osseuses que nous avons consta- tées dans notre cas avec
é, tandis que l'acromégalie serait l'expression de la même anomalie osseuse chez les individus à car- tilages épiphysaires
ud et Meige que l'acromégalie est une anomalie trophique du système osseux qui commence à s'établir alors que les car- til
portent à une époque où l'élude radiogra- phique de ces altérations osseuses n'était pas encore à l'ordre du jour ; or c'est
ugaison, nous la retrou- vons dans plusieurs altérations du système osseux . On peut la retrouver par exemple dans les cas
râne, les dimen- sions de la langue et enfin toutes les altérations osseuses relevées parla radiographie. Il est donc inutil
ondérant des glandes à sécrétion interne sur le trophismedu système osseux . Or, tout le débat actuel consiste à décider qu
Il est donc logi- que d'admettre que les troubles du développement osseux survenus chez Michel, soient en rapport avant t
e peut coexiter avec lesano- malies les plus différentes du système osseux . L'infantilisme n'est donc pas seulemenlen rapp
plus communes et les plus anciennement connues sont les dystrophies osseuses et musculaires; cependant, en donnant un sens bea
e. Cela n'est pas le cas des dystrophies et surtout des dystrophies osseuses , sur lesquelles nous allons un peu insister.
années peut-être, qu'on réunis- sait presque toutes les dystrophies osseuses sous la dénomination de rachitisme. La plupart
lupart des nains et beaucoup de crétins présentant des déformations osseuses , étaient considérés comme rachitiques tout simple
e un 1 peu de lumière dans le champ si inextricable des dystrophies osseuses . Ces deux formes, l'achondroplasie et le rachit
ns dit, que le mot rachitisme était presque synonyme de. dystrophie osseuse ..« Sous le nom de Rachitisme, dit P. Moreau, on e
N CAS 1)'ACHOiNbIlOPfASIE 33 nutrition et du développement du tissu osseux , troubles entraînant des déformations diverses
ment. Mais avant de conjecturer sur la pathogénie des dystrophies osseuses en général et de l'achondroplasie en particulie
s qu'à l'état normal à cause de la grandeur relative des extrémités osseuses qu'ou constate par la pression et puis encore à
. Puis des néoformations dans les 'différentes parties du squelette osseux , entre autre au niveau de la XII8 dorsale et lo
dans le sens sagittal et on a pu se persuader que ces excroissances osseuses viennent de l'os même des vertèbres (flg. 1). Nul
ue dans le tableau cli- nique des tumeurs vertébrales des symptômes osseux , radiculaires et mé- dullaires. Dans le cas de
res. Dans le cas de carcinome de la colonne vertébrale, le symptôme osseux le plus remarquable c'est une cyphose arquée (Bru
rs d'autre nature il y a également des combinai- sons des symptômes osseux , radiculaires et médullaires. Quelquefois la ma
tuberculose dans d'autres organes ou des tumeurs primitives surtout osseuses . Tare héréditaire dans l'une ou l'autre direction
tention sur le fait qu'au cours du cancer ver- tébral les symptômes osseux et radiculaires peuvent prendre naissance en un
n'ont pas rendu de services. Il n'y eut que quelques cas detumeurs osseuses dans lesquels cette méthode s'est montrée utile
l est figé et immobilisé dans une même expression féroce. Le relief osseux de sa figure est très accusé et angulaire. Le c
sons se fait douc d'une façon normale, de même que la transmission osseuse . L'examen otoscopique n'a pas été fait. En in
peu valides. Les réflexes rotuliens sont abolis, mais les ré%lexes osseux sont très exagé- rés. En percutant en effet sur
s avec abolition des réflexes tendineux et exagération des réflexes osseux . Atrophie musculaire énorme des quatre extrémit
gnon de l'épaule est encore considérable. Les réflexes périostes et osseux du poignet sont très exagérés. Par coutre le ré
ns et achilléens sont abolis, mais' on note la présence de réflexes osseux très vifs, que l'on peut provoquer en percutant s
es. - Diminution des réflexes tendineux. - Exagération des réflexes osseux . Atrophie musculaire débutant par les mains.
poignet, sont discrètement conservés. , Les réflexes périostés et osseux du poignet sont plutôt exagérés. Le réflexe ten
faible, le réflexe achilléen est complètement absent. Les réflexes osseux , tout en étant présents, sont de beaucoup moins a
s de la réflectivité profonde avec exagération de certains réflexes osseux . Or tous ces symptômes que nous avons énumérés
y avait un antagonisme entre les réflexes tendineux et les réflexes osseux par ce fait que les réflexes tendineux étaient
it que les réflexes tendineux étaient abolis, tandis que les réflexes osseux étaient au contraire très exagérés. Comment p
très exagérés. Comment peut s'expliquer l'exagération des réflexes osseux à côté de l'absence complète des réflexes tendi
observations cliniques, était justement que en réalité les réflexes osseux peuvent per- sister encore dans quelques cas où
tre expliqué que par l'existence d'une voie centripète des réflexes osseux différente de la voie suivie par les réflexes t
n réflexe tendineux, mais au contraire un véritable réflexe profond osseux que l'on provoque, non pas par la percussion du
les réflexes (1) Bertolotti et VILOBRA, Elude sur quelques réflexes osseux des membres inférieurs à l'état normal et patho
ÉTUDE CLINIQUE SUR TKOIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 1 ï1 1 profonds ( osseux ) des membres inférieurs doivent suivre une voie c
t important, étant posé, il est logique d'admettre que les réflexes osseux des membres infé- rieurs peuvent avoir une impo
ux une altération du faisceau pyramidal. L'exagération des réflexes osseux que nous avons re- levée dans tous nos cas vien
première enfance, est à peu près certain, selon moi, que le système osseux peut participer à la dystrophie, 132 BKRTOLOT
années, m'ont démontré les traces les plus évidentes d'une atrophie osseuse assez prononcée. . Je regrette de n'avoir pu ét
lement le derme, l'hypoderme, le sys- tème musculaire et le système osseux . - Or je dois faire remarquer en passant que ce
mités observé dans mes cas n'avait pas les caractères de l'atrophie osseuse que l'on rencontre dans les diplégies cérébrales
up plus basse que la III". Les phalanges sont normales. L'ombre osseuse nous a paru peu modifiée.Cependant,sur les deux r
à la partie dorsale de la tête de la première phalange, un ressaut osseux net, comme s'il y avait là un tubercule arrêtan
ur peut s'observer aussi au cubitus et au ra- dius, où la substance osseuse même est altérée, car en certains endroits la c
l'angle postéro-inférieur de cette épiphyse on observe une saillie osseuse triangulaire large de quelques millimètres, trans
ostérieur de l'extrémité inférieure du tibia présente deux saillies osseuses , à base large, constituées par une substance osse
deux saillies osseuses, à base large, constituées par une substance osseuse très transparente, presque sans structure. La m
que de coutume. - Le calcanéum est de forme massive. Les trabécules osseuses qui courent le long de la tubérosité de cet os,
que lève d'ailleurs tous les doutes, car il 'montre une conformation osseuse lout à fait autre que celle du myxoedème, et da
ntenant, on affirme sans contestation que les lésions ana- tomiques osseuses de l'achondroplasie sont constituées par une sclé
des bronchiectasies peuvent avoir pour conséquence des altérations osseuses des extrémités (osléoarlhropathie pneumique de
ous pourrions cependant faire remarquer à cet égard que l'affection osseuse ne conduit pas toujours le malade chez le médec
use de la limitation topographi- que assez particulière des lésions osseuses . Observation (PI. XXXII). Seraf... Cesira, céli
chez les col- latéraux, n'a présenté de maladies ou de déformations osseuses . Antécédents personnels. La malade n'a jamais f
ourrait dire qu'elles sont en « sesto acuto », tellement l'ar- cade osseuse est élevée et de forme angulaire dans sa partie m
e pariéto-occipitale droite, on aperçoit à la palpation une saillie osseuse très prononcée, constituée par une apparente 27
xillaire inférieur sont beaucoup moins touchées par les altérations osseuses que le corps. C'est seulement à l'aide d'examens
os pariétaux et de l'os frontal. Aucune autre lésion ou déformation osseuse dans les autres os du squelette. SUR UN CAS D
placé de mettre en jeu dans le diag- nostic différentiel les kystes osseux , t'ostéosarcome,t'ostéomyéti le, l'ostéite trau
lose rhizomélique, l'ostéo- malacie, le rachitisme ou le gigantisme osseux qui est une maladie congé- nitale et s'accompag
nante au maxillaire inférieur pourrait faire penser à un rhumatisme osseux , qui, ainsi qu'Adams et Féréol l'ont montré, a so
qu'on rencontre chez notre patiente et, en outre, l'hyper- trophie osseuse frappe en même temps les mains et les pieds, ce q
limination et en se basant sur les caractères objectifs des lésions osseuses elles-mêmes, il ne nous reste, évidemment, d'au
st encore une autre remarque à faire. Chez notre malade l'affection osseuse a débuté il y a une quinzaine d'années environ, e
de fer- vents partisans, c'est-à-dire l'hypothèse d'une altération osseuse tropho- névrotique et l'hypothèse de Fartéric-s
'hypothèse de Fartéric-sclérose. Suivant la première, la dystrophie osseuse aurait son origine dans une lésion du système ner
remment interprétées, ne pourrait pas être mise en jeu, les lésions osseuses étant localisées à la tête. La malade,nous l'
des troubles tro- phiques. Et il faut en plus noter que les lésions osseuses , aussi profondes et aussi variées qu'elles puis
n'arrivent jamais, en des cas pa- reils, à produire des altérations osseuses comparables à celles que nous venons d'observer
urions pas non plus de sérieux arguments pour rapporter les lésions osseuses observées à des altérations du système nerveux pé
aient à la même cause, l'artériosclérose des extrêmes ramifications osseuses des différentes branches de la carotide ex- ter
uments plus solides, à l'appui de la théorie de l'ar- tériosclérose osseuse , nous font complètement défaut. Il faut donc co
.' BIBLIOGRAPHIE Pour la bibliographie, voir : Vincent J. Maladie osseuse de Paget. Thèse de Paris, 1904. Klippel et PII
A propos d'un cas d'ostéite déformante. La palhogénie de la maladie osseuse de Paget. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière
TRAVAIL DU LABORATOIRE DE M. LE PROFESSEUR RAYMOND. SUR LA LÉSION OSSEUSE DU MAL DE POTT SON RÔLE DANS LA GENÈSE DE LA CO
onc tout particulièrement favorable à l'étude de la cica- trisation osseuse dans le mal de Pott. 1° Quel est le rôle des lé
sation osseuse dans le mal de Pott. 1° Quel est le rôle des lésions osseuses dans la genèse de la compres- sion nerveuse L'u
foyer tuberculeux en voie de guérison, avec de nombreuses esquilles osseuses formant, au niveau de la 12e dorsale, une saillie
stérieur est, à ce niveau, de 2 centimètres. En regard de la lésion osseuse , s'étale, sur la dure-mère, une mince couche de
nt légèrement les raci- nes. La moelle, très au large dans le canal osseux , ne semble élongée en aucune façon, mais, sa fa
lement au-dessus. Il y a donc eu compression légère par les lésions osseuses , mais elle n'a pas en- travé la guérison des tr
que semblait indiquer la radiogra- phie, se réduit à quelques ponts osseux , presque partout, on reconnaît les vestiges d'u
elle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXIII. Pl. XXXIII LÉSIONS OSSEUSES DU MAL DE POTT , (Alquier et Klmfeld). A. Asp
e-mère. Masson & Cie, Editeurs. Phototypie Berthaud LÉSIONS OSSEUSES DU MAL DE POTT (Alquier el Klarfeld). Effondr
UVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXIII. PI. XXXV LÉSIONS OSSEUSES DU MAL DE POTT (A lquier et llny'eld). Mal de
à gauche) ; plus loin ostéoporose (en bas, à droite). SUR LA LÉSION OSSEUSE DU MAL DE POTT 311 intervertébraux qui les sépa
sion bien évidente de la moelle, l'empreinte marquée par la saillie osseuse sur sa face antérieure, dans notre premier cas, n
e premier cas, n'en a pas altéré la structure. Pour que les lésions osseuses puissent jouer un rôle réellement actif dans la
ffondrement, basculer en arrière, et former dans le canal un éperon osseux saillant. 312 ALQUIER ET KLARFELD . .i\L\I.l\
tré trois fois, chez l'adulte, la compression médullaire par éperon osseux : très évidente dans deux cas, et ne déterminan
nt » et des luxations en arrière du mal sous-occipital, les lésions osseuses nesemblent pas pouvoir produire là compression
u tassement du rachis. 2° Comment se fait la réparation des lésions osseuses ? C'est avec juste raison que l'on a cessé de c
es a vainement cherchés dans 16 autopsies an- térieures. La soudure osseuse ne se fait qu'aux points où les surfaces osseus
ieures. La soudure osseuse ne se fait qu'aux points où les surfaces osseuses arrivent en contact, et encore, dans notre observ
leuse, une zone irrégulière d'ostéite condensante, avec des travées osseuses inégales, bosselées, constituées par des lamell
osition les douleurs sont moindres). Doigts fléchis. Muscles inter- osseux atrophiés surtout dans premier espace. De même le
HI SALVADOR ! 2° Diminution de la hauteur du corps vertébral, tissu osseux , léger et poreux ; 3° Faces articulaires des
gnalés par cet auteur lui-même : déformation, réabsorption du tissu osseux du corps vertébral (Baduel, Roasenda, Graetret)
forment lentement et soit par un processus de réabsorption du tissu osseux , soit par une incomplète forma- tion de ce tiss
corps vertébraux ne perdent jamais leurs rapports, et les surfaces osseuses restent en contact entre elles : en un mot, on
pliquer par le fait que, en vertu d'une fragilité spéciale du tissu osseux chez les tahétiques, les altérations doivent se
large. A droite un pont 1311ACHYMLLLE MÉTAPODIALE CONGÉNITALE 4oO osseux réunit les deux apophyses clilloïdes. Les fentes
- mier métatarsiens sont visibles. Remarquons encore la raréfaction osseuse ma- nifeste des premières phalanges raccourcies
achevée en même temps que celles des peti- tes phalanges. Le tissu osseux de tout l'article nous a semblé histologiquement
eloppement en longueur des quatrièmes métatarsiens avec raréfaction osseuse .survenue insidieuse- ment, sans inflammation ni
t de la tête métacarpienne, et une exagération de la trans- parence osseuse , localisée à cette tête. Les dimensions des os, p
l n'y a aucun cas de malformation digitale, pas plus que d'anomalie osseuse ou somatique quelconque. L'enfant est, dit la mèr
ngle à sinus radiale. La surface articulaire est apla- tie. L'ombre osseuse , particulièrement celle de la tête et du bord rad
gé de 28 ans, présentent les mêmes anoma- lies, mais la raréfaction osseuse est moins nette. En revanche les déforma- tions
me et surtout le quatrième sont très courts. Le maximum des lésions osseuses (modifications de l'ombre) paraît siéger au nivea
s paraissent creusées de larges alvéoles mal remplies de trabécules osseux . Les phalanges des mêmes rayons sont de beaucoup
s seules lésées; elles sont très courtes, mal formées et leur tissu osseux n'a donné qu'une ombre floue. Les extrémités du
'avis qu'il existe une rela- tion entre cette affection et la carie osseuse . Oppenheim veut y voir une certaine analogie av
presque carré. La palpation du crâne fait relever que les soudures osseuses sont normales et c'est seulement au niveau de l
niveau de la fontanelle médiane qu'on observe une légère dépression osseuse . Le squelette facial est parfaitement normal en
t parler de nez camard, mais plutôt de nez en lorgnette : la racine osseuse est fine mais relevée, et ce qui la caractérise
ec les dents liomologues inférieures ne correspond pas. Le palais osseux présente aussi quelque anomalie ; les deux moitié
e externe, de telle façon que le diamè- tre transversal de la voûte osseuse résulte réduit, et en harmonie avec ce fait on
manque d'espace, en conséquence de la susdite déformation du palais osseux . Les lèvres sont fines et bien dessinées, légèr
sont très rapprochées entre elles, mais de nombre normal. Le palais osseux est, comme chez le premier nain, très rétréci d
ésion métacarpienne est pure, ou associée à d'autres défor- mations osseuses d'apparition contemporaine. , D'une manière gén
es : la tète est aplatie et élargie. Les modifications de l'ombre osseuse permettent-elles de déceler la raréfaction osse
tions de l'ombre osseuse permettent-elles de déceler la raréfaction osseuse ? Wagner la nie. Chez certains malades (obs. I et
me rayon (1) - est plus lésé. La tète est trop claire ; ses travées osseuses sont grêles et désorientées ; elles li- mitent
rface articulaire est possible. Les modifications de l'architecture osseuse ont une analogie très grande avec l'atrophie os
l'architecture osseuse ont une analogie très grande avec l'atrophie osseuse que l'on voit survenir, souvent d'une façon pré
reil ligamenteux transversal qui accole et maintient les extrémités osseuses (liocbheim) ; en pratique il n'en est rien : l'ép
e associée à d'autres raccourcissements et à d'autres malformations osseuses . A mesure que celles-ci deviennent plus intense
carpiens dans cette forme particulière d'achondroplasie où le noyau osseux reste très longtemps engainé dans l'épiphyse ca
lage de conjugaison, en d'autres il l'isolement, au milieu du tissu osseux néoformé, d'îlots cartilagineux qui plus lard s'o
istant en une hypertrophie des épiphyses et en raréfaction du tissu osseux ... Cette forme d'ostéite non inflammatoire... e
dilé méningiliqve, alcoolique, tuberculeuse; tendance aux anomalies osseuses . Une des expressions cliniques, peut-on supposer,
t l'idée d'une lare morbide loca- 582 CHEVALLIER lisée au système osseux . « La prédisposition se développant par l'hérédit
584 CHEVALLIER en particulier, insistent sur ce raccourcissement osseux après un décolle- ment épiphysaire. Mais ce rac
8) ». Mais l'action atrophiante ne se localise pas alors au système osseux ; et Ra- baud (9) a montré que l'action mécaniq
ons tu- berculeuses profondes ; elle guérit en laissant des lésions osseuses . Ce fait banal, qu'un raccourcissement succède
a-ventosa entre en régression jusqu'au moment où se fait la soudure osseuse vendable par la radiogra- phie ; cet accroissem
complète, le métacarpien présente encore des signes de raréfaction osseuse . La phalange adjacente peut être lésée ; « l'ir
e l'allongement » (Lannelonnue). Dans bien des cas, d'autres foyers osseux ont coexisté avec le foyer di- gital, ou sont a
ntôt se développer les signes de rachitisme ». Or « les dystrophies osseuses qui constituent le rachitisme, dit Kirmis- son
ser et même chez les enfants, les ostéomyé- lites, les tuberculoses osseuses à foyers multiples sont fréquentes ; sui- vant
La radiographie permet de constater un certain degré de raréfaction osseuse , comparable aux raréfactions acquises, mais dans
omparable aux raréfactions acquises, mais dans quelques cas l'ombre osseuse n'est pas très sensiblement différente de l'ombre
al'yngoiatrie,a mis en reliefdes déformations identiquesde la voûte osseuse palatine et de l'oreille ; le palais osseux est r
identiquesde la voûte osseuse palatine et de l'oreille ; le palais osseux est rétréci dans son dia- mètre transversal de
ujet présente quelques déformations du nez, de l'oreille, du palais osseux , et des dernières pha- langes des doigts qui so
inquième orteil du pied gauche apparemment normal, possède un noyau osseux supplémentaire. Ce noyau, de forme générale ovale
rêle, plus effilé, bien que pourvu d'un ongle normal ; les segments osseux existent, mais ils sont petits ; le pouce droit
Eltore Levi), par BAUER, 25. Compression nerveuse (Sur la lésion osseuse du mal de Pott ; son rôle dans la genèse de l
2 pl.), par KOPEZYNSKI et jAnosxYKSKi, 363. Pott (Sur la lésion osseuse du mal de ; son rôle dans la genèse de la compr
, 313, 457, 590. TABLE DES AUTEURS ALQUIER et Klarfeld. La lésion osseuse du mal de Pott. Son rôle dans la genèse de la
à l'étude du pithiatisme (2 pl.), 363. KLAHFEf.n et Sur la lésion osseuse du mal de Pott ; son rôle dans la genèse de l
me (KopEZYKSKr et JAIIOSZY : ;SKI), XXXVI et XXXVII. Pott,lésions osseuses (ALQUIER et 11LARFELD), XXXIII à XXXV. Psychos
8 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
l'usure des cartilages, les ulcérations consécutives, les bourrelets osseux , ont été signalés par divers observateurs, et j'e
ation des ligaments ; mais on rencontre aussi de véritables ankyloses osseuses , ainsi que l'ont observé Garrod et M. Ranvier; et
s le tendon d'Achille ; 2° sur le périoste, mais jamais dans le tissu osseux ; 3° dans les bourses séreuses (olécrânienne, pré
e de soude, et ne doit jamais être employée pour désigner les tumeurs osseuses du rhumatisme articulaire chronique. Ces masses
e durcissent pour former de petites masses blan- contours des têtes osseuses qui leur sont juxtaposées. Elles exercent sur les
s cartilages diarthrodiaux ; du liquide intra-arti-culaire ; du tissu osseux . Étude histologiquc de ces diverses lésions. — Mo
u pourtour des extrémités articulaires, il se formait des végétations osseuses . Vers la même époque, un médecin irlandais, Col
sont les changements qui se pas-sent, à la même époque, dans le tissu osseux . Nous consta-tons d'abord l'éburnation de la surf
ens de l'os préexistant; en même temps, il se produit des végétations osseuses , situées en général à la limite du cartilage. Ces
ins égale à celle des lésions précédentes, est la réfraction du tissu osseux aux extrémités articulaires. En premier lieu, il
scularisation évidente au-dessus de la cou-che éburnée, et une moelle osseuse , de formation nouvelle, prend naissance en cet en
, et en dernier lieu, l'ossification proprement dite avec corpuscules osseux . Daus l'épaisseur delà synoviale, il peut se fo
iculaires ; elles finissent par tomber, et laissent à nu les surfaces osseuses . Dans les parties jjrofondes, la prolifération
la surface libre du cartilage. aboutit à la formation d'une couche osseuse nouvelle. Les capsules mères s'infiltrent de sels
s de la moelle, et c'est à leurs dépens que se forme le nouveau tissu osseux . C'est ainsi que se produit l'éburnation de la
espaces médullaires pour y dé- verser leur contenu. d. Substance osseuse . e. Moelle qui remplit les aréoles de la surfac
nsi la formation de ces bourrelets, d'abord car-tilagineux, plus tard osseux , qu'on rencontre en cet endroit. Aussi M. Ranvi
ment donné ; il se forme alors une ankylose tantôt celluleuse, tantôt osseuse . Ce dernier cas est très rare ; il n'a lieu que d
pour effet d'amener une atrophie et une friabilité extremes du tissu osseux ; peut-être y a-t-il disparition des bourrelets e
ent presque méconnais-sables. On voit se former d'énormes végétations osseuses : c'est ce qui se produit, par exemple, dans le m
tiondes cartilages et des os, d'où résulte une défor-mation des têtes osseuses . Enfin, c'est là que se manifeste, au plus haut d
thrite déformante. Mais les altérations que présentent les surfaces osseuses rendent l'analogie plus frappante encore; elles p
au travail phlegmasique. D'après Gurlt (1), la moelle des extrémités osseuses subit une vascula-risation prononcée avec prolifé
ces articulaires commencent à subir l'éburnation, et les végéta-tions osseuses se forment autour des jointures : enfin le tissu
égéta-tions osseuses se forment autour des jointures : enfin le tissu osseux est devenu friable vers les extrémités articulair
e-pièce, et des ulcérations périphériques. Il n'y a pas de bourrelets osseux , ni d'ankyloses celluleuses, mais on trouve une r
s celluleuses, mais on trouve une raréfaction très prononcée du tissu osseux . Mais ce qui caractérise essentiel-lement cette a
omène est secondaire. Il se produit quelquefois aussi des stalactites osseuses , mais elles sont très vasculaires (Billroth) ; el
empare des divers tissus. La raréfaction et la con-densation du tissu osseux aux extrémités articulaires, la for-mation d'osté
extrémités articulaires, la for-mation d'ostéophytes et de bourrelets osseux au pourtour des cartilages diarthrodiaux, se renc
nture, et avec un état velvétique beaucoup plus prononcé des surfaces osseuses . 3° Dans les poumons, une rougeur prononcée, un
. — Désordres permanents. — Douleurs. — Craquements. — Déformations osseuses . — Jointures affectées de pré-férence. — Les main
dans certaines jointures, plus communs dans d'autres ; des bourrelets osseux qui déforment des têtes des os ; enfin des sublux
alors qu'on constate les craquements dus à l'éburnation des surfaces osseuses , si l'articulation conserve encore une certaine m
sentir en ce moment. Enfin l'on voit alors paraître les dé-formations osseuses , suivant certaines lois, certaines règles qui ser
déformations sont nettement caracté-risées. 11 y a saillie des têtes osseuses par suite des subluxa-tions qui se sont opérées.
lles-ci l'ont saillie en arrière. Il faut noter que les végétations osseuses , au pourtour des articulations des doigts, ne cir
s moins prononcées, et le volume des têtes des os, et des stalactites osseuses , est-il plus considé-rable. Il existe, en effet
'opposition entre le degré des déviations et le volume des bourrelets osseux , ainsi que l'é-tendue des déformations qui en rés
une ankylose complète se produire dans le genou; mais des bourrelets osseux s'y déve-loppent presque toujours, et les corps é
les au niveau des jointures, par suite de l'exubérance des bourrelets osseux ; quelquefois aussi l'on rencontre une hydarthros
, le début latent de l'affection, l'énorme exubé-rance des bourrelets osseux de formation nouvelle, sont des faits plutôt exce
ent le type le mieux caractérisé de l'arthrocace sénile : les têtes osseuses étaient aplaties et éburnées, ainsi que les deux
te du fémur gauche était rouge et vascularisée, et de nombreux dépôts osseux couvraient la capsule ligamenteuse. Chez une da
e une déformation plus ou moins prononcée de la jointure : des crêtes osseuses , des corps étrangers, del'hydar-throse. 2° Le m
té extrême de l'articulation qui résulte de la défor-mation des têtes osseuses , ou des cavités de réception. E. Nodosités d'He
seconde articulation phalangienne, ne sont autres que des tubercules osseux qui existent normalement à l'extrémité in-férieur
s tubercules s'est considérablement accru par l'apposition de couches osseuses nouvelles. Il n'existe pas trace de dépôts d'urat
des membres ; et alors, elle paraît résider soit dans les extrémités osseuses , soit dans les muscles, soit dans les troncs nexv
ptionnel, et c'est la seule fois que nous l'ayons notée. La douleur osseuse est profonde, térébrante, plus pénible que la dou
qui doublent la synovialeà l'extérieur; tantôt une tuméfaction dure, osseuse , qui justifie la dénomi-nation de nodosité (nodos
nt et un peu en dedans des phalanges, détermine une saillie des têtes osseuses des premières du côté de la paume de la main. Enf
équent d'observer, au pourtour des petites jointures, des végétations osseuses , sous formes de tubercules, et qui ne circonscriv
souvent élargie et déformée. On y sent par la palpation des saillies osseuses anormales, développées au pourtour des surfaces a
ant et peut être distinguée par lapalpation, ainsi que les bourrelets osseux qu'elle porte. Dans une de nos observations (la n
ndant du fémur, et fait saillie sous les téguments. Les productions osseuses se rencontrent : 1° au pourtour de la rotule qui
de-pied. L'ankylose celluleuse y est très fréquente ; les productions osseuses péri-articulaires, et les corps étrangers s'y ren
dans les jointures, ou de celle qui paraît siéger dans les extrémités osseuses . 2° C'est chez les jeunes sujets, chez les femm
es, par suite de l'atrophie qu'ont subi les muscles ; les stalactites osseuses , ou même les têtes des os subluxés, semblent sur
la s'observe le plus souvent; il peut même arriver que les tubercules osseux de nouvelle formation, s'ils sont très saillants,
nce de tophus, if y a plutôt maigreur ; mais il y a quelques saillies osseuses , tuberculi- formes, au niveau des petites join
ois des marches d'escalier. Le genou présente une sorte de gonflement osseux , la rotule est immobile, les extrémités supérieur
tibias etinférieures des fémurs présentent à la palpation des crêtes osseuses . Rien aux cous-de-pieds ; les orteils sont un peu
s articulations des phalanges avec les phalangines, saillie des têtes osseuses à ce niveau, extension de quelques phalangettes s
r, au niveau de la fente interarticu-laire, on sent de petites crêtes osseuses qui font saillie sous la peau; il en existe de se
ment pénétrer par le scalpel, d'au-tres fois, la raréfaction du tissu osseux est tout aussi remar-quable que dans le cas précé
par une sorte de graisse demi-liquide. Enfin, le tissu des extrémités osseuses peut-être plus dur, plus compacte qu'à l'état nor
du cartilage diarthrodial, des espèces de végétations ou stalac-tites osseuses , qui les circonscrivent en forme de couronne comp
endre ailleurs des productions nouvelles (corps étrangers, bourrelets osseux ); elle paraît n'amener jamais, à moins de circons
le mo-ment ; la déformation paraît tenir à un gonflement des tissus, osseux mêmes, ou bien à des productions osseuses péri-ar
r à un gonflement des tissus, osseux mêmes, ou bien à des productions osseuses péri-articu-laires de nouvelle formation. Les doi
ée. Articulation radio-carpienne. — Elle est déformée, les saillies osseuses sont peu prononcées, les enfoncements sont comblé
lus ou moins profondes, dont quelques-unes met-tent à nu la substance osseuse . Il semble, qu'en même temps, la texture du carti
diatement sous la peau, et pressés, pour ainsi dire, contre les têtes osseuses , ils étaient aplatis et ne formaient pas sur le d
re, du côté de la surface articulaire, festonnée, clu côté de la tête osseuse . A un plus fort grossissement (200 diamètres), ch
ulaires ; on en trouve même parfois dans le tissu spongieux des têtes osseuses . Ces alté-rations ont été parfaitement décrites e
ur le mo-ment. La déformation paraît tenir à un gonflement des tissus osseux mêmes, ou bien à des productions osseuses péri-ar
ir à un gonflement des tissus osseux mêmes, ou bien à des productions osseuses péri-articu-laires de nouvelle formation. Les doi
. Articulation raolio-carpienne. — Elle est déformée ; les saillies osseuses sont peu prononcées ; les enfoncements sont combl
lus ou moins profondes, dont quel-ques-unes mettent à nu la substance osseuse . Il semble qu'en même temps, la texture du cartil
de une sorte d'an-kylose intra-articulaire, une espèce de productions osseuses , lesquelles étaient, pour certaines articulations
formation dans ce tissu cellulaire de productions cartilagineuses et osseuses . La diminution de la mobilité des os, les uns s
es surfaces articulaires, il n'existait ni stalactites, ni bourrelets osseux de formation nou-velle, et, à part l'incrustation
des surfaces articulaires il n'existait ni stalactites ni bourrelets osseux de formation nouvelle, qu'enfin, les cartilages i
tement sous la peau et pressés pour ainsi dire, contre les extrémités osseuses ; ils étaient aplatis et ne formaient pas, sur le
eurs causes ; elles dépendent en partie de l'existence de végétations osseuses , développées au pourtour des surfaces diarthrodia
os dont elles ont la consistance ; ce sont, en un mot, les extrémités osseuses elles-mêmes, plus ou moins tuméfiées et déformées
e, elles n'acquièrent presque ja-mais complètement la dureté du tissu osseux ; elles siègent de préférence au voisinage des pre
— où l'altération velvétique, f'usure des cartilages, les végétations osseuses développées à la périphérie des surfaces articula
. En même temps, les join-tures paraissent énormes et les stalactites osseuses soulèvent fortement, en quelques endroits, les té
téguments amincis. Il est même arrivé quelquefois que ces productions osseuses ont ul-céré la peau et se sont montrées à nu. On
au et se sont montrées à nu. On distinguerait aisément les tubercules osseux ainsi mis à découvert, par suite de la per-forati
seconde articulation phalangienne, ne sont autres que les tubercules osseux qui existent normalement à l'extrémité inférieure
tubercules s'est considérablement accru, par l'apposition de couches osseuses nouvelles. Il n'existe pas de traces de dépôts d'
s et villo-sités synoviales, corps étrangers articulaires, bourrelets osseux etc., pendant que d'un autre côté et simultanémen
ndant que d'un autre côté et simultanément, il raréfie les extrémités osseuses et tend à détruire les cartilages diar-throdiaux;
ente une surface lisse, luisante, comme éburnée; au-dessous, le tissu osseux paraît raréfié, friable, imbibé de sang. Mais en
e, imbibé de sang. Mais en même temps, des végétations ou stalactites osseuses se sont formées au pourtour des têtes des os ou d
oduit assez fréquemment chez les vieillards une ra-réfaction du tissu osseux qui porte plus particulièrement sur les côtes, la
i, placés immédiatement sous la peau et pressés contre les extrémités osseuses , s'étaient aplatis et ne formaient pas, sur le do
es par Heberden sont bien accusées.—La figure 4 montre les extrémités osseuses mises à nu par la dissection ; les surfaces artic
s cartilages dia'rthrodiaux ; du liquide intra-articulaire ; du tissu osseux . Etude histologique de ces diverses lésions. —
s. — Désordres perma-nents. — Douleurs. — Craquements. — Déformations osseuses . — Jointures affectées de préférence. — Les mains
ans le rhu-matisme, 229; — dans la goutte asthéniqueprimitive, 355; — osseuse et musculaire dans la goutte asthé-nique, 356.
05 ; — observation d'absence de douleur ar-ticulaire, 356 ; — douleur osseuse 354 : — douleur musculaire, 358 , 396 ; — rouge
absence de rhuma-tisme articulaire aigu, 390 ; — état des extrémités osseuses , 390, 398 ; — végétations osseuses, 390, 398 ;
igu, 390 ; — état des extrémités osseuses, 390, 398 ; — végétations osseuses , 390, 398 ; — ulcérations des cartilages, 393;
e, 183; — altérations des cartilages, 183; — altérations des surfaces osseuses , 184; — vascula-risation de la moelle des os, 185
e aiguë, 201. Scrofule, rapports avec la goutte, 125. Stalactites osseuses , 187. Stéatose, dans les affections fébriles, 313
9 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
mouve-mens et de la dilatibilité des organes digestifs, le squelette osseux ou inextensible est complété par les aponévroses.
t la membrane médullaire, enveloppes et organes de nutrition du tissu osseux ; moyens d'insertion des tissus fibreux sur les os
e tissu, Ictenduc est aussi très variable, soit pour les enveloppes osseuses , le crâne, par exemple, comparé à l'orbite; soit
péricarde, la dure-mère, et la tunique vaginale. 4° Dans le système osseux , le crâne et le rachis, dans l'assemblage par jux
phragme, et dont la surface ou circonférence, soutenue par deux tiges osseuses médianes, le rachis et le sternum, est divisée, p
, le rachis et le sternum, est divisée, pour le mouvement, en arceaux osseux réunis en une seule cage par des muscles et des a
s ouvertes de ces cavités cylindriques s'implantent sur les ceintures osseuses du tronc ou au contour des articulations des memb
a surface adhérente elle est unie au périoste très mince des surfaces osseuses papyracées des fosses nasales, par un tissu cellu
on remarque au genou, au coude, et en général sur toutes les saillies osseuses ou tendineuses. Dans les plis articulaires la pea
font de plus l'office d'un squelette flexible. Au thorax, la couche osseuse profonde est représentée par les côtes doublées p
la couche musculaire mince est immédiatement appliquée sur la couche osseuse , elle-même étalée en membrane pour circonscrire e
face. Crâne. La grande cavité encéphalique est formée par la couche osseuse , étalée en membrane, et circonscrivant une cavité
cylindrique qui renferme la moelle épinière, protégée par les anneaux osseux des vertèbres, ces derniers formant un long levie
o-vasculaire sous-cutanée et la peau. Face. La face comme charpente osseuse est formée principalement par la jonction des os
ément entre les os du crâne et de la face. De chaque côté , la cavité osseuse orbitaire, admirablement disposée pour la protect
uches musculaires et dermiques ; elles sont isolées par des planchers osseux en haut des orbites, et en bas de la cavité bucca
et en bas de la cavité buccale, et partagées en deux par une cloison osseuse médiane. Chacune des fosses nasales, tapissée par
us des fosses nasales est la cavité buccale. Formée dans sa charpente osseuse , en haut par la voûte des os maxillaires supérieu
la voûte des os maxillaires supérieurs et palatins, en bas par 1 arc osseux du maxillaire inférieur, elle est fermée latérale
ylindrique intermédiaier entre le tronc et la tête. Dans sa charpente osseuse , il est formé par la tige médiane de la portion c
rant un plan transversal qui passe verticalement au-devant de la tige osseuse . La portion antérieure comprend au milieu, le pha
rtèbres. Ainsi, dans sa structure générale le cou renferme une tige osseuse centrale, creusée par le prolongement rachidien,
'aponévrose extérieure d'enveloppe fixée sur ses bords , aux contours osseux , ayant une grande résistance ; c'est le cas des
s. (Ex : le talon et le coussinet sous-métatarsien.) Sur les saillies osseuses , qui nécessitent des glissemens faciles, elle est
et de la cavité abdoniino-pelvienne par l'interposition de la cloison osseuse que forment les eaux du bassin. A la superfìcie,
n'étant pas moins tranchée en arrière, par le contour de la ceinture osseuse , et, dans le pli de l'aine, par le dédoublement d
ses de contention, s'insère par ses extrémités, en haut à la ceinture osseuse du bassin et à l'aponévrose abdominale antérieure
ed. (Pl. 1 2 et 13. ) Il est constitué en majeure partie par la voûte osseuse du taise et du métatarse, interposée entre deux c
peu déterminées dans leur nature, mais réputées appartenant au tissu osseux , ou, d'une manière plus précise, à la gangue orga
e, (c) Le spina-ventosa, dont le résultat est la raréfaction du tissu osseux en une coque lamellaire très volumineuse, isolée
la carie, clans notre opinion, véritable nécrose capillaire du tissu osseux raréfié, et qui n'offre des apparences si différe
t fougueux de la masse commune. Dans toutes ces affections du tissu osseux , moins celles de nature fougueuse ou cancéreuse,
qu'il renferme, ou dont il est lui-même entouré. Les grandes parois osseuses , moyen de protection et de support dans l'état ph
itablement. A la face, où l'isolement des maladies par des cloisons osseuses n'est plus si complet, déjà les terminaisons sont
idens les plus graves. La cavité du bassin, formée par une enceinte osseuse assez étroite, semblerait devoir donner lieu à de
, celluleuse, séreuse, muqueuse, cutanée, fibreuse, cartilagineuse et osseuse , où le travail de la nature, bien plutôt physiolo
, il a fallu des trous et des canaux de passage au travers des parois osseuses et aponévrotiques, et de longs trajets dans les a
es fentes, les scissures et les sutures dont sont criblées les parois osseuses , de manière à rendre toutes les parties solidaire
ace étan t nettement déterminées parla nature, tant dans la charpente osseuse que clans les parties molles de revêtement, les m
combinant ces rapports avec les compartimens tracés par les cloisons osseuses et aponévrotiques, il est facile de se former, po
a suture sagittale dans le squelette; en haut, seulement dans la tête osseuse , par la suture fronto-parié-tale; et, dans l'état
i ; et planche 6. à proprement parler, aucune portion du squelette osseux , le corps de la mâchoire et l'os hyoïde n'en form
supérieur. 6° Squelette. Comme dans la région précédente, la portion osseuse proprement dite est formée par les deux limites,
e l'omoplate, latéralement par la région sus-claviculaire et la ligne osseuse en fer à cheval, qui a pour centre l'articulation
l'aisselle. 6° Squelette. Il est formé, pour cette région, par l'arc osseux antérieur des côtes, de la seconde à la sixième.
bres lombaires, dont les apophyses transverses élargissent la surface osseuse , que continue par sa résistance le feuillet moyen
ce du détroit inférieur du bassin, le triangle antérieur, entièrement osseux , échancré en haut et en avant par l'arcade des pu
travers lequel doit opérer le chirurgien, compris, pour les surfaces osseuses , entre des diamètres dont la moyenne est de quatr
qui reculent les bornes de la dilatation possible jusqu'à la ceinture osseuse elle-même. Parties constituantes analogues. Ell
eur cle l'os coxal, de l'épine iliaque à l'épine pubienne. A la lèvre osseuse postérieure correspond une lèvre fibreuse antérie
st limitée verticalement par deux lignes précises, en haut le contour osseux postérieur de la crête iliaque et en bas le pli i
qui l'embrasse; ainsi, elle est limitée supérieurement par le contour osseux , en fer à cheval, que forment la clavicule, l'épi
doigt au travers des chairs, on y sent de chaque côté deux tubercules osseux formés en dehors par le scaphoïde et le trapèze,
ssous de cet os, la naissance de la jambe est marquée par une saillie osseuse que forme la crête antérieure du tibia. Enfin, su
es, les régions antérieure externe et postérieure, et une antérieure, osseuse ou tibiale. Par extension, on rapporte à la jambe
ut considérer, sur-tout au point de vue chirurgical, toute la surface osseuse qui comprend le dos du pied et ses côtés comme ap
giennes, fixée de chaque côté, par des appendices, sur les deux bords osseux du pied , fortement adhérente, sur les deux faces
régulier que lui donne le grand nombre d'excavations et de tubercules osseux dont elle est parsemée. Comme dépendance du squel
ds tranchans, diviseront, par déchirure ou arrachement, les molécules osseuses sur leur trajet. Nous ne faisons qu'indiquer, com
ble au toucher manuel ou instrumental, fixé sur des tissus fibreux ou osseux , et ordinairement très résistant. Les instrumens
aire des tumeurs volumineuses encastrées profondément dans des canaux osseux et des tissus résistans : tel est le cas des poly
et des artères d'un certain volume et sur les saillies tendineuses ou osseuses , hors le cas où ce sont les os cariés eux-mêmes q
tissus ; 2° le voisinage d'un point d'appui solide, soit une surface osseuse ou fibreuse qui réagit sur la pression. Moyens
es, la profondeur et la direction relative du levier ou point d'appui osseux par rapport à l'artère, et, par quelques pression
suite avec promptitude la direction première perpendiculaire au plan osseux . 7° La pression doit être continuée sans interr
e sous-clavière sur la première côte, située profondément sur un plan osseux , accessible seulement par un espace étroit, la fé
ur les troncs artériels du bras et de la cuisse, éloignés des leviers osseux et roulant dans l'épaisseur des parties molles, l
dans l'épaisseur des parties molles, l'absence d'un point de contact osseux nettement limité oblige à disséminer la compressi
ines, le pouce réagit en sens opposé ou en s'appuyant sur une saillie osseuse voisine. En comparant ces deux procédés, on con
lles des vaisseaux situés à de grandes profondeurs ou dans des canaux osseux , comme sont, en particulier, nombre de rameaux de
mploi est réservé pour les cas où une artère, encastrée dans un canal osseux ou ostéo-fibreux, et rendue insaisissable par sa
cutanée analogue à celles qui se rencontrent sur toutes les saillies osseuses et tendineuses. C'est là proprement le kyste sére
extrémité d'un filet nerveux dont le tronc est renfermé dans un canal osseux , pouvant occasionner immédiatement les réactions
et trop lente; 20 souvent leur effet chimique s'épuisantsur le tissu osseux offense la pulpe dentaire sans la détruire, hâte
sque toutes les fractions du corps, en évitant seulement les saillies osseuses et tendineuses et les parties peu pourvues de tis
ès fine, l'cscharrc peut s'étendre très profondément; 2° les saillies osseuses et tendineuses , où l'exfoliation peut être la su
tant pas encore terminée, il y a lieu à espérer le retrait des parois osseuses , à mesure que l'on donne écoulement au liquide pa
vant et après l'opération; mais il ne croit pas au retrait des parois osseuses , signalé par M. Russell. En résumé, la ponction
e supérieure de la fosse canine, à quatre lignes au-dessous du rebord osseux de l'orbite, sur le trajet d'une ligne verticale
au-dessous du bord de l'échancrure sigmoïde. Appliquer sur la surface osseuse mise à nu une petite couronne de trépan de huit à
us en avant et en dedans, et qui, du reste, n'entre pas dans le canal osseux . Ce procédé n'a pas encore été employé sur le viv
i correspondent à des muscles, le voisinage des surfaces fibreuses et osseuses pouvant entraîner des ulcérations graves ; cette
'abord en se guidant suivant les lignes déterminées par les éminences osseuses et les saillies musculaires, et, dès que l'on est
bord interne avec le jainbier postérieur ; au fond du sillon inter - osseux se trouve la gaîne des vaisseaux renfermant l'art
des vaisseaux. Le pouce et le médius étant appliqués sur les saillies osseuses de l'épine iliaque antérieure et de celle du pubi
gle supérieur s'arrêtant à trois centimètres au-dessous de la saillie osseuse indiquée, l'incision de la peau et de l'aponévros
fondément, dans l'épaisseur de la glande parotide, entre les saillies osseuses du bord postérieur de l'os maxillaire inférieur e
'ébranler avec un levier ou la dégager par une tréphinc avec l'anneau osseux qui l'environne, et l'extraire avec des pinces. D
cutanées qui existent dans tous les points de frottement des saillies osseuses , soit des synoviales tendineuses. Ces dernières s
n, qui elle-même n'est pas encore absolument sans danger. 3° Kystes osseux . Ce sont des ostéides en forme de coque, plus ou
s artères, par exemple aux parois du crâne et sur toutes les saillies osseuses , à la mâchoire inférieure, au sternum, sur les fa
vent le sang coule par des artères coupées encastrées dans des canaux osseux , il faut, toute manœuvre cessante, cautériser ave
INSTRUMENS DE DIVISION DES OS (pl. 53 et 55 ). La dureté du tissu osseux exige des instrumens spéciaux pour le diviser. To
us les autres, à tranchant simple, se frayent une route dans le tissu osseux en écartant et en disjoignant par la pression les
l'os : les gouges sont principalement destinées à enlever des tumeurs osseuses , ou à sculpter le tissu spongieux des os pour y p
ncidence avec des luxations. La plaie doit être débridée; le fragment osseux qui fait saillie au dehors sera réséqué, puis l'o
nir des Arabes. 2° A l'exemple de White, réséquer les deux extrémités osseuses elles-mêmes; 3n ou, comme Dupuytren, se contenter
ineuse qui recouvre les fragmens et à cautériser ensuite sur le tissu osseux lui-même. 7° Acupuncture. Procédé de M. Maltjai
plusieurs périodes ; qu'il est successivement fibro-cartilagineux et osseux , et enfin passe à l'état de cal définitif. La dur
nir à l'amputation ou à la résection. Parmi les exostoses éburnées ou osseuses proprement dites, celles qui n'ont d'autre inconv
ère difformité doivent être respectées; il en est de même des tumeurs osseuses diffuses, larges, qui comprennent toute la circon
les unes des autres pour enlever ensuite à coups cle ciseau les ponts osseux restés entre elles. Et tandis qu'au commencement
écrose (pl. Si, 52 et 54). La nécrose est la mortification du tissu osseux . Dès qu'un os est frappé de nécrose en totalité o
e époque du travail que consiste le diagnostic du chirurgien, le tube osseux de nouvelle formation qui circonscrit les os nécr
mode de formation de la carie consiste dans une résorption d u tissu osseux avec hypertrophie de l'élément vasculaire, et son
point par point des petites lamelles et des filamens de la substance osseuse . Ces différences, qui ont leur raison première da
urface jusqu'à ce que la dureté, la couleur et l'homogénéité du tissu osseux indiquent que l'on a atteint la limite du mal. Si
er de la rapide communication d'une trop vive chaleur par les leviers osseux a fait établir avec raison en précepte de ne pas
fixe avec des pinces par des aides. Tout étant disposé et la surface osseuse convenablement asséchée, on saisit de la main dro
la tréphine. Il imagine un scalper excisorius pour enlever les ponts osseux qui séparent les ouvertures faites par le trépan
lume à écrire, fixe la pointe du perforatif sur le centre de la pièce osseuse à extraire, et embrasse la plaque eu ébènc qui su
'il trouve que le sillon pénètre en plusieurs points et que la partie osseuse circonscrite est mobile sous la pression de l'ong
ue la table interne de l'os est séparée. 3° Extraction de la partie osseuse détachée par' le trépan. Lorsque le disque osseux
ction de la partie osseuse détachée par' le trépan. Lorsque le disque osseux est bien complètement détaché, il arrive quelquef
ndément pour être solidement fixé, on s'en sert pour attirer la pièce osseuse qu'on ébranle en même temps avec un élévatoire po
s avec un élévatoire pour en faciliter l'extraction. Quand la section osseuse est nettement faite, l'opération se trouve termin
re-mère, on appuie fortement le tranchant du couteau sur les saillies osseuses , qui doivent ainsi être successivement enlevées.
s sur les autres, elles se trouvent seulement séparées par des angles osseux de peu d'étendue, qu'il devient facile de régular
ge cle cet instrument est spécialement indiqué pour enlever les ponts osseux intermédiaires quand on est obligé d'appliquer pl
e générale, toutes les fois qu'il existe une maladie limitée du tissu osseux , ou de ses annexes, qui, par sa nature, est jugée
airement saines et nettement divisées, la petite étendue des surfaces osseuses mises à nu, la disposent en général à cicatriser
ndément; une plaie irrégulière et anfractueuse, recelant des sections osseuses multiples et souvent lacérées, tels sont les élé-
t, d'une part, la réunion directe, ou la soudure entre les extrémités osseuses réséquées; soit, au contraire, la formation d'une
états, il faudrait, avant d'y remédier par la résection des fragmens osseux , attendre que la constitution du malade fut modif
t très communs, et ils sont d'autant plus à craindre que les surfaces osseuses réséquées sont plus étendues. Etat des parties
a ce qui est altéré avec la gouge et le maillet en sculptant le tissu osseux ; car la première loi est d'emporter complètement
ette plaie, isoler des parties molles et enlever les trois extrémités osseuses de l'articulation du coude. Arguant de la difficu
de l'appareil de Scultet est mis dans la demi-flexion et les surfaces osseuses sont légèrement rapprochées pour favoriser la for
e: de fixer le bras dans f immobilité, en même temps que les surlaces osseuses réséquées se trouvent rapprochées. Appréciation
plit jamais entièrement. 11 n'y a pas ordinairement de reproduction osseuse ; d'où il résulte une grande mobilité de la phalan
beaux étant fixés à l'aide de quelques points de suture, les surfaces osseuses seront rapprochées et maintenues au moyen d'une s
éolaires et isole jusqu'à l'articulation la masse des deux extrémités osseuses , ou bien divise les liens fibreux qui unissent le
moyen de trois ou quatre points de suture entortillée. Les fraginens osseux mis en contact seront maintenus par un appareil c
de la même façon que l'extrémité du fémur. Pansement. Les surfaces osseuses seront mises en contact et les lambeaux de la pla
t la cautérisation. Il ne reste plus alors qu'à remettre les surfaces osseuses en contact, à couvrir la plaie par un pansement m
ligament capsulaire, et de faire proéminer au dehors toute la portion osseuse qu'on veut enlever. Il n'y aurait plus qu'à redon
t une application facile lorsqu'il s'agit d'enlever une petite tumeur osseuse superficielle, il n'en sera plus de même lorsqu'o
ulaire, et dans beaucoup de cas elle recouvre moins bien les surfaces osseuses . Méthode ovalaire. Soupçonnée par Decourcelle
fin de la section, où ils doivent se ralentir pour éviter les éclats osseux . L'épaule doit être fixe, le coude appliqué au co
icatrice, très longue à obtenir, porte immédiatement sur les surfaces osseuses et presse douloureusement les renflemens nerveux,
ux angles, faire traverser le couteau en touchant également les faces osseuses ; former un lambeau de même longueur que le premi
olument si ces fibres recouvriront ou du moins dépasseront la surface osseuse dans les divers mouvemens du bras, on s'en assure
ésarticulation tarso-métatarsienne combinée avec la section des têtes osseuses . M. Mayor dit avoir enlevé quatre métatarsiens, m
pour but cle fournir des tégumens qui recouvrent à-la-fois la surface osseuse et la plaie latérale. Il semble, au premier abord
, ne servirait qu'à gêner la voie de la scie. Pour diviser les éclats osseux , suite de fracture, Bertrandi liait les deux os a
méthode à lambeau, est de recouvrir avec les muscles toute la surface osseuse ; et c'est évidemment s'éloigner de ce but que de
division des chairs, puisque les variétés dans la forme des cylindres osseux n'ont qu'une importance très minime. Dans les dés
. Ici donc la difficulté essentielle c'est la séparation des surfaces osseuses , et les incisions des parties molles ont dû être
e dans la seconde (die lest essentiellement par le volume des têtes osseuses . Sous le rapport chirurgical les désarticulatio
a position exacte n'est pas indiquée par le contour même des surfaces osseuses , on y arrive à l'aide de quelques points de ralli
ment dont les plus im-portans sont : i° Reconnaître les tubérosités osseuses , dont on sait par avance les rapports avec l'arti
la ligne articulaire; couper les liganiens à travers les interstices osseux et peu larges, en inclinant le couteau à des angl
le à trois indices : 10 le milieu du pli cutané dorsal, i° la saillie osseuse de la phalange à conserver, 3° de chaque côté la
èze, maintenue par une capsule lâche, est marquée par deux tubercules osseux sur chaque face de la phalange , dont le palmaire
par la facilité d'égaliser les deux côtés de la plaie quand le levier osseux a encore sa fixité. Méthode ovalaire. — Procédé
t du cubitus. La main portée dans la flexion, le sommet de la saillie osseuse est formé par les os de la première rangée du car
cubitale et radiale est débordée latéralement par les deux tubercules osseux , en dedans lepitroehlée, en dehors l'épicondyle,
limètres au-dessous de l'épi-trochlée. Enfin il est rare que l'anneau osseux radial ne soit pas percevable à l'extérieur de ma
nalomie. L'articulation scapulo-humérale se compose d'une demi-sphère osseuse reçue dans une demi-cavité supérieure ostéo-fibre
it la pointe du couteau dans divers procédés ; il forme un intervalle osseux à trois côtés, l'aeromion, l'apophyse coracoïde,
lles, diviser les ligamens latéraux. 4° Luxer d'un seul couples têtes osseuses , glisser le couteau sous les deux phalanges extrê
ne, puis introduire le couteau et lui faire contourner les tubercules osseux des deux métatarsiens externes; tendre le pied ho
on tarso-métatarsienne aux cas exceptionnels où les quatre extrémités osseuses sont malades. i° Le pied tenu comme pour l'autr
articulation astragalo-scaphoïdienne sans pénétrer entre les surfaces osseuses ; puis reportant le tranchant vers le bord externe
de M. Baudens a pour but de conserver un centimètre et demi du levier osseux , lorsque l'état des chairs le permet. Au besoin,
le tendon rotulien, puis les ligamens latéraux; écarter les surfaces osseuses en fléchissant un peu la jambe, détacher les cart
nt dans des espaces motivés en profondeur par les lignes du squelette osseux ou aponévrotique, et par les bords des grands mus
ouper le vaisseau en travers ; et le plan solide formé par la surface osseuse , en permettant une compression efficace, rend fac
elle vient d'être terminée, afin de montrer les rapports des fragmens osseux . Tome 6 Pl.49. Dessiné d'après nature par N
e la dure-mère mise à nu par l'enlèvement des quatre premiers disques osseux . Figure B. Elle représente deux autres temps op
re. (f) Section avec la pince incisive (pl. 55, Jîg. 22) des angles osseux à bords concaves que laissent entre elles les cou
e offre un bel exemple d'une sorte d'hypertrophie spongieuse du tissu osseux converti en une masse de canaux aréolaires, qui r
olles, et semble n'en être qu'une modification appliquée à la texture osseuse . La pièce est dessinée en raccourci pour montrer
FÉMORALE DU TIBIA. La portion d'os malade est dilatée en une coque osseuse , dont l'intérieur, vide à l'état squelette, était
it rempli à l'état frais par un tissu fongueux entrecoupé de lamelles osseuses . L'extrémité supérieure du péroné, déjetée en deh
esoin, comme dans toute opération à lambeau, enlever chaque extrémité osseuse qui se trouverait cariée : soit l'apophyse coraco
entée sur la première, on suppose que l'extrémité antérieure des arcs osseux des troisième et quatrième côtes est seule affect
côté les branches de la mâchoire; puis, avant de détacher le fragment osseux , un fil d'argent recuit a été passé dans l'épaiss
tion mixte métatarsienne a deux lambeaux dorsal et plantaire. Le plan osseux est formé par la surface articulaire du grand cun
s. Figure 3. Amputation médio-tarsienne a deux lambeaux. La surface osseuse est formée par la triple articulation cunéenne du
10 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
ons du mardi », Charcot a décrit la propagation de la tubercu- lose osseuse du tissu épidural et montre que cette « pachyméni
ives. Charcol, dans ses Leçons faisait déjà remarquer que la lésion osseuse , atteignant d'habitude les corps vertébraux, la c
fon- dément. Le ligament vertébral antérieur au niveau de la lésion osseuse , était comme dilacéré et la matière caséeuse, d
as de gibbosité tuberculose pulmonaire. On diagnostiqua une caverne osseuse ouverte dans le canal rachidien ; la localisati
tomie des 8e,9e et 10° dorsales,trouva devant la moelle une caverne osseuse ramollie grosse comme une noix qui fut traitée
ervation de M. Sire- dey (2), bien que la localisation de la lésion osseuse soit, ici, particulièrement difficile, et malgr
e,le corps de la XIIe vertèbre dorsale est réduit à une mince coque osseuse dont le centre est rempli de matière caséeuse. La
s VIe et Vlle vertèbres cervicales. Or l'autopsie montra des jetées osseuses réunissant les lames des VIe et Vue cervicales,
t, son siège est loin de correspondre toujours à celui de la lésion osseuse , ainsi qu'il ressort nettement d'un certain nombr
es névralgies que la radiographie lui a montré due à la compression osseuse des racines ou des nerfs, comme dans le mal de Po
es sont un signe de compression radiculaire, non un signe de lésion osseuse . Il n'en est pas de même de la douleur réveillée
es malades ; on retrouve cette douleur dans toutes les tuberculoses osseuses , quel que soit leur siège. A la région dorsale,
an- térieure des vertèbres cervicales moyennes. Mais ces douleurs osseuses n'ont pas une valeur absolue; elles exis- taien
par une extrémité, se terminer à l'autre extrémité par une aiguille osseuse en stalactite ou en stalagmite. Les ligaments c
ifiés (Fig. 3). Le ligament surépineux formait par places des ponts osseux entre les apophyses épineu- ses voisines. Enfin
sseux entre les apophyses épineu- ses voisines. Enfin un mince pont osseux réunissant incomplètement la partie antérieure
jaunes ; les lames et les ligaments ne forment plus qu'une bande osseuse continue. Inté- grité des disques. - Volume éno
costo-transver- saire. Fig. 4. Colonne lombaire. Tubéro- sités osseuses au niveau des disques. Nouvelle Iconographie DE
e ; il y a dans le spondylose rhizomélique une raréfaction du tissu osseux en général : l'hyperossification ne se fait en
s n'avions pas de démonstration anatomique absolue de la friabilité osseuse , et ce n'est que par des déductions de faits clin
ARIE ET A. LÉRI ractérisée par un ramollissement ou une raréfaction osseuse avec défor- mations et douleurs ; 2° ossificati
6° et 7° cervicales et première dorsale ne forment plus qu'une lame osseuse unique, plane, régu- lière, sans dépressions ni
- Remar- quel déviation cervicale par libation, les légers ponts osseux des disques lombaires, sans exostoses, le bourr
rs ponts osseux des disques lombaires, sans exostoses, le bourrelet osseux coxo- fémoral. Fin. 2. Région lombo-iliaque d
- Itemarquer la forte saillie de l'épine sciatique a, le bourrelet osseux coxo- 1'emoral b, l'allongement des apophyses é
e- pendant dans toute la région dorso-lombaire de très minces ponts osseux , iné- galement interrompus, joignant par-dessus
isques. A la région cervicale il existe aussi quelques minces ponts osseux reliant en avant les vertèbres voisines ; mais,
nt reliant la partie gauche des 3° et 4" cervicales, tous ces ponts osseux sont en retrait sur la face antérieure des vert
fig. 2) ; la couleur blanc jaunâtre, ivoire, de certaines portions osseuses néoformées tranche sur la couleur grisâtre des
minces. c) Bassin. Le sacrum est uni à la 5e lombaire par des ponts osseux de la face antérieure et par l'ankylose osseuse
mbaire par des ponts osseux de la face antérieure et par l'ankylose osseuse des apophyses articulaires. Les deux articulati
r la persistance complète de l'interligne articulaire, le bourrelet osseux néoformé qui empêche tout déplacement atticulai
tout déplacement atticulaire, l'allongement de la cavité cotyloide osseuse au même niveau, le tissu uniformément spon- gie
érieur : le fémur et l'os iliaque sépares. - Remarquer les bourrelets osseux néofor- més extrêmement saillants sur le fémur
le premier examen des articulations, c'est un volumineux bourrelet osseux irrégulier qui occupe tout le pourtour de la cavi
au con- traire été complètement remplacé par un puissant bourrelet osseux , irrégulier et inégal ; ce vaste bourrelet, san
dans le processus ankylo- sant. Il existait de plus un bourrelet osseux néoformé au pourtour de la tête du fémur ; or i
sition assise ou accroupie : « on voit même très souvent la surface osseuse qui entre en contact avec l'os iliaque limitée
use qui entre en contact avec l'os iliaque limitée par un bourrelet osseux » (Poirier). Partout ailleurs les lésions consi
nouvelle est accompagnée, ou sans doute précédée, d'une raréfaction osseuse . Notre autopsie nous en a fourni de nouvelles p
que, même à distance des articulations, il existait une raréfaction osseuse manifeste, que l'os perdait en certains points
ulière et très incomplète de quelques ligaments jaunes avec nodules osseux saillants dansla cavité rachidienneeten une ten-
celle du ligament vertébral commun antérieur qui formait une bande osseuse moniliforme de la 6e à la 12e vertèbre dorsale,
tèbre dorsale, un peu à droite de la ligne médiane ; or cette bande osseuse néoformée siégeait précisément dans la concavité
s nous avons'pu cons- taterla consolidation du rachis par des ponts osseux à la suite d'une lami- nectomie. , ' (1) LÉRI
ieure des corps et disques vertébraux écrasés ; en b, b, deux nodules osseux qui pénètrent dans la cavité rachidienne, LA
ion de la graisse dans le tissu sous-cutané, qui masque les reliefs osseux et musculaires. Il y a cependant dans le tablea
rande épais- seur qui enveloppe tout le corps et marque les reliefs osseux et muscu- laires », et qui constitue un de leur
un air trapu. L'adiposité des membres fait disparaître les saillies osseuses et les fossettes; et il y a de volumineuses mas
LLE AVEC INFANTILISME 79 80 ' PEL semble, que surtout les parties osseuses , l'humérus, mais encore plus le radius, le cubi
. XV et XVI)..Vous voyez nettement, que ce sont surtout les parties osseuses , qui ont augmenté en longueur et en largeur, l'ép
eux et de nos mains, on remarque le disproportion de l'hypertrophie osseuse .Le cartilage épi- pliysaire est partout à un de
lcaires. Au radius vous pouvez reconnaître. facilement la formation osseuse périostale. A côté des radiogrammes de notre ma
ement monstrueux, dû surtout à l'augmentation de volume des parties osseuses et, contrastant avec celle-ci, l'asthénie de la
droit de cette question. Et même la localisation de l'hypertrophie osseuse symétrique aux extrémités supérieures et inféri
lation augmentée, d'une croissance excessive et anormale du système osseux et d'une hyperesthésie avec forte extension du
es extrémités « in toto », à « l'hypervolume assez égal des parties osseuses , au manque des phalangettes en baguette de tambou
ls glandu- laires y jouent. un rôle, que ce sont tantôt les parties osseuses , tantôt les par- ties molles (la peau p. ex.) d
nce de tout ce qui rappelle une maladie cérébrale, l'hy- pertrophie osseuse non limitée aux terminaisons des extrémités, les
s quantités minimales peu- vent influencer la croissance du système osseux . , La première théorie, défendue par Pierre Mar
enoux au menton. Pas d'atrophie musculaire marquée ni de déviations osseuses . Les réflexes patellaire et plantaire sont dimi
stigmates physiques de dégénérescence, micro ce plia lie, atrophies osseuses et musculaires. - Aux pieds, infiltration élastiq
e des membres inférieurs ; l'autre, une microcéphale avec atrophies osseuses et musculaires, luxa- tion des doigts, pieds-bo
nt l'exophtalmie selon les indications de l'anatomiste près du bord osseux de l'orbite à la limite de l'angle extérieur des
e façon plus vague, les fait dépen- dre de dystrophies articulaire, osseuse , ligamentaire, fonction d'un affai- hlissement
l est bon également de remarquer le désé- quilibre de développement osseux dans les segments de membre, où deux os sont ac
nels de la malade. - Est née avec des déformations et des atrophies osseuses que nous reverrons tout à l'heure. La malade, et
e radiale est de 14 centimètres. Bras normal. Autres déformations osseuses . - Sternum : court,longueur 15 centimètres ; la
rs accidentelles ont diminué, mais toutes les masses musculaires et osseuses sont encore douloureuses à la pression. Trouble
malade une exagération manifeste de tous les réflexes tendineux et osseux et plus particulièrement des réflexes rotuliens e
quente, ont perdu tout pannicule adi- peux sous-cutané. Les reliefs osseux deviennent très apparents, au con- traire les l
l'hydarthrose, la grande augmentation de volume des deux extrémités osseuses , avec distension des ligainents ; mobilité anorma
gé Froelich, qui constate une grande trans- lucidité des extrémités osseuses subluxées, se traduisant sur le cliché négatif
épaississement des condyles et du plateau du tibia avec des masses osseuses abondantes englobant les extrémités articulaires.
périos- tées, ligamentaires et capsulaires surajoutées. La densité osseuse paraît dimi- nuée ; elle le serait moins, d'apr
l'épaule. Le malade est adressé à M. Doyen qui fait une ré- section osseuse et profite de l'intervention pour enlever trois p
région lombo-sacrée, nous avons abordé la dure-mère par une brèche osseuse pratiquée à travers les deux dernières vertèbres
ermé en grande partie ou même complètement refermée La large brèche osseuse pratiquée 8 à 12 mois aupara- vant n'existait p
ié. Autopsie. - Pas d'ulcérations ni de troubles trophiques. Brèche osseuse refermée partiellement, quoique moins complètem
es ni d'ulcérations. Canal rachidien complètement fermé par un pont osseux , sauf à la partie tout à fait supérieure de la
presque complètement au niveau de la partie inférieure de la brèche osseuse . Nous reconnaissons les restes complètement gri
canal rachidien n'était qu'incomplètement refermé par des bourgeons osseux insuffisants. Nous vérifions que les 10" et 11°
piphyses sont hypertrophiées, élargies, avec petites proliférations osseuses sur le pourtour des extrémités ; épais- sisseme
ot ri Etienne). ARïHROPATUIES SÉNILES DES DOIGTS 389 transparence osseuse , avec opposition relative entre l'état de condens
ence osseuse, avec opposition relative entre l'état de condensation osseuse dans les épiphyses et dans les diaphyses ; il par
s épiphyses et dans les diaphyses ; il parait y avoir raré- faction osseuses au niveau des épiphyses; et peut-être dans les di
as épaissies, et qu'il n'existe pas d'op- position entre la densité osseuse des épiphyses et des diaphyses. Cette dystrophi
certainement, d'après les radiogra- phies, un trouble de trophicité osseuse et articulaire, et l'hypothèse d'un rapport ent
de vingt centimes. L'apophyse clinoïde est branlante, la substance osseuse qui la compose n'existe presque plus et elle est
e utile d'insister sur le diagnostic différentiel avec la mala- die osseuse de Paget. Cette affection se caractérise par « l'
pertrophie et de la soudure des côtes » (P. Marie). Cette maladie osseuse de Paget se distingue facilement de l'acromégalie
nfluence réciproque du corps thyroïde et des ovaires sur le système osseux (Arclai- SUR UN CAS DE GIGANTISME PRÉCOCE 401
thérapeutiques confirmaient cette donnée. Sans doute la croissance osseuse fut moindre pendant la deuxième période, mais u
t de la croissance des os, justifiaient un nouvel examen du système osseux par les rayons Rôntgen. En rapportant les résul
is le pre- mier examen. Ce progrès est le même pour tout le système osseux , comme l'ont prouvé les autres examens faits à
heveux. Longue incision faite par les chirurgiens russes. Explosion osseuse . Ablation d'esquilles. Volumineuse hernie céréb
ite par les médecins russes. Au fond de l'incision se voit la plaie osseuse . Le crâne est ouvert sur une longueur de 7 cent
timètres et 1 centimètre de largeur. Après l'incision les esquilles osseuses ont été enlevées. Hernie cérébrale de 7 centimè
unissant les deux orifices. Ablation de nombreuses esquilles. Plaie osseuse de centimètres de long sur 2 de large. Hernie d
t de la sagittale correspondant au trajet du projectile. Fracture osseuse . Ablation des esquilles. Le crâne reste ouvert su
ence du radius coïncide avec quelque autre anomalie soit du système osseux , soit d'autres organes. Ces conclusions sont ri
euvent rentrer dans le cadre du rachitisme. Mais cette dystro- phie osseuse peut être la conséquence de tous les troubles dén
en arrière et coudée, comme élongée sur les racines par la saillie osseuse , On rapproche généralement de ces faits, les ra
bre du canal rachidien est normal ou même élargi au niveau du foyer osseux . Il en est de même des trous de conjugaison dan
, la dure-mère est franchie, soit, en avant, au niveau de la lésion osseuse , soit, sur les côtés, au niveau des racines, et l
du Laboratoire). Evolution clinique en 2 ans et 4 mois. Compression osseuse nette. 'JN1 ALQUIER Homme de 28 ans. A eu deu
indépendantes de la dure-mère. La moelle est, au niveau de l'éperon osseux (7° segment dorsal),très aplatie d'avant en arr
l. LXXVI, fig. 2, le N° 2 de cette figure correspond à la compression osseuse : le N° 1 montre la dégénération ascendante, le
ment à 70 ans. Mort 7 ans après. Coudure de la moelle sur un éperon osseux (1). Femme de 77 ans. Début à l'âge de 70 ans :
es fongosités épidurales présentaient l'empreinte nette de l'éperon osseux . Histologiquement on trouve, à ce niveau, le fo
tt dorsal, les deux premières sont des exemples nets de Compression osseuse . Dans la première, la moelle est aplatie d'avan
la première, la moelle est aplatie d'avant en arrière par un éperon osseux , réduisant à 5 millimètres au maximum le diamètre
térieure de la moelle, qui est coudée sur lui. Ici encore, l'éperon osseux adhère nettement à la dure-mère. Pour les quatr
lle, les lésions sont analogues dans les obs. 1 (avec com- pression osseuse ), V, VI (compression par le foyer épidural), III
es. Le foyer épidural est, dans cas,localisé au niveau de la lésion osseuse , et ne dépasse pas la dure-mère ; en profondeur
férieure (lombo-sacrée) du faisceau. Dans ces 3 cas, la compression osseuse faisait défaut ; la moelle, dans - l'observatio
vertèbres dorsales avec gibbosité anguleuse et présence d'un éperon osseux saillant dans le canal rachidien dont il diminu
les racines lombo-sacrées. Le foyer remonte plus haut que la lésion osseuse . Quoique très étalé, ce foyer n'a qu'une épaiss
olles n'adhèrent à la dure-mère qu'au point correspondant à l'arête osseuse . Il semble qu'on puisse, au microscope, disting
n dehors de la dure-mère, les racines cor- respondantes à la lésion osseuse sont englobées par un tissu inflammatoire, avec
symptômes et des lésions ? 1° Genèse et signification des lésions osseuses . Compression osseuse. - Trois fois, un éperon o
ns ? 1° Genèse et signification des lésions osseuses. Compression osseuse . - Trois fois, un éperon osseux représenté par
des lésions osseuses. Compression osseuse. - Trois fois, un éperon osseux représenté par le bord postérieur d'un corps ve
elle, sans lésions nettes au mi- croscope. 1 Obs. II : la saillie osseuse est sur la XIe dorsale; la coudure et la compre
er la part qui revient dans la genèse des lésions, à la compression osseuse et à la présence des lésions épidurales. ' Ob
on serait tenté de con- sidérer ce cas comme un fait de compression osseuse pure. Mais la dure- mère est réunie à l'os par
s lésions médullaires. Ainsi donc, même dans les cas de compression osseuse évidente, il est difficile d'éliminer les autre
qui revient, dans la genèse des lésions nerveuses à la compression osseuse , Il convient cependant de~remarquer que celle-c
. ' Dans les autres cas, il ne saurait être question de compression osseuse . Compression par le foyer épidural. - Cinq fois
dans les observations I et II (Mal de Pott dorsal avec compression osseuse ), elles apparaissent surtout dans les cas de mal
- berculeuses franchir la dure-mère directement, en regard du foyer osseux ; toujours elle leur a opposé une barrière suff
t valoir que l'oedème existe dans l'obervation I, où la compression osseuse est prédominante et sans lésions tuberculeuses
r, ne coï- cident pas toujours absolument avec le siège des lésions osseuses ; dans l'obervation V, la douleur spontanée et
normale ; cette zone d'anes- thésie ne coïncidait ni avec la lésion osseuse , ni avec le maximum des lé- sions épidurales. '
amélioration et d'aggravation ; dans l'observa- tion I (compression osseuse ) elle avait présenté une marche progressive, un
ces carac- tères seraient à rechercher dans les cas de compression osseuse intense. Les troubles sensitifs ont une intensi
11 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
ls mon- traient en détail comment le cancer, en détruisant le tissu osseux , com- prime les racines au niveau du trou de co
avant, vient, pour ainsi dire, se mettre en contact avec le rebord osseux du bassin, et que le ventre forme un bourrelet
partie antérieure. En aucun point, il n'y a d'exostoses, de jetées osseuses réunissant les corps vertébraux; les articulation
-cartilage. Sur toutes les coupes, on peut voir en effet des jetées osseuses envahir irrégulièrement le ménisque : ces jetée
distincte qu'à l'état normal. Les aréoles contenues dans ces jetées osseuses sont presque vides d'éléments cellulaires, des hé
ti- lage du ménisque est dissocié dans tous les sens par des jetées osseuses irré- gulières. Ici encore, la moelle osseuse n
sens par des jetées osseuses irré- gulières. Ici encore, la moelle osseuse ne contient plus d'éléments en activité. En rés
r le corps entier, pour ainsi dire, transformé en un véritable bloc osseux par suite de la transfor- mation successive, en
e bloc osseux par suite de la transfor- mation successive, en tissu osseux , des divers muscles de la vie de rela- tion ; l
- bides n'ont apparu qu'à la puberté, les lésions sont fibreuses et osseuses , (1) WEIL et Ntssrsr, Nouv. Iconog. de la Salpê
dineuses, mais qu'elle est en rapport avec la fusion des extrémités osseuses . Cliniquement, il existe des analogies incontes
. Dans notre cas, lésions mixtes d'ankylose, à la fois fibreuses et osseuses . Dans la synarlhrophyse, au contraire, lésions
et osseuses. Dans la synarlhrophyse, au contraire, lésions purement osseuses ; les choses se passent de cette façon que les
s autres arti- culations des membres sont intactes. Ces ankyloses osseuses déterminent un ensemble [de troubles fonction-
ONNEIX tiendrait, d'après MM. Mayet et Jouve (1), à des productions osseuses de néoformation, d'après M. Curcio (2), à l'oss
l : 4° périviscérites fibreuses, arthrites à type mixte, fibreux et osseux ; et 2° altérations marquées des glandes vasculai
formations fibreuses périviscérales et périarticulaires, ankyloses osseuses . Il est certain que cette hypothèse n'explique
chronique à l'autopsie duquel on ait relevé, en plus des ankyloses osseuses , en plus des productions fibreuses périviscéral
s modifiés ; mais il existe des troubles notables de la sensibilité osseuse , le temps de perception des vibrations du diapa
oordination, l'abolition des réflexes, les troubles de la sensibilité osseuse , les phénomènes oculaires : signe d'Argyll, par
stéo-articulaire complexe se traduisant : 1° par des déformations osseuses prédominant au niveau du tibia droit et caracté
r l'examen cli- nique de cette malade les caractères de la syphilis osseuse . Il est certain que nous nous trouvons ici en p
ation de volume des os du tibia droit surtout, dans la condensation osseuse que traduit l'opacité radiographique, dans l'hy
s. Cette déformation doit-elle rentrer dans le cadre de la syphilis osseuse ? Au point de vue clinique, ces déformations os
éra- tions tertiaires des jambes coïncidaient avec les déformations osseuses . En 1903, Ménétrier et Gauckler ont publié deux
« de l'influence syphilitique dans le développement de l'affection osseuse ». Le dernier cas nous est fourni par Ménétrier
contribué pour cette certaine part à la genèse de ces malformations osseuses ? Mentionnons à ce sujet que Gilles de la Toure
ide et manifeste des douleurs spon- tanées. Quant aux malformations osseuses , nous ne pouvons pas encore affirmer qu'elles s
retrouver sur son corps UNE RÉVOLUTION ANATOMIQUE 99 une éminence osseuse ou une crête d'insertion, s'il confond, cela ar
s'accumule sous forme de bourrelets qui métamorphosent les contours osseux ou musculaires sous-jacents. Témoin la région du
ns UNE RÉVOLUTION ANATOMIQUE 111 saines la recherche des saillies osseuses , des bords musculaires, des ten- dons, des artè
. L'examen radiographique montre l'intégrité absolue des sur- faces osseuses . Nous retrouvons dans tous ces cas de trophoedè
e ces différents systèmes, la coexistence des trou- bles trophiques osseux , musculaires et conjonctifs à la suite de lésions
e l'on peut observer isolément des troubles tro- phiques du système osseux , musculaire et conjonctif autorise à admettre l
avec le sternum ni avec l'acromion. ' Du côté gauche, la portion osseuse est plus considérable, elle est à peu près de 2
médullaire semble plus large que normalement, et il y a raréfaction osseuse . La radiographie du coude est fort intéressante
mais toute la partie supérieure de l'os présente de la raréfaction osseuse . La seconde radiographie nous donne les mêmes r
qui leur donne un aspect trapu. Il y a très nettement raré- faction osseuse , ainsi que le montre la transparence de l'image ;
retard dans l'ossification des os longs, mais raréfaction du tissu osseux de ces os. Cette raréfaction se retrouve au niv
es de la dentition, le retard de l'ossification et la raré- faction osseuse nous montrent que, ainsi que l'ont déjà fait rema
éjà fait remarquer Couvelaire (1), M. Villaretet Francoz, le groupe osseux , crâne el clavicule, n'est pas toujours le seul
rachitisme il y a dystrophie, par défaut d'ossification des travées osseuses qui demeurent cartilagineuses ; il y au- rait h
e troubles appréciables des sensibilités viscérales, tendineuses et osseuses profondes. , Le malade n'a jamais eu de « crise
tés profondes sont très atteintes, surtout à droite. La sensibilité osseuse pour les vibrations du diapason est presque aboli
lièrement aux extrémités. A droite, comme à gauche, la sensibilité osseuse est normale à partir des épaules jusqu'au somme
du sens des attitudes aux doigts et aux orteils, et la sensibilité osseuse , tant au point de vue de l'intensité que de la
, le tact peu touché, la sensibilité à la douleur et la sensihilité osseuse sont normales ; tandis que brusquement à partir
our expliquer la production de la scoliose. , C'est aux altérations osseuses et articulaires qu'il faut faire jouer le prin-
dorsale ; il n'y a pas d'hypertrophie vertébrale, pas de production osseuse anormale ; il pa- raît donc exister avant tout
à prendre en considération. Cette chiromégalie peut être d'origine osseuse ou bien due à l'hyper- trophie des parties moll
tat. Découverte, à la face interne du bras, au niveau de la section osseuse , du nerf médian et d'une artère, petite, accolé
endant elle n'est pas impossible, et, comme il n'y a pas d'obstacle osseux s'opposant aux mouvements passifs de flexion et d
ièrement sur ce développement parallèle du tendon et de l'insertion osseuse . \ L'épitrochlée est très saillante en dedans.
on peut être légèrement fléchie et la palpation y révèle une dureté osseuse . La radiographie montre, à ce ni- veau, au-dess
rès bien formés, quoique n'étant articulés avec aucune autre partie osseuse . Le membre se terminait en un moignon hémisphér
les faisceaux musculaires, très courts, s'insèrent sur le fragment osseux dans toute leur étendue ; ils vont en s'amincissa
cubital. Ces deux premières phalanges se terminent par des portions osseuses libres, articulées, qui sont bien des phalangines
e de l'index se déjette en dedans et vient se fondre avec la partie osseuse voisine. Membre supérieur gauche : ici non plus
halangettes soudées de l'index et du médius constituent une lamelle osseuse plate, bifide supérieurement et ne formant qu'u
à l'humérus, mais ne s'articulant pas avec lui, on trouve une masse osseuse , longue de 2 centimètres, terminée par une main p
coloration nor- male. On sent très bien, au palper, deux extrémités osseuses correspondant au radius et au cubitus brusqueme
sur une coupe au rasoir, ne montrent aucun nodule cartilagineux ou osseux pouvant être regardé comme un rudiment de squel
aplatie ; celle du cubi- tus est plutôt arrondie. Ces deux tronçons osseux , sectionnés suivant leur longueur, laissent voi
, au contraire, n'est pas distincte et paraît se souder à une masse osseuse irrégulière, formant une sorte de saillie convexe
tte : du côté interne correspondant au gros orteil, une phalangette osseuse , longue de 6 millimètres, fait suite à une phalan
s, surtout des extenseurs ; 3° une couche celluleuse ; 4° le massif osseux représentant le groupe des os du carpe, du méta
re. Son tendon grêle semble s'insérer à la partie externe du massif osseux du moignon ; mais on peut le suivre plus loin et
e de l'avant-bras ; il ne prend donc pas inférieurement d'insertion osseuse . Fléchisseur superficiel.Tous les tendons const
a se souder au fléchisseur profond à un centimètre de son insertion osseuse supérieure. Fléchisseur profond. Même dispositi
ures s'insèrent à la partie moyenne de la face antérieure du massif osseux ; 2° les moyennes s'insèrent entre l'insertion
es s'insèrent entre l'insertion supérieure et l'extrémité du massif osseux ; 3° les inférieures vont se perdre sur l'aponé
é du moignon, prennent vers son bord inférieur une légère adhérence osseuse et se terminent en s'évasant dans l'aponévrose
tal postérieur. Son insertion se fait sur le bord interne du massif osseux du moignon. Extenseur propre du petit doigt. S'
s'insérant à la partie supérieure de la face postérieure du massif osseux ; 2° fibres externes qui vont se perdre sur la go
le; il semble corres- pondre au pouce ; il n'y a pas trace de tissu osseux dans ce moignon. xx 21 326 klippel ET BOUCHET
surfaces arrondies, de la dimension d'un petit pois ; ces trois zones osseuses siègent, l'une au milieu de l'os, les deux autr
ongles. Au palper, dans ces tubercules, il n'y avait pas de parties osseuses . Le moignon d'avant-bras était très conique ; i
ur l'épreuve une petite ombre, à leur niveau, représentant un point osseux isolé. L'interrogatoire révèle un frère et une
ite. L'hémimélie n'est pas d'ordinaire strictement limitée au tissu osseux . Bien au contraire, elle porte sur l'ensemble d
ominaux sont normaux. 11 en est de même des réflexes ten- dineux et osseux des membres supérieurs. Pas de troubles vaso-mo
ette région. 9 octobre 1906. - La tuméfaction, due à un soulèvement osseux , a aug- menté de volume sans changer de forme.
crânienne infiltrée et repoussée en dehors sous la forme de tumeur osseuse , visible au niveau du vertex pendant la vie. .L
tteinte par le processus hypertro- phiant montrait que le squelette osseux ne présentait pas d'altération. Leur for- me au
elui d'Hotsct)ewnikoff, car si nous n'avons pas constaté de lésions osseuses , du moins nous avons relevé des altérations con
eux affections ainsi que le fait remarquer Rectdinghausen : lésions osseuses hypertrophiantes de la cheiromégalie (2), altérat
-devant des rudiments de cavités cotyloïdes par une gangue de tissu osseux néoformé et peu dense aux rayons X, principalemen
en formant une ébauche de matrice unguéale ; 2° il existe une masse osseuse commune, représentant le carpe, et termi- née p
ui s'arrête sur le radius, le pouce manquant en tant que formations osseuses nettes ; d'ailleurs on peut, par une dissection
uvelle Iconographie DE la Salpêtrière T. XX. Pi. LXXIX DYSTROPHIE OSSEUSE HÉRÉDITAIRE (Halipré et Hébert) Radiographie
Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. PI. LXXX DYSTROPHIE OSSEUSE HÉRÉDITAIRE (Halipré el Hébert) Radiographie
velle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. Pl. LXXXI 1 DYSTROPHIE OSSEUSE HÉRÉDITAIRE (Halipré et Hébert) Radiographie
membre supérieur. ? ,. (Oh ? n EXOSTOSES OSTÉOGÉNIQUES DYSTROPHIE OSSEUSE HÉRÉDITAIRE (TROIS GÉNÉRATIONS) PAR A. HALI
(un (ils et trois filles), le fils est atteint des mêmes déformations osseuses . A l'examen on constate da nombreuses saillies
éformations osseuses. A l'examen on constate da nombreuses saillies osseuses adhérant au sque- lette, siégeant le plus souve
UVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. Pl. LXXXII DYSTROPHIE OSSEUSE HEREDITAIRE (Halipré et Hébert) Radiographie
E Iconographie DE la Salpêtrière. T. ? CX. Pl. LX1XIII DYSTROPHIE OSSEUSE HÉRÉDITAIRE (Halipré et Hébert) Radiographie
s inférieurs. (Obs. III) EXOSTOSES OSTÉOGEN1QUES. - D1'STYOPlllI. OSSEUSE lIÉInDITAlItI 439 440 - HALIPRÉ ET HÉBERT Dès
rincipalement au voisinage de l'articulation des genoux des tumeurs osseuses . Aucune malformation n'est appréciable sur la c
tème pileux. Mensurations : EXOSTOSES OSTÉOGÉNIQUES. - DYSTROPHIE OSSEUSE HÉRÉDITAIRE 441 puisque la mère signale chez so
cessus ostéogénique et un arrêt de dévelop- pement. Les productions osseuses anormales sont représentéss ici par une sorte d
ses anormales sont représentéss ici par une sorte dédouble bourgeon osseux probablement de nature spongieuse. L'un des bou
l'un à l'autre le radius et le cubitus. A côté de cette hyperplasie osseuse , la radiographie montre un arrêt de développeme
diaphyse, ont été refoulées loin de la tête de l'os par les couches osseuses de formation plus récente. D'autres exostoses for
gane glandulaire ». Peut- être en est-il de même pour la dystrophie osseuse qui nous occupe. D'ail- leurs si nous faisons a
ne n'est pas précédée d'une phase cartilagineuse. - La dystrophie osseuse héréditaire qui nous occupe aujourd'hui a pour
ouchés que les os des membres. Ainsi achondroplasie et dystrophie osseuse relèvent d'une viciation du processus normal d'
ssification dépendant du cartilage primordial. Dans la dystrophie osseuse il y a surtout exagération de l'ossification, c
naire primitif pour le thorax, le crâne et la face. Les dystrophies osseuses localisées, comme le Leontiasis ossea de Vir- c
es hyperostoses exubérantes coexistant avec la raréfaction du tissu osseux voisin. NOUVELLE Iconographie DE la SALPRTRIL`R
er. Etat actuel. - La malade, de taille moyenne,présente le système osseux et -musculaire bien développé. Visage un peu pâ
pl.), 418. Halipré et HE8ERT.Exostoses ostéogéniques. Dystrophie osseuse héréditaire (5p1.),437. INFROIT, VOISIN et Macé
12 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
isent par les causes les plus légères, parce que le nombre des fibres osseuses , et par conséquent la résistance de i'osr a notab
nfermée dans la capsule fibreuse, qui lui ait offert la consolidation osseuse , et qui ne permît quelques mouvemens d'un des fra
es; mais il pose en principe général qu'il n'y a pas de consolidation osseuse dans les fractures intracapsulaires du col du fém
aquelle peut être rapportée à deux genres : i° au dépôt d'une matière osseuse , qui, d'après cet excellent observateur, se dépos
e la cavité cotyloïde; à ce dépôt s'ajoute quelquefois une production osseuse , en forme d'arc-boutant étendu de la tête au corp
e fractures, si les fragmens sont écartés l'un de l'autre, la réunion osseuse est empêchée; 2° par Y absence de pression suffis
re en arrière, niais entre les deux faces correspondantes du cylindre osseux . i° Le défaut de pression des fragmens l'un con
mus-« culaires pour avoir la totalité du cal; mais bientôt des points osseux se manifestent dans l'é-« paisseur du cartilage ;
out le cartilage; les « bouts des fragmens sont enveloppés par ce cal osseux qui est d'abord rougeâtre, très poreux, « pénétré
cal est produit par le passage à l'état cartilagineux, puis à l'état osseux des parties molles qui sont en contact avec les b
te dans la production d'une substance fibreuse qui naît, non du tissu osseux lui-même, mais de la membrane adipeuse médullaire
du grand trochanter. Jen ai conclu que l'hémorrhagie venait du tissu osseux lui-même , et voici mon raisonnement : les os son
e 3, et qui est reçue dans une cavité incomplète, formée par un tissu osseux de nouvelle formation, tissu qui se présente sous
partie antérieure de cette éminence par une section oblique. La pièce osseuse formée par le grand trochanter, est appliquée con
* un pour le petit trochanter PT, auquel est annexé un petit fragment osseux FO, qui en est séparé par une fracture incomplète
e la surface des fragmens : cette surface était couverte de parcelles osseuses et d'une matière pultacée rougeâtre, que j'ai con
prolongement vasculaire et fibreux, allait de l'une à l'autre surface osseuse et ce prolongement naissait des surfaces osseuses
ne à l'autre surface osseuse et ce prolongement naissait des surfaces osseuses et nullement de la circonférence de ces surfaces.
fémur était dénudée du périoste et de repli synovial. Les surfaces osseuses dépouillées de la matière pultacée rougeâtre qui
ant même (fig. 3). Il n'y avait donc aucun travail entre les fragmens osseux . Le fragment supérieur présente deux avances os
re les fragmens osseux. Le fragment supérieur présente deux avances osseuses : i ° l'une inférieure, en forme de pointe ou de
en résulte des déformations, l'usure des cartilages, des végétations osseuses , etc. 5° Le cal, dans sa formation, débute touj
'un cal, mais bien à l'aide d'une cicatrice. Un cal, c'est une virole osseuse formée aux dépens de toutes les parties déchirées
de toutes les parties déchirées qui environnent les fragmens; virole osseuse dont l'épaisseur et la configuration sont en rais
a configuration sont en raison du déplacement de ces fragmens; virole osseuse qui, d'abord spongieuse et mamelonnée, acquiert p
la compacité en diminuant de volume : Règle générale : les fragmens osseux sont complètement étrangers à la formation du cal
eux-mêmes pour opérer cette consolidation ; il n'y a point de virole osseuse possible, tandis que les secondes sont dans les c
nt entourés de parties molles dont l'ossification constitue la virole osseuse . Comme cas de consolidation par cicatrice de fr
it permis de dire que Dupuytren avait, pour la formation de la virole osseuse , réhabilité purement et simplement la doctrine de
ellulaire, les tendons , en un mot tout ce qui environne les fragmens osseux , comme concourant à la formation de la virole oss
nne les fragmens osseux, comme concourant à la formation de la virole osseuse , si bien que Dupuytren , à qui je fis part de ce
ra-capsulaire consolidée,—J'ai cru d'abord que la consolidation était osseuse , mais en imprimant aux fragmens des mouvemens en
ion des fractures intra-capsulaires du col du fémur à l'aide d'un cal osseux . Le cal est impossible, parce que les fragmens li
i fibro-synovial P,P (fig. 1'), avait été décollé. Plusieurs fragmens osseux FO, FO étaient restés adhérens à ce repli. La par
t le fragment inférieur, présentaient chacun une cavité et une avance osseuse : la cavité de l'un recevait l'avance de l'autre
déformations qu'ont subies les surfaces frottantes et des végétations osseuses qui se sont formées. Les nouvelles articulation
er. On peut dire, en effet, de tous les canaux, de toutes les cavités osseuses , ce qu'on a dit des alvéoles dentaires, qui tende
sse dont l'ablation permet de voir la disposition spongieuse du tissu osseux ; la nouvelle cavité eotyloïde NCC,laquelle est en
la nouvelle cavité eotyloïde NCC,laquelle est entourée de végétations osseuses , rendues plus profondes par un bourrelet fibreux
age dans la plus grande partie de son étendue, entourée de tubercules osseux . Un bourrelet fibreux BG, assez analogue au bourr
ment, il n'est pas nécessaire que les deux surfaces frottantes soient osseuses ; ainsi une sur-face fibreuse frottant contre une
ent osseuses; ainsi une sur-face fibreuse frottant contre une surface osseuse a déterminé un développement cartilagineux sur ce
e osseuse a déterminé un développement cartilagineux sur cetU surface osseuse . Le collier fibreux COL formé aux dépens de l'a
t consécutives à celles de son enveloppe, et surtout de son enveloppe osseuse , qu'elles ne sont primitives. Maladie de Vartic
hangemens de rapports et de formes s'établissent entre les extrémités osseuses ; les muscles passent à l'état graisseux; les nerf
riphérique ou par invagination, dont l'ankylose par jetées ou trabées osseuses n'est qu'une variété. Dans cette espèce d'ankylos
n travail existant dans les surfaces articulaires, mais par une gaine osseuse , espèce de fourreau étendu d'un os à l'autre, in
ylose proprement dite. 3° \1 ankylose par intermède, lorsqu'un disque osseux , plus ou moins étendu, est interposé aux surfaces
faces articulaires. 4° L''ankylose par fusion, lorsque les extrémités osseuses sont unies entre elles, non à la manière des syna
ossibilité de distinguer les limites qui sépareot les deux extrémités osseuses . Presque toujours il y a perte de substance, et l
s. Presque toujours il y a perte de substance, et les deux extrémités osseuses réunies n'ont pas quelquefois en hauteur et en ép
son a été publiée sous le titre de Dégénérescence singulière du tissu osseux dans les os du crâne et dans les os de la face (i
cision cruciale sur le front, et traversa avec le bistouri une croûte osseuse d'un pouce d'épaisseur, formée par des milliers d
e crâne, ce qui permit d'enlever la partie postérieure de cette boîte osseuse , en laissant sur le devant toutes les parties qui
fibreuses. Le phosphate calcaire a complètement disparu; les parties osseuses dégénérées se coupent à la manière des parties mo
n tissu caverneux, ou mieux comme un tissu veineux aréolaire à parois osseuses , dont toutes les mailles servent intégralement à
ssu aréolaire ou plutôt celluleux qui m'était présenté était un tissu osseux dont les cellules étaient remplies par du suc can
tité absolue d'aspect et de structure de ces deux énormes végétations osseuses , qui ont été recueillies sur deux sujets bien dif
s dans la composition de cette tumeur, et par conséquent que le tissu osseux ne constituait que le tiers environ de la masse.
ercule d'apparence cartilagineuse est supporté par un mamelon central osseux . Pour d'autres, les mamelons sont cartilagineux d
cartilagineux dans toute leur épaisseur;le centre du lobule est seul osseux . Enfin il est des lobules qui sont entièrement ca
ndre médullaire est parfaitement conservé. 3° Indépendamment du tissu osseux , formé par la transformation de la substance comp
artilage. Ces concrétions font suite au XXXIVe LIVRAISON. I tissu osseux proprement dit, dont il est extrêmement facile de
trêmement facile de les distinguer. 4° On trouvait çàet là des grains osseux ou ossiformes disséminés au milieu du cartilage,
le développement de la tumeur, l'état cartilagineux a précédé l'état osseux . On peut encore supposer que plus tard toute la p
ccation du tissu fibreux. Ce fragment est léger, poreux. Les mamelons osseux de la surface apparaissent recouverts par une cou
ineux, et leur cavité est remplie de sérosité. Les autres sont tantôt osseux ou pierreux, tantôt ostéo-cartilagineux. Dans ces
ont complètement étrangers à la tumeur qui émane entièrement du tissu osseux et de son périoste. La coupe de la tumeur montr
irconférence, calcaires au centre C, C, C. A l'exception de la partie osseuse centrale, bien évidemment constituée par le dével
omme des dégénérations des os, des ostéo-sarcômes ou cancers du tissu osseux . Il me semble résulter de l'examen approfondi de
onstituent" purement et simplement des productions cartilagineuses et osseuses , susceptibles d'un accroissement indéfini, mais i
ations, des excroissances, des parasites, nés du périoste et du tissu osseux lui-même, appartenant à la classe si complexe d
o-sarcôme, alors qu'il n'existait qu'une production cartilagineuse et osseuse . N'est-ce pas dans la catégorie des ostéo-chondro
arallèles, présentant « l'aspect et la structure imparfaite de filets osseux , incomplètement organisés et à demi « solides. Fe
u fémur partaient des jetées « plus ou moins volumineuses d'un réseau osseux , qui se portaient en rayonnant et dans une « dire
s'enfonce dans les sillons, lobules cartilagineux à leur surface, et osseux au centre, creusés de foyers, d'excavations conte
su du fémur épanoui et raréfié, de la surface duquel partait du tissu osseux de nouvelle formation , une analogie évidente ave
e cependant que la disposition en jetées, en aiguilles, de la portion osseuse de la tumeur décrite par Boyer, établit une diffé
olume, pour la disposition stalac-tiforme, ou par jetées delà portion osseuse de la tumeur. Elle en diffère, parce que le tissu
cette même pièce, le fémur est intimement confondu avec la production osseuse qui l'entoure, production qui est extrêmement com
: elles sont cartilagineuses, contiennent un « grand nombre de points osseux , et ont une tendance évidente à l'ossification ».
l'ostéophyte est une végétation, une sorte d'excroissance, de polype osseux , implantée sur l'os par un pédicule : il suit de
s enlever l'exostose sans entamer plus ou moins profondément le tissu osseux , tandis qu'on peut séparer complètement l'ostéoph
tiardct C. Exostoses. (Planche m, xxie livraison.) Deux exostoses osseuses et fibreuses extrêmement considérables, naissant
Les deux tumeurs sont supportées par un pédicule étroit, fibreux et osseux tout à-la-fois, adhérent à la surface de l'os, do
on ne tenaient à l'os iliaque que par un pédicule extrêmement étroit, osseux et fibreux; que le périoste et la lame la plus su
, sous le rapport de leur texture, comme un tissu caverneux à mailles osseuses , on comprendra aisément le développement de sembl
enir le siège de toutes les lésions morbides connues. Les productions osseuses signalées ici diffèrent des productions cancéreus
ule droite et les tumeurs crâniennes sont formées aux dépens du tissu osseux . Voici la description des tumeurs du crâne qui fo
face interne des os du crâne ne présente aucun vestige de végétation osseuse , la surface externe présente, autour des pertes d
ace externe présente, autour des pertes de substance, des productions osseuses très faciles à distinguer des os du crâne, et qui
les paraissaient formées, soit qu'elles fussent étrangères au système osseux , présentaient absolument les mêmes caractères. La
ar invagination, dans laquelle les deux os sont soudés, par une gaîne osseuse , étendue d'un os à l'autre, indépendamment de tou
ankylose périphérique, je dois noter l'ankylose par trabées ou jetées osseuses ; i° \lankylose par juxta-position ou accolemen
e telle façon qu'on peut distinguer ce qui appartient à une extrémité osseuse de ce qui appartient à l'autre; 3° Lankylose pa
rtient à l'autre; 3° Lankylose par intermède, lorsqu'une production osseuse est interposée aux surfaces articulaires; 4° L'
aces articulaires; 4° L'ankylose par fusion, lorsque les extrémités osseuses sont soudées entre elles de telle manière qu'il e
ées , et cette atrophie est quelquefois telle que les deux extrémités osseuses réunies ont à peine le volume de l'une ou l'autre
e de voir de la structure fibreuse, cartilagineuse avec incrustations osseuses , des parois des kystes, de leur épaisseur et de l
ce inférieure un kyste à parois denses, fibreuses, cartilagineuses et osseuses . Ce kyste communiquait avec cette portion du gros
manière du vermicelle. Bien que la mamelle parût adhérente aux parois osseuses du thorax, cependant le grand pectoral n'avait pa
. Cette tumeur existait depuis un temps indéterminé. Goitre latéral osseux et celluleux.—Sur unefemme âgée,morte d'uneattaqu
iel, j'ai trouvé la moitié gauche du corps thyroïde d'une consistance osseuse . La section de cette masse a montré qu'elle était
tte masse a montré qu'elle était constituée par des cellules à parois osseuses et cartilagineuses, contenant une matière gélatin
t une coque pétrifiée, de l'intérieur de laquelle partaient des lames osseuses , qui divisaient ce corps en un nombre assez consi
roduction des kystes, les transformations fibreuse, cartilagineuse et osseuse , tiennent le premier rang. La dégénération canc
é dirigée en haut : elle est limitée supérieurement par une languette osseuse LO étendue du cartilage delà quatrième côte au bo
n dedans, par l'angle aigu qui résulte de la jonction de la languette osseuse LO avec le cartilage de la quatrième côte; en deh
uitième côte de la neuvième, à la réunion du cartilage avec la partie osseuse . Elle ne peut être réduite par le taxis qui est f
'en séparer. Au milieu de ce cordon fibreux, j'ai trouvé une aiguille osseuse de couleur jaunâtre FRO. Dans la veine fémorale,
résentait à l'extérieur une dureté extrême, contenait des concrétions osseuses ou ostéiformes, dont les unes étaient jaunâtres,
non équivoques de phlébite ancienne guérie. La formation d'aiguilles osseuses , au milieu du cordon fibreux qui remplissait la v
ilage qui revêt la face supérieure de cet os est décollé de la couche osseuse subjacente , laquelle est pénétrée de sang. Au ge
es plaques blanches et jaunâtres formées les unes par des concrétions osseuses , les autres par delà matière crétacée, recouverte
éparé le cartilage de la deuxième côte, séparé lui-même de la portion osseuse de cette côte. Il y avait également deux sacs a
e l'ampoule anévrysmale. Cette ampoule était constituée par une coque osseuse , divisée en fragmens ,iisses à leur surface inter
surface interne, et articulés à l'aide du tissu fibreux. Cette coque osseuse était évidemment formée parles trois membranes ar
s trois membranes artérielles. De la partie antérieure de cette coque osseuse naissait une tumeur à parois minces et fibreuses,
usculaires en tissu fibreux, en tissu cartilagineux, et même en tissu osseux . La distension est une cause très fréquente de la
s certaines limites, se transforme en tissu cartilagineux et en tissu osseux . Or, la transformation en tissu fibreux de la p
vrysme faux partiel du cœur consistant en une poche cartilagineuse et osseuse naissant du bord gauche de cet organe. — Mort pen
rax parfaitement bien conformé; cartilages costaux parsemés de points osseux grisâtres qui occupaient leur épaisseur. Les deux
gauche était une petite colonne; que la poche était cartilagineuse et osseuse , résistant à une forte pression, et qu'elle était
s du cœur. Quant au mode de formation de la coque cartilagineuse et osseuse occupant le bord gauche du cœur, je répondrai par
it une période un peu plus avancée, et dont le kyste cartilagineux et osseux serait la dernière période. Il établit en outre q
rois valvules sygmoïdes réunies étaient considérablement épaissies et osseuses . L'une de ces valvules présentait un prolongement
aissies et osseuses. L'une de ces valvules présentait un prolongement osseux qui, s'avançait au-dessous de l'orifice jusqu'au-
ule tricuspide s'épaissit et même quelquefois devient cartilagineuse, osseuse . Dans le cas représenté fig. i et i' la valvule t
effet, faire rétrograder les transformations fibreuse,cartilagineuse, osseuse qui les constituent ou dilater mécaniquement ces
uvoir les prévenir. Or les épaississemens fibreux, cartilagineux et osseux des orifices et des valvules du cœur tiennent-ils
nflammation comme cause de l'épaississement fibreux, cartilagineux et osseux des valvules du cœur est un point encore controve
On peut dire à cet égard que l'induration fibreuse, cartilagineuse et osseuse des valvules est souvent consécutive à l'inflamma
du petit doigt. Les valvules mitrales , épaissies, cartilagineuses et osseuses , interceptaient entre elles un espace conique, à
de, creusées de trous, de fossettes séparées par des espèces de ponts osseux fort irréguliers. Les deux trous ovales TO, TO so
e criblée comme pouvant donner lieu à des méprises funestes. Tumeur osseuse mamelonnée très volumineuse, naissant de la face
olumineuse, naissant de la face supérieure du rocher. — Petite tumeur osseuse naissant de la face postérieure du même os.—Affai
st-à-dire du côté opposé à la dépression de la commissure, une tumeur osseuse très considérable, naissant de la face supérieure
re de cette tumeur était dirigé d'avant en arrière. Sa nature était osseuse et présentait ce caractère remarquable que chaque
ompacte que le reste de la tumeur, partaient en divergeant des fibres osseuses rayonnées faciles à séparer les unes des autres,
es autres, et se terminaient par une extrémité mamelonnée. Ces fibres osseuses étaient faciles à séparer les unes des autres, à
postérieure du rocher, naissait encore une petite tumeur entièrement osseuse . La face supérieure du rocher présentait, au vois
ons mamelonnées, petits monticules qui semblaient continuer la tumeur osseuse . Les tumeurs qui naissent de la face supérieure
rales du cervelet ; elle adhérait par un pédicule extrêmement étroit, osseux , composé de fibres osseuses agglutinées s'épa-nou
dhérait par un pédicule extrêmement étroit, osseux, composé de fibres osseuses agglutinées s'épa-nouissant de suite en une tumeu
deux substances bien distinctes : i° une substance cartilagineuse et osseuse qui constituait le tiers inférieur de la tumeur;
En examinant la face supérieure du rocher, j'ai vu de petites tumeurs osseuses qui naissaient de cet os et soulevaient la dure-m
dure-mère, s'épanouissait en champignon, et semblait, sauf sa nature osseuse , une miniature de la tumeur décrite de la face po
enlevé cette membrane, j'ai vu au niveau de ces trous „ des cellules osseuses remplies de matière grise que j'ai prise dans le
nt en arrière: c'était cette saillie anguleuse, et surtout une pointe osseuse de trois lignes de long, née de la paroi antérieu
canal rachidien, qui avait comprimé la moelle épinière : cette pointe osseuse pouvait d'ailleurs être ou un fragment détaché de
r c'était à son niveau que la moelle avait été atteinte par la pointe osseuse ) offrait une dépression transversale, qui était p
uver au doigt la sensation d'une espèce de vide, limité par un rebord osseux , évidemment formé par les apophyses épineuses, de
hes purulentes qui entourent les vertèbres sont pénétrées de fragmens osseux qui sont évidemment des débris du corps des vertè
veau des quatre ou cinq premières vertèbres dorsales entre les parois osseuses du canal vertébral et la dure-mère, une productio
tte tumeur, qui m'a paru carcinomateuse, était supportée par un noyau osseux , naissant du rocher à la manière d'une exostose.
ns des cas où d'autres n'avaient pas été aussi heureux. Les phlébites osseuses surtout sont une source féconde et souvent ignoré
pas aussi constante qu'on veut bien le dire ; que dans les phlébites osseuses , en particulier, soit du crâne, soit du fémur, so
cules, sont entièrement carnifiés; on n'y trouve pas vestige de tissu osseux . Les omoplates sont dans l'état de plus parfait d
s couches moyennes ou le centre du tissu compacte, où quelques fibres osseuses sont remplacées par du tissu cancéreux; ailleurs
ne maladie cancéreuse n'était autre chose qu'un kyste pileux à parois osseuses formées aux dépens de l'ovaire. Les tubercules
esse: il a subi la dégénérescence cancéreuse; à peine quelques débris osseux DB, DB. La figure 4 représente une coupe de la
s :il est pénétré de suc cancéreux, contenu dans des débris d'aréoles osseuses . La peau et le tissu cellulaire sous-cutanés so
leurs assez limité de cas, le cancer porte ses ravages sur le système osseux . Le point important, thérapeutiquement parlant,
à surface irrégulièrement bosselée, auquel était appendue une tumeur osseuse pédiculée. Son aspect lui donnait beaucoup plus d
de l'utérus était remplacé par une multitude de tumeurs fibreuses et osseuses , dont les plus grosses ne dépassaient pas le volu
rysme faux partiel du cœur, consistant en une poche cartilagineuse et osseuse naissant du bord gauche de cet organe. Mort penda
ancienne du coude non réduite; articulation contre nature avec coque osseuse . 9e liv., pl. 11, m, iv, v, vi, p. 8. — Ankylose
rysme faux partiel du cœur, consistant en une poche cartilagineuse et osseuse naissant du bord gauche de cet organe. Mort penda
Luxation du coude non réduite; articulation contre nature avec coque osseuse . 9e liv., pl. n, m, iv, v, vi, p. 8. CRAMPES. D
ravers la lame criblée de l'ethmoïde. 26e liv., pl. n, p. 5. — Tumeur osseuse mamelonnée très volumineuse naissant de la face s
s volumineuse naissant de la face supérieure du rocher. Petite tumeur osseuse naissant de la face postérieure du même os. Affai
STOSE. 20« liv., pl. i,p. ; 36e liv., pl. iv, v, p. .— Deux exostoses osseuses et fibreuses extrêmement considérables, naissant
l'homme est la plus exposée à l'usure des cartilages et des surfaces osseuses . 9e liv., pl. n, m, iv, v, vi, p. 12. GEOFFROY-
ormé aux dépens de la moitié gauche du corps thyroïde. Goitre latéral osseux et celluleux. 5eliv.', pl. iv, p. 1. —Considérati
ancienne du coude non réduite; articulation contre nature avec coque osseuse . 9e liv., pl. 11,111, iv, v, vi, p. 8. — Luxation
es os dans le pied-bot. 2e liv., pl. iv, p. i3.—Les maladies du tissu osseux ont leur siège, non dans le tissu osseux lui-même
p. i3.—Les maladies du tissu osseux ont leur siège, non dans le tissu osseux lui-même, mais dans le tissu cellulaire adipeux o
, pl. 1, p. S. — Cancer aréolaire des os. = Exostoses. Deux exosloses osseuses et fibreuses extrêmement considérables, naissant
articulaire. 40e liv.,pl. iv, p. 3. PÉRIOSTE. Altération des tissus osseux et médullaire avec intégrité du périosjte. 20e li
à travers la lame criblée de l'ethmoïde. 26e liv., pl. n, ». — Tumeur osseuse mamelonnée très volumineuse naissant à la face su
ès volumineuse naissant à la face supérieure du rocher. Petite tumeur osseuse naissant à la lace postérieure du même os. Affaib
ormé aux dépens de la moitié gauche du corps thyroïde. Goitre latéral osseux et celluleux. 35e liv., pl. iv,p. /. —Des goitres
13 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
ombre pres- que opaque on distingue facilement à droite des travées osseuses fines allant se perdre dans.l'extrémité inférie
iqué ni l'exploration électrique, ni la recherche de la sensibilité osseuse au diapason. Le cubitus gauche présente à sa pa
ostic : les radiographies attestent l'absence de toute hypertrophie osseuse , l'augmentation de volume ne porte que sur les
, Suède). Nos connaissances sur les lésions ou anomalies du système osseux dans la dysostose cléidocrân ienile sont encore
us n'avons jusqu'à présent aucune étude histologique sur les tissus osseux et ostéogènes dans cette affection et les carac
ntelés et déprimés. Dans 4 des crânes, j'ai trouvé une petite épine osseuse faisant saillie dans l'angle inférieur (antérie
a région pariétale de la voûte crânienne était composée' de plaques osseuses irrégulières de grandeur variable (maximum 6 x6
ire formellement l'opinion d'Apert (2) qui prétend que le squelette osseux de la base du crâne est « relativement prédomin
mentaires » ou inverses, dont l'une atteint précisément les parties osseuses que l'autre respecte, n'est pas fondée non plus ;
peut néanmoins évaluer appro- ximativement la longueur de la partie osseuse du dos du nez. En général, elle était de 10 mm.
une brèche qui correspondait sans doute à une interruption de l'arc osseux . Les dimensions du maxillaire supérieur sont ég
ont le tendon est percuté. » . Dans nos recherches sur les réflexes osseux , nous avons été frappé non seulement par le tai
ement par le tait de la contraction d'un muscle situé loin du point osseux que nous frappions, mais aussi par le fait que tr
on n'était pas unique. Par exemple, au membre supérieur, le réflexe osseux qu'on provoque par la percussion de l'apophyse st
ltanée de deux muscles, le long supinateur et le biceps. Le réflexe osseux de l'épi- condyle, le coude étant porté en arri
et l'anatomie de la moelle. Quoique pour la production d'un réflexe osseux il y ait parti- cipation de plusieurs muscles,
boration est une seule fonction ; d'où la conclusion que le réflexe osseux égale une fonction. Le réflexe osseux de l'apop
la conclusion que le réflexe osseux égale une fonction. Le réflexe osseux de l'apophyse styloïde du radius représente le mo
du radius représente le mouve- ment de flexion du coude. Le réflexe osseux de l'épicondyle, quand le coude a été préalable
qui se traduit par l'action de porter le bras en avant. Le réflexe osseux de l'épitrochlée représente le mouvement qui ét
le coude et porte en arrière le membre supérieur, etc.. Le réflexe osseux en général, comme tous les autres réflexes connus
pète qui conduit l'excitation produite par la percussion d'un point osseux ; 2° par un centre réflexe qui représente l'ori
e sensitive ; et 3° par une fibre (1) NOICA et STHOIINGEa, Réflexes osseux . Revue neurologique, p. 969, 1906 ; Noica, . Co
969, 1906 ; Noica, . Contributions nouvelles à l'étude des réflexes osseux . Revue neurologique, n° 5, 15 mars 1901. 154
ous avons cherché à indiquer quel arc correspond tel ou tel réflexe osseux . Certainement nos dénominations sont schématiques
i-muscularité que nous avons constaté par la recherche des réflexes osseux , nous l'avons étudié plus loin encore, spé- cia
ACTURE 155 La percussion de la tubérosité interne du tibia (réflexe osseux de la 3e racine lombaire), peut provoquer une c
faire contracter en même temps le muscle triceps sural. Le réflexe osseux de la malléole externe est caractérisé par une co
hé à donner une explication anatomique de la propagation du réflexe osseux des adducteurs, aux muscles quadriceps crural e
exe rotulien, le réflexe conl),a-latéral des adducteurs et le réflexe osseux de la tubérosité interne du tibia. Revue neurol
es provoquer cher un homme normal par l'excitation de deux réflexes osseux , quand ils existent, et ils existent toujours c
fléchisseurs du poignet et des doigts. Le premier c'est le réflexe osseux des 5e est 6" racines cervicales, le second est l
a première attitude, nous ne pouvons pas la produire par un réflexe osseux , parce que nous ne connaissons pas le point osseu
e par un réflexe osseux, parce que nous ne connaissons pas le point osseux qu'il faut per- cuter, mais du moment que le ce
MÉCANISME DE LA CONTRACTURE 157 sacré doit correspondre au réflexe osseux qui provoque la contracture du grand fessier. L
tension du genou et l'adduction, nous les produisons par le réflexe osseux de la tubérosité interne du tibia (3e et 4e segme
r par la percussion de la malléole externe, c'est-à-dire le réflexe osseux du 1er segment sacré. Peut-on reproduire ces at
lure effaçait les contours normaux des régions, et les proéminences osseuses des malléoles, des rotules, des grands'trochant
t constamment entourés d'un bandage ; les rotules et les con- tours osseux au niveau du genou ne peuvent être perçus ; les c
rouble trophique tout à fait analogue à celui-ci ,peut être d'origine osseuse ou due à l'hypertrophie des parties molles ou e
par une extrémité, se terminer à l'autre extrémité par une aiguille osseuse en stalactites ou en stalagmites. Les ligaments
ous ossifiés. Le liga- ment sus-épineux formait par place des ponts osseux entre les apophyses épineuses voisines. Enfin
sseux entre les apophyses épineuses voisines. Enfin un mince pont osseux réunissant incomplètement la partie antérieure
il existe dans toute la région dorso-lombaire de très minces ponts osseux inégalement inter- rompus, et rejoignant par-de
rtèbres lombaires ; la couleur blanc-jaunâtre de certaines portions osseuses néoformées tranche sur la couleur grisâtre des ap
partie antérieure. En aucun point il n'y avait d'exostose ni jetée osseuse réunissant les corps vertébraux ; les articulat
udée et les ligaments qui la recouvrent for- ment un véritable étui osseux . La colonne cervicale présente le maximum de lé
rses vertèbres : cette soudure est produite par une sorte de virole osseuse qui réunit les corps vertébraux à leur partie pér
ncée, les espaces inter- vertébraux sont recouverts par une surface osseuse lisse dans sa région anté- rieure et présentant
es aspérités sur ses faces latérales. L'éclatement de cette surface osseuse laisse voir sur quelques points l'espace occupé p
sur lequel ont insisté les auteurs : c'est la raréfaction du tissu osseux très visible dans les parties de la pièce qui o
dans les manipulations. Elle con- traste avec la densité des tissus osseux néoformés qui présentent une véritable éburnati
t défaut au niveau des concavités. Nous voyons apparaître les ponts osseux reliant les extrémités des apophyses épineuses à
orme un plan très régulier indiquant soit une malléabilité du tissu osseux au moment de sa formation, soit une usure facil
pas complète et par place elle est représentée par de fines travées osseuses presque fibrillaires. On sur- prend bien là, ce
tion qui se reproduit plusieurs fois est cons- tituée par une jetée osseuse médiane qui sectionne en deux l'espace laissé l
achidiennes, elle est due à l'absence totale de toute prolifération osseuse exubérante, ca- ractère essentiel de la spondyl
é- braux antérieur et postérieur. d) Par une raréfaction du tissu osseux ancien, contrastant avec l'ébur- nation du tiss
su néformé. e) Par une absence totale d'ostéophytes et d'exubérance osseuse . Tels sont les caractères essentiels de la pièc
éri, ce processus d'ossifica- tion est secondaire à une raréfaction osseuse . Celle-ci est manifeste sur notre pièce. Au mom
être évitées. En outre on peut voir sur notre pièce que les travées osseuses du tissu spongieux sont raréfiées et amincies s
verses, cette raréfaction sérail le fait primitif, l'ossifica- tion osseuse étant un processus de compensation suivant le méc
dans son rapport sur la pathogénie des ankyloses. Cette raréfaction osseuse provenant d'uu processus in- (1) Léri, Pathogén
par ossification ligamenteuse phrénatrice, absence de prolifération osseuse parce qu'il s'agit d'une substitution de tissu
rolifération osseuse parce qu'il s'agit d'une substitution de tissu osseux au tissu ligamenteux. Généralisation et ho- mog
liste professeur Monselles déclara d'origine traumatique. Le septum osseux est dévié vers le côté droit et on observe l'hype
pation des masses musculaires, des troncs nerveux et des sur- laces osseuses . L'énergie de contraction est moyenne et égale de
l a les jambes très longues par rapport au tronc. De conformation osseuse très grêle, de formes pointues, très maigre, il
turcique est notablement et uniformément élargie, mais ses limites osseuses apparaissent nettes. La confrontation de cette ép
es et métacarpiens) on observe un développement excessif des tissus osseux spongieux, tandis que le développe- ment de la
ant-bras apparaissent extrême- ment petits et menus (1). Le tissu osseux compact est, de même que chez Marguerite, très pe
e de 5 ans, on doit en conclure que relati- vement le développement osseux de la main de Marguerite est encore plus arriér
nor- male ; seulement si l'on compare l'épaisseur du tissu compact osseux avec celle de la main d'une autre jeune fille n
e famille il nous montre à un très haut degré le dé- ficit du tissu osseux compact, la persistance de tous les cartilages ép
'os sésamoïde. Articulation du coude (Marguerite). - Conformation osseuse normale ; persistance d'un cartilage épiphysair
elui des mêmes os de la main ; on remarque le même déficit de tissu osseux compact et la persistance évidente de tous les ca
distinguer l'acromégalie du gigantisme et de quelques hypertrophies osseuses partielles congénitales ou acquises. Eh bien, l
galie, celte année Curschmann (2) annonce qu'à côté d'hypertrophies osseuses il a trouvé des atrophies évidentes surtout aux
men radiographique des mains et des pieds le développement du tissu osseux a paru des deux côtés nor- mal, quoique un peu
trouvé des altérations légères, sauf quelques petites raréfactions osseuses à côté d'épaississements,surtout au calcanéum ;
l'hyperostose ; bien plus rarement on observe des faits d'atrophie osseuse . Examen IIEJIATOLOGIQUE dans l'acromégalie. J
de troubles fonctionnels des organes hématopoiétiques,(Ie la moelle osseuse etdu foie, causés par des substances toxiques q
ement des altérations dans les tissus mous, mais encore des lésions osseuses , comme nous l'avons déjà dit en parlant de l'ex
achitisme ancien. Le crâne présente une élévation de tout le massif osseux au-dessus du plan passant par les arcades sourc
es os se dévie vers la droite de façon que l'ouverture de sa cavité osseuse est tournée en avant et à droite. La partie dro
nt saillie en ligne de faîte. De même que précédemment les surfaces osseuses absolument lisses donnent l'impression d'une sy
s et à l'âge adulte on trouve, après ossification, une surélévation osseuse de même forme dont le plus grand diamètre est d
LE ninges, ce fait montre les modifications qu'ont subies les plans osseux sous la poussée du cerveau qui tend à se dévelo
rg). 2° Névrite par stase papillaire due au rétrécissement du canal osseux (Ponfick) (1). 3° Névrite favorisée par le ré
osseux (Ponfick) (1). 3° Névrite favorisée par le rétrécissement osseux (Manz) (2). 4° Névrite due à une augmentation d
lésions des nerfs optiques, des nerfs olfactifs et les déformations osseuses . Nos malades n'ont aucun trouble de l'audition.
ite par l'hydrocéphalie sur les méninges provoque un épaississement osseux là où la tension est la plus forte. » Il nous a
our chaque main et pour chaque pied, au niveau du troisième segment osseux . Faisons remarquer également qu'ici les anomali
arpien voisin est plus grand que normalement. Une petite stalactite osseuse est développée sur l'angle interne de l'extrémi
unciforme, le grand os et le tra- pézoïde fusionnés en un seul bloc osseux . Le trapèze fait défaut. Les os de la 1° rangée
t en dessus de l'extrémité inférieure de l'humérus on voit un noyau osseux ovalaire, peu épais, qui semble représenter l'ext
radiales. En somme il ne s'agit pas de la simple absence d'un rayon osseux , mais tout le côté externe et antérieur du memb
de dysgénésie primitive des feuillets Nastodermiques; le sys- tème osseux et les tissus de soutien (os et cartilages) dériv
que les proportions nor- males entre le tissu spongieux et le tissu osseux compact sont très allé- rées ; partout et surto
ine dysthyroï- dienne était liée à la soudure précoce des épiphyses osseuses ! Au ralentissement général du développement so
elllaeim a déterminé toute une série de modifications de la structure osseuse du crâne, du bassin et des extrémités qui survi
alacie puerpérale le processus d'involution pathologique des tissus osseux serait arrêté par la castration (Fehling). Boss
me peuvent être interprétées comme un signe de maladie de la moelle osseuse qui pourrait être ou secondaire à une affection d
cas. A la microcéphalie peuvent s'associer parfois des déformations osseuses de la base du crâne qui peuvent être la cause d
14 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
de l'os, les internes aboutissant à sa face profonde. Aux extrémités osseuses , l'aspect se modifie, le tissu devient moins dens
space rempli par les canaux tend à grandir, plus s'amoindrit le tissu osseux . — Les rapports sont bientôt égaux, mais grandiss
les deviennent dominants en perdant leur aspect primitif, et le tissu osseux , réduit à de simples lamelles et trabécules, ne f
e de l'os. Telle est la disposition sommaire, mais exacte, du tissu osseux . L'étude de son développement nous montre la même
s-uns toutefois, des veines, les remplissent complètement et le tissu osseux semble leur faire une tunique supplémentaire. On
and nombre des vaisseaux n'ont jamais de rapport intime avec le tissu osseux proprement dit. Partout ils baignent dans une sub
tions pathologiques qui y peuvent survenir. Ce milieu des vaisseaux osseux , c'est la moelle, dont le siège n'est pas là seul
ement. 11 nous reste, pour avoir donné une idée générale du système osseux , à parler de la membrane qui l'enveloppe, — le pé
e l'os. Sa vascularité, son épaisseur, ses adhérences avec le tissu osseux proprement dit, subissent des variations assez co
r en chevelu plus profon-dément. Les lymphatiques de la moelle, tissu osseux et périoste rendus évidents par les faits patholo
uelle part peut revenir à chacune de ses parties constituantes, tissu osseux , médullaire et périoste, dans les inflammations d
éomyélite, nécrose aiguë d, nous trouvons que le périoste et le tissu osseux , incftmestoujours de ces maladies, n'en sont jama
rien à faire avec l'origine des maladies qui nous occupent, le tissu osseux en est-il responsable? Je ne le crois pas et ne l
responsable? Je ne le crois pas et ne le comprendrais guère. Le tissu osseux , ce sont les colonnettes du compacte, les trabécu
, alors que la moelle serait saine, remplir ces condi-tions? Le tissu osseux est donc atteint secondairement dans toutes ses m
space plus grand, et, parties molles, elles agissent sur le dur tissu osseux , qu'elles érodent. Les canalicules augmen-tent de
re, les trabécules s'amincissent, disparaissent, — et les corpuscules osseux , devenus libres par la disparition de la sub-stan
circon-stances originelles, ici du pus, et là de nouvelles formations osseuses ou du moins en voie de développement. Sans insi
côté externe de la rotule, corps étranger ayant l'aspect d'une plaque osseuse , très-irrégulière, mesurant deux centimè-tres de
nférieure du fémur. 11 n'y a pas, à proprement par-ler, de bourrelets osseux sur les contours des surfaces articu-laires, ni d
Rotule. Elle a une configuration anormale, et offre des bourre-lets osseux ou cartilagineux disposés en plaques, qui lui son
ité inférieure pointait dans la cavi é articulaire; 2° une production osseuse , al-longée, sinueuse (8 centimètres sur 6 millimè
y a quelques ostéophytes arrondis, mais on ne voit pas ces bourrelets osseux élargissant la surface articulaire, comme dans l'
degré. Le cartilage est détruit. Il n'y a pas de bourrelets 1-2* osseux . De même que l'extrémité de l'humérus, elle est a
ne profondeur de trois centimètres et demi, on arrive sur un fragment osseux dont l'une des surfaces est arrondie et lisse, ta
ce importante dans la thérapeutique des plaies compliquées de lésions osseuses ou articulaires. — Outre que ces appareils fourni
a été expliquée, et l'explication suffit par l'activité de formation osseuse à cet âge. Toutefois, l'on comprendrait assez m
ous, constitue la lésion principale pour l'épaule ; 2° les bourrelets osseux et les corps étrangers qui se rencontrent plus pa
e. Usure prononcée des cartilages, presque nulle des os, bourrelets osseux multipliés, saillants, irréguliers, mamelonnés (d
gue des altérations secondaires dues aux déplacements des extré-mités osseuses qui se creusent des cavités articulaires accident
luctuation profonde. 11 est très-difficile de reconnaître les parties osseuses de l'articulation. La tête numérale elle-même est
it qu'à cet endroit il y a adhérence de la peau avec chaque extrémité osseuse . La dépression interne qui correspond au radius p
e XIII, fig. 4.) Le radius droit ne présente que quelques bourgeons osseux insi-gnifiants au niveau de la coulisse des muscl
un développement plus considérable qu'à l'état normal. — Les rebords osseux qui délimitent le col intérieurement sont épais e
de l'articulation tibio-péronéale supérieure existe une grosse masse osseuse , écartant les deux os l'un de l'autre, aplatie en
ssance de l'os en longueur. S'il en était ainsi pour chaque extrémité osseuse , les exostoses sy-métriques siégeraient indistinc
t, ces ostéopbytes n'étant en définitive qu'une surabondance du tissu osseux d'ossification, doivent occuper, lorsqu'ils exist
gle; ses exostoses siégeaient en effet au genou et sur les extrémités osseuses oppo-sées au coude. OPHTHALMOLOGIE TRAUMATISM
THOLOGIQUES. Les phénomènes inflammatoires commencent par la moelle osseuse contenue sous le périoste, sinon toujours au moin
déterminantes. De là ils se propagent dans les canalicules du tissu osseux com-pacte, les cavités du spongieux, la moelle ce
se morbide, fourniront des produits viables, et de nou-velles couches osseuses se formeront, engainant la diaphyse. Ces nouvelle
aphyse. Ces nouvelles couches pourront même se produire dans le tissu osseux , et, s'adjoignant aux anciennes, amoindriront l
ubérosité de la tête numérale détachée par la suppuration. Le tissu osseux est lui-même fort altéré. Les canaux de Havers se
vé chez une petite fille de 3 ans et demi le fémur réduit à une coque osseuse . Les aréoles du compacte s'agrandissent. La moell
lques mots de ce qui survient vers les articulations et vers le tissu osseux lui-même. Les articulations peuvent être lésées
plus souvent latents. Nulle douleur n'en résulte. Du côté du tissu osseux , nous aurons surtout des nécroses, né-croses pouv
. Tantôt les éléments médullaires modifiés nourrissent mal le tissu osseux , auquel ils fournissent les matériaux habituels,
tuels, ou devenant pus cessent tout à fait de le nourrir, et le tissu osseux , abandonné meurt. On voit de suite la relation in
ite qui survient, ou continue autour des séquestres, résorbe le tissu osseux qui les maintenait en contact avec le reste de l'
plet; d'autre part, la formation constante aussi de nouvelles couches osseuses dans la moelle sous-périostique, nouvelles couche
on com-plète du cartilage, ou sa transformation trop prompte en tissu osseux , aux ankyloses, à l'allongement hypertrophique du
utant plus sûrement que la limite du mal est plus voisine d'une table osseuse qui limite à son tour l'action du caustique ; ici
stylet et mieux le doigt, et l'on constate alors l'existence du tissu osseux à nu au fond de la plaie. Souvent tons les phén
ement et en dehors, l'humérus gauche se termine par une petite pointe osseuse , légère-ment contournée en forme d'éperon, et lon
le deltoïde, les pectoraux sont dimi-nués de volume, et les saillies osseuses de l'épaule peuvent se sentir très-facilement. L'
e se refermer, après évacuation du pus, sans élimination de parcelles osseuses né-crosées. Cette terminaison s'observerait surto
sont au nombre de cinq, en coupant le plus près possible des surfaces osseuses les insertions des muscles sus et sous-épineux, s
oduisant l'altération amyloïde, nous voulons parler des suppura-lions osseuses , du rachitisme, de la tuberculose, du cancer, de
forme particulière est sans doute le résultat de l'atrophie du tissu osseux et des éminences articulaires, atrophie à laquell
tête humérale,détruite en partie, il existe de nombreuses stalactites osseuses qui témoignent d'un travail d'hyperostose qui se
rmanentes : ce sont des hypertrophies et des atrophies des extrémités osseuses , mais dans lesquelles le travail de destruction l
Planche III. Arthropathie de l'é-paule chez une alaxique (lé-sions osseuses )........ 17 Planche IV. Égagropile chez un chat
15 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
avec le scaphoïde S; ME malléole externe; A astragale, TA végétations osseuses formées en grande partie aux dépens de la tête ou
téogénie ont voulu trop préciser l'époque de l'app arition des points osseux dans les divers os. C calcanéum , également un pe
t, sans hésiter, avoir recours à la scie pour diviser le prolongement osseux qui unit les deux os. Du reste, il est facile de
vec la cavité scaphoïdienne et la facette moyenne FM. Le prolongement osseux \ac sépare a quatre fois au moins la longueur qu'
emi-lunaire interposé étaient usés; il y avait même usure des couches osseuses sous-jacentes. Tout cela se conçoit aisément, pui
e de la tubérosité du calcanéum ou du talon, et alors des végétations osseuses souvent considérables naissent de cette tête. E
s, nous pourrions déformer, reformer toutes les parties de l'appareil osseux . Je sim M^^s ^uc le» nommes distingués qui se son
ment sur la nutrition, façonne lentement, mais sûrement, les facettes osseuses comprimées dans un sens, non comprimées dans un a
culaires de la malléole interne et du calcanéum. IIe LIVRAISON. 4 osseuse divisée, à plus forte raison l'action continue de
s cartilages articulaires s'usent par l'exercice, que des végétations osseuses se forment, des déformations pins complètes ont l
umon; elle se manifeste encore par les concrétions cartilagineuses et osseuses dont elle s'encroûte, et qui coexistent toujours
subiront successivement la transformation fibreuse, cartilagineuse et osseuse . Voilà peut-être le mécanisme de la formation de
ous verrons que la dilatation ou ampoule AD était parsemée de plaques osseuses , cartilagineuses, crétacées, de diverses dimensio
e liquide coula de nouveau en grande quantité quand j'ouvris ce canal osseux . Il y avait peu « de ce liquide à l'extérieur de
rconférence 5 quelques-unes présentaient à leur centre un petit point osseux saillant à fibres rayonnantes. Grande injection
artilages articulaires avaient complètement disparu, que les surfaces osseuses elles-mêmes étaient profondément éro-dées , et qu
ses stries, qui, dans quelques « points, laissaient voir la substance osseuse à nu : dans d'autres points, cette couche s'enlev
épaisse encore que du côté gauche ; on trouva sous elle la substance osseuse rugueuse et entamée. Aux articulations tibio-tars
plâtreux demi-solides. Les cartilages étaient détruits , les surfaces osseuses rugueuses et très-rouges : la substance spongieus
ses rugueuses et très-rouges : la substance spongieuse des extrémités osseuses était infiltrée de la même matière. — Les autres
iennes. — Infiltration de grumeaux plâtreux dans les aréoles du tissu osseux . — Incrustation simple des articulations phalangi
s tard, il a éprouvé plusieurs attaques d'apoplexie.) Tantôt le tissu osseux serode comme le cartilage, et on voit des phalang
rtilages, puis usure et éburnification des os dépouillés, végétations osseuses , déformation des surfaces articulaires, mais jama
ies de la colonne vertébrale, comme d'ailleurs toutes celles du tissu osseux , ont leur siège, non dans le tissu osseux lui-mêm
eurs toutes celles du tissu osseux, ont leur siège, non dans le tissu osseux lui-même, mais dans le tissu cellulaire adipeux o
l'absorption peut s'-empa-rer en totalité; que les cellules du tissu osseux distendues par le développement de ce tissu cellu
et constituent en quelque sorte un canal supplémentaire de la colonne osseuse . Tous les trous de conjugaison subsistaient enc
s transverse et articulaires gauches ont été brisées. Des végétations osseuses , nées de la troisième vertèbre lombaire, viennent
ase du cartilage aryténoïde droit CA était dénudée, érodée, en partie osseuse . Du reste, les ganglions lymphatiques situés su
ence de la poche et confondu avec des épaississemens cartilagineux et osseux . i°. Poche unique comme dans le cas précédent, ma
ce aux nerfs de son côté par une double rangée de racines. Une avance osseuse A (fig. 4) en forme d'épine conoide, née de la fa
ection, la trace est indélébile : dans certains cas, la cicatrice est osseuse ; c'est lorsqu'un os ou un cartilage ont été fract
interne seulement, tantôt les deux tables à la fois ; des végétations osseuses plus ou moins considérables se forment à mesure q
e interne aussi-bien qu'à la surface externe du crâne, cancéreuses et osseuses tout à la fois, avec ou sans perforation des paro
me des fongus de la dure-mère. Or la proportion entre les végétations osseuses et les végétations cancéreuses est sujette à beau
céreuses est sujette à beaucoup de variétés. La forme des végétations osseuses introduit elle-même de nombreuses variétés dans c
antôt elle en constitue la portion principale. Tantôt les végétations osseuses sont mamelonnées, peu saillantes, irrégulières et
e la dure-mere. XI. J'ai eu occasion d'observer deux cas de tumeurs osseuses et careinomateuses, nées du plan supérieur et du
ulevait la tente du cervelet qui participait à l'altération. Un noyau osseux central irrégulier soutenait une substance de nat
Dans l'autre cas, trois tumeurs sphéroïdes volumineuses, d'apparence osseuse , naissaient par un pédicule unique et très-étroit
ostérieur du rocher. Ces petites tumeurs étaient formées par un noyau osseux compacte, duquel partaient dans tous les sens des
noyau osseux compacte, duquel partaient dans tous les sens des rayons osseux qui se terminaient en forme de mamelons. Une mati
du rocher. Les tumeurs nées au niveau du rocher sont presque toujours osseuses , au moins en grande partie. Elles appartiennent a
e, très-adhérente et très - vasculaire, nous trouvons des végétations osseuses VO, VO, VO (fig. 2), dont quelques-unes ne tenaie
e, offrant en arrière une perforation P, autour de laquelle la tumeur osseuse amincie se laissait déprimer avec la plus grande
dure-mère, savoir, l'usure et la perforation des os avec végétations osseuses ; (*) Voyez Dictionnaire de Médecine et de Chiru
ir affaire à un véritable fongus de la dure-mère, eût cerné la tumeur osseuse par plusieurs couronnes de trépan; supposons qu'a
cule correspondant. En effet, le cerveau ayant été retiré de sa boîte osseuse , il s'en est écoulé en peu d'instans une assez gr
a figure 1 montre le vide qui existait entre le cerveau et les parois osseuses du crâne après l'écoulement de la sérosité. La di
res mobiles de tous les mouvemens qu'exécutent les différentes pièces osseuses qui constituent l'appareil de la locomotion, les
tenseur propre du pouce sont interrompus au niveau de cette gouttière osseuse à laquelle ils adhèrent intimement. T est le trap
mité inférieure du radius. Comme tout est en harmonie dans le système osseux , il est rare qu'un os soit déformé à l'une de ses
enne du coude non réduite (*) ; articulation contre nature avec coque osseuse . Lorsqu'une luxation n'est pas réduite, une art
dire que les points de l'os le plus fortement comprimés de la surface osseuse , à laquelle cette tête correspond, s'atrophient,
moins sont le siège d'une nutrition plus active, d'où des végétations osseuses ; que les parties molles elles-mêmes subissent la
euses; que les parties molles elles-mêmes subissent la transformation osseuse pour compléter la cavité articulaire; que d'autre
ibreuse, les parties molles environnantes éprouvent la transformation osseuse pour constituer une coque plus ou moins complète
à un glissement obscur. Ce mode d'articulation contre nature à coque osseuse , assez fréquent pour l'articulation coxo-fémorale
'humérus H. Celui-ci est maintenu dans la flexion par des végétations osseuses VO qui se prolongent en pointe à une très-grande
ume de l'extrémité inférieure de l'humérus et la capacité de la coque osseuse . La figure 1 représente l'articulation vue du c
figure 1 représente l'articulation vue du côté cubital. La végétation osseuse VO, vue de 3/4? peut être étudiée avec tous ses d
faite sans effort, sans brisement ou ploiement de quelques aiguilles osseuses . On voit la face interne de la végétation osseuse
quelques aiguilles osseuses. On voit la face interne de la végétation osseuse VO et les trous dont elle est criblée : l'apophys
ux côtés. L'ankylose A, fig. i, est remarquable par un gros bourrelet osseux qui entoure et soude entre elles les deux surface
a ici évidemment tout à la fois ankylose par invagination, une coque osseuse entourant les surfaces articulaires auxquelles el
t tous les jours la nature couvre de cartilages nouveaux des surfaces osseuses qui n'étaient point destinées à frotter les unes
nt destinées à frotter les unes contre les autres, ou des végétations osseuses nouvelles. Dès le moment que deux surfaces osseus
u des végétations osseuses nouvelles. Dès le moment que deux surfaces osseuses articulaires sont dénuées de cartilages, elles s'
: une couche éburnée incessamment reproduite aux dépens de la portion osseuse elle-même les recouvre. Si l'usure est bornée à u
ure ; mais aussitôt que ces cartilages ont été détruits, les surfaces osseuses dénudées n'étant pas organisées pour supporter im
our supporter impunément le frottement, il y a usure; des végétations osseuses se forment tout autour des surfaces articulaires
t également usées, déformées; leur base comme hérissée de végétations osseuses . La moitié antérieure de ces têtes était couverte
rofil par le côté externe, montre dans tout leur jour les végétations osseuses mamelonnées, qui débordent le condyle externe en
e numérale TR et sur fa grande cavité sygmoïde CSR et des végétations osseuses VO. La fig. 2 représente les corps étrangers ar
est semi-lunaire, cartilagineux du côté de sa face convexe (fig. 3), osseux du côté de sa face concave (fig. 3). Le malade a
é dans l'échancrure située au-devant de l'épine du tibia un tubercule osseux tout-à-fait semblable aux corps étrangers articul
production cartilagineuse; il en résulte au contraire une production osseuse , si c'est du phosphate calcaire; et souvent les c
caire; et souvent les corps étrangers sont à la fois cartilagineux et osseux . On voit aussi que des végétations osseuses pédic
à la fois cartilagineux et osseux. On voit aussi que des végétations osseuses pédiculées ou non pédiculées peuvent, en se détac
n'est plus facile que la séparation de quelques-uns de ces tubercules osseux . Indépendamment de ces deux modes de formation de
considère que la surface intérieure du canal médullaire est un réseau osseux , dans les mailles duquel le sang est déposé ; je
de la verge dans le système veineux. Le sang déposé dans les mailles osseuses ouvertes et inflexibles, entraine avec lui les gl
rement encore de la phlébite diploïque. Or, l'inflammation des veines osseuses s'applique comme cause d'abcès viscéraux, non-seu
u spongieux des os n'est autre chose qu'un tissu caverneux à parois osseuses , dans lequel le sang veineux circule incessamment
dilatation avec amincissement de toutes ses cavités. Crâne. Parois osseuses ^très-épaisses ; bulbe raehidien d'une densité tel
nt très développés. La vésicule biliaire est remplacée par un kyste osseux , contenant une matière d'un blanc jaunâtre, brill
ane cérébrale extrêmement ténue qui tapissait la totalité de la voûte osseuse , et que nous avons montrée soulevée sur la faux.
enta; on peut en distinguer deux espèces. Dans l'une, c'est une coque osseuse ou plutôt pierreuse, ayant une, deux ou trois lig
rer dans son épaisseur. Dans l'autre, ce sont des espèces d'aiguilles osseuses qui pénètrent le placenta et le traversent dans t
( Journ. de médec., frimaire an x), chaque cotylédon avait sa plaque osseuse : et toutes ces plaques, qui avaient de trois à q
ations qui permettaient aisément la sortie du placenta. Chaque plaque osseuse présentait des rayons divergents qui procédaient
ditions particulières seraient-elles le défaut de continuité du canal osseux , les interruptions qu'il présente entre les vertè
rendre compte du spina bifida. L'adhérence une fois établie, le canal osseux étant imparfait, il est tout simple que le liquid
bre musculaire en tissu cellulaire, en tissus fibreux, cartilagineux, osseux ; la formation dans leur épaisseur, des kystes de
u milieu de la matière graisseuse. Ce fragment présente 1° une plaque osseuse PO, 2° une petite tumeur pédiculée TC criblée le
tissu cutané. Dans l'épaisseur de cette petite tumeur était un noyau osseux amorphe; mais nulle part je n'ai trouvé de traces
ien évidemment un fragment de peau. La fig. 5 représente la portion osseuse qui soutient les dents : il est probable que cett
on osseuse qui soutient les dents : il est probable que cette portion osseuse appartenait à l'os maxillaire supérieur ; l'échan
orme de dents soudées entre elles et soutenues par quelques fragments osseux ; ces dents faisaient saillie dans le kyste pileux
e tissu adipeux; qu'au milieu de ce tissu adipeux était une charpente osseuse DO, DO, de forme fort irrégulière, dont toutes le
e d'un os. La substance cornée S C , S C, emboîte une petite avance osseuse . La fig. 4 représente le petit squelette vu sou
es dans des alvéoles; les alvéoles étaient supportées par un fragment osseux plus ou moins considérable , caché dans l'épaisse
idérable , caché dans l'épaisseur des parois du kyste; et ce fragment osseux , m'a paru, dans quelques cas, appartenir à l'os m
rable que dans le cas représenté pl. V; mais au milieu de cette masse osseuse dont toutes les parties étaient soudées entre ell
i° de la présence des os dans les kystes ovariques et de ce squelette osseux si compliqué , représenté pl. V» La production
ntenues dans des alvéoles: ces alvéoles sont soutennes par des débris osseux . Les débris osseux varient, le nombre des dents v
véoles: ces alvéoles sont soutennes par des débris osseux. Les débris osseux varient, le nombre des dents varie ; ces dents re
passent pas le cercle des tissus celluleux, fibreux, cartilagineux et osseux . Jamais un nerf, un muscle , et à plus forte rais
nt échappé à la destruction et alors on trouve des dents, des parties osseuses du tissu cellulaire, sous-cutané, des ongles. C
de l'épine diversement infléchie était contenu dans une petite boîte osseuse . La cavité abdominale était remplie par les viscè
s prêtes à percer à chaque mâchoire. )) L'enveloppe était en partie osseuse et en partie cartilagineuse; elle avait presque p
kystes contenant des fœtus momifiés, kystes fibreux, cartilagineux , osseux , ne pouvaient pas être formés par le tissu même d
la conversion du tissu de l'utérus en kyste fibreux, cartilagineux et osseux , mais bien sa transformation en un tissu d'appare
onnent expressément la densité de structure fibreuse, cartilagineuse, osseuse des kystes où ont séjourné les fœtus momifiés.
it en arrière : il n'a vécu que cinq minutes. » XLXe LIVRAISON. j osseuse ouverte par sa paroi supérieure, les pariétaux P
asilaire ; à moins qu'on ne considère comme vestige un petit fragment osseux O B? situé derrière l'occipital latéral droit OL
la tumeur formée parla matière encéphaloïde infiltrée dans une trame osseuse aréolaire : le cylindre médullaire était rétréci
Dans le cancer par masses disséminées des os, ce n'est point le tissu osseux proprement dit qui est envahi, mais bien le tissu
ées desos, ne sont point accompagnés du développement i clu tissu osseux qui constitue la spina ventosa; bien au contraire
u sur l'autre des trois parties constituantes des os, périoste, tissu osseux , tissu adipeux médullaire, tantôt sur ces trois é
au périoste; i° du cancer intéressant à-la-fois le périoste, le tissu osseux et le tissu médullaire, je citerai l'observation
dans ce cas, le périoste, le tissu adipeux médullaire et la substance osseuse elle-même, avaient été envahis. Ce fait prouve
exemple d'altération simultanée de la membrane médullaire et du tissu osseux , avec intégrité du périoste, je citerai l'observa
, et paraissaient contenues, sans y adhérer, dans une espèce de coque osseuse irrégtilière à parois rugueuses dont elles rempli
rande quantité de sucs cancéreux. Elles avaient usé, corrodé le tissu osseux à la manière d'un anévrysme; aucune végétation os
orrodé le tissu osseux à la manière d'un anévrysme; aucune végétation osseuse n'attestait un travail morbide développé dans l'é
se n'attestait un travail morbide développé dans l'épaisseur du tissu osseux . Le foie, qui avait triplé de volume, était far
isa-ce tions vasculaires : on rencontrait çà et là quelques molécules osseuses ayant appartenu au diploé. » Une tumeur fibreus
onférence. On ne trouvait pour vestige de l'os que quelques parcelles osseuses rares. Les cellules que présentait l'épaisseur de
des cancers des os qui envahissent la membrane médullaire et le tissu osseux tout à-la-fois; tandis que dans les cas que j'ai
16 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
inférieurs di- minue on voit alors très nettement les déformations osseuses . Aspect, du malade. R. debout présente l'aspect
tiasis. Le pied semble normal, de forte taille; pas d'irrégularités osseuses , les orteils sont un peu rejetés en dehors. L
ace externe est plus irrégulière encore : elle présente des plaques osseuses surélevées, constituant de larges écailles de plu
s métatarsiens des deux pieds semblent participer il l'hypertrophie osseuse généralisée, bien qu'à ce dernier point de vue il
x, en avant, par la symphyse pubienne forment avec lui une ceinture osseuse résistante par l'intermédiaire de laquelle le p
e les triceps suraux ont perdu presque toute action sur les leviers osseux qu'ils sont destinés il mouvoir. L'examen des mou
e rapporte à des amyotrophies consécutives, soit à des déformations osseuses ou articulai- res, soit à des paralysies. 1 T
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE E Ilinenses, ligamenteuses, cartilagineuses, osseuses , atteignant les plus extraor- dinaires proporti
te J. Paget, aussi compétent que personne en matière tl'afl'eclions osseuses et articulaires, acceptèrent ses conclusions. P
ts articulaires. En vain, nous cher- chons à retrouver les saillies osseuses qui sont nos points de repère dans l'ex- ARTHRO
e sont plus à leur place. Là où se trouvait antérieurement une tète osseuse , nous devinons une cavité. Chez la malade que n
oujours la dislocation terminale, avec ceballotage des extrémi- tés osseuses dans des sortes de pseudartliroses identiques a c
des troubles dont le siège primordial est le périoste ou la moelle osseuse . Il ne saurait être question des cartilages : l
inopinément a l'occasion du moindre effort. La friabilité du tissu osseux relève d'un processus de dénu- trition que l'an
est connue, et vous savez aussi qu'elle est toujours primitivement osseuse . La synoviale tarsienne n'y participe pas. C'es
bien le pied cassé delà chi- noise. Ainsi, les troubles tro[Oiclucs osseux c'est là que j'en veux venir sont primitivement
ale (Fie. G8). Vous pouvez constater aujourd'hui que les contours osseux de la jointure sont absolument méconnaissables.
nctionnelle préside il ces variations contradictoires de la nutrition osseuse , il faut soupçonner que le molle d'activité du
ais maintenant vous montrer une malade chez laquelle les extrémités osseuses ont littéralement fondu dans le liquide synovial,
e la région tibio-tarsienne avec une éruption purpurique. La lésion osseuse du pied gauche date déjà de plusieurs années. O
lief.relatif de la voûte 'acl'omi07Claviculaioe.. Celte disparition osseuse donne ,1 l'articulation scapulo-humcrlle.tme.mobi
en de- dans. Ici encore les ostéopathies portent sur les extrémités osseuses du fémur et du tibia. Dans les deux genoux, l
nlre dans l'hypertro- phie du membre. Il se pourrait que les tissus osseux et musculaires n'y fussent pas absolument étran
equel il a trouvé en l'absence de toute arthropathie une production osseuse au-dessus du muscle anconé; elle était longue,
onstant de trouver des craquements en rapport avec l'état des tètes osseuses (usure des cartilages). Les ligaments et les caps
s articulaires. Nous avons vu qu'il pouvait exister des productions osseuses soit intr2-cap- sulaires, soit extra-capsulaire
séparées de toutes leurs connexions, soit il est vrai dans le canal osseux , mais sans que Figure Ce Le rapport des nerfs r
éorie musculaire (paralysies, contractures) ; 2° Théorie trophique ( osseuse , articulaire, ligamenteuse). On ne saurait expl
cas. D'autre part, le malade porte des traces nombreuses de lésions osseuses et articulaires. La scoliose relevait d'une alt
sanguins et lymphatiques, les tissus conjonctifs et jusqu'au tissu osseux lui-même. L'équilibre dont il s'agit est indis-
de tabes sensitif a des troubles trophiques articulaires et surtout osseux , parce que les centres spinaux de réaction nutri-
action nutri- tive qui régissent l'équilibre fonctionnel des tissus osseux ou cartilagineux ne connaissent rien de l'écorc
er les attitudes vicieuses qu'entraînent les déformations des fêtes osseuses . Ainsi dans l'observation de Roth (va- riété hy
logique. Contentons-nous de dire qu'elle résulte d'une hypertrophie osseuse , le plus souvent. La région atteinte conserve d
ariété hypertrophique on constate non seulement une prolifé- ration osseuse (ostéophytes) mais aussi une néoformation du tiss
ois la cavité articulaire. Des fragments, déta- chés des extrémités osseuses , flottent, souvent nombreux, libres ou fixés (1
épaissie et par place ossifiée. Sokoloff pense que les productions osseuses extra-capsulaires distinguent les arthropathies
nent aussi aux. arthropathies neuropathiques. Quant aux productions osseuses extra-articulaires il est difficile de leur ass
es leurs formes, depuis celles qui par l'étendue des destruc- lions osseuses , l'indolence, la concomitance de troubles centrau
, certaines ostéo-arthrites tuberculeuses, lorsqu'à l'hypertrophie. osseuse se joignent de l'empalement irrégulier des tissus
tout au genou etau coude, l'ostéo- sarcome, lorsqu'à l'hypertrophie osseuse et à l'hydarthrose se joint un oedème dur péri-
ême trophique d'or- dinaire ; la synoviale s'enflamme, les surfaces osseuses se dénudent, se dé- litent, s'éliminent sous l'
nt parfois une destruction étendue des cartilages ou des extrémités osseuses ainsi que nous l'avons constaté dans un cas où
aies des nerfs. Elle transforme le carpe ou le tarse en des massifs osseux dont, à la longue, les synoviales et les cartil
mal perforant, sauf dans les variétés les plus atténuées, la lésion osseuse joue un rôle beaucoup plus considérable que la
es articulations atteintes, ankylose souvent fibreuse, parfois même osseuse avec atrophie des extrémités articulaires const
, des ligaments très distendus, des cartilages érodés. sans lésions osseuses même au microscope. Un peu de a M ..., 1=
Fig. 86, 87, et 88. - Pied tabétique. A. Aspect clinique et B lésions osseuses (vues en place et après écartement de l'astragale
t, de modifier la sur- face synoviale el de supprimer les fragments osseux mobiles qui l'irri- 312 NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
du genou à forme atrophique, avec hydarthrose et nombreux fragments osseux mobiles. Tous les 8 ou 10 pas, sans doute par i
ou des deux côtés de la rotule, évacuai le liquide et les fragments osseux , et maintins douze jours en contact avec la sur
jours après le genou gauche; il se fit des deux côtés une réu- nion osseuse complète et rectiligne; la station debout et la m
ue, peut-être ne s'oppose-t- ellepas à toute tentative d'orthopédie osseuse opératoire. Dansune arthro- pathie syringomyéli
assagers : nuls si la résection ne peut dépasser la zone d'atrophie osseuse , passagers si elle la dépasse, car le pro- cess
passe, car le pro- cessus d'origine médullaire détruit les surfaces osseuses mises en contact après avoir détruit les surfac
étique, ne purent obtenir l'ankylose déviée. En somme, l'orthopédie osseuse ne parait devoir jouer dans la thérapeu- tique
travers la peau, puis nécrosée, la résection de toutes les parties osseuses malades s'impose : l'étendue des lésions osseuses
outes les parties osseuses malades s'impose : l'étendue des lésions osseuses et la gravité des accidents infectieux peuvent
tion habituelle doit avoir également pour but d'enlever les parties osseuses nécrosées : mais là d'or- dinaire suffit un tra
peux' s'est amplement garni de graisse ; les méplats et les reliefs osseux ont disparu ; bref, la morphologie du corps est d
aux trépidations communiquées à l'inertie de celles-ci par la paroi osseuse sous-jacenle. Fondions sismesthésiques. 8° Enfi
Fracture de la Vie dorsale ; déplacement en arrière d'un frag- ment osseux demi-circulaire comprimant la moelle. Ablation de
ts périphériques perdent leur gaine de Schwann en sortant des biles osseux du labyrinthe. Les centraux perdent la leur pro-
directement, soit après un certain parcours dans la rampe spi- rale osseuse , aux cellules du ganglion de Corti, formant le ra
'écartement des faisceaux vestibulaires divisés au niveau des biles osseux . Ceux du ganglion de Corti sont rangés en colonne
slliésie avec retard vu 25 Fig. 96. - Mécanisme de la compression osseuse de la moitié gauche de la moelle chez le malade
terai une guérison qui ne fût pas survenue spontanément. L'esquille osseuse , qui chez le premier de mes opérés comprimait la
17 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
olume. D'ailleurs la radiographie, annexée, montre que les surfaces osseuses sont absolument saines (Pl. Il). Sur la peau de
r ? : ' Il ne peut s'agir d'oedème, reliquat, témoin d'une fracture osseuse mal consolidée, d'un cal douloureux. Plus encor
gique, la radiographie nous montre l'intégrité absolue des surfaces osseuses . Il n'existe également dans le petit bassin, au
e, continue et prolongée ? Il est plus probable que les altérations osseuses étaient primitives, et que nous avions-là, sous
l, je la fis sauter avec une pince coupante ; la surface de section osseuse fut régularisée et arrondie à la pince-gouge, e
éophytes » ; la radiographie montrait fort nettement une végétation osseuse péri-articulaire. Ces ostéophytes et ces ankylo
gls voisins, et l'obstacle est, ici, d'autantplus réel, que la tète osseuse est le plus souvent, elle-même, « hypertrophiée
l'humérus. Cette nouvelle cavité articulaire présente des parties osseuses et des parties fibreuses (PI. XVI). Les parties
es parties osseuses et des parties fibreuses (PI. XVI). Les parties osseuses sont la tète numérale, la cavité glénoïde de l'
i- nes pseudarthroses. Le tissu fibreux interposé entre ces parties osseuses limite la grande cavité articulaire. Cette nouv
e ; l'exploration au stylet ne permet pas d'arriver sur une surface osseuse dénudée. Il n'existe pas de mal- formation du c
on chirurgicale s'impo- sait ; elle montra l'existence d'un pertuis osseux , donnant accès, après trépa- nation, dans une g
eu adhérente à la face interne de cette laine et an reste du rebord osseux . Une certaine quantité de liquide clair s'échappe
néraux qui accompagnent l'ostéomyélite du crâne, à une localisation osseuse de la tuberculose ou de la syphilis. Mais, tandis
ec d'autres manifestations graves de même nature, les localisations osseuses de la syphilis héréditaire peu- vent apparaître
ter celte hypothèse, en raison des caractères spéciaux de la lésion osseuse . L'évo- lution ultérieure ne contredit pas cett
incomplète par un tissu fibroïde et exceptionnellement par du tissu osseux . Nous savons, depuis Fournier, la fréquence des l
ments et les perforations les plus étendues. Avec moins de réaction osseuse , d'autres formes de syphilis crânienne entraîne
ec la dure mère, nous la croyons en relation directe avec la lésion osseuse ; elle marque la première localisation de l'inf
hissement des méninges : la gomme naît dans le périoste ou le tissu osseux , perfore la table interne, atteint les tissus sou
faire une étude très sugges- tive sous le titre suivant : Syphilis osseuse héréditaire tardive, type Paget. Types infantil
l'a souvent répété à tort.» Au moment de son évolution cette lésion osseuse n'était sans doute pas indolore, quoi qu'en dis
férieure du tibia, régularise celte extrémité et enlève une portion osseuse qui semble être formée de la surface articulair
ment des masses musculaires, la radio- graphie nous montre un noyau osseux interposé à l'os iliaque et au tibia et qui rep
adiographies, on ne trouve, en dehors du tibia, la trace d'un noyau osseux . Pieds. Dans le squelette du pied, les malforma
I). A droite le tibia apparaît soudé depuis l'opération à un massif osseux qui semble formé de l'union de ce qui reste d'a
se poursuit jusque vers la région lombaire. Le fond de la fosse est osseux et formé par les os de la face antérieure des c
nor- males de cette face sont complètement absentes ; c'est un plan osseux extrêmement tourmenté. Derrière le front, une
mètre de profondeur forme un fort sillon transversal ; puis le plan osseux se relève et forme un large plateau, ayant 3 ce
ipital, ses masses latérales concourent à la formation de ce massif osseux . A sa partie antérieure et médiane est l'hypoph
imètres de diamètre, grisâtre par sa large base elle adhère au plan osseux , à sa partie libre flottent des (1) Nous devons
e sectionnées par une ligature. Sur les côtés de ce grand plateau osseux , en arrière de l'hypophyse, sont deux nerfs qui
rière de l'hypophyse, sont deux nerfs qui s'enfoncent dans la paroi osseuse , par un orifice au Scui.MA ne 1. N. 01. nerf ol
e, mais dans une gaine qu'envoie celte membrane au pourtour du trou osseux . Les dits ganglions sont très dé- veloppés à la
Schéma no 2. D. M. dure-mère. - g s. ganglion sensitif. 0 s. plan osseux . - N. phr. nerf phrénique. G. S. grand sympat
nerfs précédents ; il a un long trajet entre la dure-mère et le plan osseux que forment le sphénoïde, le rocher et l'occipi
ures costales, ces vaisseaux et nerfs passaient en de- dans du plan osseux , souvent au fond d'une petite gouttière. Tout l
couche graisseuse sous-cutanée rend plus appa- rentes les saillies osseuses : à la face, en particulier, les deux os malaires
ormées non seulement de tissu fibreux adulte, mais surtout de tissu osseux . (1) Une regrettable erreur de technique, consi
une dilatation de la selle turcique, cet élargissement de la cavité osseuse cor- respondant évidemment à l'augmentation de
de Pierre Marie, et cela, avanl même l'apparition des déformations osseuses caractéristiques (1). En réunissant les différe
: 10 On a pu, par exemple, relever chez lui la présence de plaques osseuses méningées spinales, signalées dans plusieurs ca
que nous l'apprit l'autopsie, gênée dans son expansion par la basse osseuse du crâne, s'était développée dans le ventricule l
tuer des men- surations précises. Elles montrent que l'hypertrophie osseuse n'est pas parallèle à celle des parties molles
up moins prononcée aux autres doigts et à la main. L'hyper- trophie osseuse est au contraire plus marquée au médius qu'aux au
uis l'index et l'auriculaire, en flexion incomplète ; aucune lésion osseuse ou articulaire ne justifie cette attitude. Il n
certains cas, vient se surajouter aux autres dystrophies (cutanées, osseuses , vasculaires, glandulaires) si souvent alliées
ne sur l'autre. Au-dessus de la seconde phalange, on sent un nodule osseux , irrégulièrement arrondi, du volume d'un gros poi
c une extrême rareté et, parmi les nombreuses relations d'anomalies osseuses du membre supérieur, nous n'avons pu trouver qu
quelette est remplacé par un cordon fibreux aboutissant à un nodule osseux , seul reste de l'os phalangien. L'examen anatomiq
e n'est point terminale, portant sur l'extrémité même d'une colonne osseuse , elle est intercalaire, intéressant l'un des os
uventpartie d'une hémimélie terminale, intéressant toute la colonne osseuse à partir de la phalange unguéale. L'absence tot
. . Tout se passe comme si les phénomènes corrélatifs de la colonne osseuse des membres se déroulaient de bas en haut et no
la forme (1), n'est pas d'ordinaire stricte- ment limitée au tissu osseux . Bien au contraire, elle porte sur l'ensemble d
u moins intense des vaisseaux immédiatement voisins de la variation osseuse , mais non point de l'artère radiale elle-même dan
et'laissa échapper un liquide sanieux, non puru- lent, sans débris osseux ; toujours ces phénomènes pseudo-inflammatoires
là une cicatrice, souple, non doulou- reuse, non adhérente au plan osseux . Au niveau du pied droit, sur la face plantaire
mois ; il s'écoula un liquide sanieux, non purulent et un séquestre osseux . On remarque encore actuellement la trace de l'
tibio-tarsienne et laissa échapper le même liquide, sans fragments osseux ; puis, peu à peu, le pied parut se disloquer,
endant toutes ces explorations, la main perçoit de gros craquements osseux , témoignant de l'usure des surfaces articulaire
distance. Si l'on cherche à se rendre compte de l'état des parties osseuses sous-ja- centes, on y arrive difficilement : le
ial est également très épaissi. On ne peut reconnaître les éléments osseux du tarse. Le reste du squelette est absolument
ées de pose varia- bles ; on n'a jamais pu obtenir que des contours osseux très vagues, qui ne permettaient de distinguer
osseux très vagues, qui ne permettaient de distinguer aucun segment osseux . Traitement. Le malade est mis au traitement sp
rugueux, déchiqueté, privé de son cartilage articulaire ; le tissu osseux est friable, se laisse entamer facilement. Dans
lléole péronière sont résé- quées partiellement; pendant la section osseuse le malade ne ressent aucune douleur. L'astrag
phie faite au moment du [départ du malade nous a donné des contours osseux mal définis, mais cependant suffisamment nets pou
enclavent, pour ainsi dire, le calcanéum ; deux véritables remparts osseux , remplaçant les malléoles, paraissent ainsi s'êtr
tentée plusieurs fois, mais sans beaucoup de succès : les contours osseux demeurent toujours très flous. Au point de vue
s multiples, des tissus sphacèlés, l'issue au dehors des extrémités osseuses , tout cela donnait une physionomie nouvelle au me
te opération, soit que l'on se contente de supprimer des extrémités osseuses , nécrosées, ayant fait issue à travers la peau,
articulaires se rétracter et mettre ainsi au contact des extrémités osseuses très éloignées l'une de l'autre. Sans doute, le
celle-ci doit être réservée aux cas désespé- rés, lorsque le tissu osseux a entièrement disparu ; mais lorsque le sque- l
istante à la région déprimée, fÙt-elle allée jusqu'à sentit'Ie plan osseux .(V oir Pl. LXV, fig. 1 et PI.LXVI, fig. 3.) L
18 (1911) La pratique neurologique
suppuration du tissu cellulaire de l'orbite développée dans la paroi osseuse ou venant des sinus, une tumeur de l'orbite, un
le laby- rinthe en passant par les fenêtres ou en érodant la paroi osseuse de la caisse ou de l'aditus : il en est ainsi d
pas que l'intervention est ici particulièrement grave. Les tumeurs osseuses de la base du crâne, les traumatismes peuvent e
avec la caisse dont il n'est séparé que par une très mince lamelle osseuse souvent percée de trous ou même largement déhis
n du pus se fait parfois à travers l'os intact par les capillaires, osseux et les veinules qui se déversent dans le sinus
doute que l'éiroitesse relative de la loge il parois inextensibles, osseuses et fibreuses, dans laquelle ces tumeurs peuvent
es régions où ils sont superficiels, et où ils reposent sur un plan osseux : nerf cubi- tal dans la gouttière 1"pitl'ochlé
les cas d'anesthésie hysté- rique très prononcée. E) Sensibilité osseuse ou sensibilité vibratoire. Le périoste est do
urs d'opéra- tions chirurgicales. L'application de la sensibilité osseuse à la clinique est de notion récente (Egger, '18
quelconque du corps. Ce n'est donc pas, d'après eux, de sensibilité osseuse qu'il faut parler, . mais bien de sensibilité [
296 SENSIBILITÉ. Séméiologie. - Les altérations de la sensibilité osseuse ou vibratoire s'observent fréquemment en cliniq
, de force et de poids. Fig. 10. Tabes. Abolition de la sensibilité osseuse sur tout corps, sauf le crâne et la face, les c
'après Dejerine). Fig. 11. - - Tabes. Abolition de la sensibilité osseuse dans les os du .membre, inférieur, . le bassin
sme entre la topographie de l'anesthésie cutanée et de l'anesthésie osseuse dans un cas de compression, médullaire (d'après R
thésics, de la [ROUSSI'.] ] Fig. 14. - Troubles de la sensibilité osseuse dans le cas précédent. 308 .' i. SENSIBILITE.
u sens musculaire, la diminution ou l'abolition de la sen- sibilité osseuse ; e) une hémiparapiégie ou une hémiplégie (suiv
es des sensi- bilités profondes, et en particulier à la sensibilité osseuse , au sens sté- réognostiquc et au sens musculair
îles troubles de la sensibilité tactile, douloureuse, thermique et osseuse chez un alaxique de quarante-sept ans, ancien syp
erte du sens musculaire, du sens stéréognostique., des sensibilités osseuses et articulaires peuvent se rencontrer isolément o
anal vertébral (méningite tuberculeuse ou syphilitique, compression osseuse ou par lumeur, cancer vertébral, mal de Pott). En
ésie. Les sensibi- lités profondes : sens musculaire, sensibilité osseuse , sens stéréo- gnostique enfin peuvent être at
la face, augmentation du tissu graisseux sous- cutané, hypertrophie osseuse , etc. Rappelons aussi parmi les (roubles trophi
et de ses annexes, les fumeurs de la région crurale, les affections osseuses du bassin, les anévrismes des artères iliaques,
atismes, de chutes sur le siège, dépendent-elles de lésions locales osseuses , ligamenteuses ou musculaires. Les douleurs de
hez les différents sujets. Certaines céphalées dépendent de lésions osseuses du crâne (ostéites, périostites, exostoses, etc
TEMENT DES NÉVRALGIES. ' 425 longitudinale du zygoma), cette arrête osseuse est toujours assez facile à sentir, elle se con
ontinue du reste en bas avec le rebord antérieur du conduit auditif osseux que l'on peut toujours reconnaître. Au niveau de
le tubercule antérieur du tibia : on sentira entre ces deux points osseux une surface moins résistante, dépressible sous le
oelle par un mal de Poil, par une tumeur vertébrale, par une tumeur osseuse s'accompagne de paraplégie spasmodique dans une
membre d'ailleurs, il y a abolition des sensibilités musculaire et osseuse . On rencontre parfois de la dissociation syringom
paraplégies l1ac('ides. 2" // existe presque toujours des symptômes osseux , de la défor- mation rachidienne, de la douleur
s ! J1'il1golll ! Jélie, maladies dans lesquelles la défor- mation osseuse , la dissociation tactile, douloureuse, thermique,
et nous nous occuperons spécialement de ces cas où la tuberculose osseuse est peu apparente ou même tout à fait dissimulée.
apparente ou même tout à fait dissimulée. D'ailleurs, les troubles osseux sont les mêmes ou il peu près dans tous ces cas.
tion : atrophie, incontinence, fièvre, fourmille- ments, rachialgie osseuse , abolition des réflexes, troubles électriques.
étroitement localisée permettront de reconnaître les effondrements osseux , les fractures ou les luxations. Enfin, l'examen
ntion des matières ci Fig. 2. Cône médullaire et épicône. Vertèbres osseuses inférieures et moelle inférieure avec ses diffé
u pouce s'insère en haut sur la face postérieure du ligament inter- osseux et des deux os de l'avant-bras, principalement du
arpien, il se rend au tendon extenseur de l'index. Le second inter- osseux dorsal s'insère sur la face cubitale (partielleme
RIEUR. mis ligne courbe postérieure de l'os coxal et sur la surface osseuse située en arrière de cette ligne, sur le ligame
s. Interosseux. Insertions. Il existe au pied sept muscles inter- osseux : quatre interosseux dorsaux et trois interosseux
artilages des cinq ou six premières côtes, ainsi que sur la portion osseuse de la sixième ou de la septième. Tous les faiscea
cule. Il s'insère sur le premier cartilage costal et sur la portion osseuse correspondante de la première côte. D'autre par
esthésie présentait la dissociation syringomyeliqnc. La sensibilité osseuse , le sens musculaire, le sens des attitudes peuv
ce pronos- tic sérieux des paralysies obstétricales. Le squelette osseux peut ne pas se développer, et il en résulte un
facial au voisinage du ganglion géniculé par une épaisseur de paroi osseuse qui ne dépasse pas un quart de millimètre. D'ap
res phalanges sur les métacarpiens est conservée (action des inter- osseux innervés par le cubital),- la flexion des deuxièm
u triceps sural, du long fléchisseur commun des orteils, des inter- osseux du pied (voir pages 549, 551, 555). La paralysi
usculaires normales sont remplacées par des mé- plats, des saillies osseuses anormales apparaissent là où d'ordinaire l'os e
té à une même distance soigneusement comptée à partir d'une saillie osseuse qui servira de point de repère; il faut qne la po
au- matisme minime. C'est sans doute à une sem- blable atrophie osseuse , à un processus plus ou moins ostéo- malaciqu
ésentaient un aplatissement manifeste du thorax. Des déformations osseuses s'ont à rapprocher certaines déformations art
ement de la capsule et des li- garnenrs et promeramons aes suriaces osseuses et des attacnes ligament- teuses. La pathogénie
nterosseux et les lombricaux se pren- nent, les espaces inter-, osseux se creusent, les métacarpiens font saillie, l
veloppement qui atteint tous les tissus, et en particulier le tissu osseux ; elle est plus ou moins propor- tionnelle à l'a
égie cérébrale infantile, le trouble du développement musculaire et osseux est d'ordinaire minime. Dans l'hémiplégie et la
segment de membre oÙ la totalité des tissus, entre autres le tissu osseux , prennent part à l'hypertrophie, soit de tropho
portionnels aux troubles de la sensibilité profonde, articulaire, osseuse et surtout musculaire, qui paraissent avoir dan
bilité cutanée, la sensibilité profonde, musculaire, articulaire et osseuse ; s'il exécute plus mal encore les mouvements plus
propre au bulbe. , On conçoit aisément, en se représentant le cadre osseux étroit en lequel se resserrent le bulbe et ses
encore par accidents extrin- sèques,rnéningites, tumeurs ou caries osseuses . Quelle que soit l'étiologie en cause, il quels
ngomyéliques. Ces malades peuvent, en effet présenter de l'atrophie osseuse ou téguinen- faire et notamment de l'hémiatroph
, observer consécutivement au pemphigus siégeant sur les sail- lies osseuses des ulcérations atteignant les articulations. D
fle; il y a très rapidement formation de séquestres et destructions osseuses . Ces lésions sont à distinguer des cas où l'atr
tions osseuses. Ces lésions sont à distinguer des cas où l'atrophie osseuse , sans lésion des tégu- ments, intervient, seule
e- houllet). On rencontre également chez l'adulte des hypertrophies osseuses segmentaires consécutives aux fractures (Boger
taires consécutives aux fractures (Boger et Garnier). Les atrophies osseuses sont d'observation beaucoup plus fréquente que
segments. Enfin, dans une autre catégorie de faits, la résorption osseuse demeure incomplète, il y a seulement tassement
osseuse demeure incomplète, il y a seulement tassement des segments osseux . Par ce méca- nisme se forment les scolioses de
es tumeurs b ulbo- proLuhérnn- ticlles. - En dehors de l'atrophie osseuse massive, les affections du système nerveux pe
ion. S'agit-il vraiment d'une trophonévrose vraie dans la fragilité osseuse idiopathique, dans t'osteopsathyrosis de Lobstein
ppression pure et simple de l'articulation par résorption des tètes osseuses . : Fig. IG - Iléinialropliie faciale . cas de R
ée par ses dimensions souvent énormes, l'étendue des destruc- tions osseuses , l'indolence, il. convient, nous le répétons, d'o
ésen- tant que d'insignifiantes altérations, crépitent des surfaces osseuses dont tous les rapports normaux ont disparu. Le
vités articulaires et à la destruction des plateaux et des condyles osseux .- Finalement se prononcent des désordres énormes,
11 se forme ainsi d'énormes poches ou s'entrechoquent des moignons osseux . L'évolution de ces lésions est- essentiellemen
t Weill ont observé l'hypertherinie locale dans un cas de mala- die osseuse de Pagel unilatérale. La fièvre l'ait partie du
et de chaque côté de l'orifice du canal sacré, les deux tubercules osseux qui, avec la pointe du coccyx en bas, forment l
s, soit à une maladie dystrophique ou inflammatoire essentiellement osseuse ou ostéo-articulaire. Quand les altérations porte
ain sur l'avant-bras : Mains-botes : Congénitale : par malformation osseuse ; paralytique; spasmodique. Acquise : paralytiqu
s bu moins complètement déve- loppés, contenant ou non un squelette osseux . . La mégalodactylie (fig. 1) est l'hypertrophi
ts peut se faire uniquement par des parties molles ou par des ponts osseux . La polydactylie et la syndactylie coexistent p
hies globales semblent dues à un dévelop- pement exagéré du système osseux , du tissu musculaire et surtout de l'appareil v
ous devrions décrire les mains- botes congénitales par malformation osseuse : il nous paraît plus utile d'en faire plus loi
in en araignée. . Il. DIFFORMITÉS ACQUISES A) DANS LES AFFECTIONS OSSEUSES SYSTÉMATISÉES, IiYPERTROPHL1\TES -- - Acromégal
rmités des mains doivent être rap- prochées des hypertro- phies osseuses systéma- tisées dont nous venons de décrire l
ment des. épiphyses articulaires, les ostéophytes et les bourrelets osseux qui les entourent, l'épaississement des synovia
ntre dans le rhumatisme déformant une hypertrophie des extrémités osseuses , un empâtement général sans li- mitation préc
sans craquements ni frois- sements, sans ankylose. Ces nodules sont osseux et non uratiques, non perméables aux rayons X;
s doigts tiennent à une lésion exclusivement limitée aux extrémités osseuses ou étendue il la fois aux diaphyscs et aux épip
coup plus ordinairement par suppuration qui entraîne des séquestres osseux et détermine parfois des mutilations des doigts,
tissus périarti- culaires, et notamment des tendons, sans ankylose osseuse . Rarement il y a au contraire une laxité anorma
contractures, secondairement des rétractions et des déforma- tions osseuses . 11 est souvent difficile de se rendre compte si
e parfois si ce n'est pas une altération non musculaire, une lésion osseuse ou fibreuse ; une déformation très ana- logue p
peuvent être paralytiques, spasmodiques ou dues il une malformation osseuse . Les mains-botes congénitales avec malformation
alformation osseuse. Les mains-botes congénitales avec malformation osseuse sonl très rares, alors que les pieds-bots de mê
ec les autres mains-botes. La main-bote congénitale par déformation osseuse est fréquemment S ! IIIU>- ll'ique nwe dévia
miner le plus souvent la mort de l'enfant. L'arrêt du développement osseux caractérise généra- lement cette forme de main-
seconde et troisième phalanges, par suite de l'intégrité des inter- osseux , lorsque l'observateur étend passivement la main
meler au uma en lame de sabre, « tibia Lannelongue » de la syphilis osseuse , mais elle est fréquemment aussi latérale ou ir
rophiante ; mais elle n'est pas accompagnée des autres déformations osseuses que l'on observe dans ces maladies. De plus son
ouloureux, sa tuméfaction excessive, son irrégularité, ses saillies osseuses inégales et parfois mo- biles, sa laxité, sa di
ital très fréquente, c'est le pied-bot congénital avec malformation osseuse (fig. 5); elle mérite d'être étudiée d'abord. Q
alytiques ou spasmodiques. Le pied-bot congénital avec malformation osseuse estunilaléral ou plus souvent bilatéral et symé
ied. ' [A. LÉRI.] Fig. 5. Pied-bot congénital avec malformation osseuse . En même temps malformation de la main qui n'
t, mais plus tard les rétractions tendineuses et les défor- mations osseuses , les atrophies des muscles relâchés ou les hypert
racture secondaire, les retrac- tions fibreuses ou les déformations osseuses aient modifié l'aspect clinique. Les cas typiqu
et de l'extenseur propre du gros orteil, sans paralysie des inter- osseux ; elle peut être due à la contracture des interos
s des formes et des masses musculaires qui entou- rent la charpente osseuse . Dans ces conditions, prises à compter du sol,
s, par une croissance prolongée du squelette el des malforma- tions osseuses , enfin par des anomalies psychiques. . 11 impor
déformation des mains et des pieds, élargissement de la phalangette osseuse , incurvation de l'ongle en « bec de perroquet B,
la constatation des différents stigmates de la spirillose : lésions osseuses , triade de Hutcbiu- son, cicatrices cutanées. C
ignalons cependant les anomalies des doigts, l'absence des segments osseux , les hyperostoses, les apophyses ou canaux anorma
de gorge, des maux d'yeux, des écoulements d'oreilles, des douleurs osseuses , des convulsions, si son développement a été di
ocèle syphilitique, ou bien c'est le testicule infantile. Stigmates osseux . Quelquefois l'enfant a eu dans la jambe des s
ates osseux. Quelquefois l'enfant a eu dans la jambe des s douleurs osseuses , nocturmes et persistantes; quelquefois on a pu o
uand on examine l'enfant ou l'adulte, on constate alors des lésions osseuses caractérisées par une exostose et hyperoslose d
hronique, jetage nasal, épistaxis, ozène et expulsion des fragments osseux . L'effondrement du nez peut se pro- duire sous
tique au point de vue de la céphalée, puisque à côté de la céphalée osseuse et de la céphalée hystérique des syphilitiques,
eau sont des organes de faible densité, clairs, inclns dans un étui osseux compact ; ils sont tels que les modifications m
e nerveux central se trouveront limitées : soit aux cas où la boite osseuse opaque se trouvera déformée ou partiellement ép
nt épaissie ou raréfiée (traumatismes, hyperostoses ou destructions osseuses ), soit aux cas où dans cette boîte opaque aura pé
thies et ostéopathies tabétiques et syringomyéliques, les atrophies osseuses de la paralysie infantile et des scléroses cérébr
ont surtout à mettre en évidence des lésions fines de la structure osseuse , des raréfactions, des hyperplasies ; la radiosco
elle est un excellent moyen de mensuration d'un raccourcis- sement osseux et d'appréciation de son évolution. Pour le reste
détails cherchés, pour la mise en évidence de la structure du tissu osseux , des muscles, des tendons, des bourses séreuses
ts dans un foyer de fracture ou bien l'aspect exact d'une extrémité osseuse luxée. Une stéréoradio- graphie est double et s
pathologiques du crâne et du rachis : ' 5° Déformations trophiques osseuses et articulaires des extrémités, con- sécutives
ffections du système nerveux central ou périphérique; 4° Affections osseuses dystrophiantes, soit systématisées, soit diffuses
faut. en appliquant les trois branches d'un compas sur trois points osseux saillants et faciles à repérer de la région env
tèbres et compression de la moelle, les arrache- ments de fragments osseux d'un corps vertébral ou d'une apophyse venant c
c causal est rendu des plus faciles; mais, même au cas où la lésion osseuse ancienne aurait été méconnue, la radiographie peu
: et ce diagnostic sera d'autant plus important qu'une trépanation osseuse simple, bien locali- sce, relativement bénigne,
érébraux post-trauma1.iques tardifs, à savoir la production de cals osseux exubérants et de compression nerveuse : mais ces
dans la concavité de la courbure cyphotique, l'existence de nodules osseux intra-rachidiens partant des ligaments jaunes ant
G. Legros, que ces 'néo-ossifictions, et notamment les bour- geons osseux saillants dans la cavité rachidienne, apparaissen
ent, de s'en assurer dans les observations ultérieures, ces nodules osseux pouvant très vraisemblablement détermi- ner un
du con- tour. La syphilis du crâne peut déterminer, à côté d'usures osseuses , de pertes de substances, d'ostéoporose diffuse
pro- cessus hyperostosiques et des exostoses, des dépôts de couches osseuses sous-périostiques plus ou moins concentriques,
ue : parfois cependant on a pu constater la dépression des lamelles osseuses qui forment la base sous la poussée de l'hyperten
purement intra-cranielinc, on a observé des atrophies et des usures osseuses décelables sur la plaque photographique, ou une
l'achondroplasie : nous les décrirons plus loin avec les affections osseuses dystrophiantes systé- matisées. Nous signaler
ations qu'il détermine, dues à des luxations ou à des effondrements osseux : dans ces cas, le radiodiagnostic est trop tar
nt donné que. même à cette période, il ne montre que la déformation osseuse sans en révéler la nature. Dans quelques cas un v
n inverse. Il est d'ailleurs impossible de généraliser, les lésions osseuses atrophiques unilatérales des corps vertébraux peu
es nous a en effet permis d'établir que c'est par des neoformations osseuses que le rachis tend à se consolider, que ces néo
tre pour- rait-on voir sur les radiographies ces lIéo('ol'lualiol1s osseuses et cela, on le conçoit, pourrait avoir un certa
rmation notable. Pas de transparence anormale des fosses iliaques osseuses . 2. Spondylose rhizomélique. a) Colonne verté
oeur de carte à jouer). Transparence anormale des fosses iliaques osseuses . I. A. Léiu. La spondylose rhizomélique. Revue
ère. 1906, n" l. [x.r.Eni] 1 1 1 74 RADIOLOGIE. 3" DÉFORMATIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES CONSÉCUTIVES A DES AFFECTIONS D
s articulaires coïncide avec une hyperplasie exubérante des parties osseuses juxta-articulaires, l'arti- culation pouvant di
te attiré l'attention sur un autre mode non décrit de pro- ductions osseuses . Celles-ci se constitueraient dans les tissus pér
tique classique, une pé1'iarJAro- patine d'origine plus fibreuse qu' osseuse . ™ Dans les ostéopathies tabétiques proprement
n comme symptôme tout à fait initial de l"afïection(3) : l'appareil osseux est ici le premier touché et. cette lésion précèd
ément fracturé est alors le plus souvent le siège d'une raréfaction osseuse parfois susceptible d'entraîner la résorption de
urtout par un processus atrnphiqm, la névrite par des néoformations osseuses . Aussi, alors que dans le tabès il y a à la foi
si, alors que dans le tabès il y a à la fois atrophie et rénovation osseuse , dans la syringo.myélie (ar- thropattues et ost
névrites alcooliques et diabétiques, il y aurait des néoformations osseuses prenant leur origine dans le périoste, les tiss
" y : ·' : ? s3 ? " RADIûWGIE. une pÓ'1 ? } ? quée de la substance osseuse du côté paralysé.- Certaines déformations osseu
e de la substance osseuse du côté paralysé.- Certaines déformations osseuses communes dans les myopathies (apla- tissement d
u thorax, taille de guêpe, etc.), doivent faire penser que le'tissu osseux prend une certaine part dans ces affections il
d'atrophie myélopa- (chique ou myopathique; elle montre une aplasie osseuse , caractérisée par le moindre développement et l
e (Nicolas et Favre) un pro- cessus de résorption et de raréfaction osseuses , remarquable au niveau des mains du sujet. Dans
e continuer sans l'intermédiaire d'articu- lations. 4° AFFECTIONS OSSEUSES DYSTROPHIANTES Les affections osseuses dystroph
- lations. 4° AFFECTIONS OSSEUSES DYSTROPHIANTES Les affections osseuses dystrophiantes ne sont pas toutes dues à une lé
pertrophie simple, syphilis, tuberculose, etc. - D'autres lésions osseuses spéciales de l'acromégalie peuvent être déce- l
e il y a des incurvation ? sans grosse modification de la structure osseuse , avec seulement épaississemellt de la couche co
, la couche compacte est mal délimitée vers le centre, vers la moelle osseuse , elle est mal délimitée aussi vers la périphéri
r il ce diagnostic étiologique. L'arrêt de développement du système osseux est caractérisé dans le myxoedème par la persis
niveau des épiphyses. Au point de vue de la disposition des travées osseuses , nos recherches per- Fig. 3. - - . A) Fémur ogl
ioscopie un moyen rapide et pratique de mesurer un raccourcissement osseux et d'en suivre l'évolution, nous en empruntons
nière disposition, par son irrégularité, montre sur la radiographie osseuse un fond (acheté el des contours imprécis, le fo
peut aller jusqu'à la disparition presque complète de la silhouette osseuse sur les radiographies. 1. L. Lévi cL Lundi : .
physique soit sensiblement modifiée ; le vice de nutrition du tissu osseux peut rester latent, il n'aboutit pas aux déformat
nombre de cas d ostéocie ». ( : est-il-dire d'allè- gemcnt du tissu osseux , entraînant une diminution du poids spécifique
dans les difïercnts cas, par la radiographie, si ces exostoses sont osseuses ou car- tilagineuses, ou peut-être si elles ne
tées laites directement au travers du tégument cutané par la brèche osseuse , la remarquable innocuité des rayons pour l'encép
ulié, celle de la profondeur des régions à traiter et des obstacles osseux qui s'opposent à la pénétration des rayons. Cet
marquable en irradiant une tumeur du cervelet il travers une brèche osseuse faite par trépanation. Goitre exophtalmique Bec
cise « au scalpel le périoste, la périphérie de chacune des plaques osseuses , « sans intéresser les fontanelles ni la membra
ce « procédé, de ne pas léser la dure-mère en enlevant, les plaques osseuses , « car la moindre ouverture donne issue à la ma
voir tout le sac Il reste toujours sur la dure-mère des esquilles osseuses , on les enlève avec un davier ou une pince à diss
hi- que, 474. . organique. Radiographie des troubles trophiques osseux , 1175. Hémispasme facial alterne, 472. facial
ringomélie, 1027. Mains botes congénitales. - avec mal- formation osseuse . - paralytiques. 1052. - Spasmodiques, 1055. ac
graphiques, 682. - Pied hot, 1056. - RADIOGRAPHIE de l'atro- phie osseuse , 11 76. Myopsychies, 680. Myosis, ses causes,
de Friedreich, 1054. Pieds bots congénitaux, avec malforma- tion osseuse ; ,'1 040. - paralytiques, 1049, 1051. spasmodiq
tions t pathologiques du crâne et du rachis, i 171.- Déformations osseuses dans les affections nerveuses, ] )7t.Afïcctions
rmations osseuses dans les affections nerveuses, ] )7t.Afïcctions osseuses dystrophiantes, 1 l7fi. Radiothérapie. Emploi d
dans les psychoses, 558. - dans les affections viscérales, 560. - osseuse ou vibratoire, 294. - ]te- cherche, 295. - Sémé
19 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
spontanée par ouverture du kyste au dehors après usure de la paroi osseuse du crâne. On a vu aussi des hydatiques se vider
s- culter la tête et espère que l'oreille appliquée contre la paroi osseuse per- cevra une sensation analogue au frémisseme
oindre réaction prouvant que la sensation est perçue. La perception osseuse recherchée par le diapason est également abolie,
ente' rien d'anormal : pas de déformation apparente, les extrémités osseuses parais- sent normales ; aucune douleur, pas de
irme les résultats du palper en montrant l'intégrité des extrémités osseuses . Malgré tous ces accidents pathologiques dont l
de l'extrémité inférieure du muscle. Enfin reste le genu recurvatum osseux , genu recurvatum vrai, nom sous lequel Faussié (4
on observe une modification dans l'ossification de cette extrémité osseuse , aboutissant à la coudure de celle-ci : notre cas
ssantes. Jusqu'ici, elle s'est montrée indépendante de toute lésion osseuse du genou. Chez notre malade, l'épreuve de la ra
e cette déviation chez les coxalgiques. Des trois grandes théories ( osseuse , musculaire, ligamenteuse), que l'on pourrait con
evoir, les deux premières nous paraissent insoutenables. La théorie osseuse a contre elle l'absence de lésion du squelette.
ins genu valgum, genu varum, genu recurvatum) survenues sans lésion osseuse , sans trouble musculaire (faiblesse, hypotonie,
travers les parties molles et sur le vivant de l'état du squelette osseux . C'est ce que nous avons pu faire chez ce sujet à
photographie, on peut se figurer que l'on voit l'image du squelette osseux dans une glace, la face du sujet tournée vers l
il est représenté par une tige fibreuse renfermant quelques noyaux osseux . L'autre cas a été publié par Pagenstecher (1)
composé que d'un seul os, au-dessus duquel se trouve uu autre noyau osseux considéré par Pagenste- cher comme un rudiment
hauteur que devrait occuper le coude existe latéralement une saillie osseuse très développée en forme d'apophyse (une apophy
doigts. Sans doute on voit, dans la scléro- dermie, des résorptions osseuses des phalanges, mais elles portent à peu près sp
era la sur- face externe de la dure-mère, et tendre vers les parois osseuses qu'elles perforent pour faire saillie à l'extér
ostéoblastes etpeuà peu lecartilage sera ainsi transformé en tissu osseux . Toutes ces transformations du carti- lage de c
artilage articulaire. 2. Ilots de cartilage ossifiés. 3. Lamelles osseuses . 4. Espaces médullaires. A PROPOS D'UN cas d'
lage calcifié, entourés soit d'espaces médullaires soit de lamelles osseuses , aspect qui ressemble singu- lièrement à celui
ordial. Et en effet, nous connaissons déjà deux maladies du système osseux cau- sées par des altérations glandulaires. L'a
des lé- sions du système nerveux, mais ne mettent point les lésions osseuses sous la dépendance des lésions médullaires. E
a brièveté des membres est acquise par des déformations de leur axe osseux et non pas simplement due à la réduction de la lo
sur les figures ci-jointes qui représentent les contours des crânes osseux NOUVELLE Iconographie DE la SALPÈIRIÈRE. T. XIV
arêtes et les angles normaux de l'os sont exagérés; les extrémités osseuses et articulaires sont épaissies et élargies, non s
te que nous nous trouvions là en présence d'un type de malformation osseuse bien caractérisé, et nosologiquement tout à fai
soit des amas de cellules cartilagineuses, soit des ilots de tissu osseux très dense, soit des amas fibroïdes. « Ce qui f
s qui relèvent du myxoedème congénital ; enfin celles de syphi- lis osseuse congénitale, de fractures multiples intra-utérine
itisme. Sur huit enfants, cinq ont été at- teints par la dystrophie osseuse , et, ainsi que le montre les PI. XLIII et XLIV,
ure pas dans le groupe, présente également cer- taines déformations osseuses qui ne laissent aucun doute sur 'l'existence' d
ignements que nous avons pu obtenir, avoir présenté de déformations osseuses . Le père serait mort bacillaire. Un frère et
CRODACTYLIE ET MICRODACTYLIE 309 En somme : adipose et hypertrophie osseuse proportionnelles au volume du doigt. Mensurat
t corpuscules à corps concentri- ques et quelques plaques de tissus osseux . En dedans de ces diverses couches, la masse de
arrive seule à réaliser. L'exagération des saillies musculaires et osseuses donne aux achondro- plasiques, malgré leur peti
adius et péroné. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 417 7 tions osseuses ,ni troubles trophiques d'aucune espèce de la peau
yse. A son extrémité supé- rieure, il est soudé au tibia par fusion osseuse des surfaces articulaires, à sa partie moyenne,
de l'autre. En somme, nous pouvons constater que les déformations osseuses sont en grande partie sous la dépendance des in
èmes lamellaires, la perte de l'ordonnance cir- culaire des travées osseuses autour des canaux de Havers, de l'ordonnance ar
d'os pratiqué par M. Gombault, qui a noté une raréfaction du tissu osseux , par élargissement progressif des canaux de Haver
ion donne lieu à la formation des lacunes. Mais pas de néoformation osseuse . Moi- zard et Bourges (2), après décalcificatio
s,où une ligne plus ombrée limite la cavité médullaire. Les travées osseuses se trou- vent figurées dans la diaphyse par de
lair que le tibia normal. Au lieu d'un réseau régulier, les travées osseuses sont irrégulièrement emmêlées comme les fils d'
u. La radiogra- phie montre qu'il y a eu un travail de néoformation osseuse , constitué de minces lamelles à la région moyen
s au niveau des épiphyses inférieures on voit deux épais trousseaux osseux passer en se croisant d'un os sur l'autre. Dans
pe le plus, dans sa radiographie, c'est une dislocation des travées osseuses au niveau du tiers supérieur de la dia- physe.
certain nombre d'observations notent également l'absence de lésions osseuses du côté du crâne [Voyez les observations d'ostéit
t pas paru, non plus qu'à cet auteur, pouvoir expliquer les lésions osseuses . Quant aux vues théoriques basées sur l'état de
oximité du canal central expliquant la fréquence de ces altérations osseuses dans la syrin- gomyélie, par exemple. On a pu v
e des hôpitaux, une jeune femme de 29 ans, atteinte de déformations osseuses diaphysaires des tibias, fémurs, radius et cubitu
des plantaire et palmaire, a émis l'hypothèse que les altéra- tions osseuses tenaient sans doute simplement à une mauvaise nut
ait le trou- ble profond de la nutrition et de l'évolution du tissu osseux . En effet, si l'état athéromateux de l'artère n
let de l'architecture qui nous a paru le trait dominant des lésions osseuses . Pour trancher cette question, que nous ne pouvon
issons pas la lésion initiale, le point de départ des malformations osseuses de la maladie de Paget. (1) Gilles de la Tour
conjointement avec l'atrophie musculaire, ou avec les déformations osseuses (réfactions fibreuses dans les amyotrophies, épai
a- thies, etc.). Ainsi les dyslrophies conjonctive, musculaire et osseuse sont souvent coexistanles; cependant chacune d'
s de ces différents systèmes, la coexistence de troubles trophiques osseux , musculaires et conjonctifs, à la suite de lésion
e l'on peut observer isolément des troubles tro- phiques du système osseux , musculaire ou conjonctif, autorise à admettre
Trophoedème peut se trouver associé à d'autres troubles trophiques, osseux , comme dans un cas de Vidal (de Lyon), ou muscula
- laire graisseuse avec les déformations qu'elle entraine, atrophie osseuse impriment généralement à la maladie dont ils re
fonctions musculaires, être suivie cependant de lésions trophiques osseuses qui per- sistaient toute la vie. « Le degré d'a
ues osseuses qui per- sistaient toute la vie. « Le degré d'atrophie osseuse , dit encore Du- chenne (2), n'est pas toujours
s molles est néanmoins beaucoup ptns accen- tuée que celle du tissu osseux . La diminution de l'excitabilité faradique des
as totalement ankylosées ; il ne s'agit certainement pas d'ankylose osseuse complète^ à ce point de vue comme à bien d'autres
mélique (1). Il s'agit surtout chez lui de disposition des surfaces osseuses entravant fortement les mouvements des articula-
r l'utilité de réserver le terme de spondylose aux seules ankyloses osseuses de la colonne vertébrale, avec soudure des surf
quelette ANKYLOSES GÉNÉRALISÉES 521 membres, l'absence de soudure osseuse , l'existence d'une lordose au lieu d'une xyphos
tro- chanter. ANKYLOSES GÉNÉRALISÉES 523 L'axe de cette masse osseuse qui remplace à la fois la tête et le col du fémur
e avec les altérations du cartilage d'en- croûtement des extrémités osseuses . Extrémité supérieure du péroné. - Elargie et c
aire de l'os prend les plus grandes oronortions. Une sorte de crête osseuse mince et dé- chiquetée règne sur tout le bord a
a et des deux malléoles. Sur la malléole pé- ronière, une lamelle osseuse mince se pro- longe d'un centimètre eii avant e
ieures du 'tibia et du péroné (face antérieure). sement du rebord osseux autour ( osseuse aiguë et crenelée. ANKYLOSES
et du péroné (face antérieure). sement du rebord osseux autour ( osseuse aiguë et crenelée. ANKYLOSES GÉNÉRALISÉES 525
u premier métatarsien présente une disposition' spéciale ; la crête osseuse forme ici deux larges expansions à la face inféri
comme deux ailes, et qui tiennent à la prolongation de cette crête osseuse autour des facettes articulaires qui répondent au
d'aplatissement des extrémités articulaires, avec un rebroussement osseux au pourtour du cartilage. Il en est ainsi toute
rtèbres et nullement sur les dis- ques intervertébraux. L'extrémité osseuse articulaire semble au reste at- teinte par elle
bjet d'un examen ultérieur. ANKYLOSES GÉNÉRALISÉES 527 extrémités osseuses . C'est donc, semble-t-il, l'os qui est pris pour
pongieux qu'il s'agit. Nous sommes donc en présence d'une affection osseuse systématisée, épargnant le tissu compact, et fr
u compact, et frappant certaines parties bien spécifiées du système osseux , à savoir les épiphyses des os longs et les corps
20 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
es, par suite d'une irrégularité dans le dévelop- pement du système osseux , le bassin, dans la station droite, est incliné l
pré- sentés par deux appendices minces, tortueux, munis de pièces osseuses et terminés par des orteils. 18 HENRY MEUNIER
plusieurs des quatre régions soit un moignon rudimentaire avec axe osseux , soit un appendice atypique, sque- letté, artic
unissent entre eux, apo- névrotiquement, au-dessus d'une tubérosité osseuse qui tient la place de la tète humérale et qui e
aphyse tortueuse, mesurant 4 cent. 1/2 ; ensuite une petite pièce osseuse , phalangiforme, une seconde plus courte, enfin
atarsien et les , .. phalanges des 2% 31 et 4°orteils, les pièces osseuses restantes, représen- tant le tarse et'les deux
le vivant, le siège, le nombre, le volume et la forme des segments osseux , avec une exactitude que les procédés ordinaire
par la difficulté de reconnaître la conformation exacte des parties osseuses , leurs limites et leurs points d'adhérence. Les
intérieure de ces métacarpiens anormaux et la direction des travées osseuses délimite clairement la portion d'os qui apparti
les deux têtes digitales, est l'indice d'un épaississement du tissu osseux , vestige des contours osseux de chacun des méta
l'indice d'un épaississement du tissu osseux, vestige des contours osseux de chacun des métacarpiens actuellement fu- sio
en sorte que l'orteil surnuméraire paraît n'avoir que deux segments osseux . Les cas de polydactylie ne sont pas très rares
eux pieds. Cependant les doigts surnuméraires cubitaux avec attache osseuse sont assez rares. On les rencontre le plus souv
anges et des phalangines rendait malaisé le dénombrement des pièces osseuses . L'épreuve radiographique fait comprendre la ra
aire de la main gauche affectait particulièrement le premier inter- osseux , moins les autres et encore moins l'éminence thén
Si j'ai assez longuement insisté sur l'histoire de cette affection osseuse ,que le malade porte encore actuellement, c'est
ait penser que cette tuméfaction est due unique- ment à des lésions osseuses de l'articulation métacarpo-phalangienne. Mais si
s, au niveau de la tumeur, un changement de densité de la substance osseuse qui DE LA MAIN SUCCULENTE 89 donne l'impressi
étiré ;i ce niveau et les deux bouts sont séparés par la substance osseuse de nouvelle formation ; ils ne sont pas tout à
te au-dessus et au-dessous de la région indiquée une néoforma- lion osseuse à contour très régulier ayant la forme d'un grand
(1). Sur le bord interne du cubitus, il existe une autre formation osseuse , de forme pyramidale, dont le sommet dirigé tra
est implantée sur le bord interne du cubitus. . Cette liyperoslose osseuse , a laquelle on peut assigner la forme d'un fuseau
autres termes, le type de la main est celui de la grille des inter- osseux . Il n'y a que le pouce de la main droite qui se t
ais au point de vue pathogénique, il faut voir, dans les trou- hles osseux de la maladie de Morvan et de la chiromégalie par
maladie de Paget et certaines affections spina- les à détermination osseuse (exemple de tabes), dans lesquelles on observe
Il est dit : « Les lésions semblent bien apparte- nir à la maladie osseuse de Paget. » Entrons dans les détails des examens
téite déformante de Paget. Nous croyons que troubles médullaires et osseux coïncident chez un même sujet. On peut se deman
omme aux artérioles viscérales] jouent dans l'évolution des lésions osseuses , et d'autre part si lésions vasculaires et os-
nservent leurs cylindres-axes intacts. - II. - A propos des lésions osseuses , quelques particularités méritent d'être signal
ns des épiphyses. Le processus n'en reste pas moins essentiellement osseux ; l'épiphyse est prise secondairement à la diaph
ique sur la vieillesse. Paris, 1886. (2) LÉOPOLD Lévi, Déformations osseuses de la maladie de Paget. Bull. de la Soc. anat.,
salgie. L'apophysalgie est très probablement due à de la congestion osseuse , analogue à-celle qui se produit au voisinage d
qui se produit au voisinage de la plupart des foyers de tuberculose osseuse ou articulaire. Lorsqu'elle survient dans le co
aquer ses doigts. Il ne semble pas, au palper, que les extrémités osseuses soient aug- mentées de volume. On ne sent pas n
a qu'une légère augmentation de volume, sans déformation des têtes osseuses , ni production ostéophytique. Il est difficile
dominants et ont dévié les doigts vers le bord cubital ; les têtes osseuses métacarpiennes et leurs cartilages se sont déve
élion, région remarquable par le développement tardif des fibrilles osseuses , par la soudure précoce de la suture sagittale,
image syntitiquc. APPLICATION DES RAYONS DE ROENGTEN 201 systèmes osseux sont très épaissis par places, amincis en d'autre
cavités creusées dans l'os. Il y a donc avec condensation du tissu osseux par places, une raréfaction générale de ce tissu,
de l'humérus, véritables cavités profondes séparées par des travées osseuses irrégulières, condensées par places. L'épiphyse i
grande épaisseur enveloppant tout le corps et masquant les reliefs osseux et musculaires. « Organes génitaux rudimentaire
e d'infantilisme partiel ou sys- tématiquement limité aux appareils osseux . M. Hertoghe a eu le premier cette bonne idée;
ssance. La persistance du car- tilage d'ossification des extrémités osseuses indique que l'os peut encore augmenter de longu
ires. Cette anatomie est d'une sincérité bien douteuse. Les reliefs osseux , les muscles, la trachée, affectent entre eux d
LD-LÉVI Ancien interne, lauréat des hôpitaux. , Les altérations osseuses de la paralysie infantile sont connues depuis l
'ap- pliquer ce nouveau moyen d'investigation à l'étude des lésions osseuses de la paralysie infantile. C'est ce que nous av
er chez Ban... la participation du squelette du bassin au processus osseux et la scoliose vertébrale. Chez Rog... le côté
ax et l'omoplate sont également atrophiés. C'est sur cette atrophie osseuse , concomitante de l'atrophie musculaire, que nous
neux du poignet est d'ailleurs aboli. En ce qui concerne l'atrophie osseuse , l'application des rayons de Roentgen donne les
graphiés chez un malade du même âge ne présentant pas d'altérations osseuses . Les deux clichés ont été obtenus dans les même
a été soumise (Pl. XXXIX), nous a démontré qu'il n'y a pas fusion osseuse des deux doigts ; théoriquement on pourrait sépar
besogne histogénique au delà du temps de la croissance ; les tètes osseuses et les sutures s'épaississent ; l'hypertrophie
e). Patruban et Remak (cités par Charcot), ont décrit des nodosités osseuses aux mains et aux doigts des atrophiques, mais c
rophie musculaire myélopathique com- pliquée de troubles trophiques osseux et articulaires. Il s'agit évidemment dans ce c
'une façon rapide ou insidieuse se termine par ankylose fibreuse ou osseuse . Ce qui caractérise chacune de ces formes c'est
'à la mort (qui eut lieu le 3° mois), sans s'accompagner de lésions osseuses . Les recherches bactériologiques furent infruct
es arthropathies furent-elles douloureuses ? L'ab- sence de lésions osseuses au bout de 3 mois écarte absolument l'idée d'une
and le malade put se lever, il avait les genoux ankylosés (ankylose osseuse ), dans la flexion,avec inclinaison des deux cuiss
ction, qui d'ailleurs réussit admirablement, on vit que les lésions osseuses ressemblaient fort en somme, quoi qu'en dise l'au
t stationnaire, mais jamais par dislocation avec atrophie des têtes osseuses . Au contraire on n'a jamais noté que l'hyper- t
ostéite raréfiante, destruction des cartilages, atrophie des têtes osseuses , tels sont les trois faits principaux constatés
évritiques n'a pas lieu d'élonner puisqu'on a signalé des atrophies osseuses (Moty) etc., à la suite des névrites. C'est s
es (Moty) etc., à la suite des névrites. C'est surtout d'atrophie osseuse plutôt que d'arthropathie qu'il s'agit dans la
un auteur qui ait assimilé les troubles trophiques articulaires et osseux des doigts, accompagnant des troubles trophique
a radiographie a bien montré l'hypertrophie con- sidérable du tissu osseux qui va augmentant de la racine vers l'extrémité ;
e L..., la macrodactylie relevait du développement exagéré du tissu osseux . Pour en revenir à la pathogénie de ce cas de m
nent en profondeur, disloquent les jointures, nécrosent les parties osseuses et amènent la chute d'une phalange, d'un doigt, d
rop longues, un visage rabougri, creusé de rides et asymétriquement osseux . - Est-ce un Lépreux ? On peut le croire, et ce
ns la main qui fait suite à ce bras, ne voyons-nous pas des lésions osseuses absolument acceptables ? Quant aux manifestatio
n'en va plus ainsi en ce qui concerne l'interprétation des lésions osseuses . Celles-ci, à n'en pas douter, sont imputables à
e, si l'on admet qu'il s4agit d'un Lépreux. Ces pertes de substance osseuse et musculaire, que l'artiste a figurées avec une
21 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
trajet parfaitement régulier, mais très riche en arbori- sations osseuses , surtout à droite et à gauche vers la partie la
au de la bosse frontale, qu'à celui de la bosse pariétale. La paroi osseuse est très mince et offre des zones de transparen
rquable de la paroi crânienne nous permet d'affirmer que la boîte osseuse n'a en rien gêné le développement de 76 RÉFLEXI
pourraient supposer que cet état de microcéphalie de l'enveloppe osseuse a pu gêner le développement de l'encéphale, et
on. Le cerveau avait toute liberté pour se développer ; l'enveloppe osseuse ne s'est arrêtée dans sa croissance que parce q
- dence cette vérité, à savoir que le développement de la calotte osseuse de l'encéphale est sous la dépen- dance du déve
es nerveux. Si l'ac- croissement de ces derniers s'arrête, la boite osseuse cesse de s'accroître. Porencéphalie ET cranie
saine. Membres supérieurs amaigris. Muscles sans puissance. Mains osseuses . Doigts longs et nerveux, non hippocra- tiques.
elles de suture circonscrivant deux ou trois espèces de presqu'iles osseuses . La face externe de la calotte présente comme p
ultat appré- ciable ; mode curieux de réossification de la brèche osseuse ; Par BOURTVEVILLE et NOIR. Sommaire. - Père :
. - Description des os du crâne.- Mode de répa- ration de la brèche osseuse produite par la craniectomie. Minceur et transp
affection cutanée est d'ailleurs connue. Réparation de la brèche osseuse . 125 os wormien existe de chaque côté dans cett
is moins longs, plus larges et à bords moins déchiquetés. La brèche osseuse , due à la craniectomie, située à gauche, est an
d'un bord à l'autre et transformée sur les bords en minces lamelles osseuses . Une partie ayant 32 millimètres de longeur, re
ode de répara- tion est des plus intéressant ; en effet, la soudure osseuse s'est effectuée sous forme de suture à fines de
ne de 4 millimètres, présente sur ses bords de petits prolongements osseux minces et se termine par un cul-de-sac arrondi,
t se termine par un cul-de-sac arrondi, à demi comblé par une jetée osseuse interne. A l'état frais cette partie non ossi-
fiée était recouverte d'une membrane 08néogène, les prolon- gements osseux lamellaires des bords de la brèche en sont une
sant un peu plus développée que la gau- 42G Réparation de la dréche osseuse . clic. Liquide céphalo-rachidien assez abondant
lésions de la dure-mère qui adhéraient très fortement à la brèche osseuse ; '2° des lésions méningitiques (adhé- rence de
eau. VI. Signalons, enfin, la réossification rapide delabrè- clic osseuse et surtout le mode de réossification par la for
étosiques des quatre membres. ' AUTOPSIE. - .État des trois brèches osseuses delà crâniecto- « mie;lésions de la dure-mère,
médiane, une cicatrice cutanée répondant à une dépression linéaire osseuse de 10 centimètres de long dans le sens antéro p
ps que la calotte. La dure-mère est adhérente au niveau dos brèches osseuses et entre elles, de telle sorte que l'espace qua
e- La sagittale est un peu plus serrée, mais il n'existe de soudure osseuse en aucun point de son trajet. - Les trous parié
nets des deux côtés. Du côté droit, le pariétal présente une brèche osseuse longue de 3 centimètres, large de 2 centimètres
te brèche sont celles que nous rapportons. Le travail de réparation osseuse a créé des bords minces, déprimés, festonnés pa
ernière brèche est en partie comblée par le travail de réparation osseuse . La plus antérieure l'e.,t beaucoup moins. (Fig.
e nette de la manière dont s'effectue la réparation des brè- ches osseuses , cette réparation est rapide et, en suppo- sant
es persistant sur leur trajet nous permet d'affirmer que le tissu osseux était là le siège d'une prolifération active. Du
de cette dernière. Les sutures sont gorgées de sang, et la partie osseuse voisine est considérablement rasculi1risee. Le
plus ossifiées. Au niveau de la dernière, existent de petits îlots osseux (os wormiens). Des fontanelles, il ne reste q
nature et la localisation de mal. Peu de. congestion dans la boite osseuse et clans les mem- branes clu cerveau. Quelques
un sillon profond dont le fond est représenté par une mince lamelle osseuse . La base du crâne est symétrique. Le trou ocdp;
t on note sur l'occipital, en arrière de la suture, de petits îlots osseux très petits et isolés, qui paraissent provenir
ie des circonvolutions nous en donnent la raison; une boutonnière osseuse ne peut évidemment avoir aucune 232 RÉFLEXIONS.
lles de l'os voisin atteint jusqu'à 3 ou 4 centimètres. Les parties osseuses voisines du tiers moyen de la suture coro- nale
M. Lannelongue a modifié la forme et les dimen- sions de la brèche osseuse . En présentant à l'Institut la note clu savant
absence de synostose des sutures du crâne. Description de la brèche osseuse ; - lésions de méningo- encéphalite, etc. Bla
déprimée en gouttière, on sent une dépression analogue de la voilte osseuse formant un sillon assez marqué ; la lèvre inter
ment (Fig. 32). En arrière de cette membrane, il existe une portion osseuse transparente mesurant d'avant en arrière 3 cent
UL- TAT APPRÉCIABLE : MODE CURIEUX DE RÉOSSIFICATION DE LA BRÈCHE OSSEUSE . Sti.. (Emile F.), 6 ans. (Voir l'observation c
E. - Description des os du crâne. Mode de répa- ration de la brèche osseuse produite par la craniectomie . Minceur et trans
lus apparente que réelle, cette apparence est le fait de l'incision osseuse faite à gauche. Une mensura- tion exacte, démon
s moins longs, plus larges, et à bords moins déchiquetés. La brèche osseuse due à la cl·âwiectolnie (1·'ig. 36), j, située
d'un bord à l'autre et transformée sur les bords en minces lamelles osseuses . Une partie ayant 32 millimètres de longueur re
n mode de réparation est des plus intéressants. En effet la soudurc osseuse s'est effectuée sous la forme de suture à fines
de 4 millimètres, présente sur ses bords de petits prolongements osseux minces et se termine par un cul-de-sac arrondi, à
t se termine par un cul-de-sac arrondi, à demi comblé par une jetée osseuse interne. A l'état frais cette partie non-ossifi
e était recouverte d'une membrane ostéo- 1(l,i(,. les prolongements osseux lamellaires des bords de la brèche en sont une
aux un sillon profond dont le fond est figuré par une mince lamelle osseuse . Nous avons résumé dans le tableau ci-après les
n laissez-nous vous rappeler le mode de réossification de la brèche osseuse chez notre malade de l'OBs. IX : cette réossifi
22 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
e et rapide, en tant qu'aux douleurs des membres et aux altérations osseuses . Observation VII (PI. V) , (Hospital da Miser
s circonvolutions, comme si elles avaient été nivelées par la boite osseuse , la forme triangulaire, presque rectiligne, du
ue, malgré la dépression de la base, la place obtenue dans la boîte osseuse est insuf- fisante. Le cerveau se trouve, comme
es éléments nerveux, qui aurait alors à vaincre un sérieux obstacle osseux . Ou enfin, le développement asymétrique et périod
4° L'atrophie du nerf optique n'est pas la conséquence d'un canal osseux trop étroit. Elle est en rapport avec la pression
donné que sous le nom de spondylite on entend une lésion vertébrale osseuse , articulaire ou périarticutaire, et par conséqu
signe de Babinski. L'examen radiographique n'a montré aucune lésion osseuse ou péri- osseuse. D'ailleurs, la mobilité parfa
L'examen radiographique n'a montré aucune lésion osseuse ou péri- osseuse . D'ailleurs, la mobilité parfaite de la colonne v
. Une radiographie faite à l'hôpital Bégin montre une prolifération osseuse à la face'postérieure de l'hu- mérus à la haute
première phalange de l'index est très difficile et il y a ankylose osseuse de l'articulation phalango-pha- langinienne de
ar ostéoporose : II, VIII, 1, XIII, V, IV, III, XI, XV. Déformation osseuse sans décalcification (VII). Enfin pas de mo- di
seaux, presque directement appliqués entre les téguments et un plan osseux , peuvent être le plus facilement comprimés ; et l
chard et celles d'Heberden ont même structure anatomique (soufflure osseuse , incrustation et souvent légères érosions carti
asion d'examiner un jeune soldat atteint d'une déformation digitale osseuse spéciale dite « macrodactylie » et affectant le
isque nous pensons qu'il s'agit dans ces cas d'un stigmate chondro- osseux de syphilis héréditaire, et non d'un trouble trop
tuitaire ou de certaines hydromyélies, ou encore de lésions locales osseuses plus ou moins suppuratives. Encore, faut-il ajout
M. Boinet, vers la quaran- tièmeannée, des déformations velvétiques osseuses des épiphyses phalan- giennes. r La dystrophi
t obligés, pour se mettre à l'unisson de cet excès de développement osseux , de s'hypertrophier eux- mêmes, le contenant de
dermo-cellulo-graisseux (manchon externe) s'adap- terait au contenu osseux (manchon interne). xxvm ' 10 0 146 SIGARD, NA
aient eux-mêmes imparfaits, car c'est bien sept et même huit rayons osseux qu'il faudrait posséder pour être tout a fait com
objecte également à la théorie qu'on n'a jamais trouvé de traînées osseuses intermédiaires entre le pisiforme elle 6° métacar
appui, car dans nos cas non plus, on ne rencontre pas celte traînée osseuse si nécessaire. Ce qui nous semble beaucoup plus
p. 246. xxvm 11 centre Neurologique DE la XV- région ANKYLOSE OSSEUSE DES ARTICULATIONS PHALANGINO- PHALANGETTIGNUES
oses dans la sclérodac- tylie, mais non point des ankyloses vraies, osseuses . Brocq (1) décrit les raideurs articulaires de
et d'autre part, par un processus d'atrophie et de résorption même osseuse , qui finit parfois par disparition graduelle et
ne point qu'on ait observé au cours de cette évolution l'anky- lose osseuse . La radioscopie ci-jointe montre les stades suc
nnes des doigts II, III, IV des deux mains sont à l'état d'ankylose osseuse complète, il n'y a plus trace d'interlignes, le
se osseuse complète, il n'y a plus trace d'interlignes, les travées osseuses de la phalangine et de la phalangette sont tout à
ine et de la phalangette sont tout à fait contiguës, il y a soudure osseuse complète, toute trace de cartilage ou de tissu
1·. - " ' '1'. »Vlll ? 1 ? T\\ ? r ? ·m·nncreraW 7T'TFNNRS ANKYLOSE OSSEUSE DES ARTICULATIONS PHALANGINO-PHALANGETTIENNES 163
de donner une étiologie et une pathogénie précises à cette ankylose osseuse phalangino-phalangettienne. Nous avons ten- dan
racture comminutive. Mal- gré cette perte considérable de substance osseuse , cet homme, grâce à son énergie et à une volont
suffisamment ébauchés. L... rentre en France six mois après. Un cal osseux exubérant occupait toute la région du coude. L'
tres vertical dans la région pariéto- temporo-occipitaie. Ouverture osseuse par le trépan de Martel et pince Dahl- green :
perficielle au toucher abolie. Sensibilités profondes musculaire et osseuse conservées. La piqûre, même péné- trante, ne pr
- 204 ÉTIENNE dement dans les genoux et dans les jambes; douleurs osseuses lancinantes, surtout nocturnes. Les douleurs s'
de la couverture. 18. - Réflexes rotuliens exagérés. 19. Douleurs osseuses et articulaires, nocturnes surtout. Exagération
vent par des douleurs vives dans les mus- cles des jambes ; douleur osseuse parfois (obs. X et V) ; souvent à exacer- batio
re sont abolies, alors que les sensibilités profondes (musculaires, osseuses ) sont conservées. Pas d'astréognosie. Au 1 le j
int de rendre intolé- rable le contact des draps du lit. Douleurs osseuses , seules ou combinées aux douleurs musculaires,
au tibia (obs. IV, V, VI, VII, X, XII). Ces douleurs 220 ÉTIENNE osseuses sont souvent à exacerbation nocturne (obs. V et X
évrite combiné dans la détermination de ces douleurs musculaires et osseuses . Le groupement des symptômes peut revêtir, au c
- veuse pour n'en être pas évidemment la cause. Est-ce la saillie osseuse elle-même qui irrite chroniquement le plexus br
griffe, les tendons extenseurs aussi saillants, les espaces inter- osseux presque aussi déprimés. On sent au doigt et on vo
comme os crochu. Au-dessus de celui-ci, on trouve la deuxième pièce osseuse du carpe, qui à en juger par sa situation, doit r
un cas où le fémur gauche était également réduit à une petite masse osseuse ; mais dans son observation, on trouvait en même
res supérieurs, souvent compliquées de troubles trophiques cutanés, osseux ou articulaires, cas qui au premier abord pourr
phie montre en pareil cas que l'ankylose est d'ordre fibreux et non osseux , caries interlignes articu- laires ne sont pas
mêmes atrophies musculaires, les mêmes troubles trophiques cutanés, osseux ou articulaires. L'hyperesthésie atténuée des t
angino-phalan- gettieunes. Il s'agit d'une ankylose fibreuse et non osseuse , car la radiographie ne montre aucune altératio
use et non osseuse, car la radiographie ne montre aucune altération osseuse . c Les troubles trophiques portent également su
t mélacarpo-phalangiennes sont soudées par des ponts de subs- tance osseuse néoformée ; chez notre sujet au contraire les art
moraux, on ne détermine aucune douleur à la pression; l'exploration osseuse fut beaucoup plus facile après la disparition de
aucun trouble de la sensibilité articulaire ou de la sensibilité - osseuse au diapason, même au niveau des articulations et
stitution du squelette, il convient encore d'accentuer la fragilité osseuse prononcée qui s'observe dans ces cas,' quand la g
(ce que nous ne pouvons confirmer personnellement) une intumescence osseuse au centre de la . voûte palatine, avec une fréq
ermiqne (voir fig. VII). Les signes acromégaliques tirés du système osseux , auxquels Pende fait allusion, ne nous semblent
des testicules qui ont pris la dureté d'une pierre, des altérations osseuses (t) Falta, Spcileunuchoïdismus und multiple Blu
Recklinghau- sen, par A. DE CASTRO, 34. Acrotrophicité [Ankylose osseuse des arti- culations plaalangino-phalangettienne
le ponto-cdrébelleux (Tumeur de l'-), ), par Monis, 196. Ankylose osseuse des articulations phalan- gino-phalangeitiennes
ons de la ; polydactylie héréditaire), par BINARD, 147. (Ankylose osseuse des articulations phalangino-phalangettiennes),
ique, par Flournoy, 15. Phalangino - phalangettiennes (Ankylose osseuse des articulations -, troubles d'acrotrophicité
Camptocormie, 420. REVAULT D'ALLONNES (G.) et RIMBAUD. Anky- lose osseuse des articulations phalan- gino-phalangettiennes
ngettiennes, 162. Rimbaud (L.) et REVAULT D'ALLO\PIE3. Anky- lose osseuse des articulations phalan- gino-phalangettiennes
que de l'hypophyse (M \RAX01l et Pintos), XLII et XLIII. Ankylose osseuse des articulations pha- langino - phalaogettienn
COURB01\), XXIV à xxvi 1 . - (Léri), XXVIII à XXXIII. ankylose osseuse des articulations phalangino-phalangettiennes (
23 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
re. L'autopsie a été pratiquée 36 heures après la mort. Squelette osseux . - Les os des membres ne présentent aucune altéra
nt sur la forme des pièces squelettiques et sur la qualité du tissu osseux . La colonne vertébrale présente une scoliose à
garde légèrement à gauche. La forme n'est plus celle d'une plaque osseuse sensiblement plane avec une légère voussure ant
s le rapport de causalité entre la neuro-fibromatose et les lésions osseuses n'apparaît pas avec toute l'évidence que nous t
il a pratiquée à Rennes, des modifications intéres- santes du tissu osseux . Elles portaient seulement sur le crâne, la clavi
se rendre un compte exact de la nature et de l'étendue des lésions osseuses . ' On constate d'abord des arthropathies types
t. Rien de particulier à signaler au coccyx. Deux longues aiguilles osseuses de huit millimètres de largeur, de cinq centimè
eure. Cette face est augmentée par la présence à droite d'une masse osseuse , tourmentée de formes, lisse dans sa portion exte
ainsi placées forment une excavation, limitée en dehors par la masse osseuse de la deuxième lombaire, en dedans par le bord
ières, de fines canne- lures verticales sculptées dans la substance osseuse . Ces caractères pathologi- 128 JEAN ABADIE qu
e, très inégale et présente sur son bord droit une petite languette osseuse , dirigée eu haut et destinée à s'adapter avec une
de l'index, limitée à droite et à gauche par deux petites moulures osseuses et tapissée daus le fond par une série de colonne
les parties latérales, en avant elle offre de nom- breuses travées osseuses irrégulières. Mais les altérations portent surtou
sion plus profonde, située à gauche, est surplombée par une saillie osseuse d'un centimètre d'é- paisseur environ, de deux
st remplacée,un peu à gau- che de la ligne médiane, par une saillie osseuse dirigée en avant et affectant la forme d'un côn
us d'elle, la gouttière est presque effacée par de petites saillies osseuses , dentelées et très irrégulières. L'avant-derniè
a moitié gauche, de façon à pouvoir s'adapter avec une légère saillie osseuse située sur le bord inférieur de la dixième dors
s corps excavées, bords renversés, tranchants ou dentelés. Surfaces osseuses garnies de trous, d'aspérités, de trabécules. Dév
calibre des trous de conjugaison correspondants. Porosité du tissu osseux . Ce sont six vertèbres provenant de la colonne
de dé- pressions, de fines trabécules, sculptées dans la substance osseuse qui offre dès lors une apparence poreuse remarq
trou de conjugaison correspondant, donne naissance à une formation osseuse , diri- gée en haut, et qui vient se fixer à la
ure est lisse, polie, formant contraste avec la poro- sité du tissu osseux environnant. Au-dessus d'elle et du bord supéri
de la hanche droite etdu genou gauche avec disparition des extrémités osseuses et luxations consécutives . Sensibilité à peu p
son étendue, comblée par endroits de cannelures ou d'arborisations osseuses . Faces irrégulières, plus ou moins dépolies et
perçoit un frottement dur entre sa face postérieure et les parties osseuses correspondantes du tibia et du fémur. Quelques me
devenu mélancolique. La face est extrêmement amaigrie, les saillies osseuses fortement accusées, le teint est normalement co
indolore, même dans les situations exagérées imprimées aux surfaces osseuses . On perçoit dans ces manoeuvres d'énormes craqu
côtés : elle offre, en outre, la face antérieure, des arborisations osseuses sculptées sur sa surface. Le bord infé- rieur e
e, mais dans son tiers droit, elle donne insertion à une production osseuse . Cet ostéophyte recouvre par sa face inférieure
ntre cepen- dant encore quelques dentelures des bords, des surfaces osseuses rugueuses, garnies d'aspérités ou tapissées de
épiphyse fémorale et de l'articulation coxale par les néoformations osseuses , si on a affaire à une frac- ture du col, à une
rence assez uniforme et sen- siblement égale à celle des tissus non osseux . Les bords de la cavité articulaire manquent de
esque normalement au corps de l'os, est analogue à celle d'un tissu osseux compact. La seconde, de dimensions plus grandes,
. La seconde, de dimensions plus grandes, paraît formée de lamelles osseuses irrégulières que l'on peut suivre sur une longueu
ions, mais en général assez peu marquée, ce qui indique soit un tissu osseux raréfié, soit plutôt, d'après l'aspect du clich
e normal. La radiographie est venue nous montrer que la tuméfaction osseuse , que nous avions crue si considérable, est en s
icnlaires (ligaments, tendons, parles molles), sont semés des ilots osseux , indépendants les uns des autres et à des distanc
ou 3 centimètres de largeur moyenne, qui paraît occupé par un tissu osseux raréfié, ou bien par un tissu osseux désagrégé.
qui paraît occupé par un tissu osseux raréfié, ou bien par un tissu osseux désagrégé. Sur le côté externe du fémur, au niv
e. Entre le bord interne du fémur et le bassin, se trouve une masse osseuse irré- gulière d'opacité normale. Observation
ticulaires coïn- cidant avec une hyperplasie exubérante des parties osseuses juxta-articu- laires. La déformation est cons
conservé leur intégrité morphologique et les nouvelles productions osseuses se font aux alentours de l'article. Quant à l'h
centre trophique dont l'excitation a pour conséquence l'hyperplasie osseuse , tandis qu'une cause agissant en sens inverse ent
t particulièrement des muscles innervés par le radial. Les réflexes osseux et tendineux du poignet sont abolis. On ne consta
ifs est très diminuée surtout à droite. Les ré- Ilexes tendineux et osseux du bras et de la jambe du côté droit sont abolis.
n toute spéciale lors de ses époques mens- truelles. - Le système osseux n'a subi aucune modification et ne contribue null
olution de continuité de l'os. Après l'ablation d'un petit fragment osseux , l'auteur constate une dépression très nette co
colère. L'auteur ne mentionne pas de troubles dans le développement osseux ou musculaire, il faut en conclure qu'il n'y en
Il fallut une traction énergique pour l'arracher de son implantation osseuse . Il était placé suivant un trajet ascendant en
ave. Dans la plu- part des cas il n'y a pas de fracture de la boîte osseuse et cela dans une proportion de 7 p. 10. Sur un
. Elle met en lumière leur rapport avec le développement des pièces osseuses , les unes normales, les autres incomplètes et a
lle a conservé la notion de position de ses membres. La sensibilité osseuse est très bien conservée, mais il éxiste une anest
aques de huit centimètres et également de chaque côté. La charpente osseuse de la cage thoracique n'offre aucune particular
dernières sont parfaitement localisées. 11 n'existe pas d'analgésie osseuse , articulaire, ligamenteuse ou mus- culaire il l
vertébrales. Il dit n'avoir jamais eu dans son enfance d'affections osseuses ou articulaires quelconques : en particulier, j
. Il se peut même qu'il n'y ait pas du tout de fracture de la boîte osseuse du cerveau et qu'il y ait cependant une hémiplé
it d'extraire à '14 centimètres de profon- deur plusieurs esquilles osseuses . Mais on ne trouva pas la balle qui reste dans
tre pas la fente ni le trou sphénoïdal, ou porte à faux sur le bord osseux . Pour pousser l'injection on s'appuie de tout le
ur le rebord supérieur de l'orbite et de leur faire suivre la paroi osseuse , mais cela ne nous a donné aucun résultat, la v
sent au fond une résistance comme si le doigt touchait une par- tie osseuse . La dépression est située au-dessus du sillon de
urcie et épaissie, mais il est probable que les troubles trophiques osseux ont commencé plus tôt. Pendant tout le temps de
Le carpe a complètement disparu, et de ce point maximum les lésions osseuses s'étendent de moins en moins accentuées en haut
remière pha- lange du pouce),ils sont réduits à de grêles cylindres osseux brusquement coupés au niveau de leur tiers supé
i reste de la tête cubi- tale, il y aurait même plutôt condensation osseuse pour le radius et le cubitus, et les métacarpie
nté pendant six mois et s'est étendu bien plus loin que les lésions osseuses , puis s'est peu à peu résorbé, pendant que cell
nte est susceptible d'arrêt, il peut même se faire une compensation osseuse , qui, étant donné la nature de l'affection, équ
ion articulaire sont dues.beaucoup moins aux lésions des extrémités osseuses proprement dites, qu'aux changements de rapport
rv. II), dans laquelle l'examen radiographique a montré tuméfaction osseuse , qu'on avait crue si considérable est en somm(
icula ires (1 i¡ : £ tendons, parties molles), sont semés des ilots osseux , indépend,... .w uns des autres, et à des dista
onséquences, mais dans la répartition des lésions plus fibreuses qu' osseuses , qu'on pourrait dénommer la pél'iartl'o- patlai
de la colonne vertébrale et les déformations consécutives des cages osseuses qui lui sont annexées. Nous n'y reviendrons pas.
rties constitutives normales, mais elles y ajoutent des productions osseuses nouvelles, irrégulières, imprévues de formes et d
la forme d'un coin. La grosse extrémité du coin répond aux portions osseuses intactes, elle est donc peu modifiée ; il faut
sus hypertrophique va y remédier et suppléer par des néo-formations osseuses à la disparition des segments osseux atrophiés. L
pléer par des néo-formations osseuses à la disparition des segments osseux atrophiés. Les caractères de ce second type ser
enser- rent tous ensemble la vertèbre malade, comblent les portions osseuses disparues et assurent ainsi un équilibre suffis
est saillant, dentelé, quelquefois exubérant et ses proliférations osseuses vont s'engrener avec les créneaux correspondant
ces malades ne contient aucune trace d'affec- tions à localisation osseuse ou articulaire. Dans l'enfance, aucune ma- nife
aucune ma- nifestation rachitique, plus tard jamais de tuberculose osseuse , en parti- culier vertébrale, pas de diàthèse r
hologique s'exerce plus facilement et plus fréquemment sur le tissu osseux que sur l'article proprement dit : l'ostéopathie
tions est seule capable de rendre la déviation permanente. Le tissu osseux , altéré dans sa nutrition par la névrite probable
inférieur, sera ainsi arrêtée dans sa chute par les néo-formations osseuses qui assureront sa fixité en s'articulant avec leu
ante, s'explique alors aisément sans intervention de l'effondrement osseux . Ce doit être cependant des excep- tions. De mê
r- vation intégrale des segments latéraux. Bien plus la raréfaction osseuse , pour une cause qui nous échappe, peut porter s
ns entraîner nullement le second. Enfin, le processus de dystrophie osseuse peut porter non plus sur une surface appréciable,
le sera pathologiquement du fait d'une altération générale du tissu osseux vertébral. Elle le sera surtout dans le tabes :
et pour d'autres encore qui nous échappent que les ma- nifestations osseuses et articulaires prédominent dans le segment infér
avec elle : tous deux possèdent une gibbosité et des modifications osseuses secondaires, mais les douleurs spontanées potti
ation, pense l'auteur allemand, a favorisé la production de travées osseuses ou ligamenteuses, permettant d'assurer la fixit
s. Suivant ce grand axe il existe une fêlure séparant les fragments osseux déprimés en gouttière. Epanchement sous-dure-mé
as gauche ayant 24 au même point Au niveau du coude, les sail- lies osseuses ne sont pas plus visibles que du côté opposé. A
ue est très légèrement déviée à droite. Les réflexes musculaires et osseux sont exagérés dans toute l'étendue de l'épaule
. Marie et Couvelaire (1) puisse être attribuée à des alté- rations osseuses analogues à l'ostéomalacie et sur la nature ou l'
24 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
voit, dans le syndrome oxycéphalique, nous trouvons une dyslrophie osseuse généralisée en relation avec des altérations du s
ycéphalique. Au point de vue delà configuration externe de la boite osseuse du crâne, l'on doit entendre par le mot oxycéph
troubles visuels (7). L'anatomie pathologique de celte malformation osseuse a été étudiée d'abord par Virchow (8), par Zuck
ces faits que je considère l'oxycéphalie légitime comme un syndrome osseux qui peut être bien plus étendu que ne le préten
ques éclaircissements sur le mécanisme pathologique des altérations osseuses que l'on rencontre dans l'oycéphalie. En poursu
bregmalique soudée d'une façon irrégu- lière avec une surélévation osseuse disposée en crête tout au long de la suture sag
en examinant la région frontale, on peut nettement palper un rebord osseux très prononcé qui correspond probablement à la su
éphale et l'on y retrouve les caractères typiques de cette anomalie osseuse , c'est-à-dire la conformation ovoïdale de la bo
s et des genoux notamment sont très lourdes. En résumé la charpente osseuse de cet enfant est empreinte de tous les stigmat
ous voyons un' espace vacuolaire limité quelquefois par des travées osseuses : cet espace lacu- naire correspond aux sinus f
e sens antéro-postérieur et traversé parfois par de minces lamelles osseuses qui limitent de véri- tables cellules spbénoïda
l'écaille sphénoïdale, nous observons la présence d'un promontoire osseux , véritable massif constitué par le rocher qui,
nétique des os du crâne est manifestée par la pré- sence des crêtes osseuses ondulées et arborisées développées notamment su
blessure. Le barbier parait moins âgé que son blessé, sa figure est osseuse , les traits accentués, le nez fortement busqué,
0 centimè- tres environ. - On découvrit alors que toute la partie osseuse sous-jacente et qui était cons- .tituée par des
ère de cette région était complètement déchirée. Tous les fragments osseux furent enlevés et quelques vaisseaux d'où le sa
corres- pondantes du manteau ont été dépouillées de leur enveloppe osseuse ainsi que d'une partie de leur enveloppe durale
. et BONNET, Interne des hôpitaux d'ellger. Les dystrophies osseuses forment un groupe touffu au milieu duquel peuve
lation entre les fonctions des glandes génitales et les altérations osseuses appartenant à plusieurs groupes clorrt la patho
) étant parfaite- ment capable de se traduire par des malformations osseuses d'iniquement analogues, par des troubles mentau
pas douloureux, il n'y a pas de troubles trophiques musculaires ou osseux , pas de douleurs. Mais ces différentes manifest
du scialique supé- rieure à celle du crural, voisinages et contacts osseux du sciatique, lon- DE L'ABSENCE DES REFLEXES Ac
nte à l'Académie des sciences un rachis cer- vical dont la 71 pièce osseuse possédait à droite et à gauche une côte arti- c
approchent tellement qu'elles semblent constituer une sorte de dôme osseux , véritable carapace où vient se loger l'extrémité
, est formée de 12 vertèbres nettement différenciées et d'une masse osseuse , constituée par l'union de plusieurs vertèbres.
pprochée, presque soudée entre elles, à leur naissance. Cette masse osseuse a une longueur de 8 centimètres; une largeur vari
x qui se voient nor- malement. A la partie supérieure de la masse osseuse se trouvent deux surfaces arti- culaires séparé
les. - En réalité, il n'y a que la partie inférieure de cette masse osseuse qui soit le reliquat des 4 vertèbres dorsales ;
bres dorsales, munies chacune d'une paire de côtes. Enfin une masse osseuse complètement soudée dans laquelle il est im- po
t différenciées portaient t chacune une paire de côtes, et la masse osseuse qui continue la colonne jusqu'au crâne possède
, et la colonne ver- tébrale conserve son nombre régulier de pièces osseuses . Les anomalies non compensées sont beaucoup plu
'il écrit : « que la question des varia- tions du nombre des pièces osseuses de l'épine est extrêmement embarras- sante, emb
de la moelle spinale. Le système nerveux naissant avant le système osseux , il est admissible que ses variations entraînen
uite avec 5 vertèbres lombaires, 8 vertèbres dorsales, et une masse osseuse d'une hauteur de huit centimètres, présentant s
oûte palatine présentait une fente due à la non souaure des massifs osseux . La clavicule gauche présentait une dépression mé
à celle dyslrophie. Nous commencerons par ceux intéressant le tissu osseux . La taille était petite clans les cas de Scheut
si que dans le cas de Guzzoni degli Ancarani. Comme autres troubles osseux ,nous trouvons nolés les suivants : la cage thor
UN CAS DE DYaOS'rOSE CLCIL)O-CltA[NIENNE - 259 signalé des troubles osseux dans l'enfance ; dans le troisième, le sternum
emblait plus large que normalement. Il y avait en outre raréfaction osseuse . L'ex- trémité supérieure du radius qui n'affec
u crâne ; nous trouvons signalés dans les cas suivants des troubles osseux : Chez l'enfant observé par Morand, enfant qui
transversal manifestement moins grand que celui de gauche et le tissu osseux est un peu raréfié ( PI. XLVII). Membre infér
ents morts à un âge avancé ; pas de rachitisme, pas de déformations osseuses dans la famille. Il a lui-même été toujours bie
opoïde. Les membres supérieurs ne pré- sentent aucun épaississement osseux ni aucune incurvation anormale, et les 1..\..\.
czéma et ulcération accidentelle ; agmentation manifeste de la lésion osseuse . C. J.tmbe d'une malade atteinte de maladie de
ntusionnée, sur la partie supérieure de la crête tibiale, un nodule osseux , une « bosse » douloureuse, qui persista seule pe
n semble peu discutable : le malade est formel, la première saillie osseuse se serait faite au point le plus fortement cont
une part le mélange des processus de raréfaction et de condensation osseuses désordonnées, d'autre part le défaut de calcifi
cents de Ménétrier font de la lésion de l'os pagétique une sclérose osseuse hypertrophique. Dans ce cas, il n'y aurait rien
échou (1) a rapporté à cette loi de Wolff toutes les déforma- tions osseuses qui se produisent dans la maladie de Paget et qui
leversement du plan des surfaces articu- laires et de la résistance osseuse . Pourtant il est possible d'interpréter autreme
aumatique, le tiers inférieur du fémur participait à l'hypertrophie osseuse ,exactement comme chez notre malade : En résum
syndrome, n'ayant pour caractéristique commune qu'une hypertrophie osseuse avec mélange d'ostéite condensante et d'ostéite
l'absolu- tisme » (2). Rien de plus naturel pourtant qu'une lésion osseuse ,qui indique uniquement des troubles trophiques,
et dont la largeur permettait l'introduction du doigt dans la Lotie osseuse . La substance céré- brale venait faire hernie à
; la lèvre supérieure de la cicatrice chevauche légèrement. Le cal osseux parait partout constitué, et le pouls cérébral
antéro-postérieure (PI. LVIII). A gauche, on voit des néoformations osseuses qui partent de l'extrémité latérale du bord infé-
ntact du corps des vertèbres sous-jacentes. Ce sont comme des ponts osseux de conjonc- tion entre une vertèbre et l'autre
érieur ou inférieur des corps vertébraux. Ce sont comme des éperons osseux , le plus gros desquels appartient à la IVe vert
racines des membres ne sont pasatteintes, parceque les altérations osseuses de la région lombaire, révélées par la radiogra
III. Région lombaire, projection antéro-postérieure ; à gauche, ponts osseux de conjonction entre une vertèbre et l'autre ;
ux de conjonction entre une vertèbre et l'autre ; à droite, éperons osseux . OSTÉO-ARTHRITE CHRONIQUE DU RACHIS 411 Est-c
st surtout marquée au niveau de la région lombaire, et des saillies osseuses , irrégulières, des ostéophy- tes, en sont la ma
s montre qu'ici l'altération principale est donnée par des saillies osseuses régulières ou éperons osseux et par des néo-oss
incipale est donnée par des saillies osseuses régulières ou éperons osseux et par des néo-ossifications beaucoup plus dévelo
eux et par des néo-ossifications beaucoup plus développées ou ponts osseux de conjonction entre une vertèbre et l'autre. Le
rétrécissement des trous inter- vertébraux, soit aux néoformations osseuses qui siègent ou font saillie à l'intérieur, dans
r (4 ) ont attiré l'attention sur l'importance de cette compression osseuse au point de vue du diagnostic et du traitement,
urgical. Chez notre malade les symptômes d'une probable compression osseuse sont : des troubles très légers de la sensibilité
ement diminuée à droite. Les sensibilités musculaire, tendineuse, osseuse , articulaire, sont normales. Sens stéréognostiq
en est de même des autres mouvements du pouce et des muscles inter- osseux . A l'examen électrique, on constate une réactio
refouiée par la tumeur. Celle-ci a même en arrière détruit la coque osseuse et fait hernie dans la partie la plus reculée d
25 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
riceps et peut-être du biceps. Par contre les réflexes tendineux et osseux ayant une localisation plus basse sont nettemen
ud et Bauer, Soc. neurol., 12 janvier 1905) ; d'autre part, lésions osseuses vertébrales ou plutôt occip 1 to-a Li oïcli ennes
ROTSTADT postérieure, du côté droit, sans léser l'ensemble du tissu osseux de la colonne vertébrale. Les douleurs, qui t
ments, à la possibililé d'une métastase de la tumeur dans le tissu osseux . Cependant le cours subséquent de la maladie ai
Pas de règles. Larynx infantile (examen laryngoscopique). Epiphyses osseuses non soudées. Céphalée, vomissements. Cécité ave
e la dentition étaient retardées. Il en résultait des malformations osseuses et des fractures il type spontané. Les organes
des 4e et 5e vertèbres dorsales. Il présentait aussi des déformations osseuses qui apparaissaient de nature aclondroplasique;
rapport avec la longueur physiolo- gique du tronc; les altérations osseuses prédominaient aux extrémités distales des membr
l'aide de la radioscopie, on a noté une tendance à des dystrophies osseuses , ce qui rendra intéressante la question de déci
omopla- tes sont très courtes, légèrement ailées, aux proéminences osseuses assez mar- quées. Le dos est plat, ses muscles
ACHONDROPLASIE ET CHODIDItOHYPOPLA51E 169 de fractures ou de cals osseux , la disproportion entre le raccourcissement du
le diaphyse os- seuse est forte et on relève nettement les saillies osseuses des insertions mus- culaires. Les courbes des c
bustes, de forme normale avec un développement marqué des éminences osseuses correspondant aux insertions musculaires. Quant
s, l'exagération des courbes claviculaires, la raréfaction du tissu osseux des orteils et enfin, outre la micromélie avec se
sie, car il a été trouvé par M. Chevalier dans d'autres dystrophies osseuses . Si nous appliquons ces conclusions à l'élude d
ssi. Et voici les résultats : 180 FERRUCCIO RAVENNA dystrophies osseuses asymétriques. Il nous paraît donc juste de soustr
férieurs ; mais nous avons ici, en outre, des traces de dystrophies osseuses ; d'ailleurs celle micromélie segmentaire ne sembl
n examen radiographique soigné peut faire constater des dystrophies osseuses non graves, mais qui révèlent et jusqu'à un certa
cent. 5 et 4 centimètres chez l'achondroplase. En général, le tissu osseux paraît, chez l'achondroplase, d'une spongiosité
ent n'était pas bien nelte. Si- gnalons dans ce cas les altérations osseuses que nous avons constatées el surtout les crêtes
suppose un processus congénital, (1) On constate cette même saillie osseuse sur les radiographies publiées par d'aulres aut
ongueur des membres, mais on observe en même temps des incurvations osseuses et des nouures ; le crâne n'est pas augmenté de v
nommées, soit parce qu'il manquait ici des symptômes des lé- sions osseuses , et manquaient de même les principales causes, qu
obésité, ni défor- mation des extrémités, ni augmentation du massif osseux facial, ni pro- gnathisme du maxillaire inférie
taille est arrivée à son développement définitif... - Le système osseux ne semble alors nullement influencé, mais les car
molles, mais encore les os, qui sont nettement altérés. L'atrophie osseuse est localisée aux extrémités digitales, et en eff
de distance (mars 1910-avril 1911), le pro- grès de la destruction osseuse . Si l'on examine par exemple la projection laté-
nt seulement comme amputées dans leur continuité et les altérations osseuses paraissent s'arrêter en ces derniers points (PI
st-à-dire en avril 1911, nous voyons que le processus de résorption osseuse a fait beaucoup de progrès, comme on peut le vo
rso-pal- maire. Il est inutile d'ajouter que les lésions d'atrophie osseuse se sont montrées parfaitement symétriques de de
terlignes articulaires des phalanges sont troubles. Les altérations osseuses s'arrêtent au niveau des métatarsiens. Crâne (p
eau des doigts, du poignet, des genoux, les traces d'une résorption osseuse plus marquée aux extrémités des phalangettes.
nes de Gud- den (2). Une fois obtenue la transformation en cellules osseuses de tous ces éléments, il y a fixation définitiv
s seul à être intéressé et parfois les trou- bles de la morphologie osseuse s'accompagnent de lésions portant sur l'apparei
bles oculaires à une stase papillaire par ré- trécissement du canal osseux , Mantz (12) incrimina l'étranglement du nerf op
ncier Waller Scott et du savant Meckel, tous affligés d'une calotte osseuse plus ou moins pointue. Ces dernières années la
teur, le syndrome oxycéphalique serait constitué par une dystrophie osseuse d'origine rachitique conditionnée elle-même par u
suels graves, conclut, lui aussi, en présence d'autres déformations osseuses concomitantes, à la nature rachitique du syndro
uteurs contemporains, non plus comme une affection limitée au tissu osseux , mais comme une maladie générale de tout l'organi
n peut attribuer au seul rachitisme, la paternité des malformations osseuses et de l'arrêt intellectuel ; les premières résu
ies tuberculeuses et syphilitiques. Troubles glandulaires, troubles osseux , et troubles intellectuels ne pourraient-ils pa
malades, elle n'est qu'une conséquence mécanique de la malformation osseuse ; l'individu qui en est porteur ayant en plus de
du diploé. Ainsi, chez le malade qui nous occupe, les modifications osseuses por- tent uniquement sur le crâne (voûte crânie
lie. Notre sujet n'a ni les troubles fonctionnels ni les caractères osseux de celle dystrophie et on pourrait presque l'op
ématiser, pour ainsi dire, les curieuses altérations que la maladie osseuse de Paget produit au niveau de la base. Les alté
trophie. - Les os de la base sont hypertrophiés. L'épaississe- ment osseux se constate avec la plus grande facilité au nivea
3 par exemple) sont presque linéaires, subdivisés par des lamelles osseuses ; il en est ainsi au niveau des trous condyliens
se trouvant séparés sur un des crânes (crâne 7) par un prolongement osseux de l'apophyse ptéry- goïde externe ; le canal c
es qui sont très nettement rétrécis par le fait de l'épaississement osseux , ce sont les alvéoles dentaires. Le fait apparaît
opathie condensante quelquefois très importante. Celte condensation osseuse est surtout manifeste sur le crâne 4; et il sem
ilement diffuse quand elle s'accompagne d'une certaine condensation osseuse : ainsi le crâne 4 est relativement un de ceux
de façon très variable et nullement en proportion de l'hypertrophie osseuse . Les poids que nous pouvons fournir n'ont pas g
e- ment parce que, sur une base du crâne vue de profil, l'épaisseur osseuse esl beaucoup plus grande. II. Déformations. -
euse esl beaucoup plus grande. II. Déformations. - L'hypertrophie osseuse n'est pas tout dans le pro- cessus de la maladi
dans toutes les affections qui s'accom- pagnent d'un ramollissement osseux , tels le rachitisme, l'ostéomalacie, etc... Gén
e contre-pres- sion s'exerce partout ailleurs sur les os, et parois osseuses la cavité crâ- nienne regagne en avant et latér
rânienne chez les pagétiques, malgré l'hypertrophie de leurs parois osseuses et malgré le bombement de leur massif sphéno-oc
des pagétiques n'est pas due seulement à l'hypertrophie des parois osseuses , mais aussi à la dilatation transversale de la ca
us venons de signaler est la déviation en arrière de tout le massif osseux de la face. Le squelette de la face est attiré
ssez complexe de la maladie de Paget. L'hypertrophie et la porosité osseuses se manifestent parl'épaississement t et l'aspec
ingue » de Iajsur- face de coupe, sur le crâne n° 4 la condensation osseuse de cette même suirace. La diminution du trou oc
considérablement exagérée chez les pagétiques par le ramollissement osseux . PL. LXX. Radiographie d'un crâne normal et de
ur les crânes pagétiques, on voit l'épaississement énorme des travées osseuses , qui deviennent larges, irrégulières, Moues et
olume des orteils tenait en grande partie à l'exubé- rance du tissu osseux . Voici en effet la description du squelette :
pour celle du 2e orteil, deux pour celle du 3a (1). L'hypertrophie osseuse s'étend sur les métatarsiens correspondants. Ils
leurs extrémités, pré- sentent une exubérance remarquable du tissu osseux : des apophyses sont disséminées à leur surface
es plus saillantes sont situées du côté plantaire. Celte exubérance osseuse se prolonge même sur la face plan- taire du 3e
26 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
sur les rapports de l'impotence musculaire et de certains troubles osseux dans l'hémiplégie infantile ; Par BOURNEVILLE
. Bourneville, Bicêtre, 1301. 4 42 SQUELETTE DES hémiplégiques. osseuse notamment, paraissaient devoir retirer des écla
éclaircissements d'une étude détaillée et scrupuleuse des formes osseuses . Il y a longtemps qu'on discute sur la pathogén
a longtemps qu'on discute sur la pathogénie des troubles trophiques osseux . Y a-t-il un trouble trophique direct ? L'impot
le trophique. Autre- ment dit quel rapport eiili-e les uaniitions osseuses et les variations musculaires ? Si le degré d'i
es, il fallait y joindre la connaissance non moins exacte de l'état osseux , mais pour cola, on ne doit pas se contenter d'
hropologie, en traduisant en chiffres les variations morphologiques osseuses , en comparant les formes anormales aux formes s
les nous nous proposons d'établir les rapports entre les variations osseuses et les variations muscu- laires : 1° La diaphys
besoins de ses fibres qui s'insèrent directement sur la sur- face osseuse , condition essentielle pourpouvoirlamodifier, q
car nous y revien- drons encore, cette opposition entre l'atrophie osseuse accompagnée d'un moindre développement musculai
ut, considérant la saillie pilastrique comme un simple renforcement osseux indice d'une bonne nutrition on avançait qu'il
e ne diffère pas seulement de la forme malade par un simple support osseux surajouté mais qu'il a transformation complète
osseux surajouté mais qu'il a transformation complète de la forme osseuse . Nous en expliquerons ultérieurement le méca- n
i regarderaient le pilastre comme le résultat d'une bonne nutrition osseuse , qu'il leur devient impossible d'expliquer la d
vertu de sanutrilionpar- faite, est en outre pourvu d'un contrefort osseux , le pilastre ! C'est absolument le contraire qu
loi bien démontrée et basée sur l'observation raisonnée des formes osseuses humaines ou animales que l'os s'adapte aux fonc
en rapport avec le volume du muscle accru par l'exercice, la forme osseuse se modifie dans un sens déter- miné. Or c'est p
niveau dépend donc du volume des muscles relative- ment àla surface osseuse . Il est évident que nos fémurs malades représen
'un de nous comme introduction à ce travail sur les modifications osseuses , et d'une façon générale ce qui a trait aux varia
terne est lisse, large, et on voit l'a- grandissement de la surface osseuse dont la limite externe (bord externe de l'os, c
mportance de l,y,oit clu muscle dans la détermination de l'atrophie osseuse . On peut même ajouter que par la seule impotenc
t un retard dans le développement de l'ossifi- cation. Le système osseux prÓsen te de l' /1(;1)/ i..infantilisnw : c('d
le genu-valgum dans trois catégories : musculaire, ligamenteuse et osseuse . Evidemment, il y a des cas ressortissant uniqu
un point faible au niveau duquel des modifications de l'inclinaison osseuse peuvent se produire. L'épiphysc res- tant fixe,
uf- fisante (faiblesse musculaire relativement au développe- ment osseux clans le cas du géant, paralysie dans nos cas),
quise. Une autre cause contribue encore il diminuer la résistance osseuse relativement au poids du corps : c'est la persis-
ourbure sur des fémurs atteints dogénu-val- gums d'origine purement osseuse ; et qu'il en faisait la lésion principale. M.
irurgie. Peut-être parmi les faits rattachés à une théorie purement osseuse et où l'on fait intervenir le rachi- tisme parc
l'observation recueilliedanslc service de Dicèlre et les symptômes osseux en font foi. Il y a donc eu un phénomène partic
n manque de corrélation entre le système mus- culaire et le système osseux . L'os sain, ayant supporté un poids supérieur,
iliaque où à l'ischion, toutes ces longueurs englobent des parties osseuses nullement équivalentes comme les os iliaques, o
usieurs reprises, afin de bien se pénétrer des rapports de la masse osseuse . On peut aussi faire hancher le malade et ce n'
être très active au niveau de l'insertion ; mais cet accroissement osseux se fait dans le sens de la traction, c'est-à-di
muscles et nos os malades présentent continuellement ces modalités osseuses à un faible degré. - Nous nous en tenons à ce q
ur les rapports de l'impotence musculaire et de certains troubles osseux dans l'hémiplé- gie infantile ; par BounNEVILLE
27 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
tanelle antérieure. z 20 IDIOTIE. fontanelle une petite lamelle osseuse , mince, de 0,008m/m. de long et de forme lentic
sont dentelés grossièrement et une membrane l'oblitère. La bande osseuse spongieuse qui la borde est moins accentuée qu'
opaques qui s'étendent jusqu'au voisinage des sutures où le tissu osseux prend des caractères spéciaux. En effet, au nivea
ment (Fig. 31). En arrière de cette membrane, il existe une portion osseuse transparente mesurant d'avant en arrière 3 cent
ge de cette dernière. Les sutures sont gorgées de sang et la partie osseuse voisine est considérablement vascularisée. Le l
nt très nettement accentuées par des dentelures rouges; les parties osseuses voisines étaient également très rouges. La ca
n plus ossifiées. Au niveau de la dernière existent de petits îlots osseux (os wormiens). Des fontanelles, il ne reste que
lles de l'os voisin atteint jusqu'à 3 ou 4 centimètres. Les parties osseuses voisines du tiers moyen de la suture coronale s
Absence de synostose des sutures du crâné. Description delà brèche osseuse ; lésions de 1né1212o : cncéphalite, etc. (1).
AT appréciable : mode curieux de HI : OSSIIIC : 11'10\ DE la brèche OSSEUSE . SOD1AIIIE, - Père, excès de boisson. Grand-pèr
E. - Description des os du crâne. Mode de répa- ration de la brèche osseuse produite par la crâniectomie. Minceur et transp
us apparente que réelle ; cette apparence est le fait de l'incision osseuse faite à gauche. Une mensura- tion exacte démont
moins longs, plus larges, et àt bords moins déchiquetés. La brèche osseuse due à la crâniectomie (Via. 37,). située à gauc
'un bord il l'autre et transformée sur les bords en minces lamelles osseuses . Une partie ayant 32 millimètres de longueur re
mode de réparation est des plus intéressants. En effet, la soudure osseuse s'est effectuée sous la forme de suture à fines
e 4 mil- limètres, présente sur ses bords de petits prolongements osseux minces et se termine par un cul-de-sac arrondi, à
t se termine par un cul-de-sac arrondi, à demi comblé par une jetée osseuse interne. A l'état frais cette partie non-ossifi
fiée était recouverte d'une membrane ostéo- gène, les prolongements osseux lamellaires des bords de la brèche en sont une
athétosiques des quatre membres. AUTOPSIE. - État des trois brèches osseuses de la c1'âniecto- mie ; lésions de la dure-mère
gueur sur 3 ou 4 millimètres de diamètre qui se dégage de la brèche osseuse gauche sur laquelle il était appliqué et où il
ps que la calotte. La dure-mère est adhérente au niveau des brèches osseuses et entre elles, de telle sorte que l'espace qua
e. La sagittale est un peu plus serrée, mais il n'existe de soudure osseuse en aucun point de son trajet. Les trous pariéta
ôtés. Du côté droit, le pariétal présente une brèche 72 IDIOTIE osseuse longue de 9 centimètres, large do 2 centimètres 1
te brèche sont celles que nous rapportons. Le travail de réparation osseuse a créé des bords minces, déprimés, fes- tonnés
MENT CHIRURGICAL. 73 3 Sur le pariétal gauche existent deux brèches osseuses paral- lèles à la suture coronale, perpendicula
ernière brèche est en partie comblée par le travail de réparation osseuse . La plus antérieure l'est beaucoup moins. (Fig. 3
n désirable. L'examen de ces mêmes crânes fait voir que ces brèches osseuses ne peuvent pas procurer au cerveau une grande l
entent rien de particulier, Le trou occipital est régulier. La lame osseuse formant la selle turcique présente une saillie
A l'inspection de la hase du crâne, on cons- tate que les saillies osseuses sont très prononcées et que les différents étag
esque une ligne droite. Les bords du losange sont formés d'un tissu osseux plus coloré et plus spongieux que le reste du c
corn-, prise dans la membrane de la fontanelle une petite lamelle osseuse lenticulaire de 8 millimètres de longueur. La sut
opaques qui s'étendent jusqu'au voisinage des sutures, où le tissu osseux prend des caractè- res spéciaux. En effet, au n
e d'une membrane qui les comble et l'aspect particulier des bords osseux qui empiètent sur la suture en formant de longues
, et à peine de 13 si on ne la suit pas. Le centre en est nettement osseux ; la périphérie a un aspect blanchâtre qui rappe
postérieure et interne du coude droit existe une fistule d'origine osseuse à bords adhérents, rouges et arrondis, qui actu
nt laissé sur la table interne des empreintes très nettes. Le tissu osseux du crâne est assez épais ; entre deux lames com
28 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n peu bleuâtres ; on conslate du dl'I'mugl'a- phisine. Le système osseux et musculaire esl bien développé ; la taille co
puis sa progression rapide, enfin l'atteinte simultanée du système osseux (1)(',i-iostite), Lou[ conduit au diagnostic én
ion du sens des attitudes du sens stéréognostique, delà sensibilité osseuse et des réflexes de l'avant-bras, lympho- cylose
idural, dans sa partie externe il existe quelques petites esquilles osseuses qui adhèrent au tissu même. Aucun point caséeux
s points du tissu épidural, dans un desquels il existe une esquille osseuse et de la dure-mère épaissie (I temateine-eosine
le aussi, légèrement épaissis et plutôt congestionnés. L'esquille osseuse qui se trouve dans le tissu épidural présente d
idural présente de l'ostéite raréfiante : dans les mailles du tissu osseux , on re- trouve une moelle extrêmement riche en
uberculose pulmonaire, des manifestations exté- rieures d'affection osseuse sacrale, sacro-lomlmire ou de la symphyse sacro
sultat positif, étant donné le caractère superficiel de la lésion osseuse . Si notre malade avait survécu plus longtemps,
ongtemps, les phé- nomènes nerveux sinon les signes de localisation osseuse de la tuberculose seraient peut-être devenus pl
léphantiasique et chez qui la radiographie a montré des altérations osseuses ex- ceptionnellement développées. Ostéo-arthr
iques, moteurs, sen- sitifs, objectifs, par la raréfaction du tissu osseux constata- ble par la radiographie, et surtout p
soT.. V. Paralysie des nerfs craniens d'un côté et déforma- tions osseuses multiples d'origine probablement hérédo- syphil
NERVEUSE. 315 res crâniennes, par la multiplicité des déformations osseuses ,les osléopathies spécifiques (les doigts. - F.
ue, de l'hypertrophie de la rate (splénitehyperplasique) ; lamoelle osseuse est en plein fonc- tionnement hémato poïétiquc.
taines phalanges, un processus de raréfaction et même de résorption osseuse mani- feste. , La lésion est surfont nette au
lo la tcmlancc à surtir. D'aulres fois, il y a une \o'ita))lc carie osseuse , soit dans les cavités de l'oreille, soil dans le
ragi- les et présentent les lésions de l'ostéoporose, de l'atrophie osseuse simple, liée àl'involulion sénile régressive. C
'origine mésodermique (tissu conjonctif, tissu cartilagineux, tissu osseux ). Les altérations diverses dont elles peuvent êtr
avec Louis (2), un des premiers à soutenir cette théorie mécanique osseuse des phénomènes nerveux survenant dans lé mal de
omènes nerveux survenant dans lé mal de Pott, insiste sur l'origine osseuse des compressions médullai- res, même dans les c
ente de la moelle épinière causée par l'altération de son enveloppe osseuse sont très nombreux, on en possède très peu où c
ont été faits, ne nient pas d'une façon absolue la com- pression osseuse directe de la moellc;ils conviennent que dans q
recte de la moellc;ils conviennent que dans quelques cas une 'arête osseuse , une esquille, un rétrécissement osseux du cana
ns quelques cas une 'arête osseuse, une esquille, un rétrécissement osseux du canal vertébral puissent êlre la cause delà
euse. matoire : lui aussi admet que la compression est rare- ment osseuse ; le facteur le plus important des paraplégies
ntiel Pour ce qui regarde la compression de la moelle d'ori- gine osseuse , tous les auteurs sont d'accord pour en ad- met
nce. Pour Kraske (2) la compression de la moelle par rétrécissement osseux du canal vertébral se retrouverait seulement da
rveusic. ' des cas relevées de compression médullaire par sténose osseuse du canal vertébral, confirme cette manière de-
s de pa- raplégie pottique (section totale de la moellc par arête osseuse ) ; G u usa Licite deux cas de compression osseuse
moellc par arête osseuse) ; G u usa Licite deux cas de compression osseuse dans lesquels l'étranglement de la moelle se fa
s lesquels l'étranglement de la moelle se faisait par des fragments osseux morbides. restes des dernières ver- tèbres supé
l vertébral. Guibal pense aussi' que le mécanisme de la compression osseuse ne doit pas être rare. -puisque ces doux pièces
: ) observe dans 2 cas sur 20 la paraplégie duc à une compression, osseuse . Un cas in- téressant décompression par arête o
compression, osseuse. Un cas in- téressant décompression par arête osseuse a été publié par LONG et 1 : 1CHARD (4) : dans
cas il n'y avait pas de 1)tellyiiiéiiiiigitc,' et bien que l'arête osseuse ait porté sa pression sur un point limité de la
atoires (stase et oedème). Cette manière d'agir de la compression osseuse principalement par des troubles circulatoires e
eu l'occasion d'observer celle modalité particulière de compression osseuse ou la moelle était tendue plus ou moins comme u
la moelle était tendue plus ou moins comme une corde sur l'arête osseuse sans qu'il y ait un rétrécissement important du
anns attire encore l'attention sur une autre modalité décompression osseuse de la moelle qui se ferait dans certains cas de
de spondylitc tuberculeuse guérie ou presque, par les néoformations osseuses , calciformes qui, provenant en partie du périos
rmes qui, provenant en partie du périoste, en partie de la moelle osseuse , fixent la colonne vertébrale il la place du fo
olonne vertébrale il la place du foyer malade, remplaçant la partie osseuse détruite par la tuberculose ; par ces cals exub
nc que les auteurs récents inclinent à faire jouer à la compression osseuse un rôle plus important et plus fréquent que cel
. Qu'elle agisse sur la moelle, surtout dans les cas de compression osseuse relativement lente, en partie aussi par l'inter
rd l'existence d'une pachyménin- gite tuberculeuse sans tuberculose osseuse correspon- dante.Les cas de ce genre sont fort
èbre sont repoussés vers le canal vertébral sous l'orme d'un éperon osseux qui d'ailleurs n'obstrue pas remarquablemenl le
suit l'inflexion de la gibbosité et est comme tendue sur l'éperon osseux , pas mobile, de la 11° vertèbre dorsale ; à ce ni
vertèbre dorsale ; à ce niveau, la dure-mère est fixée à la saillie osseuse par des adhérences assez fortes formées par des
nient la face antérieure de la moelle semble être dû à la saillie osseuse laquelle la moelle à ce niveau adhérait ; pn elre
rrespondant aux segments ' 1 aplatis, l'impression due à la saillie osseuse . Tuberculose pulmo- naire avec grosses cavernes
euse; à ce niveau, la moelle était infléchie, tendue sur la saillie osseuse de la 1 le vertèbre dorsale, détruite, refou- l
à propos des généralités de ce nouveau genre spécial de compression osseuse : notre cas semble en être un exemple évident ;
évident ; ici, en effet, la moelle n'est pas comprimée par l'arête osseuse contre la partie dorsale du canal vertébral ; e
e limite exclusivement à sa face anté- rieure tendue sur la saillie osseuse . La faiblesse relative de cet aplatissement, le
int de compression, permettent de déduire encore que la compression osseuse a ici agi plutôt en amenant des troubles de nut
qui nous a paru intéressant dans cette pièce, c'est la réfec- tion osseuse presque parfaite alors que des auteurs très compé
par de Léon, p. 314. des nerfs crâniens d'un côté et déformations Osseuses multiples d'origine probable- ment hérédo-syp
29 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
IRE DES CLINIQUES DE LA FACULTE DE BORDEAUX. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT CONSÉCUTIVE A DES T
du membre ne fait par contre que s'accuser. atrophie musculaire ET OSSEUSE 109 A 17 ans, nouvelle chute sur le coude en gl
l'épaule gauche présente de nombreuses irrégularités : les saillies osseuses (épine de l'omoplate, acrominn, apophyse coraco
graphie UI la SAII'ÉrRIEHE. T. XII. PI. XVII ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT (S,ibi-izès et Marty)
-izès et Marty) rP71 ? 1r/,>i ? </ ? ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 111 Celui-ci tire en haut la base et l'angle ex
graphie DE la Salpètrière. T. XII. PI. XVIII ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT (S.tL,razcs et 1\ ! a
r. XII. Pl. XIX ph't'tyl'te n, rmsnn Paris ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPERIEUR DROIT (S.IlW,IZ0s et M.1rty
raphie du coude MASSON & cle, Editeurs ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 113 La clavicule ne parait pas offrir un volume
court que celui de la main gauche de li à 5 mm. , Les extrémités osseuses des métacarpiens et des doigts ont conservé leur
tout le membre). Le corps de ces os est atrophié. Les extrémités osseuses ont un volume à peu près normal ; elles sont su
GRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. T. XII. PL. XX. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT (Sabrazès et MARTY)
: (coté atrophié). Masson et Cio, Éditeurs ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 115 La flexion volontaire de l'avant-bras est n
u près au même degré que le long supinateur. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 1 117 i Le pincement des muscles de la région p
ce ne l'est pas anorma- lement. Il existe aussi de l'hyperalgésie osseuse : vive au niveau de l'extrémité supé- rieure de
e de l'humérus; très vive sur le corps du même os (au niveau du cal osseux ); vive à l'extrémité inférieure de l'humérs ; fai
musculo-cutané, du radial ; les hyper31gésies cutanée, musculaire, osseuse sont superposables dans les territoires où se dis
ue la z marche à reculons les yeux fermés. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 119 La sensibilité au contact est bien perçue.
eresthésie excessive des bourses. La près- . ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 121 sion même légère des testicules est très do
paralysie spinale aiguë de l'adulte (atrophie musculaire, atrophie osseuse , épaississement des téguments ; pas d'anesthésie)
ête humérale viendrait le comprimer directe- ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 123 ment contre la paroi thoracique. Or, notre
rfs médian, radial et cubital ; (1) Fieux. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 125 4° Réaction d'Erb complète pour le biceps.
de cette fracture. Néanmoins, le choc du ma- ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 127 drier qui est tombé sur la clavicule a dû s
apulaire. Nous sommes donc en présence d'une atrophie musculaire et osseuse extrêmement marquée, limitée à un membre. Malgr
osseuse extrêmement marquée, limitée à un membre. Malgré l'atrophie osseuse , le raccourcissement du membre n'excède pas 5 c
courcissement mais n'est pas très grand. Cela prouve que l'atrophie osseuse n'a pas dû s'établir avec évidence lors du premie
mme en épaisseur. On est donc en droit de con- clure que l'atrophie osseuse et musculaire s'est produite au sur et M mesure
n de la sensibilité autre qu'une hyperalgésie cutanée musculaire et osseuse correspondant aux territoires où les muscles so
par ces trois nerfs sont aujourd'hui moins douloureux. La pression osseuse de l'humérus n'est pénible qu'au point ancienne
aumatisme direct des racines et de la con- - ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 129 tusion indirecte de la totalité des branche
alisée des centres nerveux en rapport avec l'atrophie musculaire et osseuse de cause articulaire ne laissent aucun doute à
nsitifs ganglion- naires et médullaires. L'atrophie musculaire et osseuse de notre malade est donc sous la dé- pendance d
ions qui se traduisent par une hy- peresthésie cutanée, musculaire, osseuse et nerveuse du membre malade. Déplus l'élongati
haryngienne s'améliore. Les organes sexuels s'achèvent. Les lésions osseuses du rachitisme, de l'ostéomalacie (3), de la syphi
x membres supérieurs les éminences thénar et hypothénar, les inter- osseux , les muscles de la moitié inférieure de l'avant-b
presque disparu et très mou; disparition presque totale des inter- osseux qui sont remplacés par une véritable gouttière ci
au on soulève la peau qui semble reposer directement sur le système osseux ; atrophie des muscles lombaires, mais moins mar
cu assez largement. (1) PRAUTOIS ET G. Etienne. Troubles trophiques osseux et articulaires chez un hom- me atteint d'atrop
son épaule descendre ». Il existe au niveau du scapulum une plaque osseuse ostéophytique de 8 cent- mètres de longueur sur
, a surface mamelonnée, faisant corps avec l'omoplate, d'une dureté osseuse caractéristique, non mobile (PI. LXII, fig. K).
Io A l'insertion supérieure du deltoïde est une plaque (fig. M, L) osseuse en forme d'épaulette, mesurant 7 centimètres da
téophytique sur une longueur de 8 centimètres (fig. L). 4° Nodule osseux ayant les dimensions d'une noix à l'insertion de
Patruban et Rosenthal ; les deux premiers ne sont que des nodosités osseuses aux mains et aux doigts chez des nerveux ; quant
e, dès l'abord, par le développement exagéré de toutes les saillies osseuses de la face : nez, pommettes, menton. Le nez est
de 35 à 40° environ. Les parties molles qui recouvrent ces massifs osseux sont également hypertrophiées : la peau est épa
la pincer entre les doigts ni la faire glisser au-dessus des masses osseuses ou musculaires ; ce n'est que très difficilemen
esque unique en son genre, en raison de la partici- pation du tissu osseux à l'hypertrophie, différant de l'éléphantiasis et
and intérêt. Mais il diffère essentiellement des nôtres où le tissu osseux était strictement respecté 1). Parmi ces accide
vers l'atrophie. Exemples : les hyperostoses d'une part, les fontes osseuses de l'autre; les amyotrophies et les pseudohvper
lo-conjonctif est capable de dystrophie aussi bien que les systèmes osseux ou musculaire. . Les excès de croissance, - com
en jambes, d'autres tout en tronc, on en voit chez qui la charpente osseuse semble absorber à son profit toute la nutrition
riété courante que de mère en fille, de père en fils, les anomalies osseuses , cutanées, sensorielles, etc. se transmettent p
ris de l'auriculaire gauche ; malgré l'élimination d'un séques- tre osseux cette suppuration ne s'accompagna d'aucune douleu
uche), de l'épaisseur considérable des parties molles, de la lésion osseuse de l'auriculaire gauche et surtout de la partic
ans la même famille),par G. ROS80LIMO, 22. Atrophie musculaire et osseuse du mem- bre supérieur, par J. Sabrazès et L.
phot.), 353. .Marty L. et G. SABRAZES. Atrophie mus- ' culaire et osseuse du membre supérieur (1 stéréo-phot.), 107. Me
(4 phot.), 22. Suiiiazès J. et L. MARTY. Atrophie muscu- laire el osseuse du membre supérieur (1 stéréo-phot.), 107. Sa
thique (G. Etienne), LX, LXI, LXfI, LXIII. Atrophie musculaire et osseuse du mem- bre supérieur droit (Sabrazès etMARTY).
30 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
r même dès les premiers jours. b) Arrêt de développement du système osseux . Nous devons rele-ver, ici, un trait important qu
lkmann ont fait ressortir : c'est l'arrêt de développement du système osseux . L'atrophie qui affecte les os n'est nullement en
es fonctions des muscles, être suivie cependant de lésions trophiques osseuses qui persistaient toute la vie2. Il serait diffi
des lésions du système nerveux central sur la nutri-tion des parties osseuses , puisqu'il est impossible d'invoquer dans cette c
Devergie. — Madame X... présente un beau développe-ment des systèmes osseux et musculaire. Menstruation régulière, leucorrhée
te difformité. Vous savez que le torticolis peut être primitivement osseux , ou primitivement musculaire. Ainsi, dans le cas
t musculaire. Ainsi, dans le cas de lésion des vertèbres, les leviers osseux étant tout d'abord altérés, l'équilibre des puis-
oser notre diagnostic d'une manière absolue, di-sons qu'une affection osseuse primitive nous paraît ici invraisem-blable. La dé
t que je puisse invoquer. (Voyez Planche VII.) Lorsqu'une déformation osseuse amène consécutive-ment la rétraction musculaire,
'occipital large de 2 centimètres, tandis que, du côté droit, la lame osseuse est réduite à 1 centimètre un quart. Au-dessous
térieur que le corps delà vertèbre. Ainsi se trouve constitué un plan osseux assez large formé au milieu par le corps et,de ch
e donc plus que dans son pourtour en haut et de chaque côté. Le tissu osseux qui forme les bords de l'orifice est mince, régul
équences de la défor-mation du rachis, conséquences surtout de l'anse osseuse qu'il fait en avant dans sa moitié supérieure. De
st donc très-oblique de haut en bas et d'arrière Fig. 2. a, orifice osseux de la tumeur, — b, tumeur. On voit nettement, ici
des méninges. L'ouverture herniaire est due à la résorption du tissu osseux provoquée à son tour, soit par la pression de la
il y avait eu là un travail de résorption ou d'inflam-mation du tissu osseux . L'orifice de la hernie occupait la ligne média
mécanique invoquée par Spring, c'est-à-dire la perforation des parois osseuses du crâne par la pression du liquide contenu soit
u spongieux des os. Le pédicule est con-stitué par une^coque d'aspect osseux continu avec le tissu compact de la côte ; cette
ces vaisseaux ressemble en tous points au réseau vasculaire du tissu osseux . III. De la contraction musculaire, par P. Dupu
hyse et le fracture, il produit en même temps un ébranlement du tissu osseux dont voici les principaux effets : La moelle osse
anlement du tissu osseux dont voici les principaux effets : La moelle osseuse présente une infiltration sanguine et même, par p
externe. On sent aussi très-bien avec le doigt des îlots de substance osseuse disséminés çà et là. Ces îlots affectent le plus
de petits nodules dans lesquels on retrouve quelques points de tissu osseux rudimentaire. Dans des coupes perpendiculaires
oir détruit la couche calcifiée qui sépare le cartilage de l'épiphyse osseuse , a fait hernie dans l'épaisseur du tissu cartilag
llement d'épaisseur. Elle manque à l'extrémité an-térieure de l'angle osseux et ne forme nulle part de ligament distinct. 2°
la peau. L'inférieur présente en haut deux ou trois minces aiguilles osseuses reliées au foyer de la fracture par autant de fai
Nécrose phosphorée de la mâchoire inférieure. — Parmi les affections osseuses qui ont attiré l'attention des chirurgiens dans c
5° pratiquer l'extirpation isolée et successive de cha-que extrémité osseuse articulaire, en commençant toujours parcelle qu'i
consiste pas dans le grattage plus ou moins régu-lier des extrémités osseuses et dans la conservation de quelques lam-beaux du
rvation du périoste, il obtient la reconstitution de nouvelles masses osseuses qui, en s'arliculant en-tre elles, assurent la re
résultats de la mé-thode, ne croient pas cependant à la reproduction osseuse , au moins dans les cas traumatiques. Pour eux, la
n le plus sûr, le moins dangereux ; en suivant l'os ou les frag-ments osseux , en détachant les insertions ligamenteuses et ten
ence pigmentaire (voir la Revue); 3° dégénérescence cartilagineuse et osseuse ; il n'y a pas, à proprement parler, de tissus car
sseuse; il n'y a pas, à proprement parler, de tissus cartilagineux et osseux , mais du moins des tissus d'apparence fibro-carti
osseux, mais du moins des tissus d'apparence fibro-cartilagineuse et osseuse . V. Tumeurs delà rate: Io Cancer, rare (squirrh
re, la tumeur devient alors réductible, et l'on peut examiner le plan osseux sous-jacent que l'on trouve sain, et s'assurer ég
a persisté, symptôme favo-rable pour la réduction, parce que la tête osseuse peut s'être atro-phiée alors, mais non complèteme
t et que ce ne soit une cause traumatique qui ait amené la dénudation osseuse . » (Contri-bution à la chirurgie.) Le travail d
tre où on rencontre surtout des cellules de pus et quel-ques cellules osseuses déformées. Pas de pus dans les articulations ni e
aris, Ad. Delahaye, éditeur. « Si, dans le mal vertébral, la lésion osseuse est le point de dé-part de la maladie, c'e^t la l
e siège et la nature. La dure-mère, irritée au voisinage de la lésion osseuse , s'enflamme dans sa partie superficielle et pouss
, développement parfois énorme des vaisseaux ; 5° Tumeurs d'origine osseuse . Le carcinome, le fibro-sarcome, l'héléradénome
ation de la moelle est elle-même intimement liée au sort de la lésion osseuse et lorsque celle-ci vient à guérir, elle tend ell
31 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
ative des divers tissus par les rayons X et de l'opacité du système osseux , il deviendra possible de reconnaître certaines
de M. Roentgen permettra donc en principe de rechercher les lésions osseuses , soit traumatiques, soit congénitales, et les cor
es épreuves exécutées sur divers sujets présentant diverses lésions osseuses , ou chez lesquels on cherchait des corps étrang
e cette petite opération, il n'y a eu ni élimina- tion de séquestre osseux , ni perte d'un autre tissu par nécrose. Fort pe
suivant une ligne qui corres- pond à la 3e côte et qui suit cet arc osseux jusque dans la région postérieu- 1'13; immédiat
on note concurremment, à l'autopsie, des manifestations viscérales, osseuses ou autres. Les signes cliniques font donc compl
les de la motilité. L'enfant mourut de diphtérie. Outre des lésions osseuses attribuables à la syphilis, on trouva, en diver
llimètres. Immédiatement après l'accident, on a enlevé une esquille osseuse , et six mois plus tard, en août 1895, un petit
autour d'elle de l'ostéite con- densante, qui aurait rendu le tissu osseux plus opaque. Comme la photo- graphie ne révèle
rive à deux cas tout différents qui ont trait à l'étude des lésions osseuses . Voici d'abord une très belle photographie d'un
e bande de périoste transversale et circulaire entre les extrémités osseuses sectionnées. Le résultat fonctionnel est pleine
aussi qu'elles nous faciliteront le diagnostic de certaines tumeurs osseuses à leur période initiale. Rien d'impossible à ce
e genu valgum, dans tous les cas il ne persiste pas de déformations osseuses . Les muscles des membres inférieurs n'étaient p
utre, accidents syphilitiques nombreux : fistule lacrymale, lésions osseuses du nez, dactylites, gommes etc.- En 1870, invas
sirop de Gibert et des frictions d'on- guent mercuriel. Les lésions osseuses guérissent, mais ce traitement ne semble avoir
, à 31 ans. Dans ce dernier cas il existait des troubles trophiques osseux , une fracture spontanée. Remak (2) a vu le ta
re de la caisse, un petit point suppurant dû à un foyer de sclérose osseuse , en- veloppant quelques fongosités qu'une inter
hauteur de la palmure qui réunit l'index et le médius, et, la saillie osseuse qui leur correspond est sur la ligne qu'elle oc
ui réunit le pouce et l'index, c'est-à-dire à mi- hauteur du trajet osseux qui serait formé normalement par le 2e métacar-
s été profondes, et qu'il n'en est ja- mais sorti ni pus, ni débris osseux . (PI. XX.) La méthode photographique de Roentge
ce cas, une véritable biopsie, une constatation directe des lésions osseuses exis- tantes. Grâce à l'obligeance de M. Londe,
'insertion en lorgnette de l'index dans le métacarpe, et l'atrophie osseuse légère de l'index étant des lésions secondaires à
laquelle de ces variétés d'ostéite a été la cause des déformations osseuses : nous ne saurions y insister. Il nous semble p
geur et sensibilité extrêmes fut suivie quatre semaines, d'ankylose osseuse en extension, qui résista à toutes les tentati-
ance, ou apparaît plus ou moins tardivement. Ainsi, la dystrophie osseuse qui porte dès l'enfance sur tous les.élé- ments
lette peut arrêter dans son ensemble l'évolution de tout l'appareil osseux , créant ainsi le nanisme; ou inversement, outrepa
sans frein, sans ordre, sans règle connue jusqu'ici. La dystrophie osseuse dont dépend le nanisme du squelette se complaît
'on est tenté d'attribuer une cause univoque à ces deux dystrophies osseuses , a été observée par les artistes de tous les te
par un simple bour- geon. Au fond de la gorge, on voit une saillie osseuse qui correspond à un corps vertébral. Le crâne
ue responsable des déformations ; l'ankylose d'autre pari n'est pas osseuse ; ce sont bien les rétractions fibreuses qui com
e luxation tabétique (maladie de Charcot) avec usure des extrémités osseuses et réduction impossible. Une ponction exploratr
essive. Thèse Paris, 1877. (4) Lecomte, Essai sur les complications osseuses et articulaires de l'ataxie locomo- lrice. Thès
été hémorrhagique. Talamon (2), dans son mémoire sur les lésions osseuses et articulaires liées aux maladies du système n
ce par la présence de cail- lots sanguins ou fibrineux ou de débris osseux . Nous nous associons donc entièrement à l'indic
é aucun ré- sultat, lorsque l'articulation est bourrée de fragments osseux mobiles, par une arthrotomie discrète ménageant
dure-mère forme un premier anneau. Entre la dure-mère et les parois osseuses du canal s'étend un espace presque vide telleme
se, fibreuse, sans infiltration nucléaire, est séparée des pa- rois osseuses par un tissu fibreux serré, creusé de vaisseaux i
e centrale grenue craquelée, mais la dure-mère s'éloigne des parois osseuses et l'espace extradural se montre, rempli il est
sse, refoulée par le tissu conjonctif serré qui la relie aux parois osseuses du canal vertébral. Au microscope, voici commen
e intérieure qu'elle arrive presque à toucher en arrière les parois osseuses du canal rachi- dien, une bande mince de tissu
ion dense de tissu rougeâtre serré entre la dure-mère et les parois osseuses . Les coupes faites à différentes hauteurs de la
rtout altérée du côté de sa face externe reliée aux parois du canal osseux par une infiltration scléreuse de l'espace extra-
32 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
; au niveau des deux apo- physes mastoïdes on sent deux renflements osseux , traces d'anciennes exos- loses syphilitiques.
ance a été difficile; gastro-entérite; rachitisme sans déformations osseuses ; rougeole à deux ans ; coqueluche à trois ans.
araît pas être sous la dépendance d'altérations dans la charpente osseuse du pied. En effet, cette cambrure exagérée se c
cuz. (A suivre.) t 1. Charcot et Féré. Note sur les altérations osseuses et articulaires du pied chez les ta6- tiques. A
niveau de la tête de l'os, sous la peau, existait une petite tumeur osseuse du volume d'une noisette, mobile latéralement, s'
tête a évidemment été arrachée et est repré- sentée par la saillie osseuse adhérente au tendon du biceps. « La fracture, d
n ataxique avéré, nous parurent devoir être rapprochées des lésions osseuses ci articulaires, si fréquentes chez les tabétiq
pied sur lequel il est impossible de trouver la plus petite lésion osseuse ou articu- laire. Dans les artllropathies du
292 millimètres. Circonférence du poignet au-dessous des extrémités osseuses de l'avant- bras, 20 centimètres. La main gau
ble pas en lui-même avoir des dimensions exagérées, mais les crêtes osseuses en sont certainement augmentées de volume. Les
bres lombaires etleur convexité ont été prises pour une déformation osseuse du mal de Pott; sur les côtés de cette courbure
ion, le point suivant est acquis : il n'existe pas de défor- mation osseuse , la gibbosité est le résultai d'une contracture m
it est le siège d'une arthropalhie. Il n'existe pas une déformation osseuse très marquée au niveau du premier métatarsien et
u- laires, disparition du cartilage d'encroûtement, et la substance osseuse est rongée, détruite. Le troisième degré est
ctéristiques, et, dans quelques-uns d'entre eux, du véritable tissu osseux avec des ostéoplastes parfaitement dé- , velopp
e légè- reté inusitées. Du côté du tibia et.du péroné les lésions osseuses et articulaires sont les mêmes : les malléoles
t déformées, élargies, les gouttières plus profondes. Les lésions osseuses et articulaires sont très étendues : celles-ci so
pied était loin d'être en rapport avec les lésions articulaires et osseuses que nous avons trouvées à l'autopsie. Nous résu
rées, détruites par usure sur certains points. Vingt-cinq fragments osseux de volumes divers et de formes irrégulières se
ntes; elles sont quelquefois très déve- loppées ; il y a des masses osseuses , entièrement indépendantes des articulations ou
é, par des analyses chimiques, que l'arthropathie était bien plutôt osseuse qu'articulaire. Il a présenté la tête du fémur
ion lente; il n'y a pas d'oedème péri-arti- culaire; les extrémités osseuses sont indemnes. , Le rhumatisme noueux n'attaque
etites articulations, qui sont douloureuses alapression : les têtes osseuses sont hypertrophiées. ' - L'arthrite sèche est c
Joffroyi a signalé le pied bot tabétique. Ce n'est pas un pied bot osseux , car les lésions articulaires sont nulles ou in
uche de ce même point, une légère augmenta- tion de, volume du plan osseux sous-jacent à la masse musculaire sacro- lombai
ice est irrégulière, surélevée, d'apparence kéloidienne. Le système osseux est régulièrement développé, et parfaitement symé
gauche de la pro- tubérance occipitale externe, une légère saillie osseuse , qui remonte, dit le malade, à sa chute dç 1877
qui atteint des dimensions énormes. On apprécie aisément la nature osseuse de ce développement à cause de l'amaigrissement
as certain que ces craquements soient dus au frottement des parties osseuses ; peut-être tiennent-ils simplement au glissement
, p. 253. Publié de nouveau avec considérations sur les hypertrophies osseuses partielles dans annale universali "21 medicina,
12 centimètres. Au-dessous de ces bourrelets on sent des éminences osseuses , aplaties, allant des os pariétaux à l'écaille de
33 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
ction est ferme à la palpation, mais on ne peut sentir aucun relief osseux . Les mouvements de la dernière articulation phala
iographies mettent en évidence deux sortes de lésions : des lésions osseuses et des lésions des parties molles (PI. III). C'
de cette articula- tion et respecte le bout du doigt. : La lésion osseuse est essentiellement constituée par des production
(en particulier de l'annulaire gauche) (PI. 111), un petit crochet osseux semblable à celui que l'on voit dans le rhumatism
es et les stalactites d'origine périostée, on remarque une atrophie osseuse assez marquée. La dystrophie est plus raréfiant
existence de petites exostoses sur les os métapodiaux et les épines osseuses aux points où s'attachent les tendons. Consid
ssique, la peau et les parties molles sont peu touchées, le système osseux est presque exclusivement atleint; les radiograph
extrêmement, mais plus souvent elles se couvrent de néoproductions osseuses . Interroge-t-on le sujet, on apprend que la mal
ue un si grand rôle dans le développement et l'évolution du système osseux des extrémités. Divers auteurs déjà, Erb, Ger
malies tératologiques avec les états (1) F. REGNAULT, Les anomalies osseuses pathologiques, Bull. et mém. de la Soc. " anat.
des rapports coexistant entre les anomalies congénitales du système osseux (1) Lévi, Persislenza del canale cranio-/aringe
streint en comparaison du développe- ment de la calotte. Les parois osseuses de la voûte montrent une épaisseur régulière. L
és, les deuxième et troisième cunéiformes sont réduits à des noyaux osseux des di- mensions d'un pois. Le Ve métatarsien
aux. Les réflexes tendineux (olécraniens, rotuliens, achilléens) et osseux (radiaux) sont normaux et égaux des deux côtés
êmes limites. L'examen radiographique du pied montre l'hypertrophie osseuse des phalanges des deux premiers métatarsiens et
i ont échappé à la dystrophie, on note de la raré- faction du tissu osseux et de l'atrophie ; il est probable que cet état e
mégalie ; dans cette dernière, et en ne considérant que les lésions osseuses , les pieds comme les mains sont élargis et épaiss
'atrophie,cornme je viens de le dire, unie des lésions articulaires osseuses , tendineuses et a la sclérodactylie comme on le v
temps produit l'atrophie de l'extrémité·cles doigts avec résorption osseuse . Voir ce sujet les mains des figures 2 et 31. D
quente se fait vers l'ankylose ou la suppuration avec complications osseuses . Lorsque les os n'ont pas été mutilés par des p
r, dans quelques cas de trophcedème chronique, la décal- cification osseuse à un degré plus ou moins élevé. Le squelette de l
érique des éléments qui composent les organes, il y ait raréfaction osseuse à un degré parfois assez prononcé. L'enfant des
e postérieure du premier métatarsien ; on voit aussi la raréfaction osseuse dans les deux pieds, surtout dans les phalanges d
it lépreuse, traumatique, tabétique, etc., nous trouvons l'atrophie osseuse par résorp- tion, d'une même forme et d'une mêm
pparition dans l'enfance, d'aucun arrêt de développement du système osseux ; bref, d'une amyolrophie comportant un pronosti
s- paru. Le dos de la selle turcique est réduit à une mince lamelle osseuse , qui sur nos épreuves apparaît comme brisée à s
inter-articu- laires carpiens et métacarpophalangiens. Les travées osseuses sont peu nom- breuses, mais par contre très app
n hyperpituitarisme postérieur. Noire malade, avec ses déformations osseuses d'une part, sa glycosu- rie, son hypertension a
é inférieure du métacarpien, l'autre correspondant au second nodule osseux aberrant. Celui-ci, à peu près cylindrique, est
le 31 mars 4914, a montré l'absence complète de troubles trophiques osseux . 5 mai 1914. - L'éruption n'a laissé que des ci
st extrême, le deltoïde paraît complètement disparu, les extrémités osseuses sont visibles sous les téguments et a fortiori
sexuels et des organes génitaux externes, un arrêt de développement osseux (quand le processus débute avant la puberté), p
es difformités assez accentuées du squelette (atrophie de la moelle osseuse et des os) chez une femme de 45 ans, at- teinte
a normale. Enfin, avec le deuxième métacarpien s'articule un nodule osseux arrondi, tandis que la tête des trois autres mé
aucune résistance pouvant laisser croire à l'existence d'un nodule osseux . Les moignons correspondant aux autres doigts n
u'on en puisse juger, il ne reste des métacarpiens que quatre lames osseuses tout à fait réduites ; le pouce seul est représen
ineux, correspondant sans doute au métacarpien, et par une aiguille osseuse , perdue dans les tissus, ne s'articulant pas avec
airement diminué, c'est un squelette grêle, réduit à une mince lige osseuse (I'I. LVIIfJ, perdue dans un moignon charnu qui
(1) et que cet au- teur considère à bon droit comme formé de pièces osseuses hétérotypiques pour lesquelles il n'y a pas lie
n bas ; dans l'ensemble, tout se passe comme si les deux formations osseuses convergeaient, l'une vers l'autre. Nous n'enten-
on, un tractus fibreux se différenciant au lieu et place d'une tige osseuse . Un tel processus résulte non d'une action trauma
r synostose, il se pro- duit alors une disproportion entre le crâne osseux et son contenu ; la boite crânienne se comporte
rs que sur ci l'action d'un volet » : on enlève un morceau du crâne osseux , on entaille la dure mère et on arrive ainsi à
34 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
le dans leur force, leur musculature,leur sensibilité. leurs réflexes osseux . tendineux et cutanés. Au tronc, il n'y a pas d
exion de l'avant-bras sur le bras ; de même persistent les réflexes osseux de la tête humérale et de l'omo- plate. Le ré
rgissement et l'aplatissement du cou (3) et la saillie de la chaîne osseuse constituée par les bords supérieurs du sternum et
mitation des mouvements est bien d'origine musculaire. Les réflexes osseux et tendineux sont très faibles. La peau ne prés
illaires ; ils ne sont pas doulou- reux à la pression. Les réflexes osseux et tendineux sont abolis. La sensibilité object
'atrophie musculaire; les réflexes cutanés sont normaux; le système osseux n'offre pas d'altération ; ces malades ne présent
i-même présente ce même aspect, et se détache facilement du tisseux osseux . Cette apparence et ces bri- des fibreuses se p
gulièrement, il marcherait bien mais les pieds ont des déformations osseuses très profondes qui nécessiteront une intervention
corps ont des variations d'attitudes forcément solidaires. Un levier osseux , rigide, se déplacera d'une seule pièce et les
SENS DES ATTITUDES ' 167 articulaires, ligamenteuses, tendineuses, osseuses , et probablement iiiiiscii- laires. » Tout le
rit ainsi fait qu'il trouve commode d'appeler musculaire ce qui est osseux , ligamenteux, cutané. Mais comme il s'agit d'un
inférieur et supérieur de l'écaille ont donné naissance à une lame osseuse s'amincissant graduellement vers la ligne média
médiane ; les 2 lames restent distantes de 2 cm. 5 environ. La lame osseuse droite moins développée que la gauche empiète u
au comme une large croix membraneuse, avec, en son centre, une lame osseuse ovalaire, à grand axe antéro-postérieur un peu
e. Le frontal gauche, vu de haut, s'aperçoit sous forme d'une crête osseuse très résistante, de près d'un centimètre de lar
érieure gauche et le pédicule on ne peut dire s'il existe un rebord osseux . En réalité à l'autopsie, nous n'avons trouvé qu'
s d'eux, ou mieux de l'intervalle séparant la partie molle de l'axe osseux ) une fente qui, du côté gauche, se dirige à peu p
latéral droit. En somme du côté droit, il y a fusion des deux parties osseuses . Au-dessus de la portion de lèvre, toujours dan
'a eu lieu que du côté droit et seulement quant sa partie profonde, osseuse , laissant un sillon dans les parties molles, vé
é par la base du crâne. Une muqueuse très rouge tapisse les parties osseuses . Ce plafond est divisé en deux parties : une pa
des parois crâniennes. Au niveau du pédicule, la section du rudiment osseux gauche du frontal est particulièrement difficil
sion cérébrale fut amenée par une modification des parois molles et osseuses du crâne. Nous ajouterons que l'encéphalocèle fro
ysaire. Au niveau du genou, 268 IRL'Ii0lT ET IIEITZ il y a fusion osseuse complète, sans qu'on puisse même discerner les li
e nous trouvons ici. Peut-être résulte-t-il de la fusion des points osseux du calcanéum et de l'astragale, adjoints peut-êtr
du malade,aux creux axillaires ètsus-clavicu- culaires, les reliefs osseux sont extrêmement développés. D'ailleurs cet hom
es. 276 SAINTON La boite crânienne est peu résistante, les parois osseuses du crâne sont beaucoup plus fragiles qu'à l'éta
préfé- rence autour des cartilages juxta-épiphysaires, les saillies osseuses sont, en général, contemporaines du développeme
des exostoses ostéogéniques ; il concerne en effet des productions osseuses dérivant du cartilage juxta-épiphysaire par un
e. Le 1S juin, la peau s'étant ulcérée au niveau d'une des saillies osseuses de la jambe gauche, le malade demande son admis
ieures des tibias et des péronés sont hérissées de petites saillies osseuses assez irrégulières, atteignant ou dépas- sant l
mêmes os et la partie inférieure des fémurs présentent des saillies osseuses similaires qui hérissent les condyles fémoraux
orps a révélé l'existence d'un assez grand nombre d'autres saillies osseuses , la plupart perceptibles par la palpation. Nous
ois ans) auquel elles ont été reconnues, l'absence de malformations osseuses similaires chez ses parents constituent autant
tement limitée à une moitié du corps. De plus, bien que les lésions osseuses de la syringomyéliese traduisent surtout par de l
une lésion du système nerveux. « La multiplicité de ces productions osseuses , écrit-il, leur disposition symétrique, signalées
its pour établir le rapport existant contre la nutrition du système osseux et certaines alté- rations des centres nerveux.
se trouve le centre qui préside aux troubles trophiques du système osseux . n Toutefois, malgré cette main de Morvan, malg
ions. L'examen clinique ne permet pas de soup- çonner une affection osseuse de la colonne vertébrale : des radiographies, q
tait uniformé- ment allongée et l'on n'observait pas de productions osseuses au niveau des extrémités des os. De plus, l'hyp
n'est donc qu'à )'age de 27 ans, que s'est produite la déformation osseuse qui semble aller d'ailleurs en s'accentuant. On
s métalliques et supporter leur propre poids. L'ensemble du système osseux parut être en état d'ostéoporose ; un simple atto
l apparut littéralement qu'il n'y avait pas dans tous les matériaux osseux de ce squelette gigantesque de quoi faire une b
e squelette gigantesque de quoi faire une bonne et solide charpente osseuse de taille moyenne. Les os, quoique beaucoup plu
est due : 1° A l'énorme élargissement de la racine et de la partie osseuse du nez ; 2° A la saillie notable des os malaire
est très élargi, en particulier à l'extrémité inférieure de la partie osseuse , tandis que la racine et la partie cartilagineu
rieure de la jambe droite, cicatrice profonde résultant de la carie osseuse ancienne et de l'ablation du séquestre. Genu va
loppée ; elle se poursuit jusque dans les épiphyses, où les travées osseuses forment un réseau fin en toile d'araignée. Ostéop
st grand, maigre et parait gelé ; il a de grands doigts allongés et osseux . On dirait que la castration détermine un grand
t survenu certaines modifi- cations intéressantes dans sa charpente osseuse : le thorax s'est développé d'une manière assez
sif. Mais le visage est intéressant par l'accentuation des saillies osseuses , maxillaires, et ma- laires. Ici encore, rien q
35 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
a détruit les tissus cellulaires entre la face du deltoïde et la tête osseuse de cette partie jusqu'à la partie antérieure du m
t pour la fistule bicipitale surtout, j'ai réussi à sentir la portion osseuse à nu, sans pouvoir redresser le stylet pour arriv
S'il y avait, ce qui est fort rare, pour la scapulalgie,une ankylose osseuse par soudure ou fusion, il ne faudrait pas songer
es cartilages articulaires étaient complètement détruits, et le tissu osseux , piqueté d'un pointillé rouge très-manifeste, éta
périeures. A la place de la calotte crânienne on trouve une surface osseuse , d'abord convexe et horizontale, puis concave et
,01 d'épaisseur (bosse sanguine). La deuxième portion de la surface osseuse , concave transversa¬lement et de haut en bas, est
ire. Les angles sont arron¬dis. Elle est limitée en haut par la crête osseuse figurée sur la planche VI par la ligne noire que
e toucher dénote la présence, au-dessous de cette membrane, d'un plan osseux . La configuration de ces deux plans est représent
le doigt sent de petites aspérités formées par des sortes d'aiguilles osseuses . Un lacis vasculaire très-serré lui donne une col
a tumeur et l'os, on voit : Au niveau de la canine gauche, le tissu osseux , jusque-là dur, et paraissant complètement sain,
uelques vaisseaux. La périphérie de la tumeur ne présente pas de lacs osseux ; elle donne la consistance d'un polype fibreux ut
reux utérin. 11 y a seulement, dissé¬minées par places, des aiguilles osseuses faisant saillie à l'extérieur, et donnant des rug
.) BIBLIOGRAPHIE Traité de l'immobilisation directe des fragments osseux dans les fractures, parL.-J.-B. Békenger-Férau»
les moyens habituels sont impuissants pour la réduction des fragments osseux , la chirurgie nous fournit 1 Un fort vol. in-8°
s côtes, les clavicules; 4°l'enclave¬ment des fragments; 5° la suture osseuse ; 6°la ligature osseuse; et, dans autant de chapi
4°l'enclave¬ment des fragments; 5° la suture osseuse ; 6°la ligature osseuse ; et, dans autant de chapitres, il décrit avec soi
lle¬ment du corps, au moyen de l'immobilisation directe des fragments osseux , ont aussi été suivis de réels avantages dans mai
ation et à la vulgarisation de l'immobilisation directe des fragments osseux dans l'art de guérir les fractures. » D1 G. BoU
lionnaires. — Scrofulides cutanées de la face, des bras. — Scrofidide osseuse des doigts, des orteils, etc. — Amélioration no
es mutilations si considérables reconnaissent pour cause la scro¬fule osseuse , la nécrose et l'expulsion des phalanges. Aujourd
ir des abcès nombreux, des périostilcs, des ostéites. Ces altérations osseuses ont détruit une partie des pha¬langes qui sont so
avoir augmenté de volume. Cependant on ne trouve point de bourrelets osseux autour de l'un ou l'autre genou1. » Mars 1871.
r G. Peltier),94. — Traité de l'immobilisation directe des frag¬ments osseux dans les fractures, par Bérenger-Féraud (anal.
observations sur la), par Bourneville, 155,176, 216. Fistules (Des) osseuses , 29; — vésico-vaginale opérée par le procédé amé¬
des cordons postérieurs de la moelle, 193. Scrofulides cutanées et osseuses ; cica¬trices et déformations consécutives, par Bo
36 (1934) Oeuvre scientifique
otulien, achilléen, olécrânien, ainsi que des réflexes tendineux et osseux du poignet, on est en droit d'affirmer que l'on
ig et 26 octobre, 6 et a3 novembre ig/2. Les réflexes tendineux et osseux méritent toute l'attention des clini- t ciens e
4o SÉMIOLOGIE Définition. On appelle réflexe tendineux, réflexe osseux , le phénomène complexe que détermine la percuss
ainsi que les points où doit porter la percussion pour les réflexes osseux , en insistant plus particulièrement sur cinq ré
ales qu'il faut suivre dans l'exploration des réflexes tendineux et osseux . J'aurai l'occa- sion ultérieurement de montrer
TABLEAU 140 Il Localisations des centres des réflexes tendineux et osseux . 48 SÉMIOLOGIE SUBRÉFLECTlVITÉ; IRRÉFLECTIVIT
serve un affaiblissement ou une abolition des réflexes tendineux et osseux , et c'est là un signe capital pour le diagnosti
e lui-même sont capables de produire l'irréflectivité tendineuse et osseuse . Plusieurs auteurs ont signalé l'affaiblissemen
s de shock, s'accompagnent souvent d'irréflectivité tendi- neuse et osseuse . Un ictus apoplectique, une compression subite de
éraliser. . SURREFLECTIVITE En général, les réflexes tendineux et osseux sont exagérés sous l'influence de lésions du sy
eux sous-variétés. Dans la première, tous les réflexes tendineux et osseux des membres supérieurs sont exagérés : elle dépen
r la surréflectivité observée parfois consé- cutivement aux lésions osseuses et articulaires. Dans ces faits, l'exagéra- tio
rgique de l'avant-bras. S'il est violent, il produit une excitation osseuse déterminant une contraction des fléchisseurs de
uence que l'hystérie pourrait exercer sur les réflexes tendineux et osseux . 11 n'y a pas encore bien longtemps, les neurol
exe rotulien qui parait exagéré et les autres réflexes tendineux et osseux , le réflexe du tendon d'Achille, le réflexe radia
a cuisse et du tronc. L'état des réflexes tendineux et des réflexes osseux fournit des données de la plus grande importanc
érée de l'avant-bras. 6° Les réflexes tendineux et les réflexes osseux sont souvent troublés dès le début ; ils peuven
avant-bras fait défaut. 6° Les réflexes tendineux et les réflexes osseux ne subissent pas de modification et la trépidat
t mon opinion. (') Voir à ce sujet : Rétlexes tendineux et réflexes osseux . Leçons faites à l'hôpital de la Pitié (I3ul. l
dans le Bulletin Médical sur les Réflexes tendineux et les Réflexes osseux , les passages suivants : « Je dois m'occuper, e
culaire et la base est dirigée vers l'oreille. On met à nu la surface osseuse ; cinq perforations sont pratiquées à la boîte
on les réunit avec un trait de scie, et l'on luxe en bas le lambeau osseux ainsi formé. La dure-mère paraît normale; il y
'anormal. On laisse la dure-mère sans la réunir, on enlève le volet osseux de façon à éviter toute compression de la substan
somme, on a incisé la dure-mère, on a fait l'abla- tion d'un volet osseux , et le cerveau est à nu sous le péricrâne. Le vol
d'un volet osseux, et le cerveau est à nu sous le péricrâne. Le volet osseux enlevé mesure gcm,4 de long sur 5cm,8 de haut.
côté opposé à l'hémi-parésie et alors, si on avait enlevé un volet osseux assez grand, on aurait mis à découvert la tumeu
hie du crâne, qui montre un épaississement considérable de la paroi osseuse à ce niveau. L'opération une fois décidée, est
on une fois décidée, est pratiquée immédiatement. Une fois le volet osseux soulevé, on put constater sur sa paroi endocrànie
Mais sous la dure-mère incisée on trouva une tumeur de consistance osseuse , du volume d'une petite mandarine, qui avait re
meur, les téguments furent suturés au-dessus de la perte de substance osseuse . L'opération dura en tout douze minutes. L'op
e-mère extrêmement tendue fait une légère hernie à travers le cadre osseux , elle bat à peine. On réapplique le lambeau ost
de ce genre, il existe en même temps des troubles de la croissance osseuse . On relève peu de chose à ce point de vue à dro
s muscles du mollet remplis, dans leur partie charnue, par la masse osseuse et cartilagineuse d'une exostose importante sont
s est aussi celui qui présente le plus de troubles du développement osseux (2). Il est intéressant de noter que c'est égal
torti- colis dit mental, dans lesquels il existait des altérations osseuses des vertèbres du cou. Chez notre malade, l'exam
cique ne nous ont non plus révélé l'existence d'aucune excroissance osseuse . La selle turcique nous a paru normale. En ré
mandé s'il existait une relation de cause à effet entre ces lésions osseuses et les troubles précédents. Nous avons vu qu'on
s d'un tremblement à oscillations rapides ; les réflexes tendineux et osseux des membres supérieurs sont normaux. Parfois la
te malade. La radiographie ne nous a toutefois révélé aucune lésion osseuse . En terminant, nous ferons remarquer que cette
tendineux, chez le malade que je présente, les réflexes tendineux et osseux du membre supérieur gauche contracturé, non seu
ultat d'une action directe du virus syphilitique sur les extrémités osseuses ? L'arthropathie de mon malade est-elle due à d
des attitudes segmentaires est également intact ; la sensi- bilité osseuse présente quelques troubles ; la sensibilité therm
ceps et peut-être du biceps. Par contre les réflexes tendineux et osseux ayant une localisation plus basse sont nettemen
sthésie relativement légère. La sensibilité profonde, musculaire et osseuse est complètement abolie aux membres inférieurs
et complète, de plusieurs mois de durée ; les réflexes tendineux et osseux du membre paralysé sont normaux et les muscles ne
Sollier a signalé, il est vrai, l'existence des troubles trophiques osseux dans six cas de contractures dites névropathiqu
bles sécrétoires et enfin des troubles trophiques divers du système osseux , des ligaments, de la peau et des phanères. Ces
pas lieu quand la percussion porte sur les tendons ou les surfaces osseuses . L'expression de réflexe musculaire, qui a parf
riarticulaires d'origine trophique, comparable à la décalcification osseuse si souvent observée en pareil cas. Il est à r
elette de la main malade apparait plus clair, le dessin des travées osseuses plus net et plus délicat : par contre, les épip
du membre blessé résultant d'altérations musculaires, tendineuses, osseuses , vas- culaires, des lésions inflammatoires ains
teil et signe de l'éventail. Les réflexes tendineux et les réflexes osseux du membre supérieur droit sont exagérés. Au mem
2). INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 629 197. Réflexes tendineux et réflexes osseux (Leçons faites à la Pitié. Bulletin médical, nu
- De l'abduction des orteils 37 IV. Réflexes tendineux et réflexes osseux 39 V. Monoplégie brachiale organique. Mouvement
37 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
itôt que les ganglions rachidiens eurent été extraits de leur canal osseux , on fut surpris de constater TUMEUR CÉRÉBRALE E
ATHOLOGIQUES. 47 présentant de petits îlots membraneux de formation osseuse , entre- mêlés de zones non calcifiées ; cette d
ion devra être générale dans les fractures du crâne avec dépression osseuse , fréquente dans les cas à peu près dépourvus de
analogie avec l'amyotrophie du type Déjerine-Sottas. Sensibilité osseuse . , MM. RIFDEL et P. Marie présentent un nouveau
rie présentent un nouveau diapason pour recherche de la sensibilité osseuse , l'appareil porte un indice optique gradué perm
tt où toutes les sensibilités étaient abolies sauf la sen- sibilité osseuse au diapason. OEdèmes chez des catatoniques. M
rophiques muscu- laires (atrophie musculaire); -Troubles trophiques osseux (frac- tures) ; Troubles trophiques articulaire
r exemple. Il est évident que l'irritation causée par -une esquille osseuse peut être assez vive pour déterminer, sans le s
jusqu'aux genoux. Anatomiquement, malgré l'absence de compression osseuse , la moelle était considérablement réduite de vo
mal de Pott, peut, en certains cas, en dehors de toute compréssion osseuse , donner lieu à une dégénérescence hya- line des
onde, il e.-t flexible comme un morceau de caoutchouc, les lamelles osseuses étant remplacées par un tissu fibroïde souple.
xillaire soit large ainsi que ses mains et ses pieds. Sensibilité osseuse . MM. EGGER et IIIEDEL discutent la valeur respe
respective de leurs dia- pasons pour la recherche de la sensibilité osseuse . M. Egger repro- che à celui de M. Riedel d'êtr
point n'est besoin de chercher ailleurs que dans cette infiltration osseuse avec augmentation de volume, la cause localisat
nerfs crâniens des lésions nerveuses consécutives à l'envahissement osseux , phé- nomènes de compression, des lésions succé
rocher. Les nerfs y sont;IlOnl- breux et cheminent dans des trajets osseux étroits, circons- tance qui facilite leur envah
ra pas lieu de vous étonner ; étant donné l'étroitesse des canaux osseux , une lésion minime pourra retentir sur les troncs
nt ; celles-ci peuvent être ainsi tiraillées, coudées sur le rebord osseux . La propagation se fait aussi vers la face exte
as dans la pratique. Cependant le corps vertébral, et même le tissu osseux du rachis, ne sont pas toujours envahis aussi r
compression consécutive des racines. Nous savons que le tassement osseux se produit tardive- ment, bien plus rarement qu
s bien des cas, l'invasion méningée radiculaire précédât l'invasion osseuse , et plusieurs faits récents semblent vouloir pr
ganglions et les lymphatiques prévertébraux; l'atteinte du système osseux d'abord au niveau des pédicules ne serait dans
La pachyméningite externe n'existait pas, non plus que les lésions osseuses . La description exacte de ce processus et son m
en certains points; néanmoins, elle n'était pas adhérente au tissu osseux . Au niveau de quelques trous de conjugaison, se
i que les lames, sont sains sur toute l'étendue du rachis. Le tissu osseux n'est ni friable, ni spongieux. 304 CLINIQUE
tte nouvelle formule radiculo-méningée à côté de l'ancienne formule osseuse de Charcot et Tripier. Que vous dirai-je de la
mène de début dans le cancer du rachis. Vous saurez qu'à la formule osseuse primitive classique, il con- vient d'ajouter un
atrophie évidente de l'éminence thénar. Le premier espace inter- osseux présente également un méplat très net. Quant aux
ine de cette fracture doit être attribuée aux troubles tro- phiques osseux . La radiographie a montré à MM. Rénon et Heitz
ceps et au niveau du bra. chial antérieur. Surfaces articulaires et osseuses intactes (radio- graphie). Paralysie des muscle
dérablement affaiblie. Chezles ataxiques ayant perdu la sensibilité osseuse , le son que produit le diapason, vibrant sur le
rties anesthésiées, n'est plus perçu. Une ataxique, avec anesthésie osseuse des quatre membres, n'a plus aucune perception
son, aujourd'hui ces os, étant atteints eux aussi par l'anesthésie osseuse , la perception sonore est de même abolie. Chez le
ité musculaire. Enfin si on sectionne le facial à sa sortie du trou osseux , en arrière de la parotide, l'atrophie qui n'exis
ntait une plaie contuse. A l'exploration on sentait comme une arête osseuse au-dessous des téguments, cequi fit penser à un
du bras droit. L'examen objectif montre une anes- thésie cutanée et osseuse avec perte du sens des attitudes dans le domain
des sensibilités- pro- fondes surtout est absolu. Il y a anesthésie osseuse , perte de la perception stéréognostique, perte
Abolition du réflexe crémastérien.Maux perforants et hypertrophie osseuse énorme des phalanges et métatarsien des deux gros
nimaux attemts de tabes dorsal, par OSoipowetNoiscbews- ky. 66. - osseuse , par Riedel et Marie ((J,), 79. - tactile et tb
e et tber, miqne dan. le tabès, par Rous- seau et Vasdlide, 81. - osseuse , par Eggar et Riedel, 259. Sérum. Sur la prod
38 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cle. Cuir chevelu excessivement épais. -Crettae très petit. Calotte osseuse dure et dense. peu épaisse; frontal, pariétaux, m
Ces lésions peuvent s'expliquer par l'extrême fragilité du tissu osseux chez les aliénés ; elles sont souvent produites p
s'en tient à ceux qui ont guéri, laissant dans l'ombre les lésions osseuses . Nous relevons : l'arrachement des cheveux et d
EIL DE FAITS DESCRIPTION DE QUELQUES PIÈCES RELATIVES AUX LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES, CONSERVÉES AU MU
M. Charcot a appelé l'attention sur les affections articulaires et osseuses développées chez les ataxiques, un grand nombre
1878, p. 512. ' A Report on the Conyî,ess Muséum, p. 20. LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 203 squelette en
gnorées pendaut la vie, ce qui permet de sup- poser que les lésions osseuses des ataxiques sont encore plus fréquentes que l
saillants. La face externe a conservé à peu près l'aspect du tissu osseux normal, tandis qu'en dedans, à l'endroit où e
ae de l'humérus et de la cavité glénoïde de l'omoplate. LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 205 remarque sur
- tion de la fracture par un cal exubérant et dinoniie. LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 207 viron 5 mill
a même direction que le sillon de la face externe, une production osseuse irrégulière, un cal difforme, formant une saillie
mur. (Les autres lé- sions sont dues il la macération.) LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 209 du plateau i
iologique de ces muscles. (Bull. Soc. anal., 1880, p. 290.) LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 2li t crurc. Il
autres points, mais ils ne sont nulle part réunis par une soudure osseuse , il y avait deux réu- nions par du tissu fibreu
né avec lequel il était en contact, il existe une petite production osseuse irrégulière. IV. Sur la nommée X... il n'exis
es des deux os de la jambe gauche (face pos- térieure). LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 215 de substance
avité cotyloïde au fond de laquelle est la tête fémorale. LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. l't7. de la cavi
la tète. Dans la moitié postérieure de la plaie, il y a eu réunion osseuse ; mais dans la moitié antérieure, les os demeur
EX BIBLIOGRAPHIQUE Tuberculose de la voûte crânienne et tuberculose osseuse ; par Coupard. Thèse de Paris, 1882. Des pério
Politzer, Urbantschistch, etc., que la diminution de la perception osseuse est un bon signe différentiel, entre un affaibl
r qu'il est plus exact de dire que la diminu- tion de la perception osseuse , est un signe qu'il existe un obstacle à l'accè
,En divisant la tumeur, le couteau fut arrête par un pdin't dur' osseux (Fig. 5). Ce 'point était situé au niv'éau de la
és (coloration au violet de gentiane). Fig. 5. Noyau de consistance osseuse constitué par des concrétions cristallines. F
eut changer de position avec l'âge par rapport au reste de la boite osseuse , comme il arrive pour le bregmabien antérieur d
cinq centimètres, en haut et en dehors, sans rencontrer de surfaces osseuses dénu- dées. Dès son entrée à l'hôpital, le bles
ait l'hôpital. Le 25 mai, il présentait l'état suivant : Systèmes osseux et musculaire bien développés ; faiblesse paral
paralysie générale on rencontre souvent une raréfac- tien du tissu osseux qui prédispose aux fractures dont la consolida-
és (coloration au violet de gentiane). Fig. 5. Noyau de consistance osseuse constitué par des concrétions cristallines. F
39 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s l'hydrocéphalie,) sans que le contenant, c'est-à-dire l'enveloppe osseuse , ne cesse de s'adapter à cette pression intra-c
t à son développement tout autant que l'inextensibilité de la boite osseuse . ' Papillault. Salure métopique (Mémoires de la
été faite est démonstrative : la forme, la disposition des parties osseuses , la valeur des angles pétro-clivien, inioclivie
temps il n'exerce aucune pression sur l'endocrâne ; aussi le tissu osseux par- faitement sain continue à s'accroître. La
e simple inspection le moin- dre développement de certaines parties osseuses du côté malade (diminution de la fosse cérébral
l'angle nétroclivien. ATROPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 35 tissu osseux 1 ; c'était un myxoedémateux, chez lequel l'ori-
par la face externe ne répond en rienà à la saillie de cette crête osseuse interne. La différence de pression a amené égal
di sa loge et rendu apparent l'arrêt de développement de la portion osseuse renfermant l'hémisphère malade. En voici quelqu
sillons qui les séparent, la pression est nulle et la prolifération osseuse se faisant librement vient combler le vide qui
ents, il n'y a pas des intervalles aussi accen- tuées et les crêtes osseuses n'ont pu s'y insinuer. Ce n'est donc pas, comme
s d'atrophie de" cet organe, entraînerait une atrophie des crêtes osseuses observées normalement) que l'on observe les varia
ATOMIE PATHOLOGIQUE. 1, .espace retro-frontal où des proliférations osseuses en forme de lamelles constituaient une croissan
érations osseuses en forme de lamelles constituaient une croissance osseuse anormale et nettement d'origine inflammatoire.
aussi parce que nous pensons qu'elle est, comme les proliférations osseuses endofrontales le résultat de troubles inflammat
éveloppement limités à une zone cranio-cérébrale, des malformations osseuses , etc., etc., il semble que la diversité des cau
ment cérébral qui ne s'oppose pas à leur envahissement par le tissu osseux . Sur quelques crânes notamment, il est curieux
usqu'alors, est à la suite d'un traumatisme, atteint de suppuration osseuse avec fistule de la région pariétale gauche. Epi
tciierback. Inspiré par les travaux dé Max Egger sur la sensibilité osseuse , le professeur Stcherback a constaté que les vi
Malformations nombreuses et très accentuées des différentes régions osseuses du bassin et des membres inférieurs : à gauche
rganisme de l'acide nitrique qui par son accumulation dans le tissu osseux , dissoudrait les sels minéraux, ramollirait les
l'artère méningée est logée dans des sillons profonds, mais la lame osseuse qui la recouvre n'est dans certains endroits pas
ent non pas à la rareté de l'ostéomalacie, mais à ce que la malacie osseuse touche rarement le crâne du moins dans la forme
tie des nerfs crâniens du côté droit et présentant des déformations osseuses multiples. t6 6 .SOCIÉTÉS SAVANTES. Ces défor
pendance la plupart des troubles trophiques mus- culaires. cutanés, osseux même, ainsi que les troubles sen- sitifs ; mais
aponévroses n'y sont pour rien, Sternberg ayant démontré l'origine osseuse de tous les phé- nomènes aponévrotiques, périos
ecte des aphasies sensorielles. Ncevus avec varices et hypertrophie osseuse . ' MM. GUILLAIN et COURTELLEMONT présentent un
es faites avec M. Mabille n'ont montré aucune altération du système osseux chez de nombreux paralytiques morts à l'asile d
mimiques de la face. L'abaissement de l'ouïe et de la sen- sibilité osseuse du côté droit. Des mouvements involontaires de la
b) son émergence du trou optique où il est engainé dans un anneau osseux . ci) Dans le premier cas, il existe des phénomè
ffer. Or cette malade a perdu sa sensibilité cutanée, mus- culaire, osseuse de sorte qu'elle n'a plus aucune perception pér
es). La moitié droite de l'occipital participe à cette hypertrophie osseuse (1-"ig. 15). Il n'y a pas de plaques transpar
couvrait, dans une étendue correspondant à l'emplacement des aires osseuses poreuses. Cerveau. Vu en place, l'asymétrie des
t une saillie hémisphérique au-dessus de la selle turcique, la loge osseuse etait dilatée et les sinus caverneux refoulés d
r ce fait que la radiographie permet de faire le diagnostic à début osseux . G. C. LX.Deux cas de Chorée chronique : 1° Cho
certains cas, vient se surajouter aux autres dystrophies (cutanées, osseuses , vasculaires, glandu- laires) si souvent alliée
; parFéré etAmouroux, 193. NOEVUS avec .varices et hypertro- phie osseuse , par Guillain et Courtellemont, 161. Noyau ro
40 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
aits précédents, on ne saurai ! songer à incriminer les altérations osseuses de la colonne vertébrale. Mais si les troubles
osseuses de la colonne vertébrale. Mais si les troubles trophiques osseux sont inconnus dans l'athétose double, en revanc
itable ossuaire tabétique. Ce qui caractérise l'état des extrémités osseuses dans l'ar- thropathie tabétique, c'est le fait
sont typiques, on ne rencontre aucune végétati"On, aucun hourrelet osseux , aucun corps étranger articulaire, comme on en
dification anatomique préparatoire que subit en pareil cas le tissu osseux se montre, vous le sa- vez, par plaques, par fo
êtes. Je dis au-dessus du grand trochanter, par ce que si ce relief osseux est toujours facilement apprécia- ble, sa face
tanée, de l'ostéophyte ». Autant de désordres trophiques du système osseux qui ressortissent à la paréso-anal- gésie. PA
s auteurs, comme Leyden, les rattachent à des (roubles trophi- ques osseux , cc Les vertèbres et les côtes sontoxtraordinaire
sion d'un trauma- tisme insignifiant, d'nn effort, que l'altération osseuse se révèle. Un cra- quement se produit dans la r
que l'immobilisation prolon- gée a favorisé la production de jetées osseuses ou ligamenteuses, capables d'empêcher d'une man
ques de Kroenig, rentrent dans la catégorie des troubles trophiques osseux el articulaires que M. Charcot a le premier déc
nt se produire, soit des réactions fibreuses, soit des déformations osseuses vertébrales, ren- dant la scoliose définitive.
peut invoquer dans ce cas une participation du rachis à l'atrophie osseuse unilatérale. En somme, ce qui nous paraît digne
ent. C'est Davey (1) qui a attiré l'attention sur les alté- rations osseuses des vésaniques. Mac-Intosh, Clouston, Pester, Atl
parmi lesquels Christian (7) ont nié l'existence de ces altérations osseuses chez les aliénés, et n'ont voulu voir dans les
s rapportés que de pures coïncidences. La pathogénie de ces lésions osseuses est en tous cas mal connue. Cer- tains auteurs
ssociées à la vésanie l'agent intermédiaire des troubles trophiques osseux et en particulier des troubles vertébraux. Les dé
) Biaute, Annales méd. psych., nov. 1876. (6) Voir Talamon, Lésions osseuses et articulaires liées aux maladies du système ner
, on ne saurait, d'après Audry, mettre ici en cause des altérations osseuses du rachis : il s'agirait plutôt d'un état spasm
venue quadrangulaire, (1) Ilallion, Myopathie primitive des lésions osseuses ; fracture spontanée probable; France médicale,
u. On a invoqué deux théories principales : 1° Théorie trophique ( osseuse , articulaire, ligamenteuse) ; 2° Théorie muscul
e fort à certaines déviations qui re- lèvent d'un trouble trophique osseux . Elle se rapproche par ses caractères, par son
outre, déterminer le sens des déviations d'origine essentiellement osseuse . Comme nous l'avons fait remarquer, il semble que
ce assez fréquente, dans la syringomyélie, de troubles trophi- ques osseux et articulaires variés, confirmerait l'opinion qu
ons rachidiennes, l'expression d'un état morbide de tout le système osseux . Les vertèbres, os courts et spongieux, en subi
anisme, défaut de résistance d'où résultent des troubles du système osseux , aussi bien que des troubles du système nerveux
ts où les nerfs peuvent facilement être compri- més sur une surface osseuse par le disque vibrant. » En agissant ainsi on a
panaris sont survenus avec fistules et élimination de séques- tres osseux . Ces phénomènes se sont succédés sans douleur : l
41 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
veux, mais encore et surtout au point de vue des lésions du système osseux , anciennes (exostoses) et récentes {fracture du
r la macération; les autres, plus anciennes et formées de substance osseuse , subsistent encore. Elles se présentent sous 3
ue toujours dans la direction des tendons ; enfin grosses éminences osseuses . pédiculées, dont quelques- unes atteignent un
la même ligne hori- zontale, puis encore au-dessous, un champignon osseux dirigé horizontalement en arrière et mesurant p
ord interne, à la place du tubercule du grand adducteur, production osseuse volu- mineuse présentant elle-même trois aspéri
et postérieure ont dis- paru et sont remplacées par des bourrelets osseux couverts de rugosités; à la place du petit troc
pine volumineuse, mais sur le bord externe on trouve une production osseuse pédiculiséo et rugueuse, d'environ 3 centimètre
rne, 2 aiguilles dirigées en dehors; sur le bord interne, une crête osseuse regardant en bas et en dedans. Le corps présent
nviron 1 centimètre de diamètre. Extré- mité inférieure : une crête osseuse sur la face interne; un DESCRIPTION DES EXOSTOS
artie inférieure ; à la place de l'articulation existe une ankylose osseuse d'environ 6 centimètres laissant voir à la part
.-Extrémité supérieure : sur la face postérieure, énorme champignon osseux du volume d'une grossepomme, pédiculisé, à surf
re gauche a complè- tement disparu et est remplacée par une soudure osseuse assez volumineuse. Ces exostoses, déjà antéri
re du germe qui doit plus tard contribuer à la formation du tissu osseux ; cette opinion s'accorde avec le bon état de san
42 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
igament; puis, presque immédiate- ment, on butte contre une saillie osseuse : la tentative, répétée plusieurs fois, a toujo
température. Autopsie : tumeur du volume d'une noix, de consistance osseuse , logée dans le lobe frontal sur la pointe du no
res. A l'ouverture du crâne on note l'épaisseur notable de la boîte osseuse . La dure-mère présente une épaisseur et une dur
s rudiments de lamelles os- seuses et des apparences de corpuscules osseux entourant des lacunes dans lesquelles se voient
avec les ano- malies du développement qui portent sur les systèmes osseux , conjonc- tif et musculaire. On le trouve assoc
tent la vie entière, sont, eux aussi, capables de produire du tissu osseux . Les os ne s'allongent plus, ils s'é- paississe
de croissance intempestive est surtout apparent là où les saillies osseuses sont les plus nombreuses, c'est-à-dire aux extré-
osition morphologique est à rapprocher des exemples de déformations osseuses signalées par l'un de nous chez les infantiles.
Dercum (adipose doulou- reuse). Il n'y a du reste aucune altération osseuse ou articulaire visible sur la radiographie que
UX . PARALYSIE DES NERFS CRANIENS D'UN COTÉ ' ET , DÉFORMATIONS OSSEUSES MULTIPLES D'ORIGINE probablement HÉRÉDO-SYPH1LI
tympanique avec traces d'otite moyenne ancienne, mais la perception osseuse est également presque nulle et le malade est fr
énoïde droit, par la pachyméningi te, et enfin par les déformations osseuses des membres, que nous voudrions y rattacher.
conographie DE la SALI'ÊTItIt.RE. T. XVII. Pl. XXXIX DÉFORMATIONS OSSEUSES (Rose.) PARALYSIE DES NERFS CRANIENS D'UN CÔT
elles-ci peuvent être rattachées à un défaut de résistance du tissu osseux . Pour le genu valgum, il ne s'agissait certes p
-syphilis et d'antécédents héréditaires nets, et vu la malléabilité osseuse existant chez lui dès l'enfance, nous pensons q
i dès l'enfance, nous pensons que ce malade est atteint d'accidents osseux et nerveux d'origine hérédo-spécifique. NOUVE
n est élargie et présente sur sa face dorsale une volumineuse épine osseuse , une vé- ritable exostose épiphysaire. Au contr
terne. A l'aide du davier-gouge nous agrandissons ensuite la brèche osseuse , de façon à lui donner une étendue suffisante pou
laire rempli d'une moelle grisâtre et comme desséchée. La déviation osseuse étant corrigée, les extrémités osseuses sont main
omme desséchée. La déviation osseuse étant corrigée, les extrémités osseuses sont maintenues en contact par une ligature au
sez rapide ; un mois après le début de ce traitement les extrémités osseuses étaient devenues le siège d'un épaississement,
La récupération fonctionnelle marchait de pair avec la consolidation osseuse ; l'opéré qui lors de la levée de l'appareil, é
'os qui fut dépériosté avec soin. Nous excisons aus- sitôt un angle osseux à hase externe, répondant au point de coudure. To
ntière mobilité de ses doigts. Au bout d'un mois la consolidation osseuse était parfaite. Un cal volumineux englobait les
pparente. En outre notre opéré ne présente aucune autre déformation osseuse ni aucun autre stig- mate d'hérédo-syphilis. En
nences thénar et bypothénar, quelques lombricaux et quelques inter- osseux , le long supiuateur, les fléchisseurs superficiel
anomalies de forme et de volume du crâne et de la face (asymétries osseuses ), le prognathisme, les malformations des oreilles
ets, constatée dans la filiation de Gladiator. L'hérédité des lares osseuses du jarret, de l'éparvin, du jardon, de la jarde
Ravigo, par Gladiateur et Alerte) ; de même aussi les formes, tares osseuses résultant de l'ostéite phalangienne ; le cheval
lle d'Archiduc, étalon de pur sang, «' ardent propagateur des tares osseuses qu'il possédait » : de même enfin un grand nombre
ion ou soudure des métacarpiens), la macrodaclylie (sur- production osseuse ), la mégalodactylie (volume exagéré des métacarpi
LÉON, 269. Paralysie des nerfs crâniens d'un côté et déformations osseuses multiples d'ori- gine probablement laérédo-syph
1. RosE. Paralysie des nerfs craniens d'un côté et de formations osseuses multiples probablement d'origine hérédo-syphili
Maladie de Parkinson (F. BA\r0\D), I, II, III, IV. Malformations osseuses (Rose), XXXVIII, XXXIX. Malformations osseuse
V. Malformations osseuses (Rose), XXXVIII, XXXIX. Malformations osseuses (A. Cange), XL, XLI, XLII. Myotonie avec atro
43 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
des craquements, des dislocations, répondant à une usure des surfaces osseuses , des luxations variées (forme mali-qne). En dépit
le premier à reconnaître l'analogie des craquements, des tuméfactions osseuses , etc. Mais je tiens à faire ressortir encore ce q
faces articulaires, déformations des extrémités osseu-ses, bourrelets osseux , stalactites osseuses, corps étrangers, etc., etc
déformations des extrémités osseu-ses, bourrelets osseux, stalactites osseuses , corps étrangers, etc., etc. Toutefois, il est de
n : 1° La prédominance de l'usure sur la production des bour-relets osseux dans les cas récents. Comparez, par exemple, l'hu
e la moelle, est, elle-même, suspendue dans le canal rachidien, canal osseux plus ou moins flexible selon les régions. La dure
tus ligamenteux. Partout ailleurs la dure-mère est séparée des parois osseuses par une couche de tissu adipeux qui livre passage
pénétrer certains produits pathologiques, nés en dehors de ce conduit osseux . avec l'interception des fibres nerveuses spina
dans le mal vertébral, 1871. 2 Cas de M. Liouville. de provenance osseuse se met en contact avec la face anté-rieure de la
profondément. Le ligament vertébral antérieur, au niveau de la lésion osseuse , était comme dilacéré et la matière caséeuse, d'a
quoi elle reprit progressivement ses dimensions normales. L'affection osseuse , chez ce malade, paraissait occuper la dernière v
es articulations qui l'unissent à l'occipital avaient subi l'ankylose osseuse , de manière à ne permettre aucun mouvement. La mo
s musculaires (Atrophie musculaire, arrêt de développement du système osseux , refroidissement des membres, déformations, pied
r môme dès les premiers jours. b) Arrêt de développement du système osseux . Nous devons relever, ici, un trait imporlant que
kmann, ont fait ressortir : c'est l'arrêt de développement du système osseux . L'atrophie qui affecte les os n'est nullement en
fonctions des muscles, être suivie cependant de lésions tro-phiques osseuses qui persistaient toute la vie %. Il serait diff
e des lésions du système nerveux central sur la nutrition des parties osseuses , puisqu'il est impossible d'invoquer, dans cette
umineuse pour remplir par conséquent et d'une façon complète le canal osseux . Mais, en réalité, ce n'est pas une véritable h
le de la fracture ne sont pas soudées et sont revêtues de végétations osseuses . — Les fractures siègent à la partie moyenne de l
ts inférieurs. Du bord externe et postérieur de ce cal part une jetée osseuse qui se dirige obliquement en bas, en décrivant un
mètres, volumineux, et qui, en bas, donne naissance à une autre jetée osseuse , laquelle vient s'unir à la face antérieure du cu
ait invoquer non plus l'exis-tence d'un trouble de nutrition du tissu osseux résultant d'une inactivité fonctionnelle prolongé
e en par-ticulier, ont à peu près disparu, laissant à nu les saillies osseuses , les éminences thénar et hypothénar, bien qu'amin
musculaires (Atro-phie musculaire, arrêt de développement du système osseux , refroidisse-ment des membres, déformations, pied
44 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
cient : l'intelligence s'éveille, le système musculaire, le système osseux (2) se développent, l'infiltration grais- seuse
issaires, et dans la région postérieure du pariétal droit. Le tissu osseux du crâne est formé, sur la coupe, d'une large c
s l'hydrocéphalie,) sans que le contenant, c'est-à-dire l'enveloppe osseuse , ne cesse de s'adapter à cette pression intra-c
t à son développement tout autant que l'inextensibilité de la boite osseuse . Si au contraire les sutures restant libres, il
été faite est démonstrative : la forme, la disposition des parties osseuses , la valeur des angles pétro-clivien, inio-clivi
temps il n'exerce aucune pression sur l'endocrâne ; aussi le tissu osseux parfaitement sain continue à s'accroître. La cr
e simple inspection le moin- dre développement de certaines parties osseuses du côté malade (diminution de la fosse cérébral
qui donne l'angle pétroclivien. 232 Anatomie pathologique. tissu osseux *; c'était un myxoedémateux, chez lequel l'ori-
é par la face externe ne répond en rien à la saillie de cette crête osseuse interne. La différence de pression a amené égal
di sa loge et rendu apparent l'arrêt de développement de la portion osseuse renfermant l'hémisphère malade. En voici quelqu
sillons qui les séparent, la pression est nulle et la prolifération osseuse se faisant librement vient combler le vide qui
uents, il n'y a pas des intervalles aussi accen- tués et les crêtes osseuses n'ont pu s'y insinuer. Ce n'est donc pas, comme
s d'atrophie de cet organe , entraînerait une atrophie des crêtes osseuses observées normalement) que l'on observe les varia
ales unilatérales. 239 espace rétro-frontal où des proliférations osseuses en forme de lamelles constituaient une croissan
érations osseuses en forme de lamelles constituaient une croissance osseuse anormale et nettement d'origine inflammatoire.
aussi parce que nous pensons qu'elle est, comme les proliférations osseuses endofrontales le résultat de troubles inflammat
éveloppement limités à une zone cranio-cérébrale, des malformations osseuses , etc., etc., il semble que la diversité des cau
nt cérébral qui ' ne s'oppose pas à leur envahissement par le tissu osseux . : Sur quelques crânes notamment, il est curieux
es). La moitié droite de l'occipital participe à cette hypertrophie osseuse (Fig. 67). Il n'y a pas de plaques transparen
vés parnous, la conséquence d'un arrêt de développement de la boite osseuse . III. Le traitement médico-péclagogique, tel qu
45 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
État actuel (2 décembre 1887). L'éminence hypothénar et les inter- osseux de la main gauche sont très atrophiés. Les deux d
é les renseignements suivants. On tombe tout d'abord sur une tumeur osseuse faisant saillie sur la face anté- rieure du sac
damment de ces troubles, il existe, par le fait même de la lésion osseuse et de la déformation qu'elle a constituée, une ce
permet de constater en particulier qu'il n'existe aucune altération osseuse de l'articulation coxo-fémorale gauche. L'oeil ga
88 ans, vit encore; elle fut atteinte à G ou 8 ans d'une affection osseuse de la jambe, qui entraîna une longue suppuration.
ncisure sus-épineuse convertie en un trou parfait par une languette osseuse qui' passe au-dessus, et un déve- loppement un
ique des maladies mentales, p. 3.t3, 5. Charcot et réré, Affections osseuses el articulaires du pied chez les tabétiques (Arch
ait naître l'idée que, dans une période de ramollissement, le tissu osseux aurait cédé aux tractions musculaires. Les'tête
es décolles appartenant aux gaines complètes. Quant aux corpuscules osseux , ceux-ci, en général, se montrent volumineux av
s : la diathèse rhumatismale peut exercer son action sur le système osseux et de différentes manières. Consécutivement aux l
nt aux lésions des articulations (synovites, chrondrites), le tissu osseux peut s'altérer dans le sens de l'atrophie ou de
ésentait tant d'anomalies. Il n'en est pas de même pour les parties osseuses de la face dont les déformations suivent souven
la pointe se porte en haut, en contracture, venant toucher la voûte osseuse (pl. XXXIV). Les globes oculaires subissent les
s d'insertion des ligaments, nous constatons également des saillies osseuses , des bosselures qui donnent à l'os un aspect tout
t, en outre, leur face antérieure est concave avec un petit tubercule osseux au bord externe. Les processus coronoïdes son
upérieur destiné au passage de cette artère est converti en un trou osseux . Toutes les autres vertèbres cervicales ont le
a face antérieure du corps est poreuse, avec de petites végétations osseuses au niveau des bords; les apophyses transverses
paroi postérieure de la selle turcique est transformée eu une laine osseuse mince avec revêtement normal de dure mère. En ava
faire croire soit à des phlegmons profonds, soità des suppurations osseuses ? Bien qu'ils soient relativement rares, ces fa
est surplombé à sa partie postéro-supérieure par une sorte de lame osseuse qui prolonge la partie articulaire. Diamètre du
se considéra- hlement par en bas le bord inférieur de l'os. Anlyose osseuse entre le deuxième métacarpien droit et deuxième
46 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
diffère cependant de la sensation de résistance que donne le tissu osseux . Visage ovale, joues légèrement pendantes. Les
-mère. Cette membrane est très mince jusqu'à 5 ou G "/» du pourtour osseux où la transformation en os la rend un peu plus
n os la rend un peu plus épaisse. (Fig. 1.) La perte de substance osseuse a une forme ovalaire et environ 5 cent, de long
: La partie postérieure des arcs lombaires montre que renfoncement osseux était relativement éloigné de la moelle, qui ét
cependant beaucoup (l'embonpoint malgré la persistance de fistules osseuses au Lro- chanter et à la face externe du calcané
dénudées sur une longueur de 8 cm. le périoste a disparu, le tissu osseux est noir et résistant. Fistules sur le trochanter
dant sur la région rolandique. Ces foyers ont déterminé des nodules osseux au nombre de cinq, faisant saillie sur la face in
longitudinale. 1). m.. Lltire-inére. F., Fond du cerveau. C, Coque osseuse . Celte coloration est beaucoup plus intense au
à droite et dans laquelle la dure-mère est demi- décollée du tissu osseux . A droite, l'r1 ? Jphale est recouvert par une
danssur la face convexe. Elle est formée d'une coque dure, d'aspect osseux d'une épaisseur inégale variant de 1 à 2 mm. Ce
rence de moitié pour les humérus). A gauche également les tra- vées osseuses du tissu spongieux sont plus écartées et circunsc
s ou moins in- timemcnl dans son étendue. Une portion de la coque osseuse de la tumeur a été décalcifiée ; ses coupes tra
ibreux, on trouve des portions complètement ossifiées avec cellules osseuses typiques et système de llavurs. 102 PATHOLO
i s'explique étant donné l'état d'involulion de la fumeur. La coque osseuse répond à la membrane, perikys- fique, formée pr
e de sels calcaires et a enfin partiellement subi la transformation osseuse : la tumeur évoluant vers la dégénérescence. Le
se : la tumeur évoluant vers la dégénérescence. Les transformations osseuses de ce genre se produisent suivant le mode habit
la pièce le prouve, etle volume du kyste enserré dans sa co- que osseuse , moulée contre la voûte cranienne, n'avait pas
ction d'escharresprécoccset graves, et aussi l'existence de lésions osseuses suppura- tives du côté hémiplégie coïncidant av
nmoins aucun signe ni vestige de paralysie faciale. Pas d'asymétrie osseuse de la face. Voûte du palais ogivale, dents mal
s lésions classiques de l'a- rromégalie, et,, malgré l'hypertrophie osseuse , il n'y 11 pas de REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYS
ides qu'il tenait convulsivement pour arrêter les chevaux,. Saillie osseuse à l'oc- ciput, au niveau du coup. Varices, jamb
de la rééducation et de l'hydrothérapie. F. T. XXXVII. - Maladie osseuse de Paget, trois cas observés dans une même fami
iable allant depuis la simple exagération des réflexes tendineux et osseux (type amyotrophique) jusqu'à la paraplégie à sp
ite, il y a plusieurs années. Cicatrices adhé- rentes et dépression osseuse . Attaques épileptiformes à l'asile; par- le de
être une cause déterminante active, si l'on en juge par les dégâts osseux constatés à l'autopsie et à la radio- graphie d
ants continus de : 30 à 60 mil- liamperes. Atrophie musculaire et osseuse chez des nègres. M. J3RUMPT a observé chez des
crâne un moellon qui détermina une vaste plaie contuse, sans lésion osseuse et sans perte de connaissance, Pas de renseigne
e des cellules de Purkinje, par Tliomas, 325. - ^ muscu- laire et osseuse chez des nègres, par Brumpt, 424. Auréoles né
éningite interne post-trau- malique. par Rose, 81. Paget. Maladie osseuse de , trois cas observés dans une même famille
47 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
uteur le long UN ALGÉS131ÈTRE 47 et dans le voisinage des sutures osseuses la sensibilité douloureuse est plus fine. Le ce
e du nez esl moins sensible à la dou- leur que la peau de la partie osseuse . Une différence marquée entre les deux parties
rne du fémur gauche, on voit une ci- catrice consécutive à un abcès osseux . Le genou en est resté déformé. Tous les muscle
à la Pitié dans un service de chirurgie, pour y êlre opéré d'nn abcès osseux situé au niveau du condyle interne du fémur.
réciproques, et em-' pêche les déplacements que le jeu des leviers osseux qu'ils font mouvoir, ne manquerait pas d'entraî
istouri, sur la ligne médiane, dans toute la hauteur de l'ouverture osseuse . Le liquide céphalo-rachi- dien se mit à couler
lement lombaire. Dans le fait personnel qu'il rapporte, une saillie osseuse de la deuxième vertèbre lombaire et une zone do
lésion à l'intérieur du canal rachidien. On conçoit qu'une saillie osseuse , plus ou moins étendue dans le sens vertical ma
me temps surbaissé. Il est presque effacé, au contraire, si le plan osseux plus saillant repousse en dehors les parties mo
sion de faire deux autopsies d'une affection assez rare, la Maladie osseuse de Paget, et deux fois nous avons rencontré dans
e 25 à ! ! 2 p. zoo, n'était plus dans le cas actuel, pour le tissu osseux sec, que de 18 à 70p. 100, c'est-à- dire presqu
adie de Page ! et certaines affections spi- nales il déterminations osseuses (exemple le tabès), dans lesquelles on ob- serv
ans deux cas consécutifs semblent donc bien appartenir à la maladie osseuse de Paget. Ceci admis, si nous essayons de pénét
u'un mot des relations qui pourraient exister entre les altérations osseuses de la maladie de Paget et les lésions du système
s avons émis l'hypothèse, sous toutes réserves, que ces altérations osseuses seraient des troubles tro- phiques dépendant de
t par défaut. Ainsi voit-on des géants ou des nains, quand le tissu osseux subit ab oro"une perturbation trophique; des obès
ipeuse assez épaisse enveloppe tout le corps, et masque les reliefs osseux et musculaires. , . Absence de poils au pubis e
nt avec les anomalies de développement qui portent sur les systèmes osseux conjonctifs ou musculaires. Il est alors associ
e, à l'obésité (Féré), à l'atrophie musculaire, etc. Les affections osseuses inflammatoires sont d'ailleurs fréquentes chez
ise. Pendant ce temps, le chi- rurgien écarte les bords de la fente osseuse , ou trépane, soit avec le tré- pan à main, soit
comme du suif (stéatome) ; c'est un corps dur, irrégulier, d'aspect osseux ou pierreux. Alors on se perd en conjectures.
ait sur la table une pince qui a pu servir à retirer des fragments osseux . Peut-être n'a-t-il à extirper qu'une tumeur su
des fractures du crâne et, pour commencer, les signes de la lésion osseuse même : signes présomptifs et signes « manifeste
c corps étranger, on enlèvera celui-ci, puis on agrandira l'orifice osseux . Tels sont les conseils chirurgicaux donnés par
48 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
tte et Dutil. Cette confusion avec un phlegmon ou une suppu- ration osseuse profonde serait même à peu près inévitable si, co
ce, je fus frappé en explorant cette membrane de trouver une plaque osseuse enclavée dans son épaisseur et je dus la disséque
manière à dessiner des lambeaux qui restent adhérents par une base osseuse plus ou moins large. Quel- quefois le lambeau n
ater, à la fin de l'opération, la mobilité d'un ou de deux lambeaux osseux . Relativement à la perle de substance je dirai
e d'écartement et même davantage entre les deux bords de l'incision osseuse . Je serai bref sur le manuel opératoire, qui, e
mois, trois mois après l'opération, on ne constate pas de bourrelet osseux saillant; il y a une gouttière crânienne plus ou
lle-ci ; elle est plus rare dans l'hystérie. La douleur rachidienne osseuse , sans hyperesthésie cutanée, sans aura; les four-
élévation de la température, fourmillements douloureux, rachialgie osseuse , abolition des réflexes, troubles électriques;
les muqueuses sont saines. Les plans musculaires profonds, le tissu osseux n'offrent rien d'anormal. Les diverses parties
aillies, en les faisant rattacher aux parties molles ou aux parties osseuses . Elle nous permettra d'apprécier la forme génér
alie), les autres à un vice de développement congénital des parties osseuses (ossification prématurée des sutures, acrocéphali
es sutures, acrocéphalie, scaphocé- phalie, etc.), ou à des lésions osseuses (syphilis), à de simples troubles de la circula
s, la section portant sur les tendons du muscle ou sur ses attaches osseuses , suffit pour faire disparaître l'attitude vicie
s ce panaris, pas plus que dans celui de l'index il n'y eut nécrose osseuse . Le 30 septembre 1890, le malade entra à la Pit
euse et des nodosités d'IIeberden, enfin son arrêt de développement osseux et surtout le degré peu avancé de son intellige
état à rester couché dès sa plus tendre enfance, son développement osseux ne s'effectua que tar- divement et d'une façon
phalangino-phalangelliennes des quatre derniers doigts. Atrophie osseuse de toutes les phalangettes. Ongles rudimentaire
. - La palpation nous renseignera sur le développement des saillies osseuses et sera surtout utile pour nous per- mettre de
molles (hémiatrophie faciale, démence hémiplégique) ou aux parties osseuses . Ces dernières asymétries dues à un développe-,
n per- met de les exclure. Le rachitisme frappe en effet le système osseux en son entier et laisse des traces sur la tête
nformés au point de vue cérébral qu'au point de vue de leur système osseux . Ce sont pour la plupart des dégénérés délirant
t la rachialgic des hystériques n'est pas comparable à ces douleurs osseuses , ainsi que nous l'avons déjà montré. L'hémalo
de la papille, signe d'drgyll Roberlson, signe de Westphal, lésions osseuses et articulaires (frac- t1res spontanées, al'thr
présentée par une zone douloureuse, cutanée ou musculaire plutôt qu' osseuse occupant souvent deux points superposés du rach
été médicale un cas vraiment remarquable d'atrophie mus- culaire et osseuse du membre supérieur gauche, résultant d'une mono-
râne et, ayant mis à nu la dure-mère, j'ai introduit dans l'orifice osseux ainsi obtenu un tube en bois de largeur correspon
nication avec le mano- mètre. L'espace entre le tube et le rebord osseux était comblé de stéarine et couvert de collodio
ne aspiration de la dure- mère mise à nu et privée de son enveloppe osseuse . Chez l'animal non trépané l'aspiration de la d
imal non trépané l'aspiration de la dure-mère qui adhère à la paroi osseuse ne peut avoir lieu, et la pression négative qui
49 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
° les organes protecteurs de l'œil; 3° le globe oculaire; 4° l'orhite osseux et l'ensemble des parties qu'il renferme. t. vi
ns : i°la glande lacrymale, située entre le globe de l'œil et le bord osseux de l'orbite à son angle externe et supérieur; ell
s maxillaire. Cette apophyse descendant en dehors pour former le bord osseux inférieur de l'orbite, constitue au devant et au
nstitue au devant et au tiers inférieur du sac lacrymal un renflement osseux , dit le tubercule lacrymal, dont le relief sert d
ction du sac. Derrière le tubercule lacrymal se continue la gouttière osseuse qui se termineà la rencontre du plancher maxil-la
issie en dehors et en avant où elle forme le sac, se fixe au pourtour osseux sur l'apophyse montante de l'os maxillaire, et su
tage en deux moitiés inégales. La supérieure logée entre la gouttière osseuse et la caroncule lacrymale, et fortifiée par l'ex-
er de l'orbite, où le conduit ostéo-fibreux se transforme en un canal osseux , inextensible, formé dans la paroi externe et ant
e dans le méat inférieur des fosses nasales. A l'in-térieur, le canal osseux est tapissé par son périoste que double la membra
procédé de canule à demeure de Dupuytren ; et, en enlevant un disque osseux d'une largeur suffisante,elle offrirait, pour une
'instrument perforateur, on se demande s'il y avait bien oblitération osseuse . oblitération des conduits lacrymaux. Elle es
nsi la cataracte dure est dite sili— queuse, sèche, cornée, calcaire, osseuse , hypertrophiée, atro-phiée, etc.; la cataracte mo
risation est dangereuse: heureusement l'enceinte formée par la cavité osseuse conique permet une compression efficace; il suffi
ongueur et la coudure à donner aux cathéters de la trompe d'Eustache. Osseuse dans la moitié qui répond à la caisse, fibro-cart
bougies. Il faut distinguer les rétrécissemens placés dans la portion osseuse du conduit d'Eustache, d'avec ceux qui siègent da
du nez. La limite de leur extensibilité est déterminée par l'orifice osseux vertical quelles masquent et dont la largeur n'es
rendent l'ulcération ou les polypes très rares. La cloison, en partie osseuse , en partie cartilagineuse, est quelquefois dejeté
ne commence qu'à treize millimètres (six lignes) en arrière du rebord osseux de l'o-rifice nasal antérieur, au delà du canal n
maxillaires (fig. 9) ou avec l'inter-position médiane d'un tubercule osseux sous-uasal qui supporte les dents incisives et mê
vice de conformation. Ou la scissure palatine occupe tout le plancher osseux d'avant en arrière, et forme une seule lente d'éc
le-dentaires. Dans le cas le plus ordinaire, où existe un tubercule osseux incisif, l'opération est plus compliquée : à cett
e forts ciseaux ou des pinces à résec-tion on emportait le tu hercule osseux en entier, ou au moins toute sa portion proéminen
ière ou sur les côtés, niais fortement tendue au-devant de la portion osseuse proéminente. Cette compression, exercée à demeure
inces incisives bien tranchantes., pratiquer l'excision de la portion osseuse ; rafraîchir avec le bis-touri les bords et le som
a pu avec le même succès re-dresser et faire consolider le tubercule osseux et les dents incisives qu'il s'était borné à redr
-risé, il est vrai, par la situation de la plaie dans un encastrement osseux . L'accident le plus commun a été la paralysie du
cer où l'on craindrait que la maladie n'eût attaqué l'une des parties osseuses au con-tour. Tout étant disposé, la forme de l'
ans cette variété qui n'occupe que le voile du palais, et où la voûte osseuse palatine n'est point intéressée, la scissure ordi
2), l'opérateur détache en dessous la membrane palatine de la surface osseuse , de ma-nière à pouvoir rapprocher les bords par l
rare aussi d'y observer de petits fongus. La proximité de la surface osseuse rend le procédé d'extir-pation très facile. La bo
la lame avec le pouce gauche. Dans le vieillard, où ce cartilage est osseux , le mieux serait de le scier d'abord jusqu'à la t
ous avons répondu à la prétendue impossibilité de couper le cartilage osseux chez le vieillard. Enfin, la trachéo-tomie , par
indiquerait quel' instrument y est parvenu. Enlevant alors le disque osseux , et divisant l'aponévrose avec beaucoup de ménage
elles de l'ischion (M. Damourette), du sacrum (M. Haber) ; les kystes osseux (Boyer) ou les tumeurs osseuses, fibrineuses, squ
tte), du sacrum (M. Haber) ; les kystes osseux (Boyer) ou les tumeurs osseuses , fibrineuses, squirrheuses (Pl. 53, fig. 11 et 13
et ses résultats. Le bassin de l'homme formant une vaste enveloppe osseuse , épaisse et garnie de masses musculaires et de va
s peut se condenser davantage et devenir fibro-cartilagineux, et même osseux ; il peut aussi dégénérer et deve-nir lardacé, sar
urs points de son épaisseur, des poils et quelques parcelles de tissu osseux et de tissu cutané, tandis que toute sa circonfér
e, par sa nature et son étiologie, ne soit qu'une variété des tumeurs osseuses et fibreuses; avec ou sans pédicule, décrites par
spèces d'altérations : mélanose , concrétions calcaires , productions osseuses et carti-lagineuses , corps fibreux, tubercules ,
ns avec l'un et l'autre tranchant, en rasant à plusieurs fois l'angle osseux où elle s'implante. Section du petit oblique.
it oblique est vu immédiatement dans sa gaine, près de son inser-tion osseuse . Rien de plus simple (pie de l'isoler et de le sa
hirurgien, entraîne fréquemment l'atrophie ou la résorption d u tissu osseux dans les points de pressions, et produit, en part
. J. Guérin. (1) Vues générales sur l'étude scientifique du système osseux , page 31 Paris, 1840. «La contracture, dit l'au
. pag. 73). Altération des tissus autres que les muscles. Système osseux . « La portion du squelette qui est le siège de la
le, la moelle décrit des courbures d'un plus grand rayon que le canal osseux , s'applique fortement contre les conve-xités inté
ire des fonctions chez les sujets atteints de diffor-mités du système osseux , constitue une physiologie humaine com-parée, d'a
e la traduction ou l'expression extérieure des difformités de la tige osseuse centrale, ou du racbis, dont les moindres altérat
'en soit le point de départ, soit les parties molles, soit le système osseux . Ainsi, tantôt la cause première sera une altérat
acens, c'est-à-dire, intermédiaires entre la corde rétractée et l'arc osseux , les splénius, complexus, trapèze, angulaire, cer
s de pression une absorption, ou, si l'on veut, une atrophie du tissu osseux qui se traduit par une con-cavité; la persistance
al, pratiquée circulairement au travers du sourcil. 2, 3,4, 5. Bord osseux de l'orbite. 2, os frontal, 3, os malaire ; 4, pl
(6, 7) pour laisser voir le commencement du canal nasal (18), le pont osseux conservé du tubercule lacrymal séparant ce canal
sous de la naissance du canal nasal se voit l'épaisseur de la cloison osseuse (8) qui sépare ce canal d'avec le sinus maxillair
gomato-maxillaire. 21. Intérieur du sinus maxillaire, dont la paroi osseuse antérieure est enlevée avec les parties molles.
s. Figure 3. Même section que dans la figure 1, la paroi antérieure osseuse et fibro-cartilagineuse étant enlevée. Figure 4
l se compose de deux parties : l'une fibro-cartilagineuse, et l'autre osseuse . Il est à remarquer que ces deux portions du même
ur les os propres de cet organe. La plaie montre en dedans le contour osseux (a) de l'orifice antérieur des fosses nasales for
ans trop contendre le voile du palais, une incision (d), de l'attache osseuse au bord libre, a été pratiquée dans cette cloison
s en haut les chairs dans la fosse canine pour mettre à nu la surface osseuse . Au moment choisi de l'opération la tréphine est
12a et 12b montrent le calcul par ses deux faces. Figure 13. Tumeur osseuse saillante dans l'intérieur de la vessie. Tome 7
50 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
gique sur des esprits instables. R. DE Musgrave-Clay. X. Le système osseux chez les aliénés ; par J.-F. BRLSCOE. , (Tite J
1 Il est tabétique par la perte absolue des réflexes tendineux et osseux des membres inférieurs aussi bien à droite qu'à g
ngue durée, absolument flasque. Aux membres supérieurs les réflexes osseux et tendineux existent un peu forts du côté hémi
e du côté gauche. Aux membres inférieurs, les réflexes tendineux et osseux sont absents des deux côtés et la paralysie est
s réflexes tendineux, dans le membre dont les réflexes tendineux et osseux sont à jamais supprimés. Cécité verbale sans
forme et évolution. IV. - L'exagération des réflexes tendineux et osseux (trépidation SOCIÉTÉS SAVANTES. 163 DE L\ rot
e rotulien qui parait exagéré et les autres réflexes tendineux et osseux , le réflexe du tendon d'Achille, le réflexe radia
décubitus dorsal, semble bien être en rapport avec des altérations osseuses qui ne sont pas sans analogie avec l'ostéoinaltic
la circonstance, erroné. Paralysie générale syphilitique à gommes osseuses . M. Marie rapporte aussi l'observation de deux
ervation de deux cas de paralysie générale syphilitique avec gommes osseuses sur les tibias et traités Archives, 2* série, t
utôt l'absence de développement de la quantité normale de substance osseuse avait été le résultat d'une ossification tardiv
ois son volume normal; la fosse pituitaire est agrandie et sa paroi osseuse est anormalement mince. Pas d'adhé- rences ni d
période initiale. On remarque aussi des altérations articulaires et osseuses , ayant vraisemblable- ment pour origine des tro
chevelu ne présente aucune lésion appréciable. On enlève la calotte osseuse avec la scie, sans entamer la dure- mère. Ce qu
que l'on peut se demander quellr était ici la relation de la carie osseuse et de l'abcès, mais il e.-t évident que-cette r
trouvé, dans un cas de mal de Pott, en dehors de toute compression osseuse , une destruction presque totale de la moelle au
INIQUE NERVEUSE. compression de la zone rolandique, par le fragment osseux réimplanté ; c'est pourquoi, des chirurgiens, e
éo-plas- tique temporaire et contre la réimplantation du fragment osseux , dans les cas de trépanation vulgaire (Vergère et
centre trophique dont l'excitation a pour conséquence l'hyperplasie osseuse , tandis qu'une cause agis- sant en sens inverse
têtes costales aux cartilages interver- tébraux, on voit des masses osseuses compactes de formation récente et sous forme de
ue. Le cas de M. Nalbandow prouve bien la réalité de la déviation osseuse par lésions trophiques des vertèbres, ce qui jusq
de mon ami le professeur Bergouié. Elle montre la perfection du cal osseux . J'ai pensé, à ce propos, que la radiographie s
i ce fémur présentait une raréfaction plus ou moins grande du tissu osseux . Grâce à l'amabilité du professeur Bergonié, qu
porte qu'elle fut la cause, il aurait gagné, avec la simple section osseuse , autant que tous les cas connus. En faisant l'i
u un peu en avant de la région rolandique, de manière que la brèche osseuse correspondit a la icissure, et que la cicatrice
dure-mère après la trépanation et de ne pas remplacer les rondelles osseuses . Lannelongue craignait d'ouvrir la dure-mère, i
i-c 1. Lucas-Chtmpionnière ne craint pas non plus la reconstitution osseuse . Les pièces anatomiques de Bourneville et les e
aune proton leur de quatre à sept. Si l'on rencontre une résistance osseuse , on retire légèrement l'ai- guille et on la pou
taux à la limite de l ? par Itosenbach, 19-4. Aliénés. Le système osseux chez les - , par 13ri.sac, 5S. - en liberté,
s du bulbe dans la par Becliterew, 118. - syphi- litique à gommes osseuses , par l' A. Nlarie, 177. Troubles du lan- gage
51 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on très longue et persis- tante ; à plusieurs reprises des écailles osseuses furent extraites de sa blessure. La fermeture d
; 2° ou par une irrita- tion lente provoquée par quelques écailles osseuses sur la méninge subjacente. Dans le premier cas,
euf ans, qui pré- sente au niveau du pariétal gauche une dépression osseuse remon- tant à une application de forceps. Cette
la région du 4-5 processus épineux on constate une saillie dure et osseuse . Douleurs intenses dans le cou 132 SOCIÉTÉS SAV
nt livrés à de minutieuses études sur la substitu- tion des défauts osseux par un os décalcifié, que proposa un Améri- cai
es muscles pathologiques d'autre- part (muscles avoisinant les cals osseux , les abcès, muscles d'atrophie expérimentale, m
rmation de tissu conjonctif ou de ses dérivés, tissu cartilagineux, osseux . La théorie de la phagocytose est très séduisan
nale, la tête d'un clou galvanisé' fortement implanté dans la paroi osseuse . Le clou, retiré à l'aide d'un davier, mesure 7
; 2° la spire de base des deux limaçons présentait une végétation osseuse qui avait détruit les filets nerveux; le bourgeon
égétation osseuse qui avait détruit les filets nerveux; le bourgeon osseux hyperplasié se prolongeait vers le centre jusqu
les canaux semi-circulaires il y avait eu une nécrose des éléments osseux qui s'était guérie. La nécrose doit être attrib
nent du tissu SOCIÉTÉS SAVANTES. 277 fibreux ostéoïde ou du tissu osseux capable d'oblitérer la lu- mière des canaux sem
nion ne'permet- trait pas d'expliquer l'allongement de la charpente osseuse des pha- langettes qui du reste se retrouve dan
u développement cérébral, à celle de la craniologie, car le système osseux joue un grand rôle dans sa genèse, à celle de l
ébral ne le peut non plus, parce qu'il est renfermé dans une cavité osseuse ; mais si on en enlève l'os, ça permettra le dév
ment-elles dans l'enfance ? Est-ce par ce que l'activité du système osseux l'emporte sur celle du système cérébral ? S'il
les oblitérées. On a délivré la mère avec le forceps. Les éminences osseuses du crâne étaient,peu marquées; le front en arri
laire du membre paralysé, dont deux cas en même temps avec atrophie osseuse , un avec élévation de la tempéra- ture et deux
tres éléments, et sur- tout, de tenir compte d'un trouble trophique osseux ayant pour siège les vertèbres. On connaît des
à faire entrer en ligne de compte pour une grande part l'altération osseuse . La scoliose ne s'est produite, et surtout n'es
ont donné des détails permettant de croire à une réelle altération osseuse de cette portion du sque- lette. D'ailleurs,
Voilà donc deux faits qui semblent établir l'existence de lésions osseuses dans les myopathies, et nous portent un peu à p
rer les divers types 1 HaUion.J ? oct</Ke primitive avec lésions osseuses ; fracture spon- tanée probable. (France médical
et notre observation en fournit un excellent exemple. La théorie osseuse , soutenue par Bouvier 1, Dubreuil2 et plu- sieu
ues généraux, on ne rencontre que très accidentellement les lésions osseuses si communes dans la syphilis; on fait entrer dans
52 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nsations du sens musculaire. R. de 111USGriAVe-CLl. f VIL' Pointe osseuse , provenant d'une fracture du crâne par coup de
re était un peu atro- phiée, comme par une compression. Le fragment osseux était enchâssé dans les vaisseaux de la pie-mèr
che de tissu conjonctif sclé- reux, qui contenait ça et là du tissu osseux , des glandes séborroï- ques. Une trouvaille rem
de la montre est entendu à une distance raisonnable, la conduction osseuse des sons est normale, l'orientation des bruits
radiculaire par arrachement, compliquée d'hémalomyélie. Sensibilité osseuse décelée par le diapason. M. EGGER présente le d
GGER présente le diapason avec lequel il recherche la sensi- bilité osseuse et qu'il considère comme l'irritant spécifique de
i a perdu toutes les autres sensibilités, a conservé sa sensibilité osseuse au diapason (ce qui expliquerait la non-flacci-
dissociation possible des autres sensibilités et de la sensibilité osseuse . M. Dufour. En effet, la cocaïne qui anesthésie
eumonie de la base. 'La moelle est extraite facilement ; le canal osseux , les méninges et l'axe nerveux ne présentent ri
es points à partir desquels décroît l'abréviation delà transmission osseuse , on peut en quelque sorte localiser la surface
altérations qui produisent ce raccourcissement t de la transmission osseuse indépendant des affections de l'oreille interne
de G têtes. L'âge produit une petite abréviation de la transmission osseuse , à raison de la plus grande sécheresse des partie
ralysie radiculaire traurualique du plexus brachial avec al2-opiies osseuses et troubles de la pression artérielle dans le mem
pe radiculaire supérieur. On constate chez ce ma- lade une atrophie osseuse très apparente de l'omoplate, de l'humé- rus, d
trouble de l'innervation sympathique vasculaire. Quant à l'atrophie osseuse , rarement signalée dans les paralvsies radicula
rticolis est musculaire ou non musculaire (cicatriciel, névritique, osseux , etc.) ou mental enfin. Et si nous pensons qu'i
ir aucun trouble des sensibilités cutanée, musculaire, articulaire, osseuse . Mais ils n'ont pas une notion exacte de leurs
ses cancéreuses vertébro-spinales, à côté de la forme primitivement osseuse classique, il faut faire place à une forme radi
t sa durée. Ainsi, il pourra subir la transformation calcaire, même osseuse , mais il continuera 366 .SOCIÉTÉS SAVANTES. à
cône terminal et des racines du plexus sacré, soit par un fragment osseux , soit par une hémorragie immédiate. Seules la 5
re l'occipital de l'atlas. C'est à la moitié supérieure de l'hiatus osseux en question que les deux artères vertébrales s'
e de haut en bas et inversement juste au milieu autant que l'hiatus osseux le permet, de façon à bien séparer les tissus.
e d' -, par Cestan et Dupuy-Dutemps. 391. Arme A FEU. Voir Pointe osseuse . Assistance des idiots. Un imbécile incendiai
à la chorée, jldl'UIllSaÿ, 522. Fracture 'du crâne. Voir Pointe osseuse . spontanée, par 11er- but t Spicer, 118. Géan
67. - radiculaire trau- matique du plexus brachial avec atrophies osseuses et troubles de la pressionartélielle danslemem-
38 Platine. Voir' Golryi. Plexus brachial. Voir Xévrite. Pointe osseuse , provenant d'une fracture du crâne par coup de
L'évolution du des couleurs; par Edridge-Green, 503. Sensibilité osseuse décelée par le diapason, par Eggcr, 65. Voir
53 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
ie le 27 août 1881. - La voûte crânienne est très épaisse, le tissu osseux est dense : la dure-mère est épais- sie ; adhér
dense : la dure-mère est épais- sie ; adhérente ça et là à la boîte osseuse : la base du crrîaze est régulière et symétriqu
Tête : Cuir chevelu excessivement épais. Crâne très petit. Calotte osseuse dure et dense, peu épaisse, frontal, pariétaux,
a dure-mère, un peu épaissie adhère à la partie médiane de la voûte osseuse . La pie-mère n'est pas congestionnée. Hémisphèr
t au petit trochanter. Les parties molles qui avoisinent la masse osseuse , présentent un aspect fibroïde, blanchâtre, peu
mais sans faire corps avec le fémur, se rencontrent des productions osseuses , disposées sous forme de stalactites aplaties q
ue des cartilages, et, enfin, l'éburnation par plaques des surfaces osseuses ; telles sont les principales lésions que nous a
es ; calculs biliaires ; . ostéomalacie : des- cription des lésions osseuses . Lenorm..., Elise, âgée de 43 ans, estentréeà l
e. Tête. Calotte crânienne régulière et symétrique. L'enve- loppe osseuse présente une disposition en sens inverse de la
sion. Tête. Tandis que la base du crâne est normale, la ca- lotte osseuse présente une différence des diamètres antéro- p
bérance occipitale interne se trouve déjetée à droite. Sur la voûte osseuse , au point de vue de la capacité, on note une di
anes de la base de l'encéphale, non plus que du côté de l'enveloppe osseuse . sauf un amincissement de la voûte crânienne, d
54 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tabétique classique, un type anatomique à lésions plus fibreuses qu' osseuses qui pourra être dénommé « périarthropathie tabé
t en distingue : une période d'acmé, et une période de régénération osseuse . La couche corticale externe de l'os trahit une
, d'un abcès local, mais l'étude critique prouve que le processus osseux en est indépendant; ou que s'il a quelque relatio
e chaux. En tout cas c'est un fait plein d'intérêt. Les processus osseux dont dépendent, dans la syringomyélie, les frac
ui s'opèrent au sein des os dans la syringomyélie. L'os- téomalacie osseuse des fractures spontanées, montrée par Regnard a
raphie répond à l'abondante pro- duction, irrégulière, de substance osseuse , qui a lieu dans le cal osseux. P. KERA VAL.
duction, irrégulière, de substance osseuse, qui a lieu dans le cal osseux . P. KERA VAL. XLV11. Le rôle de la syphilis dan
que j'ai l'honneur de présenter à la Société offre des altérations osseuses et surtout articulaires, qui rappellent, par le
Il a succombé à la tuberculose pulmonaire. Toutes ses extrémités osseuses articulaires sont très altérées ; elles sont dé
aces articulaires sont comme rehaussés; il y a comme une collerette osseuse au pourtour de chaque surface articulaire. La t
s sur les autres, sans aucune altération de carie ou de tuberculose osseuse . L'examen histologique de l'os n'a révélé qu'un
a révélé qu'une forte capillarisa- tion de la moëlle des extrémités osseuses , avec amincissement des travées osseuses et irr
e la moëlle des extrémités osseuses, avec amincissement des travées osseuses et irrégularité dans la disposition des couches
itement thyroïdien a amélioré cet état même dans ses manifestations osseuses , comme l'ont montré des radiographies successiv
autres symptômes nerveux et ne relève ni du tabes, ni des lésions osseuses vertébrales, ainsi que permettent de l'affirmer n
s; la cranio- tomie montra que l'épilepsie provenait d'une esquille osseuse que la radiographie n'avait pas trahie et dont
es pieds et des mains. A la palpa- tion, ils sont d'une consistance osseuse ou cartilagineuse. Sur les radiographies des ge
et des tibias apparaissent très épaissies, tandis que la substance osseuse est par endroits raréfiée, et en partie hypertr
n avec soin, on percoit très nettement la présence de deux segments osseux qui correspondent aux extrémités supérieures du
n ongle, à l'intérieur duquel la pal- pation ne révèle aucun nodule osseux ou cartilagineux. Ce doigt a 2 centimètres de l
bourgeons, car les tubercules digitauxnerenfermaient aucun nodule osseux ou cartilagineux. » . C'est ainsi que les chose
remarqués sur le moignon, qui ne renferment eux non plus de nodule osseux ou cartilagineux, corroborent bien le fait de c
dérée jusqu'à ce jour comme incurable.G. Carrier. LLY. Hypertrophie osseuse dans l'hémiplégie infantile avec athé- toso-cho
et Marie; dans une thèse, inspirée par Destol, sur les altérations osseuses dans les affections nerveuses, l'auteur conclua
ans les affections nerveuses, l'auteur concluait que l'hypertrophie osseuse ne se trouvait que dans les lésions nerveuses p
es. Dans trois cas, MM. Lannois et Fayolle ont vu l'hypertrophie, osseuse accompagner l'hypertrophie musculaire. Dans deux
stol, . car il n'y a ici qu'une simple hypertrophie sans dystrophie osseuse , alors que dans le cas de Destol, l'os était al
légie cérébrale infantile, par Lalguel-Lavas«uel 89. Hypertrophie osseuse dans l' infantile, par Lauuols et Fayolle 376
55 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857. Déviations de la colonne vertébrale. Atlas de XX planches
upart des ligaments intervertébraux subsistent au-dessous de la coque osseuse qui les enveloppe. Ces ligaments n'ont disparu en
mais il n'y a aucune trace apparente d'altération organique du tissu osseux . L'affaissement considérable du rachis dans une é
à droite. La macération a emporté avec ces cartilages des particules osseuses sous forme pulvérulente, qui augmentaient sensibl
z prononcée, sans angle à la face externe. Sorte de longue aiguille osseuse , très grêle, très légèrement courbée en arrière;
ent compte des causes mécaniques qui ont altéré la forine de ces ares osseux à un tel point que plusieurs d'entre eux, ainsi p
corps vertébraux appartenant à la courbure principale. Une production osseuse semblable, encore plus volumineuse, réunit, du cô
ation du crâne ou du bassin, ne révélait une ancienne lésion du tissu osseux . La figure 1 montre quel était l'aspect de la r
56 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
al, 5 mars 1898.) Il s'agit d'une fracture du crâne avec dépression osseuse : pen- dant qu'on l'examine, le malade est calm
ses camardes l'en ont empêché ; il a un peu saigné du nez. La table osseuse est déprimée, mais la peau est intacte. - Une h
plusieurs autres. L'opération du trépan avec relèvement de la table osseuse (la dure- mère n'était pas déchirée) fut pratiq
éminées sur la moitié gauche du corps (flg. 4 et b). La sensibilité osseuse , arti- culaire, musculaire n'est pas altérée. L
compose en partant de la peau, des seins, des muscles, de laçage osseuse thoracique. A noter que la sensibilité du sternum
entimètres à 2 centimètres et demi. Sur la face interne du fragment osseux enlevé, on voit une saillie, nettement parallèl
les méninges sont normales, mais déprimées au niveau de la saillie osseuse . A ce niveau aussi la substance cérébrale est d
de l'os, ni des méninges, ni du cortex. Sans replacer les rondelles osseuses , on suture les mé- ninges et la peau. Les suite
e dernière, par exemple, nous avons constaté la réunion des sutures osseuses du crâne ; dans les cas sporadiques, au contrai
tes et permirent de constater, outre la réalité de l'épaississement osseux , l'ossifica- tion des ligaments latéraux intern
iers a beaucoup d'influence aussi l'épaisseur des tissus cutanés et osseux du crâne ; plus ils sont fins, plus il y a de p
mieux voir les parties de la paroi cranienne composant le fragment osseux éliminé. La table externe et une partie du dipl
et B qu'on voit en saillie sur la figure 10, à ce niveau la calotte osseuse a été éli- minée dans toute son épaisseur. La
CCIDENTELLE. 305 et B, que la table interne lait partie du fragment osseux ; ces deux zones, véritables couronnes irréguli
ure survenue au cours d'un accès est plus large que tous les volets osseux opéra- toires. Le résultat curatif est le même
ti- guité entre la surface de l'encéphale, les bords de la brèche osseuse et les tissus mous qui la recouvrent. Dans la pos
'agissait d'un cas de paralysie périphérique incomplète, par lesion osseuse , de l'oculomoteur commun; la réaction pupillair
; des troubles visuels augmentant paral- lèlement aux modifications osseuses , ne débutant jamais très 344 -il REVUE DE PATHO
du membre inférieur et de la face. C'est bien la place de la lacune osseuse trouvée par Zernow. Et le concours de l'altérat
a lacune osseuse trouvée par Zernow. Et le concours de l'altération osseuse et de la localisation clinique implique l'origine
1899. D. DvoïTctOENKo. Contribution « la question de la sensibilité osseuse (avec présentation d'un malade). Lorsqu'on appl
part sans ren- contrer de grands obstacles du côté de la substance osseuse . La ponction reste indolore. On traite le pouce
3GRNSTEIN croit qu'il est plus correct de l'appe- ler « sensibilité osseuse » et non « le sens vibratoire. M. Rorn fait rem
fait remarquer l'importance des troubles précoces de la sensibilité osseuse (encore avant l'apparition des troubles de la sen
ui peuvent rendre compte de troubles « trophiques » de la substance osseuse . Ont pris part à la discussion MM. KORNILOFF, P
Good, 150 - A la douleur de la peau, par Motschiitlcowsky, 150. - osseuse , par Dvoitcheuho, 411, 447. Sexuel. Instinct
57 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
l'embryon est liquide, il a besoin d'être contenu dans des enveloppes osseuses ou cartilagineuses; or, rien de semblable n'exist
n aux pinces, les quatre autres aux quatre paires de pattes. Un canal osseux les protège comme chez les vertébrés , le canal s
ect blanc qui est propre à la substance médullaire. Chez les poissons osseux , ils sont tout-à-fait à découvert; chez les raies
ricules offre des objets diffé-rens suivant qu'il s'agit d'un poisson osseux ou d'un poisson cartilagineux. Dans le premier ca
s de le dire, les tubercules quadrijumeaux existent chez les poissons osseux ; ils sont en communication directe, par leur par
croisent, en se plaçant l'un au-dessus de l'autre, chez les poissons osseux , et eh s'unissant intimement ensemble, dans les p
rvelet et la portion de substance cérébrale lobulée chez les poissons osseux , non lobulée chez les poissons cartilagineux : et
ganglions, il existe chez les poissons et notamment chez les poissons osseux , un corps calleux, une (r) Op. cit. p. 144. (
, leur queue est, pour plusieurs, une arme terrible, des prolongemens osseux que l'on a comparés les uns à une scie, les autre
, l'un des géans de la mer, a la mâchoire supérieure armée d'une tige osseuse longue et solide ; sa force est prodigieuse, et s
est prodigieuse, et sous ce rapport, il surpasse tous les poissons osseux , de même que le squale-requin sur passe tous les
cérébral volumineux et un long cervelet; ils ressemblent aux poissons osseux , principalement par les lobes optiques. Entre eux
différences ; lisse comme tous les autres ganglions chez les poissons osseux , sa surface présente dans la raie bouclée , une d
dans le squale-glauque, Rolando en a figuré dix. Chez les poissons osseux , l'encéphale varie aussi sur plusieurs points. Le
à rebours ; le xiphias a sur la mâchoire supérieure, un prolongement osseux qui a jusqu'à deux mètres de longueur ; et les po
cs. Leur volume, contrairement à ce qui a lieu dans tous les poissons osseux , est constamment moindre que celui du cerveau, qu
ussi de discerner les deux sexes, par la seule inspection de la boîte osseuse . Dans celles des espèces où la différence de l'am
étendre apprécier le volume des circonvolutions, à travers les parois osseuses de l'enveloppe qui les recouvre. 8° L'éducabili
plus imparfaitement encore que dans aucun autre point de cette boîte osseuse , le développement dételle ou telle circonvolution
lieu de la montrer et de la faire toucher, ils présentent une saillie osseuse , une bosse du crâne. Ceux d'entre eux qui ont pri
58 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s et que l'examen microscopique montracons- lituées, comme le lis*u osseux véritable, par des lames de subs- tance ayant l
, par des lames de subs- tance ayant les caractères de la substance osseuse contenant des ostéoblastes et circonscrivant de
tes et circonscrivant des cavités renfermant une vérita- ble moelle osseuse . Seule, l'infiltration calcaire faisait défaut, l
)...est un homme d'une (aille au-dessous de la moyenne ; il la face osseuse et irrégulière ; strabisme convergent ; oreilles
ras gauche. Il se peut qu'il y ait que coïncidence entre l'anomalie osseuse et l'affection nerveuse. Il se peut aussi que l
42.').) , M. î\alhan(lof1' insiste.La décalcification des phalanges osseuses est un phénomène singulier, non encore signalé;
s, en l'espèce, tient iL une simple décalcification de la substance osseuse fondamentale. Ce n'est pas de l'ostéomalacie, c
le phlegmon en sévissant sur un os déjà miné exagéré la destruction osseuse . » P. KERAVAL. XXXVII. La genèse du tabes 5 par
e ; en ce qui concerne les sensibilités profondes, les sensibilités osseuse , tendineuse, el nerveuse sont abolies ; mais le
ntation. En effet, pour que les éléments musculai- res, élastiques, osseux , cartilagineux ou nerveux se déve- loppent, il
LXXX1Y. Contribution à la question de la sensibilité vibra- toire ( osseuse ),pal' E.A.Schtschkrbak. Nouvelles recher- ches
01. ) De la localisation et de la valeur clinique de la sensibilité osseuse ou vibratoire, par L..Minou. (Neurolog. C"l1lml
semble exercer une influence bien plus grande. 3° Les frag- ments osseux compris entre le point fracturé et une articulati
recherches sont nécessaires pour savoir s'il existe une sensibilité osseuse spéciall ? 1 1 En somme, la nouvelle méthode de
lles avait de- bagreges jusqu'à produire une subluxalion de la tige osseuse . L'examen histologique mon Ire que la néoplasie
histologique mon Ire que la néoplasie avait pour origine le lissii osseux . ' ' Il s'agissait donc. sans aucune réserve, d
; 6- les enfants atteints de maladies chroniques non contagieuses, osseuses , articulaires, CORRESPONDANCE. 1 411 etc., né
atémèses abondan- tes. L'autopsie révéla la présence d'une esquille osseuse qui avait déterminé trois perforations de l'oes
t eux-mêmes très divisés et entièrement débarrassés de toute partie osseuse . La même observa- tion s'applique aux aliments
main de l'avant-bras ; par Bouchard, 445. Sensibilité vibratoire ( osseuse ). Contribution à la question de la , par Scht
59 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
ouche assez grande, lèvre supérieure légè- rement pendante ; palais osseux légèrement ogival, voile normal, amygdales non
: AUTOPSIE. - Description du crâne : cicatrisation des brè- - ches osseuses dues auxcra ? ttectom.tes; MëntHtte chro- - niq
n voit de nombreuses adhé- rences allant de la dure-mère à la paroi osseuse crânienne au pourtour des deux trépanations, su
ance est résistante surtout en arrière, où l'on trouve des avancées osseuses partant des bords. A la partie moyenne on voit
s osseuses partant des bords. A la partie moyenne on voit un isthme osseux très net. La seconde craniectomie a laissé une
122 IDIOTIE par arrêt DE développement. laquelle on trouve un ilot osseux de 8 à 10 millimètres de longueur et de 6 milli
toire ou est-elle due au travail qui s'est effectué dans la bande osseuse intermédiaire aux deux brèches opératoires et c
bles apportés par les deux opérations dans la nutrition de la bande osseuse intermédiaire. Nous rappellerons à cette occasi
côté droit l'on sent, sous la peau, des irrégularités de la surface osseuse ; une crête est saillante sur la ligne médiane,
sme (1), en particulier du cerveau, d'où l'idiotie ; sur le système osseux , d'où le nanisme, la persistance de la fontanel
60 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ut de la platine de l'étrier, puisque c'est à travers cette surface osseuse mobile que le son se propage au labyrinthe. D
aisse voir le fond rouge vif de la caisse. Audition montre par voie osseuse , nulle : dix-huit centimètres audition par air
ge type, l'examen de visu constate l'absence de tympan et de chaîne osseuse , et montre l'étrier isolé, seul, en place ? 2
et l'étrier seul subsiste. Mais la surdité est complète par la voie osseuse , comme par l'air, pour la montre comme pour le
e droite entend la montre à cinquante centimètres, et la perception osseuse est bonne. L'oreille gauche ne perçoit rien ni
utané. Il y avait une adipose tellement développée que les saillies osseuses des membres étaient masquées, et ceux-ci présen-
int REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 89 qu'on prétend que la calotte osseuse n'existe pas. A l'âge de quatre jours, elle sub
tive soit consécutive à l'otite externe. On trouve alors l'audition osseuse conservée et l'audition par la voie de l'air fo
crâne; épanchement sanguin abondant entre la dure-mère et la voûte osseuse . Hémi- /j ? e droite. Large plaque érylhémateus
parties molles du crâne, etconsiste en une disjonction de sespièces osseuses au niveau des sutures sagittale et coronale, au
s membres dans les affections chirurgicales (système musculaire* et osseux ); par G. Valeiice, 1882. Contribution ri l'ét
ieur' est affaissé. Nulle part, ce-' pendant, on-ne voit'de surface osseuse éburnée dans la cavité articulaire. Le cartilag
ON TRAUMATIQUES. 303 n'est directement.à nu. Quelques néoformations osseuses peu importantes existent au point d'insertion d
cas l'absence de toute maladie ou lésion de l'ensemble du système osseux . - ' ' ? ' Dans l'impossibilité où se, trouvait
sur leurs personnes, à l'exclusion du cas de suicide et des lésions osseuses . Nous n'avons ( rien à ajouter à l'analyse prés
pense de la sorte, en tenant compte des revêtements et de la boite osseuse , arriver à stéréotyper un plan qui se rapproche
diploé et des os du crâne, une friabilité très prononcée du système osseux , de l'athéromasie artérielle, de l'hydrocéphali
61 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
IQUE (FRACTURE DU CRANE). - TRÉPANATION AU NIVEAU DE LA CICATRICE OSSEUSE . PAS DE MODIFICATION DANS L'ÉTAT DU SUJET; ..1.
Au-dessous, répondant à la cicatrice cutanée, on sent une cicatrice osseuse , saillante et un peu rugueuse, ayant la même di
re avec l'équerre flexible, on voit que l'extrémité de la cicatrice osseuse n'arrive pas tout à fait jusqu'au niveau de la
fections sont détermi- nées par le traumatisme. Enfin la' cicatrice osseuse que nous avons décrite doit comprimer les deux
AUMATIQUE. 59 cette compression était bien réelle et que la saillie osseuse externe s'accompagnait d'une saillie interne.)
catrice et dans toute son étendue. On constata alors que la surface osseuse était rugueuse et qu'elle pré- sentait des sail
disposées. Trois couronnes de trépan furent enlevées et la fenêtre osseuse fut agrandie et régularisée avec la pince de Lu
'adhérence entre la dure-mère et le crâne. Il existait des saillies osseuses internes très prononcées qui évidem- ment devai
chirurgical l'opération réussit pleinement et le défaut de la boîte osseuse ne mesure aujourd'hui que 5 centimètres de diam
s l'acromégalie sont toutes conditionnées. par la lésion du tissu osseux , qui, dans ce cas, consiste dans l'envahissement
a pres- que totalité des os à moelle rouge persistante par le tissu osseux d'origine médullaire, ou tissu spongieux. Il co
rachidiens, 'dans des trous de conjugaison, dans le cas de lésions osseuses rachidiennes excessives, compression qui entral
- tion d'une cicatrice douloureuse ou l'enlèvement d'une esquille osseuse , ont été estimés à trop haut prix selon toule pro
ignalé les particularités relatives à la réossitkation de la brèche osseuse chez l'enfant Slif... (véritable suture dentelé
rveau est faible, une légère résistance de la part de son enveloppe osseuse peut suf- fire à l'arrêt de son développement.
ue incision faite sur le crâne, l'ablation d'une partie de la boite osseuse , car ce n'est simplement qu'accidentellement qu
nt de l'encéphale était comprimé par la résistance de son enveloppe osseuse , il y aurait là, en théorie au moins, un motif
vail de réparation, tendant à combler la brèche. Même lès brèches osseuses les plus longues ne peuvent être d'aucune utilité
observés, la consé- quence d'un arrêt de développement de la boile osseuse ; que la synostose ne se montre pas plus tôt sur
62 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Jusqu'au dernier moment que je voyais apparaître dans la . fenêtre osseuse la moelle, j'opérais en arrosantconstamment la
paralytique de cette scoliose; il semble s'agir d'une altération osseuse primitive. Voilà notre diagnostic sin- gulièrem
oubles observés aux membres inférieurs. Une es- quille, une saillie osseuse , peut-être la balle elle- même, a lésé la moiti
ouler, puis s'arrête au bout d'une demi-heure. Quelques frag- ments osseux sont enlevés ; à l'une des esquilles adhère un pe
e fétidité. On peut alors mieux examiner le trou fait dans la boite osseuse . Il est des plus irréguliers, affectant cependa
racté des adhérences tellement intimes avec le périoste et la boîte osseuse , que la dissection n'en peut être complète. Une p
le crochet du marteau dans le trait de scie, pour enlever la boile osseuse , le cer- veau et la dure-mère sont tellement ad
Les pédoncules cérébraux ont été arrachés en partie avec la boîte osseuse . Leur section achevée, aussitôt on aperçoit derri
terne et postérieure de la calotte crânienne, au niveau de la plaie osseuse correspondante, le cerveau a contracté avec la
au faisant suite à celle qui est restée à l'intérieur de la calotte osseuse , se remarquent également deux points noirâtres,
le cas de tumeurs cérébrales de traumatismes avec ou sans fragments osseux , ce sont encore des poussées congestives partie
si intimes contractées entre la dure-mère, le cerveau et la calotte osseuse au niveau de la plaie. Ce fait semble d'autan
s le calme le plus parfait. Le cerveau, les membranes et la calotte osseuse n'avaient contracté entre eux aucune adhé- renc
estphal. M. KRONTIIAL montre un chien auquel il a enlevé les parois osseuses du canal vertébral. Actuellement, on constate u
onctions chez l'embryon, de faire de l'ontogénie. Chez les poissons osseux , le cerveau n'a pas de fonctions; c'est le cent
CALALUS, par Monakow, 400. Canal VERTÉBRAL, ablation des parois osseuses du -, par Kronthal, 269. Catalepsie, par Kroepe
63 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
s voisines. Les os même peuvent être atteints et de nouvelles couches osseuses se développent sous le périoste; il y a véritable
n, elle oifre un léger renflement, marqué par un point de consistance osseuse . Toute la cloison des fosses nasales est fortemen
du pied. Par le palper abdominal, on sent dans le bassin une tumeur osseuse dont la nature peut être diversement interprétée;
catrisation peut se faire au-dessous, mais c'est l'exception-Le tissu osseux ne tarde pas à être gravement compromis et sur di
Gosselin une photographie (Planche XXXIV) qui représente les lésions osseuses que l'on peut observer comme conséquence de l'élé
xtrémités inférieures du tibia et du péroné recouverts de végétations osseuses , résultat d'une ostéite considérable qui avait en
omène ultime de la marche de l'éléphantiasis l'envahissement du tissu osseux par cette maladie ; les os, en effet, ne sont att
tographiques, portant les numéros XXXV et XXXVI, représentent la tête osseuse d'un idiot adulte, remarquable par la dépression
64 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
peau qui les recouvre est lisse et luisante; il n'y apas de lésion osseuse , mais chez trois de ses malades M. Marinesco a
levant la dure-mère et l'écorce après avoir taillé un vaste lambeau osseux . Ces indications sont à vrai dire peu fréquente
ois après la première crise : en deux temps : 1° section du lambeau osseux et détermination des centres du pouce et de l'i
et communiquait en avant avec le cerveau parmi orifice de la table osseuse de la gran- deur d'une pièce de deux francs, ma
te absence de soudure dans une affection où la for- mation du tissu osseux est exagérée. On peut penser qu'une autre cause
s de symétrie », des « vices de conforma- « tion de cette enveloppe osseuse dans l' « idiotisme originaire », il se trouve
ie à la région tem- poro-pariétale gauche ; 10 centimètres de tissu osseux dans le sens antéro-postérieur et 7 centimètres
un coup à la tête avec enfoncement de l'os occipital avec cicatrice osseuse consécutive. Un an avant le début de cette affe
rieures sont usées. ' Le malade est de taille moyenne. Le système osseux et muscu- laire bien développé. Il présente sur
centimètres 9 millimètres. Le transverse lo centimètres. Les parois osseuses sont minces, les TROUBLES TROPHIQUES DANS LA PA
paissie mais fortement congestionnée, un peu adhérente à la calotte osseuse . Le sinus longitudinal supérieur est libre de c
lissement de l'écorce résulte de la résistance opposée par la paroi osseuse du crâne au développement encéphalique (Ilenle,
n ce point ; après excision de la cicatrice, on enleva une rondelle osseuse , qui fut remplacée par une plaque d'argent. Apr
ne continuelle déplétion, elle est pâle ayant le système musculaire osseux peu développé. Présente deux petites cicatrices
Le foyer local se trouve directement sous l'endroit de la lésion osseuse et consiste dans une simple destruction mécanique
n pour- rait confondre avec elle, savoir le myxoedème, la maladie osseuse de Paget, l'éléphantiasis, etc., la simple consta
e donc pas une maladie indépendante. Il n'y a pas de destructions osseuses très étendues, auxquelles contredit en effet l'ét
en très peu de temps, 5 à 10 minutes, l'isolement de larges volets osseux . Pré- sentation des instruments. Nécessité et
65 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
tion, du même côté, de la sensibilité musculaire et de la sensibilité osseuse . Les diverses muqueuses du côté droit présentent
e la jambe est mobile en tous sens, les deux extrémités des fragments osseux , distantes de trois centimètres, sont visibles au
nge, se lève, marche sans béquilles. La réunion des parties molles et osseuses s'était opérée' instantanément. Une légère marque
l l'insinuait du moins. Or, la soudure instantanée des deux fragments osseux d'un tibia purulent, la guérison non moins instan
rulent, la guérison non moins instantanée et complète de tuberculoses osseuses suppurées et de cavernes pulmonaires ne sont-elle
ntiés. Les ulcérations profondes, et surtout les lésions du système osseux , se cicatrisent par un travail lent et progressif
dales sont légèrement hypertrophiées. Du côté des membres, renflement osseux très-prononcé et notamment à l'extrémité supérieu
as paralysé. Sur les parties latérales du sternum, ce même renflement osseux est manifeste et on le constate encore par places
e l'extrémité supérieure de l'humérus est le résultat d'un renflement osseux , lequel s'observe d'ailleurs aux aulres extrémité
renflement osseux, lequel s'observe d'ailleurs aux aulres extrémités osseuses . C'est du rachitisme. Faut-il attribuer à cette t
mités osseuses. C'est du rachitisme. Faut-il attribuer à cette tumeur osseuse l'impotence fonctionnelle du bras ainsi que le cr
l'eussent point remarqué auparavant, il est certain que ce renflement osseux existait depuis quelques années comme il existait
que. On peut encore observer chez lui le long des côtes des aspérités osseuses très marquées. 11 jouit, d'ailleurs, d'une excell
66 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
L'amaigris- sement est excessif, la faiblesse extrême. Les saillies osseuses sont le siège d'eschares. La céphalée est toujo
. Rien d'anormal à l'ouverture de la boite crânienne, pas de lésion osseuse ; la dure mère est un peu conges- tionnée. Elle
lisés. Le toucher buccal permet de sentir une saillie très dure, osseuse , sur la face antérieure de la 4° ou 5° cervicale.
tive appréciable à l'examen ni sur les téguments, ni sur la paroi osseuse . Les vomissements sont fréquents, le plus souve
les delà nuque. Le toucher buccal montre tou- jours la même saillie osseuse , qui semble une exostose. Il y a un peu de tach
ue dans le service, sa plaie est complètement cicatrisée. La brèche osseuse est un peu rétrécie par des productions osseuse
catrisée. La brèche osseuse est un peu rétrécie par des productions osseuses périphériques amenant un épaississement de la p
sont atteints, mais, disons-le de suite, fort rarement. Le tissu osseux . Y a-t-il une altération des os chez les paraly
généraux ? La question n'est pas résolue. Pour Fovillel « le tissu osseux en général subit chez les paraly- tiques une so
nérale, « dans la plupart des cas, produit une raréfaction du tissu osseux , » dit M. Ch. Vallon2, dans sa thèse inaugurale
ique ( ? ). L'autopsie fut faite : il y avait dénu- dation du tissu osseux . Cependant l'autopsie fut incomplète : ni le ce
rte de fracture pathologique consécutive à la dénuda- tion du tissu osseux . M. Régis', deux ans plus tard (1878), revient
rempli d'un liquide col- loïde), ainsi que les cellules ou vacuoles osseuses comprises au voi- sinage de ce sinus, entre la
rités de ce cas, l'auteur signale : la symétrie croisée des lésions osseuses (humérus gauche, radius droit, fémur droit, pér
l'on pourrait seulement se demander si les lésions vas- culaires et osseuses ne sont pas sous la dépendance du même trouble
d'unetumeur REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 405 osseuse du pied ainsi que de tuméfactions du frontal doul
eresthésie des sensibilités profondes (tendineuses, articu- laires, osseuses , musculaires). On pourrait peut-être même admet
67 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
-nant des fibres élastiques. L'externe est en rapport avec la surface osseuse et parcourue par de nombreux vaisseaux. L'interne
es régions postérieures du cerveau, la loge constituée par les parois osseuses de l'occipital et le repli horizontal de la dure-
e frontal ; en haut, le pariétal; en arrière, l'occipital. Ces parois osseuses sont formées de deux lames de substance compacte,
vitrée. La substance spongieuse est composée par de petites lamelles osseuses interceptant des espaces aréolaires dans lesquels
cées de chaque côté du vomer, et en bas, par l'os palatin. Ce contour osseux présente un plan résistant très utile pour le tam
ure inférieure du conduit fibro-cartilagineux qui fait suite au canal osseux s'ouvrant dans la caisse du tympan et dont l'ense
68 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ais il n'existe en ce point aucune cause de compression. Le tissu osseux n'est pas altéré ; le canal vertébral présente un
us-jacent aux parties molles ; celles-ci étaient accolées aux plans osseux et tendues, comme si elles avaient été trop court
lier, la syringomyélie peut s'accompagner d'un processus d'atrophie osseuse . , A. FENAYROU. IV. Glande thyroïde et glandu
t coïncidence, mais bien rapport de cause à ellet entre les lésions osseuses et celles de la moelle épi- nière. Il n'y a pas
ce symptôme du nom d'apophysalyie. Elle serait due à la congestion osseuse et capable de compliquer gravement le mal de Po
nt, la démarche est franchement spasmodique. Les réflexes profonds ( osseux , tendineux, musculaires), sont extrêmement exa-
ce que, au sur et à mesure, elle se déplisse et se colle aux parois osseuses . Puis on procède comme il a été dit suprà. b) B
econde partie, il insiste sur le mode de réossification des brèches osseuses , sur les lésions d'ostéite hypertrophiantequil'ac
ânienne d'un vieillard de soixante-douze ans, offrant une cicatrice osseuse , avec exostoses à la face interne, d'où les lés
siège entre le cer- veau et le crâne est, au moyen des canalicules osseux , en commu- nication avec les veines qui travers
n, le courant veineux des veines des os aspire dans les canalicules osseux du crâne, de même que tout liquide s'écoulant d
rable des médius et index gauches, intéressant à la fois les tissus osseux et les parties molles (photo et radiographies).
coce de la vitalité de certaines régions du squelette conjonctif et osseux , sur un terrain de défaut congénital de dévelop
- Les deux lignes sclérodermiques, d'aspect nacré, avec dépression osseuse correspondante, partent de la racine du nez et
atteinte que les racines, car Schullze a démontré que les fragments osseux rétrécissent sur tout le canal vertébral sur la
69 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u de l'apophyse olécrâne du côté gauche. Cavité crânienne. La boite osseuse , le péricrâne sont sains. Il existe quelques ad
servation. G. D. XI. Noie SUR UN cas DE pied tabétique avec lésions osseuses ET artiiropathies ; par M. le Dr J. BOYER. (Lyo
e transmise au liquide cérébro-spinal, d'où elle gagne les parois osseuses ou élastiques de cette cavité. Mais quelle est l'
t par le développement de la puberté'. L'accroissement du système osseux , particulièrement vif à cette époque, et surtout
up d'auteurs sur l'existence d'une altération particulière de tissu osseux dans la paralysie générale. Pour combattre cett
tions que l'on a invoquées pour démontrer cette altération du tissu osseux sont peu probantes, car, sans parler des lacune
xiste, dans la paralysie générale, une altération spéciale du tissu osseux . M. MARtQUK(de Bruxelles) a pris ensuite la par
r la jugulaire interne. L'exploration ne révéla aucune dénu- dation osseuse . Il n'y eut pas de surdité consécutive. La lésion
rge de 3 centimètres. Le fond de la cicatrice est ferme quoique non osseux , et une pression raisonnable ne fait pas souffr
pérée à la pentecôte de 1884; on aurait extrait du cerveau un éclat osseux . Ou ne connaît aucune tare héréditaire dans la
che, existe une large cicatrice radiée, adhérente à l'os ; le tissu osseux lui-même déprimé se creuse de plus en plus vers
st très petite. Tout le reste du coeur est normal. Pas de lésions osseuses du crâné, pas d'asymétrie. Le rocher gauche int
70 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
lui fournissent l'olécrâne et l'épitrochlée, reposant sur un plan osseux résistant, recouvert seulement par la peau et é
ime. et les phalanges par les lombricaux qui suppléent les inter- osseux innervés par le nerf cubital et dont l'action d'e
ait altérée, mais l'était incomparablement moins que les extrémités osseuses appartenant à l'articulation. Selon nous, la ru
Selon nous, la rupture tient très probablement à la lésion du tissu osseux , à une sorte d'arrachement au voisinage de la c
urs aucune ecchy- mose sous-cutanée '. » Les altérations du tissu osseux dans les arthropathies sont démontrées chimique
uivante exprimée par M. Després : « L'existence de petits fragments osseux du voisinage des surfaces articulaires, dit ce
e cas, qui est le plus fréquent, surviennent l'usure de l'extrémité osseuse et par te lait l'arthropathie; dans le premier
s sa partie supérieure, est notablement atrophiée ; les éminences osseuses font une saillie très apparente sous les tissus,
ouleur, thermique et électrique, est normale. L'examen du squelette osseux ne montre aucune différence entre les deux côté
71 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ique. Lamalade est de faible constitution, le système musculaire et osseux peu développés. Les pupilles sont inégales, la
hysique. Le malade est de petile taille, le système mus- culaire et osseux bien développés, ne présente pas d'asymétrie du
décembre 1895. Etat p/i ? Me.Taiile moyenne, les tissus musculaire, osseux et cellulaire sous-cutané peu développés. Les t
patiente est de stature moyenne, de constitution débile; le système osseux bien développé; le système musculaire et le tis
dents sont irrégulièrement implantées, les systèmes musculaire et osseux médiocrement développés, ne présente aucune trace
éguments sont pâles, le système musculaire peu développé; tesystème osseux normal ; les extrémités froides et cyanosées. L
aille moyenne, constitution débile, les téguments pâles, le système osseux et musculaire peu développés. Présente comme st
onstitu- tion forte en apparence. Le système musculaire, le système osseux ainsi que le tissu cellulaire très bien dévelop
aille moyenne, de bonne constitution et bien développée; le système osseux et musculaire ainsi que le tissu cellulaire sou
ra complètement disparu, le système musculaire médiocre, le système osseux bien conformé. La tête ne présente pas d'asymé-
térise par le dépôt de masses 326 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. osseuses dans le tissu conjonctif des muscles, dans les te
flement cer- vical. La tête de l'humérus présente des excroissances osseuses , encore plus prononcées que dans le premier cas
ervi à l'évacuation de collections sanguines récentes et la plnq2ce osseuse a été remise en place, pratique constante que pré
quadrilatère déta- ché de la table interne du temporal. Cette lame osseuse , mesurant 2 centimètres sur 3, avait un bord ta
72 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
érés psychiques ; 3° Difficiles ; 4° Anormaux psychiques (lésions osseuses au début ou en voie de guérison, acromégalisme, g
e le soulèvement d'un ou deux millimètres seulement de ce grand volet osseux arrive à augmenter la capacité cranienne dans une
raniectomie droite et quelquefois même à sectionner plus tard le pont osseux intermédiaire au voisinage du bragma. 11 est do
cerveau et le projectile fut extrait avec une petite pince. Le volet osseux fut rabattu aussitôt et la peau suturée en surjet
aussi à noter que l'hémorragie a été très abondante tant que le volet osseux n'a pas été mobilisé, qu'elle a diminué dans la p
bilisé, qu'elle a diminué dans la proportion des 3/4 dès que le volet osseux a été mobilisé et qu'elle s'est complètement arrê
fusil ou sabre. Le métal, par sa dureté, contient, comme la matière osseuse , une indication de résistance et de force ; nous
probablement un syphilitique. Contentons-nous de dire que son système osseux a souffert dans son enfance. Son nez cassé offre
épaissies. On ne pourrait mieux comparer ce malade qu'à un léontiasis osseux . Mais cet état, décrit par Virchow, est si rare e
le médius de la main gauche sont raccourcis par suite de tuberculose osseuse qui a déterminé l'élimination à gauche d'une phal
ut opéré, à plusieurs reprises, sous le chloroforme, pour des lésions osseuses qu'il dit avoir été d'origine traumatique. Quelqu
73 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
puis quelque temps, l'enfant a beaucoup maigri; toutes les saillies osseuses se dessinent en relief : la face a un aspect ab
tiers de leur course, par l'augmen- tation de volume des extrémités osseuses . Cette hyperostose porte sur l'extrémité inféri
ne plutôt, on le sait, une atrophie qu'une hypertro- phie des têtes osseuses , et nous ne' l'avons, pour notre part, jamais v
grosses jointures des membres. L'autopsie démontra que les lésions osseuses relevaient, en effet, du rhuma- tisme chronique
que l'auteur a entreprises sur la fréquence des réflexes tendineux, osseux , tégumentaires, pupillaires chez les en- fants
inue. P. K. XXXV. Observation d'atrophie musculaire, articulaire ET osseuse , névropathique, ayant par son étendue entraîné
r : jamais de douleur au reste, ni d'o,téophytes sur les extrémités osseuses atteintes. La longue durée du processus compati
racture que l'on voit dans l'observa- tion succéder aux altérations osseuses , articulaires, ligamen- teuses, l'immobilité de
, d'ailleurs, les rétractions aient accompagné ou suivi les lésions osseuses . La solution de ces problèmes dépen- dant d'un
muscles des éminences thénar et hypothénar et des muscles inter- osseux de la main droite, avec paralysie de ces mêmes mu
ans la genèse de l'), 259. Atrophie, musculaire. articulaire et osseuse , névronathique, ayant, par son étendue, entraîn
74 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. La faux du cerveau présente dans son quart antérieur une plaque osseuse ovalaire, à grand diamètre antéro-postérieur, l
ans un sens et une mesure appropriés au but à atteindre les leviers osseux constituant l'armature des membres ou du tronc.
par la coexistence de certains symptômes, arthropathies, fragilité osseuse , amaurose, troubles psychiques ou seulement déf
Il nous suffira de rappeler que l'état cachectique et la fragilité osseuse sont en effet des contre-indications de la rééd
rocessus hypertrophique intéresse à la fois les par- ties molles et osseuses . Dans le premier cas, il y a rétrocession du pr
radiographie. Il insiste sur l'existence d'une période préataxique osseuse chez les tabétiques, caractérisée surtout par l
rovoquent pas de douleurs. Cette diffusion se ferait par les canaux osseux de la face, qui à l'inverse des parties osseuse
ait par les canaux osseux de la face, qui à l'inverse des parties osseuses offrent une moindre résistance au passage du cou-
voir de rapport direct entre la paralysie faciale et l'hypertrophie osseuse . Celle-ci tient à la flaccidité de la joue para-
il en était résulté une fracture du crâne, suivie d'une réparation osseuse incomplète ; la substance cérébrale avait été .
par la compression exercée sur la tête de l'enfant par la ceinture osseuse du bassin, au cours du travail, ou encore par l
n ou 272 ) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. d'une perte de substance osseuse au point atteint. Le mode d'ac- tion du traumat
enfant n'ont aucune ten- dance à se réparer ; la perte de substance osseuse tend même à s'agrandir et ce fait, joint à l'ab
tude des rapports de l'impotence musculaire et de certains troubles osseux dans l'hémi- plégie infantile. De l'étude du fé
75 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
été singulière- ment entravé par les lésions existantes du système osseux , et que par conséquent le nanisme actuel en ait
gles courts. Membres inférieurs : rien à signaler, pas de déviation osseuse , pas de pied plat. Ongles et orteils courts.
et tandis qu'il siégeait au pôle occipital au voisinage de la plaie osseuse constaté. Le seul symptôme qui eût permis de lo
ements, cécité), etc. A l'autopsie en même temps que l'hypertrophie osseuse fronto- pariétale droite, ou trouva une série d
ineuses, puis elles subissent au sur et à mesure une transformation osseuse . Chez notre sujet le retard de l'ossifi- cation
deux parties égales l'angle limité par les branches contiguës des V osseux signa- lés à l'instant. Face. L'atrophie du m
d'un adulte. Cette dysharmonie entre les deux modes d'accroissement osseux , l'un par les cartilages de conjtt- gaison, l a
st fermée et, à l'autopsie, nous avons trouvé à sa place une plaque osseuse transparente. IV. Bien que Deb..., fût âgé de p
ette rele- vant de diapédèse particulièrement marquée dans le tissu osseux , comparable à l'altération trophique ultérieure
teur) pesait Sa grammes, celle du côté droit en pesait 182. Lésions osseuses à type hypertrophique des tètes humérale et rad
s et les muscles autour de l'articulation; enfin que les trabécules osseuses sont éburnées, raréfiées, dissociées. Ils montr
sels de chaux peuvent presque totalement disparaitre du cartilage osseux , passagèrement. Les fractures spontanées du tab
longs due principalement à une disposition anormale des trabécules osseuses (structure patho- logique), et à des altération
l pour qu'on puisse alléguer la transmission directe des vibrations osseuses au muscle lui-même. De plus, dans la paralysie
76 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
déformation des doigts ; 3° l'absence d'issue au dehors de fragments osseux . La présence de ces caractères suffit pour vous p
i adhère aux os sous-jacents dessinant pour ainsi dire le squelette osseux de la région. Au niveau du menton, cet aspect est
ci, vous ne trouvez jamais de nécrose des os, ni d'issue de fragments osseux au dehors ; les mutilations s'établissent graduel
avant, me permettent de penser que le nerf est soulevé par une crête osseuse dépendant de la fracture, comme cela s'est rencon
dans sa couleur. Sa face profonde repose immédiatement sur une crête osseuse , aiguë et tranchante, formée par l'arête du fragm
ette dénomination les lésions cutanées, sous-cutanées, ligamenteuses, osseuses , entant qu'elles relèvent d'une altération dynami
ourrait appeler chiroméga-lie (1), tels sont les troubles tro-phiques osseux et ligamenteux qu'on rencontre le plus communémen
orie paralytique de celte scoliose; il semble s'agir d'une altération osseuse primitive. Voilà notre diagnostic singulièrement
s troubles observés aux membres inférieurs. Une esquille, une saillie osseuse , peut-être la balle elle-même, a lésé la moitié d
77 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tiquer 10 fois, lui permit de constater l'existence de cicatrices osseuses , d'adhérences de la dure-mère au crâne, etc...
euvent se présenter. Si le crâne a été entamé, s'il y a eu fracture osseuse , il restera des traces extérieures, visibles, d
naissance au point même où a porté le choc, mais de ces concrétions osseuses qui siègent généralement dans les replis de la
s l'analogie m'autorise certainement à conclure que les productions osseuses dont je m'occupe^peuvent avoir pour cause un tr
profondes, plus ou moins étendues, exostoses, pertes de substance osseuse , ce sont là des faits d'une constatation banale.
que je pratiquai avec le plus grand soin, me démontra que la plaie osseuse n'intéressait que la table externe du frontal :
le cerveau et la moelle, enfermés qu'ils sont dans leurs cavités osseuses , et ayant leurs vaisseaux protégés de même, ne
s passages étroits par où le sang sort de ces organes. Les canaux osseux dans lesquels les vaisseaux sanguins sont creus
d'une autre en arrière de la cavité axillaire ; quelques callosités osseuses . Intégrité des muscles et des nerfs. On constat
t-à-dire de celles qui ont pour origine une cause locale, une carie osseuse par exemple, mais de ces formes beaucoup plus r
uelle. Entre le manteau purement épithélial du cerveau des poissons osseux , et celui des .amphibies, on ne connaît pas de
78 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es et diaphanes. Cependant il n'y avait pas de perte de substance osseuse . f. Enfin, et pour terminer, nous voulons attir
t donné lieu à aucun phénomène spécial. E. B. VI. LES difformités OSSEUSES DE la tète ET la dégénérescence ; par le Dr CUL
, l'auteur fait une étude critique de la valeur des malfor- mations osseuses de la tête et de la face en tant que stigmates de
normes, athrophies ou hyper- trophies tendineuses, cartilagineuses, osseuses alleignan t des propor- tions extraordinaires,
que ces lésions articulaires commencent par des troubles trophiques osseux périostiques ou médullaires. Les altérations ar
e tabes sensitif a des troubles tro- phiques articulaires etsurtout osseux , parce que les centres spinaux de réaction nutr
et qu'il existe des exostoses épiphysaires et même des productions osseuses extra- capsulaires. La caractéristique de l'art
ropathie est l'hyperostose, cependant on trouve aussi des atrophies osseuses et souvent la coexistence des deux dystrophies.
nt sensibles aux trépidations communiquées à celles-ci par la paroi osseuse sous-jacente. 8° Enfin, à l'orientation objec-
a tête deux ans aupa- ravant et trépané pour l'ablation d'esquilles osseuses , présente dans la suite des crises d'épilepsie
les lésions locales des vertèbres (tubercules, périostite, sclérose osseuse syphilitique); la seconde révèle des lésions pro-
dans une proportion de 0,7 p. 100. Kroemer a trouvé des lamelles osseuses de l'arachnoïde dans une proportion de z8 p. 100,
mprenant la glande ? par l3erl;ley, 154. Plexus brachial . Suture osseuse dans les fractures fermées de la clavicule av
79 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
entraînent la chute par luxation. L'alvéole transformée en cornet osseux extrêmement mince et friable, peut tomber et s'ex
avec une sorte de nanisme cérébral consécutivement à la pression osseuse , et que la craniectomie en modifiant ces conditio
e en atténuant les symptômes de compression lorsqu'une hypertrophie osseuse d'ori- gine constitutionnelle a déterminé une s
: la trépanation, prati- quée dans le seul but de relever la table osseuse déprimée, a per- mis ici de libérer le cerveau
es comme étant des abcès tuberculeux symptomatiques d'une affection osseuse de même nature. Un examen détaillé du bras droi
mais constitue véritablement un phénomène réflexe à point de départ osseux ou périostique. G. D. LXIII. Sur la méningite T
ion du traumatisme. Il pense intervenir. LXVII. Un cas DE maladie osseuse DE Pajet SUIVI d'autopsie. Ce cas est intéressa
e. Ce cas est intéressant en raison de l'étendue des déformations osseuses et de certaines manifestations nerveuses. Homme d
es présentent plusieurs apophyses tranverses réunies par des jetées osseuses . Membres supérieurs indemnes. Membres inférieur
ndensante et d'autres taches rouges d'ostéite raréfiante. La moelle osseuse est très vasculaire. L'examen histo- logique de
ammes. Poids des reins 130 et 135 grammes. Le diagnostic de maladie osseuse de Pajet n'est pas douteux. M. Pic appelle l'at
po-phalangiens, peut-être par une déformation légère des extrémités osseuses , et réalisée avec un certain degré de flexion p
Organe pseudo-électrique chez le Mormyrus, 480. PAJET. Maladie osseuse de -, par Devay, f6S. Paralysie des l'le et V
80 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
système musculaire paraissait en voie de régénération, et les têtes osseuses avaient certainement un peu diminué de volume (
es mouvements et de la marche, de la diminution de volume des têtes osseuses et de l'amélioration de l'atrophie mus- culaire
qui les caractérise, au lieu de représenter un organe en apparence osseux et mobile comme la queue du bouc ou du cheval,
« Enfin, au point de vue de la forme extérieure, cette déformation osseuse a pour effet la suppression presque totale de la
emarque pas non plus d'asymétrie bien nette, cependant les saillies osseuses paraissent moins accentuées du côté gauche ; l'
tant plus tard, elle évolue dans un organisme dont le développement osseux est achevé ou près de l'être. De plus, dans ces
lement allongée en ovale, comme elle devint plus tard, les saillies osseuses étant beaucoup plus masquées par le tissu adipe
e une quinzaine de jours et où, dit-il, on aurait parlé d'affection osseuse des vertèbres et porté un pronostic grave. '
81 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
ouve au niveau des 5 premiers anneaux de la trachée, une esquille osseuse courbe, fragment de côte de 3 centimètres de long
de long sur 0,003 de large. A ce niveau existe une petite parcelle osseuse détachée de la principale. (Fig. 8). A un cen
entation du liquide céphalo-rachidien, par suite de modifications osseuses sur lesquelles nous reviendrons, le crâne n'est
ulier tenir compte de ces faits et ne pas oublier que la résistance osseuse est elle-même dépendante de nom- breuses influe
de nom- breuses influences physiologiques ou pathologiques : état osseux du sujet, en rapport avec sa nutrition ou sa dénu
çon générale les épilep- tiques ont incontestablement une nutrition osseuse supé- rieure à celle des idiots non épileptique
82 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on en régularise les bords à la gouge, de façon à former un orifice osseux unique découvrant un champ triangulaire de cinq
atrice \ crânienne on sent encore les bords restés nets de la plaie osseuse toujours béante... En 1892, 1893, 1894, la situat
tée fort arriérée, la tête est restée petite, les bords de la plaie osseuse sont devenus mousses, t'orifice craniotomique s'e
i-centimètre au moins. Mais à la partie antérieure la prolifération osseuse a été plus rapide et plus intense, elle s'est é
exagérés mais il n'existe pas de trépidation spinale. Les réflexes osseux et tendineux des bras sont forts, le réflexe mass
omplètement atrophié et on retrouve à la mensuration les caractères osseux de l' « infan- tilisme thyroïpnve ». Les antécé
sie consistaient dans une félure de l'os occipital sans déplacement osseux et dans un épanchement sanguin abondant à la ba
ance cérébrale était retombée à environ six centimètres de la paroi osseuse . Le malade présente encore des crises convulsiv
es mouvements ne reste pas sans influence sur les os et la moelle osseuse , par conséquent sur la composition du sang. Sou
de Berlin pour 1760 des observations de Meckel sur les déformations osseuses du crâne, par rapport aux anomalies de l'encéph
e. 4° Les imperfections cérébrales de type « mongol », des tissus osseux , cutané, muqueux et cardiaque. 5° Les cas névro
âne lui-même est généralement mince et, entre autres particularités osseuses , nous notons presque invariablement dans ce typ
ucun cas d'idiotie pouvant être rattaché exclusivement à une lésion osseuse , en particulier à une synostose prématurée des
83 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de substance, en palpant son crâne X; ainsi, au niveau de la lacune osseuse qui porte sur toute la moitié gauche du crâne,
re-vingt-six ans, indemne de difformité exté- rieure ; mais le dôme osseux du crâne est hypertrophié, les fos- settes crân
nes sont renflées par des hyperostoses; il s'agit ici de néopla=ies osseuses compensant le vide intra-crânien causé par une
nt des 96 SOCIÉTÉS SAVANTES. synostoses suturales ou d'affections osseuses , que d'anomalies pri- mordiales dans le dévelop
simples. Cette simplicité n'existe réellement que chez les poissons osseux (Rabl Rüclihardt) qui ne possèdent encore pas de
e avait été indolente. Un épaississement considérable des épiphyses osseuses dans l'arti- culation métacarpo-phalangienne du
ATION X existaient des épaississements considérables des extrémités osseuses dans l'articulation métacarpo-phalangienne du p
ibuées par le malade à une brûlure « acciden- telle » des fractures osseuses à un traumatisme accidentel, etc., et pourtant
x, le' plexus veineux du rachis, qui, étant placé contre les parois osseuses du canal, occupe une grande place, tend à se vi
psie montra, sur les côtés de la gouttière hasitaire, deux saillies osseuses du volume d'une petite noisette, ayant l'appa-
le du côté droit, et toutes deux étaient rugueuses comme les points osseux qui servent d'insertion aux muscles. Le cerveau
84 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
âne une tumeur de 32 centimètres de circonférence, tenant au plan osseux , et sans adhérence avec la peau, dont les veines
la partie frontale au point d'y déter- miner une perte de substance osseuse large comme la moitié d'une pièce de cinq franc
phérique. Le troisième chapitre est consacré aux lésions trophiques osseuses et articulaires. Là encore le plan de M. Arnoza
rge électrique, suffit pour la déter- miner ; car le bras de levier osseux sur lequel viennent t s'insérer les deux muscle
u raccourcissement du premier. Pour produire ce mouvement du levier osseux , on PATHOGÉNIE DES TREMBLEMENTS. 193 peut rem
ps plus ou moins long. A l'état physiologique, le poids des leviers osseux entretient la. tension muscu- laire qui constit
tion du squelette ne tiennent point à une soudure des articulations osseuses : elles s'expli- quent, sans doute, tout simple
par le Dr Birch-Hirschfeld, le f4 avril. - Ulcération de la surface osseuse de la selle turcique. - Ramollissement muqueux
ment à sa convexité ; peu de sang dans les sinus. Au niveau du plan osseux situé en arrière de la lame quadrilatère de la
rée de cette région manque totalement, on aperçoit alors la surface osseuse comme vermoulue. Les alvéoles de ce tissu po- R
e- ment. Fracture ancienne des 3e et 7° côtes gauches; friabilité osseuse . Relevant alors les cas de chorée chez les gens
é de même à la moitié supérieure de la moelle une série de lamelles osseuses appendues à la pie-mère par un pédicule. Enfin,
qui vient d'être décrite a pour première étape la lésion du système osseux de la base du crâne en ce point limité qui s'ét
Le pariétal, à ce niveau, : était aminci, et dans un point le tissu osseux était remplacé par une membrane fibreuse., La d
85 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
écoller de la dure-mère. Celle-ci adhère très fortement aux sutures osseuses et surtout à la fontanelle antérieure qui, n'ét
courbés en dehors quoique sans élargissement notable des extrémités osseuses ; elle avait une hernie ombilicale'. Le palais é
s deux fragments et au- tour d'eux, on voit de chaque côté du tissu osseux dur et compact, se montrant sur les différentes
entes surfaces du carti- lage, sans union intime avec lui; ce tissu osseux est sur- tout abondant entre la face externe du
dans la plupart des autres cas les fragments sont réunis par un cal osseux , dur et compact (1), sans que leurs extrémités
es des cartilages costaux sont produites par (1) La réunion par cal osseux se produit également chez les grands animaux. G
fracture de cartilages costaux provenant de chevaux, tous avec cal osseux . FRACTURE DES CARTILAGES COSTAUX. 225 cause d
86 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
anisme', en particulier du cerveau (d'où l'idiotie), sur le système osseux (d'où le nanisme, la persistance de la fontanel
r affaire à une méningite localisée, ayant pour cause la dépression osseuse . Une opération, au moins exploratrice, fut prop
n des parties montra une fracture triangulaire; la base du triangle osseux avait pénétré profondément dans le tissu cérébr
ités aussi bien que ceux de la face. Enfin l'abla- tion du fragment osseux mit à nu un kyste volumineux qui occu- pait dan
t. La dure-mère est épaissie, elle fait saillie hors de l'ouverture osseuse , mais l'aiguille du trocart introduite dans dif
nostic se pose entre un céphalhémalorne ossifié et une hypertrophie osseuse due à la syphilis héréditaire. L'auteur expose
au crâne une fracture comminutive, avec pénétra- tion des fragments osseux dans le cerveau; pendant l'exploration faite pa
ulsions; elle a provoqué l'hypertrophie des muscles et des attaches osseuses , et elle se double des crises choréiformes, ath
plus grands, étaient à peine plus lourds que la normale. Les sinus osseux crâniens étaient très élargis et leurs parois t
ou d'un tubercule, à raison de l'otite moyenne et de la tuberculose osseuse généralisée. - Oi3srR-A- TION III. Exemple de l
E NERVEUSE. fibreux de la paroi crânienne et des méninges. La paroi osseuse altérée fut seule enlevée à l'aide de douze cou
e plus sou- vent négative au point de vue des lésions syphilitiques osseuses , nerveuses, hépatiques, etc., on peut affirmer
87 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
><· IL s agit dans 1 une d un. exemple rare de pachymemngite, osseuse externe,) ayant enolobéf les,, nerfs dej]a, six
is ? J7,e ? Iés ! , ? nsviscl ? I ? , (to¡-I ticule et'' système' - osseux ) ? 'de' plus, ! même chez les labétiques aiité-
adroite, ne présentait pas de sinus ''transverse; les 'dépressions osseuses corres- pondantes manquaient également. La part
ion métacarpo-phalangienne de l'index droit est déformée. Les tètes osseuses qui la constituent sont plus volu- mineuses qu'
vertèbres cervicales sont friables, et for- mées par des trabécules osseuses rougeàtres, baignant dans un détritus puriforme
1883. N" 18 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE AFFECTIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DU PIED CHEZ LES TABÉTIQUES (Pi
Décrites pour la première fois par 1'un.detous ', les affections osseuses et articulaires des ataxiques sont aujourd'hui
axique avéré, nous parurent devoir être rapprochées des lé- sions osseuses et articulaires si fréquentes chez les tabétiqu
ées, détruites par usure sur certains points. Vingt- cinq fragments osseux de volume divers et de formes irré- gulières se
suppurative du pied, ne peu- vent être rapprochées que des lésions osseuses et arti- culaires du tabes. Le malade étant net
s, 301. Assassinat par un épileptique, 161. Ataxiques (affections osseuses et ar- ticulaires du pied chez les), par Char
88 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
coupes horizontales. De plus, étant donnée la malléabilité du tissu osseux , il a pu, après avoir fait des ouvertures peu é
l11preSSio'l des nerfs, par suite de l'excroissance de la substance osseuse autour des orifices. Il fait dépendre l'hé- mia
310, t. I, 1850); Compression de la moelle épinière par une tumeur osseuse (p. 354, t. I, 1850); Fungus de la dure mère (p
droite ; dans ces deux points, de dehors en dedans, depuis la paroi osseuse jusqu'à l'organe lui-même, tous les tissus étai
ou ne pas être ossifié com- plètement, selon le procédé du système osseux « existant sans corrélation aucune entre la cro
du sens génital (en collabo- ration avec Magnan), 1882; Affections osseuses et articulaires du pied chez les tabéliques (en
t été indiqués sans qu'il existe de lésion appré- ciable du système osseux ou des tissus sous-cutanés. , 6° Il est possibl
phus, et'1'ostéomalacie SOCIÉTÉS SAVANTES. 337 de tout le système osseux . Il est à remarquer que la malade, qui n'avait
aigre, mais régulièrement constitué et assez robuste. La figure est osseuse , les arcades zygomatiques saillantes. Les oreille
tre la même augmen- tation de densité, mais l'épaisseur de la table osseuse est normale. Les altérations méningées sont ass
des documents compulsés. Du côté du crâne, la condensation du tissu osseux a été observée dans la moitié des cas, et l'épa
iques,il,péut,,chez7es,sÿringômyéliquës, sejproduire des affections osseuses et, articulaires,, et, ! de même que. dans, une p
89 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
est bien connu. Dans les luxations, on sait aussi qu'une extrémité osseuse déplacée peut comprimer, contusionner, tiraille
doigt se ratatine, se raccourcit sans qu'il 1 y ait eu élimination osseuse à l'extérieur. L'ongle tombe une seconde fois,
ation lui succède qui entraîne la chute de l'ongle et la dénudation osseuse de la phalange ; l'os nécrosé est retiré à l'ai
perdu sa troisième phalange ; ce doigt se termine par un renflement osseux , en ba- guelle de tambour, muni d'un ongle rudi
e l'attention des observateurs était portée du côté des altérations osseuses du canal rachidien, et où l'on croyait les osté
uttructor), les cro- chets (raspaloria) pour soulever les fragments osseux peu adhérents, les scies (serrulie) qui ressemb
aise. Pendant ce temps, le chirurgien écarte les hords de la fente osseuse (Pl.111VIII) ou trépane, soit avec le trépan à
a Cruce de Venise. - L'opérateur parait écarter les bords de la fente osseuse à l'aide du ciseau. L. BATTAILLE ET CI°, LUITEU
re du crâne avant que celles-ci eussent totalement détaché la pièce osseuse à enlever, on la démonte, quand il le faul, ave
90 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
te de cheval. Dans ce cas, comme le montre l'opération, un fragment osseux d'un demi pouce de long avait été projeté contr
ite d'un traumatisme, avait le crâne fendu, avec perte de substance osseuse , l'observation directe était impossible, mais l'o
implement les phénomènes d'excitation générale dus à un enfoncement osseux troublant la circulation générale de l'encéphal
stasique du canal dorsal entraînant après elle l'atrophie du tissu osseux dans les corps vertébraux. La dure-mère, sur la
tes les parties du vermis (voir les figures); parallèlement la base osseuse du crâne est le siège d'une hypertrophie indisc
écoller de la dure-mère. Celle-ci adhère très fortement aux sutures osseuses et surtout à la fontanelle antérieure qui, n'ét
courbés en dehors quoique sans élargissement notable des extrémités osseuses ; elle avait une hernie ombilicale Le palais éta
de substance cérébrale, à l'endroit indiqué plus bas. Les fragments osseux furent enlevés, et la plaie finalement guérit,
d'os avait été pro- jeté dans une cavité du cerveau. Les fragments osseux furent enlevés, la dure-mère incisée, on trouva
91 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
puis quelque temps, l'enfant a beaucoup maigri; toutes les saillies osseuses se dessinent en relief : la l'ace a un aspect a
e 13 centimètres si on ne la suit pas. Le centre en est nettement osseux ; la périphérie a un aspect blanchâtre qui rappell
gion occipitale (53 fois sur 75.) Tumeur circonscrite. Bourrelet osseux , irrégulier ; se développe en dehors des fonta-
bornée à la région occipitale. Tumeur diffuse. Pas de bourrelet osseux ; se développe au niveau des fon- tanelles pe
c le tiers moyen. La tumeur était molle, circons- crite par un bord osseux . La peau qui la recouvrait avait sa cou- leur n
92 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a cage thoracique est déprimée, elle est effacée presque si le plan osseux est saillant. Ceci établi, voici les résultats
ls de paralysie générale tabétique syphilitique, accidents de gomme osseuse ; Kl; amélioration. P. K. XXIII. Paralysie dans
trice, ni tache suspecte; pas un ganglion engorgé, pas une aspérité osseuse du tibia, rien nulle part qui Béliier. 7'«c/;yh
la vie, et il fallut l'anesthésier de nouveau à l'éther. Une bande osseuse de trois pouces anglais et 128 REVUE DE PATHOLO
our siège principal le frontal et les pariétaux. Poids du squelette osseux de la tête 2 kg. 649 qui joint à celui de l'encé-
es donne pour la tête un poids total dépassant 4 kilogrammes. Tissu osseux de la calotte crânienne très condensé, dur comm
a calotte cra- nienne, on constate un amas de villosités ou pointes osseuses don- nant à ce tissu osseux un aspect spongieux
tate un amas de villosités ou pointes osseuses don- nant à ce tissu osseux un aspect spongieux. L'hyperostose s'est dévelo
s représentant le sujet avant et après décès ainsi que les coupes osseuses du crâne, toutes pièces qui ont permis de très bi
1895, n" 4.) L'auteur a déjà émis l'hypothèse que les altérations osseuses de la maladie de Paget étaient des troubles tro
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 319 morbides du côté du système osseux , qui augmentent la fragilité des os, surtout de
93 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
ertèbres. La relation qui existe entre ces centres nerveux et l'axe osseux vertébral est remarquable. Les vertèbres, comme c
omistes (1). La loi d'analogie qui régit tous les segments de l'axe osseux , soit dans la tige vertébrale, soit dans le crâne
est circonscrite par le canal demi circulaire supérieur du labyrinthe osseux de l'oreille (1). Je lui donne en raison de ce ra
âne avec les vertèbres et la possi-« bilité de décomposer cette boîte osseuse en un certain nom-« bre de vertèbres crâniennes,
rocher. Un autre appartient au phanère oculaire et n'existe, à l'état osseux du moins, que dans un petit nombre d'animaux. Un
ers, et souvent chez les animaux il est soutenu par des prolongements osseux du pariétal. Il présente en avant une échancrure
vertèbres, avons-nous dit plus haut, en d'autres termes trois anneaux osseux primitifs composent la voûte du crâne. L'une, pos
bre en générait), le crâne est à la fin constitué par une seule pièce osseuse semblable à une sorte de casque. Cette soudure se
st sans qu'il y ait une augmentation notable du poids de la substance osseuse . Aussi, en général, le crâne des blancs cst-il fo
t pas de songes, le cerveau était immobile et demeurait dans sa boîte osseuse , mais lorsqu'il était agité par des rêves, le cer
94 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
ineuses, puis elles subissent au sur et à mesure une transformation osseuse . Chez notre sujet le retard de l'ossifi- cation
deux parties égales l'angle limité par les branches contiguës des V osseux signa- lés à l'instant. Face. - L'atrophie du
d'un adulte. Cette dysharmonie entre les deux modes d'accroissement osseux , l'un par les cartilages de conju- gaison, l'au
st fermée et, à l'autopsie, nous avons trouvé à sa place une plaque osseuse transparente. IV. Bien que Deb..., fut âgé de p
gles courts. Membres inférieurs : rien à signaler, pas de déviation osseuse , pas de pied plat. Ongles et orteils courts.
ticulation de la 1 ? <= côte et du sternum, foyer de tuberculose osseuse et articulaire. Le malade présente autour des l
95 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
pèce qu'à l'Age de 28 ans, c'est-à- dire à une époque où le système osseux a terminé son évolution. P. K. XV. Convulsion
à ce niveau une couronne de trépan. Les parties molles et le tissu osseux ne pré- sentaient aucune altération. Trois sema
articulaires comme de nature rhumatismale, vu l'aspect des surfaces osseuses et de la synoviale. Une inté- ressante relation
911,1nle scrihlée.de l'ethmoïde, et qui, avait, creusé.Ja substance osseuse du -frontal.. Par ;sa, couleur, etj,sa consista
des,qsaps poti ? malpl'ôprelt3lessur duéuir,,çlfc;'clu (avec lésion osseuse ? ) il y a sept ans. Début de la maladie, il y a
modifications multiples dans la nutrition des tissus épidermiques, osseux , articulaires. P. K. XXXV. Contribution A L'ÉTI
des muscles atteints et à la formation dans ce tissu de corpuscules osseux qui, en fin de compte, ossifient la substance m
les ossifications présentent la plus grande netteté. Les néoplasmes osseux sont intimement adhérents au squelette sous-jac
96 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
ment, tandis qu'à droite elle est fortement fixée contre les surfaces osseuses articulaires, dans ces mêmes conditions d'extensi
la moelle, — les rapprochant ainsi de la partie postérieure du canal osseux , — est une des causes de la compression spinale e
ituel de la compression spinale. La substance caséeuse, de provenance osseuse , repousse le ligament vertébral antérieur, le dis
équence d'une otite, non pas seulement d'une otite grave avec lésions osseuses , mais encore d'une simple otite catarrhale ; c'es
médiatement en arrière et au-dessus de la fenêtre ovale est un relief osseux , l'aqueduc de Fallope, dans lequel se trouve cont
nerf n'est séparé de la cavité de la caisse que par une mince lamelle osseuse parfois criblée de trous, et, partiellement, par
tion des os, s'accusant par une fragilité anormale. Cet état du tissu osseux dans les membres affectés peut expliquer que troi
de faire remarquer cette persistance, jusqu'àl'àge mûr, delafragilité osseuse sur ce membre supérieur droit qui, un instant fra
de symptômes répond à une série de lésions cutanées ou sous-cutanées, osseuses ou ligamenteuses, que l'on appelle vulgairement d
troisième catégorie est celle des troubles trophiques articulaires et osseux . Il faut citer ici les fractures spontanées se re
97 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des mensurations comparatives établissent l'exiguité des trajets osseux de la microcéphafie qui nous occupe; serait-il ra
nie dans les deux poumons, une absence totale de fontanelles (bords osseux au contact à leur niveau), des adhérences solid
es grosses malformations cérébrales qui correspondent aux anomalies osseuses précédentes portent sur les hémisphères, dont l
leur masse les pyra- mides. Rapprochant le détail des altérations osseuses et nerveuses de la conservation intégrale de l'
le 27 août 1 î 8 1.- Lavotitecmtlniemze est très épaisse, le tissu osseux est dense : la dure-mère est épaissie, adhérente
st dense : la dure-mère est épaissie, adhérente çà et là à la boite osseuse ; la base du crâne est régulière et symétrique.
postérieure, l'arachnoïde et la dure- mère le séparent de la paroi osseuse . Parvenu au niveau du rocher, il perfore la dur
98 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
gement fendue. Pas de déformation du voile du palais ou du palais osseux . IDIOTIE ET ÉPILEPSIE symptomatiques. 25 5 Le
sur une longueur de 15 cent. La fracture a intéressé les 2, lames osseuses du pariétal. Par sa partie externe elle corres-
e liquide un peu plus considérable qu'à l'état normal.Le s : parois osseuses de la base du crâne sont symétriques et n'offre
s par les réactifs et comprenant dans son épais- seur des fragments osseux nombreux, très petits et déchique- tés, Cette f
; les os des avant-bras sont légèrement incur- vés ; les extrémités osseuses des poignets sont un peu hyper- trophiées. Les
99 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
êt plus élevé. Formé chez quelques vertébrés inférieurs (poissons osseux ), dans sa plus grande partie, d'une simple couche
eau des vertébrés supérieurs, il se distingue de celui des poissons osseux et des ganoïdes par quelque chose de très essen
mécanismes de ces fonctions n'existant point ici, chez les poissons osseux tout au moins, selon Edinger, dans l'écorce du
anté- rieur qui ne sont pas encore développées chez les poissons osseux . La scène change tout à fait quand, chez les am
ométrique est de 17 kilos. Les sensibilités musculaire, tendineuse, osseuse , ainsi que les HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE* FILL
nt perçue par la malade. Cette anesthésie, également périostique et osseuse -comme on peut s'en convaincre surtout avec un
abolition de la sensibilité gauche profonde : musculaire, nerveuse, osseuse , ligamenteuse et articu- laire ; nous n'y revie
de Pinne), qu'on le mette en rapport avec n'importe quelle surface osseuse du côté anesthésié, que ce soit au niveau de la
rs la fin d'une tuberculose largement diffuse, affectant les tissus osseux et pulmonaire et accompagnée de lésions amyloïdes
100 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
. — Lésions musculaires : atrophie. — Lésions ar-ticulaires ; lésions osseuses : périostite, nécrose. —Troubles trophiques con-s
ent, facilitées consi-dérablement par l'usure qu'ont subies les têtes osseuses . J'ai noté plusieurs fois une atrophie rapide des
ette pièce, aupourtourde la surface articulaire usée,-les bour-relets osseux qui ne manqueraient pas d'exister s'il s'agissait
vous reconnaissez ici la présence de corps étrangers, de stalactites osseuses , et, en un mot, de tous les accompagne-ments habi
tuméfaction et la rigidité articulaires, non plus que les bour-relets osseux et les craquements que l'on observe dans le rhuma
corps ovoïde, allongé transversalement et qui, pressé contre la paroi osseuse , glisse sous les doigts. Lorsque ce corps est tum
s. — Lésions musculaires : atrophie. — Lésions ar-ticulaires; lésions osseuses : périostite, nécrose. — Troubles trophiques con-
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