ré- cise le nombre, le siège, la forme et la structure des segments
osseux
normaux ou anormaux. C'est déjà un premier av
reille occurrence réservent souvent bien des surprises. Telle pièce
osseuse
sur laquelle on croyait pouvoir compter n'existe
MEIGE qu'il ne suffit pas de s'assurer de l'indépendance des pièces
osseuses
. Une intervention, ayant pour but de séparer le
ossibilité de connaître exactement la disposi- tion de la charpente
osseuse
, constitue un élément de diagnostic de réelle i
te bien visible sur la radiographie est l'indice de cette soudure
osseuse
. Elle n'est plus visible dans la moitié supér
vient d'ajouter pour la décharge des observateurs, que les segments
osseux
pré- sentent souvent entre eux des soudures; il
hors, l'or- teil supplémentaire. Ce dernier présente trois segments
osseux
; la pha- lange est bien conformée, à peine plu
st pas moins déformé que son satellite ; ses deux derniers segments
osseux
sont cependant un peu plus gros. Quant à la fou
cavité ne correspond pas au métacarpien, mais à un petit tubercule
osseux
, isolé, qui s'articule lui-même, sans y adhérer,
u côté du médius une saillie destinée à l'articulation du tubercule
osseux
isolé que nous avons signalé. Ce der- nier repr
par un rudiment de corps dirigé vers le 4° métacarpien. Cette masse
osseuse
est peu compacte, comme l'indique sa plus grande
ire où nous remarquons encore la soudure des deux premiers segments
osseux
, phalange et pha- langine. Les os qui le cons
main gauche, un bouquet digital formé de deux doigts char- pente
osseuse
et d'un appendice charnu pauvrement ongulé. O
istent cependant. Il est presque impossible de décrire la charpente
osseuse
des doigts de la main droite, l'arrêt de dévelo
ette du poignet. C'est une « pince de homard » véritable. Le massif
osseux
du carpe, d'une lecture déjà malaisée sur les rad
tion rigou- reuse. Sur le bord radial s'articule une courte pièce
osseuse
, ébauche d'un premier métacarpien qui se prolon
cinquième métacarpien informe se détache, et, après lui, un segment
osseux
recourbé en sens inverse du précédent forme la
sont pourvus d'ongles, d'ailleurs très atro- phiés. Enfin, la masse
osseuse
du carpe présente trois saillies mamelon- nées
physaires des phalanges sont encore très minces, séparées des corps
osseux
, et non renflées sur leurs bords. (PI. XV, C).
et les métacarpiens la différence est à peine sensi- ble. Le massif
osseux
du carpe est cependanl plus développé chez l'infa
areil âge, on n'en est pas moins surpris de trouver une char- pente
osseuse
à ce point constituée chez un sujet qui a la tail
on de l'appareil locomoteur caractérisée par la formation de masses
osseuses
dans les muscles, les aponévroses, les ligament
hydrargyrique, dit Henry, et l'emploi de bains salés, les tu- meurs
osseuses
rétrocédèrent manifestement; finalement le malade
cs et comme tendineux, ayant dans di- vers endroits des concrétions
osseuses
; quelques-uns de ces muscles n'étaient pas dan
enus si denses qu'ils paraissaient . avoir été chargés en substance
osseuse
; changement qui du reste ne fut pas constaté à
s, ancien journalier, malade depuis trois ans. Il présente une lame
osseuse
comme la paume de la main dans le grand dorsal dr
uxième lame fusiforme dans le biceps brachial droit, dure, mais non
osseuse
. Dureté des fléchis- seurs des avant-bras sans
rochlée de l'humérus droit; au-dessus, une protubérance plane. Tumeur
osseuse
près du petit trochanter ; hyperostose sur l'ex
né droit. Entre les adducteurs et la longue portion du biceps, lame
osseuse
de 22 centimètres correspondant au demi-membran
s, Le malade s'aperçoit par hasard qu'il était porteur d'une tumeur
osseuse
à la partie interne du tiers supérieur de la cu
co- pique, s'exprime ainsi : « Dans le dos siègent d'énormes masses
osseuses
dans les membranes aponévrotiques, entre les mu
oplate et l'humérus, en lias jusqu'à la crête iliaque où les masses
osseuses
atteignent un développement remarquable et fixent
- dons, les aponévroses, et très probablement aussi dans le système
osseux
. Nous le décrirons surtout dans le système musc
s traî- nées offrent déjà de grandes analogies avec des bandelettes
osseuses
: La substance fondamentale est condensée, mais
la tumeur, une ébauche de cellules cartilagineuses et de trabécules
osseuses
, elle indique le sens dans lequel vont évoluer
lésions survenues dans le tissu conjonctif du pour- tour des masses
osseuses
, Munchmeyer en conclut que le processus d'ossi-
utir plus tard au tissu conjonctif dense des cicatrices ou au tissu
osseux
. Dans maints faits la tumeur s'arrête au stade
e si l'on y fait alors une coupe, on trouve : 1° Au centre un noyau
osseux
; 2° Plus en dehors se voit une couche plus ou
ssification progresse toujours sur du- tissu fibreux, et les dépôts
osseux
ne se rencontrent nulle part ailleurs que dans
'innervation des mus- cles déterminé par la pression que les masses
osseuses
peuvent exercer sur les nerfs et les vaisseaux,
fonc- tionnelle à laquelle conduit le développement de ces tumeurs
osseuses
qui bridant les articulations, immobilisent tou
ut se développer indistinctement du tissu cartilagineux ou du tissu
osseux
(Munchme.) er). Plus souvent une petite partie
, tandis que la masse presque tout entière .est formée par du tissu
osseux
solide (tumeurs de la région fessière dans notr
nctif avec des nombreuses cellules embryonnaires, ailleurs du tissu
osseux
, plus loin du cartilage (Lexer) ; 3° Un grand n
ltration embryonnaire, dégénérescence fibreuse, car- tilagineuse et
osseuse
: « Sur un fragment ossifié, enlevé au biceps, on
tif, cartila- gineux,étagés de la périphérie au centre de la tumeur
osseuse
» (liuemmel). La myosite ossifiante progressive
rieure du péroné, sur les côtes. D'autres fois ce sont des je- tées
osseuses
, allant d'un segment du squelette à un autre de f
et le tibia gauches sont solidement réunis par un pont de substance
osseuse
, siégeant il la région poplitée, en dedans du p
espondant aucun muscle. Il est probable que cette volumineuse masse
osseuse
a suivi le trajet de la gaine conjonc- tive du
res lésions. Ils sont en général très volumineux, certaines parties
osseuses
sont même extraordinairement développées ; c'est
Munchmeyer, Mays a constaté une raréfaction notable de la substance
osseuse
des côtes avec des fractures multiples de ces der
uvé également une ostéoporose de tout le squelette, sauf des masses
osseuses
néoformées. Cette constatation semble- rait don
ns la myosite ossifiante progressive un déplacement de la substance
osseuse
. Le tissu conjonctif est en général très dévelo
l'avant-bras. C'est encore au cou que Mays a constaté une formation
osseuse
large de 3 centimètres, longue de 6, développée d
la première pièce du sternum. Il estprobable également que la bande
osseuse
, qui va de l'épine iliaque antérieure et supérieu
ossifications qui les entourent et leur forment parfois un manchon
osseux
complet, ne présentent rien d'anormal, tout au pl
mmédiat du squelette, comme c'est le cas le plus fréquent, la masse
osseuse
néoformée se joint intimement à ce dernier de faç
E LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 121 daires, témoins, les jetées
osseuses
qui vont de l'ossification de la partie externe
lette, appartiennent le cas de Munchmeyer et le nôtre. Les masses
osseuses
intra-musculaires sont le plus souvent plates,
les conservent en général la forme de ces derniers. « Les tumeurs
osseuses
sont blanches, moins dures et moins denses qu'u
rents par place. Au microscope, elles offrent la structure du tissu
osseux
compact; on y constate des trous nourriciers, d
stance pâ- teuse d'abord, plus ferme et fibreuse plus tard et enfin
osseuse
, et, ce n'est que le hasard, qui fait constater
dans le cas de Hawkins, on a constaté « le 14 juin 1843 une tumeur
osseuse
,à droite, au niveau des deux ou trois vertèbres
strien ; car le malade, examiné le 25 octobre, offrait « une tumeur
osseuse
aux lombes gauches, un grand nombre de DE LA MY
apophyses épineuses des vertèbres avec, au centre, une petite masse
osseuse
, dans le rhomboïde et une autre tumeur osseuse
re, une petite masse osseuse, dans le rhomboïde et une autre tumeur
osseuse
sur le grand dentelé ». Il y eut donc, dans ce ca
e s'arrête au deuxième stade ; ailleurs, le centre de la tumeur est
osseux
, sa péri- phérie donne absolument la sensation
ficiel s'est parfois développé sur la peau qui recouvrait la tumeur
osseuse
; plus rarement l'oedème et la dilatation variqu
a contraction idio-musculaire; Pincus a noté, au contact des masses
osseuses
, des con- tractions fibrillaires intenses qu'il
e, nous trouvons que souvent tout le muscle est transformé en tissu
osseux
ou fibreux; d'autres fois seule la portion char
érieurement il survient quelques particularités : ou bien la tumeur
osseuse
disparaît complètement (ossification du sterno-ma
ien, Rogers ; bandelette abdominale, IIelférich) ou bien, la tumeur
osseuse
néoformée se réunit au squelette sous-jacent; o
presque molle, plus tard fibreuse et dure et finalement tout à fait
osseuse
, nous avons résumé les différentes modification
ent cervical postérieur. Les muscles longs du dos forment une masse
osseuse
unique. Plus tard les muscles de l'épaule, le d
ébrales et des grands dorsaux, se trouve transformé en une carapace
osseuse
, garnie de bosselures et de dépressions profondes
nie de bosselures et de dépressions profondes, vérita- ble charnier
osseux
couvert par une peau pâle, épaissie, ayant perdu
ce,. bien longtemps avant ceux qui laissent à leur suite des masses
osseuses
comme vestiges de leur passage ; ainsi, le mala
ermis de contrôler. A l'arrivée du petit malade, le développe- ment
osseux
n'était guère plus avancé que celui d'un enfant d
on dorsale chez un homme de 32 ans, atteint de rhumatisme chronique
osseux
. Nous trouvons également dans les Annales de De
décolorée, lisse. Il semble exister, par places, de la raréfaction
osseuse
entraînant une dépression nettement sensible il
euse à la partie inférieure du grand pectoral droit, et des tumeurs
osseuses
occupant la place du brachial anté- rieur des d
les malades), l'ossification du grand dorsal transformé en une lame
osseuse
allant s'insérer sur l'humérus, du grand pector
es. L'articulation co.ro-fémol'ltllJ est immobilisée par des jetées
osseuses
qui, parties des masses lombaires, vont se fixe
pieds, Munchmeyer signale l'ossification de tous les muscles inter-
osseux
dorsaux à droite, indépendamment des tubérosités
cles inter- osseux dorsaux à droite, indépendamment des tubérosités
osseuses
que l'on rencontre dans maintes observations. N
dépendante évidem- ment des pseudo-cyphoses causées par les tumeurs
osseuses
si fréquentes dans ces régions. Une question
licolis gauche alors que dans d'autres, et cela lorsque les lésions
osseuses
sont aussi prononcées d'un côté que de l'autre,
s par les muscles envahis les premiers. Au bras, lorsque les masses
osseuses
sont aussi volumineuses sur le biceps que sur l
e entre les muscles, qui ont une nutrition très active, et le tissu
osseux
dont les échanges sont si restreints. Hawkins a
s sens ne sont pas touchés. Cependant Zollinger a trouvé une plaque
osseuse
dans la choroïde avec amaurose, Pinter et Kohols
comme Rogers en a constaté deux, à l'autopsie, derrière les masses
osseuses
des grands pectoraux et contenant chacun 150 et
té du pus; 8 mois après, l'auteur trouve à son niveau une formation
osseuse
; l'observation d'Helferich est absolument analo
endant les pauses, il y a des déchirures vasculaires par les masses
osseuses
, épanchement de micro-organismes au sein des tiss
s en Angle- terre ; les races germanique et saxonne d'une charpente
osseuse
puissante, revendiquent ainsi les quatre cinqui
t Volkmann se demande si notre affection ne relève pas d'un trouble
osseux
île la croissance. S'il en était ainsi d'où vient
eil locomoteur. ' Ziégler pour expliquer la localisation des masses
osseuses
dans le tissu conjonctif de l'appareil locomote
ogose du début l'hyperplasie conjonctive, et la formation de masses
osseuses
au seii muscles, ne retentissent pas sur les te
ions peuvent se montrer au niveau de la peau qui couvre les tumeurs
osseuses
; elles peuvent être l'origine d'abcès multi- pi
e progres- sive est facile il diagnostiqueur. La présence de masses
osseuses
multiples sur tout l'appareil locomoteur, muscl
ples sur les os ; l'immobilisation des articulations par un manchon
osseux
périarticulaire, les articles eux- mêmes restan
le céphalllaemalome offre un bord bien net, sous forme de bourrelet
osseux
, alors que la myosite ossifiante forme des tumeur
diffuses, sans limites bien précises. La localisation des masses
osseuses
primitives à la nuque pourrait faire songer au
ral des ostéomes abarticulaires on périarticulaires, leur caractère
osseux
dès l'instant de leur apparition, leur peu de s
ntraire les muscles sont atrophiés, cà et là on constate des masses
osseuses
qui détruisent l'harmonie des formes. Le pseudo
DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE ni Afin de rendre les dépôts
osseux
solubles, Hawkins a employé l'acide phosphoriqu
quoi l'opération devient inutile. Pollard, ayant enlevé une tumeur
osseuse
de la nuque, n'a obtenu aucune amélioration. «
es tumeurs ne tardent pas à réapparaître. Pollard extirpe une masse
osseuse
libre du tendon du grand dorsal gauche et obtie
endant très longtemps : Gybney, ayant en effet opéré un petit noyau
osseux
du tendon d'Achille, ne le vit plus se reproduire
t souvent les régions malades, a pu se rendre compte que les masses
osseuses
néoformées augmentaient de volume avec le temps
t voir à Assaky et Billroth qui lui enlevèrent chacun une languette
osseuse
pour en faire l'examen microscopique. Il a été
rde tendue. De l'apophyse coracoïde droite on voit partir une jetée
osseuse
qui se pro- longe obliquement en bas et en deho
te. L'articulation s(,,a pu lo- li uni 6ral e, bridée parles masses
osseuses
, se trouve ankylosée ; l'épaule se soulève, mais
te à la fois. L'avant-bras est intact; les quelques tubéro- sités
osseuses
de nouvelle formation que l'on remarque, exista
u'on pourrait qualifier de parfaite, dans la répartition des masses
osseuses
et l'envahissement des mus- cles par les travée
et les fosses qu'ils comblent sont assez accusées. ' Deux jetées
osseuses
partent des angles supérieurs et internes des omo
t en dedans et se confondent avec le trapèze cervical ; ces travées
osseuses
semblent indiquer la transformation des muscles a
remarque une grosse masse transversale, d'où partent deux colonnes
osseuses
, obliquement dirigées en bas et en dehors ; ell
st surtout marquée à gauche. L'ischion droit offre une grosse masse
osseuse
au niveau de laquelle il s'est développé une la
rne. (Fig. 2.) Autour du genou, il n'existe pas d'autres formations
osseuses
, la rotule est libre. L'ankylose du genou a e
raphie du genou gauche; elle montre dans le creux poplité une masse
osseuse
solidement réunie au fémur et au tibia et jetée c
ose. De la partie externe de son extrémité libre, part un appendice
osseux
, du volume d'une noix et donnant l'apparence d'un
guement étendus sur les transformations survenues dans les systèmes
osseux
et musculaires, nous serons beaucoup plus brefs s
pour plaire à Brouwer : gros nez crochu, menton de galoche, visage
osseux
et labouré de rides, que l'on dirait sculpté dans
régions voisines. Autour des articulations et au-dessus des sutures
osseuses
la sensibilité douloureuse est toujours plus gr
niveau des bosses frontales, proéminence constituée par une matière
osseuse
spongieuse et granulée de couleur marron ; parois
eau du frontal ; le long de la suture sagittale, bande de substance
osseuse
granulée comme celle des bosses frontales ; et
ie considérable, confluente, de dépressions pénétrant dans le tissu
osseux
et y faisant de véritables lacunes, les unes punc
te un reste de liséré blanchâ- tre, comme cartilagineux. La paroi
osseuse
est très épaisse et dure; hyperostose de la table
ifestation spécifi- que jusqu'à fin de 1872. A ce moment, accidents
osseux
des fosses nasales. Coryza chronique, souvent s
ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX, DANS UN CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE ET
OSSEUSE
D'ORIGINE ARTICULAIRE PAR CH. ACHARD et LÉO
trophie musculaire. Mais il est possible d'observer aussi l'aplasie
osseuse
, consécutivement à une affection purement périp
lose du -genou droit. Atrophie du membre inférieur droit et aplasie
osseuse
. Atrophie médullaire et cérébrale. liourl... Fr
par rapport à ceux du côté gauche. Examen macroscopique du système
osseux
et nerveux. - Il existe des diffé- rences consi
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T XI. PL, XXXIII ATROPHIE MUSCULAIRE ET
OSSEUSE
D'ORIGINE ARTICULAIRE (Radiographies des membre
ankylose. Il y a lieu d'insister sur quelques points. L'aplasie
osseuse
a été consécutive à une arthrite chronique (traum
tions, est une notion connue. M. Heydenreich (1) parle de l'aplasie
osseuse
par inaction qu'on observe, par exemple, à la s
extension complète du membre était impossible. Le fait de l'aplasie
osseuse
est donc bien établi. Notre cas en fournit un n
ion d'altérations médullaires au cours des atrophies musculaires ou
osseuses
d'origine périphérique, deux ob- servations de
t. Il existe une atrophie musculaire très accentuée et une atrophie
osseuse
portant sur les divers segments du membre : le
une l'ois interprétée, reste à invoquer sa relation avec l'aplasie
osseuse
. Klippel (2) a insisté sur ce fait que les cent
on de cette présentation, M. Achard attira l'attention sur l'atrophie
osseuse
bien manifeste sur la pièce et qui permet de ra
co- rail, de sorte qu'elles formaient une espèce de juste-au-corps
osseux
et fixe. 0ns. III. John Copping, Philosoph. t1'
s avaient envoyé de tous côtés des ramifications et des tubérosités
osseuses
irréguhères, semblables aux rameaux et aux noeu
ornes comme les éperons du coq ; les incrustations et les productions
osseuses
étaient telles, dit Copping, qu'il serait très
scles de l'avant-bras jusqu'au coude et les transforma en une masse
osseuse
. Le membre supérieur gauche, depuis le poignet ju
eur et tuméfaction au cou-de-pied droit avec formation de substance
osseuse
s'élevant jusqu'à la partie moyenne de la jambe.
çon de 14 ans, ayant le dos recouvert de saillies formant une masse
osseuse
qui s'insère sur les apophyses épineuses et va se
fection musculaire. Mais si nous tenons compte du siège des tumeurs
osseuses
, principalement au dos et à la nuque, localisatio
ifié il sa partie supérieure, de la cla- vicule au bras. Les dépôts
osseux
forment une masse surélevée et irrégulière. Le
SIM plus ou moins atteints. Le grand dorsal forme une grande plaque
osseuse
, de- puis son origine jusqu'à l'angle de l'omop
formant une grosse tubérosité. Le long dorsal ressemble il une lame
osseuse
déterminant l'immobilité de la colonne lombaire.
les mêmes conditions. En plusieurs endroits, on voyait des pointes
osseuses
, longues de 5 ;') 10 cent. et il n'est pas dout
plus grande partie du tenseur du fascia-lata gauche. 16° Une masse
osseuse
qui s'unit au précédent et qu'où ne sait pas il q
us avons placé ailleurs. Oiis. VIII. - Hawkins, Un cas de formation
osseuse
dans les muscles, London med. gaz., 1844, p. 27
au moment de sa première admission, et, au milieu, une petite masse
osseuse
s'étendant sur les côtes, comme si elle était dan
i levé, ni remué ; le gauche se déplace facilement, mais les masses
osseuses
qui remplissent en arrière un espace de 5 centi
evé. A la base de l'omoplate on sent des craque- ments. Cette masse
osseuse
augmentant très vite et se fixant à l'épine, je l
n connexion avec le grand dentelé, élastique et ferme, elle n'est pas
osseuse
et crépite à la pression. Cette tumeur s'est dé
minue vers le 15. Ce jour-là le pectoral gauche contient une tumeur
osseuse
et semble commencera se ramol- lir légèrement.
lage. La réunion des différentes pièces du sternum n'est pas encore
osseuse
. Le côté droit de la cage thoracique est diminué
et celle de la 66 à deux pouces de la colonne. Nombreuses plaques
osseuses
dans les muscles, particulièrement dans les pec
ers l'angle inférieur de l'omoplate où elle se réunit à un fragment
osseux
de 2 pouces adhérant par des fibres tendineuses i
rs le milieu de la 6e côte droite ; une autre sur la 9°. Des bandes
osseuses
, longues de 3 à si pouces, siégeant au milieu des
le reste du muscle est pâle, atrophié. Des bandes et des plaques
osseuses
se voient dans les muscles abaisseurs de la mâc
ans les muscles abaisseurs de la mâchoire inférieure. Un fragment
osseux
, d'un pouce de circonférence, s'insère à la point
a- diaux. Rien dans les articulations. Les nouvelles formations
osseuses
sont plus denses et plus dures que l'os naturel
usqu'à son insertion au radius. Un certain nombre de petits nodules
osseux
peuvent être sentis dans ce trajet et une pla-
ent à devenir plus ou moins fixes et l'existence d'une longue crête
osseuse
allant de l'épicondyle jusqu'au tiers inférieur d
u, dans le trapèze, immédiatement au niveau de son insertion, masse
osseuse
, dure, comme un oeuf de pigeon ; plus bas, entre
u'à son insertion à l'épine est dur et offre, çà et là, des nodules
osseux
. 286 A. WEILL ET .1. NISSIM A droite, à 5 cen
grand dorsal. Dans la région loinbiîre, des deux côtés, des masses
osseuses
. Un petit noyau d'une noix sur le calcanéum dro
ie inférieure de la portion médiane partent, à gauche, des branches
osseuses
qui vont en partie sur le sacrum, en partie sur l
. Sur l'astragale et la malléole externe gauche se voit une saillie
osseuse
. L'ex- trémité inférieure des couturier, semi-t
t à 19 ans de tuberculose aigué. 1874. Autopsie. Toutes les tumeurs
osseuses
signalées plus haut sont augmentées de volume.
s au dos. On sent, sous la peau, des tubérosités et des bandelettes
osseuses
irrégulières autour de la colonne lombaire, d'où
ons. Cette masse émet de chaque côté, en bas et en dehors,une bande
osseuse
qui va dans le grand fessier. Les bandes donnen
avec la 2° phalange du médius gauche, sont empêchés par des dépôts
osseux
ou cartilagineux. Exostose à la partie interne
mobile parce qu'il était empêché dans ses mouvements par la réunion
osseuse
des côtes avec les muscles de la poitrine. Un p
plète, pronation complète. Sensibilité de l'articulation, tubérosité
osseuse
entre l'épitrochlée et l'olécrane adhérant au c
leurs tendons. Grand ligament de la nuque trans- formé en une masse
osseuse
énorme. Une bande osseuse suit le bord externe
ent de la nuque trans- formé en une masse osseuse énorme. Une bande
osseuse
suit le bord externe du grand dorsal de chaque
ontractile. Trapèzes durs comme la pierre ; dans le gauche une lame
osseuse
allant de la colonne vertébrale à l'omoplate et f
iée de façon à immobiliser le grand trochanter et le sacrum. Masses
osseuses
sur la face antérieure du fémur droit s'étendan
és vers la plante du pied. Ligament cervical ossifié. Bande- lettes
osseuses
au-dessus des omoplates. Perte de substance de la
e. Atrophie du deltoïde, l'acromion émet sous lui quelques lamelles
osseuses
. Epaississement notable de la capsule arti- cul
sissement t considérable des aponévroses antibrachiales. Des noyaux
osseux
dans le flé- chisseur commun superficiel des do
3e côte, vers l'apophyse coracoïde et une 3e vers le sternum. Noyau
osseux
au niveau de l'insertion du deltoïde. Noyau osseu
e sternum. Noyau osseux au niveau de l'insertion du deltoïde. Noyau
osseux
sur le segment du deltoïde qui s'insère à l'hum
deltoïde qui s'insère à l'humérus. Clavicule gauche fixée par un pont
osseux
parti de l'apophyse coracoïde ; la droite est m
at d'une fracture mal réduite et consolidée avec un gros cal. Masse
osseuse
sur le segment inférieur qui suit le trajet des
oppée. Fractures multiples des côtes et raréfaction de la substance
osseuse
. Déviations de la colonne : à gauche et en arri
ombaire. Atrophie de la musculature de la cuisse droite ; une masse
osseuse
s'insérant sur l'épine iliaque antérieure et su
ule munie de multiples élevures aux bords. A gauche : Des aiguilles
osseuses
partent de la crête iliaque ; une bandelette su
rand adducteur, depuis son origine jusqu'à sa ter- minaison. Plaque
osseuse
dans la partie inférieure du vaste externe. Même
Thromboses dans les veines des extrémités inférieures. Une bande
osseuse
, partie de l'occiput, se dirige directement en ba
plate et la colonne. L'angle inférieur de l'omoplate émet une bande
osseuse
qui va s'insérer sur l'os iliaque ; une autre m
e, située sur l'iliaque gauche, va s'insérer sur le sacrum. Un pont
osseux
va du rebord costal gauche à l'iliaque gauche. At
dans le système musculaire ; le thorax est entouré par une carapace
osseuse
complète ue laissant pas voir le contour des côte
tumeur sur grand dorsal qui s'est bientôt transformée en une pointe
osseuse
. Bientôt après apparition des mêmes phénomènes
, et, en peu de temps, tout le creux axillaire a présenté une masse
osseuse
; ces phénomènes furent précédés de chutes fréq
fications moniliformes. Sterno-mastoïdiens traversés par des noyaux
osseux
. Il en est de même des muscles qui s'insèrent au
quent l'origine de la portion cos- tale du grand pectoral. Une lame
osseuse
, réunie à la clavicule, et une autre sous forme
e coraco-brachial se confond à droite avec le biceps dans une masse
osseuse
, à gauche il contient deux noyaux osseux. Bas
le biceps dans une masse osseuse, à gauche il contient deux noyaux
osseux
. Bassin poussé vers la droite ; la hanche droit
ent. Réunion des arcs des vertèbres les uns aux autres par un tissu
osseux
. La masse osseuse, formée par la fusion des arc
arcs des vertèbres les uns aux autres par un tissu osseux. La masse
osseuse
, formée par la fusion des arcs vertébraux, est fo
e épaisse, très compacte, et intérieurement par une couche de tissu
osseux
friable et cassant. Friabilité semblable des corp
rononcée, quelques-uns sont fibreux, d'autres graisseux. Des masses
osseuses
se voient dans les parties molles ; celles-ci tan
nt libres. Muscles de la mimique normaux, masséters fibreux, noyaux
osseux
dans les temporaux. Mobilité abolie dans la mâc
les temporaux. Mobilité abolie dans la mâchoire inférieure. Un pont
osseux
unit le corps de l'os hyoïde à la partie moyenne
ites élevures. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 297 .. Masses
osseuses
dans les muscles postérieurs du cou. La portion d
s sous-jacentes, surtout il gauche. La tête est fixée par une masse
osseuse
qui commence il l'apophyse mastoïde gauche et sui
ur le bord antérieur de l'angulaire de l'omoplate, on voit une pointe
osseuse
tellement mobile sur l'angle supérieur de l'os
on. Sous le splénius du côté droit, dans un fascia, existe une lame
osseuse
libre. Sous le grand pectoral droit aminci, siège
libre. Sous le grand pectoral droit aminci, siège une grosse masse
osseuse
qui se met en rapport avec plusieurs muscles et p
e qui siège sur le bord inférieur du muscle, partent des expansions
osseuses
; l'une d'elles, arciforme, va vers l'angle infér
n du biceps, très atrophiée, t peine reconnaissable, offre un noyau
osseux
,qui se réunit avec la portion bra- chiale de la
noyau osseux,qui se réunit avec la portion bra- chiale de la masse
osseuse
décrite plus haut et avec l'ossification du brach
e. Apophyse coracoïde réunie il la clavicule par un puis- sant pont
osseux
. Exostose sur le bord antérieur de la clavicule,
point d'in- sertion du grand pectoral. A droite également, masse
osseuse
sur le bord inférieur du grand pectoral, au cre
oral, au creux axillaire ; cette masse envoie, en dedans une plaque
osseuse
qui se ra- mifie et couvre les 2% 3c et fil, cô
coracoïde sans s'y insérer. Sur le chef externe du triceps un noyau
osseux
. v1Sur l'aponévrose du bras une lame osseuse au
rne du triceps un noyau osseux. v1Sur l'aponévrose du bras une lame
osseuse
au-dessus de l'olécrane ;.elle est libre. Le cu
le vers le ligament interosseux et envoie, il ce niveau, une pointe
osseuse
dans le même ligament. Epaississement de la 4e
s le 5e espace intercostal. 3e et 10° côtes épaissies par une masse
osseuse
faisant saillie dans la cage tho- racique. Su
re de l'iliaque gauche, en avant des fibres du grand fessier, masse
osseuse
comme un neuf de poule. Tumeur semblable sur la c
iliaque droite. De ces deux tumeurs s'étend sur tout le dos une masse
osseuse
, très irrégulièrement conformée. Elle offre en
icalement, jusqu'à la 8e côte, où elle se confond avec la formation
osseuse
du grand rond qui se prolonge jusqu'à l'humérus.
moitié gauche du dos se réunit à la 10e côte seulement par du tissu
osseux
, elle surplombe les autres côtes. Cordon osse
ment par du tissu osseux, elle surplombe les autres côtes. Cordon
osseux
sur le bord inférieur de la 9° côte, il se réunit
le bord inférieur de la 9° côte, il se réunit à d'autres formations
osseuses
; sur la paroi latérale gauche du thorax, on voit
t une tubé- rosité qui s'insère sur la 7e côte, et, formant un pont
osseux
perpendiculaire aux côtes, s'insère sur la 6e.
e aux côtes, s'insère sur la 6e. De cette tubérosité part une corde
osseuse
qui se dirige en bas et en arrière en couvrant
9° côtes. Un centimètre 1/2 en arrière du point où cette formation
osseuse
se réunit à la 60 côte, on voit une ossificatio
ophié. Les muscles profonds du dos passent à droite sous les bandes
osseuses
; à gauche,ils entrent en rapport avec elles. Atr
-dessous de l'épine iliaque antérieure et supérieure naît une bande
osseuse
qui se prolonge jusqu'au-dessous du petit troch
rtie interne de la branche horizontale du pubis partent des aiguilles
osseuses
qui se prolongent dans les adducteurs et le dro
insère au fémur; de son point d'in- sertion au fémur part un cordon
osseux
, qui suit la direction du psoas iliaque. Lamell
un cordon osseux, qui suit la direction du psoas iliaque. Lamelles
osseuses
très minces dans le tissu conjonctif qui s'insère
l'obturateur externe une membrane épaisse traversée par des noyaux
osseux
. Ossification complète du muscle crural. Atroph
ure de la jambe; hypertrophie considérable des aponévroses. Masse
osseuse
considérable sur la cuisse gauche allant de la mo
tendon commun du quadriceps; le tendon contient également un noyau
osseux
. Atrophie des muscles de la jambe ; sur l'extré
rs des deux côtés. Dans la musculature abdominale droite, un cordon
osseux
gros comme le doigt s'étendant du rebord costal
tés supé- rieures restent attachées au thorax; on y voit des noyaux
osseux
dans leurs muscles. Pas de changement dans la c
olonne dorsale semble fortement cyphotique par suite des formations
osseuses
au niveau des apophyses épineuses des 3e, 4e et
re sout possibles. Les creux axillaires sont limités par des parois
osseuses
. Des ossifications dans les grands pectoraux, les
ur le bord infé- rieur du maxillaire inférieur quelques bandelettes
osseuses
se dirigent vers le plancher buccal. Ecartement
mètres de la ligne blanche, sous la peau, se voient des bandelettes
osseuses
, grosses comme des plumes à écrire et allant de
es à écrire et allant de haut en bas. Dans les trapèzes, des masses
osseuses
. Légère diminution dans l'étendue de la flexion
osté- rieure gauches des aisselles sont constituées par des travées
osseuses
. Le bras gauche est fixé, une légère adduction
'aine li à 5 ganglions indolores, gros comme une amande. Résistance
osseuse
dans la moitié inférieure de la région fessière
a la région inguinale, immédiatement sous la peau saine, une tumeur
osseuse
, indolore it la pression, composée de petits tube
difications suivantes (Cenlr. BI. sur Chirurgie, 1881). Les travées
osseuses
du dos se sont étendues et épaissies. Les bandele
avicule gauche tout près des insertions du trapèze in- tact. Tumeur
osseuse
derrière l'angle inférieur de l'omoplate gauche a
'elle , dans l'épaisseur du muscle grand dorsal, se voit une arcade
osseuse
indépendante. Le bord inférieur du grand pectoral
- cence fibreuse des muscles profonds droits du cou. Une tubérosité
osseuse
re- pose près de l'angle inférieur de l'omoplat
ndelette qui suit le bord externe du triceps. Dans le triceps noyau
osseux
mobile, gros comme une noisette. L'ankylose de l'
fformité congénitale du pouce analogue à celle du côté opposé. Lame
osseuse
dans la région lombaire, plus large à gauche qu
ans l'os iliaque droit t 306 A. WEILL ET a. NISSIM une bandelette
osseuse
large dans le muscle tenseur du fascia lata ; au
articulation de la hanche est manifestement entravée par une arcade
osseuse
du muscle couturier venaut se terminer par une
en plus d'épaisseur et finalement apparurent sous forme d'exostoses
osseuses
(Fig. 5 et 6). A 6 ans, scarlatine. A 12 ans,
côté gauche de l'occipital émettant, à sa droite, une bande- lette
osseuse
de cinq centimètres qui va se perdre dans le pari
neuse de la 5e vertèbre cervicale gauche se trouve une petite saillie
osseuse
d'apparence mobile. Epaississement notable du l
um plus que la gauche. Les grands pectoraux offrent des bandelettes
osseuses
, qui, parties de la deuxième côte, vont au bras
aisselle. Relâchement du biceps et du triceps brachiaux. Bandelette
osseuse
correspondant au coraco- brachial droit ; elle
inférieure du droit antérieur de l'abdomen droit et une bandelette
osseuse
va de l'épine iliaque antérieure et supérieure à
ineuses et les ligaments susépineux sont trans- formés en une masse
osseuse
. L'apophyse épineuse de la 7" dorsale, épaisse
au des apophyses des 11° et 12e dorsales, elle envoie deux branches
osseuses
; plus bas encore, au niveau des 3e et 4e lomba
nches vont en bas et en dehors jusqu'à la crête iliaque. Des bandes
osseuses
suivent la direc- tion des fibres du trapèze da
omme une noisette sur le bord externe de l'omoplate droite. Le bassin
osseux
et sa musculature externe sont normaux. Flexion
transformés en une tumeur dure, fibreuse, contenant uue bandelette
osseuse
. Les tendons de la partie interne du genou, sur
ont transformés en une masse fibreuse ; à côté des tendons,nn noyau
osseux
comme une noisette. Flexion de la jambe d'envir
ération des végétations adénoïdes. Le 15 mars, on en- lève une lame
osseuse
de sept centimètres et demi insérée un peu -en de
du dos, tantôt il la partie inférieure, apparu- rent des tubercules
osseux
dans tous les muscles de la poitrine, aux dentelé
es masséters ; en 1883, dans les muscles de la cuisse. Les noyaux
osseux
sont ronds, coniques, pointus, tranchants, recouv
; la tuméfaction est un peu sensible et laisse après elle un noyau
osseux
dans les muscles. Ainsi, dans l'ossification de
s de l'avant-bras limités. Atrophie des muscles char- gés de noyaux
osseux
. A peine peut-on découvrir trace du cal dans la f
complète du deltoïde ; le biceps gauche est transformé en une corde
osseuse
qui fixe l'articulation du coude dans une légère
. Sur l'angle supérieur et interne de l'omoplate,se voit une pointe
osseuse
à base large ; deux autres semblables, mais plu
de l'os, le grand dorsal gauche notamment, se montre comme une lame
osseuse
colossale. Tandis que les côtes supérieures offre
fonds du cou et de la région hyoïdienne sont durs, mais sans noyaux
osseux
. Le côté gauche du thorax semble bosselé, le droi
ement en dehors, l'autre en bas et en dehors. On voit deux saillies
osseuses
des deux côtes des 9" et 10° vertèbres dorsales
en rameaux allant sur l'os iliaque droit, le sacrum et les saillies
osseuses
indiquées. Scoliose dorsale à convexité gauche
n centimètre dans la cir- conférence des deux bras. Des stalactites
osseuses
, parties de l'humérus, suivent le trajet du bic
e l'articulation métacarpo-phalangiennedu pouce, il existe un noyau
osseux
sur le tendon du long extenseur propre du pouce.
aie et radio-carpienne. L'extension atteint 140°, 170°. Une expansion
osseuse
, partie de l'épitrochlée, suit le trajet du ron
le. Dans le grand palmaire et le cubital antérieur on voit une lame
osseuse
,mobile. Mouvements de la main gauche plus limit
lata, coutu- rier, psoas iliaque pectine, adducteurs ; bandelettes
osseuses
, mobiles avec les muscles, dans la moitié infér
de la cuisse gauche, elle est plus épaisse par suite de formations
osseuses
plus abondantes- Mêmes transformations qu'il la c
-membraneux et biceps sont entièrement réu- nies au fémur. Une lame
osseuse
, large comme la main, appartenant au droit anté
nt dj la nuque, les splénius et les trapèzes, renferment des noyaux
osseux
. Le thorax est immobile dans la respiration, ce
xostoses qui semblent partir des côtes et de l'hu- mérus. Des lames
osseuses
suivent le trajet de ces muscles. Le bord inférie
ial antérieur gauche possède, dans sa partie supérieure, une pointe
osseuse
qui se perd dans le muscle. Masse osseuse sur l
ie supérieure, une pointe osseuse qui se perd dans le muscle. Masse
osseuse
sur l'articulation du coude qui descend jusqu'à l
bluxée avec ankylose complète du genou. Pied en varus équin. Pointe
osseuse
à la partie supérieure du tenseur du fascia lata
le tendon du biceps, ou trouve un noyau de 3 cent. 1/2. Tubérosités
osseuses
sur la face postérieure du tibia. Scoliose de l
ification des mus- cles des gouttières vertébrales. Large expansion
osseuse
allant vers l'angle de l'omoplate droite. De la
rs l'angle de l'omoplate droite. De la 11° côte part une bandelette
osseuse
dans l'épaisseur 316 A. WEILL ET J. NISSIM du
ta, huit mois après l'ap- parition des premières douleurs, un noyau
osseux
à la partie supérieure et externe de l'avant-br
t abolie. Tête ronde, 55 centimètres de circonférence, de structure
osseuse
normale, sans ossifications. Séborrhée assez abon
muscle grand pectoral droit. A droite de la papille ( ? ) une masse
osseuse
comme une noisette ; les cartilages costaux sont
te, un peu à droite du sternum, on cons- tate un point d'une dureté
osseuse
, large comme un franc. Atrophie du grand pector
ale part verticalement en haut jusqu'à la 4e cer- vicale, une masse
osseuse
fixe, avec une large base, et pourvue de plusieur
muscles du bras et de la main.Dans le brachial antérieur une masse
osseuse
sous forme de stylet, longue de 8 centimètres,
est longue de 22 centimètres, large de 6; une lame de consis- tance
osseuse
, indolore, longue de 17 centimètres, large de 9,
osté- rieur de l'aisselle jusqu'à l'insertion du deltoïde. Une lame
osseuse
recouvre les muscles élévateurs de la colonne v
oucher la table que par les deux extrémités seulement de la colonne
osseuse
soudée, par le front et le genou ; le corps for
ntal que par les deux extrémités, tête et genou gauche, de la colonne
osseuse
constituée par l'ankylose. 5. - A gauche, le
n partie, de l'ossification des disques intervertébraux. Des points
osseux
relient les ver- lèbres aux côtés ; ils sont de
orales sont particulièrement affectées et présentent des bourrelets
osseux
manifestes à la limite du périoste et du cartilag
mière dorsale ; dans la région lombaire se montrent des tubérosités
osseuses
très saillantes sur les parties latérales des c
s n'en est pas moins solidement réalisée par des couches de tractus
osseux
qui, très nettement, sont le ré- sultat de l'os
ies entre elles (non pas sur toutes les vertèbres), par des tractus
osseux
d'aspect analogue aux précédents et ayant égale
usqu'à la 7e cervicale, sont soudées ensemble par un large filament
osseux
dont l'origine n'est autre chose que le ligamen
ossifié. En outre le sacrum est réuni à l'os iliaque par des jetées
osseuses
; un grand nombre de côtes sont sou- dées aux a
e le processus mor- bide a surtout consisté dans une transformation
osseuse
des différentes couches fibreuses péri-vertébra
ondylose rhizomélique sont de deux ordres : Une production de tissu
osseux
sur l'os (exostoses, liyperostoses, synos- tose
- leurs semblent donc tenir a la sensibilité propre des végétations
osseuses
. Les douleurs qui se produisent a l'occasion de
ation par contact des ra- cines postérieures par quelque végétation
osseuse
au voisinage du trou de conjugaison des vertèbr
s avec des ostéophytes en des points situés plus bas. La végétation
osseuse
a d'ailleurs très probablement dans la région in-
aits anatomiques, la calcification des li- gaments et la végétation
osseuse
, semblent devoir être rapportés les deux grands
é est abaissée vers la droite. Il n'est pas question d'hypertrophie
osseuse
. « Oas. IL (aLLIER, Gazette médicale de Lyon, 1
s'hypertrophier tant dans ses par- ties molles que dans ses parties
osseuses
; d'autres fois, les tissus mous sont pris excl
i 1886. T. D..., 3 ans, en 188 déjà l'enfant présentait des plaques
osseuses
dans le grand dorsal droit et un noyau induré à
bord externe du grand dorsal (ou du petit rond) se voit une plaque
osseuse
de 4 pouces, dans la paroi postérieure de l'aisse
rs. Lé- gers mouvements entre l'omoplate et l'humérus : les plaques
osseuses
ne sem- blent pas être réunies aux os sous-jace
e et déviée vers la droite ; le cou est raide ; il offre des masses
osseuses
; les steruo-mastoïdiens et les trapèzes sont lib
oi antérieure des aisselles. 3$$A. 4\'1's1L ET J. ISS1DI Un noyau
osseux
mobile devant la tubérosité externe du tibia. H
oté au-dessous de l'angle inférieur de l'omoplate gauche, une masse
osseuse
fixée aux tissus sous-jacents. La tête était fi
dure et bosselée. De l'angle inférieur de l'omoplate part une crête
osseuse
qui se dirige vers la première vertèbre lombaire
, la tuméfaction se tassa laissant à sa suite des nouvelles plaques
osseuses
et une difficulté dans les mouvements de l'épau
endre une certaine mobilité par l'extirpation de cer- taines masses
osseuses
sur quelques points du squelette. Il a trouvé qu'
région montagneuse. A la palpation, on sent partout une masse dure,
osseuse
. Nombreuses exostoses sur les parties infé- rie
ides. Sous le muscle mylo-hyoïdien, on sent une sorte de stalactite
osseuse
. Muscles abdominaux durs. Rigidité des muscles de
qu'ils se placent sous le 2e orteil. 1. Des tumeurs de consistance
osseuse
se trouvent dans différents endroits du corps,
s et minces. Sur la 8° côte droite, au niveau de l'angle, un nodule
osseux
; un autre sur la 8e côte gauche au même niveau
Sur le côté externe du genou droit, au-dessus du péroné, une masse
osseuse
, plate, d'un pouce de diamètre, et un nodule co
de l'omoplate, rigidité de la nuque sans qu'on y trouve des masses
osseuses
. 3e année : masse dure entre la crête iliaque dro
ée : nuque très raide, pour la première fois on y trouve des masses
osseuses
; plusieurs autres sur les côtes. 7° année : ra
tomber. Mouvements de la tête très limités, nuque très raide. Masse
osseuse
entre le menton et le sternum; elle se fixe sur
rde arrondie et dure. Des angles de cette masse partent deux cordes
osseuses
, l'une il droite et l'autre à gauche ; elles se
on sterno-claviculaire. Saillie des sterno-mastoïdiens sl4ns noyaux
osseux
; les muscles latéraux de la nuque sont exempts
s du creux axillaire. Dans la paroi postérieure de l'aisselle masse
osseuse
allant en bas jusqu'à l'angle inférieur de l'om
, l'adduction complète est impossi- ble. Dans le grand dorsal masse
osseuse
étendue de l'angle inférieur de l'omo- plate à
la crête iliaque aux côtes. Un peu au-dessus et en arrière un noyau
osseux
plus petit, mobile. Pas d'ossifications «dans l
ant occuper le fascia lata. Même disposition à gauche. Une pointe
osseuse
étendue du tubercule du 3° adducteur dans le tend
limitée ; flexion, libre. Les deux tibias offrent des excroissances
osseuses
juste au-dessous des tubérosités. 21 juillet 18
n des muscles profonds. Les os enlevés avaient l'apparence du tissu
osseux
normal. 24 décembre. Reproduction des tumeurs o
antérieure de l'aisselle raccourcis et fermes ; pas de for- mation
osseuse
à leur niveau ; la paroi postérieure est occupée
nctions exploratrices, faites dans le but de s'assurer de la nature
osseuse
ou cartilagineuse des tumeurs, sont restées sans
tumeur du grand pectoral est restée stationnaire rappelant le tissu
osseux
par sa consistance. Amélioration appréciable surt
PROGRESSIVE 397 de la masse sacro-lombaire aux lombes en une masse
osseuse
large de 4 pou- ces 1/2 dont deux pouces à droi
u'à l'état normal. Dans la paroi postérieure de l'aisselle des noyaux
osseux
irréguliers, mobiles plus développés à gauche e
s. Avril 1893. Pas d'augmentation de la raideur du dos ; les masses
osseuses
, surtout celles du grand dorsal, sont augmentée
celles du grand dorsal, sont augmentées de volume. Nouvelles masses
osseuses
il gauche de la colonne commençant vers la 8° ver
courbés ; les coudes séparés des parties latérales du tronc. Tumeur
osseuse
à la partie moyenne de la mâchoire comme un pet
vers la nuque. A sa première moitié il existe une masse irrégulière,
osseuse
mesurant un demi-pouce. La base de cette tumeur
respiratoires limités. A la partie moyenne de la 5° côte une masse
osseuse
, triangulaire, se pro- , longeant en arrière et
sectionne le tendon du grand dorsal il droite, on excise une masse
osseuse
très dense et très dure, mais une nouvelle mass
amènera un cer- tain degré de voussure et de dilatation de la cage
osseuse
. Enfin l'action exagérée des inspirateurs acces
niveau de la paroi antérieure de l'aisselle, se trouvent des noyaux
osseux
irréguliers se déplaçant légèrement avec les 47
t au niveau de son insertion. Là ils se continuent avec des plaques
osseuses
se trouvant sous le deltoïde et le grand dorsal
plate même ne paraissent pas atteints. Du côté gauche. Infiltration
osseuse
aussi dans le pectoral, il y a plus de noyaux q
rtion ; ils se continuent ainsi que du côté opposé avec des plaques
osseuses
sous le deltoïde et aussi avec le grand dorsal
ès peu progressé. Les deux cordons latéraux ont disparu. Les masses
osseuses
paraissent plus fixes et semblent unies intimemen
cités sont durs, mais ne contiennent pas de noyaux. Epaississement
osseux
dans les muscles longs du dos ; on constate des
te des protubérances sur le bord interne des omoplates, des plaques
osseuses
dans le grand dorsal. Les bras, le plus souvent f
ure de l'humé- rus, des deux côtés, sous le biceps atrophié, tumeur
osseuse
occupant la place du brachial antérieur. Sous l
place du brachial antérieur. Sous le long supinateur droit, tumeur
osseuse
de 5 cen- timètres de longueur et de largeur, e
tendineuse du premier radial. L'anconé est transformé en une pointe
osseuse
; les autres muscles sont durs, il en est ainsi
lisées aux membres supérieurs. Dans certains endroits des plaques
osseuses
se sont développées dans le fas- cia et les mus
ux os comme dans le grand fessier à droite. A gauche une bandelette
osseuse
se trouve dans les muscles abdominaux et offre
tte elle-même. Ostéoporose de tout le squelette ; les néoformations
osseuses
n'en offrent pas. Epaississement des mâchoires
cles, qu'elles se sont réunies au travers des muscles par des pouts
osseux
, qu'elles se montrent daus le tissu conjonctif in
paissi ; au niveau de la fracture des os du nez on voit des pointes
osseuses
. Stase veineuse très prononcée au nez, aux mains
re du cou semble ne former qu'une seule masse garnie de bandelettes
osseuses
. Saillie notable de la 7° vertèbre cervicale, tan
oïdes en partie fibreux, en partie atrophiés, on trouve des pointes
osseuses
dans le droit. Bras dans l'adduction. On voit d
osseuses dans le droit. Bras dans l'adduction. On voit des masses
osseuses
tout autour de la région axillaire, surtout dan
partie saillantes ; les parties saillantes sont dues à des dé- pots
osseux
. Scoliose à gauche de la colonne cervicale, à dro
le droit. Les pectoraux des deux côtés sont pris. Transformation
osseuse
des muscles du dos, ça et là quelques parties fib
vertébrale et les apophyses épineuses sonl transformés en une masse
osseuse
. L'ossification des muscles du dos va sans inte
bablement jusqu'au carré lombaire. '^Partout à la limite des masses
osseuses
on constate des contractions fibrillaires. Celles
fessiers qui, au niveau de la crête iliaque,o(Trent des bandelettes
osseuses
, partout ailleurs ces muscles sont atrophiés. L
iliaqne des deux côtés. Dans le fascia lata droit se voit une masse
osseuse
. De même à gauche. Mouvements du genou limités.
al, particulièrement s'ils se trouvent dans le voisinage des masses
osseuses
. La réaction est bonne dans les muscles de la m
lcaires. Un morceau d'os enlevé au semi-membraneux a donné du tissu
osseux
à l'examen microscopique. Ons. L. D. BoKS, Be
peut pas être porté en arrière ; rotation très diminuée. Deux lames
osseuses
dans la paroi antérieure de l'aisselle, l'interne
uche, s'étendant jusqu'au thorax et envoyant dans le bras une bande
osseuse
jusqu'au pli cubital, immo- bilité sur l'épaule
on droit ; le bras ne peut être porté en arrière. Une petite tumeur
osseuse
située au- dessous du mamelon gauche se réunit
re du même côté. - Examen microscopique de la pièce enlevée : tissu
osseux
normal. Quelques préparations montrent le passa
Quelques préparations montrent le passage du tissu fibreux au tissu
osseux
et la trans- formation des cellules conjonctive
eux et la trans- formation des cellules conjonctives en corpuscules
osseux
. Observation Lf. - 13URGGnfIOUT, Thèse de Leyde
ts ; les fessiers, le quadriceps, les adducteurs offrent des masses
osseuses
. Autant que l'état des muscles le permet, les art
, elles- mêmes, plus tard, pour former les lIw1nèl'es. Le système
osseux
, atteint lui-même dans la myosite ossifiante, dér
urnis par le tissu le plus répandu dans son organisme, par le tissu
osseux
, aussi durant la dernière période de six jours,
e surtout les éléments nécessaires à la reconstitution de son tissu
osseux
. Il est arrivé ainsi aux conclusions de Munck d
sécrétion des phosphates est en rapport avec la destruction du tissu
osseux
et contrairement à l'opinion plus anciennede Zu
l'appareil locomoteur ; elle se caractérise par le dépôt de masses
osseuses
dans le tissu conjonclif des muscles, dans les
Atrophie des cent/'es nerveux, dans un cas d'atrophie musculaire el
osseuse
d'origine articulaire, par Achard et Ltol'OL1&g
rophie des cen- tres nerveux dans un cas d'atrophie musculaire et
osseuse
d'origine articu- laire (2 fig. et 3 pl.), 262.
Atrophie des centres nerveux dans un cas d'atrophie musculaire et
osseuse
d'origine articu- laire (2 fig. et 3 pl.), 262.
veux (Achard et Lsoron Lévi), XXXIV, XXXV. Atrophie musculaire et
osseuse
d'origine articulaire (Achard et Léopold Lévi),
sorte de Traité pratique sur les principales difformités des systèmes
osseux
et musculaire. Il n'y manque qu'un autre ordre; m
, c'est-à-dire du système nerveux , du système musculaire, du système
osseux
(y compris ses annexes, ligaments, cartilages, me
eux locomoteur fait sentir ses effets dans les systèmes musculaire et
osseux
. Tout état morbide des muscles exerce une influen
nce sur le squelette. Il y a donc une série de désordres du système
osseux
qui dérivent des lésions des muscles, une série d
rivent des lésions des muscles, une série d'affections musculaires et
osseuses
dont la source est dans le système nerveux. Mai
ux. Mais ce principe de subordination n'est pas absolu ; le système
osseux
peut être affecté en lui-même, indépendamment des
e indépendamment du système nerveux. De là une autre série de lésions
osseuses
et musculaires, les lésions qu'on peut appeler in
ilité, et leur nutrition est très-active. Les caractères du système
osseux
, chez l'enfant, sont des plus remarquables. Une p
des cartilages qui ne se rencontrent plus chez l'adulte. La substance
osseuse
elle-même est plus souple, plus molle, plus poreu
telle autre. Par ce motif, je commencerai par les maladies du système
osseux
. Il est naturel de diviser les maladies chroniq
à aucune classification systématique, et nous grouperons les lésions
osseuses
, tantôt d'après leur siège, tantôt d'après leur n
tendue variable, et qui est suivie de la formation d'un nouveau tissu
osseux
, véritable cicatrice comblant le vide, unissant l
ui constitue le mal vertébral et qui amène la destruction des disques
osseux
et fibreux du rachis. On a pendant longtemps rapp
par l'os peut commencer à la surface ou dans l'intérieur du cylindre
osseux
. Dans le premier cas, il existe un ulcère de la
ces supérieure et postérieure du corps vertébral. Outre les disques
osseux
et fibreux, il y a dans l'enfance des disques car
rps vertébraux. L'atlas-, dont le corps est remplacé par un tubercule
osseux
, ne présente pas ces lames cartilagineuses ; l'ax
ur nombre se trouve réduit à quarante-cinq. Intimement unis au disque
osseux
, dont ils tirent les éléments de leur nutrition,
lors flottant au milieu d'une collection formée de pus et de détritus
osseux
, et conservant en partie leurs propriétés physiqu
ion de ces organes. Une ostéite peut aussi s'emparer de cette surface
osseuse
et provoquer le décollement du cartilage, comme l
huit corps vertébraux ont disparu ; par cette autre, où neuf disques
osseux
sont détruits en totalité ou en partie. De là u
ébral commun antérieur, par le tissu cellulaire tuméfié, des débris
osseux
et tuberculeux, du pus, des exsudations de différ
ice solide au sein des parties lésées. Dans le mode de l'altération
osseuse
, trois cas se présentent : Ier cas. — Il consis
la formation d'une lame compacte , mince, sur la surface de la plaie
osseuse
; plusieurs de nos pièces nous montrent cette lam
ui sécrètent le plasma qui revêtira plus tard les propriétés du tissu
osseux
en se pénétrant de sels calcaires. Serait-ce pour
é par les parties qui entourent l'excavation et s'organisant en tissu
osseux
, après avoir passé par l'état fibreux et par l'ét
ineux. La colonne vertébrale, divisée par une affection des disques
osseux
qui la composent, se réunit au moyen de deux cals
ans les tissus fibreux extérieurs; le deuxième est dû à la production
osseuse
qui s'effectue entre les fragments, comme dans be
iste dans ces ponts étendus d'une vertèbre à l'autre, dans ces masses
osseuses
surajoutées, ces stalactites d'autant plus étendu
ète du rachis. Le second cal, intérieur, réunit les deux extrémités
osseuses
. Voici une des plus admirables pièces sur lesquel
e colonne vertébrale nous offre une variété curieuse de consolidation
osseuse
. Les vertèbres supérieures du fragment inférieur,
rale ; l'autre affection ne s'accompagne d'aucune altération du tissu
osseux
et tient seulement à une inégale distribution des
dans quelque partie du corps? il est presque certain que l'affection
osseuse
est de nature tuberculeuse. Chez l'adulte, la d
flocons d'apparence caséeuse ou albumineuse, et parfois de parcelles
osseuses
éburnées. Ce pus devient ordinairement fétide peu
D. Abcès ossifluents. — D'autres abcès, produits par diverses lésions
osseuses
ayant un autre siège que le corps des vertèbres,
forte courbure du rachis, cela peut tenir à la destruction de l'arête
osseuse
. Il n'est pas impossible non plus que la moelle,
a, ai-je dit, d'autres causes de compression de la moelle que l'arête
osseuse
dont il a été fait mention ; toutes les matières
e même de la moelle, telles que myélite, ramollissement ; des pointes
osseuses
viennent quelquefois irriter les membranes ; ces
celles qui sont produites par l'anévrysme de l'aorte, par une tumeur
osseuse
de nature syphilitique, un carcinome ou des tuber
t que la nature, après s'être servie du pus pour dissoudre les pièces
osseuses
, le rappelât dans les voies générales de la circu
at peut durer de longues années. Il faudrait, pour arrêter la maladie
osseuse
, favoriser l'évolution des phases curatives de la
ique également aux deux autres cas, puisqu'il faut traiter la maladie
osseuse
en même temps que les accidents dont elle s'accom
offre un cas analogue au précédent, tant par le siège de l'affection
osseuse
que par celui de la paralysie. Celle-ci est en vo
nce de la suppuration. — La membrane du kyste d'une part, l'affection
osseuse
de l'autre, sont les deux sources de la sécrétion
12e vertèbres dorsales sont réduites de volume et converties en coins
osseux
dont la base est postérieure. Cette altération es
elle a été véritablement lente à mourir. Encore un mot de la lésion
osseuse
chez cette malade. Il n'y a pas ramollissement de
ux apophyses articulaires, et à un bien moindre degré. Les affections
osseuses
, cartilagineuses et ligamenteuses forment la deux
ales, ainsi que je l'ai établi plus haut : la synovite et l'affection
osseuse
. I. Synovite. — Je commence par l'étude de la s
phatiques peuvent offrir des altérations secondaires. II. Affection
osseuse
. — Les lésions primitives qui lui donnent lieu so
re, si l'arc antérieur de l'atlas se trouve détruit. La desiruction
osseuse
donne lieu à des effets différents, suivant qu'el
sous-occipitale. On n'en a fait mention que pour les cas d'affection
osseuse
; mais on l'observe plus souvent encore dans la sy
e ou à gauche, etc. Des luxations sont le résultat des destructions
osseuses
dont je viens de parler. Ces luxations se produis
suffire à produire des inclinaisons en divers sens, sans destruction
osseuse
. Ce qui différencie l'affection sous-occipitale
table qu'on n'ait point recherché si ce foyer contenait des parcelles
osseuses
. La pièce a été macérée pendant plusieurs semaine
es. Si la disparition de ces os est bien réellement due à l'affection
osseuse
, ce fait serait unique dans la science. Malgré ce
a moelle était comme ramassée et revenue sur elle-même. L'affection
osseuse
sous-occipitale ne peut durer quelque temps sans
que dans l'autre, des changements qui surviennent dans son enveloppe
osseuse
. Il se peut néanmoins qu'elle ne soit ni déformée
s et de l'atlas. Dans le foyer se trouvaient contenus quelques débris
osseux
et les cartilages d'encroûtement des facettes cor
étaient formés entre les vertèbres , ils sont résorbés. L'affection
osseuse
sous-occipitale guérit, comme le mal vertébral de
ébral des autres régions, par le rapprochement, la réunion des restes
osseux
. Il y a affaissement d'un côté ou de l'autre de
du système nerveux. L'ankylose a lieu sans déplacement des surfaces
osseuses
ou avec luxation des vertèbres. Elle est rare dan
es portions contiguës des os, mais même à l'aide d'ostéides, de ponts
osseux
, entre des parties maintenues à distance. Dans un
survenue entre l'axis et l'occipital. Il ne restait plus qu'un point
osseux
de l'atlas en arrière. DÉFORMATION DE LA TÊTE E
sous-occipitale comprend celui de la synovite et celui de l'affection
osseuse
. Il est basé sur les symptômes suivants : I. Do
les mouvements. Ceux-ci sont surtout très-douloureux dans l'affection
osseuse
; la moindre secousse, la marche sont une cause de
rapport avec la protubérance occipitale externe; ces deux éminen-ces
osseuses
ne se trouvent plus situées sur une même ligne ve
à la tête ; la contracture symptoniatique d'une lésion articulaire ou
osseuse
est intermittente ; elle est subordonnée à la dou
oduit par des lésions de l'appareil locomoteur est aigu ou chronique,
osseux
ou musculaire ; celui-ci, à son tour, est continu
maladie d'un enfant; ils vont nous servir pour distinguer l'affection
osseuse
du torticolis musculaire continu. Ce que je vous
ctés et en rapport avec le mode d'action de ces muscles ; l'affection
osseuse
donne lieu à une attitude différente, telle que c
dans le torticolis musculaire. Les symptômes propres de l'affection
osseuse
vertébrale sont aussi un moyen de diagnostic. S
ente, lorsque l'affection est purement musculaire; dans le torticolis
osseux
, au contraire, les muscles ne se contractent que
iste dans le corps même du muscle, et non à ses attaches ; la douleur
osseuse
est plus profonde que le muscle; elle est réveill
ension extrême du muscle, et une tension moins forte dans l'affection
osseuse
; dans celle-ci on peut, avec de la douceur, obten
de aux tractions du sterno-cléido-mastoïdien , et de même l'affection
osseuse
donne souvent lieu au raccourcissement de ce musc
us avons vu cet état être la conséquence des torticolis musculaire et
osseux
. Ce qui, dans un cas, est effet, peut devenir cau
e le divise en traitement de la synovite et traitement de l'affection
osseuse
. Ce que j'ai à vous dire s'appliquera à chacune d
Martin et Bonnet ont publié des faits analogues. Dans le torticolis
osseux
, on devra user des plus grandes précau tions da
, les manipulations ont souvent une heureuse influence sur la maladie
osseuse
. M. Bonnet a émis ce principe général, que l'on a
ce que dans le torticolis musculaire. II. Traitement de l'affection
osseuse
. — La lésion osseuse sous-occipitale est traitée
olis musculaire. II. Traitement de l'affection osseuse. — La lésion
osseuse
sous-occipitale est traitée généralement par cett
nants, je l'ai déjà accordé. Que faire donc en face d'une affection
osseuse
sous-occipitale? Recourir aux mêmes moyens révuls
du reste du squelette. J'ai aussi indiqué un grand ordre d'affections
osseuses
à propos du diagnostic de l'affection sous-occipi
reste qu'un rudiment imperceptible du cotyle. On voit une production
osseuse
hémisphérique bouvier. 7 correspondant à la t
quelquefois une amphiarthrose, d'autres fois une fusion des surfaces
osseuses
. Ce dernier mode d'union est, comme ©n l'a vu,
sont évidemment ceux d'une coxalgie; il n'existait point d'altération
osseuse
; le membre avait une attitude fixe ; les mouvemen
cavité normale; le manchon fibreux refoulé s'éloigne avec la portion
osseuse
qui lui donne insertion; il présente un étranglem
ischions. On remarque aussi une diminution de hauteur de la ceinture
osseuse
; elle esi comme écrasée. Les iliums sont, au con
ffre une couche épaisse de tissu adipeux sous-cutané et des éminences
osseuses
arrondies, cette précision est souvent difficile
2° L'écartement du grand trochanter résulte de ce que cette éminence
osseuse
se trouve séparée de la ligne médiane du corps, c
postérieur à l'ancien cotyle. La projection en arrière de l'éminence
osseuse
est, en outre, en rapport avec la rotation du mem
position sur les fémurs et qui dépendent des attitudes de la ceinture
osseuse
et des mouvements du membre inférieur. Pour bien
déformé, effacé en partie, de manière à ne pouvoir plus loger la tête
osseuse
. Quelques auteurs ont avancé, il est vrai, que ce
s ici, pour cette année, l'étude des affections chroniques du système
osseux
. Mais je désire ne pas me séparer de vous sans av
s les tissus morbides. 1° Le pied bot accidentel, de cause purement
osseuse
, est rare et toujours symplomalique. Il succède à
scles ne se rétractent que consécutivement. On comprend qu'une tumeur
osseuse
pourrait produire le même effet en sens inverse.
, sur la foi de certains systèmes, que presque toutes les difformités
osseuses
ont une origine musculaire. Nous verrons, en effe
'un grand nombre de ces difformités ont leur principe dans le système
osseux
lui-même. Quoi qu'il en soit, le pied, plus peu
l'ordinaire. Le dos du pied, incliné en dehors, présente une saillie
osseuse
formée par la tête de l'astragale, et une autre m
mité postérieure du cinquième métatarsien forme une troisième saillie
osseuse
sur le côté convexe de l'angle médio-tarsien. D
pointe du pied, qu'il est presque impossible de relever. Les saillies
osseuses
sont bien marquées au dos du pied. Les mouvements
un point très-rapproché de sa base. Plus tard, l'astragale, devenu
osseux
, perd jusqu'au poli de sa surface, là où le scapb
té sur ce point est souvent indiqué par l'allongement de la substance
osseuse
, sous forme d'une apophyse styloïde, à l'angle in
ole interne, ou bien encore avec le scaphoïde. (1) Les déformations
osseuses
que nous avons étudiées dans la précédente séance
s peu importantes; je ne m'y arrêterai pas. Toutes ces déformations
osseuses
sont plus prononcées dans le varus congénial, par
ité du pied. Il se développe autour des articulations des végétations
osseuses
; on a rencontré sur les surfaces articulaires ell
oir si la rétraction musculaire existait avant ou après l'inclinaison
osseuse
dans le pied bot. Les uns ont soutenu , d'après D
re, étant le fait primitif, précédait toute altération articulaire ou
osseuse
; les autres ont dit, avec Scarpa (2), que le racc
rement, comme la contraction simple, les altérations ligamenteuses ou
osseuses
; il est consécutif à la torsion comme ces dernièr
ôté rentrant en dehors. Sur le côté saillant, on voit trois éminences
osseuses
; l'une est formée par la malléole interne, l'autr
raîné le pied dans leur sens. Tout ce que j'ai dit des déformations
osseuses
, des changements subis par les ligaments et les m
forme d'un petit tuber- (1) Huitième leçon, 11 juillet 1856. cule
osseux
. Celle du côté gauche est plus volumineuse, et l'
ité postérieure du calcanéum et le tendon d'Achille, sur les saillies
osseuses
de l'astragale et du calcanéum, vis-à-vis l'extré
ompu le tendon d'Achille quinze ans auparavant, on trouva la cicatric
osseuse
. Je vais maintenant opérer devant vous deux enf
prédomine, la ténotomie peut réussir ; si c'est l'élément fibreux ou
osseux
, l'opération est contre-indiquée dans les pieds b
§ 1er. — anatomie pathologique du rachitisme. I. Lésions du système
osseux
. — Le fait le plus général, dans l'histoire du ra
c'est le trouble du grand acte de la nutrition qui crée la substance
osseuse
; c'est la marche anormale de l'ossification, de l
commencerons l'étude du rachitisme. Les altérations de la substance
osseuse
dans cette maladie présentent divers degrés qui f
ent les deux périodes principales de la maladie ; et comme !c système
osseux
se présente sous une troisième forme quand la gué
e est caractérisée par l'atrophie, par la raréfaction de la substance
osseuse
. Cette atrophie est plus sensible à l'intérieur q
des os. Elle résulte de la résorption interstitielle de la substance
osseuse
, qui n'est point remplacée par une nouvelle subst
chez les enfants, elle les rend plutôt flexibles, parce que le tissu
osseux
est différent dans les deux âges. La souplesse
e fibreuse plus prononcée. U° Os : Structure aréolaire, corpuscules
osseux
remplaçant les corpuscules cartilagineux. Le ti
rsistance, l'étendue, la mollesse de ces formes transitoires du tissu
osseux
, concourent puissamment à lui ôter sa solidité. N
rties du squelette. Peut-être aussi, comme je l'ai déjà dit, le tissu
osseux
est-il, en outre, déjà plus mou par la prédominan
ne cause active de la plupart des modifications subies par le système
osseux
. Je n'ai rien observé qui soit de nature à me fai
oués, ainsi nommés des nœuds ou renflements formés par les extrémités
osseuses
ou cartilagineuses. Ces nœuds n'existent pas tout
ommencement de cette période. Il y a un moment où la seule altération
osseuse
consiste dans l'excès de développement des tissus
t plutôt les considérer comme le produit d'une altération des couches
osseuses
normales, que comme une production pathologique n
uerel et Rodier. (1) Je vous ai décrit les changements que le tissu
osseux
éprouve dans les deux premières périodes du rachi
pas des fractures, mais résultent d'un simple arrêt de développement
osseux
, qui interrompt la continuité de l'os. Cet arrêt
sans qu'il en reste de traces dans le squelette. Certaines courbures
osseuses
disparaissent même à la longue par les progrès de
qu'il en soit ainsi. Outre les déformations qui persistent, le tissu
osseux
nouveau diffère souvent de l'ancien. Il peut arri
roné, du côté concave de la courbure, des couches dont l'organisation
osseuse
est d'autant plus avancée qu'elles sont plus prof
par cette sorte de pétrification de leur moule organique. Les parties
osseuses
épaissies conservent leur excès de volume, et on
disparaît même plus complètement dans cette exubérance de la matière
osseuse
. Ces changements anatomiques dans la structure
formés, et d'une consistance êburnée dans leurs diaphyses. La matière
osseuse
manque au contraire dans divers points. Les chair
chitisme agit aussi en s'opposant à une première formation de matière
osseuse
, en arrêtant le dépôt des principes calcaires. De
tiples. Non-seulement les os wormiens se multiplient, mais les rayons
osseux
eux-mêmes sont décomposés en petites aiguilles sé
st guère qu'à une période avancée de l'altération générale du système
osseux
, qu'il existe à un degré bien prononcé. Néanmoins
ne affection tuberculeuse ou d'une carie qui aurait guéri par soudure
osseuse
. Mais les caractères anatomiques des os, la consi
le, indépendamment de toute déviation du rachis. C'est une altération
osseuse
tout à fait propre au rachitisme, comme l'a fort
is et aux cavités cotyloïdes. Dans la première variété, la ceinture
osseuse
tend à se resserrer (1) Treizième leçon, 16 aoû
de la maladie, plusieurs associations ou combinaisons de déformations
osseuses
qu'on rencontre le plus communément et qui sont a
t ceci que l'âge doit influer sur le siège spécial des déformations
osseuses
. Sur 16k enfants rachitiques dont j'ai fait autre
avons étudié les altérations que produit le rachitisme dans le tissu
osseux
et dans (1) Quatorzième leçon, 22 août 1856.
ur texture intime. La plupart sont des effets consécutifs des lésions
osseuses
. Quelques-unes précèdent ou accompagnent ces lési
. Dans l'ordre physiologique, l'antagonisme du cerveau et de sa boîte
osseuse
est marqué, chez le foetus et le nouveau-né, par
le et poussent les viscères en avant. La portion abdominale du thorax
osseux
, soulevée par ces viscères, est plus dilatée que
ns le sens de leur concavité ; ils tendent à former la corde des arcs
osseux
du côté de la concavité. Mais, dans ces modific
de, p. 46 et suiv,, Leyde, 1680. entre les deux extrémités de l'arc
osseux
, en décrivant des courbes beaucoup moins prononcé
te de cette circonstance compense le raccourcissement que la courbure
osseuse
leur a fait subir. Vous avez vu, dans la dernière
rations analomiques, et, en particulier, les transformations du tissu
osseux
qui constituent le rachitisme. Glisson (1), et
roduits dans l'organisme. Quand ces conditions manquent, la formation
osseuse
est suspendue, il y a rachitisme. M. Broca (1)
tres, dont la constitution est beaucoup moins altérée, ont le système
osseux
profondément déformé. Quoi qu'il en soit, le se
i qui se rattache à cette doctrine d'un simple arrêt de la production
osseuse
par la diminution de la vitalité générale de l'or
Westphalie était héréditaire. Daubenton (1) se demande si les formes
osseuses
produites par un rachitisme ancien et guéri ne po
située à gauche de la ligne médiane, sur laquelle on sent une saillie
osseuse
qui appartient au pariétal droit. C'est là un exe
iques vous sont déjà connus : ce sont toutes les lésions rachitiques,
osseuses
ou autres, perceptibles à l'extérieur. Le chapele
marquée, celte sensibilité se montre d'autant plus vive que le tissu
osseux
a moins de consistance. Elle est également excité
à laquelle elles se manifestent, et suivant l'état général du système
osseux
. J'en dirai autant des déviations du genou et d
ement favorisera le développement musculaire et la formation du tissu
osseux
; malheureusement, il doit souvent se réduire à un
es appareils, il faut qu'une pression porte sur la convexité des arcs
osseux
, et une autre à chaque extrémité de l'arc, du côt
sont permanentes, et résultent de la conformation même de cette tige
osseuse
; ce sont les courbures normales proprement dites.
ète, si la constitution générale donne peu de résistance aux systèmes
osseux
et ligamenteux, si l'état de grossesse est accomp
e des corps vertébraux, qui sont élargies. On dirait que la substance
osseuse
comprimée a reflué vers la circonférence de l'os.
ligaments intervertébraux, il existe, comme on sait, entre les noyaux
osseux
des corps des vertèbres de véritables cartilages
par se souder aux vertèbres , après avoir formé de petites épiphyses
osseuses
. On ne sait trop quelles sont les déformations qu
utre. Cette déformation m'a paru moins prononcée que celle des noyaux
osseux
. 2° Colonne postérieure. — Ici les déformations
pressés les uns contre les autres dans un étroit espace ; les parties
osseuses
sont alors confondues, refoulées, déviées d'une m
voit distinctement sur les corps vertébraux la trace de cette torsion
osseuse
, qui fait tourner leurs deux faces horizontalemen
sujet, quelles remarquables différences s'établissent entre ces arcs
osseux
à la convexité et à la concavité des courbures (1
en avant; 2° par l'abaissement et l'obliquité plus grande de ces arcs
osseux
, qui se rapprochent ainsi de l'axe de la poitrine
e cause que la courbure du rachis, à l'altération générale du système
osseux
(3). L'ostéomalacie de la jeunesse et de l'âge ad
ement de ses deux moitiés peut s'étendre aux os coxaux. La ceinture
osseuse
formée par les trois os offre assez souvent, chez
re latérale de l'épine. Elle change de forme, en effet, avec son étui
osseux
; elle en suit les ondulations et décrit les mêmes
étui membraneux, ici distendu par le liquide et remplissant le canal
osseux
, là desséché et rétracté autour de la moelle, don
de pression des côtés droit et gauche, et la forme arquée de la tige
osseuse
devient permanente. Plus tard, l'effort des muscl
le siégeant clans le rachis : celte cause est l'altération des tissus
osseux
et ligamenteux, qui diminuent de consistance. Les
le de déformer le rachis; la pression latérale de l'aorte sur la tige
osseuse
altérée exerce sans doute parfois la même influen
point d'altération sensible, point de ramollissement de la substance
osseuse
ou ligamenteuse. L'acte physiologique de l'accroi
laisse la colonne vertébrale parfaitement droite, lorsque l'affection
osseuse
ne porte pas sur les vertèbres. Nous ne pouvons
us gras, dans la scoliose, que lorsque c'était un effet de l'atrophie
osseuse
causée par les progrès de l'âge. L'amaigrisseme
vation n'est pas, en général, troublée directement par la déformation
osseuse
; nous en avons vu la raison dans l'anatomie patho
la convexité des courbures, et favorisent mécaniquement la formation
osseuse
, l'expansion ligamenteuse dans le sens de leur co
articulations, diminuer la solidité et la résistance de la substance
osseuse
. On peut, à la vérité, suppléer au défaut de loco
toutes les déviations encore peu prononcées; on croit la déformation
osseuse
très-tardive. Cette méprise rejaillit inévitablem
'ossification des ligaments intervertébraux. Dans l'enfance, le noyau
osseux
des corps vertébraux a peu de volume par rapport
ure. Autour de ce noyau se passent des phénomènes actifs de formation
osseuse
. Tant que cet état persiste, on a plus de chances
ès de l'âge, les lames cartilagineuses sont envahies par la substance
osseuse
, et que le travail ostéogénique devient moins act
itement jusqu'à ce que l'âge ait donné plus de consistance au système
osseux
, jusqu'à ce que le temps ait arrêté définitivemen
...... 70 I. Synovite.......................... **• II. Affection
osseuse
..................• • • 71 Mécanisme de la guéri
ent de la synovite................. ¦ II. Traitement de l'affection
osseuse
.............. 92 ART. III. -pseud arthroses cox
omie pathologique du rachitisme.......... ib. ï. Lésions du système
osseux
................. ib. A. Première période.......
très nette des divers muscles, pas d'atrophie musculaire, réflexes
osseux
et tendineux abolis. Un tremblement statique bi
cette idée et de définir la place du syudrôme parmi les altérations
osseuses
que l'on peut rencontrer chez le vieillard. A
ce que doit occuper le pseudo-Paget parmi toutes les défor- mations
osseuses
séniles. Fixe. 2 DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUE
1901, p. 552-569. (2) Richard, Contribution à l'étude de la maladie
osseuse
de Paget. Thèse de Paris, 1886-87. (3) NÉGELL
, en- fin des cas où la déformation relève avant tout d'altérations
osseuses
. C'est à la première classe seule'que nous rése
début. Plus tard en effet elles peuvent se compliquer d'altérations
osseuses
et se rapprocher des autres cyphoses séniles.
groupe nous classerons les vieillards chez lesquels une raréfaction
osseuse
nous semble être à la base de tous les phénomènes
chez les gens âgés à jouer le rôle des fardeaux. Lorsque le système
osseux
s'affaiblit, point n'est besoin d'avoir été porte
ompagnant d'autres déformations liées au trouble général du système
osseux
. Ce sont là les vraies cyphoses sé- niles, cell
rédisposante à longue échéance sur des déformations dont l'atrophie
osseuse
sénile est la seule vraie cause. Le rhumatisme
nent les lésions. Il y a des hyperostoses et il se produit du tissu
osseux
éburné. Quant à la spondylose rhizomélique, c'e
e friabilité et sur le cadavre on peut avec le doigt enfoncer la lame
osseuse
externe en produisant une crépitation spéciale.
e. En somme, ce sont là des lésions d'ostéoporose sénile d'atrophie
osseuse
simple. L'analyse chimique du fémur d'un de nos
l'ostéoporose sénile se résumait en un seul symptôme, la fragilité
osseuse
. « L'ostéoporose sénile, dit Poncet, n'a pas de s
ile. Cliniquement on retrouve c dans tous les cas de ramollissement
osseux
chez les vieillards, le tableau symptomatique d
le tableau symptomatique de l'ostéomalacie des adultes : dou- leurs
osseuses
multiples, surtout provoquées par la pression sur
onstaté certai- nes déformations que l'on a attribuées à l'atrophie
osseuse
. La fréquence des fractures du col du fémur, du
. 193 et sui- vantes ; CHARi,y, Des variétés chirurgicalés du tissu
osseux
. Revue de chirurgie, Paris, 1884, pp. 689-709
XVI. Paris, 1856. (3) Richard, Contribution à l'étude de la maladie
osseuse
de Paget. Thèse de Paris, 1887, p. 76 et 77.
les du squelette sont en cause. Il s'agit d'ostéoporose, d'atrophie
osseuse
banales. Mais lorsque certains détails du syndrom
pouvant faire place, parce qu'il se trouvait serré contre la paroi
osseuse
du foramen occipital a souf- fert tout autant d
main droite et 30 pour la main gauche. Les réflexes tendineux et
osseux
, normaux à gauche, sont nettement exagé- rés à
us ses diamètres, surtout dans son diamètre vertical ; les saillies
osseuses
sont bien marquées, apophyses orbi- taires, rac
squelette de la face, on perçoit très bien les différentes saillies
osseuses
très augmentées de volume. Il faut noter en par
ux sont très agrandis ; au niveau des bosses frontales, l'épaisseur
osseuse
est de 23 milli- mètres, elle est de 18 millimè
onser- vées pour l'examen histologique. Etant donnée l'hypertrophie
osseuse
des ex- trémités dans la maladie de Marie, il é
essant de savoir s'il y avait trace d'une reviviscence de la moelle
osseuse
. Sur des coupes longitudinales et transversales
s dans l'acide picrique,nous n'avons constaté aucun foyer de moelle
osseuse
en activité. Nulle part on ne voyait de leucocyte
. Il est bien probable que, si l'on faisait l'examen des extrémités
osseuses
au moment même de la poussée acromégalique, on
moment même de la poussée acromégalique, on trouverait une moelle
osseuse
en hyperactivité, mais si ce processus doit exist
os- tiquer par la radiologie, est un élément nécessaire du syndrome
osseux
que Marie a le premier complètement décrit les
acromégaliques, mais seulement des malades atteints de dystrophies
osseuses
à tendance hypertrophique des extrémités, qui,
'acromégaliser de longues années avant sa mort, mais comme le tissu
osseux
laisse indélébiles ses hypertrophies, ses défor
onne vertébrale ? Il y a lieu d'éliminer tout de suite une lésion
osseuse
(ostéomalacie, mal de Pott) dont on ne trouve a
dent. Les dessinateurs ont tou- jours choisi le temps de la section
osseuse
et les opérateurs sont toujours représentés arm
re. HOPITAL BROUSSAIS. SERVICE DE M. LE DOCTEUR OETTINGER MALADIE
OSSEUSE
DE PAGET TROIS CAS OBSERVÉS DANS UNE MÊME FAMIL
diaques et vasculaires,qui caractérisent essentiellement la maladie
osseuse
de Paget. ' Pour n'avoir pas à répéter, à propo
lle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XVIII. 111. XXXVII MALADIE
OSSEUSE
DE PAGET FAMILIALE (OE/tinger et Aftasse-Lafol1
(OE/tinger et Aftasse-Lafol1t) Masson et Cie, Editeurs MALADIE
OSSEUSE
DE PAGET 293 OBS. I. Bordier Louis-Victor, âgé
LLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XVIII. Pl. XXXVIII MALADIE
OSSEUSE
DE PAGET FAMILIALE (OEttillger et Agasse-Lafoii
OSSEUSE DE PAGET FAMILIALE (OEttillger et Agasse-Lafoiii) MALADIE
OSSEUSE
DE PAGET 295 que le gauche, présente eu outre d
NGER ET AGASSE-LAFONT Telles sont nos trois observations de maladie
osseuse
de Paget. La troi- sième peut être discutée. Si
a observé une malade dont le père aurait eu les mêmes déformations
osseuses
. Lunn (1884) les a constatées chez les deux frè
urs heures au milieu d'une atmosphère surchargée de chlore. MALADIE
OSSEUSE
DE PAGET 297 couverte de deux autres cas dans s
sés à l'intoxication (13). 298 OETTINGER ET AGASSE-LAFONT MALADIE
OSSEUSE
DE PAGET 299 de Moizard et Bourges (1892) (1).
Marie. Enfin, étant donné l'existence incontestable de la syphilis
osseuse
de l'adolescent et de l'adulte (2), on peut adm
e des cas d'hérédo-syphilis. Le rachitisme présente avec la maladie
osseuse
de Paget d'étranges ana- logies : même évolutio
douleurs, mêmes reliquats, même confu- sion avec des manifestations
osseuses
de l'hérédo-syphilis. Or on a trouvé dans la dy
plus apparente que réelle. Sans doute on ne peut comparer le tissu
osseux
dans l'organisme au fragment d'os que l'on fait
cide lactique, qui va troubler l'évolution et la structure du tissu
osseux
. Ainsi, il n'est pas il logique d'admettre que
ides minéraux puisse jouer un rôle dans la pathogénie de la maladie
osseuse
de Paget, ce rachitisme des vieillards. Il est vr
? C'est le point qu'il faut éclaircir. BIBLIOGRAPHIE DE LA MALADIE
OSSEUSE
DE PAGET, EN FRANCE [Nous avons groupés ensembl
(11 BESANÇON et LABBÉ, Traité d'hématologie, 1904, p. 36. MALADIE
OSSEUSE
DE PAGET ' 301 28-29, LANNELON6UE, Bulletin méd
ivant l'incidence des rayons, comme s'il s'agis- sait d'une lamelle
osseuse
aplatie (PI. XLI). On ne voit que ce fragment sur
fille est plus nette : à droite et à gauche on aperçoit un fragment
osseux
au-dessus du bord supérieur de l'omoplate, séparé
. Dans l'excavation ainsi produite on sent les diffé- rents reliefs
osseux
et les battements de l'artère sous-clavière qui e
e par l'arceau claviculaire. De même on peut constater des saillies
osseuses
anormales, au ni- veau du squelette avoisinant,
ressants entr'autres l'exagération du sinus frontal, la raréfaction
osseuse
de la voûte et la position du trou occipital qui
aisemblablement limiter son action à certaines parties du squelette
osseux
. La dysostose cléido -crânienne est donc l'expr
ression d'une tare générale avec prédominance sur un certain groupe
osseux
. Nous trouvons en effet chez la plupart des malad
t dépasser sa localisation classique pour atteindre d'autres points
osseux
, ou exagérer ses lésions locales comme au nivea
ait la rupture et la destruction tant du cerveau que des formations
osseuses
; les membranes conjonctives « se déta- chent d
osseuses ; les membranes conjonctives « se déta- chent des plaques
osseuses
déjà formées, et il en résulte, non seulement que
E DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 349 aussi que la masse
osseuse
déjà formée périt, faute de nourriture. C'est pou
il moins accusé. Ce cas particulier correspond à des dis- positions
osseuses
peu fréquentes qui demandent une description spéc
à la masse de gauche : l'orifice est alors circonscrit par un cercle
osseux
complet. A ces masses latérales s'ajoute le car
d'elles à son tour s'articule par son extrémité libre avec un bloc
osseux
de forme trapézoïdale, plus ou moins réduit sui
être été plus considérable, car l'état d'altération de la substance
osseuse
indiquait une destructiou secon- daire. Hanno
. individus où le trou occipital n'est pas circonscrit par un cercle
osseux
: les masses latérales sont déjetées en dehors,
al exister également et il croit le reconnaître dans une bandelette
osseuse
qui bordée¡i pariétal ; il paraît difficile de
ux de la base du crâne renfermés dans des conduits cartilagineux ou
osseux
trop étroits. - L'inanité de toutes ces explica
HOGÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 377 des conduits
osseux
renfermant des vaisseaux, il est, non pas la caus
cun doute sur la réalité du phénomène. c) Pachyméningite et voûte
osseuse
du crâne. Si la propagation du pro- cessus méni
ningite, il suffit que celle-ci existe, pour que la différenciation
osseuse
de la voûte membraneuse soit entravée, pour que
au moment de la naissance ; ils apparaissent seuls sur le plancher
osseux
formés par les corps vertébraux et les arcs éta
V. Crouzon (3) ont aussi communiqué un cas indiscutable d'atro- phe
osseuse
de l'humérus avec fracture, chez un malade attein
tat actuel. D'apparence bien développé, notre malade a le squelette
osseux
bien conformé. L'intelligence assez bonne, si l'o
s la région occipitale droite on voit et l'on sent un aplatissement
osseux
assez pro- noncé. La face est symétrique, on n'
urtout une douleur fixe, à la pression localisée, sur une extrémité
osseuse
, sur un cul-de-sac accessible de la synoviale. Et
ucune particularité. Le toucher pharyngien ne décèle aucune saillie
osseuse
anormale, et est d'autant plus facile qu'on peu
stoïdien tendu, contracture, nullement douloureux. Aucune saillie
osseuse
anormale, aucun ganglion enflammé. A l'examen d
par pression des condyles fémoraux. Il n'existe pas de modification
osseuse
. En plus, si l'on essaie de renverser la déviat
ation attentive les démontre superficielles plutôt que profondes et
osseuses
. Chez un malade de Raymond une pression forte e
HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 465 maladie chronique, une tuberculose
osseuse
ou articulaire, la grand'mère ne sait pas au ju
es hôpitaux, Chef du laboratoire de la Maternité. Les dystrophies
osseuses
congénitales ont longtemps été confondues sous le
sification plus rigoureuse des troubles de dé- veloppement du tissu
osseux
. Toutefois, malgré les travaux multiples parus su
articulièrement en vue, dans les pages qui suivent, les dystrophies
osseuses
entraînant la micromélie. En se basant sur cett
caniques ne rentrent pas, à proprement parler, dans les dystrophies
osseuses
. Historique. Chaussier au commencement du siè
pidement et confirment l'exis- tence chez le foetus d'une affection
osseuse
distincte du rachitisme vrai et de la syphilis.
ue rentrant dans la grande famille des ano- malies du développement
osseux
, différait toutefois de l'achondroplasie clas-
, s'est portée sur la pathogénie et le point de départ de la lésion
osseuse
. La diversité des lésions observées explique la d
genila selon l'état de raréfaction plus ou moins prononcée du tissu
osseux
(Kundrat, Paltauf) ; Aplasie périostale avec os
ct. L'un de nous a proposé de diviser l'ensemble de ces dystrophies
osseuses
congénitales, confondues sous la dénomination s
lé- gère des muscles concorde avec le développement des tubercules
osseux
d'inser- tion. Nous la retrouverons, plus marqu
vue du diagnostic de l'achondroplasie d'avec les autres dystrophies
osseuses
. Le tronc est généralement bien conformé et d'u
leur ossification. Les fontanelles se ferment tard, mais les noyaux
osseux
des os courts et des épiphyses apparaissent et
ésion surajoutée du système nerveux venant compliquer la dystrophie
osseuse
. 13. Examen radiographique. L'étude radiograp
ne sont indi- quées que par l'espace vide qui sépare les extrémités
osseuses
. Déformation sigmoïde surtout marquée sur le ra
upplémentaires qui relèvent, ici, des incurvations et des fractures
osseuses
. LUS MICIiOMI,LI1 : S CONGÉNITALES 495 Les di
nous semble-t-il, demeurer en suspens, car diffé- rentes affections
osseuses
, particulièrement le rachitisme et le myxoedème,
ail de modelage physiologique effectué par le périoste et la moelle
osseuse
dont l'activité est normalement conservée. Tê
ement défaut (Salvetti, Franqué, Lampe). Les déformations du palais
osseux
(voûte ogivale) signalées par Kassowitz n'ont p
is ou s'ils ne. représentent pas diverses variétés de dys- trophies
osseuses
que le microscope nous permet aujourd'hui de dist
seule en cause ou s'il s'agit de formes mixtes où d'autres lésions
osseuses
sont venues com- pliquer la lésion primitive.
épaisseur. Chaque colonne caitilagineuse s'ouvre ici dans la moelle
osseuse
qui envoie une anse vasculaire dans chacune d'ell
els calcaires. Elles seront, en effet, l'amorce des futures travées
osseuses
. A leur surface se disposeront les ostéoblastes a
de travées directrices et qui, par apposition successive de lamelles
osseuses
, constitueront l'os définitif. 2° OM ? ca<
leur surface, sécrètent de l'oséine et se transforment en cellules
osseuses
. Les travées ainsi formees délimitent des espac
travées primitives de rangées d'ostéoblastes et formation de lames
osseuses
concentriques constituant les systèmes de Ilavers
proéminent comme des promontoires déchiquetés du côté de la moelle
osseuse
; dans l'autre, par des bourgeons médullaires v
ation. Ils renferment souvent il leur intérieur quelques trabécules
osseuses
développées sur place, mais de- meurent netteme
tomosique entre les vais- seaux épiphysaires et ceux de la diaphyse
osseuse
. e) Les travées nées de la ligne d'ossification
ne de rivulation. - c) ligne d'ossi- fication. d) moelle et travées
osseuses
. Fio. 10. Achondroplasie. Coupe longitudinale d
mmuniquer les vaisseaux de la bande fibreuse avec ceux de la moelle
osseuse
. s) zone de ri- vulation. La rivulation y fait
niveau de la ligne d'ossification qui est irrégulière. - o) travées
osseuses
larges et bien calcifiées sans débris cartilagi
es colonnes cartilagineuses dans les espaces médullaires. d) moelle
osseuse
avec larges es- paces médullaires et étroites t
oelle osseuse avec larges es- paces médullaires et étroites travées
osseuses
bien calcifiées. NOUVELLE Iconographie DE la Sa
érioste. o) couche régulière des ostéoblastes tapissant les travées
osseuses
. LES MICROMÉLIES CONGÉNITALES 505 Parfois on
ssure à lui seul l'union de ces deux parties. La faiblesse du tissu
osseux
formé au-dessous de la ligne d'ossification aux
lamelles ainsi formées, des ostéoblastes transformés en corpuscules
osseux
. Dans quelques cas, cependant, les canaux de Ha
rtilages qui ne s'ossifie que secondairement pour constituer le cal
osseux
définitif. Ces formations libro-cartilagineuses
être remplacé, comme nous l'avons observé, par deux séries de lames
osseuses
, ver- ticales, plus ou moins épaisses, parallèl
tout cas, trop récentes pour pouvoir leur attribuer les altérations
osseuses
. Mais ces mêmes lésions d'ordre congestif et in
. Dans la partie centrale de la coupe, un certain nombre de travées
osseuses
présen- tent une portion axiale plus claire qui
égulièrement aux dépens du périoste qui donne naissance à des lames
osseuses
. Celles-ci sont encore séparées par des espaces a
ces de Havers. Dans la portion droite de la figure quelques travées
osseuses
se forment par transformation directe de faisce
dans la dysplasie périoslale. Absence presque complète de formation
osseuse
. L'os périostal est représenté uni- quement par
t, sinon constante, du moins fréquente. Cette variété de dystrophie
osseuse
congénitale, plus rare que la précédente, s'en
oupent les observations, distinguent ces deux formes de dystrophies
osseuses
et cherchent à établir leurs caractères différe
de petites plaques os- seuses irrégulières ou de traînées de dépôts
osseux
. Os de la face plus petits, plns minces et plus
ion différente du rachitisme. C'est également dans cette dystrophie
osseuse
que rentrent les faits de Bor- denave, Sandfort
sification étoilés et largement espacés, ou constitués par un tissu
osseux
mince, dépressible, crépitant sous le doigt com
10 ponAK L'r DURANTE centre, un large canal médullaire. L'enveloppe
osseuse
peut être si mince que la diaphyse se déprime e
n ossification ne s'effectue que très imparfaitement. La métaplasie
osseuse
fait défaut, les formations médullaires l'emporte
t défaut, les formations médullaires l'emportent sur les formations
osseuses
compactes. Il y a ou dysplasie osseuse. Dans le s
mportent sur les formations osseuses compactes. Il y a ou dysplasie
osseuse
. Dans le second cas, l'ébauche embryonnaire ell
ique. LES MICR0MÉL1ES CONGÉNITALES 511 Mais plus bas, les travées
osseuses
nées du cartilage n'augmentent pas de volunze,
estent petites comme si il y avait défaut d'apposition de substance
osseuse
par les cellules médullaires (Stilling) ou même
e rencontre plus, dans de larges espaces médullaires, que des travées
osseuses
rares, disloquées, disséminées et souvent dépou
de leur revêtement d'os- téoblastes (Porak et Durante). La moelle
osseuse
est riche en tissu fibrillaire, en leucocytes, en
ttribuer à ces ostéoclastes un rôle dans la disparition des travées
osseuses
à la surface desquelles ils occupent des encoches
servent de supports aux ostéoblastes. Ceux-ci forment des systèmes
osseux
en jeu de patience et, plus loin, constituent d
, et font place soit à un vaste espace médullaire pauvre en travées
osseuses
, soit à un tissu spongieux à larges mailles au
it elle-même défaut et est remplacée par des la- melles, des noyaux
osseux
tapissés d'ostéoblastes et d'ostéoclastes. La dia
Durante). Ces formations paraissent indépendantes de l'af- fection
osseuse
et répondent à la présence de fractures en voie d
rissaud, ces infections entraîneraient le nanisme moins par lésions
osseuses
que par lésions thyroïdiennes et conditions génér
retard considérable dans l'apparition' des os courts et des points
osseux
épiphysaires, un retard considérable dans le proc
e ont été également confondus. Avant Parrot, toutes les dystrophies
osseuses
congénitales en dehors de la syphilis LES MICRO
d'autres qui semblent confondre entre elles toutes les dystrophies
osseuses
, nous ne croyons pas à la grande rareté du rach
forme de tableau les caractères principaux de ces trois dystrophies
osseuses
(Voy. p. 521). Ainsi que l'on peut en juger,
e aussitôt, formée par suite d'une résorption excessive des travées
osseuses
. Les lésions respectent les épiphyses et intére
per- dent leur tissu compact et sont réduits à de fragiles lamelles
osseuses
. Comme localisation la dysplasie périostale se
E L'ACHONDROPLASIE ET DE LA. DYSPLASIE PÉRIOSTALE Les dystrophies
osseuses
congénitales que nous venons d'étudier présentent
est en partie la cause des confusions dont l'étude des dystrophies
osseuses
se ressent encore. Pendant une première période
essent encore. Pendant une première période, toutes les dystrophies
osseuses
, en dehors des lésions syphilitiques classiques
Si, an- ciennement, confondant avec lui la plupart des dystrophies
osseuses
, on lui attribuait une fréquence certainement e
larité de la ligne d'ossification, la non- ossification des travées
osseuses
qui demeurent cartilagineuses n'est pas excep-
rité complète ou re- lative de l'ossification périostale. La moelle
osseuse
présente également des si- gnes de sclérose. Da
s os- téoblastes ne viennent pas régulièrement sécréter de lamelles
osseuses
. L'achondroplasie, en tant que sclérose est une
agérée des ostéoclastes qui, normalement, ne servent qu'au modelage
osseux
. Elle ne serait donc pas une lésion dégénérative
édullaires sont, en effet, susceptibles d'entraîner des altérations
osseuses
comme des altérations musculaires, quoique plus
uvoir être interpré- tées comme le point de départ de la dystrophie
osseuse
. L'achondroplasie paraît indépendante du systèm
La syphilis congénitale détermine, chez le nouveau-né, des lésions
osseuses
de nature très variable. Si les unes sont spéci
eu, à côté des lésions syphilitiques des os, de décrire les lésions
osseuses
du syphilitique, au même titre que l'on distingue
r le nouveau-né spécifique, il ne s'ensuit pas que cette altération
osseuse
soit un signe de syphilis : N'oublions pas que
d'un microbe ou d'une toxine unique, spécifique de cette dystrophie
osseuse
. Nous y voyons plutôt le résultat d'agents path
périostale la sclérose fait défaut. La résorption exagérée du tissu
osseux
relève d'une hyperactivité des ostéoblastes et re
isée il un tissu, à une espèce de cellules (musculaire dans un cas,
osseuse
dans l'autre). Dans l'une et l'autre forme morb
que le foetus, atteint déjà de dysplasie, se trouve en infériorité
osseuse
. Dès lors, l'achondroplasie vient se surajouter à
aires simples ou multiples, qui réagissent leur tour sur la cellule
osseuse
, chacun selon sa formule personnelle, et donnent
ool) ; mais la caractéristique de cette affection est la localisation
osseuse
LES M1CR0MÉL1ES CONGÉNITALES S31 et particuli
n- droplasiques vraies afin de les distinguer des autres affections
osseuses
de nature ou de siège différents que l'on avait
VII CONCLUSIONS 1° Après avoir confondu toutes les dystrophies
osseuses
avec le rachitisme on les assimile trop aisémen
par les coudures généralement juxta-épiphysaires, par les saillies
osseuses
exagé- rées, par l'absence de fractures, par le
et relevant de lésions his- tologiques distinctes, ces dystrophies
osseuses
ne doivent pas plus être con- fondues entre ell
et d'Obstétr., 1903). DEPAUL. - Sur une maladie spéciale du système
osseux
développée pendant la vie embryonnaire et qui e
as d'achondroplasie (Nouv. Icon. de la Salpêtr., 1904). Dons Pièces
osseuses
pathol. expérim. (VlIlo Gongl'. de Chir. de Paris
droplasie (Rev. méd. de la Suisse Romande, 1902). - Les dystrophies
osseuses
congénitales. Achondroplasie et rachitisme (Ac. d
891. PARNOT. - Sur une pseudo-paral. causée par une aller, du syst.
osseux
chez les nouveau-nés atteints de syph. héréd. (
nornx. et path., IV, 1871- 1872). L'achondroplasie et les lésions
osseuses
de la syph. héréd. et du rachitisme (Arch. de P
is, 1900, et Ann. de Gyn. et d'Obstétl'. 1900). - Les dystrophies
osseuses
congénitales (Rapport pour la Séance annuelle de
nochenwachsthum (Izzaug. Diss. Greisswald, 1874). TnEUYEY. Syphilis
osseuse
congénitale (Séance annuelle de la Soc. obstélr.
res. Chez les foetus ces auteurs ont observé, outre les altérations
osseuses
, des lésions nerveuses qui tendraient, d'après eu
ences, 8 juin 1903. 34. Richon et jEANDELixE. Remarques sur la tête
osseuse
de lapins adultes cas- trés dans le jeune âge.
ée de la tête du péroné, sur le fémur il y a un cercle de substance
osseuse
néoformée, qui fait saillie sur la surface du f
une ombre radiographique. Elle nous démon- tre que la néoformation
osseuse
entoure le fémur à ce niveau. En résumé, le nan
s par excès et par défaut que nous avons dé- crites dans le système
osseux
, sans altération de la fonction du système vaso
nts. 598 LANNOIS L'examen révèle en outre des lésions cutanées et
osseuses
très importantes. A la partie inférieure du rad
plus longue description. Il est évident que ces lésions cutanées et
osseuses
sont de nature syphiliti- que. Mais il est diff
utanées (cicatrices de gommes, rétractions palmaires) et de lésions
osseuses
qui ne laissent aucun doute sur la gra- vité de
pour- rait-elle pas être simplement sous la dépendance des lésions
osseuses
, avoir été déterminée par elles ? Gela ne nous
en ce moment n'a pas eu de douleurs véritables, malgré ses lésions
osseuses
, et l'affec- tion évolue chez lui depuis plus d
ésions se propagent en dehors vers les enve- loppes conjonctives et
osseuses
, en dedans vers l'axe nerveux sous forme d'un t
ue la néoformation dont la structure nous est connue. Des membranes
osseuses
, les lésions se propagent à la peau : nous savo
e avec le cartilage de la base ; on n'a jamais signalé de fragments
osseux
isolés sur le sommet du crâne. Si la propagatio
lammation se propage, détruit dans une certaine mesure les ébauches
osseuses
, et les fragments libérés cédant à la traction
ion squelettique qui change les conditions d'emboitement des pièces
osseuses
. A défaut de cette modification squelettique, l
ma- croscopiques et les rapports topographiques de ces exubérances
osseuses
. Ces nouveaux moyens d'investigation ont confir
l- leurs confirmer la fréquence relativement grande des végétations
osseuses
, décrites dans les classiques sous le nom d'exo
e ? Si le processus qui préside à la production de cette dystrophie
osseuse
est, comme nous le montrerons plus loin, encore
ailleurs aussi bien le médecin que le chirurgien. La malformation
osseuse
peut être observée dès ses premières phases d'é
icale des hôpitaux, a clairement résumé les caractères des saillies
osseuses
qu'elle détermine. « C'est, outre ['indolence e
s de ses membres, dont la palpation permet de reconnaître la nature
osseuse
. Le malade se souvient parfaitement qu'il porta
al de sa face et de son cou, qui ne présentent aucune prolifération
osseuse
; c'est aussi l'inégal développement des membre
t radius sont intimement liés : il existe là un véritable cha- peau
osseux
fixé au radius et surplombant les extrémités des
cavernes. Elles ressemblent à des cavités limitées par des travées
osseuses
. Il faut noter que, lorsque le malade est couch
plus petite à la partie supérieure de la même face, et des saillies
osseuses
sur les extrémités métatarsiennes et pha- langi
exostoses sont moins volumineuses ; il faut noter la prolifération
osseuse
à la partie interne de la tête du tibia et l'hype
ou moins volumineuses, séparées les unes des autres par des travées
osseuses
. Il en est tout particulièrement ainsi pour le
vées osseuses. Il en est tout particulièrement ainsi pour le massif
osseux
qui surplombe l'extrémité supérieure du fémur gau
rieure, le fémur est moins déformé, mais il est hérissé de saillies
osseuses
plus ou moins développées. On en compte quatre
lantation. Au niveau du condyle ex- terne existent deux productions
osseuses
volumineuses ; l'une d'elles s'est re- courbée
e d'elles s'est re- courbée de façon à constituer un véritable pont
osseux
; l'autre s'est étalée et présente une surface
ace des plus irrégulières. Sur la face postérieure de la dia- physe
osseuse
, il s'est formé, entre les deux masses latérales,
et leurs contours. Dajis l'espace intercondylien existe une saillie
osseuse
, de consistance bien ferme, d'aspect blanchâtre
ais il est solidement rattaché en haut, à son congénère parunemasse
osseuse
des plus irrégulières, qui, pen- dant la vie. f
partie inférieure, les deux os sont entièrement soudés par un pont
osseux
épais et irrégulier. Les photographies ci-joint
exostoses montre que si quelques-unes sont constituées par du tissu
osseux
compact, la plu- OU\'[LI E Ic-O"OGl ! APHIE HF.
entant une fine dentelle. Dans toute la moitié externe, les travées
osseuses
deviennent plus épaisses et les mailles, qui le
dont la paroi est rendue anfractueuse par des saillies ou des ponts
osseux
. Sur toute la périphérie de la masse, le tissu
ou des ponts osseux. Sur toute la périphérie de la masse, le tissu
osseux
se condense et devient compact et résistant. C'es
osseux se condense et devient compact et résistant. C'est du tissu
osseux
éburné, mais sa minceur est, sur certains point
e pour qu'on puisse, en examinant la surface,apercevoir les cavités
osseuses
les plus super- ficielles. - L'étude histolog
u médullaire. Plus profondément enfin existent des travées de tissu
osseux
vrai limitant de larges cavités médullaires. Qu
ment curieuse de ce genre d'altérations est la fréquence de lésions
osseuses
similaires chez les ascendants des malades. Si
ples et symétriques siégeant, comme à l'ordinaire, aux ex- trémités
osseuses
les plus fertiles, mais nettement diaphysaires et
éterminer chez eux une prédisposition morbide, localisée au système
osseux
. « La prédisposition, comme le remarquent Auvray
des malformations qui rappellent celles du rachitisme. Les troubles
osseux
, observés en pareil cas, sont en rapport avec l
vement en augmentant de volume. En même temps d'autres tuméfactions
osseuses
commencèrent à se mon- trer sur différentes par
t on peut compter sur le squelette de cet individu 4 de ces tumeurs
osseuses
: 1° Sur le bord supérieur et interne du biceps
Ce fut sur celui-ci, cependant, que se développa la première tumeur
osseuse
, exactement au tiers supérieur de j'humérus, en
marqua les tuméfactions de ses jambes, lui-même les jugea de nature
osseuse
. Ces tumeurs ne lui firent jamais mal, et il ne f
une petite tumeur ronde, grosse comme une noisette, de consistance
osseuse
, indolente. La malade ne sait donner aucune ind
nfance. Il a le long de la crête du tibia gauche, deux tuméfactions
osseuses
à saillie médiocre ; au-dessus de la surface de
e la tumeur, que l'on sentait manifestement constituée par du tissu
osseux
spongieux, avec des aréoles de dimensions médiocr
nt une enveloppe cartilagineuse, sous laquelle on trouve les tissus
osseux
, propose comme moyen diagnostic différentiel' l
el' l'acupuncture. « Si l'épingle, dit-il, est arrêtée par un tissu
osseux
résistant, il s'agit d'une exostose épiphysaire
t une forme plus ou moins irrégulièrement arrondie, une consistance
osseuse
, la superficie pleine de bosses et mamelonnée.
73) a examiné au microscope huit yeux énucléés, y a trouvé du tissu
osseux
de nouvelle formation à plusieurs périodes de dév
oint de sa circonférence un de ces cartilages produit plus de tissu
osseux
qu'il n'est nécessaire pour l'augmentation de l
t aussi pourquoi ces sels vont précisément se déposer dans le tissu
osseux
, plutôt que dans d'autres tissus ; et aussi, po
t des exostoses, dit que la forme la plus simple de la néoformation
osseuse
est celle dans laquelle le périoste ou la moell
tie en une substance fondamentale homogène, en par- tie en cellules
osseuses
(1). Il est donc à penser que plus est grande la
dans les états d'irritation chronique, il se forme de la substance
osseuse
dans les tissus connectifs, qui d'ordinaire n'o
, pas de stigmates de syphilis héréditaire. Systèmes musculaires et
osseux
normaux. Rien de spécial du côté du système ner
ous sommes précédemment ex- pliqué : l'arrêt de croissance du tissu
osseux
est un effet purement local de l'inflammation m
nerveux. Destruction du tissu céré- bro-spinal, arrêt de croissance
osseux
sont deux effets parallèles d'une même (1) Etie
tant, parcheminé, conservant les dimensions et l'aspect de la voûte
osseuse
. Celle-ci d'ailleurs ne fait pas complètement d
Ce que nous trouvons ici, c'est un dévelop- pement retardé du crâne
osseux
, c'est une désagrégation probablement is- (1) E
de tissu conjonctif, en trop petite quantité pour que le squelette
osseux
se différencie : le rachis est donc ouvert ; mais
eischer, de laquelle il ressort que l'ab- sence partielle de tissus
osseux
dépend d'une cause tout à fait différente, pro-
-) (2 pl., 2 tig.), par J\locQuoT et Moutier, 61. Paget (Maladie
osseuse
de ) trois cas observes dans une même famille.
6. QEttinger et E. Agasse-Lafont. Maladie 710 TABLE DES AUTEURS
osseuse
de Paget. Trois cas observés dans une même fami
adie de Friedreich (Itnrnlonn), là à III, XVIII à XXII. Maladie
osseuse
de Paget familiale (ont- TI1'o'GEH et AGASSE -
inverse, entre les glandes sexuelles et le développement du système
osseux
. Mais, comme judicieusement l'observent MM. Launo
dans la castration,il se produit un excès de développement du tissu
osseux
, l'auteur tire la conclusion que dans la castra
de l'élargissement considérable des canaux de Hawers. La substance
osseuse
(décalcifiée) avoisinant ces lacunes est souvent
pact et un agrandissement. parallèle du canal médullaire. La moelle
osseuse
très abondante qui remplit ce canal élargi est
ation de la moelle. Il faut toutefois remarquer que les altérations
osseuses
ne sont pas partout égales. C'est ainsi qu'elle
t d'un autre service nous constatâmes avec surprise des altérations
osseuses
semblables à celles du cas précédent. Etant don
ordants, savoir : l'augmentation très importante de la transparence
osseuse
, l'élargissement considérable du canal médullaire
de trois femmes présentant comme troubles com- muns des altérations
osseuses
considérables consistant en une réduction très
en une réduction très importante de la substance compacte du tissu
osseux
avec transforma- tion de cette dernière en subs
médullaires ainsi que du canal central par résorp tion de la paroi
osseuse
. Cette altération coexiste dans le premier cas
re avaient complètement disparu. Faut-il voir entre les altérations
osseuses
et celles de la glande thy- roïde dans ces troi
ortant - peut-être le seul - dans la production du ramol- lissement
osseux
. En ne tenant compte que de notre expérience pe
'expliquer par un trouble d'ordre pa- ralytique ou par une anomalie
osseuse
, semble bien pouvoir ètre considérée comme une
dow et partage l'opinion de von Reklinghausen que le ramollis- ment
osseux
était en rapport avec la vaso-dilatation des os.
rt avec la vaso-dilatation des os. Mais il doute si cette affection
osseuse
est identique à l'ostéomalacie vraie qui se dév
ées très friables et n'étaient plus représentées que par une écorce
osseuse
très mince. Dans les os du bassin on trouvait des
difficilement, avec un couteau. Pas de tumeurs ni d'épaississements
osseux
. Tolot et Sarvouat (11) ont publié l'intéressan
eux ; par contre les éosinophiles sont relativement rares. Le tissu
osseux
avait son aspect habituel, mais les travées étaie
a substance spon- gieuse est très apparente. Au niveau des fentes
osseuses
, on observait aussi un processus de répara- tio
pérale, car la malade n'a jamais eu de gros- sesse, les séparations
osseuses
se faisaient sans déficit de la substance osseuse
e, les séparations osseuses se faisaient sans déficit de la substance
osseuse
et les os du bassin étaient, moins atteints, et
on assistait à la formation des calus bien que pauvres en substance
osseuse
. Le processus ne rappelle pas non plus le rachi
a pas donné l'impulsion au processus particulier de la dégénérescence
osseuse
, en rappelant que les suppurations chroniqnes c
tération de la fonction thyroïdienne a été responsable du processus
osseux
, mais n'admetteut pas, comme le fait Iloenicke
s précèdent souvent les 52 IIIARINESCO, PARHON ET M1NEA processus
osseux
, d'autres faits prouvent encore l'existence d'une
existence d'une action du corps thyroïde dans la nutrition du tissu
osseux
. Nous citerons d'abord l'arrêt ou le retard con
nner la raison de l'influence de cette même glande sur la nutrition
osseuse
. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'OSTÉOMALACIE 53
trouvée par Scholz a peut-être des rapports avec le ramollissement
osseux
et la sensibilité osseuse à la pression. C'est
t-être des rapports avec le ramollissement osseux et la sensibilité
osseuse
à la pression. C'est d'ailleurs aussi l'avis de
s aussi la trophicité d'autres tisssus. Pour ne parler que du tissu
osseux
, nous rappellerons que dans certains des cas qu
ment des canaux de Havers avec résorption progressive de leur paroi
osseuse
, ce qui donne un certain appui à l'opinion que
trer que les parathyroïdes interviennent dans la nutrition du tissu
osseux
. C'est ainsi que Léopold et 13eus (67) ont obse
istence d'une influence des parathyroïdes sur la nutrition du tissu
osseux
, influence exercée vraisem- blablement par l'in
départ ovarien et grâce auquel il se produisait une vasodilatation
osseuse
avec hyperhémie passive, accumulation d'acide c
e l'intervention des capsules surrénales dans la nutrition du tissu
osseux
. L'infantilisme surrénal décrit par 1<lorlat
po- physe, que filassay (121) a observé d'importantes déforma lions
osseuses
chez les jeunes chiens traités par un sérum hyp
n certain point la raison de l'influence de celle glande sur le tissu
osseux
. Malheureusement ces recherches ne sont pas non
étant dans les excrétions dans la même proportion que dans le tissu
osseux
, on peut admettre que leur perte est due à la d
peut admettre que leur perte est due à la désassimilation du tissu
osseux
. L'existence d'une ostéomalacie infantile, les
landes interviennent encore probablement dans la nutrition du tissu
osseux
. On peut penser au pancréas, glande qui à plusi
des faits prouvant l'action des glandes endocrines sur la nutrition
osseuse
et le rôle de leurs troubles dans la pathogénie
se de l'ostéomalacie en trouvant des microorganismes dans la moelle
osseuse
. Pétrone (140) aurait trouvé dans le sang et la
elle osseuse. Pétrone (140) aurait trouvé dans le sang et la moelle
osseuse
de ces ma- lades le microbe nitrifiant de Winog
dernières. Pecaud (144) réussit à isoler un diplocoque de la moelle
osseuse
et d'au- tres organes des chevaux ostéomalaciqu
icrocoque se trouve, d'après ces au- teurs, dans le sang, la moelle
osseuse
, l'urine, etc. Dans le cas de notre crétine ave
ons que l'ostéomalacie représente le syndrome de la décalcification
osseuse
, n'importe qu'elle soit la raison de cette déca
s'agissait d'un épithéliome tubulé, généralisé à tous les conduits
osseux
, et lequel avait d'ailleurs donné aussi des mé-
landulaire ame- nant par exemple une réaction spéciale de la moelle
osseuse
(prolifération des ostéoclastes) qui à son tour
r déterminerait, par un mécanisme mal pré- cisé, la décalcification
osseuse
. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'OSTÉOMALACIE 63
y aurait à connaître d'une façon exacte les réactions de la moelle
osseuse
dans les différentes modifi- cations cliniques
avers due d'après Dejerine ( 151) à une décalcification des travées
osseuses
de leur voisinage qui serait elle-même secondai
t sont atteints de dégénérescence granulo-graisseuse. « La moelle
osseuse
subit en même temps une transformation embryon-
l'ostéomalacie. Il est vrai que dans ces cas de tabes avec troubles
osseux
si marqués, il serait intéressant de connaître
graphiques j'ai pu dessiner. Il représente exactement les altérations
osseuses
de la région radio-carpienne observées dans not
arpe. Consécutivement et secondai- rement, pendant le développement
osseux
, les cartilages de conjugai- son de la tête rad
de façon parfaitement symétrique ; soit enfin pour les altérations
osseuses
mêmes, qui à l'examen radiogra- phique simulent
trouve dans les ascendants ou les collatéraux d'autres difformités
osseuses
ou articulaires (cas lez et 3e de Siegrist) ; e
ain, tant du côté ulnaire que du côté radial, possède des rudiments
osseux
qui auraient la signification philogénétique de
on, 1896. 88 COSTANTINI n'a avec eux aucun rapport de connexion
osseuse
, ligamenteuse ou tendi- neuse, s'il n'a avec eu
ébrale et les articulations coxo- fémorales sont soudées en un bloc
osseux
, tandis que les articulations des .extrémités r
r que l'im- mobilité de la colonne vertébrale tient aux altérations
osseuses
et non à la mus- culature le Dr Rosanoff, chiru
des genoux. Les autres arti- culations sont intactes. Pas de dépôt
osseux
. Douleurs aux régions lombaire et dorsale, aux
casion des mouve- ments ; la palpation révèle l'existence de points
osseux
douloureux. Atrophie Nouvelle Iconographie DE l
t saillie en avant ; les apo- physes épineuses forment un bourrelet
osseux
uni; les extrémités internes des clavicules et
es métatarsiens gauches. Absence d'autres déformations et de dépôts
osseux
sur tout le reste du corps . Toute la colonne v
et des bras sont intactes. Absence d'osléophytes et de déformations
osseuses
. La région du pharynx est diminuée dans son dia
sation des douleurs. Les parties ankylosées sont soudées en un bloc
osseux
, « qu'il est plus facile de briser que de lléch
la spondylose rhizomélique est l'absence presque absolue de dépôts
osseux
et de déformations des os (sauf une déviation c
ation douloureuse qui aurait pu signaler la présence d'un processus
osseux
. On parvient quelquefois à trouver des points d
culations affectées, mais ils n'ont aucun rapport avec le squelette
osseux
. 22° Dans une des 14 observations (obs. XI) il
u moins pour la seconde partie, cellequi conCel'I1aI il les tumeurs
osseuses
de la cuisse gauche et de la poitrine, notre diag
ans laquelle la néoformation spécifique, formée aux dépens du tissu
osseux
, qui paraît épaissi, se distingue par une zone
limitée par un cercle som- bre. Ce qui caractérise ici le néoplasme
osseux
, c'est l'érosion de l'os fail 1 par celui-ci, q
nt chez un cancéreux cachectique, comme des lésions articulaires et
osseuses
analogues surviennent chez les tabétiques ? Et
sise dans la région de l'hypophyse, se continuait dans la substance
osseuse
de la selle turcique. En ne tenant compte que
es régions occipitales. ' Il s'agit donc probablement d'altérations
osseuses
de date ancienne, 'ayant débuté déjà avant la t
rophiques. Laissant de côte les troubles trophiques articulaires et
osseux
et les trou- bles sécrétoires sudoraux, nous co
e résistance sont normales. Le sens stéréognostique, la sensibilité
osseuse
ne sont pas modifiés. Un phénomène digne d'être
la préparation anatomique ne fut plus constituée que pal' l'élément
osseux
. Après avoir été placée sur la table, la partie
ions avec leurs capsules articulaires apparurent soudées en un bloc
osseux
homogène; les por- tions des côtes ressemblaien
rvertébraux sont de dimension nor- male ; il existe une raréfaction
osseuse
des vertèbres très augmentée ; leur poids est d
rmo do rayons sur le corps de la vertèbre. Absence totale do dépôts
osseux
et de transformations. (Gr. nul). FIG. 2. - Vue
ur toute la longueur des corps des vertèbres, forment une colonne
osseuse
. Les lig. sus-bpinew sont ossifias. (Gross. : 1
y a pas d'exostose, donc pas de déformations. Par contre,les masses
osseuses
ont conservé leur disposition radiée et là où l
culent avec les deux vertèbres adja- centes, ces ligaments rayonnes
osseux
ont uni en un seul bloc, par un point ininterro
gament jaune, sont remplis sur notre pièce anatomique par une masse
osseuse
et compacte.Cette masse a le même aspect et la
hangé d'épaisseur, se sont transformés par endroits en petits ponts
osseux
qui unissent les extrémités d'apophyses épineus
gueur de la pièce forment, avec les arcs des vertèbres, une colonne
osseuse
(fig. 2 et 3, PI. XX.V). Les ligaments ossifiés
t imprégnés de sels de chaux ou s'ils sont composés d'un vrai tissu
osseux
et présentent par suite des phénomènes de métap
résentent par suite des phénomènes de métaplasie ou de néoformation
osseuse
. Dans ce but, nous avons fait une série de coup
idien et tout le ligament d'avant en arrière est composé d'un tissu
osseux
spon- gieux..4M microscope apparaissent tous le
gieux..4M microscope apparaissent tous les éléments d'un vrai tissu
osseux
: canaux de Havers, corpuscules et lamelles oss
d'un vrai tissu osseux : canaux de Havers, corpuscules et lamelles
osseuses
, il n'existe pas de vesti- ges de la structure
des élargissements en forme d'anse. Les corpuscules et les lamelles
osseuses
, qui forment la substance fondamentale au point
rniers, un système irrégulier de lamelles intercalées : les cavités
osseuses
où se trouvent les corpuscules osseux s'anastom
s intercalées : les cavités osseuses où se trouvent les corpuscules
osseux
s'anastomosent entre elles, avec les parois des c
SALPÊTRIÈRE. T. XXIV, PL.XXXVI Fin. 5. - Coupe sèche dune lamelle
osseuse
, prise dans le ligament jaune ossifié de notre
nir. 26). A la place de réseau des fibres élastiques (ng. 4), tissu
osseux
véritable. (Gross. : 4.) FIG. 6. - La même pi
lia\ers dans la coupe longitudinale avec de nom- breux corpuscules
osseux
. Lamelles osseuses. Colo- lation à fuchsine (mé
coupe longitudinale avec de nom- breux corpuscules osseux. Lamelles
osseuses
. Colo- lation à fuchsine (métbode Zimmermann).
de Havers : a, lumière du canal de Ilavois : b, cavités et lamelles
osseuses
qui forment des cercles concentriques réguliers a
la face ant. de la colonne vertébrale il il est séparé par le tbsu
osseux
, spongieux (F) qui est néoformé ; ainsi ce dern
e de cartilages et de cavités articulaires, partout do petits ponts
osseux
et des cavités médullaires d'un tissu osseux ho
tout do petits ponts osseux et des cavités médullaires d'un tissu
osseux
homogène et spongieux qui a soudé entre eux le
sto-transversal et les autres) présentent la même structure : tissu
osseux
vrai. Les disques intervertébraux ne se sont pa
us coloré par le bleu de méthylène, mais reste rose, comme le tissu
osseux
de la vertèbre ; toute cette partie antérieure
t sont conservés. Quelques-uns de ces éléments sont formés de tissu
osseux
, les autres sont formés de faisceaux tendineux
nsformées. Ces faisceaux tendineux se continuent dans les bâtonnets
osseux
néofor- 240 ELl>AnOFF niés ou dans le tiss
e la région où se trouvait l'articulation est envahie par une masse
osseuse
spongieuse et homogène, qui passe uniformément
ilages se transforment par endroits en une sorte de poutre en tissu
osseux
compact qui a gardé la configuration du cartilage
mplacé par un tissu spongieux à larges mailles, parsemé de lamelles
osseuses
(fig. 11 d, PI. XXVII). A une étude minutieuse
lles isolées du cartilage, entourées de tous les côtés par un tissu
osseux
, qui remplace le cartilage (lig. 13 et 1.4, PI.
rtilage et des cellules carti- laginenses; b, petits ponts du tissu
osseux
spongieux qui entourent la parcelle du cartilag
du canal de Havers; e, cellule cartilagineuse détachée par le tissu
osseux
néol'ormé. Pièce décalcifiée, colo- ration à la
ification uniforme se sont transformés de haut en bas en deux liges
osseuses
unies; les facettes articulaires ne se distinguen
erse toute la colonne des apophyses articulaires apparaît une masse
osseuse
, spongieuse et ho- mogène. LES GRANDES ARTICU
articulaire n'est pas visible et à sa place apparaît une substance
osseuse
; tout le reste de la surface articulaire est c
s toutes ses dimensions ; elle est privée de cartilage et a un fond
osseux
tubéreux et corrodé. Les bords de la partie usé
ns et dans tous les os, qui ont été analysés, il n'y a pas de dépôt
osseux
. L'analyse microscopique du cartilage des artic
es cervicales su- périeures, se recouvrent d'exostoses et de dépôts
osseux
qui forment sail- lie sur la surface extérieure
pression de la moelle épinière et des racines nerveuses. Les dépôts
osseux
extérieurs peuvent être sentis sous la peau d'u
ections-provoquent, en outre, des déformations locales du squelette
osseux
, à caractère atrophique et hypertrophique, ce qui
mo- bilité et une difformité très prononcée du rachis, des saillies
osseuses
anormales et une série de troubles radiculaires
sculaires d'origine dégénérative) qui sont provoqués par les dépôts
osseux
compresseurs. Dans cette forme, les petites art
rale constitutionnelle qui provient d'une altération sénile du tissu
osseux
(mal sénile, morbus coxae senilis). III. L'ar
tissu conjonctif nouvellement formé en os spongieux) une « arthrite
osseuse
ou arthrilis ankilopoetica de Ziegler ». Enfin, i
jonctive des ligaments normaux. On ne voit partout qu'un vrai tissu
osseux
; tandis que quelques restes microscopiques des ca
ne cause en dehors de la couche cartilagineuse ou de la subs- tance
osseuse
spongieuse capable d'expliquer toutes ces altérat
loppe progressivement, comme nous venons de le signaler, l'ankylose
osseuse
dans les articulations du rachis. L'ensemble de
ormation du rachis et des « ra- cines des membres » en un seul bloc
osseux
. L'ostéoporose est la lésion primordiale, mais
s résultats de ces troubles généraux portent surtout sur le système
osseux
. PRONOSTIC 1. La maladie qui se développe trè
al et de l'hypoglosse s'explique relati- vement bien par une lésion
osseuse
, il devient beaucoup plus malaisé d'expliquer c
e du facial et surtout du moteur oculaire externe dont les rapports
osseux
sont beaucoup plus importants. Enfin nous avons
s'accordent d'ailleurs avec l'examen radiographique des extrémités
osseuses
qui montrent les épiphyses définitivement soudées
hyses sont déjà soudées (le malade n'a que 20 ans). - Les travées
osseuses
sont très nettes et leur architecture remarquable
tesque. Toutefois, nous avons cru devoir insister sur sa charpente
osseuse
solide, sur son architecture puissante. Son tho
ant entre la fonction de l'hypophyse et le développement du système
osseux
(acromégalie). Aussi peut-on supposer que tous ce
use mécanique, c'est-à-dire de l'absence de fixation des extrémités
osseuses
dans leurs articulations et, quand il s'agit de l
, se trouvent maintenues immobiles et par conséquent les extrémités
osseuses
intra-articulaires sont maintenues bout à bout
illeurs aussi l'opinion de Constantini. Les mul- tiples altérations
osseuses
rencontrées par Regnault et Lépinay (1) dans la
es os. Le petit apendice chirnu n'a pas de rapports avec le squelette
osseux
. Malade de la seconde observation. Remarquer le
tion par contre-coup et d'une façon toujours tardive ? Les troubles
osseux
du massif facial (voûte palatine, nez et maxillai
te aux expériences de Thaon et à celles de Delille sur les troubles
osseux
d'origine hypophysaire, on ne trouve rien d'exac-
s a montré des cartilages soudés (voir la planche) et une structure
osseuse
normale. Le système ne> veux est normal par
e cons- tatai ni céphalée, ni glycosurie, ni hypertrophie du massif
osseux
de la face ; mais il y avait de la cyphoscolios
qu'il existe une certaine laxité ligamenteuse et que les sur- faces
osseuses
de l'articulation ne sont pas parfaitement consti
n chez certains de nos malades, leur association aux manifestations
osseuses
n'infirme pas l'hypothèse de l'arrêt de dévelop
ive observée dans tout membre condamné à l'immobilité. Le système
osseux
présente, lui aussi,après certains traumatismes,d
Limites du sujet. Il ne s'agit pas dans nos observations de lésions
osseuses
consécutives à des traumatismes intéressant direc
aso-motrices et sudorales. Nous n'aurons en vue ici que les lésions
osseuses
consécutives à des traumatismes dans lesquels a
men indispensable actuellement pour établir l'existence des lésions
osseuses
de ce genre. Historique. Les altérations de s
kdans un article de la Revue de chirurgie (1903) (2). Ces atrophies
osseuses
calcaires tantôt uniformes, tantôt disposées par
opique. Or les blessés chez lesquels se produit celte raréfac- tion
osseuse
accusent une diminution de la force musculaire et
e mettre en évidence. Quoi qu'il en soit, la coexistence de lésions
osseuses
et de douleurs accusées par le blessé mérite de r
r 7<OH6ns<ra/teH, 1902. (2) Imbert et GACNOEKE, Des atrophies
osseuses
calcaires consécutives à un trauma- tisme, Revu
dème. L'augmentation de volume porte principale- ment sur le massif
osseux
, plus spécialement au niveau de l'extrémité infé-
loïde du cubitus. Mais ce qui frappe surtout, c'est une raréfaction
osseuse
intéressant tous les os du carpe, l'extrémité i
re du radius et du cubitus, la tête des méta- carpiens. Les travées
osseuses
sont effacées. L'os est devenu plus transparent.
ordre observées plus tard dans les muscles et la peau. Les lésions
osseuses
ne sont pas limi- tées aux os intéressés par le
une certaine distance du foyer primitivement lésé. Les altérations
osseuses
, manifestes 470 ' HALIPRÉ ET JEANNE quatre mo
rémité infé- rieure du radius et du cubitus présentent une atrophie
osseuse
très marquée. Les os sont transparents ; on ne
Les os sont transparents ; on ne retrouve aucune trace des travées
osseuses
normales ; la décalcification est très prononcé
ge radiographique par des oedèmes. Il s'agit donc bien d'une lésion
osseuse
. Cet exemple leverait tous les doutes s'il en pou
e une amélioration manifeste. Les os sont plus opaques, les travées
osseuses
se reconstituent. Toutefois la comparaison des
uatre ans plus tard montre une reconstitution partielle de la trame
osseuse
au niveau du carpe, laissant toutefois subsister
t soupçonner entre les amyotrophies abarticulaires et les atrophies
osseuses
posl-traumatiques. Observation III (PI. LXXV).
t conservé une structure sensiblement normale est détaché du massif
osseux
et a perdu de ce fait ses connexions vasculaires
males avec les centres nerveux pré- sentent au contraire l'atrophie
osseuse
caractéristique. La lésion s'étend au delà du f
que. La lésion s'étend au delà du foyer traumatisé. Il y a atrophie
osseuse
articulaire et abrcrti- culaire comme il y avai
ravail. S'il est intéressant de connaître l'existence des atrophies
osseuses
post- DYSTROPHIES OSSEUSES t'oST=r111UVIATIQUI.
sent-ils, de statistique, mais ont l'impression que les atro- phies
osseuses
sont assez fréquentes. Pour notre part, nous avon
avec ses caractères habituels. Chez notre premier malade, la lésion
osseuse
persiste dix mois après l'accident. Et cela malgr
remier malade, n'a pas repris le travail. L'existence de l'atrophie
osseuse
étant démontrée, y a-t-il lieu d'en tenir compt
és du travail ? Comme nous l'avons vu, la constatation d'une lésion
osseuse
chez notre première malade modifia complètement
çon les troncs nerveux, une décalcification, véritable dystro- phie
osseuse
, de la région blessée et des os voisins. Cette al
ce du traumatisme ; 2° L'analogie qui existe entre cette dystrophie
osseuse
et les amyotro- phies abarticulaires permet d'a
dance du système ner- veux, on peut considérer également l'atrophie
osseuse
post-traumatique comme un véritable trouble tro
umatique comme un véritable trouble trophique. 3° Les dystrophies
osseuses
peuvent constituer un élément d'apprécia- tion
it impossible de déterminer exactement l'influence de ces atrophies
osseuses
sur les incapacités fonctionnelles, il est légiti
ent un peu fléchies. Pour étendre celles-ci, il faut que les inter-
osseux
et lombricaux entrent en jeu pour leur propre com
recherches. TABLE DES MATIÈRES Accidents du travail (Dystrophies
osseuses
post-trwtlnaliques. Leur importance au point
ngénllales associées des mains (2 pi.), par Fuii 329. Dystrophies
osseuses
post-traumatirlues, leur importance au point de
re. et de la moelle allongée, 360. JEANNE et Halipré. Dystrophies
osseuses
post-traumatiques (2 pl.). 472. Jonnesco (Vic
e et déformations acromé- galoïdes (Mikulski), LI. 11) ;,trophics
osseuses
post-traumatiques et .Tetsse), LXXIII à LXXV.
PROPOS D'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE. LA PATHOGÉNIE DE LA MALADIE
OSSEUSE
DE PAGET, PAR M. KLIPPEL, Médecin de l'hôpi
bien connus, James Paget (1) eut donné droit de cité à l'affection
osseuse
qui porte aujourd'hui son nom, et que Huilier (
. London, 1882. (2) Cités par P,\GR'r, (3) JULES VINRENT, Maladie
osseuse
de Paget. Thèse Paris, 1904. (4) Lancereaux, Tr
horaciques. La malade venait nous trouver, moins pour son affection
osseuse
, que pour des palpitations qui lui empêchaient
t, et qui sem- blent liées à une insuffisance mitrale. Les troubles
osseux
, très typiques, ne permettent aucun doute sur l
ie générale de Bouchard, t. III, p. 9-92. (2) L. Jacquet, Maladie
osseuse
de Paget guérie par le traitement antisyphilitiqu
r- thermie locale, et, peut-être, plutôt au processus de rénovation
osseuse
qu'à celui de raréfaction (ce sont ces deux pro
première vue, lorsqu'on examine cette malade, c'est la déformation
osseuse
qu'elle présente au niveau du membre inférieur dr
sa dernière grossesse, qui remonte à onze ans, que les déformations
osseuses
de Mme Baud... ont débuté, au niveau du tibia d
es de la malade ce serait surtout depuis cet ictus que les troubles
osseux
seraient de- venus plus manifestes. NOUVELLLE
côté du membre supérieur on ne constate aucune grossière altération
osseuse
; les mensurations du bras, du coude, de l'avant-
rhumatisme ostéo-hypertrophique de Féréol). Si le nom de « maladie
osseuse
de Pagel» » a prévalu, c'est qu'il ne préjuge de
yphilis un rôle capital et exclusif dans l'étiologie de cette maladie
osseuse
. Une telle théorie est-elle actuellement fondée
s qui existent entre la syphilis héréditaire tardive, et la maladie
osseuse
de Paget, cette « syphilis ultra- tardive » de
ur, 1907-1908). ). (1) Ménétrier et G,WCKLKR, Deux cas de maladie
osseuse
de Paget avec examen anatomique, Société médica
Soc. méd., 1903, p. 574. (2) l1rrreTmsn et liuBCVS-D VAL. Maladie
osseuse
de Pagel et Syphilis. Soc. méd. des hôpitaux, 2
, loc. Ci(. (4) ,1 E \ FIIICCIIOU, Des rapports de Thérédo-syphilis
osseuse
tardive avec l'osteile déformante progressive,
juger d'un certain nombre d'observations de ce genre que la maladie
osseuse
de Paget a peut-être plus de prédilec- tion à s
que » (Fournier). Une preuve, bien (1) Gaucher et ROSTA1NE, Maladie
osseuse
de Paget améliorée par le traitement antisyphil
c. Cit.. (4) Fréchou, loc. cil. (5) Du Castel et SFBIPER, Maladie
osseuse
de Pagel. Soc. de dermat. et syphil., 11 avril
s chiffres qu'elle tire toute sa force, a été fournie par la chimie
osseuse
. On sait que l'os pagétique est caractérisé ess
montrent l'insuffisance de la théorie syphi- litique de la maladie
osseuse
de Paget. Gaston Legros (3) et André Léri (4) o
oup, il y a une dislocation, une désorientation extrême des travées
osseuses
qui ont sur une image radiographique l'aspect e
aines analogies cliniques unissent l'ostéite de Paget à la syphilis
osseuse
, il n'en est pas moins vrai que des différences
t sans doute une cause adjuvante pour le développement de sa lésion
osseuse
tardive, mais il n'y a pas entre cette lésion e
n, Verein Freiburger Aerzte, 30 mai 1902. (5) BAa1'HÉLEItT, Maladie
osseuse
de Paget chez l'homme et maladie du son chez le
de cer- tains troubles nerveux peuvent se développer des accidents
osseux
, dont le type est l' : rrêt de développement qu
(3) Ki,iPPEL et P1ERRE-WEIL, Présentation d'un squelette de maladie
osseuse
de Pagel. Soc. de Neurol., séance du 5 novembre
STROPHIANTES DES OS 1 (A. Léri G. Legros). J Un tibia de syphilis
osseuse
héréditaire tardive (A) et un tibia de maladie de
fficile d'af- ' , firmer que ces lésions sont cause des altérations
osseuses
: le fait estmême très peu probable, étant donn
permis, aujourd'hui, de les considérer comme la cause de la maladie
osseuse
. Elles sont liées sans doute à des troubles de l'
la moelle ; certaines peut-être sont conditionnées par la lésion *
osseuse
primitive. Toutes ces lésions, nullement systém
diffuses de légère sclérose médullaire ne sont à la base des lésions
osseuses
de la maladie de Paget. Mais il est probable po
es lé- sions une fois formées, contribuent à aggraver les processus
osseux
et ar- ticulaire. Mais, si l'origine médullai
artères des membres, incrustées de sels calcaires. « Les lésions
osseuses
de la maladie de Paget semblent être, selon lui,
onc l'athérome est fréquent, sinon constant, au cours de la maladie
osseuse
de Paget ; malheureusement dans toutes les obse
ut-être serait-ce moins par une susceptibilité héréditaire du tissu
osseux
que du tissu artériel, qu'il faut expliquer .cert
se-Lafont(7), J. Walter. La pathogénie « artérielle » de la maladie
osseuse
de Paget explique bien comment l'affection peut
e médecine, 3 mars 1903. (7) OI : TT1GER et AG.155GL.1FOVT. Maladie
osseuse
de Pagel. Trois cas observés dans une même fami
n qu'à un moindre degré. « Cette singulière répartition des lésions
osseuses
du squelette de la main jointe à l'intégrité de
ressant qu'à demi Tarière nourricière de l'os voisin... Les lésions
osseuses
de la mala- die de Paget semblent être des lési
fet, ont mis en relief les analogies qui existent entre les lésions
osseuses
pagétiques et celles des scléroses viscérales :
par un tissu conjonctif f pauvre en vaisseaux ; « dans les lamelles
osseuses
prédomine une subs- tance, physiologiquement ho
iologiquement homologue de la substance conjonctive, la subs- tance
osseuse
fondamentale, avec diminution du nombre des éléme
ez les pagétiques que l'on peut assurer qu'elle provoque ce trouble
osseux
, car, combien n'y a-t-il pas d'artério-scléreux q
clérose est trop fréquente, et l'ostéite déformante, cette « sclérose
osseuse
hypertrophique » (Ménétrier et Gauckler),est tr
ur important nous échappe encore dans la pa- thogénie de la maladie
osseuse
de Paget.. N SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DB ? i7S S
ELQUES AFFECTIONS DYSTROPHIANTES DES OS (MALADIE DE PAGET, SYPHILIS
OSSEUSE
, OSTÉl\L\.L.\.CIE, RACHITISME). PAR R ' G. LE
E). PAR R ' G. LEGROS et A. LERI. Un certain nombre de maladies
osseuses
ont été souvent jusqu'ici diffi- ciles à différ
musée Dupuylren nous offrait la réunion d'une série de déformations
osseuses
dont nous ne pouvions espérer trouver l'équiva-
er aujourd'hui ceux que nous a fournis l'étude de quatre affections
osseuses
dystrophiantes qui présentent entre elles certain
nes similitudes cliniques : d'une part maladie de Paget et syphilis
osseuse
tardive dont les manifestations sont considérée
ez comparables entre elles. D'une façon générale toutes les lésions
osseuses
dystrophiques ou in- flammatoires ont été ramen
t épaississement, for- mée de couches concentriques de néoformation
osseuse
; rien dans le canal osseux, rien dans les épiph
e couches concentriques de néoformation osseuse; rien dans le canal
osseux
, rien dans les épiphyses ne rappelait l'aspect ou
vait au contraire la disposition régulière et normale des tra- vées
osseuses
(3). (Il Un tibia par exemple nous a montré, à
que cette déformation est considérée comme le type des déformaiions
osseuses
de la syphilis tardive ; mais elle est beaucoup p
ts tout à fait typiques une différenciation des diverses affections
osseuses
préci- tées, différenciation qui assurément ne
existe une fragilité spéciale de l'os. Les altérations du sys- tème
osseux
bien connues dans le tabes rendent parfaitement c
'est assurément la théorie qui invoque un trouble dans la nutrition
osseuse
, théorie soutenue aussi par KIRAIISSON, qui corre
ors que la malade tient sa tête fléchie en avant, l'on voit un relief
osseux
très prononcé au niveau de la troisième vertèbr
rition de la fo.s-- sette sous- occipitale, palpation d'une saillie
osseuse
par le toucher pha- ryngien, troubles dans la d
nt très atrophiées ; les deuxièmes apparaissent comme des boulettes
osseuses
informes ; les troisièmes sont très petites, tria
écrites par M. P. Marie et qui prouvent que les différents segments
osseux
des membres ne sont pas chez les achondroplasique
chez un homme normal du même âge ; la proportion relative du tissu
osseux
compact et spongieux est normale aussi dans tou
et Durante pour invoquer une étude histologique complète du système
osseux
de ces animaux; seulement la démonstration de l'i
ments, soit seulement dans leurs dernières phalanges. Si les inter-
osseux
se contractent, on observe une flexion de la prem
£ TnE (Service de M. le Professeur PIEIInu MARI). LES ALTÉRATIONS
OSSEUSES
AU COURS DE LA MYOPATHIE PAR PIERRE MERLE e
MYOPATHIE PAR PIERRE MERLE et RAULOT-LAPOINTE. Les altérations
osseuses
ont été étudiées au cours de différentes maladies
ou. Ces considérations nous ont engagé à rechercher l'état du tissu
osseux
sur une série de myopathiques par l'exploration
avons ici affaire à un processus frappant le développement du tissu
osseux
en tous ses points, bien différents de l'atroph
tableau d'ensemble s'écartant de toutes les ma- ladies et atrophies
osseuses
typiques. » Lothar Dreyer (2), dans deux cas ob
pas subi de modifications. Le dessin carac- téristique des travées
osseuses
est altéré. Les nervures sont plus écartées et
istincte qu'à l'ordinaire. Noïca (3) conclut à l'absence de lésions
osseuses
après examen radio- graphique de deux cas de my
un 1/ ! ? Iopalhique, Presse médicale févr. 1909. LES ALTÉRATIONS
OSSEUSES
AU COURS DE LA MYOPATHIE 231 quels ont porté no
LLLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. PI. XXVI ALTÉRATIONS
OSSEUSES
DANS LA MYOPATHIE (Pierre Merle et Raulot - Gap
. A. - Genou normal. B. - Genou de myopathique LES ALTÉRATIONS
OSSEUSES
AU COURS DE LA MYOPATHIE 233 rieurs sont atro
sont mieux conservés, ou ne peut obtenir de réflexes. Modifications
osseuses
. Genou. C'est l'articulation qui nous a montré
sparents, ce qui. indique la dimi- nution de la densité des couches
osseuses
aussi bien du tissu compact que du tissu spongi
les, en particulier, n'ont pas le développement normal ; leur masse
osseuse
, qui d'ordinaire fait une saillie marquée en ar
presque transparente, sans aucun relief, et la raréfaction du tissu
osseux
est ici remarquable. Le véritable bouclier du t
urs extrêmement transparente et montre la même raréfaction du tissu
osseux
. Chez Mes ! ... Léopold (no 3),et Meus... Arthu
LLLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. PL XXVII ALTÉRATIONS
OSSEUSES
DANS LA MYOPATHIE (Pierre Merle et Raulot-Lapoi
(12 ans). B. - Bras d'un myopathique de même âge. LES ALTÉRATIONS
OSSEUSES
AU COURS DE LA MYOPATHIE 235 morale, ensuite le
ilité extrême des os portant sur les diaphyses, et l'aspect du tube
osseux
dû à l'atrophie du tissu spongieux. Humérus.
nousa donné moins de renseignements que celle du genou. Les reliefs
osseux
sont moins accentués à ce niveau, il est plus d
image apla- tie, homogène de nuance ; absence complète des saillies
osseuses
d'inser- tion musculaire. Le même genre de modi
cavité olécranienne. Chez la plupart de nos malades, les trabécules
osseuses
ontpresque disparu. L'opacité des parties compa
e de l'atrophie des éminences thénar et hypothénar, les altérations
osseuses
ne sont pas extrêmement marquées. Il existe cep
ELLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. XXVIII ALTÉRATIONS
OSSEUSES
DANS LA MYOPATHIE (Pierre Merle et Raulot - Lap
s. B. - Myopathie avec atrophie des masticateurs. LES ALTÉRATIONS
OSSEUSES
AU COURS DE LA MYOPATHIE 237 distingue cependan
U COURS DE LA MYOPATHIE 237 distingue cependant bien les trabécules
osseuses
; la diminution de tissu compact sur les côtés
iser d'une façon tout à fait nette la superposition des altérations
osseuses
et musculaires. De plus chez notre myopathique
partage l'ordinaire. Nous voyons qu'il s'agit bien d'une altération
osseuse
parallèle l'atro- phie musculaire et non pas d'
ion. C'est bien plutôt Bel... qui devrait présenter des altérations
osseuses
, si l'on admet- tait cette pathogénie : il ne p
laire et peuvent se préciser de la manière suivante : 1° Le tissu
osseux
subit des modifications de quantité (amincissemen
E ET RAULOT Les modifications du premier genre portent sur le tissu
osseux
dans son ensemble : les altérations du tissu co
dans l'humérus. La disparition ou l'atténuation de tous les reliefs
osseux
et apophyses d'inserlions musculaires. Les co
airement à l'atrophie mus- culaire, et l'on conçoit que les reliefs
osseux
puissent s'émousser quand les muscles n'agissen
plus sur leurs insertions. Mais l'examen des radio- LES ALTÉRATIONS
OSSEUSES
AU COURS DE LA MYOPATHIE 239 graphies qui conce
oncernent les sujets jeunes donne bien l'impression que les lésions
osseuses
observées constamment se développent parallèlemen
ations, et d'éliminer l'inaction, comme cause possible d'altération
osseuse
, puisque ce malade se sert journellement de ses m
rophique atteignant les deux systèmes, ou à une lésion d'involution
osseuse
parallèle à l'involu- tion musculaire, c'est un
dre. Elles montrent seulement la coexistence des deux altérations :
osseuse
et musculaire au cours de la myopathie, ou, pour
tachent pas, mais elles sont très nettement visibles et les reliefs
osseux
se dessinent sous la peau. Les bras grêles dans
e nosographique nettement distinct des autres affections du système
osseux
et dans ces dernières années on a publié succes
OUVELLLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. XXXI MALADIE
OSSEUSE
DE PAGET (Pascarolo et Bei-tolotti). Photogra
s'être déplacée en avant. Malgré toutes ces altérations du système
osseux
, l'état général du malade ne commença à se modi
n fin duvet grisâtre ; au toucher on sent sous la peau que la boîte
osseuse
du crâne est lisse, que les soudures sont réguliè
res sont régulières sans aucune hypé- rostose ni autre irrégularité
osseuse
. Aucun point douloureux n'existe sur toute la s
oux comme chez les singes. Toutes les altérations de la charpente
osseuse
semblent nettement plus ac- centuées du côté ga
UVELLLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. XXXII MALADIE
OSSEUSE
DE PAGET 1 (Pascarolo et Bertolotti). Masso
des clichés médiocres où l'on peut voir confirmées les déformations
osseuses
, sans que l'on puisse en étudier les détails. I
hie nous a permis de relever des altérations particulières au tissu
osseux
. En effet à l'état normal la radiographie de la
noires parallèles ou très légèrement obliques, qui sont les travées
osseuses
et qui forment entr'elles des mailles très allo
de l'os. En regardant au niveau des épiphyses on voit que les travées
osseuses
se font plus grandes et plus nombreuses et sont
PI. XXXIII) se montre plus transparent qu'un os normal. Les travées
osseuses
sont très irrégulières, elles ont perdu leur di
aires irrégulièrement épaissies. Ça et là on remarque de l'atrophie
osseuse
, tandis qu'à côté on peut voir des travées irré
irrégulièrement semées qui témoignent d'une véritable néoformation
osseuse
. . En somme, on peut remarquer dans ce cliché,
. Dans cette radiographie on voit tout de suite que les altérations
osseuses
du tibia sont bien plus évidentes que celle du
n n'étant visible dans sa diaphyse, c'est à peine si les trabécules
osseuses
sont un peu irrégulières et transversales à la
velle Iconographie DE*LA*SALPLTRItRE" T. XXII. PI. XXXIII MALADIE
OSSEUSE
DE PAGET (Pescarolo et l3erlolofli). NOUVELLE
ltération des articulations des petites phalanges. Les trabécules
osseuses
sont altérées, le tissu spongieux aussi ; l'inter
es ses formes : les sensibilités : tactile, douloureuse, thermique,
osseuse
, stéréognostique, etc. ont été trouvées normale
s. . La motilité des membres s'accomplit au prorata des altérations
osseuses
et articulaires. - Le tonus musculaire est pe
n peut remarquer d'abord l'évolution très lente de cette dystrophie
osseuse
, qui a débuté il y a plus de 15 ans et qui ne sem
e une certaine lenteur dans l'évolu- tion, puisque les déformations
osseuses
du malade, que nous avons étu- diées cliniqueme
s. Au contraire il n'est pas rare de voir des cas où la déformatiou
osseuse
se fait d'une façon presque subaiguë rappelant
UN CAS D'OSTÉITE DEFORMANTE DE PAGET 263 dominance de la dystrophie
osseuse
du côté gauche. En effet le thorax, les épaules
de Neurologie de Paris le 5 novembre 1908, sur un cas de mala- die
osseuse
de Paget à forme unilatérale. L'observation des a
quelques troubles articulaires qui sont secondaires aux altérations
osseuses
. Pour ce qui a trait au rhumatisme des petites jo
il, comme il a été dit plus haut, il s'agissait d'un cas de maladie
osseuse
de Paget à forme unilatérale et à ce propos les
urieux à savoir que, du côté malade où il existait des déformations
osseuses
, on avait trouvé ü plusieurs reprises une hy- p
LO ET BERTOLOTTI 1 notre malade pour noter l'importance des lésions
osseuses
et articulaires des phalanges, qui révèlent un
t, avec raison, que ces nodosités sont une manifestation du trouble
osseux
hypertrophique, puisque leur malade ne présenta
itique. Bien que l'attention se concentre avant tout sur le système
osseux
, il y a d'autres lésions et d'autres symptômes
e les troubles cardio-vasculaires sont consécutifs aux déformations
osseuses
. , On a entendu beaucoup parler dans ces dernie
s, peuvent être retenus dans l'organisme et accumulés dans le tissu
osseux
. Cette expli- cation n'est pas légitime, il suf
ve, où dans la plupart des cas on avait constaté un état de malacie
osseuse
et une di- minution très sensible des phosphate
déjà assemblés. Son pas est lourd et incertain. Ses mains, pâles et
osseuses
, tâtent l'air, pour mieux se diriger dans l'omb
ssance sexuelle. Obésité de haut degré ; atrophies et hypertrophies
osseuses
du squelette. Altérations de l'échange matériel
diffé- rentes parties à cause de l'épaisseur différente des parois
osseuses
. Le ressaut post-lambdoïdien est très accentué.
des parties molles, car la radiographie nous apprend que le profil
osseux
des dernières phalanges n'est pas altéré en ce
auche on voit, du côté ex- terne de la dernière phalange, une épine
osseuse
bien dessinée ; le profil de la dernière phalan
sus épineux; surtout évidente est à la surface inférieure une épine
osseuse
qui correspond à l'insertion de l'apo- névrose
res sont par- faitement ossifiés. Si nous confrontons ces lésions
osseuses
à celles que l'on trouve en gé- néral dans l'ac
ominant est repré- senté par l'association de phénomènes d'atrophie
osseuse
liés à des faits d'hypertrophie. Nous voyons pa
s la présence d'ostéophytes, d'exostoses à forme d'éperon, d'épines
osseuses
anormales. Ces exostoses existaient dans notre
oblitérée. Ce ganglion montre, dans un endroit, un morceau de tissu
osseux
, avec des cellules osseuses très nettes, situé
tre, dans un endroit, un morceau de tissu osseux, avec des cellules
osseuses
très nettes, situé entre les fibres et les cellul
, situé entre les fibres et les cellules gan- glionnaires. Ce foyer
osseux
est entouré par une mince couche de tissu con-
cette fente est oblitérée dans sa région médiane par une tubérosité
osseuse
entre la troisième et la quatrième vertèbre. La
e pour la fente entre la cinquième et la sixième vertèbre. Du tissu
osseux
de nouvelle formation oblitère également l'espa
s devant, mais sont oblitérées latéralement par des épaississements
osseux
. Les vertè- bres dorsales supérieures sont atro
te fente est fermée latéralement et à gauche par une bande de tissu
osseux
qui se présente sous forme d'un ligament, d'asp
sous forme d'un ligament, d'aspect plus blanc que le reste du tissu
osseux
. Les deuxième, troisième et quatrième vertèbres
sacrée. Les côtes sont réunies à la colonne vertébrale par du tissu
osseux
(synos- tose) ; il en résulte une ankylose comp
plus d'exostoses. Les ligaments n'étaient pas envahis par du tissu
osseux
, mais étaient pour la plupart atrophiés ou comp
rtilages intervertébraux ainsi qu'à la mise en contact des surfaces
osseuses
des vertèbres voisines. Ce n'est donc pas un pr
sur un terrain neuropathique est une altération trophique du tissu
osseux
. C'est pourquoi, dit-il, la cause réside dans les
terew. Enfin, Marie, Marie et Léri, sont d'avis que les altérations
osseuses
sont la cause de la spondylose rhizomélique. Il
ossification est précédé par l'ostéoporose. La raréfaction du tissu
osseux
était observée au fond de la cavité cotyloïde, à
tée dans certaines parties est comme com- pensée par l'infiltration
osseuse
des ligaments; la spondylose rhizoméli- que se
ommeuses des os ; dans le second, de troubles trophiques du système
osseux
. Les lésions syphili- tiques des os sonl caract
ce que nous avons également observé chez notre malade. La sclérose
osseuse
était de la même origine que la sclérose vascul
lysie générale. Il en est résulté des altérations graves du système
osseux
. Si cependant la sclérose, comme résultat des t
tat des troubles trophiques, peut expliquer l'évolution des lésions
osseuses
, nous nous demandons d'où vient l'ankylose des
les vieillards, chez qui les cartilages subissent la transformation
osseuse
, nous sommes bien obligé d'admettre que la syno
ertèbres lombaires, elles sont réunies en avant par de petits ponts
osseux
formés aux dépens du cartilage intervertébral et
pour la formation d'une ankylose que toute autre partie du système
osseux
. Ces articulations sont moins mobiles que nos a
s voisines ; l'appareil ligamentaire subit aussi une transformation
osseuse
. Le disque intervertébral est en général atroph
ntées de volume et accessibles à la palpation. On note une tumeur
osseuse
sur le côté gauche de la colonne vertébrale, im-
La déviation de la colonne vertébrale et le volume de la tuméfaction
osseuse
n'ont pas subi de modifications. Il présente
on éten- due, comblée par endroits de cannelures ou d'arborisations
osseuses
. Faces irrégulières, plus ou moins dépolies et
anatomo-pathologique de l'arthropathie tabétique et des altérations
osseuses
qui l'accompagnent, a déjà, par lui-même, d'une f
, il peut être totalement résorbé et rem- placé par de la substance
osseuse
spongieuse. La capsule articulaire peut s'épais
syno- viales, avec formation de corps articulaires cartilagineux et
osseux
. Les ligaments s'allongent, se relâchent; ils p
vertèbres disparaissent ; sur d'autres se déposent des productions
osseuses
de nouvelle formation, irrégulières et de dimen-
volumineuse. Le processus hypertrophique consiste en néoproductions
osseuses
et se manifeste spécialement sur les vertèbres
de la vertèbre sus- jacente plus atrophiée, forment comme des ponts
osseux
entre les vertè- bres qui participent en plus g
s qui participent en plus grande partie au processus morbide, ponts
osseux
qui permettent une stabilité suffisante de la col
e façon très claire, des processus de résorption et de néoformation
osseuse
. 3° et 4° Cas de Baduel (I. c.). Dans tous les
ébraux existent des zonesclaires, indice d'une raréfaction du tissu
osseux
, qui est plus marquée en certains points ; les su
s (ostéophytes) et qui en certains points forment presque des ponts
osseux
entre une vertèbre et l'autre. Chez un des malade
colonne lombaire est représentée sur la radiographie par une masse
osseuse
amorphe, irrégulièrement t cylindrique, avec de
indrique, avec des zones de raréfaction et des zones de néoproduction
osseuse
. Notre radiographie confirme pleinement tout ce
e probabilité, la 3e lombaire, vertèbre sur laquelle la raréfaction
osseuse
avait atteint son maximum d'intensité, quand el
s cité à maintes reprises. Mais en concomitance avec la raréfaction
osseuse
, comme s'il se préparait un travail pour obvier
t sur un fait, que je crois en rapport direct avec les déformations
osseuses
dues à l'os lé-oa rili ropa (li ie : sur l'atro
hropalhie, Il reste maintenant à discuter de quelle façon la lésion
osseuse
a pu engendrer celte atrophie. Les éventualités
ù la vertèbre a cédé à cause de la pré- dominance de la raréfaction
osseuse
, on ne peut le penser, quand on se rappelle que
inférieure, présente sur la face dorsale des points de néoformation
osseuse
qui semblent s'être fondus en une masse unique,
iron en avant de l'articulation tibio-tarsienne. Cette néoformation
osseuse
paraît, dans son ensemble, être grosse comme la
ants de tabes qu'il pré- sen ta i t. 't) M. EGGER, La sensibilité
osseuse
(ltev. Neurol., 1908, n° 8, 30 avril, page 345).
die, rapprochent plus ou moins le cas d'autres formes dystrophiques
osseuses
. Je passe de suite à l'exposé de l'histoire cli
. Homme d'une constitution squelettique irrégulière par difformités
osseuses
et articulaires des membres, spécialement delà pa
ent le long de la portion gauche de la suture lambdoïde. Les lignes
osseuses
d'insertion des muscles sur l'apophyse mastoïde
me ovarique et le cancer gastrique probable de sa femme. La maladie
osseuse
dont Lippi est affecté date de 15 ans; elle com-
s sa moitié postérieure; il est asymétrique et présente les reliefs
osseux
normaux très prononcés. Donc dolichocéphalie (I
uel a contribué la déformation thoracique, conséquence du trophisme
osseux
altéré. Pour ce qui concerne le système cardi
s auteurs sur la maladie de Pagel, la distribution des déformations
osseuses
a dans ce cas quelque chose de spécial. En effe
, je crois qu'il me sera facile d'éliminer les autres dis- trophies
osseuses
qui pourraient encombrer le'champ diagnostique.
t du critérium de l'âge : nous savons sûrement que les déformations
osseuses
ont débuté chez Lippi à 43 ans ; or les formes
but toutes avant 20 ans, cela sans tenir compte du type des lésions
osseuses
, qui dans les deux maladies sont bien différentes
surie, une évolution plus rapide. Pour ce qui concerne la syphilis
osseuse
je me réserve d'en parler plus tard. ' Récemm
de mon cas; il ne vaut pas la peine d'insister sur d'autres formes
osseuses
qui tiennent une place intermédiaire entre les
is, -pour le rapprocher plus ou moins d'autres formes de dystrophie
osseuse
. C'est ainsi que Gilles de la Tourette et Magde
des os, la déformation du bassin, les fractures, les traces de cals
osseux
et le jeune âge du malade (30 ans dans le cas d
tte maladie, ont eu recours, pour l'étude appro- fondie des lésions
osseuses
, aux rayons X. Très récemment Legros et Lévi (1
M. tendaient à mettre en rapport de cause à effet avec les lésions
osseuses
, ont été confirmées par les cons- tatations de
la moelle épinière sénile. Du reste, la distribution des lésions
osseuses
, malgré que parfois elles prévalent d'un côté e
e sont ordinairement d'un certain âge et c'est pourquoi les lésions
osseuses
et vasculaires pourraient coexister, comme on a
actuel des choses, un jugement absolu sur l'étiologie de la maladie
osseuse
de Paget est prématuré. Considérant les nombreu
ubstances introduites dans l'organisme, d'une altération du système
osseux
qui est très riche en phosphates ter- reux. I
constater dans certains cas des faits très mani- festes d'atrophie
osseuse
liés à des faits non moins évidents d'hypertro-
te : Etat général. Le malade, de constitution moyenne, a le système
osseux
normal, le tissu graisseux est presque disparu,
s a comme conséquence un retard dans l'ossifica- tion des épyphyses
osseuses
et une croissance exagérée des os en longueur.
dans la castration il se produit un excès de développement du tissu
osseux
, l'auteur tire la con- clusion que dans la cast
oire que le raccourcissement de l'humérus droit est dû à une lésion
osseuse
juxla-épiphysaire dont ces cicatrices seraient la
clavicules. La première paire de côtes s'articule avec deux plaques
osseuses
distinctes reliées l'une à l'autre par du carti
auche, elle s'articule par un très étroit cartilage avec une plaque
osseuse
qui semble provenir de l'ossification isolée du p
tilages de la 30 et de la 6° côtes gauches la présence d'une plaque
osseuse
isulée. Le point particulièrement intéressant d
ce qui saute aux yeux, c'est l'accroissement démesuré des saillies
osseuses
destinées aux insertions musculaires. Le radius
hypertrophiée, sa surface articulaire est inégale. Les tubérosités
osseuses
servant aux insertions des muscles sont excessive
s sont courbés en arc parallèlement l'un à l'autre. Les tubérosités
osseuses
servant aux insertions musculaires également ici
ablement leurs dimensions habituelles. L'exploration du squelette
osseux
des extrémités inférieures montre le pé- roné g
is assez bien prononcée et accompagnée d'hypertrophie des épiphyses
osseuses
. Le rac- courcissement porte un caractère mixte
et Anglada, 240, 732 TABLE DES MATIÈRES Myopathies (Altérations
osseuses
au cours des - ) (3 pl.), par Meule et RAULOT-L
affections dystrophianles des ), (4 pi.), par Legros et Léri, 24.
Osseuses
(Altérations - au cours des myo- pathies) (3 pl
229. Ostéite déformante (Un cas d ? La pathogé- nie de la maladie
osseuse
de Paget) (4 pi.), par KLIPPEL et yVEIL, 1. -
Pagel (Un cas d'ostéite déformante. La pa- thoqénie de la maladie
osseuse
de -) (4 pL). par 11LIPPEL et Reil, 1. - (Ost
propos d'un cas d'ostéite déformante. La pathogénie de la maladie
osseuse
de l'aget (4 pl ? 1. De la disposition radicula
elques affections dystrophiantes des os (maladie de Paget, syphilis
osseuse
, osteomalacie, rachitisme) (4 pl.), 24. LÉJO¡
affections dystro- phiantes des os (maladie de Paget, sy- philis
osseuse
, ostéomalacie, rachitisme) (4 pl.), 24. LEVI
(2 pl.), 97. MRBLE (Pierre) et Rujlot-Lapointe. Les altérations
osseuses
au cours de la myo- pathie (3 pl ), 229. Xoue
opos d'un cas d'ostéite déformante. La patho- génie de la maladie
osseuse
de Paget (i pL), 1. - De la disposition radic
l.), 329, RAULOT-LAPOI : VTE et Merle (Pierre). Les altérations
osseuses
au cours de ' la myopathie (3 pl.), 229. " Ru
ennr ? \\'r.rl.), LII1. Nain achondroplasique (Etlore LEVI), XXV.
Osseuses
(Altérations - dans la myopa- thie) (Pierre Mer
ue de la colonne vertébrale [Roasenda), LV et LVI. Paget (Maladie
osseuse
de -) (Pascarolo et Bertolotti), XXXI a XXXIV.
tion du rocher apparaissent seulement au troisième mois. « Deux lames
osseuses
, disent Rambaud et Renault, partent du vestibule
ommet. Ces trois points formeront par leur réunion une sorte de coque
osseuse
. Peu de temps après se montrent les lames d'encro
« De l'extrémité antérieure du canal vertical supérieur part une lame
osseuse
qui descend obliquement jusque sur le sommet du l
me âgé de 5o à 60 ans, elle se présentait sous la forme d'une colonne
osseuse
qui se dirigeait obliquement en bas, en dehors et
che qu'à droite (Okada). Pour sortir du crâne, elle traverse un canal
osseux
, creusé en biais dans l'épaisseur de l'écaillé ma
et dont l'orifice exocrânien constitue le trou mastoïdien. Le canal
osseux
qui livre passage à la veine émissaire a, en géné
arrivé à cette conclusion après avoir mesuré l'épaisseur de la paroi
osseuse
du sillon transverse dans sa partie la plus mince
la profondeur du sillon d'après la mesure de l'épaisseur de la paroi
osseuse
, comprise entre le sillon et le conduit. On peut
nt de la portion pétreuse. Les deux groupes sont séparés par une lame
osseuse
, vestige de la séparation primitive de l'écaillé
noix. Une trépanation au lieu d'élection ouvrit, à travers une couche
osseuse
compacte, un petit antre à muqueuse congestionnée
oge le muscle interne du marteau, et l'inférieur constitue la portion
osseuse
de la trompe d'Eustache. i'ÉREZ. - OREILLE ET E
6 crânes, nous avons trouvé ces deux segments séparés par une cloison
osseuse
complète. Les dimensions des trous déchirés pos
cervelet. Elle délimite, avec la paroi interne de l'antre, un segment
osseux
, plus ou moins épais, dont Jansen a conseillé l'é
fice antérieur du canal carotidien. Structure du rocher. — Un tissu
osseux
finement spongieux remplit, pendant les premières
n voit une séparée de la cavité tympanique par une très mince cloison
osseuse
. Ce système pneumatique intra-pétreux se continue
e de papier. Sur quelques préparations, il a trouvé sur cette lamelle
osseuse
au sommet du rocher de petites lacunes, par lesqu
tia arcuata; il est séparé de la fosse cérébrale moyenne par une lame
osseuse
, souvent aussi mince que le tegmen tympani. La br
peu en dedans de l'hiatus de Fallope: il en est séparé par une couche
osseuse
épaisse de 3-,'$ millimètres. En bas et en avant,
t en avant, il repose sur Je coude du canal carotidien. Le labyrinthe
osseux
communique avec la fosse cérébelleuse, à travers
uire qu'une simple réaction du labyrinthe membraneux sans altérations
osseuses
du vestibule, des canaux demi-circulaires ou du l
tout son pourtour, sa gaine ou apophyse vaginale, le conduit auditif
osseux
, dont le bord antérieur est en saillie sur la par
squamosal, le pétrosal ou le tyrnpanal. Cet os complète l'cngainement
osseux
de la première fente branchiale, en formant le pl
visible d'une suture importante entre l'anneau tympanique et la lame
osseuse
qui forme le plancher de la caisse du tympan et l
ano-tympanique délimitent, en arrière du canal carotidien, un segment
osseux
triangulaire, à sommet postérieur répondant au tr
ugulaire. De par l'anatomie comparée, on doit considérer ce segment
osseux
qui forme la paroi externe de la fosse jugulaire
hiscence à bords irréguliers, séparée en deux parties par une lamelle
osseuse
et à une distance de /| millimètres du cadre tymp
amidale, elle a été bien étudiée en 1879 par Steinbrûgge. Deux crêtes
osseuses
la limitent quelquefois très nettement en haut et
postérieure de la caisse. Quelquefois on trouve une troisième travée
osseuse
qui passe comme un pont au milieu de la cavité so
s sur /|/|5 crânes. Paroi externe. —Le tiers supérieur, entièrement
osseux
, constitue le mur de la logette des osselets (Gel
mètres de long et de t\ millimètres de large, qui naît près du cercle
osseux
dans lequel est enchâssée la membrane du tympan e
formée par un repli de la lame fibreuse, sinon par une petite saiilie
osseuse
dirigée vers le col du marteau et par les organes
e. Aplatie d'avant en arrière, celle-ci comprend deux portions, l'une
osseuse
et l'autre fibro-cartilagineuse, qu'on a comparée
mparées à deux cônes réunis par leurs sommets. (Valsalva.) La portion
osseuse
ou portion tympanique mesure 12-1/1 millimètres,
se en deux segments. A la partie inférieure, on remarque un bourrelet
osseux
(dent d'arrêt de Helmholtz). L'enclume possède
ampoules des canaux demi-circulaires externe et supérieur. Une couche
osseuse
, dont l'épaisseur atteint 2-3 millimètres, la sép
ont la longueur atteint 12 millimètres, il traverse une zone de tissu
osseux
compact, interposée entre la cavité tympanique et
ui l'a étudiée spécialement, désigne cette zone sous le nom de massif
osseux
du facial. Ce dernier mesure 10 millimètres de ha
nuso-digastriques creusent en arrière le massif du facial. Un segment
osseux
cunéiforme, dont la base mesure 3-/| millimètres
a jugulaire interne, tout près du golfe. Elle parcourt un petit canal
osseux
qui commence dans la rampe tympanique, immédiatem
trou déchiré et la fosse jugulaire se trouvent situés dans ce segment
osseux
de la base du crâne inclus entre deux plans verti
passant par le bord antérieur, l'autre par le bord postérieur du méat
osseux
auditif externe. (P. Laurens.) Pyohémie otitiqu
. Le conduit cartilagineux est ensuite séparé complètement du conduit
osseux
. On effondre alors, avec la pince de Lùer, les pa
rtilagineux peut avoir des suites fâcheuses : le sacrifice du conduit
osseux
, du tympan, de l'apophyse styloïde, de l'oreille
re-mère, une crête de tissu compact, formant la paroi externe du dôme
osseux
qui contient le bulbe». (Chipault.) Arrivé là,
sac endo-lymphatique se trouve un peu au-dessus et en dehors du pont
osseux
qu'il faut réséquer. Alors, après avoir décollé l
réséquer. Alors, après avoir décollé la dure-mère, on charge ce pont
osseux
avec le bec du protecteur de Stakes, et on l'abat
te la surface endocrânienne du temporal et forme, autour des orifices
osseux
, de véritables canaux fibreux qui engainent nerfs
trée par Ghipault et Berezouski, provoquent la formation d'une couche
osseuse
qui double le lambeau cutané et protège efficacem
our Macewen. D'après cet auteur, les micro-organismes partis du foyer
osseux
pénétreraient dans un des sillons de la face infé
en achevé, on poursuivra l'intervention en se guidant sur les lésions
osseuses
. Si elles siègent sur le tegmen antri ou sur le
onservant, au-dessus du pôle supérieur du conduit auditif, un segment
osseux
qui mesure au maximum un centimètre de hauteur. L
frontal mastoïdien. Chez les hémianopsiques, on reportera la brèche
osseuse
encore plus en arrière, au niveau du plan frontal
re par la voie squameuse, en ménageant entre les deux brèches un pont
osseux
suffisamment large pour servir de soutien à l'hém
lé (M. E.), Précis des maladies de l'oreille. Paris, i885. — Massif
osseux
du facial. Annales des medadies de l'oreille, 189
, en rapport immédiat avec le cervelet, qui limite en arrière le bloc
osseux
auquel nous avons donné le nom de bloc de Jansen.
l demi-circulaire externe et le canal de Fallope, avec sa mince gaine
osseuse
facile à entamer. FH0T0TYPIE PEUSER BUENOS AI
ur, qui est à droite, entre la caisse et l'antre, on aperçoit un pont
osseux
qui porte l'empreinte de deux canaux superposés :
l ; l'inférieur, à la portion tympanique du canal de Fallope. Ce pont
osseux
fait partie de la paroi interne de l'aditus. Su
al est ouvert au niveau de Yeminentia arcuata. Une très mince cloison
osseuse
le séparait de la fosse cérébrale moyenne. La bra
t, dans chaque cas particulier, en rapport avec l'étendue des lésions
osseuses
. La figure i reproduit seulement le point essenti
artiennent au groupe sinuso-digastrique. C'est là que siège la lésion
osseuse
dans la mastoïdite de Bezold (mastoïdite sinuso-d
Dans l'acromégalie on a trouvé souvent une altération des surfaces
osseuses
auxquelles s'attachent les tendons ; or il est
ion sur les bords des premières phalanges qui présentent des épines
osseuses
bien déli- mitées. Les cartilages épiphysaire
quelques petites exostoses. Si nous comparons à présent les lésions
osseuses
que nous avons consta- tées dans notre cas avec
é, tandis que l'acromégalie serait l'expression de la même anomalie
osseuse
chez les individus à car- tilages épiphysaires
ud et Meige que l'acromégalie est une anomalie trophique du système
osseux
qui commence à s'établir alors que les car- til
portent à une époque où l'élude radiogra- phique de ces altérations
osseuses
n'était pas encore à l'ordre du jour ; or c'est
ugaison, nous la retrou- vons dans plusieurs altérations du système
osseux
. On peut la retrouver par exemple dans les cas
râne, les dimen- sions de la langue et enfin toutes les altérations
osseuses
relevées parla radiographie. Il est donc inutil
ondérant des glandes à sécrétion interne sur le trophismedu système
osseux
. Or, tout le débat actuel consiste à décider qu
Il est donc logi- que d'admettre que les troubles du développement
osseux
survenus chez Michel, soient en rapport avant t
e peut coexiter avec lesano- malies les plus différentes du système
osseux
. L'infantilisme n'est donc pas seulemenlen rapp
plus communes et les plus anciennement connues sont les dystrophies
osseuses
et musculaires; cependant, en donnant un sens bea
e. Cela n'est pas le cas des dystrophies et surtout des dystrophies
osseuses
, sur lesquelles nous allons un peu insister.
années peut-être, qu'on réunis- sait presque toutes les dystrophies
osseuses
sous la dénomination de rachitisme. La plupart
lupart des nains et beaucoup de crétins présentant des déformations
osseuses
, étaient considérés comme rachitiques tout simple
e un 1 peu de lumière dans le champ si inextricable des dystrophies
osseuses
. Ces deux formes, l'achondroplasie et le rachit
ns dit, que le mot rachitisme était presque synonyme de. dystrophie
osseuse
..« Sous le nom de Rachitisme, dit P. Moreau, on e
N CAS 1)'ACHOiNbIlOPfASIE 33 nutrition et du développement du tissu
osseux
, troubles entraînant des déformations diverses
ment. Mais avant de conjecturer sur la pathogénie des dystrophies
osseuses
en général et de l'achondroplasie en particulie
s qu'à l'état normal à cause de la grandeur relative des extrémités
osseuses
qu'ou constate par la pression et puis encore à
. Puis des néoformations dans les 'différentes parties du squelette
osseux
, entre autre au niveau de la XII8 dorsale et lo
dans le sens sagittal et on a pu se persuader que ces excroissances
osseuses
viennent de l'os même des vertèbres (flg. 1). Nul
ue dans le tableau cli- nique des tumeurs vertébrales des symptômes
osseux
, radiculaires et mé- dullaires. Dans le cas de
res. Dans le cas de carcinome de la colonne vertébrale, le symptôme
osseux
le plus remarquable c'est une cyphose arquée (Bru
rs d'autre nature il y a également des combinai- sons des symptômes
osseux
, radiculaires et médullaires. Quelquefois la ma
tuberculose dans d'autres organes ou des tumeurs primitives surtout
osseuses
. Tare héréditaire dans l'une ou l'autre direction
tention sur le fait qu'au cours du cancer ver- tébral les symptômes
osseux
et radiculaires peuvent prendre naissance en un
n'ont pas rendu de services. Il n'y eut que quelques cas detumeurs
osseuses
dans lesquels cette méthode s'est montrée utile
l est figé et immobilisé dans une même expression féroce. Le relief
osseux
de sa figure est très accusé et angulaire. Le c
sons se fait douc d'une façon normale, de même que la transmission
osseuse
. L'examen otoscopique n'a pas été fait. En in
peu valides. Les réflexes rotuliens sont abolis, mais les ré%lexes
osseux
sont très exagé- rés. En percutant en effet sur
s avec abolition des réflexes tendineux et exagération des réflexes
osseux
. Atrophie musculaire énorme des quatre extrémit
gnon de l'épaule est encore considérable. Les réflexes périostes et
osseux
du poignet sont très exagérés. Par coutre le ré
ns et achilléens sont abolis, mais' on note la présence de réflexes
osseux
très vifs, que l'on peut provoquer en percutant s
es. - Diminution des réflexes tendineux. - Exagération des réflexes
osseux
. Atrophie musculaire débutant par les mains.
poignet, sont discrètement conservés. , Les réflexes périostés et
osseux
du poignet sont plutôt exagérés. Le réflexe ten
faible, le réflexe achilléen est complètement absent. Les réflexes
osseux
, tout en étant présents, sont de beaucoup moins a
s de la réflectivité profonde avec exagération de certains réflexes
osseux
. Or tous ces symptômes que nous avons énumérés
y avait un antagonisme entre les réflexes tendineux et les réflexes
osseux
par ce fait que les réflexes tendineux étaient
it que les réflexes tendineux étaient abolis, tandis que les réflexes
osseux
étaient au contraire très exagérés. Comment p
très exagérés. Comment peut s'expliquer l'exagération des réflexes
osseux
à côté de l'absence complète des réflexes tendi
observations cliniques, était justement que en réalité les réflexes
osseux
peuvent per- sister encore dans quelques cas où
tre expliqué que par l'existence d'une voie centripète des réflexes
osseux
différente de la voie suivie par les réflexes t
n réflexe tendineux, mais au contraire un véritable réflexe profond
osseux
que l'on provoque, non pas par la percussion du
les réflexes (1) Bertolotti et VILOBRA, Elude sur quelques réflexes
osseux
des membres inférieurs à l'état normal et patho
ÉTUDE CLINIQUE SUR TKOIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 1 ï1 1 profonds (
osseux
) des membres inférieurs doivent suivre une voie c
t important, étant posé, il est logique d'admettre que les réflexes
osseux
des membres infé- rieurs peuvent avoir une impo
ux une altération du faisceau pyramidal. L'exagération des réflexes
osseux
que nous avons re- levée dans tous nos cas vien
première enfance, est à peu près certain, selon moi, que le système
osseux
peut participer à la dystrophie, 132 BKRTOLOT
années, m'ont démontré les traces les plus évidentes d'une atrophie
osseuse
assez prononcée. . Je regrette de n'avoir pu ét
lement le derme, l'hypoderme, le sys- tème musculaire et le système
osseux
. - Or je dois faire remarquer en passant que ce
mités observé dans mes cas n'avait pas les caractères de l'atrophie
osseuse
que l'on rencontre dans les diplégies cérébrales
up plus basse que la III". Les phalanges sont normales. L'ombre
osseuse
nous a paru peu modifiée.Cependant,sur les deux r
à la partie dorsale de la tête de la première phalange, un ressaut
osseux
net, comme s'il y avait là un tubercule arrêtan
ur peut s'observer aussi au cubitus et au ra- dius, où la substance
osseuse
même est altérée, car en certains endroits la c
l'angle postéro-inférieur de cette épiphyse on observe une saillie
osseuse
triangulaire large de quelques millimètres, trans
ostérieur de l'extrémité inférieure du tibia présente deux saillies
osseuses
, à base large, constituées par une substance osse
deux saillies osseuses, à base large, constituées par une substance
osseuse
très transparente, presque sans structure. La m
que de coutume. - Le calcanéum est de forme massive. Les trabécules
osseuses
qui courent le long de la tubérosité de cet os,
que lève d'ailleurs tous les doutes, car il 'montre une conformation
osseuse
lout à fait autre que celle du myxoedème, et da
ntenant, on affirme sans contestation que les lésions ana- tomiques
osseuses
de l'achondroplasie sont constituées par une sclé
des bronchiectasies peuvent avoir pour conséquence des altérations
osseuses
des extrémités (osléoarlhropathie pneumique de
ous pourrions cependant faire remarquer à cet égard que l'affection
osseuse
ne conduit pas toujours le malade chez le médec
use de la limitation topographi- que assez particulière des lésions
osseuses
. Observation (PI. XXXII). Seraf... Cesira, céli
chez les col- latéraux, n'a présenté de maladies ou de déformations
osseuses
. Antécédents personnels. La malade n'a jamais f
ourrait dire qu'elles sont en « sesto acuto », tellement l'ar- cade
osseuse
est élevée et de forme angulaire dans sa partie m
e pariéto-occipitale droite, on aperçoit à la palpation une saillie
osseuse
très prononcée, constituée par une apparente 27
xillaire inférieur sont beaucoup moins touchées par les altérations
osseuses
que le corps. C'est seulement à l'aide d'examens
os pariétaux et de l'os frontal. Aucune autre lésion ou déformation
osseuse
dans les autres os du squelette. SUR UN CAS D
placé de mettre en jeu dans le diag- nostic différentiel les kystes
osseux
, t'ostéosarcome,t'ostéomyéti le, l'ostéite trau
lose rhizomélique, l'ostéo- malacie, le rachitisme ou le gigantisme
osseux
qui est une maladie congé- nitale et s'accompag
nante au maxillaire inférieur pourrait faire penser à un rhumatisme
osseux
, qui, ainsi qu'Adams et Féréol l'ont montré, a so
qu'on rencontre chez notre patiente et, en outre, l'hyper- trophie
osseuse
frappe en même temps les mains et les pieds, ce q
limination et en se basant sur les caractères objectifs des lésions
osseuses
elles-mêmes, il ne nous reste, évidemment, d'au
st encore une autre remarque à faire. Chez notre malade l'affection
osseuse
a débuté il y a une quinzaine d'années environ, e
de fer- vents partisans, c'est-à-dire l'hypothèse d'une altération
osseuse
tropho- névrotique et l'hypothèse de Fartéric-s
'hypothèse de Fartéric-sclérose. Suivant la première, la dystrophie
osseuse
aurait son origine dans une lésion du système ner
remment interprétées, ne pourrait pas être mise en jeu, les lésions
osseuses
étant localisées à la tête. La malade,nous l'
des troubles tro- phiques. Et il faut en plus noter que les lésions
osseuses
, aussi profondes et aussi variées qu'elles puis
n'arrivent jamais, en des cas pa- reils, à produire des altérations
osseuses
comparables à celles que nous venons d'observer
urions pas non plus de sérieux arguments pour rapporter les lésions
osseuses
observées à des altérations du système nerveux pé
aient à la même cause, l'artériosclérose des extrêmes ramifications
osseuses
des différentes branches de la carotide ex- ter
uments plus solides, à l'appui de la théorie de l'ar- tériosclérose
osseuse
, nous font complètement défaut. Il faut donc co
.' BIBLIOGRAPHIE Pour la bibliographie, voir : Vincent J. Maladie
osseuse
de Paget. Thèse de Paris, 1904. Klippel et PII
A propos d'un cas d'ostéite déformante. La palhogénie de la maladie
osseuse
de Paget. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière
TRAVAIL DU LABORATOIRE DE M. LE PROFESSEUR RAYMOND. SUR LA LÉSION
OSSEUSE
DU MAL DE POTT SON RÔLE DANS LA GENÈSE DE LA CO
onc tout particulièrement favorable à l'étude de la cica- trisation
osseuse
dans le mal de Pott. 1° Quel est le rôle des lé
sation osseuse dans le mal de Pott. 1° Quel est le rôle des lésions
osseuses
dans la genèse de la compres- sion nerveuse L'u
foyer tuberculeux en voie de guérison, avec de nombreuses esquilles
osseuses
formant, au niveau de la 12e dorsale, une saillie
stérieur est, à ce niveau, de 2 centimètres. En regard de la lésion
osseuse
, s'étale, sur la dure-mère, une mince couche de
nt légèrement les raci- nes. La moelle, très au large dans le canal
osseux
, ne semble élongée en aucune façon, mais, sa fa
lement au-dessus. Il y a donc eu compression légère par les lésions
osseuses
, mais elle n'a pas en- travé la guérison des tr
que semblait indiquer la radiogra- phie, se réduit à quelques ponts
osseux
, presque partout, on reconnaît les vestiges d'u
elle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXIII. Pl. XXXIII LÉSIONS
OSSEUSES
DU MAL DE POTT , (Alquier et Klmfeld). A. Asp
e-mère. Masson & Cie, Editeurs. Phototypie Berthaud LÉSIONS
OSSEUSES
DU MAL DE POTT (Alquier el Klarfeld). Effondr
UVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXIII. PI. XXXV LÉSIONS
OSSEUSES
DU MAL DE POTT (A lquier et llny'eld). Mal de
à gauche) ; plus loin ostéoporose (en bas, à droite). SUR LA LÉSION
OSSEUSE
DU MAL DE POTT 311 intervertébraux qui les sépa
sion bien évidente de la moelle, l'empreinte marquée par la saillie
osseuse
sur sa face antérieure, dans notre premier cas, n
e premier cas, n'en a pas altéré la structure. Pour que les lésions
osseuses
puissent jouer un rôle réellement actif dans la
ffondrement, basculer en arrière, et former dans le canal un éperon
osseux
saillant. 312 ALQUIER ET KLARFELD . .i\L\I.l\
tré trois fois, chez l'adulte, la compression médullaire par éperon
osseux
: très évidente dans deux cas, et ne déterminan
nt » et des luxations en arrière du mal sous-occipital, les lésions
osseuses
nesemblent pas pouvoir produire là compression
u tassement du rachis. 2° Comment se fait la réparation des lésions
osseuses
? C'est avec juste raison que l'on a cessé de c
es a vainement cherchés dans 16 autopsies an- térieures. La soudure
osseuse
ne se fait qu'aux points où les surfaces osseus
ieures. La soudure osseuse ne se fait qu'aux points où les surfaces
osseuses
arrivent en contact, et encore, dans notre observ
leuse, une zone irrégulière d'ostéite condensante, avec des travées
osseuses
inégales, bosselées, constituées par des lamell
osition les douleurs sont moindres). Doigts fléchis. Muscles inter-
osseux
atrophiés surtout dans premier espace. De même le
HI SALVADOR ! 2° Diminution de la hauteur du corps vertébral, tissu
osseux
, léger et poreux ; 3° Faces articulaires des
gnalés par cet auteur lui-même : déformation, réabsorption du tissu
osseux
du corps vertébral (Baduel, Roasenda, Graetret)
forment lentement et soit par un processus de réabsorption du tissu
osseux
, soit par une incomplète forma- tion de ce tiss
corps vertébraux ne perdent jamais leurs rapports, et les surfaces
osseuses
restent en contact entre elles : en un mot, on
pliquer par le fait que, en vertu d'une fragilité spéciale du tissu
osseux
chez les tahétiques, les altérations doivent se
large. A droite un pont 1311ACHYMLLLE MÉTAPODIALE CONGÉNITALE 4oO
osseux
réunit les deux apophyses clilloïdes. Les fentes
- mier métatarsiens sont visibles. Remarquons encore la raréfaction
osseuse
ma- nifeste des premières phalanges raccourcies
achevée en même temps que celles des peti- tes phalanges. Le tissu
osseux
de tout l'article nous a semblé histologiquement
eloppement en longueur des quatrièmes métatarsiens avec raréfaction
osseuse
.survenue insidieuse- ment, sans inflammation ni
t de la tête métacarpienne, et une exagération de la trans- parence
osseuse
, localisée à cette tête. Les dimensions des os, p
l n'y a aucun cas de malformation digitale, pas plus que d'anomalie
osseuse
ou somatique quelconque. L'enfant est, dit la mèr
ngle à sinus radiale. La surface articulaire est apla- tie. L'ombre
osseuse
, particulièrement celle de la tête et du bord rad
gé de 28 ans, présentent les mêmes anoma- lies, mais la raréfaction
osseuse
est moins nette. En revanche les déforma- tions
me et surtout le quatrième sont très courts. Le maximum des lésions
osseuses
(modifications de l'ombre) paraît siéger au nivea
s paraissent creusées de larges alvéoles mal remplies de trabécules
osseux
. Les phalanges des mêmes rayons sont de beaucoup
s seules lésées; elles sont très courtes, mal formées et leur tissu
osseux
n'a donné qu'une ombre floue. Les extrémités du
'avis qu'il existe une rela- tion entre cette affection et la carie
osseuse
. Oppenheim veut y voir une certaine analogie av
presque carré. La palpation du crâne fait relever que les soudures
osseuses
sont normales et c'est seulement au niveau de l
niveau de la fontanelle médiane qu'on observe une légère dépression
osseuse
. Le squelette facial est parfaitement normal en
t parler de nez camard, mais plutôt de nez en lorgnette : la racine
osseuse
est fine mais relevée, et ce qui la caractérise
ec les dents liomologues inférieures ne correspond pas. Le palais
osseux
présente aussi quelque anomalie ; les deux moitié
e externe, de telle façon que le diamè- tre transversal de la voûte
osseuse
résulte réduit, et en harmonie avec ce fait on
manque d'espace, en conséquence de la susdite déformation du palais
osseux
. Les lèvres sont fines et bien dessinées, légèr
sont très rapprochées entre elles, mais de nombre normal. Le palais
osseux
est, comme chez le premier nain, très rétréci d
ésion métacarpienne est pure, ou associée à d'autres défor- mations
osseuses
d'apparition contemporaine. , D'une manière gén
es : la tète est aplatie et élargie. Les modifications de l'ombre
osseuse
permettent-elles de déceler la raréfaction osse
tions de l'ombre osseuse permettent-elles de déceler la raréfaction
osseuse
? Wagner la nie. Chez certains malades (obs. I et
me rayon (1) - est plus lésé. La tète est trop claire ; ses travées
osseuses
sont grêles et désorientées ; elles li- mitent
rface articulaire est possible. Les modifications de l'architecture
osseuse
ont une analogie très grande avec l'atrophie os
l'architecture osseuse ont une analogie très grande avec l'atrophie
osseuse
que l'on voit survenir, souvent d'une façon pré
reil ligamenteux transversal qui accole et maintient les extrémités
osseuses
(liocbheim) ; en pratique il n'en est rien : l'ép
e associée à d'autres raccourcissements et à d'autres malformations
osseuses
. A mesure que celles-ci deviennent plus intense
carpiens dans cette forme particulière d'achondroplasie où le noyau
osseux
reste très longtemps engainé dans l'épiphyse ca
lage de conjugaison, en d'autres il l'isolement, au milieu du tissu
osseux
néoformé, d'îlots cartilagineux qui plus lard s'o
istant en une hypertrophie des épiphyses et en raréfaction du tissu
osseux
... Cette forme d'ostéite non inflammatoire... e
dilé méningiliqve, alcoolique, tuberculeuse; tendance aux anomalies
osseuses
. Une des expressions cliniques, peut-on supposer,
t l'idée d'une lare morbide loca- 582 CHEVALLIER lisée au système
osseux
. « La prédisposition se développant par l'hérédit
584 CHEVALLIER en particulier, insistent sur ce raccourcissement
osseux
après un décolle- ment épiphysaire. Mais ce rac
8) ». Mais l'action atrophiante ne se localise pas alors au système
osseux
; et Ra- baud (9) a montré que l'action mécaniq
ons tu- berculeuses profondes ; elle guérit en laissant des lésions
osseuses
. Ce fait banal, qu'un raccourcissement succède
a-ventosa entre en régression jusqu'au moment où se fait la soudure
osseuse
vendable par la radiogra- phie ; cet accroissem
complète, le métacarpien présente encore des signes de raréfaction
osseuse
. La phalange adjacente peut être lésée ; « l'ir
e l'allongement » (Lannelonnue). Dans bien des cas, d'autres foyers
osseux
ont coexisté avec le foyer di- gital, ou sont a
ntôt se développer les signes de rachitisme ». Or « les dystrophies
osseuses
qui constituent le rachitisme, dit Kirmis- son
ser et même chez les enfants, les ostéomyé- lites, les tuberculoses
osseuses
à foyers multiples sont fréquentes ; sui- vant
La radiographie permet de constater un certain degré de raréfaction
osseuse
, comparable aux raréfactions acquises, mais dans
omparable aux raréfactions acquises, mais dans quelques cas l'ombre
osseuse
n'est pas très sensiblement différente de l'ombre
al'yngoiatrie,a mis en reliefdes déformations identiquesde la voûte
osseuse
palatine et de l'oreille ; le palais osseux est r
identiquesde la voûte osseuse palatine et de l'oreille ; le palais
osseux
est rétréci dans son dia- mètre transversal de
ujet présente quelques déformations du nez, de l'oreille, du palais
osseux
, et des dernières pha- langes des doigts qui so
inquième orteil du pied gauche apparemment normal, possède un noyau
osseux
supplémentaire. Ce noyau, de forme générale ovale
rêle, plus effilé, bien que pourvu d'un ongle normal ; les segments
osseux
existent, mais ils sont petits ; le pouce droit
Eltore Levi), par BAUER, 25. Compression nerveuse (Sur la lésion
osseuse
du mal de Pott ; son rôle dans la genèse de l
2 pl.), par KOPEZYNSKI et jAnosxYKSKi, 363. Pott (Sur la lésion
osseuse
du mal de ; son rôle dans la genèse de la compr
, 313, 457, 590. TABLE DES AUTEURS ALQUIER et Klarfeld. La lésion
osseuse
du mal de Pott. Son rôle dans la genèse de la
à l'étude du pithiatisme (2 pl.), 363. KLAHFEf.n et Sur la lésion
osseuse
du mal de Pott ; son rôle dans la genèse de l
me (KopEZYKSKr et JAIIOSZY : ;SKI), XXXVI et XXXVII. Pott,lésions
osseuses
(ALQUIER et 11LARFELD), XXXIII à XXXV. Psychos
l'usure des cartilages, les ulcérations consécutives, les bourrelets
osseux
, ont été signalés par divers observateurs, et j'e
ation des ligaments ; mais on rencontre aussi de véritables ankyloses
osseuses
, ainsi que l'ont observé Garrod et M. Ranvier; et
s le tendon d'Achille ; 2° sur le périoste, mais jamais dans le tissu
osseux
; 3° dans les bourses séreuses (olécrânienne, pré
e de soude, et ne doit jamais être employée pour désigner les tumeurs
osseuses
du rhumatisme articulaire chronique. Ces masses
e durcissent pour former de petites masses blan- contours des têtes
osseuses
qui leur sont juxtaposées. Elles exercent sur les
s cartilages diarthrodiaux ; du liquide intra-arti-culaire ; du tissu
osseux
. Étude histologiquc de ces diverses lésions. — Mo
u pourtour des extrémités articulaires, il se formait des végétations
osseuses
. Vers la même époque, un médecin irlandais, Col
sont les changements qui se pas-sent, à la même époque, dans le tissu
osseux
. Nous consta-tons d'abord l'éburnation de la surf
ens de l'os préexistant; en même temps, il se produit des végétations
osseuses
, situées en général à la limite du cartilage. Ces
ins égale à celle des lésions précédentes, est la réfraction du tissu
osseux
aux extrémités articulaires. En premier lieu, il
scularisation évidente au-dessus de la cou-che éburnée, et une moelle
osseuse
, de formation nouvelle, prend naissance en cet en
, et en dernier lieu, l'ossification proprement dite avec corpuscules
osseux
. Daus l'épaisseur delà synoviale, il peut se fo
iculaires ; elles finissent par tomber, et laissent à nu les surfaces
osseuses
. Dans les parties jjrofondes, la prolifération
la surface libre du cartilage. aboutit à la formation d'une couche
osseuse
nouvelle. Les capsules mères s'infiltrent de sels
s de la moelle, et c'est à leurs dépens que se forme le nouveau tissu
osseux
. C'est ainsi que se produit l'éburnation de la
espaces médullaires pour y dé- verser leur contenu. d. Substance
osseuse
. e. Moelle qui remplit les aréoles de la surfac
nsi la formation de ces bourrelets, d'abord car-tilagineux, plus tard
osseux
, qu'on rencontre en cet endroit. Aussi M. Ranvi
ment donné ; il se forme alors une ankylose tantôt celluleuse, tantôt
osseuse
. Ce dernier cas est très rare ; il n'a lieu que d
pour effet d'amener une atrophie et une friabilité extremes du tissu
osseux
; peut-être y a-t-il disparition des bourrelets e
ent presque méconnais-sables. On voit se former d'énormes végétations
osseuses
: c'est ce qui se produit, par exemple, dans le m
tiondes cartilages et des os, d'où résulte une défor-mation des têtes
osseuses
. Enfin, c'est là que se manifeste, au plus haut d
thrite déformante. Mais les altérations que présentent les surfaces
osseuses
rendent l'analogie plus frappante encore; elles p
au travail phlegmasique. D'après Gurlt (1), la moelle des extrémités
osseuses
subit une vascula-risation prononcée avec prolifé
ces articulaires commencent à subir l'éburnation, et les végéta-tions
osseuses
se forment autour des jointures : enfin le tissu
égéta-tions osseuses se forment autour des jointures : enfin le tissu
osseux
est devenu friable vers les extrémités articulair
e-pièce, et des ulcérations périphériques. Il n'y a pas de bourrelets
osseux
, ni d'ankyloses celluleuses, mais on trouve une r
s celluleuses, mais on trouve une raréfaction très prononcée du tissu
osseux
. Mais ce qui caractérise essentiel-lement cette a
omène est secondaire. Il se produit quelquefois aussi des stalactites
osseuses
, mais elles sont très vasculaires (Billroth) ; el
empare des divers tissus. La raréfaction et la con-densation du tissu
osseux
aux extrémités articulaires, la for-mation d'osté
extrémités articulaires, la for-mation d'ostéophytes et de bourrelets
osseux
au pourtour des cartilages diarthrodiaux, se renc
nture, et avec un état velvétique beaucoup plus prononcé des surfaces
osseuses
. 3° Dans les poumons, une rougeur prononcée, un
. — Désordres permanents. — Douleurs. — Craquements. — Déformations
osseuses
. — Jointures affectées de pré-férence. — Les main
dans certaines jointures, plus communs dans d'autres ; des bourrelets
osseux
qui déforment des têtes des os ; enfin des sublux
alors qu'on constate les craquements dus à l'éburnation des surfaces
osseuses
, si l'articulation conserve encore une certaine m
sentir en ce moment. Enfin l'on voit alors paraître les dé-formations
osseuses
, suivant certaines lois, certaines règles qui ser
déformations sont nettement caracté-risées. 11 y a saillie des têtes
osseuses
par suite des subluxa-tions qui se sont opérées.
lles-ci l'ont saillie en arrière. Il faut noter que les végétations
osseuses
, au pourtour des articulations des doigts, ne cir
s moins prononcées, et le volume des têtes des os, et des stalactites
osseuses
, est-il plus considé-rable. Il existe, en effet
'opposition entre le degré des déviations et le volume des bourrelets
osseux
, ainsi que l'é-tendue des déformations qui en rés
une ankylose complète se produire dans le genou; mais des bourrelets
osseux
s'y déve-loppent presque toujours, et les corps é
les au niveau des jointures, par suite de l'exubérance des bourrelets
osseux
; quelquefois aussi l'on rencontre une hydarthros
, le début latent de l'affection, l'énorme exubé-rance des bourrelets
osseux
de formation nouvelle, sont des faits plutôt exce
ent le type le mieux caractérisé de l'arthrocace sénile : les têtes
osseuses
étaient aplaties et éburnées, ainsi que les deux
te du fémur gauche était rouge et vascularisée, et de nombreux dépôts
osseux
couvraient la capsule ligamenteuse. Chez une da
e une déformation plus ou moins prononcée de la jointure : des crêtes
osseuses
, des corps étrangers, del'hydar-throse. 2° Le m
té extrême de l'articulation qui résulte de la défor-mation des têtes
osseuses
, ou des cavités de réception. E. Nodosités d'He
seconde articulation phalangienne, ne sont autres que des tubercules
osseux
qui existent normalement à l'extrémité in-férieur
s tubercules s'est considérablement accru par l'apposition de couches
osseuses
nouvelles. Il n'existe pas trace de dépôts d'urat
des membres ; et alors, elle paraît résider soit dans les extrémités
osseuses
, soit dans les muscles, soit dans les troncs nexv
ptionnel, et c'est la seule fois que nous l'ayons notée. La douleur
osseuse
est profonde, térébrante, plus pénible que la dou
qui doublent la synovialeà l'extérieur; tantôt une tuméfaction dure,
osseuse
, qui justifie la dénomi-nation de nodosité (nodos
nt et un peu en dedans des phalanges, détermine une saillie des têtes
osseuses
des premières du côté de la paume de la main. Enf
équent d'observer, au pourtour des petites jointures, des végétations
osseuses
, sous formes de tubercules, et qui ne circonscriv
souvent élargie et déformée. On y sent par la palpation des saillies
osseuses
anormales, développées au pourtour des surfaces a
ant et peut être distinguée par lapalpation, ainsi que les bourrelets
osseux
qu'elle porte. Dans une de nos observations (la n
ndant du fémur, et fait saillie sous les téguments. Les productions
osseuses
se rencontrent : 1° au pourtour de la rotule qui
de-pied. L'ankylose celluleuse y est très fréquente ; les productions
osseuses
péri-articulaires, et les corps étrangers s'y ren
dans les jointures, ou de celle qui paraît siéger dans les extrémités
osseuses
. 2° C'est chez les jeunes sujets, chez les femm
es, par suite de l'atrophie qu'ont subi les muscles ; les stalactites
osseuses
, ou même les têtes des os subluxés, semblent sur
la s'observe le plus souvent; il peut même arriver que les tubercules
osseux
de nouvelle formation, s'ils sont très saillants,
nce de tophus, if y a plutôt maigreur ; mais il y a quelques saillies
osseuses
, tuberculi- formes, au niveau des petites join
ois des marches d'escalier. Le genou présente une sorte de gonflement
osseux
, la rotule est immobile, les extrémités supérieur
tibias etinférieures des fémurs présentent à la palpation des crêtes
osseuses
. Rien aux cous-de-pieds ; les orteils sont un peu
s articulations des phalanges avec les phalangines, saillie des têtes
osseuses
à ce niveau, extension de quelques phalangettes s
r, au niveau de la fente interarticu-laire, on sent de petites crêtes
osseuses
qui font saillie sous la peau; il en existe de se
ment pénétrer par le scalpel, d'au-tres fois, la raréfaction du tissu
osseux
est tout aussi remar-quable que dans le cas précé
par une sorte de graisse demi-liquide. Enfin, le tissu des extrémités
osseuses
peut-être plus dur, plus compacte qu'à l'état nor
du cartilage diarthrodial, des espèces de végétations ou stalac-tites
osseuses
, qui les circonscrivent en forme de couronne comp
endre ailleurs des productions nouvelles (corps étrangers, bourrelets
osseux
); elle paraît n'amener jamais, à moins de circons
le mo-ment ; la déformation paraît tenir à un gonflement des tissus,
osseux
mêmes, ou bien à des productions osseuses péri-ar
r à un gonflement des tissus, osseux mêmes, ou bien à des productions
osseuses
péri-articu-laires de nouvelle formation. Les doi
ée. Articulation radio-carpienne. — Elle est déformée, les saillies
osseuses
sont peu prononcées, les enfoncements sont comblé
lus ou moins profondes, dont quelques-unes met-tent à nu la substance
osseuse
. Il semble, qu'en même temps, la texture du carti
diatement sous la peau, et pressés, pour ainsi dire, contre les têtes
osseuses
, ils étaient aplatis et ne formaient pas sur le d
re, du côté de la surface articulaire, festonnée, clu côté de la tête
osseuse
. A un plus fort grossissement (200 diamètres), ch
ulaires ; on en trouve même parfois dans le tissu spongieux des têtes
osseuses
. Ces alté-rations ont été parfaitement décrites e
ur le mo-ment. La déformation paraît tenir à un gonflement des tissus
osseux
mêmes, ou bien à des productions osseuses péri-ar
ir à un gonflement des tissus osseux mêmes, ou bien à des productions
osseuses
péri-articu-laires de nouvelle formation. Les doi
. Articulation raolio-carpienne. — Elle est déformée ; les saillies
osseuses
sont peu prononcées ; les enfoncements sont combl
lus ou moins profondes, dont quel-ques-unes mettent à nu la substance
osseuse
. Il semble qu'en même temps, la texture du cartil
de une sorte d'an-kylose intra-articulaire, une espèce de productions
osseuses
, lesquelles étaient, pour certaines articulations
formation dans ce tissu cellulaire de productions cartilagineuses et
osseuses
. La diminution de la mobilité des os, les uns s
es surfaces articulaires, il n'existait ni stalactites, ni bourrelets
osseux
de formation nou-velle, et, à part l'incrustation
des surfaces articulaires il n'existait ni stalactites ni bourrelets
osseux
de formation nouvelle, qu'enfin, les cartilages i
tement sous la peau et pressés pour ainsi dire, contre les extrémités
osseuses
; ils étaient aplatis et ne formaient pas, sur le
eurs causes ; elles dépendent en partie de l'existence de végétations
osseuses
, développées au pourtour des surfaces diarthrodia
os dont elles ont la consistance ; ce sont, en un mot, les extrémités
osseuses
elles-mêmes, plus ou moins tuméfiées et déformées
e, elles n'acquièrent presque ja-mais complètement la dureté du tissu
osseux
; elles siègent de préférence au voisinage des pre
— où l'altération velvétique, f'usure des cartilages, les végétations
osseuses
développées à la périphérie des surfaces articula
. En même temps, les join-tures paraissent énormes et les stalactites
osseuses
soulèvent fortement, en quelques endroits, les té
téguments amincis. Il est même arrivé quelquefois que ces productions
osseuses
ont ul-céré la peau et se sont montrées à nu. On
au et se sont montrées à nu. On distinguerait aisément les tubercules
osseux
ainsi mis à découvert, par suite de la per-forati
seconde articulation phalangienne, ne sont autres que les tubercules
osseux
qui existent normalement à l'extrémité inférieure
tubercules s'est considérablement accru, par l'apposition de couches
osseuses
nouvelles. Il n'existe pas de traces de dépôts d'
s et villo-sités synoviales, corps étrangers articulaires, bourrelets
osseux
etc., pendant que d'un autre côté et simultanémen
ndant que d'un autre côté et simultanément, il raréfie les extrémités
osseuses
et tend à détruire les cartilages diar-throdiaux;
ente une surface lisse, luisante, comme éburnée; au-dessous, le tissu
osseux
paraît raréfié, friable, imbibé de sang. Mais en
e, imbibé de sang. Mais en même temps, des végétations ou stalactites
osseuses
se sont formées au pourtour des têtes des os ou d
oduit assez fréquemment chez les vieillards une ra-réfaction du tissu
osseux
qui porte plus particulièrement sur les côtes, la
i, placés immédiatement sous la peau et pressés contre les extrémités
osseuses
, s'étaient aplatis et ne formaient pas, sur le do
es par Heberden sont bien accusées.—La figure 4 montre les extrémités
osseuses
mises à nu par la dissection ; les surfaces artic
s cartilages dia'rthrodiaux ; du liquide intra-articulaire ; du tissu
osseux
. Etude histologique de ces diverses lésions. —
s. — Désordres perma-nents. — Douleurs. — Craquements. — Déformations
osseuses
. — Jointures affectées de préférence. — Les mains
ans le rhu-matisme, 229; — dans la goutte asthéniqueprimitive, 355; —
osseuse
et musculaire dans la goutte asthé-nique, 356.
05 ; — observation d'absence de douleur ar-ticulaire, 356 ; — douleur
osseuse
354 : — douleur musculaire, 358 , 396 ; — rouge
absence de rhuma-tisme articulaire aigu, 390 ; — état des extrémités
osseuses
, 390, 398 ; — végétations osseuses, 390, 398 ;
igu, 390 ; — état des extrémités osseuses, 390, 398 ; — végétations
osseuses
, 390, 398 ; — ulcérations des cartilages, 393;
e, 183; — altérations des cartilages, 183; — altérations des surfaces
osseuses
, 184; — vascula-risation de la moelle des os, 185
e aiguë, 201. Scrofule, rapports avec la goutte, 125. Stalactites
osseuses
, 187. Stéatose, dans les affections fébriles, 313
mouve-mens et de la dilatibilité des organes digestifs, le squelette
osseux
ou inextensible est complété par les aponévroses.
t la membrane médullaire, enveloppes et organes de nutrition du tissu
osseux
; moyens d'insertion des tissus fibreux sur les os
e tissu, Ictenduc est aussi très variable, soit pour les enveloppes
osseuses
, le crâne, par exemple, comparé à l'orbite; soit
péricarde, la dure-mère, et la tunique vaginale. 4° Dans le système
osseux
, le crâne et le rachis, dans l'assemblage par jux
phragme, et dont la surface ou circonférence, soutenue par deux tiges
osseuses
médianes, le rachis et le sternum, est divisée, p
, le rachis et le sternum, est divisée, pour le mouvement, en arceaux
osseux
réunis en une seule cage par des muscles et des a
s ouvertes de ces cavités cylindriques s'implantent sur les ceintures
osseuses
du tronc ou au contour des articulations des memb
a surface adhérente elle est unie au périoste très mince des surfaces
osseuses
papyracées des fosses nasales, par un tissu cellu
on remarque au genou, au coude, et en général sur toutes les saillies
osseuses
ou tendineuses. Dans les plis articulaires la pea
font de plus l'office d'un squelette flexible. Au thorax, la couche
osseuse
profonde est représentée par les côtes doublées p
la couche musculaire mince est immédiatement appliquée sur la couche
osseuse
, elle-même étalée en membrane pour circonscrire e
face. Crâne. La grande cavité encéphalique est formée par la couche
osseuse
, étalée en membrane, et circonscrivant une cavité
cylindrique qui renferme la moelle épinière, protégée par les anneaux
osseux
des vertèbres, ces derniers formant un long levie
o-vasculaire sous-cutanée et la peau. Face. La face comme charpente
osseuse
est formée principalement par la jonction des os
ément entre les os du crâne et de la face. De chaque côté , la cavité
osseuse
orbitaire, admirablement disposée pour la protect
uches musculaires et dermiques ; elles sont isolées par des planchers
osseux
en haut des orbites, et en bas de la cavité bucca
et en bas de la cavité buccale, et partagées en deux par une cloison
osseuse
médiane. Chacune des fosses nasales, tapissée par
us des fosses nasales est la cavité buccale. Formée dans sa charpente
osseuse
, en haut par la voûte des os maxillaires supérieu
la voûte des os maxillaires supérieurs et palatins, en bas par 1 arc
osseux
du maxillaire inférieur, elle est fermée latérale
ylindrique intermédiaier entre le tronc et la tête. Dans sa charpente
osseuse
, il est formé par la tige médiane de la portion c
rant un plan transversal qui passe verticalement au-devant de la tige
osseuse
. La portion antérieure comprend au milieu, le pha
rtèbres. Ainsi, dans sa structure générale le cou renferme une tige
osseuse
centrale, creusée par le prolongement rachidien,
'aponévrose extérieure d'enveloppe fixée sur ses bords , aux contours
osseux
, ayant une grande résistance ; c'est le cas des
s. (Ex : le talon et le coussinet sous-métatarsien.) Sur les saillies
osseuses
, qui nécessitent des glissemens faciles, elle est
et de la cavité abdoniino-pelvienne par l'interposition de la cloison
osseuse
que forment les eaux du bassin. A la superfìcie,
n'étant pas moins tranchée en arrière, par le contour de la ceinture
osseuse
, et, dans le pli de l'aine, par le dédoublement d
ses de contention, s'insère par ses extrémités, en haut à la ceinture
osseuse
du bassin et à l'aponévrose abdominale antérieure
ed. (Pl. 1 2 et 13. ) Il est constitué en majeure partie par la voûte
osseuse
du taise et du métatarse, interposée entre deux c
peu déterminées dans leur nature, mais réputées appartenant au tissu
osseux
, ou, d'une manière plus précise, à la gangue orga
e, (c) Le spina-ventosa, dont le résultat est la raréfaction du tissu
osseux
en une coque lamellaire très volumineuse, isolée
la carie, clans notre opinion, véritable nécrose capillaire du tissu
osseux
raréfié, et qui n'offre des apparences si différe
t fougueux de la masse commune. Dans toutes ces affections du tissu
osseux
, moins celles de nature fougueuse ou cancéreuse,
qu'il renferme, ou dont il est lui-même entouré. Les grandes parois
osseuses
, moyen de protection et de support dans l'état ph
itablement. A la face, où l'isolement des maladies par des cloisons
osseuses
n'est plus si complet, déjà les terminaisons sont
idens les plus graves. La cavité du bassin, formée par une enceinte
osseuse
assez étroite, semblerait devoir donner lieu à de
, celluleuse, séreuse, muqueuse, cutanée, fibreuse, cartilagineuse et
osseuse
, où le travail de la nature, bien plutôt physiolo
, il a fallu des trous et des canaux de passage au travers des parois
osseuses
et aponévrotiques, et de longs trajets dans les a
es fentes, les scissures et les sutures dont sont criblées les parois
osseuses
, de manière à rendre toutes les parties solidaire
ace étan t nettement déterminées parla nature, tant dans la charpente
osseuse
que clans les parties molles de revêtement, les m
combinant ces rapports avec les compartimens tracés par les cloisons
osseuses
et aponévrotiques, il est facile de se former, po
a suture sagittale dans le squelette; en haut, seulement dans la tête
osseuse
, par la suture fronto-parié-tale; et, dans l'état
i ; et planche 6. à proprement parler, aucune portion du squelette
osseux
, le corps de la mâchoire et l'os hyoïde n'en form
supérieur. 6° Squelette. Comme dans la région précédente, la portion
osseuse
proprement dite est formée par les deux limites,
e l'omoplate, latéralement par la région sus-claviculaire et la ligne
osseuse
en fer à cheval, qui a pour centre l'articulation
l'aisselle. 6° Squelette. Il est formé, pour cette région, par l'arc
osseux
antérieur des côtes, de la seconde à la sixième.
bres lombaires, dont les apophyses transverses élargissent la surface
osseuse
, que continue par sa résistance le feuillet moyen
ce du détroit inférieur du bassin, le triangle antérieur, entièrement
osseux
, échancré en haut et en avant par l'arcade des pu
travers lequel doit opérer le chirurgien, compris, pour les surfaces
osseuses
, entre des diamètres dont la moyenne est de quatr
qui reculent les bornes de la dilatation possible jusqu'à la ceinture
osseuse
elle-même. Parties constituantes analogues. Ell
eur cle l'os coxal, de l'épine iliaque à l'épine pubienne. A la lèvre
osseuse
postérieure correspond une lèvre fibreuse antérie
st limitée verticalement par deux lignes précises, en haut le contour
osseux
postérieur de la crête iliaque et en bas le pli i
qui l'embrasse; ainsi, elle est limitée supérieurement par le contour
osseux
, en fer à cheval, que forment la clavicule, l'épi
doigt au travers des chairs, on y sent de chaque côté deux tubercules
osseux
formés en dehors par le scaphoïde et le trapèze,
ssous de cet os, la naissance de la jambe est marquée par une saillie
osseuse
que forme la crête antérieure du tibia. Enfin, su
es, les régions antérieure externe et postérieure, et une antérieure,
osseuse
ou tibiale. Par extension, on rapporte à la jambe
ut considérer, sur-tout au point de vue chirurgical, toute la surface
osseuse
qui comprend le dos du pied et ses côtés comme ap
giennes, fixée de chaque côté, par des appendices, sur les deux bords
osseux
du pied , fortement adhérente, sur les deux faces
régulier que lui donne le grand nombre d'excavations et de tubercules
osseux
dont elle est parsemée. Comme dépendance du squel
ds tranchans, diviseront, par déchirure ou arrachement, les molécules
osseuses
sur leur trajet. Nous ne faisons qu'indiquer, com
ble au toucher manuel ou instrumental, fixé sur des tissus fibreux ou
osseux
, et ordinairement très résistant. Les instrumens
aire des tumeurs volumineuses encastrées profondément dans des canaux
osseux
et des tissus résistans : tel est le cas des poly
et des artères d'un certain volume et sur les saillies tendineuses ou
osseuses
, hors le cas où ce sont les os cariés eux-mêmes q
tissus ; 2° le voisinage d'un point d'appui solide, soit une surface
osseuse
ou fibreuse qui réagit sur la pression. Moyens
es, la profondeur et la direction relative du levier ou point d'appui
osseux
par rapport à l'artère, et, par quelques pression
suite avec promptitude la direction première perpendiculaire au plan
osseux
. 7° La pression doit être continuée sans interr
e sous-clavière sur la première côte, située profondément sur un plan
osseux
, accessible seulement par un espace étroit, la fé
ur les troncs artériels du bras et de la cuisse, éloignés des leviers
osseux
et roulant dans l'épaisseur des parties molles, l
dans l'épaisseur des parties molles, l'absence d'un point de contact
osseux
nettement limité oblige à disséminer la compressi
ines, le pouce réagit en sens opposé ou en s'appuyant sur une saillie
osseuse
voisine. En comparant ces deux procédés, on con
lles des vaisseaux situés à de grandes profondeurs ou dans des canaux
osseux
, comme sont, en particulier, nombre de rameaux de
mploi est réservé pour les cas où une artère, encastrée dans un canal
osseux
ou ostéo-fibreux, et rendue insaisissable par sa
cutanée analogue à celles qui se rencontrent sur toutes les saillies
osseuses
et tendineuses. C'est là proprement le kyste sére
extrémité d'un filet nerveux dont le tronc est renfermé dans un canal
osseux
, pouvant occasionner immédiatement les réactions
et trop lente; 20 souvent leur effet chimique s'épuisantsur le tissu
osseux
offense la pulpe dentaire sans la détruire, hâte
sque toutes les fractions du corps, en évitant seulement les saillies
osseuses
et tendineuses et les parties peu pourvues de tis
ès fine, l'cscharrc peut s'étendre très profondément; 2° les saillies
osseuses
et tendineuses , où l'exfoliation peut être la su
tant pas encore terminée, il y a lieu à espérer le retrait des parois
osseuses
, à mesure que l'on donne écoulement au liquide pa
vant et après l'opération; mais il ne croit pas au retrait des parois
osseuses
, signalé par M. Russell. En résumé, la ponction
e supérieure de la fosse canine, à quatre lignes au-dessous du rebord
osseux
de l'orbite, sur le trajet d'une ligne verticale
au-dessous du bord de l'échancrure sigmoïde. Appliquer sur la surface
osseuse
mise à nu une petite couronne de trépan de huit à
us en avant et en dedans, et qui, du reste, n'entre pas dans le canal
osseux
. Ce procédé n'a pas encore été employé sur le viv
i correspondent à des muscles, le voisinage des surfaces fibreuses et
osseuses
pouvant entraîner des ulcérations graves ; cette
'abord en se guidant suivant les lignes déterminées par les éminences
osseuses
et les saillies musculaires, et, dès que l'on est
bord interne avec le jainbier postérieur ; au fond du sillon inter -
osseux
se trouve la gaîne des vaisseaux renfermant l'art
des vaisseaux. Le pouce et le médius étant appliqués sur les saillies
osseuses
de l'épine iliaque antérieure et de celle du pubi
gle supérieur s'arrêtant à trois centimètres au-dessous de la saillie
osseuse
indiquée, l'incision de la peau et de l'aponévros
fondément, dans l'épaisseur de la glande parotide, entre les saillies
osseuses
du bord postérieur de l'os maxillaire inférieur e
'ébranler avec un levier ou la dégager par une tréphinc avec l'anneau
osseux
qui l'environne, et l'extraire avec des pinces. D
cutanées qui existent dans tous les points de frottement des saillies
osseuses
, soit des synoviales tendineuses. Ces dernières s
n, qui elle-même n'est pas encore absolument sans danger. 3° Kystes
osseux
. Ce sont des ostéides en forme de coque, plus ou
s artères, par exemple aux parois du crâne et sur toutes les saillies
osseuses
, à la mâchoire inférieure, au sternum, sur les fa
vent le sang coule par des artères coupées encastrées dans des canaux
osseux
, il faut, toute manœuvre cessante, cautériser ave
INSTRUMENS DE DIVISION DES OS (pl. 53 et 55 ). La dureté du tissu
osseux
exige des instrumens spéciaux pour le diviser. To
us les autres, à tranchant simple, se frayent une route dans le tissu
osseux
en écartant et en disjoignant par la pression les
l'os : les gouges sont principalement destinées à enlever des tumeurs
osseuses
, ou à sculpter le tissu spongieux des os pour y p
ncidence avec des luxations. La plaie doit être débridée; le fragment
osseux
qui fait saillie au dehors sera réséqué, puis l'o
nir des Arabes. 2° A l'exemple de White, réséquer les deux extrémités
osseuses
elles-mêmes; 3n ou, comme Dupuytren, se contenter
ineuse qui recouvre les fragmens et à cautériser ensuite sur le tissu
osseux
lui-même. 7° Acupuncture. Procédé de M. Maltjai
plusieurs périodes ; qu'il est successivement fibro-cartilagineux et
osseux
, et enfin passe à l'état de cal définitif. La dur
nir à l'amputation ou à la résection. Parmi les exostoses éburnées ou
osseuses
proprement dites, celles qui n'ont d'autre inconv
ère difformité doivent être respectées; il en est de même des tumeurs
osseuses
diffuses, larges, qui comprennent toute la circon
les unes des autres pour enlever ensuite à coups cle ciseau les ponts
osseux
restés entre elles. Et tandis qu'au commencement
écrose (pl. Si, 52 et 54). La nécrose est la mortification du tissu
osseux
. Dès qu'un os est frappé de nécrose en totalité o
e époque du travail que consiste le diagnostic du chirurgien, le tube
osseux
de nouvelle formation qui circonscrit les os nécr
mode de formation de la carie consiste dans une résorption d u tissu
osseux
avec hypertrophie de l'élément vasculaire, et son
point par point des petites lamelles et des filamens de la substance
osseuse
. Ces différences, qui ont leur raison première da
urface jusqu'à ce que la dureté, la couleur et l'homogénéité du tissu
osseux
indiquent que l'on a atteint la limite du mal. Si
er de la rapide communication d'une trop vive chaleur par les leviers
osseux
a fait établir avec raison en précepte de ne pas
fixe avec des pinces par des aides. Tout étant disposé et la surface
osseuse
convenablement asséchée, on saisit de la main dro
la tréphine. Il imagine un scalper excisorius pour enlever les ponts
osseux
qui séparent les ouvertures faites par le trépan
lume à écrire, fixe la pointe du perforatif sur le centre de la pièce
osseuse
à extraire, et embrasse la plaque eu ébènc qui su
'il trouve que le sillon pénètre en plusieurs points et que la partie
osseuse
circonscrite est mobile sous la pression de l'ong
ue la table interne de l'os est séparée. 3° Extraction de la partie
osseuse
détachée par' le trépan. Lorsque le disque osseux
ction de la partie osseuse détachée par' le trépan. Lorsque le disque
osseux
est bien complètement détaché, il arrive quelquef
ndément pour être solidement fixé, on s'en sert pour attirer la pièce
osseuse
qu'on ébranle en même temps avec un élévatoire po
s avec un élévatoire pour en faciliter l'extraction. Quand la section
osseuse
est nettement faite, l'opération se trouve termin
re-mère, on appuie fortement le tranchant du couteau sur les saillies
osseuses
, qui doivent ainsi être successivement enlevées.
s sur les autres, elles se trouvent seulement séparées par des angles
osseux
de peu d'étendue, qu'il devient facile de régular
ge cle cet instrument est spécialement indiqué pour enlever les ponts
osseux
intermédiaires quand on est obligé d'appliquer pl
e générale, toutes les fois qu'il existe une maladie limitée du tissu
osseux
, ou de ses annexes, qui, par sa nature, est jugée
airement saines et nettement divisées, la petite étendue des surfaces
osseuses
mises à nu, la disposent en général à cicatriser
ndément; une plaie irrégulière et anfractueuse, recelant des sections
osseuses
multiples et souvent lacérées, tels sont les élé-
t, d'une part, la réunion directe, ou la soudure entre les extrémités
osseuses
réséquées; soit, au contraire, la formation d'une
états, il faudrait, avant d'y remédier par la résection des fragmens
osseux
, attendre que la constitution du malade fut modif
t très communs, et ils sont d'autant plus à craindre que les surfaces
osseuses
réséquées sont plus étendues. Etat des parties
a ce qui est altéré avec la gouge et le maillet en sculptant le tissu
osseux
; car la première loi est d'emporter complètement
ette plaie, isoler des parties molles et enlever les trois extrémités
osseuses
de l'articulation du coude. Arguant de la difficu
de l'appareil de Scultet est mis dans la demi-flexion et les surfaces
osseuses
sont légèrement rapprochées pour favoriser la for
e: de fixer le bras dans f immobilité, en même temps que les surlaces
osseuses
réséquées se trouvent rapprochées. Appréciation
plit jamais entièrement. 11 n'y a pas ordinairement de reproduction
osseuse
; d'où il résulte une grande mobilité de la phalan
beaux étant fixés à l'aide de quelques points de suture, les surfaces
osseuses
seront rapprochées et maintenues au moyen d'une s
éolaires et isole jusqu'à l'articulation la masse des deux extrémités
osseuses
, ou bien divise les liens fibreux qui unissent le
moyen de trois ou quatre points de suture entortillée. Les fraginens
osseux
mis en contact seront maintenus par un appareil c
de la même façon que l'extrémité du fémur. Pansement. Les surfaces
osseuses
seront mises en contact et les lambeaux de la pla
t la cautérisation. Il ne reste plus alors qu'à remettre les surfaces
osseuses
en contact, à couvrir la plaie par un pansement m
ligament capsulaire, et de faire proéminer au dehors toute la portion
osseuse
qu'on veut enlever. Il n'y aurait plus qu'à redon
t une application facile lorsqu'il s'agit d'enlever une petite tumeur
osseuse
superficielle, il n'en sera plus de même lorsqu'o
ulaire, et dans beaucoup de cas elle recouvre moins bien les surfaces
osseuses
. Méthode ovalaire. Soupçonnée par Decourcelle
fin de la section, où ils doivent se ralentir pour éviter les éclats
osseux
. L'épaule doit être fixe, le coude appliqué au co
icatrice, très longue à obtenir, porte immédiatement sur les surfaces
osseuses
et presse douloureusement les renflemens nerveux,
ux angles, faire traverser le couteau en touchant également les faces
osseuses
; former un lambeau de même longueur que le premi
olument si ces fibres recouvriront ou du moins dépasseront la surface
osseuse
dans les divers mouvemens du bras, on s'en assure
ésarticulation tarso-métatarsienne combinée avec la section des têtes
osseuses
. M. Mayor dit avoir enlevé quatre métatarsiens, m
pour but cle fournir des tégumens qui recouvrent à-la-fois la surface
osseuse
et la plaie latérale. Il semble, au premier abord
, ne servirait qu'à gêner la voie de la scie. Pour diviser les éclats
osseux
, suite de fracture, Bertrandi liait les deux os a
méthode à lambeau, est de recouvrir avec les muscles toute la surface
osseuse
; et c'est évidemment s'éloigner de ce but que de
division des chairs, puisque les variétés dans la forme des cylindres
osseux
n'ont qu'une importance très minime. Dans les dés
. Ici donc la difficulté essentielle c'est la séparation des surfaces
osseuses
, et les incisions des parties molles ont dû être
e dans la seconde (die lest essentiellement par le volume des têtes
osseuses
. Sous le rapport chirurgical les désarticulatio
a position exacte n'est pas indiquée par le contour même des surfaces
osseuses
, on y arrive à l'aide de quelques points de ralli
ment dont les plus im-portans sont : i° Reconnaître les tubérosités
osseuses
, dont on sait par avance les rapports avec l'arti
la ligne articulaire; couper les liganiens à travers les interstices
osseux
et peu larges, en inclinant le couteau à des angl
le à trois indices : 10 le milieu du pli cutané dorsal, i° la saillie
osseuse
de la phalange à conserver, 3° de chaque côté la
èze, maintenue par une capsule lâche, est marquée par deux tubercules
osseux
sur chaque face de la phalange , dont le palmaire
par la facilité d'égaliser les deux côtés de la plaie quand le levier
osseux
a encore sa fixité. Méthode ovalaire. — Procédé
t du cubitus. La main portée dans la flexion, le sommet de la saillie
osseuse
est formé par les os de la première rangée du car
cubitale et radiale est débordée latéralement par les deux tubercules
osseux
, en dedans lepitroehlée, en dehors l'épicondyle,
limètres au-dessous de l'épi-trochlée. Enfin il est rare que l'anneau
osseux
radial ne soit pas percevable à l'extérieur de ma
nalomie. L'articulation scapulo-humérale se compose d'une demi-sphère
osseuse
reçue dans une demi-cavité supérieure ostéo-fibre
it la pointe du couteau dans divers procédés ; il forme un intervalle
osseux
à trois côtés, l'aeromion, l'apophyse coracoïde,
lles, diviser les ligamens latéraux. 4° Luxer d'un seul couples têtes
osseuses
, glisser le couteau sous les deux phalanges extrê
ne, puis introduire le couteau et lui faire contourner les tubercules
osseux
des deux métatarsiens externes; tendre le pied ho
on tarso-métatarsienne aux cas exceptionnels où les quatre extrémités
osseuses
sont malades. i° Le pied tenu comme pour l'autr
articulation astragalo-scaphoïdienne sans pénétrer entre les surfaces
osseuses
; puis reportant le tranchant vers le bord externe
de M. Baudens a pour but de conserver un centimètre et demi du levier
osseux
, lorsque l'état des chairs le permet. Au besoin,
le tendon rotulien, puis les ligamens latéraux; écarter les surfaces
osseuses
en fléchissant un peu la jambe, détacher les cart
nt dans des espaces motivés en profondeur par les lignes du squelette
osseux
ou aponévrotique, et par les bords des grands mus
ouper le vaisseau en travers ; et le plan solide formé par la surface
osseuse
, en permettant une compression efficace, rend fac
elle vient d'être terminée, afin de montrer les rapports des fragmens
osseux
. Tome 6 Pl.49. Dessiné d'après nature par N
e la dure-mère mise à nu par l'enlèvement des quatre premiers disques
osseux
. Figure B. Elle représente deux autres temps op
re. (f) Section avec la pince incisive (pl. 55, Jîg. 22) des angles
osseux
à bords concaves que laissent entre elles les cou
e offre un bel exemple d'une sorte d'hypertrophie spongieuse du tissu
osseux
converti en une masse de canaux aréolaires, qui r
olles, et semble n'en être qu'une modification appliquée à la texture
osseuse
. La pièce est dessinée en raccourci pour montrer
FÉMORALE DU TIBIA. La portion d'os malade est dilatée en une coque
osseuse
, dont l'intérieur, vide à l'état squelette, était
it rempli à l'état frais par un tissu fongueux entrecoupé de lamelles
osseuses
. L'extrémité supérieure du péroné, déjetée en deh
esoin, comme dans toute opération à lambeau, enlever chaque extrémité
osseuse
qui se trouverait cariée : soit l'apophyse coraco
entée sur la première, on suppose que l'extrémité antérieure des arcs
osseux
des troisième et quatrième côtes est seule affect
côté les branches de la mâchoire; puis, avant de détacher le fragment
osseux
, un fil d'argent recuit a été passé dans l'épaiss
tion mixte métatarsienne a deux lambeaux dorsal et plantaire. Le plan
osseux
est formé par la surface articulaire du grand cun
s. Figure 3. Amputation médio-tarsienne a deux lambeaux. La surface
osseuse
est formée par la triple articulation cunéenne du
ons du mardi », Charcot a décrit la propagation de la tubercu- lose
osseuse
du tissu épidural et montre que cette « pachyméni
ives. Charcol, dans ses Leçons faisait déjà remarquer que la lésion
osseuse
, atteignant d'habitude les corps vertébraux, la c
fon- dément. Le ligament vertébral antérieur au niveau de la lésion
osseuse
, était comme dilacéré et la matière caséeuse, d
as de gibbosité tuberculose pulmonaire. On diagnostiqua une caverne
osseuse
ouverte dans le canal rachidien ; la localisati
tomie des 8e,9e et 10° dorsales,trouva devant la moelle une caverne
osseuse
ramollie grosse comme une noix qui fut traitée
ervation de M. Sire- dey (2), bien que la localisation de la lésion
osseuse
soit, ici, particulièrement difficile, et malgr
e,le corps de la XIIe vertèbre dorsale est réduit à une mince coque
osseuse
dont le centre est rempli de matière caséeuse. La
s VIe et Vlle vertèbres cervicales. Or l'autopsie montra des jetées
osseuses
réunissant les lames des VIe et Vue cervicales,
t, son siège est loin de correspondre toujours à celui de la lésion
osseuse
, ainsi qu'il ressort nettement d'un certain nombr
es névralgies que la radiographie lui a montré due à la compression
osseuse
des racines ou des nerfs, comme dans le mal de Po
es sont un signe de compression radiculaire, non un signe de lésion
osseuse
. Il n'en est pas de même de la douleur réveillée
es malades ; on retrouve cette douleur dans toutes les tuberculoses
osseuses
, quel que soit leur siège. A la région dorsale,
an- térieure des vertèbres cervicales moyennes. Mais ces douleurs
osseuses
n'ont pas une valeur absolue; elles exis- taien
par une extrémité, se terminer à l'autre extrémité par une aiguille
osseuse
en stalactite ou en stalagmite. Les ligaments c
ifiés (Fig. 3). Le ligament surépineux formait par places des ponts
osseux
entre les apophyses épineu- ses voisines. Enfin
sseux entre les apophyses épineu- ses voisines. Enfin un mince pont
osseux
réunissant incomplètement la partie antérieure
jaunes ; les lames et les ligaments ne forment plus qu'une bande
osseuse
continue. Inté- grité des disques. - Volume éno
costo-transver- saire. Fig. 4. Colonne lombaire. Tubéro- sités
osseuses
au niveau des disques. Nouvelle Iconographie DE
e ; il y a dans le spondylose rhizomélique une raréfaction du tissu
osseux
en général : l'hyperossification ne se fait en
s n'avions pas de démonstration anatomique absolue de la friabilité
osseuse
, et ce n'est que par des déductions de faits clin
ARIE ET A. LÉRI ractérisée par un ramollissement ou une raréfaction
osseuse
avec défor- mations et douleurs ; 2° ossificati
6° et 7° cervicales et première dorsale ne forment plus qu'une lame
osseuse
unique, plane, régu- lière, sans dépressions ni
- Remar- quel déviation cervicale par libation, les légers ponts
osseux
des disques lombaires, sans exostoses, le bourr
rs ponts osseux des disques lombaires, sans exostoses, le bourrelet
osseux
coxo- fémoral. Fin. 2. Région lombo-iliaque d
- Itemarquer la forte saillie de l'épine sciatique a, le bourrelet
osseux
coxo- 1'emoral b, l'allongement des apophyses é
e- pendant dans toute la région dorso-lombaire de très minces ponts
osseux
, iné- galement interrompus, joignant par-dessus
isques. A la région cervicale il existe aussi quelques minces ponts
osseux
reliant en avant les vertèbres voisines ; mais,
nt reliant la partie gauche des 3° et 4" cervicales, tous ces ponts
osseux
sont en retrait sur la face antérieure des vert
fig. 2) ; la couleur blanc jaunâtre, ivoire, de certaines portions
osseuses
néoformées tranche sur la couleur grisâtre des
minces. c) Bassin. Le sacrum est uni à la 5e lombaire par des ponts
osseux
de la face antérieure et par l'ankylose osseuse
mbaire par des ponts osseux de la face antérieure et par l'ankylose
osseuse
des apophyses articulaires. Les deux articulati
r la persistance complète de l'interligne articulaire, le bourrelet
osseux
néoformé qui empêche tout déplacement atticulai
tout déplacement atticulaire, l'allongement de la cavité cotyloide
osseuse
au même niveau, le tissu uniformément spon- gie
érieur : le fémur et l'os iliaque sépares. - Remarquer les bourrelets
osseux
néofor- més extrêmement saillants sur le fémur
le premier examen des articulations, c'est un volumineux bourrelet
osseux
irrégulier qui occupe tout le pourtour de la cavi
au con- traire été complètement remplacé par un puissant bourrelet
osseux
, irrégulier et inégal ; ce vaste bourrelet, san
dans le processus ankylo- sant. Il existait de plus un bourrelet
osseux
néoformé au pourtour de la tête du fémur ; or i
sition assise ou accroupie : « on voit même très souvent la surface
osseuse
qui entre en contact avec l'os iliaque limitée
use qui entre en contact avec l'os iliaque limitée par un bourrelet
osseux
» (Poirier). Partout ailleurs les lésions consi
nouvelle est accompagnée, ou sans doute précédée, d'une raréfaction
osseuse
. Notre autopsie nous en a fourni de nouvelles p
que, même à distance des articulations, il existait une raréfaction
osseuse
manifeste, que l'os perdait en certains points
ulière et très incomplète de quelques ligaments jaunes avec nodules
osseux
saillants dansla cavité rachidienneeten une ten-
celle du ligament vertébral commun antérieur qui formait une bande
osseuse
moniliforme de la 6e à la 12e vertèbre dorsale,
tèbre dorsale, un peu à droite de la ligne médiane ; or cette bande
osseuse
néoformée siégeait précisément dans la concavité
s nous avons'pu cons- taterla consolidation du rachis par des ponts
osseux
à la suite d'une lami- nectomie. , ' (1) LÉRI
ieure des corps et disques vertébraux écrasés ; en b, b, deux nodules
osseux
qui pénètrent dans la cavité rachidienne, LA
ion de la graisse dans le tissu sous-cutané, qui masque les reliefs
osseux
et musculaires. Il y a cependant dans le tablea
rande épais- seur qui enveloppe tout le corps et marque les reliefs
osseux
et muscu- laires », et qui constitue un de leur
un air trapu. L'adiposité des membres fait disparaître les saillies
osseuses
et les fossettes; et il y a de volumineuses mas
LLE AVEC INFANTILISME 79 80 ' PEL semble, que surtout les parties
osseuses
, l'humérus, mais encore plus le radius, le cubi
. XV et XVI)..Vous voyez nettement, que ce sont surtout les parties
osseuses
, qui ont augmenté en longueur et en largeur, l'ép
eux et de nos mains, on remarque le disproportion de l'hypertrophie
osseuse
.Le cartilage épi- pliysaire est partout à un de
lcaires. Au radius vous pouvez reconnaître. facilement la formation
osseuse
périostale. A côté des radiogrammes de notre ma
ement monstrueux, dû surtout à l'augmentation de volume des parties
osseuses
et, contrastant avec celle-ci, l'asthénie de la
droit de cette question. Et même la localisation de l'hypertrophie
osseuse
symétrique aux extrémités supérieures et inféri
lation augmentée, d'une croissance excessive et anormale du système
osseux
et d'une hyperesthésie avec forte extension du
es extrémités « in toto », à « l'hypervolume assez égal des parties
osseuses
, au manque des phalangettes en baguette de tambou
ls glandu- laires y jouent. un rôle, que ce sont tantôt les parties
osseuses
, tantôt les par- ties molles (la peau p. ex.) d
nce de tout ce qui rappelle une maladie cérébrale, l'hy- pertrophie
osseuse
non limitée aux terminaisons des extrémités, les
s quantités minimales peu- vent influencer la croissance du système
osseux
. , La première théorie, défendue par Pierre Mar
enoux au menton. Pas d'atrophie musculaire marquée ni de déviations
osseuses
. Les réflexes patellaire et plantaire sont dimi
stigmates physiques de dégénérescence, micro ce plia lie, atrophies
osseuses
et musculaires. - Aux pieds, infiltration élastiq
e des membres inférieurs ; l'autre, une microcéphale avec atrophies
osseuses
et musculaires, luxa- tion des doigts, pieds-bo
nt l'exophtalmie selon les indications de l'anatomiste près du bord
osseux
de l'orbite à la limite de l'angle extérieur des
e façon plus vague, les fait dépen- dre de dystrophies articulaire,
osseuse
, ligamentaire, fonction d'un affai- hlissement
l est bon également de remarquer le désé- quilibre de développement
osseux
dans les segments de membre, où deux os sont ac
nels de la malade. - Est née avec des déformations et des atrophies
osseuses
que nous reverrons tout à l'heure. La malade, et
e radiale est de 14 centimètres. Bras normal. Autres déformations
osseuses
. - Sternum : court,longueur 15 centimètres ; la
rs accidentelles ont diminué, mais toutes les masses musculaires et
osseuses
sont encore douloureuses à la pression. Trouble
malade une exagération manifeste de tous les réflexes tendineux et
osseux
et plus particulièrement des réflexes rotuliens e
quente, ont perdu tout pannicule adi- peux sous-cutané. Les reliefs
osseux
deviennent très apparents, au con- traire les l
l'hydarthrose, la grande augmentation de volume des deux extrémités
osseuses
, avec distension des ligainents ; mobilité anorma
gé Froelich, qui constate une grande trans- lucidité des extrémités
osseuses
subluxées, se traduisant sur le cliché négatif
épaississement des condyles et du plateau du tibia avec des masses
osseuses
abondantes englobant les extrémités articulaires.
périos- tées, ligamentaires et capsulaires surajoutées. La densité
osseuse
paraît dimi- nuée ; elle le serait moins, d'apr
l'épaule. Le malade est adressé à M. Doyen qui fait une ré- section
osseuse
et profite de l'intervention pour enlever trois p
région lombo-sacrée, nous avons abordé la dure-mère par une brèche
osseuse
pratiquée à travers les deux dernières vertèbres
ermé en grande partie ou même complètement refermée La large brèche
osseuse
pratiquée 8 à 12 mois aupara- vant n'existait p
ié. Autopsie. - Pas d'ulcérations ni de troubles trophiques. Brèche
osseuse
refermée partiellement, quoique moins complètem
es ni d'ulcérations. Canal rachidien complètement fermé par un pont
osseux
, sauf à la partie tout à fait supérieure de la
presque complètement au niveau de la partie inférieure de la brèche
osseuse
. Nous reconnaissons les restes complètement gri
canal rachidien n'était qu'incomplètement refermé par des bourgeons
osseux
insuffisants. Nous vérifions que les 10" et 11°
piphyses sont hypertrophiées, élargies, avec petites proliférations
osseuses
sur le pourtour des extrémités ; épais- sisseme
ot ri Etienne). ARïHROPATUIES SÉNILES DES DOIGTS 389 transparence
osseuse
, avec opposition relative entre l'état de condens
ence osseuse, avec opposition relative entre l'état de condensation
osseuse
dans les épiphyses et dans les diaphyses ; il par
s épiphyses et dans les diaphyses ; il parait y avoir raré- faction
osseuses
au niveau des épiphyses; et peut-être dans les di
as épaissies, et qu'il n'existe pas d'op- position entre la densité
osseuse
des épiphyses et des diaphyses. Cette dystrophi
certainement, d'après les radiogra- phies, un trouble de trophicité
osseuse
et articulaire, et l'hypothèse d'un rapport ent
de vingt centimes. L'apophyse clinoïde est branlante, la substance
osseuse
qui la compose n'existe presque plus et elle est
e utile d'insister sur le diagnostic différentiel avec la mala- die
osseuse
de Paget. Cette affection se caractérise par « l'
pertrophie et de la soudure des côtes » (P. Marie). Cette maladie
osseuse
de Paget se distingue facilement de l'acromégalie
nfluence réciproque du corps thyroïde et des ovaires sur le système
osseux
(Arclai- SUR UN CAS DE GIGANTISME PRÉCOCE 401
thérapeutiques confirmaient cette donnée. Sans doute la croissance
osseuse
fut moindre pendant la deuxième période, mais u
t de la croissance des os, justifiaient un nouvel examen du système
osseux
par les rayons Rôntgen. En rapportant les résul
is le pre- mier examen. Ce progrès est le même pour tout le système
osseux
, comme l'ont prouvé les autres examens faits à
heveux. Longue incision faite par les chirurgiens russes. Explosion
osseuse
. Ablation d'esquilles. Volumineuse hernie céréb
ite par les médecins russes. Au fond de l'incision se voit la plaie
osseuse
. Le crâne est ouvert sur une longueur de 7 cent
timètres et 1 centimètre de largeur. Après l'incision les esquilles
osseuses
ont été enlevées. Hernie cérébrale de 7 centimè
unissant les deux orifices. Ablation de nombreuses esquilles. Plaie
osseuse
de centimètres de long sur 2 de large. Hernie d
t de la sagittale correspondant au trajet du projectile. Fracture
osseuse
. Ablation des esquilles. Le crâne reste ouvert su
ence du radius coïncide avec quelque autre anomalie soit du système
osseux
, soit d'autres organes. Ces conclusions sont ri
euvent rentrer dans le cadre du rachitisme. Mais cette dystro- phie
osseuse
peut être la conséquence de tous les troubles dén
en arrière et coudée, comme élongée sur les racines par la saillie
osseuse
, On rapproche généralement de ces faits, les ra
bre du canal rachidien est normal ou même élargi au niveau du foyer
osseux
. Il en est de même des trous de conjugaison dan
, la dure-mère est franchie, soit, en avant, au niveau de la lésion
osseuse
, soit, sur les côtés, au niveau des racines, et l
du Laboratoire). Evolution clinique en 2 ans et 4 mois. Compression
osseuse
nette. 'JN1 ALQUIER Homme de 28 ans. A eu deu
indépendantes de la dure-mère. La moelle est, au niveau de l'éperon
osseux
(7° segment dorsal),très aplatie d'avant en arr
l. LXXVI, fig. 2, le N° 2 de cette figure correspond à la compression
osseuse
: le N° 1 montre la dégénération ascendante, le
ment à 70 ans. Mort 7 ans après. Coudure de la moelle sur un éperon
osseux
(1). Femme de 77 ans. Début à l'âge de 70 ans :
es fongosités épidurales présentaient l'empreinte nette de l'éperon
osseux
. Histologiquement on trouve, à ce niveau, le fo
tt dorsal, les deux premières sont des exemples nets de Compression
osseuse
. Dans la première, la moelle est aplatie d'avan
la première, la moelle est aplatie d'avant en arrière par un éperon
osseux
, réduisant à 5 millimètres au maximum le diamètre
térieure de la moelle, qui est coudée sur lui. Ici encore, l'éperon
osseux
adhère nettement à la dure-mère. Pour les quatr
lle, les lésions sont analogues dans les obs. 1 (avec com- pression
osseuse
), V, VI (compression par le foyer épidural), III
es. Le foyer épidural est, dans cas,localisé au niveau de la lésion
osseuse
, et ne dépasse pas la dure-mère ; en profondeur
férieure (lombo-sacrée) du faisceau. Dans ces 3 cas, la compression
osseuse
faisait défaut ; la moelle, dans - l'observatio
vertèbres dorsales avec gibbosité anguleuse et présence d'un éperon
osseux
saillant dans le canal rachidien dont il diminu
les racines lombo-sacrées. Le foyer remonte plus haut que la lésion
osseuse
. Quoique très étalé, ce foyer n'a qu'une épaiss
olles n'adhèrent à la dure-mère qu'au point correspondant à l'arête
osseuse
. Il semble qu'on puisse, au microscope, disting
n dehors de la dure-mère, les racines cor- respondantes à la lésion
osseuse
sont englobées par un tissu inflammatoire, avec
symptômes et des lésions ? 1° Genèse et signification des lésions
osseuses
. Compression osseuse. - Trois fois, un éperon o
ns ? 1° Genèse et signification des lésions osseuses. Compression
osseuse
. - Trois fois, un éperon osseux représenté par
des lésions osseuses. Compression osseuse. - Trois fois, un éperon
osseux
représenté par le bord postérieur d'un corps ve
elle, sans lésions nettes au mi- croscope. 1 Obs. II : la saillie
osseuse
est sur la XIe dorsale; la coudure et la compre
er la part qui revient dans la genèse des lésions, à la compression
osseuse
et à la présence des lésions épidurales. ' Ob
on serait tenté de con- sidérer ce cas comme un fait de compression
osseuse
pure. Mais la dure- mère est réunie à l'os par
s lésions médullaires. Ainsi donc, même dans les cas de compression
osseuse
évidente, il est difficile d'éliminer les autre
qui revient, dans la genèse des lésions nerveuses à la compression
osseuse
, Il convient cependant de~remarquer que celle-c
. ' Dans les autres cas, il ne saurait être question de compression
osseuse
. Compression par le foyer épidural. - Cinq fois
dans les observations I et II (Mal de Pott dorsal avec compression
osseuse
), elles apparaissent surtout dans les cas de mal
- berculeuses franchir la dure-mère directement, en regard du foyer
osseux
; toujours elle leur a opposé une barrière suff
t valoir que l'oedème existe dans l'obervation I, où la compression
osseuse
est prédominante et sans lésions tuberculeuses
r, ne coï- cident pas toujours absolument avec le siège des lésions
osseuses
; dans l'obervation V, la douleur spontanée et
normale ; cette zone d'anes- thésie ne coïncidait ni avec la lésion
osseuse
, ni avec le maximum des lé- sions épidurales. '
amélioration et d'aggravation ; dans l'observa- tion I (compression
osseuse
) elle avait présenté une marche progressive, un
ces carac- tères seraient à rechercher dans les cas de compression
osseuse
intense. Les troubles sensitifs ont une intensi
ls mon- traient en détail comment le cancer, en détruisant le tissu
osseux
, com- prime les racines au niveau du trou de co
avant, vient, pour ainsi dire, se mettre en contact avec le rebord
osseux
du bassin, et que le ventre forme un bourrelet
partie antérieure. En aucun point, il n'y a d'exostoses, de jetées
osseuses
réunissant les corps vertébraux; les articulation
-cartilage. Sur toutes les coupes, on peut voir en effet des jetées
osseuses
envahir irrégulièrement le ménisque : ces jetée
distincte qu'à l'état normal. Les aréoles contenues dans ces jetées
osseuses
sont presque vides d'éléments cellulaires, des hé
ti- lage du ménisque est dissocié dans tous les sens par des jetées
osseuses
irré- gulières. Ici encore, la moelle osseuse n
sens par des jetées osseuses irré- gulières. Ici encore, la moelle
osseuse
ne contient plus d'éléments en activité. En rés
r le corps entier, pour ainsi dire, transformé en un véritable bloc
osseux
par suite de la transfor- mation successive, en
e bloc osseux par suite de la transfor- mation successive, en tissu
osseux
, des divers muscles de la vie de rela- tion ; l
- bides n'ont apparu qu'à la puberté, les lésions sont fibreuses et
osseuses
, (1) WEIL et Ntssrsr, Nouv. Iconog. de la Salpê
dineuses, mais qu'elle est en rapport avec la fusion des extrémités
osseuses
. Cliniquement, il existe des analogies incontes
. Dans notre cas, lésions mixtes d'ankylose, à la fois fibreuses et
osseuses
. Dans la synarlhrophyse, au contraire, lésions
et osseuses. Dans la synarlhrophyse, au contraire, lésions purement
osseuses
; les choses se passent de cette façon que les
s autres arti- culations des membres sont intactes. Ces ankyloses
osseuses
déterminent un ensemble [de troubles fonction-
ONNEIX tiendrait, d'après MM. Mayet et Jouve (1), à des productions
osseuses
de néoformation, d'après M. Curcio (2), à l'oss
l : 4° périviscérites fibreuses, arthrites à type mixte, fibreux et
osseux
; et 2° altérations marquées des glandes vasculai
formations fibreuses périviscérales et périarticulaires, ankyloses
osseuses
. Il est certain que cette hypothèse n'explique
chronique à l'autopsie duquel on ait relevé, en plus des ankyloses
osseuses
, en plus des productions fibreuses périviscéral
s modifiés ; mais il existe des troubles notables de la sensibilité
osseuse
, le temps de perception des vibrations du diapa
oordination, l'abolition des réflexes, les troubles de la sensibilité
osseuse
, les phénomènes oculaires : signe d'Argyll, par
stéo-articulaire complexe se traduisant : 1° par des déformations
osseuses
prédominant au niveau du tibia droit et caracté
r l'examen cli- nique de cette malade les caractères de la syphilis
osseuse
. Il est certain que nous nous trouvons ici en p
ation de volume des os du tibia droit surtout, dans la condensation
osseuse
que traduit l'opacité radiographique, dans l'hy
s. Cette déformation doit-elle rentrer dans le cadre de la syphilis
osseuse
? Au point de vue clinique, ces déformations os
éra- tions tertiaires des jambes coïncidaient avec les déformations
osseuses
. En 1903, Ménétrier et Gauckler ont publié deux
« de l'influence syphilitique dans le développement de l'affection
osseuse
». Le dernier cas nous est fourni par Ménétrier
contribué pour cette certaine part à la genèse de ces malformations
osseuses
? Mentionnons à ce sujet que Gilles de la Toure
ide et manifeste des douleurs spon- tanées. Quant aux malformations
osseuses
, nous ne pouvons pas encore affirmer qu'elles s
retrouver sur son corps UNE RÉVOLUTION ANATOMIQUE 99 une éminence
osseuse
ou une crête d'insertion, s'il confond, cela ar
s'accumule sous forme de bourrelets qui métamorphosent les contours
osseux
ou musculaires sous-jacents. Témoin la région du
ns UNE RÉVOLUTION ANATOMIQUE 111 saines la recherche des saillies
osseuses
, des bords musculaires, des ten- dons, des artè
. L'examen radiographique montre l'intégrité absolue des sur- faces
osseuses
. Nous retrouvons dans tous ces cas de trophoedè
e ces différents systèmes, la coexistence des trou- bles trophiques
osseux
, musculaires et conjonctifs à la suite de lésions
e l'on peut observer isolément des troubles tro- phiques du système
osseux
, musculaire et conjonctif autorise à admettre l
avec le sternum ni avec l'acromion. ' Du côté gauche, la portion
osseuse
est plus considérable, elle est à peu près de 2
médullaire semble plus large que normalement, et il y a raréfaction
osseuse
. La radiographie du coude est fort intéressante
mais toute la partie supérieure de l'os présente de la raréfaction
osseuse
. La seconde radiographie nous donne les mêmes r
qui leur donne un aspect trapu. Il y a très nettement raré- faction
osseuse
, ainsi que le montre la transparence de l'image ;
retard dans l'ossification des os longs, mais raréfaction du tissu
osseux
de ces os. Cette raréfaction se retrouve au niv
es de la dentition, le retard de l'ossification et la raré- faction
osseuse
nous montrent que, ainsi que l'ont déjà fait rema
éjà fait remarquer Couvelaire (1), M. Villaretet Francoz, le groupe
osseux
, crâne el clavicule, n'est pas toujours le seul
rachitisme il y a dystrophie, par défaut d'ossification des travées
osseuses
qui demeurent cartilagineuses ; il y au- rait h
e troubles appréciables des sensibilités viscérales, tendineuses et
osseuses
profondes. , Le malade n'a jamais eu de « crise
tés profondes sont très atteintes, surtout à droite. La sensibilité
osseuse
pour les vibrations du diapason est presque aboli
lièrement aux extrémités. A droite, comme à gauche, la sensibilité
osseuse
est normale à partir des épaules jusqu'au somme
du sens des attitudes aux doigts et aux orteils, et la sensibilité
osseuse
, tant au point de vue de l'intensité que de la
, le tact peu touché, la sensibilité à la douleur et la sensihilité
osseuse
sont normales ; tandis que brusquement à partir
our expliquer la production de la scoliose. , C'est aux altérations
osseuses
et articulaires qu'il faut faire jouer le prin-
dorsale ; il n'y a pas d'hypertrophie vertébrale, pas de production
osseuse
anormale ; il pa- raît donc exister avant tout
à prendre en considération. Cette chiromégalie peut être d'origine
osseuse
ou bien due à l'hyper- trophie des parties moll
tat. Découverte, à la face interne du bras, au niveau de la section
osseuse
, du nerf médian et d'une artère, petite, accolé
endant elle n'est pas impossible, et, comme il n'y a pas d'obstacle
osseux
s'opposant aux mouvements passifs de flexion et d
ièrement sur ce développement parallèle du tendon et de l'insertion
osseuse
. \ L'épitrochlée est très saillante en dedans.
on peut être légèrement fléchie et la palpation y révèle une dureté
osseuse
. La radiographie montre, à ce ni- veau, au-dess
rès bien formés, quoique n'étant articulés avec aucune autre partie
osseuse
. Le membre se terminait en un moignon hémisphér
les faisceaux musculaires, très courts, s'insèrent sur le fragment
osseux
dans toute leur étendue ; ils vont en s'amincissa
cubital. Ces deux premières phalanges se terminent par des portions
osseuses
libres, articulées, qui sont bien des phalangines
e de l'index se déjette en dedans et vient se fondre avec la partie
osseuse
voisine. Membre supérieur gauche : ici non plus
halangettes soudées de l'index et du médius constituent une lamelle
osseuse
plate, bifide supérieurement et ne formant qu'u
à l'humérus, mais ne s'articulant pas avec lui, on trouve une masse
osseuse
, longue de 2 centimètres, terminée par une main p
coloration nor- male. On sent très bien, au palper, deux extrémités
osseuses
correspondant au radius et au cubitus brusqueme
sur une coupe au rasoir, ne montrent aucun nodule cartilagineux ou
osseux
pouvant être regardé comme un rudiment de squel
aplatie ; celle du cubi- tus est plutôt arrondie. Ces deux tronçons
osseux
, sectionnés suivant leur longueur, laissent voi
, au contraire, n'est pas distincte et paraît se souder à une masse
osseuse
irrégulière, formant une sorte de saillie convexe
tte : du côté interne correspondant au gros orteil, une phalangette
osseuse
, longue de 6 millimètres, fait suite à une phalan
s, surtout des extenseurs ; 3° une couche celluleuse ; 4° le massif
osseux
représentant le groupe des os du carpe, du méta
re. Son tendon grêle semble s'insérer à la partie externe du massif
osseux
du moignon ; mais on peut le suivre plus loin et
e de l'avant-bras ; il ne prend donc pas inférieurement d'insertion
osseuse
. Fléchisseur superficiel.Tous les tendons const
a se souder au fléchisseur profond à un centimètre de son insertion
osseuse
supérieure. Fléchisseur profond. Même dispositi
ures s'insèrent à la partie moyenne de la face antérieure du massif
osseux
; 2° les moyennes s'insèrent entre l'insertion
es s'insèrent entre l'insertion supérieure et l'extrémité du massif
osseux
; 3° les inférieures vont se perdre sur l'aponé
é du moignon, prennent vers son bord inférieur une légère adhérence
osseuse
et se terminent en s'évasant dans l'aponévrose
tal postérieur. Son insertion se fait sur le bord interne du massif
osseux
du moignon. Extenseur propre du petit doigt. S'
s'insérant à la partie supérieure de la face postérieure du massif
osseux
; 2° fibres externes qui vont se perdre sur la go
le; il semble corres- pondre au pouce ; il n'y a pas trace de tissu
osseux
dans ce moignon. xx 21 326 klippel ET BOUCHET
surfaces arrondies, de la dimension d'un petit pois ; ces trois zones
osseuses
siègent, l'une au milieu de l'os, les deux autr
ongles. Au palper, dans ces tubercules, il n'y avait pas de parties
osseuses
. Le moignon d'avant-bras était très conique ; i
ur l'épreuve une petite ombre, à leur niveau, représentant un point
osseux
isolé. L'interrogatoire révèle un frère et une
ite. L'hémimélie n'est pas d'ordinaire strictement limitée au tissu
osseux
. Bien au contraire, elle porte sur l'ensemble d
ominaux sont normaux. 11 en est de même des réflexes ten- dineux et
osseux
des membres supérieurs. Pas de troubles vaso-mo
ette région. 9 octobre 1906. - La tuméfaction, due à un soulèvement
osseux
, a aug- menté de volume sans changer de forme.
crânienne infiltrée et repoussée en dehors sous la forme de tumeur
osseuse
, visible au niveau du vertex pendant la vie. .L
tteinte par le processus hypertro- phiant montrait que le squelette
osseux
ne présentait pas d'altération. Leur for- me au
elui d'Hotsct)ewnikoff, car si nous n'avons pas constaté de lésions
osseuses
, du moins nous avons relevé des altérations con
eux affections ainsi que le fait remarquer Rectdinghausen : lésions
osseuses
hypertrophiantes de la cheiromégalie (2), altérat
-devant des rudiments de cavités cotyloïdes par une gangue de tissu
osseux
néoformé et peu dense aux rayons X, principalemen
en formant une ébauche de matrice unguéale ; 2° il existe une masse
osseuse
commune, représentant le carpe, et termi- née p
ui s'arrête sur le radius, le pouce manquant en tant que formations
osseuses
nettes ; d'ailleurs on peut, par une dissection
uvelle Iconographie DE la Salpêtrière T. XX. Pi. LXXIX DYSTROPHIE
OSSEUSE
HÉRÉDITAIRE (Halipré et Hébert) Radiographie
Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. PI. LXXX DYSTROPHIE
OSSEUSE
HÉRÉDITAIRE (Halipré el Hébert) Radiographie
velle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. Pl. LXXXI 1 DYSTROPHIE
OSSEUSE
HÉRÉDITAIRE (Halipré et Hébert) Radiographie
membre supérieur. ? ,. (Oh ? n EXOSTOSES OSTÉOGÉNIQUES DYSTROPHIE
OSSEUSE
HÉRÉDITAIRE (TROIS GÉNÉRATIONS) PAR A. HALI
(un (ils et trois filles), le fils est atteint des mêmes déformations
osseuses
. A l'examen on constate da nombreuses saillies
éformations osseuses. A l'examen on constate da nombreuses saillies
osseuses
adhérant au sque- lette, siégeant le plus souve
UVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. Pl. LXXXII DYSTROPHIE
OSSEUSE
HEREDITAIRE (Halipré et Hébert) Radiographie
E Iconographie DE la Salpêtrière. T. ? CX. Pl. LX1XIII DYSTROPHIE
OSSEUSE
HÉRÉDITAIRE (Halipré et Hébert) Radiographie
s inférieurs. (Obs. III) EXOSTOSES OSTÉOGEN1QUES. - D1'STYOPlllI.
OSSEUSE
lIÉInDITAlItI 439 440 - HALIPRÉ ET HÉBERT Dès
rincipalement au voisinage de l'articulation des genoux des tumeurs
osseuses
. Aucune malformation n'est appréciable sur la c
tème pileux. Mensurations : EXOSTOSES OSTÉOGÉNIQUES. - DYSTROPHIE
OSSEUSE
HÉRÉDITAIRE 441 puisque la mère signale chez so
cessus ostéogénique et un arrêt de dévelop- pement. Les productions
osseuses
anormales sont représentéss ici par une sorte d
ses anormales sont représentéss ici par une sorte dédouble bourgeon
osseux
probablement de nature spongieuse. L'un des bou
l'un à l'autre le radius et le cubitus. A côté de cette hyperplasie
osseuse
, la radiographie montre un arrêt de développeme
diaphyse, ont été refoulées loin de la tête de l'os par les couches
osseuses
de formation plus récente. D'autres exostoses for
gane glandulaire ». Peut- être en est-il de même pour la dystrophie
osseuse
qui nous occupe. D'ail- leurs si nous faisons a
ne n'est pas précédée d'une phase cartilagineuse. - La dystrophie
osseuse
héréditaire qui nous occupe aujourd'hui a pour
ouchés que les os des membres. Ainsi achondroplasie et dystrophie
osseuse
relèvent d'une viciation du processus normal d'
ssification dépendant du cartilage primordial. Dans la dystrophie
osseuse
il y a surtout exagération de l'ossification, c
naire primitif pour le thorax, le crâne et la face. Les dystrophies
osseuses
localisées, comme le Leontiasis ossea de Vir- c
es hyperostoses exubérantes coexistant avec la raréfaction du tissu
osseux
voisin. NOUVELLE Iconographie DE la SALPRTRIL`R
er. Etat actuel. - La malade, de taille moyenne,présente le système
osseux
et -musculaire bien développé. Visage un peu pâ
pl.), 418. Halipré et HE8ERT.Exostoses ostéogéniques. Dystrophie
osseuse
héréditaire (5p1.),437. INFROIT, VOISIN et Macé
isent par les causes les plus légères, parce que le nombre des fibres
osseuses
, et par conséquent la résistance de i'osr a notab
nfermée dans la capsule fibreuse, qui lui ait offert la consolidation
osseuse
, et qui ne permît quelques mouvemens d'un des fra
es; mais il pose en principe général qu'il n'y a pas de consolidation
osseuse
dans les fractures intracapsulaires du col du fém
aquelle peut être rapportée à deux genres : i° au dépôt d'une matière
osseuse
, qui, d'après cet excellent observateur, se dépos
e la cavité cotyloïde; à ce dépôt s'ajoute quelquefois une production
osseuse
, en forme d'arc-boutant étendu de la tête au corp
e fractures, si les fragmens sont écartés l'un de l'autre, la réunion
osseuse
est empêchée; 2° par Y absence de pression suffis
re en arrière, niais entre les deux faces correspondantes du cylindre
osseux
. i° Le défaut de pression des fragmens l'un con
mus-« culaires pour avoir la totalité du cal; mais bientôt des points
osseux
se manifestent dans l'é-« paisseur du cartilage ;
out le cartilage; les « bouts des fragmens sont enveloppés par ce cal
osseux
qui est d'abord rougeâtre, très poreux, « pénétré
cal est produit par le passage à l'état cartilagineux, puis à l'état
osseux
des parties molles qui sont en contact avec les b
te dans la production d'une substance fibreuse qui naît, non du tissu
osseux
lui-même, mais de la membrane adipeuse médullaire
du grand trochanter. Jen ai conclu que l'hémorrhagie venait du tissu
osseux
lui-même , et voici mon raisonnement : les os son
e 3, et qui est reçue dans une cavité incomplète, formée par un tissu
osseux
de nouvelle formation, tissu qui se présente sous
partie antérieure de cette éminence par une section oblique. La pièce
osseuse
formée par le grand trochanter, est appliquée con
* un pour le petit trochanter PT, auquel est annexé un petit fragment
osseux
FO, qui en est séparé par une fracture incomplète
e la surface des fragmens : cette surface était couverte de parcelles
osseuses
et d'une matière pultacée rougeâtre, que j'ai con
prolongement vasculaire et fibreux, allait de l'une à l'autre surface
osseuse
et ce prolongement naissait des surfaces osseuses
ne à l'autre surface osseuse et ce prolongement naissait des surfaces
osseuses
et nullement de la circonférence de ces surfaces.
fémur était dénudée du périoste et de repli synovial. Les surfaces
osseuses
dépouillées de la matière pultacée rougeâtre qui
ant même (fig. 3). Il n'y avait donc aucun travail entre les fragmens
osseux
. Le fragment supérieur présente deux avances os
re les fragmens osseux. Le fragment supérieur présente deux avances
osseuses
: i ° l'une inférieure, en forme de pointe ou de
en résulte des déformations, l'usure des cartilages, des végétations
osseuses
, etc. 5° Le cal, dans sa formation, débute touj
'un cal, mais bien à l'aide d'une cicatrice. Un cal, c'est une virole
osseuse
formée aux dépens de toutes les parties déchirées
de toutes les parties déchirées qui environnent les fragmens; virole
osseuse
dont l'épaisseur et la configuration sont en rais
a configuration sont en raison du déplacement de ces fragmens; virole
osseuse
qui, d'abord spongieuse et mamelonnée, acquiert p
la compacité en diminuant de volume : Règle générale : les fragmens
osseux
sont complètement étrangers à la formation du cal
eux-mêmes pour opérer cette consolidation ; il n'y a point de virole
osseuse
possible, tandis que les secondes sont dans les c
nt entourés de parties molles dont l'ossification constitue la virole
osseuse
. Comme cas de consolidation par cicatrice de fr
it permis de dire que Dupuytren avait, pour la formation de la virole
osseuse
, réhabilité purement et simplement la doctrine de
ellulaire, les tendons , en un mot tout ce qui environne les fragmens
osseux
, comme concourant à la formation de la virole oss
nne les fragmens osseux, comme concourant à la formation de la virole
osseuse
, si bien que Dupuytren , à qui je fis part de ce
ra-capsulaire consolidée,—J'ai cru d'abord que la consolidation était
osseuse
, mais en imprimant aux fragmens des mouvemens en
ion des fractures intra-capsulaires du col du fémur à l'aide d'un cal
osseux
. Le cal est impossible, parce que les fragmens li
i fibro-synovial P,P (fig. 1'), avait été décollé. Plusieurs fragmens
osseux
FO, FO étaient restés adhérens à ce repli. La par
t le fragment inférieur, présentaient chacun une cavité et une avance
osseuse
: la cavité de l'un recevait l'avance de l'autre
déformations qu'ont subies les surfaces frottantes et des végétations
osseuses
qui se sont formées. Les nouvelles articulation
er. On peut dire, en effet, de tous les canaux, de toutes les cavités
osseuses
, ce qu'on a dit des alvéoles dentaires, qui tende
sse dont l'ablation permet de voir la disposition spongieuse du tissu
osseux
; la nouvelle cavité eotyloïde NCC,laquelle est en
la nouvelle cavité eotyloïde NCC,laquelle est entourée de végétations
osseuses
, rendues plus profondes par un bourrelet fibreux
age dans la plus grande partie de son étendue, entourée de tubercules
osseux
. Un bourrelet fibreux BG, assez analogue au bourr
ment, il n'est pas nécessaire que les deux surfaces frottantes soient
osseuses
; ainsi une sur-face fibreuse frottant contre une
ent osseuses; ainsi une sur-face fibreuse frottant contre une surface
osseuse
a déterminé un développement cartilagineux sur ce
e osseuse a déterminé un développement cartilagineux sur cetU surface
osseuse
. Le collier fibreux COL formé aux dépens de l'a
t consécutives à celles de son enveloppe, et surtout de son enveloppe
osseuse
, qu'elles ne sont primitives. Maladie de Vartic
hangemens de rapports et de formes s'établissent entre les extrémités
osseuses
; les muscles passent à l'état graisseux; les nerf
riphérique ou par invagination, dont l'ankylose par jetées ou trabées
osseuses
n'est qu'une variété. Dans cette espèce d'ankylos
n travail existant dans les surfaces articulaires, mais par une gaine
osseuse
, espèce de fourreau étendu d'un os à l'autre, in
ylose proprement dite. 3° \1 ankylose par intermède, lorsqu'un disque
osseux
, plus ou moins étendu, est interposé aux surfaces
faces articulaires. 4° L''ankylose par fusion, lorsque les extrémités
osseuses
sont unies entre elles, non à la manière des syna
ossibilité de distinguer les limites qui sépareot les deux extrémités
osseuses
. Presque toujours il y a perte de substance, et l
s. Presque toujours il y a perte de substance, et les deux extrémités
osseuses
réunies n'ont pas quelquefois en hauteur et en ép
son a été publiée sous le titre de Dégénérescence singulière du tissu
osseux
dans les os du crâne et dans les os de la face (i
cision cruciale sur le front, et traversa avec le bistouri une croûte
osseuse
d'un pouce d'épaisseur, formée par des milliers d
e crâne, ce qui permit d'enlever la partie postérieure de cette boîte
osseuse
, en laissant sur le devant toutes les parties qui
fibreuses. Le phosphate calcaire a complètement disparu; les parties
osseuses
dégénérées se coupent à la manière des parties mo
n tissu caverneux, ou mieux comme un tissu veineux aréolaire à parois
osseuses
, dont toutes les mailles servent intégralement à
ssu aréolaire ou plutôt celluleux qui m'était présenté était un tissu
osseux
dont les cellules étaient remplies par du suc can
tité absolue d'aspect et de structure de ces deux énormes végétations
osseuses
, qui ont été recueillies sur deux sujets bien dif
s dans la composition de cette tumeur, et par conséquent que le tissu
osseux
ne constituait que le tiers environ de la masse.
ercule d'apparence cartilagineuse est supporté par un mamelon central
osseux
. Pour d'autres, les mamelons sont cartilagineux d
cartilagineux dans toute leur épaisseur;le centre du lobule est seul
osseux
. Enfin il est des lobules qui sont entièrement ca
ndre médullaire est parfaitement conservé. 3° Indépendamment du tissu
osseux
, formé par la transformation de la substance comp
artilage. Ces concrétions font suite au XXXIVe LIVRAISON. I tissu
osseux
proprement dit, dont il est extrêmement facile de
trêmement facile de les distinguer. 4° On trouvait çàet là des grains
osseux
ou ossiformes disséminés au milieu du cartilage,
le développement de la tumeur, l'état cartilagineux a précédé l'état
osseux
. On peut encore supposer que plus tard toute la p
ccation du tissu fibreux. Ce fragment est léger, poreux. Les mamelons
osseux
de la surface apparaissent recouverts par une cou
ineux, et leur cavité est remplie de sérosité. Les autres sont tantôt
osseux
ou pierreux, tantôt ostéo-cartilagineux. Dans ces
ont complètement étrangers à la tumeur qui émane entièrement du tissu
osseux
et de son périoste. La coupe de la tumeur montr
irconférence, calcaires au centre C, C, C. A l'exception de la partie
osseuse
centrale, bien évidemment constituée par le dével
omme des dégénérations des os, des ostéo-sarcômes ou cancers du tissu
osseux
. Il me semble résulter de l'examen approfondi de
onstituent" purement et simplement des productions cartilagineuses et
osseuses
, susceptibles d'un accroissement indéfini, mais i
ations, des excroissances, des parasites, nés du périoste et du tissu
osseux
lui-même, appartenant à la classe si complexe d
o-sarcôme, alors qu'il n'existait qu'une production cartilagineuse et
osseuse
. N'est-ce pas dans la catégorie des ostéo-chondro
arallèles, présentant « l'aspect et la structure imparfaite de filets
osseux
, incomplètement organisés et à demi « solides. Fe
u fémur partaient des jetées « plus ou moins volumineuses d'un réseau
osseux
, qui se portaient en rayonnant et dans une « dire
s'enfonce dans les sillons, lobules cartilagineux à leur surface, et
osseux
au centre, creusés de foyers, d'excavations conte
su du fémur épanoui et raréfié, de la surface duquel partait du tissu
osseux
de nouvelle formation , une analogie évidente ave
e cependant que la disposition en jetées, en aiguilles, de la portion
osseuse
de la tumeur décrite par Boyer, établit une diffé
olume, pour la disposition stalac-tiforme, ou par jetées delà portion
osseuse
de la tumeur. Elle en diffère, parce que le tissu
cette même pièce, le fémur est intimement confondu avec la production
osseuse
qui l'entoure, production qui est extrêmement com
: elles sont cartilagineuses, contiennent un « grand nombre de points
osseux
, et ont une tendance évidente à l'ossification ».
l'ostéophyte est une végétation, une sorte d'excroissance, de polype
osseux
, implantée sur l'os par un pédicule : il suit de
s enlever l'exostose sans entamer plus ou moins profondément le tissu
osseux
, tandis qu'on peut séparer complètement l'ostéoph
tiardct C. Exostoses. (Planche m, xxie livraison.) Deux exostoses
osseuses
et fibreuses extrêmement considérables, naissant
Les deux tumeurs sont supportées par un pédicule étroit, fibreux et
osseux
tout à-la-fois, adhérent à la surface de l'os, do
on ne tenaient à l'os iliaque que par un pédicule extrêmement étroit,
osseux
et fibreux; que le périoste et la lame la plus su
, sous le rapport de leur texture, comme un tissu caverneux à mailles
osseuses
, on comprendra aisément le développement de sembl
enir le siège de toutes les lésions morbides connues. Les productions
osseuses
signalées ici diffèrent des productions cancéreus
ule droite et les tumeurs crâniennes sont formées aux dépens du tissu
osseux
. Voici la description des tumeurs du crâne qui fo
face interne des os du crâne ne présente aucun vestige de végétation
osseuse
, la surface externe présente, autour des pertes d
ace externe présente, autour des pertes de substance, des productions
osseuses
très faciles à distinguer des os du crâne, et qui
les paraissaient formées, soit qu'elles fussent étrangères au système
osseux
, présentaient absolument les mêmes caractères. La
ar invagination, dans laquelle les deux os sont soudés, par une gaîne
osseuse
, étendue d'un os à l'autre, indépendamment de tou
ankylose périphérique, je dois noter l'ankylose par trabées ou jetées
osseuses
; i° \lankylose par juxta-position ou accolemen
e telle façon qu'on peut distinguer ce qui appartient à une extrémité
osseuse
de ce qui appartient à l'autre; 3° Lankylose pa
rtient à l'autre; 3° Lankylose par intermède, lorsqu'une production
osseuse
est interposée aux surfaces articulaires; 4° L'
aces articulaires; 4° L'ankylose par fusion, lorsque les extrémités
osseuses
sont soudées entre elles de telle manière qu'il e
ées , et cette atrophie est quelquefois telle que les deux extrémités
osseuses
réunies ont à peine le volume de l'une ou l'autre
e de voir de la structure fibreuse, cartilagineuse avec incrustations
osseuses
, des parois des kystes, de leur épaisseur et de l
ce inférieure un kyste à parois denses, fibreuses, cartilagineuses et
osseuses
. Ce kyste communiquait avec cette portion du gros
manière du vermicelle. Bien que la mamelle parût adhérente aux parois
osseuses
du thorax, cependant le grand pectoral n'avait pa
. Cette tumeur existait depuis un temps indéterminé. Goitre latéral
osseux
et celluleux.—Sur unefemme âgée,morte d'uneattaqu
iel, j'ai trouvé la moitié gauche du corps thyroïde d'une consistance
osseuse
. La section de cette masse a montré qu'elle était
tte masse a montré qu'elle était constituée par des cellules à parois
osseuses
et cartilagineuses, contenant une matière gélatin
t une coque pétrifiée, de l'intérieur de laquelle partaient des lames
osseuses
, qui divisaient ce corps en un nombre assez consi
roduction des kystes, les transformations fibreuse, cartilagineuse et
osseuse
, tiennent le premier rang. La dégénération canc
é dirigée en haut : elle est limitée supérieurement par une languette
osseuse
LO étendue du cartilage delà quatrième côte au bo
n dedans, par l'angle aigu qui résulte de la jonction de la languette
osseuse
LO avec le cartilage de la quatrième côte; en deh
uitième côte de la neuvième, à la réunion du cartilage avec la partie
osseuse
. Elle ne peut être réduite par le taxis qui est f
'en séparer. Au milieu de ce cordon fibreux, j'ai trouvé une aiguille
osseuse
de couleur jaunâtre FRO. Dans la veine fémorale,
résentait à l'extérieur une dureté extrême, contenait des concrétions
osseuses
ou ostéiformes, dont les unes étaient jaunâtres,
non équivoques de phlébite ancienne guérie. La formation d'aiguilles
osseuses
, au milieu du cordon fibreux qui remplissait la v
ilage qui revêt la face supérieure de cet os est décollé de la couche
osseuse
subjacente , laquelle est pénétrée de sang. Au ge
es plaques blanches et jaunâtres formées les unes par des concrétions
osseuses
, les autres par delà matière crétacée, recouverte
éparé le cartilage de la deuxième côte, séparé lui-même de la portion
osseuse
de cette côte. Il y avait également deux sacs a
e l'ampoule anévrysmale. Cette ampoule était constituée par une coque
osseuse
, divisée en fragmens ,iisses à leur surface inter
surface interne, et articulés à l'aide du tissu fibreux. Cette coque
osseuse
était évidemment formée parles trois membranes ar
s trois membranes artérielles. De la partie antérieure de cette coque
osseuse
naissait une tumeur à parois minces et fibreuses,
usculaires en tissu fibreux, en tissu cartilagineux, et même en tissu
osseux
. La distension est une cause très fréquente de la
s certaines limites, se transforme en tissu cartilagineux et en tissu
osseux
. Or, la transformation en tissu fibreux de la p
vrysme faux partiel du cœur consistant en une poche cartilagineuse et
osseuse
naissant du bord gauche de cet organe. — Mort pen
rax parfaitement bien conformé; cartilages costaux parsemés de points
osseux
grisâtres qui occupaient leur épaisseur. Les deux
gauche était une petite colonne; que la poche était cartilagineuse et
osseuse
, résistant à une forte pression, et qu'elle était
s du cœur. Quant au mode de formation de la coque cartilagineuse et
osseuse
occupant le bord gauche du cœur, je répondrai par
it une période un peu plus avancée, et dont le kyste cartilagineux et
osseux
serait la dernière période. Il établit en outre q
rois valvules sygmoïdes réunies étaient considérablement épaissies et
osseuses
. L'une de ces valvules présentait un prolongement
aissies et osseuses. L'une de ces valvules présentait un prolongement
osseux
qui, s'avançait au-dessous de l'orifice jusqu'au-
ule tricuspide s'épaissit et même quelquefois devient cartilagineuse,
osseuse
. Dans le cas représenté fig. i et i' la valvule t
effet, faire rétrograder les transformations fibreuse,cartilagineuse,
osseuse
qui les constituent ou dilater mécaniquement ces
uvoir les prévenir. Or les épaississemens fibreux, cartilagineux et
osseux
des orifices et des valvules du cœur tiennent-ils
nflammation comme cause de l'épaississement fibreux, cartilagineux et
osseux
des valvules du cœur est un point encore controve
On peut dire à cet égard que l'induration fibreuse, cartilagineuse et
osseuse
des valvules est souvent consécutive à l'inflamma
du petit doigt. Les valvules mitrales , épaissies, cartilagineuses et
osseuses
, interceptaient entre elles un espace conique, à
de, creusées de trous, de fossettes séparées par des espèces de ponts
osseux
fort irréguliers. Les deux trous ovales TO, TO so
e criblée comme pouvant donner lieu à des méprises funestes. Tumeur
osseuse
mamelonnée très volumineuse, naissant de la face
olumineuse, naissant de la face supérieure du rocher. — Petite tumeur
osseuse
naissant de la face postérieure du même os.—Affai
st-à-dire du côté opposé à la dépression de la commissure, une tumeur
osseuse
très considérable, naissant de la face supérieure
re de cette tumeur était dirigé d'avant en arrière. Sa nature était
osseuse
et présentait ce caractère remarquable que chaque
ompacte que le reste de la tumeur, partaient en divergeant des fibres
osseuses
rayonnées faciles à séparer les unes des autres,
es autres, et se terminaient par une extrémité mamelonnée. Ces fibres
osseuses
étaient faciles à séparer les unes des autres, à
postérieure du rocher, naissait encore une petite tumeur entièrement
osseuse
. La face supérieure du rocher présentait, au vois
ons mamelonnées, petits monticules qui semblaient continuer la tumeur
osseuse
. Les tumeurs qui naissent de la face supérieure
rales du cervelet ; elle adhérait par un pédicule extrêmement étroit,
osseux
, composé de fibres osseuses agglutinées s'épa-nou
dhérait par un pédicule extrêmement étroit, osseux, composé de fibres
osseuses
agglutinées s'épa-nouissant de suite en une tumeu
deux substances bien distinctes : i° une substance cartilagineuse et
osseuse
qui constituait le tiers inférieur de la tumeur;
En examinant la face supérieure du rocher, j'ai vu de petites tumeurs
osseuses
qui naissaient de cet os et soulevaient la dure-m
dure-mère, s'épanouissait en champignon, et semblait, sauf sa nature
osseuse
, une miniature de la tumeur décrite de la face po
enlevé cette membrane, j'ai vu au niveau de ces trous „ des cellules
osseuses
remplies de matière grise que j'ai prise dans le
nt en arrière: c'était cette saillie anguleuse, et surtout une pointe
osseuse
de trois lignes de long, née de la paroi antérieu
canal rachidien, qui avait comprimé la moelle épinière : cette pointe
osseuse
pouvait d'ailleurs être ou un fragment détaché de
r c'était à son niveau que la moelle avait été atteinte par la pointe
osseuse
) offrait une dépression transversale, qui était p
uver au doigt la sensation d'une espèce de vide, limité par un rebord
osseux
, évidemment formé par les apophyses épineuses, de
hes purulentes qui entourent les vertèbres sont pénétrées de fragmens
osseux
qui sont évidemment des débris du corps des vertè
veau des quatre ou cinq premières vertèbres dorsales entre les parois
osseuses
du canal vertébral et la dure-mère, une productio
tte tumeur, qui m'a paru carcinomateuse, était supportée par un noyau
osseux
, naissant du rocher à la manière d'une exostose.
ns des cas où d'autres n'avaient pas été aussi heureux. Les phlébites
osseuses
surtout sont une source féconde et souvent ignoré
pas aussi constante qu'on veut bien le dire ; que dans les phlébites
osseuses
, en particulier, soit du crâne, soit du fémur, so
cules, sont entièrement carnifiés; on n'y trouve pas vestige de tissu
osseux
. Les omoplates sont dans l'état de plus parfait d
s couches moyennes ou le centre du tissu compacte, où quelques fibres
osseuses
sont remplacées par du tissu cancéreux; ailleurs
ne maladie cancéreuse n'était autre chose qu'un kyste pileux à parois
osseuses
formées aux dépens de l'ovaire. Les tubercules
esse: il a subi la dégénérescence cancéreuse; à peine quelques débris
osseux
DB, DB. La figure 4 représente une coupe de la
s :il est pénétré de suc cancéreux, contenu dans des débris d'aréoles
osseuses
. La peau et le tissu cellulaire sous-cutanés so
leurs assez limité de cas, le cancer porte ses ravages sur le système
osseux
. Le point important, thérapeutiquement parlant,
à surface irrégulièrement bosselée, auquel était appendue une tumeur
osseuse
pédiculée. Son aspect lui donnait beaucoup plus d
de l'utérus était remplacé par une multitude de tumeurs fibreuses et
osseuses
, dont les plus grosses ne dépassaient pas le volu
rysme faux partiel du cœur, consistant en une poche cartilagineuse et
osseuse
naissant du bord gauche de cet organe. Mort penda
ancienne du coude non réduite; articulation contre nature avec coque
osseuse
. 9e liv., pl. 11, m, iv, v, vi, p. 8. — Ankylose
rysme faux partiel du cœur, consistant en une poche cartilagineuse et
osseuse
naissant du bord gauche de cet organe. Mort penda
Luxation du coude non réduite; articulation contre nature avec coque
osseuse
. 9e liv., pl. n, m, iv, v, vi, p. 8. CRAMPES. D
ravers la lame criblée de l'ethmoïde. 26e liv., pl. n, p. 5. — Tumeur
osseuse
mamelonnée très volumineuse naissant de la face s
s volumineuse naissant de la face supérieure du rocher. Petite tumeur
osseuse
naissant de la face postérieure du même os. Affai
STOSE. 20« liv., pl. i,p. ; 36e liv., pl. iv, v, p. .— Deux exostoses
osseuses
et fibreuses extrêmement considérables, naissant
l'homme est la plus exposée à l'usure des cartilages et des surfaces
osseuses
. 9e liv., pl. n, m, iv, v, vi, p. 12. GEOFFROY-
ormé aux dépens de la moitié gauche du corps thyroïde. Goitre latéral
osseux
et celluleux. 5eliv.', pl. iv, p. 1. —Considérati
ancienne du coude non réduite; articulation contre nature avec coque
osseuse
. 9e liv., pl. 11,111, iv, v, vi, p. 8. — Luxation
es os dans le pied-bot. 2e liv., pl. iv, p. i3.—Les maladies du tissu
osseux
ont leur siège, non dans le tissu osseux lui-même
p. i3.—Les maladies du tissu osseux ont leur siège, non dans le tissu
osseux
lui-même, mais dans le tissu cellulaire adipeux o
, pl. 1, p. S. — Cancer aréolaire des os. = Exostoses. Deux exosloses
osseuses
et fibreuses extrêmement considérables, naissant
articulaire. 40e liv.,pl. iv, p. 3. PÉRIOSTE. Altération des tissus
osseux
et médullaire avec intégrité du périosjte. 20e li
à travers la lame criblée de l'ethmoïde. 26e liv., pl. n, ». — Tumeur
osseuse
mamelonnée très volumineuse naissant à la face su
ès volumineuse naissant à la face supérieure du rocher. Petite tumeur
osseuse
naissant à la lace postérieure du même os. Affaib
ormé aux dépens de la moitié gauche du corps thyroïde. Goitre latéral
osseux
et celluleux. 35e liv., pl. iv,p. /. —Des goitres
ombre pres- que opaque on distingue facilement à droite des travées
osseuses
fines allant se perdre dans.l'extrémité inférie
iqué ni l'exploration électrique, ni la recherche de la sensibilité
osseuse
au diapason. Le cubitus gauche présente à sa pa
ostic : les radiographies attestent l'absence de toute hypertrophie
osseuse
, l'augmentation de volume ne porte que sur les
, Suède). Nos connaissances sur les lésions ou anomalies du système
osseux
dans la dysostose cléidocrân ienile sont encore
us n'avons jusqu'à présent aucune étude histologique sur les tissus
osseux
et ostéogènes dans cette affection et les carac
ntelés et déprimés. Dans 4 des crânes, j'ai trouvé une petite épine
osseuse
faisant saillie dans l'angle inférieur (antérie
a région pariétale de la voûte crânienne était composée' de plaques
osseuses
irrégulières de grandeur variable (maximum 6 x6
ire formellement l'opinion d'Apert (2) qui prétend que le squelette
osseux
de la base du crâne est « relativement prédomin
mentaires » ou inverses, dont l'une atteint précisément les parties
osseuses
que l'autre respecte, n'est pas fondée non plus ;
peut néanmoins évaluer appro- ximativement la longueur de la partie
osseuse
du dos du nez. En général, elle était de 10 mm.
une brèche qui correspondait sans doute à une interruption de l'arc
osseux
. Les dimensions du maxillaire supérieur sont ég
ont le tendon est percuté. » . Dans nos recherches sur les réflexes
osseux
, nous avons été frappé non seulement par le tai
ement par le tait de la contraction d'un muscle situé loin du point
osseux
que nous frappions, mais aussi par le fait que tr
on n'était pas unique. Par exemple, au membre supérieur, le réflexe
osseux
qu'on provoque par la percussion de l'apophyse st
ltanée de deux muscles, le long supinateur et le biceps. Le réflexe
osseux
de l'épi- condyle, le coude étant porté en arri
et l'anatomie de la moelle. Quoique pour la production d'un réflexe
osseux
il y ait parti- cipation de plusieurs muscles,
boration est une seule fonction ; d'où la conclusion que le réflexe
osseux
égale une fonction. Le réflexe osseux de l'apop
la conclusion que le réflexe osseux égale une fonction. Le réflexe
osseux
de l'apophyse styloïde du radius représente le mo
du radius représente le mouve- ment de flexion du coude. Le réflexe
osseux
de l'épicondyle, quand le coude a été préalable
qui se traduit par l'action de porter le bras en avant. Le réflexe
osseux
de l'épitrochlée représente le mouvement qui ét
le coude et porte en arrière le membre supérieur, etc.. Le réflexe
osseux
en général, comme tous les autres réflexes connus
pète qui conduit l'excitation produite par la percussion d'un point
osseux
; 2° par un centre réflexe qui représente l'ori
e sensitive ; et 3° par une fibre (1) NOICA et STHOIINGEa, Réflexes
osseux
. Revue neurologique, p. 969, 1906 ; Noica, . Co
969, 1906 ; Noica, . Contributions nouvelles à l'étude des réflexes
osseux
. Revue neurologique, n° 5, 15 mars 1901. 154
ous avons cherché à indiquer quel arc correspond tel ou tel réflexe
osseux
. Certainement nos dénominations sont schématiques
i-muscularité que nous avons constaté par la recherche des réflexes
osseux
, nous l'avons étudié plus loin encore, spé- cia
ACTURE 155 La percussion de la tubérosité interne du tibia (réflexe
osseux
de la 3e racine lombaire), peut provoquer une c
faire contracter en même temps le muscle triceps sural. Le réflexe
osseux
de la malléole externe est caractérisé par une co
hé à donner une explication anatomique de la propagation du réflexe
osseux
des adducteurs, aux muscles quadriceps crural e
exe rotulien, le réflexe conl),a-latéral des adducteurs et le réflexe
osseux
de la tubérosité interne du tibia. Revue neurol
es provoquer cher un homme normal par l'excitation de deux réflexes
osseux
, quand ils existent, et ils existent toujours c
fléchisseurs du poignet et des doigts. Le premier c'est le réflexe
osseux
des 5e est 6" racines cervicales, le second est l
a première attitude, nous ne pouvons pas la produire par un réflexe
osseux
, parce que nous ne connaissons pas le point osseu
e par un réflexe osseux, parce que nous ne connaissons pas le point
osseux
qu'il faut per- cuter, mais du moment que le ce
MÉCANISME DE LA CONTRACTURE 157 sacré doit correspondre au réflexe
osseux
qui provoque la contracture du grand fessier. L
tension du genou et l'adduction, nous les produisons par le réflexe
osseux
de la tubérosité interne du tibia (3e et 4e segme
r par la percussion de la malléole externe, c'est-à-dire le réflexe
osseux
du 1er segment sacré. Peut-on reproduire ces at
lure effaçait les contours normaux des régions, et les proéminences
osseuses
des malléoles, des rotules, des grands'trochant
t constamment entourés d'un bandage ; les rotules et les con- tours
osseux
au niveau du genou ne peuvent être perçus ; les c
rouble trophique tout à fait analogue à celui-ci ,peut être d'origine
osseuse
ou due à l'hypertrophie des parties molles ou e
par une extrémité, se terminer à l'autre extrémité par une aiguille
osseuse
en stalactites ou en stalagmites. Les ligaments
ous ossifiés. Le liga- ment sus-épineux formait par place des ponts
osseux
entre les apophyses épineuses voisines. Enfin
sseux entre les apophyses épineuses voisines. Enfin un mince pont
osseux
réunissant incomplètement la partie antérieure
il existe dans toute la région dorso-lombaire de très minces ponts
osseux
inégalement inter- rompus, et rejoignant par-de
rtèbres lombaires ; la couleur blanc-jaunâtre de certaines portions
osseuses
néoformées tranche sur la couleur grisâtre des ap
partie antérieure. En aucun point il n'y avait d'exostose ni jetée
osseuse
réunissant les corps vertébraux ; les articulat
udée et les ligaments qui la recouvrent for- ment un véritable étui
osseux
. La colonne cervicale présente le maximum de lé
rses vertèbres : cette soudure est produite par une sorte de virole
osseuse
qui réunit les corps vertébraux à leur partie pér
ncée, les espaces inter- vertébraux sont recouverts par une surface
osseuse
lisse dans sa région anté- rieure et présentant
es aspérités sur ses faces latérales. L'éclatement de cette surface
osseuse
laisse voir sur quelques points l'espace occupé p
sur lequel ont insisté les auteurs : c'est la raréfaction du tissu
osseux
très visible dans les parties de la pièce qui o
dans les manipulations. Elle con- traste avec la densité des tissus
osseux
néoformés qui présentent une véritable éburnati
t défaut au niveau des concavités. Nous voyons apparaître les ponts
osseux
reliant les extrémités des apophyses épineuses à
orme un plan très régulier indiquant soit une malléabilité du tissu
osseux
au moment de sa formation, soit une usure facil
pas complète et par place elle est représentée par de fines travées
osseuses
presque fibrillaires. On sur- prend bien là, ce
tion qui se reproduit plusieurs fois est cons- tituée par une jetée
osseuse
médiane qui sectionne en deux l'espace laissé l
achidiennes, elle est due à l'absence totale de toute prolifération
osseuse
exubérante, ca- ractère essentiel de la spondyl
é- braux antérieur et postérieur. d) Par une raréfaction du tissu
osseux
ancien, contrastant avec l'ébur- nation du tiss
su néformé. e) Par une absence totale d'ostéophytes et d'exubérance
osseuse
. Tels sont les caractères essentiels de la pièc
éri, ce processus d'ossifica- tion est secondaire à une raréfaction
osseuse
. Celle-ci est manifeste sur notre pièce. Au mom
être évitées. En outre on peut voir sur notre pièce que les travées
osseuses
du tissu spongieux sont raréfiées et amincies s
verses, cette raréfaction sérail le fait primitif, l'ossifica- tion
osseuse
étant un processus de compensation suivant le méc
dans son rapport sur la pathogénie des ankyloses. Cette raréfaction
osseuse
provenant d'uu processus in- (1) Léri, Pathogén
par ossification ligamenteuse phrénatrice, absence de prolifération
osseuse
parce qu'il s'agit d'une substitution de tissu
rolifération osseuse parce qu'il s'agit d'une substitution de tissu
osseux
au tissu ligamenteux. Généralisation et ho- mog
liste professeur Monselles déclara d'origine traumatique. Le septum
osseux
est dévié vers le côté droit et on observe l'hype
pation des masses musculaires, des troncs nerveux et des sur- laces
osseuses
. L'énergie de contraction est moyenne et égale de
l a les jambes très longues par rapport au tronc. De conformation
osseuse
très grêle, de formes pointues, très maigre, il
turcique est notablement et uniformément élargie, mais ses limites
osseuses
apparaissent nettes. La confrontation de cette ép
es et métacarpiens) on observe un développement excessif des tissus
osseux
spongieux, tandis que le développe- ment de la
ant-bras apparaissent extrême- ment petits et menus (1). Le tissu
osseux
compact est, de même que chez Marguerite, très pe
e de 5 ans, on doit en conclure que relati- vement le développement
osseux
de la main de Marguerite est encore plus arriér
nor- male ; seulement si l'on compare l'épaisseur du tissu compact
osseux
avec celle de la main d'une autre jeune fille n
e famille il nous montre à un très haut degré le dé- ficit du tissu
osseux
compact, la persistance de tous les cartilages ép
'os sésamoïde. Articulation du coude (Marguerite). - Conformation
osseuse
normale ; persistance d'un cartilage épiphysair
elui des mêmes os de la main ; on remarque le même déficit de tissu
osseux
compact et la persistance évidente de tous les ca
distinguer l'acromégalie du gigantisme et de quelques hypertrophies
osseuses
partielles congénitales ou acquises. Eh bien, l
galie, celte année Curschmann (2) annonce qu'à côté d'hypertrophies
osseuses
il a trouvé des atrophies évidentes surtout aux
men radiographique des mains et des pieds le développement du tissu
osseux
a paru des deux côtés nor- mal, quoique un peu
trouvé des altérations légères, sauf quelques petites raréfactions
osseuses
à côté d'épaississements,surtout au calcanéum ;
l'hyperostose ; bien plus rarement on observe des faits d'atrophie
osseuse
. Examen IIEJIATOLOGIQUE dans l'acromégalie. J
de troubles fonctionnels des organes hématopoiétiques,(Ie la moelle
osseuse
etdu foie, causés par des substances toxiques q
ement des altérations dans les tissus mous, mais encore des lésions
osseuses
, comme nous l'avons déjà dit en parlant de l'ex
achitisme ancien. Le crâne présente une élévation de tout le massif
osseux
au-dessus du plan passant par les arcades sourc
es os se dévie vers la droite de façon que l'ouverture de sa cavité
osseuse
est tournée en avant et à droite. La partie dro
nt saillie en ligne de faîte. De même que précédemment les surfaces
osseuses
absolument lisses donnent l'impression d'une sy
s et à l'âge adulte on trouve, après ossification, une surélévation
osseuse
de même forme dont le plus grand diamètre est d
LE ninges, ce fait montre les modifications qu'ont subies les plans
osseux
sous la poussée du cerveau qui tend à se dévelo
rg). 2° Névrite par stase papillaire due au rétrécissement du canal
osseux
(Ponfick) (1). 3° Névrite favorisée par le ré
osseux (Ponfick) (1). 3° Névrite favorisée par le rétrécissement
osseux
(Manz) (2). 4° Névrite due à une augmentation d
lésions des nerfs optiques, des nerfs olfactifs et les déformations
osseuses
. Nos malades n'ont aucun trouble de l'audition.
ite par l'hydrocéphalie sur les méninges provoque un épaississement
osseux
là où la tension est la plus forte. » Il nous a
our chaque main et pour chaque pied, au niveau du troisième segment
osseux
. Faisons remarquer également qu'ici les anomali
arpien voisin est plus grand que normalement. Une petite stalactite
osseuse
est développée sur l'angle interne de l'extrémi
unciforme, le grand os et le tra- pézoïde fusionnés en un seul bloc
osseux
. Le trapèze fait défaut. Les os de la 1° rangée
t en dessus de l'extrémité inférieure de l'humérus on voit un noyau
osseux
ovalaire, peu épais, qui semble représenter l'ext
radiales. En somme il ne s'agit pas de la simple absence d'un rayon
osseux
, mais tout le côté externe et antérieur du memb
de dysgénésie primitive des feuillets Nastodermiques; le sys- tème
osseux
et les tissus de soutien (os et cartilages) dériv
que les proportions nor- males entre le tissu spongieux et le tissu
osseux
compact sont très allé- rées ; partout et surto
ine dysthyroï- dienne était liée à la soudure précoce des épiphyses
osseuses
! Au ralentissement général du développement so
elllaeim a déterminé toute une série de modifications de la structure
osseuse
du crâne, du bassin et des extrémités qui survi
alacie puerpérale le processus d'involution pathologique des tissus
osseux
serait arrêté par la castration (Fehling). Boss
me peuvent être interprétées comme un signe de maladie de la moelle
osseuse
qui pourrait être ou secondaire à une affection d
cas. A la microcéphalie peuvent s'associer parfois des déformations
osseuses
de la base du crâne qui peuvent être la cause d
de l'os, les internes aboutissant à sa face profonde. Aux extrémités
osseuses
, l'aspect se modifie, le tissu devient moins dens
space rempli par les canaux tend à grandir, plus s'amoindrit le tissu
osseux
. — Les rapports sont bientôt égaux, mais grandiss
les deviennent dominants en perdant leur aspect primitif, et le tissu
osseux
, réduit à de simples lamelles et trabécules, ne f
e de l'os. Telle est la disposition sommaire, mais exacte, du tissu
osseux
. L'étude de son développement nous montre la même
s-uns toutefois, des veines, les remplissent complètement et le tissu
osseux
semble leur faire une tunique supplémentaire. On
and nombre des vaisseaux n'ont jamais de rapport intime avec le tissu
osseux
proprement dit. Partout ils baignent dans une sub
tions pathologiques qui y peuvent survenir. Ce milieu des vaisseaux
osseux
, c'est la moelle, dont le siège n'est pas là seul
ement. 11 nous reste, pour avoir donné une idée générale du système
osseux
, à parler de la membrane qui l'enveloppe, — le pé
e l'os. Sa vascularité, son épaisseur, ses adhérences avec le tissu
osseux
proprement dit, subissent des variations assez co
r en chevelu plus profon-dément. Les lymphatiques de la moelle, tissu
osseux
et périoste rendus évidents par les faits patholo
uelle part peut revenir à chacune de ses parties constituantes, tissu
osseux
, médullaire et périoste, dans les inflammations d
éomyélite, nécrose aiguë d, nous trouvons que le périoste et le tissu
osseux
, incftmestoujours de ces maladies, n'en sont jama
rien à faire avec l'origine des maladies qui nous occupent, le tissu
osseux
en est-il responsable? Je ne le crois pas et ne l
responsable? Je ne le crois pas et ne le comprendrais guère. Le tissu
osseux
, ce sont les colonnettes du compacte, les trabécu
, alors que la moelle serait saine, remplir ces condi-tions? Le tissu
osseux
est donc atteint secondairement dans toutes ses m
space plus grand, et, parties molles, elles agissent sur le dur tissu
osseux
, qu'elles érodent. Les canalicules augmen-tent de
re, les trabécules s'amincissent, disparaissent, — et les corpuscules
osseux
, devenus libres par la disparition de la sub-stan
circon-stances originelles, ici du pus, et là de nouvelles formations
osseuses
ou du moins en voie de développement. Sans insi
côté externe de la rotule, corps étranger ayant l'aspect d'une plaque
osseuse
, très-irrégulière, mesurant deux centimè-tres de
nférieure du fémur. 11 n'y a pas, à proprement par-ler, de bourrelets
osseux
sur les contours des surfaces articu-laires, ni d
Rotule. Elle a une configuration anormale, et offre des bourre-lets
osseux
ou cartilagineux disposés en plaques, qui lui son
ité inférieure pointait dans la cavi é articulaire; 2° une production
osseuse
, al-longée, sinueuse (8 centimètres sur 6 millimè
y a quelques ostéophytes arrondis, mais on ne voit pas ces bourrelets
osseux
élargissant la surface articulaire, comme dans l'
degré. Le cartilage est détruit. Il n'y a pas de bourrelets 1-2*
osseux
. De même que l'extrémité de l'humérus, elle est a
ne profondeur de trois centimètres et demi, on arrive sur un fragment
osseux
dont l'une des surfaces est arrondie et lisse, ta
ce importante dans la thérapeutique des plaies compliquées de lésions
osseuses
ou articulaires. — Outre que ces appareils fourni
a été expliquée, et l'explication suffit par l'activité de formation
osseuse
à cet âge. Toutefois, l'on comprendrait assez m
ous, constitue la lésion principale pour l'épaule ; 2° les bourrelets
osseux
et les corps étrangers qui se rencontrent plus pa
e. Usure prononcée des cartilages, presque nulle des os, bourrelets
osseux
multipliés, saillants, irréguliers, mamelonnés (d
gue des altérations secondaires dues aux déplacements des extré-mités
osseuses
qui se creusent des cavités articulaires accident
luctuation profonde. 11 est très-difficile de reconnaître les parties
osseuses
de l'articulation. La tête numérale elle-même est
it qu'à cet endroit il y a adhérence de la peau avec chaque extrémité
osseuse
. La dépression interne qui correspond au radius p
e XIII, fig. 4.) Le radius droit ne présente que quelques bourgeons
osseux
insi-gnifiants au niveau de la coulisse des muscl
un développement plus considérable qu'à l'état normal. — Les rebords
osseux
qui délimitent le col intérieurement sont épais e
de l'articulation tibio-péronéale supérieure existe une grosse masse
osseuse
, écartant les deux os l'un de l'autre, aplatie en
ssance de l'os en longueur. S'il en était ainsi pour chaque extrémité
osseuse
, les exostoses sy-métriques siégeraient indistinc
t, ces ostéopbytes n'étant en définitive qu'une surabondance du tissu
osseux
d'ossification, doivent occuper, lorsqu'ils exist
gle; ses exostoses siégeaient en effet au genou et sur les extrémités
osseuses
oppo-sées au coude. OPHTHALMOLOGIE TRAUMATISM
THOLOGIQUES. Les phénomènes inflammatoires commencent par la moelle
osseuse
contenue sous le périoste, sinon toujours au moin
déterminantes. De là ils se propagent dans les canalicules du tissu
osseux
com-pacte, les cavités du spongieux, la moelle ce
se morbide, fourniront des produits viables, et de nou-velles couches
osseuses
se formeront, engainant la diaphyse. Ces nouvelle
aphyse. Ces nouvelles couches pourront même se produire dans le tissu
osseux
, et, s'adjoignant aux anciennes, amoindriront l
ubérosité de la tête numérale détachée par la suppuration. Le tissu
osseux
est lui-même fort altéré. Les canaux de Havers se
vé chez une petite fille de 3 ans et demi le fémur réduit à une coque
osseuse
. Les aréoles du compacte s'agrandissent. La moell
lques mots de ce qui survient vers les articulations et vers le tissu
osseux
lui-même. Les articulations peuvent être lésées
plus souvent latents. Nulle douleur n'en résulte. Du côté du tissu
osseux
, nous aurons surtout des nécroses, né-croses pouv
. Tantôt les éléments médullaires modifiés nourrissent mal le tissu
osseux
, auquel ils fournissent les matériaux habituels,
tuels, ou devenant pus cessent tout à fait de le nourrir, et le tissu
osseux
, abandonné meurt. On voit de suite la relation in
ite qui survient, ou continue autour des séquestres, résorbe le tissu
osseux
qui les maintenait en contact avec le reste de l'
plet; d'autre part, la formation constante aussi de nouvelles couches
osseuses
dans la moelle sous-périostique, nouvelles couche
on com-plète du cartilage, ou sa transformation trop prompte en tissu
osseux
, aux ankyloses, à l'allongement hypertrophique du
utant plus sûrement que la limite du mal est plus voisine d'une table
osseuse
qui limite à son tour l'action du caustique ; ici
stylet et mieux le doigt, et l'on constate alors l'existence du tissu
osseux
à nu au fond de la plaie. Souvent tons les phén
ement et en dehors, l'humérus gauche se termine par une petite pointe
osseuse
, légère-ment contournée en forme d'éperon, et lon
le deltoïde, les pectoraux sont dimi-nués de volume, et les saillies
osseuses
de l'épaule peuvent se sentir très-facilement. L'
e se refermer, après évacuation du pus, sans élimination de parcelles
osseuses
né-crosées. Cette terminaison s'observerait surto
sont au nombre de cinq, en coupant le plus près possible des surfaces
osseuses
les insertions des muscles sus et sous-épineux, s
oduisant l'altération amyloïde, nous voulons parler des suppura-lions
osseuses
, du rachitisme, de la tuberculose, du cancer, de
forme particulière est sans doute le résultat de l'atrophie du tissu
osseux
et des éminences articulaires, atrophie à laquell
tête humérale,détruite en partie, il existe de nombreuses stalactites
osseuses
qui témoignent d'un travail d'hyperostose qui se
rmanentes : ce sont des hypertrophies et des atrophies des extrémités
osseuses
, mais dans lesquelles le travail de destruction l
Planche III. Arthropathie de l'é-paule chez une alaxique (lé-sions
osseuses
)........ 17 Planche IV. Égagropile chez un chat
avec le scaphoïde S; ME malléole externe; A astragale, TA végétations
osseuses
formées en grande partie aux dépens de la tête ou
téogénie ont voulu trop préciser l'époque de l'app arition des points
osseux
dans les divers os. C calcanéum , également un pe
t, sans hésiter, avoir recours à la scie pour diviser le prolongement
osseux
qui unit les deux os. Du reste, il est facile de
vec la cavité scaphoïdienne et la facette moyenne FM. Le prolongement
osseux
\ac sépare a quatre fois au moins la longueur qu'
emi-lunaire interposé étaient usés; il y avait même usure des couches
osseuses
sous-jacentes. Tout cela se conçoit aisément, pui
e de la tubérosité du calcanéum ou du talon, et alors des végétations
osseuses
souvent considérables naissent de cette tête. E
s, nous pourrions déformer, reformer toutes les parties de l'appareil
osseux
. Je sim M^^s ^uc le» nommes distingués qui se son
ment sur la nutrition, façonne lentement, mais sûrement, les facettes
osseuses
comprimées dans un sens, non comprimées dans un a
culaires de la malléole interne et du calcanéum. IIe LIVRAISON. 4
osseuse
divisée, à plus forte raison l'action continue de
s cartilages articulaires s'usent par l'exercice, que des végétations
osseuses
se forment, des déformations pins complètes ont l
umon; elle se manifeste encore par les concrétions cartilagineuses et
osseuses
dont elle s'encroûte, et qui coexistent toujours
subiront successivement la transformation fibreuse, cartilagineuse et
osseuse
. Voilà peut-être le mécanisme de la formation de
ous verrons que la dilatation ou ampoule AD était parsemée de plaques
osseuses
, cartilagineuses, crétacées, de diverses dimensio
e liquide coula de nouveau en grande quantité quand j'ouvris ce canal
osseux
. Il y avait peu « de ce liquide à l'extérieur de
rconférence 5 quelques-unes présentaient à leur centre un petit point
osseux
saillant à fibres rayonnantes. Grande injection
artilages articulaires avaient complètement disparu, que les surfaces
osseuses
elles-mêmes étaient profondément éro-dées , et qu
ses stries, qui, dans quelques « points, laissaient voir la substance
osseuse
à nu : dans d'autres points, cette couche s'enlev
épaisse encore que du côté gauche ; on trouva sous elle la substance
osseuse
rugueuse et entamée. Aux articulations tibio-tars
plâtreux demi-solides. Les cartilages étaient détruits , les surfaces
osseuses
rugueuses et très-rouges : la substance spongieus
ses rugueuses et très-rouges : la substance spongieuse des extrémités
osseuses
était infiltrée de la même matière. — Les autres
iennes. — Infiltration de grumeaux plâtreux dans les aréoles du tissu
osseux
. — Incrustation simple des articulations phalangi
s tard, il a éprouvé plusieurs attaques d'apoplexie.) Tantôt le tissu
osseux
serode comme le cartilage, et on voit des phalang
rtilages, puis usure et éburnification des os dépouillés, végétations
osseuses
, déformation des surfaces articulaires, mais jama
ies de la colonne vertébrale, comme d'ailleurs toutes celles du tissu
osseux
, ont leur siège, non dans le tissu osseux lui-mêm
eurs toutes celles du tissu osseux, ont leur siège, non dans le tissu
osseux
lui-même, mais dans le tissu cellulaire adipeux o
l'absorption peut s'-empa-rer en totalité; que les cellules du tissu
osseux
distendues par le développement de ce tissu cellu
et constituent en quelque sorte un canal supplémentaire de la colonne
osseuse
. Tous les trous de conjugaison subsistaient enc
s transverse et articulaires gauches ont été brisées. Des végétations
osseuses
, nées de la troisième vertèbre lombaire, viennent
ase du cartilage aryténoïde droit CA était dénudée, érodée, en partie
osseuse
. Du reste, les ganglions lymphatiques situés su
ence de la poche et confondu avec des épaississemens cartilagineux et
osseux
. i°. Poche unique comme dans le cas précédent, ma
ce aux nerfs de son côté par une double rangée de racines. Une avance
osseuse
A (fig. 4) en forme d'épine conoide, née de la fa
ection, la trace est indélébile : dans certains cas, la cicatrice est
osseuse
; c'est lorsqu'un os ou un cartilage ont été fract
interne seulement, tantôt les deux tables à la fois ; des végétations
osseuses
plus ou moins considérables se forment à mesure q
e interne aussi-bien qu'à la surface externe du crâne, cancéreuses et
osseuses
tout à la fois, avec ou sans perforation des paro
me des fongus de la dure-mère. Or la proportion entre les végétations
osseuses
et les végétations cancéreuses est sujette à beau
céreuses est sujette à beaucoup de variétés. La forme des végétations
osseuses
introduit elle-même de nombreuses variétés dans c
antôt elle en constitue la portion principale. Tantôt les végétations
osseuses
sont mamelonnées, peu saillantes, irrégulières et
e la dure-mere. XI. J'ai eu occasion d'observer deux cas de tumeurs
osseuses
et careinomateuses, nées du plan supérieur et du
ulevait la tente du cervelet qui participait à l'altération. Un noyau
osseux
central irrégulier soutenait une substance de nat
Dans l'autre cas, trois tumeurs sphéroïdes volumineuses, d'apparence
osseuse
, naissaient par un pédicule unique et très-étroit
ostérieur du rocher. Ces petites tumeurs étaient formées par un noyau
osseux
compacte, duquel partaient dans tous les sens des
noyau osseux compacte, duquel partaient dans tous les sens des rayons
osseux
qui se terminaient en forme de mamelons. Une mati
du rocher. Les tumeurs nées au niveau du rocher sont presque toujours
osseuses
, au moins en grande partie. Elles appartiennent a
e, très-adhérente et très - vasculaire, nous trouvons des végétations
osseuses
VO, VO, VO (fig. 2), dont quelques-unes ne tenaie
e, offrant en arrière une perforation P, autour de laquelle la tumeur
osseuse
amincie se laissait déprimer avec la plus grande
dure-mère, savoir, l'usure et la perforation des os avec végétations
osseuses
; (*) Voyez Dictionnaire de Médecine et de Chiru
ir affaire à un véritable fongus de la dure-mère, eût cerné la tumeur
osseuse
par plusieurs couronnes de trépan; supposons qu'a
cule correspondant. En effet, le cerveau ayant été retiré de sa boîte
osseuse
, il s'en est écoulé en peu d'instans une assez gr
a figure 1 montre le vide qui existait entre le cerveau et les parois
osseuses
du crâne après l'écoulement de la sérosité. La di
res mobiles de tous les mouvemens qu'exécutent les différentes pièces
osseuses
qui constituent l'appareil de la locomotion, les
tenseur propre du pouce sont interrompus au niveau de cette gouttière
osseuse
à laquelle ils adhèrent intimement. T est le trap
mité inférieure du radius. Comme tout est en harmonie dans le système
osseux
, il est rare qu'un os soit déformé à l'une de ses
enne du coude non réduite (*) ; articulation contre nature avec coque
osseuse
. Lorsqu'une luxation n'est pas réduite, une art
dire que les points de l'os le plus fortement comprimés de la surface
osseuse
, à laquelle cette tête correspond, s'atrophient,
moins sont le siège d'une nutrition plus active, d'où des végétations
osseuses
; que les parties molles elles-mêmes subissent la
euses; que les parties molles elles-mêmes subissent la transformation
osseuse
pour compléter la cavité articulaire; que d'autre
ibreuse, les parties molles environnantes éprouvent la transformation
osseuse
pour constituer une coque plus ou moins complète
à un glissement obscur. Ce mode d'articulation contre nature à coque
osseuse
, assez fréquent pour l'articulation coxo-fémorale
'humérus H. Celui-ci est maintenu dans la flexion par des végétations
osseuses
VO qui se prolongent en pointe à une très-grande
ume de l'extrémité inférieure de l'humérus et la capacité de la coque
osseuse
. La figure 1 représente l'articulation vue du c
figure 1 représente l'articulation vue du côté cubital. La végétation
osseuse
VO, vue de 3/4? peut être étudiée avec tous ses d
faite sans effort, sans brisement ou ploiement de quelques aiguilles
osseuses
. On voit la face interne de la végétation osseuse
quelques aiguilles osseuses. On voit la face interne de la végétation
osseuse
VO et les trous dont elle est criblée : l'apophys
ux côtés. L'ankylose A, fig. i, est remarquable par un gros bourrelet
osseux
qui entoure et soude entre elles les deux surface
a ici évidemment tout à la fois ankylose par invagination, une coque
osseuse
entourant les surfaces articulaires auxquelles el
t tous les jours la nature couvre de cartilages nouveaux des surfaces
osseuses
qui n'étaient point destinées à frotter les unes
nt destinées à frotter les unes contre les autres, ou des végétations
osseuses
nouvelles. Dès le moment que deux surfaces osseus
u des végétations osseuses nouvelles. Dès le moment que deux surfaces
osseuses
articulaires sont dénuées de cartilages, elles s'
: une couche éburnée incessamment reproduite aux dépens de la portion
osseuse
elle-même les recouvre. Si l'usure est bornée à u
ure ; mais aussitôt que ces cartilages ont été détruits, les surfaces
osseuses
dénudées n'étant pas organisées pour supporter im
our supporter impunément le frottement, il y a usure; des végétations
osseuses
se forment tout autour des surfaces articulaires
t également usées, déformées; leur base comme hérissée de végétations
osseuses
. La moitié antérieure de ces têtes était couverte
rofil par le côté externe, montre dans tout leur jour les végétations
osseuses
mamelonnées, qui débordent le condyle externe en
e numérale TR et sur fa grande cavité sygmoïde CSR et des végétations
osseuses
VO. La fig. 2 représente les corps étrangers ar
est semi-lunaire, cartilagineux du côté de sa face convexe (fig. 3),
osseux
du côté de sa face concave (fig. 3). Le malade a
é dans l'échancrure située au-devant de l'épine du tibia un tubercule
osseux
tout-à-fait semblable aux corps étrangers articul
production cartilagineuse; il en résulte au contraire une production
osseuse
, si c'est du phosphate calcaire; et souvent les c
caire; et souvent les corps étrangers sont à la fois cartilagineux et
osseux
. On voit aussi que des végétations osseuses pédic
à la fois cartilagineux et osseux. On voit aussi que des végétations
osseuses
pédiculées ou non pédiculées peuvent, en se détac
n'est plus facile que la séparation de quelques-uns de ces tubercules
osseux
. Indépendamment de ces deux modes de formation de
considère que la surface intérieure du canal médullaire est un réseau
osseux
, dans les mailles duquel le sang est déposé ; je
de la verge dans le système veineux. Le sang déposé dans les mailles
osseuses
ouvertes et inflexibles, entraine avec lui les gl
rement encore de la phlébite diploïque. Or, l'inflammation des veines
osseuses
s'applique comme cause d'abcès viscéraux, non-seu
u spongieux des os n'est autre chose qu'un tissu caverneux à parois
osseuses
, dans lequel le sang veineux circule incessamment
dilatation avec amincissement de toutes ses cavités. Crâne. Parois
osseuses
^très-épaisses ; bulbe raehidien d'une densité tel
nt très développés. La vésicule biliaire est remplacée par un kyste
osseux
, contenant une matière d'un blanc jaunâtre, brill
ane cérébrale extrêmement ténue qui tapissait la totalité de la voûte
osseuse
, et que nous avons montrée soulevée sur la faux.
enta; on peut en distinguer deux espèces. Dans l'une, c'est une coque
osseuse
ou plutôt pierreuse, ayant une, deux ou trois lig
rer dans son épaisseur. Dans l'autre, ce sont des espèces d'aiguilles
osseuses
qui pénètrent le placenta et le traversent dans t
( Journ. de médec., frimaire an x), chaque cotylédon avait sa plaque
osseuse
: et toutes ces plaques, qui avaient de trois à q
ations qui permettaient aisément la sortie du placenta. Chaque plaque
osseuse
présentait des rayons divergents qui procédaient
ditions particulières seraient-elles le défaut de continuité du canal
osseux
, les interruptions qu'il présente entre les vertè
rendre compte du spina bifida. L'adhérence une fois établie, le canal
osseux
étant imparfait, il est tout simple que le liquid
bre musculaire en tissu cellulaire, en tissus fibreux, cartilagineux,
osseux
; la formation dans leur épaisseur, des kystes de
u milieu de la matière graisseuse. Ce fragment présente 1° une plaque
osseuse
PO, 2° une petite tumeur pédiculée TC criblée le
tissu cutané. Dans l'épaisseur de cette petite tumeur était un noyau
osseux
amorphe; mais nulle part je n'ai trouvé de traces
ien évidemment un fragment de peau. La fig. 5 représente la portion
osseuse
qui soutient les dents : il est probable que cett
on osseuse qui soutient les dents : il est probable que cette portion
osseuse
appartenait à l'os maxillaire supérieur ; l'échan
orme de dents soudées entre elles et soutenues par quelques fragments
osseux
; ces dents faisaient saillie dans le kyste pileux
e tissu adipeux; qu'au milieu de ce tissu adipeux était une charpente
osseuse
DO, DO, de forme fort irrégulière, dont toutes le
e d'un os. La substance cornée S C , S C, emboîte une petite avance
osseuse
. La fig. 4 représente le petit squelette vu sou
es dans des alvéoles; les alvéoles étaient supportées par un fragment
osseux
plus ou moins considérable , caché dans l'épaisse
idérable , caché dans l'épaisseur des parois du kyste; et ce fragment
osseux
, m'a paru, dans quelques cas, appartenir à l'os m
rable que dans le cas représenté pl. V; mais au milieu de cette masse
osseuse
dont toutes les parties étaient soudées entre ell
i° de la présence des os dans les kystes ovariques et de ce squelette
osseux
si compliqué , représenté pl. V» La production
ntenues dans des alvéoles: ces alvéoles sont soutennes par des débris
osseux
. Les débris osseux varient, le nombre des dents v
véoles: ces alvéoles sont soutennes par des débris osseux. Les débris
osseux
varient, le nombre des dents varie ; ces dents re
passent pas le cercle des tissus celluleux, fibreux, cartilagineux et
osseux
. Jamais un nerf, un muscle , et à plus forte rais
nt échappé à la destruction et alors on trouve des dents, des parties
osseuses
du tissu cellulaire, sous-cutané, des ongles. C
de l'épine diversement infléchie était contenu dans une petite boîte
osseuse
. La cavité abdominale était remplie par les viscè
s prêtes à percer à chaque mâchoire. )) L'enveloppe était en partie
osseuse
et en partie cartilagineuse; elle avait presque p
kystes contenant des fœtus momifiés, kystes fibreux, cartilagineux ,
osseux
, ne pouvaient pas être formés par le tissu même d
la conversion du tissu de l'utérus en kyste fibreux, cartilagineux et
osseux
, mais bien sa transformation en un tissu d'appare
onnent expressément la densité de structure fibreuse, cartilagineuse,
osseuse
des kystes où ont séjourné les fœtus momifiés.
it en arrière : il n'a vécu que cinq minutes. » XLXe LIVRAISON. j
osseuse
ouverte par sa paroi supérieure, les pariétaux P
asilaire ; à moins qu'on ne considère comme vestige un petit fragment
osseux
O B? situé derrière l'occipital latéral droit OL
la tumeur formée parla matière encéphaloïde infiltrée dans une trame
osseuse
aréolaire : le cylindre médullaire était rétréci
Dans le cancer par masses disséminées des os, ce n'est point le tissu
osseux
proprement dit qui est envahi, mais bien le tissu
ées desos, ne sont point accompagnés du développement i clu tissu
osseux
qui constitue la spina ventosa; bien au contraire
u sur l'autre des trois parties constituantes des os, périoste, tissu
osseux
, tissu adipeux médullaire, tantôt sur ces trois é
au périoste; i° du cancer intéressant à-la-fois le périoste, le tissu
osseux
et le tissu médullaire, je citerai l'observation
dans ce cas, le périoste, le tissu adipeux médullaire et la substance
osseuse
elle-même, avaient été envahis. Ce fait prouve
exemple d'altération simultanée de la membrane médullaire et du tissu
osseux
, avec intégrité du périoste, je citerai l'observa
, et paraissaient contenues, sans y adhérer, dans une espèce de coque
osseuse
irrégtilière à parois rugueuses dont elles rempli
rande quantité de sucs cancéreux. Elles avaient usé, corrodé le tissu
osseux
à la manière d'un anévrysme; aucune végétation os
orrodé le tissu osseux à la manière d'un anévrysme; aucune végétation
osseuse
n'attestait un travail morbide développé dans l'é
se n'attestait un travail morbide développé dans l'épaisseur du tissu
osseux
. Le foie, qui avait triplé de volume, était far
isa-ce tions vasculaires : on rencontrait çà et là quelques molécules
osseuses
ayant appartenu au diploé. » Une tumeur fibreus
onférence. On ne trouvait pour vestige de l'os que quelques parcelles
osseuses
rares. Les cellules que présentait l'épaisseur de
des cancers des os qui envahissent la membrane médullaire et le tissu
osseux
tout à-la-fois; tandis que dans les cas que j'ai
inférieurs di- minue on voit alors très nettement les déformations
osseuses
. Aspect, du malade. R. debout présente l'aspect
tiasis. Le pied semble normal, de forte taille; pas d'irrégularités
osseuses
, les orteils sont un peu rejetés en dehors. L
ace externe est plus irrégulière encore : elle présente des plaques
osseuses
surélevées, constituant de larges écailles de plu
s métatarsiens des deux pieds semblent participer il l'hypertrophie
osseuse
généralisée, bien qu'à ce dernier point de vue il
x, en avant, par la symphyse pubienne forment avec lui une ceinture
osseuse
résistante par l'intermédiaire de laquelle le p
e les triceps suraux ont perdu presque toute action sur les leviers
osseux
qu'ils sont destinés il mouvoir. L'examen des mou
e rapporte à des amyotrophies consécutives, soit à des déformations
osseuses
ou articulai- res, soit à des paralysies. 1 T
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE E Ilinenses, ligamenteuses, cartilagineuses,
osseuses
, atteignant les plus extraor- dinaires proporti
te J. Paget, aussi compétent que personne en matière tl'afl'eclions
osseuses
et articulaires, acceptèrent ses conclusions. P
ts articulaires. En vain, nous cher- chons à retrouver les saillies
osseuses
qui sont nos points de repère dans l'ex- ARTHRO
e sont plus à leur place. Là où se trouvait antérieurement une tète
osseuse
, nous devinons une cavité. Chez la malade que n
oujours la dislocation terminale, avec ceballotage des extrémi- tés
osseuses
dans des sortes de pseudartliroses identiques a c
des troubles dont le siège primordial est le périoste ou la moelle
osseuse
. Il ne saurait être question des cartilages : l
inopinément a l'occasion du moindre effort. La friabilité du tissu
osseux
relève d'un processus de dénu- trition que l'an
est connue, et vous savez aussi qu'elle est toujours primitivement
osseuse
. La synoviale tarsienne n'y participe pas. C'es
bien le pied cassé delà chi- noise. Ainsi, les troubles tro[Oiclucs
osseux
c'est là que j'en veux venir sont primitivement
ale (Fie. G8). Vous pouvez constater aujourd'hui que les contours
osseux
de la jointure sont absolument méconnaissables.
nctionnelle préside il ces variations contradictoires de la nutrition
osseuse
, il faut soupçonner que le molle d'activité du
ais maintenant vous montrer une malade chez laquelle les extrémités
osseuses
ont littéralement fondu dans le liquide synovial,
e la région tibio-tarsienne avec une éruption purpurique. La lésion
osseuse
du pied gauche date déjà de plusieurs années. O
lief.relatif de la voûte 'acl'omi07Claviculaioe.. Celte disparition
osseuse
donne ,1 l'articulation scapulo-humcrlle.tme.mobi
en de- dans. Ici encore les ostéopathies portent sur les extrémités
osseuses
du fémur et du tibia. Dans les deux genoux, l
nlre dans l'hypertro- phie du membre. Il se pourrait que les tissus
osseux
et musculaires n'y fussent pas absolument étran
equel il a trouvé en l'absence de toute arthropathie une production
osseuse
au-dessus du muscle anconé; elle était longue,
onstant de trouver des craquements en rapport avec l'état des tètes
osseuses
(usure des cartilages). Les ligaments et les caps
s articulaires. Nous avons vu qu'il pouvait exister des productions
osseuses
soit intr2-cap- sulaires, soit extra-capsulaire
séparées de toutes leurs connexions, soit il est vrai dans le canal
osseux
, mais sans que Figure Ce Le rapport des nerfs r
éorie musculaire (paralysies, contractures) ; 2° Théorie trophique (
osseuse
, articulaire, ligamenteuse). On ne saurait expl
cas. D'autre part, le malade porte des traces nombreuses de lésions
osseuses
et articulaires. La scoliose relevait d'une alt
sanguins et lymphatiques, les tissus conjonctifs et jusqu'au tissu
osseux
lui-même. L'équilibre dont il s'agit est indis-
de tabes sensitif a des troubles trophiques articulaires et surtout
osseux
, parce que les centres spinaux de réaction nutri-
action nutri- tive qui régissent l'équilibre fonctionnel des tissus
osseux
ou cartilagineux ne connaissent rien de l'écorc
er les attitudes vicieuses qu'entraînent les déformations des fêtes
osseuses
. Ainsi dans l'observation de Roth (va- riété hy
logique. Contentons-nous de dire qu'elle résulte d'une hypertrophie
osseuse
, le plus souvent. La région atteinte conserve d
ariété hypertrophique on constate non seulement une prolifé- ration
osseuse
(ostéophytes) mais aussi une néoformation du tiss
ois la cavité articulaire. Des fragments, déta- chés des extrémités
osseuses
, flottent, souvent nombreux, libres ou fixés (1
épaissie et par place ossifiée. Sokoloff pense que les productions
osseuses
extra-capsulaires distinguent les arthropathies
nent aussi aux. arthropathies neuropathiques. Quant aux productions
osseuses
extra-articulaires il est difficile de leur ass
es leurs formes, depuis celles qui par l'étendue des destruc- lions
osseuses
, l'indolence, la concomitance de troubles centrau
, certaines ostéo-arthrites tuberculeuses, lorsqu'à l'hypertrophie.
osseuse
se joignent de l'empalement irrégulier des tissus
tout au genou etau coude, l'ostéo- sarcome, lorsqu'à l'hypertrophie
osseuse
et à l'hydarthrose se joint un oedème dur péri-
ême trophique d'or- dinaire ; la synoviale s'enflamme, les surfaces
osseuses
se dénudent, se dé- litent, s'éliminent sous l'
nt parfois une destruction étendue des cartilages ou des extrémités
osseuses
ainsi que nous l'avons constaté dans un cas où
aies des nerfs. Elle transforme le carpe ou le tarse en des massifs
osseux
dont, à la longue, les synoviales et les cartil
mal perforant, sauf dans les variétés les plus atténuées, la lésion
osseuse
joue un rôle beaucoup plus considérable que la
es articulations atteintes, ankylose souvent fibreuse, parfois même
osseuse
avec atrophie des extrémités articulaires const
, des ligaments très distendus, des cartilages érodés. sans lésions
osseuses
même au microscope. Un peu de a M ..., 1=
Fig. 86, 87, et 88. - Pied tabétique. A. Aspect clinique et B lésions
osseuses
(vues en place et après écartement de l'astragale
t, de modifier la sur- face synoviale el de supprimer les fragments
osseux
mobiles qui l'irri- 312 NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
du genou à forme atrophique, avec hydarthrose et nombreux fragments
osseux
mobiles. Tous les 8 ou 10 pas, sans doute par i
ou des deux côtés de la rotule, évacuai le liquide et les fragments
osseux
, et maintins douze jours en contact avec la sur
jours après le genou gauche; il se fit des deux côtés une réu- nion
osseuse
complète et rectiligne; la station debout et la m
ue, peut-être ne s'oppose-t- ellepas à toute tentative d'orthopédie
osseuse
opératoire. Dansune arthro- pathie syringomyéli
assagers : nuls si la résection ne peut dépasser la zone d'atrophie
osseuse
, passagers si elle la dépasse, car le pro- cess
passe, car le pro- cessus d'origine médullaire détruit les surfaces
osseuses
mises en contact après avoir détruit les surfac
étique, ne purent obtenir l'ankylose déviée. En somme, l'orthopédie
osseuse
ne parait devoir jouer dans la thérapeu- tique
travers la peau, puis nécrosée, la résection de toutes les parties
osseuses
malades s'impose : l'étendue des lésions osseuses
outes les parties osseuses malades s'impose : l'étendue des lésions
osseuses
et la gravité des accidents infectieux peuvent
tion habituelle doit avoir également pour but d'enlever les parties
osseuses
nécrosées : mais là d'or- dinaire suffit un tra
peux' s'est amplement garni de graisse ; les méplats et les reliefs
osseux
ont disparu ; bref, la morphologie du corps est d
aux trépidations communiquées à l'inertie de celles-ci par la paroi
osseuse
sous-jacenle. Fondions sismesthésiques. 8° Enfi
Fracture de la Vie dorsale ; déplacement en arrière d'un frag- ment
osseux
demi-circulaire comprimant la moelle. Ablation de
ts périphériques perdent leur gaine de Schwann en sortant des biles
osseux
du labyrinthe. Les centraux perdent la leur pro-
directement, soit après un certain parcours dans la rampe spi- rale
osseuse
, aux cellules du ganglion de Corti, formant le ra
'écartement des faisceaux vestibulaires divisés au niveau des biles
osseux
. Ceux du ganglion de Corti sont rangés en colonne
slliésie avec retard vu 25 Fig. 96. - Mécanisme de la compression
osseuse
de la moitié gauche de la moelle chez le malade
terai une guérison qui ne fût pas survenue spontanément. L'esquille
osseuse
, qui chez le premier de mes opérés comprimait la
olume. D'ailleurs la radiographie, annexée, montre que les surfaces
osseuses
sont absolument saines (Pl. Il). Sur la peau de
r ? : ' Il ne peut s'agir d'oedème, reliquat, témoin d'une fracture
osseuse
mal consolidée, d'un cal douloureux. Plus encor
gique, la radiographie nous montre l'intégrité absolue des surfaces
osseuses
. Il n'existe également dans le petit bassin, au
e, continue et prolongée ? Il est plus probable que les altérations
osseuses
étaient primitives, et que nous avions-là, sous
l, je la fis sauter avec une pince coupante ; la surface de section
osseuse
fut régularisée et arrondie à la pince-gouge, e
éophytes » ; la radiographie montrait fort nettement une végétation
osseuse
péri-articulaire. Ces ostéophytes et ces ankylo
gls voisins, et l'obstacle est, ici, d'autantplus réel, que la tète
osseuse
est le plus souvent, elle-même, « hypertrophiée
l'humérus. Cette nouvelle cavité articulaire présente des parties
osseuses
et des parties fibreuses (PI. XVI). Les parties
es parties osseuses et des parties fibreuses (PI. XVI). Les parties
osseuses
sont la tète numérale, la cavité glénoïde de l'
i- nes pseudarthroses. Le tissu fibreux interposé entre ces parties
osseuses
limite la grande cavité articulaire. Cette nouv
e ; l'exploration au stylet ne permet pas d'arriver sur une surface
osseuse
dénudée. Il n'existe pas de mal- formation du c
on chirurgicale s'impo- sait ; elle montra l'existence d'un pertuis
osseux
, donnant accès, après trépa- nation, dans une g
eu adhérente à la face interne de cette laine et an reste du rebord
osseux
. Une certaine quantité de liquide clair s'échappe
néraux qui accompagnent l'ostéomyélite du crâne, à une localisation
osseuse
de la tuberculose ou de la syphilis. Mais, tandis
ec d'autres manifestations graves de même nature, les localisations
osseuses
de la syphilis héréditaire peu- vent apparaître
ter celte hypothèse, en raison des caractères spéciaux de la lésion
osseuse
. L'évo- lution ultérieure ne contredit pas cett
incomplète par un tissu fibroïde et exceptionnellement par du tissu
osseux
. Nous savons, depuis Fournier, la fréquence des l
ments et les perforations les plus étendues. Avec moins de réaction
osseuse
, d'autres formes de syphilis crânienne entraîne
ec la dure mère, nous la croyons en relation directe avec la lésion
osseuse
; elle marque la première localisation de l'inf
hissement des méninges : la gomme naît dans le périoste ou le tissu
osseux
, perfore la table interne, atteint les tissus sou
faire une étude très sugges- tive sous le titre suivant : Syphilis
osseuse
héréditaire tardive, type Paget. Types infantil
l'a souvent répété à tort.» Au moment de son évolution cette lésion
osseuse
n'était sans doute pas indolore, quoi qu'en dis
férieure du tibia, régularise celte extrémité et enlève une portion
osseuse
qui semble être formée de la surface articulair
ment des masses musculaires, la radio- graphie nous montre un noyau
osseux
interposé à l'os iliaque et au tibia et qui rep
adiographies, on ne trouve, en dehors du tibia, la trace d'un noyau
osseux
. Pieds. Dans le squelette du pied, les malforma
I). A droite le tibia apparaît soudé depuis l'opération à un massif
osseux
qui semble formé de l'union de ce qui reste d'a
se poursuit jusque vers la région lombaire. Le fond de la fosse est
osseux
et formé par les os de la face antérieure des c
nor- males de cette face sont complètement absentes ; c'est un plan
osseux
extrêmement tourmenté. Derrière le front, une
mètre de profondeur forme un fort sillon transversal ; puis le plan
osseux
se relève et forme un large plateau, ayant 3 ce
ipital, ses masses latérales concourent à la formation de ce massif
osseux
. A sa partie antérieure et médiane est l'hypoph
imètres de diamètre, grisâtre par sa large base elle adhère au plan
osseux
, à sa partie libre flottent des (1) Nous devons
e sectionnées par une ligature. Sur les côtés de ce grand plateau
osseux
, en arrière de l'hypophyse, sont deux nerfs qui
rière de l'hypophyse, sont deux nerfs qui s'enfoncent dans la paroi
osseuse
, par un orifice au Scui.MA ne 1. N. 01. nerf ol
e, mais dans une gaine qu'envoie celte membrane au pourtour du trou
osseux
. Les dits ganglions sont très dé- veloppés à la
Schéma no 2. D. M. dure-mère. - g s. ganglion sensitif. 0 s. plan
osseux
. - N. phr. nerf phrénique. G. S. grand sympat
nerfs précédents ; il a un long trajet entre la dure-mère et le plan
osseux
que forment le sphénoïde, le rocher et l'occipi
ures costales, ces vaisseaux et nerfs passaient en de- dans du plan
osseux
, souvent au fond d'une petite gouttière. Tout l
couche graisseuse sous-cutanée rend plus appa- rentes les saillies
osseuses
: à la face, en particulier, les deux os malaires
ormées non seulement de tissu fibreux adulte, mais surtout de tissu
osseux
. (1) Une regrettable erreur de technique, consi
une dilatation de la selle turcique, cet élargissement de la cavité
osseuse
cor- respondant évidemment à l'augmentation de
de Pierre Marie, et cela, avanl même l'apparition des déformations
osseuses
caractéristiques (1). En réunissant les différe
: 10 On a pu, par exemple, relever chez lui la présence de plaques
osseuses
méningées spinales, signalées dans plusieurs ca
que nous l'apprit l'autopsie, gênée dans son expansion par la basse
osseuse
du crâne, s'était développée dans le ventricule l
tuer des men- surations précises. Elles montrent que l'hypertrophie
osseuse
n'est pas parallèle à celle des parties molles
up moins prononcée aux autres doigts et à la main. L'hyper- trophie
osseuse
est au contraire plus marquée au médius qu'aux au
uis l'index et l'auriculaire, en flexion incomplète ; aucune lésion
osseuse
ou articulaire ne justifie cette attitude. Il n
certains cas, vient se surajouter aux autres dystrophies (cutanées,
osseuses
, vasculaires, glandulaires) si souvent alliées
ne sur l'autre. Au-dessus de la seconde phalange, on sent un nodule
osseux
, irrégulièrement arrondi, du volume d'un gros poi
c une extrême rareté et, parmi les nombreuses relations d'anomalies
osseuses
du membre supérieur, nous n'avons pu trouver qu
quelette est remplacé par un cordon fibreux aboutissant à un nodule
osseux
, seul reste de l'os phalangien. L'examen anatomiq
e n'est point terminale, portant sur l'extrémité même d'une colonne
osseuse
, elle est intercalaire, intéressant l'un des os
uventpartie d'une hémimélie terminale, intéressant toute la colonne
osseuse
à partir de la phalange unguéale. L'absence tot
. . Tout se passe comme si les phénomènes corrélatifs de la colonne
osseuse
des membres se déroulaient de bas en haut et no
la forme (1), n'est pas d'ordinaire stricte- ment limitée au tissu
osseux
. Bien au contraire, elle porte sur l'ensemble d
u moins intense des vaisseaux immédiatement voisins de la variation
osseuse
, mais non point de l'artère radiale elle-même dan
et'laissa échapper un liquide sanieux, non puru- lent, sans débris
osseux
; toujours ces phénomènes pseudo-inflammatoires
là une cicatrice, souple, non doulou- reuse, non adhérente au plan
osseux
. Au niveau du pied droit, sur la face plantaire
mois ; il s'écoula un liquide sanieux, non purulent et un séquestre
osseux
. On remarque encore actuellement la trace de l'
tibio-tarsienne et laissa échapper le même liquide, sans fragments
osseux
; puis, peu à peu, le pied parut se disloquer,
endant toutes ces explorations, la main perçoit de gros craquements
osseux
, témoignant de l'usure des surfaces articulaire
distance. Si l'on cherche à se rendre compte de l'état des parties
osseuses
sous-ja- centes, on y arrive difficilement : le
ial est également très épaissi. On ne peut reconnaître les éléments
osseux
du tarse. Le reste du squelette est absolument
ées de pose varia- bles ; on n'a jamais pu obtenir que des contours
osseux
très vagues, qui ne permettaient de distinguer
osseux très vagues, qui ne permettaient de distinguer aucun segment
osseux
. Traitement. Le malade est mis au traitement sp
rugueux, déchiqueté, privé de son cartilage articulaire ; le tissu
osseux
est friable, se laisse entamer facilement. Dans
lléole péronière sont résé- quées partiellement; pendant la section
osseuse
le malade ne ressent aucune douleur. L'astrag
phie faite au moment du [départ du malade nous a donné des contours
osseux
mal définis, mais cependant suffisamment nets pou
enclavent, pour ainsi dire, le calcanéum ; deux véritables remparts
osseux
, remplaçant les malléoles, paraissent ainsi s'êtr
tentée plusieurs fois, mais sans beaucoup de succès : les contours
osseux
demeurent toujours très flous. Au point de vue
s multiples, des tissus sphacèlés, l'issue au dehors des extrémités
osseuses
, tout cela donnait une physionomie nouvelle au me
te opération, soit que l'on se contente de supprimer des extrémités
osseuses
, nécrosées, ayant fait issue à travers la peau,
articulaires se rétracter et mettre ainsi au contact des extrémités
osseuses
très éloignées l'une de l'autre. Sans doute, le
celle-ci doit être réservée aux cas désespé- rés, lorsque le tissu
osseux
a entièrement disparu ; mais lorsque le sque- l
istante à la région déprimée, fÙt-elle allée jusqu'à sentit'Ie plan
osseux
.(V oir Pl. LXV, fig. 1 et PI.LXVI, fig. 3.) L
suppuration du tissu cellulaire de l'orbite développée dans la paroi
osseuse
ou venant des sinus, une tumeur de l'orbite, un
le laby- rinthe en passant par les fenêtres ou en érodant la paroi
osseuse
de la caisse ou de l'aditus : il en est ainsi d
pas que l'intervention est ici particulièrement grave. Les tumeurs
osseuses
de la base du crâne, les traumatismes peuvent e
avec la caisse dont il n'est séparé que par une très mince lamelle
osseuse
souvent percée de trous ou même largement déhis
n du pus se fait parfois à travers l'os intact par les capillaires,
osseux
et les veinules qui se déversent dans le sinus
doute que l'éiroitesse relative de la loge il parois inextensibles,
osseuses
et fibreuses, dans laquelle ces tumeurs peuvent
es régions où ils sont superficiels, et où ils reposent sur un plan
osseux
: nerf cubi- tal dans la gouttière 1"pitl'ochlé
les cas d'anesthésie hysté- rique très prononcée. E) Sensibilité
osseuse
ou sensibilité vibratoire. Le périoste est do
urs d'opéra- tions chirurgicales. L'application de la sensibilité
osseuse
à la clinique est de notion récente (Egger, '18
quelconque du corps. Ce n'est donc pas, d'après eux, de sensibilité
osseuse
qu'il faut parler, . mais bien de sensibilité [
296 SENSIBILITÉ. Séméiologie. - Les altérations de la sensibilité
osseuse
ou vibratoire s'observent fréquemment en cliniq
, de force et de poids. Fig. 10. Tabes. Abolition de la sensibilité
osseuse
sur tout corps, sauf le crâne et la face, les c
'après Dejerine). Fig. 11. - - Tabes. Abolition de la sensibilité
osseuse
dans les os du .membre, inférieur, . le bassin
sme entre la topographie de l'anesthésie cutanée et de l'anesthésie
osseuse
dans un cas de compression, médullaire (d'après R
thésics, de la [ROUSSI'.] ] Fig. 14. - Troubles de la sensibilité
osseuse
dans le cas précédent. 308 .' i. SENSIBILITE.
u sens musculaire, la diminution ou l'abolition de la sen- sibilité
osseuse
; e) une hémiparapiégie ou une hémiplégie (suiv
es des sensi- bilités profondes, et en particulier à la sensibilité
osseuse
, au sens sté- réognostiquc et au sens musculair
îles troubles de la sensibilité tactile, douloureuse, thermique et
osseuse
chez un alaxique de quarante-sept ans, ancien syp
erte du sens musculaire, du sens stéréognostique., des sensibilités
osseuses
et articulaires peuvent se rencontrer isolément o
anal vertébral (méningite tuberculeuse ou syphilitique, compression
osseuse
ou par lumeur, cancer vertébral, mal de Pott). En
ésie. Les sensibi- lités profondes : sens musculaire, sensibilité
osseuse
, sens stéréo- gnostique enfin peuvent être at
la face, augmentation du tissu graisseux sous- cutané, hypertrophie
osseuse
, etc. Rappelons aussi parmi les (roubles trophi
et de ses annexes, les fumeurs de la région crurale, les affections
osseuses
du bassin, les anévrismes des artères iliaques,
atismes, de chutes sur le siège, dépendent-elles de lésions locales
osseuses
, ligamenteuses ou musculaires. Les douleurs de
hez les différents sujets. Certaines céphalées dépendent de lésions
osseuses
du crâne (ostéites, périostites, exostoses, etc
TEMENT DES NÉVRALGIES. ' 425 longitudinale du zygoma), cette arrête
osseuse
est toujours assez facile à sentir, elle se con
ontinue du reste en bas avec le rebord antérieur du conduit auditif
osseux
que l'on peut toujours reconnaître. Au niveau de
le tubercule antérieur du tibia : on sentira entre ces deux points
osseux
une surface moins résistante, dépressible sous le
oelle par un mal de Poil, par une tumeur vertébrale, par une tumeur
osseuse
s'accompagne de paraplégie spasmodique dans une
membre d'ailleurs, il y a abolition des sensibilités musculaire et
osseuse
. On rencontre parfois de la dissociation syringom
paraplégies l1ac('ides. 2" // existe presque toujours des symptômes
osseux
, de la défor- mation rachidienne, de la douleur
s ! J1'il1golll ! Jélie, maladies dans lesquelles la défor- mation
osseuse
, la dissociation tactile, douloureuse, thermique,
et nous nous occuperons spécialement de ces cas où la tuberculose
osseuse
est peu apparente ou même tout à fait dissimulée.
apparente ou même tout à fait dissimulée. D'ailleurs, les troubles
osseux
sont les mêmes ou il peu près dans tous ces cas.
tion : atrophie, incontinence, fièvre, fourmille- ments, rachialgie
osseuse
, abolition des réflexes, troubles électriques.
étroitement localisée permettront de reconnaître les effondrements
osseux
, les fractures ou les luxations. Enfin, l'examen
ntion des matières ci Fig. 2. Cône médullaire et épicône. Vertèbres
osseuses
inférieures et moelle inférieure avec ses diffé
u pouce s'insère en haut sur la face postérieure du ligament inter-
osseux
et des deux os de l'avant-bras, principalement du
arpien, il se rend au tendon extenseur de l'index. Le second inter-
osseux
dorsal s'insère sur la face cubitale (partielleme
RIEUR. mis ligne courbe postérieure de l'os coxal et sur la surface
osseuse
située en arrière de cette ligne, sur le ligame
s. Interosseux. Insertions. Il existe au pied sept muscles inter-
osseux
: quatre interosseux dorsaux et trois interosseux
artilages des cinq ou six premières côtes, ainsi que sur la portion
osseuse
de la sixième ou de la septième. Tous les faiscea
cule. Il s'insère sur le premier cartilage costal et sur la portion
osseuse
correspondante de la première côte. D'autre par
esthésie présentait la dissociation syringomyeliqnc. La sensibilité
osseuse
, le sens musculaire, le sens des attitudes peuv
ce pronos- tic sérieux des paralysies obstétricales. Le squelette
osseux
peut ne pas se développer, et il en résulte un
facial au voisinage du ganglion géniculé par une épaisseur de paroi
osseuse
qui ne dépasse pas un quart de millimètre. D'ap
res phalanges sur les métacarpiens est conservée (action des inter-
osseux
innervés par le cubital),- la flexion des deuxièm
u triceps sural, du long fléchisseur commun des orteils, des inter-
osseux
du pied (voir pages 549, 551, 555). La paralysi
usculaires normales sont remplacées par des mé- plats, des saillies
osseuses
anormales apparaissent là où d'ordinaire l'os e
té à une même distance soigneusement comptée à partir d'une saillie
osseuse
qui servira de point de repère; il faut qne la po
au- matisme minime. C'est sans doute à une sem- blable atrophie
osseuse
, à un processus plus ou moins ostéo- malaciqu
ésentaient un aplatissement manifeste du thorax. Des déformations
osseuses
s'ont à rapprocher certaines déformations art
ement de la capsule et des li- garnenrs et promeramons aes suriaces
osseuses
et des attacnes ligament- teuses. La pathogénie
nterosseux et les lombricaux se pren- nent, les espaces inter-,
osseux
se creusent, les métacarpiens font saillie, l
veloppement qui atteint tous les tissus, et en particulier le tissu
osseux
; elle est plus ou moins propor- tionnelle à l'a
égie cérébrale infantile, le trouble du développement musculaire et
osseux
est d'ordinaire minime. Dans l'hémiplégie et la
segment de membre oÙ la totalité des tissus, entre autres le tissu
osseux
, prennent part à l'hypertrophie, soit de tropho
portionnels aux troubles de la sensibilité profonde, articulaire,
osseuse
et surtout musculaire, qui paraissent avoir dan
bilité cutanée, la sensibilité profonde, musculaire, articulaire et
osseuse
; s'il exécute plus mal encore les mouvements plus
propre au bulbe. , On conçoit aisément, en se représentant le cadre
osseux
étroit en lequel se resserrent le bulbe et ses
encore par accidents extrin- sèques,rnéningites, tumeurs ou caries
osseuses
. Quelle que soit l'étiologie en cause, il quels
ngomyéliques. Ces malades peuvent, en effet présenter de l'atrophie
osseuse
ou téguinen- faire et notamment de l'hémiatroph
, observer consécutivement au pemphigus siégeant sur les sail- lies
osseuses
des ulcérations atteignant les articulations. D
fle; il y a très rapidement formation de séquestres et destructions
osseuses
. Ces lésions sont à distinguer des cas où l'atr
tions osseuses. Ces lésions sont à distinguer des cas où l'atrophie
osseuse
, sans lésion des tégu- ments, intervient, seule
e- houllet). On rencontre également chez l'adulte des hypertrophies
osseuses
segmentaires consécutives aux fractures (Boger
taires consécutives aux fractures (Boger et Garnier). Les atrophies
osseuses
sont d'observation beaucoup plus fréquente que
segments. Enfin, dans une autre catégorie de faits, la résorption
osseuse
demeure incomplète, il y a seulement tassement
osseuse demeure incomplète, il y a seulement tassement des segments
osseux
. Par ce méca- nisme se forment les scolioses de
es tumeurs b ulbo- proLuhérnn- ticlles. - En dehors de l'atrophie
osseuse
massive, les affections du système nerveux pe
ion. S'agit-il vraiment d'une trophonévrose vraie dans la fragilité
osseuse
idiopathique, dans t'osteopsathyrosis de Lobstein
ppression pure et simple de l'articulation par résorption des tètes
osseuses
. : Fig. IG - Iléinialropliie faciale . cas de R
ée par ses dimensions souvent énormes, l'étendue des destruc- tions
osseuses
, l'indolence, il. convient, nous le répétons, d'o
ésen- tant que d'insignifiantes altérations, crépitent des surfaces
osseuses
dont tous les rapports normaux ont disparu. Le
vités articulaires et à la destruction des plateaux et des condyles
osseux
.- Finalement se prononcent des désordres énormes,
11 se forme ainsi d'énormes poches ou s'entrechoquent des moignons
osseux
. L'évolution de ces lésions est- essentiellemen
t Weill ont observé l'hypertherinie locale dans un cas de mala- die
osseuse
de Pagel unilatérale. La fièvre l'ait partie du
et de chaque côté de l'orifice du canal sacré, les deux tubercules
osseux
qui, avec la pointe du coccyx en bas, forment l
s, soit à une maladie dystrophique ou inflammatoire essentiellement
osseuse
ou ostéo-articulaire. Quand les altérations porte
ain sur l'avant-bras : Mains-botes : Congénitale : par malformation
osseuse
; paralytique; spasmodique. Acquise : paralytiqu
s bu moins complètement déve- loppés, contenant ou non un squelette
osseux
. . La mégalodactylie (fig. 1) est l'hypertrophi
ts peut se faire uniquement par des parties molles ou par des ponts
osseux
. La polydactylie et la syndactylie coexistent p
hies globales semblent dues à un dévelop- pement exagéré du système
osseux
, du tissu musculaire et surtout de l'appareil v
ous devrions décrire les mains- botes congénitales par malformation
osseuse
: il nous paraît plus utile d'en faire plus loi
in en araignée. . Il. DIFFORMITÉS ACQUISES A) DANS LES AFFECTIONS
OSSEUSES
SYSTÉMATISÉES, IiYPERTROPHL1\TES -- - Acromégal
rmités des mains doivent être rap- prochées des hypertro- phies
osseuses
systéma- tisées dont nous venons de décrire l
ment des. épiphyses articulaires, les ostéophytes et les bourrelets
osseux
qui les entourent, l'épaississement des synovia
ntre dans le rhumatisme déformant une hypertrophie des extrémités
osseuses
, un empâtement général sans li- mitation préc
sans craquements ni frois- sements, sans ankylose. Ces nodules sont
osseux
et non uratiques, non perméables aux rayons X;
s doigts tiennent à une lésion exclusivement limitée aux extrémités
osseuses
ou étendue il la fois aux diaphyscs et aux épip
coup plus ordinairement par suppuration qui entraîne des séquestres
osseux
et détermine parfois des mutilations des doigts,
tissus périarti- culaires, et notamment des tendons, sans ankylose
osseuse
. Rarement il y a au contraire une laxité anorma
contractures, secondairement des rétractions et des déforma- tions
osseuses
. 11 est souvent difficile de se rendre compte si
e parfois si ce n'est pas une altération non musculaire, une lésion
osseuse
ou fibreuse ; une déformation très ana- logue p
peuvent être paralytiques, spasmodiques ou dues il une malformation
osseuse
. Les mains-botes congénitales avec malformation
alformation osseuse. Les mains-botes congénitales avec malformation
osseuse
sonl très rares, alors que les pieds-bots de mê
ec les autres mains-botes. La main-bote congénitale par déformation
osseuse
est fréquemment S ! IIIU>- ll'ique nwe dévia
miner le plus souvent la mort de l'enfant. L'arrêt du développement
osseux
caractérise généra- lement cette forme de main-
seconde et troisième phalanges, par suite de l'intégrité des inter-
osseux
, lorsque l'observateur étend passivement la main
meler au uma en lame de sabre, « tibia Lannelongue » de la syphilis
osseuse
, mais elle est fréquemment aussi latérale ou ir
rophiante ; mais elle n'est pas accompagnée des autres déformations
osseuses
que l'on observe dans ces maladies. De plus son
ouloureux, sa tuméfaction excessive, son irrégularité, ses saillies
osseuses
inégales et parfois mo- biles, sa laxité, sa di
ital très fréquente, c'est le pied-bot congénital avec malformation
osseuse
(fig. 5); elle mérite d'être étudiée d'abord. Q
alytiques ou spasmodiques. Le pied-bot congénital avec malformation
osseuse
estunilaléral ou plus souvent bilatéral et symé
ied. ' [A. LÉRI.] Fig. 5. Pied-bot congénital avec malformation
osseuse
. En même temps malformation de la main qui n'
t, mais plus tard les rétractions tendineuses et les défor- mations
osseuses
, les atrophies des muscles relâchés ou les hypert
racture secondaire, les retrac- tions fibreuses ou les déformations
osseuses
aient modifié l'aspect clinique. Les cas typiqu
et de l'extenseur propre du gros orteil, sans paralysie des inter-
osseux
; elle peut être due à la contracture des interos
s des formes et des masses musculaires qui entou- rent la charpente
osseuse
. Dans ces conditions, prises à compter du sol,
s, par une croissance prolongée du squelette el des malforma- tions
osseuses
, enfin par des anomalies psychiques. . 11 impor
déformation des mains et des pieds, élargissement de la phalangette
osseuse
, incurvation de l'ongle en « bec de perroquet B,
la constatation des différents stigmates de la spirillose : lésions
osseuses
, triade de Hutcbiu- son, cicatrices cutanées. C
ignalons cependant les anomalies des doigts, l'absence des segments
osseux
, les hyperostoses, les apophyses ou canaux anorma
de gorge, des maux d'yeux, des écoulements d'oreilles, des douleurs
osseuses
, des convulsions, si son développement a été di
ocèle syphilitique, ou bien c'est le testicule infantile. Stigmates
osseux
. Quelquefois l'enfant a eu dans la jambe des s
ates osseux. Quelquefois l'enfant a eu dans la jambe des s douleurs
osseuses
, nocturmes et persistantes; quelquefois on a pu o
uand on examine l'enfant ou l'adulte, on constate alors des lésions
osseuses
caractérisées par une exostose et hyperoslose d
hronique, jetage nasal, épistaxis, ozène et expulsion des fragments
osseux
. L'effondrement du nez peut se pro- duire sous
tique au point de vue de la céphalée, puisque à côté de la céphalée
osseuse
et de la céphalée hystérique des syphilitiques,
eau sont des organes de faible densité, clairs, inclns dans un étui
osseux
compact ; ils sont tels que les modifications m
e nerveux central se trouveront limitées : soit aux cas où la boite
osseuse
opaque se trouvera déformée ou partiellement ép
nt épaissie ou raréfiée (traumatismes, hyperostoses ou destructions
osseuses
), soit aux cas où dans cette boîte opaque aura pé
thies et ostéopathies tabétiques et syringomyéliques, les atrophies
osseuses
de la paralysie infantile et des scléroses cérébr
ont surtout à mettre en évidence des lésions fines de la structure
osseuse
, des raréfactions, des hyperplasies ; la radiosco
elle est un excellent moyen de mensuration d'un raccourcis- sement
osseux
et d'appréciation de son évolution. Pour le reste
détails cherchés, pour la mise en évidence de la structure du tissu
osseux
, des muscles, des tendons, des bourses séreuses
ts dans un foyer de fracture ou bien l'aspect exact d'une extrémité
osseuse
luxée. Une stéréoradio- graphie est double et s
pathologiques du crâne et du rachis : ' 5° Déformations trophiques
osseuses
et articulaires des extrémités, con- sécutives
ffections du système nerveux central ou périphérique; 4° Affections
osseuses
dystrophiantes, soit systématisées, soit diffuses
faut. en appliquant les trois branches d'un compas sur trois points
osseux
saillants et faciles à repérer de la région env
tèbres et compression de la moelle, les arrache- ments de fragments
osseux
d'un corps vertébral ou d'une apophyse venant c
c causal est rendu des plus faciles; mais, même au cas où la lésion
osseuse
ancienne aurait été méconnue, la radiographie peu
: et ce diagnostic sera d'autant plus important qu'une trépanation
osseuse
simple, bien locali- sce, relativement bénigne,
érébraux post-trauma1.iques tardifs, à savoir la production de cals
osseux
exubérants et de compression nerveuse : mais ces
dans la concavité de la courbure cyphotique, l'existence de nodules
osseux
intra-rachidiens partant des ligaments jaunes ant
G. Legros, que ces 'néo-ossifictions, et notamment les bour- geons
osseux
saillants dans la cavité rachidienne, apparaissen
ent, de s'en assurer dans les observations ultérieures, ces nodules
osseux
pouvant très vraisemblablement détermi- ner un
du con- tour. La syphilis du crâne peut déterminer, à côté d'usures
osseuses
, de pertes de substances, d'ostéoporose diffuse
pro- cessus hyperostosiques et des exostoses, des dépôts de couches
osseuses
sous-périostiques plus ou moins concentriques,
ue : parfois cependant on a pu constater la dépression des lamelles
osseuses
qui forment la base sous la poussée de l'hyperten
purement intra-cranielinc, on a observé des atrophies et des usures
osseuses
décelables sur la plaque photographique, ou une
l'achondroplasie : nous les décrirons plus loin avec les affections
osseuses
dystrophiantes systé- matisées. Nous signaler
ations qu'il détermine, dues à des luxations ou à des effondrements
osseux
: dans ces cas, le radiodiagnostic est trop tar
nt donné que. même à cette période, il ne montre que la déformation
osseuse
sans en révéler la nature. Dans quelques cas un v
n inverse. Il est d'ailleurs impossible de généraliser, les lésions
osseuses
atrophiques unilatérales des corps vertébraux peu
es nous a en effet permis d'établir que c'est par des neoformations
osseuses
que le rachis tend à se consolider, que ces néo
tre pour- rait-on voir sur les radiographies ces lIéo('ol'lualiol1s
osseuses
et cela, on le conçoit, pourrait avoir un certa
rmation notable. Pas de transparence anormale des fosses iliaques
osseuses
. 2. Spondylose rhizomélique. a) Colonne verté
oeur de carte à jouer). Transparence anormale des fosses iliaques
osseuses
. I. A. Léiu. La spondylose rhizomélique. Revue
ère. 1906, n" l. [x.r.Eni] 1 1 1 74 RADIOLOGIE. 3" DÉFORMATIONS
OSSEUSES
ET ARTICULAIRES CONSÉCUTIVES A DES AFFECTIONS D
s articulaires coïncide avec une hyperplasie exubérante des parties
osseuses
juxta-articulaires, l'arti- culation pouvant di
te attiré l'attention sur un autre mode non décrit de pro- ductions
osseuses
. Celles-ci se constitueraient dans les tissus pér
tique classique, une pé1'iarJAro- patine d'origine plus fibreuse qu'
osseuse
. ™ Dans les ostéopathies tabétiques proprement
n comme symptôme tout à fait initial de l"afïection(3) : l'appareil
osseux
est ici le premier touché et. cette lésion précèd
ément fracturé est alors le plus souvent le siège d'une raréfaction
osseuse
parfois susceptible d'entraîner la résorption de
urtout par un processus atrnphiqm, la névrite par des néoformations
osseuses
. Aussi, alors que dans le tabès il y a à la foi
si, alors que dans le tabès il y a à la fois atrophie et rénovation
osseuse
, dans la syringo.myélie (ar- thropattues et ost
névrites alcooliques et diabétiques, il y aurait des néoformations
osseuses
prenant leur origine dans le périoste, les tiss
" y : ·' : ? s3 ? " RADIûWGIE. une pÓ'1 ? } ? quée de la substance
osseuse
du côté paralysé.- Certaines déformations osseu
e de la substance osseuse du côté paralysé.- Certaines déformations
osseuses
communes dans les myopathies (apla- tissement d
u thorax, taille de guêpe, etc.), doivent faire penser que le'tissu
osseux
prend une certaine part dans ces affections il
d'atrophie myélopa- (chique ou myopathique; elle montre une aplasie
osseuse
, caractérisée par le moindre développement et l
e (Nicolas et Favre) un pro- cessus de résorption et de raréfaction
osseuses
, remarquable au niveau des mains du sujet. Dans
e continuer sans l'intermédiaire d'articu- lations. 4° AFFECTIONS
OSSEUSES
DYSTROPHIANTES Les affections osseuses dystroph
- lations. 4° AFFECTIONS OSSEUSES DYSTROPHIANTES Les affections
osseuses
dystrophiantes ne sont pas toutes dues à une lé
pertrophie simple, syphilis, tuberculose, etc. - D'autres lésions
osseuses
spéciales de l'acromégalie peuvent être déce- l
e il y a des incurvation ? sans grosse modification de la structure
osseuse
, avec seulement épaississemellt de la couche co
, la couche compacte est mal délimitée vers le centre, vers la moelle
osseuse
, elle est mal délimitée aussi vers la périphéri
r il ce diagnostic étiologique. L'arrêt de développement du système
osseux
est caractérisé dans le myxoedème par la persis
niveau des épiphyses. Au point de vue de la disposition des travées
osseuses
, nos recherches per- Fig. 3. - - . A) Fémur ogl
ioscopie un moyen rapide et pratique de mesurer un raccourcissement
osseux
et d'en suivre l'évolution, nous en empruntons
nière disposition, par son irrégularité, montre sur la radiographie
osseuse
un fond (acheté el des contours imprécis, le fo
peut aller jusqu'à la disparition presque complète de la silhouette
osseuse
sur les radiographies. 1. L. Lévi cL Lundi : .
physique soit sensiblement modifiée ; le vice de nutrition du tissu
osseux
peut rester latent, il n'aboutit pas aux déformat
nombre de cas d ostéocie ». ( : est-il-dire d'allè- gemcnt du tissu
osseux
, entraînant une diminution du poids spécifique
dans les difïercnts cas, par la radiographie, si ces exostoses sont
osseuses
ou car- tilagineuses, ou peut-être si elles ne
tées laites directement au travers du tégument cutané par la brèche
osseuse
, la remarquable innocuité des rayons pour l'encép
ulié, celle de la profondeur des régions à traiter et des obstacles
osseux
qui s'opposent à la pénétration des rayons. Cet
marquable en irradiant une tumeur du cervelet il travers une brèche
osseuse
faite par trépanation. Goitre exophtalmique Bec
cise « au scalpel le périoste, la périphérie de chacune des plaques
osseuses
, « sans intéresser les fontanelles ni la membra
ce « procédé, de ne pas léser la dure-mère en enlevant, les plaques
osseuses
, « car la moindre ouverture donne issue à la ma
voir tout le sac Il reste toujours sur la dure-mère des esquilles
osseuses
, on les enlève avec un davier ou une pince à diss
hi- que, 474. . organique. Radiographie des troubles trophiques
osseux
, 1175. Hémispasme facial alterne, 472. facial
ringomélie, 1027. Mains botes congénitales. - avec mal- formation
osseuse
. - paralytiques. 1052. - Spasmodiques, 1055. ac
graphiques, 682. - Pied hot, 1056. - RADIOGRAPHIE de l'atro- phie
osseuse
, 11 76. Myopsychies, 680. Myosis, ses causes,
de Friedreich, 1054. Pieds bots congénitaux, avec malforma- tion
osseuse
; ,'1 040. - paralytiques, 1049, 1051. spasmodiq
tions t pathologiques du crâne et du rachis, i 171.- Déformations
osseuses
dans les affections nerveuses, ] )7t.Afïcctions
rmations osseuses dans les affections nerveuses, ] )7t.Afïcctions
osseuses
dystrophiantes, 1 l7fi. Radiothérapie. Emploi d
dans les psychoses, 558. - dans les affections viscérales, 560. -
osseuse
ou vibratoire, 294. - ]te- cherche, 295. - Sémé
spontanée par ouverture du kyste au dehors après usure de la paroi
osseuse
du crâne. On a vu aussi des hydatiques se vider
s- culter la tête et espère que l'oreille appliquée contre la paroi
osseuse
per- cevra une sensation analogue au frémisseme
oindre réaction prouvant que la sensation est perçue. La perception
osseuse
recherchée par le diapason est également abolie,
ente' rien d'anormal : pas de déformation apparente, les extrémités
osseuses
parais- sent normales ; aucune douleur, pas de
irme les résultats du palper en montrant l'intégrité des extrémités
osseuses
. Malgré tous ces accidents pathologiques dont l
de l'extrémité inférieure du muscle. Enfin reste le genu recurvatum
osseux
, genu recurvatum vrai, nom sous lequel Faussié (4
on observe une modification dans l'ossification de cette extrémité
osseuse
, aboutissant à la coudure de celle-ci : notre cas
ssantes. Jusqu'ici, elle s'est montrée indépendante de toute lésion
osseuse
du genou. Chez notre malade, l'épreuve de la ra
e cette déviation chez les coxalgiques. Des trois grandes théories (
osseuse
, musculaire, ligamenteuse), que l'on pourrait con
evoir, les deux premières nous paraissent insoutenables. La théorie
osseuse
a contre elle l'absence de lésion du squelette.
ins genu valgum, genu varum, genu recurvatum) survenues sans lésion
osseuse
, sans trouble musculaire (faiblesse, hypotonie,
travers les parties molles et sur le vivant de l'état du squelette
osseux
. C'est ce que nous avons pu faire chez ce sujet à
photographie, on peut se figurer que l'on voit l'image du squelette
osseux
dans une glace, la face du sujet tournée vers l
il est représenté par une tige fibreuse renfermant quelques noyaux
osseux
. L'autre cas a été publié par Pagenstecher (1)
composé que d'un seul os, au-dessus duquel se trouve uu autre noyau
osseux
considéré par Pagenste- cher comme un rudiment
hauteur que devrait occuper le coude existe latéralement une saillie
osseuse
très développée en forme d'apophyse (une apophy
doigts. Sans doute on voit, dans la scléro- dermie, des résorptions
osseuses
des phalanges, mais elles portent à peu près sp
era la sur- face externe de la dure-mère, et tendre vers les parois
osseuses
qu'elles perforent pour faire saillie à l'extér
ostéoblastes etpeuà peu lecartilage sera ainsi transformé en tissu
osseux
. Toutes ces transformations du carti- lage de c
artilage articulaire. 2. Ilots de cartilage ossifiés. 3. Lamelles
osseuses
. 4. Espaces médullaires. A PROPOS D'UN cas d'
lage calcifié, entourés soit d'espaces médullaires soit de lamelles
osseuses
, aspect qui ressemble singu- lièrement à celui
ordial. Et en effet, nous connaissons déjà deux maladies du système
osseux
cau- sées par des altérations glandulaires. L'a
des lé- sions du système nerveux, mais ne mettent point les lésions
osseuses
sous la dépendance des lésions médullaires. E
a brièveté des membres est acquise par des déformations de leur axe
osseux
et non pas simplement due à la réduction de la lo
sur les figures ci-jointes qui représentent les contours des crânes
osseux
NOUVELLE Iconographie DE la SALPÈIRIÈRE. T. XIV
arêtes et les angles normaux de l'os sont exagérés; les extrémités
osseuses
et articulaires sont épaissies et élargies, non s
te que nous nous trouvions là en présence d'un type de malformation
osseuse
bien caractérisé, et nosologiquement tout à fai
soit des amas de cellules cartilagineuses, soit des ilots de tissu
osseux
très dense, soit des amas fibroïdes. « Ce qui f
s qui relèvent du myxoedème congénital ; enfin celles de syphi- lis
osseuse
congénitale, de fractures multiples intra-utérine
itisme. Sur huit enfants, cinq ont été at- teints par la dystrophie
osseuse
, et, ainsi que le montre les PI. XLIII et XLIV,
ure pas dans le groupe, présente également cer- taines déformations
osseuses
qui ne laissent aucun doute sur 'l'existence' d
ignements que nous avons pu obtenir, avoir présenté de déformations
osseuses
. Le père serait mort bacillaire. Un frère et
CRODACTYLIE ET MICRODACTYLIE 309 En somme : adipose et hypertrophie
osseuse
proportionnelles au volume du doigt. Mensurat
t corpuscules à corps concentri- ques et quelques plaques de tissus
osseux
. En dedans de ces diverses couches, la masse de
arrive seule à réaliser. L'exagération des saillies musculaires et
osseuses
donne aux achondro- plasiques, malgré leur peti
adius et péroné. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 417 7 tions
osseuses
,ni troubles trophiques d'aucune espèce de la peau
yse. A son extrémité supé- rieure, il est soudé au tibia par fusion
osseuse
des surfaces articulaires, à sa partie moyenne,
de l'autre. En somme, nous pouvons constater que les déformations
osseuses
sont en grande partie sous la dépendance des in
èmes lamellaires, la perte de l'ordonnance cir- culaire des travées
osseuses
autour des canaux de Havers, de l'ordonnance ar
d'os pratiqué par M. Gombault, qui a noté une raréfaction du tissu
osseux
, par élargissement progressif des canaux de Haver
ion donne lieu à la formation des lacunes. Mais pas de néoformation
osseuse
. Moi- zard et Bourges (2), après décalcificatio
s,où une ligne plus ombrée limite la cavité médullaire. Les travées
osseuses
se trou- vent figurées dans la diaphyse par de
lair que le tibia normal. Au lieu d'un réseau régulier, les travées
osseuses
sont irrégulièrement emmêlées comme les fils d'
u. La radiogra- phie montre qu'il y a eu un travail de néoformation
osseuse
, constitué de minces lamelles à la région moyen
s au niveau des épiphyses inférieures on voit deux épais trousseaux
osseux
passer en se croisant d'un os sur l'autre. Dans
pe le plus, dans sa radiographie, c'est une dislocation des travées
osseuses
au niveau du tiers supérieur de la dia- physe.
certain nombre d'observations notent également l'absence de lésions
osseuses
du côté du crâne [Voyez les observations d'ostéit
t pas paru, non plus qu'à cet auteur, pouvoir expliquer les lésions
osseuses
. Quant aux vues théoriques basées sur l'état de
oximité du canal central expliquant la fréquence de ces altérations
osseuses
dans la syrin- gomyélie, par exemple. On a pu v
e des hôpitaux, une jeune femme de 29 ans, atteinte de déformations
osseuses
diaphysaires des tibias, fémurs, radius et cubitu
des plantaire et palmaire, a émis l'hypothèse que les altéra- tions
osseuses
tenaient sans doute simplement à une mauvaise nut
ait le trou- ble profond de la nutrition et de l'évolution du tissu
osseux
. En effet, si l'état athéromateux de l'artère n
let de l'architecture qui nous a paru le trait dominant des lésions
osseuses
. Pour trancher cette question, que nous ne pouvon
issons pas la lésion initiale, le point de départ des malformations
osseuses
de la maladie de Paget. (1) Gilles de la Tour
conjointement avec l'atrophie musculaire, ou avec les déformations
osseuses
(réfactions fibreuses dans les amyotrophies, épai
a- thies, etc.). Ainsi les dyslrophies conjonctive, musculaire et
osseuse
sont souvent coexistanles; cependant chacune d'
s de ces différents systèmes, la coexistence de troubles trophiques
osseux
, musculaires et conjonctifs, à la suite de lésion
e l'on peut observer isolément des troubles tro- phiques du système
osseux
, musculaire ou conjonctif, autorise à admettre
Trophoedème peut se trouver associé à d'autres troubles trophiques,
osseux
, comme dans un cas de Vidal (de Lyon), ou muscula
- laire graisseuse avec les déformations qu'elle entraine, atrophie
osseuse
impriment généralement à la maladie dont ils re
fonctions musculaires, être suivie cependant de lésions trophiques
osseuses
qui per- sistaient toute la vie. « Le degré d'a
ues osseuses qui per- sistaient toute la vie. « Le degré d'atrophie
osseuse
, dit encore Du- chenne (2), n'est pas toujours
s molles est néanmoins beaucoup ptns accen- tuée que celle du tissu
osseux
. La diminution de l'excitabilité faradique des
as totalement ankylosées ; il ne s'agit certainement pas d'ankylose
osseuse
complète^ à ce point de vue comme à bien d'autres
mélique (1). Il s'agit surtout chez lui de disposition des surfaces
osseuses
entravant fortement les mouvements des articula-
r l'utilité de réserver le terme de spondylose aux seules ankyloses
osseuses
de la colonne vertébrale, avec soudure des surf
quelette ANKYLOSES GÉNÉRALISÉES 521 membres, l'absence de soudure
osseuse
, l'existence d'une lordose au lieu d'une xyphos
tro- chanter. ANKYLOSES GÉNÉRALISÉES 523 L'axe de cette masse
osseuse
qui remplace à la fois la tête et le col du fémur
e avec les altérations du cartilage d'en- croûtement des extrémités
osseuses
. Extrémité supérieure du péroné. - Elargie et c
aire de l'os prend les plus grandes oronortions. Une sorte de crête
osseuse
mince et dé- chiquetée règne sur tout le bord a
a et des deux malléoles. Sur la malléole pé- ronière, une lamelle
osseuse
mince se pro- longe d'un centimètre eii avant e
ieures du 'tibia et du péroné (face antérieure). sement du rebord
osseux
autour ( osseuse aiguë et crenelée. ANKYLOSES
et du péroné (face antérieure). sement du rebord osseux autour (
osseuse
aiguë et crenelée. ANKYLOSES GÉNÉRALISÉES 525
u premier métatarsien présente une disposition' spéciale ; la crête
osseuse
forme ici deux larges expansions à la face inféri
comme deux ailes, et qui tiennent à la prolongation de cette crête
osseuse
autour des facettes articulaires qui répondent au
d'aplatissement des extrémités articulaires, avec un rebroussement
osseux
au pourtour du cartilage. Il en est ainsi toute
rtèbres et nullement sur les dis- ques intervertébraux. L'extrémité
osseuse
articulaire semble au reste at- teinte par elle
bjet d'un examen ultérieur. ANKYLOSES GÉNÉRALISÉES 527 extrémités
osseuses
. C'est donc, semble-t-il, l'os qui est pris pour
pongieux qu'il s'agit. Nous sommes donc en présence d'une affection
osseuse
systématisée, épargnant le tissu compact, et fr
u compact, et frappant certaines parties bien spécifiées du système
osseux
, à savoir les épiphyses des os longs et les corps
es, par suite d'une irrégularité dans le dévelop- pement du système
osseux
, le bassin, dans la station droite, est incliné l
pré- sentés par deux appendices minces, tortueux, munis de pièces
osseuses
et terminés par des orteils. 18 HENRY MEUNIER
plusieurs des quatre régions soit un moignon rudimentaire avec axe
osseux
, soit un appendice atypique, sque- letté, artic
unissent entre eux, apo- névrotiquement, au-dessus d'une tubérosité
osseuse
qui tient la place de la tète humérale et qui e
aphyse tortueuse, mesurant 4 cent. 1/2 ; ensuite une petite pièce
osseuse
, phalangiforme, une seconde plus courte, enfin
atarsien et les , .. phalanges des 2% 31 et 4°orteils, les pièces
osseuses
restantes, représen- tant le tarse et'les deux
le vivant, le siège, le nombre, le volume et la forme des segments
osseux
, avec une exactitude que les procédés ordinaire
par la difficulté de reconnaître la conformation exacte des parties
osseuses
, leurs limites et leurs points d'adhérence. Les
intérieure de ces métacarpiens anormaux et la direction des travées
osseuses
délimite clairement la portion d'os qui apparti
les deux têtes digitales, est l'indice d'un épaississement du tissu
osseux
, vestige des contours osseux de chacun des méta
l'indice d'un épaississement du tissu osseux, vestige des contours
osseux
de chacun des métacarpiens actuellement fu- sio
en sorte que l'orteil surnuméraire paraît n'avoir que deux segments
osseux
. Les cas de polydactylie ne sont pas très rares
eux pieds. Cependant les doigts surnuméraires cubitaux avec attache
osseuse
sont assez rares. On les rencontre le plus souv
anges et des phalangines rendait malaisé le dénombrement des pièces
osseuses
. L'épreuve radiographique fait comprendre la ra
aire de la main gauche affectait particulièrement le premier inter-
osseux
, moins les autres et encore moins l'éminence thén
Si j'ai assez longuement insisté sur l'histoire de cette affection
osseuse
,que le malade porte encore actuellement, c'est
ait penser que cette tuméfaction est due unique- ment à des lésions
osseuses
de l'articulation métacarpo-phalangienne. Mais si
s, au niveau de la tumeur, un changement de densité de la substance
osseuse
qui DE LA MAIN SUCCULENTE 89 donne l'impressi
étiré ;i ce niveau et les deux bouts sont séparés par la substance
osseuse
de nouvelle formation ; ils ne sont pas tout à
te au-dessus et au-dessous de la région indiquée une néoforma- lion
osseuse
à contour très régulier ayant la forme d'un grand
(1). Sur le bord interne du cubitus, il existe une autre formation
osseuse
, de forme pyramidale, dont le sommet dirigé tra
est implantée sur le bord interne du cubitus. . Cette liyperoslose
osseuse
, a laquelle on peut assigner la forme d'un fuseau
autres termes, le type de la main est celui de la grille des inter-
osseux
. Il n'y a que le pouce de la main droite qui se t
ais au point de vue pathogénique, il faut voir, dans les trou- hles
osseux
de la maladie de Morvan et de la chiromégalie par
maladie de Paget et certaines affections spina- les à détermination
osseuse
(exemple de tabes), dans lesquelles on observe
Il est dit : « Les lésions semblent bien apparte- nir à la maladie
osseuse
de Paget. » Entrons dans les détails des examens
téite déformante de Paget. Nous croyons que troubles médullaires et
osseux
coïncident chez un même sujet. On peut se deman
omme aux artérioles viscérales] jouent dans l'évolution des lésions
osseuses
, et d'autre part si lésions vasculaires et os-
nservent leurs cylindres-axes intacts. - II. - A propos des lésions
osseuses
, quelques particularités méritent d'être signal
ns des épiphyses. Le processus n'en reste pas moins essentiellement
osseux
; l'épiphyse est prise secondairement à la diaph
ique sur la vieillesse. Paris, 1886. (2) LÉOPOLD Lévi, Déformations
osseuses
de la maladie de Paget. Bull. de la Soc. anat.,
salgie. L'apophysalgie est très probablement due à de la congestion
osseuse
, analogue à-celle qui se produit au voisinage d
qui se produit au voisinage de la plupart des foyers de tuberculose
osseuse
ou articulaire. Lorsqu'elle survient dans le co
aquer ses doigts. Il ne semble pas, au palper, que les extrémités
osseuses
soient aug- mentées de volume. On ne sent pas n
a qu'une légère augmentation de volume, sans déformation des têtes
osseuses
, ni production ostéophytique. Il est difficile
dominants et ont dévié les doigts vers le bord cubital ; les têtes
osseuses
métacarpiennes et leurs cartilages se sont déve
élion, région remarquable par le développement tardif des fibrilles
osseuses
, par la soudure précoce de la suture sagittale,
image syntitiquc. APPLICATION DES RAYONS DE ROENGTEN 201 systèmes
osseux
sont très épaissis par places, amincis en d'autre
cavités creusées dans l'os. Il y a donc avec condensation du tissu
osseux
par places, une raréfaction générale de ce tissu,
de l'humérus, véritables cavités profondes séparées par des travées
osseuses
irrégulières, condensées par places. L'épiphyse i
grande épaisseur enveloppant tout le corps et masquant les reliefs
osseux
et musculaires. « Organes génitaux rudimentaire
e d'infantilisme partiel ou sys- tématiquement limité aux appareils
osseux
. M. Hertoghe a eu le premier cette bonne idée;
ssance. La persistance du car- tilage d'ossification des extrémités
osseuses
indique que l'os peut encore augmenter de longu
ires. Cette anatomie est d'une sincérité bien douteuse. Les reliefs
osseux
, les muscles, la trachée, affectent entre eux d
LD-LÉVI Ancien interne, lauréat des hôpitaux. , Les altérations
osseuses
de la paralysie infantile sont connues depuis l
'ap- pliquer ce nouveau moyen d'investigation à l'étude des lésions
osseuses
de la paralysie infantile. C'est ce que nous av
er chez Ban... la participation du squelette du bassin au processus
osseux
et la scoliose vertébrale. Chez Rog... le côté
ax et l'omoplate sont également atrophiés. C'est sur cette atrophie
osseuse
, concomitante de l'atrophie musculaire, que nous
neux du poignet est d'ailleurs aboli. En ce qui concerne l'atrophie
osseuse
, l'application des rayons de Roentgen donne les
graphiés chez un malade du même âge ne présentant pas d'altérations
osseuses
. Les deux clichés ont été obtenus dans les même
a été soumise (Pl. XXXIX), nous a démontré qu'il n'y a pas fusion
osseuse
des deux doigts ; théoriquement on pourrait sépar
besogne histogénique au delà du temps de la croissance ; les tètes
osseuses
et les sutures s'épaississent ; l'hypertrophie
e). Patruban et Remak (cités par Charcot), ont décrit des nodosités
osseuses
aux mains et aux doigts des atrophiques, mais c
rophie musculaire myélopathique com- pliquée de troubles trophiques
osseux
et articulaires. Il s'agit évidemment dans ce c
'une façon rapide ou insidieuse se termine par ankylose fibreuse ou
osseuse
. Ce qui caractérise chacune de ces formes c'est
'à la mort (qui eut lieu le 3° mois), sans s'accompagner de lésions
osseuses
. Les recherches bactériologiques furent infruct
es arthropathies furent-elles douloureuses ? L'ab- sence de lésions
osseuses
au bout de 3 mois écarte absolument l'idée d'une
and le malade put se lever, il avait les genoux ankylosés (ankylose
osseuse
), dans la flexion,avec inclinaison des deux cuiss
ction, qui d'ailleurs réussit admirablement, on vit que les lésions
osseuses
ressemblaient fort en somme, quoi qu'en dise l'au
t stationnaire, mais jamais par dislocation avec atrophie des têtes
osseuses
. Au contraire on n'a jamais noté que l'hyper- t
ostéite raréfiante, destruction des cartilages, atrophie des têtes
osseuses
, tels sont les trois faits principaux constatés
évritiques n'a pas lieu d'élonner puisqu'on a signalé des atrophies
osseuses
(Moty) etc., à la suite des névrites. C'est s
es (Moty) etc., à la suite des névrites. C'est surtout d'atrophie
osseuse
plutôt que d'arthropathie qu'il s'agit dans la
un auteur qui ait assimilé les troubles trophiques articulaires et
osseux
des doigts, accompagnant des troubles trophique
a radiographie a bien montré l'hypertrophie con- sidérable du tissu
osseux
qui va augmentant de la racine vers l'extrémité ;
e L..., la macrodactylie relevait du développement exagéré du tissu
osseux
. Pour en revenir à la pathogénie de ce cas de m
nent en profondeur, disloquent les jointures, nécrosent les parties
osseuses
et amènent la chute d'une phalange, d'un doigt, d
rop longues, un visage rabougri, creusé de rides et asymétriquement
osseux
. - Est-ce un Lépreux ? On peut le croire, et ce
ns la main qui fait suite à ce bras, ne voyons-nous pas des lésions
osseuses
absolument acceptables ? Quant aux manifestatio
n'en va plus ainsi en ce qui concerne l'interprétation des lésions
osseuses
. Celles-ci, à n'en pas douter, sont imputables à
e, si l'on admet qu'il s4agit d'un Lépreux. Ces pertes de substance
osseuse
et musculaire, que l'artiste a figurées avec une
trajet parfaitement régulier, mais très riche en arbori- sations
osseuses
, surtout à droite et à gauche vers la partie la
au de la bosse frontale, qu'à celui de la bosse pariétale. La paroi
osseuse
est très mince et offre des zones de transparen
rquable de la paroi crânienne nous permet d'affirmer que la boîte
osseuse
n'a en rien gêné le développement de 76 RÉFLEXI
pourraient supposer que cet état de microcéphalie de l'enveloppe
osseuse
a pu gêner le développement de l'encéphale, et
on. Le cerveau avait toute liberté pour se développer ; l'enveloppe
osseuse
ne s'est arrêtée dans sa croissance que parce q
- dence cette vérité, à savoir que le développement de la calotte
osseuse
de l'encéphale est sous la dépen- dance du déve
es nerveux. Si l'ac- croissement de ces derniers s'arrête, la boite
osseuse
cesse de s'accroître. Porencéphalie ET cranie
saine. Membres supérieurs amaigris. Muscles sans puissance. Mains
osseuses
. Doigts longs et nerveux, non hippocra- tiques.
elles de suture circonscrivant deux ou trois espèces de presqu'iles
osseuses
. La face externe de la calotte présente comme p
ultat appré- ciable ; mode curieux de réossification de la brèche
osseuse
; Par BOURTVEVILLE et NOIR. Sommaire. - Père :
. - Description des os du crâne.- Mode de répa- ration de la brèche
osseuse
produite par la craniectomie. Minceur et transp
affection cutanée est d'ailleurs connue. Réparation de la brèche
osseuse
. 125 os wormien existe de chaque côté dans cett
is moins longs, plus larges et à bords moins déchiquetés. La brèche
osseuse
, due à la craniectomie, située à gauche, est an
d'un bord à l'autre et transformée sur les bords en minces lamelles
osseuses
. Une partie ayant 32 millimètres de longeur, re
ode de répara- tion est des plus intéressant ; en effet, la soudure
osseuse
s'est effectuée sous forme de suture à fines de
ne de 4 millimètres, présente sur ses bords de petits prolongements
osseux
minces et se termine par un cul-de-sac arrondi,
t se termine par un cul-de-sac arrondi, à demi comblé par une jetée
osseuse
interne. A l'état frais cette partie non ossi-
fiée était recouverte d'une membrane 08néogène, les prolon- gements
osseux
lamellaires des bords de la brèche en sont une
sant un peu plus développée que la gau- 42G Réparation de la dréche
osseuse
. clic. Liquide céphalo-rachidien assez abondant
lésions de la dure-mère qui adhéraient très fortement à la brèche
osseuse
; '2° des lésions méningitiques (adhé- rence de
eau. VI. Signalons, enfin, la réossification rapide delabrè- clic
osseuse
et surtout le mode de réossification par la for
étosiques des quatre membres. ' AUTOPSIE. - .État des trois brèches
osseuses
delà crâniecto- « mie;lésions de la dure-mère,
médiane, une cicatrice cutanée répondant à une dépression linéaire
osseuse
de 10 centimètres de long dans le sens antéro p
ps que la calotte. La dure-mère est adhérente au niveau dos brèches
osseuses
et entre elles, de telle sorte que l'espace qua
e- La sagittale est un peu plus serrée, mais il n'existe de soudure
osseuse
en aucun point de son trajet. - Les trous parié
nets des deux côtés. Du côté droit, le pariétal présente une brèche
osseuse
longue de 3 centimètres, large de 2 centimètres
te brèche sont celles que nous rapportons. Le travail de réparation
osseuse
a créé des bords minces, déprimés, festonnés pa
ernière brèche est en partie comblée par le travail de réparation
osseuse
. La plus antérieure l'e.,t beaucoup moins. (Fig.
e nette de la manière dont s'effectue la réparation des brè- ches
osseuses
, cette réparation est rapide et, en suppo- sant
es persistant sur leur trajet nous permet d'affirmer que le tissu
osseux
était là le siège d'une prolifération active. Du
de cette dernière. Les sutures sont gorgées de sang, et la partie
osseuse
voisine est considérablement rasculi1risee. Le
plus ossifiées. Au niveau de la dernière, existent de petits îlots
osseux
(os wormiens). Des fontanelles, il ne reste q
nature et la localisation de mal. Peu de. congestion dans la boite
osseuse
et clans les mem- branes clu cerveau. Quelques
un sillon profond dont le fond est représenté par une mince lamelle
osseuse
. La base du crâne est symétrique. Le trou ocdp;
t on note sur l'occipital, en arrière de la suture, de petits îlots
osseux
très petits et isolés, qui paraissent provenir
ie des circonvolutions nous en donnent la raison; une boutonnière
osseuse
ne peut évidemment avoir aucune 232 RÉFLEXIONS.
lles de l'os voisin atteint jusqu'à 3 ou 4 centimètres. Les parties
osseuses
voisines du tiers moyen de la suture coro- nale
M. Lannelongue a modifié la forme et les dimen- sions de la brèche
osseuse
. En présentant à l'Institut la note clu savant
absence de synostose des sutures du crâne. Description de la brèche
osseuse
; - lésions de méningo- encéphalite, etc. Bla
déprimée en gouttière, on sent une dépression analogue de la voilte
osseuse
formant un sillon assez marqué ; la lèvre inter
ment (Fig. 32). En arrière de cette membrane, il existe une portion
osseuse
transparente mesurant d'avant en arrière 3 cent
UL- TAT APPRÉCIABLE : MODE CURIEUX DE RÉOSSIFICATION DE LA BRÈCHE
OSSEUSE
. Sti.. (Emile F.), 6 ans. (Voir l'observation c
E. - Description des os du crâne. Mode de répa- ration de la brèche
osseuse
produite par la craniectomie . Minceur et trans
lus apparente que réelle, cette apparence est le fait de l'incision
osseuse
faite à gauche. Une mensura- tion exacte, démon
s moins longs, plus larges, et à bords moins déchiquetés. La brèche
osseuse
due à la cl·âwiectolnie (1·'ig. 36), j, située
d'un bord à l'autre et transformée sur les bords en minces lamelles
osseuses
. Une partie ayant 32 millimètres de longueur re
n mode de réparation est des plus intéressants. En effet la soudurc
osseuse
s'est effectuée sous la forme de suture à fines
de 4 millimètres, présente sur ses bords de petits prolongements
osseux
minces et se termine par un cul-de-sac arrondi, à
t se termine par un cul-de-sac arrondi, à demi comblé par une jetée
osseuse
interne. A l'état frais cette partie non-ossifi
e était recouverte d'une membrane ostéo- 1(l,i(,. les prolongements
osseux
lamellaires des bords de la brèche en sont une
aux un sillon profond dont le fond est figuré par une mince lamelle
osseuse
. Nous avons résumé dans le tableau ci-après les
n laissez-nous vous rappeler le mode de réossification de la brèche
osseuse
chez notre malade de l'OBs. IX : cette réossifi
e et rapide, en tant qu'aux douleurs des membres et aux altérations
osseuses
. Observation VII (PI. V) , (Hospital da Miser
s circonvolutions, comme si elles avaient été nivelées par la boite
osseuse
, la forme triangulaire, presque rectiligne, du
ue, malgré la dépression de la base, la place obtenue dans la boîte
osseuse
est insuf- fisante. Le cerveau se trouve, comme
es éléments nerveux, qui aurait alors à vaincre un sérieux obstacle
osseux
. Ou enfin, le développement asymétrique et périod
4° L'atrophie du nerf optique n'est pas la conséquence d'un canal
osseux
trop étroit. Elle est en rapport avec la pression
donné que sous le nom de spondylite on entend une lésion vertébrale
osseuse
, articulaire ou périarticutaire, et par conséqu
signe de Babinski. L'examen radiographique n'a montré aucune lésion
osseuse
ou péri- osseuse. D'ailleurs, la mobilité parfa
L'examen radiographique n'a montré aucune lésion osseuse ou péri-
osseuse
. D'ailleurs, la mobilité parfaite de la colonne v
. Une radiographie faite à l'hôpital Bégin montre une prolifération
osseuse
à la face'postérieure de l'hu- mérus à la haute
première phalange de l'index est très difficile et il y a ankylose
osseuse
de l'articulation phalango-pha- langinienne de
ar ostéoporose : II, VIII, 1, XIII, V, IV, III, XI, XV. Déformation
osseuse
sans décalcification (VII). Enfin pas de mo- di
seaux, presque directement appliqués entre les téguments et un plan
osseux
, peuvent être le plus facilement comprimés ; et l
chard et celles d'Heberden ont même structure anatomique (soufflure
osseuse
, incrustation et souvent légères érosions carti
asion d'examiner un jeune soldat atteint d'une déformation digitale
osseuse
spéciale dite « macrodactylie » et affectant le
isque nous pensons qu'il s'agit dans ces cas d'un stigmate chondro-
osseux
de syphilis héréditaire, et non d'un trouble trop
tuitaire ou de certaines hydromyélies, ou encore de lésions locales
osseuses
plus ou moins suppuratives. Encore, faut-il ajout
M. Boinet, vers la quaran- tièmeannée, des déformations velvétiques
osseuses
des épiphyses phalan- giennes. r La dystrophi
t obligés, pour se mettre à l'unisson de cet excès de développement
osseux
, de s'hypertrophier eux- mêmes, le contenant de
dermo-cellulo-graisseux (manchon externe) s'adap- terait au contenu
osseux
(manchon interne). xxvm ' 10 0 146 SIGARD, NA
aient eux-mêmes imparfaits, car c'est bien sept et même huit rayons
osseux
qu'il faudrait posséder pour être tout a fait com
objecte également à la théorie qu'on n'a jamais trouvé de traînées
osseuses
intermédiaires entre le pisiforme elle 6° métacar
appui, car dans nos cas non plus, on ne rencontre pas celte traînée
osseuse
si nécessaire. Ce qui nous semble beaucoup plus
p. 246. xxvm 11 centre Neurologique DE la XV- région ANKYLOSE
OSSEUSE
DES ARTICULATIONS PHALANGINO- PHALANGETTIGNUES
oses dans la sclérodac- tylie, mais non point des ankyloses vraies,
osseuses
. Brocq (1) décrit les raideurs articulaires de
et d'autre part, par un processus d'atrophie et de résorption même
osseuse
, qui finit parfois par disparition graduelle et
ne point qu'on ait observé au cours de cette évolution l'anky- lose
osseuse
. La radioscopie ci-jointe montre les stades suc
nnes des doigts II, III, IV des deux mains sont à l'état d'ankylose
osseuse
complète, il n'y a plus trace d'interlignes, le
se osseuse complète, il n'y a plus trace d'interlignes, les travées
osseuses
de la phalangine et de la phalangette sont tout à
ine et de la phalangette sont tout à fait contiguës, il y a soudure
osseuse
complète, toute trace de cartilage ou de tissu
1·. - " ' '1'. »Vlll ? 1 ? T\\ ? r ? ·m·nncreraW 7T'TFNNRS ANKYLOSE
OSSEUSE
DES ARTICULATIONS PHALANGINO-PHALANGETTIENNES 163
de donner une étiologie et une pathogénie précises à cette ankylose
osseuse
phalangino-phalangettienne. Nous avons ten- dan
racture comminutive. Mal- gré cette perte considérable de substance
osseuse
, cet homme, grâce à son énergie et à une volont
suffisamment ébauchés. L... rentre en France six mois après. Un cal
osseux
exubérant occupait toute la région du coude. L'
tres vertical dans la région pariéto- temporo-occipitaie. Ouverture
osseuse
par le trépan de Martel et pince Dahl- green :
perficielle au toucher abolie. Sensibilités profondes musculaire et
osseuse
conservées. La piqûre, même péné- trante, ne pr
- 204 ÉTIENNE dement dans les genoux et dans les jambes; douleurs
osseuses
lancinantes, surtout nocturnes. Les douleurs s'
de la couverture. 18. - Réflexes rotuliens exagérés. 19. Douleurs
osseuses
et articulaires, nocturnes surtout. Exagération
vent par des douleurs vives dans les mus- cles des jambes ; douleur
osseuse
parfois (obs. X et V) ; souvent à exacer- batio
re sont abolies, alors que les sensibilités profondes (musculaires,
osseuses
) sont conservées. Pas d'astréognosie. Au 1 le j
int de rendre intolé- rable le contact des draps du lit. Douleurs
osseuses
, seules ou combinées aux douleurs musculaires,
au tibia (obs. IV, V, VI, VII, X, XII). Ces douleurs 220 ÉTIENNE
osseuses
sont souvent à exacerbation nocturne (obs. V et X
évrite combiné dans la détermination de ces douleurs musculaires et
osseuses
. Le groupement des symptômes peut revêtir, au c
- veuse pour n'en être pas évidemment la cause. Est-ce la saillie
osseuse
elle-même qui irrite chroniquement le plexus br
griffe, les tendons extenseurs aussi saillants, les espaces inter-
osseux
presque aussi déprimés. On sent au doigt et on vo
comme os crochu. Au-dessus de celui-ci, on trouve la deuxième pièce
osseuse
du carpe, qui à en juger par sa situation, doit r
un cas où le fémur gauche était également réduit à une petite masse
osseuse
; mais dans son observation, on trouvait en même
res supérieurs, souvent compliquées de troubles trophiques cutanés,
osseux
ou articulaires, cas qui au premier abord pourr
phie montre en pareil cas que l'ankylose est d'ordre fibreux et non
osseux
, caries interlignes articu- laires ne sont pas
mêmes atrophies musculaires, les mêmes troubles trophiques cutanés,
osseux
ou articulaires. L'hyperesthésie atténuée des t
angino-phalan- gettieunes. Il s'agit d'une ankylose fibreuse et non
osseuse
, car la radiographie ne montre aucune altératio
use et non osseuse, car la radiographie ne montre aucune altération
osseuse
. c Les troubles trophiques portent également su
t mélacarpo-phalangiennes sont soudées par des ponts de subs- tance
osseuse
néoformée ; chez notre sujet au contraire les art
moraux, on ne détermine aucune douleur à la pression; l'exploration
osseuse
fut beaucoup plus facile après la disparition de
aucun trouble de la sensibilité articulaire ou de la sensibilité -
osseuse
au diapason, même au niveau des articulations et
stitution du squelette, il convient encore d'accentuer la fragilité
osseuse
prononcée qui s'observe dans ces cas,' quand la g
(ce que nous ne pouvons confirmer personnellement) une intumescence
osseuse
au centre de la . voûte palatine, avec une fréq
ermiqne (voir fig. VII). Les signes acromégaliques tirés du système
osseux
, auxquels Pende fait allusion, ne nous semblent
des testicules qui ont pris la dureté d'une pierre, des altérations
osseuses
(t) Falta, Spcileunuchoïdismus und multiple Blu
Recklinghau- sen, par A. DE CASTRO, 34. Acrotrophicité [Ankylose
osseuse
des arti- culations plaalangino-phalangettienne
le ponto-cdrébelleux (Tumeur de l'-), ), par Monis, 196. Ankylose
osseuse
des articulations phalan- gino-phalangeitiennes
ons de la ; polydactylie héréditaire), par BINARD, 147. (Ankylose
osseuse
des articulations phalangino-phalangettiennes),
ique, par Flournoy, 15. Phalangino - phalangettiennes (Ankylose
osseuse
des articulations -, troubles d'acrotrophicité
Camptocormie, 420. REVAULT D'ALLONNES (G.) et RIMBAUD. Anky- lose
osseuse
des articulations phalan- gino-phalangettiennes
ngettiennes, 162. Rimbaud (L.) et REVAULT D'ALLO\PIE3. Anky- lose
osseuse
des articulations phalan- gino-phalangettiennes
que de l'hypophyse (M \RAX01l et Pintos), XLII et XLIII. Ankylose
osseuse
des articulations pha- langino - phalaogettienn
COURB01\), XXIV à xxvi 1 . - (Léri), XXVIII à XXXIII. ankylose
osseuse
des articulations phalangino-phalangettiennes (
re. L'autopsie a été pratiquée 36 heures après la mort. Squelette
osseux
. - Les os des membres ne présentent aucune altéra
nt sur la forme des pièces squelettiques et sur la qualité du tissu
osseux
. La colonne vertébrale présente une scoliose à
garde légèrement à gauche. La forme n'est plus celle d'une plaque
osseuse
sensiblement plane avec une légère voussure ant
s le rapport de causalité entre la neuro-fibromatose et les lésions
osseuses
n'apparaît pas avec toute l'évidence que nous t
il a pratiquée à Rennes, des modifications intéres- santes du tissu
osseux
. Elles portaient seulement sur le crâne, la clavi
se rendre un compte exact de la nature et de l'étendue des lésions
osseuses
. ' On constate d'abord des arthropathies types
t. Rien de particulier à signaler au coccyx. Deux longues aiguilles
osseuses
de huit millimètres de largeur, de cinq centimè
eure. Cette face est augmentée par la présence à droite d'une masse
osseuse
, tourmentée de formes, lisse dans sa portion exte
ainsi placées forment une excavation, limitée en dehors par la masse
osseuse
de la deuxième lombaire, en dedans par le bord
ières, de fines canne- lures verticales sculptées dans la substance
osseuse
. Ces caractères pathologi- 128 JEAN ABADIE qu
e, très inégale et présente sur son bord droit une petite languette
osseuse
, dirigée eu haut et destinée à s'adapter avec une
de l'index, limitée à droite et à gauche par deux petites moulures
osseuses
et tapissée daus le fond par une série de colonne
les parties latérales, en avant elle offre de nom- breuses travées
osseuses
irrégulières. Mais les altérations portent surtou
sion plus profonde, située à gauche, est surplombée par une saillie
osseuse
d'un centimètre d'é- paisseur environ, de deux
st remplacée,un peu à gau- che de la ligne médiane, par une saillie
osseuse
dirigée en avant et affectant la forme d'un côn
us d'elle, la gouttière est presque effacée par de petites saillies
osseuses
, dentelées et très irrégulières. L'avant-derniè
a moitié gauche, de façon à pouvoir s'adapter avec une légère saillie
osseuse
située sur le bord inférieur de la dixième dors
s corps excavées, bords renversés, tranchants ou dentelés. Surfaces
osseuses
garnies de trous, d'aspérités, de trabécules. Dév
calibre des trous de conjugaison correspondants. Porosité du tissu
osseux
. Ce sont six vertèbres provenant de la colonne
de dé- pressions, de fines trabécules, sculptées dans la substance
osseuse
qui offre dès lors une apparence poreuse remarq
trou de conjugaison correspondant, donne naissance à une formation
osseuse
, diri- gée en haut, et qui vient se fixer à la
ure est lisse, polie, formant contraste avec la poro- sité du tissu
osseux
environnant. Au-dessus d'elle et du bord supéri
de la hanche droite etdu genou gauche avec disparition des extrémités
osseuses
et luxations consécutives . Sensibilité à peu p
son étendue, comblée par endroits de cannelures ou d'arborisations
osseuses
. Faces irrégulières, plus ou moins dépolies et
perçoit un frottement dur entre sa face postérieure et les parties
osseuses
correspondantes du tibia et du fémur. Quelques me
devenu mélancolique. La face est extrêmement amaigrie, les saillies
osseuses
fortement accusées, le teint est normalement co
indolore, même dans les situations exagérées imprimées aux surfaces
osseuses
. On perçoit dans ces manoeuvres d'énormes craqu
côtés : elle offre, en outre, la face antérieure, des arborisations
osseuses
sculptées sur sa surface. Le bord infé- rieur e
e, mais dans son tiers droit, elle donne insertion à une production
osseuse
. Cet ostéophyte recouvre par sa face inférieure
ntre cepen- dant encore quelques dentelures des bords, des surfaces
osseuses
rugueuses, garnies d'aspérités ou tapissées de
épiphyse fémorale et de l'articulation coxale par les néoformations
osseuses
, si on a affaire à une frac- ture du col, à une
rence assez uniforme et sen- siblement égale à celle des tissus non
osseux
. Les bords de la cavité articulaire manquent de
esque normalement au corps de l'os, est analogue à celle d'un tissu
osseux
compact. La seconde, de dimensions plus grandes,
. La seconde, de dimensions plus grandes, paraît formée de lamelles
osseuses
irrégulières que l'on peut suivre sur une longueu
ions, mais en général assez peu marquée, ce qui indique soit un tissu
osseux
raréfié, soit plutôt, d'après l'aspect du clich
e normal. La radiographie est venue nous montrer que la tuméfaction
osseuse
, que nous avions crue si considérable, est en s
icnlaires (ligaments, tendons, parles molles), sont semés des ilots
osseux
, indépendants les uns des autres et à des distanc
ou 3 centimètres de largeur moyenne, qui paraît occupé par un tissu
osseux
raréfié, ou bien par un tissu osseux désagrégé.
qui paraît occupé par un tissu osseux raréfié, ou bien par un tissu
osseux
désagrégé. Sur le côté externe du fémur, au niv
e. Entre le bord interne du fémur et le bassin, se trouve une masse
osseuse
irré- gulière d'opacité normale. Observation
ticulaires coïn- cidant avec une hyperplasie exubérante des parties
osseuses
juxta-articu- laires. La déformation est cons
conservé leur intégrité morphologique et les nouvelles productions
osseuses
se font aux alentours de l'article. Quant à l'h
centre trophique dont l'excitation a pour conséquence l'hyperplasie
osseuse
, tandis qu'une cause agissant en sens inverse ent
t particulièrement des muscles innervés par le radial. Les réflexes
osseux
et tendineux du poignet sont abolis. On ne consta
ifs est très diminuée surtout à droite. Les ré- Ilexes tendineux et
osseux
du bras et de la jambe du côté droit sont abolis.
n toute spéciale lors de ses époques mens- truelles. - Le système
osseux
n'a subi aucune modification et ne contribue null
olution de continuité de l'os. Après l'ablation d'un petit fragment
osseux
, l'auteur constate une dépression très nette co
colère. L'auteur ne mentionne pas de troubles dans le développement
osseux
ou musculaire, il faut en conclure qu'il n'y en
Il fallut une traction énergique pour l'arracher de son implantation
osseuse
. Il était placé suivant un trajet ascendant en
ave. Dans la plu- part des cas il n'y a pas de fracture de la boîte
osseuse
et cela dans une proportion de 7 p. 10. Sur un
. Elle met en lumière leur rapport avec le développement des pièces
osseuses
, les unes normales, les autres incomplètes et a
lle a conservé la notion de position de ses membres. La sensibilité
osseuse
est très bien conservée, mais il éxiste une anest
aques de huit centimètres et également de chaque côté. La charpente
osseuse
de la cage thoracique n'offre aucune particular
dernières sont parfaitement localisées. 11 n'existe pas d'analgésie
osseuse
, articulaire, ligamenteuse ou mus- culaire il l
vertébrales. Il dit n'avoir jamais eu dans son enfance d'affections
osseuses
ou articulaires quelconques : en particulier, j
. Il se peut même qu'il n'y ait pas du tout de fracture de la boîte
osseuse
du cerveau et qu'il y ait cependant une hémiplé
it d'extraire à '14 centimètres de profon- deur plusieurs esquilles
osseuses
. Mais on ne trouva pas la balle qui reste dans
tre pas la fente ni le trou sphénoïdal, ou porte à faux sur le bord
osseux
. Pour pousser l'injection on s'appuie de tout le
ur le rebord supérieur de l'orbite et de leur faire suivre la paroi
osseuse
, mais cela ne nous a donné aucun résultat, la v
sent au fond une résistance comme si le doigt touchait une par- tie
osseuse
. La dépression est située au-dessus du sillon de
urcie et épaissie, mais il est probable que les troubles trophiques
osseux
ont commencé plus tôt. Pendant tout le temps de
Le carpe a complètement disparu, et de ce point maximum les lésions
osseuses
s'étendent de moins en moins accentuées en haut
remière pha- lange du pouce),ils sont réduits à de grêles cylindres
osseux
brusquement coupés au niveau de leur tiers supé
i reste de la tête cubi- tale, il y aurait même plutôt condensation
osseuse
pour le radius et le cubitus, et les métacarpie
nté pendant six mois et s'est étendu bien plus loin que les lésions
osseuses
, puis s'est peu à peu résorbé, pendant que cell
nte est susceptible d'arrêt, il peut même se faire une compensation
osseuse
, qui, étant donné la nature de l'affection, équ
ion articulaire sont dues.beaucoup moins aux lésions des extrémités
osseuses
proprement dites, qu'aux changements de rapport
rv. II), dans laquelle l'examen radiographique a montré tuméfaction
osseuse
, qu'on avait crue si considérable est en somm(
icula ires (1 i¡ : £ tendons, parties molles), sont semés des ilots
osseux
, indépend,... .w uns des autres, et à des dista
onséquences, mais dans la répartition des lésions plus fibreuses qu'
osseuses
, qu'on pourrait dénommer la pél'iartl'o- patlai
de la colonne vertébrale et les déformations consécutives des cages
osseuses
qui lui sont annexées. Nous n'y reviendrons pas.
rties constitutives normales, mais elles y ajoutent des productions
osseuses
nouvelles, irrégulières, imprévues de formes et d
la forme d'un coin. La grosse extrémité du coin répond aux portions
osseuses
intactes, elle est donc peu modifiée ; il faut
sus hypertrophique va y remédier et suppléer par des néo-formations
osseuses
à la disparition des segments osseux atrophiés. L
pléer par des néo-formations osseuses à la disparition des segments
osseux
atrophiés. Les caractères de ce second type ser
enser- rent tous ensemble la vertèbre malade, comblent les portions
osseuses
disparues et assurent ainsi un équilibre suffis
est saillant, dentelé, quelquefois exubérant et ses proliférations
osseuses
vont s'engrener avec les créneaux correspondant
ces malades ne contient aucune trace d'affec- tions à localisation
osseuse
ou articulaire. Dans l'enfance, aucune ma- nife
aucune ma- nifestation rachitique, plus tard jamais de tuberculose
osseuse
, en parti- culier vertébrale, pas de diàthèse r
hologique s'exerce plus facilement et plus fréquemment sur le tissu
osseux
que sur l'article proprement dit : l'ostéopathie
tions est seule capable de rendre la déviation permanente. Le tissu
osseux
, altéré dans sa nutrition par la névrite probable
inférieur, sera ainsi arrêtée dans sa chute par les néo-formations
osseuses
qui assureront sa fixité en s'articulant avec leu
ante, s'explique alors aisément sans intervention de l'effondrement
osseux
. Ce doit être cependant des excep- tions. De mê
r- vation intégrale des segments latéraux. Bien plus la raréfaction
osseuse
, pour une cause qui nous échappe, peut porter s
ns entraîner nullement le second. Enfin, le processus de dystrophie
osseuse
peut porter non plus sur une surface appréciable,
le sera pathologiquement du fait d'une altération générale du tissu
osseux
vertébral. Elle le sera surtout dans le tabes :
et pour d'autres encore qui nous échappent que les ma- nifestations
osseuses
et articulaires prédominent dans le segment infér
avec elle : tous deux possèdent une gibbosité et des modifications
osseuses
secondaires, mais les douleurs spontanées potti
ation, pense l'auteur allemand, a favorisé la production de travées
osseuses
ou ligamenteuses, permettant d'assurer la fixit
s. Suivant ce grand axe il existe une fêlure séparant les fragments
osseux
déprimés en gouttière. Epanchement sous-dure-mé
as gauche ayant 24 au même point Au niveau du coude, les sail- lies
osseuses
ne sont pas plus visibles que du côté opposé. A
ue est très légèrement déviée à droite. Les réflexes musculaires et
osseux
sont exagérés dans toute l'étendue de l'épaule
. Marie et Couvelaire (1) puisse être attribuée à des alté- rations
osseuses
analogues à l'ostéomalacie et sur la nature ou l'
voit, dans le syndrome oxycéphalique, nous trouvons une dyslrophie
osseuse
généralisée en relation avec des altérations du s
ycéphalique. Au point de vue delà configuration externe de la boite
osseuse
du crâne, l'on doit entendre par le mot oxycéph
troubles visuels (7). L'anatomie pathologique de celte malformation
osseuse
a été étudiée d'abord par Virchow (8), par Zuck
ces faits que je considère l'oxycéphalie légitime comme un syndrome
osseux
qui peut être bien plus étendu que ne le préten
ques éclaircissements sur le mécanisme pathologique des altérations
osseuses
que l'on rencontre dans l'oycéphalie. En poursu
bregmalique soudée d'une façon irrégu- lière avec une surélévation
osseuse
disposée en crête tout au long de la suture sag
en examinant la région frontale, on peut nettement palper un rebord
osseux
très prononcé qui correspond probablement à la su
éphale et l'on y retrouve les caractères typiques de cette anomalie
osseuse
, c'est-à-dire la conformation ovoïdale de la bo
s et des genoux notamment sont très lourdes. En résumé la charpente
osseuse
de cet enfant est empreinte de tous les stigmat
ous voyons un' espace vacuolaire limité quelquefois par des travées
osseuses
: cet espace lacu- naire correspond aux sinus f
e sens antéro-postérieur et traversé parfois par de minces lamelles
osseuses
qui limitent de véri- tables cellules spbénoïda
l'écaille sphénoïdale, nous observons la présence d'un promontoire
osseux
, véritable massif constitué par le rocher qui,
nétique des os du crâne est manifestée par la pré- sence des crêtes
osseuses
ondulées et arborisées développées notamment su
blessure. Le barbier parait moins âgé que son blessé, sa figure est
osseuse
, les traits accentués, le nez fortement busqué,
0 centimè- tres environ. - On découvrit alors que toute la partie
osseuse
sous-jacente et qui était cons- .tituée par des
ère de cette région était complètement déchirée. Tous les fragments
osseux
furent enlevés et quelques vaisseaux d'où le sa
corres- pondantes du manteau ont été dépouillées de leur enveloppe
osseuse
ainsi que d'une partie de leur enveloppe durale
. et BONNET, Interne des hôpitaux d'ellger. Les dystrophies
osseuses
forment un groupe touffu au milieu duquel peuve
lation entre les fonctions des glandes génitales et les altérations
osseuses
appartenant à plusieurs groupes clorrt la patho
) étant parfaite- ment capable de se traduire par des malformations
osseuses
d'iniquement analogues, par des troubles mentau
pas douloureux, il n'y a pas de troubles trophiques musculaires ou
osseux
, pas de douleurs. Mais ces différentes manifest
du scialique supé- rieure à celle du crural, voisinages et contacts
osseux
du sciatique, lon- DE L'ABSENCE DES REFLEXES Ac
nte à l'Académie des sciences un rachis cer- vical dont la 71 pièce
osseuse
possédait à droite et à gauche une côte arti- c
approchent tellement qu'elles semblent constituer une sorte de dôme
osseux
, véritable carapace où vient se loger l'extrémité
, est formée de 12 vertèbres nettement différenciées et d'une masse
osseuse
, constituée par l'union de plusieurs vertèbres.
pprochée, presque soudée entre elles, à leur naissance. Cette masse
osseuse
a une longueur de 8 centimètres; une largeur vari
x qui se voient nor- malement. A la partie supérieure de la masse
osseuse
se trouvent deux surfaces arti- culaires séparé
les. - En réalité, il n'y a que la partie inférieure de cette masse
osseuse
qui soit le reliquat des 4 vertèbres dorsales ;
bres dorsales, munies chacune d'une paire de côtes. Enfin une masse
osseuse
complètement soudée dans laquelle il est im- po
t différenciées portaient t chacune une paire de côtes, et la masse
osseuse
qui continue la colonne jusqu'au crâne possède
, et la colonne ver- tébrale conserve son nombre régulier de pièces
osseuses
. Les anomalies non compensées sont beaucoup plu
'il écrit : « que la question des varia- tions du nombre des pièces
osseuses
de l'épine est extrêmement embarras- sante, emb
de la moelle spinale. Le système nerveux naissant avant le système
osseux
, il est admissible que ses variations entraînen
uite avec 5 vertèbres lombaires, 8 vertèbres dorsales, et une masse
osseuse
d'une hauteur de huit centimètres, présentant s
oûte palatine présentait une fente due à la non souaure des massifs
osseux
. La clavicule gauche présentait une dépression mé
à celle dyslrophie. Nous commencerons par ceux intéressant le tissu
osseux
. La taille était petite clans les cas de Scheut
si que dans le cas de Guzzoni degli Ancarani. Comme autres troubles
osseux
,nous trouvons nolés les suivants : la cage thor
UN CAS DE DYaOS'rOSE CLCIL)O-CltA[NIENNE - 259 signalé des troubles
osseux
dans l'enfance ; dans le troisième, le sternum
emblait plus large que normalement. Il y avait en outre raréfaction
osseuse
. L'ex- trémité supérieure du radius qui n'affec
u crâne ; nous trouvons signalés dans les cas suivants des troubles
osseux
: Chez l'enfant observé par Morand, enfant qui
transversal manifestement moins grand que celui de gauche et le tissu
osseux
est un peu raréfié ( PI. XLVII). Membre infér
ents morts à un âge avancé ; pas de rachitisme, pas de déformations
osseuses
dans la famille. Il a lui-même été toujours bie
opoïde. Les membres supérieurs ne pré- sentent aucun épaississement
osseux
ni aucune incurvation anormale, et les 1..\..\.
czéma et ulcération accidentelle ; agmentation manifeste de la lésion
osseuse
. C. J.tmbe d'une malade atteinte de maladie de
ntusionnée, sur la partie supérieure de la crête tibiale, un nodule
osseux
, une « bosse » douloureuse, qui persista seule pe
n semble peu discutable : le malade est formel, la première saillie
osseuse
se serait faite au point le plus fortement cont
une part le mélange des processus de raréfaction et de condensation
osseuses
désordonnées, d'autre part le défaut de calcifi
cents de Ménétrier font de la lésion de l'os pagétique une sclérose
osseuse
hypertrophique. Dans ce cas, il n'y aurait rien
échou (1) a rapporté à cette loi de Wolff toutes les déforma- tions
osseuses
qui se produisent dans la maladie de Paget et qui
leversement du plan des surfaces articu- laires et de la résistance
osseuse
. Pourtant il est possible d'interpréter autreme
aumatique, le tiers inférieur du fémur participait à l'hypertrophie
osseuse
,exactement comme chez notre malade : En résum
syndrome, n'ayant pour caractéristique commune qu'une hypertrophie
osseuse
avec mélange d'ostéite condensante et d'ostéite
l'absolu- tisme » (2). Rien de plus naturel pourtant qu'une lésion
osseuse
,qui indique uniquement des troubles trophiques,
et dont la largeur permettait l'introduction du doigt dans la Lotie
osseuse
. La substance céré- brale venait faire hernie à
; la lèvre supérieure de la cicatrice chevauche légèrement. Le cal
osseux
parait partout constitué, et le pouls cérébral
antéro-postérieure (PI. LVIII). A gauche, on voit des néoformations
osseuses
qui partent de l'extrémité latérale du bord infé-
ntact du corps des vertèbres sous-jacentes. Ce sont comme des ponts
osseux
de conjonc- tion entre une vertèbre et l'autre
érieur ou inférieur des corps vertébraux. Ce sont comme des éperons
osseux
, le plus gros desquels appartient à la IVe vert
racines des membres ne sont pasatteintes, parceque les altérations
osseuses
de la région lombaire, révélées par la radiogra
III. Région lombaire, projection antéro-postérieure ; à gauche, ponts
osseux
de conjonction entre une vertèbre et l'autre ;
ux de conjonction entre une vertèbre et l'autre ; à droite, éperons
osseux
. OSTÉO-ARTHRITE CHRONIQUE DU RACHIS 411 Est-c
st surtout marquée au niveau de la région lombaire, et des saillies
osseuses
, irrégulières, des ostéophy- tes, en sont la ma
s montre qu'ici l'altération principale est donnée par des saillies
osseuses
régulières ou éperons osseux et par des néo-oss
incipale est donnée par des saillies osseuses régulières ou éperons
osseux
et par des néo-ossifications beaucoup plus dévelo
eux et par des néo-ossifications beaucoup plus développées ou ponts
osseux
de conjonction entre une vertèbre et l'autre. Le
rétrécissement des trous inter- vertébraux, soit aux néoformations
osseuses
qui siègent ou font saillie à l'intérieur, dans
r (4 ) ont attiré l'attention sur l'importance de cette compression
osseuse
au point de vue du diagnostic et du traitement,
urgical. Chez notre malade les symptômes d'une probable compression
osseuse
sont : des troubles très légers de la sensibilité
ement diminuée à droite. Les sensibilités musculaire, tendineuse,
osseuse
, articulaire, sont normales. Sens stéréognostiq
en est de même des autres mouvements du pouce et des muscles inter-
osseux
. A l'examen électrique, on constate une réactio
refouiée par la tumeur. Celle-ci a même en arrière détruit la coque
osseuse
et fait hernie dans la partie la plus reculée d
riceps et peut-être du biceps. Par contre les réflexes tendineux et
osseux
ayant une localisation plus basse sont nettemen
ud et Bauer, Soc. neurol., 12 janvier 1905) ; d'autre part, lésions
osseuses
vertébrales ou plutôt occip 1 to-a Li oïcli ennes
ROTSTADT postérieure, du côté droit, sans léser l'ensemble du tissu
osseux
de la colonne vertébrale. Les douleurs, qui t
ments, à la possibililé d'une métastase de la tumeur dans le tissu
osseux
. Cependant le cours subséquent de la maladie ai
Pas de règles. Larynx infantile (examen laryngoscopique). Epiphyses
osseuses
non soudées. Céphalée, vomissements. Cécité ave
e la dentition étaient retardées. Il en résultait des malformations
osseuses
et des fractures il type spontané. Les organes
des 4e et 5e vertèbres dorsales. Il présentait aussi des déformations
osseuses
qui apparaissaient de nature aclondroplasique;
rapport avec la longueur physiolo- gique du tronc; les altérations
osseuses
prédominaient aux extrémités distales des membr
l'aide de la radioscopie, on a noté une tendance à des dystrophies
osseuses
, ce qui rendra intéressante la question de déci
omopla- tes sont très courtes, légèrement ailées, aux proéminences
osseuses
assez mar- quées. Le dos est plat, ses muscles
ACHONDROPLASIE ET CHODIDItOHYPOPLA51E 169 de fractures ou de cals
osseux
, la disproportion entre le raccourcissement du
le diaphyse os- seuse est forte et on relève nettement les saillies
osseuses
des insertions mus- culaires. Les courbes des c
bustes, de forme normale avec un développement marqué des éminences
osseuses
correspondant aux insertions musculaires. Quant
s, l'exagération des courbes claviculaires, la raréfaction du tissu
osseux
des orteils et enfin, outre la micromélie avec se
sie, car il a été trouvé par M. Chevalier dans d'autres dystrophies
osseuses
. Si nous appliquons ces conclusions à l'élude d
ssi. Et voici les résultats : 180 FERRUCCIO RAVENNA dystrophies
osseuses
asymétriques. Il nous paraît donc juste de soustr
férieurs ; mais nous avons ici, en outre, des traces de dystrophies
osseuses
; d'ailleurs celle micromélie segmentaire ne sembl
n examen radiographique soigné peut faire constater des dystrophies
osseuses
non graves, mais qui révèlent et jusqu'à un certa
cent. 5 et 4 centimètres chez l'achondroplase. En général, le tissu
osseux
paraît, chez l'achondroplase, d'une spongiosité
ent n'était pas bien nelte. Si- gnalons dans ce cas les altérations
osseuses
que nous avons constatées el surtout les crêtes
suppose un processus congénital, (1) On constate cette même saillie
osseuse
sur les radiographies publiées par d'aulres aut
ongueur des membres, mais on observe en même temps des incurvations
osseuses
et des nouures ; le crâne n'est pas augmenté de v
nommées, soit parce qu'il manquait ici des symptômes des lé- sions
osseuses
, et manquaient de même les principales causes, qu
obésité, ni défor- mation des extrémités, ni augmentation du massif
osseux
facial, ni pro- gnathisme du maxillaire inférie
taille est arrivée à son développement définitif... - Le système
osseux
ne semble alors nullement influencé, mais les car
molles, mais encore les os, qui sont nettement altérés. L'atrophie
osseuse
est localisée aux extrémités digitales, et en eff
de distance (mars 1910-avril 1911), le pro- grès de la destruction
osseuse
. Si l'on examine par exemple la projection laté-
nt seulement comme amputées dans leur continuité et les altérations
osseuses
paraissent s'arrêter en ces derniers points (PI
st-à-dire en avril 1911, nous voyons que le processus de résorption
osseuse
a fait beaucoup de progrès, comme on peut le vo
rso-pal- maire. Il est inutile d'ajouter que les lésions d'atrophie
osseuse
se sont montrées parfaitement symétriques de de
terlignes articulaires des phalanges sont troubles. Les altérations
osseuses
s'arrêtent au niveau des métatarsiens. Crâne (p
eau des doigts, du poignet, des genoux, les traces d'une résorption
osseuse
plus marquée aux extrémités des phalangettes.
nes de Gud- den (2). Une fois obtenue la transformation en cellules
osseuses
de tous ces éléments, il y a fixation définitiv
s seul à être intéressé et parfois les trou- bles de la morphologie
osseuse
s'accompagnent de lésions portant sur l'apparei
bles oculaires à une stase papillaire par ré- trécissement du canal
osseux
, Mantz (12) incrimina l'étranglement du nerf op
ncier Waller Scott et du savant Meckel, tous affligés d'une calotte
osseuse
plus ou moins pointue. Ces dernières années la
teur, le syndrome oxycéphalique serait constitué par une dystrophie
osseuse
d'origine rachitique conditionnée elle-même par u
suels graves, conclut, lui aussi, en présence d'autres déformations
osseuses
concomitantes, à la nature rachitique du syndro
uteurs contemporains, non plus comme une affection limitée au tissu
osseux
, mais comme une maladie générale de tout l'organi
n peut attribuer au seul rachitisme, la paternité des malformations
osseuses
et de l'arrêt intellectuel ; les premières résu
ies tuberculeuses et syphilitiques. Troubles glandulaires, troubles
osseux
, et troubles intellectuels ne pourraient-ils pa
malades, elle n'est qu'une conséquence mécanique de la malformation
osseuse
; l'individu qui en est porteur ayant en plus de
du diploé. Ainsi, chez le malade qui nous occupe, les modifications
osseuses
por- tent uniquement sur le crâne (voûte crânie
lie. Notre sujet n'a ni les troubles fonctionnels ni les caractères
osseux
de celle dystrophie et on pourrait presque l'op
ématiser, pour ainsi dire, les curieuses altérations que la maladie
osseuse
de Paget produit au niveau de la base. Les alté
trophie. - Les os de la base sont hypertrophiés. L'épaississe- ment
osseux
se constate avec la plus grande facilité au nivea
3 par exemple) sont presque linéaires, subdivisés par des lamelles
osseuses
; il en est ainsi au niveau des trous condyliens
se trouvant séparés sur un des crânes (crâne 7) par un prolongement
osseux
de l'apophyse ptéry- goïde externe ; le canal c
es qui sont très nettement rétrécis par le fait de l'épaississement
osseux
, ce sont les alvéoles dentaires. Le fait apparaît
opathie condensante quelquefois très importante. Celte condensation
osseuse
est surtout manifeste sur le crâne 4; et il sem
ilement diffuse quand elle s'accompagne d'une certaine condensation
osseuse
: ainsi le crâne 4 est relativement un de ceux
de façon très variable et nullement en proportion de l'hypertrophie
osseuse
. Les poids que nous pouvons fournir n'ont pas g
e- ment parce que, sur une base du crâne vue de profil, l'épaisseur
osseuse
esl beaucoup plus grande. II. Déformations. -
euse esl beaucoup plus grande. II. Déformations. - L'hypertrophie
osseuse
n'est pas tout dans le pro- cessus de la maladi
dans toutes les affections qui s'accom- pagnent d'un ramollissement
osseux
, tels le rachitisme, l'ostéomalacie, etc... Gén
e contre-pres- sion s'exerce partout ailleurs sur les os, et parois
osseuses
la cavité crâ- nienne regagne en avant et latér
rânienne chez les pagétiques, malgré l'hypertrophie de leurs parois
osseuses
et malgré le bombement de leur massif sphéno-oc
des pagétiques n'est pas due seulement à l'hypertrophie des parois
osseuses
, mais aussi à la dilatation transversale de la ca
us venons de signaler est la déviation en arrière de tout le massif
osseux
de la face. Le squelette de la face est attiré
ssez complexe de la maladie de Paget. L'hypertrophie et la porosité
osseuses
se manifestent parl'épaississement t et l'aspec
ingue » de Iajsur- face de coupe, sur le crâne n° 4 la condensation
osseuse
de cette même suirace. La diminution du trou oc
considérablement exagérée chez les pagétiques par le ramollissement
osseux
. PL. LXX. Radiographie d'un crâne normal et de
ur les crânes pagétiques, on voit l'épaississement énorme des travées
osseuses
, qui deviennent larges, irrégulières, Moues et
olume des orteils tenait en grande partie à l'exubé- rance du tissu
osseux
. Voici en effet la description du squelette :
pour celle du 2e orteil, deux pour celle du 3a (1). L'hypertrophie
osseuse
s'étend sur les métatarsiens correspondants. Ils
leurs extrémités, pré- sentent une exubérance remarquable du tissu
osseux
: des apophyses sont disséminées à leur surface
es plus saillantes sont situées du côté plantaire. Celte exubérance
osseuse
se prolonge même sur la face plan- taire du 3e
sur les rapports de l'impotence musculaire et de certains troubles
osseux
dans l'hémiplégie infantile ; Par BOURNEVILLE
. Bourneville, Bicêtre, 1301. 4 42 SQUELETTE DES hémiplégiques.
osseuse
notamment, paraissaient devoir retirer des écla
éclaircissements d'une étude détaillée et scrupuleuse des formes
osseuses
. Il y a longtemps qu'on discute sur la pathogén
a longtemps qu'on discute sur la pathogénie des troubles trophiques
osseux
. Y a-t-il un trouble trophique direct ? L'impot
le trophique. Autre- ment dit quel rapport eiili-e les uaniitions
osseuses
et les variations musculaires ? Si le degré d'i
es, il fallait y joindre la connaissance non moins exacte de l'état
osseux
, mais pour cola, on ne doit pas se contenter d'
hropologie, en traduisant en chiffres les variations morphologiques
osseuses
, en comparant les formes anormales aux formes s
les nous nous proposons d'établir les rapports entre les variations
osseuses
et les variations muscu- laires : 1° La diaphys
besoins de ses fibres qui s'insèrent directement sur la sur- face
osseuse
, condition essentielle pourpouvoirlamodifier, q
car nous y revien- drons encore, cette opposition entre l'atrophie
osseuse
accompagnée d'un moindre développement musculai
ut, considérant la saillie pilastrique comme un simple renforcement
osseux
indice d'une bonne nutrition on avançait qu'il
e ne diffère pas seulement de la forme malade par un simple support
osseux
surajouté mais qu'il a transformation complète
osseux surajouté mais qu'il a transformation complète de la forme
osseuse
. Nous en expliquerons ultérieurement le méca- n
i regarderaient le pilastre comme le résultat d'une bonne nutrition
osseuse
, qu'il leur devient impossible d'expliquer la d
vertu de sanutrilionpar- faite, est en outre pourvu d'un contrefort
osseux
, le pilastre ! C'est absolument le contraire qu
loi bien démontrée et basée sur l'observation raisonnée des formes
osseuses
humaines ou animales que l'os s'adapte aux fonc
en rapport avec le volume du muscle accru par l'exercice, la forme
osseuse
se modifie dans un sens déter- miné. Or c'est p
niveau dépend donc du volume des muscles relative- ment àla surface
osseuse
. Il est évident que nos fémurs malades représen
'un de nous comme introduction à ce travail sur les modifications
osseuses
, et d'une façon générale ce qui a trait aux varia
terne est lisse, large, et on voit l'a- grandissement de la surface
osseuse
dont la limite externe (bord externe de l'os, c
mportance de l,y,oit clu muscle dans la détermination de l'atrophie
osseuse
. On peut même ajouter que par la seule impotenc
t un retard dans le développement de l'ossifi- cation. Le système
osseux
prÓsen te de l' /1(;1)/ i..infantilisnw : c('d
le genu-valgum dans trois catégories : musculaire, ligamenteuse et
osseuse
. Evidemment, il y a des cas ressortissant uniqu
un point faible au niveau duquel des modifications de l'inclinaison
osseuse
peuvent se produire. L'épiphysc res- tant fixe,
uf- fisante (faiblesse musculaire relativement au développe- ment
osseux
clans le cas du géant, paralysie dans nos cas),
quise. Une autre cause contribue encore il diminuer la résistance
osseuse
relativement au poids du corps : c'est la persis-
ourbure sur des fémurs atteints dogénu-val- gums d'origine purement
osseuse
; et qu'il en faisait la lésion principale. M.
irurgie. Peut-être parmi les faits rattachés à une théorie purement
osseuse
et où l'on fait intervenir le rachi- tisme parc
l'observation recueilliedanslc service de Dicèlre et les symptômes
osseux
en font foi. Il y a donc eu un phénomène partic
n manque de corrélation entre le système mus- culaire et le système
osseux
. L'os sain, ayant supporté un poids supérieur,
iliaque où à l'ischion, toutes ces longueurs englobent des parties
osseuses
nullement équivalentes comme les os iliaques, o
usieurs reprises, afin de bien se pénétrer des rapports de la masse
osseuse
. On peut aussi faire hancher le malade et ce n'
être très active au niveau de l'insertion ; mais cet accroissement
osseux
se fait dans le sens de la traction, c'est-à-di
muscles et nos os malades présentent continuellement ces modalités
osseuses
à un faible degré. - Nous nous en tenons à ce q
ur les rapports de l'impotence musculaire et de certains troubles
osseux
dans l'hémiplé- gie infantile ; par BounNEVILLE
tanelle antérieure. z 20 IDIOTIE. fontanelle une petite lamelle
osseuse
, mince, de 0,008m/m. de long et de forme lentic
sont dentelés grossièrement et une membrane l'oblitère. La bande
osseuse
spongieuse qui la borde est moins accentuée qu'
opaques qui s'étendent jusqu'au voisinage des sutures où le tissu
osseux
prend des caractères spéciaux. En effet, au nivea
ment (Fig. 31). En arrière de cette membrane, il existe une portion
osseuse
transparente mesurant d'avant en arrière 3 cent
ge de cette dernière. Les sutures sont gorgées de sang et la partie
osseuse
voisine est considérablement vascularisée. Le l
nt très nettement accentuées par des dentelures rouges; les parties
osseuses
voisines étaient également très rouges. La ca
n plus ossifiées. Au niveau de la dernière existent de petits îlots
osseux
(os wormiens). Des fontanelles, il ne reste que
lles de l'os voisin atteint jusqu'à 3 ou 4 centimètres. Les parties
osseuses
voisines du tiers moyen de la suture coronale s
Absence de synostose des sutures du crâné. Description delà brèche
osseuse
; lésions de 1né1212o : cncéphalite, etc. (1).
AT appréciable : mode curieux de HI : OSSIIIC : 11'10\ DE la brèche
OSSEUSE
. SOD1AIIIE, - Père, excès de boisson. Grand-pèr
E. - Description des os du crâne. Mode de répa- ration de la brèche
osseuse
produite par la crâniectomie. Minceur et transp
us apparente que réelle ; cette apparence est le fait de l'incision
osseuse
faite à gauche. Une mensura- tion exacte démont
moins longs, plus larges, et àt bords moins déchiquetés. La brèche
osseuse
due à la crâniectomie (Via. 37,). située à gauc
'un bord il l'autre et transformée sur les bords en minces lamelles
osseuses
. Une partie ayant 32 millimètres de longueur re
mode de réparation est des plus intéressants. En effet, la soudure
osseuse
s'est effectuée sous la forme de suture à fines
e 4 mil- limètres, présente sur ses bords de petits prolongements
osseux
minces et se termine par un cul-de-sac arrondi, à
t se termine par un cul-de-sac arrondi, à demi comblé par une jetée
osseuse
interne. A l'état frais cette partie non-ossifi
fiée était recouverte d'une membrane ostéo- gène, les prolongements
osseux
lamellaires des bords de la brèche en sont une
athétosiques des quatre membres. AUTOPSIE. - État des trois brèches
osseuses
de la c1'âniecto- mie ; lésions de la dure-mère
gueur sur 3 ou 4 millimètres de diamètre qui se dégage de la brèche
osseuse
gauche sur laquelle il était appliqué et où il
ps que la calotte. La dure-mère est adhérente au niveau des brèches
osseuses
et entre elles, de telle sorte que l'espace qua
e. La sagittale est un peu plus serrée, mais il n'existe de soudure
osseuse
en aucun point de son trajet. Les trous pariéta
ôtés. Du côté droit, le pariétal présente une brèche 72 IDIOTIE
osseuse
longue de 9 centimètres, large do 2 centimètres 1
te brèche sont celles que nous rapportons. Le travail de réparation
osseuse
a créé des bords minces, déprimés, fes- tonnés
MENT CHIRURGICAL. 73 3 Sur le pariétal gauche existent deux brèches
osseuses
paral- lèles à la suture coronale, perpendicula
ernière brèche est en partie comblée par le travail de réparation
osseuse
. La plus antérieure l'est beaucoup moins. (Fig. 3
n désirable. L'examen de ces mêmes crânes fait voir que ces brèches
osseuses
ne peuvent pas procurer au cerveau une grande l
entent rien de particulier, Le trou occipital est régulier. La lame
osseuse
formant la selle turcique présente une saillie
A l'inspection de la hase du crâne, on cons- tate que les saillies
osseuses
sont très prononcées et que les différents étag
esque une ligne droite. Les bords du losange sont formés d'un tissu
osseux
plus coloré et plus spongieux que le reste du c
corn-, prise dans la membrane de la fontanelle une petite lamelle
osseuse
lenticulaire de 8 millimètres de longueur. La sut
opaques qui s'étendent jusqu'au voisinage des sutures, où le tissu
osseux
prend des caractè- res spéciaux. En effet, au n
e d'une membrane qui les comble et l'aspect particulier des bords
osseux
qui empiètent sur la suture en formant de longues
, et à peine de 13 si on ne la suit pas. Le centre en est nettement
osseux
; la périphérie a un aspect blanchâtre qui rappe
postérieure et interne du coude droit existe une fistule d'origine
osseuse
à bords adhérents, rouges et arrondis, qui actu
nt laissé sur la table interne des empreintes très nettes. Le tissu
osseux
du crâne est assez épais ; entre deux lames com
n peu bleuâtres ; on conslate du dl'I'mugl'a- phisine. Le système
osseux
et musculaire esl bien développé ; la taille co
puis sa progression rapide, enfin l'atteinte simultanée du système
osseux
(1)(',i-iostite), Lou[ conduit au diagnostic én
ion du sens des attitudes du sens stéréognostique, delà sensibilité
osseuse
et des réflexes de l'avant-bras, lympho- cylose
idural, dans sa partie externe il existe quelques petites esquilles
osseuses
qui adhèrent au tissu même. Aucun point caséeux
s points du tissu épidural, dans un desquels il existe une esquille
osseuse
et de la dure-mère épaissie (I temateine-eosine
le aussi, légèrement épaissis et plutôt congestionnés. L'esquille
osseuse
qui se trouve dans le tissu épidural présente d
idural présente de l'ostéite raréfiante : dans les mailles du tissu
osseux
, on re- trouve une moelle extrêmement riche en
uberculose pulmonaire, des manifestations exté- rieures d'affection
osseuse
sacrale, sacro-lomlmire ou de la symphyse sacro
sultat positif, étant donné le caractère superficiel de la lésion
osseuse
. Si notre malade avait survécu plus longtemps,
ongtemps, les phé- nomènes nerveux sinon les signes de localisation
osseuse
de la tuberculose seraient peut-être devenus pl
léphantiasique et chez qui la radiographie a montré des altérations
osseuses
ex- ceptionnellement développées. Ostéo-arthr
iques, moteurs, sen- sitifs, objectifs, par la raréfaction du tissu
osseux
constata- ble par la radiographie, et surtout p
soT.. V. Paralysie des nerfs craniens d'un côté et déforma- tions
osseuses
multiples d'origine probablement hérédo- syphil
NERVEUSE. 315 res crâniennes, par la multiplicité des déformations
osseuses
,les osléopathies spécifiques (les doigts. - F.
ue, de l'hypertrophie de la rate (splénitehyperplasique) ; lamoelle
osseuse
est en plein fonc- tionnement hémato poïétiquc.
taines phalanges, un processus de raréfaction et même de résorption
osseuse
mani- feste. , La lésion est surfont nette au
lo la tcmlancc à surtir. D'aulres fois, il y a une \o'ita))lc carie
osseuse
, soit dans les cavités de l'oreille, soil dans le
ragi- les et présentent les lésions de l'ostéoporose, de l'atrophie
osseuse
simple, liée àl'involulion sénile régressive. C
'origine mésodermique (tissu conjonctif, tissu cartilagineux, tissu
osseux
). Les altérations diverses dont elles peuvent êtr
avec Louis (2), un des premiers à soutenir cette théorie mécanique
osseuse
des phénomènes nerveux survenant dans lé mal de
omènes nerveux survenant dans lé mal de Pott, insiste sur l'origine
osseuse
des compressions médullai- res, même dans les c
ente de la moelle épinière causée par l'altération de son enveloppe
osseuse
sont très nombreux, on en possède très peu où c
ont été faits, ne nient pas d'une façon absolue la com- pression
osseuse
directe de la moellc;ils conviennent que dans q
recte de la moellc;ils conviennent que dans quelques cas une 'arête
osseuse
, une esquille, un rétrécissement osseux du cana
ns quelques cas une 'arête osseuse, une esquille, un rétrécissement
osseux
du canal vertébral puissent êlre la cause delà
euse. matoire : lui aussi admet que la compression est rare- ment
osseuse
; le facteur le plus important des paraplégies
ntiel Pour ce qui regarde la compression de la moelle d'ori- gine
osseuse
, tous les auteurs sont d'accord pour en ad- met
nce. Pour Kraske (2) la compression de la moelle par rétrécissement
osseux
du canal vertébral se retrouverait seulement da
rveusic. ' des cas relevées de compression médullaire par sténose
osseuse
du canal vertébral, confirme cette manière de-
s de pa- raplégie pottique (section totale de la moellc par arête
osseuse
) ; G u usa Licite deux cas de compression osseuse
moellc par arête osseuse) ; G u usa Licite deux cas de compression
osseuse
dans lesquels l'étranglement de la moelle se fa
s lesquels l'étranglement de la moelle se faisait par des fragments
osseux
morbides. restes des dernières ver- tèbres supé
l vertébral. Guibal pense aussi' que le mécanisme de la compression
osseuse
ne doit pas être rare. -puisque ces doux pièces
: ) observe dans 2 cas sur 20 la paraplégie duc à une compression,
osseuse
. Un cas in- téressant décompression par arête o
compression, osseuse. Un cas in- téressant décompression par arête
osseuse
a été publié par LONG et 1 : 1CHARD (4) : dans
cas il n'y avait pas de 1)tellyiiiéiiiiigitc,' et bien que l'arête
osseuse
ait porté sa pression sur un point limité de la
atoires (stase et oedème). Cette manière d'agir de la compression
osseuse
principalement par des troubles circulatoires e
eu l'occasion d'observer celle modalité particulière de compression
osseuse
ou la moelle était tendue plus ou moins comme u
la moelle était tendue plus ou moins comme une corde sur l'arête
osseuse
sans qu'il y ait un rétrécissement important du
anns attire encore l'attention sur une autre modalité décompression
osseuse
de la moelle qui se ferait dans certains cas de
de spondylitc tuberculeuse guérie ou presque, par les néoformations
osseuses
, calciformes qui, provenant en partie du périos
rmes qui, provenant en partie du périoste, en partie de la moelle
osseuse
, fixent la colonne vertébrale il la place du fo
olonne vertébrale il la place du foyer malade, remplaçant la partie
osseuse
détruite par la tuberculose ; par ces cals exub
nc que les auteurs récents inclinent à faire jouer à la compression
osseuse
un rôle plus important et plus fréquent que cel
. Qu'elle agisse sur la moelle, surtout dans les cas de compression
osseuse
relativement lente, en partie aussi par l'inter
rd l'existence d'une pachyménin- gite tuberculeuse sans tuberculose
osseuse
correspon- dante.Les cas de ce genre sont fort
èbre sont repoussés vers le canal vertébral sous l'orme d'un éperon
osseux
qui d'ailleurs n'obstrue pas remarquablemenl le
suit l'inflexion de la gibbosité et est comme tendue sur l'éperon
osseux
, pas mobile, de la 11° vertèbre dorsale ; à ce ni
vertèbre dorsale ; à ce niveau, la dure-mère est fixée à la saillie
osseuse
par des adhérences assez fortes formées par des
nient la face antérieure de la moelle semble être dû à la saillie
osseuse
laquelle la moelle à ce niveau adhérait ; pn elre
rrespondant aux segments ' 1 aplatis, l'impression due à la saillie
osseuse
. Tuberculose pulmo- naire avec grosses cavernes
euse; à ce niveau, la moelle était infléchie, tendue sur la saillie
osseuse
de la 1 le vertèbre dorsale, détruite, refou- l
à propos des généralités de ce nouveau genre spécial de compression
osseuse
: notre cas semble en être un exemple évident ;
évident ; ici, en effet, la moelle n'est pas comprimée par l'arête
osseuse
contre la partie dorsale du canal vertébral ; e
e limite exclusivement à sa face anté- rieure tendue sur la saillie
osseuse
. La faiblesse relative de cet aplatissement, le
int de compression, permettent de déduire encore que la compression
osseuse
a ici agi plutôt en amenant des troubles de nut
qui nous a paru intéressant dans cette pièce, c'est la réfec- tion
osseuse
presque parfaite alors que des auteurs très compé
par de Léon, p. 314. des nerfs crâniens d'un côté et déformations
Osseuses
multiples d'origine probable- ment hérédo-syp
IRE DES CLINIQUES DE LA FACULTE DE BORDEAUX. ATROPHIE MUSCULAIRE ET
OSSEUSE
DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT CONSÉCUTIVE A DES T
du membre ne fait par contre que s'accuser. atrophie musculaire ET
OSSEUSE
109 A 17 ans, nouvelle chute sur le coude en gl
l'épaule gauche présente de nombreuses irrégularités : les saillies
osseuses
(épine de l'omoplate, acrominn, apophyse coraco
graphie UI la SAII'ÉrRIEHE. T. XII. PI. XVII ATROPHIE MUSCULAIRE ET
OSSEUSE
DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT (S,ibi-izès et Marty)
-izès et Marty) rP71 ? 1r/,>i ? </ ? ATROPHIE MUSCULAIRE ET
OSSEUSE
111 Celui-ci tire en haut la base et l'angle ex
graphie DE la Salpètrière. T. XII. PI. XVIII ATROPHIE MUSCULAIRE ET
OSSEUSE
DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT (S.tL,razcs et 1\ ! a
r. XII. Pl. XIX ph't'tyl'te n, rmsnn Paris ATROPHIE MUSCULAIRE ET
OSSEUSE
DU MEMBRE SUPERIEUR DROIT (S.IlW,IZ0s et M.1rty
raphie du coude MASSON & cle, Editeurs ATROPHIE MUSCULAIRE ET
OSSEUSE
113 La clavicule ne parait pas offrir un volume
court que celui de la main gauche de li à 5 mm. , Les extrémités
osseuses
des métacarpiens et des doigts ont conservé leur
tout le membre). Le corps de ces os est atrophié. Les extrémités
osseuses
ont un volume à peu près normal ; elles sont su
GRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. T. XII. PL. XX. ATROPHIE MUSCULAIRE ET
OSSEUSE
DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT (Sabrazès et MARTY)
: (coté atrophié). Masson et Cio, Éditeurs ATROPHIE MUSCULAIRE ET
OSSEUSE
115 La flexion volontaire de l'avant-bras est n
u près au même degré que le long supinateur. ATROPHIE MUSCULAIRE ET
OSSEUSE
1 117 i Le pincement des muscles de la région p
ce ne l'est pas anorma- lement. Il existe aussi de l'hyperalgésie
osseuse
: vive au niveau de l'extrémité supé- rieure de
e de l'humérus; très vive sur le corps du même os (au niveau du cal
osseux
); vive à l'extrémité inférieure de l'humérs ; fai
musculo-cutané, du radial ; les hyper31gésies cutanée, musculaire,
osseuse
sont superposables dans les territoires où se dis
ue la z marche à reculons les yeux fermés. ATROPHIE MUSCULAIRE ET
OSSEUSE
119 La sensibilité au contact est bien perçue.
eresthésie excessive des bourses. La près- . ATROPHIE MUSCULAIRE ET
OSSEUSE
121 sion même légère des testicules est très do
paralysie spinale aiguë de l'adulte (atrophie musculaire, atrophie
osseuse
, épaississement des téguments ; pas d'anesthésie)
ête humérale viendrait le comprimer directe- ATROPHIE MUSCULAIRE ET
OSSEUSE
123 ment contre la paroi thoracique. Or, notre
rfs médian, radial et cubital ; (1) Fieux. ATROPHIE MUSCULAIRE ET
OSSEUSE
125 4° Réaction d'Erb complète pour le biceps.
de cette fracture. Néanmoins, le choc du ma- ATROPHIE MUSCULAIRE ET
OSSEUSE
127 drier qui est tombé sur la clavicule a dû s
apulaire. Nous sommes donc en présence d'une atrophie musculaire et
osseuse
extrêmement marquée, limitée à un membre. Malgr
osseuse extrêmement marquée, limitée à un membre. Malgré l'atrophie
osseuse
, le raccourcissement du membre n'excède pas 5 c
courcissement mais n'est pas très grand. Cela prouve que l'atrophie
osseuse
n'a pas dû s'établir avec évidence lors du premie
mme en épaisseur. On est donc en droit de con- clure que l'atrophie
osseuse
et musculaire s'est produite au sur et M mesure
n de la sensibilité autre qu'une hyperalgésie cutanée musculaire et
osseuse
correspondant aux territoires où les muscles so
par ces trois nerfs sont aujourd'hui moins douloureux. La pression
osseuse
de l'humérus n'est pénible qu'au point ancienne
aumatisme direct des racines et de la con- - ATROPHIE MUSCULAIRE ET
OSSEUSE
129 tusion indirecte de la totalité des branche
alisée des centres nerveux en rapport avec l'atrophie musculaire et
osseuse
de cause articulaire ne laissent aucun doute à
nsitifs ganglion- naires et médullaires. L'atrophie musculaire et
osseuse
de notre malade est donc sous la dé- pendance d
ions qui se traduisent par une hy- peresthésie cutanée, musculaire,
osseuse
et nerveuse du membre malade. Déplus l'élongati
haryngienne s'améliore. Les organes sexuels s'achèvent. Les lésions
osseuses
du rachitisme, de l'ostéomalacie (3), de la syphi
x membres supérieurs les éminences thénar et hypothénar, les inter-
osseux
, les muscles de la moitié inférieure de l'avant-b
presque disparu et très mou; disparition presque totale des inter-
osseux
qui sont remplacés par une véritable gouttière ci
au on soulève la peau qui semble reposer directement sur le système
osseux
; atrophie des muscles lombaires, mais moins mar
cu assez largement. (1) PRAUTOIS ET G. Etienne. Troubles trophiques
osseux
et articulaires chez un hom- me atteint d'atrop
son épaule descendre ». Il existe au niveau du scapulum une plaque
osseuse
ostéophytique de 8 cent- mètres de longueur sur
, a surface mamelonnée, faisant corps avec l'omoplate, d'une dureté
osseuse
caractéristique, non mobile (PI. LXII, fig. K).
Io A l'insertion supérieure du deltoïde est une plaque (fig. M, L)
osseuse
en forme d'épaulette, mesurant 7 centimètres da
téophytique sur une longueur de 8 centimètres (fig. L). 4° Nodule
osseux
ayant les dimensions d'une noix à l'insertion de
Patruban et Rosenthal ; les deux premiers ne sont que des nodosités
osseuses
aux mains et aux doigts chez des nerveux ; quant
e, dès l'abord, par le développement exagéré de toutes les saillies
osseuses
de la face : nez, pommettes, menton. Le nez est
de 35 à 40° environ. Les parties molles qui recouvrent ces massifs
osseux
sont également hypertrophiées : la peau est épa
la pincer entre les doigts ni la faire glisser au-dessus des masses
osseuses
ou musculaires ; ce n'est que très difficilemen
esque unique en son genre, en raison de la partici- pation du tissu
osseux
à l'hypertrophie, différant de l'éléphantiasis et
and intérêt. Mais il diffère essentiellement des nôtres où le tissu
osseux
était strictement respecté 1). Parmi ces accide
vers l'atrophie. Exemples : les hyperostoses d'une part, les fontes
osseuses
de l'autre; les amyotrophies et les pseudohvper
lo-conjonctif est capable de dystrophie aussi bien que les systèmes
osseux
ou musculaire. . Les excès de croissance, - com
en jambes, d'autres tout en tronc, on en voit chez qui la charpente
osseuse
semble absorber à son profit toute la nutrition
riété courante que de mère en fille, de père en fils, les anomalies
osseuses
, cutanées, sensorielles, etc. se transmettent p
ris de l'auriculaire gauche ; malgré l'élimination d'un séques- tre
osseux
cette suppuration ne s'accompagna d'aucune douleu
uche), de l'épaisseur considérable des parties molles, de la lésion
osseuse
de l'auriculaire gauche et surtout de la partic
ans la même famille),par G. ROS80LIMO, 22. Atrophie musculaire et
osseuse
du mem- bre supérieur, par J. Sabrazès et L.
phot.), 353. .Marty L. et G. SABRAZES. Atrophie mus- ' culaire et
osseuse
du membre supérieur (1 stéréo-phot.), 107. Me
(4 phot.), 22. Suiiiazès J. et L. MARTY. Atrophie muscu- laire el
osseuse
du membre supérieur (1 stéréo-phot.), 107. Sa
thique (G. Etienne), LX, LXI, LXfI, LXIII. Atrophie musculaire et
osseuse
du mem- bre supérieur droit (Sabrazès etMARTY).
r même dès les premiers jours. b) Arrêt de développement du système
osseux
. Nous devons rele-ver, ici, un trait important qu
lkmann ont fait ressortir : c'est l'arrêt de développement du système
osseux
. L'atrophie qui affecte les os n'est nullement en
es fonctions des muscles, être suivie cependant de lésions trophiques
osseuses
qui persistaient toute la vie2. Il serait diffi
des lésions du système nerveux central sur la nutri-tion des parties
osseuses
, puisqu'il est impossible d'invoquer dans cette c
Devergie. — Madame X... présente un beau développe-ment des systèmes
osseux
et musculaire. Menstruation régulière, leucorrhée
te difformité. Vous savez que le torticolis peut être primitivement
osseux
, ou primitivement musculaire. Ainsi, dans le cas
t musculaire. Ainsi, dans le cas de lésion des vertèbres, les leviers
osseux
étant tout d'abord altérés, l'équilibre des puis-
oser notre diagnostic d'une manière absolue, di-sons qu'une affection
osseuse
primitive nous paraît ici invraisem-blable. La dé
t que je puisse invoquer. (Voyez Planche VII.) Lorsqu'une déformation
osseuse
amène consécutive-ment la rétraction musculaire,
'occipital large de 2 centimètres, tandis que, du côté droit, la lame
osseuse
est réduite à 1 centimètre un quart. Au-dessous
térieur que le corps delà vertèbre. Ainsi se trouve constitué un plan
osseux
assez large formé au milieu par le corps et,de ch
e donc plus que dans son pourtour en haut et de chaque côté. Le tissu
osseux
qui forme les bords de l'orifice est mince, régul
équences de la défor-mation du rachis, conséquences surtout de l'anse
osseuse
qu'il fait en avant dans sa moitié supérieure. De
st donc très-oblique de haut en bas et d'arrière Fig. 2. a, orifice
osseux
de la tumeur, — b, tumeur. On voit nettement, ici
des méninges. L'ouverture herniaire est due à la résorption du tissu
osseux
provoquée à son tour, soit par la pression de la
il y avait eu là un travail de résorption ou d'inflam-mation du tissu
osseux
. L'orifice de la hernie occupait la ligne média
mécanique invoquée par Spring, c'est-à-dire la perforation des parois
osseuses
du crâne par la pression du liquide contenu soit
u spongieux des os. Le pédicule est con-stitué par une^coque d'aspect
osseux
continu avec le tissu compact de la côte ; cette
ces vaisseaux ressemble en tous points au réseau vasculaire du tissu
osseux
. III. De la contraction musculaire, par P. Dupu
hyse et le fracture, il produit en même temps un ébranlement du tissu
osseux
dont voici les principaux effets : La moelle osse
anlement du tissu osseux dont voici les principaux effets : La moelle
osseuse
présente une infiltration sanguine et même, par p
externe. On sent aussi très-bien avec le doigt des îlots de substance
osseuse
disséminés çà et là. Ces îlots affectent le plus
de petits nodules dans lesquels on retrouve quelques points de tissu
osseux
rudimentaire. Dans des coupes perpendiculaires
oir détruit la couche calcifiée qui sépare le cartilage de l'épiphyse
osseuse
, a fait hernie dans l'épaisseur du tissu cartilag
llement d'épaisseur. Elle manque à l'extrémité an-térieure de l'angle
osseux
et ne forme nulle part de ligament distinct. 2°
la peau. L'inférieur présente en haut deux ou trois minces aiguilles
osseuses
reliées au foyer de la fracture par autant de fai
Nécrose phosphorée de la mâchoire inférieure. — Parmi les affections
osseuses
qui ont attiré l'attention des chirurgiens dans c
5° pratiquer l'extirpation isolée et successive de cha-que extrémité
osseuse
articulaire, en commençant toujours parcelle qu'i
consiste pas dans le grattage plus ou moins régu-lier des extrémités
osseuses
et dans la conservation de quelques lam-beaux du
rvation du périoste, il obtient la reconstitution de nouvelles masses
osseuses
qui, en s'arliculant en-tre elles, assurent la re
résultats de la mé-thode, ne croient pas cependant à la reproduction
osseuse
, au moins dans les cas traumatiques. Pour eux, la
n le plus sûr, le moins dangereux ; en suivant l'os ou les frag-ments
osseux
, en détachant les insertions ligamenteuses et ten
ence pigmentaire (voir la Revue); 3° dégénérescence cartilagineuse et
osseuse
; il n'y a pas, à proprement parler, de tissus car
sseuse; il n'y a pas, à proprement parler, de tissus cartilagineux et
osseux
, mais du moins des tissus d'apparence fibro-carti
osseux, mais du moins des tissus d'apparence fibro-cartilagineuse et
osseuse
. V. Tumeurs delà rate: Io Cancer, rare (squirrh
re, la tumeur devient alors réductible, et l'on peut examiner le plan
osseux
sous-jacent que l'on trouve sain, et s'assurer ég
a persisté, symptôme favo-rable pour la réduction, parce que la tête
osseuse
peut s'être atro-phiée alors, mais non complèteme
t et que ce ne soit une cause traumatique qui ait amené la dénudation
osseuse
. » (Contri-bution à la chirurgie.) Le travail d
tre où on rencontre surtout des cellules de pus et quel-ques cellules
osseuses
déformées. Pas de pus dans les articulations ni e
aris, Ad. Delahaye, éditeur. « Si, dans le mal vertébral, la lésion
osseuse
est le point de dé-part de la maladie, c'e^t la l
e siège et la nature. La dure-mère, irritée au voisinage de la lésion
osseuse
, s'enflamme dans sa partie superficielle et pouss
, développement parfois énorme des vaisseaux ; 5° Tumeurs d'origine
osseuse
. Le carcinome, le fibro-sarcome, l'héléradénome
ation de la moelle est elle-même intimement liée au sort de la lésion
osseuse
et lorsque celle-ci vient à guérir, elle tend ell
ative des divers tissus par les rayons X et de l'opacité du système
osseux
, il deviendra possible de reconnaître certaines
de M. Roentgen permettra donc en principe de rechercher les lésions
osseuses
, soit traumatiques, soit congénitales, et les cor
es épreuves exécutées sur divers sujets présentant diverses lésions
osseuses
, ou chez lesquels on cherchait des corps étrang
e cette petite opération, il n'y a eu ni élimina- tion de séquestre
osseux
, ni perte d'un autre tissu par nécrose. Fort pe
suivant une ligne qui corres- pond à la 3e côte et qui suit cet arc
osseux
jusque dans la région postérieu- 1'13; immédiat
on note concurremment, à l'autopsie, des manifestations viscérales,
osseuses
ou autres. Les signes cliniques font donc compl
les de la motilité. L'enfant mourut de diphtérie. Outre des lésions
osseuses
attribuables à la syphilis, on trouva, en diver
llimètres. Immédiatement après l'accident, on a enlevé une esquille
osseuse
, et six mois plus tard, en août 1895, un petit
autour d'elle de l'ostéite con- densante, qui aurait rendu le tissu
osseux
plus opaque. Comme la photo- graphie ne révèle
rive à deux cas tout différents qui ont trait à l'étude des lésions
osseuses
. Voici d'abord une très belle photographie d'un
e bande de périoste transversale et circulaire entre les extrémités
osseuses
sectionnées. Le résultat fonctionnel est pleine
aussi qu'elles nous faciliteront le diagnostic de certaines tumeurs
osseuses
à leur période initiale. Rien d'impossible à ce
e genu valgum, dans tous les cas il ne persiste pas de déformations
osseuses
. Les muscles des membres inférieurs n'étaient p
utre, accidents syphilitiques nombreux : fistule lacrymale, lésions
osseuses
du nez, dactylites, gommes etc.- En 1870, invas
sirop de Gibert et des frictions d'on- guent mercuriel. Les lésions
osseuses
guérissent, mais ce traitement ne semble avoir
, à 31 ans. Dans ce dernier cas il existait des troubles trophiques
osseux
, une fracture spontanée. Remak (2) a vu le ta
re de la caisse, un petit point suppurant dû à un foyer de sclérose
osseuse
, en- veloppant quelques fongosités qu'une inter
hauteur de la palmure qui réunit l'index et le médius, et, la saillie
osseuse
qui leur correspond est sur la ligne qu'elle oc
ui réunit le pouce et l'index, c'est-à-dire à mi- hauteur du trajet
osseux
qui serait formé normalement par le 2e métacar-
s été profondes, et qu'il n'en est ja- mais sorti ni pus, ni débris
osseux
. (PI. XX.) La méthode photographique de Roentge
ce cas, une véritable biopsie, une constatation directe des lésions
osseuses
exis- tantes. Grâce à l'obligeance de M. Londe,
'insertion en lorgnette de l'index dans le métacarpe, et l'atrophie
osseuse
légère de l'index étant des lésions secondaires à
laquelle de ces variétés d'ostéite a été la cause des déformations
osseuses
: nous ne saurions y insister. Il nous semble p
geur et sensibilité extrêmes fut suivie quatre semaines, d'ankylose
osseuse
en extension, qui résista à toutes les tentati-
ance, ou apparaît plus ou moins tardivement. Ainsi, la dystrophie
osseuse
qui porte dès l'enfance sur tous les.élé- ments
lette peut arrêter dans son ensemble l'évolution de tout l'appareil
osseux
, créant ainsi le nanisme; ou inversement, outrepa
sans frein, sans ordre, sans règle connue jusqu'ici. La dystrophie
osseuse
dont dépend le nanisme du squelette se complaît
'on est tenté d'attribuer une cause univoque à ces deux dystrophies
osseuses
, a été observée par les artistes de tous les te
par un simple bour- geon. Au fond de la gorge, on voit une saillie
osseuse
qui correspond à un corps vertébral. Le crâne
ue responsable des déformations ; l'ankylose d'autre pari n'est pas
osseuse
; ce sont bien les rétractions fibreuses qui com
e luxation tabétique (maladie de Charcot) avec usure des extrémités
osseuses
et réduction impossible. Une ponction exploratr
essive. Thèse Paris, 1877. (4) Lecomte, Essai sur les complications
osseuses
et articulaires de l'ataxie locomo- lrice. Thès
été hémorrhagique. Talamon (2), dans son mémoire sur les lésions
osseuses
et articulaires liées aux maladies du système n
ce par la présence de cail- lots sanguins ou fibrineux ou de débris
osseux
. Nous nous associons donc entièrement à l'indic
é aucun ré- sultat, lorsque l'articulation est bourrée de fragments
osseux
mobiles, par une arthrotomie discrète ménageant
dure-mère forme un premier anneau. Entre la dure-mère et les parois
osseuses
du canal s'étend un espace presque vide telleme
se, fibreuse, sans infiltration nucléaire, est séparée des pa- rois
osseuses
par un tissu fibreux serré, creusé de vaisseaux i
e centrale grenue craquelée, mais la dure-mère s'éloigne des parois
osseuses
et l'espace extradural se montre, rempli il est
sse, refoulée par le tissu conjonctif serré qui la relie aux parois
osseuses
du canal vertébral. Au microscope, voici commen
e intérieure qu'elle arrive presque à toucher en arrière les parois
osseuses
du canal rachi- dien, une bande mince de tissu
ion dense de tissu rougeâtre serré entre la dure-mère et les parois
osseuses
. Les coupes faites à différentes hauteurs de la
rtout altérée du côté de sa face externe reliée aux parois du canal
osseux
par une infiltration scléreuse de l'espace extra-
; au niveau des deux apo- physes mastoïdes on sent deux renflements
osseux
, traces d'anciennes exos- loses syphilitiques.
ance a été difficile; gastro-entérite; rachitisme sans déformations
osseuses
; rougeole à deux ans ; coqueluche à trois ans.
araît pas être sous la dépendance d'altérations dans la charpente
osseuse
du pied. En effet, cette cambrure exagérée se c
cuz. (A suivre.) t 1. Charcot et Féré. Note sur les altérations
osseuses
et articulaires du pied chez les ta6- tiques. A
niveau de la tête de l'os, sous la peau, existait une petite tumeur
osseuse
du volume d'une noisette, mobile latéralement, s'
tête a évidemment été arrachée et est repré- sentée par la saillie
osseuse
adhérente au tendon du biceps. « La fracture, d
n ataxique avéré, nous parurent devoir être rapprochées des lésions
osseuses
ci articulaires, si fréquentes chez les tabétiq
pied sur lequel il est impossible de trouver la plus petite lésion
osseuse
ou articu- laire. Dans les artllropathies du
292 millimètres. Circonférence du poignet au-dessous des extrémités
osseuses
de l'avant- bras, 20 centimètres. La main gau
ble pas en lui-même avoir des dimensions exagérées, mais les crêtes
osseuses
en sont certainement augmentées de volume. Les
bres lombaires etleur convexité ont été prises pour une déformation
osseuse
du mal de Pott; sur les côtés de cette courbure
ion, le point suivant est acquis : il n'existe pas de défor- mation
osseuse
, la gibbosité est le résultai d'une contracture m
it est le siège d'une arthropalhie. Il n'existe pas une déformation
osseuse
très marquée au niveau du premier métatarsien et
u- laires, disparition du cartilage d'encroûtement, et la substance
osseuse
est rongée, détruite. Le troisième degré est
ctéristiques, et, dans quelques-uns d'entre eux, du véritable tissu
osseux
avec des ostéoplastes parfaitement dé- , velopp
e légè- reté inusitées. Du côté du tibia et.du péroné les lésions
osseuses
et articulaires sont les mêmes : les malléoles
t déformées, élargies, les gouttières plus profondes. Les lésions
osseuses
et articulaires sont très étendues : celles-ci so
pied était loin d'être en rapport avec les lésions articulaires et
osseuses
que nous avons trouvées à l'autopsie. Nous résu
rées, détruites par usure sur certains points. Vingt-cinq fragments
osseux
de volumes divers et de formes irrégulières se
ntes; elles sont quelquefois très déve- loppées ; il y a des masses
osseuses
, entièrement indépendantes des articulations ou
é, par des analyses chimiques, que l'arthropathie était bien plutôt
osseuse
qu'articulaire. Il a présenté la tête du fémur
ion lente; il n'y a pas d'oedème péri-arti- culaire; les extrémités
osseuses
sont indemnes. , Le rhumatisme noueux n'attaque
etites articulations, qui sont douloureuses alapression : les têtes
osseuses
sont hypertrophiées. ' - L'arthrite sèche est c
Joffroyi a signalé le pied bot tabétique. Ce n'est pas un pied bot
osseux
, car les lésions articulaires sont nulles ou in
uche de ce même point, une légère augmenta- tion de, volume du plan
osseux
sous-jacent à la masse musculaire sacro- lombai
ice est irrégulière, surélevée, d'apparence kéloidienne. Le système
osseux
est régulièrement développé, et parfaitement symé
gauche de la pro- tubérance occipitale externe, une légère saillie
osseuse
, qui remonte, dit le malade, à sa chute dç 1877
qui atteint des dimensions énormes. On apprécie aisément la nature
osseuse
de ce développement à cause de l'amaigrissement
as certain que ces craquements soient dus au frottement des parties
osseuses
; peut-être tiennent-ils simplement au glissement
, p. 253. Publié de nouveau avec considérations sur les hypertrophies
osseuses
partielles dans annale universali "21 medicina,
12 centimètres. Au-dessous de ces bourrelets on sent des éminences
osseuses
, aplaties, allant des os pariétaux à l'écaille de
ction est ferme à la palpation, mais on ne peut sentir aucun relief
osseux
. Les mouvements de la dernière articulation phala
iographies mettent en évidence deux sortes de lésions : des lésions
osseuses
et des lésions des parties molles (PI. III). C'
de cette articula- tion et respecte le bout du doigt. : La lésion
osseuse
est essentiellement constituée par des production
(en particulier de l'annulaire gauche) (PI. 111), un petit crochet
osseux
semblable à celui que l'on voit dans le rhumatism
es et les stalactites d'origine périostée, on remarque une atrophie
osseuse
assez marquée. La dystrophie est plus raréfiant
existence de petites exostoses sur les os métapodiaux et les épines
osseuses
aux points où s'attachent les tendons. Consid
ssique, la peau et les parties molles sont peu touchées, le système
osseux
est presque exclusivement atleint; les radiograph
extrêmement, mais plus souvent elles se couvrent de néoproductions
osseuses
. Interroge-t-on le sujet, on apprend que la mal
ue un si grand rôle dans le développement et l'évolution du système
osseux
des extrémités. Divers auteurs déjà, Erb, Ger
malies tératologiques avec les états (1) F. REGNAULT, Les anomalies
osseuses
pathologiques, Bull. et mém. de la Soc. " anat.
des rapports coexistant entre les anomalies congénitales du système
osseux
(1) Lévi, Persislenza del canale cranio-/aringe
streint en comparaison du développe- ment de la calotte. Les parois
osseuses
de la voûte montrent une épaisseur régulière. L
és, les deuxième et troisième cunéiformes sont réduits à des noyaux
osseux
des di- mensions d'un pois. Le Ve métatarsien
aux. Les réflexes tendineux (olécraniens, rotuliens, achilléens) et
osseux
(radiaux) sont normaux et égaux des deux côtés
êmes limites. L'examen radiographique du pied montre l'hypertrophie
osseuse
des phalanges des deux premiers métatarsiens et
i ont échappé à la dystrophie, on note de la raré- faction du tissu
osseux
et de l'atrophie ; il est probable que cet état e
mégalie ; dans cette dernière, et en ne considérant que les lésions
osseuses
, les pieds comme les mains sont élargis et épaiss
'atrophie,cornme je viens de le dire, unie des lésions articulaires
osseuses
, tendineuses et a la sclérodactylie comme on le v
temps produit l'atrophie de l'extrémité·cles doigts avec résorption
osseuse
. Voir ce sujet les mains des figures 2 et 31. D
quente se fait vers l'ankylose ou la suppuration avec complications
osseuses
. Lorsque les os n'ont pas été mutilés par des p
r, dans quelques cas de trophcedème chronique, la décal- cification
osseuse
à un degré plus ou moins élevé. Le squelette de l
érique des éléments qui composent les organes, il y ait raréfaction
osseuse
à un degré parfois assez prononcé. L'enfant des
e postérieure du premier métatarsien ; on voit aussi la raréfaction
osseuse
dans les deux pieds, surtout dans les phalanges d
it lépreuse, traumatique, tabétique, etc., nous trouvons l'atrophie
osseuse
par résorp- tion, d'une même forme et d'une mêm
pparition dans l'enfance, d'aucun arrêt de développement du système
osseux
; bref, d'une amyolrophie comportant un pronosti
s- paru. Le dos de la selle turcique est réduit à une mince lamelle
osseuse
, qui sur nos épreuves apparaît comme brisée à s
inter-articu- laires carpiens et métacarpophalangiens. Les travées
osseuses
sont peu nom- breuses, mais par contre très app
n hyperpituitarisme postérieur. Noire malade, avec ses déformations
osseuses
d'une part, sa glycosu- rie, son hypertension a
é inférieure du métacarpien, l'autre correspondant au second nodule
osseux
aberrant. Celui-ci, à peu près cylindrique, est
le 31 mars 4914, a montré l'absence complète de troubles trophiques
osseux
. 5 mai 1914. - L'éruption n'a laissé que des ci
st extrême, le deltoïde paraît complètement disparu, les extrémités
osseuses
sont visibles sous les téguments et a fortiori
sexuels et des organes génitaux externes, un arrêt de développement
osseux
(quand le processus débute avant la puberté), p
es difformités assez accentuées du squelette (atrophie de la moelle
osseuse
et des os) chez une femme de 45 ans, at- teinte
a normale. Enfin, avec le deuxième métacarpien s'articule un nodule
osseux
arrondi, tandis que la tête des trois autres mé
aucune résistance pouvant laisser croire à l'existence d'un nodule
osseux
. Les moignons correspondant aux autres doigts n
u'on en puisse juger, il ne reste des métacarpiens que quatre lames
osseuses
tout à fait réduites ; le pouce seul est représen
ineux, correspondant sans doute au métacarpien, et par une aiguille
osseuse
, perdue dans les tissus, ne s'articulant pas avec
airement diminué, c'est un squelette grêle, réduit à une mince lige
osseuse
(I'I. LVIIfJ, perdue dans un moignon charnu qui
(1) et que cet au- teur considère à bon droit comme formé de pièces
osseuses
hétérotypiques pour lesquelles il n'y a pas lie
n bas ; dans l'ensemble, tout se passe comme si les deux formations
osseuses
convergeaient, l'une vers l'autre. Nous n'enten-
on, un tractus fibreux se différenciant au lieu et place d'une tige
osseuse
. Un tel processus résulte non d'une action trauma
r synostose, il se pro- duit alors une disproportion entre le crâne
osseux
et son contenu ; la boite crânienne se comporte
rs que sur ci l'action d'un volet » : on enlève un morceau du crâne
osseux
, on entaille la dure mère et on arrive ainsi à
le dans leur force, leur musculature,leur sensibilité. leurs réflexes
osseux
. tendineux et cutanés. Au tronc, il n'y a pas d
exion de l'avant-bras sur le bras ; de même persistent les réflexes
osseux
de la tête humérale et de l'omo- plate. Le ré
rgissement et l'aplatissement du cou (3) et la saillie de la chaîne
osseuse
constituée par les bords supérieurs du sternum et
mitation des mouvements est bien d'origine musculaire. Les réflexes
osseux
et tendineux sont très faibles. La peau ne prés
illaires ; ils ne sont pas doulou- reux à la pression. Les réflexes
osseux
et tendineux sont abolis. La sensibilité object
'atrophie musculaire; les réflexes cutanés sont normaux; le système
osseux
n'offre pas d'altération ; ces malades ne présent
i-même présente ce même aspect, et se détache facilement du tisseux
osseux
. Cette apparence et ces bri- des fibreuses se p
gulièrement, il marcherait bien mais les pieds ont des déformations
osseuses
très profondes qui nécessiteront une intervention
corps ont des variations d'attitudes forcément solidaires. Un levier
osseux
, rigide, se déplacera d'une seule pièce et les
SENS DES ATTITUDES ' 167 articulaires, ligamenteuses, tendineuses,
osseuses
, et probablement iiiiiscii- laires. » Tout le
rit ainsi fait qu'il trouve commode d'appeler musculaire ce qui est
osseux
, ligamenteux, cutané. Mais comme il s'agit d'un
inférieur et supérieur de l'écaille ont donné naissance à une lame
osseuse
s'amincissant graduellement vers la ligne média
médiane ; les 2 lames restent distantes de 2 cm. 5 environ. La lame
osseuse
droite moins développée que la gauche empiète u
au comme une large croix membraneuse, avec, en son centre, une lame
osseuse
ovalaire, à grand axe antéro-postérieur un peu
e. Le frontal gauche, vu de haut, s'aperçoit sous forme d'une crête
osseuse
très résistante, de près d'un centimètre de lar
érieure gauche et le pédicule on ne peut dire s'il existe un rebord
osseux
. En réalité à l'autopsie, nous n'avons trouvé qu'
s d'eux, ou mieux de l'intervalle séparant la partie molle de l'axe
osseux
) une fente qui, du côté gauche, se dirige à peu p
latéral droit. En somme du côté droit, il y a fusion des deux parties
osseuses
. Au-dessus de la portion de lèvre, toujours dan
'a eu lieu que du côté droit et seulement quant sa partie profonde,
osseuse
, laissant un sillon dans les parties molles, vé
é par la base du crâne. Une muqueuse très rouge tapisse les parties
osseuses
. Ce plafond est divisé en deux parties : une pa
des parois crâniennes. Au niveau du pédicule, la section du rudiment
osseux
gauche du frontal est particulièrement difficil
sion cérébrale fut amenée par une modification des parois molles et
osseuses
du crâne. Nous ajouterons que l'encéphalocèle fro
ysaire. Au niveau du genou, 268 IRL'Ii0lT ET IIEITZ il y a fusion
osseuse
complète, sans qu'on puisse même discerner les li
e nous trouvons ici. Peut-être résulte-t-il de la fusion des points
osseux
du calcanéum et de l'astragale, adjoints peut-êtr
du malade,aux creux axillaires ètsus-clavicu- culaires, les reliefs
osseux
sont extrêmement développés. D'ailleurs cet hom
es. 276 SAINTON La boite crânienne est peu résistante, les parois
osseuses
du crâne sont beaucoup plus fragiles qu'à l'éta
préfé- rence autour des cartilages juxta-épiphysaires, les saillies
osseuses
sont, en général, contemporaines du développeme
des exostoses ostéogéniques ; il concerne en effet des productions
osseuses
dérivant du cartilage juxta-épiphysaire par un
e. Le 1S juin, la peau s'étant ulcérée au niveau d'une des saillies
osseuses
de la jambe gauche, le malade demande son admis
ieures des tibias et des péronés sont hérissées de petites saillies
osseuses
assez irrégulières, atteignant ou dépas- sant l
mêmes os et la partie inférieure des fémurs présentent des saillies
osseuses
similaires qui hérissent les condyles fémoraux
orps a révélé l'existence d'un assez grand nombre d'autres saillies
osseuses
, la plupart perceptibles par la palpation. Nous
ois ans) auquel elles ont été reconnues, l'absence de malformations
osseuses
similaires chez ses parents constituent autant
tement limitée à une moitié du corps. De plus, bien que les lésions
osseuses
de la syringomyéliese traduisent surtout par de l
une lésion du système nerveux. « La multiplicité de ces productions
osseuses
, écrit-il, leur disposition symétrique, signalées
its pour établir le rapport existant contre la nutrition du système
osseux
et certaines alté- rations des centres nerveux.
se trouve le centre qui préside aux troubles trophiques du système
osseux
. n Toutefois, malgré cette main de Morvan, malg
ions. L'examen clinique ne permet pas de soup- çonner une affection
osseuse
de la colonne vertébrale : des radiographies, q
tait uniformé- ment allongée et l'on n'observait pas de productions
osseuses
au niveau des extrémités des os. De plus, l'hyp
n'est donc qu'à )'age de 27 ans, que s'est produite la déformation
osseuse
qui semble aller d'ailleurs en s'accentuant. On
s métalliques et supporter leur propre poids. L'ensemble du système
osseux
parut être en état d'ostéoporose ; un simple atto
l apparut littéralement qu'il n'y avait pas dans tous les matériaux
osseux
de ce squelette gigantesque de quoi faire une b
e squelette gigantesque de quoi faire une bonne et solide charpente
osseuse
de taille moyenne. Les os, quoique beaucoup plu
est due : 1° A l'énorme élargissement de la racine et de la partie
osseuse
du nez ; 2° A la saillie notable des os malaire
est très élargi, en particulier à l'extrémité inférieure de la partie
osseuse
, tandis que la racine et la partie cartilagineu
rieure de la jambe droite, cicatrice profonde résultant de la carie
osseuse
ancienne et de l'ablation du séquestre. Genu va
loppée ; elle se poursuit jusque dans les épiphyses, où les travées
osseuses
forment un réseau fin en toile d'araignée. Ostéop
st grand, maigre et parait gelé ; il a de grands doigts allongés et
osseux
. On dirait que la castration détermine un grand
t survenu certaines modifi- cations intéressantes dans sa charpente
osseuse
: le thorax s'est développé d'une manière assez
sif. Mais le visage est intéressant par l'accentuation des saillies
osseuses
, maxillaires, et ma- laires. Ici encore, rien q
a détruit les tissus cellulaires entre la face du deltoïde et la tête
osseuse
de cette partie jusqu'à la partie antérieure du m
t pour la fistule bicipitale surtout, j'ai réussi à sentir la portion
osseuse
à nu, sans pouvoir redresser le stylet pour arriv
S'il y avait, ce qui est fort rare, pour la scapulalgie,une ankylose
osseuse
par soudure ou fusion, il ne faudrait pas songer
es cartilages articulaires étaient complètement détruits, et le tissu
osseux
, piqueté d'un pointillé rouge très-manifeste, éta
périeures. A la place de la calotte crânienne on trouve une surface
osseuse
, d'abord convexe et horizontale, puis concave et
,01 d'épaisseur (bosse sanguine). La deuxième portion de la surface
osseuse
, concave transversa¬lement et de haut en bas, est
ire. Les angles sont arron¬dis. Elle est limitée en haut par la crête
osseuse
figurée sur la planche VI par la ligne noire que
e toucher dénote la présence, au-dessous de cette membrane, d'un plan
osseux
. La configuration de ces deux plans est représent
le doigt sent de petites aspérités formées par des sortes d'aiguilles
osseuses
. Un lacis vasculaire très-serré lui donne une col
a tumeur et l'os, on voit : Au niveau de la canine gauche, le tissu
osseux
, jusque-là dur, et paraissant complètement sain,
uelques vaisseaux. La périphérie de la tumeur ne présente pas de lacs
osseux
; elle donne la consistance d'un polype fibreux ut
reux utérin. 11 y a seulement, dissé¬minées par places, des aiguilles
osseuses
faisant saillie à l'extérieur, et donnant des rug
.) BIBLIOGRAPHIE Traité de l'immobilisation directe des fragments
osseux
dans les fractures, parL.-J.-B. Békenger-Férau»
les moyens habituels sont impuissants pour la réduction des fragments
osseux
, la chirurgie nous fournit 1 Un fort vol. in-8°
s côtes, les clavicules; 4°l'enclave¬ment des fragments; 5° la suture
osseuse
; 6°la ligature osseuse; et, dans autant de chapi
4°l'enclave¬ment des fragments; 5° la suture osseuse ; 6°la ligature
osseuse
; et, dans autant de chapitres, il décrit avec soi
lle¬ment du corps, au moyen de l'immobilisation directe des fragments
osseux
, ont aussi été suivis de réels avantages dans mai
ation et à la vulgarisation de l'immobilisation directe des fragments
osseux
dans l'art de guérir les fractures. » D1 G. BoU
lionnaires. — Scrofulides cutanées de la face, des bras. — Scrofidide
osseuse
des doigts, des orteils, etc. — Amélioration no
es mutilations si considérables reconnaissent pour cause la scro¬fule
osseuse
, la nécrose et l'expulsion des phalanges. Aujourd
ir des abcès nombreux, des périostilcs, des ostéites. Ces altérations
osseuses
ont détruit une partie des pha¬langes qui sont so
avoir augmenté de volume. Cependant on ne trouve point de bourrelets
osseux
autour de l'un ou l'autre genou1. » Mars 1871.
r G. Peltier),94. — Traité de l'immobilisation directe des frag¬ments
osseux
dans les fractures, par Bérenger-Féraud (anal.
observations sur la), par Bourneville, 155,176, 216. Fistules (Des)
osseuses
, 29; — vésico-vaginale opérée par le procédé amé¬
des cordons postérieurs de la moelle, 193. Scrofulides cutanées et
osseuses
; cica¬trices et déformations consécutives, par Bo
otulien, achilléen, olécrânien, ainsi que des réflexes tendineux et
osseux
du poignet, on est en droit d'affirmer que l'on
ig et 26 octobre, 6 et a3 novembre ig/2. Les réflexes tendineux et
osseux
méritent toute l'attention des clini- t ciens e
4o SÉMIOLOGIE Définition. On appelle réflexe tendineux, réflexe
osseux
, le phénomène complexe que détermine la percuss
ainsi que les points où doit porter la percussion pour les réflexes
osseux
, en insistant plus particulièrement sur cinq ré
ales qu'il faut suivre dans l'exploration des réflexes tendineux et
osseux
. J'aurai l'occa- sion ultérieurement de montrer
TABLEAU 140 Il Localisations des centres des réflexes tendineux et
osseux
. 48 SÉMIOLOGIE SUBRÉFLECTlVITÉ; IRRÉFLECTIVIT
serve un affaiblissement ou une abolition des réflexes tendineux et
osseux
, et c'est là un signe capital pour le diagnosti
e lui-même sont capables de produire l'irréflectivité tendineuse et
osseuse
. Plusieurs auteurs ont signalé l'affaiblissemen
s de shock, s'accompagnent souvent d'irréflectivité tendi- neuse et
osseuse
. Un ictus apoplectique, une compression subite de
éraliser. . SURREFLECTIVITE En général, les réflexes tendineux et
osseux
sont exagérés sous l'influence de lésions du sy
eux sous-variétés. Dans la première, tous les réflexes tendineux et
osseux
des membres supérieurs sont exagérés : elle dépen
r la surréflectivité observée parfois consé- cutivement aux lésions
osseuses
et articulaires. Dans ces faits, l'exagéra- tio
rgique de l'avant-bras. S'il est violent, il produit une excitation
osseuse
déterminant une contraction des fléchisseurs de
uence que l'hystérie pourrait exercer sur les réflexes tendineux et
osseux
. 11 n'y a pas encore bien longtemps, les neurol
exe rotulien qui parait exagéré et les autres réflexes tendineux et
osseux
, le réflexe du tendon d'Achille, le réflexe radia
a cuisse et du tronc. L'état des réflexes tendineux et des réflexes
osseux
fournit des données de la plus grande importanc
érée de l'avant-bras. 6° Les réflexes tendineux et les réflexes
osseux
sont souvent troublés dès le début ; ils peuven
avant-bras fait défaut. 6° Les réflexes tendineux et les réflexes
osseux
ne subissent pas de modification et la trépidat
t mon opinion. (') Voir à ce sujet : Rétlexes tendineux et réflexes
osseux
. Leçons faites à l'hôpital de la Pitié (I3ul. l
dans le Bulletin Médical sur les Réflexes tendineux et les Réflexes
osseux
, les passages suivants : « Je dois m'occuper, e
culaire et la base est dirigée vers l'oreille. On met à nu la surface
osseuse
; cinq perforations sont pratiquées à la boîte
on les réunit avec un trait de scie, et l'on luxe en bas le lambeau
osseux
ainsi formé. La dure-mère paraît normale; il y
'anormal. On laisse la dure-mère sans la réunir, on enlève le volet
osseux
de façon à éviter toute compression de la substan
somme, on a incisé la dure-mère, on a fait l'abla- tion d'un volet
osseux
, et le cerveau est à nu sous le péricrâne. Le vol
d'un volet osseux, et le cerveau est à nu sous le péricrâne. Le volet
osseux
enlevé mesure gcm,4 de long sur 5cm,8 de haut.
côté opposé à l'hémi-parésie et alors, si on avait enlevé un volet
osseux
assez grand, on aurait mis à découvert la tumeu
hie du crâne, qui montre un épaississement considérable de la paroi
osseuse
à ce niveau. L'opération une fois décidée, est
on une fois décidée, est pratiquée immédiatement. Une fois le volet
osseux
soulevé, on put constater sur sa paroi endocrànie
Mais sous la dure-mère incisée on trouva une tumeur de consistance
osseuse
, du volume d'une petite mandarine, qui avait re
meur, les téguments furent suturés au-dessus de la perte de substance
osseuse
. L'opération dura en tout douze minutes. L'op
e-mère extrêmement tendue fait une légère hernie à travers le cadre
osseux
, elle bat à peine. On réapplique le lambeau ost
de ce genre, il existe en même temps des troubles de la croissance
osseuse
. On relève peu de chose à ce point de vue à dro
s muscles du mollet remplis, dans leur partie charnue, par la masse
osseuse
et cartilagineuse d'une exostose importante sont
s est aussi celui qui présente le plus de troubles du développement
osseux
(2). Il est intéressant de noter que c'est égal
torti- colis dit mental, dans lesquels il existait des altérations
osseuses
des vertèbres du cou. Chez notre malade, l'exam
cique ne nous ont non plus révélé l'existence d'aucune excroissance
osseuse
. La selle turcique nous a paru normale. En ré
mandé s'il existait une relation de cause à effet entre ces lésions
osseuses
et les troubles précédents. Nous avons vu qu'on
s d'un tremblement à oscillations rapides ; les réflexes tendineux et
osseux
des membres supérieurs sont normaux. Parfois la
te malade. La radiographie ne nous a toutefois révélé aucune lésion
osseuse
. En terminant, nous ferons remarquer que cette
tendineux, chez le malade que je présente, les réflexes tendineux et
osseux
du membre supérieur gauche contracturé, non seu
ultat d'une action directe du virus syphilitique sur les extrémités
osseuses
? L'arthropathie de mon malade est-elle due à d
des attitudes segmentaires est également intact ; la sensi- bilité
osseuse
présente quelques troubles ; la sensibilité therm
ceps et peut-être du biceps. Par contre les réflexes tendineux et
osseux
ayant une localisation plus basse sont nettemen
sthésie relativement légère. La sensibilité profonde, musculaire et
osseuse
est complètement abolie aux membres inférieurs
et complète, de plusieurs mois de durée ; les réflexes tendineux et
osseux
du membre paralysé sont normaux et les muscles ne
Sollier a signalé, il est vrai, l'existence des troubles trophiques
osseux
dans six cas de contractures dites névropathiqu
bles sécrétoires et enfin des troubles trophiques divers du système
osseux
, des ligaments, de la peau et des phanères. Ces
pas lieu quand la percussion porte sur les tendons ou les surfaces
osseuses
. L'expression de réflexe musculaire, qui a parf
riarticulaires d'origine trophique, comparable à la décalcification
osseuse
si souvent observée en pareil cas. Il est à r
elette de la main malade apparait plus clair, le dessin des travées
osseuses
plus net et plus délicat : par contre, les épip
du membre blessé résultant d'altérations musculaires, tendineuses,
osseuses
, vas- culaires, des lésions inflammatoires ains
teil et signe de l'éventail. Les réflexes tendineux et les réflexes
osseux
du membre supérieur droit sont exagérés. Au mem
2). INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 629 197. Réflexes tendineux et réflexes
osseux
(Leçons faites à la Pitié. Bulletin médical, nu
- De l'abduction des orteils 37 IV. Réflexes tendineux et réflexes
osseux
39 V. Monoplégie brachiale organique. Mouvement
itôt que les ganglions rachidiens eurent été extraits de leur canal
osseux
, on fut surpris de constater TUMEUR CÉRÉBRALE E
ATHOLOGIQUES. 47 présentant de petits îlots membraneux de formation
osseuse
, entre- mêlés de zones non calcifiées ; cette d
ion devra être générale dans les fractures du crâne avec dépression
osseuse
, fréquente dans les cas à peu près dépourvus de
analogie avec l'amyotrophie du type Déjerine-Sottas. Sensibilité
osseuse
. , MM. RIFDEL et P. Marie présentent un nouveau
rie présentent un nouveau diapason pour recherche de la sensibilité
osseuse
, l'appareil porte un indice optique gradué perm
tt où toutes les sensibilités étaient abolies sauf la sen- sibilité
osseuse
au diapason. OEdèmes chez des catatoniques. M
rophiques muscu- laires (atrophie musculaire); -Troubles trophiques
osseux
(frac- tures) ; Troubles trophiques articulaire
r exemple. Il est évident que l'irritation causée par -une esquille
osseuse
peut être assez vive pour déterminer, sans le s
jusqu'aux genoux. Anatomiquement, malgré l'absence de compression
osseuse
, la moelle était considérablement réduite de vo
mal de Pott, peut, en certains cas, en dehors de toute compréssion
osseuse
, donner lieu à une dégénérescence hya- line des
onde, il e.-t flexible comme un morceau de caoutchouc, les lamelles
osseuses
étant remplacées par un tissu fibroïde souple.
xillaire soit large ainsi que ses mains et ses pieds. Sensibilité
osseuse
. MM. EGGER et IIIEDEL discutent la valeur respe
respective de leurs dia- pasons pour la recherche de la sensibilité
osseuse
. M. Egger repro- che à celui de M. Riedel d'êtr
point n'est besoin de chercher ailleurs que dans cette infiltration
osseuse
avec augmentation de volume, la cause localisat
nerfs crâniens des lésions nerveuses consécutives à l'envahissement
osseux
, phé- nomènes de compression, des lésions succé
rocher. Les nerfs y sont;IlOnl- breux et cheminent dans des trajets
osseux
étroits, circons- tance qui facilite leur envah
ra pas lieu de vous étonner ; étant donné l'étroitesse des canaux
osseux
, une lésion minime pourra retentir sur les troncs
nt ; celles-ci peuvent être ainsi tiraillées, coudées sur le rebord
osseux
. La propagation se fait aussi vers la face exte
as dans la pratique. Cependant le corps vertébral, et même le tissu
osseux
du rachis, ne sont pas toujours envahis aussi r
compression consécutive des racines. Nous savons que le tassement
osseux
se produit tardive- ment, bien plus rarement qu
s bien des cas, l'invasion méningée radiculaire précédât l'invasion
osseuse
, et plusieurs faits récents semblent vouloir pr
ganglions et les lymphatiques prévertébraux; l'atteinte du système
osseux
d'abord au niveau des pédicules ne serait dans
La pachyméningite externe n'existait pas, non plus que les lésions
osseuses
. La description exacte de ce processus et son m
en certains points; néanmoins, elle n'était pas adhérente au tissu
osseux
. Au niveau de quelques trous de conjugaison, se
i que les lames, sont sains sur toute l'étendue du rachis. Le tissu
osseux
n'est ni friable, ni spongieux. 304 CLINIQUE
tte nouvelle formule radiculo-méningée à côté de l'ancienne formule
osseuse
de Charcot et Tripier. Que vous dirai-je de la
mène de début dans le cancer du rachis. Vous saurez qu'à la formule
osseuse
primitive classique, il con- vient d'ajouter un
atrophie évidente de l'éminence thénar. Le premier espace inter-
osseux
présente également un méplat très net. Quant aux
ine de cette fracture doit être attribuée aux troubles tro- phiques
osseux
. La radiographie a montré à MM. Rénon et Heitz
ceps et au niveau du bra. chial antérieur. Surfaces articulaires et
osseuses
intactes (radio- graphie). Paralysie des muscle
dérablement affaiblie. Chezles ataxiques ayant perdu la sensibilité
osseuse
, le son que produit le diapason, vibrant sur le
rties anesthésiées, n'est plus perçu. Une ataxique, avec anesthésie
osseuse
des quatre membres, n'a plus aucune perception
son, aujourd'hui ces os, étant atteints eux aussi par l'anesthésie
osseuse
, la perception sonore est de même abolie. Chez le
ité musculaire. Enfin si on sectionne le facial à sa sortie du trou
osseux
, en arrière de la parotide, l'atrophie qui n'exis
ntait une plaie contuse. A l'exploration on sentait comme une arête
osseuse
au-dessous des téguments, cequi fit penser à un
du bras droit. L'examen objectif montre une anes- thésie cutanée et
osseuse
avec perte du sens des attitudes dans le domain
des sensibilités- pro- fondes surtout est absolu. Il y a anesthésie
osseuse
, perte de la perception stéréognostique, perte
Abolition du réflexe crémastérien.Maux perforants et hypertrophie
osseuse
énorme des phalanges et métatarsien des deux gros
nimaux attemts de tabes dorsal, par OSoipowetNoiscbews- ky. 66. -
osseuse
, par Riedel et Marie ((J,), 79. - tactile et tb
e et tber, miqne dan. le tabès, par Rous- seau et Vasdlide, 81. -
osseuse
, par Eggar et Riedel, 259. Sérum. Sur la prod
cle. Cuir chevelu excessivement épais. -Crettae très petit. Calotte
osseuse
dure et dense. peu épaisse; frontal, pariétaux, m
Ces lésions peuvent s'expliquer par l'extrême fragilité du tissu
osseux
chez les aliénés ; elles sont souvent produites p
s'en tient à ceux qui ont guéri, laissant dans l'ombre les lésions
osseuses
. Nous relevons : l'arrachement des cheveux et d
EIL DE FAITS DESCRIPTION DE QUELQUES PIÈCES RELATIVES AUX LÉSIONS
OSSEUSES
ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES, CONSERVÉES AU MU
M. Charcot a appelé l'attention sur les affections articulaires et
osseuses
développées chez les ataxiques, un grand nombre
1878, p. 512. ' A Report on the Conyî,ess Muséum, p. 20. LÉSIONS
OSSEUSES
ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 203 squelette en
gnorées pendaut la vie, ce qui permet de sup- poser que les lésions
osseuses
des ataxiques sont encore plus fréquentes que l
saillants. La face externe a conservé à peu près l'aspect du tissu
osseux
normal, tandis qu'en dedans, à l'endroit où e
ae de l'humérus et de la cavité glénoïde de l'omoplate. LÉSIONS
OSSEUSES
ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 205 remarque sur
- tion de la fracture par un cal exubérant et dinoniie. LÉSIONS
OSSEUSES
ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 207 viron 5 mill
a même direction que le sillon de la face externe, une production
osseuse
irrégulière, un cal difforme, formant une saillie
mur. (Les autres lé- sions sont dues il la macération.) LÉSIONS
OSSEUSES
ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 209 du plateau i
iologique de ces muscles. (Bull. Soc. anal., 1880, p. 290.) LÉSIONS
OSSEUSES
ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 2li t crurc. Il
autres points, mais ils ne sont nulle part réunis par une soudure
osseuse
, il y avait deux réu- nions par du tissu fibreu
né avec lequel il était en contact, il existe une petite production
osseuse
irrégulière. IV. Sur la nommée X... il n'exis
es des deux os de la jambe gauche (face pos- térieure). LÉSIONS
OSSEUSES
ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 215 de substance
avité cotyloïde au fond de laquelle est la tête fémorale. LÉSIONS
OSSEUSES
ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. l't7. de la cavi
la tète. Dans la moitié postérieure de la plaie, il y a eu réunion
osseuse
; mais dans la moitié antérieure, les os demeur
EX BIBLIOGRAPHIQUE Tuberculose de la voûte crânienne et tuberculose
osseuse
; par Coupard. Thèse de Paris, 1882. Des pério
Politzer, Urbantschistch, etc., que la diminution de la perception
osseuse
est un bon signe différentiel, entre un affaibl
r qu'il est plus exact de dire que la diminu- tion de la perception
osseuse
, est un signe qu'il existe un obstacle à l'accè
,En divisant la tumeur, le couteau fut arrête par un pdin't dur'
osseux
(Fig. 5). Ce 'point était situé au niv'éau de la
és (coloration au violet de gentiane). Fig. 5. Noyau de consistance
osseuse
constitué par des concrétions cristallines. F
eut changer de position avec l'âge par rapport au reste de la boite
osseuse
, comme il arrive pour le bregmabien antérieur d
cinq centimètres, en haut et en dehors, sans rencontrer de surfaces
osseuses
dénu- dées. Dès son entrée à l'hôpital, le bles
ait l'hôpital. Le 25 mai, il présentait l'état suivant : Systèmes
osseux
et musculaire bien développés ; faiblesse paral
paralysie générale on rencontre souvent une raréfac- tien du tissu
osseux
qui prédispose aux fractures dont la consolida-
és (coloration au violet de gentiane). Fig. 5. Noyau de consistance
osseuse
constitué par des concrétions cristallines. F
s l'hydrocéphalie,) sans que le contenant, c'est-à-dire l'enveloppe
osseuse
, ne cesse de s'adapter à cette pression intra-c
t à son développement tout autant que l'inextensibilité de la boite
osseuse
. ' Papillault. Salure métopique (Mémoires de la
été faite est démonstrative : la forme, la disposition des parties
osseuses
, la valeur des angles pétro-clivien, inioclivie
temps il n'exerce aucune pression sur l'endocrâne ; aussi le tissu
osseux
par- faitement sain continue à s'accroître. La
e simple inspection le moin- dre développement de certaines parties
osseuses
du côté malade (diminution de la fosse cérébral
l'angle nétroclivien. ATROPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 35 tissu
osseux
1 ; c'était un myxoedémateux, chez lequel l'ori-
par la face externe ne répond en rienà à la saillie de cette crête
osseuse
interne. La différence de pression a amené égal
di sa loge et rendu apparent l'arrêt de développement de la portion
osseuse
renfermant l'hémisphère malade. En voici quelqu
sillons qui les séparent, la pression est nulle et la prolifération
osseuse
se faisant librement vient combler le vide qui
ents, il n'y a pas des intervalles aussi accen- tuées et les crêtes
osseuses
n'ont pu s'y insinuer. Ce n'est donc pas, comme
s d'atrophie de" cet organe, entraînerait une atrophie des crêtes
osseuses
observées normalement) que l'on observe les varia
ATOMIE PATHOLOGIQUE. 1, .espace retro-frontal où des proliférations
osseuses
en forme de lamelles constituaient une croissan
érations osseuses en forme de lamelles constituaient une croissance
osseuse
anormale et nettement d'origine inflammatoire.
aussi parce que nous pensons qu'elle est, comme les proliférations
osseuses
endofrontales le résultat de troubles inflammat
éveloppement limités à une zone cranio-cérébrale, des malformations
osseuses
, etc., etc., il semble que la diversité des cau
ment cérébral qui ne s'oppose pas à leur envahissement par le tissu
osseux
. Sur quelques crânes notamment, il est curieux
usqu'alors, est à la suite d'un traumatisme, atteint de suppuration
osseuse
avec fistule de la région pariétale gauche. Epi
tciierback. Inspiré par les travaux dé Max Egger sur la sensibilité
osseuse
, le professeur Stcherback a constaté que les vi
Malformations nombreuses et très accentuées des différentes régions
osseuses
du bassin et des membres inférieurs : à gauche
rganisme de l'acide nitrique qui par son accumulation dans le tissu
osseux
, dissoudrait les sels minéraux, ramollirait les
l'artère méningée est logée dans des sillons profonds, mais la lame
osseuse
qui la recouvre n'est dans certains endroits pas
ent non pas à la rareté de l'ostéomalacie, mais à ce que la malacie
osseuse
touche rarement le crâne du moins dans la forme
tie des nerfs crâniens du côté droit et présentant des déformations
osseuses
multiples. t6 6 .SOCIÉTÉS SAVANTES. Ces défor
pendance la plupart des troubles trophiques mus- culaires. cutanés,
osseux
même, ainsi que les troubles sen- sitifs ; mais
aponévroses n'y sont pour rien, Sternberg ayant démontré l'origine
osseuse
de tous les phé- nomènes aponévrotiques, périos
ecte des aphasies sensorielles. Ncevus avec varices et hypertrophie
osseuse
. ' MM. GUILLAIN et COURTELLEMONT présentent un
es faites avec M. Mabille n'ont montré aucune altération du système
osseux
chez de nombreux paralytiques morts à l'asile d
mimiques de la face. L'abaissement de l'ouïe et de la sen- sibilité
osseuse
du côté droit. Des mouvements involontaires de la
b) son émergence du trou optique où il est engainé dans un anneau
osseux
. ci) Dans le premier cas, il existe des phénomè
ffer. Or cette malade a perdu sa sensibilité cutanée, mus- culaire,
osseuse
de sorte qu'elle n'a plus aucune perception pér
es). La moitié droite de l'occipital participe à cette hypertrophie
osseuse
(1-"ig. 15). Il n'y a pas de plaques transpar
couvrait, dans une étendue correspondant à l'emplacement des aires
osseuses
poreuses. Cerveau. Vu en place, l'asymétrie des
t une saillie hémisphérique au-dessus de la selle turcique, la loge
osseuse
etait dilatée et les sinus caverneux refoulés d
r ce fait que la radiographie permet de faire le diagnostic à début
osseux
. G. C. LX.Deux cas de Chorée chronique : 1° Cho
certains cas, vient se surajouter aux autres dystrophies (cutanées,
osseuses
, vasculaires, glandu- laires) si souvent alliée
; parFéré etAmouroux, 193. NOEVUS avec .varices et hypertro- phie
osseuse
, par Guillain et Courtellemont, 161. Noyau ro
aits précédents, on ne saurai ! songer à incriminer les altérations
osseuses
de la colonne vertébrale. Mais si les troubles
osseuses de la colonne vertébrale. Mais si les troubles trophiques
osseux
sont inconnus dans l'athétose double, en revanc
itable ossuaire tabétique. Ce qui caractérise l'état des extrémités
osseuses
dans l'ar- thropathie tabétique, c'est le fait
sont typiques, on ne rencontre aucune végétati"On, aucun hourrelet
osseux
, aucun corps étranger articulaire, comme on en
dification anatomique préparatoire que subit en pareil cas le tissu
osseux
se montre, vous le sa- vez, par plaques, par fo
êtes. Je dis au-dessus du grand trochanter, par ce que si ce relief
osseux
est toujours facilement apprécia- ble, sa face
tanée, de l'ostéophyte ». Autant de désordres trophiques du système
osseux
qui ressortissent à la paréso-anal- gésie. PA
s auteurs, comme Leyden, les rattachent à des (roubles trophi- ques
osseux
, cc Les vertèbres et les côtes sontoxtraordinaire
sion d'un trauma- tisme insignifiant, d'nn effort, que l'altération
osseuse
se révèle. Un cra- quement se produit dans la r
que l'immobilisation prolon- gée a favorisé la production de jetées
osseuses
ou ligamenteuses, capables d'empêcher d'une man
ques de Kroenig, rentrent dans la catégorie des troubles trophiques
osseux
el articulaires que M. Charcot a le premier déc
nt se produire, soit des réactions fibreuses, soit des déformations
osseuses
vertébrales, ren- dant la scoliose définitive.
peut invoquer dans ce cas une participation du rachis à l'atrophie
osseuse
unilatérale. En somme, ce qui nous paraît digne
ent. C'est Davey (1) qui a attiré l'attention sur les alté- rations
osseuses
des vésaniques. Mac-Intosh, Clouston, Pester, Atl
parmi lesquels Christian (7) ont nié l'existence de ces altérations
osseuses
chez les aliénés, et n'ont voulu voir dans les
s rapportés que de pures coïncidences. La pathogénie de ces lésions
osseuses
est en tous cas mal connue. Cer- tains auteurs
ssociées à la vésanie l'agent intermédiaire des troubles trophiques
osseux
et en particulier des troubles vertébraux. Les dé
) Biaute, Annales méd. psych., nov. 1876. (6) Voir Talamon, Lésions
osseuses
et articulaires liées aux maladies du système ner
, on ne saurait, d'après Audry, mettre ici en cause des altérations
osseuses
du rachis : il s'agirait plutôt d'un état spasm
venue quadrangulaire, (1) Ilallion, Myopathie primitive des lésions
osseuses
; fracture spontanée probable; France médicale,
u. On a invoqué deux théories principales : 1° Théorie trophique (
osseuse
, articulaire, ligamenteuse) ; 2° Théorie muscul
e fort à certaines déviations qui re- lèvent d'un trouble trophique
osseux
. Elle se rapproche par ses caractères, par son
outre, déterminer le sens des déviations d'origine essentiellement
osseuse
. Comme nous l'avons fait remarquer, il semble que
ce assez fréquente, dans la syringomyélie, de troubles trophi- ques
osseux
et articulaires variés, confirmerait l'opinion qu
ons rachidiennes, l'expression d'un état morbide de tout le système
osseux
. Les vertèbres, os courts et spongieux, en subi
anisme, défaut de résistance d'où résultent des troubles du système
osseux
, aussi bien que des troubles du système nerveux
ts où les nerfs peuvent facilement être compri- més sur une surface
osseuse
par le disque vibrant. » En agissant ainsi on a
panaris sont survenus avec fistules et élimination de séques- tres
osseux
. Ces phénomènes se sont succédés sans douleur : l
veux, mais encore et surtout au point de vue des lésions du système
osseux
, anciennes (exostoses) et récentes {fracture du
r la macération; les autres, plus anciennes et formées de substance
osseuse
, subsistent encore. Elles se présentent sous 3
ue toujours dans la direction des tendons ; enfin grosses éminences
osseuses
. pédiculées, dont quelques- unes atteignent un
la même ligne hori- zontale, puis encore au-dessous, un champignon
osseux
dirigé horizontalement en arrière et mesurant p
ord interne, à la place du tubercule du grand adducteur, production
osseuse
volu- mineuse présentant elle-même trois aspéri
et postérieure ont dis- paru et sont remplacées par des bourrelets
osseux
couverts de rugosités; à la place du petit troc
pine volumineuse, mais sur le bord externe on trouve une production
osseuse
pédiculiséo et rugueuse, d'environ 3 centimètre
rne, 2 aiguilles dirigées en dehors; sur le bord interne, une crête
osseuse
regardant en bas et en dedans. Le corps présent
nviron 1 centimètre de diamètre. Extré- mité inférieure : une crête
osseuse
sur la face interne; un DESCRIPTION DES EXOSTOS
artie inférieure ; à la place de l'articulation existe une ankylose
osseuse
d'environ 6 centimètres laissant voir à la part
.-Extrémité supérieure : sur la face postérieure, énorme champignon
osseux
du volume d'une grossepomme, pédiculisé, à surf
re gauche a complè- tement disparu et est remplacée par une soudure
osseuse
assez volumineuse. Ces exostoses, déjà antéri
re du germe qui doit plus tard contribuer à la formation du tissu
osseux
; cette opinion s'accorde avec le bon état de san
igament; puis, presque immédiate- ment, on butte contre une saillie
osseuse
: la tentative, répétée plusieurs fois, a toujo
température. Autopsie : tumeur du volume d'une noix, de consistance
osseuse
, logée dans le lobe frontal sur la pointe du no
res. A l'ouverture du crâne on note l'épaisseur notable de la boîte
osseuse
. La dure-mère présente une épaisseur et une dur
s rudiments de lamelles os- seuses et des apparences de corpuscules
osseux
entourant des lacunes dans lesquelles se voient
avec les ano- malies du développement qui portent sur les systèmes
osseux
, conjonc- tif et musculaire. On le trouve assoc
tent la vie entière, sont, eux aussi, capables de produire du tissu
osseux
. Les os ne s'allongent plus, ils s'é- paississe
de croissance intempestive est surtout apparent là où les saillies
osseuses
sont les plus nombreuses, c'est-à-dire aux extré-
osition morphologique est à rapprocher des exemples de déformations
osseuses
signalées par l'un de nous chez les infantiles.
Dercum (adipose doulou- reuse). Il n'y a du reste aucune altération
osseuse
ou articulaire visible sur la radiographie que
UX . PARALYSIE DES NERFS CRANIENS D'UN COTÉ ' ET , DÉFORMATIONS
OSSEUSES
MULTIPLES D'ORIGINE probablement HÉRÉDO-SYPH1LI
tympanique avec traces d'otite moyenne ancienne, mais la perception
osseuse
est également presque nulle et le malade est fr
énoïde droit, par la pachyméningi te, et enfin par les déformations
osseuses
des membres, que nous voudrions y rattacher.
conographie DE la SALI'ÊTItIt.RE. T. XVII. Pl. XXXIX DÉFORMATIONS
OSSEUSES
(Rose.) PARALYSIE DES NERFS CRANIENS D'UN CÔT
elles-ci peuvent être rattachées à un défaut de résistance du tissu
osseux
. Pour le genu valgum, il ne s'agissait certes p
-syphilis et d'antécédents héréditaires nets, et vu la malléabilité
osseuse
existant chez lui dès l'enfance, nous pensons q
i dès l'enfance, nous pensons que ce malade est atteint d'accidents
osseux
et nerveux d'origine hérédo-spécifique. NOUVE
n est élargie et présente sur sa face dorsale une volumineuse épine
osseuse
, une vé- ritable exostose épiphysaire. Au contr
terne. A l'aide du davier-gouge nous agrandissons ensuite la brèche
osseuse
, de façon à lui donner une étendue suffisante pou
laire rempli d'une moelle grisâtre et comme desséchée. La déviation
osseuse
étant corrigée, les extrémités osseuses sont main
omme desséchée. La déviation osseuse étant corrigée, les extrémités
osseuses
sont maintenues en contact par une ligature au
sez rapide ; un mois après le début de ce traitement les extrémités
osseuses
étaient devenues le siège d'un épaississement,
La récupération fonctionnelle marchait de pair avec la consolidation
osseuse
; l'opéré qui lors de la levée de l'appareil, é
'os qui fut dépériosté avec soin. Nous excisons aus- sitôt un angle
osseux
à hase externe, répondant au point de coudure. To
ntière mobilité de ses doigts. Au bout d'un mois la consolidation
osseuse
était parfaite. Un cal volumineux englobait les
pparente. En outre notre opéré ne présente aucune autre déformation
osseuse
ni aucun autre stig- mate d'hérédo-syphilis. En
nences thénar et bypothénar, quelques lombricaux et quelques inter-
osseux
, le long supiuateur, les fléchisseurs superficiel
anomalies de forme et de volume du crâne et de la face (asymétries
osseuses
), le prognathisme, les malformations des oreilles
ets, constatée dans la filiation de Gladiator. L'hérédité des lares
osseuses
du jarret, de l'éparvin, du jardon, de la jarde
Ravigo, par Gladiateur et Alerte) ; de même aussi les formes, tares
osseuses
résultant de l'ostéite phalangienne ; le cheval
lle d'Archiduc, étalon de pur sang, «' ardent propagateur des tares
osseuses
qu'il possédait » : de même enfin un grand nombre
ion ou soudure des métacarpiens), la macrodaclylie (sur- production
osseuse
), la mégalodactylie (volume exagéré des métacarpi
LÉON, 269. Paralysie des nerfs crâniens d'un côté et déformations
osseuses
multiples d'ori- gine probablement laérédo-syph
1. RosE. Paralysie des nerfs craniens d'un côté et de formations
osseuses
multiples probablement d'origine hérédo-syphili
Maladie de Parkinson (F. BA\r0\D), I, II, III, IV. Malformations
osseuses
(Rose), XXXVIII, XXXIX. Malformations osseuse
V. Malformations osseuses (Rose), XXXVIII, XXXIX. Malformations
osseuses
(A. Cange), XL, XLI, XLII. Myotonie avec atro
des craquements, des dislocations, répondant à une usure des surfaces
osseuses
, des luxations variées (forme mali-qne). En dépit
le premier à reconnaître l'analogie des craquements, des tuméfactions
osseuses
, etc. Mais je tiens à faire ressortir encore ce q
faces articulaires, déformations des extrémités osseu-ses, bourrelets
osseux
, stalactites osseuses, corps étrangers, etc., etc
déformations des extrémités osseu-ses, bourrelets osseux, stalactites
osseuses
, corps étrangers, etc., etc. Toutefois, il est de
n : 1° La prédominance de l'usure sur la production des bour-relets
osseux
dans les cas récents. Comparez, par exemple, l'hu
e la moelle, est, elle-même, suspendue dans le canal rachidien, canal
osseux
plus ou moins flexible selon les régions. La dure
tus ligamenteux. Partout ailleurs la dure-mère est séparée des parois
osseuses
par une couche de tissu adipeux qui livre passage
pénétrer certains produits pathologiques, nés en dehors de ce conduit
osseux
. avec l'interception des fibres nerveuses spina
dans le mal vertébral, 1871. 2 Cas de M. Liouville. de provenance
osseuse
se met en contact avec la face anté-rieure de la
profondément. Le ligament vertébral antérieur, au niveau de la lésion
osseuse
, était comme dilacéré et la matière caséeuse, d'a
quoi elle reprit progressivement ses dimensions normales. L'affection
osseuse
, chez ce malade, paraissait occuper la dernière v
es articulations qui l'unissent à l'occipital avaient subi l'ankylose
osseuse
, de manière à ne permettre aucun mouvement. La mo
s musculaires (Atrophie musculaire, arrêt de développement du système
osseux
, refroidissement des membres, déformations, pied
r môme dès les premiers jours. b) Arrêt de développement du système
osseux
. Nous devons relever, ici, un trait imporlant que
kmann, ont fait ressortir : c'est l'arrêt de développement du système
osseux
. L'atrophie qui affecte les os n'est nullement en
fonctions des muscles, être suivie cependant de lésions tro-phiques
osseuses
qui persistaient toute la vie %. Il serait diff
e des lésions du système nerveux central sur la nutrition des parties
osseuses
, puisqu'il est impossible d'invoquer, dans cette
umineuse pour remplir par conséquent et d'une façon complète le canal
osseux
. Mais, en réalité, ce n'est pas une véritable h
le de la fracture ne sont pas soudées et sont revêtues de végétations
osseuses
. — Les fractures siègent à la partie moyenne de l
ts inférieurs. Du bord externe et postérieur de ce cal part une jetée
osseuse
qui se dirige obliquement en bas, en décrivant un
mètres, volumineux, et qui, en bas, donne naissance à une autre jetée
osseuse
, laquelle vient s'unir à la face antérieure du cu
ait invoquer non plus l'exis-tence d'un trouble de nutrition du tissu
osseux
résultant d'une inactivité fonctionnelle prolongé
e en par-ticulier, ont à peu près disparu, laissant à nu les saillies
osseuses
, les éminences thénar et hypothénar, bien qu'amin
musculaires (Atro-phie musculaire, arrêt de développement du système
osseux
, refroidisse-ment des membres, déformations, pied
cient : l'intelligence s'éveille, le système musculaire, le système
osseux
(2) se développent, l'infiltration grais- seuse
issaires, et dans la région postérieure du pariétal droit. Le tissu
osseux
du crâne est formé, sur la coupe, d'une large c
s l'hydrocéphalie,) sans que le contenant, c'est-à-dire l'enveloppe
osseuse
, ne cesse de s'adapter à cette pression intra-c
t à son développement tout autant que l'inextensibilité de la boite
osseuse
. Si au contraire les sutures restant libres, il
été faite est démonstrative : la forme, la disposition des parties
osseuses
, la valeur des angles pétro-clivien, inio-clivi
temps il n'exerce aucune pression sur l'endocrâne ; aussi le tissu
osseux
parfaitement sain continue à s'accroître. La cr
e simple inspection le moin- dre développement de certaines parties
osseuses
du côté malade (diminution de la fosse cérébral
qui donne l'angle pétroclivien. 232 Anatomie pathologique. tissu
osseux
*; c'était un myxoedémateux, chez lequel l'ori-
é par la face externe ne répond en rien à la saillie de cette crête
osseuse
interne. La différence de pression a amené égal
di sa loge et rendu apparent l'arrêt de développement de la portion
osseuse
renfermant l'hémisphère malade. En voici quelqu
sillons qui les séparent, la pression est nulle et la prolifération
osseuse
se faisant librement vient combler le vide qui
uents, il n'y a pas des intervalles aussi accen- tués et les crêtes
osseuses
n'ont pu s'y insinuer. Ce n'est donc pas, comme
s d'atrophie de cet organe , entraînerait une atrophie des crêtes
osseuses
observées normalement) que l'on observe les varia
ales unilatérales. 239 espace rétro-frontal où des proliférations
osseuses
en forme de lamelles constituaient une croissan
érations osseuses en forme de lamelles constituaient une croissance
osseuse
anormale et nettement d'origine inflammatoire.
aussi parce que nous pensons qu'elle est, comme les proliférations
osseuses
endofrontales le résultat de troubles inflammat
éveloppement limités à une zone cranio-cérébrale, des malformations
osseuses
, etc., etc., il semble que la diversité des cau
nt cérébral qui ' ne s'oppose pas à leur envahissement par le tissu
osseux
. : Sur quelques crânes notamment, il est curieux
es). La moitié droite de l'occipital participe à cette hypertrophie
osseuse
(Fig. 67). Il n'y a pas de plaques transparen
vés parnous, la conséquence d'un arrêt de développement de la boite
osseuse
. III. Le traitement médico-péclagogique, tel qu
État actuel (2 décembre 1887). L'éminence hypothénar et les inter-
osseux
de la main gauche sont très atrophiés. Les deux d
é les renseignements suivants. On tombe tout d'abord sur une tumeur
osseuse
faisant saillie sur la face anté- rieure du sac
damment de ces troubles, il existe, par le fait même de la lésion
osseuse
et de la déformation qu'elle a constituée, une ce
permet de constater en particulier qu'il n'existe aucune altération
osseuse
de l'articulation coxo-fémorale gauche. L'oeil ga
88 ans, vit encore; elle fut atteinte à G ou 8 ans d'une affection
osseuse
de la jambe, qui entraîna une longue suppuration.
ncisure sus-épineuse convertie en un trou parfait par une languette
osseuse
qui' passe au-dessus, et un déve- loppement un
ique des maladies mentales, p. 3.t3, 5. Charcot et réré, Affections
osseuses
el articulaires du pied chez les tabétiques (Arch
ait naître l'idée que, dans une période de ramollissement, le tissu
osseux
aurait cédé aux tractions musculaires. Les'tête
es décolles appartenant aux gaines complètes. Quant aux corpuscules
osseux
, ceux-ci, en général, se montrent volumineux av
s : la diathèse rhumatismale peut exercer son action sur le système
osseux
et de différentes manières. Consécutivement aux l
nt aux lésions des articulations (synovites, chrondrites), le tissu
osseux
peut s'altérer dans le sens de l'atrophie ou de
ésentait tant d'anomalies. Il n'en est pas de même pour les parties
osseuses
de la face dont les déformations suivent souven
la pointe se porte en haut, en contracture, venant toucher la voûte
osseuse
(pl. XXXIV). Les globes oculaires subissent les
s d'insertion des ligaments, nous constatons également des saillies
osseuses
, des bosselures qui donnent à l'os un aspect tout
t, en outre, leur face antérieure est concave avec un petit tubercule
osseux
au bord externe. Les processus coronoïdes son
upérieur destiné au passage de cette artère est converti en un trou
osseux
. Toutes les autres vertèbres cervicales ont le
a face antérieure du corps est poreuse, avec de petites végétations
osseuses
au niveau des bords; les apophyses transverses
paroi postérieure de la selle turcique est transformée eu une laine
osseuse
mince avec revêtement normal de dure mère. En ava
faire croire soit à des phlegmons profonds, soità des suppurations
osseuses
? Bien qu'ils soient relativement rares, ces fa
est surplombé à sa partie postéro-supérieure par une sorte de lame
osseuse
qui prolonge la partie articulaire. Diamètre du
se considéra- hlement par en bas le bord inférieur de l'os. Anlyose
osseuse
entre le deuxième métacarpien droit et deuxième
diffère cependant de la sensation de résistance que donne le tissu
osseux
. Visage ovale, joues légèrement pendantes. Les
-mère. Cette membrane est très mince jusqu'à 5 ou G "/» du pourtour
osseux
où la transformation en os la rend un peu plus
n os la rend un peu plus épaisse. (Fig. 1.) La perte de substance
osseuse
a une forme ovalaire et environ 5 cent, de long
: La partie postérieure des arcs lombaires montre que renfoncement
osseux
était relativement éloigné de la moelle, qui ét
cependant beaucoup (l'embonpoint malgré la persistance de fistules
osseuses
au Lro- chanter et à la face externe du calcané
dénudées sur une longueur de 8 cm. le périoste a disparu, le tissu
osseux
est noir et résistant. Fistules sur le trochanter
dant sur la région rolandique. Ces foyers ont déterminé des nodules
osseux
au nombre de cinq, faisant saillie sur la face in
longitudinale. 1). m.. Lltire-inére. F., Fond du cerveau. C, Coque
osseuse
. Celte coloration est beaucoup plus intense au
à droite et dans laquelle la dure-mère est demi- décollée du tissu
osseux
. A droite, l'r1 ? Jphale est recouvert par une
danssur la face convexe. Elle est formée d'une coque dure, d'aspect
osseux
d'une épaisseur inégale variant de 1 à 2 mm. Ce
rence de moitié pour les humérus). A gauche également les tra- vées
osseuses
du tissu spongieux sont plus écartées et circunsc
s ou moins in- timemcnl dans son étendue. Une portion de la coque
osseuse
de la tumeur a été décalcifiée ; ses coupes tra
ibreux, on trouve des portions complètement ossifiées avec cellules
osseuses
typiques et système de llavurs. 102 PATHOLO
i s'explique étant donné l'état d'involulion de la fumeur. La coque
osseuse
répond à la membrane, perikys- fique, formée pr
e de sels calcaires et a enfin partiellement subi la transformation
osseuse
: la tumeur évoluant vers la dégénérescence. Le
se : la tumeur évoluant vers la dégénérescence. Les transformations
osseuses
de ce genre se produisent suivant le mode habit
la pièce le prouve, etle volume du kyste enserré dans sa co- que
osseuse
, moulée contre la voûte cranienne, n'avait pas
ction d'escharresprécoccset graves, et aussi l'existence de lésions
osseuses
suppura- tives du côté hémiplégie coïncidant av
nmoins aucun signe ni vestige de paralysie faciale. Pas d'asymétrie
osseuse
de la face. Voûte du palais ogivale, dents mal
s lésions classiques de l'a- rromégalie, et,, malgré l'hypertrophie
osseuse
, il n'y 11 pas de REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYS
ides qu'il tenait convulsivement pour arrêter les chevaux,. Saillie
osseuse
à l'oc- ciput, au niveau du coup. Varices, jamb
de la rééducation et de l'hydrothérapie. F. T. XXXVII. - Maladie
osseuse
de Paget, trois cas observés dans une même fami
iable allant depuis la simple exagération des réflexes tendineux et
osseux
(type amyotrophique) jusqu'à la paraplégie à sp
ite, il y a plusieurs années. Cicatrices adhé- rentes et dépression
osseuse
. Attaques épileptiformes à l'asile; par- le de
être une cause déterminante active, si l'on en juge par les dégâts
osseux
constatés à l'autopsie et à la radio- graphie d
ants continus de : 30 à 60 mil- liamperes. Atrophie musculaire et
osseuse
chez des nègres. M. J3RUMPT a observé chez des
crâne un moellon qui détermina une vaste plaie contuse, sans lésion
osseuse
et sans perte de connaissance, Pas de renseigne
e des cellules de Purkinje, par Tliomas, 325. - ^ muscu- laire et
osseuse
chez des nègres, par Brumpt, 424. Auréoles né
éningite interne post-trau- malique. par Rose, 81. Paget. Maladie
osseuse
de , trois cas observés dans une même famille
uteur le long UN ALGÉS131ÈTRE 47 et dans le voisinage des sutures
osseuses
la sensibilité douloureuse est plus fine. Le ce
e du nez esl moins sensible à la dou- leur que la peau de la partie
osseuse
. Une différence marquée entre les deux parties
rne du fémur gauche, on voit une ci- catrice consécutive à un abcès
osseux
. Le genou en est resté déformé. Tous les muscle
à la Pitié dans un service de chirurgie, pour y êlre opéré d'nn abcès
osseux
situé au niveau du condyle interne du fémur.
réciproques, et em-' pêche les déplacements que le jeu des leviers
osseux
qu'ils font mouvoir, ne manquerait pas d'entraî
istouri, sur la ligne médiane, dans toute la hauteur de l'ouverture
osseuse
. Le liquide céphalo-rachi- dien se mit à couler
lement lombaire. Dans le fait personnel qu'il rapporte, une saillie
osseuse
de la deuxième vertèbre lombaire et une zone do
lésion à l'intérieur du canal rachidien. On conçoit qu'une saillie
osseuse
, plus ou moins étendue dans le sens vertical ma
me temps surbaissé. Il est presque effacé, au contraire, si le plan
osseux
plus saillant repousse en dehors les parties mo
sion de faire deux autopsies d'une affection assez rare, la Maladie
osseuse
de Paget, et deux fois nous avons rencontré dans
e 25 à ! ! 2 p. zoo, n'était plus dans le cas actuel, pour le tissu
osseux
sec, que de 18 à 70p. 100, c'est-à- dire presqu
adie de Page ! et certaines affections spi- nales il déterminations
osseuses
(exemple le tabès), dans lesquelles on ob- serv
ans deux cas consécutifs semblent donc bien appartenir à la maladie
osseuse
de Paget. Ceci admis, si nous essayons de pénét
u'un mot des relations qui pourraient exister entre les altérations
osseuses
de la maladie de Paget et les lésions du système
s avons émis l'hypothèse, sous toutes réserves, que ces altérations
osseuses
seraient des troubles tro- phiques dépendant de
t par défaut. Ainsi voit-on des géants ou des nains, quand le tissu
osseux
subit ab oro"une perturbation trophique; des obès
ipeuse assez épaisse enveloppe tout le corps, et masque les reliefs
osseux
et musculaires. , . Absence de poils au pubis e
nt avec les anomalies de développement qui portent sur les systèmes
osseux
conjonctifs ou musculaires. Il est alors associ
e, à l'obésité (Féré), à l'atrophie musculaire, etc. Les affections
osseuses
inflammatoires sont d'ailleurs fréquentes chez
ise. Pendant ce temps, le chi- rurgien écarte les bords de la fente
osseuse
, ou trépane, soit avec le tré- pan à main, soit
comme du suif (stéatome) ; c'est un corps dur, irrégulier, d'aspect
osseux
ou pierreux. Alors on se perd en conjectures.
ait sur la table une pince qui a pu servir à retirer des fragments
osseux
. Peut-être n'a-t-il à extirper qu'une tumeur su
des fractures du crâne et, pour commencer, les signes de la lésion
osseuse
même : signes présomptifs et signes « manifeste
c corps étranger, on enlèvera celui-ci, puis on agrandira l'orifice
osseux
. Tels sont les conseils chirurgicaux donnés par
tte et Dutil. Cette confusion avec un phlegmon ou une suppu- ration
osseuse
profonde serait même à peu près inévitable si, co
ce, je fus frappé en explorant cette membrane de trouver une plaque
osseuse
enclavée dans son épaisseur et je dus la disséque
manière à dessiner des lambeaux qui restent adhérents par une base
osseuse
plus ou moins large. Quel- quefois le lambeau n
ater, à la fin de l'opération, la mobilité d'un ou de deux lambeaux
osseux
. Relativement à la perle de substance je dirai
e d'écartement et même davantage entre les deux bords de l'incision
osseuse
. Je serai bref sur le manuel opératoire, qui, e
mois, trois mois après l'opération, on ne constate pas de bourrelet
osseux
saillant; il y a une gouttière crânienne plus ou
lle-ci ; elle est plus rare dans l'hystérie. La douleur rachidienne
osseuse
, sans hyperesthésie cutanée, sans aura; les four-
élévation de la température, fourmillements douloureux, rachialgie
osseuse
, abolition des réflexes, troubles électriques;
les muqueuses sont saines. Les plans musculaires profonds, le tissu
osseux
n'offrent rien d'anormal. Les diverses parties
aillies, en les faisant rattacher aux parties molles ou aux parties
osseuses
. Elle nous permettra d'apprécier la forme génér
alie), les autres à un vice de développement congénital des parties
osseuses
(ossification prématurée des sutures, acrocéphali
es sutures, acrocéphalie, scaphocé- phalie, etc.), ou à des lésions
osseuses
(syphilis), à de simples troubles de la circula
s, la section portant sur les tendons du muscle ou sur ses attaches
osseuses
, suffit pour faire disparaître l'attitude vicie
s ce panaris, pas plus que dans celui de l'index il n'y eut nécrose
osseuse
. Le 30 septembre 1890, le malade entra à la Pit
euse et des nodosités d'IIeberden, enfin son arrêt de développement
osseux
et surtout le degré peu avancé de son intellige
état à rester couché dès sa plus tendre enfance, son développement
osseux
ne s'effectua que tar- divement et d'une façon
phalangino-phalangelliennes des quatre derniers doigts. Atrophie
osseuse
de toutes les phalangettes. Ongles rudimentaire
. - La palpation nous renseignera sur le développement des saillies
osseuses
et sera surtout utile pour nous per- mettre de
molles (hémiatrophie faciale, démence hémiplégique) ou aux parties
osseuses
. Ces dernières asymétries dues à un développe-,
n per- met de les exclure. Le rachitisme frappe en effet le système
osseux
en son entier et laisse des traces sur la tête
nformés au point de vue cérébral qu'au point de vue de leur système
osseux
. Ce sont pour la plupart des dégénérés délirant
t la rachialgic des hystériques n'est pas comparable à ces douleurs
osseuses
, ainsi que nous l'avons déjà montré. L'hémalo
de la papille, signe d'drgyll Roberlson, signe de Westphal, lésions
osseuses
et articulaires (frac- t1res spontanées, al'thr
présentée par une zone douloureuse, cutanée ou musculaire plutôt qu'
osseuse
occupant souvent deux points superposés du rach
été médicale un cas vraiment remarquable d'atrophie mus- culaire et
osseuse
du membre supérieur gauche, résultant d'une mono-
râne et, ayant mis à nu la dure-mère, j'ai introduit dans l'orifice
osseux
ainsi obtenu un tube en bois de largeur correspon
nication avec le mano- mètre. L'espace entre le tube et le rebord
osseux
était comblé de stéarine et couvert de collodio
ne aspiration de la dure- mère mise à nu et privée de son enveloppe
osseuse
. Chez l'animal non trépané l'aspiration de la d
imal non trépané l'aspiration de la dure-mère qui adhère à la paroi
osseuse
ne peut avoir lieu, et la pression négative qui
° les organes protecteurs de l'œil; 3° le globe oculaire; 4° l'orhite
osseux
et l'ensemble des parties qu'il renferme. t. vi
ns : i°la glande lacrymale, située entre le globe de l'œil et le bord
osseux
de l'orbite à son angle externe et supérieur; ell
s maxillaire. Cette apophyse descendant en dehors pour former le bord
osseux
inférieur de l'orbite, constitue au devant et au
nstitue au devant et au tiers inférieur du sac lacrymal un renflement
osseux
, dit le tubercule lacrymal, dont le relief sert d
ction du sac. Derrière le tubercule lacrymal se continue la gouttière
osseuse
qui se termineà la rencontre du plancher maxil-la
issie en dehors et en avant où elle forme le sac, se fixe au pourtour
osseux
sur l'apophyse montante de l'os maxillaire, et su
tage en deux moitiés inégales. La supérieure logée entre la gouttière
osseuse
et la caroncule lacrymale, et fortifiée par l'ex-
er de l'orbite, où le conduit ostéo-fibreux se transforme en un canal
osseux
, inextensible, formé dans la paroi externe et ant
e dans le méat inférieur des fosses nasales. A l'in-térieur, le canal
osseux
est tapissé par son périoste que double la membra
procédé de canule à demeure de Dupuytren ; et, en enlevant un disque
osseux
d'une largeur suffisante,elle offrirait, pour une
'instrument perforateur, on se demande s'il y avait bien oblitération
osseuse
. oblitération des conduits lacrymaux. Elle es
nsi la cataracte dure est dite sili— queuse, sèche, cornée, calcaire,
osseuse
, hypertrophiée, atro-phiée, etc.; la cataracte mo
risation est dangereuse: heureusement l'enceinte formée par la cavité
osseuse
conique permet une compression efficace; il suffi
ongueur et la coudure à donner aux cathéters de la trompe d'Eustache.
Osseuse
dans la moitié qui répond à la caisse, fibro-cart
bougies. Il faut distinguer les rétrécissemens placés dans la portion
osseuse
du conduit d'Eustache, d'avec ceux qui siègent da
du nez. La limite de leur extensibilité est déterminée par l'orifice
osseux
vertical quelles masquent et dont la largeur n'es
rendent l'ulcération ou les polypes très rares. La cloison, en partie
osseuse
, en partie cartilagineuse, est quelquefois dejeté
ne commence qu'à treize millimètres (six lignes) en arrière du rebord
osseux
de l'o-rifice nasal antérieur, au delà du canal n
maxillaires (fig. 9) ou avec l'inter-position médiane d'un tubercule
osseux
sous-uasal qui supporte les dents incisives et mê
vice de conformation. Ou la scissure palatine occupe tout le plancher
osseux
d'avant en arrière, et forme une seule lente d'éc
le-dentaires. Dans le cas le plus ordinaire, où existe un tubercule
osseux
incisif, l'opération est plus compliquée : à cett
e forts ciseaux ou des pinces à résec-tion on emportait le tu hercule
osseux
en entier, ou au moins toute sa portion proéminen
ière ou sur les côtés, niais fortement tendue au-devant de la portion
osseuse
proéminente. Cette compression, exercée à demeure
inces incisives bien tranchantes., pratiquer l'excision de la portion
osseuse
; rafraîchir avec le bis-touri les bords et le som
a pu avec le même succès re-dresser et faire consolider le tubercule
osseux
et les dents incisives qu'il s'était borné à redr
-risé, il est vrai, par la situation de la plaie dans un encastrement
osseux
. L'accident le plus commun a été la paralysie du
cer où l'on craindrait que la maladie n'eût attaqué l'une des parties
osseuses
au con-tour. Tout étant disposé, la forme de l'
ans cette variété qui n'occupe que le voile du palais, et où la voûte
osseuse
palatine n'est point intéressée, la scissure ordi
2), l'opérateur détache en dessous la membrane palatine de la surface
osseuse
, de ma-nière à pouvoir rapprocher les bords par l
rare aussi d'y observer de petits fongus. La proximité de la surface
osseuse
rend le procédé d'extir-pation très facile. La bo
la lame avec le pouce gauche. Dans le vieillard, où ce cartilage est
osseux
, le mieux serait de le scier d'abord jusqu'à la t
ous avons répondu à la prétendue impossibilité de couper le cartilage
osseux
chez le vieillard. Enfin, la trachéo-tomie , par
indiquerait quel' instrument y est parvenu. Enlevant alors le disque
osseux
, et divisant l'aponévrose avec beaucoup de ménage
elles de l'ischion (M. Damourette), du sacrum (M. Haber) ; les kystes
osseux
(Boyer) ou les tumeurs osseuses, fibrineuses, squ
tte), du sacrum (M. Haber) ; les kystes osseux (Boyer) ou les tumeurs
osseuses
, fibrineuses, squirrheuses (Pl. 53, fig. 11 et 13
et ses résultats. Le bassin de l'homme formant une vaste enveloppe
osseuse
, épaisse et garnie de masses musculaires et de va
s peut se condenser davantage et devenir fibro-cartilagineux, et même
osseux
; il peut aussi dégénérer et deve-nir lardacé, sar
urs points de son épaisseur, des poils et quelques parcelles de tissu
osseux
et de tissu cutané, tandis que toute sa circonfér
e, par sa nature et son étiologie, ne soit qu'une variété des tumeurs
osseuses
et fibreuses; avec ou sans pédicule, décrites par
spèces d'altérations : mélanose , concrétions calcaires , productions
osseuses
et carti-lagineuses , corps fibreux, tubercules ,
ns avec l'un et l'autre tranchant, en rasant à plusieurs fois l'angle
osseux
où elle s'implante. Section du petit oblique.
it oblique est vu immédiatement dans sa gaine, près de son inser-tion
osseuse
. Rien de plus simple (pie de l'isoler et de le sa
hirurgien, entraîne fréquemment l'atrophie ou la résorption d u tissu
osseux
dans les points de pressions, et produit, en part
. J. Guérin. (1) Vues générales sur l'étude scientifique du système
osseux
, page 31 Paris, 1840. «La contracture, dit l'au
. pag. 73). Altération des tissus autres que les muscles. Système
osseux
. « La portion du squelette qui est le siège de la
le, la moelle décrit des courbures d'un plus grand rayon que le canal
osseux
, s'applique fortement contre les conve-xités inté
ire des fonctions chez les sujets atteints de diffor-mités du système
osseux
, constitue une physiologie humaine com-parée, d'a
e la traduction ou l'expression extérieure des difformités de la tige
osseuse
centrale, ou du racbis, dont les moindres altérat
'en soit le point de départ, soit les parties molles, soit le système
osseux
. Ainsi, tantôt la cause première sera une altérat
acens, c'est-à-dire, intermédiaires entre la corde rétractée et l'arc
osseux
, les splénius, complexus, trapèze, angulaire, cer
s de pression une absorption, ou, si l'on veut, une atrophie du tissu
osseux
qui se traduit par une con-cavité; la persistance
al, pratiquée circulairement au travers du sourcil. 2, 3,4, 5. Bord
osseux
de l'orbite. 2, os frontal, 3, os malaire ; 4, pl
(6, 7) pour laisser voir le commencement du canal nasal (18), le pont
osseux
conservé du tubercule lacrymal séparant ce canal
sous de la naissance du canal nasal se voit l'épaisseur de la cloison
osseuse
(8) qui sépare ce canal d'avec le sinus maxillair
gomato-maxillaire. 21. Intérieur du sinus maxillaire, dont la paroi
osseuse
antérieure est enlevée avec les parties molles.
s. Figure 3. Même section que dans la figure 1, la paroi antérieure
osseuse
et fibro-cartilagineuse étant enlevée. Figure 4
l se compose de deux parties : l'une fibro-cartilagineuse, et l'autre
osseuse
. Il est à remarquer que ces deux portions du même
ur les os propres de cet organe. La plaie montre en dedans le contour
osseux
(a) de l'orifice antérieur des fosses nasales for
ans trop contendre le voile du palais, une incision (d), de l'attache
osseuse
au bord libre, a été pratiquée dans cette cloison
s en haut les chairs dans la fosse canine pour mettre à nu la surface
osseuse
. Au moment choisi de l'opération la tréphine est
12a et 12b montrent le calcul par ses deux faces. Figure 13. Tumeur
osseuse
saillante dans l'intérieur de la vessie. Tome 7
gique sur des esprits instables. R. DE Musgrave-Clay. X. Le système
osseux
chez les aliénés ; par J.-F. BRLSCOE. , (Tite J
1 Il est tabétique par la perte absolue des réflexes tendineux et
osseux
des membres inférieurs aussi bien à droite qu'à g
ngue durée, absolument flasque. Aux membres supérieurs les réflexes
osseux
et tendineux existent un peu forts du côté hémi
e du côté gauche. Aux membres inférieurs, les réflexes tendineux et
osseux
sont absents des deux côtés et la paralysie est
s réflexes tendineux, dans le membre dont les réflexes tendineux et
osseux
sont à jamais supprimés. Cécité verbale sans
forme et évolution. IV. - L'exagération des réflexes tendineux et
osseux
(trépidation SOCIÉTÉS SAVANTES. 163 DE L\ rot
e rotulien qui parait exagéré et les autres réflexes tendineux et
osseux
, le réflexe du tendon d'Achille, le réflexe radia
décubitus dorsal, semble bien être en rapport avec des altérations
osseuses
qui ne sont pas sans analogie avec l'ostéoinaltic
la circonstance, erroné. Paralysie générale syphilitique à gommes
osseuses
. M. Marie rapporte aussi l'observation de deux
ervation de deux cas de paralysie générale syphilitique avec gommes
osseuses
sur les tibias et traités Archives, 2* série, t
utôt l'absence de développement de la quantité normale de substance
osseuse
avait été le résultat d'une ossification tardiv
ois son volume normal; la fosse pituitaire est agrandie et sa paroi
osseuse
est anormalement mince. Pas d'adhé- rences ni d
période initiale. On remarque aussi des altérations articulaires et
osseuses
, ayant vraisemblable- ment pour origine des tro
chevelu ne présente aucune lésion appréciable. On enlève la calotte
osseuse
avec la scie, sans entamer la dure- mère. Ce qu
que l'on peut se demander quellr était ici la relation de la carie
osseuse
et de l'abcès, mais il e.-t évident que-cette r
trouvé, dans un cas de mal de Pott, en dehors de toute compression
osseuse
, une destruction presque totale de la moelle au
INIQUE NERVEUSE. compression de la zone rolandique, par le fragment
osseux
réimplanté ; c'est pourquoi, des chirurgiens, e
éo-plas- tique temporaire et contre la réimplantation du fragment
osseux
, dans les cas de trépanation vulgaire (Vergère et
centre trophique dont l'excitation a pour conséquence l'hyperplasie
osseuse
, tandis qu'une cause agis- sant en sens inverse
têtes costales aux cartilages interver- tébraux, on voit des masses
osseuses
compactes de formation récente et sous forme de
ue. Le cas de M. Nalbandow prouve bien la réalité de la déviation
osseuse
par lésions trophiques des vertèbres, ce qui jusq
de mon ami le professeur Bergouié. Elle montre la perfection du cal
osseux
. J'ai pensé, à ce propos, que la radiographie s
i ce fémur présentait une raréfaction plus ou moins grande du tissu
osseux
. Grâce à l'amabilité du professeur Bergonié, qu
porte qu'elle fut la cause, il aurait gagné, avec la simple section
osseuse
, autant que tous les cas connus. En faisant l'i
u un peu en avant de la région rolandique, de manière que la brèche
osseuse
correspondit a la icissure, et que la cicatrice
dure-mère après la trépanation et de ne pas remplacer les rondelles
osseuses
. Lannelongue craignait d'ouvrir la dure-mère, i
i-c 1. Lucas-Chtmpionnière ne craint pas non plus la reconstitution
osseuse
. Les pièces anatomiques de Bourneville et les e
aune proton leur de quatre à sept. Si l'on rencontre une résistance
osseuse
, on retire légèrement l'ai- guille et on la pou
taux à la limite de l ? par Itosenbach, 19-4. Aliénés. Le système
osseux
chez les - , par 13ri.sac, 5S. - en liberté,
s du bulbe dans la par Becliterew, 118. - syphi- litique à gommes
osseuses
, par l' A. Nlarie, 177. Troubles du lan- gage
on très longue et persis- tante ; à plusieurs reprises des écailles
osseuses
furent extraites de sa blessure. La fermeture d
; 2° ou par une irrita- tion lente provoquée par quelques écailles
osseuses
sur la méninge subjacente. Dans le premier cas,
euf ans, qui pré- sente au niveau du pariétal gauche une dépression
osseuse
remon- tant à une application de forceps. Cette
la région du 4-5 processus épineux on constate une saillie dure et
osseuse
. Douleurs intenses dans le cou 132 SOCIÉTÉS SAV
nt livrés à de minutieuses études sur la substitu- tion des défauts
osseux
par un os décalcifié, que proposa un Améri- cai
es muscles pathologiques d'autre- part (muscles avoisinant les cals
osseux
, les abcès, muscles d'atrophie expérimentale, m
rmation de tissu conjonctif ou de ses dérivés, tissu cartilagineux,
osseux
. La théorie de la phagocytose est très séduisan
nale, la tête d'un clou galvanisé' fortement implanté dans la paroi
osseuse
. Le clou, retiré à l'aide d'un davier, mesure 7
; 2° la spire de base des deux limaçons présentait une végétation
osseuse
qui avait détruit les filets nerveux; le bourgeon
égétation osseuse qui avait détruit les filets nerveux; le bourgeon
osseux
hyperplasié se prolongeait vers le centre jusqu
les canaux semi-circulaires il y avait eu une nécrose des éléments
osseux
qui s'était guérie. La nécrose doit être attrib
nent du tissu SOCIÉTÉS SAVANTES. 277 fibreux ostéoïde ou du tissu
osseux
capable d'oblitérer la lu- mière des canaux sem
nion ne'permet- trait pas d'expliquer l'allongement de la charpente
osseuse
des pha- langettes qui du reste se retrouve dan
u développement cérébral, à celle de la craniologie, car le système
osseux
joue un grand rôle dans sa genèse, à celle de l
ébral ne le peut non plus, parce qu'il est renfermé dans une cavité
osseuse
; mais si on en enlève l'os, ça permettra le dév
ment-elles dans l'enfance ? Est-ce par ce que l'activité du système
osseux
l'emporte sur celle du système cérébral ? S'il
les oblitérées. On a délivré la mère avec le forceps. Les éminences
osseuses
du crâne étaient,peu marquées; le front en arri
laire du membre paralysé, dont deux cas en même temps avec atrophie
osseuse
, un avec élévation de la tempéra- ture et deux
tres éléments, et sur- tout, de tenir compte d'un trouble trophique
osseux
ayant pour siège les vertèbres. On connaît des
à faire entrer en ligne de compte pour une grande part l'altération
osseuse
. La scoliose ne s'est produite, et surtout n'es
ont donné des détails permettant de croire à une réelle altération
osseuse
de cette portion du sque- lette. D'ailleurs,
Voilà donc deux faits qui semblent établir l'existence de lésions
osseuses
dans les myopathies, et nous portent un peu à p
rer les divers types 1 HaUion.J ? oct</Ke primitive avec lésions
osseuses
; fracture spon- tanée probable. (France médical
et notre observation en fournit un excellent exemple. La théorie
osseuse
, soutenue par Bouvier 1, Dubreuil2 et plu- sieu
ues généraux, on ne rencontre que très accidentellement les lésions
osseuses
si communes dans la syphilis; on fait entrer dans
nsations du sens musculaire. R. de 111USGriAVe-CLl. f VIL' Pointe
osseuse
, provenant d'une fracture du crâne par coup de
re était un peu atro- phiée, comme par une compression. Le fragment
osseux
était enchâssé dans les vaisseaux de la pie-mèr
che de tissu conjonctif sclé- reux, qui contenait ça et là du tissu
osseux
, des glandes séborroï- ques. Une trouvaille rem
de la montre est entendu à une distance raisonnable, la conduction
osseuse
des sons est normale, l'orientation des bruits
radiculaire par arrachement, compliquée d'hémalomyélie. Sensibilité
osseuse
décelée par le diapason. M. EGGER présente le d
GGER présente le diapason avec lequel il recherche la sensi- bilité
osseuse
et qu'il considère comme l'irritant spécifique de
i a perdu toutes les autres sensibilités, a conservé sa sensibilité
osseuse
au diapason (ce qui expliquerait la non-flacci-
dissociation possible des autres sensibilités et de la sensibilité
osseuse
. M. Dufour. En effet, la cocaïne qui anesthésie
eumonie de la base. 'La moelle est extraite facilement ; le canal
osseux
, les méninges et l'axe nerveux ne présentent ri
es points à partir desquels décroît l'abréviation delà transmission
osseuse
, on peut en quelque sorte localiser la surface
altérations qui produisent ce raccourcissement t de la transmission
osseuse
indépendant des affections de l'oreille interne
de G têtes. L'âge produit une petite abréviation de la transmission
osseuse
, à raison de la plus grande sécheresse des partie
ralysie radiculaire traurualique du plexus brachial avec al2-opiies
osseuses
et troubles de la pression artérielle dans le mem
pe radiculaire supérieur. On constate chez ce ma- lade une atrophie
osseuse
très apparente de l'omoplate, de l'humé- rus, d
trouble de l'innervation sympathique vasculaire. Quant à l'atrophie
osseuse
, rarement signalée dans les paralvsies radicula
rticolis est musculaire ou non musculaire (cicatriciel, névritique,
osseux
, etc.) ou mental enfin. Et si nous pensons qu'i
ir aucun trouble des sensibilités cutanée, musculaire, articulaire,
osseuse
. Mais ils n'ont pas une notion exacte de leurs
ses cancéreuses vertébro-spinales, à côté de la forme primitivement
osseuse
classique, il faut faire place à une forme radi
t sa durée. Ainsi, il pourra subir la transformation calcaire, même
osseuse
, mais il continuera 366 .SOCIÉTÉS SAVANTES. à
cône terminal et des racines du plexus sacré, soit par un fragment
osseux
, soit par une hémorragie immédiate. Seules la 5
re l'occipital de l'atlas. C'est à la moitié supérieure de l'hiatus
osseux
en question que les deux artères vertébrales s'
e de haut en bas et inversement juste au milieu autant que l'hiatus
osseux
le permet, de façon à bien séparer les tissus.
e d' -, par Cestan et Dupuy-Dutemps. 391. Arme A FEU. Voir Pointe
osseuse
. Assistance des idiots. Un imbécile incendiai
à la chorée, jldl'UIllSaÿ, 522. Fracture 'du crâne. Voir Pointe
osseuse
. spontanée, par 11er- but t Spicer, 118. Géan
67. - radiculaire trau- matique du plexus brachial avec atrophies
osseuses
et troubles de la pressionartélielle danslemem-
38 Platine. Voir' Golryi. Plexus brachial. Voir Xévrite. Pointe
osseuse
, provenant d'une fracture du crâne par coup de
L'évolution du des couleurs; par Edridge-Green, 503. Sensibilité
osseuse
décelée par le diapason, par Eggcr, 65. Voir
ie le 27 août 1881. - La voûte crânienne est très épaisse, le tissu
osseux
est dense : la dure-mère est épais- sie ; adhér
dense : la dure-mère est épais- sie ; adhérente ça et là à la boîte
osseuse
: la base du crrîaze est régulière et symétriqu
Tête : Cuir chevelu excessivement épais. Crâne très petit. Calotte
osseuse
dure et dense, peu épaisse, frontal, pariétaux,
a dure-mère, un peu épaissie adhère à la partie médiane de la voûte
osseuse
. La pie-mère n'est pas congestionnée. Hémisphèr
t au petit trochanter. Les parties molles qui avoisinent la masse
osseuse
, présentent un aspect fibroïde, blanchâtre, peu
mais sans faire corps avec le fémur, se rencontrent des productions
osseuses
, disposées sous forme de stalactites aplaties q
ue des cartilages, et, enfin, l'éburnation par plaques des surfaces
osseuses
; telles sont les principales lésions que nous a
es ; calculs biliaires ; . ostéomalacie : des- cription des lésions
osseuses
. Lenorm..., Elise, âgée de 43 ans, estentréeà l
e. Tête. Calotte crânienne régulière et symétrique. L'enve- loppe
osseuse
présente une disposition en sens inverse de la
sion. Tête. Tandis que la base du crâne est normale, la ca- lotte
osseuse
présente une différence des diamètres antéro- p
bérance occipitale interne se trouve déjetée à droite. Sur la voûte
osseuse
, au point de vue de la capacité, on note une di
anes de la base de l'encéphale, non plus que du côté de l'enveloppe
osseuse
. sauf un amincissement de la voûte crânienne, d
tabétique classique, un type anatomique à lésions plus fibreuses qu'
osseuses
qui pourra être dénommé « périarthropathie tabé
t en distingue : une période d'acmé, et une période de régénération
osseuse
. La couche corticale externe de l'os trahit une
, d'un abcès local, mais l'étude critique prouve que le processus
osseux
en est indépendant; ou que s'il a quelque relatio
e chaux. En tout cas c'est un fait plein d'intérêt. Les processus
osseux
dont dépendent, dans la syringomyélie, les frac
ui s'opèrent au sein des os dans la syringomyélie. L'os- téomalacie
osseuse
des fractures spontanées, montrée par Regnard a
raphie répond à l'abondante pro- duction, irrégulière, de substance
osseuse
, qui a lieu dans le cal osseux. P. KERA VAL.
duction, irrégulière, de substance osseuse, qui a lieu dans le cal
osseux
. P. KERA VAL. XLV11. Le rôle de la syphilis dan
que j'ai l'honneur de présenter à la Société offre des altérations
osseuses
et surtout articulaires, qui rappellent, par le
Il a succombé à la tuberculose pulmonaire. Toutes ses extrémités
osseuses
articulaires sont très altérées ; elles sont dé
aces articulaires sont comme rehaussés; il y a comme une collerette
osseuse
au pourtour de chaque surface articulaire. La t
s sur les autres, sans aucune altération de carie ou de tuberculose
osseuse
. L'examen histologique de l'os n'a révélé qu'un
a révélé qu'une forte capillarisa- tion de la moëlle des extrémités
osseuses
, avec amincissement des travées osseuses et irr
e la moëlle des extrémités osseuses, avec amincissement des travées
osseuses
et irrégularité dans la disposition des couches
itement thyroïdien a amélioré cet état même dans ses manifestations
osseuses
, comme l'ont montré des radiographies successiv
autres symptômes nerveux et ne relève ni du tabes, ni des lésions
osseuses
vertébrales, ainsi que permettent de l'affirmer n
s; la cranio- tomie montra que l'épilepsie provenait d'une esquille
osseuse
que la radiographie n'avait pas trahie et dont
es pieds et des mains. A la palpa- tion, ils sont d'une consistance
osseuse
ou cartilagineuse. Sur les radiographies des ge
et des tibias apparaissent très épaissies, tandis que la substance
osseuse
est par endroits raréfiée, et en partie hypertr
n avec soin, on percoit très nettement la présence de deux segments
osseux
qui correspondent aux extrémités supérieures du
n ongle, à l'intérieur duquel la pal- pation ne révèle aucun nodule
osseux
ou cartilagineux. Ce doigt a 2 centimètres de l
bourgeons, car les tubercules digitauxnerenfermaient aucun nodule
osseux
ou cartilagineux. » . C'est ainsi que les chose
remarqués sur le moignon, qui ne renferment eux non plus de nodule
osseux
ou cartilagineux, corroborent bien le fait de c
dérée jusqu'à ce jour comme incurable.G. Carrier. LLY. Hypertrophie
osseuse
dans l'hémiplégie infantile avec athé- toso-cho
et Marie; dans une thèse, inspirée par Destol, sur les altérations
osseuses
dans les affections nerveuses, l'auteur conclua
ans les affections nerveuses, l'auteur concluait que l'hypertrophie
osseuse
ne se trouvait que dans les lésions nerveuses p
es. Dans trois cas, MM. Lannois et Fayolle ont vu l'hypertrophie,
osseuse
accompagner l'hypertrophie musculaire. Dans deux
stol, . car il n'y a ici qu'une simple hypertrophie sans dystrophie
osseuse
, alors que dans le cas de Destol, l'os était al
légie cérébrale infantile, par Lalguel-Lavas«uel 89. Hypertrophie
osseuse
dans l' infantile, par Lauuols et Fayolle 376
upart des ligaments intervertébraux subsistent au-dessous de la coque
osseuse
qui les enveloppe. Ces ligaments n'ont disparu en
mais il n'y a aucune trace apparente d'altération organique du tissu
osseux
. L'affaissement considérable du rachis dans une é
à droite. La macération a emporté avec ces cartilages des particules
osseuses
sous forme pulvérulente, qui augmentaient sensibl
z prononcée, sans angle à la face externe. Sorte de longue aiguille
osseuse
, très grêle, très légèrement courbée en arrière;
ent compte des causes mécaniques qui ont altéré la forine de ces ares
osseux
à un tel point que plusieurs d'entre eux, ainsi p
corps vertébraux appartenant à la courbure principale. Une production
osseuse
semblable, encore plus volumineuse, réunit, du cô
ation du crâne ou du bassin, ne révélait une ancienne lésion du tissu
osseux
. La figure 1 montre quel était l'aspect de la r
al, 5 mars 1898.) Il s'agit d'une fracture du crâne avec dépression
osseuse
: pen- dant qu'on l'examine, le malade est calm
ses camardes l'en ont empêché ; il a un peu saigné du nez. La table
osseuse
est déprimée, mais la peau est intacte. - Une h
plusieurs autres. L'opération du trépan avec relèvement de la table
osseuse
(la dure- mère n'était pas déchirée) fut pratiq
éminées sur la moitié gauche du corps (flg. 4 et b). La sensibilité
osseuse
, arti- culaire, musculaire n'est pas altérée. L
compose en partant de la peau, des seins, des muscles, de laçage
osseuse
thoracique. A noter que la sensibilité du sternum
entimètres à 2 centimètres et demi. Sur la face interne du fragment
osseux
enlevé, on voit une saillie, nettement parallèl
les méninges sont normales, mais déprimées au niveau de la saillie
osseuse
. A ce niveau aussi la substance cérébrale est d
de l'os, ni des méninges, ni du cortex. Sans replacer les rondelles
osseuses
, on suture les mé- ninges et la peau. Les suite
e dernière, par exemple, nous avons constaté la réunion des sutures
osseuses
du crâne ; dans les cas sporadiques, au contrai
tes et permirent de constater, outre la réalité de l'épaississement
osseux
, l'ossifica- tion des ligaments latéraux intern
iers a beaucoup d'influence aussi l'épaisseur des tissus cutanés et
osseux
du crâne ; plus ils sont fins, plus il y a de p
mieux voir les parties de la paroi cranienne composant le fragment
osseux
éliminé. La table externe et une partie du dipl
et B qu'on voit en saillie sur la figure 10, à ce niveau la calotte
osseuse
a été éli- minée dans toute son épaisseur. La
CCIDENTELLE. 305 et B, que la table interne lait partie du fragment
osseux
; ces deux zones, véritables couronnes irréguli
ure survenue au cours d'un accès est plus large que tous les volets
osseux
opéra- toires. Le résultat curatif est le même
ti- guité entre la surface de l'encéphale, les bords de la brèche
osseuse
et les tissus mous qui la recouvrent. Dans la pos
'agissait d'un cas de paralysie périphérique incomplète, par lesion
osseuse
, de l'oculomoteur commun; la réaction pupillair
; des troubles visuels augmentant paral- lèlement aux modifications
osseuses
, ne débutant jamais très 344 -il REVUE DE PATHO
du membre inférieur et de la face. C'est bien la place de la lacune
osseuse
trouvée par Zernow. Et le concours de l'altérat
a lacune osseuse trouvée par Zernow. Et le concours de l'altération
osseuse
et de la localisation clinique implique l'origine
1899. D. DvoïTctOENKo. Contribution « la question de la sensibilité
osseuse
(avec présentation d'un malade). Lorsqu'on appl
part sans ren- contrer de grands obstacles du côté de la substance
osseuse
. La ponction reste indolore. On traite le pouce
3GRNSTEIN croit qu'il est plus correct de l'appe- ler « sensibilité
osseuse
» et non « le sens vibratoire. M. Rorn fait rem
fait remarquer l'importance des troubles précoces de la sensibilité
osseuse
(encore avant l'apparition des troubles de la sen
ui peuvent rendre compte de troubles « trophiques » de la substance
osseuse
. Ont pris part à la discussion MM. KORNILOFF, P
Good, 150 - A la douleur de la peau, par Motschiitlcowsky, 150. -
osseuse
, par Dvoitcheuho, 411, 447. Sexuel. Instinct
l'embryon est liquide, il a besoin d'être contenu dans des enveloppes
osseuses
ou cartilagineuses; or, rien de semblable n'exist
n aux pinces, les quatre autres aux quatre paires de pattes. Un canal
osseux
les protège comme chez les vertébrés , le canal s
ect blanc qui est propre à la substance médullaire. Chez les poissons
osseux
, ils sont tout-à-fait à découvert; chez les raies
ricules offre des objets diffé-rens suivant qu'il s'agit d'un poisson
osseux
ou d'un poisson cartilagineux. Dans le premier ca
s de le dire, les tubercules quadrijumeaux existent chez les poissons
osseux
; ils sont en communication directe, par leur par
croisent, en se plaçant l'un au-dessus de l'autre, chez les poissons
osseux
, et eh s'unissant intimement ensemble, dans les p
rvelet et la portion de substance cérébrale lobulée chez les poissons
osseux
, non lobulée chez les poissons cartilagineux : et
ganglions, il existe chez les poissons et notamment chez les poissons
osseux
, un corps calleux, une (r) Op. cit. p. 144. (
, leur queue est, pour plusieurs, une arme terrible, des prolongemens
osseux
que l'on a comparés les uns à une scie, les autre
, l'un des géans de la mer, a la mâchoire supérieure armée d'une tige
osseuse
longue et solide ; sa force est prodigieuse, et s
est prodigieuse, et sous ce rapport, il surpasse tous les poissons
osseux
, de même que le squale-requin sur passe tous les
cérébral volumineux et un long cervelet; ils ressemblent aux poissons
osseux
, principalement par les lobes optiques. Entre eux
différences ; lisse comme tous les autres ganglions chez les poissons
osseux
, sa surface présente dans la raie bouclée , une d
dans le squale-glauque, Rolando en a figuré dix. Chez les poissons
osseux
, l'encéphale varie aussi sur plusieurs points. Le
à rebours ; le xiphias a sur la mâchoire supérieure, un prolongement
osseux
qui a jusqu'à deux mètres de longueur ; et les po
cs. Leur volume, contrairement à ce qui a lieu dans tous les poissons
osseux
, est constamment moindre que celui du cerveau, qu
ussi de discerner les deux sexes, par la seule inspection de la boîte
osseuse
. Dans celles des espèces où la différence de l'am
étendre apprécier le volume des circonvolutions, à travers les parois
osseuses
de l'enveloppe qui les recouvre. 8° L'éducabili
plus imparfaitement encore que dans aucun autre point de cette boîte
osseuse
, le développement dételle ou telle circonvolution
lieu de la montrer et de la faire toucher, ils présentent une saillie
osseuse
, une bosse du crâne. Ceux d'entre eux qui ont pri
s et que l'examen microscopique montracons- lituées, comme le lis*u
osseux
véritable, par des lames de subs- tance ayant l
, par des lames de subs- tance ayant les caractères de la substance
osseuse
contenant des ostéoblastes et circonscrivant de
tes et circonscrivant des cavités renfermant une vérita- ble moelle
osseuse
. Seule, l'infiltration calcaire faisait défaut, l
)...est un homme d'une (aille au-dessous de la moyenne ; il la face
osseuse
et irrégulière ; strabisme convergent ; oreilles
ras gauche. Il se peut qu'il y ait que coïncidence entre l'anomalie
osseuse
et l'affection nerveuse. Il se peut aussi que l
42.').) , M. î\alhan(lof1' insiste.La décalcification des phalanges
osseuses
est un phénomène singulier, non encore signalé;
s, en l'espèce, tient iL une simple décalcification de la substance
osseuse
fondamentale. Ce n'est pas de l'ostéomalacie, c
le phlegmon en sévissant sur un os déjà miné exagéré la destruction
osseuse
. » P. KERAVAL. XXXVII. La genèse du tabes 5 par
e ; en ce qui concerne les sensibilités profondes, les sensibilités
osseuse
, tendineuse, el nerveuse sont abolies ; mais le
ntation. En effet, pour que les éléments musculai- res, élastiques,
osseux
, cartilagineux ou nerveux se déve- loppent, il
LXXX1Y. Contribution à la question de la sensibilité vibra- toire (
osseuse
),pal' E.A.Schtschkrbak. Nouvelles recher- ches
01. ) De la localisation et de la valeur clinique de la sensibilité
osseuse
ou vibratoire, par L..Minou. (Neurolog. C"l1lml
semble exercer une influence bien plus grande. 3° Les frag- ments
osseux
compris entre le point fracturé et une articulati
recherches sont nécessaires pour savoir s'il existe une sensibilité
osseuse
spéciall ? 1 1 En somme, la nouvelle méthode de
lles avait de- bagreges jusqu'à produire une subluxalion de la tige
osseuse
. L'examen histologique mon Ire que la néoplasie
histologique mon Ire que la néoplasie avait pour origine le lissii
osseux
. ' ' Il s'agissait donc. sans aucune réserve, d
; 6- les enfants atteints de maladies chroniques non contagieuses,
osseuses
, articulaires, CORRESPONDANCE. 1 411 etc., né
atémèses abondan- tes. L'autopsie révéla la présence d'une esquille
osseuse
qui avait déterminé trois perforations de l'oes
t eux-mêmes très divisés et entièrement débarrassés de toute partie
osseuse
. La même observa- tion s'applique aux aliments
main de l'avant-bras ; par Bouchard, 445. Sensibilité vibratoire (
osseuse
). Contribution à la question de la , par Scht
ouche assez grande, lèvre supérieure légè- rement pendante ; palais
osseux
légèrement ogival, voile normal, amygdales non
: AUTOPSIE. - Description du crâne : cicatrisation des brè- - ches
osseuses
dues auxcra ? ttectom.tes; MëntHtte chro- - niq
n voit de nombreuses adhé- rences allant de la dure-mère à la paroi
osseuse
crânienne au pourtour des deux trépanations, su
ance est résistante surtout en arrière, où l'on trouve des avancées
osseuses
partant des bords. A la partie moyenne on voit
s osseuses partant des bords. A la partie moyenne on voit un isthme
osseux
très net. La seconde craniectomie a laissé une
122 IDIOTIE par arrêt DE développement. laquelle on trouve un ilot
osseux
de 8 à 10 millimètres de longueur et de 6 milli
toire ou est-elle due au travail qui s'est effectué dans la bande
osseuse
intermédiaire aux deux brèches opératoires et c
bles apportés par les deux opérations dans la nutrition de la bande
osseuse
intermédiaire. Nous rappellerons à cette occasi
côté droit l'on sent, sous la peau, des irrégularités de la surface
osseuse
; une crête est saillante sur la ligne médiane,
sme (1), en particulier du cerveau, d'où l'idiotie ; sur le système
osseux
, d'où le nanisme, la persistance de la fontanel
ut de la platine de l'étrier, puisque c'est à travers cette surface
osseuse
mobile que le son se propage au labyrinthe. D
aisse voir le fond rouge vif de la caisse. Audition montre par voie
osseuse
, nulle : dix-huit centimètres audition par air
ge type, l'examen de visu constate l'absence de tympan et de chaîne
osseuse
, et montre l'étrier isolé, seul, en place ? 2
et l'étrier seul subsiste. Mais la surdité est complète par la voie
osseuse
, comme par l'air, pour la montre comme pour le
e droite entend la montre à cinquante centimètres, et la perception
osseuse
est bonne. L'oreille gauche ne perçoit rien ni
utané. Il y avait une adipose tellement développée que les saillies
osseuses
des membres étaient masquées, et ceux-ci présen-
int REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 89 qu'on prétend que la calotte
osseuse
n'existe pas. A l'âge de quatre jours, elle sub
tive soit consécutive à l'otite externe. On trouve alors l'audition
osseuse
conservée et l'audition par la voie de l'air fo
crâne; épanchement sanguin abondant entre la dure-mère et la voûte
osseuse
. Hémi- /j ? e droite. Large plaque érylhémateus
parties molles du crâne, etconsiste en une disjonction de sespièces
osseuses
au niveau des sutures sagittale et coronale, au
s membres dans les affections chirurgicales (système musculaire* et
osseux
); par G. Valeiice, 1882. Contribution ri l'ét
ieur' est affaissé. Nulle part, ce-' pendant, on-ne voit'de surface
osseuse
éburnée dans la cavité articulaire. Le cartilag
ON TRAUMATIQUES. 303 n'est directement.à nu. Quelques néoformations
osseuses
peu importantes existent au point d'insertion d
cas l'absence de toute maladie ou lésion de l'ensemble du système
osseux
. - ' ' ? ' Dans l'impossibilité où se, trouvait
sur leurs personnes, à l'exclusion du cas de suicide et des lésions
osseuses
. Nous n'avons ( rien à ajouter à l'analyse prés
pense de la sorte, en tenant compte des revêtements et de la boite
osseuse
, arriver à stéréotyper un plan qui se rapproche
diploé et des os du crâne, une friabilité très prononcée du système
osseux
, de l'athéromasie artérielle, de l'hydrocéphali
IQUE (FRACTURE DU CRANE). - TRÉPANATION AU NIVEAU DE LA CICATRICE
OSSEUSE
. PAS DE MODIFICATION DANS L'ÉTAT DU SUJET; ..1.
Au-dessous, répondant à la cicatrice cutanée, on sent une cicatrice
osseuse
, saillante et un peu rugueuse, ayant la même di
re avec l'équerre flexible, on voit que l'extrémité de la cicatrice
osseuse
n'arrive pas tout à fait jusqu'au niveau de la
fections sont détermi- nées par le traumatisme. Enfin la' cicatrice
osseuse
que nous avons décrite doit comprimer les deux
AUMATIQUE. 59 cette compression était bien réelle et que la saillie
osseuse
externe s'accompagnait d'une saillie interne.)
catrice et dans toute son étendue. On constata alors que la surface
osseuse
était rugueuse et qu'elle pré- sentait des sail
disposées. Trois couronnes de trépan furent enlevées et la fenêtre
osseuse
fut agrandie et régularisée avec la pince de Lu
'adhérence entre la dure-mère et le crâne. Il existait des saillies
osseuses
internes très prononcées qui évidem- ment devai
chirurgical l'opération réussit pleinement et le défaut de la boîte
osseuse
ne mesure aujourd'hui que 5 centimètres de diam
s l'acromégalie sont toutes conditionnées. par la lésion du tissu
osseux
, qui, dans ce cas, consiste dans l'envahissement
a pres- que totalité des os à moelle rouge persistante par le tissu
osseux
d'origine médullaire, ou tissu spongieux. Il co
rachidiens, 'dans des trous de conjugaison, dans le cas de lésions
osseuses
rachidiennes excessives, compression qui entral
- tion d'une cicatrice douloureuse ou l'enlèvement d'une esquille
osseuse
, ont été estimés à trop haut prix selon toule pro
ignalé les particularités relatives à la réossitkation de la brèche
osseuse
chez l'enfant Slif... (véritable suture dentelé
rveau est faible, une légère résistance de la part de son enveloppe
osseuse
peut suf- fire à l'arrêt de son développement.
ue incision faite sur le crâne, l'ablation d'une partie de la boite
osseuse
, car ce n'est simplement qu'accidentellement qu
nt de l'encéphale était comprimé par la résistance de son enveloppe
osseuse
, il y aurait là, en théorie au moins, un motif
vail de réparation, tendant à combler la brèche. Même lès brèches
osseuses
les plus longues ne peuvent être d'aucune utilité
observés, la consé- quence d'un arrêt de développement de la boile
osseuse
; que la synostose ne se montre pas plus tôt sur
Jusqu'au dernier moment que je voyais apparaître dans la . fenêtre
osseuse
la moelle, j'opérais en arrosantconstamment la
paralytique de cette scoliose; il semble s'agir d'une altération
osseuse
primitive. Voilà notre diagnostic sin- gulièrem
oubles observés aux membres inférieurs. Une es- quille, une saillie
osseuse
, peut-être la balle elle- même, a lésé la moiti
ouler, puis s'arrête au bout d'une demi-heure. Quelques frag- ments
osseux
sont enlevés ; à l'une des esquilles adhère un pe
e fétidité. On peut alors mieux examiner le trou fait dans la boite
osseuse
. Il est des plus irréguliers, affectant cependa
racté des adhérences tellement intimes avec le périoste et la boîte
osseuse
, que la dissection n'en peut être complète. Une p
le crochet du marteau dans le trait de scie, pour enlever la boile
osseuse
, le cer- veau et la dure-mère sont tellement ad
Les pédoncules cérébraux ont été arrachés en partie avec la boîte
osseuse
. Leur section achevée, aussitôt on aperçoit derri
terne et postérieure de la calotte crânienne, au niveau de la plaie
osseuse
correspondante, le cerveau a contracté avec la
au faisant suite à celle qui est restée à l'intérieur de la calotte
osseuse
, se remarquent également deux points noirâtres,
le cas de tumeurs cérébrales de traumatismes avec ou sans fragments
osseux
, ce sont encore des poussées congestives partie
si intimes contractées entre la dure-mère, le cerveau et la calotte
osseuse
au niveau de la plaie. Ce fait semble d'autan
s le calme le plus parfait. Le cerveau, les membranes et la calotte
osseuse
n'avaient contracté entre eux aucune adhé- renc
estphal. M. KRONTIIAL montre un chien auquel il a enlevé les parois
osseuses
du canal vertébral. Actuellement, on constate u
onctions chez l'embryon, de faire de l'ontogénie. Chez les poissons
osseux
, le cerveau n'a pas de fonctions; c'est le cent
CALALUS, par Monakow, 400. Canal VERTÉBRAL, ablation des parois
osseuses
du -, par Kronthal, 269. Catalepsie, par Kroepe
s voisines. Les os même peuvent être atteints et de nouvelles couches
osseuses
se développent sous le périoste; il y a véritable
n, elle oifre un léger renflement, marqué par un point de consistance
osseuse
. Toute la cloison des fosses nasales est fortemen
du pied. Par le palper abdominal, on sent dans le bassin une tumeur
osseuse
dont la nature peut être diversement interprétée;
catrisation peut se faire au-dessous, mais c'est l'exception-Le tissu
osseux
ne tarde pas à être gravement compromis et sur di
Gosselin une photographie (Planche XXXIV) qui représente les lésions
osseuses
que l'on peut observer comme conséquence de l'élé
xtrémités inférieures du tibia et du péroné recouverts de végétations
osseuses
, résultat d'une ostéite considérable qui avait en
omène ultime de la marche de l'éléphantiasis l'envahissement du tissu
osseux
par cette maladie ; les os, en effet, ne sont att
tographiques, portant les numéros XXXV et XXXVI, représentent la tête
osseuse
d'un idiot adulte, remarquable par la dépression
peau qui les recouvre est lisse et luisante; il n'y apas de lésion
osseuse
, mais chez trois de ses malades M. Marinesco a
levant la dure-mère et l'écorce après avoir taillé un vaste lambeau
osseux
. Ces indications sont à vrai dire peu fréquente
ois après la première crise : en deux temps : 1° section du lambeau
osseux
et détermination des centres du pouce et de l'i
et communiquait en avant avec le cerveau parmi orifice de la table
osseuse
de la gran- deur d'une pièce de deux francs, ma
te absence de soudure dans une affection où la for- mation du tissu
osseux
est exagérée. On peut penser qu'une autre cause
s de symétrie », des « vices de conforma- « tion de cette enveloppe
osseuse
dans l' « idiotisme originaire », il se trouve
ie à la région tem- poro-pariétale gauche ; 10 centimètres de tissu
osseux
dans le sens antéro-postérieur et 7 centimètres
un coup à la tête avec enfoncement de l'os occipital avec cicatrice
osseuse
consécutive. Un an avant le début de cette affe
rieures sont usées. ' Le malade est de taille moyenne. Le système
osseux
et muscu- laire bien développé. Il présente sur
centimètres 9 millimètres. Le transverse lo centimètres. Les parois
osseuses
sont minces, les TROUBLES TROPHIQUES DANS LA PA
paissie mais fortement congestionnée, un peu adhérente à la calotte
osseuse
. Le sinus longitudinal supérieur est libre de c
lissement de l'écorce résulte de la résistance opposée par la paroi
osseuse
du crâne au développement encéphalique (Ilenle,
n ce point ; après excision de la cicatrice, on enleva une rondelle
osseuse
, qui fut remplacée par une plaque d'argent. Apr
ne continuelle déplétion, elle est pâle ayant le système musculaire
osseux
peu développé. Présente deux petites cicatrices
Le foyer local se trouve directement sous l'endroit de la lésion
osseuse
et consiste dans une simple destruction mécanique
n pour- rait confondre avec elle, savoir le myxoedème, la maladie
osseuse
de Paget, l'éléphantiasis, etc., la simple consta
e donc pas une maladie indépendante. Il n'y a pas de destructions
osseuses
très étendues, auxquelles contredit en effet l'ét
en très peu de temps, 5 à 10 minutes, l'isolement de larges volets
osseux
. Pré- sentation des instruments. Nécessité et
tion, du même côté, de la sensibilité musculaire et de la sensibilité
osseuse
. Les diverses muqueuses du côté droit présentent
e la jambe est mobile en tous sens, les deux extrémités des fragments
osseux
, distantes de trois centimètres, sont visibles au
nge, se lève, marche sans béquilles. La réunion des parties molles et
osseuses
s'était opérée' instantanément. Une légère marque
l l'insinuait du moins. Or, la soudure instantanée des deux fragments
osseux
d'un tibia purulent, la guérison non moins instan
rulent, la guérison non moins instantanée et complète de tuberculoses
osseuses
suppurées et de cavernes pulmonaires ne sont-elle
ntiés. Les ulcérations profondes, et surtout les lésions du système
osseux
, se cicatrisent par un travail lent et progressif
dales sont légèrement hypertrophiées. Du côté des membres, renflement
osseux
très-prononcé et notamment à l'extrémité supérieu
as paralysé. Sur les parties latérales du sternum, ce même renflement
osseux
est manifeste et on le constate encore par places
e l'extrémité supérieure de l'humérus est le résultat d'un renflement
osseux
, lequel s'observe d'ailleurs aux aulres extrémité
renflement osseux, lequel s'observe d'ailleurs aux aulres extrémités
osseuses
. C'est du rachitisme. Faut-il attribuer à cette t
mités osseuses. C'est du rachitisme. Faut-il attribuer à cette tumeur
osseuse
l'impotence fonctionnelle du bras ainsi que le cr
l'eussent point remarqué auparavant, il est certain que ce renflement
osseux
existait depuis quelques années comme il existait
que. On peut encore observer chez lui le long des côtes des aspérités
osseuses
très marquées. 11 jouit, d'ailleurs, d'une excell
L'amaigris- sement est excessif, la faiblesse extrême. Les saillies
osseuses
sont le siège d'eschares. La céphalée est toujo
. Rien d'anormal à l'ouverture de la boite crânienne, pas de lésion
osseuse
; la dure mère est un peu conges- tionnée. Elle
lisés. Le toucher buccal permet de sentir une saillie très dure,
osseuse
, sur la face antérieure de la 4° ou 5° cervicale.
tive appréciable à l'examen ni sur les téguments, ni sur la paroi
osseuse
. Les vomissements sont fréquents, le plus souve
les delà nuque. Le toucher buccal montre tou- jours la même saillie
osseuse
, qui semble une exostose. Il y a un peu de tach
ue dans le service, sa plaie est complètement cicatrisée. La brèche
osseuse
est un peu rétrécie par des productions osseuse
catrisée. La brèche osseuse est un peu rétrécie par des productions
osseuses
périphériques amenant un épaississement de la p
sont atteints, mais, disons-le de suite, fort rarement. Le tissu
osseux
. Y a-t-il une altération des os chez les paraly
généraux ? La question n'est pas résolue. Pour Fovillel « le tissu
osseux
en général subit chez les paraly- tiques une so
nérale, « dans la plupart des cas, produit une raréfaction du tissu
osseux
, » dit M. Ch. Vallon2, dans sa thèse inaugurale
ique ( ? ). L'autopsie fut faite : il y avait dénu- dation du tissu
osseux
. Cependant l'autopsie fut incomplète : ni le ce
rte de fracture pathologique consécutive à la dénuda- tion du tissu
osseux
. M. Régis', deux ans plus tard (1878), revient
rempli d'un liquide col- loïde), ainsi que les cellules ou vacuoles
osseuses
comprises au voi- sinage de ce sinus, entre la
rités de ce cas, l'auteur signale : la symétrie croisée des lésions
osseuses
(humérus gauche, radius droit, fémur droit, pér
l'on pourrait seulement se demander si les lésions vas- culaires et
osseuses
ne sont pas sous la dépendance du même trouble
d'unetumeur REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 405
osseuse
du pied ainsi que de tuméfactions du frontal doul
eresthésie des sensibilités profondes (tendineuses, articu- laires,
osseuses
, musculaires). On pourrait peut-être même admet
-nant des fibres élastiques. L'externe est en rapport avec la surface
osseuse
et parcourue par de nombreux vaisseaux. L'interne
es régions postérieures du cerveau, la loge constituée par les parois
osseuses
de l'occipital et le repli horizontal de la dure-
e frontal ; en haut, le pariétal; en arrière, l'occipital. Ces parois
osseuses
sont formées de deux lames de substance compacte,
vitrée. La substance spongieuse est composée par de petites lamelles
osseuses
interceptant des espaces aréolaires dans lesquels
cées de chaque côté du vomer, et en bas, par l'os palatin. Ce contour
osseux
présente un plan résistant très utile pour le tam
ure inférieure du conduit fibro-cartilagineux qui fait suite au canal
osseux
s'ouvrant dans la caisse du tympan et dont l'ense
ais il n'existe en ce point aucune cause de compression. Le tissu
osseux
n'est pas altéré ; le canal vertébral présente un
us-jacent aux parties molles ; celles-ci étaient accolées aux plans
osseux
et tendues, comme si elles avaient été trop court
lier, la syringomyélie peut s'accompagner d'un processus d'atrophie
osseuse
. , A. FENAYROU. IV. Glande thyroïde et glandu
t coïncidence, mais bien rapport de cause à ellet entre les lésions
osseuses
et celles de la moelle épi- nière. Il n'y a pas
ce symptôme du nom d'apophysalyie. Elle serait due à la congestion
osseuse
et capable de compliquer gravement le mal de Po
nt, la démarche est franchement spasmodique. Les réflexes profonds (
osseux
, tendineux, musculaires), sont extrêmement exa-
ce que, au sur et à mesure, elle se déplisse et se colle aux parois
osseuses
. Puis on procède comme il a été dit suprà. b) B
econde partie, il insiste sur le mode de réossification des brèches
osseuses
, sur les lésions d'ostéite hypertrophiantequil'ac
ânienne d'un vieillard de soixante-douze ans, offrant une cicatrice
osseuse
, avec exostoses à la face interne, d'où les lés
siège entre le cer- veau et le crâne est, au moyen des canalicules
osseux
, en commu- nication avec les veines qui travers
n, le courant veineux des veines des os aspire dans les canalicules
osseux
du crâne, de même que tout liquide s'écoulant d
rable des médius et index gauches, intéressant à la fois les tissus
osseux
et les parties molles (photo et radiographies).
coce de la vitalité de certaines régions du squelette conjonctif et
osseux
, sur un terrain de défaut congénital de dévelop
- Les deux lignes sclérodermiques, d'aspect nacré, avec dépression
osseuse
correspondante, partent de la racine du nez et
atteinte que les racines, car Schullze a démontré que les fragments
osseux
rétrécissent sur tout le canal vertébral sur la
u de l'apophyse olécrâne du côté gauche. Cavité crânienne. La boite
osseuse
, le péricrâne sont sains. Il existe quelques ad
servation. G. D. XI. Noie SUR UN cas DE pied tabétique avec lésions
osseuses
ET artiiropathies ; par M. le Dr J. BOYER. (Lyo
e transmise au liquide cérébro-spinal, d'où elle gagne les parois
osseuses
ou élastiques de cette cavité. Mais quelle est l'
t par le développement de la puberté'. L'accroissement du système
osseux
, particulièrement vif à cette époque, et surtout
up d'auteurs sur l'existence d'une altération particulière de tissu
osseux
dans la paralysie générale. Pour combattre cett
tions que l'on a invoquées pour démontrer cette altération du tissu
osseux
sont peu probantes, car, sans parler des lacune
xiste, dans la paralysie générale, une altération spéciale du tissu
osseux
. M. MARtQUK(de Bruxelles) a pris ensuite la par
r la jugulaire interne. L'exploration ne révéla aucune dénu- dation
osseuse
. Il n'y eut pas de surdité consécutive. La lésion
rge de 3 centimètres. Le fond de la cicatrice est ferme quoique non
osseux
, et une pression raisonnable ne fait pas souffr
pérée à la pentecôte de 1884; on aurait extrait du cerveau un éclat
osseux
. Ou ne connaît aucune tare héréditaire dans la
che, existe une large cicatrice radiée, adhérente à l'os ; le tissu
osseux
lui-même déprimé se creuse de plus en plus vers
st très petite. Tout le reste du coeur est normal. Pas de lésions
osseuses
du crâné, pas d'asymétrie. Le rocher gauche int
lui fournissent l'olécrâne et l'épitrochlée, reposant sur un plan
osseux
résistant, recouvert seulement par la peau et é
ime. et les phalanges par les lombricaux qui suppléent les inter-
osseux
innervés par le nerf cubital et dont l'action d'e
ait altérée, mais l'était incomparablement moins que les extrémités
osseuses
appartenant à l'articulation. Selon nous, la ru
Selon nous, la rupture tient très probablement à la lésion du tissu
osseux
, à une sorte d'arrachement au voisinage de la c
urs aucune ecchy- mose sous-cutanée '. » Les altérations du tissu
osseux
dans les arthropathies sont démontrées chimique
uivante exprimée par M. Després : « L'existence de petits fragments
osseux
du voisinage des surfaces articulaires, dit ce
e cas, qui est le plus fréquent, surviennent l'usure de l'extrémité
osseuse
et par te lait l'arthropathie; dans le premier
s sa partie supérieure, est notablement atrophiée ; les éminences
osseuses
font une saillie très apparente sous les tissus,
ouleur, thermique et électrique, est normale. L'examen du squelette
osseux
ne montre aucune différence entre les deux côté
ique. Lamalade est de faible constitution, le système musculaire et
osseux
peu développés. Les pupilles sont inégales, la
hysique. Le malade est de petile taille, le système mus- culaire et
osseux
bien développés, ne présente pas d'asymétrie du
décembre 1895. Etat p/i ? Me.Taiile moyenne, les tissus musculaire,
osseux
et cellulaire sous-cutané peu développés. Les t
patiente est de stature moyenne, de constitution débile; le système
osseux
bien développé; le système musculaire et le tis
dents sont irrégulièrement implantées, les systèmes musculaire et
osseux
médiocrement développés, ne présente aucune trace
éguments sont pâles, le système musculaire peu développé; tesystème
osseux
normal ; les extrémités froides et cyanosées. L
aille moyenne, constitution débile, les téguments pâles, le système
osseux
et musculaire peu développés. Présente comme st
onstitu- tion forte en apparence. Le système musculaire, le système
osseux
ainsi que le tissu cellulaire très bien dévelop
aille moyenne, de bonne constitution et bien développée; le système
osseux
et musculaire ainsi que le tissu cellulaire sou
ra complètement disparu, le système musculaire médiocre, le système
osseux
bien conformé. La tête ne présente pas d'asymé-
térise par le dépôt de masses 326 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
osseuses
dans le tissu conjonctif des muscles, dans les te
flement cer- vical. La tête de l'humérus présente des excroissances
osseuses
, encore plus prononcées que dans le premier cas
ervi à l'évacuation de collections sanguines récentes et la plnq2ce
osseuse
a été remise en place, pratique constante que pré
quadrilatère déta- ché de la table interne du temporal. Cette lame
osseuse
, mesurant 2 centimètres sur 3, avait un bord ta
érés psychiques ; 3° Difficiles ; 4° Anormaux psychiques (lésions
osseuses
au début ou en voie de guérison, acromégalisme, g
e le soulèvement d'un ou deux millimètres seulement de ce grand volet
osseux
arrive à augmenter la capacité cranienne dans une
raniectomie droite et quelquefois même à sectionner plus tard le pont
osseux
intermédiaire au voisinage du bragma. 11 est do
cerveau et le projectile fut extrait avec une petite pince. Le volet
osseux
fut rabattu aussitôt et la peau suturée en surjet
aussi à noter que l'hémorragie a été très abondante tant que le volet
osseux
n'a pas été mobilisé, qu'elle a diminué dans la p
bilisé, qu'elle a diminué dans la proportion des 3/4 dès que le volet
osseux
a été mobilisé et qu'elle s'est complètement arrê
fusil ou sabre. Le métal, par sa dureté, contient, comme la matière
osseuse
, une indication de résistance et de force ; nous
probablement un syphilitique. Contentons-nous de dire que son système
osseux
a souffert dans son enfance. Son nez cassé offre
épaissies. On ne pourrait mieux comparer ce malade qu'à un léontiasis
osseux
. Mais cet état, décrit par Virchow, est si rare e
le médius de la main gauche sont raccourcis par suite de tuberculose
osseuse
qui a déterminé l'élimination à gauche d'une phal
ut opéré, à plusieurs reprises, sous le chloroforme, pour des lésions
osseuses
qu'il dit avoir été d'origine traumatique. Quelqu
puis quelque temps, l'enfant a beaucoup maigri; toutes les saillies
osseuses
se dessinent en relief : la face a un aspect ab
tiers de leur course, par l'augmen- tation de volume des extrémités
osseuses
. Cette hyperostose porte sur l'extrémité inféri
ne plutôt, on le sait, une atrophie qu'une hypertro- phie des têtes
osseuses
, et nous ne' l'avons, pour notre part, jamais v
grosses jointures des membres. L'autopsie démontra que les lésions
osseuses
relevaient, en effet, du rhuma- tisme chronique
que l'auteur a entreprises sur la fréquence des réflexes tendineux,
osseux
, tégumentaires, pupillaires chez les en- fants
inue. P. K. XXXV. Observation d'atrophie musculaire, articulaire ET
osseuse
, névropathique, ayant par son étendue entraîné
r : jamais de douleur au reste, ni d'o,téophytes sur les extrémités
osseuses
atteintes. La longue durée du processus compati
racture que l'on voit dans l'observa- tion succéder aux altérations
osseuses
, articulaires, ligamen- teuses, l'immobilité de
, d'ailleurs, les rétractions aient accompagné ou suivi les lésions
osseuses
. La solution de ces problèmes dépen- dant d'un
muscles des éminences thénar et hypothénar et des muscles inter-
osseux
de la main droite, avec paralysie de ces mêmes mu
ans la genèse de l'), 259. Atrophie, musculaire. articulaire et
osseuse
, névronathique, ayant, par son étendue, entraîn
. La faux du cerveau présente dans son quart antérieur une plaque
osseuse
ovalaire, à grand diamètre antéro-postérieur, l
ans un sens et une mesure appropriés au but à atteindre les leviers
osseux
constituant l'armature des membres ou du tronc.
par la coexistence de certains symptômes, arthropathies, fragilité
osseuse
, amaurose, troubles psychiques ou seulement déf
Il nous suffira de rappeler que l'état cachectique et la fragilité
osseuse
sont en effet des contre-indications de la rééd
rocessus hypertrophique intéresse à la fois les par- ties molles et
osseuses
. Dans le premier cas, il y a rétrocession du pr
radiographie. Il insiste sur l'existence d'une période préataxique
osseuse
chez les tabétiques, caractérisée surtout par l
rovoquent pas de douleurs. Cette diffusion se ferait par les canaux
osseux
de la face, qui à l'inverse des parties osseuse
ait par les canaux osseux de la face, qui à l'inverse des parties
osseuses
offrent une moindre résistance au passage du cou-
voir de rapport direct entre la paralysie faciale et l'hypertrophie
osseuse
. Celle-ci tient à la flaccidité de la joue para-
il en était résulté une fracture du crâne, suivie d'une réparation
osseuse
incomplète ; la substance cérébrale avait été .
par la compression exercée sur la tête de l'enfant par la ceinture
osseuse
du bassin, au cours du travail, ou encore par l
n ou 272 ) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. d'une perte de substance
osseuse
au point atteint. Le mode d'ac- tion du traumat
enfant n'ont aucune ten- dance à se réparer ; la perte de substance
osseuse
tend même à s'agrandir et ce fait, joint à l'ab
tude des rapports de l'impotence musculaire et de certains troubles
osseux
dans l'hémi- plégie infantile. De l'étude du fé
été singulière- ment entravé par les lésions existantes du système
osseux
, et que par conséquent le nanisme actuel en ait
gles courts. Membres inférieurs : rien à signaler, pas de déviation
osseuse
, pas de pied plat. Ongles et orteils courts.
et tandis qu'il siégeait au pôle occipital au voisinage de la plaie
osseuse
constaté. Le seul symptôme qui eût permis de lo
ements, cécité), etc. A l'autopsie en même temps que l'hypertrophie
osseuse
fronto- pariétale droite, ou trouva une série d
ineuses, puis elles subissent au sur et à mesure une transformation
osseuse
. Chez notre sujet le retard de l'ossifi- cation
deux parties égales l'angle limité par les branches contiguës des V
osseux
signa- lés à l'instant. Face. L'atrophie du m
d'un adulte. Cette dysharmonie entre les deux modes d'accroissement
osseux
, l'un par les cartilages de conjtt- gaison, l a
st fermée et, à l'autopsie, nous avons trouvé à sa place une plaque
osseuse
transparente. IV. Bien que Deb..., fût âgé de p
ette rele- vant de diapédèse particulièrement marquée dans le tissu
osseux
, comparable à l'altération trophique ultérieure
teur) pesait Sa grammes, celle du côté droit en pesait 182. Lésions
osseuses
à type hypertrophique des tètes humérale et rad
s et les muscles autour de l'articulation; enfin que les trabécules
osseuses
sont éburnées, raréfiées, dissociées. Ils montr
sels de chaux peuvent presque totalement disparaitre du cartilage
osseux
, passagèrement. Les fractures spontanées du tab
longs due principalement à une disposition anormale des trabécules
osseuses
(structure patho- logique), et à des altération
l pour qu'on puisse alléguer la transmission directe des vibrations
osseuses
au muscle lui-même. De plus, dans la paralysie
déformation des doigts ; 3° l'absence d'issue au dehors de fragments
osseux
. La présence de ces caractères suffit pour vous p
i adhère aux os sous-jacents dessinant pour ainsi dire le squelette
osseux
de la région. Au niveau du menton, cet aspect est
ci, vous ne trouvez jamais de nécrose des os, ni d'issue de fragments
osseux
au dehors ; les mutilations s'établissent graduel
avant, me permettent de penser que le nerf est soulevé par une crête
osseuse
dépendant de la fracture, comme cela s'est rencon
dans sa couleur. Sa face profonde repose immédiatement sur une crête
osseuse
, aiguë et tranchante, formée par l'arête du fragm
ette dénomination les lésions cutanées, sous-cutanées, ligamenteuses,
osseuses
, entant qu'elles relèvent d'une altération dynami
ourrait appeler chiroméga-lie (1), tels sont les troubles tro-phiques
osseux
et ligamenteux qu'on rencontre le plus communémen
orie paralytique de celte scoliose; il semble s'agir d'une altération
osseuse
primitive. Voilà notre diagnostic singulièrement
s troubles observés aux membres inférieurs. Une esquille, une saillie
osseuse
, peut-être la balle elle-même, a lésé la moitié d
tiquer 10 fois, lui permit de constater l'existence de cicatrices
osseuses
, d'adhérences de la dure-mère au crâne, etc...
euvent se présenter. Si le crâne a été entamé, s'il y a eu fracture
osseuse
, il restera des traces extérieures, visibles, d
naissance au point même où a porté le choc, mais de ces concrétions
osseuses
qui siègent généralement dans les replis de la
s l'analogie m'autorise certainement à conclure que les productions
osseuses
dont je m'occupe^peuvent avoir pour cause un tr
profondes, plus ou moins étendues, exostoses, pertes de substance
osseuse
, ce sont là des faits d'une constatation banale.
que je pratiquai avec le plus grand soin, me démontra que la plaie
osseuse
n'intéressait que la table externe du frontal :
le cerveau et la moelle, enfermés qu'ils sont dans leurs cavités
osseuses
, et ayant leurs vaisseaux protégés de même, ne
s passages étroits par où le sang sort de ces organes. Les canaux
osseux
dans lesquels les vaisseaux sanguins sont creus
d'une autre en arrière de la cavité axillaire ; quelques callosités
osseuses
. Intégrité des muscles et des nerfs. On constat
t-à-dire de celles qui ont pour origine une cause locale, une carie
osseuse
par exemple, mais de ces formes beaucoup plus r
uelle. Entre le manteau purement épithélial du cerveau des poissons
osseux
, et celui des .amphibies, on ne connaît pas de
es et diaphanes. Cependant il n'y avait pas de perte de substance
osseuse
. f. Enfin, et pour terminer, nous voulons attir
t donné lieu à aucun phénomène spécial. E. B. VI. LES difformités
OSSEUSES
DE la tète ET la dégénérescence ; par le Dr CUL
, l'auteur fait une étude critique de la valeur des malfor- mations
osseuses
de la tête et de la face en tant que stigmates de
normes, athrophies ou hyper- trophies tendineuses, cartilagineuses,
osseuses
alleignan t des propor- tions extraordinaires,
que ces lésions articulaires commencent par des troubles trophiques
osseux
périostiques ou médullaires. Les altérations ar
e tabes sensitif a des troubles tro- phiques articulaires etsurtout
osseux
, parce que les centres spinaux de réaction nutr
et qu'il existe des exostoses épiphysaires et même des productions
osseuses
extra- capsulaires. La caractéristique de l'art
ropathie est l'hyperostose, cependant on trouve aussi des atrophies
osseuses
et souvent la coexistence des deux dystrophies.
nt sensibles aux trépidations communiquées à celles-ci par la paroi
osseuse
sous-jacente. 8° Enfin, à l'orientation objec-
a tête deux ans aupa- ravant et trépané pour l'ablation d'esquilles
osseuses
, présente dans la suite des crises d'épilepsie
les lésions locales des vertèbres (tubercules, périostite, sclérose
osseuse
syphilitique); la seconde révèle des lésions pro-
dans une proportion de 0,7 p. 100. Kroemer a trouvé des lamelles
osseuses
de l'arachnoïde dans une proportion de z8 p. 100,
mprenant la glande ? par l3erl;ley, 154. Plexus brachial . Suture
osseuse
dans les fractures fermées de la clavicule av
entraînent la chute par luxation. L'alvéole transformée en cornet
osseux
extrêmement mince et friable, peut tomber et s'ex
avec une sorte de nanisme cérébral consécutivement à la pression
osseuse
, et que la craniectomie en modifiant ces conditio
e en atténuant les symptômes de compression lorsqu'une hypertrophie
osseuse
d'ori- gine constitutionnelle a déterminé une s
: la trépanation, prati- quée dans le seul but de relever la table
osseuse
déprimée, a per- mis ici de libérer le cerveau
es comme étant des abcès tuberculeux symptomatiques d'une affection
osseuse
de même nature. Un examen détaillé du bras droi
mais constitue véritablement un phénomène réflexe à point de départ
osseux
ou périostique. G. D. LXIII. Sur la méningite T
ion du traumatisme. Il pense intervenir. LXVII. Un cas DE maladie
osseuse
DE Pajet SUIVI d'autopsie. Ce cas est intéressa
e. Ce cas est intéressant en raison de l'étendue des déformations
osseuses
et de certaines manifestations nerveuses. Homme d
es présentent plusieurs apophyses tranverses réunies par des jetées
osseuses
. Membres supérieurs indemnes. Membres inférieur
ndensante et d'autres taches rouges d'ostéite raréfiante. La moelle
osseuse
est très vasculaire. L'examen histo- logique de
ammes. Poids des reins 130 et 135 grammes. Le diagnostic de maladie
osseuse
de Pajet n'est pas douteux. M. Pic appelle l'at
po-phalangiens, peut-être par une déformation légère des extrémités
osseuses
, et réalisée avec un certain degré de flexion p
Organe pseudo-électrique chez le Mormyrus, 480. PAJET. Maladie
osseuse
de -, par Devay, f6S. Paralysie des l'le et V
système musculaire paraissait en voie de régénération, et les têtes
osseuses
avaient certainement un peu diminué de volume (
es mouvements et de la marche, de la diminution de volume des têtes
osseuses
et de l'amélioration de l'atrophie mus- culaire
qui les caractérise, au lieu de représenter un organe en apparence
osseux
et mobile comme la queue du bouc ou du cheval,
« Enfin, au point de vue de la forme extérieure, cette déformation
osseuse
a pour effet la suppression presque totale de la
emarque pas non plus d'asymétrie bien nette, cependant les saillies
osseuses
paraissent moins accentuées du côté gauche ; l'
tant plus tard, elle évolue dans un organisme dont le développement
osseux
est achevé ou près de l'être. De plus, dans ces
lement allongée en ovale, comme elle devint plus tard, les saillies
osseuses
étant beaucoup plus masquées par le tissu adipe
e une quinzaine de jours et où, dit-il, on aurait parlé d'affection
osseuse
des vertèbres et porté un pronostic grave. '
ouve au niveau des 5 premiers anneaux de la trachée, une esquille
osseuse
courbe, fragment de côte de 3 centimètres de long
de long sur 0,003 de large. A ce niveau existe une petite parcelle
osseuse
détachée de la principale. (Fig. 8). A un cen
entation du liquide céphalo-rachidien, par suite de modifications
osseuses
sur lesquelles nous reviendrons, le crâne n'est
ulier tenir compte de ces faits et ne pas oublier que la résistance
osseuse
est elle-même dépendante de nom- breuses influe
de nom- breuses influences physiologiques ou pathologiques : état
osseux
du sujet, en rapport avec sa nutrition ou sa dénu
çon générale les épilep- tiques ont incontestablement une nutrition
osseuse
supé- rieure à celle des idiots non épileptique
on en régularise les bords à la gouge, de façon à former un orifice
osseux
unique découvrant un champ triangulaire de cinq
atrice \ crânienne on sent encore les bords restés nets de la plaie
osseuse
toujours béante... En 1892, 1893, 1894, la situat
tée fort arriérée, la tête est restée petite, les bords de la plaie
osseuse
sont devenus mousses, t'orifice craniotomique s'e
i-centimètre au moins. Mais à la partie antérieure la prolifération
osseuse
a été plus rapide et plus intense, elle s'est é
exagérés mais il n'existe pas de trépidation spinale. Les réflexes
osseux
et tendineux des bras sont forts, le réflexe mass
omplètement atrophié et on retrouve à la mensuration les caractères
osseux
de l' « infan- tilisme thyroïpnve ». Les antécé
sie consistaient dans une félure de l'os occipital sans déplacement
osseux
et dans un épanchement sanguin abondant à la ba
ance cérébrale était retombée à environ six centimètres de la paroi
osseuse
. Le malade présente encore des crises convulsiv
es mouvements ne reste pas sans influence sur les os et la moelle
osseuse
, par conséquent sur la composition du sang. Sou
de Berlin pour 1760 des observations de Meckel sur les déformations
osseuses
du crâne, par rapport aux anomalies de l'encéph
e. 4° Les imperfections cérébrales de type « mongol », des tissus
osseux
, cutané, muqueux et cardiaque. 5° Les cas névro
âne lui-même est généralement mince et, entre autres particularités
osseuses
, nous notons presque invariablement dans ce typ
ucun cas d'idiotie pouvant être rattaché exclusivement à une lésion
osseuse
, en particulier à une synostose prématurée des
de substance, en palpant son crâne X; ainsi, au niveau de la lacune
osseuse
qui porte sur toute la moitié gauche du crâne,
re-vingt-six ans, indemne de difformité exté- rieure ; mais le dôme
osseux
du crâne est hypertrophié, les fos- settes crân
nes sont renflées par des hyperostoses; il s'agit ici de néopla=ies
osseuses
compensant le vide intra-crânien causé par une
nt des 96 SOCIÉTÉS SAVANTES. synostoses suturales ou d'affections
osseuses
, que d'anomalies pri- mordiales dans le dévelop
simples. Cette simplicité n'existe réellement que chez les poissons
osseux
(Rabl Rüclihardt) qui ne possèdent encore pas de
e avait été indolente. Un épaississement considérable des épiphyses
osseuses
dans l'arti- culation métacarpo-phalangienne du
ATION X existaient des épaississements considérables des extrémités
osseuses
dans l'articulation métacarpo-phalangienne du p
ibuées par le malade à une brûlure « acciden- telle » des fractures
osseuses
à un traumatisme accidentel, etc., et pourtant
x, le' plexus veineux du rachis, qui, étant placé contre les parois
osseuses
du canal, occupe une grande place, tend à se vi
psie montra, sur les côtés de la gouttière hasitaire, deux saillies
osseuses
du volume d'une petite noisette, ayant l'appa-
le du côté droit, et toutes deux étaient rugueuses comme les points
osseux
qui servent d'insertion aux muscles. Le cerveau
âne une tumeur de 32 centimètres de circonférence, tenant au plan
osseux
, et sans adhérence avec la peau, dont les veines
la partie frontale au point d'y déter- miner une perte de substance
osseuse
large comme la moitié d'une pièce de cinq franc
phérique. Le troisième chapitre est consacré aux lésions trophiques
osseuses
et articulaires. Là encore le plan de M. Arnoza
rge électrique, suffit pour la déter- miner ; car le bras de levier
osseux
sur lequel viennent t s'insérer les deux muscle
u raccourcissement du premier. Pour produire ce mouvement du levier
osseux
, on PATHOGÉNIE DES TREMBLEMENTS. 193 peut rem
ps plus ou moins long. A l'état physiologique, le poids des leviers
osseux
entretient la. tension muscu- laire qui constit
tion du squelette ne tiennent point à une soudure des articulations
osseuses
: elles s'expli- quent, sans doute, tout simple
par le Dr Birch-Hirschfeld, le f4 avril. - Ulcération de la surface
osseuse
de la selle turcique. - Ramollissement muqueux
ment à sa convexité ; peu de sang dans les sinus. Au niveau du plan
osseux
situé en arrière de la lame quadrilatère de la
rée de cette région manque totalement, on aperçoit alors la surface
osseuse
comme vermoulue. Les alvéoles de ce tissu po- R
e- ment. Fracture ancienne des 3e et 7° côtes gauches; friabilité
osseuse
. Relevant alors les cas de chorée chez les gens
é de même à la moitié supérieure de la moelle une série de lamelles
osseuses
appendues à la pie-mère par un pédicule. Enfin,
qui vient d'être décrite a pour première étape la lésion du système
osseux
de la base du crâne en ce point limité qui s'ét
Le pariétal, à ce niveau, : était aminci, et dans un point le tissu
osseux
était remplacé par une membrane fibreuse., La d
écoller de la dure-mère. Celle-ci adhère très fortement aux sutures
osseuses
et surtout à la fontanelle antérieure qui, n'ét
courbés en dehors quoique sans élargissement notable des extrémités
osseuses
; elle avait une hernie ombilicale'. Le palais é
s deux fragments et au- tour d'eux, on voit de chaque côté du tissu
osseux
dur et compact, se montrant sur les différentes
entes surfaces du carti- lage, sans union intime avec lui; ce tissu
osseux
est sur- tout abondant entre la face externe du
dans la plupart des autres cas les fragments sont réunis par un cal
osseux
, dur et compact (1), sans que leurs extrémités
es des cartilages costaux sont produites par (1) La réunion par cal
osseux
se produit également chez les grands animaux. G
fracture de cartilages costaux provenant de chevaux, tous avec cal
osseux
. FRACTURE DES CARTILAGES COSTAUX. 225 cause d
anisme', en particulier du cerveau (d'où l'idiotie), sur le système
osseux
(d'où le nanisme, la persistance de la fontanel
r affaire à une méningite localisée, ayant pour cause la dépression
osseuse
. Une opération, au moins exploratrice, fut prop
n des parties montra une fracture triangulaire; la base du triangle
osseux
avait pénétré profondément dans le tissu cérébr
ités aussi bien que ceux de la face. Enfin l'abla- tion du fragment
osseux
mit à nu un kyste volumineux qui occu- pait dan
t. La dure-mère est épaissie, elle fait saillie hors de l'ouverture
osseuse
, mais l'aiguille du trocart introduite dans dif
nostic se pose entre un céphalhémalorne ossifié et une hypertrophie
osseuse
due à la syphilis héréditaire. L'auteur expose
au crâne une fracture comminutive, avec pénétra- tion des fragments
osseux
dans le cerveau; pendant l'exploration faite pa
ulsions; elle a provoqué l'hypertrophie des muscles et des attaches
osseuses
, et elle se double des crises choréiformes, ath
plus grands, étaient à peine plus lourds que la normale. Les sinus
osseux
crâniens étaient très élargis et leurs parois t
ou d'un tubercule, à raison de l'otite moyenne et de la tuberculose
osseuse
généralisée. - Oi3srR-A- TION III. Exemple de l
E NERVEUSE. fibreux de la paroi crânienne et des méninges. La paroi
osseuse
altérée fut seule enlevée à l'aide de douze cou
e plus sou- vent négative au point de vue des lésions syphilitiques
osseuses
, nerveuses, hépatiques, etc., on peut affirmer
><· IL s agit dans 1 une d un. exemple rare de pachymemngite,
osseuse
externe,) ayant enolobéf les,, nerfs dej]a, six
is ? J7,e ? Iés ! , ? nsviscl ? I ? , (to¡-I ticule et'' système' -
osseux
) ? 'de' plus, ! même chez les labétiques aiité-
adroite, ne présentait pas de sinus ''transverse; les 'dépressions
osseuses
corres- pondantes manquaient également. La part
ion métacarpo-phalangienne de l'index droit est déformée. Les tètes
osseuses
qui la constituent sont plus volu- mineuses qu'
vertèbres cervicales sont friables, et for- mées par des trabécules
osseuses
rougeàtres, baignant dans un détritus puriforme
1883. N" 18 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE AFFECTIONS
OSSEUSES
ET ARTICULAIRES DU PIED CHEZ LES TABÉTIQUES (Pi
Décrites pour la première fois par 1'un.detous ', les affections
osseuses
et articulaires des ataxiques sont aujourd'hui
axique avéré, nous parurent devoir être rapprochées des lé- sions
osseuses
et articulaires si fréquentes chez les tabétiqu
ées, détruites par usure sur certains points. Vingt- cinq fragments
osseux
de volume divers et de formes irré- gulières se
suppurative du pied, ne peu- vent être rapprochées que des lésions
osseuses
et arti- culaires du tabes. Le malade étant net
s, 301. Assassinat par un épileptique, 161. Ataxiques (affections
osseuses
et ar- ticulaires du pied chez les), par Char
coupes horizontales. De plus, étant donnée la malléabilité du tissu
osseux
, il a pu, après avoir fait des ouvertures peu é
l11preSSio'l des nerfs, par suite de l'excroissance de la substance
osseuse
autour des orifices. Il fait dépendre l'hé- mia
310, t. I, 1850); Compression de la moelle épinière par une tumeur
osseuse
(p. 354, t. I, 1850); Fungus de la dure mère (p
droite ; dans ces deux points, de dehors en dedans, depuis la paroi
osseuse
jusqu'à l'organe lui-même, tous les tissus étai
ou ne pas être ossifié com- plètement, selon le procédé du système
osseux
« existant sans corrélation aucune entre la cro
du sens génital (en collabo- ration avec Magnan), 1882; Affections
osseuses
et articulaires du pied chez les tabéliques (en
t été indiqués sans qu'il existe de lésion appré- ciable du système
osseux
ou des tissus sous-cutanés. , 6° Il est possibl
phus, et'1'ostéomalacie SOCIÉTÉS SAVANTES. 337 de tout le système
osseux
. Il est à remarquer que la malade, qui n'avait
aigre, mais régulièrement constitué et assez robuste. La figure est
osseuse
, les arcades zygomatiques saillantes. Les oreille
tre la même augmen- tation de densité, mais l'épaisseur de la table
osseuse
est normale. Les altérations méningées sont ass
des documents compulsés. Du côté du crâne, la condensation du tissu
osseux
a été observée dans la moitié des cas, et l'épa
iques,il,péut,,chez7es,sÿringômyéliquës, sejproduire des affections
osseuses
et, articulaires,, et, ! de même que. dans, une p
est bien connu. Dans les luxations, on sait aussi qu'une extrémité
osseuse
déplacée peut comprimer, contusionner, tiraille
doigt se ratatine, se raccourcit sans qu'il 1 y ait eu élimination
osseuse
à l'extérieur. L'ongle tombe une seconde fois,
ation lui succède qui entraîne la chute de l'ongle et la dénudation
osseuse
de la phalange ; l'os nécrosé est retiré à l'ai
perdu sa troisième phalange ; ce doigt se termine par un renflement
osseux
, en ba- guelle de tambour, muni d'un ongle rudi
e l'attention des observateurs était portée du côté des altérations
osseuses
du canal rachidien, et où l'on croyait les osté
uttructor), les cro- chets (raspaloria) pour soulever les fragments
osseux
peu adhérents, les scies (serrulie) qui ressemb
aise. Pendant ce temps, le chirurgien écarte les hords de la fente
osseuse
(Pl.111VIII) ou trépane, soit avec le trépan à
a Cruce de Venise. - L'opérateur parait écarter les bords de la fente
osseuse
à l'aide du ciseau. L. BATTAILLE ET CI°, LUITEU
re du crâne avant que celles-ci eussent totalement détaché la pièce
osseuse
à enlever, on la démonte, quand il le faul, ave
te de cheval. Dans ce cas, comme le montre l'opération, un fragment
osseux
d'un demi pouce de long avait été projeté contr
ite d'un traumatisme, avait le crâne fendu, avec perte de substance
osseuse
, l'observation directe était impossible, mais l'o
implement les phénomènes d'excitation générale dus à un enfoncement
osseux
troublant la circulation générale de l'encéphal
stasique du canal dorsal entraînant après elle l'atrophie du tissu
osseux
dans les corps vertébraux. La dure-mère, sur la
tes les parties du vermis (voir les figures); parallèlement la base
osseuse
du crâne est le siège d'une hypertrophie indisc
écoller de la dure-mère. Celle-ci adhère très fortement aux sutures
osseuses
et surtout à la fontanelle antérieure qui, n'ét
courbés en dehors quoique sans élargissement notable des extrémités
osseuses
; elle avait une hernie ombilicale Le palais éta
de substance cérébrale, à l'endroit indiqué plus bas. Les fragments
osseux
furent enlevés, et la plaie finalement guérit,
d'os avait été pro- jeté dans une cavité du cerveau. Les fragments
osseux
furent enlevés, la dure-mère incisée, on trouva
puis quelque temps, l'enfant a beaucoup maigri; toutes les saillies
osseuses
se dessinent en relief : la l'ace a un aspect a
e 13 centimètres si on ne la suit pas. Le centre en est nettement
osseux
; la périphérie a un aspect blanchâtre qui rappell
gion occipitale (53 fois sur 75.) Tumeur circonscrite. Bourrelet
osseux
, irrégulier ; se développe en dehors des fonta-
bornée à la région occipitale. Tumeur diffuse. Pas de bourrelet
osseux
; se développe au niveau des fon- tanelles pe
c le tiers moyen. La tumeur était molle, circons- crite par un bord
osseux
. La peau qui la recouvrait avait sa cou- leur n
a cage thoracique est déprimée, elle est effacée presque si le plan
osseux
est saillant. Ceci établi, voici les résultats
ls de paralysie générale tabétique syphilitique, accidents de gomme
osseuse
; Kl; amélioration. P. K. XXIII. Paralysie dans
trice, ni tache suspecte; pas un ganglion engorgé, pas une aspérité
osseuse
du tibia, rien nulle part qui Béliier. 7'«c/;yh
la vie, et il fallut l'anesthésier de nouveau à l'éther. Une bande
osseuse
de trois pouces anglais et 128 REVUE DE PATHOLO
our siège principal le frontal et les pariétaux. Poids du squelette
osseux
de la tête 2 kg. 649 qui joint à celui de l'encé-
es donne pour la tête un poids total dépassant 4 kilogrammes. Tissu
osseux
de la calotte crânienne très condensé, dur comm
a calotte cra- nienne, on constate un amas de villosités ou pointes
osseuses
don- nant à ce tissu osseux un aspect spongieux
tate un amas de villosités ou pointes osseuses don- nant à ce tissu
osseux
un aspect spongieux. L'hyperostose s'est dévelo
s représentant le sujet avant et après décès ainsi que les coupes
osseuses
du crâne, toutes pièces qui ont permis de très bi
1895, n" 4.) L'auteur a déjà émis l'hypothèse que les altérations
osseuses
de la maladie de Paget étaient des troubles tro
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 319 morbides du côté du système
osseux
, qui augmentent la fragilité des os, surtout de
ertèbres. La relation qui existe entre ces centres nerveux et l'axe
osseux
vertébral est remarquable. Les vertèbres, comme c
omistes (1). La loi d'analogie qui régit tous les segments de l'axe
osseux
, soit dans la tige vertébrale, soit dans le crâne
est circonscrite par le canal demi circulaire supérieur du labyrinthe
osseux
de l'oreille (1). Je lui donne en raison de ce ra
âne avec les vertèbres et la possi-« bilité de décomposer cette boîte
osseuse
en un certain nom-« bre de vertèbres crâniennes,
rocher. Un autre appartient au phanère oculaire et n'existe, à l'état
osseux
du moins, que dans un petit nombre d'animaux. Un
ers, et souvent chez les animaux il est soutenu par des prolongements
osseux
du pariétal. Il présente en avant une échancrure
vertèbres, avons-nous dit plus haut, en d'autres termes trois anneaux
osseux
primitifs composent la voûte du crâne. L'une, pos
bre en générait), le crâne est à la fin constitué par une seule pièce
osseuse
semblable à une sorte de casque. Cette soudure se
st sans qu'il y ait une augmentation notable du poids de la substance
osseuse
. Aussi, en général, le crâne des blancs cst-il fo
t pas de songes, le cerveau était immobile et demeurait dans sa boîte
osseuse
, mais lorsqu'il était agité par des rêves, le cer
ineuses, puis elles subissent au sur et à mesure une transformation
osseuse
. Chez notre sujet le retard de l'ossifi- cation
deux parties égales l'angle limité par les branches contiguës des V
osseux
signa- lés à l'instant. Face. - L'atrophie du
d'un adulte. Cette dysharmonie entre les deux modes d'accroissement
osseux
, l'un par les cartilages de conju- gaison, l'au
st fermée et, à l'autopsie, nous avons trouvé à sa place une plaque
osseuse
transparente. IV. Bien que Deb..., fut âgé de p
gles courts. Membres inférieurs : rien à signaler, pas de déviation
osseuse
, pas de pied plat. Ongles et orteils courts.
ticulation de la 1 ? <= côte et du sternum, foyer de tuberculose
osseuse
et articulaire. Le malade présente autour des l
pèce qu'à l'Age de 28 ans, c'est-à- dire à une époque où le système
osseux
a terminé son évolution. P. K. XV. Convulsion
à ce niveau une couronne de trépan. Les parties molles et le tissu
osseux
ne pré- sentaient aucune altération. Trois sema
articulaires comme de nature rhumatismale, vu l'aspect des surfaces
osseuses
et de la synoviale. Une inté- ressante relation
911,1nle scrihlée.de l'ethmoïde, et qui, avait, creusé.Ja substance
osseuse
du -frontal.. Par ;sa, couleur, etj,sa consista
des,qsaps poti ? malpl'ôprelt3lessur duéuir,,çlfc;'clu (avec lésion
osseuse
? ) il y a sept ans. Début de la maladie, il y a
modifications multiples dans la nutrition des tissus épidermiques,
osseux
, articulaires. P. K. XXXV. Contribution A L'ÉTI
des muscles atteints et à la formation dans ce tissu de corpuscules
osseux
qui, en fin de compte, ossifient la substance m
les ossifications présentent la plus grande netteté. Les néoplasmes
osseux
sont intimement adhérents au squelette sous-jac
ment, tandis qu'à droite elle est fortement fixée contre les surfaces
osseuses
articulaires, dans ces mêmes conditions d'extensi
la moelle, — les rapprochant ainsi de la partie postérieure du canal
osseux
, — est une des causes de la compression spinale e
ituel de la compression spinale. La substance caséeuse, de provenance
osseuse
, repousse le ligament vertébral antérieur, le dis
équence d'une otite, non pas seulement d'une otite grave avec lésions
osseuses
, mais encore d'une simple otite catarrhale ; c'es
médiatement en arrière et au-dessus de la fenêtre ovale est un relief
osseux
, l'aqueduc de Fallope, dans lequel se trouve cont
nerf n'est séparé de la cavité de la caisse que par une mince lamelle
osseuse
parfois criblée de trous, et, partiellement, par
tion des os, s'accusant par une fragilité anormale. Cet état du tissu
osseux
dans les membres affectés peut expliquer que troi
de faire remarquer cette persistance, jusqu'àl'àge mûr, delafragilité
osseuse
sur ce membre supérieur droit qui, un instant fra
de symptômes répond à une série de lésions cutanées ou sous-cutanées,
osseuses
ou ligamenteuses, que l'on appelle vulgairement d
troisième catégorie est celle des troubles trophiques articulaires et
osseux
. Il faut citer ici les fractures spontanées se re
des mensurations comparatives établissent l'exiguité des trajets
osseux
de la microcéphafie qui nous occupe; serait-il ra
nie dans les deux poumons, une absence totale de fontanelles (bords
osseux
au contact à leur niveau), des adhérences solid
es grosses malformations cérébrales qui correspondent aux anomalies
osseuses
précédentes portent sur les hémisphères, dont l
leur masse les pyra- mides. Rapprochant le détail des altérations
osseuses
et nerveuses de la conservation intégrale de l'
le 27 août 1 î 8 1.- Lavotitecmtlniemze est très épaisse, le tissu
osseux
est dense : la dure-mère est épaissie, adhérente
st dense : la dure-mère est épaissie, adhérente çà et là à la boite
osseuse
; la base du crâne est régulière et symétrique.
postérieure, l'arachnoïde et la dure- mère le séparent de la paroi
osseuse
. Parvenu au niveau du rocher, il perfore la dur
gement fendue. Pas de déformation du voile du palais ou du palais
osseux
. IDIOTIE ET ÉPILEPSIE symptomatiques. 25 5 Le
sur une longueur de 15 cent. La fracture a intéressé les 2, lames
osseuses
du pariétal. Par sa partie externe elle corres-
e liquide un peu plus considérable qu'à l'état normal.Le s : parois
osseuses
de la base du crâne sont symétriques et n'offre
s par les réactifs et comprenant dans son épais- seur des fragments
osseux
nombreux, très petits et déchique- tés, Cette f
; les os des avant-bras sont légèrement incur- vés ; les extrémités
osseuses
des poignets sont un peu hyper- trophiées. Les
êt plus élevé. Formé chez quelques vertébrés inférieurs (poissons
osseux
), dans sa plus grande partie, d'une simple couche
eau des vertébrés supérieurs, il se distingue de celui des poissons
osseux
et des ganoïdes par quelque chose de très essen
mécanismes de ces fonctions n'existant point ici, chez les poissons
osseux
tout au moins, selon Edinger, dans l'écorce du
anté- rieur qui ne sont pas encore développées chez les poissons
osseux
. La scène change tout à fait quand, chez les am
ométrique est de 17 kilos. Les sensibilités musculaire, tendineuse,
osseuse
, ainsi que les HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE* FILL
nt perçue par la malade. Cette anesthésie, également périostique et
osseuse
-comme on peut s'en convaincre surtout avec un
abolition de la sensibilité gauche profonde : musculaire, nerveuse,
osseuse
, ligamenteuse et articu- laire ; nous n'y revie
de Pinne), qu'on le mette en rapport avec n'importe quelle surface
osseuse
du côté anesthésié, que ce soit au niveau de la
rs la fin d'une tuberculose largement diffuse, affectant les tissus
osseux
et pulmonaire et accompagnée de lésions amyloïdes
. — Lésions musculaires : atrophie. — Lésions ar-ticulaires ; lésions
osseuses
: périostite, nécrose. —Troubles trophiques con-s
ent, facilitées consi-dérablement par l'usure qu'ont subies les têtes
osseuses
. J'ai noté plusieurs fois une atrophie rapide des
ette pièce, aupourtourde la surface articulaire usée,-les bour-relets
osseux
qui ne manqueraient pas d'exister s'il s'agissait
vous reconnaissez ici la présence de corps étrangers, de stalactites
osseuses
, et, en un mot, de tous les accompagne-ments habi
tuméfaction et la rigidité articulaires, non plus que les bour-relets
osseux
et les craquements que l'on observe dans le rhuma
corps ovoïde, allongé transversalement et qui, pressé contre la paroi
osseuse
, glisse sous les doigts. Lorsque ce corps est tum
s. — Lésions musculaires : atrophie. — Lésions ar-ticulaires; lésions
osseuses
: périostite, nécrose. — Troubles trophiques con-
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