, une résection ou une amputation ne s'exercent pas seulement sur les
os
, et une ligature ne se pratique pas seulement sur
utres. ENVELOPPES INTÉRIEURES. i° Le squelette inflexible, ou les
os
, organes généraux de sustentation, et, comme paro
e osseux ou inextensible est complété par les aponévroses. Mais les
os
, qui circonscrivent, par leur assemblage, des cav
par leur enveloppe compacte. Ex. Cavités centrales ou médullaires des
os
longs; canaux aréo-Inires, sanguins et adipeux, d
uins et adipeux, des substances spongieuse etréticu-laire de tous les
os
. 2° Les membranes fibreuses, comprenant: (a)
rition du tissu osseux; moyens d'insertion des tissus fibreux sur les
os
. (c) Les membranes fibreuses spéciales, envelop
le rachis, dans l'assemblage par juxta-position ou superposition des
os
dont ils sont formés, constituent bien des cavité
ge par des muscles et des aponévroses. A l'intérieur, les diflerens
os
, tant pour le canal médullaire des os longs que p
A l'intérieur, les diflerens os, tant pour le canal médullaire des
os
longs que pour les canaux aréolaires delà substan
fragmens de cylindres, les cavités aponévrotiques, complétées par les
os
, par les muscles, et, à diverses places, par d'au
lent de ceux qui leur sont antagonistes. Connexions, structure. Les
os
occupent en général les parties profondes; les ca
t de communication que par les vaisseaux. A leur périphérie, tous les
os
sont enveloppés par le périoste et contigus aux m
ition d'une autre gouttière fibreuse. A l'intérieur, les surfaces des
os
sont revêtues par la membrane médullaire, qui sép
os sont revêtues par la membrane médullaire, qui sépare le tissu de l'
os
lui-même des cavités qu'il renferme. La surface c
, mais qui n'est qu'apparente, cette surface n'étant, par rapport à l'
os
lui-même, qu'une périphérie dont la dure-mère for
les petites différences de sa structure, représente le périoste de l'
os
des îles, ou celui qui revêt la face pectorale de
revêt la face pectorale des côtés. Dans sa conformation générale, l'
os
s'aplatit en membrane et s'arrondit en cavités po
ion, des colonnes creuses, solides, mais élastiques. La texture des
os
varie quant à la disposition des fibres approprié
posantes. Les fibres de la substance compacte sont rayonnées dans les
os
larges, longitudinales et parallèles dans les os
t rayonnées dans les os larges, longitudinales et parallèles dans les
os
longs, variées de direction clans les extrémités
rection clans les extrémités articulaires de ces derniers et dans les
os
courts. Dans la substance spongieuse, elles sont
nous l'avons démontré dans notre angéio-logie; la trame organisée des
os
renferme de nombreux canaux capillaires, artériel
ils sont injectés avec une matière colorante. Ce fait, qui assimile l'
os
aux parties molles, donne la raison de ses actes
eux membres elles sont superficielles, par rapport aux muscles et aux
os
qu'elles renferment dans un cylindre commun. En g
gnent aux 3 cloisons profondes qui \ont prendre insertion sur les
os
; c'est ce que Ton observe aux bras et à la cuisse
ntre et fixées par leurs extrémités à l'enveloppe périphérique et à l'
os
, isolent les groupes de muscles synergiques de ce
ccordée en physiologie et en pathologie. Le périoste, enveloppe des
os
, est en rapport, par sa surface extérieure, avec
ces de l'omoplate, la fosse temporale au crâne. Il en est de même des
os
des membres par rapport aux grands muscles profon
et aux tendons funiculaires et membraneux; ainsi, à l'extérieur de l'
os
, le périoste, par la jonction des aponévroses, do
un nombre immense de vaisseaux sanguins destinés «à la nutrition de l'
os
dont ils forment la couche vasculaire extérieure,
'intermédiaire de la circulation générale à la circulation propre des
os
. Dans l'histologie, nous démontrerons quelle di
n prend le tissu fibreux dans l'épaisseur delà substance compacte des
os
, pour en former la trame prétendue gélatineuse, e
tablit la continuité entre les canaux sanguins des deux surfaces de l'
os
. Les membranes fibreuses spéciales et les membr
. La dure-mère qui fait office de périoste interne, par rapport aux
os
du crâne, sert à la fois d'enveloppe de protectio
usculaires, est analogue à celle de la trame, également fibreuse, des
os
. Ainsi, contre l'opinion généralement admise, ell
mucipares encastrées en partie dans de petites loges à la surface des
os
. La membrane muqueuse pulmonaire, quoique sépar
re des muscles synergiques. L'élément organique le plus profond est l'
os
, tige centrale commune de sustentation, point d'a
is et le sternum, faisant ici l'office de levier central analogue à l'
os
des membres, tandis que les muscles des parois, p
comme charpente osseuse est formée principalement par la jonction des
os
maxillaires supérieurs et jugaux avec ceux de la
elette de la mâchoire supérieure est complété par une série de petits
os
intercalaires dont le plus grand nombre, destinés
au prolongement des fosses nasales, ont une structure papyracée. Les
os
de la face renferment les cavités des organes des
re et à sommet interne convergeant, encastrées profondément entre les
os
du crâne et de la face. De chaque côté , la cavit
e orbitaire externe et le muscle temporal, en bas par la saillie de l'
os
jugal et ses muscles , et en dedans par la racine
cils. L'œil, déjà renfermé dans l'orbite, est préservé du contact des
os
par ses muscles et ses coussinets graisseux. Comp
e et protégée par les paupières. 2° Au milieu de la face, entre les
os
maxillaires,se trouvent renfermées les fosses nas
rouvent renfermées les fosses nasales, protégées latéralement par les
os
eux-mêmes et les couches musculaires et dermiques
de la peau , offre des pro-longemens, ou sinus, dans l'épaisseur de l'
os
maxillaire et dans l'os frontal, par l'intermédia
ro-longemens, ou sinus, dans l'épaisseur de l'os maxillaire et dans l'
os
frontal, par l'intermédiaire des cellules papyrac
é buccale. Formée dans sa charpente osseuse, en haut par la voûte des
os
maxillaires supérieurs et palatins, en bas par 1
x plus essentielles sont renfermées dans la profondeur du rocher de l'
os
temporal. La partie la plus profonde, ou le labyr
s de la mâchoire, ceux de la base de la langue et les élévateurs de l'
os
hyoïde, isolés seulement entre eux par des feuill
glosse, pté-rigo-myloïdienne et céphalo-pharyngienne. Au-dessous de l'
os
hyoïde se présentent, par trois couches superposé
muscles sus et sous-épineux , petit rond et sous scapulaire,fixés à l'
os
par l'autre surface ; les autres muscles n'ont qu
munication entre les loges, et où les muscles adhèrent intimement aux
os
, à l'exception du deltoïde, dont la face interne
ne. A l'intérieur, les cloisons aponévrotiques verticales et les deux
os
réunis par le ligament inter-osseux, séparent le
tendons : celle des extenseurs, en arrière, aplatie et adhérente aux
os
; et l'antérieure, formant une cavité cylindrique
du membre, celle du soléaire. Le groupe profond, appliqué contre les
os
et le ligament inter-osseux, séparé du soléaire p
ns, est la plus forte de toutes celles du corps humain; fixée sur les
os
, aux deux extrémités du pied, et sur l'un et l'au
reproduisent encore, quoique d'une manière plus lente, même dans les
os
à l'état cadavérique. Pour se convaincre de ce de
ue. Pour se convaincre de ce dernier résultat, il suffit de mettre un
os
à macérer dans l'eau pendant quelques jours, aprè
le des enveloppes considérées dans leurs effets patho-géniques. Les
os
se présentent à considérer sous deux rapports : i
nferment ou qui les environnent. i° Altérations de la substance des
os
. Dans les affections morbides, encore peu détermi
nveloppe extérieure, le périoste, chargé de la reproduction du nouvel
os
, plus volumineux, dans lequel se trouve renfermé
téo-malacie. ,e) Enfin Yostéo-sarcome, dans lequel tout le tissu de l'
os
est converti en un tissu spongieux et lardacé; ce
stuleux pour être expulsés au dehors. 2° Solution de continuité des
os
. Les fractures qui, par leur mode de production,
tures qui, par leur mode de production, ne sont que des accidens où l'
os
et son périoste sont également rompus par violenc
extérieure et un magma intérieur qui maintiennent la continuité de l'
os
et le séparent des parties voisines, jusqu'au tra
maladies ; consécutivement aussi, par le travail de l'organisme, si l'
os
luxé n'est point réduit, il se trouve isolé des p
eloppe du périoste, ce que l'on nomme de fausses articulations. Des
os
comme enveloppes de cavités et tiges disolement.
enveloppes de cavités et tiges disolement. Après avoir considéré l'
os
en lui-même, dans sa pathogénie spéciale, il conv
s cloisons d'isolement de la maladie, de l'une à l'autre surface de l'
os
, effet qui entraîne des conséquences heureuses ou
des exemples, supposons une plaie du cuir chevelu, avec fracture de l'
os
du crâne en regard, accident, à son début, 'spéci
et quelquefois immédiatement, la rupture des canaux vasculaircs de l'
os
et le décollement ou la déchirure de la dure-mère
nception. Dans les membres, considérés comme tiges d'isolement, les
os
, en donnant implantation aux cloisons aponévrotiq
upes musculaires. Cette disposition, que l'on observe partout sur les
os
des membres, donne la théorie des foyers dans les
, à leur extrémité, dans une cavité en cul-de-sac, circonscrite par l'
os
central et les insertions fibreuses qui s'y rende
. Aponévroses et tissus fibreux. Les effets de l'interposition de l'
os
, comme moyen d'isolement dans les maladies, sont
le qu'elle soit se compose nécessairement de parties hétérogènes, des
os
, des muscles, des aponévroses, des vaisseaux, des
terminée, il importe que ses délimitations soient bien fixées par des
os
et des aponévroses, et que les muscles qui en fon
r la voie des maladies spéciales qui devront s'y rencontrer: pour les
os
, les luxations ou les fractures ; pour les vaisse
oires, f Squelette. Il est formé seulement par l'une des moitiés de l'
os
occipital, et n'est sous-cutané que dans sa parti
transversale de l'apophyse zygomatique; en avant, par le contour de l'
os
malaire et l'apophyse orbitaire externe; en haut
région moyenne, latérale et supérieure du crâne, dans l'étendue de l'
os
pariétal; sans limites bien déterminées à l'extér
guins. L'abondance des vaisseaux artériels et veineux, la minceur des
os
, et le nombre immense d'anastomoses veineuses en
mpliquer celles du cuir chevelu. 3° Squelette. Le peu d'épaisseur des
os
du crâne, la fréquence et la gravité des compress
ures, en raison des adhérences de la dure-mère, des dentelures et des
os
vormiens qu'elles renferment, du grand nombre de
e pas blesser la clure-mère, que pour en opérer le décollement. Les
os
du crâne peuvent être malades très long-temps et
sujets, sans que l'on puisse accuser précisément un état maladif, les
os
du crâne s'hypertro-phient au point d'acquérir un
ux embranchemens, se compose des cavités nasales renfermées entre les
os
de la mâchoire supérieure et ne se prononce au de
érens. 1° Couche cellulo-vasculaire.Lâche à la racine du nez, sur les
os
, elle est à la partie inférieure d'une texture se
rbitaire et le facial. 6° Squelette. Il se compose, en haut, des deux
os
propres du nez, et, latéralement, des apophyses m
deux os propres du nez, et, latéralement, des apophyses montantes des
os
maxillaires. Il est complété par les cartilages l
hénoïdaux ; ce sont les replis de cette membrane sur les contours des
os
papyracés, qui tracent les délimitations des troi
ar le cartilage médian. Les parois latérales sont constituées par les
os
maxillaires supérieurs et palatins, et par leurs
le tissu sous-muqueux. 6°Squelette. Il est constitué en haut par les
os
maxillaires supérieurs, en bas par l'os maxillair
est constitué en haut par les os maxillaires supérieurs, en bas par l'
os
maxillaire inférieur, dont les bords libres forme
et le dentaire inférieur. Le squelette est formé par la symphise de l'
os
maxillaire inférieur, derrière laquelle sont les
r l'angle externe de l'orbite et parla saillie de la pommette ou de l'
os
jugal. Parties composantes. Elle est formée à L
la région moyenne et latérale de la face, formée par la saillie de l'
os
malaire et de l'apophyse zygomatique et par la po
re et de l'apophyse zygomatique et par la portion sous-orbitaire de l'
os
maxillaire supérieur, elle est limitée en haut pa
ons génienne et auriculaire. Elle est remarquable par la saillie de l'
os
jugal, dont la forme est un des caractères de rac
la névralgie si commune du même nom. 6° Squelette. 11 est formé par l'
os
de la pommette, l'arcade zygomatique et la portio
cale. 5° Squelette. Il est formé par les deux arcades alvéolaires des
os
maxillaires supérieur et inférieur, dans lesquell
n y pratique. 6° Squelette. Il est formé par la branche montante de l'
os
maxillaire supérieur qui sépare le masseter des p
eure du cou, limitée en haut par la base de la mâchoire, en bas par l'
os
hyoïde et le prolongement de ses grandes cornes,
par le plan des muscles abaisseurs de la mâchoire, ou élévateurs de l'
os
hyoïde. Parties constituantes. i° Peau. Mince,
antérieure commune, circonscrite dans cette région entre la base de l'
os
maxillaire, l'os hyoïde, et les enveloppes des de
e, circonscrite dans cette région entre la base de l'os maxillaire, l'
os
hyoïde, et les enveloppes des deux ventres du mus
ler, aucune portion du squelette osseux, le corps de la mâchoire et l'
os
hyoïde n'en formant que les limites. Toutefois le
rurgicale inscrite entre le fer à cheval de la base de la mâchoire, l'
os
hyoïde et les muscles styliens, se pratiquent un
a hauteur, la mâchoire étant abaissée, elle est limitée en haut par l'
os
hyoïde, en bas par la fossette sus-sternale, et l
stoïdien, et forme un triangle isocèle très alongé, qui a sa base à l'
os
hyoïde et son sommet au sternum. Proéminante dans
de haut en bas, à l'extérieur : d'abord la saillie transversale de l'
os
hyoïde ; au-dessous, une dépression correspondant
la portion osseuse proprement dite est formée par les deux limites, l'
os
hyoïde et le sternum ; la fraction de squelette p
es. L'occipital est parfois le siège de fractures, et, comme tous les
os
du crâne, de nécroses et de perforations produite
muscles pectoraux; au-dessous est le périoste du sternum, et enfin l'
os
doublé à sa face interne par les deux muscles tri
sternale n'offre en général d'autre opération que la trépanation de l'
os
dans le cas de carie ou d'abcès profond du médias
le antérieur par l'arcade des pubis, les branches descendantes de ces
os
et les deux tubérosités des ischions ; dans le tr
s de l'épine et de la tubérosité sciatiques au sacrum, par ce dernier
os
et le coccyx. Dans ce contour ostéo-fibreux, qui
profondeur la ligue cle flexion s'appuie sur le bord antérieur cle l'
os
coxal, de l'épine iliaque à l'épine pubienne. A l
aux ; enfin au squelette appartiennent les fractures du pubis ou de l'
os
iliaque, et la tumeur que dessine la tête du fému
rée des parties molles et la pression déterminée par le voisinage des
os
, sont les causes des gangrènes de la peau dont ce
de ces nerfs dans la station assise. 5° Squelette. Il se compose de l'
os
coxal, moins le pubis, et des deux ligamens sacro
tyloïde; mais la cause la plus ordinaire pour toutes les parties de l'
os
est le choc d'un projectile dans les plaies d'arm
col chirurgical de l'humérus, et la luxation en bas de la tête de cet
os
. RÉGION SCAPULO-HUMÉRALE \ Situation, configu
. Parties composantes. i" Peau. D'une texture serrée, adhérente aux
os
à la partie supérieure, elle en est séparée sur l
remarquable. 3° Portion ostéo-musculaire. C'est de la disposition des
os
et des muscles que cette région emprunte tout son
el'acromion ou de l'apophyse coracoïde, les caries et nécroses de ces
os
. Les opérations spéciales les plus graves sont :
lus que partout ailleurs, fondés sur les rapports bien déterminés des
os
avec les parties molles et les vaisseaux. RÉGIO
qui n'offre en elle-même d'intérêt que par rapport aux fractures de l'
os
, et à son voisinage de l'articulation humérale et
lie sous-cutanée de son épine. Enfin, dans la fosse antérieure de cet
os
, le muscle sous-scapulaire, puis le grand dentelé
brachial antérieur, du triceps qui occupe les trois autres faces de l'
os
. 3° Vaisseaux et nerfs. Sous la peau régnent les
couvrant l'artère et la veine numérale externe, plus rapprochées de l'
os
. Enfin, derrière la gaine du biceps, outre les br
'éloignement des gros vaisseaux, est le lieu d'élection pour mettre l'
os
à découvert dans leseas d'extraction d'un séquest
d'intérêt qu'au point de vue des opérations qui se pratiquent sur les
os
. A l'extérieur, la région du coude présente au mi
ns, servant d'implantation aux ligamens latéraux qui maintiennent les
os
en rapport. Quant aux parties composantes, la p
-bras. L'avant-bras, dans sa structure générale, se compose de deux
os
: en dedans le cubitus qui forme la principale ar
ompose, presque à lui seul, l'articulation avec le poignet ; les deux
os
réunis et contenus, suivant leur longueur, par le
ar des cloisons aponévrotiques verticales fixées profondément sur les
os
. Au point de vue chirurgical et opératoire , lava
ar la crête sous-cutanée du cubitus, elle est formée en dedans de cet
os
par la loge ostéo-fîbreuse du cubital antérieur e
os par la loge ostéo-fîbreuse du cubital antérieur et en dehors de l'
os
, où existe plus essentiellement la face postérieu
le pyramidal et le semi-lunaire, le carpe forme, avec l'extrémité des
os
de lavant-bras, l'articulation radio-car-pienne,
caphoïde et le trapèze, en dedans par le pisiforme et l'apophyse de l'
os
crochu ; sur les côtés de l'articulation se prono
de fractures de l'extrémité du radius ou du cubitus, et rarement des
os
du carpe, à moins quelles ne soient produites par
soient produites par écrasement. La carie est commune pour ces divers
os
et la nécrose seulement pour ceux de lavant-bras.
eux fractions : en dedans la charpente commune et immobile des quatre
os
métacarpiens auxquels font suite les quatre derni
a face profonde formée par les muscles inter-osseux et les crêtes des
os
métacarpiens. Masses latérales. En dehors l'émine
lement soit à la totalité soit à une extrémité d'une phalange ou d'un
os
métacarpien. MEMRRE ARDOMINAL. cuisse. La c
n" 54; et planches 11 et i¿. formées par le tendon dans lequel cet
os
est développé ; et latéralement , par les deux go
dans l'intérieur de l'articulation fémoro-tibiale. Au-dessous de cet
os
, la naissance de la jambe est marquée par une sai
e antéro-posté-rieure formée par les extrémités articulaires des deux
os
, se présentent deux autres saillies verticales fu
et de la jambe, qu'elle réunit, et dont elle forme l'attache sur les
os
. En dehors est le tendon de l'aponévrose fascia-l
gion du genou, la partie antérieure, vu la position superficielle des
os
, étant celle où les maladies se prononcent le plu
s vives douleurs qui accompagnent les contusions si fréquentes de cet
os
. 3° Couche fibreuse. Elle est formée, en haut, pa
ravité des contusions et facilite l'issue au-dehors des fragmens de l'
os
fracturé. Elle devient, au contraire, une conditi
ticulations ou de fractures comminutives, par la facilité de mettre l'
os
à découvert sans intéresser un grand nombre de pa
iles à guérir, et auxquelles participent fréquemment le périoste et l'
os
sous-ja-cent. 2° Couche sous-cutanée. Formée d'un
égard à la veine, à être blessé dans la saignée, et, par rapport à l'
os
, à de nombreuses contusions, cause de douleurs vi
, ou par extension, que l'on a pu songer à la résection isolée de cet
os
, cette opération, comme nous le verrons en son li
sous-cutanée triangulaire, dont, indépendamment de la gracilité de l'
os
, la position externe et sous-cutanée explique la
santes. La peau plus épaisse qu'en dedans, et fortement adhérente à l'
os
par un tissu cellulaire fibreux, est également un
e de fractures partielles. Dans les entorses, il n'est pas rare que l'
os
ayant résisté, ce soient les ligamens eux-mêmes q
ésection d'une grande partie du calcanéum est aujourd'hui admise. Cet
os
est également le siège de fractures faciles à mai
du nerf tibial antérieur. 6° Squelette. Constitué en arrière par les
os
du tarse, et, dans la partie moyenne, par les cin
arrière par les os du tarse, et, dans la partie moyenne, par les cinq
os
métatarsiens maintenus en une masse solide par le
ches digitales. G0 Squelette. II est formé par la face inférieure des
os
du tarse et du métatarse, creusée en double voûte
totalité ou par fractions la résection soit d'une phalange, soit d'un
os
métatarsien. On a fait celle du cuboïde, d'une po
agale, et rien ne s'oppose plus à ce qu'on pratique la résection d'un
os
quelconque du tarse. MÉDECINE OPÉRATOIRE. PRO
ir perpendiculairement avec la pulpe des doigts le point d'appui de l'
os
, exercé à ne poser que sur l'artère seule dont il
ent : pour les parties molles, Y incision et la dissection ; pour les
os
, la section proprement dite, la perforation et la
s instrumens de section diffèrent pour les parties molles et pour les
os
. Les premiers, dits instrumens tranchans, sont le
ration à laquelle ils sont affectés. Les instrumens de sections des
os
sont les scies, les gouges , les cisailles, déjà
articulation de la première phalange du petit doigt avec le cinquième
os
du métacarpe. La fixité qui résulte de cette situ
iverses incisions dans les temps d'une même opération. DIVISION DES
OS
. Elle comprend trois modes opératoires : la sec
la gouge et le maillet de plomb '. Dans la section avec la scie, l'
os
, avec le membre dont il fait partie, doit être ma
bord par l'ongle d'un doigt de la main gauche du chirurgien, entame l'
os
par quelques petits coups rapides ; puis, une foi
nserver le parallélisme dans le plan : on s'en sert pour perforer les
os
larges. L'usage de la gouge exige sur-tout que l'
pour perforer les os larges. L'usage de la gouge exige sur-tout que l'
os
soit bien fixé, pour diminuer la commotion du mai
Dupuytren sont de ce genre. La perforation a pour objet de couper un
os
long dans la profondeur d'une plaie : tel est le
uire couche par couche, par l'amincissement du tissu, la surface d'un
os
que l'on veut renouveler; elle s'applique princip
risation , et quelquefois aussi en guise du trépan, sur une surface d'
os
de peu d'épaisseur. Les instrumens qui l'opèrent
orte. (b) Serre-nœud de Rodrigue. Il se compose de petites boules d'
os
, de bois, de corne ou d'ivoire de quelques lignes
es tissus fongueux et cancéreux, et borner les progrès des caries des
os
; 3° arrêter une hémorrhagie lorsque la ligature,
pour arrêter les progrès de la pourriture d'hôpital et des caries des
os
. Son action, ressentie au loin dans la profondeur
sur les saillies tendineuses ou osseuses, hors le cas où ce sont les
os
cariés eux-mêmes qu'il s'agit de cautériser. Enfi
ion médiate ou immédiate des chairs ou des vaisseaux appuyant sur les
os
. Mais clans les circonstances, assez fréquentes e
ltérés ont de nombreuses racines adhérentes aux tissus fibreux et aux
os
, qui exigent de longues recherches et qu'il faut
s opérations très différentes, suivant la densité des tissus. Poulies
os
, elle s'applique aux luxations, et, dans les frac
les fractures, aux fragmens détournés de la ligne de continuité de l'
os
. Poulies parties molles, elle se rapporte essenti
e M. Fouilby (pour les moignons imparfaitement recouverts). Lorsque l'
os
menace de faire saillie à la surface d'un moignon
ne fut pas sentie, et le malade ne se plaignit que de la section de l'
os
et cle l'application cle la dernière ligature art
iqué, et par conséquent d'augmenter la probabilité de la saillie de l'
os
; (c) d'intercepter la circulation des veines com
cade zygomatique et dans toute l'étendue de son trajet ultérieur, les
os
du crâne formant point d'appui. Si l'une de ses b
pelote libre à lacs bouclé au tiers inférieur du bras, chacune sur l'
os
dont elle prend le nom. (Pl. 20.) La seule précau
vres. Cet accident est commun chez les personnes dont les arcades des
os
maxillaires proéminentes sont rétrécies en ellips
elle est cariée. Les esquilles d'alvéole, complètement détachées de l'
os
, doivent être enlevées. 2° La contusion, la meurt
'instrument, offert en pressant, doit couper d'un seul coup jusqu'à l'
os
. Ecartant les lèvres de la plaie on isole le bout
queuse, et prolonge l'incision en remontant et rasant la surface de l'
os
maxillaire, au-dessus des dents canine et premièr
, M.Richerand coupe avec le bistouri et racle ensuite la surface de l'
os
. M. Velpeau coupe avec des ciseaux droits. On ne
de l'artère transverse, si elle a été coupée, puis inciser jusqu'à l'
os
l'épaisseur du masseter suivant la direction de s
e au milieu de la branche de la mâchoire, puis enlever le disque de l'
os
. Dans l'opération de M. Warren la table externe f
avec le levier, et la table interne avec des pinces. La section de l'
os
étant faite, au milieu et sur le diamètre vertica
t remontant au-devant du masseter de manière à mettre immédiatement l'
os
à nu en formant un lambeau relevé vers l'arcade z
. vi. tère soit superficielle, d'un petit volume, et appuyée sur un
os
qui permette de la comprimer. Plusieurs artères s
est le bistouri, la lancette trop faible pouvant se briser contre les
os
du crâne. Les autres objets sont deux petites com
haque côté de l'artère, tendent la peau et appuient le vaisseau sur l'
os
sous-jacent. On introduit dans l'espace compris e
ée du côté de l'artère : on abaisse le bistouri en appuyant jusqu'à l'
os
et en retirant à soi de manière à couper l'artère
e liaison des tendons extenseurs, elle est appuyée en arrière sur les
os
et côtoyée en dedans par le tendon de l'extenseur
oi. Quelques chirurgiens dirigent l'incision vers la tête du second
os
métatarsien. Cette plaie, qui laisse l'artère en
iser l'attache tibialc du soléaire en rasant la face postérieure de l'
os
, isoler le muscle en dessous de l'aponévrose du l
rs de la saillie interne formée par le tendon du cubital antérieur, l'
os
pisiforme, et les attaches carpiennes des muscles
qui de la saillie interne de la trocblée vienne tomber en dedans de l'
os
pisiforme. Cette ligne indique la direction génér
battemens au toucher. Inciser la peau en travers de la direction de l'
os
dans une longueur de deux centimètres, écarter pu
que fournit l'occipitale pouvant être comprimées directement sur les
os
du crâne. Dans le cas néanmoins où on voudrait la
fig. 2). Situation. Dégagée de la carotide externe, au-dessus de l'
os
hyoïde, elle s'engage, au-dessus de la grande cor
us de l'os hyoïde, elle s'engage, au-dessus de la grande corne de cet
os
, entre les muscles hyoglosse et constricteur moye
ation , reconnaître sous la peau la saillie sous-cutanée formée par l'
os
hyoïde, puis inciser lentement la peau à quatre m
puis inciser lentement la peau à quatre millimètres au-dessus de cet
os
et à un centimètre au-devant du bord antérieur du
partir son incision de l'espace intermédiaire de la grande corne de l'
os
hyoïde au bord antérieur du sterno-mastoïdien, à
artère du côté droit. Procédé de M. Malgaigne. La grande corne de l'
os
hyoïde reconnue à l'extérieur, pratiquer à trois
glande parotide, entre les saillies osseuses du bord postérieur de l'
os
maxillaire inférieur en avant et de l'apophyse ma
imètres , dont quatre s'étendent au-dessus et un seul au-dessous de l'
os
hyoïde. La peau, l'aponévrose cervicale et le mus
° comme moyen hémostatique préventif, pour faciliter la résection des
os
maxillaires fongueux ou cancéreux ou l'extirpatio
as rare de rencontrer des projectiles anciennement encastrés dans les
os
; Deschamps a extrait une balle dans le fémur, M.
ns le sternum : il yen a, au musée de la Faculté, dans un tibia et un
os
des iles dont nous avons donné les figures (pl. 4
diquer les procédés d'extraction des corps étrangers engagés dans les
os
ou dans les chairs, pour les membres ou les paroi
les mors avec du linge. Si une tige métallique est enfoncée dans un
os
, trois cas se présentent. i° Ou bien elle offre u
oi-même avec le genou ou le pied. 20 Ou bien la lame est brisée sur l'
os
; on la saisit alors avec un tire-fond analogue à
ressources : soit d'enlever, par une couronne de trépan, la portion d'
os
qui renferme le corps étranger; soit, ce qui vaut
ois, les morceaux de verre, de fer ou de tous métaux, les esquilles d'
os
, etc., doivent être retirés aussitôt, que possibl
aussi son choc a détaché, sur le trajet de la plaie, des esquilles d'
os
. Ces diverses considérations doivent être présent
divers ostéotomes pour dégager les corps étrangers encastrés dans les
os
. Règles générales. i°S'assurercle la position d
e, et, par le calcul,en tenant compte de la résistance causée par les
os
ou les tissus fibreux, de la direction variée ou
et s'y trouve comme enchatonnée. 3° Si une balle est fichée dans un
os
, on a recours à trois procédés : l'extraire avec
pinces. Dans le cas où le corps étranger n'est qu'enclavé entre deux
os
, comme au métacarpe ou au métatarse, àl'avant-bra
sur les aponévroses d'enveloppe et les tissus fibreux ou même sur les
os
. Toutefois si l'on a lieu de croire que l'affecti
Toutefois si l'on a lieu de croire que l'affection s'étende jusqu'aux
os
, il faut se contenter d'une excision si le siège
oints où la tumeur est superficielle et appuyée en profondeur sur des
os
qui offrent des points d'appui. La charpie accumu
la tumeur est située profondément et adhère aux tissus fibreux et aux
os
, on doit enlever les uns et, sinon emporter les a
LES ARTICULATIONS. Il est impossible d'opérer immédiatement sur les
os
sans diviser en même temps les parties molles qui
pécialement pour but d'agir au travers d'une plaie opératoire sur les
os
et leurs dépendances. D'après cette distinction n
ons simples, puisque, dans ces cas, on n'agit que médiatement sur les
os
, sans porter directement sur eux aucun instrument
ace se pratiquent: i° sur les articulations; 2° sur la continuité des
os
. MALADIES DES ARTICULATIONS ET MÉTHODES OPÉRA
ption est en raison inverse de létendue des surfaces articulaires des
os
. Procédé opératoire. On peut donner issue au fl
ation d'une articulation artificielle; 3° enfin, en excisant l'un des
os
pour redresser le membre lorsque l'ankylose est a
lir, dans les articulations ankylosées depuis long-temps, lorsque les
os
venaient à être disjoints accidentellement par un
éthode à suivre pour pratiquer cette opération consiste à découvrir l'
os
et à le scier de manière à en interrompre la cont
pour favoriser une fausse articulation. Peu à peu les deux bouts de l'
os
s'émoussent et se polissent par le frottement; le
artificielle; les différens cas de résections dans la continuité des
os
et les expérimentations sur les animaux lui avaie
36, sur un jeune homme de vingt-un ans affecté d'une soudure des deux
os
cle la hanche avec flexion à angle droit de la cu
ors il détacha avec soin les insertions musculaires qui recouvrent l'-
os
au voisinage du grand trochanter, dans une éten
mettre l'introduction du doigt indicateur. Après avoir ainsi dénudé l'
os
dans tous les sens, ce dont il s'assura en circon
, il se servit d'une scie forte et étroite pour faire la section de l'
os
de dedans en dehors. L'opération ne dura que sept
le malade sortit de l'hôpital complètement guéri. 3° Excision de l'
os
. Lorsqu'un membre est ankylosé dans une positio
te de son pied touchait le sol, et il boitait à peine. MALADIES DES
OS
ET MÉTHODES OPÉRATOIRES QUI S'Y RAPPORTENT. I
ant leur manière d'agir. Les uns, à tranchans multiples, divisent les
os
en les détruisant successivement, comme ferait un
convenablement, deux conditions générales sont indispensables : i" l'
os
doit être exactement assujetti par des aides ou p
scies continues, dont la grandeur et l'épaisseur varient suivant les
os
auxquels elles sont destinées; les unes sont droi
nt alors le manche de la scie à pleine main et limitant la lame sur l'
os
avec l'ongle du pouce de la main gauche, il comme
ongueur de son tranchant, en ayant soin toutefois de ne pas heurter l'
os
avec les extrémités de l'arbre fixé à la scie. On
nt et on l'abandonne à son propre poids en la retirant. Le tissu de l'
os
se trouve ainsi divisé par une série de mouvemens
le bras participe. A mesure qu'on arrive à la fin de la section de l'
os
on ralentit les mouvemens et on les rend plus lég
nd plus légers, afin de ne pas produire d'esquilles : si on divise un
os
long, il faut que les aides chargés de le mainten
cie de marcher, en rétrécissant sa voie, et on serait exposé à voir l'
os
se rompre avant que sa section fût entièrement te
prendre toutes les courbures, et de pouvoir passer facilement sous un
os
pour le scier de dedans en dehors. La seule parti
Suivant que cela est plus eommode, le chi rurgicn l'ait maintenir l'
os
solidement tandis qu'il (ait seul agit' la scie p
s mouvemens et on les rend plus légers à mesure que la résection de l'
os
approche de sa fin. Les différons ostéotomes de M
rs le centre et offrent l'avantage de pouvoir réséquer des portions d'
os
dans des profondeurs où ne pourraient point attei
Tels sont : la rugine, destinée à racler le périoste ou à amincir les
os
; le couteau lenticulaire, dont on se sert pour ég
; les gouges plates ou concaves qu'on fait pénétrer dans le tissu des
os
à l'aide d'un maillet de fer ou préférablcment de
il est moins élastique et communique moins de secousses au corps de l'
os
: les gouges sont principalement destinées à enle
à enlever des tumeurs osseuses, ou à sculpter le tissu spongieux des
os
pour y poursuivre les restes d'une carie. Le perf
puie modérément sur son extrémité libre pour le faire pénétrer dans l'
os
. Enfin on met encore en usage, pour diviser certa
nétrer dans l'os. Enfin on met encore en usage, pour diviser certains
os
spongieux, de forts scalpels, qui ne diffèrent de
trempés. Les tenailles incisives (pl. 55, fig. 20, 21, 22) sont aux
os
ce que les ciseaux sont aux parties molles; en ef
es côtes, les phalanges et les métacarpiens sont à peu près les seuls
os
qu'on puisse diviser d'un seul coup avec la cisai
e; le fragment osseux qui fait saillie au dehors sera réséqué, puis l'
os
réduit, et les deux fragmens rapprochés à l'état
une incision pratiquée, en regard du lieu fracturé, au plus près de l'
os
et sur le côté opposé aux gros vaisseaux (pl. 49,
périoste avec la pince et le bistouri. Quant aux simples fêlures des
os
longs, il n'y a point à s'en occuper; plus tard e
res (deux pouces et demi) qui divisa la peau et les muscles jusqu'à l'
os
. Portant ensuite son doigt au fond de la plaie, i
ck. 6° Cautérisation avec la potasse caustique. Les deux bouts de l'
os
ayant été préalablement mis à découvert, on divis
juge que la cautérisation est suffisante lorsque les extrémités de l'
os
ont acquis une couleur noirâtre (Green). M. Earle
t la contre-extension afin d'écarter suffisamment les deux bouts de l'
os
, le chirurgien fait pénétrer ses aiguilles dans d
aiguilles traversent le tissu fibreux qui sépare les deux bouts de l'
os
. Quoique cette méthode n'ait pas encore la sancti
a fléchi en déterminant une courbure plus ou moins considérable de l'
os
. Dans ces deux cas il en résulte un raccourcissem
océdé agit avec beaucoup d'efficacité lorsqu'il y a chevauchement des
os
et que le cal est encore provisoire. 2° Compres
soire. 2° Compression. Elle est particulièrement indiquée lorsque l'
os
s'est infléchi anguleuse ment par suite d'un mauv
e abandonnée, consiste à porter, sur le lieu de la consolidation de L'
os
, un coup brusque et violent pour rompre le cal an
ant que la peau. Les muscles étant divisés d'un second coup jusqu'à l'
os
, la rétraction qui s'ensuivit mit l'angle du cal
a rétraction qui s'ensuivit mit l'angle du cal à découvert. Il scia l'
os
clans ce point, avec une scie fine, jusqu'au tier
ns brisés se consolident mieux, il essaya d'achever la division cle l'
os
par fracture, en plaçant sous l'angle cle la cuis
a un mouvement de rotation pour la faire pénétrer clans le tissu de l'
os
. Lorsque le cal fut perforé, il poussa l'aiguille
osseuses diffuses, larges, qui comprennent toute la circonférence des
os
cylindriques ou toute l'épaisseur des os plats cl
t toute la circonférence des os cylindriques ou toute l'épaisseur des
os
plats clans une grande étendue. Pour que l'ablati
ens successifs aux moyens chirurgicaux dirigés contre les tumeurs des
os
. Le feu, de même que la ligature proposée par Kle
le trépan ou le ciseau, en ayant soin de maintenir solidement fixé l'
os
sur lequel on agit. Remarques. On comprend que
ficielles et plus ou moins bien pédiculées. Si la tumeur adhérait à l'
os
par une base élargie, l'application de plusieurs
e à chaîne, ou l'ostéotome de M. LIeine. kystes développés dans les
os
. Ces kystes sont représentés par des tumeurs pl
es incisions obliques en circonscrivant un fragment triangulaire de l'
os
, qu'on enlève. La tumeur débarrassée des matières
et 54). La nécrose est la mortification du tissu osseux. Dès qu'un
os
est frappé de nécrose en totalité ou en partit;,
nature commence un double travail qui a pour but de refaire un nouvel
os
et de séparer l'ancien de l'organisation pour l'e
parer l'ancien de l'organisation pour l'expulser au dehors. Le nouvel
os
, sécrété lentement aux dépens du périoste, contin
la forme irrégulière et au volume considérable qu'il affecte dans les
os
longs. Dans son intérieur est renfermé l'os ancie
le qu'il affecte dans les os longs. Dans son intérieur est renfermé l'
os
ancien, qui, bientôt isolé de toute adhérence, pr
s vers les trajets fistulcux des parties molles par des orifices de l'
os
nouveau improprement nommés cloaques. Ces cloaque
ert d'une nécrose, extraire eux-mêmes d'énormes séquestres de tout un
os
long. C'est pour abréger ce travail de la nature
lant chercher le séquestre dans sa cavité à travers les orifices de l'
os
nouveau, que l'on élargit au besoin. Ainsi donc,
avail préliminaire d'isolement du séquestre et de formation du nouvel
os
soit convenablement effectué. C'est à savoir déte
chirurgien, le tube osseux de nouvelle formation qui circonscrit les
os
nécrosés étant susceptible de passer par les degr
né. Cette transformation successive, qui explique la déformation de l'
os
par l'action musculaire lorsqu'on tente trop tôt
tion, clans la crainte que, parvenu à l'état d'ébur-nation, le nouvel
os
n'offre à l'opérateur une trop grande résistance
r à une opération qui a pour but d'agrandir le cloaque et de briser l'
os
nécrosé pour en faciliter l'extraction. Le malade
eu où les parties molles ont le moins d'épaisseur, puis on met à nu l'
os
de nouvelle formation au moyen d'une incision cru
nt les règles ordinaires. Les bords de la solution de continuité de l'
os
seront régularisés avec la scie à crête de coq ou
agemens pendant toute cette manœuvre, pour éviter de rompre le nouvel
os
, de le courber, ou de déchirer la membrane qui le
ndre, et ce n'est même que quelque temps après la cicatrisation que l'
os
de nouvelle formation a acquis assez de solidité
fig. 10 à i3). On a caractérisé la carie l'ulcération du tissu des
os
. Cette définition très générale est encore la plu
ous a paru caractérisée par l'oblitération des vaisseaux sanguins des
os
; et la carie, au contraire, par le développement
pourquoi la nécrose affecte la substance compacte ou la diaphyse des
os
, tandis que la carie a son siège aux extrémités s
. Toutefois cette dernière se développe quelquefois à la diaphyse des
os
(pl. i4, fig- 13 ), mais, à notre avis, c'est sou
carie ne font que hâter son envahissement sur de nouvelles couches d'
os
. Les substances qui détruisent l'organisation, le
t cylindriques pour enfoncer dans les pertuis et les excavations de l'
os
carié. Avant de commencer, l'essentiel est de bie
mineuse. Un vif sentiment de brûlure prolongé dans la profondeur de l'
os
indique que la cautérisation a porté assez loin s
ique que des bourgeons charnus se développent à la surface saine de l'
os
. Si, au contraire, il survient des exfoliations p
a d'autre règle à assigner que d'emporter entièrement la portion de l'
os
altérée jusqu'au delà de ses limites sur le tissu
éressent une étendue considérable ou la totalité d'un ou de plusieurs
os
, il en sera traité plus loin. méthodes de secti
plusieurs os, il en sera traité plus loin. méthodes de section des
os
en particulier. Les opérations qui se pratiquen
particulier. Les opérations qui se pratiquent sur la continuité des
os
se rangent sous deux chefs principaux : les trépa
N. La trépanation est une opération qui a pour objet de perforer un
os
. Elle emprunte son nom de l'instrument nommé trép
st le moyen le plus ordinaire. Toutefois on trépane ou on perfore les
os
avec d'autres instrumens, la tréphine et les perf
, la tréphine et les perforateurs. D'abord exclusivement affectée aux
os
du crâne, cette opération avait pour intention d'
és dans cette cavité; mais on l'a depuis appliquée à presque tous les
os
du corps, dans des buts variés, en l'associant au
de faire écouler des liquides épanchés ou d'extraire des esquilles d'
os
. En effet, nous voyons Hippocrate distinguer avec
s, etc., de celles qui tiennent à des fractures ou à des fissures des
os
du crâne. Il attache beaucoup plus d'importance à
s fêlures peu apparentes il propose, comme moyen certain, de racler l'
os
avec lexystre, ^ucJTfjQ, et de le frotter ensuite
t à l'opération il donne pour règle de ne pas percer tout d'un coup l'
os
jusqu'à la dure-mère, dans la crainte de blesser
membrane. Il tient parfaitement compte de l'épaisseur différente des
os
, et recommande de s'arrêter quelquefois et de plo
ophylax, plaque de fer légèrement courbée qu'il glisse au-dessous des
os
avant de les enlever avec le ciseau. Héliodore co
enlever avec le ciseau. Héliodore conseille de balayer la sciure de l'
os
avec de la laine écrue, invente la rugine, le cou
dues à des causes vénériennes et dans l'é-pilepsie et la nécrose des
os
du crâne. Glandorp, pour évacuer un amas de liqui
u'on doit alors l'appliquer lorsqu'il n'y a qu'une simple fissure des
os
ou même lorsqu'ils sont intacts. Ce principe, gén
urs, nous avons vu tenter la trépanation du rachis. TRÉPANATION DES
OS
DU CRANE. Indications. Marchettis, Sala, de La
trépan relatives aux plaies de tête. On se propose ou de relever des
os
enfoncés, ou d'extraire des esquilles, ou de donn
ent, 2° toutes les fois qu'il existe une forte attrition du tissu des
os
, 3° dans tous les cas où la dure-mère a été intér
anation, clans ces cas mêmes, peut être inutile lorsque la plaie de l'
os
est assez large pour donner issue aux corps étran
sinus frontaux, sur la partie moyenne du frontal, sur les sutures des
os
du crâne, sur la protubérance occipitale et vers
ar-tic fracturée. Lorsqu'un corps étranger se trouve enclavé dans les
os
, et lorsqu'il existe une fracture de peu d'étendu
ne pince incisive, 6° une petite brosse pour balayer les sciures de l'
os
. La tréphine, que préfèrent en général les chirur
que avec un fort bistouri qui doit pénétrer du premier coup jusqu'aux
os
, à moins qu'il n'existe des fractures et qu'on n'
t à craindre de pénétrer trop profondément à travers les fissures des
os
. Les lambeaux sont ensuite disséqués, garnis d'un
elevés par un aide. L'opérateur, saisissant alors la rugine, dénude l'
os
de son péricrâne en procédant de la circonférence
dérable, ce qui expose évidemment à la nécrose. 20 Perforation de l'
os
. L'arbre du trépan étant préalablement muni de sa
ord un trou, et bientôt les dents de la couronne viennent à toucher l'
os
en traçant aussi leur rainure circulaire. Aussitô
la sciure blanche et sèche qu'on est parvenu à la table interne de l'
os
. Facile sur le cadavre, cette distinction est imp
e temps en temps la couronne du trépan pour nettoyer les sciures de l'
os
avec la brosse, et de sonder la rainure avec un b
s un craquement particulier, indice certain que la table interne de l'
os
est séparée. 3° Extraction de la partie osseuse
une fracture avec enfoncement, il est facile de relever les pièces d'
os
enfoncées en glissant un élévatoire entre l'os et
e relever les pièces d'os enfoncées en glissant un élévatoire entre l'
os
et la dure-mère, sans diviser cette membrane, et
es anciens et à la petite pièce de linge fin qu'on glissait entre les
os
et la dure-mère. Le pansement consiste aujourd'hu
être enduit de cérat immédiatement sur la solution de continuité de l'
os
. On rabat ensuite les lambeaux des parties molles
te enlevé, et l'opération continuée jusqu a perforation complète de l'
os
, en suivant les mêmes règles qui sont indiquées p
ans, en appliquant préalablement le tire-fond au milieu de la pièce d'
os
que l'on voudrait enlever. En effet, il permettra
d'os que l'on voudrait enlever. En effet, il permettrait d'enlever l'
os
dans une aussi grande étendue qu'on le désirerait
l'un à l'autre orifice déjà effectué, parallèlement à la surface de l'
os
, et cle l'y fixer entre le pouce et l'indicateur
s loin en inclinant la lame pour suivre la courbe de la surface cle l'
os
. Par prudence, avant cle diviser la table interne
ux côtés, mais sans aller jusqu'à la dure-mère : on enlève la pièce d'
os
avec l'élévatoire, et on en ébarbe les bords avec
n en ébarbe les bords avec le couteau lenticulaire. trépanation des
os
du tronc. i° Sternum. Avenzoar, V.-D. Wiell, Ju
u sternum presque exclusivement aux cas de carie et de nécrose de cet
os
ou pour extraire un corps étranger qui serait ven
manuel opératoire est soumis aux mêmes règles que la trépanation des
os
du crâne. La division cle quelques branches des a
e à jamais rejetée clu cadre d'une saine chirurgie. Trépanation des
os
des membres. On trouve dans les anciens de nomb
dans les anciens de nombreux exemples d'application du trépan sur les
os
des membres pour des indications très variées, te
s abcès du canal médullaire, etc. Mais aujourd'hui la trépanation des
os
des membres, comme celle des os de la poitrine, s
. Mais aujourd'hui la trépanation des os des membres, comme celle des
os
de la poitrine, se confond presque partout avec l
n du trépan s'est beaucoup restreint; l'extraction des séquestres des
os
longs est la seule indication qui en réclame enco
éclame encore quelquefois l'emploi (pl. 54, fig. 7 )• RÉSECTION DES
OS
. Les résections sont des amputations fractionné
os tissus une portion plus ou moins considérable d'un ou de plusieurs
os
dans le but de conserver les parties restées sain
ses fractions. Historique. Conserver en partie les leviers que les
os
prêtent à l'appareil locomoteur, afin d'éviter l'
e. Bien que du temps de Galien on eût pratiqué la section de certains
os
du tronc, bien que dans le moyen-âge on retrouve,
supérieure de l'humérus on ne doit dénuder et scier que la portion d'
os
malade, sans désarticuler le membre et le séparer
sur les parties latérales du genou, afin de faire sortir la tête de l'
os
et d'en retrancher ce que la carie aurait rongé.
tes les articulations du corps. Plus tard on essaie de retrancher les
os
dans leur continuité, et on ose même les extirper
s des distinctions naturelles suivant qu'on intéresse un ou plusieurs
os
, et qu'on respecte ou qu'on détruit les connexion
dans les trois groupes suivans: i° Résections dans la continuité des
os
ou hors des articulations ; 20 Résections dans
ions dans la contiguïté ou dans les articulations; 3° Extraction d'un
os
clans sa totalité ou résection par désarticulatio
s altérations chroniques , dans l'induration des tissus environnant l'
os
malade. Ces résistances rendent pénibles la disse
aillemens de ces organes d'autant plus douloureux et funestes que les
os
ont des connexions ligamenteuses plus solides et
examine les résections dans la contiguïté ou dans la continuité des
os
, les maladies qui les indiquent sont de deux i or
Saisons. On pratique à peu près indifféremment les opérations sur les
os
dans toutes les saisons de l'année; cependant qua
eillard : chez ce dernier, en effet, la dégénérescence graisseuse des
os
, la vitalité moins grande des tissus environnans,
vant l'état des parties molles. Dans la continuité de la diaphyse des
os
longs, ou dans les os plats formés par une lame d
s molles. Dans la continuité de la diaphyse des os longs, ou dans les
os
plats formés par une lame de diploé très mince, c
le tissu spongieux des extrémités articulaires, ou dans le corps des
os
courts, les acci-dens inflammatoires et la phlébi
ies molles; le bistouri boutonné, qui sert à dénuder profondément les
os
sans léser les gros troncs vasculaires; des pince
s de bois, de carton ou de métal, qui doivent être glissées entre les
os
et les chairs pour protéger les parties voisines
pour protéger les parties voisines pendant qu'on fait la section de l'
os
. 3° (pl. 55). Les tenailles incisives ordinaire
illes incisives ordinaires et celles de M. Liston pour la section des
os
d'un petit volume; des scies à main de diverses e
et coudées, des couteaux courts, forts, pour ruginer et sculpter les
os
, deviennent quelquefois nécessaires pour terminer
ngés fines pour absterger le sang, afin de reconnaître la couleur des
os
. Il est également prudent d'avoir un grand nombre
due des incisions sont subordonnés à la profondeur où se trouvent les
os
et au volume plus ou moins considérable qu'on doi
au volume plus ou moins considérable qu'on doit en extraire. Plus les
os
sont volumineux et profondément situés, plus l'in
e centre. Cette méthode est surtout avantageuse pour la résection des
os
du tronc et des articulations du coudeetdu genou.
difficiles à retenir. Dissection des parties molles, dénudation des
os
. Ce temps opératoire s'exécute dans les résection
ent les difficultés seront plus grandes en raison de l'altération des
os
, de l'indu ration et de l'engorgement des parties
ux et les nerfs qu'il est si important de ne pas léser. Section des
os
. Les os étant mis à découvert, on s'assure de la
s nerfs qu'il est si important de ne pas léser. Section des os. Les
os
étant mis à découvert, on s'assure de la profonde
n stylet pointu ou d'une sonde cannelée. La limite de la maladie de l'
os
sera déterminée non-seulement par celle de la car
, s'il le faut, les incisions jusqu'à celte limite, et c'est là que l'
os
doit être divisé. La résection se pratiquera à l'
scies ou de pinces incisives, suivant le volume et la disposition des
os
. Si la carie se prolonge dans les parties spongie
ion des os. Si la carie se prolonge dans les parties spongieuses de l'
os
, au delà de la section on enlèvera ce qui est alt
s parties molles contre l'action des instrumens en glissant entre les
os
et les chairs des plaques de bois ou de carton, e
sur le membre abdominal, il faudra chercher à obtenir la soudure des
os
. Pour y parvenir, on doit, autant que possible, r
on artificielle en le plaçant dans la demi-flexion et en laissant les
os
légèrement écartés. La solution de continuité d
erver tout ce que le mal n'a point envahi. Mais, d'un autre côté, les
os
sont si courts, que leurs maladies permettent rar
t rarement d'en ménager les extrémités articulaires. La résection des
os
métacarpiens est presque tou- t. vi. jours ju
ans la contiguïté, dans la continuité ou par extraction complète de l'
os
. Cette dernière méthode convient presque exclusiv
l'os. Cette dernière méthode convient presque exclusivement pour les
os
du carpe. RÉSECTION DE L'ARTICULATION MÉTACARPO
'ARTICULATION MÉTACARPO-PIIALANGIENNE. On peut enlever la tête de l'
os
métacarpien, l'extrémité de la phalange, ou toute
e l'articulation, on les agrandit, suivant le besoin, pour mettre les
os
à découvert. LTors ces cas, on a recours au procé
s, on a recours au procédé suivant. Du milieu de la face dorsale de l'
os
métacarpien faire partir une incision qui commenc
clemi-pouce) au delà du point où l'on veut pratiquer la section de l'
os
, et qui vienne aboutir à la commissure du doigt;
u à l'aide d'une petite scie cultellaire, en glissant au-dessous de l'
os
une plaque de bois ou de carton pour protéger les
cicatrice se forme, un tissu ostéo-fibreux réunit les deux bouts de l'
os
d'une manière solide; et les tendons parviennent,
raction en ouvrant son articulation inférieure. A'' RÉSECTION DES
OS
MÉTACARPIENS. Proposée en 1815 par M. Champion,
iquer une incision longitudinale ou cruciale sur la face dorsale de l'
os
, au niveau de la partie que l'on veut enlever : l
pour but d'enlever la moitié supérieure ou la moitié inférieure de l'
os
. Après avoir convenablement protégé les parties m
ec la scie à chaîne. La section opérée, on renverse le fragment cle l'
os
réséqué d'avant en arrière en achevant de le sépa
ies molles. Lorsque l'ablation porte sur le premier ou le cinquième
os
du métacarpe, il est indiqué de pratiquer la sect
ible cle recouvrer une partie cle ses mouvemens. 4° EXTIRPATION DES
OS
DU CARPE. Cette opération est presque exclusive
iser les solutions de continuité déjà existantes, afin d'extraire les
os
fracassés ou déplacés. Comme toutes les synoviale
xtraire les os fracassés ou déplacés. Comme toutes les synoviales des
os
du carpe communiquent non-seulement entre elles m
adius seul, du cubitus seul, ou les extrémités carpiennes de ces deux
os
à la fois. Dans ce dernier cas MM. Velpeau et Ché
itus. En outre il devient quelquefois même nécessaire de réséquer les
os
clu carpe. Chacune de ces indications constitue u
e compresse longue pour protéger les parties molles. La section cle l'
os
étant opérée de dedans en dehors, il ne reste plu
e faisceau des tendons extenseurs. — Troisième temps. Extirpation des
os
du carpe. Si les os clu carpe étaient affectés, o
ns extenseurs. — Troisième temps. Extirpation des os du carpe. Si les
os
clu carpe étaient affectés, on pourrait avec faci
sur le bord interne clu cubitus; séparer ensuite avec précaution les
os
des parties molles : attaquer d'abord le cubitus
radius ; enfin terminer par la résection et l'ablation de ce dernier
os
, qui s'exécute dès lors d'une manière simple et f
ut en bas et qu'on renverse sur le clos de la main. Par ce moyen, les
os
étant mis à nu et isolés des tissus en-vironnans,
du cubitus. La section doit atteindre du premier coup jusque sur les
os
; excepté vers l'extrémité du radius, pour ne pas
dans le relâchement, avec un bistouri convexe dénuder rapidement les
os
en soulevant les chairs à mesure avec les doigts
a masse dermo-tendineuse postérieure, et il est facile, en rasant les
os
du centre de la plaie vers l'avant-bras et la mai
tendons fléchisseurs étant libres, il suffît de raser la surface des
os
sous le carré pronateur en déprimant à mesure les
anse la masse dermo-tendineuse antérieure, on écarte et on dénude les
os
jusque sur les limites du mal; puis, le membre ét
avec ceux d'un aide de face, fait d'un seul coup la section des deux
os
de l'avant-bras de bas en haut. Dès qu'elle est o
par le cubitus. Enfin ce n'est que dans les cas extrêmes, lorsque les
os
du carpe seront malades , que le procédé de M. Ve
succès en 1815 par M. Butt de Virginie; cependant la longueur de cet
os
permet souvent d'en ménager les extrémités articu
son apophyse styloïde, une incision longitudinale pénétrant jusqu'à l'
os
et se continuant infé-rieurement avec une autre i
convenablement écartées par des aides, dénuder la partie moyenne de l'
os
, glisser, à l'aide d'un conducteur de bois ou de
e fragment humerai, en ayant la précaution de raser plus exactement l'
os
à mesure qu'on approche des articulations. Pour l
u débridement transversal, à moins qu'il n'existe quelque tumeur de l'
os
qui exige, pour les manœuvres, un plus grand espa
au-dessus, sont pratiquées avec la scie à chaîne, et le corps de l'
os
est enlevé suivant les préceptes ordinaires. Le
tance ostéo-fibreuse de nouvelle formation réunit les deux bouts de l'
os
, et maintient le membre dans sa rectitude. Peu à
Suivant les circonstances pathologiques, on peut extirper les trois
os
qui concourent à former l'articulation huméro-cub
ision longue de huit centimètres (trois pouces) qui pénètre jusqu'à l'
os
et se termine inféricurenient en dehors à l'épi c
une hauteur déterminée par l'étendue de la maladie; insinuer entre l'
os
et les chairs une plaque de bois ou de métal et p
par la main gauche. Il ne reste plus alors qu'à extraire la portion d'
os
réséquée en détruisant successivement ses adhéren
ital rend sa section presque inévitable lorsqu'on vient à dénuder les
os
ou à les désarticuler; c'est pourquoi Dupuytren c
x incisions longitudinales qui permettent de dénuder suffisamment les
os
pour glisser autour d'eux la scie à chaîne. La se
lisser autour d'eux la scie à chaîne. La section ainsi opérée sur les
os
du bras et de l'avant-bras, il ne reste plus qu'à
reste de l'opération est subordonné aux conditions pathologiques des
os
. On résèque les surfaces articulaires malades, en
Il en résulte deux lambeaux qui ont permis de faire l'extraction des
os
avec rapidité et qui se cicatrisent très bien apr
n faisant une seule incision longitudinale sur le côté externe de cet
os
. L'inflammation se propagea dans l'articulation n
ision de la peau et des muscles, 2° désarticulation et résection de l'
os
. Le malade doit être placé comme pour la désartic
centimètres au-dessous (quatre ou cinq pouces) et pénétrant] usqu a l'
os
. Les lèvres de cette plaie étant écartées par des
la solution de continuité des parties molles. L'issue de la tête de l'
os
opérée, détruire le reste des fibres ligamenteuse
) au-dessus clu bord postérieur de l'aisselle; puis, circonscrivant l'
os
et la capsule articulaire, conduire le couteau de
teau suffisamment engagé, descendre sa lame carrément, et en rasant l'
os
, jusque vers l'insertion inférieure du deltoïde,
es instrumens; il devient très facile de terminer la dénudation cle l'
os
dans tous les sens par la section des tendons rot
nées dhypérostosc, font prévoir des difficultés pour l'extraction des
os
, les procédés de Morcau ou de Sabatier sont indiq
xtrémité sternale, de l'extrémité scapulaire ou de la totalité de cet
os
. Au lieu d'un mode opératoire général de ces rése
aussi loin qu'il put les atteindre, puis il réséqua l'extrémité de l'
os
à un pouce (trois centimètres) de sa surface arti
des parties voisines, il plaça une lame de cuir battu au-dessous de l'
os
pendant qu'il en faisait la section: il eut recou
te opération à la scie de Scultet ou de M. Hey. Quand la section de l'
os
fut complète, on essaya de détacher le fragment i
aque de bois enfoncée dans l'articulation comme un levier, soulever l'
os
malade et le détacher ainsi des parties saines. S
glaise adroitement glissée derrière et un peu au delà de la portion d'
os
cariée, qui pouvait avoir un pouce et demi (quatr
ens acromio-cla-viculaires (Résection des extrémités articulaires des
os
dans la carie, thèse par M. Hurteaux : Paris, i83
ehors jusqu'au moignon de l'épaule et remontant en haut jusque vers l'
os
hyoïde et l'angle de la mâchoire, M. Mott de New-
e, incisa le peau-cier et une portion du trapèze, glissa alors sous l'
os
, près de l'acro-mion, une sonde cannelée qui serv
st d'autant plus périlleuse qu'on s'approche davantage du milieu de l'
os
, c'est-à-dire des vaisseaux et nerfs sous-clavier
u ostéo-fibreux qui, après la guérison, tend à remplacer la portion d'
os
enlevée. RÉSECTION DE L'OMOPLATE (pl. 63, fig.
ns la fosse sous-scapulairc une tumeur volumineuse et dépendante de l'
os
, M. Janson fit la résection d'une grande partie d
côté le tarse, qui forme la plus grande partie du pied, est composé d'
os
courts dont la structure prédispose aux accidens
ellement pratiquées sont celles du premier métatarsien et de quelques
os
du tarse. RÉSECTION DU PREMIER OS MÉTATARSIEN.
remier métatarsien et de quelques os du tarse. RÉSECTION DU PREMIER
OS
MÉTATARSIEN. On peut faire la résection d'une p
re la résection d'une partie ou pratiquer l'ablation complète cle cet
os
. Les caries, le spina-ventosa, les fractures comm
remier métatarsien. S'il s'agit d'enlever l'extrémité antérieure de l'
os
, à l'exemple de M. Blandin pratiquer en dedans un
l'articulation métataiso-phalangienne, attirer et luxer la tête de l'
os
, et en même temps l'isoler sur les parties latéra
mieux de la scie à chaîne, l'ablation de la partie malade en sciant l'
os
perpendiculairement à son axe. Suivant certains
s adhérences et de l'induration des parties molles qui recouvraient l'
os
M. Barbottin fit une plaie ovalaire dont il extir
ion en T couché , préfère également pratiquer d'abord la section de l'
os
avec la scie d'Aitken et terminer par la désartic
premier métatarsien (pl. 59, fig. 1). Tracer sur le côté interne de l'
os
et parallèlement à son axe une incision étendue d
pied, circonscrire un lambeau quadrilatère qu'on renverse en haut. L'
os
étant dénudé et isolé convenablement, avec la pré
angienne, qui est plus lâche; puis soulevant et attirant la tête de l'
os
, on incisera en même temps et successivement tout
tarsien avec le cunéiforme. M. Velpeau trouve plus commode de scier l'
os
par le milieu, avec la scie à chaîne, et d'en ext
erte et de peu d'utilité pour la station. La résection partielle de l'
os
n'offre pas en général cet inconvénient, le vide
s simple et fournit un meilleur résultat. ABLATION ET RÉSECTION DES
OS
DU TARSE. C'est là surtout que le chirurgien do
era. Les luxations compliquées nécessitent souvent l'extirpation de l'
os
déplacé. La carie et l'écrasement en sont après e
Cuboïde et cunéiformes (pl. 61, fig. i ). Dans un cas où la carie des
os
situés au côté externe du tarse se traduisait par
s fibres du muscle pé-dieux, incisées, furent déjetées en dedans. Les
os
ayant été ainsi mis à nu , l'étendue de la carie
une substance ostéo-fibreuse combla le vide causé par l'ablation des
os
, et, par la suite, le malade put marcher libremen
tarse et du métatarse : les lambeaux furent disséqués et relevés, les
os
découverts et dénudés ; puis, avec la scie à mole
, le calcanéum se prête plus facilement aux résections que les autres
os
du tarse, il n'en est pas moins vrai que le plus
de la scie cultellaire. Si la carie se prolongeait dans le corps de l'
os
, il conviendrait de sculpter son tissu avec la go
es, de direction variable selon que la maladie exige que l'on mette l'
os
à nu dans tel sens plutôt que dans tel autre; le
ant qu'il est nécessaire, enlever les extrémités inférieures des deux
os
de la jambe conjointement avec la partie supérieu
e l'opération est d'enlever à la fois l'extrémité inférieure des deux
os
de la jambe en commençant par la résection du pér
au-dessus du point de départ et atteignant du premier coup jusqu'à l'
os
; puis en faire partir une seconde, dirigée transv
e l'exiguïté de l'espace inter-osseux, de procéder à la division de l'
os
avec la gouge et le maillet, en dirigeant la sect
ie à chaîne, qui trouve assez d'espace pour s'insinuer entre les deux
os
et permettra de scier le péroné de dedans en deho
chevée dans tous les sens, on passe une plaque protectrice derrière l'
os
et on opère sa résection d'avant en arrière avec
nvironnent le tibia, c'est pour cela que la scie à chaîne, divisant l'
os
d'arrière en avant, nous paraît encore préférable
'on repousse en arrière, et le bistouri rase la face postérieure de l'
os
de manière à éviter les vaisseaux et nerfs péroni
rière et en avant de l'espace inter-osseux, on conduit entre les deux
os
la scie articulée, on divise le péroné et on en e
ision analogue à la précédente et renversé le lambeau, on détache les
os
des parties molles antérieures qui forment un pon
is est passée entre le tibia et les chairs postérieures. Pour scier l'
os
on se sert d'une lame de scie étroite et épaisse
me de ces lambeaux donnerait de la facilité pour scier et enlever les
os
altérés. Procédé de l'auteur (pl. 60, fig. l\,
ux incisions externe et interne pénétreront du premier coup jusqu'à l'
os
. Faisant alors incliner la jambe légèrement en de
à la dénudation de la face antérieure du tibia en rasant exactement l'
os
et le ligament inter-osseux jusqu'à ce que le bis
es plaies de se rencontrer. L'opération à ce point, glisser entre les
os
et les parties molles détachées une petite compre
chairs écartées pendant que le chirurgien poursuit la dénudation des
os
jusqu'aux limites du mal. On procède à la dénudat
limites du mal. On procède à la dénudation de la face postérieure des
os
de la même manière et en détachant successivement
edans et en dehors ; puis on glissera de même entre les chairs et les
os
une compresse longuette qui embrassera une masse
carter les lèvres de la plaie et permettre la dénudation complète des
os
. Le péroné et le tibia étant bien isolés dans tou
p d'accord dans leurs mouvemcns, de manière que la section des deux
os
se trouve opérée en un seul temps: alors le chiru
adie. La peau et les muscles péroniers doivent être divisés jusqu'à l'
os
du premier coup. Un aide est chargé d'écarter les
gé d'écarter les lèvres de la plaie pendant que le chirurgien isole l'
os
des parties molles en avant, en arrière et en ded
oints opposés qui limitent la maladie. Si on a rasé bien exactement l'
os
, les vaisseaux péroniers ne doivent pas être atte
errière le fémur de manière à ne pas blesser les vaisseaux ; isoler l'
os
dans une étendue convenable, et remplacer alors l
les côtés du fémur jusqu'à une hauteur qui varie suivant l'étendue d'
os
à réséquer. Ces deux premières incisions, qui doi
la partie postérieure, et on divise les chairs en rasant exactement l'
os
et en usant de précaution pour ne point léser les
pour, ultérieurement, procéder à la dénudation et à la résection des
os
comme clans le procédé de Moreau. Procédé de M.
oxalgie, ou une carie, surtout lorsqu'il y a lieu de soupçonner que l'
os
coxal participe à la maladie. Peut-être seulement
de la cuisse une grande incision qui divise tous les tissus jusqu'à l'
os
. A travers les lèvres de la plaie convenablement
. De l'angle inférieur de cette première plaie, qui pénètre jusqu a l'
os
, tracer une seconde incision transversale et prof
et triangulaire étant divisés avec la pointe du couteau, la tête de l'
os
se luxe naturellement; il devient facile alors de
d'une incision semi-lunaire portée de l'épine antéro-supérieure de l'
os
des iles à la tubérosité de l'ischion,derrière l'
e qui en résulte est disséqué et renversé en bas. La dénudation cle l'
os
, sa désarticulation et sa résection se font cle l
vec le fer chaud. 3° RÉSECTIONS DES OS DU TRONC. 10 Résection des
os
de la face. Si, parmi tous les os de la face, l
S OS DU TRONC. 10 Résection des os de la face. Si, parmi tous les
os
de la face, les maxillaires supérieur et inférieu
ce soient les seuls dont on doive faire la résection. Les orbites, l'
os
malaire, l'os unguis, l'arcade zygomatique, les a
seuls dont on doive faire la résection. Les orbites, l'os malaire, l'
os
unguis, l'arcade zygomatique, les arcades dentair
ment l'excision ou la résection. Mais les connexions de ces différens
os
, leur petit volume et l'étendue variable des alté
usque dans ses racines sans tenir compte des limites anatoiniques des
os
que la maladie n'aura pas respectées. Cependant i
proposé une nouvelle méthode opératoire applicable aux résections des
os
de la face en général. Ainsi donc, quelque soitle
ÉRIEUR. Depuis long-temps on pratiquait la résection partielle de l'
os
maxillaire supérieur pour des caries, des fongus,
constances anatomo-patho-logiques. Mais l'extirpation complète de cet
os
, bien que conçue et indiquée par Biclloo, Desault
équé de bas en haut et renversé sur le front laisse voir au-dessous l'
os
maxillaire à découvert, qu'il s'agit d'isoler de
autant pour l'arcade zygomatique, 3° attaquer de la même manière l'
os
unguis et l'apophyse montante, 4° dénuder toutes
nez à la mâchoire, arracher, s'il le faut, la première incisive de l'
os
malade afin de faire glisser de haut en bas, et p
eux maxillaires, de manière à opérer facilement la disjonction de ces
os
entre eux, 5° détacher les parties molles du plan
sera du même coup le nerf maxillaire supérieur et les connexions de l'
os
avec l'apophyse ptérygoïde. Le chirurgien doit al
alors abandonner la gouge et le maillet et terminer l'extraction de l'
os
en divisant avec un bistouri ou des ciseaux courb
son tiers antérieur. Ensuite avec la gouge et le maillet on détacha l'
os
vers l'angle externe de l'orbite. Alors une incis
avec les cisailles de Liston. Enfin au moyen de quelques tractions l'
os
fut détaché de ses connexions avec le palais et l
ut les ostéosarcomes. L'étendue de la maladie détermine la quantité d'
os
qu'on excisera ; on pourra enlever la partie moye
ne assez grande étendue, afin de recouvrir complètement les parties d'
os
réséquées; que les glandes du cou et de la région
oup l'opérateur la divise verticalement sur la ligne médiane jusque l'
os
, et prolonge inférieurement, jusqu'au niveau de
'os, et prolonge inférieurement, jusqu'au niveau de la saillie de l'
os
hyoïde, son incision, qui n'intéressera plus que
u mal, ils sont renversés et confiés à des aides. Deuxième temps. L'
os
étant mis à découvert, on reconnaît exactement le
à découvert, on reconnaît exactement les limites de l'altération de l'
os
; on incise le périoste sur les points où doit por
afin de favoriser l'action de la scie. Pour pratiquer la section de l'
os
, Dupuytren, qui se servait d'une petite scie à ma
era préalablement avec le bistouri boutonné, sur la face interne de l'
os
, une étendue de parties molles suffisante pour le
ouri boutonné, porté de bas en haut, il rase la face postérieure de l'
os
en divisant successivement, de gauche à droite, t
eux incisions latérales et convergentes qui viennent se réunir vers l'
os
hyoïde en forme de V plus ou moins ouvert. Proc
de la mâchoire, Delpech isole de chaque côté la face postérieure de l'
os
sans toucher aux attaches musculaires du milieu.
rties latérales. 2° Résection avec désarticulation dune moitié de l'
os
maxillaire. La forme de l'incision des parties
e moyenne ; puis, en rasant avec le bistouri la face postérieure de l'
os
, on en détache successivement toutes les chairs,
désarticulation 'il est important de tendre et d'attirer fortement l'
os
, afin d'éloigner ainsi les vaisseaux de la branch
Le lambeau étant disséqué et renversé en bas et en arrière laissera l'
os
à découvert. Il ne reste plus alors qu'à détacher
e la face interne du bord alvéolaire : on termine par la section de l'
os
, en avant d'abord, puis en arrière, à l'origine d
qué, puis renversé en bas et en arrière. On procède à la section de l'
os
comme à l'ordinaire; seulement M. Mott recommande
g.3). Pratiquer horizontalement, en longeant le bord inférieur de l'
os
maxillaire, une incision étendue d'un angle de la
ie postérieure, le chirurgien pratique de chaque côté la section de l'
os
suivant les règles ordinaires. Si la tumeur éta
zygomatique et longe le bord postérieur de la branche ascendante de l'
os
. Un large lambeau ressemblant à une espèce de mas
nvient seulement, pour avoir plus de facilité, de commencer à scier l'
os
sur la partie moyenne: ce qui transforme ce procé
incision suffisantes et en rapport avec l'étendue de l'altération des
os
; puis, une fois qu'on a bien limité ce qu'on doit
ler la plèvre de la face interne de la côte et passer au-dessous de l'
os
une compresse protectrice. Il est à peu près indi
e temps les muscles intercostaux en rasant soigneusement le bord de l'
os
; on évite ainsi la lésion de l'artère intercostal
diminuait et semblait promettre un heureux résultat. résection des
os
du bassin. Dans un cas de fistule à l'anus entr
nue par une carie du coccyx, M. Van Onsenort fit l'extirpation de cet
os
. On possède des exemples d'excision des tubérosit
diverses circonstances particulières à l'étendue de l'altération des
os
. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LA TOTALITÉ D
epte de couper dans le vif, et de ménager des chairs pour recouvrir l'
os
, contient en substance tout ce qui est essentiel
er les procédés qui conviennent le mieux pour empêcher la saillie des
os
, et pouvoir recouvrir la plaie avec les tégumens.
seul coup, les faisait remonter et les détachait circulairement de l'
os
, dénudait celui-ci dans une certaine étendue et l
siècle. Pendant toute la période intermédiaire, tégumens, muscles et
os
étaient coupés sur le même plan; il n'y eut de va
bien coupée tout à l'entour, on prendra un linge fendu pour passer l'
os
, et avec ce linge on tirera la chair afin de coup
our passer l'os, et avec ce linge on tirera la chair afin de couper l'
os
le plus hault possible, lequel faudra totalement
, lier ou cautériser les artères, et ramener le cuir doucement sur l'
os
, et le fixer avec deux points en croix sans cauté
ent sur l'os, et le fixer avec deux points en croix sans cautériser l'
os
(Epi-tome, p. 128, 129 ). » J.-L. Petit et Ches
elever après les avoir disséqués, et divisaient les muscles jusqu'à l'
os
, qu'ils sciaient dans un troisième temps. Louis
eul coup, comme.T.-L. Petit, détachait, comme Celsc, les muscles de l'
os
, en le contournant avec la pointe clu couteau eng
te les têtes articulaires, et en fournissant ainsi, pour protéger les
os
, une grande quantité cle tissus. Dans ce cas on p
s bien, après avoir remonté la peau, inciser d'un seul coup jusqu'aux
os
, et détacher les muscles circulairement et de bas
tre achevés, et toutes les parties molles coupées, avant d'attaquer l'
os
. Dans les désarticulations, au contraire, le lamb
sa supériorité pour la réunion de la plaie, et pour la protection des
os
; elle n'est guère plus prompte et moins douloureu
une section conique au milieu de laquelle se trouve l'extrémité cle l'
os
comme centre et dont les bords, simulant deux lam
t lieu, par leur rapprochement, à une réunion linéaire. Section des
os
. C'est le temps de l'opération qui se fait ordi
t-bras sur le bras, et du poignet sur l'avant-bras. Quand il y a deux
os
, c'est toujours sur le moins mobile qu'on pose d'
ragie, à la conicité du moignon, à la saillie et à l'exfoliation de l'
os
, à la phlébite et à l'infection purulente; questi
ns la continuité des métacarpiens, mais l'amputation régulière de ces
os
ne remonte pas au delà de notre époque. Avant-b
é le bras sur le banc; les chairs coupées d'un seul coup, il scie les
os
. Les figures de Scultet nous montrent les chairs
il scie les os. Les figures de Scultet nous montrent les chairs et l'
os
coupés au même niveau; Louis, suivi par Heister,
qu'on dirigeait indifféremment sur la continuité ou la contiguïté des
os
, sans plus de méthode pour les fractions terminal
aire. Inciser les tégumens à six millimètres au-dessous du point où l'
os
sera scié, les remonter, diviser les tendons et s
point où l'os sera scié, les remonter, diviser les tendons et scier l'
os
avec une petite scie d'horloger, ou l'exciser ave
ambeau palmaire de douze millimètres, remonter les chairs et couper l'
os
. On peut aussi, en renversant le procédé, faire u
avant en arrière les trois chefs cle la compresse fendue et coupe les
os
un à un soit avec la scie, soit avec les cisaille
ntérieur, diviser les tendons, les muscles interosseux, et couper les
os
. Second procédé de M. Velpeau. Former le lambeau
s. Second procédé de M. Velpeau. Former le lambeau dorsal, isoler les
os
sur les côtés, les exciser, et tailler ensuite le
irculaire. M. Sédillot a proposé cette méthode. Si la si section de l'
os
ne devait pas porter au delà de la tête articulai
après avoir incisé d'abord la commissure jusqu'à la limite du mal : l'
os
est mis à nu, puis scié ou excisé. Nous croyons q
aux métatarsiens. Le seul inconvénient à éviter c'est la saillie de l'
os
à travers la petite extrémité de l'ovale, nous pr
dant à un centimètre plus bas sur la face dorsale de la commissure. L'
os
de cette manière ne serait pas plus difficile à s
curer une cicatrice plus régulière, et en même temps mieux protéger l'
os
. Métacarpiens intermédiaires, deuxième métacarp
ps, les parties molles jusqu'à l'autre commissure, scier ou exciser l'
os
. Il n'est pas besoin cle montrer l'infériorité d'
e pas devoir être adoptée, parcequ'ellc ne facilite ni l'excisiondc l'
os
, ni la cicatrisation,et qu'au contraire elle pour
'amputation immédiatement au-dessus du poignet, sous prétexte que les
os
sont mal recouverts, que la cicatrice, très longu
dedans; cette position est encore déterminée ici par la section des
os
, quelle rend plus sûre et plus facile. i0 Procé
euses, à une hauteur qui doit varier, suivant le point de section des
os
, entre trois et cinq centimètres; remonter ou mie
au comme pour l'incision de la peau, et couper du même coup jusqu'aux
os
, en incisant toutes les parties molles qui dépass
r la seciion des chairs profondes ou des tendons logés entre les deux
os
. Sabatier, Boyer, Larrey, et d'autres chirurgiens
us anciens, les coupaient à diverses reprises, et les détachaient des
os
, à la manière de Bell, après avoir incisé les lig
pour la face antérieure, en pronation pour la postérieure, rasent les
os
et le ligament inter-osseux, tournent le tranchan
e dont on ait coupé les chairs profondes, il faut, avant de scier les
os
, dégarnir complètement l'espace inter-osseux. On
, en abaissant le poignet, et, faisant agir le tranchant sur les deux
os
, pénétrer dans l'espace inter-osseux postérieur,
au sur le bord externe du radius, abaisser la main, agir sur les deux
os
, pénétrer dans l'espace inter-osseux postérieur,
s chairs, mettre l'avant-bras dans une position moyenne, afin que les
os
soient sciés au même niveau ; fixer le radius à s
fixer le radius à son articulation cubito-humérale, commencer sur cet
os
la voie de la scie, élever la main et continuer e
os la voie de la scie, élever la main et continuer en sciant les deux
os
à-la-fois, mais achever le radius avant le cubitu
rieur du cubitus au bord externe et antérieur du radius en rasant les
os
et le ligament inter-osseux, tailler d'arrière en
mier ou le second procédé, et terminer l'opération par la section des
os
. Procédé à un lambeau (pl. 72, fig, 4)- Le lamb
t en arrière, achève circulairement la section des chairs et scie les
os
. M. Baudens, au contraire, pour la partie inférie
mbeaux longs de trois centimètres, dénude en 8 de chiffre et scie les
os
. Au tiers supérieur il suit le procédé de M. Sédi
ie inférieure une quantité suffisante de peau pour bien recouvrir les
os
et les tendons, et former u::c cicatrice prompte
assez grande quantité pour être ramenées sur la presque totalité des
os
, et, pour arriver plus complètement à ce résultat
la structure aplatie du membre, devoir protéger plus efficacement les
os
, et procurer une cicatrice plus régulière que cel
régularité delà cicatrice est'rachetéc par l'inconvénient de voiries
os
s'échapper à travers les angles des lambeaux; et
s grande longueur possible. En effet, on perd nécessairement pour les
os
toute la longueur des lambeaux. Du reste, si les
a meilleure position, et que, d'une autre part, avant la section de l'
os
on ne peut savoir absolument si ces fibres recouv
ubit la longueur des fibres pendant ces mêmes mouvemens, et on scie l'
os
à une hauteur proportionnelle. Les fibres du de
anément les tégumens. Deuxième temps. Diviser les muscles jusqu'à l'
os
, en commençant par le biceps; laisser la rétracti
perpendiculairement les fibres profondes et détacher les muscles de l'
os
suivant le procédé de Bell : avec cette quadruple
de l'os suivant le procédé de Bell : avec cette quadruple incision l'
os
est immédiatement recouvert par les chairs, qui n
huit centimètres (deux à trois pouces de long), les écarte et scie l'
os
au sommet de leur réunion. Ce procédé, qui exige
interne, la relever, faire remonter les chairs, les couper et scier l'
os
. Appréciation. Avoir voulu appliquer, dans tous
mérale : à celte hauteur le deltoïde reste seul capable de protéger l'
os
, l'amputation peut en quelque sorte être assimilé
ouper circulairement à sa base le reste des parties molles et scier l'
os
. On pourrait, du reste, étendre à cette amputat
appréciation relative et absolue. Le pied est composé de vingt-six
os
qui forment en médecine opératoire comme en anato
ès obscure, on peut en quelque sorte considérer le pied comme un seul
os
, ne point s'astreindre, pour les amputations, aux
opératoires, et sur les particularités que commandent la section des
os
ou leur désarticulation. Le peu d'épaisseur des
ande rétractilité, et doit, pour se conformer au volume croissant des
os
, se terminer toujours au pli de flexion sous-méta
considération, il vaut toujours mieux amputer dans la continuité des
os
que dans leurs articulations. AMPUTATION DES OR
pour les doigts, où nous les exposerons en détail. AMPUTATIONS DES
OS
MÉTATARSIENS. Méthode ci lambeaux. Amputation d
ONS DES OS MÉTATARSIENS. Méthode ci lambeaux. Amputation du premier
os
métatarsien. Historique. Ledran démontra le pre
e nouvelle force à cette opinion en proposant la section oblique de l'
os
. MM. Dupuytren, Blandin, Malgaigne, Yelpeau, Sédi
et de généraliser les amputations qui se pratiquent sur chacun de ces
os
en particulier. On peut ramener les méthodes à
interne et les attirer fortement en dedans : au niveau du point où l'
os
sera scié, de la face dorsale à la face plantaire
urné devant soi; appliquer fortement le plat de l'instrument contre l'
os
, le conduire d'arrière en avant jusqu'à neuf mill
qui parcoure obliquement, en avant et en dehors la face dorsale de l'
os
jusqu'à la commissure interdigitale. — Troisième
emps. Une coin-presse ou une attelle très mince placée entre les deux
os
, le pied tourné en dehors, saisir le métatarsien
its de bistouri dont l'obliquité représente celle que la section de l'
os
doit avoir. Procédé de Boyer et de Dupuytren, r
er temps. Sur la face dorsale et sur la face plantaire, du point où l'
os
doit être scié, conduire deux incisions parallèle
ant le bord plantaire du métatarsien, conduire une incision jusqu'à l'
os
sésamo'ide interne; enfoncer le bistouri à plat s
n jusqu'à l'os sésamo'ide interne; enfoncer le bistouri à plat sous l'
os
, tailler d'arrière en avant un lambeau plantaire
obliquement à la commissure du premier espace interdigital, isoler l'
os
et achever l'opération comme dans le procédé ordi
rocédé de Chélius modifié. i° Diviser, jusqu'au point de section de l'
os
, l'espace inter-osseux dans toute son épaisseur;
e flexion des articulations métatarso-phalangiennes; 5° détacher de l'
os
le lambeau circonscrit par ces quatre incisions.
cision circulaire qui intéressait toutes les parties molles, sciait l'
os
d'après l'ancienne méthode, cl. rapprochait les b
la propagation de l'inflammation à l'articulation, l'ébranlement des
os
par la scie, leur écartement après l'opération,et
ment clinicpie, que l'ébranlement est évité par la section isolée des
os
et, nous ajouterons, par l'emploi des cisailles d
i des cisailles de Liston, et enfin que, par suite de la réunion, les
os
adhèrent ensemble, s'arrondissent et ne peuvent e
dale n'est pas sans importance pour la manière dont on doit scier les
os
. Ainsi, quand l'étendue de la maladie le permet,
sal semi-circulaire à vingt-sept millimètres en avant du point où les
os
seront sciés; et intéressant toutes les parties m
os seront sciés; et intéressant toutes les parties molles j usqu'aux
os
, disséquer et relever le lambeau de dedans en deh
ter le bistouri dans les espaces inter-osseux, dénuder exactement les
os
, passer les chefs d'une compresse-rétracteur, et,
l'un plantaire et l'autre dorsal, et procède ensuite à la section des
os
. On pourrait également user de l'incision circula
articulations et aux amputations dans la continuité. Amputation des
os
métatarsiens en général. Le pied maintenu par un
t commencer son incision , à six millimètres en arrière du point où l'
os
sera attaqué (Sédillot). Avec un fort bistouri dr
rt (Sédillot); la peau ainsi divisée, couper les tendons, disséquer l'
os
de tous côtés et surtout à la face plantaire, le
le métatarsien, glisser un rétracteur au fond de la plaie, et scier l'
os
en formant le biseau autant que possible aux dépe
sion ovalaire faite suivant les règles fixées plus haut, et exciser l'
os
; cette méthode doit faire proscrire à tout jamais
t à gauche deux incisions transversales qui facilitent l'excision des
os
. Appréciation. L'amputation du métatarse en tot
on opère cpii devra déterminer le choix clu procédé. Quant au premier
os
métatarsien : comparant d'abord les divers procéd
e à lambeaux, il ne faut point oublier que clans l'amputation cle cet
os
toutes les méthodes ont pour but cle fournir des
plisse toutes les indications, surtout après la section oblique cle l'
os
; mais on a deux incisions dont l'une a le grave i
ande simplicité, fournit une sorte de lambeau épais et qui embrasse l'
os
, recouvre exactement la surface saignante, et don
, cle porter toujours et partout la scie, sans s'inquiéter des petits
os
et des parties ligamenteuses qu'elle aura à divis
jambe dans son ensemble, nous signalerons d'abord la présence de deux
os
dont les rapports entre eux et avec les parties m
larités opératoires dont on n'a pas assez examiné la raison. Ces deux
os
perpendiculaires à l'horizon, réunis latéralement
dominance du tibia sur le péroné, l'écartement réciproque de ces deux
os
, l'inclinaison et l'excavation cle leurs faces, c
areté des parties molles que du rapprochement et du peu de volume des
os
; la peau, doublée d'un tissu cellulaire lâche mai
racteur, remonter les parties molles à une égale hauteur et scier les
os
sans s'occuper de l'angle du tibia, qui n'a aucun
léoles; par les deux angles faire traverser un couteau et, rasant les
os
en arrière, tailler un lambeau de cinq centimètre
vant la section des tendons et des chairs inter-osseuses et scier les
os
(pl. 85, fig. 4 et 5 ). M. Garavel voudrait qu'on
beaux, couper les muscles à leur base, remonter les chairs, scier les
os
, et réunir d'avant en arrière. M. Sédillot prat
ière, incise alors circulairement les muscles postérieurs et scie les
os
. 10 Procédé de M. Lenoir : donné par M. Sédillo
ns les Archives de juillet i84o. A quatre centimètres du point où les
os
seront sciés inciser circulairement les tégumens
ce qui donne un ovale suivant lequel on incise les muscles jusqu'aux
os
; remonter les chairs à la même hauteur, scier les
uscles jusqu'aux os; remonter les chairs à la même hauteur, scier les
os
en travers, glisser au travers de la section la l
t que quelques auteurs l'ont prétendu et qui protège efficacement les
os
et le bout des tendons; ou le procédé de M. Baude
hairs antérieures y compris le périoste, les détachait exactement des
os
, attaquait ensuite les chairs du mollet afin d'év
usion de sang, remontait les chairs avec la manche afin de couper les
os
plus haut que leur niveau; il prescrit l'usage du
des muscles, dont les uns s'attachent sur presque toute l'étendue des
os
, et dont les autres sont libres dans leurs gaines
de leurs fibres empêche de les ramener sur la surface de section des
os
. Ces dispositions rendent souvent le moignon coni
voir qu'en arrière il y a toujours assez de chairs pour recouvrir les
os
, mais qu'en avant on ne saurait trop en conserver
attentif aux mouvemens du chirurgien pour ne point faire éclater les
os
, ni empêcher la voie de la scie. 3° Position de
la plus importante; il est évident que c'est celui de la section des
os
, pour laquelle l'opérateur doit être nécessaireme
e, d'un seul coup inciser les chairs du mollet et tomber sur les deux
os
à-la-fois, ramener le couteau à la face interne,
s rare d'observer, comme à la cuisse, la saillie et la dénudation des
os
par suite de la rétraction, primitive des muscles
ère présente de grandes difficultés à cause du rapprochement des deux
os
et de leurs inégalités. Troisième temps. Tracer
de leurs inégalités. Troisième temps. Tracer sur la face libre des
os
la route que doit y suivre le couteau inter-osseu
ur et l'y engager une seconde fois. Quatrième temps. La section des
os
a donné lieu à un grand nombre de discussions, do
us croyons qu'il est difficile et très embarrassant de scier ces deux
os
ensemble quand l'opérateur est en dehors du membr
iviser les éclats osseux, suite de fracture, Bertrandi liait les deux
os
avec des fils. M. Roux scie le péroné plus haut q
ssèque deux lambeaux de périoste, qu'il laisse ensuite retomber sur l'
os
. Pansement. Avec le procédé que nous avons adop
cuisse sont conservées; la plaie présente une surface régulière : les
os
sont recouverts en arrière par les chairs et la p
nous avons données, et de manière à protéger une certaine étendue des
os
. La réunion oblique de dedans en dehors et de hau
de dedans en dehors et de haut en bas, suivant le grand diamètre des
os
(Richerand), en laissant la peau retomber sans ef
en avant et en faisant reposer la cicatrice en grande partie sur les
os
, nous semble remplir toutes les conditions. La ré
mps, qui consistait à couper d'abord les chairs antérieures, puis les
os
, puis les muscles du mollet; il y a plus, c'est q
recommande positivement de couper toutes les chairs qui dépassent les
os
( voir Coll. de Nicétas, édit. de Cocchi, p. 169)
u mollet, et par les deux angles de l'incision plonger, en rasant les
os
, le couteau inter-osseux et tailler de haut en ba
côtés du péroné et du tibia, placer la compresse fendue, et scier les
os
au-dessus de l'angle du lambeau. Pendant la durée
s, pour ne point s'exposer à faire pénétrer le couteau entre les deux
os
en taillant le lambeau postérieur : mais l'applic
r le péroné, l'inclinaison du couteau suivant la direction connue des
os
de la jambe, suffisent toujours pour éviter un in
ure, faire le 8 de chiffre, passer la compresse-rétracteur, scier les
os
, rabattre les parties molles, appliquer le lambea
ne incision circulaire à douze centimètres au-dessous du point où les
os
seront sciés; en abaisser deux autres perpendicul
uper les fibres adhérentes, dégager l'espace interosseux et scier les
os
. Nous donnons nous-même, pl. 83, fig. 1,2,3, le p
t plus haut, nous semble justifiée par la situation superficielle des
os
de la jambe, par leur volume et la nécessité de l
latérales du tibia et du péroné; les lambeaux relevés, contourner les
os
en 8 de chiffre et en faire la section (pl. 91, f
nous serons convaincus qu'elle protège également et efficacement les
os
, qu'elle donne une réunion prompte, et qu'elle fa
irs sur une grande partie du tibia, et qui, d'une autre, exposent cet
os
à saillir à travers l'angle antérieur de la plaie
, des chances de résorption, de l'inflammation du tissu aréolaire des
os
, en grande partie spongieux, et de la grosseur de
ces désavantages ne sont pas autant à redouter, le rapprochement des
os
simplifie l'opération : la peau existe seule à la
rtes aponévroses d'insertion, ne peuvent guère servir à recouvrir les
os
. Immédiatement au-dessus de la tubérosité, la pat
ais l'ouverture de larges canaux veineux, au milieu des chairs et des
os
, facilite la production de la phlébite et la réso
s étaient altérées, on pourrait essayer un lambeau postérieur; si les
os
étaient surtout délabrés en arrière, on inclinera
emonter la peau, de couper toutes les chairs d'un seul coup jusqu'à l'
os
, et de les refouler le plus haut possible, après
de les refouler le plus haut possible, après les avoir séparées de l'
os
avec le scalpel et avoir ratissé le périoste. On
on en deux temps ; mais bientôt Louis prouve que cette dénudation des
os
dépend essentiellement de la rétraction musculair
ent de la rétraction musculaire, et cherche à la prévenir en sciant l'
os
plus haut que les muscles profonds. Alanson et Be
fémur, dans des gaines isolées; ceux de la seconde série entourent l'
os
de tous côtés. Les rapports de l'artère fémoral
position superficielle du fémur en avant et sa convexité font que cet
os
correspond difficilement au centre de la cicatric
position que pour l'incision de la peau, divise les muscles jusqu'à l'
os
en quatre temps, suivant les quatre faces du memb
u, coupe à ras les fibres les plus remontées, celles qui adhèrent aux
os
, en inclinant le tranchant à la manière d'Alanson
hant à la manière d'Alanson et en faisant plusieurs fois le tour de l'
os
(Lisfranc). Bell détachait les muscles autour d
a tenaille : il est plus dangereux qu'utile de limer la surface cle l'
os
et d'en arrondir les bords, comme le conseille Gr
clinant fortement le tranchant vers la racine du membre, tomber sur l'
os
à trois travers de doigt plus haut que la circonf
; attirer le couteau en bas, et, la pointe toujours en contact avec l'
os
, achever la section des parties molles de la même
Procédé de Dupuytren. Incision des tégumens et des muscles jusqu'aux
os
; au niveau des libres rétractées, division des fi
el il est bon de laisser la rotule, pour l'appliquer sur le bout de l'
os
après la section, et préserver ainsi la peau (Ché
imètres (quatre pouces et demi) au-dessous du point de section de cet
os
, l'incliner légèrement, contourner la face extern
erne. A trois centimètres et demi plus bas, détacher les muscles de l'
os
, scier et réunir obliquement, de façon que le pus
iciels, (aire retirer fortement les chairs en haut, inciser jusqu'à l'
os
les muscles profonds, enfin scier l'os en regard
irs en haut, inciser jusqu'à l'os les muscles profonds, enfin scier l'
os
en regard de la section musculaire. On obtient cl
utation cle la cuisse, ce fut la saillie, la nécrose ou la carie de l'
os
, qui survenaient presque inévitablement avec les
n'obtient pas ce résultat par le procédé à lambeaux latéraux , car l'
os
saillit presque inévitablement à travers leur ang
e se font pas au niveau des articidations, mais sur la continuité des
os
, ne sont pas plus dangereuses, même elles guériss
vite que les premières. » Plus loin ou lit : « L'ablation totale des
os
aux articulations de la main, du pied, du poignet
oignée, que l'on retranche un peu par dessus le corrompu,... et que l'
os
soit scié avec une scie mince. » En parlant d'u
e: et, ajoute-t-il, quand nous coupons en la jointure, la moelle de l'
os
n'est jamais à découvert; ce qui rend la cicatris
e que la nature n'a pas la peine de former un cal sur la surface de l'
os
: en outre, après la désarticulation il ne survie
on des parties, et de le bien traverser, vu la mutuelle réception des
os
les uns avec les autres; 20 sur la plus grande pr
té, à cause de l'abondance des chairs et de la moindre épaisseur de l'
os
. « En somme (ajoute Guillemeau), l'expérience mon
à plein tranchant sa séparation complète, ne pas luxer violemment les
os
, ce qui peut entraîner des accidens sérieux, mais
plus grand diamètre de l'articulation, le continuer parallèlement aux
os
maintenus horizontalement, conduire le couteau la
chisseurs roulant dans leur gaine. La tête articulaire appartient à l'
os
du métacarpe, la cavité de réception étant sur la
lan se trouvant au-dessous du relief arrondi dessiné par la tète de l'
os
métacarpien. Amputation d'un seul doigt. L'ampu
rès utile. On établit également en précepte de respecter la tête de l'
os
métacarpien, malgré le conseil de Dupuytren, adop
ngle aigu sur les faces dorsale et palmaire en regard de la tète de l'
os
métacarpien. L'articulation étant isolée, louvrir
endant à chaque fois les tégumens, et faisant contourner le bord de l'
os
par le bistouri qui pique d'une face vers l'autre
é que sur l'autre face. Détacher ce premier lambeau, en coupant sur l'
os
, et faire glisser la lame jusqu'à l'articulation;
ser le plan articulaire en contournant, sans la toucher, la tête de l'
os
métacarpien, et, lorsque la lame est parvenue de
chisseurs de manière à mettre immédiatement à découvert les têtes des
os
métacarpiens. Sans désemparer pour le deuxième te
ncision dorsale passe d'un centimètre environ au-devant des têtes des
os
, de manière que celles-ci, se trouvant débordées
ire. amputations dans les articulations carpo-métacarpiennes. Les
os
du métacarpe peuvent être amputés tous ensemble e
cinquième et surtout le premier. Amputation du pouce. Le premier
os
métacarpien, caché par la masse de 1 eminenec thé
dedans une saillie de deux millimètres du trapèze, sépare le premier
os
métacarpien du second. La direction de la ligne c
ent à plein tranchant dans les chairs, en rasant la face concave de l'
os
, jusqu'à ce que l'instrument soit arrêté par la p
i la tête du métacarpien , passer le bistouri derrière et séparer cet
os
de I'éminence thénar en coupant les parties molle
pination. Dans l'un et l'autre cas la première incision contournant l'
os
vient aboutir à la commissure interdigitale; puis
t préférable comme dernier résultat. Amputation du petit doigt. L'
os
métacarpien du petit doigt présente, à son extrém
présente, à son extrémité car-pienne, une double articulation avec l'
os
unciforme, par un plan courbe incliné de dedans e
elle s'ouvre immédiatement en offrant, au-dessous de l'apophyse de l'
os
crochu, le tranchant du bistouri dirigé vers la p
chu, le tranchant du bistouri dirigé vers la partie moyenne du second
os
métacarpien. Méthode a un lamreau.— i° Procédé
ce interosseux en glissant d'un seul coup le long du bord radial de l'
os
jusqu'à l'os unci forme, écarter le métacarpien e
x en glissant d'un seul coup le long du bord radial de l'os jusqu'à l'
os
unci forme, écarter le métacarpien en dedans, cou
es, entrer dans l'articulation intermétacarpienne, luxer la tête de l'
os
, contourner l'articulation carpienne, ressortir e
ressortir en incisant le tendon du cubital postérieur et, en rasant l'
os
, tailler, en descendant vers la phalange, le lamb
econnaissant, entre le pouce et l'indicateur, sur la face palmaire, l'
os
pisiforine et, plus bas en dedans, l'apophyse de
ace palmaire, l'os pisiforine et, plus bas en dedans, l'apophyse de l'
os
crochu, au-dessous de laquelle est l'articulation
e la tête même du métacarpien avec la dépression intermédiaire de cet
os
à l'unciforme. Au besoin, quelques mouvemens de f
couche ensuite, le tranchant en haut, en rasant le bord cubital de l'
os
jusqu'un peu au delà de l'articulation phalangien
othénar, et, d'un autre coup de bistouri à plein tranchant, séparer l'
os
des chairs dans l'espace inter-osseux jusqu'à la
inter-osseux jusqu'à la commissure interdigitale. 3° Pour détacher l'
os
avec la pointe de l'instrument, attaquer à peu pr
nt ou le côté interne de l'articulation au-dessous de la saillie de l'
os
pyramidal ou, la main en supination, son côté ant
main en supination, son côté antérieur au-dessous de l'apophyse de l'
os
crochu. Dès que le ligament latéral interne a été
la section des ligamens dorsal ou palmaire; une petite rotation de l'
os
en dehors facilite la disjonction de l'os, et, pa
e; une petite rotation de l'os en dehors facilite la disjonction de l'
os
, et, par la section des ligamens inter-osseux, l'
le point de départ de la première incision. Enfin isoler rapidement l'
os
des chairs cl désarticuler. M. Malgaupie apporte
trapézoïde et le trapèze, et l'interne entre le trapézoïde, le grand
os
et le troisième métacarpien. Ce troisième métacar
trième est presque plane. C'est par la face dorsale, où les têtes des
os
sont le plus larges, que doivent être attaquées c
tacarpien vers l'angle palmaire de la plaie et descendre, en rasant l'
os
, le long du métacarpien pour tailler le second la
l'os, le long du métacarpien pour tailler le second lambeau; puis, l'
os
isolé des chairs, procéder à la désarticulation.
mière incision procéder à la désarticulation, contourner la tête de l'
os
et tailler ensuite le second lambeau. La première
te du bistouri les ligamens dorsal et inter-osseux, luxe la tête de l'
os
, glisse l'instrument sous sa face palmaire et dét
ens ont cru pouvoir ajouter à l'amputation des métacarpiens celle des
os
du carpe correspondans. Ainsi M. Benaben a enlevé
scaphoïde; M. Sully, dès 1807, avec les deux derniers métacarpiens l'
os
crochu, le pisiforme et le pyramidal; et M. Ra-di
ramidal; et M. Ra-dioré, avec les trois métacarpiens intermédiaires l'
os
capitatum. Ces diverses ablations partielles, sur
Ces diverses ablations partielles, surtout quand elles s'étendent aux
os
du carpe, ne sont guère susceptibles d'être formu
s fibreuses, puis les ligamens palmaires, et, contournant la tête des
os
en avant, coucher la lame le tranchant en bas et
ée dans la flexion, le sommet de la saillie osseuse est formé par les
os
de la première rangée du carpe ; la difficulté es
t une ligne de l'un à l'autre sommet des apophyses styloïdes des deux
os
, le milieu de l'articulation est à cinq millimètr
tranchant, de lune à l'autre apophyse styloïde, en rasant le bord des
os
; descendre, par un mouvement continu, le talon de
manière à reconnaître au toucher, par un mouvement de rotation de l'
os
, le plan articulaire huinéro-radial. Dans sa stru
ne seconde incision circulaire, couper hardiment les chairs jusqu'aux
os
. 2° L'avant-bras fortement étendu, pour disposer
par un mouvement de traction de l'avant-bras en bas, écarter les deux
os
de la surface de l'humérus et, glissant le coutea
d'un angle à l'autre de l'incision, faire glisser le couteau entre l'
os
et les chairs et tailler en descendant un large l
ndiqué Dupuytren, circonstance qui découvrirait trop l'extrémité de l'
os
. Le manche de l'instrument, d'abord un peu inclin
glisser vers son talon en descendant et rasant à plat la surface des
os
pour tailler un lambeau antérieur d'une longueur
aeromion inciser d'un seul coup les tégumens et les muscles jusqu'à l'
os
, enfin désarticuler dans la plaie la tête de l'hu
ps et le contour supérieur de la capsule; luxer vers soi la tête de l'
os
, glisser le couteau en dedans, et, derrière lui,
circulairement d'un seul coup la peau et les muscles au contour de l'
os
et faire écarter rapidement les chairs au contour
urs et la capsule, entrer dans l'articulation et, tirant un peu sur l'
os
, contourner la tête humérale et ressortir en ache
plein dans l'articulation, glisser l'instrument derrière la tête de l'
os
, passer avec une aiguille droite une ligature méd
dont la base est en haut. Le lambeau disséqué et relevé, la tête de l'
os
isolée et luxée, dénuder et lier immédiatement l'
it s'exécuter uniformément d'un seul temps. Luxant alors la tête de l'
os
en dehors, glisser en dedans le couteau ; attendr
à deux lambeaux. — Procédé de Bell. Inciser circulai-rement jusqu'à l'
os
à onze centimètres au-dessous de l'acromion, abai
aut, pour la dégager de dessous l'acromion et contourner la tête de l'
os
; puis descendre à pleine lame sur la face externe
a tête de l'os; puis descendre à pleine lame sur la face externe de l'
os
, et, relevant le tranchant inférieur, détacher un
erne de la tête humérale, abaisser le manche horizontalement, luxer l'
os
, glisser le tranchant der rière, descendre sur
saisir au-dessus du tranchant l'artère entre les chairs, et, rasant l'
os
en dedans, tailler un lambeau interne et inférieu
edans en dehors et terminer en glissant le couteau entre la tête de l'
os
et les chairs que l'on divise en taillant un lamb
en l'ouvre en ce sens, coupe les tendons rotateurs, luxe la tête de l'
os
, la contourne en dedans et en avant et termine en
du col chirurgical de l'humérus et pénètre du premier coup jusqu'à l'
os
. Faisant retirer les chairs en haut par un aide,
cas spécial. En fait, il y a ici deux opérations : une résection des
os
de l'épaule et une désarticulation du bras. En gé
ubercules latéraux phalangiens. Une autre considération est celle des
os
sésamoïdes, deux sous le gros orteil, et quelquef
la difformité et de la gêne causées par la saillie de la tête de cet
os
. Dupuytren a fait plusieurs fois l'une et l'autre
et l'autre opération et n'a reconnu à la conservation de la tête de l'
os
aucun des inconvéniens énoncés, de frottement dou
t de porter plus bas l'incision ovalaire et de recouvrir la tête de l'
os
, est préférable à cette dernière incision seule,
ns dans les articulations tarso-métatars1ennes. Amputation du premier
os
métatarsien. Anatomie. Étroit au milieu, cet os
putation du premier os métatarsien. Anatomie. Étroit au milieu, cet
os
est renflé à ses deux extrémités; en arrière il s
renflé à ses deux extrémités; en arrière il s'articule avec le grand
os
cunéiforme par une vaste facette ovalaire dont le
par un aide, saisir les tégumens et les muscles du côté interne de l'
os
et les attirer en ce sens pour avoir un lambeau d
ière de l'articulation, et l'amener, en longeant le bord interne de l'
os
, jusqu'au delà de l'articulation métatarso-phalan
rer avec le tranchant du bistouri les chairs sur le bord externe de l'
os
dans l'espace inter-osseux : saisissant alors l'e
l'espace inter-osseux : saisissant alors l'extrémité antérieure de l'
os
isolé, diviser la capsule et le ligament cunéo-mé
nds coups au travers des chairs à la face plantaire, en emportant les
os
sésamoïdes, et détacher les chairs sur la face ex
nt les os sésamoïdes, et détacher les chairs sur la face externe de l'
os
et la peau sur le côté interne. 3° Le métatarsien
nt par le côté interne au lieu de l'externe. Amputation du deuxième
os
métatarsien. On peut désarticuler cet os par de
. Amputation du deuxième os métatarsien. On peut désarticuler cet
os
par deux procédés, à lambeaux 67 et ovalairc.
jusqu'à l'articulation postérieure des deux métatarsiens ; écarter l'
os
en dehors, diviser les ligamens inter-osseux et d
ienne. La difficulté est ici de franchir le tubercule postérieur de l'
os
sans mâcher et taillader les chairs. — 2° Procédé
r le pied gauche, ou par le bord interne pour le pied droit; isoler l'
os
sur les faces plantaire et inter-osscuse et la pe
s facile, et surtout donne un meilleur résultat. Amputation de deux
os
métatarsiens. Béclard, pour l'amputation de deu
utation de deux os métatarsiens. Béclard, pour l'amputation de deux
os
métatarsiens intermédiaires, soit le deuxième et
à former deux lambeaux écartés qui permettent de luxer les têtes des
os
, doit être modifié suivant ceux des métatarsiens
mputations on coupe à toute longueur le pied, considéré comme un seul
os
, en faisant accepter l'amputation du métatarse da
reint la désarticulation tarso-métatarsienne aux cas où les têtes des
os
elles-mêmes ne peuvent être conservées. Anatomi
des trois cunéiformes et du cubo'ide pour une surface, avec les cinq
os
métatarsiens pour l'autre surface, cette articula
erne permet facilement la luxation favorisée déjà par la courbure des
os
, tandis qu'à la face plantaire l'appareil ligamen
erne, en remontant le long du métatarsien, on sentie tubercule de cet
os
et au delà celui du cunéiforme; dans l'enfoncemen
la peau et les tendons extenseurs et ne s'arrête partout que sur les
os
; disséquer rapidement le lambeau, sil ne se rét
r le deuxième métatarsien. Reste à désarticuler la tête de ce dernier
os
, sommet de la voûte du tarse. Pour y parvenir, in
pointe dans l'articulation du grand cunéiforme avec la tête du second
os
métatarsien, et, par un mouvement de bascule qui
effort de luxation qui fait entendre un craquement assez fort. 4° Les
os
séparés, tirer un peu sur le bout du pied pour au
vers la pointe légèrement inclinée en haut vers la face plantaire des
os
métatarsiens, tailler un lambeau trapézoïdal, à a
quième métatarsien, tandis que l'indicateur pose sur celui du premier
os
. La désarticulation commence également par le côt
e métatarsienne, ressortir à l'extrémité opposée, puis, en rasant les
os
, tailler un lambeau plantaire de longueur convena
chute d'un corps lourd ou fracassée par un projectile, dans les trois
os
cunéiformes et l'extrémité antérieure du cuboïde,
et l'extrémité antérieure du cuboïde, on est obligé de sacrifier ces
os
. Bien de plus simple que le procédé opératoire en
gulière par la rentrée articulaire du moyen cunéiforme entre ces deux
os
. Procédé de Chopart (pl. 81, fig. 1 et 2). Pied
l'autre de ces doigts une incision semi-lunaire, pénétrant jusqu'aux
os
, qui passe à un centimètre au-devant de l'articul
postérieur d'encastrement du second cunéiforme, en appuyant jusqu'à l'
os
au travers du pédieux et contournant en dehors le
s la face plantaire, en coupant la peau et les muscles jusque sur les
os
, pour arriver à rejoindre, à l'apophyse du cuboïd
e et de n'emporter avec le pied que le calcanéum; mais, outre que cet
os
ne présenterait qu'une base de sustentation très
d pour retourner au point de départ; disséquer à grands coups sur les
os
et relever circulai rement sur la jambe le vaste
s soi la tête du tibia, et, contournant en arrière l'extrémité de cet
os
et celle du péroné, tailler, en rasant leur face
ouvé aucun inconvénient, excepté un cas, cité par J.-L. Petit, où cet
os
gênait après la cicatrisation. Méthode circulai
ité fémorale seule soit malade et que l'affection ne s'étende pas à l'
os
coxal. Toutefois si, en opérant, on trouvait que
tionnel, l'amputation effectuée, d'enlever immédiatement la surface d'
os
ou de cartilage atteinte, par la rugination avec
u'il est le plus facile d'en faire la section pour luxer la tête de l'
os
: ainsi, comme dans les divers procédés on attaqu
re néanmoins que les plus favorables pour la luxation de la tête de l'
os
sont ceux où le bord articulaire est d'abord atta
aire, la cuisse portée dans l'abduction, s'enroulant sur la tête de l'
os
et venant s'offrir de lui-même à la pointe du cou
lui-même, mais il est souvent difficile de pouvoir luxer la tête de l'
os
assez complètement pour y atteindre. 5° Au-dessou
apophyses. Le grand trochanter, situé dans la position naturelle de l'
os
, à un centimètre seulement au-dessous du bord ext
, dans une hauteur de deux centimètres, une saillie sur le corps de l'
os
d'un centimètre et demi. 6° Enfin, quant aux part
nt inter-articulaire, achever de diviser la capsule et, contournant l'
os
en dedans, terminer en taillant un vaste lambeau
e lambeau interne est détaché; l'articulation ouverte en dedans, et l'
os
luxé, ressortir en taillant un court lambeau exte
a capsule, couper le ligament ïnter-articulaire et luxer la tête de l'
os
, ramener la cuisse à sa direction naturelle et, p
'abduction, inciser le ligament inter-articulaire, luxer la tête de l'
os
, passer le couteau sur sa face externe et postéri
ressortir à l'angle postérieur de la première plaie sans heurter les
os
du bassin; puis ramener le couteau perpendiculair
cendre de huit centimètres (trois pouces) sur la face antérieure de l'
os
et, retournant le tranchant vers soi, détacher le
té dit plus haut ; 3° le couteau reporté sur la face postérieure de l'
os
, descendre en taillant en ce sens un lambeau de l
son côté interne, le chirurgien descend sur la face postérieure de l'
os
jusqu'au petit trochanter et abat également à ang
ec la main gauche, descendre avec le couteau sur la face interne de l'
os
jusqu'au fond de l'angle des deux premières incis
arrachement, extirpation, 197. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES
OS
ET LES ARTICULATIONS. Page 198—229. Opération
pture, création d'une articulation artificielle, 199. — Excision de l'
os
, 200. Opérations sur les os. Instrumens de divi
tion artificielle, 199. — Excision de l'os, 200. Opérations sur les
os
. Instrumens de division des os, 200. — Fractures
ion de l'os, 200. Opérations sur les os. Instrumens de division des
os
, 200. — Fractures et luxations compliquées : proc
ermanente, rupture, section, séton, 203. — Exostose, 203. —Kystes des
os
. Compression, incision, excision, séton, 20d\ —Né
04—205. — Carie. Cautérisation, 205. — Résection, 206. Trépanation.
Os
du crâne, du tronc et des membres, 207—210. Rés
ticulation métacarpo-phalangienne; de la première phalange, 213. —Des
os
métacarpiens, des os du carpe, de l'articulation
phalangienne; de la première phalange, 213. —Des os métacarpiens, des
os
du carpe, de l'articulation du poignet, 214. — Du
, 219. — De l'omoplate, 220. ^ Membre abdominal. Résection du premier
os
métatarsien, 220. — Des os du tarse, 221.— De l'a
. ^ Membre abdominal. Résection du premier os métatarsien, 220. — Des
os
du tarse, 221.— De l'articulation tibio-tarsienne
Méthodes opératoires ; circulaire, à lambeaux, ovalaire : section des
os
, 229—232. Amputations dans la continuité. amp
embre thoracique. Amputations de la main. Des phalanges, 232. — Des
os
métacarpiens : les quatre derniers ensemble ; le
é du membre abdominal. Amputations du pied. Des orteils, 238. — Des
os
métatarsiens, 239. — Du métatarse en totalité,
inquième et les intermédiaires, 240, 241. — De la première rangée des
os
du tarse, 241. == amputation de la jambe. Sus-mal
—-Amputations dans les articulations tarso-métatarsiennes. Du premier
os
métatarsien, du deuxième, de deux os métatarsiens
tarso-métatarsiennes. Du premier os métatarsien, du deuxième, de deux
os
métatarsiens, du métatarse en totalité, 265, 26
l/EXTREMITE INFÉRIEURE DE LA FACE. 1° TÊTE. A. Os malaire. 13.
Os
maxillaire inférieur, la partie supérieure de la
ue. FIGURE 5. A. Corps du radius. R. Corps du cubitus. Les deux
os
réunis parle ligament interosseux. 1. Loge du r
e. FIGURE 4. A. Corps du radius. B. Corps du cubitus , les deux
os
réunis par le ligament interosseux. 1. 2, 3. Te
. Ligament annulaire du carpe. FIGURE 6. A, A. Section des quatre
os
métacarpiens. L Aponévrose palmaire. 2. Doubles
o-métatarsiennes. Figure 4- — Plan de section du pied , au milieu des
os
métatarsiens. ADULTE, GRANDEUR NATURELLE. Dan
erne. FIGURE 2. A. Corps du tibia. B. Corps du péroné. Les deux
os
sont unis par un ligament interosseux. 1. Loge
x. FIGURE 3. A, B, C, D. Surfaces articulaires métatarsiennes des
os
du tarse. A, B, C. Grand, moyen et petit cunéifor
fs plantaires externes. FIGURE 4. A, B, C, D, E. Section des cinq
os
métatarsiens. 1. Tendons extenseurs, long et co
e graduée comprimant X artère faciale à son passage sous le bord de l'
os
maxillaire inférieur, et au-devant de l'attache d
alléole interne et le calca-néum , à son passage sous la voûte de cet
os
. Une compresse en double (L) préserve la peau de
e du cou, et celle de l'artère faciale à son passage sous Tangle de l'
os
maxillaire inférieur. Le malade en décubitus su
0. ADULTE, DEMI-NATURE. PLANCHE 49. SOLUTIONS DE CONTINUITÉ DES
OS
. figure \. Extraction d'une balle engagée dan
S OS. figure \. Extraction d'une balle engagée dans la crête de l'
os
des des. L'opération est représentée au moment où
tire-balle. figure 2. (Pièce dessinée au Muséum de la Faculté.)
Os
des iles sur lequel on voit la balle (a) contenue
rte (a) qui s'estaplatie en creusant une cavité (b) sur la crête de l'
os
. Ce cas aurait offert une extraction facile, en r
ert une extraction facile, en raison de la position sous-cutanée de l'
os
. figure 4. ( D'après une pièce du Muséum de l
des parties molles qui se correspondent de l'une à l'autre face de l'
os
, on a pratiqué un orifice au travers des fragmens
t la plaie de part en part. PLANCHE 50. DIVERSES OPÉRATIONS SUR LES
OS
. figure 1. (Pièce copiée au Muséum de la Facu
incision cruciale étant pratiquée en regard du grand trochanter et l'
os
dénudé eirculaire-ment, une section transversale,
e dans le moment où l'on coupe avec des tenailles incisives le nouvel
os
, pour mettre à découvert une portion de l'étendue
our mettre à découvert le séquestre renfermé dans la cavité du nouvel
os
. (Voyez, pour des cas de cette nature, pl. 54, fi
n de la peau en T, une ouverture suffisante étant pratiquée au nouvel
os
mis à découvert, l'opération représente la sectio
ytren. ( Pl. 55 , fig. 18. ) B. Extraction dun séquestre du premier
os
métatarsien. L'opération est représentée au momen
ner également l'opération pour l'enlèvement des séquestres des grands
os
précités; seulement, pour les os longs de grande
enlèvement des séquestres des grands os précités; seulement, pour les
os
longs de grande dimension, après la section du sé
N.H. Jacob Dessiné d'après nature par Léveillé. TRÉPANATION DES
OS
DU CRANE ET INSTRUMENS DU TREPAN. DEMI - GRAN
13. Brosse qui sert à nettoyer les couronnes de trépan de la sciure d'
os
. Figures 14 et 15. Élévatoires destinés à soule
es 14 et 15. Élévatoires destinés à soulever ou détacher les pièces d'
os
sciées par la couronne. Figure 16. Élévatoire-r
atre couronnes de trépan ont été déjà appliquées et les fragmens de l'
os
enlevés. L'opérateur est occupé à poser une cinqu
urface mise à découvert, en régularisant les bords de la section de l'
os
. Figure C. Section de la dure-mère avec le bist
DES MALADIES QUI MOTIVENT LES OPÉRATIONS QUE L'ON PRATIQUE SUR LES
OS
. DESSINÉS D'APRÈS DES PIÈCES DU MUSÉE DE LA FAC
de la même articulation. Il témoigne de la soudure parfaite des deux
os
, avec continuité immédiate ou inos-culation des c
diate ou inos-culation des canaux aréolaires sanguins et adipeux de l'
os
des îles dans la calotte articulaire du fémur, do
sse articulation au tiers inférieur du tibia. Dans ces deux cas les
os
chevauchent sur des fragmens aigus; toutefois ils
'humérus. Dans \a\fig. 6, où la nécrose occupe la partie moyenne de l'
os
, le séquestre a été enlevé; l'os de nouvelle form
écrose occupe la partie moyenne de l'os, le séquestre a été enlevé; l'
os
de nouvelle formation, développé aux dépens du pé
des plus beaux cas de nécrose de la presque totalité de l'humérus, l'
os
de nouvelle formation est entièrement consolidé,
et laisse voir, par les orifices de nombreux cloaques (a, a, a, a), l'
os
ancien ou le séquestre (b, h, b, b), d'une seule
, d'une seule pièce, entièrement libre dans la cavité intérieure de l'
os
. Figure 7. Nécrose de l'extrémité inférieure du
re de l'os. Figure 7. Nécrose de l'extrémité inférieure du fémur. L'
os
est scié en deux fragmens (A et B). Sur le fragme
ronnes de trépan (a, a) par lesquels on a pénétré dans la cavité de l'
os
; ( b) est le séquestre engagé dans le fragment i
ur; (c) offre le plan de section qui montre la texture aréolaire de l'
os
de nouvelle formation. Figure 8. Nécrose de tou
oute la diaphjse du tibia. Le séquestre (a, a) est vu au travers de l'
os
de nouvelle formation (b, b), encore très incompl
mplet. Figure 9. Nécrose de la clavicule, (a) Séquestre; (b) nouvel
os
. FIGURES 44, 42, 43. CARIES. Figure 10. Carie
cubitale de l'humérus. Figure 11. Carie de l'extrémité numérale des
os
de l'avant bras. Figure 12. Carie commençante d
cause première semble avoir été une carie qui a détruit la tête de l'
os
. Elle offre un bel exemple d'une sorte d'hypertro
RE 45. SPINA-VENTOSA DE L'EXTRÉMITÉ FÉMORALE DU TIBIA. La portion d'
os
malade est dilatée en une coque osseuse, dont l'i
DES RÉSECTIONS ET DES OPÉRATIONS DIVERSES QUI SE PRATIQUENT SUR LES
OS
. DEMI-GRANDEUR. FIGURES 4, 2, 3, 4, 5, 6, 7,
suivant les cas, dans les opérations variées qui sepraliquent sur les
os
. Figure 8. Grande scie à amputation de nouveau
on il convient de scier au travers d'un espace étroit des portions d'
os
de peu de-tendue. Figure 14. Scie a chaîne de M
lace d'abord une des poignées par une aiguille courbe qui contourne l'
os
et ramène la chaîne de l'autre côté, ou l'on racc
figurent : (e) un levier qui repousse les chairs de l'autre côté de l'
os
, pour les préserver de l'action de la scie; (f) u
amide, un tire-fond ou un croissant , sert à fixer l'instrument sur l'
os
où il agit. Figures 16 et 17. Scie à molette et à
a canule intérieure. Figurk 19. Scie à résection de M. Stromeyer. L'
os
étant fixé par une pince (a), un levier articulé
tinées à pratiquer d'un seul coup la résection d'une petite portion d'
os
, ou celle d'une phalange ou d'un métacarpien. F
e 23. Maillet de plomb pour frapper sur le ciseau dans les sections d'
os
partielles. Figures 24 et 25. Ciseaux ou gouges,
'enlèvement isolé d'une phalange. FIGURE 2. Extraction du premier
os
du métacarpe. L'opération a été précédée d'une in
on à trois côtés, circonscrivant un lambeau cutané qua-drangulaire. L'
os
(a) ayant été dénudé sur la face dorsale, désarti
; les tendons extenseurs du pouce (e) ont été seulement détachés de l'
os
sans solution de continuité. FIGURE 3. Résect
ite incision dorsale à angle droit. Au point où en est l'opération, l'
os
ayant été isolé dans le lieu de la section , un m
carré pronateur (c). Le moment de l'opération montre le fragment de l'
os
(d ) tenu par la main gauche du chirurgien, lors-
ité (d) qui renfermait l'extrémité humé-rale du radius. Ce fragment d'
os
isolé et tenu par la main gauche du chirurgien, e
nférieure de l'humérus en rapport avec l'extrémité correspondante des
os
de l'avant-bras , l'articulation non ouverte étan
L'excavation des chairs accuse au-dehors l'absence des extrémités des
os
. PLANCHE 58 RÉSECTION DE L'ARTICULATION SCAPU
émité inférieure isolée du tibia et du péroné, soit celle de ces deux
os
, séparément ou coïncidemment avec la résection de
est représentée à sa terminaison, lorsqu'on achève la luxation de l'
os
. (a) . Lambeau cutané rectangulaire rejeté en a
stouri qui achève la section des ligamens. B. Extraction du premier
os
métatarsien. (m). Lambeau cutané rectangulaire re
u long fléchisseur propre. ( p ). Muscle inter-osseux. ( q ). Premier
os
cunéiforme. ( r ). Cavité articulaire de la pre
unéiforme. ( r ). Cavité articulaire de la première phalange et des
os
sésamoïdes. Au fond de la plaie se voient les v
fond de la plaie se voient les vaisseaux inter-osseux. ( s ). Premier
os
métatarsien que l'on extrait de la plaie. Figures
sentée : dans la figure 2, au moment où l'on pratique la section de l'
os
, et dans la figureS, lorsqu'on achève la désartic
de l'os, et dans la figureS, lorsqu'on achève la désarticulation de l'
os
. (a) . Lambeau cutané. (b) . Tendon des deux
utané. (b) . Tendon des deux péroniers. (c) . Bande passée sous l'
os
pour préserver les chairs. (d) . Scie à chaîne.
r préserver les chairs. (d) . Scie à chaîne. (e) . Extrémité de l'
os
dont on pratique la résection. (f) . Surface ma
section. (f) . Surface malléolaire de l'astragale. Au-dessus de cet
os
se voit la petite facette articulaire péronienn
de l'extraction successive des deux extrémités articulaires des deux
os
de la jambe et au besoin de celle de l'astragale.
ait être reproduite par le dessin, consiste dans l'isolement des deux
os
pour leur extraction partielle, l'opération en ma
es extrémités cariées en plein air, au milieu des parties molles, les
os
étant préalablement isolés des chairs, au moyen d
évitables des tendons, qui ont leurs gouttières de glissement sur les
os
. Il est évident que par ce procédé on peut, sui
e carie sur les deux surfaces, ou seulement l'extrémité carpienne des
os
de l'avant-bras. Figure 1. Résection de l'artic
trajet de la scie , un premier trait a séparé la première rangée des
os
du carpe. L'opération est représentée au moment o
nd trait de scie , on sépare d'un seul coup l'extrémité carpienne des
os
de l'avant-bras. A. Anse formée par une bande q
en ce sens. C. Scie à chaîne occupée à pratiquer la résection de
os
de Favant-bras. Figure 2. Vue de l'opération ap
l'aspect est celui des plaies d'un séton. Figure 2 bis. Fragmens des
os
enlevés. Us se composent des extrémités articulai
r en sens inverse. — H, plan de section de l'extrémité inférieure des
os
de la jambe. Sur le tibia rampe la veine saphène
es muscles étant écartés de chaque côté et séparés de la surface de l'
os
mis à nu, un premier trait de scie a divisé l'os
s de la surface de l'os mis à nu, un premier trait de scie a divisé l'
os
dans sa partie moyenne (e); un second trait de sc
tronqué. FIGURE 3. EXTIRPATION DU SCAPHOÏDE ET RÉSECTION DU GRAND
OS
CUNÉIFORME. Cette extirpation, non encore pra
ïde avec la tête de l'astragale ou les cunéiformes, soit ces derniers
os
avec les têtes des métatarsiens. (a) . Lambeau
le scaphoïde par l'ostéotome de Heine, toute la masse interne de l'
os
étant enlevée. (f) . Section par le même instru
éronier, qui met à nu l'excavation que remplissait l'extrémité de l'
os
. (c) . "Vaisseaux tibiaux antérieurs non lésés
biale que l'on peut réséquer au besoin. (g) . Extrémité malade de l'
os
que le bistouri achève de détacher. PLANCHE 62.
uer celle de l'extrémité du tibia (m). La scie (n) est engagée dans l'
os
, appuyée en arrière sur une règle (o), garnie sur
RÉSECTION DE LA MOITIÉ EXTERNE DE LA CLAVICULE. La résection de cet
os
, déjà pratiquée par plusieurs chirurgiens, l'a ét
s i, 2 et 3 reproduisent cette opération. FIGURE \. EXTRACTION DE L'
OS
MAXILLAIRE. Cne incision demi-circulaire étant
se zygomatique , l'angle orbitaire externe , l'apophyse montante de l'
os
maxillaire , et enfin la voûte palatine entre la
r les graisses de l'orbite sans blesser ni contondre l'œil, a isolé l'
os
des chairs avec le bistouri dans la fosse zygomat
se zygomato-maxillaire, et en même temps est occupé à communiquer à l'
os
maxillaire des ébranlemens de dedans en dehors, d
on de la voûte palatine, j. OEil entouré de son coussin graisseux, k.
Os
maxillaire tenu entre les doigts de la main gauch
n des chairs. FIGURE 2. SURFACE DE LA PLAIE APRÈS L'ABLATION DE L'
OS
. Détails supplémentaires gui ne sont pas sur la f
supérieure relevée en haut par le lambeau. p. Plan de section de l'
os
maxillaire, q. Voûte palatine. r. Surface de la
r. Surface de la cloison nasale surmontée par le cornet moyen et l'
os
planum de l'ethmoïde. s. Orifice postérieur de
hoire, descend sur son angle, et suit d'arrière en avant le bord de l'
os
jusqu'à la jonction avec la première section. Le
section. Le vaste lambeau dermo-inusculaire (c), disséqué en rasant l'
os
, a été relevé en haut et en dehors sur la joue ;
après l'ablation delà petite molaire pour livrer passage à la scie, l'
os
a été détaché en dessous à sa face interne, un go
endant sur cette branche , parcourant tout le contour de la base de l'
os
(b, c), et remontant sur le bord postérieur de la
s, de bas en haut, on relève, en disséquant à la surface externe de l'
os
, le vaste lambeau dermo-musculaire (d), d'abord d
sarticulation de chaque branche. Sur la figure, la moitié gauche de l'
os
a déjà été enlevée, et la moitié droite, étant dé
ptérygoïdien externe, qui s'opposait encore à la désarticulation de l'
os
. Tome 6 Pl.65. Dessiné d'après nature par N
e tissu cellulaire fibreux. Ainsi, un nerf, une artère, un muscle, un
os
, etc., pour faire partie d'une cicatrice, commenc
dans leurs mouvemens. Figures 3, 4,5, 6, 7, 8, 9, 10. Extrémités d'
os
des membres provenant dr moignons. (Pièces copiée
la Faculté.) — 3, 4,5. Fémurs. — 6, 7. Tibias. — 8,9. Humérus. — 10.
Os
de l'avant-bras. Dans tous ces os, l'extrémité de
6, 7. Tibias. — 8,9. Humérus. — 10. Os de l'avant-bras. Dans tous ces
os
, l'extrémité de section forme un disque ou bourre
x, l'opération est représentée au moment où l'on fait la section de l'
os
avec une petite scie en couteau. B, Amputation à
la réunion. FIGURE 5. Amputation dans la continuité du troisième
os
métacarpien. La main du malade est maintenue par
e, tenue de sa main droite, opère obliquement la section du troisième
os
métacarpien. Tome 6. Pl..67. Dessiné d'aprè
URES I, 2 ET 5. AMPUTATION CIRCULAIRE DANS LA CONTINUITÉ DES QUATRE
OS
MÉTACARPIENS. (Membre droit.) Figure 1. Section
tendons sur la face palmaire. Figure 2. Section en masse des quatre
os
métacarpiens par la face dorsale. Les quatre os é
n en masse des quatre os métacarpiens par la face dorsale. Les quatre
os
étant isolés des chairs sur les deux faces et dan
te du chirurgien, et qui opère d'un seul coup la section des quatre
os
métacarpiens. Figure 3. Réunion par première in
ces articulaires correspondantes de la seconde rangée du carpe et des
os
métatarsiens. i, Main d'un aide qui soutient le
entée au moment où le chirurgien achève la désarticulation du premier
os
métacarpien. a, b, Mains d'un aide qui contienn
e la section du lambeau. AMPUTATION DU TROISIEME METACARPIEN. L'
os
étant préalablement isolé par deux incisions laté
tion est représentée au moment où l'on achève la désarticulation de l'
os
. n, o, Mains d'un aide qui contiennent celle du
g , Lambeau antérieur destiné à recouvrir la plaie. h, Section des
os
et des muscles de la face postérieure. FIGURE 5
sale des chairs en bas et en dedans, l'opérateur est occupé à scier l'
os
. 1, Main gauche du chirurgien qui maintient le
supérieur relevé par une bandelette pour faciliter la section de l'
os
, o, Plan de la section horizontale des chairs en
au, après avoir taillé le lambeau externe, a désarticulé la tète de l'
os
, et est sur le point de terminer la section du l
la capsule en ponctionnant. La lame ayant passé derrière la tête de l'
os
, un aide a saisi entre le pouce et les doigts op
MI-NATURE. FIGURES \ ET 2. AMPUTATION DANS LA CONTINUITÉ DES CINQ
OS
MÉTATARSIENS. Figure 1. Section des chairs. Apr
la tête du second métatarsien, en raison de son engre-nure entre' les
os
cunéiformes, étant le plus grand obstacle à celle
' les os cunéiformes, étant le plus grand obstacle à celle des autres
os
qui s'opère d'elle-même avec facilité quand celle
ente. FIGURE 3. AMPUTATION OVALAIRE DANS LA CONTINUITÉ DU PREMIER
OS
MÉTATARSIEN. Le moment choisi de l'opération es
isi de l'opération est celui où l'on pratique la section oblique de l'
os
. n, Main gauche du chirurgien qui maintient le
te scie cultellaire tenue de la main droite qui opère la section de l'
os
. FIGURE 4. AMPUTATION ISOLÉE DANS LA CONTIGUÏ
du couteau qui opère le section des chairs. FIGURE 2. SECTION DES
OS
. Les chairs ayant été coupées circulairement au
chiffre du couteau pour la double section des chairs, au contour des
os
, avec entre-croisement dans l'espace interosseux.
sez perpendiculaire pour glisser à plat, en arrière, le long des deux
os
. Dans ce but, à partir de l'extrémité du lambeau
ération terminée. Elle montre le plan de section horizontale des deux
os
et la section oblique des chairs en arrière et en
x tiers de l'épaisseur de la jambe, du plan horizontal de section des
os
et des chairs de la région interne et, en dehors,
a tête du fémur; puis, glissant le couteau en dedans et en avant de l'
os
, dans le moment indiqué sur la figure, la lame s'
la tête du fémur; puis, glissant le couteau en dedans et le long de l'
os
, il est rentré dans l'angle cutané de chaque embr
a désarticulé la tête du fémur, et, glissant le couteau le long de l'
os
en détachant les chairs, le lambeau postérieur se
outeau tenu de la main droite du chirurgien, et qui achève d'isoler l'
os
, Tome 6. Pl.90. Dessiné d'après nature par
beau cutané ovalaire enveloppant le plan de section des chairs et des
os
. Figure 5. Amputation de la jambe à son quart s
s faits s'enchaînent : le nerf excite le muscle, le muscle agit sur l'
os
, l'os est mis en mouvement. (1) Première leçon,
s s'enchaînent : le nerf excite le muscle, le muscle agit sur l'os, l'
os
est mis en mouvement. (1) Première leçon, 18 ma
es phénomènes est alors renversé ; l'influence morbide se propage des
os
aux muscles et aux nerfs, des muscles au système
la fréquence des arrêts de développement, des désordres nutritifs des
os
et des muscles, celle de toutes les affections ir
deux classes, suivant qu'elles ont leur siège dans la continuité des
os
ou dans leur contiguïté ; mais ici encore nous ne
ste, en effet, assez souvent des traces évidentes d'inflammation de l'
os
au voisinage ou au fond de la solution de continu
ta maladie. — La maladie peut commencer par les ligaments ou par les
os
. Avant même la publication de travaux récents,
ans les ligaments. D'autres ont prouvé qu'elle débute souvent par les
os
. Dans la pièce que je vous présente, on voit mani
des conditions anatomiques différentes. L'altération débutant par l'
os
peut commencer à la surface ou dans l'intérieur d
tte pièce une érosion circulaire et une excavation superficielle de l'
os
; sur cette autre, une destruction des faces supé
centre de la vertèbre; ici, la maladie a débuté par l'intérieur de l'
os
; elle a dû être causée par un tubercule enkysté,
début par les ligaments intervertébraux; 2° début par la surface de l'
os
, dépendant soit d'un dépôt tuberculeux qui déprim
surface de l'os, dépendant soit d'un dépôt tuberculeux qui déprime l'
os
et le détruit, soit d'une carie, d'une ostéite, d
ne carie, d'une ostéite, d'une nécrose; 3° début par l'intérieur de l'
os
. 2e période. Destruction. — La destruction des
er cas. — Il consiste en une érosion superficielle de la surface de l'
os
. Cette érosion se répare souvent. La réparation c
exemples. Pourquoi n'y a-t-il pas le plus souvent reproduction de l'
os
lui- (1) Deuxième leçon, 25 mai 1855. même? C
ont détruits, et qu'ils sont indispensables à cette reproduction. Les
os
, en effet, reproduisent peu les os ; ce sont surt
ensables à cette reproduction. Les os, en effet, reproduisent peu les
os
; ce sont surtout les tissus voisins qui sécrèten
lonne aucun vestige de la ligne de coaptation ; on ne voit qu'un seul
os
formé par les fragments de vertèbres soudés et co
tte autre pièce ; à l'autopsie, nous avons trouvé une impression de l'
os
sur la moelle; pendant la vie, des phénomènes de
est-elle pas souvent comprimée, contuse, déchirée par des fragments d'
os
, baignée par le pus, etc. ? Ces troubles sont var
l'a nié le premier; Nichet, depuis, a soutenu que la déformation des
os
n'avait pas pour effet de comprimer la colonne ne
le rappelât dans les voies générales de la circulation?.... Quant aux
os
primitivement affectés, ils ne sont pas plutôt 'd
phate, le carbonate de chaux, qui devaient hâter la consolidation des
os
, en leur fournissant un de leurs éléments constit
stion. Que peut, en effet, la suppuration extérieure contre celle des
os
? Nous ne sommes plus au temps où l'on croyait à l
t à l'utilité d'un écoulement d'humeur contre la maladie profonde des
os
. La stimulation extérieure est ici le principal,
ou d'une seule. La maladie peut occuper l'intervalle de deux ou trois
os
. Diverses lésions accessoires accompagnent parf
ccompagnent parfois cette synovite : des fongosités passant entre les
os
les soulèvent, repoussent les sur- (1) Traité d
s en plus profonde. La maladie débute quelquefois par l'intérieur des
os
; c'est le cas de tubercules se développant dans
hénomène fréquent; mais avant qu'il ait lieu , on voit une lésion des
os
qui les supportent, ostéite, carie, nécrose. L'
pportent, ostéite, carie, nécrose. L'altération, la destruction des
os
peut avoir lieu de différentes manières, de l'ext
uefois produite par érosion , par ramollissement, par écrasement de l'
os
sous le poids de la tête ; elle peut être causée
la scrofule. Les ligaments sont la plupart du temps détruits avec les
os
. Suivant le siège de l'altération , la région occ
érieur de l'atlas. Il y a un affaissement à droite, et la hauteur des
os
est sensiblement diminuée de ce côté. Cette lésio
trace des troisième et quatrième vertèbres. Si la disparition de ces
os
est bien réellement due à l'affection osseuse, ce
e caractérisée par l'abondance du sang contenu dans les cellules de l'
os
et la friabilité de son tissu. La matière jaunâ
ure de l'atlas et de l'occipital, sans perte de substance de ces deux
os
. L'ankylose peut être partielle ou générale entre
de ces deux os. L'ankylose peut être partielle ou générale entre deux
os
ou dans les trois que comprend la région occipito
uivante : il y a glissement de l'atlas sur l'axis et soudure des deux
os
dans cette position. Cette forme est la plus fréq
L'ossification se fait non-seulement entre les portions contiguës des
os
, mais même à l'aide d'ostéides, de ponts osseux,
s formes d'ankylose ; elles sont dues à des déplacements latéraux des
os
, ordinairement combinés avec un peu de rotation.
trième forme de déplacement, qui consiste dans la rotation simple des
os
. Cette pièce nous en fournit un bel exemple; elle
là simple mouvement physiologique, ou s'il existe un déplacement des
os
. On n'observe point de difficulté de la déglutiti
ils se raccourcissent par une contraction tonique, et entraînent les
os
dans un certain sens. La même explication pourrai
d'une rétraction des ligaments correspondante au sens dans lequel les
os
se sont inclinés. III. Déformation (i). — J'ai
t et ce que nous devons chercher à reconnaître, c'est la position des
os
. On peut souvent, en ayant égard à l'état des par
té en arrière, vous pouvez sentir obscurément l'arc postérieur de cet
os
entre les trapèzes tendus de chaque côté de la nu
s de chaque côté de la nuque. Supposez, en deuxième lieu, que le même
os
ait glissé en avant ; la dépression qui correspon
orticolis musculaire continu. Ce que je vous dirai de l'affection des
os
s'applique également à la synovite unilatérale.
ladie articulaire. Celle-ci laisse quelquefois après elle un état des
os
qui maintient l'attitude pathologique : des liens
émis ce principe général, que l'on améliore constamment la lésion des
os
en rendant aux parties leur attitude normale. Ce
primer des faits généraux qui s'appliquent également aux maladies des
os
courts des autres parties du squelette. Nous avon
est au-devant du colyle; dans un cas, la tête passe au-dessus de cet
os
; dans l'autre, elle passe au-dessous, ce qui don
rapporter les déplacements de la tête fémorale aux trois pièces de l'
os
coxal non soudées dans le jeune âge, on aurait, p
pièces de l'os coxal non soudées dans le jeune âge, on aurait, pour l'
os
iliaque, deux luxations, la sus-cotyloïdienne ou
lte déformation est la suite d'une arthrite sèche ; il y a usure de l'
os
, luxation sur le trou ovale, et cependant la cavi
roses coxo-fémorales, suite de luxations, d'après le mode d'union des
os
. Ceux-ci peuvent se trouver unis de trois manière
as, mais la diarthrose n'existe plus; des liens fibreux, étendus d'un
os
à l'autre, maintiennent leurs rapports; en voici
roses de continuité à celles qui offrent le deuxième mode d'union des
os
, et aux précédentes celui de pseudarthroses de co
aussier admet que des convulsions peuvent produire un déplacement des
os
; il a cité un fait de luxation du coude détermin
ment de la capsule, permettant à la tête de s'éloigner peu à peu de l'
os
coxal. Ce mécanisme est possible. Ne voit-on pas
le (1) Onzième leçon, 27 juillet 1855. dans l'anatomie normale; l'
os
hyoïde est suspendu par des liens fibreux à la ba
ux à la base du crâne. Le fémur est de même uni, par syn-desmose, à l'
os
iliaque dans les pseudarthroses dont il s'agit en
ête du fémur tout entière ; elle empêche un contact immédiat des deux
os
et établit entre eux un moyen d'union solide. L'a
et lubrifiée par la synovie. Sa surface externe est en contact avec l'
os
iliaque, tapisse l'excavation cotyloïdienne nouve
tifier le ligament capsulaire et rendre plus étroite l'union des deux
os
. Voyons quelle est la structure de la capsule d
t il est séparé par le col du fémur, et s'oppose à l'ascension de cet
os
. Vous comprenez maintenant que la rétraction du
s parties supérieures. Dans le cas que nous examinons, la tête de ces
os
est située plus en arrière et tendrait h remonter
s'est ensuite perforé, et que le contact ayant eu lieu entre les deux
os
, cette cavité s'est creusée. Du côté opposé, l'os
lieu entre les deux os, cette cavité s'est creusée. Du côté opposé, l'
os
iliaque présente une simple dépression sans cavit
, principalement lorsqu'un contact articulaire s'est établi entre les
os
. III. Os, muscles, etc. —Le cotyle normal, deve
ement lorsqu'un contact articulaire s'est établi entre les os. III.
Os
, muscles, etc. —Le cotyle normal, devenu vide, se
telle sorte que les premiers répondent à l'une des trois pièces de l'
os
coxal, tandis que deux de ces mêmes pièces concou
à former un angle plus rapproché de l'angle droit avec le corps de l'
os
. On a observé, dans des cas fort rares, une destr
e ; elle montre l'influence des pressions mécaniques sur la forme des
os
. Les muscles ne jouent qu'un rôle secondaire dans
ularité est plus grande; un arrêt de développement se remarque dans l'
os
iliaque d'un côté ; la tubérosité sciatique du mê
gele. Même dans le cas où il n'y a point contact immédiat entre les
os
, la tête du fémur, en comprimant l'os iliaque, y
int contact immédiat entre les os , la tête du fémur, en comprimant l'
os
iliaque, y détermine à la longue une dépression p
oute une moitié du corps; un arrêt de développement apparaît dans les
os
, dont la longueur est plus ou moins réduite. Les
ée davantage et par le seul fait de l'accroissement proportionnel des
os
, leur écartement augmente, et le raccourcissement
sont placées horizontalement, que d'ailleur s la longueur propre des
os
des membres soit la même, on détermine une obliqu
rs s'accroît moins que l'autre ; il faut donc mesurer la longueur des
os
de chaque membre, et si l'on trouve égalité entre
issement, nous avons à nous occuper de la disposition des fémurs. Cet
os
se trouve caché dans la plus grande partie de son
les signes nécessaires pour apprécier exactement le déplacement de l'
os
. Le trochanter est élevé ; il est écarté de l'a
e. 1° L'élévation du grand trochanter le rapproche de la crête de l'
os
des îles; elle peut être portée au point que la s
ême moindre que celle du côté sain, à cause des modifications que les
os
ont éprouvées dans leur forme. Deux autres causes
es d'erreur ont leur source dans la position an-téro-postérieure de l'
os
dépendant de la rotation du membre, et dans la di
, n'étant pas reçue dans une cavité, peut se promener librement sur l'
os
iliaque et décrire un arc de cercle plus ou moins
nt également apparente dans une rotation en dedans, qui l'écarté de l'
os
iliaque ou la fait sortir en partie de la cavité
a deuxième erreur, — qu'il y a glissement, ascension de la tête sur l'
os
iliaque; il n'en est rien cependant; la capsule s
supporte tout l'effort et maintient des rapports constants entre les
os
. Le bassin, verticalement dirigé, forme une cro
is, en fléchissant la cuisse, je la retrouve sur la face externe de l'
os
des îles. Les autres signes sont rationnels; celu
yloïde. La tête fémorale elle-même peut être détruite, et le col de l'
os
entrer en contact avec le cotyle. Ce col a quelqu
tête du fémur sont alors moins distants l'un de l'autre que dans les
os
normalement conformés. Parfois encore on observe
t abaissé de manière à former un angle droit avec l'axe du corps de l'
os
, il s'ensuit un raccourcissement dans le membre c
spondant. La fracture ancienne, consolidée avec raccourcissement de l'
os
, est aussi une cause de brièveté du membre. Voilà
et horizontal; cette direction suffit pour écarter le trochanter de l'
os
des îles. Chez un enfant très-jeune, à une époque
ion. Il faut d'ailleurs (1) Dans toutes les maladies chroniques des
os
ou des articulations, je distingue deux phases su
On a vu qu'en général la capsule est étroitement appliquée contre les
os
ou sur elle-même, de manière à assurer la fixité
ilité du déplacement successif de cette tête sur la face externe de l'
os
des îles. Voici un exemple de ce déplacement empr
Les déviations de ce genre résultent d'une inclinaison des axes des
os
du tarse, du métatarse et des orteils, inclinaiso
a disposition vicieuse des ligaments, des muscles et très-souvent des
os
eux-mêmes. Mouvements physiologiques du pied. —
la flexion et l'extension seules se passent entre l'astragale et les
os
de la jambe; dans les deux autres, adduction et a
tragale est immobile, et tout le pied pivote autour de la tête de cet
os
par un mécanisme assez compliqué, que j'ai décrit
ertains mouvements isolés de l'articulation médio-tarsienne, ceux des
os
cunéiformes, des os du métatarse, des phalanges,
solés de l'articulation médio-tarsienne, ceux des os cunéiformes, des
os
du métatarse, des phalanges, bien qu'il leur revi
ong péronier latéral abaisse avec force l'extrémité antérieure de cet
os
, et entraîne en même temps en bas les os cunéifor
'extrémité antérieure de cet os, et entraîne en même temps en bas les
os
cunéiformes, le scaphoïde et même le cuboïde. Ce
arriver, au con traire, dans les déviations pathologiques, que ces
os
exécutent des mouvements opposés, que le calcanéu
re suivant la cause qui le produit, cette cause peut résider dans les
os
, les ligaments, les muscles, dans les tissus morb
et toujours symplomalique. Il succède à la destruction partielle des
os
par la carie, par exemple ; le rapprochement des
ion partielle des os par la carie, par exemple ; le rapprochement des
os
restés intacts incline nécessairement le pied du
sait, par leur force de rétraction graduelle, qui peut entraîner les
os
et déformer toutes les parties du squelette. Vous
muscles et les ligaments dans un sens, et amener une inclinaison des
os
dans le sens opposé. Cette cause agit encore bien
le sens opposé. Cette cause agit encore bien plus efficacement si les
os
offrent des courbures rachitiques. Un effort de
— Dans le pied plat, la voussure tarso-métatarsienne est aplatie, les
os
sont en quelque sorte étalés; mais, en outre, on
us paraisse réellement donner lieu à des inclinaisons permanentes des
os
, à des raccourcissements musculaires consécutifs.
de pieds bots natifs déterminés par l'absence congéniale de certains
os
, de certains muscles du pied. Palletta parle de d
Sur cette pièce, l'absence congéniale du scaphoïde, du cuboïde et des
os
cunéiformes a été la cause primitive de l'inclina
qui répète, chez l'enfant, la disposition des organes du parent; les
os
, les muscles, etc., se sont irrégulièrement dével
ïde, en se portant en dedans, abandonnent en partie les deux premiers
os
, et laissent ainsi à nu leurs extrémités antérieu
rouve à nu sous les parties molles du cou-de-pied. Ce mouvement des
os
de la rangée postérieure du tarse abaisse non-seu
nd à se fermer davantage ; il n'est maintenu que par la rencontre des
os
et par la résistance des ligaments et des muscles
t est surtout remarquable dans le scaphoïde; le grand diamètre de cet
os
, de transversal qu'il est normalement, est devenu
cette articulaire concave est tournée en dehors ; celle qui porte les
os
cunéiformes est en dedans ; son tubercule, ordina
te du calcanéum, pour s'articuler plus bas et plus en dedans avec cet
os
. On comprend aisément le sens et l'étendue du d
ent, l'un au scaphoïde et au premier cunéiforme, l'autre à ce dernier
os
et au premier métatarsien , et qui sont les agent
son mouvement doit surtout résulter de ce qu'il est entraîné par les
os
voisins. L'angle médio-tarsien se traduit sur l
l'autre par le cuboïde et le cinquième métatarsien. Ces deux derniers
os
sont eux-mêmes un peu coudés l'un sur l'autre, de
pe une véritable bourse muqueuse. Je n'ai point parlé jusqu'ici des
os
placés au-devant du scaphoïde et du cuboïde ; ils
arties constituantes, et d'abord dans le squelette. Déformation des
os
. — L'astragale est assurément, de tous les os du
ette. Déformation des os. — L'astragale est assurément, de tous les
os
du pied, celui qui subit le plus de déformation d
mation existe déjà à la naissance. Voici des dessins représentant les
os
du tarse de quatre enfants pieds bots, morts peu
lle est un peu rélrécie et tend à devenir pointue, tandis que dans un
os
normal, la tête de l'astragale déborde le col.
son étendue; mais elle est portée en totalité en dedans du corps de l'
os
; de plus, elle est inclinée en dedans par l'obliq
um changent de forme et de situation, par l'effet de la rotation de l'
os
sur son grand axe et de l'inclinaison du cuboïde.
ement rend raison de ce dernier changement, comme la compression de l'
os
explique le premier. Le cuboïde, les cunéiforme
ssion de l'os explique le premier. Le cuboïde, les cunéiformes, les
os
du métatarse et les phalanges, n'éprouvent que de
osseuses sont plus prononcées dans le varus congénial, parce que les
os
résistent davantage, si le pied bot ne se produit
i le pied bot ne se produit qu'après leur entière ossification. Les
os
de la jambe peuvent participer aux déformations d
ervalle des malléoles. On rencontre une disposition semblable sur ces
os
d'adulte, de ma collection. La malléole interne e
phiée. État des ligaments. — Après les changements éprouvés par les
os
du pied, nous arrivons à ceux qui portent sur leu
leurs fonctions. Ils sont, en outre, disposés de manière à fixer h s
os
dans leur nouvelle situation. Les plus importants
enne et astragalo-calcanienne, les expansions des tendons allant d'un
os
à l'autre , ainsi que les gaines fibreuses qui re
t permanent. Qu'on appelle cela rétraction si l'on (1) Maladies des
os
, tome II, c. 3. (2) Mémoire sur la torsion cong
e immobilité absolue. On voit même des ulcères rebelles, la carie des
os
, être amenés par ce vice de conformation. Une a
tteint un membre pied bot, porte sur toutes les parties de ce membre,
os
, muscles, vaisseaux, nerfs. Cet état persiste tou
Celles-ci peuvent êtie sa cause, comme le spina-bifida, l'absence des
os
du pied ou de la jambe; ou bien un autre effet d'
dans sa région tarsienne. Examinons le déplacement qu'éprouvent les
os
du pied dans le valgus. L'astragale est à peine
le contraire. Je vous ai parlé de l'absence congeniale de quelques
os
dans certains pieds bots; or une coïncidence rema
s de péroné. 11 existe certainement un rapport entre l'absence de ces
os
et la déviation du pied; on peut comprendre que l
le varus commun. Mais, dans le troisième degré, l'inclinaison de cet
os
est portée encore plus loin ; son axe dénient pre
partie antérieure. Il résulte de ce nouveau mode de jonction des deux
os
, très-apparent sur ces pièces, que leurs axes for
it sans doute ce changement en affaissant peu à peu celte partie de l'
os
et en lui donnant une coupe plus oblique. Suiva
ar rapport au calcanéum a été porté si loin, que les axes de ces deux
os
forment presque un angle droit, et que la face in
e calcanéum, dont la facette supéro-postérieure répond en arrière aux
os
de la jambe. Le reste du pied ne présente quelq
abaisser et de tourner un peu en dehors le premier métatarsien et les
os
qui le supportent ; c'est presque la seule extens
en arrière. Le calcanéum suit le mouvement de l'astragale. Ces deux
os
, relevés en avant, prennent une direction oblique
lcanéum est en partie à nu derrière l'astragale, et les axes des deux
os
forment un angle ouvert en arrière, comme dans ce
te pièce de talus, dans un cas où, à la vérité, il manquait plusieurs
os
du tarse, ce qui a beaucoup diminué la résistance
ce qui a beaucoup diminué la résistance de la voûte tarsienne. Les
os
sont primitivement moins altérés dans le talus qu
urtout que dans le varus. Voici un dessin qui représente en ngard les
os
du tarse d'un enfant de six semaines, qui portait
nes, qui portait un varus au pied droit, un talus au pied gauche; les
os
du talus ne diffèrent pas sensiblement de l'état
ceux du varus sont très-notablement déformés. Toutefois la forme des
os
se modilie également à la longue. Ainsi, ce calca
uite de son inclinaison et de la pression du tendon d'Achille; tout l'
os
paraît allongé et se termine en arrière par une e
autre; ils ne diffèrent que per ia manière dont ils se joignent aux
os
de la jambe. Seulement, dans le talus pied creux
quin. L'exagération de la voussure tarsienne finit par déformer les
os
, comme dans le pied équin. On voit, sur cette piè
muscles, l'état de leur nutrition ; s'assurer de la conformation des
os
accessib'es à la vue et au toucher, et déterminer
en effet, à constater quelles sont la conformation, la direction des
os
de la jambe et de la cuisse, leur longueur compar
lors dans une espèce d'attitude; elles peuvent encore siéger dans les
os
et les ligaments, comme dans les subluxations.
ans les muscles, tandis qu'elle provient souvent des ligaments et des
os
dans les déviations médio-tarsiennes. L'intensi
é, comme on dit, c'est-à-dire après avoir effacé les inclinaisons des
os
dans les lignes astragalo-calcanienne, médio-tars
où elle supporte le plus de pression, où elle est mince et collée aux
os
, aux tendons, sur la tubé-rosité postérieure du c
tendons des muscles. Mais l'insertion supérieure des muscles sur les
os
est fixe, tandis qu'ici cette insertion est mobil
r les sections sous-tendineuses, et quand l'instrument doit raser le?
os
. Il est bon que la partie tranchante soit très-co
dé est aussi préférable, en général, pour les tendons accolés à des
os
ou voisins de vaisseaux et de nerfs importants qu
résentent un peu plus de difficulté, en ce qu'ils sont bridés sur des
os
par des aponévroses ou de fortes gaines fibreuses
est souvent difficile de le diviser en ce point, et la présence d'un
os
sésamoïde dans l'épaisseur du tendon, chez l'adul
t le périoste et le péri-chondre sont le siège dans les fractures des
os
et des cartilages. Ce phénomène de réparation c
d'Achille ; seulement leur accolement réciproque et la proximité de l'
os
les exposent à contracter plus facilement des adh
ui résulte de l'influence du traitement mécanique sur la position des
os
. C'est ce qu'il est facile de constater, par exem
est une lésion purement mécanique , qui n'affecte que la surface des
os
, qui frappe presque uniquement les articulations,
tre est une lésion dynamique, vitale, qui s'attaque au cœur même de l'
os
, qu'elle frappe dans sa continuité, dans sa diaph
s sa continuité, dans sa diaphyse ; c'est une affection primitive des
os
. Définition. — Je définirai le rachitisme : un
vice d'ossification avec ramollissement, courbure et déformation des
os
. Nomenclature. — D'où vient le nom qui désigne
Londres mirent en commun leurs observations sur le ramollissement des
os
dans l'enfance ; ils chargèrent trois d'entre eux
é, et le second n'est employé que pour désigner le ramollissement des
os
chez les adultes. Ancienneté de ia maladie. — M
, du 17 juillet 1856. (2) Beylard, Du rachitis, de la fragilité des
os
, de l'ostéomalacie. Paris, 1852. (3) Des maladi
gilité des os, de l'ostéomalacie. Paris, 1852. (3) Des maladies des
os
désignées sous le nom d'ostéomalacie. Paris, 1851
désignées sous le nom d'ostéomalacie. Paris, 1851. mollissement des
os
chez un adulte, qui remonte au temps des Arabes.
emonte au temps des Arabes. On lit dans Fernel qu'un soldat avait les
os
des jambes, des bras, des cuisses, mous et flexib
Paris une femme dont tout le corps, mou et flexible, n'avait point d'
os
solides (2). Les auteurs allemands des quinzième
e, dans laquelle ils mentionnent une mollesse et des déformations des
os
, qui ne sont autres que celles du rachitisme (3).
le se rencontre très-souvent aussi sans le moindre ramollissement des
os
, même antérieur à la déformation. Dans le mal ver
ettre leur identité complète. J'en dirai autant du ramollissement des
os
produit par le cancer, le scorbut, ou par des cau
s courbures liées à l'arrêt de développement de certaines parties des
os
chez le fœtus, etc. J'écarte toutes ces lésions
euse; c'est la marche anormale de l'ossification, de la formation des
os
; ce sont les lésions de texture qui en dérivent
s. Je rattacherai toutes les nuances du rachitisme à deux états des
os
qui caractérisent les deux périodes principales d
Première période : état atrophiquc, ou résorption interstitielle des
os
. Deuxième période : état fibroïde ou cartilagin
. Cette atrophie est plus sensible à l'intérieur qu'à l'extérieur des
os
. Elle résulte de la résorption interstitielle de
issent, et ce tissu lui-même devient moins abondant à l'intérieur des
os
longs, dans les os courts et dans l'épaisseur des
lui-même devient moins abondant à l'intérieur des os longs, dans les
os
courts et dans l'épaisseur des os larges. Le tiss
l'intérieur des os longs, dans les os courts et dans l'épaisseur des
os
larges. Le tissu compacte forme sur tous ces os u
dans l'épaisseur des os larges. Le tissu compacte forme sur tous ces
os
une couche plus mince ; mais il offre une disposi
nce ; mais il offre une disposition particulière dans la diaphyse des
os
longs; il se creuse de cellules et prend en parti
ieurs lames de substance compacte, séparées par ce tissu aréolaire. L'
os
devient alors plus léger, plus souple et plus fra
observe chez les vieillards, où elle ne produit que la fragilité des
os
; chez les enfants, elle les rend plutôt flexibles
le tissu osseux est différent dans les deux âges. La souplesse de l'
os
rachilique, dans cette première période, peut enc
on de l'élément calcaire dans quelques analyses que j'ai fait faire d'
os
pris à cette période; mais ces faits sont trop pe
nt trop peu nombreux pour faire loi. Le travail d'accroissement des
os
longs, qui se fait principalement aux extrémités
spongieux, incessamment produit dans l'état normal entre le corps des
os
longs et leurs extrémités épiphysaires, se dévelo
après les observations de M. Broca (1), le changement du cartilage en
os
résulte ici de plusieurs transformations successi
e nature différente entre la diaphyse et le cartilage épiphysaire des
os
des membres, de même qu'entre les côtes et leurs
rtilage; M. Broca la nomme tissu chondroïde. L'autre est voisine de l'
os
; il lui conserve le nom de tissu spongoïde, qui l
apparences principales de chaque tissu, depuis le cartilage jusqu'à l'
os
. 1° Cartilage : le microscope y montre des corp
par des traînées transparentes, amorphes, dont les plus voisines de l'
os
commencent à devenir fibreuses : ce sont les rivi
es ont des formes bizarres et beaucoup plus irrégulières que dans les
os
sains. Il est évident que la persistance, l'éte
hi-ques, précédemment indiqués, diminuent également la résistance des
os
, les rendent à la fois plus flexibles et plus fra
rendent à la fois plus flexibles et plus fragiles. Aussi cet état des
os
, dans le rachitisme, joint à leur souplesse natur
nsible que dans la deuxième période. Un autre caractère général des
os
rachitiques dans la première période, c'est l'abo
période. — La deuxième période a pour caractère un état fibroïde des
os
. J'emploie ce mot fibroïde, pour ne pas dire fibr
position chimique bien plus prononcée que dans la première période. L'
os
se déphosphate; ce qui persiste n'est pas du vrai
mme un ligament, c'est le parenchyme organique, fibro-celluleux, de l'
os
. Cette décomposition a lieu surtout dans la dia
x, de l'os. Cette décomposition a lieu surtout dans la diaphyse des
os
longs, mais elle se passe également dans les os p
dans la diaphyse des os longs, mais elle se passe également dans les
os
plats et les os courts. Sur la diaphyse des os
e des os longs, mais elle se passe également dans les os plats et les
os
courts. Sur la diaphyse des os longs, on voit s
e également dans les os plats et les os courts. Sur la diaphyse des
os
longs, on voit se former des couches qui ne conti
hitisme. On a prétendu que ces couches étaient surajoutées à l'ancien
os
. Il est très-vrai qu'elles se forment successivem
l est très-vrai qu'elles se forment successivement à l'extérieur de l'
os
, dont la partie solide finit par se réduire à un
'il en soit, on peut obtenir un dédoublement de ces lames, comme si l'
os
avait macéré dans un acide. Elles sont d'autant p
u. Quelquefois, il ne reste même plus de couches intérieures du vieil
os
, qui est transformé tout entier en un ligament.
tion dont nous venons de parler, un travail analogue s'opère dans les
os
courts et larges, qui perdent leur matière calcai
dans les os courts et larges, qui perdent leur matière calcaire. Ces
os
s'épaississent en passant à l'état fibroïde ; le
amollies. De là l'épaississement qu'on remarque surtout dans certains
os
larges, aux omoplates, au bassin, dans quelques p
nalyse chimique ne trouve presque plus de phosphate calcaire dans les
os
. C'est ce qui résulte d'un grand nombre de travau
e de nouvelles preuves par M. Flourens (3), le périoste sécréterait l'
os
dans l'état normal; beaucoup d'auteurs ont pensé
a décrit, après MM. Kœlliker, Mayer, Broca, l'état microscopique des
os
rachitiques, a reproduit la comparaison de Boerha
i pas trouvé le périoste épaissi, adhérent, injecté, à la surface des
os
rachitiques; je n'ai pas trouvé, au-dessous de ce
émie des sciences. Paris, 1743, in-4°. — Fou-gerpux, Mémoires sur les
os
. Paris, 1760, in-8°. (3-) Théorie expérimentale
Paris, 1760, in-8°. (3-) Théorie expérimentale de la formation des
os
. Paris, 1847, in-8°, avec planches. (4) Virchow
ues recueillis à la Polyclinique de Berlin, 1846. 18. cielle de l'
os
. En général, il adhère plus fortement au tissu fi
ne présente point d'altération propre au rachitisme. La graisse des
os
rachitiques ne paraît pas différer de celle des o
. La graisse des os rachitiques ne paraît pas différer de celle des
os
normaux; elle est souvent un peu plus abondante,
, pour un état graisseux dû au rachitisme l'état gras observé sur les
os
des vieillards gibbeux et qui dépend uniquement d
eillards gibbeux et qui dépend uniquement des progrès de l'âge. Les
os
altérés par l'effet du rachitisme ne sont pas seu
es, comme l'a déjà indiqué J. L. Petit (1) ; la portion fibroïde de l'
os
ne fait que plier et maintient l'adhérence des fr
ant des fractures déterminées dans l'utérus par les pressions que les
os
peuvent y subir, fractures dont les unes paraisse
mple arrêt de développement osseux, qui interrompt la continuité de l'
os
. Cet arrêt de développement, déjà entrevu par Dau
par M. Depaul (3). Il suffit de comparer des sque- (1) Maladies des
os
, t. II, p. 548. (2) Buffon, Histoire naturelle
. (2) Buffon, Histoire naturelle de l'homme, t. II, Description des
os
du Cabinet, n° 132. (3) Bulletin de l'Académie
e. Tantôt elle se fait très-lentement, tantôt aussi vite que dans les
os
normaux. C. Troisième période.—J'arrive à la tr
ous ai dit que c'était la période de guérison, de reconstitution de l'
os
, de réossification; c'est, en un mot, la reprise
combler les vides anormaux, de faire cesser Yostéoporose exagérée des
os
, de rétablir la densité du tissu compacte, des la
ne part, l'atrophie, la raréfaction, peuvent subsister en partie et l'
os
rester plus faible ; ces deux os de la jambe, tir
on, peuvent subsister en partie et l'os rester plus faible ; ces deux
os
de la jambe, tirés de la collection de M. Broca,
és de la collection de M. Broca, en sont un exemple ; d'autre part, l'
os
peut devenir plus épais, plus dense, qu'il ne l'é
ivement. Mais c'est surtout après la deuxième période que le nouvel
os
est très-différent de l'ancien. Le travail de r
Le travail de réparation se fait par couches successives. Dans les
os
longs, on voit ces couches s'incruster de matière
omparer ce travail à la formation du cal, à la production d'un nouvel
os
dans la nécrose, à l'ossification, chez les vieil
des courbures les plus prononcées ; c'est ce qui a fait dire que les
os
rachitiques acquéraient le plus de force précisém
nt le plus faibles (Stanley). L'éburnation est moins marquée dans les
os
courts et les os plats que dans les os longs ; ce
s (Stanley). L'éburnation est moins marquée dans les os courts et les
os
plats que dans les os longs ; cependant elle y co
ion est moins marquée dans les os courts et les os plats que dans les
os
longs ; cependant elle y conserve ses caractères.
gs ; cependant elle y conserve ses caractères. Cette éburnation des
os
consacre définitivement les formes, les dimension
pertrophie, qu'il faut rapporter l'élargissement, l'aplatissement des
os
longs, qui les fait ressembler à des lames de sab
ndeur des uns et la gracilité naturelle des autres. L'intérieur des
os
longs participe à cette réossification ; il se pa
matière osseuse. Ces changements anatomiques dans la structure des
os
modifient puissamment leur vitalité; leurs vaisse
est ralenti ; mais cet accroissement est bien plus entravé quand les
os
ont subi la transformation éburnée. A ce moment,
principaux caractères de cet arrêt de développement intra-utérin. Les
os
de la plupart des membres sont d'une brièveté ext
squ'à sa période d'éburnation dans l'utérus, et ayant ainsi forcé les
os
à conserver des dimensions très-analogues à celle
cas, la matière calcaire n'a jamais été déposée dans les points où l'
os
est interrompu, tandis que le rachitisme (1) Ga
(1) Gazette médicale, 1839. consisterait dans le ramollissement d'
os
déjà formés. Mais vous avez vu que souvent le rac
n, puis la fait marcher trop vite; il change doublement la nature des
os
dans l'enfance ; après les avoir ramenés à l'état
après les avoir ramenés à l'état fœtal, il en fait, avant l'âge, des
os
d'adultes ou même de vieillards, et, par cette tr
persistance des intervalles membraneux qui séparent primitivement les
os
du crâne. Or, comme le cerveau continue de s'accr
x ans, les espaces membraneux se prolonger même entre les bords des
os
, qui ne se joignaient pas. Les sutures, dans le
ttribuer, dans ce cas, l'hydrocéphalie à l'arrêt de développement des
os
que d'admettre l'explication inverse. De même q
s rachitiques se fait souvent par points multiples. Non-seulement les
os
wormiens se multiplient, mais les rayons osseux e
ui se voient sur ce crâne de jeune sujet. L'état d'imperfection des
os
du crâne peut aller encore plus loin. M. Elsesser
Dans l'examen du rachitisme crânien, il faut, comme pour les autres
os
, tenir compte des périodes parcourues. L'éburnati
arties molles et membraneuses, vous ne sentez sous les doigts que des
os
. La fontanelle antérieure, les sutures frontale,
dérant l'état des fontanelles relativement à l'âge de l'enfant. Les
os
de la face sont rarement altérés par le rachitism
aurait guéri par soudure osseuse. Mais les caractères anatomiques des
os
, la considération des symptômes qui ont existé pe
altération de même nature que celle des extrémités de la diaphyse des
os
longs. Dans son premier degré, le rachitisme th
rieurs forment la parenthèse; ils sont courbés en dehors, surtout les
os
des jambes. D'après la mère, cette courbure serai
tibias élargis en lame de sabre. Il y a évidemment là éburnation des
os
. IVe cas. — Enfant de quatre ans et trois mois.
ième période, car il ne reste qu'une très-légère flexibilité dans les
os
longs. d. Rachitisme du bassin. — (1) Le rachit
e vertébral par le sacrum, et de celui des membres inférieurs par les
os
coxaux. Les déformations du bassin qui dépenden
arties le plus fréquemment et le plus fortement atteintes étaient les
os
de la jambe ; puis venaient les os de l'avant-bra
us fortement atteintes étaient les os de la jambe ; puis venaient les
os
de l'avant-bras, et en dernier lieu le fémur et l
nguer, à cet égard, les trois altérations rachitiques principales des
os
des membres, savoir : 1° l'accumulation des couch
mais en des points différents, qui correspondent aux points où chaque
os
présente le développement le plus actif; ainsi, à
'extrémité supérieure de l'humérus. Les extrémités opposées des mêmes
os
s'affectent un peu plus tard. M. Broca a aussi co
rachitiques procéderaient successivement de bas en haut, » depuis les
os
de la jambe jusqu'aux membres supérieurs, au rach
n des forces extérieures susceptibles de modifier la conformation des
os
. Au premier point de vue, on peut dire, en donn
t aux époques correspondantes de l'état physiologique, tandis que les
os
dont le plus grand développement est antérieur ou
tre côté, le bassin qui s'accroît si lentement dans le jeune âge, les
os
du carpe et du tarse, dont l'ossification est si
courbures. — On a longtemps discuté sur les causes de la courbure des
os
dans le rachitisme. Les théories opposées de Glis
uses, qui sont, dit-il, au nombre de quatre, savoir : la mollesse des
os
, la contraction des muscles, le poids du corps et
ntraction des muscles, le poids du corps et la courbure naturelle des
os
. Il faut y ajouter seulement les pressions extéri
res causes. Nous allons examiner rapidement les courbures de chaque
os
des membres en particulier, en faisant ressortir
membre supérieur agissant de haut en bas sur l'extrémité externe de l'
os
, appuyé et fixé sur le sternum par l'extrémité op
lus directement en avant. C'est la direction qu'elle présente sur ces
os
d'enfants, ainsi que sur la plupart des pièces dé
n musculaire la cause de cette courbure de l'humérus. La flexion de l'
os
répond à son bord interne, et il n'y a pas de mus
t grand dorsal, peuvent concourir plus directement à l'inflexion de l'
os
dans quelques variétés de courbures. L'avant-br
uffon, Histoire naturelle de l'homme, t. II, Description du Cabinet ,
os
difformes. (2) Musée Dupuytren. Paris, 1842, 2e
scles fléchisseurs sur les extenseurs. La légère courbure normale des
os
dans ce sens favorise encore cette action. On a v
le des os dans ce sens favorise encore cette action. On a vu les deux
os
courbés inégalement, ou même l'un rester droit, t
est à la jambe qu'on observe le plus de variétés dans la courbure des
os
, courbure presque toujours semblable au tibia et
urbés en sens contraire, comme l'a déjà fait remarquer M. Depaul. Les
os
de chaque jambe dessinent ainsi la lettre O, ou u
difformités pour la locomotion. D'une part, la direction vicieuse des
os
fait porter obliquement le poids du corps sur les
, ce système participe aux vices de direction et de configuration des
os
. C'est surtout aux membres que le système muscu
pothèse de Mayow (1), qui expliquait mathématiquement la courbure des
os
par le défaut d'accroissement des muscles, devenu
s avoir concouru activement par leur contraction à la déformation des
os
, s'accommodent à la longue, en vertu de leur forc
es muscles profonds et les superficiels. Les premiers , adhérents aux
os
dans presque toute leur longueur, ne peuvent s'en
, faiblement bridés par leurs aponévroses d'enveloppe, s'écartent des
os
et se tendent (1) DeRachitide, p. 46 et suiv,,
ux, en décrivant des courbes beaucoup moins prononcées que celles des
os
. Cette disposition des muscles concourt avec le
position des muscles concourt avec le changement de configuration des
os
à transformer totalement l'aspect extérieur des m
rnées, mais encore aplaties et étalées en travers, tant au niveau des
os
que dans leur portion charnue. Il faut remarque
otalité, en proportion de la brièveté qu'ils présentent vis-à-vis des
os
déformés, parce que les articulations sur lesquel
n et la résistance des muscles lorsqu'on veut effacer la courbure des
os
, est donc un fait moins commun qu'on ne pourrait
cipalement dans les muscles insérés par leur extrémité inférieure à l'
os
incurvé, tels que le rond pronateur, à l'avant-br
les que les muscles, suivent plus ou moins exactement la courbure des
os
. Les artères, en particulier, décrivent, en outre
esque tous les auteurs après lui, ont cherché avec raison au delà des
os
les causes de leur ,vice de nutrition ; car l'opi
, après Ruysch, à de nombreuses expériences sur le ramollissement des
os
par les acides, à l'occasion de la curieuse obser
1) hoc. cit., c. VI, p. 58. (2) Observations sur ramollissement des
os
. Paris, 1755. (3) Histoire de la maladie singul
devenue en peu de temps contrefaite par un ramollissement général des
os
. Paris, 1752, in-12. bouvier. 20 professait é
ons spéciales. Il est vrai que les sels calcaires manquent dans les
os
rachitiques ; mais est-ce parce qu'ils manquent d
t éliminés par d'autres voies? Ou bien parce que le tissu vivant de l'
os
est devenu incapable de les retenir et de se les
tat actuel de nos connaissances. Quant à la prétendue dissolution des
os
par des humeurs acides, elle n'appartient plus qu
igris, au-dessous de quatre ans, dont il a eu occasion d'examiner les
os
. Aussi est-il très-disposé à ne voir dans le rach
fs qui en dépendent, tels que le développement et l'accroissement des
os
. Le rachitisme n'est alors qu'un fait particulier
des aliments , exerçaient une influence directe sur la formation des
os
, que certaines nourrices, par exemple, dont le la
ueillie par M. Leblanc ; la paroi du canal médullaire est amincie , l'
os
courbe et déjà éburné. Ce fait peut être rapproch
, et les avant-bras une concavité du côté de leur face palmaire ; ces
os
sont flexibles. Le ventre est développé comme une
es, l'évolution tardive et l'altération des dents, la flexibilité des
os
. Aucun de ces signes n'avait échappé à Glisson,
n'avait échappé à Glisson, si ce n'est le dernier, la flexibilité des
os
, qu'il appelait signum fabulosum (2) ; et pourtan
'il disait être moiliores et spongiosiores (3). Cette flexibilité des
os
est d'autant plus sensible, en général, que leurs
faiblesse musculaire, le ramollissement et la direction vicieuse des
os
, les empêchent de.se tenir debout. Ils cessent de
; cet état est réel et paraît lié à la période de ramollissement des
os
. C'est alors que l'enfant ressent des douleurs qu
ors que l'enfant ressent des douleurs quelquefois spontanées dans les
os
ramollis. Le mouvement, la pression des membres l
ris, quand on le soulève par les bras. En général, la sensibilité des
os
à la pression se lie à leur flexibilité ; obscure
pression se lie à leur flexibilité ; obscure lorsque la souplesse des
os
est peu marquée, celte sensibilité se montre d'au
nsistance. Elle est également excitée par le redressement imprimé aux
os
incurvés et par l'exagération de leurs courbures.
qui paraît coïncider avec le moment du plus grand ramollissement des
os
. Celle fièvre cesse dès que le squelette reprend
, s'assurer qu'il n'y a pas de lésions plus importantes que celle des
os
. C'est surtout lorsqu'il n'y a pas de proportion
s du thorax par simple irrégularité de développement, la courbure des
os
par un cal vicieux, les déviations accidentelles
s articulations, celles du genou par exemple, certaines courbures des
os
dues à un travail organique purement local. Les c
ux sur ces planches de M. Stanski (4). Figurez-vous les diaphyses des
os
longs renflées, réduites à une coque presque memb
alacie. Paris, 1851. qu'après une courte macération dans l'eau, ces
os
ressemblent à l'intestin côlon. Ces caractères et
s maladies de la lymphe. Paris, 1810. (6) J. L. Petit, Maladies des
os
, t. II, p. 564. (7) Dictionnaire de Médecine, l
nce, 1747, et Van Swieten, Comment., t. V, p. 627. (5) Maladies des
os
. Paris, 1741, t. II, p. 535 et 565. (6) Médecin
etenir le bon état du tube digestif. La nutrition générale, celle des
os
en particulier, est évidemment subordonnée à cett
on utile. Une précaution indispensable, c'est de ne pas exposer les
os
à des efforts qui dépassent leur résistance. On n
dans l'état actuel de la science, de médicament capable de durcir les
os
des rachitiques; mais nous pouvons favoriser le r
es. — Les difformités , les courbures, les affaissements partiels des
os
, déterminés par le rachitisme, réclament souvent
Mais ces appareils agissent moins efficacement sur la continuité des
os
longs, ainsi que dans les déviations rachitiques
effet, on a proposé, pour les remplacer, la ténotomie, la rupture des
os
et l'ostéotomie. En général, la ténotomie est peu
ostéotomie consiste, tantôt dans une simple section sous-cutanée de l'
os
, totale ou partielle, tantôt dans la résection de
rs offrent de légères courbures, à peine marquées. La flexibilité des
os
est peu étendue, mais douloureuse. C'est un cas o
Le rachis offre une grande convexité en arrière. Les clavicules, les
os
longs des membres sont peu déformés; ces os sont
ière. Les clavicules, les os longs des membres sont peu déformés; ces
os
sont flexibles, presque sans douleur, ce qui fait
ur courbure est située au bord externe , dans le tiers supérieur de l'
os
, tandis qu'habituellement elle siège beaucoup plu
(8), ont-ils étendu le nom de lordose à toute espèce de courbure des
os
, ce qui pourtant n'est pas à imiter. Je disting
eur au dos, modifient la nutrition du côté concave des courbures; les
os
et les ligaments prennent moins de hauteur dans c
es qu'aux corps vertébraux eux-mêmes. Duverney, dans ses Maladies des
os
, Wenzel (Maladies de la colonne vertébrale), ont
tte manière ; elle contenait les vertèbres du dos, des lombes et de l'
os
sacrum.....Les cartilages de toutes les vertèbres
39, sous le titre de «colonne affectée de (1) Duverney, Maladie des
os
, 1751, t. II, p. 117. (2) Humbert et Jacquier,
difformités, 1838, t. I, p. 175. (3) Cl. Renard, Ramollissement des
os
d'une femme. Mayence, 1804, p. 15. (4) Delpech,
ux nous donner une idée de la puissance des muscles pour modifier les
os
; rien n'est plus propre à nous inspirer une just
se du crâne. Les membres inférieurs sont suspendus sous la tête à des
os
iliaques imparfaitement développés et séparés du
venu convexe en avant dans un spina-bifida des vertèbres sacrées. Cet
os
, probablement repoussé en avant par la tumeur aqu
e trouve dans le déplacement du sacrum, qui a changé la direction des
os
coxaux. Ainsi voilà toute une série de désordres
moitié opposée du thorax s'élèvent et s'éloignent, au contraire, de l'
os
iliaque. D'un côté, le flanc rentre et s'efface,
l ajoute en effet que, par telle faute (d'étreindre la poitrine), les
os
de la poitrine sont contraints de se jeter trop e
a gibbosité à droite, puisque « la maladie qui altère la solidité des
os
doit plu- (1) Mémoire sur la situation des gros
point où se forme la courbure latérale normale. Cette déformation des
os
âu contact des artères n'est point un fait extrao
erve presque partout où les artères sont en rapport immédiat avec les
os
. Cette action est toujours assez lente ; aussi la
ue la substance osseuse comprimée a reflué vers la circonférence de l'
os
. Toutefois il n'y a pas compensation, comme l'a c
s se voit surtout dans les déviations les plus considérables , où les
os
du côté concave sont pressés les uns contre les a
courbure normale; elle suit du reste les mêmes lois. La rencontre des
os
et leur pression réciproque donnent quelquefois e
r que l'affaissement latéral des ligaments précède l'affaissement des
os
. Il y aurait une période de déformation ligamente
ériode de déformation ligamenteuse, dans laquelle la conformation des
os
serait normale. La chose n'est pas impossible, ma
ur des pièces pathologiques avec déformation des ligaments et non des
os
(1) ; vous verrez que ce sont autant d'erreurs d'
s parties de la vertèbre les unes à l'égard des autres, chacun de ces
os
se déplace en totalité au niveau des courbures. L
plus facilement à ces influences que la colonne postérieure, dont les
os
ne sont pas séparés par des couches flexibles et
éplace effectivement dans le sens indiqué ; il entraîne le reste de l'
os
dans un mouvement circulaire dont l'une des apoph
leurs rapports normaux. Non-seulement les ligaments, mais encore les
os
se tordent pour obéir au mouvement général du rac
'on le voit excavé, saillant ou enfoncé à son extrémité xiphoïde. Cet
os
reste ordinairement situé sur la ligne médiane, e
tte inégalité de développement de ses deux moitiés peut s'étendre aux
os
coxaux. La ceinture osseuse formée par les troi
t s'étendre aux os coxaux. La ceinture osseuse formée par les trois
os
offre assez souvent, chez les sujets âgés, un res
assurer du contraire. Ce n'est que dans des cas particuliers que les
os
iliaques ont réellement une hauteur différente; p
ine. Les muscles extrinsèques et intrinsèques du rachis suivent les
os
qui les supportent et auxquels ils s'insèrent; le
te à droite et à gauche, en raison de la différence d'éloignement des
os
à la concavité et à la convexité des courbures.
égère tension musculaire ne mettant point obstacle à l'écartement des
os
, et les muscles sont loin de faire corde, comme d
it voir que cette disposition se lie uniquement à la manière dont les
os
s'inclinent et se déforment dans leurs courbures
on , à la diminution , et finalement à l'abolition de la mobilité des
os
à la partie moyenne des courbures, que sont dues
rit partout ailleurs par le squelette, il se moule exactement sur les
os
qui l'entourent. De là une configuration presque
es matériaux nutritifs se distribuent inégalement aux deux côtés de l'
os
. Selon Mayow, ce sont les muscles, trop courts po
plus marqués, si les muscles contractés ne bornaient l'écartement des
os
. On peut observer la plupart de ces faits sur l
cles vont changer tout à coup de dimensions; ils décriront, comme les
os
, une courbe, et, en les mesurant, vous trouverez
par conséquent, de la graisse, qui envahirait les tissus et jusqu'aux
os
eux-mêmes. Je n'ai trouvé les os plus gras, dans
i envahirait les tissus et jusqu'aux os eux-mêmes. Je n'ai trouvé les
os
plus gras, dans la scoliose, que lorsque c'était
ertèbres ou les côtes, le froissement des chairs par le tassement des
os
du tronc, donnent très-souvent lieu à des douleur
ate, lesquelles, selon leur siège, sont suivies de l'élévation de cet
os
, de son abaissement, de son abduction, de son add
ccidents ou les avoir provoqués par suite d'une affection morbide des
os
ou d'une simple compression de la moelle. Je de
générale, et celle de l'appareil locomoteur en particulier. Faire des
os
forts, dans le jeune âge, au moyen d'un régime et
tifs en plein air, sinon leurs muscles deviennent plus débiles, leurs
os
, leurs vertèbres en particulier, moins résistants
station, et de changer, par une influence mécanique, la forme de ces
os
et de leurs ligaments. Ils comprennent : Io la po
1) Hannover. Annalen, Bd 4, hft 1, 1839. (2) Duverney, Maladies des
os
, t. II, p. 127, 1751. (3) Loder's, journal, 179
continué assez longtemps, le côté concave des courbures, ligaments et
os
, s'accroisse plus en proportion que le côté conve
pression antérieure se pratique sur le sternum ou déborde un peu cet
os
de chaque côté. On la fait porter spécialement à
es articulations des côtes, leurs cartilages, résistent moins que ces
os
eux-mêmes, et cette disposition anatomique borne
redressement; l'épine est soulagée d'une partie du (1) Maladies des
os
, 1741, t. Ier, p. 66. fardeau dont elle est cha
............ 111 II. Ligament rond.....................• 1*8 III.
Os
, muscles , etc.................... § II. — Diag
des éléments anatomiques du pied bot......... • 192 Déformation des
os
.................... b. État des ligaments......
Le procédé qui consiste à faire percevoir des sons musicaux par l'
os
frontal aux enfants atteints de surdi-mutité, p
é- gulièrement de midi à une heure sous la direction de M. L ? NI)
OS
,-3E, un de nos instituteurs. 130 enfants de la
ler avec le plus grand soin les aliments, d'enlever les fragments d'
os
ou de tendons, susceptibles de produire des acc
1 pour brûlure; 2 pour exci- tation maniaque ; 1 pour fracture des
os
de l'avant- bras droit. Ajoutons aussi que, de
les divergences sans prendre un parti bien net. Ayant en main les
os
et les documents cliniques, nous allons essayer
lème ainsi posé : Étant donné d'une part le degré d'atrophie d'un
os
correspondant à un membre hémiplégie; étant don
ement. Il ne suffit pas de signaler l'atrophie ou la gracilité de l'
os
, de donner sa circon- férence ou de noter super
it spécial destiné anous donner une étude anatomique complète des
os
. C'est ce qu'il a fait en mettant en pratique les
a été tenu compte de l'âge du sujet et de l'état de croissance des
os
: c'est là une condition capitale, la caractéri
ions osseuses et les variations muscu- laires : 1° La diaphyse de l'
os
malade est plus arrondie que celle de l'os sain
es : 1° La diaphyse de l'os malade est plus arrondie que celle de l'
os
sain par suite de l'absence- ou de la diminutio
) ; - 2° La courbure antéro-postérieure est moins accentuée sur les
os
atrophiés ; - 3° La face externe d'un os sain e
moins accentuée sur les os atrophiés ; - 3° La face externe d'un
os
sain est plus large, plus aplatie, et légèremen
ion. De même d'autres points intéressants de la morphogenèse de nos
os
, par exemple les variations de la fossette hypo
r la forme - - - - du fémur. A la partie moyenne de sa diaphyse l'
os
malade est plus LE fémur. 45 arrondi que l'os
ne de sa diaphyse l'os malade est plus LE fémur. 45 arrondi que l'
os
sain, mais son aspect estsujeta de nom- breuses
on de l'indice de section, l'analyse raison- née et comparative des
os
indiquent que ces variations dépendent uniqueme
proportionnel à cette activité, nous devons rechercher si, sur nos
os
, sa disparition ou son amoindris- sement reconn
d la forme prismatique. Le muscle agissant sur la face externe de l'
os
la transforme en l'aplatissant et en l'agrandis
en l'aplatissant et en l'agrandissant, autrement dit en donnant à l'
os
une forme prismatique et triangulaire. En raiso
- riser l'extension musculaire. Ces faits, très-accentués sur des
os
trapus et vigoureux, le sont moins sur les fémurs
faible développement. Ceci étant donné on peut affirmer que sur nos
os
les variations pilas triques sont égale- ment d
ivité des mus- cles. Les pilastres traduisent ces modifications : l'
os
malade n'en possède pas : les deux lèvres de la
ies (1). Nous pourrions multiplier ces exemples. L'inspection des
os
atrophiés montre que lessignes énu- mérés plus
é à gauche) a une ligne aprerecti- ligne, ce qui n'existe pas sur l'
os
opposé. Sur la Planche II l'aspect est identiqu
es réduites sur le fémur malade, très larges sur le fémur sain. Les
os
pathologiques des Planches II et V sont en outr
surface disponible ce cpti n'existe pas, ou alors très peu, suez un
os
sain, où le système musculaire est au contraire
utrition on avançait qu'il est bien naturel de la rencontrer sur un
os
sain, bien nourri et actif (1) Nous reviendrons
e 49. 48 SQUELETTE DES hémiplégiques. et de la voir absente sur l'
os
malade atteint de troubles trophiques ou encore
A est démonstratif, car il indique qne pour acquérir un pilastre, l'
os
sain a dû modifier complètement la forme primit
'os sain a dû modifier complètement la forme primitive donnée par l'
os
pathologique. Il s'aplatit et gagne en longueur
arfois effectivement supérieur au diamètre antéro-postérieur sur un
os
malade. Si l'on invoquait uniquement un trouble
d'expliquer la différence de courbure relevée sur les deux séries d'
os
, car ce sont précisément les fémurs les plus vi
s fémurs les plus vigoureux et les plus soli- des, c'est-à-dire les
os
sains, qui présentent la courbure antéro-postér
qui présentent la courbure antéro-postérieure la plus accusée. Les
os
malades, sui- vant les cas, sont peu ou pas cou
porté par le membre malade était encore assez accen- tué pour qu'un
os
atrophié et mal nourri traduisît plus encore qu
ue son congénère la pression du corps ! Etant donné surtout que cet
os
sain, en vertu de sanutrilionpar- faite, est en
même temps que la saillie pilastrique s'accuse (nous parlons d'un
os
normal) et que la surface externe s'élargit, il s
la face opposée, qui empêche la diminution de volume. Aussi sur un
os
normal le centre de courbure ne siège pas à la
normal le centre de courbure ne siège pas à la partie moyenne de l'
os
, lieu de moindre résistance, mais au niveau du
De môme la courbure n'atteint pas également les deux moitiés de l'
os
. Tous les faits qui précèdent et qui ont trait
oitiés de l'os. Tous les faits qui précèdent et qui ont trait aux
os
nor- maux ont été mis en relief par M.Manouvrie
encore insisté sur leur accentuation d'autant plus marquée que l'
os
est plus vigoureux. Il a aussi remarqué que les
écanique, mais sous la dépendance du système musculaire . Sur nos
os
nous retrouvons des oscillations analogues il c
ence musculaire suffit seule, on le voit, à expliquer la forme de l'
os
malade. Il existe une modification de la ligne
ire dans la production des formes pathologiques. Normalement, sur l'
os
de la cuisse, la ligne âpre présente deux lèvre
ents sont confondus et surmontent la saillie pilas- trique. Sur les
os
pathologiques, ou bien les de la ligne âpre son
bservation raisonnée des formes osseuses humaines ou animales que l'
os
s'adapte aux fonctions du muscle. Autre- ment d
ie dans un sens déter- miné. Or c'est pour cette cause, que, sur un
os
normal, les crêtes de la ligne âpre sont d'auta
veloppement musculaire est plus grand relative- ment au volume de l'
os
. Qu'un fémur fournisse une large surface d'inse
sse musculaire relativement minime (fémur du gorille par exemple) l'
os
restera arrondi et les deux lèvres qui marquent
a celui de la figure 1. Que cette masse musculaire s'accroisse, l'
os
se modifiera, il s'aplatira, ce que nous savons d
e modifiera, il s'aplatira, ce que nous savons déjà ; la coupe de l'
os
, de circulaire, deviendra triangulaire, l'angle
ace osseuse. Il est évident que nos fémurs malades représentent des
os
dont le développement mus- culaire est relative
t musculaire. La partie rayée représente ce qu'il faut ajouter il l'
os
de la fig. 1 pour qu'il prenne la. forme de la
ur qu'il prenne la. forme de la fig. 3. A lapartieinférieure de l'
os
, on retrouve d'autressymp- tômesengendrés uniqu
légique, cette inclinaison est moins (1) Sur la figure 3 on voit un
os
normal et ce qu'il faut retrancher de sa surfac
et ce qu'il faut retrancher de sa surface de coupe pour en faire un
os
atrophié. 1 . Fia. 1. Fig. 2. Fig. 3. 52
r un trouble trophique Iflri ne porterait que sur une moitié de l'
os
? Ce serait tellement absurde que nous n'insiston
que le prolongement externe de la ligne âpre est plus marqué sur l'
os
sain et y descend plus bas : variation en rappo
ux nôtres et en se basant sur les signes répartis sur le reste de l'
os
, il avait conclu que l'affaissement de la parti
i. 2 était celle (1) de fémurs normaux peu vigoureux et de certains
os
malades. Bien que nous ayions il parler encore
s avons déjà signalé il plusieurs reprises les modifications de cet
os
sous l'influence du muscle et de son activité.
fient au sur et à mesure que l'enfant grandit ; et en examinant des
os
correspon- dant à un âge plus avancé et par con
plus avancé de développement musculaire, les différences entre l'
os
observé et un os dont la croissance est terminée
développement musculaire, les différences entre l'os observé et un
os
dont la croissance est terminée sont de moins e
e façon générale ce qui a trait aux varia- tions morphologique de l'
os
de la cuisse. On saisira les stades par lesquel
ers qui permetteront de ne pas les confondre complètement avec un
os
sain, mais dans la majorité des cas si on les p
ppelé que certaines formes patholo- giques se rencontraient sur des
os
incontestablement normaux. 4° Cette façon de
fréquemment. Tout cela s'opposait à la loco- motion. De ce fait, l'
os
sain n'a subi qu'une modification légère et pro
émur malade dont l'évolution est plus avancée; c'est au contraire l'
os
sain qui diminue la distance. 5e Si le fémur
, qu'on sera à une époque moins éloignée de la naissance. Puisque l'
os
malade subit un- LE fémur ? ... ? 55 arrêt ou
6° De peuttttssi que chez un hémiplégique infantile la forme des
os
, aussi bien du fémur sain que du fémur malade,
sain que du fémur malade, est liée à l'étut de la musculature. L'
os
malade subit peut-être des troubles trophiques
e : ils sont négligeables, et ce qui est certain, c'est que même un
os
malade s'adapte entièrement à la fonction du mu
t par- fois difficile de trouver des symptômes de ce genre sur un
os
, mais à la partie supérieure de quelques-uns de n
antéro-postérieur. Aplati trans- versalement à la partie moyenne l'
os
l'est en sens inverse à ce niveau, et il l'est
aire et lui est proportionné ; par suite de cette transformation, l'
os
offre une plusgrande surface relativement à son
ale externe. Cetaplatissement antéro- postérieur de la surface de l'
os
a un autre résultat; c'est de masquer plus ou m
crête fémorale interne surplombe. Ceci dit il est évident que les
os
sains doivent être plus platymères que les mala
uaient pas d'une façon formelle et cela parce que, à ce niveau, les
os
pathologiques présentent une bizarrerie facile
léger agrandissement coïncide avec une atrophie de l'épaisseur de l'
os
, on obtient un indice de platymérie erroné. Cet
ent de la surface osseuse dont la limite externe (bord externe de l'
os
, crête fémorale externe) ne continue pas la dir
crête fémorale externe) ne continue pas la direction primitive de l'
os
; elle s'écarte de l'axe médian. Le versant int
s, 18'Jl) et à ceux de Paul-Boncour qui s'occupent spé- cialement d'
os
anormaux et des rapports des différentes formes d
teintée sur la photographie et qui témoigne de l'inoccupation de l'
os
à ce niveau. Comme confirmation de ce fait, on
crête fémorale externe existe, l'interne est absente. Aussi sur les
os
malades le petit Irochanter n'est nullement mas
ue du côté sain (Planches XII et XIII). A la partie postérieure des
os
malades, la saillie de la crête fémorale extern
épression simulant la fossette hypotrochantérienne. On le voit, l'
os
s'adapte parfaitement Ù l'activité d'un faisceau
avons réussi à expli- quer d'une façon rationnelle les formes de l'
os
malade. Pourquoi d'aillcurs, dans ce cas partic
ut préciser le rôle du muscle, car le mot atrophie est impropre : l'
os
du membre hémiplégie est atteint d'un arrêt de
e la diaphyse. Ces inclinaisons ne sont pas identiques sur les deux
os
d'un même sujet. La seconde particularité est e
es inclinaisons sur l'augmentation et la diminution de longueur des
os
. Nous traitons cette question en détail dans le c
la diaphyse, a une valeur différente suivant qu'il correspond il l'
os
du membre sain ou il l'os du membre paralysé. C
différente suivant qu'il correspond il l'os du membre sain ou il l'
os
du membre paralysé. Cette inégalité passerait f
facilement inaperçue si l'on se contentait de juxtaposer les deux
os
; elle devient, au contraire, très appréciable e
ne direction défectueuse, car, instinc- tivement on' oriente chaque
os
de façon -'IL ce que les angles cervico-diaphys
conditions dési- rables. Les individus qui étaient porteurs de nos
os
on été hospitalisés dans le service de M. Bourn
t en juger. Il nous est donc possible de mettre en regard de chaque
os
, l'histoire du malade et le degré d'impotence d
ne de troubles tro- phiques atteignant tous les éléments du membre,
os
y com- pris : et il en est ainsi parce que les
s, bien représentée par la force musculaire. LE fémur. 63 Or, les
os
donnent des preuves de cette diminution de l'ac
noncé. Sur la planche nous avons noirci les parties inoccupées de l'
os
et l'on voit que les muscles étaient, en effet,
l'on voit que les muscles étaient, en effet, moins développés sur l'
os
malade. L'observation prise à l'hôpital nous ap
tre expliqués. Nous émettons un doute au sujet de ces derniers; ces
os
qui n'ont qu'une longueur de 17 à 19 centimètre
piphyses n'étaient pas encore sondées : leurs cols aussi bien sur l'
os
sain que sur l'os malade n'ont subi que peu l'i
pas encore sondées : leurs cols aussi bien sur l'os sain que sur l'
os
malade n'ont subi que peu l'influence de la pre
fait remarquer que la direction verticale que nous don- nions aux
os
n'était pas la véritable, c'est-à-dire qu'elle
éritable, c'est-à-dire qu'elle n'était pas analogue a cette que ces
os
ont sur le vivant. Pour obtenir la position rée
obtenir la position réelle, il faut appuyer les deux condyles de l'
os
sur un plan vertical et lui laisser pren- dre s
sur les l ? watrs VII-VIII-\-1111. Mais on s'aperçoit que les deux
os
ne se placent pas symétriquement par rapport il
encore appelé géométrique est celui qui, suivant la direction d'un
os
long, le partage en deux parties égales. Pour l
que l'abou- tissant et l'exagération de l'inclinaison normale de l'
os
et qu'entre elle et la direction normale il y a
- larités morphologiques liées il cette inclinaison constante des
os
correspondant au côté hémiplégie. L'ignorance de
n pardonnahle d'ailleurs si on n'a pas fait un examen rigourcux des
os
et bien compréhensible si on n'a pas comme nous
ires. La paralysie est vue cause impor- tante, mais pour modifier l'
os
il doit en exister un autre 70 SQUELETTE DES hé
ment qu'un faux génu-valgum, (;'est-il-dire une déviation et où l'
os
n'ait subi aucune modification de la direction
ires il leurs parties internes. Pour que la déviation soit fixée, l'
os
doit présenter momentanément un certain degré d
a- tion, après quoi cette mollesse disparait et la direction de l'
os
redevenu rigide est irrémédiablement modifiée. C'
sparait et l'ossification fixe la disposition transitoire. Mais l'
os
présente durant la croissance un certain degré
ieurement, et nous le répétons ici pour l'extrémité inférieure de l'
os
. Tant que la croissance existe, le cartilage de
nous venons de parler, et lorsque la croissance s'est ter- minée, l'
os
s'est solidifié clans la direction acquise. Une
du corps : c'est la persis- tance du cartilage de conjugaison sur l'
os
malade. Il y a la une prolongation anormale de
ennent s'ajouter à ces explications. On peut retrouver sur certains
os
mala- des les traces de celte déviation supra-c
ches. On voit aussi la différence que présente la juxtaposition des
os
dans la situation verticale. Si on leur imprime
les deux condyles appuyés sur un plan horizontal, la diaphyse de l'
os
malade prend alors une direction plus oblique.
anche 72 Squelette DES hémiplégiques. VIII représentant les mômes
os
que la Planche IV dans celte position naturelle
pliqués sans qu'on ait besoin d'un ramollissement pathologique de l'
os
: et surtout de cette supposition souvent fanta
e supposition souvent fantaisiste d'un rachitisme local ! Sur nos
os
il n'existe pas d'hypertrophie du condyle inter
trement, et que l'erreur a été commise sous nos yeux. En tenant les
os
verticalement ainsi qu'il est représenté sur le
dyle interne soit plus saillant que l'externe, mais si l'on met les
os
dans leur position naturelle, ceci n'existe plu
tion en même temps du degré d'inclinaison, on peut supposer que les
os
furent examinés dans une situation défectueuse
règle générale en tant que fémur normal. La juxtaposition des deux
os
n'in- dique pas qu'il y ait eu sur le fémur sai
résenté sur la Planche X) : l'indice pilastrique exprime bien que l'
os
sain était d'une vigueur supérieure, mais en co
e corrélation entre le système mus- culaire et le système osseux. L'
os
sain, ayant supporté un poids supérieur, et aya
partie de l'impotence musculaire favorisée par la flexibilité de l'
os
. Là encore il est inutile d'invoquer un trouble
urations ont une valeur très discutable, puisque l'orientation de l'
os
a un effet consi- dérable sur sa longueur, ce q
rcissement, il faut prendre sur le vivant la môme mesure que sur un
os
isolé. Dans ce but nous allons étudier : LE f
ons d'inclinaison sont susceptibles d'apporter dans la longueur des
os
; 2° La méthode il employer pour mesurer les os
ans la longueur des os ; 2° La méthode il employer pour mesurer les
os
directe- ment ; 3° Le procédé il suivre pour
eur d'un fémur, il est bon de spécifier ce qu'on entend par là. Cet
os
est, en effet, un de ceux sur lesquels on peut
totale c'est-à-dire celle qui comprend la plus grande longueur de l'
os
en projection. Dans ce cas, le bord interne de
e longueur de l'os en projection. Dans ce cas, le bord interne de l'
os
est dirigé en bas, le condyle interne et la têt
tête fémorale touchent seuls le plan horizontal sur lequel repose l'
os
. b) La longueur maximum Irochanlérienne. Dans c
s. b) La longueur maximum Irochanlérienne. Dans cette situation l'
os
reste placé comme précédemment, mais on mesure
mmet de la tète fémorale. d) La longueur troeltatzlérieizize de l'
os
en position. Le fémur reste placé comme dans le
s accepter est celle qui, permettant une comparaison entre les deux
os
d'un môme individu, nous donne exactement la me
a mesure d'un fémur considéré sur le vivant. On doit donc mesurer l'
os
en position. Cette mesure est la seule qui repr
esurer l'os en position. Cette mesure est la seule qui représente l'
os
avec l'obliquité naturelle de son axe. Dans not
e après l'autre les deux Planches IV et VIII, on y voit t les mêmes
os
étudiés d'une part dans leur longueur totale en
aison est défectueuse puisqu'elle tend à augmenter la longueur de l'
os
qui est précisément le plus court par suite des
u'avec cette situation ni naturelle, ni physiologique on augmente l'
os
malade d'une longueur absolument faussa. S'il
s malade d'une longueur absolument faussa. S'il faut examiner les
os
dans une situation oblique, il reste à savoir q
e l'ouverture cle l'angle a pour effet d'augmenter la longueur de l'
os
malade. Le seul moyen d'éviter cette erreur est
w, on élimine donc une des causes d'errcur, mais l'inclinaison de l'
os
n'est pas modifiée et dans plusieurs cas le fém
t les résultats sont mauvais. 3° En prenant la longueur totale de l'
os
en position on évite l'erreur causée par la sit
influencent les longueurs. 4'Avec la longueur trochantérienne (l'
os
étant toujours en position) la supériorité du f
aboutir supérieurement la longueur il un point quelcon- que de l'
os
iliaque où à l'ischion, toutes ces longueurs en
s englobent des parties osseuses nullement équivalentes comme les
os
iliaques, ou n'éliminent pas les influences du
l'humérus, du radius et du cubitus. Nous devrions répéter pour les
os
du bras et de l'avant- bras tout ce que nous ve
forme correspondante il un moment donné de l'évolution normale des
os
au cours de la croissance. Pour simplifier la d
nous nous bornons : 1° à passer en revue les trans- formations des
os
longs du membre supérieur pendant la durée de l
de nous à la Société d'Anthropologie (Paul-l3oucour), llumérevs et
os
de l'avant-bras, in Bulletins de la Société d'A
page 38 ? . 80 SQUELETTE DES hémiplégiques. 2° à montrer qu'un
os
pathologique ne diffère d'un os sain que par un
S hémiplégiques. 2° à montrer qu'un os pathologique ne diffère d'un
os
sain que par un état moins avancé de l'évolutio
e a e (ptère sus épicondylienne) ; - Fig. 8 et 9. Tiers moyen ; - L'
os
est aplati trllusversa- lement et triangulaire;
n voit les irrégularités du V deltoïdien d. La Fig. 8 représente un
os
de nouveau-né. légèrement plus saillant que l'i
nt plus saillant que l'interne. Ajoutons que d'une façon générale l'
os
est rectiligne et que sa torsion est mi- nime (
du faisceau antérieur du deltoide : cette variation existe sur les
os
particulièrement vigoureux. D'autre part, étant
rugueux, il tend à s'avancer vers la partie interne et médiane de l'
os
. De cette translation vers la partie médiane de
médiane de l'os. De cette translation vers la partie médiane de l'
os
il résulte : ' 1° Que la lèvre externe devient
résulte : ' 1° Que la lèvre externe devient le bord antérieur de l'
os
, tout en continuant it limiter en dehors la cou
séquence de dévier la coulisse bicipitalc : cette gouttière sur un
os
de nouveau-né descend verticalement continuant
érosités de la tète. Elleestreportéevers la par- tie interne sur un
os
d'adulte ; 3° Que l'os d'elliptique devient tri
estreportéevers la par- tie interne sur un os d'adulte ; 3° Que l'
os
d'elliptique devient triangulaire et qu'il se f
ent. Au tiers moyen on retrouve encore l'action muscu- laire. L'
os
qui tend à s'arrondir chez un nouveau-né (fit. 8)
ur la face externe et produit une série de saillies qui déforment l'
os
à ce niveau. Leur dévclop- pement est en rappor
eu, chez un adulte, il y a un élargissement de la face interne de l'
os
et un aplatissement transversal de la diaphyse
versal de la diaphyse : cette va- riation très marquée sur certains
os
a été étudiée il plu- sieurs reprise et a reçu
sous la dépendance du muscle brachial antérieur, qui s'insère sur l'
os
par des fibres musculaires et tend à en modifie
ers- inférieur, le muscle est encore l'agent des transformations. L'
os
jeune est aplati d'avant en arrière : il présen
nte une arête antérieure arrondie que sépare les deux versants de l'
os
don tics dimensions et les formes sont semblabl
s vu le muscle produire de la platvoruic h la partie moyenne'de l'
os
, à la hautcur du V deltoïdien; mais les rugosités
éJ1Ú : ondy- liennc. Telles sont en résumé les transformations de l'
os
et leurs causes. Le muscle en est l'agent exclu
la perforation. De môme la torsion humorale est supérieure sur un
os
adulte. Il suffit d'examiner les o.s des squele
ttes hémiplégiques du musée de Bicêtre, pour être convaincu que les
os
malades présentai des modifications uniquement
out cela est lié à l'activité musculaire de certains muscles et nos
os
malades présentent continuellement ces modalité
2 ans. Ictère à 13 ans. Congestion pulmonaire ; mort. AUTOPSIE. -
Os
du crâne peu durs, moyennement épais. Plaques t
oûte palatine abaissée ; la suture des apophyses palatines des deux
os
Fig. 10. 158 Description de la malade. maxi
e ; aplatissement du frontal gauche, saillie de l'occipital droit ;
os
durs, assez épais ; pla- ques transparentes; pa
e synostose. Les sutures sont très finement dentelées. Il existe un
os
wormien à la partie posté- rieure de la suture
wormien à la partie posté- rieure de la suture interpariétale et un
os
épactal, irrégulier, à la jonction de cette sut
ec les sutures pariéto-occipitales. Les sutures et les contours des
os
wormiens sont très nets à la face interne. - Li
°) Lne plus grande ouverture de l'angle cervico-diaphy- sairc sur l'
os
malade ; ' 2°) L ne surface noircie non envahie
oircie non envahie par le système muscu- lairc 1(;galclllCnt SUI' l'
os
malade) ; 3°) Une atrophie de l'os malade très
cu- lairc 1(;galclllCnt SUI' l'os malade) ; 3°) Une atrophie de l'
os
malade très peu marquée. La dif- férence entre
che IV. Fémurs du malade précédent. On voit 1°) L'atrophie de l'
os
malade ; ? °) L'ouverture plus grande de l'angle
; ? °) L'ouverture plus grande de l'angle cpnico-diaphysail'e sur l'
os
malade ; 3°) L'écartement des deux lèvres (le l
s malade ; 3°) L'écartement des deux lèvres (le la ligne Apre sur l'
os
malade ; leur rapprochement sur l'os sain ; 4
lèvres (le la ligne Apre sur l'os malade ; leur rapprochement sur l'
os
sain ; 4°) La saillie apparente du condyle inte
nt sur l'os sain ; 4°) La saillie apparente du condyle interne de l'
os
patholo- tique ; 5°) La différence des courbu
et est la cause de la saillie condylienne interne. f 10TA. - Ces
os
ont une direction fantaisiste. Io : avcu.t.n, l
s. Planche Y, A remarquer'sur celle planche : 1° Il reste sur l'
os
malade un espace (cerclé de noir) qui était ino
noir) qui était inoccupé ; 2" Le pilastre est plus accentué sur l'
os
sain ; . 3° La face est plus large sur l'os sai
est plus accentué sur l'os sain ; . 3° La face est plus large sur l'
os
sain ; 40 Sur l'os sain, le pilastre présente u
l'os sain ; . 3° La face est plus large sur l'os sain ; 40 Sur l'
os
sain, le pilastre présente une convexité postérie
'1.10110 : -1 N 1) 1,,S PLANCHES. Planche l. On voit : 1° Que l'
os
malade est atrophié ; 2° Que son pilastre est m
antero-posterieure est à peine marquée ; le contraire existe sur l'
os
sain ; 4" Que la bifurcation de la ligne Apre e
4" Que la bifurcation de la ligne Apre est située pins haut sur l'
os
malade ; ? Que la convexité postérieure du pilast
e ; ? Que la convexité postérieure du pilastre est plus nette sur l'
os
sain. Bourneville, Bicêtre, 1901. PL. \'1. 21
ndyle interne, au lieu de faire saillie connue sur la Plan- che IV (
os
malade), se place au même niveau que l'externe ;
e que l'aplatissement yLilyuerilnc, qui le mas- que en partie sur l'
os
sain, n'existe pas. Bourneville, Bicêtre, 1901.
]Il.. nI. - 216 Explication DES planches. Planche \ 111. ; Les
os
sont en poiilion. On voil : 1° La variation d
les du col ; 2° La différence des courbures : : ;)0 L'atrophie de l'
os
malade ; 4° Par comparaison avec la I'lvnche h
Par comparaison avec la I'lvnche h : I\ , qui représente les mêmes
os
, non en position, la disparition de la saillie ap
u côté malade. Bourneville, l31céi'c, 1901. ? Pl,. VIII. Us sain.
Os
malade. 130L;11\E'ILLE, Bicetl'l', 1901. 1; 2
1; 218 Explication DES planches. ' PLANCHE']\ : , j i 1° Ces
os
n'étant pas en position, le condyle interne (côté
s saillant ; 2° Les éléments de la ligne Apre restent écartés sur l'
os
ma- lade et la bifurcation s'y l'ail par conséq
a, comme sur la planche IV, une courbure sus-con- . dyliennc sur l'
os
malade. 130URNEVILLE Bicêtre, 1901. . PL. Il.
1901. . PL. Il. 212() EXPLICATION DES PLANCHES. Planche X. Ces
os
ayant appartenu à un sujet q ni, pa l' su ile des
é attache un système musculaire peu actif, est peu différencié de l'
os
malade. Bourneville, Bicêtre, 1901. l'i. X. 2
t en une masse com- mune, la masse sacro-lombaire, qui s'étend de l'
os
iliaque et du sacrum à la 126 côte, au niveau d
on, notre maître, M. le Dr Pierre Marie, fut frappé de voir que les
os
avaient dans cer- tains cas un volume normal, e
ca- ractères, et en premier lieu par l'absence d'épaississement des
os
: ce sont ces malades que M. Pierre Marie depui
urbure des côtes suivant leurs faces est fréquemment diminuée ; ces
os
sont d'ailleurs très obliques en bas et en avant.
loin à propos du diagnostic, l'absence de douleur à la pression des
os
, d'altérations des extrémités, de contractures mu
ormations de compensation vis-à-vis de la cypho- se) il n'y a pas d'
os
anormal : tibias, clavicules, omoplates, humérus,
de viciations ni dans leurs courbures, ni dans leur épaisseur. Les
os
que nous avons pu examiner à l'état sec sont malh
e. Nous avons pu étudier : fémurs et tibias, clavicules, omoplates,
os
des mem- bres supérieurs. Nous espérons pouvoir
les plus accusées nous ont donné : 76 MOCQUOT ET MOUTIER que les
os
fémoraux présentent leur maximum d'altération, l'
drons plus loin sur les altérations de structure que présentent ces
os
. Pôur en finir avec le fémur, nous n'avons plus
n'avons plus qu'un point à noter, intéres- sant il est vrai. Les
os
à la déformation la plus accusée présentent tous
le. L'examen radioscopique a révélé une diminution de l'opacité des
os
un peu supérieure à ce qu'elle est normalement
ique est évidente : c'est tout d'abord l'augmentation de volume des
os
qui frappe l'observateur; les tibias sont consi
Le ramollissement puis l'hypertrophie ont d'ailleurs frappé d'autres
os
: fé- (1) THiBOE'nGE, De l'ostéite déformante d
ude générale est celle d'un vrai malade de Paget; l'exploration des
os
évite la confusion : l'illusion est due à la vue,
ec celles qui nous occupent ; c'est aux épiphyses et spécialement aux
os
des extrémités que prédominent les lésions. Il
oserons d'abord la structure du squelette de nos malades. Parmi les
os
que nous avons examinés, les uns ne présentent pa
fragiles et friables. La fragilité est parfois telle qu'en enlevant l'
os
, il est arrivé de le fracturer. La couche com
sé des canaux de Havers, la di- minution de la couche compacte de l'
os
, et la raréfaction du tissu spongieux. Il sembl
s, et la raréfaction du tissu spongieux. Il semble y avoir dans ces
os
plus de graisse qu'à l'état normal. Enfin, et cel
graisse qu'à l'état normal. Enfin, et cela se voit surtout sur les
os
qui ne présentent pas une raréfaction poussée tro
t donner lieu à tous les accidents qui relèvent de la fragilité des
os
» (2). En ce qui concerne l'ostéomalacie sénile
leurs osseuses multiples, surtout provoquées par la pression sur les
os
et ren- dant la marche difficile ou impossible,
ive. Bull. Acad. de méd., 1897, pp. 81-85. (2) PONCET, Atrophie des
os
. Traité de chirurgie de Duplay-Reclus, 2e édition
oduire du fait seu de l'os- téoporose. Cette raréfaction sénile des
os
étudiée par Durand Fardel cause des gibbosités
ch. f. path. Anat., Berlin, 1880, pp. 436-448 ; Het denreicii. Art.
Os
, in Dict. Deehambre, 2. série, t. XVIII, Paris, 1
uel d'his- tologie pathologique. Art. de Maurice CAZIN, Lésions des
os
, pp. 780-797. Paris, 3e édit., 1901. (2) Dura
x, élargi transversalement, surtout à sa par- tie supérieure où les
os
du nez descendent très obliquement en dehors. L
ent décrites (fig.6).Elles diffè- rent à la voûte et à la base. Les
os
de la voûte sont irrégulièrement et considé- ra
que les frontales ; leur épaisseur n'est que de 16 millimètres. Les
os
de la base du crâne, loin d'être épaissis, sont a
n dehors de la ligne médiane. En noir : les sinus. En hachure : les
os
enlevés à l'autopsie. UN cas D'ACROMÉGALIE 18
e est terminée ; on aperçoit nettement la section des chairs et des
os
; le membre amputé gît sur le sol à côté de la sc
du côté des organes thoraciques et abdominaux. Centres nerveux. Les
os
du crâne et de la colonne vertébrale ne pré- se
ulation de l'épaule (lésion de la moelle cervicale) sans lésion des
os
, bien circonscrits. Ces oedèmes seraient la var
pariétal gauche porte à sa partie antérieure une saillie marquée. Les
os
de la face sont normaux. Les clavicules sont
on ne peut comparer le tissu osseux dans l'organisme au fragment d'
os
que l'on fait décalcifier. Mais l'expérimentation
'image des fragments claviculaires très peu visible par rapport aux
os
avoisinant,pro- duit l'impression de raréfactio
horax (décubilus dorsal). On y remarque la gracilité des différents
os
, le mouvement de sonnette des omoplates surtout
sutures et des fontanelles qui réunissent les bords des différents
os
du crâne à la naissance. Déjà, normalement, à ce
nard et Varnier. Scheuthauer enfin signale la présence de nombreux
os
wormiens au niveau des sutures sagittales et la
ils concordent avec les recherches anatomiques de Scheuthauer. Les
os
du nez sont réduits de moitié ou des 2/3, le re
rophie réelle de la face d'une part, à l'écartement excentrique des
os
de la voûte d'autre part. 3° Enfin, et c'est
laviculés de la nature et montre que chez les animaux domestiques l'
os
est à l'état rudimentaire [Chauveau (1)] ainsi qu
ième mois de la vie intra-utérine et agissant simultanément sur les
os
de couverture ; mais comme l'objecte Couvelaire,
acial à part la base du crâne, ne se développe pas comme les autres
os
aux dé- pens de points cartilagineux, mais d'un
r beau- coup d'embryologistes pensent que la clavicule est aussi un
os
dermique. C'est là un fait certain chez les mam
, d'origine dermique comme le crâne, peut être reliée à lui par les
os
susclaviculaires (Estur- geons) ou même se déta
me chez l'homme. Gegenbaur, d'autre part, pense que la clavi- cule,
os
mixte, présente autour d'un noyau primitif dermiq
ique deux noyaux secondaires cartilagineux et Kôlliker que c'est un
os
cartilagineux. Les examens embryologiques de Co
priétés ostéogéni- ques du cartilage ostéogène, la clavicule et les
os
du crâne sont respectés. C'est en se basant sur
ôte cervicale (Shorstein, 4 cas de Carpenter), de l'incurvation des
os
longs (Shermann), du genu valgum (3 cas de P. M
ervation de Gibertt est très inté- ressante à ce point de vue ; les
os
des membres étaient mous et sans consis- tance
iculés, ce qui prouve le peu d'importance du rôle de soutien de cet
os
. On peut remarquer par contre combien l'aspect de
ion (voirfig.); leur image très peu visible par rapport à celle des
os
avoisinants est celle d'un seg- ment cartilagin
'est l'absence de la voûte crânienne exclusi- vement localisée 'aux
os
de membrane; c'est la déviation latérale des lame
hèse d'un arrêt de développement et avance, en particulier, que les
os
de la voûte crânienne des pseudencépha- liens s
causes qui ont détruit l'organe; dans ces circonstances aussi, les
os
de la voûte du crâne sont écartés et déjetés au
ques osseuses déjà formées, et il en résulte, non seulement que les
os
se voient privés de la base nécessaire pour leur
sseuse déjà formée périt, faute de nourriture. C'est pour- quoi les
os
de la voûte du crâne sont absorbés, mais ceux de
ions plus ou moins minutieuses, des considérations savantes sur les
os
persistants du crâne, des comparaisons d'anatomie
les laissent une étendue de peau saine correspondant à peu près à l'
os
frontal. Il arrive alors, dans ce dernier cas,
gère sans doute, mais bien marquée cependant, malgré l'absence de l'
os
frontal. Il n'y a là que des variations absolum
lus restreinte, elle recou- vre à peine la région correspondant à l'
os
frontal ; la tumeur qui lui fait suite est un s
céphalie sans hémicrânie, dans lesquels tout au moins l'absence des
os
de la voûte est extrêmement limitée. Cette non-re
ne étendue variable de sa partie antérieure, que par l'absence de l'
os
épactal. Chez les individus dits ? 'A/tp6KcëAaM
L'A ? ErqCÉPHALIE 359 avec les masses latérales dont chacune est un
os
parfaitement distinct. Ces masses, au lieu de s
e (2). Ollivier d'Angers relève un cas où existait une portion de l'
os
frontal (3).J'ai pu également constater des vesti
ont nullement, comme l'avance Is. G< : ofiroy-Saint-Hilaire, des
os
simplement réduits dans toutes leurs dimen- sio
crânienne existe à l'état d'indication, on passe à ceux où tous les
os
de membrane ont persisté. Ils sont alors ou bien
ement consacrée ù la représentation du crâne dans son ensemble et des
os
pris sépa- rément. FiG. 3. Crâne sans hémicrâ
m .1- plète. Etienne Geoffroy Saint-Hilaire avance, en outre, que l'
os
épactal exister également et il croit le reconn
rsal est très réduit. Nous remarquerons tout d'abord que les divers
os
membraneux que nous venons de décrire ont total
ire.Nous devons, en second lieu, insister sur ce point que ces divers
os
, dépourvus de courbures, sont aplatis sur la ba
n espace entre elle et eux. Enfin, nous observons que si ces divers
os
sont net- tement rejetés en dehors, ils restent
net- tement rejetés en dehors, ils restent néanmoins superposés aux
os
de la base. Seul l'occipital est partiellement
un renversement très marqué, pouvant aller jusqu'à ce point que les
os
de la voûte forment avec les os de la base une
ouvant aller jusqu'à ce point que les os de la voûte forment avec les
os
de la base une sorte de plancher. Les affirmati
cas de Thlipsencéphales et Dérencéphales. A ces parties s'ajoute l'
os
épactal qui s'articule directement avec les parié
mpossible de distinguer les limites entre l'écaille occipitale et l'
os
épactal, limites d'ailleurs peut-être arbitrairem
iétal, le bord postérieur est libre. Les bords postérieurs des deux
os
symétriques vont ainsi en divergeant à par- tir
ard et que j'ai observé de mon côté. Je pense, avec Gérard, que ces
os
se sont déve- loppés sur place. Nous aurons il
ente ou constante qui mérite d'être relevée. On y retrouve tous les
os
habituels, normalement disposés les uns par rappo
trouvent non seulement dans le tissu nerveux, mais encore dans les
os
, les muscles et d'autres tissus ; il reconnaît qu
es douleurs étaient localisées dans les membres et surtout dans les
os
et le long de la colonne vertébrale. La rapidit
t tout particulier en raison de l'apparente réduction du volume des
os
. En effet, en les palpant, on les sent comme am
idente en ce qui concerne les humérus, les radius, les cubitus, les
os
de la main. Cependant les excellentes radiographi
en même temps que la maladie, aurait amené un raccourcissement des
os
d'environ 2 à 3 cen- timètres. Pour avoir une
ion exacte sur la fausse sensation qu'on peut avoir, en palpant ses
os
qui semblent réduits de volume chez ce malade,
e mus- culaire qui entoure l'avant-bras, et qu'ensuite on palpe les
os
par des- sus la peau, on a certainement l'impre
a lui-même attiré l'attention, dans son article (2), sur l'état des
os
dans les membres chez les myopathiques, et que MM
e voit plus aucun relief musculaire, la peau couvre directement les
os
cubitus et radius. Les bords de l'avant-bras ne
e cylindres très fins, constitués presque partout seule- ment par l'
os
et la peau qui l'entoure. Le muscle deltoïde es
ombé, et dans la région occipitale droite existe un aplatissement des
os
, assez accentué. Le crâne proprement dit para
aussi ayons-nous pu conclure qu'en réalité l'articulation elle-même,
os
et synqvialq, était en réalité indolente. Cet
ut est souple. L'enfant se plaint de douleurs spontanées « dans les
os
» et en effet au pre- mier abord la pression su
seulement au-dessus du plan du lit. La pression forte au niveau des
os
, fémur et tibia, provoque, au dire de la malade
t;M<60pO ! 'OM congénitale, la fragilité constitution- nelle des
os
, la dysostose cléido-crdnienne de P. Marie, le my
nation des cellules cartilagineuses et par la synostose précoce des
os
de la base du crâne. Winckler (1871) propose le
ues étaient : la micromélie, les lésions du crâne, l'éburnation des
os
longs, l'ab- sence de déformation du thorax, l'
e la subs- tance fondamentale du cartilage, d'où la flexibilité des
os
; b) le défaut de sériation des chondroplastes
té du fonctionnement du périoste, d'où le défaut d'allongement de l'
os
, l'augmentation de son épaisseur et l'oblitératio
ondrodystrophie à l'ostéogénèse imparfaite relevant de lésions de l'
os
compact. L'un de nous a proposé de diviser l'en
e entraînant un défaut d'ossificatiou et le défaut d'allongement de l'
os
épiphysaire ; 2° La dystrophie périoslale, ca
ssification périostale défec- tueuse avec résorption excessive de l'
os
diaphysaire mais sans altérations chon- drales.
ie intra-utérine, et intéressant particulièrement les épiphyses des
os
longs des membres, le bassin et la base du crâne.
par une déformation du bassin, et par une synostose prématurée des
os
cartilagineux de la base du crâne, avec enfonce-
le nouveau-né. Peut-être cela tient-il au mode d'accroissement des
os
qui, ainsi que l'ont montré Ollier et Humphrey,
rticales comme pourrait le faire un vêtement beaucoup trop large. Les
os
des membres de ce foetus sont petits, épais, an
les sutures sont régulières ou un peu exagérées. La consistance des
os
de la voûte est normale, ce qui distingue l'ach
cation. Les fontanelles se ferment tard, mais les noyaux osseux des
os
courts et des épiphyses apparaissent et évoluen
ie permet, non seulement de vérifier la forme,et les dimensions des
os
que nous décrirons plus loin en étudiant le squ
z Pl. LII la fig. 1 avec la fig. 2 concernant un enfant normal] les
os
longs ne paraissent que par leurs diaphyses qui s
asant en cupule à leurs extrémités. Les diaphyses sont séparées des
os
voisins par un espace clair trop large indiquan
oute- fois, ces altérations ne paraissent pas constantes. Enfin les
os
, d'une façon gé- nérale, sont plus transparents
CHE LII. 1. Foetus achondroplasique. Raccourcissement extrême des
os
longs des membres qui, cependant, ont une épais-
qui, cependant, ont une épais- seur à peine inférieure à celle des
os
correspondants de l'enfant normal. Les épi- phy
physes très volumineuses qui constituent la plus grande partie de l'
os
, ne sont indi- quées que par l'espace vide qui
e (Observ. de Véron, Soc. obstétr. de France, 1905). Courbure des
os
des jambes. Fractures d'un humérus, du radius du
derniers a été prélevée pour l'examen histologique), Gracilité des
os
de l'avant-bras. Aux membres inférieurs on distin
diayhyse et de l'épiphyse. Il y a, d'une façon géné- rale,dans les
os
longs, retard du développement cartilagineux. Che
vent con- fondues jusqu'ici. 1° Chez le foetus (voy. fig. 4), les
os
longs des membres sont courts, ramas- sés, angu
l'humérus conservent une certaine prédominance en longueur sur les
os
de la jambe et de l'avant-bras. Les os ainsi ra
ominance en longueur sur les os de la jambe et de l'avant-bras. Les
os
ainsi raccourcis atteignent parfois à peine la mo
ire ; mais si elle s'est effectuée avant la fin de la croissance, l'
os
continuera à s'allonger au-dessus d'elle suivan
et inférieures du radius et du cubitus. Il en résulte pour ces deux
os
une forme en if) ou mieux en N très allongé qui
cache sous un crâne volumineux. svm 33 498 POHAK ET DURANTE Les
os
du nez, aplatis à leur racine, en retrait, sont l
illaires supérieurs sont rapprochés de la colonne vertébrale. Les
os
de la base du crâne présentent un arrêt de dévelo
écaille épaissie, et surtout soudure sphéno-basilaire. Par suite, l'
os
basilaire fortement incliné entraîne le rocher
le fait remarquer Regnault, n'est pas due à la simple synostose des
os
de la base, car elle existe même lorsque la sutur
; elle est plu- tôt la conséquence de l'arrêt de développement des
os
condyliens. Dans le cas de Klinger existait éga
ndyliens. Dans le cas de Klinger existait également une soudure des
os
de la région antérieure de la base. Ces soudu
actères du squelette que chez l'enfant (voy. p ! . II, fig. 6). Les
os
longs des membres sont courts et épaissis. Les
s saillies, ces protubérances sont à large base d'implantation. Ces
os
courts, mais aux reliefs accentués, donnent l'im-
Ces os courts, mais aux reliefs accentués, donnent l'im- pression d'
os
athlétiques regardés dans un miroir cylindrique q
s, modelage dont on connaît l'importance dans le développement de l'
os
normal. Les coudures, lorsqu'elles existent, si
s ancienne ; elles mesureraient, par leur siège, la quantité dont l'
os
s'est allongé depuis que l'épiphyse a subi son
bres les uns sur les autres. 3° L'inégalité du raccourcissement des
os
d'un même segment. Le péroné est en général moi
r esta 30 millimètres de la colonne ver- tébrale au lien de 40. Les
os
dn nez, en retrait du front, sont larges, plats e
Le crâne volumineux, aux bosses saillantes, est brachycéphale. - L'
os
basiltaire, peu développé, est presque vertical,
tte achondroplasique de la &g,6) les incurvations arrondies des
os
des membres inférieurs, les déformations du bassi
mètres pelviens : antéro-post., 5 cent. ; transversal, 11 cent. Les
os
ne présentent pas de courbures et sont rela- ti
e asymétrie du bassin. Il est facile d'interpréter ces lésions. Les
os
du bassin participent à la micromélie pour la m
ui, par apposition successive de lamelles osseuses, constitueront l'
os
définitif. 2° OM ? ca<K) ? ët' : os<<e
lames osseuses concentriques constituant les systèmes de Ilavers de l'
os
compact (voy. Pl. LVI, fig. 16). LES MICROMÉL
GENITALES 503 Dans les diverses formes d'achondroplasie ce sont les
os
longs qui sont alté- rés au maximum. On retrouv
ésions du même ordre à l'examen histo- logique de la clavicule, des
os
de la base da crâne, ainsi que des petits os du
que de la clavicule, des os de la base da crâne, ainsi que des petits
os
du carpe, du tarse et même des phalanges. Mais
ongitudinales doivent être faites parallèlement à la direction de l'
os
et passer dans l'axe de l'épiphyse et de la diaph
at- ténuant progressivement jusqu'au centre de l'épiphyse. Dans les
os
les moins malades, elle est constituée par une
s de larges travées à centre cartilagineux persistant jusque dans l'
os
définitif comme on le constate dans le rachitisme
u nombreux, n'augmentent que faiblement de volume et constituent un
os
très spongieux à larges mailles, à réseau délicat
des épiphyses, si, à la périphérie, le périoste ne construisait un
os
plus compact qui remonte jusqu'à l'encoche épiphy
se portant de la surface vers la profondeur, donnent naissance à l'
os
compact par apposition de substance os- seuse e
se du périoste précède normalement son ossifica- tion dans certains
os
. Elle est anormale dans les diaphyses des os long
ca- tion dans certains os. Elle est anormale dans les diaphyses des
os
longs, mais ne constitue pas, cependant, un pro
reste, très inégale- ment réparties sur les différents points de l'
os
. Il ne nous paraît pas impos- sible qu'elles so
se, de l'autre par des lamelles déchiquetées. Franqué, enfin, sur des
os
présentant des coudures, a noté que, du côté co
e d'adaptation fonctionnelle, qui règle le modelage méca- nique des
os
et d'après lequel, chaque fois qu'il y a pression
ostéo- blastes se multiplient, la résorption tend à l'emporter et l'
os
compact s'amincit ou cède la place à un tissu p
ysaires modifiant les conditions d'équilibre statique du corps de l'
os
, et que l'on puisse les rappro- cher des faits
plasie périoslale. Absence presque complète de formation osseuse. L'
os
périostal est représenté uni- quement par de mi
inces lames irrégulières et discontinues (0.0.0). Il n'existe pas d'
os
compact. Celui-ci parait avoir été détruit au sur
ement du squelette in- téressant particulièrement les diaphyses des
os
longs, les côtes et la voûte crâ- nienne. Histo
nienne. Histologiquement constituée par une absence de formation de l'
os
pé- riostal compact, elle est cliniquement cara
stal compact, elle est cliniquement caractérisée par la fragilité des
os
, par des fractures multiples et par une voûte c
res résultent peut-être davan- tage d'une résorption excessive de l'
os
néoformé que de l'absence de néofor- mation pér
dant qu'on ne le trouve dans les foetus à terme bien conformés. Les
os
longs des membres étaient évidemment courts, mais
t à 113 ». Duménil décrit aussi un foetus à membres courts dont les
os
très courts, très volumineux, déformés, recourb
ement sur la face postérieure. -Ossification du crâne incom- plète,
os
séparés par des lacunes nombreuses semées de peti
es plaques os- seuses irrégulières ou de traînées de dépôts osseux.
Os
de la face plus petits, plns minces et plus fra
giles que normalement. Pour Duménil, les nodosités des côtes et des
os
longs représentent d'ancien- nes fractures et i
r du corps. Les incurvations, les déviations, les torsions même des
os
longs sont fré- quentes, mais, au lieu d'être j
nt, en effet, soit d'une flexibilité anormale de cette portion de l'
os
où le tissu compact fait plus ou moins complèteme
constant chez l'achondroplase, fait ici défaut. B. Squelette. Les
os
de la base du crâne ne présentent pas de synos-
t le basilaire sont séparés par une charnière cartilagineuse. Les
os
de la voûte crânienne sont incomplètement ossifié
te est en grande partie membraneuse (Porak et Durante, 1894). Les
os
longs des membres sont plus ou moins notablement
les saillantes faisant paraître d'autant plus mince la portion de l'
os
qui les sépare. Quoique d'un aspect massif, ces
la portion de l'os qui les sépare. Quoique d'un aspect massif, ces
os
sont flexibles, peu consistants, ce qui tient à l
nt nous avons pu observer un exemple, la diaphyse est amincie, et l'
os
, formé deux de larges épiphyses réunies par un ét
nnaire plus jeune. Dans le premier cas, l'ébauche embryonnaire de l'
os
s'est développée régu- lièrement, mais son ossi
e. Les métacarpiens et les métatarsiens sont également altérés. Les
os
courts eux-mêmes sont parfois plus fragiles que
e les plus fortement atteintes sont, en général : les diaphyses des
os
longs des membres, la voûte crânienne, les côtes
la voûte crânienne, les côtes et les cla- vicules ; mais les autres
os
le sont parfois à un moindre degré. Par suite d
nt parfois à un moindre degré. Par suite de l'extrême fragilité des
os
ainsi altérés, les fractures peuvent être consi
Elles sont en général nombreuses, et souvent multiples sur le même
os
. On conçoit, dès lurs, que l'on en ait relevé par
d'ostéoclastes. La diaphyse n'est plus alors constituée que par un
os
spongieux largement aréolaire, par- fois même u
mêmes défauts d'ossification se retrouvent dans les côtes et dans les
os
de la voûte du crâne. III FORMES ET COMPLIC
ondroplasie limitée aux membres inférieurs. L'examen histologique des
os
nous montra l'absence complète des lésions cara
es. Regnault, qui a étudié leur squelette, constate la brièveté des
os
des membres qui sont épais et à insertions muscul
ut. Le second, au contraire, possède une base du crâne normale, des
os
palatins normaux, et ne se distingue des autres b
l'élargissement énorme des épiphyses, la synos- tose prématurée des
os
de la base sont des signes de plus de valeur. Il
très retardée, il y a un retard considérable dans l'apparition' des
os
courts et des points osseux épiphysaires, un re
male du cartilage de conjugaison et pas de synostose prématurée des
os
dé la base. Chez le crétin, en effet, contraire
Chez le crétin, en effet, contrairement à ce que croyait Virchow, les
os
de la base se forment plus tard que normalement
irchow, les os de la base se forment plus tard que normalement; les
os
condyliens sont séparés du basilaire et de l'éc
fig. 1 et PI. LUI, fig. 5 avec fig. 6) : 1° soit par courbures des
os
. Ces courbures (et non pas coudures comme dans
éveloppement. Dans ce cas les courbures sont moins fortes, mais les
os
se distinguent de ceux des achondroplases par leu
modéré des épiphyses, fractures fréquentes mais peu nombreuses des
os
des membres qui sont courbés et non pas coudés, n
des membres qui sont courbés et non pas coudés, non-sy- nostose des
os
de la base du crâne, apparition tardive des noyau
Le bassin achondroplasique diffère du bassin rachitique en ce que les
os
qui le constituent ne sont pas ramollis. Ils so
elette pelvien. Il se caractérise surtout par un ramollissement des
os
et subit les déformations aux points où il sup-
au chapelet costal et aux membres rac- courcis par incurvation des
os
grêles et souvent fracturés. Toutefois, on ne s
r la présence, surtout au niveau des phalanges, mais aussi dans les
os
larges, de masses cartilagineuses, très lon- gu
s il s'ossifier, analogues à de petits chondromes, disséminées dans l'
os
et re- connaissables à la radiographie sous for
achondro- plase. Enfin, il existe des courbures dans uue partie des
os
du squelette. Le genu valgum et le coxa vara co
piphysaire entraînant une absence de développement en longueur de l'
os
dont l'ossification périostale s'effectue ré- g
gulièrement. Cette affection touche essentiellement les épiphyses des
os
longs et la hase du crâne, n'intéresse que les
les épiphyses des os longs et la hase du crâne, n'intéresse que les
os
se développant aux dépens du car- tilage. Pas d
s osseuses. Les lésions respectent les épiphyses et intéressent les
os
d'origine membraneuse qui per- dent leur tissu
osseuses. Comme localisation la dysplasie périostale se limite aux
os
à développement périostal ou fibreux, et affect
ticulièrement la voûte crânienne, la cla- vicule, les diaphyses des
os
longs des membres et les côtes. On peut se demand
n. Dans la dysplasie périostale l'absence de tissu compact rend les
os
excessive- ment fragiles, aussi les fractures s
nt à celles du rachitisme, elles sont souvent multiples sur le même
os
et intéressent aussi bien les côtes que les aut
s sur le même os et intéressent aussi bien les côtes que les autres
os
longs. A cet égard, cette dystrophie rentrerait
ures très diverses, et sont caractérisés par une grande fragilité des
os
dont le tissu compact est remplacé par du tissu
it défaut. On connaît également une fragilité constitutionnelle des
os
, qui ne se manifeste que par la facilité désesp
dysplasie périostale respecte le cartilage et intéresse uniquement l'
os
pé- riostal qui devient d'une fragilité extrême
'os pé- riostal qui devient d'une fragilité extrême. Mais, si ces
os
se fracturent aisément, ils se réparent non moins
on moins aisément au moyen d'un cal au niveau duquel se f orme de l'
os
nouveau. C'est un point à l'appui de ce que nou
de la mère entraîne aussi des modifications dans la croissance des
os
du foetus. Mais ces modifications, décrites par D
sur certaines analogies que Joachimsthal avait observées entre les
os
d'achon- droplases adultes et de myxoedémateux.
plus diverses. Il y a donc lieu, à côté des lésions syphilitiques des
os
, de décrire les lésions osseuses du syphilitiqu
ur tuberculeux d'avec le foie et le coeur du tuberculeux. Parmi les
os
de nouveau-nés atteints de syphilis héréditaire l
yphilitique, qu'elle représente une lésion proprement spécifique de l'
os
em- bryonnaire. De même, quoique le rachitisme
l'enfoncement de la racine du nez, par la synostose prématurée des
os
de la base du crâne, par l'intégrité habituelle d
ématurée des os de la base du crâne, par l'intégrité habituelle des
os
de la voûte ainsi que du squelette thoracique, pa
que du squelette thoracique, par l'hypertrophie de l'épi- physe des
os
longs, par la brièveté des diaphyses fermes et co
ement de la ra- cine du nez, par l'absence de synostose précoce des
os
de la base, par l'ossifi- cation imparfaite de
crânienne et souvent du squelette thoracique, par les épiphyses des
os
longs normales ou peu hypertrophiées, par la faib
tion périostale insuffisante. L'absence plus ou moins complète de l'
os
compact remplacé par un tissu largement aréolai
ces affections : a) Ni avec le micromèle rachitique congénital aux
os
incurvés, relevant d'une non ossification des t
tLLIES CONGÉNITALES 533 BEYLAKD. Du rachitisme, de la fragilité des
os
, de l'ostéomalacie (Thèse Paris, 1852). BioDE
ch, 1897. GHtLLii. Influence des lésions nerv. sur le développ. des
os
(Soc. de Biol., 1897). - Sur la pathog. des dif
des os (Soc. de Biol., 1897). - Sur la pathog. des difformités des
os
(conge. intern. de méd. de Moscou, 1897). GILBH
orm. congen. des quatre membres, allongement et amin- cissement des
os
(Soc. méd. (les h6p., 1902). Méry et Labres Un
). Moreau. - Contrib. à l'ét. de la fragilité constitutionnelle des
os
(osteopsathyrosis de Lobstein) (Thèse Paris, 18
e Paris, 1894). Deux cas d'achondroplasie avec examen histol. des
os
et du syst. nerveux (Soc. anat., 1900 ; Congr.
386). L'achondroplasie (Arch. qén. de méd., 1902). Morphol. de l'
os
wormien interpariétal chez le foetus achondropl.
(The med. Times and Gaz. London, 1812). ROI.LET. Mensuration des
os
longs des membres (Thèse Lyon, 1888). Roos. - S
ieurs et inférieurs sont remarquables par la petitesse anormale des
os
longs. La distance de l'acromion à l'épicondyle=4
est très irrégulière, volumineuse, faisant avec la diaphyse du même
os
une courbure avec la concavité interne. La tubéro
certaine adresse les autres malades et le personnel de FiG. 6. Les
os
du bras et de l'avant-bras de ce^même malade comp
Les os du bras et de l'avant-bras de ce^même malade comparésjavec les
os
respectifs d'un adulte normal. Remarquer le rac
os respectifs d'un adulte normal. Remarquer le raccourcissement des
os
dans le pre- mier cas et surtout le fait que l'
le pre- mier cas et surtout le fait que l'humérus devient égal aux
os
de l'avant-bras (micro- rizomélie.) Les déforma
très réduites. Le trait blanc qu'on voit à la partie supérieure des
os
est dû à la ficelle avec laquelle on avait sus-
re des os est dû à la ficelle avec laquelle on avait sus- pendu les
os
pour les photographier. La couleur foncée des os
ait sus- pendu les os pour les photographier. La couleur foncée des
os
achondroplasiques est due à leur dégraissage in
hondroplasiques est due à leur dégraissage incomplet. Fio. 7. Les
os
de la cuisse et de la jambe du même malade compar
e = 15 grammes. Nous avons pris encore les dimensions de certains
os
dont voici les chiffres : Le fémur droit = 326
baire. 6° Epaississement des diaphyses et surtout des épiphyses des
os
longs avec accentuation des crêtes d'insertions
membres inférieurs, déformation qui ne tient pas à une courbure des
os
eux-mêmes mais, ainsi que le di Pierre Marie, « p
n comme dans l'autre il s'agit surtout de défauts de croissance des
os
longs, conséquence, dans le premier, d'une absenc
on a par contre une vitalité exubérante. C'est pour cela qu'ici les
os
long s'allon- gent démesurément tandis que là i
ce anor- male du cartilage de conjugaison qui continue a produire l'
os
tandis que dans l'achondroplasie le cartilage e
ite. Carpe. - Le scaphoïde et le semi-lunaire sont remplacés par un
os
unique semi-lunaire qui résulte vraisemblablement
ue semi-lunaire qui résulte vraisemblablement de la fusion des deux
os
. Le pyramidal et le pisiforme sont au contraire n
ontraire normalement consti- tués et placés. La deuxième rangée des
os
du carpe présente du côté radial deux os qui oc
és. La deuxième rangée des os du carpe présente du côté radial deux
os
qui occupent la place du trapèze et du trapézoïde
, mais qui ne présen- tent pas la constitution morphologique de ces
os
. Le trapèze est remplacé par un os allongé et c
onstitution morphologique de ces os. Le trapèze est remplacé par un
os
allongé et concave vers le bord externe, qui s'ar
vers le bord externe, qui s'articule avec le scaphoïde et le grand
os
. Avec ce dernier il forme un espace triangulaire
cé le trapézoïde qui présente une forme nettement triangulaire; cet
os
est dépourvu de la face articulaire pour le scaph
ire pour le scaphoïde qui est remplacée par un angle aigu. Le grand
os
présente une forme normale, mais il ne présente
ec le scaphoïde et avec le métacar- pien placé à son bord radial. L'
os
crochu est normalement constitué et placé. Tout
placé. Toutefois on peut encore observer que la deuxième rangée des
os
du carpe se trouve luxée dans un plan postérieu
re à la première rangée. Métacarpe. Le métacarpe est composé de six
os
. Le premier métacarpien s'articule à son extrém
premier métacarpien s'articule à son extrémité supérieure avec les
os
qui remplacent le trapèze et le trapézoïde. Il
trois derniers métacarpiens s'articulent normalement avec le grand
os
et avec l'os crochu comme les trois métacarpien
rs métacarpiens s'articulent normalement avec le grand os et avec l'
os
crochu comme les trois métacarpiens de la main
. Le pyramidal et le pisiforme sont normaux. La deuxième rangée des
os
du carpe présente au contraire des altérations mo
ïde, si bien qu'on dirait que ce dernier est remplacé par deux petits
os
. DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES MEMBRES 565 Les o
cé par deux petits os. DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES MEMBRES 565 Les
os
du carpe de la main gauche ne sont pas aussi bien
ble soudé à l'astra- gale qui arrive jusqu'à la première rangée des
os
du tarse. Le calcanéum arrive normalement à s'a
ès profondes. En correspondance du bord interne du membre il y a un
os
qui s'articule en bas'avec l'astragale, et qui
façon certaine le tibia. Cependant il présente la constitution des
os
courts, car il n'y a pas trace de constitution
é, plus volumineux qu'à l'état normal, présente la constitution des
os
longs ; et il a une diaphyse et deux épiphyses. S
aphyse fémorale. En correspondance du tiers inférieur de ce dernier
os
, le péroné pénètre profondément d"arrière en av
lette : 1° Dans les mains : altération de forme et de structure des
os
du carpe ; po- lydactylie ; éctrodactylie ; syn
de son extrémité inférieure. 7° Anomalie de forme et de nombre des
os
du tarse du côté tibial. Polydac- tylie du côté
rtant des Dipnoes jusqu'à l'homme (pisiforme), il existe des petits
os
qu'il appela ]Jr'oer'adiaux ou postulnaires ; et
nt en contact plus di- rectement avec la membrane. En effet : les
os
du bassin qui forment la partie inférieure du tro
istent dans le man- que complet ou bien dans le défaut partiel de l'
os
. Mais dans notre sujet, il 1 ne s'agit pas de c
otre sujet, il 1 ne s'agit pas de ces deux variétés. Il y existe un
os
qui occupe la place nor- male du tibia; mais pe
i occupe la place nor- male du tibia; mais peut-on affirmer que cet
os
soit le représentant d'une partie déterminée du
de la diaphyse, ni même de la conformation normale du tibia. De cet
os
, il n'a que la position au bord interne de la j
sition au bord interne de la jambe. Il présente la constitution des
os
courts, spongieux. Il est très épais, comme si so
'il n'y existe pas de grandes variations dans la morphologie de cet
os
dans l'échelle animale, les partisans de la thé
giwn du membre inférieur est constitué par le fémur, le péroné, les
os
du tarse et par le 5° orteil. A ces éléments de l
ent que même dans les observations d'absence totale du tibia (1), l'
os
a existé dans les premières périodes, mais qu'à l
ntrautérines. Ces fractures seraient suivies par la résorption de l'
os
même. Il y a des au- teurs qui pensent à un déf
oth (68) des fractures intrautérines suivies par la résorption de l'
os
n'est pas fondée sur des faits réellement observé
.., mais il n'existe aucune preuve en faveur de la résorption z des
os
fracturés. La fracture se ferait dans une époque
avancée du développement pour permettre la résorption complèle d'un
os
avant la naissance. D'autre part dans le plus g
le capuchon amniotique étroit, qui a empêché le développement de l'
os
dans le sens de sa longueur et qui a altéré ses
lation" n'aient pas eu une influence fâcheuse sur les rapports des
os
. Cepen- dant plusieurs faits nous démontrent qu
dant plusieurs faits nous démontrent que la disposition actuelle des
os
dans l'articulation du genou date d'une époque
; elle se produit peu à peu et parallèlement à la croissance de cet
os
, alors que le tibia ne se différenciant pas norma
as d'ossification en présence d'un corps irritant,la formation de l'
os
a été exubérante. Puisque le phénomène a eu lieu
vec son extrémité inférieure au niveau du sol ; à son bord externe un
os
court qui représente un tibia qui est en contac
contact avec l'astragale. Nous ne trouvons pas trace de la rotule,
os
sésamoïde qui devait se dévelop- per dans l'épa
mation du tibia a la plus grande influence sur les déplacements des
os
qu'on ob- serve dans les deux premiers segments
. Vraiment, dans les observations d'absence totale ou partielle des
os
de la jambe on observe souvent une olygodacty-
lie, et l'ectrodactylie se trouve du côté affecté par l'absence de l'
os
de la jambe, tibial ou péronéal [Nélaton (87)].
certainement de la po- lydactylie et de la syndactylie. Seulement l'
os
de la cuisse faisait une saillie sous la peau q
cina Légale. Torino, IS90,1p. 515. 64. ROLLET. - La mensuration des
os
longs. Arch. de l'anthr. crim., 1869. 65. ALBER
IRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE d'origine SYPHILITIQUE Radiographie des
os
de la jambe droite et de l'avant-bras gauche. (
voit bien sur la photographie), il y a une cicatrice adhérente à l'
os
large comme une pièce de deux francs. Il y en a
face postérieure des cuisses et sur les fesses. La palpation des
os
au niveau des points où ces cicatrices sont adhér
ontre la présence de lésions extrêmement marquées : au radius droit l'
os
est augmenté de volume, irrégulier, raboteux, a
pas en avoir beaucoup souffert et qui ne se plaint aucunement de ses
os
, sauf peut-être de temps à autre de son tibia d
atrophie a débuté avant les lésions de la peau et des 600 LANNOIS
os
. D'autre part il n'y a pas de rapport entre les l
e part il n'y a pas de rapport entre les lésions des muscles et des
os
: les triceps ont disparu sans qu'on trouve de lé
rophique médul- laire celle-ci aurait produit l'affaiblissement des
os
et favorisé le dévelop- pement de l'ostéite. -
est constant ; en même temps que la base du crâne, il intéresse les
os
de la face et c'est ce qui explique l'extrême fré
ifiée, de sorte qu'au bout d'un certain temps les dimensions de cet
os
ne sont plus propor- tionnelles aux dimensions
uite le plus ordinairement. La destruction porte uniquement sur les
os
de membrane, les portions cartilagineuses étant
la proé- minence frontale : l'absence de cette proéminence et de l'
os
qui la constitue prive la cavité orbitaire d'un
t chez un certain nombre d'autres. Là où n'existe aucun vestige d'
os
de membrane, il ne saurait être question que de
aire, où se rencontrent des vestiges sous forme de lames des divers
os
de la voûte, il y a lieu d'admettre à la fois la
gineuses, et c'est en dehors que nous les rencontrons. Ces vestiges d'
os
membraneux appartiennent toujours, remarquons-l
us l'avons vu, se présentent sous des aspects différents : tantôt les
os
de droite sont complètement séparés de ceux de
ue. Dès lors, l'ossification poursuit son cours sans encombre ; les
os
membraneux se moulent sur la hase cartilagineuse
rté, peut aboutir, chez l'adulte, à une déformation généralisée des
os
. Qu'ils soient longs ou plats, pourvu, le plus
avoir l'affinité toute spéciale des lésions pour les extrémités des
os
, c'est-à-dire pour les régions des pièces du sq
idère comme ' (I) A. PocvcsT, Affections rattachées aux tumeurs des
os
, in Traité de chirurgie de Duplay et Reclus, t.
es premières années de la vie, la symétrie presque parfaite.... Les
os
du crâne, comme c'est presque la règle, et ceux
de préférence sur celles par où se fait surtout l'accroissement des
os
en longueur : extrémités supérieure de l'huméru
os en longueur : extrémités supérieure de l'humérus, inférieure des
os
de l'avant-bras, extrémité inférieure du fémur.
ne est très sail- lante et très mamelonnée ; le bord axillaire de l'
os
présente un prolongement pointu faisant saillie
plus volumineuses et surtout plus épaisses ; le bord spi- nal de l'
os
porte une sorte d'échancrure limitée de part et d
existe également une exostose pointue. Les humérus sont de tous les
os
longs ceux qui présentent le moins d'alté- rati
aire de l'omoplate. A gauche, on remarque l'extrémité supérieure de l'
os
deux exostoses : la supérieure, très grosse, es
ant qu'il y ait ankylose complète. A droite et à gauche, les deux
os
de l'avant-bras sont fixés presque complè- teme
ieures. EXOSTOSES MULTIPLES 625 A droite, les extrémités des deux
os
soudés l'un à l'autre sont simplement aplaties.
tables crochets : son bord inférieur oblique concourt seul avec les
os
du carpe à former l'articulation du poignet. L'
ement les exostoses qui relient les extrémités inférieures des deux
os
l'un à l'autre et les portions qui appartiennent
artiennent plus particulièrement à l'un ou à l'autre. A gauche, les
os
de l'avant-bras sont reliés à leur extrémité supé
- peau osseux fixé au radius et surplombant les extrémités des deux
os
pour concourir par une face oblique à l'articul
t la flexion de la jambe, une crépitation rappelant celle de petits
os
qui viendraient s'entrechoquer. Il est donc certa
upérieure du tibia occupant les faces postérieure et interne de cet
os
, fait une énorme saillie. Au-dessus de la malléol
ement du nombre des exostoses, de leurs rapports sur les différents
os
du squelette, mais encore de leur constitution.
né) du membre inférieur gauche a pu être prélevé et des fragments d'
os
, après les manipulations habituelles, ont pu être
es, celle du péroné de 24. L'espace qui sépare normalement ces deux
os
s'est considérablement élargi, au point de mesu
oint de mesurer 2 centimètres et demi à sa partie moyenne. Les deux
os
sont plus épais qu'à l'état normal et l'épiphys
et l'épiphyse supérieure du péroné a en grande partie disparu. Cet
os
semble aussi repoussé eu dehors, mais il est soli
er comme appartenant au mollet. Vers la partie inférieure, les deux
os
sont entièrement soudés par un pont osseux épai
et fait complètement dé- faut. On a pu seulement déterminer que les
os
appartenaient à un homme d'âge moyen. Les inv
de préférence au voisinage des cartilages de conjugaison ; sur les
os
longs, elles étaient plus nombreuses ou plus cons
ville, squelette sur lequel existent de nom- breuses exostoses. Les
os
des animaux, des fauves en particulier, nés en
rçon de 13 ans, dont les exostoses siégeaient non seulement sur les
os
longs, mais aussi sur quelques-uns des os plats
ent non seulement sur les os longs, mais aussi sur quelques-uns des
os
plats. Enfin Dalla Vedova a référé au Congrès d
exostose de dimensions extraordinaires siège sur la face externe de l'
os
iliaque gauche ; très bosselée, spécialement à
trausverse 33 centimètres, et son extremité postérieure va jusqu'à l'
os
sacrum : circonférence totale : 56 centimètres
aît que cette exos- tose revêt aussi en partie la face interne de l'
os
iliaque gauche, le volume extraordinaire de la
erne du fémur droit. La IS', une symétrique au bord interne du même
os
. La 19", près de l'extrémité supérieure et inte
ate droite. La 32e, grosse comme une noisette, sur le corps du même
os
. Observation V (PI. LXXII). S... Aldina, soeu
factions osseuses à saillie médiocre ; au-dessus de la surface de l'
os
affecté, leur base est élargie, leur vo- lume,
, dans le reste de sa superficie était revêtue d'une mince couche d'
os
compact, précisément comme dans s les cas décri
ume du poing. Dans mon IVe cas, l'exostose 16 que l'on trouve sur l'
os
iliaque gauche était de dimensions jamais attei
860) à côté des exostoses multiples, constituées sur la plupart des
os
du squelette, il était né un colos- sal enchond
elative. La superficie des exostoses est revêtue d'une couche mince d'
os
(1) \Ve.Tnan, loc. cit. 644 SlhioNIN1 compa
.Tnan, loc. cit. 644 SlhioNIN1 compact, tandis que le corps est d'
os
spongieux. En dehors du carac- tère qu'Ollier a
s 25 ans. Broca dit : « On sait que l'accroissement en longueur des
os
longs se fait au niveau des cartilages de conju
lus de tissu osseux qu'il n'est nécessaire pour l'augmentation de l'
os
; il se produira en ce point une exostose de dé
hyper- plasiques, et les relie aux phénomènes du développement des
os
; il en appelle, pour défendre ce qu'il dit, au
muscles voisins. Dans le cas actuel, au contraire, le rôle des deux
os
, scapulum et humérus, est renversé : c'est l'hu
ant de la tête numérale au scapulum, c'est la portion de ce dernier
os
la plus éloignée, c'est l'angle inférieur par c
. 13 . · S .. ? 7. a : > >d ; : t7 es cj* O CO
os
e;' >4 r C M ? m CL ri 2. P-
ès irrégulière, est formée à droite ot à gauche, d'une succession d'
os
wormiens plus nombreux à gauche où ils sont au
us avons signalé sur le bord des fontanelles. La table interne de l'
os
est très lisse et n'offre que de très fai- Fig.
'épaisseur au niveau de l'épine frontale. Vus par transparence, les
os
sont translucides sur une grande partie de la c
rend des caractères spéciaux. En effet, au niveau de ces sutures, l'
os
est formé de fibrilles parallèles entre elles,
d'un toit et non plus convexe. Au-dessous du lambda, au niveau de l'
os
interpactal, il existe même une dépression asse
ous avons parlé, il y a un épaississement assez prononcé comme si l'
os
avait voulu combler l'espace laissé libre par l
ins prononcées et plusieurs plaques transpa- rentes. Les différents
os
de la base du crâne chevauchent les uns sur les
. A un centi- mètre du bregma, il existe sur la suture sagittale un
os
wormien transversal de 10 millimètres sur 5 mil
nsversal de 10 millimètres sur 5 millimètres. On trouve deux autres
os
wormiens à la jonction des sutures sagittale ;et
ittale ;et lambdoïde. Cette dernière présente sur son côté gauche 3
os
wormiens, dont l'un a près de 2 centimètres car
et sont très-sinueu- ses, même au niveau de l'obélion (1· ig.fi). L'
os
épactal ( ? t.7) est circonscrit par dessutures
utres sutures persistent sur les deux faces du crâne ; il existe un
os
wormien de 4 à 5 millimètres à l'origine de la
u- tres sutures persistent et sont assez sinueuses. On trouve. un
os
wormien de 10 mm. sur 6 mm. à l'origine de la bra
che droite de la même suture. Le der- 30 ' IDIOTIE. ` hier de ces
os
wormiens n'est presque plus apparenta la face i
-Progrès de la marche. AUTOPSIE. - Adhérences de la dure-mère aux
os
; injection de la pie-mère, qui se détache facil
ans) (1). Crâne. La voûte crânienne est assez élevée, mince, les
os
sont peu épais. Il y a de nombreuses plaques tran
xterne. La suture coronale est très régulière, sans interposition d'
os
wormiens. Aucune trace de synostose n'est appré
cheff... (Désirée) est née le 12 avril 188S (4 ans).' Crâne. Les
os
du crâne sont extrêmement minces et offrent tou
e et un peu plus compliquée que la sagittale; on rencontre un petit
os
wormien à un cen- timètre de l'angle sur la bra
e sont très sinueuses et visibles sur. les deux faces. Il existe un
os
wormien à gauche et à droite du bregma, ayant e
deux faces et sont en partie. transparentes. "Il existe deux petits
os
wormiens sur la branche gauche de la suture lam
rcrn. A.) est né à Paris le 1"1' juillet 1883 (5 ans). Crâne. - Les
os
qui le composent sont très minces, trans- lucid
rsal de la fonta-) nelle existe, sur la suture fronto-pariétale, un
os
wormien. -. La suture métopique, très visible à
en arrière, dans ses quatre derniers centime' tres, il existe sept
os
wormiens répondant à la fontanelle postérieure.
e sept os wormiens répondant à la fontanelle postérieure. Entre ces
os
wormiens, qui se retrouvent sur la face interne
SIE. - Transparence, minceur . et coloration 'd'un jaune cireux des
os
du crâne. Persistance de lt-fo71lt- nelle antér
facile à scier; un fragment s'est cassé pen- dant l'opération. Les
os
ont une coloration d'un jaune cireux très prono
r la distension des sutures et consécutivement sur l'écartement des
os
. Orls. XVII. Idioiie méningitique (1). Sommai
une section circulaire de la dure-mère, qui adhère fortement aux
os
au niveau des sutures inter-frontalcs, fronto-par
e frontale gauche est plus saillante que la droite. L'épaisseur des
os
est très inégale; il existe des points transluc
ssifiées. Au niveau de la dernière existent de petits îlots osseux (
os
wormiens). Des fontanelles, il ne reste que l'a
représentée par une membrane translucide presque de niveau avec les
os
qui l'encadrent et ayant un centimètre de long
doïde et fronto-pariétales ne sont pas soudées, et les différents
os
qu'elles séparent présentent une mobilité relativ
le séjour du malade à Bicètre que s'est opéré cet écar- tement des
os
, qui vient fournir^ croyons-nous, un argument s
ument sérieux contre la crâniectomie (Fig. 34). C'est parce que les
os
- du crâne ont pu s'écarter aussi largement que
nu un traumatisme qui a eu promptement une issue fatale. Tous les
os
étaient- translucides, notablement amincis, car i
trémités inférieures. Septicémie. Mort. AUTOPSIE. - ÉcarLe1Íwnt des
os
du crâne; - élat 11wnlln'a- ''' neùx cles sul;z
t comblé par une membrane mince et transparente. Les dentelures des
os
se sont très allongées; leur écartement de cell
lures des os se sont très allongées; leur écartement de celles de l'
os
voisin atteint jusqu'à 3 ou 4 centimètres. Les
e poussée méningitique qui a déterminé une congestion intense des
os
et surtout de la membrane intersuturale. Dans l
Les sutures sont également apparentes sur la face interne. Pas d'
os
wormiens.-Nombreuses plaques transparentes, prin-
ne tonsurante. Broncho-pneumonie, mort. AUTOPSIE. - Description des
os
du crâne. Mode de répa- ration de la brèche oss
e osseuse produite par la crâniectomie. Minceur et transparence des
os
. Absence de synostose. Adhérences de la dure-mè
Nous insisterons plus parti- culièrement sur la grande minceur des
os
, qui offrent une épaisseur variant de 1 à 2 mil
igne, surtout à droite, à 3 centimètres environ du bregma. Un petit
os
wormien existe de chaque côté dans cette partie
ètres '/a du lambda, les dentelures s'exagèrent et forment 2 petits
os
wormiens très irréguliers ayant un centi- mètre
a suture. A la face interne ces sutures sont moins contournées, les
os
wormiens, signalés plus haut, apparaissent nett
e superficielle mais très nette. En somme, il pénétrait plus dans l'
os
que dans la peau." ` En raison des adhérences d
rou- geâtre assez foncée : il y avait anémie de cette partie. Les
os
de la calotte crânienne sont assez épais et consi
urémie; Broncho-pneumonie; Mort. AUTOPSIE. - Absence de synostose ;
os
wormiens. - OEdème de la pie-mère. -Aspect chag
érature reste alors à 19°. AUTOPSIE. - Cuir chevelu, épais, anémié.
Os
du crâne peu épais et peu unis. Calotte blanche
cune trace de synostose, soit à la table interne, soit à l'externe.
Os
wormiens dans le tiers postérieur des deux bran
uberté durant la même période. ' AUTOPSIE. - Congestion intense des
os
du crâne, de la dure- mère de et la pie-o.è1e.-
taux et du centre des occipitaux et plus à droite qu'à gauche Les
os
sont denses, lourds; leur épaisseur varie de deux
ture interpariétale se termine par une demi-douzaine de tout petits
os
wormiens. Sur les deux branches de la suture la
ns. Sur les deux branches de la suture lambdoïde existent de petits
os
wor- miens sur une étendue de 3 à 4 centimètres
euâtre avec quelques petites plaques lenticulaires violacées. - Les
os
du crâne, un peu plus épais dans la moitié droi
paississement, une densité et une congestion très considérables des
os
du crâne, lésions communes et qu'on verra encor
de la verge, pendante. Dans la jambe, nous n'avons pu sentir qu'un
os
et cet os, légèrement incurvé, à convexité exte
ge, pendante. Dans la jambe, nous n'avons pu sentir qu'un os et cet
os
, légèrement incurvé, à convexité externe, se te
gulaire, qui rappelle la malléole externe D'après la situation de l'
os
on pourrait être amené à croire qu'il s'agit du
mar- che de la température ; mort. AUTOPSIE. - Amincissement des
os
du crâne; absence de synostose. Hydrocéphalie v
njection assez prononcée dans toute la partie postérieure.- Crâne :
os
peu épais. A l'inspection de la hase du crâne, on
atiforme. Les sutures sont en général assez sinueuses sans traces d'
os
wormiens et parfaitement distinctes sur les deu
e-mère est injectée, les sinus sont pleins de sang, l'adhérence aux
os
est normale. Lorsqu'on enlève le cerveau, il s'
la face externe. Il existe sur la branche droite de la suture un
os
wormien de 36 millimètres sur 10 à 15 millimètres
perpendiculaire à cette suture; sur le côté gauche, il existe un
os
wormien de a0 millimètres sur 7 à 8 millimètres,
suture lambdoïde est formée à droite et à gauche d'une succession d'
os
wormiens, plus nombreux à gauche où ils sont au
aisseur). Le côté gauche est nettement plus épais que le droit. Les
os
sont translucides sur une grande partie de la c
nd des caractè- res spéciaux. En effet, au niveau de ces sutures, l'
os
est for- , mé de fibrilles parallèles entre ell
LaslalLre lambdoïde est assez dentelée et contournée. On note trois
os
wormiens à droite, de 5 millimètres environ de di
· -tre et décroissant à mesure qu'on s'éloigne du lambda; Un seul
os
existe à gauche. Les bords des sutures sont for
stérieure comparée à l'épaisseur de la région antérieure ; tous les
os
sont formés d'un tissu spongoïde. Les régions m
épaisseur, les secondes 8 nim. A partir de la région temporale, les
os
vont progressivement 1t en diminuant d'épaisseu
rès épais et sa face interne est d'un rouge vermillon uniforme. Les
os
du crâne sont très épais et très durs. Les vais
icêtre, 1893. 15 226 . Hydrocéphalie ; antécédents.. Fontanelles.
Os
wormiens. Analyse du liquide hydrocéphalique. D
arges espaces membraneux au milieu desquels se sont développés deux
os
wormiens qui comblent à peu près l'espace. Tout
ne petite hernie ombilicale et que l'on constata l'écartement des
os
du crâne au niveau des sutures et des fontanelles
tés intéres- santes : la persistance des fontanelles, la présence d'
os
wormiens à la suture lambdoïde. La quantité con
ormal. Dentition. Le maxillaire supérieur offre une atrophie de l'
os
intermaxillaire latéral droit et la réduction des
, qui a 22 cent. de long, est terminée à droite et. en avant par un
os
wor- mien triangulaire qui semble tenir la plac
en arrière deux prolongements irréguliers qui semblent des traoes d'
os
wormiens soudés. La suture inter-pariétale mont
particularités intéres- santes : elle est formée jusqu'au lambda d'
os
wormiens et de parties comblées par des membran
os wormiens et de parties comblées par des membranes, à savoir deux
os
wor- miens contigus en arrière à un vestige mem
eux de la fontanelle postérieure de 3 cm. de longueur environ. Deux
os
wormiens et un espace membraneux d'un cm. à 15
à 15 mm. com- plètent la suture. La suture lambdoïde présente cinq
os
wormiens à droite et six à gauche. (Fig. 45, 47
tre synostosées devraient être distendues. Le nombre considérable d'
os
wormiens, les espaces membraneux persistant au
e; les fosses sus-orbitaires sont effacées, et en avant d'elles les
os
frontaux ne se sont pas soudés sur la ligne méd
d'environ 40 ; la branche gauche est analogue à droite, mais les
os
qui la limitent se prolongent par une suture non
, limitée en dehors par le frontal et le pariétal, en dedans par un
os
surnuméraire que nous décrirons plus loin. Cette
ttale, était facilement appréciable pendant la vie ; maintenant les
os
chevauchent les uns sur les autres à ce niveau
ependant, en tendant la membrane suturale, on peut écarter les deux
os
de près d'un centimètre. Cette branche va rejoi
de l'occipital. La base, longue de 9 centimètres, est formée par l'
os
surnuméraire, inter-fronto- pariétal ; les autr
ont environ 14 centimètres. L'angle inférieur est occupé par trois
os
wormiens ayant chacun un peu plus d'un centimèt
t quoique indépendants, placés en contact les uns des autres et des
os
voisins. L'angle supérieur droit se prolonge av
peu large, longue de 5 centimètres et allant jusqu'à la réunion des
os
frontal et pariétal. En outre des trois os worm
jusqu'à la réunion des os frontal et pariétal. En outre des trois
os
wormiens que nous venons de signa- ler, il en e
tures fronto-pariélales ne sont pas ossifiées, mais à ce niveau les
os
sont contigus. A leur jonction avec les sutures
corps avec le pariétal sans aucune délimitation. L'épaisseur des
os
du crâne est très faible ; ils sont presque par
s points opaques ; cette opacité est surtout marquée au niveau de l'
os
fronto- pariétal où la voûte crânienne paraît a
tal où la voûte crânienne paraît avoir son maximum de solidité. Les
os
ont une certaine élasticité que l'on constate a
non que son angle supérieur, déjeté latéralement, s'insinue entre l'
os
surnumé- raire et le pariétal et qu'il est rela
ur est arrondi, convexe ; son quart antérieur est en rapport avec l'
os
surnu- méraire que nous appelons inter-fronto-p
des fosses cérébel- leuses. Il ne nous reste plus à décrire que l'
os
suwuméraire tnte) ? )'onto-paWëLiL Il occupe ex
dien. En avant, l'extrémité antérieure vient presque au contact des
os
frontaux ;.en arrière, l'extré- mité occipitale
infirmières qui le soi- gnaient ; il gazouillait et souriait. Les
os
du crâne, suivant la règle, étaient très min- c
étaient très min- ces, quelques-uns transparents. Mais, en plus des
os
qui composent régulièrement la voûte du crâne,
ui composent régulièrement la voûte du crâne, il existait plusieurs
os
surnuméraires. C'est sans doute de ces os qu'a
, il existait plusieurs os surnuméraires. C'est sans doute de ces
os
qu'a voulu parler Franck lorsqu'il écrit que «
ranck lorsqu'il écrit que « l'examen cadavérique a fait voir... des
os
Sésamoïdes, surtout dans le trajet de la suture
et quelquefois dans la fontanelle antérieure. » Le principal de ces
os
surnuméraires, celui que nous avons décrit sous
de ces os surnuméraires, celui que nous avons décrit sous le nom d'
os
intcr-fronto-pariétal, situé sur le trajet de l
et une épaisseur de sept millimètres. Par ce dernier caractère cet
os
se distingue des autres et il permet de se rend
rès saillantes; ce qui et dû en partie t l'épaississeii-icilt des
os
. Il peut arriver aussi, d'après Barthez, « que le
eii-icilt des os. Il peut arriver aussi, d'après Barthez, « que les
os
du crâne acquièrent une innaccoutumée destinée
ltats. Mort dans un accès. AUTOPSIE. - Déformations multiples des
os
de la base du crâne. Aplatissement et distensio
millimètres environ, sorte d'esquisse de bec-de-lièvre. Partout les
os
de la tête sont durs, très résistants ; au ni-
, très résistants ; au ni- veau de la suture bipariétale, on sent l'
os
bombé. Zone large d'environ 3 ou 4 centimètres,
d'avoir froid. T. Il. 39°,5. Mort dans un accès. AUTOPSIE. - Les
os
de la voûte du crâne sont tous soudés. Toutes l
ieure. Au niveau des deux fontanelles, antérieure et postérieure, l'
os
est mince, quoique non dépres- sible, non papyr
re, l'os est mince, quoique non dépres- sible, non papyracé. l'as d'
os
wormiens, crâne aminci. La s'est déchirée au ni
ications de la dure-mère cérébelleuse et surtout la déformation des
os
de la base du crâne, constituent les points les
). Les sutures coronaire et sagittale sont presque rectilignes. Des
os
wormiens plus ou moins nombreux sont enclavés d
plus ou moins nombreux sont enclavés dans la suture lambdoïde. Les
os
sont très minces, poreux, d'aspect Crâne ET cer
res sont dentelées assez simplement, même en dents de souris. Les
os
wormiens abondent à la suture lamb- doïde. Chez
ur..., on en constate aussi sur le trajetdc la sutura coronale. Les
os
sont lourds, même très lourds. Leur table inter
te- tement l'aspect scaphoïde. Crâne ET cerveau. 293 Crâne. Les
os
du crâne très minces à certains points et très
très rare chez les hydrocéphales, l'irrégularité de l'épaisseur des
os
du crâne et leur structure spongoïde en avant,
ons. Engor- gement des ganglions du mésentère. État spongoïde des
os
du crâne. Méningo-encéphalite et hydrocé- phali
Les sutures coronale et sagittale sont finement dentelées, un petit
os
wormien d' un centimètre de longueur sur 5 mill
lures assez grossières. Elle n'a pas de contours com- pliqués, ni d'
os
wormiens sur son trajet. L'occipital fait saillie
re deux lames compactes existe un tissus pongoïde assez abondant. L'
os
est lourd et n'est pas transparent. La base du
ittale, lambdoïde et coronale ne sont pas soudées et les différents
os
qu'elles séparent présen- tent une mobilité rel
sont écartées de 2 millimètres à 25 millimètres. Les dentelures des
os
voisins, compa- rables à des stalactites et à d
le séjour du malade à Bicêtre que s'est opéré cet écartement des
os
, qui vient fournir, croyons-nous, un argument s
us, un argument sérieux contre la crâniectomie. C'est parce que les
os
du crâne ont pu s'écarter aussi largement quell
u un traumatisme qui a eu si promptement une issue fatale. Tous les
os
étaient translucides, notablement amincis, car
mités inférieures. Sep- ticémie. Mort. AUTOPSIE. - Écarlemenl des
os
du crâne; distension des os du crâne; - état i)
cémie. Mort. AUTOPSIE. - Écarlemenl des os du crâne; distension des
os
du crâne; - état i)ze711bi,,t ? ieLtx des sutur
ingulier, aucun à notre connaissance, ne fait mention de l'état des
os
du crâne. Cet oubli se con- çoit très bien quan
s avons observé exactement les mêmes lésions mécaniques du côté des
os
du crâne (Vig. 60). Dans le cas de Marie Bais
cas de Marie Bais ? comme dans celui de Berl ? l'écal'lerl1.ent des
os
, et la distension des sutures étaient arrivés à
les ongles sont bien conformés : rien de particulier à l'examen des
os
et des articulations qui fonc- tionnent assez b
ant atteint son maximum s'arrête. Les fontanelles s'oblitèrent, les
os
du crâne s'épaississent et l'hydro- céphale con
il se produit vrai- semblablement un phénomène d'hypcrnutrition des
os
du crâne par le fait d'une sorte de congestion
ra le plus souvent. On pourrait la confondre avec l'hyperostose des
os
du crâne ou l'hypertrophie du cerveau. Dans ces
QUE CHIRURGICALE DE L'INFLAMMATION PRIMITIVE AIGUË DE LA MOELLE DES
OS
( MÈDULLITE AIGUË) par culot, interne ies hopit
yélite, — typhus des membres, — inflammation pseudo-rhumatis-male des
os
et des articulations chez les enfants, — mais le
entrer dans mon sujet, quelles étaient les parties constituantes de l'
os
. aperçu anatomo - physiologique et rôle patholo
constituantes de l'0S. Si nous pratiquons la section verticale d'un
os
long adulte ayant longtemps macéré et que nous ex
dont les plus externes s'ouvrent librement à la surface externe de l'
os
, les internes aboutissant à sa face profonde. Aux
eux. Au-dessous de l'épiphyse, au sommet de la cavité centrale de l'
os
et quelquefois sur toute la paroi de cette cavité
ne véritable dentelle. Elles disparaissent tout à fait au centre de l'
os
, n'y laissant que leuis canaux fusionnés et forme
leuis canaux fusionnés et forment le canal central ou médullaire de l'
os
. Telle est la disposition sommaire, mais exacte
rmations. — Compacte à son origine et pourvu de rares canali-cules, l'
os
, à mesure qu'il se développe, subit cette modific
ifeste par la tendance des canalicuJ.es à devenir dominants. Sur un
os
frais, tous ces canaux, ces aréoles, la cavité ce
ur un os frais, tous ces canaux, ces aréoles, la cavité centrale de l'
os
sont remplis. Ce sont tout d'abord les vaisseaux
quefois double et plus ou moins volumineux, l'artère nourricière de l'
os
. Enfin aux épiphyses, dans les os courts ou plats
lumineux, l'artère nourricière de l'os. Enfin aux épiphyses, dans les
os
courts ou plats, on en rencontre encore traversan
ur faire une tunique supplémentaire. On les trouve aux épiphyses, aux
os
courts et plats, surtout aux vertèbres. Ce sont d
anastomosés, divers de ces vaisseaux arrivent à la face interne de l'
os
, où ils forment un nouveau réseau très-riche. O
rmédiaire de laquelle s'accomplissent nécessairement la nutrition des
os
et les modifications pathologiques qui y peuvent
y a encore quelques années, c'est-à-dire dans la cavité centrale des
os
longs et dans les aréoles du tissu spongieux, mai
tissu médullaire, comme l'a dé-montré M. Ranvier, forme pour le même
os
un tout continu qui le baigne complètement. 11
x (Robin), forme enveloppe à la plus grande partie de la surface de l'
os
. Sa vascularité, son épaisseur, ses adhérences
ts ont un périoste très-riche en vaisseaux, épais, peu adhérent ; les
os
superficiels en sont mieux recouverts que les pro
fs suivent les vaisseaux. Si, partant de cette étude succincte de l'
os
, nous cherchons quelle part peut revenir à chacun
et les qualités de cette dernière. lia passé pour un régénérateur des
os
,—on a même cru que, grâce à lui, on ferait de l'o
n régénérateur des os,—on a même cru que, grâce à lui, on ferait de l'
os
partout où l'on voudrait.— Son inflammation a été
pareil à celui des tendons, qui con-stitue l'enveloppe immédiate des
os
, ce n'est là qu'une partie du pé-rioste et encore
nutritif qui ramène les éléments à leur condition première. Comment l'
os
pourrait-il, alors que la moelle serait saine, re
iquement et physio-logiquement étudiés le condamneraient. Excitons un
os
en effet par un coup, une piqûre, un écrasement,
pour justifier le nom d'Inflammation aiguë primitive de la moelle des
os
, que j'ai cru devoir donner à mon travail. hist
donner à mon travail. historique L'élude des maladies aiguës des
os
ne remonte pas à une époque bien éloignée de nous
e interne occasionnelle et ayant de la tendance à attaquer plu-sieurs
os
du squelette à la fois. Il admet que cette cause
, s'accompagnant de symptômes généralement graves, se forment entre l'
os
et le pé-rioste, dans l'espace de quelques jours
ois faits bien observés. Pour Klose, il y a suppuration profonde de l'
os
, méningo-ostéo-phlébite des os longs, empruntant
lose, il y a suppuration profonde de l'os, méningo-ostéo-phlébite des
os
longs, empruntant une physionomie particulière
re. On veut isoler abso-lument ces cas des autres maladies aiguës des
os
; on en veut faire un état morbide à part, ayant
sur les contours des surfaces articu-laires, ni d'usure véritable des
os
. En revanche, le caitilagequi revêt les condyles
s du tibia sont plus avancées que celles du fémur, l'usure du premier
os
plus prononcée, sans que le cartilage, toutefois,
u cartilage d'encroûtement. Une portion considé-rable de la tôle de l'
os
a disparu, comme si le frottement l'avait usée; d
la comparaison avec l'extré-mité d'un humérus sain.) Au pourtour de l'
os
ainsi altéré, il y a quelques ostéophytes arrondi
ion de la poche des eaux, et, de plus, une sorte de chevauchement des
os
de la tête les uns sur les autres. L'auscultation
graisseuse. Les muscles sont violacés, un peu gluants au toucher. Les
os
du crâne sont, pour ainsi dire, tout à fait dissé
QUE CHIRURGICALE DE L'INFLAMMATION PRIMITIVE AIGUË DE LA MOELLE DES
OS
(MÉDULLITE AIGUË) par culot, interne des hopita
rectement appliqué, du froid, du tiraillement de la face externe de l'
os
par les muscles qui s'y insèrent. On pour-rait mê
s, je suis amené à conclure que l'inflammation aiguë de la moelle des
os
reconnaît, dans la grande majorité des cas, une c
t pas douloureuses, on entend des craquements, indices de l'usure des
os
. Souvent le palper permet de constater l'atrophie
on des cartilages, atrophie, usure considérable, à marche rapide, des
os
eux-mêmes ;— telles sont plus tard les lésions pr
thie de l'épaule. Usure prononcée des cartilages, presque nulle des
os
, bourrelets osseux multipliés, saillants, irrégul
ps résistant; mais il est difficile de dire au juste s'il y a un seul
os
dû à l'union du radius et du cubitus qui seraient
'union du radius et du cubitus qui seraient aplatis, — ou si ces deux
os
sont distincts, séparés par un intervalle. Au m
E par Teoisteb, interne des hôpitaux de Paris. 1° Description des
os
. — A. Bras. L humérus a sa conformation normale.
Avant-bras. Le radius (C) et le cubitus (B) sont représentés par deux
os
de la même grosseur que ceux du côté opposé, mais
ale) ; une seconde, très-volumineuse, située à la partie moyenne de l'
os
et qui représente les rugosités qui se voient à l
ofond, qui s'étend de l'épitrochlée, de la partie supérieure des deux
os
de l'avant-bras et du ligament interosseux à l'ex
eux dépressions. Chacune d'elles correspond à l'extrémité de l'un des
os
de J'avant-bras : on dirait qu'à cet endroit il y
us excavée ; cette apparence est due à la longueur plus courte de cet
os
. 1 li s'agissait d'un individu atteint d'hémipl
ne. En déprimant fortement la peau, on peut introduire entre ces deux
os
l'extrémité unguéale de l'auriculaire. Plus en
nent plus saillants. S'il est facile alors de sen-tir l'extrémité des
os
de l'avant-bras, il n'en est plus de même quand l
et à 1 extension; — on dirait en pareil cas qu'il n'existe qu'un seul
os
dans le moignon; toutefois, si l'on suit la face
ouché, à onze heures du soir. Autopsie, le\8jhdn.—Péricrâne, rien.—
Os
friables, minces. — Veines de la dure-mère gorgée
l'enfance cause presque inévi-tablement un arrêt de développement des
os
qui ne s'étend, dans les cas légers, qu'au fémur
ers, qu'au fémur et au tibia ; mais dans les cas graves également à l'
os
iliaque, au sacrum et à tout le pied. 2° Cet ar
porte pas seulement sur la lon-gueur, mais aussi sur l'épaisseur des
os
, qui sont raréfiés et par conséquent plus fragile
elles se produisent, guérissent du reste aussi facilement que sur un
os
normal. 4° Les traitements actifs de la coxalgi
rolongent presque indéfiniment. 5° Les arrêts de développement de l'
os
iliaque se combinent avec la pression exagérée tr
ARIS ANATOMIE PATHOLOGIQUE EXOSTOSES MULTIPLES ET SYMÉTRIQUES DES
OS
LONGS par cornillon et valtat, internes des hop
au niveau de certaines articulations des tu-meurs dures attenant aux
os
contingents. Aucune cause ne pouvait expliquer la
quer à ses affaires. L'autopsie nous montra les lésions suivantes :
os
du crâne et de la face sains. Humérus. Ils sont
voit un rebord saillant qui donne à 5° année. 6 cette partie de l'
os
une direction anormale. — Les grosse et petite tu
onné dont le pédicule, assez large, s'insère sur le bord interne de l'
os
, dont la portion libre et irrégulièrement arrondi
ême une petite apophyse lamelleuse, s'insère sur le bord interne de l'
os
au voisinage du ligament interosseux, tandis que
ronéale supérieure existe une grosse masse osseuse, écartant les deux
os
l'un de l'autre, aplatie en avant, saillante en a
argeur et de hauteur et près de cinq centimètres d'épaisseur l. Les
os
du pied et de la main sont exempts de toute altér
infirmité connue sous le nom à'Exostoses multiples et symétriques des
os
longs dont M. Soulier a fait le sujet de sa thèse
sur la diaphyse, le plus souvent on les rencontre aux extrémités des
os
longs. Voici leur ordre de fréquence: le tiers in
re du fémur et l'ex-trémité inférieure du tibia et du péroné. Sur les
os
de la face ces productions nouvelles sont très-fr
rtaines régions du squelette est facilement explicable. En effet, les
os
s'allongent principalement par les extrémités de
'épipbyse et dont la disparition signale la fin de la croissance de l'
os
en longueur. S'il en était ainsi pour chaque extr
nt, soit sur le segment supé-rieur, soit sur le segment inférieur des
os
longs. — Mais il est admis que les os ne se dével
it sur le segment inférieur des os longs. — Mais il est admis que les
os
ne se développent pas également par chacune de le
une de leurs extrémités. Bérard prétend que des deux extrémités des
os
longs, c'est tou-jours celle vers laquelle se dir
irige le canal nourricier qui se soude la première avec le corps de l'
os
. — D'autre part M. Ollier avance que les os des m
emière avec le corps de l'os. — D'autre part M. Ollier avance que les
os
des membres supérieurs s'allongent surtout par le
ements importants sur l'anatomie pathologique, sur la terminaison des
os
du moignon. Le second cas,— celui de M. Leroy d
isseur des parties molles; le squelette est sans doute formé par deux
os
rudimentaires soudés ou réunis par un ligament fi
QUE CHIRURGICALE DE L'INFLAMMATION PRIMITIVE AIGUË DE LA MOELLE DES
OS
(MÉDULLITE AIGUË) PAR CULOT, INTERNE LES HOPITA
l. — Observation de Fritz. Société anatomique.) D'autres fois, tout l'
os
semble pris en même temps, et la suppuration se m
ps, et la suppuration se montre à la face externe, interne, et dans l'
os
lui-même. Chez un enfant mort au troisième jour,
aux anciennes, amoindriront le calibre des canali-cules, èburneront l'
os
et en produiront la nécrose partielle. Un autre
. Là, en effet, se trouvent les parties qui, avec la péri-phérie de l'
os
, sont essentiellement vivantes. Si les couches mé
vivantes. Si les couches médul-laires sous-pêriostiques accroissent l'
os
en épaisseur, les couches dia-épiphysaires l'accr
s aux limites ostéo-cartilagineuses ou, du moins, plus ac-tifs, car l'
os
gagne bien plus en longueur qu'en épaisseur, et c
indemne, et des violences extérieures ont pu quelquefois fracturer l'
os
au-dessous de lui. (Henrot.) Ce ne sont pas, d'
ge, puis suppure dans un cer-tain nombre de cas. Les médullites des
os
plats se comportent comme celles des os longs. L'
de cas. Les médullites des os plats se comportent comme celles des
os
longs. L'inflammation débute le plus souvent par
deux couches périostales dans une étendue égale sur chaque face de l'
os
. Telles sont les lésions primitives des médulli
ticulaire pouvait communiquer avec celui de la cavité médullaire de l'
os
. Un grand fait à signaler, et que l'on rencontr
orbe le tissu osseux qui les maintenait en contact avec le reste de l'
os
, et provoque son isolement complet; d'autre part,
l'attention a été peu appelée tiennent au développement exa-géré de l'
os
, par activité trop grande du cartilage dia-épiphy
cause rhumatismale agit sur le péricarde comme elle avait agi sur les
os
, pour M. Giraldès. Pour Poser, sa dyscrasie a les
droit, tordu sur lui-même, a cependant une di-rection rectiligne. Les
os
de l'avant-bras sont aplatis et un peu tordus ; l
oigts sont longs et larges. — L'humérus gauche est recourbé en S; les
os
de l'avant-bras sont légèrement aplatis et sinueu
en dedans, à convexité regardant en dehors (voy. Planche XVIII). Les
os
des jambes offrent des courbures en sens inverse,
et presque aussi large que la tumeur elle-même, semblait adhérent à l'
os
. Je pratiquai successivement l'ablation de ces
THOLOGIE EXTERNE DE L'INFLAMMATION PRIMITIVE AIGUË DE LA MOELLE DES
OS
(MÉDULLITE AIGUË) PAR CULOT, INTERNE LES HOPITA
emps, un peu de tuméfaction survient, tuméfaction assez nette quand l'
os
atteint est superficiel (malléoles — face antérie
ibia — calcanéum — radius — épaule) ; plus difficile à constater si l'
os
est profond (fémur). A cette tuméfaction localisé
mateuses éparses. — La peau a souvent un aspect terreux, cireux. Si l'
os
atteint est superficiel, le tégument peut rougir.
e masse dure, ré-sistante, à large base, semblant se continuer avec l'
os
. Plus tard, cette masse se ramollit et l'on peut
caux, on peut voir, quand la maladie occupe les extrémités des grands
os
, des décollements épiphy-saires plus ou moins com
ois, un enfant se plaint tout à coup d'une douleur sur le trajet d'un
os
. Cette douleur devient très-vive; on ne peut touc
, on con-state delà fluctuation. On ouvre, le pus s'écoule. On sent l'
os
à nu au fond de la plaie. L'amendement est immédi
d'immobilité qui lui est particulière, se lève, frappe et se rompt l'
os
, altéré par la maladie. (Verneuil, Henrot.) La pr
bougé. Autopsie le 25 février à dix heures. — Le cuir chevelu, les
os
, la dure-mère ne présentent rien de particulier.
férieure de l'humérus, s'articule l'avant-bras, constitué par un seul
os
de 8 centimètres 1/2 de longueur, arrondi, de la
grosseur du pouce d'un adulte, et s'articulant lui-même avec un petit
os
long de k centimètres représentant le carpe et le
THOLOGIE EXTERNE DE L'INFLAMMATION PRIMITIVE AIGUË DE LA MOELLE DES
OS
(MÉDULLITE AIGUË) par culot, interne ees hopita
une condition plus importante que l'âge est peut-être le siège. Tout
os
superficiel, en effet, permettra une ouverture pl
t et que les phénomènes généraux gra-ves ont cédé. Il reste encore un
os
nécrosé qui doit être éliminé. Je ne puis insiste
nage des articulations, — de la situation plus ou moins profonde de l'
os
, —¦ des fusées purulentes et du phlegmon diffus.
surtout, et depuis le début ; siège de la douleur sur le trajet d'un
os
, ou indolence de l'articulation présu-mée malade;
cas, on incisera, et, par l'incision, on ira voir s'il y a ou non un
os
à nu. Je n'ai pas à établir de diagnostic avec
emplie. Le trépan alors doit remplacer le bistouri et pénétrer dans l'
os
sans retard. Si, par suite d'un diagnostic ince
resse non-seulement la peau, mais encore les muscles et peut-être les
os
; elle s'arrête exactement à la ligne médiane.
avec le styletmefait reconnaître que celte extrémité supérieure de l'
os
est en fragments multiples, mais je ne trouve pas
jusqu'à la gaine des vaisseaux. Les morceaux de la continuité de l'
os
enlevé, je découvre le bout supérieur de l'huméru
l'os enlevé, je découvre le bout supérieur de l'humérus et je scie l'
os
immédiatement au-dessous du biseau de la fracture
immédiatement au-dessous du biseau de la fracture. Cette section de l'
os
laisse au-dessous d'elle le sommet du V deltoïdie
découvert, j'y vois la balle, qui est complète-ment incrustée dans l'
os
, au niveau de la moitié inférieure de la sur-face
te de la cavité glé-noïde. Je me borne à retirer quelques fragments d'
os
, et je renonce à réséquer toute la capsule articu
à drai-nage. 10 janvier. Je relire du fond de la plaie un morceau d'
os
volumi-neux qui se détache de l'omoplate. Il a un
la balle. Sur la surface externe de ce fragment est incrustée dans l'
os
une plaque de plomb, grande comme la moitié d'une
bord externe de l'omoplate est immédiat, et il y a là entre ces deux
os
une véritable fausse articulation. La planche X
canal médullaire de l'hu-mérus. Puis, suivant ce canal en éclatant l'
os
et sa tête articulaire ar-rondie, elle est entrée
s'est arrêtée contre le bord externe de l'o-moplate. La portion de l'
os
omoplate, contre laquelle s'est arrêtée la balle,
s'est éliminée. Mais j'ai été frappé de l'étendue de cette, portion d'
os
qui s'est détachée. Il est évident (et j'ai d'aut
e, et de l'autre je n'aurais pas enlevé toute la portion contuse de l'
os
. Ce même fragment d'os présente une plaque de p
ais pas enlevé toute la portion contuse de l'os. Ce même fragment d'
os
présente une plaque de plomb incrustée dans l'os
Ce même fragment d'os présente une plaque de plomb incrustée dans l'
os
et épaisse d'un demi-millimètre. Cette quantité d
ent faire affirmer au chirurgien qu'il y a une balle incrustée dans l'
os
, quand il n'y a qu'une petite plaque de plomb.
omme coïncidence habituelle, les restes d'une affection chronique des
os
, d'une syphilis constitutionnelle, d'une tubercul
ques qui peuvent l'atteindre. Les articula- tions, les muscles, les
os
eux-mêmes, subissent, à des degrés divers, le con
es, surtout chez le chien et le bœuf, pour la description de certains
os
, etc., si les anatomistes vétérinaires étaient pl
in grêle, par L. Labbé, 161. Exostoses multiples et symétriques des
os
longs, par J. Cornilton et Yaltat, 97. F Font
voy. Hachisch). Hyperémie de la rate, 264. I Inflammation (voy.
Os
). — De la rate, 264. Injections sous-cutanées d
iguë, par Culot, 1, 44, 115, 142, 182. Mélanémie, 257. Moelle des
os
(voy. Os). — Épinière (voy. Arthropathies). Mon
Culot, 1, 44, 115, 142, 182. Mélanémie, 257. Moelle des os (voy.
Os
). — Épinière (voy. Arthropathies). Montméja (A.
ollement de l'iris, par Rosapelly, 101. Oreille (voy. Cancroïde).
Os
(De l'inflammation primitive aiguë de la moelle d
11 Planche il Arthropathie du genou chez une alaxique (lésions des
os
)............. 13 Planche III. Arthropathie de l
t définitivement éta- blië. D'ailleurs ce ne sont pas seulement les
os
longs qui restent en souf- france, puisque les
elle, il n'existe la moindre lésion méningée. Reste, à examiner les
os
. Nous avons étudié deux fragments de la colonne
des signes incontestables d'envahissement du fibro-cartilage par l'
os
voisin : il ne s'agit pas là d'une calcificatio
ux qu'il contient : non, il s'agit d'une sorte de substitution de l'
os
vertébral au tissu normal du fibro-cartilage. Sur
ntérieure, rendent peu nette, à cet endroit, la limite qui sépare l'
os
du fibro-cartilage, tandis que, plus loin, cett
rement osseuses ; les choses se passent de cette façon que les deux
os
contigus, suite de leur fusion, n'en constituen
d'une phtisie aiguë. Père mort à 34 ans, à la suite d'une carie des
os
de la tête. Nous notons tout spé- cialement ce
bure, l'une fortement convexe en avant, l'autre concave en dedans L'
os
est dur, et la main qui le palpe perçoit de petit
se, de la grosseur d'un pois,, à base élargie. Le bord antérieur de l'
os
a com- plètement disparu ; il est remplacé par
acé par une surface mousse qui se prolonge sur la face externe de l'
os
,si bien que celle-ci en avant des muscles de la r
ale inférieure ne participe pas à cette déformation. Ajoutons que l'
os
n'est pas sensible à la palpation ; la percussion
embres supérieurs ne présentent aucune déformation appréciable. Les
os
sont parfaitement normaux, mais nous devons signa
parence du fait de l'amaigrissement. Les clavicules, le bassin, les
os
du crâne et de la face ont un aspect normal. La
rieur 88 CHARTIER ET DESCOMPS que traduit l'opacité générale de l'
os
avec çà et là des points plus opaques répondant
nant au niveau du tibia droit et caractérisées par une courbure des
os
longs ; , 2° Par un processus d'hypertrophie en
re des os longs ; , 2° Par un processus d'hypertrophie en masse des
os
avec nodosités que confirment d'ailleurs les ép
u, d'ostéo-arthropathies tabétiques ? Nous ne le pensons pas. Les
os
des tabétiques en effet ne présentent jamais d'au
t inflammatoire. La preuve en est dans l'augmentation de volume des
os
du tibia droit surtout, dans la condensation osse
dans l'hyperostose récemment survenue sur le bord antérieur de cet
os
, dans les douleurs aiguës et profondes qu'elle a
ommeuse, ou d'un syphilome diffus. Il ne s'agit point en effet d'un
os
doublé ou triplé de volume, présentant sur son
nt,des productions périostiques dis- posées en couches successives,
os
parsemé d'orifices ou de points ramollis. Ici,
, os parsemé d'orifices ou de points ramollis. Ici, au contraire, l'
os
, bien qu'hypertrophié dans sa totalité a conservé
ialement attiré l'attention, forme limitée à un très petit nombre d'
os
et même à un seul. Mais au point de vue pathogé
is. L'aspect extérieur du sujet ? A quoi bon ? Tout pour l'organe :
os
, muscle, nerf, articulation. La peau, le pann
mieux encore, de l'anato mie du contenu du cadavre. On étudiait l'
os
en soi, le muscle en soi. Malheur à qui ne savait
98 HENRY MEIGE gle..... etc. etc. » - ou ceci encore : « Dans les
os
larges, on considère deux faces et une circonfé
de comparaison, écrivait-il, ont été empruntés à la géométrie. Les
os
se prêtent assez mal et ce langage sévère. » -
ce, si elle n'existe pas, puisqu'elle se confond avec le reste de l'
os
? Qu'est-ce qu'un bord, ayant la « surface » d'un
ent bien plus grave. Nous avons tous appris le squelette à l'aide d'
os
soigneusement rugi- nés, desséchés, passés au t
re, l'ostéologie du vivant. Or, après avoir donné connaissance de l'
os
en soi, de l'os mort, ensei- gnait-on l'os en p
du vivant. Or, après avoir donné connaissance de l'os en soi, de l'
os
mort, ensei- gnait-on l'os en place, l'os vivan
donné connaissance de l'os en soi, de l'os mort, ensei- gnait-on l'
os
en place, l'os vivant ? Apprenait-on à retrouver
ance de l'os en soi, de l'os mort, ensei- gnait-on l'os en place, l'
os
vivant ? Apprenait-on à retrouver telle ou telle
mi ceux-ci, une fois devenus praticiens, seront appelés à manier un
os
tout sec Par contre, chacun ne devrait-il pas ê
bstiennenl, et pour cause : on ne leur a jamais fait reconnaître un
os
in situ. Ils ont pu demeu- rer des virtuoses du
préétablies pour le tracé d'une incision ou la désarticulation d'un
os
. A l'Hôpital ? Au lit du malade, là, sans doute
l enseignait le nu vivant. Les innovations furent nombreuses. Les
os
, d'abord étudiés isolément, étaient considérés
UNE RÉVOLUTION ANATOMIQUE 107. organes, les mêmes tissus, les mêmes
os
, les mêmes muscles, et l'anato-, mie est la mêm
in », a la louable prétention de donner une connaissance exacte des
os
et des muscles de l'homme et « d'en faire la co
temps où les squelettes, dans des poses alanguies, exhibaient leurs
os
hypothétiques et leurs muscles en pendeloques.
est remplacé par le crayon. Les élèves commencent par dessiner les
os
isolés sous leurs divers as- pects. Puis, lorsq
leurs divers as- pects. Puis, lorsqu'ils ont ainsi figuré tous les
os
d'une partie du corps, d'un membre par exemple,
e un modèle nu sur lequel on leur apprend à reconnaître comment ces
os
se révèlent à l'extérieur dans leur forme et da
s avons tous les mêmes muscles avec les mêmes insertions, les mêmes
os
avec les mêmes articulations, la même graisse, le
. , L'hémi-hypertrophie intéresse tous les tissus en comprenant les
os
. Disons maintenant quelques mots sur l'étiologi
tre un autre écorché colorié, un vrai, avec des muscles rouges, des
os
jaunes et des ligaments blancs, d'une exactitud
e la brachycé- phalie. On s'aperçoit, en le palpant, que les divers
os
n'en sont pas soudés, que toutes les fontanelle
elles persistent et que la suture sagittale n'est point fer- mée. L'
os
frontal n'est même pas unifié, et les deux os fro
est point fer- mée. L'os frontal n'est même pas unifié, et les deux
os
frontaux embryolo- giques persistent : entre le
nt et, sur la ligne médiane, le doigt sent un sillon net. Mais si les
os
ne sont pas soudés, il n'en pas de même des par
SE CLGIDO-CRANIEN1E 231 Au niveau de l'humérus, on remarque que cet
os
est très notablement élargi à sa partie supérie
de ses rapports normaux avec l'extrémité inférieure de l'humérus. L'
os
lui-même est normal. Le radius au con- traire n
ucun rapport avec la petite cavité sigmoïde du cubitus, et les deux
os
sont écartés l'un de l'autre d'environ 1 centimèt
érositébicipitale est à peine indiquée. L'extrémité supérieure de l'
os
remonte sur le bord pos- térieur et externe du
éphalique du radius est soudé, mais toute la partie supérieure de l'
os
présente de la raréfaction osseuse. La seconde
ble donc que, dans la flexion, il y ait ascension plus marquée de l'
os
. La radiographie montre également une courbure
on remarque un retard très net d'ossification portant sur les deux
os
de l'avant-bras. Le cubitus présente une incurv
es phalangines et des phalangettes, avec élargissement de ces mêmes
os
, ce qui leur donne un aspect trapu. Il y a très n
bien ossifiés; partout ailleurs, radiographiquement, il n'y a pas d'
os
, puisqu'il y a transparence. Le sinus frontal est
gée de 16 ans, ne présente pas trace de début de soudure des divers
os
du crâne ; le frontal est encore séparé en ses
e des divers os du crâne ; le frontal est encore séparé en ses deux
os
embryologiques et l'écaille du temporal n'est pas
montre la radiographie, il y a même retard dans l'ossification des
os
du crâne, puis- que nous avons pu obtenir au tr
t montré qu'il y avait non seulement retard dans l'ossification des
os
longs, mais raréfaction du tissu osseux de ces os
l'ossification des os longs, mais raréfaction du tissu osseux de ces
os
. Cette raréfaction se retrouve au niveau des os
tissu osseux de ces os. Cette raréfaction se retrouve au niveau des
os
du crâne et permet la ra- diographie du cerveau
sie périostale, il s'agit d'une dystrophie dans l'ossification des
os
à ébau- che fibreuse, dans la formation de l'os
l'ossification des os à ébau- che fibreuse, dans la formation de l'
os
par le périoste : il y aurait hyper- activité d
diffèrent, on comprend que dans certains cas, localisés à certains
os
, ils puissent occasionner des déformations compar
de Nalbandofl" (4) il s'agit avant tout d'un trouble trophique des
os
eux- mêmes. Nous n'avons malheureusement pas ob
côté gauche. Il ne paraît pas y avoir de lésions articulaires. Les
os
offrent la même transparence que ceux de la mai
u-dessus de l'insertion de l'o- reille, solution de continuité de l'
os
, d'un diamètre de 2 centimètres. Cette ou- vert
t possible que le fais- ceau pyramidal gauche, aiusi appliqué sur l'
os
sous-jacent ait été mis hors d'état de fonction
le, une extrémité supérieure du radius légèrement réduite. Les deux
os
de l'avant-bras sont réellement complets,mais b
i- ques, peut-ou dire approximativement. L'extrémité supérieure des
os
de l'avant-bras est très développée, à peu près
normaux. Aussi le corps et surtout les extrémités inférieu- res des
os
de l'avant-bras sont brusquement réduits et très
ment réduits et très fortement réduits. La diminution de volume des
os
et des autres tissus de l'avant-bras est immé-
peau, d'autre part au tissu fibreux dense situé aux lieu et place des
os
du carpe et du métacarpe absents ; en outre cet
tyloïde, ce qui est appréciable si on se reporte aux dimensions des
os
dans le cas présent ; un autre faisceau, étalé, c
on se fait à un centimètre au-dessus de l'extrémité inférieure de l'
os
. Fig. 9. - Face postéro-externe. a, Longue po
'est possible de rien disséquer : depuis l'extrémité inférieure des
os
de l'avant-bras jusqu'à l'origine des doigts, i
relativement éloignés l'un de l'autre. - L'extrémité inférieure des
os
de l'avant-bras est aussi petite que leur extré-
veau, au-dessous de l'humérus, deux petits fragments appartenant aux
os
am- putés. Un peu en retrait sur l'extrémité
s de l'humérus, mais rap- prochées l'une de l'autre, de sorte que l'
os
, au lieu d'être aplati d'avant en ar- rière, es
es : au lieu d'un orteil, on y voit une espèce de mamelon mou, sans
os
à l'intérieur, resserré à sa base par une sorte d
iers supérieur, c'est-à-dire la portion deltoï- dienne. A droite, l'
os
est un peu plus long qu'à gauche ; il se termine
en s'effilant à leur partie inférieure. L'extrémité inférieure de l'
os
fait saillie sous la peau. La cuisse gauche n
de 5 mois. Il y a au coude un rudiment composé de la naissance des
os
radius et cubitus avec quelques os du carpe, le t
ment composé de la naissance des os radius et cubitus avec quelques
os
du carpe, le tout formant un moignon arrondi, à
qui se trouve situé un peu plus haut et sur un plan postérieur. Ces
os
présentent en raccourci la forme de leurs congénè
de la tête (tubérosité bicipitale), l'autre à la partie moyenne de l'
os
, et qui représente les rugosités qui se voient
E NUMÉRIQUE DES TISSUS 307 Enfin, les extrémités inférieures de ces
os
sont épaisses et rappellent la con- formation d
os sont épaisses et rappellent la con- formation des extrémités des
os
normaux. Elles sont rattachées l'une à l'autre
L'humérus était aussi long que le gauche, mais plus grêle. Les deux
os
qui constituaient le squelette rudimentaire de l'
ion huméro-cubitale était à peu de chose près normale, sauf que les
os
de l'avant-bras étaient bien plus petits que de
tendon du biceps venait s'insérer à une rugosité de l'un des petits
os
, qui re- présentait le radius. On y voyait auss
antérieur s'insérait à la coronoïde cubitale. Mais au-dessous, les
os
allaient s'effilant brusquement et se terminant
. Les deux tubercules de la peau correspondaient aux extrémités des
os
, mais ne leur adhéraient pas, contrairement à c
tubercule un peu plus volumineux, dans l'épaisseur duquel était un
os
très mobile inséré sur le radius. Dissection du
g supinateur et s'insère inférieurement à la partie inférieure de l'
os
externe qui remplace le radius. Le court supinate
ts in- séré à la peau, et le cubital postérieur inséré sur le petit
os
mobile à l'extrémité inférieure du cubitus, et
ier métacarpien. Dans l'espace in- tercepté entre ces deux derniers
os
, on cesse de sentir d'autres os, et on est cert
n- tercepté entre ces deux derniers os, on cesse de sentir d'autres
os
, et on est certain que les métacarpiens de l'an
isinférieurement.le grand palmaire va à l'extrémité supérieure de l'
os
que nous avons considéré comme le zu mé- tacarp
ns considéré comme le zu mé- tacarpien ; le cubital s'insère sur un
os
pisiforme. A la région profonde de l'avant-bras
érieurs de la face anté- rieure du radius et au bord externe de cet
os
. Au niveau du poignet, il donne naissance à un
de la face externe du long cartilage qui représente le tibia (seul
os
do la jambe ici). Jambe. Pas de muscles à la ré
térieure du tibia et se bifurque au niveaudu tiers inférieur de cet
os
en deux branches : l'une externe, grêle, se HÉM
y a à signaler que l'absence du saphène externe au membre gauche.
Os
. - Membre supérieur droit. - Carpe. Ire rangée. L
Ire rangée. Le scaphoïdc n'a pas de facette correspondant au grand
os
, lequel est confondu avec plusieurs des os cont
e correspondant au grand os, lequel est confondu avec plusieurs des
os
contigus. Le semi-lunaire, plat à sa face infér
par anomalie, au scaphoïde, et une autre facette large répondant à l'
os
anor- mal que nous verrons tout à l'heure. Le
que nous verrons tout à l'heure. Le pyramidal se perd dans ce grand
os
anormal répondant à la 2" rangée. Le pisiforme
omalie, qu'avec la partie externe du 2" métacarpien. ' . Le grand
os
anormal paraît résulter de la fusion du pyramidal
grand os anormal paraît résulter de la fusion du pyramidal, du grand
os
et de l'os crochu. Métacarpe. - Il y a seulem
rmal paraît résulter de la fusion du pyramidal, du grand os et de l'
os
crochu. Métacarpe. - Il y a seulement trois mét
par son extrémité supérieure au trapèze, au trapézoïde et au grand
os
anormal ; il s'articule quelque peu avec le 5e mé
ien. Le 5a métacar- pien, plus petit et plus large, répond au grand
os
. L'extrémité inférieure du 2e métacarpien s'uni
erait le médius. Membre supérieur gauche. Le carpe se réduit il 3
os
: le scaphoïde ré- pond en haut au radius ; en
bas, il joue le rôle du trapèze, car il s'articule avec le premier
os
de la pince ; il offre une face interne verticale
e s'unit, en haut au radius, en has, par une petite facette, au 1er
os
: de la branche externe de la pince, en dedans au
tte, au 1er os : de la branche externe de la pince, en dedans au 3e
os
anormal. Sa face antérieure est divisée en deux p
gales par un sillon qui ne comprend que les 2/3 de l'épaisseur de l'
os
. C'est donc là un arrêt de division de l'os et
2/3 de l'épaisseur de l'os. C'est donc là un arrêt de division de l'
os
et c'est la seule trace de la composition qu'affe
le trace de la composition qu'affecte normale- ment le carpe. Le 3e
os
est le plus'gros des trois ; prismatique et trian
e, il répond, en haut, au ligament triangulaire, en bas, au premier
os
de la bran- che interne. La face dorsale de c
verte par des tractus fibreux résistants qui maintiennent les trois
os
entre eux. Métacarpe. - Deux os seulement. : le
stants qui maintiennent les trois os entre eux. Métacarpe. - Deux
os
seulement. : leur et 5e métacarpiens. Le leur s'u
lement. : leur et 5e métacarpiens. Le leur s'unit aux deux premiers
os
du carpe ; le 5° s'unit seulement au grand os ano
nit aux deux premiers os du carpe ; le 5° s'unit seulement au grand
os
anormal. Membres inférieurs. Les condyles exter
la masse des moignons pédieux. Etat d'ossification du squelette. -
Os
du carpe : Tous cartilagineux. ' HÉMIMÉLIE AVEC
ne lamelle osseuse plate, bifide supérieurement et ne formant qu'un
os
unique. XIII. DRON, Sur un cas d'hémimélie bi-t
ans, avait un moignon droit conique, sans adhérence de la peau à l'
os
. Pas de tra- ces de cicatrice, mais au sommet d
ant-bras. Revue d'orthopédie, 1891. I. A gauche : 13 ans ; les deux
os
de l'avant-bras existent, mais se termi- nent b
mité de la verge pendante. Dans la jambe nous n'avons pu sentir qu'un
os
, et cet os, légèrement incurvé, à convexité ext
rge pendante. Dans la jambe nous n'avons pu sentir qu'un os, et cet
os
, légèrement incurvé, à convexité externe, se term
ulaire, qui rappelle la malléole externe. D'après la situation de l'
os
on pourrait être amené à croire qu'il s'agit du p
ant; le calcanéum paraît très irrégulier. On ne peut distinguer les
os
du tarse qui semblent soudés à l'os unique de l
lier. On ne peut distinguer les os du tarse qui semblent soudés à l'
os
unique de la jambe. Le métatarse existe au comple
ci, l'hémimélie est réduite à sa plus simple expression, car l'un des
os
de la jambe, quoique normalement constitué, exi
A l'ex- trémité postérieure du métatarsien se placent trois petits
os
rudimentaires, unis par des capsules aux-précéd
n, sur le prolongement du squelette du gros orteil, existe un petit
os
pisiforme, isolé des précédents. Ces différents o
l, existe un petit os pisiforme, isolé des précédents. Ces différents
os
paraissent être l'ébauche du premier cunéiforme
lange du petit orteil. Il se dirige obliquement en arrière vers les
os
du tarse et se perd dans le tissu cellulaire sous
rtions de l'abducteur du petit orteil. Nerf. - Emergeant sous les
os
du tarse, il se divise bientôt en trois bran- c
couche celluleuse ; 4° le massif osseux représentant le groupe des
os
du carpe, du métacarpe et des os non développés
osseux représentant le groupe des os du carpe, du métacarpe et des
os
non développés, le tout recouvert par une couche
e l'arrêt d'accroissement semble avoir porte également sur les deux
os
. hémimélie avec atrophie numérique DES TISSUS 3
ia- physe leurs détails anatomiques normaux, mais ressemblent à des
os
d'enfant. Seule leur extrémité inférieure a sub
deux faces, une crête peu marquée indique le point de soudure de l'
os
du moignon au radius. Sur le bord externe se vo
endon grêle à la partie la plus interne de la face postérieure de l'
os
du moignon. Quelques fibres vont se perdre sur
s'insérer à la partie [la [plus externe de la face antérieure de l'
os
du moignon. Anconé. Bien formé ; insertions nor
e superficielle adhère à la peau. Sa face profonde est séparée de l'
os
par une couche celluleuse, qui est tellement lâ
petit pois ; ces trois zones osseuses siègent, l'une au milieu de l'
os
, les deux autres assez rapprochées, à l'extrémité
bitus sur son bord interne. Le carpe n'est représenté que par trois
os
qui paraissent être le trapèze, le grand os, le
eprésenté que par trois os qui paraissent être le trapèze, le grand
os
, le pyramidal, le trapèze articulé avec l'extrémi
acarpien, le pyramidal avec l'autre métacarpien. Quant au troisième
os
du carpe, interposé entre les deux autres et un
supérieure du 2e métacarpien. Mais la signification attribuée à ces
os
du carpe est hypothétique, et ne présente point d
oit très nettement les extrémités du cubitus et du radius. Ces deux
os
étaient très incurvés. Radiographies : le rad
tré- mité inférieure, l'apophyse styloïde manque. En avant des deux
os
, séparées d'eux par deux sortes d'interlignes,
raissent en partie fusionnés." Les radiographies montrent un seul
os
à l'avant-bras ; il ressemble plutôt au radius
e Mouchet et Vaillant. Cependant, par son extrémité supérieure, cet
os
unique de l'avant-bras pré- sente quelques cara
une trochlée, mais par une sorte de juxtaposition latérale des deux
os
. L'extrémité inférieure de i'humérus a l'aspect
condyle, la trochlée, l'é- pitrochlée. L'extrémité supérieure de l'
os
de l'avant-bras est d'un volume plus petit, s'a
tact avec elle par sa partie externe. Le carpe est réduit à un seul
os
qui ne ressemble à aucun des os normaux du carp
erne. Le carpe est réduit à un seul os qui ne ressemble à aucun des
os
normaux du carpe ; il s'articule en haut avec l
cule en haut avec l'extrémité inférieure du radius et en bas avec l'
os
du métacarpe ; il paraît correspondre à la fois a
ien avec le trapèze 328 KLIPPEL ET BOUCHET modifié. Dans ce cas l'
os
du carpe correspondrait seulement au scaphoïde. L
es doigts sont au nombre de deux, mais ils sont en partie soudés. L'
os
qui s'ar- ticule avec la tête du métacarpien pa
obilité indépendante. La radiographie du membre montre que les deux
os
de l'avant-bras existent avec leurs saillies et
radiale; enfin on ne trouve pas trace de l'apophyse slyloïde de cet
os
. Les os du poignet et de la main font défaut ; no
enfin on ne trouve pas trace de l'apophyse slyloïde de cet os. Les
os
du poignet et de la main font défaut ; notons seu
assin qui parait normal. On est embarrassé pour déterminer quel est l'
os
qui supporte ce membre abdominal, fémur ou tibi
érienne, pas de trace de courbures fémorales, pas de condy- les ; l'
os
, au lieu d'être cylindrique comme un fémur est pl
. Le membre supérieur droit n'est représenté que par le bras dont l'
os
forme à son extrémité inférieure, comme une sor
us pe- sant que normalement; le cubitus n'est formé qu'aux 2/3. Des
os
du carpe 3 seulement sont développés : scaphoïd
le tiers supérieur du cubitus est formé ; au carpe, il y a un seul
os
; au métacarpe, un seul doigt est entier ;' le po
ne du vertex, le cuir chevelu est épaissi, oedématié, et adhérent l'
os
qui fait saillie. Celui-ci, de son côté, adhère à
bservés au cours de la syringomyélie : que ceux- ci portent sur les
os
, les muscles, le revêtement cutané, ils consisten
aussi bien que leur structure étaient normales. Les articulations des
os
du carpe entre eux et avec les métacarpiens et
culations des os du carpe entre eux et avec les métacarpiens et les
os
de l'avant-bras ne présen- taient aucune lésion
elette, la radioscopie fait voir d'un côté que l'augmen- tation des
os
est régulière et s'étend à tout le squelette de l
ette de la main tandis que dans la cheiromégalie l'augmentation des
os
est irrégulière ou bien fait complètement défau
sys- tème nerveux, les I issus constitutifs d'un segment de membre (
os
, muscles, tissu conjonctif, peau) réagissent di
euve interne-externe donne une projection beaucoup plus grande. Cet
os
est donc aplati lui aussi, mais suivant un plan
s au lieu de s'articuler avec l'épiphyse supé- rieure du tibia, cet
os
, trop long pour un tibia trop court, va s'articul
c le corps du fémur, l'angle obtus disparaissant peu à peu, dans un
os
mou, sous l'effet du poids du corps, pour arriv
e très aigu, aussi la cuisse très raccourcie et remontée le long de l'
os
coxal est-elle en adduction exagérée. Des deux
érine, en raison de l'inégalité de la jointure, de l'arrêt des deux
os
del'avant-bras au même niveau, et surtout de ce f
développement que d'une amputation intra-utérine, car la forme des
os
de l'avant-bras rappelle celle des os normaux, at
tra-utérine, car la forme des os de l'avant-bras rappelle celle des
os
normaux, atrophiés dans leur totalité ; le radi
e qui représente les rugosités où s'insère le rond pronateur sur un
os
normal ; il est évident que ces rugosités n'exi
normal ; il est évident que ces rugosités n'existeraient pas sur un
os
qui.aurait été sectionné vers son extrémité sup
daire du membre amputé. Mais, comme dit Mouchotte, d'une part les
os
de l'avant-bras, dans les cas d'hémimélie thora
uvent soit la dissection, soit la radiographie, soit le palper, des
os
complets et non sectionnés en un point de leur
des os complets et non sectionnés en un point de leur trajet ; ces
os
sont courts, raréfiés, incurvés parfois, atroph
é- rieures et ils représentent dans leur configuration l'aspect des
os
nor- maux, à part les dimensions et quelques dé
onsécutif à la section du membre, faite immédiatement au-dessus des
os
du carpe. HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES
e bourgeon est déjà segmenté, on a un hémimélien. L'incurvation des
os
de notre sujet et leurs déformations semblent b
e, puisque le squelette de l'avant-bras ne se compose que d'un seul
os
; il ne peut pas être plus question de régression
r la partie centrale du myotome. Après la quatrième semaine : Les
os
de l'avant-bras sont courts et épais. Le cubitu
légèrement plus avancé en développement que le membre inférieur.
Os
: L'humérus est en continuité avec l'omoplate qui
quer quelques centres de condensa- tion qui représenteront tous les
os
du carpe, sauf le pisiforme. Le scaphoïde est e
e 5e métacarpien est dans son prolongement plus que dans celui de l'
os
crochu. Toute la main a une légère courbure, su
e qui sera cartilage, est impossible. Après la sixième semaine.
Os
: L'omoplate est cartilagineuse. La clavicule est
coracoïde et l'acromion, est très visible. Extrémités distales des
os
de l'avant-bras sont élargies et séparées par d
fférenciés. Après la septième semaine, embryon de 20 millimètres.
Os
: Os du carpe, cartilagineux, dans leur position
nciés. Après la septième semaine, embryon de 20 millimètres. Os :
Os
du carpe, cartilagineux, dans leur position défin
otre sujet,sont en rapport d'intensité pour les muscles et pour les
os
, avec la chronologie qui, à l'état normal, prés
udiments, id., p. 630 ; Structure histologique et développement des
os
de ces monstres. Acad. des Sciences. Paris, 190
u exostoses ostéogéniques.se montrent en' général à l'extrémité des
os
longs et de préférence sur celle des extrémi- t
as plus d'ailleurs que les « nombreuses bosses » que présentent les
os
des membres. (I) Piiiimii Uwum, Presse médicale
stant l'un contre l'autre. Si l'on en excepte le radius gauche, les
os
longs des membres ne présentent pas de courbure
T Dès la naissance, la mère aurait constaté que l'enfant avait « un
os
qui faisait une petite bosse » à l'avant-bras g
ucune malformation n'est appréciable sur la colonne vertébrale ou les
os
du bassin. Crâne un peu fort, sans saillies a
rencontre l'un de l'autre pour combler l'es- pace séparant les deux
os
et souder l'un à l'autre le radius et le cubitus.
issement tenant à la diaphyse, ont été refoulées loin de la tête de l'
os
par les couches osseuses de formation plus réce
de formation plus récente. D'autres exostoses for- ment autour de l'
os
un véritable manchon à point de départ périoste.
enfant de sept ans 1). Sont res- - pectés, ajoute Pierre Marie, les
os
qui se développent sans passer par une phase ca
héréditaire qui nous occupe aujourd'hui a pour siège d'élection les
os
longs des membres. Là encore c'est au voisinage d
on- trairement à ce qui paraît exister chez l'achondroplasique, les
os
du tronc, omoplate, bassin (bassin épineux), co
omoplate, bassin (bassin épineux), colonne vertébrale, ainsi que les
os
du crâne sont intéressés. Il est vrai qu'ils so
intéressés. Il est vrai qu'ils sont beaucoup moins touchés que les
os
des membres. Ainsi achondroplasie et dystrophie
aux dépens des multiples éléments qui assu- rent la formation de l'
os
, cartilage et périoste pour les membres,tissu em-
douleurs intenses, puis graduellement elles devinrent dures comme l'
os
lui-même et indolores à la pression ; actuellem
son du progrès de l'exoph- talmie, de- l'augmentation du volume des
os
et de l'avancement de la mandi- bule (PI. LXXXI
ne saillie bosselée, très dure, mais qu'on ne peut pas déplacer ; l'
os
dans sa partie inférieure est très gros et irré-
lère a insisté.Dans ce cas nous avons un épaississement exagéré des
os
du crâne, et une distribution irrégulière de ce
nt aux trous de conjugaison déformés par le processus mor- bide des
os
. Mais dans le cas actuel, outre l'abolition des r
e paralytique. Pour ce qui se rapporte à l'énorme accroissement des
os
des membres inférieurs, à l'exostose et aux ost
a pas empêché l'évolution. On pourrait croire que les lésions des
os
soient produites par des alté- rations médullai
tion du visage parurent d'abord l'aménorrhée et les altérations des
os
, ensuite les phénomènes paralytiques et amyolro-
es épistaxis, l'urticaire frappe souvent les sujets jeunes dont les
os
en voie d'ossification font appel aux sels de cha
ompter n'existe pas, ou bien se trouve intimement confondue avec un
os
voisin. La technique de l'opération apparaît al
sa diaphyse semble for- mée par l'accolement et la fusion de deux
os
; une différence de teinte bien visible sur la
e osseuse. Elle n'est plus visible dans la moitié supérieure de l'
os
qui est seulement plus volumineux qu'à l'ordina
elettiques bien conformées, mais de moindres di- mensions que les
os
correspondants de l'auriculaire normal. ' Il
une ligne sombre qui indique un épaisissement du tissu compact de l'
os
plus accentué que dans les autres métacarpiens ;
eu compacte, comme l'indique sa plus grande trans- parence. Sur cet
os
rudimentaire s'articule une phalange, et à celle-
des deux premiers segments osseux, phalange et pha- langine. Les
os
qui le constituent sont de volume moindre et de t
l'espace qui sépare le 5e du 4e métacarpien, du côté de ce dernier
os
. Cette hypothèse est encore confirmée par l'exa
ge par un corps effilé qui se perd dans les parties molles. Sur cet
os
rudimentaire s'articule une phalange, puis vien
nt encore de plus petit volume et de densité moindre que les autres
os
du pied. La Fig. 3 montre la configuration exté
la brièveté du quatrième métacarpien, à droite comme à gauche ; cet
os
est formé d'un tissu moins compact que celui de
et qu'elle exige l'intégrité absolue de tout l'appareil locomoteur,
os
, articulations et muscles, avec accessoirement
s grande que celle qu'on peut attribuer aux maladies primitives des
os
, des articulations et des muscles. La méthode d
raient presque continuellement : outre cela il a eu de la carie des
os
. Notre malade ne fut jamais en état de faire un t
(Pl. XIII). Le ventre est gros, le torse est rond, les reliefs des
os
et des muscles s'accusent à peine; un soupçon d
lu- part sont déjà adhérents aux phalanges ou aux métacarpiens. Les
os
du carpe sont au complet. Si les soudures ne
sses osseuses dans les muscles, les aponévroses, les ligaments, les
os
et aboutissant fina- lement à l'ankylose de la
fait faire également par Poggiale, l'étude chimique d'un fragment d'
os
enlevé à leur malade. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE
ion des éléments conjonctifs en général, qu'ils appar- tiennent aux
os
, aux tendons, aux aponévroses ou au tissu conjonc
conjonctives vont épaissir le périoste et s'insérer finalement sur l'
os
. On conçoit qu'il soit alors impossible de dire
sique, ayant débuté d'abord dans le muscle, est allé se joindre à l'
os
secondairement' ou si, parti de l'os, il a enva
uscle, est allé se joindre à l'os secondairement' ou si, parti de l'
os
, il a envahi ensuite le muscle. DE LA MYOSITE O
osloses peu développées ; il se présente sous cet aspect, là où les
os
longs affleu- rent la peau, à la partie interne
un segment du squelette à un autre de façon à les transformer en un
os
unique; les arcs de la colonne vertébrale, par ex
VE 425 Indépendamment des exostoses que nous venons de décrire, les
os
offrent d'autres lésions. Ils sont en général t
outre une consistance très variable : « Tandis que la diaphyse des
os
longs, les clavicules, les omoplates, les os du b
is que la diaphyse des os longs, les clavicules, les omoplates, les
os
du bassin, les côtes, les os de la tète présent
gs, les clavicules, les omoplates, les os du bassin, les côtes, les
os
de la tète présentent une dureté normale ; les ép
les os de la tète présentent une dureté normale ; les épiphyses des
os
longs, les os du pubis et les ischions, les rotul
ète présentent une dureté normale ; les épiphyses des os longs, les
os
du pubis et les ischions, les rotules offrent un
z-Mays) due à la rétraction des masses fibreuses s'insérant sur les
os
. Les cas dans lesquels on trouve la synostose d
catégorie des tumeurs, appartiennent celles qui s'insèrent sur les
os
avec une base large : exostose de la clavicule ga
eur des masses charnues, semblent, au contraire, s'être réunies aux
os
secondairement. Si une tumeur s'insère sur l'os
'être réunies aux os secondairement. Si une tumeur s'insère sur l'
os
au niveau d'une insertion musculaire et si elle
(ossi- fication des extenseurs du carpe, Munchmeyer-Mays). Si deux
os
sont réu- nis par un muscle ossifié, il est imp
' sont réunies dans un muscle, ou si un muscle ossifié a réuni deux
os
(os- sification du pectiné droit allant du pubi
s tumeurs osseuses sont blanches, moins dures et moins denses qu'un
os
ordinaire, plus légères que l'eau ; elles sont co
re, ont rencontré des ossifications plus dures et plus denses que l'
os
normal, avec une surface plus propre et plus li
; elle est devenue plus ferme et se laisse facilement détacher de l'
os
sous-jacent. Naturellement on ne constate ce ch
la sensation d'une tumeur dure, incapable d'être différenciée de l'
os
. Le temps que met une tumeur pour traverser tou
e et les deux tendons restent libres,revêtant ainsi l'as- pect d'un
os
sesamoïde, mobile ; enfin, exceptionnellement, le
et le grand dorsal dont les tendons sont transformés en un morceau d'
os
ayant les mêmes dimensions et la même forme.
é d'une couche graisseuse qui masque les reliefs des muscles et des
os
. Un torse rond, un gros ventre qui proé- mine e
(obs. Minke- witch) par des bandes s'insérant sur le pubis et sur l'
os
de la cuisse, offrant ainsi l'aspect d'une clav
uisse éclater par la formation d'exostoses sur la table interne des
os
du crâne au niveau de la zone motrice; que ces ex
ui consiste dans une prédisposition de l'organisme à fabriquer de l'
os
dans l'appareil locomoteur, prédisposition souv
d'autres centres trophiques; la multiplicité des systèmes atteints,
os
, muscles aponévroses, tissu conjonctif et cela
masses osseuses multiples sur tout l'appareil locomoteur, muscles,
os
et aponévroses ; le siège de prédilection de ce
rois du creux axillaire; la formation d'exostoses multiples sur les
os
; l'immobilisation des articulations par un man
plus fermes et finalement revêtant l'aspect et la consistance de l'
os
; tous ces caractères, feront immédiatement recon
ne se voit jamais à cheval sur une suture, il reste confiné sur un
os
, sur le pariétal, le frontal ou l'occipital, ta
ont plus multiples : dans les muscles, les apo- névroses et sur les
os
, et où la reproduction, après une intervention, e
muscles ronds et grand dorsal, tous les trois confondus en un seul
os
et adhérant lui-même au bord externe de l'omopl
u côté opposé. Le tendon d'Achille est tendu comme une corde. Les
os
de la jambe sont gros à leur partie inférieure, i
aussi le nom de anencéphales. Dans d'autres cas, non seulement les
os
de la voûte crânienne sont fen- dus, mais la sc
ovoquer des difformités très accusées du cerveau, c'est lorsque les
os
crâniens se sont soudés pen- dant la vie embryo
serve une très petite tête où les fonta- nielles manquent et où les
os
crâniens sont soudés. Ce sont là les micro- cép
'anomalie de la voûte crâ- nienne, ni d'ossification prématurée des
os
crâniens ; au contraire, malgré un fort degré d
emi-transparente et avait l'aspect d'une lanterne rosée. Tous les
os
crâniens sont séparés, de sorte que, par exemple,
les os crâniens sont séparés, de sorte que, par exemple, entre les
os
pariétaux il y a une distance de 4 centimètres en
tre les os pariétaux il y a une distance de 4 centimètres entre les
os
frontaux, de 5 centimètres entre l'os pariétal
ce de 4 centimètres entre les os frontaux, de 5 centimètres entre l'
os
pariétal et l'os frontal, 3 cm. 1/2 entre l'os
es entre les os frontaux, de 5 centimètres entre l'os pariétal et l'
os
frontal, 3 cm. 1/2 entre l'os Nouv. Iconographi
5 centimètres entre l'os pariétal et l'os frontal, 3 cm. 1/2 entre l'
os
Nouv. Iconographie DE la Salpêtrière. T. XI. PI
y ) SUR LES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU CERVEAU 187 pariétal et l'
os
occipital, 4 centimètres, et entre l'os pariétal
U CERVEAU 187 pariétal et l'os occipital, 4 centimètres, et entre l'
os
pariétal et l'os tem- poral, 3 centimètres. '
ariétal et l'os occipital, 4 centimètres, et entre l'os pariétal et l'
os
tem- poral, 3 centimètres. ' A la section de
r d'une noix. Dans la fosse crânienne antérieure on ne voit que des
os
et le long de la ligne médiane courent des faisce
e la ligne médiane courent des faisceaux qui commen- cent entre les
os
frontaux et s'attachent à la membrane qui recouvr
La circonférence de la tête était de 42 cm. 5. La distance entre les
os
pariétaux était de 4 centimètres, entre les os
a distance entre les os pariétaux était de 4 centimètres, entre les
os
frontaux ),5, entre l'os pa- riétal et l'os occ
pariétaux était de 4 centimètres, entre les os frontaux ),5, entre l'
os
pa- riétal et l'os occipital de 2 centimètres.
centimètres, entre les os frontaux ),5, entre l'os pa- riétal et l'
os
occipital de 2 centimètres. La tète était fluctua
oppes du crâne, il se produisit une hémorrhagie dans la région de l'
os
occipital. A la section de la tète il s'écoula 83
ula 830 centimètres cubes d'un liquide jaune foncé. L'épaisseur des
os
était normale, toute la cavité du crâne était p
ait épaissi et sa surface parsemée d'hémorrhagies pointillées ; les
os
de la voûte crânienne étaient recouverts d'une
s un sac complètement fermé, car les membranes qui recouvraient les
os
de la voûte crânienne et une partie de la base, p
ué'sur la base du crâne; mais alors on n'aurait dû observer sur les
os
de la voûte crânienne qu'un seul feuillet de la d
t une légère rainure indiquant le trajet de la su- ture de ces deux
os
. Voici ces deux observations. OBSERVATION (M.
puis tuméfaction splé- nique ; à trois mois, affaissement total des
os
propres du nez ; finalement, cachexie, marasme
ans aucune hésitation, un hérédo-syphilitique. L'épaississement des
os
du crâne, la forme même de ce crâne, la spléno-
'environ cinq ans, comme on peut le reconnaître par la grosseur des
os
, elle a cepen- dant plus de sept pouces de long
n'est que de qua- tre pouces entre l'angle antérieur inférieur de l'
os
pariétal d'un côté et le même angle du pariétal
dépression est d'environ une ligne dans quelques endroits ; ces mômes
os
sont plus longs à proportion que les autres ; i
les autres ; il y a près de cinq pouces et demi de distance entre l'
os
frontal et l'occipital à l'endroit de la suture s
- trémités antérieure et postérieure ; et dans toute son étendue, l'
os
est aussi lisse et régulier qu'au niveau de la
ues, mais en général petites. Cet aspect est tout à fait celui de l'
os
affecté d'ostéotome gommeux lorsqu'on l'a débarra
e aspect criblé de petites lacu- nes pénétrant dans l'intimité de l'
os
. Quelques-unes de ces dépressions présen- tent
rès fines et de tractus vermiformes pénétrant dans l'intérieur de l'
os
. 9° Quelques particularités relatives au maxill
t très développées, et il existait un écar- tement considérable des
os
de la voûte ; on notait en outre : une saillie as
ôpital Tenon. Hôpitaux. L'atrophie de tout un membre, y compris les
os
, est bien connue au cours de la paralysie infan
masses mus- culaires de la cuisse, du mollet et de la jambe, et les
os
. La différence de circonférence d'un côté à l'a
ient iden- tiques pour chaque membre. La diminution de volume des
os
dans le sens transversal est très apprécia- ble
x et nerveux. - Il existe des diffé- rences considérables entre les
os
des deux membres inférieurs. Ils ne parais- sen
avec les parties molles, des mensurations sont prati- quées sur les
os
de la jambe de chaque côté. Le péroné sain mesu
le tubercule antérieur du tibia, sont beaucoup plus marquées sur l'
os
sain que sur son congénère. Il en est de même de
te de la face postérieure (ligne oblique du tibia). La forme de l'
os
est d'ailleurs très différente, ainsi qu'on peut
s différente, ainsi qu'on peut s'en rendre compte sur la coupe de l'
os
pratiquée après durcissement (fig. 1). Alors que
, en outre, une légère dé- (1) IILroeanr.cu, Dict. Dechanxbre, art.
Os
, p. 191. (2) Lannelongue, Coxotuberculose, Pari
36, le pied gauche 3 : i. L'atrophie parait surtout marquée sur les
os
dans leurs dimensions transversales. Le tibia dro
;'M anatomiques et chi¡'U7'gicafes, Turin, 4787, t. V, Maladies des
os
, p. 301. Clarch., homme pauvre, a commencé à se
ui a augmenté petit petit jusqu'à l'ankylose com- plète de tous les
os
; les humeurs de cet homme étaient tellement disp
de cet homme étaient tellement disposées à l'ossification qu'aucun
os
n'avait conservé sa forme habituelle; ils avaient
ux noeuds du corail blanc; toute la colonne ver- tébrale formait un
os
continu, d'où s'élançait une épine qui ressemblai
ltoïde soudée iL la clavicule, par exemple, ne diffère en rien de cet
os
: même couleur, même dureté, même direction des
rtions ossifiées de la même manière qu'elles le font sur les autres
os
par de petites fibres aponévrotiques qui vien-
jà dit, il y en a presque partout un qui semble naître de celui des
os
avec lequel les ossi- fications nouvelles se tr
du biceps crural. Portion blanche, moins dure et moins dense qu'un
os
ordinaire, plus légère que l'eau. Examinée la l
ait intimement aux deux comme s'ils s'inséraient sur le périoste d'un
os
naturel. L'un des bords était uni, l'autre, en
étendue de 8 centimètres. La plus grande partie est formée par de l'
os
, une petite portion est cartilagi- neuse, plusi
les, du périoste, du cartilage, et tous les éléments d'un véritable
os
à l'examen micros- copique. Peau crasseuse, séc
es nouvelles formations osseuses sont plus denses et plus dures que l'
os
naturel, elles offrent une surface plus propre
côtes. Les grands pectoraux sont entièrement fixés et convertis en
os
. Le bord inférieur du grand pectoral droit ossifi
érieur de la cuisse et du vaste interne est maintenant dure comme l'
os
; elle est longue, de 8 centimètres, large de 3.
plus court et plus épais ; celui-ci semble être constitué par deux
os
: résultat d'une fracture mal réduite et consolid
férieur de l'omoplate émet une bande osseuse qui va s'insérer sur l'
os
iliaque ; une autre masse, située sur l'iliaque g
anches étaient complètement ankylosées, en même temps apparition de l'
os
. 294 A. WEILL ET J. NISSIM sification dans l
osseux. Il en est de même des muscles qui s'insèrent au menton, à l'
os
hyoïde, au larynx et au sternum. Thorax aplati. O
se mêlant avec la 4e vertèbre lombaire; elle se prolonge jusqu'à l'
os
iliaque gauche. Les côtes droites sont libres, ta
t il gau- che. Aux jambes et aux pieds, une mobilité limitée. Les
os
du squelette possèdent un volume très considérabl
considérable et une consistance très différente : les diaphyses des
os
longs, les clavicules, les omoplates, les os du
ente : les diaphyses des os longs, les clavicules, les omoplates, les
os
du bassin, les côtes, les os de la tète présent
gs, les clavicules, les omoplates, les os du bassin, les côtes, les
os
de la tète présentent une dureté normale ; les ép
s os de la tète présentent une dureté normale ; les épi- physes des
os
longs, les os du pubis et les ischions, les rotul
e présentent une dureté normale ; les épi- physes des os longs, les
os
du pubis et les ischions, les rotules, offrent un
oient dans les parties molles ; celles-ci tantôt sont t réunies aux
os
, tantôt elles restent libres. Muscles de la mim
olie dans la mâchoire inférieure. Un pont osseux unit le corps de l'
os
hyoïde à la partie moyenne de la moitié droite
al par suite de l'épaississement de l'apophyse odontoïde de l'axis.
Os
de la face très développés, l'épaisseur des os du
odontoïde de l'axis. Os de la face très développés, l'épaisseur des
os
du nez est particulière- ment choquante ; ils s
voit une pointe osseuse tellement mobile sur l'angle supérieur de l'
os
qu'on la dirait réunie il l'omoplate par une ar
on osseux gros comme le doigt s'étendant du rebord costal jusqu'à l'
os
pubien ; à gauche quelques noyaux durs, isolés.
ite, douloureuse à la pression. Rien ailleurs dans la cuisse et les
os
du bassin. Deux mois après, la tumeur est attirée
limitées, l'exten- sion est entièrement abolie. Epaississement de l'
os
frontal au niveau d'une cicatrice. Muscles de l
'angle inférieur de l'omoplate et se termine en bas, tout près de l'
os
iliaque, en un appendice bifurqué. Muscles de la
l'inspiration est de 1 cent. 1/2 à 2 1/2. Plusieurs exostoses dans l'
os
iliaque droit t 306 A. WEILL ET a. NISSIM une
mé en une masse dure, calleuse dans laquelle se trouvent enfermés l'
os
hyoïde et le cartilage thyroïde, de telle sorte q
s les parties molles, plus tard immo- biles s'ils se réunissent aux
os
. Ils sont presque symétriquement situés et réun
s aplaties. La musculature des régions citées a la consistance de l'
os
, le grand dorsal gauche notamment, se montre co
htal- mie à droite. Ecartement des mâchoires, un demi-centimètre. L'
os
zygomatique et l'apophyse zygomatique des mâcho
tion vers l'angle inférieur de l'omoplate, une autre en bas, vers l'
os
iliaque et la colonne lombaire; elle-même va se
n dedans, une ramification qui se subdivise en rameaux allant sur l'
os
iliaque droit, le sacrum et les saillies osseuses
ostérieure et supérieure droite. 7 août. - Chute, fracture des deux
os
de l'avant-bras gauche à l'union des tiers moye
ONDYLOSE RHtZOMÉLIQUE 329 limité du sternum, situé au milieu de cet
os
, est douloureux ; en même temps se produit la «
ur une surface large comme la main, allant des dernières côtes il l'
os
iliaque. De plus, il existe au milieu du sternu
ren est décrite en détail par M. Marie. Elle est constituée par les
os
iliaques, le rachis et les côtes d'un individu
ue le ligament surépineux ossifié. En outre le sacrum est réuni à l'
os
iliaque par des jetées osseuses ; un grand nombre
omélique sont de deux ordres : Une production de tissu osseux sur l'
os
(exostoses, liyperostoses, synos- toses), une o
sant tous les tissus, la peau qui a conservé son aspect normal, les
os
qui sont lisses au toucher. Le maxillaire supér
. L'hypertrophie respecte la moitié droite des lèvres ainsi que les
os
de la face, l'orbite, les maxillaires supérieur
face, l'orbite, les maxillaires supérieur et inférieur droits, les
os
de la moitié droite du crâne. Les rebords alvéo
côté droit du corps, les membres et la face avec participation des
os
en quelques points. La peau nor- male présente
ntimètres à gauche de la ligne médiane. Les tissus mous ainsi que les
os
sont augmentés de volume. La joue dans sa total
é en avant; l'examen radioscopique rend bien compte de ce fait. Les
os
propres du nez sont hypertrophiés à droite. La br
trait. Quelques chiffres vont nous prouver cette hyper- trophie des
os
: de l'angle de la mâchoire inférieure, plus mous
LE 355 L'hypertrophie atteint ordinairement les tissus -mous et les
os
sous-ja- cents (11 cas). La joue est augmentée
rchromie du cuir chevelu dans la région occipitale. Dans 7 cas, les
os
participent complètement à l'hypertrophie : tout
ent complètement à l'hypertrophie : tout le maxillaire supérieur, l'
os
malaire, le maxillaire inférieur qui peut être
être prognathe (Sabrazès et Cabannes), les rebords alvéolaires, les
os
propres du nez, l'os frontal dont la bosse est
zès et Cabannes), les rebords alvéolaires, les os propres du nez, l'
os
frontal dont la bosse est volumineuse. Leur surfa
re, exceptionnellement irrégulière et rugueuse (cas de Kiwull). Les
os
peuvent être saillants en quelques points, sans ê
très augmentés de volume (Friedreich, Passauer, Ziehl). Enfin, les
os
peuvent être tout à fait normaux, l'hypertrophi
pertrophie des veines, des lymphatiques, parfois des muscles et des
os
, plus rarement des nerfs, et cela à un degré qu
Fischer est à rapprocher de celle qui ratta- che l'augmentation des
os
et des parties molles à la présence de noevi an-
processus d'ossification épiphysaire(4) : au voisinage des extrémités
os
(1) Loc. cit. (2) Miram. Thèse de Dorpat, 181
de la lèvre supérieure est moins marqué à gauche qu'à droite. Les
os
de la face, le corps du maxillaire supérieur, la
tonnière intéressant non seulement les tissus mous, mais encore les
os
. L'augmentation de volume de la lèvre inférieur
puis la partie médiane de la symphyse jusqu'au milieu du corps de l'
os
. Dans sa partie gauche, en arrière, il semble n
de la suture sagittale. Le rebord orbitaire supérieur saillant et l'
os
malaire très proéminent surplombent le globe ocul
e vo- lume des vaisseaux rétiniens. L'augmentation de volume de l'
os
propre du nez et de son cartilage fait que le s
u malade, la déformation, particulièrement celle du frontal et de l'
os
malaire, est lentement mais manifestement progres
ité des nerfs dans un membre s'accompagne plutôt d'une atrophie des
os
et cela dans un bref délai. Schiff pense que ce
M. Schiff, Recherches sur l'influence des nerfs sur la nutrition des
os
. Comptes rendus de l'Académie des sciences, 185
83. M. Schiff. Rech. sur l'influence des nerfs sur la nutrition des
os
. Comptes rendus de l'Acad. des sciences, 1834,
tée de volume; les fontanelles étant considérablement étendues, les
os
de la voûte crânienne étaient écartés et s'enfonç
dans les parties latérales de la fosse médiane il n'y avait que des
os
re- couverts de périoste ; dans la fosse crânie
s d'une membrane très fine, il travers laquelle transparaissent les
os
sous-jacents, et c'est seulement dans le centre d
ansforme en une membrane, qui recouvre la table interne de tous les
os
crâniens. Ainsi, dans ce cas, on voit que dans
érieurement. Nous voyons la base du crâne, réduite simplement à des
os
, recouverts de périoste, et ce n'est que dans la
AS SOLOVTZOFF la forme d'une vésicule à parois fines, tapissant les
os
du crâne. Elle est au contraire aplatie et fort
e prend pas l'as- pect d'un globe recouvrant la surface interne des
os
, quand même, il faut considérer que cette dispo
eaux fibreux qui vont du tronc cérébral vers la surface interne des
os
, permettent de penser à l'origine inflamma- toi
n'arrive pas à se développer par suite de la soudure prématurée des
os
du crâne. Alors on est en présence d'une tète trè
dans la collection des crânes qui se trouvent dans notre musée, les
os
frontaux et les os nasaux ne sont pas soudés en
des crânes qui se trouvent dans notre musée, les os frontaux et les
os
nasaux ne sont pas soudés entre eux. Ainsi se pro
nasale se trouve une tumeur de la grosseur d'une noix, lorsque les
os
crâniens furent enlevés, ou décou- Nouv. ICO\OO
le de ce dernier. Celle-ci résulte du développement in- complet des
os
de la voûte crânienne. Dans de pareils cas, on ne
se du crâne, apparaît comme coupée et derrière elle se trouvent les
os
. Il n'y a point de cerveau; à sa place est une me
y a point de cerveau; à sa place est une membrane, qui recouvre les
os
; plus bas, cette membrane forme un repli infundi
verture in- complète de la cavilé crânienne avec manque partiel des
os
de la voûte. Cas IV. Fillette, née à terme, aya
dent, nous voyons qu'ici, dans la partie supérieure de la tète, les
os
crâniens et la peau qui les entoure sont conser
ée a la forme d'un ovale, limité sur les côtés par ce qui reste des
os
et par la peau 3' ! t lê NICOLAS SOLOVTZOFF r
on, ainsi que les parties avoisinantes et la partie postérieure des
os
occipitaux, on voit que,dans ce cas, la partie
atéralement, mais il arrive souvent qu'ou- tre l'absence totale des
os
de la voûte crânienne, le canal rachidien est o
calotte crânienne et le cerveau manquent ; il ne reste plus que les
os
de la base du crâne, qui font saillie l'extérie
nt. En examinant ce monstre du côté postérieur, nous voyons que les
os
de la voûte crânienne manquent aussi ; la parti
l'humérus : les plaques osseuses ne sem- blent pas être réunies aux
os
sous-jacents. Pas de nodosités semblables dans le
sur quelques points du squelette. Il a trouvé qu'une partie de ces
os
néoformés qui faisaient saillie dans la musculatu
érus jusqu'à l'angle inférieur de l'omoplate : c'était un morceau d'
os
à double insertion fibreuse. Cette tentative ne f
sultat d'une opération pratiquée dans le but d'enlever un morceau d'
os
, à l'âge de 3 ans. Le bord inférieur du grand p
férieur de l'omo- plate à l'humérus, ne s'insérant pas sur les deux
os
. Au coude gauche, saillie formée par un nodule
it toute l'épaisseur du grand dorsal ; elle ne s'insérait sur aucun
os
. La mobilité du bras augmente un peu, mais ce bén
n, sans doute par suite de l'ossification des muscles profonds. Les
os
enlevés avaient l'apparence du tissu osseux norma
ation de l'omo- plate n'est pas toujours la même ; à la longue, cet
os
reste pendant quelques instants plus élevé et p
oujours plus éloigné de la ligne médiane à droite qu'à gauche, et l'
os
in loto plus élevé. De même, l'acte de porter l
ors et en avant l'angle inférieur de l'omoplate, en imprimant à cet
os
un mouvement de rotation autour de son angle su
l'omoplate en dehors et en haut, pendant que l'angle externe de cet
os
est attiré en avant et en haut par le tiers sup
de rotation pro- duisent en même temps l'élévation en masse de cet
os
(1). » Ce mouvement de rotation est permis par
mprime au scapulum un mouvement de rotation élève en même temps cet
os
. Lorsque le grand dentelé est paralysé et que le
ion abaisse l'angle externe du scapulum et fait par suite tourner cet
os
, de telle sorte que les angles interne et infér
est-ce que le scapulum en aile, sinon l'éléva- tion en masse de cet
os
, le rapprochement de son bord spinal par rapport
l'omoplate sur son axe vertical, telle que la face antérieure de l'
os
devient interne ? C'est, en d'autres termes, la p
st fortement dévié du côté droit. Tout le dos du nez, au niveau des
os
propres, est atteint d'une tuméfaction considérab
qu'une grosse molaire apparente; tout le reste du bord libre de cet
os
est surplombé par une muqueuse épaisse et inégale
ment derrière l'oreille gauche à l'âge de 4 ans 1/2. La formation d'
os
dans les pectoraux et à la partie inférieure de l
e l'onioplatê, il y a deux masses proéminentes, mais non fixées à l'
os
. Les muscles de l'omoplate même ne paraissent pas
est sain, le gauche est très raccourci, mais on ne cons- tate pas d'
os
dans ses fibres, excepté un tout petit noyau sur
droite. Ils sont peu mobiles et durs, mais non aussi rigides que l'
os
; ils donnent au loucher la sensation des lymphat
sculaires se contractent en levant le bras, légèrement mobile sur l'
os
. Sur la moitié inférieure de l'humé- rus, des d
porter à quatre classas. i ,, ). 1° Lésions en connexion avec les
os
. Deux grosseurs ovales, fermes de cha- que côté
malformation congénitale des membres supérieurs. En outre quelques
os
sont eux-mêmes augmentés de volume, l'omoplate et
laires. Ailleurs les ossifications se sont réunies secondairement aux
os
comme dans le grand fessier à droite. A gauche
Yeux normaux. Nez oblique et épaissi ; au niveau de la fracture des
os
du nez on voit des pointes osseuses. Stase vein
elques tubercules sur la face supérieure et le bord postérieur de l'
os
. Omoplates fixées et pourvues de noyaux sur leurs
se des urines en 1892 : Diminution des sels calcaires. Un morceau d'
os
enlevé au semi-membraneux a donné du tissu osseux
es muscles, dans les tendons, les aponévroses, les ligaments et les
os
; '.488 ' A. \VI',lL E'r J. NISSIlIi , , - 2°
ble. Le Muséum de Sandifort n'est vraiment riche qu'en maladies des
os
; on n'y voit, sur les parties (4) Muséum anatom
la laxité, à la longueur des ligamens latéraux de l'articulation. Les
os
du pied droit sont évidemment atrophiés. A la jam
que sur les parties dures, et néanmoins on pouvait constater dans les
os
une légère diminution de volume et un léger racco
le scaphoïde. J'ai trouvé les noyaux cartilagineux de tous les autres
os
du carpe. Le radius et le cubitus étaient parfai-
la taupe représenté, fig. 2, a en effet une disposition analogue. Les
os
pubis op, op sont réunis ; il n'y a pas de détroi
que des muscles, des ligamens, des aponévroses, des cartilages et des
os
dans le pied- bot. (planche iii, ii€ livraiso
es, nerfs, aponévroses, muscles, ligamens, cartilages articulaires et
os
furent disséqués avec le plus grand soin, et voic
RMATION Déplacemens congéniaux, Pieds-bots. Examen anatomique des
os
dans les pieds - bots chez des individus de diffé
tie aux dépens de la face cuboïdienne ou tubérosité antérieure de cet
os
; C cuboïde; iC, 2C, 3C, premier, deuxième, troisi
petit ©t cj-ox atteignait presque le sommet delà malléole interne ; C
os
cuboïde ; iC, 2G, 3G os cunéiformes. Fig. 3. El
t presque le sommet delà malléole interne ; C os cuboïde ; iC, 2G, 3G
os
cunéiformes. Fig. 3. Elle représente l'un des p
e postérieure ; déjà l'ossification s'est emparée d'une partie de cet
os
. Il s'en fallait bien que l'ossification fût auss
préciser l'époque de l'app arition des points osseux dans les divers
os
. C calcanéum , également un peu déformé , présent
ication anguleuse dans la plus grande partie de son corps. Les autres
os
du tarse sont parfaitement distincts et m'ont par
ation de l'astragale n'est pas postérieure à la naissance, et que les
os
du pied-bot encore à l'état de cartilage sont con
te le calcanéum et le scaphoïde gauches ne formant qu'un seul et même
os
, Cette variété anatomique, qui n'est certainement
cours à la scie pour diviser le prolongement osseux qui unit les deux
os
. Du reste, il est facile de se rendre compte de c
le on pourrait joindre 3° la facette moyenne et interne de ce dernier
os
. Cette cavité est complétée par le fort ligament
scie, méthode qu'on devrait peut-être employer dans la continuité des
os
du métatarse préférablement à l'amputation dans l
tatarsien et du trapèze du côté droit, intégrité parfaite de tous les
os
de la main gauche. Je me suis demandé quelquefois
emps continuée, le carpe, qui est composé d'un grand nombre de petits
os
mobiles les uns sur les autres, mobiles sur les f
é l'effacement des cavités cotyloïdes, point de conjugaison des trois
os
primordiaux qui constituent plus tard l'os coxal;
t de conjugaison des trois os primordiaux qui constituent plus tard l'
os
coxal; de cet effacement est résultée la luxation
areboutement des pieds sous le menton, a présenté un bassin dont les
os
coxaux se touchent par l'extrémité postérieure de
ion des parties va nous l'apprendre : examinons successivement i° les
os
, i° les ligamens et les aponévroses, 3° les muscl
i° les os, i° les ligamens et les aponévroses, 3° les muscles. Des
os
dans le pied-bot. Les os de la jambe sont général
ns et les aponévroses, 3° les muscles. Des os dans le pied-bot. Les
os
de la jambe sont généralement droits chez les jeu
e caractère anatomique essentiel du pied-bot est dans la courbure des
os
de la jambe? Non certes, car la courbure de ces o
ns la courbure des os de la jambe? Non certes, car la courbure de ces
os
est évidemment consécutive. Quant aux extrémité
étatarsiens, et même les trois cunéiformes, nous ne trouvons dans ces
os
rien autre chose qu'un changement de direction, n
de reconnaître le moins du monde (voyez fig. 1, 2, planche m) que ces
os
appartiennent à un pied-bot. Reste donc à examine
é le pied-bot en anatomiste, est celui de 11e livraison. 3 tous les
os
du tarse qui a subi la déviation la plus prononcé
fférens âges, fig. 4? pour être convaincu que le scaphoïde, comme les
os
tarsiens de la seconde rangée, est entraîné dans
tte antérieure du calcanéum. L'astragale est évidemment de tous les
os
du tarse celui qui a éprouvé la déformation la pl
rmation est exactement proportionnelle a.™ Jog^ J« r^d-bot. C'est cet
os
qui a entraîné dans un déplacement consécutif la
ulcérations interminables, et quelquefois la carie ou la nécrose des
os
dénudés, ainsi que j'en ai vu un exemple, sous la
continue, et dans l'autre la compression est intermittente. Pour les
os
, la continuité de la compression est une source d
remiers temps, lorsque la même disposition organique qui fait que les
os
peuvent se courber, doit faire aussi que ces même
ui fait que les os peuvent se courber, doit faire aussi que ces mêmes
os
puissent se redresser : ces idées, appliquées au
de la déviation dans les premiers temps, mais que, par la suite, les
os
setant moulés réciproquement dans une position
iv, qui prouve manifestement qu'à la naissance la déformation de cet
os
est presque aussi considérable qu'après la naissa
redressement. Ce que je dis des ligamens s'applique parfaitement aux
os
; leur redressement exige la même prudence dans l'
brusque pourrait déterminer l'usure des cartilages, la contusion des
os
; un redressement graduel, en influant lentement s
s, un caractère d'incurabilité bien plus insurmontable que l'état des
os
, des ligamens et des cartilages. Je pense que,
e que cette déviation augmente par l'exercice du membre ; parce que l'
os
est plus difficile à reformer que le cartilage, e
cellulaire; une matière grasse, ayant la consistance de la moelle des
os
ou bien du suif, recouverte par une couche plus c
i de quelle manière le sternum était perforé. La moitié droite de cet
os
avait été usée au niveau du cartilage de la premi
êtues par une pellicule mince ou fausse membrane, laquelle séparait l'
os
du sang en circulation. Les cartilages de la prem
-claviculaire ; ce n'est pas la première fois que je vois l'usure des
os
se faire d'une manière médiate : donc cette usure
u'elle rencontre, tissu cellulaire, poumon, plèvre, péricarde, nerfs,
os
, cartilages, muscles. D'une autre part, les paroi
son état; d'énormes escharres détachées du sacrum avaient dénudé cet
os
et répandaient autour du malade une odeur d'une e
ouge sang de bœuf « et qui se voyait depuis la partie inférieure de l'
os
sacrum jusqu'à la deuxième ou troisième vertèbre
ême plusieurs selles sont involontaires. Le canal intestinal et le gi^
os
intestin sont donc le siège de la maladie. — Le i
ente une coupe de l'astragale, montre en outre, dans l'épaisseur de l'
os
, à une certaine distance du cartilage, de petites
e quoi il en était pénétré. J'ai même trouvé dans l'épaisseur du même
os
, près de sa face calcanéenne, au-dessus du cartil
ées de matière crétacée, de même que les facettes correspondantes des
os
cunéiformes, et les articulations des os cunéifor
facettes correspondantes des os cunéiformes, et les articulations des
os
cunéiformes entre eux. Les articulations cunéo-mé
on est beaucoup plus considérable que du côté de la face dorsale; les
os
sont usés, comme corrodés ; les deux os sésamoïde
côté de la face dorsale; les os sont usés, comme corrodés ; les deux
os
sésamoïdes eux-mêmes OS, OS, sont en partie usés
; les os sont usés, comme corrodés ; les deux os sésamoïdes eux-mêmes
OS
, OS, sont en partie usés ; une grande quantité de
s os sont usés, comme corrodés ; les deux os sésamoïdes eux-mêmes OS,
OS
, sont en partie usés ; une grande quantité de mat
épaisseur d'une « ligne et demie. Le siège était évidemment entre cet
os
et le ligament rotulien (ce qui veut dire, sans «
rane synoviale. Au-devant de la surface articulaire du tibia, entre l'
os
et les parties ligamenteuses, couche plâtreuse ép
plâtreuse mince dans les articulations radio-carpiennes.—Soudure des
os
du carpe.—Incrustation plâtreuse épaisse et soudu
cavités très-épaisses et très-rouges. Autour de l'articulation, sur l'
os
iliaque et le fémur, petits amas crétacés qui pa-
une matière blanche en très-petite quantité, fortement adhérente à l'
os
et ressemblant à un mastic qui y aurait été appli
'attention d'enlever le moins possible de matière cartilagineuse de l'
os
. On a également détaché la matière jaunâtre forma
l'altération spontanée de la matière animale qui adhérait encore aux
os
plutôt qu'à l'existence de Y urate d ammoniaque.
psules synoviales tendineuses et sous-cutanées et jusqu'au centre des
os
, en un mot dans toutes les parties qui concourent
dite, qui s'accompagne d'une douleur atroce, comme si on perçait les
os
avec une vrille, qui ne se termine jamais par la
synoviale, mais tout autour de l'articulation , dans l'épaisseur des
os
; les cartilages sont usés, corrodés par l'urate
il y a souvent usure des cartilages, puis usure et éburnification des
os
dépouillés, végétations osseuses, déformation des
de soude et du phosphate de chaux, par l'usure des cartilages et des
os
, l'ankylose. Le traitement local dans la goutte n
n'épargne aucun des nombreux tissus qui entrent dans sa composition,
os
, cartilages, synoviales articulaires, tendineuses
trition, peuvent être complètement absorbées, d'où la disparition des
os
sans débris. Si la maladie est bornée à un ou deu
disparition des os sans débris. Si la maladie est bornée à un ou deux
os
, l'incurvation se fait brusquement et avec coude,
d'où la compression de la moelle : si elle envahit un grand nombre d'
os
, le coude est beaucoup moins brusque; une courbe
les nerfs paraissaient reprendre leur volume naturel. Du reste, les
os
fracturés étaient environnés d'une grande quantit
vertébrale est absolument le même que celui des fractures des autres
os
: ce ne sont point les fragmens eux-mêmes qui tra
un défaut de développement , tantôt avec un développement normal des
os
du crâne ; i° à la compression du cerveau soit pa
u crâne ; i° à la compression du cerveau soit par lepaississement des
os
du crâne, soit par la présence d'un liquide ; 3°
lébile : dans certains cas, la cicatrice est osseuse; c'est lorsqu'un
os
ou un cartilage ont été fracturés. Je ne sache pa
titre de fongus de la dure-mère, n'était autre chose que lefongus des
os
du crâne; que ces productions organiques prennent
erne de la dure-mère, et dont quatre avaient complètement perforé les
os
du crâne, reprirent en sous-œuvre l'histoire crit
e de cas. La planche i prouve de la manière la plus manifeste que les
os
peuvent être affectés indépendamment du péricrâne
ère. Il parait admettre qu'il existe tout à la fois et des fongus des
os
du crâne et des fongus de la dure-mère. Il pense
old, Walther et Graff, au contraire, ayant vu un cas de carcinome des
os
du crâne, en ont conclu que toutes les altération
connues sous le nom de fongus de la dure-mère étaient des fongus des
os
du crâne. Ebermaier seul a eu le bon esprit d'éta
ne distinction entre les maladies de la dure-mère et les maladies des
os
du crâne. Voici le résumé des notions que j'ai pu
à sa face interne par l'arachnoïde, en communauté vasculaire avec les
os
du crâne et avec le périoste, la dure-mère doit s
céreuses que je viens d'indiquer, il en est d'autres qui naissent des
os
du crâne eux-mêmes, et qui simulent tellement les
râne me paraissent formées aux dépens du tissu adipeux médullaire des
os
. Beaucoup plus fréquentes qu'on ne le croit génér
ions osseuses plus ou moins considérables se forment à mesure que les
os
du crâne sont détruits. Il ;en résulte des tumeur
de perforation et qu'il existait, en même temps que l'altération des
os
, une tumeur cancéreuse à la face interne de la du
s internes de la dure-mère coexister avec les tumeurs cancéreuses des
os
du crâne. La planche i fournit un exemple remarqu
toujours osseuses, au moins en grande partie. Elles appartiennent aux
os
du crâne bien plus encore qu'à la dure-mère. Les
ens. Il n'en serait peut-être pas de même des tumeurs cancéreuses des
os
du crâne, et je pense avec Ebermaier qu'il ne ser
ions osseuses VO, VO, VO (fig. 2), dont quelques-unes ne tenaient aux
os
du crâne qu'à l'aide de parties molles, végétatio
on constituait une tumeur spongieuse , mamelonnée , appliquée sur les
os
du crâne par une large base, offrant en arrière u
es à suppléer aux portions du crâne qui avaient disparu. Des débris d'
os
et de matière carcinomateuse DO (fig. 3) sont res
égénération cancéreuse s'est propagée à toute son épaisseur, puis aux
os
du crâne, ou plutôt au tissu adipeux médullaire d
r, puis aux os du crâne, ou plutôt au tissu adipeux médullaire de ces
os
. Les parois du crâne n'ont donc pas été usées par
ement du tissu carcinomateux dans l'épaisseur du tissu médullaire des
os
. Voyez quelle différence d'effets résulte d'une d
enir ailleurs sur la dégénération carcinomateuse du tissu adipeux des
os
et en particulier sur celle des os du crâne, et s
arcinomateuse du tissu adipeux des os et en particulier sur celle des
os
du crâne, et sur les erreurs de diagnostic auxque
e ou fongueuse de la dure-mère, savoir, l'usure et la perforation des
os
avec végétations osseuses; (*) Voyez Dictionnai
, suivant cet auteur, sont le résultat d'une affection du diploé, des
os
du crâne; il ne confirme pas moins l'opinion de W
'était vidé à l'extérieur par le conduit auditif externe. La partie d'
os
qui répondait à l'abcès commençait à se carier (
se carier ( to become carious). L'auteur attribue la perforation de l'
os
à l'abcès du sinus , dont le pus aurait, par sa t
vrir à l'extérieur , usé successivement et les parois du sinus et les
os
. Mais n'est-il pas plus probable que la carie des
du sinus et les os. Mais n'est-il pas plus probable que la carie des
os
a précédé et déterminé l'inflammation par un méca
nées à remplir les vides. Peut-être l'épaississement considérable des
os
du crâne du côté atrophié est-elle encore un effe
lieu après la naissance, ne peut donc pas être résolue par l'état des
os
du crâne. Il n'y a pas eu arrêt de développement,
us prouve en effet « que les deux lames compactes qui constituent les
os
du crâne sont « tout-à-fait indépendantes l'une d
e, l'opinion de ceux qui, avec Bichat, pensent que nos organes et les
os
en particulier, ayant en eux une force de dévelop
ent paralysé à la suite de convulsions depuis l'âge de six mois : les
os
étaient extrêmement grêles, mais présentaient les
les, mais présentaient les mêmes éminences, les mêmes cavités que les
os
du membre opposé; d'un autre côté, si, comme je l
uelle différence cependant entre les unes et les autres ! De même les
os
du crâne sont organisés pour présenter des éminen
es éminences mamillaires s'applique parfaitement au développement des
os
du crâne; ainsi, les lobes antérieurs manquaient,
té. Quant aux articulations immobiles ou synarthroses, je regarde les
os
qui les constituent comme des pièces d'ossificati
ossification tardivement réunies, bien plutôt que comme de véritables
os
. De la structure des articulations, des usages
ion et des rapports des surfaces articulaires, des moyens d'union des
os
, des mouvemens qu'exécutent les articulations, de
is mois après la luxation; 3° enfin, l'état des parties molles et des
os
lorsqu'une articulation nouvelle aura été formée.
du poignet fléchi. « Dans la luxation, les extrémités inférieures des
os
de l'avant-bras se déplacent en arrière, « et par
ns les luxations de l'articulation du poignet, ce sont évidemment les
os
de l'avant-bras qui se déplacent en arrière du ca
un plan supérieur et antérieur à celui de l'extrémité inférieure des
os
de l'avant-bras. Si la main avait pu être portée
premier métacarpien (Ier M), et qui est séparé du radius par un petit
os
, vestige du scaphoïde. La fig. 3 représente l'a
de l'avant-bras. Les figures 4 et 5 représentent, la première, les
os
de l'avant-bras ; la seconde, les os du carpe et
5 représentent, la première, les os de l'avant-bras ; la seconde, les
os
du carpe et du métacarpe. Le radius (fig. 4) est
Comme tout est en harmonie dans le système osseux, il est rare qu'un
os
soit déformé à l'une de ses extrémités sans qu'il
onçoit aisément puisqu'il ne concourt nullement à l'articulation. Les
os
de la rangée métacarpienne participent à cette dé
rangée antibrachiale. Ainsi on chercherait vainement la tête du grand
os
GO et l'apophyse de l'os crochu qui complète cett
si on chercherait vainement la tête du grand os GO et l'apophyse de l'
os
crochu qui complète cette tête; on n'en trouve qu
pézoïde T', sont rapetissées, de même que la moitié supérieure de ces
os
qui devait répondre au scaphoïde atrophié. Au res
pe avec l'avant-bras et par les frottemens contre nature auxquels les
os
de sa première rangée ont été soumis. Réflexion
e de substance de la peau, ont entraîné de semblables déplacemens des
os
; les caroncules dont se couvrent les solutions d
ation qu'a subie la tête, qui est convexe et oblongue; le col du même
os
est comme effilé, grêle et déjeté en dehors : la
ns les deux cas, les extrémités inférieures ou carpîennes EC des deux
os
de l'avant-bras sont sur la même ligne et sans au
ngement de la tête et du col du radius, et non point ascension de cet
os
: la tubérosité bicipitale, qui n'est plus qu'à l
sygmoïde du cubitus et de la partie voisine du'plan antérieur du même
os
. Immédiatement au-dessous de cette coalition, le
rte, par la pression de la tête, ce qui veut dire que les points de l'
os
le plus fortement comprimés de la surface osseuse
ial. On y reconnaît tous les caractères de la luxation en arrière des
os
de l'avant-bras sur le bras. La tête T du radius
oit que pour peu que la violence qui amène la luxation en arrière des
os
de l'avant-bras sur le bras soit considérable et
ples dans l'ouvrage de Sandifort, si riche d'ailleurs en maladies des
os
de toute espèce. L'observation suivante (*) est d
on, dont Percy a tracé la déplorable histoire. Les deux condyles de l'
os
maxillaire inférieur sont soudés aux deux cavités
e portait principalement sur la grosse et la petite tubérosité de cet
os
: il en existait à peine des vestiges reconnaissa
lles étaient d'ailleurs enduites d'un cartilage nouveau, tandis que l'
os
ancien était à nu. Une remarque digne d'intérêt,
iculation temporo-maxillaire gauche de ce même sujet. Le condyle de l'
os
maxillaire inférieur n'existait plus; on eût dit
gélatiniforme est la forme la plus fréquente que revête le cancer des
os
ou ostéosarcome, spina ventosa; je l'ai rencontré
haut, savoir celle du mercure introduit dans le canal médullaire d'un
os
long, et qu'on retrouve au centre des abcès purul
'a point examiné l'état du canal médullaire ou du tissu spongieux des
os
dans les observations qu'on invoque, ces observat
erveau et ses membranes, mais encore de celles qui pénètrent dans les
os
du crâne (veines diploïques). On conçoit que le p
-seulement aux veines diploïques, mais encore à toutes les veines des
os
, et j'établis comme proposition générale que la p
s des os, et j'établis comme proposition générale que la phlébite des
os
est une des causes les plus fréquentes des abcès
suite des plaies et des opérations chirurgicales dans lesquelles ces
os
ont été intéressés. XXXIV. Pour l'intelligence
r une circonstance anatomique très-importante. Le tissu spongieux des
os
n'est autre chose qu'un tissu caverneux à parois
osseuses, dans lequel le sang veineux circule incessamment : dans les
os
larges, les aréoles aboutissent toutes aux veines
ssi des veines que ces aréoles pleines de sang du tissu spongieux des
os
. Peut-être même la suppuration de ces aréoles a-t
pour que le mercure injecté dans l'intérieur du canal médullaire d'un
os
long arrive aux poumons ; il serait même possible
Ayant dirigé en 1814 mes recherches sur la membrane médullaire des
os
longs chez les nombreux amputés qui succombaient
mputés. Cette suppuration occupait quelquefois toute la longueur de l'
os
, et s'étendait même jusque dans le tissu spongieu
ai à diviser le tibia et le péroné; or, l'extrémité spongieuse de ces
os
, infiltrée de pus, donna immédiatement la solutio
nt les suites soient plus funestes, que celles qu'on pratique sur les
os
: je citerai les applications du trépan pour l'ex
pourrait appeler primitive, ne paraît pas exister, il faut briser les
os
qui ont été fracturés ou amputés, et qu'alors on
acée par une matière purulente qui infiltrait le tissu spongieux de l'
os
. (PLANCHE III, FIGURES I ET 2.) Le poumon rep
us dans la trompe utérine. Ramollissement de Vun des ovaires. • * v
os
Michel (Adélaïde), 50 ans, bien constituée, gro
PD. Portion de dure-mère qui revêt le pariétal gauche PG, ecchymosée.
Os
du crâne très injectés; téguments du crâne et tis
foyers sanguins plus ou moins considérables entre le périoste et les
os
du crâne. Une fois, j'ai vu du sang concret épanc
ut le long du sinus longitudinal supérieur, entre la dure-mère et les
os
du crâne. Une autre fois, le péricrâne des deux p
s, le péricrâne des deux pariétaux et de l'occipital était séparé des
os
par une couche épaisse de sang coagulé. Ce décoll
emiers jours qui suivent la naissance et au fond desquels on sent les
os
à nu. J'ai donné mes soins à un enfant dont la po
ture, injection très considérable du cuir chevelu, du périoste et des
os
; la dure-mère rachidienne très distendue et bleuâ
t la dure-mère ; d'une autre part, entre le crâne et le périoste. Les
os
et les téguments sont très injectés. Cerveau très
ait infiltrée d'un pus très bien lié qui en écartait les mailles. Les
os
dénudés étaient érodés dans une partie de leur ép
a dure-mère malade était épaissi. Un peu de pus était épanché entre l'
os
et son périoste, mais dans une petite étendue.
fois elle n'est pas assez considérable pour que le chevauchement des
os
, secondé ou non de l'application du forceps, ne p
he pulpeuse et grisâtre très mince, revêtaient la surface interne des
os
du crâne. Il y a donc deux espèces d'anencéphal
de la voûte crânienne, ou plutôt avec déjettement et déformation des
os
de la voûte. Dans l'un et l'autre cas, l'absence
des cas où aucune veine libre ne paraissait enflammée, les veines des
os
, les veines du tissu adipeux médullaire étaient r
et des expériences que j'ai pu faire à cet égard, que la phlébite des
os
est plus inévitablement grave que l'inflammation
naître au bout d'un mois, six semaines et même deux mois, lorsque des
os
ont été intéressés et baignent dans le pus. Le
hernie à travers les lames cartilagineuses déjetées. L'écartement des
os
du crâne dans l'hydrocéphalie prouve en effet que
devraient se borner à une distension sans hernie des membranes et des
os
du rachis, si le canal raehidien ne se trouvait p
é occupait le tissu cellulaire sous-arachnoïdien ; l'ossification des
os
du crâne était retardée ; ces os étaient minces,
us-arachnoïdien ; l'ossification des os du crâne était retardée ; ces
os
étaient minces, comme membraneux, et même perforé
ullœ ipsum corpus non ad primas lumborum subsistens vertebras, sed ad
os
usque sacrum propèmodum. Morgagni, avec cette sag
e temps le déficit du cerveau n'est pas remplacé par du liquide , les
os
éprouvent un retrait proportionné à l'atrophie. S
retrait proportionné à l'atrophie. Si au contraire l'ossification des
os
du crâne est terminée, ou si l'ossification, n'ét
ue totalité du cerveau. Dans un certain nombre de cas, le retrait des
os
du crâne se fait aux dépens de la table interne s
ait aux dépens de la table interne seulement, et alors les parois des
os
du crâne peuvent acquérir une très grande épaisse
et l'autre cas, la sérosité remplit les vides qui existent entre les
os
du crâne et la surface du cerveau. Cette sérosité
s dans l'épaisseur de la cuisse et delà jambe, entre les muscles et l'
os
; mais je n'avais pas la certitude que l'articula
dent incisive et une dent canine. Toutes deux sont implantées dans un
os
contenu dans l'épaisseur des parois du kyste et d
la première dentition : l'une et l'autre dent sont supportées par un
os
percé d'un trou DO; cet os était enveloppé de tis
une et l'autre dent sont supportées par un os percé d'un trou DO; cet
os
était enveloppé de tissu fibreux. La fig. 2 et la
issu fibreux. La fig. 2 et la fig. 3 représentent les deux dents et l'
os
qui les soutient. Il est probable que cet os est
tent les deux dents et l'os qui les soutient. Il est probable que cet
os
est le débris d'un os maxillaire supérieur. Le tr
l'os qui les soutient. Il est probable que cet os est le débris d'un
os
maxillaire supérieur. Le trou DO pourrait bien re
les dents : il est probable que cette portion osseuse appartenait à l'
os
maxillaire supérieur ; l'échancrure DO paraît êtr
u milieu de laquelle il est impossible de déterminer non-seulement un
os
, mais encore la plus petite partie d'un os. La
terminer non-seulement un os , mais encore la plus petite partie d'un
os
. La substance cornée S C , S C, emboîte une pet
e; et ce fragment osseux, m'a paru, dans quelques cas, appartenir à l'
os
maxillaire supérieur. Il existe quelques exemples
pesait plus de 20 livres, renfermait 3oo dents, outre une multitude d'
os
informes^ dentelés et disséminés, les uns dans de
servateurs. La présence des dents suppose toujours la présence d'un
os
d'implantation ; cet os d'implantation est ordina
e des dents suppose toujours la présence d'un os d'implantation ; cet
os
d'implantation est ordinairement tellement déform
ement déformé, qu'il est bien difficile d'y reconnaître un fragment d'
os
maxillaire. Je n'ai jamais rencontré une portion
ient soudées entre elles, il m'a été impossible de déterminer un seul
os
. Le fait représenté pl. V , prouve qu'indépenda
présenté pl. V , prouve qu'indépendamment des poils, des dents et des
os
, on peut rencontrer des ongles, et par conséquent
quable, à l'une des extrémités de laquelle répondent les dents et les
os
d'implantation. Cette bride n'existait dans aucun
e rendre compte ; i° de la présence des dents , i° de la présence des
os
dans les kystes ovariques et de ce squelette osse
s distinguer les unes des autres. Admettrons-nous que des fragments d'
os
maxillaires, que des dents soient une production
recouvrait des muscles distincts, au centre desquels se voyaient les
os
. Dans les cavités splanchniques il était facile d
i, au crâne, on voit les téguments du crâne (n°l), bien distincts des
os
du crâne et ceux-ci bien distincts de la dure-mèr
breuse se continuait à la fois avec la dure-mère, le péricràne et les
os
du crâne. Dans le crâne était un cerveau et un ce
te occupait le reste. La fig. 5, grandeur naturelle, représente les
os
il u crâne et de la colonne vertébrale préparés,
présentent leur disposition accoutumée. Derrière le rocher se voit un
os
OL, qui lui est parallèle; c'est l'occipital laté
trou condylien antérieur dont if est percé. J'ai vainement cherché l'
os
basilaire ; à moins qu'on ne considère comme vest
physica physicè demonstranda. 20. Livraison. Pl. 1. MALADIES DES
OS
Cancers. CANCER DES OS. (Planche i, xxe liv
da. 20. Livraison. Pl. 1. MALADIES DES OS Cancers. CANCER DES
OS
. (Planche i, xxe livraison.) Les os sont suje
ES OS Cancers. CANCER DES OS. (Planche i, xxe livraison.) Les
os
sont sujets à toutes les formes de cancer qui peu
s masses ou gros tubercules cancéreux disséminés dans l'épaisseur des
os
à la manière du cancer marronne du foie. De mêm
oie. De même que dans le foie, le cancer par masses disséminées des
os
se présente dans deux conditions bien différentes
, que j'ai eu occasinod'observer le cancer par masses disséminées des
os
. A cette occasion je ferai remarquer, que les exe
maire, qu'ils sont rares à la suite du cancer utérin. Le cancer des
os
, par masses disséminées, s'observe dans la cavité
s os, par masses disséminées, s'observe dans la cavité médullaire des
os
longs et dans le tissu spongieux des os courts et
dans la cavité médullaire des os longs et dans le tissu spongieux des
os
courts et des os larges. Le tissu compacte ne m'a
dullaire des os longs et dans le tissu spongieux des os courts et des
os
larges. Le tissu compacte ne m'a pas paru suscept
lle pénétrée de sérosité. Dans le cancer par masses disséminées des
os
, ce n'est point le tissu osseux proprement dit qu
dans les cellules du tissu spongieux,soit dans la cavité centrale des
os
longs. D'après ma manière de voir, ce serait dans
veineux si abondans dans ce qu'on appelle la membrane médullaire des
os
que siégerait cette altération. Le cancer par m
ue siégerait cette altération. Le cancer par masses disséminées des
os
se présente sous l'aspect de tumeurs dont les for
u desquelles elles se développent. Ainsi les tubercules cancéreux des
os
du crâne représentent des tampons circulaires plu
ulaires plus ou moins réguliers. Ainsi dans la cavité cylindrique des
os
longs, le cancer se moule en cylindre. Quant aux
oule en cylindre. Quant aux masses cancéreuses du tissu spongieux des
os
courts ou des extrémités des os longs, elles n'af
es cancéreuses du tissu spongieux des os courts ou des extrémités des
os
longs, elles n'affectent pas de forme déterminée.
es n'affectent pas de forme déterminée. Les tumeurs cancéreuses des
os
présententtantôtle caractère de l'encéphaloïde, t
tantôtle caractère du tissu squirrheux : les tumeurs squirrheuses des
os
qui sont beaucoup plus fréquentes que les tumeurs
n effet le seul caractère différentiel entre le cancer squirrheux des
os
et les tumeurs fibreuses qui se développent si fr
reuses qui se développent si fréquemment dans l'épaisseur de certains
os
, et plus particulièrement dans les os maxillaires
nt dans l'épaisseur de certains os, et plus particulièrement dans les
os
maxillaires où elles paraissent avoir leur siège
u tissu osseux qui constitue la spina ventosa; bien au contraire, les
os
qui sont le siège de cette maladie sont usés molé
nt dans le plus léger effort : souvent même la fracture spontanée des
os
est le premier et l'unique symptôme de la présenc
le plus parfait d'intégrité. Le cancer, par masses disséminées des
os
, mérite d'être distingué du cancer des os non cir
par masses disséminées des os, mérite d'être distingué du cancer des
os
non circonscrit qui en général est limité à une p
ancer des os non circonscrit qui en général est limité à une partie d'
os
ou à un seul os. Il y a, entre ces deux formes de
circonscrit qui en général est limité à une partie d'os ou à un seul
os
. Il y a, entre ces deux formes de cancer, la même
re et la pneumonie ordinaire. Le cancer, par masses disséminées des
os
, porte exclusivement sur le tissu médullaire adip
lusivement sur Fun ou sur l'autre des trois parties constituantes des
os
, périoste, tissu osseux, tissu adipeux médullaire
deux tiers internes, grêle dans son tiers externe. Une section de cet
os
ayant été pratiquée, j'ai vu que son tissu était
ême, avaient été envahis. Ce fait prouve en outre que le cancer des
os
se propage aux parties environnantes lorsqu'il a
e, de même que dans certains cas il se propage des parties molles aux
os
. Comme exemple d'altération simultanée de la me
ssin, avec impossibilité de se soutenir sur les jambes : bien que les
os
du bassin ne fussent le siège d'aucune déformatio
formation apparente, je soupçonnai le ramollissement cancéreux de ces
os
: la malade mourut épuisée de douleurs. A l'ouver
malade mourut épuisée de douleurs. A l'ouverture je trouvai les deux
os
coxaux incomplètement carnifiés. Leur périoste ét
rnifiés. Leur périoste était parfaitement sain. Enfin le cancer des
os
peut envahir un très grand nombre d'os à-la-fois,
nt sain. Enfin le cancer des os peut envahir un très grand nombre d'
os
à-la-fois, ou bien être limité à un seul os, à un
ir un très grand nombre d'os à-la-fois, ou bien être limité à un seul
os
, à une seule région du squelette, au sternum, aux
limité à un seul os, à une seule région du squelette, au sternum, aux
os
du crâne, aux os du bassin, à l'humérus, au fémur
os, à une seule région du squelette, au sternum, aux os du crâne, aux
os
du bassin, à l'humérus, au fémur, aux côtes. Les
mérus, au fémur, aux côtes. Les cas de cancer du tibia, de cancer des
os
du bassin, de cancer des vertèbres, que j'ai ment
e spontanée des deux fémurs. Cancer par masses disséminées dans les
os
, le foie, le tissu cellulaire sous-pleural et sou
isséminées dans le canal médullaire et dans le tissu spongieux de ces
os
. Dans quelques points, on voyait deux masses plac
fémur; une troisième, plus petite, dans l'épaisseur de la tête de cet
os
. Elle a été enlevée sur la figure pour montrer la
e fibreuse T'C, qui remplissait une perte de substance circulaire des
os
du crâne, que cette tumeur soulevait en dehors le
un certain nombre était encore contenu dans l'épaisseur du diploé des
os
, et ne put être reconnu qu'à la coupe des os du c
'épaisseur du diploé des os, et ne put être reconnu qu'à la coupe des
os
du crâne. Ces tumeurs avaient partout le même c
es ou tubercules cancéreux peuvent se développer dans l'épaisseur des
os
comme d'ailleurs dans tous les organes, et revêti
édent. Cancer dur à la mamelle. Infection générale. Cancer dans les
os
, le foie et la rate. Une femme contrefaite, âgé
ul une barrière. Bien que la malade n'eût accusé aucune douleur aux
os
du crâne, éclairé par un fait récent, je fus Curi
ençaient étaient limités au diploé, les tables externe et interne des
os
du crâne étaient intactes; ceux qui étaient un pe
paraissait surtout se faire du centre à la circonférence. Les autres
os
n'ont pas été examinés. Le foie présentait un p
reuses blanches offrant absolument le même aspect que les cancers des
os
. La rate était farcie d'une multitude innombrab
ntionner ici : chez ce malade, la maladie cancéreuse avait envahi les
os
et le foie; point de cancer mammaire qui puisse ê
urquoi la maladie cancéreuse n'affecterait-elle pas primitivement les
os
comme les autres organes? ou bien pourquoi le poi
es? ou bien pourquoi le point de départ de l'infection cancéreuse des
os
serait-il la mamelle plutôt que le foie, l'estoma
elle plutôt que le foie, l'estomac ou tout autre organe? Cancer des
os
. (i) François Ruas, âgé de quarante ans, menuis
tumeur de la clavicule était formée par un tissu analogue à celui des
os
du crâne. Le centre de l'os n'existait plus. La
formée par un tissu analogue à celui des os du crâne. Le centre de l'
os
n'existait plus. La tumeur du bras droit avait
de longueur et dix de circonférence. On ne trouvait pour vestige de l'
os
que quelques parcelles osseuses rares. Les cellul
de l'humérus. Les septième et douzième côtes, la plupart des autres
os
, et surtout les fémurs et les tibias, bien qu'ils
ient à l'intérieur une masse fibreuse qui remplaçait la moelle de ces
os
. Le foie était occupé par une multitude de mass
éreux. Cette lésion rentrerait-elle dans la catégorie des cancers des
os
qui envahissent la membrane médullaire et le tiss
née de l'humérus. Tumeurs cancéreuses dans le canal médullaire de cet
os
. Une tumeur caiicéreuse (*) dans l'épaisseur du s
fracture et dans ses deux tiers supérieurs. Le canal médullaire de l'
os
était rempli par des masses cancéreuses superposé
tres. La plus supérieure s'enfonçait dans l'épaisseur de la tête de l'
os
TC. Les parois du cylindre étaient également amin
r cancéreuse circonscrite de même nature T'C. La plupart des autres
os
du squelette ont été examinés, et n'ont offert au
une lame très mince. L'altération occupe non-seulement le corps de l'
os
, mais même encore son extrémité supérieure GT.
urface de l'organe. Au niveau et au pourtour de cette dépression, les
os
du crâne étaient très épais. La fig. 2 représen
que des muscles, des ligai, 5, dès aponévroses, des cartilages et des
os
dans le pied-bot. Examen anatonùque des os dans l
ses, des cartilages et des os dans le pied-bot. Examen anatonùque des
os
dans les pieds-bots chez des individus de différe
tte ' maladie. \ ... j'. ï .. |. .... #. ... ....... Maladies des
os
, cancers.................. Maladies des muscles
infirmité condamne au défaut d'exercice et même au séjour au lit, les
os
s'atrophient comme tous les autres tissus. Or, Xa
, les os s'atrophient comme tous les autres tissus. Or, Xatrophie des
os
se manifeste par une diminution considérable de d
r conséquent de poids, sans diminution correspondante de volume ; les
os
ne sont point ramollis, comme on l'a dit, mais il
tance de i'osr a notablement diminué. Dans l'atrophie, le corps des
os
longs présente une cavité cylindrique beaucoup pl
ongieuse insolite, de telle sorte que j'ai pu décomposer le corps des
os
longs ainsi atrophiés en lamelles séparées par de
uches très minces de tissu spongieux. L'atrophie des extrémités des
os
longs, des os courts et même des os larges, se ma
ces de tissu spongieux. L'atrophie des extrémités des os longs, des
os
courts et même des os larges, se manifeste par l'
. L'atrophie des extrémités des os longs, des os courts et même des
os
larges, se manifeste par l'amincissement de la co
vités ou géodes, les côtes présenter un cylindre analogue à celui des
os
longs. Au summum de cette atrophie, les os s'en
dre analogue à celui des os longs. Au summum de cette atrophie, les
os
s'entament, se coupent par le scalpel, et se bris
deux ou trois à presque toutes les côtes : chez cette femme, tous les
os
du squelette étaient fragiles, légers, et se lais
a laissé transsuder une quantité énorme de suc médullaire. Dans les
os
atrophiés, en effet, le tissu adipeux médullaire
lit très longtemps continué, suffisent pour déterminer l'atrophie des
os
, non-seulement chez le vieillard, xxiiie livrai
lard, xxiiie livraison. 1 mais encore chez l'adulte. Or, pour les
os
, le défaut d'exercice, c'est Le défout de pressio
se à la partie supérieure ainsi qu'à la partie inférieure du col de l'
os
, au niveau du rebord de la cavité cotyloïde; à ce
ction osseuse, en forme d'arc-boutant étendu de la tête au corps de l'
os
; i° à la résorption du col du fémur, de telle faç
de telle façon qu'il n'en reste plus de vestiges, et que la tête de l'
os
s'applique contre le grand trochanter : l'extrémi
t attenant au grand trochanter et presque nul du côté de la tête de l'
os
, et que s'il y a union, elle se fait au moyen d'u
voy. Essai sur l'anat. pathol.t. i, p. 32), « que les « fractures des
os
ne se consolident point par l'effet d'un travail
temps que l'ossification nouvelle peut être distinguée du tissu «de l'
os
, ils sont dans le même état que si la fracture ve
mbinée, puis revêtent les caractères du cartilage, et enfin ceux de l'
os
. Ce sont « les couches les plus profondes des mus
gieux transformé en tissu compacte. Du moment que les fragmens d'un
os
fracturé sont étrangers à la formation du cal, et
n contact avec les bouts fracturés, il suit que s'il arrivait que les
os
ne fussent entourés que d'un côté par les parties
te d'une hémorrhagie très considérable, dont la source était dans les
os
fracturés. I^a femme Haussard, âgée de 85 ans,
isseaux principaux examinés parurent sains : le sang viendrait-il des
os
fracturés? Cette présomption se changea en certit
le fragment inférieur. _Le petit trochanter est détaché du reste de l'
os
. Vue en arrière (fig. 2), la fracture présente
ter, et dont l'autre se prolongeait sur la face interne du corps de l'
os
. La fracture horizontale du grand trochanter (o
éminence d'avec le tiers antérieur qui restait continu au corps de l'
os
; le fragment du grand trochanter qui comprenait l
n voit, i° le fragment supérieur formé par la tête et par le col de l'
os
; 20 le fragment inférieur formé par le corps de l
par le col de l'os; 20 le fragment inférieur formé par le corps de l'
os
, fragment remarquable par la disposition anguleus
inférieur ; 4° le fragment du grand trochanter, séparé du corps de l'
os
et divisé lui-même par une fracture verticale : u
use ou spongieuse qu'on y remarque est le résultat de l'atrophie de l'
os
Réflexions. — Il est rare qu'une fracture extra
nt inférieur est, dans cette espèce de fracture, séparé du corps de l'
os
, et fait partie d'une esquille plus ou moins cons
prononcée, bien que le petit trochanter eût été séparé du reste de l'
os
. Quant au peu de raccourcissement du membre, il s
sanguins, cavité qui était comme creusée dans le tissu spongieux de l'
os
, au niveau du grand trochanter. Jen ai conclu que
gie venait du tissu osseux lui-même , et voici mon raisonnement : les
os
sont beaucoup plus vasculaires qu'on ne le croit
lus vasculaires qu'on ne le croit communément; le tissu spongieux des
os
présente la plus grande analogie avec le corps ca
acture du col du fémur vue antérieurement et dans ses rapports avec l'
os
coxal. On voit que la fracture occupe comme de co
celui du côté sain. Le petit trochanter PT est détaché du corps de l'
os
et porté fortement en haut. Le fragment supérieur
re du col du fémur. Le petit trochanter PT est séparé du reste de l'
os
. On voit sur le fragment inférieur, mais sur ce f
tinées sans doute à concourir au rétablissement de la continuité de l'
os
. La figure 3 représente les fragmens écartés le
eine fémorale. le sommet du grand trochanter, un pour le corps de l'
os
et pour la partie antérieure du grand trochanter*
ue sorte les deux tiers postérieurs du grand trochanter du corps de l'
os
, cette éminence se brise presque toujours en même
ers antérieur. Le petit trochanter est souvent séparé du reste de l'
os
, tantôt seul, tantôt supporté par une esquille pl
fémur. Le fragment supérieur, formé par la tête et par le col de l'
os
, présente presque toujours une sorte de pointe mo
er faisait partie d'une esquille considérable, détachée du reste de l'
os
; une autre esquille existait au côté externe de l
ée du reste de l'os; une autre esquille existait au côté externe de l'
os
; il y avait donc deux fragmens principaux et deux
fémur et jusque dans la partie supérieure du cylindre du corps de cet
os
, si bien qu'il était impossible de l'en arracher.
ol du fémur, ou bien fracture de la partie supérieure du corps de cet
os
? Les signes ordinaires de la fracture du col du f
ant la longueur du fémur; l'angle que forme le col avec le corps de l'
os
, devient droit et même quelquefois un peu aigu; 2
ibreux est formé aux dépens de la membrane médullaire. La réunion des
os
se fait alors suivant le même mécanisme que la ré
t le même mécanisme que la réunion des parties molles. MALADIES DES
OS
Jrac/urfr dit ca/du, J/mur. 23'Livraison PL.
raison PL. a.Chazal (U- Im de Benard de m'Abbage 4 MALADIES DES
OS
^fraxtiire, du Col du fémur. 23.'Livraison N.
ticipent en aucune manière à la consolidation, (i) La cicatrice des
os
; c'est un tissu fibreux plus ou moins dense, éten
e, étendu de l'un à Fautre fragment, tissu qui naît des cellules de l'
os
divisé, et qui paraît un développement de la memb
ar suite des mêmes recherches que j'ai établi que la régénération des
os
nécrosés se faisait non-seulement aux dépens du p
ense qu'en faisant effort pour la déchirer, j'ai craint de briser les
os
. Il importait de déterminer pourquoi la déviati
it lieu dans le point précis où la tête du fémur s'unit au col de cet
os
. Elle était transversale, nullement anguleuse: le
fibro-synovial était conservée. xxvi5 livraison. 2 MALADIES DES
OS
26e Livraison PL.5 Fracture intra-capsulair
. (PLANCHE VI, XXVIIIe LIVRAISON.) Lésions dans la contiguïté des
os
. — Luxation du fémur en haut et en dehors. Parm
e à recevoir la tète du fémur que tout autre point de la surface de l'
os
côxal contre lequel on porterait cette tête. Les
cavité cotyloïde. — Cette hypertrophie s'étend à tous les points de l'
os
qui soutiennent cette nouvelle cavité cotyloïde,
l a bien fallu que le diamètre transversal de la partie pubienne de l'
os
devînt plus considérable. Atrophie de la cavité
qu'occupait l'ancienne cavité. Un dernier changement éprouvé par l'
os
coxal dans le cas de luxation ancienne, c'est un
forme qui consiste dans l'union à angle droit du bord antérieur de l'
os
ilion avec le corps du pubis, tandis que,dans l'é
et de haut en bas, et suivant sa circonférence, le bord externe de l'
os
regardant en avant et la ligne âpre en dehors. li
ée, et la tête du fémur ne trouvant pas un point d'appui solide sur l'
os
coxal, qui ne lui offre quelquefois qu'une surfac
aire ancien se réfléchissait à angle droit sur le bord antérieur de l'
os
coxal en imprimant sur le lieu de sa réflexion, c
llongement transversal et la gracilité de la portion horizontale de l'
os
coxal : on voit l'obliquité et la longueur de la
rès court et creusé d'une gouttière. Les fig. 2 et 3 représentent l'
os
coxal vu sous deux aspects différens ; la fig. 2
nt l'os coxal vu sous deux aspects différens ; la fig. 2 représente l'
os
coxal vu par derrière : on y voit la partie posté
te iliaque, avec la tubérosité de l'ischion. La figure 3 représente l'
os
coxal vu par devant : la gracilité et l'augmentat
entation des dimensions transversales de la portion antérieure de cet
os
, l'ancienne cavité eotyloïde ACC dépourvue de car
et la partie postérieure du pourtour de cette cavité. MALADIES DES
OS
Liucaliûn du fémur. Livraison, PI S. A Chaz
les luxations de l'humérus, elles-mêmes dans lesquelles la tète de l'
os
porte en plein sur le rebord de la cavité glénoïd
es de cartilage ont une disposition éburnée. Du reste, la portion d'
os
iliaque qui supporte la nouvelle cavité cotyloide
hors. Du reste, on voit combien tous les changemens opérés dans les
os
, dans les ligamens, dans les muscles, à la suite
s dans lesquelles se trouvent les parties déjà luxées. MALADIES DES
OS
29 Livraison Pl. 1re luxation du fémur. A
échauffer, que le sentiment de froid réside jusque dans la moelle des
os
. Il semble en la touchant qu'on porte la main sur
ral commun postérieur très aminci. y livraison .PIJ. MALADIES DES
OS
Luxation spontanée de la 1re vertebre cervicale
able des surfaces articulaires. Il n'y avait pas d'ankylose; mais les
os
étaient maintenus dans l'immobilité par suite de
t vue par la face dorsale. On voit que les extrémités inférieures des
os
métacarpiens, dépourvues de cartilages et déformé
deuxième et le troisième doigts. La figure 4 représente l'état des
os
d'une main appartenant à un autre sujet, affecté
rations qui sont la suite de l'usure des surfaces articulaires. Les
os
du carpe sont confondus en une masse irrégulière,
dans laquelle il est bien difficile de faire la part de chacun de ces
os
. Les extrémités supérieures des os métacarpiens s
de faire la part de chacun de ces os. Les extrémités supérieures des
os
métacarpiens sont incomplètement soudés au carpe.
upérieure du premier métacarpien. El M'l'extrémité inférieure du même
os
. 5 M le cinquième métacarpien , dont l'extrémit
ure de cette phalange est réduite à un bord mince, au dessus duquel l'
os
a été perforé. I/usure s'étendait encore aux de
'étant pas doué de la vie. L'usure des cartilages opérée, celle des
os
suit, et cette usure est le produit des frottemen
s articulaires intactes, alors qu'on croyait à une réunion solide des
os
. Cette rigidité articulaire tient à la rétracti
main sur l'avant-bras. Dans ce cas , figuré ixe livraison , plusieurs
os
du carpe étaient soudés. Quelques-uns étaient à l
mité articulaire à l'autre dans la nouvelle position qu'affectent les
os
. Je ne connais de redressement subit possible qu'
osseuses n'est qu'une variété. Dans cette espèce d'ankylose, les deux
os
sont soudés entre eux, non par un travail existan
culaires, mais par une gaine osseuse , espèce de fourreau étendu d'un
os
à l'autre, indépendamment de tout travail dans le
st toujours possible de faire la part de ce qui appartient à chaque
os
; mais à la manière des divers points d'ossificati
aque os; mais à la manière des divers points d'ossification d'un même
os
soudés entre eux. Dans l'ankylose par fusion, il
re, et la fracture aura bien plus souvent lieu dans la continuité des
os
qu'au point de jonction des extrémités articulair
l.. Chacal dd. Irn.de Zemercirr, Ben ardei-C Cancer aréolaire des
os
. (Planche i, xxie livraison.) L'observation q
e sous le titre de Dégénérescence singulière du tissu osseux dans les
os
du crâne et dans les os de la face (i). Voici le
érescence singulière du tissu osseux dans les os du crâne et dans les
os
de la face (i). Voici le texte littéral de l'obse
muniquer la pièce pathologique. XXIe LIVRAISON. ï transverse de l'
os
maxillaire supérieur; on observa alors un dévelop
is pouces d'épaisseur, accompagné d'un très grand ramollissement. Cet
os
présentait une multitude de petites cellules remp
rticalement. L'ethmoïde avait subi la même transformation; les autres
os
de la face avaient presque tous éprouvé une certa
elle-même en cellules contenant une matière de même apparence que les
os
. De semblables cellules soulevaient en plusieurs
se nasale, en sorte que l'affection, originairement déclarée dans les
os
, semblait avoir fini par se répandre dans les par
ploë, avec ramollissement et absorption des particules terreuses de l'
os
, puis dépôt de pus concret dans ces cellules. «
onoide et bosselée qui occupe la région frontale est constituée par l'
os
frontal lui-même, qui a subi une dégénération et
médiane, et verticalement d'avant en arrière. On y voit la coupe de l'
os
frontal, celle des os propres du nez, de l'ethmoï
ent d'avant en arrière. On y voit la coupe de l'os frontal, celle des
os
propres du nez, de l'ethmoïde, du sphénoïde et de
tal, celle des os propres du nez, de l'ethmoïde, du sphénoïde et de l'
os
maxillaire supérieur : les fosses nasales, la sur
énue. Cette coupe met dans tout son jour la structure aréolaire des
os
malades. Au premier aspect, on dirait un corps gl
la matière concrète ont des parois fibreuses très résistantes. Les
os
qui ont subi la dégénération sont : i° le frontal
comme dans sa portion frontale proprement dite; 20 Yethmoïde; 3° les
os
propres du nez; 4° Ie cornet inférieur; 5° le cor
le corps, les petites ailes et les grandes ailes du sphénoïde. Les
os
dégénérés ont acquis une très grande épaisseur, e
, le bord frontal du pariétal est comme corrodé, mais le tissu de cet
os
est dur et compacte, et ne participe en aucune ma
'altération. Le cerveau a dû être comprimé par toute l'épaisseur de l'
os
frontal qui est en dedans du niveau du pariétal.
pophyse crista Galli ACG de l'accroissement de volume qu'ont subi les
os
. Du reste, la lame criblée de l'ethmoïde, la la
reste, la lame criblée de l'ethmoïde, la lame perpendiculaire du même
os
qui a été enlevée pour mettre en évidence la paro
par la dégénérescence, présente identiquement le même aspect que les
os
. J'ai déjà dit que la dure-mère avait également
e; i° je jugeai que le tissu qu'on me présentait avait appartenu à un
os
. Depuis long-temps, en effet, je considère les os
vait appartenu à un os. Depuis long-temps, en effet, je considère les
os
comme un tissu caverneux, ou mieux comme un tissu
rand nombre de faits, que le tissu compacte et le tissu spongieux des
os
ne sont qu'un seul et même tissu modifié, et que
iège dans les capillaires veineux. La forme aréolaire du cancer des
os
ne doit pas plus étonner que la forme aréolaire d
ions lymphatiques cancéreux offrant absolument le même aspect que les
os
du crâne représentés dans la planche i. C'était u
. Du reste, le développement du cancer dans l'épaisseur de quelques
os
du crâne ne doit pas plus étonner que le développ
ur de l'utérus ou de tout autre organe. Circonscrite ainsi à quelques
os
, l'affection cancéreuse n'aurait pas tardé, sans
ladie cancéreuse reconnaît une cause interne générale. MALADIES DES
OS
21e livraison TU A Charal del ZM.Jc Stnar
ut et dans une grande étendue, elle est véritablement implantée sur l'
os
, dont le tissu compacte s'est épanoui en tissu sp
du pubis gauche: elle occupait principalement le côté antérieur de l'
os
; mais on la voyait déborder en haut le corps du p
bien évidemment constituée par le développement du tissu propre de l'
os
pubis, tout le reste de la portion dure de la tum
planches iv et v? Doit-on les considérer comme des dégénérations des
os
, des ostéo-sarcômes ou cancers du tissu osseux. I
onnée par Lobstein à toute végétation qui naît, soit à la surface des
os
, soit autour des articulations. Or, comme le tiss
, incomplètement organisés et à demi « solides. Fendu avec la scie, l'
os
s'est trouvé conserver supérieurement sa forme et
excroissances qui tirent leur origine de la couche superficielle des
os
, pourvu qu'on en sépare rigoureusement toutes les
bien peu sévère, puisqu'il a étendu cette dénomination au cancer des
os
. M. Albers reproche encore à Lobstein d'avoir com
éveloppement de toute l'épaisseur ou d'une partie de l'épaisseur de l'
os
, qu'elle est en quelque sorte une hypertrophie de
épaisseur de l'os, qu'elle est en quelque sorte une hypertrophie de l'
os
, tandis que l'ostéophyte est une végétation, une
gétation, une sorte d'excroissance, de polype osseux, implantée sur l'
os
par un pédicule : il suit de là qu'on ne peut pas
andis qu'on peut séparer complètement l'ostéophyte , sans toucher à l'
os
lui-même. On conçoit d'ailleurs qu'il est impossi
her à l'os lui-même. On conçoit d'ailleurs qu'il est impossible que l'
os
sur lequel est implantée une végétation plus ou m
se invoquer en faveur de la différence qui les sépare. MALADIES DES
OS
1Ac'livraison ni (Humérus.) CL. CkcucaL d
.) CL. CkcucaL dôL. Tm. de,Ierncmâr,£ena.rii et C. MALADIES DES
OS
( Bajsùi . ) 3é°Livraison PI, S d.ChaMild
stoses osseuses et fibreuses extrêmement considérables, naissant de l'
os
des îles : structure aréolaire de ces tumeurs. Fa
me veineux appartenant au périoste et aux couches superficielles de l'
os
. Des deux exostoses que présente l'os iliaque,
x couches superficielles de l'os. Des deux exostoses que présente l'
os
iliaque, l'une TI remplissait la fosse iliaque in
étroit, fibreux et osseux tout à-la-fois, adhérent à la surface de l'
os
, dont il eût été extrêmement facile de les sépare
rigée du côté de la surface de la tumeur, et leur sommet du côté de l'
os
des îles, sur lequel ils s'implantaient par un pé
les deux volumineuses exostoses dont il est question ne tenaient à l'
os
iliaque que par un pédicule extrêmement étroit, o
eux et fibreux; que le périoste et la lame la plus superficielle de l'
os
avaient seuls pris part à leur développement, en
en sorte que, ces exostoses ayant pu être détachées delà surface de l'
os
par une traction peu considérable, il ne restait
face de l'os par une traction peu considérable, il ne restait sur cet
os
d'autres traces de ces tumeurs que dans de petite
e combien est grand le nombre de vaisseaux veineux du périoste et des
os
, lorsqu'on se rappitelle que les os peuvent être
sseaux veineux du périoste et des os, lorsqu'on se rappitelle que les
os
peuvent être considérés, sous le rapport de leur
onomie par l'intermédiaire de la circulation veineuse. MALADIES DES
OS
njù Jjwrauion TU, a. Ma^ai d*i.+ Xilhe. d
la tumeur du genou, la tumeur de l'épaule gauche, sont étrangères aux
os
,développées dans l'épaisseur et aux dépens des pa
aucune adhérence avec les tégumens appartiennent bien évidemment aux
os
, sur lesquels elles semblent implantées. Ces tume
ame de la tumeur. Le doigt porté au fond de ces tumeurs sent à nu les
os
inégaux et comme érodés, La fig. 3 représente l
pèces de végétations qui s'enfoncent dans les pertes de substance des
os
du crâne. La même fig. 3 montre les os du crâne
les pertes de substance des os du crâne. La même fig. 3 montre les
os
du crâne érodés et comme vermoulus. On aurait dit
t dit d'une carie, s'il y avait eu de la suppuration. Cette usure des
os
est de même nature et s'effectue d'ailleurs par l
nature et s'effectue d'ailleurs par le même mécanisme que l'usure des
os
dans les tumeurs anévrysmales. La fig. 2 présen
ns du crâne, vues par la face externe. Tandis que la face interne des
os
du crâne ne présente aucun vestige de végétation
de substance, des productions osseuses très faciles à distinguer des
os
du crâne, et qui semblent destinées à réparer en
des autres parties du corps, soit qu'elles fussent implantées sur les
os
aux dépens desquels elles paraissaient formées, s
La tumeur de l'humérus droit avait détruit la presque totalité de cet
os
, dont la tête ne tenait plus au reste de l'os que
presque totalité de cet os, dont la tête ne tenait plus au reste de l'
os
que par une languette. Le cerveau et tous les o
mpue, les chairs du mollet désorganisées et la partie postérieure des
os
de la jambe plus ou moins profondément cariée, ce
rtées à cette catégorie. 33^Livraison PU. Tumeurs erecliles des
os
du crâne A. Ckazaldel. Tm. de.Zemcrcier,3marX
e masse qui s'articule avec le cinquième métatarsien et avec un petit
os
rudinientaire qui paraît le vestige du quatrième
fusion avec disparition complète de plusieurs parties. La soudure des
os
du squelette fœtal dans certaines grossesses extr
l'humérus et du radius, qui ne constituaient plus qu'un seul et même
os
. Il y avait en même temps : i° fusion du semi-lun
avait en même temps : i° fusion du semi-lunaire, du pyramidal et de l'
os
pisiforme; i° fusion du grand os et de l'os croch
u semi-lunaire, du pyramidal et de l'os pisiforme; i° fusion du grand
os
et de l'os crochu; 3° fusion des quatrième et cin
ire, du pyramidal et de l'os pisiforme; i° fusion du grand os et de l'
os
crochu; 3° fusion des quatrième et cinquième méta
° U ankylose périphérique ou par invagination, dans laquelle les deux
os
sont soudés, par une gaîne osseuse, étendue d'un
laquelle les deux os sont soudés, par une gaîne osseuse, étendue d'un
os
à l'autre, indépendamment de toute soudure, de to
deux jambes,réunies dans toute leur longueur, sont formées par trois
os
, dont un médian PR, plus grêle, représente les de
t l'orteil médian; les deux gros orteils occupent les bords; les deux
os
calcaniens, les deux cuboïdes, les deux cinquième
tuation des rotules donne la clef de cette disposition. En effet, ces
os
occupent la face postérieure des deux genoux juxt
des fémurs est dirigée en avant, et leur convexité en arrière. Les
os
du bassin offraient une disposition non moins rem
ciens qui m'ont remis la pièce) une poche pleine de liquide. Les deux
os
ischions, unis dans leurs branches ascendantes, c
tre l'autre. On conçoit, d'après cette étiologie, que la*Lusion des
os
peut être plus ou moins complète, suivant que la
t. Il y avait deux cavités cotyloïdes distinctes, deux fémurs, quatre
os
pour les deux jambes : les deux pieds étaient par
complets quant au nombre et au développement des phalanges. Plusieurs
os
du tarse manquent. Dans le degré le plus avancé
a même ligne ou disposés à angle. La jambe est constituée par un seul
os
. C'est là la forme qui a le plus d'analogie avec
Est-il besoin de dire que les vices de conformation observés dans les
os
en supposent de correspondans dans les muscles, l
de l'appendice anal se voit une petite saillie, qui a pour support un
os
. Cette petite saillie m'a paru sans importance.
figure 5 représente le fémur écarté de la cavité cotyloï-dienne. Cet
os
a subi un mouvement de demi-rotation, tel que sa
u tibia résultent de la fusion des extrémités supérieures de ces deux
os
. Il y avait deux rotules R et R', qui s'articul
re entièrement dans celle que j'ai décrite chez d'autres syrènes. Les
os
iliaques sont comme étalés et horizontaux. Sur la
té externe de la jambe, ils en occupent le côté interne. Au pied, les
os
du tarse sont distincts, à l'exception des deux c
ception des deux calcanéums, qui sont confondus. Les phalanges et les
os
métatarsiens ne diffèrent pas de l'état normal. I
Bassin et membres inférieurs vus par leur face postérieure; bassin et
os
ilium étalés, et, sur la ligne médiane, sacrum et
térieure, la rotation inégale des deux fémurs et à-peu-près égale des
os
des jambes apparaît dans tout son jour. Au tarse,
out son jour. Au tarse, les deux calcanéums sont confondus en un seul
os
; mais, d'ailleurs, tous les autres os du tarse so
néums sont confondus en un seul os; mais, d'ailleurs, tous les autres
os
du tarse sont parfaitement distincts. Fig. 8.
raison , qui présente la syrénie à son premier degré, les fémurs, les
os
des jambes sont parfaitement distincts, ainsi que
nt parfaitement distincts, ainsi que les orteils, le métatarse et les
os
du tarse, sauf le caleanéum, et pourtant les os d
, le métatarse et les os du tarse, sauf le caleanéum, et pourtant les
os
du bassin ont subi une altération aussi prononcée
s leur intervalle le poumon droit participant à la même altération. L'
os
coxal du même côté est aussi à découvert. Tout le
s yeux, parfaitement conservés ainsi que la langue, le nez : tous les
os
de la face et du crâne peuvent être retrouvés. Il
x notablement plus longs que ceux d'un enfant à terme. 3° Entre les
os
du crâne et la dure-mère on trouvait çà et là des
n trouve une masse semblable à celle qui avait été observée entre les
os
du crâne et la dure-mère. La totalité de cette su
particulier, si ce n'est peut-être une plus grande densité. 8° Les
os
, généralement moins longs que ceux d'un enfant à
nt pas réunies, sont cependant plus fortement appliquées au corps des
os
qu'à l'état normal. Réflexions. Ce cas doit êtr
ie qui était située à gauche entre les fausses côtes et la crête de l'
os
des lies, et avait acquis le volume de la tête d'
partie extérieure du ventre , depuis le cartilage xyphoïde jusqu'aux
os
puhis, est dilatée et permet la sortie de presque
t dans la partie inférieure, c'est-à-dire depuis le nombril jusqu'à l'
os
pubis; et alors ce sont pour « l'ordinaire les in
ri : la peau flasque, froide et terne, repose pour ainsi dire sur les
os
. « Le Ier septembre, la tumeur est dans le même
risse, des portions de tissu cellulaire induré restèrent accolées aux
os
. Incisant alors le rectum par sa paroi postérieur
te d'un cancer utérin. — Rondelle cancéreuse formée aux dépens de l'
os
frontal. L'observation suivante est remarquable
s qui disparaissaient complètement dans les poches plus avancées. L'
os
frontal présentait en avant et à gauche, à coté d
ssu. Sa circonférence était reçue entre les deux lames compactes de l'
os
. Le pourtour de la perte de substance du frontal
r de la perte de substance du frontal était rugueux ; tous les autres
os
étaient sains. MALADIES DU FOIE Gzrieer. 23
yroïde envoie supérieurement chez quelques sujets juqu'au niveau de l'
os
hyoïde. Voici le fait. Une femme, âgée de 82 an
apophyses accidentellement formées sur les bords correspondans de ces
os
. Cette articulation se fait par des surfaces plan
première d'avec la deuxième pièce du sternum. La gaîne fibreuse de l'
os
qui avait été décollée par la suppuration était l
nsidérées que comme des concrétions calcaires, et nullement comme des
os
proprement dits, n'adhèrent pas aux parois veineu
ite de ces tumeurs: il y en avait plusieurs petites au-dessous de cet
os
; une volumineuse sur le moignon de l'épaule; une
isibles à raison de leur aspect nacré, finissent par disparaître. Les
os
eux-mêmes ne résisteraient pas si le développemen
ns leur épaisseur, et il faut bien distinguer cette participation des
os
à l'état variqueux de l'érosion que les tumeurs s
variqueux de l'érosion que les tumeurs sanguines déterminent sur les
os
qu'elles avoisinent. J'ai pu voir sur ce sujet la
tragale, on voit que le cartilage qui revêt la face supérieure de cet
os
est décollé de la couche osseuse subjacente , laq
décollé. Une couche de sang très dense le séparait de la surface de l'
os
. Troisième observation. Femme Lemaire, 84 ans,
a jambe étaient réduits en bouillie rou-« geâtre, que le périoste des
os
du membre inférieur et lesligamens des articulati
culations fémoro-« tibiale et péroneo-tibiale étaient détachés de ces
os
, et que les cartilages articulaires étaient * déc
ens étaient parfaitement conservés, le périoste était resté collé aux
os
.» J'ai pensé que la différence qui existait ent
homme dont le pied et la jambe momifiés ne tenaient plus que par les
os
au reste du corps; la séparation entre le vif et
s qu'un chirurgien, peu habitué aux opérations, se décida à scier les
os
, ce qui débarrassa le membre d'un poids incommode
a nature aurait fini par se débarrasser elle-même; car la section des
os
au niveau de la cicatrice n'empêcha pas la sépara
ioste conservé. Ce n'est pas la première fois que je vois l'usure des
os
dans les anévrysmes s'effectuer sans destruction
oureux est remplacé par un sentiment de feu, qui occupe la moelle des
os
. « Les douleurs, dit le malade, sont tantôt froid
ne peut dormir ni jour ni nuit ; sentiment de feu dans la moelle des
os
, et surtout le long des jambes ; d'autres fois, j
on l'avait cru pendant la vie, mais qu'elle s'enfonçait derrière cet
os
, pour pénétrer dans la poitrine; que la carotide
ent en être séparé, en sorte que la tumeur m'a paru naître moins de l'
os
que de la portion de dure-mère qui se prolonge da
pu résister à une pression assez forte pour user aussi profondément l'
os
pierreux du temporal. Mon attention s'est ensui
os pierreux du temporal. Mon attention s'est ensuite portée sur les
os
du crâne qui m'ont présenté, à leur surface inter
qu'impriment les artères à la masse encéphalique puisse agir sur les
os
à la manière d'une poche anévrysmale. Je ferai re
cher. — Petite tumeur osseuse naissant de la face postérieure du même
os
.—Affaiblissement des facultés intellectuelles. —
u côté du cerveau; celles qui naissent de Sa face postérieure du même
os
compriment le cerveau, la protubérance et le bulb
du rocher, j'ai vu de petites tumeurs osseuses qui naissaient de cet
os
et soulevaient la dure-mère amincie : une de ces
in, dans la partie de la fosse temporo-sphénoïdale qui appartient à l'
os
sphénoïde, j'ai vu la dure-mère criblée de trous
ce de tous les stimulans extérieurs s'accompagne de douleurs dans les
os
; douleurs continuelles sourdes, avec exacerbation
idée d'un déplacement des vertèbres par suite d'une altération de ces
os
. Quant à la douleur abdominale, je pus d'abord
ment vertébral commun postérieur; au fond de ce foyer, on sentait les
os
à nu, et on reconnaissait que plusieurs vertèbres
à l'autre, puisque la carie n'est autre chose que la suppuration des
os
. Je ne sais si on trouvera dans la description
qu'on peut appeler cancer fibreux, tissu assez analogue à celui d'un
os
dépourvu de phosphate calcaire par suite de l'imm
vu que la lésion organique ainsi dénommée avait pour siège tantôt les
os
du crâne et tantôt la dure-mère; que la lésion de
iège tantôt les os du crâne et tantôt la dure-mère; que la lésion des
os
du crâne avait pour point de départ le tissu adip
face externe de cette membrane et faisaient leurs progrès du côté des
os
du crâne qu'ils ne tardaient pas à user; les autr
face externe et par un amincissement extrême avec transparence de ces
os
réduits à une lame compacte. Il y avait à la voût
l y avait à la voûte, le long d'une suture, que je n'ai pas notée, un
os
wormien interne. Réflexions. La coïncidence de
imensions ordinaires. L'ossification du crâne était très avancée. Les
os
de la voûte, très épais et très durs, étaient sol
fait. Chez un autre enfant microcéphale par atrophie du cerveau, les
os
de la base avaient leur développement ordinaire;
eau, les os de la base avaient leur développement ordinaire; mais les
os
de la voûte appartenaient à un crâne beaucoup plu
mporal ; on eût dit que la base du crâne et la portion écailleuse des
os
temporaux étant restés en place, l'occipital, et
âne par la destruction morbide du cerveau. L'ossification précoce des
os
du crâne pourrait-elle être considérée comme caus
par une communication qui m'aurait échappé entre les ventricules et l'
os
carié ; cependant il existe dans les recueils d'o
ns plusieurs exemples de suppuration fétide du cerveau sans carie des
os
et sans gangrène : c'est un fait qu'il faut accep
tard, la dure-mère finit par être envahie, puis la table interne des
os
du crâne, le diploé et enfin la table externe.
tumeur pénétraient dans le sinus, qu'elles rétrécissaient un peu. Les
os
étaient intacts à ce niveau; mais la dure-mère le
emps de la face latérale droite de la faux dans toute sa hauteur. Les
os
du crâne correspondans présentaient une perte de
eur, où cette membrane éraillée correspondait à la portion érodée des
os
du crâne. L'altération s'était propagée à travers
partement. Cette corne, qui naissait au niveau de l'articulation de l'
os
malaire avec l'os maxillaire supérieur, descendai
orne, qui naissait au niveau de l'articulation de l'os malaire avec l'
os
maxillaire supérieur, descendait obliquement, en
lignes. Du reste, la peau était parfaitement libre d'adhérence avec l'
os
de la pommette. Cette végétation (fig. 3et3') a
quart de son poids de gélatine, ce qui le rapproche beaucoup plus des
os
. Quant à la substance qui constitue les productio
dressée à la Société de médecine, ne fût adhérente au périoste et à l'
os
par une partie de sa base. On ne saurait révoqu
du même genre, les observateurs avaient noté une adhérence intime à l'
os
; comme en outre , dans quelques - uns de ces fait
base à cette végétation était implanté dans la peau sans adhérer à l'
os
. Il s'en est convaincu en pinçant le pédicule de
craindre que la base de la corne ne fût adhérente au périoste et à l'
os
. Le fait suivant me paraît jeter une grande lum
est remarquable. La matière qui aurait dû servir à la nutrition de l'
os
s'était , dit-il, convertie en substance cornée p
eune mouton de six mois. » Cabrol croyait qu'elle était adhérente à l'
os
; néanmoins, vaincu par les prières du malade, il
ce point à l'économie tout entière; cependant,outre que le cancer des
os
est rarement primitif, rien ne force à admettre u
morale droite. On trouva la tête du fémur usée, les trois pièces de l'
os
coxal séparées, et une carie de la portion de cav
ouble courbure et leur longueur, mais qui ont doublé d'épaisseur. Ces
os
, sternum et clavicules, sont entièrement carnifié
on complètement carnifiée, cela était impossible, vu la souplesse des
os
, mais bien dans celle qui Test incomplètement. La
lande mammaire aux muscles subjacens; mais à gauche, l'altération des
os
était indépendante de toute lésion voisine, et c'
était indépendante de toute lésion voisine, et c'est évidemment par l'
os
lui-même qu'a débuté la dégénération; car les mus
inue sans ligne de démarcation avec le tissu également cancéreux de l'
os
. Dans d'autres points, la dégénération a débuté
ération a débuté, tantôt par les couches les plus superficielles de l'
os
: il semble alors que la lame profonde du périost
rioste devenu cancéreux envoie des prolongemens dans l'épaisseur de l'
os
; tantôt par les couches moyennes ou le centre du
illeurs enfin par les couches les plus profondes. Aux extrémités de l'
os
, la dégénération a la forme de tubercules ou peti
upant des espèces de géodes, dont les unes avoisinent la surface de l'
os
, dont les autres avoisi-nent le canal médullaire
t dont les autres enfin sont comme emprisonnées dans l'épaisseur de l'
os
. Le tissu cancéreux était d'ailleurs très dense
bondant. Le cancer fibreux est la forme la plus commune du cancer des
os
. explication des figures. Cancer fungiforme d
du sternum, je dois dire que le sternum et les côtes sont de tous les
os
ceux qu'envahit le plus souvent le cancer, et cel
te au champ du cancer mammaire; mais il s'en faut bien que les autres
os
soient exempts de dégénération par suite du cance
er dans leur épaisseur; des faits de masses cancéreuses multiples des
os
du crâne survenues chez des femmes , dont les une
pultacé et aréolaire. Je prie de comparer cette figure à la coupe des
os
du crâne cancéreux représentée dans une des précé
étaient jaunâtres; elles résistaient à la scie beaucoup plus que les
os
; leur dureté était telle qu'elles se brisaient so
ie, dans le rectum, dans les ganglions lymphatiques, et même dans les
os
du bassin eux-mêmes, lorsque la vessie , le rectu
mes, lorsque la vessie , le rectum, les ganglions lymphatiques et les
os
du bassin ont été envahis. Les aréoles des tiss
la coupe de l'utérus représentait exactement l'aspect de la coupe des
os
cancéreux figurée dans une des précédentes livrai
physe avec toutes les parties contenues dans le bassin, en rasant les
os
, et j'ai vu que le tissu cellulaire du bassin éta
s les pièces de ce petit squelette m'a été facile, car la plupart des
os
, sauf les humérus, les clavicules etl'avant-bras
he CG, l'humérus droit HD, l'a-vant-bras droit ABD, la main droite, l'
os
coxal, le fémur droit FD, le fémur gauche FG, une
u moins complète, si bien que des dents, des débris de mâchoires, des
os
plus ou moins informes, des lambeaux de tissu cut
diaphragme. Il y a quatre auricules, deux à droite, une supérieure
OS
(qui est cachée dans la position naturelle du cœu
OI, sont beaucoup plus considérables que l'auricule supérieure droite
OS
(Voy. fig. 2) et l'auricule inférieure gauche OT.
NS XXI A XL. LÉSIONS DE L'APPAREIL DE LA LOCOMOTION. Maladies des
os
. Fractures du col du fémur. Considérations généra
es , extrêmement considérables (ostéo-chondrophytes), naissant de l'
os
des îles. Structure aréolaire de ces tumeurs. M
de l'os des îles. Structure aréolaire de ces tumeurs. Maladies des
os
. Ostéo-chondrophytes............. --Cancer aréo
ies des os. Ostéo-chondrophytes............. --Cancer aréolaire des
os
du crâne et de la face .......... --Tumeurs ére
re des os du crâne et de la face .......... --Tumeurs érectiles des
os
du crâne. ... *........ Maladies des extrémités
ence des abcès viscéraux à la suite des opérations pratiquées sur les
os
. 11e liv. pl. i, n, m, p. n\ — La phlébite des os
pratiquées sur les os. 11e liv. pl. i, n, m, p. n\ — La phlébite des
os
est une des causes les plus fréquentes des abcès
suite des plaies et des opérations chirurgicales dans lesquelles ces
os
ont été intéressés. 11% liv. pl. i, n, m, p. io e
, p. .3. —Ankylose de l'articulation de la mâchoire inférieure avec l'
os
temporal. 9e liv., pl. 11, ni, iv, v, vi, p. g. —
, p. 8. — Ankylose de l'articulation de la mâchoire inférieure avec l'
os
temporal. 9e liv., pl. 11, m, iv, v, vi, p. y. —
1, p. i. — Théorie de la résorption des cartilages et de l'usure des
os
; définition de l'anky-lose. 34e liv., pl. 1, p. 2
des circonvolutions du cerveau. 20e liv., pl. m, p. i. — Atrophie des
os
. 23e liv., pl. i, n, p. — Atrophie de l'utérus af
ssentiel du pied-bot n'est pas comme il le pense dans la courbure des
os
de la jambe. 2e liv., pl. iv, p.g. BELLADONE. S
rdinaire du cancer mélanique. 19e liv., pl. m, iv, p. 6. — Cancer des
os
. Le cancer par masses disséminées des os est le p
l. m, iv, p. 6. — Cancer des os. Le cancer par masses disséminées des
os
est le plus souvent consécutif. Son siège; son as
s disséminées et le cancer non circonscrit. Propagation du cancer des
os
aux parties molles et réciproquement. 20e liv., p
ure spontanée des deux fémurs. Cancer par masses disséminées dans les
os
, le foie, le tissu cellulaire sous-pleural et sou
leural et sous-péritonéal. 20e liv., pl. 1, p. 3.—Cancer primitif des
os
. 20e liv., pl. 1, p. 4- — Cancer dur à la mamelle
p. 4- — Cancer dur à la mamelle. Infection générale. Cancer dans les
os
, le foie et la rate. 20e liv., pl. 1, p. 4. —Canc
née de l'humérus. Tumeurs cancéreuses dans le canal médullaire de cet
os
. Une tumeur cancéreuse dans l'épaisseur du sternu
l'épaisseur du sternum. 20e liv., pl. i,p. 5. — Cancer aréolaire des
os
. 21e liv., pl. 1, p. /. — Cancer mélanique occupa
suite d'un cancer utérin.= Rondelle cancéreuse formée aux dépens de l'
os
frontal. 23e liv., pl. v, p. 5. — Cancer utérin.
e des vertèbres lombaires. 32e liv., pl. m, iv, p. 1. — Le cancer des
os
est rarement primitif. = Une des formes les plus
ices de la protubérance. 21e liv., pl. v, p. 5. — De la cicatrice des
os
. 26e liv., pl. m, p. i. — Cicatrices d'ulcération
rmation. 2e liv., pl. iv, p. 8. — Influence de la compression sur les
os
. 2eliv., pl. iv, p. —Degré énorme de compression
s côtes. 19e liv., pl. m, iv,p. 3. — Les côtes et le sternum sont les
os
qu'envahit le plus souvent le cancer. 31e liv., p
. iv v, p. 6; et 8e liv., pl. vi, p. 2. — Tumeurs carcinomateuses des
os
du crâne. 8e liv., pl. i, n, m, A NAT. PATHOL.
E DES MATIERES. p. 2. — Coïncidence des tumeurs carcinomaleuses dps
os
du crâne, avec des tumeurs cancéreuses de la dure
rocher. Petite tumeur osseuse naissant de la face postérieure du même
os
. Affaiblissement des facultés intellectuelles. Af
9e liv., pl. m, iv,p. i, 2. — Cancer de l'estomac suivi de cancer des
os
. 20e liv., pl. 1, p. 5. — Cancer. Maigreur squele
stoses osseuses et fibreuses extrêmement considérables, naissant de l'
os
des îles; structure aréolaire de ces tumeurs. Fai
me veineux appartenant au périoste et aux couches superficielles de l'
os
. 21e liv., pl. n, p. . — Différence entre l'exost
re spontanée des deux fémurs. 20e liv., pl. i,p.3.— . Fractures des
os
du col du fémur. 23e liv., pl. 1,11, p. /.—Travau
te d'une hémorrhagie très considérable, dont la source était dans les
os
fracturés. 23e liv., pl. 1, n,p. 4. —Rareté des f
te d'une hémorrhagie très considérable, dont la source était dans les
os
fracturés. 23e liv., pl. 1, n, p. 4. — Fracture e
p. g. FRONTAL. Rondelle cancéreuse du front formée aux dépens de l'
os
frontal. 23e liv., pl. y, p. S. G. GALL (Doct
née de l'humérus, tumeurs cancéreuses dans le canal médullaire de cet
os
, consécutives à un cancer de l'estomac. 20e liv.,
, p. 2, 3. M. MACHOIRE. Ankylose de la mâchoire inférieure avec l'
os
temporal. 9e liv., pl. 1, 11, m, iv, v, vi, p. 9.
p. /; — des nerfs. lre liv., pl. m, p. /; 35e liv. pl. n, p. /; — des
os
. 21e liv-, pl. i, p. /, et pl. n, p. /; 23e liv.,
physiques et chimiques peuvent déterminer. 10e liv., pl. 1,11, p. 8.
OS
. Richesse du Muséum anatomicum de Sandifort en re
du Muséum anatomicum de Sandifort en représentations des maladies des
os
. lre liv., Avant-Propos, p. iij. — Examen anatomi
adies des os. lre liv., Avant-Propos, p. iij. — Examen anatomique des
os
dans le pied-bol. 2e liv., pl. m, p. o, et pl. iv
iformes. 2e liv., pl. iv, p. 5. — Influence de la compression sur les
os
. 2e liv., pl. iv, p. / / . — Du redressement des
mpression sur les os. 2e liv., pl. iv, p. / / . — Du redressement des
os
dans le pied-bot. 2e liv., pl. iv, p. i3.—Les mal
lit les cellules. 4e liv., pl. iv, p. 2. — Sur le tissu spongieux des
os
. = La phlébite des os est une des causes les plus
iv., pl. iv, p. 2. — Sur le tissu spongieux des os. = La phlébite des
os
est une des causes les plus fréquentes des abcès
x, suite des plaies et des opérations chirurgicalesdans lesquellesces
os
ont été intéressés. 11e liv., pl. 1, n, m, p. 10,
réquence des abcès viscéraux, suite des opérations pratiquées sur les
os
. 11e liv., pl. 1, n, m, p. n. — Gravité de la phl
sur les os. 11e liv., pl. 1, n, m, p. n. — Gravité de la phlébite des
os
. 16e liv., pl. m, p. /.— De la présence des os da
ité de la phlébite des os. 16e liv., pl. m, p. /.— De la présence des
os
dans les kystes pileux. 18eliv., pl. m, iv, v, p.
eux. 18eliv., pl. m, iv, v, p. 5. — Cancer par masses disséminées des
os
; il est le plus souvent consécutif; siège, aspec
/.— Symptômes; différences entre le cancer par masses disséminées des
os
et le cancer non circonscrit. Propa galion du can
inées des os et le cancer non circonscrit. Propa galion du cancer des
os
aux parties molles, et réciproquement. 20e liv.,
ure spontanée des deux fémurs. Cancer par masses disséminées dans les
os
, le foie, le tissu cellulaire sous-pleural et sou
p. 3. — Cancer dur à la mamelle. Infection générale. Cancer dans les
os
, le foie et la raie. = Cancer primitif des os. 20
nérale. Cancer dans les os, le foie et la raie. = Cancer primitif des
os
. 20e liv., pl. 1, p. 4.— Cancer de l'estomac. Fra
née de l'humérus. Tumeurs cancéreuses dans le canal médullaire de cet
os
. Une tumeur cancéreuse dans l'épaisseur du sternu
l'épaisseur du sternum. 20e liv., pl. 1, p. S. — Cancer aréolaire des
os
. = Exostoses. Deux exosloses osseuses et fibreuse
sloses osseuses et fibreuses extrêmement considérables, naissant de l'
os
des îles; structure aréolaire de ces tumeurs. Fai
me veineux appartenant au périoste et aux couches superficielles de l'
os
. 21e liv., pl. n, p. — Atrophie des os; ses phéno
ux couches superficielles de l'os. 21e liv., pl. n, p. — Atrophie des
os
; ses phénomènes; ses causes. 23e liv., pl. 1, n,
te d'une hémorrhagie très considérable, dont la source était dans les
os
fracturés. 23e liv., pl. i, n, p. 4. — Fracture e
e de la fosse iliaque externe. 29e liv., pl. i, p. *. — Le cancer des
os
est rarement primitif. 32e liv., pl. m, iv,p. 2.—
e. 33e liv., pl. iv,p. /.—Les vices de conformation observés dans les
os
en supposent de correspondans dans les autres par
éo-chondrophyles). 34e liv., pl. iv, v,p. /.—Mécanisme de l'usure des
os
. 34e liv., pl. i, p. 2. OSSIFICATION. Ossificat
hlébites capillaires. 11e liv., pl. 1, n , ni, p.g. — La phlébite des
os
est une des causes les plus fréquentes des abcès
suite des plaies et des opérations chirurgicales dans lesquelles ces
os
ont été intéressés. 11e liv., pl. 1, n, m,». 10.
névroses et des cartilages dans le pied-bot. 2e liv.,pl. m, p. 3.—Des
os
.™ liv., pl. m, p.3fel pl. iv,p. 5, g.—Causes des
rocher. Petite tumeur osseuse naissant à la lace postérieure du même
os
. Affaiblissement des facultés intellectuelles. Af
du sternum. 20e liv., pl. i, p. 5. — Le sternum et les côtes sont les
os
qu'envahit le plus souvent le cancer. 31e liv., p
e de l'utérus. ôeliv., pl. vi, p. 2, 3. — Tumeurs carcinomateuses des
os
du crâne. = Tumeurs cancéreuses des méninges : hi
i, p. 4; 40e liv-, pl. vi, p. 4. — Les vices de conformation dans les
os
en supposent de correspondans dans les autres par
phlébites capillaires. 11e liv., pl. 1, n, m, p. g.— La phlébite des
os
est une des causes les plus fréquentes des abcès
suite des plaies et des opérations chirurgicales dans lesquelles ces
os
ont été intéressés. 11e liv., pl. 1, n, m, p. 40,
ence des abcès viscéraux à la suite des opérations pratiquées sur les
os
. 11e liv., pl. 1,11, m, p. 11. VISION. Absence
nnelle, ne présente pas trace d'ankylose, et est constituée par des
os
que la radiographie et l'examen clinique ordinair
oite amputée nettement par un trait circulaire à mi-hau- teur : les
os
apparaissent au milieu des muscles sectionnés.
mme dans la radiographie de la planche XVI, que la présence d'un seul
os
. Sa longueur totale, sur la radiographie, est d
t Vail- lant (1). Par son extrémité supérieure, cependant, l'unique
os
de l'avant-bras présente quelques caractères qu
une trochlée, mais par une sorte de juxtaposition latérale des deux
os
. L'extrémité inférieure de l'humérus a l'aspect d
ondyle, la trochlée et l'épi- trochlée. L'extrémité supérieure de l'
os
de l'avant-bras a un aspect semblable ; elle es
ans diverses posi- tions (voir aussi PI. XVI), est réduit à un seul
os
qui ne ressemble à aucun des os normaux du carp
ussi PI. XVI), est réduit à un seul os qui ne ressemble à aucun des
os
normaux du carpe. Comme il s'articule en haut ave
cule en haut avec l'extrémité inférieure du radius et en bas avec l'
os
du métacarpe, il paraît correspondre à la fois au
rpe, il paraît correspondre à la fois au scaphoïde et au trapèze. L'
os
unique qui forme le métacarpe est assez bien co
tète d'un métacarpien. A son ni- veau on constate la présence d'un
os
sésamoïde, indiquant bien que le doigt existant
moïde, indiquant bien que le doigt existant est un pouce ; mais cet
os
sésamoïde paraît unique et il est notablement p
udure du premier métacarpien avec le trapèze modifié. Dans ce cas l'
os
du carpe corres- pondrait seulement au scapboid
le celle que l'on rencontre dans des cas de doigts surnuméraires. L'
os
qui s'articule avec la tête du métacarpien para
ètres. Le squelette de l'avant-bras est également formé par un seul
os
, qui ressem- ble au radius par son extrémité in
aussi avec l'humérus en se juxtaposant au bord interne de celui-ci. L'
os
de l'avant-bras gauche est moins long qu'à droi
roit ; il n'en diffère guère que par une épaisseur un peu moindre des
os
. Le carpe, comme à droite, n'est représenté que
des os. Le carpe, comme à droite, n'est représenté que par un seul
os
. Le métacarpe ne comprend également qu'un métac
à celui du pouce et en rapport à son extrémité inférieure avec deux
os
sésamoïdes. Le squelette de l'unique doigt qui
repré- senter le squelette du pouce, bien qu'il se compose de trois
os
; mais, tandis que la première phalange et la p
une conformation et des dimensions assez voisines de la normale, l'
os
intermédiaire est extrêmement réduit et n'a que
té inférieure de l'hu- mérus à la partie supérieure et externe de l'
os
de l'avant-bras ; il paraît corres- pondre soit
de l'extrémité inférieure de l'humérus à la partie supérieure de l'
os
de l'avant-bras ; il correspond soit au brachia
cipale est l'absence du cubitus. Au niveau du coude, il est vrai, l'
os
unique qui forme le squelette de l'avant-bras cor
radius. Pour expliquer la situation de l'extrémité supérieure de l'
os
de l'avant- DESCRIPTION D'UN ECTROMÉLIEN HÉMIMÈ
raît guère vraisemblable en raison de la configuration générale de l'
os
de l'avant-bras et de l'état de la main. Il nou
que d'absence du radius ; il la palpation l'extrémité supérieure de l'
os
unique de l'avant-bras paraissait ressembler à
et de leurs métacarpiens ; absence du pyramidal, du pisiforme. de l'
os
crochu, du grand os ( ? ). III. - PRInGLE, 1893
iens ; absence du pyramidal, du pisiforme. de l'os crochu, du grand
os
( ? ). III. - PRInGLE, 1893 (2). - Homme, 31 an
an- que presqu'en entier ; absence du pisiforme, du pyramidal, de l'
os
crochu et des 3 derniers doigts ; coude à angle
absence du pouce, des 4° et 5° doigts avec les métacarpiens et les
os
du carpe correspondants. - Aux membres in- féri
rt que le radius normal ; il s'articule avec un carpe réduit à deux
os
, auxquels font suite deux métacarpiens et deux
ux membres supérieurs présentent des difformités. A droite les deux
os
de l'avant-bras paraissent faire complètement déf
édiatement avec le coude ; le carpe ne serait composé que d'un seul
os
, au-dessus duquel se trouve uu autre noyau osseux
cher comme un rudiment du cubitus (à moins que ce ne soit un second
os
du carpe ? ). Avec le carpe s'articulent deux m
halanges. A gauche l'avant-bras existe, mais ne contient qu'un seul
os
, qui se continue di- rectement en haut avec l'h
te aussi au même niveau sur le membre supérieur de l'autre côté). L'
os
de l'avant-bras a l'apparence du radius surtout
extrémité inférieure ; il s'articule avec un carpe composé de deux
os
pour la première rangée et d'un seul os pour la
ec un carpe composé de deux os pour la première rangée et d'un seul
os
pour la seconde; celui-ci s'articule avec trois
t encore la main existe avec tous ses doigts et avec les différents
os
du métacarpe et du carpe. Générale- ment, surto
étés, le carpe est assez profon- dément modifié et le nombre de ses
os
est plus ou moins restreint. Assez souvent on o
CTROMÉLIEN HÉMIMÈLE 143 existe avec son métacarpien et avec un seul
os
du carpe ; le reste de ce- lui-ci, les quatre d
omplètement défaut. De l'autre côté on ne trouve également qu'un seul
os
du carpe, un seul métacarpien et un pouce réuni
ntes, que le squelette de l'avant- bras ne se compose que d'un seul
os
, le cubitus, plus court de moitié environ que c
itié environ que celui du côté opposé. Le carpe est réduit à quatre
os
, pyrami- dal, pisiforme, os crochu et grand os
té opposé. Le carpe est réduit à quatre os, pyrami- dal, pisiforme,
os
crochu et grand os ; le métacarpe ne se compose q
est réduit à quatre os, pyrami- dal, pisiforme, os crochu et grand
os
; le métacarpe ne se compose que des quatre der
puisque le sque- lette de l'avant-bras ne se compose que d'un seul
os
; il ne peut pas être plus question de régressi
e est entièrement atrophié, il n'a littéralement que la peau et les
os
, sans aucun relief mus- culaire. L'avant-bras g
l'angle supéro-in- terne de l'omoplate à l'angle inférieur du même
os
. Cette tache est moins colorée que les précéden
e comme dans l'acromégalie, mais bien au développement excessif des
os
de la voûte du crâne, donnant ainsi aux malades
aississement très net 280 CESTAN des ospariétaux et frontaux. Les
os
de la face ont conservé au contraire leurs prop
ndroplasique.(Ziegler's Haudbucn, Pathologie Anatomie, t. 11.) S,
Os
normaux et os d'achondroplasiques. (Thèse de Sp
Ziegler's Haudbucn, Pathologie Anatomie, t. 11.) S, Os normaux et
os
d'achondroplasiques. (Thèse de Spillsiann. Le R
plasiques. (Thèse de Spillsiann. Le Rachitisme. Nancy, 1900.) Les
os
achondropla- siques sont placés à la droite des
ancy, 1900.) Les os achondropla- siques sont placés à la droite des
os
normaux correspondants. T, Chondrodystrophia
colonne vertébrale sont normales sans exostose, sans déviation. Les
os
de la voûte crânienne sont très épaissis; au co
paissis; au contraire, ainsi que le faisait re- marquer Parrot, les
os
de la base crânienne et de la face ont conservé l
iée. Ces détails se retrouvent au niveau du bassin. La diaphyse des
os
longs est normale,mais leurs épiphyses très hyper
urs épiphyses très hypertro- phiées et même assez irrégulières; les
os
longs sont ainsi comme tassés sur eux-mêmes. Si
trident, Ihorax normal, hypertrophie considérable des épiphyses des
os
longs avec état normal de la diaphyse, caractér
un rachitisme foetal ordinaire, non éteint à la naissance, avec des
os
mous, ramollis, fracturés, avec des localisations
acturés, avec des localisations variées de ces lésions sur tous les
os
longs et courts, et un rachitisme spé- cial, ét
courts, et un rachitisme spé- cial, éteint à la naissance avec des
os
durs, compacts, avec des localisa- tions symétr
ompacts, avec des localisa- tions symétriques sur les épiphyses des
os
longs et qu'il dénomme rachitis micomelicra. En
chitisme évolue après la naissance ; il atteint indistinctement les
os
longs et les os courts, les membres et le thora
après la naissance ; il atteint indistinctement les os longs et les
os
courts, les membres et le thorax, les épiphyses e
e seule la symétrie des lésions, leur localisation à l'épiphyse des
os
longs, la micromélie surtout rhizomélique, la mac
devons-nous in- diquer les caractères principaux histologiques de l'
os
achondroplasique. Nous emprunterons ces notions
de Durante 286 CESTAN (Société anatomique, 1900).On sait que les
os
longs présentent deux systè- mes d'ossification
ans l'achon- droplasie ; des conséquences immédiates seront que les
os
à ébauche carti- lagineuse sont seuls atteints,
s os à ébauche carti- lagineuse sont seuls atteints, tandis que les
os
non précédés d'une ébauche cartilagineuse tels
ineuse tels que les pariétaux et le frontal sont épargnés ; que les
os
longs ont une épaisseur normale tandis que leur l
. 3. Capillaire. 4. Espace médullaire avec ostéo- blastes. 5.
Os
récent. Fig. 2. - Schéma d'un cartilage épiphys
melles osseuses, aspect qui ressemble singu- lièrement à celui de l'
os
achondroplasique. La remarquable thèse de M. Sp
torpeur, que les cellules cartilagineuses ne se divisent pas, que l'
os
reste à l'état d'ébauche cartilagineuse, mais si
jugaison va s'ossifier sui- vant la loi normale d'ossification et l'
os
s'accroîtra en longueur. La radio- graphie perm
our. Or cet état du cartilage est tout à fait différent de celui de l'
os
achondroplasique. La lésion achondroplasique es
rticiper à cette réduction, mais surtout les segments occupés par les
os
longs, bras, avant-bras, cuisses et jambes; au
tale caractérisée par une diminution considérable de la longueur des
os
longs des membres, les proportions du tronc et
es membres, les proportions du tronc et de tète, constitués par des
os
plats ou courts restant à peu près normales. L'af
, ce n'est pas du fait d'un manque de développement en longueur des
os
longs, c'est parce que ceux-ci s'incurvent, se
squelettes conservés au Musée Broca (squelettes n" 2 et. 3). Les
os
d'achondroplases frappent par leur aspect massif;
ct massif; ils ne sont ni courbés ni arrondis ou tuméfiés comme les
os
rachitiques ; ils sont courts xiv 1 21 294 AP
culaires sont très marquées ; les arêtes et les angles normaux de l'
os
sont exagérés; les extrémités osseuses et artic
largies, non seu- lement relativement à la longueur restreinte de l'
os
, mais même d'une façon absolue. Cet élargisseme
i publiés. La diminution considérable de longueur des diaphyses des
os
longs, l'élargissement de leurs extrémi- tés, l
e. Les quelques recherches histologiques que nous possédons sur les
os
achondroplasiques confirment cette opinion. Ell
ondroplasiques confirment cette opinion. Elles ont toutes trait à des
os
de nouveau-nés achondroplases et sont dues à M.
acré sa thèse de doctorat, est des plus nets : il n'existe dans les
os
achondroplasiques aucunes lésions semblables à ce
e d'ossification cartilagineuse, qui empêche l'ac- croissement de l'
os
en longueur, tandis que le volume normal des épi-
n'ont en effet ni épiphyse, ni ligne régulière d'ossification, et l'
os
cartilagineux est chez eux extrêmement réduit (4
e MM. Marie et Sainton. Héréditaire comme elle, celle-ci frappe les
os
à développement membraneux, le crâne et la clavic
ie; à l'inverse de la dysostose cléido-crânienne, ne frappe que les
os
à développement cartilagineux. Dans ces os, même
ienne, ne frappe que les os à développement cartilagineux. Dans ces
os
, même elle limite son action à unecertaineparti
en effet l'interprétation qu'il faut donner au raccourcissement des
os
longs, des-os à diaphyse et à épi- physes. L'os
os longs, des-os à diaphyse et à épi- physes. L'ossification de ces
os
par le périoste s'est faite normalement ; c'est
ite normalement ; c'est en effet cette ossification qui développe l'
os
en épaisseur et cette épaisseur n'est pas dimin
c'est en effet par ce cartilage que se fait l'accroisse- ment de l'
os
en longueur. On peut donc conclure que la cause
hondroplasi- ques, c'est l'insuffisance du processus formateur de l'
os
aux dépens du cartilage interdiaphyso-épiphysai
ysaire. On explique ainsi, et la localisation de la maladie sur les
os
longs seuls, et le raccourcissement sans amincis-
cis- (1) RENAUT, Histologie, I, p. 444. 2U8 APERT sement de ces
os
. C'est du reste ce mécanisme qu'admettait Parrot
les deux fémurs, il en résulte que les mensurations prises depuis l'
os
iliaque donnent des proportions seg- mentaires
nt une courbure à convexité antérieure assez marquée. Du côté des
os
du bassin, l'enfant accuse des déformations beauc
ête fémorale droite ainsi qu'à un certain degré de déplacement de l'
os
iliaque sur le sacrum. 4. Gustave, 11 ans 1/2.
ension comme si les tendons extenseurs étaient trop courts pour des
os
trop longs. Si l'on regarde la main malade par
palmaire, coupée perpendiculairement à l'axe des doigts jus- qu'à l'
os
, apparaît comme formée de tissu graisseux finemen
ormée de tissu graisseux finement lobule. Sur le bord confinant à l'
os
, on voit la coupe des deux tendons fléchisseurs s
ndue vers l'extrémité inférieure. A égale distance de la peau et de l'
os
, tou- jours sur la face palmaire, ou trouve deu
différences de la température entre les deux côtés de la face. Les
os
ne semblent pas participer à l'atropliie. La vo
quel il était tombé, les vestiges d'une fracture considérable ; les
os
avaient été en- foncés par la chute et ne s'éta
u'avait causée cette enfonçure, et l'on distinguait un endroit où l'
os
temporal enfoncé, avait été brisé en plusieurs
ie moyenne de son pariétal droit enfoncée, et la table interne de cet
os
éclatée 'de manière qu'une portion de dix ligne
, s'écartait de trois ou quatre lignes de la sur- face interne de l'
os
, et pressait la dure-mère, à laquelle elle était
le qui se rencontre dans la plupart des observations. Cependant les
os
malaires et lès arcades zygomatiques étaient ce
iliaques, la lé- sion la plus marquée en dehors des altérations des
os
des membres. Les côtes ne semblaient pas prises
umérus semblent normaux, sauf la tête, un peu accrue de volume. Les
os
de l'avant-bras sont lésés des deux côtés, mais s
des fémurs est légèrement exagérée, les rotules sont normales. Les
os
des jambes sont extrêmement déformés, tant t ti
les genoux, écarte les deux ta- lons. Les épiphyses inférieures des
os
des deux jambes sont d'ailleurs parfaite- ment
a mort. Nous avons pu constater à ce moment la grande fragilité des
os
, que le tranchant du couteau entamait facilemen
lever les parties du squelette les plus atteintes, c'est-à-dire les
os
des deux jambes, et ceux de l'avant-bras droit.
les os des deux jambes, et ceux de l'avant-bras droit. Examen des
os
pathologiques- Morphologie. Les os enlevés ont
l'avant-bras droit. Examen des os pathologiques- Morphologie. Les
os
enlevés ont été photographiés. Ces photographies
rne est mousse dans sa partie supérieure. A ce niveau des couches d'
os
néoformé le recouvrent, au niveau des insertions
ement rngueux et déformé, au point où il touchait au cubitus. Les
os
de la jambe droite sont fusionnés complètement da
e droite sont fusionnés complètement dans leurs 2/3 infé- rieurs. L'
os
commun formé par le tibia et le péroné a 32 centi
la face postérieure, il subsiste un sil- lon de séparation des deux
os
, peu profond d'ailleurs, et au fond de la mortais
ant-bras droit, l'es- pace interosseux n'existe plus, mais les deux
os
sont encore libres l'un de l'autre. En somme,
sertions musculaires. On savait déjà que les muscles modelaient les
os
, que les rugosités d'insertion étaient en rapport
avec la force du muscle qui y attachait ses tendons. Il semble que l'
os
, ramolli (comme l'expliquera l'examen de la com
t comme par hasard. Notons seulement cette tendance à la fusion des
os
juxta- posés, fusion réalisée à la jambe droite
fisamment la déforma- tion d'origine musculaire qui se voit sur les
os
, au début du processus pa- thologique. L'observ
es de la Tourette et Magdelaine (1) comprend une analyse chimique d'
os
de Paget, et on voit noté 21 0/0 de matières orga
e Berthaud MALADIE DE PAGET (Hudelo rl Heitz) Radiographies des
os
péroné, cubitus et radius. Masson & Cie, Ed
ais il y a plus : Le trait le plus caractéristique de cette coupe d'
os
est certainement le bouleversement complet de t
es autour des canaux de Havers, de l'ordonnance architecturale de l'
os
tout entier. Dans l'observation de Gilles de la
on de Gilles de la Tourette et Marinesco (1), on trouve un examen d'
os
pratiqué par M. Gombault, qui a noté une raréfact
avons fait reproduire, planches LVI et Lllt, les radiographies des
os
enlevés à l'autopsie, et pour comparaison, la r
che a été soumis aux rayons X aussitôt après l'autopsie, les autres
os
après ébullition et dessiccation. On peut facil
ération n'a en rien modifié les résul- tats de la radiographie. L'
os
sain offre une image relativement sombre, opaque
sales n'apparaissent pas dans la diaphyse. Prenons maintenant les
os
pathologiques. Le tibia gauche présente très net-
lliard. 422 HUDELO ET nEITZ souvent les épiphyses inférieures des
os
de la jambe sont normales dans la maladie de Pa
e très exact entre la figure radiographique et l'état objectif de l'
os
. Aux taches sombres correspond l'os- téite cond
le premier, raréfiante pour le second. Les radiographies des autres
os
nous donnent des résultats comparables. Sur le
res on voit deux épais trousseaux osseux passer en se croisant d'un
os
sur l'autre. Dans le tibia on note aussi de nom
pas oublier que les radiographies ci-jointes ont été prises sur des
os
dépouillés des parties molles. Il serait très i
n à la Société médicale des hôpitaux, M. Béclère constatait que les
os
atteints étaient devenus opaques, et aux rayons
uches super- UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 423 ficielles d'
os
nouveau, mais il y a un bouleversement général de
les systè- mes de Havers. Nous pensons que, même sur le vivant, les
os
de notre malade auraient donné des épreuves ric
ichés oü appa- raissaient les plus fins détails de structure de ces
os
pathologiques enveloppés des parties molles. Qu
n des lésions par quelques points un peu spéciaux : L'intégrité des
os
du crâne semble enlèvera l'ensemble un des [rai
semble être l'aboutissant du trouble profond de la nutrition de ces
os
. Nous pouvons encore faire une remarque importa
insi que les artères des membres. Les vaisseaux de l'encéphale, des
os
du crâne, du cerveau, du corps pituitaire étaie
cemment, Curcio (1) a décrit dans la moelle un centre trophique des
os
, qu'il a déterminé expérimentalement, en soustray
que des os, qu'il a déterminé expérimentalement, en soustrayant des
os
après en avoir provoqué artificiellement la néc
lulaire tiendrait sous sa dépendance les altérations trophiques des
os
, la proximité du canal central expliquant la fr
s. 3° Hypothèse de l'état athéromateux de l'artère nourricière de l'
os
. M. Béclère (5), après avoir montré à la Sociét
seuses tenaient sans doute simplement à une mauvaise nutrition de l'
os
, sous la dépendance de l'état athéromateux de son
facilement l'irrégulière distribution des lésions qui atteignent un
os
et épargnent l'os voisin, une phalange, un méta
ulière distribution des lésions qui atteignent un os et épargnent l'
os
voisin, une phalange, un métacarpien, au milieu
l, l'intégrité des ar- tères du corps pituitaire, du cerveau et des
os
du crâne, si l'on se rappelle e que ce dernier
igine vasculaire. La névrite interstitielle du nerf nourricier de l'
os
expliquerait le trou- ble profond de la nutriti
les autopsies de maladie de Paget, prélever pour chacun des grands
os
l'artère et le nerf, et étudier ce der- nier, t
le ; pas de ganglions engorgés ; foie et rate de volume normal. Les
os
n'offrent rien de particulier dans leurs dimensio
parfois aucune proportion entre l'atrophie des muscles et celle des
os
dans le membre paralysé. » L'on voit par ces qu
peau, d'autre part enfin au tissu cellulaire sous-cutané », et aux
os
, aurait pu ajouter Landouzy. L'existence de c
l- leurs normale. Les muscles ne paraissent pas hypertrophiés ; les
os
de longueur normale ne sont pas épaissis. On ne
timètre de plus que celle du côté gauche dans tous ses diamètres. L'
os
maxillaire ne paraît pas épaissi ; les dents so
'engorgement ganglionnaire sous-maxillaire, ni pré-auriculaire. Les
os
de la face ne participent pas à l'hypertrophie. L
ive palatine et le voile du palais sont normaux. A la palpation les
os
du crâne et le maxillaire inférieur ne paraissent
loppement exagéré des téguments ; car, à la palpation profonde, les
os
des membres infé- rieurs (fémur, tibia et péron
ement exagéré des parties molles et aux plus grandes dimensions des
os
. L'hypertrophie des parties molles est néanmoins
avons enlevé avec le membre infé- rieur la plus grande portion de l'
os
coxal, en désarticulant le pubis et en portant
arrondies ou ovalaires, certaines assez profondes pour laisser voir l'
os
ce niveau ; en d'autres points le cartilage ava
nt les déforma- tions considérables des extrémités articulaires des
os
longs. Nulle part elles ne sont plus marquées q
L'arrière-fond de la cavité cotyloïde est très profond et plan ; l'
os
iliaque est réduit à ce niveau à une mince lame
e de la cavité cotyloïde en une gouttière profonde. Le reste de l'
os
iliaque n'a rien de particulier; la diaphyse du f
é. C'est là que la sorte de rehaussement du rebord articulaire de l'
os
prend les plus grandes oronortions. Une sorte d
ia. La figure 3 en dit du reste plus que toutes les descriptions.
Os
du pied. Les os courts du pied : calcanéum, ast
en dit du reste plus que toutes les descriptions. Os du pied. Les
os
courts du pied : calcanéum, astragale, cuboïde,
telure saillante des bords de leurs facettes articulaires. Mais les
os
longs du pied, métacarpiens et phalanges, pré
osseuse forme ici deux larges expansions à la face inférieure de l'
os
, qui forment comme deux ailes, et qui tiennent à
crête osseuse autour des facettes articulaires qui répondent aux deux
os
sésamoïdes (Fig. 4). . Enfin au niveau de l'a
la présence anormale dans le tendon du long fléchisseur propre, d'un
os
sésamoïde, gros comme un pois et en forme de té
articulier. En résumé ce qui est surtout frappant dans l'examen des
os
de ce ma- lade, c'est du côté des os longs des
out frappant dans l'examen des os de ce ma- lade, c'est du côté des
os
longs des membres, une sorte d'aplatissement de
fois que la tête articulaire fait directe- ment suite à l'axe de l'
os
. Quand cette tête articulaire est oblique, comme
ns de la pression qu'elle a à supporter le plus habituellement. Les
os
courts des membres sont peu altérés. En revanch
t, ni de rachitisme, ni d'ostéomalacie. Si l'on n'examinait que les
os
des membres on pourrait à la rigueur considérer q
ES GÉNÉRALISÉES 527 extrémités osseuses. C'est donc, semble-t-il, l'
os
qui est pris pour son pro- pre compte. Mais l'o
nc, semble-t-il, l'os qui est pris pour son pro- pre compte. Mais l'
os
compact échappe partout à la lésion ; partout où
compte. Mais l'os compact échappe partout à la lésion ; partout où l'
os
est déformé, c'est de tissu spongieux qu'il s'a
rties bien spécifiées du système osseux, à savoir les épiphyses des
os
longs et les corps verté- braux. Si l'on veut
e la moitié droite du sque- lette est malade, frappée au niveau des
os
de la jambe, de la cuisse, de la rotule, du bas
s d'évolution, une ostéite déformante léser un assez grand nombre d'
os
situés tous d'un seul côté de la ligne médiane :
ée que deux fois, à notre connaissance tout au moins, au niveau des
os
atteints d'ostéite déformante ; cette constatat
pied prend contact avec le sol. L'examen systématique de tous les
os
fournit les renseignements suivants : La- tête
qui sépare la racine du nez de la protubérance occi- pitale. Les
os
de la face (os maxillaires; malaires, arcades zyg
racine du nez de la protubérance occi- pitale. Les os de la face (
os
maxillaires; malaires, arcades zygomatiques, etc.
r, qui a complètement perdu ses dents. ' * Pas de modification de l'
os
hyoïde. La colonne vertébrale est manifestement \
iteurs A PROPOS D'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 7 nous avons vu des
os
iliaques étiquetés « normaux » dont la largeur ét
du bassin on constate manifestement des lésions très marquées de l'
os
coxal : si l'on prend comme point de comparai-
rquées de l'os coxal : si l'on prend comme point de comparai- son l'
os
gauche, qui semble sain, l'os iliaque du côté dro
prend comme point de comparai- son l'os gauche, qui semble sain, l'
os
iliaque du côté droit apparaît plus dense ; la
che donnent les chiffres suivants : 8 KLIPPEL ET PIERRE-WEIL l'
os
. On ne peut vraiment pas dire que l'os est aplati
8 KLIPPEL ET PIERRE-WEIL l'os. On ne peut vraiment pas dire que l'
os
est aplati en « fourreau de lame de sabre » (La
toute sa force, a été fournie par la chimie osseuse. On sait que l'
os
pagétique est caractérisé essentiellement par une
st bien connue, a montré les différences fondamentales qui séparent l'
os
pagélique de l'os syphilitique. Si tous deux on
ntré les différences fondamentales qui séparent l'os pagélique de l'
os
syphilitique. Si tous deux ont une teneur approxi
l'un de l'au- tre par leur teneur en eau et en matières grasses : l'
os
poétique renferme beaucoup moins d'eau que l'os
atières grasses : l'os poétique renferme beaucoup moins d'eau que l'
os
syphilitique, mais beaucoup plus de ma- tières
p. 15 : A PROPOS D'UN CAS D OSTÉITE DÉFORMANTE 15 talé entre ces
os
et ceux des syphilitiques tertiaires de grosses d
syphilitiques tertiaires de grosses différen- ces. Ceux ci ont des
os
compacts, les hyperostoses y sont formées par une
a observé il y a quelques années le squelette d'une poule dont les
os
longs présentaient des difformités qu'il attrib
que l'ostéite déformante de l'homme frappe surtout la diaphyse de l'
os
: ne s'agirait-il pas plutôt de rhumatisme chroni
, on sait que la section des nerfs des membres provoque du côté des
os
des lésions bien étudiées par Schiff zut) et par
des filets ner- veux qui pénètrent par le trou nourricier de chaque
os
. Reclilinhausen (6) rapporte l'observation d'un
ement de la coud compacte du côté de la concavité. lil3' : Jérnor
os
/éomaiaciql/c : remarquer la disparition des travé
mation de cloisons épaisse transversales ou obliques, qui donne à l'
os
un aspect grossièrement alvéolaire. NOUVELLE Ic
ique, Curcio (3) a même été jusqu'à décrire un centre trophique des
os
dans la moelle épinière, au voisinage du canal
les autopsies de maladies de Paget, prélever pour chacun des grands
os
l'artère et le nerf, et étudier ce dernier tant s
consécutives à l'incrustation calcaire des artères nourricières des
os
. » Or l'artério-sclérose semble un fait extrême
Paget explique bien comment l'affection peut rester localisée à un
os
(Thibierge, Lance- reaux), à un petit nombre d'
er localisée à un os (Thibierge, Lance- reaux), à un petit nombre d'
os
(aux deux tibias : Paget et Lann ; à trois os :
, à un petit nombre d'os (aux deux tibias : Paget et Lann ; à trois
os
: Richard) ; comment elle peut envahir un certain
trois os : Richard) ; comment elle peut envahir un certain nombre d'
os
sans aucune systématisation : le malade Gaillar
clère avait, ainsi que l'a montré l'examen radiographique, certains
os
du squelette de la main aug- mentés de volume,
nge, respectant ou n'intéressant qu'à demi Tarière nourricière de l'
os
voisin... Les lésions osseuses de la mala- die
é- ration et à l'incrustation calcaire des artères nourricières des
os
» (Bé- colère). La théorie de l'artério-sclér
celles des scléroses viscérales : dans les espaces médullaires des
os
atteints d'ostéite déformante, ils ont noté une
que ; nous avons donc commencé à faire une série de radiographies d'
os
secs, nous en avons étudié et noté les différen
fier sur des malades les observations que nous avons faites sur des
os
secs. Parmi les résultats qui nous ont paru int
es des orienta- tions nettement distinctes et par suite donnent aux
os
atteints des aspects absolument différenciés.
uses et des mieux caractérisées est la maladie de Pagel. L'examen d'
os
atteints de ma- DE QUELQUES AFFECTIONS DYSTROPH
billons. Ces lésions peuvent s'étendre jus- qu'à la périphérie de l'
os
ou rester limitées à la partie centrale. En hau-
la disposition régulière normale des travées (PL V, A). De plus les
os
ont perdu leur rebord net, leur limite est deve
t pas superposable au pourtour radiogra- phique, la silhouette de l'
os
se trouve modifiée et un os trapu semble grêle
ur radiogra- phique, la silhouette de l'os se trouve modifiée et un
os
trapu semble grêle (Comparer PI. V, C et C').
is nous insiste- rons sur ce fait que de toutes les radiographies d'
os
secs qu'il nous a été donné de faire, seule la
présentaient à la radiographie sur un tiers de la longueur de 0 l'
os
un épaississement considérable, le déformant elle
nal osseux, rien dans les épiphyses ne rappelait l'aspect ouaté des
os
de Paget, on y retrouvait au contraire la dispo
-Louis.Aussi nos 26 ' LEGROS ET LERI L'ostéomalacie offre sur les
os
que nous avons radiographiés une struc- ture bi
liques, joignant complètement ou incomplètement les deux faces de l'
os
; ces travées limitent ainsi un certain nombre d'
s (pli. V et VI, B'). Dans le rachitisme, malgré les courbures de l'
os
, la disposition des tra- vées est plus ou moins
physes on n'observe pas la raréfaction intense de l'ostéomalacie, l'
os
au point de vue radiographi- que est un os d'as
nse de l'ostéomalacie, l'os au point de vue radiographi- que est un
os
d'aspect général normal, mais déformé, avec ostéi
cas en apparence intermé- diaires où les déformations cliniques des
os
ne semblent pas très dissem- blables. L'aspect
leur possibilité qu'autant qu'il existe une fragilité spéciale de l'
os
. Les altérations du sys- tème osseux bien connu
dans les frac- tures vertébrales et surtout dans les fractures des
os
du pied. On a vu que chez notre malade il n'y a
trition en rapport avec une insuffisance des éléments formatifs des
os
, pendant la puberté. Le traitement phosphoré et
s sels cal- caires et phosphatiques nécessaires à l'édification des
os
qu'avec une in- gestion insuffisante de ces sel
ont valides. Dans les mouvements de la déglutition l'on peut voir l'
os
hyoïde faire ses excursions de bas en haut. et re
valeur. Si les muscles élévateurs du thyroïde vers l'hyoïde ou de l'
os
hyoïde vers la mâ- choire inférieure avaient dé
roûtes sans ulcéra- tions) sur lesquelles nous n'insisterons pas. L'
os
sous-jacent est peut-être, dans un cas seulemen
réelle car à l'ar- ticulation tibio-tarsienne, nous voyons que cet
os
dessine une malléole externe saillante qui dépa
est très élargie ; la malléole interne très accentuée. Pied. - Les
os
du tarse ne présentent rien de très notable. Seul
cissement total est dû surtout à la brièveté des métatarsiens ; ces
os
ont les épiphyses très grosses et au contraire
la continuité de cette dernière. Dans notre cas, au contraire, les
os
longs présentent plutôt de légères incurvations a
u tissu osseux compact et spongieux est normale aussi dans tous les
os
longs et brefs. On a souvent observé chez les a
lette mais est limitée, au contraire, comme nous savons, à certains
os
, et épargne toujours les autres. Rien de tout c
n et la déduction. La première n'a pour sujet d'observation que des
os
fossilisés et quelques empreintes ; la seconde
veuses : certains auteurs ont constaté une fragilité particulière des
os
chez leurs malades ; d'autres ont recherché des
u- matismes légers qui font penser à une fragilité particulière des
os
. Cer- tains cas en ont été publiés (2) ; nous e
libre, que la fracture doit être imputée à la fragilité spéciale de l'
os
. Chez deux autres sujets, on constate une fract
ploration radiographique. (1) ACIIAIIO et L. Lévi, Radiographie des
os
dans la paralysie infantile, Nouvelle iconograp
sque tout le squelette avec diminution considérable d'épaisseur des
os
longs, sans altération de leur croissance en lo
points, bien différents de l'atrophie réflexe, trophoneurotique des
os
(Ludeck, Kienbôck, Exner) ; dans ce cas, la raréf
luxée en dehors, et cette particularité résulte d'une fracture de l'
os
que nous avons découverte par la radiographie, et
oing ; l'opposition du pouce est im- possible. Quand on percute les
os
avec le marteau, le malade accuse une dou- leur
in adulte (PI. XXVI). Chez Borg... (no 1) (1), l'aspect anormal des
os
est manifeste au premier abord. On remarque leu
extrême gracilité; le fémur est particulièrement mince. De plus les
os
sont presque transparents, ce qui. indique la dim
issent le plus nettement. La forme de l'extré- mité inférieure de l'
os
est arrondie, les contours amollis. Les condyles,
her de l'angle droit comme on le voit d'habitude, est très obtus, l'
os
adulte rappelant ainsi la forme de l'os infantile
habitude, est très obtus, l'os adulte rappelant ainsi la forme de l'
os
infantile. La limitation entre diaphyse et épip
re diaphyse et épiphyse est normalement marquée sur la surface de l'
os
par une ligne courbe à concavité supérieure qui r
imite supérieure du cartilage d'encroûtement. Dans l'épaisseur de l'
os
, on ne voit plus de travées ; le tissu est presqu
contours où par suite du changement d'orien- tation des faces de l'
os
,'les rayons X ont abordé le tissu compact non plu
image est uniformément claire, entourée d'un étroit liseré foncé; l'
os
perd tout relief, il est aplati, semblable à une
est aplati, semblable à une coupe mince, à une véritable tranche d'
os
. Tibia. Les modifications de forme sont aussi d
ntours bien arrêtés et parfois anguleux comme on en obtient avec un
os
normal, on a un renflement arrondi de dessin tr
r et que sans la présence du péroné, on pourrait confondre les deux
os
et hésiter dans l'orientation de l'image. Péron
éroné. Il présente un aspect à peu près normal. Rotule. De tous les
os
examinés, la rotule est certainement celui dont
tibial. Il fait en arrière une saillie plus considérable que pour l'
os
normal; il semble s'être laissé infléchir en ar
ion en crosse une conséquence de la diminution de la résistance des
os
. Chez Dar... (n°6), le sujet de 21 ans, avec ré
uniforme. La rotule n'est pas isolable et forme avec le reste de l'
os
une masse compacte dans laquelle il n'est plus
é de la partie inférieure un fragment à peu près égal au tiers de l'
os
, qui s'est assez profondément engagé dans l'angle
e transparente. Ce fait indique assez nettement la fragilité de cet
os
chez nos myopathiques, puisque la fracture a ét
), enfant de 12 ans, il faut surtout noter la gracilité extrême des
os
portant sur les diaphyses, et l'aspect du tube os
la diaphyse est considérable par rap- port au volume des épiphyses (
os
en haltères de Lothar Dreyer). De plus, l'os ap
volume des épiphyses (os en haltères de Lothar Dreyer). De plus, l'
os
apparait formé d'une bande médiane claire et de d
ois ce caractère, surtout en examinant les épiphyses fémoro-tibiales (
os
en tranches). . Chez Dar... (n° 6),un autre p
re et homogène qui tend à occuper toute l'extrémité inférieure de l'
os
; de plus, la modification de forme est nettemen
diaphyses par rapport aux épiphyses, de la même façon que pour les
os
du membre inférieur. L'épi- physe du radius est
il n'est plus possible de reconnaître les limites res- pectives des
os
; ils sont réunis en une masse compacte par des f
compacte par des formations fibreuses presque aussi opaques que les
os
eux-mêmes. Chez Pog...(n°7) (12 ans),la radiogr
uit ans radio- graphié dans les mêmes conditions. La direction de l'
os
n'est pas ce qu'elle devrait être normalement :
aussi la région où l'épaisseur de la couche musculaire autour de l'
os
est le plus faible. Cette diaphyse, malgré sa g
réciables par comparaison avec une main normale : amincissement des
os
, surtout marqué pour les métacarpiens qui prése
férieur, point d'insertion du masséter, si nettement opaque sur les
os
normaux. La radiographie a été faite comparativ
hez ce sujet, radiographié de profil, par la superposition des deux
os
, droit et gauche, alors que sur le précédent il n
de qualité (densité plus faible, transparence plus grande) ; 2° Les
os
subissent des modifications de forme. 238 MERLE
t dans la rotule, elles sont constantes et contribuent à donner à l'
os
du myopathique un aspect carac- téristique sur
ncies, extrêmement transparentes au niveau de la partie axiale de l'
os
, leur image ressemble à celle d'un tube transpare
sujets sains; le tissu compact, seule- ment visible au contour de l'
os
et réduit parfois à une mince pellicule, suppri
al toujours très atrophié. . La fragilité toute particulière de l'
os
cause des fractures fréquentes,, qui peuvent pa
ent dans : L'amincissement des diaphyses par rapport aux épiphyses (
os
en haltè- res), amincissement souvent plus marq
niveau des segments juxta- épiphysaires, d'où l'aspect fuselé de l'
os
. Les courbures anormales fréquentes dans l'humé
res. Les contours des épiphyses sont arrondis, émoussés. comme si l'
os
avait été poli au papier de verre, ou plongé da
ant console,ceci dû probablement à la diminution de résistance de l'
os
. Les altérations sont d'autant plus considérabl
pour les mêmes segments, d'une manière parallèle. Sans doute, les
os
peuvent être altérés secondairement à l'atrophie
rs (Legendre, Fried- reich, Eulenburg, Schulze), qui attribuent aux
os
et aux muscles une disposition analogue aux alt
disposition analogue aux altérations trophiques. «Les altérations des
os
ne doivent en aucune façon être considérées com
rée, arrondie, non mobilisable et peu étendue qui fait corps avec l'
os
; (3) au niveau de l'articulation du coude depuis
se manifestèrent par une sensation douloureuse et diffuse à tous les
os
. Bien que cet état de malaise fut général, il a
ne présente pas d'asymétrie notable, à part la légère déviation des
os
du nez; la voûte palatine est aplatie, la langue
chez notre malade notamment du côté gauche. A l'examen détaillé des
os
de la cage thoracique, on s'aperçoit que les côte
du reste au- cune déformation n'est visible ni au calcaneum, ni aux
os
du tarse. En examinant de près la ceinture pelv
MANTE DE PAGET 257 si le rebord costal, exerçant une pression sur l'
os
iliaque, l'eût deformé en le repliant en delior
intéressantes à étudier par la radiographie sont les diaphyses des
os
longs. La radiographie du cràne et du thorax no
ls. Il en est tout différent, au contraire, pour ce qui a trait aux
os
longs, où la radiographie nous a permis de releve
es des mailles très allongées dans la direction de la longueur de l'
os
. En regardant au niveau des épiphyses on voit que
néral ce tibia gauche (PI. XXXIII) se montre plus transparent qu'un
os
normal. Les travées osseuses sont très irréguli
formation qui caractérise la diaphyse normale. Au contraire tout l'
os
est déformé et recourbé avec les parois diaphysai
notera l'irrégularité de l'espace interosseux et la courbure des deux
os
qui est plus accusée qu'à l'état normal, Enfi
halanges, qui révèlent un trouble remarquable dans la nutrition des
os
digitaux (Voir la planche XXXIV). Or, ce qui es
n n'est pas légitime, il suffit de se rappeler l'analyse chimique des
os
faite par quelques auteurs dans l'ostéite défor
gotée ; sa nuque est aplatie, son crâne est défoncé ; elle n'a plus d'
os
; elle prétend également que ses membres sont p
dou- leurs intolérables au niveau de la nuque et des épaules ; ses
os
, dit-elle, sont atrophiés, ses côtes sont aplat
ondriaques ; elle dit qu'elle a la colonne vertébrale brisée ;, ses
os
sont atrophiés; ses côtes aplaties, etc.. L'o
rve aucune altération des artères, des veines, des capillaires, des
os
; aucune veine ne se dessine sous la peau des r
ascendante gauche adhérent à la dure mère et à la face interne des
os
du crâne ; compression du tronc du grand sympat
e de même dimension, à une érosion creusée sur la table interne des
os
du crâne. Il siège au niveau de la partie moyen
céphalo-rachidien clair et limpide. On ne trouve aucune lésion des
os
ou des méninges, aucune gomme, aucun foyer d'hémo
itué entre le bord externe du grand droit et le bord antérieur de l'
os
iliaque et ayant presqne l'aspect d'une hernie.
ongée au delà des limites normales, l'augmentation de volume de ses
os
ou plutôt de quelques-uns de ses os - dont l'ac
l'augmentation de volume de ses os ou plutôt de quelques-uns de ses
os
- dont l'accroissement s'est d'ailleurs fait en
rprendre vu le grand âge de notre patient. La soudure normale des
os
longs, le développement normal des poils et les
m dont le développement est exa- géré en rapport à celui des autres
os
du torse et de la jambe. A cet égard, nous fero
orse et de la jambe. A cet égard, nous ferons même observer que les
os
de la jambe sont au niveau du cou-de-pied très
tion du tendon d'Achille. Les cartilages épiphysaires de tous les
os
longs des membres sont par- faitement ossifiés.
i a trouvé la persis- tance de tous les cartilages épiphysaires des
os
longs dans le squelette d'un géant de 21 ans ne
tranchant sur la substance blanche. Crâne : 181/2 X 14 1/2 cent. ;
os
du crâne sclérosés : poids de la calotte : 440 gr
plates et, confondues toutes ensemble, paraissent constituer un seul
os
. Région dorsale. La première vertèbre dorsale f
te des quatrième et cinquième vertèbres est fermée adroite par de l'
os
; il persiste un petit orilice du côté gauche. Il
ales de toutes les autres vertèbres ne paraissent former qu'un seul
os
. Il faut donc se demander, étant donné les résu
te pas de dé- formation ni du côté des articulations ni du côté des
os
. A la place des articulations cosio-verlébrales
lations cosio-verlébrales nous trouvons une fusion complète de deux
os
: on voit même parfois l'os de la côte se continu
us trouvons une fusion complète de deux os : on voit même parfois l'
os
de la côte se continuer directement avec du tis
pas un processus inflammatoire ou atrophique qui attaque d'abord l'
os
, mais bien un trouble mécanique. On a objecté à
e du tissu osseux. C'est pourquoi, dit-il, la cause réside dans les
os
eux- mêmes qui sont trop mous, se laissent coup
es comme des formes neuropathiques ? ' ? Est-ce que la mollesse des
os
indique nécessairement des causes neuro- pathiq
athiques ? Bechterew également observé dans son cas la mollesse des
os
; il ne considère cependant pas cette dernière c
t lui attribuer l'immobilité de la colonne vertébrale. De plus, ces
os
n'étaient pas mous; par contre, les os du crâne a
nne vertébrale. De plus, ces os n'étaient pas mous; par contre, les
os
du crâne ainsi que ceux des vertèbres étaient s
l'organisme. Il faut avoir ici en vue des lésions syphilitiques des
os
ou bien des lésions parasyphilitiques survenues a
it d'une affection locale en rapport avec les lésions gommeuses des
os
; dans le second, de troubles trophiques du sys
ubles trophiques du système osseux. Les lésions syphili- tiques des
os
sonl caractérisées par la périostite, par l'ostéi
notre cas, d'une ostéite syphilitique amenant une destruction de l'
os
; il n'existe pas non plus de périostite des ve
e, on peut supposer un trouble général des échanges nutritifs'; ses
os
étaient altérés : les os du crâne ainsi que les
trouble général des échanges nutritifs'; ses os étaient altérés : les
os
du crâne ainsi que les vertèbres sont sclérosés
en pro- xxti 34 506 ROUDNEW voquant des lésions trophiques des
os
, n'entraîne pas d'ordinaire la spondylose, nous
- lage intervertébral , dans la partie située immédiatement sous -l'
os
. ANKYLOSE DE LA COLONNE VERTÉBRALE ET DES CÔTES
hologique, c'est-à-dire une inflam- mation qui amène une fusion des
os
. Quelle est, en effet, la cause de l'ankylose d
peu rétrécis au niveau de la première et de la deuxième lombaires.
Os
déchiquetés, légers et poreux » (d'après Abadie
abilité moindre à gauche de la première et de la deuxième lombaire.
Os
légers, porosité . extrême du tissu spongieux.
iens, canal vertébral, trous de conjugaison partout perméables. «
Os
légers, poreux. » Le tableau anatomo-pathologiq
crit minutieusement les lésions tabétiques des articulations et des
os
voisins ; ces lésions, on peut les résumer assez
, on peut les résumer assez brièvement de la façon suivante : Les
os
avoisinant l'articulation malade subissent des al
je crois en rapport direct avec les déformations osseuses dues à l'
os
lé-oa rili ropa (li ie : sur l'atrophie remarqu
une certaine proéminence du zygoma sans accroissement apparent de l'
os
; cet aspect doit être attribué à la disparitio
niveau de l'apo- physe xyphoïde il y a une profonde dépression de l'
os
. L'angle épigastrique est très aigu. Les cartil
supérieure du tibia a des dimensions volumineuses ; la crête de cet
os
est tellement développée qu'elle ne constitue plu
surface sensiblement lisse, tournée en avant et en dedans et dont l'
os
est épaissi en masse et recourbé à la manière d
s et ne semblent pas lésés dans leur structure. Rien de notable aux
os
ni dans les articulations des mains et des pieds.
nou, suivis d'une courbure progressive du tibia droit et des autres
os
, et d'un affaiblissement général. Bien que le m
lations du coude droit et des deux genoux.De même les diaphyses des
os
ci-dessus sont épaissies et incurvées. Presque
yses des os ci-dessus sont épaissies et incurvées. Presque tous les
os
du tronc, y compris les côtes, paraissent augment
; le début se fit par l'hypertrophie de la malléole externe et des
os
du pied ; dans le cas de Pescarolo etBortolotti l
dans le cas de Pescarolo etBortolotti les lésions furent notées aux
os
dans les phalanges des mains et des pieds. 532
s mains et des pieds est respecté, on peut dire que tous les autres
os
du tronc sont épaissis. Ceci est très importa
nt à l'immobilité, l'absence de flexibilité et de fracture dans les
os
frappés, l'augmentation de volume des épiphyses.
tes. * Dans l'acromégalie ce sont surtout les parties molles et les
os
du visage, des mains et des pieds, qui sont sym
l'arthrite déformante il manque les courbures caractéristiques des
os
; de même dans la spondylose rhizomélique. Enfi
e de la Salpêtrière, 1.894 : , p. 1) ont décrit un épaississement des
os
de la base du crâne et du visage ; les mêmes ai
. 1) et Pescarolo et Bar- tololti (déjà cités) ont trouvé lésés les
os
des articulations des phalanges avec formation
. deut. path. Gesell., 1907, p. 137) clans lesquels la mollesse des
os
, la déformation du bassin, les fractures, les t
s en ce genre de recher- ches n'ont été obtenus que par l'étude des
os
dépouillés des parties mol- les. Les premiers,
la Salpêtrière, 1909, p. 24) ont démontré dans les radiographies d'
os
en proie à l'ostéite déformante un aspect caracté
e et je ne veux m'ar- rêter que sur l'augmentation d'épaisseur de l'
os
, sur l'irrégularité de sa surface et sur l'ampl
rait qu'une réaction de l'organisme qui tend à la consolidation des
os
raréfiés, et qui se manifeste d'une ma- nière t
'elle donne lieu, en définitive,à de mons- trueux épaississements d'
os
ou de portions d'os. Je passe sur l'hypotrophie
définitive,à de mons- trueux épaississements d'os ou de portions d'
os
. Je passe sur l'hypotrophie musculaire par inac
e de Parrot énumérés par Etienne (2), la prédilection pour certains
os
, spécialement le tibia, n'a pas grande valeur;
ite relèvent d'un agent commun ; la diffu- sion à un grand nombre d'
os
est beaucoup plus marquée dans la maladie de Pa
rme et les déformations, qui accentuent les courbures normales de l'
os
; mais ce ne sont là que des résultats du process
même, selon les données de Robin (3), delà composition chimique des
os
. Faute d'un cas avéré de maladie de Paget chez
remarqué non seule- ment des altérations des tissus mous, mais des
os
aussi, et dans des cas dans lesquels il y avait
rande que la substance cérébrale pénètre dans tous les orifices des
os
. Après que le liquide des ventricules s'écoule, l
de 4 centimètres, le diamètre trans- versal de 6 centimètres. Les
os
du crâne sont amincis. La selle turcique est très
ssifica- tion des épyphyses osseuses et une croissance exagérée des
os
en longueur. Donc, si dans notre premier cas l'
clusion que dans la castration la cause du développement exagéré des
os
est également l'hyperfonctionnementh5-popllysai
nte ont eu surtout en vue les micromélies généra- lisées à tous les
os
des membres et nous ont appris à en distinguer de
Magaihaës (1)] ; mais il s'agit de raccourcissement unilatéral de cet
os
, et on peut le plus souvent invoquer comme orig
8 (nouveau catalogue). Nous avons mesuré la longueur des différents
os
et obtenu les résultats suivants : MICROMÉLIE C
tres contre 44 centimètres également pour l'avant-bras (lig,2), Les
os
des membres inférieurs sont normaux... bassin nor
méta- mères (apophyses épineuses). En ce qui regarde l'omoplate (
os
qui appartient à plusieurs métamères dont les d
é du bord interne coïncidant avec la diminution de la longueur de l'
os
. En somme l'atrophie des humérus coexiste chez
quiescent. Or rien ne prouve qu'il en soit ainsi. A la vérité, les
os
, dans les trois cas dont nous disposons, se rap
88 DANLOS, APERT ET FLANDIN plasiques par la brièveté du corps de l'
os
, par la largeur des épiphyses, par la saillie e
laire. Mais ces caractères sont le résultat même de la brièveté des
os
; les muscles devien- nent plus volumineux, par
s, et les saillies d'insertion sont proportionnelles au volume de l'
os
. Mais si au lieu de s'en tenir aux caractères gén
t à cette époque que ses parents s'aperçurent d'une déformation des
os
des extrémités supérieures. Dans la suite Th. M
tout le gauche, sont le siège d'altérations encore plus notables. L'
os
cubital est long de 18 centimètres ; son bout épi
idérable aux mouvements d'extension du coude. L'épiphyse distale de l'
os
cubital proémine beaucoup plus en avant que le
ssie, sans avoir gardé sa configuration ordinaire. La diaphyse de l'
os
cubital a conservé son épaisseur habituelle sans
entimètre, et veuant s'appuyer contre l'épiphyse hypertrophiée de l'
os
cubital (fig. 3). L'épiphyse distale est hypert
ous ce rapport aucune dé- viation de la norme. La longueur des deux
os
est à peu près la même et tous les deux prennen
e l'articulation du coude. Leurs épiphyses sont épaissies. Les deux
os
sont courbés en arc parallèlement l'un à l'autre.
s prononcé. Des altérations notables se manifestent aussi dans deux
os
du carpe des deux mains. Ces deux os se montren
se manifestent aussi dans deux os du carpe des deux mains. Ces deux
os
se montrent bien plus courts que les autres et en
lus courts que les autres et en même temps un peu plus gros que les
os
du carpe voisins. La longueur du 4e et du 5e os
u plus gros que les os du carpe voisins. La longueur du 4e et du 5e
os
du carpe de la main droite mesure 3 et 3 cm. 5, t
du carpe de la main droite mesure 3 et 3 cm. 5, tandis que celle des
os
correspondants de l'autre main est de 5 cm. 5 e
main est de 5 cm. 5 et de 6 centimètres. La longueur du 2e et du 3e
os
du carpe de la main gauche est de 3 cm. 5 et 4 ce
a surface articulaire du tibia. Quant aux pieds, il gauche les petits
os
tarsiens se présentent assez régulièrement dimi
se présentent assez régulièrement diminués de volume relativement aux
os
du pied droit, ce qui produit l'effet d'un cert
tanément le type mésomélique et le type acromélique, tandis que les
os
de la cage thoracique et du bassin restent comp
es [Elude radiographiqub com- parattve de quelques affections - des
os
) (4 1'1.), par LEGROS et Léri, 24. , Echanges
e dans un cas de syndrome pédonculaire (1 pl.), par Zosin. 114.
Os
(Etude radiographique comparative de quelques a
phique (Etude comparative de quelques affections dystrophiantes des
os
) (4 pl ), par Legros et Léri, 24. nadwm (Acti
i. Etude radiographique de quelques affections dystrophiantes des
os
(maladie de Paget, syphilis osseuse, osteomalac
aphique com- parative de quelques affections dystro- phiantes des
os
(maladie de Paget, sy- philis osseuse, ostéomal
tren (Maladie de ) (ItouDNE\v),XXXV. Dystrophiantes (Affections des
os
) (A. Léri et G. L>GROS), V à VI II. Eclrum
les fosses temporales sont très prononcées, l'inclinaison des deux
os
pariétaux donne à leur suture un aspect relevé
eler ses pieds et ses mains, la voussure du dos, l'hypertrophie des
os
de la face. et en par- ticulier de la mâchoire
TTI Il est très probable que cet arrêt brusque de développement des
os
longs doit être mis en rapport avec un trouble
e la musculature qui est réduite en s'accommodant à la brièveté des
os
. Les dimensions, en longueur, des membres de no
dio- photographies mettent en évidence la conformation générale des
os
longs de notre sujet. En regardant surtout la r
ui est résultée par rapport à la corrélation dans la croissance des
os
: les os métacarpiens et les phalanges sont dével
sultée par rapport à la corrélation dans la croissance des os : les
os
métacarpiens et les phalanges sont développés d'u
parition qu'est dû l'arrêt dans le développement de la longueur des
os
. La com- paraison des radiophotographies des ac
mo-pathologique entre ces deux affections : dans le rachitisme, les
os
du tronc et de la tête sont habituelle- UN cas
t costal, front olympien, crâne natiforme, etc.), plus rarement les
os
longs et alors leur brièveté tient à leurs incurv
urs nouures, tandis que dans l'achondroplasie, ce sont toujours les
os
longs qui frappent par leur brièveté, les os de l
, ce sont toujours les os longs qui frappent par leur brièveté, les
os
de la tète et surtout du tronc étant très peu m
19 centimètres, la longueur du pied = 13 cm. 5. , Les épiphyses des
os
longs paraissent assez volumineuses ; les diaphys
ur l'abdomen. La tumeur se trouvait comme il faut l'admettre dans l'
os
même et com- primait les racines postérieures,
), te signe de Lasègue des deux côtés. Douleurs à la palpation de l'
os
sacré, des fesses et des nerfs sciatiques et crur
pression des racines sacrées exercée par une tumeur située dans' l'
os
sacré même, mais une telle localisation de la t
rectal démontre l'existence des tumeurs sur la face antérieure de l'
os
(vers le haut on peut suivre du doigt la tumeur j
par le rec- tum, on peut affirmer ici l'existence d'une tumeur de l'
os
sacré, dans sa moitié gauche principalement.
t on a pu se persuader que ces excroissances osseuses viennent de l'
os
même des vertèbres (flg. 1). Nulle part on ne t
e l'échinocoque se déve- loppe surtout dans la plèvre et non dans l'
os
de la vertèbre. Quant aux symptômes de la malad
r exemple dans le cas décrit par Deje- rineet Spiller (sarcome de l'
os
sacré avec lésion des racines sacrées et de que
nt de longues années parlent en faveur du cancer. Les fractures des
os
longs parlent en faveur des tumeurs.Examen du san
aires peuvent apparaître sans qu'il y ait des troubles du côté de l'
os
ou de la moelle épinière (Bruns). L'année derni
flas- que) où il y avait un carcinome multiple de la prostate, des
os
et des XXIII (j 82 FLATAU vertèbres, on con
heval (cas de Dejerine-Spiller). Dans un cas d'angiome sortant de l'
os
, la moelle a pris la forme d'un mince ruban (Ge
n sarcome du sacrum. La tumeur avait pro- duit une raréfaction de l'
os
et envahi la dure-mère. Amélioration lente pen-
la diminution des masses sarcomateuses (le lymphosarcome) dans les
os
(mais non dans la colonne vertébrale). Sick seu
ne me veut faire tant d'avantage, . Ains veut ma mort : et jou ne l'
os
véer. Nul ne m'en puet garir ne respiter, For
dos de la main est profondément atrophié ; on y voit le relief des
os
métacarpiens produit par l'atrophie des interosse
la peau est cyanosée, livide et très froide au toucher ; enfin les
os
de la main semblent aussi avoir participé à l'a
la percussion du tendon rotulien, mais plutôt par l'excitation de l'
os
sous- jacent et en particulier de la grande tub
'accomplit seulement aux- dépens du sys- tème musculaire et que les
os
des extrémités ne présentent jamais un ar- rêt
maladie commence dans la deuxième enfance ou dans la pu- berté, les
os
ayant atteint déjà un certain degré de développem
on ne peut certainement déceler un arrêt dans l'état trophique des
os
des ex- trémités, mais si la maladie commence d
. J'ajouterai encore que Hoffmann (1) avait constaté l'atrophie des
os
dans la forme amyotrophique Charcot-Marie et qu
ntacte. Mais il arrive que les tumeurs extra- vertébrales rongent l'
os
de la colonne et ainsi se frayent un chemin dans
canal rachidien à travers les trous de conjugaison sans attaquer l'
os
. Le diagnostic de ces cas est quelquefois facil
d'autres défauts dans les organes de relation subalternes, muscles,
os
, ligaments, c'est possible et logique : l'hémip
sieurs cas d'un raccourcisse- ment congénital singulier de l'un des
os
du métapodium. Tantôt le rayon de même nom est
en l'anomalie est dyssymétrique. Il ne s'agit pas d'un nanisme de l'
os
, d'une diminution de toutes ses proportions : la
R LA BRACHYMÉLIE MÉTAl'ODIALE CONGÉNITALE 239 9 rieur à celui des
os
voisins : il est,comme dans une main normale, le
ndre diaphysaire est nettement plus floue et irrégulière que sur un
os
normal ; la tête métacar- pienne et la base de
e aigu et fort proéminent. La.\supérieure est peu développée et les
os
du nez sont fort réduits. Les dents très déve
ès manquante, inégale et, peut-on dire, presque disparue. Main. Les
os
du carpe, métacarpe et des phalanges sont gros, l
distale qui est quelque peu déformée. Main gauche. Ici aussi les
os
se présentent déformés, plus courts et lourds,
Aux phalanges il faut remarquer l'exceptionnel raccourcissement des
os
. On peut dire en général qu'il y a un fort déve
r- rive pas chez les individus normaux. Pieds : Pied droit. - Les
os
du tarse sont lourds et déformés. Les méta- tar
dans un plan supé- rieur aux autres. Phalanges. Dans le corps des
os
on observe que la substance corticale est fort
pied droit, ainsi qu'au pied gauche, on peut remarquer la présence d'
os
sésamoïdes surnuméraires dans plusieurs articul
e. Examen radiographique de August C. Crâne (En position latérale).
Os
du crâne à contour régulier, d'une épaisseur à
s des deux côtés sont considérablement élargies. A droite il y a un
os
surnuméraire (tibial extérieur); à gauche on obse
méraire (tibial extérieur); à gauche on observe la présence du même
os
cassé ou partagé en deux. Observation III (PI.
ue de coutume, en comparaison de leur longueur. Dans l'ensemble les
os
de la main ont une forme moins grossière que dans
au niveau de la ligne articulaire. L'extrémité supérieure de cet
os
est remarquablement déformée. La rotule apparaî
Les trabécules osseuses qui courent le long de la tubérosité de cet
os
, au niveau des processus médians et latéraux, p
on. Pied. (En position antéro-postérieure). La forme générale des
os
est lourde et grossière. L'extrémité distale de
n clinique, c'est-à-dire l'augmentation de volume des épiphyses aux
os
des extrémités, le raccourcissement des diaphyses
à on constate la présence d'ostéophyles et d'exos- toses aux divers
os
, mais particulièrement à proximité des articulati
'âge de nos sujets. Quant au volume et à la conformation des divers
os
, nous dirons que dans le premier cas, plus âgé,
rvations, on peut dire que chez les achondroplasiques plus âgés les
os
sont plus dé- formés et plus volumineux que che
rieures aussi bien que les inférieures ; il y a des incurvations des
os
. Lorsque (et c'est rare) les extrémités semblen
'est rare) les extrémités semblent raccourcies, c'est parce que les
os
, très recourbés, donnent cette apparence. En outr
encore connue ; on a obtenu davantage par l'examen histologique des
os
. En effet, maintenant, on affirme sans contestati
lérosedes cartilages épiphysaires, sclérose qui montre pourquoi les
os
ne peuvent pas croître en longueur et peuvent a
caliser et qui agirait ensuite directement par voie trophique sur l'
os
, ou bien indirectement par le système vasculair
euses, comme la typhoïde, peuvent déterminer un accrois- sement des
os
chez les individus jeunes; des troubles intestina
jamais à désirer que l'examen micros- copique des cartilages et des
os
des races animales comparées avec les achon- dr
îte crânienne est très grosse, remarquablement bombée au niveau des
os
pariétaux, proéminente au niveau du front où elle
os pariétaux, proéminente au niveau du front où elle surplombe les
os
de la face. Le visage affecte une forme à peu p
nt bombées, surtout, à droite. La déformation principale frappe les
os
pariétaux qui proéminent considérablement. La b
surélévation du pariétal sur l'occipital. Par ailleurs,la surface des
os
pariétaux est assez lisse. , L'os frontal est
al. Par ailleurs,la surface des os pariétaux est assez lisse. , L'
os
frontal est haut, quelque peu carré, proéminent,
ppréciable à l'examen des articulations temporo- maxillaires. Les
os
malaires et les maxillaires supérieurs ne présent
s craquements. Aucun signe de rachitisme. La main est petite .les
os
du carpe, du métacarpe et des phalanges sont no
s que pour les membres supérieurs peuvent être faites à l'égard des
os
du bassin et des membres inférieurs : tous, en ef
is à peu près une quinzaine d'années, sans cause appré- ciable, les
os
du crâne et le maxillaire inférieur ont commencé
tantôt légères, tantôt violentes, localisées surtout au niveau des
os
pariétaux et de l'os frontal. Aucune autre lésion
ôt violentes, localisées surtout au niveau des os pariétaux et de l'
os
frontal. Aucune autre lésion ou déformation osseu
frontal. Aucune autre lésion ou déformation osseuse dans les autres
os
du squelette. SUR UN CAS DE MALADIE DE PAGET A
t Féréol l'ont montré, a son siège de prédilection au niveau de cet
os
; mais le manque d'hyperostoses dans le voisina
acique et du rachis, ce qui ne se vérifie point dans notre cas, les
os
ne s'y défor- ment ni ne s'hypertrophient pas,
est bientôt écartée définitivement. En effet, dans l'acromégalie les
os
de la voûte crânienne ne subissent jamais une h
tante du maxillaire supérieur, déterminant un tel élargissement des
os
de' face et de la base du crâne qu'elle donne à
stic à faire que celui d'ostéite déformante de Paget, localisée aux
os
du crâne et, peut-être, à la partie supérieure du
roire qu'elle ne possédait aucune tendance à se diffuser aux autres
os
du squelette et surtout aux os longs, contraire-
ne tendance à se diffuser aux autres os du squelette et surtout aux
os
longs, contraire- ment à ce qui arrive dans le
es nous pourrions citer la prédilection de la maladie pour certains
os
, pour le tibia, par exemple, la multiplicité ha
tive des filets nerveux qui pénètrent par les trous nourriciers des
os
; suivant la deuxième, il s'agirait surtout (Bé-
rtout (Bé- clère) de l'artériosclérose des artères nourricières des
os
. Evidemment, si dans notre cas on voulait se ra
s desquels dérivent principa- lement les ramuscules nourriciers des
os
crâniens malades. Si, de l'autre côté, l'on con
des os crâniens malades. Si, de l'autre côté, l'on considère que l'
os
maxillaire inférieur est desservi surtout par l
e processus artérioscléreux et, par conséquent, que les lésions des
os
du crâne et celles de l'os maxillaire inférieur
et, par conséquent, que les lésions des os du crâne et celles de l'
os
maxillaire inférieur tenaient à la même cause, l'
à se plaindre de faiblesse générale, de céphalée et de douleurs aux
os
. Malgré un traitement avec injections de sublimé,
dins la coudure quelques fongosités épidurales. B. Empreinte de l'
os
sur la moelle. En arrière de cette dernière se vo
s a montré ni sclérose au niveau du sillon transversal marqué par l'
os
, ni dégénérations des fais- ceaux blancs, comme
royait-on jadis, pourraient former autour des parties atteintes, un
os
nouveau, pour assurer la solidité du rachis, ca
les irrégulières, pas paiallè- les les unes aux autres comme dans l'
os
normal, mais disposées en tous sens, et séparée
s par des intervalles irréguliers. Si nous ajoutons qu'à la scie, l'
os
est friable, sans résistance, enfin, que ce proce
e trouvons qu'un processus de réparation de mauvaise qualité, et un
os
de-solidité plus que douteuse. D'autant plus qu
euse, que comme un indice de cicatri- sation, et de réparation de l'
os
. Quant au foyer tuberculeux lui-même, il ne con
résente cyanosée et sans pulsation. L'hémorragie des muscles et des
os
est très considérable.Pour arrêter l'hémorragie o
conservée. Pas d'ataxie. La pression sur les troncs nerveux et les
os
est dou- loureuse. 1 Réflexes abdominaux, trè
, et que, depuis cinq ou six ans, il souffrait de douleurs dans les
os
, par accès graves qui souvent l'ont obligé à ga
e ; le cylindre compact est d'une façon nette plus flou que sur les
os
voisins ; l'ombre est plus pâle ; le canal médu
ctueuse ; il n'y avait pas trace d'amas purulents ou caséeux. Sur l'
os
sec, la tête est petite irrégu- lière, d'aspect
rse est normal. Aucune ëpiphy se n'est soudée. Les dimensions des
os
secs sont : Fémur (droit) : axe condylo-céphali
te des extrémités. ' Voici, à titre de document, les dimensions des
os
des mains. Le premier nombre exprime la longueu
remières phalanges raccourcies, en particulier de la quatrième. Les
os
du pied droit ont été réservés pour être décalcif
es membres présente encore d'autres malformations : incurvation des
os
de l'avant-bras droit, épaississement des épiphys
Le péroné gauche, est un peu raccourci et, du même côté, « les petits
os
tarsiens se -présentent assez régulièrement dim
-présentent assez régulièrement diminués de volume relativement aux
os
du pied droit ». La colonne, le crâne, le bassi
à cette époque que ses parents -s'aperçurent de la déformation des
os
des extrémités supé- rieures ». STE1NilERG (2
trans- parence osseuse, localisée à cette tête. Les dimensions des
os
, prises sur la radiographie, étaient les suivan
ouve une pièce (n° 639 nouv. Ankylose de deux métacarpiens avec les
os
du carpe. M. IL Morestin, 1898). Les deux dernier
). Les deux derniers métacarpiens de la main droite sont soudés à l'
os
crochu ; le plus externe est court,-plus que so
amen direct serait nécessaire pour préciser les modi- fications des
os
carpiens. Le cubitus est raccourci surtout à droi
ensons qu'il s'est produit depuis lors un certain accroissement des
os
, et en particulier du radius. Chez les deux mal
die exostosique n'est, semble-t-il, pas familiale. À l'examen des
os
, les diaphyses étaient normales; mais elles se co
u Musée Dnpuytren, se trouve « un squelette d'homme : la plupart de
os
longs vers l'attache des muscles présentent des t
moelle sacrée provoquent des douleurs dans la région sacrée, dans l'
os
du sacrum, dans le périnée et dans la face postér
depuis le début de la maladie, leur persistance dans la région de l'
os
sacral et du coccyx, une réaction de dé- génére
ngomyélie : les troubles vaso-moteurs et trophiques de la peau, des
os
et des articula- tions, les troubles sensitifs
n âgé de 61 ans, chez le- quel tous les cartilages épiphysaires des
os
longs étaient persistants ; chez ce sujet on av
du tout proéminent comme chez certains nains achondroplasiques ; l'
os
occipital est très développé et donne à la tête,
qui la caractérise c'est son insertion à angle aigu en rapport aux
os
frontaux dont les arcades orbitaires sont très pr
palais osseux présente aussi quelque anomalie ; les deux moitiés des
os
maxillaires supérieurs et des os palatins sembl
ue anomalie ; les deux moitiés des os maxillaires supérieurs et des
os
palatins semblent avoir été comprimés les unes
. Obs I. Radiographie de la main et du pied. Ossification complète.
Os
SèSat1101de parfait. Mason & Cie, Éditeurs.
iamètre longitudinal, et le développement relativement exagéré de l'
os
occipital ; ce qui est très visible dans la pho
la même déformation que chez le père : seulement l'ossification des
os
du nez n'étant pas complète, on a ici un apla-
xtrémité présentent des proportions physiologiques. Les épiphyses des
os
longs ne présentent le moindre stigmate rachiti
de la prévalence énorme du diamètre antéro-postérieur du crâne : l'
os
occipital est, comme chez notre premier sujet,
e obser- vation II, un enfant chez lequel aussi, l'ossification des
os
du nez n'étant pas complète, l'aspect de cet or
a prévalence du diamètre antéro-postérieur et par la proéminence de l'
os
occipital. Notre enfant, actuellement âgée de
iode de croissance des lésions manifestes, connues et classées, des
os
de la main : nous y reviendrons. Le type de b
s. IV) ; anoma- lie chez deux soeurs, atteignant chez l'une un seul
os
, chez l'autre plu- sieurs os à toutes les extré
soeurs, atteignant chez l'une un seul os, chez l'autre plu- sieurs
os
à toutes les extrémités (IIochheim) ; brachymélie
ôt la surface articulaire métacarpienne, qui est en dos d'âne sur l'
os
normal, tend à s'arrondir dans le sens antéro-pos
radiographiques, le premier exécuté in vivo, les autres pris sur l'
os
sec mis en différentes positions. La PREMIÈRE p
ées, raréfaction plus marquée au niveau de l'épiphyse adjacente à l'
os
métapodial, qui est aussi l'épiphyse fertile; u
oit survenir, souvent d'une façon précoce, après les affections des
os
les plus variées (fi,act2ties,inflam- mations a
am- mations aiguës ou chroniques) ; l'atrophie ne se limite pas à l'
os
malade mais atteint encore l'extrémité adjacent
e derniers métacarpiens aborde de bas en liant la face radiale de l'
os
(Poirier in Tr. d'Anal, hum., t. I, p. 117, 1" éd
he de la brachymélie métapodiale parce que, comme elle, elle lèse l'
os
dans sa longueur et ne touche pas, d'une façon
rmonieux et l'examen clinique ne décèle pas d'iné- galité entre les
os
d'un même segment ; les épiphyses paraissent norm
été donné de rencontrer des brachymélies méla- podiales. Mais les
os
, quand ils sont lésés, n'ont pas ici exactement l
érale, soit que la dia- physe soit trapue et massive. Si parfois un
os
est plus court, c'est seule- ment d'un petit no
ormale des têtes. Quand le raccourcissement prédomine sur plusieurs
os
, ce sont surtout les os médians et ceux du côté
le raccourcissement prédomine sur plusieurs os, ce sont surtout les
os
médians et ceux du côté cubital ou péronier qui s
proximal du radius) ; à la jambe un raccourcissement du tibia ; les
os
du côté,externe s'accroissent plus que ceux du
poque prématurée, se fait la soudure, d'au- tant plus précoce que l'
os
adulte est plus court. Ce n'est pas à dire que la
'os adulte est plus court. Ce n'est pas à dire que la brièveté de l'
os
est due à la soudure. Celle-ci l'exagère sans dou
sur la maladie exostosique. Le raccourcissement affecte ou non les
os
métapodiaux porteurs d'exos- toses. La symétrie
ègle ; le quatrième rayon est le plus souvent atteint. La tête de l'
os
bref n'était pas intacte dans 1 e cas de Launois
rêts de croissance intéressant une plus 'ou moins grande quantité d'
os
« sans qu'il y ait d'ailleurs un rapport consta
y ait d'ailleurs un rapport constant entre le raccourcissement de l'
os
et la quan- tité d'exostoses qu'il présente » (
olé ou prédominant du cubitus, se rencontre dans les chondromes des
os
, et en particulier les chondromes des doigts et
trophie générale ; dans les dystrophies étendues, la déformation de l'
os
prime le raccourcissement ; celui-ci est au pre
teignant le cartilage de conjugaison sont capables de raccourciriez
os
métapodiaux, en totalité ou en partie. Lésion
ntes d'insertion musculaire : ces saillies sont moins angulaires, l'
os
est moins trapu que ne le sont saillies et diap
d'un raccourcissement localisé, mérite qu'on s'y arrête : certains
os
sont atteints plus souvent que les autres. Les
ner, décèlent un cer- tain degré de variation dans les rapports des
os
mélapodianx entre eux. La longueur du deuxième
métacarpien a légèrement glissé de côté; la tête paraît aplatie; l'
os
est un peu raccourci (lésion récente). L'origin
st dû « à un phénomène qu'on observe souvent après les ostéites des
os
longs chez les jeunes sujets, c'est- à-dire une
p. 493-506. BRACHYMÉLIE MÉTAPODIALE CONGÉNITALE 587 localisée aux
os
du carpe et aux épiphyses métacarpiennes ... Chez
gard : le processus d c' atrophie gélatiniforme » (2) qui raréfie l'
os
, isole le cartilage épiphy- saire et peut même
1895, p. 372-378. Raccourcissement progressif insidieux tardif des
os
longs. (2) Parrot, La syphilis héréditaire et l
cernent les tumeurs intra et extra-durales (qui n'attaquaient pas l'
os
) (1). De ces 96 cas qui nous intéressent au mom
ets cette disproportion dans de l'accroissement relatif de certains
os
longs des membres que l'on constate chez les acho
e les péronés, de telle façon que les extrémités supérieures de ces
os
dépassent souvent le plateau tibial. J'ai été l
èveté du troisième métacarpien et métatarsien vis- à-vis des autres
os
homologues. Tous ces faits n'existent pas chez
de nos deux nains adultes montrent une ossification parfaite du petit
os
sésamoïde qui se trouve à la face interne de l'
tout cas d'ossification même légère- ment retardée, l'image de cet
os
n'apparaît pas sur les épreuves radiogra- ph iq
autant de ceux des métacarpes et des métatarses. L'ossification des
os
du tarse est aussi très avancée ; un peu moins
ion des os du tarse est aussi très avancée ; un peu moins celle des
os
carpiens. On voit par les radiographies que les
identi- que du processus normal d'ossification pour tous les autres
os
longs des membres. L'ossification du crâne est
les ; son métatarsien est plus trapu que les voisins ; la base de cet
os
, petite, est soudée avec la base volumineuse du
e base qui se divise en deux parties semblables entre elles et à un
os
normal. Les extrémités des deux orteils sont bi
t du frère de Clôt. II. 690 ' CHEVALLIER La soeur présentait : un
os
supplémentaire latéro-phalangien (cinquième ort
diment de doigt sur le bord cubital de la main, rudiment dépourvu d'
os
. Ces fais complexes de polydactylie sont aujour
cas pareils. M. Afagnanini (13) aobservé l'absence du médius et de l'
os
correspondant ; 'de même il a constaté l'absenc
staté l'absence totale du second et du troisième orteils, mais, les
os
correspondants existaient. Pethellay (14) est d
l'apparence d'un peu de ramollissement de la substance compacte des
os
. LITTÉRATURE MÉDICALE 1. Vaschide et VURPAS.
dèle un squelette humain entier, mais seulement un certain nombre d'
os
; sa fantaisie a dû remplacer les pièces qui lui
ceinture pelvienne et la position des fémurs. On retrouve les deux
os
iliaques et le sacrum, mais assemblés de façon
iliaques et le sacrum, mais assemblés de façon telle que ces trois
os
ne forment plus une ceinture. Les 706 WIKI il
-dessous de la colonne vertébrale. Les bords sacro-coc- cygiens des
os
iliaques sont dirigés en avant, vers le spectateu
espèce de pro- montoir; ! ) se trouve entre les bords inguinaux des
os
iliaques, mais sans s'articuler avec eux, sans
tué directement au-dessus de la symphyse pubienne. z En résumé, les
os
iliaques ont été retournés par l'artiste, leurs b
rouvent en arrière, leurs bords sacro-coccygiens en avant. Ces deux
os
forment les deux tiers environ d'une circonférenc
e, produite par l'écartement exagéré des bords sacro-coccygiens des
os
iliaques. Si notre sculpteur inconnu n'a pas su
su figurer un bassin, il a néanmoins travaillé, ayant devant lui un
os
iliaque. La configuration anatomique très compl
i un os iliaque. La configuration anatomique très compliquée de cet
os
est assez fidèlement rendue ; son bord sacro-coc-
ls dénotant une étude attentive de la nature. A la face externe des
os
iliaques on ne remarque pas les deux lignes semi-
ielle répondant au tendon du muscle pyramidal. La face interne de l'
os
iliaque avec la ligne innommée, la facette auri
ne. Le sculpteur a évidemment possédé un fémur ; la position de cet
os
par rapport à l'os iliaque est correcte ; ce de
évidemment possédé un fémur ; la position de cet os par rapport à l'
os
iliaque est correcte ; ce dernier ayant été ret
démontrent une connaissance peu pro- fonde de la configuration de l'
os
principal de la jambe. Notre artiste a donc com
pour auteur un médecin. Holbein lui-même auraitsou- vent placé deux
os
dans la cuisse, et un seul dans la jambe. Au mi
che le sol, et il est éga- lement difforme par le développement des
os
du tarse, particulièrement de l'as- tragale et
métacarpiens. Or, on saitque la soudure des épiphyses inférieures des
os
de l'avant-bras a lieu, pour le cubitus de 21 a
nts proximaux. Donc, la persistance des cartilages épiphysaires des
os
de la main, dépasse déjà la limite physiologiqu
donne un habitus morphologique très spécial. (1) Magaliiabs LE !
Os
,lnfanlilis11le et dégénérescence psychiq ? le. 1\
ue notre géant n'a pas attendu que le développement en longueur des
os
fût enrayé par la soudure indestruc- tible des
sion que dans la castration la cause du développe- ment exagéré des
os
est également l'hyperfectionnement hypophysaire (
nt, des phénomènes de précocité et d'accélé- ration (croissance des
os
). L'évolution du développement est ainsi troublée
endue. La face postérieure de deux omoplates regarde en dehors. Ces
os
se trouvent sur la partie latérale du thorax co
e qu'au niveau de l'union du manuhrium sternal avec le corps de cet
os
on le- marque une saillie angulaire. Les deux
é glandulaire de ces organes est éteinte. L'examen histologique des
os
montre surtout des grandes lacunes contenant de l
llaires. La moelle ne peut pas être bien étudiée sur les coupes des
os
ayant séjourné dans l'acide nitrique pour la dé
oupes de la moelle provenant des régions en contact immédiat avec l'
os
, il ne nous a pas été possible de trouver des c
e présenter également une réduc- tion marquée de son calibre. Les
os
présentent des altérations très accentuées mais v
qui remplit ce canal élargi est rouge jaunâtre. La coloration des
os
est rougeâtre, ce qui tient probablement à l'amin
ainsi qu'elles sont très accentuées à l'humérus et un peu moins aux
os
des avant-bras. Ici la substance compacte est dev
iculations ne sont ni déformées, ni tuméfiées. Même état pour les
os
du bassin. On trouve dans ces derniers, comme dan
omme dans les phalanges, de la moelle rougeâtre rappelant celle des
os
jeunes. Dans le fémur la raréfaction est moins
tissu compact. La moelle a une coloration jaune-rougeâtre. Dans les
os
de la jambe, la moelle est jaune. Le tissu comp
spongieux, mais le canal médullaire n'est pas très élargi. Dans les
os
des orteils la moelle est jaune-rougeâtre et le t
n ob- serve des divisions longitudinales de^certaines fibres. Les
os
montrent l'élargissement des canaux de Hawers et
enne constatée dans ce cas a été prévue d'avance après l'examen des
os
. Nous avons cherché pour comparaison des os nor
ance après l'examen des os. Nous avons cherché pour comparaison des
os
normaux. Or à la nécropsie d'une vieille femme
mitresco a eu l'obligeance de rechercher les sels minéraux dans les
os
de ces deux derniers cas. Voici le résultat auq
as. Voici le résultat auquel il est arrivé. Dans le premier cas l'
os
examiné contient 22.7282 0/0 sels minéraux, dont
able de sels minéraux et de sels de calcium en particulier dans les
os
examinés. Les épreuves radiographiques des os l
particulier dans les os examinés. Les épreuves radiographiques des
os
longs de ces deux derniers cas donnent des résu
éduite à la moitié et même au tiers de celle qu'elle présente sur l'
os
normal. Enfin cette même substance est transfor
lym- phatiques tuméfiés et les follicules spléniques également. Les
os
se coupaient facilement comme le bois pourri.
il y avait beaucoup de vaisseaux dans la substance cor- ticale des
os
, les canaux de Hawers étaient élargis. Il y avait
ramollis- ment osseux était en rapport avec la vaso-dilatation des
os
. Mais il doute si cette affection osseuse est i
ussion Goldscheider dit que dans un cas de Basedow il a examiné les
os
sans trouver rien de particulier ; mais il rappel
t plus représentées que par une écorce osseuse très mince. Dans les
os
du bassin on trouvait des lacunes et des partie
dataient depuis 8 ans. L'examen anatomopathologique montre que les
os
crâniens étaient très min- ces, légers, spongie
s osseuses se faisaient sans déficit de la substance osseuse et les
os
du bassin étaient, moins atteints, et enfin que l
seuse et les os du bassin étaient, moins atteints, et enfin que les
os
étaient bien visi- bles sur les radiographies,
trouvé une rétention de calcium. Ces deux auteurs, en analysant les
os
des jeunes rats parathyroïdecto- misés,les ont
ence par rapport aux témoins - 'dans les proportions du calcium des
os
et celui des parties molles. Ces auteurs font r
nt remarquer que la quantité plus grande de calcium trouvé dans les
os
des animaux parathyroïdectomisés n'exclut pas la
ation d'une capsule surrénale, avait trouvé une décalcification des
os
du même côté assez prononcée pour pouvoir être vu
duisait de l'acide-nitreux,et par ce moyen la décalcifica- tion des
os
. Le même auteur avait trouvé l'acide nitreux dans
e montrent l'im- portance du système nerveux dans la trophicité des
os
. La résorption des phalanges dans certaines for
tabes parlent dans le même sens. Au point de vue microscopique les
os
altérés des tabétiques présentent un élargissem
(153) a trouvé une diminution marquée de la substance minérale des
os
qui ne forme plus que 24 pour 100 au lieu de 66
ont trouvé des modifications dans les dimen- sions et le poids des
os
des membres après l'élongation ou l'arrachement
ift f. Geb. und Gyn., Bd. 29. 87. GussEMw. Beiti,. z. LehrP v. d.
Os
/e01l1. Verlrdl. d. Ges. f. Geb. in Beilin. 1863
une femme récemment acccuchée et épi- thélioma tubuh du foie et des
os
. Soc. méd. des hôpitaux, si décembie 1895. 152.
tie des cas décrits) ; parfois le radius perd ses rapports avec les
os
du carpe et il est comme luxé (cas de Dupuytren
dehors, de manière qu'elle vient prendre des rapports avec le grand
os
on le 5e métacarpien. Les rapports respectifs d
apparaît fortement dévié el luxé en arrière, la première rangée des
os
du carpe est déviée en rotation dorsale. C'est
mité dans notre cas,j'ai pensé utile de présenter ici un schéma des
os
du poignet normal et de le comparer avec le sch
la déformation consiste duustene rotation delà première rangée des
os
du carpe ; c'est-à-dire que le semi- lunaire et
ient une position vicieuse, précisément à cause de la déviation des
os
semi-lunaire et scaphoïde et cela par l'effet de
it affaire à une sitblitxatioit congénitale de la première rangée des
os
du carpe avec altération consécutive de la posi
étrange que les altérations rachitiques se soient limi- tées à deux
os
du carpe, en s'inslallant de façon parfaitement s
phique simulent une véritable subluxation de la première rangée des
os
du carpe, avec rotation évidente du scaphoïde e
re classé parmi les troubles de croissance des articulations et des
os
parmi lesquels nous trouvons par exemple le pie
il y a eu certainement unesubiuxa - tion de la première rangée des
os
du carpe avec rotation dorsale du semi- lunaire
lacement de l'articulation du poignet, mais bien à la dévialion des
os
de l'avant-bras et spécialement au déplacement do
foetales, se soit produite une subluxation delà première rangée des
os
du carpe, semi-lunaire ou scaphoïde, avec altér
rime des mouvements passifs, on sent qu'il est formé de deux petits
os
articulés entre eux. Le sujet ne réussit à impr
res,celle de l'auriculaire est de 7 cm. 5. Il est muni d'un ongle, un
os
uni- que le constitue et, comme l'autre doigt s
molles ; le squelette de celui de droite est constitué de deux petits
os
articulés entre eux, tandis que celui de gauche
etits os articulés entre eux, tandis que celui de gauche possède un
os
unique qui est d'ailleurs composé de deux petit
uche possède un os unique qui est d'ailleurs composé de deux petits
os
soudés ensemble. Les phalanges des autres doigt
s os soudés ensemble. Les phalanges des autres doigts ainsi que les
os
métacarpiens et carpiens sont à l'état normal.
oigts perdus dans l'évolution de l'es- pèce. Selon cette théorie, l'
os
pisiforme représenterait un sixième doigt et le
doigt et les tubérosités qu'on trouve du côté radial sur le premier
os
du carpe et du métacarpe un rudiment de « praep
r du car- tilage conjugal, unissant les épiphyses à la diaphyse des
os
longs. Chez nombre des nains de ce groupe, on a
complété par la cyphose, par l'absence de déformations locales des
os
et des articulations et aussi par l'absence de
intactes, il n'y a ni exostoses, ni déformation 124 ELDAROFF des
os
; pas de douleurs spécifiques, mais des douleurs
ts dans les articulationscoxo-fémnrales; absence de déformation des
os
. Atrophie et épaississpment des muscles longs d
ue. Le cou reste libre. Absence d'expsto- ses et de déformation des
os
. La faible limitation des mouvements des articu-
culation gauche du bassin. Absence d'exostose et de déformation des
os
. Le système musculaire est normal. 11 existe de
lations coxo-fémorales. Absence d'ostéophytes et de déformation des
os
ainsi que d'alnjjnhïe musculaire. Dou- leurs à
est l'absence presque absolue de dépôts osseux et de déformations des
os
(sauf une déviation cyphotique de la colonne ve
ntanée du col du fémur et disparition presque totale delà tète de l'
os
, ce qu'on voit très bien dans la radiographie de
6 centimètres de large, adhérant intimement dans la profondeur à l'
os
, de consistance solide plutôt ; la peau est mobil
bre. Ce qui caractérise ici le néoplasme osseux, c'est l'érosion de l'
os
fail 1 par celui-ci, qui est très nette, l'os p
c'est l'érosion de l'os fail 1 par celui-ci, qui est très nette, l'
os
paraît comme rongé par la néoplasir, qui faisan
usses côtes en majeure partie ossifiées. Les bords du défect de l'
os
pariétal droit sont un peu irréguliers et émous-
loureux, perceptible il la palpation et d'un volume recouvrant tout l'
os
coxal , Insensiblement, la surface cutanée se r
2' Période, l14-1526 : Apparition des exostoses el de la carie des
os
et des verrues ou poireaux des parties génitale
s comme une cerise. Pas d'autre cysticerque. Atrophie excessive des
os
du crâne. Il s'agit d'un homme de 30 ans, démen
ont conservé la configuration normale : ils Sont soudés en un seul
os
: a, les lig. costo-vertébraux sont ossifiés et o
s directions (frontale, sagittale et trans- versale) des lamelles d'
os
dans les ligaments jaunes ossifiés; des coupes
fondamentale au point de vue anatomique, sont disposés comme dans l'
os
normal : autour des canaux de Havers ils forment
sine (métbode Zimmermann). 1·'IC.7.-Coupe c; : èche d'une lamelle d'
os
prise dans le li. jaune ossifié dans une directio
éjà cons- taté a l'analyse macroscopique : la soudure de différents
os
en un seul, l'augmentation de la porosité et la
'augmentation de la porosité et la raréfaction du tissu spongieux des
os
connexes, la disparition complète des cartilage
Le tissu fondamental du cirhlage (a) est déjà presque transformé en
os
et les cellules carti- lagineuses se détachent
neuses se détachent encore plus sur son son i : n, car- tallage, b,
os
; c, cavités médullaires ; d, la canal de Ila-
st épaissie,les membranes synoviales qui couvrent les cols des deux
os
de l'épaule sont couvertes de cils jaunâtres qui
lilère, qui occupe tout l'angle formé par la tête et le corps de l'
os
. Celle excroissance arborescente part de la mem
rnière est épaissie. Dans toutes les articulations et dans tous les
os
, qui ont été analysés, il n'y a pas de dépôt osse
bsolue de cartilage. - C, ligne calcaire. - D, tissu spongieux de l'
os
. Grossissement : Il fois. LA SPONDYLOSE RHIZOMÉ
phé- rique etla ligne de démarcation calcaire qui sont posées sur l'
os
sans inter- médiaire (B). Les faisceaux des fib
'un caractère régressif et progressif se manifestent aussi dans les
os
. c) Les capsules articulaires présentent un épa
u cas de transfor- mation du tissu conjonctif nouvellement formé en
os
spongieux) une « arthrite osseuse ou arthrilis
erculose pulmo- naire sans aucune affection tuberculeuse locale des
os
. Mais nous avons le droit de considérer celte t
rations anatomiques. 1. L'ostéoporoae, 2. La vraie ankylose des
os
des petites articulations du rachis, 3. L'ossif
ion est l'aboutissant terminal. b) Dans les cavités médullaires des
os
spongieux des articulations an- kylosées, aussi
s récentes. ? c) L'état des cartilages qui recouvrent les têtes des
os
des épaules et des hanches nous montre à l'anal
nt dans les cas de compression nerveuse par lésion tuberculeuse des
os
et de la pachyméninge. Ce syndrome comporte, co
nt. Enfin l'examen du crâne a montré une épaisseur considérable des
os
. La radiographie dans le sens frontal n'est pas
apophyses styloïdes qui se dessinent à peine. La première série des
os
du carpe n'est constituée que par l'os pisiforme
peine. La première série des os du carpe n'est constituée que par l'
os
pisiforme et par un autre os de forme allongée,
os du carpe n'est constituée que par l'os pisiforme et par un autre
os
de forme allongée, semilunaire, à convexité supér
adius, un peu avec le cubitus. La seconde série est formée de trois
os
, l'os unciforme, le grand os et un autre de forme
un peu avec le cubitus. La seconde série est formée de trois os, l'
os
unciforme, le grand os et un autre de forme ova
. La seconde série est formée de trois os, l'os unciforme, le grand
os
et un autre de forme ovale, légèrement proémine
l n'en est pas de même de leur grandeur. Comparée avec celle de ces
os
chez des individus de taille moyenne comme le s
leur squelette,elle paraît être un peu supérieure à la moyenne. Les
os
du carpe ne présentent aucune anomalie ni dans le
iens et des phalanges est un peu plus développé que celui des mômes
os
du côté opposé et aussi que celui que l'on trouve
e de ce doigt (polydactylie) et fusion partielle à la base des deux
os
qui la constituent (syndactylie incomplète). b)
odactylie, syndactylie), non associées à des altérations graves des
os
de l'avant-bras (micromélie pro- noncée, absenc
absence du radius), il n'y a presque jamais de lésions du côté des
os
du carpe. Le sujet que j'ai étudié présente au co
i étudié présente au contraire des anomalies très prononcées de ces
os
et que certainement le degré très léger d'atrophi
ri- vent aussi partiellement à troubler le développement normal des
os
. Toutes ces anomalies congénitales regardent, e
des altérations du squelette qu'on ne voit pas se produire dans les
os
complètement dé- veloppés, ce n'est vraiment pa
peuvent produire des déviations du type normal de développement des
os
, ou des altérations dans le sens d'un défaut ou
es épiphyses et aussi des diaphyses par rap- port à la longueur des
os
. La simple inspection de notre sujet permet de
hyses : quant aux diaphyses, elles sont aussi larges que celles des
os
d'un sujet normal, et leur épaisseur est dispro-
la beauté physique et la bonté morale qui, exprimée déjà par le 7),
os
: Mf/fx8o<; des Grecs, se retrouve dans les lé
ce à la moquerie, l'achondroplase cultive ses muscles. Or, il a des
os
épais, ce qui favorise l'épaississement des mus
'est que rudimentaire, car la radiographie montre l'état normal des
os
de la main. ' Dans le second cas on voit un doi
adiographies des mains de la même malade montrant l'état normal des
os
. Le petit apendice chirnu n'a pas de rapports ave
rouve rien d'exac- tement calqué. Par ailleurs les allongements des
os
des membres infé- L'INFANTILISME RÉGRESSIF OU T
t symétrique des humérus reproduisant la condition ordinaire de cet
os
dans l'achondroplasie, mais la règle veut qu'il n
onfiguration de leurs extrémités. On peut eu dire autant des autres
os
concourant à la formation de l'articulation de l'
t. Il est dilficile de distinguer, par la palpation, lés différents
os
du métatarse. Les deux gros or- teils sont cour
des traumatismes des nerfs sur le développement el la nutrition des
os
longs (étude expérimentale). Th. Pans, 1905. (2
hique répondant à un territoire nerveux précis. Les fractu- res des
os
de l'avant-bras, celles des os de la jambe sont p
nerveux précis. Les fractu- res des os de l'avant-bras, celles des
os
de la jambe sont particulièrement propices à l'
sont particulièrement propices à l'étude des faits de ce genre. Les
os
du carpe et du métacarpe, les os du tarse qui s
l'étude des faits de ce genre. Les os du carpe et du métacarpe, les
os
du tarse qui sont touchés par l'atrophie se prête
sseuses de ce genre. Historique. Les altérations de structure des
os
à la suite des traumatismes ont été signalées p
tiellément caractérisées par une augmentation de la transparence des
os
à l'écran radioscopique. Or les blessés chez le
sant du membre blessé ne peut expliquer. Pour Sudeck, la lésion des
os
s'accompagne de troubles trophiques et vaso-mot
la peau peuvent disparaître, laissant subsister une altération des
os
que la radiographie est seule capa- ble de mett
peu net sur la reproduction), une fracture du scaphoïde,séparant l'
os
par un trait vertical en deux parties égales, u
frappe surtout, c'est une raréfaction osseuse intéressant tous les
os
du carpe, l'extrémité inférieure du radius et du
, la tête des méta- carpiens. Les travées osseuses sont effacées. L'
os
est devenu plus transparent. plus homogène, mai
enu plus transparent. plus homogène, mais le contour des différents
os
reste facile à suivre, au moins sur le cliché.
ent, évolution de troubles trophiques semblant avoir débuté par les
os
ou tout au moins paraissant avoir atteint d'emblé
les os ou tout au moins paraissant avoir atteint d'emblée dans les
os
une importance prépondérante, devançant les lés
muscles et la peau. Les lésions osseuses ne sont pas limi- tées aux
os
intéressés par le traumatisme, mais s'étendent à
ule en dehors ayant entraîné toute la main. La partie compacte de l'
os
a pénétré dans la partie spongieuse de la tête, a
e du radius. Les lésions du cubitus sont insignifiantes. Tous les
os
du carpe, la tête et la base des métacarpiens, l'
ius et du cubitus présentent une atrophie osseuse très marquée. Les
os
sont transparents ; on ne retrouve aucune trace d
TIQ.UES (Halipd et Jeanne/. Obs. III. Luxation du semi-lunaire; l'
os
luxé est intact ; contraste avec la décalcificati
l'os luxé est intact ; contraste avec la décalcification des autres
os
du carpe. Masson &. Cil" éditeurs. DYSTRO
quatre ans après la première, montre une amélioration manifeste. Les
os
sont plus opaques, les travées osseuses se reco
xiste sur l'extrémité in- férieure du radius et du cubitus, sur les
os
du carpe, sur le métacarpe et les phalanges.
mois après l'accident révèle l'existence d'une décalcification des
os
du carpe, de l'extrémité inférieure du radius et
L'épreuve de profil montre l'énucléation du semi-lunaire ; le grand
os
est derrière lui et s'est mis en rapport avec le
L'épreuve de face montre une déformation et un agrandissement de l'
os
semi-lunaire. Mais, fait inattendu, tandis qu
tendu, tandis que son ombre est opaque, vigoureuse, tous les autres
os
du carpe donnent une ombre plus claire, demi-tran
s et les têtes des métacarpiens, et l'extrémité inférieure des deux
os
de l'avant-bras. Elle est particulièrement acce
bre pour remédier à des raideurs persistantes enleva la plupart des
os
du carpe. Ils étaient fria- bles, s'effritant,
inique a réalisé une véritable expérience de labora- toire. Le seul
os
qui ait conservé une structure sensiblement norma
qu'une atrophie lente proportionnelle à l'impotence du membre. Les
os
qui ont conservé leurs relations normales avec
iorer, s'est plutôt aggravé. Dans ce cas, la lésion tro- phique des
os
constitua un signe précoce, peut-être même un sig
cation, véritable dystro- phie osseuse, de la région blessée et des
os
voisins. Cette altération peut s'étendre à une
l serre si fort l'objet : « pour pouvoir sentir la pierre jusqu'à l'
os
». Certainement si la pierre avait des facettes,
chez ce malade, les moyens de fixité qui maintiennent fixement les
os
des articulations bout à bout sont très altérés
s les lésions de méningo-encéphalite, les plaques transparentes des
os
du crâne et l'absence de synostose. II. Idi
ts, aplatis. Membres inférieurs assez développés, d'égale longueur.
Os
et articulations sains. Pas de déformation des
t semble un peu avancé, et l'occipal droit un peu en retrait. - Les
os
du crâne sont extrêmement minces et offrent tou
e et un peu plus compliquée que la sagi- tale on rencontre un petit
os
wormien à un centimètre de l'angle sur la branc
. Mort dans un état de mail. AUTOPSIE. - Absence de synostose des
os
du crâne; os wor- miens. - Inégalité de poids d
n état de mail. AUTOPSIE. - Absence de synostose des os du crâne;
os
wor- miens. - Inégalité de poids de 75 gr. des
- nicule adipeux. La calotte crânienne est épaisse et lourde. Les
os
parais- sent fort denses. Plus épaisse à gauche
ttale. La suture lambdoïde est tout aussi libre. Elle présente deux
os
wormiens inclus dans son trajet au sommet de l'
la suture sagittale. Sur la branche gauche, on trouve également un
os
wormien. - La base du crâne est asymétrique. Le
a du reste démontré qu'il n'y avait pas de synostose prématurée des
os
du crâne. V. Idiotie complète symptomatique d
Tête. - Cuir chevelu épais et ferme. - Calotte crânienne, Tous les
os
sont très-épais : le frontal au niveau de ses deu
erne de la calotte. Les fontanelles n'existent plus. Il n'y a pas d'
os
wormiens. Dure-mère assez épaisse. Les différen
e; p ! agiocëphahe. lëa- lité de poids des hémisphères cérébraux. -
Os
dormi- ens. - Sclérose atrophique d'un certain
gauche dans le môme état d'amaigrisse- ment que le droit. Les deux
os
de l'avant-bras sont absolu- ment parallèles à
ture lambdoîde est très compliquée. Elle est formée par une série d'
os
wormiens au nombre de ! ¡ dans la région du lam
qu'elles effacent l'angle et le rendent mousse. On compte ensuite 3
os
wormiens à droite et deux à gauche. Ils s'ét( n
e synostosc, et on pouvait constater dans les sutures la présence d'
os
wormions. / 11. llllillu tuberculose est venu
s et un peu rosé. - La uoûte crânienne est assez élevée, mince, les
os
sont peu épais. Il y a de nombreuses plaques tr
erne . - La suture coronale est très régulière sans interposition d'
os
wormiens. Aucune trace de synostose n'est appré
° En ce qui concerne St-Arn.. la calotte est légère, peu dense. Les
os
qui la constituent sont peu épais. Ils le sont
proéminente; en arrière, au contraire, le pariétal gauche dépasse l'
os
correspondant du côté droit et le côté gauche de
onsurante. -- Brotxcho-pneumonie, mort. AUTOPSIE. - Description des
os
du crâne.- Mode de répa- ration de la brèche os
e osseuse produite par la craniectomie. Minceur et transparence des
os
. - Absence de synostose. Adhérences de la dure-
tanée est d'ailleurs connue. Réparation de la brèche osseuse. 125
os
wormien existe de chaque côté dans cette partie r
es 1/2 du lambda, les dentelures s'exagèrent et forment deux petits
os
wormiens très irrégu- liers ayant un centimètre
suture. A la face interne, ces sutures sont moins contournées, les
os
wormiens signalés plus haut, apparaissent nette
s les sutures étaient indemnes de synostose et interrompues par des
os
wormiens. Les parois du crâne étaient très minc
ié droite est notablement plus développée que la moitié gauche. Les
os
correspondants ont une épaisseur moitié moindre
t des zones cle transparence plus larges et plus nombreuses que les
os
correspondants du côté gauche. , (1) La plupa
lité due a la plagiocéphalie. - Le trou occipital est normal. Les
os
de la calotte crânienne sont assez épais et consi
s enfin l'aspect chagriné de quelques circonvolutions. IV. Si les
os
du crâne étaient assez épais, sans pla- ques tr
dérables jusqu'au lambda. La suture lambdoîde offre à gauche quatre
os
wormiens, un central offrant environ la surface
ne de la suture, toujours du même côté, il y a. trois autres petits
os
wormiens de la dimension d'une lentille et para
ntelures détachées. A droite, la suture lambdoïde offre deux petits
os
wormiens lenticulaires et un troisième plus vol
e lambdoïde, on observe de petites fissures de la table externe des
os
, perpendiculaires à la suture elle-même. Les su
e. De nombreux pertuis vasculai- res perforent la table interne des
os
sur les bords de ces sutu- res et au point où s
sur ce crâne les modifications caractéristiques que subissent les
os
dans le rachitisme. Les os du crâne ont en effe
tions caractéristiques que subissent les os dans le rachitisme. Les
os
du crâne ont en effet l'aspect spongoïdc et les
amené la rétraction de ce tissu de nouvelle formation. Les nombreux
os
veor- miens, sur le trajet de la suture lambdoï
correspond aussi à une congestion intense du tissu spongieux des
os
du crâne, montre qu'il n'y a pas trace cle syno
le synostose et encore que rien ne s'opposait à l'extensibilité des
os
clu crâne sous l'influence du développement du
ction circulaire de cette mem- brane, qui adhère très fortement aux
os
des sutures inter- frontale, fronto-pariétale,
e frontale gauche est plus saillante que la droite. L'épaisseur des
os
est très inégale (1); il existe des points tran
sifiées. Au niveau de la dernière, existent de petits îlots osseux (
os
wormiens). Des fontanelles, il ne reste que l
représentée par une membrane translucide presque de niveau avec les
os
qui l'encadrent, et ayant environ un centimètre
ces de synostose. Elles sont toutes finement dentelées. Deux petits
os
vormiens se remarquent à la partie gauche de la
I. Idiotie complète ; méningite purulente ; congestionirtense des
os
du crâne et distension des sutures; Par BOURNEV
résente une faiblesse vertébrale, un relard de l'().si/lication des
os
du crâne, et un développement considérable du v
(10 heures après décès). Tète. Cuir chevelu, rien de spécial. - Les
os
du crâne sont minces et violacés par places ; l
libre dans toute son étendue, porte dans sa branche droite un petit
os
'\"U1'))/ien. La fonta- nelle antérieure est re
te occipitale est un peu déviée à gauche et la partie gauche de cet
os
est un peu déprimée. La fosse occipitale gauche
doux tiers du pariétal droit. La dure-mère est un peu adhérente aux
os
. Un peu de sang l1uirlc dans les sinu,. La base
n; le pied est en extension forcée et les orteils en déflexion. Les
os
du tarse font fortement saillie. Tous les muscl
côté, il est des points où est difficile sur la table externe de l'
os
de suivre la suture. Sur la face interne de Le
autopsie nous a fait constater une épaisseur assez considérable des
os
du crâne et quelques points de synostose de la
- Mort. 234 Antécédents HÉRÉDITAIRES. Autopsie. - Ecartement des
os
du crâne; distension des os du crâne ; -état me
ÉRÉDITAIRES. Autopsie. - Ecartement des os du crâne; distension des
os
du crâne ; -état membraneux des sutures. - Hydr
r peu profond, abords livides, à fond jaunâtre, n'intéressant pas l'
os
. Du côté droit, pareille perte de substance sur
t comblé par une membrane mince et transparente. Les dentelures des
os
se sont très allongées ; leur écartement de cel
ures des os se sont très allongées ; leur écartement de celles de l'
os
voisin atteint jusqu'à 3 ou 4 centimètres. Les
ulier, aucun, à notre con- naissance, ne fait mention de l'état des
os
du crâne. Cet oubli se conçoit très bien quand
entriculaire. Tandis qu'à l'entrée de la malade le 19 mai 1888, les
os
paraissaient réunis sans intervalles donnant la
e 8 avril 1890, nous constations un écartement considé- rable des
os
(Fig. 12). Or, chez Marie Bais., nous avons obs
avons observé exactement les mêmes lésions mécaniques du côté des
os
du crâne (Fig 7). Dans le cas de Marie Bais ? c
e cas de Marie Bais ? comme dans celui de Berl., l'écartement des
os
, la distension des sutures étaient arrivés à un
iotie. cute trop souvent de nos jours. La résection partielle dos
os
de la voûte clu crâne, opposée à la microcé- ph
rvés; courbure de la voûte plantaire, normale. Pas de lésions des
os
, ni des articulations. Orteils ne chevauchant pas
le elle aurait maigri au point de n'avoir plus « que la peau et les
os
. » Serait-ce le carreau ? ' ! 5 Les accidents
- ide et fronto-pariëtales ne'sont pas soudées.et les différents,
os
qu'elles' séparent présentent une- mobilité relat
cnt sérieux contre' la craniectomie (fit. il). C'est parce. que les
os
du crâne ont pu s'écarter aussi largement que l
u, un traumatisme qui a eu promptement une issue fatale. Tous les
os
étaient translucides, notablement amincis, car.il
rn. A.); 5 ans. (V. l'obs., Conpte-rezdu 1889, p. 74.) Crâne. - Les
os
qui le composent sont très minces, trans- lucid
ersal de la fonta- nelle existe, sur la suture fronto-pariétale, un
os
wormien. z La suture métopique, très visible à
en arrière, dans ses quatre derniers centimè- tres, il existe sept
os
wormiens répondant à la fontanelle postérieure.
e sept os wormiens répondant à la fontanelle postérieure. Entre ces
os
wormiens, qui se retrouvent sur la face interne
sutures pariéto-occipitales des deux côtés, il existe une dizaine d'
os
wormiens à droite et une quinzaine à gau- che.
veloppé que le gauche, surtout au niveau de la bosse pariétale. Les
os
à la coupe se montrent plus épais à gauche qu'à
considérables jusqu'au lambda. La suture lambdoïde offre à gauche 4
os
wormiens, un central ayant environ la surface d
externe de la suture, toujours du mème côté, il y a 3 autres petits
os
de la dimension d'une lentille et paraissant de
ntelures détachées. A droite, la suture lambdoide offre deux petits
os
wormiens lenticulaires et un troisième plus vol
lamhcloide, on observe de petites fissures de la table externe des
os
, perpendiculaires à la suture elle-même. Les su
308 .SUTURE DU CRANE DANS L'IDIOTIE. perforent la table interne des
os
sur les bords de ces sutures et au point ou sie
onie, mort. Louv... (Paul Maurice), né le 7 juin 1882. Crâne. Les
os
sont extrêmement minces (deux à quatre millimèt
s ne le sont pas, ni à la face interne, ni à la face externe. Pas d'
os
wormiens. (Voir l'obs. complète p. 216.) OBS.
les précédentes. On remarque sur sa branche droite la présence d'un
os
wormien d'un centi- mètre et demi de long sur u
p. 89). Crâne. - La voûte crânienne est assez élevée, mince, les
os
sont peu épais. Il y a de nombreuses plaques tran
erne. - La suture coronale est très régulière, sans interposition d'
os
wormiens. Aucune trace de synostose n'est appré
nsurante. -l3ronclvo-ptveutnonie, mort. AUTOPSIE. - Description des
os
du crâne. Mode de répa- ration de la brèche oss
osseuse produite par la craniectomie . Minceur et transparence des
os
. Absence de synostose. Adhérences de la dure-mè
Nous insisterons plus parti- culièrement sur la grande minceur des
os
qui offrent une épaisseur variant de 1 à 2 mill
surtout à droite, à 3 centimètres environ de la glabelle. Un petit
os
wormien existe de chaque côté dans cette partie
ètres 1/2 du lambda, les dentelures s'exagèrent et forment 2 petits
os
wormiens très irréguliers ayant un centi- mètre
a suture. A la face interne ces sutures sont moins contournées, les
os
wormiens, signalés plus haut, apparaissent nett
a face externe, on ne trouve la plus légère trace de synostose. Les
os
du crâne sont assez durs et ont une épaisseur v
t du péritoine. Viv... ,Louis Albert, 7 ans et demi. Crâne. - Les
os
sont minces et très durs. La suture inter- fron
deux poumons. Watebl... (Éd. Gustave), 3 ans 1/2. Crâne. - Les 5
os
du crâne sont minces et violacés par places; la
libre dans toute son étendue, porte dans sa branche droite un petit
os
wormien. La fontanelle antérieure est représent
ssée méningitique, entée sur une méningo-encéphalite chronique. Les
os
étaient con- gestionnés à un degré considérable
pratiquer la crâniectomie, à savoir l'ossification prématurée des
os
du crâne, est une conception théorique, démentie
érieuredu cubitus, mais encore par la percussion de l'omoplate, des
os
du coude et de la partie supérieure du cubitus qu
remarquer en effet, que si l'état des cartilages de conjugaison des
os
longs n'est pas bien démonstratif à cause de leur
ures fréquentes aux mains et aux pieds. Retard d'ossification des
os
. La radiographie (PL XIV) des divers os des mem
. Retard d'ossification des os. La radiographie (PL XIV) des divers
os
des membres montre la persistance des cartilage
'Ezéchiel : r'r Ta propllétiseras sur ces ns et lu leur diras : vous,
os
dessé- chés, écoulez la parole du Seigneur. » S
a péroraison fut la paraphrase de ce verset : « Le Seigneur dit ces
os
: j'introduirai en vous un souffle et vous vivr
érieur de l'individu, l'accroissement dans le sens longitudinal des
os
longs est très réduit, tandis que l'ossificatio
stacle ou mieux, semblant subir une hypertrophie compensatrice, les
os
appa- raissent déformés hyperplastiduement dans
actures. La ACHONDROPLASIE ET CHONDROllYPOPLASTE 159 courbure des
os
est souvent dépendante de l'inégale réduction en
es os est souvent dépendante de l'inégale réduction en longueur des
os
formant le squelette du même segment d'un membre.
up plus petits.Ce trouble de l'ossification était localisé aux deux
os
cités plus haut, et symétrique pour la localisati
e la voûte surpasse de beaucoup celui de la base. L'épais- seur des
os
n'est pas constante, plus forte pour les pariétau
our l'occipital dont la surface se pré- sente même irrégulière. Les
os
du nez sont peu proéminents et se trouvent dans
'épiphyse distale ne semble pas augmentée en volume. La diaphyse de l'
os
est épaisse, trapue, pourvue de différentes cou
hysaires sont partout complètement ossifiées, même l'ossification des
os
du carpe, y compris le pisiforme, est complète.
ttes sont trapus et robustes. On observe nettement la présence de l'
os
sésamoïde normal près de la face interne de l'é
l'articulation du genou, s'avance jusqu'au niveau de celle-ci. Cet
os
a une forme régulière. La malléole externe n'est
sin est étroit. Par la radiographie on a noté l'inégale épaisseur des
os
du crâne, la grosseur et la brièveté des diaphy
, pour qu'à l'exa- men radiographique on aperçoive parfaitement les
os
sésamoïdes adjacents au 1e' métacarpien et méta
saires de l'humérus,du radius et du cubitus. On voit aussi le petit
os
sésamoïde près de la face interne de l'épiphyse d
Au genou, la tête du péroné n'arrive pas à l'articulation. Les deux
os
de la jambe sont robustes, de forme normale ave
qu'il est complètement ossifié, de manière, qu'on voit nettement l'
os
médial et le laté- ral sésamoïdes du 1er métata
sésamoïdes du 1er métatarsien. Rien de particulier ne présentent les
os
du tarse. Au métatarse on note la grosse diaphy
ne la micromélie par de nombreuses fractures auxquelles est sujet l'
os
rendu fragile par l'excessive résorption diaphysa
rcissement des membres parce qu'il 1 produit des courbures dans les
os
. Ces. courbes, qui, sont il grand rayon, ont le
diaphyses, qui dans les endroits où le squelette est formé par deux
os
(avant-bras et jambe), sont recourbées parallèl
e que produit l'achondroplasie : en général dans le premier cas les
os
auraient une surface plus lisse, les insertions m
mations thoraciques, pas d'ab- domen proéminent, pas de courbes des
os
longs, le front n'est pas olym- pien ; bref, sa
gnes du développement dés- 178 FERRUCCIO RAVENNA - harmonique des
os
, avait déjà été signalé par M. P. Marie dans les
fait prédominant est fourni par un arrêt dans le développement des
os
d'origine cartilagineuse, résulte d'une alté- r
es. L'avant-bras de la cupule radiale à l'apophyse styloïde du même
os
: 135 millimètres. La région carpométacarpienne
ACHONDROPLASIE (C. Parhon et A. Schunda). Radiographia de 1. er.
os
. y. NOUVELLE Iconographie DE la SALPÊTRIIIOE.
oïdienne (fait que nous avons constaté directement par l'examen des
os
dans l'obser- vation qui suit) (PI. XXIX). Le
On remar- que facilement les faibles dimensions longitudinales des
os
. Sur la radiographie des mains on observe nette
res. Les cellules des tubes contournés semblent aplaties. Etude DES
os
. Nous avons étudié avec nos internes Mlle Matéesc
S os. Nous avons étudié avec nos internes Mlle Matéesco et Tupa les
os
de cet achondroplase. On trouve le D. AP = 17,
é sans déformations. En ce qui concerne la tête on remarque que les
os
nasaux sont plus larges et en même temps plus c
'extrémité inférieure de la ligne oblique. En ce qui concerne les
os
longs (PI. XXXII), notons que l'humérus présente
e sur celui longitudinal. La tête humérale forme avec le corps de l'
os
un angle de 90°. Sur l'humérus normal on trouve u
ique se continue par un véritable sillon au-dessous de la tête de l'
os
. La partie supérieure de la diaphyse humérale sem
e continue par une impression rugueuse sur la face postérieure de l'
os
jusqu'au sillon occipital qui est délimité par de
s : 24 centimètres chez l'homme normal. La circonférence de ce même
os
: 6 cent. 5 dans le premier cas ; 7 cent. 3 dan
mal. La cir- conférence de ce dernier est de 5 cent. 7. Celle- de l'
os
de l'achondroplase : 4 cent. 5. Les dimensions
imè- tres dans le premier. La circonférence est de 9 cent. 5 pour l'
os
normal et de 7 cent. 5 pour celui de l'aclrondr
ormant avec la diaphyse fémorale un angle aigu ouvert en bas. Sur l'
os
normal, cet angle est obtus. La ligne âpre est ru
rtion du ligament croisé sont plus hautes et plus rapprochées sur l'
os
achondroplase que sur le normal. La largeur du
premier est de 21 centimètres à gauche, de 22 à droite. Celle de l'
os
normal est de 38 centimètres. La circonférence es
) et 5 centi- mètres de circonférence. Les chiffres respectifs de l'
os
normal sont de 34 cen- timètres et de 4 cent. 5
rieure du tibia, de sorte que les deux extrémités supérieures de ces
os
sont presque sur le même plan. L'os coxo-ilia
extrémités supérieures de ces os sont presque sur le même plan. L'
os
coxo-iliaque : 18 cent. 5 chez l'achondroplase et
liaque antéro-supérieure jusqu'à l'ischion : 20 centi- mètres sur l'
os
normal et seulement de 14 cent. 5 sur l'aclondrop
se. Le grand diamètre de la cavité cotyloide est de 5 cent. 5 sur l'
os
achondroplase et de 6 cent. 5 sur le normal.
e et de 8 cen- timètres chez le normal. En outre chez le premier, l'
os
semble comme affaissé dans le sens antéropostér
de sorte que les différents sillons sont plus pro- fonds que sur l'
os
normal. L'astragale : 5 centimètres chez l'acho
êtes, les tubérosités prononcées, la profondeur des sillons sur les
os
longs et sur les os du crâne, l'accentuation de
s prononcées, la profondeur des sillons sur les os longs et sur les
os
du crâne, l'accentuation des éminences maxillai
es et des impressions digitales indiquent une grande plasticité des
os
dans les cas d'achondroplasie. Nous avons eu l'
OGRAPHIE'DE la Salpêtrière. ' "* T. XXVI. PI. XXXII COMPARAISON DES
OS
NORMAUX ET DES OS ACHONDROPLASIQUES (C. Parhon.
pêtrière. ' "* T. XXVI. PI. XXXII COMPARAISON DES OS NORMAUX ET DES
OS
ACHONDROPLASIQUES (C. Parhon. et A. Schunda).
sur l'ensemble du tissu spongieux. Au ni- veau des épiphyses et des
os
courts la transparence est très grande. Le bass
ons. Le col du fémur est très court ; l'extrémité supérieure de cet
os
semble s'écraser contre le bassin. Au niveau
liose sont de petite taille, leur visage a un aspect infantile, les
os
sont courts et minces, les épiphyses ne sont pa
fication périostale avec intégrité de l'ossification chondrale. Les
os
ont leurs longueurs normales, mais sont minces,
ion de la zone bulbo-prolubérantielle, produite par une maladie des
os
/par des tumeurs, par des anévrismes de l'artère v
compression due à d'autres facteurs en dépen- dance de maladie des
os
ou d'un anévrisme, soit pour certaines des rai-
aille, mesurée à la toise, est de 1 m. 78. La mensuration de divers
os
, pratiquée avec beaucoup de soin, nous a donné
rions dû trouver chez un sujet normal, de même taille. Longueur des
os
. GIGANTISME EUNUCHOÏDE 261 lement il y a soud
devrait trouver chez un sujet normal de même taille. Longueur des
os
. GIGANTISME EUNUCHOÏDE 267 s 2fi8 REBATTU ET
antisme de même morphologie avec exagération du développe- ment des
os
longs, surtout du segment distal des membres infé
e l'on retrouve dans nos deux observations : hyperaccroissement des
os
longs, surtout ceux du segment distal des mem-
ujet n'a plus une taille normale. Les dimensions exagérées de ses
os
restent là comme la cicatrice du trouble foncti
i n'intéres- sent pas seulement les parties molles, mais encore les
os
, qui sont nettement altérés. L'atrophie osseuse
té dans l'interligne articulaire radio-car- pienne. Au coude, les
os
ne présentent aucune anomalie^ 298 BÉHTOLOTTI
niveau des dernières phalanges, qui sont complètement atrophiées. L'
os
sésamoïde du gros orteil présente une irrégularit
édecine et de Thérapie de Brouardel et Gilbert sur les Maladies des
os
, page 576. Nouvelle Iconographie de la SALYETRI
ant que dans l'acromégalie la peau devient hyperplasique et que les
os
qu'elle recouvre deviennent plus ou moins épais,
- rodermie la peau s'atrophie, se rétracte, et à cette atrophie les
os
sous- jacents et surtout ceux des dernières pha
été pris des jambes ont montré qu'il n'y a rien d'anormal dans les
os
, excepté une légère tuméfaction du périoste.
embre supérieur TUBERCULOMES MULT1PLFS DU CERVEAU ET DES MÉNINGES 4
os
et de la face; si les troubles visuels trouvaie
de tuberculose généralisée. Le crâne était en forme de trigone, les
os
peu épais, durs, avec de nombreuses plaques tra
t mort par congestion pulmonaire. L'observation résumée mentionne :
os
du crâne durs, moitié plus épais à droite qu'à
le à sommet géné- ralement antérieur c'est la trigonocéphalie. Si l'
os
frontal prolonge son ascension verticale comme
ossification prématurée de tout ou partie du crâne. On sait que les
os
craniens, chez le vivant, s'accroissent par leurs
l'arrêt intellectuel ; les premières résultant de la réaction de l'
os
à l'in- Nouvelle Iconographie UE la SALYI'EIÎRC
brale prodromique des états d'oxycéphalie; or l'amin- cissement des
os
, décrit par Elsasser dans le craniotabès rachitiq
gie et saillante, don- nant au visage un aspect bestial. Les autres
os
de la face ou du crâne ne pré- sentent pas un a
membres inférieurs ont une longueur totale de 88 centimètres. Les
os
dit membre supérieur, à la palpation, sont normau
neuses, avec une forme de battoir et une peau ferme et épaisse. Les
os
du membre inférieur sont normaux et ne présentent
mais tout le reste du squelette est normal chez notre malade : les
os
longs ne 450 KLIPPEL ET FELSTEIN sont augment
sque symétriques des mains et des pieds sans aucune déformation des
os
longs des membres ». Notre sujet a en effet de fo
ncé, implanté sur une large base, avec un épaississement marqué des
os
, les os de la face et les dénis demeurant norma
lanté sur une large base, avec un épaississement marqué des os, les
os
de la face et les dénis demeurant normaux. Ma
moins localisée ou dissé- minée, mais presque toujours limitée aux
os
longs des membres, aux os du, tronc et et la vo
minée, mais presque toujours limitée aux os longs des membres, aux
os
du, tronc et et la voûte du crâne : c'est à tor
'on la limite ainsi. Nous avons indiqué ailleurs (1) que les petits
os
des extrémités, des mains et des pieds, prennen
fémur et en, trouvant sur les coupes microscopiques du crâne el des
os
des membres les lésions historiques typiques de l
et qui, comme on lésait, procède par sauts, atteignant au hasard un
os
ou une partie d'un os et laissant souvent intac
t, procède par sauts, atteignant au hasard un os ou une partie d'un
os
et laissant souvent intacts pendant de nombreuses
'un os et laissant souvent intacts pendant de nombreuses années les
os
voisins ou même les parties voisines du même os.
mbreuses années les os voisins ou même les parties voisines du même
os
. La déformation de la base du crâne dans l'un d
ie et la défor- mation par ramollissement. I. Hypertrophie. - Les
os
de la base sont hypertrophiés. L'épaississe- me
); on y constate aussi l'épaississement plus modéré de diffé- rents
os
de la face, os propres du nez, maxillaires supéri
e aussi l'épaississement plus modéré de diffé- rents os de la face,
os
propres du nez, maxillaires supérieurs, notamment
s ptérygoïdes, etc.. (Voir schéma, PI. LXIX, n° 3 et fig. 3). Les
os
de la base n'augmentent pas seulement en épaisseu
rne ou surtout sur sa face externe, notamment au niveau de certains
os
(PI. LXVI et LXVII) : ainsi l'apophyse basilaire
ec les figures suivantes de la même planche). L'élargissement des
os
se manifesle surtout parle rétrécissement de to
e l'observation de- notre malade, le fait n'est pas rapporté. Les
os
de la base du crâne ne sont pas seulement gros, é
n pour toutes les mensurations qui ne peuvent être faites que sur des
os
secs. Nous comparons ces différentes mensuratio
rface duquel on constate la structure « en meringue » classique des
os
pagétiques. La fragilité extrême de ces os s'est
meringue » classique des os pagétiques. La fragilité extrême de ces
os
s'est fait sentir notamment dans notre première
ment dans notre première autopsie où, malgré l'épaisseur énorme des
os
, le crâne s'est brisé rien qu'en le dépouillant
variables au niveau de la base du crâne comme au niveau de tous les
os
chez les pagétiques : chez ces malades,en effet
variable est que le poids des crânes, comme généralement de tous les
os
, est le plus souvent augmenté, mais de façon tr
étique 7 pesait mu grammes (1). Les deux caractères essentiels de l'
os
pagétique, hypertrophie et faible densité, appa
épreuves radiographiques de la hase du crâne, comme sur celles des
os
des membres. Nous avons attiré l'attention, ave
UDE DE LA BASE DU CRANE DANS LA MALADIE DE PAGET 4a7 délimité, de l'
os
pagétique : c'est exactement le même aspect que l
'on trouve sur les radiographies de la base du (crâne PI. LXX). Les
os
y apparaissent gros ; les traits fins et biens
, plus pâles dans l'ensemble que les parties corres- pondantes de l'
os
normal, plutôt grises que nettement noires, et le
celle différence pourtant que l'aspect ouateux est plus net sur les
os
des membres, sans doute simple- ment parce que,
Paget; il y a aussi des déformations dues au ra- iiiollissemenl des
os
. Ces déformations existent au niveau de la base d
ue n° 7. Sur ce dernier schéma on voit l'épaississement de tous les
os
, la surélévation sphéno-basilaire et la convexoba
ébrale antérieure, la bascule de la face (comparer la direction des
os
propres du nez). ÉTUDE DE LA BASE DU CRANE DANS
-basilaire, une contre-pres- sion s'exerce partout ailleurs sur les
os
, et parois osseuses la cavité crâ- nienne regag
s déforma- tions avec celles que l'on constate, par exemple, sur un
os
long des membres on peul dire qu'il y a une inc
ient plus prononcé et parfois considérable chez les sujets dont les
os
sont particulièrement ramollis, et notamment ch
s, même en l'absence d'atteinte eliui- quement appréciable soit des
os
de la voûte, soit des os longs des membres. 466
teinte eliui- quement appréciable soit des os de la voûte, soit des
os
longs des membres. 466 LÉRI Ces altérations c
et en une déformation par ramollissement, tout comme au niveau des
os
longs. L'hypertrophie épaissit et élargit tous
au niveau des os longs. L'hypertrophie épaissit et élargit tous les
os
de la base el en rétrécit tous les trous : trou
n de la voûte n'est pas due exclusivement à l'épaississement de ses
os
, mais aussi à l'agrandissement transversal de l
osseuses se manifestent parl'épaississement t et l'aspect flou des
os
de la base : au lieu de lignes noires, nettes, fr
des fosses cérébelleuses ; par une large saillie dans le crâne des
os
de la base(convexobasie) ou plus souvent par un
erme de comparaison). On voit sur ces 5 crânes l'épaississement des
os
de la voûte, épaississement énorme sur le crâne
rânes secs des planches pré- cedentes : l'énorme épaississement des
os
; leur fragilité, car le trait de fracture qui
sentent, mais on relève aussi dans chacun d'eux la soudure en un seul
os
des l'e et 211 phalanges. L'os résultant de cet
s chacun d'eux la soudure en un seul os des l'e et 211 phalanges. L'
os
résultant de cette soudure mesure 60 milli- mèt
Les articulations métatarso-phalangiennes sont flanquées d'énormes
os
sésamoïdes : un pour celle du 2e orteil, deux p
'état normal, 70 mm. environ). De plus, toutes les parties de ces
os
, mais surtout leurs extrémités, pré- sentent un
atrophie légère du 1e' métatarsien portant surtout sur la tête de l'
os
. Le squelette des 4e et 5e orteils offre à peu
page. 25 mai. - La sensibilité vibratoire est reparue au niveau des
os
des pieds. 25 septembre. Le malade est presqu
es inférieurs se trouvent deux moignons charnus, digitiformes, sans
os
et sans ongles. 3. RunoI,rHI, 1804. Fille ayant
res, présente cependant un ou plusieurs moignons informes pourvus d'
os
ru- dimentaires. Or ces appendices présentenl u
tés inférieures remplacées par deux moi- gnons renfermant chacun un
os
de 3 centimètres, articulé. 3. IfIACL1UGIILIN,
ie parfaite du côté droit ; à gauche, moignon de bras renfermant un
os
et petit membre inférieur, composé de segments
marquée du côté gauche. La palpation ne révèle la présence d'aucun
os
mobile ni articulé dans le moignon ; on sent se
onformation peu différente de ce qu'elle est normalement : les deux
os
ont leurs con- nexions habituelles ; quant aux
qui portait l'appendice di- gné, c'est-à-dire la hanche droite. L'
os
iliaque est normal, sauf au niveau de Pacétabutum
seur d'un pois, que la dissec- tion permettait de prendre pour un
os
; puis un second segment ossi- forme, allongé,
fait inattendu. (Fig. 14.) Les trois segments consti- tutifs de l'
os
iliaque sont en état normal d'ossification ; qu
dulaire, ne renferment pas de substances minérales, ne sont pas des
os
faits : ce sont des pièces fibreuses très denses,
Fig. 14. - Radiographie de la hanche droite et de l'appendice : les
os
constitu- tifs du pelvis sont en voie d'ossific
théorie est plausible pour les cas où les moignons renfer- ment des
os
dont la diaphyse est brusquement interrompue, mai
rs la partie médiane de ce rudiment d'avant-bras se fusionner en un
os
unique, et le squelette se termine du côté de c
dissection du moignon, on n'a trouvé dans les bourgeons digitaux ni
os
, ni cartilage. MM. Chaillous et Brun viennent r
urfaces cartilagineuses qui appartiennent en propre à chacun de ces
os
. A droite, la forme de la phalangine se rapproc
lus gros que normalement. L'augmentation de o- lume qui porte sur l'
os
entier, s'accuse surtout au niveau de la tète dig
l'os entier, s'accuse surtout au niveau de la tète digi- tale. Cet
os
semble formé par l'accolement de deux métacarpien
e, la conformation du cinquième métacarpien est toute différente. L'
os
est de forme irrégulière, incurvé, concave du côt
court, dont l'extrémité digitale s'arrête vers la moitié du premier
os
,formant sur son bord convexe une saillie vo- lu
la direction des travées osseuses délimite clairement la portion d'
os
qui appartient à chacun des métacar- piens fusi
he, on peut encore faire la même constatation et reconnaître dans l'
os
informe la limite qui sépare le cinquième métacar
de leur extrémité digitale, car du côté du carpe la fusion des deux
os
est si intime qu'ils forment une seule épiphyse
régulière ; il ne paraît pas avoir été formé par la fusion de deux
os
con- tiges. ' Au pied gauche, l'apparence ext
é inférieure, une tumeur dure, incompressible, immobile, fixe sur l'
os
sous-jacent. C'est cette tumeur qui a été diagn
tout spécial (PI. XII). Tout d'abord, on voit sur la continuité de l'
os
, au niveau de la tumeur, un changement de densi
CULENTE 89 donne l'impression d'une ancienne fracture consolidée. L'
os
est comme étiré ;i ce niveau et les deux bouts
moindre mouvement. La peau est lisse et luisante, et comme collée à l'
os
au niveau de la dernière phalange. Les plis art
ha- lange, elle est tendue, lisse et luisante, comme collée sur les
os
. Il n'y a pas de troubles sensoriels. Les pupil
recouvre la dernière phalange est brisé, luisant et comme collé aux
os
(Glossy Skin). La striation longitudinale des o
rayons de Roentgen, je n'ai pas constaté de lésions bien nettes des
os
; toutefois il y avait une légère hypertrophie de
centres régulateurs pour la nulrition des téguments et du tissu des
os
. Les divers troubles trophiques de la main dans
Enfin, l'emploi des rayons de Roenlgen à l'étude de la texture des
os
nous a paru digne d'intérêt. Ce dernier point f
douleurs constrictives apparurent le long des 2/3 inférieurs de cet
os
. Au mois de janvier 1894 elle s'aperçut de la d
nt alors notées. Des remarques analogues furent faites à propos des
os
du crâne, Inter- rogée à ce sujet, la malade di
e sur la face postérieure- de l'avant-bras. Sur tout ce trajet de l'
os
, la palpation modérée éveille des douleurs assez
rieure surtout accusée un peu au-dessous de la moitié inférieure de l'
os
. De cette incurvation résulte un raccourcisseme
as de déformation appréciable du tarse, du métatarse, ni des autres
os
du pied. La station debout est impossible. Lors
sa camisole, ni procéder elle-même aux soins de sa toilette. Les
os
du bassin semblent peu modifiés. Les crêtes iliaq
ite. Ou ne note aucune particularité au niveau des maxillaires, des
os
malaires, des apophyses zygomatiques. La malade
note l'existence de foyers hémorrhagiques. En ce qui concerne les
os
, ainsi que le montrent les photographies annexées
de 7 centimètres de ce plan (3 centimètres du côté opposé) et que l'
os
est comme raccourci. La dis- tance de la partie
rus gauche qui mesure 18 centi- mètres au lieu de 13 cm. 1/2 pour l'
os
opposé. La forme générale de l'extré- mité est
té est conservée. A ne considérer que toute la partie inférieure de l'
os
, on croirait se trouver en présence d'un os d'a
partie inférieure de l'os, on croirait se trouver en présence d'un
os
d'athlète. Le radius droit offre des altération
rigées obliquement de haut en bas et de dehors en dedans comme si l'
os
avait subi sur lui-même un mouvement de torsion.
niveau du radius sain. Les clavicules, les omuplates et les autres
os
du membre supérieur ne sont pas le siège d'alté
sentiel- lement sur les lésions de la moelle épinière et l'étal des
os
. I. L'examen histologique de la moelle a fait c
es), dans lesquelles on observe des troubles trophiques du côté des
os
». Depuis, M. Pic (1) de Lyon, au point de vue
iques d'ordre nerveux (hormis les douleurs localisées au niveau des
os
atteints) chez les malades de MM. Gilles de la
ularité de l'hypertrophie qui ne modifie pas la forme générale de l'
os
. (1) Démange, Étude clinique et ttnatomo-palhol
Soc. anat., juin 1896, p. 439. OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET. Les
os
des membres sont mis en regard des os normaux cor
ÉITE DÉFORMANTE DE PAGET. Les os des membres sont mis en regard des
os
normaux correspondants. MASSON & C ? Editeu
, ceint d'une écharpe bariolée, chaussé de souliers disparates, ses
os
pointant sous de trop larges habits, il n'enten
il s'obstine à trancher dans, le mort, et dans le vif, - jusqu'à l'
os
, s'il le faut ! Non moins sèche et parcheminée,
volution qui n'est pas sans analogie avec ceux qu'on observe sur l'
os
au voisinage de l'obélion : je veux parler de l
ÈRE. APPLICATION DES HAYONS DE ROENTGEN A L'ÉTUDE DE LA TEXTURE D'
OS
PATHOLOGIQUES (OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET).
s avons appliqué les rayons de Roentgen à l'étude de la texture des
os
. L'application a été faite aux divers os malades
l'étude de la texture des os. L'application a été faite aux divers
os
malades (humérus, radius, fé- mur, péroné) et a
ite aux divers os malades (humérus, radius, fé- mur, péroné) et aux
os
sains symétriques. Les radiographies ont été obte
raphie de la Salpêtrière (2). L'ampoule bianodique était distante des
os
de 20 centimètres. Le temps de pose a été de 10
tographiques, deux questions se posent : 1° Quelle est la portion d'
os
révélée par la radiographie ? 2° Le résultat es
at est-il différent de celui qu'on obtiendrait par une section de l'
os
, photographiée suivant les procédés habituels ?
res sont visibles. Faut-il en conclure que ce sont les couches de l'
os
les plus voisines du châssis qui seront uniquem
rémité ait été appliquée par sa face antérieure ou postérieure. Les
os
provenant de la maladie de Paget ont également
nces montrent que la photographie, par les rayons de Roentgen, d'un
os
isolé des parties molles, donne lieu une image sy
éti- que représentant une superposition des différents plans de cet
os
. C'est donc une image composée qu'on peut rappr
eau.. ' De l'ensemble de ces faits on peut donc déduire que sur des
os
volu- mineux la radiographie donne lieu à la fo
donne lieu à la formation d'une image des couches composantes de l'
os
, qui synthétise par conséquent sa texture. i ;
te de celle qu'on obtient en pratiquant la coupe macroscopique de l'
os
et en la photographiant ? A priori il devait en
phié par les procédés. habituels et comparativement une moitié de l'
os
scié vu par les deux faces. Nous met- tons les
s radiographies négatives. III. Reste à étudier les altérations des
os
de la maladie de Paget. Cha- que os pathologiqu
e à étudier les altérations des os de la maladie de Paget. Cha- que
os
pathologique ayant son symétrique sain, la compar
raire sur le fémur hypertrophié on constate que les RADIOGRAPHIES D'
OS
LONGS A. Radiographie d'une moitié de fémur d'a
sont élargis et représentent de véritables cavités creusées dans l'
os
. Il y a donc avec condensation du tissu osseux
du tissu osseux par places, une raréfaction générale de ce tissu, l'
os
est devenu poreux. Il y a association d'ostéite c
au niveau de la région de la torsion. En résumé la radiographie des
os
détachés des parties molles offre des détails d
s offre des détails de texture qu'on peut obtenir sans détériorer l'
os
. Ce procédé est donc applicable et vient s'ajou
get avec les résul- tats obtenus par les coupes microscopiques de l'
os
sec. MAIN « SUCCULENTE » - ET ATROPHIE MUSC
rtilage épi- physaire aux dépens duquel se fait l'accroissement des
os
longs. Cette maladie consiste en une diminution
oissance. Mais l'arrêt de croissance ne porte pas seulement sur les
os
longs, il est total ; et c'est là justement ce
du car- tilage d'ossification des extrémités osseuses indique que l'
os
peut encore augmenter de longueur et la radiogr
angioplasique, il l'utilise prématurément el la soudure précoce des
os
du crâne démontre que l'ossification est le fait
nnes, et nous verrons se produire telles altérations trophiques des
os
, des tégu- ments et des phanères,qui dénotent p
axil- laire inférieur, se terminant à l'extrémité antérieure de cet
os
et la com- missure labiale. Sur ce placard, les
(Revue de médecine, 1896, p. 115). - Les proportions relatives des
os
du bras chez les hémiplégiques infantiles et les
QUE INFANTILE 285 dû à un arrêt de développement de l'orbite et des
os
de la face avec asy- métrie de la voûte palatin
: lorsque l'arrêt de développement porte surtout sur le corps de l'
os
, l'angle de la mâchoire fait une saillie au-desso
de la mâchoire fait une saillie au-dessous du bord infé- rieur de l'
os
. Cette saillie conique plus ou moins considérable
considérable peut être limitée en avant sur le bord inférieur de l'
os
par une dépression en fossette : la saillie et
chez les hémiplégiques une diminution proportionnelle du volume des
os
de la mâchoire supérieure et on n'observe pas che
gré d'atrophie du membre inférieur droit; en outre, de ce côté, les
os
avaient subi un retard dans leur développement. E
opper à la suite d'une hémisection de la moelle. RADIOGRAPHIE DES
OS
DANS LA PARALYSIE INFANTILE PAR , Ch. ACHARD
ues depuis longtemps. Elles portent non seulement sur le volume des
os
, qui est amoindri comme l'ont indiqué la plupar
pro- fesseur Joffroy, en attribuant ces modifications du modelé des
os
à l'ab- sence de muscles actifs autour du squel
Arch. de médecine expériment., janv. 1889, p. 57. RADIOGRAPHIE DES
OS
DANS LA PARALYSIE INFANTILE 325. Début. Son aff
squelette du bassin, qui, comme nous le verrons, s'étend à tous les
os
du membre. Il faut signaler en outre que, tandi
mouvements de rotation se pas- sent à la cuisse. RADIOGRAPHIE DES
OS
DANS LA PARALYSIE INFANTILE 327 Pour les mouvem
surtout en largeur. MASSON & cic) Editeurs. RADIOGRAPHIE DES
OS
DANS LA PARALYSIE INFANTILE 329 revint pas, non
ôt. L'humérus est extrêmement grêle, arrondi. Il en est de même des
os
de l'avant-bras et de la main. Le pannicule adipe
sain. B. Membre supérieur droit (en pronation). RADIOGRAPHIE DES
OS
DANS LA PARALYSIE INFANTILE 331 l'extension au
tule, tibia, péroné) de Ban... (côté gauche), et par opposition les
os
correspondants radiographiés chez un malade du
e une diffé- rence de volume très appréciable portant sur toisa les
os
. En outre, dans le cas de paralysie infantile,
sur toisa les os. En outre, dans le cas de paralysie infantile, les
os
(et la comparaison des tibias est surtout instr
de saillies. Enfin l'épaisseur du tissu compact est moins grande, l'
os
est devenu transparent. Une autre planche (Pi.
précédentes : diminution extrême de volume, absence de modelé de l'
os
, transparence par diminution du tissu compact.
es radiographies fait donc ressortir l'absence de développement des
os
dans le sens de la largeur et de l'épaisseur, au
cours de la paralysie infantile. En ce qui concerne la longueur des
os
, l'atrophie est, en gé- néral, moins marquée; c
un processus portant sur la con- figuration et sur la texture de l'
os
, processus véritablement diaphysaire, et qui ne
Le développement exagéré a porté à peu près également sur tous les
os
, frappant d'une façon un peu particulière les ext
tiasis ; on peut explorer facilement le squelette et vérifier que les
os
sont hypertrophiés mais ne portent pas d'exosto
n- fluents, s'étendent en profondeur, mettant à nu les muscles, les
os
et les articulations (Lèpre LrGNurirle). Ils
ulcérations qui ont détruit une partie du nez et de l'oreille, les
os
des membres sont déformés, la main gauche est réd
à leur squelette., La peau,d'un brun très foncé,est collée sur les
os
, moulant toutes les saillies, bridée seulement pa
endiant pour saisir le manteau du Saint,on voit le bord spinal de l'
os
s'abaisser et saillir exagéré- ment. ' ' . .
123. Application des rayons de Roentgen à l'étude de la texture d'
os
pathologiques (ostéite déformante de Paget), pa
igures et 6 planches), par HENRY MEIGE, 45, 127. Radiographie des
os
dans la paralysie infantile, par CH. Achard et
TABLE DES AUTEURS ACHARD (F.) et LÉOPOLD-LÉVI. Radiogra- phie des
os
dans la paralysie infantile (6 phototypies), 3'
1 planche), 113. Lévi Léopold et Cn. Achard. Radiogra- phie des
os
dans la paralysie infantile (6 phototypies), 32
ONDE. Application des rayons Roentgen à l'étude de la tex- ture d'
os
pathologique (ostéite défor- mante de Paget) (2
. Appli : cation des rayons de Roentgen à l'étude de la texture d'
os
pathologique (ostéite déformante de Paget) (2 p
u XVIIe siècle, VII, VIII, IX, XIII, XVII, XVIII. Radiographies d'
os
longs, XXIII. Radiographies des extrémités infé
'une plaie par laquelle s'éliminèrent par la suite deux fragments d'
os
assez volumineux, au dire de la malade. Pendant
ture vertébrale, cette dernière déterminant, par le déplacement des
os
et par le développe- ment du col, une déformati
rnum ; il existe un peu de gonflement au-dessus des clavicules, ces
os
sont très incurvés cl distinctement plus grands
vo- lume est manifestement due en partie à un épaississement des
os
, mais l'hypertrophie des parties molles joue en
t sont épaissies au niveau du menton qui proé- mine' fortement. Les
os
zygomatiques et les rebords orbitaires du frontal
ls bien développés. La région malaire fait une saillie notable; les
os
malaires sont devenus plus massifs et plus long
être un peu épaissi, l'humérus ne semblé l'être en aucun point. Les
os
de l'avant-bras sont élargis et épaissis surtout
uel du corps thyroïde accompagné par une augmentation de volume des
os
de la face et des membres, et spécialement de l
tes étaient massives, de sorte que le sternum semblait enfoncé. Les
os
des membres n'étaient généralement pas épaissis,
leurs proéminences naturelles étaient très exagérées et les petits
os
des mains et des pieds très augmentés de volume
ue la femme fut elle-mème morte, que Saucerotte put se procurer les
os
de cet homme ; il en envoya à l'Académie de méd
logue, musée Dupuytren, n° 435.) Yoici la description donnée de ces
os
par M. IIouel : Sternum. - La première pièce es
outes les autres sont solidement soudées. La longueur totale de cet
os
est de 25 centimètres ; la largeur de la poigné
yphoïde a G centimètres de long sur près de 3 de large. Le poids de l'
os
entier est de 49 grammes; son épaisseur à la pa
eur à la partie moyenne est de 12 cen- timètres. Clavicule. - Cet
os
a 16 centimètres de long; son corps, quoique déve
fil qui en suit la courbe est de 355 millimètres ; le poids de cet
os
est de 35 grammes. Autopsie de l'Observation VI
l n'y eut pas d'augmentation contemporaine de densité et de poids des
os
, et môme les os de ce crâne présentent de l'ami
gmentation contemporaine de densité et de poids des os, et môme les
os
de ce crâne présentent de l'amincissement; plusie
môme les os de ce crâne présentent de l'amincissement; plusieurs des
os
sont réellement foliacés et transparents ; seul
plusieurs des os sont réellement foliacés et transparents ; seul l'
os
frontal montre un certain développement de sa p
de la lambdoïde, sur aucune d'elles il n'y a de, vestiges de petits
os
surnumé- raires ; tout le canal palatin ou inci
le canal palatin ou incisif est ouvert en bas. Ceci montre que les
os
avaient une puissance inférieure qui les portait
raordinaire. Mais la taille de cette femme ne dépassa pas lm71. Les
os
en particulier étaient également de dimensions
PÊTRIÈRE. La distance comprise entre l'épine antéro-supérieure de l'
os
iliaque et la face inférieure du talon était de
e des sutures et l'augmentation de volume et de vascularisation des
os
, tout le long et sur les côtés de la suture sagit
es entre elles par des sillons plus ou moins profonds. De plus, les
os
de la base du crâne se montraient assez vasculari
ibuée depuis longtemps à un trouble de nutrition. La friabilité des
os
, admise par Foville, a aussi été rangée dans le m
a fait ses réserves sur l'évidence de ces troubles de nutrition des
os
. Les troubles trophiques de la peau et de ses a
et ne travaille pas. 1. Christian, Sur la' prétendue fragilité îles
os
chez les paralytiques généraux (Ann. méd. I)sil
S DANS LA PARALYSIE GENERALE (ÉTAT ICHTHYOSIQUE DE LA PEAu) E C n
OS
NIMR & ÉDIEURS FAITS POUR SERVIR A, L'HISTO
on de volume paraît porter sur les extrémités articulaires des deux
os
, phalange et phalangine'. Les mouvements volont
difications de forme et de texture sont sur- venues dans les divers
os
du squelette. Avant tout, notons quelques-uns de
caractères généraux pour entrer ensuite dans les particularités. Ces
os
se présentent sur certains points très minces e
x aurait cédé aux tractions musculaires. Les'têtes articulaires des
os
longs, et plus encore celles des os courts du t
res. Les'têtes articulaires des os longs, et plus encore celles des
os
courts du tarse, sont volumineuses et plus ou m
arse, sont volumineuses et plus ou moins déformées. De plus, tous ces
os
, par rapport à leur volume, sont légers. Parm
os, par rapport à leur volume, sont légers. Parmi les différents
os
du squelette qui méritent d'être particulièrement
ains points, comme par exemple au niveau des bosses pariétales, ces
os
sont si minces qu'en les regardant à contre-jou
û à l'agrandissement en arrière de la fosse pituitaire. Quant aux
os
de la face, le maxillaire inférieur est celui qui
bassin présente des trous obturateurs assez larges et les crêtes des
os
iliaques sont renversées en dehors avec leurs t
que d'habitude; les lignes semi-circulaires de la face externe de l'
os
iliaque se montrent très apparentes. Aux membre
ns que de se trouver gênée dans ses mouvements et de réagir sur les
os
maxillaires cl principalement sur- l'inférieur,
ceci de particulier qu'elle est générale et porte aussi bien sur les
os
que sur les parties molles. « La hauteur du v
même prend insertion à l'ischion, mais elle est rattachée à ce même
os
directement par de solides trousseaux fibreux d
urvenue, ses effets devaient se faire sentir principalement sur les
os
maxillaires. Cependant, il faut l'avouer, les d
os maxillaires. Cependant, il faut l'avouer, les difformités de ces
os
sont trop significatives pour qu'on doive attribu
ives pour qu'on doive attribuer tout à la cause susindiquée. Si les
os
n'avaient pas perdu de leur résistance natu- re
la procidence de la langue; mais, par suite de la maladie dont les
os
étaient atteints, ils n'ont pu résister à ces e
de l'organe, et ont cédé. Mais cette déviation du type normal des
os
maxillaires ne pouvait être l'oeuvre de quelque
ns ne seraient pas survenues si, à cette époque, ou auparavant, les
os
n'avaient pas été malades au point de perdre leur
: PATHOLOGIQUE DE L'ACROMÉGALIE. 25 organe de l'étal irritatif des
os
avec lesquels il était en contact. Il resterait
du maxillaire inférieur, il ce point que la face antérieure de cet
os
est devenue presque horizontale; l'os a un aspe
que la face antérieure de cet os est devenue presque horizontale; l'
os
a un aspect tout particulier; ses déformations
iquide noirâtre légèrement visqueux. Sur le maxillaire inférieur, l'
os
hyoide, le tibia, le péroné, le cubitus, le rad
e péroné, le cubitus, le radius, en un mot sur tous les fragments d'
os
qui ont été conservés, nous trouvons des ostéop
orment des saillies volumineuses de la grosseur d'un haricot; sur l'
os
hyoïde, les tubercules qui donnent inserlion à
ons également des saillies osseuses, des bosselures qui donnent à l'
os
un aspect tout particulier. Dans d'autres point
porte pas seulement sur les parties molles, elle atteint aussi les
os
; nous avons fait sur la main et le pied conserv
imètres. L'écaille des temporaux est amincie, tandis que les autres
os
du crâne ont une épaisseur ordinaire; cependant
ent longue, elle n'offre pas une largeur proportionnée, puisque les
os
zygomatiques ne sont pas plus grands qu'à l'ord
é- rieur externe s'abaisse davantage vers l'apophyse orbitaire de l'
os
malaire. Les incisures sus-orbitaires sont très
ont très profondes, celle de droite est convertie en un trou. Les
os
nasaux sont longs et ont perdu toute trace de sut
nnée à celle des côtes; en outre, la poignée est soudée au corps de l'
os
. La clavicule et le scapulum sont, eux aussi, p
ssi, proportionnés aux dimensions du thorax. l'our le second de ces
os
, la longueur du bord spinal est de 1 centi- mèt
z13 millimètres. ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L'ACROMÉGALIE. 235 Les
os
des membres supérieurs n'offrent pas un développe
s supérieurs n'offrent pas un développement aussi exubérant que les
os
du thorax; les humérus sont à peine plus gros (ci
e qui s'oberve aussi pour l'épitrochlée et la cavité coronoïde. Les
os
de l'avant-bras sont légèrement plus gros, mais n
euse tandis qu'elle est ordinairement convexe et assez lisse. Les
os
des mains n'offrent de particulier que l'accroiss
es phalanges à la face palmaire. Le pelvis est bien conformé, ses
os
sont augmentés de volume avec des rugosités ana
avec des rugosités analogues à celles déjà signalées pour d'autres
os
surtout dans les points d'insertions musculaire
n'a que 120", soit 51 de moins que la moyenne (120° à 130°). Les
os
de la jambe et du pied sont, eux aussi, volumineu
raisseuse; le périoste n'est pas épaissi et se détache aisément des
os
. 1. Il ne sera question ici que de la descripti
ontale sont indistinctes, en partie soudées. La surface interne des
os
du crâne se montre dans son entier lisse, mais
naires, mais d'une forme régulière; au niveau de leur insertion aux
os
ils sont plus élargis, ce qui donne un peu l'as
SERVÉ PAR M. LANCER EAUX 1 Aplatissement du front; hypertrophie des
os
du crâne, cerveau petit, tumeur du corps pituit
rophie du nez, des paupières, des lèvres surtout, et des principaux
os
de la face, plus parti- culièrement du maxillai
que dire que le palais est natiforme. Il On voit en avant que les
os
intermaxillaires ne sont pas soudés sur la ' li
nt en avant l'orbite; 2° les maxillaires supérieurs qui débordent l'
os
malaire. Ecartemenl entre les deux trous sous-o
orm. 38 mill.). Largeur maxima de l'échancrure piriforme 29 mill.
Os
propre du nez. Son bord interne (25 mill.) n'est
omatique rétrécie par la proéminence de la tubérosité maxillaire. L'
os
malaire est normal. Cette étude du massif maxil
pommettes, attribuée cliniquement, mais à tort, à l'hypertrophie de l'
os
malaire. Les parois translucides du sinus maxil
nous avons vu les apophyses mastoïdes pour ainsi dire distendues.
Os
de la voûte du crâne. Un trait de scie horizontal
ts du sphénoïde ressemblant assez, au pre- mier abord, il de petits
os
worniens. La section horizontale, passant à 5 c
l. Epaisseur antéro-pos- térieure de l'olécrane 30 mill. Les deux
os
de l'avant-bras envisagés dans leur ensemble prés
s supérieures sont un peu incurvées en avant. Main. - Sur aucun des
os
de la main les surfaces articulaires proprement t
. 330 rugosités péri-articulaires ligamenteuses ou tendineuses. Les
os
du carpe, tous assez gros, sont extrêmement spo
pe de déformation. Les unguéales sont relativement peu déformées.
Os
iliaque. - Toute la face interne et la fosse ilia
tie moyenne, ses concavités sont comblées par l'arrondissement de l'
os
. Extré- mité inférieure. Les gouttières malléol
rs très accentuée. Bord postérieur boursouflé. Longueur totale de l'
os
325 mill. Pied. - Tous les os du tarse sont trè
ur boursouflé. Longueur totale de l'os 325 mill. Pied. - Tous les
os
du tarse sont très spongieux; le calcanéum est mê
, elle dépasse considéra- hlement par en bas le bord inférieur de l'
os
. Anlyose osseuse entre le deuxième métacarpien
s, conservé dans le liquide de Mûller, en même temps que les autres
os
séchés. La graisse plantaire adeux centimètres
ventricles was attended by repea- ted fils of vomiting and coma.» L'
os
frontal a été considérablement grossi et faisai
ression of spirits bor- dering on idiotism ». Dans un autre cas l'
os
frontal et l'un des os pariétaux étaient épaissis
dering on idiotism ». Dans un autre cas l'os frontal et l'un des
os
pariétaux étaient épaissis jusqu'à 1/3 pouce et
f. G. Vassale et E. Sauhi (3) détruisaient l'hypophysis cerebri per
os
chez des chiens et des chats. Dans le cas le pl
e considérable de matière cérébrale dans des lésions profondes de l'
os
frontal n'exerce aucune influence sur les fonct
ur de la szcbstaztia perf. anal. dex. l'instru- ment avait touché l'
os
. Presque tout le corpus fornicis du côté droit
nication entre eux. 20 V TCHIR1EV dibulum et du tuber cinereum, l'
os
basai en dehors du tractus op. sin. Et de nouve
peu en dedans et du côté op- posé ; quand l'instrument eut touché l'
os
, on fil déclencher les petits ca- nifs et on re
à la pré- cédente. Bientôt cette ulcération se creuse et atteint l'
os
. Un traitement antisy- philitique d'essai est t
à 5 millimètres, de couleur terne, brun verdâtre; la peau entoure l'
os
dénudé d'un gros bourrelet rosé; le tégument ad
ntoure l'os dénudé d'un gros bourrelet rosé; le tégument adhère à l'
os
, il n'existe entre eux qu'un étroit sillon suppur
vé et n'ont pas présenté d'altératious rhumatismales chroniques des
os
. Le début de la maladie actuelle remonte au 17
nous a révélé des altérations très nettes dans la constitution des
os
de la main et de l'avant-bras droits. Du côté gau
, due à un début de raréfaction os- seuse sénile physiologique. Les
os
du carpe et les extrémités radiale et cubitale
roite au contraire il existe une transparence très marquée des divers
os
, les lésions étant le plus prononcées au niveau
ont déformées et élargies. Celles des métacarpiens forment avec les
os
du carpe une pénombre diffuse et vague dans laque
lle on ne reconnaît qu'avec peine le contour plus foncé de certains
os
. D'une façon générale les os de la première ran
eine le contour plus foncé de certains os. D'une façon générale les
os
de la première rangée du carpe sont mieux conserv
tables d'une fon- tanelle métopique (médiofrontale), comblée par un
os
wormien fontanel- laire. Les lacunes se trouvai
s faite d'une manière irrégulière, présentant « ptérion renversé »,
os
fontanellaire ptérique et même de pe- tites fen
ntres d'ossification surnuméraires. Un seul de mes crânes avait des
os
wormiens en petit nombre ; dans tous les autres,
lant du ptérion au lambda ; il présentait, en outre, de très grands
os
wormiens au bord lambdoïdien. Bolk et Hektoen o
, d'autres signes, indiquant des troubles dans le développement des
os
de la base. Les dimensions des portions pétreus
, il s'agit, entre autres choses, d'un développement défectueux des
os
de la base du crâne précédés d'une ébauche cartil
a base du crâne précédés d'une ébauche cartilagineuse. A propos des
os
du crâne, voici une dernière observation (et tout
lants. Un des caractères les plus intéressants, c'est i'aplasie des
os
nasaux, malaires et lacrymaux. Les premiers peu
ans 6 cas au moins (y compris ceux de Manouvrier et de Romili), les
os
lacrymaux n'existent pas comme os spéciaux ; ou
de Manouvrier et de Romili), les os lacrymaux n'existent pas comme
os
spéciaux ; ou bien ils sont soudés complètement
vé des lacrymaux à peu près normaux, Le défaut de développement des
os
malaires est aussi constant que celui des nasaux.
joute que ces résultats crauioiogiques concernant les anomalies des
os
nasaux et malaires sont en parfait accord avec me
chez des sujets dysostosiques « une fente, due à la non-soudure des
os
», « une perforation puncti- forme»,etc.,dansla
xamen attentif ne m'a jamais permis de remarquer que la soudure des
os
fût incomplète. Certes, je ne nie pas que les obs
d'un agrandissement réel de la dimension an- téro-postérieure de l'
os
, mais que cela tient en partie à la petitesse du
que les dimensions de celui d'un enfant de 7 à 8 ans. Le corps de l'
os
est, en général, bas, mais assez épais et de form
re les catégories suivantes ; A. Troubles dans le développement des
os
enchondraux de la base du crâne. 1° Arrêt de
es os enchondraux de la base du crâne. 1° Arrêt de croissance des
os
de la base, surtout dans le sens transver- sal,
fissures autour du rocher. B. -j Troubles dans le développement des
os
dermiques de la voûte erd nienne. 4° Ossifica
la persistance d'espaces mem- braneux, l'enfoncement des bords des
os
, surtout le long de la ligne mé- diane, et parl
ntanelles latérales. , 2° Formation et persistance de très nombreux
os
wormiens ; parfois les 106 HULTKRANTZ pariéta
nnées ci-dessus (A et B). , D. Troubles dans le développement des
os
de la face. 1° Réduction du squelette facial da
s les dimensions. , 2° Absence totale ou réduction considérable des
os
nasaux, fréquem- ment soudés aux frontaux. 3°
ent soudés aux frontaux. 3° Absence des lacrymaux ou soudure de ces
os
aux apophyses montan- tes des maxillaires supér
- tes des maxillaires supérieurs. 4° Développement incomplet de l'
os
malaire, surtout de son angle pos- térieur qui,
rs sont extrêmement atrophiés, il n'y reste plus que la peau et les
os
. La paralysie est complète sauf dans le muscle de
petit chef-d'oeuvre d'ingéniosité. Le squelette, composé de tous ses
os
longs, est articulé et disposé pour faciliter j
est articulé et disposé pour faciliter jusqu'à la supination des deux
os
de l'avant-bras. Des lanières de cuir savamment
membres inférieurs et les rayons X n'ont pas décelé d'anomalie des
os
. Il ne fut pas possible d'examiner les mus- cle
ofonds et le sque- lette lui-même y participent (PI. XXXIII). Les
os
présentent, en effet, un épaississement considéra
laires, pouvant aller tardivement jusqu'à la soudure totale de deux
os
voisins (côte et apophyse transverse par exemple)
és en outre à supposer qu'il existait une raréfaction préalable des
os
, parce que tous les ligaments n'étaient pas ossif
te été relevée par Hilton Fagge en 1879, qui avait constaté que les
os
étaient si fragiles qu'on pouvait les couper faci
Le malade est profondément cachectisé, il a la peau collée sur les
os
, l'amyo- trophie est extrême et sa photographie
e a été enlevée, le crâne n'ayant pu être retiré. La friabilité des
os
a occasionné une mutilation regret- table de la
TYPE LORAIN 321 Les tibias ne sont pas déformés; les épiphyses des
os
longs pas grossies. La mobilité et la sensibili
bservations précédentes (1). Marguerite SEn... Crâne. Epaisseur des
os
normale. Aucune trace d'exostoses. La suture pa
remer- cier ici. - ' ' 322 ETTORE LEVI . Au niveau de tous les
os
longs (phalanges et métacarpiens) on observe un
iennent d'être décrites à propos de la main de Marguerite. Tous les
os
de la main et de l'avant-bras apparaissent extrêm
- loppé tandis que le tissu spongieux forme la presque totalité des
os
longs. La persistance des cartilages épiphysair
la radiographie de sa main nous observons que le tissu compact des
os
longs est très bien développé ; les cartilages ép
fille (16 ans 1/2) on observe l'ossi- fication très nette du petit
os
sésamoïde qui se trouve à la face interne de la
ence à s'ossifier chez l'individu normal vers la 12e année ; or cet
os
normalement ossifié ici n'est visible dans la m
tissu spongieux est même chez Henriette un peu trop prépondérant. L'
os
sésamoïde est bien développé ; les cartilages é
iens, métacarpiens et radio-cubitaux etenfin la non-ossification de l'
os
sésamoïde. Articulation du coude (Marguerite)
rsiens et des phalanges correspond parfaite- ment à celui des mêmes
os
de la main ; on remarque le même déficit de tissu
adiographie du Thorax ne faitrelever rien d'anor- mal au niveau des
os
courts de la colonne vertébrale et du sternum. Le
'acromégalie, celles- du squelette et l'accroissement du volume des
os
, ont toujours fait défaut. C'est pour cela qu'une
raissent bien plus proé- minentes à droite qu'à gauche, et même les
os
du nez semblent comme grossis. Le nez est long,
base ; à la palpation cette grosseur pa- raît dépendre de celle des
os
aussi bien que des parties molles ; les ongles ne
omégalie. Pour une maladie comme l'acromégalie, où l'altération des
os
forme ENCORE SUR L'ACROMÉGALIE 337 une partie
tion de volume a sa cause plutôt dans les parties molles que dans les
os
; dans d'autres cas cependant on a remarqué des
à petit plumeau. Souvent on a aussi trouvé altérées les parties des
os
aux- quelles les tendons s'attachent, et même l
de particulier, si ce n'est un léger gros- sissement uniforme de l'
os
. L'examen du troisième cas a montré la selle tu
ies du squelette normales, en dehors du grossissement habituel de l'
os
. Celui du deuxième cas a montré une selle turci
gauche. Mais s'il y avait véritablement augmentation du volume de l'
os
de la moitié droite de la mâchoire, à l'examen
ne sinuosité en forme d'entaille, sur une étendue assez longue de l'
os
. De plus l'articulation de la clavicule droite
rire et que je crois devoir attribuer à une atrophie partielle de l'
os
, est rare et remarquable d'autant plus qu'ici i
cette cause inconnue qui, dans l'acromégalie, produit la lésion des
os
,qu'elle soit de nature toxique comme je voudrai
artie intégrante d'organes très importants pour la vie, lesang, les
os
, le système nerveux, etc., et des altérations m
che par suite d'une coudure au niveau de l'extrémité inférieure des
os
propres. L'ensemble de ces os se dévie vers la
niveau de l'extrémité inférieure des os propres. L'ensemble de ces
os
se dévie vers la droite de façon que l'ouvertur
ression modérée d'une hydrocéphalie méningitique agis- sant sur les
os
rachitiques pour stimuler l'ossification sur le b
n rôle actif. Gudden a montré que l'accroissement interstitiel de l'
os
est aussi important que l'accroissement par les
nnes d'après le mécanisme indiqué par Virchow. 1° La croissance des
os
crâniens soudés entre eux par une ossification
e pas de résistance. La calotte crânienne normalement composée de i
os
(2 frontaux et 2 pariétaux) séparés par 3 sutur
es ne sont pas* complètes au voisinage de la fontanelle, chacun des
os
travaille pour son compte à la fermeture et le br
à la paroi interne. » Il n'y a donc rien de surprenant à voir les
os
du nez participer à cette dyssymétrie et à ces
roisième métacarpien, qui paraît s'articuler en arrière avec le grand
os
, suivant la règle anatomiqne habituelle, se dir
te, se termine en pointe mousse et est plus grêle que le corps de l'
os
. A signaler l'atrophie relative du cinquième do
seulement atrophie du métacarpien, mais disparition complète de cet
os
. Pied gauche. - Les malformations portent sur l
ie pour le troisième et le qua- trième. L'atrophie et la fusion des
os
sont plus accusés au côté gauche qu'au côté dro
VII). MEMBRE supérieur GAUCHE.- Le radius fait défaut ainsi que les
os
de la moi- tié radiale du carpe, et tout le ray
u carpe, et tout le rayon du pouce (métacarpien et phalanges). Les-
os
persistants se présentent de la façon suivante :
ne de l'extrémité proximale de ce cinquième métacarpien. Carpe. Les
os
de la 2° rangée du carpe sont représentés uniquem
os de la 2° rangée du carpe sont représentés uniquement par un seul
os
, qui par son volume, et par ses connexions avec l
carpiens à la fois, paraît représentera la fois l'unciforme, le grand
os
et le tra- pézoïde fusionnés en un seul bloc os
zoïde fusionnés en un seul bloc osseux. Le trapèze fait défaut. Les
os
de la 1° rangée sont représentés uniquement par l
gle droit avec la direc- tion du cubitus,du fait du déplacement des
os
de cette 1 rangée du carpe qui, par suite de l'
trémité mais avec la face latérale de l'extrémité inférieure de cet
os
. Cubitus. -Il est incurvé en arc de cercle vers
es autres doigts. Le rayon digital de l'index est réduit à un petit
os
conique de 1 cm. 1/2 de long, plus transparent au
n dorsal, le métacar- pien 4 sur un plan palmaire. Carpe. Un seul
os
se voit à la 2e rangée, représentant sans doute à
seul os se voit à la 2e rangée, représentant sans doute à la fois l'
os
crochu et le grand os ; à la seconde rangée on vo
e rangée, représentant sans doute à la fois l'os crochu et le grand
os
; à la seconde rangée on voit trois os : le pisif
fois l'os crochu et le grand os ; à la seconde rangée on voit trois
os
: le pisiforme, le pyramidal, et le semi-lunair
culations sont plus ou moins ankylosées, il y a fusion de plusieurs
os
du carpe normale- ment séparés, la musculature
. Les métacarpiens sui; vent le sort des doigts correspondants. Les
os
du carpe sont incomplets ;, les os les plus ext
t des doigts correspondants. Les os du carpe sont incomplets ;, les
os
les plus externes manquent. La soudure de plusieu
plets ;, les os les plus externes manquent. La soudure de plusieurs
os
du carpe en un seul, que présente notre malade,
ervation de Gayet, la rangée du carpe était représentée par un seul
os
allongé transversalement, et semblant correspondr
e de Bouvier repro- duisant une pièce du Musée Dupuytren montre les
os
de la Il, et ceux de la 2e rangée du carpe fusi
les os de la Il, et ceux de la 2e rangée du carpe fusionnés en deux
os
, un seul pour chaque ran- gée, l'inférieur s'ar
s phalanges du pouce ainsi que les muscles qui s'insè- rent sur les
os
, leurs vaisseaux et leurs nerfs. L'agénésie de,.
ire devrait avoir lieu clans la théorie atavique, le cubitus étant un
os
fréquemment rudimentaire dans la série animale
re, com- me font Launois et Kuss : « L'absence congénitale des deux
os
homologues des membres supérieurs et des membre
s n'est que partielle et qu'il subsiste l'extrémité supérieure de l'
os
et une partie de la diaphyse, de petites inter-
llets Nastodermiques; le sys- tème osseux et les tissus de soutien (
os
et cartilages) dérivent chez les ani- maux supé
ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 423 muscles sont grêles, les
os
très minces et peu développés, l'appareil géni-
ngioplasique elle l'utilise précocement et la soudure pré- coce des
os
du crâne montre que l'ossification est l'effet d'
e Dupré et Pagniez l'ossification des cartilages épiphy- saires des
os
longs était imparfaite; il est vrai que dans ce c
saires des phalanges et des métacarpiens étaient tous visibles et l'
os
sésa- moïde du pouce faisait défaut. Ce dernier
us visibles et l'os sésa- moïde du pouce faisait défaut. Ce dernier
os
est visible radiographique- ment chez les indiv
bien dans la main de Marguerite que dans celle d'Adrienne le petit
os
sésamoïde CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILI
, âgée de 16 ans 1/2, et soeur de nos deux patientes. Ce même petit
os
n'est visible que sous forme d'une ombre à peine
. Nous ne croyons pas non plus être autorisé à considérer l'arrêt d'
os
.st- fication du squelette comme un symptôme d'h
ta- nées aux extrémités inférieures, deshyperalgies à lapressiondes
os
,des mus- cles et des téguments, des spasmes mus
andoy, Heller, Hoche- singe¡', Neumann, Audéoud, Haushalter, d'Asti,
os
, Thierry, Finkels- tein, ISsche2,ich, etc. Op
ujet dans la chambre noire, j'allumais le tube, je lui montrais les
os
de la main, etc... Après quelques minutes je pl
itive et trophique il la suite 'd'un zona. Lésions trophiques des
os
de la main à type de rhumatisme chronique (2 pl
deux segments, cuisse et jambe, contribuent à la dé- formation. Les
os
sont considérablement augmentés de volume dans le
r. La courbure générale très accentuée est à concavité interne; les
os
sont augmentés de volume. L'épaule parait très sa
me. L'épaule parait très saillante, ce qui est dû exclusivement aux
os
qui la constituent car les masses mus- culaires
ès court. La face qui semble élargie, avec saillie considérable des
os
malaires,.est asymétrique, étant encore plus dé
ue sera publié ultérieurement. Examen du squelette. Crâne. Tous les
os
du crâne sont hyper- trophiés, en certains poin
12 cent. occipito-frontal : = 21 cent. La surface extérieure des
os
du crâne présente au niveau des points les plus
te pas seulement sur la voûte crânienne, elle atteint également les
os
de la base. Les rochers sont augmentés de volum
férieur droit. Pied. Les phalanges et le métatarse son normaux. Les
os
du tarse semblent un peu plus volumineux qu'à l
es. La face interne présente de nombreuses rugosités. A ce niveau l'
os
est plus teinté. Inférieurement on y trouve une
eu nivelées. Pas d'exostoses appréciables dans la con- tinuité de l'
os
. Les deux extrémités sont augmentées de volume.
l'ltll;Rl, L'hypertrophie porte surtout sur les 2/3 supérieurs de l'
os
; néanmoins le 1/3 inférieur- est notablement a
suscondylienne = 17 cent. Poids 900 gr. Membre supérieur droit. Les
os
de la main droite contrairement il ce que l'on
nière a pu être extraite sans difficultés. La section de tous ces
os
à l'aide de la scie, particulièrement des os du
La section de tous ces os à l'aide de la scie, particulièrement des
os
du crâne, est fort difficile. M. CatlLelineau
bert Robin (pi. III), et ne s'en tenir qu'a l'incurvation du grand
os
de la jambe, il serait bien difficile d'établir
lette de la jambe droite.atteinte d'ostéite déformantedePaget. - 2.
Os
normaux. - 3. Fémur P ; Fémur N. - 4. Cubitus P ;
l'augmentation de volume (hyperostose diffuse) d'un grand nombre d'
os
; ses localisations les plus caractéristiques occ
bre d'os ; ses localisations les plus caractéristiques occupent les
os
du crâne, le radius, les tibias (diaphyse et ex
es clavicules. Elle respecte au contraire d'une manière absolue les
os
des mains et des pieds, les os de la face, sauf
contraire d'une manière absolue les os des mains et des pieds, les
os
de la face, sauf parfois le maxillaire inférieur
sions sont toujours peu considérables, elle atteint constamment les
os
symétri- ques, mais les lésions prédominent tou
ace qui semble élargie, disions-nous, avec saillie considérable des
os
malaires, est asymétrique, étant encore plus déve
squelette nous a montré qu'il y avait hy- pertrophie manifeste des
os
du tarse, sans cependant que leurs dimensions c
dans les planches II et III. Les analyses des urines et celles des
os
seront publiées inté- 7raleneai plus tard lorsq
ubliées inté- 7raleneai plus tard lorsque l'examen histologique des
os
confié à M. le professeur Re- naut de Lyon sera
nt de l'affection actuelle. Pas de syphilis. cJ ans, fracture des
os
du nez avec déformation consécutive. A I-1 ans
es fractures qui semblent indiquer un état-spécial de fragilité des
os
. 1 ? Quelque temps après le début des premiers
elle est élargie et cet élargissement est dû il l'hypertrophie des
os
malaires plus marquée à droite et surtout des a
ieurs sont déformés et cette déformation apparaît sur- tout sur les
os
de l'avant-bras. Cependant l'extrémité inférieure
émité inférieure des deux humérus est augmentée de volume. Les deux
os
de l'avant-bras sont très épaissis et recourbés
émurs sont énormes. L'épaississement porte sur toute l'étendue de l'
os
; le grand trochanter est très gros; les condyles
lus marquée à gauche. L'hypertrophie porte sur toute l'étendue de l'
os
: les extrémités supérieures sont très développée
par plusieurs points. Il est incontestable en particulier que les
os
de la face sont chez lui envahis par la maladie
il soit difficile de préciser, en l'absence de l'examen direct des
os
du squelette. NOUVELLE Iconographie de la SALPB
DÉFORMANTE DE PAGET 21 Enfin il est à noter que chez ce malade les
os
présentent une fragilité exceptionnelle puisqu'
s de la Tourelle et Magde- laine (1) et de M. Albert Robin (2), les
os
gagnant alors en dureté ce qu'ils perdent en él
LEtCOHOGTtAPHfEDELASALPTHtnE T. V.1, PL. PHOTOTYPE Ne.CATir MICHE
OS
DES MEMBRES DANS LA MALADIE DE PAGET COMPARÉS AUX
la pesanteur. Cette résistance est passive, en ce qui concerne les
os
et les ligaments, elle est active lorsqu'elle néc
point de vue mécanique de telle façon que les résistances passives,
os
et ligaments, y prennent une part prépondérante
n application ici. Mais ce principe est parfaitement applicable aux
os
longs des membres. Le sacrum sur lequel repose
ne vertébrale est solidement fixé, dans les symphyses iliaques, aux
os
coxaux qui reliés entre eux, en avant, par la s
les fémurs et tout l'édifice repose, en dernière ana- lyse, sur les
os
du pied. Nous savons que le squelette du pied est
sur les os du pied. Nous savons que le squelette du pied est formé d'
os
nombreux disposés à la manière d'une voûte dont
s et des doigts. La peau est lisse, luisante, semble collée sur les
os
. Douleurs. Le malade éprouve encore des douleur
quel toutes les fumées montent : si la nature l'eust fait tout d'un
os
, les fumées ne s'en eussent pu exhaler ». Après
t faire le noeud dessus », enfin on doit pratiquer « ouverture en l'
os
, avant le troisième jour s'il est possible, pri
fonl prin- cipalement aux jeunes enfants, lesquels ont encore leurs
os
tendres, gélatineux et mois ». Une ventouse, un
res, gélatineux et mois ». Une ventouse, un tire-fonds remettront l'
os
en place; s'il résiste à ces moyens on le soulé
rture en son mi- lieu, à l'aide d'un élévatoire à trois pieds. Si l'
os
est dé- primé d'un côté seulement « faut l'esle
he du chasteau de llédin, d'un coup de hacquebute qu'il recul sur l'
os
pariétal, dont le troisième jour mourut apoplecti
y le crâne, auquel trouvay la seconde table rompue avec esquilles d'
os
qui estaient insérées dans la substance du cerv
pour donner issue aux humeurs on appliquera le trépan, « non sur l'
os
entièrement frac- turé, de peur qu'en pressant
eur qu'en pressant dessus, on ne blessàt les membranes : mais sur l'
os
sain et entier, et le plus près de la fracture
e, « qui est in- cision, s'il advient qu'il y ait grande playe avec
os
du tout coupé et que portion du cuir musculeux
ne faut parache- ver de coupper le dit cuir, mais faudra séparer l'
os
qui sera du tout coupé, d'avecques le péricrâne
coup de lance qui « lui (lilacera le cuir musculeux du front près l'
os
, transversalement jus- . Fig. 37. Bistouri d'a-
ues au petit coin de l'oeil sénestre, sans l'aire aucune fracture aux
os
; et après son dècès on lui trouva en la partie
ie opposée du coup, comme envi- ron le milieu de la commissure de l'
os
occipital une quantité de sang es- pandu entre
bstant toutesfois ceste grande violence qui ne fust sans fracture d'
os
, nerfs, veines, artères et autres parties rompu
puis étant tombée, » on appliquera dessus des siccatifs. Lorsque l'
os
est carié, ce qui est dû PLAYES ET FRACTURES DE
FRACTURES DE LA TESTE HUMAINE 125 à l'air, à la sanie qui imbibe l'
os
, à « l'indue application d'huilles et autres mé
écher avec les poudres céphaliques « propres pour ayder à séparer l'
os
qui sera altéré superficiellement », avec des c
ères « qui seront de telle figure que sera la figure de l'ulcère et
os
corrompu ». « Pour que la vertu des remèdes pui
eux consumer l'humidité superflue on poura percer en divers lieux l'
os
carié avec la trépane perforative ». Enfin, lorsq
vers lieux l'os carié avec la trépane perforative ». Enfin, lorsque l'
os
ne tient presque plus, on l'enlève doucement ai
viron d'ai- guillette, ayant la teste noire. Or estait la portion d'
os
que nature avait séparée de grandeur de la palm
pour trait- ter les playes de teste, ou il y aura quelque portion d'
os
amputé, font à croire audit patient et aux assi
té, font à croire audit patient et aux assistants, qu'au lieu dudit
os
leur faut mettre une pièce d'or. Et de fait en
liquent dessus et disent qu'elle y demeure pour servir au lieu de l'
os
et de couverture au cerveau : mais tost après l
rand scavoir ils font coalescer une piece de congourde au lieu de l'
os
amputé et ainsi abusent les ignorants qui ne cogn
ien l'ouverture du crâne ouverture qu'on ne doit pas tenter « sur l'
os
fracturé du tout, sur les su- tures, sur les so
la substance du cerveau ne sorte dehors pour sa pesanteur, sur les
os
breg- matis des petits enfants lesquels ne sont
écédé de douleurs. Elle éprou- vait souvent « des douleurs dans les
os
» à en crier. La fatigue la prédisposait Ù ces
lever très aisément. A l'âge de 7 ans ; on a remarqué qu' « un des
os
du milieu du dos pa- raissait grossir ». La mal
ne capsule que l'anatomie normale ignore. Le quart supé- rieur de l'
os
a littéralement fondu. Si tel est le mode d'évo
bide affecte les éléments vivants et par conséquent proliférants de l'
os
. Vous n'ignorez pas d'ailleurs l'existence de c
L'usage a consacré- le nom de pied labélique à un effondrement des
os
du tarse, qui se produit Ù la suite de la raréf
ie semble porter surtout, sinon exclusivement, sur l'astragale et les
os
de la première rangée du tarse. Le pied apparaî
ares, au lieu de lésions bypertropbiques on trouve au contraire les
os
en voie d'atrophie. Signalons en passant les
e d'atrophie. Signalons en passant les lésions de la diaphyse des
os
; ce sont soit des fractures spontanées comme d
rizontalement un verre, où l'on traçait la projection verticale des
os
, de la moelle et des nerfs à l'aide d'un bloc p
, ou inversement « subluxation du carpe vers la face antérieure des
os
de l'avant-bras ». Elle était réducti- ])le, ma
ticulaire. Dans des cas exceptionnels on a vu (Blasius) l'issue des
os
luxés à tra- vers la peau. A côté des luxatio
t exister non seulement dans la même articulation, mais sur le même
os
. Dans la variété hypertrophique on constate non
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE par un pédicule conjonctif. Sur l'
os
lui-même on trouve un épaississement de la subs
atrophique, l'association des deux processus (Babinski) sur le même
os
appartient à l'une et à l'autre arthropathies.
faiblesse et de maigreur, qu'elle n'avait plus que la peau sur les
os
. Ses parents, non sans peine, la transportèrent
iphysaire. Il diagnostique de nou- veau : ostéite épiphysai1'e de l'
os
iliaque, péritonite de voisinage causant les vo
extrême ; son visage ridé et émacié la fait paraitre très âgée. Les
os
de la face, les omoplates, les côtes, les apophys
e la face, les omoplates, les côtes, les apophyses vertébrales, les
os
du bassin et des membres font un relief très accu
irigent d'avant en arrière, laissant en dedans l'olive supérieure' (
OS
), le noyau du facial (VII), la racine sensible du
au de l'abducezs. VIf. Noyau du facial. IX. N. Glosso- pharyngien.-
OS
. Olives supérieures.- T. Noyaux trapézoïdes.- NG.
ias et péronés, III. Habitus général, I et II. Squelette, IV. -
Os
comparés à ceux d'un squelette nor- mal, V. P
de l'oxycéphalie doit être recherchée dans la synostose précoce des
os
du crâne survenant dans l'enfance. Cette syno
du crâne survenant dans l'enfance. Cette synostose prématurée des
os
de la calotte serait causée, selon les uns, par
des altérations de la calotte, mais aussi de la base du crâne, des
os
de la face et enfin de plusieurs autres parties
véritable tête d'enfant rachitique et il paraît que la soudure des
os
de la calotte s'est accom- plie d'une façon bru
que de Turin : Nez. - Il existe un certain degré d'hypertrophie des
os
du nez, les cornets sont normaux, le septum nas
érale de l'ouïe. Nez. A relever un certain degré d'hypertrophie des
os
du nez; les fosses nasales sont plutôt rétrécie
certain degré de déviation du septum nasal, sans hyper- trophie des
os
du nez. A l'examen de la cavité buccale en est
éseau arborescent qui, du plancher ethmoïdal, semble s'étayer sur l'
os
frontal en délimi- tant des espaces vacuolaires
lle occipitale suit une courbure à peu près régulière mais tous les
os
de la face montrent des rapports très altérés.
tater que, à la suite de cet enfoncement de la partie centrale de l'
os
sphénoïde, l'angle sphé- noïdil devient à peu p
, ce qui justement vient confirmer le dépla- cement remarquable des
os
de la face à la suite de l'enfoncement de la pa
RADIOGRAPHIE DU CRANE D'UN CRÉTIN MYXGEDÉMATEUX . Hypérostose des
os
et aplatissement global de la gouttière basilaire
s crânes normaux. Je dois insister encore sur les altérations des
os
de la face dans l'oxycé- phalie, ce qui revient
éphales, et nous dirons encore que le dé- placement remarquable des
os
de la face est dû à l'enfoncement de la par- ti
s encore été étudié à fond est donc dénoncé par les altérations des
os
de la face. A la suite de la dépression de la f
ession de la fosse cérébrale antérieure et de la fosse moyenne, les
os
nasal, malaire el lacrymal subissent un déplaceme
é- placés. Par ces faits nous constatons un allongement de tous les
os
de la face, surtout dans la portion sous-nasale
et en deuxième lieu une exagération de l'activité ostéogénétique des
os
du crâne. L'hypertension cérébrale prodromiqu
us fronto-sphénoïdal et ethmoïdal. L'exagération ostéogénétique des
os
du crâne est manifestée par la pré- sence des c
anatomiques sont là pour démontrer la tendance à l'hyperoslose des
os
du crâne dans l'oxycéphalie. Le fait serait confi
antérieure du crâne et notamment du frontal, de l'ethmoïde et de l'
os
sphénoïde. " Arrivé aux conclusions qui se déga
fance, la pression cérébrale trouve bon jeu dans ! 'épanchement des
os
de la calotte, tandis que, dans l'oxycépha- lie
t enfin elle est constituée par un épaississement considérable de l'
os
qui augmente d'une façon très remarquable le po
r la mince épaisseur de la calotte et la légèreté particulière de l'
os
. Ajoutons encore que chez les microcéphales il y
cas loca- lisées à la partie postérieure du crâne el notamment à l'
os
occipital. Elsasser, Schultz, Betz, Sleiner, Du
dans ce cas la possibilité de l'usure extraordinairement rapide des
os
du crâne en une période très courte de vingt jour
t tout autre alors qu'il s'agit de sujets chez qui la synostose des
os
de la calotte n'est pas encore achevée. Dans ce
Dans ces cas, en effet, la poussée du liquide céphalique agit sur les
os
de la calotte en les sutures des os et en élarg
liquide céphalique agit sur les os de la calotte en les sutures des
os
et en élargissant les régions Fig. 4 ÉTUDE DU
e la deuxième enfance ou de l'àge adulte, alors que les sutures des
os
de la calotte sont normalement enclavées. Dan
début : car la radiographie peut déceler la présence de l'usure des
os
de la calotte très rapidement. Or, le diagnosti
de Röntgen. Cet auteur insiste sur l'état inégal et atrophique des
os
déterminé par la pression des circonvolutions q
prodromique de l'oxycéphalie, il doit exister un étal congestif des
os
du crâne. (1) Loc. cil. (2) Des recherches ra
hypertension cérébrale etde l'autre une réaction inflammatoire des
os
du crâne, limitée, je le répète, dans la grande
d'origine rachi- tique. Dans l'oxycéphalie, l'état rachitique des
os
et du crâne retentit sur les méninges et donne
ne de millimètres de diamètre et qui semble se propager à travers l'
os
; sur la ligne médiane de la tête, cm. 1/2 au-dess
re de la lésion proprement dite, plusieurs 'traits de fracture de l'
os
, se propageant en avant, en haut et en bas. En ou
substance cérébrale et la dure-mère un magma enchevèti é ; dans les
os
environnants il y a, généralement, des traits d
r la radiographie, qu'il s'agit là d'une fracture; la totalité de l'
os
paraît ossifiée. Cependant la clavicule, comme
paraît ossifiée. Cependant la clavicule, comme d'ailleurs tous les
os
que nous avons fait radiographier est d'une trans
mique. On rencontre beaucoup de fractures dans cette dysostose, les
os
étant très fragiles ; mais ce qu'il y a de plus
emarquable, c'est l'absence d'ossification de certaines parties des
os
à ébauche membraneuse, comme le crâne et la cla
troubles digestifs dans la première enfance ? L'accroissement des
os
parait dominé par le fonctionnement d'une ou de
pas encore, du reste, de lépromies apparents, et où l'intégrité des
os
du -nez existe encore ; déformation qui prouve
(3) Pour la bibliographie, voir LEDOUULE. Traité des variations des
os
du rachis. UN cas d'absence DES vertèbres cervi
uées au-dessous de la dernière dorsale, et qui ne présentent avec l'
os
coxal aucune connexion articulaire. Toutes les
t de la physiologie, 1902. ' (4 LGUOUULE, Traité des variations des
os
de la colonne vertébrale. 1.\ v lit 242 - KLI
ant de l'ossification des ligaments qui l'unissent au sacrum et aux
os
iliaques. Malheureusement, celle théorie ne peu
édité morbide, Paris, 1905. (3) LEDOUBLE, Traité des variations des
os
de la face de l'homme et de leur significa- tio
terne de la clavicule droite était atro- phiée. Du côté gauche, cet
os
était séparé en deux parties par une por- tion
un centimètre de largeur. La dépression mé- diofroutale donne à cet
os
une apparence bilobée, les bosses frontales étant
tés, surtout à celle externe. On ne sent pas le fragment externe. L'
os
est d'ailleurs plus mince qu'à l'état normal. '
illon (âgé de 6 mois). Dans le cas de Gibert (fille de 15 ans), les
os
des mem- bres étaient mous, sans consistance, l
avons re- trouvé chez notre malade. Dans le cas de Schermann, les
os
longs étaient incurvés et ont nécessité l'inter
icipilale était à peine indiquée. Toute la partie supérieure de cet
os
était raréfiée. Le corps du radius présentait e
s net des phalangines et des phalangettes avec élargissement de ces
os
et augmentation de leur transparence. Parmi les
avant le deuxième mois de la vie intra-utérine et agissant sur les
os
atteints, ne nous semble pas plus heureuse, d'a
se à la similitude d'origine embryologique des parties malades, les
os
cranio-faciaux étant des os dermiques ; chez les
embryologique des parties malades, les os cranio-faciaux étant des
os
dermiques ; chez les poissons, on peut dire la
un embryon de 7-8 millimètres. Pour Gegenbauer,la clavicule est un
os
mixte provenant d'un noyau central conjonctif e
-CRAN1ENNE 2G3 plupart des glandes influencent le développement des
os
et des dents, fait que l'un de nous a exposé av
fférence de volume, ni aucune altération de structure affectant les
os
, à l'exception du cinquième métacarpe et des phal
iographique n'a révélé à droite aucune altération appré- ciable des
os
de la main. Il a montré au contraire (fiT.8 et 9)
gauche. J'insiste sur ce point, car jusqu'à présent l'atrophie des
os
des membres, que l'on signalait, ap- partenait
rophie du fémur, et Lloyd constata une atrophie de l'épi- physe des
os
constituant les articulations du coude et du geno
nc raison quand il pense que si l'on examinait méthodique- ment les
os
de tous les myopathiques, on trouverait que ceux
ances, la radiograpnie montrait quelques dissemblances avec celle d'
os
pagétiques typiques, nous avions pensé qu'il s'
saillie que serait parti ensuite l'accroisse- ment progressif de l'
os
, d'une part en hauteur le long de la crête tibial
nt été plus ou moins contusionnés aussi, d'autre part en largeur, l'
os
s'épaississant dans son ensemble. Rien ne per
cifiques où il s'agit d'une hy- perostose engainant plus ou moins l'
os
et le rendant plus opaque. Lors de notre premie
uelques dissemblances avec l'aspect que nous avions décrit dans les
os
pagétiques typiques. Dans la maladie de Paget,
parence de tourbillons : cet aspect resterait limité au centre de l'
os
ou s'étendrait jusqu'à sa périphérie. La couche
l'os ou s'étendrait jusqu'à sa périphérie. La couche compacte de l'
os
peut-être épaissie ou raréfiée, mais en général l
région sous-périostée est particulièrement claire, ce qui donne à l'
os
sur l'épreuve radiographique une sorte de doubl
preuve radiographique une sorte de double contour et explique qu'un
os
gros et trapu sur la photographie paraît plus o
ade H... Mêmes altérations essentielles : l'aspect « ouateux » de l'
os
, irrégulièrement plaqué de taches sombres et cl
is en A la lésion se continue sur toute la hauteur du fémur, tout l'
os
est massif; en B la lésion s'arrête au tiers infé
, tout l'os est massif; en B la lésion s'arrête au tiers inférieur, l'
os
s'effile a ce niveau. TRAUMATISME ET SYNDROME D
elles de la maladie de Paget. Au lieu de l'aspect ouateux léger des
os
pagéti- ques, on voyait le tibia comme « plaqué
ute aux saillies que l'on sentait au doigt ; de plus le rebord de l'
os
hyperostosé, quoique sinueux, était relativement
ute à l'atteinte jusque-là incomplète des différentes portions de l'
os
. Les plaques foncées, restes sans doute de la c
restes sans doute de la couche compacte inaltérée, disparaissent, l'
os
devient uniformément ouateux jusque sur ses bor
s actuelle- ment aucune différence entre sa structure et celle d'un
os
pagétique. La localisation des lésions n'exclut
ù la localisation du début semble avoir été absolument identique. L'
os
n'est pas incurvé dans son ensemble, comme il l
nt se généraliser à tout le squelette, d'ordinaire limitée à certains
os
plats et à la diaphyse de certains os longs don
'ordinaire limitée à certains os plats et à la diaphyse de certains
os
longs dont elle détermine l'hypertro- phie et l
ro- phie et la déformation, mais pouvant aussi se limiter à un seul
os
(cas de 338 LÉRl ET LEGROS Cadet, deThibierge
LEGROS Cadet, deThibierge, etc..) ou pouvant n'atteindre un second
os
que de très nombreuses années après le premier
les examens histologiques récents de Ménétrier font de la lésion de l'
os
pagétique une sclérose osseuse hypertrophique.
ulaires qui, à leur tour, provoquent au niveau d'un ou de plusieurs
os
des lésions identiques à celles que des lésions
, un traumatisme pourrait déterminer au niveau d'un ou de plusieurs
os
exactement les mômes lésions trophiques que l'art
artério- sclérose par exemple peut déterminer au niveau de tous les
os
. « Les conceptions étiologiques actuelles, qui
rapporté un cas où l'ostéite de Paget se manifesta à 48 ans sur un
os
fracturé à 7 ans. Mais le malade le plus intére
raumatisme et du long in- tervalle qui sépara l'atteinte du premier
os
et celle du second. Mais n'est- ce pas un peu f
LEGROS , justement un traumatisme qui est très souvent en jeu, et l'
os
atteint resle alors très longtemps ou indé'inem
tte hyperossification par le fait qu'elle formait comme un étai à l'
os
modifié dans ses conditions de statique par la co
secondaires également aussi réglées dans les formes extérieures des
os
. » Aujourd'hui, l'aspect de l'extrémité inférie
iveau des condyles fémoraux un aspect ouateux analogue à celui de l'
os
pagétique (Pl.LI). Dès lors notre explication est
troubles trophiques que Roger et Garnier (1) ont observés dans les
os
d'une main à la suite d'une fracture de l'avant
ion d'ensemble, qu'on la découpe en autant de fragments qu'il y a d'
os
sus- ceptibles d'être atteints et que l'on comb
ment localisée : or les cas de maladies de Paget limitées à un seul
os
ou à un très petit nombre d'os sont de plus en
maladies de Paget limitées à un seul os ou à un très petit nombre d'
os
sont de plus en plus fréquents. Parmi ces cause
voleurs. « L'autre jour j'ai vu encore une tête de mort... que des
os
.. c'était lorsque « j'étais sur la terre : main
ce livre et j'ai revu « des mains... J'ai vu un mort qui agitait un
os
... Je me souviens que j'avais « pris un os au c
u un mort qui agitait un os... Je me souviens que j'avais « pris un
os
au cimetière de Lorient... J'ai vu la tête de mon
, et le pouls cérébral n'est pas perceptible dans la cicatrice. Les
os
du nez sont fracturés ; la racine de cet organe e
n peu au-dessus de cette apophyse, sur l'extrémité inférieur de cet
os
, il ne se pro- duit aucune flexion de l'avant-b
apophyse styloïde du cubitus ou sur l'extrémité infé- rieure de cet
os
, on obtient encore la même flexion des doigts, sa
ression. Les vibrations du diapason sont perçues faiblement sur les
os
des doigts engourdis de la main gauche, sur les
uche, sur les rotules, sur les tibias, sur les malléoles et sur les
os
du pied gauche, et elles sont perçues seulement c
pied gauche, et elles sont perçues seulement comme contact sur les
os
du pied droit. La perception stéréognoslique es
irrégularité des néoformations os- seuses ; elles empiètent sur les
os
, sur les cartilage, sur les ligaments, sur tout
L'artère fémorale contient de nombreuses plaques d'athérome. Les
os
sont bien développés, le canal médullaire n'est p
roductions ostéophytiques se développent en bordure de la base de l'
os
. On remarque, en outre, remontant du bord de l'ép
très atrophiés ; parties molles sous-jacentes qui sont tuméfiées ;
os
enfin dont les épiphyses donnant naissance à de
onstants de l'acromégalie, l'existence de petites exostoses sur les
os
métapodiaux et les épines osseuses aux points o
e. La dystrophie atteint à la fois les parties molles, l'ongle et l'
os
. Ce qui est manifeste, ce n'est pas l'affection d
'ongle et l'os. Ce qui est manifeste, ce n'est pas l'affection de l'
os
, mais celle des parties molles, aussi nous avon
d. Chirurgie, Bd. XXIV, 1912, II. 4. , (2) MAUCLAInE, in Mal. des
os
, Traité Le DENTU-DELDET, 1908, V, p. 246. Discuss
LDET, 1908, V, p. 246. Discussion de 1,ÉON IIF»RNAIII), in Mal. des
os
, Traité de Gilbert et ThOINOT, 1912, p. 568. ! .
is soit la conséquence d'une dystrophie manifes- tée dès l'enfance (
os
mous), la déformation céphalique et l'histoire qu
mbreuses anomalies congénitales, telles que la présence de quelques
os
surnumé- raires et en plus une anormale réparti
istence d'une particulière acromélie : l'avant-bras est normal, les
os
du carpe aussi ; les métacarpiens et les phalange
. Acromélie : anomalie du carpe caractérisée par la fusion du grand
os
et de l'os crochu. On voit que le Ve métacarpien
: anomalie du carpe caractérisée par la fusion du grand os et de l'
os
crochu. On voit que le Ve métacarpien est très
t très hypertrophié : au milieu de son tiers moyen la diaphyse de cet
os
présente une protubérance de un centimètre à pe
acroméiie est encore plus prononcée qu'aux membres supérieurs : les
os
du tarse sont profondément altérés, les deuxièm
diographique du squelette montre des anomalies très importantes des
os
acroméliques, anomalies correspondantes aux troub
extrêmement importante de l'ossification de la région centrale de l'
os
sphénoïde : nous la développerons dans un travail
ues, le maximum de cet arrêt de développement étant à la charge des
os
du métapodium. 11 est important de faire releve
ence que peuvent avoir certains arrêts de développement limités aux
os
de métapodium sur les indices anthropomé- triqu
upart des cas il s'agit d'ectrodaclylle, parfois avec réduction des
os
de carpe et atrophie des os de l'avant-bras. Un a
trodaclylle, parfois avec réduction des os de carpe et atrophie des
os
de l'avant-bras. Un auteur italien, Fumarola, a
que l'on puisse déterminer la cause primaire qui doit agir sur les
os
de la base du crâne et particulièrement sur le
r le sphénoïde en provoquant la synostose précoce pathologique de l'
os
tribasilaire. Nous faisons ici cette remarque à
rimordiale de la glande hypophysaire sur la morphologie normale des
os
, on peut com- prendre comment cette glande et e
,puisse venir altérée dans la synostose patholo- gique foetale de l'
os
tribasilaire. Toutefois comme nous l'avons déjà
re la cause primordiale qui conduit à la synostose pathologique des
os
de la base du crâne dans la période foetale, nous
ent d'affirmer que dans l'hydrocéphalie congénitale à la diastase des
os
de la calotte peut correspondre la synostose de
la diastase des os de la calotte peut correspondre la synostose des
os
basilaires. TRAVAIL DE L'AMBULATOIRE ? RU7'HOLO
s est cer- vainement défectueuse, mais on ne saurait affirmer que l'
os
est profon- dément divisé. Quoi qu'il en soit
eumogastrique. NXII, noyau de l'hypoglosse. - Oi, olive bul- baire.
Os
, olive supérieure. P, pied du pédoncule. Pci, Peu
e Béclère, ni sinus frontaux agrandis, ni épaississement inégal des
os
du crâne, ni ressaut post-lamh- doïdien (PI. XX
ius gauches et droits et sur les métacarpiens- correspondants ; les
os
du carpe ne sont augmentés de volume que dans l
nsurations donnent : 92 ADDA inférieure de l'humérus gauche ; cet
os
, aux dimensions normales, s'arti- cule avec un
trophie osseuse des phalanges des deux premiers métatarsiens et des
os
de l'arrière-pied ; les os sésamoïdes du premie
es des deux premiers métatarsiens et des os de l'arrière-pied ; les
os
sésamoïdes du premier métatarsien participent au
onnels, chez les hommes sains, parce que les tubercules lépreux des
os
, des articulations et d'autres tissus profonds pr
même temps que les cartilages et les tendons détruits. Parfois les
os
, loin d'avoir leur dureté propre, sont mous, de
che du scalpel. Lorsque le travail de restauration se produit, les
os
s'unissent sans gar- der, on le suppose bien, l
ankylose ou la suppuration avec complications osseuses. Lorsque les
os
n'ont pas été mutilés par des phlegmons ou par sc
Dans la plupart des étals ci)ioniques d'insuffisance nutritive des
os
, on voit apparaître le phénomène de raréfaction
49, présente de la décalcification. La destruction et la perte des
os
ont lieu non seulement pour les proces- sus inf
usieurs aspects. En forme de résorption moléculaire dans laquelle l'
os
se raréfie, disparais- sant par raréfaction, et
es canines à ce niveau ; de plus, la peite des rapports normaux des
os
maxillaires supérieur et inférieur se juge par
e D'UN cas D'ACROMÉGALIE 229 par de nombreux auteurs ; de plus, ces
os
ont leur tête déformée et agrandie. On observe
icule pas directement a\ec le métacarpien ; il en est séparé par un
os
déforme vaguement conique orienté de telle sort
mensions de la phalange paraissent normales, il existe néanmoins un
os
surnuméraire, situé entre les extrémités inférieu
rémités inférieures du quatrième et du troisième métacarpien el cet
os
correspond, par sa situa- tion, comme aussi par
et os correspond, par sa situa- tion, comme aussi par sa forme, à l'
os
cylindrique de la main gauche. Mais il y a plus
e un ulcère décubital très étendu, pénétrant profondément jusqu'à l'
os
coccyx qui est en partie séquestré et s'élimine e
assez accentuées du squelette (atrophie de la moelle osseuse et des
os
) chez une femme de 45 ans, at- teinte d'une tum
doigts sur le plan carpien' dorsal qu'ils atteignent presque. Les
os
paraissent normaux à la radiographie. Il n'y a
DES membres 335 carpe et les métacarpiens sont également normaux. L'
os
sésamoïde et les deux phalanges du pouce existe
s aussi sur les métacarpiens, et, dans une certaine mesure, sur les
os
du carpe. Ceux-ci, à vrai dire, sont au complet
millimètres, à peine aussi large, qui représente le corps même de l'
os
. L'ectrodaclylie est ici poussée à un degré trè
poinls. Les mensurations que nous avons pu prendre montrent que les
os
de Pavant-bras ont suhi un raccourcissement not
la région carpo-métacarpienne, y compris l'extrémité inférieure des
os
de l'avant-bras. NOUVELLE ICONOGRAPIIIE DL LA S
ect tout à fait aberrant. La première rangée est remplacée par deux
os
; le plus petit, allongé de bas en haut, peut ê
nfiguration qui ne correspond pas exactement a celle de ces trois s
os
réunis ; seule, l'apophyse du bord interne peut ê
eut être assimilée au pisi- forme. Déplus, le volume relatif de cet
os
paraît supérieur au volume que feraient ensembl
e cet os paraît supérieur au volume que feraient ensemble les trois
os
normaux. Quant zur la deuxième rangée, elle con
de délimiter rien qui rappelle le trapèze, le trapézoïde, le grand
os
ou l'os crochu. L'os carpien présenle une face in
miter rien qui rappelle le trapèze, le trapézoïde, le grand os ou l'
os
crochu. L'os carpien présenle une face inférieure
i rappelle le trapèze, le trapézoïde, le grand os ou l'os crochu. L'
os
carpien présenle une face inférieure assez régu
t dans l'en- semble il a un vague aspect oviforme L'extrémité des
os
de l'avant-bras présente elle aussi des modificat
er de la main et de et non pas de la suppression simple de quelques
os
. Le carpe, tout spécialement, montre une osléogén
arpie. Celle-ci, d'ailleurs, ne résulte pas de la fusion simple des
os
, rangée par rangée, car rien ne 'permet d'établ
ne 'permet d'établir une assimilation précise entre chacun des deux
os
anormaux et les os normaux de la rangée correspon
r une assimilation précise entre chacun des deux os anormaux et les
os
normaux de la rangée correspondante. Il convien
ormale, sillonnée de plis transversaux. A la palpation, on sent les
os
du carpe disposés en un tronc de pyra- mide don
s en un tronc de pyra- mide dont la grande base s'articule avec les
os
de l'avant-bras. Elle me- sure environ 4 centim
e trouvait réduit à quatre pièces diffi- cilemeiit homologables aux
os
normaux. Il semble donc que ces eclrodac- tylie
vestige de sillon, ni d'adhérence. Si nous examinons maintenant les
os
eux-mêmes, nous constatons qu'ils ont des contour
n'a rien il voir avec un traumatisme. Ce carpe est composé par deux
os
volumineux, dans lesquels il est difficile de r
ation est lié dans le troisième cas à une ostéogénèse telle que les
os
qui se forment ne sont pas des parties d'os norma
téogénèse telle que les os qui se forment ne sont pas des parties d'
os
normaux, mais des os d'une forme nouvelle. Nous
es os qui se forment ne sont pas des parties d'os normaux, mais des
os
d'une forme nouvelle. Nous sommes alors conduits
res osléogènes la production des centres anormaux aboutissant à des
os
véritablement hélérotypiques. En'fait, c'est la
du médius ; il y a lieu maintenant de faire remar- quer que si ces
os
ont subi une réduction, il s'agit d'une réduction
UD ÉTUDE SUR LES MALFORMATIONS CONGENITALES DES MEMBRES 351 1 Des
os
du carpe, du métacarpe ou des doigls, la radiogra
est tout a fait frappante, soit que l'on mette en parallèle chaque
os
de même nom, soit que'l'on oppose les os dans l
mette en parallèle chaque os de même nom, soit que'l'on oppose les
os
dans leur situation relative. Et cette ressem-
sparition totale de la main et par une réduction très accentuée des
os
de l'avant- bras. ' Il ne s'agit donc pas d'a
. L'absence congénitale du péroné est, de toutes les anomalies des
os
, , l'une des plus communes. Cliniquement étudié
; et l'on ne peut non plus distinguer les uns des autres les divers
os
du pied. On ne remarque aucune particularité no
s la suivante : la compression de la jambe entraîne l'atrophie d'un
os
gênant, d'une manière ou d'une autre, la circulat
amputation, on ne voit guère qu'il puisse s'ensuivre l'absence d'un
os
aussi long que le péroné. Si la bride est large
bride membraneuse produisaient tout autre chose que l'absence d'un
os
, et sur- tout d'un os comme le péroné profondém
duisaient tout autre chose que l'absence d'un os, et sur- tout d'un
os
comme le péroné profondément enfoncé dans les cha
étriques des parties comprimées de l'autre, pour que la flexion des
os
soit presque exactement superposable, pour que
terait du refoulement des téguments de l'embryon vers l'amnios par l'
os
(1) Etienne RIBAUD, L'amnios et les productions
ux qu'une action compressive dé- truise des doigts quelconques, des
os
tarsiens quelconques et laisse, unis entre eux
onques et laisse, unis entre eux d'une manière quelconque, quelques
os
déformés, tordus et comprimés. Enfin, un dern
entine est retardée, les parties molles deviennent plus riches, les
os
fistuleux par contre plus pauvres en sels calcair
et affectueux. F. P. PREMIÈRE PARTIE ANATOMIE CHIRURGICALE DE L'
OS
TEMPORAL PÉREZ. - OREILLE ET ENCÉPHALE CHAPIT
ICALE DE L'OS TEMPORAL PÉREZ. - OREILLE ET ENCÉPHALE CHAPITRE I
OS
TEMPORAL L'os temporal, pair et symétrique, s'a
MPORAL PÉREZ. - OREILLE ET ENCÉPHALE CHAPITRE I OS TEMPORAL L'
os
temporal, pair et symétrique, s'articule en haut
le tympanal et le squamosal, du dermo-cràne. L'évolution de ces trois
os
ne se fait pas parallèlement. D'après Rambaud e
du vestibule, s'étendent successi- (t) Origine et développement les
os
. Paris, l86/|. vement au sommet. Ces trois poin
ns une cinquième que nous nommons : Portion du plancher tympanique ou
Os
de Piet. § l — PORTION SQUAMEUSE : SQUAMOSAL
oupés en trois catégories. (1) Le Double, Traité des variations des
os
du crâne de l'homme et de leur signification au p
éminer seulement après la naissance, « comme si la table externe de l'
os
obéissait aux tractions exercées par le sterno-cl
stéite de la pointe. « Recherche du sinus. Il n'est pas apparent. L'
os
est sain à la partie postérieure, très éburné, co
antérieure. —Pour bien l'explorer, il est indispensable de réséquer l'
os
tympanal qui la recouvre par en bas (Poirier et C
7^-1 millimètre, possède tous les caractères de la table interne des
os
du crâne. La partie centrale de l'apophyse prés
sse et celle de la gouttière carotidienne, transformée en canal par l'
os
de Piet. La face exocrânienne postérieure prése
itiques. § 4- — PORTION TYMPAN ALE : TYMPAN AL Le tyrnpanal est l'
os
du conduit auditif externe. Chez beaucoup de mamm
profond le sépare en dehors du squamosal. Dans l'espèce humaine, cet
os
offre l'aspect d'une gouttière plus large en deho
ltz). L'apophyse tubaire s'en détache en avant pour compléter, avec l'
os
de Piet, le squelette de la trompe d'Eustache. Le
e tyrnpanal se soude en dedans à la portion du plancher tympanique ou
os
de Piet (scissure tympano-tym panique). Le cond
le passage du petit doigt. § 5. — PORTION DU PLANCHER TYMPANIQUE :
OS
DE PIET (RULLE TYMPANIQUE DES MAMMIFÈRES) FOSSE
tion du temporal, que nous appelons portion du plancher tympanique ou
os
de Piet, du nom de l'auteur qui le premier a sign
panique varient avec les différentes espèces animales. Il s'agit d'un
os
le plus souvent ovoïde, bulleux, quelquefois allo
it au rocher, soit au tympanal surtout, soit aux deux à la fois; d'un
os
qui, comme le dit Piet, doit être nécessairement
ral, au même titre que le squamosal, le pétrosal ou le tyrnpanal. Cet
os
complète l'cngainement osseux de la première fent
ourant veineux principal entraîne des modifications corrélatives de l'
os
temporal. En effet, chez les animaux à veine jugu
nt de L éminence jugulaire de l'occipital et marque la soudure de cet
os
au rocher : c'est la scissure pétro-occipitale. A
à laquelle nous donnons le nom de portion du plancher tympanique, ou
os
de Piet. A. Rambaud et Ch. Renault, au cours de
rier. Deux portions du temporal prennent part à sa constitution : l'
os
de Piet en dehors, le pétrosal en arrière et en d
igure i de la planche IV, on aperçoit la ligne de soudure de ces deux
os
, la scissure pétro-tympanique. La fosse jugulai
creusée aux dépens de la pyramide et à laquelle se soude en dehors l'
os
de Piet. Chez l'adulte, il s'infléchit presque
anée ou traumatique. ïrautmann, dans son Anatomie chirurgicale de l'
os
temporal, cite cinq observations de blessure du g
dedans et en arrière, le squamosal en haut, le tympanal en dehors, l'
os
de Piet en bas. On a comparé la cavité tympaniq
oi inférieure ou jugulaire, plancher de la caisse. — Constituée par l'
os
de Piet, elle répond dans presque toute pérez.
logettes tympaniques. — La chaîne des osselets, constituée par trois
os
, le marteau, l'enclume et l'étrier, traverse la c
iaire de wrisberg Le canal de Fallope, creusé dans l'épaisseur de l'
os
temporal, commence au niveau de la fossette antér
e la coalescence de la face antérieure exocrànienne du rocher et de l'
os
de Piet. La direction de la portion tympano-mas
ée, on est autorisé à soupçonner l'existence, dans la profondeur de l'
os
temporal, d'un processus destructif grave, probab
t le trajet comprend deux portions, l'une étendue entre le golfe et l'
os
hyoïde, l'autre entre l'os hyoïde et le tronc vei
ortions, l'une étendue entre le golfe et l'os hyoïde, l'autre entre l'
os
hyoïde et le tronc veineux brachio-céphalique. Da
es canaux fibreux qui engainent nerfs et vaisseaux. Son adhérence à l'
os
est variable. Très solide au niveau du bord posté
bcès épidural ou extra-dural. Toute la corticale endocrânienne de l'
os
temporal n'est pas également susceptible de servi
ue de chirurgie. 1902. Le Double (A. F.), Traité des variations des
os
du crâne de l'homme et de leur signification au p
Thèse de Paris, i8g2. Piet, Contribution à l'étude des canaux de l'
os
temporal. Journal des sciences médicales de Lille
0, 1897 Rambaud (A.) et Renault (Ch.), Origine et développement des
os
. Paris, 186/1. Raubert (A.), Lehrbuch der Anato
IÈRE PARTIE ANATOMIE CHIRURGICALE DE I,'oS TEMPORAL Chapitre I. —
Os
temporal.................................. 11 §
........................ 4i § 6. — Portion du plancher tympanique :
os
de Piet (bulle tympanique des mammifères). — Foss
g6 TROISIÈME PARTIE PLANCHES PLANCHE I Les quatre faces de l'
os
temporal. Ftgure i. — Face externe. Figure 2.
anique, le limaçon, le vestibule et le conduit auditif interne. Cet
os
apparaît comme le type des temporaux pneumatiques
cle digastrique, depuis son insertion au fond de la rainure jusqu'à l'
os
hyoïde. En dedans du muscle se trouve le paquet v
pris par l'arbre de couche d'une machine. Au niveau de la tête de l'
os
, sous la peau, existait une petite tumeur osseu
l en soit ainsi, qu'il y ait eu arrachement complet de la tète de l'
os
et, dans ces circonstances, à la dépression se jo
érieure du muscle soléaire, contourne horizontalement le col de cet
os
, passe entre ce col elle long péronier latéral
S D' ! MBËC ! LHTË. 103 Les sutures ne sont pas ossifiées, mais les
os
qui les forment sont partout contigus, sauf au.
eau de la suture lambdoïde, où l'on aperçoit un très grand nombre d'
os
wormiens : les plus volumineux occupent la part
e moyenne du lambda et les plus petits les parties latérales. Les
os
de la base du crâne ne présentent rien de particu
e pied tabétique est caractérisé par une altération portant sur les
os
du tarse et du métatarse, dont l'usure, le désagr
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. mémoire, ont trait à des lésions des grands
os
longs des membres et des articulations; et il n
uestion, que nous sachions, d'altérations analogues portant sur les
os
courts et les petites articulations du pied. C'
ons étaient affectées, elles n'étaient pas seules enjeu, et que les
os
aussi devaient être lésés. Toutefois, en l'abse
axie locomotrice, une affection complexe du pied, dans laquelle les
os
et les articulations sont le siège de lésions ana
ana- logues à celles qu'offrent, dans les mêmes circonstances, les
os
longs et les grandes articulations. Celle affec
augmente peu à peu; elle est uni- forme, et ne laisse sentir aucun
os
hors rang, aucune saillie irrégu- lière. La tum
ent former de véritables tu- meurs se continuant avec le corps de l'
os
. La pression exercée sur le tarse, ou les mouve
éré il n'est cependant pas question du tibia et du péroné.. . Les
os
du tarse et du métatarse sont atteints il des deg
férieure (pi. xxvi) ne présente plus de cartilage en aucun point; l'
os
lui-même est atteint, 1, ct pI'ésentc un aspect r
endroit, il n'existe plus de trace de cartilage arlicn- ' laire : l'
os
est rouge, rugueux, granité. , Le cartilage a d
, la lésion est moins avancée que sur le calcanéum. ' Les autres
os
du pied ne présentent rien d'anormal, sauf le pre
cen- timètres ; de la racine des cheveux à la partie supérieure des
os
propres du nez, 66 millimètres; des os propres
x à la partie supérieure des os propres du nez, 66 millimètres; des
os
propres du nez au bout du nez, 76 millimètres-
s dans le sens antéro-postérieur semblent cependant augmentées. L'
os
hyoïde paraît être aussi d'un volume supérieur à
au front et à la nuque, elle est continue et siège « comme dans les
os
»; la chaleur l'augmente, elle serait surtout pro
ans le bassin lorsqu'on regarde le dos du patient : les rebords des
os
iliaques sont très saillants et ils débordent de
, une saillie surtout marquée au niveau de la rangée antérieure des
os
du tarse. Même saillie un peu moins marquée à g
semble exister un élargissement de l'extrémité in- férieure de cet
os
, qui présente un diamètre d'avant en arrière de 4
quée au niveau du premier métatarsien et de la première phalange; l'
os
semble peu touché; c'est l'articulation méta- t
ns quatre cas. Les cartilages sont érodés, détruits et laissent l'
os
à nu. Dans les arlhropalhies tabétiques du pied
t l'os à nu. Dans les arlhropalhies tabétiques du pied ce- sont les
os
qui pré- sentent les lésions les plus accusées
e petites végétations sur leurs bords. Il en est de même des autres
os
du tarse. En somme, on observe une dé- formatio
ve une dé- formation, un épaississement ou une usure des différents
os
du pied. Ils ont généralement un aspect spongie
: celles-ci sont parfois excessivement développées, les différents
os
du tarse et du mé- tatarse, les extrémités infé
ux de volumes divers et de formes irrégulières se sont détachés des
os
principaux. En somme, la perte de substance l'e
masses osseuses, entièrement indépendantes des articulations ou des
os
, et situées dans l'intérieur des gaines muscu-
intense, térébrante. C'est comme un clou qu'on enfoncerait dans les
os
; elle force le sujet à s'arrêter immédiatement
es parties antéro-latérales du cou et s'opposer à ce mouvement. Les
os
propres du nez sont très larges; la saillie des p
érale de la main; et il semble que cette augmentation de volume des
os
soit plus grande dans le sens transversal que d
s, bien qu'elles' aient perdu de leur mobilité. , L'épaisseur des
os
du bassin semble un peu augmentée, notamment au
les articulations métatarso- phalangiennes. ? Pas de courbure des
os
des membres, notamment celle des tibias n'est pas
physes du frontal fait qu'entre celles-ci et le bord supérieur de l'
os
malaire se trouve une' profonde dépression qui
l'extrémité antérieure de la symphyse du maxillaire inférieur et l'
os
hyoïde est de près de 8 centimètres. ' @ Toutes
sidérable à laquelle semble participer le reste de l'écaille de cet
os
. Les temporaux font aussi une saillie notable s
tus ne sont pas notablement augmentés de volume ; au contraire, les
os
du carpe semblent plus épais. ' Diamètre antéro
à l'époque citée d'il y a environ six ans, s'aperçoit que tous les
os
de son corps, à l'exception peut-être des dents
ividu en hauteur), de manière qu'il estime présentement t avoir les
os
au moins du double gros qu'au terme d'il y a six
et démontrent que c'est aux dépens de leur tissu cellulaire que les
os
acquièrent un embonpoint contre nature, s'il es
eux sont actuellement très à fleur de tête par l'épaississement des
os
de l'orbite qui ont porté ces organes en dehors
plus de facilité à s'étendre que la supérieure parce qu'elle est un
os
unique et mobile, il s'ensuit que les dents inc
ingulier; il en est de même des clavi- cules ; les omoplates et les
os
des hanches ont prodigiensément pris d'étendue
bientôt l'illusion cesse, si l'on fait attention qu'elles sont tout
os
, et qu'elles n'ont point ou presque point de moll
tre sujet adulte. Ce citoyen ne peut imputer l'accroissement de ses
os
à aucun état maladif; il est vrai que dans tous
sans doute à cause de la compression du cerveau par l'épaisseur des
os
du crâne. Depuis environ deux ans il éprouve un
nts, sans pou- voir détourner les sucs nourriciers de se porter aux
os
plutôt qu'aux chairs. Mais pourquoi ces sucs on
du périoste et des autres parties membraneuses qui environnent les
os
. En 1766, le sujet pesait 119 livres et en pesa
e, ne pourrait-on pas conclure que la terre de l'urine se portait aux
os
, chez ce malade ? Dans le cours de l'année 17
, le malade n'avait plus constaté d'augmen- tation de volume de ses
os
, et, en mai 1773, .il n'avait plus d'oppression e
i la tendance à l'augmentation de volume était plus grande dans les
os
plats, dans les cylindriques, ou dans ceux de for
pris d'une voracité extraordinaire et de quelques douleurs dans les
os
, les articulations et l'estomac. Les forces bai
face ne suivent pas dans une égale proportion le développement des
os
, les yeux ne sont guère plus gros que normalement
ionnaires confondus en une seule masse, semblant faire corps avec l'
os
lui-même; ces masses uniformément arrondies ont u
ucoup de points, il est impossible de dire si c'est la surface de l'
os
ou la surface de la tumeur qu'on a sous la main;
ces bourrelets on sent des éminences osseuses, aplaties, allant des
os
pariétaux à l'écaille de l'occipital. Les che
de l'inférieure dépassentcelles de la supérieure. Le larynx et l'
os
hyoïde ne semblent pas augmentés de volume. Aux
rs en; bas. Le bord inférieur des côtes touche presque le bord de l'
os
coxal. Les' i extrémités où s'attachent les car
ulcérations qui ont détruit une partie du nez et de l'oreille ; les
os
des membres sont déformés, la main gauche est ré-
ade redresser le stylet, afin qu'il tombât perpen¬diculairement sur l'
os
. Cela nous est arrivé. Nous avons, soit pour la
assée, mais nulle part il ne m'a été possible de sentir, de trouver l'
os
parfaitement à nu, de pénétrer dans l'intérieur.
ns pouvoir redresser le stylet pour arriver perpendiculairement sur l'
os
et sonder toute la profondeur du mal. Mais j'en a
r toute la profondeur du mal. Mais j'en ai vu assez pour savoir que l'
os
est à nu. 11 est une autre considération de l'é
11 est une autre considération de l'état local qui me fait voir que l'
os
est malade. La tête de cet os ne présente pas une
de l'état local qui me fait voir que l'os est malade. La tête de cet
os
ne présente pas une demi-sphère parfaitement arro
e très-épais. Ici l'atrophie de ce muscle nous permet de sentir que l'
os
a perdu sa régularité arrondie; qu'une partie est
n'existe plus. Voilà une raison suffisante pour dire que la tête de l'
os
n'est pas seulement malade, que l'articulation l'
e sur le tissu fibreux, plus que sur les cartilages, plus que sur les
os
; si elle porte sur le plus grand nombre ou sur l
de ; la synoviale a disparu, elle s'est retirée, s'est collée sur les
os
. La capsule et sa synoviale ont été atteintes, el
té atteintes, elles ont suppuré, et sont collées en ce moment sur les
os
. Voilà qui était bien important à préciser. Que
fibro-synoviaux et les cartilages ont disparu, sont collés sur les
os
, et qu'il s'est établi une adhérence entre les de
res. Mais il y a quelque chose de plus net. C'est dans la tête de l'
os
qu'est la maladie principale, et il s'agit de rec
assé démontre qu'il y a une ostéite, une inflammation de la tête de l'
os
. Qu'il y ait eu une carie à une époque, c'est pro
ostéite, et de plus il a des séquestres dans la partie centrale de l'
os
, et ces séquestres constituent ce que l'on nomme
. D'autre part, la capsule sêro-synoviale est collée sur la tête de l'
os
, ce qui donne une très-grande difficulté pour mob
, ce qui donne une très-grande difficulté pour mobiliser la tête de l'
os
et faire la résection. Il existe des mouvements,
faudrait enlever la portion du sca-pulum fusionnée avec la tête de l'
os
. Ici, au contraire, j'établis que la maladie est
os. Ici, au contraire, j'établis que la maladie est dans la tête de l'
os
, mais que dans l'articulation il y a une certaine
n il y a une certaine mobilité qui permettra de détacher la tête de l'
os
et d'emporter avec elle toute la maladie. Il fa
avec elle toute la maladie. Il faut établir qu'il n'ya pas d'autre
os
malade que l'humérus. On a vu quelquefois l'arthr
on se fait. D'ailleurs ces ostéites s'attaquent plus spécialement aux
os
formés de tissus compactes plutôt qu'aux os spong
ent plus spécialement aux os formés de tissus compactes plutôt qu'aux
os
spongieux. J'ai décrit le premier, je crois, l'
derai pas. Par cette incision, on arrive du premier coup jusque sur l'
os
. Il faut avoir soin d'explorer l'artère axillaire
de danger. On va par l'incision, du premier coup, sur la tête de l'
os
. Alors on fait saisir avec deux crochets les lèvr
avec le tranchant, le doigt conduisant, on cir¬conscrit la tête de l'
os
, en la détachant de ses adhérences. C'est là qu'e
ro¬chets. Si l'on emploie une grosse pince servant à l'extraction des
os
, on écrase la tête de l'humérus, qui est tellemen
ut donc, je le répète, employer les pinces à crochets, qui tiennent l'
os
sans le presser, qui ne l'écrasent pas, mais le t
ltération. Puis, protégeant la plaie avec une compresse, vous sciez l'
os
au moyen de la scie ordinaire. L'opération néce
e col chi¬rurgical de l'humérus, dont on peut la séparer, en rasant l'
os
de très-près. Une fois l'opération faite, il y
e l'humérus avec le scapulum. La mobilité physiologique de ce dernier
os
permettait l'élévation du bras jusqu'à le porter
açon que le menton repose sur le sternum et semble même collé sur cet
os
. La peau do la face, en passant sur la poitrine,
face externe du maxillaire inférieur, une petite tumeur adhérente à l'
os
et s'insérant au niveau de Tavant-dernière molair
lle venait de se casser. Depuis lors, les dents, du côté gauche, et l'
os
dans la partie correspondante se sont renversés e
e de la mâchoire et refoulement vers la ligne médiane de la portion d'
os
comprise entre ces deux points. Toutes les dent
selon l'axe longitudinal du maxillaire, et comprenant la tumeur et l'
os
, on voit : Au niveau de la canine gauche, le ti
isée pendant un certain temps à l'espace compris entre la joue et les
os
maxillaires, franchit, à un moment donné, l'arcad
n. On devra appliquer la photographie aux fragments de cadavre et d'
os
(d'après une échelle bien exacte), pour les confr
exploration n'a aucune sensation du contact de l'instrument avec les
os
sous-jacents ; l'inflammation semble ne point s'y
nte de Malgaigne ; 5° les griffes métalliques pour les frac¬tures des
os
analogues à la rotule, l'olécrâne, le sternum, ou
ac¬tures des os analogues à la rotule, l'olécrâne, le sternum, ou aux
os
de forme particulière, comme les côtes, les clavi
l n'en est pas ainsi du moyen suivant. C'est en effet la suture des
os
et leur ligature qui constituent la partie origin
er-Féraud ne pourront manquer de l'intéresser vivement. La suture des
os
, après avoir été tentée avec succès sur les anima
uvrage, à plusieurs questions importantes concernant les maladies des
os
et discute plusieurs points concernant l'histoire
saines, le sillon d'élimination s'élargit et arriva bientôt jusqu'aux
os
. C'est alors que nous eûmes l'occasion de photogr
liquides du panse¬ment et avec le pus, était encore un peu molle. Les
os
étaient à nu dans l'étendue de 3 centimètres; on
des chairs, le pouls moyen du sang et des nerfs, le pouls profond des
os
. Chaque organe essentiel a son pouls naturel et s
à des lésions scrofuleuses des tissus profonds, et en particulier des
os
. Si la scrofule est fréquente, il est relativemen
parues : 1° une scrofulide de la face (lupus); 2° des périostites des
os
des orteils, des doigts, etc. Ces dernières lésio
aire est aussi le siège d'une double division latérale qui sépare les
os
maxillaires droit et gauche de l'os intermaxil¬la
division latérale qui sépare les os maxillaires droit et gauche de l'
os
intermaxil¬laire ; plus en arrière, sur la ligne
ent considé¬rable des bords de la solution de continuité. En avant, l'
os
inter¬maxillaire forme une saillie énorme et dépa
Y, CHIRURGIEN DES HÔPITAUX et XXII). fut disséqué et détaché de l'
os
intermaxillaire; celui-ci, trop sail¬lant pour po
il¬lant pour pouvoir être refoulé en arrière sur le même plan que les
os
maxillaires, fut coupé à sa base avec une pince d
aires, fut coupé à sa base avec une pince de Liston ; la section de l'
os
fut suivie d'une hémorrhagie peu abondante, que l
t par sa forme. A la jambe, en effet, la scrofule atteint surtout les
os
et les articulations ; les téguments ne deviennen
articulaires : la fluctuation est très-manifeste. Les extrémités des
os
qui concourent à former les deux articulations ma
, on enlève à l'aide de la gouge et du marteau la moitié externe de l'
os
. Tout se passe avec une parfaite simplicité jusqu
es, fortement épaissies, mais les rayons Rontgen ont montré que les
os
ne participaient en aucune façon à cette aug- m
rganisme, ces subs- tances portant spécialement leur action sur les
os
des extrémités. La né- vrite paraît devoir être
le cas que j'ai i observé n'intéresse que les parties molles : les
os
sont intacts. Les surfaces articulaires donnent
on de volume des doigts, puis- que la radiographie enseigne que les
os
n'y prennent aucune part. Mais sous quelle infl
a palpation décèle une atrophie notable du rebord orbi- taire, de l'
os
malaire, du maxillaire supérieur, du maxillaire i
et déformée. L'humérus est luxé en avant et en dedans. La tête de l'
os
, disloquée et mobilisable en tous sens, est éno
us large, un peu épaissis et déjetés en dehors dans la languette. L'
os
n'est d'ailleurs pas modifié dans le voisinage
ve avec une moindre fréquence l'ostéomyélite, de préférence sur les
os
longs, mais aussi sur les os plats de la voûte
l'ostéomyélite, de préférence sur les os longs, mais aussi sur les
os
plats de la voûte crânienne et que ces formes gra
Pas d'adhérences entre la dure-mère et la calotte crâ- nienne. Les
os
du crâne sont très épaissis. Au niveau de l'occip
tout la surface du membre inférieur droit. Vers la même époque, les
os
de ce membre commencèrent à se déformer, progre
aussi prononcée que la convexité antérieure. La sensibilité de cet
os
à la percussion est normale. La partie proémine
siège d'aucune autre malformation. Pas de modifications anormales des
os
du crâne. La voûte palatine est légèrement ogiv
en avant et en dehors, à bord antérieur énorme, inégal, arrondi ; l'
os
n'est plus vertical. J'ai comparé, autrefois, c
re d'observer des déformations de cette nature localisées à un seul
os
. Lannelongue, dans son premier mémoire paru en
son premier mémoire paru en 1881, relevait les chiffres suivants d'
os
intéressés dans les diverses observations : 8 os,
hiffres suivants d'os intéressés dans les diverses observations : 8
os
, plus le crâne ; 2 os ; 5 os, plus le crâne ; 2
s intéressés dans les diverses observations : 8 os, plus le crâne ; 2
os
; 5 os, plus le crâne ; 2 os ; G os ; 5 os. « A
sés dans les diverses observations : 8 os, plus le crâne ; 2 os ; 5
os
, plus le crâne ; 2 os ; G os ; 5 os. « Au point d
observations : 8 os, plus le crâne ; 2 os ; 5 os, plus le crâne ; 2
os
; G os ; 5 os. « Au point de vue de l'espèce des
tions : 8 os, plus le crâne ; 2 os ; 5 os, plus le crâne ; 2 os ; G
os
; 5 os. « Au point de vue de l'espèce des os at
8 os, plus le crâne ; 2 os ; 5 os, plus le crâne ; 2 os ; G os ; 5
os
. « Au point de vue de l'espèce des os atteints,
us le crâne ; 2 os ; G os ; 5 os. « Au point de vue de l'espèce des
os
atteints, je vous dirai, ajoute cet auteur, que c
e cet auteur, que cinq fois sur six le tibia est envahi » ; c'est l'
os
révélateur, suivant une expression de A. Fournier
laires, la radio- graphie nous montre un noyau osseux interposé à l'
os
iliaque et au tibia et qui représente le fémur.
et du scaphoïde. Le tarse n'est plus représenté que par deux petits
os
que nous croyons être les deux premiers cunéifo
la région lombaire. Le fond de la fosse est osseux et formé par les
os
de la face antérieure des cavités crânienne et
bsence de toute la portion de la voûte qui se développe comme des
os
membraneux; c'est la pellicule flottante qui re
rentes les saillies osseuses : à la face, en particulier, les deux
os
malaires font de chaque côté, au niveau des pom
: l'examen de la face en particulier, avec la saillie anormale des
os
malaires, la courbure du nez et la proéminence du
turcique (cita. Chez le géant K..., en particulier, l'épaisseur des
os
du crâne était si marquée qu'elle rendit très d
idérant que dans notre cas, nous avons affaire à une croissance des
os
anormale et excessive, il nous a semblé indiqué d
ain (et aussi du pied) on constate que l'os- sification de tous les
os
est avancée ; l'ossification des métacarpiens est
complie. Les fissures correspondant aux cartilages épiphysaires des
os
longs, sont apparentes ; mais elles sont plus étr
un âge plus avancé. Ainsi le noyau d'ossification de l'épiphyse des
os
métacarpiens ne se mon- tre qu'à la. deuxième a
très avancé pour cet âge. Le crâne est très épais, l'épaisseur de l'
os
frontal est frappante; très prononcées sont les t
ation anormale, qui se laisse traverser par les rayons plus que les
os
. Peut-être s'agit-il d'une formation sanguine, qu
ssement notable : les chèvres castrées deviennent plus grandes; les
os
des boeufs, surtout ceux des extrémités devienn
du type infan- tile (visage et apparence enfantins, allongement des
os
), des géants du type aCl'o11légatique(avec ossi
savoir quel est le rôle des organes génitaux dans la formation des
os
. Chez les hommes et les animaux castrés, les os
ns la formation des os. Chez les hommes et les animaux castrés, les
os
s'allongent fortement, sans que l'hypophyse soi
alp., 1902. 192 HUDOVERNIG ET PÉTRY POPOVITS sus décroissance des
os
(fonction ostéogénique) ; la défaillance de la fo
fonc- tion génitale augmente aussi le processus de la formation des
os
, en ralen- tissant l'ossification (ainsi s'expl
doigt annulaire est relativement considérable comparée à celle des
os
. Grâce aux radio- graphies que M. Béclère a bie
ses sur la radiographie (1) montrent que la longueur des différents
os
de la main malade est en général plus grande que
e sage réserve, existe-t-il une légère aug- mentation de volume des
os
, mais elle est difficilement appréciable à tra-
durée. » Dans la discussion qui a suivi, M. Vidal a soutenu que les
os
n'étaient augmentés ni de volume ni de longueur
lies caractérisées, dans leur ensemble, par l'absence d'un seul des
os
de l'avant-bras ou de la jambe, absence coïncidan
ondi, du volume d'un gros pois Ce nodule ne fait point corps avec l'
os
de la phalange; il lui est simplement uni par u
mant son axe, un cordon tendineux qui ne paraît s'insérer sur aucun
os
par l'une ou l'autre de ses extrémités. L'inspe
légèrement concave est, au contraire, nettement convexe. Quant à l'
os
de la première phalange, il est très court, s'a
euxième phalange par une facette concave remplaçant la tête que cet
os
devrait normalement avoir. La partie supérieure
scaphoïde, il est notablement écarté du trapèze et, comme ce dernier
os
, il a subi une diminution de volume très appréc
r un cordon fibreux aboutissant à un nodule osseux, seul reste de l'
os
phalangien. L'examen anatomique du carpe n'a pa
d'une colonne osseuse, elle est intercalaire, intéressant l'un des
os
de la série linéaire. En outre, elle n'atteint
l'un des os de la série linéaire. En outre, elle n'atteint pas cet
os
tout entier, mais seulement une partie de cet os
n'atteint pas cet os tout entier, mais seulement une partie de cet
os
: elle est intercalaire et patielle. Si donc, n
il s'agit d'une absence partielle et non d'une brièveté simple. Un
os
anormalement court conserve à peu de chose prés
le, son extrémité supérieure fait, par contre, totalement défaut; l'
os
se ter- mine brusquement, en pleine diaphyse, p
nt, sont intéressés par le processus anormal, tandis que les autres
os
carpiens d'une part et le cubitus d'autre part, s
TERCALAIRE 243 d'hémimélie radiale ou tibiale (1) dans lesquelles l'
os
antibrachial ou jambier fait seul défaut en tot
eul défaut en totalité ou en partie, sans absence corréla- tive des
os
carpiens ou phalangiens terminaux. De l'ensemble
sence par- tielle du radius porte sur l'extrémité supérieure de cet
os
, le pouce et le carpe ne sont pas intéressés, t
p plus considérables que celles des deux phalanges inférieures. Les
os
carpiens sont modifiés dans leur forme, une par
es se déroulaient de bas en haut et non de haut en bas; ce sont les
os
adjacents à la place de l'extrémité absente qui r
émité absente qui reçoivent le contre- coup le plus fort et non les
os
adjacents au fragment persistant de l'os partie
coup le plus fort et non les os adjacents au fragment persistant de l'
os
partiel. Lorsque l'anomalie ne reste pas strict
sé. z Sans doute, l'inspection la plus superficielle montre que les
os
et les muscles n'ont pas acquis leur volume nor
n suivi d'examen histologique. Nous observons cependant, que si l'
os
phalangien du pouce parait avoir perdu ses conn
er, ce cordon s'attache directe- ment à l'extrémité supérieure de l'
os
et fait corps avec lui. Déplus, la pré- sence d
observation de Laren, rapportée par G. Vuillaume (1), montre que l'
os
absent, en l'espèce le tibia, se trouve parfois r
toutes probabilités, le processus est le même pour eux que pour les
os
, aussi (1) Op. cit. 248 KLIPPEL ET RABAUD b
i la concerne, aucune part au pro- cessus spécial qui intéresse les
os
et les muscles ; elle parait simplement atteint
n présence de deux processus : tous deux touchen tsimultanément les
os
et les muscles ; un seul d'entre eux touche les
elle qu'elle soit, aurait pu s'opposer la croissance partielle d'un
os
, mais non point transformer la constitution his
septum fabrosuzn) plus profond. Celui-ci, qui naît directement de l'
os
hyoïde, marque, dans la région inférieure et post
partielle de la tête du 5e métatar- sien ; la cicatrice adhère à l'
os
et n'est nullement douloureuse. Presque en même
e siège au niveau de la tête du 3e métatarsien et est adhérente à l'
os
. La cicatrisation n'était pas achevée lorsque,
eure du tibia, la malléole péronière font issue à l'exté- rieur ; l'
os
apparaît rugueux, déchiqueté, privé de son cartil
de ne ressent aucune douleur. L'astragale est ensuite enlevé; cet
os
est méconnaissable; réduit en frag- ments, il s
légèrement érodée, les surfaces articulaires n'existent plus ; mais l'
os
est dur, résistant ; il est laissé en place.
plus ; mais l'os est dur, résistant ; il est laissé en place. Les
os
du tarse antérieur nécrosés, sont de même enlevés
molles ont été également atteintes. Les articulations du pied, les
os
de tout le tarse postérieur ne sont pas restés in
pas à s'ulcérer ; les extrémités articu- laires de l'humérus et des
os
de l'avant-bras firent spontanément issue au de
ie inférieure de la mortaise tibio-péronière, de l'astragale et des
os
du tarse antérieur, on était peu en droit d'espér
a assisté à son opération, absolument indifférent ; la section des
os
n'a pas été perçue même légèrement. LA SYPHIL
personnels du malade que deux traumatismes : une fracture des deux
os
de l'avant-bras à 13 ans, une entorse du pied à
a grosseur d'une bille se collecta, faisant saillie au-dessous de l'
os
, nécessitant l'intervention chirurgicale au bou
irurgicale au bout de six semaines (incision cutanée et curetage de l'
os
), cicatrisation au bout d'un mois et demi. Pe
t de préfé-rence les tissus privés de vaisseaux; or la synoviale et l'
os
possèdent une structure éminemment vasculaire ; a
ses se forment-elles à la surface du carti-lage, pour s'éloigner de l'
os
, et au centre même de cette sur-face, pour s'éloi
: les frag-ments se séparèrent, des ulcérations se développèrent, les
os
furent mis à nu ; mais tout rentra dans l'ordre,
nnu que dans cette affection, il existait une fragi-lité spéciale des
os
; que la destruction des cartilages articu-laires
ès opposés ont lieu en même temps, dit-il, à savoir : absorption de l'
os
ancien et de son cartilage d'incrustation, et for
de l'os ancien et de son cartilage d'incrustation, et formation d'un
os
nouveau. » Mais c'est surtout à Adams (1), cont
t aux dépens de la partie profonde du cartilage, soit aux dépens de l'
os
préexistant; en même temps, il se produit des vég
formation nouvelle, prend naissance en cet endroit; en second lieu, l'
os
se raréfie et se transforme en une sorte de moell
produit l'éburnation de la surface. C'est une sorte de sclérose de l'
os
accompagnée d'une vascularisa-tion des parties pr
d'après M. Ranvier). a. Capsule normale b. Capsules voisines de l'
os
; elles son! agrandies et remplies de capsules se
Vieillards. 12 voit se former un tissu embryoplastique qui unit les
os
les uns aux autres, et qui se vascularise à un mo
e au degré le plus élevé l'usure et l'éburnationdes cartilages et des
os
, d'où résulte une défor-mation des têtes osseuses
Enfin, c'est là que se manifeste, au plus haut degré, l'atrophie des
os
. On expliquait autrefois ces lésions par l'ostéom
on. — L'inflammation n'est pas superficielle. — Les cartilages et les
os
peuvent y participer. — Lésions de la synoviale.
e la synoviale. — Lésions des cartilages diarthrodiaux. — Lésions des
os
. — Nature du liquide épanché dans la cavité syn
ite); mais il est aujourd'hui démontré que les cartilages et même les
os
peuvent participer à ces altérations. Les lésio
92-212. el Kussmaul (1) ont aussi parlé de quelques altérations des
os
et du périoste dans le rhumatisme articulaire aig
des lésions qui caractérisent cette maladie. Pour ce qui concerne les
os
et les cartilages, dans l'arthrite déformante, il
rt et subissent la dégénération graisseuse, comme on le voit dans les
os
et les cellules de cartilages. D'ailleurs, à une
plus évidente : l'arthrite fongueuse donne lieu à des végétations des
os
et des membranes synoviales, avec destruction et
t résorption des cartilages; puis survient la carie ou la nécrose des
os
, et en dernier lieu, on voit se former des abcès
uns dans d'autres ; des bourrelets osseux qui déforment des têtes des
os
; enfin des subluxations des extrémités articulai
permanence : elle peut occuper l'articulation elle-même, le corps des
os
ou les muscles voisins, sous formes de cram-pes d
la flexion, à angle moins obtus, des métacarpiens et du carpe sur les
os
de l'avant-bras ; 5° Dans un grand nombre de ca
piens ; 4° Par une flexion plus ou moins prononcée du carpe sur les
os
de l'avant-bras ; 5° Dans certains cas, il exis
main, dans le second type, il se produit une saillie considérable des
os
de l'avant-bras, en arrière des os du carpe ; — u
oduit une saillie considérable des os de l'avant-bras, en arrière des
os
du carpe ; — une subluxation des têtes des phalan
culations des doigts, ne circonscrivent pas constamment les tètes des
os
: ce sont tantôt des tubercules, tantôt des aigui
es déviations sont-elles moins prononcées, et le volume des têtes des
os
, et des stalactites osseuses, est-il plus considé
ations qui sont la con-séquence de cet état de choses. L'atrophie des
os
, l'atrophie des muscles et l'amaigrissement des p
dosités percer l'enveloppe cutanée; mais la partie mise à nu est de l'
os
, et non pas un dépôt tophacé, comme dans la goutt
ourrait bien appartenir au rhumatisme noueux : car les extrémités des
os
étaient gon-flées, ce qui n'a point lieu dans la
elquefois fort bien le trajet qu'elle suit le long des extrémités des
os
; elle est toujours plus intense la nuit que le jo
ez certains malades, une per-cussion légère, exercée sur le corps des
os
, l'exagérait ma-nifestement. Douleur musculaire
ns régulières, souvent acuminées et toujours adhérentes aux têtes des
os
, et qui circonscrivent plus ou moins complètement
c-tites et des ostéides, et reconnaître pour cause la subluxation des
os
, dont les têtes viennent faire saillie sous les t
d) flexion à angle très obtus des métacarpiens et du carpe sur les
os
de l'avant bras ; e) déviation en masse de toutes
s et le cubitus font une saillie souvent consi-dérable en arrière des
os
du carpe. Il y a même fort souvent, subluxation d
en arrière des os du carpe. Il y a même fort souvent, subluxation des
os
du carpe en avant, ce qui fait paraître le dos de
ngettes sur les phalangines, les deux petits condyles de ces derniers
os
font saillie du côté du dos des doigts. La luxati
ubercules, et qui ne circonscrivent jamais complètement les têtes des
os
. Tous ces détails complémentaires peuvent s'app
s des méta-carpiens; flexion plus ou moins prononcée du carpe sur les
os
de l'avant-bras; e) déviation en masse des phalan
nt subi les muscles ; les stalactites osseuses, ou même les têtes des
os
subluxés, semblent sur le •point de percer les té
aître, par la palpation, qu'il ne s'agit pas là simplement de têtes d'
os
saillantes par suite de subluxation, il y a mobil
n en masse des phalanges vers le bord cubital est très prononcée. Ces
os
sont fléchis sur les métacarpiens, dont les tètes
toutes les autres ; elles portaient à la fois sur les extrémités des
os
, les cartilages diarfhrodiaux, la membrane synovi
emment par MM. Deville et Broca, de l'arthrite sèche. Les têtes des
os
, au voisinage des jointures malades, pa-raissent
able que dans le cas précédent ; les cavités médullaires du corps des
os
paraissent plus grandes que de coutume, leurs par
é la pulpart de ces lésions dans la goutte mthénique. Les têtes des
os
présentent presque toujours, au pourtour du carti
facile de reconnaître que ces productions adhèrent complètement aux
os
sur lesquels elles sont comme greffées ; elles m'
flement profond dont nous avons parlé plus haut, des subluxations des
os
, et des déviations quelquefois très prononcées.
ncore mo-biles, la main est sèche, la peau y est comme collée sur les
os
, dont les têtes font saillie sous forme de tuberc
e, c'est du fond d'une ulcération du cartilage, laquelle a mis à nu l'
os
, que partent tes brides cel-luleuses inlra-articu
ticulaire a complètement disparu; il n'en reste plus que des îlots. L'
os
mis à nu est rugueux, mais presque sans altératio
dont le sommet ré-pondait à la partie du cartilage en rapport avec l'
os
. Dans ces articulations,la synoviale était fortem
c les phalanges, sans qu'il y ait déviation latérale, subluxation des
os
ou gonflement des join-tures. Seules, les articul
x sur le sternum, et aussi dans le point qui correspond à l'union des
os
du nez avec le cartilage nasal ; mais en ces dive
nérale, c'est du fond d'une ulcération du cartilage, laquelle a mis l'
os
à nu, que partent les brides celluleuses intra-ar
presque entièrement disparu, il n'en reste plus que quelques îlots. L'
os
mis à nu est rugueux, mais pres-que sans altérati
tions cartilagineuses et osseuses. La diminution de la mobilité des
os
, les uns sur les autres, tenait, soit à la format
cération et se terminant par une dénudation plus ou moins étendue des
os
subjacents, altération qui s'accompa-gne souvent
e même dépôt se retrouve sur les surfaces d'articulation des diverses
os
du carpe entre eux et avec les métacarpiens, à dr
le déviation angulaire, ou à un degré plus avancé, la subluxation des
os
dont les extrémités viennent faire saillie sous l
oéminences, de tumeurs autres que celles que produisent les têtes des
os
subluxés ; il n'existe pas la moindre apparence d
ourtour des surfaces diarthrodiales, en partie de la subluxa-tion des
os
dont les têtes arrondies font saillie sous la pea
uent pas des tumeurs séparées » ( Hay-garth); elles font corps avec l'
os
dont elles ont la consistance ; ce sont, en un mo
(p. 205). Diminution du phosphate et du carbonate de chaux dans les
os
des sujets goutteux. — Une analyse de Bramson (Ze
mentation considérable de la proportion des matières grasses dans les
os
des sujets gout-teux (p. 218). Réactions chimiq
; d) flexion à angle très obtus des métacarpiens et du carpe sur les
os
de l'avant-bras ; e) dans un grand nombre de cas,
s méta-carpiens ; d) flexion plus ou moins prononcée du carpe sur les
os
de Favant-bras ; e) dans certains cas, déviation
Mis à nu par suite de la destruction du cartilage d'encroûte-ment, l'
os
présente une surface lisse, luisante, comme éburn
ons ou stalactites osseuses se sont formées au pourtour des têtes des
os
ou des cavités de réception, dans le voisinage
cartilage diarthrodial. Ces productions adhèrent très intimement à l'
os
sur lequel elles sont comme greffées. D'abord mol
l. Leipzig, 1803, p. 1000), te tissu des- extrémités articulaires des
os
subit, dans l'arthro-rhumatisme aigu, des altérat
rte plus particulièrement sur les côtes, la colonne vertébrale et les
os
du bassin. On trouve presque toujours à l'autopsi
s souffrances. Une pres-sion, même légère, exercée sur les côtes, les
os
du bassin, les extrémités épiphysaires des os lon
rcée sur les côtes, les os du bassin, les extrémités épiphysaires des
os
longs, provoque des dou-leurs. A ces symptômes se
n. — L'inflammation n'est pas superficielle. — Les carti-lages et les
os
peuvent y participer. — Lésions de la synoviale.
la synoviale. — Lé-sions des cartilages diarthrodiaux. — Lésions des
os
. — Nature du liquide épanché dans la cavité synov
56, 59 ; — diminution du phosphate et du carbonate de chaux dans les
os
, 531 ; — arthrite dans la — invé-térée, 59; — ank
tions des surfaces osseuses, 184; — vascula-risation de la moelle des
os
, 185; — altérations du périoste, 185; — liquide d
gers, 174; — altérations du cartilage, 174, 481; — éburnation des
os
, 175; —par-ticipation du périoste et des liga-men
llin Ci ne se modifie pas. En B, le point lumineux est plus près en
os
. Les rayons qu'il envoie sont divergents en arriv
point de départ. La propagation du pus se fait parfois à travers l'
os
intact par les capillaires, osseux et les veinu
'oreille interne; le diapason n'est entendu par l'intermédiaire des
os
du crâne que du côté normal. L'épreuve du verti
ulaire, la 'sensibilité musculaire, celle des troncs ner- veux, des
os
, des ligaments, le sens de la pression. Enfin, il
basée sur ce fait que la trépidation d'un diapason appliqué sur un
os
provoque une sensation spéciale que le sujet peut
. Ou commence- par l'ap- pliquer sur les apophyses épiphysaires des
os
longs, sur les malléoles internes et externes d
rnes du poignet et du coude, etc On passe ensuite aux diaphyscs des
os
longs, aux os de la face et du crâne, etc.. jus
t et du coude, etc On passe ensuite aux diaphyscs des os longs, aux
os
de la face et du crâne, etc.. jusqu'à ce qu'on
obtenus sont reportés sur des schémas où sont figurés les différents
os
du squelette (Dejerine et Rober). En se serva
). Fig. 11. - - Tabes. Abolition de la sensibilité osseuse dans les
os
du .membre, inférieur, . le bassin elles cinq d
ture du rachis), ou spontanée (tumeurs, syphilis ou tuberculose des
os
, des méninges, de la moelle; hématomyélie, foyer
utanée (en dermatologie), à des muscles, à des articulations, à des
os
, etc.. v .. Elles sont tantôt fixes ; tantôt mo
masses musculaires, des'troncs nerveux (dans les névrites), ou des
os
. Le signe de Lasègue (flexion de la cuisse sur
ptible de la provoquer : lésions de la peau, érysipèle, lésions des
os
, des yeux, des oreilles, de la cavité buccale.
t pas par la pression des tissus su- perficiels, des muscles ou des
os
. Les nerfs mêmes de la région ne sont pas doulo
au niveau où le filet tcmporo-malaire du nerf orbitaire traverse l'
os
malaire, les points dentaires. La névralgie du,
me causes principales : les lésions des vertèbres lombaires et de l'
os
iliaque, les lésions du psoas, les lésions du r
culation sacro-iliaque, le point iliaque au milieu de la crête de l'
os
iliaque, le point fessier ou isehia- tique au s
térieur toujours nettement perceptible de l'apophyse orbitaire de 1
os
malaire jusqu au bord du zygoma. A un demi-cent
atteindre le plan horizontal affleurant l'extrémité inférieure des
os
propres du nez. Arrivée il 5 centimètres la point
ntonnier; 2" le groupe moyen, qui comprend les canaux du diploé des
os
maxillaires inférieur et supérieur, le canal dent
ond est atteint facilement par l'aiguille enfoncée au- dessous de l'
os
mataire. dans une direction oblique de dehors en
ule graisseuse de tiicbat. en arrière ! de la face postérieure de l'
os
maxillaire supérieur, pour arriver dans la fent
du trou ovale A. L'aiguille T a pénétré en avant du condyle de l'
os
maxillaire inférieur, a traversé le muscle mas-
pouces appuyant sur le bord supérieur de la rotule et pressant cet
os
fortement en bas, les contractions rythmiques du
seulement sur une partie stable non susceptible de tiraillements, l'
os
lui- même. Nous ajouterons à ces arguments ce
hémiplégie de l'adulte, des cas où se pro- duisait une atrophie des
os
des membres paralysés. Les Iroubles trophiques
légie peut être traumatique soit par contusion ou enfonce- ment des
os
du crâne et lésions du cerveau ou hémorragie méni
rmine la rotation en dehors de l'humérus et applique la tête de cet
os
dans la cavité glénoïde. Grand rond. Insertions
posté- rieur du cubitus. En bas, le tendon du muscle s'insère sur l'
os
pisi- forme. Innervation. Nerf cubital. " P
n de 1 aponévrose antibrachiate qui recouvre la face interne de cet
os
, sur les deux tiers internes du ligament inteross
ient s'insérer sur la face externe et sur la face antérieure de cet
os
depuis le ligament annulaire jusqu'à l'insertio
haut sur la face postérieure du ligament inter- osseux et des deux
os
de l'avant-bras, principalement du cubitus. En ba
et par l'intermédiaire de cette gaine sur le trapézoïde et le grand
os
. En bas, le muscle se divise en deux faisceaux :
xième rangée du carpe, principalement sur le trapézoïde et le grand
os
, les faisceaux métacarpiens sur la base, le bor
us ou moins transversal (adducteur transverse), elles se fixent a l'
os
sésamoïde interne, et au côté interne de l'extr
r, comme le fait remarquer Poirier, agissent en somme sur les trois
os
du pouce. Tous sont adducteurs du premier métac
du petit doigt s'insère, d'une part sur l'apophyse uncil'ol'me de l'
os
crochu et sur la partie interne du ligament annul
ure et interne du ligament annulaire, sur l'apophyse unciforme de l'
os
crochu, sur le ligament qui unit cet os au pisi
r l'apophyse unciforme de l'os crochu, sur le ligament qui unit cet
os
au pisiforme. En bas, le muscle prend insertion s
la MUSCLES DU MEMBRE INFERIEUR. mis ligne courbe postérieure de l'
os
coxal et sur la surface osseuse située en arriè
ubis, sur la branche, horizontale, et la branche descendante de cet
os
, sur la branche ascendante de l'ischion, principa
sse sur le bassin. C'est par le droit antérieur, qui s'insère sur l'
os
iliaque, que la flexion de la cuisse, peu énerg
n dehors : pendant une contraction violente, une subluxation de cet
os
peut se produire. [G. GUILLAIN.] 3H Il . PHYS
la tête du péroné, sur le tiers supérieur de la face externe de cet
os
, sur la face profonde de l'aponévrose jambière,
iens, et au-dessus et en dedans de la première phalange du 1> "l'
OS
or ! eil (()uchenne). Court péronier latéral. I
externe du péroné, sur le bord antérieur et le bord externe de cet
os
, sur les cloisons aponévrotiques qui le séparent
sous du muscle poplité et sur le tiers moyen du bord interne de cet
os
: il prend insertion enfin sur une arcade fibre
blique du tibia et sur toute la portion de la face postérieure de cet
os
située -au-dessus de cette ligne. 1 Innervati
oblique du tibia, sur le tiers moyen de la face postérieure de cet
os
; sur la cloison fibreuse qui le sépare du jambi
à la face interne du calcanéum près de la tubérosité interne de cet
os
, le faisceau externe s'insère sur la face infér
e droit latéral de la tête incline la tête de son côté. Région de l'
os
hyoïde. Sterno-cléïdo-hyoïdien. Insertions. Le
por- tent en haut et en dedans et s'insèrent au bord inférieur de l'
os
hyoïde. Innervation. Branches antérieures des t
e de l'hypoglosse. Physiologie. Le sterno-c)eïdo-hyoïdien abaisse l'
os
hyoïde. Omo-hyoïdien. Insertions. L omo-bvofdie
mo-hyoïdien. Insertions. L omo-bvofdien s'étend de l'omo- plate à l'
os
hyoïde, il est divisé par un tendon intermédiaire
tre antérieur s'insère sur la portion la plus externe du corps de l'
os
hyoïde. Innervation. Branches antérieures des t
re de l'anse de l'hypoglosse. Physiologie. L'omo-hyoïdien abaisse l'
os
hyoïde en le portant légè- rement en arrière. R
s'insère sur le bord inférieur du corps et de la grande corne de l'
os
hyoïde. Innervation. Hameau de l'hypoglosse. D'
thyro-hyoïdien abaisse t'es hyoïde. S'il prend son point fixe sur l'
os
hyoïde immobilisé par ses élévateurs, il devient
ique, en prenant son point fixe sur le maxillaire inférieur élève l'
os
hyoïde, en prenant son point fixe sur l'os hyoï
llaire inférieur élève l'os hyoïde, en prenant son point fixe sur l'
os
hyoïde abaisse le maxillaire. Le ventre postérieu
e ventre postérieur en prenant son point fixe sur le crâne attire t
os
hyoïde en haut et en arrière, en prenant son po
re t os hyoïde en haut et en arrière, en prenant son point fixe sur
os
hyoïde porte la tète en extension. Stylo-hyoïdi
l'apophyse stytoïde, en bas sur la face anté- rieure du corps de l'
os
hyoïde au voisinage de la grande corne. Innerva
ilet du idosso-pharyngieu. Physiologie. Le stylo-hyoïdien porte l'
os
hyoïde en haut et en arrière. Avec, les autres
ut et en arrière. Avec, les autres muscles sus-hyoïdiens il élève l'
os
hyoïde et par lui le larynx et la partie inféri
ns vers la ligne médiane et s'insèrent sur la face, antérieure de l'
os
hyoïde et sur la ligne blanche sus-hyoïdienne qui
l'os hyoïde et sur la ligne blanche sus-hyoïdienne qui s étend de l'
os
hyoïde à la symphyse du menton. Les muscles myto-
che du dentaire inférieur. Physiologie. Le mylo-lyo'iclicnt élève t'
os
hyoïde, soulève la langue, I applique contre la
férieure et en bas sur la partie moyenne de la face antérieure de l'
os
hyoïde. Innervation. - Nerf grand hypoglosse.
génio-hyoïdieu en prenant son point fixe sur le maxillaire élève l'
os
hyoïde, en prenant son point fixe sur l'os hyoïde
ur le maxillaire élève l'os hyoïde, en prenant son point fixe sur l'
os
hyoïde abaisse le maxillaire. - Région préver
rtions. Le muscle trian- gulaire du sternum situé en arrière de cet
os
s'insère en dedans sur les parties latérales de
muscle, s'insère sur la crête ilia- que, sur le bord antérieur de 1
os
coxal (arcade crurale), sur le pubis (piliers d
ogie. Le rhomboïde porte l'omoplate en dedans, il fait basculer cet
os
dont l'angle inférieur se rapproche de la ligne m
e tombant de ces apophyses ne passe pas par le sacrum, mais par cet
os
ou même en avant de lui. La paralysie unilaté
raux du nez, en partie sur le bord inférieur et le bord interne des
os
propres du liez. De la ses faisceaux se portent
Insertions. Le grand zygomatique s'insère sur la face externe de l'
os
ni peu en dehors du petit zygomatique, se porte
matique s'in- sère sur la partie inférieure de la face externe de l'
os
uiatairc un peu au-dessous des faisceaux de l'o
ace externe de l'apophyse montante du maxil- laire, parfois sur les
os
propres du nez et sur l'apophyse orbitaire intern
le inférieur se rapproche de la ligne médiane, le bord interne de l'
os
s'écarte de la co- lonne vertébrale. Les mouvem
ypocondrie. Souvent ce sont des malades qui ont avalé un fragment d'
os
, une arête, un pépin d'orange ou de pomme, etc.,
ision. Dans un cas que j'ai publié d'un malade qui croyait avoir un
os
de lapin dans le larynx, l'anesthésie et la secti
fait souvent revenir l'accès. La pression vers la grande corne de l'
os
hyoïde, ou au-dessous de cet os au point où le
pression vers la grande corne de l'os hyoïde, ou au-dessous de cet
os
au point où le nerf laryngé supérieur traverse la
ats, des saillies osseuses anormales apparaissent là où d'ordinaire l'
os
est masqué par une couche musculaire. L'atrop
tebarticulaire : muscle : traumatisme, compressions, coup de fouet;
os
: fractures, ostéites; téguments : plaies; - sére
de symptômes, plus ou moins constants, portant sur tous les tissus,
os
, articulations, peau, système vasculaire, système
es non musculaires. (Signes accessoires de dégénérescence.) ' Les
os
paraissent présenter fréquemment des troubles tro
uitze (1), Lloyd(2) ont publié des observations où l'atrophie des
os
se trouve signalée. llal- lion a rapporté l'obs
rapporté l'observation d'un malade chez lequel la fra- gilité des
os
avait amené une fracture spontanée du fémur (3)
en radiographi- que, le diamètre du médius d'un homme normal; cet
os
s'était fracturé spontanément, ou du moins so
ayons X : d'une part un trouble trophique provoquant l'atroplùe des
os
et les déformations squelettiques sur lesquels no
que le tissu musculaire. Dans le type Charcot-Marie l'atrophie des
os
, signalée une fois par Hoffmann, n'a pas été re
hisseurs d'abord, puis les extenseurs ; l'avant-bras s'aplatit, ses
os
font saillie, un creux se dessine entre le cubi
émateux dépressible ou induré (Duchenne, Yulpian). La fragilité des
os
, des arthropathies semblables à celles du tabès
arler. Les amyotrophies peuvent être consécutives : aux lésions des
os
. ostéites ou plus souvent fractures, surtout fr
u osseux; elle est plus ou moins propor- tionnelle à l'atrophie des
os
, au moins à leur atrophie en épaisseur, mais n'
uement £ une di- minution de nombre des éléments des muscles, des
os
, des nerfs, de la moelle, etc. (« atrophie numé
en radioscopique montre par- fois une atrophie dans l'épaisseur des
os
. Tardivement la douleur peut être réveillée par
troubles trophiques de la peau et de ses annexes, des tendons, des
os
(lèpre mutilante), par l'existence d'hypertroph
e, qui supprime une articulation en soudant l'un à l'autre les deux
os
voisins, a été notamment préconisée contre le p
mptômes accessoires inconstants, troubles divers du développement :
os
: atrophie, aplatissement du thorax et taille de
laire : arthrites, luxations, contusions. - Origine abarticulaire :
os
: fractures, ostéites; téguments : plaies, con-
s et la situation réciproque de ses muscles, ses articulations, ses
os
, ses téguments; w2° l'intégrité des conducteurs c
aire et de contracture plus qu'à une altération de la nutrition des
os
. L'anatomie pathologique donne la clef de celle
obtenu dans la position verticale par la pression récipro- que des
os
plus que par l'action synergique des extenseurs e
ent, des subluxations et même de vraies luxations, et des fractures d'
os
vraisemblablement prédisposés par suite d'un pr
ment et tout ensemble celui-ci les plans sous-cutanés, les muscles,
os
et articulations. Nous n'aurons guère à nous at
nt une atrophie locale des tissus sous-cutanés s'étendant jusqu'à l'
os
, la peau elle-même s'amincit légèrement. Il sem
articulation sous-jacente. Les ten- dons peuvent être détruits; les
os
se carient. On perçoit des craque- ments articu
fun). TROUBLES TROPHLQUES. - 929 réduction globale du volume de l'
os
, et surtout d'arrêt de développement. 11 y a da
ans les paralysies et dans lés hémiplégies infantiles.. Parfois l'
os
se raréfie, se réduit et finalement disparaît;
ille. Il peut y avoir, par un mécanisme analogue, disparition des
os
de la main et du pied avec tassement et déforma
tions du système nerveux peuvent déterminer de la raréfaction des
os
. Cette ostéoporose se révélera non plus par un
es frac- tures spontanées mettront en évidence cette fragilité. Les
os
se brisent pour les mouvements les plus insigni
bles trophiques, des changements de direction et de volume dans les
os
et dans les articulations, etc. Malgré la fréquen
atre membres, surtout des mains, caractérisée par l'allongement des
os
avec amincissement et rétraction tendineuse, sa
ve, cubique. L'hy- pertrophieporte également sur tous les tissus,
os
, muscles,- tissu cellulo-adi- peux, peau; il
acromégalique. Les pieds présentent des déformations analogues; les
os
longs de l'avant-bras- et de la jambe sont auss
es mains de rhumatisants, la peau semble lopins souvent adhérer aux
os
par suite d'une atrophie en masse des muscles et
t les cartilages articulaires, et un tassement, une soudure des
os
voisins. Dans le rhumatisme gout- teux, qui p
d'autre part l'existence de taches blanchâtres disséminées sur les
os
aux points où des dépôts d'urates très perméabl
s d'urates très perméables ont remplacé dans la constitution de ces
os
les phosphates très peu perméables. (Potain et Se
des mains portc d'ordinaire uni- quement sur le poignet, les petits
os
étant pourtant parfois plus gonflés qu'il l'éta
tisme infantile, de beau- coup le plus commun, des incurvations des
os
longs, un chapelet costal, un thorax en carène
premières phalanges on les métacarpiens sont en général atteints; 1
os
est frappé dans sa diaphyse, il l'inverse de la
tégument de la troisième phalange est lui- sant et comme collé aux
os
(glossy skin) ; la striation longitudinale des
rbrée en hiver. La radiographie ne montre pas de lésion nette des
os
, mais une légère hypertrophie de la tète des de
ions, ils se propagent en profondeur jusqu'aux articulations et aux
os
, les os se nécrosent, des séquestres se forment e
s se propagent en profondeur jusqu'aux articulations et aux os, les
os
se nécrosent, des séquestres se forment et s'él
ent et s'effilent, la peau mince, lisse, luisante, dure. adhère aux
os
, les ongles sont en grande partie détruits ; les
ure. adhère aux os, les ongles sont en grande partie détruits ; les
os
eux-mêmes diminuent de volume, une portion plus
ombre de cas, assez rares d'ailleurs, la gangrène s'étend jusqu'à l'
os
, la phalangette se nécrose et s'élimine, l'ongle
ent le squelette est incomplet et c'est l'absence d'un ou plusieurs
os
qui déter- mine la déformation : c'est l'absenc
dre degré que les mains, à l'allonge- ment et à l'amincissement des
os
dans la dolieliosténoiiiélie de Marfan. ' ? DIF
es articulaires et l'existence de taches blanches au niveau des
os
. Dans le rachitis- me, la saillie des mallé
égulière, symétrique ou asymétrique aux deux extrémités. Les petits
os
du pied sont souvent plus gonflés qu'à l'état n
nt précédée d'un durillon, peuvent s'éliminer de petits fragments d'
os
nécrosé, mais les véritables mutilations, les a
ig. 5); elle mérite d'être étudiée d'abord. Que la malformation des
os
du tarse soit primitive ou consécutive à une al
saillies. 1'1 du talon des branches, si l'on mesure l'écartcment d'
os
arrondis ou plus ou moins parallèles (arcades z
ais les bosses frontales sont nulles, et les parties latérales de l'
os
sont fuyantes. D. frontal minimum. On prendra c
se au minimum la différence entre le D. sur le vivant et le D sur l'
os
sec. - ..... Broca donne pour ce D (crâne) =11
ns 'effectuées sur le vivant ne donnent pas la longueur réelle de l'
os
, mais Jbien la Ion- ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE. 10
e allongé, les yeux sont enfouis sous un front bas et saillant. Les
os
mataires sont proéminents, le liez est gros, le
ssemblance. Ajoutons, pour en finir avec rcxamen somatique. que les
os
sont assez fragiles, et les fractures maintes f
a le contour des mains et des pieds. L'hypertrophie éventuelle de l'
os
hyoïde et du larynx sera recher- chée avec soin
get débute après quarante ans et atteint surtout les diaphyses. Les
os
s'épaississent et s'incurvent. Les jambes arqué
e le tronc. Les membres sont au contraire rctati- vement longs. Les
os
et les muscles, le bassin et les épaules se dessi
mais souvent tout à fait pué- rile. - La radiographie montre des
os
rectilignes ou présentant une brusque coudure j
iée, hap-recée. Les dia- physes sont fragiles, raréfiées. Aussi les
os
sont-ils extrêmement friables, et les fractures
quc (Oltolenghi) : se voit au milieu de chaque joue avant 25 ans.
Os
. - Hypertrophies de tout un segment. Exostoses lo
ensitifs. Anesthésie. llypoesthésie, hyperesthésie (notam- ment des
os
de la face, Schaikewitsch). Analgésie. Extension
d'Irrégularité des pupilles par vestiges d'iritis ancienne. Sur les
os
, l'existence d'exostoses et de periostoses du tib
aractérisées par une exostose et hyperoslose dans la croissance des
os
longs : tibias, fémurs, cubitus. Ces hyperostos
s particuliers, ou bien c'est l'effondrement de la base du nez, des
os
propres du nez, il y a alors une excavation qui r
ce qui correspond à des épaisseurs plus faibles des premiers de ces
os
. Il faut du reste apprécier surtout la résistance
amincissement de la paroi, « c'est plutôt un signe d'altération de l'
os
qu'un signe de localisation des tumeurs » (Dure
chis, ou que l'on ait à constater les déforma- tions trophiqucs des
os
du tronc, de la face ou des extrémités, les rayon
précieuse en neurologie, mais en dehors d'elles et pour l'étude des
os
, des vertèbres, du crâne, il n'y a pas d'avanta
iques que peuvent produire ces lésions quand elles tsiègent sur les
os
du crâne ou du rachis. f Enfin parfois il s'agi
mais ces cals se pro- duisent dans le rachis non seulement sur les
os
, mais aussi sur les liga- ments. Nous avons en
aractéristiques (h'. Ii-rause.). Les ostéomes et ostéo-sarcomes des
os
du crâne, soit de la voûte, soit parfois de la
endues, à contour plus ou moins diffus; les tumeurs secondaires des
os
, et notamment les sarcomes partis de la méninge
les sarcomes partis de la méninge et ayant ultérieurement envahi l'
os
, provo- quent au contraire plus fréquemment des
Les tumeurs du cerveau ou des méninges qui n'envahissent pas les
os
du crâne ne produisent presque jamais de modifica
dure-mère. 11 y aurait en outre par places des épaississements des
os
du crâne et des exostoses et. chez une malade d
e la radiographie montre une caverne sous forme d'une lacune dans l'
os
, Le mal de Pott ne se révèle géné- ralement sur
entiellement dans ces cas que le radiodiagnostic peut être utile. L'
os
spontanément fracturé est alors le plus souvent l
ceptible d'entraîner la résorption de por- tions considérables de l'
os
. Ce processus, comparable il celui de l'ostéite
rise par une réduction considérable des principes inorganiques de l'
os
au profit des principes organiques (24 pour 100
ganiques (24 pour 100 au lieu de 66 pour 100. d'après llegnard) : l'
os
apparaît donc sur la plaque sensible avec une t
phie dans la paralysie infantile. La faiblesse du développement des
os
dans le sens de la largeur et de l'épaisseur y es
ourcissements par déformations et rétractions tendineuses; mais les
os
sont unis, arron- dis, il peu près dépourvus de
sans modelé; enfin l'épaisseur du tissu compact est moins grande, l'
os
devient transparent. Il existe, en somme, un pr
, en somme, un processus modifiant la configuration extérieure de l'
os
connue sa structure dans le sens atrophique, et s
caractériser le squelette de la paralysie infantile : ce. sont des
os
clairs el grêles. Dans certains cas d'hémiplégi
iste en effet chez- certains myopathiques une gracilité extrême des
os
et une diminution de leur densité décelables par
nt une translucidité accentuée plus qu'une diminution de volume des
os
. L'atrophie numérique de Klippel est intéressan
érisée par le moindre développement et la transparence excessive; l'
os
du segment atteint est réduit dans toutes ses d
t atteint est réduit dans toutes ses dimensions et plus clair que l'
os
symé- trique normal. ... On a signalé de même
systématisées, c'est-à-dire frappent d'une façon constante certains
os
et, certaines parties de ces os il l'exclusion
appent d'une façon constante certains os et, certaines parties de ces
os
il l'exclusion des autres : telles sont l'acrom
ne, la maladie de Paget, etc. Les autres peuvent atteindre tous les
os
et toutes les parties de ces os, soit d'une façon
s autres peuvent atteindre tous les os et toutes les parties de ces
os
, soit d'une façon di/= 1. P. Mark et C¡wczox. R
.facile : il s'agit de déformations portant principalement sur les
os
des membres ou de la tête, et ces déformations.
ouche compacte le long du bord concave; dans la maladie de Paget, l'
os
est entièrement " ouateux n, la couche compacte
ou l'ossification des cartilages de conjugaison, la déformation des
os
longs des membres qui sont épais, non fragiles et
n un aplatissement antéro- postérieur ; au niveau des membres des
os
grêles, fréquemment fracturés. incurvés à grand
sposition assez régulière- ment conservée malgré les courbures de l'
os
et parfois des déformations des extrémités; if
éfiante avec quelques fines travées irré1111ères du côté convexe; l'
os
est le plus souvent-petit et- déformé, mais d'a
déformé, mais d'aspect général normal. . Notons enfin que pour les
os
profondément situés (fémur, par exemple) la rad
iable. Il en est ainsi notam- ment dans les cas de lésion d'un seul
os
, relativement assez fréquents dans le rachitism
ace l'ampoule de façon à ce que ce rayon passe par l'extrémité de l'
os
à mesurer, on marque sur la peau au crayon der-
d'un index métallique les limites inférieures et supé- rieures de l'
os
déformé, puis, s'il y a lieu, de l'os normal symé
rieures et supé- rieures de l'os déformé, puis, s'il y a lieu, de l'
os
normal symétrique, on note ensuite et l'on comp
la maladie de Paget, nous basant tout d'abord sur la radiographie d'
os
secs provenant de la riche collection du musée
sée 1)ulytren. Les nombreuses radiographies que nous avons prises d'
os
atteints de maladie de Paget, et parallèlement d'
us avons prises d'os atteints de maladie de Paget, et parallèlement d'
os
ostéomalaeiques, rachitiques et syphilitiques,
ités. Cet aspect, due l'on peut retrouver sur le vivant au niveau d'
os
quelquefois peu atteints, d'autres fois très dé
toute spéciale si l'on considère qu'elle peut être facile même sur un
os
ne présentant encore que des déformations relat
core que des déformations relativement peu accentuées. L'examen des
os
dans la maladie de Pagel montre à la périphérie u
e fibrilles enchevêtrées en amas d'épaisseur variable qui donnent a l'
os
un aspect « ouaté » tout à fait spécial. Cette
Plus limité, le processus reste localisé il la partie centrale de l'
os
ou se propage il la périphérie; il gagne parfoi
s des membres, a été bien étudiée au point de vue radiotogique. Les
os
infléchis, tordus el repliés parfois sur eux-mê
rière, 18\17, p. 200; lletu ? u l'llhmz. rOOI (idem); G. L" : I;¡ :
Os
et A. Lr;m. Nouvelle Iconographie, 1\10 ! I, Ii
raphie, 1\10 ! I, IiADIOG\111'l'lf : . 1185 Nous avons étudié des
os
secs présentant des lésions beaucoup moins acce
e et il leur périphérie que des contours flous et comme estompés, l'
os
, en un mot, possède des contours dÙt¡J ! I ! lsai
es, opaques, en général transversales par rapport au grand axe de l'
os
, en réunissent complètement ou incomplètement les
de ces cas extrêmes où la spoliation calcaire amène l'incurvation des
os
. il est un grand nombre de cas où la proportion
e de cas où la proportion des phosphates calcaires diminue dans les
os
. non sans diminuer leur solidité, mais sans que l
8ogéniques multiples apparaissent en tous points de la longueur des
os
. mais surtout au voisinage des épiphyses : on les
au voisinage des épiphyses : on les trouve (Tailleurs aussi sur les
os
plats. Certains auteurs les ont considérées com
t Fanre-IIP : 1111wII (s), qu'elles étaient bien constituées par de l'
os
véri- table, os spongieux, sans coque compacte,
wII (s), qu'elles étaient bien constituées par de l'os véri- table,
os
spongieux, sans coque compacte, il travées irrégu
ssus, nerfs, tendons, cartilages, varie entre 1,5 et 2,5, celle des
os
est de li) à 20 fois plus considérable (Eckhard
est placée sur le cou, au-dessous du maxillaire inférieur, entre l'
os
hyoïde et le bord antérieur du ste1'l1()-cllido
soit au moyen de la scie, soit au moyen d'un marteau qui brise les
os
. Il faut scier ou briser les os juste au-dessus d
au moyen d'un marteau qui brise les os. Il faut scier ou briser les
os
juste au-dessus des points de décollement de la
us des points de décollement de la peau du crâne. Que l'on scie les
os
ou qu'on les brise, il est nécessaire de ne pas
s inélégante que la méthode du marteau, donne une section nette des
os
et permet, de plus, de conserver le crâne intact.
, car il existe des adhérences puissantes entre la dure-mère et les
os
du crâne. Lorsque la calotte crânienne est enle
On enlève ces « plaques, parcelle par parcelle, et lorsque les deux
os
pariétaux, les AUTOPSIE DES CENTRES NERVEUX. 15
is, 13,i. - Labyrinthites, 155. Orth (Liquide de). Voy. Fixation.
Os
. Atrophie chez les myopalhiques, 075. Ostéo - a
gouttière lacrymale à laquelle con-courent en dedans et en arrière l'
os
unguis,en dedans et en avant l'apophyse montante
en arrière l'os unguis,en dedans et en avant l'apophyse montante de l'
os
maxillaire. Cette apophyse descendant en dehors p
l'orbite, où cette gouttière, fermée en dedans par le plan-cher et l'
os
unguis, avec ou sans interposition du petit os la
par le plan-cher et l'os unguis, avec ou sans interposition du petit
os
lacry-mal accidentel, change son nom en celui de
forme le sac, se fixe au pourtour osseux sur l'apophyse montante de l'
os
maxillaire, et sur la crête saillante de l'os ung
'apophyse montante de l'os maxillaire, et sur la crête saillante de l'
os
unguis. En avant, le sac lacrymal est protégé par
osseux, inextensible, formé dans la paroi externe et antérieure par l'
os
maxillaire supérieur, et, dans la paroi infé-rieu
t du canal nasal, dans la portion formée par la branche montante de l'
os
maxillaire : dans le reste du trajet, les os papy
la branche montante de l'os maxillaire : dans le reste du trajet, les
os
papyracés, soit, pour le sac lacrymal, l'os ungui
s le reste du trajet, les os papyracés, soit, pour le sac lacrymal, l'
os
unguis; soit pour le canal nasal, en dedans, la l
ne. Elle consiste dans l'emploi des caustiques et la perforation de l'
os
unguis avec le fer rouge. Au dixième siècle, le
emporains J. de Vigo, Franco et A. Paré, qui continuent de perforer l'
os
unguis. A la fin du règne de Louis XIV, Verdier
st à craindre que le bec ne perce la lamelle du cornet inférieur ou l'
os
unguis. La sonde introduite, Laforest s'en serv
itération du conduit, et dans les cas plus graves la carie des divers
os
, mais plus fré-quemment de l'unguis. A ces divers
fait déplorable où la voie a été tracée dans les chairs en avant de l'
os
maxillaire, si dans la ponction du canal, soit av
en dedans ou trop en arrière, on a pu rompre, dans le premier cas, l'
os
unguis et la lamelle du cornet inférieur, et, dan
ructure des voies lacry-males. Dans l'antiquité, Archigènes perçait l'
os
unguis avec un foret pour tracer une voie par les
laume de Salicet et Jean de Vigo n'employaient le feu qu'autant que l'
os
lui-même était malade, de manière à satisfaire à
es ont été imaginées pour pratiquer une route artificielle : i0 par l'
os
unguis ; c'est la méthode ancienne reproduite par
; c'est la sous-méthode de Wathen. i° Trajet artificiel à travers l'
os
unguis. Procédé de Woolhouse. Faire au grand an
au procédé des anciens, perforait, au travers d'une simple piqûre, l'
os
unguis avec le cautère actuel. 2° Lacharrière, Di
pour diriger le cautère. 3° Monro, Schobinger et Boudou perforaient l'
os
unguis avec un trocart, et Bavaton avec un bec de
uire nettement une perte de substance par l'ablation d'un disque de l'
os
. C'est ce qu'avait cru obtenir Hunier à l'aide d'
océdés que nous venons d'énumérer. 2° Trajet artificiel à travers l'
os
maxillaire. Procédé de M. Pécot. Guidé par un f
illaire, et de laisser la canule à demeure dans l'ouverture faite à l'
os
. Procédé de M. Laugier (pl. 4, Hg- 5). Au lieu
ure frontale. Avant de retirer l'instrument, il élargit la plaie de l'
os
par quelques mouvemens de va et vient. La perfo
ilitent contre cette perforation : mieux vaut certainement celle de l'
os
unguis, déjà longuement éprouvée dans ses effets,
al, Dupuytren conçut, après Wathen, l'idée de percer, au tra-vers des
os
, un conduit artificiel suivant la direction connu
; mais dans le cas où il paraîtrait inapplicable, la perforation de l'
os
unguis perfectionnée nous paraît devoir rester da
s. Prendre, comme pour l'abaissement, un point d'appui en dehors de l'
os
de la pommette avec l'annulaire et le petit doigt
ce inférieure de l'orbite en rasant aussi exactement que possible les
os
jusqu'aux environs du trou optique. Arrivé vers l
IQUENT SUR L'APPAREIL DE L'AUDITION. Contenu dans lépaisseur de l'
os
temporal qui le protège, l'ap-pareil de l'ouïe se
longueur à la paroi inférieure qu'à la supé-rieure. Circonscrit par l'
os
temporal, et inflexible dans sa partie profonde,
toïdiennes. Contenues dans le diploé de la por-tion mastoïdienne de l'
os
temporal, ces cellules forment une espèce de dive
. 4° Difformités du conduit auriculaire. Les unes proviennent des
os
et sont incurables, les autres affectent les part
eur des fosses nasales. Anatomif. OPÉRATOIIUî. i° Nez. Les deux
os
nasaux forment le squelette de la racine du nez;
cine du nez; ils répondent de chaque côté aux apophyses montantes des
os
maxillaires supérieurs,etappuientcnarrière sur la
ethmoide. Il en résulte que dans les fractures ou les enfoncemens des
os
du nez le choc se transmet directement aux goutti
est, que d'un centimètre entre la cloison et l'apophyse montante de l'
os
maxillaire, sauf le cas d'inclinaison anormale ou
eur, est dirigée obliquement en avant, où la voûte est formée par les
os
du nez. Dans sa partie moyenne elle est horizonta
se trouve au-dessous de lui, pour la détordre et l'appliquer sur les
os
propres du nez, quand toutefois ils existent. Dan
z; tantôt, à la suite de ma-ladies syphilitiques ou scrofuleuses, les
os
seulcmcntsont détruits et ont déterminé l'aplatis
ses parties latérales deux inci-sions verticales pénétrant jusqu'aux
os
et suivant les contours de la forme nasale. Il en
eaux. Afin de pouvoir les soulever en avant, on détache également des
os
les parties limi-trophes de la joue dans l'étendu
st aujourd'hui le plus sou-vent employée. Elle est indiquée quand les
os
du nez manquent, et quand la peau du front est sa
issues à-la-fois (Dupuytren), et même, par érosion et refoulement des
os
, se crée des voies nouvelles dans la fosse ptéryg
s. Pour ces cas embarrassans, et afin d'éviter la résection même de l'
os
maxil-laire, comme dans le polype sarcomateux du
de l'os maxil-laire, comme dans le polype sarcomateux du sinus de cet
os
, vu l'impossibilité de saisir et d'ébranler une m
ontal; ils se prolongent quelquefois assez loin dans le diploé de cet
os
, au point d'arriver, dans certains cas, jusqu'à l
re ou al-véolaire est très rétrécie et répond au bord alvéolaire de l'
os
; les deux alvéoles de la première et de la second
antre, il convient, sui-vant le conseil de M. Velpeau, de découvrir l'
os
au-dessous du sourcil, entre l'échancrure sus-orb
vant lui Zwin-ger l'avait mise en pratique pour guérir une carie de l'
os
maxillaire; cette méthode a depuis été perfection
le; avec une tréphine ou un fort scalpel à pointe solide on perfore l'
os
, dont on agrandit ensuite l'ouverture autant qu'o
ir d'un fort scalpel fixé sur son manche. L'opérateur, ayant dénudé l'
os
par une incision préalable au-dessus de la genciv
jusque vers la base de l'orbite en longeant l'apophyse montante de l'
os
maxillaire. Du reste, dans ces cas on s'inspirera
e-lièvre compliqué qui se rencontre soit avec l'écartement simple des
os
maxillaires (fig. 9) ou avec l'inter-position méd
omme à l'état permanent dans la plupart des mammifères il existe deux
os
incisifs et parcon-séquent dans le squelette une
médiane; ou bien le tubercule incisif, isolé de chaque côté des deux
os
maxil-laires, forme une saillie sous-nasale très
l'abord le malade est privé de sesdents incisives, mais en outre, les
os
maxillaires venant par la suiteà se rapprocher, l
res venant par la suiteà se rapprocher, la diminu-tion de largeur des
os
maxillaires fait que l'arcade dentaire supé-rieur
fit dans un cas pour ramener le tubercule in-cisif de niveau avec les
os
maxillaires. L'avivcmcnt et la réunion des partie
du second en enlevant par exci-sion tout ce qui dépasse le niveau des
os
maxillaires. A cet effet : diviser avec le bistou
èvre, on peut la guérir par la cautérisation ou l'excision; mais si l'
os
maxillaire inférieur est intéressé, il faut avoir
sions obliques descendantes qui se réu-nissent en bas au-dessous de l'
os
hyoïde; disséquer de haut en bas le lambeau qui e
re sous-cutané, sous la mâchoire et sur le cou, jusqu'au-dessous de l'
os
hyoïde; 20 abaisser une inci-sion externe vertica
on en profondeur consi-dérable, mais qui, en raison de la saillie des
os
, ne donne point lieu par la suite à une difformit
uée latérale-ment sous la langue, entre cet organe,qu'elle soulève, l'
os
maxil-laire et le plancher formé par les muscles
, Dupuytren, Runge et M. Roux, en ont ren-contré dans l'épaisseur des
os
maxillaires. Les procédés opéra-toires convenable
de la langue , M. Cloquet pratiqua une petite incision au-dessus de l'
os
hyoïde, et plongea, par cette ouverture, une aigu
incision étendue de deux centimètres en ar-rière du menton jusqu'à l'
os
hyoïde, en pénétrant jusqu'à l'inter-valle cellul
ajoute l'écartement du squelette, soit qu'il se borne au plancher des
os
palatins, soit qu'il envahisse plus ou moins sur
es os palatins, soit qu'il envahisse plus ou moins sur la portion des
os
maxillaires, où il se termine par un angle mousse
n complète de la voûte palatine. Dans ce dernier cas, la scissure des
os
et des parties molles, est complète d'arrière en
ne section transversale de chaque côté le long du bord postérieur des
os
palatins. 2° M. Bonfds, appli-quant la méthode in
eurs cancéreuses, et M. Velpeau des tumeurs fibreu-ses adhérentes aux
os
. Il n'est pas rare aussi d'y observer de petits f
me dans tous les cas analogues, à l'orbite, à la glande parotide, aux
os
maxil-laires, etc., cette opération est toujours
plus grand nombre appartient aux substances alimentaires : de petits
os
, des arêtes de poisson, des fragmens de fruits ou
uxquels avait donné lieu le séjour, dans l'oesophage, d'un fragment d'
os
rugueux, du volume d'une noix. 6° Tumeurs au vo
la trachéotomie, pratiquer une incision à plat depuis la saillie de l'
os
hyoïde jusqu'à celle du cartilage cri-coïde, sans
re à six centimètres (un pouce et demi à deux pouces) au-dessous de l'
os
hyoïde dont elle doit longer le bord inférieur. D
n est pas de même des corps étrangers insolubles et non digestifs, un
os
, un morceau de bois, une pièce de monnaie, un mor
trop d'aspérités; mais, s'il est rugueux ou dentelé, comme un éclat d'
os
, on conçoit qu'en remontant, il doit labourer et
s abcès dont Arculanus et Z. Platner avaient extrait des portions d'
os
; Iloullier et Glandorp des arêtes de poisson. Ver
ir de deux travers de doigt au-dessous du sternum en remontant vers l'
os
hyoïde. Pour éviter toute erreur, diviser success
extraire, mais s'il s'agit d'un corps dur et anguleux, un fragment d'
os
ou de bois fiché par l'une de ses extrémités dans
e Dupuytren, ou mieux, une petite couronne de trépan, on pratique à l'
os
, une ouverture d'un diamètre assez considérable p
onsidérable pour donne] passage au liquide le plus épais. Le disque d'
os
étant enlevé la plèvre se présente derrière encor
ettes fibreuses de ce muscle, fixées à l'épine antéro-supérieure de l'
os
iliaque, descendent obliquement en dedans jusqu'à
aussi l'arcade crurale, étendu entre l'épine antéro-supé-rieure de l'
os
des îles et le pubis; l'aponévrose du grand obliq
rs en dedans ; son extrémité inférieure répond au bord supérieur de l'
os
pubis, et l'autre, qui est supérieure et externe,
son extrémité supérieure est entraînée en dehors par l'écartement des
os
des îles. Canal inguinal chez la femme. Il ne c
est circonscrit par le ligament de Fallope et le bord antérieur de l'
os
coxal ; mais on en aurait une mauvaise idée en ex
s dimensions plus grandes du bassin chez elle, et en particulier de l'
os
iliaque, et on comprend ainsi pour-quoi les herni
veut prendre un point d'appui en arrière, près le bord antérieur de l'
os
coxal opposé au côté malade. Au reste , il import
. M. Malgaigne convient que dans un tel cas elle doit appuyer sur cet
os
, à moins, dit-il, qu'on ne se serve d'une pe-lote
gitudinale dans cette région, entre la dernière côte et la crête de l'
os
des îles. Ayant essayé deux fois sur le cadavre d
n-scrit en haut par la dernière fausse côte, en bas par la crête de l'
os
des îles, en arrière par la masse commune; au sac
ar une ligne perpendiculaire tombant sur le milieu cle la crête cle l'
os
iliacpie. Les organes qui constituent cette paroi
térieur du transverse; en bas, il est en rap-port avec la crête cle l'
os
des îles qui lui sert cle limite. Ainsi il n'est
u oblique en bas, à deux travers de doigts au-dessus de la crête de l'
os
des îles, ou mieux au milieu de l'espace com-pris
e contact d'un petit corps dur et irritant, comme un petit fragment d'
os
ou tout autre, fiché dans la muqueuse du rectum,
r la ligne blanche à a ou 3 centimètres au-des-sus de la symphyse des
os
pubis qu'il convient d'opérer. On a rejeté, avec
erne de la tubérosité de 1 ischion et de la branche ascendante de cet
os
, où elle est bridée par une lame de l'aponévrose
acée immédiatement au-dessus de la couche musculaire, et derrière les
os
, l'artère hon-teuse est immobile et à l'abride l'
lever doucement le cathéter jusqu'à ce que sa concavité embrassât les
os
pubis, afin cle l'éloigner du rec-tum, en même te
, la relevait presque perpendiculairement, de manière à embrasser les
os
pubis dans la concavité de cet instrument, et fai
énager; au lieu de ce porter la tige du lithotome contre l'arcade des
os
pubis, je l'ap-te plique contre la partie inférie
aines, etc., mais avait plus spécialement pour objet de désigner les
os
larges du bassin, les articulations coxo-fémorale
e les grandes per-sonnes, un sixième aide devra saisir les crêtes des
os
des îles pour fixer le bassin. Cathétérisme. Le
lle décrit en sortant soit en rapport « avec celle que présentent les
os
pubis. » Parfois le volume de la pierre est con
mportunité du père, mère et amis, de copper ledit enfant par dessus l'
os
pubis, d'autant que la pierre ne voulut descendre
ransversalement les parties molles entre le conduit de l'urine et les
os
pubis, de ma-nière que l'incision s'étende autant
i quidem, sub ima sinisteriore ora; mulieri vero, inter urinœ iter et
os
pubis , incidendum est sic, ut utroque loco plaga
t à l'urètre. Seulement comme chez les jeunes filles l'écartement des
os
pubis, en ce point, est moins considérable que ch
nelure d'une sonde droite; on applique sa tige contre la symphyse des
os
pubis, on dirige le tranchant de la lame obliquem
a matière grasse, des corps analogues à des dents et à des fragmens d'
os
, que l'on s'accorde généralement à considérer com
hement ne pouvait se terminer sans qu'on eût préalablement écarté les
os
pubis; mais, pour arriver à ce but, il n'avait pr
s faites sur le cadavre ont démontré que, après cette opéra-tion, les
os
s'écartent en général, et d'une manière spontanée
essairement suivi de danger, comme on a reconnu qu'un écar-tement des
os
pubis de 26 millimètres donnait lieu à un allonge
ême qu'il parvient à sortir seul, il ne peut le faire sans forcer les
os
iliaques, déjà sé-parés en avant, à s'écarter au-
iliaques n'éprouvent pas de déchirures. L'écartement artificiel des
os
pubis s'obtient aujourd'hui de deux manières : i°
on incise succes-sivement toutes les parties molles qui recouvrent l'
os
; quelques personnes coupent même la racine gauche
u clitoris , pour évi-ter une déchirure au moment de l'écartement des
os
. Le cartilage étant à découvert, il y a deux mani
te bien, lorscpie la section de la symphyse est terminée, on voit les
os
s'écarter peu-à-peu d'eux-mêmes, de 4 à 6 centimè
Vénus. Le plus souvent, comme la symétrie du bassin est détruite, ces
os
s'écartent inéga-lement de la ligne médiane. Il n
s accouchemens subséquens plus faciles. t. vo. DOUBLE SECTION DES
OS
PUBIS. Procédé de Aitken.Ysv 1785, Aitken ( Pri
celle de Jeffrey, si utile pour pratiquer les sections profondes des
os
. Procédé de M. Galbiati. En 1819, il publia à N
n côté, dans le point le plus voisin du trou sous-pubien; à ruginer l'
os
, et à le couper avec des cisailles dentées; à con
et à couper de même la branche des-cendante du pubis. Une fois que l'
os
pubis est isolé du reste de l'os coxal, dont il f
es-cendante du pubis. Une fois que l'os pubis est isolé du reste de l'
os
coxal, dont il fait partie, on le sépare de celui
t d'une ligne fictive, tirée de l'épine antérieure et supérieure de l'
os
des îles, jusqu'à l'extrémité antérieure de la tr
. Cautérisation, 8. Formation d'un ca-nal artificiel : i° à travers l'
os
unguis, 9 ; 20 à travers l'os maxil-laire; 3° dan
d'un ca-nal artificiel : i° à travers l'os unguis, 9 ; 20 à travers l'
os
maxil-laire; 3° dans la direction du canal nature
3.—Symphy-séotomie simple. Procédé ordinaire, 344-—Double section des
os
pubis. Procédés de Aitken, de M. Galbiati, 345.
tendu de l'ex-trémité antérieure et interne de la face orbitaire de l'
os
maxil-laire, auprès du lac lacrymal, au milieu de
con-sentit excinda tu r. Ab opère autem patratoaqua frigida aut posca
os
colluanl. Postea inspergatur manna Ihuris , impon
et bien effilées d'une paire de ciseaux à sta-phyloraphie, derrière l'
os
maxillaire inférieur, dont nous rasons la ligne m
difformités : d'une parties altérations du squelette syndesmologique,
os
et ligainens, et de l'autre les rétractions des m
our effet si-multané les rétractions des muscles et les courbures des
os
sans altération de texture de ces derniers organe
ier ordre de causes a rapport à ces altérations elles-mêmes lorsque l'
os
est primitivement affecté. Rien de plus simple qu
ostéomalacie ; mais selon M. Bouvier, il existe une autre maladie des
os
, diffé-rente de celles-ci, encore inconnue dans s
ement de leurs antagonistes, que le déplacement et la déformation des
os
suivent ou précèdent la rétraction de ces orga-ne
ité des organes, tissus et sys-tèmes. On a donc à les suivre dans les
os
, les ligamens, les mus-cles , les vaisseaux, les
ystème ligamenteux. Par suite de sa texture intermédiaire à celle des
os
et des muscles , il éprouve des transformations a
, et à corriger ou même guérir presque complètement les courbures des
os
, on ne doit avoir recours aux sections scléreuses
stéologique et syndesmologique, ayant pour effet les subluxations des
os
, leur hypertrophie dans les sens des convexités,
ès une affection convulsive; tantôt c'est une affection primitive des
os
eux-mêmes, et en particulier des vertèbres, cpii
laquelle participeront ultérieurement les muscles qui s'insèrent aux
os
déviés; puis, par une succession d'effets, toutes
fois sur dif-férens individus atteints d'affections tuberculeuses des
os
, et n'a jamais produit aucun accident. 7° La se
ement au travers du sourcil. 2, 3,4, 5. Bord osseux de l'orbite. 2,
os
frontal, 3, os malaire ; 4, plan-cher orbitaire d
s du sourcil. 2, 3,4, 5. Bord osseux de l'orbite. 2, os frontal, 3,
os
malaire ; 4, plan-cher orbitaire du maxillaire su
ur; 5, tubercule lacrymal, saillie formée par la racine montante de l'
os
maxillaire supé-rieur, au-devant de la jonction d
res saillans en dehors de leur canal interrompu par la section de l'
os
. 25. Canal salivaire de Sténon, provenant de la
veine faciales. Elles sont interrompues au-devant de la section de l'
os
maxillaire. FIGURES 2 ET 5. intérieur des fos
ant enlevée. Objets communs aux deux figures. Plan de section des
os
. a, des os de la base du crâne; b, des six pre-mi
. Objets communs aux deux figures. Plan de section des os. a, des
os
de la base du crâne; b, des six pre-mières vertèb
ce salivaire du canal de Sténon; d, du maxillaire inférieur ; e, de l'
os
hyoïde; f, de la cage cartylagineuse du larynx.
ument n'est autre que le poin-çon de Pellier pour la perforation de l'
os
unguis. INSTRUMENS DE CATARACTE ET DE PUPILLE A
LLE. FIGURES 1,2,3,4. Anatomie opératoire de l'oreille. Figure I.
Os
temporal scié verticalement suivant deux coupes o
des deux conduits. A. Fig. 1,2,3. Plan de la section verticale de l'
os
temporal. R. Fig. 4. Plan de la section horizonta
cale de l'os temporal. R. Fig. 4. Plan de la section horizontale de l'
os
temporal. C. Fig. 1, 2, 3, 4. Pavillon de l'ore
peau dans tout le contour embrassant réminence du nez jusque sur les
os
propres de cet organe. La plaie montre en dedans
ur osseux (a) de l'orifice antérieur des fosses nasales formé par les
os
nasaux, les maxillaires supérieurs et, au mi-lieu
gard du sinus frontal, l'opérateur est occupé à enlever la table de l'
os
avec une petite couronne de trépan. Figures 6 e
de l'opération la tréphine est appliquée pour enlever un disque de l'
os
, qui laissera pénétrer dans le sinus. Tomo 7
tes qui se réunissent inférieurement à un sommet (b), au-dessous de l'
os
hyoïde, pour circonscrire la maladie dans un lamb
i, des commissures, descendent sous la mâchoire jusqu'au-dessous de l'
os
hyoïde. — c. Ligne de l'incision horizontale qui
ns les cavités de la face et en particulier pour enlever une partie d'
os
malade. Figure 12. Porte-caustique des fosses n
he de la mâchoire au-devant de la seconde dent grosse molaire. c.
Os
hyoïde en position. d. Épiglotte dont les attac
phage. La préparation est la même que pour l'autre figure jusqu'à l'
os
hyoïde. Le cathétérisme est figuré avec la sonde
ive de Du-puytren (a), dont on suit le trajet ponctué au-dessous de l'
os
hyoïde jusqu'à l'extrémité en argent, à bascule (
par l'incision , un trou en emporte-pièce est pratiqué au milieu de l'
os
avec un petit trépan perforé ; au travers de cet
primées pendant trente-neuf jours avant la mort. Une petite portion d'
os
(a), qui semble la cause première d'irritation, a
ette nature ne peuvent s'obtenir que dans le premier âge, lorsque les
os
du carpe sont encore cartilagineux, et que tous l
s ne permettent, par la sclé-rotomie, qu'une légère amélioration; les
os
de carpe présentant, dans leur configuration, leu
le rugueuse qui ne pourrait plus servir au glissement. La tête de cet
os
n'est articulée avec le scaphoïde que par sa port
trophiée pour faire, en avant, partie de la base de sustentation. Les
os
de la seconde rangée du tarse sont beaucoup moins
orte que, à partir de cette seconde rangée, les modifications que les
os
ont subies vont en diminuant vers l'extrémité dig
ctue le renversement du pied par les changemens de formes de ces deux
os
et les modifications de leurs rapports avec le cu
e et le scaphoïde. Il est évi-dent que cette disposition nouvelle des
os
entraîne des changemens pro-portionnés dans tout
Pyg, pyramide gauche déformée. Ntrap, noyau du corps trapézoide.
Os
, olive supérieure. Nacv, noyau ventral de l'aco
ctionnées du triju- meau. V,s, racine sensitive de la Ve paire.
Os
, olive supérieure. l'on, pédoncule cérébelleux
rayon s'étendant de la région cervicale à la région lombaire, Les
os
des membres restent normaux. La peau ne présent
a été pratiquée 36 heures après la mort. Squelette osseux. - Les
os
des membres ne présentent aucune altération mor
e et l'estomac. Nous avons déjà signalé l'extrême mollesse de ces
os
. Leur légèreté est en- core plus, remarquable.
ar l'examen nécropsique.ous avons pu constater en effet combien les
os
de la cage thoracique, côtes et sternum, étaien
aurait pu modeler à sa guise ce bizarre thorax. Cette mollesse 'des
os
et ces déformations éveillaient l'idée d'une osté
es portaient seulement sur le crâne, la clavicule et les côtes. Ces
os
étaient « d'une friabilité extraordinaire, le sca
le, on pourrait vraiment dire qu'il ne lui reste que la peau et les
os
, le thorax surtout et le bassin pré- sentent à
t très soignée permet de détacher la tumeur de la dure-mère et de l'
os
. La tumeur recouvre la selle turcique laquelle es
eu rétrécis au niveau de la 1 re et de la 2e vertèbres lombaires.
Os
déchiquetés, légers et poreux. Bad... Jean, jou
e diamètre pubo-sacré me- sure 10 cent. 5. La face interne des deux
os
coxaux n'offre aucune particula- rité. Il n'en
qui forme un relief vers le tiers supérieur de la fosse interne de l'
os
coxal : cette apophyse, dirigée en dehors, tria
. La fosse iliaque ex- ,terne est parsemée de petites saillies. L'
os
iliaque droit, moins irrégulier, offre deux dépre
ortion restante aussi, est irrégulière et excessivement poreuse : l'
os
s'effrite sous le doigt ; ces porosités s'étenden
gaison formé par la réunion de ces deux vertèbres. Enfin tous ces
os
paraissent avoir subi de profondes modifications
ibilité de la marche. Quinze ans après, fracture spontanée des deux
os
de la jambe gauche. Signes non douteux de tabes
lité moindre à gauche de la 1 rc et de la 2e vertèbres lombaires.
Os
légers, porosité extrême du tissu spongieux. C.
mbre 1885. Dès le premier examen, on constate une fracture des deux
os
de la jambe gauche, siégeant à l'union du tiers
es autres ont été enlevées dans l'extraction de la moelle. Tous les
os
que nous venons d'examiner sont d'une légèreté re
ent les cinq lombaires. et la douzième vertèbre dorsale. Tous ces
os
présentent une augmentation de leurs dimensions e
chidiens, canal vertébral, trous de conjugaison partout perméables.
Os
légers, poreux. Ch... Françoise, entre pour la
fosses sus et sous-claviculaires et des espaces in- tercostaux. Les
os
. les cartilages costaux, leurs articulations sont
de diamètre longitudinal. La circonférence du genou, mesurée sur cet
os
, est de quarante-six centimètres. La palpation
s l'eau des fémurs, du bassin, de la colonne vertébrale, ces divers
os
sont trouvés porteurs d'altérations multiples. -
on aspect extérieur, dans ses di- mensions et dans ses diamètres. L'
os
iliaque gauche est à peu près normal, sauf une
bord antérieur épaissi et ru- - gueux. Il n'en est pas de même de l'
os
iliaque droit : sa cavité cotyloïde présente ne
rréguliers, comprenant à ce niveau à peu près toute la largeur de l'
os
iliaque. En arrière de ce nouveau cotyle,- s'im
re et se 144 JEAN ABADIE confondre cependant, et sans donner il l'
os
la forme de coin qu'affectent les vertèbres sou
au de la troisième et de la quatrième vertèbre lombaire. Tous les
os
sont remarquablement légers, et poreux : ils s'ef
ant et en dehors. Le tiers in- férieur et le tiers supérieur de cet
os
portent d'énormes exostoses sur leur bord inter
ors. Aucune opacité ne révèle l'existence de la tête et du col de l'
os
qui est re- monté de quatre travers de doigt en
ombre conique, dirigée en dedans presque normalement au corps de l'
os
, est analogue à celle d'un tissu osseux compact
du fémur apparaît simplement comme épaissi. Le bord externe de l'
os
présente une seule exostose qui prend naissance u
veau du petit trochanteur et se dirige, parallèlement au corps de l'
os
, vers le bas où l'on peut nettement la suivre sur
e si considérable, est en somme de peu d'importance (PI. XXII). Les
os
ont à peu près un volume normal et sont pareils à
galement des tumeurs dures, de volumes divers, faisant corps avec l'
os
. Le membre inférieur droit est atrophié dans so
s ostéophytes se produisent même au loin de l'articulation, sur les
os
voisins ; on en trouve sur les os longs ou sur le
u loin de l'articulation, sur les os voisins ; on en trouve sur les
os
longs ou sur les os plats avoisi- nants. Enfi
tion, sur les os voisins ; on en trouve sur les os longs ou sur les
os
plats avoisi- nants. Enfin, il est un dernier
plaie des parties molles longue de 2 centimètres et qui va jusqu'à l'
os
, on aperçoit une fissure de la table externe et
aperçoit une fissure de la table externe et une légère dépression des
os
. La plaie est située à 8 cm. 5 environ au-dessu
nts incisés et écartés laissent voir la solution de continuité de l'
os
. Après l'ablation d'un petit fragment osseux, l
u eu avant et au-dessus du tubercule pariétal, pas de fracture de l'
os
..... Trépanation » En voici un autre exemple dû
suivants. Il existe sur la joue droite, au niveau de la saillie de l'
os
malaire une cicatrice irrégulière, rosée et un
ainsi l'intérieur de l'hémisphère droit après avoir pénétré sous l'
os
malaire et avoir perforé la grande aile du sphéno
r de la clavicule ; elles s'atténuent au niveau du tiers interne de l'
os
. Le cou a quarante-sept centimètres de circonfé
Le cou a quarante-sept centimètres de circonférence au niveau de l'
os
hy- oïde, mais il s'élargit en tronc de cône à
atisme amena une hémorrhagie abondante de la muqueuse dilacérée des
os
fracturés et causa des souffrances très vives. Le
te cavité il ne s'est jamais écoulé de pus ni éli- miné de débris d'
os
. La malade a conservé longtemps ce segment de m
t parfaitement sensibles. Cryesthésie des membres inférieurs. Les
os
sont douloureux à la percussion, mais un peu plus
un peu plus à droite qu'à gau- che ; on fait cette épreuve sur les
os
malaires, les maxillaires supérieurs, sur l'apo
e styloïde des cubitus, sur les tibias. Pour ce qui est du crâne, les
os
sont aussi sensibles à droite qu'à gauche ; il
ré,,ion,lombo- sacrée est comme enfoncée. Le sacrum, le coccyx, les
os
iliaques n'offrent au- cune particularité à sig
accentuée. Elle n'est accompagnée d'aucun développement anormal des
os
, des apophyses épineuses en particulier. Les vert
inuité sont plus ou moins aplatis et déchiquetés et assez souvent l'
os
est à nu. Parfois il ne présente pas de fractur
cette dernière survient par lésion delà région temporo-pariétale, l'
os
tem- poral n'étant guère plus souvent atteint q
che de la lésion et le seul fait de l'enfonce- ment d'un fragment d'
os
explique la paralysie par compression, sans com
s exposée aux chocs : elle est relativement très superfi- cielle, l'
os
est précisément dans son territoire d'une moindre
rdive. L'hémorrhagie infra-crânienne est possible sans fracture des
os
. Cela résulte des expériences du Dr Félizel. Ce
râne, il le laissait tomber droit sur le sol. Après ouverture des
os
, on trouvait, répondant au point sur lequel le
due à M. Pitres de Bordeaux. Le malade de M. Pitres fut atteint à l'
os
malaire droit par un plomb de fusil, trente-six h
n l'a vu, une pénétration par la base du crâne par perforation de l'
os
malaire puis de la grande aile du sphénoïde. Il
auteurs anglais (observation IX) le tube perforant a dû passer de l'
os
malaire droit, sous la région zygomatique et est
térieurement de sorte que l'extrémité après être passée à travers l'
os
, a dû se trouver presque à angle droit par rappor
ce des rugosités et des trous nombreux dus à ce que des parcelles d'
os
sont retirées attachées il la dure- mère. A un
un premier examen nous ne trouvions pas de trace des fractures des
os
du crâne, et après l'avoir dépouillé des parties
car les renseignements éloignent toute idée de lésion primitive de l'
os
et des ,cavités de l'oreille. Les vaisseaux d
du pariétal droit, les parties donnent l'impression d'un fragment d'
os
arraché en laissant des bords coupants. La dépr
e incision curviligne convexe en avant et en bas et on détacha de l'
os
un lambeau de forme ovalaire, on trouva dessous
ue tous ces cas il s'agissait de gros hématomes, d'enfoncements dés
os
du crâne et ils étaient presque tous compliqués
m'auraient permis de la rattacher aux mala- dies classées soit des
os
soit du système nerveux, mais les symptômes sont
dex (Pl. LVIII). Les lésions consistent en effet dans une fonte des
os
qui sont ou dispa- rus complètement ou amincis,
sposition ordinaire de l'extré- mité volumineuse polyédrique de cet
os
, nulle trace de l'apophyse sty- loïde ; du rest
drique de cet os, nulle trace de l'apophyse sty- loïde ; du reste l'
os
a pénétré dans la paume suivant la direction natu
e l'extrémité radiale, libre pour ainsi dire dans la paume, au- cun
os
ne vient à son contact. Le premier métacarpien
re, leurs dimensions normales ou à peu près. Disons enfin que les
os
présentent à la radiographie le même aspect que
nfin que les os présentent à la radiographie le même aspect que les
os
sains, le tissu compact donne un double contour p
la fonte relativement rapide (en dix-huit mois au plus) de tous les
os
du carpe qui ont complètement disparu et des os a
u plus) de tous les os du carpe qui ont complètement disparu et des
os
avoisinant profondément altérés : la semi-ankyl
pondy- lizème dans la configuration du détroit supérieur. Enfin les
os
iliaques, le sacrum, les articulations qui les
ent rarement des modifications propres des par- ties constitutives,
os
ou articulations, de la cage thoracique. Des ma
met d'exclure ce diagnostic. Ce n'est pas non plus un processus des
os
crâniens comprimant les nerfs ; une affection pa-
dans le complexus de l'arthropathie tabétique, par les lésions des
os
, de la capsule, de la synoviale, et des tissus
vait crue si considérable est en somm( d'importance (PI. XXII). Les
os
ont à peu près un volume norma pareils à ceux d
onférence possède une gouttière profonde, elle est comme excavée. L'
os
, en ce point, est garni de bosselures, d'aspérité
ément dans leur structure et leurs formes ; des portions entières d'
os
disparaissent, elles deviennent méconnaissables.
ompact : au travers de ces plaques, on voit le tissu spongieux de l'
os
dont les travées sont moins nombreuses, moins enc
Havers. Nous avons jugé ces recherches inutiles : la porosité de ces
os
, z leur légèreté étonnante, leur friabilité sou
rps vertébral s'est creusé en cupule pour la recevoir. Au-dessus, l'
os
s'est arrondi en voûte pour mieux résister. Des
ables fractures spontanées, à la façon des fractures tabétiques des
os
longs. Nous avons ainsi la raison pathogénique
t la blessure explorée on retira des esquilles..... une partie de l'
os
avait été complètement retournée par la force du
is il y a pas de réelle atrophie musculaire. Seulement à droite les
os
sont plus petits la main demeure en flexion, tout
e fracture ancienne,en avant et en haut, une légère dépression de l'
os
et une forte adhé- rence du péricrâne à la dure
e ouverture circulaire par laquelle une sonde introduite, butte sur l'
os
nu. DE l'hémiplégie traumatique 545 Un peu au
longement inférieur dans le tesritoire duquel on voit nette- ment l'
os
enfoncé on peut facilement introduire une sonde j
jusqu'à ce jour. On retira du crâne des morceaux de charbon, mais l'
os
ne paraît pas avoir été fracturé. Cependant on co
èce de 5 francs, à travers laquelle on peut très nettement sentir l'
os
enfoncé ' 9 mai. - Opération. 10. L'améliorat
ue de bas en haut, longue de 6 centimètres, béante et laissant voir l'
os
. Le périoste est détaché en un point, l'os lui-
éante et laissant voir l'os. Le périoste est détaché en un point, l'
os
lui-même légèrement enfoncé. Les pupilles égale
tion. Enfin, au premier plan, à gauche, deux chiens se disputent un
os
. L'ensemble de la composition manque peut-être
d orbitaire inférieur et l'apophyse malaire sont peu saillants; les
os
de la face symétriquement développés ont subi u
ymétriquement développés ont subi une évolution en rapport avec les
os
qui entourent l'orbite. Les cils sont normaleme
riéré au point de vue intellectuel. Le crâne est bien conformé, les
os
des membres sont bien constitués à l'exception
e pélican est composé d'une tige fixe, en fer forgé, en bois, ou en
os
, dont les extrémités sont terminées en un demi-ce
corne de cerf brûlée, le lait de chienne, la cervelle de lièvre, l'
os
de tête (1) L. LEMERLE, Notice sur l'histoire d
r toutes les métamorphoses du fameux pélican, en bois, en corne, en
os
, en ivoire, en bronze, avec un ou deux crochets
toxication possible. PARTICULARITES. Opposition à l'autopsie.
Os
du crâne minces et peu durs. — Pas de synostose
'h^m. d r o i t ; égalité des hém. cérébelleux. — É t a t de mal.
Os
du c r â n e t r è s minces et peu d u r s . — Sy
êle des circonvolutions. —Tuberculose pulmon a i r e chronique.
Os
du crâne minces ; frontal épais surtout à droit
l épais surtout à droite. — Pas de synostose. — Bronchopneumonie.
Os
du crâne assez épais et durs. — Pas de synostos
tose. — Méningo-encéphalite disséminée. — Tuberculose pulmonaire.
Os
du crâne minces et peu durs. —• Pas de synostos
tres nerveux. — Congestion pulmonaire. Opposition à l'autopsie.
Os
du crâne assez épais, dur. — Pas de synostose.
à l'autopsie. Os du crâne assez épais, dur. — Pas de synostose.
Os
du c r â n e p e u durs, peu épais. — P e r s i s
n c e grise. Opposition à l'autopsie. Opposition à l'autopsie.
Os
du c r â n e moy. épais, assez d u r s . — Sur la
lose naire. pulmo- FARTICULAR1TES. Opposition à l'autopsie.
Os
du c r â n e minces, t r a n s p a r e n t s . —
chidien. — Adh. 1res fortes de la d u r e - m è r e à la calotte.
Os
du c r â n e minces, un peu d u r s , épais. — La
. — Sang fluide dans les sinus. — Pas de synostose. — Cachexie.
Os
du crâne peu épais, d u r s . ,— Pas de synost
lobes frontaux et des circonv. motrices. Méningite hémorrhagique.
Os
du c r â n e épais. — La pic-mère est congestionn
des circonvolutions du lobe frontal. — Tuberculose pulmonaire.
Os
du c r â n e t r è s minces, nomb. et larges plaq
vexe. — L é g è r e méningo-encéphalite.— Tuberculose pulmonaire.
Os
du c r â n e minces, peu durs. — P a s de synosto
— La pie-mère est l é g è r e m e n t vasculariséc. — Cachexie.
Os
du crâne minces, plaques t r a n s p a r e n t es
antérieure. — Pas de synostose. — Tuberculose pulmon a i r e .
Os
du c r â n e , d u r s , minces. — P a s de synos
P i e n au cerveau à l'oeil nu. — Tuberculose pulmon a i r e .
Os
du crâne mince. — Pas de synoslosc. — Tuberculo
r-ces nous faisanl del'aut. les aliments, d'enlever les fragments d'
os
ou de tendons, susceptibles de produire des accid
CAUSE DU DÉCÈS. PATVTICULAMTÉS. Tuberculose n a i r e . pulmo-
Os
du crâne peu durs ; coté gauche moitié plus épa
gr.). Tuberculose pulmonaire. Tuberculose Usée. g é n é r a -
Os
du crâne minces et peu d u r s . — Pas do synos
synostoso. — P e r s i s t a n c e de la s u t u r e métopique ;
os
épactal. — Méningo-cncéphalite disséminée. — P
us. — Tuberculose généralisée. Tuberculose n a i r e . pulmo-
Os
du crâne durs et épais surtout au niveau du fro
achexie. Opposition à l'autopsie. Congestion n a i r e . pulmo-
Os
du crâne épais, d u r s . — Synostose presque c
ongestion p u l m o n a i r e . Congestion n a i r e . pulmo-
Os
du crâne minces et peu durs. — Pas dé synostose
ncéphalite. — Hydrocéphalie. — Congestion pulmonaire. Cachexie.
Os
du crâne minces et peu durs. — Pas de s y n o s
a base du poumon droit. — Cachexie. Congestion p u l m o naire.
Os
du crâne minces, peu durs. — Pas de synostoso.
our 9 ans. Lois 3 ans. Philipp. 3 a n s . 1/2 PARTICULARITES.
Os
du crâne assez durs et assez épais. — Pas de sy
ganglions t r a c h é o - b r o n c h. Opposition à l'autopsie.
Os
du crâne moyennement épais. — Pas de synostose.
ure. — Etat de mal ; mort. Autopsie. — Caractères particuliers -des
os
du crâne. — Méningo-encéphalite; —Piqueté hèmorrh
ès nombreux, il y avait en quelque sorte une congestion chronique des
os
. V. Nous avons vu que Bar., dormait plusieurs h
nt de sang par le nez ayant été abondant, on pense à une fracture des
os
du nez, que la palpation ne révèle pas cependant.
le péricrâne et adhère, d'autre part, intimement à la dure-mère. Les
os
du crâne au pourtour de la membrane sont épaissis
ince jusqu'à 5 ou lj '"/"? du pourtour osseux où la transformation en
os
la rend un peu plus épaisse. (Fig. 16.) La pert
àg.). Toutes les sutures persistent et sont finement dentelées. Pas d'
os
wormiens. Plaques transparentes au niveau de l'an
es symptômes cliniques prédominaient à droite, les lésions à gauche :
os
du crâne plus épais de ce côté, dilatation du ven
uir chevelu très épais, une douzaine de petits points ecchymotiques. —
Os
du crâne. Les différentes parties de la base du c
aire. — Mort en 1904. Température et poids après décès. Autopsie. —
Os
frontaux épaissis. Légères adhérences de la pie-m
t 29 heures après le décès. — Tkte. — Cuir chevelu: maigre et pâle. —
Os
du crâne: durs, peu épais au niveau des temporaux
crâne: durs, peu épais au niveau des temporaux et de l'occipital, les
os
du front sont considérablement épaissis (à gauche
lande pinéale : plutôt petite. — Pas de synos-tosc ; persistance de l'
os
épactal. Hémisphère droit. — La pie-mère est mi
n paraissent normaux. En résumé: 1° Epaississement considérable des
os
fron-taux; — 2° Lésions méningitiques légères; —
a plupart des circonvolutions et surtout les frontales, les parié ta!
os
sont grêles et arrêtées dans leur développement,
pidural, bridé par des adhérences étroites entre la dure- mère et l'
os
. Les racines cervicales inférieures sont, surtout
rche de la transmission des vibrations du diapason appliqué sur les
os
semblerait, a priori, devoir fournir des renseign
ires, pouvant aller tar- divement jusqu'à la soudure totale de deux
os
voisins (côte et apophyse transverse par exempl
plus fréquemment une notable atrophie et une spéciale fragilité des
os
. Nous avons pu nous assurer que la ceinture pel-
vtett,nous avionssupposéqu'il eaistaituneraréfactionpréala- ble des
os
parce que tous les ligaments denotre colonne vert
e la raréfaction des corps vertébraux ; il avait constaté que « les
os
étaient si fragiles qu'on pouvait facilement les
de l'atlas nous fait supposer qu'il y avait ankylose totale de cet
os
avec l'occipital. b) Côtes et articulations cos
x insertions des adducteurs et du grand ligament sacro-sciatique. L'
os
iliaque au niveeu de la fosse iliaque est des d
Les fémurs sont ankyloses dans l'extension presque complète sur les
os
ilia- 6UYELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T
Pierre Marie et A. Léri.) FIG. I. Morceau supérieur : le fémur et l'
os
iliaque en place et adhérents. - Remarquer la per
ormément spon- gieux. - FIG. 2. Morceau inférieur : le fémur et l'
os
iliaque sépares. - Remarquer les bourrelets osseu
lets osseux néofor- més extrêmement saillants sur le fémur et sur l'
os
iliaque à la place du bourrelet cotyloïdien norma
du fémur ; cette coupe, faite à la scie, a été des plus aisées et l'
os
nous a paru particulièrement mou. Une seconde cou
it même très souvent la surface osseuse qui entre en contact avec l'
os
iliaque limitée par un bourrelet osseux » (Poirie
sir de pou- voir faire la coupe, a pu constater avec nous combien l'
os
paraissait friable, presque sectionnable au cou
resque sectionnable au couteau. Loin même de toute articulation les
os
présentaient un amincissement et une friabilité
ansparent que le fond des cavités cotyloïdes : le contraste avec un
os
normal était très frappant. De même l'extrémité i
articulations, il existait une raréfaction osseuse manifeste, que l'
os
perdait en certains points ce qu'il gagnait en
as montré jusqu'à quel moment l'ankylose est protectrice et quand l'
os
a pu redevenir assez soli- de pour se protéger
t celui qui consiste à utiliser l'influence de la pesanteur sur des
os
raréfiés ou peu consistants pour redresser cert
qui provoque la croissance, qui est le fait de l'accroissement des
os
longs. Est-ce aussi une influence thyroïdienne
épiphysaire avait permis une reprise tardive de l'accroissement des
os
longs. Cependant en ce qui concerne les organes
iquantes, lancinantes dans les extrémités distales épipbysaires des
os
fistuleux longs, mais que les jointures n'étaient
se disant, que sous l'influence du processus infectieux la moelle des
os
et le périoste avaient été stimulés à une très
qui ont augmenté en longueur et en largeur, l'épaisseur énorme des
os
longs et la longueur anormale des os du métacarpe
argeur, l'épaisseur énorme des os longs et la longueur anormale des
os
du métacarpe, ainsi que la forme très particuli
oint d'augmentation d'épais- seur, excepté à un endroit limité de l'
os
occipital, rien qui rappellera une tu- meur cér
extension du périoste. Nous avons aussi appris que le périoste des
os
longs est sensible, même dou- loureux au touche
nsible, même dou- loureux au toucher et à la percussion, comme si l'
os
, le périoste et le cartilage épiphysaire se tro
is en effet une surcroissance anormale avec activité augmentée de l'
os
et du périoste. Du reste, notre garçon nous a d
ntation de volume des mains et des pieds avec une proé- minence des
os
malaires, un gros nez et de grosses lèvres, et où
spécialement du squelette, par exemple du cràne, de la rotule, des
os
longs, d'une extrémité, auxquelles ils ont donné
r, qui remarqua chez les animaux une augmentation de croissance des
os
avec sclérose après des doses minimales de phosph
n même temps la relation entre la forma- tion et la résorption de l'
os
. Certains observateurs ont cru-même que la nutri-
matoire », pour ne pas parler d'ostéite et de périostite de certains
os
. Ce n'est que de cette façon, que l'on pourrait
ligne épineuse sont aux deux points de repère déjà signalés pour l'
os
opposé respectivement de 7,5 centimètres et de
ilibre de développement osseux dans les segments de membre, où deux
os
sont accouplés, comme l'avant-bras. L'un des deux
embre, où deux os sont accouplés, comme l'avant-bras. L'un des deux
os
le cubitus, est rectiligne ; le radius, au cont
endrè par atrophie numérique un arrêt de développement d'un organe (
os
, nerf, muscle, etc.) sans aucune autre lésion his
a diminution du nombre des éléments anatomiques qui compo- sent cet
os
, ce muscle, ce nerf, etc. et au point de vue clin
eau ou à une arthrite ancienne, datant de l'enfance. Tandis que les
os
, les muscles, les nerfs qui composent ce membre s
com- plète du sujet), les éléments anatomiques qui constituent cet
os
, ce mus- cle, ce nerf ont le même volume que ce
ution du nombre des éléments qui constiluent un muscle, un nerf, un
os
, un centre nerveux, etc., mais que cette diminu-
t vrai, est peu développé au niveau du pubis et des aisselles ; ses
os
sont assez grêles, ainsi que l'a confirmé la radi
sur le radial, lequel se laisserait plus facilement comprimer sur l'
os
. J'ai répété sur le cadavre nombre des expérien
qui se laisse le plus facilement et vigoureusement comprimer sur l'
os
. Cependant, de par l'étude approfon- die de mon
rie faciale due surtout à l'asymétrie du maxillaire inférieur ; cet
os
présente une différence de 1 cent. 1/2 en moins d
phie n° 1), sont parfois des irrégularités indiquant que le bord de l'
os
a subi une prolifération d'origine périostique.
aperçoit dans le plancher une cavité creusée dans l'épaisseur de l'
os
même. Dans cette ca- vité profonde de 2 centimè
e par « l'augmentation considérable du volume et de la courbure des
os
longs des membres et des os du tronc et de la t
dérable du volume et de la courbure des os longs des membres et des
os
du tronc et de la tête produisant un aspect tout
de Paget se distingue facilement de l'acromégalie ; elle frappe les
os
sans ordre, sans symétrie, tandis que le développ
trémités ; on n'y signalé pas la déformation si caractéristique des
os
longs. (1) RAUZIEII, Revue de médecine, 1891.
5 à 6 ans. La radiographie de la tête montrait égale- ment que les
os
du crâne étaient très développés, et l'on constat
ques et anatomo-pathologiques prouve que la croissance exagérée des
os
, et l'hyperfonction ou l'hypertrophie de l'hypo
énitale (pu- berté) coïncide avec l'achèvement de la croissance des
os
; mais beaucoup de faits prouvent aussi que l'a
développement, une prolongation remarqua- ble de la croissance des
os
: chez les eunuques et chez les animaux castrés
oissance des os : chez les eunuques et chez les animaux castrés les
os
des extrémités deviennent plus longs. Enfin l'on
ants le tableau nosographique suivant : la croissance excessive des
os
, l'infantilisme, hypertrophie de la glande hypoph
Chez Charles H... au contraire il y avait croissance excessive des
os
, hypertrophie de l'hypophyse et en même temps un
ction exagérée de l'hypophyse active le processus de croissance des
os
(fonction ostéogénique), ce que l'on voit dans le
fonction génitale augmente aussi- le processus de la formation des
os
, en ralentissant l'ossification (ainsi s'explique
ralentissant l'ossification (ainsi s'expliquerait l'allongement des
os
chez les individus et animaux castrés) ; finaleme
a débilité psychique et la croissance pathologique et excessive des
os
, que je désirais modifier. Les médicaments de n
e c'est à l'hypophyse qu'on attribue la croissance pathologique des
os
. Dans mon cas la radiographie avait démontré un
ue le corps thyroïde favorise le développement et la croissance des
os
; mes expériences thérapeutiques confirmaient cet
hypophysaire activait le processus de croissance longitudinale des
os
(fait prouvé parla taille extraordinaire de l'e
l'ossification et ainsi empêcher mécanique- ment la croissance des
os
. Si le succès de la médication venait à l'appui
ndes de l'état psychique, et le ralentissement de la croissance des
os
, justifiaient un nouvel examen du système osseux
fication les mêmes faits qu'en 1903 : ossification très avancée des
os
du crâne, et constatation en arrière de la cavi
phie de la main on constata en 1903 que l'ossification de tou : les
os
était avancée ; l'ossification des métacarpiens é
ccomplie les fissures correspondant aux cartilages épiphysaires des
os
longs, et- ient apparentes, mais plus étroites
remarque que sur la dernière l'ombre des phalanges, métacarpiens et
os
du carpe est complè- tement homogène, c'est-à-d
nt homogène, c'est-à-dire que le cartilage épiphysaire proximal des
os
est aussi complètement ossifié ; les fissures cor
ifié ; les fissures correspondant aux carti- lages épiphysaires des
os
longs sont encore visibles, mais beaucoup plus
e. Chez mon malade il existe sans doute une croissance exagérée des
os
qui causa jusqu'à présent du gigantisme ; actue
au niveau de l'extrémité interne du sourcil gauche. Explosion de l'
os
.Dilacération des tissus. Plaie cutanée de 7 centi
bords déchiquetés. , . La portion supérieure du maxillaire droit, l'
os
nasal sont détruits. De même l'oeil droit. L'
xillaire droit, l'os nasal sont détruits. De même l'oeil droit. L'
os
frontal ouvert au niveau de son sinus laisse pass
la peau. Incisions libératrices faites par les chirurgiens russes.
Os
détruit sur le trajet du projectile. Ablation d
par balle de petit calibre tirée à 1.600 mètres'. Pas d'explosion d'
os
. Au niveau des orifices d'entrée et de sortie du
ement et à droite de son point de pénétration. ' ` Explosion de l'
os
sur le trajet du projectile. Incision du péricrân
ement à l'absence du pouce, mais aussi à l'absence du radius et des
os
du carpe en relation avec le pouce, le scaphoïde
pement,car l'ossification du radius précède celle du cubitus. Les
os
de la première rangée du carpe apparaissent tous
phy- siologique comprenant aussi les muscles qui s'insèrent sur ces
os
, leurs vaisseaux et leurs nerfs, et qu'on peut
très courts, les orteils surtout. , La radiographie nous montre des
os
absolument normaux dans toute leur longueur (PI
même. Seule, la crête iliaque n'est pas encore réunie au corps de l'
os
; mais, d'après Poirier, elle ne se soude qu'en
cette affection. Il n'existe ni nouures épiphysaires,ni courbures des
os
longs. Seuls la scoliose Jégère, l'augmentél ti
met de constater la sou- dure complète et précoce des épiphyses des
os
longs el courts, ce qui est la règle dans les d
r tuberculeux ancien, sans fongosités ni masses caséeuses ni dans l'
os
, ni dans l'espace épidural. La dure-mère, non épa
pace épidural. La dure-mère, non épaissie, adhère étroitement t à l'
os
, sur tout le pourtour du canal. Les méninges mo
ement des adhérences nombreuses et étroites entre la dure-mère et l'
os
. Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XI
fait de compression osseuse pure. Mais la dure- mère est réunie à l'
os
par de nombreux tractus fibreux denses qui pour-
a compression des racines semble se faire, le plus souvent, entre l'
os
et la dure-mère. Il est très difficile de dir
à vida modema (2). 1\"110 quero amar comqnanto Mem quero arroito
os
vestidos Quero a lavradora Que va a campo com
sta luxo Se nao tem capital Dizem que elle governo és mau . Qne
os
quer abatir . En digo que é mentira , Que o g
l'existence d'impressions digitées à sa surface interne. L'usure de l'
os
peut être telle qu'elle aboutit à une perforati
cerveau. Sinus latéral et pétreux infé- rieur très profonds dans l'
os
du côté droit, tandis qu'ils sont peu marqués il
sinus latéral, dont la gouttière est beaucoup plus profonde dans l'
os
à droite qu'à gauche. Cerveau (Pl. IX). Poids :
yennes. Cette distribution s'explique en partie par la minceur de l'
os
en ces points; mais une autre cause nous semble
s en ligne de compte, puisque le lobe occipital ne repose pas sur l'
os
, mais sur la tente du cervelet. C'est dans le
ance cérébrale est de beaucoup la plus étroite et constitue entre l'
os
et le ventricule prêt à se distendre un « tampo
dans cette région du crâne, constituée par l'écaille du temporal, l'
os
lui-même est excessivement mince et par conséquen
trouve porté vers le bord cubital. Les doigts sont fléchis sur les
os
métacarpiens; la flexion des phalanges est asse
seurs des doigts étendent la première phalange des doigts sur r les
os
métacarpiens, et la première phalange seulement.
rder leur rainure d'incrustation. L'atrophie semble s'étendre aux
os
, toute la main s'affine et s'étire; la radiogra
. C). Le trophisme de la peau, du tissu cellulaire sous-cutané, des
os
, des ongles, se trouve modifié et d'une manière
ou de la main, blessure qui laisse souvent intacts les nerfs et les
os
, et qui d'autrefois n'a été qu'une simple contusi
ord interne du long supinateur. Pas d'adhé- rence, pas de cal ; les
os
d'ailleurs ne furent pas atteints. 2. Conséquen
L COURBON main et des épiphyses supérieures et inférieures des deux
os
de l'avant-bras. Pas de troubles, sauf une légè
rieure du premier espace inter- métacarpien gauche sans toucher à l'
os
. On constate la cicatrice d'entrée sur le dos d
pination complète. Les méta- carpiens sont sur-le même plan que les
os
de l'avant-bras ; il n'y a donc pas de flexion
t, sur la face palmaire de l'avant- bras, en un point symétrique. L'
os
n'a pas été atteint. 2. Conséquences immédiates
t de sortie, il résulterait que le projectile passa en arrière de l'
os
. On constate la cicatrise d'une opération sur le
dehors, puis en avant, la pre- mier métacarpien. Il semble que cet
os
soit retenu en arrière tout contre le deuxième
u d'acuité font se de- mander au sujet s'il n'a pas une maladie des
os
. 7. Réflectivité. - Pas de modifications appréc
derrière le cubitus gauche au milieu de sa hauteur, a fracturé cet
os
et est sortie à la face antérieure de l'avant-bra
centimètres que par une très mince membrane fibreuse adhérente à l'
os
. En C, attitude presque pas hypotonique ; bless
chondro-osseuse serait primitive. Secondairement, tout autour de l'
os
hypertrophié les tissus seraient obligés, pour se
tions suivantes. Le doigt cubital de la main gauche comporte deux
os
, phalangine et phalan- gette très pâles sur le
âles sur le cliché, ce qui traduit leur peu de compacité ; ces deux
os
sout non pas indépendants, mais unis par une syno
premier examen il pourrait sembler qu'il ne soit composé que de deux
os
, mais c'est là une pure apparence. L'ombre de l
ement sur la photographie. Le 6e orteil, lui, est composé de quatre
os
. Le premier, de forme vaguement cubique, a sens
e, a sensiblement la dimension des phalangettes des bi-orteils. Cet
os
doit être interprété comme représentant le méta
a phalange unguéale sont de petite dimension, environ la moitié des
os
correspondants des orteils normaux. Avant d'ent
oigt. Les deux autres phalanges sont soudées entre elles en un seul
os
affectant uue forme de bonnet de coton, et plus l
sa hauteur, et à l'extrémité antérieure, le métatarse présente six
os
absolument homologues. La ire phalange est semb
e là, d'ailleurs, qu'une apparence due à une superposition des deux
os
sur la radiographie. Une première conclusion
carpien bifide, - cinquième métacarpien avec tubérosité accessoire,
os
surajouté représentant un sixième méta- carpien
culaire, soit le métacarpien avec tubérosité située à mi-corps de l'
os
. Les anciens ailleurs recherchaient avec soin s
Bon-Pasteur. Début le 10 mai, par des crises douloureuses dans les
os
, les muscles des jambes et des cuisses. Inappét
thésie à la palpation des masses musculaires et à la percussion des
os
. Exagération marquée du réflexe rotulien gauche
ême dans les observations IV, II, III) ; crises douloureuses dans les
os
et les muscles des jambes et des cuisses, avec
forcé la douleur notablement plus que la pression des muscles ou de l'
os
. ' Les viscéralgies extrêmement violentes dans
ragus est également un peu plus développé de ce dernier côté. Les
os
sont également plus développés du côté droit de l
'apophyse zygomatique et les deux maxillaires. L'épaississement des
os
apparaît aussi sur les épreuves radiographiques
geur que de 0 cm. 5 celle du côté opposé (10 cm. pour 9 cm. 5). Les
os
du crâne, surtout la bosse pariétale, sont plus
e. - Humérus plus long que normalement. Ex- trémité supérieure de l'
os
régulière ; l'inférieure se bifurque en rameaux
s et d'un cubitus atrophiés. Le carpe est ici constitué par trois
os
: un antérieur avec deux facettes arti- culaire
c deux facettes arti- culaires, à chacune desquelles se rapporte un
os
métacarpien, ce qui paraît le désigner comme os
lles se rapporte un os métacarpien, ce qui paraît le désigner comme
os
crochu. Au-dessus de celui-ci, on trouve la deuxi
mise en lumière par la radio- graphie et peut représenter le grand
os
aussi bien que le scaphoïde. Il n'y a pas d'art
branches de division de l'humérus. Le métacarpe ne possède que deux
os
: les 4° et 5° métacarpiens, dont les extrémité
ié. A l'extré- mité supérieure, l'olécrâne est séparé du corps de l'
os
, et situé derrière l'extrémité inférieure de l'
lation radio-carpienne est complète. On trouve dans le carpe : l'
os
crochu, le grand os et le trapézoïde, chacun Ob
ienne est complète. On trouve dans le carpe : l'os crochu, le grand
os
et le trapézoïde, chacun Obs. I Obs. II Obs
lant avec un métacarpien. A la rangée supérieure, il n'y a que deux
os
(scaphoïde et semi-lunaire) articulés avec le rad
sans atteindre la longueur normale, avec une courbure évidente des
os
, en dehors. Il y a trois doigts à la main, munis
if Irme parais- sent ne pas exister. Au tarse on rencontre quatre
os
distincts, dont les'extrémités inférieures s'ar
sence du fémur gauche, la radiographie permettant de vérifier que l'
os
était réduit à son épiphyse inférieure. Le déve
ait réduit à son épiphyse inférieure. Le développement moindre de l'
os
iliaque gauche était évident aussi. Halbron (
, de pareilles ruptures dépen- dent généralement du déplacement des
os
du crâne pendant l'accouche- ment. Les cas, qui
t peu important est suffisant, pour qu'à cet âge un déplacement des
os
conlre les méninges se produise et donne naissa
blié le traumatisme et l'hémor- ragie parait spontanée. Quand les
os
du crâne sont bien fermes, on doit à priori pense
atrophies musculaires, on constate des altérations de la peau, des
os
et des articulations. , La peau peut présenter
intéressent. Les troubles trophiques portent aussi`souvent sur les
os
et les articula- tions du membre supérieur, par
ste enfin des troubles trophiques considé- rables de la peau et des
os
et que tout ce syndrome contraste singulière- m
itement. Malgré l'augmentation considérable du volume du genou, les
os
ont gardé leurs rapports et leur direction normal
ssi plus que normalement par une croissance pronon- cée surtout des
os
de l'avant-bras. Chez ces individus la grande env
habitude de mentionner dans le type gérodermique la proéminence des
os
de la face, el spécialement de la mandibule, ce q
héréditaire des doigts et dilatation des cavités pneu- matiques des
os
, vendable par la radiographie. tion tibio-tarsi
comme dans l'acromégalie, on a trouvé un épaississement évident des
os
du crâne et des jambes (Voir l'exa- men radiogr
nique, accompagné d'idées de suicide, à la suite d'une fracture des
os
du nez. Le malade est renvoyé guéri à son dépôt
merycismo confunlens..... In recta ruminatione cibus non modo in
os
refunditur, sed etiam remcnsus iterum deglutitur,
t rejoindre la fontanelle postérieure; à gauche, il y a soudure des
os
à 10 cent. 1/2 au-dessus de la racine du nez. L
avant, la fontanelle est moins grande et limitée par la réunion des
os
. Sur les parties latérales de la tête, petite f
é. Au sommet de la tête, le crâne offre une saillie convexe, où les
os
sont plus durs, paraissent plus épais que parto
niveau de la suture interpariétale paraît s'accuser. En ce point, l'
os
paraît très résistant. Une grosse veine part de
ssive. HYDROCÉPHALIE : AUTOPSIE. 119 120 HYDROCÉPHALIE : ÉTAT DES
OS
. externe est formé par le frontal pour les 2/3
de l'occipital. La base, longue de 9 centimètres, est formée par l'
os
surnuméraire, inter- fronto-pariétal ; les autr
nt environ 14 centimètres. L'angle in- férieur est occupé par trois
os
wormiens ayant chacun un peu plus d'un centimèt
quoique indépendants, placés en contact les uns des autres et des
os
voisins. L'angle supérieur droit se prolonge avec
large, longue de cinq centimètres et allant jusqu'à la réunion des
os
frontal et pariétal. En outre des trois os wo
jusqu'à la réunion des os frontal et pariétal. En outre des trois
os
wormiens que nous venons de signaler, il en exi
tures fronto-pariétales ne sont pas ossifiées, mais à ce niveau les
os
sont contigus. A leur jonction avec les sutures
re corps avec le pariétal sans aucune délimitation. L'épaisseur des
os
du crâne est très faible ; ils sont presque par
points opaques; cette opacité est surtout marquée au niveau de l'
os
fronto-pariétal où la voûte crânienne paraît avoi
tal où la voûte crânienne paraît avoir son maximum de solidité. Les
os
ont une certaine élasticité que l'on constate a
e ; il n'offre rien de bien particulier à signaler, sinon que son
OS
SURNUMÉRAIRE. 121 angle supérieur, déjeté latér
ÉRAIRE. 121 angle supérieur, déjeté latéralement, s'insinue entre l'
os
surnuméraire et le pariétal et qu'il est relati
r est arrondi, convexe; son quart antérieur est en rapport avec l'
os
surnuméraire que nous appelons inter-fronto- pa
u des fosses cérébelleuses. Il ne nous reste plus à décrire que l'
os
surnuméraire inter-fronto-pariétal. Il occupe e
lien. En avant, l'extrémité antérieure vient presque au contact des
os
frontaux ; en ar- rière, l'extrémité occipitale
ion s'est opérée avant la mort et a été très accusée. III. a) Les
os
clu crâne, suivant la règle, étaient très (t) C
n des parois abdominales et la brièveté des membres inférieurs, les
os
, excepté les vertèbres, à l'état cartilagineux,
LIE. minces, quelques-uns presque transparents. Mais, en plus des
os
qui composent régulièrement la voûte du crâne, il
ui composent régulièrement la voûte du crâne, il existait plusieurs
os
surnuméraires. C'est sans doute de ces os qu'a
, il existait plusieurs os surnuméraires. C'est sans doute de ces
os
qu'a voulu parler Frank lorsqu'il écrit que « l'e
Frank lorsqu'il écrit que « l'examen cadavérique a fait voir... des
os
sésamoïdes (1), surtout dans le trajet de la su
quelquefois dans la fontanelle antérieure. » Le principal de ces
os
surnuméraires, celui que nous avons décrit sous
de ces os surnuméraires, celui que nous avons décrit sous le nom d'
os
inter-fronto-pariétal, situé sur le trajet de la
s et une épaisseur de sept millimètres. Parce dernier caractère,cet
os
se distingue des autres et il permet de se rend
s très saillantes, ce qui est dû en partie à l'épaississement des
os
(4). 11 peut arriver aussi, d'après Barthez et Ri
os (4). 11 peut arriver aussi, d'après Barthez et Rilliet que « les
os
du crâne acquièrent une épaisseur inaccou- tumé
et Meckel (loc. cit., p. 293), soup- çonnent que la présence de ces
os
tient à une hydrocéphale (Frank. Traité de path
en dehors des fonta- nelles et des sutures, « par une trouée des
os
du crâne (Gi- rallès). » Hydrocéphalie. Le
chevelu, rien de par- ticulier, vertex très développé, très élevé;
os
assez minces. Base du crâne, symétrique, réguli
à l'humérus, l'hu- mérus au radius, aux muscles qui, unissant deux
os
du même segment, radius et cubitus, sont vraime
t de développement du squelette, nul ou à peine sen- sible pour les
os
du bras et de l'avant-bras, très manifeste du côt
en 1895 et d'après ce qui a été dit à la malade on aurait trouvé l'
os
sain et au- dessus un paquet de graisse. La mal
sont conservés, les mouvements d'as- cension et d'abaissement de l'
os
hyoïde s'opèrent normalement. Par contre il fau
supérieurs de l'omoplate, de telle sorte que le bord interne de cet
os
est incliné de haut en bas et de dedans en deho
ns. Indexa 79. La peau du front est lisse, adjacente solidement aux
os
. Le nez est pointu-,^ les joues sont creusées,
men radiographique montre que les épiphyses du fémur, du tibia, dés
os
de l'avant-bras, des métacarpiens et des phalange
rs que cette ligne médiane se superpose presque au bord gauche de l'
os
. Il importe donc de tenir compte de cette déviati
lé; au cours de l'observation, des modifications que présentent ces
os
chez mon malade. La disparition des pectoraux m
e y avoir des modifications atrophiques dans le développe- ment des
os
de la voûte crânienne de cette région ; l'oeil ga
champignon très souple à la palpation et ne semblant pas contenir d'
os
. Dans le 1er espace interdigital existe une petit
ignant entre les deux pariétaux, 5 centimètres de largeur. Tous les
os
de la voûte chevauchent ou peuvent chevaucher les
ntéro-postérieur un peu déjeté en avant et à gauche, représentant l'
os
épactal. Pa1'iélaux.- Les deux pariétaux sont d
d'ossification supérieur et inférieur de l'écaillé). 2. droit 3.
Os
épactal. 4. Pariétal gauche. 5. droit. 6 et
avant par une portion de lèvre, recou- vrant ce qui correspond à l'
os
incisif. Entre ce bourgeon supérieur médio-laté-
lon naso-labial. Au-dessous du bourgeon supérieur de la lèvre est l'
os
incisif, celui-là étant réuni à celui-ci par le
e est l'os incisif, celui-là étant réuni à celui-ci par le frein. L'
os
incisif lui-même adhère au bourgeon profond lat
s, sont dans notre cas soudés entre eux, formant par leur soudure l'
os
incisif revêtu de sa portion médiane de lèvre s
l'hydren- céphalocèle frontale et empêcha ainsi l'ossification des
os
du crâne à ce niveau,ou si la lésion cérébrale
n à signaler du côté des organes génitaux, ni des réservoirs. Les
os
du bassin, à la palpation, sous l'épaisseur des p
ographique du bassin, et de pouvoir ainsi juger de l'état tant de l'
os
iliaque que de l'extrémité supérieure du fémur.
qu'on puisse même discerner les li- gnes de soudure entre les trois
os
(rotule, fémur, os de la jambe). Ces deux derni
iscerner les li- gnes de soudure entre les trois os (rotule, fémur,
os
de la jambe). Ces deux derniers forment ensembl
et la rotule allongée, sou- dée à eux. L'extrémité supérieure de l'
os
de la jambe ne présente aucune trace de structu
résente aucune trace de structure sur l'épreuve diographique. Cet
os
de la jambe, assez volumineux, est unique. Sa fac
ds quadrangulaires. Elle s'articule par son bord postérieur avec un
os
allongé, seul repré- sentant, ici, des sept os
d postérieur avec un os allongé, seul repré- sentant, ici, des sept
os
du tarse. Cet os, allongé de haut en bas et d'arr
un os allongé, seul repré- sentant, ici, des sept os du tarse. Cet
os
, allongé de haut en bas et d'arrière en avant,
te au milieu de son bord inférieur. Il est difficile de dire à quel
os
normal du tarse répond celui que nous trouvons
rticuler directement par son ex- trémité postérieure élargie avec l'
os
du tarse. Peut-être aussi cette extré- mité pos
plus externe et plus inférieur, s'articule avec le calcanéum par un
os
ar- rondi. II porte trois phalanges librement a
orteils normal. Souvent on note quelquefois la soudure de plusieurs
os
du tarse. En un mot, le trait le plus caractéri
est quelquefois en position normale, le plus souvent en valgus. Les
os
du tarse sont confondus en une masse irrégulièr
ns placer le cas que nous venons d'exposer. Quel est celui des deux
os
de la jambe, dont l'absence constitue le caractèr
u tibia peut, nous semble-t-il, être difficilement soutenu. Le gros
os
qui forme à lui seul le squelette de la jambe d
r la cuisse, le pied en- roulé en varus, le tarse réduit il un seul
os
, l'os de la jambe i,ecLiligne., Il s'agiraitdon
uisse, le pied en- roulé en varus, le tarse réduit il un seul os, l'
os
de la jambe i,ecLiligne., Il s'agiraitdoncd'un
ppante, on voit le squelette de la jambe constitué par un seul gros
os
, dans lequel Klaussner n'hésite pas à recon- UN
RE ABDOMINAL DROIT 271 naître le tibia. A celui-ci succède un petit
os
rond puis un autre os plus large, assez court,
naître le tibia. A celui-ci succède un petit os rond puis un autre
os
plus large, assez court, auquel s'articulent le
souvent, siégeant habi- tuellement au voisinage des extrémités des
os
longs, groupées de préfé- rence autour des cart
; elles siègent, d'une façon relativement assez symétrique, sur les
os
des membres, les côtes, etc. Leur second malade
alors qu'il était parvenu à l'âge de 18 ans, des exostoses sur les
os
des bras et des jambes. Ces exostoses allèrent en
rceptibles sous les téguments. Les extrémités supérieures des mêmes
os
et la partie inférieure des fémurs présentent d
g de la crête iliaque, sur les côtes, sur les clavi- cules, sur les
os
des deux mains (métacarpiens et phalanges), sur l
x mains (métacarpiens et phalanges), sur l'extrémité inférieure des
os
de l'avant-bras. Dans le pli cutané qui unit le p
établir qu'il existe réelle- ment un rapport entre les lésions des
os
et certaines altérations du sys- tème nerveux.
tile, on constate souvent une atrophie et même une hyperlrophie des
os
, sans qu'on puisse rattacher cette atrophie à l
paralysie atrophique des muscles et l'arrêt du deve- loppement des
os
... Charcot se base même sur ces faits pour établi
due en surface et en profondeur ; elle atteint maintenant jusqu'à l'
os
. La lésion pulmonaire paraît être en voie de ré
eur stature définitive; et, comme l'accroisse- ment en longueur des
os
se fait au niveau des cartilages de conjugaison,
laires et empêchent de sentir le relief que forme à la surface de l'
os
le cartilage conjugal. D'autre part, la majorit
cain avait atteint l'âge de 22 ou 24 ans au moment de sa mort : les
os
semblent avoir atteint leur entier développement,
ique les jonctions épiphysaires soient encore visibles sur tous les
os
longs. » Une semblable détermination de l'âge d
érieures des deux humérus soudées seulement en partie au corps de l'
os
; des deux côtés également, les épiphyses inférie
l dans l'ossification de ces cartilages : à la périphérie de certains
os
longs, après la macération, une petite zone lai
ilage conjugal : cette ligne épiphysail'e se retrouvait ainsi sur les
os
de l'avant-bras et à l'extrémité supérieure du
rmale des cellules cartilagineuses dans le sens de la longueur de l'
os
; les cellules cartilagineuses à l'état de repo
'observait pas de productions osseuses au niveau des extrémités des
os
. De plus, l'hypertrophie des parties molles, comp
s, l'hypertrophie des parties molles, compa- rativement à celle des
os
, était beaucoup moindre que dans la forme mas-
pouces (0 m. 94). Le même rapport est retrouvé dans les mesures des
os
du thorax, le ster- 5C2 LAUNOIS ET ROY num me
0 m. 35). D'au- tre part, non seulement la mâchoire, mais aussi les
os
du nez étaient manifes- tement élargis. La mâch
nt large. LE SQUELETTE.- Après avoir enlevé les parties molles, les
os
furent macé- rés et nettoyés, dans l'espoir de
ement au- rait délogé les dents de leurs alvéoles, les côtes et les
os
faibles se seraient tor- dus au moindre effort
faire une bonne et solide charpente osseuse de taille moyenne. Les
os
, quoique beaucoup plus grands, étaient il peine p
l'omoplate et le péroné, par exemple, n'excédant le poids moyen des
os
sains que de 10 pour 100. Le squelette. GIGAN
, aussi bien en largeur qu'en longueur ; en particulier le nez, les
os
malaires et les maxillaires, aussi bien le supé
racine et de la partie osseuse du nez ; 2° A la saillie notable des
os
malaires. Par contre, l'allongement porle surto
ivement au reste du membre. Musculature faible et flasque. Tous les
os
semblent, à la palpation, augmentés non seulement
ions. Mais cet accroissement n'est pas propor- tionnel sur tous les
os
: ainsi l'axe longitudinal de la main est incliné
ET INFANTILISME 57d Pas d'exostoses, sauf quelques ostéophytes aux
os
de la jambe. Les épiphyses sont plus inégales q
du biceps sur le radius, celle du sous-clavier à la clavicule. Les
os
sont très légers, car la substance compacte cor
le d'araignée. Ostéoporose remar- quable, accentuée dans les petits
os
, particulièrement ceux du tarse, au point que l
ongement et d'élargissement qu'il est à peu près sans exemple : les
os
nasaux sont doublés de largeur (15 mm.), et de lo
t du squelette, on peut parfois noter un accroissement excessif des
os
(Henry Meige) (1). Il y a peu de temps, le profes
us prononcés (Voir PI. LXVIII) (5). Voici la mensuration exacte des
os
des membres de cet homme prise au la- boratoire
ifformes, manifestement inspirés par la vue de nains en chair et en
os
? Peut-être en est-il de même de certains géant
nant l'impression éprouvée en face de certains géants de chair et d'
os
. Du moins n'ai-je rencontréjusqu'à présent aucune
nde rapidité et envahit bientôt toutes les parties voisines, muscles,
os
, etc., comme le représente la planche V. Les ga
es voisins du lieu affecté, par exemple, le foie, le péritoine et les
os
. V. Cornil. Cas d'Obésité Observé par M. le
nouveau cas de cette redoutable opération avec excision entière de l'
os
est relaté par le docteur Rogers, de New-York, qu
r une jeune fille de sept ans, atteinte d'un cancer médullaire de cet
os
. Une partie sous forme de tumeur en avait déjà ét
nt en arrière de la région cervicale, et en bas jusqu'à l'aisselle. L'
os
fut ainsi soulevé et détaché de bas en haut et d'
ère en avant, sans complication d'hémor-rhagie ni d'aucun accident. L'
os
enlevé, frappé de cancer dans sa totalité, pesa
ient très jeunes ; car avant que l'épiphyse soit soudée au reste de l'
os
, la résection peut être faite sans mettre à nu le
la diaphyse, dit à son tour M. Humphry, la croissance ultérieure de l'
os
est à peine altérée, et le membre peut, après l'o
sont durs, résistants, comme fibreux, fortement appliqués contre les
os
, sans contracter avec eux aucune adhérence immédi
ge des condyles ; là on sent encore la trace de ces apophyses, mais l'
os
paraît se terminer d'une manière brusque par un l
sur des moignons anciens, suites d'amputations dans la continuité des
os
. Le bras se termine par un moignon parfaitement a
se lardacée, les muscles se distinguent mal des parties voisines. Les
os
même peuvent être atteints et de nouvelles couche
s se développent sous le périoste; il y a véritable hypertrophie de l'
os
.* Il était intéressant de connaître l'état du sys
se 3,040 grammes. La tête est bien développée : rien à noter dans les
os
du crâne. La lèvre inférieure est normale; le m
quelque chose qui rappelât un tendon fixé à l'un ou à l'autre de ces
os
rudimen-taires. Sur le pied droit, les lésions
e développement qui, quelquefois, porte même sur le rachis et sur les
os
du crâne, ne constitue pas toute la manifestation
a malade meurt deux heures plus tard. Autopsie le 16 juin. — Tête :
Os
, péricrâne, rien. — Les artères de la base offren
nse que c'est l'occipital d'un fœtus enclavé ; pour nous ce serait un
os
iliaque irrégulièrement conformé. En avant du m
t le phénomène dont il s'agit, avaient constaté l'existence de quatre
os
coxaux dans le bassin, dont tous les diamètres ét
celles-ci sont en tout semblables aux cellules mères de la moelle des
os
. Il n'y aucune substance interposée entre ces dif
, sans tendance à la cicatrisation et creusant profondément jusqu'aux
os
qu'ils détruisent lentement et sans grandes doule
'établissent des ulcères fistuleux qui aboutissent profondément à des
os
malades, et c'est alors que l'on voit,comme nous
oration de l'éther, je fis une première incision depuis le corps de l'
os
hyoïde jusqu'au bord interne du cartilage cricoïd
par Bourneville. Suite (l) Autopsie le 18 décembre. — Péricrâne,
os
, rien de particulier. L'ablation de la calotte cr
natomie pathologique n'est pas moins intéressante. L'hypertrophie des
os
de la moitié du crâne correspondant à la lésion,
doit pas être considéré comme rétréci par courbure et déformation des
os
qui le composent. Son défaut de symétrie est dû à
d'histologie normale et pathologique, et comprend la description des
os
. C'est, à proprement parler, une entrée en matièr
ltat d'une ostéite considérable qui avait envahi la totalité des deux
os
. Cette forme d'ostéite éléphantiasique peut don
éite éléphantiasique peut donner lieu à une hypertrophie générale des
os
qu'elle attaque, sans que la surface de ces os pr
ertrophie générale des os qu'elle attaque, sans que la surface de ces
os
présente des saillies en forme de choufleur, comm
résent. La maladie peut se localiser dans une portion quelconque d'un
os
et produire dans cette région une éxostose ou un
éléphantiasis l'envahissement du tissu osseux par cette maladie ; les
os
, en effet, ne sont atteints qu'en dernier ressort
ils les plus avantageux. Les résections de la hanche, du genou, des
os
nécrosés, les fractures (crâne, rachis, humérus,
que dans les parties superficielles ; il semblait à la malade que les
os
fussent atteints, et, d'un autre côté, une pressi
es correspondant à la mâchoire étaient amincies, très-adhé-rentes à l'
os
, formant en quelque sorte corps avec lui. C'était
bord inférieur du maxillaire, principalement auprès de l'angle de cet
os
. La moitié gauche de l'ouverture buc-cale est moi
'arrêt de développement du système osseux. L'atrophie qui affecte les
os
n'est nullement en rap-port nécessaire avec le de
lieu de faire remarquer qu'en outre de l'atrophie des muscles et des
os
, on trouve à l'autopsie, dans les cas de ce genre
, se raccourcissent également ; il en est de même des ligaments ; les
os
eux-mêmes se déforment par le tassement de leurs
ls plus obéissants que le sterno-mastoïdien? Et les ligaments? et les
os
surtout? parviendrons-nous, par des moyens mécani
inée vers la terre, tandis qu'elle est destinée à regarder en haut...
Os
homini sublime dédit..., et cette explication leu
au derme d'un côté et relié de l'autre, par des tractus fibreux, à l'
os
pisiforme et au bord interne du cu-bitus. Dans
pisiforme, on s'explique fa-cilement les adhérences au niveau de cet
os
. Le petit palmaire déjà épanoui est adhérent à la
dominance des autres musc'es de l'éminence thénar, qui s'insèrent à l'
os
sésamoïde exlerne; ceux-ci sont surtout opposants
dies du nez, des fosses nasales, des sinus frontaux, des sinus et des
os
maxillaires, de la bouche et des appareils de séc
x premières vertèbres sacrées, jusqu'au niveau du bord supérieur de l'
os
coxal. Un fil mené du point de sortie de la tum
rnières vertèbres dorsales, les vertèbres lombaires, le sacrum et les
os
coxaux sont aussi normalement conformés. Mais la
beaucoup moindre et rappelle tout à fait celle du tissu spongieux des
os
. Elle adhère à la troisième côte gauche et à son
versées par des trabécules semblables à celles du tissu spongieux des
os
. Le pédicule est con-stitué par une^coque d'aspec
ns dans les der-nières guerres. Lorsqu'un projectile vient frapper un
os
dans sa diaphyse et le fracture, il produit en mê
e arrivant jusqu'au deuxième degré, et cela dans toute l'étendue de l'
os
. Cet ébranlement, peut s'étendre également aux
te l'étendue de l'os. Cet ébranlement, peut s'étendre également aux
os
voisins à tra-vers les articulations et les parti
° Lorsqu'un projectile, animé d'une grande vitesse, vient frap-per un
os
dans sa diaphyse, et broyer en même temps les mus
'arcade cru-rale, et paraît manifestement implantée sur le corps de l'
os
; de là, elle s'étend jusqu'à la partie supérieur
mplète-ment le creux poplité, et contourne la partie postérieure de l'
os
; elle se continue également avec le tiers supéri
galement avec le tiers supérieur du fémur, mais la transition entre l'
os
et la tumeur se fait d'une manière un peu moins b
ies molles, et fait la ligature de la fémorale, s'apprêtait à scier l'
os
, lorsque le malade fut pris d'une syncope causée,
ndant les mouvements violents que l'on avait dû imprimer au malade, l'
os
s'était brisé juste à la limite supérieure de la
n amincissement considérable de la substance com-pacte à ce niveau. L'
os
fut scié, un peu au-dessus, et bien que la surfac
avant de plusieurs centimètres. L'extrémité supé-rieure de ce dernier
os
n'est pas saine; le tissu est raréfié, injecté et
u côté du fémur, et a subi la même dégénérescence sarco-mateuse que l'
os
lui-même. Les ligaments sont simplement amincis,
de la partie sous-trochantérienne du fémur et au niveau de laquelle l'
os
s'était rompu. Le tissu est ferme à la coupe, com
nt en dedans, traversent obliquement la crête et la face interne de l'
os
pour reprendre au niveau du cou-de-pied leur situ
à la base de l'anse, échappant ainsi à toute com-pression. État des
os
. — La fracture ne siège pas au même point sur les
État des os. — La fracture ne siège pas au même point sur les deux
os
: elle est située plus haut sur le tibia que sur
pacte circonscrivant un large canal central rempli de moelle jaune. L'
os
a pris une forme arrondie par suite de la dispari
crête du tilia fait complètement défaut et les différentes faces de l'
os
ne sont plus distinctes l'une de l'autre. Le péri
agineux. L'examen microscopique, fait au moyen de coupes comprenant l'
os
et le tissu fibreux qui le re-couvre, n'a démontr
articulaires antérieures s'avancent très-loin sur le col. Tous les
os
du tarse, et, en particulier, le calcanéum et l'a
eur du pouce complètement graisseux, tandis que la portion qui va à l'
os
sésamoïde externe était normale. Malgré la diffic
ieur du ligament annulaire et à la partie la plus supérieure du grand
os
; enfin, la direction générale de ce faisceau grai
olongement du côté de l'excavation pelvienne, sans adhérence avec les
os
du bassin. Les ganglions inguino-cruraux n'étaien
profondément et un peu en dehors, on arrive sur le péroné. Les deux
os
de la jambe paraissent avoir subi une sorte de to
it en bas; 2° qu'à la partie déclive de chacune d'elles était situé l'
os
tincae; 5° que de cette ouverture s'écoulaient le
escente complète de la matrice sans renversement en ce que, quoique l'
os
tincae soit réellement à la partie déclive de la
ose qui n'est pas encore limitée, on peut prévenir la chute du nouvel
os
et hâter l'élimination des séquestres en employan
pourra être employé toutes les fois que le pus séjournera autour de l'
os
nécrosé. — A cette occasion, l'utilité des appare
s articulaires, faire précéder la désarticulation par la section de l'
os
à désarticuler; 5° pratiquer l'extirpation isolée
ène à suivre le chemin le plus sûr, le moins dangereux ; en suivant l'
os
ou les frag-ments osseux, en détachant les insert
courants électriques dans tous les tissus, dans les tendons, dans les
os
, dans les artères, aussi bien que dans les muscle
et la rabattant en avant avec le pavillon de l'oreille, en rasant les
os
, on voit que celte par-tie du squelette ne présen
s points. Rien dans les sinus; la dure-mère se décolle facilement des
os
, mais rien de particulier au niveau du rocher gau
ment des os, mais rien de particulier au niveau du rocher gauche. Les
os
y sont peut-être un peu plus friables, plus secs
alors, mais non complètement déformée. Si la crépitation existe, les
os
sont en contact immédiat, éburnés, moulés l'un su
breuse et le feuillet pleural épaissi. — Au niveau des fractures, l'
os
est réduit à l'état d'une sorte de pulpe jaunâtre
nt L s agents de celte compression ? Celle qui est déterminée par l'
os
lui-même, bien qu'elle doive être admise est d'un
des masses de l'axis part un ligament fibreux pour la clavicule. Cet
os
, relativement développé, surtout à droite, est re
; l'omoplate n'existe pas; à gauche, l'omoplate est constituée par un
os
à l'état cartilagineux, fortement recourbé, dont
nt sur les vertèbres ; les deux sui-vantes forment en arrière un seul
os
s'insérant sur la colonne, bi-fide en avant, et s
n an après commença la maladie qui a donné lieu aux défor-mations des
os
. Victoire garda le lit durant trois mois. L'altér
ux ne se laissent pas traverser, ou très difficilement; le verre, les
os
sont dans le même cas. Des nombreuses expérienc
ines masses musculai- res deviendront visibles, et enfin les divers
os
apparaîtront avec la plus grande netteté; si, i
en effet une fracture complète de l'humérus, les deux parties de l'
os
étant absolument disjointes ; légèrement en avant
ne extension énorme, mettant à nu les muscles profonds et jusqu'aux
os
. Cette vaste plaie béante était et est encore d
es écartées, un torse irrégulièrement gibbeux, des membres grêles aux
os
incurvés. On les voit se livrer à toutes sortes
our soulever la peau (1), une autre (T) pour saisir les fragments d'
os
, des sondes bou- tonnées (P). Une sonde creus
elle est absolument impuis- sante à nous indiquer de quel côté de l'
os
cette balle se trouve; qu'elle soit en avant, q
rpien. Restait à savoir si elle était en avant ou en arrière de cet
os
. Il est bien certain que si elle avait été en ar-
photographie. L'histoire du malade démontre péremptoirement que les
os
ont été atteints, puisqu'on a enlevé une esquil
s sombre. Cela nous indique qu'il y a eu en ce point une lésion : l'
os
est devenuplus épais ou plus opaque. Si on ra
carpien, a cheminé oblique- ment en éraflant le bord externe de cet
os
, a fracturé le quatrième méta- carpien et est v
vrai; se de- mander, si elle n'est pas logée dans l'épaisseur de l'
os
. Mais la' photogra- phie permet de lever encore
le dernier point de doute. Si la balle était dans l'épaisseur de l'
os
, il se serait produit autour d'elle de l'ostéite
coupée sur lui de telle sorte qu'une moitié est restée, contre cet
os
,. tandis que l'autre a cheminé jusqu'à ce qu'el
s fragments était telle que je n'ai pas pu faire le cer- clage de l'
os
; j'ai dû me borner par nécessité à mettre un seul
bsence de régénération de l'olécrane. On voit en outre que les deux
os
de l'avant-bras ont subi un glissement en dehors.
einte de rachitisme. Il existe encore des incurvations marquées des
os
des avant-bras, des fémurs et des tibias. Les c
oigts et de la main consécutives aux lésions tuberculeuses de leurs
os
: déformations fréquentes, étant donné la banalit
euvent se produire à la suite des lésions syphi- litiques des mêmes
os
; elles sont beaucoup plus rares : aussi ne croyo
cette pre- mière phalange à son extrémité métacarpienne, les trois
os
de l'index ont gardé leur aspect et leurs propo
mation, ses caractères un peu différents, l'adhé- rence ou non de l'
os
aux parties voisines ou à la peau permettront d'o
, l'index légèrement fléchi. 2° Déformations siégeant au niveau des
os
. - Nous les diviserons en dé- (1) BEAUIIEGAIID.
CONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE formations portant sur la largeur des
os
, en déformations portant sur leur longueur, et
formations portant sur leur longueur, et en absences complètes d'un
os
. a) Les déformations portant sur la largeur des
s complètes d'un os. a) Les déformations portant sur la largeur des
os
sont les plus com- munes ; on peut dire que la
qui peuvent aller jusqu'à produire une solution de continuité de l'
os
, une véritable fracture pathologique comme dans u
ion de Riehl. - - b) Les déformations portant sur la longueur des
os
entraînent des dé- formations plus curieuses en
a phalange symétrique. Ce raccourcissement peut aussi porter sur un
os
du métacarpe, et la première phalange du doigt
. Nous n'en connaissons qu'un exemple, dû à Taylor et dans lequel l'
os
absent était la deuxième phalange du médius gau
s de la main consécutives aux ostéites syphili- tiques de ces mêmes
os
. - Ajoutons que leur ostéomyélite provoque une
nt dystrophique qui entraîne la difformité apparaît, tantôt sûr les
os
, tantôt sur les articulations, tantôt sur les mus
ue si souvent de tant d'autres anomalies évolutives portant sur les
os
, les articulations, les muscles ou la peau, qu'
z bien proportionnés. Mais une légère incurvation des tibias et des
os
de l'avant- hras, ainsi que leur face vieillote
nains'. On en'reconnaît aisément les traces dans l'incurvation des
os
des membres, des jambes surtout (en parenthèses
développement du système squelettique semble moins complet pour les
os
de la face que pour ceux du corps et des membre
moncellement de graisse où se noient les reliefs des muscles et des
os
. ' ' , - Deux paquets adipeux gonflent la poitr
à la hauteur de l'impressio petrosa ; comme si la pars petrosa de l'
os
tem- poral avait été un obstacle il la propagat
es, et s'étendait latéralement depuis les omoplates jusques sur les
os
des iles, sur toute la ré- gion hypogastrique,
evenue en peu de temps contrefaite par un amollissement général des
os
. Paris, 1 î;i2, in-12. LA MALADIE DE LA FILLE D
LISÉE CONGÉNITALE (Sclérose atrophique de la peau, des muscles, des
os
), par LE Pr GRASSET. Leçon clinique faite le
éché : le tissu cellulaire sous-cutané a disparu, les muscles elles
os
sont atrophiés à l'extrême, la peau présente un
tant sur la peau, le tissu cellulaire, les muscles, les tendons, les
os
, les organes génitaux... Il en résulte un état
as. Voyez la face (I'1. XXXVIII) ; la peau est appliquée contre les
os
; l'ah- sence de muscles est à peu près complèt
t implantés sur un front plutôt court et perpendiculaire. Enfin les
os
de la face sont très notablement atrophiés et d
émergen en saillies. Aux coudes, les extrémités articulaires des
os
, en raison de l'exiguïté des muscles qui s'y in
peau devient de plus en plus serrée, mince, tendue, collée contre les
os
. Les poignets sont maintenus fléchis presque pe
sont bien les rétractions fibreuses qui commandent la position. Les
os
du carpe, bien que formant bloc, lassés et s'en
est très amincie, lisse, appliquée fortement et directement sur les
os
et malgré ce, bien que malai- sément, on peut e
lates ont conservé é un volume normal : ce sont peut-être les seuls
os
en rapport avec (IL[ sujet. L'abdomen est tendu
ar l'état lisse, l'amincissement, l'ap- plication serrée contre les
os
. - Au niveau des pieds, à la face dorsale, la p
peau le tissu cellulaire sous-cutané, les muscles, les tendons, les
os
, les viscères ne présentent rien d'anormal. Le
est né malingre, avec une peau dure, appliquée en masse contre les
os
. Ce point est im- portant à relever ; il permet
joue gauche en voie de guérison. Cicatrite ancienne adhérente il l'
os
, au tiers supérieur de la cuisse gauche. Abcès de
ires décrites par Hutinel, aux lésions de la rate, des poumons, des
os
, de la peau, des muqueuses et des ganglions décri
. Il leur semble qu'on leur brise les membres, qu'on leur broie les
os
du pied et de la jambe, qu'on les pique, qu'on
rougeâtre contenant des grumeaux de nature évidemment nerveuse, les
os
sont écartés, il y a communication avec la cavi
une goutte de sang ne s'é- chappe. Apparence normale à part cela.
Os
du crâne chevauchant considérablement. Cerveau ra
re réfute l'assertion que toutes les fractures de côtes ou d'autres
os
sont le résultat de mauvais traitements de la p
rales, coxo-fémorales, fémoro-tibiales.eten outre une fracture de l'
os
iliaque droit et du péroné gauche. Ces deux der
érieur chez un ataxique 1. 1 Vallin. Des altérations trophiques des
os
maxillaires dans l'ataxie locomotrice. {Union m
ue un peu irrégulière. 13. Humérus. L'extrémité supérieure de l'
os
ne constitue plus qu'une saillie conique où on
comme on le voit dans la figure 5. L'extrémité inférieure de cet
os
est saine; on y remarque seulement une per- f
ire sont tellement amincis d'arrière en avant que cette partie de l'
os
n'a pas plus d'un centimètre d'épaisseur. Il re
'épine. C'est la padio inféiieuro de l'épine de l'o- moplate où l'
os
est éburné qui était en rapport avec ce qui
suttord'uneusure. Au dessous , au contraire, l'épais- seur de l'
os
est plutôt exagérée , et on remarque en ce
r- rière et en dehors un petit bourre- let rugueux. Le reste de l'
os
n'offre rien d'anormal. Le ligament rond étai
trochanter, sur la face anté- rieure et près du bord interne de l'
os
, on remarque une petite dépres- sion peu proioi
iliaque. Avant de décrire l'état de la surface articulaire de cet
os
, nous dirons quelques mots d'une autre lésion
pcndant la vie. Fracture de l'ilion. Sur la face ex- terne de l'
os
(Fig. G) on trouve un sillon profond, trace d'u
esque toute son étendue d'une profondeur égale à l'épaisseur de l'
os
, on trouve sur la fosse iliaque externe, des sa
ve une crête également rugueuse d'en- Fig. 6. - Face externe de l'
os
iliaque droit montrant l'absence de consolidati
enne. Cette production forme comme une espèce d'attelle accolée à l'
os
. Cet aspect de la face interne de la fosse ilia
été décrite par Duverney sous le nom de fracture en tra- vers de l'
os
des lies et dont, dans un autre travail', nous no
ne petite dépression qui logerait une lentille, et autour d'elle, l'
os
est un peu poreux. En arrière, vers la base de
ouve une dépression portant sur la demi- circonférence externe de l'
os
, dépression irrégulière, semblant résulter d'un
s, dépression irrégulière, semblant résulter d'une usure comme si l'
os
avait été râpé. Le grand tro- 1 Ch. Féré. Étude
e saillie de 2 ou 3 millimètres sur le côté interne du corps de l'
os
. La partie de ce moignon qui était en contact a
orps de l'os. La partie de ce moignon qui était en contact avec l'
os
iliaque est recouverte d'une couche de tissu fi
fibreux rappelant le fibro- carhlage. L'extrémité inférieure de l'
os
est extrême- ment poreuse, mais il n'y a pas de
t et surtout marquée sur le condyle interne. Quand on considère l'
os
par sa partie pos- térieure, on ne trouve plus
déformation considé- rable de l'extrémité in- férieure. Fig 10.
Os
de la jambe gauche. Usure et déformation de la
qui reste de l'ex- trémité supérieure du fémur. Cette surface où l'
os
est aminci, s'étend depuis la base' de l'épine
ent un aspect poreux tout spécial, indiquant une raréfaction de l'
os
. ' B. Fémur (Fig. 12 La moitié inférieure de la
faire reconnaître la position occupée pendant la vie. Fig. Il. -
Os
iliaque droit, usure de la cavité cotjloide.
surtout l'interne, assez notablement effondrés. (N" 6). Fig. 13.
Os
iliaque gauche. Usure de la cavité cotyloïde et
it, de la jambe gauche. (N° 11.) 1° Humérus gauche (Fig. 35). Cet
os
présente vers son tiers inférieur une fracture
- mineux et irrégulier. 2° Avant-bras droit (Fig. 16). Les deux
os
sont fracturés au-dessus de leur extrémité infé
nions par du tissu fibreux. 3° Jambe gauche. (Fig. 17). Les deux
os
sont fracturés, mais à des hauteurs très différ
l ont complètement disparu, la perte Fig. 96. -- Fractures des deux
os
de l'avant-bras droit (face posté- rieure).
-bras droit (face posté- rieure). Fig. 17. - Fractures des deux
os
de la jambe gauche (face pos- térieure). LÉSI
sur d'autres elle est rugueuse et présente un aspect spon- Fig. 18.
Os
de la hanche gauche. Usure de la cavité cotyloïde
ute son étendue, sauf au niveau de l'échancrure cotyloïdienne, où l'
os
a conservé son apparence normale. Le fond de la
tre une surface irrégulière et spongieuse. Sur la face interne de l'
os
iliaque entre la crête innominée, le trou sous-
timètre carré environ comprenant toute l'épaisseur du fond Fig. 19.
Os
de la hanche droite, déformation de la cavité cot
e même aspect se retrouve du reste sur la partie postérieure de l'
os
jusqu'à la bifurcation supé- rieure de la lig
deux centimètres de long sur un de large, au niveau de laquelle l'
os
est détruit sur une petite épais- seur. Il n'
eu au-dessus de l'union du tiers moyen avec le tiers inférieur de l'
os
, à cinq à six millimètres en dehors du bord inter
ce que le trait spiral au lieu de parcourir la face antérieure de l'
os
, contourne les faces interne et externe , et qu
e tient à la différence de structure des deux tiers supérieurs de l'
os
où on voit un renflement fusiforme d'un aspect
ecti- ligne indique le sens dans lequel l'extrémité inférieure de l'
os
a tourné, il est probable qu'il s'agit ici d'un
; puis il banda la tête en fai- sant de son mieux la coaptation des
os
. Pendant tout ce temps le blessé était sans con
, il y a eu réunion osseuse ; mais dans la moitié antérieure, les
os
demeurent séparés par un espace d'environ un quar
réditée,. que le son du diapason se transmet directe- nzent par les
os
au contenu labyrinthique;, or, cela est une err
; 2° d'arlerl z·ada'cum î)osieî,io2,u)2z, d'arlez·i commun postica
OS
? 0/'MM ! latérales, nos artères radiculaires p
obes occipital et temporo-sphé- noïdalont les mêmes limites que les
os
qui les recouvrent, et l'on pourrait croire qu'
ération est parfois telle qu'elles pénètrent comme on sait dans les
os
du crâne. Ce tra- vail anatomo-pathologique, es
ait aucune apparence de troubles trophiques du côté de la peau, des
os
ou des jointures. Les membres inférieurs étaien
érieure gauche, enfin la tète de l'humérus droit : à l'égard de cet
os
, l'intégrité des troncs nerveux du bras et de l
s plus malades (idiots profonds), amélio-rés à la petite écolo, par M"
os
Blanche Agnus, Aman-dine Bohain et leurs collabor
50 16 1878 75 0 627 75 9 1028 25 Brosserie (1). 2G nov. 1888 8 4020
OS
8 3410 72 7 5152 85 8 5444 60 12 2674 80 10 2892
Méningite. Tuberculose pulmo-naire. Opposition à l'autopsie.
Os
du crâne épais, lourds ; pas de Synostose. Méning
Méningo-encéphalite. Persistance du thy-mus. Congestion pulmonaire.
Os
du crâne très minces, spongieux. Pas de Synostose
Pas de Synostose. Persistance de la fontanelle an-térieure. Nombreux
os
wormiens. Méningo-encéphalite disséminée. Arrêt d
des circonvolutions. Sillons superfi-ciels. Tuberculose pulmonaire.
Os
du crâne assez épais, ovoïde, épaississe-ment de
des deux lèvres de la scissure. Pas desynostose. Tub. généralisée.
Os
du crâne durs, ovïde, congestionnés, épais-sissem
, symétrique plus pronon-cée à droite qu'à gauche. Tub. pulmonaire.
Os
du crâne très durs, applatissement consi-dérable
de la pie-mère. Pas de Synostose. Méningo-encé-phalite dissiménée.
Os
du crâne durs, ovoïdes, congestionné», épaississe
Myocardite. Infection d'origine intestinale. particularites.
Os
du crâne peu durs. Pas de Synostose, forme ovoïde
sur la moitié post. du lobe temporal, de L.Q. et un peu sur C.C.C.
Os
du crâne, épais, durs; pas de Synostose. Méni ngo
stance du thymus. Congestion pulmonaire. Opposition à l'autopsie.
Os
du crâne minces, peu dures, pas de Synos-tose ; p
pas de Synos-tose ; plagiocéphalie. Cerveau non examiné. Cachexie.
Os
du cnâne minces, peu durs. Pas de Synos-tose. Mén
à l'autopsie. Opposition à l'autopsie. Oppositton à l'autopsie.
Os
du crâne minces, peu durs ; pas de Synos-tose. Mé
ire. pulmo- Broncho - pneumonie tuberculeuse. PARTICULARITES.
Os
du crâne minces et très durs; pas de Synostose. B
du crâne minces et très durs; pas de Synostose. Broncho-pneumonie.
Os
du crâne minces, peu durs ; pas de Synos-tose. At
e Synos-tose. Atrophie vermicellée du L Q. Tubercu-lose pulmonaire.
Os
du crâne minces ; calotte ovoïde ; pas de Synosto
de Synostose. Méningo-encéphalite. Broncho-pneumonie ; tuberculose.
Os
du crâne peu durs ; pas de Synostose. Rien de par
noter dans les centres ner-veux. Appendicite perforée tuberculeuse.
Os
du crâne minces et peu durs, pas de Synos-tose. R
de particulier dans les centres nerveux. Tuberculose ganglionnaire.
Os
du crâne minces, peu durs, pas de Synos-tose. Per
lobes frontaux. Tub. géné-ralisée et congestion pulmonaire intense.
Os
du crâne minces, durs ; pas de syonstose. Rien de
en-tres nerveux. Tuberculose pulmonaire. Opposition à l'autopsie.
Os
du crâne miuces et peu durs ; pas de Synos-tose;
n à l'autopsie. Os du crâne miuces et peu durs ; pas de Synos-tose;
os
épactal. Rien de particulier daus les centres ner
rein. Péritonite purulente géné-ralisée. Opposition à l'autopsie.
Os
du crâne minces, peu durs; pas de Synos-tose.— Sc
....... 8 ans. Idiotie profonde Paraplégie 26 nov. Broncho-pneumonie.
Os
du crâne minces, peu durs; pas de synos- spasmo
iller avec le plus grand soin les aliments, d'enlever les fragments d'
os
ou de tendons, susceptibles de produire des accid
e. Broncho-pneumonie PARTICULARITÉS. Opposition à l'autopsie.
Os
du orùnemmces, peu durs, pas de Synos-tose. Persi
, pas de Synos-tose. Persistance du thymus. Tuberculose pulmonaire.
Os
du crâne peu épais, peu durs, pas de Sy-nostose,
e. Ventricule latéral droit dilaté. Méningite et broncho-pneumonie.
Os
du crâne très minces, peu durs, trigone ; nomb. p
rès fine. Aspect fœtal des circonvolutions. Con-gestion pulmonaire.
Os
du crâne peu épais, assez durs, légèrement trigon
èrement trigone, rétrécissement notable du frontal. Pas de Synostose,
os
épactal très large. H. droit vascularisation surl
M. semble appliquée. Circonvolutions sau-monées. Tub. généralisée.
Os
du crâne^ épais, durs ; pas de Synostose. Scléros
ique du lobe occipital. Tub. pulmonaire. Opposition à l'autopsie.
Os
du crâne minces, peu durs, pas de Synostose. Méni
de Synostose. Méninge-encéphalite disséminée. Infarctus pulmonaire.
Os
du crâne très minces, peu durs, pas de Synostose.
9 déc. CAUSE DU DÉCÈS. PARTICULARITÉS. !_ ! Syncope probable-
Os
du crâne épais, durs, pas de Synostose, ment du
t l'ankylose générale des vertèbres, des côtes, de l'occipital et des
os
du bassin. 11 ne reste de séparation qu'entre les
as de trace évidente de rachitisme au bassin ni dans ce qui reste des
os
des membres, il est probable que cette affection
se continue ensuite en ligne droite jusqu'au sacrum ; il s'unit à cet
os
sous un angle très peu marqué, rentrant à droite.
rum, entraîné par la colonne vertébrale, a pris la même direction ; l'
os
iliaque gauche, comprimé, tiraillé, s'est dévelop
'étend aux clavicules, aux humérus, aux avant-bras, aux fémurs et aux
os
des jambes ; de même que dans le cas précédent, e
mitive n'était pas purement musculaire, qu'elle a aussi porté sur les
os
, cl, en particulier, sur la première lombaire; ma
droite dans la position horizontale qu'on a donnée ici au corps de l'
os
. Celui-ci est très abaissé à droite, quand on rep
s déviée à gauche. Inclinaison analogue de la partie postérieure de l'
os
par rapport à sa partie antérieure. Fig. 15. —
rqué. De même rieure dépend surtout de ce que Je tiers antérieur de l'
os
forme que la première, elle a perdu de sa largeur
ôte est moitié moins large que la droite, mais un peu Le corps de l'
os
est large, mince, transparent même par places, pl
et son col sont minces et aplatis dans le même sens que le corps de l'
os
. 5. Cinquième côte. Droite. Gauche. Moins cin
ilieu du corps est une crête longitudinale qui partage cette face l'
os
, montre comment sa partie postérieure a changé de
qu'il traverse oblkmement. Col aplati et plus large que le reste de l'
os
. Droite. 12. Douzième cote. Gauche. Plus
urs d'entre eux, ainsi placés en regard, ne semblent pas être le même
os
à droite cl à gauche. PLANCHE DIXIÈME. Fig. 1
nsidérable que les trois dernières vertèbres lombaires reposent sur l'
os
iliaque gauche et remplissent en partie la marge
r l'angle inférieur de l'omoplate gauche; élévation du premier de ces
os
, abaissement et obliquité du second ; léger excès
épond à l'union du voile membra- neux et de la joue, au niveau de l'
os
malaire. Lorsque la contrac- tion se produit, l
uvert par les matériaux. Il en reçut une fracture très étendue de l'
os
pariétal droit, de laquelle il porte encore les
es cheveux sont complètement absents. Cette exostose commence à l"
os
pariétal, environ à 5 centimètres au-dessus de l'
n à 5 centimètres au-dessus de l'oreille et empièle au-devant sur l'
os
frontal en s'étalant de façon à prendre une for
sme pouvait avoir agi de deux façons : 1° ou par une dépression des
os
du crâne ; 2° ou par une irrita- tion lente pro
, l'hémiplégie aurait été l'effet de la compression exercée par les
os
sur les zones excito-motrices et elle aurait dû
rait être attribuée ni aux lésions des nerfs ni des muscles, ni des
os
et encore moins de la moelle. Il s'agit donc d'
: 120 et 780. Rachitisme du crâne, adhérence de la dure-mère avec l'
os
, faible dilatation des ventricules, adhé- rence
ans lesquelles de petits épanchements sanguins dans l'épaisseur des
os
du crâne ont nécessité l'intervention chirurgic
L. DAItKCAER'tTCII et W. VEtDE\HA31hiER. Delasubs- titution par un
os
décalcifié des défauts crâniens après trépanation
minutieuses études sur la substitu- tion des défauts osseux par un
os
décalcifié, que proposa un Améri- cain M. le D'
n pratiqué artificiellement, peut-il réelle- ment se remplir par un
os
de nouvelle formation, après avoir été substitu
r par un os de nouvelle formation, après avoir été substitué par un
os
décalcifié ? Une série d'expériences y répond a
L'examen microscopique démontre que le procès de néoformation de l'
os
consiste principalement dans l'accroisse- ment
onsiste principalement dans l'accroisse- ment et le gonflement de l'
os
mère, jusqu'à adhésion complète avec l'os subst
ent et le gonflement de l'os mère, jusqu'à adhésion complète avec l'
os
substitué et dans le développement, dans les espa
des prolonge- ments aux anciens canaux et espaces médullaires de l'
os
décalcifié. A une période un peu plus avancée,
alcifié. A une période un peu plus avancée, ou découvre des îlots d'
os
normal dans la soudure fibreuse, le nombre des
aces du morceau décalcifié, qui vient enfin à être substitué par un
os
normal. Ce que devient l'os décalcifié ? Pour r
qui vient enfin à être substitué par un os normal. Ce que devient l'
os
décalcifié ? Pour résoudre cette seconde question
uestion, les auteurs viennent en somme à la conclusion suivante : l'
os
intercalé sert d'intermédiaire à la formation d
ante : l'os intercalé sert d'intermédiaire à la formation du nouvel
os
pour être résorbé ensuite. Les observations ult
montrent que la classe zoolo- gique de l'animal, auquel on enlève l'
os
pour substituer un défaut, n'a pas grande influ
s expériences des auteurs, que l'absence du périoste au-dessus de l'
os
intercalé, mais avec la dure-mère intègre et vice
près le nettoyage à sec : pres- sions centripètes D/ tube = o ; D /
os
= o ; D/ or opposée = o. Large perforation cent
e. : ' 1 A droite, pressions centripètes positives, D/ tube = B, D/
os
. = B, mais D/ or opposé = 0, pas de réflexe. Pa
ipitale, tranchant sur la partie postérieure du crâne une portion d'
os
de 75 millimètres de large et de 55 millimètres d
Heureusement, la dure-mère resta intacte, complètement mise à nu. L'
os
et le cuir chevelu furent remis en place et la pl
terrée ; son corps est vide; elle n'a plus ni nerfs, ni muscles, ni
os
. Ce délire, actuellement stable, est véritablem
ent un démenti aux théories classiques. Il faut aussi noter que les
os
du rachis qui ont une première fois subi la sec
rébral. Il n'est pas de microcéphalie qui dépende, à l'origine, des
os
.' Glle se rattache toujours au système nerveux.
.l'os. Les opérations faites antérieurement ne l'ont été que sur l'
os
; la dure-mère n'offrant pas assez d'élasticité
e remédier à l'obstacle de la dure- mère aussi bien qu'à celui de l'
os
. ,Aucun succès cependant n'a accompagné l'opéra
combattre la pression exercée par la dure-mère aussi bien que par l'
os
. M. le Dr BREMEIt. Conseilleriez-vous de couper
MEIt. Conseilleriez-vous de couper la dure-mère en même temps que l'
os
? M. le Dr Broome réplique qu'il ne le conseill
iété, d'employer l'instrument chirurgical à dents pour opérer sur l'
os
, pour lequel la contusion était un danger, car le
os, pour lequel la contusion était un danger, car le caractère de l'
os
est tel que le danger peut résulter du glissement
qu'il est renfermé dans une cavité osseuse; mais si on en enlève l'
os
, ça permettra le développement de la dure-mère,
phalie bien marqué; les sutures étaient ossifiées, et les bases des
os
étaient bien marquées. Pas d'asymétrie de la tê
é décidée, la peau et le périoste furent découverts. Un mor- ceau d'
os
de quatre pouces de long et d'un demi-pouce à sa
ait un garçon, âgé de sept ans, et on lui enleva un grand morceau d'
os
; mais l'enfant mourut de pyrexie, que M. Horsle
lobes de l'oeil étaient profondément enfoncés dans les orbites. Les
os
de la face étaient bien développés. Les incisives
fit l'opération de la craniectomie ; on lui enleva un demi-pouce d'
os
sur une étendue de 3 pouces. L'améliora- tion s
la clavicule sans consolidation et qui lui a extirpé un fragment d'
os
(fragment externe), séjour d'un mois et demi da
ment de la région. C'est là qu'était le fragment os- seux enlevé. L'
os
s'est reformé et il est soudé à l'acromion. Pas d
iée que la gauche > à tel point, nous a-t-il été répété, que les
os
semblaient avoir dis- paru en grande partie.
e membres; les masses musculaires ne masquent plus les saillies des
os
. La face seule échappe à'l'atrophie. Quant aux
la palpation que nous avons faite à travers les parties molles, les
os
de la colonne vertébrale, du bassin, et de la c
nifestes. Pas d'exostose. Nous avons examiné de la même manière les
os
des membres, et nous n'y avons décélé aucun dét
estion pour l'été ? 3° Quelle est la quantité de viande cuite, sans
os
, nécessaire pour maintenir en bonne santé les c
trouva la calotte cranienne épaissie et la dure-mère adhérente aux
os
du crâne. M. Roller trouva aussi des régions cé
ler avec le plus grand soin les aliments, d'enlever les fragments d'
os
ou de tendons, susceptibles de produire des acc
en dentelées, en particulierlasuture lambdoïde, ne présentent aucun
os
wormien. La partie droite de la suture coronale
est beaucoup moins marquée que celle des dimensions verticales de l'
os
. ETUDE DU squelette. 117 id., 96) que les os
ions verticales de l'os. ETUDE DU squelette. 117 id., 96) que les
os
wormiens sont la preuve que les os normaux ont
squelette. 117 id., 96) que les os wormiens sont la preuve que les
os
normaux ont été, à un moment donné, incapables
ue par l'ossifica- tion de centres supplémentaires, qui donnent les
os
en question. Pour un os crânien, cette impossib
de centres supplémentaires, qui donnent les os en question. Pour un
os
crânien, cette impossibilité de suffire à la tâch
timètres de taille (1 m O) et que son poids égalait 35 kilogr. L'
os
occipital est légèrement saillant : il semble l'a
à son arrivée à Bicêtre. car la proéminence du bord supérieur de l'
os
avait attiré l'atten- tion. La présence des os
bord supérieur de l'os avait attiré l'atten- tion. La présence des
os
wormiens situés à ce niveau marquerait assez bi
l'activité périostée a cependant été suffisante pour produire de l'
os
, aux points où la pression encéphalique ne s'ex
tanelle) et les parti- cularités relevées au cours de notre examen (
os
wormiens). La suture sphèno-basilaire n'est nul
e les deux modes d'ossification encore plus prononcée au niveau des
os
des membres. Signalons aussi une particularité qu
li n'est pas reliée au niveau de sa base à la face postérieure de l'
os
frontal : il y a un espace vide qui communique
ble : minceur des apophyses zygomatiques, faible développement de l'
os
ma- laire et du maxillaire supérieur, absence d
besoin de se mettre en eontact avec les incisives supé- rieures, l'
os
s'est pour ainsi dire tordu, renversé en avant de
e l'angle que nous avons signalé. Malgré ses faibles dimensions cet
os
s'est adapté a sa fonction mas- ticatrice. C'es
e loi énoncée par M. Papillault (Homme moyen) : la mandibule est un
os
qui semble avoir fort peu d'autonomie, nul autr
ons : * - Omoplate : .' ' ETUDE DU SQUELETTE. 125 15 reste de l'
os
ne présente pas de déformations susceptibles d'êt
sez prononcé et il existe un élargissement sous-tronchantérien de l'
os
. Il y a une déformation très prononcée du plate
De cet affaissement il résulte : 1° que la surface articulaire de l'
os
est elle-même extrêmement oblique; 2° que la fa
l'os est elle-même extrêmement oblique; 2° que la face interne de l'
os
, au voisinage de la partie articulaire, présent
de l'extrémité supérieure du tibia, la partie interne de ce dernier
os
s'est déformée ? Le péroné a-t-il augmenté la sol
ument particulier. Relative- ment à leur épaisseur, la longueur des
os
est extrêmement faible : alors qu'il y a eu un
es deux croissances ne , sont nullement parallèles, puisqu'on a des
os
dont la longueur rappelle celle d'un enfant en
centre de l'orbite et le trou optique, Op. CC, plan du clivus. Ow,
os
wormiens. - Il, plan du rocher. La ligne indiqu
ditif. B, basion (bord antérieur du trou occipital). ' Voir sur les
os
du crâne des myxoedémateux infantiles nos autres
exie progressive. - Mort. Autopsie. - Ecchymoses du cuir chevelu.
Os
du crâne durs, épais; pas de synostose; scléros
al; plusieurs ecchymoses en avant au niveau des pariétaux. Crâne.
Os
durs, épais, sans synostose. Dure-mère un peu é
s. Tête. Le cuir chevelu est maigre et pâle, sans ecchymoses. Les
os
du crâne sont moyennement épais, peu durs et offr
e soulè- ve légèrement. La maigreur est extrême, cadavérique. Les
os
font saillie partout. Les bras sont repliés sur l
r le centre de l'orbite et le trou optique, Op. cc, plan du clivus.
Os
, os wormiens. - R, plan du rocher. La ligne ind
centre de l'orbite et le trou optique, Op. cc, plan du clivus. Os,
os
wormiens. - R, plan du rocher. La ligne indiqué
croissement étaient dus à l'épaississement de la table interne de l'
os
. A un moment donné, on dut opérer au- dessus du
r être insupportables. Elles occupent le milieu et l'intérieur de l'
os
, et irradient souvent jusque dans le genou. Au
hésie droites. On constata le lendemain une fracture compliquée des
os
frontal et pariétal gauche ; deux esquilles fur
ain, pied creux avec orteils en griffe, en plus un dédoublement des
os
de l'orteil gauche hypertrophié. Altéra- tion q
ce cas, consiste dans l'envahissement de la pres- que totalité des
os
à moelle rouge persistante par le tissu osseux
écoce, car les conditions des sutures, le développement modifié des
os
du crâne, montrent que l'individu a longtemps v
rmes d'origine traumatique à la suite de l'ablation des fragments d'
os
enfoncés ? Ou bien était-ce dans le hut de don-
jusque dans la branche antérieure du pli courbe (angular gyrus). L'
os
fut enlevé et replacé en position normale. Le rés
e traumatisme. Dans les deux tiers des cas, on trouva une portion d'
os
enfoncée, altérée ou malade. La dure-mère parai
on en exécute trop souvent de nos jours. La résection partielle des
os
de la voûte du crâne, opposée à la microcéphali
nt, une ouverture fut faite avee un petit trépan sur le sommet de l'
os
frontal, de chaque côté du sillon lon- gitudina
ouvertures, .de forts ciseaux émoussés furent introduits et chaque
os
pariétal divisé antéro-pos- lérieurement. La ba
s et chaque os pariétal divisé antéro-pos- lérieurement. La bande d'
os
médiane, qui avait un pouce de large et s'étend
levée. Il y avait de chaque côté du morceau enlevé les sections des
os
pariétaux restant; de sorte que l'espace enlevé
ale. Dans cette ostéotomie pariétale, la dure-mère fut séparée de l'
os
. Il n'y eut qu'une légère hémorrhagie et la bless
bien portante, mais c'est une enfant chétive et peu développée. Ses
os
sont petits et sa tête est très petite et légèr
, dans les cas observés, rien d'a- normal dans le développement des
os
du crâne. D'un autre côté, nous savons que le d
le, puis descendant par un angle obtus sur le front, avec un pont d'
os
à la suture coro- nale. Au lieu de continuer mo
hevelu. Je sou- lèverai alors cette languette de peau et couperai l'
os
au-dessous, évitant ainsi toute cicatrice du fr
dans la peau ne sera pas sur la même, ligne que celle faite dans l'
os
, de telle façon que la plaie du crâne se trouve
uvera recouverte par le cuir chevelu. Je ne laisserai pas de pont d'
os
à la suture coronale. ' M. Keen ignorait par co
UE CHIRURGICALE. soin avec un trépan d'un demi-pouce une couronne d'
os
à la dis- tance à peu près d'un doigt du côté d
inal supérieur. La-dure-mère est séparée avec beaucoup de soin de l'
os
, et mon avis est que, dans ce cas, elle est plus
rente que d'habitude. L'instrument dont je me sers pour enlever l'
os
est une paire de « rugine forceps » beaucoup plus
s, j'opérerai ensuite sur l'autre côté. La ligne de l'incision de l'
os
est maintenant complète et s'étend de trois quart
illon, de façon qu'il ne le recouvre pas et n'amène la réunion de l'
os
. On place quelques mèches de crins de cheval da
uce environ de chaque côté de la ligne médiane ; l'ossification des
os
du crâne était complète. Pas de cartilage inter
que si le cerveau était enfermé par l'ossification préma- turée des
os
du crâne, ceux-ci se détacheraient, se soulèverai
rience seule peut démontrer si l'extension du cerveau permettra aux
os
du crâne de se développer d'une façon normale.
ue l'on introduisait la pointe d'une paire de ciseaux, le morceau d'
os
se détachait et alors le manche des ciseaux s'a
he des ciseaux s'abaissait doucement : son simple poids soulevait l'
os
d'une façon perceptible. Le périoste correspon-
evait l'os d'une façon perceptible. Le périoste correspon- dant à l'
os
enlevé fut lui-même coupé. La dure-mère n'avait p
44 THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE. fis l'opération en trente minutes. L'
os
saigna bien, mais non d'une façon alarmante et
it du bord du tranchant vers le haut, de façon que chaque morceau d'
os
enlevé chasse en dehors celui qui vient d'être
s de la tête et la date de l'opération. On enleva deux boutons de l'
os
pariétal droit, et la partie du milieu qui les
90. Il enleva sur le côté droit de la'ligne médiane, deux boutons d'
os
, d'un pouce de dia- mètre et un troisième d'un
pour les cas cités plus haut, on a simplement enlevé deux boutons d'
os
et le pont qui les reliait ; on a ainsi produit
. De plus, le cerveau ne peut suivre immédiatement l'écartement des
os
, mais il est certain d'ar- river à occuper un e
oduisit pas d'hé- morrhagie du cuir chevelu. On enleva un morceau d'
os
suffisant y compris le périoste, et au moyen d'
oste, et au moyen d'un trépan d'un demi-pouee ou enleva un bouton d'
os
. On coupa également une bande d'os de 3/8° de l
demi-pouee ou enleva un bouton d'os. On coupa également une bande d'
os
de 3/8° de large sur 5 pouces 1/2 de long. Il f
pas attaquer la dure-mère aux endroits d'adhérence. L'incision de l'
os
se fit au-dessous de la peau jusqu'à un demi-pouc
de trépan furent faits près de l'angle postéro-supérieur de chaque
os
pariétal, un de chaque côté du sinus longitudinal
artant des trous du trépan ; ce qui faisait ainsi deux languettes d'
os
que l'on enleva du bout des doigts, introduits
ut la largeur d'un pouce entier de chaque côté, laissant un point d'
os
de la moitié ou trois quarts de pouce de largeur
ié ou trois quarts de pouce de largeur sur le sinus longitudinal. L'
os
était très épais; à un endroit du côté gauche, il
ujours à une synostose complète. Wieth écrit : « L'ossification des
os
du crâne était complète; il n'y avait pas de ca
e ouverture de tire-lire, leschi- rurgiens se sont imaginés que les
os
a se détacheraient, se sou- lèveraient » (Wieth
une brèche horizontale, passant au-dessus des oreilles ; alors les
os
de la voûte tout à fait séparés par une fontane
e le muscle trapèze peut, par son seg- ment inférieur maintenir cet
os
, tandis que par sa partie supérieure, il contri
, 1892. - L. Quarré. GUER.10 ? PREZ. - Résection partielle des deux
os
de l'avant-bras droit après les traumatismes gr
e l'autre va se confondre avec la circonvolution du bel esprit. fr.
Os
frontal, se prolongeant en arrière sur le cerveau
eant en arrière sur le cerveau, beaucoup plus que chez l'homme. pa.
Os
pariétal, très court comparativement à l'os front
s que chez l'homme. pa. Os pariétal, très court comparativement à l'
os
frontal. oc. Os occipital ne recouvrant que le
. pa. Os pariétal, très court comparativement à l'os frontal. oc.
Os
occipital ne recouvrant que le cervelet et ne s'a
a fig. 3, on voit ici quels sont les rapports de l'encéphale avec les
os
du crâne. Les lettres API indiquent les circonvol
a partie postérieure du corps calleux. Le développement relatif des
os
du crâne est en rapport avec la présence ou l'abs
s qui lui sont superposées; nulle part elle n'est en contact avec les
os
de la voûte crânienne, d'où il suit que son volum
ne a été enlevée et l'on aperçoit la démarcation qui existe entre les
os
frontal, pariétal et occipital. fr. Os frontal,
rcation qui existe entre les os frontal, pariétal et occipital. fr.
Os
frontal, pa. Os pariélal. oc. Occipital. L'os p
te entre les os frontal, pariétal et occipital. fr. Os frontal, pa.
Os
pariélal. oc. Occipital. L'os pariétal est des
l et occipital. fr. Os frontal, pa. Os pariélal. oc. Occipital. L'
os
pariétal est des trois, celui qui recouvre la plu
ir le profil du bulbe, du cervelet et de l'hémisphère cérébral. fr.
Os
frontal, pa. Os pariétal, oc. Occipital, ba. Base
bulbe, du cervelet et de l'hémisphère cérébral. fr. Os frontal, pa.
Os
pariétal, oc. Occipital, ba. Base du crâne. I.
OCES ET DES MARTES. ØÌåÙØÌØ DE LA h'AMILLK DES MOUTONS, (Cmmpvmmmt ¡
os
Hum i nonU û Û So//,ò/csj ENCEPHALE DE LA L'AMI
e, il fallait opérer parce que l'enfant grandissait vite et qne les
os
du pied mena- çaient de se déformer. Cet avis
L. BATTAILLE & Cive ÉDITEURS LE SEIN HYSTÉRIQUE 121 que les
os
n'en furent plus couverts que d'une peau aride, q
n'en furent plus couverts que d'une peau aride, qui. collée sur ces
os
, en laissoit voir toute la forme ». De plus, «
ôté, et, de l'autre, la pesanteur. Ces deux forces agissent sur les
os
qui font office de leviers. D'ordinaire, la pesan
l'ouverture d'un sinus intra-osseux nécessita le glissement entre l'
os
et la dure-mère d'un petit tampon de gaze iodofor
petit tampon qui avait été insinué au cours de l'opération entre l'
os
et la dure-mère, sur la face antéro-latérale '
e de ce que l'on observe généralement, non seulement la plupart des
os
longs étaient atteints mais encore les os du cr
seulement la plupart des os longs étaient atteints mais encore les
os
du crâne et de la face étaient hypertrophiés. D
re les os du crâne et de la face étaient hypertrophiés. Déplus, les
os
du tarse des deux côtés et surtout les 2e et 3e
us nous con- tenterons de faire remarquer que l'examen chimique des
os
pratiqué par M. le Dr Cathelineau, chef du labo
t bien, sur notre demande, faire lui-même l'examen pathologique des
os
. Malheureu- sement les pièces que nous lui envo
très bien l'examen à l'oeil nu de la pièce sèche. Raréfaction de l'
os
à la surface, raréfaction au voisinage immédiat
s elle rejoint la raréfaction centrale en sorte qu'il y a des îlots d'
os
compact complèlemenls isolés. Cette raréfaction
éfaction est par endroits très forte car il existe des régions où l'
os
l'orme une très fine dentelle à mailles très la
à mailles très larges. « Il ne semble pas qu'il y ait formation d'
os
nouveau. Les canaux de il,ivei-s.5'élai-gisseii
orientés normalement, c'est-à-dire parallèlement à la longueur de l'
os
. On n'en voit pas qui deviennent perpendiculair
au canal central. « Etant donnée la préparation déjà subie par les
os
, on ne peut rien dire du périoste et de la moel
), dans lesquelles on ob- serve des troubles trophiques du côté des
os
, mais encore parce que leur connaissance provoq
Les autres instruments sont des pinces rappelant assez les pinces à
os
(forceps mordens, ossifrangens, attractor), des c
s pour traiter les playes cle Leste, où il y aura quelque portion d'
os
amputé, font accroire au malade et aux assistan
amputé, font accroire au malade et aux assistants qu'au lieu dndit
os
leur faut mettre une pièce d'or. Et de fait, en
iquent dessus, et disent qu'elle y demeure pour servir au lieu de l'
os
, et de couverture au cerveau ; mais tost après
uquel toutes les fumées montent : si la nature l'eut fait tout d'un
os
, les fumées ne s'en eussent pu exhaler ». Heureus
revolver dans la région frontale droite. Le projectile glissa sur l'
os
et restant sous- cutané put être extrait. A pei
péri- crâne étaient joints solidement partout où n'y avait point d'
os
... et chez l'adulte, les membranes adhèrent enc
es sont : l'affais- sement des lèvres de la plaie, la noirceur de l'
os
, les frissons ainsi que le facies hippocratique
il suffit alors, avec le même instrument, d'enlever de suite tout l'
os
fêlé et de panser avec des siccatifs. » Si la fra
pénétrante, on attendra les accidents pour perforer complètement l'
os
et alors pour agir, on laissera de côté les ras
'endroit le plus apte à l'évacuation et là, par rotation, perfore l'
os
. On agira d'abord avec un instru- ment étroit e
uments jusqu'à ce que soient creusés deux trous de l'épaisseur de l'
os
ou à peu près. Ensuite sera enlevée la pointe d
maillet de plomb. « Quelques-uns qui en telle manière ont enlevé l'
os
, posent en sa place une coque de calebasse sèch
ans l'espèce « qui est lésion avec enlèvement de la superficie de l'
os
» il faut le perforer de même manière que dans le
manière que dans les fis- sures pénétrantes; dans la marasis, où l'
os
est enfoncé en dedans, « les mé- decins doivent
« les mé- decins doivent bien examiner où faire la perforation de l'
os
, qui ne se fera proprement sur l'os enfoncé, qu
er où faire la perforation de l'os, qui ne se fera proprement sur l'
os
enfoncé, qu'elle enfoncerait encore davantage mai
it encore davantage mais qui doit se faire en empiétant assez sur l'
os
sans pour que cela nesoitpas; lors d'hoesena, e
sur l'os sans pour que cela nesoitpas; lors d'hoesena, espèce oÙ l'
os
bascule vers le cerveau, on n'opérera que s'il
vers le cerveau, on n'opérera que s'il survient des accidents : « l'
os
sera perforé en lieu sain l'environ du lieu com
Après l'ouverture de la colonnevertébrale et après la section de l'
os
occipital, de la cavité postérieure, il s'écoulau
é sous la mem- brane très fine, adhérente à la face intérieure de l'
os
occipital. Noov. Iconographie DE la Salpêtrière
sous la tente du cervelet. Tout l'espace entre cette dernière et l'
os
occipital était rempli d'un li- quide transpare
te venue à terme est morte avec une hydrocéphalie très marquée. Les
os
du crâne sont écartés, les fontanelles agrandies,
érieur de l'omoplate se place sur la paroi latérale du thorax : cet
os
subit un mouvement de bascule d'arrière en avan
l droite. Cependant le pli que l'on forme disparaît assez vite. Les
os
faciles à examiner vu la faible épaisseur des tis
se de volume nor- mal porte aussi sur l'extrémité inférieure de cet
os
(PI.X1X). Les os de l'avant-bras, surtout le ra
mal porte aussi sur l'extrémité inférieure de cet os (PI.X1X). Les
os
de l'avant-bras, surtout le radius, sont diminués
oïde) est volumineuse. L'examen radioscopique montre aussi que les
os
de la main droite (PI. XX) (métacarpiens et pha
-phalangiennes, marqué surtout pour les quatre derniers doigts. Les
os
des doigts (Ire, 2°, 3e phalanges) sont -sur une
gts (Ire, 2°, 3e phalanges) sont -sur une ligne droite al- lant des
os
du carpe à l'extrémité de la 3° phalange. La me
des doigts ont conservé leur vo- lume normal. Le corps de ces mêmes
os
, surtout des métacarpiens, est au con- traire s
carpiens, est au con- traire sensiblement réduit. ' En somme, les
os
du membre supérieur droit (humérus, radius et cub
ntim. au lieu de 70 centim. pour tout le membre). Le corps de ces
os
est atrophié. Les extrémités osseuses ont un volu
extrémité supé- rieure de l'humérus; très vive sur le corps du même
os
(au niveau du cal osseux); vive à l'extrémité i
2/3 inférieurs ; nulle ou à peu près sur le cubitus ; nulle sur les
os
de la main. 1 Le pincement des troncs nerveux s
ues dommages au nerf radial qui contourne en ce point le corps de l'
os
dont il n'est séparé que par le périoste. Malgré
les muscles du membre intéressé s'atrophier au plus haut point. Les
os
participent à l'atrophie, ainsi qu'en témoigne l'
ompue d'images d'attitudes. Les téguments, comme lestissusprofonds,
os
, articulation, fascias, tendons, muscles même,
ue cette variation d'attitude s'effectue grâce à des muscles, à des
os
, à des articulations ? Aucunement. Sais-je que je
t, avec les autres muscles qui s'insèrent à l'omoplate, à fixer cet
os
et à le maintenir appliqué contre le thorax, afin
en se portant un peu en arrière par un mouvement de rotation de cet
os
sur son axe vertical. Cette attitude du scapulu
grand pectoral (muscle synergique) agit sur l'angle externe de cet
os
par l'inter- médiaire de l'humérus auquel il s'
spinal du scapulum doit rester en place, et l'angle externe de cet
os
être entraîné en avant. » Et plus loin, il ajoute
late dépend de la cessation d'action des muscles s'insérant sur cet
os
, lequel n'obéit plus alors qu'au poids du bras.
libre cours, doit logiquement modifier la situation normale de cet
os
. La physiologie de ces divers muscles étant connu
un axe vertical, placé au niveau de l'angle externe, qui éloigne cet
os
de la paroi postérieure de la cage thoracique,
il élever à la fois, comme une seule pièce, l'angle externe de cet
os
et l'humérus déjà étendu sur celui-ci ». Or c'e
late. Ce muscle imprime, en outre, avec une grande puissance, à cet
os
le mouvement de rotation nécessaire à la derniè
de l'omoplate; le tiers moyen du trapèze fait ainsi exécuter à cet
os
un assez grand mouve- ment de rotation sur son
d'oedème. Dans la moitié supérieure, la peau adhère intimement il l'
os
. La palpation fait constater un léger enfonceme
rieur du tibia, la peau est livide, dure, Jar- dacée, adhérente à l'
os
. La peau des régions malléolaires est épaisse et
s du môme côté. Ces plaques blanchâtres semblaient être collées à l'
os
. État actuel, octobre 1898. - Enfant petite, in
e un angle plus que droit avec la jambe, l'extrémité inférieure des
os
de la jambe, par suite de cette position du pie
ls ne sont plus en contact in- time avec la surface articulaire des
os
du pied (astragale et scaphoïde) qui semblent ê
illie et ne sont plus en contact avec les facettes articulaires des
os
du pied. Etat de la motilité. - La résistance à
ente ici la « cause du mal » en personne, un Cu'pidon de chair et d'
os
. l'« agent provocateur du mal d'amour.. » (1).
notable. J'ai vu des myxoedémateux qui n'avaient que la peau sur les
os
. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XII
droite. , A la face postérieure de l'avant-bras, muscles disparus,
os
saillant. L'espace interosseux forme un méplat
réduits à l'état de languettes aplaties laissant voir la saillie de l'
os
; atrophie presque complète du grand dorsal ; à
peut, en palpant les téguments, faire la part de ce qui revient à l'
os
scapulaire et aux formations nouvelles. A gauch
ajet de la branche horizontale du maxillaire inférieur, mettant cet
os
complètement à nu sur une longueur de 5 centimètr
jeté en avant. L'hypertrophie porte non seulement sur le corps de l'
os
, mais aussi sur le rebord alvéolaire, si bien que
que mal la nature et la si- gnification : apparemment, ce sont des
os
. Derrière ce duo mal assorti, une servante vêtu
une servante vêtue de brun et coiffée de blanc, présente aussi deux
os
sur une assiette. Un autre est tombé par terre,
Un autre est tombé par terre, près du chauffe-pied. Pourquoi ces
os
? ? Mieux vaux feindre de ne pouvoir le deviner.
de communiquer les vibrations des sons musicaux aux sourds par les
os
du crâne. - En maintes occasions, j'ai fait des
ler avec le plus grand soin les aliments, d'enlever les fragments d'
os
ou de tendons, susceptibles de produire des acc
des hanches, passe un pli cutané qui sépare la cage thoracique des
os
iliaques. Le tronc et l'ab- domen sont donc bie
s y compris la suture metopiljtw, nombreuses plaques transparentes,
os
épactal très large. Apophyse crista-galli toute
stance des sutures, y compris la suture métopique, la présence de l'
os
épactal, la vasculari- sation de la pie-mère su
Congestion pulmo- naire, coma. mort. Autopsie. - Hypertrophie des
os
de la voûte du crâne. Synostose partielle. Lési
s au sommet de la suture lambdoïde ; cette dernière persiste. - Les
os
du crâne sont très-épais et très-lourds. En ava
s, symétriques. Leur hauteur est de 5 centimètres ; leur largeur de
os
03. Il n'y a pas d'écoulement; le cérumen existe
illant que le gau- che, il en est de même de l'occipital droit. Les
os
sont peu durs. Sur la coupe, le côté gauche est
é gauche est plus de moitié plus épais que le droit; au palper, les
os
du côté gauche semblent partout plus épais qu'à
ance des sutures, et surtout une beaucoup plus grande épaisseur des
os
à gauche. L'encéphale présente une très-grande
râne dans les idioties. ' 228 Anatomie pathologique. augmentée, l'
os
tend à s'amincir (et dans l'hydrocéphalie où el
dans la loge anté- rieure et conformément à la loi sus.-énoncée, l'
os
frontal s'est épaissi ainsi que l'indique la fi
aissi ainsi que l'indique la figure 8, où l'on voit la coupe de cet
os
. Dans la microcéphalie où la pression est extrê
on des anatomistes, 1901) et M. Ledouble (Traité des variations des
os
du crâne), rattachent égale- ment la déviation
est repoussée du côté malade, si bien que la partie médiane de l'
os
frontal considéré par la face externe ne répond e
erticalité. La pression plus forte a modifié aisément le corps de l'
os
creusé de sinus et amené ' Nous l'avons aussi c
bord supérieur du rocher en même temps qu'un léger tassement de cet
os
(nous parlons toujours par comparaison avec le
diane horizontale, on constate qu'il est plus petit du côté sain, l'
os
ayant été repoussé vers la partie posté- rieure
la pression diminue la paroi s'épaissit là où elle est augmentée l'
os
s'amincit. Aux circonvolutions les plus pesante
ion, parce que le cerveau exerce une action trophique directe sur l'
os
qui le recouvre (ce qui dans le cas d'atrophie
ette inflammation exerce-t-elle son action sur la croissance de l'
os
? Ce sontlàdes phénomènes complexes sur lesquels
sculaire et analogues à celles que nous avons exposées à propos des
os
des membres'. La forme générale est peu transfo
us en avons rapporté maints exemples : '1° par une hypertrophie des
os
dont l'épaisseur était le double des os corresp
1° par une hypertrophie des os dont l'épaisseur était le double des
os
correspondants du côté gauche (fig. 67) ; elle
et l'L. II et III, un cas analogue : Hypertrophie compensatrice des
os
du crâne répondant à une atrophie considérable
de souris. La suture sagittale est légèrement déprimée. Deux petits
os
wormiens se trouvent à i cent. en arrière du br
très découpées surtout à droite où l'on compte, environ six petits
os
wormiens dont un petit os épactal très irréguli
oite où l'on compte, environ six petits os wormiens dont un petit
os
épactal très irrégulier d'un 1t2 cent, de diamètr
e, la persistance de la fontanelle antérieure, la déformation des
os
des membres, l'état particulier des os 2, etc.),
térieure, la déformation des os des membres, l'état particulier des
os
2, etc.), sur le système cutané, enfin sur la g
aie. Le malade demeura inconscient durant vingt minutes environ : l'
os
déprimé ne fut pas relevé, mais le médecin, apr
e, acceptée par la famille, et pratiquée par le Dr Alac-Naught. L'
os
était déprimé, et l'ouverture osseuse' recouverle
al, formant presque un angle e droit avec le crâne; au-dessous de l'
os
ainsi déprimé, et en rapport avec lui, apparais
uce environ en arrière de la base de la fracture, et une rondelle d'
os
normal fut enlevée. A l'aide de la pince à séqu
ormal fut enlevée. A l'aide de la pince à séquestres, le fragment d'
os
déprimé fut ébranlé, mais à ce moment survinren
jours après l'accident, une opération est pratiquée C[ à cause d'un
os
qui comprimait le cerveau », et le malade recou
Une opération est décidée et pratiquée au niveau de la cicatrice. L'
os
est légèrement déprimé ainsi que la portion corre
ètre, fut appli- quée, ne perforant qu'avec une grande difficulté l'
os
très épaissi.. En enlevant la rondelle, on cons
noté; il se présente actuellement sous la forme d'une exostose de l'
os
frontal, ayant son maximum d'épaisseur à l'angl
yant son maximum d'épaisseur à l'angle supérieur de jonction de cet
os
avec les pariétaux, et s'éten- dant de haut en
ction facile et la guérison lente des ecchymoses, la friabilité des
os
et les altérations dentaires sont autant d'indice
nt des tons toujours égaux, quels que soient l'âge, l'épaisseur des
os
, la forme du crâne, sauf erreur pour les crânes
pason, du front à l'occiput, le son des vibrations transmis par les
os
du crâne et ausculté par la bouche s'affaiblit,
e du pa- riétal, à la base de l'apophyse mastoïde, tout le long des
os
de la face, dans la région du sinus frontal ; u
affaibli par des lésions intra- craniennes, ou par des lésions des
os
du crâne. Des expériences établies par l'auteur
craniennes. Mais elle permet de dia- guostiquer les altérations des
os
du crâne; moins l'os est compact (suppuration e
permet de dia- guostiquer les altérations des os du crâne; moins l'
os
est compact (suppuration et carie, maladie de M
est compact (suppuration et carie, maladie de Menière, tumeurs des
os
), moins : 28 REVUE d'anatomie ET DE physiologie
faut faire la part de l'état des parties molles qui recouvrent les
os
, leur atrophie étant en rapport avec une percep
males dans l'organisme, qui aboutit à l'accroissement du volume des
os
. La seconde phase se traduit par une altération
(kystique, adénoïde) de l'organe ; à ce moment, l'accroissement des
os
cesse, et il survient une cachexie mortelle. 28
substances qui, molé- cule'à molécule, forment de l'hyperplasie des
os
et des autres tis- sus. Gries, en administrant
ns trophiques, telles que l'atrophie de la peau, des muscles et des
os
, des destructions de tissus (eschares au sacrum
e très évidente, c'est que, dans tous les cas où la résistance de l'
os
à la fracture est abaissée, l'examen histologique
n dessous après désarticulation de la vertèbre infé- rieure. ce
os
z m t4 M 0 t4 ro H ta 0 r
environ 52 p. 100). De même le membre supérieur mesurait 37 pouces (
os
, (30) et, d'après le même canon, il n'aurait dû a
) ou seu- 366 .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. lement 1/4 de pouce (
os
,006 environ) de plus que celui d'un homme adult
ue celui d'un homme adulte moyen (Duval), et la clavicule 7 pouces (
os
,177) ou seulement 1 pouce (0m,0234) de plus que
carrées; le pied était aussi très gros; de même la mâchoire et les
os
du nez. Au contraire, le crâne avait une circon
ntes ; et la circonférence de la poitrine avait seulement 2 pouces (
os
,05) de moins que celle des hanches. Le coeur ét
rse mesuraient respectivement 1 pouce 1/4 (0m,031) et 1, pouce 1/2 (
os
,038), Le poids du cerveau, après durcissement d
es organes génitaux internes étaient plus ou moins atrophiés. Les
os
étaient spongieux, dans un état d'ostéoporose. On
alvéoles et on aurait pu briser les côtes avec un léger effort. Les
os
, quoique plus grands, étaient à peine plus lour
dans l'enfance ou dans la période embryogénique, allon- gerait les
os
comme il les épaissit dans l'âge adulte. Quel est
'est tout. Le malade, lui, prétend qu'on lui aurait retiré un petit
os
du genou droit et qu'on lui aurait maintenu la
rosée. On procéda sans chloroforme et sans douleur à l'ablation des
os
de la phalangette et de la phalangine.La cicatris
bilité mentale compliquée de manifestations strumeuses d.u côté des
os
; associa- tion des idées excessivement lente ;
large en haut, la poitrine se rétrécit à partir de la pointe de ces
os
. Le reste du tronc ' En 1896, la circonférence
eau très épaissie, et terminé par un tout petit fragment d'ongle. L'
os
de la phalange seul existe. Les mouvements prov
s, à la possibilité d'une hydrocéphalie. A l'autopsie on trouve les
os
du crâne minces comme une feuille de papier; la
de Morvan. Elle ne détermine pas de névrose, ni d'élimination des
os
. Elle ne cause ni anesthésie, ni paresthésie; le
, 1 ; - tuberculose pulmonaire, 3 ; Ictère, 1 ; fracture des deux
os
de V avant-bras, 2; frac- ture de la clavicule,
iris a une couleur bleu pâle. Le nez est droit avec une saillie des
os
propres formant bosse, les narines sont petites
- Ganglions mésentériques normaux. Épilepsie ; démence. 33 Tête.
Os
de crâne normaux; pas d'asymétrie de la base du
tin est très-épaissic, boursouflée, pas d'ulcération. Tête. - Les
os
du crâne sont assez minces ; pas d'adhéren- ces
atine il. 3 ans. 77o ? ntptëgie droite. Rougeole, mort. Au)OPSiE.
Os
du crâne minces et peu durs. - Pseudo- porencép
e. - Cuir chevelu très amaigri, un peu ecchymotique en avant. - Les
os
du crâne sont minces et peu durs. Il existe une
crâne sont minces et peu durs. Il existe une légère dépression de l'
os
frontal droit ; le pariétal correspondant est n
mort. Tête. -- Le cuir chevelu est très maigre et très pale. Les
os
du crâne sont très minces, peu durs et offrent de
les sutures persistent et sont moyenne- ment dentelées. Il y a deux
os
wormiens sur la suture pariéto-occipitale droit
ophique des deux lobes frontaux. - Hypertrophie compensatrice des
os
frontaux. Veyr... (,larie-Jeanne), née à 111a5-
occipito-pariétale, où on constate, de chaque côté, l'existence d'
os
wormiens, - Les fontanelles sont fermées. - Les
arente, plus grande à gauche qu'à droite. Cette hype1'- trophie des
os
frontaux répond à l'atrophie des lobes frontaux
, étaient en rapport avec l'atrophie des lobes frontaux, mais les
os
frontaux n'avaient pu suivre le mouvement de re
idien ; -2° par un épaississement remarquable, une hypertrophie des
os
frontaux dans toute leur étendue. - L'hypertrop
mplètement fermée. La suture fronto- pariétale droite présente huit
os
wormiens, la gauche deux. - La fontanelle antér
auf à sa partie médiane où elle est en dents de souris, limitant un
os
wormien quadrilatère qui remplit l'emplacement
rilatère qui remplit l'emplacement de la fontanelle antérieure. Cet
os
wormien a 20 millimètres d'avant en arrière sur
llants. Les sutures sur la face interne sont presque rectilignes. L'
os
wormien, décrit à la face externe, offre les mê
droite. Toutes les sutures sont très finement dentelées. Plusieurs
os
wor- miens sur les sutures pariéto-occipitales.
e trigone, montre l'hy- pertrophie considérable des deux côtés de l'
os
frontal. BouRNEVILLE, Bicêtre, 1897. PL. VI.
ar une in-sensibilité des parties profondes : muscles, articulations,
os
, etc. La troisième période mériterait peut-être
fondes, telles que les muscles, des troubles variés de nutrition. Les
os
et les articulations sem-blent ne pas échapper à
conjugaison ; — 2° que d'autres pourront se déve-lopper : a) dans les
os
ou le périoste ; b) dans le tissu cellulo-graisse
espondant au lieu où siège la lésion et dépendant de l'irritation des
os
ou de celle des mé-ninges, — c'est surtout aux sy
Les malades les comparent à celles que produiraient l'écra-sement des
os
, une morsure des parties profondes faite par un g
'arrêt de développement du système osseux. L'atrophie qui affecte les
os
n'est nullement en rapport nécessaire avec le deg
e lieu défaire remarquer qu'en outre de l'atrophie des muscles et des
os
, on trouve à l'autop-sie, dans les cas de ce genr
fait, dans l'un d'eux, tomba lourdement sur la face, et se brisa les
os
du nez. Je n'ignore pas que le sentiment de rotat
, sont tombés lourde-ment sur la face ; l'un d'eux s'est fracturé les
os
du nez ; un autre, dont je vous parlerai dans un
rale ga che. — Fracture consolidée à cal difforme et oblique des deux
os
i Vavant-bras gauche. — Arthrite chronique de Var
. lo-humérale droite. — Fracture consolidée à cal volumineux des deux
os
de Vavant-bras i. 1 Observation rédigée d'après
ent où elle chan-geait de position dans son lit, se fractura les deux
os
de l'avant-bras gauche. Elle ne saurait dire au j
r et décrire avec grand soin les lésions que présentent chez G... les
os
et les jointures. Je reproduis in extenso la note
pris le grand trochanter. Dans toute cette partie de la diaphyse de l'
os
, il ne se rencontre ni solution de continuité, ni
Nous trouvons là, en effet, un cal un peu difforme occupant les deux
os
, commen-çant au niveau du tiers supérieur du cubi
ncienne et con-solidée. Cette fraction spontanée a intéressé les deux
os
, le cu-bitus à son tiers supérieur, le radius à s
cription. Ce cal est l'indice d'une fracture ayant intéressé les deux
os
près et au-dessous delà partie moyenne. Le cal le
ineux est celui du cu-bitus ; il est placé sur le bord interne de cet
os
. Ce cal a une lon- Charcot. Œuvres complètes, t
t descend jusqu'à cette même lon-gueur de la partie inférieure de cet
os
. L'épaisseur en est d'environ 3 centimètres ; bea
r pouvant être considérée comme sensiblement la même que celle de son
os
congénère. Les mouvements des doigts, c'est-à-dir
'avant-bras. En résumé, il y a eu là une fracture complète des deux
os
, qui est aujourd'hui consolidée et présente un ca
— Les lésions sur lesquelles nous devons insister ici sont celles des
os
et des articiclations. Cette observation n'a pa
de telle sorte que la jetée supérieure est située en arrière des deux
os
et l'inférieur, au contraire, à leur partie antér
érieur, au contraire, à leur partie antérieure. — Des deux côtés, les
os
des avant-bras sont raccourcis, principalement le
iangulaire en forme de lamelle séparée de la face correspondante de l'
os
par un intervalle de trois ou quatre millimètres.
ue les diverses parties du squelette, les côtes en particulier et les
os
du bassin, ne pré-sentent chez la malade aucune d
comme une hypothèse au moins fort vraisemblable, que la fragilité des
os
a été ici une conséquence en quelque sorte immédi
nutrition, subordonné aune influence du système nerveux qui rend les
os
fragiles et fait comprendre le dévelop-pement des
apide, et poussée à un degré extrême, des extrémités articulaires des
os
, est le principal caractère qui, au point de vue
écemment M. Weir Mitchell1 appelait l'attention sur la fragi-lité des
os
des membres inférieurs chez les ataxiques et surl
O Oreilles (Lésions des) dans le ver-tige de Meniere, 342, 346.
Os
(Arrêt de développement des) dans la paralysie in
l complet choisi dans cette partie de la région caudale qui porte des
os
en V, on pourra se faire une idée très-exacte et
s de l'ancien continent, les limites du lobe frontal sont celles de l'
os
frontal. Ce rapport est d'autant plus remarquable
des singes, le bord antérieur du lobe occipital dépasse de beaucoup l'
os
de ce nom et anticipe sur la région des os pariét
ital dépasse de beaucoup l'os de ce nom et anticipe sur la région des
os
pariétaux. Dans l'homme, au contraire, le lobe oc
n'est pas tout. Dans les singes où le lobe occipital est si grand, l'
os
occipital est plat et fait à peine saillie au del
Blainville, quatre vertèbres crâniennes. La première a pour corps l'
os
basilaire, pour lames supérieures, les deux occip
rygoïdiennes, auxquelles nous donnons, quand elles existent, le nom d'
os
palatins occipitaux : cette vertèbre est la vertè
hyses ptérygoïdes des auteurs, auxquelles nous donnerons ici le nom d'
os
palatins sphénoïdaux postérieurs. Celle-ci est la
s le sphénoïde antérieur, pour arc supérieur ses petites ailes et les
os
frontaux, pour arc inférieur, les os palatins pro
périeur ses petites ailes et les os frontaux, pour arc inférieur, les
os
palatins proprement dits, c'est-à-dire, dans notr
elle a pour corps la masse de l'cthmoïde, pour lames supérieures les
os
du nez et pour lames inférieures les deux lames d
-nasale. Nous ne comptons point ici parmi les éléments du crâne les
os
qui composent le système des mâchoires, et dont l
mâchoires, et dont l'ensemble constitue la charpente de la face. Ces
os
, comme l'a enseigné M. Oken, sont des membres de
ns sont cacophoniques. Il eût mieux valu dire tout simplement que ces
os
se développent dans des phanères ou dans des bulb
ces os se développent dans des phanères ou dans des bulbes. Un de ces
os
entre dans la composition du bulbe auditif et dev
spond aux sacs olfactifs. Il est fort à remarquer que chacun de ces
os
est compris, à la base du crâne, entre deux vertè
let loge un canal transverse qui répond aux gouttières latérales de l'
os
occipital. Les deux extrémités de ce canal s'incl
ultitude de cellules aériennes. Le vomer n'est donc autre chose que l'
os
en V, ou l'arc inférieur palatin de cette vertèbr
que l'os en V, ou l'arc inférieur palatin de cette vertèbre, dont les
os
nasaux représentent l'arc supérieur. Ces choses s
-natale, la proclivité, qui dépend d'un développement excessif de ces
os
, est nécessairement accompagnée d'un aplatissemen
trophie du crâne correspond l'aplatissement du nez et la grandeur des
os
de la face, tandis qu'à la réduction de ceux-ci r
outes les parties du crâne sont à la fois plus grandes, le volume des
os
de la face diminue; et, malgré l'épaisseur des lè
convaincre par l'examen des crânes (1) Cette petitesse relative des
os
de la face dans les races caractérisées par un gr
ude du profil de la face, et en môme temps une réduction relative des
os
qui la composent. Ainsi se produisent ces proport
bres crâniennes, cela est assez prouvé par l'anatomie comparée de cet
os
. Quant au rocher, son indépendance est visible, à
e que la suture qui sépare la portion mastoïdienne du temporal dans l'
os
occipital, est celle que l'on trouve le plus souv
ières. Les unes en effet sont très-simples, à peine découpées, et les
os
se touchent, mais ne s'engrènent point; dans ce c
u moins cette ligne, et en s'éle-vant soulève l'angle sphenoidal de l'
os
pariétal qu'elle rejette en arrière par un léger
idérons les petits espaces vides *****. De deux choses l'une : ou les
os
, se développant, viendront remplir ces vides, et
rer exclusivement, à cause des variétés nombreuses que présentent les
os
du crâne quant à leur épaisseur. Le diamètre vert
remarque importante, que plus la capacité du crâne décroît, plus les
os
qui le composent acquièrent d'épaisseur et de den
èrent d'épaisseur et de densité. Ces différences dans l'épaisseur des
os
et du crâne font que les mesures extérieures sont
extérieurement. Or, si l'on tient compte de l'épaisseur relative des
os
du crâne dans les nègres, il sera évident que des
éjà montré qu'il n'y a entre la table interne et la table externe des
os
du crâne aucune correspondance rigoureuse, et j'a
ureusement les plis du cerveau laissent trop peu d'empreintes sur les
os
du crâne pour qu'on puisse suppléer à l'étude dir
senti une douleur brûlante, et le tranchant du fer pénétrer jusqu'à l'
os
. Les illusions du goût et de l'odorat sont égal
d'une affection syphilitique, une large portion du cuir chevelu, des
os
du crâne et de la dure-mère. La portion (1) Du
étaient perchés près d'un « jeune chien, et le regardaient ronger un
os
. Ayant, selon toute apparence, « concerté un plan
aissait avoir été aposté pour cela, saisit cet « instant, saute sur l'
os
et s'enfuit avec sa prise. » In Proceedings of th
t con- tracté l'habitude de ramasser des objets de toute nature :
os
, pierres, plantes, etc., sur lesquels ils pro-
ion d'une plaque d'herpès circiné au niveau de la corne gauche de l'
os
hyoïde. Trois accès. 5 fév. Prostration à la su
he) ; la phalangette du petit doigt à droite est en demi-flexion; l'
os
à sa partie supérieure semble présenter une lég
tée en haut, se confondant insensiblement en bas avec le corps de l'
os
. A la partie inférieure, deux exostoses en form
la jambe parait le siège d'une énorme exostose occu- pant les deux
os
et faisant saillie surtout en arrière. Les mall
la jambe, hyperostoso au niveau de l'extrémité supérieure des deux
os
, mais moins considérable que du côté opposé. De
s, 160; coeu7', 300 gr. ; ni calculs, ni lésions. Description des
os
. - Tous les os du squelette présen- taient à l'
300 gr. ; ni calculs, ni lésions. Description des os. - Tous les
os
du squelette présen- taient à l'état frais des
rités analogues aux crêtes que l'on retrouve normalement sur divers
os
: aiguilles plus ou moins fines situées presque
eu au-des- sus de la malléole. Tibia et péroné droits. - Ces deux
os
sont entièrement soudés par la partie inférieur
voir à la partie antérieure un sillon qui marque la limite des deux
os
, mais ne présentant aucune marque de sépara- ti
lle très fine dirigée supérieurement d'environ 3 centimètres. Les
os
des membres supérieurs sont moins atteints; cep
oit. L'avant-bras pré- sente des signes évidents de rachitisme; les
os
sont petits, déformés, très incurvés en dedans.
ons musculaires en ce point; enfin, la lésion n'est pas limitée aux
os
; en effet, l'articulation péronéo-tibiale infé
toses et hyperostoses) dressée par M. Hahn, à la suite de l'article
Os
de M. Heydenreich dans le Dictionnaire encyclop
ALES. 31 avec cette loi que partout où la pression est augmentée, l'
os
tend à s'amincir (et dans l'hydrocéphalie où el
n dans la loge anté- rieure et conformément à la loi sus-énoncée, l'
os
frontal s'est épaissi ainsi que l'indique la fi
aissi ainsi que l'indique la figure 8, où l'on voit la coupe de cet
os
. Dans la microcéphalie où la pression est extrê
n des anatomistes, 1901- et )1. Ledouble (Traité des variations des
os
du crâné), rattachent égale) ment la déviation
est repoussée du côté malade, si bien que la partie médiane de l'
os
frontal considéré par la face externe ne répond e
erticalité. La pression plus forte a modifié aisément le corps de l'
os
creusé de sinus et amené ' Nous l'avons aussi c
bord supérieur du rocher en même temps qu'un léger tassement de cet
os
: (nous parlons toujours par comparaison avec l
diane horizontale, on constate qu'il est plus petit du côté sain, l'
os
ayant été été repoussé vers la partie pos- téri
la pression diminue la paroi s'épaissit là où elle est augmentée l'
os
s'amincit. Aux circonvolutions les plus pesante
ion, parce que le cerveau exerce une action trophique directe sur l'
os
qui le recouvre (ce qui dans le cas d'atrophie
ette inflammation exerce-t-elle son action sur la croissance de l'
os
? Ce sontlàdes phénomènes complexes sur lesquels
sculaire et analogues à celles que nous avons exposées à propos des
os
des membres'. '. La forme générale est peu tran
ans le tissu osseux, dissoudrait les sels minéraux, ramollirait les
os
et constituerait ainsi les lésions de l'ostéomala
un cas d'ostéomalacie sénile, il résulte que l'analyse chimique des
os
lui a montré qu'ils étaient en grande partie dé
l'acide nitrique et de l'acide nitreux daus les urines et dans les
os
a été négative. L'analybe bactériologique ne RE
râne conserve son aspect, mais présente une certaine rotondité; les
os
sont ramollis, épaissis, il y a un état spongie
état spongieux vasculaire du diploë, les sutures disparaissent; les
os
ont la consistance du carton mouillé. Les sinus
décrit par Hermann Proesch les sutures du crâne sont ossifiées; les
os
de la région temporale sont très minces et trans-
e mouvement imprimé ou commandé déterminant une douleur du côté des
os
du bassin, plutôt que d'une contracture des add
s). A signaler la localisation rare de l'ostéopathie spécifique aux
os
de la main. Un cas de kyste derrnoïde dus cen
s expériences de contrôle par l'application des* vibrations sur les
os
de la jambe, du bassin, les parties molles de la
TOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. lement au bord opposé de cet
os
: la zone sensible forme un cercle irrégulier d
ment à l'état normal et échappe à l'influence mentale du sujet. L'
os
n'a rien à voir en l'espèce puisqu'on peut percut
ie sont rares. L'hypertrophie dans ces cas peut porter soit sur les
os
, soit sur les parties molles. La radio- graphie
iginale, dans la création de son modèle. Trois cas de fragilité des
os
chez des aliénés. , MM. MARiEet VIOLLI;T, d'une
hose organique, tirent les conclusions suivantes : la fragilité des
os
peut s'observer chez les aliénés comme le rachi
Des fractures par action musculaire, combinée avec la fragilité des
os
, peuvent s'ob- server dans l'épilepsie avec ou
crises convulsives, sans choc; elles siègent principalement sur les
os
des membres nférieurs (tibia, fémur). Dans la p
TÉS SAVANTES. 167 spontanées peuvent aussi s'observer; l'examen des
os
montre par- fois une altération dystrophique gé
cles fixateurs de l'omoplate qui per- met à la malade de saisir cet
os
à pleine main. L'omoplate se déplace avec une t
ctant seule- ment les phalangettes des trois derniers orteils ; les
os
sont dénu- dés et noirs, les tendons ramollis,
'âge de dix-huit ans neuf mois, non soudées, par conséquent que les
os
étaient' capables de s'accroître encore. Le tab
ous en avons rapporté maints exemples : 1° par une hypertrophie des
os
dont l'épaisseur était le double des os corresp
1° par une hypertrophie des os dont l'épaisseur était le double des
os
correspondants du côté gauche (fig. 15) ; elle
et PL. 1 et II, un cas analogue : Hypertrophie compen- satrice des
os
du crâne répondant à une atrophie considé- ribl
vélait, en outre des caractères ordinaires d'un crâne microcéphale (
os
frontal étroit et allant en pente, fosses tempo
des étroites, condyles occipitaux saillants, sinus frontaux larges,
os
de la face progna- thiques, arcade dentaire étr
omesse de satis- faction, ou, pour le dire à la milanaise, avec cet
os
danslabouche, elle s'apaisait un peu et donnait
naturel, par Farez, 178.. Aliénés. Les - en liberté, 93. - Voir
Os
. Des mesures à prendre à l'égard - CI iminels,
32. ORTEILS. Etude sur le phénomène des -, par l\1armesco. 63.
Os
Trois cas de fragilité Iles - chez des aliénés,
moses exclusive- ment po'tostfques. Base symétrique. Calotte. Les
os
du crâne sont minces d'une façon presque 8 Auto
rentes sur les deux faces et assez sinueuses; il existe une série d'
os
wormiens sur la moitié supérieure des sutures p
ite, il y a un léger aplatissement de la bosse frontale droite. Les
os
ont une épaisseur de 3 à 5 millimètres. Les sut
nter gauche, on constate une autre escarrhe, mais moins profonde, l'
os
n'a pas été mis nu de ce côté. Escarrhe cuta. n
que côté; au niveau de l'épine iliaque postérieure et supérieure, l'
os
est mia à nu. A la partie postérieure du thorax
du thorax, de chaque côté, à la hauteur de l'épine de l'omoplate, l'
os
est à nu. Réflexions. I. - Nous avons toujours
il n'y en pas sur la branche gauche. Notons en passant que tous les
os
wormiens sont situés du côté du foyer cérébral.
os wormiens sont situés du côté du foyer cérébral. Sur la coupe les
os
n'offrent pas de différence entre les deux moit
uinal, mais ne communique pas avec le péritoine. -Tuber- culose des
os
du tarse gauche, principalement du calcanéum. E
opal subit; mort rapide. AUTOPSIE. - Adhérences de la dure-mère aux
os
; injection de la pie-mère qui se détache facile
cularisation notable au niveau de la région temporale droite. - Les
os
du crâne sont minces (2 à 3 mm. au plus), peu d
liquide céphalo-rachiclie2. La duré-mère étant très adhérente aux
os
au niveau de la fontanelle antérieure, de chaqu
no- vembre 1892, et nécessita un séjour d'un mois à l'hôpital. L'
os
fut trépané sur le côté droit un peu au-dessus de
En pal- pant la tête, on perçoit de chaque côté une dépression de l'
os
, longue à droite et à gauche d'environ 8 centim
cheveux. Cicatrices et dépressions ré- sultent des craniectomies. L'
os
parait reconstitué ; en tous cas, nulle part on
ts. Mesures de la tête. ; i ! 0 CRANIECTOMlES : CICATRISATION DES
OS
. une surveillance assidue. On ne trouve rien du
is, pâle, un peu jaunâtre. - Le crâne est tout- à-fait ovoïde ; les
os
sont durs, épais de 5 à 7 millimètres. Les sutu
antérieure, la clé/oo- ? nation cles membres, l'état particulier des
os
(2), etc. ; sur le système cutané, d'où la cach
rachitique porte prin- cipalement sur l'humérus de chaque côté. Cet
os
se trouve incurvé, aminci et aplati en lame de
xité postérieure (le malade étant supposé debout). La diaphyse de l'
os
est aplatie en lame sur toute l'étendue de la c
déformée et la rotule très rudimen- taire peut être assimilée à un
os
sésamoïde. Le tibia présentant une convexité an
est beaucoup moins marquée que celle des dimensions verticales de l'
os
. IDIO'fIE lIY71lD)ïlllA'fEUSE. 1 il ! 'd. 96) q
cales de l'os. IDIO'fIE lIY71lD)ïlllA'fEUSE. 1 il ! 'd. 96) que les
os
wormiens sont la preuve que les os normaux ont
lllA'fEUSE. 1 il ! 'd. 96) que les os wormiens sont la preuve que les
os
normaux ont été, à un moment donné, incapables
ue par l'ossifica- tion de centres supplémentaires, qui donnent les
os
en question. Pour un os crânien, cette impossib
de centres supplémentaires, qui donnent les os en question. Pour un
os
crânien, cette impossibilité de suffire à la lâch
timètres de taille (1 m 05) et que son poids égalait 35 kilogr. L'
os
occipital est légèrement saillant : il semble l'a
à son arrivée à Bicêtre, car la proéminence du bord supérieur de l'
os
avait attiré l'atten- tion. La présence des os
bord supérieur de l'os avait attiré l'atten- tion. La présence des
os
wormiens situés à ce niveau marquerait assez bi
l'activité périostée a cependant été suffisante pour produire de l'
os
, aux points où la pression encéphalique ne s'ex
tanelle) et les parti- cularités relevées au cours de notre examen (
os
wormiens). La suture sphèno-hasitaire n'est nul
e les deux modes d'ossification encore plus prononcée au niveau des
os
des membres. Signalons aussi une particularité qu
li n'est pas reliée au niveau de sa base à la face postérieure de l'
os
frontal : il y a un espace vide qui communique
ble : minceur des apophyses zygomatiques, faible développement de l'
os
ma- laire et du maxillaire supérieur, absence d
besoin de se mettre en eontact avec les incisives supé- rieures, l'
os
s'est pour ainsi dire tordu, renversé en avant de
e loi énoncée par M. Papillault (Homme moyen) : la mandibule est un
os
qui semble avoir fort peu d'autonomie, nul autr
ensurations : Omoplate : IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE. 119 reste de l'
os
ne présente pas de déformations susceptibles d'êt
ssezprononcé et il existe un élargissement sous-tronchantérien de l'
os
. Il y a une déformation très prononcée du plate
De cet affaissement il résulte : l°que la surface articulaire de l'
os
est elle-même extrêmement oblique; 2° que la fa
l'os est elle-même extrêmement oblique; 2° que la face interne de l'
os
, au voisinage de la partie articulaire, présent
de l'extrémité supérieure du tibia, la partie interne de ce dernier
os
s'est déformée ? Le péroné a-t-il augmenté la sol
ument particulier. Relative- ment à leur épaisseur, la longueur des
os
est extrêmement faible : alors qu'il y a eu un
Ces deux croissances ne sont nullement parallèles, puisqu'on a des
os
dont la longueur rappelle celle d'un enfant en
entre de l'orbite et le trou optique, Op. - CC, plan du clivns. Ow,
os
wormiens. - l, plan du rocher. La ligne indiqué
uditif. D, basion (bord antérieur du trou occipital;. 'Voir sur les
os
du crâne des myxoedémateux infantiles nos autres
alytique général juvénile ayant présenté une fracture spontanée des
os
de la jambe au début de l'affection. M. Marie
o-syphihtique, mor paralytique. Ces cas de dystroptnes précoces des
os
chez ces futurs 268 SOCIÉTÉS SAVANTES. paraly
t sur une hypothèse anato- mique fausse, la M/Morose prématurée des
os
du crâne, est aujourd'hui abandonné, heureuseme
ÉCITÉ. 393 lonue vertébrale, ni d'épaississement des extrémités des
os
. Le ta- bleau oplitalmoscopique des papilles et
raréfiées, dissociées. Ils montrent le détail des aller/liions des
os
dans les inflammations iiippurëes et abcès qui
emple, peut à lui seul déterminer une décalcification passagère des
os
. Dans l'ostéite, les sels de chaux peuvent pres
tabès et de la syringomyélie tiennent à une friabilité anormale des
os
longs due principalement à une disposition anor
e part, à l'augmentation de volume, avec modification de forme, des
os
; l'hyperémie passive y joue un grand rôle, comm
réac- tion. Ainsi, le front, et le trou sus-orbitraire. Celle de l'
os
malaire la détermine presque toujours; pour les
, car les oiseaux tout pénétrés qu'ils sont jusque dans la cavité des
os
, par l'air atmosphérique, doivent en éprouver des
ent de la même circonvolution avec les circonvolutions placées sous l'
os
pariétal, différencie les mêmes cerveaux de celui
dans des circonstances favorables; et ensuite par cette raison, que l'
os
ethmoïde des cétacés auxquels on refuse des nerfs
ratatinée; elle est beaucoup moins large et moins profonde; même les
os
crâniens immédiatement contigus, sont plus épais,
animaux fuit en arrière au point de s'abaisser presque au niveau des
os
propres du nez, et ils ont conclu de cet abaissem
imaux, il faut non pas considérer la saillie du cerveau au-dessus des
os
de la face, mais comparer les cerveaux entre eux,
at, le lion, tiennent le milieu entre ces animaux. Les dimensions des
os
du crâne et leurs rapports avec les circonvolutio
ont parfaitement en rapport avec celle disposition. Chez le mouton, l'
os
frontal est très considérable, le pariétal est pe
les singes et les makis, que chez tous les autres mammifères. 33. L'
os
pariétal est plus étroit, et l'os occipital est m
tous les autres mammifères. 33. L'os pariétal est plus étroit, et l'
os
occipital est moins développé chez les moutons qu
veloppé chez les moutons que chez les singes : c'est l'inverse pour l'
os
frontal. 34. La largeur du cervelet comparée à
as contre elle. Un des petits de la même femelle, la voyant ronger un
os
, s'était placé près d'elle et criait comme pour d
er un os, s'était placé près d'elle et criait comme pour demander cet
os
, mais il n'osait pas y toucher; la mère, impatie
aut de l'ours femelle corrigeant son petit qui pleurait pour avoir un
os
, fait qui est hors de doute, puisqu'il a été vu p
ontraire, il leur commande de les faire lan guir, il leur rompent les
os
les uns après les autres et leur iont soullnr u
alogie qui, suivant lui, existe entre la mâchoire inférieure unie à l'
os
écailleux et la cavité abdominale; la mâchoire su
os écailleux et la cavité abdominale; la mâchoire supérieure unie aux
os
eth-inoïde etjugal, et la cavité thoracique; l'oc
frontal, ou plutôt dans les parties du cerveau correspondantes à ces
os
. Et localisant davantage, il place les sens exter
n du cerveau située sous la moitié inférieure des pariétaux et sous l'
os
écailleux, la raison et le sens commun au-dessus
La forme du crâne, et particulièrement l'étendue proportionnelle des
os
qui concourent à la formation de la cavité encéph
mme incontestables, en phrénologie, n'auraient jamais été proposés. L'
os
frontal, comparé au pariétal et à l'occipital, es
rdé comme beaucoup plus étendu chez l'homme que chez les animaux: cet
os
diminu assure-t-on, au fur et à mesure que l'on d
médicale française, mai i835. mier parmi eux, pour l'élévation de l'
os
frontal au-dessus de la face, mais qu'il est en m
e recouvrir aucune portion du cerveau. Du peu de développement de l'
os
frontal chez les animaux, les phrénologistes ont
chat, est en effet recouverte par le pariétal et seulement par cet
os
. Mais s'il est admis que les organes cérébraux pu
réellement, chez les animaux, en proportion plus forte que les autres
os
du crâne, qui empêche d'admettre que les organes
cas, la valeur des inductions tirées du développement comparatif des
os
, de l'élévation du front, de la saillie de l'occi
lution, celle que j'ai appelée interne, qui n'est en contact avec les
os
que dans la très petite portion de son étendue, a
tivement aux rapports que les circonvolutions du cerveau ont avec les
os
du crâne, il faut admettre ou que les mamifères a
Plusieurs circonvolutions cérébrales n'étant pas en contact avec les
os
du crâne, ne sont pas accessibles à la crâ-niosco
nosographique du tabes considéré en général. J'ai fait placer sous
os
yeux un tableau où se trouvent inscrits et grou-
l'atrophie ou mieux de l'usure. On di- rait que les extrémités des
os
, les condyles, les cols ont été usés à dessein,
iphyse s'effrite et s'émiette insensible- ment, et l'on a alors ces
os
aux extrémités effilées et dont l'aspect justifie
t dont l'aspect justifie jusqu'à un certain point la dénomination d'
os
en baguettes de tambour qu'on leur donne quelqu
ème nerveux et des muscles au dévelop- pement et à la nutrition des
os
, elle se rattache il un problème incomplè- teme
seulement senti, mais encore perçu par l'oreille un déplacement des
os
, au niveau de la colonne vertébrale, un peu au-
ires que M. Charcot a le premier décrits. D'ordinaire localisés aux
os
longs et aux articulations qui les terminent, i
x articulations qui les terminent, ils peuvent aussi s'attaquer aux
os
courts, aux corps vertébraux comme aux os du ta
vent aussi s'attaquer aux os courts, aux corps vertébraux comme aux
os
du tarse. Voici comment Pitres et Vaillard décr
Même élat des trochanters, des rotules, de la tête du tibia et des
os
du tarse. A l'extrémité inférieure du sacrum, apo
Bourneville et Guérard. croient plutôt" un trouble de nutrition des
os
. Maladies spinales ne s'accompagnant pas de dév
ces apophyses ne passe pas en arrière du sacrum, mais bien par cet
os
ou en avant de lui. Supposons, au contraire,
it l'élévation extrême de l'omoplate droite », avec rotation de cet
os
autour de son angle interne et supérieur, de te
s pénibles, mal définies, des douleurs spontanées sur le trajet des
os
au voisinage des articulations. L'évolution d
ait, chez le sujet en question, une gracilité excessive de tous les
os
, une déformation de la cage thoracique devenue qu
que les déviations syringomyéli- ques relèvent d'une altération des
os
vertébraux, diminuant la résistance du rachis à
ression d'un état morbide de tout le système osseux. Les vertèbres,
os
courts et spongieux, en subiraient plus particu
oteurs, des lésions nerveuses capables de causer une altération des
os
, et en particulier des vertèbres ? II. Sur la p
modique des muscles du tronc et même un défaut de développement des
os
du côté affecté. Fait important à noter, l'atti
e B., âgée de 17 ans, est dans un état d'émaciation prononcée : les
os
sont saillants sur tout le corps, les muscles t
s bas chauds. Parfois elle sent un froid qui semble siéger dans les
os
, dit-elle, et se fait sentir dans le dos surtou
n pulmonaire. Autopsie. - Têle, cuir chevelu mince, pas de graisse.
Os
du crâne minces très durs. Liquide céphalo-rach
main est doublée entre et 7 ans, puis triplée à l'âge adulte. Des
os
du membre supérieur, ce sont ceux de l'avant-bras
que convulsive du début, l'arrêt de développement avec atrophie des
os
et des muscles du côté pa- ralysé, la contractu
ofonde sur tout le côté droit. Le malade dit qu'on lui fait mal à l'
os
quand on serre vigoureusement le mollet, la cuiss
ormations incorrigibles des membres et d'arrêt de développement des
os
; l'intégrité des muscles et de leurs réac- tio
, qui survint à la suite d'une chute de cheval avec enfoncement des
os
. Il se proposait d'appliquer le trépan, qui fut
t été projeté contre le cerveau et adhérait par sa face externe à l'
os
nouveau, formé au-dessus de lui. On enleva cett
ter extemporanément une hémorrhagie, de protéger et de soutenir les
os
fracturés, la conduite à tenir dans les acciden
n'offre pas de saillie anormale, mais les attaches des côtes à cet
os
, surtout les plus inférieures, sont très sailla
ne période de croissance du squelette, avait retenti jusque sur les
os
du membre paralysé, en produisant non pas une a
crânienne présente les adhérences totales de la dure- mère avec les
os
de voûte. La pie-mère est en état d'hyperémie s
er le squelette et on trouve, au bout de peu de temps, que tous les
os
du crâne se sont séparés les uns desautres, ce
oudure des articulations était fort incom- plète. Les epiphyses des
os
longs se séparent également de la diaphyseavec
ne lordose bien marquée. Les tibias sont courbés. Les épiphyses des
os
des membres inférieurs sont quelque peu hypertr
ACHYDERMIQUE. 335 cule de chaque côté, immédiatement au-dessus de l'
os
, il y a les tuméfactions bien marquées, qui gli
s téguments de la face sont trop larges dans tous les sens pour les
os
qu'ils recouvrent. L'examen du corps présente d
caractérisé. Au cou, on trouve une cicatrice ancienne, allant de l'
os
hyoïde au sternum. Ongles bleuâtres un peu recour
dépla- cés ici : 1° l'incision doit être faite verticalement sur l'
os
et toutes les parties superficielles au périost
correspondant à la première couronne de trépan. Trépanation de l'
os
. - Nos moyens actuels d'enlever l'os sont susce
de trépan. Trépanation de l'os. - Nos moyens actuels d'enlever l'
os
sont susceptibles de grands progrès, sans doute
es du trépan, aussi loin que possible de la surface inférieure de l'
os
à enlever, je ferai remarquer que l'ouverture du
ors- qu'on peut conserver la dure-mère intacte, les portions de l'
os
enlevé doivent être conservées dans des éponges a
ce de la surface exposée à 3 milli- mètres de distance du bord de l'
os
, pour l'empêcher ainsi de se piquer sur ce bord
ision sont légèrement élevés et si on enlève moins de cerveau que d'
os
, ils pénètrent dans l'ouverture du crâne; il y
carrée, au centre de laquelle on pouvait percevoir l'ab- sence de l'
os
, qui formait une ouvertue ovale dans le crâne, do
Opération (25 mai 1886). - Suivant la méthode décrite plus haut, l'
os
autour de l'ancienne ouverture fut librement enle
tumeur. On enleva REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 395 un peu plus d'
os
en avant et en dessous, pour complètement expo-
supérieur gauche, il se plaignait que la douleur semblait frapper l'
os
du membre, le côté du cou, et s'étendre de la m
suivante : Opération (13 juillet 1886). Un lambeau est relevé, et l'
os
est trépané près de la dépression gauche; on tr
avait été déchirée par la fracture primitive, et un petit morceau d'
os
avait été pro- jeté dans une cavité du cerveau.
monoplégie brachiale) ; le trouble de la nutrition portait sur les
os
et les mus- cles, et non sur le tissu adipeux s
ltats. - Mort dans un accès. Autopsie. - Déformations multiples des
os
de la base du crâne. - Aplatissement et distens
millimètres environ, sorte d'esquisse de bec-de-lièvre. Partout les
os
de la tête sont durs, très résistants; au niveau
urs, très résistants; au niveau de la suture bipariétale, on sent l'
os
bombé. Zone large d'envi- ron 3 ou 4 centimètre
d'avoir froid. - T. R. 39°,5. Mort dans un accès. Autopsie. - Les
os
de la voûte du crâne sont tous soudés. Toutes l
ure. Au niveau des deux fonta- nelles, antérieure et postérieure, l'
os
est mince, quoique non dépressible, non papyrac
dépressible, non papyracé. En un mot, synostose généralisée ; pas d'
os
wormiens, crâne [aminci. La dure-mère s'est déc
ications de la dure-mère cérébelleuse et surtout la déformation des
os
de la base du crâne, constituent les points les
°; une heure après, T. R. 37°,8. Autopsie le 8 mai. Cuir chevelu,
os
du crâne, dure-mère, rien. Liquide céphalo-rach
couche de pus qui remplissait le conduit auditif interne ; mais l'
os
était sain. La dure-mère à la partie supérieure d
perforé les deux tables externe et interne. Elle s'étendait sur les
os
à une certaine distance de l'orifice et était l
stéito syphilitique, avec carie et nécrose et de la périoostite des
os
du crâne; le foie présentait les traces d'une g
uve à droite 80 mill.; à gauche 57 mill.; Différence : 23 mill. Les
os
du crâne sont soudés sur plusieurs points des s
particularités curieuses; telles sont : l'asymétrie singulière des
os
du crâne; l'épaisseur exagérée du cuir chevelu
une ') hystérique, s'il se présente ce que M. Burq appelle 6 1'(II»
OS
? crasie ou aptitude métallique dissimulée. VOI
e l'arthrite sèche : il y a là une véritable lésion trophi- que des
os
, une dégénérescence graisseuse avec disparition d
des muscles et, en partie, aussi des ligaments, durant la vie. Les
os
des membres inférieurs sont minces, atrophiés, d'
bres supérieurs. Les tableaux suivants donnent les dimensions des
os
de Bog- LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 367 danow
anow; puis, leur épaisseur, comparée à l'épaisseur qu'ont les mêmes
os
, chez un individu sain (7'y. Il) : 368 ANATOMIE
n (7'y. Il) : 368 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 2° Comparaison entre les
os
d'un sujet sain et ceux de Bogdanow . LOCALISAT
. LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 569 30 Comparaison des longueurs des
os
, sur Bogdanow et sur un sujet normal, de race e
re que rarement ;lesnuitssont calmes. -Poids, 10 kil. 500 ; taille,
os
95. Traitement : Bains salés, huile de foie de
icule ; pas de lésions. Chaque rein pèse 35 gr. ; rien. Tête.-Les
os
du crâne sont normaux. Pas d'asymétrie appré- c
- teurs des mouvements. L. L. VII. SUR LES NERFS DE la MOELLE DES
os
; par G. VARIOT et le Dr CH. RÉMY. (Journal de
ncés par Duverney, contestés par Bichat, les nerfs de la moelle des
os
ont été décrits pour la première fois par Gros
leur structure. Ces recherches ont porté d'abord sur la moelle des
os
de l'homme prise sur un membre amputé dans le s
elin; puis, elles ont été con- trôlées par l'étude de la moelle des
os
du chien, de quelques autres mammifères et même
uelques autres mammifères et même des oiseaux. Dans la moelle des
os
de l'homme, les nerfs marchent acco- lés aux va
ou ailleurs, on n'a aperçu de terminaison nerveuse. La moelle des
os
du chien a semblé particulièrement favo- rable
s à la loi générale, ainsi que les auteurs s'en sont assuré sur des
os
de pigeon. L'anatomie avait été devan- cée par
, bient8tsursla peau des régions où se,dlstribue ce nerf.i .1-ivuoi
os
aaasu j J 8' - 911 ( ? l`il `1111L,ty ... u «
t7hJ u.dmjilH i.nib wrtulqll. 2J a eigtjid Ë8 ,avM ri jb tnfibnsi
os
thm 1 ,pu>ra ? h si fenijsin a-jl 'lue t111,
e. Crsas gastriques epl'iîs'énplûs'rarës.cfUrin'esCfquente ,,q-,J,
os
gastrii : L e lûsé lû rrês Z3rinesCuonte an%lbu
itique coïncident avec l'intégrité de la peau, des muqueuses et des
os
à ce moment, comme il s'agit dans l'espèce qui
cette dernière ayant trait surtout aux altérations de la moelle des
os
, ou du moins devant être considérée comme appar
meur du volume d'un oeuf de poule, située entre la dure-mère et les
os
, et se creusant une loge dans le tissu cérébral
phie, ou plutôt l'arrèt' de développement', porte à la fois sur les
os
et les muscles ! " Quelquefois,' le côté paraly
ar Descosse, 631. Arthropathietabétique (composition chimique des
os
dans l'), par Regnard, 288. Asiles (notes sur
3, 564. Métallothérapie, par R. Vigoureux, 257, 413. Moelle des
os
(nerfs de la), par Va- riot et Remy, 430. Moe
t Loti[. - Le malade, lui, prétend qu'on lui aurait retiré un petit
os
du genou droit et qu'on lui aurait maintenu la
osée. On procéda sans chloroforme et sans douleur si l'ablation des
os
de la phalangette et de la phalangine.La cicatris
ébilité mentale compliquée de manifestations strumeuses du côté des
os
; associa- tion des idées excessivement lente; m
large en haut, la poitrine se rétrécit à partir de la pointe de ces
os
. Le reste du tronc * En 1896, la circonférence
eau très épaissie, et terminé par un tout petit fragment d'ongle. L'
os
de la phalange seul existe. Les mouvements prov
sauf dans son cinquième anté- rieur, on note un épaississement des
os
assez prononcé. La calotte ayant été sciée un p
45 transver- salement. La postérieure pa- rait fermée. Les autres
os
paraissent soudés. Les bos- ses pariétales so
d. 8G, 2. (Ebauche : hauteur 33 - Largeur 31, 05. Ind. 104, 7 Les
os
frontal, maxillaire et malaire droits ont poussé
tosées, mais encore on voit le jour au travers et on fait jouer les
os
les uns sur les autres. La suture coronale est
moyenne. La suture inter-pariétale offre des dentelures étroites. L'
os
épactal est divisé en deux par un prolongement
par un prolongement de la suture inter-pariétale : ces deux petits
os
épactaux sont mobiles et de niveau avec les par
peau est décollée sur une asse grande étendue, environ 5 cent.; l'
os
n'est pas dénudé. Le tissu sous-cutané est très
tait de savoir quel était le degré de l'arrêt de développement, des
os
du côté paralysé. Les mensura- tions comparativ
ît un peu moins profonde que la gauche. Le maximum d'épaisseur de l'
os
est à droite de 2Z millim. et à gauche de 23 mi
t (Fig. 26). IV. L'aictnpsie a montré un peu d'épaississement des
os
du crâne, de la dure-mère qui adhérait forte- m
; pachyméningite. pariéto-occipitalu du côté droit se succèdent six
os
wormiens contigus. Le plus volumineux siège au
tal droit. Il mesure 25 mm, sur 30 mm. A gauche, il n'y a que trois
os
wormiens allongés, immédiatement en dehors de l
nt en dehors de l'angle supérieur et postérieur de l'occipital. - L'
os
frontal est fuyant et, au-dessus de sa partie m
l'accident : le pouls-s'améliora au moment même du relèvement de l'
os
déprimé. La guérison fut parfaite. R. DE MUSGRA
les, à la moelle, aux racines rachi- diennes, même au périoste de l'
os
voisin, surtout dans la région 84 SOCIÉTÉS SAVA
bres cervicales était indéniable. A l'autopsie on trouvait bien les
os
et les articulations détruits comme on le pensa
ensait, mais par unnyxo- chondrosarcome, ayant pris naissance sur l'
os
basilaire, ayant comprimé l'hémisphère cérébell
(thèse de Coulbault, 1881), ne s'explique ici ni par une lésion des
os
(Virchow), ni par la syphilis (Huber). L'ingest
ents sont très peu accen- tués + ça ne me fait plus mal. Sentez l'
os
de la jambe : Ça me fait mal, on me le broie + c'
e fait mal, on me le broie + c'est très douloureux z- on me ronge l'
os
, tout autour + çà diminue un peu + La cheville
n compris jusqu'aux orteils : Le mollet me fait mal + On me ronge l'
os
de la jambe + Çà craque à la cheville + Je sens
e de près d'une heure. zig. La cheville me fait mal + On me ronge l'
os
de la jambe. Sentez votre genou : Ça craque + I
t plus petit + Le genou ne me fait plus mal + On ne me ronge plus l'
os
de la jambe + La cheville me fait encore mal, l
la ' TRAITEMENT MÉCANIQUE DE L'HYSTÉRIE. 215 peau, les muscles, l'
os
de la cuisse. La malade fléchit la cuisse sur l
sont très douloureuses; la malade accuse surtout la sensation de l'
os
iliaque rongé ; le point de la cheville reparaît
ÉRAPEUTIQUE. 5. Cuir chevelu, front, crâne : brûlures, picotements,
os
rongé, boules qui éclatent, os qui craqnent.
ront, crâne : brûlures, picotements, os rongé, boules qui éclatent,
os
qui craqnent. 6-9. Sentez votre cerveau : J'ai
éprimée, mais mobile sur les plans profonds. Le palper montre que l'
os
frontal est à ce niveau nettement enfoncé suiva
rtical du bras droit. Il n'existe à ce niveau aucune lésion ni de l'
os
, ni des méninges, ni du cortex. Sans replacer l
simplement en faire un stigmate. L'humérus est de beaucoup l'un des
os
longs qui présentent le moins de variétés de long
c., on ne voit nulle part qu'il ait soupçonné que les anomalies des
os
longs accompagnent l'épilepsie ; il parle d'asy
es rapports de l'épilepsie avec la dégénérescence, ne parle pas des
os
; Donaggio publie un article sur le développement
ant atteint toutes les couches de l'épi- crane, et allant jusqu'à l'
os
; d'une longueur de 15 centimètres sur 12 centi
tation d'un malade). Lorsqu'on applique un diapa- son vibrateur à l'
os
, on obtient partout une sensation nette de vibr
ur à l'os, on obtient partout une sensation nette de vibration. Les
os
, situés superficiellement, perçoivent plus nette-
radioscopie et la radiogra- phie ont montré l'intégrité de tous les
os
de la main gauche, sauf les deux phalanges du p
te et la radio- graphie donne une ombre plus foncée à l'endroit des
os
. L'auteur admet que le processus observé chez s
thèse de Rindfleisch sur la dissolution des sels, contenus dans les
os
, sur l'influence de l'hyperémie vasculaire, peut
trouva un épaississement et des adhérences de la dure-mère avec les
os
du crâne dans la région du tiers supérieur des ci
e manifestent aux parties sous-jacentes du squelette et en plus aux
os
des membres inférieurs; dans quelques cas les t
uelques cas les troubles vibratoires ne se manifestent que dans les
os
des jambes seulement, tandis que dans les parti
n observe toujours des troubles vibratoires très prononcés dans les
os
du bassin, et souvent aussi dans les os des mem
res très prononcés dans les os du bassin, et souvent aussi dans les
os
des membres inférieurs et même dans le squelett
, on a constaté une anesthésie vibratoire presque complète dans les
os
du bassin et les parties centrales des membres.
es sen- sations de vibrations sont conduites principalement par les
os
et le périoste, mais pas par la peau ni les par
supérieure ; lèvre inférieure épaissie ; langue fendillée, large ;
os
de la face augmentés de volume ; nez élargi et
, narines élargies. Glande thyroïde normale. Pouls : 84 pulsations.
Os
des extrémités supérieures et infé- rieures aug
les tendons extenseurs environ au niveau de la deuxième rangée des
os
du carpe. La percussion donne lieu à un mouveme
e due à une solution de continuité de la capsule fibreuse ou de l'
os
? Il est peu probable que la capsule se rompe,
quement par celles de M. R. Blanchard'. Le premier a trouvé que les
os
en pareille circonstance renfermaient beaucoup
mique (novembre 1873.) 2 P. Regnard. De la composition chimique des
os
dans l'arthropathie des ataxiques. (Comptes ren
les lésions au début, à cause de la destruction très rapide de l'
os
, mais cette destruction si rapide ne prouve- t-
l'os, mais cette destruction si rapide ne prouve- t-elle pas que l'
os
est primitivement atteint. Un autre argument es
lus exac- tement cette surface avait disparu avec la portion de l'
os
situé dans son voisinage ; les lésions de la tête
le gauche. - Fracture consolidée à cal difforme et oblique des deux
os
de l'avant-bras gauche. Ar- thrite chronique de
-humérale droite. Fracture consolidée, à cal volumineux, des deux
os
de l'avant-bras droit 2. » ' M. Charcot, dans s
omique disséminée par foyers dans toute l'étendue d'un ou plusieurs
os
, occupant plus particu- lièrement tantôt la dia
ntra, en se servant, à l'insu des malades, de tîacloîs de bois ou d'
os
, qu'il suffisait pour obtenir l'effet propre à
le frottement ou la pression. Il faut y joindre encore l'ivoire, l'
os
, certains bois résineux (Jourdanis), le collodion
ps en percutant, au lieu du tendon, soit le muscle lui-même, soit l'
os
sur lequel il s'insère; c'est-à-dire que les chos
percussion du muscle ; 4° percussion du tendon ; 5° percussion de l'
os
; 6° percussion d'un point éloigné. M. Waller
de façon que le 176 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. bord spinal de cet
os
s'éloigne du thorax et que son angle inférieur
On conçoit qu'en ce même point ? ce tronc nerveux protégé par les
os
et les cartilages,- soit' difficilement accessi
traitement , attribuant le fait à une anomalie de développement des
os
. L'enfant se présente dans les conditions suiva
nte sous les tissus, qui ont l'aspect d'un parchemin appliqué sur l'
os
. De là résulte, vers le centre de la joue, une
Les rapports du' sciatique poplité, externe avec cette partie de l'
os
, expliquent les lésions de ce nerf, ! tantôt co
nt sur les Localisations cérébrales, et sur {'Etat des nerfs et des
os
dans les moignons d'amputés, et les récompenses
faut, les plaques les plus Aoluniineusesolfranl la consistance de l'
os
décal- cifié et se laissant aisément débiter en
illant que le gau- che, il en est de même de l'occipital droit. Les
os
sont peu durs. Sur la coupe, le côté gauche est
é gauche est plus de moitié plus épais que le droit; au palper, les
os
du côté gauche semblent partout plus épais qu'à
ance des sutures, et surtout une beaucoup plus grande épaisseur des
os
à gauche, L'encéphale présente une très-grande
e, le centre de la vision distincte paraissant t être en avant. 8. \
os
préparations relatives aux lésions de la face i
osse sus-claviculaire gauche, présente une tu- meur dure comme de l'
os
, se dirigeant vers la colonne vertébrale sans q
( Neurolog. Cenlralblatt. XX. 1901) dénie il la décalcification des
os
, mise en lumière par M. Xalhandoff (Deutsnlz. Zei
les phlegmons chroni- ques. « Cette décalcification passagère d'un
os
enflamme dans une inflammation phlegmoneuse gra
ez un individu ordinaire. Le ramollisse- ment avec transparence des
os
des doigts, en l'espèce, tient iL une simple dé
eût eu lieu chez un individu sain, indemne de svringomyé- lie. Les
os
du malade devaient, de par l'affection de la moel
n de structure dont parle Charcot ; le phlegmon en sévissant sur un
os
déjà miné exagéré la destruction osseuse. » P.
ux qui explique les contractions en rapport avec la percussion de l'
os
mataire. Celle réaction n'est pas, au reste, la
u au froid la région sus-orbitaire, non quand on pique la peau de l'
os
ma- laire. 11 n'est donc point périostique. S
Rapport du directeur médecin (lez' ('.ULI.ERE) de l'asile d'a- IiW
os
eleLccRocltc-stm-7'na (1'mnlno) sutvt'raeociee I
ptant la vie aquatique, ayant cessé de s'appuyer sur son fémur, cet
os
finit par s'atrophier et par n'être plus nourri
'animal se servant pour sa propulsion des muscles qui entourent cet
os
, ceux-ci s'ac- crurent jusqu'à former d'énormes
atoire. La peau ri etyu'un lun cun- ducteur transmet tant jusqu'aux
os
les agitations mécaniques. Le tissu cellulaire
interrompues (diapason mû par l'électro-aimant). 2° L'intégrité des
os
n'est pas du tout indispensable àl'intégrité de
ment des frag- ments. L'oedème des parties molles qui entourent les
os
fracturés semble exercer une influence bien plu
4" La périostite, la carie, les épaississements superficiels des
os
n'exercent aucune influence sur la sensation vibr
çoit aussi nettement les v i- brations du diapason appliqué sur des
os
dénudés, ayant ou non leur périoste, sur des os
on appliqué sur des os dénudés, ayant ou non leur périoste, sur des
os
nécrosés, et même sur des séquestres li- bres.
l'Académie accorde une mention très honora- ble il M. le Dr Maurice
os
1 LLUIav, de Paris. Prix Ernest G,irlaz'cL : 1
salive, accusant simplement une douleur qu'elle localise aulomde l'
os
hyoïde. La palpation aLten- tive et minutieuse
s souvent (23 fois sur 35 cas de l'auteur) il s'agit de fragments d'
os
ou d'arêtes. Les soldats, ajoute l'auteur, y so
e raison, s'il se trouve mêlé aux aliments quelques frag- ments d'
os
,toutes les conditions se trouvent réunies pour
gres- sion devient plus lente dans l'oesohllagc et tel fragment d'
os
se fixe souvent non parce qu'il se trouve à l'étr
mourut dans de semblables conditions. A l'autopsie, on trouva un
os
de forme prismatique et triangulaire placé en arr
on cricoïdien. son grand axe dirigé obliquement. La présence de cot
os
avait déterminé la perforation de l'oe- sophage
u personnel de surveiller les aliments, d'en- lever les fragments d'
os
ou de tendons, susceptibles de produire des acc
leptiques, 1 pour brûlure de la face, 1 pour fracture double des
os
de l'avant-bras ; 1 pour e.LCitaliotl maniaque,
raisse. La cuisse gauche paraît plus volumineuse que la droite. Les
os
de la jambe droite sont légèrement incurvés ; c
iocéphalique : frontal droit saillant, occipital droit déprimé. Les
os
sont durs, moyennement épais. Les sutures sont
e, nous apercevons un corps étranger volumineux. (Fig. 7). C'est un
os
de forme prismatique triangulaire. Il est placé
est plus en dehors ; elle s'est faite sous le corps thyroïde que l'
os
a endommagé. La face postérieure de ce corps ét
utives à une ulcération de l'oeso- phage produite par un fragment d'
os
arrêté- dans ce conduit. Les deux faits qui p
ntimètres : « Il y a à ce niveau, dit son mari, une dépression de l'
os
et, si l'on appuie, on détermine une vive doule
ure, sauf aux aliments. - Bron- cho-pneumonie ; mort. AUTOPSIE. -
Os
du crâne assez épais et assez durs; persistance
iquide, pas de tuberculose. Tête. - Cuis- chevelu maigre et pâle.
Os
du crâne assez épais et assez durs; persistance
qui n'est pas due, nous le répétons, à la synostose prématurée des
os
du crâne, n'est pas due non plus toujours, à un
normale, 2° qu'il y avait en outre une hypertro- phie notable de l'
os
frontal. Ceci n'est pas un fait isolé et dans t
on avec cette loi que partout où la 1 ? e.ssion est 1 : augmentée l'
os
tend Ù s'amincir et dans l'hydrocéphalie où ell
ses enveloppes. Les relations entre le cerveau, les méninges et les
os
sont étroites et no peut émettre l'hypothèse qu
est normale. Au point de vue de l'épaisseur et de la régularité des
os
; cependant l'apophyse crista-galli présente un
, on trouve, vers le tiers moyen, une aug- mentation de volume de l'
os
, sensiblement annulaire, rap- pelant la sensati
rieur, l'intestin est subitement rétréci par le rapprochement des
os
du bassin. Le diaphragme est fortement repoussé
bure est encore plus considérable sur la face antérieure des deux
os
, qui sont disposés en une sorte de crochet. Sur c
s ne paraissent pas sensiblement dé- formés. La face externe de l'
os
iliaque, au lieu de présenter la dépression de
n d'avant en arrière et de bas en haut de la partie supérieure de l'
os
iliaque. Cette flexion apparait encore plus net
e. Cette flexion apparait encore plus nettement, quand on examine l'
os
par sa face interne; on voit alors que le fond
marque au fond de l'excava- tion une destruction superficielle de l'
os
, dont la surface est poreuse. Il résulte de c
os, dont la surface est poreuse. Il résulte de cette flexion de l'
os
iliaque, que la moi- tié inférieure de son bord
ontale; jusqu'au-dessus de l'épine iliaque inférieure, le bord de l'
os
continue la direction de l'émi- nence iléo-pect
rection, etsont devenus antéro-postérieurs et parallèles ; les deux
os
se touchent en avant sur la ligne médiane, par
itrochée sur le plan hori- zontal, on voit que le bord interne de l'
os
forme un arc irrégulier, dont la flèche mesure
exacte- ment le même qu'avant l'apparition de l'épidémie. t-l.
os
M- 10 5 r 3 c M 0 a M 0 t
e tuberculose intestinale. Saillie des maxillaires inférieurs, de l'
os
malaire, des voûtes orbitaires ; en un mot, fac
estplus dilatée que la droite.-t\'ez aplati à sapartie inférieure;
os
propres volumineux et saillants. Bouche moyenne;
ne est iiiésaticépliale, ` présente un indice céphalique de 79. Les
os
du cl'âne sont sou- dés. Le front est peu élevé
mbdoïdes et fronto- pariétales ne sontpas soudées et les différents
os
qu'elles sépa- rent présentent une mobilité rel
interpariétales se sont écartées de 2 ? à 25mm. Les dentelures des
os
voisins, comparables à des stalactites et à des
le séjour du malade à Bicêtre que s'est opéré cet écartement des
os
, qui vient fournir, croyons-nous, un argument s
, un argument sérieux contre la craniectomie. C'est parce que les
os
du crâne ont pu s'écarter aussi largement que les
trauma- tisme qui a eu si promptement une issue fatale. Tous les
os
étaient translucides, notablement amincis, car
e semble indiquer en quelque sorte comment s'opère l'écartcment des
os
que nous avons vu se produire, à un degré si re
ns sur t'idto- tie, t. I, p. 210 et 217. 88 Réflexions : état DES
os
DU crâne. dentelures des sutures fronto-pariéta
7. - Consulter aussi une Note sur l'ossification pré- niatttréc des
os
du crâne chez les idiots microcéphales, lue par M
ien conformés. Tête. Cuir chevelu très épais et très résistant. Les
os
du crâne sont minces, peu durs; les sutures son
troduction d'ali- ments liquides dans les voies aériennes : Tête.
Os
du crâne minces et durs ;,la coupe de la calotte
sutures sont très apparentes à l'extérieur et à l'inté- rieur. Les
os
offrent de nombreuses plaques transparentes for
coup de difficulté. Les pieds ont le même aspect que les mains. Les
os
ne présentent nulle part de déformation. La col
ns tous 2 ? 0 IDIOTIE \fISOEDC\I : 1TI : US. leurs segments ; les
os
des avant-bras sont légèrement incur- vés ; les
postérieurs). La compression spinale était produite surtout par les
os
déplacés et effondrés 1. Les renseignements cli
ctérisée par la fonte relativement rapide (en 18 mois), de tous les
os
du carpe et de l'altération des os voi- sins, d
rapide (en 18 mois), de tous les os du carpe et de l'altération des
os
voi- sins, d'un seul côté (gauche) et pour laqu
inique et radiosco- pique du pouce de la main gauche. On y voit les
os
des phalanges dépouillés presque complètement d
la périphérie. Les ostéopathies liées à la disparition des sels des
os
, l'holistérèse, se rencontrent en des modalités
e période de régénération osseuse. La couche corticale externe de l'
os
trahit une résistance extrêmement longue au ram
LOGIE NERVEUSE. 67 masse ramollie, gélatiniforme, de ce qui a été l'
os
n'est plus main- tenue que par le périoste épai
plus main- tenue que par le périoste épaissi. La régénération de l'
os
, qui s'ef- fectue d'ordinaire lorsque s'arrête
rmie cutanée. Rindfleisch rattachait la disparition de la chaux des
os
à la congestion du système veineux de l'os, grâ
parition de la chaux des os à la congestion du système veineux de l'
os
, grâce à laquelle l'acide carbonique, fabriqué
ilier cette contradiction entre deux processus au même endroit de l'
os
? Notre observation nous permet de péné- trer j
l'intimité des processus patho- logiques qui s'opèrent au sein des
os
dans la syringomyélie. L'os- téomalacie osseuse
spontanées, montrée par Regnard au moyen de l'analyse chimique des
os
atteints de fracture spon- tanée dans le tabes,
tion de carie ou de tuberculose osseuse. L'examen histologique de l'
os
n'a révélé qu'une forte capillarisa- tion de la
ation on retire une abondante bouillie cérébrale et des esquilles d'
os
considérables enfoncées dans la profondeur de l
es. Les radiographies ont démontré l'hypertrophie incontestable des
os
dans le sens dé la longueur et surtout dans cel
noeuds; le tout disparait au bout de dix mi- nutes. ' - Sentez l'
os
de la jambe : mouvements de flexion et d'extensio
Les tiraillements. les noeuds disparaissent rapidement. Sentez l'
os
de la cuisse : il est collé, dans l'articulation.
te en revue quatre chapitres : 1° la grosse anatomie pathologique :
os
du crâne, dure-mère, etc. ; 2° la patho- logie
égion de l'humérus, indi- quant un ancien processus de carie dans l'
os
, on pense à une tuber- culose locale du cràne o
qu'un épaissis- sement de la dure-mère adhérente à cet endroit aux
os
du crâne et à la substance cérébrale. L'opérati
ns. Les plus volumineuses se trouvent sur le sacrum, au milieu de l'
os
et près de l'articula- 34.0 SOCIÉTÉS SAVANTES.
(trois de chaque côté, près de l'insertion du muscle deltoïde, les
os
de l'humées et sur l'olécrane (volumineux). Des
t des malléoles externes et internes. Il en existe très peu sur les
os
des pieds et des mains. A la palpa- tion, ils s
te du fémur apparaît très raréfiée et presque séparée du corps de l'
os
. Sur la radiographie de l'articulation du coude
tion du coude, l'exostose de l'olécrane se présente sous forme d'un
os
sésamoïde séparé. Les muscles se contractent bi
trophie sans dystrophie osseuse, alors que dans le cas de Destol, l'
os
était altéré. t. Deux causes peuvent être invoq
, directement sur le périoste : au niveau de l'angle inférieur de l'
os
, là où frappe de préférence Bechterew, il n'y a
ésente : symétrie des ' lésions, leur localisation à l'épiphyse des
os
longs, la micromélie surtout rhizoméliqne, la m
hondroplasiques, c'est l'insuffisance du processus forma- teur de l'
os
aux dépens du cartilage interdiaphyso-épiphysaire
arquée au niveau du scapulum droit; cette zone dessine à peu près l'
os
sous-jacent. L Anesthésie absolue de la main ma
hilis héréditaire avec éburnation, et enfin les épaississements des
os
du crâne consécutifs à l'hydrocéphalie, car j'a
t associées il des épaissis- sements crâniens, à une éburnation des
os
; la sclérose est complexe, DE LA CRANIECTOMIE.
il n'a pas été ouvert. On remarquera en passant que sur ce crâne l'
os
frontal présentait sur la ligne médiane une crê
lus ou moins large. Quel- quefois le lambeau ne comprend qu'un seul
os
, le pariétal par exemple, plus rarement le fron
par un seul~côté, celui qui le rattache au temporal. Sur le même
os
j'ai pratiqué des incisions en T, la branche vert
occipito- pariétale. J'ai pratiqué des lambeaux à cheval sur deux
os
, le frontal et le pariétal. D'habitude ces lamb
nt à la perle de substance je dirai qu'actuellement j'excise plus d'
os
que dans les premiers temps; je laisse environ 8
ostéome dure-mérien encastré dans cette membrane et indépendant des
os
du crâne. Sur le sujet auquel j'ai pratiqué une
plus facile l'expansion cérébrale et d'em- pêcher la formation de l'
os
. Mais d'un côté j'ai jugé que cette pratique !
les circonstances m'ont permis de m'assurer que la régénération des
os
par la dure-mère n'est pas la règle à la suite de
n. L'exa- men du crâne témoigne qu'il n'y a aucune régénération des
os
par la dure-mère. - C'est avec intention que
pas jetée comme un voile sur l'espace compris entre les bords de l'
os
. Trois fois, d'ailleurs, je l'ai réséqué et l'exa
nous a fait voir, je le répète, que la dure-mère n'a pas fait de l'
os
. Durant l'opération il n'y a guère de complicat
une com- pression par un petit tampon maintenu entre les bords de l'
os
coupé. Je n'ai jamais ouvert l'artère méningée
t à gauche) perte de la sensation des vibrations transmises par les
os
du crâne. Etat mental. - Amnésie, pleurs facile
e), l'état des sutures craniennes (scaphocéphalie, trigonocéphalie,
os
wormiens, hydrocéphalie, encéphalocèle.) 3° M
es. Ces dernières asymétries dues à un développe-, ment anormal des
os
de la face ou à des synostoses prématurées des
supérieure se re- lève fortement sur la ligne médiane au niveau des
os
incisifs ; d'autre part et surtout, à l'ouvertu
'origine congénitale, commence à la partie supérieure du corps de l'
os
, formant une fosse de 4 centimètres de profondeur
idérée par lui comme un signe d'arthritisme'. Du côlé gauche, les
os
de l'avant-bras sont atrophiés (22 centimètres de
tribuer la malformation du sternum à un arrêt de développement de l'
os
en longueur. La mensuration du diamètre sterno-
rme globuleuse) et les membres (nouures articulaires, courbures des
os
longs). Aucun des auteurs qui ont étudié la poi
que l'excitation porte sur les parties profondes, muscles, tendons,
os
, nerfs, ou bien qu'elle est exclusivement cutan
o-fibreuses, en y ajoutant la pression et la pcrcussion directe des
os
. I ? c. 65. 348 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
quelquefois dans l'avant-bras, où il lui semble qu'on lui « tord les
os
». Ce sont des douleurs qui surviennent par par
e degré d'atrophie. C'est ainsi que les muscles qui s'insèrent il l'
os
malaire et ceux de la fosse canine ont en parti
che s'insère jusqu'à la ligne médiane sur la face antérieure de cet
os
(fig. 78). Du côté droit le petit pectoral manq
autre part le contrôle des mou- vements exécutés. Des lésions des
os
, nous ne dirons rien, car elles n'ont rien à fa
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 91 culaires des
os
longs, des vertèbres. L'auteur estime que ce cas
de la céphalée, de la fièvre, de la som- nolence, etc., on racle l'
os
au niveau de laplaie frontale, jusqu'àla dure-m
la l'épreuve avec divers cartons sur lesquels il écrivit : « boire,
os
, eau, sortir, etc. Peu à peu, il parvint à se f
tolo- bidule méticuleux de tous les organes, et, en particulier des
os
Archives, 2- série, t. XV. 12 n8 REVUE DE PAT
érie, t. XV. 12 n8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. lésés (fémurs et
os
de la jambe). Les particularités de cette obser-
, qui la distinguent d'autres cas similaires sont : l'intégrité des
os
du crâne, la profonde altération des os de la jam
ires sont : l'intégrité des os du crâne, la profonde altération des
os
de la jambe, allant d'un côté jusqu'à la fusion
glande vasculaire sanguine, athérome de l'artère nourricière de l'
os
, et concluent que la lésion initiale de cette aff
t les prodromes à son arrivée à l'hôpital. Autopsie. Sclérose des
os
du crâne, intégrité de la dure- mère. Pie-mère
ncés, on observe par contre de véritables fontes des extrémités des
os
. G. C. XX. Vertige d'origine nasal; par Collet
elui du rêve. Lire le mémoire. ~ P. IGRAVAL. XVI. Altérations des
os
de la face consécutives à la paralysie faciale ;
lysie faciale gauche. Il existe une hyper- trophie des contours des
os
, en particulier du maxiliaire supé- rieur, du c
idité de la joue para- lysée qui, n'appuyant plus constamment sur l'
os
n'en modère plus l'accroissement : celui-ci s'e
a paralysie ayant eu lieu aux âges indiqués, le développement des
os
a pu s'effectuer pendant 8 et 15 années sans renc
VRALGIE FACIALE. 339 face est congestionnée, surtout au niveau de l'
os
malaire qui pré- sente une teinte rouge notable
éno- mène de Babinski tantôt existe, tantôt non. A la pression de l'
os
de la cuisse droite apparaît une flexion exagér
us et du cubitus, MM. Bourneville et Paul Boncour concluent que les
os
malades présentent des modifications uniquement
ui ordonnèrent le repos. Sur ces entre- faites, « je me blessai à l'
os
de la jambe, et quoique ce mal ne parut rien d'
de terribles incisions, en sorte qu'on lui tira quasi tout le gros
os
de la jambe qui était carié. Elle souffrit des
ables. « Il lui semblait que ses nerfs, et jusqu'à la moelle de ses
os
étaient pénétrés de l'àcreté si cuisante de cet
oléculaires d'un diapason, de par les trépidations qu'il émet sur l'
os
, constituent un excellent spécifique pour la me
constituent un excellent spécifique pour la membrane sensible de l'
os
, pour le périoste et ses annexes, les capsules
me les organes percep- teurs des vibrations qu'on détermine sur les
os
, et ce sont indu- bitablement ces derniers qui
res nerveux supérieurs tout aussi bien que celle des muscles et des
os
. Le cerveau de l'enfant, à sa naissance, ne pou
ne glande lymphatique. L'augmentation concernait prin- cipalement l'
os
de la mâchoire inférieure et progressait jusqu'à
avieff voit une cause possible de l'excroissance uni- latérale de l'
os
de face dans la stagnation du sang et de la lymph
la saturnine, par Pllilippe et de Guthard, '201. Altérations des
os
de la lace con- sécutives à la faciale, par \Ve
obes par une scissure médiane. Le névraxe, couché obliquement sur l'
os
basilaire, de la selle turcique au trou occipit
aspect d'un muscle digastrique. Le muscle frontal s'insère en bas aux
os
propres du nez et à la peau des sourcils ; en hau
aponévrose. La section des parois du crâne comprend, en avant : les
os
de la face et le frontal ; en haut, le pariétal;
nus intra-crâniens et les veines extérieures. Sur certains points des
os
du crâne, cette substance spon-gieuse est résorbé
r le vomer qui s'étend de la paroi antérieure du sinus sphénoïdal à l'
os
palatin; en avant, par la lame perpendiculaire de
ophyses ptérygoïdes placées de chaque côté du vomer, et en bas, par l'
os
palatin. Ce contour osseux présente un plan résis
— Voûte du palais ou plancher des fosses nasales, constituée par les
os
maxil- laires supérieurs en avant, et par les p
on verticale du sinus sphénoïdal et de la portion quadrangulaire de l'
os
occipital, située en avant du trou occipital, app
l'os occipital, située en avant du trou occipital, appelée corps de l'
os
, ou apophyse basi-laire. Cette apophyse s'articul
outtière latérale de l'occipital aux bords supérieurs des rochers des
os
temporaux ; elle loge dans son dédoublement les s
ontusions, déchirure des parties molles, hémorrhagies, fracture des
os
, pénétration de corps étrangers dans la cavité
onvulsions ; quand il y a fracture du crâne, avec enfoncement des
os
, épanchement et compression du cerveau, l'hémi-
survivre à des fractures du crâne, à des pertes de subs- tance des
os
, ou même de la substance cérébrale. D'autres on
ombattant de Juillet avait eu le crâne haché de coups de sabre, les
os
fracturés, la dure-mère mise à nu. Il guérit. Dup
es pores du crâne, et ce fait est possible. Mais le plus souvent, l'
os
entier restant intact, quelque veine rompue en
ces proviennent de coups de sabre qui entamèrent profondément les
os
. Le délire alcoolique guérit rapidement, mais il
l'âge de douze ans, chute. sur la tête, fracture et enfoncement des
os
du nez. Paralysie générale à la suite d'un séjour
as toujours le cas; très souvent ce n'est que la table externe de l'
os
qui est entamée : la table interne est restée i
homme, ayant reçu une blessure considérable dans le voisinage de l'
os
tem- poral, fut trépané par Acrell. Quand la bl
s'affaiblit, et elle périt dans le coma à l'âge de cinquante ans. L'
os
du crâne, dans le lieu où le coup avait porté,
oronale. Sur le milieu du cerveau, près de la faux, existait uu .
os
très aigu qui pénétrait dans la dure-mère. Il u'e
iolent sur le pariétal gauche : fracture et perte de substance de l'
os
. Devenu militaire, il est effrayé une nuit par
vaste dépression sur le pariétal gauche, perte de subs- tance de l'
os
; la dure-mère est appliquée sur l'orifice et fo
de pierre au milieu du pariétal droit, produisit une fracture de l'
os
, à travers laquelle le cerveau, faisant hernie,
le crâne de l'adulte et sur celui de l'enfant. Dans l'enfance, les
os
, et parti- culièrement ceux du crâne, sont rela
ne aiguille menaçante, ou s'en servir avec adresse pour saisir un
os
. Ces troubles de la motilité volontaire, ni Hit
e des muscles de la mastication est très grande. Si on lui offre un
os
du côté opposé à la lésion, il le prend dans sa
avec ses dents; mais, après la première bouchée, il ne sent plus l'
os
qui touche sa joue et s'arrête. Si on lui prése
sent plus l'os qui touche sa joue et s'arrête. Si on lui présente l'
os
du côté sain, il sent au contraire le contact e
générale des aliénés. ' R. M. C. II. SUR la prétendue fragilité DES
OS
dans la paralysie générale; par le Dr T. CURl5T
28 434 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. renton sur la fragilité des
os
dans la paralysie générale sont au- jourd'hui b
n'entraîne par elle-même aucun accroissement de la fragi- lité des
os
, et que l'ostéomalacie, quand on la rencontre, do
n'offre pas de saillie anormale, mais les attaches des côtes à cet
os
, surtout les plus inférieures, sont très sailla
rer le squelette et on trouve, au bout de peu de temps, quêtons les
os
du crâne se sont séparés les uns des autres, ce
dure des articulations était' fort ii,com- plète. Les épipbyses des
os
longs se séparent également de la diaphyse avec
ne lordose bien marquée. Les tibias sont courbés. Les épiphyses des
os
des membres inférieurs sont quelque peu hypertr
IOTIE CRETINOÏDE. cule de chaque côté, immédiatement au-dessus de l'
os
, il y a les tuméfactions bien marquées, qui gli
s téguments de la face sont trop larges dans tous les sens pour les
os
qu'ils recouvrent. L'examen du corps présente d
caractérisé. Au cou, on trouve une cicatrice ancienne, allant de l'
os
hyoïde au sternum. Ongles bleuâtres un peu recour
re des vertèbres. Le disque intervertébral est un peu détruit, et l'
os
à son contact est mis à nu. BOURNEVILLE, 1886.
Tête. A l'ouverture du crâne, la dure-mère paraît adhé- rente aux
os
; le sinus longitudinal supérieur renferme du sa
possible. 20 Mars. - Amaigrissement général très prononcé ; les
os
sont saillants ; rides en V au-dessus de la racin
liquide céphalo-rachidien. La dure-mère présente des adhérences aux
os
assez faciles à détruire. Après l'incision de l
tion. Nous devons faire re- marquer ici l'absence dans le moignon d'
os
rudimentaircs, la disposition normale des nerfs
grand nombre des poils des sourcils, mais glisse facile- ment sur l'
os
. Bourrelet cutané, saillant, verticalement diri
laté. Les testicules sont normaux. Tête. Cuir chevelu normal. Les
os
du crâne durs, mais peu épais, sont symétriques
ésicules séminales, etc., rien. Tête. Cuir chevelu sans ecchymoses.
Os
minces; sutures en partie ossifiées. Pas d'asym
93. Coqueluche; Prolapsus du rectum. Bronchite; mort. ' Autopsie.
Os
du crâne minces. Persistance de la fon- tanelle
te, formant une sorte de monticule en dos d'âne entre les yeux. Les
os
propres sont très courts. De la racine jusqu'aux
), facile à scier; un fragment s'est cassé pendant l'opération. Les
os
ont une coloration d'un jaune cireux très prono
e de la suture lamb- doïde qui présente, au niveau du vertex, trois
os
wormiens. Il n'y a pas trace de division de l'o
artie est plissée verticalement, bleuâtre, sans aucune 120 Etat DES
os
. ulcération. Le reste de la muqueuse du gros in
de lésion de la vessie qui mesure environ G centimètres de haut.
Os
. Le corps devant être inhumé on n'a pas pu conser
est séparéé des 2 épiphyses qui ne sont pas encore synostosées à l'
os
, les courbures de cet os sont normales et n'off
ses qui ne sont pas encore synostosées à l'os, les courbures de cet
os
sont normales et n'offrent pas d'apparence rach
rochanteo est séparé, à sa base, par une fissure et de la tête de l'
os
et de la diaphyse. Le col du fémur est nettemen
est très accusée dans les deux tiers srsupérieu de la diaphyse de l'
os
. Ce fémur pèse 152 gram- mes. Examen histolog
. DÉCÈS. LIT CAUSE DU DÉCÈS. PARTICULARITÉS. Pneumonie aiguë.
Os
du crâne peu durs, assez épais. Persistance Mén
Broncho-pneumonie. Opposition ¡¡l'autopsie. - Tuberculose généra-
Os
du crâne épais et durs ; plaques transpa- lisée
du foie. Orifice vulvaire ne présentant pas d'hymen. 1 Cachexie.
Os
du crâne très minces ; plaques transpa- rentes
risation intense du petit intestin. Cachexie. Tuberculose généra-
Os
du crâne minces et peu durs. Persistance lisée.
Autopsie (34 heures après le décès). Cuir chevelu épais et pâle. -
Os
du crâne minces et friables. -Apophyse crista-
et disparaissant ensuite. Suture lambdoïde peu contournée. Un petit
os
wormien il un centimètre droite, du lambda. Pas
s les sutures persistent sur les deux faces et sont très sinueuses.
Os
wormien d'un centimètre sur la suture fronto-pa
rissement continue : elle n'a a pour ainsi dire que la peau sur les
os
. 20 jttit. - Guérison complète de l'abcès. 30
fièvre typhoïde. Cuir chevelu maigre et pâle. - Crâne allongé, les
os
sont peu durs, larges plaques transparentes au
a ta M if' a M t- ! i-3 M. >3 M ►*. w
OS
134 Epidémie DE fièvre TYPHOIDE, Autopsie fai
ersistent, aussi bien it la face interne qu'a la face externe : six
os
\\'OI'I11Î1'I/S sur la suture parieto-occipitale
Xt'OMomate. Jt'eufe typhoïde. AUTOPSIE. - Plagiocéphalie légère;
os
du crâne offrant de nombreuses plaques transpar
us l'influence d'une pachyinéningite déterminée par une affection des
os
du crâne, une collection abondante de pus s'était
ienne ; on voit aussitôt une lésion de la dure-mère et une lésion des
os
du crâne. Nous allons les décrire l'une après l'a
on présentée par notre malade consiste en une sorte d'ulcération de l'
os
, sans qu'il y ait des signes bien manifestes, soi
ifestes, soit de carie, soit de nécrose. Il n'y a aucune saillie de l'
os
à l'inférieur de la cavité crânienne. Cette ulcér
l'inférieur de la cavité crânienne. Cette ulcération est limitée à l'
os
pariétal gauche, et par conséquent, tout-à-fait i
-à-fait indépendante du rocher : enfin, il u'\ a pas perforation de l'
os
à ce niveau. Ce sont là les principaux traits de
u le tissu rugueux, irrégulier et celluleux de la partie centrale des
os
du crâne... L'érosion est la plus profonde sur le
endant notablement par l'étendue de la lésion, par la perforation des
os
, par la maladie du rocher, etc. Abercrombie, da
rgeur d'un écu de G francs; elle est limitée des parties voisines des
os
par un bord net. En sciant l'os à son niveau, on
est limitée des parties voisines des os par un bord net. En sciant l'
os
à son niveau, on voit que l'altération s'étend à
par sa forme et son étendue, celle qu'on voit à la face interne de l'
os
. Le cerveau est sain, il en est de même du péricr
hnoïdien ; quelquefois pourtant, on l'a vu se réunir en abcès entre l'
os
malade et la dure-mère ; on a vu même, sous l'inf
e de I'Obs. I, n'a rien présenté de semblable, bien que la lésion des
os
fut chez lui plus étendue et surtout beaucoup plu
ur les tendons extenseurs environ au niveau de la deuxième rangée des
os
du carpe. La percussion donne lieu à un mouvement
e sur laquelle il prend insertion, de façon que le bord spinal de cet
os
s'éloigne du thorax et que son angle inférieur se
. On conçoit qu'en ce même point, ce tronc nerveux, protégé par les
os
et les cartilages, soit difficilement accessible
sphère, de façon à ce que son extrémité atteigne la face interne de l'
os
temporal. Les extrémités des deux tiges sont mous
ue (son diagnostic, résorption des tissus des doigts sans nécrose des
os
; masque sclé-rodermique); lèpre mutilante (plaque
eu, la peau, d'abord gonflée, s'atrophie, devient lisse, se colle aux
os
sous-jacents des phalangettes et des phalangines.
s phalangines. Les ongles se déforment et s'atrophient sur place. Les
os
, par un mécanisme spécial de résorption, s'atroph
uez qu'on ne constata jamais chez cette malade l'issue de fragments d'
os
au dehors. Ce fait peut cependant se produire, ai
peau qui recouvre les phalangines est lisse, tendue et adhérente aux
os
sous-jacents, sur lesquels il est impossible de l
existe une atrophie notable de la peau qui est tendue, adhérente à l'
os
. Il en est de même au niveau du front, qui est li
e le reste de la face, vous voyez, qu'elle est creusée au-dessous des
os
malaires, qui font une saillie anormale, la peau
qui font une saillie anormale, la peau mince et lisse qui adhère aux
os
sous-jacents dessinant pour ainsi dire le squel
ue c'est toujours un panaris grave, c'est-à-dire suivi de nécrose des
os
et amenant à sa suite la destruction des phalange
rmie, parce que, dans celle-ci, vous ne trouvez jamais de nécrose des
os
, ni d'issue de fragments osseux au dehors ; les m
t le troisième (annulaire) ne le fut même pas du tout. Des morceaux d'
os
provenant du pouce et du médius avait été plusi
lité de ce côté du corps vertébral. Survienne un effort violent, et l'
os
affaibli s'écrase, une fracture plus ou moins com
soulevant un poids a éprouvé une douleur vive au niveau du rachis. L'
os
s'était effondré, le trou de conjugaison s'était
lles s'accompagnent d'une sensation douloureuse indéfinissable: « Mes
os
se brisent, » dit-elle, puis elle perd connaissan
ue (son diagnostic, résorption des tissus des doigts sans nécrose des
os
; masque sclérodermique) ; lèvre mutilante (plaqu
moelle (coupes 5, 6, 1). - Lg, lingula. - Ol, l'olive |bulbaire. -
Os
, olive supérieure. - l'on, pé- doncule cérébell
ticateur ou moteur du trijumeau. - 1\Ts, noyau sensitif du trijumeau.
Os
, olive supérieure ou protubérantielle. - l'cm,
(Fig. 362, côté gauche) par l'olive supérieure ou protubérantielle (
Os
) et le ruban de Reil latéral. Sa face inlerne o
laire externe. - A'vn, noyau du facial. - Oc, olive cérébelleuse. -
Os
, olive supérieure ou protubérantielle. - l'ci, pé
emées. On y distingue trois amas cellulaires, l'olive supé- rieure (
Os
) en avant, les noyaux moteur (NVm) et sensitif (N
noyau moteur du trijumeau. - v\'l's, noyau sensitif du trijumeau. -
Os
, olive supérieure ou protubérantielle. - ! 'cm, l
rs et d'avant en arrière (coupe H 7, Fig. 397), l'olive supérieure (
Os
), le noyau d'origine du facial (NVII), la subst
paire, et connu sous le nom d'olive supérieure ou protubérantielle (
Os
). Peu développée chez l'homme, cette dernière pré
aux du toit. - .\1-Il, noyau du facial. - Oc, olive cérébelleuse. -
Os
, olive supérieure ou protubérantielle. - l'ci, l'
les fibres du corps trapézoïde (Tr) et de l'olive protubérantielle (
Os
) et constitue surtout une voie acoustique central
nte donc une voie relativement courte reliant l'olive supé- rieure (
OS
) et par la voie du corps trapézoïde (Tr), - le no
fibres semicirculaires externes du cervelet. Y ? noyau réticulé. -
Os
, olive supérieure ou protubérantielle. - l'cs, pé
édian se place en dedans de l'olive supérieure ou protubérantielle (
Os
) et du noyau du facial (Nvu) et se délimite mal
I m, noyau moteur du trijumeau. - NIs, noyau sensitif du trijumeau. -
Os
, olive supé- rieure ou protubérantielle. - Pcm,
irrégulièrement ovalaire, l'olive supérieure ou P1'olubél'antielle (
Os
), entourée en avant par les fibres du corps tra
calotte. Il s'étend dans le sens transversal de l'olive supérieure (
Os
) au raphé, où ses fascicules clairsemés plongent
et qui passant en avant de l'olive supérieure ou protubérantielle (
Os
), en arrière du tronc du trijumeau (V), s'inflé
hit en arrière et en dehors, passe en dehors de l'olive supérieure (
Os
) et de la formation réticulée (SR), puis recouv
gitudinal postérieur (Flp) et l'olive supérieure ou protubéranlielle (
Os
). Les fibres radiculaires du trijumeau (V) trav
du funi- culus teres. A. noyaux pontiques. - nid, noyau réticulé. -
Os
, olive supérieure. - l'ci, pédoncule cérébelleu
Nt, entre-croisement des noyaux du toit. - Oc, olhe cérébelleuse. -
Os
, olive supérieure ou protubérantielle. - Pci, péd
ses; le faisceau central de la calotte (Fcc) et l'olive supérieure (
Os
) sont toujours adossés au ruban de Reil médian (R
Tr) et affecte une lorme ovalaire. En dehors de l'olive supérieure (
Os
), la formation réticulée (SR) est pauvre en fib
(Nrt), le faisceau central de la calotte (Fcc), l'olive supérieure (
Os
), le noyau du facial (NVII), le corps trapézoïde
xNl, entre-croisement des noyaux du toit. - Oc, olive cérébelleuse. -
Os
, olive supérieure ou protubérantielle. - Pci, 7
du facial (Nvn), le nerf vestibulaire (VlIIv), l'olive supérieure (
Os
) et les fibres radiculaires du nerf moteur ocul
en dehors, où il atteint l'olive supérieure ou protubé- rantielle (
Os
). 11 est séparé de celui du côté opposé par les f
t du faisceau central de la calotte (Fcc), de l'olive supé- rieure (
Os
), et de la grosse racine sensitive descendante du
tral inférieur. - Np, noyaux pontiques. Oc, olive cérébel- leuse. -
Os
, olive supérieure ou protubérantielle. - ithos, h
IQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 641 L'olive supérieure ou protubéranlielle (
Os
) atteint dans cette région son plus haut degré
du facial (Nvn) situé en arrière et en dehors de l'olive supérieure (
Os
), en dedans de la substance gélatineuse de Rola
tales, (Coupes Cl à C6, Fig. 432 à 437), sagittales (SI à S9 Fig. ?
OS
a 417) ou vertico-transversales (Fig. 346 p. 474
par exemple, le tissu cellulaire,les muscles, les articulations, les
os
, eux-mêmes,ou enfin les viscères.Elles présentent
elle épinière, les parties périphériques, telles que les muscles, les
os
d'un membre continuent pendant longtemps encore à
alysé ; elle porte non seulement sur les muscles, mais encore sur les
os
et sur la peau, ainsi que l'avait déjà reconnu J.
ès dur. Les trois branches du triju-meau droit jusqu'à la sortie de l'
os
, étaient également très épaisses. Le cas suivan
e tissu cellulaire sous-cutané, les muscles, les articulations et les
os
. La dernière guerre d'Amérique a été, vous le sav
s arthropathies amènent, en général, très rapidement l'ankylose. d)
Os
. Il se produit quelquefois, dans ces mêmes circon
ieurs, on peut dire que la, peau, les muscles, les articulations, les
os
, les viscères enfin, peu-vent devenir le siège de
. un ulcère sordide de la face, un cancroïde, après avoir détruit les
os
, aurait mis à nu l.B. Brodie, loc, cil.p. 153.
ralysie. A l'autopsie, on reconnut, après un examen attentif, que les
os
et les ligaments de la co-lonne vertébrale ne pré
pas sentir seulement sur les parties périphériques : sur la peau, les
os
, les muscles. Les viscères, eux aussi, peuvent êt
mollissement des vertèbres, des trochanters, de la tète du tibia, des
os
du tarse, etc. (Bourneville et Guérard, loc. cit.
erne), elle envahit quelquefois aussi les régions profondes (muscles,
os
, articulations). L''hémianesthésie hystérique s
resse non seulement la peau, mais encore les muscles et peut-être les
os
; elle s'arrête exactement à la ligne médiane.
ntre, le dos, les fesses etlcs cuisses. Autopsie le 18 février. Les
os
, la dure-mère "et ses sinus n'ont rien d'anormal
ieurs fois, en tombant à terre dans une attaque, elle s'est cassé les
os
d'un avant-bras, d'une jambe, Or, jamais ces frac
n admise à l'hôpital Saint-Georges, pour une fracture simple des doux
os
de l'avant-bras. Il n'y eut rien d'anormal dans l
è rcs, 283. — Durée, 284. — Gravité, 293. Oligurie hystérique, 278.
Os
(Affections trophiques des), 25, 32 Ovaire (Siège
iller avec le plus grand soin les aliments, d'enlever les fragments d'
os
ou de tendons, susceptibles de produire des accid
ro-sacorme des lobes frontaux. — Crâne rond. Persistance des sutures.
Os
épactal très large. Baud 3 ans. Idiotie, gâ
-encéphalite. — Crâne très mince. Persistance des sutures ; plusieurs
os
wor-miens sur les sutures occipito-pariétales. Pe
psie. Crâne mince; plaques tranparentes ; persis-tance des sutures,
os
wormiens sur les su-tures occipito-pariétales.
épais, fortement coloré à la coupe, dense, relativement loudr. Pas d'
os
wormiens. Les bossesfron-tales et pariétale sont
ie tesiiculaire gau-che [testicule dans l'anneau inguinal externe). —
Os
du crâne minces, peu durs, avec nombreuses plaque
me irrégulière; la partie droite de l'occipital est comme carrée. Les
os
du crâne sont très peu épais, et pré-sentent de n
ait cons- truire un style spécial, dans lequel une pointe mousse en
os
, qui sert au grattage, est mobile dans un manch
ntoure les articulations, et même le périoste de la continuité de l'
os
, qui persistent la vie entière, sont, eux aussi,
entière, sont, eux aussi, capables de produire du tissu osseux. Les
os
ne s'allongent plus, ils s'é- paississent. Or,
che », l'angle maxillaire est très obtus, la branche inférieure de l'
os
est notablement élargie. Ce signe, bien plus qu
onique : Passage des crapauds... Et je croyais voir, en chair et en
os
, cet infirme peint par Masaccio sur une antique
plateau tibial gauche est unciforme, qu'à son niveau le cylindre d'
os
compact manque, et que tout le plateau tibial,
la malléole sont habituelles, la présence de lésions spécifiques des
os
de la main sont une rareté, de sorte que l'on p
ible adhérence du périoste, l'aspect blanc mat et l'éburnation de l'
os
qui ne saigne pas, l'épaississement du cylindre
externe convexe, en dehors du radius et conduite d'emblée jusqu'à l'
os
qui fut dépériosté avec soin. Nous excisons aus-
mesure qu'on se rapprochait du poignet. Au voisinage de celui-ci, l'
os
affectait de plus en plus une configuration nor-
t notamment lorsqu'elle atteint l'épiphyse fertile de l'un des deux
os
qui constituent le squelette de la jambe ou de
façon : la direction générale du membre n'est pas modifiée, l'axe des
os
reste le même et l'incurvation est purement app
arrêtent au niveau du coude ou immédiatement au- dessus de lui. Les
os
des avant-bras sont incurvés, leurs articulations
n de la courbure physiologique. » 288 CANGE Détail important, les
os
de la main, ou plus exactement ceux du méta- ca
plusieurs minutes en ressentant une sorte de constriction dans les
os
du bassin avant de pouvoir uriner. Le malade ac
ses camarades le voyant à nu lui dirent qu'il' maigrissait, que les
os
lui sortaient du dos, et au bout de six mois il d
ns tous les cas observés (2), l'asy- métrie n'était pas limitée aux
os
pariétaux, mais elle s'étendait encore à la par
re : Membre antérieur : Crête sus-épineuse (épaule) ; scissure de l'
os
crochu (genou) ; ligne du bourrelet (pied). Mem
ed). Mensurations : Membre antérieur : De la crête sus-épineuse à l'
os
crochu ; do l'os crochu au bourrelet du pied.
: Membre antérieur : De la crête sus-épineuse à l'os crochu ; do l'
os
crochu au bourrelet du pied. Membre postérieur
permis de constater parfois l'ectrodactylie (diminution du nombre des
os
, la syndaclylie (réunion ou soudure des métacar
le troisième (annulaire) ne le fut même pas du tout. Des morceaux d'
os
provenant. du pouce et du médius avaient été pl
e plusieurs panaris suivis de nécrose des phalangettes avec issue d'
os
au dehors. A ces lésions s'ajoute l'anesthésie sp
nc et des membres, mais formant un contraste absolu avec les autres
os
de la face et du crâne qui ont leur volume norm
me facteur direct de la forme, au même titre que les muscles et les
os
. Il y apporte un élément spécial destiné à acce
Bichat » comble le vide qui existe sur le squelette an-dessous de l'
os
de la pommette. PAUL RICfIER Chef du laborato
rence de la face profonde de la peau à la partie posté- rieure de l'
os
ou des os qui le constituent, et il existe à ce n
a face profonde de la peau à la partie posté- rieure de l'os ou des
os
qui le constituent, et il existe à ce niveau un
gne médiane en même temps qu'il le porte en haut et fait basculer l'
os
dans- sa totalité. Lorsque la contraction du fa
. III. 11 154 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. nombre d'
os
plus considérable que dans les cas où, débutant p
rieur et particulièrement aux mouve- ments de la latéralité de] cet
os
. Ce spasme de la paupière supérieure apparaît s
ier surtout, et cette augmentation de volume est due aussi bien aux
os
qu'aux tissus mous qui entrent dans la constitu
e rendre compte qu'il n'en est point ainsi à l'état normal. Le même
os
est également très épaissi et aug- menté de vol
ue normalement chez une ouvrière de même âge et de même taille. Les
os
sont gros et les tissus sont égale- i .. ÏLLI
es^'' des modifi- cations profondes subies par tous les tissus, les
os
eux-mêmes du EOt .3,m'.1 fJI : il'1 : 1f ! 111)
J la perception des vibrations du diapason par l'intermédiaire, dès
os
du crâne est abolie, tandis qu'elle persiste pa
chidienno : il n'a contracté au contraire aucune adhérence avec les
os
. La moelle étant enlevée et la dure-mère incisé
s généraux et lorsqu'elles siègent, comme c'est la règle, sur les
os
longs des membres et sur les grandes articula-
vations publiées jusqu'à ce jour ont trait à des lésions des grands
os
longs des membres et des grandes articulations
uestion, que nous sachions, d'altérations analogues portant sur les
os
courts et les petites arti- culations du pied*.
du niecl droit. 308 CLINIQUE NERVEUSE. seules en jeu, et que les
os
aussi devaient être lésés. Toutefois, en l'abse
principal. Le cuboïde, le scaphoïde, les trois cunéiformes et les
os
du métatarse paraissent augmentés de volume, et
. Le creux plantaire est à peu près effacé ; il semble que tous les
os
du tarse participent à la tuméfaction. Les ongl
V. Examen du squelette du pied dans un cas d'affection complexe des
os
et des articulations chez un ataxique. (1%ig. G
x de volume divers et de formes irré- gulières se sont détachés des
os
principaux : un de ces frag- ments, plus volumi
rmé en arrière, est aussi soudé au deuxième méta- tarsien. Tous les
os
du tarse et du métatarse offrent un aspect spon
ataxie locomotrice une affection complexe du pied dans laquelle les
os
et les articulations sont le siège de lésions a
ons analogues à celles qu'offrent dans les mêmes circonstances, les
os
longs et les grandes articulations. Cette affec
séminales étaient intactes. La forme du crâne était régulière, ses
os
ne présentaient aucune anomalie; les membranes
amen ulté- rieur. Il n'y avait rien d'anormal dans le cervelet. Les
os
du rachis ne présentaient aucune altération ; l
t mentionnée par Cambay a été notée encore chez d'autres mérycoles (
os
. VI, XIII, XVII) ; nos malades étant en général
tuméfactions modérément dures, élastiques, adhérant intimement aux
os
; pas de réaction inflammatoire même pour celle
s név1'op(¿- thiques (Gaz. IIeGd., -18 : i9j; De la dislocation des
os
du crdcze dans la méningite chez les enfants (R
35 nos ; c'est une maladie où la transpiration ne se fait plus, les
os
se solidifient. Il faut qne le maire et un méde
tendues, comme si elles avaient été trop courtes pour recouvrir les
os
delà face, du côté correspondant; cela se tradu
t arlério-sclérose,'lzypertrophie de la moelle et défor- mation des
os
, céphose lomho-dorsale. Résumé de l'examen histo-
à supposer que les divers degrés d'extension de l'hyper- plasie des
os
et des tissus dans les diverses formes des altéra
a craniotonoscopie n'a fourni qu'un résultat négatif, c'est que les
os
n'étaient point atteints. - 3° Dans le pont de
? TI(OPIIIE progressive, myosclérose, SCLÉRODERMIE ET atrophie des
os
ET des ARTICULATIONS ; par PELI- ZOEIH. (Neurol
enfonce dans la profondeur, gagne les aponévroses, les muscles, les
os
, les articulations, est constante de la sclérod
une contracture très marquée de deux doigts. Enfin, l'atrophie des
os
ici est patente tandis qu'elle est rare dans la
hie avec décoloration de la peau, et ily a atteinte iden- tique des
os
, des aponévroses, des muscles. Quelles sont les
igné à domicile, (le Soleil, 3 juillet.) ALVJ : R1\E de Sequeira. -
Os
alienudos nos -lyooes. Ensaios de Esta- tistica
. - Goemaere. \I1TT05 (J. de). A paranoïa (Ensaio pathogenico sobre
os
delirios systematisados). Volume in-12 de 190 p
de céphalorachidien et ceux du sang veineux doit avoir lieu par les
os
du crâne. C'est ce que démontre du reste l'inje
ubstances colorantes dans la cavité crânienne ; elles pénètrent les
os
du crâne. Le réservoir du liquide céphalorachid
cules osseux, en commu- nication avec les veines qui traversent le»
os
du crâne et prennent leur origine dans les vein
'influence de chaque inspiration, le courant veineux des veines des
os
aspire dans les canalicules osseux du crâne, de m
ent mis en communication avec ce tuyau. Le courant veineux dans les
os
pompe donc lui-même le liquide cép/¡alomchidien
1877, de périencéphalite. Extrait des résultats de l'autopsie. : -
Os
du crâne très compacts injectés, irréguliers à
qui a débuté le matin. Autopsie (36 heures après le décès). - Les
os
du crâne sont épais et injectés, les sutures de
entraîna la des- truction du tissu nerveux et l'amincissement de l'
os
. On constate un épaississement et une vasculal
que, les y trouva à moitié dépecées, ainsi que plusieurs tonneaux d'
os
humains. On apprit que depuis long- temps il at
oignet, vous voyez la saillie extrême de l'extrémité inférieure des
os
. La maigreur remonte à l'avant-bras, surtout su
t corps avec le crâne, sauf en .un point correspondant au bord de l'
os
frontal, à gauche, où il existe une dépression
irement les centres réflexes subordonnés, les muscles, la peau, les
os
, les,indi- cations que nous venons de formuler
e spé- ciale aplatie, il semble qu'un coup violent ait effondré les
os
de la voûte crânienne. Le front est renversé en
la seconde à la partie postérieure du membre supérieur gauche sur l'
os
brachial. A son entrée à l'hôpital, outre ces d
nues pour des abcès froids à la suite d'une lésion tuberculeuse des
os
. L'examen minutieux du membre supérieur droit d
a reçu à l'âge de trois ans un coup à la tête avec enfoncement de l'
os
occipital avec cicatrice osseuse consécutive. U
résenté déjà par lui en 1892. Sur ces photographies on voit que les
os
ne présentent aucune altération. M. Minor. De l
n an, elle eut une chute d'un poêle, ce qui causa une fracture de l'
os
occipital gauche et une hémiparésie droite. Sont
ruofl' à l'aide de son encéphalomètrc, démontra, que le manque de l'
os
correspond à l'extrémité inférieure des cir- co
laire sous-cutané ; plus rarement du côté des muscles, des tendons,
os
, périoste, cartilage et périchondre. Ici nous a
anglionnaire bilatérale. Exostose caractéristique sur la crête de l'
os
cubital. Le malade a, en outre, des antécédents a
inférieures sont dénuées de dents. A leur place les gencives et les
os
maxillaires se présentent livides. nécrosés, ga
- pathologique peut se résumer ainsi : adhérences des méninges aux
os
du crâne; hémor- rhagie en nappe de la dure-mèr
es appareils et organes crâniens des sens, les rapports entre les
os
de la face, les inserlions craniennes des muscles
fluence d'une lésion organique du cer- veau ou d'une dépression des
os
du crâne) est très considérable ; 13° la propor
Cette hypertrophie porte sur tous les plans des tissus de la main;
os
, muscles, tissu cellulo- adipeux et peau. Cette
indemnes. Toujours comme à la main, tous les tissus constitutifs :
os
, muscles, etc., participent, à l'hypertrophie;
ste, en même temps que d'autres manifestations syphilitiques (peau,
os
, muqueuses, etc.), enfin dans les cas où le tra
cavité crânienne doit être très large. La résection temporaire des
os
du crâne est la méthode de choix. M. Doyen prop
au côté droit de la tête (région temporo-pariétale). Une partie d'
os
, longue de 001, Ii;) et large de Om,05 fut enlevé
tance cérébrale elle-même ; tantôt enfin sur ses vaisseaux. Sur les
os
elle produit des gommes, des caries, des exosto
à 2 h. 1/2. Autopsie le 20 novembre.-A l'ouverture du crâne, les
os
sont ab- solument normaux, ne présentent ni gom
tres, profond, rempli de pus. Avec la sonde cannelée, on arrive à l'
os
, mais l'articulation est intacte; autour de l'u
f à un traumatisme du coude. L'examen histologique des muscles, des
os
, de la moelle et des nerfs a démontré qu'il s'agi
térisée par le seul défaut du nombre des éléments d'un muscle, d'un
os
, d'un nerf, sans dimi- nution de volume de ces
de quelques-unes de ces recherches morphologiques, comme celles des
os
crâniens surnuméraires, bregnatiques, interpariét
la per- cussion de la tête lui cause une douleur sur la limite des
os
occi- pital et temporal du côté gauche. Parfois
se pulmonaire et pleurésie. Mort. Autopsie. Aucune altération des
os
ni de la dure-mère. Aucune altération des vaiss
a sensibilité générale. Les mouvements passifs, la pression sur les
os
et les masses musculaires, ne provoquent pas de d
: le système locomoteur est sujet aussi à des perturbations, les
os
, les articulations, les muscles sont atteints, ma
suite, fort rarement. Le tissu osseux. Y a-t-il une altération des
os
chez les paralytiques généraux ? La question n'
sujets aux fractures en dehors de toute cause capable de briser un
os
chez un individu. » Pour- tant un aliéniste com
mois atteint de paralysie générale. Une première fracture des deux
os
de l'avant-bras gauche se produit au moment où
fut très légère. Cinq semaines plus tard, seconde fracture des deux
os
de l'avant-bras droit, au tiers inférieur, égalem
(Th. d'agrégation, 1888.) Christian. Sur la prétendue fragilité des
os
chez les paralytiques généraux. (Annales 71édic
respariéto-occipales le sont davantage ; celle de droite offre deux
os
wormiens. Base du crâne très asymétrique; les fos
forme, je n'ai plus de cervelle ; il me semble que ma tête et mes
os
sont en bois, je ne les sens pas comme avant ; je
la plupart des organes, en particulier de la moelle épinière et des
os
. Il s'agit d'une femme de soixante-deux ans, sans
liniques d'ordre nerveux (hormis la douleur localisée au niveau des
os
atteints, l'affaiblissement intellectuel, la pe
as perçues ; au contraire la pression profonde sur les muscles, les
os
, était sentie et même douloureuse; la notion de
dème hystérique. Yardin (Alfred-Paul-Ferdinaud). De l'homologie des
os
du crâne. XV11. Nouvelle étude des accidents ps
accès de manie simple, des accès de manie périodique, intermittente
os
compliquée de mélancolie. Un peu plus tard,Gu
Sutures corol1ales,- Chez les myxoedémateux au-dessous de 5 ans les
os
sont à peu près libres, de plus on constate des
peu près libres, de plus on constate des dentelures nombreuses,des
os
wormiens en abondance,autant t de signes qui dé
dentes, les myxoedé- mateux ont encore de l'infériorité. 11 y a des
os
wormiens nombreux sur les crânes de 3, 5, 6, 21
hez tous les myxoedémateux les sutures sont compliquées, remplies d'
os
" a l'miens , Il existe aussi chez la plupart un
plies d'os" a l'miens , Il existe aussi chez la plupart un groupe d'
os
wormiens au niveau de l'angle supérieur de l'oc
doïde. Sur un crâne de 17ans et un autre de 3 ans 112 il existe un
os
triangulaire enclavé dans l'écartement des pariét
reste de l'occipital. Il rappelle abso- lument ce qu'on a appelé l'
os
cpacfaL. et dans le cas présent sa formation es
du point d'ossi- fication supérieur, non encore soudé au reste de l'
os
. 208 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEURO
stance des sutures métopiques,absence de synostose chez les jeunes,
os
wormiens nombreux : he/ les vieux, persistance
on- tanelles ayant persisté outre mesure, disposition rappelant l'
os
épactal, transparence du crâne et sa faible densi
e la voûte n'ayant pu se réunir il en est résulté un écartement des
os
et des fontanelles qui ont fini par se combler
voir encore la largeur des membranes fontanellaires par- semées d'
os
wormiens imbriqués et inégaux, ce qui simule un
ppement du squelette intéressant particulièrement les épiphyses des
os
longs des membres, le bassin et la base du crân
us souvent rlizomélique, bracbycépbalie, synostose prématurée des
os
de la base du crâne, hypertrophie des épiphyses e
male. La dysplasie périostale intéresse surtout les diaphyscs des
os
longs, les côtes et la voûte du crâne. Elle dif
enfoncement de la racine du nez, l'absence de synostose précoce des
os
de la base, l'ossi- ficalion imparfaite de la v
terrain. Tandis qu'il ne restait plus de ces derniers corps que les
os
séparés les uns des autres et com- plètement dé
u d'humus, le corps du Pacha avait conservé sa forme générale ; les
os
étaient re- couverts des parties molles momifié
de couches concentriques plus ou moins épaisses. Par contre, les
os
avaient une consistance beaucoup moin- dre que
à notre habitude, nous avons jeté un coup d'oeil sur les principaux
os
du squelette. Cet examen nous a permis de const
'il se produit une toux étouffée. 1886. 1" janvier. Poids : 27 ]; :
os
,70, Taille : 4 ? ? 7. 16 juillet. - Conjonctivi
tion nette. Incision de l'abcès mastoï- dien qui est sous-cutané. L'
os
ne semble pas entamé. Lavage au sublimé. - La t
ou trois cuillerées de pus sanguinolent, on sent avec le stylet l'
os
mis à nu et éburné. . 3 juin. Les symptômes loc
er, on ne trouve rien de particulier. La dure-mère est normale. L'
os
est intact. Les orifices, et en particulier le co
la région mastoïdienne étant disséquée et rabattue, on tombe sur un
os
dont le périoste est détruit. Il présente une c
tolérables. ' 108 CLINIQUE MENTALE. « La machine fait craquer mes
os
, brider ma chair, se tordre et se briser mes mu
ontre bien qu'il ne s'agit pas d'une apparence. Les extrémités de l'
os
au contraire sont normales; la tête de l'humérus
t chez les hémiplégiques infantiles des arrêts de développement des
os
tout à fait identiques à celui- ci. Dans les fa
, de mécl.. 1896, p. 115); Du même. Les pro- portions relatives des
os
du bras chez les hémiplégiques infantiles et les
: fractures spontanées et accidentelles, l'ostéoporose, l'état des
os
du crâne dans la paralysie générale, les hypero
, les hyperostoses, le ramollisse- ment et les abcès chroniques des
os
, etc. Plusieurs illustrations sont jointes à ce
deux côtés, qu'il s'agisse de la transmission par l'air ou par les
os
. Conservation des réflexes patellaires, achillé
agies dans l'espace sous- arachnoïdien à cause du chevauchement des
os
pariétaux. Les centres moteurs des membres infé
générale de pratiquer le trépan dans tous les cas de fracture des -
os
du cràne avec dépression des fragments, qu'il y a
palper; la glande apparaît à la coupe très atrophiée. Tète : Les
os
du crâne sont peu épais. Pas d'adhérences des 1
eau du tronc et des membres, la finesse des dents, la gracilité des
os
, la forme du thorax, et surtout par le développ
Despaigne, Philip, et autres, relatives à la structure anormale des
os
du crâne et de la face chez les héréditaires et
ophie atteint surtout les fléchisseurs et la région du cubitus. Les
os
sont aussi un peu épaissis. Une convulsion toni
aient la mi- graine et les névralgies, daus 60 cas; les lésions des
os
et des join- tures dans 29 cas; des maladies d'
siège de cette fracture est aux environs de la partie médiane de l'
os
, que sa direction est oblique de haut en bas et
uscle, le radial est donc comprimé sur l'angle posléro-externe de l'
os
, mais il se déplace vers l'origine tendineuse d
ent le tri- ceps se contracte, le radial peut être comprimé entre l'
os
et ce muscle. Et bien, les contractions violent
sent aptes à déterminer la compression du nerf entre le muscle et l'
os
et à contusionner le nerf. Pourquoi donc la p
e de rétablissement apparent. Et cependant les lésions graves des
os
avaient déchiré quelques branches de la sylvienne
nt sans contact ; que la Bible enseigne que l’esprit n’a ni chair, ni
os
: les esprits ne peuvent donc mouvoir un objet ma
ses apparitions aux hommes prouvent qu’il était revêtu de chair et d’
os
. Dans cet état, il a fait un appel aux sens des h
en faut point parler. Beaucoup de vivants portent avec eux dans leurs
os
, dans leur sang, la cause inévitable d’une mort p
e , habillé par l’art, a de la ouate dans ses habits pour couvrir ses
os
sans muscles ; il a des yeux malades, souvent une
outes parts. J’ai vu M. Hume ; il existe véritablement en chair et en
os
, en os surtout. Je l’ai vu, le h du présent mois
arts. J’ai vu M. Hume ; il existe véritablement en chair et en os, en
os
surtout. Je l’ai vu, le h du présent mois , ;'i u
lustre nouveau aux génies et aux dieux , les savants auront enfin un
os
à ronger. Il y a si longtemps qu’ils jeûnent, la
. Il y a plus de quatre ans qu’il en souffrait. Le ramollissement des
os
avait produit une grosseur dans le dos, au bas de
seur diminue et la suppuration est presque disparue. La carie des
os
s’est arrêtée et les glandes scrofu-leuses sont e
e ; elle se nettoya la bouche et me dit : — Mais j’ai un abcès dans l'
os
. — Que me dites-vous là? — Examinez i — J’e
une tumeur grosse comme une noix qui soulevait la table externe de l'
os
maxillaire au niveau des racines que je venais d’
venais d’enlever. En pressant fortement sur cette tumeur, je sentis l’
os
fléchir un peu. — Mais vous avez bien vu, dis-j
Mais vous avez bien vu, dis-je à madame Ogier, c’est un abcès dans l’
os
. Vous deviez souffrir horriblement et depuis long
lle, tout à coup ma joue est toute creuse, et j’avais une bosse sur l’
os
de la mâchoire ! ■— Eh bien ! je vous l'ai enle
elle rencontra les deux trous des chicots et la grande ouverture de l’
os
carrié. Sans désemparer et avant de lui donner
er des murs et qui auraient dû écraser leurs viscères et briser leurs
os
, etc. On peut, par le magnétisme, produire des mo
en servant d’abord moi-mime de.-uji-t. (2) Elève en médecine. (S)
Os
essais, qui, pour délivrer l’esprit, autant que p
5. Pleurodynie, 280. Rachitisme scrofuleux, 179. Ramollissement des
os
, 179. Rhumatisme nerveux, 487. — articulaire ch
ent postérieur ni angulaire. La zone Fig. 8. Fig. L' Fiv. 10.
OS
ANATOMIE. antérieure dite cornu-commissurale ex
comme épaisseur, et sans adhérence pathologique de la dure-mère aux
os
. Les sinus sont gorgés de sang noir. La dure-
lique, il ne contient que â ? ? 0 d'alcool par cuillerée à potage :
Os
? 78 par cuillerée à café. Enfin il existe un
re-indication absolue du 11'ai- tement de Frenkel. La fragilité des
os
serait également une contre-indication de notre
eur on ne trouve pas trace de grosses molaires. L'examen des autres
os
du squelette n'a fait constater aucune hyperostos
journalière de chaque malade doit se composer de : Viandes, avec
os
(comprenant des viandes salées, du poisson frai
occipitale, menton... Oreille, oreille... Ecartement maximum des
os
malaires... Ecartement des angles de la mâchoir
te; l'action de la cocaïne se fait-elle sentir à travers la peau, l'
os
cranien et les méninges sur l'écorce grise du c
é- brale quand on fait agir le courant à travers le cuir chevelu, l'
os
et les méninges; 3 il arrive que la cataphorèse
parvient pas directement à l'écorce grise, en traversant la peau, l'
os
et les mé- ninges ; il n'y arrive qu'indirectem
r le torrent circulatoire, pour y exercer son action spéciale ; 4 l'
os
cranien est certainement le plus puissant obsta
pose à la cataphorèse, ce qu'on démontre en enlevant un disque de l'
os
et en remettant ensuite les parties molles à le
nte à l'article de M. Van Brero. C. IX. Sur un cas DE fragilité des
os
; par le 1)" Gvv vN. On a déjà signalé dans les
morbides du côté du système osseux, qui augmentent la fragilité des
os
, surtout des côtes, et exposent les malades à des
r un enfant de dix ans il conseille dedonner au maximum une dose de
Os
? 75. On augmente beaucoup l'activité du triona
se plaignent que l'on détruit leurs organes, qu'on leur arrache les
os
, qu'on leur suce le sang, ou que leurs ennemis
s la région du coude gauche et des épaississements périostiques des
os
. 3° Paralysie du radial, par pression, pendant
Souques, 46. Opium. Troubles dus il l'- fumé, par Laurent, 253.
Os
. Fragilité des -, par Eyman, 3l S. obrll'ir d
- bilité osseuse et qu'il considère comme l'irritant spécifique des
os
. Les vibrations du diapason atteignent ceux-ci
cocaïne qui anesthésie tous les autres tissus, n'anesthésie pas les
os
. M. Touche montre les pièces d'un cas d'hémiplé
mai- grissement devient tel qu'ils n'ont plus que la peau sur les
os
. Or malgré tout, il faut qu'on le sache bien, un
ais dans une extrême faiblesse, je n'avais plus que la peau sur les
os
; quand j'allai mieux, je commençai à marcher à
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 149 XXVI. La conductibilité des
os
du crâne à l'égard des sons dans les affections
ate, par exemple, une abréviation de la transmission du son par les
os
du crâne dans la paralysie infantile cérébrale,
rations chez 17 malades. Si, dans l'espèce, la transmission par les
os
est très raccourcie, alors qu'il n'existe pas d
la calotte de ouate, de gaze ou de toute autre substance soudée à l'
os
sur une surface grande comme la moitié de la paum
on de la plus grande sécheresse des parties molles du crâne et de l'
os
. Un diapason vibre moitié moins longtemps sur u
atrophie osseuse très apparente de l'omoplate, de l'humé- rus, d.s
os
de l'avant-bras et de la main, en plus de l'hémia
s, elle est sous la dépendance ou bien des filets nourri- ciers des
os
, dans leur trajet radiculaire, ou bien à une adul
omyélie. ln-8" de 186 pages. Stleinlell, édU . · MATros de (J.). -
Os
Alienados nos tribunues. In-8 de 288 pages. Lisbo
t sur une hypothèse erronée, celle de la synostose prématurée des
os
du crâne ; aussi est-il aujourd'hui à peu près co
rois jours dans le coma avec fièvre. A l'autopsie, rien du côté des
os
du crâne et des méninges, léger épaississement
lus profondément, le stylet passe entre le corps et la poignée de l'
os
, qui sont séparés complètement l'un de l'autre,
et réunies par un trajet passant entre le corps et la poignée de l'
os
. L'écoulement de ce phlegmon continua, de moins
comme traces que très peu de tissu fibreux. Les deux portions de l'
os
étaient de nouveau soudées, le corps n'était pl
en. Le liquide , par Sicaid, 455. Cerveau. La conductibilité -des
os
du crâne à l'égard des sons dans les airt-eli
e. Quoiqu'il en soit nous constatâmes en même temps l'intégrité des
os
; pas le moindre signe de fracture, pas d'appar
lcération, à la gangrène des parties superficielles, à la nécrose des
os
et peut aboutir à l'ouverture des articulations
seulement ulcérée, mais dont l'ulcéra- tion n'allait pas jusqu'à l'
os
, est guérie la première : le 8 juillet la croûte
ichor fétide et jaunâtre ; le 3e jour de son évolution, un débris d'
os
sec, ligneux, s'élimine, sans retentissement do
îne la chute de l'ongle et la dénudation osseuse de la phalange ; l'
os
nécrosé est retiré à l'aide d'une pince. De nou
métacarpo-phalan- gien ; le patient enlève lui-même des fragments d'
os
nécrosé ; par la plaie s'échappent des filament
é par les muscles de la région plantaire. Le stylet n'atteint pas d'
os
dénudé. La flexion du pied est douloureuse; pas
méningite externe, de la même manière que la carie syphilitique des
os
du crâne peut se propager à la dure-mère cérébr
il se couche vers 9 heures, tombant de fatigue et trempé jusqu'aux
os
, le long de la route sur la terre humide. Là, i
la plaie contient un fragment de pierre, ou de bois ou de fer, ou d'
os
fracturé ou des cheveux, qu'il les enlève avec se
assez analogues aux pinces à dissection ordi- naires, les pinces ci
os
(forceps morclens, ossifrangens, uttructor), les
ute la largeur de- 3t; NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. l'
os
cubital ; le tissu cellulaire sous-cutané est inf
lisse- ment ou l'ossification des cartilages, le ramollissement des
os
s'étendant à tout le squelette ou principalemen
s-cutané, infiltration des muscles, modification du périoste et des
os
formant l'articulation des membres, prin- cipal
merycismo confundens..... In recta' ruminatione cibus non modo in
os
refunditur, sed etiam remensus iterum deglutitur,
3° Verneuil (Revue d'Hayem, 1876, p. 350) a vu un enfoncement des
os
du crâne donner lieu à des spasmes de la langue
radius dont la tête est grosse. Les extrémités inférieures des deux
os
de l'avant-bras sont notablement augmentées de
assions une remarque. Les lé- sions des extrémités articulaires des
os
du bras et de l'avant-bras, et celles des joint
prononcer à cet égard. L'accroissement de volume des extrémités des
os
ne se voit pas d'ordinaire dans l'ataxie. Cette
e ne peut différencier les sons que par transmission au contact des
os
du crâne ; il urine de 10,000 à 14,000 cent. cu
a propagation d'un processus morbide de quelque partie voisine (des
os
du crâne, par exemple). On observe plus .rareme
308 RECUEIL DE FAITS. traumatisme avec lésion des téguments et des
os
du crâne. Mais, dans tous ces cas, elle se déve
s parois sont épaisses, résistantes, et protégées en partie par les
os
du crâne, ce qui leur permet de supporter facil
dicin, 187.) où la tumeur s'est formée dans le tiers antérieur de l'
os
temporal droit, il côté du hinus falciforme supé-
nant qu'à l'analyse de la cavité du crâne, montra ce qui suit : les
os
de la voûte du crâne ne présentent rien d'anorm
sont caractérisées par de l'atrophie des muscles, des tendons, des
os
, les articulations se trouvant ici en diastase du
eu près à un centimètre en arrière des apophyses styloides des deux
os
de l'avant-bras : flexion a angle droit de la mai
rophiés. L'auteur ajoute quelques considérations sur l'atrophie des
os
correspondants aux muscles paralysés, et fait r
ur le sacrum et le coccyx. Les protubérances et les saillies de ces
os
sont aug- mentées. Légère rétention d'urine, af
sépara, le cuir chevelu, on soulevai 1 le périoste, et une bande d'
os
d'un demi-pouce de longueur fut' ` enlevée du c
a déve- loppement' imparfait (du système nerveux central et que les
os
crânienss partagent celte'condition, quelle'que
micocréphalie. Le procédé consistait à enlever une bande étroite d'
os
du côté du 'crâne, faisant des os os crâniens d
ait à enlever une bande étroite d'os du côté du 'crâne, faisant des
os
os crâniens deux ailes latérales qui pourraient
à enlever une bande étroite d'os du côté du 'crâne, faisant des os
os
crâniens deux ailes latérales qui pourraient "s
deux "cas par Wyetli et DIàcClintoch.lls enlevèrent une languette d'
os
d'an ici '"côté ou^de l'autre de la ligne'média
es deilavligne moyenne vers, les oreilles.' Us séparent'ensuite'les
os
avec force, laissant ainsi ,une ouverture' béan
inence,, pariétale et la '''suture sagittale.' J'enlève le bouton d'
os
,[-,et,, vous le voyez, je, n'ai ""pas lésé la d
le voyez, je, n'ai ""pas lésé la dure-mère qui;git en dessous.,Cet
os
a, cela de particu- lier qu'il est-plus mince q
alors une por- 9 tiôrïr'dû périoste correspondante l'entaille de l'
os
. ,Je laverai la plaie avec une "solution^' subl
médecine; 8° dans ce même cas, l'opération a fait constater que les
os
Auciiives, t. XXVI. ' Il I 162 REVUE DE PATHO
mars 1892. Présidence de M. JOLLY. M. KOEPPEN. Des altérations des
os
dans la maladie de Basedoiu. - Il s'agit d'une
ésentait une dentition très défec- tueuse, et de la sensibilité des
os
à la pression. ' Discussion. M. SPERLING rappel
elle des expériences de Wagner sur le traitement des affections des
os
à l'aide du phosphore et des phosphates. 11 en
erlin, mais dans les autres observations de maladie de Basedow, les
os
ne présentaient rien de semblable. M. KOENiG.
pieds et surtout les mains sont fortement augmentés en largeur. Les
os
et les tissus paraissent également participer c
,144; contribution iL la ? par Homen,' 147; des' altérations des
os
dans la -, par Koeppen, 336; BLE\\OIIHH1G1QUE,
ier de l’appareil cérébral, jouirait, malgré sa clôture de chair et d’
os
, du privilège îéchanger des relations progressive
onnement lumineux, configurant notre forme extérieure aussi .n ‘I» " -
os
qualités diverses les plus cachées (bonnes oumZ v
mps doit, à coup sûr, produire dans nos sciences, dans nos mœurs et n
os
institutions. Si nous ne nous trompons point, M
n sein le célèbre spiritualiste Cakagnet, qui, bien qu’en chah- et en
os
, par l’intermédiaire de ses sibylles, a le rare p
. Nous nous heurtons le coude ; si le nerf qui passe entre les deux
os
de l’avant-bras et se ramifie ensuite entre les d
qui fait bien concevoir le mécanisme de l’opération. — Considérons un
os
spécial, par exemple, l’un des os de la jambe, le
me de l’opération. — Considérons un os spécial, par exemple, l’un des
os
de la jambe, le tibia. L’os se compose presque in
rons un os spécial, par exemple, l’un des os de la jambe, le tibia. L’
os
se compose presque intégralement de deux parties
onne ainsi au squelette un certain degré de souplesse, et empêche les
os
d’être cassants. On sait que les proportions de c
ssants. On sait que les proportions de ces deux éléments varient d’un
os
à l’autre, et dans chaque os suivant l'âge du suj
rtions de ces deux éléments varient d’un os à l’autre, et dans chaque
os
suivant l'âge du sujet. Le tibia, chez l’adulte,
ans chaque os suivant l'âge du sujet. Le tibia, chez l’adulte, est un
os
fort dur et très-riche en calcaire. Par une cause
un os fort dur et très-riche en calcaire. Par une cause quelconque l’
os
est-il resté trop gélatineux (accident qui se pré
tine. S’agit-il de détruire un exostose (accroissement anormal de l’
os
en un point déterminé), ralentissons en ce point
ide à l’assimilation du sel calcaire aurait beau être considérable, l’
os
ne s’enrichirait point d’éléments terreux. Et la
ions et le peser ; on pourrait couper une portion de sa chair, de ses
os
, de ses nerfs, et l’analyser : armés des moyens c
ce qui concerne la vue et le toucher, de véritables mains avec leurs
os
, chair, peau, comme nous les trouvons quand nous
du reste, s'est fait principalement aux dépens de l'épais- seur des
os
du crâne qui étaient remarquablement minces et
out osseux, parce que les centres spinaux de réaction nutritive des
os
et des cartilages ne connaissent rien de l'écor
rtie frontale de cette cicatrice est rouge, dentelée, adhérente à l'
os
et très douloureuse au toucher; au centre de la
ve encore une cicatrice isolée, ronde, déprimée, très adhérente à l'
os
et très douloureuse, des dimensions d'une pièce
e de vingt centimes. On dirait qu'en ce point la table externe de l'
os
frontal a été intéressée par la bles- sure. V
n voulu nous apprendre à ce sujet, le médecin qui l'a soignée : les
os
ne lui parurent pas intéressés par la bles- sur
de l'extrémité antérieure de la grande faux du cerveau, ayant usé l'
os
frontal, comprimé et déplacé les lobes frontaux.
res inférieurs par l'intermédiaire de la ceinture, du sacrum et des
os
iliaques. La ligne de gravité, c'esl-à-dire la li
l'a pu remarquer au cours d'une myélite consécutive à une carie des
os
. Voir ' Handbuch der Diagnostik und Thérapie de
ubérance; b). 2 cas de leptoméningite purulente après la carie de l'
os
pétreux, dans un cas il y avait en même temps a
tc. Le malade dit lui-même que ces douleurs ne proviennent pas de l'
os
sacrum, mais qu'elles proviennent des parties p
de sent les objets chauds comme les froids. - 12. II. Eschare sur l'
os
sacrum. Les réflexes s'exécutent après la moindre
lle l'atteint et vient s'aplatir sur le frontal, sans fracturer cet
os
. Ce traumatisme n'est suivi que d'une obnu- 1»l
. La poudre de corps thyroïde de mouton était donnée à la dose de
Os
,25 chaque matin. L'auteur estime que le traitemen
est faible. Après ingestion d'une dose moyenne de chloralose, soit
Os
? 40, nul phénomène apparent ne se montre penda
hives de Neurologie.) P. K. XXIX. DE la transmission DU SON par LES
os
DU crâne ET DE la colonne VERTÉBRALE ET DE LEUR
rdies dans leur transmission à travers les parois craniennes ou les
os
, si ces parois sont altérées; cette modification
est toujours facilement perceptible sous les téguments. Formé par l'
os
malaire, et situé à la rencontre des bords infé
ons impulsives. Etat physique. Constitution faible, les muscles les
os
et les téguments à l'état normal, peu développé
ates physiques. Une asymétrie faciale : l'arcade zygoma- tique et l'
os
malaire du côté droit plus proéminents. Des strie
t meure. A l'autopsie, on trouve un épaississement considérable des
os
frontaux (pl. I), et une atrophie complète des
' 106 PATHOLOGIE MENTALE. une' ancienne cicatrice adhérente à l'
os
, probablement de nature tuberculeuse. Quelques
s caractères des ganglions engorgés spécifiques de la syphilis. Les
os
tibias ont leurs crêtes irrégulières. Etat psyc
r la jambe droite une cicatrice irrégulière, étendue, adhérente à l'
os
. L'os est épaissi, à la suite d'une ostéite de
ambe droite une cicatrice irrégulière, étendue, adhérente à l'os. L'
os
est épaissi, à la suite d'une ostéite de nature
leur coloration est cuivrée, mais elles ne sont pas adhérentes à l'
os
; à la jambe et au pied droits une éruption pus
trine aplatie latéra- lement ; saillie des côtes à la jonction de l'
os
et du cartilage costal ; chapelet rachitique co
es muscles, dans les tendons, les aponévroses, les ligaments et les
os
; 2° anatomiquement, la mala- die de Munchmeyer
de volume du cerveau ou des nerfs crâniens, que les viscères et les
os
du côté facial hypertrophié sont également augm
quée sur l'oreille, mais il l'entend très bien si on la place sur l'
os
frontal. Cette hémi- surdité s'accompagne d'ane
n vaste caillot mou, noir, friable, situé entre la face interne des
os
du crâne et la face externe de la dure-mère. On
sant 75 grammes, placé entre la face externe de la dure-mère et les
os
crâniens ; il comprime et aplatit la zone rolan
u sacrum, qui augmente rapidement en surface et en profondeur ; les
os
sont mis à nu; langue dépouillée, rouge vif; vo
cle, 143, 375, 389, 505. Apalhv. 314. li. Aslimcad, 222. Asti,
os
(d'), 403. Assimis, 61. Athanassio,8, IOi,357
du diapason frontal au premier choc. Montre non perçue ni par les
os
ni par l'air. Observation VI (résumée). Pharyng
0 CLINIQUE NERVEUSE. à gauche collée au méat, et non perçue par les
os
; à droite 12 cent. et par os, très faiblement.
collée au méat, et non perçue par les os ; à droite 12 cent. et par
os
, très faiblement. Epreuve des pressions. Nulle
vertige. Audition de la montre à 10 cent., mais pas du tout parles
os
du crâne; le diapason placé au vertex donne sen
deuxième circonvolution frontale, chez l'adulte dans la première :
os
frontal et circonvolution, après soudure de la su
arrière. 5° Sur le défaut de parallélisme dans le développement des
os
du crâne. L'auteur n'a obtenu de résultats préc
s vei- neux qui se trouvent sur la surface supérieure du corps de l'
os
basilaire). Les voies collatérales ne suffisent
Oreille droite : audition de la montre à trois centimètres; par les
os
, rien. Oreille gauche, vingt centimètres, et bien
tantôt l'assourdissement et l'extinc- tion du son transmis par les
os
, tantôt le bourdonne- ment, tantôt le vertige;
re-mère. Ce caillot presque régulière- ment arrondi, n'adhérant à l'
os
ou à la membrane fibreuse que vers ses limites
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 245 XVIII. De. LA DISLOCATION DES
OS
DU f.R1\Ts DANS LA MÉNINGITE cnEZLEs enfants; p
un canal semi-circulaire. M. Moos le pré- sente à l'assistance. Les
os
du crâne ne conduisent plus les ondes sonores,
phe est consacré à la petitesse du squelette de la face en tous ses
os
, d'un seul côté, observée à des degrés divers q
malade âgée de soixante-trois ans, la raréfaction du diploé et des
os
du crâne, une friabilité très prononcée du systèm
rhaniclue, par ltey, 219. Méningite des enfants (dislocation des
os
du crâne dans la), par Parrot, 2'E3. Méningit
il nous fut facile de constater, au niveau de la deuxième rangée des
os
du carpe, que le grand os et l'os crochu avaient
stater, au niveau de la deuxième rangée des os du carpe, que le grand
os
et l'os crochu avaient été fracturés. Au moment d
au niveau de la deuxième rangée des os du carpe, que le grand os et l'
os
crochu avaient été fracturés. Au moment de notre
: traumatisme des nerfs de lavant-bras par esquilles venant du grand
os
et de l'os crochu, il n'en est pas moins vrai que
sme des nerfs de lavant-bras par esquilles venant du grand os et de l'
os
crochu, il n'en est pas moins vrai que la présenc
l n'en est pas moins vrai que la présence d'une fracture sur ces deux
os
nous était nettement démontrée, que nous pouvions
ire, phénomène décrit sous le nom d'ostéoporosc. Dans ces points, les
os
, à l'écran, se laissaient traverser facilement et
ongles des lambeaux de sa verrue. Elle gratte rageusement « jusqu'à l'
os
, me dit la maman, sans jamais parvenir à la dérac
itoyable que je fus quatre ans « environ sans pouvoir marcher ; les
os
me perçaient la peau de tous « côtés ». On sait c
utir ; je me sentais brûler d'un feu dévorant jusqu'à la moelle « des
os
. Il me fit plusieurs fois semblables menaces. »
voir plusieurs fois. Les bons esprits, dit-il, sont en chair et en
os
, comme nous ; les mauvais ont la peau morte. Ceux
urd'hui, si on ne croit plus que Dieu combat pour vous en chair et en
os
, on admet pourtant son intervention spirituelle e
loutir ; je me sentais brûler d'un feu dévorant jusqu'à la moelle des
os
. Il me 6t plusieurs fois semblables menaces. Te
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