cules bijumeaux, sont très déve- loppés, et portent le nom de lobes
optiques
. Ces lobes optiques des oiseaux sont d'autant p
t très déve- loppés, et portent le nom de lobes optiques. Ces lobes
optiques
des oiseaux sont d'autant plus volumineux que l
n des lobes frontaux et occipitaux-pédoncule antérieur de la couche
optique
, faisceau uncinatus, faisceau arqué, faisceau l
inatus, faisceau arqué, faisceau longitudinal inférieur, radiations
optiques
, etc., pratiquée à l'aide de coupes faites aprè
de Broca. Fsplt, Ventricule sphé- noïdal. - xll, chiasma des nerfs
optiques
. 20 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le procédé
nt par la tête du noyau caudé et par la partie moyenne de la couche
optique
, (lig. : i, ligne .4F). La coupe de Flechsig
nion du tiers supérieur avec les deux tiers inférieurs de la couche
optique
(fig. ? ligne XY). A Bicêtre, nous avons l'habi
repère de la coupe de Flechsig, le tubercule antérieur de la couche
optique
et l'extrémité antérieure du pli cunéo-limbique
le fait cet auteur, c'est-à-dire par le tiers supérieur de la couche
optique
. On n'intéresse alors que deux des segments du
coupe horizontale (EF) passant par le tiers supérieur de la couche
optique
. Dans le premier comme dans le second cas, les
e une coupe horizontale passant par le tiers supérieur de la couche
optique
et, après avoir pris un croquis de la topographie
l'anatomie normale il faut, dans certaines régions la région sous-
optique
entre autres, colorer et monter en moyenne une co
es. C'est ainsi en particulier que dans le cerveau, -les radiations
optiques
de Gratiolet, prennent sous son influence une c
istance de 8 centimètres. Le support du corps (D) portant la partie
optique
, peut pivoter sur un axe situé dans la colonne
truc- teurs. FiG. 8. Microscope de Nachet à platine mobile et axe
optique
tournant, pour l'élude des grandes coupes micro
xiale à l'axe neural ou encéplwlo-mérlullaÍ1'e, y compris les nerfs
optiques
et la rétine avec son épithélium pigmentaire, e
glement des vésicules oculaires primitives. Formation du nerf
optique
. Formation du cris- tallin. Vésicule oculai
ge pédicule creux, le pédicule oculaire, premier rudiment du nerf
optique
; leur partie supéro-postérieure est au contrair
, d, côté gauche du schéma). Le pédicule oculaire (l'0), futur nerf
optique
, s'allonge et s'étire. Vers la troi- sième sema
MENT- DU SYSTÈME NERVEUX. 65 plique l'insertion excentrique du nerf
optique
sur la rétine. Au niveau de sa base d'implantat
de la lame terminale embryon- naire, en formant la lame du nerf
optique
de Goette (Sehner- venplatte), laquelle don
s pour se porter de la rétine au chiasma (crête basilaire, faisceau
optique
croisé) et de la rétine aux centres optiques ga
ête basilaire, faisceau optique croisé) et de la rétine aux centres
optiques
ganglionnaires primaires (crête latérale, fais-
ntres optiques ganglionnaires primaires (crête latérale, fais- ceau
optique
direct). Au niveau du pédicule oculaire, la crête
rêtes. -a J i La crête basilaire correspond au fais- . ccau
optique
croi- se ; la crête latérale au faisceau opti
u fais- . ccau optique croi- se ; la crête latérale au faisceau
optique
9 direct. j - i FIG. 18. Encéphale d'un emb
cérébrale ; de sorte que l'on peut dès à présent distinguer au nerf
optique
rudimentaire, un segment antérieur vasculaire e
nasale de la rétine et de son feuillet pigmentaire. Les deux axes
optiques
, forment vers la fin du deuxième mois de la vie
ière vésicule encépha- lique, qui ne donne naissance ni aux couches
optiques
, ni aux hémisphères cérébraux. Si la première
on Baer, le nom de cerveau intermédiaire, (CI) vésicule des couches
optiques
, vésicule thala- mique ou thalamcncéphalon; la
car la paroi du cerveau intermédiaire donnera naissance à la couche
optique
, celle du cerveau antérieur à une partie du cor
lement; ses épaisses parois latérales donnent naissance aux couches
optiques
dans leur moitié supérieure, et aux régions sou
e dédouble en cer- veau intermédiaire ou vésicule des cou- ches
optiques
et cer- veau antérieur ou vésicule des hémi-
i se continue en arrière avec l'aqueduc de Sylvius. La lame du nerf
optique
(futur chiasma) et l'em- bouchure des deux pédi
u nerf optique (futur chiasma) et l'em- bouchure des deux pédicules
optiques
, séparent la partie qui appartient au cerveau i
meau postérieur. - rif, diverticule de l'infundibulum. - ro, recessus
optique
. - STh, région sous- ' thalamique de Forel. Te.
nt culminant de l'axe cncéphalo-mé- d)dtah-c. ' d du pédicule
optique
, le plancher du cerveau intermédiaire se continue
illaire. VII, vésicule des hémisphères I, nerf olfactif. - Il, nerf
optique
. - Ill, nerf moteur oculaire commun. Il', nerf pa
lames correspond en avant, au chiasma et aux bandelettes des nerfs
optiques
; quant à la] rétine, elle naît de la lame fondam
u corps calleux et au trigone; le cerveau intermédiaire aux couches
optiques
, à la région sous- optique et à toutes les part
e; le cerveau intermédiaire aux couches optiques, à la région sous-
optique
et à toutes les parties qui constituent le planch
'homologue du cervelet, des tuber- cules quadrijumeaux, des couches
optiques
et des hémisphères cérébraux, formations qui ap
éphaliques, la vésicule des tubercules quadri- jumeaux ou des lobes
optiques
, est celle qui subit le moins de modifications.
s plus grandes variations. Elle forme en effet les volumineux lobes
optiques
des poissons et des oiseaux et les petits tubercu
quadrijumeaux anté- rieurs daus la série des vertébrés. Lobes
optiques
des oiseaux. Connexions des tubercules quad
nnexions des tubercules quadri- jumeaux antérieurs avec le ncrf
optique
. Tubercule quadri- jumeau postérieur. 96 AN
TÉRIEURE PRIMITIVE. A. CERVEAU INTERMÉDIAIRE. VÉSICULES DES COUCHES
OPTIQUES
La vésicule des couches optiques s'aplatit de b
TERMÉDIAIRE. VÉSICULES DES COUCHES OPTIQUES La vésicule des couches
optiques
s'aplatit de bonne heure dans le sens transvers
e Sylvius. .t7 ? zone trapézoïde. D, bulbe. lill, bande- " ...lette
optique
. cerveau antérieur. - CI, cerveau intermédiaire.C
omme la paroi du cerveau intermédiaire, donne naissance à la couche
optique
et celle du cerveau antérieur au corps strié, n
i contient les rudi- ments des saillies superficielles de la couche
optique
. A l'extrémité anté- rieure de l'arc, on consta
e l'arc, on constate la saillie du tubercule antérieur de la couche
optique
; à la plus grande convexité de l'arc correspond l
orel ou de région du corps de Luys; elle forme la future bandelette
optique
et se continue avec la crête latérale du pédicu
ps genouillé interne, peu saillant iL cette époque. La bandelette
optique
comme le chiasma, se développe aux dépens du ce
eur développement, les fibrel ? rétinienne, car le pédicule du nerf
optique
est encore creux e ? çute un " état embryonnair
l, et par former toute la partie de la face supérieure de la couche
optique
, recouverte par le corps du trigone et la toile c
du tubercule antérieur du thalamus, la face supérieure de la couche
optique
s'élargit en arrière, déborde le cerveau moyen
ecourbe en bas, et se rétrécit pour se continuer avec la bandelette
optique
. Elle s'étend en lar- geur, depuis la voûte du
ne comprend donc, que la partie de la face supérieure, de la couche
optique
définitive, située en dedans du sillon choroïdi
diaire subit d'impor- tantos modifications. rieure de la couche
optique
définitive, étendue de l'insertion des plexus c
érieure correspond à la lame alaire, et donne naissance à la couche
optique
propre- ment dite ou à la région tlzalaziq2ce;
e inférieure correspond à la AC, arrière-cerveau. - Bill bandelette
optique
. - CA, cerveau antérieur. - C'«, calotte. - CI, c
de l'illfundiùuluIl1. - Itm, recossus mamil- laire. - ro, recessus
optique
. - saa, sillon arqué antérieur. - s11, sillou de
extrémité antérieure correspond assez exactement à la lame du nerf
optique
, c'est-à-dire au futur chiasma. Fia. il. Coupe
ou partie tha- lamique proprement dite, donne naissance à la couche
optique
(Th). Celle- ci s'accroît rapidement et détermi
t la fin du deuxième mois de la vie intra-utérine, les deux couches
optiques
se soudent sur la ligne médiane, au-dessus du sil
ne étendue beaucoup plus grande que chez Soudure des deux couches
optiques
; formation do lacom- missure moyenne. Fie.
0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Limites définitives de la cU11chc
optique
. / Recessus geniculi de His. Le centre mé
- ment, dans certaines malformations congénitales, les deux couches
optiques
soudées sur une grande étendue, peuvent arriver
ne seule masse impaire et médiane. Une fois développée, la couche
optique
est limitée en bas par le sillon de Monro (s.1)
oûte du cer- veau intermédiaire (ig. 42, 43). En avant, la couche
optique
est légèrement excavée et concourt à limiter
ond au col du cerveau in- termédiaire de His (fig. 42). La couche
optique
, en se dé- veloppant d'avant en arrière, réduit
sus geniculi une étroite fente curviligne, comprise entre la couche
optique
et l'extrémité antérieure de la calotte du cerv
que [présente plus tard la calotte du cerveau moyen avec la couche
optique
. Le dernier ves- tige permanent du recessus gen
ohex. - Pn, protuucraticc. Il, recessus. . geniculi. - ro, recessus
optique
. spi, sillon de l'habo- nula. - s.11, sillon de
pinéal. - tb, trou borgne. Tm, tubercule mamillairc. - Th, couche
optique
. - T.11, trou de Mouro. - V, 4° ventricule. D
, recessus geniculi. rif, recessus de l'infundibulum. 1'0, recessus
optique
. saa, sillon arqué antérieur. sM, sillon de Mon
ieur ou <K/MM6M ? est fortement déprimé par le chiasma des nerfs
optiques
, qui sépare la lame terminale embryonnaire. de
postérieur constitue l'infundibulum, et l'antérieur le diverticule
optique
(recessus opticus). Dans les premiers stades de l
voûte, recouvre le troisième ventricule et réunit les deux couches
optiques
. Un sillon transversal la sépare en arrière du ce
ieure; ses fibres apparaissent de bonne heure, et relient la couche
optique
d'un côté à la région de la calotte du côté oppos
pais- sissent et s'insèrent sur le bord supéro-interne de la couche
optique
en formant les taenia thalami. Immédiatement, e
STÈME NERVEUX. 107 au, arrière-cerveau. - us buioe. - un, Danueleuc
optique
. ep, cerveau antérieur. - um, cerveau moyen. -
2, 44). La lame terminale embryonnaire s'étend du chiasma des nerfs
optiques
(fig. 41, 42), à la voûte du cerveau intermédia
NTRES NERVEUX. raratlelederap- pareil olfactif et de l'appareil
optique
. 1 1 l .-< ! a ;é Développement
ésumé, un appendice du cerveau antérieur, au même titre que le nerf
optique
et la rétine représentent un appendice du cerve
termédiaire. Le pédoncule olfactif est en effet l'homologue du nerf
optique
, le bulbe olfactif l'homologue d'une partie de
édicule oculaire, est séparé dans sa partie supérieure de la couche
optique
au niveau du trou de Monro, par le sillon o<
ctif postérieur. - It, lame terminale embryouuaire. - Po, pédoncule
optique
. - rif, rcccssus de l'infundibulum. - sol, sillon
extérieure de la région sous-optique, au voisinage de la bandelette
optique
. On pour- rait appeler cette nouvelle suture, s
Lolp, lobe olfactif postérieur. -jVl, nerf olfactif. - PO. pédicule
optique
. vif, recessus de l'mfuudibulutn. Sex, segment
des fibres blanches. Ces fibres relient le corps strié à la couche
optique
et à la région sous-optique; d'autres fibres be
nstituent la couronne rayonnante de Reil, et se rendent à la couche
optique
, à la région sous-optique, ou encore à des régi
ête du noyau caudé située en avant du trou de Monro et de la couche
optique
; elle est en connexion intime, ainsi que nous l
VELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 115 AM, avant-mur. - BU, bandelette
optique
. - CA, cerveau antérieur. - CA, corne d'Ammon.
one cérébral (demi-schématique). Le cer- veau intermédiaire (couche
optique
, région sous-optique de Forel, bandelette optique
termédiaire (couche optique, région sous-optique de Forel, bandelette
optique
) est teinté en bleu ; la partie de la paroi ext
gone cérébral (demi sché- matique). Le cerveau intermédiaire(couche
optique
) est coloré en bleu la partie de la paroi exter
de la cap- sl1le interne. Segment posté- rieur on lenticule-
optique
. Pied du pédoncule. La partie e.xtnu-ventoicz
l'hémisphère, et représente une formation très analogue à la couche
optique
. Une mince lame de fibres blanches, la capsule
culo-calldé (Cia), et " abordentl'extrémité antérieure de la couche
optique
, au niveau de la surface suturale opto-striée p
suturale opto-striée secondaire : les unes pénètrent dans la couche
optique
et dans la région sous-optique, les autres dans
nent la base du cerveau intermédiaire, . en dedans de la bandelette
optique
. Ces dernières libres forment un faisceau i vol
sous-optique de la capsule interne, en dedans de la bande- \ lette
optique
. Elles se placent ensuite à la partie externe du
et aux piliers postérieurs du trigone, et d'autre part, à la couche
optique
, au niveau du sillon choroïdien. Les plexus cho
la voûte du troisième ventricule et la face supérieure des couches
optiques
, recouvertes par le repli mésodermique de la to
unis entre eux que par la lame terminale embryonnaire, les couches
optiques
et les pédoncules cérébraux (fig. 65). Fie. 65.
du corps calleux. (D'après Forel et Onufrowicz.) DII. bandelette
optique
. - C, cuneus sillon du cuneus. - cm, sillon callo
idement : vers la fin du troisième mois, ils recouvrent les couches
optiques
; vers le quatrième mois, ils atteignent les tu
n ammonique, au contraire, s'accentue et contourne en arc la couche
optique
; son segment inférieur ou sphénoïdal devient l
éto-occipitalo. - ni ? recessus de l'infuu- dibulum. - 1-o recessus
optique
. - SI, septum lucidum. - sM, sillon de Monro. S
de l'hémisphère, c'est-à-dire autour du corps calleux, des couches
optiques
et des pédoncules cérébraux, un anneau presque
ne peuvent être comparées aux cellules olfactives. (Voy. t. II, nerf
optique
, nerf glossopharyngien, nerf auditif, etc.) L
couche la plus superficielle de l'écorce cérébrale, dans le lobe
optique
des oi- seaux, dans la substance gélatineuse de
t détruites, dans un noyau gris - que ce soit un noyau de la couche
optique
, un tubercule quadrijumeau, ou un noyau de term
ellule pyramidale de gauche envoie son cylindre- axe dans la couche
optique
Th; le cylindre-axe de la cellule pyramidale de d
dans la constitution du ruban de Reil et s'arborise dans la couche
optique
(Th). Le neurone sensitif de 2' ordre entre en co
de nuances inter- médiaires, telles que le gris jaune de la couche
optique
, le gris rouge des noyaux rouges de Stilling, d
tographie d'une pièce durcie au bichromate.) ;D . BII, bandelette
optique
. - C, cunéus. - Cal, calotte du pédoncule. - Cc(S
ccipital. - LOr, lobule orbitaire. - LT, lobe temporal. z NI[, nerf
optique
. - 03, troisième circonvolution occipitale. - oF,
hie sous l'eau d'une pièce durcie au bichromate.) Gll, bandelette
optique
. - Bol, bulbe olfactif. - C, cuncus. - c, sillon
olfactif. - U, circonvolution du crochet. - xll, chiasma des nerfs
optiques
. 244 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les scissu
hères céré- braux [corps calleux, septum lucid1lln, trigone, couche
optique
, etc., etc.). Les circonvolutions qui bordent l
ons temporales. - , troisième sillon temporal. - Th, thalamus (couche
optique
). ' U, circonvolution du crochet. MORPHOLOGIE
rps calleux pour former le corps du trigone et contourner la couche
optique
. La circonvolution godronnée, au contraire, se
emière circonvolution frontale. z , 11lF,(Gr), gyrus rectus. - nerf
optique
. oF,, partie orbitaire de la première circonvo-
diagonale de Broca (bd). Situé de chaque côté du chiasma des nerfs
optiques
, l'espace perforé antérieur est limité en avant e
, qui le sépare de . l'insula(I), en avant et en dedans par le nerf
optique
(NII), en arrière et en dedans par la bandelett
ar le nerf optique (NII), en arrière et en dedans par la bandelette
optique
(BII), en arrière et en dehors parle cro- chet
é enlevé de chaque côté, alin de montrer le trajet de la bandelette
optique
. (D'après la photo- grahie d'une pièce durcie d
ce durcie dans l'alcool.) Ag, aqueduc de Sylvius. - BIT, bandelette
optique
bd, bandelette diagonale de Broca. - Bol. bande
nombre d'éléments blancs surajoutés, ce sont : le chiasma des nerfs
optiques
, les bandelettes optiques et les tuber- cules m
urajoutés, ce sont : le chiasma des nerfs optiques, les bandelettes
optiques
et les tuber- cules mamillaires. Le chiasma e
es et les tuber- cules mamillaires. Le chiasma et les bandelettes
optiques
subdivisent la commissure grise de la base en d
lame terminale embryonnaire, et comprise entre le chiasma des nerfs
optiques
et le bec du corps calleux. 2° Une région posté
rajoutes. 1 314 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Chiasma des nerfs
optiques
. Livertir : ule ou re- ecssus sus-optique.
ue. llantlelettes opti- Ilues. 1° Le chiasma et les bandelettes
optiques
. 2° La lame sus-optique. 3° Le losange opto-p
que. 3° Le losange opto-pédoucrrlaire. 'L° Chiasma et bandelettes
optiques
. Le chiasma des nerfs optiques (fig. 183, 187),
crrlaire. 'L° Chiasma et bandelettes optiques. Le chiasma des nerfs
optiques
(fig. 183, 187), formé par l'entre-croisement i
s (fig. 183, 187), formé par l'entre-croisement incomplet des nerfs
optiques
, se présente sous la forme d'une petite lame qu
llimètres. De ses angles antérieurs partent en divergeant les nerfs
optiques
, qui pénètrent par les trous optiques dans la cav
rtent en divergeant les nerfs optiques, qui pénètrent par les trous
optiques
dans la cavité orbitaire; de ses angles postéri
é orbitaire; de ses angles postérieurs se détachent les bandelettes
optiques
(BII) (tractus opticus), qui se dirigent obliqu
oncules cérébraux, atteignent la face inférieure libre de la couche
optique
, où elles se terminent dans deux ganglions pro-
erminent dans deux ganglions pro- fondément enclavés dans la couche
optique
, les corps genouillés externe et interne (fig.
es corps genouillés externe et interne (fig. 183, 187). Les nerfs
optiques
sont libres dans tout leur trajet, leur section e
ction estova- laire à leur origine, mais s'arrondit au delà du trou
optique
. Le chiasma et les bandelettes optiques sont ap
s s'arrondit au delà du trou optique. Le chiasma et les bandelettes
optiques
sont aplatis et adhérents à la commissure grise d
et adhérents à la commissure grise de la base. Le chiasma des nerfs
optiques
est aplati de haut en bas, sa face ^ inférieure
t en bas, sa face ^ inférieure est libre et repose sur la gouttière
optique
; sa face supérieure, jja adhérente à la commiss
rticule du troisième ventricule, le divei-liciite ou l'ecessus sus-
optique
(ro) (fig. 188). Les bandelettes optiques sont
iciite ou l'ecessus sus- optique (ro) (fig. 188). Les bandelettes
optiques
sont également aplaties de haut en bas, et adhé
se de la base, dans toute la partie avoisinant le chiasma des nerfs
optiques
. Toutefois, au niveau de son trajet pédonculair
lobus pallidus. Sur les coupes vertico-transversales, la bandelette
optique
pré- sente au voisinage du chiasma une surface
eJ'tico-tl'ansvel'sales maC1'O et nt iCl'oscopiques.) La bandelette
optique
et le chiasma ne sont pas formés par un système '
lement 1. au système auditif. Le chiasma et chacune des bandelettes
optiques
con- tiennent en effet un faisceau visuel direc
tiennent en effet un faisceau visuel direct, un faisceau visuel ou
optique
evoisé et un faisceau commissural ou azciforme;
vité supérieure et occupe la partie interne et supé- rieure du nerf
optique
du côté opposé. Le faisceau visuel direct, beauco
e bord externe de la bandelette et occupe la partie externe du nerf
optique
du même côté. Faiscoau visuel croisé. Faisc
e l'encéphale du lapin vu par sa face inférieure. Chiasma des nerfs
optiques
, commissure de Gudden, commissure de Meynert, tra
transverse et corps trapézoïde. (D'après Gudden.) 73/1, bandelette
optique
. Ca, étage supérieur ou calotte du pédoncule (rég
laire Gi.p. 1lCv, hémisphère cérébelleux. 7/, infundibulum. NIT, nerf
optique
. Oi, olive inférieure ou bulbaire. Po, protubér
trapézoïde. xPy, entre-croisement pyramidal. xll, chiasma des nerfs
optiques
. ? nerf moteur oculaire commun. J', nerf trijumea
du bord externe de la bandelette et le long du bord externe du nerf
optique
du même côté. (Voy. Nerf optique, II.) Les fais
et le long du bord externe du nerf optique du même côté. (Voy. Nerf
optique
, II.) Les faisceaux visuels croisé et direct co
els croisé et direct constituent la racine externe de la bandelette
optique
, racine qui se termine dans le corps genouillé ex
mmissure inférieure de Gudden. comprend le tiers de la bande- lette
optique
, dont elle constitue la racine interne, racine qu
commissure grise de la base, on trouve au-dessus de la bande- lette
optique
un autre faisceau commissural, la commissure de M
ceau commissural, la commissure de Meynert. Accolée à la bandelette
optique
, dont elle suit le trajet mais dont elle est co
, , Flc. 18. - Coupe verLico- transversale de la bande- lette
optique
du lapin faite au voisinage des corps ge- nou
au voisinage du chias- '' ma. (D'après Gudden.) Bll, bandelette
optique
(faisceaux visuels direct et croisé). CG, commi
nnaire est dési- gnée à tort, sous le nom de racine grise des nerfs
optiques
; elle n'affecte en effet avec les nerfs optique
ne grise des nerfs optiques; elle n'affecte en effet avec les nerfs
optiques
que des rapports de voisinage. De forme triangu
orps calleux, entre le bec du corps calleux et le chiasma des nerfs
optiques
, au-dessus duquel elle se continue avec le tuber
de l'icr.funliGul2cm, et constitue le diverticule ou le cul-de-sac
optique
du troisième ventricule connu encore sous le nom
omate (fig. 188). Faisceau du tuber cinereum. Lame grise sus-
optique
ou lame terminalo embryon- uaire. Hecossus
u pilier antérieur du trigone. (D'après Gudden.) Bill, handclclette
optique
. Cge, corps genouillé externe. Cgi, corps genouil
ansverse. - III, racines du nerf moteur oculaire comnun. - II, nerf
optique
. 318 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Losange op
- Limité en avant par les deux bandelettes et le chiasma des nerfs
optiques
, en arrière par le bord interne des deux pédonc
e, occupant tout l'espace compris entre le chiasma, les bandelettes
optiques
et les tubercules mamillaires. Il fait partie d
grise qui tapisse la face supérieure du chiasma et des bandelettes
optiques
, avec la lame sus-optique et les espaces perforés
ervelet. - Lsm, lobe supérieur et moyen du cervelet. lso, lame sus-
optique
. - Lsp, lobe supérieur et postérieur du cervelet.
(declivum). - VV, valvule de Vieussens. - lI(Ch), chiasma des nerfs
optiques
. 32.0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le lohe p
nce, qui s'étend parfois jusqu'au voisinage du chiasma '. des nerfs
optiques
. Plein et compacta à sa partie antérieure, le lob
- tution du segment postérieur de la capsule interne. La bandelette
optique
croise le pied du pédoncule au niveau de son po
largeur, au niveau du point où ils se perdent sous la bande- lette
optique
. Lorsqu'on examine l'encéphale en position ou s
idement, s'étalent, puis se portent en rayonnant vers la bandelette
optique
et croisent en éven- tail la partie externe du
a protubérance, ne semble plus formée au voisinage de la bandelette
optique
que par un étroit fascicule. Le plus souvent le
ce inférieure du cerveau, en arrière du chiasma et de la bandelette
optique
(fig. 191). Chez l'homme et chez les autres mam-
du pilier antérieur du trigone. (D'après Gudden.) 7311, bandelette
optique
. - Cge, corps genouillé externe. - Cgi, corps gen
ansverse. - III, racines du nerf moteur oculaire commun. - II, nerf
optique
. 326 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Chez l'hom
lapin, vu par sa face inférieure. (D'après Gudden.) Bll, bandelette
optique
. - Ca, étage supérieur ou calotte du pédoncule. C
laire. - IICv, hémisphère cérébelleux. -I f, infundibulum. - Nu, nerf
optique
. - Oi, olive inférieure ou bulbaire. - Pe, fais
pézoïde. - xPy, entre-croisement pyramidal. ;dl, chiasma- des nerfs
optiques
. Ill, nerf moteur oculaire commun. -- Il, nerf tr
du pédoncule, et se trouve situé à égale distance de la bandelette
optique
et du bord supérieur de la protubérance. Il app
de ce tubercule (Gudden). Il s'atrophie par contre avec le système
optique
visuel antérieur, à la suite de l'énucléation d
ographie d'une pièce durcie dans le bichro- mate.) BU, bandelette
optique
.- BrQa, Iras du tubercule qua- drijumeau antéri
ceau oblique de la protubérance. - Gp, glande pinéale. - Nu, nerf
optique
. - Oi, olive bulbaire. - P, pédoncule cérébral.
,de Reil médian. - si, sillon latéral du mésencéphale. - Th, couche
optique
. - 7·po, toenia pontis. - 7 ? )/, tractus pedun
te, région étendue du bulbe à l'extrémité anté- rieure de la couche
optique
. La calotte du pédoncule est formée de szcbstan
limites. La région de la calotte s'étend du bulbe à la couche
optique
. Constitution de la calotte du pédoncule. S
érieure du pédoncule cérébral de l'homme au niveau de la bandelette
optique
, intéressant les tubercules quadrijumeaux an- t
alotte de Meynert (fontainartige Haubenl : reurung). - ll, bandelette
optique
. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 331 pédonculaire supé
elleux supérieur. - Po, protubérance. P2tl, pul- vinar de la couche
optique
. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur; de sa part
sillon choroïdien. - Sexv, surface extraventriculaire de la couche
optique
. - si, sillon opto-strié. - si, sillon latéral
uh"inar et le corps genouillé ex- terne constituent les centres
optiques
in- fra-corticaux. Tubercules quadri- jumea
lement en dehors vers le corps genouillé externe (Cge) de la couche
optique
: ce cordon est connu sous le nom de bras du tube
ubercule quadrijumeau antérieur, par l'extrémité libre de la couche
optique
ou qui les surplombe; le bras ne devient donc a
llé interne, et se continue avec la partie externe de la bandelette
optique
. Nettement séparé du corps genouillé interne, mal
antérieur, une partie importante du système , visuel : les centres
optiques
infra-corticaux, ou ganglionnaires ou centres Çj
s centres optiques infra-corticaux, ou ganglionnaires ou centres Çj
optiques
primaires de l'appareil visuel. Les tubercules
le corps ge- z nouille interne, profondément enclavé dans la couche
optique
. Le tubercule quadrijumeau postérieur appartien
atteignent la base du cerveau, et sont connus sous le nom de lobes
optiques
. Les tubercules MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 333 qu
sième ventri- cule. Sillon de Monro. ".Septum lucidum. Couche
optique
et noyau caudé. l'hémisphère. Ces organes, ét
ventricule en deux régions, l'une supé- rieure formée par la couche
optique
, l'autre inférieure, connue sous le nom de régi
haque côté, deux volumineux ganglions de substance grise, la couche
optique
(Th) en dedans, et le noyau caudé ou noyau izztra
iculcciwr du corps strié, en dehors. La face interne de la couche
optique
forme la paroi latérale du troi- FIG. 195. - Co
(culmen). - V (dc), vermis (declivùm). - Il (Ch), chiasma des nerfs
optiques
. 33fi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ventricul
deuxième ventricules cérébraux. Le noyau caudé, séparé de la couche
optique
par un petit sillon dit sillon intermédiaire à ce
haut par le corps calleux (Ce), en bas par le trigone (Tg), la couche
optique
(Th) et le noyau caudé (NC), en dedans par le s
. La face inférieure du noyau caudé et la face externe de la couche
optique
, sont en rapport avec une lame de substance bla
la couronne- rayonnante (pCI3). La capsule interne sépare la couche
optique
et le noyau caudé d'un troisième noyau de subst
tecta. - Tg, trigone. Tga, pilier antérieur du trigone. - Th, couche
optique
(thalamus). - Va, troisième ventricule. VA, rub
cule latéral. - : ;7,, zone réticulée, ou grillagée. II, bandelette
optique
. 22' 338 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. C
isième ventricule. VV, valvule de Vieussens. - xll, chiasma des nerfs
optiques
. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 311 forme le fond. El
du corps calleux, au-dessus du troisième ventricule et des couches
optiques
, autour desquelles il décrit une courbe inscrit
ux; cette membrane fibro-vasculaire la sépare à la fois des couches
optiques
(Th) et du ventricule moyen (V 3) (fig. 19G). L
ou extra ventriculaire (Sexv), de la face supé- rieure de la couche
optique
(fig. 196). En avant les bords latéraux sont li
ntricules latéraux. Ils se soulèvent en arc, forment avec la couche
optique
(Th),légè.rement excavée à ce niveau, un petit
avoir contourné de haut en bas l'extrémité antérieure de la couche
optique
, les piliers antérieurs divergent, passent en arr
orsion en huit de chiffre, puis pénétrait de nouveau dans la couche
optique
(Th) et se lermi- MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 347
ieur du tri- gone, compriseentre le tubercule antérieur de lacouche
optique
et le tuber- cule mamillaire, était décrite sou
n, tubercule mamillaire. - TQ, tubercules quadri- jumeaux. Il, nerf
optique
. 348 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Piliers po
s et en haut et se termine dans le tubercule antérieur de la couche
optique
(Na). Le faisceau de Vicq d'Azyr relie donc le tu
nc le tubercule mamillaire (Tm) au tubercule antérieur de la couche
optique
. Les piliers postérieurs du trigone font suite
, qui contournent le pulvinar ou extrémité postérieure de la couche
optique
(Pul), puis se portent brusquement et très obliqu
e de la toile choroïdienne, avec la partie postérieure de la couche
optique
(Th), la glande pinéale (Gp) et les tubercules qu
iphalon, au cerveau intermédiaire (tuber- cules mamillaires, couche
optique
) : Une petite partie des fibres longitudi- Le t
pe vertico-transversale de la corne d'Ammon et de la région sous- '
optique
, passant par le corps genouillé externe et la par
amus. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Il, bandelette
optique
. - III, fibres radicu- laires de la 3- paire.
Coupe vertico-transversale de la corne d'Ammon et de la région sous
optique
passant en arrière du velum terminale, parla band
ous optique passant en arrière du velum terminale, parla bandelette
optique
, le ruban de Reil et la partie moyenne du pédon
gone. Th, thalamus. - Zr, zone réticulée ou grillagée. ? bandelette
optique
. - III, fihres radiculaires de la 3° paire. 352
sième ventricule. VV, val- vule de Vieussens. 2 ? chiasma des nerfs
optiques
. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 333 les nerfs de Lanc
avant, ils divergent en arrière, et s'enroulent autour de la couche
optique
et du pédoncule cérébral, en décrivant une cour
. 200). Arrivés au niveau de l'extrémité pos- térieure de la couche
optique
, ils divergent, changent de direction, et sous
trois parties, au niveau de l'extrémité posté- rieure de la couche
optique
, représente un véritable carrefour ventriculaire,
u du corps calleux (Cc[g]) à l'extré- mité postérieure de la couche
optique
(Th) (fig. 208), et mesure en moyenne 7 centimè
(NC, NC) ; 2° un sillon intermédiaire au noyau caudé et à la couche
optique
, le sillon opto-stl'ié (si) ; 3° le tiers externe
tl'ié (si) ; 3° le tiers externe de la face supérieure de la couche
optique
(Th) ; i° la face supérieure du trigone (Tg) et
noïdale (fig. 209). 2° En dedans du noyau caudé on trouve la couche
optique
(Th), dont la blancheur relative contraste avec
du noyau caudé. Le tiers externe de la face supérieure de la couche
optique
, compris entre Étac npérip,l1rllll ventricule
' MORPHOLOGIE CÉRÉRRALE. 3o7 m'6;-fe ? ? <CM/M'e de la couche
optique
n'est pas lisse et régulière; elle correspond e
e mamelonnée et très accentuée, le tubercule antérieur de la couche
optique
, constitué par la partie saillante de son noyau
large en avant, plus étroit en arrière, décrit autour de la couche
optique
une courbe à concavité antérieure et interne, e
nia semi-circularis, contourne l'extrémité postérieure de la couche
optique
, et se retrouve, comme la bandelette demi-circula
quitte la lame cornée au niveau du tubercule antérieur de la couche
optique
(Na), reçoit à ce niveau la veine du septum luc
rculaire se rétrécit en arrière du tubercule antérieur de la couche
optique
; elle longe ensuite le sillon opto-strié jusqu'
e le sillon opto-strié jusqu'à l'extrémité postérieure de la couche
optique
, puis elle se recourbe en bas et en avant, reço
avant, reçoit chemin faisant un grand nombre de libres de la couche
optique
et s'épanouit en un faisceau de libres qui parc
ne sphénoïdale ( Vsph) contourne le pédoncule cérébral et la couche
optique
, se porte oblique- ment en bas, en avant et en
icule latéral (Pchl) reposent sur le sillon choroïdien de la couche
optique
, et longent le bord interne de la corne d'Ammon
le point de réflexion inférieur, au sillon choroïdien, de la couche
optique
(fig. 212). Dans le prolongement sphénoïdal, le
avité impaire, médiane et symétrique, située entre les deux couchcs
optiques
(Th), au- dessous du trigone (Tg), de la toile
érieure. La région supérieure ou thalamique, ou région de la couche
optique
, est formée par la face interne plane ou légèreme
formée par la face interne plane ou légèrement convexe de la couche
optique
(Th), revêtue d'une mince couche de substance gri
tractent quel- quefois à tel point vers la face interne des couches
optiques
, qu'ils devien- nent difficiles il déceler, ce
), par la partie antérieure du tuber cinereum, le chiasma des nerfs
optiques
(xll) et la lame sus-optique (, laquelle forme
e avec le chiasma un petit cul-de-sac ouvert en haut, le cul-de-sac
optique
(recessus optique) (ro); 2° dans la région thal
un petit cul-de-sac ouvert en haut, le cul-de-sac optique (recessus
optique
) (ro); 2° dans la région thalamique, par la commi
ule de l'infundibulum. lim, ruban de Reil médian. - ro, diverticule
optique
. - sec, sinus du corps calleux. - SI, septum luci
is (culmcn). V(tlc), vermis (declivum). Il (Cla), chiasma des nerfs
optiques
. FiG. 212. - Coupe verlico-transversale du cerv
tecta. Tg, trigone. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Th, couche
optique
(tha- lamus). 11, troisième ventricule. - VA, f
ule latéral. - zr, zone ' réticulée, ou grillagée. - II, bandelette
optique
. 366 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Son sommet
la limite de la face interne et de la face supérieure de la couche
optique
, et dont les fibres se terminent dans le gangli
saillie triangulaire, située à la partie postéro-interne de la couche
optique
. Sur les tænia thalami (tth), s'insère de chaqu
- 'T" "™ ticale, comprise entre les faces internes des deux couches
optiques
, l'autre horizontale et évasée, située entre le
igone et la moitié interne Wt$|j de la face supérieure de la couche
optique
. Cette soi-disant partie horizon- tale du trois
atéral, mais représente la surface cxlra-ventriculaire de la couche
optique
(Sexv) (fig. ° ? 92, 213), et corres- pond, ain
ase postérieure, elle s'étend horizontalement au-dessus des couches
optiques
et du troisième ventricule, au-dessous du corps
parties latérales, sur la surface extra-ventriculaire de la couche
optique
(Sexv); par sa partie moyenne, elle forme la limi
, sillon choroïdien. Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche
optique
. si, sillon opto-strié. SZ,septumlucidum.S7'A,
es sont en rapport avec la surface extra-ventriculaire de la couche
optique
(Sexv) (fig. 212). Les bords latéraux de la toi
Willis, Riolan, Vieussens, etc. Willis le premier sépara les couches
optiques
des corps cannelés ou striés et les désigna ave
opticorum. Vieussens ayant observé que les corps striés, les couches
optiques
et une partie des jambes ou pédoncules du cerve
noyau caudé. 2° Les c01'pom slniata superiora posteriori ou couches
optiques
. 3° Les cOl'pom striata inferna exteriora et po
de la commissure antérieure et qui font peut-être partie de la couche
optique
. 6° Les corpora striata média qui correspondrai
tte de substance blanche située entre les corps striés et la couche
optique
. Cette bandelette demi-circulaire, très bien décr
d'Azyr et Burdach, sous le nom de corps opto-striés : 1° La couche
optique
ou thalamus. 2° Le corps strié formé de deux no
l'espace pen- j'orr' antérieur. Sa face interne répond à la couche
optique
, à la substance grise sous-épendymaire du ventr
iriforme ou d'une cornue, située en avant et en dehors de la couche
optique
(fig. 215). Epais et arrondi au niveau de la part
en arrière. Son extrémité postérieure ou queue, contourne la couche
optique
et le pédoncule cérébral, et se prolonge en avant
52 à 255). Sa portion réfléchie se place en dehors de la bandelette
optique
,(11), de la lame cornée et des fibres du tænia
l'ontal de Forel (OF). Le bord interne, concave, embrasse la couche
optique
; il commence im- médiatement en arrière de la c
il se di- rige ensuite en dehors et en arrière, séparé de la couche
optique
par la lame cornée, la veine du corps strié et
ux lf'7lticulo-striés (Duret), les postérieurs, celui de lenticulo-
optiques
(Duret.) La face externe est lisse et facile à én
oyau caudé (ni), du taenia semi-circularis (le) et de la bandelette
optique
(II) (fig. 249 à 251). Au niveau de l'extrémité
au lenticulaire (Al) et le pédoncule infào-inte1'7 ! c de la couche
optique
(PiTh) (fig. 244 à 246). Au niveau du colliculu
n arrière il se dirige en dehors et en arrière, séparé de la couche
optique
par le segment postérieur ou lenliculo- optique
séparé de la couche optique par le segment postérieur ou lenliculo-
optique
de la capsule interne (Cip). Les coupes pratiqu
le segment moyen (NL2), dépasse l'extrémité antérieure de la couche
optique
et existe sur les coupes vertico-transversales en
nterne et externe du noyau lenticulaire. Fibres radiées. Couche
optique
(thalamus). La face supérieure est recouver
noyau lenticu- laire, les autres relient le corps strié à la couche
optique
, d'autres se ren- dent à la région sous-optique
terne et qu'elle contourne par son extrémité postérieure, la couche
optique
ou thalamus (Th) constitue une masse volumineuse
e séparent seulement les piliers antérieurs du trigone, les couches
optiques
sont écartées en arrière et reçoivent dans leur
uteur 20 à 2S millimètres. On peut considérer chacune des couches
optiques
quatre faces et deux extrémités. Les faces supé
, différencie nettement , MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. : 7 -i la couche
optique
du noyau caudé. Cette face est limitée en dehors
ui fait un léger relief le long du bord supéro-interne de la couche
optique
. Ce tractus blanc porte le nom de tænia thalami,
cerveau intermédiaire. La partie de la face supérieure de la couche
optique
, située en avant et ' en dehors du sillon choro
ndyme ventriculaire. La partie de la face supérieure de la couche
optique
, située en arrière et en dedans du sillon choro
trigone cérébral et appartient à la surface extérieure de la couche
optique
(Sexv). ('oy. Embryologie, p. 114 à 117.) En av
plus ou moins marquée, c'est le tuber- cule antérieur de la couche
optique
de Vicq d'Azyr (Na), le corpus album sttbrotutz
ontre une saillie volumineuse, le tubercule postérieur de la couche
optique
ou pulvinar (Pul) qui se renfle considérablement
en arrière pour former l'extrémité postérieure, libre de la couche
optique
. En dedans de la partie postéro-interne du pulv
pare de la région sous-optique. Lès faces internes des deux couches
optiques
sont reliées Toenia thalami. Sa partie intra-
sillon choroïdien. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche
optique
. - si, sillon opto-strié. SI, septum lucidum. -
inar, donne naissance en avant à la racine externe de la bandelette
optique
et reçoit en arrière le bras du tubercule quadri-
; il donne naissance en avant il la racine interne de la bandelette
optique
, c'est-à-dire à la commissure de Gudden. Ces de
, facile à constater chez le nouveau-né. Les rapports que la couche
optique
affecte avec le pédoncule cérébral sont très im
tte op- tique croise sa face inférieure. Ces trois organes : couche
optique
, pulvinar et bandelette optique, forment le sys
érieure. Ces trois organes : couche optique, pulvinar et bandelette
optique
, forment le système de la couche optique et embra
ue, pulvinar et bandelette optique, forment le système de la couche
optique
et embrassent le pédoncule cérébral à la façon
doncule. La petite extrémité ou l'extrémité antérieure de la couche
optique
, libre dans sa moitié interne, présente au-dess
rne; ce faisceau porte le , nom de pédoncule antérieur de la couche
optique
(Cia) (fig. 223, 224, 225,' 22G). Les faces e
23, 224, 225,' 22G). Les faces externe et inférieure de la couche
optique
, adhérentes aux parties voisines, ne peuvent êt
ilier antérieur du tri- Corps genouillés. Rapports de la couche
optique
ave, le pédoncule céré bral. Son extrémité
a substance innominée, la face inférieure, plus large, de la couche
optique
, repose sur le prolongement antérieur de l'étage
s et le noyau rouge sont séparés de la face inférieure de la couche
optique
par une couche de fibres bien décrites par Forel
l (r) (Feld H, Forel). Face externe. La face externe de la couche
optique
, convexe dans dans le sens transversal et dans
ble constitue les radiations ou la couronne rayonnante de la couche
optique
. Meynert y a dis- tingué trois segments ou pédo
capsule interne et pénètre dans l'extrémité antérieure de la couche
optique
. Arrivées dans l'intérieur de celles-ci, les fibr
i proviennent du lobe temporal. Le pédoncule postérieur [radiations
optiques
de Gratiolet) provient du lobe temporal et surt
les plus supérieures s'étalent sur la face supérieure de la couche
optique
et concourent à former le stratum zonale. En pé
r le stratum zonale. En pénétrant dans la face externe de la couche
optique
, les fibres de ces trois pédoncules s'entre-cro
ance grise. .Celle disposition donne à la face externe de la couche
optique
un aspect spécial, absolument caractéristique,
zone réticulée, les fibres pénètrent dans l'intérieur de la couche
optique
dont elles forment les fibres radiées. Constitu
c Burdach, trois noyaux dans la masse grise qui constitue la couche
optique
. Un noyau interne qui répond au ventricule moye
ventricule latéral, où il forme le tubercule antérieur de la couche
optique
. Le noyau externe est séparé des noyaux antérie
nt dirigée en bas et en dedans, du bord supéro-externe de la couche
optique
à son bord inféro-interne. Cette lame n'est pas r
nt avec le noyau antérieur, près de la face supérieure de la couche
optique
, dans la région du faisceau de Vicq d'Azyr, où
eaux radiés de Meynert, qui proviennent des pédoncules de la couche
optique
et peuvent être suivis avec plus ou moins de ne
isent avec des fibres émanées de la racine externe de la bandelette
optique
et du corps genouillé externe, et forment le cham
upes vertico-transver- sales de l'extrémité antérieure de la couche
optique
, n'intéressent que les noyaux externe et antéri
6, 253, z187, 307, 317, 318). Luys a décrit en outre dans la couche
optique
un quatrième noyau, le centre médian de Luys (N
le centre médian de Luys (Nm), profondément enclavé dans la couche
optique
entre le noyau rouge, le noyau interne elle noy
-dessous du noyau externe, au voisinage immédiat de la région sous-
optique
, un petit noyau aplati de haut en bas et légèreme
entre le noyau lenticulaire d'une part, le noyau caudé et la couche
optique
d'autre part. Pour Vicq d'Azyr, elle faisait pa
edans du noyau lenticulaire, en dehors du noyau caudé, de la couche
optique
et de la région sous-optique (fig. 248 à 252).
loge le noyau lenticulaire, tandis que le noyau caudé et la couche
optique
sont situés sur sa partie convexe. Cet angle port
arallèlement. Ces fibres se terminent presque toutes dans la couche
optique
dont elles forment le pédoncule antérieur. - Le
rrière et en dehors, passe entre le noyau lenticulaire et la couche
optique
; il est le plus long et déborde en arrière le noy
olllcnticulo-caildé. Ii Segment posté- rieur ou lenticulo-
optique
. 384 ANATOMIE DES CENTRES .NERVEUX. Segment r
e segment rétro-lenticulaire (Cirl), limité en dedans par la couche
optique
et la portion réfléchie de la queue du noyau caud
ale. Ces fibres, connues depuis Gratiolet sous le nom de radiations
optiques
, se terminent pour la plupart dans la partie post
e terminent pour la plupart dans la partie postérieure de la couche
optique
dont elles contribuent à former le pédoncule post
(Cirl) : le segment antérieur (Cia) disparait en effet avec la couche
optique
. Le segment rétro-lenticulaire (Cirl) est surto
du tronc du corps calleux (Ce), ['extrémité supérieure de la couche
optique
(Th) et du segment externe du noyau lenticulair
hors, le ventricule est limité par le noyau caudé (NC) et la couche
optique
(Th). Corps opto-striés. Sur celte coupe et sur
bée de sa queue (\G'). Entre ces deux segments, on trouve la couche
optique
(Th), sectionnée il sa partie supérieure, et qui
supérieure du septum lucidum (SI), le noyau antérieur de la couche
optique
(Na Th) et l'extrémité supérieure du putamen (N
raverse le segment antérieur de la capsule interne (Cia). La couche
optique
(7h) comprise entre les deux- segments du noyau
en. - Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, interne et externe de la couche
optique
.- \'C', queue du noyau caudé. - 0., première ci
rérolandique inférieur. - R, scissure de Rolando. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - S(p), branche postérieure de la
maire. - SI, septum luci- dum. sp, sillon sous-pariétal. Th, couche
optique
. T, ! gsna;, circonvolution temporale supérieur
amen de Y avant-mur (AM) et de J'écol'ce de l'insula (I). La couche
optique
(Th) est volumineuse et sectionnée il peu près
aire interne du thalamus (Lmi) encore très peu apparente. La couche
optique
est séparée du noyau caudé par un sillon profond,
le. - Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, externe et interne de la couche
optique
. - NC, noyau caudé. - : \'C', queue du noyau ca
néo-limbique postérieur. - R, scissure de Rolande. Lits, radiations
optiques
de Gratiolet. - S (p), branche postérieure de la
du corps calleux. - - .xu, surface extra-ventriculairc de la couche
optique
. Sge, substance grise centrale. - SI, septum lu
térieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche
optique
. - Tp, circonvolution pariétale profonde. - tth
toutes dans les noyaux anté1'iew'(Na) et externe (Ne) de la couche
optique
, dans lesquels elles s'irradient. Le segment post
elient le troisième segment du noyau lenticulaire (nul;,) à la couche
optique
(Th), et des fibres coupées perpendiculairement
u pied du pédoncule cérébral. De la partie postérieure de la couche
optique
, partent des fibres horizontales, les radiations
t du noyau lenticulaire (NL=,NL3) et la partie moyenne de la couche
optique
(Th). Écorce. L'écorce diffère de celle de la c
le faisceau occipito-fiontal (Or). Noyaux opto-striés. - La couche
optique
(Th) est nettement délimitée en dehors par la z
egment rétro-lenticulaire (Cirl) de la cap- sule interne. La couche
optique
déborde en arrière le noyau lenticulaire (NL3, NL
ce au pédoncule thalamique postérieur, c'est-à-dire aux mdia- lions
optiques
de Graliulct (RTh) qui se portent dans la couche
culaire, dans toute l'étendue de la partie postérieure de la couche
optique
qui correspond il la corticalité de la région rét
o-insulaire ; il contient surtout, il cette hauteur, les radiations
optiques
de Gratiolet (l,Tli), et les fibres du faisceau
trou de Monro (NIo); elle intéresse la partie moyenne de la rouclie
optique
(Th), la région thalamique de la capsule interne,
p, sillon marginal postérieur. - Na, noyau ' antérieur de la couche
optique
. - NC, tète du noyau caudé NC', queue du noyau ca
u caudé NC', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche
optique
. - Ni, noyau interne de la couche optique. - 1'
noyau externe de la couche optique. - Ni, noyau interne de la couche
optique
. - 1'G, NG,, deuxième et troisième segments du
tion pariétale ascendante. l'a Th, pédoncule antérieur de la couche
optique
. - Pc, pli courbe. Plch, plexus choroïdes. - po,
o-limbique postérieur. - R, scissure de Rolande - 7fy/t, radiations
optiques
de Gratiolet. - S(p), branche postérieure de la s
du corps calleux. - Sexe, surface extra-ventriculaire de la couche
optique
. S,ge, substance grise sous-épendymaire de la cor
rieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche
optique
. - Tp, circonvolution temporale profonde. tp, sil
udé. - NC', queue du noyau chaude. - Ne, noyau externe de la couche
optique
. AIL3, iN'12, troisième et deuxième segments du n
r. - 7tfJip, pli pariétu-limhiquc postérieur. - / ! 77;, radiations
optiques
de Gratiolet. -S (pu), branche postérieure de la
u corps calleux. .S'e.Et', surface eztra-ventriculairc de la couche
optique
. -Sye, substance grise sous-épendçntaire de la
- lec, t.enia tecta. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Th, couche
optique
. - Tp. circon- volution temporale profonde. - l
r antérieur du trigone (Tga) et l'extrémité antérieure de la couche
optique
(Th). La corne occipitale (Voc) est limitée en
aversés par de nombreuses fibres blanches, qui se rendent à la couche
optique
en traversant le segment postérieur de la capsu
ersant le segment postérieur de la capsule interne (Cip). La couche
optique
(Th) est intéressée au niveau de sa partie moyenn
ulaire (Sexv), libre et recouverte par le stratum zonale. La couche
optique
est formée de deux noyaux, le noyau interne et le
aude. - NC , queue du noyau caudé. = Ne, noyau externe de la couche
optique
. - NL3, NL2, NL,, troisième, deuxième et premie
néo-limbique ? pli pariéto- limbique postérieur. - RT/¡, radiations
optiques
de Gratiolet. - S(p), S, (v), branches verti- c
trigone. - Tg,, trigone ou carrefour ventricu- laire. - Th, couche
optique
. - Tp, circonvolution temporale profonde. - fp, s
térieur de la capsule interne (Cip) et qui se dirigent vers la couche
optique
(Th). Dans la couche optique (Th) on reconnaît
Cip) et qui se dirigent vers la couche optique (Th). Dans la couche
optique
(Th) on reconnaît les noyaux externe (Ne) et inte
e ganglion de l'habénula (Gh), situé à la partie interne de la couche
optique
qu'il divise en deux parties. La partie antérie
ales qui se rendent toutes dans l'extrémité antérieure de la couche
optique
(Th). Il se compose en effet, presque exclusive-
rtico-thalamiques, et constitue le pédoncule antérieur de la couche
optique
(PaTh). Les préparations microscopiques de cette
ent en arrière et en dehors, entre le noyau lenticulaire et la couche
optique
(Th), et déborde le noyau lenticulaire en arriè
), en formant le pédoncule postérieur du thalamus ou les radiations
optiques
de Gratiolet (RTh). En pénétrant dans le pulvinar
es régions voisines et pénètrent dans le noyau externe de la couche
optique
(Ne), dont elles constituent les fibres radiair
postérieur de la capsule interne (Cip), et se rendent dans la couche
optique
(Th) et les noyaux de la région sous-thalamique
la commissure postérieure (cop), la partie inférieure de la couche
optique
(Th)et l'extrémité supérieure des tubercules qu
ée. - Lg, lobule lingual. Lme, lame médullaire externe de la couche
optique
. - lme, lame médullaire externe du noyau lenticul
du noyau lenticulaire. - Lmi, lame médullaire interne de la couche
optique
. - lmi, lame médullaire interne du noyau lentic
e du noyau caudé. - Ne, Ni, noyaux externe et interne de la- couchc
optique
. - J\'1 ? NL" .V ? VL ? troisième, deuxième et pr
limbique. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - S, scissure de Sylvius. - S(y),
a couche sagittale du lobe occipital, constituée par les radiations
optiques
de Gratiolet (RTh) en dedans et par le faisceau
internes du noyau lenticu- lairc leur coloration pâle. La couche
optique
(Th) est intéressée dans sa partie inférieure. La
oyau externe (Ne) reçoit en avant le pédoncule antérieur de la couche
optique
(PaTh) qui fait suite au segment antérieur de l
ce noyau externe. En arrière du pédoncule anté- rieur de la. couche
optique
, on trouve la section transversale du faisceau de
la section transversale du faisceau de Vicq d'Azyr (VA). La couche
optique
est réunie il celle du côté opposé par la commis-
pposé par la commis- sure postérieure (cop). La partie de la couche
optique
située en avant de la com- missure postérieure
eue du noyau caudé. .Ye, Ni, noyaux externe et interne de la couche
optique
. - Nez, NL" u'L,, ? troisième, deuxième et premie
culaire, - ce dernier étant dédouble. Nm, noyau médian de la couche
optique
(centre médian de Luys). - 0,, 0 ? première et de
Pul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - Sge, substance grise centrale.
antérieur du trigone.- 7'p, pilier postérieur du trigone. Th, couche
optique
. lit i-i, premier et deuxième sillons temporaux
(coa) et postérieure (cop), la partie supérieure de la région sous-
optique
de la capsule interne et la partie inférieure de
, comme sur les coupes précédentes,le tapetum (Tap), les radiations
optiques
de Gratiolet (RTh) et le faisceau longitudinal (F
L ? NL¡, NL¡')ne présentent rien de particulier il noter. La couche
optique
(Th) a diminué de volume : cette coupe correspo
ne (Ni), le noyau externe (Ne) et le pulvinar (Pul). Mais la couche
optique
présente en outre ici deux nouveaux noyaux profon
rne (Cirl). Au niveau du bord externe du pztlvizzar, les radiations
optiques
de Gratiolet (RTh) s'entre-croisent avec un sys
68 des lig. 217 et 218). Cette coupe passe au-dessous de la couche
optique
et de la corne frontale du ventricule latéral.
eau anté- rieur. - RC, radiations de la calotte. -- RTh, radiations
optiques
. SAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius.
le plus grand nombre le contourne en avant et en dedans. La couche
optique
a disparu, elle n'est plus représentée que par sa
au système visuel.- Cette coupe intéresse en effet la région sous-
optique
de Forel, qui représente une des régions les plus
daire de la capsule interne (Cirl) et en particulier les radiations
optiques
de Gratiolet (RTh). Le segment postérieur de la c
uche. Le faisceau postérieur appartient au système de la bandelette
optique
. Il con- tourne le segment postérieur de la cap
Cgi). Ces fibres, qui entrent dans la constitution de la bandelette
optique
, n'appartiennent pas au système visuel, mais bi
ssure décrite par Guddeu, commissure qui ac- compagne la bandelette
optique
jusqu'au chiasma et qui relie les deux cosys ge
pa) et le pied du pédoncule cérébral (P) au niveau de la bandelette
optique
(II). Écorce. - L'écorce de cette coupe ne diff
? 1). Le pied du pédoncule cérébral (P), embrassé par la bandelette
optique
(II) et le corps genouillé externe (Cge), comme
CERVEAU. 427 cèdent. En dehors du pédoncule on trouve la bandelette
optique
(II) qui s'irradie en arrière dans le corps gen
lignes 75 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe par la bandelette
optique
(II), le noyau amygdalicoa (NA) et la partie in
oyons. Il n'en est pas de même de la partie centrale. La bandelette
optique
(II) est ici sectionnée dans toute sa longueur;
d du pédoncule cérébral (P) est embrassé en avant par la bandelette
optique
(II) qui se continue en arrière avec le corps gen
e corps genouillé exterzte(Cge). l.aparlie moyenne de la bandelette
optique
est rétrécie, comme étranglée, et ce fait est imp
e des coupes horizontales, macro et microsco- piques, la bandelette
optique
présente cet aspect étranglé. L'étranglement tien
ibres sur leur axe. Dans toute sa moitié postérieure, la bandelette
optique
(II) s'applique contre le pied du pédoncule cércb
yr. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - II, bandelette
optique
. Ik28 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. ' en arri
sillon calloso- COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 429 bandelette
optique
(II), on trouve la couche grise de la substance p
la substance perforée anlé- rieure (Spa), séparée de la bandelette
optique
(II) par une rainure qui appartient à l'espace
e quadrijumeau antérieur. Rm, ruban de Reil médian. RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aquedu
corne sphénoïdale. - st, velum terminale d'.Eby. Il, ]¡Iln- dclette
optique
. - Il], faisceaux radiculaires de la troisième pa
ot, sillon collatéral. - arl, pli rétro-limbique. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. S(a), branche antérieure de la sc
n collatéral. - ol', incisure du sillon collatéral. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - S, vallée de Sylvius. - Ti, 7'a
e sillons temporaux. - Tga, pilier antérieur du trigone. Th, couche
optique
(thalamus). - U, circonvolution du crochet. - l
convolution du crochet. - l'l, ventricule latéral. - Il, bandelette
optique
. '450 . ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. apparaî
apparaît (coupe n° 63, fig. 245) l'extrémité antérieure de la couche
optique
(Th). Cette substance grise, qui recouvre la co
du globus pallidus, qui représente un ganglion analogue à la couche
optique
; il est séparé du putamen par la lame mé- dulla
upe n° 63 (fig. 245). La coupe passe au niveau du chiasma des nerfs
optiques
(II) et de l'extrémité antérieure dé la couche op
a des nerfs optiques (II) et de l'extrémité antérieure dé la couche
optique
(Th). Le noyau caudé (NC) est relié au noyau le
corps du tri- gone. Tga, pilier antérieur du trigone. - TIz, couche
optique
. - U, circonvolution du cro- chet. Vs, troisièm
Vs, troisième ventricule. - Vl, ventricule latéral. - II, bandelette
optique
. 452 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. insensible
de la capsule interne (Cia) ; en dedans, il est séparé de la couche
optique
(Th) par le genou de la capsule interne (Ci[g])
se terminent dans les régions inférieures et internes de la couche
optique
(Th). Ces fibres qui viennent en partie du segm
noïdale, constituent le pédoncule inférieur ou interne de la couche
optique
(PiTh). Entre le segment interne du globus pall
u globus pallidus (NL,) et le pédoncule inféro-interne de la couche
optique
(PiTh), on trouve un autre faisceau de fibres sec
partie la plus antérieure. Le pédoncule inféro-interze de la couche
optique
(PiTh) et l'anse du noyau lenticulaire (Al) son
(Te) et la substance per- forée antérieure, on trouve labandelette
optique
(II) enclavée dans la substance grise de la bas
236. La coupe n° 69 passe par le noyau antérieur (Na) de la couche
optique
(Th), la partie antérieure du pédoncule cérébra
rieure par le noyau caudé (NC ! et la partie attenante de la couche
optique
(Thi. Son bord externe est coiffé par la substa
une part au bord libre du trigone (Tg), et d'autre part a la couche
optique
(Th), en dedans de la veine du corps strié (Vcst)
l présente une face inférieure, plane, qui repose sur la bandelette
optique
(II), le noyau amygdalien (NA) et la commissure
) (fig. 217). Le sommet du globus pallidus repose sur la bandelette
optique
(II) qui se porte de plus en plus en dehors, a
amelle de substance blanche la sépare du globus pallidus. La couche
optique
(Th) est irrégulière; elle présente une face inte
érieure qui présente la saillie du tubercule antérieur de la couche
optique
(Na), et que l'insertion des plexus choroïdes (
- 7 ? trigone. - 7,qa, pilier antérieur du tri- gone. - Th, couche
optique
. - Tm, tubercule mamillaire. - Tp, circonvolution
incerta de Forel. - Zr, zone réticulée ou grillagée. Il, bandelette
optique
. 456 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. externe co
um. - Tg, trigone. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Th, couche
optique
. - Tm, tubercule mamillaire. - Tp, circonvolu-
. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - Il, bandelette
optique
. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 457 cher d
ransversales micl'oscopiques, fig. 286.) La face externe de la couche
optique
(Th) est en rapport avec le segment postérieur
au-dessus du corps de Luys (CL). Du noyau antérieur de la couche
optique
(Na) part un faisceau volumineux, le faisceau d
mamillaire (Tm) et se termine dans le noyau antérieur de la couche
optique
(Na). Ce faisceau fut décrit à tort sous le nom d
akow par l'étude des dégénérescences. Le noyau interne de la couche
optique
(Ni) est très peu accusé (fig. 248), il se conf
de la capsule interne (Cip) sépare le noyau caudé CSC) et la couche
optique
(Th) du noyau lenticulaire (NLa, 2' Il. Il se con
faisceau pyramidal. - R, scissure de Rolando. - /i77t, radia- tions
optiques
de Gratiolet. - S (p), branche postérieure de la
tapetum. - lLs, trou borgne supérieur. - Tg, trigone. - Tlt, couche
optique
. - Tp, circonvolution temporale profonde. - ltl
rconvolution du crochet. - VI, ventricule latéral. - II, bandelette
optique
. 460 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. par la lam
ans la partie moyenne du ventricule latéral, en dehors de la couche
optique
; une seconde fois, au niveau de sa queue (NC'),
noyau caudé (NC) est toujours située en dehors de la lion- delette
optique
(II), du corps genouillé externe (Cge) ou du pzz.
du noyau amygdalien. Au niveau du carre four ventriculaire, la couche
optique
et la queue du noyau caudé sont rapprochées l'u
rne sphénoïdale, le noyau caudé et le thalamus divergent; la couche
optique
, après avoir formé le pulvinar, se rétrécit et
partie inférieure au corps genouillé externe, puis il la bandelette
optique
qui se porte en avant et en dedans. La queue du
ar des îlots gris dissociés par les fibres de projection. La couche
optique
(Th) augmente de volume à mesure que le noyau leo
nia tlcalaoei (tth) (coupe n° 75 et 80, fig. ? .49. 251). La couche
optique
jTh) est divisée en deux noyaux, l'un interne (Ni
érieur de la capsule interne (Cip). La face supérieure de la couche
optique
présente sur cette coupe un mince noyau aplati,
piques hori- zontales (fig. 301.) et sagittales, t. IL) La couche
optique
repose sur la région sous-optique. Cette région i
sente de Rolando. - RC, radiations de la calotte. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. sec, sinus du corps calleux. - S'
oraux. - tec, tienia tecta. Tap, tapetum. - Tg, trigone. - Th, couche
optique
. - Tp, circonvolution temporale profonde. - U,
Zi, zona incerta. - Zr, zone réticulée ou grillagée. - Il, bandelette
optique
. 462 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. sur la f
et en dehors. Sa face supérieure, convexe, est séparée de la couche
optique
(Th) Fil;. 2 : -ij. - Coupe vertico-transversal
, scissure de Rolando RC, radiations de la calotte. - 77;, radiations
optiques
de Gratiolet. - S (p), branche postérieure de l
qui atteint en dedans la face libre de ce dernier. La région sous-
optique
n'est en effet pas autre chose que la continuatio
ncule cérébelleux moyen (Pcm). Arrivé à la hauteur de la bandelette
optique
(II), c'est-à-dire au niveau de la région sous-t/
sule interne (Cip) et sépare le noyau lenticulaire (NL3) de la couche
optique
(Th), du corps de Luys (CL) (coupe n° 75'(fig :
one. - Typ, pilier postérieur du trigone (Fimbri : v). - Th, couche
optique
. - Tp, circonvolution temporale profonde. - il/¡,
, zona incerta. - Zr, zone réticulée ou grillagée. - Il, bandelette
optique
. - Ill, fibres radiculaires de la troisième parti
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. (NL3), qui le sépare de la bandelette
optique
(II), de la lame cornée (le) et de la queue rec
férieur (Fli) et semble se confondre en arrière avec les radiations
optiques
de Gratiolet (RTh). En réalité ce faisceau vient
us (Aq), c'est-il- dire la surface exlra-veniriculaire de la couche
optique
et la région du pédoncule. Noyaux opto-striés.
scissure de Rolande. RC. radiations de la calotte. iî7'/i, radiations
optiques
de Gratiolet. - S(p). branche postérieure de la
- R, scissure de Rolando. - 11, ruban de Reil. - IiTh, radiations -
optiques
de Gratiolet. S (pu), branche postérieure de la
Tg, trigone. - 7·gl>, pilier postérieur du trigone. Th, couclie
optique
. Tp, circonvolution temporale pro- fonde. - VI,
et le noyau interne (Ni). Sur la coupe n° 83 (fig. 252), la couche
optique
(Th) repose sur la région de la calotte du pédo
4) il se présente comme un ganglion arrondi, enclavé dans la couche
optique
(Th), situé en dedans du corp genouillé externe
ement reconnaître ; il se trouve à la place occupée par la bandelette
optique
(II) sur les coupes précédentes. Il présente un
tions thalamiques qui abordent les parties inférieures de la couche
optique
, s'entre-croisent avec des fibres qui, venant d
ique, s'entre-croisent avec des fibres qui, venant de la bandelette
optique
, traversent le corps genouillé externe pour se
en bas avec les radiations COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 469
optiques
de Gratiolet (RTll) et le faisceau longitudinal S
, scissure de Rolando.. - RI, ruban de Rcil latéral. H771, radiations
optiques
de Gra- tiolet. - S(p), branche postérieure de
re de Sylvius. - Se.vv, surface extra-ventricu- l;tire de la couche
optique
. - Syc, substance grise sous-épendymaire. SR, sub
illons temporaux. Tap, tapetum. - tec, t¡cnia tecta. - T'li, couche
optique
. - Tg, trigone. - 1'l, ventricule latéral. - Vs
ar trois couches concentriques : le tapetum (Tap), les radia- lions
optiques
(RTh) et le faisceau longitudinal inférieur (Fli)
i recouvrent en arrière la surface extra-ventriculaire de la couche
optique
(Sexv). Écorce. - Le bord supérieur de l'hémi
li courbe. Pu/, pulvinar. - Il, scissure dcRotando.HT/t, radiations
optiques
de Gratiolet. sec, sinus du corps calleux. - Se
des. -Pul, pulvinar. - li, scissure de Rolando. - RTh, radia- tions
optiques
de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Se
urbe. pli rétro-limbique.- R, scissure de Rolando. R1·h, radiations
optiques
de Gratiolet. scc, sinus du corps calleux. Spl, s
ssent le carrefour ventriculaire et passent en arrière de la couche
optique
. Le noyau caudé est encore sectionné en deux en
c7,l, pli rétro-limbique. R, scissure de Rolando. -l ! Th, radiations
optiques
de Gratiolet. - Spl, splénium. - sec, sinus du
l, pli rétro-limbique. -li, scissure de Rolando.- li Th, radiations
optiques
de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - sp
la couche des fibres de projection du lobe occipital, ou radiations
optiques
de Gratiolet (RTh). Cette couche de fibres, pré-
iquc. - 1'1'C, précunéus. - pli rétro-limbiquc. - /i77t, radiations
optiques
de Gratiolet. sec, sinus du corps calleux. - sep,
r, sillon post-rolandiquc. nul, pli cunéo-limbique. RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - sep, scissure sous-pariétale.- 7
e. - PrC, précunéus. luel, pli cunéo-limloiquc. z litli, radiations
optiques
de Gratiolet. sp, scissure sous-pariétale. - T ?
po, scissure pariéto-occipitale. - PrC, précunéus. -RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - sP, scissure sous-pariétale. -
i- pitale. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 483 les radiations
optiques
de Gratiole (IlTli) en dedans et le faisceau long
cis- sure parito-occipitalc. - PI'C, précunéus. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - Tap, tapetum. t ? branche vertica
o, scissure pariéto-occipi- talc. - PrC, précunéus.-RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. S'ye, substance grise sons-epcndy
e son tronc, l'extrémité interne du corps strié (NC+NL3), la couche
optique
(Th), la région sous-optique (F, NR), le pied d
noyau caudé NC et du putamen NL3. Na, noyau antérieur de la couche
optique
. -Ni,'noyau interne de la couche optique. NL, ner
yau antérieur de la couche optique. -Ni,'noyau interne de la couche
optique
. NL, nerf de Lancisi. - Nil, noyau rouge. - Nt,
e. SR, substance réticulée. tec, ttenia tecta. Tg, triuryr ? cmyliy
optique
(thalamus.) Tm, tubercule mamillaire.- Uv, uvula
en bas avec le corps du trigone (Tg), qui s'applique sur la couche
optique
et donne insertion en avant aux plexus choroïdes
oïdes qui le séparent de la face extra-ven- triculaire de la couche
optique
(Pul); très irrégulier sur cette coupe, il fourni
ne entre le trigone et la surface extra- ventriculaire de la couche
optique
. Noyaux opto-striés et isthme de l'encéphale. -
re partie du plancher du ven- utricule latéral, on trouve la couche
optique
(Th) séparée du corps strié par le sillon, opto
s strié par le sillon, opto-strié (si). On reconnaît dans la couche
optique
(Th), le noyau antérieur (Na) et le noyau inter
e en pinceau et appartient au pédoncule inféro-interne de la couche
optique
(PiTh). Il ne vient pas des tubercules mamillaire
e sphénoïdal et passe au-dessous de la face inférieure de la couche
optique
(Th). Cette coupe ne l'intéresse donc que dans
donc que dans son segment vertical. La face supérieure de la couche
optique
(Th) est divisée en deux parties par l'in- sert
e. L'insertion des plexus 'choroïdes dans cette région de la couche
optique
a lieu de surprendre au premier abord. Il faut
e en arrière (coupes nos 5, 7 et 10, fig. 268, 269, 270). La couche
optique
repose sur la région sous-optique, constituée par
(NR) et le champ de Forel (F). En arrière et au-dessous de la couche
optique
on trouve les parties constituantes du cerveau
jumeaux (Qa, Qp) et la région de la calotte du pédoncule. La couche
optique
(Th) est séparée des tubercules quadrijumeaux (Qa
eau postérieur. Cet angle correspond il peu près il la région sous-
optique
, en particulier au noyau rouge (n) et ainsi s'exp
séparation du noyau caudé (21C) et du putamen (\L.,), vers la couche
optique
(Th) dans laquelle il s'irradie. Ce faisceau fa
ffet en dedans du genou de la capsule. (Voy. fig. 267.) La couche
optique
(Th) est séparée du noyau caudé (NC) par un sillo
inférieur et postérieur. Lmi, lame médullaire interne de la couche
optique
. Ln, locus niger. Lsa, lobe cérébelleux antérieur
remière circonvolution frontale. - Na, noyau antérieur de la couche
optique
. NC, noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couch
la couche optique. NC, noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche
optique
. - NF, noyau setrri-lunaire de Flechsig. Ni, no
NF, noyau setrri-lunaire de Flechsig. Ni, noyau interne de la couche
optique
. - NL3, pu- tamen. - Nm, noyau médian de la cou
a couche optique. - NL3, pu- tamen. - Nm, noyau médian de la couche
optique
. - NR, noyau rouge. - 0,, première circon- volu
transversalement, et qui soulève l'épendyme qui recouvre la couche
optique
, c'est la veine du corps strié (Vcst). Dans tou
agittales, l'insertion des plexus choroïdes (Pchl) divise la couche
optique
en deux parties : l'une intra, l'autre extra-venl
intra-ventriculaire, nous trouvons le noyau antérieur de la couche.
optique
(Na), qu'un dédoublement de slralum sonate (strz)
e) et interne (Ni). Au-dessous du noyau antérieur (Na) de la couche
optique
, nous trouvons, d'avant en arrière : le noyau ext
n de Luys (Nm) ou noyau médian du thalamus. Les noyaux de la couche
optique
reposent sur la région sous-optique. Celle-ci p
de COUPES MACROSCOPIQUES DU, CERVEAU. 40o Luys (CL) et la couche
optique
(Th) au niveau de son noyau externe (Ne). L'ist
ce compris entre la circonvolution de l'hippocampe (H) et la couche
optique
(Th), limité en haut par le trigone (Tg) et l'i
é au niveau de sa tète; on le voit s'effiler au-dessus de la couche
optique
(Th) pour former la queue du noyau caudé, séparée
ique (Th) pour former la queue du noyau caudé, séparée de la couche
optique
par le sillon opta-strié (si). Au-dessous du noya
ie des coupes horizontales) appar- tiennent au système de la couche
optique
; elles sont ici sectionnées très obli- quement,
ncés et qui se confondent avec le pédoncule antérieur de la conclu-
optique
(PaTh) de la coupe n° 7 (fig. 269). Dans le segme
; le sommet du globus pallidus est situé au-dessus de la bandelette
optique
(II) et de la substance grise de l'espace perfo
s rapports qu'affectent les noyaux opto-striés entre eux. La couche
optique
(Th) est située- en arrière du corps strié. Sur
le il reconnaitre grâce à la présence des fibres radiées. La couche
optique
repose sur le pied du pédoncule (P) dont elle e
presque complet, que le manteau cérébral décrit autour de la couche
optique
(Th) et du pédoncule cérébral. Cet anneau n'est
ampe (H) d'une part, le pied du pédoncule cérébral (P) et la couche
optique
(Th) d'autre part. Sur la coupe n° 17 (fig. 272
t pour la plupart. La queue du noyau caudé est séparée de la couche
optique
(Th) par une laine de fibres claires, qui appar-
lhalamique dont elles forment le pédoncule moyen (PThm). La couche
optique
(Th) est en outre par une couche de fibres blan
llon pre-rotan- dique supérieur. PThm, pédoncule moyen de la couche
optique
.Pi<<, pulvinar. w/, pli rétro-linibique.
rigone. TgYI, trigone du ventricule latéral. Th, thala- mus (couche
optique
). U, circonvolution du crochet. Voc, corne occipi
one de Wernickc. ;1', zone réticulée ou grillagée. - Il, bandelette
optique
. 502 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. (fig. 270)
adier sur la coupe suivante (fig. 372), les fibres de la bandelette
optique
. La bandelette optique (II) est ici très obliqu
ivante (fig. 372), les fibres de la bandelette optique. La bandelette
optique
(II) est ici très obliquement sectionnée, elle
entricule latéral, au niveau du seuil de l'insula, de la bandelette
optique
(II), du pulvinal' (Pul) et du segment postérie
qui livrent pas- sage aux artères lel1liculo-sll'iées. La couche
optique
est réduite au pulvinar (Pul). La bandelette opti
ées. La couche optique est réduite au pulvinar (Pul). La bandelette
optique
(II) est située sur le prolongement du segment
la capsule interne. Le sommet de l'éventail, répond à la bandelette
optique
(II) et sa base à la limite supérieure du noyau c
te du pédoncule* La seconde série de fibres appartient il la couche
optique
et constitue le pédoncule antérieur de la couch
la couche optique et constitue le pédoncule antérieur de la couche
optique
qui aborde le thalamus au niveau du genou de la
v : c\U¡li ? u latéral. - zr, zone réticulée ou grillagée. Il, nerf
optique
. j ! i ? ' 1 I \ k ! 1 I ? ... ? 506 ANATOM
rieur, - Pul, pulvinar. - 'It1'l, pli rétro-limbique. RTh, radiations
optiques
de Gra- tiolet. S, scissure de Sylvius. Ti, pre
porale et du lobule fusiforme. Tap, tapetum. - Th, thalamus (couche
optique
). Tgp, pilier postérieur du trigone. - TgVl, tri-
gone. - TgVl, tri- gone du ventricule latéral. Th, thalamus (couche
optique
). v, orifices vasculaires. Voc, corne occipital
icule latéral. 2 ? ', zone réticulée ou grillagée. - Il, bandelette
optique
. 508 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. FG. 274.
le de Bichat et toute la sur- face extra-ventriculaire de la couche
optique
. Écorce. L'écorce ne se distingue que par des d
é-rolandique inférieur. - R, scissure de Rolando. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - S, scissure de Sylvius. - Ti, 1'"
ère, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - Th, couche
optique
(thalamus). - t'l, partie verti- cale du sillon
four ventriculaire (NC'), on trouve le dernier vestige de la couche
optique
(Th) et le segment, rétro- lenticulaire de la c
olandique infé- rieur. - R, scissure de Rolande. RÏ7 : , radiations
optiques
de Gratiolet. - S, scissure de Syl- vins ? S(a)
nnante et du segment antérieur de la capsule interne dans la couche
optique
. La coupe D est intéressante au point de vue du
ment, mais obliques en avant et en bas, et parallèles à la bandelette
optique
(Voy. fig. de.repérage 315). Elles intéressent
e la capsule interne et s'épuisent pour la plu- part dans la couche
optique
, la région sous-optÙ/1/1 ? (corps de LI/Ys, noyau
circonvolution du crochet. VI, ventricule latéral. - Il, bandelette
optique
. : ! 34 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. suivent
imite le troisième ventricule, on trouve en dedans de la bandelette
optique
(II) la section de la commissure de Meynert (CM).
u lenticulaire (NL3, Nul=, NL,) l'extrémité antérieure de la couche
optique
(Th), l'anse du noyau len- ticulaire (Al), le g
antérieur, se trouve la section du pédoncule inférieur de la couche
optique
(PiTh), formé de fibres parallèles qui se por-
. Suivi sur des coupes sériées, le pédoncule inférieur de la couche
optique
se porte en dedans, au-dessous de l'extrémité a
porte en dedans, au-dessous de l'extrémité antérieure de la couche
optique
qu'il borde au niveau de sa face interne. Au-de
res, fortement colorés par l'hématoxyline et séparant la bandelette
optique
(II) de l'anse du noyau lenticulaire (Al). La s
réduite, elle recouvre en effet l'extrémité antérieure de la couche
optique
, repré- sentée seulement ici par le stmtum zona
a partie interne et supérieure forme le stmtllm zonale de la couche
optique
(strz); la partie moyenne forme un faisceau all
if JOlie (Tga) et qui constitue le pédoncule antérieur de la couche
optique
(PaTh). Le faisceau 1,x;[I'I'I/(', onduleux, be
, beaucoup moins volumineux que le pédoncule antérieur de la couche
optique
, est englobé dans le bord supérieur du segment in
nt du noyau lenticulaire. - R, scissure de Rolando. RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - scc, sinus du corps cal- leux.
Uenia tecta. Tga, pilier antérieur du trigone. Th, thalamus (couche
optique
;. U, circonvolution du cruche). VI, ventricule
et du faisceau uncinalus (Fu) par le pédoncule inférieur de la couche
optique
(PiTh), dont les fibres peuvent être suivies de
e du pied du pédoncule cérébral (P), la partie moyenne de la couche
optique
(Th) et intéresse la partie anté- rieure de la
e unique limi- tée en avant par le pédoncule inférieur de la couche
optique
(voy. coupe n° V, fig. 283) et en arrière par l
par une lame, médullaire wpplé- mentaire, repose sur la bandelette
optique
(II). Celle-ci affecte une surface de section l
corps de Luys (CL). L'intérêt de cette coupe réside dans la couche
optique
, la région sous-optique et le segment postérieu
optique et le segment postérieur de la capsule interne. La couche
optique
(Th) représente sur cette coupe un noyau volumi-
dymé ventriculaire et correspond au noyau externe (Ne) de la couche
optique
. Une couche épaisse de fibres qui cons- tituent
icztlo-caztdé. La partie interne de la face supérieure de la couche
optique
, comprise entre le sillon choroïdien et le tænia
, appar- tient il la surface e,L'ii'OE-ventl'iculail'e de la couche
optique
; elle correspond au noyau, antérieur du thalamu
ans un dédoublement du stratum zonale. La face interne de la couche
optique
répond à son noyau interne (Ni) et limite le tr
e une mince lame de substance grise, la zone réticulée de la couche
optique
ou zone grillagée d'Arnold ('l,r), riche en gros
u thalamus (Lme), qui la sépare du noyau externe. (Ne) de la couche
optique
. La face inférieure de la couche, optique est m
xterne. (Ne) de la couche optique. La face inférieure de la couche,
optique
est mal délimitée et repose sur la région sous-
la couche, optique est mal délimitée et repose sur la région sous-
optique
, représentée sur cette coupe par le champ de Forc
upe par le champ de Forci (F) et le corps de Luys (CL). La couche
optique
est formée de trois noyaux, présentant un aspect
postérieure. Ce sont les fibres du pédoncule antérieur de la couche
optique
qui, abordant la couche optique a son extrémité a
du pédoncule antérieur de la couche optique qui, abordant la couche
optique
a son extrémité antérieure, s'irradient dans to
, qui longe d'avant en arrière le bord corres- pondant de la couche
optique
; c'est le (oenia thalami (tth) qui se rend en ar
ntre la face interne et la surface exlra-venlriculaire de la couche
optique
. A la limite inférieure du noyau interne, au-de
déjà le locus niger (Ln) intéressé sur cette coupe. La région sous-
optique
comprend sur cette coupe un noyau gris, le corps
uxième sillons temporaux. Tap, tapetum tec, tæuia tecta. - Th, couche
optique
(thalamus). - Ilh, hcnia thalami. - U, circonvo
entricule latéral. ZI', zone réticulée ou grillagée. - II, bandelette
optique
. : ¡2 A\ : 1TOII1 DES CENTRES NERVEUX. zone i
la région de la calotte du pédoncule cérébral et il la région sous-
optique
et il est entouré d'une capsule de fibres netteme
Vicq d'Azyr (VA) qui relie le tubercule antérieur (Na) de la couche
optique
au tubercule mamillaire. Du champ de Forel (F)
soit le stratum zonale (strz), soit les fibres radiées de la couche
optique
. Les fibres du stratum zonale décrivent une gra
ent des régions plus inférieures du noyau externe (Ne) de la couche
optique
. A côté de ces fibres qui constituent la couron
amique de la capsule, où les dernières fibres radiées de la couche,
optique
affectent une direction paral- lèle aux fibres
en nombre, dans le ventricule sphénoïdal (Vsph), entre la bandelette
optique
et la couche des fibres du tapetum (Tap). Le
ticulaire de la capsule interne. Le noyau externe (Ne) de la couche
optique
(Th) est toujours caractéristique par les nombr
mes en effet ici assez éloignés du pédoncule antérieur de la couche
optique
. Le. [¡uuin thalami (tth) est très accusé. Le s
a de F.orel. Zr, zone retj ? ( ? )9\H1 gril- lagée. 77°, bandelette
optique
. 777, fibres radiculaires de la troisième paire,
ames médullaires du thalamus, soit dans le noyau externe de la couche
optique
Ne). En dehors, le noyau rouge est entouré par
um (Tap), on reconnaît la couche faiblement colorée des- radiations
optiques
de Graliolel (RTh) et la couche de fibres plus
ayonnante du lobe temporal (CRt), passer au-dessus de la bandelette
optique
(II) et aborder le pédoncule cérébral (P) COUPE
es I, II, III, IV, V. Elle intéresse la partie moyenne de la couche
optique
(Th), le noyau ronge (NR), et le pédoncule céré
lch) du ventricule latéral, qui s'insèrent d'autre part sur la couche
optique
(Th)au voisinage du sillon choroïdien. Sur cett
nsi que de l'étendue de la surface extra-venlriculaire de la couche
optique
, comprise entre le sillon choroïdien et le lænia
a. et d'autre part à la lame cornée (le) en dehors de la bandelette
optique
(II). La tète du noyau caudé (NC) ne présente r
l'abordent dans la région lhalamique. Les deux noyaux de la couche
optique
, le noyau externe (Ne) et le noyau in- terne (N
cusée. Au niveau de la surface 1',rtm-velltl'iculaÎl'e de la couche
optique
, on retrouve encore le noyau antérieur (Na), co
compris dans un dédoublement du stratum zonale (strz)'. La couche
optique
(Th) repose sur la région sous-optique, en partic
s de la calotte (HC), qui pénètrent en grande partie dans la couche
optique
dans un plan situé un peu en arrière de celui d
aisceaux radiculaires de la troisième paire. - {7'/<, radiations
optiques
de Gratiolct. - sec, sinus du corps calleux. -
tecta. 1'g, trigone. : Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, coupe
optique
(thalamus). - Ith, uenia thalamii. - Tp, circon
ventricule latéral. - Zr, zone réticulée ou grillagée. Il, bandelette
optique
. III, troisième paire. 50 0 ANATOMIE DES CENT
de la couronne rayonnante (pCR) qui se rendent, soit dans la couche
optique
(Th) dont elles for- ment les fibres radiaires,
de la lame cornée (tænia senai-circularis) (le) et de la bandelette
optique
(II). A ces fibres se joignent un certain nombr
capsule interne et se rendent il la partie inférieure de la couche
optique
. Les fibres du faisceau de 7'M/'c/- (FT) se por
re de la capsule interne (Cirl), la partie postérieure de la couche
optique
(Th), la coiii- missure postérieure (cop) et le
) et de la queue (NC) du noyau caudé, puis pénètrent dans la couche
optique
(Th) dont elles forment les fibres radiées. Cel
er»e (Cge), puis s'irradient dans la partie inférieure de la couche
optique
et dans le corps genouillé interne (Cgi). Ces f
mbre de fibres qui se dirigent de dehors en dedans, du il la couche
optique
dans laquelle elles s'irradient pour formel- le
en effet du lobe occipito-te/IJ}io- ml, constituent les radiations
optiques
de Graliolel (RTh) et sont sectionnées ici au n
ue du noyau caudé. - Ne, Ni, noyaux externe et interne de la couche
optique
. NU, troisième segment du noyau lenticu- laire
faisceau pyramidal. - /in : , ruban de Reil médian. RTla, radiations
optiques
de Gratio- let. - RTh(PpTh), radiations thalami
tecta. - l'gpt, pilier postérieur du triâonc. - T/a, thalamus (couche
optique
). VI, ventricule latéral. - Vsph, corne sphénoï
e) et la partie recourbée de la queue du noyau caudé (NC, La couche
optique
(Th), considérablement diminuée de volume, est su
tre- croisent avec les fibres du pédoncule postérieur de la couche,
optique
(PpTh). Toutes les fibres du corps genouillé ex
genouillé interne (Cgi), situé il la partie inférieure de la couche
optique
et qui envoie de nombreuses libres dans le ruba
peu colorées par l'hématoxyline et qui appartiennent aux radiations
optiques
de Gmliold (RTh). Très nettement accusées au ni
érieure du diveriiculc du subiculum (ds), les libres des radiations
optiques
se réfléchissent comme les fibres du tapetum (Tap
tro-lenticulaire de la capsule interne et se rendent dans la couche
optique
(pulvinar) et dans le corps genouillé externe d
rment la couronne rayonnante. En dehors des radiations de la couche
optique
(RTh), se trouve une couche de libres épaisses,
cunéo-lingual du fond de la. scissure calcarine. RTh, radia- tions
optiques
de Gratiolet. strK, stratum calcarinum de Sachs.-
stérieure de la corne d'Ammon (CA), le tiers supérieur de la couche
optique
(Th), le putamen (NL3) et le segment externe du
nesse et la faible coloration de ses fibres. Ce sont les radiations
optiques
de Gratiolet (RTh); comme les libres précédentes,
I il la queue du noyau caudé (NC'), puis s'irradient dans la couche
optique
(Th) dont elles concou- rent à former les fibre
isceaux ondulés et fortement colorés qui s'irradient dans la couche
optique
. L'origine de ces faisceaux n'est pas élucidée. R
r le segment rétro- lenticulaire de la capsule interne et la couche
optique
? Appartiennent-ils, comme l'admettent la major
nal inférieur dont quel- ques fibres s'irradieraient dans la couche
optique
? L'étude systématique de dégé- nérescences sec
: jo, sillon marginal postérieur. -.Va, noyau antérieur de la couche
optique
.. - NC, noyau caudé. - v'C', queue du noyau cau
caudé. - v'C', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche
optique
. - 1 NL3, deuxième et troisième segments du noy
u ventricule latéral. 7tcl, pli cunéo-limbique. - /f ! 71, radiations
optiques
de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. Se
us du corps calleux. Sexv, surface cxtra-veniriculaire de la couche
optique
. - Sge, substance grise sous-épendymaire de la co
érieur du trigone.- Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche
optique
(thalamus). tlh, tænia thalami. - V, ruban de Vic
du trigone, située entre la corne d' si m11 ! on (CA) et la couche
optique
(Th). La fimbria donne insertion aux plexus choro
avec le bras du tubercule quadrijumeau postérieur. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. SgAr/, substance grise de l'aqued
genouillé externe qui entrent dans la constitution de la bandelette
optique
et forment le champ de Wernicke (W). Quant au f
du noyau lenticulaire (NL3' NL2), et la partie moyenne de la couche
optique
(Th). Cette coupe est destinée à montrer la faç
-Il former, puis s'irradient dans l'extrémité antérieure de la couche
optique
(Th). Ces fibres de la couronne rayonnante (CR)
de de pénétration des fibres dans l'extrémité antérieure de la couche
optique
explique pourquoi, sur les coupes verlico-trans
on sus-orhitaire. - T,, première circonvolution temporale. Th, couche
optique
. - Tga, pilier antérieur du trigone. tth, toeni
la circonvolution de l'hippocampe (U). Elle intéresse la bandelette
optique
(II), le corps genouillé externe (Cge) le noyau r
ise du tuber cinereum (Te), on trouve en arrière de la ban- delette
optique
(II) la commissure de Meynert (CM) et en avant du
r le ventricule latéral (VI) et l'extrémité supérieure de la couche
optique
(Th.) L'écorce est représentée -IL la face exte
erne. Entre la tête et la queue du noyau caudé, on trouve la couche
optique
(Th) dont les dimensions sont encore réduites;
soit d'avant en arrière et constitue le stratum zonale de la couche
optique
(ThLa couche optique est limitée en dehors par de
re et constitue le stratum zonale de la couche optique (ThLa couche
optique
est limitée en dehors par des îlots de substanc
utres par de gros fascicules de fibres qui pénètrent dans la couche
optique
(Th), où ils forment soit le stratum zonale (st
es, on les voit s'irradier dans l'extrémité antérieure de la couche
optique
(Th) (fig. 30.1 il 308). A coté de ces fibres t
r), sous forme de gros fascicules qui pénètrent tous dans la couche
optique
(Th) ; ces fibres appartiennent à la couronne ray
h) ; ces fibres appartiennent à la couronne rayonnante de la couche
optique
. On y trouve, en outre, des fibres pâles, peu col
nne rayonnante. - RCc, radiations du corps calleux. RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. -
, passant par la lame cornée (le). Au sur et à mesure que la couche
optique
(Th) grossit et que le noyau lenticulaire se dé
si qu'on le verra sur les coupes suivantes. En arrière de la couche
optique
(Th), au niveau de la queue du noyau caudé (NC'),
rtiennent au système de projection cortico-lhalamique ou radiations
optiques
de Gratiolet (IITII). Elles représentent par co
rieure du noyau lenticulaire (NL3), le noyau antérieur de la couche
optique
(Na), le corps du trigone (Tg), le septum lucid
ia semi- circularis. - Lma, lame médullaire antérieure de la couche
optique
. Line, lame médullaire externe de la couche opt
re de la couche optique. Line, lame médullaire externe de la couche
optique
. - mp, sillon marginal postérieur. - ms, sillon m
e la couronne rayonnante. Plch, plexus choroïdes. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - Sexv, surface extra- vcntricula
a-nmrginalis). - Tch, toile choroïdienne. - Tg, trigone. - Th, couche
optique
(thalamus).W, ventricule latéral. - ventricule
e il la toile choroidienne (Tch) (Voy. fig. 21 ? et 286). La couche
optique
(Th) a augmenté de volume : la coupe intéresse so
rière il s'effile et atteint l'extré- mité postérieure de la couche
optique
. Il est limité en dedans par une couche de fibr
la zone réticulée (Zr) qui constitue la limite externe de la couche
optique
, par la lame médullaire externe du thalamus (Lme)
terne (Cia) et s'irradient dans l'extrémité antérieure de la couche
optique
, dont elles forment les fibres radiées. Les pos
occipito-li'lil11al (OF). En arrière, elle est séparée de la couche
optique
par la lame cornée (lc), qui renferme un certai
une seconde fois, au niveau de l'extrémité postérieure de la couche
optique
, immédiatement en avant de la queue du noyau ca
ment. La plupart pénètrent dans l'extrémité antérieure de la couche
optique
(Th), quelques-unes appartiennent aux fibres le
res horizontales, qui pénètrent dans la partie moyenne de la couche
optique
(Th), et d'autres fibres, horizontales égalemen
igure 299. Cette coupe passe par la partie postérieure de la couche
optique
(Th), intéresse le noyau caudé (NC) et le trois
nia semi-circularis. - Lma, lame médullaire antérieure de la couche
optique
. Lme, lame médullaire externe de la couche optiqu
ieure de la couche optique. Lme, lame médullaire externe de la couche
optique
. mp, sillon marginal postérieur. Na, noyau anté
segment du noyau lenticulaire. PaTh, pédoncule antérieur de la couche
optique
. pCR, pied de la couronne rayonnante. Plch, ple
Plch, plexus choroïdes. -l'pTla, pédoncule postérieur do la couche
optique
. RTh, radiations optiques de Gratiolet. - si, sil
-l'pTla, pédoncule postérieur do la couche optique. RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - si, sillon opto-strié. strz, st
on temporal. Tg V, carrefour ventriculaire. Tg, trigone. - Th, couche
optique
. VC) ? veine du corps strié. - Zr, zone réticul
res à direc- tion horizontale, étendus du putamen (NL) il la couche
optique
(Th). Ces fibres sont surtout nombreuses au niv
énètrent pour la plupart dans l'extrél mité antérieure de la couche
optique
(Th, et les fibres du segment postérieur (Cip)
tournent la queue du noyau caudé (NC'), et pénètrent dans la couche
optique
(Th), dont elles forment les fibres radiées les
pe intéresse les noyaux externe (Ne) et antérieur (Na) de la couche
optique
(Th). Cette dernière est limitée en dehors par un
morcelée par un grand nombre de fibres qui pénètrent dans la couche
optique
, au niveau de ses extrémités antérieure et postér
x de fibres, non seulement horizontales et pénétrant dans la couche
optique
, mais de faisceaux il direction verticale, et qui
e fibre radiai re ne paraît pénétrer dans cette région de la couche
optique
. Il serait cependant inexact de dire, que la fa
au niveau des extrémités antérieures et posté- rieures de la couche
optique
. En avant, la lame médullaire n,.xUnrue(Lme)se
re n,.xUnrue(Lme)se prolonge sur la face ventriculaire de la couche
optique
et concourt à former le slratum zonale (strz). En
me de libres blanches, qui recouvre la face supérieure de la couche
optique
, et qui contribue à lui donner à l'état frais sa
nale (strz) un petit noyau arrondi, le noyau antérieur de la couche
optique
(Na). Ce noyau qui fait saillie sur le plancher
dont la face infé- rieure est enclavée profondément dans la"couclw
optique
(voy. coupen°7, fig. 306), se prolonge en arriè
per- pendiculairement ; il forme la plus grande partie de la couche
optique
et reçoit, en avant et en arrière, les fibres r
s des pédoncules antérieur (PaTh) et postérieur (PpTh) de la couche
optique
. Dans le sillon opto-strié (si), qui sépare la
ouche optique. Dans le sillon opto-strié (si), qui sépare la couche
optique
de la tête (NC) et de la queue (NC) du noyau ca
t s'arrête en avant au niveau du stratum zonale (strz) de la couche
optique
. Dans le carrefour vent riculaire (TgV), l'épendy
e cornée (le), puis se réfléchit sur le stratum zonale de la couche
optique
, pour donner insertion aux plexus choroïdes du ve
du noyau len- ticulaire (NL2, NL), le noyau antérieur de la couche
optique
(Na) et le pé- doncule antérieur de la glande p
r axe, et pénètrent toutes dans l'extrémité antérieure de la couche
optique
(Th); elles en forment le pédoncule antérieur (Pa
ne, puis divergent et embrassent le noyau antérieur (Na) de la couche
optique
; les plus internes se confondent avec le sli'at
u genou est formée de libres horizontales et appartient a la couche
optique
; toute la partie (Cip) étendue du genou au segm
ou au segment rétro-lenticulaire de la capsule appartient à la couche
optique
, à la région sous-optique et au pied du pédoncu
(Cirl) appartient de nouveau et presque exclusi- vement à la couche
optique
. Le segment postérieur de la capsule (Cip) est
ndent du deuxième segment du noyau len- ticulaire (NL,) à la couche
optique
(Th); peu nombreuses dans le tiers antérieur du
yau lenticulaire (mi). Ces fibres se dirigent toutes vers la couche
optique
(Th), elles traversent la zone réticulée (Zr) et
n marginal postérieur de l'insula. Na, noyau antérieur de la couche
optique
. JVC, tête du noyau caudé. NC', queue du noyau
au caudé. NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau externe de la couche
optique
. Ni, noyau interne de la couche optique. Aïs, d
noyau externe de la couche optique. Ni, noyau interne de la couche
optique
. Aïs, deuxième segment du noyau lenticulaire. N
ment du noyau lenticulaire (putamen). Nm, noyau médian de la couche
optique
(centre médian de Luys). PaTh, pédoncule antérieu
tique (centre médian de Luys). PaTh, pédoncule antérieur de la couche
optique
. pCR, pied de la couronne rayonnante. Pul, p'ul
CR, pied de la couronne rayonnante. Pul, p'ulvinar. - RTh, radiations
optiques
de Gratio- let. si. sillon opto-strié. SI, sept
on opto-strié. SI, septum lucidum. strz, stratum zonale. Th, couche
optique
. ï't, première circonvolution temporale. ti, prem
cornée (le), puis pénètrent dans la partie postérieure de la couche
optique
, dans toute la région qui appartient au pulvina
de la capside interne. 2° Les radiations thalamiques ou radiations
optiques
de Gratiolet (RTh) sont formées par de gros fas
e gros fascicules, et pénètrent dans le pulvinar (Pul) de la couche
optique
dont elles constituent les fibres radiaires. Aprè
médullaire externe (Lme) des régions post(ro-externes de la couche
optique
, en bas il s'élargit, s'épaissit considérableme
osté- COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 5fl9 rieures de la couche
optique
(RTh) et dans la région sous-thallimique aux radi
u corps genouillé externe et font suite au système de la bandelette
optique
(II). Ces libres s'épui- sent peu à peu dans le
ou moins rapprochées. Sur cette coupe n° 7 (fig. 306), la couche
optique
(Th) a considérablement augmenté de volume; ell
ême système; le slratum zonale de la face postérieure de la, couche
optique
est formé, comme sur la coupe précédente (fin. 30
RTh); les fibres qui recouvrent l'extrémité antérieure de la couche
optique
constituent un faisceau volumineux, épais, à di
ou pédoncule antérieur de la glande pinéale). En dehors, la couche
optique
est limitée par la zone réticulée (Zr) qui a aug-
d'un pointillé ; au niveau de l'extrémité postérieure de la couche
optique
, c'est-il-dire au niveau de la zone de Wernicke
yau externe du thalamus (Ne). Le pédoncule antérieur de la couche
optique
(PaTh), qui entre dans la constitu- tion des fi
aires de l'extrémité antérieure du thalamus, pénètre dans la couche
optique
sous forme d'un pinceau, dont les fibres embrasse
croisé parles fibres radiaires du pédoncule antérieur de la couche
optique
(PaTh). Le noyau antérieur (Na), a considérable
ndant quelques fibres radiaires du pédoncule antérieur de la couche
optique
(PaTh). En arrière, ce noyau se continue avec le
ions principales portent sur le noyau lenticulaire et sur la couche
optique
. Le pulamen (NL.,) a peu changé comme forme, il s
pCR, pied de la couronne rayonnante. Pul, pulvinar. RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. Sexv, surface extra-vontriculàire d
tiques de Gratiolet. Sexv, surface extra-vontriculàire de la couche
optique
. si, sillon opto-strié. - strz, stratum-zonale. -
rigone. Tgp(Fi), pilier postérieur du trigone (fimbria). Th, couche
optique
(thalamus). TItI, trou de Monro. tlh, taenia thal
eur (Cia) s'irradient toutes dans l'extrémité antérieure de la couche
optique
(Th) dont elles constituent le pédoncule (ultér
nt du noyau lenticulaire (N1) à l'extrémité antérieure de la couche
optique
(Th). Les fibres du genou s'infléchissent donc
t donc en avant, et s'accolent au pédoncule antérieur de la couche,
optique
ou seg- ment antérieur de la capsule interne (C
nt par le Weigert ou le Pal. A la partie pos- térieure de la couché
optique
(Th), entre le pulvinar (Pul) et la queue du noya
t le fond du sillon. ' 604 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Couche
optique
(Th). Le noyau antérieur de la couche optique a d
NTRES NERVEUX. Couche optique (Th). Le noyau antérieur de la couche
optique
a disparu, et l'extrémité antérieure de cette d
radiaires, qui lui viennent du 1)(.,doîicule antérieur de la couche
optique
ou segment antérieur de la capsule, interne (Ci
une forme sphérique. Il occupe les parties inférieures de la couche
optique
(Th) et se trouve situé immédiatement au-dessus d
olume. 11 représente sur cette coupe à peu près le tiers de la couche
optique
, il est séparé du centre médian de Luys (Nm) et
n petit ganglion surajouté, saillant à la face interne de la couche
optique
, le ganglion de l'lw/ilillllla (Gh). Ce ganglio
a et c.rtm- ventriculaire du thalamus. Toute la partie de la couche
optique
située en avant de ce ganglion fait partie de l
308), passe en effet par le trou de J/01/l'o. La partie de la couche
optique
située en arrière du ganglion de l'habénula app
l'habénula appartient à la surface extra-ventriculaire de la couche
optique
, elle est recouverte par la toile choroïdienne et
ant par la ligne 9 de la fig. 299). Cette coupe intéresse la couche
optique
à la limite de la région sous- thalamique de Fo
Ci[g]), et qui s'irradient dans l'extrémité antérieure de la couche
optique
(Th). Les fibres horizontales de la lame médullai
pallidus (NL2, NI,, Le ganglion de l'habénula (Gh) divise la couche
optique
(Th) en deux par. lies inégales. La partie anté
antérieur. rgRm, région du ruban de Reil médian. RTh· radia- tions
optiques
de Gratiolel. - Sexv, surface extra-vcntriculaire
térieur du trigone. Tgp, pilier pos- térieur du trigone. Th, couche
optique
. V3, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vi
ibres antérieures appartiennent au pédoncule antérieur de la couche
optique
(PaTh). Les fibres postérieures séparent le noyau
eau, qui apparaît ici pour la première fois, et qui relie la couche
optique
(Th) avec la région de la Cll- lotte. Ce faisce
avant quelques fibres radiaires du pédoncule antérieur de la couche
optique
(PaTh); en arrière, il se confond avec le centr
de Meynert (FM) (fasciculus retroflexus). La partie de la couche
optique
située en arrière An ganglion de l'habénula (Gh)
llongé, volumineux, curviligne, profondément enclavé dans la couche
optique
, et nettement séparé du pulvinar par le bras du
te coupe n" 9 (fig. 308) nous voyons donc apparaître dans la couche
optique
trois nouveaux systèmes de fibres à savoir : 1°
an de. lleil (rgRm), qui apparaît à la face inférieure de la couche
optique
, entre le corps genouillé interne (Cgi) et le c
ibres sectionnées horizontalement, qui s'ir- radient dans la couche
optique
. A sa partie externe, il présente, au niveau de l
ection horizontale, reliant le globus pallidus (NL2,NL¡) il la couche
optique
. Notons cependant déjà ici une richesse plus gr
le, des fibres des couches sagittales du lobe occipital (radiations
optiques
postérieures ou de Graliolel et faisceau longit
de la cap- sule interne aborder l'extrémité antérieure de la couche
optique
(Th); sur les coupes suivantes, la couche optiq
eure de la couche optique (Th); sur les coupes suivantes, la couche
optique
a disparu, et le segment antérieur de la capsule
le rolandique est située plus bas (J. Dejerine). . Les radiations
optiques
postérieures ou de Gratiolet (RTh) abordent le se
u sur et à mesure que le corps genouillé externe grandit. La couche
optique
(Th) n'est représentée ici que par sa partie anté
érieure dans laquelle s'irradie le pédoncule antérieur de la couche
optique
(PaTh). En ar- rière, elle est réduite à un pet
postérieur, est séparé en avant du pédoncule antérieur de la couche
optique
(Path) par le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), en
s médullaires, lme', lmi'. PaTh, pédoncule anté- rieur de la couche
optique
. pCR, pied de la couronne rayonnante. PiTh. pédon
d de la couronne rayonnante. PiTh. pédoncule inférieur de la couche
optique
. Plch, plexus choroïdes. Pul, pulvinar. Qa, tuber
antérieur. rglim. région du ruban de Reil ntdiau. - R1·h· raclialinns
optiques
de Gratiolet. Sgc, substance grise centrale. SI
eure (coa) et qui appartiennent au pédoncule antérieur de la couche
optique
. Ce système de fibres qui sépare, fort incomplè
ig. 311, 3)3), mais il a perdu alors toute connexion avec la couche
optique
, et les fibres qui le constituent ne dépassent
et en arrière, et attei- gnent l'extrémité antérieure de la couche
optique
, au niveau de la région sous- thalamique. Le
ied de la couronne rayonnante. PiTh, pédoncule inférieur de la couche
optique
. - l'ul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau a
diations de la calotte. Rm, ruban de Reil médian. lIT/¡, radiations
optiques
de Gratiolet. Sge, substance grise sous-epcndymai
l. 1\', zone de Wernicke. Zi, zona incerta de Forel. Il, bandelette
optique
. 616 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. de la caps
sur les coupes suivantes. Il est toujours formé par les radiations
optiques
postérieures ou de Grafiolet(RTb), limitées en
seHM-c ? cM- laris situées dans la lame cornée (le). Les radiations
optiques
forment ici, comme précédemment, la zone de Wer
du noyau rouge (RC) et par l'extrémité postérieure de la bandelette
optique
(II). L'avant-mur (AM) s'est étalé et élargi. D
les peu nombreux, appartenant au pédoncule anté- rieur de la couche
optique
(Cia), l'autre postérieure, comprise entre elle e
aire (N'L2), et par l'intermédiaire de ce dernier, avec la bandelette
optique
(II) et la commissure de Meynert (CM). Sur les
ée de Reichert (Sti), déjà visible ici où elle limite la bandelette
optique
(II) en dehors et forme la voûte de la partie a
ui croise salace supérieure, et elle limite en dehors la bandelette
optique
(Il) et la commissure de Meynert (CM). Le seg
du faisceau de l'iil'ck (FT) par toute l'épaisseur de la bandelette
optique
(II), est situé ronne rayonnante. PiTIi. pédonc
est situé ronne rayonnante. PiTIi. pédoncule inférieur de la couche
optique
. Qa, tubercule qua- drijumeau antérieur. RC, ra
- drijumeau antérieur. RC, radiations de la calotte RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. S,gc, substance grise centrale. S
le du ventricule latéral. 171, ven- tricule latéral. 11, bandelette
optique
. 620 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. plus en ar
sceau de Tùrck (FT) dont elles sont séparées sur cette coupe par la
optique
(II). Le premier segment du noyau lenticulaire
médullaire interne du noyau lenticulaire (lmi) et que la bandelette
optique
(II), fibres qui s'étendent entre ces deux orga
urface extérieure du cer- veau. Il donne naissance il la bandelette
optique
(II), qui se porte en avant et un peu en dedans
s parts, soit par le corps genouillé externe (Cge) et la bandelette
optique
(II), soit par la com- missure de Meynert (CM)
res, le corps ge- ilouillé externe (Cge) disparaîtra, la bandelette
optique
(II) deviendra libre et sé- parera le pédoncule
le pied du pédoncule cérébral proprement dit (P), que la bandelette
optique
(II) sépare de plus en plus de la base du cerve
atiolet et en particulier au pédoncule infél'o-interne de la couche
optique
(PiTh). En avant, la tète -Au noyau caudé (NC) es
ed du pédoncule cr·rz·Gral (l'); il en est séparé par la bandelette
optique
(II), lasuústance innominée de Reichert (Sti) et
s un angle très aigu, avec le pédoncule inféro-inlerne de la couche
optique
(PiTh); antérieur. Rm, ruban de Reil médian. RT
ptique (PiTh); antérieur. Rm, ruban de Reil médian. RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. '1</, substance grise de l'aqu
latéral. Vsph, corne splrénoïdale du ventricule latéral. ? bandelette
optique
. 624 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. quelques f
mité en dehors au niveau de sa partie postérieure par la bandelette
optique
(II) bifide en arrière, et dont la corne extern
ps genouillé, externe (Cge). A sa partie postérieure, la bandelette
optique
est libre, elle n'est retenue que par des adhéren
ibres, qui appartien- nent au pédoncule inféro-interne de la couche
optique
(PiTh) proviennent du lobe temporal, et s'entre
r#'.f\'ties morcelée^rie l'avant-mur (AM), puis entre la bandelette
optique
(II) et 1 exlr ? d : nti6 ? tré'dtt corps strié (
, en s'entre-croisant avec le pédoncule inféro-interne de la couche
optique
(Pith). Elles appartiennent aux couches superfi
olorées par la méthode de Weigert. Dans cette région, la bandelette
optique
(II) adhère encore il la substance inno- minée
du bec du corps calleux. Rm, ruban de Reil médian. RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc
faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphé- noïdalc. Il, bandelette
optique
. 628 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Sur les co
ntrer dans la constitution du pédoncule inféro-interne de la couche
optique
(PiTh). Ces fibres des radiations optiques (RTh
féro-interne de la couche optique (PiTh). Ces fibres des radiations
optiques
(RTh) sont recouvertes par le faisceau longitud
nières se distinguent cependant nettement des libres des radiations
optiques
(RTh), par ce fait qu'elles sont plus grosses et
le quadrijumeau postérieur. Rm, ruban de Reil médian. RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aquedu
d'Azyr. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Il, bandelette
optique
. 630 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. gentielles
et la partie supérieure du tubercule mamillaire. Lalillllrlell'tle
optique
(II) et la commissure de Meynert (CM) se sont por
E INTERNE ET DE LA REGION SOUS-OPTIQUE PARALLÈLES A LA BANDELETTE
OPTIQUE
. Les 13 coupes suivantes font partie d'une séri
avant (voy. fig. de repérage 315) et parallèles il ? la bandelette
optique
. Sur ces coupes, prati- quées de haut en bas et
ême série. Il résulte de l'obliquité même de la coupe que la couche
optique
(Th) est moins étendue que sur les coupes de la s
du ventricule latéral. Les noyaux in- terne et externe de la couche
optique
(Ni) (Ne) sont nettement différenciés; on voit
e (Ne) avec le pulvinar (Pul). Toute la partie externe de la couche
optique
(Th) est sillonnée par des fibres radiaires, épai
. Celui-ci reçoit, en avant, Ie/)0)ic'M<c antérieur de la couche
optique
(PaTh), qui ne se différencie guère au niveau de
tth), appartient il la surface v.rlra-ucrriricu- faire de la couche
optique
(Sexv), recouverte au niveau du pulvinar par un s
oncule antérieur du thalamus. - l'ul, pulvinar. - RTh, radia- tions
optiques
de Gratiolet. - Sexv, surface cxtra-ventriculaire
on temporale. Tga pilier antérieur du trigone. Th, thalamus (couche
optique
). Ilh, twnia thalami. ! '3, troisième ventricule.
oyau lenticulaire (NL : pNL2-2,NL¡) et qui pénètrent dans la couche
optique
dont elles constituent le pédoncule rttrlrrieua(P
pédoncule inférieur du thalamus. - l'ul, pulvinar. 7f7'/i, radiations
optiques
de Gratiolet. Sexv, surface extra-ventriculaire
onvolution temporale. Tga, pilier antérieur du trigone. Tlt, couche
optique
(thalamus). llh, trenia thalami. Pa, troisième ve
ibres horizontales appartenant au pédoncule antérieure de la couche
optique
(PaTh), et qui sillonnent l'extrémité antérieure
situé entre les parties extra et intm-vent1'iculaÍl'es de la couche
optique
. A sa partie postéro-interne se trouve la secti
(V3) se trouve la section du pédoncule inféro-interne de, la couche
optique
(PiTh) et Au pilier anté- rieur du tr°ionn.'('l
ticulaire (NL2), assez en dehors duo·doncule antérieur de la couche
optique
(PaTh). Coupe n° 3 x (fib. 318), passant par la
alamus. Ptï7 ! . pédoncule inférieur du thalamus. 7}77t, radiations
optiques
de Gratiolet. Sexv, surface cstra-vcntri- culai
atum zonale. Tga, pilier antérieur du trigone. Th, thalamus (couche
optique
). VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - i'3, troisième v
faisceau est traversée par le pédoncule inféro-interne de la couche
optique
(PiTh), qui croise également le faisceau thalamiq
du thalamus. Pul, pulvinar. 1']J, recessus pinealis. RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. Sexv, surface extra-ventriculaire
ent par la zona incerta (Zi) il l'extrémité antérieure de la couche
optique
(Th) dans un champ irrégulier de fibres, le champ
Forel, nous trouvons le pr·donccclcit7 fi·ro-iztter·nc de la couche
optique
(PiTh) et le faisceau de Vicq d'Azyr (VA). Ce d
radiations de la calotte. rp, recessus pinealis. RTh, ra- diations
optiques
de Gratiolet. Sex», surface extra-ventriculaire d
trz, stratum zonale. Tga, pilier antérieur du tri- gone. Th, couche
optique
. Tznl, tubercule mamillaire latéral. VA, faisceau
e par la commissure de (CM) et par quelques fibres de la bandelette
optique
(II). La commissure de Meynert s'entre-croise a
radiations de la calotte. 111, recessus pinealis. IiTh, radiations
optiques
de Gratiolet. Sgc, substance grise centrale. Spa,
missure de Meynert. Zr, zone réticulée ou grillagée. II, bandelette
optique
. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. Ma en effe
éparés par la substance grise du tuber cinereum (Te); la bandelette
optique
(II), au contraire, est formée de fibres fines,
la ligne 7 x de la figure 315. Cette coupe passe par la bandelette
optique
(II), la partie moyenne du tubercule mamillaire
us abordons sur celte coupe la partie inférieure de la région sous-
optique
. Le centre médian de Luys a disparu, et à sa plac
(Cgi), profondément enclavé dans la partie inférieure de la couche
optique
(Th). Les fibres du bras du tubercule quadrijum
rijumeau antérieur (BrQa), et sépare, en s'enfonçant dans la couche
optique
(Th), le corps genouillé interne (Cgi) du pulvi
fibres radiaires assez nombreuses, qui lui viennent des radiations
optiques
(RTh) et du segment rétro-lenticulaire de la ca
résentent les plus grandes analogies avec les fibres de la bandelette
optique
(II); elles ont en effet de commun, avec celles
ues postérieures (RTh), abordent la partie postérieure de la couche
optique
(Th); elles sont croisées en outre par les fibr
, première circonvolution temporale. Te, tuber cinereum. Th, couche
optique
(thalamus). Tm, tubercule mamillaire. 1'3, troi
champ de Wernicke. Zr, zone réticulée ou grillagée. Il, bandelette
optique
. xll, chiasma des nerfs optiques. 648 ANATOMIE
éticulée ou grillagée. Il, bandelette optique. xll, chiasma des nerfs
optiques
. 648 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. la capsule
dehors, le pied du pédoncule cérébral est limité par la bandelette
optique
(II), qui s'entre-croise en avant du tuber cinere
u tuber cinereum. Toute la partie en con- nexion avec la bandelette
optique
appartient à l'étage inférieur ou pied du pédon-
espace perforé antérieur (Epa), limité en arrière par la bandelette
optique
(II), en avant par une mince, bande de substanc
ne 8 x de la figure 315. Cette coupe intéresse le chiasma des nerfs
optiques
(xll) et la partie supérieure du noyau de la tr
nne et profonde du tubercule quadrijumeau antérieur. RTh,, radiations
optiques
de Gratiolet. SR, substance réticulée. - SU, su
troisième ventricule. 117, zone de Wernicke. xll, chiasma des nerfs
optiques
. xM, entre-croisement de la calotte de Meynert.
a calotte de Meynert. Gn, zone réticulée ou grillagée. ? bandelette
optique
. 6 : in ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. capsule
orcelé par les fibres du faisceau unci- nalus (Fu). La bandelette
optique
(II) s'entre-croise sur la ligne médiane pour for
'entre-croise sur la ligne médiane pour former le chiasma des nerfs
optiques
(xll), adhérent en arrière à la substance grise d
e continuent avec les fibres les plus internes des deux bandelettes
optiques
et appartiennent manifestement à la commissure de
gne 9x de la figure 315. Cette coupe passe par le chiasma des nerfs
optiques
(xll), la partie supé- rieure du corps genouill
ne et profonde du tubercule quadrijumeau antérieur. RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc
SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Th, thalamus, couche
optique
. Tol, tubercule ou trigone olfactif. U, circonvol
onvolution du crochet. IV, champ de Wernicke. xi, chiasma des nerfs
optiques
. Zr, zone réticulée ou grillagée. Il, bandelett
des nerfs optiques. Zr, zone réticulée ou grillagée. Il, bandelette
optique
. 111, fibres radiculaires de la troisième paire.
s internes sont libres et partiellement embrassés par la bandelette
optique
(II). Son cinquième postérieur ou externe est e
fibres qui, se détachant de la partie postérieure de la bandelette
optique
(II), traversent le cin- quième postérieur Au p
externe (Cge) n'est pas encore ici en continuité avec la bandelette
optique
(II); il en est séparé par la commissure de Mey
quadrijumeau antérieur. Rm, ruban de Reil médian. RTh, radia- tions
optiques
de Gratiolet. RTh', fibres de projection cortical
calotte de Meynert. Zr, zone réticulée ou grillagée. Il, bandelette
optique
. Hln, noyau de la troi- sième paire. - III, fil
I, filets radiculaires de la troisième paire. -xll, chiasma des nerfs
optiques
. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. si : i3 5
ère est séparée du pied du pédoncule cérébral (P) par la bandelette
optique
(II). Sur cette coupe le pied du pédoncule céré
nicke a décrit sous le nom de fibres pédonculaires de la bandelette
optique
. Au niveau de sa partie antérieure, cette coupe
tie antérieure, cette coupe intéresse en outre le chiasma des nerfs
optiques
(xll) et le trigone olfactif (Toi) avec sa couche
s la com- préhension de la partie extra-vent riculaire de la couche
optique
. 6 : i0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Coupe n
e, le voile terminal d'Aeby (vt), qui borde en dehors la bandelette
optique
(II), et ferme en dedans l'extrémité antérieure
libres de la zone de Wernicke (W), et reçoit en avant la bandelette
optique
(II), dont les fibres s'irradient dans ce ganglio
quadriju- meau antérieur. Rm, ruban de Reil médian. RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aquedu
Forel. xM, entre-croisement de la calotte de Meynert. ? bandelette
optique
. III, filets radiculaires de la troisième paire.
calleux, soit en bas vers le pédoncule inféra-interne de la couche
optique
. Ces dernières fibres repré- sentent les rares
s genouillé externe. - Ilm, ruban de Reil médian. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - SR, substance réticulée de la c
pyra- midale du subiculum. - R, stratum radiatum. RT/a, radiations
optiques
de Gratiolet. Tap, tapetum. - Trlp (Fi), pilier
du corps calleux. (D'après Forel et Onufrowicz.) RII, bandelette
optique
. C, cunéus. - c. sillon du cunéus. - cm. sillon c
t Onufrowicz. - ot, sillon collatéral. - Put, pulvinar de la couche
optique
. - Tg, corps du trigone. - Top, pilier postérie
- périeur du putamen, au niveau de la partie moyenne de la couche
optique
; ce faisceau ne s'identifierait donc pas avec l
oïdien. - 7 ? a, pilier antérieur du trigone. Tle, thalamus (couche
optique
). - 1'h(Va), partie de la couche optique formant
one. Tle, thalamus (couche optique). - 1'h(Va), partie de la couche
optique
formant la paroi du troisième ventri- cule. - l
situées dans la lame cornée. - ltlt, ténia thalami. - ? bandelette
optique
. FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. ÍI)3
rconvolution du crochet. - VI, ventricule latéral. - Il, bandelette
optique
. l'hémisphère, et ses libres dégénérées peuvent
o, scissure pariéto-occipitale. - PrC, précunéus. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - Tap, tapetum. Voc, corne occipita
ISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. ï71 t supérieur de la couche
optique
. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur naturelle. Déta
. mp, sillon marginal postérieur. .Va, noyau antérieur de la couche
optique
. - NC, noyau caudé. - VC', queue du noyau caudé.
audé. - VC', queue du noyau caudé. z Ne, noyau externe de la couche
optique
. NL-2, ,VL3. deuxième et troisième segments du
e du ventricule latéral. - ncl, pli cunéo-limbique. R1'h, radiatons
optiques
de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. -
corne occipitale. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche
optique
. - strz, stratum zonale. - 1 ? Vs, première et de
térieur du trigone. Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche
optique
(thalamus). tlh, toenia thalami. - V, ruban de Vi
erne et interne, et dans les noyaux externe et interne de la couche
optique
. Les plus antérieurs de ces fascicules onduleux a
ital et le décrivent avec ces dernières sous les noms de radiations
optiques
(Gratiolet), lame des faisceaux optiques (Meynert
ous les noms de radiations optiques (Gratiolet), lame des faisceaux
optiques
(Meynert), substance sa- yittccle du lobe occip
res de pro- jection, destinées aux centres infra-corticaux, (couche
optique
, corps genouillé externe, globus pallidus, etc.
le de l'hémisphère droit passant par la partie moyenne de la couche
optique
, le noyau rouge et le pédoncule cérébral. Méthode
rlll, faisceaux radiculaires de la troisième paire. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. -
a. - Tg, trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche
optique
(thalamus). tilt, taenia thalami. Tp, circonvol
ntricule latéral. Zr, zone réticulée ou grillagée. - Il, bandelette
optique
. - Ill, troisième paire. Nous avons insisté plu
Cette couronne rayonnante du lobe temporal est destinée à la couche
optique
, au corps genouillé interne, au pulvinar, au glob
lenti- culaire de la capsule interne; elle retentit sur les centres
optiques
infra- corticaux, pulvinar, corps genouillé ext
aud, le faisceau longitudinal inférieur, de même que les radiations
optiques
, auxquelles il est accolé, n'envoie pas de libres
nfé- rieur du pédoncule cérébral. Isolé ou associé aux radiations
optiques
, le faisceau longitudinal inférieur ne joue auc
ec les FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 777 -1 radiations
optiques
de Gratiolet, le faisceau conducteur de la sensib
rieur représenterait un faisceau sensitif externe et les radiations
optiques
un faisceau sensitif interne, aboutissant tous
res temporales destinées au pulvinar, au noyau externe de la couche
optique
, etc., traversent de même le faisceau lon- gitu
orps genouillé interne qui est profondément enclavée dans la couche
optique
. Il en est de même des fibres temporales destin
en haut vers le pulvinar. Le pédoncule illféro-inteme de la couche
optique
de Meynert, - dont les libres passent par la su
t antérieur de la capsule interne (pédoncule antérieur de la couche
optique
). - Cip, segment postérieur de la capsule inter
poro-occipital, on voit que ce faisceau, de même que les radiations
optiques
, dégénère dans les deux sens, ainsi que nous av
ssous du genou du corps calleux, par la partie moyenne de la couche
optique
et les deux segments du noyau lenticulaire. Métho
sus-orbitaire. - T,, première circonvolution temporale. - Th, couche
optique
. - 7'ltt, pilier antérieur du trigone. tth, tae
a- drijumcau antérieur, et, dans quel- ques cas, de la bandelette
optique
. Mais, fait important, ces lésions du lobe oc
cuneus. so, sillon sus-orbitaire de Broca. Th, tha- lamus (couche
optique
). 798 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le corps
race de surdité verbale, ni de troubles de la parole. Pas d'aphasie
optique
ni de cécité psychique. Conservation complète de
mygdalien. Elle décrit une courbe analogue à celle de la bandelette
optique
, dont elle est séparée par la substance perforé
commissure antérieure n'est pas parallèle à celle de la bandelette
optique
; sur une série de coupes parallèles à la Commis
d de la couronne rayonnante. PiTh, pédoncule inférieur de la couche
optique
. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. RC, radiat
rijumeau antérieur. RC, radiations de la calotte. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - Sgc, substance grise centrale. -
rontale du ventricule latéral. VI, ventricule latéral. II, bandelette
optique
. plan passant parles commissures antérieure et
ntéressée dans tout son trajet (fig. 401), tandis que la bandelette
optique
est au contraire sectionnée obliquement. En d'a
, la commissure antérieure, sensiblement parallèle il la bandelette
optique
en arrière, est située en avant sur un plan plus
ent principal des fibres du pédon- cule inféro-interne de la couche
optique
(PiTh) (Voy. i. II). Recouverte par l'écorce de
ection et en parti- culier au pédoncule inféro-interne de la couche
optique
. De toute l'étendue de la capsule externe, se d
ntres générateurs de l'innervation encéphalique, comprenant la couche
optique
et le corps strié. (1) Voir Système des artères
Voir Système des artères corticales, loco citato, page 7. a. Couche
optique
. La couche optique, ou thalamus (Pl. II, 4), es
res corticales, loco citato, page 7. a. Couche optique. La couche
optique
, ou thalamus (Pl. II, 4), est un amas ovoïde gris
terne de l'hémisphère. Elle intercepte par conséquent, avec la couche
optique
de l'hémisphère du côté opposé, un espace linéair
um, et par Vicq-d'Azyr sous celui de tubercule antérieur de la couche
optique
. En arrière, on trouve une autre saillie plus f
ce de deux petits noyaux gris contenus dans la substance de la couche
optique
et bien nettement circonscrits à l'intérieur. Ent
le premier un quatrième tubercule, situé au milieu même de la couche
optique
, c'est le centrum médium Luysii. M. Luys consid
ces tubercules ou noyaux, isolés dans la substance grise de la couche
optique
, comme des centres de réception, en rapport avec
désigne sous le nom de centre antérieur ou olfactif., centre moyen ou
optique
, centre postérieur ou auditif, centre médian ou s
ueur de 12 millimètres; il est contigu à la face interne de la couche
optique
sur laquelle il produit une intumescence ovoïde.
ur, en dehors et un peu au-dessous d'eux, au centre même de la couche
optique
; son dia-mètre est de 7 à 8 millimètres environ;
e masse de substance blanchâtre. Ces centres ou noyaux de la couche
optique
n'ont pas une structure histologique particulière
distribution et à la catégorie de fibres qui pénètrent dans la couche
optique
et vont aboutir à ces centres d'immersion. b. C
occupe toute l'étendue des régions antérieure et externe de la couche
optique
, dont il est séparé par un sillon curviligne qui
dach sous celui de capsule interne. La portion contiguë à la couche
optique
porte le nom de noyau intra-ventri-culaire. Son e
arrière en forme de queue jusqu'à la région posté-rieure de la couche
optique
, ce qui a fait désigner par Burdach cette portion
décrit par Kôlliker est quelquefois désigné sous le nom de radiations
optiques
de Gratiolet. Les fibres convergentes des régio
sceau conoide, contournent la face interne et antérieure de la couche
optique
, passent en dehors du pilier antérieur du trigone
7), et pénètrent dans la région antérieure et supérieure de la couche
optique
. Meynert donne à ce faisceau le nom de racine inf
Meynert donne à ce faisceau le nom de racine inférieure de la couche
optique
et le décrit comme la troisième et la quatrième c
es convergentes se condensent sur le côté antéro-externe de la couche
optique
en un gros faisceau spiroïde, aplati d'avant en a
ives dans les noyaux opto-striés. Une partie pénètre dans la couche
optique
; les fibres s'effilent, s'amincissent, tra-versen
culaire du corps strié, gagnent les parties postérieures de la couche
optique
en formant une coque extérieure nommée capsule ex
es, à mesure qu'il se rapproche des régions postérieures de la couche
optique
. Arrivées à ce niveau, les fibres se dissocient
rs la paroi du ventricule moyen et vers le centre médian de la couche
optique
. Un troisième groupe suit un trajet curviligne en
dans et en bas, sur un plan plus inférieur; il croise les bandelettes
optiques
, qu'il contourne, passe entre la substance grise
ibres des régions externes se portent dans la profondeur de la couche
optique
jusqu'à la paroi du ventricule moyen ; que les fi
rveuses qui relient tous les points de la pulpe corticale à la couche
optique
; ce sont les fibres cortico-thalamiques ; 2° U
e directement en avant, appliquée sur la face supérieure de la couche
optique
qui lui correspond. Ces bandelettes ont reçu de
s antérieurs de la voûte), qui s'infléchit en bas, traverse la couche
optique
, se dirige en arrière vers les tuber-cules mamill
'étend, en s'effilant, de la base du tubercule antérieur de la couche
optique
, ou centre antérieur, jusqu'aux tubercules mamill
de Vicq-d'Azyr relie par conséquent le centre antérieur de la couche
optique
à la substance grise des tubercules mamillaires e
és de cellules fusiformes, absolument pareilles à celles de la couche
optique
. Au niveau de la région antérieure de la couche
e la couche optique. Au niveau de la région antérieure de la couche
optique
, les faisceaux cylindriques des fibres convergent
s de la glande pinéale, s'applique sur la face interne de la couche
optique
, aborde la base du conarium et s'épanouit dans sa
s moyens se portent latéralement dans la substance grise de la couche
optique
, vers le centre médian. Les pédoncules postérie
n voit se diriger en dehors à travers la substance grise de la couche
optique
. A la base du ventricule moyen, la substance gr
de chaque côté sur ses parties latérales, au-dessus de la bandelette
optique
, un noyau contenant des cellules fusiformes de 30
mifiés. De ce noyau émergent de petites fibrilles, les racines grises
optiques
, qui gagnent directement le tronc du nerf optique
les racines grises optiques, qui gagnent directement le tronc du nerf
optique
correspondant. La substance grise du septum luc
ache du ganglion olfactif, se porte en arrière et contourne la couche
optique
sous le nom de tsenia semi-circularis. § 4. En
ubstance grise sont situés à la région postéro-inférieure des couches
optiques
sur les bords de la fente cérébrale de Bichat, ap
ériphériques d'un ordre particulier, qui partent du chiasma des nerfs
optiques
sous la forme d'un faisceau unique. Ce faisceau c
e bord supérieur des pédoncules cérébraux, sous le nom de bandelettes
optiques
, se sépare progressivement en deux fascicules qui
rise du tubercule quadrijumeau antérieur (Pl. XXXVI, 9). Les fibres
optiques
présentent donc, comme les nerfs rachidiens : 1°
externe des piliers antérieurs du trigone, au-dessus des bandelettes
optiques
, au-dessous de la couche optique, se plie de nouv
trigone, au-dessus des bandelettes optiques, au-dessous de la couche
optique
, se plie de nouveau totalement en dehors, et va s
haut vers la partie correspondante de la face inférieure de la couche
optique
, pénètrent à travers la substance grise de cette
dans la substance grise du ventricule moyen sous-jacente à la couche
optique
, et s'épanouit dans les cellules nerveuses de cet
e. Prolongement bifide. Fig. IV. — Formation du chiasma des fibres
optiques
. a. Fibres latérales, directes, se portant d'un
ptiques. a. Fibres latérales, directes, se portant d'une bandelette
optique
dans le nerf optique du côté homologue. b. Fi
térales, directes, se portant d'une bandelette optique dans le nerf
optique
du côté homologue. b. Fibres médianes, entre-cr
logue. b. Fibres médianes, entre-croisées, passant d'une bandelette
optique
dans le nerf optique du côté opposé. c. Fibre
anes, entre-croisées, passant d'une bandelette optique dans le nerf
optique
du côté opposé. c. Fibres internes, commissur a
c. Fibres internes, commissur antes, unissant les deux bandelettes
optiques
. d. Substance grise du tuber cinereum. Planch
orps du sphénoïde supporte la glande pituitaire, le chiasma des nerfs
optiques
(17), le tuber cinereum, les tubercules mamillair
pace appelé ventricule de la cloison (voir Pl. LUI). 4. — La couche
optique
, thalamus opticus} a la forme d'un ovoide dirigé
e qu'on a sectionné en séparant les deux hémisphères. Entre la couche
optique
et le pilier antérieur du trigone, existe un peti
i le premier en a fait la description. La face interne de la couche
optique
se continue en bas et en avant avec un amas de su
ce grise, appelé tuber cinereum, en rapport avec le chiasma des nerfs
optiques
(7) et les tubercules mamillaires (8). Un petit p
arrière, la substance grise, qui tapisse la face interne de la couche
optique
, se continue avec les tubercules quadrijumeaux (1
hères sont réunis l'un à l'autre, les deux faces internes des couches
optiques
interceptent entre elles un espace libre, nommé v
le dernier vestige de la tige pituitaire et la coupe de la bandelette
optique
(8, Pl. IV), qui semble sortir de la substance gr
ection antéro-postérieure a enlevé la substance grisâtre de la couche
optique
qui forme la paroi du ventricule moyen. Elle mont
ieure des deux saillies signalées sur la face supérieure de la couche
optique
, le corpus album subro-tundum et le tubercule pos
culaire du corps strié, formant, avec la face supérieure de la couche
optique
, le plancher des ventricules latéraux. Sur ce noy
es du cerveau. Au-dessous est la coupe longitudinale de la bandelette
optique
(8). 9. — Section du centre antérieur de la cou
ndelette optique (8). 9. — Section du centre antérieur de la couche
optique
suivant son grand diamètre antéro-postérieur. Il
en arrière, en enlaçant la région supérieure et externe de la couche
optique
. Dans le sillon intermédiaire est la coupe de la
intermédiaire est la coupe de la veine du corps strié. La bandelette
optique
(8, Pl. IV) est réduite à un étroit faisceau blan
entes du noyau rouge de Stilling et celui du corpus Luysii. La couche
optique
reçoit également l'épanouissement des fibres blan
assant par ïextrémité antérieure du sillon intermédiaire de la couche
optique
et du corps strié. 1. — La substance grise cort
ier postérieur du trigone (3), qui se continue au-dessus de la couche
optique
, sous le nom de bandelette géminée. 4. — Substa
r postérieur du trigone. Il recouvre le centre moyen (8) de la couche
optique
, vers lequel s'effilent les fibres convergentes d
la capsule interne; en arrière est le centre postérieur de la couche
optique
(9); le centre médian (10) est situé entre ces de
e l'épaisseur du pédoncule cérébral. 14. — Section de la bandelette
optique
. Au-dessus on aperçoit le noyau jaune du noyau le
ergentes pénètrent en serpentant dans la substance grise de la couche
optique
; elles s'épanouissent dans le centre moyen, le ce
r de fibres, qui paraît s'arrêter au locus niger, aboutit à la couche
optique
. La section du cervelet montre la disposition c
grise du ganglion olfactif. Au-dessus est la coupe de la ban-delette
optique
(14, Pl. VI). ¥111. — Coupe verticale antéro-po
ticale antéro-postérieure, passant par la face externe de la couche
optique
. 1. — La section représente le vestige des scis
taire, contourne la face supérieure du corps strié, puis de la couche
optique
, passe dans la région in-férieure en se dirigeant
de la commissure blanche antérieure. 13. — Section de la bandelette
optique
. 14. — Coupe du tsenia semi-circularis. Au-dess
ion (15) des fibres convergentes dans la substance grise de la couche
optique
, atteignant les segments externes du centre média
à sa portion supérieure et postérieure; elle est séparée delà couche
optique
parle taenia semi-circularis. Au-dessous les fibr
s convergentes traversent l'épaisseur de la face externe de la couche
optique
et se dirigent vers le centre postérieur. La subs
(18, Pl. VIII) montre la disposition oblique et parallèle des fibres
optiques
qui la sillonnent. Les noyaux jaunes du noyau l
é dans un plan plus externe. Ces deux noyaux sont isolés de la couche
optique
par le groupement des faisceaux divers des fibres
om-missure blanche antérieure (12, Pl. VIII) et celle delà bandelette
optique
(13, Pl. VIII). La section du cervelet montre l
es régions supérieures et moyennes, et, en arrière, parles radiations
optiques
de Gratiolet ou fibres cortico-thalamiques postér
lés noyaux jaunes. 8. — Régions postérieure et externe de la couche
optique
(pulvinar) en rapport avec les corps genouillés.
nterne (9). En avant est la coupe longitudinale (10) de la bandelette
optique
. 11. — Section de la commissure blanche antérie
Pl. X), terminé en avant par la coupe longitudinale de la bandelette
optique
(10, Pl. X). Le prolongement sphénoïdal de la c
noyau intraventriculaire, séparée de la face supérieure de la couche
optique
(8) par le sillon intermédiaire (7). Les fibres
ermédiaire séparant le noyau caudé de la face supérieure de la couche
optique
(7); ce sillon est recouvert par la lame cornée,
e et externe du tubercule anté-rieur ou centre antérieur de la couche
optique
. 8. — Bandelette géminée se dirigeant en arrièr
grise du noyau intra-ventriculaire jusqu'au bord externe de la couche
optique
, en passant au-dessous de la portion moyenne du n
en un gros faisceau qui aboutit à la partie postérieure de la couche
optique
et se distribue en partie dans le pul vinar. La
stribue en partie dans le pul vinar. La face supérieure des couches
optiques
a été effleurée par la section horizontale. L'int
osées par leur bord interne, reposant sur la face interne des couches
optiques
et sur la toile choroïdienne. Le bord externe est
er antérieur du trigone, pénètre dans la substance grise de la couche
optique
et va aboutir aux tuber-cules mamillaires : arriv
postérieure, passant au niveau de la région supérieure de la couche
optique
. 1. — Portion réfléchie ou genou du corps calle
s, se rendant de la base des circonvolutions au pourtour de la couche
optique
. A travers l'écartement de ces faisceaux, on aper
aisceau conique, se dirigeant vers la région postérieure de la couche
optique
. 8. — Substance grise de la couche optique péné
postérieure de la couche optique. 8. — Substance grise de la couche
optique
pénétrée par des filaments blancs de fibres corti
é par les fibres cortico-thalamiques sur le bord externe de la couche
optique
. 10. — Centre antérieur de la couche optique.
d externe de la couche optique. 10. — Centre antérieur de la couche
optique
. 11. — Centre postérieur de la couche optique.
ntérieur de la couche optique. 11. — Centre postérieur de la couche
optique
. 12. — Section du pédoncule antérieur de la gla
. — Bandelette géminée, s'appuyant par son bord externe sur la couche
optique
. Le bord interne de chaque bandelette se continue
e dehors en dedans, qui vient rencontrer la face externe de la couche
optique
(6, Pl. XVIII), l'autre vertical et transverse qu
transverse qui aboutit à la région antérieure et externe de la couche
optique
(6, Pl. XX). Cette substance blanche intermédiair
ntes postérieures vient abou-tir à la région postérieure de la couche
optique
, en passant entre la portion caudale du noyau int
avoy. — Encéphale. 12 La section de la substance grise de la couche
optique
montre le mode de pénétra-tion des fibres converg
ité du ventricule moyen apparaît entre les faces internes des couches
optiques
; en avant est la corne frontale de la cavité des
rence avec elle, et se dirige vers la région postérieure de la couche
optique
; il porte le nom de capsule externe (7). 8. — S
qui appartient au corps strié. 14. — Centre antérieur de la couche
optique
, séparé du noyau intra-ventriculaire par les fibr
s qui s'épanouissent dans sa masse. 15. — Centre moyen de la couche
optique
; des fibrilles blanches traversent la couche opti
yen de la couche optique; des fibrilles blanches traversent la couche
optique
, atteignent ce noyau et la paroi latérale du vent
culaire. A égale distance à peu près des deux extrémités de la couche
optique
, et vers le bord interne, apparaît le centre médi
transversale des fibres convergentes sur le bord externe de la couche
optique
(Région moyenne de la capsule interne). 8. — Fa
noïdale et se jette en partie dans la région postérieure de la couche
optique
. Son fascicule antérieur se dirige en dedans, ver
es circonvolutions de l'insula. 14. — Centre antérieur de la couche
optique
. Ses dimensions sont beaucoup moins grandes que s
IX. 15. — Région inférieure et interne du centre moyen de la couche
optique
. 16. — Centre médian. Il reçoit par son côté ex
Il reçoit par son côté externe des fibres qui ont traversé la couche
optique
et, en dedans, un petit faisceau qui paraît prove
enir de la commissure blanche. 17. — Centre postérieur de la couche
optique
. Le faisceau des fibres convergentes postérieures
-térieures se jette en partie dans la région postérieure de la couche
optique
; le fascicule antérieur (8, Pl. XXII) se porte en
occipital soient en connexion avec la région postérieure de la couche
optique
. Le noyau lenticulaire (10, Pl. XXII) présente
gentes antérieures et supérieures. Le centre antérieur de la couche
optique
(6, Pl. XX) est réduit à son dernier segment infé
missure est formée par un faisceau de fibres qui s'étend de la couche
optique
d'un côté à celle du côté opposé. Elle est située
missure blanche postérieure apparaît, sur le bord interne des couches
optiques
, la section des pédoncules antérieurs de la gland
commissure blanche postérieure avec la région postérieure des couches
optiques
ou pulvinar. Gavoy.— Encéphale. ^ La coupe de
ion transversale des fibres convergentes au bord externe de la couche
optique
. — Région lenticulo-optique de la capsule interne
es fibres convergentes pénètrent dans la substance grise de la couche
optique
sous l'aspect de fibrilles extrêmement fines. La
ct de fibrilles extrêmement fines. La région postérieure de la couche
optique
(13) est parcourue par des fibrilles transversa
trigone et la cloison trans-parente. 18. — Section de la bandelette
optique
. En dehors est la coupe de la substance grise du
e du corps genouillé externe, traversée obliquement par les fibrilles
optiques
; en dedans est la coupe du corps genouillé inter
faisceau blanc aux tubercules quadrijumeaux postérieurs ; les fibres
optiques
ont dans sa substance grise une direction presque
section des fibres spinales antérieures, faite au-dessous des couches
optiques
. En dedans de ces faisceaux apparaît le corpus
par une extrémité de plus en plus fine. La section des bandelettes
optiques
montre la différence que présentent dans leurs di
nvergentes des régions postérieures. Ce faisceau croise la bandelette
optique
, passe à l'angle postérieur du noyau lenticulaire
e des fibres spinales au-dessous de la région inférieure de la couche
optique
. 12. — Corpus Luysii ou bandelette accessoire d
nches latérales de cette commissure. 21. — Section de la bandelette
optique
. La substance grise du corps genouillé interne es
gions postérieures est sectionné sur le bord externe de la bandelette
optique
(11, Pl. XXVI). La corne frontale de la cavité
convergentes du lobe sphénoïdal, sectionné au niveau de la bandelette
optique
. 6. — Région inférieure du noyau intra-ventricu
ent en filaments longs et très grêles. 9. — Section des bandelettes
optiques
, montrant la substance grise du corps genouillé e
ïdal. En avant de la corne d'Ammon, est la section de la bandelette
optique
(9, Pl. XXVIII), portant le dernier vestige de la
rise du plancher du ventricule moyen. 7. — Section de la bandelette
optique
en avant des pédoncules cérébraux (voir Pl. XXIX)
tie postérieure du sillon intermédiaire au corps strié et à la couche
optique
dans lequel il se loge. 10. — Section de la por
ées dans la portion arrondie des lobes sphénoïdaux. Les bandelettes
optiques
(7, Pl. XXX) occupent le centre ; elles se réunis
active. 2. — Section de l'artère carotide interne au niveau du trou
optique
, avant sa ter-minaison en quatre branches : (3) L
el appelé hexagone artériel de Willis. 4. — Section des bandelettes
optiques
au moment de l'entre-croisement de leurs fibres a
ogue de la bandelette opposée et va contribuer à la formation du nerf
optique
du côté opposé à celui d'où il dérive ; un troisi
u, latéro-antérieur, suit le bord externe du chiasma et gagne le nerf
optique
qui lui correspond (voir Pl. microphotographie, e
iliers postérieurs du trigone (7, Pl. XXXIV) : au-dessus de la couche
optique
, de chaque côté du bourrelet, on aperçoit la sect
delettes géminées. Une partie de la région postérieure de la couche
optique
est enlevée; cette coupe a mis à découvert le tub
à découvert le tubercule postérieur ou centre postérieur de la couche
optique
, et montre le mode de pénétration dans sa substan
ergentes des régions postérieures. En avant et en dehors de la couche
optique
est la lame cornée, qui la sépare du noyau caudé
es du taenia semi-circularis contournant le bord externe de la couche
optique
. 4. — Section des bandelettes géminées sur la f
Section des bandelettes géminées sur la face supérieure de la couche
optique
. 5. — Section de la substance grise de la corne
ns le diverticulum sphénoïdal. 6. — Région postérieure de la couche
optique
. Les fibres convergentes des régions postérieures
s bandelettes géminées, se voit entre la face supérieure de la couche
optique
et le bord externe du corps calleux. La substance
tri-cules latéraux ; il est séparé de la substance grise de la couche
optique
par la section des fibres du taenia semi-circular
ntre postérieur occupe la partie interne de cette région de la couche
optique
; les fibres convergentes pénètrent en longs filam
e et semble émettre un faisceau dans la région inférieure des couches
optiques
. Au-dessus de cette commissure apparaît la coupe
érieure et celles de la région moyenne (3) se dirigent vers la couche
optique
; les fibres du lobe sphenoidal (4) s'élè-vent, s
sous l'aspect de filaments très déliés, dans l'intérieur de la couche
optique
et atteignent les différents noyaux qu'elle renfe
sceaux des fibres convergentes. 10. — Centre antérieur de la couche
optique
. 11. — Centre moyen de la couche optique. 12.
tre antérieur de la couche optique. 11. — Centre moyen de la couche
optique
. 12. — Centre postérieur de la couche optique.
re moyen de la couche optique. 12. — Centre postérieur de la couche
optique
. 13. — Section de la portion horizontale des ba
t ces bandelettes, en s'appliquant sur la face supérieure des couches
optiques
, isolent le ventricule moyen des ventricules laté
vers groupes de fibres se condensent sur le bord externe de la couche
optique
en un gros faisceau appelé capsule interne; elles
interne; elles pénètrent ensuite dans la substance grise de la couche
optique
, sous forme de petits filaments très fins, qui vo
a cavité du ventricule latéral. 11. — Centre antérieur de la couche
optique
. 11 est séparé du noyau caudé parles fibres du ta
la capsule interne pour pénétrer dans la substance grise de la couche
optique
. 24. — Section de la région antérieure du cerve
es, issues des faisceaux spi-naux. Le centre antérieur de la couche
optique
a augmenté de volume ; le centre moyen a acquis s
our former la capsule interne, et vont se grouper autour de la couche
optique
. Un fascicule longe la face externe du noyau lent
substance grise du ganglion olfactif. 6. — Section de la bandelette
optique
en avant de la substance grise des corps genouill
bres convergentes dans l'intérieur de la substance grise de la couche
optique
. 11. — Centre antérieur de la couche optique.
nce grise de la couche optique. 11. — Centre antérieur de la couche
optique
. 12. — Centre moyen de la couche optique. 13.
tre antérieur de la couche optique. 12. — Centre moyen de la couche
optique
. 13. — Portion antérieure du centre médian. 1
s spinales postérieures. Ces fibres se portent en haut dans la couche
optique
; elles se terminent en bas dans la substance gri
ent dans sa masse. En haut et en dedans est la coupe des bande-lettes
optiques
. Le centre antérieur de la couche optique prése
a coupe des bande-lettes optiques. Le centre antérieur de la couche
optique
présente son plus grand diamètre. Il est en rappo
e noyau lenticulaire, serpentent dans la substance grise de la couche
optique
. 4. — Fibres convergentes du lobe sphénoïdalse
oupes horizontales (Pl. XXV et XXVI). 8. — Section de la bandelette
optique
. 9. — Section du faisceau arrondi, formé par le
enia semi-circularis en rapport avec le centre antérieur de la couche
optique
. 13. — Section de la portion horizontale ou int
étration des fibres convergentes dans la substance grise de la couche
optique
. 15. — Centre antérieur, son volume est moindre
substance grise du noyau caudé, du noyau lenticulaire et delà couche
optique
. En dehors du centre antérieur est la coupe de
de substance grise, traversée de fibrilles blanches. Les bandelettes
optiques
(8 PL XLIV) continuent leur direction convergente
t des tubercules mamillaires, où elles constituent le chiasma du nerf
optique
(4, Pl. XXXII, 18, Pl. XLVI et Pl. XLVII). De p
icale transverse passant par la région moyenne du chiasma des nerfs
optiques
. 1. — Portion moyenne ou voûte du corps calleux
'épanouissement des fibres convergentes dans l'intérieur de la couche
optique
. 14. — Centre antérieur recevant les fibres du
croisement des trois ordres de fibres qui constituent les bandelettes
optiques
. Les fibres postéro-internes sont commis-surantes
ternes sont commis-surantes, les fibres médianes passent dans le nerf
optique
du côté opposé, les fibres latéro-antérieures gag
optique du côté opposé, les fibres latéro-antérieures gagnent le nerf
optique
du côté homologue (voir Pl. A, microphoto-graphie
gue (voir Pl. A, microphoto-graphie). 19. — Section des bandelettes
optiques
. 20. — Nerfs optiques. Gavoy. — Encéphale.
oto-graphie). 19. — Section des bandelettes optiques. 20. — Nerfs
optiques
. Gavoy. — Encéphale. 19 XLVII. —Encéphale d
se celle des fibres convergentes des régions supérieures. La couche
optique
est réduite à la portion antérieure du centre ant
es piliers antérieurs du trigone, qui plongent en bas, dans la couche
optique
et dans la substance grise centrale du plancher d
La coupe du chiasma montre la disposition des fibres des bandelettes
optiques
et leur trajet réciproque vers les nerfs optiques
res des bandelettes optiques et leur trajet réciproque vers les nerfs
optiques
, qui se dirigent en avant, sous l'aspect de deux
avité des ventricules latéraux. 10. — Centre antérieur de la couche
optique
. 11. — Substance grise du plancher du ventricul
au lenticulaire, dans le noyau caudé du corps strié et dans la couche
optique
. Les lobes sphénoïdaux sont composés par les fi
2. Substance grise des noyaux centraux................. H a) couche
optique
.......................... 12 b) corps strié....
sant par l'extrémité antérieure du sillon intermé-diaire de la couche
optique
et du corps strié.................. 68 VIL Encé
erticale antéro-postérieure, passant sur la face externe de la couche
optique
. 71 IX. Encéphale dont on a détaché la coupe pr
postérieure, passant au niveau de la région supérieure de la couche
optique
...........................• .... 87 XIX. Encéph
rticale transverse passant par la région moyenne du chiasma des nerfs
optiques
. 144 XLVII. Encéphale dont on a détaché la coup
isphérique s'arrête, en arrière, à l'entre-croiseinent en X des nerfs
optiques
. Cet entre-croisement ou chiasma (CH) est const
t ou chiasma (CH) est constitué par les fibres des deux bandelettes
optiques
(BO) venues de ganglions profondément situés. À p
ues (BO) venues de ganglions profondément situés. À partir du chiasma
optique
, les circonvolutions de l'hémisphère droit et cel
les cérébraux; OLB, bulbe olfactif; OL, n.erf olfactif; Cil, cliiasma
optique
; AQ, aqueduc de Sylvius. dedans, et qui répond
l'espace perforé postérieur. En dehors et de chaque côté du chiasma
optique
(Cil), en arrière du nerf olfactif (OL), la face
la base du cerveau, limitée en avant par le bord antérieur du chiasma
optique
(CH) et l'espace perforé antérieur (EPA), limitée
ée sous le nom de pyramide Schéma 5. — Base du cerveau. CO, chiasma
optique
; EPA, espace perforé antérieur; ce, corps calleux
ring; psp, bandelette diagonale ; LAT, lame terminale; B0, bandelette
optique
; N0, nerf optique; TC, tuber cinereum; HL, lobule
tte diagonale ; LAT, lame terminale; B0, bandelette optique; N0, nerf
optique
; TC, tuber cinereum; HL, lobule de l'hippocampe ;
deux côtés postérieurs sont représentés, l'interne par la bandelette
optique
(BO), l'externe par le bord des circonvolutions t
externe par le bord des circonvolutions temporales. Les bandelettes
optiques
(BO) décrivent en arrière du chiasma (CH) une cou
en bas jusqu'à leur pénétration dans le chiasma, tandis que les nerfs
optiques
(N0) qui émergent du chiasma et qui sont (schéma
tuber cinereum (TC), bridé en quelque sorte par les deux bandelettes
optiques
, est une masse de substance grise, bombée, termin
bercules mamillaires (TM). Bien limité en avant par les bandelettes
optiques
(BO) et le chiasma (CH), le tuber cinereum est li
a face inférieure du cerveau, recouvre en grande partie la bandelette
optique
(BO) ; il fait corps avec les circonvolutions, do
nt été écartés pour laisser voir dans toute son étendue la bandelette
optique
. se perd à la surface de la circonvolution de l
es dans lesquels ils pénètrent, en passant au-dessus de la bandelette
optique
(BO), au-dessus et en avant de la fente de Bichat
externe, se continuent avec les extrémités renflées des bandelettes
optiques
(BO) qui portent le nom de corps genouillés exter
foré antérieur à la base de l'hémisphère (voy. page x). CH. chiasma
optique
; Bo, bandelette optique ; OL, nerf olfactif; OLI
de l'hémisphère (voy. page x). CH. chiasma optique ; Bo, bandelette
optique
; OL, nerf olfactif; OLI, racine interne du nerf
arpe (TP) ne passaient pas avec les fibres du pied sous la bandelette
optique
(BO). Elles se jetaient directement dans la bande
, non pas sous le pied du pédoncule, mais au-dessus. BO, bandelette
optique
; TP, tractus transversus pedunculi, ou faisceau
ssait donc en quelque sorte d'une ectopie des fibres de la bandelette
optique
. Ce qu'on peut dire, c'est que dans la très gra
A), où elle se termine insensiblement, au-dessus et en dehors du nerf
optique
(NO). Au-dessous et en avant du rostrum, s'étend,
ou spl67iium; B.O'i, rostrum; EPA, espace perforé antérieur; SO, nerf
optique
; LMV, substance réticulaire d'Arnold; Tlil, trigo
cule moyen et va se jeter dans le tubercule mamillaire (TM). Couche
optique
, thalamus. — Toutes les parties situées au-dessou
le, ovoïde, allongée dans le sens antéro-postérieur : c'est la couche
optique
ou thalamus. On peut y reconnaître facilement deu
ans un repli de la pie-mère, la glande pinéale est reliée à la couche
optique
à droite et à gauche par trois pédoncules : 1° un
l'habénule fait suite à un ganglion de l'étage supérieur de la couche
optique
(GI1). C'est qu'en effet la glande pinéale, situé
Schéma 11. — Face inférieure du cerveau (d'après Broca). Le chiasma
optique
a été renversé on arrière pour montrer le trajet
e perforé antérieur, où il est contigu à la lame terminale et au nerf
optique
(NO), qui sont placés immédiatement derrière lu
la forme et les rapports. Partie de la région postérieure du chiasma
optique
, où elle semble faire suite à la paroi antérieure
laire. sure transversale, mais qui n'existe qu'au-dessus du chiasma
optique
(NO) ; une postérieure, grise, qui sur les côtés
te couche grise représente ce qu'on appelle la racine grise des nerfs
optiques
. La convexité postéro-supérieure du chiasma lui e
pulvinar (Pul), en partie constitué par le noyau interne de la couche
optique
(NiC). Au-dessous et en avant du splenium (SPL)
contracté des connexions définitives avec les noyaux centraux (couche
optique
, etc.). Et ainsi s'établit le premier système de
ieure, la commissure postérieure, le tubercule antérieur de la couche
optique
, etc. Ces repères-là sont invariables, ou tout au
nt sur son bord interne ; il sépare ainsi le noyau caudé de la couche
optique
. Nous étudierons ultérieurement le détail de ses
la fois au milieu de la tête du corps strié et au milieu de la couche
optique
. La surface de section représentée sur le schém
noyau antérieur est le noyau caudé; le noyau postérieur est la couche
optique
. En dehors et dans la profondeur, un troisième
re. Le noyau lenticulaire est séparé du noyau caudé et de la couche
optique
par une lame blanche épaisse, coudée, c'est-à-dir
la capsule, étant toujours sous-jacent au noyau caudé et à la couche
optique
, répond nécessairement aussi, sur les coupes hori
u tamia; le lamia, en effet, est la ligne de démarcation de la couche
optique
; et du noyau caudé sur toute l'étendue antéro-pos
é ; Tic, ta'iiia ; P, ])édonculo cérébral IKMn'tranL dans la couche
optique
(CO) ; x, y, z, trois coupes horizontales; 1,
au devant de la commissure antérieure (CA) jusqu'en dehors du chiasma
optique
(CII). Cette portion terminale du corps calleux a
moyen dont la paroi est représentée par la face interne de la couche
optique
(Th), et il a divisé le pied du pédoncule (PP) à
même remarque pour ce qui a trait à la surface de section du chiasma
optique
. Nous n'avons pas de chiffres à fournir sur cette
commissure postérieure (CP) ; il entame le noyau interne de la couche
optique
(NiC), passe en dehors de l'habénule (IIAB), et t
ors de l'habénule (IIAB), et traverse le noyau antérieur de la couche
optique
(NaC). A mesure qu'on procède à cette division, i
la coupe avait été pratiquée sur cet liémi-sphère à travers la couche
optique
. Il nous reste à énumérer les-parties, entamées p
de sa pénétration dans l'hémisphère à la face inférieure de la couche
optique
. Le faisceau de Tiïrck-Meynert s'enfonce au-desso
tales), le discus lentifor-mis (DL), sous-jacent lui-môme à la couche
optique
. FG. Le faisceau géniculé est la moitié postéri
n avant et de dedans en dehors, toujours situé au-devant de la couche
optique
. ANL. L'anse du noyau lenticulaire est la moiti
les faisceaux du pédoncule qui viennent d'être énumérés et la couche
optique
à la face inférieure de laquelle il est médiateme
ircularis est la petite bande de fibres blanches qui sépare la couche
optique
(Pul) de la queue du noyau caudé (NCC). PLANCHE
sur la ligne médiane. Le trait de section a divisé en deux le chiasma
optique
(CII), laissant intact le tubercule mamillaire ga
l'on distingue le sillon rostral {SB), jusqu'au voisinage du chiasma
optique
(Cil). A ce niveau le bord interne de la face inf
lobule de l'hippocampe (IlL), qui passe au-dessous de la bandelette
optique
(BO) * et qui adbère au pied du pédoncule (PP) da
face convexe, le lobe de l'hippocampe est au-dessus de la bandelette
optique
; mais tous les rapports que nous signalons sont
HORIZONTALE PASSANT PAR LA BASE DU TUBERCULE ANTÉRIEUR DE LA COUCHE
OPTIQUE
[corpus album subrotundum). Écorce. Les coupes
. — TM, tubercule mamillaire. — NaC, tubercule antérieur de la couche
optique
. postérieure de la face interne de l'hémisphère
issure calcarine (K). Le prolongement sphénoïdal passe sous la couche
optique
(NiC). Substance grise. NC. Le noyau caudé ho
il repose sur une large masse de fibres qui convergent vers la couche
optique
(NeC); cette masse de fibres est la couronne rayo
en haut et en dehors. NaC, NeC, NiC. Les trois noyaux de la couche
optique
forment aussi, dans leur ensemble, la masse ovoïd
et de dehors en dedans, avec le stratum zonale qui recouvre la couche
optique
. "Le stratum zonale est cette lamelle blanche q
NiC), parce que ses fibres, vers l'extrémité postérieure de la couche
optique
, sont coupées perpendiculairement à leur directio
e lame est formée de fibres venues de la face inférieure de la couche
optique
, c'est-à-dire de la région de l'étage supérieur d
agée (voy. CG, pl. XXVIII, fig. 114). Les trois noyaux de la couche
optique
sont d'une teinte plus claire que le noyau caudé
et un prolongement interne entre la couronne rayonnante et la couche
optique
. Ce dernier prolongement se perd môme, en grande
se perd môme, en grande partie, dans la substance grise de la couche
optique
. CR. La couronne rayonnante, que nous avons déj
(Pul). Pul. Le pulvinar est la tubérosité postérieure de la couche
optique
faisant saillie dans le carrefour ventriculaire e
le pulvinar; ce noyau en efl'et, quoique faisant partie de la couche
optique
, ne s'arrête pas nettement à la lame médullaire e
bercule quadrijumeau antérieur, qui semble faire corps avec la couche
optique
, présente dans sa masse grise une tache foncée, n
face externe de la corne d'Ammon (Fd). Substance grise. La couche
optique
n'est plus intéressée sur cette coupe, non plus q
e médullaire mérite d'être désignée sous le nom de lame des faisceaux
optiques
, car elle aboutit à la région analomique où se te
r elle aboutit à la région analomique où se terminent les bandelettes
optiques
, c'est-à-dire le thalamus, les corps genouillés e
que les lames en question ne renferment exclusivement que des fibres
optiques
. Bien au contraire. Aussi leur conserverons-nous
t pour se prolonger en haut, au-dessus du corps strié et de la couche
optique
, en bas au-dessous du noyau caudô et du pédoncule
ce interne du cerveau nous est représenté par la section de la couche
optique
(Th). Il s'agit seulement de la portion la plus r
riangle blanc (Fci), interposé entre le corps calleux (ce), la couche
optique
(Th) et la fimbria (FI). C'est la coupe très fine
s des autres pour donner un aspect aussi net à l'œil nu. Th. Couche
optique
. Les premières entailles faites dans la partie la
remières entailles faites dans la partie la plus reculée de la couche
optique
apparaissent sur cette planche sous la forme d'un
ortion externe, claire, est la coupe de revêtement blanc de la couche
optique
. Celui-ci se compose de fibres dont la direction
deux tubercules gauche et droit (45, 48). Th. Le thalamus ou couche
optique
(Th), composé de substance grise en dedans, de su
(fig. 46, 47) représente le revêtement blanc du pulvinar de la couche
optique
. Son origine et sa terminaison seront étudiées à
sa terminaison seront étudiées à l'occasion des rapports de la couche
optique
avec l'écorce. COUPES VERT ICO-TRANSVERSALES PA
la face interne de l'hémisphère, les surfaces de section de la couche
optique
(Th, fig. 54) deviennent bien plus larges. Sur la
corps calleux, au-dessus des tubercules quadrijumeaux et de la couche
optique
. Or, si l'on se reporte à la figure 49 (môme plan
de la corne d'Ammon, se prolonger entre la fimbria (FI) et la couche
optique
(Th), et se continuer, sous le corps calleux, ave
parle tubercule quadrijumeau postérieur (QP), en dehors par la couche
optique
(Th), est le prolongement antérieur et médian de
ieu du tapetum (TAF) ; il est dû aussi à l'élargissement de la couche
optique
(Th), qui se porte en dehors à la rencontre du no
é interne (50, 51, 55) commence à être aperçu au-dessous de la couche
optique
(Th, fig. 49, 51) dans la profondeur de la fente
ig. 49, 51) dans la profondeur de la fente de Bichat. Th. La couche
optique
, complètement isolée encore des parties avoisinan
au caudé, pour aller se jeter dans la partie postérieure de la couche
optique
ou pulvinar (Pul). ELI. Le faisceau longitudina
lamus. Le faisceau inférieur (fig. 54), clair au-dessous de la couche
optique
, devient foncé à sa partie externe, où il change
il change de nom ; ses fibres, Projection horizontale de la couche
optique
Th, au niveau de la coupe vertico-transversale 5i
cipitale du ventricule latéral. Iïf, l'ente de Bichat. Th, couche
optique
recouverte en arrière par le stratuin zonale (ZS)
continue le straluni zonale à la partie postero-interne de la couche
optique
est sectionnée, en dehors parallèlement à ses fib
énoïdale et qui contribue à former la racine postérieure de la couche
optique
. Le schéma ci-dessus représente une section horiz
. Le schéma ci-dessus représente une section horizontale de la couche
optique
sur laquelle est indiqué le trait de la coupe ver
ation du stratum zonale (ZS), lorsqu'à la partie externe de la couche
optique
il devient la bandelette sous-optique (BSO). ZO
ndelette sous-optique (BSO). ZO. Le stratum zonale de la bandelette
optique
est cette portion terminale de la bandelette opli
a partie postérieure du pédoncule cérébral gauche (PP), la bandelette
optique
(BO) se continuer avec le corps genouillé externe
I). Entre ces deux noyaux un prolongement des fibres de la bandelette
optique
(TRO) s'étale à la surface du thalamus. Ce prolon
GI) (sidcus intergenicularis) est le stratum zonale de la bandelette
optique
. précédentes. Plus loin, c'est-à-dire plus en a
a corne occipitale. La séparation est due ici à ce fait que la couche
optique
(Th) rejoint le corps strié (NC) à travers la cav
ère, elle se bifurque au niveau de la partie postérieure de la couche
optique
: un prolongement supérieur se porte au-dessus de
e optique : un prolongement supérieur se porte au-dessus de la couche
optique
(Th) et de la fimbria (FI) : c'est la portion fro
fig. 56). Un prolongement inférieur se porte au-dessous de la couche
optique
: c'est la portion sphénoïdale du ventricule laté
portion sphé-noïdale est celle qui communique au-dessous de la couche
optique
avec la fente de Bichat, tout le long de la porti
inférieure du corps calleux; une base formée parla fimbria, la couche
optique
, la bandelette demi-circulaire ou tœnia semi-circ
ulairc : le côté supérieur du quadrangle est représenté par la couche
optique
et ses annexes (corps gcnouillé externe, etc., vo
Le tubercule quadrijumeau antérieur, d'abord indépendant de la couche
optique
sur les premières coupes de cette planche, se con
m zonale qui revêt les faces inférieure et postérieure de la couche
optique
, passe à la face supérieure du tubercule quadriju
rons plus loin. — La fusion du tubercule quadrijumeau et de la couche
optique
s'effectue immédiatement au-dessus et en dedans d
s du tubercule quadrijumeau postérieur (IIQP) se jeter sous la couche
optique
, en dedans du corps genouillé interne. Th. Le t
l'un de l'autre par les fibres de la couronne rayonnante de la couche
optique
(Rth). VF, corne frontale du ventricule latéral
ement à la surface, une démarcation entre le noyau caudé et la couche
optique
(Tse, fig. 59). Substance blanche. ce. Le cor
it, comme nous venons de le dire, la ligne de séparation de la couche
optique
et du corps strié. Elle se compose surtout de fib
roche de la bandelette blanche qui sépare le corps strié de la couche
optique
et que nous avons déjà vue appa raitre sur la p
sales. Projection horizontale de la partie postérieure de la couche
optique
: insertion de la bandelette sous-optique (BSO) a
a direction générale des fibres qui se portent en dehors de la couche
optique
, vers le taenia, que la bandelette sous-optique (
m zonale du pulvinar, mais aussi de la région supérieure de la couche
optique
. — Sur les coupes 59 et 60 la bandelette sous-opt
st souvent dissociée par des fibres transversales venues de la couche
optique
, du corps genouillé et même du'pédoncule cérébral
même dans la substance grise du pulvinar, des fibres de la bandelette
optique
, qui ont franchi le corps genouillé externe sans
On voit (fig. 60) que celles-ci proviennent directement de la couche
optique
(Pul). Un certain nombre d'entre elles passent d'
urs dans le faisceau sensitif externe. Elles ne vont pas de la couche
optique
à ce faisceau horizontalement ; on peut voir (fig
QA. Le tubercule quadrijumeau antérieur, interposé entre la couche
optique
et l'aqueduc de Sylvius, est perdu dans une masse
e du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP). Th. La couche
optique
(61, 62, 65, 64) est représentée par une large ma
x (ce, fig. 65). D'autre part, en bas et en dehors, on voit la couche
optique
former une proéminence (Pul, fig. 65, 66), appuyé
extrémité postérieure de l'ovoïde irrégulier que représente la couche
optique
vue par sa face supérieure. Or, la partie inférie
sensitif interne. L'ensemble de ces fibres constitue, dans la couche
optique
, le système de la couronne rayonnante du pulvinar
nante du pulvinar. Figure schématique représentant les deux couches
optiques
vues par leur face supérieure (Th). Le corps ge
ne (GI) sont vus par transparence à travers la substance de la couche
optique
gauche; on reconnaît de cette façon leurs rapport
connaît de cette façon leurs rapports exacts relativement à la couche
optique
. Ce schéma démontre que le pulvinar s'étend en
rne (GI). ]e sillon se trouve constamment dans l'axe de la bandelette
optique
. ]'est au fond de ce sillon que certaines fibres
que. ]'est au fond de ce sillon que certaines fibres de la bandelette
optique
se portent en arrière d'abord, puis en haut et en
(TRO, fig. 65, 66) représentent le tractus zonalis de la ban-lelette
optique
(Tractus opticus zonalis). NC. Le noyau caudé e
nglion de l'hahénule; 1IAB, habénule; NiC, noyau interne de la couche
optique
. Schéma 94. CL. Le claustrum ou avant-mur (fi
dont les deux côtés sont formés par le tubercule interne de la couche
optique
(NiC) et le ganglion de l'habénule (GH), recouver
e jeter dans la capsule interne, en arrière et en dehors de la couche
optique
. Il est très difficile, comme on peut le concev
majeure partie se porte en dehors et en bas, s'insinue sous la couche
optique
(Th), glisse au-dessus du corps genouillé interne
9). Elles passent alors du côté opposé et se perdent dans la couche
optique
, aux environs du centre médian (vo.y. plus loin).
re qui ont franchi la ligne médiane représentent donc, pour la couche
optique
, l'analogue des bras des corps genouillés interne
e (GI, fig. 65, 66) ; elles représ(intent Texpansion de la bandelette
optique
à la surface du pulvinar (voy. plus haut); ce son
e du pulvinar (voy. plus haut); ce sont des fibres terminales du nerf
optique
, issues de la bandelette optique au moment même o
e sont des fibres terminales du nerf optique, issues de la bandelette
optique
au moment même où celle-ci se divise pour envoyer
ouir avec le stratum zonale sur toute la face supérieure de la couche
optique
. Cela signifie, en d'autres termes, que le tsenia
(LML). Celles-ci paraissent être des fibres rayonnantes de la couche
optique
; il n'en est rien. Les fibres rayonnantes de la
ouche optique ; il n'en est rien. Les fibres rayonnantes de la couche
optique
forment, comme nous le verrons plus loin, le fais
terne (FSe) et le tapetum réfléchi (TAP). Elles viennent de la couche
optique
(Th, fig. 62) et plus spécialement du pulvinar, o
ibres transversales qui forment la striation horizontale de la couche
optique
, depuis la face inférieure jusqu'à la face supéri
seule et même chose, du moins J à la partie postérieure de la couche
optique
. FLl. Le faisceau longitudinal inférieur (fig.
les différences sont, en tout cas, peu considérables. Th. La couche
optique
(fig. 68), sectionnée ici encore tout au voisinag
nterne (NiC, fig. 09, 72) formant le bord supéro-interne de la couche
optique
. Plus en dehors, sera le noyau externe que nous é
ptici intergenicularis. Schéma 101. — Face postérieure de la couche
optique
(Th) et des tubercules quadrijumeaux ' antérieurs
quefois traversé par les fibres de la racine interne de la bandelette
optique
, ou ansa inter-genicularis de Rauber (AI, pl, XXI
es qui constituent les racines antérieure et postérieure de la couche
optique
. Mais ces racines, envisagées isolément, ont un c
fibres venus des racines antérieures et postérieures des deux couches
optiques
s'entre-croisent à ce niveau, il faut croire de d
t nombre de fibres des racines antérieure et postérieure de la couche
optique
vont directement s'y entre-croiser; ou bien que l
lissait une communication immédiate et directe entre les deux couches
optiques
. Les coupes 66 et 67 de notre série verticale sem
pulvinar. 11 établit donc une connexion immédiate entre la bandelette
optique
et le corps genouillé interne. Plus en avant (fig
u corps genouillé interne. ¦ Al. La racine interne de la bandelette
optique
(ansa intergenicularis de Rauber (fig. 68, 71) re
Par conséquent, Vansa intergenicularis renferme à la fois les fibres
optiques
du stratum zonale et celles du corps genouillé in
g. 70) avec le stratum zonale de la convexité supérieure de la couche
optique
(ZS, fig. 71^ 72). Dans sa profondeur, il est en
de fibres obliques, ou presque transversales, au-dessus de la couche
optique
(Th) dont il suit les sinuosités. FSe. Le faisc
deux ganglions de l'iiabénule, vus d'en haut, adliérents aux couches
optiques
par leur face externe et confondus avec la substa
du thalamus (fig. 78) est à l'angle supérieur et interne de la couche
optique
. Il est séparé du noyau externe (NeC, 78) par une
te. Pul. Le pulvinar est, avons-nous dit, cette partie de la couche
optique
qu'on voit proéminer en arrière, dans le carrefou
ù s'opère la fusion du noyau externe et du noyau interne de la couche
optique
. Nous savons, en effet, que les noyaux externe et
yau externe du thalamus (NeC) par la couronne rayonnante de la couche
optique
(Rth, fig. 75), à laquelle il fournit de nombreus
On sait qu'au-dessous de l'habénule, la substance grise de la couche
optique
forme la paroi du troisième ventricule. Le fait q
alors (pl. XXIII, fig. 77, 78), qu'il est enveloppé toujours et de
optique
et rend très évident, sur les coupes verLicales,
ole ; GE, corps genouillé externe ; TC, tuber cinereum ; Cll, chiasma
optique
. Le tractus transversus pedunculi s'étend ici dep
longitudinal postérieur se porte en haut et en dehors, sous la couche
optique
, mais toujours au voisinage de la substance grise
eau, marche directement en avant et se perd, mi-partie dans la couche
optique
môme, mi-partie dans la capsule interne, ainsi qu
largeur; il couvre une moindre étendue de la convexité de la couche
optique
; et, à mesure qu'il perd en largeur, la direction
apsule interne, où il constitue la lame latérale externe de la couche
optique
(LML, fig. 76). Rth. La couronne rayonnante du
uronne rayonnante du thalamus (fig. 75) sort de la masse de la couche
optique
, entre le noyau thalamique externe (NeC, fig. 72)
en dehors et en bas, pour pénétrer dans la lame latérale de la couche
optique
(LML, fig. 78). RGE. La couronne rayonnante du
illé externe, qui vont former la lame médullaire externe de la couche
optique
(LML, fig. 76) ; 3" enfin par les fibres du strat
) ; 3" enfin par les fibres du stratum zonale, qui recouvre la couche
optique
(ZO, fig. 74). On voit, sur les coupes 76 et 77,
-mêmes deviennent foncées et se perdent sur le fond gris de la couche
optique
. NeC. Le noyau externe du thalamus (fig. SI), v
rne, et qui représentent l'extrémité la plus reculée de la bandelette
optique
. Sur les coupes 80, 81, la substance grise devi
Le corps genouillé externe, on le sait, forme au-dessous de la couche
optique
une saillie très notable, ovoïde, allongée dans l
sens sagittal, et très approximativement dans l'axe de la bandelette
optique
qui s'y termine. Or on s'aperçoit que, sur les co
est très régulièrement demi-circulaire; toujours séparé de la couche
optique
et du pédoncule (FM, fig. 83) par les fibres de s
PP, pied du pédoncule ; TM, tubercule juamillaire; cii, chiasma
optique
; QA, tubercule quadrijumeau antérieur ; NR,
ande pinéale. Le schéma représente la partie postérieure do la couche
optique
(Th) et les tubercules quadrijumeaux (QA, QP). Le
dentes. 11 fait une moindre saillie sur la paroi interne de la couche
optique
; il tend de plus en plus à se confondre avec elle
terne passe nettement au-dessous du ganglion, au-dessous de la couche
optique
. Il se confond en dedans avec le frein de l'habén
ule, c'est-à-dire qu'il va courir d'arrière en avant, entre la couche
optique
(Th, fig. 83) et le ganglion de l'habénule (GH),
ompagnent dans la capsule interne la couronne rayonnante de la couche
optique
(Rth, fig. 80). TEG. Le faisceau de la calotte
les fibres du tegmentum se divisent pour se répartir, sous la couche
optique
, AQ, aqueduc de Sylvius; SG, substance grise de
ec les fibres convergentes de la lame médullaire externe de la couche
optique
(LML, fig. 82, 83). Bientôt nous les perdrons de
eynert. Le faisceau de Tiirck-Meynert arrive du pédoncule à la région
optique
, au contact du corps genouillé externe (GE). Sa d
fig. 82) n'occupe plus, strictement, que la face externe de la couche
optique
. Nous avons dit précédemment (Lmd), qu'elle est c
, toujours accompagnée par le tsenia (Ta?., fig. 89). Th. La couche
optique
(fig. 85, 88, 89) augmente d'abord de largeur. C'
amina lateralis (Lmd), qui se perd dans le noyau externe de la couche
optique
(NeC, fig. 87). On comprend que ces bandes concen
s'en faut aussi que leur imbrication soit complète, puisque la couche
optique
n'est abordée par les faisceaux de la calotte que
(GE). RGE, couronne rayonnante du corps genouillé; BO, bandelette
optique
., la lame grise; que ces replis vont en augment
fibres qui tapissent la face inférieure appartiennent à la bandelette
optique
. Ce que l'on peut considérer, à première vue, c
supérieur. Ce faisceau s'épanouit en éventail au-dessous de la couche
optique
, pour aboutir à la limite de celle-ci, dans la la
me médullaire externe (LML), indiquée par la ligne ponctuée. couche
optique
. Ces fibres forment un faisceau bien homogène (CE
; il forme même la limite de séparation de la capsule et de la couche
optique
: c'est au faisceau cérébello-thalamique qu'appar
Monro, s'épanouit en rayonnant dans la substance grise de la couche
optique
: ses fibres postérieures, revenant en arrière, s
elle s'étend de la ligne médiane à la région inférieure de la couche
optique
. Elle est située entre le pédoncule cérébelleux s
apsule interne, c'est-à-dire immédiatement au-dessus de la bandelette
optique
et des corps genouillés externes. appelle dans
sensitif interne. La ligne pointillée indique le contour de la couche
optique
(Th) à travers laquelle les parties décrites sont
ssement correspond aussi à la pénétration des fibres de la bandelette
optique
dans le corps genouillé externe (BOG, fig. 96).
ale à la face supérieure du thalamus. En bas, au-dessous de la couche
optique
, il se confond en grande partie avec la bandelett
ame latérale qu'aboutissent toutes les stries blanches de la couche
optique
; ou, si l'on préiere, c'est de la lame latérale q
, c'est de la lame latérale que partent, pour pénétrer dans la couche
optique
, toutes les fibres corticales du premier système
le que convergent les fibres de l'écorce qui ont pour foyer la couche
optique
. Les fibres de l'écorce sont celles qui ont été g
LN,locus niger de Sœmmering. VM, le ventricule moyen ; Th, la couche
optique
; NC, la tête du noyau caudé ; Cl, la capsule int
audé ; Cl, la capsule interne ; ThA, racine antérieure de la couche
optique
; Rth, sa couronne rayonnante ou racine supérieure
na tegmenti) ; nous savons que ces faisceaux pénètrent dans la couche
optique
par sa face inférieure, s'y répandant en lamelles
erne avec la couche grillagée. La couche grillagée est dans la couche
optique
; la lame médullaire est à sa surface. CI. La ca
dehors sur la face interne de ce noyau. Elle est séparée de la couche
optique
(Th) par la lame médullaire externe du thalamus (
et par la temporale transverse (Tt). A la face interne de la couche
optique
(Th, fig. 94), et entre ce ganglion et le noyau r
é tend à disparaître, est représentée par les fibres de la bandelette
optique
qui se jettent en arrièrc-dans ce noyau (BOG, fig
nt en arrièrc-dans ce noyau (BOG, fig. 96) et aussi par la bandelette
optique
elle-même (BO). Il faut remarquer le rapport étro
xiste toujours, à ce niveau entre la face inférieure de la bandelette
optique
(BO) et la face supérieure de l'uncus. Substanc
cela qu'il y ait entre ce faisceau et la substance grise de la couche
optique
plus qu'un rapport anatoinique. La lame médullair
ne et le noyau interne du thalamus. NiC. Noyau interne de la couche
optique
(fig. 94, 95, 96). NeC. Noyau externe de la cou
a couche optique (fig. 94, 95, 96). NeC. Noyau externe de la couche
optique
(fig. 91, 92). NR. Le noyau rouge de la calotte
e, qu'on peut suivre, quelquefois, plus loin encore sur la bandelette
optique
elle-même. Lorsque les coupes vertico-transvers
la plus antérieure du corps genouillé externe, on voit la bandelette
optique
(BO, fig. 96) faire suite immédiatement à ce noya
e (qui est à la limite du corps genouillé externe et de la bandelette
optique
et qu'on voit, sur la coupe 75, entamée par le si
pparaître une bandelette foncée (CAO) qui s'interpose entre la couche
optique
et lui. Cette bandelette représente un faisceau e
ge de la substance grise de la calotte, et va se jeter dans la couche
optique
dans une région plus antérieure : nous le décriro
continue sans transition avec la lame médullaire externe de la couche
optique
(LML). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur
4, 96) s'insinue, sous la forme d'une lamelle foncée, entre la couche
optique
et la calotte. 11 enveloppe celle-ci dans sa conc
'étend de la région de la calotte à la partie inférieure de la couche
optique
, est une lamelle assez mince de fibres dirigées d
où il double en avant le corps genouillé externe (GE). Bo. Bandelette
optique
finissant d'avant en arrière à la partie inférieu
est bien certain qu'elle les emprunte au stratum zonale de la couche
optique
dans toute l'étendue de la voûte du ventricule sp
e JIQ.g Prolil du corps genouillé ex- terne : BO, la bandelette
optique
arrivant en arrière, au corps genouillé externe (
acé par la commissure antérieure et la racine inférieure de la couche
optique
(voy. pl. XXVIf, fig. 100, 101). CI. La capsule
dullaire externe du thalamus les sépare du noyau externe de la couche
optique
(NeC). La capsule interne (fig. 91, 95) reçoit
sule interne (Cl) en dedans du noyau lenticulaire (NLe). Th, couche
optique
; PAR, faisceau parallèle ; F', F*, F', les t
lotte au tlialanuis pénètrent dans les différents noyaux de la couche
optique
de bas en haut directement, sans prendre le chemi
e formée à sa face inférieure par le tubercule antérieur de la couche
optique
(NaC, tig. 101, 102). La corne sphénoïdale, tra
postérieure du noyau amygdalien (NA, fig. 102), et par la bandelette
optique
sus-jacente à l'un-cus (Une). Substance grise.
faisceau de la calotte (TEG) s'étale transversalement sous la couche
optique
, jusqu'au voisinage de la ligne médiane, dont il
atement en avant et au-dessus du locus niger, au-dessous de la couche
optique
, en dehors du noyau rouge, en dedans et au-dessus
rement en avant et en dedans, parallèlement à la direction du tractus
optique
. Le plan équatorial de la lentille est lui-même i
rmis n'est relié par aucune traînée de substance grise avec la couche
optique
, ni môme avec le noyau rouge de la calotte. Il es
is nous savons que lorsqu'elles sont arrivées au-dessous de la couche
optique
pour former une bonne part de la lame médullaire,
il n'est pas en contact immédiat avec la substance grise de la couche
optique
. Il en est séparé par une mince lamelle blanche v
perd préalablement dans la lame médullaire externe. BO. Bandelette
optique
(fîg. 98, 101). LFP. Le faisceau longitudinal p
es se portent, de dedans en dehors, à la face inférieure de la couche
optique
(Th), où elles se perdent. Sur foules les coupes
ion (ou couronne rayonnante) au-dessus du noyau rouge, sous la couche
optique
(voy. pl. XXY, fig. 90). Nous n'y reviendrons plu
entricule spliénoïdal : ~ BO, section transversale de la bandelette
optique
; BSO. bandelette sous-optique. remarquera ég
e la bandelette sous-optique Thl. La racine inférieure de la couche
optique
que nous voyons apparaître pour la première fois
oïdal; 2" l'espace perforé antérieur; 5° la face interne de la couche
optique
. Si l'on voulait indiquer grossièrement sa direct
licn; CA, commissure antérieure ; Thl, racine inférieure de la couche
optique
. partir de l'écorce de la circonvolution de l'h
roisième portion, verticale appartient à la face interne de la couche
optique
, où elle contribue à former le slratum zonalc de
après lui, le nom de racine inférieure ou racine interne de la couche
optique
. Le nom de racine inférieure est de beaucoup le m
is elle passe au-dessous de ces faisceaux, au-dessus de la bandelette
optique
(BO, fig. 101). C'est dans cette partie de son tr
T) s'étale de dehors en dedans jusqu'au bord externe de la bandelette
optique
(BO). Il représente, au voisinage du pied du pédo
interne qui passe du pédoncule dans le centre ovale, entre la couche
optique
et le noyau lenticulaire. Lorsqu'on étudie le cer
stérieur (CID). Quand la coupe intéresse, en même temps que la couche
optique
, les deux seuls noyaux externes du noyau lenticul
r antérieur; Cl', commissure postérieure s'enfonçant dans la couche
optique
. rieure, car à partir du moment où la commissur
sule est interposée non plus entre le noyau lenticulaire et la couche
optique
, mais entre le noyau caudé et le noyau lenticulai
alamus (fig. 97, 98, 99) termine en dessous et en dehors de la couche
optique
tous les faisceaux de la calotte que nous avons é
ntes il s'ouvrait dans cette fente, juste au-dessous de la bandelette
optique
(BO, fig. 98). NA. Le noyau amygdalien, situé a
obule de l'hippocampe. Enfin, en haut, il est séparé de la bandelette
optique
(BO, fig. 108) par la fente de Bichat. Par places
at. Par places, la séparation du noyau amygdalien et de la bandelette
optique
est incomplète, et il n'est pas impossible que
e. Nous venons de signaler ses étroites connexions avec la bandelette
optique
. Il en présente de non moins étroites avec la rac
le, il reçoit à sa face inférieure, adhérente à la masse de la couche
optique
, le faisceau de Vicq-d'Azyr (FVA, fig 108, voy. p
e et de petite ceinture. L'irradiation du stratum zonale de la couche
optique
est le type de cet encapsulemcnt des masses grise
nd de l'insula (voy. pl. XXIX). Substance blanche. BO. Bandelette
optique
(104, 105, 106, 107). PY. Le pont de Varole (fi
us avons vu se confondre avec la lame médullaire externe de la couche
optique
(LML), n'est plus reconnaissable ici. Toutefois o
i. Il s'est épuisé, comme nous l'avons vu, d'une part, dans la couche
optique
, au-dessus du faisceau tegmento-thalamique (CAO,
au pyramidal (fig. 105, 106) est sectionné au-dessus il la bandelette
optique
(BO) ; tout le pied du pédoncule est repré ciil
de plus en plus nombreuses à la lame médullaire externe de la couche
optique
(fig. 104, 106); les fibres les plus internes s'e
semble s'étendre beaucoup plus loin que précédemment entre la couche
optique
(ThA) et le noyau lenticulaire GLM (fig. 108). En
halamus (fig. 106) et en hauteur vers la substance grise de la couche
optique
. Sur la coupe 108, le faisceau rubro-thalamique (
aisceau capsulairc (MF) est un ensemble de fibres venues de la couche
optique
en convergeant vers le discus lentiformis (DL). 1
girait de savoir avec quelque précision de quelle partie de la couche
optique
descend le faisceau capsu-laire. Nous ne pourrion
er dans le thalamus (Th) en formant la racine antérieure de la couche
optique
(ThA), et le faisceau d'Arnold (AU). Le segment
l et unique faisceau, disposé en lamelle à la périphérie de la couche
optique
et séparant celle-ci de la capsule interne. C'est
ne médiane avec le pédoncule cérébelleux du côté opposé ; Tli, couche
optique
; NC, noyau caudé; NCC, queue du noyau caudé; NLe,
tion des faisceaux de la calotte dans la capsule interne et la couche
optique
. du genou delà capsule (Gci), elle est représen
sa face libre dans la cavité vcntriculaire. De cette façon, la couche
optique
pourra être envisagée comme un noyau presque abso
ispensable de remarquer qu'ils forment la limite externe de la couche
optique
, exclusivement dans l'étendue de la face externe
former le faisceau d'Arnold (AR) et la racine antérieure de la couche
optique
(ThA). 11 ne faudrait pas admettre comme absolu
rticipent à la formation de la lame médullaire externe de la couche
optique
. Ces faisceaux, en effet, ne sont pas rangés dans
thalamus (Th). où ils forment la lame médullaire externe de la couche
optique
(LML). comporte une figure destinée à une démon
le discus lentiformis (DL). ThA. La racine antérieure de la couche
optique
, située immédiatement au-dessus du faisceau capsu
pinceaux superposés, issus de la lame médullaire externe de la couche
optique
(LML). On voit cette formation apparaître immédia
ent le genou de la capsule interne. La racine antérieure de la couche
optique
est constituée par des fibres du segment antérieu
et se terminent dans la substance grise du noyau externe de la couche
optique
(NeC, fig. 107) ; à la fin de ce trajet, elles de
les fibres les plus postérieures de la racine antérieure de la couche
optique
se continuer avec le faisceau tegmento-thalamiquc
llaires, auxquels on a donné le nom de racine antérieure de la couche
optique
, ne permet pas de considérer un pareil ensemble d
r des lames, dans le plan de section vcrtico-transversal de la couche
optique
. Une division en tout cas s'impose, attendu que l
n en tout cas s'impose, attendu que la racine antérieure de la couche
optique
, sur des coupes un peu plus antérieures, est mani
on peut réserver la dénomination de racine antérieure de la couche
optique
(ThA). BSO. La bandelette sous-optique (fig. 10
l'extrémité supérieure de ce faisceau, à la face interne de la couche
optique
, en Schéma 161. — Face interne de l'hémisphère
e (TM), en haut et en dehors vers le tubercule antérieur de la couche
optique
; ThI, racine inférieure du thalamus, provenant de
es du noyau lenticulaire (MLE, MLI). NC, noyau caudé ; Tb, couche
optique
; PUT, putamen ; ANL, anse du noyau lenticula
q-d'Azyr (FVA). Il remonte vers le tubercule antérieur de la couche
optique
(NaC), séparé de la substance grise intra-ventric
se terminer à la face inférieure du tubercule antérieur de la couche
optique
(NaC). On le voit apparaître sur la coupe 105 au-
à la capsule blanche sous-jacente au tubercule antérieur de la couche
optique
(corpus album subrotundum, NaC), et plus spéciale
ns, il est séparé du ventricule par la racine inférieure de la couche
optique
. Nous verrons dans un instant la raison de la col
110, 111, 115); accolée à l'anse du noyau lenticulaire, la bandelette
optique
(BO, fig. 112,115) s'enfonce comme un coin entre
thalamus (fig. 110) est toujours celui des trois noyaux de la couche
optique
dont les limites sont le plus nettement tranchées
ieur du thalamus. Au voisinage de l'extrémité antérieure de la couche
optique
, le noyau externe est rempli, en quelque sorte, p
après s'être infléchi sur lui-même, remonterait (FVA) vers la couche
optique
. été tiraillée, les éminences mamillaires se to
faisceau compact qui se jette dans le ganglion antérieur de la couche
optique
. Vicq-d'Azyr croyait que le pilier antérieur du t
chéma 171, 4), et un externe et 1, tubercule antérieur'de la couche
optique
; 2, pilier antérieur du trigone; 5, 5, substanc
tubercule mamillaire ; 6, fibres du pilier se jetant dans la couche
optique
sans s'arrêter au tubercule mamillaire; 7, libr
se porter dans la substance grise du tubercule antérieur de la couche
optique
(1) sans s'arrêter, ni au ganglion interne ni au
ue, le cerveau étant placé sur sa convexité, on soulève la bandelette
optique
de façon à la détacher de l'hémisphère depuis le
orme de rigole plus ou moins profonde, et dans laquelle la bandelette
optique
est logée ; cette rigole est censée correspondre
e correspondre à un cordon de fibres, qui, accompagnant la bandelette
optique
jusqu'au chiasma, formerait une anastomose conimi
anastomose conimissurale, en fer à cheval, située entre la bandelette
optique
et le pédoncule. Ce prétendu cordon sous-jacent à
titudes à relever. D'abord il est absolument rare que la bandelette
optique
repose sur les fibres qu'on a désignées sous le n
res qu'on a désignées sous le nom iïanse pédonculaire : la bandelette
optique
est en dedans et non pas au-dessous de l'anse; el
et par conséquent il n'est pas nécessaire de détacher la bandelette
optique
pour voir l'anse : bien au contraire, il est préf
sera celle-ci de ses plexus, et l'on verra, en dehors delà bandelette
optique
, s'étendre parallèlement à sa courbure la zone bl
72) à la racine inférieure du PP, pied du pédoncule; BO, bandelette
optique
; EPA, espace perforé antérieur; ANE, situation et
me grise; la lame blanche inférieure (ThI) superposée à la bandelette
optique
(BO) vient du lobe temporal et va, en avant, se j
(BO) vient du lobe temporal et va, en avant, se jeter dans la couche
optique
(Th) ; là seulement elle se divise en deux couche
joindre le tuber cinereum (TC) en avant et au-dessus de la bandelette
optique
. Celle-ci adhère à la face supérieure du crochet
me épaisseur : le maximum répond exactement au point où la bandelette
optique
devient adhérente au lobule de l'hippocampe. Qu
lenticulaire, située au-dessus, et la racine inférieure de la couche
optique
, située au-dessous. Dans ce trajet, qu'il est fac
se rend mal compte de ses rapports véritables si on ne CU, chiasma
optique
; TC, tubcr cinereum ; TM, tuber mamillaire; PV,po
figure) ; GE, corps genouillé externe, à l'extrémité de la bandelette
optique
; FG, faisceau géniculé formant le bord le plus in
CL. Le claustrum (fîg. 114). Substance blanche. BO. La bandelette
optique
(lig. 110, 112, 113) se rapproche progressivement
antérieures. Elle est située immédiatement au-dessus de la bandelette
optique
(BO, 112, 113) et représente la portion la plus a
les du faisceau d'Arnold, celles de la racine antérieure de la couche
optique
. La section intéresse en effet la région de la ca
en dehors; le faisceau d'Arnold et la racine antérieure de la couche
optique
se dirigent en arrière et en bas. De cet entre-cr
t claires et démonstratives. ThA. La racine antérieure de la couche
optique
dirigée d'avant en arrière, frêle la face externe
interne (ThA") qui contribue à former le stratum zonale de la couche
optique
entre le noyau antérieur et le noyau interne ; il
les ramifications terminales de la racine infé- ricure de la concho
optique
(ThT), mais elles n'arrivent pas jusqu'à la surfa
res (AR, fîg. 109), sous-jacentes à la racine antérieure de la couche
optique
(ThA) et insensiblement confondues avec cette der
t de bas en haut jusqu'au-dessous du tubercule antérieur de la couche
optique
(NaC) et se porte à sa face externe (fig. 110); l
d'Azyr est croisé par les fibres de la racine inférieure de la couche
optique
(ThI). Sur la fig. 112, une partie de ses fibres
se termine en grande partie dans le tubercule antérieur de la couche
optique
, mais non sans avoir préalablement abandonné une
haut et en dedans, au-dessus du noyau amygdalien, vers la bandelette
optique
(BO), mais elles passent au-dessus de la bandelet
andelette optique (BO), mais elles passent au-dessus de la bandelette
optique
sans s'y arrêter (fig. 113, 114); elles sont, dan
reum, sur cette dernière coupe, est intimement accolé à la bandelette
optique
(RO), qui a cessé d'adhérer au lobule de l'hippoc
du ventricule latéral, après que le tubercule antérieur de la couche
optique
a disparu, augmente tout à coup de hauteur. La ma
cinereum (TC, fig. 119, 120), à laquelle est accolée la bandelette
optique
(BO, fig. 120). Substance blanche. BO. La ban
ette optique (BO, fig. 120). Substance blanche. BO. La bandelette
optique
se rapproche du tuber cinereum (TC, fig. 117, 119
é en dedans par le tuber cinereum (TC) et en dehors par la bandelette
optique
(BO). Sur la coupe 116 il est, en quelque sorte,
fibres transversales, situé immédiatement au-dessus de la bandelette
optique
(BO), immédiatement au-dessous du globus medialis
du faisceau capsulairc et de la lame médullaire latérale delà couche
optique
(voy. MF et LML, pl. XXIX). Ces deux faisceaux ne
taenia (Òàç, fig. 117, 118). ThA. La racine antérieure de la couche
optique
(fig. 115 et suiv.) se présente sous l'aspect d'u
ternes de ce faisceau qui se rendent dans cette partie de la couche
optique
. Les plus externes, ainsi que nous l'avons vu sur
old. Mais plus en avant Schéma de la racine antérieure de la couche
optique
sur une coupe horizontale. NC, noyau caudé; NLe,
upe horizontale. NC, noyau caudé; NLe, noyau lenticulaire; Th, couche
optique
; CI, capsule interne (Segment postérieur). T
e interne (Segment postérieur). ThA, racine antérieure de la couche
optique
formant un seul faisceau dans le segment antérieu
x, un antérieur et un postérieur dans la substance grise de la couche
optique
. AR, faisceau d'Arnold accompagnant les fibres ex
lus, la racine antérieure (ThA) et la racine postérieure de la couche
optique
(ThP) sont au contact l'une de l'autre ; la racin
mêlant ses fibres avec celles de la racine antérieure de la couche
optique
(ThÀ, fig. 116, 117 et suiv.). La masse des fib
si que le faisceau d'Arnold (AR) et la racine antérieure de la couche
optique
(ThA) forment ensemble une grande masse fibreuse
convexité antérieure (fig. 118), et la racine inférieure de la couche
optique
(ThI) remplace, au-dessous de l'hippocampe, la ba
res vasculaires de la substance cérébrale, en dehors de la bandelette
optique
(BO). Ici encore la coloration du faisceau est un
ette figure, n'atteint plus en dedans la substance grise de la racine
optique
moyenne ; la racine inférieure du thalamus se dév
endant de la voûte (DF) et pénètre dans le noyau interne de la couche
optique
. Nous savons que ses fibres se reportent alors, d
erminaison (ou de son origine) dans la région antérieure de la couche
optique
. NC, noyau caudé ; NaC, tubercule antérieur du
au de Vicq d'Azyr) allant aboutir au tubercule antérieur do la couche
optique
(NaC). ThI, la racine inférieure du thalamus ar
fibres de la racine inférieure du thalamus se relèvent vers la couche
optique
, après avoir traversé l'espace perforé antérieur,
au caudé (NC). ce, corps calleux ; TRI, trigone cérébral ; Th, couche
optique
; R.NC, couronne rayonnante du noyau caudé dont l
pect d'une lamelle blanche étalée à la surface convexe de la couche
optique
; cette lamelle se porte de haut en bas et de deh
de ses fibres, se termine en haut, entre le noyau caudé et la couche
optique
. Elle forme ici le faisceau le plus interne du se
PLANCHE XXXI coupes vertico-transversales passant par le chiasma
optique
et la commissure blanche antérieure. Écorce.
e a divisé la lame terminale (LAT, fig. 125), qui surmonte le chiasma
optique
(Cil). Enfin, en dehors du chiasma, s'étend hor
eau frais. C'est là que se perdent les fibres médianes des deux nerfs
optiques
. C'est de là que s'élève, vers la commissure, la
faisceau ou de lame isolée. ThA. La racine antérieure de la couche
optique
(fig. 121, 122, 125, 125, 126) forme la partie la
taenia (fig. 121), parvenues en avant du noyau antérieur de la couche
optique
(qui n'est plus visible sur les coupes de cette p
stratum zonale (ZS) pour pénétrer dans le noyau interne de la couche
optique
et se mêler aux fibres de la racine antérieure (T
chée avec la capsule externe (CE, fig. 124, 126). BO. La bandelette
optique
(fig. 121) arrive sur la ligne médiane au chiasma
ique (fig. 121) arrive sur la ligne médiane au chiasma. CH. Chiasma
optique
(fig. 122, 125) adhère par sa face supérieure ave
r aucune connexion avec l'écorce de Sylvius. GBO. Le ganglion basai
optique
est un petit groupe de cellules, à peine visible
'œil nu, qui se trouve immédiatement en avant et au-dessus du chiasma
optique
(fig. 128). On ne le distingue pas encore sur la
ubstance grise de la lame terminale (LAT) au-dessus du ganglion basai
optique
(GBO, 128). ANL. L'anse du noyau lenticulaire (
) n'est plus représentée que par la racine antérieur(3 de la couche
optique
, prolongée en haut par la couronne rayonnante du
de dedans en dehors et d'arrière en avant au-dessus de la bandelette
optique
(BO). Celle-ci est divisée horizontalement, au pl
première coupe, se trouve à l'extrémité postérieure de la bandelette
optique
(BO) ; il est séparé du corps genouillé interne (
pédoncule aborde l'hémisphère au-dessus et en dedans de la bandelette
optique
(BO). 11 se compose de deux ordres de fibres, les
nticulaire est limitée en dedans et en bas (fig. 2) par la bandelette
optique
(BO) ; en dehors par la commissure antérieure (CA
lc, se réfléchit en arrière, immédiatement au-dessus de la bandelette
optique
. On peut voir cette réflexion s'effectuer sur la
éflexion s'effectuer sur la coupe 3, aussitôt après que la bandelette
optique
a disparu. Cin. Le cingulum(fig. 3), adjacent à
s la substance grise de la base (fig. 2), puis, de là, dans la couche
optique
. Mais alors ses fibres, devenues verticales, pren
interne du thalamus pour constituer le noyau postérieur de la couche
optique
(NpC). NmC. Le centre médian, situé juste au de
rise où se confondent les deux noyaux interne et externe de la couche
optique
, au-dessus du centre médian. Il en a été déjà que
où ceux-ci entrent en connexion avec la face inférieure de la couche
optique
. FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (fig.
pas ; il contribue à former la lame médullaire latérale de la couche
optique
(LML). LML. La lame médullaire latérale de la c
couche optique (LML). LML. La lame médullaire latérale de la couche
optique
, très franchement claire au-dessus du discus lent
postérieur du thalamus appartient à la région inférieure de la couche
optique
(fig. 7). Il n'est donc plus visible sur les coup
nant au même système, les fibres de la racine antérieure de la couche
optique
(ThA) qui, venues du segment antérieur de la caps
térieure du thalamus pénètre dans le noyau externe (NeC) de la couche
optique
, où elle se croise avec la racine inférieure (Thï
t, le tsenia pénètre dans l'intervalle du corps strié et de la couche
optique
, tout au voisinage du pilier antérieur du trigone
c'est-à-dire qu'il occupe seulement la région supérieure de la couche
optique
. D'abord allongé, fusiforme (fig. 10), il est lim
ent. Enfin, sur une coupe plus supérieure encore (fig. 12), la couche
optique
n'existe plus. Le plan de section n'intéresse que
tact de la lame médullaire et se perd ainsi à la surface de la couche
optique
, au voisinage du taenia. FSe. Le faisceau sensi
en avant par le bras du pulvinar (BP). Les autres noyaux de la couche
optique
sont situés au-dessus de la coupe. La section n'i
eur de la capsule interne (CIA) à l'extrémité antérieure de la couche
optique
(Th). Cette coupe, en efl'et, pratiquée à un cent
du segment antérieur de la capsule (CIA), s'enfoncent dans la couche
optique
sous la forme de deux faisceaux diffus, l'un exte
g. 3 et 4) avec la substance grise qui limite en dehors la bandelette
optique
(BO) et qui fait partie de la masse du tuber cine
fig. 5) est entamé par la section dans le plan même de la bandelette
optique
, qui se trouve ainsi décollée, séparée de ses adh
ngénères par l'incision sagittale interhémisphérique. La bandelette
optique
(BO) se dirige, à partir du chiasma, d'avant en a
a été pratiqué tangentiellement à la face inférieure de la bandelette
optique
(BO) au niveau où celle-ci passe au-dessous du pi
ce niveau, l'écorce revêt le lobule de l'hippocampe, et la bandelette
optique
, fortement adhérente à ce lobule, confond ses fib
Le trait de section passe juste au milieu de la racine grise du nerf
optique
. Cette racine grise est en continuité, au-dessus
ine grise est en continuité, au-dessus du chiasma, avec la bandelette
optique
(BO) et se confond avec le tuber cinereum (TC).
éresse que le lobe sphénoïdal; elle passe au-dessous de la bandelette
optique
. La figure représente le segment inférieur de l'h
a corne d'Ammon avec le noyau amygdalien, au-dessous de la bandelette
optique
. La section horizontale de la corne d'Ammon au-de
icale de l'uncus, au-dessus, au milieu et au-dessous de la bandelette
optique
. La figure 4 fait voir sous un nouvel aspect la d
e avec lui. Enfin, sur la quatrième coupe (qui divise la bandelette
optique
(BO) au devant du corps genouillé externe), le fa
AI. Ansa intcrgenimlarls de Rauber, racine interne de la bandelette
optique
. ALY. Alveus. ANC. Anse du noyau caudé. ANL. An
Bf. Fente de Bichat. BGI. Bandelette de Giacomini. BO. Bandelette
optique
, tractus opticus. BOG. Fibres de la bandelette
. Bandelette optique, tractus opticus. BOG. Fibres de la bandelette
optique
destinées au corps genouillé externe. BOZ. Fibr
destinées au corps genouillé externe. BOZ. Fibres de la bandelette
optique
allant au stratum zonale du pulvinar. BP. Bras
lum, ergot de Morand. CAM. Corne d'Anmion. CAO. Fibres de la couche
optique
allant à la calotte ou inversement, faisceau te
CEO. Fibres du pédoncule cérébelleux supérieur allant à la couche
optique
, faisceau cérébello-thalamique. CEP. Crête épendy
es Allemands). CGE. Capsule du corps genouillé externe. CH. Chiasma
optique
. CI. Capsule interne. CIA. Segment antérieur
, fasciculus reiroflexus (Meynert). FS. Faisceau sensitif, faisceau
optique
, lame des radiations optiques. FSe. Faisceau se
nert). FS. Faisceau sensitif, faisceau optique, lame des radiations
optiques
. FSe. Faisceau sensitif externe. FSi. Faiscea
ticulaire. GAQ. Substance grise de l'aqueduc. GBO. Ganglion basai
optique
. GC. Genou du corps calleux. Gci. Genou de la
lamique. NLe. Noyau lenticulaire. NmC. Centre médian (Luys). NO. Nerf
optique
. NpC. Noyau postérieur du thalamus. NR. Nudeu
onne rayonnante du corps genouillé interne. RGO. Racine grise du nerf
optique
. RGP. Couronne rayonnante du globus pallidus et
u splenium. Rth. Radialio thalami, couronne rayonnante de la couche
optique
. RTP. Recessus du tubercule quadrijumeau postérie
pique ou incisures métopiques. SMT. Stries médullaires de la couche
optique
. SO. Sillon opto-strié. soe» Sillon orbitaire
du pédoncule. Tf. Tubercule du fascia dentata. Th. Thalamus, couche
optique
. ThA. Racine antérieure ou pédoncule antérieur
zonale du ganglion de l'habénule. ZO. Stratum zonale de la bandelette
optique
. ZS. Stratum zonale. ZSQ. Stratum zonale des tu
x Bandelette diagonale (psp)..............x, xxiv, 415 Bandelette
optique
(BO).................vu, 195 Bandelette sous-op
76, 241 Centre ovale (CO)...............xvn, 71, 258, 418 Chiasma
optique
(GH). . ,................. iv Cm^rM/wm (de Burd
)........ 218 Couche grillagée (CG)................... 552 Couche
optique
(Th).................... xx Couronne rayonnante
105 Faisceau occipital vertical (FOV)............... 97 Faisceaux
optiques
(voy. Faisceau sensitit)........... 71 Faisceau
ées profondes du bulbe (FAI)...........PL V Fibres de la bandelette
optique
destinées au corps genouillé externe (DOG).....
.................. 284, 290 Fibres de la calotte allant à la couche
optique
(CAO)....... 297 F'ibres directes de la couche
Gaine de la commissure antérieure.............. 347 Ganglion basai
optique
(GBO)................ 410 Ganglion de la capsul
he de la corne d'Ammon (LMA)...... . . . . . 445 Lame des faisceaux
optiques
(voy. Faisceau sensitif)....... 71 Lame festonn
.........yui, 309 Nerf olfactif (OL)...................... x Nerf
optique
(NO)..................... vu Noyau amygdahen (N
ygdahforrae (DL).................. 511 Noyau antérieur de la couche
optique
(NaG)......... 69, 557 Noyau caudé (NG)........
oncule cérébelleux supérieur (portion postérieure aHant à la couche
optique
), (CEO)................. xni Pédoncules de la g
. . . . . . . . . . . . . lxxix R Racine antérieure de la couche
optique
(ThA)....... 545, 567 Racine descendante du tri
descendante du trijumeau (DY)............. 251 Racine grise du nerf
optique
(voy. CH)............. 406. Racine supérieure d
thalamus (Thl)........520, 522, 544 Racine interne de la bandelette
optique
(Al).......... 252 Racine olfactive externe (OL
5 Radiatio inferior puiaminis (RIL)............... 372 Radiations
optiques
(FS)................... '^1 Radiatio nuclei cau
(tec).................... 174 Tractus opticus (BO) (voy. Dandelette
optique
).......vu, 195 Tractus opticus zonalis (TBO)...
e (ZS)............... xxi, 192, 599 Stratum zonale de la bandelette
optique
(ZO].......... 195 Stratum zonale du corps geno
culaire. FIBIIES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 3 la couche
optique
, les corps genouillés, les tubercules quadrijumea
paraissent à l'extérieur de l'encéphale au-dessous de la bandelette
optique
; elles constituent la voie pédonculaire (VP), o
us-orbitaire. - T,, première circonvolution temporale. - Th, couche
optique
. - ï'.7n, pilier antérieur du trigone. - llle, tæ
'/7/, faisceaux radiculaires de la troisième paire. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. -
ecta. - Tg, trigone. - Tgp. pilier postérieur du trigone. - Th, coupe
optique
(thalamus). - 11ft, ttpliia thalamii. Tp, circo
ricule latéral. - Zn, zone réticulée ou grillagée. - 11, bandelette
optique
. - III, troisième paire. Sa direction ver- ti
rieur et envoie ses fibres dans le segment postérieur ou lenliculo-
optique
de la capsule interne (Fig. 7) et de là dans le p
marginal postérieur de l'insula. - Na, noyau antérieur de la couche
optique
. - SC, noyau caudé. - \'C', queue du noyau caud
udé. - \'C', queue du noyau caudé. - Se, noyau externe de la couche
optique
. - VL2, VL3, deuxième et troisième segments du
du ventricule latéral. - ncl, pli cunéo-limbique. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sg
orne occi- pitale. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche
optique
. sl),z, stratum zonale de la couche optique. -
triculaire de la couche optique. sl),z, stratum zonale de la couche
optique
. - 1 ? 7 ? première et deuxième circonvolutions t
- meau antérieur. - 7 ! m, ruban de Itcil médian. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - SgAg, substance grise de l'aque
ius, - SR, substance réticulée. - slrz, stratum zonale de la couche
optique
. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - U, circon
ci. - xli, entre- croisement de la calotte de Meynert. ? bandelette
optique
. - Ill, filets radiculaires de la troisième pai
sur les coupes horizontales obliques et parallèles à la bandelette
optique
(Fig. 12, 31, 32, et T. 1 ? Fig. 325), on les v
izontal de l'hémisphère; celles du segment postérieur ou lenliculo-
optique
(Cip) s'irradient suivant le plan vertico-transve
t postérieur (Cip) à la façon d'un coin et de la forme de la couche
optique
dont le pulvinar refoule le segment rétro-lenti
interne en deux régions, l'une supérieure en rapport avec la couche
optique
région thalamique de la capsule interne Cip(th)
intillées. Une troisième ligne pointillée passant sur la bandelette
optique
établit les limites de la région sous-optique d
du trigone. - Th, thalamus. - IV, zone de Wernicke. - II, bandelette
optique
. Bibliothèque des Internes en Médecine de la
irconvolution du crochet. l'l, ventricule latéral. - II, bandelette
optique
. ment d'une même ligne, oblique en arrière et e
enticulaire, et convergent vers l'extrémité antérieure de la couche
optique
dans laquelle elles s'irradient. Les moyennes s
onnent le tronc du noyau caudé ou la partie supérieure de la couche
optique
, les segments antérieur (Cia) et postérieur (Ci
nales, et pénètrent toutes dans l'extrémité antérieure de la couche
optique
en constituant les fibres radiées. Sur les coup
ées. Sur les coupes qui intéressent le tiers inférieur de la couche
optique
(Fig. 22), l'on voit à découvert l'extrémité an
marginal postérieur de l'insula. - Na, noyau antérieur de la couche
optique
. - NC, tète du noyau caudé. - \'C' queue du noy
caudé. - \'C' queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche
optique
. Ni, noyau interne de la couche optique. -VLj,
noyau externe de la couche optique. Ni, noyau interne de la couche
optique
. -VLj, deuxième segment du noyau lenticulaire. -
t du noyau lenticulaire (putamen). - Vm, centre médian de la couche
optique
. - PaTh, pédoncule antérieur de la couche optique
dian de la couche optique. - PaTh, pédoncule antérieur de la couche
optique
. - pCR, pied de la couronne rayonnante. l'ul, p
pied de la couronne rayonnante. l'ul, pulvinar. - ItTle, radiations
optiques
de Gratiolet. - si, sillon opto- strié. - Sl, s
o- strié. - Sl, septum lucidum. - slm, stratum zonale. - Th, couche
optique
. - T,, première circonvolution temporale. - pre
ts du noyau lenticulaire. J'a Th , pédoncule antérieur de la couche
optique
. - Tga, pilier antérieur du trigone. 7'li, thalam
nt du noyau lenticulaire. - R, scissure de Rolando. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. Sg
tecta. - 1'oa, pilier antérieur du trigone. - Th, thalamus (couche
optique
). - U, circonvolution du crochet. - l'l, ventricu
al. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - Il, bandelette
optique
. postérieure du segment antérieur (Cia). Dans l
ffer, Fig. 116 à 122, p. 133). 2. Segment postérieur ou lenticulo -
optique
de la capsule interne (Cip). Fig. 7, 13, 1 li.,
de la couronne rayonnante. - PiTh, pédoncule inférieur de la couche
optique
. - l'ul, pulvinar. - Qa, tubercule quadrijumeau
tions de la calotte. - Rm, ruban de Iteil médian. - Iil'h, radiations
optiques
de Gra- tiolet. - Sge, substance grise sous-epe
I', zone de Wernicke. - Zi, zona incerla de Forel. - 11, bandelette
optique
. Les fibres du segment postérieur (Cip) apparti
putamen (NLj), puis descen- dent entre la face externe de la couche
optique
(Th) et les trois segments du noyau lenticulair
coupes horizontales qui passent par le tiers supérieur de la couche
optique
(Fig. 13, 20), sont très accusées sur celles qui
rck vus sur une coupe horizontale oblique parallèle à la bandelette
optique
. Méthode de Weigert (voy. explication de cette co
uperficielle (1), moyenne (2) et profonde (3). - li1'lz, radiations
optiques
de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc
, substance grise de l'aqueduc de Sylvius». - Th, tlialamus, couche
optique
. - l'ol, tubercule ou trigone olfactif. - U, circ
tion du crochet. - Il', champ de Wernicke. - xll, chiasma des nerfs
optiques
. Zr, zone réti- culée ou grillagée du pulvinar.
es. Zr, zone réti- culée ou grillagée du pulvinar. - 11, bandelette
optique
. - III, libres radiculaires de la troisième pai
I, ventricule latéral. - Vsph, sa corne sphénoïdale. II, bandelette
optique
. - III, nerf moteur ocu- laire commun. dans l
fibres; sur les coupes passant par le tiers inférieur de la couche
optique
et la région sous-thalamique (Fig. 24), le segm
érieur (Qa). Ces fibres forment dans leur en- semble les radiations
optiques
de Gratiolet (ftTly, ou faisceau visuel cortical.
ment postérieur de la capsule interne (Cip), puis avec la bandelette
optique
(II) dont le séparent le ténia semi-circularis
rconvolution du crochet. - I'P, voie pédon- culaire.-11. Bandelette
optique
. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 43
d de la couronne rayonnante. - PiTh, pédoncule inférieur de la couche
optique
. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur.- RC, r
meau antérieur.- RC, radiations de la calotte. - lt1'le, radiations
optiques
de Gratolet. - Sole, substance grise centrale. -
le du ventricule latéral. - T'l, ventricule latéral. - 11, bandelette
optique
. FiG. 29. - Le segment sous-lenticulaire de la
hénoïdale du ventricule latéral. Zr, zone réticulée. - JI, bandelette
optique
. - III, nerf moteur oculaire commun. Il résul
ns de ta calotte. 7 ? ruban de Reil médian; 7 ? région de la couche
optique
située immé- diatement en avant du corps genoui
. - VSph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - II, bandelette
optique
. compact, à surface de section ovalaire sur les
r. Sur les coupes horizontales obliques, parallèles à la bandelette
optique
, (fin. 12, 31, 32, cas Courrière et Bras, Fig,
u temporo-thalamique ne relie donc pas le pôle temporal à la couche
optique
. L'étude des dégénérescences secon- daires nous
ied du pédoncule, la déli- mitation étant établie par la bandelette
optique
. La surface de section du pied du pédoncule déc
tes à sa partie interne. Sur les coupes voisines de la bandelette
optique
, la partie antérieure et interne du pied du péd
al. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. If, bandelette
optique
. FIG. 34. - Le pied du pédoncule cérébral, ses
drijumeau postérieur. - Rm, ruban de Heil médian. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aquedu
yr. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - II, bandelette
optique
. tion de la voie pédonculaire : ce sont en effe
miques. Les coupes horizontales obliques parallèles à la bandelette
optique
, sectionnent le pied du pédoncule cérébral perp
c, petite racine descendante motrice du trijumeau. - 7/, bandelette
optique
; III, nerf moteur oculaire commun. il exisle un
ions du noyau rouge. 1. radiations thalamiques. Le thalamus (couche
optique
) esl, de tous les centres ganglionnaires, celui
imentale retentit toujours, quel qu'en soit le siège, sur la couche
optique
. Ces fibres, dites radiations de la couche opti
sur la couche optique. Ces fibres, dites radiations de la couche
optique
, radiations thalamiques , fibres cortico-lhalam
la capsule interne, et convergent vers la face externe de la couche
optique
. Elles se séparent, à ce niveau, du reste des f
un grand nombre de petits fascicules qui s'irradient dans la couche
optique
et forment les fibres radiées (Fig. 41). Pour l
pé- doncules antérieur, moyen, postérieur cl inférieur de la couche
optique
. Ils correspondent aux segments de même nom de
condaires (voy. p. 90 et suiv.), une région déterminée de la couche
optique
. Les lésions du lobe frontal entraînent une dégén
itoire cor- tical correspond une région déterminée de la couche
optique
. 60 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fibres cort
relient le lobe frontal à l'extré- mité antérieure do la couche
optique
. Présentent un tra- jet sagittal mtra-tba-
yau externe du thalamus, et la zone dégénérée occupe dans la couche
optique
une région qui correspond très exactement à la zo
137, Fig. 12 à 136) sur la partie ventrale et externe de la couche
optique
. 1. Fibres cortico-thalamiques antérieures ou f
adiations thalamiques antérieures, pédoncule antérieur de la couche
optique
) PaTh, Fig. 3, 14, 20 à 23, 41, 12, 43. - Les f
ètrent dans toute la hauteur de l'extrémité antérieure de la couche
optique
. Après avoir formé la zone grillagée (Zr) de l'
et peuvent être suivies dans les deux tiers antérieurs de la couche
optique
jusqu'au plan vertico-transversal qui passe par l
e du tronc encéphalique intéressant le noyau antérieur de la couche
optique
, le faisceau de Vicq d'Azyr, le faisceau rétrof
tricule latéral. - Zr, zone réticulée du tha- lamus. II, bandelette
optique
. - 1'1, nerf moteur oculaire externe. les coupe
alamiques moyennes ou supérieures, pédoncule supérieur de la couche
optique
.) (Fig. 7, 26.) Les fibres cortico-thalamiques
ubérantielles et cortico-médullaires, ces fibres abordent la couche
optique
par toute la hauteur et toute l'étendue autéro-
ur les coupes horizontales (Fig. 41), le noyau externe de la couche
optique
est tacheté par de gros fascicules sectionnés p
pied de la couronne rayonnante. - Pul, pulvinar. - 111'la, radiations
optiques
de 6t ' ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Gratiol
ERVEUX. Gratiolet. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche
optique
. - si, sillon opto-strié. - strz, stratum zonal
e. - l'gp(Fi), pilier postérieur du trigone (fimbria). - 1'le, couche
optique
(thala- mus). - nI, trou de Monro. - tlh, toeni
du bec du corps calleux. Rm, ruban de Reil médian. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - SgAq, substance grise de l'aque
aisceau de Vicq d'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale. - Il, bandelette
optique
. moitié supérieure du noyau externe (Fig. 21 et
ccipito-pariétales (Radiations thalamiques postérieures, radiations
optiques
de Gratiolet, pédoncule postérieur du thalamus)
e adjacente du lobe pariétal à l'extrémité postérieure de la couche
optique
, en particulier au pulvinar (Pul). Elles naisse
halamiques inférieures relient le lobe occipilo. temporal la couche
optique
. Les unes, très nombreuses, se rendent ' ! ans
! ans le pulvinar et dans la partie ventrale adjacente de la couche
optique
. Le : TOME II. 5 Fibres eortico-tlta- lamiq
e du thalamus, forment le pédoncule inféro-interne de la couche
optique
et passent par la sub- stance innominée sou
lamus de Meynert, et abordent la partie antéro-inlerne de la couche
optique
. 1. Les fibres destinées au pulvinar (Fig. 12,
féro-interne du thalamus (Pith) et son irradiation dans la couche
optique
; l'anse lenticulaire (Al), sa continuation avec
cule (Fig. 43), les libres du pédoncule inféro-interne de la couche
optique
se recourbent en arrière et en dedans, contourn
t en éven- tail dans l'extrémité antérieure et interne de la couche
optique
; elles affectent un trajet sagittal, croisent à
aire de Reichert (Fig. 46) le pédoncule inféro-interne de la couche
optique
est croisé par les radiations olfactives profon
t, avec les fibres cortico-thalamiques postérieures, les radiations
optiques
de Gratiolet (RTh). Elles prennent leur origine d
adrijumeau antérieur se séparent de la masse commune des radiations
optiques
de Gratiolet et constituent deux fais- ceaux di
antérieur relient la splière visuelle cor- ticale aux centres
optiques
primaires. ltaSia2unscorUCO- irenouilléos ext
les radiations du pul- vinar, et certaines fibres de la bandelette
optique
et du faisceau temporo- thalamique d'Arnold (p.
ventricule latéral. - Zi, zona incerta du thalamus. II, bandelette
optique
. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 69
ntérieur. - rgRm, région du ruban de Reil médian. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - Sexv, surface extra-ventriculaire
rieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche
optique
. 3, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vic
il FiG. 48. - Coupe horizontale oblique parallèle à la bandelette
optique
, passant par le noyau rouge, le corps de Luys,
ons de la calotte. - Rôle, strie olfactive externe. RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - SR. substance réticulée. - Sli,
première circonvolution temporale. - Te, tuber cinereum. Th, couche
optique
. Tm, tubercule mamillaire. - '3, troisième vent
mp de Wernicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée. - 11, bandelette
optique
. - x11, substance grise doublant le chiasma des
lette optique. - x11, substance grise doublant le chiasma des nerfs
optiques
. 72 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Bras du tub
interne (RCgi) abordent à ce niveau la partie ventrale de la couche
optique
, entre le pulvinar et le noyau externe, et s'ir
du corps genouillé interne, profon- dément enclavée dans la couche
optique
(Fig. 47 et 48). Elles persistent intactes dans
rétro-lenticulaire de la capsule interne. Elles abordent la couche
optique
au-dessus des radiations du corps genouillé inter
egment postérieur de la capsule interne, s'irradient dans la couche
optique
et forment à elles seules l'étage inférieur du pi
ouge. - Il pul- vinar. - RsTh, région sous-thalamique. - Th, couche
optique
. - Qa, tubercule quadriju- meau antérieur. - 1,
ssant l'écorce grise avec intégrité des corps striés et des couches
optiques
. Ainsi se trouva donc posé le problème de l'o
constituaient une véritable couronne rayonnante (Fia.. 50). La couche
optique
recevait Fie. 50. - Les connexions des ganglion
lleux. - CE, capsule externe. - CI, capsule interne, - CO, couche
optique
. - FC, fibres pédoncu- laires destinées au noya
e qui se jettent dans le lobe sphénoïdaL- FT, fibres de la couche
optique
qui vont il la corticalité cérébrale. La doct
nstitué par les nerfs périphériques cérébro-rachidiens. La couche
optique
et les tubercules quadrijumeaux envoyaient leurs
rnaient le pied du pédoncule cérébral à la manière de la bandelette
optique
au-dessus de laquelle elles sont situées, puisse
pli courbe envoient de nombreuses fibres de projection dans la couche
optique
, et les faits que nous rapportons dans cet ouvr
, suivant le siège de la lésion, soit une atrophie de la bandelette
optique
, ou du ruban de Reil médian (Fig. 57 et 58, cas
icaux déterminés : tels sont les deux tiers supérieurs de la couche
optique
, (en particulier le pulvinar, les noyaux extern
indirectement sur la partie ventrale du thalamus, sur la bandelette
optique
, sur une partie du noyau rouge et du tubercule qu
dans tous ses diamètres et une atrophie très prononcée de la couche
optique
, ainsi qu'une réduction de volume très nette de t
à 70 et 78). En d'autres termes, toutes les connexions de la couche
optique
avec la corticalité cérébrale étaient détruites
ur. Dégénérescence du noyau rouge. Atrophie légère de la bandelette
optique
. Atrophie indirecte du ruban de Reil médian. -
astaient singulièrement avec l'atro- phie considérable de la couche
optique
. Si ce cas nous renseigne parfaitement sur les
le pédoncule cérébral et la partie postérieure du thalamus (artères
optiques
). L'artère choroïdienne antérieure (brun) il l'ig
e postérieure (jaune) irrigue l'extrémité an- térieure de la couche
optique
et de la région sous-optique. FIBRES DE PROJECT
s genouillé externe. Ces fibres portent encore le nom de radiations
optiques
de Gratiolet (RTh) et occupent, dans la couche sa
race de surdité verbale, ni de troubles de la parole. Pas d'aphasie
optique
ni de cécité psychique. Conservation complète de
a partie inférieure de cette région au voisi- nage de la bandelette
optique
(Fig. 83). Méthode de Weigert. 3/2 grandeur natur
inférieure de la région sous-optique au voisinage de la bandelette
optique
(Fig. 84) et par le pédoncule cérébral (Fig. 8a).
avant une ligne verticale rasant l'extrémité postérieure de la couche
optique
; elle sectionne à ce niveau l'isthme de la circ
e faisceau de Turck sont absolument normaux (Fig. 91) : la bandelette
optique
est intacte, ainsi que la commissure antérieure
de Turcl : , du pied du pédoncule cérébral et do la bandelette
optique
. , 118 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Br
u de Turck, du pied du pédoncule cérébral et de la bandelette
optique
. qu'une plaque jaune limitée portant sur la par
pé- doncule cérébral du faisceau de Tùrck et de la bandelette
optique
. 120 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Bras
u de Turck, du pied du pédoncule cérébral et de la bandelette
optique
. partie interne du faisceau longitudinal inféri
e en bas et en dehors passant par la partie supérieure de la couche
optique
et la voûte de la corne sphénoidale, intéressan
du reste que la couche superficielle de ce tubercule. La bandelette
optique
est intacte et le pied du pédoncule cérébral es
s-optique (Fig. 95), le pied du pédoncule cérébral et la bandelette
optique
gauches. Dégénérescence du corps genouillé exte
ni troubles de la sensibilité, ni troubles de l'ouie. Pas d'aphasie
optique
, pas de cécité psychique, pas d'altération de l
rolan- dique, quel que soit leur siège, retentissent sur la couche
optique
(Th), le locus niger (Ln), le pied du pédoncule
doncule (P) à l'union du quart interne et des trois quarts externes
optique
(Fig. 127 et 128). Comme dans les cas précédents,
lée, et des fibres radiées del'extrémité antérieure de la couche
optique
. Dans la région sous- thalamique de la capsul
, ce faisceau est fusionné avec le pédoncule antérieur de la couche
optique
(PaTh). Au moment où il s'en détache pour occuper
ie supérieure du pied du pédoncule, au voisinage de la bandelette
optique
, est beaucoup moins accusée sur les coupes vois
nc ses fibres de /projection dans la partie inférieure de la couche
optique
, dans le pulvinar (Pul), dans le corps genouillé
'on fait abstraction des fibres de projection destinées à la couche
optique
, aux corps genouillés, au noyau rouge, etc., po
(Ci ri). Certaines de ces fibres saines s'irradient dans la couche
optique
(Th), en particulier dans son extrémité anté- r
iviiia semicircularis (Lsc) et les fibres qu'il envoie à la couche
optique
. Méthode de Weigert-Pal. 10/1 grandeur nature.
petitesse, l'atrophie extrême de la partie supérieure de la couche
optique
(pulvinar, noyaux externe et interne) (Fig. 1 15
que le tænia semi-circularis (fisc) (Fig. 160) envoie il la couche
optique
. Contrairement à ce qui existe à l'état normal, o
apsule interne. Le tronc de l'artère cérébrale postérieure (artères
optiques
colorées en vert) irrigue l'espace perforé postér
oi du troisième ventricule, les deux tiers postérieurs de la couche
optique
, de la légion sous-optique et du pédoncule céré
166 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. cules mamillaires, la bandelette
optique
, la région du genou et de la partie adjacente e
pilier antérieur du trigone, ;'extré- mité antérieure de la couche
optique
et de la région sous-optique. - L'arlère cho- r
ent de suivre les fibres saines du pédoncule antérieur de la couche
optique
dans la partie inférieure du segment antérieur de
faisceau aberrant du pilier antérieur du trigone avec la bandelette
optique
et la commissure de Meynert qu'il croise et ses
psule interne, s'irradient dans l'extrémité antérieure de la couche
optique
(Fig. 167); il existe néanmoins dans ces régions
tubercule quadrijumeau anté- rieur. Dégénérescence de la bandelette
optique
(II) avec intégrité de la commissure de Meynert
ieur (BrQa) et une dégénérescence presque complète de la bandelette
optique
(II) avec intégrité de la commissure de Mey- ne
enne du globus pallidus et de l'extrémité antérieure de la couche
optique
sectionnant la partie antérieure du segment p
ent rétro-lenticulaire, s'étendant à la partie adjacente de la couche
optique
et du globus pallidus. Méthode de Weigert. 3/2
croisée et anatomo-pathologiquement par une dégénérescence des voies
optiques
en amont et en aval du foyer primilif. Le cas
pulvinar (Pul), du corps genouillé externe (Cge), de le bandelette
optique
(II), du bras et de la couche superficielle du tu
et la partie supérieure du pédoncule aux confins de la région sous
optique
. Cas Dautricho. Hémiplégie gauche avec cont
umeau antérieur (Qa), une dégénérescence partielle de la bandelette
optique
(II, Fig. 194 et 195), une dégénérescence partiel
ure. Dégénérescence du corps genouillé externe (Cge) de la bandelette
optique
(II) et du tubercule quadrijumeau antérieur. Dé
ont reliées entre elles par une mince lame qui recouvre les couches
optiques
. Mais il n'est figuré dans aucun cas une second
scnco complète de fibres longitudinales dans la région sous-
optique
(le lacapsule interne et lo pied du pédoncule
sence complète de libres longitudinales dans la région sous-
optique
de la capsule interne et le pied du pédoncule
s et strio-sous- thalamiques. bandelettes et du chiasma des nerfs
optiques
. L'espace perforé antérieur est normal et limité
emarquer la situation du corps du trigone (Tg) entre les deux couches
optiques
(Th) et la face intraventriculaire du noyau len
nsversale passant : à droite, par la partie antérieure de la couche
optique
(Th) et du segment postérieur de la capsule inter
ombre de fibres thalamo-corticales, leurs connexions avec la couche
optique
et leur épanouissement dans la membrane épen- d
s de Luys (CL) il droite, et par la partie postérieure de la couche
optique
à gauche. Méthode de Weigert-Pal. 5/2 grandeur na
éro-externe le corps strié, à leur partie postéro-interne la couche
optique
! (Th), et à leur partie inféro- externe le noy
des fibres thalami- corticales, qui, nées des cellules de la couche
optique
, se dirigent vers la corticalité qu'elles n'ont
lucidum. Absence de fibres longitudinales dans la région sous-
optique
de la capsule interne et le pied du pédoncule
coupes honzontales obliques sensiblement parallèles à la bandelette
optique
. II résulte de l'examen de ces coupes : 1° Qu
ucidum..A bscncc de fibres longitudinales dans la région sous-
optique
de la capsule interno et le pied du pédoncule
lucidum. Absence de libres longitudinales dans la région sous-
optique
de la capsule intorno et le pied du hédoncnlc
111cidum. Absence de fibres longitudinales dans la région sous-
optique
de la capsule interne et le pied du ' pédoncu
le stratum zonale (Strz) et le noyau antérieur (ThXa) de la couche
optique
, la partie supérieure et antérieure du corps stri
lucidum..\Lsence de fibres longitudinales dans la région sous-
optique
de la capsule interne et le pied du pédoncule
ante (voy. fig. 213, le plan de direction de ces coupes). La couche
optique
remarquablement petite présente un noyau interne
n faisceau important appartient au pédoncule antérieur de la couche
optique
(PaTh) et provient du segment antérieur de la c
lucidum. Absence de fibres longitudinales dans la région sous-
optique
de la capsule interne et le pied du pédoncule
lucidum. Absence de .il)res longitudinales dans la région sous-
optique
de la capsule interne et le pied du pédoncule
Cas Richard. Loupe horizontale oblique passant par la région sous-
optique
, le corps de Luys (CL), le noyau rouge or), par l
lucidum. Absence de fibres longitudinales dans la région sous-
optique
de la capsule interne et le pied du pédoncule
s. Leipzig, 1819-1826. - Brissaud. Du faisceau dit Bandelette sous-
optique
dans la racine postérieure du thalamus. Nouvelle
omie que le ruban de Reil se termine en s'arborisant dans la couche
optique
, et que de ce dernier ganglion partent des fibres
ionnaires qui reçoivent les arborisations terminales de la bandelette
optique
. D'après v. Monakow, la dégénérescence dans le
de troubles circula- toires, d'oedème, etc., soit de la bandelette
optique
ou du chiasma, soit des centres ganglionnaires
glionnaires pri- maires (Pul, Cge, Qa) ou qui sectionnent les voies
optiques
centrales (couches sagittales du lobe occipito-
ntrer le segment antérieur de l'appareil nerveux visuel : bandelettes
optiques
chiasma, et nerfs optiques. La zone X teintée e
l'appareil nerveux visuel : bandelettes optiques chiasma, et nerfs
optiques
. La zone X teintée en gris représente la localisa
al; fol, faisceau direct ou temporal; fin, faisceau maculaire du nerf
optique
. - Fin, forceps postérieur ou major du corps ca
VI, carrefour ventriculaire. - 1 ? zone de Wernicke. II, bandelette
optique
. .1'11, chiasma des nerfs optiques. Dans quelqu
zone de Wernicke. II, bandelette optique. .1'11, chiasma des nerfs
optiques
. Dans quelques rares cas, on a cité l'hémiach1'
rme et la pointe occipitale, qu'elle interrompe enfin les conducteurs
optiques
partiellement ou en totalité par lésion du lobe
lésions profondes du lobe occipital qui détruisent les radia- tions
optiques
et empiètent sur le lobe pariétal. Cette localisa
e elles les deux circonvolutions pre- mière temporale. - Th, couche
optique
. - VI, ventricule latéral. Ainsi que l'a montré
ion complète du mot, et partant, ne peuvent plus en évoquer l'image
optique
correspondante et par conséquent ne peuvent repro
e projection fronto-thalamiques ou pédoncule antérieur de la couche
optique
s'épuisant dans ce dernier ganglion. Ce fait que
it accompagnée d'anesthésie et rele- vant d'une tumeur de la couche
optique
comprimant la capsule interne; la seconde est d
ieur de la capsule interne (Cip), Gowers la localisait dans la couche
optique
. Ci (dernier ganglion est en effet lésé en même
contre le plus souvent dans ce cas relève de la lésion de la couche
optique
, ainsi que nous le montrerons plus loin, et non d
r sensitif, et insista à maintes reprises sur ce fait que la couche
optique
n'avait rien à voir dans la conduction de la sens
jusqu'ici, on voit que, dans l'immense majorité des cas, la couche
optique
était lésée en même temps que le segment postérie
t la vie par une hémiplégie accompagnée d'hémianesthésie, la couche
optique
participait à la lésion capsulaire. Mais, et no
effet, où le segment postérieur de la capsule interne et la couche
optique
sont lésés dans la région thalamique de la caps
ons olfactives profondes. - Toi, tubercule olfactif. - Il, bandelette
optique
. Leur trajet. Leurs terminai- sons. 266 A
ique. fisc, fibres que le toenia semi circularis envoie à la couche
optique
. Fla, fornix transversus, ou commis- sure psalt
remière circonvolution limbique. Na, noyau anté- rieur de la couche
optique
. - NA, noyau amygdalien. - l'ol, pédoncule olfact
eur du trigone. - 7'f/p, pilier postérieur du trigone. - Th, couche
optique
. - Tm, tubercule mamillaire. - fisc, teenia semic
entricule latéral. - Zr, zone réticulée du thalamus. 11, bandelette
optique
. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE.
relie l'aire olfactive (Aol) au noyau amygdalien (i\'A) età la couche
optique
. Il représente un neurone olfactif de troisième
. - 1-Cst, veine du corps strié. - Zi, zona incerta. - Il, bandelette
optique
. Tænaa scnllcircula- ris. Sa constitution.
rtie recourbée delà queue du noyau caudé, reste accollé à la couche
optique
et se trouve placé immédiatement en dehors du c
édiatement en dehors du corps genouillé externe ou de la bandelette
optique
qui lui fail suite (Fig. 30 et 256). Il correspon
rieure, soit à la substance grise qui entoure le chiasma des nerfs
optiques
, soit au pilier antérieur du trigone. FiG. 25
i se détachent du tamia semicircularis, et s'irradient dans la couche
optique
. - Lme, lame médullaire externe. - \'G2, segmen
t d'affirmer les connexions du taenia semicircularis avec la couche
optique
, connexions soupçonnées par Honegger et niées p
érieur, se dirigent d'avant en arrière et pénètrent entre la couche
optique
et le segment postérieur de la capsule interne.
la capsule interne, entre celle-ci et la zone réticulée de la couche
optique
, on trouve alors (Fig. 255) des fascicules de f
minent en pointe au voisinage de la partie postérieure de la couche
optique
(Fig. 145), et abandonnent à cette dernière des
entricule latéral. Zr. zone réticulée du Ihalamus. - If, bandelette
optique
. - III, nerf moteur oculaire commun. TOME Il. 1
l, son faisceau olfactif. - Tna, tubercule mamillaire. - Th, couche
optique
. - elle, tænia thalami. - ]T" troisième ventric
, son diverticule sus-optique. - VI, ventricule latéral. - Il, nerf
optique
avant son entre-croisement dans le chiasma. Il[,
u tronc du corps calleux. Au niveau du tiers antérieur de la couche
optique
, un grand nombre de lâches et minces fascicules s
tubercule mamillaire. VA, fais- ceau de Vicq d'Azyr. - ? bandelette
optique
sectionnée sur les parties latérales du chiasma
haque pilier antérieur du trigone passe au- dessus de la bandelette
optique
et de la commissure de Meynert qu'il croise, en
nou de la capsule interne ci de la partie anté- rieure de la couche
optique
. Il croise dans cette région (Fig. 25 i) : 1° le
pédoncule céré- bral, le tubercule mamillaire et la bande- lette
optique
, et qui détermine à la base du cerveau un relie
Coupe vertico-transversale passant par la partie moyenne de la couche
optique
. La dégénérescence intéresse le faisceau compac
le fascia dentata au- dessous du corps calleux, recouvre la couche
optique
dont le sépare un feuillet pie-mérien et attein
iculaire, elle dépasse en avant l'extrémité antérieure de la couche
optique
et se divise à ce niveau en deux faisceaux d'in
lent à la fimbria et atteignent, l'extrémité antérieure de la couche
optique
où elles s'in- fléchissent en dedans et entrent
cerveau du lapin adulte passant par la partie interne de la couche
optique
, le tubercule mamillaire et le ganglion de la clo
ubercule mamil- laire. - lA, faisceau de Vicq d'Azyr. - II, le nerf
optique
et le chiasma dont la partie postérieure faible
gal, dont l'un se termine dans le] tubercule antérieur de la couche
optique
et constitue le faisceau de Vicq cl'I .7 ? (VA),
cule mamillaire. - VA, faisceau de Vice; d'.lzyr. - Il, bandelette
optique
sectionnée sur les parties latérales du chiasma
ERVEUX. Sa terminaison dans le noyau anté- rieur de la couche
optique
. Pédoncule du tu- bercule mamillaire. du th
thalamus, passe en arrière du pédoncule inféro-interne de la couche
optique
(PiTh) qui le sépare du pilier antérieur du trigo
e, et croise les fibres radiées du pédoncule antérieur de la couche
optique
(Fig. 253 et 254). Arrivé dans la région thalam
'élargit en entonnoir et embrasse le noyau anté- rieur de la couche
optique
dans lequel il pénètre en s'Irradiant et dans leq
0G. CHAPITRE VII GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ, COUCHE
OPTIQUE
, RÉGION SOUS-OPTIQUE I. - STRUCTURE ET CONNEXIO
ico-striées et ne possèdent pas de cou- ronne rayonnante couche
optique
et à la région sous-optique, en particulier au co
oyau caudé et sur le putamen comme elles retentissent sur la couche
optique
. Cette opposition qui existe entre le lnc. 80.
ticulaire, le pulvinar, le corps genouillé externe et la bandelette
optique
. L'irradiation des fibres du segment antérieur
issure de Sylvius. - Sexv, surface extra ventriculaire de la couche
optique
. - Sge, substance grise sous-épendymaire.- Tap, I
terminale. - Il', zone de \\'CI Zr, Zone réticulée. - ? bandelette
optique
. GANGLIONS INFIIACOITTICAUX : CORPS STRIE. 311
is pas comparables à l'atrophie souvent extrême que subit la couche
optique
dans ces mêmes circonstances. La très minime dimi
parez la Figure 1Mi à la Figure 144 (côté sain) et les deux couches
optiques
de la Figure 1 Í : 7 entre elles.) Le noyau c
soit du feutrage, comparable à ce que l'on constate dans la couche
optique
dans les mêmes cas; mais, d'autre part, on ne p
rieur de la couronne rayonnante qu'elle sectionne près de la couche
optique
, mais n'atteint pas le segment rétrolenticulaire
halamiques et cortico-sous-thalamiques), le corps strié à la couche
optique
et à la région sous-optique, en particulier au co
ontales qui intéressent les tiers moyen et infé- rieur de la couche
optique
(Fig. 291, 21, 13 et 47), les fascicules de la tè
ts du noyau lenticulaire.- PaTh, pédoncule antérieur de la cou- che
optique
. - T7a, pilier antérieur du trigone. - Th, thalam
oupes de fibres : taenia semi-circularis (tsc) envoie à la couche
optique
et entrent dans la constitution des fibres radi
dient dans l'extrémité antérieure du thalamus et de la région sous-
optique
, en formant l'anse du noyau lenticulaire (Al).
ur, puis s'enchevêtre avec le pédoncule inféro-interne de la couche
optique
(PiTh) et l'anse du noyau lenticulaire (Al). Il
enticulaire et qu'elles sont en rapport plus bas avec la bandelette
optique
et la commissure de Meynert (T. ICI', Fig. 321)
et Bernheimer ( J 891) comme une racine luysienne de la bandelette
optique
(Voy. p. 429). Anse du noyau lenticulaire (Al).
n suivant un trajet sensiblement parallèle c celui de la bandelette
optique
ou du pédoncule inféro-interne du thala- mus, a
t à l'oeil nu sur un cerveau frais, après ablation de la bandelette
optique
, con- tourner le pied du pédoncule cérébral au
r la partie supérieure et postérieure du noyau externe de la couche
optique
; elle s'est manifestée pendant la vie par une
rayonnante et empiété sur la partie supérieure do la a couclio
optique
. Dé- générescence do la partie moyenne do C
corps de Luys, de la partie antéro-infé- rieurs de la couche
optique
, du noyau rougo et de sa cap- sule de fibres.
nne-rayonnanto et empiété sur la partie supérieure de la couche
optique
. Dé- générescence de la partie moyenne de C
corps de Luys, de la partie antéro-infé- rieure de la couche
optique
, du noyau rouge et de sa cap- sule de fibres.
-corticale. Coupes horizontales obliques parallèles à la bandelette
optique
passant par les par- ties moyenne (Fig. ? 9G) e
erne (Lme) et des fibres radiées du noyau externe (Ne) de la couche
optique
dans toute la partie adja- cente a la dégénéres
sie. Coupe hori- zontale oblique, paral- lèle à la bandelette e
optique
passant par la région sous-thalamique. Dégéné
n de la lésion sous-corticale à la partie supé- rieure de la couche
optique
. Dégénérescence du noyau rouge et de sa capsule
onne rayonnante et empiété sur lapartio supérieure de la couche
optique
. Dé- générescence do la partie moyenne de C
corps de Luys, de la partie antéro - iuré- rieure de la couche
optique
, du noyau rouge et de sa cap- sule de fibres.
commissure de Meynert pouvant être suivie le long de la bandelette
optique
et du segment postérieur de la capsule interne
du troisième ventricule le long du chiasma et des deux bandelettes
optiques
jusque dans le noyau lenticulaire du côté oppos
le plancher du troisième ventricule suit le trajet de la bandelette
optique
et qui est connu sous le nom de commissure de M
alamus relève évidemment en grande partie de la lésion de la couche
optique
. La lésion thalamique siège à la partie antéro-
ésion thalamique siège à la partie antéro-inféro-interne de la couche
optique
. C'est un foyer de ramollissement avec perte de
es et le corps de Luys n'affectent pas de connexions avec la couche
optique
. Fie. 308 et 309. -- Cas Gardette (Salpêtrière,
sécutive à une lésion de la partie antéro-inféro-interne de la couche
optique
. Cette dégénérescence, très légère, ne dépasse
ent à la suite de lésions de la partie antéro-ventrale de la couche
optique
et qui entrent dans la constitution de la capsu
iologie, 1898, p. 861. - Des mêmes. Sur les connexions de la couche
optique
avec la corticalité cérébrale. Soc. de Biologie,
kr. Anat., 1880, p. 468. II. - STRUCTURE ET CONNEXIONS DE LA COUCHE
OPTIQUE
Structure. - Les coupes vertico-lransversales,
-lransversales, horizontales et sagit- tales montrent que la couche
optique
n'est pas constituée par une masse homogène, ma
e stratum zonale (Strz, Fig. 290). Burdach distingua dans la couche
optique
quatre noyaux : les noyaux antérieur, exlerne,
de Flechsig (NF). Nissl (1889) montra que les cellules de la couche
optique
se disposent en groupes de volume et de forme v
établies par Burdach et par Meynert, et nous décrirons à la couche
optique
quatre noyaux principaux, les noyaux antérieur,
principaux, les noyaux antérieur, GANGLIONS INII ACORTICAU : COUCHE
OPTIQUE
. 345 externe, interne et le pulvinar. Avec v. M
a). Ce noyau occupe la partie antérieure et supérieure de la couche
optique
et s'enfonce à la manière d'un coin entre les n
la saillie connue sous le nom de tubercule aalé- rieur de la couche
optique
ou corpus album subrotundum, son extrémité post
fascicules de fibres appartenant au pédoncule interne de la couche
optique
. Ses cellules sont très analogues à celles du n
bres radiées qui pénètrent dans l'extrémité antérieure de la couche
optique
au-dessous du stratum zonale, traversent les couc
en Médecine de la Salpêtrière GANGLIONS INFRA CORTICAUX : COUCHE
OPTIQUE
. 341 lamo-corticales), sont-elles d'origine cor
o-interne, quelques fibres du pédoncule inféra-interne de la couche
optique
. 2. Noyau interne (Ni). -- Le noyau interne n'a
e noyau interne n'atteintpas les limites anté- rieures de la couche
optique
(Fig. 310 et 291) et n'apparaît sur les coupes
e du tronc encéphalique intéressant le noyau antérieur de la couche
optique
, le faisceau de Vicq d'Azyr, le faisceau rétrof
ce grise de l'aqueduc de Sylvius. GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE
OPTIQUE
. 349 Sgc, substance grise centrale. - SgPo, sub
ntricule latéral. Zr, zone [réticulée du thalamus. - II, bandelette
optique
. - VI, nerf moteur oculaire externe. le noyau a
de Luys (Nm), (Fig. 15, 43, 47, 311). Au noyau interne de la couche
optique
se rattache le centre médian de Luys (Nm); c'es
e la longueur de leur trajet avec GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE
OPTIQUE
. 331 d'autres catégories de fibres, telles que
ur du thalamus. Ne, noyau externe. - Ni, noyau interne de la couche
optique
. - Nm, centre médian de Luys, séparé de la lame
actives profondes. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche
optique
. - si, sillon intermédiaire ou opto-strié. - Strz
, stratum zonale du thalamus. - T,q, corps du trigone. - Th, couche
optique
. - Tol, tubercule olfactif. - tse, ta : nia semi-
ventricule latéral. '1t "l, pli rétro-lim- bique. - II, bandelette
optique
. Ses connexions av ec la région de la calot
Les coupes horizontales qui passent par le tiers moyen de la couche
optique
montrent qu'elle n'atteint pas le pulvinar et qu'
dullaire interne n'atteint plus l'extrémité antérieure de la couche
optique
(Fig. 43, p. 63). Sur les coupes qui inté- ress
). Sur les coupes qui inté- ressent le tiers inférieur de la couche
optique
(Fig. 47, p. 69), la partie antérieure de la la
n grand nombre de ses fibres dans GANGLIONS tNFRACOR'HCAUX : COUCHE
OPTIQUE
3 : i3 la région sous-optique : les antérieures
autres se recourbent en bas dans les régions ventrales de la couche
optique
et se joignent aux fibres verticales. Les fib
noyau externe, occupe la partie supérieure et externe de la couche
optique
, corres- pond au segment postérieur ou lenlicul
e le noyau interne. Il en est de même lorsque l'on étudie la couche
optique
sur des coupes vertico-transversales. Tant que
Par sa face inférieure le noyau externe repose sur la région sous-
optique
de Forel (Fig. 310, 311, 312 et 2t, p. 35). Il es
ire de Forel (FI) qui correspondent au tiers antérieur de la couche
optique
; 3" plus en arrière, le noyau externe repose su
c le pulvinar, mais la fusion GANGLIONS I\l'R : 1CORTICIUI : COUCHE
OPTIQUE
. Sa ! ) de ces deux noyaux est moins intime que
). Elles relient le noyau lenticulaire elle noyau caudé à la couche
optique
, croisent, dans le segment postérieur de la capsu
ant plus dense et plus serré que l'on s'approche de la région sous-
optique
. Les fibres externes appartiennent à la lame médu
en Médecine de la Salpêtrièr< GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE
OPTIQUE
. : ¡ : ;7 la partie antérieure de la capsule du
, sorte de grillage qui recouvre toute la face externe de la couche
optique
. Les mailles de ce réseau sont remplies par la
2 et 47, p. G9). La partie posté- GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE
OPTIQUE
. 359 Fic. 312. - La région ventrale du thalamus
up- plémentaires lme', lmi'. PaTh, pédoncule antérieur de la couche
optique
. pCR, pied de la couronne rayonnante. - PiTh, p
d de la couronne rayonnante. - PiTh, pédoncule inférieur de la couche
optique
. Plch, plexus choroïdes. - 7 ? pulvinar. - Qa,
térieur. - rg Rm, région du ruban de Reil médian. - RTh, radiations
optiques
de Gratiolet. - Sage, substance grise centrale
oyau conique, situé entre le corps genouillé externe, la bandelette
optique
et la partie postérieure du pied du pédoncule cér
Ces fibres s'entre-croisent dans GANGLIONS INFHACOHTICAUX : COUCHE
OPTIQUE
. 361 tous les sens, forment un feutrage très se
au interne, le pulvinar forme il la partie postérieure de la couche
optique
cette saillie volumi- neuse et libre, variable
Fig. 310 et 311). 11 constitue l'extrémité postérieure de la couche
optique
, atteint chez l'homme son plein développement e
tervalles allongés, sont fort analogues aux fibres de la bandelette
optique
aux- quelles elles font suite. Elles pénètrent
thalamus. Les libres qui forment le re- vêtement zonal de la couche
optique
, affectent surtout une direction GANGLIONS INFR
, affectent surtout une direction GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE
OPTIQUE
. 363 FIG. 313. - Le pulvinar, le corps genouill
ombreuses fibres qui lui viennent soit directement de la bandelette
optique
(bis) soit du corps genouillé externe (Cge). Le
n grand nombre de ces fibres radiées appar- tiennent aux radiations
optiques
de Gratiolet (Voy. p. 65), proviennent du lobe
du corps genouillé externe, de nom- breuses fibres de la bandelette
optique
, le pulvinar se trouve ainsi situé à la fois su
ructives de l'appareil visuel antérieur (rétine, nerf et bandelette
optique
). Dans la partie supérieure du pulvinar s'irrad
oise le faisceau de Turck et le faisceau visuel central (radiations
optiques
de Gratiolet). Il résulte de cet entre-croiseme
nférieure du pulvinar et situé sur le prolongement de la bandelette
optique
(Bu). Profondément enclavé dans le pulvinar et la
irigé en avant, en bas et en dehors, se continue avec la bandelette
optique
. Le corps genouillé externe est enveloppé d'une
s le pulvinar. Le corps genouillé externe reçoit de la bandelette
optique
de nom- breuses fibres rétiniennes qui sont sup
Elles sont en tous points semblables aux fibres de la ban- delette
optique
avec lesquelles elles se continuent sans changeme
fibres présentent la même dispo- sition que celles de la bandelette
optique
; elles se réunissent en faisceaux très compacts
, en Médecine de la Salpêtrière GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE
OPTIQUE
. 367 vinar représentent donc de véritables noya
chat nouveau-né. Méthode de Golgi (d'après R. y Cajal). A, fibres
optiques
pourvues d'une arborisation terminale aplatie. -1
s optiques pourvues d'une arborisation terminale aplatie. -13. fibres
optiques
se ramifiant dans l'étage moyen. - C et D, fibr
. fibres optiques se ramifiant dans l'étage moyen. - C et D, fibres
optiques
pourvues d'une arborisation terminale dense et
e arborisation terminale dense et profonde. - E, faisceau des voies
optiques
centrales. -1 ? fibres se con- tinuant dans la
optiques centrales. -1 ? fibres se con- tinuant dans la bandelette
optique
. - L, la partie inférieure du corps genouillé ext
Les cellules du corps genouillé externe envoient dans la bandelette
optique
quelques rares cylindres-axes. Admises par v. Mon
risations libres dans les couches profondes de la rétine (Voy. nerf
optique
, p. r23). Chez le chat, le chien, la taupe, etc
Le corps genouillé inlerne esl profondément enclavé dans la couche
optique
, et quoique plus volumineux que le corps genouill
r (BrQa, BrQp). Le bras du tuber- GANGLIONS OEFRACORTICAUX : COUCHE
OPTIQUE
. 369 cule quadrijumcau antérieur (BrQa) le sépa
ples rapports de voisinage avec la branche interne de la bandelette
optique
. On sait aujourd'hui que le corps genouillé inter
ème visuel et que les fibres de la branche interne de la bandelette
optique
qui le côtoient appartiennent au bras du tuber-
artiennent au bras du tuber- cule quadrijumeau antérieur (Voy. Nerf
optique
, p. 419). Les cellules nerveuses du corps genou
centres auditifs bulbo- pro lubérantiels. CONNEXIONS DE LA COUCHE
OPTIQUE
Les connexions du thalamus sont multiples et co
luée entre le tronc encéphalique et le cerveau antérieur, la couche
optique
représente en effet une véritable station inter
ruhan do Reil latéral. Les connexions multiples do la couche
optique
. 370 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Connexions
externe et le pulvinar, elle entre en connexion avec la bandelette
optique
; par le corps genouillé interne, elle reçoit le n
le cervelet et le tronc encéphalique. 1. Connexions de la couche
optique
avec la corticalité cérébrale. L'union si intim
tique avec la corticalité cérébrale. L'union si intime de la couche
optique
avec la corticalité cérébrale ('oy. Dégénéresce
ibres de projection que la corticalité cérébrale envoie à la couche
optique
(p. 57), mais encore par de nombreuses fibres tlr
ou par le carmin. Or, si ces méthodes nous ont appris que la couche
optique
est en rapport avec l'écorce entière de chaque hé
e de chaque hémisphère puisqu'une GANGLIONS INFRACOHTICAUX : COUCHE
OPTIQUE
. 371 4 lésion d'une partie quelconque de cett
icale cérébrale par l'intermédiaire de fibres passant par la couche
optique
. Si ces faisceaux diminuent de volume à la suit
. 179, cas Lavigne, p. 180). Dans les lésions récentes de la couche
optique
traitées par la méthode de Marchi, on ne consta
es fibres d'origine thalamique, qui, nées des cellules de la couche
optique
, se dirigent vers la corti- calité qu'elles n'o
suite même de la malformation cérébrale. 2. Connexions de la couche
optique
avec le corps strié. Les con- nexions de la cou
a couche optique avec le corps strié. Les con- nexions de la couche
optique
avec le corps slrié ont été étudiées, p. 313. E
étudiées, p. 313. Elles s'effectuent dans les deux sens, la couche
optique
recevant du corps strié des fibres thalomopètcs
(Cas Gardette, p. 336, Fig. 302 à 309). 3. Connexions de la couche
optique
avec le rhombencéphale et le cer- veau moyen. L
che optique avec le rhombencéphale et le cer- veau moyen. La couche
optique
envoie peu de fibres dans le rhom- bencéphale,
du noyau rouge sous forme de gros GANGLIONS INIR1CORTICAUt : COUCHE
OPTIQUE
. 313 fascicules onduleux qui se portent en haut
ré- ticulée homolatérale, et croisée. Connexions de la couche
optique
avec le cerveau moyen, situé à la partie post
au externe du thalamus. Il assure ainsi les connexions de la couche
optique
avec les noyaux des cordons de Goll et de Burda
calotte et établissent des connexions très intimes entre la couche
optique
, le noyau rouge et la substance grise de la forma
s, afférentes, thalamopèles, des fibres se terminant dans la couche
optique
; il contient néanmoins un petit nombre de fibr
s corps genouillés interne et externe et par le pulvinar, la couche
optique
entre en outre en connexion avec le cerveau moyen
, par son intermédiaire, au ruban GANGLIONS I\'IRACORTICAU : COUCHE
OPTIQUE
. : 3ï : ; de Reil latéral et aux centres auditi
térieur, et par l'intermédiaire de cet amas ganglionnaire la couche
optique
entre indirectement en connexion avec la formatio
les quadrijumeaux antérieurs et de la partie adjacente de la couche
optique
et de la calotte pédonculaire. En pratiquant ch
ve, du chien, méthode de Marchi) avec lésion concomitante des voies
optiques
. D'après Bechterew la commissure postérieure dé
udinal postérieur. Malgré les connexions si nombreuses de la couche
optique
avec le Bibliothèque des Internes en Médecine
s en Médecine de la Salpêtrièrt GANGLIONS INFHACORTICAUX : COUCHE
OPTIQUE
. 311 -i rhombencéphale et le cerveau moyen, en
s d'évolution du manteau cérébral démontrent en effet que la couche
optique
n'envoie aucune fibre dans le pied du pédoncule
le n'en reçoit aucune. 4. Connexions du thalamus avec la bandelette
optique
(Voy. Nerf optique, p. 419). Le pulvinar et le
. 4. Connexions du thalamus avec la bandelette optique (Voy. Nerf
optique
, p. 419). Le pulvinar et le corps genouillé exter
visuelle corticale el reçoivent les arborisations terminales du nerf
optique
. La couche optique représente en effet un relai
l reçoivent les arborisations terminales du nerf optique. La couche
optique
représente en effet un relais ganglionnaire impor
t un petit renflement fusiforme ou piriforme, surajoulé à la couche
optique
, el en rapport avec l'appareil olfactif; signal
ommet antérieur, le triangle de l'habenula, compris entre la couche
optique
, le tubercule quadri- jumeau antérieur et la gl
térieur et la glande pinéale (Fig. 321, 338, 339). Il est La couche
optique
n'cnvotoaucunonbrc descendante dans le pied
e dans le pied du pédoncule cerebral. Connexions avec le nerf
optique
. Connexions avec Io rliinencépliale l;an,Lo
noyau externe. - c, collatérales. GANGLIONS INFRACORTICAU : COUCHE
OPTIQUE
. 379 Gudden avait déjà signalé, chez les mammif
Sehstreifen de Burdach) occupe le bord supéro-interne de la couche
optique
. Les termes de pédoncule antérieur, de rênes de l
ule. Mince en avant où il longe l'extrémité antérieure de la couche
optique
et où on le voit apparaître immédiatement en ar
re le traversent simplement, ou GANGLIONS Il\'FRACORTICAUX : COUCHE
OPTIQUE
. 381 le recouvrent en lui formant son revêtemen
le tænia thalami, au niveau de l'extrémité antérieure de la couche
optique
. 3. La plupart des auteurs admettent avec Ganse
ronne rayonnante et le noyau lenticulaire sans intéresser la couche
optique
. Une partie des fibres dégénérées se termine au
é croisé. (Méthode de Marchi.) GANGLIONS INFRACORTIC AUX : COUCHE
OPTIQUE
. 383 4. Les autres connexions du taenia thalami
près avoir traversé l'aire olfactive se joindraient à la bandelette
optique
, contourneraient avec elle le pied du pédoncule
r. D'après Onodi et Honegger, le taenia thalami recevrait du nerf
optique
et du ganglion optique basai quelques fibres qui
onegger, le taenia thalami recevrait du nerf optique et du ganglion
optique
basai quelques fibres qui abandonneraient le ne
ganglion optique basai quelques fibres qui abandonneraient le nerf
optique
en arrière de l'espace perforé antérieur, travers
l'habenula avec les fibres du pédoncule inféro-interne de la couche
optique
. Il s'agirait dans l'espèce de fibres pupillair
'habenula. Darkschewitch admet de même des connexions entre le nerf
optique
et le ganglion de l'habenula, mais pour cet aut
trajet indiqué par Honegger. Elles n'abandonneraient la bandelette
optique
qu'au niveau du corps genouillé externe, traverse
glion de l'habenula. Cajal nie, par contre, toute connexion du nerf
optique
avec le ganglion de l'habe- nula, en se basant
nom qui Autres connexions douteuses du taema thalami. Le nerf
optique
n'envoie pas de fibres au ganglion do : 1 ha-
articulier dans le tubercule quadrijumeau antérieur (un des centres
optiques
primaires), les autres entrent peut-être en conne
Ni, Nm. noyau externe, noyau interne et centre médian de la couche
optique
. - NR, noyau rouge, if\, pied du pédoncule. - P
atum intermedium. - Star : , stratum zonale du pulvinar. - Th, couche
optique
. - tlh, tienia thalami. - F3, troisième ventric
- tlh, tienia thalami. - F3, troisième ventricule. - II, bandelette
optique
. - III, nerf moteur oculaire commun : Nm, son n
en P ? weirne du la S : 1pêtTiè] GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE
OPTIQUE
. 387 voit très bien à l'oeil nu chez le lapin (
l'étude se rattache jusqu'à un certain degré il celle de la couche
optique
. Développée aux dépens de la voûte du troi- siè
sure postérieure, entre les deux GANGLIONS 1\NFRACORTICAUX : COUCHE
OPTIQUE
. 389 tubercules quadrijumeaux antérieurs, et re
hibiens et les cyclostomes d'un cristallin, d'une rétine et d'un nerf
optique
. Les recherches de Béranecl; (1892 et 1893) sem
et présentant par conséquent me origine semblable il celle du nerf
optique
. BIBLIOGRAPHIE. Thalamus. - Bechterew. Ueber di
und der Saugethicrc. Recueil GANGLIONS INPB1COR'l'I( : AUX : COUCHE
OPTIQUE
. 391 zoologique suisse, t. V, 1890. Genève. - L
DES CENTRES NERVEUX. III. - RÉGION SOUS-OPTIQUE La région sous-
optique
. Elle représente la partie antérieure sous-
1877, est une petite région aplatie, située au-dessous de la couche
optique
, au-dessus du locus niger et du pied du pédoncu
s vertico-transversales qui passent par le tiers moyen de la couche
optique
(depuis la commissure postérieure jusqu'à la co
s qui s'ir- radient dans l'extrémité antéro-inférieure de la couche
optique
; 2° avec le faisceau de Vicq d'Azyr qui travers
Son sommet et sa base. La couche dorsale de la région sous-
optique
. Son étendue. Son aspect et son épaisseur v
et une situation plus postérieure, il est séparé de la région sous-
optique
et de la région de la calotte par les corps genou
ne correspond en effet qu'aux deux tiers anté- rieurs de la couche
optique
. Constitution. La région sous-optique est essen
énoïdale du ventricule latéral, par le tiers antérieur de la couche
optique
, et sectionnant le pied du pédoncule cérébral et
nsula. - le, lame cornée. - Lme, lame médullaire exlerne de la couche
optique
. - lme, lame médullaire externe du noyau lentic
u amygdalien. - Na, noyau antérieur, Ni, noyau interne de la couche
optique
. - NC, noyau caudé. - 1\'C', la partie recourbé
- T'3, troisième ventricule. - Zr, zone réticulée. - Il, bandelette
optique
. 396 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La zona Il
ième ventricule, la partie supérieure et interne de la région sous-
optique
, et qui représente le champ de Forel. (F) (Fig 20
grâce à l'apport incessant de fibres qui lui viennent de la couche
optique
; il reçoit en effet les nombreuses fibres verti
- Na, Ni, Ne, les noyaux antérieur, interne et externe de la couche
optique
. - NC, le noyau caudé. - NL3 NL2, NL,, les troi
centrale. - SI, septum lucidum. - Slm, stratum zonale de la couche
optique
. -1·cle, toile choroïdienne. - Tg, corps du tri
e. -1·cle, toile choroïdienne. - Tg, corps du trigone. - Th, couche
optique
. - 7'm, tubercule mamillaire. - llh, taenia tha
entricule. - Zi, zona in- rerta. Zn, zone réticulée. - ? bandelette
optique
. GANGLIONS 1NII1ACORTICAU1 : RÉGION SOUS-OPTIQU
pparaît librement à la base du cerveau, au-dessous de la bandelette
optique
(Fig. 34, p. 50). Sur les coupes sagittales s
s fibres de la capsule interne séparent cette face de la bandelette
optique
et du segment interne du . globus pallidus (Fig
u ruban de Reil médian ; 2° Entre le corps de Luys el la bandelette
optique
; 3° Entre le corps de Luys d'un côté, et le noy
, vu la complexité de la région de la calolte et de la région sous-
optique
réfuter celte hypothèse, les résultats fournis pa
actus blanc situé dans le tuber cinereum au-dessus de la bandelette
optique
(Voy. p. 108), que s'effectueraient les connexi
nert. 402 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Avec la bande- lette
optique
et le chiasma. traversent la région sous-thal
térale congénitale; 2° d'une section expérimentale de la bandelette
optique
en avant du corps genouillé externe; 3° d'une sec
e Meynert persiste intacte dans les cas d'atrophie de la bandelette
optique
et qu'elle n'affecte, ainsi que ces auteurs l'ont
nalé. J. Stilling déjà en 1878 et 1882 avait décrit à la bandelette
optique
et au chiasma une racine luysienne; Bernheimer
issent se recourber en avant, pour entrer, sinon dans la bandelette
optique
, du moins dans la commissure de Meynert. Mais, lo
nt la capsule interne et semblent se conti- nuer avec la bandelette
optique
, appartiennent en réalité aux fibres strio- luy
secondaires ne sont pas non plus en faveur de l'existence de fibres
optiques
d'origine luysienne. Les dégénérescences totale
e luysienne. Les dégénérescences totales anciennes de la bandelette
optique
s'accompagnent d'une intégrité complète du corp
otale du corps de Luys avec une intégrité parfaite de la bandelette
optique
. Ce sont là des faits signalés pour la première f
ire, en particulier du globus pallidus. Dans ces cas, la bandelette
optique
était parfaitement intacte. Sur une série de coup
ommissure de Meynert passer au-dessus et en dehors de la bandelette
optique
et se continuer avec le feutrage dégé- néré du
rofonde des tuber- cules mamillaires, du chiasma et des bandelettes
optiques
(Voy. t. 1er, t. 318 et suiv.). Son épaisseur
arrière du chiasma, et que Meynert désigna sous le nom de ganglion
optique
basal. En avant du tubercule mamillaire, entre ce
nhossek), éminences latérales hypencéphaliques (Retzius), ganglions
optiques
basaux (Kulliker). Un diverticule du troisième
de l'angle obtus du losange opto- pédonculaire, entre la bandelette
optique
et le pédoncule cérébral, une petite région rec
ébral, une petite région recouverte partiellement par la bandelette
optique
et per- forée de petits orifices vasculaires.
n rencontre en outre, indépendamment du chiasma et de la bandelette
optique
qui appartiennent au système visuel (Voy. Nerf
a bandelette optique qui appartiennent au système visuel (Voy. Nerf
optique
419), une série de commissures qui relient les
, et dans la substance grise qui double le chiasma et la bandelette
optique
, la commissure de Meynert et le petit faisceau
éthode de Weigert). La région sous-optique comprise entre la couche
optique
, le pied du pédoncule cérébral et le locus nige
rel. - le, lame cornée. - Lme, lame médullaire externe de la couche
optique
. - lme, lmi, lames médullaires externe et inter
ncule du putamen. - Sexv, surface extra ventriculaire de' la couche
optique
. - Sge, substance grise centrale. - SI, septum
ion du crochet. - Zi, zona incerta. Zr, zone réticulée de la couche
optique
. - II, bandelette optique. 408 ANATOMIE DES C
incerta. Zr, zone réticulée de la couche optique. - II, bandelette
optique
. 408 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les fibres
substance grise centrale, au-dessus du chiasma et des ban- delettes
optiques
dont elle suit le trajet et dont elle est toujour
ît à l'extérieur de la base du cerveau, en arrière de la bandelette
optique
, puis pénètre entre les faisceaux de la partie
t des fibres parallèles, serrées et superficielles de la bandelette
optique
par ses lâches fascicules légèrement onduleux,
cupe la partie supérieure et interne du chiasma et de la bandelette
optique
, jusqu'au plan vertico-transversal qui passe pa
298, 301), soit dans les dégénérescences complètes de la bandelette
optique
, où la commissure de Meynert persiste intacte,
es corps genouillés interne ou externe, la section de la bandelette
optique
immédiatement en avant des corps genouillés n'en-
inereum dégé- nère lorsqu'on sectionne, chez le chat, la bandelette
optique
et la partie GANGLIONS INFRACORTICAUX : RÉGION
ÉPENS DES CERVEAUX. ANTÉRIEUR ET INTERMÉDIAIRE. NERFS OLFACTIF ET
OPTIQUE
Les « nerfs ol- factif et optique re- prése
ERMÉDIAIRE. NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE Les « nerfs ol- factif et
optique
re- présentent do vé- ritables formations c
e périphérique de sa cellule d'ori- gine. Les nerfs olfactif et
optique
occupent une place à part parmi les nerfs crani
un lobe cérébral développé aux dépens du cerveau antérieur; le nerf
optique
n'étant que le pédicule creux et étiré de la vési
riphérique est représentée par les filets olfactifs ; quant au nerf
optique
il ne possède que des voies centrales, car on ne
polaire et constitué par un noyau NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET
OPTIQUE
. 413 3 arrondi, entouré d'une très mince couche
s plus longues de la strie olfac- NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET
OPTIQUE
. 4.15 tive inlerne (Roli), de la strie de Lanci
ique. fisc, fibres que le taenia semi-circularis envoie à la couche
optique
. - Flv, fornix transversus, ou commis- sure psa
remière circonvolution limbique. Na, noyau anté- rieur de la couche
optique
. - noyau amygdalien. Pol, pédoncule olfactif. - P
térieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. Th, couche
optique
. - Tm, tubercule mamillaire. - tsc, txnia semi-ci
n r."J ? ecirîe de la Salpêtrière NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET
OPTIQUE
. 417 -1 Les deux centres olfactifs primaires so
même. Der feincre Bau des Nerven- NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET
OPTIQUE
. 419 systems im Lichte neuester Forsclzungcn. B
phie du Rhinencéphale, page 301 et T. le ? p. 312, 333 et 339. NERF
OPTIQUE
, DEUXIÈME PAIRE (II) Le nerf optique est dépour
e ? p. 312, 333 et 339. NERF OPTIQUE, DEUXIÈME PAIRE (II) Le nerf
optique
est dépourvu de voies périphériques; il ne possèd
s segments : l'un, antérieur ou extra-cérébral comprenant les nerfs
optiques
, le chiasma et les bandelettes optiques; l'aut
ébral comprenant les nerfs optiques , le chiasma et les bandelettes
optiques
; l'autre, postérieur ou intra-cérébral, représe
l'autre, postérieur ou intra-cérébral, représenté par les radiations
optiques
de Gratiolet et le centre visuel cortical. Se
ntre visuel cortical. Segment antérieur ou extra-cérébral des voies
optiques
. - Le nerf optique émerge au-dessus et en dedan
Segment antérieur ou extra-cérébral des voies optiques. - Le nerf
optique
émerge au-dessus et en dedans du pôle postérieur
pôle postérieur de l'oeil, traverse la cavité orbitaire et le canal
optique
, pénètre dans la cavité crânienne et s'entre-cr
s la cavité crânienne et s'entre-croise incomplètement avec le nerf
optique
du côté opposé, en avant du tuber cinereum, au
u du chiasma. Ses fibres se continuent ensuite dans les bandelettes
optiques
qui limitent l'espace opto- pédonculaire, conto
). du pulvinar (Pul) et du tubercule quadrijumeau antérieur Le nerf
optique
ne comprend que des voies centrales. Les vo
Le nerf optique ne comprend que des voies centrales. Les voies
optiques
extra - cérébrales : nerfs,clmsma et lian-
es optiques extra - cérébrales : nerfs,clmsma et lian- delettes
optiques
. Les deux branches de division de la bandel
r le segment antérieur de l'appareil nerveux visuel : bande- lettes
optiques
, chiasma, et nerfs optiques. La zone teintée en g
appareil nerveux visuel : bande- lettes optiques, chiasma, et nerfs
optiques
. La zone teintée en gris représente la localisa
al; fcl, faisceau direct ou temporal; fin, faisceau maculaire du nerf
optique
. - Fin, forceps postérieur ou major du corps ca
ons antérieures et postérieure de NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET
OPTIQUE
. 421 l'insula. -IC, scissure calcarine. -D" pre
one. - n. carrefour ventriculaire. - 1V, zone de Wernicke. A77, ner
optique
. - Il, bandelette optique. - xll, chiasma des ner
culaire. - 1V, zone de Wernicke. A77, ner optique. - Il, bandelette
optique
. - xll, chiasma des nerfs optiques. (Qa), se dé
77, ner optique. - Il, bandelette optique. - xll, chiasma des nerfs
optiques
. (Qa), se détachent les fibres du segment posté
radiations se fusionnent, forment dans leur ensemble les radiations
optiques
de Gratiolet, passent par la partie supérieure du
ce fait les noms de centres ganglionnaires de la vision, de centres
optiques
inférieurs, sous-corticaux ou primaires. Ici le
lules du type de Golgi, comme l'admet v. Monakow. Or les radiations
optiques
de Gratiolet contiennent il la fois des fibres
lionnaires de la vision retentissent à la fois sur f ', Les voies
optiques
intracérébrales : ra- (liations ol)tique (1,-
ons de ces centres retentissent sur les doux segments dos voies
optiques
. 422 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les connex
étines. Origine rétinienne des fibres visuelles. les radiations
optiques
et le centre visuel cortical d'une part, sur la b
tiques et le centre visuel cortical d'une part, sur la ban- delette
optique
, le chiasma et les deux nerfs optiques d'autre pa
une part, sur la ban- delette optique, le chiasma et les deux nerfs
optiques
d'autre part (Voy. cas Cogery, p. 173, Fig. 174
ux lésions destructives du centre visuel cortical ou des radiations
optiques
de Gratiolet (Voy. cas Cour- rière, p. 109, Fig
cortical. L'énucléation d'un seul oeil ou la lésion d'un seul nerf
optique
entraîne en outre la dégénérescence des deux ba
rf optique entraîne en outre la dégénérescence des deux bandelettes
optiques
et des deux centres optiques primaires : ces fa
la dégénérescence des deux bandelettes optiques et des deux centres
optiques
primaires : ces faits démontrenf donc que les con
, chaque centre visuel cortical est en relation avec les deux nerfs
optiques
et avec les deux rétines. Les recherches anatom
hiasma, qu'elle siège sur le centre visuel cortical, les radiations
optiques
, les centres ganglionnaires ou la bandelette op
es radiations optiques, les centres ganglionnaires ou la bandelette
optique
, se manifeste cliniquement par une hémianopsie
purs, tels que Michel et v. Küllilcer, que chez l'homme, les nerfs
optiques
contiennent à la fois des fibres directes et cr
Origines et trajet des fibres visuelles. Les fibres visuelles ou
optiques
prennent pour la plupart naissance dans les grand
ine dont elle forme les prolonge- NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET
OPTIQUE
. -123 ments centripètes. Elles occupent la couc
rieur de la papille, et représente près du tiers des fibres du nerf
optique
. Les fibres de la partie inlerne ou nasale (N,
line mais non d'une gaine de Schwann, et se continuent dans le nerf
optique
. Elles sont excessivement nombreuses (de 400 à
de fascicules (près de 800) qui entourent l'artère centrale du nerf
optique
, présentent une surface de section plus ou moin
nasale et tem- porale de la rétine. / La constitution du nerf
optique
. 424 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Sa trame n
névro- qliqnc. Trajet des fais- ceaux rétiniens dans le nerf
optique
. Lo faisceau macu- laire. Le faisceau tem-
s' ou moins épais, qui se détachent de la gaine picmériennc du nerf
optique
. D'autres septa plus minces subdivisent et cloi
diat de la gaine piemérienne et autour de l'artère centrale du nerf
optique
, les fibres réti- niennes s'atrophient chez l'a
isparaissent même complètement, de sorte qu'à la périphérie du nerf
optique
et a sa partie centrale, les mailles du fin rét
e, en se portant obliquement en bas et en dehors, abandonne le nerf
optique
et les fibres atrophiées ne s'observent qu'à la
et les fibres atrophiées ne s'observent qu'à la périphérie du nerf
optique
, au voisinage immédiat de sa gaine pie-mérienne
pie-mérienne. Groupement des faisceaux rétiniens : 1° Dans le nerf
optique
. - Les recherches de Samelsohn (1882), Vossius
sitions réciproques le long du nerf, du chiasma et de la bandelette
optiques
(Fig. 329). Immédiatement en arrière du globe o
u maculaire (mn, mt) occupe la partie externe et inférieure du nerf
optique
et se présente sous l'aspect d'un coin à base p
n dedans du faisceau maculaire et occupe lé secteur interne du nerf
optique
. La périphérie supérieure et inférieure est occ
érieur (ti) du faisceau temporal. Dans la partie vasculaire du nerf
optique
le faisceau maculaire (mn, mt} change de forme
change de forme : il émigre progressivement vers le centre du nerf
optique
, s'épaissit à ce niveau de telle sorte que sa b
9,2). Plus en arrière encore, dans la partie non vasculaire du nerf
optique
, il abandonne complètement la périphérie inféro-
ue, il abandonne complètement la périphérie inféro- externe du nerf
optique
, affecte la forme d'un ovale vertical qui longe
il devient central et s'aplatit de haut en bas au voisinage du trou
optique
et dans le trajet intra- cranien du nerf optiqu
voisinage du trou optique et dans le trajet intra- cranien du nerf
optique
(Fig. 329,4). Avec la migration du faisceau mac
la migration du faisceau maculaire dans la partie centrale du nerf
optique
, les fascicules supérieur et inférieur du faiscea
ent en un seul faisceau qui occupe la partie inféro-externe du nerf
optique
(Fig. 329, 3) et entoure dans la région intra-cra
en général immédiatement en arrière de la partie vasculaire du nerf
optique
(Jatzow), mais elle peut présenter NERFS CRANIE
Jatzow), mais elle peut présenter NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET
OPTIQUE
. 425 1" ! G. 329. - Le groupement des fibres de
mporale et nasale de la rétine : A dans la papille ; B dans le nerf
optique
, le chiasma et la bandelette optique, d'après H
dans la papille ; B dans le nerf optique, le chiasma et la bandelette
optique
, d'après Henschen. La coupe 1 passe par le nerf
bandelette optique, d'après Henschen. La coupe 1 passe par le nerf
optique
à son émergence du globe e oculaire ; la coupe
, la région non vascu- laire ; la coupe 4, enfin, intéresse le nerf
optique
immédiatement en avant du chiasma. La coupe 5 p
nt la partie antérieure (6) et la partie moyenne (1) de la bandelette
optique
. - La hauteur de ces 7 coupes se trouve repérée
end une partie temporale ou directe, qui se rend dans la bandelette
optique
homolatérale, et une partie nasale ou croisée 4
ntrés par leur dégénérescence. qui se continue dans la bandelette
optique
croisée; le faisceau temporal se distingue par
poral. - p, les fibres pupillaires et leur siège dans la bandelette
optique
. de grandes variétés individuelles, elle peut n
e indépendante du point de pénétration de l'artère centrale du nerf
optique
(Henschen). Quant au faisceau nasal, il occupe,
deux fascicules temporaux, la partie supérieure et interne du nerf
optique
(Jatzow, Siemer- ling, Delbruck, IIenschen).
itaire, intra-canaliculaire et intra-cranien, les faisceaux du nerf
optique
ne constituent pas toutefois des faisceaux rigo
as de Jatzow, par exemple, où un sarcome de l'oeil droit et du nerf
optique
cor- respondant s'étendant jusqu'au chiasma et
ique cor- respondant s'étendant jusqu'au chiasma et à la bandelette
optique
droite, avait entraîné une dégénérescence de to
d- den et de Ganser qui, sectionnant chez les animaux la bandelette
optique
par le canal optique après énucléation du globe
ui, sectionnant chez les animaux la bandelette optique par le canal
optique
après énucléation du globe oculaire, constataient
ient l'existence d'une dégénérescence complète des fibres des nerfs
optiques
à l'exception du faisceau temporal ou direct de
op- tique ; dans ces deux cas, il longeait le côté externe du nerf
optique
, croisait la face inférieure du chiasma, puis c
s en Médecine de la Salpêtrière NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET
OPTIQUE
. 427 lette optique homolatérale, pour se termin
Salpêtrière NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 427 lette
optique
homolatérale, pour se terminer dans le corps geno
hiasma. - En abordant le chiasma, les différents fascicules du nerf
optique
cessent de se grouper en faisceaux plus ou moins
libres homologues du côté opposé, se continuent dans la bandelette
optique
contralatérale et constituent le faisceau optiq
ans la bandelette optique contralatérale et constituent le faisceau
optique
croisé. Les autres fibres, c'est-à-dire le fais
du faisceau maculaire, se continuent directement avec la bandelette
optique
homolatérale et for- ment le faisceau optique d
nt avec la bandelette optique homolatérale et for- ment le faisceau
optique
direct. Si les faisceaux nasal et temporal ne con
-latérales et croisées, la même situation centrale que dans le nerf
optique
et qu'il forme un faisceau fermé (Fig. 329, 5, 6,
mble, le faisceau nasal se rend de la partie supéro-interne du nerf
optique
a la partie inféro-interne de la bandelette cro
la périphérie antérieure du chiasma, se coudent il la base di nerf
optique
conlrolatéral, pénètrent même à une certaine prof
es fibres du faisceai nasal, après s'être coudées à la base du nerf
optique
controlatéral, se por tent en effet en arrière,
isceau temporal. Dans les atrophies unilatérales, complètes du nerf
optique
, on constate fréquemment surles coupes verlico-
eux millimètres en avant du chiasma, des fibres saines dans le nerf
optique
complètement dégénéré. Elles appar- tiennent à
^est, en général, facile de démontrer leurs connexions avec le nerf
optique
sain. Les autres fibres en anse se détachent, a
eau fermé lon- geant le bord externe du chiasma et de la bandelette
optique
. Il se dis- socie en avant du chiasma en fins f
du faisceau nasal et du faisceau temporal dans le chiasma des nerfs
optiques
. -Ces faisceaux ne forment pas des faisceaux ferm
leurs fibres divergent et décrivent des sortes d'anse. Nil, nerfs
optiques
. - xll, chiasma des nerfs optiques. - 7311, bande
nt des sortes d'anse. Nil, nerfs optiques. - xll, chiasma des nerfs
optiques
. - 7311, bandelettes optiques. - fm, faisceau m
erfs optiques. - xll, chiasma des nerfs optiques. - 7311, bandelettes
optiques
. - fm, faisceau maculaire. - fn, faisceau nasal
irect. - p, fibres pupillaires. NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET
OPTIQUE
. 429 1 la bandelette. La ligne médiane du chi
ent encore aujourd'hui l'idée de la décussation complète des fibres
optiques
dans le chiasma. L'existence des fibres directe
atomie cérébrale les plus solidement établis. 3° Dans la bandelette
optique
, le faisceau nasal ou croisé s'enchevêtre avec
la vision, la dissociation des fibres directes et croisées du nerf
optique
, - qu'elles proviennent de la macula, du secteu
n îlot intact dans l'aire corticale où se projettent les radiations
optiques
, et notamment dans la scissure calcarine, quell
es macu- laires qui, ramassées en un faisceau distinct dans le nerf
optique
, le chiasma et la bandelette, vont, dans le cor
les, avec un très grand nombre de cellules d'origine des radiations
optiques
; d'où la probabilité qu'elles vont se projeter
- nheimer). Ce qui confirme cette opinion, c'est que les radiations
optiques
, tout d'abord massées, au sortir du corps genou
s contacts à ce niveau avec des cellules d'ori- gine des radiations
optiques
beaucoup plus nombreuses que les fibres ma- cul
es fibres ma- culaires elles-mêmes, l'épanouissement des radiations
optiques
dans toute la face interne du lobe occipital, e
une ou de l'autre de ces deux opinions. Fibres pupillaires. Le nerf
optique
contient non seulement des fibres visuelles, ma
es pupillaires, qui président aux NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET
OPTIQUE
. 431 réllexes du sphincter irien. D'après Gudde
après Gudden, elles comprendraient, toutes les fines fibres du nerf
optique
, prendraient leur origine dans les tuber- cules
nschen elles occuperaient la partie dorso-latérale de la bandelette
optique
(p, Fig. 329) ; d'après v. Monakow elles se termi
. Quant au tubercule quadrijumeau antérieur il ne recevrait du nerf
optique
que des fibres pupillaires (v. Monakow). Les co
que des fibres pupillaires (v. Monakow). Les connexions des fibres
optiques
avec les noyaux des nerfs moteurs de l'oeil son
ifuge. Décrites par Ramon, v. Gehuchten et v. Kôlliker dans le lobe
optique
des oiseaux et chez les mammifères, ces libres
aux et chez les mammifères, ces libres centrifuges de la bandelette
optique
proviennent des cellules fusi- formes el étoilé
rieur et du cordon sympathique, se diviseraient en abordant le nerf
optique
en deux branches, dont l'une s'arboriserail dans
ur origine dis- cutée. Les connexions in- directes des fibres
optiques
avec les noyaux des nerfs moteurs de l'oeil.
optiques avec les noyaux des nerfs moteurs de l'oeil. Fibres
optiques
centrifugea. 432 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Connexions dou- teuses des voies
optiques
extracére- brales. Les voies optiques antér
s dou- teuses des voies optiques extracére- brales. Les voies
optiques
antérieures ne pos- sèdent ni contingent lu
Connexions douteuses ou discutées du segment antérieur des voies
optiques
. Le segment antérieur de l'appareil visuel possèd
idemment être favorables à l'existence de connexions de la bandelette
optique
avec le corps de Luys, le corps genouillé inter
uys et du corps genouillé interne, on peut observer (si la bandelette
optique
ne par ticipe pas à la lésion primitive) une in
pe pas à la lésion primitive) une intégrité parfaite de la bandelette
optique
; de même une dégénérescence très intense des de
interne, qui à l'état normal semblent se rendre dans la bandelette
optique
, appartiennent très probablement, ainsi que nou
Henschen, ainsi que du contingent dit pédonculaire de la bandelette
optique
qui se prolongerait, d'après Stilling, Perlia, et
ns aucun segment de leur trajet, partie intégrante de la bandelette
optique
, mais sont situées dans l'épaisseur même de la
istent toujours intactes dans les lésions et destructions des nerfs
optiques
. Chez l'homme, nous avons toujours constaté que
op- tiques entraine une dégénérescence totale des deux bandelettes
optiques
qui ne con- tiennent aucune fibre saine. Ces fa
pas en faveur de l'existence, dans l'épaisseurmême de la bandelette
optique
de l'homme, du système de fibres commissurales
genouillés internes et les tuber- NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET
OPTIQUE
. 433 cules quadrijumeaux postérieurs et semble
r chez l'homme, la commissure de Gudden fait corps avec la bandelette
optique
et qu'elle ne peut être distinguée des fibres v
ous avons pu nous en convaincre, l'atrophie complète des deux nerfs
optiques
entraîne une atrophie com- pléte des deux bande
. Quant à nous, dans nos cas d'énucléation bilatérale ou d'atrophie
optique
bilatérale, nous avons toujours constaté l'existe
ogué avec la commissure de Gudden du lapin. Dans les cas d'atrophie
optique
uni ou bilatérale, rapportés par v. Monakow, He
ilence. Schlagenhaufer dans son cas d'atrophie bilatérale des nerfs
optiques
, avec faisceau aberrant direct sain, décrit sou
. Nervenh., 1900, p. 428. Bellonci. La terminaison centrale du nerf
optique
chez les mammifères. Arch. itat. de Biologie, t
. Ophthalmol. Bd. 3î. - ELINSOX. Sur les fibres centrifuges du nerf
optique
, Soc. de Biologie, 1896. - Guxseu. Ueber die pe
chiatrie, vol. XIII, p. 352. - V. Gehuchten. La structure des lobes
optiques
chez l'embryon de poulet. La Cellule, 1892. Gol
. De la distribution des fibres nerveuses dans le chiasma des nerfs
optiques
. Arch. de phys., 1878. - Nettelschip. Transact. o
1896, p. 691. - Parinaud. Des rapports croisés et directs des nerfs
optiques
avec les gémi- sphères cérébraux. C. R. Soc. de
al. Th. Paris, 1893. - Vnzou. Effets de l'ablation totale des lobes
optiques
sur la vision chez le chien. Arch. de Physiol.,
toile choroidienne. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Th, couche
optique
. - l'Ci-si, veine du corps strié. - rG, veine d
cule mamillairc. - Tmu, tubercule mamillaire accessoire. - II, nerf
optique
, son chiasma (xll) et sa bandelette. - III, ner
otographie d'une pièce durcie dans la bichromate. 811, bandelette
optique
. - BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérie
externe. Cgi, corps genouillé interne. - Clall, chiasma des nerfs
optiques
. - Crsl, corps restiforme. Fia, faisceau la- té
ceau oblique de la protubérance. Gp, glande pi- néale. - .Vil, nerf
optique
. - Oi, olive bulbaire ou infé- rieure. - Il, pé
n de Iteil médian. si, sillon latéral du mésencéphale. - Th, couche
optique
. - Tpo, txnia pontis. - Tlcl, tractus pedoucula
feutrage inlra- ciliaire au noyau rouge de Stilling et à la couche
optique
du côté opposé. Ils forment deux cordons compac
t intra-tegmentaire. Coupe oblique en, avant et en haut des couches
optiques
, du tronc encéphalique et du cervelet, sectionn
ébelleuse jusqu'à leur terminaison dans le noyau rouge et la couche
optique
du côté opposé. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 Grand
aison des nerfs craniens, à l'exception du nerf olfactif et du nerf
optique
, forme l'étage postérieur de la protubérance et l
ncule cérébral. Coupe horizontale oblique parallèle à la bandelette
optique
(coupe n° 12 x bis), appartenant à la série des
chet - Top, voie pédonculaire 11', zone de Wernicke. - ? bandelette
optique
. - ? nerf moteur oculaire commun. CONFIGURATION
la face externe du pédoncule cérébral et pénétraient dans la couche
optique
. Ces auteurs reconnurent et figurèrent ainsi le
s la partie postérieure et inférieure du noyau externe de la couche
optique
, dans celle région située au-dessous el en deho
up les plus nombreuses abordent la région sous-optique et la couche
optique
; elles sont quelquefois désignées sous le nom d
ruban de Reil médian, du côté opposé et se terminent dans la couche
optique
. La cavité du quatrième ventricule qui, sur la
TRE VII GANGLIONS SIN F H AC 0 1\ T J C A U X : CORPS STRIÉ, COUCHE
OPTIQUE
RÉGION SOUS-OPTIQUE TABLE DES .MATIÈRES. TA
glionaires i, 3 et 4- i. Ganglion céphalique. i. Ganglion du nerf
optique
, placé en dehors de l'anneau. (1) Les planches
3. Ganglion en patte d'oie. 4. Collier œsophagien. 5. Ganglion
optique
, situé dans l'orbite. 6. Nerfs destinés aux mus
nt à son analogue, forme le collier 10. Nerfs des pieds. 11. Nerf
optique
venant de la portion du ganglion céphalique que
Maïa (d'après les mêmes auteurs). i. Ganglion céphalique. 1. Nerf
optique
. 3. Nerf oculo-moteur. 4- Nerf de l'antenne i
urckeim). 1. Ganglion céphalique. 2. Nerf des antennes. 3. Nerf
optique
. 4. Anneau œsophagien. 5. Première paire de g
après M. LéonDufour). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion ec nerf
optiques
. 3. Ganglion prothoracique. 4- Ganglion métatho
près le même auteur). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion et nerf
optique
principal. 3. Rétine et nerf optique des ocelle
halique. 2. Ganglion et nerf optique principal. 3. Rétine et nerf
optique
des ocelles. 4 et 5. Ganglions thoraciques. Bou
. Bourdon (d'après Tréviranus). t. Ganglion céphalique. 2. Nerf
optique
. 3. Ganglions thoraciques. 4- Ganglions abdomin
mestique (d'après Ratzeburg). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion
optique
. 3. Ganglion thoracique. 4. Ganglions abdomin
ace supérieure. te. Tubercule ethmoïdal, ou cérébral, to. Tubercule
optique
, c. Cervelet. Rouget. Les lettres te, to, c,
ille. te. Tubercule ethmoïdal. te. Tubercule cérébral. to.Tubercule
optique
, c. Cervelet. Squale-renard, Les lettres te,
e, te, etc., comme chez les précédons. e. Nerfs ethmoïdaux. o. Nerf
optique
. p. Nerf pathétique. m. Nerf moteur commun de
. BUSE; te. Tubercule cérébral, gp. Glande pinéale. to. Tubercule
optique
, c. Cervelet. SYSTÈME NERVEU% CÉRÉBRO-SPINAL DE
ente la base du cerveau du même animal. e. INerf ethmoïdal. o. Nerf
optique
. p. Nerf pathétique. (Le nerf moteur commun des
ques sont ici représentés. e. Nerf ethmoïdal ou olfactif. 0. Nerf
optique
. m. Nerf moteur commun des yeux. p. Nerf pathét
ue avec le lobe d'hippocampe. c. c. Corps calleux. c. o. Couche
optique
. c. a. Commissure antérieure. o. Nerf optique
eux. c. o. Couche optique. c. a. Commissure antérieure. o. Nerf
optique
. i n. Infundibulum. c. m. Corps mamillaire.
moyenne. g. p. Glande pinéale, dont la racine s'étend sur la couche
optique
. t. q. Tubercules quadrijumeaux qui se continue
t. e. Lobe ethmoïdal, fournissant les nerfs ethmoï- daux. o. Nerf
optique
. m. Nerf moteur commun des yeux. p. Petite co
antérieure. o. a. Ouverture antérieure située en avant de la couche
optique
et par laquelle le troisième ventricule communiqu
ure molle, commissure moyenne qui unit entre elles les deux couches
optiques
. 3me v. Cavité du troisième ventricule. o. p.
rs. a. Nerf abducteur. f. Nerf facial. /. Nerf labyrinthique. o. Nerf
optique
. Le lobe médian ( i ) du cervelet est très peti
; on voit en relief le cervelet qui est resté intact, et la couche
optique
appartenant au lobe gauche. AA. Partie interne
volution supérieure (S', '*? S', S?, %. 4). . ' •' J c. o. Couche
optique
gauche contournée par la racine du nerf optique g
' •' J c. o. Couche optique gauche contournée par la racine du nerf
optique
gauche au-dessous duquel (en I) se voient le lobe
bercules quadriju-meaux,la glande pinéale, la couche et la commissure
optiques
sont plus considérables que chez l'enfant. L'homm
i va s'unir à la circonvolution supérieure. CC. Cervelet, c.o. Couche
optique
. pv'. Pilier droit de la voûte à trois piliers.
aq. Aqueduc de Sylvius. v. n. Quatrième ventricule. m. o. Nerf
optique
. c. p. Corps pituitaire. e. m. Éminences mami
protubérance annulaire. b. m. Coupe médiane du bulbe. 1. o. Lobes
optiques
ou tubercules quadrijumeaux. a. v. Arbre de vie
c. s., c s., Corps strié. t. s. Tamia semicircularis. co. Couche
optique
. gp. Glande pinéale. h. Sa rêne droite. n.o
ouche optique. gp. Glande pinéale. h. Sa rêne droite. n.o. Nerf
optique
. ca. Commissure antérieure. pv. Pilier de la
". Circonvolutions postérieures. n. o. Nerf olfactif. n. op. Nerf
optique
. p. m. Éminences mammillaires. 3 p. Troisième
érieure, ce. Corps calleux, c. a. Commissure antérieure, c. o. Couche
optique
, c. m. Commissure molle, g. p. Glande pinéale. 1.
he optique, c. m. Commissure molle, g. p. Glande pinéale. 1. o. Lobes
optiques
. a. q. Aqueduc de Sylvius. p. c. Pédoncule cé
. Pédoncule cérébelleux divisé. n. oî. Nerf olfactif. n. op. Nerf
optique
. e. m. Éminences mammillaires. p. v. Pont de
FACES. Fig. 4. Face inférieure ou ventrale du noyau. La bandelette
optique
a été enlevée du coté droit. D'après le cerveau d
he. f. Pédoncule cérébral gauche, qui s'engage sous la bandelette
optique
du même côté g. g. Bandelette optique gauche.
s'engage sous la bandelette optique du même côté g. g. Bandelette
optique
gauche. h. Extrémité inférieure du taenia semie
pédoncules. Elle est creusée en une gouttière qui loge la bandelette
optique
. n. Eminonces mamiîlaires. o. Corps genouillé
ouillé externe situé sur le prolongement de la racine externe du nerf
optique
. p . Racine externe de ce nerf. q. Bandelette
rne du nerf optique. p . Racine externe de ce nerf. q. Bandelette
optique
droite, divisée immédiatement au-devant des corps
és pour mettre à découvert l'ensemble des corps striés et des couches
optiques
. a. Cordons médians postérieurs. //. Renfleme
olivaire (Tied.) m. Étage inférieur du pédoncule cérébral. n. Nerf
optique
, o. Corps strié externe occupant le fond du cor
ue dans la base du lobe olfactif. k. Anse du pédoncule. /. Couche
optique
dans la région de la commissure molle. m. Masse
e du pédoncule, r. Gouttière profonde de l'anse, d'où la bandelette
optique
a été détachée. s. Êcorce blanche de la couche op
a bandelette optique a été détachée. s. Êcorce blanche de la couche
optique
. t. Corps strié interne. u. Commissure antérieure
ndre certains détails de la fig. 4. après l'ablation de la bandelette
optique
. a. Bulbe. b. Pyramide antérieure. c. Protu
édian. n. Rêne gauche des habena? de la glande pinéale. o. Couche
optique
. p. Tsenia semicircularis. q. Corps strié int
Prolongement de ce faisceau qui se porte vers le centre de la couche
optique
. 6". Dilatation en forme de cupule de ce prolon
forme de cupule de ce prolongement qui embrasse le noyau de la couche
optique
. c. Fibres qui de l'étage moyen du pédoncule vi
ses qui embrassent en avant les pyramides pédoncu-laires. d. Couche
optique
. e. Faisceau formé par certaines racines de la
es de la troi- sième paire qui remontent vers l'écorce de la couche
optique
et vers les tubercules qua-drijumeaux antérieurs.
qua-drijumeaux antérieurs. f. Bord de l'écorce blanche de la couche
optique
formant par une fasciculation plus serrée de se
es habense de la glande pinéale. g. Noyau gris central de la couche
optique
. k. Pilier droit de la voûte. I. Commissure ant
cidum. n. Genou antérieur du corps calleux. o. Nerf et bandelette
optique
. p. Lobe sphénoïdaï. q. Pédoncule cérébelleux
he par couche, à partir de sa face interne. m.m. Bandelette et nerf
optiques
, n. Commissure antérieure. E.F. Extrémité frontal
briatum. e. — Septum lucidum. /'.— Corps strié externe. i. — Couche
optique
. k.k. Étage perforé du pédoncule. I. Étage pe
pédoncule. I. Étage perforant du pédoncule. m. Bandelette et nerf
optiques
. n. Commissure antérieure. o. Expansion du co
signification . i que dans les figures précédentes. i. ! m. Nerf
optique
. m' Racine interne du nerf optique. m". Sa ra
es précédentes. i. ! m. Nerf optique. m' Racine interne du nerf
optique
. m". Sa racine externe qui présente renflement
u corps strié inférieur (p fig. 5). Les expansions cérébrales du nerf
optique
ont été mises de la sorte à découvert dans tout
dans toute l'étendue de leurs rayonnements postérieurs (4). m. Nerf
optique
. m'. Sa racine interne. m". Sa racine externe
. Cette figure représente le même hémisphère après l'ablation du nerf
optique
et du plan de ses expansions cérébrales. d. Pil
ici, et qu'il a complètement ignoré les véritables relations du nerf
optique
. P. CL sorte d'enveloppe exactement appliquée sur
TRUCTURE DU CERVEAU DU PAPIÓN (SUITE). montrer les rapports du nerf
optique
avec ce ventricule. A gauche le vermis latéral du
l. g. Tuber cinereum et éminences mamillaires. h. Chiasma du nerf
optique
. i. Couches du nerf olfactif ou Insu la. j. C
n. Extrémité du lobe unciforme du lobe sphénoïdal. o. Bandelette
optique
. p. Corps strié inférieur. q. Tœnia semicircu
rié inférieur. q. Tœnia semicircularis. r. Racine interne du nerf
optique
. s. Racine externe du nerf optique et corps ge-
ris. r. Racine interne du nerf optique. s. Racine externe du nerf
optique
et corps ge-nouillé externe. t. Écorce propre d
optique et corps ge-nouillé externe. t. Écorce propre de la couche
optique
. u. Corps genouillé interne. v. Lobule auricu
Faisceau perforé du pédoncule. b. Son faisceau perforant. c. Nerf
optique
soulevé et détaché de la gouttière de l'anse, c
de Reil détaché et soulevé. e. Pian des racines cérébrales du nerf
optique
. f. Corps genouillé interne. f. Plan fibreux
s. h. Gouttière de l'anse dans laquelle était logée la bandelette
optique
. i. Commissure antérieure, y. Commissures propr
trié externe. n. Corps strié interne. n\ Corps strié externe, o. Nerf
optique
gauche. p. p. Commissure propre, étendue de la
e ces faisceaux. Fig. 6. Ensemble des expansions cérébrales du nerf
optique
dans le Saï Capucin. à. Bulbe. á. c. Olives.
s calleux. g\ Partie moyenne du corps calleux. h. Chiasma des nerfs
optiques
. 1. Racine externe de ces nerfs. j. Racine in
e des mêmes nerfs. k. Corps genouillé externe. I. Expansion du nerf
optique
dans l'hémisphère droit. m. m. Plan des fibres
. N. Quatrième ventricule, semblable à un large rictus. L. 0. Lobes
optiques
encore à découvert, et sur lesquels on n'aperçoit
e où les hémisphères cérébraux ne recouvraient point encore les lobes
optiques
. B. Bulbe. C. Cervelet déjà couvert de plis.
tiques. B. Bulbe. C. Cervelet déjà couvert de plis. L. 0. Lobes
optiques
divisés en quatre tubercules. P. Pédoncule céré
déjà représenté fig. \, les hémisphères ne recouvrent point les lobes
optiques
. B. Bulbe. V. N. Quatrième ventricule et comm
auche du rictus. C. Cervelet encore absolument lisse. L. 0. Lobes
optiques
qui ne présentent encore aucune trace de leur sép
e en avant les éminences mammillaires, le tuber cineréum et les nerfs
optiques
. H.C.—H. C. Hémisphères cérébraux déjà nette-
cerveau. B. Bulbe. C. Grand lobe latéral du cervelet. L. 0. Lobes
optiques
. C. P. Masse grise de l'infundibulum. N. OL. Lo
on médian où ne se voit, encore aucune trace de vermis. L, 0. Lobes
optiques
nettement séparés en deux masses latérales par
ole, parfaitement développé. P. C. Pédoncule cérébral. N. OP. Nerfs
optiques
très-grêles. L. OL. Lobes olfactifs qu'on voit ma
rt de plis. L. A. Vermis latéral. P. V. Pont de Varole. L. 0. Lobes
optiques
déjà divisés en quatre tubercules. E. F. Extrém
qu'à peu près lisse, a déjà recouvert et dépassé en arrière les lobes
optiques
et le cervelet. D'ailleurs, les caractères princi
ntérieure. P. V. Pont de Varole. P. C. Pédoncule cérébral. N. 0. Nerf
optique
. CL. Cervelet latéral. C. A. Cervelet antérieur.
et base du corps pituitaire. L. SPH. Lobe sphénoïdal. N. OP. Nerfs
optiques
. Fig. 2. Profil du même cerveau. E. F. Extrém
let au-dessous duquel se voit le quatrième ventricule. L. OP. Lobes
optiques
vésiculeux et sous lesquels se voit un large ve
du cerveau représenté Pl. XXIX, fig. 5. C. Cervelet. L. OP. Lobes
optiques
. G. M. Commissure molle formée de deux moitiés
ntricule latéral a été mis à découvert. C. Cervelet. L. OP. Lobes
optiques
. C. M. Commissure molle au-dessus de laquelle
optiques. C. M. Commissure molle au-dessus de laquelle la couche
optique
fait une grande saillie. C. S. Corps strié. -H
rvelet. V. Quatrième ventricule. P. V. Pont de Varole. L. OP. Lobes
optiques
. C. M. Demi-commissure molle réunie dès avant c
à la demi-commissure du coté opposé, IN. lnfundibulum. N. 0. Nerf
optique
. C. A. Commissure antérieure. C. 0. Couche opti
um. N. 0. Nerf optique. C. A. Commissure antérieure. C. 0. Couche
optique
. S. L. Septum lucidum. G. P. Glande pinéale. C.C
cela a lieu dans les singes. Fig \\. Expansions cérébrales du nerf
optique
. Cf. Pl. XXVI, fig. 4. N. OP. Nerf optique trè
ions cérébrales du nerf optique . Cf. Pl. XXVI, fig. 4. N. OP. Nerf
optique
très-grêle, C. G, Corps genouillé externe, -f -
s-grêle, C. G, Corps genouillé externe, -f -)- + Expansions du nerf
optique
dans Thé-mi sphère. Fig. \ 2. Coupe médiane du
rge dilatation. V. Etage inférieur du ventricule latéral; N. OP. Nerf
optique
. C. Cervelet. L. 0. Lobe olfactif. Fig. 4 5.
e d'un Kanguroo de Bennett, préparé pour montrer les origines du nerf
optique
. H. H. Hémisphère. L. OP. Tubercules quadriju
Corps genouillé interne. -h Corps genouillé externe. N. OP. Nerf
optique
qu'on voit se jeter en entier dans les tubercules
L. L. Masse du cervelet latéral. A. V. Arbre de vie. L. OP. Lobes
optiques
. H. Habense de la glande pinéale. C. 0. Couche
. OP. Lobes optiques. H. Habense de la glande pinéale. C. 0. Couche
optique
. C. M. Commissure molle. V. L, V. L Troisième
ure molle. I. Infundibulum. C. P. Corps pituitaire. N. OP. Nerf
optique
. C. A. Commissure antérieure. P. A. Pilier dr
P. V. Pont de Varole. E. M. Ëminences mamillaires. N. OP. Nerfs
optiques
. L. OL. Lobes olfactifs. C. L. Cervelet latér
nces mamillaires énormes. C. P. Tubér cinereum. B. OP. Bandelette
optique
. N. OP. Chiasma des nerfs optiques. IN. Champ
bér cinereum. B. OP. Bandelette optique. N. OP. Chiasma des nerfs
optiques
. IN. Champ olfactif. N. OL. Lobes olfactifs.
ère gauche. C. Cervelet. IV. V. Quatrième ventricule. L. 0. Lobes
optiques
. Ë. M. Éminences mamillaires. C. P. lnfundibulum.
s; un sixième nerf naît du ganglion situé à droite, tout près du nerf
optique
, et va se porter à la verge qui, située de ce côt
ce côté,touche presque le ganglion céphalique. A la naissance du nerf
optique
, il y a, sur le ganglion cépha- (i) Voyez pl. i
es, Les ganglions, placés autour de l'œsophage, sont le céphalique, l'
optique
, le sub-^œsophagien antérieur et le sub-œsophagie
our le ganglion céphalique, les nerfs linguaux et maxillaires; pour l'
optique
, le nerf optique ; pour le sub-œsophagien antérie
éphalique, les nerfs linguaux et maxillaires; pour l'optique, le nerf
optique
; pour le sub-œsophagien antérieur, les nerfs des
tile, le ganglion sympathique des vertébrés. Parmi ces ganglions, l'
optique
seul a une destination spéciale , celle de donner
, l'optique seul a une destination spéciale , celle de donner le nerf
optique
; les autres tendent seulement à devenir spéciaux
comparé à celui des ganglions, est très considérable , ainsi le nerf
optique
, qui est à la vérité le plus gros de tous, a un d
plus gros de tous, a un diamètre qui égale les deux tiers du ganglion
optique
, et qui est presque semblable au diamètre du gang
un ganglion bilobé, central, et se distinguant nettement du ganglion
optique
, ce qui n'a pas lieu chez le nautile. Le ganglion
du ganglion optique, ce qui n'a pas lieu chez le nautile. Le ganglion
optique
est très volumineux, le ganglion sub-œsophagien a
rfs qui sont au pourtour de l'orifice œsophagien ; il donne les nerfs
optiques
qui, avant de pénétrer dans l'œil, se renflent en
ge, il est comparativement plus volumineux que celui de la seiche ; l'
optique
uni au premier par le nerf optique ; le sous- œso
umineux que celui de la seiche ; l'optique uni au premier par le nerf
optique
; le sous- œsophagien ou ganglion en patte d'oie,
ion secondaire que je désignerai sous le nom de labial, enfin le nerf
optique
. Le ganglion céphalique est divisé transversaleme
xaminerai plus loin la légitimité de ces dénominations. Le ganglion
optique
, uni par le nerf du même nom au ganglion précéden
bules. En comprimant avec une force graduellement croissante, le nerf
optique
de l'escargot, j'ai vu des séries de globules ner
es nerfs de l'escargot, je l'ai constatée, non-seulement pour le nerf
optique
, mais aussi pour la plupart des autres nerfs, et
s et que les canaux nerveux, et que les nerfs eux-mêmes', car le nerf
optique
de l'escargot, un des plus volumineux que fournis
que le ganglion céphalique des mollusques lui soit assimilé, le nerf
optique
cessera d'être un nerf de la vie de relation. Une
raison avec les vertébrés, le ganglion céphalique devient la couche
optique
, ou l'un des tubercules quadrijumeaux. Procéder d
rner, le ganglion supérieur ou sus-œsophagien n'est aulre que le lobe
optique
des poissons, et la partie antérieure de ce gangl
ile a pour caractère d'être une commissure placée en dedans des nerfs
optiques
, et de donner naissance aux nerfs linguaux et max
sur ce sujet, le raisonnement deM.Serres. La taupe est privée du nerf
optique
, et pourtant elle voit ; les cétacés sont privés
leurs diverses sensations. » A cela, je répondrai : 1° Que le nerf
optique
existe chez la taupe, Treviranus et surtout M. Ca
l du nautile; ainsi déjà chez les mollusques, on devrait appeler nerf
optique
, le nerf qui s'épanouit dans la rétine, et ne pas
ue l'on pourrait induire de la petitesse ou même de l'absence du nerf
optique
chez la taupe , où l'organe de la vue est presque
s autres animaux. Enfin, une objection dernière et décisive ; le nerf
optique
des insectes et des mollusques se sépare isolémen
le des tubes articulés ; d'après cet anatomiste, les nerfs olfactife,
optiques
et auditifs en sont formés également ; or, si l'o
ulés, il faudra également leur refuser des nerfs olfactifs, des nerfs
optiques
et des nerfs auditifs. Il n'y a nulle raison, en
n de ces organes des nerfs spéciaux. Niera-t-on l'existence des nerfs
optiques
du poulpe, par exemple, parce que le nerf qui va
neuf ganglions ; le ganglion supérieur ou céphalique donne des nerfs
optiques
qui sont très gros; le second est thoracique, le
t le ganglion sous-œsophagien, auxquels il faut ajouter les ganglions
optiques
; au second groupe, les ganglions du corselet et
e donne cinq paires de nerfs, savoir : les nerfs antennaux, les nerfs
optiques
, et trois autres nerfs destinés aux mâchoires et
ription, comme étant les analogues de la cinquième paire. Le ganglion
optique
, très considérable comme chez tous les insectes,
nstituent véritablement une tête, surtout si l'on y joint le ganglion
optique
. On voit, d'après ce qui précède, qu'il y a une
er; il en est de même des nerfs de la huitième paire. Quant aux nerfs
optiques
, ils restent, dans les deux cas, au ganglion céph
les ganglions olfactifs; 2° les ganglions cérébraux; 3° les ganglions
optiques
; 4° les tubercules quadriju-meaux; 5° le cervelet
l existe à la base de l'encéphale, en arrière du croisement des nerfs
optiques
, deux autres ganglions qui sont les ganglions inf
nglion cérébral. Dans ce dernier cas, il n'existe au devant des lobes
optiques
, lobes toujours faciles à reconnaître puisqu'ils
toujours faciles à reconnaître puisqu'ils donnent naissance aux nerfs
optiques
, qu'un seul ganglion, comme cela a lieu dans la b
s sur le prolongement antérieur de la moelle épinière. 3° Ganglions
optiques
. Haller, Vicq-d'Azyr, M. Cams, les ont appelés co
lions optiques. Haller, Vicq-d'Azyr, M. Cams, les ont appelés couches
optiques
; Camper, hémisphères cérébraux; Scarpa, grands tu
s; Cuvier, lobes creux; M. Serres, Desmoulins, M.Gottsche, etc. lobes
optiques
. Chezbeaucoup de poissons, les ganglions optiques
ottsche, etc. lobes optiques. Chezbeaucoup de poissons, les ganglions
optiques
sont les plus considérables, ils ont toujours l'a
ivre, sur leur partie interne et supérieure une des racines du nerf
optique
, et à leur partie interne et inférieure, une seco
bservé M. Gotts -Che, qui ont les yeux d'inégale grosseur , les lobes
optiques
sont inégalement développés. Si on incise ces lob
n, mais qu'ils sont formés par une lame fibreuse assez mince. La lame
optique
d'un côté est adhérente par sa partie interne , à
ent le corps calleux , ainsi qu'on le verra toul-à-l'heure. Les lames
optiques
forment les parois d'un double ventricule, séparé
anche qui réunit l'une à l'autre, la partie antérieure des deux lobes
optiques
; en arrière de celte commissure, les prolongemens
ius qui établit une corn munication entre la cavité des ventricules
optiques
, et un autre ventricule placée sous le cervelet.
cule placée sous le cervelet. De chaque côté, le ventricule du lobe
optique
présente un petit renflement (tori semi-circulare
ié. Dans les poissons cartilagineux, la cavité formée par les lames
optiques
ne présente pas de commissure, ni de tubercules q
'encéphale de la carpe, on voit en arrière et en dedans des ganglions
optiques
, deux corps oblongs qui ne sont autre chose que l
rs une simple lame placée en travers de la moelle, derrière les lobes
optiques
; mais le plus ordinairement, il consiste en une s
'encéphale de la cavité crânienne, en arrière du croisement des nerfs
optiques
; ils sont implantés à la partie inférieure des pr
ouvre d'autant plus facilement, qu'elle suit la direction des nerfs
optiques
, dont elle est séparée seulement par un intervall
dans cet endroit, et se recourbent pour monter ensuite dans la couche
optique
où ils se divisent en plusieurs filamens, ainsi q
nant eux-mêmes naissance à une commissure située en arrière des nerfs
optiques
. L'analogue de la substance grise formant ces tub
qui, suivant E. M. Bailly, va se confondre dans le chiasma des nerfs
optiques
. Au-dessus des tubercules quadrijumeaux, en arr
iques. Au-dessus des tubercules quadrijumeaux, en arrière des lobes
optiques
, il existe un petit corps analogue à la glande pi
itôt dans la membrane à laquelle ils sont destinés. 2e Paire, nerfs
optiques
. Ils naissent de la partie inférieure et antérieu
ues. Ils naissent de la partie inférieure et antérieure des ganglions
optiques
, £ar deux racines dont l'une s'étale sur la parti
'indiquerai comment elle s'opère en parlant de la structure des nerfs
optiques
des reptiles. 3e Paire, nerfs moteurs communs d
a section des nerfs suiyans qui sont circulaires, est, Pour le nerf
optique
, de...... 3,00 Le moteur commun des yeux . . 1,
rapport entre chacun de ces nerfs et l'encéphale est : Pour le nerf
optique
, le rapport de. là 1,291 Le moteur commun les yeu
de. . . 1,030 Donc son volume est..... 1,262 mill, cubes. Le nerf
optique
est aplati, la plus longue dimension de sa sectio
donne, pour le rapport de ces nerfs avec l'encéphale, Pour le nerf
optique
, le rapport de. . là 321 Le moteur commun des y
du corps de ces animaux a donné pour rapport 1 à 5668. 6. Les nerfs
optique
, moteur commun des yeux, pathétique et abducteur,
a pointe antérieure de l'encéphale : et s'épanouissent dans les lobes
optiques
, les tubercules quadrijumeaux, les lobes inférieu
es faisceaux spinaux;les fibres des faisceaux fulcraux vont aux lames
optiques
, aux tubercules quadrijumeaux, aux tubercules cér
et aux tubercules inférieurs. Commençons par ce qui concerne la lame
optique
: un gros faisceau se dirige en bas et en dehors
e optique : un gros faisceau se dirige en bas et en dehors de la lame
optique
, où il s'élargit un peu, puis rencontre une masse
ement des fibres s'opère à la partie externe et supérieure de la lame
optique
. Les fibres y sont placées les unes à côté des au
les tient réunies. Arrivées là, presque toutes les fibres de la lame
optique
convergent vers deux points, l'un inférieur et
faisceaux qui se joignent tout-à-fait à la partie antérieure du lobe
optique
, et de la jonction desquels résulte le nerf optiq
ntérieure du lobe optique, et de la jonction desquels résulte le nerf
optique
. Ainsi les nerfs optiques sont en communication a
, et de la jonction desquels résulte le nerf optique. Ainsi les nerfs
optiques
sont en communication avec les fibres de la moell
. Toutefois, il m'est démontré que les fibres qui vont former le nerf
optique
ne viennent pas toutes de la moelle épinière, car
erf optique ne viennent pas toutes de la moelle épinière, car le nerf
optique
a un volume d'environ le double du faisceau qui é
lle, de façon que le ganglion placé à la partie inférieure de la lame
optique
est un ganglion de renforcement comme les ganglio
ompresseur; un grossissement de cinquante diamètres suffit. La lame
optique
présente encore un autre ordre de fibres, moins n
mportantes à connaître que faciles à observer. En décrivant les lobes
optiques
, j'ai dit que celui de droite est uni à celui de
l'on enlève ce raphé en même temps que la partie supérieure des lames
optiques
auxquelles il sert de moyen d'union et qu'on l'ex
De chaque côté, ces fibres se continuent jusqu'au ganglion de la lame
optique
en croisant la direction des fibres qui vont au n
la lame optique en croisant la direction des fibres qui vont au nerf
optique
. ¡gAinsi malgré l'autorité de Haller et de Cuvi
tinctement qu'elles partent de la même source que les racines du nerf
optique
, c'est-à-dire des pro longemens fulcraux, à l'end
rtent du corps strié. Pour récapituler ce que nous présente le lobe
optique
, je dirai que ce lobe ou plutôt que cette lame es
nforcement; 3° De fibres qui, par leur réunion, constituent le nerf
optique
; 4° D'une commissure. Cherchons maintenant l
alogue du ganglion de renforcement, c'est le corps strié et la couche
optique
; l'analogue de la commissure, c'est le corps cal
missure, c'est le corps calleux ; enfin, les fibres d'origine du nerf
optique
sont les mêmes dans les deux cas. Au-dessous de
'avant en arrière la cavité que laissent au-dessous d'elles les lames
optiques
, c'est la cloison transparente et la voûte à troi
fourni le faisceau qui va aux tubercules qua-drijumeaux et à la lame
optique
, le prolongement antérieur de la moelle épinière
lée dont ils sont en grande partie composés. A l'occasion des lobes
optiques
, j'ai parlé de fibres transverses qui forment, po
pyramides et celles du cervelet. Cette commissure et celle des lobes
optiques
sont les seules dont les fibres soient isolées; t
e commissure visible comme la précédente, quand on a enlevé les lames
optiques
. Cette dernière, simple à sa partie moyenne, est
X ; l'une de ses extrémités, la supérieure, va du ganglion de la lame
optique
au centre du ganglion inférieur, et ainsi pour la
te commissure unit entre eux le ganglion inférieur droit avec la lame
optique
gauche, et réciproquement. On ne distingue bien l
rite et qui existe en arrière de l'endroit où se croisent les nerfs
optiques
. La dernière commissure dont j'ai également parlé
tres ; c'est sous une autre forme, ce que j'ai indiqué pour les lames
optiques
. Les nerfs encéphaliques naissent pour la plupa
lions;on a vu avec quelle facilité j'ai pu suivre les racines du nerf
optique
; je n'ai pas réussi de même en recherchant l'ori
ure; pour les ganglions placés en arrière du cervelet; pour les lobes
optiques
et les lobes olfactifs, des racines nerveuses , p
suivre de continuité entre les tubercules quadrijumeaux et les nerfs
optiques
, c'est pourquoi je n'en fais pas mention; je n'ai
non plus que les ganglions inférieurs fournissent des racines au nerf
optique
, comme Cuvier l'a avancé, mais j'ai observé trè
n tête de ces derniers , il faut placer le ganglion antérieur au lobe
optique
et que j'ai appelé ganglion cérébral; ensuite vie
ille assure que les tubercules quadrijumeaux sont étrangers aux nerfs
optiques
: pour ce qui concerne les poissons , je suis dan
rés et notamment les mammifères, il m'est bien démontré que les nerfs
optiques
étalent en grande partie leurs racines sur les tu
quelquefois variqueuses ; que les fibres du nerf olfactif et du nerf
optique
, très petites aussi, sont quelquefois variqueuses
ueuses aussi, tandis que celles des nerfs encéphaliques, autres que l'
optique
et l'olfactif (je n'ai pas examiné l'auditif), qu
..................... 0,00166 fibre variq. Goujon. Fibre de la lame
optique
..... 0,00166 0,00664. Id. Id...................
le épinière. Cependant, jamais je n'ai vu l'une des fibres de la lame
optique
ou de celles qui croisent la moelle épinière au-d
hant de celui des fibres appartenant aux nerfs. Les fibres de la lame
optique
et les fibres transverses de la moelle sont toute
expériences pratiquées de la même manière sur les nerfs, autres que l'
optique
et l'olfactif. 5e expérience. — Anguille. Nerf
autres que l'optique et l'olfactif. 5e expérience. — Anguille. Nerf
optique
. A l'aide du sca-pel on parvient facilement à div
font les globules huileux. 6e expérience. — Anguilles de mer. Nerf
optique
. Pas d'apparence défibres, ni rectilignes, ni art
a 5e expérience, qui était presque vivante quand j'ai enlevé son nerf
optique
; ainsi, on peut attribuer le manque d'apparence f
ltat c'est-à-dire , absence de fibres. 7e expérience. —Goujon. Nerf
optique
. J'y découvre beaucoup de fibres rectilignes et q
rectilignes et quelques fibres articulés. 8eexpérience.—Carpe. Nerf
optique
. Tissu linéaire, dense et serré; je ne puis, avec
up près, rencontré constamment des fibres variqueuses, dans les nerfs
optiques
des poissons : la varicosité est un phénomène acc
r laquelle j'ai vainement cherché des fibres variqueuses dans le nerf
optique
. 10e expérience.— Moelle épinière. Anguille de
elles qui forment l'admirable lascis que l'on découvre dans les lames
optiques
, ne sont pas articulées; quelque pression que je
se du cervelet, des ganglions postérieurs; pour les fibres de la lame
optique
et la plupart de celles que l'on trouve dans l'en
es et les corps restiformes ; aux tubercules quadrijumeaux, aux lobes
optiques
, aux lobes inférieurs, aux ganglions cérébraux et
moelle. On voit les fibres du faisceau fulcral qui se rendent au lobe
optique
, se continuer à travers la lame optique, dans le
ulcral qui se rendent au lobe optique, se continuer à travers la lame
optique
, dans le corps calleux et dans le nerf optique.
nuer à travers la lame optique, dans le corps calleux et dans le nerf
optique
. 8. Les ganglions sont composés de substance fi
et; ils ressemblent aux poissons osseux, principalement par les lobes
optiques
. Entre eux, ils n'offrent que de légères dissembl
oissons osseux, l'encéphale varie aussi sur plusieurs points. Le lobe
optique
est assez uniforme, mais le lobe olfactif n'est p
rne son encéphale, que le brochet. Chez le brochet, c'est le ganglion
optique
qui l'emporte sur les autres, chez le squale-rena
lfactifs, des ganglions cérébraux très considérables , des tubercules
optiques
recouverts en grande partie par l'extrémité posté
s dont se compose l'encéphale des reptiles sont le cerveau, les lobes
optiques
, le cervelet ; les parties secondaires sont les v
ures antérieure, postérieure et inférieure, le corps strié, la couche
optique
, Yinfundibulum, l'aqueduc de Syl-vius, la commiss
arrière, se prolonge dans presque tous les reptiles, jusqu'aux lobes
optiques
; sa petite extrémité se termine en avant par un p
commissure analogue pour l'aspect, à la commissure molle des couches
optiques
du cerveau de l'homme. La surface en est lisse; c
ment un peu renflée, fournit les filets nerveux olfactifs. 2° Lobes
optiques
. Ces lobes situés en arrière des pré* cédens, son
s marqué en arrière qu'en avant. Deux racines d'un même nerf, du nerf
optique
, se voient à sa surface, l'une en dedans et en ha
alogue à celle que j'ai décrite chez les poissons. Incisés, les lobes
optiques
présentent comme les lobes cérébraux, une cavité
surface interne du lobe , ou pour parler plus exactement, de la lame
optique
, est parsemée d'un nombre infini de vaisseaux s
masse globuleuse égale et même supérieure en volume à l'un des lobes
optiques
. D'après M. Mayer, de Bonn (1), le menopoma , mal
tous les reptiles ; les lobes cérébraux le sont également ; les lobes
optiques
sont creux et communiquent celui du côté droit av
eine saillant, situé en arrière de l'endroit où se croisent les nerfs
optiques
. C'est des parties latérales du noyau dont il s'a
istingue très bien, notamment chez la couleuvre, du chiasma des nerfs
optiques
. 9° Commissure diffuse. Quand on a enlevé le ce
uvrant le ventricule cérébral dont j'ai parlé plus haut. 11° Couche
optique
. M. Carus décrit comme telle une petite portion d
pédoncules cérébraux du crocodile, entre ces pédoncules et les lobes
optiques
. Je n'ai pas eu l'occasion de disséquer le systèm
lobule ; on ne peut pas les suivre jusqu'au cerveau. 2epaire. Nerfs
optiques
. L'existence des nerfs optiques paraît n'être pas
re jusqu'au cerveau. 2epaire. Nerfs optiques. L'existence des nerfs
optiques
paraît n'être pas constante chez les reptiles. Tr
e Yinfundibulum, chez la tortue d'Europe , est un indice de la couche
optique
. Quant aux autres parties secondaires de l'encé
quadrijumeaux, mais par tubercules quadrijumeaux, il entend les lobes
optiques
. du nerf optique, elle offre une particularité
par tubercules quadrijumeaux, il entend les lobes optiques. du nerf
optique
, elle offre une particularité importante à noter.
tance blanche que Bojanus et M. Carus désignent sous le nom de couche
optique
, saillie que l'on remarque sur les pro-longemens
remarque sur les pro-longemens fulcraux de la moelle, entre les lobes
optiques
et le cerveau. Les auteurs n'admettent pas l'entr
u. Les auteurs n'admettent pas l'entrecroisement des fibres des nerfs
optiques
chez tous les reptiles ; je parlerai bientôt de c
le volume des nerfs à celui de l'encéphale, n'aurai-je que les nerfs
optiques
et les nerfs moteurs communs des yeux, comme term
cteur et pathétique des reptiles ; je vais donner la mesure des nerfs
optique
et moteur commun des yeux, et comparer le volume
diamètre des nerfs suivans, qui sont circulaires , est Pour le nerf
optique
de......0,4 mill. cub. Pour le moteur commun de
Donc le rapport entre ces nerfs et l'encéphale, est Pour le nerf
optique
, celui de......là 386 Et pour le moteur commun
diamètre des nerfs suivans, qui sont circulaires, est Pour le nerf
optique
de.......0,5 mill. Pour le moteur commun des ye
ort entre la section de ces nerfs et l'encéphale est Pour le nerf
optique
de.......là 494 Pour le moteur commun des yeux
es animaux de cette classe, un corps strié, un commencement de couche
optique
, un corps calleux, une commissure antérieure, une
les; cependant il existe un reptile qui paraît être dépourvu de nerfs
optiques
. 7. La comparaison du poids de l'encéphale des
u corps de ces animaux, a donné pour rapport 1 à 1324. 8. Les nerfs
optique
et moteur commun dqs.yeux, comparés au volume de
forment au contraire, une lame très mince analogue à celle des lames
optiques
. La portion des faisceaux fulcraux qui va aux l
lames optiques. La portion des faisceaux fulcraux qui va aux lames
optiques
, se porte un peu en dehors, elle s'y renfle et v
e que chez les poissons , pour former deux racines à chacun des nerfs
optiques
. Une partie des fibres de la lame optique croisan
racines à chacun des nerfs optiques. Une partie des fibres de la lame
optique
croisant les racines du nerf, se dirigent vers la
ébraux, est l'analogue du corps calleux. Toute la substance des lames
optiques
est manifestement fibreuse, mais de la nature des
t, avec des ciseaux très fins, enlever d'un seul coup, les deux lobes
optiques
, à leur partie postérieure, car réunis en arrière
omporte d'une manière analogue aux faisceaux qui se rendent aux lames
optiques
et rencontrent en dehors, un léger renflement où
la même manière que chez les poissons. L'entrecroisement des nerfs
optiques
existe chez la plupart des reptiles ; il est comp
0,00133 — Cervelet. ............... 0,00166 Lézard Fibre du lobe
optique
........... 0,00166 — Ibid................. 0,00
x recherches microscopiques, voudraient voir les fi bres de la lame
optique
, celles du cervelet et les fibres trans-verses de
aux fulcraux de la moelle épinière se rendent au cerveau et à la lame
optique
, où elles vont former le nerf optique et le corps
rendent au cerveau et à la lame optique, où elles vont former le nerf
optique
et le corps calleux; les faisceaux spinaux se con
aux se continuent dans le cervelet, et quelque peu aussi dans la lame
optique
. 8. Le cerveau est composé de substance granulé
substance granulée, vascu-laire, et de quelques fibres. 9. La lame
optique
est entièrement fibreuse. 10. La substance du c
fibres transversales de la moelle, les fibres du cervelet, de la lame
optique
, du cerveau et des commissures qui unissent entre
prédominance du ganglion cérébral, infériorité relative des ganglions
optiques
et ténuité du cervelet. Ce dernier organe est si
part. pl. xvu, fig, 7. gros, d'un tiers environ, que l'un des lobes
optiques
. Quant à ces derniers, chez tous les reptiles, il
ineux en avant qu'en arrière, et s'ar-rêtant au niveau des tubercules
optiques
ou s'étendant jusqu'aux parties latérales de ces
anatome, cap. v, Lond.," 1664. térieure, Vmfundibidum, et les lobes
optiques
, dont il a découvert la cavité. Valentin (1), Col
st un petit tubercule gris qui est un véritable rudiment de la couche
optique
des mammifères. Le même auteur signale le volume
mparé au cerveau, et il explique ce fait par la situation des couches
optiques
, qui dans l'homme et les quadrupèdes font partie
eaux comme l'analogue des corps striés. Sœmmering (5) appelle couches
optiques
les lobes optiques, ainsi que Har-wood (6) et les
ue des corps striés. Sœmmering (5) appelle couches optiques les lobes
optiques
, ainsi que Har-wood (6) et les frères Wenzel (7).
formant à lui seul presque tout l'hémisphère. Cuvier appelle couches
optiques
les lobes optiques; il dit que, entre les couches
presque tout l'hémisphère. Cuvier appelle couches optiques les lobes
optiques
; il dit que, entre les couches optiques et les co
le couches optiques les lobes optiques; il dit que, entre les couches
optiques
et les corps cannelés, sont des éminences arrondi
ens placés sur le trajet des pédoncules cérébraux, en avant des lobes
optiques
. On les voit très bien sur le pigeon, la pie, le
ur adossement le troisième ventricule. Ce sont en réalité les couches
optiques
, ou plutôt un rudiment des couches optiques. Le c
nt en réalité les couches optiques, ou plutôt un rudiment des couches
optiques
. Le corps calleux, refusé aux oiseaux par tous le
e la glande pinéale, décrit une large commissure qui réunit les lobes
optiques
; il admet l'existence des corps striés, et nie ce
bercules quadrijumeaux, les éminences qui donnent naissance aux nerfs
optiques
. Fr. Franke décrit la forme du cerveau: ce Les oi
s'agit, au genou du corps calleux des mammifères. Il appelle couches
optiques
les petits ganglions placés en avant des lobes op
pelle couches optiques les petits ganglions placés en avant des lobes
optiques
; il indique des ganglions placés à l'origine des
es des corps striés; quant aux lobes qui donnerit naissance aux nerfs
optiques
, il les appelle lobes optiques : il ne fait aucun
lobes qui donnerit naissance aux nerfs optiques, il les appelle lobes
optiques
: il ne fait aucune mention des tubercules quadri
objets simples sur des objets multiples. En voici un exemple. Le nerf
optique
naît, chez les poissons, d'une lame très niince q
le de substance grise ; chez les mammifères et chez l'homme , le nerf
optique
naît à-la-fois d'une triple éminence, savoir, les
oir, les deux tubercules quadrijumeaux i) Op. cit. et les couches
optiques
. Si la détermination de ces tubercules est faite
ation de ces tubercules est faite d'après le mode d'insertion du nerf
optique
, il est évident que l'on ne pourra pas dire, dans
dans le cas où un seul de ces tubercules existera, si c'est la couche
optique
, le tubercule testes ou le tubercule nates. Ce n'
e ses devanciers qui ont appelé tubercules mamillaires les tubercules
optiques
; il a également prouvé que ces tubercules ne son
es ; il a également prouvé que ces tubercules ne sont pas les couches
optiques
. Mais il a été moins heureux quand il a voulu dém
té entre ces tubercules considérés dans les mammifères ) et les lobes
optiques
des oiseaux, par exemple : il y a seulement analo
il y a seulement analogie, et cette analogie n'exclut pas les couches
optiques
de toute participation à la production du nerf op
s les couches optiques de toute participation à la production du nerf
optique
. C'est pour n'avoir pas fait cette distinction, q
ercules quadrijumeaux de l'homme comme étant l'unique origine du nerf
optique
. Il s'est dit : ce Le nerf optique tire son origi
mme étant l'unique origine du nerf optique. Il s'est dit : ce Le nerf
optique
tire son origine, chez les vertébrés inférieurs e
c, ce sont les tubercules quadrijumeaux qui donnent naissance au nerf
optique
. » Mais un organe à peine aper-cevable chez quelq
développé chez les mammifères et considérable chez l'homme, la couche
optique
, ne concourt-elle pas aussi à donner naissance au
couche optique, ne concourt-elle pas aussi à donner naissance au nerf
optique
? L'inspection dit : oui ; le raisonnement de Ga
ion dit : oui ; le raisonnement de Gall dit : non. Non, car le nerf
optique
est formé par les tubercules quadrijumeaux, et le
es quadrijumeaux, et le nouvel organe surajouté aux autres, la couche
optique
a un autre usage , c'est d'être un ganglion de re
e fait anatomique suivant : c'est que les fibres de la racine du nerf
optique
vont en partie s'épanouir à la surface postérieur
ptique vont en partie s'épanouir à la surface postérieure delà couche
optique
, et que les raisonnemens ne peuvent rien pour emp
ensuite que celte insertion ne s'oppose nullement à ce que la couche
optique
ne soit en même temps, pour les pédoncules cérébr
pour les pédoncules cérébraux, un organe de renforcement. Les couches
optiques
ont une double destination, et se montrer exclusi
chez les oiseaux où on le rencontre, est placé en avant de la couche
optique
. 1° Cerveau. Cet organe est formé de deux lobes
e cette face est placée sur les pédoncules cérébraux et sur les lobes
optiques
. Les lobes cérébraux des oiseaux constituent une
nférieure, située tout-à-fait au bas et touchant le chiasma des nerfs
optiques
; la seconde, très petite, située un peu au-dessou
ssure antérieure. La troisième est située un peu en avant des couches
optiques
. La première de ces commissures est regardée pa
un petit tubercule qui donne naissance au nerf olfactif. 2. Couche
optique
. C'est un petit tubercule grisâtre, pair, comme i
à celle que l'on voit chez les mammifères. L'adossement de la couche
optique
gauche avec la droite donne lieu à une petite cav
ous la forme d'un mamelon placé en arrière de la commissure des nerfs
optiques
. Ce mamelon est un rudiment des lobes inférieurs
rudiment des lobes inférieurs de l'encéphale des poissons. 3. Lobes
optiques
. En arrière des couches optiques et sur les côtés
l'encéphale des poissons. 3. Lobes optiques. En arrière des couches
optiques
et sur les côtés de l'encéphale, sont deux corps
externe et supérieure de la moelle épinière. Ces corps sont les lobes
optiques
: leur masse est formée de sub- (i) Op. cit., \
fibres blanches venant de la moelle épinière; ils fournissent au nerf
optique
une double racine analogue à celle que j'ai décri
se à l'état de cordon et sans éprouver aucun aplatissement. Les lobes
optiques
sont creux, la cavité en est tapissée par une lam
le de Vieussens et les processus cere-belli ad testes, avec les lobes
optiques
; latéralement, avec la moelle. Cette dernière c
ne partie des faisceaux fulcraux, l'aqueduc de Sylvius et les couches
optiques
; sur les côtés, l'implantation du cervelet, celle
optiques; sur les côtés, l'implantation du cervelet, celle des lobes
optiques
, et sur différens points de son étendue, l'origin
uvrement, partiel chez la plupart, complet chez les autres, des lobes
optiques
par les lobes cérébraux, la formation bien déterm
ues par les lobes cérébraux, la formation bien déterminée des couches
optiques
, enfin le volume et la lamellation du cervelet, l
y a un petit tubercule, ainsi qu'il a été dit plus haut; 2° les nerfs
optiques
très volumineux viennent seulement des lobes opti
t; 2° les nerfs optiques très volumineux viennent seulement des lobes
optiques
, et les couches optiques paraissent être complète
très volumineux viennent seulement des lobes optiques, et les couches
optiques
paraissent être complètement étrangères à leur pr
s lobes s'étendent en arrière sur le cervelet et recouvrent les lobes
optiques
. Parmi les oiseaux inscrits au tableau qui précèd
inscrits au tableau qui précède, quelques-uns de ceux dont les lobes
optiques
restent très à découvert sont la buse, le pigeon
l autre un peu plus en avant, et c'est pour cette cause que les lobes
optiques
sont plus ou moins en saillie sur les figures de
ose de trois ganglions principaux, le cerveau, le cervelet, les lobes
optiques
et d'un ganglion supplémentaire, la couche optiqu
rvelet, les lobes optiques et d'un ganglion supplémentaire, la couche
optique
: des commissures réunissent entre elles ces diff
s chez quelques oiseaux seulement. 3. Le cerveau recouvre les lobes
optiques
en totalité ou en partie; il dépasse ces lobes, e
nches n'y sont pas disposées par couches distinctes. 5. Les couches
optiques
existent à l'état rudimentaire. 6. Les lobes op
. Les couches optiques existent à l'état rudimentaire. 6. Les lobes
optiques
sont inférieurs au cerveau; ils ont un volume trè
baux ; il y a de plus une petite commissure inférieure; sur les lobes
optiques
, on trouve une commissure large, dont les fibres
n cordon arrondi, placé au travers de la moelle allongée. Les couches
optiques
sont striées comme chez l'homme par les rênes de
oelle épinière à l'encéphale, comme 1 à 8,87. 11. Le volume du nerf
optique
, du moteur commun des yeux et du pathétique, est,
se trouve de la substance grise en arrière de la commissure des nerfs
optiques
; le lobe optique, à sa circonférence, en présent
stance grise en arrière de la commissure des nerfs optiques ; le lobe
optique
, à sa circonférence, en présente une assez large
la moelle , ou la portion fulcrale de cet organe, se porte aux lobes
optiques
, et au cerveau. A l'endroit où le cervelet s'in
orcées par un ganglion , vont former une sorte d'anse entre les lobes
optiques
. Ainsi, sur ce point, comme sur beaucoup d'autres
de l'homme, je répondrai à ces différentes questions. Dans le nerf
optique
, les fibres ne se découvrent pas facilement ; ell
erveuses des oiseaux. M. Pigeon. Fibre de la commissure des lobes
optiques
..... o,ooi Poule. Fibre du cervelet............
bre du lobe cérébral.................... 0,00166 Ici. Fibre du nerf
optique
..................... 0,00166 Pigeon. Fibre de l
.................. 0,00166 Pigeon. Fibre de la commissure des lobes
optiques
...... 0,002 Id. Fibre du pédoncule cérébral....
rique............. 0,00477 Pigeon. Fibre de la commissure des lobes
optiques
...... o,oo583 Mésange. Fibre de la moelle épini
moelle allongée. 3. Les fibres de la moelle, en arrivant aux lobes
optiques
, se comportent d'une manière absolument semblable
mparés à l'homme. J'ai mesuré le volume du cerveau et celui des nerfs
optique
, moteur commun des yeux et pathétique du chardon
séquent les encéphales les plus volumineux; ainsi, le rapport du nerf
optique
du chardonneret au cerveau du même oiseau, est co
à parler ici de la forme de la moelle épinière, ni de celle des lobes
optiques
, ces parties n'ayant pas une relation directe ave
'exactitude, parce que s'il est faible, le cervelet et les tubercules
optiques
sont plus ou moins à découvert; s'il est considér
sont plus ou moins à découvert; s'il est considérable, les tubercules
optiques
sont entièrement cachés et le cervelet lui-même e
en arrière: ceux doni le cerveau se prolonge davantage sur les lobes
optiques
et sur le cervelet, sont les premiers. Perroque
rière, le coucou , qui n'élève pas lés siens, devrait avoir les lobes
optiques
plus à découvert que tous les autres oiseaux, et
aux, et par conséquent être le dernier sur cette liste. Or, ses lobes
optiques
sont au niveau du cerveau, tandis que les oiseaux
dis que les oiseaux dont les noms suivent le sien, on! tous les lobes
optiques
encore moins recouverts qu'il ne les a. seaux,
e du système nerveux, ses parties accessoires, telles que les couches
optiques
et les corps striés l'emportent de beaucoup sur l
es optiques et les corps striés l'emportent de beaucoup sur les lobes
optiques
, et sa surface est sillonnée par des ondulations
ce avec les circonvolutions intestinales. 1. Encéphale. Les lobes
optiques
ne nous occuperont plus que comme un des organes
rne la cuisse du cerveau et va reparaître en bas, tout à côté du nerf
optique
(I, fig. 3, et I, fig. 5), sous la forme du lobe
cavité et se prolonge en arrière, sur la partie antérieure des lobes
optiques
; chez les oiseaux, il se prolonge davantage sur c
ent des lobes en arrière devient encore plus considérable ; les lobes
optiques
sont presque toujours recouverts en totalité, e
calleux, la commissure antérieure, la commissure moyenne des couches
optiques
, et la commissure postérieure. La commissure anté
pl. vu, mouton, fig. 2, etc.), arrivé au niveau de la racine du nerf
optique
, est placé entre deux amas de matière grise, l'un
ppelait couronne rayonnée. C'est à tort que l'on a décrit la couche
optique
comme faisant partie du ventricule latéral; elle
'est une sorte de fenle qui résulte du rapprochement des deux couches
optiques
, ce ventricule s'ouvre en haut; la voûte dite à t
commissure moyenne ou molle, qui réunit l'une à l'autre les couches
optiques
dans une grande partie de leur étendue (on voit l
de leur étendue (on voit la section de celte commissure de la couche
optique
c. o. pl. iv, fig. 3 du cerveau du renard; c. o.
blanche qui, de la glande pinéale, se portent en avant sur la couche
optique
. Le plancher du troisième ventricule est dispos
ce, demi transparente, c'est la pars pellu-eida de Tarin. La couche
optique
est un gros tubercule, placé sur les cuisses du c
t il vient d'être parlé. Deux commissures appartiennent à la couche
optique
, savoir la commissure molle, dont l'existence pas
irections différentes; les plus nombreuses s'avancent sur les couches
optiques
et constituent ce qu'on appelle les rênes de la g
ux piliers latéraux longs et flexueux qui s'étendent depuis la couche
optique
jusqu'à l'extrémité du pied d'hippocampe. A la pa
du pied d'hippocampe. A la partie inférieure et interne de la couche
optique
se trouvent, dans l'épaisseur même de l'organe, d
remontent pour se placer entre la commissure antérieure et la couche
optique
. Jusque au-dessus de la couche optique, les fibre
issure antérieure et la couche optique. Jusque au-dessus de la couche
optique
, les fibres du côté droit et celles du côté gauch
iit'. dup'ns., 1. n: , [ . iofi. Y. aussi LauUi, op. cit. la couche
optique
, qu'il s'oppose à toute communication entre le tr
u-dessus du pont de varole, elles sont soudées, en avant, à la couche
optique
, en dehors elles sont en rapport avec les corps g
ehors du premier el plus avant, esl en rapport avec la racine du nerf
optique
. Entre ces parties intérieures du cerveau consi
r, elle établit la communication entre les hippocampes et les couches
optiques
; par le septum lucidum, les rapports qu'elle a av
est petit. Les corps frangés se prolongent en avant dans les couches
optiques
, dans les lobes antérieurs des hémisphères et dan
ici le volume de la commissure molle ou commissure moyenne des lobes
optiques
qui est plus considérable dans les mammifères inf
stinés au passage de ces nerfs. On a contesté l'existence des nerfs
optiques
chez la taupe, ces nerfs ne manquent pas cependan
nt au volume de l'encéphale, ils sont dans les rapports que voici :
Optique
. Mot. com. Pathétique. Abducteur. Trifacial. Faci
favorables. Quoi qu'il en soit, sur cinq nerfs mesurés, savoir : l'
optique
, le moteur commun des yeux, le pathétique, l'abdu
miers, l'un pour le nerf moteur commun des yeux, l'autre pour le nerf
optique
. La martre et le chat sont placés après, c'est-à-
t plus la moelle allongée est volumineuse comparativement aux couches
optiques
et aux corps striés, organes qui appartiennent en
phans au-dessus des autres quadrupèdes. D'après Perrault, les couches
optiques
et les corps striés sont très gros, tandis que le
ces organes, telle que les commissures,les corps striés, les couches
optiques
, etc. diamètre des fibres nerveuses des mammifè
rayons du corps strié...... 0,0013 ld......... de la raciue du nerf
optique
..... 0,0013 ld......... Id.................. 0,
même organe ............... 0,00333 ld........ de la cuisse du nerf
optique
...... 0,00383 Id........ des tubercules quadrij
...... 0,01166 ld........~, Renflement d'un fibre variqueux du nerf
optique
............ ... 0,01166 ld.........Fibre de l'
t, convergent en arrière, en dedans et en bas, traversent les couches
optiques
, vont aux tubercules quadrijumeaux, au cervelet,
-dessus de l'âne, de la marte, du chat et du lapin. Le volume du nerf
optique
étant pris pour unité, le volume de l'encéphale d
pour quinze animaux différens, quel est le rapport du volume du nerf
optique
à celui de l'encéphale. Cheval, le nerf optique
t du volume du nerf optique à celui de l'encéphale. Cheval, le nerf
optique
est à l'encéphale, comme 1 est à 36975 Marte...
me enclavés les noyaux gan-glionnaires centraux, à savoir les couches
optiques
et les corps striés. Une coupe transverse, prat
s ou en avant des pédoncules. — S, commissure grise ; — 0, 0, couches
optiques
— V, ventricule latéral ; — V, sa corne sphé_ noï
orps strié; l'autre, interne et pos-térieure, ovalaire, est la couche
optique
; les couches optiques de chaque côté sont séparée
interne et pos-térieure, ovalaire, est la couche optique; les couches
optiques
de chaque côté sont séparées par la profondeur du
ses, intra-ventriculaires, le noyau caudé du corps strié et la couche
optique
reposent au-des-sus et en dedans de l'éventail pé
ppelle noyau extravenlt'i-culaire du corps strié. lion de la couche
optique
(0) et de la queue du corps strié (C). En dehors
— I, Corps calleux; — 2, Cavité du ventri-cule latéral : — 3, Couche
optique
; —4, Partie antérieure et externe du pé-doncule
. 6, 1) ; au-dessous, le septum lucidum, la face interne de la couche
optique
(Fig. 6, 3), puis, la surface de section des pédo
à proprement parler, de lésions systématiquement limitées aux couches
optiques
, aux différents noyaux du corps strié, aux divers
artères nourricières des ganglions centraux : corps striés et couches
optiques
. Ces artères nourricières forment six groupes p
oblitérant la carotide interne près de sa bifur-cation. des couches
optiques
et les parois du troisième ventricule. Le trois
, vascularisent les corps striés et la partie antérieure de la couche
optique
. Le cinquième et le sixième — groupes postero-l
pédoncules cérébraux; ils nourris-sent une grande partie des couches
optiques
. Une ligne circulaire, tracée à deux centimètre
ectée en partie, mais manifestement atrophiée. Or, bien que la couche
optique
etle corps strié fussent dans ce cas tout à fait
ux gris centraux. Vous savez que, sous ce nom, on désigne les couches
optiques
, les corps striés et ce qu'on pourrait appeler le
ur 119 cas rassemblés par Andral et Durand-Fardel, 102 fois la couche
optique
et le corps strié ont été le point de dé-part de
s qui se rendent aux di-verses parties du corps strié ou de la couche
optique
. Malgré toutes les précautions possibles, on ne p
s précautions possibles, on ne parviendra jamais à injecter la couche
optique
ou le corps strié tout entier. Vous n'injecterez
ucoup plus vaste et beaucoup plus important. Elle fournit aux couches
optiques
, dans une grande étendue, à l'étage supérieur des
e vue de la théorie des loca-lisations cérébrales, à savoir la couche
optique
, le noyau caudé, le noyau lenticulaire et enfin l
mment le pédoncule cérébral, arrondi au moment où il aborde la couche
optique
, s'aplatit après qu'il l'a dépassée de dedans en
e sont disposés ainsi qu'il suit : en dedans et en arrière, la couche
optique
; en dedans encore, mais en avant et au-dessus, l
, le noyau caudé ; en dehors de l'éventail et au-dessous de la couche
optique
et du noyau caudé est situé le noyau lenticulaire
ssi loin, ou peu s'en faut, que l'extrémité postérieure de la cou-che
optique
. Je ne veux faire qu'indiquer en passant, la fo
ux rapports des noyaux gris que je viens d'énumé-rer : 1° La couche
optique
a l'aspect d'un ovoïde aplati. De ses deux face
e indi-quées, que les trois noyaux ou masses grises centrales, couche
optique
, noyau caudé, noyau lenticulaire, sont en quelque
aux, à la manière de cotylédons. Du côté des ventricules, la couche
optique
et les noyaux caudés sont isolés, le noyau lentic
en connexité surtout avec les tubercules quadriju-meaux et la couche
optique
: il ne prend point une part di-recte à la format
les régions les plus in- Fig. 18. — N C, noyau caudé. — C 0, couche
optique
. — N L, noyau lenticu-laire avec ses trois segmen
s du noyau caudé qui vont à la périphérie. — F T, fibres de la couche
optique
qui vont à la périphérie, — F D? fibres directe
onculaires provenant du pied de la couronne rayonnante pour la couche
optique
, celle-ci ne recevant pas du pédoncule cérébral d
— Caps-in., capsule interne. — C A, commissure antérieure. — H, nerf
optique
et son ganglion optique. —A, commissure dans la c
erne. — C A, commissure antérieure. — H, nerf optique et son ganglion
optique
. —A, commissure dans la cavité centrale de la mas
e ventricule. G 0 L et G 0 E, parties interne et externe de la couche
optique
. — N C, iipyau camlé, — F fibres émanées du tapeh
rayonnants des corps striés; 2° les faisceaux rayonnants de la couche
optique
; 3° les faisceaux rayonnants issus du noyau lent
circonvolutions. Ce sont : 1° les faisceaux rayonnants de la couche
optique
; 2° ceux du corps strié ; 3° ceux du noyaux lent
, 2° au noyau lenticulaire tout entier; 3° à une portion de la couche
optique
] 4° à toute l'étendue de la capsule interne.
res cérébraux, faite à un centimè-tre en arrière du chiasma des nerfs
optiques
. — Artères du corps strié. — Ch, chiasma des nerf
des nerfs optiques. — Artères du corps strié. — Ch, chiasma des nerfs
optiques
; — B, section de la bandelette optique ; — L, no
rié. — Ch, chiasma des nerfs optiques ; — B, section de la bandelette
optique
; — L, noyau lenticulaire du corps strié ; — I, c
se du troisième ventricule qui se con-tinue en arrière avec la couche
optique
. Territoires vascalaires. — I, artère cérébrale
s ou en avant des pédoncules. — S, commissure grise ; — 0, 0, couches
optiques
; — V, ventricule latéral; — V, sa corne sphé-noï
égions suivantes : Io à la partie externe et postérieure de la couche
optique
; 2° aux tubercules quadrijumeaux ; 3° à l'étage
montre seulement le noyau caudé et le noyau lenti-culaire, la couche
optique
étant plus postérieure. On retrouve sur cette cou
e interne, elles abordent la partie externe t antérieure de la couche
optique
où elles se répandent. Je vous rappellerai, Mes
je ne veux m'occuper ici que des artères qu'elle en-voie à la couche
optique
. Ces artères sont de deux ordres : 1° Vartère o
e à la couche optique. Ces artères sont de deux ordres : 1° Vartère
optique
posté-rieure interne, née de la cérébrale postéri
rigine au tronc basilaire, qui fournit à la face interne de la couche
optique
, et est capable, dans son trajet ultérieur, d'occ
étant fréquemment suivies d'inondation ven-triculaire ; — 2° Vartère
optique
postérieure externe, qui vient de la cérébrale po
obliquement, avant d'entrer dans la portion postérieure de la couche
optique
. Les ruptures de ce vaisseau déterminent des hémo
econnaître à des symptômes particuliers les destructions de la couche
optique
, celles du noyau caudé, celles du noyau lenticula
it communément, d'un foyer hémorrhagique récent, une artère striée ou
optique
dont les prolongements portent de petits anévrysm
externe ; — G, G, avant-mur : — H, H, insula : — I, chiasma des nerfs
optiques
. dant, le foyer s'agrandit surtout en travers,
oduise dans l'épaisseur même, soit des corps striés, soit des couches
optiques
. Quoi qu'il en soit, les seules localisations d
e lésion circonscrite dans le noyau caudé et les lésions de la couche
optique
, — bien que sur ce dernier point il y ait lieu, p
ie extra-lenticulaire au niveau de la partie postérieure de la couche
optique
; — hémianeslhésie cérébrale. — A. corps calleux e
de la voûte. — B, B, cavité des ventricules latéraux. —G, G, couches
optiques
. — D, D, noyaux lenticulaires. — EE, région posté
sse entre l'extrémité pos-térieure du noyau lenticulaire et la couche
optique
, la présence de Yhémianesthésie cérébrale sera po
pporter à la destruction de l'un quel-conque des noyaux gris, couches
optiques
ou corps striés, des symptômes qui sont uniquem
émianesthésies). — Rupture de l'artère lenticulo-optique. — 0, couche
optique
. —I, capsule interne. —L, noyau lenticulaire —E,
ction de la capsule in-terne, refoulement ou destruction de la couche
optique
). ensemble vers les cavités ventriculaires. 11
ui se font dans l'épaisseur de la partie postérieure de la cou- che
optique
. Ces hémorrhagies se développent en conséquence d
s hémorrhagies se développent en conséquence de larapture de l'artère
optique
externe antérieure ou lenticulo-optique. Elles se
nt d'auteurs l'ont dit et le répètent encore aujourd'hui — la cou-che
optique
est le siège du sensorium, commune ? Non, in-cont
faits où une lésion des tractus de la partie postérieure de la couche
optique
, déterminée par un épanchement sanguin, après avo
rieur du pédoncule ; 2" les tubercules quadri-jumeaux ; 3° la couche
optique
tout entière. Cela étant fait, on a sous les ye
es sens auxquels président les nerfs cérébraux proprement dits, nerfs
optiques
(1) L. Tûrck, voir Charcot. — Leçons sur les ma
nsitives n'est ni dans le cerveau proprement dit, ni dans les couches
optiques
, mais plus bas, dans la pro-tubérance, ou peut-êt
d'un cerveau de chien, cinq millimètres en avant du chiasma des nerfs
optiques
. —S, S, les deux noyaux caudés du corps strié. —
P, expansion pédonculaire (capsule interne). — Ch, chiasma des nerfs
optiques
. — x, section de la capsule interne (région antér
erveau du chien au niveau des tubercules mamillaires. — 0, 0, couches
optiques
. — S, S, noyaux caudés. — L, L, noyaux lenticul
ésions variées agissant plus ou moins directement sur les bandelettes
optiques
. En vous faisant reconnaître, Messieurs, que l'
ré une hypothèse anatomique, d'après laquelle, chez lhomme, les nerfs
optiques
subiraient dans le chiasma non pas un entrecroise
éalité est que Newton l'avait déjà émise, dès 1704, dans son Traité d'
optique
et qu'en 1723 Vater l'avait à son tour invoquée p
Parmi les tubes nejveux qui composent les bandelettes et les nerfs
optiques
, il y avait, comme il a été dit, à distinguer ceu
é externe dans la bandelette, dans le chiasma, puis enfm dans le nerf
optique
et dans la rétine ; tandis que, dans tous ces poi
auche de l'œil droit ; la distribution des faisceaux de la bandelette
optique
droite s'opérant, bien en-tendu, d'après le même
erse. En d'autres termes les faisceaux qui composent la bande-lette
optique
du côté gauche seraient destinés à la moitié gau-
urait lieu (DD) pour les faisceaux nerveux provenant de la bandelette
optique
du côté droit. Il ne faut pas oublier que cet a
oit. Il ne faut pas oublier que cet arrangement des fibres ner-veux
optiques
est, anatomiquement parlant, tout hypothétique. S
me ordre, ont essayé de dé-montrer que les fibres nerveuses des nerfs
optiques
subissent dans le chiasma, même chez l'homme, un
manière à interrompre dans leur trajet les fais-ceaux delà bandelette
optique
gauche (b ô'), ceux qui s'en- (1) Henle. —Nerve
d'une étude d'ana-tomie sur Vorig ine de l'entrecroisement des nerfs
optiques
, th. de Paris, 1880 ; et Grille. —De Vhémiopie av
re gauche LOG. — LOD, Hémisphère droit — K, Lésion de la bandelette
optique
gauche produisant l'hémiopie latérale droite. — L
à la suite d'une lésion affec- tant de la même façon la bandelette
optique
du côté droit. Ainsi parle la théorie, et de fa
sé-quence d'une lésion p'ortant son action sur l'une des bande-lettes
optiques
(1). L'effet restera le même, quel que soit le si
partie médiane du chiasma, de façon à intéresser seulement les fibres
optiques
entrecroisées (a, b'), devra paralyser la moitié
abli, est le résul-tat obligatoire de la lésion d'une des bandelettes
optiques
. Est-il également, comme on l'affirme généralemen
quence nécessaire d'une lésion qui rencontrerait les fibres nerveuses
optiques
, au-delà des corps genouillés (G, G), dans leur t
ion infra-cérébrale, en dehors de toute participation des bandelettes
optiques
, tandis que les faits existent où une lésion de l
incontestable de l'hémiopie, conséquence d'une lésion des bandelettes
optiques
? Pour en arriver là, il suffirait d'apporter a
l'œil droit et de l'œil gauche qui composent chacune des bandelettes
optiques
continuent leur trajet au-delà des corps genouill
vue s'accorde avec l'idée régnante qu'une lésion des fibres nerveuses
optiques
, dans leurs parcours intra-cérébral, équivaut à u
leurs parcours intra-cérébral, équivaut à une lésion de la bandelette
optique
et produit conséquemment l'hémiopie. Je propose
ns un appareil ainsi conslitué, tandis qu'une lésion de la bandelette
optique
pro-duit l'hémiopie latérale, au contraire, une l
clinique. ONZIÈME LEÇON Origine des parties cérébrales des nerfs
optiques
. Sommaire. — Rapports entre l'amblyopic croisée
ltant d'une lésion de la capsule interne. Origine cérébrale des nerfs
optiques
. Couronne rayonnante de Reil. — Faisceaux rayon
cortico-optiques : Fibres antérieures (racine antérieure de la couche
optique
; ; — Fibres moyennes (expansions latérales) ; —Fi
ns latérales) ; —Fibres postérieures (expansions cérébrales des nerfs
optiques
). — Rapports anatomiques entre les expansions cér
es). — Rapports anatomiques entre les expansions cérébrales des nerfs
optiques
et les fibres centripètes de la couronne rayonnan
s de la couronne rayonnante (hémianesthésie sensitive). Bandelettes
optiques
. —Origine de la racine externe (couche optique, c
itive). Bandelettes optiques. —Origine de la racine externe (couche
optique
, corps ge-nouillés externes, tubercules quadrijum
ble, étudier l'origine des par-ties profondes ou cérébrales des nerfs
optiques
. Nous allons toucher là un sujet difficile, obscu
isphères cé-rébraux. A priori, rien ne porte à croire que les nerfs
optiques
échappent à cette loi. De fait* ils n'y échappe
antérieures (hh,Fig. 32), sont dites racine anté-rieure de la couche
optique
(Vordere Stiel) ; elles se dirigent vers les régi
frontal et le sphénoïdal. Fig. 31. — N G, noyau caudé. — GO, couche
optique
. — N L, noyau lenticu-laire avec ses trois segmen
s du noyau caudé qui vont à la périphérie. — F T, fibres de la couche
optique
qui vont à la périphérie. P D, fibres directes. —
mier (I), les a bien étudiées, sous le nom d'expansions cérébrales
optiques
ou des nerfs optiques (/•, k, Fig. 32). Fig 32.
n étudiées, sous le nom d'expansions cérébrales optiques ou des nerfs
optiques
(/•, k, Fig. 32). Fig 32.—Radiations de la couc
es nerfs optiques (/•, k, Fig. 32). Fig 32.—Radiations de la couche
optique
— (Schéma emprunté à l'ouvrage de M. Huguenin,
éma emprunté à l'ouvrage de M. Huguenin, p. 93, fig. 69.) «, couche
optique
. — b, corps strié. — c, voûte à 3 piliers. — d, t
érieure du thalamus. — i,i, radiations latérales — Icl{, radiations
optiques
de Gratiolet. (1) Voir Gratiolet. — Anal, compa
ion de voisinage, de contiguïté entre ces faisceaux et les expansions
optiques
et cette relation serait bien propre à expliquer
l était bien établi que les faisceaux qui portent le nom d'expansions
optiques
sont réellement un prolongement plus ou moins dir
tiques sont réellement un prolongement plus ou moins direct des nerfs
optiques
. II. Pour examiner ce dernier point, il convi
qu'on sait relativement à ces noyaux de substance grise, où les nerfs
optiques
prennent leur première origine à la base de l'enc
e l'encéphale l'isthme tout entier, y laissant attenantes les couches
optiques
, on examine la pré-paration ainsi obtenue par sa
e ce qui suit : 1° En avant, se voient de chaque côté les cou- ches
optiques
que sépare le troisième ventricule ; 2° en ar-riè
la même région, lorsqu'on soulève l'extrémité postérieure des couches
optiques
ou pulvinar, en dedans le corps ge-nouillé intern
t les deux premiers noyaux de substance grise avec lesquels les nerfs
optiques
entrent en rapport dans leur trajet vers l'en-cép
comment ces nerfs, en arrière du chiasma, prennent le nom de tractus
optiques
ou bandelettes optiques et comment celles-ci, dan
rrière du chiasma, prennent le nom de tractus optiques ou bandelettes
optiques
et comment celles-ci, dans la partie qui correspo
tiolet, serait le plus apparent et le mieux connu des racines du nerf
optique
, contourne le corps genouillé externe et pénètre
(4). Vous voyez par ce qui précède que la racine externe des nerfs
optiques
prend son origine dans trois noyaux de subs-tance
rigine dans trois noyaux de subs-tance grise, à savoir : 1° la couche
optique
; 2° le corps ge-nouillé externe ; 3° les tubercu
s (nettes). Ce sont là certainement les principales sources des nerfs
optiques
chez l'homme ; ce sont vraisemblablement les seul
s centrales, sur les tubercules quadrijumeauN antérieurs, les couches
optiques
et enfin les corps genouillés externes ; au contr
trophie. Moins importante que l'externe, Xaracine interne des nerfs
optiques
ne doit pas être cependant négligée, surtout lors
75, V Bd., fasc. 2, p. 344) a soutenu que la racine interne des nerfs
optiques
chez l'homme tout au moins, est anatomique-ment e
rieurs ne seraient pas, chez l'homme, exclus de l'appa-reil des nerfs
optiques
, comme ils paraissent l'être chez le? animaux. Ce
grise tabétique des nerf (1) Gudden. — Arch. furophthalmol., XX.
optiques
. Tout récemment encore, chez une femme alaxique,
, aveugle depuis une quinzaine d'années, l'induration grise des nerfs
optiques
pouvait être suivie au-delà du chiasma, sur les b
optiques pouvait être suivie au-delà du chiasma, sur les bandelettes
optiques
, jusqu'aux corps genouillés. Les tuber-cules quad
i constitue la partie la plus postérieure des radiations de la couche
optique
(faisceaux rayonnants cortico-optiques) et qu'on
ico-optiques) et qu'on désigne quelquefois sous le nom de radia-tions
optiques
de Gratiolet. Vous pourrez suivre les détails ana
re. — Na, tête et Ne, queue du noyau caudé. Th, partie de la couche
optique
située en avant des corps genouillés. — TA. cou
a couche optique située en avant des corps genouillés. — TA. couche
optique
; pulvinar. Qu, tubercules quadrijumeaux. — Gi, c
ubercules quadrijumeaux sont le seul point où les faisceaux des nerfs
optiques
, après leur entre-croisement dans le chiasma, se
re, qui, d'après l'hypo-thèse que j'ai proposée, ramènerait les nerfs
optiques
à la con-dition des autres nerfs? C'est là une qu
ces fibres entrecroisées sont réellement en con-nexité avec les nerfs
optiques
et surtout si elles sont le pro-longement des fib
s nerfs optiques et surtout si elles sont le pro-longement des fibres
optiques
non entrecroisées dans le chiasma. L'expérimentat
ntré chez des mammifères et des oiseaux que l'ablation des tubercules
optiques
ont pour effet l'amblyopie ou l'amau-rose croisée
umeaux antérieurs produira, à l'exemple d'une lésion de la bandelette
optique
, l'hémiopie latérale, ou si, au contraire, elle p
intéresser plus ou moins directement l'une ou l'autre des bandelettes
optiques
. Pour montrer que les lésions de la profondeur
as oublié, que la destruction ou la compression d'une des bandelettes
optiques
a pour conséquence l'hémiopie laté-rale et d'un a
ement développé dans l'épaisseur de la partie postérieure des couches
optiques
, pourrait, elle aussi, on le comprend, être suivi
'une pomme, caractérisée sous le nom de gliome vasculaire. Le tractus
optique
du côté gauche était très aplati. Je ferai remarq
relatée pouvait être rattachée à la compression subie par le tractus
optique
. DOUZIÈME LEÇON Des dégénérations secondaires
mprend, vous ne l'avez pas oublié: 1° les deux Fig. 34. —A,, coucha
optique
. — Arri, avant-mur. - CC, corps calleux. — Ce, ca
'un cer-veau de chien, cinq millimètres en avant du chiasma des nerfs
optiques
. — S, S, les deux noyaux caudés du corps strié. —
, expansion pé-donculaire (capsule interne). — C/i, chiasma des nerfs
optiques
. — x, section de la cap-sule interne (région anté
erveau du chien au niveau des tubercules mamillaires. — 0, 0, couches
optiques
. —S, S, noyaux caudés. — L. L, noyaux lenticula
à savoir : le noyau lenticulaire, le noyau caudé, et enfin la couche
optique
, ne produisent pas la sclé-rose consécutive. fl
es parties antérieures d'un hémisphère, — les masses centrales,couche
optique
etcorps strié, étant demeurées intactes, — on voi
llissement avait complètement respecté les masses centrales : couches
optiques
, noyau caudé, noyau Fiç/. 45. — Fa, vaste foyer
ant, en faisant reconnaîtra l'existence de l'induration grise du nerf
optique
, bien des an-nées souvent avant le développement
'en remontant vers l'encéphale, nous les verrions aboutir à la couche
optique
, où elles se perdent. Elles ne prennent donc aucu
capsule. — Sp, segment postérieur delà capsule interne. -- Go, couche
optique
. -- F, Foyer circonscrit dans le segment postérie
arrière et en dedans, au voisinage de la ligne médiane, est la couche
optique
; en avant de la couche optique, la tête du noyau
ge de la ligne médiane, est la couche optique ; en avant de la couche
optique
, la tête du noyau caudé : en dehors, le noyau len
t Ciiaiicot. Œuvres complètes, t. iv, Localisations. 14 la couche
optique
. Mais les masses ganglionnaires internes (couche
la couche optique. Mais les masses ganglionnaires internes (couche
optique
et corps strié) sont séparées de la masse ex-tern
une partie postérieure, intermédiaire à la face externe de la couche
optique
et au bord postéro-interne du noyau len-ticulaire
ehors ; — le noyau lenti-culaire accolé à son bord externe, la couche
optique
coupée Fig. 55. — Coupe pariétale de l'hémisphè
Pitres). — 8, corps calleux. --9, queue du noyau caudé. -- 10, couche
optique
. -- 11, capsule interne (segment postérieur). — 1
en dehors de ce tractus, le noyau lenticulaire ; en dedans, la couche
optique
et le noyau caudé. Il n'est pas rare, tant s'en
céphaliques. Les foyers plus ou moins volumi-neux limités à la couche
optique
, ceux qui se circonscrivent dans la tête du noyau
izontale du noyau caudé. — B, du noyau lenticulaire. — G,de la couche
optique
.— D, lobule paracentral. — E,circonvolution front
ions frontales, et de l'autre par l'extrémité antérieure de la couche
optique
(c'est à peu près la coupe pree-rolandique ou péd
. 118 ONZIÈME LEÇON. f Origine des parties cérébrales des nerfs
optiques
. Sommaire. — Rapports entre l'amblyopiè croisée
ltant d'une lésion de la capsule interne. Origine cérébrale des nerfs
optiques
. Couronne rayonnante de Reil. — Faisceaux rayon
cortico-opliques : Fibres antérieures (racine antérieure de la couche
optique
) ; — Fibres moyennes (expansions latérales) ; —Fi
ns latérales) ; —Fibres postérieures (expansions cérébrales des nerfs
optiques
). - Rapports anatomiques entre les expansions cér
es). - Rapports anatomiques entre les expansions cérébrales des nerfs
optiques
et les fibres centripètes de la couronne rayonnan
s de la couronne rayonnante (hémianesthésie sensitive). Bandelettes
optiques
. —Origine de la racine externe (couche optique, c
itive). Bandelettes optiques. —Origine de la racine externe (couche
optique
, corps ge-nouillés externes, tubercules quadrijum
, 38. Avant-mur, 8, 298. Axe gris central, 378. B Bandelettes
optiques
, 127; — leurs racines externes et internes, 141,
rts avec la capsule interne, 91 ; — sa circulation, 95, 96. Couches
optiques
. Leur situation, 4 ; — Leur importance au point d
. (V. Tubercules quadri- jumeaux. Nerfs (Structure des), 386. Nerfs
optiques
, 143. Neuro-musculaire (Système), 387. Neuro-réti
336. (V. Entre-croisement. r Racines nerveuses, 272. Radiations
optiques
, 143. Ramollissement général par isché-mie, 64;
adriju- meaux.) tétanos artificiel, 318. Thalamus, 140 (V. Couche
optique
.) Tonicité musculaire, 327, 350. Tonus muscul
rnes antérieures 341, 350. Topographie spinale, 177, 187. Tractus
optiques
. (V. Bandelettes optiques.) Traumatisme (Influe
Topographie spinale, 177, 187. Tractus optiques. (V. Bandelettes
optiques
.) Traumatisme (Influence du) sur la contracture
cules quadrijumeaux, 140; — leurs rapports avec les racines des nerfs
optiques
, 142 ; — lésions des —, 145. V Volonté (Trans
ale. L'examen ophtalmoscopique ne démontre ni papillite, ni névrite
optique
, ni rétrécissement du champ visuel ; spéciale-
PIERRE MARIE. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL. QUELQUES CONSIDÉRATIONS SUR LES FIBRES
pour lui, représentent l'expression intra-cérébrale de la bandelette
optique
; il reconnaît deux couches de radiations optiq
de la bandelette optique ; il reconnaît deux couches de radiations
optiques
dont l'une,la branche externe, croise l'autre,
s de projection. Il le dé- crit sous le nom de « lame des faisceaux
optiques
». Cette opinion est admise par Wernicke (5) qu
Monat. sur Psychiatrie, Bd I. FAISCEAUX LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET
OPTIQUE
CENTRAL 105 ceau longitudenal inférieur est un
longitudinal inférieur) et « faisceau sensitif interne» (radiations
optiques
). C'est Dejerine (4) qui, de nos jours, a fait
rne et interne et dans les noyaux externe et interne de la cou- che
optique
. Les plus antérieurs de ces fascicules abordent d
ceau provient de la partie inférieure du noyau'latéral de la couche
optique
et du noyau principal du pul- vinar ; à cet end
la constitution du stratum zonale. Après son émergence de la couche
optique
, le faisceau longitudinal est accompagné de fib
faisceau longitudinal est accompagné de fibres venant de la couche
optique
et desti- nées à la sphère olfactive et à la co
origine dans le corps genouillé interné et en partie dans la coupe
optique
et qui se rendent au lobe temporal et à la sphè
apie, IX, Band. Wien, 1905. · FAISCEAUX LONGITUDINAL INTÉRIEUR ET
OPTIQUE
CENTRAL 107 ceau se distingue toutefois de la c
ire, toutes trois renferment des fibres qui proviennent des centres
optiques
primaires, c'est-à-dire : du corps genouillé ex
externe, du corps quadrijumeau antérieur et du pulvinar de la couche
optique
. Ces ganglions fournissent une grande partie de
cale et de l'écorce occipitale et vont s'irradier dans les centres
optiques
; les radiations optiques renferment donc des f
itale et vont s'irradier dans les centres optiques ; les radiations
optiques
renferment donc des fibres allant dans les deux s
lobe occipital. Au niveau du carrefour ventriculaire les radiations
optiques
occupent surtout la partie moyenne des couches
rps genouillé externe entraînent la dégénérescence des ra- diations
optiques
, mais cette dégénérescence occupe aussi le territ
le territoire du faisceau longitudinal inférieur. Les radiations
optiques
abandonnent des fibres à la scissure calcarine, a
'autre. En avant il contient des fibres qui proviennent des centres
optiques
primaires aiusi que du corps genouillé interne;
contient des fibres qui passent de l'écorce occipitale à la couche
optique
, et la couche sagittale externe des fibres dont
rajet est l'inverse, c'est-à-dire qu'elles proviennent de la couche
optique
et se rendent à la corticalité. Plus tard, il i
terne et interne, au noyau latéral (partie supérieure) de la couche
optique
et aux couches superfi- cielles du corps quadri
lvinar, au corps genouillé externe et au noyau latéral de la couche
optique
; la partie supérieure renfer- merait les tibre
chiv. f. Psych., Bd. 38, 1904. FAISCEAUX LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET
OPTIQUE
CENTRALE 109 couche sagittale latérale une fonc
rait la voie visuelle centrale, ses fibres proviennent de la couche
optique
et se rendent à la sphère visuelle corticale ;
à ces fibres une origine plus étendue, non seulement dans la couche
optique
(noyaux latéral et posté- rieur), mais aussi da
terne. Plus récemment, à l'occasion d'un cas de lésion de la couche
optique
(h), Probst fait subir à ses idées de grosses m
pied du pédoncule. Ce que l'on désigne sous le nom de « Radiations
optiques
de Gratiolet » comprend des libres corticifuges
comprend des libres corticifuges destinées au pulvinar de la couche
optique
et au corps quadriju- meau antérieur. Le faisce
re à la capsule ex- terne. ' Dans des cas de lésions de la couche
optique
et sur d-3s coupes traitées par la méthode de M
suelles centrales et que celles-ci tirent leur origine de la couche
optique
. Dans son mémoire le plus récent Probst (1) étu
érescence consé- cutives à une lésion étendue qui atteint la couche
optique
mais aussi la capsule interne et le noyau lenti
dégénérescence tient à la destruction du noyau latéral de la couche
optique
dont les fibres passent au-dessus du corps genoui
u contiendrait : a)@des fibres qui lui viennent directement du nerf
optique
; b) des fibres ayant leur origine dans le mése
t la même origine et qui se rendraient au noyau médian de la couche
optique
et aux circonvolutions rolandiques. Outre ces'fib
m : is après en avoir indiqué les synonymes : ' ' 1° Les radiations
optiques
primaires de Flechsig correspondent au faisceau
inférieur, à la couche sagittale externe. '" ' ' 2° Les radiations
optiques
secondaires de Fleschsig représentent les radia-
ons optiques secondaires de Fleschsig représentent les radia- tions
optiques
de Gratiolet (telles que décrites actuellement),
ites actuellement), la couche sagittale interne. ' Les radiations
optiques
primaires tirent leur origine du'corps genouillé
origine du'corps genouillé externe et du noyau latéral de la couche
optique
,' se dirigent irrégulièrement en avant et légèr
hiv f. Psych., Bd. 31,1903. · FAISCEAUX LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET
OPTIQUE
CENTRAL lit , .Les radiations optiques secondai
AUX LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRAL lit , .Les radiations
optiques
secondaires proviennent surtout de la scissure ca
ution occipitale; elles se terminent,dans le .pulvinar de la couche
optique
et dans les couches superficielles et moyennes
elles et moyennes du corps quadrijumeau antérieur. ' Les radiations
optiques
primaires et secondaires sont en relation avec ce
e de Wernicke et se terminent surtout dans le pulvinar de la couche
optique
, mais aussi dans les corps genouillés externe et
Ces fibres, dont la grande majorité se termineraient dans la couche
optique
, correspon- dent aux fibres thalamo-corticales
orso-latéral du corps genouillé externe et la couche des radiations
optiques
. Il conclut que le faisceau longitu- dinal infé
'il représente la continuation intra-hémisphérique de la bandelette
optique
après la terminaison de celle-ci ` dans la part
e de la couronne rayonnante : elle entre en relation avec la couche
optique
et avec le corps genouillé externe, mais la color
n de Weigert ne permet pas d'établir avec quels noyaux de la couche
optique
ces relations ont lieu. Quant au segment hori
. OBERSTEINER) XII. Bd. 1905. FAISCEAUX LONGITUDINAL INTÉRIEUR ET
OPTIQUE
CENTRAL 113 basale et antérieure du lobe tempor
capsule interne et enfin au corps genouillé externe et à la couche
optique
. Il cite un exemple : il a observé chez le sing
u stratum zonale de ce noyau ; les altérations du côté de la couche
optique
sont beaucoup moins accusées. Dans ce même cas
nferme avant tout « des fibres corticifuges » destinées à la couche
optique
et au corps genouillé externe. Il n'est fait ment
à l'ensemble des fibres du faisceau longitudinal et des radiations
optiques
(Sehstrahlung). Il ressort de tout cela que, po
phtalmologie et sans intérêt dans la construction des instruments d'
optique
. Je suis atteint de presbytie (de 7rpEab1Jç, vi
jà connues auxxme et xiv° siècles. L'ignorance des principes de l'
optique
, le prix très élevé et la façon grossière des l
ERRE MARIE. ~ LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL. QUELQUES CONSIDÉRATIONS SUR LES FIBRES
udinal inférieur. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 179 Le but que nous avons en vue est de
lobe occipital. Fs : faisceau du cuneus de Sachs. Foc : faisceau
optique
central. Fv : faisceau de Vialet. Fic. 2. - C
niveau du carrefour ventriculaire. Cg : cingulum. Foc : faisceau
optique
central. 180 LASALLE-ARCHAMBAULT couronne ray
res de la scissure calcarine. Nous lui proposons le nom de faisceau
optique
central afin d'éviter tout malentendu. Nous all
iquerons, chemin faisant, la disposi- tion qu'affecte le « faisceau
optique
central » par rapport à la couche sagittale ext
genouillé externe. FA : faisceau arqué de Burdach. Foc : faisceau
optique
central, Cg (pointillé) : cingulum inférieur de
érieur de Beevor. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 181 une courte étendue. De nouveau une
occipital. Coupe frontale. C : scissure calcarine. Foc : faisceau
optique
central. 182 LASALLU-ARCT1A111BAULT mière lim
la plus grande partie du noyau lenticulaire ont disparu. La couche
optique
est énormément aplatie et atrophiée et la capsu
e interne complètement dégénérée. Le corps de Luys et la bandelette
optique
ressortent avec une netteté remarquable. Au dehor
ressortent avec une netteté remarquable. Au dehors de la bandelette
optique
et longeant la partie supérieure de la paroi vent
la couronne rayonnante corticipète et qu'il fait partie du faisceau
optique
central que nous décrirons plus loin. A côté de
ite zone arrondie, grandement dégénérée, située entre la bandelette
optique
et le faisceau normal ; cette zone est peu consid
re avis la « totalité des fibres corticifuges destinées à la couche
optique
» et faisant partie du faisceau temporo-thalamiqu
re qui se détache nettement du tissu environnant. C'est le faisceau
optique
cen- NOUVELLE ICOOGRAPII1E DE LA SALPÊTRIÈRE
Cfje L Sile 3 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL (Lasalle- A rclJtl11/ lia IIlt) S;e.
`r ? ao., 1 ? A ? LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 183 tral dont les fibres sont totalemen
lobule lingual et qui représente le contingent non lésé du faisceau
optique
. Le forceps major du corps* calleux est dégénér
'conformées ; elles représentent les fibres dégénérées du faisceau
optique
central qui se rendent à la scissure calcarine et
ient de petites lésions corticales et sous- corticales. Le faisceau
optique
central (couche sagittale externe de cette région
région que représente cette coupe, et comprend des fibres du faisceau
optique
central, des radiations thalamiques et des fibr
en- dyme et sectionne les couches sagittales profondes. Le faisceau
optique
central est anormal le long de la paroi ventric
aire de la capsule in- terne, de la partie postérieure de la couche
optique
. Une lacune considérable du pulvinar a donné li
nce diffuse, mais LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 185 appréciable de la partie inférieure
anche XXXII ; 1) il existe également une petite lésion de la couche
optique
avec participation de la partie attenante du corp
te aucune dégénéres- cence dans le territoire qu'occupe le faisceau
optique
central au niveau de la partie moyenne du lobe
atteint par la lésion dans son seg- ment externe, c'est le faisceau
optique
central, la couche sagittale externe du lobe oc
la précédente, un seul faisceau est reconnaissable, c'est le faisceau
optique
central, le faisceau longitudinal inférieur du
e 5 S fie 6 6 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL (Gasalle-drcl.znz6aull) S¡ ? Conclu s
c il ....... .1 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 187 ici on constate l'existence d'une z
ante du lobe occipital et, en particulier, à une partie du faisceau
optique
central. A priori, cette constatation semble en
avons dit que cette zone dégénérée renferme les fibres du faisceau
optique
central ; cela est vrai d'une façon générale, m
e précédente. La prochaine coupe intéresse le pulvinar de la couche
optique
(Planche II, 5) et le segment rétro-lenticulair
s, ces fibres sont saines et elles se recourbent vers la bandelette
optique
. 4e Cas : Taverni... Astasie-Abasie. Il n'est f
s et qui se porte LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 189 vers le cunéus. Cette strie renferm
RAL 189 vers le cunéus. Cette strie renferme les fibres du faisceau
optique
central des- tinées à la lèvre supérieure de la
XIII, 21) est prise au niveau de la partie postérieure de la couche
optique
et du corps quadrijumeau antérieur et inté- res
ticulaire de la capsule interne et se rend au pulvinar de la couche
optique
. Une traînée pâle, cependant, se continue jusqu'a
née pâle, cependant, se continue jusqu'au bord interne de la couche
optique
et disparaît dans les couches superficielles du c
t cela, le ramollissement ne semble avoir retenti que sur la couche
optique
; sur des coupes postérieures à celle-ci, on co
corps genouillé externe, là où ce noyau fait place à la bandelette
optique
, il n'existe plus trace de la grosse lésion pos
.J ? T- l ? I ? . LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CNNTRAL 191 auxquelles elles ont donné lieu, l'
il en est qui concourent à former un faisceau à part, « le faisceau
optique
central » ; elles constituent la presque totali
OPTIQUE CENTRAL - . (Lasa lle- A r(ha 111 ba ! llt) Foc. Faisceau
optique
central. Cg. Cingulum. - Cgi. Partie enclavée du
; et J110VèI11H ? LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 193 volution limbique, le lobule parace
use une décoloration considérable. La moitié in- terne de la couche
optique
est notablement atrophiée et décolorée. Sur les
e temporal, car ce segment ne renferme plus de fibres du « faisceau
optique
central », il n'est formé que de fibres d'assoc
one dégénérée qui, à ce niveau, passe dans le pulvinar de la couche
optique
. On remarque l'atrophie considérable et la décolo
n° VI. Cas Gir... LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 195 fibres d'association de la région.
estinées à la sphère visuelle corticale; il est certain que la couche
optique
envoie des fibres au lobe temporal, peut-être a
la couche sagit- tale externe. Ce fascicule fait partie du faisceau
optique
central et renferme des fibres qui naissent de
plus volumineuses et l'on ne saurait isoler maintenant le faisceau
optique
central. Les couches sagittales externe et inte
se confondent, l'ensemble des deux renferme les fibres du faisceau
optique
, du faisceau de Tûrck et les radiations thalami
nde. Le tapetum est encore grandement dégénèrent le petit fascicule
optique
, quoique facilement décelable, se confond plus
inar et occupe maintenant surtout la partie inférieure de la couche
optique
, qu'elle traverse complètement ; arrivée au bor
ie dn corps genouillé interne, profondément enclavée dans la couche
optique
. Ces fibres qui se terminent dans le corps geno
ouche interne ; le tapetum est toujours dégénéré, mais le fascicule
optique
ne se dessine plus avec la même netteté. Le cin
capsule interne et ne pénètre plus dans la profondeur de la couche
optique
, mais on voit nettement la décoloration intense
e de fibres saines ; ces fibres appartiennent en partie au faisceau
optique
, en partie au fais- ceau de Tilrck. La partie i
de Wernicke est normale et renferme surtout des fibres du faisceau
optique
; sa partie inférieure est grandement dégénérée
ur, mais elle renferme aussi des libres qui font partie du faisceau
optique
central ; nous avons vu en effet, que le corps ge
uillé externe est LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 197 légèrement touché par un foyer de d
sceau longitudinal inférieur (que nous avons aussi dénommé faisceau
optique
central) ; c'est la considération de cette couche
se de nos constatations à son égard et nous décrirons le fais- ceau
optique
central. Mais l'étude soignée de huit cas de ra
el nous reviendrons plus loin en faisant la description du faisceau
optique
central. La couche sagittale interne se comport
cunéus et du lobule lingual ; ces fibres constituent les « radiations
optiques
vraies ». Nous sa vous que ces deux termes :
sa vous que ces deux termes : radiations thalamiques et radiations
optiques
sont souvent employés indifféremment, mais, pour
yés indifféremment, mais, pour nous, la déno- mination « radiations
optiques
» ne devrait s'appliquer qu'aux fibres que la s
» toutes les fibres provenant des autres régions. Les radiations
optiques
vraies se rendent au pulvinar et au corps quadri-
tal renferme des : a) Radiations thalamiques pures. b) Radiations
optiques
vraies; I. Radiations thalamiques de la sphère
rminent dans le pulvinar et dans la partie postérieure de la couche
optique
, à l'exception des fibres qui entrent dans la c
en relation avec la partie antérieure du noyau interne de la couche
optique
. Mais toutes ces radiations thalamiques des rég
avec la partie interne du pulvinar et le noyau interne de la couche
optique
. Nous avons déjà parlé des radiations du corps
15 16 17 18 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL (Lasa 1 Jc-Archarn ba rr 11) Nouvelle
, 22 23 24 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET L
U OPTIQUE CENTRAL LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 201 i mêmes circonvolutions. Pour arriv
n est tout autrement des lacunes qui siègent au niveau de la couche
optique
,surtout dans sa partie supérieure. On constate
eur origine du tubercule antérieur et du noyau interne de la couche
optique
. Occupons-nous maintenant tout particulièrement
culaire, du corps genouillé ex- terne, de cette partie de la couche
optique
immédiatement attenante. Nous avons suivi la zo
eur d'in- terprétation, nous parlerons dès maintenant du « faisceau
optique
central ». Le faisceau^ optique central prend s
lerons dès maintenant du « faisceau optique central ». Le faisceau^
optique
central prend son origine dans la partie supérieu
longent la paroi LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR. ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 203 externe de l'extrémité antérieure d
t temporale qui, à ce niveau, passent dans le pulvinar de la couche
optique
. Nous voyons donc que ce faisceau optique centr
le pulvinar de la couche optique. Nous voyons donc que ce faisceau
optique
central, à l'exemple des autres parties de la c
sensitif». FiG. 5 - Coupe frontale du lobe occipital. Foc, faisceau
optique
central. 204 LASALLE-ARCHAMBAULT Immédiatem
ès son émergence du corps genouillé externe, les fibres du faisceau
optique
central sont refoulées, par les fibres corticifug
sépare le corps genouillé externe (et plus en avant, la bandelette
optique
) du noyau caudé sphénoïdal, il concourt à forme
partie antérieure du lobe temporal. Suivons maintenant le faisceau
optique
central depuis le lobe occipital jus- qu'à la p
stitue la scissure calcarine. Au-dessous du ventricule, le faisceau
optique
central se confond en partie avec le faisceau d
lobe occipital. Fs : faisceau du cuneus de Sachs. Foc : faisceau
optique
central. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET
optique central. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAI. 205 fait démontre que parmi les fibres
be occipital ; elle en diffère sensiblement. Les fibres du faisceau
optique
central se resserrent et n'occupent que le segm
rieur et moyen de la couche sagittale externe, les fibres du faisceau
optique
central commencent à se porter en haut et en de
le long de la paroi ventri- culaire externe, les fibres du faisceau
optique
se groupent en fascicules com- pacts et entoure
entourent sa partie inférieure. Quelques fibres éparses du faisceau
optique
, cependant, occupent encore la partie moyenne de
rconvolutions temporales, et en plus, quel- ques fibres du faisceau
optique
central. c) Le tiers inférieur : les fibres du
eau optique central. c) Le tiers inférieur : les fibres du faisceau
optique
central. d) Le tiers moyen de la couche sagitta
ent un bon nombre de 206 LASALLE-AL1CHA11BAULT fibres du faisceau
optique
intimement mêlées aux radiations thalamiques de l
al, au niveau du pulvinar, une grande partie des fibres du faisceau
optique
central s'est portée en dedans et correspond à
le interne.. On pourrait dire qu'à ce niveau les fibres du faisceau
optique
central se divisent en deux fascicules de volum
culaire de la capsule interne et que cette dissociation du faisceau
optique
est nécessitée par le passage des radiations th
le passage des radiations thalamiques dans le pulvinar de la couche
optique
, des radiations du corps quadrijumeau antérieur
Nous voulons insister davantage sur cette dissociation du faisceau
optique
central, car nous croyons qu'elle, a prêté à be
les. Il se fait un véritable entrecroisement des fibres du faisceau
optique
et des radiations thalamiques, entrecroisement
rétro-lenticulaire de la capsule interne, le pulvinar de la couche
optique
. A cet endroit, les fibres deviennent verticale
les, et alors on constate que les plus externes (fibres du faisceau
optique
) se portent obliquement en haut LE FAISCEAU LON
t et légèrement en dehors, traversent l'amas des fibres du faisceau
optique
central, se cuudent fortement au niveau de la p
echig à considérer ce faisceau de Türck comme partie des radiations
optiques
. Il est indubitable que cet entrecroisement a é
matoxyline, il en est un bon nombre qui appar- tiennent au faisceau
optique
central, d'autres au faisceau de Türck et aux ra-
60 fi- environ). Revenons à la répartition des fibres du faisceau
optique
central au niveau' du corps genouillé externe ;
illé interne, au pied du pédoncule cérébral, ces fibres du faisceau
optique
qui longent encore la paroi ventriculaire aband
e- nouilllé externe. Nous avons déjà décrit le trajet du faisceau
optique
central après son émer- gence du corps genouill
les fibres d'as- sociation de la région. En parlant de ce faisceau
optique
au niveau du lobe occi- pital, nous avons insis
ratique de ces considérations en étudiant les relations du faisceau
optique
central au niveau de la partie antérieure du lobe
eures ont une direction antéro-postérieure comme celles du faisceau
optique
central ; mais à ce niveau, en raison de l'inte
avons (PI.IV) une LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 211 lésion de la circonvolution de l'hi
tales). , Allons-nous dire que ces fibres font partie du faisceau
optique
ceutral, ou même du faisceau longitudinal infér
pital. Au niveau du corps genouillé externe, les fibres du faisceau
optique
central longent surtout la paroi ventriculaire
t encore en grand LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 213 nombre la partie inférieure du segm
mesure que l'on se rapproche du pôle temporal, les fibres du faisceau
optique
abandonnent le segment horizontal de la couche
différenciée de la région. De pair avec le déplacement du faisceau
optique
, s'est opéré le rétrécissement de l'extrémité a
rit jusqu'à ce jour. Si nous avons fait usage du terme « faisceau
optique
central », ce n'est pas que nous ayons été pous
s moins vrai que dans son trajet et dans ses relations, le faisceau
optique
central s'iden- tifie en grande partie avec le
e termine dans l'écorce du lobe temporal, tandis que notre faisceau
optique
tire son origine du corps genouillé externe ets
ns le corps genouillé externe et dans le noyau latéral de la couche
optique
. Pour nous, le faisceau optique central ne prov
ans le noyau latéral de la couche optique. Pour nous, le faisceau
optique
central ne provient que du corps genouillé exte
nouillé externe et nous ne croyons pas que les lésions de la couche
optique
retentissent sur le lobe. occipital ; exception
sions situées dans la partie postérieure et inférieure de la couche
optique
et qui, en raison même de leur siège, atteignen
notre disposition des coupes sériées de cas de lésions de la couche
optique
; il s'agissait de foyers plus ou moins éloignés
dégénérescence appréciable dans le territoire qu'occupe le faisceau
optique
central. Quant à la couche sagittale externe du
Après avoir exposé en détail les multiples particularités du faisceau
optique
central, nous nous trouvons en présence de fait
présence de faits qui ne prêtent guère à aucun doute le « faisceau
optique
central » s'identifie, d'une façon remarquable
1903, t XXXVII. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 215 verser le faisceau longitudinal inf
es représentent l'ensemhle des fibres qui consti- tuent le faisceau
optique
central, le faisceau longitudinal. Ce faisceau ex
re inférieure. Nous proposons pour ce faisceau le nom de « faisceau
optique
central », ou mieux encore, celui de « faisceau
al inférieur » des auteurs clas- siques comprend : a) le « faisceau
optique
central » et, en plus, b) un certain nombre de
première circonvolution limbique et tire son ori- gine de la couche
optique
. 10) Il n'existe pas chez l'homme de faisceau d
méningés, l'altération des réflexes pupillaires, l'atrophie du nerf
optique
, la céphalée intense, les spasmes d'origine cor
s, tels que la diplopie, la parésie spastique, l'atro- phie du nerf
optique
, la parole scandée, le tremblement intentionnel,
émianopsie bitemporale. L'autopsie démontra en effet que l'appareil
optique
n'était nullement intéressé. La lésion consta
oculaires peuvent être aussi rappor- tés à la compression des nerfs
optiques
et des nerfs ciliaires résultant de l'oedème cé
ées pour les nerfs bulbaires ; elles ne font défaut que sur le nerf
optique
et le nerf olfactif. Comment interpréter l'hi
7 août 1906. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR . ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL PAR R LASALLE ARCHAMBAULT (Albany,
t, avec les fibres cortico-thalamiques postérieures, les radiations
optiques
de Gratiolet. Elles LE FAISCEAU LONGITUDINAL IN
ratiolet. Elles LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU .
OPTIQUE
CENTRAL TJG3 prennent leur origine dans la sphè
erne que l'on observe à la suite de lésions intéressant les centres
optiques
primaires ou la partie inférieure du segment sous
bencéphale, etc.) LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 565 Nous ne parlons, bien entendu, que
serait vite réglée, puisqu'il est admis : que les lésions des centres
optiques
pri- maires ou du segment sous-lenticulaire de
triculaire. Cette LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 567 dégénérescence se poursuit dans la
ntraire des fibres corticipètes et qu'elles'font partie du faisceau
optique
central que nous avons décrit. Leur localisation
e 6 centimètres ; LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 569 cette dernière plaque commence en a
t une ligne verticale ra- sant l'extrémité postérieure de la couche
optique
, elle sectionne à ce niveau l'isthme de la circ
cipitale, etc. ». LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 571 Nous tenons à faire remarquer qu'il
l'on met à notre LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL z disposition, laissent certainement en
ons- tante que nous l'avons individualisé sous le nom de « faisceau
optique
central ou encore de « faisceau géniculo-calcar
dérations nouvelles qui nous paraissent dé- montrer que le faisceau
optique
central possède réellement une parfaite iudivi-
'insister de noua LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 57H veau sur cette inépuisable source d
e l'ancien faisceau longitudinal inférieur, à savoir, le « laisceau
optique
central ». Il suffit de se le représenter(au ni-
laire. Il ressort nettement de ces considérations que le « faisceau
optique
central » est de souche longitudinale, mais que
ar cette proposi- tion synthétique de notre mémoire : « Le faisceau
optique
central s'identifie d'une façon remarquable ave
Nous avions transgressé en désignant par le néologisme. « faisceau
optique
central », le contingent ge- nouillé (qui mérit
e, quand nous dirons que la similitude des faisceaux py- ramidal et
optique
central (ou géniculo-c31carinien), esquissée déjà
tement respecter. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 577 Que l'on veuille bien nous permettr
mportance que (pour ne rien préjuger) nous avons dénommé « faisceau
optique
central » Or, ce contingent est le seul qui renco
ité des obligations du faisceau longitudinal inférieur. Le faisceau
optique
central est la seule image fidèle du long faiscea
u dont avait rêvé notre antiquité. Suivons maintenant le faisceau
optique
central d'une région à l'autre et voyons jusqu'
qu'il répond à la réalité des faits. En premier lieu, le faisceau
optique
central représente pour nous une entité anatomo
re, le revers de la médaille. 578 LASALLE ARCHAMBAULT Le faisceau
optique
central tire son origine du plus important des no
ons que la couche LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 579 externe de ces fibres verticales en
l passe dans la capsule interne en arrière et au-dessus du faisceau
optique
qu'il sépare du faisceau pyramidal et concourt
calisations capsulaires. Nous ajouterons que les fibres du faisceau
optique
central occupent environ les deux cinquièmes su
s un travail ultérieur. Passons à la protubérance de notre faisceau
optique
central, que nous em- prunterons à cette partie
que nous l'avons dit dès notre première des- cription, le faisceau
optique
est grandement dissocié dans cette partie de son
ouvelle Iconog., 1906, n° 2, p. 205-208). A ce niveau le fais- ceau
optique
central se dispose en fascicules, comme le fait l
lle des fibres transverses ponto-cérébelleuses, de même le faisceau
optique
central est-il séparé de- l'épendyme ventriculair
latéral. Au-dessous de la paroi inférieure, les fibres du faisceau
optique
ne se localisent pas entièrement dans la couche
Enfin en arrière du bourrelet du corps èalleux les fibres du faisceau
optique
580 ' LASALLE ARCHAMBAULT central se déploien
ue totalité. C'est donc dans ce lobe que nous trouvons une pyramide
optique
; elle est excavée mais non moins précieuse.
elle est excavée mais non moins précieuse. Les fibres du faisceau
optique
central se terminent surtout dans les deux lèvr
du fait que le segment visuel extra-cérébral, c'est-à-dire le nerf
optique
, n'a jamais été classé, mais est resté avec le
e pour comprendre que tout en étant extra-cérébrale, la décussation
optique
ne diffère de l'entrecroisement pyramidal qu'en a
lle péri- phérique, puisque l'embryologie nous enseigne que le nerf
optique
fait partie de la vésicule oculaire et que cell
t de la subs- tance cérébrale. Toutefois, le mode d'origine du nerf
optique
se rapproche certainement de celui du nerf olfa
u neurone moteur périphérique est représenté par la rétine et le nerf
optique
; mais ce segment extra cérébral ne donne pas, i
e cérébral ; s'il LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 581 n'est pas périphérique dans le sens
ue l'on ren- contre en divers endroits de la corticalité. Le nerf
optique
est à la fois centrifuge et centripète (par rappo
sert, les impressions qui lui viennent du dehors. Il y a deux nerfs
optiques
de même que deux voies pyramidales, mais contrair
- sation pyramidale ? Nous y reviendrons plus loin. La bandelette
optique
se termine surtout dans la partie inférieure du c
tral. D'après nos connaissances actuelles, le complément des fibres
optiques
(le moindre nombre) se rend au pulvinar et au c
aux libres que chaque nerf sensitif ou sensoriel envoie à la couche
optique
, soit directement soit indirectement. Ce fait rap
ceau descen- dant du tronc encéphalique ; par exemple le « faisceau
optique
descendant » de Van Gehuchten qui tire son orig
epteur sensoriel. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 583 On serait douc en présence d'un sys
tit nombre de fibres passent des noyaux centraux dans la bandelette
optique
; nous croyons qu'elles proviennent du corps quad
te devient donc, de par son siège, l'équivalent sensitif de la voie
optique
. On sait que le lobe occipital envoie de nombre
nd, au point de vue de notre comparaison des faisceaux pyramidal et
optique
central, aux cellules des cornes antérieures (cel
ules des cornes antérieures (cellules multipolaires). Mais, le nerf
optique
étant sensoriel, il est préférable de comparer le
urales qui passent par la com- missure postérieure. Or, ce centre
optique
primaire ne siège pas dans les régions inférieure
oint de vue fonc- tionnel, l'analogue du noyau ventral de la couche
optique
qui reçoit les fibres du ruban de Reil. Mais le
araître étrange, mais il faut bien dire.que les noyaux de la couche
optique
ne sont contraires qu'au point de vue topogra-
tainement que de nouvelles fibres prennent naissance dans la couche
optique
et se rendent à la partie postérieure de la rég
es, le fait n'est LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL S85 guère douteux ; mais nous croyons q
des noyaux sensitifs. Mais, ainsi que le noyau ventral de la couche
optique
est (pour nous) l'analogue de l'é- corce sensit
imulée par des impressions sensitives qui lui viennent de la couche
optique
et réagit sur les masses grises inférieures et su
cale. Le corps genouillé externe est le noyau d'origine du faisceau
optique
central et c'est dans sa partie postérieure et
, dans un travail ultérieur. Enfin, nous avons vu que ce ganglion
optique
primaire est le point de dé- part d'un faisceau
e d'être compris dans notre comparaison, à savoir. la dé- cussation
optique
. Il importe de s'y arrêter à nouveau et de la rec
ur se convaincre qu'il n'y a aucune différence entre la décussation
optique
et la décussation pyramidale.Un seul changement,
res rétiniennes temporales. D'ailleurs, les fibres de la bandelette
optique
s'enche- vêtrent tellement au niveau des gangli
utre des faisceaux rétiniens. Quoi qu'il en soit, toutes les fibres
optiques
se terminent dans les ganglions primaires de la
es commissurales. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL S87 D'après les auteurs le faisceau mac
u neurone visuel intra-cérébral, que nous avons dénommé, « faisceau
optique
central » ou « faisceau géniculo-calcarinien ». C
ceau plus volumineux que le faisceau pyramidal, de même le faisceau
optique
central est-il certainement plus développé que
ptique central est-il certainement plus développé que la bandelette
optique
. Il en est de même aussi du lemnicus par rappor
nt dans les noyaux des cordons postérieurs. Cependant le faisceau
optique
central est sensiblement moins volumineux qu'il
e Iconog., 1906, n° 2, p. 205-208 et Cas Roll, p. 190). Le faisceau
optique
central prend naissance au niveau de la base, mai
rquable. Ceci nous ramène il la considération du trajet du faisceau
optique
central au niveau du lobe occipital ; il reste
s de volume ou de qualité. Il en est absolument ainsi du faisceau
optique
central. Ses fibres font partie intégrante des
tre cas Roll. (Nouvelle Iconog., 1906, n° 2, p. 190). Le faisceau
optique
central se termine uniquement dans l'écorce du cu
érieure. Nous avons dit que c'est à ce niveau qu'existe la pyramide
optique
, nous pouvons presque dire que c'est également
i que se dessine une moelle assez véritable. Les fibres du faisceau
optique
se déploient lentement et forment un anneau compl
corne occipitale LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 589 représente le faisceau pyramidal cr
éus. Il se fait donc un entrecroisement quelconque entre les fibres
optiques
des- tinées à l'une et à l'autre des lèvres cal
ue cet entrecroisement n'intéresse qu'un nombre restreint de fibres
optiques
. En second lieu, il est un autre fait qui invit
t qui invite à établir cette similitude de trajet entre le faisceau
optique
central et les faisceaux médullaires de la voie
rière la corne occipitale, on cons- tate la disparition du faisceau
optique
direct ; il ne reste au niveau de la pointe qu'
continuation de ce que nous avons appelé (par analogie) le faisceau
optique
croisé. Cette lame s'épuise rapidement, grâce au
tion rapide dès que l'on aborde le renflement lombaire. Le faisceau
optique
central présente les mêmes variations de trajet
upe frontale) des couches sagittales. Ces deux segments du faisceau
optique
central sont exposés comme le sont les deux fai
paraison ; nous croyons avoir démontré suffisamment que le faisceau
optique
central est au niveau de l'hémisphère ce qu'est
ticipète de la voie visuelle, nous avons donné le nom de « faisceau
optique
central » afin de rendre au contingent très impor
que la branche externe renferme l'expansion intra-cérébrale du nerf
optique
; que le second neurone visuel existe à l'état de
on médullaire qui LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU
OPTIQUE
CENTRAL 591 n'intéresse que le,, faisceaux pyra
s tenterons de démontrer, dans un prochain article, que le faisceau
optique
central existe tel que nous l'avons représenté au
e-Arciiambault. Le faisceau longitu- dinal inférieur et le faisceau
optique
central (suite et fin) (6 pl.. G sch., 7 flg.),
-ARCIL131BABLT. Le faisceau longitu- dinal inférieur et le faisceau
optique
cen- tral, 561. Lejonne et Chartier. Dystroph
sme (2 pi.), par A. Marie, 412. Faisceau longitudinal et faisceau
optique
central, par LASALLE-ARCHAMBAULT, 561. Faisce
LLE-ARCHAMBAULT, 561. Faisceau longitudinal inférieur el faisceau
optique
central (tuile et fin) (6 pl., 6 sch., 7 lig.),
, par L.1S\LLE-1RCII111OULT, 978· Faisceau lo«ltlmlrnal et faisceau
optique
rentrai, par L \5 \LLf;-AHCII,UIU,\ULT, 103.
), LXVIII, LXIX. Faisceau longitudinal inférieur et le fais- ceau
optique
central (L.1S : 1LLE-AfiCIIAM- BAULT), XXVI11 ,
édoncules cérébraux d'un nouveau-né, jusques et y compris les tractus
optiques
, la tige pituitaire7 et le corps du même nom. A
s du même nom. A, corps pituitaire. B, tige pituitaire. LL, tractus
optiques
. M, éminen-ces mamillaires. N, pédoncules cérébra
xterne. T, partie postérieure du cotylédon ventriculaire de la couche
optique
. P, protubérance annulaire. R, prolongement de ce
u cotylédon ventriculaire de la couche opti-que , et celle du tractus
optique
avec cette partie postérieure ou supérieure du tr
ec ses deux racines blanches. A, quadrilatère perforé. K, chiasma des
optiques
. L, tractus optique. S S, corps géniculés. T, cot
lanches. A, quadrilatère perforé. K, chiasma des optiques. L, tractus
optique
. S S, corps géniculés. T, cotylédon ventriculaire
ptique. S S, corps géniculés. T, cotylédon ventriculaire de la couche
optique
. D, tubercules quadrijumeaux. Y', région postérie
don-cule sont rendus fort distincts par cette dissection. T T' couche
optique
. RR, corps géniculés. DD, tubercules quadrijumeau
iasma. K', tige pituitaire. A, quadrilatère perforé. T, T, S, tractus
optique
, couche optique, corps géniculés. M, éminences ma
pituitaire. A, quadrilatère perforé. T, T, S, tractus optique, couche
optique
, corps géniculés. M, éminences mamillaires. NN',
antérieure. T, partie convexe du cotylédon ventriculaire de la couche
optique
. V, partie plane du même cotylédon. S, coupe médi
K', tige pi-tuitaire. TY, face plane et commissure molle de la couche
optique
. M, éminence mamillaire. N, région fasciculée du
coupe de la région fasciculée du pédoncule droit au niveau du tractus
optique
. U, débris du faisceau pos-térieur. 0 0, fibres d
asciculée du pédoncule cérébral. M, éminences mamillaires. L, tractus
optique
. S S, coupe des nerfs optiques relevés et renvers
l. M, éminences mamillaires. L, tractus optique. S S, coupe des nerfs
optiques
relevés et renversés en arrière. 4, espace perfor
mée par la réunion sur la ligne mé-diane des racines grises des nerfs
optiques
de droite etde gauche, a, diago-nale blanche du q
nt la coupe est représentée en Z. T t i, surface convexe de la couche
optique
. P, surface plane de la même couche. W, aqueduc d
mi-nence mamillaire. K', tuber cinereum. K, coupe du chiasma. L, nerf
optique
. I, olfactif. A, quadrilatère perforé, a, partie
été cou-pés à quelque distance en arrière des couches et des tractus
optiques
. On voit dans le centre de celte figure, en arriè
Sylvius. T, bord posté-rieur du cotylédon ventriculaire de la couche
optique
. S, corpus genicu-latum internum : dans la coupe
oute la masse du corps strié, plus les parties centrales de la couche
optique
. Les plexus choroïdes ont été éliminés. On voit d
téral. + -f- marquent la coupe de la coque superficielle de la couche
optique
qui forme la lèvre convexe de cet orifice; VV ind
. T, face inférieure disséquée de la coque superficielle de la couche
optique
. L, face profonde du tractus optique.P, angle ant
coque superficielle de la couche optique. L, face profonde du tractus
optique
.P, angle antérieur du cotylédon ventri-culaire de
s optique.P, angle antérieur du cotylédon ventri-culaire de la couche
optique
, rattaché aux parties superficielles du qua-drila
e cette éminence se prolonge sous la coque superficielle de la couche
optique
. R, cloison transparente. J, face ven-triculaire
e fibreuse de l'insula X' V. S, scissure de Sylvius K, chisma des
optiques
. Q, lame grise. L, tractus optiques. K', tuber ci
issure de Sylvius K, chisma des optiques. Q, lame grise. L, tractus
optiques
. K', tuber cinereum. M, éminences mamillaires. N,
M, éminence mamillaire. N, coupe du tronçon pédonculaire. TU, couche
optique
, O, commissure antérieure. V V, piliers antérieur
u crâne. K, sinus longitudinal supérieur. I, grande faulx. L L, nerfs
optiques
. D J J, coupe de la partie transversale du corps
, K', région fasciculée du pédoncule , éminences mamillaires, tractus
optique
, chiasma , tuber cinereum. A, quadrilatère perf
rf auditif qui se portent dans la direction du cerveau K. chiasma des
optiques
. K', luber cinereum. Entre ces deux points K et K
eux points K et K' on voit en L des rayonnements radiculaires du nerf
optique
prolongés dans la di-rection G du faisceau postér
fibres de ce faisceau prolon-gées de G en L dans les racines du nerf
optique
. De L en V, branche antérieure du pilier antéri
u pilier antérieur de la voûte, rayon-nent encore des racines du nerf
optique
. Les racines occupent la partie interne de l'espa
s venlriculaires et des cotylédons extra-ventriculaires de la cou-che
optique
et du corps strié. N'' n n, prolongement des radi
s. S, coupe médiane de la glande pinéale. T, face plane de la cou-che
optique
. U, trou de Monro. V, pilier antérieur de la voût
aire. X, partie postérieure du cotylédon ventriculaire de la couche
optique
. E E, coupe transversale des cotylédons ventricul
te glande au pilier antérieur de la voûte. T, face plane de la couche
optique
. + +, gouttière creusée sur cette face plane et a
re. K, chiasma. A, quadrilatère perforé, f, nerf olfactif. L, tractus
optique
. N', corpus geniculatum internum. M , corpus geni
, corpus geniculatum externum. X cotylédon ventriculaire de la couche
optique
. D D D, bandelettes cor-née et demi-circulaire. Y
. Y, membrane d'union de la bandelette demi-cir-culaire et du tractus
optique
avec le corps frangé G. U' U Uv U"' D', co-tylédo
u moyen retourné dans le quadrilatère, où il est caché par le tractus
optique
et les racines grises. P, faisceau postérieur,
figure précédente, en 0 le cotylédon ex-traventriculaire de la couche
optique
. FIGURE 4e. Dans cette figure comme dans les
e ce faisceau dans l'espace perforé. 0 , angle antérieur de la couche
optique
rattaché à ce faisceau postérieur. A A A, bandele
delette demi-circulaire émanée du même faisceau, séparée de la couche
optique
, et relevée. R R, rayonnements fibreux de la couc
la couche optique, et relevée. R R, rayonnements fibreux de la couche
optique
passant sous la bandelette demi-circulaire. PL.
oûte à trois piliers, la découverte des expansions cérébrales du nerf
optique
et de leurs curieuses modifications dans la série
le traverse d'abord un premier noyau de substance grise appelé couche
optique
; puis un second noyau qui est le corps strié. Ce
e nom d'aqueduc de Sylvius ; puis il s'abaisse entre les deux couches
optiques
, passe au-dessous d'un pont transverse qui les un
ntricule enroulé dont nous parlons est propre à la région des couches
optiques
. La commissure molle qui unit le centre de ces co
rge, qui recouvre toute l'étendue de la région supérieure des couches
optiques
. Nous lui donnerons le nom de vestibule. Deux exp
es mêlées à beaucoup de substance grise, loge la bandelette des nerfs
optiques
; elle sera pour nousla gouttière de l'anse. Au
s avons signalées il n'y a qu'un instant. La première est la couche
optique
, la seconde est le corps strié. A. A la face in
désignerons l'un et l'autre sous le nom de noyau central des couches
optiques
, communiquent entre eux, dès le cinquième mois de
ès-adhérentes aux parties sous-jacentes, forment Yécorce de la couche
optique
. La lame qu'elles constituent, offre plusieurs fa
er (1). Les habenœ séparent nettement la face supérieure de la couche
optique
d'avec sa face médiane. II. Le second faisceau
Le second faisceau s'étale en une membrane mince autour de la couche
optique
. Ses fibres clair-semées se recourbent d'avant en
il pédonculaire. Elles composent essentiellement Vécorce de la couche
optique
. temps dans les animaux. Ces corpuscules sont d
faisceau, mieux distinct, s'enroule sur le bord externe de la couche
optique
, dans un sillon qui la sépare du corps strié. Ce
e beaucoup de substance ganglionnaire, entoure le centre de la couche
optique
; d'abord très-adhérente au noyau, elle s'en disti
quadrilatère aux angles antérieurs de laquelle s'implantent les nerfs
optiques
. Telles sont les Bandelettes optiques ; leur comm
laquelle s'implantent les nerfs optiques. Telles sont les Bandelettes
optiques
; leur commissure est appelée Chiasma. On aperç
tablit aisément le sens des choses. Quoi qu'il en soit, les couches
optiques
présentent, à leur surface, certaines particulari
lé antérieur. L'autre, situé en arrière, mi intermédiaire à la couche
optique
proprement dite, et à la bandelette qui lui fai
ons ailleurs, et qu'on a considéré comme la racine principale du nerf
optique
. Ce qui est vrai dans les animaux, mais ne l'est
é dans le groupe des primates et dans l'homme. B. — Après la couche
optique
, vient la deuxième grande production annulaire qu
ssue, s'enroule sur la convexité de l'éventail en dehors de la couche
optique
, s'atténue peu à peu, descend sous forme d'un cor
médian qui sépare les deux axes pédonculaires, entre les deux couches
optiques
, qu'est situé le ventricule médian. Ce ventricule
re du tuber cinereum, s'étend avec lui au-dessus du chiasma des nerfs
optiques
, touche à la valvule antérieure^ et se prolonge e
que qui recouvre fort exactement l'écorce enroulée autour des couches
optiques
. La cavité de cette dilatation communique avec ce
ement relatif énorme, d'enroulement, adhèrent fortement à la couche
optique
et au corps strié intraventriculaire à la manière
parties adjacentes, et suit le bord postérieur ou interne des couches
optiques
; ses limites sont celles de l'écorce blanche de
s eminences mamillaires. Ces deux cordons s'élèvent entre les couches
optiques
à droite et à gauche de l'infundibulum, s'incline
estibule, et, vers son milieu, l'œil plongeant entre les deux couches
optiques
, aperçoit la commissure molle, au-devant et en ar
t circonscrire ainsi dans un cercle complet la commissure des couches
optiques
, et c'est ainsi que s'est formé le ventricule int
é externe. Le corps strié interne, le tœnia semicircularis, la couche
optique
, les habenœ de la glande pinéale, suivent ce mouv
ces tubercules. Plusieurs auteurs les désignent sous le nom de lobes
optiques
. Leurs relations avec les nerfs de la vision dans
grandeur relative. Vaqueduc de Sylvius est le ventricule des lobes
optiques
. Dans le fœtus, où ces lobes dominent, il offre u
elle existe dans tous les vertébrés ovipares. La division des lobes
optiques
en quatre tubercules ne se voit que dans les mamm
anchâtres. La relation des tubercules antérieurs avec les bandelettes
optiques
d'une part, et d'autre part avec les corps genoui
s pédoncules cérébraux, le tuber cinereum, le chiasma des bandelettes
optiques
, et les couches inférieures des corps striés extr
erf olfactif, qui semblait naître du centre de l'une des deux couches
optiques
. Les pédoncules, les tubercules quadrijumaux, le
educ de Sylvius et peut être suivi, d'une part, au centre des couches
optiques
, et de l'autre, jusqu'à la base du cerveau, vers
remière aux tubercules quadrijumaux, la seconde au centre des couches
optiques
, la troisième au champ olfactif. Celle de ces div
t le pédoncule, se prolongent dans la profondeur du noyau des couches
optiques
. Leurs interstices donnent passage à des plans fi
gris qui plongent d'arrière .en avant sous le noyau gris de la couche
optique
. 11 est si marqué qu'il mérite un nom particulier
pédoncule supérieur du cervelet, s'étalent au centre de chaque couche
optique
en une cupule dont la concavité regarde le plan m
rps striés externes, par l'intermédiaire des noyaux gris, des couches
optiques
et de la commissure molle. Peut-être les fibres t
mesuré les deux moitiés du noyau cérébral, le noyau gris de la couche
optique
étant pris comme centre, on peut aisément apercev
ris compris dans l'intérieur de la cupule, à la surface des couches
optiques
, et se portent dans l'écorce blanche de ces couch
ême. 2° D'autres fibres, constituant en partie l'écorce des couches
optiques
, naissent de la partie la plus interne de l'annea
n'être qu'une dépendance, enveloppent toute la périphérie des couches
optiques
. 11 faut bien remarquer que cette écorce blanch
que cette écorce blanche n'a rien de commun avec les racines du nerf
optique
placées au-dessous d'elle. Elle se termine, avec
ttière de l'anneau qui touche au corps strié inférieur. Les couches
optiques
, proprement dites, sont intermédiaires à cette éc
arrière, comme les précédentes, et se continuent dans les bandelettes
optiques
. Ces couches sont formées d'une bande de substanc
tre considérées comme une dépendance de l'écorce blanche de la couche
optique
, seulement, au lieu de continuer leur mouvement d
e la glande pinéale. Les parties qui s'enroulent autour des couches
optiques
, mais sans y adhérer, sont : 1° Les bandelettes
ue nous l'avons déjà dit, en suivant le sillon qui sépare la couche
optique
du corps strié interne, sillon au fond duquel est
ont revêtues par un epithelium très-délicat. 3° Au delà des couches
optiques
sont les corps striés internes. Ceux-ci sont sépa
ers les champs olfactifs, il chemine au-dessous du noyau de la couche
optique
, et après avoir passé sous les anneaux semicircul
bercules quadrijumeaux. Ces tubercules, qu'on a aussi appelés lobes
optiques
, ne paraissent pas avoir, dans l'ordre des organe
les quadriju-maux antérieurs se rattache la principale racine du nerf
optique
, je veux dire la plus constante. Ces tubercules
re à l'hémisphère en occupe le centre, et la face interne des couches
optiques
y est visible dans toute son étendue. Cette pré
commissure dont la tranche médiane occupe le centre même de la couche
optique
. L'étage inférieur du ventricule s'y voit avec
cule, on peut apercevoir une partie de la face supérieure des couches
optiques
. Le bord supérieur de l'ouverture qui fait comm
r, d'un seul coup d'œil, l'enroulement des bandelettes et des couches
optiques
, du taenia semicircularis et du corps strié inter
entre ovale de Vieussens, les expansions radiculaires des bandelettes
optiques
. Outre les expansions dont nous avons parlé, le
ouissement de la racine principale du nerf ou plutôt de la bandelette
optique
dans l'hémisphère cérébral (1). (1) J'ai fait p
isposition curieuse, nous reprendrons la description de la bandelette
optique
à partir du chiasma ; nous la suivrons de là, soi
s d'elle, puis au dedans, s'engage sous l'écorce blanche de la couche
optique
et s'enroule d'arrière en avant autour de son noy
ue dans l'homme et dans les singes, est de toutes les racines du nerf
optique
, la plus apparente et la mieux connue. Les produc
éventail résulte typiquement d'une expansion continue des bandelettes
optiques
, mais l'ensemble des faisceaux de la bandelette,
changement de direction des fibres dans l'expansion cérébrale du nerf
optique
me paraît un fait très-important, et digne d'être
uivre aisément les rayons de cette grande expansion cérébrale du nerf
optique
dans toutes les parties du bord supérieur de l'hé
à son extrémité frontale ; ainsi les expansions radi-culaires du nerf
optique
correspondent avec toute l'étendue de la bande de
ont pas moins de valeur à leurs yeux. Dans les singes, dont le nerf
optique
est énorme, la division de la racine externe, q
d'un hémisphère peu développé. Dans l'homme, au contraire, le nerf
optique
et la racine qui se porte aux tubercules nates, s
tubercules quadrijumeaux antérieurs. L'expansion cérébrale du nerf
optique
est très-difficile à découvrir dans tous les anim
passe à peine le corps calleux, et par conséquent l'expansion du nerf
optique
est, chez eux, réduite à cette portion antérieure
tacle qui dissimule l'existence de ces expansions antérieures du nerf
optique
, s'il existait des mammifères dépourvus de corps
rement dans YHal-matarus bennetii que je prends pour exemple, le nerf
optique
a un volume médiocre. Il s'enroule comme à l'ordi
l s'enroule comme à l'ordinaire sur la partie postérieure des couches
optiques
, où il se renfle en un corps genouillé externe bi
apparent. Mais, au lieu de se prolonger en avant autour de la couche
optique
comme cela a lieu dans les monodelphes (1), toute
s ses fibres à la ibis se portent vers les tubercules nates des lobes
optiques
. Ainsi, cette petite racine, si grêle dans l'homm
ans l'homme et dans les primates, devient ici l'unique racine du nerf
optique
. Nous avons constaté l'existence des mêmes fait
de l'expansion cérébrale , c'est là un fait bien remarquable. Le nerf
optique
des Marsupiaux n'a point, avec le cerveau, de con
mément dans les carnassiers, reçoivent des faisceaux émanés des lobes
optiques
en général, mais plus particulièrement des tuberc
icile à décider; seulement, si l'on détache les bandelettes des nerfs
optiques
, on aperçoit au-dessous d'elles un éventail de fi
t que le lecteur veuille bien examiner cet enchaînement : (a) Le nerf
optique
se rattache par une de ses racines aux tubercules
par l'intermédiaire de deux masses ganglionnaires, savoir: les lobes
optiques
et les corps genouillés internes. Voilà ce qui pa
imum, elle peut être nulle; en revanche, la racine destinée aux lobes
optiques
s'accroît proportionnellement; ces faits paraisse
mples nombreux. Ainsi, dans le cas qui nous occupe, ces impressions
optiques
transmises par des masses grises intermédiaires,
sensation avec conscience, c'est-à-dire d'intelligence, si les lobes
optiques
sont au contraire organes d'automatisme, le cerve
u'il en soit, nous verrons dans ces communications directes des nerfs
optiques
avec les hémisphères, un signe d'élévation. L'abs
; 7° En dehors du tapis, le plan des expansions cérébrales du nerf
optique
; 8° Après celles-ci, le plan des expansions du
directes ou indirectes, émanant des expansions radiculaires des nerfs
optiques
. Nous tirerons dans un autre chapitre quelques
olfactifs offrent aussi une commissure médiane à la manière des nerfs
optiques
. Anal, et Phys. du système nerveux. Paris, 1S42,
ction « des nerfs spéciaux de la face, savoir, des nerfs olfactifs, «
optiques
et auditifs. » Or, M. Cruveilher compte dans le
entre la vertèbre occipitale, et la sphéno-pariétale. Le deuxième, l'
optique
, entre la sphéno-pariétale et la sphéno-frontale.
es, à savoir : l'acoustique pour le trou de conjugaison postérieur, l'
optique
pour le moyen, l'olfactif pour l'antérieur. Ce so
ure du trijumeau. Dans la paire moyenne sont compris, outre le nerf
optique
, des nerfs moteurs, savoir : le pathétique, le mo
istincts de ces fibres se portent dans la substance grise des couches
optiques
et des corps genouillés externes, immédiatement a
ement du faisceau postérieur qui se dirige vers le centre des couches
optiques
et concourt avec lui à la formation de la cupule.
me paire. Elle comprend le nerf spécial de la vue, à savoir : le nerf
optique
. J'ai décrit plus haut les origines du nerf opt
avoir : le nerf optique. J'ai décrit plus haut les origines du nerf
optique
. Les unes vont aux lobes optiques ou tubercules q
écrit plus haut les origines du nerf optique. Les unes vont aux lobes
optiques
ou tubercules quadrijumeaux, d'autres aux couches
aux lobes optiques ou tubercules quadrijumeaux, d'autres aux couches
optiques
où elles se terminent peut-être; le plus grand no
ssens. J'ai fait remarquer que la racine cérébrale et celle des lobes
optiques
étaient, quant à leur importance relative, en sen
l'autre est au minimun, et réciproquement. La racine qui va aux lobes
optiques
, est en communication avec le cerveau par l'inter
utés. Ainsi le nerf acoustique a rapport au cervelet et au cerveau, l'
optique
aux tubercules quadrijumeaux et au cerveau, l'olf
re des sensations auditives, aussi bien qu'ils le sont des sensations
optiques
. Malheureusement, il ne m'a point été donné de po
é ma persévérance, je n'ai pu aller au delà du noyau gris des couches
optiques
. C'en est assez sans doute pour affirmer qu'ils v
e choisis en effet un Cynocéphale ou un Macaque dans lesquels le nerf
optique
et la bandelette qui lui fait suite ont un volume
si je la compare à celle de l'homme. Dans l'homme en effet le nerf
optique
est relativement assez grêle. Mais en revanche so
emble réelle, par exemple, dans ces plus grandes expansions du nerf
optique
qui partent d'un plus petit nerf; nous ne ferons
genouillés externes est lié à celui des expansions cérébrales du nerf
optique
. Or, la multiplication des libres une fois admi
it — de D en E est le cerveau moyen, c'est-à-dire la région des lobes
optiques
ou tubercules quadrijumeaux. La cavité du cerveau
dorsale du cerveau postérieur. Les tubercules quadrijumeaux ou lobes
optiques
se superposeront au cerveau moyen; les couches op
eaux ou lobes optiques se superposeront au cerveau moyen; les couches
optiques
au cerveau intermédiaire ; les hémisphères et les
de Baër, c'est-à-dire la masse des tubercules quadrijumeaux ou lobes
optiques
de Serres. Vers la neuvième semaine, comme l'a fo
amètre est vertical, ils ne recouvrent encore, ni la région des lobes
optiques
, ni celle du cerveau intermédiaire. Le cerveau mo
déchirure dont les débris irréguliers demeurent attaches aux couches
optiques
, le long des lignes où l'on distinguera plus tard
de la voûte suivent en effet le sillon qui s'étend entre les couches
optiques
et les corps striés internes, et distinguent, en
vancera graduellement au-dessus du cerveau intermédiaire et des lobes
optiques
, mais bien le fond de la poche elle-même, qui cro
intermédiaire et touchent au cerveau moyen, c'est-à-dire aux lobes
optiques
. A partir de cette époque, leurs parois ont acqui
es; toutes les parties de l'encéphale s'accroissaient, mais les lobes
optiques
plus lentement, si bien que le cerveau moyen perd
icules on distinguait déjà des élévations correspondantes aux couches
optiques
et aux corps striés. Une petite lame transverse u
de Sylvius était dilaté en une vaste ampoule sous la masse des lobes
optiques
. Tiedemann a représenté un cerveau de cet âge.
remier, les hémisphères étaient fort allongés et touchaient aux lobes
optiques
, mais sans les recouvrir. Le lobe sphenoidal form
ntricule et bien distincts dans toute leur étendue; quant aux lobes
optiques
, ils étaient fort étendus avec une trace de divis
. Il rappelait fort exactement la forme d'un mufle de lion. Les lobes
optiques
formaient le nez de ce mufle; le cervelet représe
tefois les lobes sphénoïdaux étaient un peu plus saillants. Les lobes
optiques
avaient un peu perdu de leur grandeur relative ,
nce, les pédoncules cérébraux, le tuber cinereum et deux petits nerfs
optiques
avec leur chiasma. Les nerfs olfactifs étaient cr
r, surtout dans la région de la commissure des pédoncules ; les lobes
optiques
contenaient une vaste dilatation du ventricule et
deux moitiés de la commissure molle formaient, au centre des couches
optiques
très-saillantes à cette époque, une élévation b
grande ouverture de l'hémisphère ceignait fort exactement les couches
optiques
, et sa marge était formée par les bandelettes de
u cerveau et ceux du cervelet avaient beaucoup grandi. Déjà les lobes
optiques
étaient en partie recouverts. Dès cette époque d'
amorphoses s'accomplissaient, les parois des hémisphères et des lobes
optiques
acquéraient une épaisseur de plus en plus grande.
nait alors, c'étaient les tubercules quadrijumaux ou plutôt les lobes
optiques
; venaient ensuite les hémisphères cérébraux, pu
erveau qui l'emporte. Le cervelet occupe le second rang, et les lobes
optiques
sont désormais relégués au troisième. Je ne parle
bientôt acquis une grandeur démesurée et dépassé en arrière les lobes
optiques
et le cervelet. Son caractère typique est désorma
alleux s'avance au-dessus du cerveau intermédiaire, jusqu'aux lobes
optiques
divisés dès lors en quatre tubercules, et son épa
nsi des progrès, ils « s'étendent sur les corps cannelés, les couches
optiques
, les « tubercules quadrijumeaux et le cervelet, d
bords, du moins chez l'adulte, suivent le sillon qui sépare la couche
optique
du corps strié jusqu'à l'extrémité de la corne sp
nglion moyen, correspondant aux tubercules quadrijumeaux et aux nerfs
optiques
, est le centre des impressions dont on n'a pas co
t soustraire dans un animal le cerveau, les corps striés, les couches
optiques
, le cervelet et les tubercules quadrijumeaux, la
vraie structure de la moelle allongée, des pédoncules et des couches
optiques
, les explications les plus ingénieuses n'ont poin
meure livrée aux disputes des physiologistes. A l'égard des conches
optiques
et des corps striés, il n'y a pas de moins grande
de moins grandes divergences. Les anciens plaçaient dans la couche
optique
l'origine des nerfs de ce nom, ce que beaucoup de
également exagérées. Nous avons distingué plus haut dans la couche
optique
trois éléments distincts, savoir : 1° son écorce
ppartiennent au même système que le tœnia semicircularis ; 2° la lame
optique
sous-posée à cette écorce et dont les corps genou
ns divers une prodigieuse quantité de fibres. Les fibres de la lame
optique
n'ont pas un trajet absolument semblable dans l'h
omme le plus grand nombre de ces fibres s'enroule autour de la couche
optique
pour se répandre dans le centre ovale de Vieussen
ussens. Ainsi l'anatomie oblige d'admettre qu'en détruisant la couche
optique
dans l'homme et dans les singes, on anéantirait l
sont encore possibles chez les mammifères. Mais si l'une des couches
optiques
est détruite, l'animal tombe sur le côté opposé,
ons des corps striés ne sont pas mieux connues que celles des couches
optiques
. M. Magendie imagina de les détruire par degrés.
s blanches de la couronne de Reil (1) M. Serres admet que la couche
optique
est l'excitateur de la vue dans l'homme et les ma
eurs radiations dans les lobes antérieurs du cerveau. Ainsi la couche
optique
et les lobes postérieurs du cerveau présidaient a
epte et soutient l'opinion de Saucerotte. Les radiations de la couche
optique
sont excitateurs des mouvements des membres thora
z les animaux quadrupèdes, en supprimant toutes les racines des nerfs
optiques
; 2° chez l'homme et chez les singes, en détruisa
ablation des tubercules quadrijumeaux chez les animaux dont les nerfs
optiques
se rendent en totalité à ces organes, soient abso
nt applicables à ceux chez lesquels la majeure partie des bandelettes
optiques
s'épanouissent directement dans les hémisphères c
ieurs variétés de filaments élémentaires. Gall admettait dans le nerf
optique
l'existence d'autant d'élé ments doués d'une pr
e chaque point de l'objet est rapportée à la pointe de chaque pinceau
optique
. Dès lors, la simplicité de l'image vue avec les
celle de Rohault. Suivant ce célèbre physicien, chaque filet du nerf
optique
de l'un des yeux aboutit au même point du cerveau
et de l'autre œil. On peut ainsi considérer les fibres des deux nerfs
optiques
comme formant une multitude de fibres paires que
e dans une direction parallèle à la ligne idéale qui unit les centres
optiques
des deux yeux. Ainsi, en inclinant la tête de côt
our qu'un objet soit vu distinctement, il faut : 1° que les deux axes
optiques
convergent vers un même point ; 2° que chacun des
3° qu'aucun objet étranger ne se trouve sur le prolongement des axes
optiques
d'un seul œil; 4° que l'esprit lui-même entre en
mnambulisme automatique, car nos observations anatomiques sur le nerf
optique
et la belle expérience de Longet (2) montrent ass
du corps, le fantôme sera naturellement vu dans la direction des axes
optiques
. Ces images semblent donc suivre le mouvement de
ialité des nerfs, il est certain, par exemple, que sans un appareil d'
optique
l'œil ne serait point un organe de vision. Admett
es nerfs crâniens sont plus grands que dans l'espèce humaine. Le nerf
optique
d'un papion, dont le cerveau pèse à peine 160 gra
prouvé pour les nerfs olfactifs et gustatifs, et surtout pour le nerf
optique
, mais on n'est point encore ar rivé à celte cer
distinct du cerveau que s'épanouissent les racines directes des nerfs
optiques
dans les singes et dans l'nomme ; eiles occupent,
d'ailleurs entre cette racine médiate et la racine immédiate du nerf
optique
, une véritable opposition. La première est en rap
La première est en rapport avec le développement de l'œil et du nerf
optique
; la seconde suit le développement de l'hémisphère
applique le tranchant du couteau, à la fois sur le milieu du chiasma
optique
et sur l'orifice sectionné de l'aqueduc de Sylviu
s signaler les principales conditions d'un si remarquable phénomène d'
optique
; les lois qui le régissent ne sont pas de celles
ction : tel est le petit faisceau nerveux qui constitue la bandelette
optique
ou le nerf optique lui-même. Mais, si la couleur
petit faisceau nerveux qui constitue la bandelette optique ou le nerf
optique
lui-même. Mais, si la couleur indique avec une pr
recours à une technique fort compliquée, où l'emploi d'instruments d'
optique
très délicats devient indispensable. Nous pensons
CA. Commissure antérieure, 17. ce. Corps calleux, 17. CH. Chiasma
optique
. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du lobe carr
oncule, 16, 17. Tf. Tubercule du fascia dentata. Th. Thalamus, couche
optique
. TJ. Tubercule de jonction, 27, 29. TM. Tubercule
, 45. CÀ. Commissure antérieure. ce. Corps calleux. CH. Chiasma
optique
. CP. Commissure postérieure. CQ. Opercule du
E CERVEAU PL. 5 Héliog. Lemercier G. Masson Edit BO. Bandelette
optique
, tractus oplicus. BQ. Bourrelet du lobe carré,
, 50. CA. Commissure antérieure. ce. Corps calleux. CH. Chiasma
optique
, 47. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du lobe
enticulaire, 61. BGI. Bandelette de Giacomini, 60. BO. Bandelette
optique
. BQ. Bourrelet du lobe carré, 57. C. Circonvo
ique. CA. Commissure antérieure. ce. Corps calleux. CH. Chiasma
optique
. CP. Commissure postérieure. CQ. Opercule du
G. Masson Edit PLANCHE IX Bf. Fente de Bichat, 63. BO. Bandelette
optique
, tractus opiicm, 65. CAP. Cap de la troisième cir
65. CAP. Cap de la troisième circonvolution frontale, 05. CH. Chiasma
optique
, 62, 65. GQ. Opercule du lobe carré ou cap du lob
tale interne. Rlh. Radiatio thalami, couronne rayonnante de la couche
optique
, 77. S'. Rranche postérieure de la scissure de
ia terminalis, 80. TAP. Tapelum, 71, 75, 78. Th. Thalamus, couche
optique
, 76. Une. Crochet, uncus, 79, 80. E. BRISSAUD
iéto-frontal, 89, 92, 93, 95, 97, 98. FS. Faisceau sensitif, faisceau
optique
, lame des radiations optiques, 88, 91, 92, 95,
97, 98. FS. Faisceau sensitif, faisceau optique, lame des radiations
optiques
, 88, 91, 92, 95, 96. A'. Scissure calcarine, 87
FPF. Faisceau pariéto-frontal, 148. FS. Faisceau sensitif, faisceau
optique
, lame des radiations opti-ques, 146. FSe. Faiscea
ariéto-frontal, 159. FS. Faisceau sensitif, faisceau des radiations
optiques
, 154. FSe. Faisceau sensitif externe, 154, 155,
166, 168. Tf. Tubercule du fascia dentata, 165. TH. Thalamus, couche
optique
, 165. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL. 17 Héliog.
RI. Trigone cérébral, 188, 192. ZO. Stratum zonale de la bandelette
optique
, 195. ZS. Stratum zonale, 192. E. BRISSAUD _
RR. Ruban de Reil, 206, 215. Rth. Couronne rayonnante de la couche
optique
, 219, 221, 222. S'. Rranche postérieure de la sci
AI. Ansa intergenicularis de Rauber, racine interne de la bande-lette
optique
, 226, 232. ARC. Faisceau arqué, 238. BP. Bras du
a tecta, 224. TEG. Tegmentum, 227, 228, 229. Th. Thalamus, couche
optique
, 224. TRI. Trigone cérébral, 257. TRO. Tractu
du noyau caudé, 241, 252, 255. Rth. Couronne rayonnante de la couche
optique
, 255. Tee. Tsenia semi-circularis, 252. TAP. Tape
orps genouillé externe, 249, 255. ZO. Stratum zonale de la bandelette
optique
, 254. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.23 Héliog
ion de l'hippocampe, 272, 275. SMT. Stries médullaires de la couche
optique
, 275. T1. Première circonvolution temporale, 287.
du faisceau arqué destinées à la capsule interne, 508. BO. Bandelette
optique
, 290, 295. ROG. Fibres de la bandelette optique
508. BO. Bandelette optique, 290, 295. ROG. Fibres de la bandelette
optique
destinées au corps genouillé externe, 290, 294.
orale. TB. Trou borgne, forameu csecum, 290, 296 Th. Thalamus, couche
optique
, 292. TP. Tractus transvers us pedunculi, 297. TR
noyau lenticulaire, 519. ARC. Faisceau arqué, 526. BO. Bandelette
optique
. RSO. Bandelette sous-optique, 520. CAM. Corn
de Bichat, 529. BGI. Bandelette de Giacomini, 529. BO. Bandelette
optique
. BSO. Bandelette sous-optique, 550, 544. C. C
Faisceau d'Arnold, 568. ARC. Faisceau arqué, 575. BO. Bandelette
optique
, 565. BSO. Bandelette sous-optique, 569. C. C
AR. Faisceau d'Arnold, 380. ARC. Faisceau arqué, 388. BO. Randelette
optique
, 378. RSO. Randelette sous-optique, 582. C. Circo
6, 404. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 595, 404. BO. Bandelette
optique
, 406. C. Circonvolution limbique. CA. Commiss
, 599. ce. Corps calleux, 598. CE. Capsule externe. CH. Chiasma
optique
, 406. CIA. Segment antérieur de la capsule inte
7. GAP. Ganglion de l'anse pédonculairc, 409. GRO. Ganglion basai
optique
, 410. GR. Gyrus rectus, 412. GS. Pyramide gri
d'Arnold, 450, 455. BCP. Bulbus cornu posterioris. BO. Bandelette
optique
, 451. BOZ. Fibres de la bandelette optique alla
rioris. BO. Bandelette optique, 451. BOZ. Fibres de la bandelette
optique
allant au stratum zonale du pulvinar. BP. Bras
u corps genouillé interne, 429. ZO. Stratum zonale de la bandelette
optique
, 455. E. BRISSAUD _ LE CERVEAUГ P L . 34 Héli
au caudé. Rth, Radiatio thalami, couronne rayonnante de la couche
optique
, 456. sC. Sinus du corps calleux. sh. Sillon de
externe. Rth. Radiatio thalami, couronne rayonnante de la couche
optique
, 440, 445. sC. Sinus du corps calleux. sME. Grand
ris, 445. TAP. Tapetum. tec. Tsenia tecta. Th. Thalamus, couche
optique
, 445. ThÀ. Racine antérieure ou pédoncule antér
aris. TAP. Tapelum, 454. tec. Tsenia tecta, 450. Th. Thalamus, couche
optique
, 456. ThA. Racine antérieure ou pédoncule antér
yau lenticulaire, 457. AR. Faisceau d'Arnold, 457. BO. Bandelette
optique
, 458. BSO. Bandelette sous-optique. CA. Commi
er G. Masson Edit ANL. Anse du noyau lenticulaire. BO. Bandelette
optique
, tractus opticus, 459, 460. BSO. Bandelette sou
CA. Commissure antérieure. CE. Capsule externe, 459. CIL Chiasma
optique
, 459. CL. Claustrum, 459. CV. Carrefour ventr
ÀLV. Alveus. BGI. Bandelette de Giacomini, 462. BO. Bandelette
optique
. BSO. Bandelette sous-optique, 463. CA. Commi
Faisceau arqué. BGI. Bandelette de Giacomini, 465. BO. Bandelette
optique
, 465. C. Circonvolution limbiquc. ce. Corps c
ire. AR. Faisceau d'Arnold. Bf. Fente de Bichat. BO. Bandelette
optique
. CA. Commissure antérieure. CAO. Faisceau teg
ceps major. FP. Faisceau pyramidal. FS. Faisceau sensitif, faisceau
optique
, lame des radiations optiques. FU. Fasciculus u
midal. FS. Faisceau sensitif, faisceau optique, lame des radiations
optiques
. FU. Fasciculus uncinatus, faisceau en crochet.
ns ; diagnostic clinique : paralysie générale, atro- phie des nerfs
optiques
. L'observation clinique ayant été égarée, je n'
s l'observation I ; mais ici je crois qu'il s'agit d'une illusion d'
optique
qui est due à la rétraction considérable des tis-
yer ancien du côté de la partie interne et postérieure de la couche
optique
droite. Examen histologique de la moelle. Au ni
in les lésions disparaissent au-dessous du 4° ventricule. ' Le nerf
optique
gauche est dégénéré dans une certaine mesure ; on
t un lacis assez épais sur la surface de section du nerf. Le nerf
optique
droit semble plus atteint : la sclérose y est dif
ct et dont les autres sont dégénérés à un moindre degré que le nerf
optique
. La protubérance et le pédoncule sont normaux.
à un des étages supérieurs de l'encéphale (au- dessus de la couche
optique
considérée comme centre de coordination mimique
du cervelet et ces lésions n'ont pas besoin d'intéresser la couche
optique
, comme le déclare Mingazzini, mais l'écorce ou le
pe hori- zontale montre un second ramollissement occupant la couche
optique
et qui paraît n'empiéter que très peu à l'oeil
ière. Diminution considérable de l'acuité visuelle, double atrophie
optique
tabétique. Mort en 1902. Examen anatomique. Ont
ellulaires. Mais d'un autre côté l'absence de compression des nerfs
optiques
, la marche de l'affection qui semble arrêtée de
ement petite a été faite dans les recherches à l'anatomie des nerfs
optiques
, et surtout des autres parties des voies optiques
natomie des nerfs optiques, et surtout des autres parties des voies
optiques
, dans l'amaurose tabétique. C'est à peine si qu
ocessus tabétique débutait dans les parties périphériques des voies
optiques
pour gagner progressi- vement les parties centr
qui, ayant constaté dans un cas de tabes avec cécité que les nerfs
optiques
étaient très petits surtout près du globe oculair
conclure que le début se l'ait par les cellules d'origine des fibres
optiques
, les cellules de la rétine. Moxter (2), en 18
que le début de l'atrophie se fait dans la rétine et que l'atrophie
optique
est une affection du neurone périphérique. Von
de la rétine que l'on considère comme cellules d'origine des fibres
optiques
; aussi il donne pour cause à l'amaurose du tab
ce que dans l'amau- rose au début la partie périphérique des nerfs
optiques
contiendrait plus de fibres altérées que la par
soit réel, que le nombre des fibres dégénérées diminue dans le nerf
optique
en allant de l'oeil au chiasma, ce que nous n'avo
ération primitive siégerait dans les cel-lmles d'origine des fibres
optiques
, las cellules ganglionnaires de la rétine. S'il
dans la portion centrale des bandelettes, aux environs des centres
optiques
primaires, des corps genouillés externes, que l
assez nombreuses cellules ganglionnaires intactes dans l'atro- phie
optique
complète; aussi ils croient que l'atrophie des ce
uses diverses et de 2 sujets atteints de cécité, mais sans atrophie
optique
. Rappelons rapidement quelles sont les différen
ionnaires, cellules nerveuses d'où partent directe- ment les fibres
optiques
. Cette couche est très peu épaisse, formée seule-
successive des conducteurs, transmises seulement par 800.000 fibres
optiques
(Krause). Les fibres optiques sont immédiatemen
ansmises seulement par 800.000 fibres optiques (Krause). Les fibres
optiques
sont immédiatement sous-jacentes à la zone des ce
de du corps vi- tré par une membrane limitante interne : les fibres
optiques
augmentent LA RÉTINE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE
juxtaposés constituent la limitante interne sous-jacente aux fibres
optiques
. On trouve ainsi en allant de dehors en dedans,
ntient t encore un bon nombre. L'importance de la couche des fibres
optiques
est certainement moins encore proportionnelle a
où les cellules étaient encore relativement nombreuses, les fibres
optiques
étaient presque nulles (Despr... par exemple),
sante à signaler pour la re- cherche de la pathogénie de l'atrophie
optique
. Les autres couches de la rétine ne sont nullem
et la présence très fréquente de libres dans la cou- che des fibres
optiques
, les deux faits paraissant en partie indépendants
l'on doit s'attendre à trouver après une lésion quelconque du nerf
optique
depuis son origine jusqu'à la terminaison de ses
e dégénérescence primitive, élective des cellules d'origine du nerf
optique
, les cellules multipolaires de la rétine. Quelq
lionnaires à l'état normal, alors même (7) que la couche des fibres
optiques
(8) est très épaisse. 1 . Cônes et bâtonnets.
ultipolaires, corps des 3es neurones, cellules d'origine des fibres
optiques
. 8. Fibres optiques. 9. Limitante interne.
s 3es neurones, cellules d'origine des fibres optiques. 8. Fibres
optiques
. 9. Limitante interne. 2. Rétine du labes ave
7) sont encore re- lativement très nombreuses. La couche des fibres
optiques
(8) est très diminuée, mais n'a pas disparu.
rtant le malade avait encore des sensations lumi- neuses et le nerf
optique
contenait encore un petit nombre de fibres. Or, l
est presque aussi épaisse qu'à l'état normal ; la couche des fibres
optiques
a au contraire presque disparu. Il exisle d'aille
Sl'JCE DE BlCl1'nE LABORATOIRE DE 1\1. PIERRE MARIE ÉTUDE DU NERF
OPTIQUE
DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE PAR André LÉRI,
omie pathologique de l'amaurose tabétique ont localisé dans le nerf
optique
la lésion origi- nelle du processus. Ce n'est q
e primitive des cellules rétiniennes la cause de l'atrophie du nerf
optique
. Les partisans de la théorie « nerveuse » l'em-
grandes encore sur la nature et de la cause de l'altération du nerf
optique
. En énumérant les quelques remarques faites par
postérieurs, qu'il débute dans les parties périphériques des voies
optiques
pour gagner pro- gressivement les parties centr
elle Iconographie DE la SALPÈTRIERE. T. XVII. PI. L ÉTUDE DU NERF
OPTIQUE
DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE. (,.4. Léri). ÉTUDE
ERF OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE. (,.4. Léri). ÉTUDE DU NERF
OPTIQUE
DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 359 conclut à l'extrê
cence. Westphal (1) a constaté une fois une atrophie totale du nerf
optique
; aucune fibre n'était conservée. Poncet (2) a
t (2) a constaté une sclérose prédo- minante dans le centre du nerf
optique
, il croit que l'amaurose tabétique débute par l
e absolument exclue... Cette dégé- nérescence débute dans les nerfs
optiques
soit isolément, soit simultané- ment avec.le cl
soit isolément, soit simultané- ment avec.le cliiasma et le tractus
optique
. Elle n'a alors pas besoin de se propager d'une
d'après Leber, de préférence le voisinage des enveloppes des nerfs
optiques
. La marche n'estnullement progressive, en ce sens
c le début d'un foyer récent de dégénérescence dans les bandelettes
optiques
.... La dégénérescence grise ne contourne jamais e
off (5) a examiné histologiquement avec la méthode de Pal les voies
optiques
d'un cas de tabès avec cécité.. Les nerfs optique
de Pal les voies optiques d'un cas de tabès avec cécité.. Les nerfs
optiques
étaient très petits, surtout près du globe ocul
) a émis l'hypothèse que la cause de l'atrophie tabéli- que du nerf
optique
doit être cherchée dans l'étranglement du nerf à
tre cherchée dans l'étranglement du nerf à son passage dans le trou
optique
à la suite d'une périostiteou d'une pachymé- ni
ne pachymé- ningite syphilitique ; la cause de l'atrophie des nerfs
optiques
serait ana- logue à celle que Obersteiner et Re
ises sur la forme, la nature et l'origine des lésions de l'atrophie
optique
du tabes : les uns placent l'origine de la lési
lacent l'origine de la lésion dans la rétine, d'autres dans le nerf
optique
; parmi ces derniers certains considèrent qu'il y
ne repose que sur quelques cas; dans la plupart de ces cas le nerf
optique
et quelquefois l'oeil ont seuls été coupés. L'a
otre matériel d'études, pour ce qui con- cerne spécialement le nerf
optique
: nous avons coupé les nerfs optiques de 21 tab
on- cerne spécialement le nerf optique : nous avons coupé les nerfs
optiques
de 21 tabétiques avec amaurose complète et de d
lle Iconographie de la SALPêTRIèRE. T. XVII. Pl. LI ÉTUDE DU NERF
OPTIQUE
DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE. ÉTUDE DU NERF OPTIQU
LI ÉTUDE DU NERF OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE. ÉTUDE DU NERF
OPTIQUE
DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 3G1 incomplète ; nous
E TABÉTIQUE 3G1 incomplète ; nous avons examiné également les nerfs
optiques
de 3 para- . lytiques généraux avec cécité. Com
it pas encore laissé supposer. Nous avons coupé également les nerfs
optiques
d'un syphilitique ancien presque aveugle depuis
spasmodique, myélite subaiguë, etc.). Nous avons examiné les nerfs
optiques
de deux sujets atteints de cé- cité unilatérale
par suite de lé- sions diverses avec atrophie consécutive des nerfs
optiques
. Enfin nous avons examiné les nerfs d'un certai
x soit atteints de lésions quelconques des yeux, mais sans atrophie
optique
. Dans l'ensemble nous avons fait l'examen des n
ets : pour la plu- part d'entre eux nous avons coupé les deux nerfs
optiques
. Toutes nos coupes ont été colorées par les deu
x faits surtout nous. ont frappé à l'examen macroscopique des nerfs
optiques
dans l'amaurose tabétique : d'une part l'épaissis
t des cas de tabes avec cécité, l'arachnoïde qui recouvre les nerfs
optiques
et le chiasma est très épaissie. Le chiasma ne re
e lac comprend le confluent antérieur entre le chiasma et les nerfs
optiques
, et le confluent inférieur entre les bandelette
les nerfs optiques, et le confluent inférieur entre les bandelettes
optiques
et les pédoncules cérébraux. Or, alors qu'à l'é
normal l'arachnoïde transparente n'em- pêche pas de voir les nerfs
optiques
, le chiasma et les vaisseaux sous- jacents, dan
us a paru digne de remarque dans l'examen ma- croscopique des nerfs
optiques
est l'extrême disproportion du volume entre des
également dépourvus de fibres. Dans l'amaurose tabétique, les nerfs
optiques
sont, dans la grande ma- jorité des cas, diminu
lle Iconographie de la SALPêTRIèRE T. XVII. Pl. Lll ÉTUDE DU NERF
OPTIQUE
DANS L'AMAUROSE TABÉTIOUC 363 presque totale de
as diminué. \A\ B. - Anatomie microscopique. (j est clans le nert
optique
que nous avons assurément trouvé les lésions le
comme nous venons de le dire, souvent infiltrée. 2. Nerf.- Le nerf
optique
proprement dit peut présenter deux aspects : ce
paquet vasculaire, une nodule visible à l'oeil nu. ÉTUDE DU NERF
OPTIQUE
DANS l.'AUnIAUitoSE TABÉTIQUE 365 coupe colorée
me normal, dans les nerfs « gros », au lieu de nodules qui em- Nerf
optique
d'une atrophie tabélique comlète ( lng...) : type
r ainsi dire, saisi sur le fait cette disparition. Dans les nerfs
optiques
de notre malade, Bout... par exemple, des fibres
e dans tous les faisceaux, mais assez peu nombreu- Fig. 3. , Nerf
optique
d'une atrophie tabétique envoie d'évolution (Bout
avons décrit tout d'abord et qui est celui de la plupart des nerfs
optiques
d'amaurose labétique avancée. L'extrême multipl
. Ces lésions sont-elles spéciales à l'atrophie tabétique des nerfs
optiques
? ` ? Ne les rencontre-t-on que dans le nerf op
que des nerfs optiques ? ` ? Ne les rencontre-t-on que dans le nerf
optique
et dans le tabes ? Nulle- ment, ce nous semble
lement adaptées à l'organe dans lequel elles évoluent. Dans le nerf
optique
comme dans les autres organes, comme dans la ci
tte cirrhose » (Gilbert) (1). Dans la sclérose syphilitique du nerf
optique
comme dans la sclérose syphilitique du foie, « le
Cirr)tuse spleleliyue du foie , t. V, p. 16k. PLANCHE L a) Nerf
optique
gauche de Despr... : sclérose combinée avec cécit
scléreux dans le nerf et les lymphocytes dans les gaines. c) Nerf
optique
droit de Dor... : tabès avec cécité. Type du nerf
aisceaux nerveux contenant quelques rares fibres éparses. e) Nerf
optique
droit de lIlélin... : labes avec cécité. Le malad
ment de la gaine piale. PLANCHE LI g, h, i) Divers types de nerfs
optiques
de tabéliques aveugles (portion orbitaire). g)
j) Détail d'une portion du nerf i : obj. 8. k) Portion d'un nerf
optique
atrophié à la suite d'une lésion d'origine extern
erfs de tabétiques amauroti- ques. 1, m, o) Divers types de nerfs
optiques
de tabétiques aveugles dans leur portion crâ- n
r, s) Début de la sclérose dans la portion orbitaire. p et q) Nerf
optique
gauche et droit de Besn... : sclérose combinée sa
s sont déjà dimi- nués de volume, leur gaine est plissée. r) Nerf
optique
de Car... ; tabes et paralysie générale avec ambl
et sa fasciculation normaux. Grosse lymphocytose méningée. s) Nerf
optique
(portion vasculaire) de Laverg... : tabes-cécité.
é- rieure. v et w) Portion orbitaire et portion crânienne du nerf
optique
d'un syphilitique tertiaire , aveugle depuis 10
distribution à la périphérie et autour des gros vaisseaux. x) Nerf
optique
d'un cas de paraplégie spasmodique syphilitique (
'un cas de paraplégie spasmodique syphilitique (11101'...). y) Nerf
optique
d'un vieillard arlério-scléreux atteint de catara
du centre et non à la périphérie, sous la méninge. ÉTUDE DU NEUF
OPTIQUE
DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 369 de la sclérose sy
aux où elles se réunissent en petits amas » (Gilbert). Dans le nerf
optique
enfin comme dans le foie, les éléments voisins de
s ou libres, s'atrophient ou dégénèrent ; et, en fait, dans le nerf
optique
, c'est surtout au pourtour des travées vasculo-
ou la couleur d'au- cun objet. Ainsi l'atrophie tabétique du nerf
optique
s'explique à notre sens très nettement par l'ex
syphilis l'altération vasculaire est prédomi- nante ; dans le nerf
optique
comme dans l'ensemble des centres nerveux (dans
ement suffisante à elle seule pour amener la dégénérescence du nerf
optique
; on le conçoit en jetant un simple coup d'oeil
le conçoit en jetant un simple coup d'oeil sur les coupes de nerfs
optiques
en voie de dégénérescence, ils sont pour ainsi
du fait que la lésion interstitielle explique l'atrophie des fibres
optiques
, faut-il absolument nier toute dégénérescence p
s nerveux, car, comme nous l'avons dit, dans presque tous.nos nerfs
optiques
, nous avons retrouvé au moins quelques fibres qui
e localisation qu'elles doivent surtout affec- tionner dans le nerf
optique
, à savoir : le contact immédiat du riche réseau
. Et, en effet, l'étude systématique que nous avons faite des nerfs
optiques
de tabétiques et de paralytiques généraux sans
emière de la sclérose au pourtour des nerfs opli- L;rul)1 : DU NEUF
OPTIQUE
blsz L',U1.\UHOSE 9 ? acyu 37 i ques serait for
et éminemment favorable si les faisceaux conservaient dans le nerf
optique
toujours la même situation, et si le faisceau m
lée en blanc, mais n'en distinguait pas les traits » ; or, son nerf
optique
gauche ne présentait dans sa portion vasculaire q
- lysie générale avec cécité : en examinant de parti-pris les nerfs
optiques
de 372 mut il 18 paralytiques généraux, nous
généraux, nous avons pu observer les lésions de début de l'atrophie
optique
dans plusieurs cas (cas de Labb..., Lefèv..., Phi
ue dans le tabes amaurotique avancé. En examinant de même les nerfs
optiques
de 4 sujets atteints d'affec- tions syphilitiqu
tions crâniennes. - Les altérations de la portion crânienne du nerf
optique
sont les mêmes qne celles de la portion vasculair
nullement renseigné sur son anitomie pathologique. ÉTUDE DU NERF
OPTIQUE
DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 373 soit obturé par u
bres périphériques de la portion orbitaire rétro-vasculaire du nerf
optique
resteraient périphériques dans la portion crânien
rf de Faur..., de Ga- ra... p. ex.). En résumé, dans tout le nerf
optique
la lésion de l'amaurose tabétique est une névri
que d'évolution aiguë cor- respond la phase anatomique d'irritation
optique
et méningée que caractéri- sent la lymphocytose
e des gai nesméningéeset )anéo ! '0 ! 'mationvascu)airedans le nerf
optique
; ces lésionsexpliquent à la fois l'acuité relativ
s, les phosphènes qui provoquent chez les prédisposés ÉTUDE DU NERF
OPTIQUE
DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 375 des hallucination
ique répond à ces constatations, et nous avons pu voir dans le nerf
optique
d'un tabétique, ama.urotique depuis 34 ans, mais
laires normaux. A l'examen ophtal- moscopique on trouve une névrite
optique
ancienne par étranglement, avec cxsudats autour
bète (1 pl.), par E. APERT, 175. 504 TABLE DES matières Nerf
optique
dans l'amaurose tabétique, (3 pl., 3 photogr.),
s l'amaurose tabétique (1 planche), 304. Léri. Etude sur le- nerf
optique
dans l'a- maurose tabétique (3 planches, 3 pho-
yxoedème fruste, croissance tardive,dia- bète (ApExT), XXII. Nerf
optique
dans l'amaurose tabétique (A. Léri), L, LI, LU.
s actuellement à la Salpêtrière et - chez lequel une double névrite
optique
, de la céphalée 28 CLINIQUE NERVEUSE. avec vo
zone rolundique du côté gauche (couches corticales motrices, couche
optique
, corps strié); dégénération secondaire descenda
nent pas de liquide et ne présentent aucune altération. La couche
optique
gauche et le bord antéro-interne du noyau lenti
gauche ; 2° sur une portion de noyau lenticulaire et sur la couche
optique
du même hémisphère,- c'est-à-dire sur les couch
canal circumpédoncutaire. Le trigone cérébral est intact. La couche
optique
, le noyau lenticulaire du corps strié, la régio
inaison dans les noyaux ganglionnaires delà base du cerveau (couche
optique
, corps strié); ainsi en est-il surtout des fibr
pyramidaux. Important donc est le fait de l'intégrité de la couche
optique
et de la capsule interne, car il faut en induir
. ; signes habituels de lésion ou de compression de la bandelette
optique
et de la racine du n. pathétique. Enfin il n'y a
corps calleux. ventricule de la cloison transparente. C 0, Couche
optique
. Anz, corne d'Ammon. SI ? , sillon de Rolancl
nerveux (fixité, immobilité de la pupille, atrophie des deux nerfs
optiques
, complexus symptomatique psychosen- soriel de l
t un petit foyer nécrobiotique, probablement ancien, dans la couche
optique
gauche. En raison de l'intégrité complète de la
eau de l'hémisphère qui se rend au tubercule antérieur de la couche
optique
, faisceau dont le trajet n'est pas encore empre
corps strié, avec le corps strié la partie antérieure de la couche
optique
, y compris son tu- bercule antérieur; malgré ce
calotte, il faut, après avoir énucléé un oeil, pénétrer par le trou
optique
, ou transpercer en passant par la paroi crânienne
le ganglion del'habe- nula (petit noyau grissuperficiel de lacouche
optique
situéen avant et au-dessus du point où la commi
dessus du point où la commissure postérieure pénètre dans la couche
optique
) au ganglion interpédonculaire découvert par de
sans le corps strié, avec ou sans la partie antérieure de la couche
optique
, détermine l'atrophie des tractus du faisceau d
s nuisibles : 10 chez deux lapins nouveau-nés, on sectionne le nerf
optique
à l'intérieur de l'orbite, avec les nerfs cilia
ontact des cils; '-)0 chez un lapin nouveau-né on sectionne le nerf
optique
, les rameaux ciliaires et les rameaux palpébraux
u mot, c'est-à- dire des masses grises situées au delà de la couche
optique
, cette opinion aurait en apparence un élément e
s lobes occipitaux, temporaux et pariétaux entrent dans la cou- che
optique
, ainsi que celles qui partent du lobe frontal pou
d'une lésion dans quelque partie du cerveau, y compris les couches
optiques
. Depuis, l'important travail du D' Starr, qui d
resque toujours aune lésion de la portion retro-oculaire des fibres
optiques
et, par consé- quent, d'une grande importance e
os connais- sances, est toujours produite par des lésions d'un nerf
optique
, ou d'une portion plus centrale de l'appareil o
ons d'un nerf optique, ou d'une portion plus centrale de l'appareil
optique
, pouvant s'étendre en arrière jusqu'au centre c
lésions situées dans les par- ties les plus reculées de l'appareil
optique
, depuis les premiers centres optiques (tubercul
es plus reculées de l'appareil optique, depuis les premiers centres
optiques
(tubercules quadrijumeaux antérieurs, corps gen
ories de Newton, Wollaston, Müller,Hanovpr et de Graefe), les nerfs
optiques
sont ainsi dis- posés : les fibres de chaque ba
e- croise avec son homologue et prend part à la formation du nerf
optique
du côté opposé, fournissant ainsi à la moitié n
éral. Chaque rétine reçoit dans des fibres nerveuses des deux nerfs
optiques
, ou, en d'autres termes, chaque nerf optique co
veuses des deux nerfs optiques, ou, en d'autres termes, chaque nerf
optique
contient des fibres destinées aux deux rétines.
commissure cérébrale inférieure. 2. Les connexions des bandelettes
optiques
avec les corps genouillés latéraux et les lobes
andelettes optiques avec les corps genouillés latéraux et les lobes
optiques
(tubercules quadri- jumeaux postérieurs) sont i
ssible dans ces conditions. 3. Une lésion totale d'une bandelette
optique
produit fata- lement l'hémianopsie latérale du
ité ou d'irrégularité pupillaire, par névrose ou atrophie du nerf
optique
, et leur diagnostic est facilité par la présence
e l'hémisphère peut être située de façon à comprimer une bandelette
optique
et produire ainsi l'hémia- aopsie du type périp
hérique (voy. le cas de Hirschberg, n° 5). 9. Les lésions des lobes
optiques
ont été rarement observées chez l'homme et lors
rties que nous savons être parfaitement indépendantes de l'appareil
optique
et où l'hémianopsie résultait de la compres- si
psie résultait de la compres- sion des fibres du nerf et du chiasma
optiques
. 3. Les cas, au nombre de six, dans lesquels l'
était due à une lésion du corps genouillé latéral ou de la couche
optique
, ou des deux ensemble. 4. Les cas où l'hémianop
riétale ascendante. Elle avait pénétré de façon à léser le faisceau
optique
dans son trajet vers le coin (fig. 1). ). Obser
nt de fixation. Perception des couleurs bonne à droite. Les nerfs
optiques
présentent une « coloration grisâtre sénile ».
d'autre lésion cérébrale. Les bandelettes, le chiasma et les nerfs
optiques
étaient normaux à l'examen microsco- DE L'HEMIA
é : embolie de l'artère irriguant la partie postérieure delà couche
optique
droite. Observation 29. (Huguenin). Fille de
ée. Vue et ouïe normales. Sensibilité au pincement conservée. Nerfs
optiques
normaux. Amélioration temporaire sous l'influen
e Ecker). Pas de dégénération se- condaire. Corps genouillés, lobes
optiques
, bandelettes, chiasma et nerfs optiques normaux
re. Corps genouillés, lobes optiques, bandelettes, chiasma et nerfs
optiques
normaux. La commissure grise du troisième ventr
e gauche, comme vous le dites. Il a de l'opacité des fibres du nerf
optique
dans la moitié nasale de la pupille gauche, s'é
d'embolie et de throm- bose. Les nerfs de la base, les bandelettes
optiques
et le chiasma furent examinés avec le plus gran
de la substance blanche. L'état de la capsule interne, des couches
optiques
, etc., reste donc inconnu, par le fait de l'acc
uire l'hémiauopsie indirectement en comprimant les premiers centres
optiques
ou les bandelettes optiques et le chiasma. 2.
ment en comprimant les premiers centres optiques ou les bandelettes
optiques
et le chiasma. 2. Que des lésions du corps ge
orps genouillé latéral ou des parties postéro-latérales delà couche
optique
peuvent causer l'hémia- nopsie, en général conj
ntre visuel cortical dans le gyrus angularis. C'est que le faisceau
optique
de Gratiolet et Wernicke, dans son trajet depui
rnicke, dans son trajet depuis la face postéro latérale delà couche
optique
, passant au dehors, dans la capsule interne, est
lobule pariétal inférieur, atteint presque certainement le faisceau
optique
et coupe ainsi toute communication entre le cen
près durcissement dans le bichromate de potasse, montre le faisceau
optique
visible sous l'aspect d'une bande blanche homog
s purement hypothétiques nu cliniques touchant le trajet des fibres
optiques
, la plus connue est celle du professeur Charcot
du professeur Charcot. Son schéma bien connu des trajets des fibres
optiques
de la rétine aux centres visuels représente une
faisceaux laté- raux à travers les tubercules quadrijumeaux (lobes
optiques
) dans leur trajet vers la capsule interne, de s
tire les conclusions suivantes, relativement au trajet des fibres
optiques
centrales chez l'homme : « Les fibres optiques
trajet des fibres optiques centrales chez l'homme : « Les fibres
optiques
réunies forment dans la substance blanche de la
la circonvolution descendante. » ZD Le schéma du trajet des fibres
optiques
que je vous présente est, je crois bien, en con
tre visuel, avec ce que nous connais- sons de l'anatomie des fibres
optiques
par la dissection et les dégénérations secondai
lplucl's trcle. ? Psychiatrie, XVI, 352. Fig. 6 - Schéma des fibres
optiques
, servant à expliquer plus spécialement l'hémia-
t. -N. T., moitiés nasale et temporale des rétines. -N. 0. S., nerf
optique
gauche.-N. 0. 17., ncif optique droit. - F. C. S.
porale des rétines. -N. 0. S., nerf optique gauche.-N. 0. 17., ncif
optique
droit. - F. C. S., faisceau croisé gauche. - F.
ma ou décussation des faisceaux croi- sés. - T. 0. 1). , bandelette
optique
droite. - C. G. L., corps genou il latéral. - z
ptique droite. - C. G. L., corps genou il latéral. - z L, 0., lobes
optiques
(tubercules qundriumenuxJ. - P. 0. C., premiers c
es optiques (tubercules qundriumenuxJ. - P. 0. C., premiers centres
optiques
, comprenant le lobe optique, le coi l)s geiiotiil
iumenuxJ. - P. 0. C., premiers centres optiques, comprenant le lobe
optique
, le coi l)s geiiotiillê latéral et le pulvinar d'
l)s geiiotiillê latéral et le pulvinar d'un coté. - F. 0. faisceau
optique
de Gratiolet dans la capsule interne. C.P., Corne
ie latérale avec immobilité pupillaire, névrite ou atrophie du nerf
optique
, surtout s'il s'y joint des symptômes de lésion
tômes de lésion de la base, est due à l'altération d'une bandelette
optique
ou des premiers centres visuels d'un côté. Ce
ontracter à la lumière, lorsqu'il y aura interruption d'un faisceau
optique
. Il désigna ce fait sous le nom de « réac- tion
lement due à la lésion de la partie postéro-latérale de la couche
optique
ou du faisceau postérieur de division de la capsu
e, pénétrant assez profondément pour léser ou comprimer le faisceau
optique
dans son trajet en arrière vers le centre visue
et rarement l'examen ophthalmoscopique dénote une lésion du nerf
optique
, excepté, bien entendu, dans quelques cas de tume
les RAPPORTS QUI RELIENT LA SPHERE VISUELLE (de Munk) AUX CENTRES
OPTIQUES
INFRACORTICAUX ET AU NERF OPTIQUE ; par VON MONAK
nit presque exclusivement avec les portions la- térales des centres
optiques
infracorticaux ; sa partie latérale s'unit plut
artie latérale s'unit plutôt avec des portions médianes des centres
optiques
infracorticaux. En ce qui concerne les centres
des centres optiques infracorticaux. En ce qui concerne les centres
optiques
primaires, la zone As plus de rapports avec les
s primaires, la zone As plus de rapports avec les faisceaux du nerf
optique
entrecroisés, la zone A2, avec les faisceaux du
u nerf optique entrecroisés, la zone A2, avec les faisceaux du nerf
optique
non entrecroisés; la zone A' est pro- bablement
es deux faisceaux d'une manière assez égale. L'atrophie des centres
optiques
primaires présente à peu près les mêmes caractè
En ce qui concerne l'origine et la disposition des fibres du nerf
optique
, l'ablation de la partie médiane de la sphère vis
urin, ~188l). En ce qui concerne les conditions d'origine du nerf
optique
chez le chat et le lapin, il y a quelque différ
, le tubercule biju- meau antérieur joue certainement, comme centre
optique
, un rôle bien plus saillant que chez le second
réflexe tendineux rotulien. Au mois d'octobre 1880, lésion du nerf
optique
aboutissant promptement à une cécité absolue; en
ucune lésion syphilitique. Atrophie simple, mais générale des nerfs
optiques
. Lésion des cordons postérieurs sous forme d'une
é partiellement les noyaux. Dans les quatre cas, atro- phie du nerf
optique
, dégénérescence grise des cordons pos- térieurs
paralysie générale, auxquels se joignent alors l'atrophie des nerfs
optiques
etjla dégénérescence grise des cordons postérie
de rappelant la paralysie générale, enfin de l'atrophie des nerfs
optiques
avee du tabès . L'association du complexus cliniq
ieure du cerveau, on voit une tumeur qui s'é- tend de la commissure
optique
au bord des lobes frontaux; elle parait déplace
postérieure touche, mais sans l'envahir, la commissure et les nerfs
optiques
. Le nerf optique droit et son tractus sont très a
, mais sans l'envahir, la commissure et les nerfs optiques. Le nerf
optique
droit et son tractus sont très atro- phiés. A l
amp), 424, 42ï. Visuelle (sphère), ses relations avec les centres
optiques
infra-corti- caux et le nerf optique, yar nlona
relations avec les centres optiques infra-corti- caux et le nerf
optique
, yar nlona- kow, 237. Vol par une hystérique,
calleux. VSI, ventricule de la cloison transparente. C 0, Couche
optique
. A m, corne (I'Aininoii SR, sillon de Rolando
le étaient évidentes dans certains cas ; en soulevant la bandelette
optique
, il était aisé de voir quelques fibrilles émana
Voyez le n° GO, 1). 335; n" 62, p. 183. 70 ANATOMIE.- bandelette
optique
; d'autres fois, j'ai rencontré comme un voile d
lement saillant qu'il me frappa. Après avoir enlevé la bandelette
optique
, on le voyait constituer une couche de tissu bl
nce grise du corps cendré. Il m'a suffi de couper les ban- delettes
optiques
il ce cerveau pour constater l'implantation de ce
aire où il pénètre et s'en détache puis, passant sous la bandelette
optique
, va concourir à former la bande diagonale, comm
réunis, le principal et les fascicules, passent sous la bandelette
optique
et vont former la couche inférieure et postérie
erveau terminés par des éminences qui paraissaient être les couches
optiques
et les corps striés. En outre, la moelle se pro
de Sylvius. » IV. CONNEXIONS DU CARREFOUR OLFACTIF AVEC la couche
optique
. (Arc intermédiaire.) Dans quelques cas assez r
E l'olfaction. 7." 1") campique et le bord externe de la bandelette
optique
, un espace libre rubané, dont la largeur peut a
u plafond du diverticule ventriculaire, en côtoyant la bandelette
optique
; puis il s'éloigne de cette dernière au niveau
par suite moins épais, il contourne le bord postérieur de la couche
optique
, s'étale sur la face supérieure de ce renflemen
e calotte blanche qui vient coiffer le tubercule antérieur du corps
optique
(centre olfactif de Luys). Comment expliquer
dée nette, il faut l'examiner sur le bord interne de sa terminaison
optique
au point où elle reçoit l'habencc. Là les deux
et que les plus internes, par exemple, fassent partie de l'appareil
optique
. Ceux-là, en eflet, pénètrent profondément dans
l optique. Ceux-là, en eflet, pénètrent profondément dans la couche
optique
et vont DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFA
l'hippocampe laisse entre sa base d'implanta- tion et la bandelette
optique
un certain intervalle'. Le plus souvent, Je cro
souvent, Je crochet est adhérent, jusqu'au niveau de la bandelette
optique
; il faut alors séparer le crochet de la base d
t de ce tubercule avec la partie antérieure et externe de la couche
optique
. Ces deux faisceaux réunis constitueraient l'arc
faisceaux réunis constitueraient l'arc intermédiaire de l'appareil
optique
. 1 Dans ce cas, le ruban qui occupe cet interva
ai indiqué pour aller coiffer le tubercule anté- rieur de la couche
optique
. Filet du sillon opto-strié. Toenia. La seconde
ute son étendue. Il est remplacé alors par le bord externe du ruban
optique
. Ce fait vient encore à l'appui de mon interpré
t les auteurs, mais encore dans le tubercule antérieur de la couche
optique
. De plus, quand il con- tourne en dehors ce tub
FACTION. 79 où ce pilier contourne le bord postérieur delà couche
optique
, revêtue du ruban. J'appelle aussi l'attention
voie sont établies les connexions entre le carrefour e la couche
optique
. Je me demande, à ce sujet, si les anciens n'av
refour olfactif se trouve relié au tubercule antérieur de la couche
optique
par le ruban péri-optique et par la bandelette
évidente entre le carrefour et le tubercule antérieur de la couche
optique
.' Notes bibliographiques. -Ruban péri-optique.
ricules latéraux et qui sont placés à la partie externe des couches
optiques
. Dans ces lames, des filets blancs sont très ra
ar les Itabenæ) s'étale en une membrane mince au- tour de la couche
optique
. Les fibres clairsemées se recourbent t d'avant
pédonculaire. Elles composent essentiellement l'écorce de la couche
optique
. » « ... Un troisième faisceau, mieux distinct,
aisceau, mieux distinct, s'enroule sur le bord externe de la couche
optique
, dans un sillon qui la sépare de la couche- opt
ne de la couche optique, dans un sillon qui la sépare de la couche-
optique
. Ce faisceau, connu sous le nom de twijia semi-
OLFACTION. 81 dit : « Nous avons distingué plus haut dans la couche
optique
trois éléments distincts, savoir : 1° son écorc
faisceau « qui s'enroule en une membrane mince autour de la couche
optique
». Bandellette demi- circulaire. - FOVILLE. « U
u postérieur se porte dans l'intervalle du corps strié et la couche
optique
en décrivant une belle courbe connue sous le no
En avant, on la voit se perdre dans la substance grise de la couche
optique
. Son extrémité postérieure s'épanouit en un lar
le pilier antérieur, et par l'autre, dans l'épaisseur de la couche
optique
. ' La bandelette étant admise avec Vicq d'Azyr
MIE. Au point de vue du caractère olfactif du tubercule antérieur
optique
, je n'ai à apporter à l'appui que l'observation d
squ'à plus ample recueil d'observations. V. CONNEXIONS DE LA COUCHE
OPTIQUE
(DU TUBERCULE ANTÉRIEUR DE LA COUCHE OPTIQUE) A
ONNEXIONS DE LA COUCHE OPTIQUE (DU TUBERCULE ANTÉRIEUR DE LA COUCHE
OPTIQUE
) AVEC l'ÉCORCE cérébrale. (Arc cérébral.) Ces
u de les faire se terminer dans le tubercule antérieur de la couche
optique
, je les fais y ( prendre leur origine, puisqu'i
par une anse à concavité postérieure sur l'origine du ruban péri-
optique
. Pour confirmer les relations étroites qui exis
es piliers, au moment où ceux-ci contournent en arrière la couche
optique
. Je dirai aussi qu'une seule fois, il est vrai,
la voûte et aller se jeter sur le tubercule antérieur de la couche
optique
, en dedans de la terminaison du ruban péri-opti
- sés, mettent en communication directe le tubercule de la couche
optique
dans laquelle ils prennent naissance, avec la f
avec la formation godronnée. Le tubercule antérieur de la couche
optique
est-il une station olfactive ? Cela ne me paraî
factives avec un chiasma, en tout semblable à celui des bandelettes
optiques
. La cloison transparente serait l'analogue de c
erait l'analogue de ce que l'on appelle la racine grise des nerfs
optiques
, et les éminences mamillaires représen- teraien
ttraient en communication la station intermédiaire de la cou- che
optique
avec le centre nerveux. Quant aux bandelettes o
comme entre- croisement de grandes analogies avec les bandelettes
optiques
, je dois reconnaître cependant qu'elles s'en di
ependant qu'elles s'en différencient en ce sens que les bandelettes
optiques
appartiennent au système de premier arc ou arc
nnexions avec des éléments qui font partie intégrante de l'appareil
optiques
, me semblent mieux expliquer leur raison d'être
septum lucidum est à ce chiasma ce que la racine grise des nerfs
optiques
est au chiasma optique. Notes Bibliographiques
ce chiasma ce que la racine grise des nerfs optiques est au chiasma
optique
. Notes Bibliographiques 1. Piliers de la voûte,
nerf olfac- tif, qui semblait naître du centre de l'une des couches
optiques
. » Ce fait me paraît très intéressant à noter :
ent. Une bifur- cation profonde du tænia « s'enfonce dans la couche
optique
, se porte d'arrière en avant, gagne le tubercul
ervations de Knies, de Fribourg, sur l'état de la rétine et du nerf
optique
chez l'épi- leptique, avant, pendant et après l
des artères rétiniennes et une pâleur extrême de la papille du nerf
optique
. Le spasme artériel des vaisseaux de l'écorce c
ulaire, et l'hyperhemie veineuse secondaire de la rétine et du nerf
optique
, hyperhémie si bien étudiée par d'Abundo, et pl
e ou faradique du noyau caudé et du noyau lenticulaire, des couches
optiques
et des tubercules quadrijumeaux antérieurs et p
de l'entrecroisement DES fibres nerveuses dans le CHIASMA des nerfs
optiques
; par A. DELJ3RUECK.. (Arch. f. Psych., XXI, 3.)
DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 1° une dégénérescence totale du nerf
optique
gauche; 2° une dé- générescence de la moitié du
u nerf optique gauche; 2° une dé- générescence de la moitié du nerf
optique
droit; ici il y a intégrité du faisceau droit n
ut l'auteur, que les fibres non entre-croisées forment dans le nerf
optique
un trousseau plus ou moins séparé : dans la ban
olée directe; 2° l'excitation mécanique et fara- dique de la couche
optique
produit soit une, soit plusieurs convulsions to
xcitation. La section transverse du segment postérieur de la couche
optique
et du tubercule quadrijumeau antérieur, à la ba
side aux mouvements de course et de locomotion occupe la bandelette
optique
. La genèse des convulsions tétaniques sans mouv
rouge de Stilling qui, de son côté, envoie des fibres il la couche
optique
, au noyau lenticulaire, à l'écorce du cerveau. P.
riltsef. Contribution ci la casuistique des affections de la couche
optique
. Les symptômes suivants ont été remarqués chez
pontanés. Exitus letalis. A l'autopsie, on a trouvé, dans la couche
optique
gauche, une tumeur (gliosarcoma) de la grosseur
dans la littérature médicale, le rapporteur conclut que les couches
optiques
ont un rapport intime avec l'origine des mouvem
M. Kornilof dit qu'il a pu observer un cas de tumeur de la couche
optique
, dans lequel il n'y avait pas de paralysie des mo
r purulent et son trajet fistuleux. C S, corps strié. - C 0, couche
optique
. C C, corps calleux. Y, quatrième ventricule. D
des conducteurs qui n'ont pas à passer par le noyau de la couche
optique
. L'intermédiaire est le septum lucidum. La co
'hippocampe était très développée, et débor- dant sur la bandelette
optique
, elle couvrait le tuber- cule mamillaire, dont
connexions par les habence avec le tubercule antérieur de la couche
optique
sont tellement évidentes qu'il ne saurait y avo
NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 11 tubercule antérieur de la couche
optique
. Le carrefour est donc mis en communication ave
e-ci est mise en rapport avec le tu- bercule antérieur de la couche
optique
. Ces faits admis, il ne restait plus qu'à relie
e. Ces faits admis, il ne restait plus qu'à relier le tuber- cule
optique
au carrefour, et ce dernier à l'axe médul- lair
EUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 213 le tubercule antérieur de la couche
optique
. La bande diagonale par son angle postéro-exter
fourni le filet du sillon opto-strié (taenia), contourne la couche
optique
et va aboutir au tubercule antérieur : c'est l'
: c'est l'arc intermédiaire. Du tubercule antérieur de la couche
optique
, part une voie de conduction reliant le tubercu
nt pas moins indiquées d'une façon générale. Le rôle de la couche
optique
et du corps strié, bien qu'encore contesté, teu
à une lésion intra-crânienne et s'accompagnant d'atrophie des nerfs
optiques
. Malade, soixante-deux ans, sans alcoolisme, ni
s alcoolisme, ni syphilis, présen- tant une atrophie des deux nerfs
optiques
, s'accompagnant d'hal- lucination interne de la
présentant les symp- tômes suivants : ' atrophie bilatérale du nerf
optique
, immobilité fixe des deux pupilles, blépharopto
tional de médecine (1890). M. Mam. Trois cas d'altération du nerf
optique
à la suite de lésions du lobe occipital du cerv
e la vue, survenus pen- dant le développement. L'altération du nerf
optique
était extrême, même a l'examen macroscopique, s
ions des deux bandelettes et de la por- tion intra-crâniennedu nerf
optique
, des foyers bilatéraux dans le lobe occipital.
émisphère droit entraîne une dégénérescence secondaire de la couche
optique
et du faisceau latéral du pédoncule cérébral. Le
trie : Dr 1\Ionak'l>w : dégénéra- tion secondaire dans la couche
optique
chez l'homme ; professeur Flechsig : anatomie p
l'oreille du côté opposé. P. K. XXXIV. Altération DE la bandelette
OPTIQUE
ET DU serf OPTIQUE dans les lésions du lobe occ
opposé. P. K. XXXIV. Altération DE la bandelette OPTIQUE ET DU serf
OPTIQUE
dans les lésions du lobe occipital du cerveau,
t son développement se traduisent par l'a- trophie de la bandelette
optique
et du nerf optique du : côté opposé une affecti
se traduisent par l'a- trophie de la bandelette optique et du nerf
optique
du : côté opposé une affection eu foyer qui dét
la dégénérescence du corps genouillé la- téral et de la bandelette
optique
. M. Moeli fait à ce propos remar- quer que l'ar
côté opposé; atrophie également prononcée du pulvinar de la couche
optique
du côté opposé. Comme il n'y a pas d'altération
Connes antérieures, histologie des - , par Kronthal, 399. Couche
optique
, affections de la -, par Kiriltseff, 138. Crâ
e l'entre-croisement des fibres ner- veuses dans le chiasma des
optiques
, par Delbrueck, 129 ; - altérations des - optiq
le chiasma des optiques, par Delbrueck, 129 ; - altérations des -
optiques
à la suite de la lésion du lobe occi- - pital
lfaction, appareil nerveux central de l ? par Trolard : -63, 203.
OPTIQUE
, altération de la bandelette et du nerf - dans
bl., 1885.) . Voici un chat de trois jours. On lui lèse la couche
optique
et probablement aussi les parties contiguës du
e histologique normale ; 3° impossible de retrouver la bande- lette
optique
et l'oculo-moteur commun du même côté ; 4° le tu-
leux droit est un peu plus petit que celui de'gauche ; 8° la couche
optique
est absente. Pour tirer parti de ce cas complex
RAPPORTS QUI RATTACHENT LA SPHÈRE VISUELLE (de Munk) AUX CENTRES
OPTIQUES
INFRA-CORTICAUX ET AU NERF OPTIQUE; par MONA- r
pitaux chez un foetus de huit mois : atrophie totale des deux nerfs
optiques
. Lacunes étendues des deux lobes pariélo-occipl
pariélo-occipltauX; dégéné- rescence des deux systèmes de faisceaux
optiques
y compris les deux nerfs. Par conséquent, les d
ent entraîner chez l'homme un processus descendant vers les centres
optiques
primaires (identité d'allures avec les atrophie
es fibres de projection de l'écorce du lobe occipital aux centres
optiques
infracorticaux a beaucoup de ressemblance avec ce
essemblance avec celui du lapin et du chat ; les fibres des centres
optiques
primaires ne rayonnent que dans l'écorce ; le c
ne rayonnante, s'abouchent aux masses génératrices de la bandelette
optique
non directement, mais en partie par l'intermédi
tion latérale du pédoncule cérébral ; le noyau latéral de la couche
optique
est en connexion avec l'avant-coin et la pariét
dégénérative du pulvinar, du corps penouillé externe, de la couche
optique
, du tubercule quadri- jumeau antérieur (dégénér
te à trois piliers, du ruban de Reil descen- dant, de la bandelette
optique
droite, duchia,ma, des deux nerfs optiques. On
dant, de la bandelette optique droite, duchia,ma, des deux nerfs
optiques
. On peut donc suivre le trajet des libres optique
, des deux nerfs optiques. On peut donc suivre le trajet des libres
optiques
depuis la rétine jusqu'à l'écorce et vice versd
nérale. L'écorce du lobe occipital est étroitement unie aux centres
optiques
primaires, c'est-à-dire au pulvinar, au corps g
bijumeau antérieur, et, par l'ultermé- diaire de ce dernier, au nef
optique
; le corps de Luys n'a rien à voir avec le nerf
nier, au nef optique; le corps de Luys n'a rien à voir avec le nerf
optique
. ' P. K. VU. SUR UNE connexion jusqu'alors inco
nent impossi- bles. N. SKWORTZOFF. X. SUR la FONCTION DES COUCHES
OPTIQUES
CHEZ LES animaux ET chez l'homme; par le profes
de certains faits cliniques, pense devoir affirmer que les couches
optiques
ont une fonction motrice, qu'elles servent de c
riences : I. En enlevant les hémisphères sans toucher aux couches
optiques
, on prive l'animal de la faculté des mouvements s
ormal. II. La destruction simultanée des hémisphères et des couches
optiques
prive l'animal non seulement de tous les mouvem
de l'inquiétude. III. Une irritation électrique directe des couches
optiques
(les hémisphères enlevés ou non indifféremment)
a suite d'irritations modérées. V. L'irritation directe des couches
optiques
produit parfois des mouvements choréiformes, ce
nfirmer la théorie de la localisation de la chorée dans les couches
optiques
. A la fin de son ouvrage, l'auteur rapporte plu
ions dans lesquelles les malades, à la suite de lésions des couches
optiques
, avaient perdu la faculté des expressions émoti
ficielles. P. K. XII. Contribution A la QUESTION DES conducteurs
optiques
dans LE cerveau de l'homme ; par A. Richter (ar
inution des cellules nerveuses ganglionnaires dans les deux couches
optiques
, les quatre tubercules quadrijumeaux, les quatr
demeurent intactes. On ne peut, en supposant que l'atrophie du nerf
optique
concerne un adulte, suivre toujours à l'oeil nu
'oeil nu l'atrophie de l'organe en question au-delà des bandelettes
optiques
, qu'il s'agisse d'une atrophie du même côté ou
)'o<ot, t. X, 107. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 87 nerf
optique
droit atrophié, sans autre lésion qu'un état trou
n les suivait jusque dans le chiasma, et, dans les deux bandelettes
optiques
, j usqu'au point où celles-ci se divisent en de
erne droit. Intégrité des tuber- cules quadrijumeaux et des couches
optiques
. Si la malade en question eût vécu, il est prob
cules quadrijumeaux supérieurs et infé- rieurs ainsi qu'aux couches
optiques
et consécutivement les éléments nerveux auraien
inférieure des pédoncules cérébraux pour se rendre aux bandelettes
optiques
ne conte- naient pas de cellules granulo-graiss
En ce qui concerne les relations du lobe occipital avec les centres
optiques
infra- corticaux, au congrès de Leipzig, M. Ric
on d'un lobe occipital s'accompagne de dégénérescence des centres
optiques
infra-corticaux (macrosco pique et microscopique)
ar, et dans la partie postérieure et ' postéro-interno de la couche
optique
. Quant à la sphère visuelle de Munck, la cliniq
duit par un arrêt de développement ou une atrophie de la bandelette
optique
du côté opposé, .à l'exclusion de son faisceau
accolé à la saillie latéro-dorsale la plus antérieure de la couche
optique
, saillie qui est probablement l'analogue du pul
uel. Le faisceau pédonculaire transverse 1 s'atrophie quand le nerf
optique
s'atro- phie, mais son centre, en rapport avec
echerches chez les chiens et les chats, mais chez eux les faisceaux
optiques
non entre-croisés sont trop puissants, de sorte
hémisphère y compris le corps strié, mais on respecte la bandelette
optique
. Les animaux semblent continuer à se développer
le de déterminer l'existence de libres de connexion entre le centre
optique
du tubercule quadrijumeau antérieur et l'écorce.
érieure) ne saurait être tenu pour altéré; les bandelettes et nerfs
optiques
sont restés égaux. Quand on expérimente chez le
matisme n'a pas déterminé d'exagéra- tion de pression sur le centre
optique
primaire, il faut donc se montrer très circonsp
r très circonspect quand il s'agit de l'atrophie d'une bande- lette
optique
consécutive à une destruction corticale de la sph
partie externe de la capsule interne ou l'irradiation de la couche
optique
. Si les animaux ainsi mutilés vivent encore (et
disparaître, du moins pour la plupart. 50 Les noyaux de la couche
optique
sont en partie indépendants de l'écorce et, en
cléé un oeil à un jeune animal, j'ai essayé de pénétrer par le trou
optique
dans la capsule interne, et d'abord dans sa par
d'une ullération du col de l'utérus », et « Une tumeur du thalamus
optique
perforant le corps calleux ». La plupart de ses
sueurs profuses, opislhotonos, une attaque épileptiforme; névrite
optique
avec exsudats et hémorrhagies, déviation conjugué
est pâle dans tout son ensemble mais surtout au niveau de la couche
optique
et du noyau extra- ventriculaire. Poumons. Ex
rts DE la sphère VISUELLE (expression consa- crée) AVEC LES CENTRES
OPTIQUES
INFRACORTICAUX ET AVEC LE NERF OPTIQUE; par DE
a- crée) AVEC LES CENTRES OPTIQUES INFRACORTICAUX ET AVEC LE NERF
OPTIQUE
; par DE Monakow (Arch. f. Psych., XVI, 2). Fin
hique corticale=, surdité verbale, dégénérescence modérée des nerfs
optiques
, intégrité des yeux, démence. Destruction des t
es opti- ques primaires), et consécutivement des deux bandelettes
optiques
(fibres rétiniennes surtout) , puis des deux nerf
ettes optiques (fibres rétiniennes surtout) , puis des deux nerfs
optiques
. La destruction des faisceaux blancs émanés du lo
taux, mais intégrité complète des deux globes oculaires , des nerfs
optiques
et de leurs centres primaires. Comme les troubl
ongtemps après atrophiée, conservation presque parfaite des centres
optiques
primaires; seules les irradiations optiques de
ue parfaite des centres optiques primaires; seules les irradiations
optiques
de Gratiolet sont partiellement remplies de pro
poplectiforme dénature inconnue; puis, atrophie progressive du nerf
optique
et choroidorétinite dans la région maculaire; q
Cliniquementil il est incontestable que les altérations des centres
optiques
pri- maires sont postérieurs à l'atrophie des d
s optiques pri- maires sont postérieurs à l'atrophie des deux nerfs
optiques
l'intensité de cette atrophie etlalocalisationd
éterminées et sur des éléments histolo- giques spéciaux des centres
optiques
primaires justifient encore cette manière de vo
cause pour les mêmes motifs. La transformation des deux bandelettes
optiques
en des cor- dons fibreux solides, permet à l'ob
teur d'affirmer que les fibres qui des bandelettes vont aux centres
optiques
primaires et dont on constate l'altération sont
ate l'altération sont bien les continuatrices ana- tomiques du nerf
optique
, tandis que celles qui, sur le même REVUE D'ANA
9 parcours sont demeurées intactes n'ont rien à voir avec le nerf
optique
. Or, l'atrophie secondaire est manifeste pour les
toute autre nature, n'ayant rien à faire avec l'atrophie des nerfs
optiques
. Après avoir rapproché les données précédentes
i- vantes : On ne saurait prétendre que chez l'homme, des centres
optiques
originels du nerf optique soient autres que che
prétendre que chez l'homme, des centres optiques originels du nerf
optique
soient autres que chez les mammifères; en dehor
externe et du pulvinar, aucune région ne fournit de fibres au nerf
optique
; les relations que le nerf optique affecte avec
on ne fournit de fibres au nerf optique ; les relations que le nerf
optique
affecte avec d'autres régions encéphaliques son
nature. Dans le rizil- vii7a ? ,, des trousseaux de fibres du nerf
optique
émanent de la zone marginale médiane et caudale
nche zoniforme du pulvinar se compose mi-partie de fibres du nerf
optique
, mi-partie de fibres de projections optiques. Il
artie de fibres du nerf optique, mi-partie de fibres de projections
optiques
. Il n'y a pas d'autres parties du pulvinar en r
pas d'autres parties du pulvinar en relation directe avec le nerf
optique
(Obs. IV). Dans le corps genouillé externe, le ne
nerf optique (Obs. IV). Dans le corps genouillé externe, le nerf
optique
a pour origine les mêmes éléments que dans le pul
let gris inférieur n'ont aucun rapport, même indirect, avec le nerf
optique
. Les petites cellules ganglionnaires semblent,
plus intime avec lui que les grosses. Le nombre des fibres du nerf
optique
provenant du corps genouillé externe est très c
corps genouillé externe se compose mi- partie de fibres des racines
optiques
, mi-partie de fibres du nerf optique; la sépara
partie de fibres des racines optiques, mi-partie de fibres du nerf
optique
; la séparation anatomique de ces catégories de fi
s catégories de fibres est impossible, cependant les fibres du nerf
optique
paraissent plus superficielles. Dans les places
ntation transversale et verticale, les trousseaux de fibres du nerf
optique
issues du corps genouillé externe occupent la s
prend naissance la substance grise superficielle des fibres du nerf
optique
(confor- mément aux expériences de de Gudden, T
l'homme, que pour une toute petite part en continuité avec le nerf
optique
, tandis que celles qui partent delà substance b
bstance blanche superficielle sont, dans leur pluralité, des fibres
optiques
pures ; elles occupent le bras du tubercule biju-
le bras du tubercule biju- meau antérieur pour gagner la bandelette
optique
. Les autres couches de ce tubercule n'ont direc
de ce tubercule n'ont directement que peu de relation avec le nerf
optique
(de Gudden, Ganser). - Les racines optiques pro
de relation avec le nerf optique (de Gudden, Ganser). - Les racines
optiques
proviennent sans exception directement des cell
ption directement des cellules nerveuses ganglionnaires des centres
optiques
primaires et n'ont pas une mince importance pou
portions caudales qui donnent nais- sance aux fibres de projections
optiques
. Une assez forte partie des cellules nerveuses
transversaux et verticaux) n'affecte aucun rapport avec les fibres
optiques
. Y a-t-il dans le segment inférieur de la couch
es fibres optiques. Y a-t-il dans le segment inférieur de la couche
optique
des cellules nerveuses ganglionnaires qui soien
ée (plan vertical et transversal) qui donnent naissance à la racine
optique
. Le mode d'origine histologique des fibres de p
ce blanche moyenne des fibres de projection. L'ensemble des racines
optiques
se réunissent danslasubstance blanche anté- rop
ue des grosses - avec ]ecerveau),parBechterewet L leclisir, 81.
Optiques
(couches), fonction chez les animaux et chez l'
fonction chez les animaux et chez l'homme, par Bechtereif, 84.
Optiques
(conducteurs dans le cerveau de l'homme), par
ue. La conclusion est que la lésion a atteint toutes les radiations
optiques
car autre- ment, d'après l'hypothèse de Schiife
riéto-occipilale externe est destinée à léser toutes les radiations
optiques
de la région occipito-angu- aire qui émergent d
. - ne, lIoau coudé. -'711, noyau lenticulaire. - or, 1 ddi.J.lions
optiques
(Giatiolet). -- P, puhinar, - p. comnllssure po
sant les fibres médul- laires qui émergent de la région des centres
optiques
primaires. Brown elTbompson 2 pensent que l'abl
Que des lésions du pli courbe puissent com- prendre des radiations
optiques
, la chose est possible, mais ce résultat n'est
ine produit la con- traction de la pupille ou non. Comme le tractus
optique
est le passage des fibres qui excitent la contr
t les sensations visuelles dans l'écorce, et delà lésion du tractus
optique
causera non seulement l'hémiopie mais aussi la
deux singes chez lesquels j'ai accidentellement blessé le tractus
optique
en faisant des lésions du lobe temporal. Le résul
x cas fut une hémiopie du côté opposé. Dans les deux cas le tractus
optique
gauche fut divisé et dans les deux, avec une hé
culaire comme innervé par deux faisceaux de fibres, sensorielles ou
optiques
propres, et sensitives dans la dépen- dance des
ce desquelles se trouve la nutrition de l'oeil. Les sensorielles ou
optiques
subissent la décussation dans le chiasma et se re
est qu'ils dépendent t plutôt des lésions partielles des radiations
optiques
plutôt que des centres eux-mêmes. C'était sans
é d'hémiopie sans participation directe ou indirecte des radiations
optiques
. Dans la plupart des cas d'hémiopie qui ont été
iopie qui ont été examinés après la mort, dans lesquels les tractus
optiques
, les optic thalami ou les corps gémculés n'ont
de la région occipitale ni une autre lésion atteignant le thalamus
optique
; et dans un de ces cas, celui de Doyne, le siège
es troubles vasculaires coïncident avec des lésions, des radiations
optiques
de la région temporo-occlpitale. Dans le cas de
ions irritatives du pli courbe donnent parfois lieu à des illusions
optiques
ou à des éclairs suivis d'amblyopie temporaire,
es chats et les chiens, il y a une décur- sation complote des nerfs
optiques
dans le chiasma. Ceci est, au contraire, aux re
es chats et les chiens il y a une décursation partielle des tractu-
optiques
, et Nicati ° trouvé expérimentalement que la divi
gauche, l'autopsie révèle le fait que le tractus gauche et le nerf
optique
droit étaient plus atrophés que le tractus droit,
ptique droit étaient plus atrophés que le tractus droit, et le nerf
optique
gauche. » Loeh, après une série d'expériences s
ue chez cet animal, il y avait une décussation complète des tractus
optiques
dans le chiasma d'autant que les expériences de
Van Gud- den qui trouva qu'après l'énucléation d'un oeil le tractus
optique
opposé était seulement atrophié Mais dans ses d
u de fibres non croisées ou di- rectes existe aussi dans le tractus
optique
de cet animal, comme chez les vertébrés plus él
rée, mais les fibres sont plus ou moins éparpillées dans le tractus
optique
. Chez la souris et le cochon d'Inde, cependant,
la décussation est com- plète. La décussation partielle du tractus
optique
dans le chiasma est en faveur de cette opinion
On dit généralement qu'il y a une complète décussation des tractus
optiques
dans le chiasma chez les pigeons, mais von Gudden
e Singer et Munzer dit qu'il y a une totale décussation des tractus
optiques
dans cet oiseau. Si le fait est exact il s'ensu
e la destruction des cenlres visuels amène une atiophio des centres
optiques
pri- maires, des tractus optiques et des nerfs
ls amène une atiophio des centres optiques pri- maires, des tractus
optiques
et des nerfs optiques : et de même la destructi
des centres optiques pri- maires, des tractus optiques et des nerfs
optiques
: et de même la destruction des réactions optiq
ues et des nerfs optiques : et de même la destruction des réactions
optiques
amène une atrophie strictement confinée aux rég
e la sensibilité à la douleur - signe de Homberg - atrophie du nerf
optique
droit. C'est le pied et l'orteil qui furent pli
grité de l'intelligence, delà parole, des nerfs crâniens, des nerfs
optiques
: sensibilité bilatérale des pupilles. On const
un oeil de lapin et d'un oeil humain affectés d'un coloboma du nerf
optique
. Voici les particularités des plus importantes qu
rtantes que l'on cons- tate sur une section perpendiculaire du nerf
optique
à son point d'entrée dans le globe oculaire. La
e. Leurs branches projetées en plein coloboma, au-dessous du nerf
optique
, gagnent la rétine en haut ou en bas. Les fibres
inférieur du coloboma, formé par la sclérotique, est séparé du nerf
optique
, sans intermédiaire d'éléments nerveux, par un co
nerveux, par un collet tranchant. Il existe par suite entre le nerf
optique
et le coloboma un entonnoir très large constitu
les. Il s'agit donc, en l'espèce, d'un coloboma de la gaine du nerf
optique
, produit par le défaut d'oblitération de la len
tiles et chez les oiseaux, notamment en ce qui concerne les couches
optiques
et leurs relations avec le cer- veau antérieur.
érieur divise le toit en deux moitiés : tubercules bijumeaux, lobes
optiques
, etc. La partie antérieure du toit forme chez t
férents de fibres. Le - plan supérieur contient les racines du nerf
optique
; le plan infé- rieur, les fibres de la substanc
, les fibres de la substance blanche profonde; les libres des nerfs
optiques
viennent d'arrière en avant gagner la région anté
ontrer qu'il s'agit là d'un système tout différent de celui du nerf
optique
. D'une manière générale, on peut dire que la su
ne interne gauche, de l'obturateur droit, d'un intercostal, du nerf
optique
, etc., il est logique de supposer que le poison
sement ou tête située entre la voûte à trois piliers et les couches
optiques
. Les singes sont les seuls dans lesquels la str
EUX CENTRAL DE 1,'OLFACTION. 207 les petites lames grises des nerfs
optiques
et dans les bandelettes optiques, » On voit q
les petites lames grises des nerfs optiques et dans les bandelettes
optiques
, » On voit que Giacomini et moi, nous différons
circonvolution godronnée, puis- qu'il la fait abouter, à l'appareil
optique
. Il a bien vu chez les animaux, la circonvoluti
nte survenue le lendemain de l'opération, détruisant les radiations
optiques
dans la région occipito- angulaire. Le 5 nove
a semi-décussation des nerfs auditifs existe comme celles des nerfs
optiques
et que les deux oreilles sont repré- sentées da
autres nerfs crâniens étaient normaux en apparence, mais les nerfs
optiques
avaient une augmentation du tissu conjonctif, u
lésion des plis courbes seulement ou à la dégénérescence des nerfs
optiques
? Mais l'attaque soudaine de surdité dans ce cas
iques du saturnisme et les altérations des nerfs, notamment du nerf
optique
; 2° Le plomb agit sur les vaisseaux de l'encép
cur (sorte de paralysie pseudo-nucléaire). P. K. XV. DE l'aphasie
optique
ET DE la cécité psychique ; par C.-S. FREUND. (
sie optiqne avec hémianopsie concomitante (Ons. I) ; 2° une aphasie
optique
accom- pagnée de cécité psychique (observations
servations empruntées aux auteurs, iill" VI et VII ; 3° une aphasie
optique
avec cécité psychique et grave aphasie sensorie
ologie nerveuse. 269 Au point de vue de l'interprétation, l'aphasie
optique
est caracté- risée par ce fait que le malade, i
de la lésion du centre des images commémératives des impressions
optiques
(cécité psychique), ou d'une altération des fibre
ation qui unissent le centre visuel au centre de la parole (aphasie
optique
), ou enfin d'une destruction des fibres d'associa
en résumons l'essen- tiel. Les altérations anatomiques des nerfs
optiques
tiennent, dans la sclérose en plaques, le milie
le. Dans les deux formes, les images commémoratives des impressions
optiques
sont atteintes en raison directe du degré de la
tandis qu'ils en ont une per- ception consciente nette, une mémoire
optique
fidèle, pensez à la forme'transcorticale. M. Si
té et de sa monochromasie, il lui manquait les images de perception
optique
nécessaires à reconnaître les objets dont il ac
PATHOLOGIQUES T. EFFET DES lésions DU CORPS strié ET DES couches
OPTIQUES
SUR la température du corps (The effect upon th
it) qui dure jusqu'à soixante-deux heures. Les lésions de la couche
optique
ont moins d'influence à cet égard. Il existe de
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 277 XII. Nouveau cathétomètre
OPTIQUE
craniométrique; par M. CENE- DIKT. - RÉSULTATS
f. Psychi'lt., XX, 2.) L'atrophie unilatérale ou bilatérale du nerf
optique
peut s'y lo- caliser de longues années chez l'a
echerches expérimentales ET ANAT01f0-PATIfOLOGIQUES SUR LES CENTRES
OPTIQUES
ET LEUR TRAJET; par C. l'ON MONAKOW. (Arch. f.
ion d'un hémisphère entier avec section simultanée de la bandelette
optique
du même côté, M. de Mona- kow conclut que la se
une dégénérescence dans les deux sens, qu'en un mot tout système
optique
donne naissance à des fibres centrifuges et reçoi
s cellules de la rétine établissent une communication entre le nerf
optique
et le réseau de la zone latérale du corps genou
ir directement ou indirectement sur la substance grise de la couche
optique
ou du corps strié sont connus. De sorte que le
ulbe, les pédoncules cérébraux, les segments supérieurs des couches
optiques
(centres d'arrêt). L'excitation du gyrus sigmoide
rce cérébrale - cellules de Purkinje du cervelet- ganglions du nerf
optique
) possèdent un prolongement cylmdraxile, ou de D
transverse est prise. Le bulbe, le cerveau tout entier et les nerfs
optiques
sont aussi fortement atteints. M. Bruns a pu ob
le diagnostic en l'espèce, ce fut une atrophie bilatérale des nerfs
optiques
. M. ROLLER (de Brake) présente une tumeur du cr
eur située entre les tubercules mamillaires et le chiasma des nerfs
optiques
; sous l'iufluence de cette dilatation infundibu
l'encé- phale : non seulement le pédoncule mais encore la couche
optique
, le lobe temporal et le lobe occipital étaient
, en allant de la base au sommet du triangle : le chiasma des nerfs
optiques
, le tuber cine- reum, les tubercules mamillaire
ber cinereum. - Til, tractus opticils. - c/t, cln,\sm 1. - Il, nerf
optique
. T, lobe temporal. - U. crochet. - Am, noyau am
nférence est formée par le lobe falciforme et le manche par le nerf
optique
et son bulbe (fit.30), Suivant le développeme
que la commissure antérieure forme un chiasma semblable au chiasma
optique
où les tractus olfactifs subiraient une décussa
indirectement en rap- port avec le tubercule antérieur de la couche
optique
, mais il n'y a pas de rapport entre la grosseur
ment détaché du reste (fig. 35). En produisant la lésion, le cordon
optique
fut désorganisé et également une légère détério
ll, 265. Annales tEDIco-pm f,lOLOGIQUES, par Blin, 426. Aphasie
optique
et cécité psychi- ques par Freund, 268 ; - cerv
onique avec au- topsie, par Greppin, 264. COLOI30MA (état du nerf
optique
dans le), par Manz. Congrès de médecine menta
âne, asymétrie du-, par Fraen- kel, 276; - nouveau cathétomè- tre
optique
du -, par Benedllit, 277 ; - anomahe du - parlo
. Olfaction (appareil nerveux central de l'), par Trolard, 183.
Optiques
(centres ! , par Monakow, 283. Oreille de Mor
« un jeu de réflexion de l'iris à la cornée transparente; un nerf «
optique
s'épanouit dans cette partie, et du jeu contradic
établi par Broca, plan passant par le centre des orbites et le trou
optique
. 2° Mesuré l'angle existant entre la ligne suiv
u côté sain. Nous avons d'ailleurs noté le fait pour certains trous
optiques
. Si on calcule l'angle que fait la ligne du roc
'artère ophtalmique gauche, ectasiée elle aussi, comprimait le nerf
optique
. (Revue neurologique, mars, 1903). 1 : . B. V
tractus fibreux sains qui paraissaient correspondre aux radiations
optiques
. Cette observation confir- merait l'hypothèse d
ue, M. Marie n'a trouvé à l'autopsie aucune altération de la couche
optique
. 1 , M. Déjerine a cependant depuis cette commu
nier présente deux malades atteints de troubles bulbaires d'origine
optique
. Dans l'un des cas, le bulbe droit étant intéress
trophique. La vue a notablement baissé, ce qui est dû à une névrite
optique
par stase papillaire. Pas d'autre trouble psych
ot, Virchow, Ordenëz, Schlaagenhaufer, etc.) placent dans le nerf
optique
l'origine de l'atrophie optique tabétique, d'autr
nhaufer, etc.) placent dans le nerf optique l'origine de l'atrophie
optique
tabétique, d'autres (Pofoff, Moxter, Von Michel
es multipolaires ou ganglionnaires, cellules d'origine des libres
optiques
. Nous avons coupé les yeux de 11 tabétiques amaur
celles qui se' produisent à la suite de lésions quelconques du nerf
optique
ou des extrémités terminales de ses fibres, à l
ces recherches nous permettent de conclure nettement que l'atrophie
optique
tabétique ne commence pas par la rétine. Elud
ie optique tabétique ne commence pas par la rétine. Elude du nerf
optique
dans l'amaurose tabétique. MM. P. Marie et A. U
s méningées arachnoïdienne et pie-mérienne qui recouvrent les voies
optiques
, épaississement similaire à celui de la méninge
tion avec le nombre des vaisseaux contenus normalement dans le nerf
optique
et nous fait penser qu'une première phase de l'
ompagnée de céphalées frontales et de signes d'irrita- tion du nerf
optique
, de phosphènes qui peuvent être le point de dép
nonveau-nés, avec lésions plus graves de l'oeil gauche et des voies
optiques
gauches, morte de tuberculose dans le service d
u moins complètement isolées Anatomiquement d'ailleurs l'atrophie
optique
du tabes est semblable à celle de la paralysie gé
et l'audacieuse fourberie des opé- rateurs. ' Névrite et atrophie
optique
dans l'erysipèle facial1. Le Dr CABANNES (de Bo
dans quelques cas exceptionnels, s'accompagner de lésions du nerf
optique
. Nous avons eu l'occasion d'observer récemment un
ue. Nous avons eu l'occasion d'observer récemment un cas de névrite
optique
post-érysipélateuse qui s'accompagna très rapi-
genstecher, Ramirez, Ripault, etc. La réalité clinique de la lésion
optique
(névrite ou atrophie) au cours de l'érysipèle f
nous, expliquer tous les faits. L'érysipèle facial agit sur le nerf
optique
, en raison de sa proximité, par la propagation
ulite orbitaire) s'étendent consécutivement à la périphérie du nerf
optique
. Cette cellulite, qui peut dans des cas très ra
ompression sur le contenu de l'orbite et en particulier sur le nerf
optique
. Nous pensons que cette compression du nerf, à
aussi la thèse d'un de nos élèves, M. FIUVEAU Névrites el atrophies
optiques
dans l'éysipèle facial, Bordeaux, 190f. SOCIÉTÉ
est resserré dans la gaine scléroticale ; b) son émergence du trou
optique
où il est engainé dans un anneau osseux. ci)
ent irrémédiable.. b) Dans le second cas, il survient de l'atrophie
optique
sans névrite ni papillite évidente. Le nerf opt
t de l'atrophie optique sans névrite ni papillite évidente. Le nerf
optique
blanchit, s'excave, les vaisseaux papillaires o
ne altération ; en réalité la névrite existe, mais elle est au trou
optique
et ce qui domine ici ce sont les phénomènes de
scopique de la papille dépend uniquement du point du trajet du nerf
optique
, plus spécialement atteint (entrée oculaire, pa
ique, plus spécialement atteint (entrée oculaire, passage au trou
optique
). Douleur épigastrique suraiguë dans la neurast
ns des noyaux; pas de prolifération névro- glique. Fibres des nerfs
optiques
indemnes. Les cellules nerveuses offrent tous l
) P. KERAVAL. XLIX. Contribution à l'étude de l'aphasie sensorielle
optique
; par M. IIOSENFELD. [Neurolog. Centmlbl., XX, 1
et sans connaissance pendant quelques heures. Aphasie sensorielle
optique
. Aphasie tactile. Pas de cécité psychique. Pas d'
ur insiste sur ce qui suit. Dans les cas purs d'aphasie sensorielle
optique
, il peut aussi exister de l'aphasie tactile. Al
ui sont surtout identifiées par les images commémoratives d'ordre
optique
, qui s'apprennent surtout par l'image optique, re
ommémoratives d'ordre optique, qui s'apprennent surtout par l'image
optique
, restent mortes malgré l'aide du sens du touche
a lésion. Encore plus en dedans, les diverses parties des couches
optiques
ne présentent pas de dégénérescence du tout. -7.
ations et mottes de Nissl. Les granides de Nissl sont donc la coupe
optique
horizontale des raies longitudinales (transvers
d'une toxine qui a lésé les cellules des couches nucléaires du nerf
optique
et leur parenchyme; l'organisme se réparant, le
PHYSIOLOGIE. Contribution à l'étude des fonctions de la couche
optique
. Par LE D' BENAKY Médecin de l'hôpital Saint-
uvements mimiques de la face sont sous la dépen- dance de la couche
optique
. C'est à ce titre que nous publions l'observati
serait impossible de ne pas les attribuer à une lésion de la couche
optique
. A... L..., âgée de cinquante-cinq ans, est ent
eurs et a envahi le corps strié, la partie postérieure de la couche
optique
, toute la capsule interne, le noyau lenticulair
imique. Or, il résulte des travaux ÉTUDE DES FONCTIONS DE LA COUCHE
OPTIQUE
. 387 -j de plusieurs observateurs que les mouve
e les mouvements de la mimique sont sous la dépendance de la couche
optique
. Romberg cite une observation de Stromeyer, où
aient pas chez lui. L'autopsie avait montré une tumeur de la couche
optique
droite avec destruction de celle-ci'. Il exis
ur montraient l'existence d'altérations dans la région de la couche
optique
. Il y avait en même temps tendance irrésistible
iquent ce phénomène comme une conséquence d'irritation de la couche
optique
, l3echterew6 a également publié un cas de rire
que la lésion devait siéger vers la partie postérieure de la couche
optique
. A côté de ces observations où l'autopsie n'a p
ù l'autopsie avait démontré des altérations limitées dans la couche
optique
. La première de ces observations est due à Gowe
vements volontaires. Voici ce que démontrait l'autopsie : la couche
optique
gauche présente à sa surface en avant du tuberc
'un contenu jaune ocreux ; il occupe presque le milieu de la couche
optique
s'éten- dant en dedans et en arrière jusqu'au t
antérieur ; en dehors il ne va pas au delà des limites de la couche
optique
. La deuxième observation est due à Yimoucopoulo
la Grèce médicale, 1-15 oct. 1903. ÉTUDE DES FONCTIONS DE LA COUCHE
OPTIQUE
. 389 communiquant avec le ventricule latéral dr
389 communiquant avec le ventricule latéral droit. Dans la couche
optique
gauche, tumeur de la grosseur d'une aveline situé
s l'angle formé par la surface supérieure et interne de la couche
optique
. Cette tumeur faisait une légère saillie dans le
ques de la face à la suite d'altérations pathologiques de la couche
optique
. Cette contradiction, cependant ne serait qu'ap
iège ou bien des symptômes d'irritation. « La tumeur de la couche
optique
(dit Yimoucopoulo) décrite par Nothnagel a, par
antage, aurait occasionné des symptômes de destruction de la couche
optique
. » Il en fut de même de notre malade. La tumeur
t de même de notre malade. La tumeur tout en ayant envahi la couche
optique
n'en avait détruit que la partie postérieure se
fait place à des symptômes d'abolition des fonc- tions de la couche
optique
par l'envahissement total de celle-ci parla tum
eur. Ces faits prouvent que des processus irritatifs de la couche
optique
, quelle qu'en soit la nature, peuvent déterminer
contribution à l'étude de la physiologie pathologique de la couche
optique
. RECUEIL DE FAITS. Deux cas de mérycisme; P
n hémisphère est indépendante de celle de l'autre.. II. La couche
optique
est utéromotrice, mais il faut que les élec- tr
excite l'écorce. Si l'on tient compte que l'excitation de la couche
optique
a tou- jours lieu après celle de l'écorce, c'es
ntractions obtenues sont plus énergiques, il s'ensuit que la couche
optique
renferme un centre plus puissant que l'écorce.
périences semblent démontrer dans la partie antérieure de la couche
optique
l'existence d'un centre d'arrêt des contraction
érieurs a donné des contractions moins vives que celle de la couche
optique
. Celle du noyau caudé et du cervelet est demeur
ons consécutives en deux directions : atrophie marquée de la couche
optique
, dégénérescence descen- dante des pyramides jus
e, le bulbe et le côté opposé de la moelle. L'atrophie de la couche
optique
porte principalement sur son noyau externe, ou
ruption de la communication entre l'écorce et cet organe. La couche
optique
n'est pas directement lésée, car le ra- molliss
au cervean moyen. Fleclisig d'ailleurs le fait partir de la couche
optique
. De recherches par 1\1. Schülz sur des foetus à
ssant entre lui et le ventricule la place nécessaire à la radiation
optique
de Gratiolet et au tapetum, se dirige, à la par
cipital ne sont munies de fibres myéliques que lorsque la radiation
optique
de Gratiolet est myélinisée. Dans la région d
de fibres. 1° En dehols de cet organe, il reçoit des fibres du nerf
optique
. 2° Il en reçoit du ruban de Reil. Ces fibres-c
ceau moteur du Ruban de Reil de Hoche, émané des centres olfactifs,
optiques
, auditifs, sensitifs du cerveau, est un faiscea
névrogliques et conjonctifs de la rétine, de la papille et du nerf
optique
, ainsi que par celle des fibres radiées. G. D.
terew, pour qui le symptôme est réalisé par une lésion de la couche
optique
. Dans l'observation de l'auteur la localisation
e ces deux syndromes juxtaposés exige même l'intégrité de la couche
optique
dont la lésion détermine un syndrome facial dia
le de l'hémisphère droit. Nerf olfactif droit, aplati et gris. Nerf
optique
droit, et surtout la bandelette beaucoup plus p
ormation d'une cupule aplatissant complètement le chiasma des nerfs
optiques
. La face antérieure de la protubérance dans sa
a diminué de 3 centimètres. G. C. XIV. Sur un cas de neuromyélite
optique
aiguë; par MM. \VEILL et G.4.LL.\YAnDiN. (Lyon
elle contribue à fixer le syndrome clini- que de la double névrite
optique
évoluant au cours d'une myélite aiguë; de plus,
la moelle dorsale inférieure et du renflement lombaire, une névrite
optique
double. Des lésions légères de névrite périphér
les deux termes principaux de l'affection, myélite aiguë et névrite
optique
, de nombreuses hypothèses ont été mises en avan
, émit une théorie vaso-motrice; il prétend que les lésions du nerf
optique
sont consécutives à des troubles circulatoires
ou moins généralisé à tout le système nerveux. ' Ces neuromyéhtes
optiques
aiguës ne seraient qu'un syndrome anatcmo-clini
o-clinique, dû à la prédominance, en certains points (moelle, nerfs
optiques
), d'altérations généralisées à tout le sys- tèm
strié, dont l'autre partie est cachée par le trigone Tg. CO, couche
optique
. NO, nerf optique. - PC, pédoncule cérébral. - il
e partie est cachée par le trigone Tg. CO, couche optique. NO, nerf
optique
. - PC, pédoncule cérébral. - il, incisure tempo
leux. CC, corps calleux très réduit. -, CS, corps strié. f0, couche
optique
. PC, pédoncule cérébral. Planche XI. Hémisphè
on d'un - assassin, 513. 1 Amadrose. Voir Rétine. Etude du nerf
optique
dans 1' tabétique, par P. Marie et Léri. 77.
r Beesau, 433. Aphasie. Contribution à l'étude de l'- sensorielle
optique
, par Ho- senfeld, 329. Aphasiques. Voir Lésio
Cornée. Voir Sensibilité. Corps étranger. Voir Mydriase. Couche
optique
. Contribution à l'étude des fonctions de la ?
iphériques (ra- cines antérieures), par Nageotte, 61. et atrophie
optique
dans l'érysipèle facial, par Cabannes, 268. O
sversal et vertical passant par l'extrémité antérieure de la couche
optique
. Nous rappelons que, dans notre étude sur la ca
- quer que la coupe porte sur l'extrémité antérieure de la couche
optique
, point limite pour nous entre le lobe frontal e
du corps calleux. planche V C i, Capsule interne. C op. Couche
optique
. F S, Ligne fornicato-sylvienue. Ne, Noyau ca
é. N 4, Noyau lenticulaire. fi. 1, Racine inférieure de la couche
optique
. S l, Septum lucidum. C. c, a, Commissure cér
aisceau longitudinal inférieur. 0. g. n. o, Origine grise des nerfs
optiques
. 7'. c, Ti,igone cérébral. V. m, Ventricule m
II1. SUR L1 DISPOSITION CENTRALE ET PÉRIPHÉRIQUE DES FIBRES DU NERF
OPTIQUE
, ET SUR LE TUBERCULE BIGÉMINÉ ANTÉRIEUR; par Sigh
entrecroisement et du faisceau de fibres direct, dans la bandelette
optique
, le chiasma et le nerf optique ? Quel est le mo
fibres direct, dans la bandelette optique, le chiasma et le nerf
optique
? Quel est le mode d'irradiation de ces deux fais
urs après la naissance, un des yeux; il fait péné- trer par le trou
optique
une fine pince et s'en va, en rasant la ligne m
pince et s'en va, en rasant la ligne médiane,arracher la bandelette
optique
. Cet arrachement doit avoir pour résultat la de
en question. Voici les résultats : chez le chat, les fibres du nerf
optique
directes forment dans le chiasma et le nerf opt
fibres du nerf optique directes forment dans le chiasma et le nerf
optique
un trousseau distinct qui suit le bord externe de
rminer les rapports qu'affecte le lobe occipital avec la bandelette
optique
, AI. Ganser le résèque chez des jeunes chats de
les ganglions de la base. 11 obtient une atrophie de la bandelette
optique
du même côté; cette atrophie se continue sur le
optique du même côté; cette atrophie se continue sur les deux nerfs
optiques
, mais est plus prononcée sur le nerf du côté op
attre le lendemain soir. A la base du cerveau, entre les deux nerfs
optiques
, apparaît un néo- plasme tendu, rosé, qui vient
a paroi interne de la corne antérieure du ventricule, la bandelette
optique
, l'origine de l'olfactif, la partie antérieure
optique, l'origine de l'olfactif, la partie antérieure de la couche
optique
et sa région moyenne, la partie inféro-antérieu
côté et le sillon olfactif manque sur l'hémisphère droit où le nerf
optique
correspondant s'est creusé une gouttière. Au re
Aucune atrophie, aucune dégénération des nerfs, pas plus des nerfs
optiques
que des acoustiques. C'était une néo- plasie sy
LATIVES A L\ QUESTION DES CONNEXIONS QUI EXISTENT ENTRE LES NERFS
OPTIQUES
ET CERTAINES REGIONS DU L 1· : COITCE DU CERVEAU;
l'hémisphère ; la relation entre la diminution de volume du tractus
optique
et l'irrégularité du gyrus angulaire n'est pas
? [ ? tf,' ? R ? ? 1 ? ! d -; -'i < " I z strie et de la couche
optique
. , ™ , rr S : )Tt ? G, r·r'T . î.Ja a*, or, gia
partie des trois premières zones mésolobaires, tandis que la couche
optique
leur est étrangère. L'aphasie n'existera donc p
raire, dans la destruction de l'extrémité antérieure de la couche
optique
, parce que, dans ce dernier cas, elle avoisine
.jjfi iu de l'hémisphère droit, du corps - erié, e ? 4e)la ouche
optique
du même côté ne pro- uisentjpas moins l'aphasie
e du lobe moyen, et déplaçant les nerfs, lacommissure et le traclus
optiques
, la troisième paire et le pédoncule droit. La p
elle était enveloppée d'une mince capsule, et séparée de la couche
optique
et, en partie, de la corne descendante du ventr
a'ralysie" générale alcoolique", une ,dégéhéréscéhce''grise du nerf
optique
que l'on pouvaitpouMuivé jusqu'aux ganglions ! On
et du facial de côté, a la destruction des libres qui, de la couche
optique
, gagnent le lobule occipital. Lapathog-énie des
issent égales. Les nerfs olfactifs sont égaux. Le chiasma, lesnerfs
optiques
, les bandelettes optiques, les tubercules mamil
lfactifs sont égaux. Le chiasma, lesnerfs optiques, les bandelettes
optiques
, les tubercules mamillaires sont égaux et blanc
eii-- convolutions ainsi qu'une partie du centre ovale. La couche
optique
et le corps strié sont un peu moins volumineux qu
K. XII. Résultats expérimentaux sur LE trajet DES fibres du NERF
OPTIQUE
dans LE chemin QU'ELLES suivent DEPUIS LES corps
(Neurol. Ccntrul6l. 1883.) Gudden dit que toutes les fibres du nerf
optique
, aussi bien celles qui s'entre-croisent dans le
tre-croisent pas, constituent le faisceau externe de la bandelette
optique
et parviennent au corps genouillé externe qu'elle
, et qui, par conséquent, n'entretient aucune relation avec le nerf
optique
, passe par le corps genouillé interne en rap- p
ctionner le bras antérieur entre le segment postérieur de la couche
optique
et le tubercule quadri- jumeau antérieur, sans
ntiques à celles que l'on signale après la section de la bandelette
optique
correspondante; rien aux pupilles. Les vues ana
physiologie expéri- mentale. P. K. XIII. LA FONCTION DI.S COUCHES
OPTIQUES
. RECHERCHES EXPERIMENTALES; par W. BECHTEREW. (
i.-La destruction, chez le chien, du segment antérieur de la couche
optique
produit des troubles de la vue tout à fait passa-
eul oeil. Conclusion. Entre-croisement incomplet des fibres du nerf
optique
dans le chiasma du chien.- Les allures de la pupi
'espèce par l'auteur déri- vent, non de la destruction de la couche
optique
, mais de la lésion simultanée de la substance g
subissent aucune atteinte quand on limite l'altération à la couche
optique
seule. En revanche, la couche optique est le li
te l'altération à la couche optique seule. En revanche, la couche
optique
est le lieu de concentration des voies de conduct
Recherches expérimentales SUR l'entre-croisement DES fibres du NERF
OPTIQUE
dans LE chiasma; par V. 13ECHTEREN. NGil1'OI. Cen
t physiologie) voici les résultats. - La section transverse du nerf
optique
entraine la cécité complète de l'oeil correspon
l'oei) que l'on incite. - La sec- tion transverse d'une bandelette
optique
ne produit pas non plus la cécité sur l'un quel
ment des champs visuels, qui siègent du côté opposé à la bandelette
optique
sectionnée, c'est-à-dire perte de fonction des
zones des deux rétines qui occupent le même côté que la bandelette
optique
sectionnée. Peut-être même cette hé- mianopsie
sont en faveur d'un entre-croisement in- complet des fibres du nerf
optique
dans le chiasma du chien. Les allures de la pup
hiasma du chien. Les allures de la pupille après la section du nerf
optique
et de la ban- delette prouvent que les fibres c
pupille, ne parcourent pas la bandelette, qu'elles viennent du nerf
optique
après que le chiasma a pénétré dans la substanc
ez violentes. Délire; atrophie des segments externes des deux nerfs
optiques
; augmentation de la fréquence du pouls; hyperth
e, de l'augmentation de la pression cérébrale, les gaines des nerfs
optiques
se remplissent de liquide; celui-ci jouant le r
p. 99. 3t4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. phie bilatérale du nerf
optique
. Puis survenaient des phénomènes de compression
à une couche linéaire. Malheureusement le corps strié et la couche
optique
n'ont pas été étudiés au point de vue d'une com
s, et atrophie d'un hémisphère, y compris le corps strié, la couche
optique
et laprotubérance du côté atteint. Suivante.
e progressif, avec dé- coloration de l'expansion papillaire du nerf
optique
, auquel on a peu fait attention jusqu'ici. M. H
la structure des organes centraux de la vue, il a décrit une racine
optique
cérébelleuse; mais il n'en avait établi l'existen
ope révélait, au printemps de 1882 (examen de M. Manz), une névrite
optique
double. Puis, à la suite d'un état de mal per-
genres d'acci- dents dépendraient d'une irritation spinale (névrite
optique
? ); celle-ci, en s'aggravant sous forme d'accè
les accès d'épilepsie. Jusqu'alors, on a considéré que l'anesthésie
optique
qui affecte au périmètre la forme de rétrécisse
ate (situation de l' dans les paralysies du grand dentelé), 82.
Optique
(disposition centrale et pé- riphérique des fib
né an- térieur), par Ganser, 77 ; par Bechterew, 323, 324, 325.
Optiques
(phénomènes produits par la section des fibres
ON DES PLANCHES. PLANCHE V C i, Capsnle interne. ' C op, Couche
optique
. F S, Ligne fornicato-sylvienne. Ne, c, Noyau
dé. N 4, Noyau lenticulaire. i. l, Racine inférieure de la couche
optique
. S l, Septum lucidum. C. c, a, Commissure eér
aisceau longitudinal inférieur. 0. g. n. o, Origine grise des nerfs
optiques
. T. c, Trigone cérébral. V. Ventricule moyen.
corps calleux. C, Corps calleux. C S, Corps strié. C 0, Couche
optique
. C 11, circonvolution de l'hippocampe. 1'4, Q
L C, Coin. L 0, Lobe occipital C S, Corps strié. C 0. Couche
optique
. C H, Circonvolution de l'hyppucampe. Cette p
u côté, droit est notablement plus petit que le gauche. Les couches
optiques
pa- raissent à peu près d'égale dimension. ! mr
; 3° celle des différents nerfs cérébraux, et entre autres, des nerfs
optique
, moteur oculaire, hypoglosse (atrophie et dégénér
épart une lésion des nerfs cérébraux ou bulbaires, tels que les nerfs
optiques
, par exemple, ou les nerfs moteurs de l'œil. So
ns ce cas, par l'existence d'une atrophie com-mençante d'un des nerfs
optiques
. L'opinion que j'émis, presque dès l'origine, sur
is quinze ans. Il s'agit ici encore d'une atrophie nacrée des nerfs
optiques
. Les accès de douleurs fulgurantes qui occupent l
abétique ; sa fréquence. — Caractères de la lésion anatomique du nerf
optique
à l'œil nu et au microscope. — Aspect de la papil
tionnels qui accompagnent l'induration grise du nerf et de la papille
optiques
. — Modifications de la papille dans les cas d'emb
ortions diverses", avec des troubles des nerfs bulbaires ou des nerfs
optiques
. J'ajouterai que ces acci-dents, — et c'est là un
2° des troubles visuels dépendant d'une lésion par-ticulière du nerf
optique
. Ceux-ci sont autrement sérieux que les premiers,
u près fata-lement progressive et envahissante. La lésion des nerfs
optiques
, dont il s'agit, pourrait être dé-signée du nom d
autres, par les douleurs. Mais, de tous les nerfs crâniens, les nerfs
optiques
sont ceux qui, dans l'espèce, méritent surtout de
vitable ; et d'autre part, aux lésions connues sous le nom de névrite
optique
: dans ces deux der-niers cas, malgré quelques tr
diffèrent d'une manière essentielle de ce qu'ils sont dans l'atrophie
optique
tabétique. L'induration grise progressive des n
trophie optique tabétique. L'induration grise progressive des nerfs
optiques
se traduit pendant la vie par des caractères opht
opique. En second lieu, suivant quelques opthalmologistes, lalésion
optique
propre à l'ataxie peut, dans un certain nombre de
connaître pour ce qu'elle est, dès l'origine, cette affection du nerf
optique
qui, dix, quinze ans après s'être constituée, ser
, en d'autres termes, un cas d'amaurose par lésion atrophique du nerf
optique
étant donné, déclarer si 1 ataxie s'en suivra t
façon à peu près inévitable, ou si, au contraire, l'affection du nerf
optique
demeurera isolée. Recherchons donc quels sont l
rchons donc quels sont les caractères de l'induration grise des nerfs
optiques
et examinons s'ils sont, en réalité, comme on le
le visuel qu'il s'agit d'étudier. A. l'œil nu, l'altération du nerf
optique
se présente sous la forme d'une induration grise,
e ensuite progressivement vers les parties centrales. Les bandelettes
optiques
sont aussi atteintes à leur tour, à un moment don
remar-quable que celle-ci affecte, comme vous le voyez, dans le nerf
optique
, une marche centripète, tandis que les lésions co
econnaître de nou-velles analogies entre l'induration grise des nerfs
optiques
et la sclérose spinale tabétique. Il y a lieu de
Il y a lieu de remémorera ce pro-pos que, à l'état normal, les nerfs
optiques
se rapprochent, quant à la texture, beaucoup plus
es nerveux que tous les autres nerfs. C'est ainsi que, dans les nerfs
optiques
, on trouve, comme l'a signalé M. Leber, des cellu
le vivant. Je vous rappellerai très brièvement l'aspect de la papille
optique
à l'état normal. —Vous n'avez pas oublié la forme
qui est due à la présence des vaisseaux propres que renferme le nerf
optique
dans son La lésion qui constitue l'induration g
ion qui constitue l'induration grise s'accuse d'ailleurs dans le nerf
optique
, comme dans la moelle épinière, par la métamorpho
On s'expliquerait ainsi pourquoi, dans la lésion tabélique des nerfs
optiques
, l'élément nerveux subit une destruction comparat
ps dans le cas de la dernière affection. L'induration grise des nerfs
optiques
, dans l'ataxie locomotrice, pourrait donc être, d
ssemblance très grande entre l'induration qui se produit dans le nerf
optique
en conséquence de la né-vrite liée aux tumeurs cé
ue en conséquence de la né-vrite liée aux tumeurs cérébrales {névrite
optique
) et l'indura-tion grise de ce même nerf chez les
ractère décisif. Par suite du changement de texture qu'a subi le nerf
optique
, et en conséquence surtout de la disparition du c
mp visuel, trouble fonctionnel qui ne se retrouve pas dans la névrite
optique
; en second lieu, la con-traction plus ou moins pr
pupilles, contraste frap-pant avec ce qui se produit dans la névrite
optique
, où les pu-pilles se montrent au contraire dilaté
e œil, sont tout à fait l'inverse de ce qu'on observe dans la névrite
optique
. De plus, dans le tabès, l'évolution des troubles
des cas, lente, graduelle, progressive, tan-dis que, dans la névrite
optique
, leur début s'opère assez sou-vent d'une façon à
ttention sur les symptômes objectifs que produit l'altération du nerf
optique
désignée sous le nom de névrite optique ou de neu
produit l'altération du nerf optique désignée sous le nom de névrite
optique
ou de neuro-ré finite, car là se trouve en réalit
la papille qui marque l'atrophie papillaire consécutive à la névrite
optique
et celui de l'amaurose tabétique ; mais il y a au
de ramol-lissement, ou mêmes les caractères anatomiques de la névrite
optique
inflammatoire. C'est du moins ce qui semble resso
e Ler..., chez laquelle se présentaient les ca-ractères de la névrite
optique
avec atrophie du nerf. Ces lé-sions étaient liées
elleuse avait été refoulée ; le mésocéphale ainsi que les bandelettes
optiques
et les tubercules quadrijumeaux, étaient fortemen
nglement de la papille avait eu lieu à une certaine époque, les nerfs
optiques
étaient gris, atrophiés, en un mot sclérosés dans
a seconde forme, ou, si l'on préfère, le deuxième degré de la névrite
optique
. Il s'agit ici, anatomiquement, d'une névrite int
orbide affecte là une marche plus aiguë que dans le cas de la névrite
optique
tabétique ; la mul-tiplication des noyaux est plu
ux formes ou, si vous le voulez, dans ces deux périodes de la névrite
optique
, et opposons-les aux caractères qui distinguent l
par une espèce de nuage. En raison de l'opacité acquise par le nerf
optique
, les capil-laires et la teinte rosée paraissent e
l'altération tabétique de la papille et celle qui se lie à la névrite
optique
, il est encore indispen-sable de montrer, sur le
complète, survenue progressive-ment (le début subit, dans la névrite
optique
, vous le voyez, n'est pas nécessaire) ; — une cép
représente la papille de Ler... : l'atrophie consécutive à la névrite
optique
se présente là avec tous ses caractères dis-tinct
s, tels que la céphalalgie et l'amaurose par induration grise du nerf
optique
. Il convient de rapprocher de ces grises gastri
ogies, car les parties qu'il a envahies (dans le cerveau, les couches
optiques
par exemple) se tuméfient d'une manière re-marqua
elles se rattachent ces symptômes: extrémité postérieure de la couche
optique
; — partie postérieure du noyau caudé ; — partie p
t-à-dire dans tous les cas : 1° l'extrémité pos-térieure de la couche
optique
; — 2° La partie la plus posté-rieure du noyau ca
rijumeaux. Mais, d'un côté, on a vu maintes et maintes fois la couche
optique
et le noyau lenticulaire, atteints dans leurs div
vres complètes, ?.?. 24 dait, dans sa moitié postérieure, la couche
optique
. La malade avait succombé trois semaines environ
ut, ce n'est évidemment pas en désor-ganisant une partie de la couche
optique
que l'hémorragie a produit ici, soit l'hémichorée
s nerfs crâniens et bulbaires. — Induration grise progressive du nerf
optique
. —Atrophie progressive de la papille. -- Nécessit
tabétique; sa fréquence. — Caractères de la lésion anatomique du nerf
optique
à l'œil nu et au microscope. — As-pect de la papi
tionnels qui accompagnent l'induration grise du nerf et de la papille
optiques
. — Modifications de la papille dans les cas d'emb
les se rattachent ces symptômes: extrémité postérieure de la couche
optique
; —partie posté-rieure du noyau caudé : — partie p
trice, 39, 46. G Gliome, 87. Glycosurie avec lésion des nerfs
optiques
, 51. Goll (Développement des cordons de), 237.
Amyotrophies, Paralysies, etc.) — Cérébraux (Atrophie des), 5, 43. —
Optique
(Atrophie du), 44 ; — Induration grise du,—43,47,
hie du), 44 ; — Induration grise du,—43,47,49— Atrophie de la papille
optique
, 44, 49. — Dia-gnostic, 49, 5i. (V. Névrite.) — P
7, 273, 445. — Sciatique (Arrachement du), 279. Névrite des nerfs
optiques
, 48, 51. — Parenchymateuse, 48. — Du nerf sciatiq
nérale progres-sive, douleurs fulgurantes, 33; — lésion de la papille
optique
, 51. — Générale spinale, crises gastriques, 36,
ongtemps une faiblesse de la vue consécutive à une atrophie du nerf
optique
, mais qui ne l'empêchait pas de pou- voir écrir
ésentait aussi le trouble que Freund a décrit sous le nom d'aphasie
optique
et qui consiste dans l'impossibilité dans laque
mpossible. Le forceps minor était complètement détruit, le faisceau
optique
était en grande partie ramolli et dégénéré secon-
r suite du ramollissement de la scissure calcarine, les excitations
optiques
ne peuvent plus être conduites dans l'hémisphèr
ongitudinal inférieur qui établit une communication entre le centre
optique
gauche et le lobe tem- poral gauche (centre aud
re auditif du langage) étant lésé, le rapport entre les excitations
optiques
qui arrivent dans l'hémisphère gauche et le cen
corps calleux et du tapetum interrompt la communi- cation du centre
optique
droit avec le lobe temporal gauche. Ces lésions
t vienne à manquer et alors le mot écrit est réduit à une sensation
optique
. Telle serait l'explication de l'alexie du malade
r de deux façons. On sait que Déje- rine admet, en dehors du centre
optique
du lobe occipital, un centre optique spécial, o
ine admet, en dehors du centre optique du lobe occipital, un centre
optique
spécial, où seraient déposées les images optiques
cipital, un centre optique spécial, où seraient déposées les images
optiques
des lettres, et qu'il le place, dans le pli cou
, dans le pli courbe, en le reliant d'un côté avec les deux centres
optiques
, et d'un autre côté avec les centres auditif et
r sur le centre, porle sur les voies de conduction aux deux centres
optiques
, il n'y a pas d'agraphie. Redlich n'admet pas c
ts de l'écriture, ces derniers pouvant quelquefois suppléer l'image
optique
. P. S. XXIX. DE L'INFLUENCE qu'exerce l'inflamm
de centres combinés pour l'expression des senti- ments ; la couche
optique
, en particulier, participe à la réalisation des
mouvements affectifs ou de l'expression. Quand on excite la couche
optique
, on accélère la respiration en faisant entrer en
t les hémisphères ou qu'on les ait auparavant résé- qués. La couche
optique
influence aussi les vaso-moteurs et la sécré- t
on des larmes. Le rire a donc lieu par l'intermédiaire de la couche
optique
. Le système des fibres, qui relève de celle-ci, c
pant les voies de conjonction entre les zones motrices et la couche
optique
, a empêché l'arrêt volontaire du rire qui, par su
sécrétion lacrymale et des vaso-moteurs. Ce sont encore les couches
optiques
et les systèmes de fibres qui servent à transme
es de compression intra-cranienne (céphalées, vomissements, névrite
optique
). L'état mental commençait à s'altérer ainsi qu
almoscopique ne révélait aucune altération de la rétine, ni du nerf
optique
. La céphalalgie était continue et siégeait à la
auche avec troubles de la sensibilité, de céphalalgie et de névrite
optique
. L'analyse des symptômes révélait nettement l'e
la vue est bonne, et il ne demeure que de faibles traces de névrite
optique
. La santé géné- rale est satisfaisante. L'exame
utres sens, la conscience de l'étendue. Illusions géo- métriques et
optiques
, perception du temps. La science de la con- nai
uisque l'oeil était intact et que l'examen des nerfs et bandelettes
optiques
ne révéla aucune altération. On trouva du reste
des mouvements nécessaires à l'opération de manger serait la couche
optique
(Réthi). M. de Bechterew trouve dans les couche
la couche optique (Réthi). M. de Bechterew trouve dans les couches
optiques
un centre pour les mouvements de l'estomac et d
ion a révélé chez les oiseaux l'existence dans le chiasma de fibres
optiques
et de fibres pupillaires entre-croisées ; celle
roisées ; celles-ci parcourent un certain trajet avec la bandelette
optique
dans l'hémisphère cérébral opposé, mais elles s
es fibres pupillaires dans le chiasma; elles se séparent des fibres
optiques
non immédiatement en arrière du chiasma, mais d
arrière du chiasma, mais dans le trajet ultérieur de la bandelette
optique
. Il existe des fibres pupillaires dans la commi
confirment que des fibres pupillaires marchent séparées des fibres
optiques
sur une certaine étendue du segment centripète
laires, dans le 'trajet où elles sont justement séparées des fibres
optiques
. Travaux -sur ce segment de Gudden, Darkschewit
arde pas à vérifier; le même examen montra que la rétine et le nerf
optique
n'avaient pas perdu leur fonction, bien que le
dans 9, et ne sont l'objet d'aucune mention dans 23 ; 3° la névrite
optique
a été REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 273 renco
é par l'auteur, sont : la céphalalgie, les vomissements, la névrite
optique
, les vertiges, l'ataxie, l'asthénie musculaire, l
irrégulière bilatérale des nerfs crâniens; 5° hémianopsie, névrite
optique
, surtout l'hémianopsie double passagère (Oppenhei
en dehors d'eux, on rencontre fréquemment des caractères : névrite
optique
, atrophie papillaire, troubles de la vessie, in
illette de dix ans, comprimé l'oculomoteur commun gauche et le nerf
optique
, et détiuit les lobes frontaux. OEdème de la caps
ronne rayonnante émanés du corps genouillé externe, de la couche
optique
, du tubercule quadrijumeau antérieur. C'e,t : le
n arrière du pli courbe ne parait en relation avec les irradiations
optiques
que par des REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
en crochet dans le point où elle touche l'insula, etc. La couche
optique
a des connexions directes, mais exclusivement p
exercer de fonction minima. Ceci dit, l'étude de l'atrophie du lobe
optique
des oiseaux prouve, d'après M. Jelgersma, que les
s envoient tous les cylin- draxes aux centres. Les fibres des nerfs
optiques
et acoustiques correspondent donc aux racines p
urs de la moelle jusqu'au noyau grêle. Les noyaux nerveux du nerf
optique
sont comparables au noyau grêle, ou encore aux ce
rieure de la corne postérieure. L'atrophie de la rétine et du nerf
optique
des tabétiques n'est donc pas périphérique, le ta
spro- longements cylindraxiles dans la moelle; la rétine et le nerf
optique
sont donc bien les homologues de ceux-ci. La st
ns les cordons pos- télieursde la moelle sont l'homologue des nerfs
optique
et acuus- tique. Le noyau grêle et les cellules
suivant toute la hauteur de la moelle, corres- pondent aux centres
optiques
et auditifs primaires. La cellule nerveuse de l
ont aux racines postérieures de la moelle, se retrouve dans le lobe
optique
des oiseaux, dans le ganglion dorsal optique (g
retrouve dans le lobe optique des oiseaux, dans le ganglion dorsal
optique
(ganglion dorsal du nerf optique ? et il est pe
s oiseaux, dans le ganglion dorsal optique (ganglion dorsal du nerf
optique
? et il est permis de supposer la même disposit
tif. Ce qui n'est pas établi, c'est l'existence d'un centre du nerf
optique
qui (de même que les fibres nerveuses des racin
de dégénérescence du ruban de Reil quand on a épargné les couches
optiques
. Le ruban de Reil ne va donc pas directement à l'
Reil ne va donc pas directement à l'écorce, il passe dans la couche
optique
(théorie de Mahaim). P. K. XLVII. DES paresthés
région sublhalamique, et peut-être les zones basales de la couche
optique
notamment le globule pallidus du noyau lenticulai
obe oculaire, mais la fonction de la pupille reste intacte; le nerf
optique
n'est jamais dégénéré, l'intelligence peut être
ète de l'oculo-moteur commun du côté gauche et une atrophie du nerf
optique
; du côté droit on note la perte du réflexe lumi
que, dila- tation des ventricules cérébraux, dégénérescence du nerf
optique
et de l'oculomoteur gauches. L'examen clinique
s d'autres neurones conduisent l'impression sensible dans la couche
optique
, de la couche optique par un nouveau neurone da
uisent l'impression sensible dans la couche optique, de la couche
optique
par un nouveau neurone dans le cerveau, etc. ,
es noyaux grêles, cunéiformes, etc., dans les neurones de la couche
optique
dont l'extrémité cylindraxe vient se mettre au
ts, dans les neurones de l'écorce qui unissent à celle-ci la couche
optique
, etc. Mais si la dégénérescence primitive de to
ule dont le prolongement cylindraxe va se terminer dans la couche
optique
, et dont les dendrites se mettent en contact avec
des nerfs de l'oeil, cordons antérieurs de la inoelle). Les libres
optiques
étant en relation avec ces cellules, il existe
, mais c'est parce qu'alors il y a lésion concomitante de la couche
optique
du même côté qui est la voie de communication c
t complètement le jeune homme en trois mois. P. K. LXXXI. Du nerf
OPTIQUE
du PIGEON; par MAYSER. (Allg. ZeiLSschr. f. Psy
, LI, 2.) Il n'y a pas chez lui, d'entre-croisement total des nerfs
optiques
. La masse principale de la bandelette optique d
ment total des nerfs optiques. La masse principale de la bandelette
optique
des oiseaux, qui recouvre le 'lobe optique, com
ncipale de la bandelette optique des oiseaux, qui recouvre le 'lobe
optique
, comme un manteau, se divise en deux parties :
ent séparés l'un de l'autre ; au niveau de la face latérale du lobe
optique
qu'ils embras- sent à la façon d'un globe creux
'un globe creux, ils sont en continuité au moyen d'une large couche
optique
intermédiaire. Chacun d'eux est aussi accompagn
accompagné d'un petit satellite médian également composé de fibres
optiques
; les fibres de ce satellite inféro-médian ne sont
nféro-médian ne sont point des fibres pédonculaires ; la bandelette
optique
ne monte pas dans le cerveau antérieur. , REV
il se produit une dégénérescence à peu près totale de la bandelette
optique
du côté opposé. La bandelette optique correspon
près totale de la bandelette optique du côté opposé. La bandelette
optique
correspondante est recouverte d'une couche de f
osées sur toute la surface. Il est impossible que ces fibres soient
optiques
; partie d'entre elles proviennent des systèmes
ptiques; partie d'entre elles proviennent des systèmes commissuraux
optiques
(sorte de commissure de Meynert), partie émanen
stance grise de la paroi latérale du cerveau intermédiaire (couches
optiques
) qui, en dedans du corps genouillé thalamique,
en avant en forme de coin, sorte de ganglion termi- nal des fibres
optiques
, de celles qui occupent la face médiane de la [
bres optiques, de celles qui occupent la face médiane de la [racine
optique
inféro-postérieure. Les fibres, qui suivent la vo
ue inféro-postérieure. Les fibres, qui suivent la voie de la racine
optique
supéro-antérieure,se terminent dans une grosse
Il se pourrait que la dernière nodosité donnât naissance aux fibres
optiques
qui se terminent dans la couche granuleuse inte
sistaient en : hémianopsie et plus tard amblyopie, atrophie du nerf
optique
du côté droit, alexie, agraphie, surdité verbal
ôté droit, alexie, agraphie, surdité verbale et paraphasie, aphasie
optique
, suivie d'aphasie totale. 488 SOCIÉTÉS SAVANTES
ration, par de Bechterew et Os- tankow, 226. La - et les couches
optiques
, par de Bechterew, 226. Délirante. Ecchymoses a
rale com- plète, par Trésillon, 288. - aiguë, parSchule, 373. -
Optique
. Du nerf - du pigeon, par Mayser, 474. Oreill
t être interprété comme un signe d'arrêt de développement des nerfs
optiques
de date très ancienne. Visus égal à 0 de deux c
outer des symptômes en foyer dépendants de la compression des nerfs
optiques
, avec atrophie complète de la papille, réductio
ecte et immédiate de la compression même du néoplasme sur les voies
optiques
, de telle façon qu'elle empêcherait la pénétratio
e la céphalée, des vomis- sements, de l'atrophie complète des nerfs
optiques
et concomitant à un arrêt de développement du s
ire, des hémorragies peuvent se produire dans le tronc même du nerf
optique
, suivies par une amau- rose soudaine. Mais dans
duites), la richesse en fibres à myéline n'a pas diminué. Les couches
optiques
et les autres amas de substance grise, ont égal
trouver les foyers perforés, les chercher attentivement. Couches
optiques
. Cellules nerveuses en forte dégénération ; noyau
formation réticulée pédoncl1lo- protubérantielle jusqu'à la couche
optique
(1). Trajet cervical et connexions intraspinale
ke, Blume- nau,Goldslein qui ont suivi jusqu'à la base de la couche
optique
,des con- nexions spino-thalamiques, très-grêles
rable, puisqu'elle permet d'affirmer l'intégrité actuelle des voies
optiques
. Il n'y a, en outre, ni polyurie, ni glycosurie
esco ; la décoloration de la papille citée par Vizioli ; l'atrophie
optique
avec amaurose notée par Gordon, Gilbert Billet et
rétro lenticulaire de la capsule interne. Elles abordent la couche
optique
au-dessus des radiations du corps genouillé inter
rquées au ni- veau de la capsule interne et des noyaux de la couche
optique
, von Mona- kow considère que l'intégrité du noy
u'on constatait une intégrité parfaite du noyau médian de la couche
optique
et de la zone capsulaire frontale du noyau rouge,
térieur, le noyau ventral antérieur et le noyau médian de la couche
optique
, puis, après avoir traversé la région sous-thal
énérescence secondaire traverse le segment postérieur ou lenticulo-
optique
de la capsule interne, porte sur les noyaux du se
, porte sur les noyaux du segment inférieur on ventral de la couche
optique
, et, gagnant alors la partie latérale de la rég
oyau interne, du centre médian et de la zone réticulée de la couche
optique
et peut-être même de la zona incerla.. En effet
nante de la région rolandique, elle traverse le segment lent iculo-
optique
de'la capsule interne, passe par la partie laté
bres fourni par les masses grises du segment inférieur de la couche
optique
, y compris la zone réticulée, . et peut-èlre au
u rouge à la lame médullaire externe (partie médiane), ai la couche
optique
(centre médian en particulier), et à la cortica
oviennent de la région operculaire et du noyau ventral de la couche
optique
, ces fibres concourent à former cette partie de
as qui nous a (1) Le faisceau longitudinal inférieur et le faisceau
optique
central. Nouvelle Ico- nographie de la Salpêtri
le lobe pariétal, soit dans le lobe frontal. Au niveau de la couche
optique
, cependant, on remarque quel- ques foyers lacun
également une pâleur manifeste. Près du bord supérieur de la couche
optique
, on voit un petit foyer lacunaire lequel semble a
MBAULT du noyau rouge, traverse le tubercule antérieur de la couche
optique
, le corps de Luys et la bandelette optique. On
e antérieur de la couche optique, le corps de Luys et la bandelette
optique
. On remarque aussitôt la décoloration intense e
lacunaire est encore visible dans la partie supérieure de la couche
optique
et semble avoir déterminé une dégénérescence pa
cence rii ! ru1\ du noyau latéral et du stratum zonale de la couche
optique
, ainsi que l'affaissement du bord supérieur de ce
tratum zonale, le noyau latéral et le bord su- périeur de la couche
optique
, et, d'autre part, la couronne rayonnante et la
oyers lacunaires nu niveau de la partie supéro-interne de la couche
optique
, lesquels contribuent LES CONNEXIONS CORTICALES
niveau du maximum de la lésion centrale et passe par la bandelette
optique
, le corps de Luys et le pôle anté- rieur du noy
cence s'épuise dans la partie externe du noyau latéral de la couche
optique
; en bas elle abandonne un prolongement qni passe
ectement dans le pied du pédoncule cérébral. Au niveau de la couche
optique
, on remarque outre la dé- générescence du noyau
n observe, en plus, une atrophie très considérable de la bandelette
optique
. Il s'agit vraisemblablement d'une atrophie, di
égénérescence assez légère et diffuse du noyau latéral de la couche
optique
. Sur les coupes passant par l'extrémité postérieu
uadrijumeau antérieur, du pulvinar et du noyau interne de la couche
optique
, ainsi que de la partie pos- térieure du corps
aucune autre lésion dans ce cas, sauf quelques lacunes de la couche
optique
et du noyau lenticulaire. On constate une dilat
onvexité pariétale-et de la capsule externe. Au niveau de la couche
optique
, on remarque une atrophie notable du bord snpé-
ent en partie de la grosse lacune sié- geant au centre de la couche
optique
. On note une raréfaction très considérable du c
la capsule interne et de la capsule externe. Au niveau de la couche
optique
, la réaction dégénérative semble plus accen- tu
ectement dans le pied du pédoncule cérébral. Au niveau de la couche
optique
, on constate la dégénéres- cence de la majeure
scence. Il est vrai qu'à cet endroit le bord supérieur de la couche
optique
semble être intéressé par des altérations vascu
légère dégénérescence du bord externe du noyau latéral de la couche
optique
ainsi que de la lame médullaire externe. La sec
sulaire ienticuio-tha'amique est encore très marquée mais la couche
optique
reprend un aspect relative- ment normal. Au niv
iatement au-dessus du corps genouillé externe. Au niveau de, couche
optique
, on remarque une atrophie déformante plus ou moin
deux tiers supérieurs de la capsule interne. Au niveau de la couche
optique
, on remarque encore une atrophie très notable de
a dégénérescence s'étend ensuite d'une part aux noyaux de la couche
optique
, et d'autre part au noyau rouge. Au niveau de l
che optique, et d'autre part au noyau rouge. Au niveau de la couche
optique
, elle atteint la lame médul- laire externe sur
pédoncule cérébral. Ces lésions entraînent, au niveau de la couche
optique
, la dégénérescence surlout de la lame médullaire
, au niveau du bord externe de la moi- tié postérieure de la couche
optique
(Charroi et Raymond), ou même à l'intérieur de
la capsule interne et par la parlie posléro-In Férieui de la couche
optique
Tout récemment, J11. Pierre llarieelJ. Lhermilte(
e assez curieux qui s'observe dans certaines lésions de la cou- che
optique
. ' On a fréquemment constaté dans ces cas que l
uve de l'existence d'un centre de la mimique au niveau de la couche
optique
. Pour nous, ce phénomène peut tout aussi bien s
du facial inférieur que l'on a décrit dans les lésions de la couche
optique
est ordinairement transitoire, ce qui 221 LA SA
t tan- tôt la partie médiane du noyau lenticulaire tantôt la couche
optique
ou la calotte pédonculo'pl'otubél'antielle, pui
es altéra- tions soit dans les noyaux rouges, soit dans les couches
optiques
, a per- mis de formuler la théorie, maintenant
La substance innominée avec ses fibres transversales, la bandelette
optique
et la commissure de Meynert ont un aspect norma
ior thalami. Coupe V (intéressant la partie antérieure de la couche
optique
). Le noyau caudé, le putamen et le globus palli
mbre apparaît très faible. L'affaissement très évident de la couche
optique
est expliqué par l'atrophie de la région sous-tha
olifération de la névroglie bien appréciable à la base de la couche
optique
, aux confins de la région sous- thalamique En é
thalamique En étudiant le réseau de fibres à myéline dans la couche
optique
, des réductions ne sont pas constatées. La caps
volumineux, qui aboutit dans la base du noyau externe de la couche
optique
. Comme dans la coupe précédente, nous remarquons
les faisceaux fibrillaires entourant le. noyau externe de la couche
optique
; la zone reticularis et la lamina medullaris e
roglie, surtout autour 286 VAN WOERKOM - des vaisseaux. La couche
optique
ne montre ni des réductions cellulaires bien ap
ouge). Nous remarquons l'intégrité de la capsule interne. La couche
optique
montre la défor-, Série normale Série obs. 1
érations qui attirent notre attention : la déformation de la couche
optique
, la coupe d'après Weigert-Pal sans altérations
on montrant l'augmen- tation de la névroglie à la base de la couche
optique
. Du reste rien d'anormal n'est constaté : la ca
s de Luys ont perdu la moitié de leur volume. A la base des couches
optiques
(les places pointillées) , la névroglie est enpro
la névroglie est enproliféra- tion accentuée. Du reste les couches
optiques
sont sans altérations appréciables. En récapi
altérations y sont peu prononcées. Le noyau lenticulaire, la couche
optique
et le noyau rouge ont, dans ces coupes, un volume
caractérisés par des troubles de la vue : stase papillaire, névrite
optique
, atrophie du nerf optique, hémianopsie bitem- p
les de la vue : stase papillaire, névrite optique, atrophie du nerf
optique
, hémianopsie bitem- porale, hémianopsie homonym
ypophyse, mais qui restent cependant dans son voisi- nage : chiasma
optique
, région sous-thalamique, etc. Oppenheim est le
tion d'idée conjointe du thermomètre fait intervenir une perception
optique
. Aux associations con- ceptuelles plus compliqu
tenté de la conserver. A. Fenayrou. XII. Tubercules de la couche
optique
; par MM. Démange et Spillmann. (Presse médicale
une tumeur du volume d'une noisette siégeant au milieu de la couche
optique
droite et touchant par sa péri- phérie au bras
s de la vision sont probablement dus à l'oedème lymphatique du nerf
optique
, lequel peut, à lui seul, produire des lésions
de cellules appartiennent ces fibres nerveuses ? Sont ce des fibres
optiques
venues des centres optiques primaires, des fibr
s fibres nerveuses ? Sont ce des fibres optiques venues des centres
optiques
primaires, des fibres de projection, ou des fib
ciation intercorticale ? ` ? Il s'agit bien, selon Canal, de fibres
optiques
; voici les raisons sur lesquelles repose cette
a région visuelle doit recevoir un courant considérable de libres
optiques
; il est donc naturel de considérer comme apparte
llatérales dans les couches inférieures se ramifient dans le plexus
optique
, ou strie de Gennaiu, entre les cellules étoilées
tré aussi l'existence de fibres centrifuges mêlées aux radiations
optiques
centripètes. C'est à Flechsig que revient l'honne
res- sionnée fortement, l'impression s'est propagée par les nerfs
optiques
, les bandelettes, les noyaux gris centraux, les r
tiques, les bandelettes, les noyaux gris centraux, les radia- tions
optiques
jusqu'au centre visuel cortical. Là s'est pro-
fléchie par les fibres nerveuses centrifuges, mêlées aux radiations
optiques
centripètes, jusqu'aux noyaux gris centraux, où
itation passe bien par les fibres centrifuges mêlées aux radiations
optiques
, c'est que les expériences donnent les mêmes ré
s de se produire (Munk). Même chez les oiseaux où l'entrecroisement
optique
est complet l'excitation d'un seul lobe occipit
enticulaire, et plus en avant la partie supéro-interne de la couche
optique
. « Sur le pli de passage du lobule pariétal supér
ur postérieur vient directement de la périphérie par les radiations
optiques
'. - Wernicke 2 qui rapporte le cas de Tiling e
n même temps un foyer ancien du volume d'un haricot, dans la couche
optique
, à sa sur- face externe, contre la capsule inte
étendues. Au niveau de la pédiculo-pariétale, le foyer de la couche
optique
a creusé presque toute la partie ventriculaire
cule et rejoignant une hémorragie de la partie externe de la couche
optique
. Dans un cas, l'hémor- ragie était limitée au b
cellules du noyau rouge, mais la plupart se dirigent vers le corps
optique
, où elles se terminent dans les noyaux internes e
ehors, il l'union du tiers supérieur et du tiers moyen de la couche
optique
. C'est la surface de section du fragment supéri
truit le tiers postérieur au noyau lenticulaire et de la couche
optique
et les deux tiers postérieurs de l'avant-mur
traux : le quart postérieur du noyau lenticulaire et de la couche
optique
, les deux tiers postérieurs de l'avant-mur ' ! %
qui est ici représentée (flg. 6) a sectionné en dedans la couche
optique
à l'union de son tiers supérieur avec son tiers m
au d'une coupe passant par la partie la plus inférieme de la couche
optique
. L'extension vers l'écorce cérébrale en dehors
moyen. L'auteur estime qu'il y a une lésion au niveau de la couche
optique
, tout en admettant la possibilité d'altérations
e la partie posté- rieure de la capsule interne affectant la couche
optique
, pourrait tendre à chercher de ce côté la local
té opposé à la lésion thalamique) laisserait supposer que la couche
optique
est indemne. Faut-il rechercher dans l'écorce la
hronique des poumons, dans l'observation Il il y a atrophie du nerf
optique
. L'ataxie et la simultanéité de la même maladie
la localisation patliolo- logique de la moelle. L'atrophie du nerf
optique
de l'observation Il bien que particulière, n'ex
e- dreich ; c'est une maladie de Friedreich avec atrophie du nerf
optique
, voilà tout. C'est vraiment ici une maladie fam
la fièvre peut bien tenir 1L la localisation du foyer dans le corps
optique
. M. KOR1\ILOFF pense que l'affection pourrait ê
réunissant les noyaux des cordons de Goll et de Burdach à la couche
optique
et des fibres moins longues s'arrêtant en diffé
grise et les voies courtes de la formation réticulée ; 6° La couche
optique
constitue un relai pour les voies ascen- dantes
ian s'arrête dans le noyau externe et le centre médian de la couche
optique
; -, 7° Les connexions de la couche optique ave
e médian de la couche optique ; -, 7° Les connexions de la couche
optique
avec l'écorce cérébrale se font par le système
ivre de ces fibres jusqu'aux cellules du noyau externe de la couche
optique
; -elles subissent donc, dans l'espèce, une int
pulvinar, les parties postérieures du noyau antérieur de la couche
optique
, notre faisceau était presque seul conservé alo
ne s'expose plus au sulfure de carbone. P. K. XXIII. Le faisceau
optique
médian du pigeon; par A. WALLEXBERG. (Neurolog.
ALLEXBERG. (Neurolog. Ceutoalbl., XVII, 1898.) Dans la bandelette
optique
de l'oiseau, on distingue un groupe REVUE D'ANA
thétique, que l'on appelle ganglion de l'isthme (Edinger), ganglien
optique
pos- térieur (Jelgersma). Mais, la preuve de
de l'isthme, il fournit, à travers le cer- veau moyen et la couche
optique
, des libres à l'écorce du lobe optique, à la pa
r- veau moyen et la couche optique, des libres à l'écorce du lobe
optique
, à la partie supérieure du corps genouillé thalam
emble s'entrecroiser, car on n'en trouve pas de fibres dans le nerf
optique
du même côté, qui puissent être certainement te
t être certainement tenues pour dégénérées. Du chiasma, le faisceau
optique
médian gagne d'abord le bord externe du nerf op
le faisceau optique médian gagne d'abord le bord externe du nerf
optique
du côlé opposé ; puis, il oblique de haut en bas
s s'éloigner de la périphérie externe. L'examen d'une coupe du nerf
optique
, bien perpendiculaire à l'axe, montre que le fa
t bien un groupe médian à faible excen- tricité. L'entrée du nerf
optique
dans le globe de l'oeil a lieu sous la forme d'
t un compartiment postérieur, externe, inférieur. Or, le faisceau
optique
médian se répand presque complètement dans le com
timent externe et postérieur, en pénétrant, avec les autres fibres
optiques
, dans la rétine où il se termine entre les cellul
r les branches d'une pince. Le territoire in- nervé par le faisceau
optique
médian commence donc bien en dehors de la papil
on ne constate que quelques dégénérescences éparses. Le faisceau
optique
médian vient donc de l'isthme et se termine dan
fournit aux postes de terminaison centrale du nerf op- tique (lobe
optique
, corps genouillé thalamique, noyau à grosses ce
amique, noyau à grosses cellules). D'autre part, l'écorce du lobe
optique
contient une couche de cellules profondes qui f
iginelles de ce faisceau dans la substance blanche profonde du lobe
optique
ne reçoivent pas seu- lement les fibres termina
optique ne reçoivent pas seu- lement les fibres terminales du nerf
optique
, elles reçoivent encore des fibres centrales de
branche afférente (tractus isthmotectal) transmet les im- pressions
optiques
, acoustiques et sensitives d'autres centres aux
es de ce ganglion; celles-ci les renvoient aux fibres du fais- ceau
optique
médian qui représentent la branche efférente cent
eprésentent la branche efférente centri- fuge de l'arc. Le faisceau
optique
médian se terminant dans la rétine et dans les
n se terminant dans la rétine et dans les régions centrales du nerf
optique
, vient apporter et coordonner les diverses impr
ns et du testi- cule, l'atrophie du nerf auditif et'surtout du nerf
optique
, le tabes 422 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. et la p
le médecin constate une cécité double complète (atrophie des nerfs
optiques
), et un affaiblissement psychique profond. - Il y
des faisceaux de Goll. P. IERA ? 1L. LVII. Observation de névrite
optique
avec cécité bilatérale, de quatre semaines, ter
VII, 1898.) En sous-titre : Contribution à la clinique des névrites
optiques
pures et concomitantes. La plus fréquente des
s optiques pures et concomitantes. La plus fréquente des névrites
optiques
communes est la névrite optique rétrobulbaire.
. La plus fréquente des névrites optiques communes est la névrite
optique
rétrobulbaire. Mais la névrite aiguë rétrobulbair
ervée en haut et en dedans. Pas trace du sens des couleurs. Névrite
optique
bilatérale, égale des deux côtés, rappelant la
omparaison, la nomenclature et le résumé séméiologique des névrites
optiques
aiguës, à amaurose rapide : z 1° La névrite opt
e des névrites optiques aiguës, à amaurose rapide : z 1° La névrite
optique
rétrobulbaire périphérique; 2° La névrite optiq
z 1° La névrite optique rétrobulbaire périphérique; 2° La névrite
optique
à récidives ; 3° La névrite optique héréditaire e
ire périphérique; 2° La névrite optique à récidives ; 3° La névrite
optique
héréditaire et fami- liale ; 4° La névrite opti
; 3° La névrite optique héréditaire et fami- liale ; 4° La névrite
optique
au cours de la polynévrite ; 50 La névrite opti
; 4° La névrite optique au cours de la polynévrite ; 50 La névrite
optique
dans le tabes dorsal; 60 La névrite optique de
névrite ; 50 La névrite optique dans le tabes dorsal; 60 La névrite
optique
de l'encéphatite aiguë ; î° La névrite optique
orsal; 60 La névrite optique de l'encéphatite aiguë ; î° La névrite
optique
dans la myélite aiguë ou subaiguë ; 8° La névri
a névrite optique dans la myélite aiguë ou subaiguë ; 8° La névrite
optique
dans la sclérose en plaques ; 9° La névrite opt
; 8° La névrite optique dans la sclérose en plaques ; 9° La névrite
optique
dans la maladie de Guerher (vertige paralysant)
e la partie postérieure de la capsule interne et des irradiations
optiques
adjacentes ou du corps genouillé externe. L'aut
en faveur d'un néoplasme. Il s'agit de le localiser. Les deux nerfs
optiques
sont atteints dès les quel- ques mois qui succè
lement envahi les cavités oculaires, comprimé et atrophié les nerfs
optiques
et oculomotem communs; il y a eu (ce qui est as
l y a eu (ce qui est assez rare) infiltration de la gaine des nerfs
optiques
. La compression, d'abord exercée sur la partie
xercée par la compression sur une moitié du chiasma, une bandelette
optique
, les deux bandelettes optiques, les deux nerfs
une moitié du chiasma, une bandelette optique, les deux bandelettes
optiques
, les deux nerfs optiques, la compression finale
e bandelette optique, les deux bandelettes optiques, les deux nerfs
optiques
, la compression finale des fibres des nerfs optiq
les deux nerfs optiques, la compression finale des fibres des nerfs
optiques
aboutissant à l'ammt1'ose bilatérale complète.
cette anomalie se serait développée la tumeur maligne. La névrite
optique
est le grand symptôme des tumeurs de cette régi
tumeurs de cette région. Elle se termine par une atrophie des nerfs
optiques
(Bath); mais elle peut manquer quand la tumeur
à l'intérieur du crâne, ou quand elle comprime les gaines des nerfs
optiques
et empêche l'accès dans ces gaines du liquide c
159. Corps calleux. Balle dans le , par Chipault, 513. Cot,cm :
optique
. Tubercules de la-, par Démange et Spillmann, 5
HxniBti' ! 0.\ ! < ! srE.Prese ! )tation()'un, 150. Faisceau
optique
. Le - médian du pigeon, par Wallenberg, 424.
inique de Bruxelles, nos 10 et 14, 1900. A suivre.) XXVI. Névrite
optique
et lactation; par Pallemaerts. (Policli- , niqu
riode prodro- mique; malaise, mal de tête unilatéral; hyperesthésie
optique
et acoutisque, nausée et même vomissements, ano
iels jacksoniens, en tant qu'aura sensorielle, puissent remplacer l'
optique
. Comment, par exemple, cette aura (optique, et à
le, puissent remplacer l'optique. Comment, par exemple, cette aura (
optique
, et à la rigueur sensorielle) acquiert des rela
le diagnostic : tumeur de la base située près du chiasma des nerfs
optiques
. A l'autopsie, rien de semblable, on trouva une
e l'action de la suspension sur les affec- tions chroniques du nerf
optique
, le distingué savant russe l'explique par l'hyp
ent, agit utilement sur des lésions atrophiques et d'autres du nerf
optique
, dépendant des affections médullo-cérébrales. «
tion. » Une telle - action de la suspension sur les lésions du nerf
optique
, le professeur Bechtereff l'explique, comme nou
laire du suc gastrique est exclusivement nerveuse. D. - Les couches
optiques
et les tubercules quadri junteatcx antérieurs c
istopathologiques (altérations des cellules corticales et des nerfs
optiques
comparables aux lésions toxi-infectieuses), ana
vont que jusqu'au toit des tubercules quadrijumeaux et à la couche
optique
. La même distance est parcourue par les plus lo
laques du cerveau l'une d'elles avait complètement sclérosé le nerf
optique
gauche, une autre à la protubérance occu- pait
même région, exophtalmie gauche, hémia- nopsie bitemporale, névrite
optique
, céphalées occipitales paroxys- tiques, somnole
aru, le champ visuel est plus étendu, le plié- nomène de la névrite
optique
est moins prononcé, l'insensibilité faciale a d
tempe droite : lésion probable de l'oculo-moteur commun et du nerf
optique
à l'extrémité postérieure de l'orbite. ' Dans
qui néanmoins entendent bien ; il y a ici fai- blesse, des centres
optiques
, tactiles et moteurs, ou acoustiques, tactiles
lentours du canal. Ilémorrllajies miliaires récèntes dans les corps
optiques
. La circonvolution centrale gauche et le lobe p
galement résumées, témoignent de l'idiotie, avec atrophie des nerfs
optiques
, dues à la syphilis héréditaire : elles apparti
riel de la parole ne gagnent plus les autres territoires corticaux,
optique
, tactile, etc., et n'éveillent plus l'intellige
troubles pupil- laires et patellaires. Atrophie commençante du nerf
optique
à droite. C'est une syphilis héréditaire tardiv
nie, leurs conséquences, leur pronostic et leur traitement. Le nerf
optique
est le nerf le plus souvent atteint; après lui,
ond lieu, elle se confond, pour ainsi dire, avec l'étude de la voie
optique
centrale, sur laquelle plane encore maintes obs
la perception visuelle ne peut dépendre que d'une lésion de la voie
optique
centrale. Comme, d'autre part, les autres manif
ur le compte de lésions diffuses de la portion terminale de la voie
optique
. Tout à l'heure, je vous rappellerai ce que nou
'heure, je vous rappellerai ce que nous savons du trajet de la voie
optique
considérée depuis son point de départ, dans la
e et la séméiologie de l'hémianopsie. - VUE d'ensemble DE la voie
optique
. - Vous n'ignorez pas que tous les nerfs sensit
x, prennent naissance en dehors des centres nerveux. Ainsi, le nerf
optique
prend naissance dans la cou- che la plus intern
s cellules, ne sont autres que les cylindraxes des fibres du nerf
optique
. Ils convergent vers la papille, vers la tache av
ïde et la sclérotique, s'échappe de la cavité orbitaire par le trou
optique
et pénètre dans le crâne. Après un trajet int
un trajet intra-crânien de 10 à 12 millimètres, les fibres du nerf
optique
subissent un entrecroisement partiel, dans le c
isement partiel, dans le chiasma, auquel font suite les bandelettes
optiques
: Archives. 2' série, t. XIII. 29 Fig. 2.5. C
II, liipocampe. - v, ergot de 111oran. - Tp, Tapent RO, radiations
optiques
. - lli, faisceau longitudi- nal inferieur. Cal,
ement vers les deux taches jaunes. En définitive, chaque bandelette
optique
renferme des fibres venues des deux globes ocul
rme des fibres venues des deux globes oculaires : , La bandelette
optique
de droite renferme les fibres issues du segment
l gauche. Conséquemment, une lésion qui désorganise la bandelette
optique
droite engendrera une hémianopsie homonyme la-
p visuel. Inversement, une lésion qui désorganise la bande- lette
optique
gauche engendrera une hémianopsie latérale droi
droites du champ visuel. Si nous poursuivons le trajet de la voie
optique
jusqu'à son terminus, nous verrons les fibres c
erminus, nous verrons les fibres constituantes de chaque bandelette
optique
aboutir, en partie du moins, à trois amas de su
orce du pulvinar, c'est-à-dire à la partie postérieure de la;couche
optique
. De ces trois territoires d'aboutissement des f
trois territoires d'aboutissement des fibres réti- niennes du nerf
optique
, le premier est de beaucoup le plus SUR TROIS c
ganglions spi- naux. Conséquemment, les fibres rétiniennes du nerf
optique
viendraient se terminer dans les amas susdits d
s longs, allant aboutir aux centres corticaux de la vision. La voie
optique
se résoudrait donc en deux catégories de neuron
utres que la sphère visuelle corticale. Cette conception de la voie
optique
n'est point partagée par tous les anatomistes.
s. Ainsi, d'après van Gehuchten, le neurone périphérique de la voie
optique
est représenté par la cellule bipolaire de la r
qui forme le cylin- draxe de la fibre nerveuse constituante du nerf
optique
. Au delà des bandelettes optiques, les prolonge
ibre nerveuse constituante du nerf optique. Au delà des bandelettes
optiques
, les prolongements longs des cellules nerveuses
tubercules quadrijumeaux antérieurs, partie postérieure des couches
optiques
. ' Les autres pénétrant directement dans la sub
l'important est de savoir que toute lésion qui désorganise la voie
optique
d'un côté, dans la portion de son trajet compri
choses von t se passer dans les cas où une lésion intéresse la voie
optique
dans sa portion la plus centrale et notamment l
ont se composent SUR TROIS cas d'hémianopsie. 453 les bandelettes
optiques
, vont aboutir, les unes, à des masses grises ce
es se condensent en un faisceau désigné sous les noms de radiations
optiques
de Gratiolet, de pédoncule Fig. 26. Ci, capsule
- Ne, noyau caudé. - Ily, hypocampe. -Ta, tapetum. - RO, radiations
optiques
. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Cal, s
issure calcarine. 454 CLINIQUE NERVEUSE. .postérieur de la couche
optique
, de faisceau optique intra- cérébral (Testut).
54 CLINIQUE NERVEUSE. .postérieur de la couche optique, de faisceau
optique
intra- cérébral (Testut). ' A son origine, il
D'abord compact et ramassé sur lui-même, le faisceau des radiations
optiques
va en s'élargissant, au sur et à mesure qu'il s
t être considérées comme le lieu d'aboutissement des fibres du nerf
optique
. En outre, elle confirme les assertions de Wilb
sure calcarine doit être un lieu d'aboutissement des fibres du nerf
optique
. z qui partent de la tache jaune de chaque côté
tale. Je la formulerai ainsi : Toute lésion qui désorganise la voie
optique
d'un seul côté, en un point quelconque de son p
rs, elles ne sauraient être locali- sées dans la portion de la voie
optique
, où les fibres consti- tuantes de cette voie so
de la malade que je vous ai présentée en premier lieu. L'aphasie
optique
, c'est-à-dire la perte de la faculté de désigne
hère gauche, quand elle dépend d'un processus qui intéresse la voie
optique
dans son parcours terminal. 1 Diagnostic. -
duira une hémianopsie homonyme, pour peu qu'il entame le faisceau
optique
intra-cérébral, représenté par les radia- tions
le faisceau optique intra-cérébral, représenté par les radia- tions
optiques
de Gratiolet; il aboutira donc au même résultat
rhagie de l'artère sylvienne, a entamé le faisceau des radiations
optiques
. Supposons qu'il en fut autrement, chez notre m
l'artère cérébrale moyenne, ayant retenti sur le faisceau cérébral
optique
, par voie de compression et d'is- chémie, ou pa
hémianopsie, lorsque la lésion, dont elle dépend, intéresse la voie
optique
, en amont de la naissance du faisceau des radia-
e corps genouillé externe et par la partie postérieure de la couche
optique
(pulvinar), sont de véritables postes de relais
ont de véritables postes de relais, placés sur le trajet de la voie
optique
. Autant que je sache, on ne connaît pas encore
re, les lésions qui inté- ressent la partie postérieure des couches
optiques
donnent incontestablement lieu à de l'hémianops
lésion du pulvinar, du corps genouillé externe (ou de la bandelette
optique
), le malade a conscience de son hémi- anopsie :
psie symptomatique d'une lésion qui intéresse l'une des bandelettes
optiques
dans toute son épaisseur (en A fig. 30), et là
ituel, quand la lésion siège au voisinage du point où la bandelette
optique
se perd dans l'hémisphère cérébral. Il n'en est
lle peut n'intéresser qu'une portion limitée d'une seule bandelette
optique
ou des deux. Si elle agit sur les deux bandelet
ndelette optique ou des deux. Si elle agit sur les deux bandelettes
optiques
, au voisinage et en arrière du chiasma (en E),
agnostic topographique des lésions qui, intéressant les bandelettes
optiques
ou le chiasma, don- nent lieu à de l'hémianopsi
ion des pédoncules cérébraux), c'est signe que les deux bandelettes
optiques
, ou l'une d'elles, se trouvent lésées à une cer
hémianopsie, selon que la lésion dont elle dépend intéresse la voie
optique
dans telle ou telle por- tion de son trajet :
, hipocampe. - v, ergot de Moran. - - Tp, Tapelum. - RO, radiations
optiques
. Fli, faisceau longitudi- nal inférieur. - Cal,
es troubles aphasiques : cécité verbale, surdité verbale, aphasie
optique
, aphasie motrice (aphémie) ; sans compter les hal
rps genouillé externe Cge, ou de la partie postérieure de la couche
optique
, du pulvinar P, est toujours homonyme. Elle dif
symptomatique d'une lésion A, qui inté- resse l'une des bandelettes
optiques
dans toute son épaisseur, est également homonym
symptomatique d'une lésion partielle, B ou B', des deux bandelettes
optiques
se traduit par une hémianopsie bitemporale. I
opsie qui dépend d'une lésion partielle d'une seule des bandelettes
optiques
est unilatérale ; Elle est nasale et siège du m
rs avoir présents à l'esprit le trajet et les connexions de la voie
optique
, depuis son origine réti- nienne jusqu'à son te
écède, il n'a pas été question des fibres des- cendantes de la voie
optique
, des fibres qui, ayant leur ori- gine dans la s
lus sûr. le plus caractéristique des alté- rations au début du nerf
optique
. Pour savoir si le malade présente quelques alt
s patholo- gique qui préside au développement de l'atrophie du nerf
optique
. A son avis, dans la papille du nerf optique, l
de l'atrophie du nerf optique. A son avis, dans la papille du nerf
optique
, le tissu connectif inter- calé aux fibrilles n
conjonctif, une inflammation inter- stitielle du nerf, une névrite
optique
interstitielle. Les phénomènes de l'amblyopie f
ocalise fout au début dans la portion rétro-oculaire du nerf (canal
optique
) : la dégénérescence des fibres nerveuses, qui
, 394. - d'angoisse d'o- ng1l1e sexuelle par Manaud, 525. Névrite
optique
et lactation, par Parllemaert, 53. - aiguë. Voi
le pédoncule (P) et en haut l'ex- trémité postérieure de la 'couche
optique
correspon- dante (C 0); si la coupe avait porté
, on verrait, en dehors du pédon- cule, la section de la bandelette
optique
; ici, vu le niveau susindiqué, à la place de c
- rieure du corps godronné et répond très médiatement à la couche
optique
, son bord postérieur très mince se continue ave
ne (Ia). Cette bandelette est, avec la face supérieure de la couche
optique
et avec les plexus choroïdes, dans les mêmes ra
elette du trigone) et d'autre part à la limite externe de la couche
optique
(contre le noyau caudé du corps strié) ; en c e
oupe passant par les tuber- cules quadrijumeaux (TQ) et les couches
optiques
: en arrière de la couronne rayonnante, on trou
us choroïdes et venir se rattacher à la limite externe de la couche
optique
, contre le noyau caudé du corps strié (figuré c
ôté opposé LA CORNE D'AMMON. 21 par toute l'épaisseur des couches
optiques
(ou pour mieux dire des tubercules quadrijumeau
l'encéphale de l'homme au niveau des corps genouillés; - CO, couche
optique
; CC, corps genouillés ; V, ca- vité du divertic
des hémisphères (ventricules laté- téraux) ; 2, cavité de la couche
optique
(3- ventricule); 3, cavité des tubercules quadr
se, des tubercules qua- drijumeaux, l'aplatissement des bandelettes
optiques
, l'amin- cissement des nerfs optiques témoignen
aplatissement des bandelettes optiques, l'amin- cissement des nerfs
optiques
témoignent de la compression. Epaississement de
observa- 'tions ont montré que les signes physiques de la' névrite
optique
et de'la neuro-rétinite peuvent exister sans qà
ans qàe,lé malade ac- cuse aucun- trouble de la vue : Cette névrite
optique
peut s'ac- compagner de la paralysie d'uni ou d
t ? . tfl i-' t t 'i' < FQii ? ). OBSEIIVATION. 111 ? ( Névrite
optique
terminée par l'atrophie du nerf, optique droit
EIIVATION. 111 ? ( Névrite optique terminée par l'atrophie du nerf,
optique
droit ? sans autre phénomène* "cérébral, que do l
r y,btlT9f17 m '4t· Observation IV. -Ptosis du cû6 gauche,, névrite
optique
double. ? tjLtJ ? unu3-'jH.i'c.*j) ? t' ? -i ? t
e-même d'une lésion plus ou moins grave ; soit à une lésion du nerf
optique
à son pas- sage dans le trou optique; , 3° Le
ve ; soit à une lésion du nerf optique à son pas- sage dans le trou
optique
; , 3° Les cas dans lesquels l'amaurose a été at
truction du lobule de l'insula du colé droit; Atrophie de la couche
optique
et du corps strié correspondants; Dégénération
, entre Fig, 9. C , corps calleux. C. S., corps strié. 0., couche
optique
. RECUEIL DE FAITS. 183 l'extérieur et la paro
forme de deux petits noyaux du volume d'un gros haricot. La couche
optique
est diminuée d'au moins les deux tiers de son v
ale ascendantes), et produit une atrophie considérable de la couche
optique
et du corps strié (Faj. 9 et 10), s'est propagé
H()IO.IIs MENTALE. ruban de substance blanche qui précède la couche
optique
surle plancher ventriculaire. Nulle trace de lo
ents. Un bourrelet caudiforme, paraissant bien distinctde la couche
optique
soudée inférieurement, tient lieu de corps stri
émie et des ecchymoses dans les noyaux lenticulaires et les couches
optiques
; tout le long de la moelle, prolifération cel-
à l'interruption de celle portion de l'arc réflexe qui lie le nerf
optique
à l'oculo-moteur, c'est-à-dire qui est interméd
dépend de l'interruption des voies qui unissent les noyaux du nerf
optique
et de l'oculo-moteuiv M. REMAK insiste sur cett
NG (de Strasbourg) montre des préparations de Uiiusmu et bandelette
optique
dans lesquelles les faisceaux non croisés sont
eur n'a pu les poursuivre jusque sur le tectum opticum de la couche
optique
. La racine descendante se divise en deux branch
'autre, plus faible, se dégage dans le pont de Varole. Dans le nerf
optique
les fibres n'affectent nullement la disposition
ne névrite ascendante du N. 0. qui toutefois ne dépasse pas le trou
optique
, la portion inlra-crânienne du nerf et le chiasma
obe et des régions rétro-oculaires sur la portion orbitaire du nerf
optique
. Les troubles optiques qui suivent les blessures
ro-oculaires sur la portion orbitaire du nerf optique. Les troubles
optiques
qui suivent les blessures du crâne par un corps
otte et des revêtements membraneux et non de la commotion cérébrale
optique
ou rétinienne. De l'occurrence des accès épilep
raux dans la cavité crânienne, SOCIETES SAVANTES. 241 ' les nerfs
optiques
dansl'orbite, on observe la disparition totale de
esse latéralement sur un globe oculaire de façon à déranger l'axe
optique
, on provoque la même diplopie, qui a déjà, du r
une étude d'analomic, sur l'origine et l'entre-croisement des nerfs
optiques
. Thèse de 1880.- Gille. De l'lvémiopie avec hém
fut pas acceptée sans contestation. L'étude anatomique des nerfs
optiques
, du chiasma, des bandelettes et du faisceau sen
on- culaire, sur une ligne verticale passant en dehors de la couche
optique
, a coupe irrégulièrement triangulaire de la ban
uche optique, a coupe irrégulièrement triangulaire de la bandelette
optique
. (Fere. Contribution à l'étude des troubles fon
our l'homme, car rien ne démontre que l'entre-croisement des fibres
optiques
est le même chez le singe que chez l'homme. M.
être autorisé à soupçonner une action à distance sur la bandelette
optique
, et un grand nombre de faits anatomiques que no
ie peuvent résulter d'une lésion cérébrale avec intégrité des nerfs
optiques
et des bandelettes ; il est bien prouvé que l'a
nt-elle à ce qu'il existe des variétés d'entre-croisement de fibres
optiques
analogues aux variétés d'entre-croisement que l
cherches antérieures sur le même sujet. II. Du ciiiasma des nerfs
optiques
; par le Dl Stilling (de Strasbourg). (Congrès d
. Psychiatrie.) Les deux corps quadrijumeauxsont des noyaux du nerf
optique
, celui-ci, aux termes de ces recherches, ne pos
racines cérébro-médullaires. P. K. III. DE la DISTRIBUTION DU NERF
OPTIQUE
dans la rétine DU lapin; par le D1 Bum,i, de Mu
ol., XXVI) avait démontré que l'entre-croisement des fibres du nerf
optique
dans le chiasma n'est que partiel ; le Dl Bumm
montre en outre, par les mêmes procédés, que l'expansion du nerf
optique
est indépendante des autres couches de la rétine,
travaux antérieurs au présent mémoire à admettre, dans les couches
optiques
, des centres inhibiloires empêchant les contrac
tion d'un hémisphère cérébral immédiatement eu arrière de la couche
optique
, puis une hémi-section de la moelle ou seulemen
s rhythmiques des sphinc- ters, prennent naissance dans les couches
optiques
, puis des- cendent dans l'axe gris, et, à leur
trié; 3° d'autres se jettent dans la couche revue d'anatomie. 34Î
optique
et les corps genouillés; 4° d'autres enfin vont f
de la pupille en général, remplace l'impres- sion sensitive du nerf
optique
par l'impression d'une idée mentale, et considè
optique par l'impression d'une idée mentale, et considère les lobes
optiques
comme le centre réflexe com- mun à ces deux ord
En dé- finitive, il localise les émotions tristes dans les couches
optiques
droites, et les gaies dans les couches optiques
es dans les couches optiques droites, et les gaies dans les couches
optiques
gauches. Le tra- ducteur admet les opinions de
, à l'auteur du meilleur mémoire relatif aux fonctions de la couche
optique
chez l'homme. Les conditions du concours sont l
238. Ophthalmique ( 1 i..Izllllc), 351. TABLE DES MATIÈRES. 383
Optique
(bandelette, chiasma),936. .( ? (distubution du
l'encéphale de l'homme au nireau des corps genouillés; - C0, couche
optique
; CC, corps genouiIIGs; - V, ca- N lié du rliver
é des hémisphùies (ventricules laté- iau\) ; 2, cavité de la couche
optique
(3e ventricule); 3, cavité des tubercules quadr
ÉBRO-SPINAL. A, lobe olfactif. B, lobe cérébral. - .. - C, lobe
optique
. C', cavité du lobe optique. Cru, deuxième fe
f. B, lobe cérébral. - .. - C, lobe optique. C', cavité du lobe
optique
. Cru, deuxième feuillet du lobe oplique. D, c
. moyen allant : 1 la commissure ail f. b, corps strié. c, couche
optique
. d. membrane cérébrale née du pourtour exté-
érébrale née du pourtour exté- rieur du corps strié et de la couche
optique
. e, faisceau convergent de cette membrane, dans
roïde, v, veines de la-choroitle. «-, rétine et insertion du nerf
optique
. p, iris. , . ' p', palmette de la pupille de
aire... ^ 1)1. c, plexus choroïdien ou glande choroïde. 7 7T nerf
optique
plissé. , , 5, névrilemmc. , c. v, corps vitr
névrotique qui coiffe le globe de l'oeil. ' Fig. 4. Encéphale, nerf
optique
et rétine déplissés du (mugit 'cephafus) mulet ou
rveux du trygla lyra, vus en-dessus. Les lobes olfactif, cérébraux,
optiques
, et le cervelet, ont été enlevés pour montrer l'i
scle droit interne. - 3 et 4- Muscle droit externe. 1 / ' 5. Nerf
optique
. - - 6. Artère opthalmique coupée, venant de l'
lobe; cette pie-mère a été enlevée à gauche pour montrer la couche
optique
et le corps strié. Fig. 7. Coupe verticale du c
e et le corps strié. Fig. 7. Coupe verticale du cervelet; des lobes
optiques
et de la protubérance chez l'homme. Fig. 8. M
ides au-dessus de ce premier étage, pédoncules du cerveau , couches
optiques
et fibres dont le repli forme les éminences mam
lig. 3. Face inférieure de l'encéphale du cycloptère lump. Les nerfs
optiques
sont éloi- 9 gnés de l'échancrure qui les reç
re qui les reçoit par juxia-position au-devant de la base des lobes
optiques
. ' , Fig. 4. Système nerveux de la vive (t1'ach
t1'achinus draco), vu en-dessus. 5. Gaine né- vrilemmaliquc du nerf
optique
ouverte à gauche; droite, les plis sont montrés
les plis sont montrés ' ouverts par une section faite près du lobe
optique
. ' - - Fig. 5. Systèmes nerveux du merlan (gadu
adus mC1'ang1t), vus en-dessous. Fig. G. Coupe transversale du nerf
optique
déplissé de la cigogne à marabou (A1'dec £ Dubi
e terrestre, vu en-dessous. - ' Fig. 5. Idem, vu en-dessus. Le lobe
optique
est ouvert, ainsi que l'hémisphère cé- rébral g
res romains ont leur signification ordinaire. a. Jonction des nerfs
optiques
. - e. entonnoir ou pédicule de la glande pituitai
et même 111('nsurablt, mathématiquement. De petites lésions du nerf
optique
, invisibles il l'oplitalmoscope. peuvent être déc
xplorer les troubles fonctionnels du système nerveux oculaire (nerf
optique
, nerfs moteurs du globe, nerfs des muscles intrin
DE L'EXAMEN^DU SYSTÈME NERVEUX DE L'OEIL i EXPLORATION DU NERF
OPTIQUE
ET DE LA RÉTINE , Au point de vue fonctionnel,
stance entre l'oeil et l'objet qu'il regarde. , EXPLORATION DU NERF
OPTIQUE
ET DE LA RÉTINE. 3 de ces deux procédés. L'acui
représentation des images rétiniennes h, e : m. EXPLORATION DU NERF
OPTIQUE
ET DE LA RÉTINE, - 5 L'élimination des opacités
mesurer la sensibilité rétinienne centrale, et EXPLORATION DU NERF
OPTIQUE
ET DE LA RÉTIr. 7' . - on ne s'expose pas à met
é d'après l'examen au sté- rcoscope (ltorax). EXPLORATION DU NERF
OPTIQUE
ET DE LA RÉTINE. 9 Vision centrale pour la lumi
d'un petit index blanc Fig. 8. Le périmètre. EXPLORATION DU NERF
OPTIQUE
ET DE LA RÉTINE. 1) est placé à l'une des extré
EUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Au début de certaines atrophies du nerf
optique
, le champ visuel ne présente à sa périphérie qu
0 (S). En procédant de la sorte, on explore toute l'étendue du nerf
optique
et de son expansion à la surface interne du glo
ible à l'ophtalmoscopc, ne passe pas inaperçue. EXPLORATION DU NERF
OPTIQUE
ET DE LA RÉTINE. 13 Sensibilité de la rétine pé
l'image droite. B a l'image renversée (Morax). EXPLORATION. DU NERF
OPTIQUE
ET DR LA RÉTINE. 15 5 subjectif bien fait laiss
te. , Il est donc'inutile de décrire les multiples lésions du -nerf
optique
et de la rétine. Je me contente d'indiquer les
firmer que le trouble visuel est le résultat d'une lésion des voies
optiques
. De là l'utilité de pouvoir les constater par u
laire (scléro- tique, choroïde, rétine), et enfin lésions des voies
optiques
dans toute leur longueur, de la rétine il l'éco
e la vue, pour les éliminer quand on soupçonne une lésion des voies
optiques
. J'ai d'ailleurs indiqué, il la partie techniqu
cupe que des diminutions de la vue imputables aux lésions des voies
optiques
. ACLYortESErAMAunosES. Le mot amblyopie, dans l
nse majorité des cas, produite par une lésion de l'appareil nerveux
optique
(lésion rétinienne invisible il nos yeux, lésion
optique (lésion rétinienne invisible il nos yeux, lésion des nerfs
optiques
, du chiasma, des bandelettes, des fibres optiques
lésion des nerfs optiques, du chiasma, des bandelettes, des fibres
optiques
dans leur tra- jet hémisphérique jusqn l' écOl'
'Cl' el'rébrale). Mais, la situation exacte des lésions sur la voie
optique
, leur nature, connues dans quelques cas (ht;llI
oubles visuels ne sont nullement le résultat d'une lésion des voies
optiques
. Ils proviennent d'un trouble nerveux moteur du
nique, circulatoire ou inflammatoire. Tels sont l'hyperémic du nerf
optique
, la névrite optique, la névro-rétinite, les exa
ou inflammatoire. Tels sont l'hyperémic du nerf optique, la névrite
optique
, la névro-rétinite, les exaspérations d'irido-c
71° Troubles visuels par action dynamique sur le système nerveux
optique
(rétine, nerf optique, chiasma, capsule interne,
s par action dynamique sur le système nerveux optique (rétine, nerf
optique
, chiasma, capsule interne, écorce). , Ce dernie
olie de l'artère centrale de la rétine, certaines formes de névrite
optique
rétrobulbaire à début brusque, présentent des l
l'intoxication saturnine sont souvent le fait d'une lésion du nerf
optique
(névrite, atrophie) visible à l'ophtalmoscope.
ses connues (hystérie, lésions du trijumeau, altéra- tion des voies
optiques
intra-cérébrales, hémianopsie) ; d'autres, tout e
ôté des affections qui atteignent la totalité des fibres de la voie
optique
et par suite toute l'étendue du champ visuel, il
tres, plus nombreuses, qui touchent une partie seulement des fibres
optiques
. et n'altèrent que certaines portions du champ
portions du champ visuel. ' La destruction d'une partie des fibres
optiques
entraîne toujours la perte ue la vision aans un
me. Il ne s'agit pas alors d'une interruption des fibres de la voie
optique
, mais d'une interruption des rayons lumineux en
ènera la perte de la vision dans la J<'ig. 58. K, fibres dn nerf
optique
; L lésion située à la surl'arc de la rétine; .
L lésion située à la surl'arc de la rétine; . Lo, lésion des libres
optiques
avant leur entrée ou à leur entrée dans l'oeil. -
ntrique plus ou moins régulier du champ visuel (altérations du nerf
optique
, rétinite pigmentaire, glaucome). Bien -qu'un exa
iphérie du champ visuet provien- nentdes lésions du système nerveux
optique
situé en avant du olrirrwan, LACUNES DANS LE CH
t du olrirrwan, LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL. AT, lésions du nerf
optique
(névrite, atrophie), lésions de la rétine {plaque
étiniennes, sans lésions papillaires, il faut penser à une atrophie
optique
qui commence. Ces déformations irrégulières par
ue qui commence. Ces déformations irrégulières par lésion des voies
optiques
antérieures contrastent avec les déformations s
si régulières que nous allons retrouver dans les lésions des voies
optiques
au niveau et en arrière du chiasma. - Lacunes p
'hémianopsic est un trouble visuel résultant de la lésion des voies
optiques
au niveau ou au delà de leur entre-croisement, c'
érébrale.- , La marche des fibres nerveuses qui constituent le nerf
optique
explique bien ce symptôme (fig. 59). - Les fi
optique explique bien ce symptôme (fig. 59). - Les fibres du nerf
optique
droit se divisent au niveau du chiasma en deux
he. C'est le faisceau croisé. ~ Même trajet pour les fibres du nerf
optique
gauche. Par suite de cet entre-croisement, les
nerf optique gauche. Par suite de cet entre-croisement, les tractus
optiques
au delà du chiasma (entre le chiasma et l'écorc
et l'écorce) sont formés, à droite, par les fibres temporales de l'
optique
droit et nasales de l'optique gauche; à gauche,
roite, par les fibres temporales de l'optique droit et nasales de l'
optique
gauche; à gauche, par les fibres temporales de
sales de l'optique gauche; à gauche, par les fibres temporales de l'
optique
gauche et nasales de l'optique droit. Dans ce
uche, par les fibres temporales de l'optique gauche et nasales de l'
optique
droit. Dans ces conditions, une interruption de
l'optique droit. Dans ces conditions, une interruption des voies
optiques
droites, en arrière du chiasma, fera cesser les
C'est l'hémianopsie Ir.onzo- latérale gauche. La lésion des voies
optiques
de gauche, en arrière du chiasma, amène de la m
vers la droite dispa- 1 ig. 59. Schéma- des voies opliques. N, nerf
optique
; R, noyaux réflexes du mésocéphale ; GO, gangl
u mésocéphale ; GO, ganglion ophtal- mique. 'En Irait plein : voies
optiques
de gauche. LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL. 45 m
provoque la cécité. Sur le schéma (lig. 59), les'fibres de la voie
optique
vont de l'oeil il l'écol'ce cérébrale des cunéu
s les ganglions du 111(,Isocéphile (corps gcnouillé externe, couche
optique
, tubercule quadri- jjlueau antérieur). C'est da
réflexe pupillaire. La sensation lumineuse transportée par le nerf
optique
file bien en partie au delà du mésencéphale ver
existe là un arc réflexe complet avec une voie centripète (le nerf
optique
), un centre (noyaux du mésocéphale), une voie cen
voie centrifuge (les nerfs moteurs de l'oeil). ' Coupez les voies
optiques
en avant des noyaux du mésocéphale et vous [FOU
cité complète avec perte des réflexes pupillaires. Coupez les voies
optiques
en arrière des noyaux du mésocéphale et vous aure
des réflexes pupillaires signifie : lésion cérébrale, sur les voies
optiques
, en arrière des noyaux du mésocéphale, entre ceux
moscopiques, témoignant d'une dégénérescence atrophique des fibres
optiques
. C'est encore dans cette variété d'hémianopsie, q
e l'hémianopsie bitemporale. Si l'on se reporte au schéma des voies
optiques
, il est aisé de constater que l'hémianopsie bi-
rophies, les dégénérescences qui peu- vent se produire dans le nerf
optique
. Hémianopsie hétérolatérale binasale. - Dans l'
nopsies véritables ont au contraire pour cause une lésion des voies
optiques
en arrière du chiasma. Variations sémiologiques
ie suivant le siège des lésions. Une lésion intéressant les voies
optiques
dans leur long trajet du chiasma à l'écorce occ
siège. Les tractus ou les centres nerveux qui avoisinent les voies
optiques
, peuvent, en effet, être atteints par la même lés
vent, en effet, être atteints par la même lésion qui coupoles voies
optiques
, et donner lieu à des symptômes associés. D'aille
ifférences suivant le point où se produit l'interruption des fibres
optiques
intracràniennes. Ces : symptômes associés et ce
une projection rétinienne analogue dans toute la longueur des voies
optiques
, de la rétine il l'écorcc cérébrale. C'est une
itable représentation ou pro- jection rétinienne que dans les voies
optiques
extra-cérébrales. Au niveau du corps gcnouillé
des sensations transmises par les faisceaux systématisés des voies
optiques
extra-cérébrales. Néan- moins, les opinions et
pbatique d'une hémianopsie. Hémianopsie par lésion de la bandelette
optique
. L'hémianopsie est ordinairement absolue. La li
e. Assez souvent se produit une dégénéres- cence atrophique du nerf
optique
. Réaction hémiopique de Wernicke. - 11 est un s
réllexe lumineux de la pupille dont la voie centripète est le nerf
optique
, la voie centrifuge le M. 0. C. siège dans les
des champs visuels restants, la dégénérescence atrophique des nerfs
optiques
, la diminution de l'acuité visuelle centrale, la
distinguer de la cécité corticale. Hémianopsie par lésion du nerf
optique
. - D'ordinaire. une atrophie du nerf optique at
sie par lésion du nerf optique. - D'ordinaire. une atrophie du nerf
optique
atteint le champ visuel sur tout son pourtour.
ent-elles avec prédilection les faisceaux temporal ou nasal du nerf
optique
. Cela n'aurait rien d'im- possible puisqu'on vo
b. .I 0 S). Et encore n'existent-ils guère dans les lésions du nerf
optique
(atrophie, névrite). Ils sont, en général, le f
la ligne visuelle partant de l'objet fixé et passant par le centre
optique
de l'oeil atteint la rétine. Cette règle permet
uccessive- ment : 1° le muscle paralysé; 2° le siège dans les voies
optiques
de la lésion interruplrice; 5° la nature de cet
nature de cette lésion (diagnostic étiologique). Suivons les voies
optiques
de la périphérie vers les centres. 1° Paralys
'une manière élective sur certains faisceaux (f. maculaire) du nerf
optique
; la diphtérie n'atteint-elle pas avec prédilect
on particulière de la lésion dans les points 1, 2, 5, 4 4 des voies
optiques
réflexes, sur les fibres reliant les noyaux réfle
facial; le faisceau postérieur est intimement mêlé aux radia- tions
optiques
. , Dans la capsule interne, le faisceau antérie
bras antérieur; les fibres postérieures accompagnent les radiations
optiques
. ' Au niveau du pédoncule, on ne peut actuellem
nt probable- ment l'étage supérieur (la partie voisine de la couche
optique
). Dans la protubérance a lieu l'entrecroisement
fibres du facial ou partie postérieure au voisinage des radiations
optiques
; d) lésions du pédoncule cérébral dans l'étage
étage supérieur (faisceau de la calotte), au voisinage de la couche
optique
(fibres oculo-motrices du centre postérieur auxqu
de vomisse- ments, de constipation, quelquefois de lésions du nerf
optique
, de trou- bles de l'odorat et de l'ouïe. La m
xes lumineux de l'iris ont pour voie centripète, la rétine, le nerf
optique
, pour centre réflexe les noyaux dumésocéphale,
réflexe sera réalisée dans toute affection de la rétine ou du nerf
optique
détruisant la totalité des fibres nerveuses qui
totalité des fibres nerveuses qui le constituent : section du nerf
optique
, atro- phie complète avec amaurose, etc. L'amau
ré une cécité en apparence complète, avec signes d'atrophie du nerf
optique
, produire le réflexe pupillaire. De ces faits,
e centripète est constituée non par les fibres sensorielles du nerf
optique
mais par des fibres spéciales, ne percevant pas
la conduction réflexe. Ces fibres peuvent, dans certaines atrophies
optiques
, persister et fonctionner encore quand tout le
tiques, persister et fonctionner encore quand tout le reste du nerf
optique
est détruit. Jusqu'à ce que cette opinion soit
usion suivante : Il s'agit très probablement d'une lésion des voies
optiques
située au delà de l'arc réflexe, au delà des noya
plète, témoigne de ]'intl\., grité de l'arc réflexe sensoriel (nerf
optique
, noyaux mésencépfialiques. M. 0. C). L'examen
r compression du trijumeau, troubles visuels par altération du nerf
optique
, exophtalmie, etc.). Une lésion du tronc M. 0.
quadrijumeaux, du oc ventricule, des corps restiformes, des couches
optiques
. Affections des couches optiques, du 4e ventric
s corps restiformes, des couches optiques. Affections des couches
optiques
, du 4e ventricule, corps restifornies, du cerve
Le nystagmus s'accompagne souvent d'autres manifestations : névrite
optique
, paralysies oculaires, symptômes de méningite.
Il s'accompagne fréquem-j meut de céphalées, vomissements, névrite
optique
, titubation. , Tubes, myélites diffuses, syring
une lésion plus particulièrement localisée au cervelet, à la couche
optique
, au 4e ventricule, au corps restifonne, à la pr
visuel, microphtalmie, colo- bomes, nystagmus, altérations du nerf
optique
, affections qui dénotent l'existence de trouble
général le rétrécis- sement pour le blanc. Les affections du nerf
optique
(atrophie, névrite), altèrent très rapide- ment
eurs. La dyschroma- topsie constitue un bon signe de lésion du nerf
optique
. Elle s'accompagne d'une diminution souvent con
dyschro- matopsie, doit faire penser à un début d'atrophie du nerf
optique
. '1 Il faut peut-être rattacher aux dyschromato
Il faut peut-être rattacher aux dyschromatopsies par lésion du nerf
optique
, celle qui résulte de l'intoxication nicotillo-al
u moindre signe ophtalmoscopiqne au fond de l'oeil. Lésions du nerf
optique
. Les lésions du nerf optique au cours d'une tum
qne au fond de l'oeil. Lésions du nerf optique. Les lésions du nerf
optique
au cours d'une tumeur cérébrale sont si fréquen
e l'existence d'une tumeur intracranienne, il faut explorer le nerf
optique
. Les atte- rations sont d'ailleurs variables et
nts. Dans certains cas, c'est, une simple dégénérescence des fibres
optiques
, une atropine simple. Le plus souvent il s'agit d
iques, une atropine simple. Le plus souvent il s'agit d'une névrite
optique
, c'est-à-dire d'une altération inflammatoire du n
évrite optique, c'est-à-dire d'une altération inflammatoire du nerf
optique
, pou- vant d ailleurs présenter divers degrés d
ue, tubercu- leuse, etc.). Il exerce une action toxique sur le nerf
optique
. L'hypertension ne crée pas la névrite; elle fa
de céphalo-rachidien; elle le fait pénétrer dans les gaines du nerf
optique
jusqu'à son extrémité antérieure, jusqu'à la pa
e, et donne la papillite intense des tumeurs cérébrales. Atrophie
optique
. Elle peut résulter d'une compression au niveau
er d'une compression au niveau du chiasma ou il l'origine des nerfs
optiques
(tumeur de l'hypophyse, etc.). Il se produit, a
u début, très accentuée plus tard. Il faut retenir qu'une névrite
optique
évoluée, laisse une papille atrophique analogue
orps genouillé externe, tubercule l)uadrijull1eau antérieur, couche
optique
) peuvent être altérées. Tumeurs de' la base.
cussation du nerf côchléaire analogue à la semi-décussation du nerf
optique
.. Les fibres auditives condensées au niveau de
véritable névrite acoustique, explication déjà donnée pour le nerf
optique
et dans laquelle il faut admettre l'irritation
etc.), on trouvera la congestion et l'oedème papillaire, la névrite
optique
, la névrite rétro-bulbaire et l'atrophie papillai
essins, l'attitude d'une maquette de sculp- teur, etc. b) Mémoire
optique
. Pour les personnes, pour les portraits, pour l
le, qu'est-ce que l'on voit sur la place de la Concorde). Mémoire
optique
pour les choses : faire reconnaître au malade dif
u doigt sur le globe de l'oeil qui modifie le parallélisme des axes
optiques
; Binet et Féré ont remarqué expérimentalement q
rme), va se terminer dans les noyaux externe et médian de In couche
optique
(Dejerine, y. Monakow). D'après Long (') le ruban
dantes de la calotte viennent en fin de compte aboutir à la couche
optique
qui en constitue le relais.. C'est là le deuxième
le deuxième neurone sensitif (bulbo-tlcalazique). ° De la couche
optique
part le troisième et dernier neurone sensitif;
4" Neurone olivo-thalamigue. De là, elles se rendent à la couche
optique
de l'autre côté et peut-être aussi du même côté,
(commissure de Wernekink) et gagner, par le noyau rouge, la couche
optique
. Neurone thalamo-corlical. Le dernier chaînon d
ent : hémianesthésie thalamique (dans le cas de lésion de la couche
optique
). Distribution. L'hémianesthésie organique occu
e capsu- laire persistante sont dus à la participation de la couche
optique
. l.e TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 5 H
le cortex et on sait aujourd'hui que c'est à la lésion de la couche
optique
, et non pas à celle du segment postérieur de la
ostique à gauche. Ataxie légère. Durée 13 mois. Lésion de la couche
optique
droite. (Cas Hudry. Thèse Roussy, 1907.) 512 2
voies sensorielles de l'ouïe, du goût et de l'odorat avec la couche
optique
, sont encore fort mal connues. L'hémianesthés
ire au niveau de la partie postérieure et inférieure de la couche
optique
(région où aboutissent les voies sensitives),
pique insuffisant, on soit passé à côté de la lésion de la couche
optique
, pour accorder plus d'importance à la lésion
e, causé par une lésion occupant la partie postérieure de la couche
optique
qu'elle détruit, et intéressant le noyau externe
- Douleurs très vives à la face du même côté. Lésion de la couche
optique
. (Cas Roy ? Roussy, Revue neurologique, n° 6, I
tamment les douleurs plaideront en faveur d'une lésion de la couche
optique
; la présence de l'aphasie ou les phénomènes d'e
sistent sur les douleurs unilatérales dans les lésions de la couche
optique
. De là le nom de douleurs d'origine cen- trale
aller jus- qu'à la paralysie pseudo-bulbaire. Quand c'est la couche
optique
qui est atteinte, on a vu se produire quelquefo
nération prononcée des cordons postérieurs. L'atrophie des nerfs
optiques
a été signalée jusqu'ici dans les seuls cas de
tres trophiques cérébraux spéciaux de ' l'écorce ou de la couche
optique
, pour Roth et Muratow à des troubles circu- l
s vasculaires et les lésions méningées. . Les lésions de la névrite
optique
des tabétiques, que nous avons parti- culièreme
hémorrhagie cérébrale, quel que soit le siège de la lésion, couche
optique
, capsule interne, etc., conserve toujours la pe
cles de l'oeil; la présence dans près du tiers des cas d'une atrophie
optique
présentant il peu près les caractères ophlhalmo
h. Bichet) soit d'une zone située entre le corps strié et la couche
optique
(Aronsohn et.Sachs).soit du corps strié (Savado-
par le professeur De Lapersonne : on l'a constatée dans la névrite
optique
ré- cente, elle était absente dans la névrite o
ns la névrite optique ré- cente, elle était absente dans la névrite
optique
ancienne, on l'a constatée dans la chorio-rétin
a résumé l'état de la question. Ponction lombaire dans les névrites
optiques
et particulièrement dans l'oedème papillaire. L
. La ponction lombaire a amélioré l'oedème papillaire et la névrite
optique
consécutive dans de nombreuses observa- tions :
s ont rapporté huit cas de guérison ou d'améliora- lion de névrites
optiques
d'origine intra-cranienne. Cette ponction pya-
té parfois irrémédiable. Dans certains cas, on trouve de la névrite
optique
(Beck). Souvent aussi, les pupilles sont inégal
e l'oeil révèle l'existence d'une stase papillaire ou d'une névrite
optique
bilatérales. Assez lente dans son évolution, l'
ons du pouls qui devient irrégulier ou très accéléré, de la névrite
optique
bilatérale avec. parfois, du nystagmus, des ver
avec une semblable intensité dès le début de l'application. NERF
OPTIQUE
ET NERFS DU GOUT. 1271 procédés indiqués précéd
été rencontrées dans des cas de tabes et dans des névrites. Nerf
optique
et rétine. Nerfs du goût. Nerf olfactif. Le nerf
ites. Nerf optique et rétine. Nerfs du goût. Nerf olfactif. Le nerf
optique
et la rétine assez peu sensibles aux courants f
a constaté, surtout dans les cas de lésions de la rétine ou du nerf
optique
, des modifications dans les réactions com- muné
nts qui le plus souvent provoquent, à distance l'excitation du nerf
optique
, des nerfs du goût et du nerf facial; de plus agi
tée une longue aiguille, d'injecter dans chaque orbite, par le trou
optique
ou la fente sphénoïdale, environ 100 centimètre
se par la tête du noyau caudé et par la partie moyenne de la couche
optique
. La coupe de Brissaud se pratique de dedans en de
nion du tiers supérieur avec les deux tiers inférieurs de la couche
optique
; cette coupe est oblique en bas et en arrière.
epère de « la coupe de Flechsig le tubercule antérieur de la couche
optique
èt « l'extrémité antérieure du pli cul7éo-liml]
fait cet auteur, c'est-à-dirc par le tiers supérieur de la « couche
optique
. On n'intéresse alors que deux des segments du no
ints de repère de la face interne du cerveau (corps calleux, couche
optique
, etc.), par lesquels passent ces différentes co
é- gies, 480,494. - musculaire Charcol- Marie, Voy. Afnyotrophie.
optique
dans les tumeurs cérébrales, 122. Atrophies m
la bandelette, par lé- sion du chiasma, 54. - par lésion du nerf
optique
, 55. - par lésion orga- nique, 55. - sans lésio
075, 1077. Mémoire. Examen dans l'aphasie. - en général, 214. -
optique
, auditive, gustative, 215. - chez les idiots, 2
, 594. ophtalmique, névralgie, 587. - Injections d'alcool, 423. z
optique
, exploration, 2. - explo- ration électrique, 43
phie des troncs ner- veux, cypho-scoliose, signe d'Argyll, 697. -
optique
dans les tumeurs céré- brales, 121. Névrites.
ique, expérimentale et clinique, sur les origines centrales du nerf
optique
et sur les rapports de ce nerf avec le cerveau,
z les mammifères, outre les tubercules quadri- jumeaux, les couches
optiques
, etc., « les faisceaux de fibres issus des circ
ons cérébrales posté- rieures » concourent à la formation des nerfs
optiques
. La lecture du mémoire de Panizza peut seule do
lésion inté- ressant les faisceaux qui, du pulvinar de la couche
optique
, viennent s'épanouir dans les « circonvolutions
ypertrophie qui s'était étendue, toujours du même côté, à la couche
optique
, au corps ge- nouillé externe et aux tubercules
pathologiques, Panizza a bien vu les atrophies secondaires du nerf
optique
, des circonvolutions du « cerveau pariéto-occip
rijumeaux antérieurs, des corps genouillés externes, de la couche
optique
, et des faisceaux qui s'irradient dans le lobe
ien ', Panizza n'admettait pas la décussation partielle des nerfs
optiques
dans le chiasma. Il croyait que l'entre- croise
la rétine de l'oeil du côté opposé, les faisceaux croisés des nerfs
optiques
l'emportant seulement en quantité sur les faisc
tz, Ferrier et Munk lui-même, que la décussation des fibres du nerf
optique
est incom- plète chez ce mammifère, comme venai
urs italiens, l'hypothèse d'un second en- tre-croisement des fibres
optiques
, outre celui du chias- ma, dans un point plus c
on a lieu par les ganglions de labase, c'est-à-dire par les couches
optiques
et les tubercules quadrijumeaux. Or le cas s'es
ie postérieure, enfin, « ces facteurs élémentaires de la perception
optique
» seraient coordonnés. V. Conlribuzione sperime
inflammatoire du lobe occipital, surtout à la lésion des faisceaux
optiques
qui, des ganglions d'origine des tractus optiqu
ion des faisceaux optiques qui, des ganglions d'origine des tractus
optiques
, gagnent les lobes occipitaux en passant sous l'é
ilatérale homonyme. Mais Munk soutient, en outre, que les faisceaux
optiques
' I corpi gellicolati dei mammiferi studiali ne
les fibres des faisceaux croisés et des faisceaux directs du nerf
optique
. Loin de conserver leur individualité, les fais
nerf optique. Loin de conserver leur individualité, les faisceaux
optiques
se confondraient dans leurs trajets vers les ce
de l'hémisphère repré- senté ici, font voir quel rapport les fibres
optiques
du faisceau croisé, issues du segment interne d
points hachés, plus clair-semés, indiquent les rapports des fibres
optiques
du faisceau direct , issues du segment externe
en dehors des hémisphères cérébraux, le mésocéphale, les couches
optiques
, les tubercules quadrijumeaux, etc., voire la p
centres secondaires de la base (tubercules quadrijumeaux et couches
optiques
). Sans parler ici des cliniciens allemands tels
ne altération, lorsqu'aucun indice de compression des bandelettes
optiques
ou du chiasma, aucune lésion des tubercules qua
s quadrijumeaux ni des corps genouillés, du pulvinar de la couche
optique
, du lobule pariétal inférieur, etc., n'apparaît
frontal et le lobe temporal reçoivent des irradiations des nerfs
optiques
, comme nous l'avons noté chez les chiens. Biais
'est pas invraisemblable que le mode d'entre- croisement des fibres
optiques
varie parfois comme celui des faisceaux moteurs
ois, aveugle-née et man- quant des deux globes oculaires, les nerfs
optiques
, le chiasma et les bandeleltes faisaient entièr
fait que « ces lobes sont bien une des origines réelles des nerfs
optiques
», ajoute, en terminant sa com- munication : «
ns cette observation, contre Meynert et Huguenin, que les centres
optiques
infracorticaux n'envoient de radiations que dan
stème nerveux central et que le trajet intra-cépha- lique des nerfs
optiques
, en particulier, a été assez nettement tracé, d
rait un rapport fixe et déter- miné, au moyen des faisceaux du nerf
optique
, entre » chaque segment de la rétine et chaque
e pour les nerfs acoustiques ce qui a éte démontré pour les nerfs
optiques
. Les expériences démontreraient, avec la même c
ait davan- tage, sans doute, sur le trajet et l'origine des nerfs
optiques
. Mais l'analogie si nette entre le parcours de
r en conclure que les fibres du nerf olfactif, comme celles du nerf
optique
et du nerf acoustique, subissent une décussatio
- dues ces trois sphères de sensibilité spécifique; 2° les fibres
optiques
issues des éléments nerveux du grand hippocampe
i aurait obtenu de bons résul- tats dans des cas d'atrophie du nerf
optique
, par la suspension. On ne peut se rendre compte
Luciani, Tamburini, Ferrier et d'autres sur la région de la sphère
optique
de Munk chez les animaux adultes. M. Danillo a
dans l'excitation du lobe occipital sont le résultat de sensations
optiques
subjectives ne peut être considérée comme exact
de deux ans, ces jeunes gar- çons sont atteints d'atrophie du nerf
optique
, avec nystagmus, mouvements ehoréiformes du côt
pariétal au tronc, ont subi une telle dégénérescence que la couche
optique
droite est atrophiée de plus de moitié par rapp
pital et le lobe temporal sont demeurés presque intacts. l.a couche
optique
droite est coquillée et mame- lonnée, le corps
x directs dans le pied du pédoncule; c'est au pulvinar de la couche
optique
et aux ganglions de la bandelette optique qu'il
au pulvinar de la couche optique et aux ganglions de la bandelette
optique
qu'il se rend. M. PETERSSEN-13011STI : L. Des p
pupille. On peut se demander jusqu'à quel point l'état des nerfs
optiques
peut ici être considéré comme révélation de l'éta
la papille faisait plutôt penser une atrophie primitive des nerfs
optiques
. Toutefois, plus de trois semaines s'étant écoulé
on descendante émanant, des centres cérébraux avec lesquels le nerf
optique
est en relation. S'il en était ainsi, il se pas
que la lésion centrale avait probablement son siège dans la couche
optique
et dans d'autres parties des ganglions d'ordre
utres parties des ganglions d'ordre inférieur avec lesquels le nerf
optique
est en relation. Un dernier point à noter : le
ale dans le noyau leiitieu- 1 Pour Lussana et Lemoigne, les couches
optiques
seraient des centres d'innervation motrice du b
traire en rapport avec le corps strie. Le développement des couches
optiques
chez l'homme correspondrait au degré exquis d'i
rons, sur la structure histologique des corps striés et des couches
optiques
, il résulte que les corps striés auraient surto
peuvent être de natuie réflexe, c'est-à-dire résulter de sensations
optiques
subjectives, car, après l'ablation totale de l'
gné par le processus morbide primitif, et l'envahissement des nerfs
optiques
s'était traduit par un affaiblissement graduel
des d'artères cérébrales. M. 1l.tuz (de Fribourg). De la névrite
optique
symptomatiquc. De Groefe rattachait la névrite
e la névrite optique symptomatiquc. De Groefe rattachait la névrite
optique
des affections cérébrales à une augmentation de
de la formation d'un exsudat pathologique entre les gaines du nerf
optique
qui agirait par compression. Ce à quoi MM. Ueut
quoi MM. Ueutschmann et Leber répliquent que l'inflammation du nerf
optique
émane non de la compression de cet exsudat mais
en déterminant de l'hy- dropisie de la gaine à l'extrémité du nerf
optique
a produit les premiers troubles de circulation
é les hémisphères, le corps strié, le noyau lenticulaire, la couche
optique
, les tuber- cules quadrijumeaux. L'auteur s'est
psule interne. 2° L'excitation mécanique superficielle de la couche
optique
reste inaclive, de même que l'excitation faradi
- patte postérieure. Faisons passer une section à travers la couche
optique
dans le plan antérieur nous obtenons un tressai
urent la marche et la course. Par conséquent, la région des couches
optiques
et des tubercules quadrijumeaux antérieurs cont
mais réflexe, et que l'intervention du trajet intracérébral du nerf
optique
joue dans l'espèce un rôle fort important. La t
te (multiple combinée à une maladie mentale), par Korsakolf, 275;
optique
symptomatique, par Manz, 444. Obsession avec
huit ans, à l'hospice, comme aveugle (atrophie scléreuse des nerfs
optiques
), est aujourd'hui atteinte d'ataxie locomotrice b
oup plus étendu qu'à droite dans toutes les directions. — Les couches
optiques
et les corps striés sont parfaitement indemnes. A
ltérations de l'encéphale, celles surtout qui portent sur les couches
optiques
, les corps striés, et en par-ticulier les diverse
es ecchymoses, consécutivement à l'irritation traumatique des couches
optiques
, des corps striés, de la protubérance, du bulbe,
. VII) et enfin dans certaines régions de la substance grise (Couches
optiques
, corps striés. Pl. IV et VII, Fig. 1 et 2). Le
nerfs craniens qui ont offert des plaques de sclérose sont les nerfs
optiques
, olfactifs et de la 5e paire. Quant aux nerfs rac
ouble contour et ayant con-servé, par conséquent, tous les caractères
optiques
de la myé-line. Les jours suivants, la segmentati
rissent et disparaissent (1). Dans l'encéphale, etaussisurles nerfs
optiques
et olfactifs, les plaques de sclérose présentent
nt toute l'épaisseur du cordon nerveux ont été trouvées sur les nerfs
optiques
, dans le cas où, pendant la vie, on avait constat
l cas, tantôt une intégrité à peu près complète de la papille du nerf
optique
alors même que l'amblyopie est cependant très acc
cléreuses sur le nerf moteur oculaire externe gauche et sur les nerfs
optiques
; — plaques de sclérose sur la protubérance, le pé
a poitrine. Autopsie. — Plaque de sclérose sur le chiasma des nerfs
optiques
se prolongeant sur les bande-lettes ; — pl. de sc
ques capables de produire l'hémia-nesthésie. — Fonctions de la couche
optique
: théorie anglaise et théorie française. — Critiq
a motilité—en particulier quand elles occupent la région de la couche
optique
et du corps strié—restent à peuprès sans effet su
'agisse de lésions intéressant spécialement le corps strié, la couche
optique
, ou encore l'avant-mur. Tout d'abord, lorsqu'il
laire, ou encore la compression, par voisinage, d'une des bandelettes
optiques
, dans le cas d'un foyer hémor-ragique quelque peu
, lorsque l'hémianesthésie se présente avec ces caractères, la couche
optique
est lésée d'une manière-sinon exclusive du moins
et toujours alors, j'ai rencontré à l'autopsie la lésion de la-couche
optique
dont, pendant la, vie, j'avais cru pouvoir an^ no
t-il, Messieurs, induire de ce qui précède que la lésion de la couche
optique
est la véritable cause organique de l'hémia-nesth
oprement dit, puisqu'un animal auquel le cerveau, y compris la couche
optique
et le corps strié, a été enlevé, continue à voir,
omaine pathologique, les faits bien avérés où une lésion de la couche
optique
coïncide avec la diminution ou l'abolition de la
nt, ou bien encore de tumeurs, lésions par suite desquelles la couche
optique
se trouve distendue à l'ex-trême et qui peuvent,
est bien établi, d'un autre côté, que, dans nombre de cas, la couche
optique
peut être lésée, même profondément et dans une gr
uteurs anglais, M. Broadbent, entre autres (1), opposent que lacouche
optique
, centre présumé des impressions sensitives, doit
sse de substance grise ; — au-dessous de lui, et en dedans, la couche
optique
, offrant ici un grand développement ; — en dehors
ptique, offrant ici un grand développement ; — en dehors de la couche
optique
, la capsule interne, formée princi-palement par d
du pédoncule Fig. 18. — Coupe transversale du cerveau. — a, couche
optique
: — b, corps strié, noyau lenticulaire: — r, corps
aient envahi à la fois la partie supérieure et externe de la couche
optique
, le troisième noyau de la partie extra-ventricula
ême dans le fait observé parM. Luys(2): le centre médian de la couche
optique
étaitlésé, mais l'altération avait envahi le corp
e n'est en droit de dire si c'est, dans la région indiquée, la couche
optique
qui doit être incriminée plutôt que la capsule in
siège à deux lignes en arrière de l'extrémité antérieure de la couche
optique
. A deux ou trois lignes plus loin, on voit une au
atre ou cinq lignes en arrière de l'extrémité postérieure de la coupe
optique
, de telle sorte que, comme la longeur habituelle
optique, de telle sorte que, comme la longeur habituelle de la couche
optique
est de 18 lignes, la portion de la couronne radié
sorte de con- tleuxlignes en arrière du bord antérieur de la couche
optique
et finit a quatre li-gnes environ de l'extrémité
init a quatre li-gnes environ de l'extrémité postérieure de la couche
optique
. Dans son long trajet d'un pouce,il occupait la p
la couronne radiée était sé-parée delà capsule interne et delà couche
optique
. — Moelle épinière : amas de corps granuleux;, as
t 8 de longeur, située à la partie supérieure et externe de la couche
optique
droite. La cicatrice commence à quatre lignes et
ence à deux lignes en arrière de l'extrémité an-térieure de la couche
optique
et se termine à peu près trois lignes en avant de
peu près trois lignes en avant de l'extrémité postérieure delà couche
optique
(Fig. 18, 2') ; Il y avait, en outre, une lacune
grosseur d'une tête d'épingle dans la partie anté-rieure de la couche
optique
droite ; deux dans le pont de Varole ; enfin une
erveau. Son extrémité postérieure correspondait à celle de la cou-che
optique
. Dans sa portion la plus large, le foyer n'était
lle d'un floiùn, jaunes, ramollies et dé-primées (Fig. 18, 3). Couche
optique
, saine. Peut-être un petit fragment de la 3e part
en, pigmenté de brun, situé le long de la partie externe de la couche
optique
gauche et tout près de la queue du corps strié. I
mmence à six lignes en arrière de l'extrémité antérieure de la couche
optique
et s'étend jusqu'à deux ou trois lignes en avant
deux ou trois lignes en avant de l'extrémité postérieure de la couche
optique
. En avant, il est à une demi-ligne et en arrière
re à deux ou trois lignes au-dessus de la face supérieurede la couche
optique
qui est considé- d'une tumeur; dans tous les ca
is dans les auteurs, elle occupait la région postérieure de la couche
optique
et les parties adjacentes de l'hémisphère cérébra
En résumé, les foyers siègeaienL à la périphérie externe des couches
optiques
, s'étendaient d'avant en arrière suivant l'axe lo
du cerveau sans atteindre le plus souvent les extrémités delà couche
optique
. Ils avaient de huit lignes à un pouce de longueu
régions lésées étaient : la partie supérieure et extrême de la couche
optique
: la 3e partie du nucléole lenticulaire ; la part
la partie postérieure de la capsule interne comprise entre la couche
optique
et le noyau lenticulaire: la portion correspon-da
substance blanche de l'hémisphère dans la partie externe de la couche
optique
étaient constamment lésées. 1. Voyez, dans le P
es plaques grises, dures, qui empiètent sur le corps strié, la couche
optique
, le corps calleux. Les coupes faites au niveau de
trent qu'elles ontune épaisseur de quelques mil-limètres. — Les nerfs
optiques
sont durs et résistants. (B) Des troubles de la
e la longueur des nerfs olfactifs. 6, Ilots de sclérose sur les nerfs
optiques
. b\ Partie restée saine d'un nerf optique. c, I
de sclérose sur les nerfs optiques. b\ Partie restée saine d'un nerf
optique
. c, Ilots scléreux sur le pédoncule cérébral ga
erfs olfactifs paraissant sains. — b, Ilots de sclérose sur les nerfs
optiques
. — c, Ilots de sclérose sur les pédoncules cérébr
____Plaques de sclérose occupant le corps calleux, CC : — la couche
optique
, CO, la circonvolution de l'hippocampe, CH. Fig
ues, capables de produire l'hémia-nesthésie. — Fonctions de la couche
optique
: théorie anglaise et théorie française. — Critiq
de deux traînées étendues entre le noyau lenticulaire et la couche
optique
. Quoique tout à fait voisines l'une de l'autre,
coupe affecte une forme ovalaire à grand axe dirigé de la couche
optique
vers le noyau lenticulaire ; l'autre (la postérie
upe qu'envi- ron une trentaine de ces corpuscules. Dans la couche
optique
, non plus que dans le noyau lenticu- laire on n
sions apparentes ; les faisceaux de fibres qui traversent la couche
optique
sont notamment très bien développés. Pédoncul
presque tout l'espace qui sépare le noyau lenticulaire de la couche
optique
; de plus, non seulement les corps granuleux exi
né- ration de fibres se portant du noyau lenticulaire à la couche
optique
. Quant à la région de la capsule interne dans l
t arriver que, soit dans les circonvolu- tions, soit dans la couche
optique
des cellules ner- veuses un peu granuleuses pré
II. SUR LES PHÉNOMÈNES CONSÉCUTIFS A la SECTION DES FIBRES DU NERF
OPTIQUE
A L'INTÉRIEUR DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX DANS LE
la capsule interne à la hauteur de la face supérieure de la couche
optique
, immédiatement en dehors de la zone où le ventr
rse, seraient, chez les rep - tiles, représentés par les deux lobes
optiques
. » L'auteur passe en revue, sous dix propositio
s évidentes chez les reptiles et les oiseaux sous la forme de lobes
optiques
, et chez les mammifères, sous celle de paire an
de la parole; à ce moment, il est porteur d'une atrophie des nerfs
optiques
datant de trois ans à marche lentement progress
érée des artères. une coloration grise des nerfs et des bandelettes
optiques
. On trouve dans la moelle la dégénéres- cence g
interne et semblent se diriger du noyau lenti- culaire à la couche
optique
. Enfin, comme nous l'avons dit dans l'autopsie,
us l'avons dit dans l'autopsie, les cellules nerveuses de la couche
optique
quoique très nombreuses et très belles, nous on
te de la protubérance s'en détachent, et de plus les pro- priétés
optiques
de ces faisceaux rendent difficile la recherche
Fie. 3. - Capsule interne, Observation II, côté gauche.; A, couche
optique
. - B, noyau lenticulaire. C, corps granuleux oc
albl., 1884). Il ne s'agit dans l'espèce que des affections du nerf
optique
. Elles constituent, notamment l'atrophie du ner
ns du nerf optique. Elles constituent, notamment l'atrophie du nerf
optique
, des accidents assez fréquents dans la sclérose
tération du fond de l'oeil : atrophie totale ou partielle des nerfs
optiques
; hyperémie papillairc avec névrite optique. Apr
ou partielle des nerfs optiques; hyperémie papillairc avec névrite
optique
. Après quelques détails sur diverses observatio
r diverses observations, et la mise en relief de l'atrophie du nerf
optique
d'origine névritique dans la sclérose en plaque
SCLÉROSE multiloculaire avec atrophie NÉVRITIQUE bilatérale DU NERF
optique
;» par Eulenburg. (IVeU ? '01. Centralbl., 1884)
. , '.>." tif t jf,' .' Ce symptôme, consistant en une névrite
optique
, ayant abouti à une atrophie totale, aveccécité
DE pathologie NERVEUSE. atteindre les moitiés temporales des nerfs
optiques
, peut ne pas y rester cantonnée, qu'elle est ca
lleurs de la situation des cellules pyramidales par rapport à l'axe
optique
du microscope. Leur protoplasma, finement t gra
he plus petit que le droit; diltérencecorrespondante dans la couche
optique
, le pédoncule cérébral, le faisceau pyramidal.
... z i\1. RICHTER (de Dalldorf). Sur les connexions des trac lu s'
optiques
conducteurs dans l'encéphale humain, - La bibli
e renferme un grand' nombre de èas dans lesquels l'atrophie du nerf
optique
, celle même qui ne s'était installée que chez l
chez les adultes, s'était propagée non' seulement 'aux bandelettes
optiques
, mais ''encore aux corps genouiiiés/aux tubercu
aux corps genouiiiés/aux tubercules quadrijumeaux et'aux couches
optiques
, soit du même côté, soit du côté opposé (aspect m
s, car il s'agit sou- vent de foyers hémorrhagiques des bandelettes
optiques
, des corps genouillés, et des couches optiques
ques des bandelettes optiques, des corps genouillés, et des couches
optiques
(cas de Gudden), de tumeurs 268 SOCIÉTÉS SAVANT
ier six'aulop-" sies relatives à des atrophies unilatérales du nerf
optique
et trois' encéphales concernant des atrophies b
et trois' encéphales concernant des atrophies bilatérales du' nerf "
optique
. Voici trois exemples : " ,J', ? JU ? '1111j
il voit très bien (juillet 1881) : 'llpïerirt en 1882 ? Lès 'nerfs'
optiques
sont remarqua1.Jlementlatrophiés, les bandelettes
q"l ? ( ! égé,I,19rçs ? cence se continue le lônsr'des' bandelettes
optiques
'jusque dans les' véri-t cence R contil le ,lon
et Jloeli (décembre 18S2, janvier-mars 1883), une atrophie du nerf
optique
droit; rien il gauche; la pupille gauche réagit
. Autopsie : décembre 1883. "La première coupe révèle, dans le nerf
optique
droit ! 'existence'd'un néoplasme. Un foyer de ra
ssion qui permet de comprendre, l'état mental.. A la tumeur du nerf
optique
droit, qui est un psammome, il faut rattacher. l'
neuf observations de. l'auteur démontre que £ l'atrophie des nerfs)
optiques
;t uni- ou bi-lalérale ne saurait jamais être à;
ne saurait jamais être à;l'ceil nu suivie au-delà, de la bandelette
optique
du côténopposéi ou des deux bandelettes, bien q
ules quia-j drijumeaux supérieurs ! et inférieurs dans les couches,
optiques
;,des; cellules épargnées prennent mal les réac
(action rétro- grade), et que dans Inobservation d'atrophie du nerf
optique
avec phlhisie du, globe, oculaire gauche, la re
t pas démontrée. ' '' " " l' Conclusions : v 1 Une atrophie du nerf
optique
uni- ou'hi-latéralé qui porte sur le cerveau d'
e cerveau d'un, adulte ne se transmet pas forcément aux bandelettes
optiques
(aspect macroscopique), même quand cette atroph
tubercules quadrijumeaux supé- rieurs et inférieurs et à'ia couche
optique
d'une manière égale; toute atrophie unilatérale
che optique d'une manière égale; toute atrophie unilatérale du nerf
optique
agit sur les organes en question des deux côtés
t sur les organes en question des deux côtés. Si l'atrophie du nerf
optique
est bilatérale, ,il s'exerce une action cumulat
placés en avant de lui les mêmes altérations que l'atrophie du nerf
optique
. Il ' t i , . . l' 1, t. l' l ,< i. , v. M
risliani a cherché d'abord à déterminer l'influence réflexe du nerf
optique
sur l'action du pneumogastrique et il est arrivé
ctrique ou mécanique du bout central extra ou intra-crânien du nerf
optique
exerce toujours une influence d'arrêt sur le co
absolument les mêmes effets que BIBLIOGRAPHIE. 273 celles du nerf
optique
. En portant ses expériences d'excitation sur la
surface d'un millimètre carré sur la partie intérieure de la couche
optique
, un peu au-dessus du plancher du troisième vent
piration par,trois voies différentes, notamment- : 1° Par les nerfs
optique
et auditif; ' , ici' 1 2° Parles nerfs sensitif
phères cérébraux ont été préalal>lenentenlevés,jusqu'auxcouches
optiques
, ne peuvent plus, après la destruction de ce cent
n, etsansmême se heurter contre eux. Cela n'arrive pas si les nerfs
optiques
sont coupés, ou si on a laissé une trop grande
onctions motrices, deux petits foyers hémorrhagiques dans la couche
optique
droite. C'est à l'un de ces derniers que M. Gre
ibue l'hémichorée, parce que dans le segment inférieur de la couche
optique
, il occupe entre elle et le milieu du pied du p
arrivé graduellement à une cécité absolue (atrophie des deux nerfs
optiques
). A l'asile, il est agité, souvent bruyant, il
n oedème papillaire avec suffusions sanguines dans la gaine du nerf
optique
. M. Magnan. Dans la séance du 27 avril dernier,
oroïde ; l'insertion irrégulière cette membrane au pourtour du nerf
optique
ou des fissures choroïdiennes donnant lieu à de
ur Landsberg, 414. Onoinatomanie, par Cbarcot et Ma- gnan, 157.
Optique
(section des fibres du nerf au voisinage de la
es dans la), par Gnauck, 228; - (avec atropine névritique du nerf
optique
), par Eulenburg), 229. Scléroses systématique
. Fig. 3. Capsule interne, Observation II, côté gauche. A, couche
optique
. B, noyau lenticulaire. C, corps granuleux occu
répandus partout : ils ont leurs organes de prédilection. Les couches
optiques
, les corps striés, les circonvolutions, la protub
ment s'était opéré primitivement dans les corps striés ou les couches
optiques
, 50 fois ; dans le centre ovale, ou au voisinage
topsie, on trouve un vaste foyer hémorhagique qui a détruit la couche
optique
gauche, la partie postérieure du noyau intraventr
plusieurs anévrysmes miliaires dans la protubérance et dans la couche
optique
droite. Les artères de la base de l'encéphale son
orrhagiques occupant les deux hémisphères, ayant dilacéré les couches
optiques
et envahi tous les ventricules. On trouve aussi u
attaque. A Yautopsie, on trouve un foyer anfractueux dans ta couche
optique
gauche, empiétant sur la partie postérieure des c
e, un vaste épanchement sanguin qui, ayant sou origine dans la couche
optique
gauche, a fait irruption dans les ventricules, qu
tricules, qui sont complètement injectés. On rencontre dans la couche
optique
dilacérée plusieurs anévrysmes miliaires. On en t
la protubérance, les circonvolutions, le centre ovale et fes couches
optiques
. Les artères de la base sont très athéromateuses.
867. A Vaufopsie, on trouve une hémorrhagie qui a labouré la couche
optique
et le corps strié du côté gauche et qui a fait ir
. A Yautopsie, on trouve un foyer hémorrhagique récent de la couche
optique
du côté droit, ouvert dans le troisième ventricul
Al'autopsie, on trouve un foyer hémorrhagique qui a détruit la couche
optique
gauche et intéressé le noyau extraventriculaire d
vaste hérnorrhagie récente qui, ayant pris son origine dans la couche
optique
, est venue se faire jour clans le ventricule, et
e 31 juillet 1866. A Y autopsie, vaste foyer récent entre la couche
optique
et le corps strié de l'hémisphère droit. Le sang,
illot sanguin du volume d'une noisette, dans l'épaisseur de la couche
optique
droite. Ce caillot, qui intéresse l'étage supérie
u pédoncule cérébral droit, a déchiré la face supérieure de fa couche
optique
, ce qui a permis au sang de s'épancher dans ie ve
usque dans le ventricule moyen. Dans un point symétrique de la couche
optique
gauche, on trouve un très petit foyer ocreux. On
à une cicatrice linéaire brunâtre, entre le corps strié et la couche
optique
du côté droit. Du côté de l'hémorrhagie récente,
opsie, on trouve une vaste hémorrhagie du corps strié et de la couche
optique
du côté droit ayant fait irruption dans le ventri
ôté gauche, pénétrant dans l'intérieur du corps strié et de la couche
optique
. On rencontre des anévrysmes miliaires dans la pr
1857. A Vautopsie, on trouve une hémorrhagie récente cle la couche
optique
droite avec pénétration dans les ventricules. Le
l'ordinaire. A Vautopsie, on trouve un foyer ocreux dans la couche
optique
droite, un autre à la partie antérieure du ventri
frontales droites; on en trouve également un en arrière de la couche
optique
gauche, et un autre enfin dans la substance blanc
du corps strié du côté droit, et un autre foyer ocreux dans la couche
optique
du même côté. — On trouve de plus deux foyers d'h
1868. On trouve un foyer ocreux d'hémorrhagie ancienne dans la couche
optique
gauche. — On découvre dans la couche optique droi
ancienne dans la couche optique gauche. — On découvre dans la couche
optique
droite un très petit foyer. On trouve quelques au
hémisphères, et un vaste foyer d'hémorrhagie ancienne dans la couche
optique
droite. Dégénération secondaire descendante très
ns les circonvolutions; on en rencontre cle nombreux dans les couches
optiques
et clans les corps striés, il y en a aussi dans l
s des circonvolutions, mais quelques anévrysmes dans les deux couches
optiques
et dans la protubérance. Les artères de la base s
es des circonvolutions et quelques autres disséminés dans les couches
optiques
et clans la protubérance. Les reins présentaien
droit, une cicatrice jaune ocre use, divisant verticalement la couche
optique
et le corps strié, à l'union cle son tiers postér
yer d'hémorrhagie au niveau de l'union du corps strié et de la couche
optique
du côté droit. Autre ancien foyer à la partie pos
foyer d'hémorrhagie, celluleux, de coloration ocreuse, dans la couche
optique
du côté droit. Quantité considérable d'anévrysmes
u liquide, jaunâtre occupant le noyau intraventriculaire et la couche
optique
de l'hémisphère droit. Ce foyer s'ouvre dans le v
rne du ventricule latéral droit, en arrière et en dehors de la couche
optique
. On trouve de plus un ramollissement récent du ce
A Vautopsie, on trouve un ancien foyer d'hémorrhagie sur la couche
optique
gauche et sur le corps strié du même côté. Il exi
Vautopsie, une large cicatrice d'hémorrhagie ancienne, sur la couche
optique
et le corps strié de l'hémisphère droit. On trouv
lus une vaste cicatrice d'hémorrhagie ancienne, intéressant la couche
optique
et le corps strié du côté droit. Deux anévrysmes
et une autre cicatrice ocreuse cle la partie supérieure de la couche
optique
et du corps strié de l'hémisphère droit. On renco
n épaisseur un foyer sanguin récent du volume d'une amande. La couche
optique
droite contient un foyer ocreux. On trouve au voi
e plusieurs anévrysmes miliaires dans les corps striés et les couches
optiques
. On en a compté en tout quarante dans les deux hé
r 1868. A Vautopsie, on trouve une hémorrhagie récente de la couche
optique
et du corps strié du côté droit. Plusieurs anévry
tain nombre d'anévrysmes ampullaires des circonvolutions, des couches
optiques
et de la protubérance. Coloration feuille morte
jour.T. R. 39°. Obs. XL Baudois, 91 ans. — Hémorrhagie de la couche
optique
avec perforation du ventricule. Début apoplecti
ement. Obs. XVII.Eméry, 75 ans. — Ramollissement rouge de la couche
optique
gauche et du pédoncule cérébral correspondant.
encéphalique. Obs. XIX. Lecrique, 73 ans. — Hémorragie de la couche
optique
et du corps strié droits. — Perforation ventricul
. Obs. XXVI. Rarbillon, 75 ans. — Foyer hémorragique dans lacouche
optique
et le corps strié. — Perforation ventriculaire. —
. 39°, 1/5. Obs. XXVII. Rarthélémi, 09 ans. — Corps strié et couche
optique
sans perforation ventriculaire. — Début apoplecti
. TR. 10°, 0. Obs. XXVIII. Hénon, 58 ans. — Hémorragie de la couche
optique
avec perforation ventriculaire. — Analgésie des m
ostérieure seulement étaient envahis par le ramollissement. La couche
optique
était restée intacte. Les circonvolutions pariéta
y a six ans, à l'hospice comme aveugle (atrophie scléreuse des nerfs
optiques
), est actuellement atteinte d'ataxie locomotrice
ilate. Fig. 2. — Artère cérébrale moyenne. B, Artère de la couche
optique
. C, Un anévrysme miliaire dans la couche optiqu
rtère de la couche optique. C, Un anévrysme miliaire dans la couche
optique
. Fig. 3. — Artérioles atteintes de périartérite
n de Siegburg, un an plus tard, notait également l'atrophie du nerf
optique
(4 fois des deux côtés, 3 fois d'un seul côté,
quatre cas dans lesquels l'atrophie se serait propagée par le nerf
optique
. En 1879, paraissent la thèse de Boy et le mémo
s la paralysie générale, s'exprime ainsi : « L'atrophie des nerfs
optiques
se voit, mais rarement ; d'après Mendel, on ne la
cateur d'une affection scléreuse et atro- phique du tronc des nerfs
optiques
éveilla l'attention sur une maladie du système
nfin chez 8,2/3 p. 100 de ces malades existait une atrophie du nerf
optique
. Dans des recherches ultérieures, Uhthoff trouv
ie générale, une minorité considé- rable de névrites et d'atrophies
optiques
, consécutives au développement des symptômes ps
tômes de la paralysie générale ne fussent devenus nets : 1° Le nerf
optique
était décoloré, strié, présentait un aspect voi
auteurs trouvèrent 3 fois une atrophie avancée, 1 fois une névrite
optique
, 3 fois un reli- quat d'une névrite antérieure,
lus sûr, le plus carac- téristique du début des altérations du nerf
optique
lesquelles sont très fréquentes chez les malade
sus pathologique qui préside au développement de l'atrophie du nerf
optique
, il croit à l'exis- tence d'une névrite optique
l'atrophie du nerf optique, il croit à l'exis- tence d'une névrite
optique
interstitielle et donne la parole à l'anatomie
trophie grise, ce n'était pas non plus l'aspect strié des .névrites
optiques
, l'aspect en était simplement estompé, c'était
es paralytiques généraux, lésions revê- tant la forme d'une névrite
optique
interstitielle qui en évo- luant fait subir à l
ont été fixés sitôt après la mort dans de l'alcool à 95°; les nerfs
optiques
dans le liquide de MùIIer. - Après inclusion da
ons pratiqué une série de coupes longitudinales passant par le nerf
optique
, par la papille et par la rétine. Ces coupes, t
seur normale. Fig. o Coupe longitudinale de la papille et du nerf
optique
droit du malade B . . son ciitieu dans le globe
sur notre seconde figure. Si nous considérons maintenant les fibres
optiques
au niveau de la lame criblée, nous constatons q
aversent ne nous sem- blent en aucun point étranglés. - . 3° Nerf
optique
: Sur une coupe longitudinale du nerf optique à
tranglés. - . 3° Nerf optique : Sur une coupe longitudinale du nerf
optique
à son entrée dans le globe de l'oeil, telle qu'
ogliques. Les travées conjonc- Fig. 4. Coupe tmnsoer.sule du nerf
optique
droit du malade B..., pratiquée un centimètre d
. Dans sa portion iiiti,aci,a ? zieiz ? 2e. les altérations du nerf
optique
sont les suivantes (voir fig. 4) : sur des coup
ans la coupe transversale d'un faisceau de fibres nerveuses du nerf
optique
, que quelques cellules névrogliques, nous en co
conjonctives. Sa partie externe est d'apparence normale. 3 Le nerf
optique
, immédiatement en arrière de la lame criblée pr
siège d'une hyperplasie évidente, très limitée du reste. Les fibres
optiques
ne présentent pas d'altérations bien marquées.
ltérations bien marquées. Dans sa portion intracranienne, le nerf
optique
, sur des coupes transversales, pratiquées à un
x ou trois fois moindre que dans la région correspon- dante du nerf
optique
droit. Les travées conjonctives sont épaissies
onvolutions frontales et du cuneus notamment. Les yeux et les nerfs
optiques
ont été fixés dans le liquide de lllüller imméd
, nous avons pratiqué des coupes longitudinales passant par le nerf
optique
, la papille et la rétine et des coupes transversa
ptique, la papille et la rétine et des coupes transversales du nerf
optique
dans sa portion intracranienne. OEil droit. 1°
nous ne les décrirons plus, Fig. 5. m, Coupe transversale du nerf
optique
droit ou malade 5..., un centimètre en arrière
ès denses, dans des directions transversales par rapport aux fibres
optiques
. Notons enfin que dans les' espaces interfascic
dienne de la lame criblée; celle-ci se trouve constituer aux fibres
optiques
une trame extrêmement densifiée. La portion scl
rtion sclérotique de la lame criblée nous parait normale. 3° Nerf
optique
: Dans sa portion intra-oculaire, il présente les
sont extrêmement épaissies dans la portion inlracra- nienne du nerf
optique
, en p (fig. 5), nous en avons représenté la cou
2° La papille présente peu d'altérations; pas d'atrophie des fibres
optiques
. Nous constatons que la quantité de cellules conj
lement hypertrophiée dans sa portion choroïdienne. 3° Quant au nerf
optique
, il présente, à un degré moindre, les lésions q
yéline à l'aide des méthodes de Lenhossek et deWeigert. Les nerfs
optiques
ont été fixés dans les mêmes conditions, par- t
s pratiqué une série de coupes longitudinales passant par le nerf
optique
, la papille et la rétine, coupes parallèles au mé
diri- ger perpendiculairement par rapport à la direction du nerf
optique
. Cette figure qui représente une coupe longitudin
figure qui représente une coupe longitudinale pas- sant par le nerf
optique
, la papille et la région avoisinante de la réti
u d'eux l'existence de fibres nerveuses (voir fig. 7). 3° Le nerf
optique
est altéré dans toute son étendue et dans tous
Ce qui précède est également vrai, quel que soit le point du nerf
optique
que l'on considère. Les figures 8 et 9 représenta
nage du chiasma, Fi,q. 7. Coupe longitudinale passant par le nerf
optique
, la papille et la région nroisinanle de la ? téti
u'on remonte vers le cerveau. L'état des fibres nerveuses du nerf
optique
nous intéressait au plus haut point, et nous av
éthode de Weigert pour la myéline, les coupes transversales du nerf
optique
apparaissent presque uniformément jaunâtres, le
ceaux périphériques sont plus Fig. 8. Coupe longitudinale du nerf
optique
droit du malade 1'..., à son entrée dans le glo
rieure de la figure 9 qui représente une coupe transversale du nerf
optique
à un centimètre du chiasma, nous avons figuré p
de leur rareté (m fig. 9). Nous avons également traité notre nerf
optique
par la méthode Fig. 0. Coupe transversale du
re nerf optique par la méthode Fig. 0. Coupe transversale du nerf
optique
droit à un centimètre du chiasma. Dans la parli
endre étant donné l'ancienneté (trois ans) de la lésion). Le nerl
optique
de V.... bien que moins riche en fibres nerveuses
- matiques, intéressant : 1° la rétine, 2° la papille, 3° le nerf
optique
; 10 La rétine présentait des altérations de la
ssi un épaisissement variable de leur tunique externe. 3° Le nerf
optique
enfin était le siège d'une prolifération plus o
s- 30 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. séminées, et les altérations du nerf
optique
suivent plutôt une marche descendante qu'une ma
s la paralysie générale; enfin sur une section transversale du nerf
optique
le tissu de sclérose apparaît sous forme d'îlot
diffuse : infiltration des éléments nobles de la papille et du nerf
optique
par des cellules conjonctives et névrogliques,
. path. von Nothnagel. GRosz E.-V. L'Atrophie tabétique des nerfs
optiques
. Annales d'Oculistique, sept. 1898). ELSCIiNI
pupilles. Cepen- dant, en tous ces cas, l'étude anatomique du nerf
optique
n'a rien donné. On n'est pas arrivé jusqu'alo
s cutanées cépheliques ou crâ- niennes ; il n'y a rien aux papilles
optiques
; il n'existe pas de' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
prolongeant en haut par un pédicule qui passe entre les deux nerfs
optiques
, sans les comprimer, s'enfonce dans la scis- su
ntre , il est devenu complètement impuissant. Ni ataxie, ni névrite
optique
. Il s'agit donc là d'un tabès fruste essentiell
Duchenne, de Boulogne, et il faut en écarter par exemple la névrite
optique
et les ophtalmoplégies qui sont pour- tant cara
II est aussi particulière, elle provient non pas de ce que la voie
optique
est rompue, mais elle est due seulement à la di
it d'une femme de trente-trois ans, chez qui l'existence de névrite
optique
, de céphalée, de vomissements, permit, avec l'évo
érale, caractérisée par la céphalée, les vomis- sements, la névrite
optique
; avec elle coïncidaient des phénomènes de torpe
ris du cerveau, par ordre de fréquence : noyau lenticulaire, couche
optique
, noyau caudé, capsule interne, c'est-à- dire da
que. MM. DÉ.1ER1NE ET M. Eggeu. - Deux cas de lésion de la couche
optique
, dont un confirmé par l'autopsie. Hémianesthésie
es des sens supérieurs sont normaux, quoique les papilles des nerfs
optiques
soient très pâles et la réaction des pupilles e
Ce bouquet d'arbres sert à isoler chaque pavillon au point de vue
optique
, en même temps qu'il est utilisé par les malades
s tranquilles bénéficient de la suppression d'impressions pénibles,
optiques
et acoustiques, qui ne peuvent leur être évitée
ne bande corticale étroite qui se développe plus tard. La radiation
optique
primaire ne se jette que dans le champ de,Vicq
lité. La radiation tactile et ' le faisceau pyramidal, la radiation
optique
primaire et secondaire constituent des composés
t le faisceau de '1·ïrrl : , pour la racine antérieure de la couche
optique
et le faisceau d'Arnold. L'étude approfondie de
ù ils sont très épais, radiation tactile des ascendantes, radiation
optique
chassent devant eux l'écorce, et que, partout o
sses occipitales. - Les nerfs olfactifs paraissent égaux, - Le nerf
optique
etla bandelette optique gauches sont un peu plu
rfs olfactifs paraissent égaux, - Le nerf optique etla bandelette
optique
gauches sont un peu plus petits qu'à droite. Il e
re de petits sillons superficiels. Le ventricule latéral, la couche
optique
, le corps strié et la corne d'Ammon n'offrent r
lement, iL gauche, mais moins marquée, diminution de volume du nerf
optique
, de la bande- lette optique, du tuhercule mamil
marquée, diminution de volume du nerf optique, de la bande- lette
optique
, du tuhercule mamillaire, du pédoncule cérébral
ule mamillaire, du pédoncule cérébral, du corps strié, de la couche
optique
et de la moitié de la protubérance. D'autre par
se frontale du cerveau antérieur, sans l'intermédiaire de la couche
optique
(ligure^). ' > P. lvra.w.ar. II. Contributio
émis- phère, dans la capsule interne du même côté, dans la couche
optique
, dans la lame médullaire externe de la couche opt
ans la couche optique, dans la lame médullaire externe de la couche
optique
de Forel, dans le corps de Luys, dans la zone 1
ieurs, de l'oculomoteur commun. Amyélinie de la partielle la'couche
optique
qui reçoit les fibres centripètes de l'écorce.
. Dégénérescence nette de la bandelelleoptique et du chiasma. Nerfs
optiques
indemnes. Conclusions. Ce- n'est pas un arrêt d
Prenez un individu indemne de tout trouble du côté de l'appa- reil
optique
, dioptrique, locomoteur des yeux, indemne égale-
nrolog. Centralùl. XX, 1901.) Caractérisée par l'atrophie des nerfs
optiques
, et surtout de la macula lutea des deux yeux, c
s le cours de la 3e année de la v ie. Outre l'atrophie pure du nerf
optique
, la tache jaune est tranb- formée en une grande
sez rare, affection familiale qui s'accompagne d'atrophie des nerfs
optiques
. Seulement ici la période latente est de 7-12 an-
les malades atteignent l'âge de 17 et 24 ans, l'atrophie des nerfs
optiques
ne s'accompagne pas de dégénérescence symétrique
S 1110LI'i('l's, La rétine révèle : l'alrophie des libres des nerfs
optiques
, un lé- ger (J'dl'IIIl' de la couche des cellul
iendrait de bien saisir l'ordre de succession des accidents du nerf
optique
et de la macula, uliu de résoudre définitivement
la cécité avant qu'on ait pu percevoir aucune anomalie dans le nerf
optique
, on devrait considérer l'a- nlaUI'Ol', l'[ 1)('
e 1905, l. XIX. 7 08 CLINIQUE MENTALE z gancs superposés, couches
optiques
, bulbe, moelle, dans lesquels existent des cent
activité peut être réveillée d'une façon automatique. Les couches
optiques
, en particulier, contiennent des noyaux qui pré
aireilu nerf en 30 cas, dont 28 avec inflammation ; 19 fois le nerf
optique
même était oedémalié et enflammé. Sur 42 yeux
ison de l'inflammation de la partie rétrobulbaire et basale du nerf
optique
et de la l'opal'Ucipalion d'autres nerfs crâniens
e. Le plus souvent on observe l'atrophie descendante simple Au nerf
optique
par vous- sure du plancher du 3e ventricule. Ra
ire aussi une anomalie congénitale du mode de disposition du nerf
optique
a son entrée dans le-globe oculaire ; l'ophtalmol
la papille étranglée peut émaner d'un hématome de la gaine du nerf
optique
, consécutif aune fracture du crâne; la gaine se
rale de la rétine dans son passage par le canal de la gaine du nerf
optique
(De) 1) ou la compression des vaisseawccn- lrau
gagnent le corps genouillé externe, les deux pulvinars de la couche
optique
, les corps quadrijumeaux antérieurs. 9. La lési
ois il persiste tels ou tels désordres. 12. L'anato- mie du tractus
optique
explique, par le détail du chiasma, de la répar
priati. (li iiévi-oi. Ariiio XXI, fasc. \'-\'1.) \\\V.- Les centres
optiques
primaires après énucléation ou atrophie du glob
-ela[ioll,,ti-is étroites entre la rétine d'une pari et les centres
optiques
primaires. Ces connexions sont moins importante
re qui, pour remplir sa fonction fait appel au centre acoustique et
optique
de la parole. Conclusions. 1. Le centre moteur
tôt du centre de la parole acoustique, tantôt ducenfre de la parole
optique
. ? . L'aphasie motrice transcorticale est pro-
c'est que )'atexie-sous-corticabj vraie procède souvent par aphasie
optique
: incapable de dénommer les objets qu'il voit,
l'affection, elle ne pouvait retrou- ver dans sa mémoire les images
optiques
de l'écriture, bien qu'elle conservât totalemen
et 13), tandis que sa partie inférieure, relevant de laban- delette
optique
, prend au Weigerl une forte coloration noire. L
ci- pital relie axant tout les parties postérieures du thala- mus
optique
avec l'écorce pariétale. Kilo n'a pas de rela-
ussi, le faisceau qui unit la sphère corticale visuelle aux centres
optiques
pri- maires se divise à la hauteur de c. g. c.
intacte et n'a donc probablement pas de rela- tions avec la sphère
optique
(v. 1\lonakow). Môme remar- que pour la partie
e inférieure de c. g. c. qui dépend direc- tement de l'état du nerf
optique
et non du lobe occipital (v. llonal : ow)... "
iutuber cinereum, puis s'est logé sur le chiasma et entre les nerfs
optiques
qu'il a écartés sans en altérer la structure. C
e il assurer la communica- tion des terminaisons Lectales des nerfs
optiques
et des détermi- nantes excitomolrices des mouve
gnatee comme conslanle, ou presque constante, au pourtour des voies
optiques
dans les autopsies de tahl'liqul' aveugles. Ce
que l'hémianopsie soit provoquée par la section de la bandelette
optique
, par une lésion du corps genouillé externe, ou pa
teur a déterminées dans ses expériences de section de la bandelette
optique
correspondante. Bien que la lésion ait été rigo
de l'hémisphère droit (circonvolution lenlhoro-occipilale el couche
optique
), lé- sions multiples du bulbe. it. CHAPON. X
rite multiple. P. KERAVAL 1. LIV. Lésion par arme à feu des nerfs
optique
et ocu- lomoteurexterne; par S. Lr.vss. (Obo ?
neuse. L'ophtalmoscope reveieà droite : atrophie blanche du nerf
optique
; grande quanti lé de pigment peripapillairc,sauf
auditif, du glossopharyngien, atrophie de celles des libres du nerf
optique
gauche qui partent du nerf optique droit. Il es
hie de celles des libres du nerf optique gauche qui partent du nerf
optique
droit. Il esl supposable que la lésion a eu lieu
la lésion a eu lieu à l'entrecroisement même, car, si tout le nerf
optique
droit était altéré, nous aurions une hémianopsi
ncerne une méningite de la hase all'edanl t exclusivement les nerfs
optiques
, grelfée sur la syphilis. lil et petites doses
oyers de ramollissement unilatéraux du corps strié et (le'la couche
optique
déterminent une inconti- nence d'urine passagèr
hiens non curarises. A partir du 3s mois, l'excitation dp la couche
optique
et du noyau caudé produit des phénomènes cardio
nt les effets du noyau coudé par la fusée du courant de la cou- che
optique
à ce noyau. Quand on excite les tubercules quadri
n est, à cette époque, de même, des libres myéljniques de la couche
optique
dont l'aspect est celui des animaux plus âgés.
biculaire. t Il existe, pour lui, une intime relation entre l'effet
optique
et l'effet pupillomoteur de l'excitant galvaniq
excitation qui possède les mêmes qualités que celle qui a un effet
optique
,c'est- à-dire par la fermeture à l'anode de cou
qu'à l'occasion delà ferme- ture palpébrale réflexe émanée du nerf
optique
ou du trijumeau. La contraction des pupilles qu
HOLOGIE NERVEUSE. que celles de la moelle, en particulier les voies
optiques
et au- ditives périphériques. Les lésions sont
chterew, 130. Du cortical de la vue, par Agadjaniantz, 131. Les -
optiques
primaires après énucléation ou atrophie du gl
du corps strié à la partie supérieure des ventricules. - La couche
optique
est moins longue de 6 millimètres que la couche
- La couche optique est moins longue de 6 millimètres que la couche
optique
gauche. La tête du corps strié est séparée par
'induration. La cavité du ventricule latéral est normale. La couche
optique
est saine ; mais le corps strié est parsemé d'î
aux chez l'homme et les animaux supérieurs d'une part, et les lobes
optiques
chez les reptiles d'autre part. Les conclusions
chez les mammifères et qu'ils n'avaient aucun rapport avec le nerf
optique
et les nerfs oculo-moteurs. 128 . REVUE d'ana
avec l'innervation rétinienne et oculo-motrice; 5° Que les lobes
optiques
des reptiles sont les homologues de la paire an
termine, en^faisant' remarquer que l'étude attentive de' la région
optique
ainsi pré- sentée et conduite jusqu'au lobe occ
ournal of physiology., vol. II, n° 1) avait trouvé dans les couches
optiques
des centres d'arrêt des con- tractions spasmodi
on. On fait ensuite une hémisection du cerveau derrière la couche
optique
, à l'aide d'une lame recourbée. La moelle épinièr
actions rythmiques des sphincters prennent naissance dans la couche
optique
de chaque côté, descendent le long des portions
ion des surfaces correspondantes du rocher et du sphénoïde. Le nerf
optique
droit était aplati et ramolli. A la coupe, la t
corps strié, l'insula de Reil et la partie antérieure de la couche
optique
. - L'endocarde de l'oreil- lette gauche était f
n frontale de chaque côté est ainsi entièrement dépouillée. Couches
optiques
violacées et comme oedémateuses. En résumé : mé
ffaiblissement de la vue. En août, on constatait une double névrite
optique
; des vomissements de temps à autre; de la raideur
ant l'existence d'une lésion, organique infra-crânienne, (névrite i
optique
, cépha- alg¡e, ,9mlqsÿ.ments), et symptômes per
ne, présentait L pas de lésion appréciable, non plus que les nerfs
optiques
. , il ? r ru IJJ ? i' " t;-)h ? r""O0Îii. ^,.5"
téral, grâce à un orifice large et béant. Le corps strié, la couche
optique
étaient d'un volume moindre à droite qu'à gauch
er- mettait d'apercevoir le noyau caudé du corps strié, la couche
optique
, et une partie de la corne postérieure du ventr
al était dilaté : déprimés sur ses parois, on distinguait la couche
optique
et le noyau caudé. Sur l'hémisphère cérébral ga
eparaît avec elle. R. B. XXV. ÉTUDE expérimentale SUR la bandelette
optique
ET LES CENTRES VISUELS MÉSENCÉPHALIQUES ET CORT
le n'est qu'apparente et provient de la sclé- rose de la bandelette
optique
qui s'étend sur lui ; 2° Contrairement à l'opin
les fibres du corps genouillé externe appartiennent à la bandelette
optique
, celle-ci ne forme qu'une très petite partie de
l'indique cet auteur, une simple commissure entre les deux couches
optiques
et les deux corps genouillés internes, elle se
couche blanc-cendrée superficielle ; 5° La périphérie de la couche
optique
ne reçoit pas de fibres de la bandelette optiqu
hérie de la couche optique ne reçoit pas de fibres de la bandelette
optique
; la couche optique n'est pas un organe central
optique ne reçoit pas de fibres de la bandelette optique; la couche
optique
n'est pas un organe central de la vision; 6°
n'est pas un organe central de la vision; 6° La prétendue racine
optique
interne de la bandelette opti- que (innere Sehh
(innere Sehhùgelwurzel de Meynert) n'appartient pas à la bandelette
optique
; 7° Les fibres qui composent la prétendue racin
genouillé interne (Huguenin) n'appartiennent pas à la bande- lette
optique
, mais à la commissure inférieure. Ainsi, parmi
mais à la commissure inférieure. Ainsi, parmi les 5 racines du nerf
optique
, admises par Huguenin, il n'en existe en réalit
la maladie débuta par une amblyopie rapidement progressive (névrite
optique
), et rappelé à propos de ce malade les divisions
ue peuvent présenter les troubles oculaires. On sait que la névrite
optique
, qui est quel- quefois le phénomène initial, dé
ns avaient débuté par la base de l'encéphale ; l'atrophie des nerfs
optiques
devança de plu- sieurs années les premiers phén
XVIII. SYPHILIS ; accès D'ÉPILEPSIE ET hémiplégie gauche ; NÉVRITE
OPTIQUE
DOUBLE; GUÉRISON PAR L'iODURE DE POTAS- SIUM ;
la suite de cet accès. Peu de temps après, on constata une névrite
optique
existant des deux côtés à un degré avancé : le
sé, rendre ,sdnsle,srégŸonsméréhrales so 9-jacentes.1 Laç, couche «
optique
, ou, thalamus, To^lS capsule'1 int'erne'w'Cn',
e del'insula, 'fjÇJof à un'niyeau plus1 élevé que celui delà oouche
optique
? £ §-, et dejla"caité7du ve*ntrieule,làtéralpi
"» i- Fr ao-nBjyn 0 ' -Iloti 11,2 le noyau lenticulaire, la couche,
optique
. Il convient , , , J ? bllV,'l-< ? 9l 0BV ?
on>a 92 ? n tA qirrufr) nez par - le .commencement de la' couche
optique
(corpus ï» «JQto 1JJ ! ' S>" h-l'^B ? > q
bi.,ji : nj jlii9.'01 9'0ftif'7O 1,1 9'«JJoar,,i.' .fiilV K .^M) v
optique
qui sont en haut et en dedans. ; ; "^ 'À · .m3
.i y ? M jÀt)Mi) : \\ie ? (r^ . f>\ ip<- sépare de la, couche
optique
, ce grillage qui aboutit en-haut au taenia sem)
ature ne peut être déterminée. Les tumeurs trouvées entre la couche
optique
et le corps strié symétriquement de chaque côté
istique : la, perte du sentiment. Il décrit sous le nom d'épilepsie
optique
une forme spéciale où l'attaque est précédée d'
ense que le siège anatomique de ce type épilep- tique est la couche
optique
. Pour lui, la couche optique est 588 REVUE DE P
de ce type épilep- tique est la couche optique. Pour lui, la couche
optique
est 588 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. un cent
OLOGIE NERVEUSE. un centre de perception, sensorielle. Si la couche
optique
est lésée, l'impression sensorielle transmise p
e optique est lésée, l'impression sensorielle transmise par le nerf
optique
sera pervertie et il y aura illusion. Si la sub
aucune impression, cette impression peut se , former dans la couche
optique
; nous avons alors une hallucination. L'halluci
que la maladie est limitée entièrement, ou à peu près, aux couches
optiques
. 1«, Je dis à peu près, ajoute-t-il, parce que
intra-crâniennes.- 1 ? C TI 1°' Certains troubles d'ans les disques
optiques
(névrité"o'p ? tique et atrophie papillaire); 2
L'auteur insiste surtout sur les troubles papillaires. La né- vrite
optique
est pour lui le plus important de tous les symptô
sant à noter, existait du côté opposé à la lésion. Cette névrite
optique
n'a pas nécessairement pour conséquence laperte
e il faut' ranger -l'atrophie papillaire et l'hypérémie des disques
optiques
sans oedème qui se rencontre parfois. > ' '
aux (moelle dorsolombaire). Méningite chronique, atrophie des nerfs
optique
et acoustique. P- K. LXXXIV. DE QUELQUES symp
es trente-sept cas de myosis, il y avait huit fois atrophie du nerf
optique
. Sur les soixante et onze cas, quarante-trois a
tives aux lésions des différentes parties du système nerveux(couche
optique
, pédoncule, bulbe, etc.) Pour M. Schiff, elles
. Corps quadrijumeaux (anatomie des), par Spitzka, 127. Couches
optiques
(épilepsie liée aux lésions des), par Hammond.
and, 326. Epilepsie (rapports de l') et des lé- sions des couches
optiques
, par Hammond, 587. Etalagistes, par Lunier, 4
par Webber, 310. Myélite transverse (coïncidence de la névrite
optique
et de la), par E. C. Seguin, 313. Myélite des
l'hémisphère gauche, à 1(2 centimètre en avant du chiasma des nerfs
optiques
(c'est la face antérieure). s, mince lamelle
hémisphère gauche, à 1 112 centimètre en avant du chiasma des nerfs
optiques
. (C'est la face postérieure). NC, noyau caudé
ntalde l'hémisphère gauche, a 8 mill. en avant du chiasma des nerfs
optiques
. (C'est la face posté- rieure.) T p, substanc
be frontal de l'hémisphère gauche, tout contre le chiasma des nerfs
optiques
. l', substance blanche du lobe pariétal, arriva
érieure. N C, noyau caudé. - N L, noyau lenticulaire. - T o, couche
optique
, (thalamus opticus). C n, capsule interne. C
, de l'hémisphère gauche, à 1 cent. en arrière du chiasma des nerfs
optiques
. ( C'est la face posté- rieure.) T o, couche
a des nerfs optiques. ( C'est la face posté- rieure.) T o, couche
optique
(thalamus ojdicus). - N L, noyau lenticulaire.
de l'insula. U, Cavité du ventricule latéral gauche. T o, couche
optique
(thalamus opticus). EXPLICATION DES PLANCHES. 6
N DES PLANCHES. PLANCHE XVIII Ci, capsule interne. C oy, couche
optique
. Fs, ligne forilicitc-sylvieillie. Ne, noyau
audé. N L, noyau lenticulaire. R 1, racine inférieure delà couche
optique
. S l, septum lucidum. cca, commissure cérébra
faisceau longitudinal inférieur. o ! ln o, origine grise des nerfs
optiques
. t c, trigone cérébral. Vm, ventricule moyen.
ES PLANCHES. 687 PLANCHE XIX C i, capsule interne. C op, couche
optique
. Ne, noyau caudé. NI, noyau lenticulaire. R
érieur. f Al., faisceau de Meynert. gr. c. op., gril de la couche
optique
. ()88 EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE XX
sule externe. C i, capsule interne. C. op. gr., gril de la couche
optique
. F, fasciculus uncinatus. F 111, faisceau de
e néoplasique de la base s'insinuant entre la bandelette et le nerf
optique
(atrophie de celui-ci) ou d'un foyer inflammatoir
t les artères, ou occupant la base, lésant la bandelette et le nerf
optique
, gagnant l'écorce et déterminant, soit par l'obli
ubliés plus tard. P. Kéraval. II. Le trajet des FIBRES dans LE nerf
optique
; par 0. IIEBULD. (Neurolog. Centralbl., 1891.)
el de l'oeil droit à droite. L'autopsie révèle une atrophie du nerf
optique
gauche dont les fibres sont toutes détruites ;
optique gauche dont les fibres sont toutes détruites ; dans le nerf
optique
droit, deux forts trousseaux sont altérés, et t
la dégénérescence dans le chiasma; elle montre que, dans tout nerf
optique
, il y a des fibres nerveuses qui appartiennent
t la bandelette. Le faisceau entre- croisé occupe le centre du nerf
optique
, et, dans la bandelette, la partie inférieure (
avait intégrité de la partie périphérique de l'arc ré- flexe (nerf
optique
, nerf oculomoleur). Le faisceau des fibres lon-
rise centrale des cavités, se terminent dans les noyaux des couches
optiques
, dans le ganglion de l'habenula, dans le gangli
couches optiques, dans le ganglion de l'habenula, dans le ganglion
optique
du la base, dans le corps de Luys, dans l'anse
et un autre faisceau, plus gros, qui va directement dans la couche
optique
et les ganglions nerveux adjacents ; dans la cap-
tubercule quadrijumeau anté- rieur, dégénérescence de la bandelette
optique
et du nerf optique. M.Kreuser croit que les tro
eau anté- rieur, dégénérescence de la bandelette optique et du nerf
optique
. M.Kreuser croit que les trousseaux atrophiés d
ée du corps genouillé interne et des segments latéraux de la couche
optique
, qui est probablement consécutive à l'atrophie du
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 111 sible de distinguer des fibres
optiques
les éléments qui établissent une relation avec
ale entée sur la syphilis. P. K. XX. DES altérations DE la COUCHE
OPTIQUE
dans la paralysie PROGRESSIVE; par G. ZAGARI. (
HOLOGIQUES. 115 à l'autopsie des lésions circonscrites de la couche
optique
, tandis que cet organe est indemne dans les cas
rocher des rapports établis par Monakow entre l'écorce et la couche
optique
(dégéné- rescence de celle-ci à la suite de l'a
e assertion à l'aide de cinq observations. Conclusions. Les couches
optiques
sont, dans la paralysie générale, souvent le si
sur l'extrémité antérieure des bâtonnets et des cônes des filaments
optiques
une modification qui développe des courants éle
De là l'opinion qu'il y avait une lésion autochtone des trousseaux
optiques
, situés en arrière du chiasma. L'existence de l
l y croirait plutôt qu'à un foyer du centre ovale partant du centre
optique
du lobe occipital et intéressant les fibres qui
s'appuie sur un cas de gliomatose spinale avec atrophie des nerfs
optiques
. III. M. le Dr G. P(tIBYTKON. Contribution à l'
. P(tIBYTKON. Contribution à l'étude du trajet des fibres des nerfs
optiques
. Après avoir mis à l'épreuve toutes les .méthod
, connues de nos jours, pour l'étude du trajet des fibres des nerfs
optiques
, le rapporteur se servit de la méthode de colo-
le chat ei le chien; H) la structure et le trajet des bande- lettes
optiques
; Il,1) le rapport des fibres des nerfs optiques a
t des bande- lettes optiques; Il,1) le rapport des fibres des nerfs
optiques
aux diverses régions du cerveau, peuvent être e
cerveau, peuvent être envisagées comme centres primaires des fibres
optiques
. Toutes les expériences ont été faites sur des
porteur aux conclusions suivantes : L'entre- - croisement des nerfs
optiques
est complet chez les cobayes ; la com- . missur
pas complet, mais la commissure de Hannover, la racine indépendante
optique
de Flechsig et les fibres pupillaires de Beclrt
upillaires de Beclrterev leur manquent aussi. Quant aux bandelettes
optiques
, le rapporteur n'admet pas de faisceau optiqué
e allant à l'écorce des hémisphères, de même que l'union des fibres
optiques
avec le corps de Luys et le corps géniculé inte
laë, que le D'' Darkschevitsch envisage comme un faisceau de fibres
optiques
qui réunissent la rétine de l'oeil avec le noya
oteur ocu- laire commun. Les observations sur le rapport des fibres
optiques
aux centres primaires aboutirent aux résultats
iveau de l'oculo-moteur, dans le «tegmentum»; une partie des fibres
optiques
, y parviennent en faisceau distinct que Gudden
pulvinar et le thalamus opticus en général ne sont pas des centres
optiques
. Discussion : M. le Dr DARKSCHEViTSCH salue les
ière ne prouve pas ses propres observations sur le trajet des nerfs
optiques
. Tout de même la question sur le rapport du a g
e la séméiotique, j'insiste sur la valeur de cette perte du réflexe
optique
. R = 0, de l'action synergique de l'oreille gau
ne droite; plusieurs petits foyers de ramollissement dans la couche
optique
droite, le noyau lenticulaire du même côté, lam
e, dyspnée, phénomènes inten- sifs à l'occasion de toute excitation
optique
ou auditive. Convul- sions toniques adroite, du
DE : \1, LEBER. M. LEBER. - Des affections périphériques des nerfs
optiques
chez les hystériques. L'orateur a, dans un grou
rononcée qu'il fallait imputer à une névrite rétro-bulbaire du nerf
optique
. La régression rapide et presque complète du tr
.lésion siégeait à la périphérie, c'est-à-dire dans le bout du nerf
optique
antérieur au chiasma. La cécité, sur- venue bru
n microsco- pique ; il constata des altérations atrophiques du nerf
optique
remontant à plusieurs années; elles occupaient,
allucinés de l'ouïe) ; 2° quelle est la réaction galvanique du nerf
optique
dans les cas de lésions organiques et d'altérat
e âgé de huit mois, présentant de la microcé- phalie et une névrite
optique
double. L'épine et les extrémités étaient presq
gnait qu'une faible portion de la partie postérieure de la couche
optique
droite. Ce qu'il y a surtout de remarquable dans
t non croisées, spécialement'des macu- laires, d'abord dans le nerf
optique
même; il montre ainsi, par exemple, que la part
ires. L'auteur suit ces trajets à travers le chiasma, la bandelette
optique
, etc., et arrive sur bien des points à des conc
éciale du rôle que jouent dans les con- duits visuels les ganglions
optiques
subcorticaux : le corps genouillé externe, le p
édullaires », par le Dr Vorotinski; a Sur les altérations des nerfs
optiques
dans le tabes », par M. le professeur N. M. Pop
otte, 4 : 57. ' Obsession avec conscience, par Ber- bez, 253.
Optique
, trajet des fibres dans le nerf -, par Hebold,
ie pathologique, par Binswan- ger, 114 ; altérations de la couche
optique
, par Zagari, 114; névrite périphérique dans la
phénomènes du côté de la pupille; la staungs-papille et la névrite
optique
qui sont habituelles dans la syphilis méningée
i qu'on lui a tant reproché d'avoir admis un instant pour les voies
optiques
. ' ' Uhthoff. Urger die Loehmung bei der Syphil
e, et, dès cette époque, M. Magnan' conclut qu'une sclérose du nerf
optique
peut devancer de plusieurs années l'éclosion de
parties ont été étudiées. Nous ne parlerons que des lésions du nerf
optique
et de la rétine. M. Galezowski2, après des rech
ltat d'une hyperplasie du tissu conjonctif et surtout d'une névrite
optique
interstitielle. Nous n'avons pas cherché à véri
, p. 19. 2 Galezowski. Sur les altérations de la pupille el du nerf
optique
dans les maladies cérébrales (Union août 1866).
Une partie du ruban de Reil se termine probablement dans la couche
optique
; après avoir traversé transversalement le centre
ent en dendrites finales. Les cellules de cette région de la couche
optique
sont indubitable- ment reliées à la pariétale a
ous- seaux latéraux du ruban de Reil principal) va, par la couche
optique
, directement à la capsule interne. P. KERAVAL.
L. XXXI. Contribution A la question DE l'entre-croirement du nerf
optique
; par L. Jacobsohn (Neurolog. Cetztralbl., XV, 1$9
l'homme il \ y a dans le chiasma entre-croisement total des fibres
optiques
. Enlevons un oeil à lapins, cobayes, chats et s
actus nerveux dégénéré, c'est-à-dire coloré en noir, allant du nerf
optique
coupé, par le chiasma, à la bande- lette du mêm
utes les fibres colorées en noir vont oblique- ment à la bandelette
optique
du côté op'posé : en un mot il y a entre-croise
u côté op'posé : en un mot il y a entre-croisement total des fibres
optiques
dans le chiasma. Chez le chat etle singe une gr
les suivre plus loin : il y a entre-croisement incomplet des fibres
optiques
dans le chiasma. Il est problable qu'il en est
s les noyaux lenticulaire et coudé du côté droit, et dans la couche
optique
du même côté. Deuxième cas. - Un homme, AL ? iî
me ou bien amaurose par compression d'une ou des deux bandelettes
optiques
, avec abolition de la réaction pupillaire ; soit
le des signes impor- tants. Le plus souvent on trouve de la névrite
optique
avec phénomènes inflammatoires très accusés : l
de Grsefe qui séparait nettement la papille par stase de la névrite
optique
descendante. D'autres fois, mais le fait est pl
çon permanente, que l'ophtal- moscope montre des lésions de névrite
optique
, que tous les symptômes énumérés plus haut se s
il ne s'accompagne pas de phénomènes inflammatoires du côté du nerf
optique
de la rétine, ne donne que très peu de troubles
s méningée on avait soit de l'atrophie simple, soit de la névrite
optique
avec phénomènes inflammatoires très accusés, exsu
doptons la distinction que de Groefe avait établie entre la névrite
optique
, qu'il regardait comme des- cendante, et la sta
s, soit en dehors d'elles, tous les intermédiaires entre la névrite
optique
et la stauungs-papille ; enfin les travaux des
e se rencontre surtout dans le cas de tumeurs gommeuses, la névrite
optique
surtout dans la syphilis méningée. Nous avouons
nt produire la stauungs-papille, etiasyphilisgom- meuse, la névrite
optique
. Uthoff en a cité des cas. § 12. Evolution. Nou
exes. G. DERNY. XLVII. SUR L'ENTRE-CROISEMENT INCOMPLET DES NE111,S
optiques
dans LE chiasma DES mammifères supérieurs; par
aient actuellement l'existence de rentre-croisement partiel du nerf
optique
dans le chiasma de l'homme et des mamifères sup
sur des chiens, lui ont toujours montré que la section d'un tractus
optique
provoque l'hémicécilé binoculaire avec prédomin
tale, trois pneumonies antérieures au début de l'affection. Névrite
optique
. Elocution scandée, explosive ; réflexes symétr
obes. Noyau rouge droit légèrement plus petit que le gauche. Couche
optique
gauche beaucoup plus petite que la droite. Atro
qne ceux des cellules d'origine des racines antérieures, des fibres
optiques
, des fibres olfactives. Chez les invertébrés, les
usculaires. De même dans la transmission du courant nerveux du nerf
optique
, par exemple : l'excitation d'une seule cellule
llules centrales des tubercules quadrijumeaux antérieurs ou du lobe
optique
. Relativement à la cellulPolfuctive, von Lenhos
d'influencer plusieurs cellules à la fois comme le font les fibres
optiques
, il s'entrelace simplement avec les dendrites d
enant de fibres nerveuses venues à la rétine par le canal des nerfs
optiques
, donc, dans une direction opposée à celle des fib
, les prolongements nerveux qui passent dans le faisceau des fibres
optiques
, suivant une direction opposée à celle de ces f
tère et l'intensité des excitations arrivées au cerveau par le nerf
optique
. Ranioil y Cajal conjecture que ces fibres agisse
xpériences d'Engelmann, a établi expérimentalement que dans le nerf
optique
passent des fibres dont l'excitation détermine
olonge- ments axiles, quoique en sens contraire de celle des fibres
optiques
, n'en est pas moins également cellulifuge, touj
êmes rapports existent entre les arborisations centrales des fibres
optiques
et les ramifications protoplasmiques des cellules
optiques et les ramifications protoplasmiques des cellules du lobe
optique
des oiseaux qui emportent vers l'écorce les excit
t produire l'hémianopsie au même titre qu'une lésion des radiations
optiques
ou du lobe occipital du même côté. Dr F. DEVAY.
cervelet et la tige cérébrale, avec corps quadrijumeaux et couches
optiques
difformes et couverts de méninges; quant aux hé
fondamentaux des cordons antérieurs et latéraux jusqu'aux couches
optiques
, les faisceaux de Gowers jusqu'à la protubérance.
nexion entre le cervelet et les noyaux de la tige cérébrale (couche
optique
et noyau lenticulaire), l'auteur considère les mo
n trouble d'équilibre dans les fonctions établies entre les couches
optiques
et le cervelet. La soustraction du système du noy
n peut suivre de la dégénération de ces faisceaux jusqu'aux couches
optiques
. De ces observations, l'auteur tire les conclus
eurs de tête, ni sensibi- lité à la percussion du crâne, ni névrite
optique
, on a affaire à un foyer de ramollissement de l
es qui vont de la région frontale supérieure ou moyenne à la couche
optique
. Donc, toute dégéné- rescence secondaire, consé
tive à des lésions frontales, dans la racine antérieure delà couche
optique
, indique que la région pré- fontale est en rapp
e, indique que la région pré- fontale est en rapport avec la couche
optique
, aec plzc>w; il n'y a que des lésions strict
ans toute leur étendue s'unissent avec le noyau médian de la couche
optique
, par quelques fibres de projection isolées; mai
usorio-corticales, tant que le rapport du noyau médian de la couche
optique
avec les conducteurs senso- riels ne sera pas f
de cette masse grise, montent en haut et en arrière dans la couche
optique
, passent par la capsule interne, et le segment le
e tronc du cerveau entier, et peuvent être suivis jusqu'à la couche
optique
. Le trajet du faisceau de Gowers est, d'après l
du cordon latéral de la moelle cervicale et probablement la couche
optique
. Un autre trousseau tbalamospinal partirait, pr
(Théophile). Ophtalmoplégie sensitivo-motrice totale avec alrophie
optique
par syphilis acquise. Prodhon (Eugène-Pierre-Jo
t au rap- pel de la vie chez les pendus, par Kompe, 498. Couche
optique
. Anatomie de la racine antérieure (le la -, par
terew, 479. Olives inférieures. Cellules des , par Klinke, 486.
Optique
. Entrecroisement du nerf - , par Jacobsohn, 67.
hsig) et ceux de l'interruption du faisceau sensitif dans la couche
optique
(Von Monakow et 11anhaim) n'est pas encore term
nsitives elles ont un relai au moins partiel au niveau de la couche
optique
. La clinique montre en tout cas que dans l'hémi
e à des lésions. capsulaires empiétant plus ou moins sur la couche,
optique
et les noyaux du corps strié, les troubles du s
e la vessie ni du rectum. l'as d'attaques épilep- tiformes, névrite
optique
double. Ici encore les symptômes indi- quaient
y sont-elles rares ; peut-être y en a-t-il aussi dans la radiation
optique
. Il n'y a certainement pas de fibres de project
ière du genou et se continue jusqu'à la partie moyenne de la couche
optique
. Les symptômes ont été de la dysarthrie, d'abor
L'ophthalmoscope montre d'autre part une atrophie double des nerfs
optiques
. CONVULSIONS POST-TRAUMATIQUES : CRANIECTOMIE.
d'Argyll-Robertson, de Westphal, de Romberg, une atrophie du nerf
optique
gauche, et des douleurs fulgurantes. Contracte
illaire à la lumière. Chez un tabétique aveugle (atrophie des nerfs
optiques
), dont les pupilles étaient tout à fait insensi
à conca- vité antérieure, passe dans le centre médian de la couche
optique
et dans les parties mitoyennes du noyau latéral
chez le chat, le chien, les rongeurs, le centre médian de la couche
optique
n'est pas tout à fait médian (Détails dans le m
rne de la substance noire et un peu en dehors, au hile de la couche
optique
; c'est un trousseau peu compact entre les fibr
partie postérieure du groupe nucléaire antéro-latéral de la couche
optique
. Le ruban de Reil traverse en assez bon ordre l
. Le ruban de Reil traverse en assez bon ordre le hile de la couche
optique
, fournit un certain trajet antéro-postérieur et
aux segments antérieurs du groupe nucléaire antérieur de la couche
optique
. Voici maintenant un cerveau de chat anormaleme
e jours et demi un trousseau de fibres blanches allant de la couche
optique
à la capsule interne. D'ordinaire c'est chez le
yonnante. Il n'existe pas de fibres myéliniques allant de la couche
optique
à la cou- ronne rayonnante. Mais, plus tard, da
qui, du globus pallidus, par-dessus la face antérieure de la couche
optique
, va au pédoncule antérieur de la glande pinéale
chterew et Tschermak). Les faisceaux de Reil corticaux de la couche
optique
n'appa- raissent point avant le neuvième jour;
ème jour; à ce moment apparaissent des fibres qui vont de la couche
optique
à la capsule interne. Nous avons vu l'exemple a
ve : des symptômes de tumeur cérébrale (céphalée, vertiges, névrite
optique
) ; de l'hémianopsie, un des principaux signes d
ctum dans 2 cas. Fréquence relative des divers symptômes : Atrophie
optique
: dans 11 cas parmi lesquels deux furent accomp
légère ; 1 cas fut sans ataxie. Dans la plupart des cas d'atrophie
optique
l'ataxie fut donc légère. Dans deux de ces cas
e optique l'ataxie fut donc légère. Dans deux de ces cas d'atrophie
optique
le signe de Romberg existait en dépit de la céc
surviennent chez ces malades au moment où, à la périphérie le nerf
optique
est soumis à une forte excitation par le fait d
es symp- tômes généraux d'une tumeur encéphalique avec l'atrophie
optique
, et la perte du champ visuel temporal rend le dia
paraissent égales, il en est de même des autres artères. Les nerfs
optiques
et le chiasma sont égaux. Le tubercule mamillaire
que ocreuse arrive en dedans jusqu'à 4 millimètres de la bandelette
optique
(PL. IV). Autour de cette lésion principale,-lo
non pas seulement jusque dans la partie antérolatérale de la couche
optique
c'est-à- dire dans la couche nucléaire antérieu
dire dans la couche nucléaire antérieure de la masse de la couche
optique
, dans l'écorce de la couche optique et dans la co
rieure de la masse de la couche optique, dans l'écorce de la couche
optique
et dans la couche grillée ainsi qu'au centre mé
et Munzer, Ferrier et Tur- ner, W. Mott), mais à travers la couche
optique
même, c'est-à-dire qu'un nombre assez considéra
rable de fibres sont atteintes dans leur trajet à travers la couche
optique
, entre l'écorce de celle-ci et sa masse (hile d
optique, entre l'écorce de celle-ci et sa masse (hile de la couche
optique
) et à leur point de sortie, dans leur expansion
r du pied du pédoncule, reposant immé-' diatement sur la bandelette
optique
, vont à la région du tuber cinereum ; elles for
qui antérieurement et antéro- latéralement ressortent de la couche
optique
et traversent le pédoncule cérébral, arrivent a
ie de fibres, dites directés, s'échappent latéralement de la couche
optique
, par la coque de celle-ci, pénètrent dans la ca
noyau du cordon postérieur, et passent par la masse de la couche
optique
, et, en partie, par le noyau lenticulaire. Ce sys
r le noyau lenticulaire. Ce système entre en rapport avec la couche
optique
par des rameaux latéraux. Il est surtout formé
n postérieur qui se terminent dans la couche nucléaire de la couche
optique
. C'est le système thalamique croisé du noyau du
le partie de l'écorce gagnent les fibres qui traversent la cou- che
optique
? Très probablement, d'après les travaux de Meyne
en fibres qui subissent une interruption momentanée dans la couche
optique
, du système thalnmocortical (Monakow). C'est
.-E. Henschen. (Neurolog. Centralblatt., XVII, 1898.) Les faisceaux
optiques
ou visuels qui commencent à la rétine et se ter
rieur de la rétine serait innervé par le faisceau supérieur du nerf
optique
et de la bandelette optique; son quadrant infér
nervé par le faisceau supérieur du nerf optique et de la bandelette
optique
; son quadrant inférieur par le faisceau inférie
trouve un kyste hémorragique dans le segment occipital de la couche
optique
et du pulvinsr, qui a pénétré jusqu'à la limite
t séparé. P. J{ERAVAL. LXXIV. L'entrecroisement partiel des nerfs
optiques
dans le chiasma des mammifères supérieurs ; par
'interroger la physio- logie expérimentale. Knoll sectionne le nerf
optique
, il obtient la cécité de l'oeil du même côté et
étiniennes ; 2° l'amaurose consécutive à la lésion de la bandelette
optique
, du corps genouillé externe, du tubercule quadr
produite par l'endroit lésé sur la nutrition de l'oeIl ou du nerf
optique
. Il faut se défier des espèces animales, des di
côté. La destruction du corps genouillé externe ou des autres voies
optiques
plus lointaines entraine aussi une hémi- anopsi
pille : artères et veines notablement dilatées, mais pas de névrite
optique
nette.- Il reste ainsi deux mois en conservant
au de la partie antérieure de la portion ventriculaire de la couche
optique
gauche; ce foyer dépassait en bas lacouche optiqu
ire de la couche optique gauche; ce foyer dépassait en bas lacouche
optique
et intéressait le pédoncule cérébral au niveau
ique. Après avoir fait remarquer que les altérations de la couche
optique
n'ont aucun rapport avec la motilité du larynx, l
ractées. Quelquefois conjonctivite et même kératite. Pas de névrite
optique
. Après cinq ou six jours d'excitation : hébétude,
début plus lent, délire moins aigu, moins de fièvre, pas de névrite
optique
, moins de troubles généraux. Méningite séreus
que ; prend quelquefois les symptômes de tumeur cérébrale : Névrite
optique
, céphalée, vomissements, vertiges, convulsions,
modifications appréciables du fond de l'oeil et sans lésion du nerf
optique
ou du cerveau, avec retour progressif et finaleme
nnexions , cen- trale des ' moteurs, par n'oma- now, 142. Nerfs
optiques
. Entrecroisement partiel des -, par de Bechtere
la défor- mation du crâne et ce qui concerne les troubles des nerfs
optiques
. En d'autres termes, l'on peut retenir que, dep
risée par une synostose précoce des sutures avec atrophie des nerfs
optiques
. On a donc restreint pendant longtemps le cadre
de son cortège de symptômes nerveux bien connus (atrophie des nerfs
optiques
, strabisme, exophtalmie, idiotie, etc.), doit ê
emiers un état post-méningitique avec atrophie secondaire des nerfs
optiques
, et les deuxièmes un état adénoïdien. Nous voyo
âne en tour. Ce type clinique, caractérisé par une lésion des nerfs
optiques
el par la déformation oxycéphalique du crâne, e
pproche- ment entre la déformation crânienne et la lésion des nerfs
optiques
(2) ; .depuis, un certain nombre d'auteurs alle
Bicêtre atteint d'oxylrigonocéphalie et d'atrophie double des nerfs
optiques
(1). A peu près à la même époque, parurent plusie
est caractérisée par deux symptômes capitaux ; la lésion des nerfs
optiques
et la déformation du crâne ; viennent ensuite les
A. Patry, Thèse, Paris, 1905. (6) Meltzer, Pathogénie de l'atrophie
optique
et du Turmschoedel. Neur. Centralbl., 1908. (
alie, Presse méd., 17 déc. 1910. 6 BERTOLOTTI Du côté des nerfs
optiques
on a observé dans l'oxycéphalie deux types opli
oplitalmoscopiques : la névrite en évolution et l'atrophie du nerf
optique
secondaire à la névrite. La névrite primitive a
x- ceptionnellement, tandis que les cas d'oxycéphalie avec atrophie
optique
sont beaucoup plus nombreux que les précédents.
tte malformation il faut bien retenir que, ni les lésions des nerfs
optiques
, ni les autres troubles nerveux concomitants, n
porté à établir que l'on peut être oxycéphale sans avoir de névrite
optique
; cela est démontré, du reste, par les cas célèbre
tout de suite : les troubles fonctionnels de l'oxycéphalie (névrite
optique
, strabisme, nystagmus, exophtalmie, anosmie, el
E DU SYNDROME OXYCÉPHALIQUE 7 d'oxycéphales, atteints d'une névrite
optique
bilatérale très grave, et pré- sentant les cara
lombaires répétées pour chercher à empêcher l'évolution de la névrite
optique
consécutive à l'hypertension cérébrale. Le Prof
gé- nitale. soit encore à un commencement de dégénération des nerfs
optiques
. Un an après, c'est-à-dire le 27 janvier 1912 u
er la longueur des quatre parois à partir du rebord externe du trou
optique
. Le second procédé de mensu- ration de la profo
Papillaut-Patry) a l'avantage de rem- placer le rebord de l'orifice
optique
par un point beaucoup plus fixe : le point sphé
la paroi supérieure de l'orbite (V. schéma n° 2). Du côté du trou
optique
, Michel, Mauz, Ponlick ont signalé un rétré- ci
ique, Michel, Mauz, Ponlick ont signalé un rétré- cissement du trou
optique
avec épaississement de ses bords,mais Woisser,
syndrome oxycéphalique complet avec ses séquelles du côté des nerfs
optiques
. Mes recherches radiographiques m'ont montré qu
us des troubles cl assiques dus à la compression cérébrale (névrite
optique
, asthénie, asynergie cérébelleuse, étatparéto-
le Dr Monra Brazil (fils), a démontré de l'atrophie des deux nerfs
optiques
, très avancée du côté gauche. Le champ visuel é
e la compression. A la base, on voit, en arrière du chiasma du nerf
optique
, l'infundibulum proéminant et ayant l'aspect d'un
ne faisant l'impression d'un kyste. L'hypophyse, le chiasma du nerf
optique
, la protubérance, le bulbe et même le cervelet
ure des circonvolutions orbitaires, au voisinage du chiasma du nerf
optique
, nous avons trouvé un grand foyer d'encéphalite.
de la base : de la céphalée, des vomissements, l'atrophie des nerfs
optiques
, des phé- nomènes de compression de la part des
art des nerfs craniens qui prédominent, spécialement ceux des nerfs
optiques
et oculo-moteurs. Mais dans ces cas vient s'ajo
Row, J'hémianopsie chez B...devrait 1 tenir soit à ce que le centre
optique
du manteau de l'hémisphère gauche, la partie dé
mplètement détruite, soit à ce que la communication entre le centre
optique
du manteau et les ganglions a été interrompue.
es difficultés à s'orienter dans la ville à l'aide de ses souvenirs
optiques
. Pour commencer, il était incapable de UN CAS D
SON ET FROJDERSTROnl mots du texte, et que la série des perceptions
optiques
réveille immédia- " tement une série d'équivale
e intérieur : mais parla même ils obtiennent une valeur associative
optique
relativement insignifiante à rencontre surtout de
sil3le, voire facile, dans des cas d'alexie causée par des troubles
optiques
. Les dessins qu'a.confectionés B... sont des pl
soit de l'absence de l'élément acoustico-moteur, soit de l'élément
optique
du langage intérieur et « il n'existe pas d'image
t de peu d'importance pratique, les symptômes intéressant la sphère
optique
sont, par contre, d'un pronostic plus grave. L'
faculté de lire s'est quelque peu améliorée à mesure que ses images
optiques
ont été réveillées et ravivées. De ce qui vient
hacun des petits tuyaux nerveux dont la réunion cons- titue le nerf
optique
. D'autre part, le courant des esprits animaux qui
çus comme dans le ciel par l'entremise de leur lumière et des nerfs
optiques
: en sorte qu'il n'est pas plus nécessaire que
Jln td ? E1 ! 1ltild'aillelllr3 de leur nature. Plus les propriétés
optiques
("alJU,M\Mæ, ¡¡11JIlÍ1oe de réfraction) des par
es de ces points, ont la même composition centési- male. L'examen
optique
d'une solution colloïdale nous montre que les par
lloïdales; le cylindraxe,au contraire,est homogène et offre un vide
optique
presque complet; c'est là une différence que je
oyau est toujours invisible et la place de celui-ci on voit un vide
optique
plus ou moins accusé. Au niveau de l'émergence
SSAI DE BIOCYTONEUROLOGIE AU MOYEN DE L'ULTRAMICROSCOPE 203 priétés
optiques
font partie intégrante de la constitution du cyto
parlé plus haut sont encore mieux différenciés pendant que le vide
optique
du noyàu est en- core bien conservé. D'autres
tion inlranucléaire malgré que l'intérieur ne présente plus le vide
optique
connu. ' Le nucléole se fait remarquer dans un
e d'autres, en nombre plus restreint, ont un reflet bleuté. Le vide
optique
a disparu et à sa place on voit une luminosité in
gmenté de volume. Lorsque la luminosité est plus augmentée, le vide
optique
du noyau est légèrement atténué. En prolongeant
cytoplasma parait presque totalement dépourvu de granulations. Vide
optique
nucléaire absolu, ab- sence de nucléole, 1 volu
L'exa- men du fond de l'oeil (Prof. Gama Pinto) montre une névrite
optique
double peu prononcée. On devait faire un nouvel
I) il n'existe pas. Chez l'autre malade (II) il y a névrite du nerf
optique
et on ne peut pas assu- rer qu'il existait. S
de la base manquent; il ne resle que quelques vestiges de la couche
optique
. Le pédoncule cérébral est libre au milieu de la
s membranes, ou d'une dégénérescence affectant peut- être la couche
optique
droite, c'est-là un problème que M. Savage ne s
lé l'encéphale de la grenouille jusqu'au tiers postérieur des lobes
optiques
desdeux côtés; donnez à l'animal vingt-quatre h
artielle des cordons postérieurs, une dégénérescence grise des nerf
optiques
complétaient le tableau anatomo-pathologique.
aines dispo- sitions morphologiques insolites de la papille du nerf
optique
, certaines irrégularités relatives à l'origine,
ses à myélme dans la ré- tine; formes anormales de l'entrée du nerf
optique
; trajet inusité des vaisseaux rétiniens; quelqu
lomas). La ma- ladie foetale atteint un seul oeii(atrop)iie du nerf
optique
; - fentesintra-ocu)aires;c.eitainesaiterationsd
140 aliénés, trouvé soixante-quatorze fois un déplacement du nerf
optique
dans la papille, deux fois l'existence de fibres
contrent pas dans le tabes alors qu'on y trouve des lésions du nerf
optique
. Discussion : M. le professeur SCIIULTZE, fai
à la région du pulvinar et des corps genouillés ; l'origine du nerf
optique
et du chiasma suscite la consignation de toutes
e même de la protubérance, du bulbe et du cervelet. Les bandelettes
optiques
, le chiasma, les nerfs optiques n'offrent aucun
e et du cervelet. Les bandelettes optiques, le chiasma, les nerfs
optiques
n'offrent aucune altération appréciable ; il en e
stance grise qui est désignée sous le nom de racine grise des nerfs
optiques
à laquelle nous avions l'ait dans notre schéma,
rapports qui rattachent la sphère visuelle (de Muiik i) Aux centres
optiques
infra-corticaux et au nerf optique; par MONA- r
suelle (de Muiik i) Aux centres optiques infra-corticaux et au nerf
optique
; par MONA- r,ow. (Arclc. f. Psych., XIV, 3.)
e partie di- rectement unies à la sphère visuelle (zone A). Le nerf
optique
de cet animal est, par l'intermédiaire des cent
ls infra-corticaux et se propagent sans interruption aux deux nerfs
optiques
. Les zones AI A2 A3 ', sont particulièrement en
eur réseau gris; mais l'inverse n'est pas vrai. Les racines du nerf
optique
prennent naissance dans le réseau gris du corps
ris du corps genouillé externe et du pulvinar. L'atrophie des nerfs
optiques
qui succède à l'extirpation de la sphère visuelle
tion des opinions de Gudden et Nicali sur l'entrecroisement du nerf
optique
; confirmation des assertions de Ganser , sur l
rmation des assertions de Ganser , sur le trajet des fibres du nerf
optique
dans le chiasma. De plus, le faisceau entrecroi
le dont l'atrophie provoque la dégénérescence du système des fibres
optiques
correspond assez sensiblement, comme étendue, à
et les pseudo-dégénérescences (névroses), c'est l'atrophie du nerf
optique
; l'existence de cette dernière prouve qu'il y a
surtout aux impressions sensorielles et notamment à celles d'ordre
optique
. Sans parler des hallucinations et des illusion
a suite de la résection des branches du nerf. Elongations du nerf
optique
. Kümmell Hermann9 1 Walsham. The Brit. med. Jou
ELLE ÉPINIÉRE. 301 i (1882) pratiqua cinq fois l'élongation du nerf
optique
, sans atteindre de résultats satisfaisants. Pam
' (1882, à Avignon) entreprit une élongation bilatérale des nerfs
optiques
dans un cas d'atrophie de ce nerf, d'o- rigine
e de l'hémis- phère. En dedans, le pseudo-kyste longe la bandelette
optique
droite, le pédoncule cérébral qu'il contourne,
et corne d'Ammon normaux. Corps calleux, pédoncule cérébral, couche
optique
, corps strié, bien développés, normaux. Les c
e donne des cou- leurs résultantes qui sont conformes aux lois de l'
optique
. Que par suggestion on colore une série de cart
ise, surtout à la périphérie. M. Uhthoff. De l'atrophie des nerfs
optiques
. Le matériel d'observa- tion a été puisé à la c
zowsky, vont trop loin quand ils fout dépendre l'atrophie des nerfs
optiques
d'une bien plus grande catégorie d'agents patho
ie cérébrale. Un assez vif intérêt s'attache à l'atrophie des nerfs
optiques
consécutive à une névrite primitive non compliqué
la présentation de préparations micros- copiques d'atrophie du nerf
optique
dans la paralysie générale. Il montre également
obilité rigide de la pupille), 2 présentaient de l'atrophie du nerf
optique
. Les hommes tabé- tiques se répartiraient en tr
lysie des muscles de l'oeil, 3 présentaient de l'atro- phie du nerf
optique
; de sorte qu'en somme, la proportion serait de
f- fection des muscles oculaires, de 22 p. 100 d'atrophie du nerf
optique
. La seconde catégorie est celle des malades ayant
sie des muscles de l'oeil; aucun n'était atteint d'atrophie du nerf
optique
, de sorte qu'en réalité ce groupe se décompose
- lysie des muscles de l'eeil, 1 était atteint d'atrophie du nerf
optique
; soit, au total, 44 p. 100 de refroidissements, 3
en rapport avec les muscles de l'oeil, 5 p. 100 d'atrophie du nerf
optique
. Si maintenant on adopte la théorie unitaire de
au diagnostic des maladies du cer- ' veau), par 1'illraml, 136.
Optiques
(atrophie des nerfs), par Ulittioti, 427. Par
e ascendante. C C, cops calleux. V,vrntricu)elaté- ral. C 0, couche
optique
. N l', noyau intra-ventriculaire du corps strié
éral. -N V, noyau intra-ventriculaire du corps strié. - C 0, couche
optique
. NE, noyau extra ventriculaire du corps strié.
nté. Il se distingue enfin de l'ataxie, une des formes de l'ophasie
optique
, parce qu'alors les signes gra- phiques ont per
bre inférieurgauche. Type hémiplégique. Perte de la vue par névrite
optique
double. Aggravation soudaine et abolition de l'
de ramollissement occasionnés par elles, notamment en pleine couche
optique
où les cellules sont délruites, ainsi que les f
sur la RÉGION DE LA CALOTTE, LA COUCHE OPTIQUK ET LA RÉGION SOUS-
OPTIQUE
AVEC CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LÉSIONS ACQUISES
remière partie commence par une description anatomique de la couche
optique
et de ses dépendances chez le chat et le chien.
e optique et de ses dépendances chez le chat et le chien. La couche
optique
est divisée par des lames et lamelles.médul- la
e description est vraie, à quelques variations près, pour la couche
optique
de l'homme. Chez ce dernier, les fibres du ruban
principale se dissocient et pénètrent dans les noyaux de la couche
optique
; de nouvelles fibres, prove- nant du voisinage
urnissant une enveloppe, sur le corps de Luys et se rend aux noyaux
optiques
antérieurs et inférieurs ; 2° Le faisceau moyen
été considéré à tort par Stilling comme une racine de la bandelette
optique
. 3° Le volumineux faisceau antérieur (anse pédo
oncule antérieur et pénètre dans les noyaux antérieurs de la couche
optique
en se confondant avec les fibres des faisceaux pr
r, on observe : une dégénérescence complète des noyaux de la couche
optique
, y com- pris la couche grillagée et la zona inc
econdaire des diverses c dépendances du cerveau ». Dans la couche
optique
, chaque noyau possède comme chez les animaux un
t physiolo- giques nous devons noter que d'après l'auteur la couche
optique
Fig. 1. Hémisphère d'un chat. '122 ) REVUE DE
eu d'origine pour les fibres se dirigeant vers l'écorce. Les noyaux
optiques
ne seraient que des stations intermédiaires par
mais le plus souvent indirectement en s'interrompant dans la couche
optique
. La transmission des impressions sensibles à l'
oculo-moteur : , la branche motrice du trijumeau, les olfactifs, l'
optique
gauche sont déjà intéressés. La zone cortico-in
mais, en avant, elles aboutissent non à l'écorce, mais à la couche
optique
. Elles font donc un coude énorme, car, dans le
angle aigu qui embrasse d'abord la corne inférieure. Dans la couche
optique
, elles entrent en contact avec les segments inf
ouronne rayonnante qui sortent de la capsule interne de la cou- che
optique
, du pied du pédoncule cérébral du segment situé e
pédoncule cérébral du segment situé en avant du milieu de la couche
optique
, côtoient le noyau caudé, viennent en partie en
du pédoncule cérébral, du tubercule mamillaire et de la bandelette
optique
gau- ches. Description du cerveau. Description
atiée à droite. - Les artères et les nerfs de la base, sauf le nerf
optique
, ne présentent rien de particulier. L'hémisphèr
oite. Il en est de même du tubercule mamillaire et de la bandelette
optique
gauches. Le pédoncule cérébral gauche est forte
roit mesure 13 millim à la même hauteur. Au niveau de la bandelette
optique
, il mesure 20 millim. - à droite, 17 à gauche.
ut à fait lisse. Le ventricule latéral est un peu dilaté, la couche
optique
et le corps strié très atrophiés. Les sillons s
tète; 2° les dégénérations secondaires, intéressant la ban- delette
optique
, le tubercule mamillaire, le pédoncule cérébral
(altérations de la tache jaune, et ultérieurement atrophie du nerf
optique
); - 5° marasme, et, règle générale, terminaison
cas dans lesquels il se compliquait de troubles du côté des nerfs.
optiques
et en particulier d'atrophie. Weiss et Brugger
ont publié 16 cas de crâne en forme de tour avec atrophie des nerfs
optiques
; entre autres chez deux frères. Dans le cas ac
le rapport qui existe entre le crâne en forme de tour et l'atrophie
optique
; cependant, étant donné l'ar- rêt de développe
capillaires de la grosseur d'une lentille (gyrus angulaire, couche
optique
, noyau lenticulaire, centre ovale). Il s'agit,
électriques; les sensations de flamme dérivant de la lésion du nerf
optique
se transforment en tourments imposés par des en
fonction de deux nerfs sans importance par comparaison avec le nerf
optique
ou le nerf auditif. Envisagés dans leur évoluti
let, du bulbe olfactif, des ganglions acoustiques centraux, du lobe
optique
, etc., présentent constamment la même extension
; 2° les arborisations nerveuses terminales de la rétine et du lobe
optique
, chez les reptiles et les batraciens, offrent tou
que des cellules épithéliales dans l'écorce céré- brale et le lobe
optique
. C'est peu dire : dans le même organe, des diff
ellules en araignées se montrent dans l'écorce cérébrale et le lobe
optique
des oiseaux. En outre, plus un centre nerveux a
me dans la plupart des cas de ce genre, il n'y avait pas de névrite
optique
. M. Bruns (Hanovre). Sur les myélites. Le domai
e rapidement, et le début de la maladie, qui peut frapper les nerfs
optiques
ou la protubé- rance, se fait quelquefois sous
tion A l'étude DES dégénérescences secondaires DES CENTRES ET VOIES
OPTIQUES
PRIMITIFS DANS LES CAS D'ANOPHTHALMIE CONGÉNITA
GIQUES. 357 qui prouve qu'elles ne donnent pas naissance aux fibres
optiques
; ce rôle est dévolu aux cellules ganglionnaires
ôle est dévolu aux cellules ganglionnaires de la rétine. Les fibres
optiques
viennent s'épanouir parmi les cellules du corps
couche joue un rôle con- sidérable dans la vision. Les radiations
optiques
de Gratiolet qui contiennent, comme on sait, le
s ganglionnaires qui l'envoient finalement, à l'aide des radiations
optiques
, dans les cir- convolutions occipitales et part
robable. A vingt-un ans dimi- nution de l'acuité visuelle. Atrophie
optique
. Céphalée, douleurs fulgurantes, perte des réfl
défaut dans 7 cas; ils étaient exagérés chez 15 malades. L'atrophie
optique
a été rencon- trée dans 12 cas pour 100, c'est-
l'examen ophtalmoscopique, répété fréquemment, révélera une névrite
optique
ou un oedème de la papille. I. Le premier cas o
tumeur du cervelet : céphalalgie, vomissements, atrophie des nerfs
optiques
secondaire, accès épileptiformes, et parésies p
ue existait depuis dix-huit ans et accompagnait toujours une lésion
optique
, et quand le malade s'en débarrassa la narcolepsi
Open door et le Congrès de Nancy, par Marandon de Montyel, Í2L "
Optiques
. Dégénérescence secon - daire îles centres et v
chique : la perte ou le dommage apporté au souvenir des impressions
optiques
appartient encore à l'es- sence de la cécité ps
espace, une faible partie des images commémoratives des impressions
optiques
ayant seule disparu. Par contre, on pourrait dé
a lutea de la rétine et représente la projection des fibres du nerf
optique
qui servent à la vision la plus distincte ; 12°
t à la vision la plus distincte ; 12° l'expansion corticale du nerf
optique
est telle que chaque point de cette expansion e
stance fondamentale gélatineuse. C'est parce que les fibres du nerf
optique
se terminent en ramifications arbori- formes da
lle du cerveau (coin). Par conséquent, des sollici- tations du nerf
optique
arrivent au corps genouillé externe par simple
hie non seulement du corps genouillé externe, mais de la bandelette
optique
et même du nerf optique REVUE D'ANATOMIE ET DE
ps genouillé externe, mais de la bandelette optique et même du nerf
optique
REVUE D'ANATOMIE ET DE PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE
on atrophique du corps ge- nouillé externe comprime d'autres fibres
optiques
, enfin que les éléments optiques s'atrophient p
é externe comprime d'autres fibres optiques, enfin que les éléments
optiques
s'atrophient par abolition de la fonction prin-
. Ou plutôt, dans le cas présent, le malade perçoit les impressions
optiques
de la forme de l'objet, puisqu'il les dessine,
obes occipitaux que réside la perception consciente des impressions
optiques
et la faculté d'en reproduire la forme à l'état
des troubles de la vision (hémiopie, etc.). Quand les excitations
optiques
ont atteint cette région de l'é- corce,'elles y
blié, sur la structure histologique des corps striés et des couches
optiques
, toute une série d'études bien faites pour mont
du système nerveux '. Dans les corps striés comme dans les couches
optiques
, Marchi a rencontré les deux sortes de cellules
ans les corps striés, surtout dans le noyau caudé. Dans les couches
optiques
, où coexistent éga- lement les deux types cellu
nerveuses coexistent dans les corps striés comme dans les couches
optiques
, Marchi conclut d'abord que des fonctions mixte
es cellules du premier type l'emportent décidément dans les couches
optiques
; il y a donc apparence que les fonctions, si co
avent aujour- d'hui des fonctions des corps striés et des couches
optiques
est trop peu de chose, nous l'avons dit, pour q
, sont rapportés à l'activité normale ou patholo- gique des couches
optiques
. Les études de Marchi fournissent déjà une base
temps l'intégrité des nerfs opti- ques, du chiasma, des bandelettes
optiques
, des corps genouillés, des couches optiques et
hiasma, des bandelettes optiques, des corps genouillés, des couches
optiques
et des tubercules quadrijumeaux. Il est donc pe
vi l'admission de la malade, ont absolument fait défaut; la névrite
optique
à manqué pendant-toute la durée de la maladie.
folie est associée à une tumeur du cerveau. 3° L'absence de névrite
optique
pendant toute la durée de la maladie est un fai
pe. A la base, la substance cérébrale intermédiaire à la bandelette
optique
et aux pédoncules cérébraux n'a pas disparu. Le
e fort accusée et un ramollissement de la face latérale des couches
optiques
. Les ban- delettes optiques sont divisées. La f
ssement de la face latérale des couches optiques. Les ban- delettes
optiques
sont divisées. La face supérieure révèle que les
sont divisées. La face supérieure révèle que les débris des couches
optiques
sont recouverts d'une traînée informe représent
erne du côté de la lésion ; cette atrophie atteint la ban- odelette
optique
du côté gauche jusqu'au chiasma ; les deux nerfs
uit mois et demi. On constate : une rétraction extrême de la couche
optique
, du corps genouillé externe et du corps genouil
ment extrême de la protubé- rance annulaire à droite. La bandelette
optique
du même côté est jusqu'au chiasma réduite de mo
meau antérieur et surtout des segments postérieurs de la bandelette
optique
gauche. Egalité de volume des deux nerfs optiqu
s de la bandelette optique gauche. Egalité de volume des deux nerfs
optiques
; le nerf optique droit est simplement un peu gr
optique gauche. Egalité de volume des deux nerfs optiques; le nerf
optique
droit est simplement un peu grisâtre au niveau
ophie secondaire de la pyramide gauche, du noyau moyen de la couche
optique
et du tubercule quadrijumeau anté- rieur de ce
tte dégénérescence secondaire participe graduellement la bandelette
optique
du côté lésé; seulement cette dégénérescence de
un foyer exclusivement limité à la partie postérieure de la couche
optique
. - Il est certain que la capsule interne n'a ri
yons de fibres nerveuses non entre-croisées dans le chiasma du nerf
optique
de l'homme- L'auteur montre des préparations à l'
proviennent du chiasma d'un homme affecté d'atrophie d'un des nerfs
optiques
; elles sont colorées par la méthode de Weigert;
veloppement et trajet des fibres blanches dans le chiasma des nerfs
optiques
de l'homme. M. WITNOVSKT. De l'action des opiac
de la capsule est en rapport en arrière et en haut avec la couche
optique
. A son pied, elle se continue avec les trois ét
aurait été intéressé. Les fibres fines, qui traversent la couche
optique
et se jettent dans la capsule interne, procèdent
nous le verrons bientôt dans les coupes horizontales; la bandelette
optique
, véritable partie du cerveau/lui en envoie égal
hors, se réfléchit sur ce der- nier et se superpose à la bandelette
optique
. Il n'est pas indifférent de constater l'existe
ter l'existence de ces fibres et leur situation entre la bandelette
optique
(partie céré- brale), et la substance innommée
par les fibres qui viennent de la partie postérieure de la couche
optique
(pulvinar et corps genouillés) et secon- dairem
des corps genouillés. Aussi les appelle-t-on à juste titre : fibres
optiques
de Gratiolet. Moins bien inspiré pour les fibre
au-dessus des tuber- 8 ANATOMIE. cules quadrijumeaux ; la couche
optique
et la capsule interne sont coupées dans leur pl
unir celles du septum luci- dum et de la face interne de la couche
optique
. e) Les bords ou segments de la capsule représe
net ou genou de Flechsig répond à la partie antérieure de la couche
optique
, et le bord de la base se recroqueville légèrem
en avant, passe égale- ment sur l'extrémité antérieure de la couche
optique
. Or, la coupe sagittale faite à 2 centimètres e
iju- meaux, en d'autres termes, de toute la portion de l'appareil
optique
située en arrière d'un plan transver- sal passa
laire et la commissure cérébrale postérieure. Ce sont les fibres
optiques
de Gratiolet. Les coupes horizon- tales sus-més
lement que dans les coupes qui intéressent le mésolobe et la couche
optique
. Dans ces dernières, l'aspect lisse de ces libr
on du tiers supérieur avec les deux tiers inférieurs de la couche
optique
(Brissaud, loc. cit., p. 25). En procédant ainsi,
ueillies. EXPLICATION DES PLANCHES PL.CH H 1 P. op., bandelette
optique
. C. c., corps calleux. F. 1. sup. int., faisc
lenticulaire. l'L1\CtIE C. i., capsule interne. C. op., couche
optique
. F. op., fibres optiques. , N. c., noyau caud
C. i., capsule interne. C. op., couche optique. F. op., fibres
optiques
. , N. c., noyau caudé. N. I., noyau lenticula
audé. V. l., noyau lenticulaire. P, c. oy., Pulvinar de la couche
optique
. PLANCHE IV C, claustrum ou avant-mur. C. e
Reil. P. B. Putamen de Burdach. plan cm; \ /<.o ? bandelette
optique
. C. claustrum ou avant-mur. C. e, capsule ext
tion directe. PLANCHE VI C. i., capsule interne ? op. Gr., fibres
optiques
de Gratiolet. N. L., noyau de Luys; pulvinar de
optiques de Gratiolet. N. L., noyau de Luys; pulvinar de la couche
optique
. N. c., noyau caudé. V, v·. St., noyau rouge
, à l'auteur du meilleur travail relatif aux fonctions de la couche
optique
chez l'homme. Les conditions du concours sont l
it, de la paralysie des nerfs REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 351 1
optiques
oculo-moteurs hypoglosse à droite et du facial ga
d'hémorrhagie cérébrale syphilitique dans l'épaisseur déjà ? couche
optique
, et,, quant aux dans le cervelet, elles sont to
n ou de l'oedème péri papillaire ; plus tard, de l'atrophie du nerf
optique
. Les pupilles,- qui, au moment des.vertiges, pr
ES EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE P. op., bandelette
optique
. C. c., corps calleux. F. sur. int., faisceau
ES. p l'anche' Il -1 C. i., capsule interne ? '" C. op., couche
optique
. j ''T ' F. op., fibres optiques.' ? ' ' A',
psule interne ? '" C. op., couche optique. j ''T ' F. op., fibres
optiques
.' ? ' ' A', c, noyaû'caudé. ' ' " ' ` -J' ' ''
audé. N, I., noyau lenticulaire. P. c. op., Pulvinar de la couche
optique
. 324 EXPLICATION ' DES ' PLANCHES. PLIN-CHEji
: S. 325 1 . , t -W IÏ ! l'Y/'1 .PLANCHE, V B. op., bandelette
optique
. ? 3vs M , C. claustrnm ou avant-mur... r, '
PLANCHE VI C. i., capsule interne 1 , ,,fi , f. op. Gr., fibres
optiques
de Gratiolet. r v , , ,. ,, J N. L. , noyau de
réduit à une 88 SOCIÉTÉS SAVANTES. bandelette étroite, la couche
optique
gauche consiste en un mor- ceau assez gros sur
compétents doutent que, pendant la vie, le corps strié ou la couche
optique
aient pu agir. Il n'est donc pas forcé qu'un ch
rg). Des altérations provoquées expéri- me iitalement sur les nerfs
optiques
par la rotation forcée. En conti- nuant les exp
la direction de la rotation. Anatomie pathologique. Gaine du nerf
optique
franchement épaissie. Epanchement sanguin et sé
jonctifs qui, généralement, occupent le centre des segments du nerf
optique
, ainsi que des corpuscules lym- phoides et de l
nt inertes. Enfin, dès le début de mai, atrophie bilatérale du nerf
optique
qui s'accentue de plus en plus. L'alter- native
hiasmatique, et de conclure à une affec- tion de l'appareil nerveux
optique
qui au début a été seulement fonctionnelle. La
ccidents, leur persistance, la dégé- nérescence consécutive du nerf
optique
, rappellent l'amaurose 'Nous l'analyserons plus
au niveau du bord supérieur de la selle turcique et de la gouttière
optique
. Ces types et d'autres du même acabit prouvent
M. STILLING présente les préparations anatomiques relatives au nerf
optique
décrit dans les Archiv. de Waldeyer et Schwalbe,
res qui sortent du corps strié et traite aussi d'une racine du nerf
optique
sise à la base. Les méthodes que nous possédons
. L'autre, à fibres grossières, gagne le gros ganglion de le couche
optique
où il se termine. Ce ganglion donne naissance à
aissance à un nouveau faisceau. Immédiatement en avant de la couche
optique
, on trouve une commissure qui unit les deux fai
nte de Slilling que M. Edinger traite d'une puissante racme du nerf
optique
chez les reptiles. Elle prend naissance, à la b
'est, comme l'on sait, du gan- glion de l'habenula qu'émane le nerf
optique
destiné à l'oeil pariétal des reptiles. M. Za
u grêle' dans sa partie supérieure. La fissure calcarine, la couche
optique
, le lobule de l'insula n'offrent rien à noter. Le
ssure calcarine est normale. Le corps strié est atrophié; la couche
optique
semble à peu près normale,. elle a cependant un
tte coupe, on passe le cou- teau par la partie moyenne de la couche
optique
1. La coupe du pédoncule, celle de la protubéra
aux noyaux du corps strié en suivant l'étage inférieur; à la couche
optique
, en suivant l'étage supérieur; 2° les autres, d
acun des noyaux gris centraux à l'écorce cérébrale (libres cortico-
optiques
ou thalamiques et fibres cortico-striées et corti
e se produit ; la section portant plus en arrière « entre la couche
optique
et le noyau lenticulaire » c'est de l'hémianest
vues distinctes du fais- ceau de Meynert se rendent dans la couche
optique
où elles aboutissent, se terminant dans une mas
deux ordres : une partie du faisceau sensitif atteignant la couche
optique
ou fibres indirectes sensitives de la capsule i
outefois que les fibres sensitives- qui doivent aboutir à la couche
optique
occupent aussi le segment postérieur de la caps
e occupent aussi le segment postérieur de la capsule, que la couche
optique
précisément limite en de- dans. Enfin la zone
njyau caudé (petite extrémité ou extrémité postérieure). 10; couche
optique
. 11 ; capsule interne (genou). 12; noyau lenticul
. postérieure du noyau caiulé. - 2 ; noyau lenticulaire. 1 ; couche
optique
5 ; capsule ex- terne, G; avant mur. 7 ; sectio
DE GOMME DE L\ \. BASE DU CERVEAU AVEC LÉSION DU CHIASMA des nerfs
optiques
; par E. SIE.)irRLI.IG. (Arch, f. Psch., xix, 2.
. Le néoplasme avait totalement englobé et transformé la bandeletle
optique
gauche sur toute son étendue, y compris les cor
ique au coeur de la bandelette droite, du chiasma et des deux nerfs
optiques
surtout à gauche ; atrophie commençante. Seul u
tinuité normale; il occupe le N. 0. droit, passe dans la bandelette
optique
, et se retrouve dans la moitié droite du chiasm
au non entre-croisé occupent la .. région latérale du tronc du nerf
optique
; la plupart d'entre elles occu- « peut la plus
s. Le cerveau n'avait point d'autre lésion que l'atrophie des nerfs
optiques
, une diminution notable du volume de la protubé
es se jugent généralement par une alté- ration qui englobe : couche
optique
, pied de la couronne rayon- nante, partie limit
he de la capsule interne, qui, quelquefois ne dépasse pas la couche
optique
, qui même peut se limiter au segment postérieur
ur de la capsule interne, qui, quelquefois ne dépasse pas la couche
optique
, qui même peut se limiter au seg- ment postérie
iter au seg- ment postérieur de la capsule interne (entre la couche
optique
et le noyau lenticulaire) ; somme toute, ces en
s cas et des opinions des auteurs. M. Stephan penche pour la couche
optique
. P. K. XXII. Contribution A l'étude clinique de
culai- res. Hypoglosse gauche atrophié ainsi que son noyau. Nerfs
optiques
; légère altération interstitielle d'une partie du
, en effet, une dégénérescence des cordons postérieurs avec névrite
optique
, mais que les symptômes psychiques tenaient à u
ar Roth, 23, 195, 395. Gomme du cerveau avec lésions du chiasma
optique
, par Siemerlin" 282. Grossesse (influence de
in, 2S1 ; - par nlithonsl.i, i : IS. Nominations, li·3, 319, 489.
Optiques
(altérations expérimentales des nerls -) par la
noyau caudé (petite extrémité ou extrémité postérieure). 10; couche
optique
. 11 ; capsule interne (genou). 12; noyau lenticul
R. postérieure du noyau caudé. 2 ; noyau lenticulaire. - f ; couche
optique
5 ; capsule ex- terne, 0; avant mur. 7 ; sectio
iens (Fig. 1). D'abord le nerf olfactif ; puis le chiasma des nerfs
optiques
faisant suite aux bandelettes optiques qui sont
; puis le chiasma des nerfs optiques faisant suite aux bandelettes
optiques
qui sont en connexion intime avec les pé- doncu
ger sur le côté interne des pédoncules cérébraux, séparé du chiasma
optique
par la lige pituitaire et les tubercules mamillai
ergeant de la face inférieure de la pro- tubérance. Ch 0. Chiasma
optique
. B 0. Bandelettes optiques. - C P. Corps pituitai
ure de la pro- tubérance. Ch 0. Chiasma optique. B 0. Bandelettes
optiques
. - C P. Corps pituitaire. - T M. Tubercules mam
après les notions admises actuellement sur les ori- gines des nerfs
optiques
et sur leur semi-décussalion au niveau du chiasma
ligé d'invoquer une lésion siégeant en arrière du chiasma des nerfs
optiques
, soit sur la bandelette optique, soit dans les
nt en arrière du chiasma des nerfs optiques, soit sur la bandelette
optique
, soit dans les centres mêmes de la vision, c'est-
dérable du pédoncule déterminant une compression de la ban- delette
optique
, mais alors on aurait d'autres phénomènes de comp
alement des collatérales dans la partie antérieure de la bandelette
optique
. Si maintenant nous supposons une thrombose de
envoie des collatérales dans la partie antérieure des bande- lettes
optiques
, le faisceau spécial de niveau, a pu avoir ses
culier de celle qui se rend à la partie antérieure de la bandelette
optique
, ce qui a pu produire une SYNDROME TEMPORAIRE D
or, d'Oyon, de Ley- den. 1C A. JOFFROY . cérébral, de la couche
optique
, du lobe occipital et de la plus grande par- ti
scissure calcarine, de là des neurones centrifuges vont à la couche
optique
correspondante puis aux masses grises inférieur
vision est complètement abolie à gauche; à droite : 5/10. Les nerfs
optiques
sont atrophiés. L'atrophie est complète il gauche
d'autres lésions nerveuses, telles que épilepsie, atrophie du nerf
optique
, dans d'autres cas, et croit devoir attribuer les
) B. - Cas I. Encéphale vu de face, réduit au cervelet, aux couches
optiques
et a une faible portion des hémi- sphères. (Ph.
l3crcstmtF.) D. Ou Il. Encéphale réduit au cervelet et aux couches
optiques
avec plexus vasculaires. (Ph. Wlaciewsky.) E. -
ouche droite. (Pl. XXIII, B.) Dans l'enfoncement, entre les couches
optiques
se trouvait un plexus choroïdien. Derrière les co
imètres de longueur et est situé directement der- rière les couches
optiques
; du côté droit il est moins grand, sa lon- geur
drijumeaux défigurés, il est vrai, dans les trois cas et les couches
optiques
également défigurées. Il n'est presque rien res
pe faite au niveau du cerveau rudimentaire. 3me ventricule. Couches
optiques
défigurées ; capsule interne. (Ph. Salachnikoff.)
ue, qui auraient détruit à la fois les nerfs acoustiques, les nerfs
optiques
, et certaines parties du cervelet. Il y aurait là
t antérieur suffisamment long pour pouvoir atteindre les deux nerfs
optiques
ou le chiasma. SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET
ième ventricule, distendu, comprimera à son tour le chiasma du nerf
optique
. Au surplus, les tumeurs du cervelet, bridées q
e l'évolution d'une tumeur, à une époque où les altérations du nerf
optique
se réduisent à l'oedème de la papille, toute in
es, fibreuses, appen- dues à leurs filets émergents. Les deux nerfs
optiques
sont grisâtres et (1) La malade en question est
eulement sont à l'état d'ébauche. Cerveau lisse. Seuls, les couches
optiques
et les corps striés présentent un certain dévelop
r H orner. - A gauche, amaurose complète, atrophie complète du nerf
optique
, rétrécissement des vaisseaux. La lamina cribrosa
ès transparente sur toute la surface du nerf; au bord interne du nerf
optique
et dans la région de la macula lutea on constat
oussés en dedans un peu plus qu'à gauche. La partie interne du nerf
optique
est rouge ; champ visuel normal. Un an après, m
le Dr Wa- gner, a permis de constater une double excavation du nerf
optique
, pins marquée à gauche, sans engorgement des pa
cerveau attenante à ces derniers est déviée sur le côté; la couche
optique
, recouverte du plexus choroïdien, et le noyau l
ule recouvrant la cavité crânienne à l'intérieur. Quanta la couclie
optique
et au noyau lenticulaire ils sont xi 1 25 Fig
phie de l'écorce du corps calleux et du septum lucidum. Les couches
optiques
apparaissent très net- tement. 370 NICOLAS SO
rente (reste du cerveau). Dans la fosse médiane on voit les couches
optiques
; dans la fosse postérieure, un reste de l'écorce
éjà par-dessus la membrane, refoule cette dernière vers les couches
optiques
; ceci peul encore provenir de ce fait, que sous
brane vers le bas; elle se fusionne alors avec le reste des couches
optiques
. Et quand on enlève le cerveau on ne trouve plu
preuve dans ces faisceaux fibreux épais qui recouvrent les couches
optiques
. En somme, dans les cas où l'écorce cérébrale a
on distingue le bulbe, le pont de Varole, et plus loin les couches
optiques
défigurées. Au-dessus se trouve le cervelet tou
es. Au-dessus se trouve le cervelet tout à fait normal. Des couches
optiques
part un fais- ceau du tissu conjonctif, qui se
nt (PI. XLIII, R). (La coupe appar- tient au cas II, où les couches
optiques
manquaient presque tout à fait. L'enfant était
as Il, chez l'enfant qui a vécu 4 jours, et chez lequel les couches
optiques
étaient très peu développées, outre qu'il ne po
vu plus haut. Chez lenfant qui a vécu 2 ans et chez qui les couches
optiques
étaient plus dé- veloppées (Cas I), le ruban de
troisième ventricule dont la paroi externe est formée de la couche
optique
: en outre on distingue la lamina medullaris me
outre on distingue la lamina medullaris medialis divisant la couche
optique
en deux noyaux : le noyau médian et le noyau la
u : 3e ventricule ; sur cette pièce le noyau antérieur de la couche
optique
est mal développé, la capsule interne ne contient
u lenticu- laire, le corps sous-thalamique, les fibres de la couche
optique
qui vont vers le corps lenticulaire sont conser
30 ventricule ; mêmes constatations. Y. Coupe passant par la couche
optique
. Absence des voies pyramidales et protubérantiell
it bien développé, et chez celui qui n'avait presque pas de couches
optiques
, le ruban de Reil était très peu développé) ; G
peu développé) ; GO développement incomplet des noyaux de la couche
optique
; 7° le pulvinar et le corps genouillé manquent
imensions et même des détails de texture grossis par des instrumens d'
optique
; un dessin fidèle est éternel comme la nature, et
et s'avançait jusqu'au-devant du corps pituitaire. CP. La commissure
optique
distendue établissait ses limites antérieures. Le
antérieure de la tumeur TP repoussait en avant et distendait le ruban
optique
que j'ai coutume d'appeler commissure des nerfs o
dait le ruban optique que j'ai coutume d'appeler commissure des nerfs
optiques
CO, CO. Le chiasma était très-allongé; le nerf op
ure des nerfs optiques CO, CO. Le chiasma était très-allongé; le nerf
optique
droit NO était dans l'état naturel; le nerf optiq
-allongé; le nerf optique droit NO était dans l'état naturel; le nerf
optique
gauche NO' étaitcomme épanoui. On voyait i° une p
ur soulever la voûte à trois piliers et le corps calleux. Les couches
optiques
CO, CO fortement comprimées, déjetées en dehors,
arrière par les pédoncules cérébraux, et en avant par les commissures
optiques
, j C'est là 4ac aussi plus particulièrement l'inf
de ce troisième ventricule, dont les parois, c'est-à-dire les couches
optiques
, ont été déjetées en dehors, comprimées, atrophié
des pédoncules cérébraux, des faisceaux sus-olivaires, et des couches
optiques
: certes, ce désordre remontait à plusieurs mois,
. Dans le cas actuel j'attribue la mort au ramollissement des couches
optiques
. Fig. 5. Les faits de ce genre ne sont peut-êtr
de même que nous avons vu, dans la première observation, les couches
optiques
ramollies, d'où l'opinion émise par l'observateur
avec les tubercules quadrijumeaux, d'une autre part avec les couches
optiques
. J'ai fait représenter (fig. 1), deux petits fais
ouverture O avec le ventricule moyen. Le corps strié CS et la couche
optique
CO sont atrophiés; ils étaient très-denses et bla
genouillés externe et interne participaient à l'atrophie de sa couche
optique
. Jamais je n'ai vu plus manifestement les radiati
mais je n'ai vu plus manifestement les radiations sorties des couches
optiques
et des corps striés se recourber pour venir se co
atrophié, et cependant les radiations du corps strié et de la couche
optique
avec lesquelles il se continuait, l'étaient en gr
la membrane également très-dense qui tapissait le ventricule. Le nerf
optique
droit était atrophié en deçà du chiasma, et, chos
asma, et, chose bien remarquable, au-delà du chiasma, c'était le nerf
optique
gauche. Un cordon grisâtre très-dense remplaçait
n cordon grisâtre très-dense remplaçait la commissure molle des nerfs
optiques
. Tout était sain dans l'hémisphère droit, seuleme
nerfs proprement dits. L'hémisphère gauche est atrophié, et la couche
optique
et le corps strié du même côté le sont également
l'atrophie primitive d'un hémisphère entraîne l'atrophie de la couche
optique
et du corps strié du même côté, et réciproquement
res. Les tubercules quadrijumeaux étaient sains, et cependant le nerf
optique
était atrophié du côté gauche; et au-delà du chia
était atrophié du côté gauche; et au-delà du chiasma, c'était le nerf
optique
du côté droit; preuve bien évidente que les tuber
les tubercules quadrijumeaux ne sont point l'origine réelle des nerfs
optiques
, et qu'il y a entrecroisement au chiasma, mais en
mulée clans les ventricules latéraux. Les corps striés et les couches
optiques
sont en rapport avec le peu de développement des
es circonvolutions, le centre médullaire, les corps striés et couches
optiques
, le corps calleux, la voûte à trois piliers, les
le et la cavité de l'arachnoïde extérieure, à l'atrophie de la couche
optique
gauche, au défaut de symétrie des circonvolutions
oint de corne d'Ammon, point de bandelette demi-circulaire. La couche
optique
GO était atrophiée. La différence de disposition
it atrophiée. La différence de disposition que présentaient la couche
optique
et le corps strié droit et gauche se trouve très-
e le corps strié droit CSD, sans doute pour venir embrasser la couche
optique
gauche atrophiée COG, qui n'est que la moitié de
he optique gauche atrophiée COG, qui n'est que la moitié de la couche
optique
droite COD. Il est difficile de faire la part d
lontaire des urines. Mort le cinquième jour. — Apoplexie de la couche
optique
gauche avec communication du foyer dans le ventri
lgie. Diagnostic. Foyer apoplectique très-considérable de la couche
optique
gauche, qui est en grande partie détruite. Probab
très-considérable FA (fig. 1 ) existait dans l'épaisseur de la couche
optique
gauche CO. Un sang concret et noir remplissait ce
n caillot sanguin. Les corps striés droit et gauche CS, CS, la couche
optique
droite CO, les tubercules quadrijumeaux TQ, le ce
A largement ouvert et ses parois développées, les débris de la couche
optique
CO renversés, les tubercules quadrijumeaux droits
grand nombre de vaisseaux déchirés. Ce sont les vaisseaux des couches
optiques
dont les uns ont été déchirés et les autres dissé
as actuel est celui-ci : j'ai diagnostiqué une apoplexie de la couche
optique
, i° parce que cette apoplexie est, d'après mon ob
u que les radiations du corps strié procèdent elles-mêmes des couches
optiques
, J'ai diagnostiqué la communication avec les vent
te n'intéressant que médiocrement soit le corps strié, soit la couche
optique
. La malade, indépendamment de l'apoplexie, est so
s ossiformes si communes chez les vieillards. En divisant la couche
optique
et le corps strié droits, j'ai rencontré (fig. 2)
plexie dix fois moindre soit dans le corps strié, soit dans la couche
optique
aurait entraîné une paralysie complète du mouveme
je vais rapporter ici. Hémorrhagie cérébrale spontanée de la couche
optique
avec communication dans le ventricule latéral. Hé
e ce dernier avec un vaste foyer creusé dans l'épaisseur de la couche
optique
et de la partie voisine du centre médullaire. La
le trente-cinquième jour. Foyer apoplectique aux dépens de la couche
optique
et de la partie postérieure du corps strié en voi
ccupe la partie postérieure du corps strié CS et externe de la couche
optique
CO. La bandelette demi-circulaire a été déchirée
eraient l'indiquer. On cherche en vain une membrane qui, de la couche
optique
et des corps striés, se réfléchisse sur la voûte
e prolongeait le long des deux scissures de Sylvius, autour des nerfs
optiques
qu'elle comprimait, autour de la protubérance ann
la conjonctive me paraissent le résultat de la compression des nerfs
optiques
par la formation de la pseudo-membrane d'apparenc
-membraneuse, d'où est résultée la compression de l'origine des nerfs
optiques
et des nerfs moteurs communs; je diagnostiquai au
dont une partie plus cohérente est restée attachée autour des couches
optiques
CO, CO, et des corps striés CS, CS. Le troisième
petits foyers existaient dans le corps strié droit et dans la couche
optique
gauche. Dans l'autre cas, le sinus longitudinal s
ames formées par les circonvolutions. Le corps strié CS' et la couche
optique
CO' atrophiés étaient exactement en rapport avec
à la surface interne du ventricule, sur les corps striés, les couches
optiques
, et sur les autres points des parois ventricu-lai
olume ; 2° à peine, entre les corps striés, découvrait-on des couches
optiques
atrophiées: 3° quelques circonvolutions de la bas
ci était presqu'au niveau de la surface des hémisphères ; les couches
optiques
et les corps striés avaient acquis un grand dével
rance, P ; les pédoncules, les éminences mamillaires, E M ; les nerfs
optiques
, NOP; les corps striés, CS ; les nerfs olfactifs,
iers et le plexus choroïde droit ont été enlevés; on voit les couches
optiques
, C O, CO, qui sont très peu développées, et les
ent alors il ne reste du cerveau qu'un noyau représenté par la couche
optique
et le corps strié plus ou moins altéré. Cette lés
terne. On voit le ventricule latéral VL, la face interne de la couche
optique
CO, le corps strié CS , la coupe du corps calleux
au et du cervelet; il y en avait un dans l'épaisseur de chaque couche
optique
. Un de ces tubercules, du volume et de la forme d
iés ; l'autre à gauche, un peu plus volumineux en dehors de la couche
optique
. Ce dernier fo\^er communiquait avec le ventricul
petits foyers existaient dans le corps strié droit et dans la couche
optique
gauche. Dans l'autre cas, le sinus longitudinal
rieur, d'an-téro-postérieur qu'il était jusque-là, derrière la couche
optique
, à l'entrée delà cavité digitale; i° un petit foy
ise du corps strié droit, au niveau de la partie moyenne de la couche
optique
; 3° un petit foyer également rempli de cellulosit
côtés, louchant le corps strié et le noyau lenticulaire. la couche
optique
du même côté, gagnant la capsule interne, le pied
s strioe medullares; 3° du faisceau de Meynert; 4° de la bandelette
optique
; 5° de la commissure postérieure du cerveau. P.
laire, processus nutritifs au sein de la substance nerveuse du nerf
optique
), modelés, perçus, construits par la substance
a troisième froulale, du coin, de la temporale moyenne de la couche
optique
du côté gauche. P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉ
ans'lésion organique. P. K. XLV. UN cas DE CYSTICERQUE DE la couche
OPTIQUE
; par W. MANASSE. (Newol. Centralbl., 1888.) U
jours. On trouve un cysticerque unique en plein milieu de la couche
optique
gauche ; la tumeur a le volume d'un grain de ra
auches, et la dégénérescence grise des cordons postérieurs. Névrite
optique
du côté droit. P. K. XXX VI 1 LE SYMPTÔME DE
ntralbl., 1S89.) Voyez sur ce sujet qui se rattache au cathétomètre
optique
cr<2nio- céphalométrique le livre intitulé :
question occupe la profondeur de la partie antérieure de la couche
optique
, son étendue ne dépasserait pas quelques milli-
au de fibres au centre de la moelle. Ce centre vésical de la couche
optique
a en même temps une fonction réflexe ; il suffi
rc rachidien s'en ajoute un second, dont une branche va à la couche
optique
et dont l'autre vient du corps strié. Les corps
provenant de la moelle ne s'arrêtent pas à la station de la couche
optique
et vont directement aux centres corticaux; et d
g.28. c, ? Corps calleux. - C. g., Corps godraniié. - C. o., Couche
optique
. - r, 111. 'fuberrule nutnyillairc. - lr.. i. p
cule mamillaire, forme le pilier réfléchi P. r., qui va à la couche
optique
. Ces éléments constituent l'arc cérébral. H. p.
uent l'arc cérébral. H. p. o. Ruban péri-optique, reliant la couche
optique
à la bande diagonale : arc intermédiaire. D.
utour d'une ligne pas- sant par le tubercule antérieur de la couche
optique
. C'est ce qui explique certaines disproportions
cérébral, car elle a été également une vésicule cérébrale, le nerf
optique
a été creusé d'une cavité et a contenu de la su
e nasale (cellules, bâtonnets et membrane limitante). La membrane
optique
est soutenue par une sphère liquide sur laquell
e que quelques-unes des zones correspondantes à celles de la rétine
optique
occupent la tache olfac- tive de la muqueuse na
tion tranchée entre les deux émana- tions ou irradiations des nerfs
optiques
et olfactifs ? Je ne le crois pas; je n'y vois
nd inconvénient; mais alors que ce soit par analogie avec la rétine
optique
, qui possède les mêmes raisons pour être rattac
dossé au crochet de l'hippo- campe ; le postérieur, à la bandelette
optique
; l'in. terne, plus ou moins excavé, à la substa
inter-hémisphérique. - G.C. Genou du corps calleux. - C.O. Chiasma
optique
. L.O. Lobe olfactif. A.O. Arc olfactif. B.D. Band
dirigeant en dehors le long du bord antéro-externe de la bandelette
optique
, va se perdre après un court trajet, dans la su
cherches poriant exclusivement sur la partie nerveuse de l'appareil
optique
. Le fait de la 380 PHYSIOLOGIE. divergence en
is que chez les poissons osseux le centre visuel principal (lobes
optiques
) étant intact, les modes habituels d'activité,
ien de mer, d'a- près Steiner. A, Hémisphère central. - B. Lobe
optique
. - C, Cervelet. - 0. Lobe ol- factif. LES L
cérébraux et des corps striés immé- diatement au-devant des bandes
optiques
, Christiani constate que les lapins passent et
anches ciliaires en effet côtoient pendant un certain temps le nerf
optique
et ne pénètrent pas dans les muscles. Voici par
un cas d'hémianopsie latérale DUE A la COMPRESSION D'UNE bandelette
optique
; autopsie; par M. G. SIG.\UD. Il s'agit d'une f
e de la fente de Bichat. Ce prolongement comprimait la bandelette
optique
gauche et le pédoncule cérébral du même côté d'ou
mmobiles quand on éclaire seulement l'oeil malade (atrophie du nerf
optique
après embolie par exemple), les deux' pupilles
tal envoie ses fibres au pulvinar et aux ganglions de la bandelette
optique
; elles n'arri- vent que par leur intermédiaire
tubercules quadrijumeaux. La lésion concomitante de la tige du nerf
optique
peut entraîner une dyschromatopsie aussi accusé
e l'acuité visuelle (sens de l'espace) ; tout près des irradiations
optiques
de Gratiolet réside le centre du sens de la lum
e de substance; se rappeler à cet égard que le centre de perception
optique
est l'écorce du coin et de la première occi- pi
quoi les modifications matérielles au niveau de l'insertion du nerf
optique
, ne se manifestent que lorsque les excitations
es et musicales (OBs. II) ainsi que de l'agraphie amnésique d'ordre
optique
. Ce dernier symptôme est caractérisé par : l'im
latérale de la face, par Rosenbach, 247. Cysticerque de la couche
optique
, par Manasse, 242. CYTISINE contre la migrain
chult- ze, 250; -larérale due à la com- pression d'une bandelette
optique
, par Sigaud, 430. Hémiatrophie faciale, par M
iveau du thorax et des membres inférieurs. Atrophie grise des nerfs
optiques
. -Sclérose des cordons pos- térieurs et latérau
onde, macroscopiquement appréciable. Pas d'anomalie. Les deux nerfs
optiques
, le chiasma et les bandelettes sont amincis et
es tubes ner- veux eux-mêmes. III. Examen microscopique des nerfs
optiques
. i) Les nerfs optiques ont été très soigneuseme
mêmes. III. Examen microscopique des nerfs optiques. i) Les nerfs
optiques
ont été très soigneusement examinés par les métho
d'être mise en relief, c'est l'existence de l'atrophie des nerfs
optiques
. Cette atrophie s'observe communément, on le sa
tématique combinée de la moelle, compliquée d'atrophie des nerfs
optiques
. Un certain nombre d'observations, plus ou moin
révost les lésions suivantes de l'ataxie : « Altéra- tion des nerfs
optiques
, des bandelettes optiques et des corps genouill
es de l'ataxie : « Altéra- tion des nerfs optiques, des bandelettes
optiques
et des corps genouillés interne et externe. Scl
,14 : i gr. Les artères de la buse sont symétriques : la bandelette
optique
gauche est un peu plus épaisse que la droite, l
sur la face interne, surtout eu avant. Les corps striés, la couche
optique
n'ont rien de particulier. Hémisphère droit. -
pital offrent la même disposition. Les corps striés et la couche
optique
, le ventricule latéral, etc., n'ont rien de par
ements ré- flexes pour rétrécir la pupille, ni dans les bandelettes
optiques
, ni dans leur extrémité centrale, dans les corp
fibres, prenant leur origine dans la rétine et passant dans le nerf
optique
derrière le chiasma, pénètrent dans la substance
e pour chaque oeil un arc réflexe indépendant qui passe par le nerf
optique
dans la moitié correspondante de la substance c
nerf moteur oculaire. l3ouvor.r. III. DE LA DIRECTION DES FIBRES
OPTIQUES
A PARTIR DES CORPS GENOUILLËS JUSQU'AUX TUBERCU
cun doute que toutes les fibres du tractus, qui constituent le nerf
optique
, passent par le corps genouillé externe et ensu
atteint le trijumeau, les trois nerfs de l'oeil, finalement le nerf
optique
. Dans ces conditions, le goût étant aboli sur les
ement de six à quatorze mois, M. Furstner trouva l'atrophie du nerf
optique
ainsi qu'une faible atrophie du faisceau croisé
térieur, moyen, externe, postérieur et couche grillée) de la couche
optique
, ainsi que des corps genouillés externes et int
cule externe et de la couche des fibres en grille, de la bandelette
optique
, des tubercules quadrijumeaux antérieurs, ainsi
uadrijumeaux antérieurs, ainsi qu'un léger degré d'atrophic du nerf
optique
. La zone en relation avec le corps genouillé in
sule interne. - Celle qui préside au tubercule externe de la couche
optique
se trouve en avant du centre visuel; celle dont
elle ressorlissent les tuber- cules antérieur et moyen de la couche
optique
en avant des deux précédentes et comprend la ré
es deux foyers. De plus, foyer récent dans l'intérieur de la couche
optique
, complètement dilacérée; c'est lui qui a amené
oisette, et empiète un peu sur la substance blanche; mais la couche
optique
est intacte. Indépendamment de ces foyers, il e
r des troubles fonctionnels sans modification appréciable du nerf
optique
; dyschromatopsie pour le rouge. b) Symptômes
segment postérieur compris entre le noyau lenticulaire et la couche
optique
, tous deux ve- nant se réunir par leur sommet e
ire, accusée surtout dans les extrémités inférieures et une névrite
optique
double, ainsi qu'un visible aliaissement des fa
qui nous échappent en dépit des phénomènes signalés du côté du nerf
optique
et de l'oculomotetfr, REVUE DE PATHOLOGIE NERVE
mes de syphilis cérébrale (amnésie, troubles' de la parole, névrite
optique
spécifique). Mais il n'existe aucune différence
vec la démence de l'individu, procédant non du foyer de la couche
optique
, mars des altérations vasculaires pathogénétiques
n trousseau de fibres d'ordre moteur joint le pulvinar et la couche
optique
au cervelet. Peut-être le pulvinar est-il en ra
e, de la langue, du voile du palais, l'atrophie commençante du nerf
optique
, l'insensibilité ressortissant à la sphère de dis
ec la parésie de tous les muscles des yeux, de l'atrophie des nerfs
optiques
(cécité d'un côté), de la pa- résie des extrémi
ymptômes. Sur les trente-deux cas, la participation morbide du nerf
optique
(cécité ou amblyopie, atrophie) apparaissait di
es lésions cérébrales. (Nouveau schéma du trajet présumé des fibres
optiques
). Brochure in-8" de 15 pages, avec une planche
liénés', 363. Ophthalmoscopiques (états chez les aliénés), 376.
Optiques
(de la direction des fibres - à partir des corp
ituitaire. En avant cet épan- chement s'arrête au chiasma des nerfs
optiques
; en dehors il s'étend dans les fosses de Sylvi
Les ventricules sont dilatés ; l'épendyme qui recouvre la couche
optique
est légèrement dépoli; celui du quatrième ventric
ychiat., XXIV, 2.) Revue d'ensemble montrant l'influence des images
optiques
des lettres et le rôle des sensations du mouvem
ec suppression complète du sens des couleurs. Les centres corticaux
optiques
étant demeurés intacts, il faut croire que le r
du l'individualité du nombre. Il n'avait plus la netteté des images
optiques
des caractères et était incapable d'en trouver
des associations d'idées, avec diminution de la mémoire des images
optiques
et interruption des coordinations optico-acoust
tes. Parésie des membres supérieurs; atrophies musculaires, névrite
optique
; illusions et hallucinations; démence aiguë. Hé
'un ictus, la malade a perdu la plu- part des images commémoratives
optiques
ou sérieusement acquises tant pour la forme que
édait donc, dans sonlobe occipital droit, des images commémoratives
optiques
pour les lettres, mais il ne pouvait plus s'imp
nément, sinon, comment lire et écrire, si les images commémoratives
optiques
des lettres ne préexistent pas à la fonc- tion
lité réflexe 'des 'pupilles ? signe de Westpbal, atrophie des nerfs
optiques
, atrophie et' analgésie ? de' l'avant=bras ' dari
r augmentation de la pression intra- cranienne : céplialée, névrite
optique
bilatérale. La sensibilité était conservée part
me lorsque l'on constate de .graves lésions'dans le domaine du nerf
optique
. Une autre observation, intéressantes urtout po
ité chromatique* était diminuée'. Dans tous les cas d'hyperesthésie
optique
,de P'reund, `il" y avait,,de concert avec l'agr
d'un foyer ayant détruit le segment le plus postérieur de la couche
optique
et le'segment le plus antérieur 1 de la calotte
de la calotte ; atteinte simultanée de'plusieurs points des fibres
optiques
centrales ! *Dans l'étude analytique'de ces altér
rtion corticale. du- - ruban =1 de >, Reil , 11 de l'irradiation
optique
: -'3) -111 1 1 3n n. .r ;1 t^ ? I *' ' 1"" v muj
t à fait en arrière, existe le pinceau des fibres de l'irradiation,
optique
cen- trale, qui, parties, du, lobe , .occipital
le, qui, parties, du, lobe , .occipital, ^rejoignent- les ganglions
optiques
sous-corticaux. En avant d'elles s'infléchit dans
érébral; le ruban de Reil cortical entre directement dans la couche
optique
. L'irradiation optique reste donc, infra, sur l
il cortical entre directement dans la couche optique. L'irradiation
optique
reste donc, infra, sur le corps'genouillé inter
rs postérieur de la capsule interne, mais en avant de l'irradiation
optique
, il y a ensemble ruban de Reil cortical et fibres
e faisceau pyramidal, les fibres qui vont de l'écorce à à la couche
optique
et les cellules nerveuses des divers noyaux de
he optique et les cellules nerveuses des divers noyaux de la couche
optique
et' de la région sous-thalamique en rela- ' tio
es restées normales. Ce sont : le tubercule antérieur de la couche ,
optique
; lèafàisèëau'de,Vicq-d'Âzÿr; les tubercules mam
gone et ses trousseaux; les tubercules quadrijumeaux; la bandelette
optique
; le corps genouillé externe : les faisceaux irr
; le corps genouillé externe : les faisceaux irradiant de la couche
optique
; le pulvinar. Toutefois, la bandelette optique,
radiant de la couche optique; le pulvinar. Toutefois, la bandelette
optique
, le corps genouillé ,, externe, le pulvinar, et
enouillé ,, externe, le pulvinar, et les, irradiations de(la couche
optique
sont* peut-être un peu moins développés que nor
noyau lenticulaire;^0 le'corps de Luys n'a,rienà voir'avec le nerf
optique
(intéâritéde'lacbandelettetoptique); lestprétendu
nt de- l'écorce ? Bien > plus, 1 chaque jsegmentj de la - couche
optique
est en .rapport avec, une- région déterminée, cir
rticale entraîne unei destruction de tel ou tel; noyau de la couche
optique
, les autres restant normaux; 10°(le corps genou
, côlriâie'lé coi·ps ieiiouillé ztèrile et les noyaux de la couche,
optique
. Il y a longtemps que de Gudden a démontré, et'
démontré, et' que' cela àu été"cohfir'rrié*dèpuis,'qùe'flaIc6uche '
optique
, après destruction d'une' moitié 'du cerveau, se'
ns profondes dans la substance grise du noyau caudé ou de la couche
optique
, il y aura avantage à pratiquer la coupe de Fle
uitairé;'tumeur qui com-. primait" légèrement lé chiasinâ~dés'nêTfs
optiques
? ? 7' Y Evidemment ce n'était là ni de la cong
auche,'sur l'extrémité ""externe de la face supérieure de la couche
optique
, on voit une de ces tumeurs dus volume d'un haric
me cause, où par une irritation'directe du sarcome sur les;couches.
optiques
; à'-la superficie' desquelles ,Ies,noyaux s'éta
et semblait ne rien voir ;- il y avait une atrophie double du nerf
optique
. Plusieurs fois par jour, cet enfant était pris d
ale. es que probablement il v a enlre-croise- z pupillaires du nerf
optique
tel que les fibres du nerf optique droit vont a
-croise- z pupillaires du nerf optique tel que les fibres du nerf
optique
droit vont au noyau droit et gauche de l'oeuloio-
intéressant ? intitirlé : Un cas de lésion secondaire de la couche
optique
et de la région sotts-thalanzi- que, dû à M. le
sés' la veille.' De plus, il arrive très fréquemment que la névrite
optique
ne'débute pas dans les' deux- yeux à'Ia fois,'a
re;'elle'est simplement diminuée. Enfin ? ajoutons que' la névrite'
optique
^ ''d'après M'/ Gowers, n'eàt ? U'n'e "manifesta
aintenant, les troubles pupillaires du tabès. Comme pour la névrite
optique
, il est rare que^l'altération, au t début, port
es ont porté sur quatre sens : ouïe,vue/odorat,° goût. Pour le nerf
optique
, à mesure 'qu'augmente l'excitabilité électriqu
il serait du reste à souhaiter ? u*e l'on examinât aussi-la couche
optique
par la méthode de Marchi. ,i ,« ? ? M. Noecke.
des médecins aliénis- tes et neurologistes de France, 77, Couche
optique
, un cas de lésions se- condaires de la-, par Nc
-; par Larat'et Gautiiier; - t4&. - v ? ? ' HYPÉRESTIIÉSIE 1
optique
;t d'origine cérébrale, par Freund, 196 ? ' ?
ives, ou d'accès psychiques (cellules) ; soit enfin pour les épi-
optiques
atteints de démence. Il va de soi que, la malad
Dégènéralions secondaires : atrophie, à gauche, de la bandelette
optique
, du tubercule mamillaire, du pédoncule cérébral
dinaire. La pie-mère présente une fine vascularisation. Les nerfs
optiques
et olfactifs paraissent égaux, mais la bandelette
nerfs optiques et olfactifs paraissent égaux, mais la bandelette
optique
gauche est d'environ un quart moins large que la
que ses parois constituantes : corps calleux, noyau caudé, couche
optique
. Face inférieure. La scissure de Sylvius est la
r le ventricule, on constate une atrophie considérable de la couche
optique
et du noyau caudê. A part cette lésion, la face
té droit et les dégénérations secondaires intéressant la bandelette
optique
, le tubercule mamil- laire, le pédoncule cérébr
pital gauche et du lobe frontal droit. - Atrophie il gauche du nerf
optique
, de la bande- lette optique, du tubercule mamil
l droit. - Atrophie il gauche du nerf optique, de la bande- lette
optique
, du tubercule mamillaire, du pédoncule céré- br
ques.- L'espace perforé, antérieur droit, en avant de la bandelette
optique
correspon- dante, est tout à fait déprimé, tand
tout à fait déprimé, tandis que l'autre est con- vexe. - Les nerfs
optiques
et les bandelettes optiques sont maigres et par
que l'autre est con- vexe. - Les nerfs optiques et les bandelettes
optiques
sont maigres et paraissent atrophiés iL un degr
ntale et occipitale nous trouvons le porus déjà étudié. - La couche
optique
, CO, et le noyau caudé, NC, sont sans lésion.
ent du lobe temporal. - La corne d'Ammon, le corps strié, la couche
optique
n'offrent rien de particulier, ainsi que le ven
as d'aspect chagriné. - La corne d'Ammon, le corps strié, la couche
optique
sont normaux. Le ventricule latéral est 'notabl
insi que la quatrième temporale. Le ven- tricule latéral, la couche
optique
(CO) et le corps strié n'ont rien de particulie
plis de passages rares ou nuls. - Le ventricule latéral, la couche
optique
(CO) et le corps strié n'offrent aucune lésion.
et de la taille. - " - ' 134 Épilepsie : autopsie. du cerveau (n.
optiques
, n. olfactifs, chiasma, etc.) sont égales et sy
nvolutions temporales. P, coupe du pédoncule cérébral. CO, couche
optique
. NC, noyau coudé. VL, ventricule latéral. 1
C, circonvolutions du corps calleux. CC'corps calleux. CO, couche
optique
. CH, circonvolution de l'hippocampe. LO, lobe
C, circonvolution du corps calleux. CC, corps calleux. CO, couche
optique
. CI-I, circonvolution de l'hippocampe. 206 .
-limbique. NC, noyau caudé. Tr, trigone. Th, thalamus ou couche
optique
. ; 'l'm, tubercule mamillaire. ' P, pédoncule
e plan eth- moïdal en avant et avait comprimé le chiasma et le nerf
optique
. Nul doute que dans ce cas il se soit agi d'un
16 janvier 1907, ruz 6. CusniNG. Infuntilisme sexuel avec atrophie
optique
dû à une tumeur de l'hypophyse. Journ. of. nciv
e l'oeil ou à plus proprement parler l'atrophie primitive des nerfs
optiques
. Le premier auteur qui ait attiré l'attention d
on pouvait constater chez tous une atrophie assez avancée des nerfs
optiques
. Dans la littérature médicale, les altérations
Un cas d'amyolrophie du type Charcot-Marie avec atrophie des nerfs
optiques
, Revue neurol., n° 10, 1904. ' (3) BRASCH, Uebe
dans mes observations, nous avons constaté que l'atrophie des nerfs
optiques
n'avait débuté que cinq ou six ans après le comme
Ballet et Rose, dans leur cas d'amyotrophie avec atrophie des nerfs
optiques
, avaient re- marqué en passant que les pieds de
htalmoplégie en môme temps que d'aphasie, d'épilepsie et'de névrite
optique
, sans oublier Mauriac, lequel a recueilli une s
s yeux, surtout droite, d'une raideur à la lumière et d'une névrite
optique
bilatérale. Malgré un traitement énergique au moy
opie. Chez .le sujet, fortement anémique, on constata de la névrite
optique
bilatérale. Moyen- nant une cure antisyphilitiq
ingite basilaire (céphalée nocturne, vomissement, diplopie, névrite
optique
bilatérale plus accentuée à gauche, parésie de
it détruit la capsule in- terne, le noyau lenticulaire et la couche
optique
, les réactions cellulaires ne se limitent plus
XVI, no (-2, 1910. 384 MARINESCO de la base détruisant la couche
optique
, les deux tiers du noyau lenticu.aire et les ca
'au voisinage du pli courbe. Un foyer plus récent détruit la couche
optique
gauche et la capsule interne. Examen microscopi
rne. Un autre foyer, petit, siège à la partie supérieure de la couche
optique
droite. Examen microscopique. Dans les coupes
acroscopique. Foyer hémorragique récent qui détruit toute la couche
optique
gauche et le segment postérieur de la capsule int
grand et plus récent qui détruit la plus grande partie de la couche
optique
et tout le segment postérieur de la capsule inter
un autre foyer dé- truit la tête du noyau caudé gauche ; la couche
optique
droite est détruite par un foyer hémorragique.
oyaux delà base, un peu plus nombreux et plus grands dans la couche
optique
et dans le noyau lenticulaire gauche. Des foyers
ui de Pick (1 ). « Un malade, gaucher, avait présenté : une aphasie
optique
partielle, une cécité psychique partielle, de l
lyre et la commissure molle. La-commissure antérieure et les voies
optiques
extra-cérébrales sont bien développées.Le corps
eux clair et tapissés par un épendyme épaissi et velouté. La couche
optique
gauche est extrêmement saillante, d'autre part
ez L'HOMME. Le ganglion ciliaire, situé sur le bord externe du nerf
optique
, reçoit par son pôle central trois racines qui
riphérique partent les courts nerfs ciliaires, qui suivent le nerf
optique
dans une atmosphère cellulo-graisseuse jusqu'à
, des racines et des ganglions n'a pas encore été fait. Les nerfs
optiques
étaient manifestement atrophiés de même que les
est complètement ignorée. Autrefois on examinait surtout les voies
optiques
, mais l'impossibilité d'établir un rapport cons
anglion ciliaire. , Les longs nerfs ciliaires sont normaux. Le nerf
optique
dont les imprégna- tions ont très bien réussi n
uelques-uns on voit des lymphocytes. Sur les coupes les bandelettes
optiques
paraissent normales ; les diverses couches myél
ules. Les longs nerfs ciliaires n'ont pas été examinés. Les nerfs
optiques
sont normaux de même que les bandelettes et le ch
es moins nombreuses ? On ne peut rien affirmer de précis. Les nerfs
optiques
sont normaux. Observation III. La malade, âgé
acranien quelques très rares libres paraissent manquer. Les nerfs
optiques
et le chiasma sont extrêmement dégénérés. De ce
segments superposés, dont le plus inférieur surplombe la bandelette
optique
et le plus supérieur s'accole à la masse de fib
e cette région et correspondant à la moitié antérieure de la couche
optique
(PI. LXXIV-D), le ventricule latéral est de nou
attaché par son extrémité inférieure à la face dorsale de la couche
optique
, le corps du trigone, qui à l'état normal est d
ur de la circonvolution limbique et de la face médiane de la couche
optique
on trouve une abondance de débris pie-mériens, de
e repose le faisceau sagittal médian. La configuration de la couche
optique
(PI.LXXIV-D,et fig.3) est quelque peu modifiée,
ssé en dehors. La strie médul- . laire passe au-dessus de la couche
optique
au lieu de côtoyer son bord supéro- interne, et
très remonté, s'applique directement à la face interne de la couche
optique
et tombe presque dans le même plan horizontal que
nde partie du tuber- cule antérieur et du noyau dorsal de la couche
optique
. Dans le lobe temporal, la corne sphénoïdale es
-temporal (PI. LXXIV-E) et corres- pondant au pulvinar de la couche
optique
et au corps genouillé externe, le ventricule la
bord inférieur de l'écorce limbique et la face dorsale de la couche
optique
. A ce niveau, l'ensemble des fibres situées en
médian, nettement dégénéré, s'accole à la face dorsale de la couche
optique
où il est retenu par le plexus choroïdien. Ains
ale. Cette memhraue adhère fortement au bord supérieur de la couche
optique
et au bord inférieur de la circonvolution limbiqu
t, dans le voi- sinage du noyau caudé, du noyau dorsal de la couche
optique
et le long de la face médiane de ce ganglion, u
profondément enclavé dans la substance du noyau médian de la couche
optique
. Ses rapports avec le segment dorsal de la com-
et avec la strie médullaire et le tubercule antérieur de la couche
optique
, sont des plus faciles à constater. Le bras du
oyer de ramollissement siège au niveau du noyau médian de la couche
optique
et a probablement déterminé la légère dégénéres
Dans la région comprise entre l'extrémité postérieure de la couche
optique
(pl. LXXIV-Fj et le plein développement du carr
nographie (1) sur le faisceau longitudinal inférieur et le faisceau
optique
central, nous avons soutenu la thèse que les fa
llon de l'hip- pocampe, entre le pied du pédoncule et la bandelette
optique
et au pourtour du corps mamillaire. Le trajet
ation que la commissure antérieure. La terminaison de la bandelette
optique
dans la partie antérieure et inférieure du corp
nsi que la déformation considérable de la face interne de la couche
optique
suffisent à démontrer que toute cette région a ét
limbique s'étend en arrière jusqu'à la face in- terne de la couche
optique
et dépasse nettement le pilier du trigone, et la
étend en arrière bien au delà de l'extrémité postérieure de la couche
optique
, mais toujours en côtoyant la face interne de c
um. Sur les coupes qui passent immédiatement au-dessus de la couche
optique
(fig. 5), le ventricule latéral se trouve expos
orizontalement en arrière au-dessus de la face dorsale de la couche
optique
et présente le long de son bord externe un foye
'est comme si on séparait les tabétiques chez lesquels l'atrophie
optique
précède la sclérose spinale, et ceux chez les-
tion IL Glio-sarcome cérébral. Epilepsie. Tumeur occupant la couche
optique
et le corps strié d'un côté. Homme de quarante-
ronne rayonnante du lobe temporal. Névrite étranglée des deux nerfs
optiques
, Hémor- rhagies capillaires dans la substance g
ment postérieur de la capsule interne, avec propagation à la couche
optique
: mais il faut remarquer qu'ici, le spasme chor
ent très nettement la répartition et la terminaison des bandelettes
optiques
dans les tubercules quadri- jumeaux supérieurs.
ses qui environnent le troisième' ventricule (peut-être à la couche
optique
? ), à la partie médian du ruban de Reil (Reicher
orticale jusqu'à la partie infé- rieure et postérieure de la couche
optique
partiellement atro- 1 Voy. AI'Clt. de Neurologi
tions aucune ré- ponse satisfaisante. M. UII1'HOFF. De la névrite
optique
dans la sclérose multiloculaire. L'an dernier,
Voici plusieurs cas nouveaux de sclérose en plaques, avec névrite
optique
au niveau des papilles. Les développements de l'a
hter (de Dalledorf). De la dégénérescence secondaire des trousseaux
optiques
, à la suite d'altération des lobes occipitaux.
es autres signes d'une névrite multiloculaire, ainsi qu'une névrite
optique
bilatérale. Actuellement, convalescence, il n'e
s qu'il a communiqué à la dernière séance, il y avait aussi névrite
optique
bilatérale sans trouble fonctionnel considérabl
posé. Elle . démontre qu'il y a un rapport croisé entre chaque nerf
optique
dans sa totalité et l'hémisphère. D'autre par
produire l'hémiopie. Il faut en conclure que les rapports des nerfs
optiques
avec les centres visuels cérébraux sont plus co
xcitation générale, syncope, dysurie, sensibilité extrême des nerfs
optiques
et auditifs, inégalité pupillaire, accélération d
i change un peu les allures du tabes (exemple : l'atro- phiedu nerf
optique
), on rencontre presque toujours simultanément c
re ou mutilée par des névro- pathies (surdinrutilé, lésions du nerf
optique
, etc.). M. Thomsen écrit une lettre spéciale po
menlaire périaxile de Gombault). Légère inflammation des deux nerfs
optiques
conformément aux obser- vations de Struempell,
rieure du tubercule quadrijumeau antérieur, empiète sur les couches
optiques
au milieu de la commissure postérieure et du ga
apoplectiforme avec perturbations du côté droit. Autopsie La couche
optique
gauche renferme le plus vieux foyer ; ra- molli
du côté gauche ; de date plus récente que l'altération de la couche
optique
, ces lésions expliquent l'aphasie (très légère
te siégeant dans la glande pituitaire et comprimant la bande- lette
optique
droite; la mort a lieu dans la démence compli-
s phénomènes objectifs, par des lésions surtout atrophiques du nerf
optique
, par de la torpeur des pupilles, par des accide
n- vexité supérieure. Le corps calleux, le corps strié, la couche
optique
, ne présentent rien de particulier. Hémisphèr
es, est assez profonde. Le corps calleux, le corps strié, la couche
optique
, sont normaux. Cervelet. ' Les hémisphères céré
et s'étendant surtout dans la région pariétale droite. Les disques
optiques
examinés par M. Marcus Gunn étaient normaux quo
ON DE psychiatrie ET neurologie M. DE GUDDEN (de Munich). Des nerfs
optiques
, des bandelettes optiques, des rapports de leur
gie M. DE GUDDEN (de Munich). Des nerfs optiques, des bandelettes
optiques
, des rapports de leurs faisceaux entrecroisés ou
rapports de leurs faisceaux entrecroisés ou non et de leurs fibres
optiques
et pupilluires avec les centres de cesorgunes. -
situation des faisceaux entrecroisés ou non est dans la bandelette
optique
la même chez le chat que chez l'homme. (Voy. Ar
hez cet animal sur toute l'épaisseur de la coupe transverse du nerf
optique
émer- geant du chiasma, ces faisceaux se sépare
u croisé. A Eisenach 2, de Gudden a prouvé l'existence dans le nerf
optique
de deux systèmes de fibre.-) ; l'un sert à la v
xterne, l'autre dans le tuber- cule quadrijumeau supérieur. Le nerf
optique
contient des fibres de deux calibres différents
ire et sacré, d'origine traumatiqne, par Tricard, 1 â. Névrite (
optique
dans la sclé- rose multilnculaire), Il` ? , 12
édiaire des), 103. OphLhalmoplégie (et épicanthus), 222, 223.
Optiques
(origine des nerfs), 40 1. Oxyde de carbone ( t
érences assez nombreuses au niveau du lobe orbitaire. Les couches
optiques
paraissent un peu rétrécies. RÉFLEXIONS. 9 Le
hidien mêlé de sang. Les artères de la base, les nerfs olfactifs,
optiques
, les ban- delettes et les pédoncules cérébraux,
la face externe du pédoncule, pas- sant au-dessous des bandelettes
optiques
et gagnant la partie postérieure des circonvolu
occipitales, qui est détruite sauf au niveau de la 5e. Les couches
optiques
, les corps striés, les ventricules laté- raux,
is- phères cérébraux.- Atrophie de l'hémisphère cérébral, du nerf
optique
et du pédoncule cérébral gauches. Adhé- rences
rences. Le corps calleux, le trigone, le ventricule, la couche
optique
, le corps strié et le pédoncule ne présentent, de
ET, interne des hôpi- taux, a montré à gauche, une atrophie du nerf
optique
. La Description du malade.- 93 pupille est en
artères de la moitié gauche du cerveau. - Atrophie de la bandelette
optique
, du pédoncule cérébral, du tubercule mamillaire
phié. Les nerfs de la base sont sensible- ment égaux. La bandelette
optique
gauche est notablemen- plus petite que la droit
e son étendue. - Ventricule latéral dilaté. - Corps strié et couche
optique
peu volumineux mais ne paraissant pas altérés.
tricule latéral n'ont rien d'anormal. - Le corps strié, la couche
optique
et le pédoncule cérébral sont très développés. L'
ement des artères cérébra- les ; - 3° une atrophie de la bandelette
optique
, du tubercule mamillaire et du pédoncule cérébr
particulier dans le ventricule latéral, la corne d'Ammon, la couche
optique
, le corps strié. ' * Hémisphère cérébral droit.
Des deux côtés, les ventricules, les corps striés, les cou- ches
optiques
n'offrent aucune lésion. Cervelet (130 gr.) Bul
s. A la base, la vascularisation est légère. Les nerfs olfactifs,
optiques
, les tubercules mamillaires, les artères, les p
r. La pie-mère de la base est très-injectée. - Les nerfs olfuctifs,
optiques
, les tubercules mamillaires, les artères et la
crâne parait sym"ll'ique. Il en est de même des nerfs olfactifs et
optiques
, des artères, etc. Le tubercule mamillaire gauc
atrophiée. Le ventricule latéral est notablement dilaté, la couche
optique
, le corps strié ainsi que la corne d'Ammon para
atrophiques..Le ventricule latéral ne parait pas dilaté. La couche
optique
, le corps strié et la corne dam- mon paraissent
eau de l'espace interpédonculaire, et en avant du chiasma des nerfs
optiques
qui se trouvent soulevés par le kyste. Celui-ci
is, mais large, et d'une coloration grisâtre prononcée. Les nerfs
optiques
sont très atrophiés et ont à peine deux millimè
més par cette dilatation ventriculaire. Le corps strié et la couche
optique
sont aplatis surtout à leur partie postérieure.
tement atrophiée. La couette Tumeurs kystiques du cervelet. 249
optique
et le noyau calldé sont plus saillants qu'à droit
ssements, gâtisme ? Paraptëtespasmodtqtfe. fftrop7üe double du nerf
optique
. - Mort part fracture du crâne.- . . - ... ? ?
in. LTS, lobe temporo-sphénoïdal. ce, corps calleux. co, couche
optique
. sr, sillon de Rolando. BOURNEVILLE, Bicêtre,
, coin. Lo, lobe occipital. T3, troisième temporale. CO, couche
optique
. P, pédoncule. SL, septum lucidum. SPE, sci
ution temporale. ce, corps calleux. es, corps strié. co, couche
optique
. P, pédoncule. SPE, scissure perpendiculaire
avant-coin. C, coin. LTS, lobe temporo-spliénoïdal. co, couche
optique
. V, ventricule. ope, scissure perpendiculaire
, avant-coin. C, coin. LTS, lobe temporo-sphénoïdal. co, couche
optique
. v, ventricule. ce, corps calleux. Boun;-¡E
Les hallucinations négatives de la vue. La morphologie des réflexes
optiques
est compliquée, de même aussi les effets des ha
essayé pour la première fois l'effet des hallucina- tions négatives
optiques
chez le sujet ; alors j'avais noté les faits suiv
ultats ultérieurs concordent mieux avec la morphologie des réflexes
optiques
. 1. Pendant une cécité droite suggérée, ilsurve
rée à l'oeil droit produit une excitation quelconque dans le centre
optique
(cortical) gauche ; cette ex- citation se trans
sur un endroit quelconque de la rétine, et de ce fait sur le centre
optique
cortical arbitraire; aussi je peux déterminer la
un temps deux ou trois fois plus long que de coutume. Les réflexes
optiques
sont totalement empêchés pendant une suggestion
t faite pendant l'année 1892 ; alors les hal- lucinations positives
optiques
s'effectuaient encore par la projection fonc- t
réflexes sensoriales. Effet de la surdité suggérée sur les réflexes
optiques
produits par des excitations campimétriques .
s ne voyons pas de con- tracture apparaître pendant les excitations
optiques
. Quels sont les réflexes rétiniens qui sont en
rdité totale. Effet de la suggestion d'une anosmie sur les réflexes
optiques
, a) En suggérant une anosmie droite, les hémico
rd consiste en un rétrécissement considérable du champ des réflexes
optiques
, déterminé par la contracture droite, tandis que
ré- Fit. 7. 30 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. flexes
optiques
défini par la contracture gauche a une étendue no
ractures droites surviennent promptement, car le champ des réflexes
optiques
déterminés par la contracture gauche, est lui aus
appelant celles qui ont été faites pour les suggestions hétéronymes
optiques
. Dans les derniers cas, l'excitation réelle du
tique droit, de même qu'une surdité droite a empê- ché les réflexes
optiques
droits, etc. Comme règle générale, nous pouvons
t dont les fibres se portent en convergeant au-dessous de la couche
optique
, où elles contribuent à for- mer la racine post
qu'abraser l'extrémité postérieure du pul- vinar, où la bandelette
optique
, devenue stratum zonale, commence à épar- pille
nte la terminaison thalamique de la racine postérieure de la couche
optique
. Si donc on cherche à se figurer le trajet de la
ps genouillé externe on reconnaît la bandelette optique- ou tractus
optique
(BO) accolée aux fibres de la cap- sule interne
es de la cap- sule interne (CI). Immédiatement en dehors du tractus
optique
, toujours reconnaissable il sa forme aplatie, o
S-OPTIQUE » 101 (Unc). On remarquera que l'uncus, auquel le tractus
optique
(BO) est im- médiatement sus-jacent, se relève
dos d'âne pour séparer la bandelette sous-optique (BSO) du tractus
optique
(BO). 1 Sur la coupe D, qui passe en avant de l
Ce gros uoyau sépare désormais par un long intervalle la bandelette
optique
(BO) et la bandelette sous-optique (BSO). Celle
n dehors de la queue du noyau caudé (NCC) et de la bandelette sous-
optique
(BSO), elle se relève, enveloppe ainsi le noyau e
la 6° paire gauche. Parésie de la (le paire droite. Péri-névri- te
optique
double; infiltration légère des deux papilles.
es manifestations en rapport avec une néoplasie de la hase (névrite
optique
, paralysies oculai- res) lorsque ces manifestat
de Weber typi- que, compliqué de troubles de la vision par névrile
optique
. Depuis son entrée, sont survenus une paralysie
t avec une lésion diffuse et extensive. Quanta l'atrophie des nerfs
optiques
, nous croi- rions volontiers qu'elle relève de
rouge de Stilling. - N. P. B. Noyau postéro-basilaire de la couche
optique
. - C. G. I. Corps genouillé interne. - C. Cordon
s fibres soit vers le corps postéro-basilaire (n P. B) de la couche
optique
, soit vers le corps ge- nouillé interne (C G 1)
ion nucléaire ont également leur faisceau homologue dans l'appareil
optique
. La tactilité tégumentaire véhiculée par la moe
TABLE DES AUTEURS BRISSAUD. Du faisceau dit : Bandelette sous-
optique
, 99. Arthropathies nerveuses et troubles de la
e du tendon du triceps, 79. - du pouce, 83 et 84. Bandelette sous
optique
, (trajet et rapport), 30, 1. Bidactylie congé
des sens. Mais si ces régu- lations font défaut, si les impressions
optiques
, par exemple, sont supprimées par l'occlusion d
Elude o,7zcttoi ? io-pathologiqtie et clinique des lésions du nerf
optique
dans les fractures de la base du cndne. In-4° d
ges, avec figures. PAULET (G.). De 1'liénii-mimie faciale d'origine
optique
. In-4° de 110 pages, avec figures. Rigollet (A.
e force chimique). On traite les accès d'excitation par l'isolement
optique
(paravents), par les bains très prolongés, le r
Ceux qui sont perçus par la vue seront reproduits par les procédés
optiques
, stéréoscopiques, ciné- matographiques. Il va s
otique, pupilles modérément dilatées. A l'ophthal- moscope, névrite
optique
double, plus accusée à gauche, tremble- ment de
crises convulsives, les vomissements, la céphalalgie et la névrite
optique
: ces deux derniers symptômes persistent ; il n'e
èrement voilée, cependant visible. Pas d'atro- phie marquée du nerf
optique
et de la rétine. La moitié temporale de la papi
nterstitielle au niveau des nerfs radiculaires. La lésion du nerf
optique
dans ces cas est absolument compa- rable aux lé
ne dégénérescence secondaire du tapetum gauche et de la radiation
optique
gauche, sans lésion du faisceau longitudinal infé
t au tapetum de cet hémisphère, sans en atteindre ni les radiations
optiques
, ni la substance blanche sous-jacente à l'écorc
pique du tabes, inégalité et rigidité pupillaires, atrophie du nerf
optique
, troubles de sensibilité sous forme de douleurs
crâniens au processus tabétique; c'est surtout le cas pour le nerf
optique
. Aussi bien on connaît les analogies que présente
optique. Aussi bien on connaît les analogies que présentent le nerf
optique
, le trijumeau, le glossopharyngien avec les racin
l'ataxie du tabes comme une ataxie d'origine corticale. - Le nerf
optique
est souvent atteint dans le tabes. Les cas où ce
vision : il ne saurait croire à « une action directe de la névrite
optique
sur la marche de la maladie ». On a été jusqu'à
die ». On a été jusqu'à prétendre, en effet, que lorsque la névrite
optique
survenait, on voyait l'incoordination diminuer :
bles sont souvent précoces et se montrent, comme ceux de la névrite
optique
, pendant la période préataxique (diminution de
.Marie, une névrite auditive tabétique, comme il y a une névrite
optique
tabétique. » Outre les troubles variés relevant
destruction s'observe non pas dans l'écoice, mais dans les couches
optiques
, dans les tubercules Ijuadrijllmcau\ et le bulbe.
même temps du strabisme interne de l'oeil gauche et de la névrite
optique
à droite. Le début remonte à l'âge de douze ans;
molle de la gelée et est très vasculaire : elle appuie sur le nerf
optique
immédiatement en arrière du chiasma ; elle est
t les lobes occipitaux ou temporaux, soit le cervelet. La névrite
optique
existait dans dix sur douze des cas cérébraux,
é fait dans les cas cérébelleux. Dans quatre cas l'atrophie du nerf
optique
était complète et la cécité absolue. Dans neuf
rales dans l'ordre de leur importance : 1° Céphalalgie ; 2° Névrite
optique
; 3° Apathie mentale; 4° Nausées et vomissement
décisif sera toujours l'étrangle- emt nde la papille, ou la névrite
optique
, que l'on rencontre si rarement dans les autres
s précoces (miction paresseuse ou incontinence). L'atrophie du nerf
optique
ne se rencontre à la vérité que- chez un dixièm
accusée. Il. de Diuscnwr.-Cr.ao. Névrite périphérique avec névrite
optique
, consécutive au lavage d'un estomac dilaté, par
omme le siège de la maladie. La pig- mentation jaunâtre des couches
optiques
pour qu'on lui attribue ici un rôle. Au microsc
1 milli- mètre à droite, et encore plus mince à gauche. Les nerfs
optiques
sont blancs et assez gros, par rapport au cerve
e côté de la ligne médiane, un peu au-dessus et le long des nerfs
optiques
, deux noyaux durs, irréguliers, dont l'ensemble é
nnellement comparable à celui des amphibies ; puis c'est le tractus
optique
qui se relie l'écorce et l'enfant devient, au m
emps : amblyopie progressive par névrite SOCIÉTÉS SAVANTES. 341 L
optique
oedémateuse doubleethémorragies rétiniennes. La c
utre d'une lésion profonde du pli courbe ayant coupé les radiations
optiques
et provoqué la cécité psychique. Traitement de
nte ans. Lésion primitive des ganglions de la base à gauche (couche
optique
), atrophie de l'hémisphère gauche englobant les
ont on ne retrouve plus trace et avoir englobé le chiasma des nerfs
optiques
et les tubercules mamillaires en péné- trant da
observera des vertiges. On n'oubliera pas non plus que la né- vrite
optique
double est un signe de réelle valeur. L'auteur
ns le tabès dit amaurotique, c'est ordinairement l'atrophie du nerf
optique
qui révèle le diagnostic. ' Tous les cas d'impu
Les ganglions de la base étaient atrophiés, surtout dans la couche
optique
. Le lobe cérébelleux du côté opposé à la lésion
ux et les dégénérescences des faisceaux de la moelle ou des tractus
optiques
. Si l'on étudie maintenant la pathologie de la
tractions musculaires et que les réflexes précis et rapides du nerf
optique
(regard dans l'une ou l'autre direction) sont i
- multiple epi- léi-ni(lue, par Bon(itirdtit, z périphérique avec
optique
con- sécutive au lava;e d'estomac, par Clemes
rrompues et colorées par la solution aqueuse de carmin. Les couches
optiques
et leurs annexes, ainsi que certaines parties d
s satisfaisants dans le tronc cérébral, moins bons pour les couches
optiques
, le cerveau ayant été conservé pendant près de de
Et même dans le voisinage du centre médian de Luys et dans la couche
optique
les fascicules du ruban de Reil sont encore moi
est de même du noyau latéral et du tubercule antérieur de la couche
optique
. * Le corps genouillé externe il gauche est un
tie de ce foyer de ramollissement. Le noyau postérieur de la couche
optique
(v. Monakow) e généré de même et atrophié par l
uche ventrale du côté interne. Dans les noyaux internes des couches
optiques
les artères sont dilatées et les capillaires go
celles que nous avons décrites dans les noyaux internes des couches
optiques
. ANÉ'iRYSME DE ARTÈRE VERTÉBRALE GAUCHE 15 Ar
éger degré-d'atrophie. . La substance grise des noyaux de la couche
optique
à droite, dans notre cas, n'offrait pas de modi
constaté aucune différence appréciable entre les noyaux des couches
optiques
à droite et à gauche. Il ne paraît donc pas qu'
surtout le droit ; mais ils ne paraissent pas altérés. Les nerfs
optiques
à leur naissance dans le chiasma et la bandelette
lette, le chias- ma et la partie la plus antérieure des bandelettes
optiques
, tout cela est adhé- rent à la tumeur ou plus e
mamillaires, ni tubes cinéreux, ni hypophyse, ni chiasma des nerfs
optiques
, tout cela a été enlevé avec la tumeur. Reste une
de la grosseur d'un oeuf de poule qui repousse le chiasma des nerfs
optiques
en avant et en haut et comprime en arrière les
hardt. C'estle contraste entre une vision très abais- sée etun nerf
optique
sain ou peu altéré à l'ophtalmoscope. Je ne crois
nne des compressions très circonscrites.Le chias- ma. la bandelette
optique
, etc. peuvent être comprimés isolétaent et don-
transversalement doit presque toujours comprimera la fois les nerfs
optiques
ou le chiasmâ ou les bandelettes ou tous ces or
oyaux rouges sont plus petits, leurs cellules conservées. La couche
optique
est un peu moins développée dans toutes ses parti
tait au droit du pied de la frontale ascendante. Foc. XV. La coucho
optique
est atteinte, le trauma a porté dans la région te
simple (lésion de la capsule interne, du corps strié, de la couche
optique
, dupédoncule) oucompliquée : de troubles psychi
crâne au côté droit de la selle turcique, avait touché la bandelette
optique
, et finalement fut retrouvée dans l'hémisphère
revolver dans la tempe droite. La balle après avoir éraillé le nerf
optique
droit vient se loger dans le maxillaire supé- r
Le second se tire un coup de revolver dans la tempe droite, le nerf
optique
est sectionné et la balle demeure dans l'hémisphè
sures pénétrantes. Tous paraissent dus à la lésion de la bandelette
optique
. Nous avons déjà dit comment l'hémianopsie circ
se joint une hémianopsie qui démontre la blessure de la bandelette
optique
. Cela permet de localiser le siège de la paralysi
nétrante de la portion du lobe temporal à la place où la bandelette
optique
en sort. Ce diagnostic clinique correspond à la s
été pratiquée là où les tiges ont passé. BO, Chiasma et bandelettes
optiques
. nI. Tubercules mamillaires. P, Pédoncule. C, C
ieur. Il eu est résulté une déchirure complète du chiasma des nerfs
optiques
et du tubercule mamillaire à droite, le pédon-
t un peu de dehors en dedans. CC, Corps calleux. - bu, Bandelette
optique
intacte. P, Pédoncule cérébral tra- versé de pa
. 10'10. III. Coupe horizontale d'un cerveau droit : BO, bandelette
optique
; P, pédoncule ; NC, noyau caudé, portion postér
'avant en arrière et de dehors en dedans, intéressant la bandelette
optique
, le tubercule mamillaire et le pédoncule cérébr
s. Coupe horizontale de la face inférieure 130, chia^ma et bandelette
optique
; TM, tuber- cule mamillaire; P, pédoncule; VL,
rpendiculaire 1 la la précédente : NC, 110'au caudé; BO, bandelette
optique
; AL. ventricule; CC, corps calleux. "' Masson G
dans, d'une longueur d'environ 14 centimètres. Le cbiasma des nerfs
optiques
n'est pas louché, ni les bandelettes, mais le péd
partie interne de la cornephéuaroâ- dale, passe sous la bandelette
optique
, traverse le tubercule mm.m;31üre gauche, abord
jet, nous Y@)'IiJ.¡ : ;J1S (PI. LII, Fig. VI bis) que la bandelette
optique
est embrochée àsa sortie qui la substance de la
traux sont atteints en plein, le' corps strié notamment et la coupe
optique
, la bandelette optique serait absolument détruite
plein, le' corps strié notamment et la coupe optique, la bandelette
optique
serait absolument détruite ainsi que le prouve
e, en ne s'éloignant que peu du point où les fibres des bandelettes
optiques
sortent en faisceau de la substance blanche, tr
t presque constamment les suivantes : le chiasma ou les bandelettes
optiques
en arrière du chiasma, le pédoncule à son entré
u au-dessous, la corne sphé- noïdale, la capsule interne, la couche
optique
, le corps strié c'est-à-dire qu'on détermine pr
rneux mais en respectant la carotide. Elle est peu éloignée du nerf
optique
. · Fig. 19. Une broche passant par l'angle inte
par l'angle interne de la cavité orbitaire chemine non loin du nerf
optique
disséqué sur une petite partie de son trajet, et
t arrivé à la base du FiG. 10. B.ol, Tube olfactif.- BO, Bandelette
optique
. - TM, Tubercule mamillaire. P, Pédoncule. VL,
intéressant le pédoncule, mais respectant le chiasma, la bandelette
optique
et le bulbe olfactif, on pourra constater, disons
et c'est la face externe de la coupe qui est représentée. La couche
optique
FiG. 11. CO, Couche optique. SR, Sillon de Rola
la coupe qui est représentée. La couche optique FiG. 11. CO, Couche
optique
. SR, Sillon de Rolando. - VL, Ventricule central.
on ou de dispo- sition spéciale du pigment, pas de colobome du nerf
optique
ou de la choroïde. L'étude de la réfraction m
es. Diminution considérable de l'acuité visuelle à droite ; névrite
optique
légère de ce côté. Diminution de la sensibilité
mplement spi- 644 17AUSIiALTER " sales; en présence de la névrite
optique
droite, du strabisme interne de l'oeil gauche,
quant complètement, que des nodules fibromateux intéressent le nerf
optique
droit et le moteur oculaire externe gauche. L'e
les, mais par une sorte de vibration du nez qui se transmet au nerf
optique
, on lui met dans le nez des visions de femmes.
le rattacher à des troubles fonctionnels de l'écorce et des centres
optiques
. KERAVAL. V, DES relations DES obsessions ave
e par un schéma se composant : A. D'un premier centre de perception
optique
en rapport avec le nerf optique, qui comprend :
. D'un premier centre de perception optique en rapport avec le nerf
optique
, qui comprend : a, un centre de perception des le
res implique l'existence d'un second centre Aa dans le grand centre
optique
; c'est là que les images écrites des mots sont
psie homonyme bilaté- rale; destruction de l'un ou des deux centres
optiques
dans un lobe occipital, ou de l'irradiation des
res optiques dans un lobe occipital, ou de l'irradiation des fibres
optiques
ou des nerfs crâniens eux-mêmes; il est rare qu
eux-mêmes; il est rare que par déchéance d'une seule partie du nerf
optique
correspondant, l'hémianopsie soit partielle. 6.
tumeur reposait sur la selle turcique et venait comprimer les nerfs
optiques
. M. Christian pense pouvoir attribuer à cette c
de la vue, et porteur d'une tumeur céré- brale comprimant les nerfs
optiques
, il était bien légitime de voir là une relation
principales de l'artère centrale, visible jusqu'au delà du disque
optique
. Pas de troubles gastriques, le coeur normal, l
thologiques. 263 XII. Remarque relative A la racine médiane DU nerf
OPTIQUE
chez LES oiseaux; par PERLIA. (Nezcool. Central
e premier un trousseau de fibres qui, se détachant de la bandelette
optique
, s'en va, à travers le cerveau moyen, jusqu'à l
lbl., 1891.) Abstraction faite des fibres qui appartiennent au nerf
optique
, quels sont chez l'adulte les systèmes de fibre
pédoncule cérébral, s'insinuent entre ce pédoncule et la bandelette
optique
pour atteindre la partie basale du noyau lentic
ntre réflexe principal de la sécrétion lacrymale occupe les couches
optiques
et que c'est là même que se trouvent les voies
c précision par ce système de coordonnées réelles et de coordonnées
optiques
. On l'ouvre à la scie sans le changer de positi
diminution de la sensibilité à ' A comparer avec le cI'(1niomètl'e
optique
de Bénédikt, voyez Anthro- pométrie cranioccpha
a perte d'un grand nombre d'images commé- moratives des impressions
optiques
. P. K. XXV. SUR UN cas DE paralysie PROGRESSIVE
état granuleux et épaississementdel'épendyme, atrophie des couches
optiques
, ramollissement du corps strié gauche qui a pre
rnative à la lumière et à l'obscurité. Le fond de l'oeil, les nerfs
optiques
sont de bonne couleur. Le louchement interne, q
uns affirmaient que le siège de ce trouble résidait dans l'appareil
optique
même (rétine, nerf optique, tractus), les autre
e de ce trouble résidait dans l'appareil optique même (rétine, nerf
optique
, tractus), les autres, l'attribuaient aux centr
art du réflexe qui provoque le trouble vaso- moteur dans l'appareil
optique
. ' « L'Ù'1'itation périphérique du pneurno-gast
éfléchie sous forme d'incitation vaso-motrice jusqu'aux vais- seaux
optiques
. « Dans le cas des accès migraineux, l'irritati
charge du réflexe provoqué par les troubles sensitifs de l'appareil
optique
et du trijumeau ? . M. Baralt confirme encore
on ou dilatation des vaisseaux) se trouve dans la rétine ou le nerf
optique
. Discutons brièvement ces arguments : - En ef
e (vaso- motrice) du trijumeau (Galezowski) ou la névrose du nerf
optique
ou des tractus de Dianoux; on admit le trouble va
t nullement s'expliquer par une lésion des bandelettes ou des nerfs
optiques
, et il faut absolument la rapporter aux lésions
- cés dans les ganglions de la base du cerveau. Quant à la couche
optique
, quelques auteurs (Nothnagel) nient que ses alt
la circonvolution de Broca), mais bien aux trou- bles de la mémoire
optique
, dont les centres occupent le lobe occipital. '
s voies qui unissent cette circonvolution au centre de la mémoire
optique
. La plupart des cas d'hémiopie transitoire (com
ital du cerveau, mais qu'il y a anomalie de distribution des fibres
optiques
. Toujours est-il, que les crises d'hémiamblyopi
nser à une lésion partielle de la bandelette, du chiasma ou du nerf
optique
, nous admettons que les deux faisceaux apparten
ccipital, pariétal et temporal - où se trouvent surtout les centres
optiques
et les diverses localisations du langage. L'obs
ôté affecté étant la plus petite) ou dilatées, tandis que le disque
optique
se présente anémique pendant l'accès. Quelquefo
aud) un argument sérieux en faveur de la double connexion des nerfs
optiques
avec les hémisphères. Selon le foyer (d'une mêm
sidence DE M. LoeHR aîné. M. HEBOLD. DP l'entrecroisement des nerfs
optiques
chez l'homme. - L'orateur montre des préparatio
ui mettent en évidence lasemi-décussation incon- testable des nerfs
optiques
de la chiasma. Il exalte les avantages de la mé
ganes. Une névrite intertistielle avait en partie détruit les nerfs
optiques
, elle occupait surtout la région située derrièr
9. Oputhalmoplégie externe polyné- vritique, par Rossolino, 80.
OPTIQUE
, racine médiane du nerf chez les oiseaux, par P
mier cas de phénomènes concomitants particuliers, celle de la névrite
optique
en particulier, mettrait bientôt sur la voie. O
es nerfs. Tout récemment, M. le professeur Panas signalait la névrite
optique
blennorrhagique. Quant à la sciatique de même nat
ies de l'encéphale : non seulement le pédoncule mais encore la couche
optique
, le lobe temporal et le lobe occipital étaient to
ve, en allant de la base au sommet du triangle : le chiasma des nerfs
optiques
, le tuber cine-reum, les tubercules mamillaires,
ique de la céphalée nocturne syphilitique. Ses localisations. Névrite
optique
. Autres lésions syphilitiques : œil, oreille, n
nte, s'infiltre dans l'hexagone de Willis, autour duchiasma des nerfs
optiques
. C'est un tissu composé de très petites cellules
es plus communes. Au milieu de cette infiltration gommeuse, les nerfs
optiques
, les nerfs moteurs de l'œil, etc., se trouvent en
ment, soit par la paralysie des muscles de l'œil, soit par la névrite
optique
. Ces lésions basales, que je ne fais qu'esquiss
c un rétrécissement presque concentrique du champ visuel, une névrite
optique
caractérisée par l'infiltration sans étranglement
ensemble des caractèces suivants : lésions nasales spéciales, névrite
optique
relevant de la méningite syphilitique basale, cho
s, alors même que coexisteraient des altérations basilaires : névrite
optique
, paralysie du moteur oculaire commun, etc..., dan
quise, et que, l'épilepsie disparue, tout ne sera pas dit. La névrite
optique
, la rhinite, la choroïdite ne disparaissent pas a
n basale qui, dans l'espèce, serait à peu près décisive : une névrite
optique
, une paralysie du moteur oculaire commun, par exe
mes rares ou anormaux de cette maladie. Lésions de la papille du nerf
optique
; diagnostic avec la papille tabétique. Autres sym
es de sclérose éparses sur le cerveau, la moelle, le bulbe, les nerfs
optiques
, etc. (Fîg. 47 à 52). C'est par un procédé que
s n'ignorez pas que parfois les lésions les plus nettes de la névrite
optique
ne produisent aucun trouble appréciable et qu'ell
ce sujet que la paraplégie spasmodique, combinée à une lésion du nerf
optique
, peut être quelquefois l'unique indice de la sclé
ulaire. Sur vingt examens il a noté onze fois des altérations du nerf
optique
et retrouvé dans cinq autopsies cinq fois des pla
vé dans cinq autopsies cinq fois des plaques de sclérose dans le nerf
optique
, le chiasma ou la bandelette. Il est clair que
coloration atro-phique de la papille et les cinq autres de la névrite
optique
. Or, au point de vue subjectif, quelques-uns d'en
que l'autopsie fut pratiquée clans six cas et que cinq fois les nerfs
optiques
furent trouvés lésés. Or dans un de ces cinq cas
t postérieur des nerfs. Du reste, la portion intra-oculaire des nerfs
optiques
n'offre d'habitude que des lésions insignifiantes
ique de la céphalée nocturne syphilitique. Ses localisations. Névrite
optique
. Autres lésions syphilitiques : œil, oreille, n
mes rares ou anormaux de cette maladie. Lésions de la papille du nerf
optique
; diagnostic avec la papille tabétique. Autres sym
70 ; — _ du nerf poplité dans la scia-tique, 127, 169, 179. Névrite
optique
dans la syphilis cérébrale, 380. Nez : lésions
ardive 370; — et hérédité nerveuse, 382; Lésions de la—, 372; Névrite
optique
dans la — , 380; Epilepsie partielle dans la —, 3
d'Argyll, paralysies diverses de la mus- culature externe, atrophie
optique
. Les autres consistent en un processus ostéo-ar
petite partie postérieure) et sectionne complètement la bandelette
optique
à sa pénétration dans le corps genouillé externe
A noter enfin, la dégénérescence presque complète de la bandelette
optique
gauche (dans toute sa portion circumpédonculair
largeur évidente de la couche des fibres représentant les radiations
optiques
. Il n'existe pas dans cette couche de fibres, d
du pulvinar. Comme sur les coupes des figures 2 et 3, la bandelette
optique
est complètement détruite à sa pénétration dans
On voit enfin sur cette coupe que la dégénération de la bandelette
optique
est aussi nette que sur les coupes précédentes
récédentes ! et que la couche de fibres représentant les radiations
optiques
est moins large du côté gauche qu'à droite et pré
ande partie des corps genouillés interne et externe ; la bandelette
optique
entière- ment, à sa pénétration dans le corps g
essent à leur sortie de la face interne du pédoncule. La bandelette
optique
en avant du point où elle est détruite par lési
ys du côté gauche. La couche des fibres représentant les radiations
optiques
est nettement diminuée de largeur, atrophiée ;
e supérieure du foyer et le thalamus et intéressant la région sous-
optique
, on voit en dehors du centre médian de Luys, dans
ce lobe, surtout accusée pour la couche sagittale interne (radiations
optiques
), mais évidente aussi pour la couche sagittale
és externe et interne dans leur plus grande partie et la bandelette
optique
, soit à sa pénétra- Lion-dans le corps genouill
rminé : une dégénération rétrograde très mar- quée de la bandelette
optique
gauche; une atrophie du champ de Wernicke et de
estruction est susceptible de provoquer l'hémia- nopsie (bandelette
optique
, corps genouillé externe), soit pas la commu- n
tion artérielle qui existe entre le pédoncule cérébral et les voies
optiques
centrales. Il est facile de comprendre qu'une t
bral puisse, par extension en dehors, intéresser soit la bandelette
optique
en un point quelconque de son tiajet circumpédon-
céré- bral, la paralysie alterne supérieure, celui de la bandelette
optique
ou du corps genouillé externe, - l'hémianopsie
ar compression ou invasion du pied du pédoncule et de la bandelette
optique
, l'association morbide en question. Rudnieur (1
itique intra-pédon- culaire intéressant en même temps la bandelette
optique
, soit d'une pachyméningite syphilitique. Pour
intéressant en même temps le pédoncule cérébral et la ban- delette
optique
peut être aussi d'origine traumatique. Le cas de
tranchant à l'endroit où le pédoncule est entouré par la bandelette
optique
. La lésion capable de provoquer l'association m
orragie du pédoncule peut à priori, par diffusion à la bande- lette
optique
adjacente et au corps genouillé externe, produire
psie. ^ Le fait contraire, à savoir une hémorragie de la bandelette
optique
ou du corps genouillé externe produisant une co
la rupture d'artères de petit calibre, comme celle de la bandelette
optique
, puisse retentir sur le pédoncule de façon à dé
nnalen. 13 Jahrgang, 1S88, p. 261. 200 ROSSI ET ROUSSY bandelette
optique
droite et produisant, par compression de la voie
s de la circulation du pédoncule cérébral, des voies et des centres
optiques
peuvent nous expliquer la possibilité de cette
t Leyden (1) à attribuer l'hémianopsie à la lésion de la bandelette
optique
dans le fait clinique qu'il rapporte et dans le
n effet, pour cet auteur, la plupart des artères de la bande- lette
optique
proviennent non pas de la cérébrale postérieure,
éresse aussi les corps geuouillés externe et interne, la bandelette
optique
à son entrée dans le corps genouillé externe et
réfléchie de la cérébrale postérieure), la lésion de la bandelette
optique
et de la moitié postérieure du segment sous-lenti
urs, serait constante dans les lésions com- plètes de la bandelette
optique
. De. même, il n'existe pas dans l'histoire clin
ent, en effet, que dans les cas de lésion totale de la ban- delette
optique
, l'hémianopsie est totale, c'est-à-dire que la li
é externe, mais encore celle d'une lésion complète de la bandelette
optique
. La conservation de la vision maculaire, dans not
eur. Rm. Ruban de Reil médian. ni. - - latéral. RTh. Radiations
optiques
. SgR. Substance gélatineuse de Rolando. SRa (
W. Champ de Wernicke. xpin. Entrecroisement piniforme. II. Nerf
optique
. * III. Nerf moteur oculaire commun. HOSPICE
onnante que M. G... porte une forte stase papillaire anx deux nerfs
optiques
, avec papilles extrêmement gonflées et proémine
e mon- tre une stase papillaire avec engorgement veineux et névrite
optique
double. II n'y a pas de troubles auriculaires a
atrophie du tubercule quaclri- jumeau antérieur gauche, et du nerf
optique
droit. Dans toute la hauteur de la moelle, il n
es, de la glande pinéale, des corps cannelés, des couches des nerfs
optiques
... ni enfin de la substance cor- ticale du cerv
n à des sons quelconques et à des images xxi ' 2 1 8 . TCHIRIEV
optiques
, il réagissait avec l'oreille droite, pendant que
ont la dégénérescence secondaire peut être suivie jusqu'à la couche
optique
, au-dessus du pulvinar et du corps genouillé exte
p grande chez les individus dysostosiques repose sur une illusion d'
optique
provenant de la grandeur du front qui surplombe l
s dans le sens transversal et 5 de haut en bas. Du côté des nerfs
optiques
et des gaines, il y a des altérations très intére
çon si personnelle de concevoir la bonne position d'un instrument d'
optique
? Cet imprudent ou cette imprudente ne s'expose
depuis sa naissance. L'examen ophtalmoscopique montra des disques
optiques
sains et des rétines parfaites ; les conjonctiv
pagner de troubles oculaires et en particulier d'atrophie des nerfs
optiques
. C'est ce qui explique que les malades de cette s
éphalie, Th. de Paris, 1898. (1) MELT7.ER, Pathogénie de l'atrophie
optique
et du 7'hw'mschoedel, Neur. Cen- tralblatt, 16
tuation des phénomènes du côté du crâne et une at- teinte des nerfs
optiques
. C'est une application de la loi de Von Gudden
s; mais dès qu'elles se ferment, il se produit une lésion des nerfs
optiques
et de la cécité qui débute de préférence vers 3
plusieurs types de lésions oculaires. 1° Tout d'abord la névrite
optique
simultanée pour les deux yeux ou bien unilatéra
uefois elle a été constatée à 35 et 40 ans. 2° Un type d'atrophie
optique
secondaire, diagnostiqué par la lésion papillai
edenwald) (3). Les caractères de la papille sont ceux de l'atrophie
optique
post inflam- matoire, non ceux de l'atrophie si
ourneville) (4), l'autre à 28 ans (Weber) (5). Du reste les lésions
optiques
ne sont pas obligatoires et nous apportons (1)
mai 1893. (4) BoUtfNSVItLE, Oxytrigonocéphalie, atrophie des nerfs
optiques
, épilepsie. Comptes rendus de Bicêtre, 1895.
, au point de vue du crâne et de l'encéphale, les lésions des nerfs
optiques
, des nerfs olfactifs et les déformations osseuses
thorax, pas à la face ni à la jambe. Atro- phie accentuée des nerfs
optiques
. Discussion clinique. Il suffit de jeter un cou
ambe et le facial gauche étaient également déjà parésiés. Les nerfs
optiques
fonctionnaient très mal et il y avait peut-être
et à la privation de la vue. D'autre part la compression des nerfs
optiques
et l'amaurose favorisent le développement des h
rapidement d'étendue, dans des cou- pes plus frontales. Les voies
optiques
ont été lésées de 2 manières différentes. 1. La
use en aurait favorisé le développement et la compression des nerfs
optiques
aurait participé à la production des hallucinat
s visuels observés chez la malade. La compression directe des nerfs
optiques
a fait le reste. Il ne s'agit pas d'une destruc
e, c'est-à-dire les vibrations adéquates au geste, parcourt le nerf
optique
pour atteindre son noyau d'origine, sons forme
ymptômes de tumeur de la base furent justement l'atrophie des nerfs
optiques
et les troubles menstruels ; dans aucun de ces
iques et les troubles menstruels ; dans aucun de ces cas l'atrophie
optique
ne fut pré- cédée par des faits de papillite.
celles qui produisent le plus souvent l'aménor- rhée et l'atrophie
optique
. Sur quatre cas de tumeurs de celle nature il o
e n'avait jamais été réglée ; dans ce cas aussi il y avait atrophie
optique
qui n'avaitpas été précédée de papillite. Dan
de l'hypophyse était un tératome. Dans le deuxième cas, l'atrophie
optique
fut primitive ; le développe- ment sexuel était
te est extrêmement rarepen- dant que l'atrophie primitive des nerfs
optiques
est presque constante ; chez Marguerite au cont
base du crâne qui peuvent être la cause d'une compression des nerfs
optiques
au niveau du chiasma ou au niveau du point de sor
au niveau du point de sortie des troncs nerveux à travers les trous
optiques
; l'ostéite tuberculeuse de la base du crâne pe
analogues, mais aussi bien dans un cas que dans l'autre l'atrophie
optique
est primitive et non pas secondaire à la papill
l'on a delà céphalée, des vomissements, des vertiges, delà névrite
optique
, de l'ataxie cérébelleuse, des parésies multipl
s ; d'autres fois tout se limite à la cécité par atrophie des nerfs
optiques
. Quincke a publié plusieurs observations d'indi
ave affection cérébrale (cépha- lée, vomissements, apathie, névrite
optique
) et chez lesquels, après quel- ques semaines ou
de Huguenin, Carré, Carnzichael et Lun : ; ; dans ces cas les nerfs
optiques
sont le plus souvent compromis et les communica
e de ménin- gite spinale postérieure; tout se réduisit à l'atrophie
optique
(précédée de papillite), à l'exophtalmie et à l
. - Revue de méd., 1890. CUSHING. Infantilisme sexuel avec atrophie
optique
dÛ à une tumeur de l'hypo- physe. Journ. of ner
arrivera à élucider le trajet encore en partie inconnu des fibres
optiques
. q ! t Il ? fjoro'- ai^a..^ '< ? 'kjo t JP.tiE
leurs persécutions des agents phy- siques tels que l'électricité, l'
optique
, la photographie, le magné- tisme, l'hypnotisme
pupillaire était conservée ; il n'y avait pas d'atrophie des nerfs
optiques
. Comme il n'y, avait pas de symptômes impu- tab
s de symptômes impu- tables à la base ni au trajet de la bandelette
optique
, on dut penser .. à une lésion des deux lobes o
du forceps pour, entraîner la dégénérescence secondaire déjà couche
optique
. La substance blanche. du lobule pariétal infér
admettent que l'aura panoramique a son point de départ dans le nerf
optique
. i, ' M. Charpentier. Ce qui me paraît bizarre
reuve écrite : Quatrième ventricule, anatomie et physiologie : Nerf
optique
, anatomie et physiologie ; pour" l'épreuve orale
mène est sous la dépendance de l'entre-croisement partiel des nerfs
optiques
. En plus, si on provoque chez ce sujet, par la
né à pré- senter cette proposition : le faisceau non croisé du nerf
optique
droit fournit à la moitié temporale de la rétin
ment des fils donnant des réflexes. Le follicule non croisé du nerf
optique
s'étend à la moitié nasale de la rétine de l'oeil
lité de remédier, dans certains cas, à cette maladie par les moyens
optiques
, il convient cependant, en présence d'un épilep
ES. 1 -Il 3. M. PETERS présente un malade atteint d'adénome du nerf
optique
. Affection bilatérale sans autres lésions du fo
éreux dis- séminés. Les nerfs périphériques, en particulier le nerf
optique
, sont proportionnellement plus lésés. L'auteur
n d'une jeune fille de vingt-trois ans ayant présenté " une névrite
optique
double avec diplopie et symptômes de ménin- ' g
siner, sous une forme* variée du mouvement, les images auditives ou
optiques
. C'est dire que le siège central des hallucinat
aussi des cas dans lesquels ont été constatées des lésions du nerf
optique
qui est en somme une portion de l'encé- phale.
e la subs- tance grise de la moelle ou du bulbe, atrophie des nerfs
optiques
et enfin des névrites (Pierret, Déjerine). La p
ient que la conséquence. Enfin, la dégénération' des fibres du nerf
optique
serait aussi sous la dépendance de quelques mod
se réunir aux ascendantes et qu'il ne fait que traverser la couche
optique
, qu'il a une marche directe, ininterrompue depu
cordons postérieurs jusqu'aux ascen- dants en traversant la couche
optique
. Ce à quoi M. MAIIAIM réplique que ce qu'il a d
rce se termine provisoirement dans la portion ventrale de la couche
optique
en s'y résolvant en de petits rameaux terminaux.
ux terminaux. P. KERAVAL. III. Observation DE tumeur DE la couche
OPTIQUE
; par PH. ZEKKER. (Neurologisches Centnalbl., 18
Gliome implanté dans la partie postérieure et la base de la couche
optique
gauche. P. K. * Voir Archives de Neurologie,
à ce que les sollicitations des éléments nerveux partie- du centre
optique
ne parvenaient que tardivement aux tractus con-
ette dissociation physiologique indique la semi-décussation du nerf
optique
qui se distribue ainsi à la rétine. 1° Le faisc
istribue ainsi à la rétine. 1° Le faisceau non entre-croisé du nerf
optique
droit envoie la majorité de ses fibres à la moi
u'à la moitié centrale de celle-ci. 2° Le faisceau croisé du nerf
optique
droit comprend parla plupart de ses fibres la m
ompensateur des deux faisceaux croisés et non entre-croisés du nerf
optique
droit a lieu dans le plan qui passe verticaleme
res chargées des actions réflexes. Le faisceau entre-croisé du nerf
optique
droit en- voie à la moitié nasale de la rétine
chargées de l'action réflexe. Le faisceau non entre-croisé du nerf
optique
gauche envoie à la moitié temporale de la rétin
s chargées de la fonction réflexe. Le faisceau entre-croisé du nerf
optique
gauche envoie à la moitié nasale de la rétine d
ences, que la malade soit privée isolé- ment de ses sensations soit
optiques
, soit auditives, il est à remarquer que cela pe
érébrale est constituée, suivant lui, par : 1° l'atrophie des nerfs
optiques
avec nystagmus horizontal et strabisme converge
hnoïdien, puis le forait refluer dans l'espace sous-vaginal du nerf
optique
en continuité avec l'espace sous-arachnoïdien.
'en remplir, mais sans dépasser les limites de la papille du nerf
optique
. Les vaisseaux sanguins qui irriguent l'intérieur
e. Les vaisseaux sanguins qui irriguent l'intérieur de la pa- pille
optique
, notamment les veines centrales de la rétine, ne
r donner un exemple de l'importance de celte nouvelle quan- tité en
optique
physiologique, M. Ch. Henry en déduit par ce cal-
e conclusion que le rire est dû dans ce casa une lésion des couches
optiques
. Dans l'observation suivante, il s'agit d'une l
s de la langue, etc., par Gallerani et Pa- cinotts, 397. Couche
optique
, tumeur de la , par Zenner, 312. Crânes, exam
mélancolie. Pas de troubles sensitifs. Amaurose par section du nerf
optique
, tremblement épileptoïde de la jambe du côté op
le lerritoil e du pli courbe. Hémorrhagies encore dans les couches
optiques
, en foyers lenticulaires, mouchetés, punctiform.e
inution progressive de l'acuité visuelle était due, et à la névrite
optique
, et aux lésions des centres visuels sous-corticau
rragies et inflammation des tubercules quadriju- meaux, des couches
optiques
des corps genouillés. La névrite op- tique éman
limitée du système des fibres qui unit l'extrémité centrale du nerf
optique
à l'oculomoteur; si celte partie était seule lé
'on puisse, comme le dit Eiehhorst, exclure l'atteinte de la couche
optique
ou du corps strié. Même remarque à l'égard des
re de la lésion corticale, il y a atrophie très marquée de lacouche
optique
correspondante. AI. Sander tend à penser que ce
s, il est bien rare de voir une atrophie aussi avancée de la couche
optique
. Il n'est guère admis- sible de rattacher cette
quer que dans ces faits-là il n'y ait pas eu d'athétose ? La couche
optique
a été génératrice de l'athétose. Tel était d'ai
ent, moins del'affection cor- ticale que de l'atrophie de la couche
optique
. Pathogénie. La lésion des conducteurs moteurs,
es initiaux et de l'énergie du traitement correspondant. L'atrophie
optique
précoce correspond aux ataxies tardives et à ma
ies du larynx et de la vessie, crises d'estomac, atrophie des nerfs
optiques
, mi- cropsie, douleurs rhumatismales, changemen
ns d'une pellicule ; à la base du cerveau il ne reste que la couche
optique
et le noyau len- ticulaire. Quant au cervelet,
aumu (A.). - Recherches sur les altérations de la rétine et du nerf
optique
dans l'intoxication fdisique. Brochure in-8° de
res phénomènes présentés simultanément ·. 488 PSYCHOLOGIE. nerf
optique
, le chiasma, les bandelettes ; les cellules inter
calaires (H) au niveau des noyaux gris centraux ; les radia- tions
optiques
(1), enfin l'écorce cérébrale (K). A chaque art
ectement par un mécanisme réflexe. En effet a) la.- section du nerf
optique
empêche la descente du pigment sous l'influence
bable l'hypothèse suivante : au niveau des noyaux gris de la couche
optique
, réflexion de l'influx nerveux vers le noyau de
verger les axes visuels sur l'objet en question, afin que son image
optique
vienne se placer sur la macula, au point le plu
trajet vers la pénphérie se fait par les filets centrifuges du nerf
optique
, que nous étudierons dans un instant. Mais cela
yaux (B) l'influx suit les fibres centrifuges mêlées aux radiations
optiques
, dans l'épaisseur du lobe occipital (Mo- nakow,
ntercalaires des noyaux gris centraux. Les noyaux gris de la couche
optique
sont des stations où passe l'impression lumineu
ongée, un pont de varole, des tubercules quadrijumeaux, des couches
optiques
défigurées ; absence presque absolue des hémis-
lions sous-corticaux. Les dégénérescences constatées dans la couche
optique
et ses organes antéro-mférieurs-(couche grillée
s-(couche grillée) prouvent qu'en outre des fibres qui de la couche
optique
vont à l'écorce (Monakow) il y en a qui prennen
qui prennent naissance dans l'écorce et se terminent dans la couche
optique
(IiolUher). Quelques animaux présentent aussi u
). LXVI. DES fibres spinales centrifuges originaires DE la couche
optique
ET DES tubercules quadrijumeaux ; par W. de BECIl
e BECIl'l'E12E\V (uczvrolog. Ce ? ! hYf/6 ? XVI, 1897.) La couche
optique
et la paire antérieure des tubercules quadri- j
nstration pour les tubercules quadrijumeaux est ancienne. La couche
optique
sert aux réflexes psychiques qui expriment les
des fibres du ruban de Reil va à la partie postérieure de la couche
optique
, où elles s'éparpillent entre les cellules plac
excitations des racines postérieures arlivent donc bien à la couche
optique
et aux tubercules quadrijumeaux. Fibres centrif
étique et de l'oculo-moteur externe du coté opposé. Et de la couche
optique
à la moelle ? Quand on enlève un hémisphère céré-
o-moteur commun, c'est-à-dire immédiatement en arrière de la couche
optique
, on produit la dégénérescence des fibres du fai
lombaire. Tel est le système de Boyce qui relève bien de la couche
optique
, car la destruction isolée de la couche optique
e bien de la couche optique, car la destruction isolée de la couche
optique
(de Bechtercw et Souko- witsch) entraîne la dég
tres et mots (an moyen du centre d'association moyen), - c) Aphasie
optique
, le malade voit et reconnaît les objets, mais ne
eine, 407. Spinales. Fibres centrifuges originaires (le la couche
optique
et ries tubercules quadrijumeaux, par de Bech
la face avaient presque tous éprouvé une certaine altération. Le nerf
optique
gauche semblait se perdre dans la tumeur; mais un
génération aréolaire , une déformation plus ou moins notable. Le nerf
optique
et le nerf moteur commun n'étaient pas comprimés
t, quelquefois en haut ou en bas, et plus près de l'insertion du nerf
optique
que de la cornée transparente. La demi-transparen
érieure de la masse (fig. 4") montre que le globe de l'œil et le nerf
optique
sont complètement étrangers à la dégénération ; q
et de noir. L'une de ces tumeurs occupait le point précis où le nerf
optique
se continue avec la rétine; l'autre était située
if gauche atrophié (iveP.),le nerf olfactif droit amoindri; les nerfs
optiques
(2e P.) complètement atrophiés. Leur tissu est gr
en part. Les sinus frontaux étaient à l'état de vestige. Les trous
optiques
très rétrécis, aplatis de haut en bas, en rapport
ion indirecte de la base du cerveau. Les nerfs olfactifs et les nerfs
optiques
avant et après leur chiasma, ont été atrophiés pa
et après leur chiasma, ont été atrophiés par compression. Les couches
optiques
, et plus particulièrement les corps genouillés ex
diopathiques et qui résultent d'une atrophie pure et simple des nerfs
optiques
, sans lésion aucune des corps genouillés externes
tiques, sans lésion aucune des corps genouillés externes, des couches
optiques
, ni de quelque partie que ce soit du cerveau. Jam
énuclée. Le cervelet n'avait pas subi la même altération. Les nerfs
optiques
, examinés en deçà comme au-delà du chiasma étaien
la même altération, elle offre sa disposition accoutumée. Les couches
optiques
et les tubercules quadrijumeaux sont parfaitement
ccompagnée. — Le caractère anatomique général de l'atrophie des nerfs
optiques
, c'est la couleur grise avec demi-transparence et
apoplectiques, suite de la destruction presque complète de la couche
optique
, j'ai rencontré la pyramide antérieure du même cô
ourut de je ne sais quelle maladie. A l'ouverture, atrophie des nerfs
optiques
, avant et après le chiasma , coloration grise de
du bulbe, de la protubérance, des pédoncules cérébelleux, des couches
optiques
des corps calleux, de la voûte à trois piliers (f
, fàsciculée et semblait n'avoir pas diminué de volume. La bandelette
optique
qui la contourne est indurée et grise comme lui.
rieure du corps genouillé externe est indurée et grise comme le ruban
optique
qui lui fait suite. La couche optique droite pa
durée et grise comme le ruban optique qui lui fait suite. La couche
optique
droite paraissait, au premier abord, avoir subi l
umal postérieur droit. Quelques îles ou taches grises sur la couche
optique
; deux îles ou taches grises à la face inférieure
i° JNbn-seulement la moelle, mais encore la protubérance, la couche
optique
, les tubercules quadrijumaux, le corps calleux so
quels étaient lacérés jusqu'au lieu de leur continuité avec la couche
optique
; une très grande quantité de sang était épanchée
étant morte six ans après l'attaque, je trouvai en dehors des couches
optiques
et des corps striés, et aux dépens de ce qu'on pe
té d'articuler les sons, il y avait destruction complète de la couche
optique
gauche, et de la partie correspondante du corps s
he, il y avait -deux é;panchemens, l'un dans l'épaisseur de la couche
optique
du côté droit, l'autre dans l'épaisseur de la cou
a couche optique du côté droit, l'autre dans l'épaisseur de la couche
optique
gauche. Enfin, la rapidité de la mort n'apparti
aux circonvolutions du lobule ; destruction d'une partie de la couche
optique
, dont il ne reste que le tiers interne environ. L
ntriculaire. Le corps genouillé externe est intact, ainsi que le nerf
optique
. Aussi la vision était-elle dans l'état le plus p
ion de la niasse encéphalique, quels qu'en soient le siège, la couche
optique
, les corps striés, la protubérance, le centre ner
rface, se voit le corps strié externe, en dedans duquel est la couche
optique
en arrière et le corps strié interne en avant. L'
rveau occupe ce lobule, qui est moulé sur le corps strié et la couche
optique
, lesquels peuvent être considérés comme la racine
Sous la membrane ventriculaire, au niveau et aux dépens de la couche
optique
", se voyait une petite cavité, traversée par des
sée par des filamens celluleux et qui s'étendait, à travers la couche
optique
, jusqu'au corps strié externe, lequel était en gr
grise , des pellicules peau de chamois. Dans l'épaisseur de la couche
optique
, deux petits foyers celluleux, sans coloration, s
. On ne trouvait d'ecchymose ni dans le corps strié ni dans la couche
optique
. Toutes ces lésions existaient dans l'hémisphère
lexie capillaire de la substance grise des circonvolutions, la couche
optique
et le corps strié étant intacts; la cicatrice sup
érébraux se voit de chaque côté une grosse masse formée par la couche
optique
et le corps strié. PC sont les plexus choroïdes;
ains. Les tubercules mamillairesTM ont leur volume naturel. Les nerfs
optiques
JNO sont atrophiés. Je n'ai pas trouvé de trace d
acte. Bien que toute la partie intra-crânienne des nerfs olfactifs,
optiques
, troisième, quatrième, cinquième, sixième, septiè
-crânienne de ces nerfs était intacte. La figure 1 représente le nerf
optique
disséqué dans toute sa longueur, et la figure 2 l
antérieurs très petits. Les corps olivaires, le cervelet, les couches
optiques
et les corps striés avaient leur volume naturel.
ncer à la lame cornée qu'on voit au sillon de séparation de la couche
optique
et du corps strié, revêtait le corps strié, la fa
eaux,les olives, les pédoncules cérébelleux, le cervelet, les couches
optiques
et les corps striés n'avaient nullement participé
e put découvrir ni corps calleux, ni ventricules latéraux, ni couches
optiques
, ni corps striés, ni tubercules quadri jumeaux. L
de lamelles, et atrophie de ce lobe. —Apoplexie récente de la couche
optique
gauche et de la portion attenante du corps strié.
rement dit, c'est-à-dire la masse gangliforme constituée parla couche
optique
et le corps strié. Ce foyer, qui apparaissait dan
membrane ventri-culaire intacte, était formé aux dépens de la couche
optique
et de la portion du corps strié située en dehors
ique et de la portion du corps strié située en dehors de cette couche
optique
, et qu'on appelle généralement aujourd'hui le co
oplexie. Le foyer sanguin récent occupait essentiellement la couche
optique
: aussi le membre supérieur du coté opposé était-
Pinel-Grandchamp ont donc eu quelque raison de placer dans la couche
optique
le principe des mouvemens du membre supérieur. Ce
influence fâcheuse sur leur action conductrice. Les nerfs olfactifs,
optiques
, et les petits nerfs pathétiques, sont les seuls
, non disposé linéairement et semblable à une gelée concrète. Le nerf
optique
est de tous les nerfs celui dans lequel on observ
es parties du cerveau étaient saines, et, en particulier, les couches
optiques
et les corps striés. Reins. Le rein droit (fig.
t de circonscription du sang épanché, et par l'intégrité de la couche
optique
et du corps strié. C'est à l'irriiaiion exercée p
lontaire des urines. Mort le cinquième jour. = Apoplexie de la couche
optique
gauche avec communication du foyerdans le ventric
e liv., pl. vi, p. 2. — Hé-morrhagie cérébrale spontanée de la couche
optique
avec communication dans le ventricule latéral. Hé
le trente-cinquième jour. Foyer apoplectique aux dépens de la couche
optique
et de la partie postérieure du corps trié en voie
nvolontaire des urines. Mon le cinquième jour. Apoplexie de la couche
optique
gauche avec communication du foyer dans le ventri
5e liv., pl. vi, p. 2. — Hémorrhagie cérébrale spontanée de la couche
optique
avec communication dans le ventricule latéral. Hé
le trente-cinquième jour. Foyer apoplectique aux dépens de la couche
optique
et de la partie postérieure du corps strié en voi
e de lamelles, et atrophie de ce lobe. Apoplexie récente de la couche
optique
gauche et de la portion attenante du corps strié.
ÉMIPLÉGIE. Hémiplégie complète résultant d'une apoplexie de la couche
optique
. 5e liv., pl. vi, p. /, 4-—Hémiplégie incomplète
, pl. vi, p. 2.— Hémiplégie gauche résultant d'apoplexie de la couche
optique
et du corps strié. 5e liv., pl. vi, p. 5. — Phéno
du bulbe, de la protubérance, des pédoncules cérébelleux, des couches
optiques
, du corps calleux, de la voûte à trois piliers. 3
du bulbe, de la protubérance, des pédoncules cérébelleux, des couches
optiques
, des corps calleux, de la voûte à trois piliers.
frontal est absolument intact. - Corps calleux, corps strié, couche
optique
et corne d'Ammon, n'offrant rien de particulier
sses occipitales. - Les nerfs olfactifs paraissent égaux. - Le nerf
optique
et la bandelette optique gauches sont un peu pl
fs olfactifs paraissent égaux. - Le nerf optique et la bandelette
optique
gauches sont un peu plus petits qu'à droite. Il e
de petits sillons superficiels. - Le ventricule latéral, la couche
optique
, le Sclérose atrophique ; méningite. 215 corp
ventricule. Sa queue est presque tout à fait effacée. La cou- che
optique
gauche est moitié moins volumineuse que la droite
alement, à gauche, mais moins marquée, diminution de volume du nerf
optique
, de la bande- lette optique, du tubercule mamil
marquée, diminution de volume du nerf optique, de la bande- lette
optique
, du tubercule mamillaire, du pédoncule cérébral
ule mamillaire, du pédoncule cérébral, du corps strié, de la couche
optique
et de la moitié de la protubérance. D'autre par
établi par Broca, plan passant par le centre des orbites et le trou
optique
. 2° Mesuré l'angle existant entre la ligne suiv
u côté sain. Nous avons d'ailleurs noté le fait pour certains trous
optiques
. Si on calcule l'angle que fait la ligne du roc
de l'hémisphère droit. Nerf olfactif droit, aplati et gris. - Nerf
optique
droit, et surtout la bandelette beaucoup plus p
voit le bord droit du corps calleux CC. Le corps strié et la couche
optique
, à gauche, ont leur volume et leur configuratio
sion fréquente dans l'état de mal. Le ventricule latéral, la couche
optique
., le corps strié, la corne d'Ammon n'offrent ri
lativement un peu grêles. Corps calleux, ventricule latéral, couche
optique
, corps strié bien développés. Plusieurs coupe
]1U' le clroif sans aucune lésion apparente. Les nerfs olfactifs et
optiques
sont égaux. Cependant la bandelette optique dro
Les nerfs olfactifs et optiques sont égaux. Cependant la bandelette
optique
droite est plu; aplatie que la gauche. Le tuber
ttribuer la cécité à une lésion des fibres de transmission des voix
optiques
. L'aplatissement d'une des bandelettes optiques
ansmission des voix optiques. L'aplatissement d'une des bandelettes
optiques
, le degré notable de l'hydro- céphalie et de la
e permettent d'affirmer même sans examen histologique que les voies
optiques
étaient suffisam- ment lésés pour expliquer la
lleux. C C, corps calleux. V L, ventricule latéral. C C, couche
optique
. C A, corne d'Ammon. C H, circonvolution de l
rié, dont l'autre partie est cachée par le trigone Tg. - CO, couche
optique
. - NO, nerf optique. - PC, pédoncule céré- bral
rtie est cachée par le trigone Tg. - CO, couche optique. - NO, nerf
optique
. - PC, pédoncule céré- bral. it, incisure tempo
x. - CC, corps calleux très réduit. - CS, corps strié. - CO, couche
optique
. - PC, pédoncule cérébral. Planche XVII. Hémi
lwant-eoin. C, coili. LTS, lobe temporo-sphéiioïdal/ co, couche
optique
. V, ventricule. spe, scissure perpendiculaire
in. LTS, lobe temporo-spnénolual. ce, corps calleux, co, couche
optique
, sr, sillon de Rolamio. .0 idiotie. 1 ig.
coin.- Lo, lobe occipital.. T3, troisième temporale. 00,couche
optique
. P, pédoncule. SL,septum lucidum. dupe, sci
on tem- porale. ce, corps calleux. cs, corps strie, eu,couche
optique
. P. pédoncule. SPH, scissure perpendiculaire
artères de la moitié gauche du cerveau. Atrophie de la bandelette
optique
, du pédoncule cérébral, du tubercule mamillaire
avant-coin. C, coin, LTS, lobe temporo-sphénoïdal. 00,' couche
optique
. v, ventricule. ce, corps calleux. 1 . II)I
1890, p. 41. traitement CHIRURGICAL. 63 . Atrophie double du nerf
optique
. Mort par fracture du crâne. Autopsie. -Sarco
volution du corps calleux. Ventricule latéral un peu dilaté. Couche
optique
et corps, striés normaux. Au niveau des circonv
Il mais pas de sclérose. Ventricule latéral un peu dilaté. - Couche
optique
, corps strié, corne d'A9)721110on , rien. - Les
reuses sur le lobe oceipital. Ventricule latéral non dilaté. Couche
optique
et corps strié sains. D'une façon générale les
et deux tiers pour la face interne. Ventricule latéral, cou- che
optique
et corps strié rien. Même aspect des circon- vo
demi-croissants dont le droit est plus profond Fig. 41. - : 0, nerf
optique
. T, tumeur. P, pédoncule cérébral. HÉTÉROTOPIE
tumeur est située dans un espace formé en avant par les bandelettes
optiques
qu'elle refoule en avant et sur les côtés, et e
aminci à son sommet. À la partie moyenne des ventricules, la couche
optique
et le corps strié forment une légère éminence m
istent. Une partie saillante et mince repousse le chiasma des nerfs
optiques
, très atrophiés, et remplit les espaces perforé
uverte de nombreuses arborisations. Les corps striés et les couches
optiques
n'offrent rien d'anor- mal. Hémisphère droit
nte. C R, cir- convolution retournée. C S, corps strié. C 0, couche
optique
. V M, ventricule moyen. T Q, tubercules quadrij
au niveau de sa corne occipitale et à sa partie moyenne. La couche
optique
est un peu aplatie et le corps calleux aminci.
ement, gâtisme. Paraplégie spas- modique. - Atrophie double du nerf
optique
. Mort par fracture du crâne. Autopsie. Sarcom
s latéraux. L'aqueduc de Sylvius a son diamètre normal. Les nerfs
optiques
offrent à la coupe une coloration grisâtre et une
eau de l'espace intcrpèdonculairc, et en avant du chiasma des nerfs
optiques
qui se trouvent soulevés par le kyste. Celui-ci
is, mais large, et d'une coloration grisâtre prononcée. Les nerfs
optiques
sont très atrophiés et ont il peine deux millim
que, ne se comprend que par l'entre-croisement des fibres du nerf
optique
dans le chiasma; elle en est l'expression cliniqu
pinales ou de projection ; elle ne connaît pas le chiasma des nerfs
optiques
et conséquem- ment elle ne produit pas l'hémani
on mentale et consiste avant tout dans l'acte de, copier les images
optiques
des) lettres et des mots.- Que celles-ci dispar
re synergique, mais le mécanisme n'est pas le même. Quand le nerf
optique
est altéré d'un seul côté, on note des phé- nom
nous ont conduit à la constatation de foyers scléreux dans le nerf
optique
ou en d'autres parties'de l'encéphale que la form
ne action à distance sur le centre bulbaire du vomissement, le nerf
optique
ou le sinus caverneux. Pour le vertige en parti
es la poursuite des revendi- cations qu'il croit justes. Les images
optiques
et la mémoire visuelle présentent chez lui une
ations avec autopsies montrent encore que chez l'homme, les centres
optiques
primitifs (infra-corti- caux), dépendent du lob
blanche antéro-postérieure aux segments correspondants des centres
optiques
sous-corticaux. La différence des localisations
onne rayonnante, limités en dedans par le sapetum. Ces irradiations
optiques
arrivent dans la substance blanche latérale du
uadriju- meau antérieur où il se réunit aux fibres de la bandelette
optique
. confinant, par en haut, au corps genouillé int
seau de fibres blanches qui constitue un trousseau d'irradiations
optiques
sus-jacent à celui du coin et du lobule lingual.
nombreux foyers dans le corps strié, la capsule interne, la couche
optique
, de diamètres variés, surtout à gauche. Atrophi
la mélancolie, les trois quarts des foyers siègent dans les couches
optiques
, les- quelles sont demeurées absolument indemne
rave. L'examen ophlhalmoscopique révéla l'existence d'une névrite
optique
double, avec vascularisation, oedème et saillie d
la santé générale parait encore améliorée, mais les lésions du nerf
optique
sont aggravées, adroite la pupille est obscure à
dhérant au cerveau. En soulevant la tumeur pour atteindre les nerfs
optiques
, on rompt une courte et fragile adhérence avec
art de pouce en avant et à droite du point de péné- tration du nerf
optique
dans l'orbite. Vue par en dessous, la tumeur re
de la tumeur ni ramollissement inflammatoire, ni oedème. Les nerfs
optiques
et olfactifs avaient évidemment subi une compre
lüazau, Citron, nLE7NEAT et SNELL. M. OTTO. Des altérations du nerf
optique
, notamment dans l'a ? ,té- rio-scté7·ose, avec
cune mo 420 0 SOCIÉTÉS SAVANTES. difcation morphologique de nerfs
optiques
, onze présentaient des anomalies de cette natur
simplement un léger aplatissement, ou une légère excavation du nerf
optique
produite par la carotide dilatée; mais il n'y ava
ssements, des excavations prononcés, de profondes entailles du nerf
optique
; l'aplatissement était dû à la compression des
être des vaisseaux altérés. Ces modifications dans la forme du nerf
optique
se distinguent nettement des anomalies congénit
t de ranger dans la même catégorie d'altérations l'atrophie du nerf
optique
, à évolution lente, des gens âgés. Discussion.
, une préparation qui concerne un étranglement congénital du nerf
optique
. M. Oppenheim. Quand le nerf optique n'a pas su
anglement congénital du nerf optique. M. Oppenheim. Quand le nerf
optique
n'a pas subi d'aplatisse- ment y a-t-il au micr
étaient, les fibres. M. Bernhardt. Qu'esl-ce que l'atrophie du nerf
optique
de Fuchs ? `t M. OTTO. Je n'ai pas trouvé d'a
ique de Fuchs ? `t M. OTTO. Je n'ai pas trouvé d'atrophie du nerf
optique
dans le voisinage des vaisseaux malades, quand
ous les noms d'amblyopie du champ visuel (Schwiegger) ; 'anesthésie
optique
(Pflüger); hyperesthésie rétinienne (St'ffan);
rouva une lésion au foyer de la partie la plus externe de la couche
optique
et du segment le plus postérieur de la capsule
n ? rrl, "(>. ? ii ? ii'.i'rid i" Hi'-^i'i ? i(q ? Quant au nerf
optique
, il est réduit aune gaine dans laquelle on trou
du tuyau médullaire. D autre part 1 existence des rudimentS|dunerfv
optique
prouve que le tuyau médullaire s était forme et q
lorsqu on détruit chez 1 animal nouveau-ne la bandelette et le nerf
optique
, 1 appareil ? -/ , ', " -, .- il» i ne ? mini «"t
indique la syrinomyélie; en revanche, l'atrophie précocerdu nerf f
optique
et l'immobilité réflexe des pupilles relèvent du
) : 'J'ât soüvént'`c'ônstâlL l'existence.) d'une atrophie'du nerf'1
optique
et" d'un, a 'pâ,rài ? si'éld'e s pupilles dans'
conditions la lumière, en excitant la rétine, transmet aux centres
optiques
une irritation spéciale qui se propage d'une ce
inique llar5aveliér, . 482.q '1- . '¡ : : : ) r t ? b ',¡i' 'Ha,;
Optique
, 1 q,es",a1t,ratlOnsd,u t,npuf 1 ? notamment da
s, la commissure postérieure qu'elle forme exclusivement, la couche
optique
et le lobe frontal (terminaison probable). P. K
l'ataxie locomotrice lorsque se produisent les lésions des centres
optiques
. Le D'' Conolly Norman admet que la monomanie e
lheim, démontre dans cet oeil .l'état normal des papilles des nerfs
optiques
. Les bras sont normaux ; dans les extrémités in
a .vision n'est pas affectée ; l'oeil, de même qu'un instrument d'
optique
, est parfait, et l'ophtalmsocope n'y découvre a
très fortement colorés par le carmin. Les corps striés, les couches
optiques
, l'avant-mur présentent le même processus atrop
association. D'après Darschlcevitch, les quelques fibres du tractus
optique
qui- passent par le corps géniculé latéral et l
tus optique qui- passent par le corps géniculé latéral et la couche
optique
, traversent la commis- sure postérieure et le f
le singe, que le centre expressif de la face siège dans les couches
optiques
. 278 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. II. MOELLE
sens inverse). SCHÉMA Ecorce cérébrale. Capsula interne. Couche
optique
. Capsule interne. Noyau rouge. Pied du pédoncul
centre sous-cortical (tuber- cule quadrijumeau postérieur, - couche
optique
? ) expliquant la surdité. Intégrité psychique
une altération de cette portion de l'arc réflexe qui unit le centre
optique
au groupe des cellules de l'oculomoteur commun
ure à l'ali;nation mentale. M. AUER13.CII (de Francfort). Des lobes
optiques
chez les poissons osseux. L'auteur a étudié ces
ue les autres systèmes qui prennent part lacoustruc- tion des lobes
optiques
s'entourent de myéline. Les nerfs opti- ques fo
d'association tectobasal ne reçoit pas de fibres distinctes du nerf
optique
. La formalion réticulaire de la subs- tance gri
de la base provient des rameaux de la partie posté- rieure du nerf
optique
, de la dissociation terminale du faisceau longi
qu'il s'agit d'objets usuels.) Ce sont évidem- ment les substratums
optiques
des notions et des objets qui pré- sentent des
du côté droit, trouble grave de la lecture et de l'écriture (ataxie
optique
cor- ticale), cécité psychique secondaire; d'au
suelles au centre de la parole (du côté gauche). Le terme d'aphasie
optique
serait le plus rationnel. Les autres observatio
es observations peuvent être divisées en trois groupes : 1° aphasie
optique
, avec hémianopsie du côté droit; 2° aphasie opt
: 1° aphasie optique, avec hémianopsie du côté droit; 2° aphasie
optique
avec cécité psychique; 3° aphasie optique avec cé
du côté droit; 2° aphasie optique avec cécité psychique; 3° aphasie
optique
avec cécité psychique et aphasie sensorielle ac
e). Ce troi- sième groupe permet difficilement de déceler l'aphasie
optique
, à raison de la simultanéité de l'aphasie senso
simultanéité de l'aphasie sensorielle acoustique. Les cas d'aphasie
optique
combinée à la cécité psychique témoignent d'alt
orce occipitale; mais, à côté de la perte des images commémoratives
optiques
due à la lésion de l'écorce du lobe occipital,
microsco- pique). ' Quoi qu'il en soit, les images commémoratives
optiques
demeu- rant intactes, la cécité psychique peut
t les centres des images com- SOCIÉTÉS SAVANTES. 3111 mémoratives
optiques
aux autres réceptacles d'images sensorielles d'
r- tiennent aux ganglions sous-corticaux (corps striés et couches
optiques
). D'après les faits acquis jusqu'ici à la scien
M. le D''AdeIheim, a démontré l'état normal des papilles des nerfs
optiques
et de l'acuité visuelle dans les deux yeux, avec
que de Popoff, 1886. Serebrennikowa. Etude sur l'élongation du nerf
optique
. Le Médecin. n° 38, 1886. Sikorsky. Des expre
asphyxie accidentelle par un poêle mobile. Chez l'homme une névrite
optique
détermina même la cécité. SOCIÉTÉS savantes. 48
ère anotzzarle, causant une division atttéro-postérieùre du chiasma
optique
et une hémianopsie 6ttempo)'a. M. le D'' F. Pet
re), par Morax, 436. Ophlhalmoplégie bilatérale, par Ziem, 294.
Optiques
(lobes chez les poissons osseux), par Auerbach,
ale comprend le cerveau, le cervelet et le tronc encéphalique (couche
optique
, tubercules quadriju-meaux antérieurs et postérie
genouillées externes-corticales, dernier neurone de la voie centrale
optique
, qui vient se terminer sur la face interne du lob
it pourtant de combien de syllabes ce mot est formé. Dans l'aphasie
optique
de Freund, le malade reconnaît parfaitement les o
t les objets qu'on lui montre et est incapable de les nommer (aphasie
optique
). Il peut parfaitement répéter les mots qu'on pro
artie postérieure de la capsule interne et interrompre les radiations
optiques
dans leur trajet. L'absence de troubles nets dans
i se transforma rapidement en une monoplégie brachiale), de l'aphasie
optique
, de l'inégalité pupillaire, du ralentissement du
ombre d'observations. Il en est de même de la paraphasie. L'aphasie
optique
constitue un signe précieux de localisation. Les
s et de Zaufal peuvent être considérés comme des cas types. L'aphasie
optique
est presque toujours accompagnée d'hémianopsie la
vision et les centres du langage, ne produit pas seulement l'aphasie
optique
, telle que l'a décrite Freund ; elle porte aussi
ut pas arriver aux idées qui appartiennent principalement a la sphère
optique
. Cependant, il comprendra d'autres questions dont
stions dont l'intelligence n'exige pas le fonctionnement de la sphère
optique
: par exemple : « Vous portez-vous bien ? — Comme
Soemmering, le globidus pallidus et la partie inférieure de la couche
optique
. Là, un dernier neurone centripète, thalamo-corti
parles fibres rubro-thalamiques et rubro-corticales. La bandelette
optique
est reliée à l'écorce cérébelleuse par la voie tu
du ventricule latéral, le tronc et la queue du noyau caudé, la couche
optique
, le noyau lenticulaire, l'avant-mur, le noyau rou
l, la glande pinéale, l'aqueduc de Sylvius, le pulvi-nar de la couche
optique
, la queue du noyau caudé, le patamen, les corps g
ion, c'est la lésion même d'une portion du système nerveux, du nerf
optique
, perceptible pendant la vie grâce à l'usage de
elles capables de produire le même effet ? Des lésions de la couche
optique
ou du corps strié, associées à une alté- ration
qu'elle n'est liée à aucune altération du globe oculaire et du nerf
optique
et n'est pas associée à une paralysie de la 3"
l y a plus d'un an par un oculiste décela l'existence d'une névrite
optique
et d'hémorragies rétiniennes, sans affaiblissemen
soulagement. A l'examen ophtalmoscopique, je constate une névrite
optique
oedémateuse double des plus prononcées, et le Dr
Résultats thérapeutiques de la ponction lombaire, dans les névrites
optiques
intra-cràniennes (Annales d'ocolistiquc, juillet
ientôt dans toute l'épaisseur de ce faisceau. Arrivées dans la couche
optique
, les fibres dégénérées s'écartent les unes des
dantes. L'examen du fond de l'oeil décèle l'existence d'une névrite
optique
double ; le réflexe des pupilles à la lumière est
lable, en raison de l'absence de nausées, de céphalée et de névrite
optique
; ils déconseillent en conséquence l'opération et
s de 3oo grammes, donner lieu à un oedème cérébral et à une névrite
optique
intense sans provoquer de nausées, ni de douleu
dicale, 28 mai igio. VII SUR UNE FORME DE PSEUDO-TABES (NÉVRITE
OPTIQUE
RE'TRO-BULBAIRE INFECTIEUSE ET TROUBLES DANS LE
de l'esprit l'idée d'une sclérose de nature tabétique. La névrite
optique
alcoolique qui, semblable en ceci à la névrite op
. La névrite optique alcoolique qui, semblable en ceci à la névrite
optique
de notre malade, est susceptible, après avoir p
vée dans ce cas a les caractères de celte forme spéciale de névrite
optique
que Parinaud a bien décrite le premier, qu'il a f
e qui rend ce cas particulièrement intéressant, c'est qu'à la névrite
optique
s'asso- cient des troubles dans les réflexes te
ent le 3o mai. A l'ophtalmoscope on ne trouve aucune lésion du nerf
optique
, mais des lésions de choroïdite myopique très p
tal de la Pitié, un tabétique atteint d'une atrophie des deux nerfs
optiques
, dont les symptômes lui parais- saient anormaux
ques avérés, présentant d'autres symptômes que l'atrophie des nerfs
optiques
. Sauf exception, le champ visuel a été pris à l
ptionnelle. ' Il existe donc des cas d'atrophie tabétique des nerfs
optiques
où l'on constate, avec un rétrécissement concen
pro- nostic, de la constatation d'une atrophie tabétique des nerfs
optiques
évoluant d'une façon aussi différente de la for
ne amblyopie toxique, sans avoir de lésions tabétiques de ses nerfs
optiques
. 1.' Il y a d'autres cas où le scotome central
tive si l'on songe à la fréquence de l'atrophie tabétique des nerfs
optiques
. Conclusions. i° Il n'existe pas, dans l'atro
Conclusions. i° Il n'existe pas, dans l'atrophie tabétique du nerf
optique
, une forme de rétrécissement du champ visuel pa
inski J. Du traitement mercuriel dans la sclérose tabétique des nerfs
optiques
(Revue Neurologique, igoo, p. 626). Berger. -
mp visuel monoculaire des diverses maladies de la rétine et du nerf
optique
(Congrès d'Ophtalmologie de Paris, 1867). TABES
laire. ' De toutes les modifications du tabes la sclérose des nerfs
optiques
est peut-être celle qui se prête le mieux à un
fet de la ponction lombaire dans cer- tains cas d'affection du nerf
optique
. Nous voudrions montrer, par nos observations,
l'on peut retirer de la ponction lom- baire dans les cas de névrite
optique
d'origine intra-crânienne, pourvu que cette pon
symptômes de compres- sion : vertiges, céphalées intenses, névrite
optique
, on pouvait se deman- der s'il ne s'agissait pa
e suivre les heureux effets de la ponction lombaire, sur la névrite
optique
d'origine intra-crânienne. Amélioration rapide de
néral la compression intra-crânienne produit, au début, une névrite
optique
qui se manifeste à l'oculiste par la stase de la
ffirait à prouver que la guérison partielle ou totale de la névrite
optique
est une guérison pour laquelle la suggestion ne
e cas où le diagnostic est douteux, cette persistance de la névrite
optique
plaide en faveur de l'existence d'une tumeur in
tre considérée comme une méthode de traitement curatif des névrites
optiques
dues à un épanche- ment intra-crânien(épancheme
ION LOMBAIRE DANS LES NÉVRITES OPTIQUES 5g Dans les cas de névrites
optiques
consécutives à une tumeur intra- crânienne, la
oubles dus à la compression, et en particulier l'atrophie des nerfs
optiques
qui peut être la suite des névrites optiques d'
r l'atrophie des nerfs optiques qui peut être la suite des névrites
optiques
d'origine intra-crânienne. l3em ssi. 38 III
organes génitaux (Id.). 62. Sur une forme de pseudo-tabes. Névrite
optique
rétrobullaire infectieuse et troubles dans les
). 64. Du traitement mercuriel dans la sclérose tabétique des nerfs
optiques
(Id.). 65. Tabes avec cécité (XIIIe Congrès int
suel et de la vision centrale dans l'atrophie tabétique des nerfs .
optiques
(en collaboration avec Chaillous. Comptes rendus
7. Résultats thérapeutiques de la ponction lombaire dans les névrites
optiques
d'origine intra-crânienne (en collaboration ave
visuel et de la vision centrale dans l'atrophie labétiquc des nerfs
optiques
353 Compressions médullaires. IX. Syndrome de
QUE 1. Du traitement mercuriel dans la sclérose tabétique des nerfs
optiques
587 IL Résultats thérapeutiques de la ponction
IL Résultats thérapeutiques de la ponction lombaire dans les névrites
optiques
d'origine intra-cranienne.................. 5go
l'encéphale que prennent leur origine apparente ou réelle les nerfs
optiques
et les nerfs moteurs de l'oeil (3°, 4e et 6e pair
roit de supposer une lésion intra-crânienne qui intéresse les nerfs
optiques
ou les nerfs moteurs de l'oeil dans une partie
iniques et de l'embryologie, a permis de suivre le trajet des nerfs
optiques
, de station en station, à travers les centres vis
auteurs pour considérer les tubercules quadrijumeaux et les couches
optiques
comme des centres visuels secondai- res de la b
la base où viennent aboutir les corps genouillés et les bandelettes
optiques
, qui continuent de chaque côté le chiasma. Les di
and on n'a pu découvrir aucun indice de compression des bandelettes
optiques
ou du chiasma, aucune lésion des corps genouill
met, comme on tend il le faire, la décussation incomplète des nerfs
optiques
, il est logique d'invoquer une lésion de ces ne
ue d'invoquer une lésion de ces nerfs entre le chiasma et les trous
optiques
avant de songer à une lésion possible de l'écorce
rale par exem- ple, directement ou bien par l'entremise du thalamus
optique
(3). Les autres muscles mimiques se trouvent tr
di. 212 ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Coupes du nerf
optique
droit Il sa sortie du chiasma (fig. 2ï). Sur to
roit ont montré des lésions exactement semblables il celles du nerf
optique
; sauf que l'infiltration cellulaire est un peu
l'importance des lésions : la Fig. 27. - Coupe transversale du nerf
optique
droit à sa sortie du chiasma. Épaississe- ment
a- les sont épaissies et opaques au niveau de la base et du chiasma
optique
en particulier. Les nerfs crâniens sont recouve
, olfactives et tactiles et seulement à la fin aborder les réflexes
optiques
, lesquels sont plus compliqués que les autres.
est exactement de même pour les excitations olfactives. Excitations
optiques
. Tous les réflexes étudiés jusqu'ici, c'est-à-d
térale. Donc, il faut admettre que l'excitation unilatérale du nerf
optique
produit une contracture bilatérale. Le réflexe
une hémicon- tracture gauche. Ainsi en résumant tous les réflexes
optiques
, nous pouvons les grouper de la manière suivant
nte, et puisque l'hémianopsie est explicable par la sémidécussation
optique
, nous ne pouvons chercher le motif des réflexes
nte. L'excitation produite par la lumière, parvient le long du nerf
optique
au tubercule antérieur du corps quadrijumeau, c
u nerf optique au tubercule antérieur du corps quadrijumeau, centre
optique
subcortical, ou au lobe occipital, centre corti
r la lumière sur le côté nasal de la rétine droite, suit le chiasma
optique
, et en conséquence parvient il l'autre côté, au
e peut être qu'une contracture bila- térale. Les réflexes du nerf
optique
nous donnent ainsi un moyen expérimental, avec
la rétine trouvent leur explication dans la sémidécussation du nerf
optique
, nous pouvons donc établir la réparti- tion de
t cela de la manière suivante. tv) Le faisceau non-croisé du nerf
optique
droit occupe par la plupart de ses filets la mo
es relations, des réflexes énumérés avec la semidécussation du nerf
optique
, nous avons renvoyé à l'analogie, qui rapporte
moins sensi- bles de la rétine suffisaient à produire des réflexes
optiques
. De ce dernier fait nous pouvons conclure, que
43, 44, 45, 46. Troubles trophiques, chez un aliéné, 49. Voies
optiques
, Schéma, 48. Le gérant : Louis Battaille. Imp
la substance blanche configure est atteinte. Intégrité de la couche
optique
entière et du noyau coudé. Atrophie de la corné
ment congénital avec tare familiale dégénérait e. Les bandelettes
optiques
dans le tabès avec cécité. MM. P..Marie et Llhu
il subsiste toujours un petit faisceau intact dans les bandelettes
optiques
, alors même qu'il n'y a plus dans les nerfs auc
ù ses libres se met- tent en rapport avec les ,cellules du ganglion
optique
basai de Meynert. Il se-prolonge parfois sous f
n tout cas ni paralysie de l'accom- modation, ni atrophie des nerfs
optiques
; réflexes patellaires normaux, il s'agit d'une
trop fré- quente pour qu'elle ait delà valeur. Intégrité des nerfs
optiques
. On remarque dans l'encéphale une prolifération
, des troubles de la déglutition, une atrophie bilatérale du nerf
optique
, de l'hémianopsie gauche, enfin une inertie pupil
ènes de névrite et de paralysie dans le territoire de la bandelette
optique
droite, de l'hypoglosse et du vago-accessoire g
rtie pupillaire hémianopslque précisa l'atteinte de la ban- delette
optique
droite. P.lIERAVAL. XXI. Quel est l'état de la
réflexe des deux yeux par suppression de la fonction des deux nerfs
optiques
ou des deux bandelettes optiques ; seulement ce
sion de la fonction des deux nerfs optiques ou des deux bandelettes
optiques
; seulement cette affection est si rare qu'elle
e de l'engourdissement réflexe de A, notamment par atrophie du nerf
optique
; si la pupille B ne réa- git pas directement,
t dans les grosses tumeurs qui occupent plutôt le voisinage du nerf
optique
(en particulier à la base), tandis que les petite
1 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES, gaine des nerfs
optiques
, fractures du crâne. Les phénomènes inflammatoi
e joue le rôle principal dans la genèse de l'hydropisie de la gaine
optique
et autres manifesta- tions de la papille étrang
lifération cellulaire, un rétrécissement os- seux au niveau du trou
optique
suppriment la communication des gaines optiques
ux au niveau du trou optique suppriment la communication des gaines
optiques
avec la cavité cérébrale et l'oedème central ne
cérébrale et l'oedème central ne peut se propager au tronc du nerf
optique
. La papille étran- glée passagère a pu échapper
Enfin, exceptionnellement, nous avons noté une vérita- ble névrite
optique
avechyperhémie de la pupille qui se con- fond a
r alors, l'étude du cer- veau nous a montré une lésion de la couche
optique
. Dans une observation que MM. Gruner et Bertolo
chercher toutes les fois qu'on sup- posera une lésion de la couche
optique
. On arrivera peut- être à faire de ce signe un
ubles de la mimique à faire diagnosti- quer une lésion de la couche
optique
. Nouvelle contribution à l'étude des localisati
orale qui fuL conservée pour garantir des dégéné- rescences le nerf
optique
. Toutes les parties sousjacenLcs furent conserv
au a beaucoup de fibres descendantes.Il met en relation les lobes
optiques
avec les nerfs moteurs de l'oeil et les nerfs d
ement au-dessus du bulbe, ce sont très probablement les cou- ches
optiques
, « centres réflexes du sens tactile dans lesque
volution phylogénique nous voyons apparaître au- dessus des couches
optiques
les fonctions motrices des coips striés ; et pl
omènes. Il y aurait lieu d'étudier complètement le rôle des courbes
optiques
, des tubercules quadrijumeaux et des corps stri
ent nombreuses malgré l'ahsence ou la diminution extrême des fibres
optiques
. Il y avait souvent diminution marquée du nombr
et soigneusement analysée propre à reconnaître : 1° quel'asymbolie
optique
peut être également pu- rement fonctionnelle, 2
ux côtés, les ventricules latéraux, les cornus d'Ammon, les couches
optiques
, les corps striés n'offrent rien de nota- ble;
es rétentions et. des incontinences 11'otiine névritique. La uevrhe
optique
est un si- gne assez fréquent, il s'agit de név
il s'agit de névrite l'{'I l'ohulhail'e 3lrcolirlue, ou de névrite
optique
l'aie; les troubles papillaires, le nystagmus. ne
gâtisme volontaire, par Man- lieimer-Gommès, p. 226. Bandelettes
optiques
. Les - dans le tabes avec cécité, par P. Mari
- et maux perforants, par P. Maiie, p, .33. - Voir - Hfftfftfr
optiques
. cervical chez un enfant de quinze ans par Dé
usiforme. - L, linguale. - K, calcarine, - T, temporale. Th, couche
optique
. (La partie en blanc indique le siège de la scl
à-vis l'insula de Reil. Dans la capsule interne et dans les couches
optiques
on ne voit aucune lésion. Sur les coupes faites
rétro- lenticulaire et de la partie inféro-postérieure des couches
optiques
. Cette sclérose ne présentait pas la dégénéresc
lus en avant, qui passent par la partie posté- rieure des couches
optiques
, on voit de nombreuses lacunes dans la région d
itudinal inférieur, ainsi que la sclérose du pulvinar des couches
optiques
. En outre, on remarque que la partie postérieur
platie, elle reste inerte sur le plancher de la bouche. Les nerfs
optique
, trochléaires, oculomoteurs externes et acoustiqu
t, tant dans le putamen qu'au niveau du noyau caudé et de la couche
optique
. Il en existe trois dans la protubérance, et de
pes microscopiques figurent, avec les coupes de l'Ecorce, des nerfs
optiques
, 'et la représentation de certains types de lés
ateuses, sans calcification. Sclérose névroglique intense des nerfs
optiques
; lésions cellulaires corticales légères, diffuse
des lobes orbitaires et tempo- rosphénoidal. Le chiasma des nerfs
optiques
est refoulé par le néo- plasme. NOUY. ICONOGR
ule le diagnostic suivant : « Atrophie postnévritiquedes deux nerfs
optiques
, en rapport avec une compression intracérébrale,
,^ bul- be, le protubérance, ,1e cervelet et la moelle. Les nerfs
optiques
paraissent relativement libres, mais réduits de v
utons la nature leucocy- taire ou névroglique. L'examen des nerfs
optiques
a montré l'existence d'une sclérose névroglique
égatif L'ensemble des lésions microscopiques de l'écorce, des nerfs
optiques
, et de de la tumeur s'appréciera aisément sur l
ence, même à titre accessoire, de la syphi- lis, dans cette névrite
optique
, dont l'histoire étiologique, particulièrement
névritique secondaire de la papille. L'étude histologique des nerfs
optiques
a mis en évidence une altération profonde et di
ns des zones plus ou moins rapprochées du néoplasme, puis des nerfs
optiques
, nous aborderons l'interprétation des faits, en
une tendance à entourer les cellules et même à les envahir. Nerf
optique
. - L'examen histologique des deux nerfs optiques
à les envahir. Nerf optique. - L'examen histologique des deux nerfs
optiques
a porté sur la partie avoisinant le chiasma. Qu
upes de l'écorce, où qu'elles aient été pratiquées, et dans le nerf
optique
. Ils sont en général péri-cel- lulaires, les pe
nation du rire et du pleurer spasmo- dique est situé dans la couche
optique
, les neuro-diélectriques qui déter- minent chez
t la diffusion des lésions névritiques, constatées dans les tractus
optiques
de notre sujet, plaident en faveur d'une action t
ur d'une action toxique lente et continue, exercée sur le pédoncule
optique
, par l'adultération du milieu lymphatique et cé
'en- céphale : la fréquence et la profondeur des lésions de névrite
optique
cons- tatées dans les tumeurs intra-crâniennes
ussi relever d'influen- ces toxiques, multipliées au niveau du nerf
optique
par la stase lympha- tique et veineuse, constat
On connaît d'ailleurs la vulnérabilité toute spéciale du pédoncule
optique
et delà rétine vis-à- vis de certains poisons (
fence- phale, et principalement de la substance grise et des nerfs
optiques
, par les toxines issues des néoplasmes (sarcome
du cerveau présentent une dilata- tion très marquée. ' Les nerfs
optiques
ont subi l'atrophie grise, encore très visible au
s qui disparaît rapidement à la partie antérieure des bande- lettes
optiques
; aucune autre altération ni dans les viscères, n
opatlcologi j2ces (altérations des cellules corticales et des nerfs
optiques
comparables aux lésions toxi-inrectieuses),anato1
ncule cérébelleux moyen sont réduites en nombre. E. Coupe du nerf
optique
gauche qui ne présente rien d'anormal. F. Cou
f optique gauche qui ne présente rien d'anormal. F. Coupe du nerf
optique
droit. Les fas- cicules des fibres nerveuses so
re. Réduction de volume de la substance blanche. Atrophie du nerf
optique
droit. Dans les nerfs périphériques et dans les
des pupilles est parfaite, pas de nystagmus. Les papilles des nerfs
optiques
sont pâles. La parole est explosive, considérab
atiques . Paris, 1876. Lafforgue, Rapports des lésions de la couche
optique
avec l'hémianesthésie d'origine cérébrale. Pari
sensibilité, la protubérance (Gordy, Longet, Vulpian) ou la couche
optique
(Carpenter, Luys, Broadbent), ne sauraient plus
dessus de la protubérance par conséquent, et en dehors de la couche
optique
, peut en interrompant la conductibilité centri-
us à y placer le siège des sensations conscientes. Quanta la couche
optique
, pas plus la pathologie (Luys) que l'expériment
ait départi. Cette ques- tion des fonctions sensitives de la couche
optique
a d'ailleurs été très longuement et fort bien t
opti- ques et peut-être olfactifs, paraissent traverser la couche
optique
avant de gagner la couronne rayonnante. 11 semble
tus, déjà décrit par Gratiolet, sous le nom d'expansions cérébrales
optiques
et dont les fibres émanées des corps genouillés
ues et dont les fibres émanées des corps genouillés et de la couche
optique
côtoieraient celles du premier faisceau, en ded
EVUE CRITIQUE. postérieur et des deux tiers antérieurs de la couche
optique
; en examinant un hémisphère, on se convainct qu
bientôt un certain nombre de fibres, qui lui viennent de la couche
optique
et des corps genouillés, et qui sont la continua-
ui sont la continua- tion des fibres centripètes, émanées des nerfs
optiques
. Le fais- ceau sensitifest alors constitué au c
ement compression du faisceau par une lésion de voisinage (couche
optique
, noyau lenticulaire), et, comme une compression q
groupe qu'on doit ranger les observa- tions de lésions de la couche
optique
, considérées à tort par quelques auteurs comme
es fibres de la sensi- bilité spéciale qui proviennent de la couche
optique
et des corps genouillés. Et nous avons montré q
s préposées à la sensibilité spéciale se rapprochent des expansions
optiques
pour constituer une sorte de faisceau spécial q
é s'était avec les doigts luxé le globe oculaire et déchiré le nerf
optique
sous prétexe qu'une voix lui commandai^de s'arra-
mmencement d'a- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 227 trophie du nerf
optique
, inégalité pupillaire, rétrécissement du champ
; par Greffier. Thèse de Paris, 1882. Essai sur les tumeurs du nerf
optique
; par Hue. Thèse de Paris, 1882. Contribution
6..Cette différence tenâit'simpleméné'â;'dés'éî><- constances
optiques
. Sur tes'niam'ents qui 'c'ouraient'paraHelement
fonctionnel ou circula- toire de cette membrane, et même du centre
optique
; car ces troubles de la vision s'observent éga
se de l',ma; 187 ' DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 351
optique
. Le champ visuel est rétréci, offre des échancrur
Ces symptômes dépendent de lésions diverses de la rétine, du nerf
optique
ou de ses origines. La rétinite glycosurique s'
hémorrhagies capillaires pareilles peuvent se produire dans le nerf
optique
, le chiasma, les bandelettes optiques, de même
uvent se produire dans le nerf optique, le chiasma, les bandelettes
optiques
, de même que dans la rétine et le cer- veau, et
ainsi s'expliqueraient non seulement l'hémiopio, l'atrophie du nerf
optique
, mais encore les amblyopics graves du diabète s
croscopique montre bien bien qu'il s'agit d'un sarcome de la région
optique
inférieure droite avec compression du pédoncule
phases de la papille étranglée, plus spécialement au niveau du nerf
optique
rétro-bul- baire. Mais revenons à la pathogén
teiner attribuent la transmission de l'excitation lumineuse du nerf
optique
au noyau de l'oculomoteur commun. La question d
res descendantes d'organes situées au-dessus de lui ? De la c'ouche
optique
, par exemple ? De recherches en train, par la m
existe pas de systèmes de fibres pre- nant naissance dans la couche
optique
et se terminant dans le tubercule quadrijumeau
e de l'orientation spéciale des ellipses d'élasticité dans la coupe
optique
. La coupe tranverse de la fibre myélinique appara
rieur ; f) le noyau rouge; c)le faisceau qui pénètre dans la couche
optique
, et notamment dans son article externe dont les c
bule lingual, dégénérescence du splenium, du tapetum et du faisceau
optique
à gauche et du tapetum à droite. Confirmation d
r recherche de la sensibilité osseuse, l'appareil porte un indice
optique
gradué permettant d'évaluer le temps de durée de
S DE L'HYPNOTISME ET DE L'HYSTÉRIE. 131 A propos des hallucinations
optiques
, Grasset constate avec tous les auteurs ayant é
us points comme l'oeil d'un sujet nor- mal : il obéit aux lois de l'
optique
. Et tandis que l'auteur cite des expériences où
llis et recouvrant une étendue à peu près double de celle du disque
optique
: au centre, un point rouge brun, à peu près ci
dans les cas d'embolie de l'artère centrale de la rétine. Les nerfs
optiques
sont atrophiés, de couleur grisâtre, et les vai
ffraient de grosses lésions de dégénérescence secondaire. ? Névrite
optique
. MM. 13J\tSSAUD et BRESEY rapportent l'histoire
SAUD et BRESEY rapportent l'histoire d'un malade atteint de névrite
optique
à marche rapide avec myélite aiguë ayant déterm
aspects tiennent à des lésions de la papille, de la rétine, du nerf
optique
Il nous a semblé utile de procéder à l'examen d
it lisses. C'est bien l'aspect du kyste de l'échinocoque. La couche
optique
et le corps strié sont comprimés; le 3e vcutricul
it, la perception des becs de gaz. L'anatomie montre que des fibres
optiques
peuvent subsister dans le nerf optique jusqu'à
tomie montre que des fibres optiques peuvent subsister dans le nerf
optique
jusqu'à trente-quatre ans après le début de l'a
ose extrêmement accusée. Du côté des yeux, léger nystagmus, névrite
optique
ancienne à droite. Troubles de la sen- sibitité
us, mais respectant les lobes lingual et fusiforme. Les bandelettes
optiques
les corps genouillés et les tubercules quadriju
s des [ ventricules latéraux; la surface ventriculaire de la couche
optique
} et le corps strié en étaient couverts. ! j Ar
es de la musculature externe de l'oeil et des altérations du nerf
optique
et du fond de l'oeil. Chez nos 227 malades, 38
1 ancienne irido-choroïdite et 2 fois des traces d'ancienne névrite
optique
. Sur les 22 lésions papillaires 16 étaient conc
; 2" Les noyaux caudé et lenticulaire étaient sains; 3- La couche
optique
gauche était atrophiée, et l'atrophie intéressait
inusité. Les tubercules mamil- laires étaient intacts. La radiation
optique
gauche était atrophiée, L'atrophie de la couche
a radiation optique gauche était atrophiée, L'atrophie de la couche
optique
était entièrement sous la dépendance de la lési
rescence des fibres provenant de l'écorce cérébrale et de la couche
optique
est survenue avant que la myélination fût com-
symptômes s'étaient aggravés ; elle présentait une atrophie du nerf
optique
à droite; à gauche une légère diminution de l'a
Bonhoffer', que le sujet plus prédisposé aux troubles sen- soriels
optiques
sera atteint de delirium tremens, tandis que l'
On sait que, chez un enfant né à terme, la gaine de myéline du nerf
optique
n'est pas aussi bien développée que chez un enfan
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 477 Î avancée dans le nerf
optique
de l'oeil qui a été exposé à la lumière. Cette
D'abord, il n'y avait ni céphalalgie, ni convulsions, et la névrite
optique
, dont l'autopsie a démontré la réalité, était dou
l'examen de l'oeil pratiqué par Félix Terrien a montré une névrite
optique
complète. En même temps le tabes a toujours pro
générescence pa- renclivmateiise de la moelle, par Rocktvrll, 46,
optique
, par Brissaud el Riesey, 174. Un cas de du pl
mp visuel, une des premières manifestations d'une atrophie du nei f
optique
au début. Est-ce par cette atrophie commençante
atie; postérieurement, il comprime et aplatit le chiasma et le nerf
optique
droit qui ont l'aspect d'une gelée verdâtre : l
nerf optique droit qui ont l'aspect d'une gelée verdâtre : le nerf
optique
gauche est intact ; l'anévrysme est rempli, sau
e intact. G. DENY. VIII. Amaurose permanente soudaine avec atrophie
optique
et épilepsie dans un cas de porencéphalie avec
ur de ce volume, don- nant lieu comme elle l'a fait à de la névrite
optique
, n'ait provoqué aucun autre symptôme (céphalalg
semble donc que cette malade il l'âge de 33 ans, ait eu une névrite
optique
dépendant d'une tu- meur intra-cranienne ne don
corps strié et les 190 PSYCHOLOGIE. régions voisines ; les lobes
optiques
, centre plus important, sont souvent à peine dé
oisements sont com- mandés par l'entrecroisement originel des voies
optiques
, nécessité lui-même par la présence d'un appare
paragraphe sur la phylogénèse).Mais,pour s'en tenir au seul chiasma
optique
, comment le duplicisme a- t-il pu négliger les
on visuelle de la profondeur. , 192 PSYCHOLOGIE. Mais les centres
optiques
et ceux qui président à des fonctions motrices
nce, chez les Amamaliens,de voies d'union de la moelle avec le toit
optique
, le cervelet, le corps strié, tantôt di- rectes
orps strié, tantôt di- rectes et tantôt croisées, avec des chiasmas
optiques
présentant toutes les proportions possibles de
oies de conduc- tion, aucun n'est si bien connu que celui des voies
optiques
, dans ses conditions physiologiques et dans son
s'ensuit pas qu'il faille admettre avec Cajal que l'entrecroisement
optique
a été la cause de tous les autres. Wundt fait à
r ce fait, par exemple, que,chez les Vertébrés inférieurs à chiasma
optique
complet, d'au- (l) La phylogenése el l'minlomic
iels. Il en est de même dans les territoires des nerfs olfactifs et
optiques
, où ces entrecroisements sont probablement liés
fférentes et efférentes ne traversent pas le plan médian, les voies
optiques
ne subissent non plus aucun entrecroisement. t.
effet que l'image rétinienne est portée intégralement par les voies
optiques
de la rétine au centre visuel, sans être dissoc
un aux deux yeux et ser- vant à la vision stéréoscopique, les voies
optiques
sont directes. Mais tous les animaux à vision s
es yeux. Elle impose naturellement le croisement complet des fibres
optiques
venues des moitiés in- ternes des deux rétines,
elles déjà trop longuement envisagées à propos des voies et centres
optiques
. Les sensations gustatives et olfactives unilat
cécité verbale, surdité verbale).... Il serait étonnant que l'image
optique
ou acoustique d'une lettre ou d'un mot fût loca
t eu à traiter comme question d'anato- mie et de physiologie : Nerf
optique
, anatomie et physiologie. -' Questions restées
ormale à la lumière et l'apparition pré- coce de l'atrophie du nerf
optique
,sont des symptômes favorables au point de vue d
de polynévrite associée peut-être à de la poliomyélite. Atrophie
optique
chez les hydrocéphales. Présentation de pièces
reuves écrites. Anatômic et physio- logie du système nerveux : Nerf
optique
(anatomie et physiolo- gie). Administration : D
ns. F. T. XXXII.- Le faisceau longitudinal inférieur et le faisceau
optique
central ; quelques considérations sur les fibre
lenticulaire, du corps genouillé externe, de la partie de la couche
optique
immédiatement attenante. Il le consi- dère donc
corticale). Ce faisceau, que l'auteur, propose d'appeler « faisceau
optique
central », apparaît ainsi comme une partie du f
qui encombrent son territoire. Dans la capsule interne le faisceau
optique
central, comme d'ailleurs les autres faisceaux
cine (1907), p. 447. Amaurose permanente soudaine avec atrophie
optique
et épi- lepsie dans un cas de poren- céphalie
o- tubérantielle ; par Souques et CI. Vincent, p. 440. Atrophie
optique
. Voir Ainiiii- rose, - optique chez les hydro-
et CI. Vincent, p. 440. Atrophie optique. Voir Ainiiii- rose, -
optique
chez les hydro- céphales : par Rochon-Duvi- g
ar Rayner, p. 1 15. Faisceau. Le longitudinal in- férieur et le
optique
central ; quelques considérations sur les fib
du service des alié- nés, p. 254. Hydrocéphales. Voir Atrophie
optique
. HVPOTROPIIIE d'origine bacil- laire ; troubl
n- vexité supérieure. Le corps calleux, le corps strié, la couche
optique
, ne présentent rien de particulier. Hémisphèr
es, est assez profonde. Le corps calleux, le corps strié, la couche
optique
, sont normaux. Cervelet. - Les hémisphères céré
térieure par un sillon transverse. Le ventricule latéral, la couche
optique
, le corps strié, la corne d'Ammon, le corps cal
upe tout le pédoncule, qu'elle s'étend en avant jusqu'à la couche
optique
et s'enfonce un peu en arrière dans la protubéran
botique. La pie-mère est blanchâtre, au niveau du chiasma des nerfs
optiques
. Ses veines sont remplies de sang frais. Les hé
rfs olfactifs sont ramollis, le droit plus que le gauche. Les nerfs
optiques
et ceux de la 3'' et de la 4e paire sont sains.
a corne d'Ammon, le ventricule latéral, le corps calleux, la couche
optique
, le corps strié, n'offrent rien de particulier.
d du coin. La corne d'Azzzmon, le ventricule latéral, la couche
optique
, le corps calleux sont normaux. Examen histolog
que le droit est d'un quart plus petit que le gauche. La bandelette
optique
droite est de moitié plus petite que la gauche.
(bourrelet) est comprise dans le kyste. Le corps strié, la couche
optique
, n'offrent rien de particulier. Le ventricule l
e kyste temporal. Le corps strié paraît normal, ainsi que la couche
optique
. Le ventricule latéral ne paraît pas en connexi
un peu atrophié; qu'enfin il y avait une atrophie de la bandelette
optique
droite. La multipli- cité des lésions, la forma
rieure gauche est un peu plus fortequeladroite.Les bande- lettes
optiques
, les tubercules mamillaires, les pédoncules cér
, à peu près lisse. La corne d'Ammon, le corps calleux, la couche
optique
, le corps strié ne présentent rien de particulier
a circonvolution du corps calleux, le ventricule latéral, la couche
optique
, n'offrent rien de particulier.-Les scissures d
de la circonvolution frontale. - Le ven- tricule latéral, la couche
optique
, le corps strié et la conie d'Ammon paraissent
développés et normaux. Le corps calleux, le corps strié, la couche
optique
et le ventri- cule latéral ne présentent rien d
e. il en est de même du corps calleux, du corps strié, de la couche
optique
et du ventricule latéral. BOURNEVILLE, 1886.
lcarine sont normaux. Le corps calleux, le corps strié et la couche
optique
, le ven- tricule latéral, la corne d'Ammon (des
consacrée à la représentation des 24 ENSEIGNEMENT. manifestations
optiques
à l'aide de la photographie, des photogra- phie
re, et même dans le cas de Zingerle il y a compression de la couche
optique
. Un symptôme seul, relevé par la majorité des a
traire, la surdi-cécité est caractérisée par une atrophie des nerfs
optiques
et acoustiques. Cette double moda- lité n'appar
, C, est petit. Le corps calleux, CC, le corps strié, CS, la couche
optique
, C0,'et le ventricule latéral n'ont rien à note
orbi- taire honzonial, passant par le centre de l'orbite et le trou
optique
, Op. - CC, plan du clivns. Ow, os wormiens. - l
ité dst'a ? axa : , il n'y a pas d'atllé- rome apparent- Les nei fs
optiques
apparaissent très atropines; leur coloration es
ous passerons successivement en revue chacun des éléments : le nerf
optique
présente une proli- fération très accusée de se
lérose déjà avancé; il n'est plus possible d'y distinguer de fibres
optiques
et il n'entre plus dans sa structure que quelqu
l'amaurose, mydriase, nystagmus, à l'ophtalmoscope, double névrite
optique
adémateuse en voie de régiession atropli- que e
VRirs (d'Amsterdam). La simple mémoire se développe dans la couche
optique
et dans le corps strié. La vue d'un objet et de
es particulières excite un cou- rant nerveux sur quelques fibrilles
optiques
, et ces courants arri- vent dans un nombre corr
lules de l'écorce du lobe temporal, etc. Mais les fibrilles du nerf
optique
sont interrompues dans leur voie vers le centre
leur voie vers le centre par des cellules des noyaux de la couche
optique
; de même les fibrilles du nerf acoustique,ont une
rvons un objet avec ses marques particulières plu- sieurs fibrilles
optiques
sont en action en recevant et conduisant un cou
squ'ici la même chose qui a eu lieu dans un des noyaux de la couche
optique
; mais ensuite nous tâtons l'objet, nous le goût
rentes altérations que subissent la rétine, la pa- pille et le nerf
optique
. La tétine présente des altérations diffuses pl
bondantes que les fibres ner- veuses ne sont plus visibles. Le nerf
optique
présente les mêmes altérations que la papille.
11.1VdL. XVII. Y a-t-il des voies centrifuges qui vont de la couche
optique
à la moelle ? par A. V.1LLE\I3ERG (Neurolog. Ce
ttent d'affirmer ce qui suit : 1° Les zones spinales de la couche
optique
, contiguës en dehors et en avant à la commissur
de la femme. à quelques faits d'atrophie du nerf auditif et du nerf
optique
. Seulement on ignore l'essence de la structure
ticulaire, la partie postérieure de la capsule interne et la couche
optique
, a constaté la dégénérescence d'un tractus de fib
ablement souffert. De plus. tandis que le noyau médian de la couche
optique
est intact, le noyau latéral contient un assez
s exercent une influence vasomotrice sur l'organe. 9° Les couches
optiques
exercent sur la rate une double influence vasomot
ent motrice.- 10° Dans la profondeur du tiers antérieurde la couche
optique
se trouve un centre sous-cortical de la rate. 1
période clonique. l'. KEMAVAL. XXSV11. Dégénérescence des couches
optiques
(noie préliminaire , par J.-B. IIL1CIII·'OItD.
l'autopsie, il existait une dégénérescence manifeste des couches
optiques
et des tubercules quadiijumeaux antérieurs, où le
e trouve probablement dans la différence de fonctions des couches
optiques
et des tubercules quadrijumeaux antérieurs. Si l'
ères seraient surtout des ganglions intercalaires entre les tractus
optiques
et le centre de la vision, on conçoit aisé- men
iste assez souvent un degré plus ou moins avancé d'atrophie du nerf
optique
; la diminution de la vision, et la réduction du
chez lui aucun autre symptôme de troubles nerveux sauf la névrite
optique
. R. de Musguave-Clay. XLI. Sur les rapports des
la voie acoustique centrale possède « un chiasma analogueau chiasma
optique
» (Charpy), c'est-à-dire qu'elle est en partie
ule paracentral. CC, corps calleux. CS, corps strie. CO, couche
optique
. CA, Corne d'Ammon. CH, Circonvolution de l'h
Wijnaenrits SI Le mécanisme de la -, par de Viies, 371. Couche
optique
. Voir Voies centre- fuges Dégénérescence des-,
, o34 Voies CE\TI11FUG1 : 1. l'-a-tnl des - qui vont de la couche
optique
a la inoelle ? par Wallenberg, 123. VULT\ISAT
lon opto-strié, il existe plusieurs nodosités scléreuses. La couche
optique
, le corps strié, la corne d'A 1111/10n et le ve
tites tumeurs blanches et dures, sur le sillon qui sépare la couche
optique
du corps strié ; elle envahit la partie antérie
gyrus rectus et deux sur Te Des deux côtés le ventiicule, la couche
optique
, le corps strié, la corne d'Ammon, le corps cal
la distance : fibres spéciales à grosse gaine de myéline du nerf
optique
, ganglion de l'habenula, centre bulbaire dilata-
opsie est plutôt due à une lésion sur un point quelconque des voies
optiques
, situé entre le chiasma et les centres corticau
de la région maculaire n'ont pas une marche spéciale dans les voies
optiques
où elles suivent la même distnbut on que celles
ux corps amyloides. Ramollissement de la surface des deux couches
optiques
, vascularisation excessive de la surface du cerve
des yeux; troubles dans le domaine du trijumeau ; atrophie du nerf
optique
; phénomènes de la paralysie bulbaire progressi
teux situé derrière le globe de l'oeil; le gliome a envahi -le nerf
optique
jusqu'au chiasma ; celui-ci pas plus que le res
ptique jusqu'au chiasma ; celui-ci pas plus que le reste du système
optique
situé au-dessus ne décèle ni asymétrie ni anoma
inégalité des pupilles avec réaction paresseuse, atrophie des nerfs
optiques
; alaxie faible mais nette, troubles vésicaux ; a
ule interne. Les corps transverses et perpendiculaires de la couche
optique
décèlent tout 11 fait en avant, au-dessus des g
chez lesquels sous l'in- fluence d'injections de calomel l'atrophie
optique
a cessé d'évoluer. Comme Winkler qui a publié d
métriques du côté opposé, dans la capsule interne et dans la couche
optique
du même côté, dans la lame médullaire externe d
170 SOCIÉTÉS SAVANTES. nérescences du côté opposé et dans la couche
optique
, la capsule interne, le corps genouillé, le pie
ment antérieur de la capsule interne du côté opposé, dans la couche
optique
(autour des noyaux antérieur et externe), dans
tour des noyaux antérieur et externe), dans une partie de la couche
optique
, située au-dessus du faisceau de Vicq d'Azyr, d
sitaires, cet isolement acoustique par ce qu'il appelle l'isolement
optique
, et dans quelles limites étroites il a recours
r, est-il possible d'obtenir, dans une certaine mesure, l'isolement
optique
: dans ce but on se sert, dans la salle de surv
laire commun gauche et parésie du même nerf du côté droit ; névrite
optique
surtout à droite ; paralysie du facial inférieur
scence des nerfs de la troisième paire, la dégénérescence des nerfs
optiques
, la destruction des noyaux rouges et celle des
un certain nombre de paravents qui servent à pratiquer l'isolement
optique
, à soustraire à la vue des autres pa- tients le
noircide Sümmeriug, du noyau rouge, de maintes- régions des couches
optiques
(pulvinar), etc., dont les zones de rayonnement
u longitudinal inférieur en contraste avec la clarté des radiations
optiques
de Gratiolet. Mais l'étude devient particulière-
, enfin un champ bleu foncé dont les fibres pénètrent dans le corps
optique
. A travers tout le pied du pédoncule on trouve
du ruban de Reil médian; elle fait défaut dans son segment sous-
optique
et pédonculaire supérieur; elle fait défaut dans
artie externe du pied du pédoncule aux confins de la région sous-
optique
, passent en avant du corps genouillé interne et p
s de la capsule externe, des lésions du noyau lenticu- de la couche
optique
, etc.) intéressaient toutes le segment rétro-le
plusieurs chez lesquels, malgré l'apparition de la lésion des nerfs
optiques
, le tabes avait continué à évoluer en donnant nai
ssion pittoresque de notre maitre Cliarcot, en détruisant les neifs
optiques
« le monstre s'était satisfait », mais parce qu
es, névrite REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 513
optique
). On croit à l'existence d'une tumeur cérébelleus
cles, de la physio- nomie, on trouve une grosse tumeur de la couche
optique
gauche qui, plantée dans la partie médiane de c
pression qui occupent la même place dans l'écorce et dans la couche
optique
. Chez les deux malades en question cette infirmit
rne occipitale du même ventricule. Sur la face interne de la couche
optique
, on ne trouve que trois petites plaques de la d
drilatère, de la largeur d'un doigt, située en partie sur la couche
optique
, en partie sur le plafond opposé il ce dernier
rait no- tamment sous sa dépendance le noyau externe de la couche
optique
droite, puisque ce noyau ne s'atrophie ni après l
de la zone visuelle devrait être considérée comme noyau purement
optique
. Les faisceaux de la couronne rayonnante et de la
bien constitué par la couche latérale du noyau externe de la couche
optique
, l'indé- pendance physiologique étant expérimen
conclusion sur la recti- tude do l'opinion qui considère la couche
optique
comme formée de plusieurs noyaux (Burdach, Luys
ation de nerfs périphériques contredisent à l'affirmative : le nerf
optique
, si souvent atteint dans le tabes du même ordre
livres sterlings) avait proposé pour sujet : Fonctions de la couche
optique
chez l'homme. Un seul mémoire a concouru ; le p
papille observé à la première période, à une inflammation du nerf
optique
. M. Rockwell rapporte une observation où, pendant
ls supposent donc de nouvelles connexions des noyaux avec les nerfs
optiques
et les centres cor- ticaux. Ce sont les tubercu
tement aplati et que sa largeur est au moins doublée. La bandelette
optique
de ce côté, dans sa moitié externe faisant suit
rait intacte à l'neil nu, il en est de même du chiasma et des nerfs
optiques
. « Sur le bord externe du pédoncule cérébral, d
est manifeste d'ailleurs, que cette insuffisance n'est pas de cause
optique
, car les yeux, au lieu d'être myopes sont hyper
le latéral une dépression profonde, jaunâtre et ramollie. La couche
optique
est saine. Les noyaux striés et la capsule sont
Ayres s'est d'abord adressé au système nerveux. La section du nerf
optique
et du trijumeau; l'excitation du mo- teur ocula
ond : ataxie des mem- bres supérieurs et inférieurs; double névrite
optique
; diplopic transitoire ; surdité ; il n'est pas
ns le bras correspondant. De la dégénérescence endothéliale du nerf
optique
, par M. (de Fribourg). Les préparations provien
ébrale légèrement trouble; nulle part de tubercules. Les deux nerfs
optiques
sont atteints : on y constate, dans le segment su
dans la gaine dure-ultrienne; elles occupent le voisinage des trous
optiques
, ainsi que leur côté supéro-interne. Tout cesse à
tte description prouve la connexion anatonto-patbolonique du nerf
optique
a\ec le tissu cellulaire de la base; elle montre
ire de la base; elle montre la dégénéres- cence descendante du nerf
optique
de par une affection' intra-cra- nienne, sous u
1881, à l'auteur du meilleur mémoire sur les fondions de la couche
optique
chez l'homme. Les conditions du concours sont l
t,dépuis, longtemp,s ? que certains, nerssjsensi- tifs, le). nerf,,
optique
, -.par ieyple,; ,sont, fréduen,ment altérés -ch
le est la torpeur cérébrale qui explique l'inexcitabilité des nerfs
optique
, acoustique, olfactif, et du sens du goût du mê
s'pyramida)es' 1 tis" pe es qu'ailleurs. 'Atrophie de la bandelette
optique
et'icgëi'e diminution" de volume du chiasma et
volume du chiasma et du tubercule mamillaire de ce côté. La couche
optique
gauche, contient, u il q Sayi Lé, iit,sli i;i ? 4
même où, par le même mécanisme, se formait le kyste de la couche
optique
. L'origine première devait en être imputée à un d
Olfactif (physiologie et pathologie du nerf), par Altllaus, 91.
Optique
(dégénérescence endothe- liale du nerf), 202.
pé- ciale leur est destinée, ainsi que le médian, le sciatique, l'
optique
nous enoffrentdesexemples. Lesartèress'épui- se
es rétinites et des hémorrhagies rétiniennes; 5° l'atrophie du nerf
optique
. Les quatre premiers n'existent pas chez notre
emiers n'existent pas chez notre malade. Quant à l'atrophie du nerf
optique
,- inutile de faire remarquer qu'elle est except
pêtrière, le 21 août 1890. 1 Jlartin Joannès. De l'atrophie du nerf
optique
et de sa valeur pro-, nostique dans la sclérose
la réaction pupillaire de l'hémianopsie. Atrophie partielle du nerf
optique
. Légère parésie spasmodique de l'extrémité inféri
intra-cérébrale. 2. Dans l'immense majorité des cas, il y a névrite
optique
de pupille étranglée; celle-ci est la plus fré-
mobiles et passagères. Quant à l'amblyopie et à l'atrophie du nerf
optique
dans le diabète, nous avons vu plus haut, à pro
hagies, tantôt à une atrophie simple, générale ou partielle du nerf
optique
ou de la rétine, tantôt à une atrophie avec iri
plus ou moins considérable du champ visuel et avec atrophie du nerf
optique
. Les auteurs signalent à peu près tous une atro
l'achromatopsie en somme de même nature que dans l'atrophie du nerf
optique
en général. » Pour Althaus « le renseignement l
pique... Mais on n'oubliera pas qu'au début de la maladie le disque
optique
n'offre pas la moindre altération pathologique
ète et de l'alcoolisme chronique. On distingue néanmoins l'atrophie
optique
du tabes de l'amblyopie de ces deux dernière ma
le, tandis que dans le diabète et l'alcoolisme chronique l'atrophie
optique
est toujours bilatérale d'emblée ». Et Dreyfous
nites, des hémorrbagies rétiniennes et peut-être l'atrophie du nerf
optique
. Or l'oeil tabé- tique se présente avec des lés
erminé avec précision. R. M. C. IX. NOTE SUR UNE atrophie DU nerf
OPTIQUE
QUI précède LES SYMP- TÔMES MENTAUX DE LA PARAL
ue lorsqu'on se trouve en présence d'une atrophie primitive du nerf
optique
, sans cause appréciable, et qu'à cette lésion s
occupant la partie la plus supérieure du noyau externe de la couche
optique
gauche; il s'était étendu en arrière jusque dan
e chaque côté de l'artère obturée et de la veine affaissée, le nerf
optique
est atrophié ; cette atrophie très marquée prend
est de même des granulations internes; la couche des fibres du nerf
optique
est très amincie; néanmoins, au voisinage de la p
ations toutes récentes. En revanche l'atrophie si prononcée du nerf
optique
tient à l'obstruction par thrombose des petits
fonctionnel, étude de la surdité verbale (para- lysie avec aphasie
optique
, hémianopsie droite (Obs. I). Aucun de ces trou
emporales; suppression du mélange des images commémoratives d'ordre
optique
(lobe occipital) avec les images coordonnées d'ar
ous le nom de globzzs pallidus. Après avoir traité des irradiations
optiques
de la capsule interne vers l'écorce et des irra
silaire/remplies d'échinocoques. Foyer hémorrhagique dans la couche
optique
droite avec irruption dans le ventricule. Il es
hémisphères, décrite par Friedmann, et les altérations de la couche
optique
consécutives aux attaques congestives (Lissauer
E, corps étranger de 1' -, par Courtenay, 224; Buttemberg, 438.
Optique
, atrophie du nerf -, par Wiglesworth, 219. PA
très-étroit dans ses deux tiers antérieurs. Corps calleux, couche
optique
, corps strié, corne d'Am- mon, ventricules laté
latéraux. L'aqueduc des Sylvius a son diamètre normal. Les nerfs
optiques
offrent à la coupe une coloration grisâtre et une
s ne sont nullement lésés (Fig. 3). L'examen histologique du nerf
optique
démontre l'existence Bourneville, Bicêtre, 1890
ssement très marqué des tractus conjonctifs qui cloisonnent le nerf
optique
. La gaine de myéline des fibres nerveuses a dis
le que dans le 1/3 postérieur du nerf opti- que. Les gaines du nerf
optique
ont leur épaisseur et leur structure normales.
- trie des nerfs et muscles oculo-moteurs des deux côtés. Le nerf
optique
ne présente pas de lésion de ses gaines ou des
té. Le corps strié, jaunâtre, parait également atrophié : la couche
optique
, le ventricule latéral, etc, n'ont rien de part
elle est plus développée qu'à gauche. Le corps calleux, la couche
optique
sont semblables à ceux de gauche. - Le lobule d
ifférentes parties de la base du crâne, artères, nerfs olfactifs et
optiques
, tubercules mamil- laires, etc., sont symétriqu
Encéphale : 750 grammes. Artères de la base, chiasma, bandelettes
optiques
, tubercules mamillaires, pédoncules, protubéran
latéral n'est nulle- ment dilaté ; il est plutôt étroit. La couche
optique
et le corps strié paraissent réguliers. Hémis
la corne d'Ammon, forme une masse arron- die, uniforme. La couche
optique
semble assez régulière. La cloison cache en gra
f au niveau de l'origine du nerf olfactif droit. Nerfs olfactifs et
optiques
égaux. Bandelette optique gauche plus petite qu
nerf olfactif droit. Nerfs olfactifs et optiques égaux. Bandelette
optique
gauche plus petite que la droite. Tubercule man
a membrane se trouve une autre par- tie du corps strié et la couche
optique
. Celte membrane laisse entre elle et les masses
Un pli de passage l'empêche de communiquer, en arrière de la couche
optique
, avec le sillon qui sépare la circonvolution de
la lit temporale qui est irrégulière. z Le corps strié et la couche
optique
paraissent sains, normaux. - Le ventricule laté
eux ; trigone cérébral. Cerveau intermédiaire (vésicule des couches
optiques
) : tubercules mamillaires ; infundibulum ; substa
. —2, Coupe de la commissure cérébrale antérieure. — 3, Coupe du nerf
optique
. — 4, Glande pituitaire. —¦ 4', Tige pituitaire o
. — 10, Fente de Bicbat. — 11, Tubercules quadrijumeaux. — 12, Coucbe
optique
. — 13, Coupe d'un pédoncule cérébral. — 13", Coup
donner telle qu'elle est admise généralement. M. D. T. II. Le nerf
optique
est le nerf spécial de la vision, il se termine d
t le nerf spécial de la vision, il se termine dans la rétine. Le nerf
optique
d'un coté se réunit à celui du côté opposé dans l
d'un coté se réunit à celui du côté opposé dans le chiasma des nerfs
optiques
. Depuis son origine jusqu'au chiasma il a la form
ne jusqu'au chiasma il a la forme d'une bandelette appelée bandelette
optique
. III. Le moteur oculaire commun (troisième pair
interne et se termine à la partie externe et antérieure delà couche
optique
. - . Enfin l'artère cérébrale postérieure envoi
ptique. - . Enfin l'artère cérébrale postérieure envoie à la couche
optique
plusieurs branches : ' Les artères optiques i
ure envoie à la couche optique plusieurs branches : ' Les artères
optiques
inférieures; L'artère optique postérieure et in
usieurs branches : ' Les artères optiques inférieures; L'artère
optique
postérieure et interne; L'artère optique postér
es inférieures; L'artère optique postérieure et interne; L'artère
optique
postérieure et externe. De l'origine même de ce
'partie moyenne nous sommes perpendiculaires aux artères striées et
optiques
, per- pendiculaires par conséquent à l'axe des
entraux, c'est-à-dire les segments du noyau lenticulaire, la couche
optique
ou le noyau caudé. Elles se limitent parfois à
existait certainement dans les points d'élection. C'est la couche
optique
qui est ensuite préférée par les lacunes, 35 fois
e lacune qui a pris naissance dans le noyau lenticulaire, la couche
optique
on le noyau caudé. Elle est alors atteinte par
Donc que la lacune siège dans le noyau lenticulaire, dans la couche
optique
ou dans la capsule interne, même réaction sympt
n'y a aucune lésion ni tumeur des pé- doncules cérébraux ni du nerf
optique
. La protubérance coupée transversalement ne mon
aplanie, mais à concavité ouverte en haut.Les deux axes des canaux
optiques
prolongés en dedans se rejoignent selon un angl
rudimentaire comme volume et semble encore peu différencié. Le nerf
optique
et les muscles ne présentent aucune particula-
ontal est fibreuse, et se continue avec le périoste voisin. Le nerf
optique
existe et se voit sur la base du crâne. Après a
ntal non ossifié) nous avons trouvé une petite masse formée du nerf
optique
, de muscles assez nettement isolables après dis
corps pituitaire et sa tige, les tubercules mamillaires, le chiasma
optique
, les espaces perforés, les pédoncules céré- bra
rcissement de l'encéphale, nous ne voyons en aucun point le chiasma
optique
qui nous eût été un précieux guide pour nous or
incontestablement puisque nous avons isolé les yeux avec leur nerf
optique
. Sur la segmentation périphérique du cerveau, n
es qu'on appelle dans leur ensemble faisceau sensitif ou radiations
optiques
) (PI. XXXIV, fig. C, D), elles sont considérablem
ehors par le faisceau occipital vertical. Le tapetum et le faisceau
optique
proprement dit ont complètement disparu. La col
fente elle même, le tapetum et les deux faisceaux de la (1 radiation
optique
» sont d'une extrême mtncem. Nouvelle Iconogr
ns appelée lame festonnée ; enfin qu'elle n'atteint ni la radiation
optique
, ni le faisceau longitudinal inférieur de l'hémis
ur conséquence la dégénération du tapetum gauche et de la radiation
optique
gauche, et la dégénération du tapetum du côté d
s d'association représentées par le faisceau externe des radiations
optiques
ou faisceau longitudinal inférieur. HALLUCINATI
ère. Diminution considérable de l'acuité visuelle ; double atrophie
optique
tabétique. Mort en 1902. Examen ANATOMIQUE.- On
à angle droit les fascicules des fibres rayon- nantes de la couche
optique
. Ces amas dépendent de la portion antérieure (i
de la portion antérieure (inférieure) du noyau externe de la couche
optique
, dans laquelle une partie des fibres dégénérées
périeurs), du trijumeau (face) et destinées aux noyaux de la couche
optique
(PI. LVI, LV, fig. I, J, K, L, M). Le ruban de
rtout formée par de la substance grise et englobant les bandelettes
optiques
et la troisième paire ; les autres nerfs de la
ôtés de laquelle se trouve une petite gouttière, qui reçoit le nerf
optique
. Les deux tractus du nerf optique et le chiasma
ite gouttière, qui reçoit le nerf optique. Les deux tractus du nerf
optique
et le chiasma sont couverts et aplatis par la tum
inflammation. Ni atrophie, ni dégénérescence graisseuse des nerfs
optiques
. Articulations. Arthrite déformante des grand
sent égales. - Les nerfs olfactifs sont égaux. Le chiasma, lesnerfs
optiques
, les fandeletlesoptiqzces, les tubercules 1Jill
cir- convolutions ainsi qu'une partie du centre ovale. La couche
optique
et le corps strié sont un peu moins volumineux qu
e de l'hémis- phère. En dedans, le pseudo-kyste longe la bandelette
optique
droite, le pédoncule cérébral qu'il contourne,
corne d'Ammon normaux. - Corps calleux, pédoncule cérébral, couche
optique
, corps strié, bien développés, normaux. Les c
ovale, en disséquant la face externe du corps strié et de la couche
optique
. Il a touché la tête du corps strié et séparé l
imètre et demi en arrière de la précédente et intéressant la couche
optique
à son origine, fait voir que le noyau extra-ven
0 grammes. Les hémisphères cérébraux ont le môme poids. Les nerfs
optiques
paraissent égaux, mais la bandelette optique ga
môme poids. Les nerfs optiques paraissent égaux, mais la bandelette
optique
gauche est plus petite que la droite. Le tuberc
e un peu plus sur la droite ; elle laisse entre elle et la couche
optique
un espace de 5 millimètres : cette tumeur n'est
bitaire très plissé, sauflogyrus qui est uni. - Corps strié, couche
optique
et corps calleux, rien departi- culier. Hémis
utions de l'hippocampe, la corne d'Ammon, le corps strié, la couche
optique
et le corps calleux, le lobe orbitaire ne prése
du corps calleux. 0, Corps calleux. CS, Corps strié. CO, Couche
optique
. CH, Circonvolution de l'hippocampe. Ti, Quat
ré. LC, Coin. LO, Lobe occipital. CS, Corps strié. CO, Couche
optique
. CH, Circonvolution de l'hippocampe. Cette pl
du côté droit est notablement plus petit que le gauche. Les couches
optiques
paraissent à peu près d'égale dimension. 188 EX
ndante. - CC, corps calleux. - VL, Ventricule latéral. - CO, Couche
optique
. - NV, Noyau intra-ventriculaire du corps strié
téral. NV, Noyau intra-ventri- culaire du corps strié. - CO, Couche
optique
. - NE, Noyau extraventriculaire du corps strié.
point le plus frappant de l'observation qui suit. La lésion du nerf
optique
, qui constitue avec la déformation crânienne le
dée d'oedème de la papille. Cette atrophie ne dépend pas des canaux
optiques
, dont le diamètre est normal ; ce n'est que dan
e que leur rétrécissement ne soit pas alors secondaire à l'atrophie
optique
. Du côté du crâne, l'un des signes de pression
u'on a proposés (ponction des ventricules, opération sur les canaux
optiques
), le plus indiqué est la trépanation décompress
se considérable, vision = 1 ; oeil gauche, atrophie blanche du nerf
optique
très avancée, vision z1/10. En avril 1907 : oei
général et électrisation galvanique ; à l'oeil gauche, l'atro- phie
optique
continue à progresser, et la vision est nulle en
fection bien plus ancienne, l'oxycéphalie. Outre l'atrophie du nerf
optique
, ces signes oculaires indiquent qu'il s'agit d'
s petit que le gauche. L'artère vertébrale, le trijumeau et le nerf
optique
sont au contraire plus petits à gauche qu'à droit
lus petits à gauche qu'à droite. La différence entre les deux nerfs
optiques
est très prononcée (droite, 4 mm. 25 ; gauche,
nte rien de particulier au point de vue histologique. ' Les nerfs
optiques
ont été coupés dans le sens transversal en arrièr
gaine est épaissie. Sur les coupes transversales on voit que le nerf
optique
droit est envahi par une grosse cloison de tiss
ôté les faisceaux nerveux sont raréfiés et en par- tie dégénérés. L'
optique
gauche présente une dégénérescence beaucoup plus
bution des impressions digitées; elle expliquerait aussi la névrite
optique
, celle-ci pouvant être due simplement à la pres
phère gauche qu'il faut attribuer la différence de volume des nerfs
optique
et trijumeau, qui y sont beaucoup plus petits q
es questions restent ouvertes. CONCLUSIONS. 4° L'atrophie du nerf
optique
n'est pas la conséquence d'un canal osseux trop
anatomiquement prédominent dans les régi6ns'vënt)'a)ës des couches
optiques
, dans les corps striés ; hyperémiè c'o'nsidérablê
voies cérébelleuses et'pyramidales, les noyaux rouges', les Couches
optiques
et les corps striés ont dans les coupes, d'aprè
à la région sous-thalami- que (corps de Luys) (3). Dans les couches
optiques
,' des processus d'invo- lution sont constatés à
n des faits suivants : L'excitation des corps striés et des couches
optiques
provoque des trou- bles d'ordre vasomoteur. D'a
atro- phies des corps striés et de la région à la base des couches
optiques
(sur- tout des corps de Luys), nous concluons q
du voile du palais. Depuis, développement de tabes et d'une névrite
optique
. , DE LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU MERCURIELL
ique : Hémorragie sous-arachnoïdienne de la région de la bandelette
optique
droite. E. R..., domestique, 34 ans, entrée à l
postérieure droite, ainsi que la partie antérieure de la bandelette
optique
droite. Le nerf moteur ocu- laire commun est au
r. Là, on a vu l'hémorragie continuer à la surface de la bandelette
optique
droite, et quand celle-ci a été spécialement exam
morragie ne paraissait pas avoir dépassé la région de la bandelette
optique
droite, pour s'étendre dans les autres parties
MÉNINGÉES 321 L'importante infiltration de sang dans la bandelette
optique
droite expli- que suffisamment l'hémianopsie du
qu'elle dépendait de la pression du sang épanché sur la bandelette
optique
. Dans mon cas I, une telle origine de l'hémiano
tend pas au delà d'une ligne rasant le bord postérieur de la couche
optique
. Elle respecte entièrement, à ce niveau, les couc
elles. Iris normaux. Milieux éclairables. Fond d'oeil : atrophie
optique
bilatérale plus accentuée à droite. Acuité visu
s. Pas d'adiposité. Céphalée. Hémianopsie bitemporale avec atrophie
optique
. 76 SOUQUES ET STEPIIEN CHAUVET II. Cas CLINI
t d'un tératome. Cas de Zôllner. Femme d'aspect infantile. Atrophie
optique
bilatérale. Autopsie : Carcinome du lobe antéri
rière, 1907, p. 238. ' CusniNS. Infantilisme sexuel avec atrophie
optique
due à une tumeur de l'hypophyse. Journ. of. ner
q mois après, démarche titubante et ébrieuse. Etat actuel.- Névrite
optique
gauche (1). Le fond de l'oeil droit est impossibl
s des quatre derniers mois, assez lentement. Etat actuel. - Névrite
optique
bilatérale. Le fond de l'oeil présente de mul-
présentait rien d'anormal, on se trouvait en présence d'une névrite
optique
. Dans tous (1) Notre travail étant déjà fini, n
rsale d'une intensité différente, nous avions affaire à une névrite
optique
très marquée. Ainsi nous ne trouvons pas de rel
malade, le viti- ligo coexistait avec une double atrophie des'nerfs
optiques
. Deux malades ne présentaient pas de troubles d
pour se rappeler le mot, mais elle ne se trompe jamais. Ni aphasie
optique
, ni cécité psychique. - Elle lit bien l'heure sur
e pour les mots tout à fait usuels. Ni cécité psychique, ni aphasie
optique
. Dénomination et reconnais- sance des objets pa
ait complètement défaut. 340 DEJERINE ET ANDRE-THOMAS ' La couche
optique
est extrêmement réduite dans les plans supérieurs
ie extrême du thalamus dans sa partie la plus supérieure. La couche
optique
est non seulement réduite dans tous ses diamètres
uction totale du noyau lenticulaire. - Tout le reste de la couche
optique
est normal, on n'y observe qu'un cer- tain degr
pas spontanément les images auditives verbales. Elle n'a ni aphasie
optique
ni cécité psychique. 348 DEJERINE ET ANDRÉ-THOM
de la cavité (PI. L, B). Au niveau'du tiers supérieur de la couche
optique
et du noyau lenticulaire, le faisceau longitudi
u segment postérieur de la capsule interne. - Atrophie de la couche
optique
. le,(;. B. - Coupe horizontale de l'hémisphère
RVEAU ET DES MÉNINGES Hémisphère droit. t, tuherculome de la couche
optique
. ? tuberculomes des lobes occipitaux. (G. Ralsz
en faisant une pression un peu plus forte, on énuclée de la couche
optique
, dans laquelle elle était logée, une masse arro
x ou trois dont un aussi volumineux que celui trouvé dans la couche
optique
) au niveau de la fron- tale ascendante, au vois
on dans la lésion des lobes occipitaux et à la rigueur de la couche
optique
, il n'en reste pas moins que nous n'avions pas
upant tout l'espace compris entre celte circonvolution et la couche
optique
. En avant cepen- dant de celle-ci'se voit une m
Déformation de la voûte crânienne, exophtalmie, atrophie des nerfs
optiques
, pouvant se compliquer de fai- blesse intellect
hberg(16) accusa la méningite concomi- tante de produire la névrite
optique
, Schüller (10) publia de nouveaux cas, Ponfick
sement du canal osseux, Mantz (12) incrimina l'étranglement du nerf
optique
lui-même, Friedenwald (14) donna le principal rôl
ucune autre lésion de l'appareil oculaire, vision, pupilles et nerf
optique
normaux. Examen du Dr Labarrière : L'otoscopie
as de syndrome oxycéphalique incomplet (absence de lésion des nerfs
optiques
) avec idiotie dans les deux cas. L'existence de
893. (15) BOUIiNEVILLÛ, Oxyl1'igallocéphalia, épilepsie et atrophie
optique
, Comptes rendus de Bicêtre, 1895. (16) WEBER,
aphie de la Salpêtrière, 1908. (26) MxvLzeER,'Palhog. de l'atrophie
optique
et du ThU1'mshoedel, Neur. Centralblalt juin 19
ment bilatéral et symétrique du lobe frontal, accompagné de névrite
optique
; par ZACHER. (iyeu- rolog. Centrulbl., XX, 1901
est tout aussi intéressant. L'étude anatomique indique une névrite
optique
compliquée de nombreuses hémorra- gies dans la
her aux foyers de ramollissement; il n'existe pas -' ici de névrite
optique
descendante, et rien n'est en faveur d'une infe
eur d'une infection. Rien non plus ne permet d'admettre une névrite
optique
vraie. Il y avait donc en l'espèce simple coïnc
mple coïncidence de foyers de ramollissement frontaux et de névrite
optique
bilatérale compli- quée d'hémorragies. La céc
sie montra qu'il n'en était rien, qu'il s'agissait d'une névrite
optique
qui avait occasionné l'erreur de diagnostic en qu
s exemples d'affection cérébrale ou spinale compliqués de névrite
optique
, dans lesquels on n'a pu constater à la genèse de
ptique, dans lesquels on n'a pu constater à la genèse de la névrite
optique
de cause plausible, infectieuse ou autre; on en t
é- Fin. 7. 88 CLINIQUE NERVEUSE. rieure n'atteint pas la couche
optique
, son extrémité supérieure se trouve à la hauteu
la ligne médiane. Nous signalerons en outre l'absence de névrite
optique
oedémateuse, qui nous avait empêché de porter un
le lobe occipital, d'autres fois c'était le corps strié, la couche
optique
, enfin le cervelet et ' Etude sur le Nystagmus,
duisent : i° impression sur la rétine ; 2° transmission par le nerf
optique
; 30 perception par l'encéphale. On dit parfois
et arbre se fait sur ma rétine ; 2° elle est transmise par le. nerf
optique
à mon cerveau ; 30 mon cerveau la perçoit. Cons
'image d'un diable ; 20 cette image part du cerveau et suit le nerf
optique
; 1° elle s'étale sur la rétine et je vois sur
ble, n'a pas continué sa marche à l'extérieur en traversant le nerf
optique
, en s'étalant sur la rétine et enfin en se proj
on est le même, le son remplaçant l'image, le nerf auditif, le nerf
optique
, les couches auditives, les couches optiques.
e nerf auditif, le nerf optique, les couches auditives, les couches
optiques
. Ce sont ces hallucinations que Baillarger décr
stématiques, intéressant : le la réline; 2° la papille : 3° le nerf
optique
. Ces nécropsies ont été pratiquées quinze jours
i, un épaississement variable de leur tunique externe. 3° Le nerf
optique
enfin était le siège d'une prolifération plus o
résumé, l'infiltration des éléments nobles de la papille et du nerf
optique
par du tissu conjonctif et névroglique prolifér
lte, les seuls symptômes avaient consisté en céphalées avec névrite
optique
et amaurose ne permettant aucune localisa- tion
e le croyait irréparable, un oculiste lui ayant affirmé que le nerf
optique
était atrophié. L'auteur n'eut pas de peine à s
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de mettre en doute l'atrophie du nerf
optique
, et, d'autre part, le réflexe lumineux était co
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 505 celle-ci non constante. Pas de névrite
optique
. Ces symptômes paraissent s'être manifestés sou
us avantageusement à la lésion subie. G. D. XLV. Tumeur du thalamus
optique
; par 1111CIIeL-CL.i;FE. (l3rit. met/. Journal,
es, et Letschenow avance que la lésion se trouve dans les couches
optiques
. Clouston a publié deux cas de folie choréique ét
llissement bila- téral et symétrique du , accom- pagné de névrite
optique
, 60. - Main de prédicateur. Voir Syringo- nzy
torze ans, 399. Mimique faciale. De l'asymétrie de la d'origine
optique
en patho- logie nerveuse, par Lannois et Paut
eurasthénie et états neurasthéni- ques, par Ducosté, 3S1. XËvnn'E
optique
; Voir Lobe frontal. hypertrophique; Préparation
uMEuncerebpUeuse et épilepsie. par Marchand, 141. - du thala- mus
optique
, par 3lichel Claike, 505. URAVISTE. La situat
us l'influence de la dilatation des ventricules latéraux, les neifs
optiques
se sont montrés très amincis. Secrétaires des s
ent certainement, nous l'avons montré ailleurs, sur des impressions
optiques
, tactiles, olfac- tives, etc., associées en rep
brés inférieurs, les termi- naisons du nerf olfactif. Les faisceaux
optiques
s'irradièrent ensuite, chez les oiseaux, à ces
l est probable que la tumeur siège au niveau du chiasma des nerfs
optiques
; la névrite optique qui a été constatée plaide e
a tumeur siège au niveau du chiasma des nerfs optiques ; la névrite
optique
qui a été constatée plaide en faveur de cette l
s possèdent manifestement des relations directes avec les fonctions
optiques
des hémisphères et doivent être pris en considé
us ses mouvements, nécessaires à l'écriture, de même que les images
optiques
de toutes les configurations des lettres, sont so
évralgie ophtalmique ou d'une migraine. P. XVII. Lésions de chiasma
optique
, avec la relation de trois cas cliniques ; par
ue quelques-unes des statistiques faites sur les lésions du chiasma
optique
. Il en conclut que les lésions du chiasma peuve
rit, qui produit graduellement une atrophie complète des deux nerfs
optiques
sans symptômes cérébraux concomittants. Dans le
vision. Il y a destruction progressive et permanente des deux nerfs
optiques
. XVIII. Automatisme ambulatoire épileptique ; p
e rapportent l'observation d'une femme ayant présenté de la névrite
optique
oedémateuse, des céphalées et dés vomissements,
de côté beaucoup des problèmes mathématiques et physiologiques de l'
optique
, il expose clairement et simplement les notions
généraux : 1° Céphalalgie ; 2° Modification de la papille du nerf
optique
de l'oeil droit. B. Phénomènes de lésions en foye
ion du tabes en « forme spinale » et « forme cérébrale » ou « forme
optique
». Dans la « forme optique » du tabes, on voit a
inale » et « forme cérébrale » ou « forme optique». Dans la « forme
optique
» du tabes, on voit apparaitre, au début, sans
et la thérapeutique. Puis l'atrophie s'empare graduellement du nerf
optique
. La pupille prend une teinte gris verdàtre nett
s du fond de l'oeil, comme une décoloration gris verdâtre du disque
optique
, des dépressions peu profondes mais larges de l
ésiée n'existait pas chez ce sujet. P. XXXIII. Valeur des symptômes
optiques
et auditifs dans les tumeurs du cerveau; par Wi
R. (Journal of nervous and Mental Desease, août 1900.) La névrité
optique
vient par rang d'importance symptomatique imméd
dité réflexe des pupilles ; et dans 50 p. 100 de l'atrophie du nerf
optique
. Dans 6 cas sur 10, on a noté la coexistence de
- à gauche du champ visuel de bas en haut). On trouve une névrite
optique
double, plus-accusée à gauche. Quand l'auteur l'e
athétoïdes des muscles de la bouche et des orteils et de l'atrophie
optique
post-névritique. L'observation du malade dont il
mémoire qui reçoit l'impression totale est situé dans les couches
optiques
; 5° enfin l'impression totale étant amenée au ce
des muscles de la face ne s'est pas améliorée. L'atrophie du nerf
optique
est très avancée, et la vision du côté malade est
lepsie, et tout à fait dernière- ment, de l'atrophie simple du nerf
optique
. Les cas sont peu nom- breux, mais les résultat
rieurs constitue dans le cas de glaucome, d'atrophie simple du nerf
optique
, de maladie de Basedow, et peut-être après tout
ction du pneumogastrique, par Ladame, 127. Chiasma. Lésions du -
optique
, par Leszmshy, 141. Circonvolution. Angiome d
qu'elle n'est liée à aucune altération du globe oculaire et du nerf
optique
et n'est pas associée à une paralysie de la trois
visuel et de la vision centrale dans l'atrophie tabétique des nerfs
optiques
. J'ai fait avec J. Chaillous une étude sur ce s
TABES 93 « i° Il n'existe pas, dans l'atrophie tabétique du nerf
optique
, une forme de rétrécissement du champ visuel pa
que. » DES PSEUDO-TABES A. Sur une forme de pseudo-tabes (Névrite
optique
rétro- bulbaire infectieuse et troubles dans le
state, ce qui n'a jamais été noté dans l'atrophie tabétique du nerf
optique
, une acuité visuelle normale et une absence de
buant à établir l'action curative de la rachicentèse sur la névrite
optique
due à un épanchement intra-crânien post-traumatiq
ression rapide de la stase papillaire. Mais dans les cas de névrite
optique
consécutive à une tumeur, la ponction lombaire
terminer dans le noyau externe et dans le noyau médian de la couche
optique
. Enfin, et c'est là le point le plus important,
organes génitaux (Icl.). 62. Sur une forme de pseudo-tabes. Névrite
optique
rétrobulbaire infectieuse et troubles dans les
lit¡. Du traitement mercuriel dans la sclérose tabétique des nerfs
optiques
(Id.). G5. Tabès avec cécité (Xlllc Congrès i
visuel et de la vision centrale dans l'atrophie tabétique'des nerfs
optiques
(en collaboration avec Chaillous. Comptes rendus
visuel et de la vision centrale dans l'atrophie tabétique des nerfs
optiques
92 Cytodiagnostic g3 Ostéopathies, Arthropath
es...................... 100 Sur une forme de pseudo-tabes (Névrite
optique
rétrobulbaire infectieuse et troubles dans les
vec démarche incertaine, titubante, de l'atrophie partielle du nerf
optique
. du nystagmus. A côté de ces signes qui rendaie
ten- tionnel, nystagmus, rires forcés et atrophie partielle du nerf
optique
) se trou- vait dans la même salle qu'une autre
aLeuses; l'une était siluée dans la partie postérieure de la couche
optique
droite; l'autre avait envahi la presque totalité
tique droite; l'autre avait envahi la presque totalité de la couche
optique
du côté gauche. TRAITEMENT M. Nothnagcl, M. L
ésie de la portion sen- sitive du trijumeau, une atrophie des nerfs
optiques
, de violentes céphalées, des signes d'ataxie et
. A l'examen du cerveau, nerfs olfactifs normaux; chiasma des nerfs
optiques
uniformément gris, mais de consistance très fer
uniformément gris, mais de consistance très ferme, les bandelettes
optiques
ont par places des traînées d'un blanc brillant
roéminents, complètement immobiles, légère divergence des deux axes
optiques
; insensibilité complète à la lumière, perte des
noyaux, du nerf hypoglosse et de son noyau, à gauche. Dans le nerf
optique
, les fibres nerveuses étaient intactes ; à la pér
lisée aux étages supérieurs des pédoncules cérébraux et aux couches
optiques
ainsi qu'au plancher du quatrième ventricule et a
qu'elle enveloppe complètement, de la partie postérieure du chiasma
optique
, c'est-à-dire du corps pituitaire et de la lame
n voit se dessiner en blanc à sa place ordinaire. Enfin les couches
optiques
tout entières présentent la même altération. De
. Des coupes microscopiques faites sur la face interne de la couche
optique
aussitôt après l'autopsie, ont permis de reconnaî
euse). Rien d'anormal ne se fait remarquer à la surface des couches
optiques
. (Dans notre cas, la commissure grise ou n'exis
ntricule.) , On fit une section frontale à travers les deux couches
optiques
, à peu près /au milieu; on put voir alors que s
tits points rouges. Cette bande suivait le bord interne des couches
optiques
à environ 4 à 5 millimètres de profondeuret était
ERNE. 2G7 tance les rétines ne furent pas examinées; mais les nerfs
optiques
, demème que les bandelettes optiques, furent re
pas examinées; mais les nerfs optiques, demème que les bandelettes
optiques
, furent reconnus normaux, tant à l'examen macro
minant les coupes frontales faites de la partie moyenne des couches
optiques
, on put constater que leurs vaisseaux sanguins
gorgeaient de sang; en outre le ) long du bord interne de la couche
optique
tourné vers le troisième ventricule, à 4 millim
andes étroites et exclusivement le long du bord interne des couches
optiques
et ne pénétraient pas à l'intérieur de celles-c
ulle part trace de ces épanchements sanguins. Dans les deux couches
optiques
, ces hémorrhagies étaient distribuées d'une maniè
us en avant, ces hémorrhagies suivaient le bord interne des couches
optiques
, atteignaient en diminuant d'importance et de n
contraient dans la même région de la partie postérieure des couches
optiques
et allaient sans interruption jusqu'à l'aqueduc
évrose. Il est des symp- tômes, tels que l'induration grise du nerf
optique
, les arthropathies déformantes, le signe d'Argy
nution de l'amblyopie qui était accompagnée d'une atrophie du nerf
optique
et une amélioration de la parésie des nerfs moteu
ation de la vue dans quatre cas où il existait une atrophie du nerf
optique
. Dertiliard (41) signale un cas où la vision do
1 2 PATHOLOGIE NERVEUSE. du regard ci gauche et en haut. Névrite
optique
. Surdité complète ci gauche, très marquée à dro
cuité normale. A l'examen ophtalmoscopique, on constate une névrite
optique
des deux yeux et en outre à droite, des traces
plaçant dans les mouvements de l'ceil. b) Image renversée : Névrite
optique
. Papille volumineuse, blanche, à contours très
a des rebords très flou. Elle est nettement le siège d'une névrite
optique
caractérisée par le même aspect ophtalmoscopique
ent dans la liqueur de Millier. Voici les résultats obtenus : Nerfs
optiques
. A l'oeil nu, aspect grêle ; histologiquement é
e titubante, raide, avec attitudes forcées, amblyo- pie par névrite
optique
double. M. Brissaud .diagnostiqua une tumeur «
ant par des hallucinations de l'ouïe, et par l'irritation des voies
optiques
, point de départ des sensasions lumineuses, se
esse continuelle, un épuisement passager et de peu de durée du nerf
optique
, cet épuisement s'exprime dans une modification
a cavité centrale. Outre cela de petites hémorragies dans la couche
optique
elle corps géniculé interne. D'après l'avis du
s spinale ; 3° des racines posté- rieures grisâtres; 4° une névrite
optique
atrophique bilaté- rale ; 5° les nerfs oculomot
p. 408) : 1° sclérose des cordons postérieurs; 2° atrophie du nerf
optique
gauche; 3° vaisseaux de la base du cerveau atbé
diverses lésions. On sait depuis longtemps que la lésion du nerf
optique
peut se trouver chez [un tabétique dorso-lom- b
non déviée ; réflexe patellaire nul ; démarche chancelante. Névrite
optique
double. Autopsie : tumeur sphéroïde de pouces 1 /
ralgésie il la percussion frontale ou de toute la tête ; 2° névrite
optique
simple ou double et presque toujours inégalemen
ie, irréductibles, méritent les noms de : motrice ou sen- sorielle (
optique
ou acoustique) et peuvent être désignées par les
erminales de l'artère basilaire servent à alimenter - les appareils
optiques
de l'encéphale et, en particulier, la pointe 23
quadrijumeaux supérieurs par l'artère profonde du cerveau, l'artère
optique
interne postérieure, l'artère pédiculo- géminée
nsi : la L'artère cérébrale postérieure alimente l'appareil central
optique
et oculomoteur du même côté; ses terminaisons p
u point de la division de l'artère basilaire alimen- tent le centre
optique
du pulvinar et les noyaux, ainsi que les racines,
artères : pédonculaire interne ; du noyau de l'oculomoteur commun ;
optique
interne postérieure sont des artères terminales.
images graphiques pro- duites par les impressions visuelles (centre
optique
) et le centre >ensoriel et moteur de la paro
centre de la parole et au reste du cerveau frontal (il y a agraphie
optique
par alexie optique). Comme le patient ne peut m
et au reste du cerveau frontal (il y a agraphie optique par alexie
optique
). Comme le patient ne peut mécaniquement lire a
uement, il y a intégrité de voies d'unions directes entre le centre
optique
et le centre graphique. S'il y a eu héniieurie
des fihres se disperse dans la région du noyau central de la couche
optique
; 2° une petite quantité de fibres se dirige ver
ouvements involontaires dans les extré- mités droites; les papilles
optiques
un peu pâles; démence, rire et pleurs involonta
vaient à la suite de foyers de ramollissement intéressant le centre
optique
dans le premier cas et l'écorce céré- brale dan
us. Méningite chronique surtout à la base et au niveau du chiasma
optique
. Tubercules crétacés du poumon gauche. Dani ? (
l'épaississement de la pie-mère qui prédomine au niveau du chiasma
optique
, englobant les bandelettes optiques, le chiasma
i prédomine au niveau du chiasma optique, englobant les bandelettes
optiques
, le chiasma, les nerfs optiques, les nerfs olfa
optique, englobant les bandelettes optiques, le chiasma, les nerfs
optiques
, les nerfs olfactifs, ceux-ci et ceux-là sont c
eux-là sont comprimés et manifestement atrophiés, surtout les neifs
optiques
. Les vaisseaux également sont compris dans cett
a prédo- minance des lésions dans la région du chiasma, des nerfs
optiques
et olfactifs. Rappelons que l'hémis- phère céré
er. Les nerfs de la base de l'encéphale sont symétriques. Les nerfs
optiques
sont très atrophiés, gris, vitreux, durs; ils p
rophiés, gris, vitreux, durs; ils paraissent égaux. Les bandelettes
optiques
sont encore plus atrophiées que les nerfs. Les
ximum à la base, au niveau et au pour- tour du chiasma et des nerfs
optiques
, atrophiés et scléreux à un degré très prononcé
urce de formes variées d'infection septique. A. M. 111. - Névrite
optique
; par Jameson EVANS. [British médical Journal,
ique », évolue comme une localisation spéciale, au niveau des voies
optiques
, d'un processus dont, il semble, deux autres lo
; le lobe gauche pesant 'il l;r. et le lobe droit 69 gr. Le nerf
optique
droit est atrophié et réduit dun tractus mince d'
utopsie, large ramollissement intéressant en arrière les radiations
optiques
de Gratiolct. Ce cas viendrait à l'appui du la
probablement d'un ramollissement du noyau externe de la cou- che
optique
, IIJl111spasme facial chez un vieillard. MM.
pulmonaire, rénale. Granulations méningées surtoutau nivcau du lobe
optique
. Observation IL - Méningite ayant évolué en un
enciée. G. C. XXX, - Névrite inflammatoire tuberculeuse des nerfs
optiques
; par M. L. ! )oR. (Soc. de med. de Lyon, 4 décem
lade âgé de : 30 ans présentant une névrite inflammatoire des nuits
optiques
durant depuis trois ans, sans diminution du l'a
,1' de l'artercopthalmique, comprimant le nerf en dedans du canal
optique
. Les altérations subies par la rétine et le nerf
s du canal optique. Les altérations subies par la rétine et le nerf
optique
se traduisent par une diminution du l'acuité vi
;)[\Mt ! ! )\rr.T. Le faisceau longitudinal inférieur elle faisceau
optique
central. 1 t : nF. Contribution expérimentale à l
« ltamliculaLio spasmodica », tend à faire admettre pour la couche
optique
une fonction active automatique dans l'innervat
cette paralysie est obscure ; comme il n'y a pas tra- ce de névrite
optique
ancienne, l'auteur pense à une paralysie d'orig
ns la - du triju- meau, par 13ab1nshi et Delherme, 424. Névrite
optique
, par Jameson Eynns¡ zig. Des périphéri- ques
r Ia- roschewski, 146. ' inflam- matoire tuberculeusb des nerfs
optiques
, par Dor, 217. alcoolique avec gangrène symé-
t de l'opinion qu'il y avait probablement eu de la névrite du .nerf
optique
droit. L'intelligence était bonne. , , . Pas
ix étendue sur la selle turcique, comprimant et déplaçant les nerfs
optiques
et'les éminences maxillaires, et s'enracinant par
les organes suivants (fig. 63, 64) : en avant le chiasma des nerfs
optiques
qui est complètement aplati, et forme une large b
paru, ainsi que la gouttière qui reçoit l'entrecroisement des nerfs
optiques
. « Les mesures suivantes donnent l'idée de celt
érieure du noyau caudé jusqu'à l'extrémité postérieure de la couche
optique
. L'écorce cérébrale est mince, en lout cas elle
on de volume est surtout notable pour la 3e paire et pour les nerfs
optiques
. Ces derniers sont comprimés latéralement par une
e et forme au-dessus de celle-ci une saillie hémisphérique; le nerf
optique
droit est un peu plus comprimé que le gauche, i
ésente sous la forme d'un ruban plat d'un cent. de-largeur; le nerf
optique
gauche est encore arrondi, son diamètre est de
ge moyen. L'écartement entre les extrémités internes des deux trous
optiques
est de 32 mill. Ces deux trous ne sont pas ronds,
mais aplatis de haut en bas. Entre eux on ne voit pas de gouttière
optique
. Cette gouttière est comblée par un renflement
- tiques sont en somme fort rétrécis, et il est certain que le nerf
optique
y était très comprimé. En dehors du trou optiqu
ertain que le nerf optique y était très comprimé. En dehors du trou
optique
existe une apophyse clinoïde an- térieure longu
de moyenne est à 8 mill. de la fente sphénoïdale; à 5 mill. du trou
optique
; à 32 mill. de la congénère du coté opposé. L
que en bas et en arrière, de la rainure qui représente la gouttière
optique
au fond de la fosse pituitaire. La lame quadrilat
su- périeure se boursoufle, à gauche surtout, effaçant la gouttière
optique
et la partie antérieure de la gouttière carotid
uche de la surface olfactive par une saillie, aplatissant les trous
optiques
. : 3au NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
u corps calleux faisait totalement défaut, de sorte que les couches
optiques
étaient directement en rapport avec les circonv
oulevant légèrement ces circonvolutions pour les isoler des couches
optiques
, on apercevait un repli de l'écorce, vestige à
on arquée ou marginale), qui encliatonnait complètement les couches
optiques
. A la partie antérieure de ce repli un petit cy
tement à la face interne de chaque hémisphère au niveau des couches
optiques
, et communiquaient librement, sous la faux du c
convolution de même nom; 2° à l'extrémité anté- rieure de la couche
optique
on voit la coupe d'un cylindre de substance bla
nce blanche cachée sous les circonvolutions qui bordaient la couche
optique
.. -' 4 f l' . Cette bandelette mérite une descr
sa face infé- rieure elle est exactement- appliquée sur les couches
optiques
qu'elle . , contourne complètement en avant e
commissure grise, occupent leur situation normale; - 5° Les couches
optiques
et'le noyau caitelé présentent un degré d'atrop
remière frontale est directement en rapport en avant avec la couche
optique
; en arrière, elle est séparée du lobe paracentr
che une petite circonvolution qui se termine au niveau de la couche
optique
pl. XXI). Le. lobule paracentral est plus petit
que l'on aperçoit sous les circonvolution s qui bordent lit couche
optique
n'est autre chose que le trigone incomplètement
te partie moyenne man- quait complètement, de sorte que les couches
optiques
se montraient à découvert et que les deux hémis
les et les prolongements adhérents a la surface interne des couches
optiques
, c'est-à-dire la partie antérieure des piliers.
LPÊTRIÈRE. Le noyau hémisphérique proprement dit, pédoncule, couche
optique
et corps strié, se présente dans sa conformatio
ise corticale du cerveau. . Fig. 4. — Formation du chiasma des fibres
optiques
. LIBRAIRIE J.-B. BAILLIERE ET FILS PLANCHE B
sant par l'extrémité antérieure du sillon intermédiaire de la couclie
optique
et du corps strié. LIBRAIRIE J.-B. BAILLIERE ET
erticale antéro-postérieure, passant par la face externe de la couche
optique
. LIBRAIRIE J.-B. BAILLIERE ET FILS PLANCHE IX
ostérieure, passant au niveau de la région supérieure de la couclie
optique
. LIBRAIRIE J.-B. BAILLIERE ET FILS PLANCHE XI
icale transverse passant par la région moyenne du chiasma des nerfs
optiques
. LIBRAIRIE J.-B. BAILLIERE ET FILS PLANCHE XL
e motrice, le moteur oculaire com- mun, le pathétique, et les nerfs
optiques
; un cas de tumeur du cervelet avec hémiplégie
la base vers l'écorce; ceci est surtout apparent pour la radiation
optique
primaire qui, chez un enfant né un mois et demi
rayonnante, il reste à décider du véritable trajet, dans la couche
optique
, des fibres qui vont aux territoires terminaux,
alés entre les organes terminaux et l'écorce du cerveau ? La couche
optique
en tout cas se distingue des autres émissaires
s du lobule pariétal inférieur, qui vont soi- disant à la radiation
optique
, gagnent, en réalité le tapetum direc- tement,
parcellaires exagérés, convulsion clonique du pied gauche. Névrite
optique
bien caractérisée, mais n'empêchant pas la vue.
touchée et la langue déviée sur la droite. Pupilles égales, névrite
optique
à la première période. Réflexe rotulien exagéré
e ou cinquième, elle aboutit respectivement à l'absence des couches
optiques
ou à la dilatation, voire même à SOCIÉTÉS SAV
es arciformes, etc ! , etc. La perte des hémisphères et des couches
optiques
entraîne celle des pyramides, de la couche extr
us) ; 3° les images gra- phiques des mots vus (conceptions verbales
optiques
que nous obtenons par la lecture des caractères
hémas. En ce qui concerne les images objectives, tout élément non
optique
d'un objet (auditif et tactile) s'en irait d'abor
'un objet (auditif et tactile) s'en irait d'abord trouver l'élément
optique
de cet objet pour de là aboutir à son image pho
raphiques s'effectueraient comme suit : Ag est l'oeil; oE l'élément
optique
d'une conception objective; K l'image phonétiqu
que. Par 1 oeil nous obtenons, au moyen de la voie a les éléments
optiques
des conceptions objectives, ou en utilisant la vo
ticulièrement par le strabisme interne avec nystag- mus, l'atrophie
optique
et l'imbécillité. D' Marie. XXIV. Un cas de lés
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 359 peu rétrécies. La papille du nerf
optique
est normale, on n'observe pas d'excavation ou a
le céré- bral gauche s'étendant à la partie inférieure de la couche
optique
et à l'extrémité de la corne sphénoïdale. Les r
la lecture, c'est-à-dire l'action de percevoir les lettres (mémoire
optique
). Les mémoires senso- rielles font partie de la
e constitue un trouble de la mémoire verbale sensorielle (auditive,
optique
ou motrice) ou bien de la mémoire d'association
u'ils comportent (action automatique du centre moyen) ; 3° Yaphasie
optique
; 4° la cécité mentale. La même classification
s la partie interne du nerf. G. DFNY. XLIV. Lésion de la bandelette
optique
et du pédoncule du côté gauche; par A. llanem.
E. Contribution a la connaissance de l' externe, par Homen, 6G.
Optique
Lésion de la bandelette, par Maheim, 474. Par
e moitié plus épais q u e le droit. — Pas de synostoso. — Le nerf
optique
, le t u b e r c u l e mamillaire, le pédoncule,
deux côtés, les ventricules latéraux, les cornes d'Ammon, les couches
optiques
, les corps striés n'offrent rien de nota-ble; — l
mus. Méningite tuberculeuse surtout à la base et au niveau du chiasma
optique
. Tubercules crétacés du poumon gauche. Dani____
qui prédomine au niveau du chiasma oplique, englobant les bandelettes
optiques
, le chiasma, les nerfs optiques, les nerfs olfact
ma oplique, englobant les bandelettes optiques, le chiasma, les nerfs
optiques
, les nerfs olfactifs, ceux-ci et ceux-là sont com
ceux-là sont comprimés et manifestement atrophiés, surtout les nerfs
optiques
. Les vaisseauxégalement Cerveau. — Il présente
ce, la prédo-minance des lésions dans la région du chiasma, des nerfs
optiques
et olfactifs. Rappelons que l'hémis-phère cérébra
lier. Les nerfs de la base de l'encéphale sont symétriques. Les nerfs
optiques
sont très atrophiés, gris, vitreux, durs; ils par
atrophiés, gris, vitreux, durs; ils paraissent égaux. Les bandelettes
optiques
sont encoreplus atrophiées que les nerfs. Les tub
maximum à la base, au niveau et au pour-tour du chiasma et des nerfs
optiques
, atrophiés et scléreux à un degré très prononcé (
corne occipitale de l'hémisphère gauche. — Le corps strié, la couche
optique
ainsi que la corne d'Ammon paraissent normaux.
LES ÉTUDES MICROPHOTOGRAPHIQUES. Ce matériel se compose du système
optique
servant à éclairer la préparation, du microscope
ations ainsi que sur les procédés de coloration à employer. Système
optique
. — Bien que dans la pratique ordinaire du microsc
us que médiocres pour la Photographie. Ceci tient à ce que le système
optique
peut être achromatisé pour les rayons jaunes et n
e tourner la préparation sur un axe idéal qui coïnciderait avec l'axe
optique
de l'objectif. Modifications à apporter à l'écl
table de travail, dans le prolongement de laquelle se trouve un banc
optique
destiné à recevoir les appareils d'éclairage, les
dans la circonstance. Un plateau situé dans le prolongement du banc
optique
permet de placer une lampe oxhydrique ou électriq
anivelles placées sous la main de l'opérateur, le déplacement du banc
optique
et celui du plateau. Une fois le centrage effectu
graphique de M. Duchesne. A, B, rails; C, table de travail; D, banc
optique
; E, plateau pour recevoir la source d'éclairage;
recevoir la source d'éclairage; d, d', manivelles de centrage du banc
optique
et du plateau ; H, J, I, cadres de la chambre ; M
ale dans le faisceau cunéiforme 1 PlJ'oprement dit; enfin,, le.nerf
optique
aboutirait, par le ruban de lieu, au faisceau p
' ? 't- t "" ' /"r)r.0''j7r'"< ? i'^'Ti.'oo'î a'JlUdJJin ... ,.
optiques
; par J. LuYS. OE Encéphale, n ? 3, 883.) HJG1Jrn
. ,. optiques ; par J. LuYS. OE Encéphale, n ? 3, 883.) HJG1Jrn ^l,
OPTIQUES
; par, UYS, ( nce/J,1a e, nI ,'1 . r i) 0 t. fio
e et'qui'il y a dcrit,unrcérL¡¡j1Í nombre[ de noyaux- acoustique, i
optique
? olfactif, r sensoriums con¡... znzozc, affect
rons ce que pèse cette pierres angulaire de la théorie, des centres
optiques
de M.'Luys.-i il nny 1f ? ji1ff. <)'' f'Io t
s : 1° des nerfs, 2° de la capsule'interne,' 3° ou J de" la' couche
optique
leile-iiièàie ? Là est toute la question ? L'auto
ures ont démontré depuis que s'il n'est pas la suite d'une illusion
optique
de l'examen d'une coupe, il ne se rencontre ENC
i l'Jq'une ,ambIJ : bpie (.ordinairelduejài un e, atropbie.dufrnarf
optique
; soi lLd¡'hémiaIJopsic, »ou;encore^ conlmeichez
Westphal, on peut penser dans l'espèce à une atrophie vraie du nerf
optique
, tandis que, pour M. Hirschherg, les lignes de
nt dans la moitié postérieure de la capsule interne entre la couche
optique
et le noyau lenticulaire ; en divisant la moiti
la cap- sule en comptant du genou et se trouvent entre la couche
optique
d'un côté et le deuxième et en partie le troisièm
N. c.. Noyau caudé. N. I., Noyau lenticulaire. C. opt., Couche
optique
. Sp. c. c., Coupe du corps calleux. C. in. a.
N. 1., Noyau lenticulaire. C. A., Corne d'Ammon. C. opt., Couche
optique
. C. in., Capsule interne. C. c., Corps calleu
l sept centimètres acco- lées vers bipartie antérieure de la couche
optique
, entrant un peu dans la corne frontale), il n'y
formé; le septum lucidum a disparu; les corps striés et les couches
optiques
ramollies. Les reins sont durs, volumineux, pré
évolu l'hémianopsie croisée (obs. VI et VII), seulement les couches
optiques
, les tubercules mamillaires et le lobe pariétal
t-être aussi l'ostéite nasalen'est- elle pas étrangère à la névrite
optique
constatée par M. le Dr Pari- naud. Il ne faut
Vaillard, 180. Noyau lenticulaire, 146. Olfactif (tractus), 96.
Optiques
(physiologie des couches), 115 Ouïe (psychose
N. c., Noyau caudé. N. t., Noyau lenticulaire. C. opt., Couche
optique
. Sp. c. c., Coupe du corps calleux. C. in. a.
N. I., Noyau lenticulaire. C. A., Corne d'Ammon. C. opt., Couche
optique
. C. in., Capsule interne. ( : . c., Corps cal
thalmologique attentif, qu'elle était atteinte d'une atrophie du nerf
optique
de ce côté. Rien de plus naturel, rien de moins i
incontestablement, que l'existence d'une atrophie progressive du nerf
optique
dans le tabes. Il y avait lieu de s'étonner seule
ar, dans l'immense majorité des cas, l'atrophie progressive des nerfs
optiques
dans le tabes, aboutissant en dernier terme à la
ais celle-ci n'est pas la conséquence d'une lésion atrophique du nerf
optique
correspondant, puisque, ainsi que nous l'avons di
e dans l'am-blyopie tabétique liée à l'atrophie progressive des nerfs
optiques
, il y a aussi rétrécissement du champ visuel, mai
étique). 2e cas. A. Simple décoloration de la papille. B. Névrite
optique
et atrophie blanche consécutive. (Cas d'Eulenbour
k). 0. 0. Troubles fonctionnels consécutifs à l'affection du nerf
optique
ou à celle des centres visuels. 1° Rétrécisseme
aurose, dans la sclérose en plaques, est la conséquence d'une névrite
optique
. Alors, même quand la lésion du nerf en est arriv
papille d'un blanc mat, aux bords nébu- I eux qui marque la névrite
optique
, de la papille nacrée aux bords nets et tranchés
en est pas tout à fait de même des troubles visuels liés à la névrite
optique
dans la sclérose en plaques. Sans doute, trop sou
bétique et aussi dans les périodes avancées de l'atrophie par névrite
optique
. Il faut ajouter que l'achromatopsie qui se lie a
que l'achromatopsie qui se lie aux deux dernières affections du nerf
optique
n'est pas la même, si l'on peut ainsi parler, que
tôme hystérique. Décoloration atrophique de la pupille, par névrite
optique
dans les deux yeux: voilà certes qui n'est pas hy
sclérose multilocu-laire des centres nerveux s'accompagne de névrite
optique
. 1. Au membre supérieur gauche, l'anesthésie cu
ans ce cas, par l'existence d'une atrophie commençante d'un des nerfs
optiques
. L'opinion que j'émis, presque dès l'origine, sur
ut fatal. II n'est guère en somme que l'atrophie ta-bétique des nerfs
optiques
, qui, une fois constituée, ne rétrocède jamais, m
et intenses, accompagnées de vomissements, la présence d'une névrite
optique
, les vertiges de translation, etc., révéleraient
pallie, 37. Névralgie (Caractères différentiels des), 24. Névrite
optique
, 164, 165, 166. Névrites Périphériques, 85, 384
nerveuse, 152. Oppenheim, 119, 288, 336, 423, 488, 527, 533, 534.
Optique
(névrite), 164, 165, 166. Optiques (atrophie de
, 336, 423, 488, 527, 533, 534. Optique (névrite), 164, 165, 166.
Optiques
(atrophie des nerfs) dans le tabès, 158. Otite
— Arthropathies et crises gastriques, 333, 336. — Atrophie des nerfs
optiques
,158.— Champ visuel, 159, 165.— Crises gastriques,
r la face externe, le lobe occipital est petit. V L., C C, couche
optique
, corps ttrié, rien de particulier. D'une façon gé
rries avec de nombreux plis de passage. Des deux côtés, la couche
optique
, le corps strié, le ven- tricule latéral sont n
sa partie moyenne. Le ventricule latéral, le corps strié, la couche
optique
, la corne d'Ammon parais- sent sains. Le lobe o
, T sont assez bien développées. - Le ventricule latéral, la couche
optique
, CO, le corps strie, CS, la corne d'Ammon sont
C, est petit. Le corps calleux, C C, le corps strié, CS, la couche
optique
, CO,;et le ventricule latéral n'ont rien à note
i- i taire hoiizontal, passant par le centre de l'orbite et le trou
optique
, Op. CC, plan du clivus. Ow, os wormiens. - Il,
rque encore la gracilité du chiasma, des nerfs et des bandelettes
optiques
, sans modification de couleur. Les deux hémisph
a forme en parait un peu plus arrondie. Le chiasma, les bandelettes
optiques
sont normaux dans leurs dimensions, dans leur c
u corps calleux. CC, Corps calleux. CS, Corps strié. CO, Couche
optique
. LQ, Lobule quadrilatère. C, Coin. P, Pédon
u corps calleux. CC, Corps calleux. CS, Corps strié. CO, Couche
optique
. LQ, Lobule quadrilatère. P, Pédoncule cérébr
ule paracentral. CC, Corps calleux. CS, Corps strié. CO, Couche
optique
. CA, Corne d'Ammon. CH, Circonvolution de l'h
orbitaire horizontal, passant par le centre de l'orbite et le trou
optique
, Op. cc, plan du clivus. Os, os wormiens. - R,
temporale, lecunem, lobule lin- gual et fusi forme, les radiations
optiques
de Gratiolet. Il y a en outre un petit foyer tr
on les parties blanches bordant le ventricule (Tapeum et Radiations
optiques
de Gratiolet). 6°. Coupe correspondant à la par
n ou l'autre des types ? Mais Colin n'a-t-il pas noté de l'atrophie
optique
dans la maladie de Friedreich, et n'est-elle pa
de l'exagération des réflexes tendineux et de l'atrophie des* nerfs
optiques
. Or, de son autopsie, pratiquée par Meyer, il r
le type de Friedreich : Un type cérébelleux où l'atrophie des nerfs
optiques
, les vertiges, les troubles intellectuels, join
e par endroits l'orientation devient. très difficile. La bandelette
optique
et le corps genouillé externe droits, dont on n
tre permis d'admettre que, par suite de la compression du trac- tus
optique
et du corps gen. ext. le faisceau Fli. se soit tr
brutes, élémentaires. Mais n'oublions pas que l'atrophie des nerfs
optiques
, produisant une cécité complète a pu favoriser
ssure antérieure. Nr, noyau rouge. ATc, noyau caudé. - Tro, tractus
optique
. Tum, tumeur. X F et M, entrecroisement des fai
fig. 1). · Le tuberculome dans sa hauteur, sans atteindre la couche
optique
, faisait lé- gèrement saillie dans le plancher
ce des lésions destructives dans le ruban de Reil et dans la couche
optique
gauche. Dans les derniers jours de la vie de no
l'examen microscopique un petit tubercule sié- geant dans la couche
optique
du même côté. Or dans le cas en question, c'est
ique du même côté. Or dans le cas en question, c'est bien la couche
optique
qui doit être incriminée; Edinger, Mann, Raymon
parois, très fragiles, res- semblent à des feuilles de papier.Nerf
optique
et carotide dilatée sont à peine séparés. Sur l
s long, mais plus large, occupe le quart antéro-externede la couche
optique
. Tubercules mamillaires et glande pinéale ne sont
ormal. Cas. VII. P. G. consécutive à un tabès avec atrophie du nerf
optique
\ démence avec idées absurdes de grandeur ; scl
arras de la parole. Il a en outre de la cécité par atrophie du nerf
optique
, l'abolition des réflexes patellaires, les pupi
l'augmentation du liquide céphalo-rachidien et l'atrophie des nerfs
optiques
. Les artères de la base sont athéromateuses. La
ns chromatiques sont nets. Certaines cellules sont pigmentées. Nerf
optique
. - Atteint d'une sclérose énorme névroglique avec
ronique, il répond trait pour trait à la description de la sclérose
optique
tabétique donnée récemment par Léri (1). En rés
t aux distances. Tremblement fibrillaire de (1) Léri, Etude du nerf
optique
dans l'amaurose tabétique. Nouv. Iconogr. de la
ble, cependant, que l'inflammation fuse le long de la paroi du nerf
optique
et tende à envahir les enveloppes même de )'oeil
es 'pupillaires et oculaires (décoloration ou atrophie des papilles
optiques
), qui au cours de la sclérose en plaques vraie
, hul- bo-spinale, ou bulbo-cérébello-spinale. Touchant les voies
optiques
et l'écorce cérébrale, on verrait apparaître l'
nnelles multiples. Ainsi, l'on rencontre de l'atrophie des papilles
optiques
au cours du Charcot-Marie (Ballet et Rose), de l'
mas de pus. Enfin la présence des plexus appliqués sur les thalamus
optiques
suffit à protéger ceux-ci (fig. 3). 660 MOCQUIN
▲