RGAND. PARIS, 5, RUE BONAPARTE 1866-1867 Réserve de tous droit! OPÉRATIONS SPÉCIALES QUI SE PRATIQUENT SUR DES ORGANES COM

PÉCIAUX. CHIRURGIE OPÉRATOIRE DES ORGANES SITUÉS A LA FACE. Les opérations qui ont leur siège à la face se rapportent aux or

convéniens. C'est d'après cette méthode que nous comptons procéder. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'OEIL. L'œil, le plus co

n plus grand nombre de maladies, dont beaucoup exigent le secours des opérations . Les unes et les autres se rangent en quatre genr

ur. En précepte, le chirurgien devant être ambidextre pour toutes les opérations des yeux, la seringue doit être tenue de la main

r l'œil droit et de la main droite pour l'œil gauche. Toutefois cette opération est facile à faire également sur les deux yeux et

qui donne lieu à une obstruction susceptible encore de se guérir sans opération . Mais, si elle est déjà très ancienne, la phlegma

poi-trine d'un aide dont la main, qui correspond au côté inverse de l' opération , pose sur le front, tandis que l'autre appuie par

ou d'un peu de sang spumeux et mêlé d'air par la plaie, indique que l' opération a réussi. Si ces phénomènes n'avaient pas lieu, c

foncée ou mal dirigée. Dans le premier cas, il faudrait recommencer l' opération ; dans le second, remonter un peu la canule ou en

cond, remonter un peu la canule ou en changer la di-rection. Enfin, l' opération étant terminée, on ferme la petite plaie avec une

ndant une longue suite d'années, donnerait trois guérisons sur quatre opérations ; résultat fort beau, même en défalquant la part d

. JulesCloquet(fig. 19); et il faudrait ultérieurement recommen-cer l' opération . 3° La plaie cicatrisée, la canule devient vacill

le de l'extraire. M. Darcet rapporte vingt-sept cas où cette nouvelle opération a été indispensable. La né-cessité éventuelle de

niens tirés du volume de la canule, le chirur-gien aurait dû, avant l' opération , le proportionner au dia-mètre du canal; une canu

al nasal. Les accidens inflamma-toires traités comme à l'ordinaire, l' opération est réitérée à plu-sieurs lois. — Modification de

et Lecat, la récidive est venue presque tou-jours rendre inutile une opération douloureuse, compliquée et qui, par la longueur d

couler librement et sans inconvénient par le sinus maxillaire. Cette opération , en outre, donne lieu 3 à une fracture dont i

rument que nous avons indiqué, etdontla situation permet une nouvelle opération en cas d'insuccès. 3° Trajet artificiel dans la

ret, introduit à travers l'incision cutanée, lui servit à pratiquer l' opération . Le canal obtenu, il y introduisit, comme à l'ord

t l'instrument,s'en est servi pour introduire la canule de Pellier. L' opération a réussi; seulement, en raison du peu de résistan

, sont le siège d'un grand nombre de maladies que l'on traite par des opérations très variées. De ces maladies les unes affectent

la paupière en totalité, les autres sont bornées à la conjonctive. opérations qui se pratiquent sur les paupières. Les maladi

ur les paupières. Les maladies des paupières qui donnent lieu à des opérations sont : Vectropion, la blépharoplose, Yentropion,

ée par Hippocrate, décrite dans Aétius, rien de plus simple que cette opération . Le malade assis, la tête inclinée en arrière, la

r de la paupière, un lambeau elliptique parallèle à son bord libre. L' opération terminée , pour le traitement consécutif se condu

t coupées près des fils. On les enlève du troisième au sixièmejour. L' opération se pratique de la même manière sur l'une ou l'aut

emment une excision partielle qui constitue ultérieu-rement une autre opération . blépharoptose (pl. 5, fig. 9, 10, ii, 12). L

raction de l'orbiculaire. On ne peut qu'ap-plaudir à cette ingénieuse opération , qui, pour une maladie au-paravant réputée incura

nous en recommandions l'emploi. Excision de la peau. C'est la même opération que nous avons décrite plus haut, à propos de la

de l'opérateur est de soustraire à l'action du muscle orbiculaire. L' opération amenée à ce point, s'assurer, en relevant la paup

ersale intéressant la peau et le cartilage vers la base du lambeau. L' opération étant terminée, le bord palpébral du lambeau se t

achève la section suivant la ligne interci-liaire (pl. 6, fig. 5). L' opération terminée, pour empêcher une nouvelle adhérence de

u et la conjonctive. Les tumeurs palpébrales qui donnent lieu à des opérations sont de trois genres : enkystées, cellulaires et

bords de l'incision double seront réunis par la suture entortillée. opérations qui se pratiquent sur la conjonctive. Les malad

nctive. Les maladies de la conjonctive qui réclament le secours des opérations sont les hypertrophies vascuiaires et les diverse

la circonférence sur la conjonctive scléroticalc. GLOBE OCULAIRE. opérations qui se pratiquent sur les milieux réfr1ngens. O

CULAIRE. opérations qui se pratiquent sur les milieux réfr1ngens. Opérations qui ont pour siège la chambre antérieure. Elles

ais ces distinctions n'ont pas prévalu. S'il est, en chirurgie, une opération qui satisfasse à-la-fois la raison du savant et l

'artiste, la théorie et la pratique de l'art, c'est bien assurément l' opération de la cata-racte. Certes celui-là fut heureusemen

mble , plutôt que de celui d'aucun homme en particulier, l'ingénieuse opération de la cataracte paraît avoir être l'un de ces pro

source intarissable des applications les plus variées. Peut-être l' opération de la cataracte se perd-elle dans la nuit des tem

riétés et servent d'indication pour le diagnostic, la convenance de l' opération et le choix de la méthode et du procédé. — 1° Siè

aissement spontané. Circonstances qui influent sur le résultat de l' opération . i° Age. La cataracte s'opère à tout âge, mais

extrême jeunesse. En général la vision est d'autant plus nette, que l' opération a été faite sur un sujet plus jeune. Dès l'âge de

en lui-même une contre-indication snffisante. — 1° Saison. Pour cette opération , qui n'est point d'urgence, il faut préférer les

nt d'atten-dre, d'après ce précepte général de ne point pratiquer une opération qui n'est pas actuellement nécessaire. Ce conseil

tre suivi. Quand le malade voit encore d'un côté, pourquoi tenter une opération dont les suites peuvent être fu-nestes, même pour

ite compresse fenêtréeen linge fin , qui doit isoler les yeux après l' opération ; un plumasseau de charpie fine, ou du coton card

it. Cette position face à face de son malade est commune à toutes les opérations sur l'œil, lorsque le chirurgien est ambidextre.

en dehors et en arrière au - dessous du corps vitré (fig. 7 et 9). L' opération à ce point, maintenir le cristallin fixé par l'ai

nt la courbure de l'aiguille de la plaie. D'après ce qui précède, l' opération se divise en cinq temps : i° ponction de l'aiguil

s accidens, prévus ou imprévus, qui se présentent dans la marche de l' opération , entraînent de nombreuses modifications. Poncti

reste, est toujours facile à reconnaître au moment de la division, l' opération se trouve nécessairement modifiée : il n'y a plus

ion, ou l'abaissement propre-ment dit, manœuvre la plus délicate de l' opération , pouvait être évitée dans la plupart des cas, et

nt à-la-fois comme un crochet et un levier. Dans aucun temps de cette opération le chirurgien ne doit voir la pointe de l'aiguill

complet, rendent raison de l'insuccès de ce procédé. Réclinaison. L' opération commencée comme à l'ordinaire, après la division

-ture pupillaire par son petit diamètre : aussi le dernier temps de l' opération consiste à l'abaisser en masse au-dessous du bord

s, par une extension motivée, cette dénomination s'applique à toute l' opération , le mode d'introduction de l'aiguille modifiant n

u irritable, il importe peu d'opérer le broiement, objet spécial de l' opération , par sclératonyxis ou kératonyxis. Mais si l'œil

près plusieurs siècles d'oubli une tradition populaire réveille cette opération , et, au rapport de Manget, une femme anglaise l'e

se multiplient : Col de Villars, dans une thèse, vante beaucoup cette opération ; Smith et bientôt après Taylor et Richter en font

cornée par son centre : cette piqûre cen-trale facilite beaucoup les opérations ultérieures; mais l'opacité qu'elle détermine, au

n dedans. deuxième méthode. — extraction. On appelle extraction l' opération par laquelle on fait sortir au dehors le cristall

etc., compliquent, suivant les cas, dans la pratique, la marche de l' opération , et, en théorie, donnent lieu à un grand nombre d

il témoigne de cent quatre-vingt-deux succès sur deux cent six cas d' opération . Toutefois l'appa-reil de Daviel, trop compliqué,

les, et imaginant le couteau si commode qui porte son nom, a réduit l' opération au manuel indis-pensable, et formulé nettement le

ma-lade, de l'opérateur et des aides comme il a été dit plus haut, l' opération se compose de trois temps : section de la cornée,

e avec l'aiguille ou la cu-rette; et alors si la pupille est nette, l' opération est terminée. Mais souvent, au contraire, il rest

e rattachent à l'ensemble des manœuvres pen-dant les trois temps de l' opération . i° Le choix du couteau doit être calculé suiva

antité de ce liquide a paru concourir plutôt que nuire au succès de l' opération . Chez beaucoup de malades la soustraction d'un qu

r M. Alexandre, de Londres, et par M. Jœger qui a inventé, pour cette opération , le kératotome à double tranchant auquel il a don

ale (pl. 10, fig. 3, |). Kératomie- kyslotritie, de M. Furnari. L' opération de M. Furnari, encore toute nouvelle, a besoin d'

direction que celle qu'il a suivie en entrant, le premier temps de l' opération se trouve achevé. Introduire alors, par l'ouvertu

doit être préféré comme méthode générale. PUPILLE ARTIFICIELLE. L' opération de la pupille artificielle consiste à créer, au t

la cornée, ou par des lésions combinées de ces deux parties. Cette opération , toujours très délicate en elle-même, est, en out

xes, qui empêchent de pouvoir calculer précisément les résultats de l' opération , et en rendent les chances fort incertaines. Hi

rs une nouvelle impulsion est donnée à l'ophthalmologie opératoire. L opération de Cheselden est répétée avec succès. Des recherc

'elle ne soit pas une contre-indication, exigera néanmoins une double opération . conditions de succès. Tous les ophthalmologi

l faut avoir égard. circonstances qui influent sur le résultat de l' opération . Elles sont relatives à l'âge, à la saison, à l

plus souvent. — 20 Saison. 11 faut, comme en gé-néral pour toutes les opérations sur les yeux, choisir une saison tempérée, le pri

le permettrait l'étendue de l'opacité on devrait choisir le lieu de l' opération dans l'ordre suivant : i° l'hémisphère inférieur

rurgien et les aides placés comme pour l'abaissement du cristallin, l' opération se divise en trois temps. Premier temps. Le cou

ins c'est aux travaux ticScarpa qu ou doit (lavoir généralisé cette opération et d'en avoir fait une méthode. i° Procédé de S

née (pl. 1 1, fig. 1 1 ). y D. Extension de la pupille naturelle. opération très rationnelles elle trouve sou application exc

nécessitent l'ex-tirpation en masse. extirpation de l oeil. Cette opération , dont on trouve la première description dans Bart

c làge. C'est sur leur communication avec la caisse qu est fondée • l' opération assez hasardeuse qui consiste à perforer ces cell

ERNE 1° perforation du lobule de loreille (pl. 22, fig. 9). Cette opération se pratique avec un emporte-pièce ou une espèce d

ux lignes de cette pointe, elle est reçue dans une petite canule. L' opération consiste, en présentant perpendiculairement sur l

avillon. Ti'otoplastiquc, qui, à part le danger commun à toutes les opérations sur la peau du crâne, ne remédie à une simple dif

ni par son but ni par ses résultats, devoir être admise au nombre des opérations dont la pratique se justifie suffisamment; d'auta

tournant la canule en même temps qu'on l'attire à soi. Cette première opération achevée, faire glisser sur cette canule à demeure

t ou unetentede charpie enduite de cérat. On arrache dans une seconde opération ce qui n'aurait pas été enlevé une première fois.

seconde opération ce qui n'aurait pas été enlevé une première fois. Opérations sur l'oreille moyenne. i° Perforation de la mem

sque parfaitement circulaire de deux millimètres de diamètre. Cette opération ainsi pratiquée offre une supériorité incon-testa

ions, remonte à une époque fort éloignée. Très rarement usitée, cette opération a été remise en honneur par M. Deleau dans ces de

e par un engorgement phlegmatique de sa membrane muqueuse. Mais cette opération n'a pas encore reçu la sanction de l'expérience.

on de l'expérience. perforation des cellules mastoïdiennes. Cette opération a été tentée clans les abcès de l'oreille moyenne

ophyse mastoïde, à qua-torze ou dix-huit millimètres de son sommet. L' opération con-siste à pratiquer en ce point une incision cr

e répétées chaque jour jusqu'à gué-rison. appréciation génékale des opérations sur l'oreille moyenne. Différentes causes peuve

atiqué venait à se refermer, on peut toujours en former un nouveau. OPÉRATIONS QTJI SE PRATIQUENT SUR L'APPAREIL DE L'OLFACTIO

s maladies suivent cette division anatomique; et elles ré-clament des opérations différentes, suivantqu'elles siègent au nez propr

té de cette peau rend la cicatrisation très facile après les diverses opérations qu'on y pratique, et elle explique comment l'extr

our réparer la perte de substance de l'organe mutilé. Toutefois cette opération n'est pas connue des Latins. Galien et Celse parl

, Tagliacozzi, la rhinoplastique se range dès ce moment au nombre des opérations régulières : Vésale, Fallope, Read, Gourmehn, en

de Tagliacozzi (pl. i|, fig. 7). Ce procédé com-pose réellement deux opérations distincies. La première consiste à tailler sur la

llement du lambeau. Au bout de quelque temps on en vient à la seconde opération qui consiste à rafraîchir les bords du nez mutilé

le nez est sou-tenu par des bourdonuets de charpie, et le reste de l' opération se pratique comme clans les autres procédés. Pr

ou d'une lame de plomb roulée en anneau aplati. FOSSES NASALES. Les opérations qui ont leur siège dans les fosses nasales ont

du polype. Une injection alumincuse a du être faite une heure avant l' opération , et une autre injection semblable est faite une h

sion de l'aile du nez, d'élargir cet orifice, plusieurs jours avant l' opération , par l'emploi de corps dilatans; et lorsqu'on a o

la vue pour en faciliter la section avec l'instrument tranchant. Si l' opération se fait par l'une des narines, c'est le cas de pr

le double effet de la torsion et de l'arrachement. 11 est rare que l' opération amène d'une première fois la totalité du polype.

s et l'introduction des instrumens il est bon, quelques jours avant l' opération , de commencer par dilater la narine par l'emploi

ccident et la syncope forcent même quelquefois à remettre la fin de l' opération à un autre jour. Ligature. Cette méthode, aussi

ascension de l'anse avec deux doigts de l'autre main portés dans Il OPÉRATIONS la bouche, la maintenir écartée et la conduire,

paraît traverser avec facilité la fosse nasale, c'est un indice que l' opération a réussi à enlever la presque totalité de la raci

supposé ne plus exister. Calnélérisme du sinus maxillaire. Cette opération est indiquée toutes les fois que le sinus maxil-l

éthode a depuis été perfectionnée par Huermànn, Richter et Desault. L' opération consiste à extraire une ou plusieurs dents, et à

une ou-verture fistulcuse qui communiquât avec le sinus maxillaire. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES ORGANES DE LA GUSTATI

gulaires ne doivent avoir qu'une largeur de six à huit millimètres. L' opération étant amenée à ce point, la fente buccale est for

e de l'angle de la plaie qui doit for-mer la nouvelle commissure. L' opération terminée, les plaies soigneusement abstcrgées, il

amélioration n'est introduite, et ce n'est qui la renaissance eiue l' opération élu bec-de-lièvre est régularisée par Franco et A

mal à propos le nom de A. Dubois (fig. 1 1). Réunion. L'objet de l' opération étant de guérir une simple difformité, tous les e

a moins visible et l'aspect des parties le moins désagréa-ble après l' opération ; ausji pour y parvenir a-t-on eu recours à tous

Roonhuysen, Ledran, Bayle, Busch et M. Bonfils ont cité des cas où l' opération avait parfaitement réussi sur des nouveau-nés ; e

nt les chairs qui ne sont pas contenues comme avec les ciseaux, cette opération exige beaucoup de dextérité pour suivre exactemen

er que sa base; dans le second il suffit d'en rafraîchir les bords. L' opération est la même que pour le bec-de-lièvre simple. En

les côtés du tubercule sous-nasal, la forme qu'il doit avoir après l' opération devant influer sur la section des demi-lèvres lat

is une forme différente suivant la confi-guration des parties avant l' opération . Si le tubercule médian était très large à sa bas

se rencontre avec la scissure latérale, on se contente de pratiquer l' opération sur les parties molles, l'expérience ayant appris

ns le cas le plus ordinaire, où existe un tubercule osseux incisif, l' opération est plus compliquée : à cette disposition se rapp

e rapportent trois procédés opératoires particuliers. Mais dans toute opération de ce genre il faut songer préalablement aux dent

rracher les dents qui font saillie et blesseraient les lèvres après l' opération . Aujourd'hui on s'accorde à recommander d'es-saye

, et, soit immédiatement, soit quelques jours après, on procédait à l' opération sur la lèvre. L'inconvé-nient de ce procédé, sign

a de la même manière la dent canine droitedéviée en avant, pratiqua l' opération sur les parties molles comme à l'ordinaire, avive

était borné à redresser. Soins consécutifs. Quel que soit le cas, l' opération terminée, le malade doit être laissé dans un repo

par la portion conservée de la lèvre inférieure et la joue opposée. L' opération à ce point, il s'agit d'abord de se rendre maître

s qu'il convient d'en placer. Soins consécutifs. Après les diverses opérations si variées dont nous venons de tracer rénumératio

ndre ultérieurement, les aviver et les réunir par suture comme dans l' opération du bec-de-lièvre, après que l'on serait parvenu à

ifice fistuleux est une plaie récente, arrivée pendant le cours d'une opération sur la région paroti-dienne, la suture doit être

un fil dont une extrémité est dans la bouche et l'autre au dehors. L' opération à ce point, reporterie trocart dans la fistule, m

nde, tandis que dans le sens vertical, sauf une obliquité en avant, l' opération est des plus faciles. Une autre modification a

i, introduites l'une après l'autre par l'orifice fistuleux, rendent l' opération aussi prompte que facile. Il ne s'agit plus, pour

ouvent la récidive delà maladie. Mais aux difficultés mécaniques de l' opération se joignent encore des dangers bien piltis graves

-tion de la parotide, considérée d'une manière générale, dût être une opération téméraire et dont la réalisation complète serait

parcourant les faits cités parles auteurs on est surpris du nombre d' opérations de ce genre qui ont été pratiquées avec des résul

e. De-puis les faits se sont singulièrement multipliés. En 1818 cette opération est pratiquée avec succès par M. Carmichael, puis

la pre-mière précaution à prendre est-elle de lier dans une première opération l'artère carotide externe, ou au inoins de la met

lier dans le cas où une hémorragie foudroyante surviendrait pendant l' opération . Si le chirurgien croit pouvoir passer outre il e

os nerf dans les cas où il n'existe pas de paralysie complète avant l' opération ; c'est bien assez de celle des branches divergent

part le tronc de la carotide, peuvent être lésées dans le cours de l' opération , et dont il faut faire la ligature, peu-vent se t

nappe par les veines; mais le tamponne-ment suffit pour l'arrêter. L' opération terminée, comme dans tous les cas d'extirpation d

Ton doit le précepte de se borner à exciser un lambeau, cette légère opération suffisant pour que la maladie ne se reproduise pa

s ranines. On est assuré que le filet existe, et qu'il y a lieu à une opération , lorsque le petit doigt introduit dans la bouche,

on épaisseur et au devant desquels doit s'arrêter la section. Cette opération est décrite par Celse, qui connaît déjà le danger

ne menton-nière. En résumé, on voit que, pour si mince que soit cette opération , encore exige-t-elle certaines précautions, pour

ter de blesser le tissu de la langue. A mesure que l'on avance dans l' opération , on suspend de temps à autre, pour éponger le san

que la langue est libre en en parcourant le contour avec le doigt. L' opération terminée, on n'a point à s'occuper de la cicatris

ce n'est que tout récemment que cette ablation a été convertie en une opération régulière. Déjà Lange avait pratiqué plusieurs fo

régulière. Déjà Lange avait pratiqué plusieurs fois avec succès cette opération , que Louis, pour la justifier, se croyait encore

opératoires ne sont en réalité qu'une excision. 3" Excision. Cette opération se pratique, ou avec le bistouri, ou avec de fort

rument employé, et par le siège de la maladie, que se distinguent les opérations pratiquées par divers chirurgiens, qui ne sont qu

de manière à emporter tout le cancer dans un lam-beau triangulaire. L' opération terminée, il reste une perte de substance en V, à

aux courbes. La perte de substance, très con-sidérable au moment de l' opération , se réduisit extrêmement après la rétraction de

rs ayant déterminé la chute de cette première ligature, recommencer l' opération avec le même succès sur la moitié droite. Reste

nis-sant l'aiguille d'un double fil. Nous n'insisterons pas sur cette opération , qui est suffisamment détaillée dans l'explicati

ssi à la lèvre supérieure, en sorte qu'un même cas peut réclamer deux opérations différentes, en avant le bec-de-lièvre, en arrièr

oute récente que l'on s'est occupé sérieusement de la guérir, par une opération . Au rapport de Robert dans ses mémoires (1764), L

r le vivant. M. Grsefe (1817) est le premier qui ait publié un fait d' opération , mais sans réussite. C'est donc à M. Roux, qu'ap-

quatre ans après, dans une thèse soutenue à Londres, la relation de l' opération qu'il avait subie, et de la parfaiteguérison qui

eau et principalement M. Roux lui-même, qui compte près de cent cas d' opérations . Considérée en elle-même, la staphyloraphie est

as d'opérations. Considérée en elle-même, la staphyloraphie est une opération plutôt délicate que difficile pour le chirurgien,

nt cicatriser ses bords rendus saignans, et réunis par des sutures. L' opération se compose de trois temps : l'avivement des bords

cinq ligatures; le nombre trois est le plus ordinaire. Ce temps de l' opération est celui qui offre le plus de difficultés, et pa

Il ne reste plus qu'à couper l'extrémité des fils près des nœuds. L' opération terminée, il n'y aucun pansement à faire, seule-m

points de suture sont des conditions impor-tantes au succès, dans une opération aussi nouvelle, et qui n'a point encore essayé to

cidive, il est prudent de cautériser les racines avec le fer chaud. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LA LUETTE. L'accroissemen

de l'excision, beaucoup plus prompte et plus sûre. Excision. Cette opération est l'une des plus anciennement connues. Hippocra

t au moyen âge, les chirurgiens mettent à inventer, pour cette légère opération , une prétention pué-rile portée si loin, qu'il en

que les mors des ciseaux se présentent sur un plan bien horizontal. L' opération terminée, il n'y aucun pansement à faire. C'est p

es fosses nasales; l'expérience journa-lière dément ces assertions. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES AMYGDALES. Deux genre

ns. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES AMYGDALES. Deux genres d' opérations se pratiquent sur les amygdales : l'in-cision pou

ick et C. Bell, on s'accorde généralement aujourd'hui à rejeter cette opération dans un point où la coïnci-dence du siège anatoin

i. Rhasès et les autres chirurgiens arabes, toujours timides dans les opérations sanglantes, se rangent au précepte des excisions

irignes simple, double, ou de celle inventée spécia-lement pour cette opération par Museux, et des instrumens de section- Pour ce

Dans les cas de simple hypertrophie, il suffit, pour le résultat de l' opération , d'enlever toute la portion de tissu proéminente;

p se hâter, tâcher d'enlever d'un seul coup tout ce qui est malade. L' opération terminée, si l'hémorrhagie est peu abondante, il

rencontre de cette paroi pour-rait empêcher la section de s'achever OPÉRATIONS OUI SE PRATIQUENT SUR LE COU. Les maladies chir

ut assurément l'excision ou la dissection des racines qu'une première opération n'aurait pu enlever. Sétons. L'usage de ce moye

la ligature à la guérison du goître; de deux malades qu'il soumit à l' opération , l'un dont la tumeurétaitde nature graisseuse, gu

tenus dans des cas très graves, et par la manière dont il a formulé l' opération de la ligature des grosses tumeurs, mérite que ce

mulé l'opération de la ligature des grosses tumeurs, mérite que cette opération se rattache à son nom. Un premier malade, jeune g

le volume de la tète d'un fœtus. Le malade néanmoins, après plusieurs opérations en divers temps, guérit complètement en moins de

arées par étranglement des tissus voisins à leur base. En résumé, l' opération de la ligature a suffi à elle seule pour obtenir

s, à l'orbite, à la glande parotide, aux os maxil-laires, etc., cette opération est toujours très grave par les mêmes motifs, la

iation consciencieuse de la valeur thé-rapeutique d'un grand nombre d' opérations , qui fait que la plu-part de celles cpii offrent

porter un jugement précis pour approuver ou con-damner telle ou telle opération . Appliquant ces réflexions générales à l'extirp

à l'extirpation du corps thyroïde, en particulier, on voit que cette opération remonte à un temps très ancien, puisque déjà il y

-minaison qui, en réalité, est cependant la plus fréquente, après les opérations de ce genre, sur des tumeurs cancéreuses ou vascu

s manœuvres, le chirurgien est obligé d'interrompre par intervalles l' opération , pour laisser un peu reposer le malade, et lui do

ng veineux, qui vient par-tout pleuvoir à la surface de la plaie. L' opération terminée, c'est encore l'hémorrhagie qui réclame

i1étérisme des voies aériennes (Pl. ll\ , fig. l). L'objet de cette opération est de pratiquer l'insufflation ou la respiration

on par la bouche. — Procédé de Chaussicr. Ce médecin employait pour l' opération un instrument particulier (Pl. fig. i et i bis),

constitue l'insuffla-tion artificielle. Mais dans la pratique, cette opération n'est pas si simple que nous venons de l'exprimer

poumon. Chez le sujet en pleine con-naissance, outre ces mucosités, l' opération est fréquemment en-travée par des quintes de toux

étérismedu larynx. BRONCIIOTOMIE (Pl. a5ï La bronchotomie est une opération par laquelle on pratique sur le trajet des voies

s du larynx et de la trachée ou laryngo-trachéotomie; en somme, trois opérations distinctes, sur des lieux différens, que, dans l'

pre, de bronchotomie. Historique. La bronchotomie est du nombre des opérations dont on s'est le plus exagéré, de tout temps, les

ilages. Chez les Arabes, on signale à ce sujet, comme dans toutes les opérations graves , un besoin d'agir refoulé par cette timid

but des ex-périences sur des chèvres. Rhazès va jusqu'à conseiller l' opération dans le cas de mort imminente, mais aucun d'eux n

r à la brillante époque de la renaissance, en i543, pour voir enfin l' opération réinstituée chez les modernes par Brassa-voie, et

Gérardin), des bydatides (Aubertin , Delonnes, Harless); enfin cette opération est, aujourd'hui, généra-lement en usage pour ext

intervalles, ont suivi leur exemple. Toutefois les avantages de cette opération dans ce cas, étaient restésun sujet de doute jusq

alée depuis un demi-siècle par tous les auteurs, et l'efficacité de l' opération . Il pose en théorie, et l'on convient généralemen

ur environ soixante. C'est, dans les deux cas, une guérison sur trois opérations . Ce chiffre statistique, quoiqu'il ne soit pas mo

quoiqu'il ne soit pas moins favorable que celui de plusieurs grandes opérations réputées légitimes par leur nécessité, ce chiffre

e tous les malades seraient morts; que chez ceux qui ont succombé , l' opération , si elle n'a pas réussi, du moins n'a pas contrib

M. Maingault en a fait la remarque à l'hôpital des en-fans, que, si l' opération n'a pas réussi plus souvent, c'est que presque to

. En résumé, d'après ces faits bien positifs, et en considérant que l' opération en elle-même , quand elle est bien laite, n'ajout

t Fare. Jusqu'à présent, Flajani est le seul qui ait osé pra-tiquer l' opération pour un gonflement aigu des amygdales ; mais cett

e : autant pourrait-on en dire du gonflement du voile du palais, où l' opération a été pratiquée par M. Burgess dans un cas de brû

tions et de la sonde laryngée. Bayle qui, le premier, a proposé cette opération , a trouvé beau-coup de contradicteurs. Toutefois,

lade, opéré par M. Kapeler (1828), a suc-combé, mais c'est le seul. L' opération a réussi une fois à MM. Pur-don et C. Broussais,

me, douze malades guéris pour un mort. Il faut en convenir, parmi les opérations graves, on n'en citerait peut-être pas une autre

tement de l'angine œdé-mateuse , prend un nouvel intérêt eu égard à l' opération , dont il semble prouver l'innocuité considérée e

é traitées avec suc-cès par labroncbotomie. Habicot a guéri par cette opération un jeune homme affecté de plaie, du larynx, et M.

ne femme ayant une fistule. Dans ces derniers temps, on a appli-qué l' opération à laphthisie laryngée, et au rétrécissement de la

tre indiqués. MÉTHODES OPÉRATOIRES. La bronchotomie comprend cinq opérations différentes qui se suivent à-peu-près dans un ord

s la membrane, les deux plans de section se croisant à angle droit. L' opération terminée , il laissait pour la respiration artifi

ration artificielle une petite canule clans la plaie. Depuis, quand l' opération n'avait d'autre objet que de prévenir l'as-phyxie

re un corps étranger ; enfin , le linge et le matériel ordi-naire des opérations . L'opération se compose de deux temps , la trac

nger ; enfin , le linge et le matériel ordi-naire des opérations. L' opération se compose de deux temps , la trachéotomie pro-pr

mmédiatement l'incision avec le bistouri. Quel que soit le motif de l' opération , on doit inciser au moins trois cartilages, et,

ielle , nous paraît devoir être préféré. Telle est, en substance, l' opération de la trachéotomie. Ana-tomiquement, on voit que

de canules trop petites, et par exemple celle de Bauchot, que tant d' opérations de bronchotomie ont été infructueuses. Cette obse

out le temps nécessaire à la guérison de la maladie qui a nécessité l' opération . On cite des malades qui ont ainsi porté des canu

RYNGO-TRACHÉOTOMiE ou Crico-trachèotomie. Imaginée par Boyer, cette opération a été pratiquée avec succès par son auteur et par

t. 3° meningo-cricotomie. C'est à Vicq-d'Azyr que l'on doit cette opération , qui consiste dans la section isolée de la membr

ngotomie-cricoïdienne n'est pour ainsi dire que le premier temps de l' opération précédente, avec cette différence que, pour la po

ne ou Thyrolomie (Pl. a5, fig. l). Desault est l'inventeur de cette opération , dont, la nécessité, pour agir dans la partie sup

ion pour empêcher sa chute dans la trachée. Rien de plus simple que l' opération , le cartilage étant superficiel. La seule objecti

table interne avec l'ostéotome de M. Heyne, pour reprendre ensuite l' opération par le dedans avec le bistouri. L'instrument, dan

l. 5° laryngotomie hyo-thyroïdienne ou Sus-hyoïdienne. Dans cette opération , proposée par MM. Malgaigne et Vidal, mais qui n'

pas encore été tentée sur le vivant ne peut être jugée. Sans doute l' opération en elle-même est aussi facile à pratiquer que l'a

n Amérique, en Angleterre, et ré-cemment à Paris, à M. Blandin. Cette opération ne donne nulle crainte d'hémorrhagie, et présente

tion et ses usages, l'œsophage est le siège d'un assez grand nombre d' opérations qui ont pour objet de rétablir le passage s'il es

e pénétrer dans l'estomac CATHÉTÉRISME (Pl. 24, fig. 2, 3). Cette opération , la plus commune et la plus simple, se pra-tique

ou gar-nie de son mandrin. Mais comme les différences que présente l' opération consistent dans la manière de parcourir le trajet

omme il a été dit plus haut. On a re-noncé à ce moyen qui complique l' opération et remplit mal son objet, et même on préfère à l'

les ma-nœuvres ultérieures varient suivant le motif qui a nécessité l' opération . Les autres cas devant se présenter plus loin , i

imple permet de vicier l'estomac et de le nettoyer par des lavages. opérations pour cause de rétrécissement. On a appliqué au

induration. Reste la difficulté d'établir nettement le diagnostic, l' opération étant contre-indi-quée dans tous les cas de dégén

ous les chirurgiens jusqu'à nos jours. Extraction. L'objet de cette opération est de saisir le corps étranger et de l'amener au

OTOMIE (Planche 26). Deux circonstances principales réclament cette opération : i° la présence dans l'œsophage d'un corps étran

xi-stence. La nature avait en quelque sorte indiqué d'elle-même cette opération comme une imitation du travail morbide par lequel

guide obligé de l'incision extérieure, n'admettant la nécessité de l' opération , qu'autant que le corps étranger est d'un volume

vrent. Appareil instrumental. Outre les objets communs à toutes les opérations , l'instrument essentiel est une sonde pour faire

me, on le charge ensuite avec les pinces et on l'amène au dehors. L' opération terminée, on se contente de rapprocher les lèvres

de fistule. OPERATIONS OUI SE PRATIQUENT SUR LE THORAX. Outre les opérations générales sur les divers tissus, ouvertures d'abc

s, résections des côtes, etc., qui ont trouvé place en leur lieu, les opérations spéciales sur le thorax comprennent : l'ablation

e sont partagés entre les chirurgiens pour adopter ou proscrire cette opération . Déjà chez les Romains Celse la rejette parce que

si ti-mides dans des cas moins graves, pratiquaient volontiers cette opération . A la renaissance, et depuis, même incertitude.

mais souvent difficile à résoudre, est de déterminer dans quels cas l' opération est justi-fiable et dans quels autres elle doit ê

le cancer comme étant toujours symptomatique ; d'où il implique que l' opération est formellement indiquée, quand il paraît être l

Roux, etc., ont vu ces engorge-mens disparaître spontanément après l' opération . Le développe-ment considérable de la tumeur, sa

ades bien avant le terme où elle s'est reproduite. Les seuls cas où l' opération doit sagement être proscrite, sont ceux où le can

uelle, n'est que le produit d'une affection générale, qu'une nouvelle opération ne guérira point. Ainsi donc, en proposition gé

ever. Dans ces derniers temps, pour éviter aux personnes timorées une opération sanglante, on a essayé de guérir le cancer par la

s, et représente, en réalité, une somme de douleurs plus grande que l' opération ; comme il n'em-pêche pas directement les progrès

ord libre des deux muscles pectoraux, qui permet au besoin, pendant l' opération , de remonter vers l'aisselle, le long des con-dui

e qui est malade ou même qui serait superflue pour la réunion après l' opération . Saisissant alors la tumeur de la main gauche,

ri s'égare sous le bord axillaire du grand pectoral. A mesure que l' opération avance, des branches nombreuses, des artères thor

, lenteur, ni précipitation et sans entraver la marche régulière de l' opération . Dès que la tumeur est enlevée, on lie les artè

couvrir par une nouvelle incision qui constitue en fait, une se-conde opération . Comme elles sont situées en amas dans le creux a

u la tenaille incisive, ou enfin, en réséquer la portion ma-lade. L' opération terminée, on procède au pansement. Si l'on a quel

artère intercostale dans les plaies pénétrantes de poitrine ou dans l' opération de l'empyème semble devoir être un accident assez

que la ligature de toute artère quelconque a été considérée comme une opération grave et très difficile; mais aujourd'hui que les

pratiquer, il n'y a qu'un pas. Pourquoi hésiterait-on aie franchir? L' opération ne présente pas de très graves difficultés : élar

dû faire usage les chirurgiens en petit nombre qui ont pratiqué cette opération . Nous insistons sur cette liga-ture; mais ici nou

e de son origine, aujourd'hui le mot empyème s'ap-t. vu. plique à l' opération dont l'objet est d'évacuer un liquide de la cavit

du moins par la nature des maladies qui en indiquent l'emploi, aucune opération n'est plus grave que l'empyème, et pourtant aucun

inaire, rapportent, au dire de Pline, l'origine accidentelle de cette opération à l'aventure d'un certain Phalère qui, dégoûté de

es craintes repa-raître tour-à-tour, sans que les cas dans lesquels l' opération doit être admise ou rejetée soient bien nettement

sa pré-sence il menace d'une suffocation immédiate; a" de différer l' opération si les accidens ne sont pas urgens, et d'attendre

cause une altération chronique de l'un des organes chroniques, toute opération cpù pourrait mettre le malade en danger sans chan

une ulcération (Bayle, Laennec, Jaymes, Roc, Davies, Velpeau). Mais l' opération est justifiable dans les cas d'épan-chemens purul

ucheux, Fréteau, Ol-lenroth, Audouard, M. Couraud). Sur trente-et-une opérations de pyothorax rapportées par M. Sédillot, d'après

° Épanchement de sérosité. C'est le plus commun , celui pour lequel l' opération a été pratiquée, le plus grand nombre de fois, et

ncertitude parmi les chirurgiens pour l'adoption ou le rejet de cette opération , et les circonstances dans lesquelles on doit la

ère de compter sur le retour de sa perméabilité. La circonstance où l' opération est le mieux indiquée est à la suite d'une pleuré

a résorption s'en opérant d'elle-même si la cause en est légère, et l' opération étant contre-indi-quée si cette cause est grave.

gaz qui sortirent avec violence au dehors. Résultats généraux de l' opération . Le danger de l'empyème ré-sultant de la nature d

de la maladie et de l'importance des organes et non du fait même de l' opération , on conçoit que le chiffre des succès et des re

adictoires que l'on a portés à diverses épo-ques , et comment la même opération réussissait à tels chirurgiens et non à d'autres.

dispersion générale de connaissances plus positives, il semble que l' opération de l'empyème doive reprendre faveur, et déjà cett

broeck, Boerhaave, Ledran, Fonbert et même Morand, le dé-fenseur de l' opération le mieux fondé par ses œuvres dans le dernier siè

éris et neuf morts. En masse sur une somme de cent vingt-deux faits d' opération d'empyème, dans des cas variés, nous constatons q

ant, et donnerait encore assez de latitude pour approuver hautement l' opération de l'empyème , lors même que des recherches sévèr

sque tous les malades opérés par ce chirurgien ont guéri. Lieu de l' opération . i° Lieu d'élection. 11 est remarquable que les q

les trois pre-miers espaces intercostaux comptés de haut en bas, où l' opération serait absurde, tous les autres ont eu leurs part

ur perforer une côte, a été recommandé par Nuck, Heister et Morand. L' opération , par son moyen , est plus expé-ditive, et aussi s

pouvant causer une collection nouvelle qui nécessiterait une seconde opération . Tel est dans ses détails, le procédé général d

econde opération. Tel est dans ses détails, le procédé général de l' opération de l'empyème, décrit dans les traités de chirurgi

diagnostic et le pronostic , sur la conve-nance et les résultats de l' opération . Nous verrons plus loin quel-les modifications en

liers, il peut être utile d'emprunter à divers procédés pour une même opération . Ponction. i° Par la lancette. Purmann et M.

" Parle bistouri. Procédé de M. Velpeau. Ce chirurgien pour abréger l' opération , propose de traverser subitement et sans hésiter

droit, et l'a rendue, en réalité, le pro-cédé le plus parfait pour l' opération de l'empyème. Une incision étant faite pour met

e trois observations récentes de M. Romero. Le même doute plane sur l' opération pratiquée par M Jowet ( 1827) ; enfin M. Velpeau

ela? Que de-puis deux siècles, les chirurgiens se sont transmis cette opération comme un vœu traditionnel plutôt que comme un fai

et particulièrement delà plèvre, et enfin l'opinion favorable à cette opération de Laennec et delà plupart des médecins et chirur

me nous l'avons vu plus haut pour l'em-pyème, les cas dans lesquels l' opération doit être pratiquée. Au-jourd'hui, avec la perfec

laquelle il est facile de distin-guer les tissus et de transporter l' opération dans l'espace le plus large du médiastin antérieu

antie de pénétrer dans le péricarde et de ne point léser le cœur. L' opération terminée, on se conduirait comme pour l'em-pyème.

EN. Les maladies de l'abdomen , dont le traitement donne lieu à des opérations , forment trois séries : i° Les épanchemens , les

ocart tel que nous le connaissons , les chirurgiens, pour faire cette opération , se servaient d'instrumens tranchans. Mais depui

way donnent la préférence à ce dernier procédé, sous pré-texte, que l' opération est moins douloureuse. Nous ne compre-nons pas qu

i des changemens de rapports possibles des organes ne rendaient cette opération quel-quefois dangereuse et par conséquent excepti

plaie , et un ban-dage de corps pour envelopper le bas-ventre après l' opération . Le lieu de la ponction étant déterminé, le malad

o-fondeur à laquelle elle doit pénétrer. Il est important, dans cette opération , que le trocart soit présenté bien perpendiculair

on continue ainsi jusqu'à ce cpie toute la sérosité soit écoulée. L' opération terminée, le chirurgien, pour retirer la canule,

n suspendre l'usage. Divers accidens peuvent entraver le cours de l' opération de la paracentèse , les principaux sont la syncop

sous-cutanées, dont le volume est beaucoup augmenté. On doit avant l' opération essayer de recon-naître le trajet de ces vaisseau

aissant exprès une portion de liquide ; rien de plus simple que cette opération nouvelle et toutes celles qui la suivent, puis-qu

es, un, en particulier, était un ancien militaire cpii au moment de l' opération était affecté d'une énorme ascite avec un œdème c

ce perpétuelle de suf-focation. Il y avait neuf jours que la première opération avait été pratiquée. Non-seulement le ventre étai

ses qui ont leur siège dans cette cavité. Mais jusqu'à présent aucune opération de ce genre n'a encore été pratiquée. Enfin, c'

eurent inoffensifs. On a vu ainsi, à toute époque, guérir sans aucune opération un grand nombre de malades, chez lesquels des vis

, où leur présence donne lieu à des accidens telle-ment graves qu'une opération soit jugée nécessaire. De là deux genres de secti

sous la dénomination commune de gastro-nomie. Mais, pour adopter des opérations aussi hardies, encore faut-il voir si elles sont

douteux de savoir dans cpiel cas, ou plutôt s'il est des cas où cette opération est suffisamment motivée. Section de l'estomac.

que le lieu de son gisement soit ignoré, c'est le cas de pratiquer l' opération sur le lieu d'élection, c'est-à-dire sur la ligne

ransverse du colon, pour découvrir la face antérieure de l'estomac. L' opération amenée à ce point, on a discuté dans ces derniers

il existe déjà une péritonite qui rend fort incertain le succès de l' opération . Toutefois, en nous bornant à prendre le fait mêm

e l'opération. Toutefois, en nous bornant à prendre le fait même de l' opération commencée, comme c'est dans la lésion du péri-toi

conséquences les plus funestes. En voilà du reste bien assez sur une opération qui , bien qu'ayant été pratiquée, ne figure en r

la conduite du chirurgien serait à peine justifiable de pratiquer une opération si grave pour l'extraction d'un corps étranger cp

éra-tion clans des circonstances aussi graves. Soins consécutifs. L' opération terminée, il s'agirait de recoudre la plaie de l'

oin. Section de lintestin. C'est sous ce nom que nous désignons une opération à laquelle conviendrait proprement la dénomi-nati

n de l'estomac , pour extrac-tion de corps étrangers, nous a paru une opération à peine pro-posable par impossibilité de fixer le

on , du reste, n'est pas la seule cpii pourrait motiver une semblable opération : l'étranglement interne, le volvulus et l'in-vag

ères , il semble qu'on pourrait, sans trop de danger, pratiquer cette opération . Toutefois, nous n'oserions pas conseiller positi

n, par excellence, est le débride-ment. Les règles générales de cette opération , dont nous avons déjà vu plus haut l'une des ind

disposé parallèlement à la direction delà plaie. Deux jours après l' opération , le chirurgien coupa le nœud au dehors et fit l'e

terminant sa dernière suture, au-delà du second angle de la plaie. L' opération terminée, le chirurgien confie à un aide les deux

s toutes les coutures, dans ce que l'on nomme l'action de faufiler. L' opération terminée, on réduit l'intestin en maintenant les

nférieur, et de les fixer l'un à l'autre par deux points de suture. L' opération terminée, il réduisit l'intestin qu'il aban-donna

à un chirurgien qui la montra à Heister. A partir de cette époque, l' opération de Rhamdor, vantée par Louis, n'a été pratiquée q

e M. Jobert. (Fig. 1 et 2.) Outre les instrumens néces-saires à toute opération , les objets indispensables sont deux fils de 2 dé

rsent en a confirmé les bons résultats en mon-trant, à la suite d'une opération sur le vivant, les deux bouts d'un intestin parfa

au dedans de l'intestin. Les choses à ce point, on recommence la même opération avec le même fil sur l'autre bout de l'intestin;

on passent à travers une rupture du péritoine, et expose les diverses opérations qui étaient en usage à son époque. Après avoir

i° siècle, on ne trouve que des inci-seurs ambulans qui infligent des opérations barbares aux her-nieux. Ces empiriques cautérisen

de génie chirurgical que tous les docteurs de son temps, parla d'une opération de la hernie étranglée. Sans rechercher ici s'il

anglée. Sans rechercher ici s'il fut réel-lement l'inventeur de cette opération , ou si plutôt, il ne fit que raconter ce qu'il av

ns l'histoire delà her-nie. A. Paré, contemporain de Franco, adopta l' opération contre l'étranglement, et Pigray, élève de Paré,

s ; mais, néanmoins, comme on eut fréquemment occasion de pratiquer l' opération de l'étranglement, et que d'ailleurs les con-nais

p discuté sur la manière d'éviter la blessure des vaisseaux pendant l' opération du débridement, et sur l'agent di-rect de l'étran

de parler un langage plus clair, la théorie de l'étranglement et de l' opération qu'il nécessite, la théorie de la cure radicale,

on qu'il nécessite, la théorie de la cure radicale, spontanée ou avec opération , la théorie de Eanus contre nature et de son trai

de cette circonstance pour recommander un procédé particulier dans l' opération de l'étran-glement. Nous devons, après cet expo

là où la constriction se fait le plus vivement sentir, et, pendant l' opération , on peut les distinguer des adhérences anciennes,

sortir du cadre que nous nous sommes tracé; mais devant traiter de l' opération qui con-vient à l'anus contre nature , nous allon

, soit d'une plaie du ventre, soit d'une hernie gangrenée, soit d'une opération de hernie exécutée avec maladresse ou dans des co

la pathologie qu'au-tant que cela est nécessaire à l'intelligence des opérations . Entonnoir membraneux.— On a long-temps cru que

es employés pour maintenir la hernie ré-duite, et ce que l'on nomme l' opération de la hernie étranglée, ne parviennent le plus or

successivement les procédés de réduction ou le taxis, les bandages, l' opération de la hernie étranglée et les opé-rations proposé

jeter de l'embarras dans l'esprit du chi-rurgien qui cherche, avant l' opération , à déterminer la position de l'artère relativemen

, il y a plus un grand dan-ger qu'ailleurs d'ouvrir l'intestin dans l' opération . Les autres enveloppes de la hernie sont aussi

ue l'on a affaire à une hernie exempte de tout accident, cette petite opération est simple et exige même si peu d'habileté, que p

si la hernie est compliquée d'étrangle-ment, le taxis devient une des opérations les plus délicates de la chirurgie, à cause des a

ue ensuite chez un grand nombre d'individus. Avec le désir d'éviter l' opération de la hernie, toujours grave en elle-même, il sem

e de désordres assez graves pour rendre inutiles les bons effets de l' opération , et en définitive il faudra en conclure que le t

est un des points les plus délicats de la chirurgie. A l'occasion des opérations , nous reviendrons sur l'opportunité d'un taxis pr

de la maladie. Si la hernie étranglée ne peut pas être réduite sans opération , il faut pratiquer l'opération de l'étranglement

tranglée ne peut pas être réduite sans opération, il faut pratiquer l' opération de l'étranglement : tout le monde avoue ce précep

s dan-gers mêmes de l'étranglement, mais on l'expose aux suites d'une opération dont la gravité ne saurait être méconnue. Opère-t

lade a passé entre les mains de. plusieurs mé-decins peu habitués aux opérations chirurgicales, parce qu'il est trop fréquent de l

ion vive dans l'intestin, l'épiploon et le sac, et plus tard, après l' opération , la mort devient inévitable par péritonite. Dupuy

; et déjà Saviard avait remarqué que de son temps, à l'Hôtel-Dieu, l' opération delà hernie était fréquemment malheureuse par sui

le au-jourd'hui le taxis forcé. Rien ne pressant, on peut reculer une opération qui n'est pas innocente en elle-même. Mais encore

précédés opéraient de bonne heure l'étran-glement. Historique de l' opération . Avant Franco, toutes les tenta-tives de la chiru

vers le milieu du xvie siècle seulement, qu'il est fait mention d'une opération spéciale contre l'étranglement. Soit cpte Franco

lui-même l'inventeur de cette précieuse dé-couverte, soit que déjà l' opération de la hernie étranglée eût été pratiquée par d'au

es du ventre ; une suture était faite ensuite. Ambroise Paré adopta l' opération de Franco, et remplaça le bâ-ton de bois par une

attri-buée beaucoup plus tarda Cheselden. Covillard (1640) pratiqua l' opération de Franco dans un cas de hernie étranglée frappée

ieds pour faire rentrer les viscères. Genga (16-7'!) s'éleva contre l' opération de l'étran-glement. Auxvme siècle, l'opération

'!) s'éleva contre l'opération de l'étran-glement. Auxvme siècle, l' opération de Franco fut admisesans contesta-tion, bien que

cure radicale. Dio-nis décrivit avec précision tous les détails de l' opération du dé-bridement, et, à partir de cette époque, ce

diquer ici les travaux ultérieurs. Nous allons maintenant décrire l' opération de la hernie telle qu'on la pratique pour les cas

suite ce qu'il faut faire lorsqu'il se présente des compli-cations. OPÉRATION DE LA HERNIE ÉTRANGLÉE OU KÉTÉTOMIE. Appareil i

seaux mousses et une sonde cannelée : ces instrumens suffisent pour l' opération . Certains chirurgiens en ont employé de particuli

malade, debout, assis, ou à genoux, suivant sa convenance, commence l' opération . Premier temps. Incision des tègumens. L'incisi

es, contribue beaucoup à rendre facile ce temps toujours délicat de l' opération , et comme on est guidé par le doigt porté derriè

une seule qui pourrait être dangereuse. Nous verrons, en parlant de l' opération , appliquée aux diverses espèces de hernies, dan

MENT ET SOINS CONSÉCUTIFS. Le pansement de la plaie consécutive à l' opération est des plus simples. La plupart des chirurgiens

deux points de suture. Cette conduite, avantageuse dans les cas où l' opération a été simple et promptement terminée, ou en d'aut

peut devenir la source d'accidens. D'ailleurs l'im-portance, dans une opération aussi grave, n'est pas de hâter de quelques jours

bligé de se mouvoir ou de tousser, etc. Si, quelques heures après l' opération , les selles ne se rétablis-sent pas spontanément,

ins cette précaution ne suffit pas tou-jours, et fréquemment, après l' opération , soit paresse del'intestin ou commencement d'infl

à une récidive de la maladie pour laquelle il a subi une aussi grave opération . CONDUITE A TENIR DANS LES CAS DE COMPLICATIONS

es intestins) ; mais en général il est préférable de n'employer que l' opération secondaire qui consiste à combattre l'anus anorma

eau de l'anneau inguinal externe, l'opérateur, croyant avoir achevé l' opération , essaie de réduire, et, portant son doigt derrièr

Supposons que, dans cette circonstance, on soit obligé de pratiquer l' opération du débridement, le chirurgien, après avoir réduit

et quand on l'a trouvé on se comporte comme cela est prescrit dans l' opération ordinaire, si ce n'est qu'il ne faut pas oublier

récautions sont de rigueur. accidens qui peuvent survenir pendant l' opération . Ces accidens sont principalement la blessure d

hémorrhagie. On est exposé à blesser l'intestin dans deux momens de l' opération , ou bien en divisant les enveloppes de la hernie,

ègles à suivre pour éviter la bles-sure des vaisseaux, en décrivant l' opération pour les diverses espèces de hernies. Dans cet

pour les diverses espèces de hernies. Dans cet exposé général de l' opération de la hernie étranglée, nous n'avons point parlé

lui-ci d'un second coup cle bistouri, ce qui abrégerait de beaucoup l' opération , mais aussi exposerait au danger cle blesser les

convenable de les réduire ou cle les laisser dans le sac au dehors. opération de l'étranglement appliquée aux hernies spéciales

qui sert de base aux modifications spéciales qui caractérisent, ici l' opération . En se rappelant que l'artère en question est tan

nsi que nous l'avonsvu, et alors il devient difficile, même pendant l' opération , de savoir si telle hernie inguinale est bien rée

ement proposé par Gimbernat, il faut noter que, sur le grand nombre d' opérations faites suivant ce procédé par Scarpa, Boyer, M. R

toujours faire uriner le malade avant de le soumettre au taxis ou à l' opération . Hernie ombilicale et ventrale. Les trois premi

ation. Hernie ombilicale et ventrale. Les trois premiers temps de l' opération exigent de grandes précautions, à cause du peu d'

celle du péritoine qui est souvent consécutive à la première, après l' opération de la hernie ombilicale. A. Cooper, Key, et avant

stiquer d'une manière positive, qu'il n'est pas prudent d'en tenter l' opération . Pour découvrir le sac, il fau-drait, en effet, l

urgien ne soit à même de remédier, d'après ce que nous avons dit de l' opération appliquée aux autres hernies. TRAITEMENT AYANT

uefois au prix d'une mutilation ; puis, arrêtée par les dangers cle l' opération même et par les exhortations de quelques hommes q

jà annoncé aux jeunes chirurgiens qu'il ne leur faisait connaître ces opérations que comme de mauvaises choses qu'il fallait évite

e et l'incertitude du succès permettent rarement d'y avoir recours. Opérations ayant pour but la cure radicale des hernies. Pr

ongé sérieusement, à notre époque, à obtenir la cure radicale par une opération . Son but a été d'oblitérer l'ouverture herniaire

e sur le même principe que fut exécutée par Jameson de Baltimore, une opération chez une dame affectée de hernie crurale : ce chi

otablement de tous ces essais, comme on va le voir. Il emploie pour l' opération une aiguille très compliquée, sorte de tige-ca-nu

, jeune homme de i4 ans, affecté d'une hernie inguinale congéniale, l' opération , quoiqu'à-peu-près heureuse en définitive, a fail

édecine opératoire, 1841.) MÉTHODE ET PROCÉDÉS DE M. GEHUY. Cette opération n'est applicable qu'à la hernie inguinale. M. Ger

inal. Ce mou-vement de sortie de l'aiguille est un temps délicat de l' opération , et le doigt indicateur gauche ne doit jamais ab

avec un simple bandage en T. Un purgatif aura été administré avant l' opération , et on maintient le malade à une diète sévère pe

e on le voit (fig. 1, lett. c.) On peut avoir à craindre dans cette opération de léser l'artère épigastrique , de comprendre le

ient en gé-néral à l'éloigner des points où doit passer l'aiguille. L' opération de M. Gerdy paraît avoir été pratiquée déjà une s

son ne s'étant pas maintenue on a été obligé de pratiquer deux fois l' opération ; enfin chez un assez bon nom-bre la cure a paru

ois, et maintenues on place pendant quel-ques jours : on retrouve une opération , moins parfaite mais assez semblable, dans les é

aru jusqu'au vingt-cin-quième jour et tout était terminé du côté de l' opération , lorsque survint tout-à-coup une affection rhuma

atismale compliquée de péricardite. La mort eut lieu six mois après l' opération ; 011 vit à l'autopsie cpie le sac n'avait subi au

est survenu , mais les deux hernies se sont reproduites comme avant l' opération . Appréciation générale. En résumé, voilà cle no

malgré nos prévisions les plus justes, peuvent venir compliquer toute opération , même simple, et, à plus forte raison, une opérat

compliquer toute opération, même simple, et, à plus forte raison, une opération faite au voisinage de la grande cavité péritonéal

ité d'agir, et par conséquent le chirurgien doit s'abstenir cle toute opération , puisque la plus simple peut compromettre la san

les acci-dens , sans être elle-même une nouvelle cause cle danger. OPÉRATIONS OUI ONT RAPPORT A L'ANUS ANORMAL. On appelle an

'orifice accidentel. Le succès fut rapide et complet. Depuis, la même opération a été pratiquée par plusieurs chirur-giens avec d

connaissance de la thèse du chirurgien allemand, essaya de cette même opération qui eut un plein succès. C'est donc à Scbmalkalde

l'entérotome, il faut faire placer le malade sur le dos, comme pour l' opération de la hernie étranglée, puis aller à la recherche

posa, pour rendre son ob-servation utile dans des cas semblables, une opération chirurgi-cale qui consiste à ouvrir le ventre dan

randes espérances de guérison , mourut le vingt-huitième jour après l' opération . Ce qui fut attribué au séjour dans les petits in

-tant né sans apparence d'anus, et qui ne vécut que dix jours après l' opération (Recueilpèriod. de la Soc. de méd. de Paris, I. I

le premier cas de succès de longue durée. En 179^1, Desault fit celte opération pour un cas semblable à celui de Duret; mais l'en

seconde observation dans laquelle le malade a vécu long-temps après l' opération . En 1797, Dumas, professeur à l'Ecole de santé

Genève, a publié deux mémoires, dont l'un contient une obser-vation d' opération d'anus artificiel, par la méthode de Littre; la f

tren, Roux et Velpeau, ont également pratiqué une ou plusieurs fois l' opération de l'anus artificiel, par le pro-cédé de Littre a

arois du ventre pour y attirer l'in-testin et l'y fixer. Depuis cette opération a été régularisée, et voici comment on y procède.

est impossible, parce qu'on attend au dernier moment pour pratiquer l' opération . Enfin on a proposé de décoller le péritoine de

rps savant un autre mémoire, contenant deux nouvelles obser-vations d' opérations d'anus artificiel, faites par le même procédé. De

les est d'un jaune on-dulé. Ces caractères sont fort importans pour l' opération . Cette couleur du gros intestin doit être attribu

l'enlever avec beaucoup de précaution. Le point le plus délicat de l' opération , c'est de se décider à percer l'intestin; avant

mens de la plaie avec un point de suture entrecoupée. Dans un cas d' opération de cette nature, pratiquée par M. Malgaigne, ce c

de huit jours, plutôt aux suites du cancer du rectum qu'à celles de l' opération , qui avait été des plus bénignes. Il craint que l

lles de l'opération, qui avait été des plus bénignes. Il craint que l' opération ne se trouve ainsi plus d'une fois compromise, pa

on de l'expérience. Soins consécutifs. Dans les premiers jours de l' opération , il faut maintenir le malade à un régime sévère,

e, et si la maladie principale n'a pas été exaspérée par le fait de l' opération , on doit avoir recours à un régime plus nourrissa

s son mémoire. Le second malade de M. Amussat, trois semaines après l' opération , avait son anus artificiel tellement rétréci, que

en nous demandant pourquoi on reculerait plus long-temps devant cette opération lorsqu'elle est indiquée, lorsqu'elle est le seul

reuse, surtout par la méthode de Littre? nous en conviendrons; mais l' opération césarienne est-elle moins dange-reuse? N'ouvre-t-

st précise. N'ouvre-t-on pas un viscère contenu dans l'abdomen dans l' opération de la taille? Et si l'on nous objecte que, dans c

e MM. Amussat et Baudens. Et cependant lorsqu'on pratique la taille l' opération n'estpas aussi urgente que celle de l'entérotomie

ille l'opération n'estpas aussi urgente que celle de l'entérotomie. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LE RECTUM ET L'ANUS. Un n

QUI SE PRATIQUENT SUR LE RECTUM ET L'ANUS. Un nombre considérable d' opérations se pratiquent sur l'anus et le rectum dans les de

que , nous commencerons par les vices de conformation, cause forcée d' opérations , et nous présenterons les autres dans l'ordre de

'emporter la peau par une incision circu-laire; mais au lieu de cette opération , qui ne donne que des limites incertaines, étant

cces-sivement chaque lambeau avec une pince, et on fait l'excision. L' opération terminée, on introduit dans le rectum et on y lai

as en haut comme de haut en bas se termine également en cul-de-sac. L' opération par l'anus n'est praticable qu'autant que la haut

à en déterminer le siège manquent de plus ei plus cle certitudes , l' opération par l'anus en devient moins pra ticable , et il n

-de-sac formé par la cloison ; dès qu cette certitude est acquise , l' opération est réclamée. Les auteurs sont remplis de faits

em sonder tout enfant nouveau-né qui est dans ce cas, les chance de l' opération étant d'autant plus favorables que l'on y a e rec

l'imperforation n'avait été reconnue qu'au douzième jour. Quant à l' opération , elle n'offre aucune difficulté jusqu'à 111 profo

r usant cle toutes les ressource a élé obligé de réitérer onze fois l' opération . Ainsi donc, et quoique le conseil n'en soit pa

omme il est évident que le rectum existe, c'est les cas de tenter une opération pour rétablir l'orifice dans son lieu naturel.

remédier à ce genre d'imperfo-ralion, c'est de créer un anus par une opération . Mais il y a deux manières bien différentes d'y p

un anus en quel-que sorte naturel. C'est seulement de cette dernière opération que nous allons avoir à nous occuper, l'autre aya

nécessité et à la faiblesse des sujets sur lesquels on la pratique, l' opération , quoique souvent très grave en elle-même, fournit

vient embarrassant pour le chirurgien qui ne sait à laquelle des deux opérations il doit avoir recours, de l'anus périnéal ou de l

ux d'un aide, les membres abdominaux écartés et fléchis, comme pour l' opération de la taille périnéale , les tégumens du périnée

ateur gauche qui doit lui servir de guide pendant toute la durée de l' opération . L'objet de cette exploration est de reconnaître

ale furent accolées à la peau et réunis avec elles par des sutures. L' opération eut un plein succès. Des chirurgiens dont l'aut

ffisante , dans les cas mêmes où il n'en serait pas ainsi, une fois l' opération commencée, il n'y a encore rien de mieux à faire.

t le nouveau-né non viable , puisqu'il y a nécessité de pratiquer une opération toujours très grave à quelque méthode que l'on ai

re disposé pour l'acte de la dé-fécation , plutôt que de transposer l' opération sur un point de la paroi abdominale où ces condit

térisation sans que les bords puissent fuir et s'enfoncer après cette opération pratiquée. La manoeuvre d'introduction est facile

ces 1/2), de manière à ne pouvoir être expulsée par les sphincters. L' opération terminée, l'essentiel est d'obtenir du malade qu'

uérison s'est maintenue. Incision du sphincter anal. Pour que cette opération soit in-diquée, il faut supposer que les fissures

ux sont venus justifier ses prévisions. Pour préparer le malade à l' opération , il est convenable, deux ou trois jours à l'avan

nt quelques bains cle siège émolliens. Les objets in-dispensables à l' opération sont des plus simples : deux bistouris droits à l

n peu l'incision sur la peau. De cette section résulte , comme dans l' opération de la fistule, une plaie triangulaire dont le som

it toutes également et on n'au-rait point à se préoccuper des petites opérations secondaires que pourraient nécessiter ces gerçure

corde , on prescrit de pratiquer également la section de ce côté. L' opération terminée, on met dans la plaie ou dans chacune de

le rectum. Du reste, les soins consécutifs sont les mêmes que pour l' opération de la fistule à l'anus. La cicatrisation a lieu q

e guérison les plus certaines. Toutefois il n'est pas exact que cette opération guérisse toujours la fissure comme Boyer l'affirm

âge, tous deux forts et bien consti-tués, qui, après avoir subi cette opération , ont succombé à des péritonites avec infiltratio

de l'antiquité. Avec les Arabes, toujours si craintifs au sujet des opérations sanglantes, disparaissent toutes les méthodes de

en y ajoutant le gorgeret, déjà oublié, de Marchettis a reconstitué l' opération telle qu'on la pratique de nos jours. D'un autre

l convenir qu'elle peut toujours offrir des dangers plus graves que l' opération . Une crainte extrême du malade qui se refuserait

ncer. Ainsi dónela ligature, en apparence inof-fensive au moment de l' opération , est, par le fait, le moyen le plus cruel et le

sque-là, serait prématuré. Incision. Soins préparatoires. Lorsque l' opération a été dé-cidée, il est bon, conformément au préce

atif administré la veille et un lavement donné le matin même, avant l' opération , afin que le malade soit en mesure de s'abstenir

et plusieurs mèches épaisses et longues; enfin, comme dans toutes les opérations où des hémorrhagies profondes sont à craindre, on

rajet qu'ils ont parcouru. L'incision principale étant effectuée, l' opération , néanmoins, n'est pas encore terminée. D'abord, e

i ou les ciseaux courbes sur le plat. Telle est dans son ensemble l' opération de la fistule à l'anus t. vii. réputée simple

ent être confondues en une seule plaie, il y a lieu de pratiquer deux opérations . Enfin une dernière observation a rapport aux f

pérer , puisque , aussi bien , dans la plupart des cas de ce genre, l' opération a été suivie de succès pourvu que l'on ait eu le

dont la pointe est reçue dans la cannelure dugorgeret. Passé cela, l' opération est la même. IL Fistule borgne interne. Cette v

que cet accident soit assez grave pour inspirer des craintes après l' opération delà fistule à l'anus. Si une petite artère a été

osi-tion d'une toile de charpie, comme on l'a pratiqué depuis après l' opération de la fissure à l'anus. Dans le siècle dernier ,

ral à toutes les maladies chroni-ques du rectum et aux cicatrices des opérations qui ont eu pour objet de les guérir; et ses consé

là dilatation. HÉMORRHAGIES. Cet accident est commun à toutes les opérations qui se prati-dans le rectum. C'est l'un des plus

s purulentes et les gan-grènes stercorales, qui rendent si graves les opérations sur le rectum, si par cette méthode on ne peut ab

. Nous disons pour ces cas seulement, car il faut se rappeler que les opérations qui s'y rapprochent sont douloureuses et ont si s

d il est absolument nécessaire d'opérer. Les exemples sont nombreux d' opérations légères qui ont eu des suites funestes, et M. Vel

ision. Boyer et Dupuytren n'avaient confiance que dans cette dernière opération , et il faut dire que cet avis est partagé par pre

raient augmenté les chances d'héinorrhagies internes consécutives à l' opération et celles du rétrécissement de l'anus après la ci

s tumeurs accessi-bles et de remettre à un autre temps à poursuivre l' opération sur celles qui sont le plus élevées ; mais alors

dolant le dos de sa lame tournée vers l'intes-tin. De cette manière l' opération , assurée par ses dispositions préliminaires, mar

us, outre l'usage des mèches dilatantes, on a conseillé de terminer l' opération par la section du sphincter anal en con-duisant à

profon-deur d'environ un centimètre et demi (6 lignes), comme dans l' opération de la fissure à l'anus. Assurément ce conseil d

dés, devaient être abandonnées ou devenaient une nouvelle cause d'une opération ultérieure. A l'époque ( février 1842) où M. Ch

umeurs remontaient aune certaine hauteur dans le rectum; chez tous, l' opération , simplifiée dans sa manœuvre, avait été beaucoup

térisation à la manière de Du-puytren, voici en quoi elle consiste: l' opération terminée, soit que l'on ait été ou non dans l'obl

on par première intention, sans coarctation ultérieure de l'anus; une opération aussi grave, disons-nous, ramenée à des condition

es rapportés par Sau-veur et M. Velpeau. Débridement. C'est la même opération que celle de la coarcta-tion du rectum, modifiée

Le débridement pour la réduction dans les chutes du rec-tum estime opération simple, facile et dont on doit conseiller l'emplo

cutanés de l'anus. Sous cette désignation se trouvent comprises deux opérations très différentes, quoique l'intention chirurgical

é , la cicatrisation pourrait resserrer l'orifice anal trop dilaté. L' opération pratiquée en 1789 eut un plein succès, et le même

n à Hey qu'appartient la priorité de l'idée originale; mais comme son opération , qui n'a eu cpie peu de retentisse-ment en Anglet

sphincter et n'a point ainsi de suppuration à l'extérieur. Après l' opération , Dupuytren abandonnait à la nature, la ci-catris

efois la procidence de la muqueuse se manifeste 42 encore après l' opération , avec les premières selles, mais on doit peu s'en

besoin d'aller à la selle com-mence à se faire sentir. Il est peu d' opérations chirurgicales qui réussissent aussi bien, et auss

ins long, récidives qu'on peut, au reste , annuler en re-commençant l' opération , si l'on compare les résultats fournis par cette

Excision du sphincter anal. M. Robert a pratiqué dans un cas cette opération avec succès. Son malade étant placé comme pour l'

arrête l'hémorrhagie assez abondante qui d'ordinaire accompagne cette opération , en tamponnant comme on le fait après l'extirpati

veloppement. Chez eux il ne faut donc pas se presser de pratiquer une opération sanglante. Chez les personnes âgées, au contraire

e quelquefois. Ligature. (Pl. 45, fig. i). Avant de pratiquer cette opération , on donne un quart de lavement au malade , et lor

e faire saillir son siège, soit en le plaçant sur un lit comme pour l' opération de la fistule , soit en appuyant sa tète sur une

tissu cellulaire envi-ronnant. Le chirurgien qui voudra tenter cette opération , devra auparavant se rappeler parfaitement les ra

igt suffit pour les disséquer. Les vaisseaux qu'on divise pendant l' opération donnent beau-coup de sang: ce sont les hémorrhoïd

our quiconque a bien étudié les rapports précédens, et a essayé cette opération sur le cadavre, elle ne présente pas de grandes d

il disait publiquement en 1822 qu'on avait eu tort d'abandonner cette opération , et que les can-cers de l'extrémité inférieure du

'est chargé de démontrer pratiquement cette pro-position. Sa première opération fut faite le i3 février 1826, et le i3 avril suiv

guérisons, trois morts et un résultat douteux. Depuis cette époque l' opération dont il s'agit a été faite un grand nombre de foi

u à enlever six à huit centimètres de hauteur d'intestin. Lorsque l' opération est terminée, il faut s'assurer à l'aide du doigt

dans la crainte de voir repulluler le mal et de perdre le fruit de l' opération qu'on vient de taire. Quanta l'hémorrhagie, si

ures, pour qu'il irrite moins. Pansement. C'est surtout après cotte opération que se fait sen-tir l'importance d'un bon panseme

at, on se crée de véritables difficultés pour l'avenir. Suites de l' opération . Elle peut se terminer par la mort, la récidive e

eux les praticiens à même de savoir ce qu'ils doivent penser de cette opération , que les meilleurs raisonnemens. Nous avons déjà

ion, que les meilleurs raisonnemens. Nous avons déjà dit que sur neuf opérations connues, M. Lisfranc avait eu trois morts, un rés

opéré lui-même, avant que la cicatrisation fût complète. Lorsque l' opération se termine par la guérison, ordinairement les mat

capable de retenir les matières fécales lorsqu'elles sont moulées. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES ORGANES GÉtVITO - URINA

QUI SE PRATIQUENT SUR LES ORGANES GÉtVITO - URINAIRES DE L'HOMME. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LE SCROTUM. HYDROCÈLE.

que la maladie se reproduise, et il en avait vu plusieurs exemples. L' opération terminée, on remplissait, comme par le procédé de

précaution, il pour-rait se faire que l'orgae se trouvât blessé. L' opération étant terminée et le malade couché, on est dans l

irconstances où l'inflammation atteint ce degré dès le lendemain de l' opération , tandis cpie d'autres fois elle est très modérée

t enfin Velpeau qui dit en avoir eu l'idée en i83i , est une mauvaise opération généralement abandonnée. Ce n'est pas qu'elle soi

on dire qu'ils ont un peu exagéré les dangers proba-bles d'une double opération . Il arrive quelquefois qu'une hydrocèle d'un cô

ne point attendre que l'un soit guéri pour opérer l'autre; car ici l' opération , parfaitement semblable à celle d'une hydrocèle s

goureusement cette question sur les divers rap-ports de la durée de l' opération , de la douleur, du danger, de la longueur du trai

x et qui est le plus applicable ; l'injection vineuse n'est point une opération longue , mais elle nécessite plus d'appareil , né

l'espace de l\ à 5 jours), nécessite après l'emploi du vin, depuis l' opération jus-qu'à l'inflammation intense , une attention d

faits, pour la juger, seront assez nombreux. Disons à l'avance que l' opération en elle-même est courte, peu douloureuse, et qu'e

er. La compression de M. Velpeau et l'acupuncture ne sont point des opérations douloureuses ni graves; mais leurs résultats sont

odes pré-cédentes. L'expression seule d'excision indicpie combien l' opération doit être lente et douloureuse pour le malade , e

'application de la pince; la mort fut-elle ou non la conséquence de l' opération , c'est ce qu'il nous paraît difficile de décider.

parlé, et l'on ne peut espérer d'en obtenir la guérison cpie par une opération . Au reste, le choix de l'opération étant subordon

n obtenir la guérison cpie par une opération. Au reste, le choix de l' opération étant subordonné à la nature de la maladie, comme

, la dégénérescence encéphaloïde, etc. ; on lui ap-pliquait les mêmes opérations qu'à ces dernières, soit l'excision d'une partie

et in-jecte de l'eau dans la tunique pour la nettoyer complètement. L' opération terminée, avec un stylel-aiguillé il introduit de

est bien connue. L'observa-tion que Dionis rapporte dans son traité d' opérations , observa-tion qui fut envoyée de Pondichéry en 1

seul moyen thé-rapeutique qu'on puisse lui opposer avec succès est l' opération . Or ici, par opération, on ne doit pas entendre l

que qu'on puisse lui opposer avec succès est l'opération. Or ici, par opération , on ne doit pas entendre l'extirpation du testicu

sont plus satisfaisans qu'il ne semble qu'on devrait l'attendre d'une opération , en apparence aussi formidable , ce qui tient san

qu'une simple affection de la peau sans réaction sur l'orga-nisme. OPÉRATIONS SUR LE TESTICULE. SARCOCÈLE. — CASTRATION (Pl.

eul ou des deux testicules. Historique. 11 n'existe peut-être pas d' opération chirurgicale , dont, sous divers prétextes , trop

maintenant des traces dans nos campagnes. Aujour-d'hui, enfin , cette opération n'est plus réservée légalement que pour les cas o

, colloïde oumélanique , il est absolument inévitable de l'enlever. L' opération est sou-vent nécessaire pour les testicules tuber

solument in-curable, seule considération qui suffise pour justifier l' opération . Avant de procéder à l'ablation , il faut bien

ncipe morbide , car il surviendrait nécessairement une récidive, et l' opération aurait été pratiquée en pure perte. Toutefois , c

l inguinal, il n'y aurait pas là une contre-indication absolue pour l' opération . méthodes opératoires. Autrefois, lorsqu'on v

et un bandage en T. Après avoir bien rasé les parties, on procède à l' opération . Procédé ordinaire. Il comprend plusieurs temps

ée, et divise, derrière ce faisceau, le reste delà gaîne. Après cette opération préliminaire, on peut couper le cordon sans appli

obligé de se livrer quelquefois, allongent inutilement le temps de l' opération . Ces reproches ne sont pas sans fondement, mais n

oit par ce procédé, il n'y a aucune dissection à faire, la durée de l' opération est pres-que nulle comparativement à celle qu'ell

endre la réunion plus prompte et encore plus aisée, il place, avant l' opération , des fils dans les lèvres de la plaie, à la dista

que dans la fosse iliaque pour en faire la ligature, n'a pas trouvé l' opération très difficile. Quoi qu'il en soit, c'est une opé

relevée; on le soumet ensuite au régime et au traitement des grandes opérations . Divers accidens consécutifs peuvent survenir.

survenir. i° L'hémor-rhagie se montre parfois quelques heures après l' opération et dépend de ce qu'on a omis la ligature de petit

dent sa cicatrisation. En résumé, la castration est une des grandes opérations de la chirurgie dont le pronostic est le moins gr

le moins grave; elle réussit bien et expose peu la vie des malades. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LE PÉNIS. Les maladies de

et à des applications émollientes. SECTION DU FREIN. Cette petite opération devient nécessaire toutes les fois que le frein s

y laisser aucune aspérité. On pourrait aussi pratiquer cette petite opération avec des ci-seaux , niais il vaut mieux employer

aissance sous l'influence d'une cause, quelconque. Indications de F opération . i " Le phimosis congénial ne présente guère d'

osis congénial ne présente guère d'inconvéniens , et ne nécessite une opération immédiate que dans les cas où le prépuce est très

oies urinaires, cite une obser-vation de ce genre fort remarquable. L' opération qu'on pratique en pareil cas est la circoncision.

s bains de pro-preté, mais il vaudra toujours mieux avoir recours à l' opération . a" Le phimosis accidentel peut dépendre d'une

ir la résolution, quoiqu'on soit assez souvent obligé de recourir à l' opération . Mais si l'inflammation se termine d'une manièr

u d'espérances, on ne peut réellement compter que sur l'opé-ration. Opération . Elle se lait par incision , par excision et par

ction, ne fait, dans les cas ordinaires, que compliquer inutilement l' opération , sans ap-porter un remède plus efficace à la mala

e inflammation aiguë du prépuce; il est vrai qu'immédiatement après l' opération , les lèvres de la plaie paraissent grosses et tum

rs à une excision plus ou moins considérable des tissus morbides. L' opération du phimosis, une fois terminée, n'exige pour tout

p long-temps sur les moyens de réduction ; il vaut mieux recourir à l' opération : « Je m'y détermine d'autant plus, ditJ. L. Peti

e qu'ils ont tous une disposition au phimosis. » Suivant Boyer, cette opération est surtout nécessaire et urgente lorsque le para

Jéd. opér. t. 4, p. 33o). M. Velpeau pense que l'on rendrait encore l' opération plus simple, plus sûre et moins douloureuse, en f

il ne faudrait pas chercher à ramener le prépuce sur le gland après l' opération , dans la crainte de causer trop de douleur et d'a

a gangrène ou par la circoncision; on a tenté de le rétablir par deux opérations qui sont différentes suivant que le prépuce manqu

t de laisser une petite ouverture pour le passage de l'urine. Cette opération est ajuste titre inusitée, d'abord parce qu'elle

le malade à la diète jusqu'à ce que l'inflamma-tion fût tombée. Cette opération , qui est inusitée parmi nous, était assez souven

de chaque côté un lambeau trian-gulaire du prépuce que de pratiquer l' opération de J. L. Petit. calculs situés entre le gland e

-bitude pour ne plus causer aucune gêne, et pour ne nécessiter aucune opération ; toutefois, si l'on voulait les détruire, il suff

auteurs, Boyer ne veut point que l'on fasse uriner le malade avant l' opération , parce que l'urine s'oppose à ce que la sonde qu

la plaie afin d'y introduire la sonde, a proposé de la placer avant l' opération et de la couper en même temps que la verge. Pro

uteurs qui ont eu l'occasion d'amputer la verge ont observé que cette opération était fréquemment suivie de suites fâcheuses. Le

combent à leur cha-grin ou terminent leur existence par le suicide. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'URÈTRE ET LA VESSIE. Av

nt d'entrer dans aucun détail sur les maladies de l'urètre et sur les opérations que ces maladies nécessitent, il est indispen-sab

olume, et sur laquelle on fait cicatriser le canal artificiel. Aucune opération n'a encore été tentée pour le cas où l'oblitérati

trouve l'urètre. On ne peut remédier à cette affection que par une opération chirurgicale. Lorsque l'hypospadias existe à la r

habitude, les gênant peu et ne les rendant pas impuissans. Au reste l' opération serait la même que si la fistule était située un

l'extrémité du gland , il fit placer le malade comme pour t. vu. l' opération de la taille, porta un stylet boutonné clans l'ur

aisseur du pénis. Bublach , Dupuy-tren et M. Bégin ont pratiqué cette opération , et ont également réussi. Procédé de Dupuytren

idérer comme étant incurable. Enfin, quant au juge-ment à porter de l' opération dans les divers cas où elle s'appli- % que, o

hétérisme ( catheterismus , xa0e-njp«7fiàç action de son-der) est une opération qui consiste à introduire dans la vessie un cathé

e, et pour aider soit à pratiquer, soit à mener à bonne fin certaines opérations . Suivant l'objet qu'on s'est proposé de remplir

REIL INSTRUMENTAL (Pl. 54). Les instrumens qu'on emploie pour cette opération ont long-temps porté le nom de cathéters, ils le

our la sonde de fer cannelée sur la convexité, dont on se sert pour l' opération de la taille périnéale. On pré-fère se servirdesn

b-tenir un renflement, il faut rendre le canevas un peu plus épais. opération du CATIIÉTÉR1SME. Il y a deux manières de l'exé

st arrivé dans la vessie. Remarques. i° C'est principalement dans l' opération du ca-thétérisme qu'il importe de se rappeler par

supérieure de l'urètre avec t. vii. le bec de la sonde. Pendant l' opération , il faut agir avec beaucoup de douceur. M. Lallem

que l'on fait lors-qu'on introduit le cathéter dans la vessie pour l' opération de la taille. J. L. Petit pensait que les ancie

ir tiré de l'oubli où il était plongé et de l'avoir placé au rang des opérations réglées qu'il n'est plus permis aux praticiens d'

n Autriche, un ouvrage qui a pour titre : Recherches pour faciliter l' opération du cathétérisme, dans lequel il prétend démontrer

rètre, chasse le sang qui résulte de l'o-pération. Deux jours après l' opération on lui en substitue une plus grosse, et l'on cont

, et si l'urine s'écoule, la présomption se convertit en certitude: l' opération est terminée. Mais comme l'urine commence à sorti

EXTÉRIEURE DE l'uRETRE OU BOUTONNIÈRE. (Pl. 57 bis,fig. 7.) Cette opération qui consiste à ouvrir l'urètre de l'extérieur à l

de se four-voyer, étant ici privé du cathéter qui sertde guide dans l' opération de la taille; comme aussi l'introduction préalabl

nducteur, pour le styletou la sonde cannelée, pourrait constituer une opération aussi dangereuse que la taille, et en même temps

r rafraîchir les bords, et qu'on n'introduise la sonde qu'après cette opération pré-liminaire. Mais qu'on avive les bords de la f

tion de la perte de substance ou à pratiquer au besoin, au périnée, l' opération de la bouton-nière, en arrière de l'ouverture ano

, voici comment M. Ségalas utilisa cette disposition au profit de son opération . H circonscri-vit la cicatrice de la verge entre

ut fendu du côté du dos de la verge, comme s'il se fût agi de faire l' opération du phimosis. Le débride-ment permit au prépuce de

rd introduite dans la vessie pour évacuer l'urine. Le succès de cette opération ne fut pas complet ; il fallut cautériser, reveni

ne épididymite et un abcès qui ont failli compromettre le succès de l' opération ; dans le cas de M. Ricord, il n'y avait, point de

e; elle fut créée artificiellement. Au reste, ce n'est point là une opération nouvelle, mais seu-lement une application d'une o

oint là une opération nouvelle, mais seu-lement une application d'une opération déjà connue de Ledran, qui l'avait employée avec

de l'urètre (Pl. 5y bis, fig. 3). Le malade étant placé comme pour l' opération de la taille péri-néale, les bourses relevées par

it comme dans le cas où le calcul occupe la région prostatique. Cette opération , quoique assez dangereuse, doit généralement êtr

ces que l'on possède aujourd'hui on ne voit guère dans quel cas cette opération pourrait être justifiée. Les moyens employés pour

is à exécution, réussit parfaitement. M. Gensoul a pratiqué la même opération chez une femme. Les bords de la plaie, maintenus

érieur et inférieur de la prostate hypertro-phiée. Le but de ces deux opérations est de tracer un canal dans l'épaisseur deslobes

pour qu'on puisse l'embrasser dans une ligature, on doit tenter cette opération . Procédé de M. Leroj [dEtiolles). Ce chirurgien

ronie eut l'idée de substituer le trocart au bistouri, pen-sant que l' opération serait moins dangereuse. Heister et Juncker ont p

jambes et les cuisses fléchies, est fixé par des aides, comme pour l' opération de la taille. L'un d'eux comprime légèrement la v

t la fixe aux sous-cuisses d'un bandage en T. Si l'on exécute cette opération sur un cadavre après avoir dis-tendu la vessie av

nt. ponction de la vessik par lhypogastre (Pl. S'], fig-4)- Cette opération n'est pas très ancienne , et ne paraît guère anté

t ne paraît guère antérieure à la fin du xvii6 siècle. Méry, dont l' opération , qui date de 170 1, a été consignée dans les Mémo

du péritoine avec la face antérieure de la vessie. Dans sa première opération , Méry pratiqua sa ponction sur le bord externe et

réintroduire la canule, c'est-à-dire, en quelque sorte, recommencer l' opération , a" Si la canule était trop longue, son extrémité

ue dans les cas exceptionnels, et comme elle ne fait que compliquer l' opération , n'a point été adoptée. Nous en dirons autant de

abord, laisser dans la plaie une canule flexible et non métallique. L' opération par le trocart courbe est réel-lement trop simple

t. ponction de la vessie par lurètre (Pl. ^, fig. 6, 7, 8). Cette opération n'est guère proposable, et en devrait presque êtr

'avec l'autre main. Chez la femme, la fonction de la vessie est une opération qu'on doit être très rarement dans l'obligation d

ar les mêmes procédés que l'on suit chez l'homme. Appréciation de l' opération elle-même. Il est assez généralement reçu que l

de la vessie, quel que soitlelieu dans lequel on la pratique, est une opération assez grave, qui ne fait, le plus souvent, que co

de cause. Cette opinion des chi-rurgiens, sur l'extrême gravité de l' opération , ne nous paraît pas suffisamment justifiée, car l

'urine est frappé à mort ; aucun effort humain ne pourra le sauver; l' opération ne saurait être accusée d'im-puissance parce qu'e

er; dût-on même n'y arriver jamais, qu'on devrait encore considérer l' opération dont il s'agit comme un précieux moyen de secours

force contre l'habitude et la timidité qui amènent à prati-quer cette opération trop tard. Nous nous rangeons à leur opinion, et

et que l'organisme ait éprouvé de trop profondes atteintes, dès que l' opération est reconnue indispensable, qu'il n'hésite plus à

gravement affecté, et la nécessité presque inévitable de re-venir à l' opération , en supposant qu'on réussît la première fois, on

he, diviser toute la couche graisseuse, et ponctionner ensuite. Cette opération est la moins dangereuse, car il n'y a sur son tra

conséquent d'exposer aux infiltrations urineuses et à re-commencer l' opération plusieurs fois, parce que, si le trocart est trop

l. Quant aux infiltrations urineuses, à l'obligation de recommencer l' opération , et à la crainte de l'ulcération delà paroi posté

e du périnée. CALCULS URINAIRES. S'il est en chirurgie un sujet d' opération qui, par son utilité, son importance, ses difficu

rales sont aujourd'hui en vigueur : l'ex-traction des calculs par une opération sanglante où la Uthotomie; la destruction au-deda

e la certitude, par eux acquise, de la supériorité de chaque espèce d' opération pour un cas déterminé, que de la convenance per-s

- Traduction de Jourdan, l. "¡- p. 209, Paris, 1816. la plupart des opérations hardies n'ont eu pour auteurs que des médicastres

s par les maîtres grecs de l'école d'Alexandrie; ce sera pour la même opération , dans nos temps modernes, celle des Norcini, de L

si elle pouvait être reconnue, contre-indiquerait formellement, toute opération , à cause de l'épancheinent urinairedans la ca-vit

l et jette du cloute sur l'existence de ce dernier. C'est ainsi que l' opération se trouve par fois repoussée ou long-temps ajourn

gnaler parce qu'elles influent sur le plus ou moins de nécessité de l' opération . i° Calculs inojfensifs. L'existence d'un calcu

de telles incommodités ou ne donne pas lieu à de tels accidens qu'une opération soit indispensable. Les exemples sont nombreux de

précepte général qui domine toute la chirurgie de ne pratiquer aucune opération qu'autant que l'existence, ou du moins l'imminenc

e par Hellwig, Job de Meeckren , Goekel avaient pu faire considérer l' opération comme inutile chez les jeunes garçons, et cette o

fait exceptionnel il produit et entraîne des accidens si graves que l' opération est bien préférable. INDICATIONS ET CONTRE-INDI

core petit et nouvel-lement formé, les organes sont sains encore et l' opération s'offre avec les circonstances les plus favorable

r. Si le calcul est déjà gros et occasionne de vives souffrances, une opération est encore indiquée : en ne faisant rien il y a t

niques qui , de jour en jour, rendront plus incertain le succès d'une opération . La seule circonstance où l'on doive temporiser e

ntre-indication se présente sous deux aspects, et par rapport à toute opération en elle-même, et eu égard au mode d'action et à l

en elle-même, et eu égard au mode d'action et à l'objet des diverses opérations comparées entre elles, suivant les motifs d'exclu

ularités de ce genre ne peuvent être spécifiées qu'à propos de chaque opération spéciale, et de l'appréciation établie entre la v

elles des viscères, n'a rien ici de plus spécial que pour toute autre opération grave, quoique les tables statistiques delà taill

ttribuée à l'une de ces causes, circonstance qui aurait dû infirmer l' opération . Eu égard à l'état des organes urinaires, le cata

e et de la prostate, qui soit une con-tre-indication formelle à toute opération . MÉTHODES OPÉRATOIRES. L'ordre chronologique

e l'antiquité ne furent pas perdues chez les Arabes, si timides sur l' opération de la pierre. Du moins il est probable que c'est

rer leur usage comme un utile auxi-liaire de la lithotritie : avant l' opération pour rendre le calcul plus friable, et après pour

les personnes atteintes par la diathèse calculeuse qui ont subi les- opérations de la taille ou de la litho-tritie, comme à celle

purotu je perce, je per-fore, ou 7pi'pw, je broie, j'écarte), est une opération qui a pour but de briser les calculs dans la vess

de la lithotritie vésicale, il n'est pas moins prouvé que c'était une opération connue de quelques médecins de sa nation , comme

de Cîteaux, affecté de la pierre, rapporte que ce malade redoutant l' opération , conçut l'espoir de se guérir lui-même et, à cet

employés jusqu'à ce jour pour guérir la pierre sans avoir recours à V opération de, la taille. Lorsqu'on veut introduire l'instru

n le troisième comme ayant pratiqué le premier, avec succès, quelques opérations de lithotritie sur le vivant. Comme tous les docu

chercher à la saisir de nouveau; or, le temps le plus difficile de l' opération étant celui dans lequel on saisit la pierre, il f

y faire de changement. Préparation à faire subir au malade avant l opération . Quelle que soit la méthode qu'on veuille employe

s que nécessite la litho-tritie. Lorsque rien ne contre-indique cette opération , on y pré-pare le malade de la manière suivante.

rritabilité, et qu'elle se laisse plus facilement distendre pendant l' opération . Procédé opératoire de M. Civiale. On fait couc

l'on a remplacé la vis et l'écrou par un pignon et une crémaillère. Opération avec l'instrument modifié de M. Jacobson. On fait

dernier est rempli, il retire l'instrument, le vide et recom-mence l' opération jusqu'à ce que la vessie soit complètement dé-bar

débris lithiques puissent s'y accumuler. signes qui indiquent que l' opération est achevée. Pour que l'opération soit terminée

ler. signes qui indiquent que l'opération est achevée. Pour que l' opération soit terminée, il faut qu'il n'existe plus aucun

tout malade atteint de calcul dans la vessie pourrait en guérir sans opération sanglante. Mais la pratique, loin de jus-tifier c

u'entre la mort et la cystotomie, n'hé-siteraient plus à accepter une opération qui peut débarrasser la vessie sans danger, lorsq

ertain nombre de cas pris au hasard , et de comparer ensuite ces deux opérations sous le rapport de leurs résultats. Un aperçu aus

ans l'examen comparatif des indications qui motivent l'une ou l'autre opération , il ne faut cependant pas se dissimuler qu'il y a

s à notre avis il serait plus prudent de s'abstenir de toute espèce d' opération . 20 Catarrhe de la vessie. La sécrétion catarrh

ns le même état, et peut-être même dans un état pire après qu'avant l' opération . Il est vrai qu'on peut débarrasser artificiellem

la suite le noyau d'un nouveau calcul. — Cependant, la taille est une opération si grave que, si la pierre n'était ni trop grosse

es considérations qui peuvent le faire pen-cher vers l'une ou l'autre opération . M. Civiale a parlé le premier d'un état d'atonie

es explorations « de la vessie au moyen des nouveaux instrumens, et l' opération « delà lithotritie auraient les mêmes effets si l

s , sont autant de circonstances qui font au-gurer favorablement de l' opération . Les circonstances contraires doivent engager le

t une complication très grave. À ne la considérer que par rapport à l' opération , elle s'oppose à l'in-troduction des instrumens d

strument. Encore dans ce cas aurait-on beaucoup de peine à terminer l' opération , et T. vu. courrait-on le risque de se voir c

oduction du cathéter cannelé, indispensable pour la pratique de cette opération . La première chose à faire est donc de guérir le

ant, à moins qu'il n'existe d'autre contre-indication, on procède à l' opération du broiement. 7" Les ulcérations et les cancers

accord pour savoir si, avec leur coexistence, on peut pratiquer cette opération , ou si l'on doit s'en abstenir. A cet égard, il n

ruire il faudra multiplier les séances en proportion, ce qui rendra l' opération longue et pénible à supporter, et pourra faire na

ur exagérée de l'urètre, sans que cela ait nui en rien au succès de l' opération . Bien que depuis l'invention de la percussion o

depuis l'invention du percuteur, n'est plus une contre-indication à l' opération . Avant que cet instrument fût connu, pour peu que

cette circonstance devant avoir pour effet d'augmenter le nombre des opérations et démultiplier les séances, on reste in-certain

dif-ficultés, souvent insurmontables, et les dangers consécutifs de l' opération , il faut encore admettre la possibilité d'une per

lité d'une perfora-tion de l'autre côté du calcul, qui rendrait toute opération quel-conque immédiatement funeste (Voy. pl. 55, f

nes circonstances font que la lithotritie, à cet âge, n'est point une opération facile et sans dan-ger : i°Les enfans naturelleme

iciellement par l'urètre court et dilatable, il vaut mieux, quand une opération est nécessaire, pratiquer la taille vaginale qui

ais telle n'est point notre opi-nion. Il ne s'agit pas seulement de l' opération , mais de ses suites. Or, celle-ci a presque néces

ifficultés d'exécution n'est point à considérer lorsque , du reste, l' opération termine tout et n'entraîne aucune suite fâ-cheuse

'est pour le pra-ticien un avertissement, qu'avant de pratiquer cette opération il a dû s'être beaucoup exercé au manuel opératoi

ompu reste dans la vessie et ne peut que rarement en être retiré sans opération sanglante, tandis que l'instrument de Jacobson ét

s, indépendans du plus ou moins de soin et d'habileté avec lesquels l' opération a été pratiquée, sont en grand nombre. i° Urétr

nairement pour calmer l'irritation et pour permettre de recommencer l' opération après plusieurs jours. Toutefois, il n'en est pas

des uretères et des reins. Pour la lithotritie comme pour toutes les opérations sur les organes urinaires, c'est là une des compl

rouver aux malades, que parle temps qu'il fait perdre pour terminer l' opération . Lorsque les calculs sont situés dans la portion

nostic ils exige-raient un traitement préparatoire et concomitant à l' opération , et seraient même parfois des contre-indications

flammations des articulations. Elles sont souvent plus graves après l' opération et guérissent moins bien que lors-qu'elles se dév

olentes douleurs et des angoisses que les malades éprouvent pendant l' opération sont très graves, et peuvent rapi-dement amener l

Parmi les nombreuses tentatives qui ont été faites depuis la première opération de M. Civiale sur le vivant (1824), beaucoup d'ef

qu'ils se trouvaient dans des circonstances si défavorables que toute opération était contre-indiquée. « Sur ces 97 individus, di

insi quedeladensitédespierres, ne sauraient en effet constituer « des opérations dans le sens rigoureux de ce mot. Ce sont des « p

commencement de l'exé-« cution de cette méthode, constituent seuls l' opération , et ce « n'est qu'à dater de cette époque que l'

nt sur ce qu'on ne peut établir de différences bien tranchées entre l' opération et des explo-rations dans lesquelles on introduit

s droits et d'un fort calibre, produit d'aussi graves acci-dens que l' opération . Mais si l'on trouve que l'englobement de ces fai

i néanmoins et comparé à celui que fournissent en réalité les grandes opérations et la taille elle-même , il n'est pas absolument

ressemble mieux à tout ce que l'on connaît des résultats des grandes opérations en général ; mais nous croyons pourtant que, sur

permettent l'emploi, comme la moins périlleuse de toutes les grandes opérations chirurgicales. LITHOTOMIE. Définition. La lit

OMIE. Définition. La lithotomie, ou vulgairement la taille, est une opération qui consiste à ouvrir la vessie par un des points

y substituer, comme plus scientifiques, et désignant mieux le genre d' opération dont il s'agit. Toutefois il nous arrivera souven

description spéciale. Il est probable qu'il la considérait comme une opération fort dangereuse, puis-qu'il faisait jurer à ses é

compliquées. Pour faire un historique complet et instructif de cette opération , il faut passer en revue ses méthodes, ses procéd

géné-rale est bonne, il suffit de le soumettre au régime des grandes opérations qui peuvent compromettre la vie : tel que boisson

avant de les avoir ramenés à un état qui leur permette de supporter l' opération . L'urètre devra aussi être l'objet d'un examen

nt le cours de la guérison. Durant les derniers jours qui précèdent l' opération , et quelques heures avant de la pratiquer, on do

les, ce qui l'expose à être lésé par l'instrument tranchant pendant l' opération ; i" d'éloigner autant que possible l'instant où l

irurgien prudent, et qui sait que la vie est souvent compromise par l' opération qu'il va faire, est de ne jamais opérer avant d'a

llé des individus qui n'avaient pas de pierre, et qui sont morts de l' opération ; comme il s'en est trouvé d'autres qui, après un

nent les artères du même nom, et se distribuent de la même manière. OPÉRATION . La taille périnéale se pratique suivant six mé

ns, savoir : un bistouri et une curette. manuel opératoire. Cette opération ne devant se pratiquer que sur des enfans de 65

s du rectum et des vaisseaux du périnée. Mais avant les accidens de l' opération se présentent ses difficultés : telles sont celle

e démonstrateur du grand appareil, car personne n'osa pratiquer cette opération , et Maria-no, qui en demeura seul possesseur, la

us à rien ne méritent d'être cités qu'à titre d'objets historiques. Opération . On plaçait le malade sur une table inclinée de m

bouton qui leur servait de conducteur. Procédé de Maréchal. Dans l' opération conduite ainsi que nous venons de le dire, l'inci

é de Mariano Santo ou des Collot, la taille mé-diane est une mauvaise opération , à cause des nombreux acci-dens auxquels on est e

Hôtel-Dieu d'examiner sa capacité. Frère Jacques pratiqua sa première opération sur un cadavre dans la vessie duquel on avait int

i, au rapport de M. Méry, le procédé suivant lequel il pratiqua cette opération . Premier procède du Frère Jacques. « Il introdu

résultats, il revint à Versailles au printemps de 1701, où il fit 38 opérations qui réussirent toutes. 66 Eni7'o3 il tailla e

, était atteint de Ja pierre, fut opéré et succomba le lendemain de l' opération . Cet.accident, qui tenait à l'état, fongueux de l

qui y étaient contenues avaient rendu plus longues les manœuvres de l' opération , causa au Frère Jacques un vif chagrin, et le dét

comme l'incision de la vessie était le temps le plus « important de l' opération , il recommandait aux aides de conte-« nir solide

nait à sa plaie. Du reste, il est notoire que Raw assista souvent aux opérations de Frère Jacques soit avant, soit après la rectif

pérait par la méthode du grand appareil; qu'après avoir assisté à ses opérations , il se livra à un grand nombre d'essais sur le ca

s, je passerais les bornes d'une lettre. Raw, très heureux dans ses opérations , fut reconnu comme fort habile par Frère Jacques

e ce corps savant. Le chirurgien anglais ne pratiquait pas toujours l' opération dont il s'agit suivant le procédé décrit par Mora

e, comme il l'indique, Boyer réus- 67 sissait très bien clans ses opérations de taille. Le seul reproche qu'on puisse adresser

au bistouri par les chi-rurgiens cpii sont peu familiarisés avec les opérations , et ne con-naissent pas parfaitement l'anatomie d

eler à opérer. F. Côme n'est pas le seul qui ait cherché à rendre l' opération de la taille latéralisée plus facile ; un grand n

, et pour conduire le lithotome dans la vessie. Ces deux parties de l' opération s'exécutent comme dans les autres procédés. Avec

e et que c'était à cette circonstance qu'il devait la réussite de ses opérations , résolut d'ouvrir la poche urinaire dans le point

, distendue par de l'eau, et réussit à la vider. Pour pratiquer son opération , il se servait d'un trocart dont la tige avait 3

e qui termine cette cannelure près de son extrémité. A ce moment de l' opération , l'urine qui sortait en plus grande quantité lui

de Dupuytren, il faut bien reconnaître que l'idée originale de cette opération appar-tenait à Chaussier, qui en avait publié la

lui-ci ; ce qui aurait lieu facilement si, dans le premier temps de l' opération , on incisait trop près de l'anus. Procédé de M.

postérieur droit de la prostate, puis son rayon transversal droit. L' opération réussit parfaitement. En considérant la manière

ade. Autrefois, dans les hôpitaux, on avait un lit particulier pour l' opération de la taille. Ce lit, très court, se terminait en

contente de pla-cer le malade sur la table qui sert ordinairement aux opérations . Dans la pratique particulière on emploie un lit

x mains libres, le donne à tenir à un aide instruit du mécanisme de l' opération . Incision intérieure. Nous avons déjà vu commen

l'avenir, et seulement lorsqu'on n'aura pas porté, antérieurement à l' opération , une attention suffisante dans l'ap-préciation du

icale des calculs pour lesquels il faudrait, plus tard, recommencer l' opération . Cependant il y a quelques cas où l'on est obli

'organe urinaire, et de remettre à quelques jours la terminaison de l' opération ; ce sont ceux où, les pierres étant très nombreus

a pas la force de supporter les longues et laborieuses manœuvres de l' opération , et les douleurs produites par l'introduction fré

ui a lieu du sixième au dixième jour; on place le malade comme pour l' opération primitive, oninjecte de l'eau tiède simple ou muc

Peyronie vit périr son malade d'hémorrhagie, dix-huit heures après l' opération ; la vessie et la loge qui contenait la pierre éta

entretient sur son ventre des fomentations émollientes. suites de l' opération . Il peut se présenter deux cas, suivant qu'il s

résenter deux cas, suivant qu'il survient ou non des accidens après l' opération . Lorsque aucun accident ne trouble la marche de l

it heures après. Pendant les huit ou dix premiers jours qui suivent l' opération , l'urine passe entièrement par la plaie; quel-que

ujet, et à l'usage du tampon nécessité par une hémorrhagie. Après l' opération de la taille périnéale il n'est nullement né-cess

filé ou une simple tente de charpie. Vers le quatrième jour après l' opération , si les organes diges-tifs du malade sont en bon

r les terreurs du malade, se manifestent quelquefois avant même que l' opération soit commencée; souvent aussi elles surviennent p

e et le. tamponnement. Lorsque l'hémorrhagie se manifeste pendant l' opération , il vaut mieux lier immédiatement le vaisseau qui

ement le vaisseau qui la fournit, que d'at-tendre pour le faire que l' opération soit terminée, parce que, alors, si le vaisseau e

nt d'où l'on présumerait que le sang sortirait. Immédiatement après l' opération , on essayerait de découvrir l'artère ouverte, et

quelques jours auparavant. Le sang coula en abondance. Aussitôt que l' opération fut terminée, il prit une algalie de femme, l'ent

ce et leur activité. C'est ordinairement deux ou trois heures après l' opération qu'il se montre, quelquefois plus tard. Les moyen

s à y remédier sont les mêmes que dans les cas où il arrive pendant l' opération . Cependant avant d'en venir à la ligature ou au t

ngés, sont les meilleurs moyens d'y remédier. On a signalé, après l' opération de la taille périnéale, des acci-densdus à la pré

la cystite, par les antiphlogistiques. Fistules urinaires. Après l' opération , la plaie du périnée reste quelquefois fistuleus

les moyens appropriés. Vincontinence d'urine est très rare après l' opération de la taille latéralisée; autrefois on l'observai

uer : si l'on s'aperçoit de la blessure du rectum au moment même de l' opération , et qu'on incise l'intestin depuis le point où i

si l'on ne découvre la blessure du rectum que quel-ques jours après l' opération , l'incision de l'intestin depuis la lésion jusq

s qu'elle a été le plus souvent pratiquée. Sur une centaine environ d' opérations de cette nature, il ne paraît pas qu'il y en ait

ratiquée la taille recto-vésicale. » (Dict. de Méd. et Chir. prat.) Opération . Sanson a de prime abord imaginé deux procédés bi

sait d'arrière en avant jusqu'à son orifice anal. Quant au reste de l' opération , il f exécutait comme Sanson. C'est cette simpl

te est souvent lésée en com-mençant l'incision. En pratiquant cette opération sur le cadavre , l'examen des parties démontre qu

alement, en 1700, sur une fille de 20 ans. Néanmoins, pour voir cette opération définitive-ment constituée, il faut arriver jusqu

remettre en vogue, qu'elle n'a pas cessé d'être considérée comme une opération utile dans certains cas. Bazeilhac s'en déclara l

assez rarement; et maintenant on la considère, en général, comme une opération utile et bonne, réservée pour les cas spéciaux qu

delà vessie, à s'infiltrer dans le tissu cellulaire du bassin après l' opération , et à y développer des abcès gangre-neux; 3° enfi

lle hypogastrique. Mais , en général, ces instrumens qui ne rendent l' opération ni plus facile, ni plus sûre, ne sont employés qu

toine, dans les deux incisions, et l'infiltration de l'urine, après l' opération , étant les deux acci-dens essentiels à éviter, c'

e prolonger l'incision jusqu'au-des-sus du col vésical. Le reste de l' opération se pratique comme il a t. vii. été dit plus h

e la plaie de la vessie transformée alors en une incision cruciale. Opération en deux temps. Pour éviter l'infiltration de l'ur

re. Emploi de la mèche. Depuis F. Corne on a pour habitude, après l' opération de la taille par le haut appareil, de placer entr

véritablement utile que durant les deux premiers jours qui suivent l' opération , parce que, après cette épo-que, les tissus habit

t pour le moins fort contestable, il ne faudrait pas croire que cette opération fût facile à pratiquer. Au contraire, elle présen

ine à travers ses mailles. De toute façon, soit immédiatement après l' opération , soit quelques jours après, la canule ne remédie

e, on y remédierait facile-ment, etd'abord si ellesurvenait pendant l' opération , il seraitfacile de rechercher le vaisseau qui fo

autérisation. Si l'écoule-ment de sang arrivait quelque temps après l' opération , il faudrait tenter de l'arrêter par des applicat

Si l'on se rappelle que les lésions du péritoine produites pendant l' opération de la hernie et dans les plaies pénétrantes de l'

ir de conducteur. 3° Abcès. Les abcès qui compliquent quelquefois l' opération , peuvent résulter ou de l'infiltration de l'urine

qu'une mince influence aux procédés « opératoires sur le résultat des opérations , en ce qui touche la « vie ou la mort des malades

de même que la lithotritie chez la femme, aurait dû être renvoyée aux opérations qui se pratiquent sur les organes génito-urinaire

es et des extravasations de sang qui compliquent toujours gravement l' opération . L'ouver-ture en travers surtout exposerait presq

Gaspard a consigné dans \e Bulletin médical de Bor-deaux ( 1833) une opération parle procédé de A. Dubois, dans laquelle il reti

ait en bas et en avant plusieurs calculs contenus dans la vessie; l' opération eut un plein succès. Fabrice de Hilden rap-porte,

t aussi par là, mais il en resta une plus volumineuse qui nécessita l' opération ; dans les deux cas Fabrice réussit parfaitement

oulut ériger en méthode géné-rale. Bussière conseilla également cette opération après en avoir obtenu la guérison d'une femme qui

e moyen 42 calculs delà vessie d'une femme. En 1740, Gooch pratiqua l' opération pour un cas analogue à ceux de F. de Hilden. En 1

serait trop long de nommer, ont également pratiqué avec succès cette opération , dans des cas moins graves. Manuel opératoire.

le calcul en plusieurs morceaux , et de l'extraire par fragmens. L' opération terminée, la femme est reportée dans son lit, et

e comme nous l'avons dit pour les autres tailles. Les suites de cette opération sont généralement très simples ; elle est rare-me

iquant la suture de la plaie, immédiatement après la terminaison de l' opération , mais le peu de succès qu'on obtient de la suture

assez grand nombre de faits, pour qu'on puisse conclure au rejet de l' opération ; la taille hypogastrique, sans être aussi grave c

'homme. La plupart des praticiens cpù ont donné une statistique des opérations de la taille, ont englobé dans leurs calculs tous

donne i sur 6. F. Corne, qui a pratiqué une centaine de fois la même opération dans l'espace de 20 ans, a eu i mort sur 5. Cette

qui pratique exclusivement la taille hypogas-trique, a obtenu sur 133 opérations , 17 morts et 116 guéris, ce qui fait presque 1 mo

Chacun sait que, sous certaines con-ditions atmosphériques, une même opération va donner pendant un temps plus ou moins long, pl

maladies nouvelles, provenant de l'imperfection ou de l'insuccès de l' opération . Toutefois, ces restrictions posées, les documens

ude de conserver les calculs avec l'histoire et le résultat de chaque opération , voici, d'après M. Marcet, les résultats obtenus

able, le résultat néanmoins tend à démontrer, comme toujours, que les opérations réussissent beaucoup mieux dans la pratique civil

it ci-dessus , à ce 74 que, clans certains hôpitaux de Paris, les opérations réussissent inoins bien que dans la pratique civi

e relevé statistique que l'on ait fait en chirurgie, et sur l'une des opérations les plus fré-quentes et les plus graves. En résul

s, et, par exemple, que le chiffre réel de M. Civiale sur une masse d' opérations , ait été de 4 morts sur g opérés. Que croyez-vous

TIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES ORGANES GENITAUX DE LA FEMME. Les opérations sur les organes de la génération, comme tes malad

es ont pour siège les organes extérieurs ou intérieurs. MALADIES ET OPÉRATIONS QUI ONT POUR SIÈGE LES ORGANES EXTÉRIEURS DE LA

me et les causes qui en réclament l'emploi, comme les maladies et les opérations qui ont pour siège le pénil, les grandes lèvres,

lorsqu'elles sont arrivées à l'état d'abcès qu'elles nécessitent une opération ; alors il faut les ouvrir le plus tôt possible ,

me côté de la grande lèvre; M. Velpeau , qui dit avoir pratiqué cette opération quinze fois avec succès, choisit la surface inter

es autres parties d u corps, et qui nécessitent abso-lument les mêmes opérations et les mêmes moyens thérapeu-tiques : il serait d

t de dix jours, les ligatures étaient tombées avec les tumeurs. Cette opération fut accompagnée d'une vio-lente inflammation, con

ever toute la racine du mal. t. vu. ABLATION DU CLITORIS. Cette opération peut être nécessitée par des causes diverses. Aut

il faudrait aussi avoir recours à l'amputation de l'organe malade. L' opération serait fort simple ¦ le chirurgien s'emparerait d

de. Quelle que soit la cause de l'occlusion , comme il n'y a qu'une opération qui puisse y remédier, si l'infirmité est reconnu

s maladies chirurgo t. x, p. 399). La femme étant placée comme pour l' opération de la taille, s'il exis-lail une petite ouverture

qui se développe quelquefois à la suite de l'accouchement. Après l' opération , il est essentiel de maintenir l'ouverture béante

sont dans cet état, on recommande généralement de s'abstenir de toute opération , du moins pour le moment; car si plus tard l'é-ta

té pour deux cas de cette nature, refusa positivement de faire aucune opération . M. Langenbeck, au contraire, réussit à rétablir

ablir la voie naturelle que de lui en créer une autre. Une fois que l' opération est décidée, on fait placer la femme comme pour l

ois que l'opération est décidée, on fait placer la femme comme pour l' opération de la taille, et l'on met en usage l'un des procé

elle on conduirait un bistouri boutonné pour agrandir l'incision. L' opération ainsi terminée , pour ne pas en perdre le fruit,

enauldin , Fristo, Reates, etc. On peut donc maintenant considé-rer l' opération comme suffisamment établie et par lathéorie et pa

t le vagin et le rectum en un cloaque, n'est plus supportable. Ici, l' opération seule peut amener la guérison, ou tout au moins u

-dire un mois ou deux après l'accident, qu'il convient de pratiquer l' opération . Manuel opératoire. On peut employer des procéd

ture simple La malade étant placée dans la même position que pour l' opération de la taille , le chirurgien avec des fortes pinc

emeure dans la vessie; les in- 76 festins ayant été vidés avant l' opération , il faudra faire en sorte rpie les garde-robes s

u dans le vagin , car elle ne serait propre qu'à nuire au succès de l' opération . Enfin , il est très rare qu'on ait besoin de fai

d'une mauvaise disposition de la malade, ou par toute autre cause, l' opération ne réussit pas, et l'on est obligé delà recommenc

préalable du toucher ou du spéculum, nous allons traiter de ces deux opérations impor-tantes. Du toucher. C'est une opération

raiter de ces deux opérations impor-tantes. Du toucher. C'est une opération par laquelle, à l'aide d'un ou de plusieurs doigt

e que celle qu'on lui donne lorsqu'on veut pratiquer la version, ou l' opération de la taille. Lorsqu'il y a un lit dans le lieu o

ectales, résolut de l'appliquer aux fis-tules vésico-vaginales. Cette opération peut se faire avec le nitrate d'argent ou le caut

e d'argent. Procédé de Dupuytren. La malade étant placée comme pour l' opération de la taille, ou bien sur les coudes et les genou

la chute des eschares, la fistule reparaîtrait plus grande qu'avant l' opération . La douleur qui succède à l'application du cautèr

u commencement du xixc siècle elle fut toujours con-sidérée comme une opération inexécutable. Dans un cas de fistule vésico-vagin

C'est une imitation de la staphyloraphie. Vers le dixième jour de l' opération la malade fut prise de symptômes très alarmans, e

s de la pince qui ont servi à fixer les bords de la fistule pendant l' opération , on saisit le fer de lance qu'on rend immobile p

pourrait, par des tractions inévitables, compromettre le succès de l' opération . Après le huitième jour on pourra, d'abord par le

r aux graves inconvéniens des fistules vé-sico-vaginales. La première opération fut pratiquée en i83a. La femme avait 35 ans, et

ater de ce moment, le sang et les urines sortirent par le vagin, et l' opération fut manquée. La se-conde opération n'a pas réussi

rines sortirent par le vagin, et l'opération fut manquée. La se-conde opération n'a pas réussi. M. Vidal croit pouvoir inférer

éussi. M. Vidal croit pouvoir inférer du seul succès de sa première opération : i" que les règles pouvaient passer par l'urètre

a plupart des chirurgiens considèrent la fermeture du vagin comme une opération anormale et qu'on ne doit pas facilement se décid

ure, large de 3 centimètres, à la cloison recto-vaginale, guérit sans opération . M. Philippe de Mortagne en a publié une autre, e

beaucoup de matières sortirent par le vagin. Sauce-rotte recommença l' opération un mois plus tard, mais il eut le soin de couper

près l'autre, et non en même temps, vu l'impossibilité de pratiquer l' opération et d'en gouverner les suites à-la-fois sur les de

tenait à la cloison recto-vaginale que par un pédicule. De semblables opérations ont été pratiquées par Sanson et M. Velpeau. Enfi

ésultant d'une grossesse extra-utérine. Nous en parlerons à l'article opération césarienne. Diverses sortes de tumeurs venant d

545 , un fait curieux , chez une femme sur le point d'accoucher, où l' opération fut couronnée d'un plein suc-cès pour l'enfant et

ion. On ne pouvait que. choisir entre l'enlè-vement de la tumeur et l' opération césarienne , car il n'y avait pas lieu de songer

mère se rétablit heureusement. »Burns rapporte un fait semblable où l' opération eut également du succès (Princ. oj midwift', p. 3

e jusqu'à ce que la tête soit arrivée au détroit périnéal. Les autres opérations qu'on a proposées étant les mêmes que celles qu'o

emploie trois ordres de moyens: des injections, des pessaires ou des opérations particu-lières. Les injections seront astringente

gué-rison , M. Dieffenbach résolut d'appliquer à la chute du vagin l' opération que Dupuytren avait pratiquée avec succès pour la

ou la cavité de la membrane est la plus pro-noncée. Dans divers cas d' opération , la forme du lambeau était elliptique (Marshall,

drilatère (Ireland), ou formait une bande longitudinale (Marshall). L' opération terminée, on réunit immédiatement la plaie par la

ombé, et que l'utérus n'est pas compris dans la masse; en sorte que l' opération ne laisserait pas que d'offrir de graves dangers.

z solide pour fixer le vagin aux parties voisines. Pour pratiquer l' opération on place, dans le vagin, un spéculum brisé ou un

en avant, en arrière et sur les cotés. Si on voulait réité-rer cette opération , on devrait se rappeler qu'il faut cautériser mo

rt, ont bientôt vu reparaître leur infirmité au même degré qu'avant l' opération . 2" Excision. Proposée et exécutée en i832 par

e en 1 83/j par M. Ireland , en ih35 par MM. Bérard et Velpeau, cette opération consiste à enlever le long du vagin des bandelett

tée , ne pourrait être tentée qu'après la cessation des règles. Comme opération , on peut, croire qu'elle réussirait, mais il est

ouvoir pas être pratiquée à tous les âges. En résumé, de toutes les opérations que nous venons de passer en revue , aucune ne do

ses auteurs ne l'ont jamais exécutée. En effet les dan-gers de cette opération sont trop grands, et le peu d'augmenta-tion que s

ctum. Quoique applicable aux cas où le col utérin est oblitéré, cette opération se pratique surtout dans ceux où il y a rétrovers

ire la matrice; et, comme l'avortement doit être une conséquence de l' opération , on agira comme s'il était survenu naturellement;

is il faut peu compter sur ce moyen , non plus que sur la nature. Les opérations chirurgicales sont en dernier lieu la meilleure r

ce de la moindre traction. Dionis et Heister n'avaient appliqué cette opération qu'aux polypes du nez. Roudou l'ayant pratiquée a

lle des tractions méthodiques et de l'ame-ner hors de la vulve. Cette opération a souvent été faite avec succès : Baudelocque rap

quer une seconde. Toutefois, il ne faut pas trop retarder la fin de l' opération , afin de débarrasser la femme des tiraillemens do

er à l'application de la ligature, la femme étant placée comme pour l' opération de la lithotomie, on introduit dans la camde port

s rapide : cette méthode est l'excision. 6° Excision. Quoique cette opération , où il s'agit de porter l'instrument tranchant,

s la cavité de l'utérus. Mais, loin que son exemple soit suivi, cette opération paraît abandonnée des chirurgiens du dernier sièc

aire, s'appuyant sur l'anatomie pathologique et sur un grand nombre d' opérations faites avec succès, a mis tous ses efforts à la f

ière et sur les côtés, et par-vint facilement à la dégager. La même opération a été proposée pour les cas d'étroitesse du col,

iser le pédicule. Appréciation. L'excision est en général une bonne opération , car elle n'offre pas de difficultés insurmontab

ec le tissu de la matrice, et ne peuvent en être séparées que par une opération spéciale. TUMEURS FLOTTANTES DE l'uTÉRUS. Ce

» D'un autre côté, M. Ribes avait été amené à conseiller aussi cette opération d'après la facilité qu'il avait trouvée dans plus

rurgicale d'une opéra-tion importante. Procédé de M. Amussat. Cette opération , dit l'auteur (Revue méd., août 1840), est basée

s dans des cas de tumeurs fibreuses pédiculées (polypes). La première opération a été pratiquée le 11 juin 1840, sur une femme de

être la surface d'une tumeur interstitielle. A partir de ce moment, l' opération put marcher d'une manière plus assurée. Une incis

a toujours à l'avenir l'un des accidens les plus à crain-dre dans les opérations du même genre, aucun signe ne pouvant faire prévo

e l'eau fraîche, et la malade portée dans son lit. Cette laborieuse opération avait duré deux heures. Pendant son cours, la mal

eux mois et demi, dans un état satisfaisant. Telle est. la première opération de ce genre, pratiquée par M. Amussat. Depuis, le

e distingue par des faits essentiels : comme fait diagnostic, avant l' opération , de tâcher de reconnaître si la tumeur est inters

es successivement les unes au-dessus des autres, on abrège beaucoup l' opération parce que ce procédé trouvera son application dan

dures, peut-être pourrait-on tenter de les en-traver par une espèce d' opération césarienne, mais seulement dans le cas où des acc

s modernes ne parlent que du cancer du col utérin , et disent que les opérations qui y sont applicables sont la cautérisation la l

x, huit ou dix jours d'intervalle , suivant les circon-stances. Cette opération cause généralement peu de douleurs, mais Lorsqu

lacer la femme dans un bain. Au bout de cinq à six jours, on répète l' opération , mais à mesure qu'on réitère l'appli-cation, on c

de toutes les par-ties comprises dans la ligature. C'est une mauvaise opération qui est inusitée. a° Amputation du col de l'uté

ne, et que la malade guérit parfaitement. Suivant Bau-delocque, cette opération aurait été proposée par Lauvariol, en 1780; Wrisb

tions de ré-section du col utérin, faites avec succès. Cette nouvelle opération 84 fit beaucoup de bruit en Allemagne. A. pei

ent donc pas manquer pour faire l'ap-préciation de la valeur de cette opération ; mais malheureuse-ment il n'en est rien, ainsi q

r ne soit ulcérée, on s'ex-posera à enlever un col non dégénéré. Si l' opération ne présentait aucun danger, on pourrait, on devra

nc n'a pu y parvenir, et s'est trouvé dans l'o-bligation de laisser l' opération inachevée. On a prétendu que les difficultés qu'o

d'y parvenir sans être obligé d'abaisser préalablement la matrice. L' opération , pratiquée de cette ma-nière, offre d'autant plus

tranchante de Dupuytren , suffisent dans tous les cas. Suites de l' opération , et soins qu'il convient d'y apporter. Lorsqu'il

un pansement n'est nécessaire. On met la malade au régime des grandes opérations , et l'on se contente de surveiller les accidens

t guéri, et ont pu dans la suite concevoir et accoucher comme avant l' opération . Toutefois, lorsqu'on a pratiqué l'amputation du

quoique soumis à l'expérience, n'est pas encore jugé. Accidens de l' opération . Les suites de l'amputation du col de la matrice

cidens nerveux. Us se manifestent très souvent immédia-tement après l' opération , et sont de nature à effrayer les person-nes qui

, l'hémorrhagie paraît être un des accidens les plus redoutables de l' opération . Il prétend que, dans treize cas d'excision par l

t assure qu'il est très rare qu'on ait besoin de tamponner : sur cinq opérations qu'il a faites, il n'y a pas eu d'hémorrhagie inq

d'hémorrhagie inquié-tante. Ellen'est pas non plus survenue dans huit opérations faites par M. Velpeau. M Dufresse qui en a pratiq

de rechercher , dans les documens publiés , la valeur réelle de cette opération . Dans l'état actuel de la ques-tion, une pareille

aurait transmis de fausses statistiques et de faux résultats sur ses opérations . Cet homme, c'est M. Pauly dont le livre (Maladie

déjà dans les esprits sur ce point. Au lieu de quatre-vingt-dix-neuf opérations annoncées par M. Lisfranc, M. Pauly dit qu'il n

ou quatre seu-lement où la guérison a été réelle. Enfin, sur quatorze opérations que M. Pauly a vu pratiquer par M. Lisfranc, depu

adies que l'on opère; on peut aussi être trompé sur les résultats des opérations , par mille circonstances diverses; mais sur leur

es; mais sur leur nombre , jamais. Doubler sciemment le nombre de ses opérations , et ranger parmi elles des opérations différentes

bler sciemment le nombre de ses opérations, et ranger parmi elles des opérations différentes, et dont le succès est certain , c'es

ont accouché sans accidens. Mais ce qui semblerait prouver que cette opération n'aurait pas été aussi heureuse, entre les mains

auraient guéri ; quant à la cinquième , elle a été assez bien après l' opération , mais on ne dit pas si elle s'est complètement ré

haloïde ; elle a été très bien pen-dant les deux mois qui ont suivi l' opération . Mais alors, il y a eu une récidive qui l'a empor

En somme, une moitié de mortes, un quart de guéries et un quart où l' opération a été pour le moins inutile. Ce résultat, assurém

rés de cancer, s'adresse à une maladie nécessairement mortelle; que l' opération par elle-même n'est pas suivie de graves dangers

succombent généralement, plus ou T. VU. moins long-temps après l' opération , qu'à la récidive, c'est-à-dire à la cause même d

utérus. L'essentiel est de s'assurer, par un bon diagnostic , avant l' opération , de la réunion de trois circonstances : r que la

qu'il a pu pour essayer de guérir. EXTIRPATION DE L'UTÉRUS. Cette opération peut être pratiquée dans trois cas différens : i°

rois cas méritent d'être traités à part, parce que les résultats de l' opération sont fort différens dans les uns et dans les autr

amputation sont les moyens à l'aide desquels on le pratique. Ces deux opérations ont été plu-sieurs fois mises en usage avec des s

uence notable sur les phlegmasies consécutives qui accompagnent cette opération , mieux vaudrait agir de la manière suivante. Pr

de la matrice par l'instrument tranchant ou avec la ligature. Après l' opération pratiquée par M. Velpeau, l'hémor-rhagie fut légè

complet de l'utérus. D'après yEtius, Soranus conseillait déjà cette opération . « Si la portion pendante de l'utérus, dit-il, s'

lus concluans. La femme mourut d'une autre maladie trois mois après l' opération . A l'autopsie A. Paré constata l'absence de la ma

Strasbourg, qui ouvrit le cadavre de la femme, morte, dix ans après l' opération , et constata l'absence de la matrice; M. Langenbe

de prolapsus; mais on ne doit pas se décider à pratiquer une pareille opération avant d'avoir acquis la certitude que cet organe

qu'on emploie. i" Ligature. La fig. 3 de la pl. 74 représente cette opération . L'utérus et le vagin sont descendus hors de la v

x faire une ligature multiple. La ligature constitue à elle seule une opération , si l'on se propose d'obtenir la chute de la mat

laissant intacte la séreuse que l'on réduit en dernier lieu. Cette opération , pratiquée sur une femme atteinte de pro-lapsus i

ch, Evans, etc., en sorte que, ac-tuellement, on peut compter 20 à 25 opérations authentiques de l'extirpation de la matrice dans

r ce nombre quatre femmes seulement se sont rétablies des suites de l' opération ; mais trois d'entre elles n'en ont pas moins succ

use. La première est celle de M. Sauter qui vécut quatre mois après l' opération ; la seconde est une de celles de M. Blundell; ell

complètement rétablie. Toutes les autres ont succombé aux suites de l' opération dans un délai qui s'est étendu depuis quelques he

Méthode opératoire. Il y en a deux principales : dans l'une on fait l' opération par l'hypogastre , méthode hjpogastrique, et dans

ligature et on achève la section du côté du viscère. Pour terminer l' opération , il ne reste plus qu'à renverser ou faire bascule

t la préférence à l'extraction par le vagin. En résumé, si déjà les opérations sur le col de la matrice ne sont justifiables que

t qu'une malade de M. Evans qui ait été véritablement guérie, est une opération déplorable. Et si, d'abord, les chirur-giens de n

'exclure désormais du domaine de la chirurgie, de même que ceux des opérations pratiquées sur le col utérin devront sin-gulièrem

giens très circon-spects à l'avenir. Us comprendront facilement que l' opération étant d'abord très grave par elle-même, puisque l

ux malheureuses femmes dont la matrice est envahie par un cancer, une opération longue et dou-loureuse qui ne fait que hâter le t

nissait néanmoins par s'oblitérer. Procédé de Galenzowski. Dans une opération qui avait pour objet l'ablation de l'ovaire, il p

rs, elle avait perdu la moitié de sa grosseur. Huit se-maines après l' opération , elle était réduite au volume d'un œuf de poule.

rait , comme le fit M. Dieffenbach dans un cas analogue, renoncer à l' opération et réunir la plaie de l'abdomen, que de s'exposer

viron delà li-gature, afin que celle-ci ne glisse pas. Pansement. L' opération terminée, on enlève avec une éponge tous les liqu

bre de fois, pour qu'il soit possible d'appré-cier la valeur de cette opération . De toutes les méthodes opéra-toires, l'extirpati

applicable. Voyons main-tenant quels sont les résultats fournis par l' opération . M. Mac Dowel a réussi quatre fois ; en i8ai, Smi

avaient guéri; mais, comme dans la plupart des cas dont il s'agit, l' opération est le seul moyen de guérison, que, sans elle, le

dépasse de beaucoup celle des revers, on reculerait pour prati-quer l' opération . On y est d'ailleurs conduit par l'expérience de

in, et lorsque les progrès de la maladie sont assez graves pour que l' opération soit la seule chance de salut. OPÉRATIONS TOKOL

nt assez graves pour que l'opération soit la seule chance de salut. OPÉRATIONS TOKOLOGIQUES, PUBIO-SYMPIIYSÉOTOMIE. Séverin

, qu'il soutint, en 1773 , à l'école d'Angers. En 1777 il exécuta son opération sur une femme nom • mée Souchot, en présence de A

devint en butte aux sarcasmes et aux injures. Les uns, pensant que l' opération césarienne pouvait suffire à tous les cas, furent

éo-tomie pouvait, dans tous les cas, être heureusement substituée à l' opération césarienne. Sous ces dénominations, non-seulement

te ce que Desgranges dé-montra plus tard ; c'est que l'une et l'autre opération ont leurs applications spéciales, et ne peuvent ê

ment est encore possible par le forceps ou par la version, pour que l' opération soit proposable , la question, à la vérité très d

re ni entraînée en bas par le forceps, ni retirée par en haut après l' opération césarienne; 3° si elle est arrêtée par un rétréci

ée par un rétrécissement transversal du détroit inférieur; 4° enfin l' opération a encore été proposée pour les cas où, le tronc é

t, parce que, en définitive, d'après l'expérience, les résultats de l' opération ne sont avantageux ni pour lui, ni pour sa mère.

t avantageux ni pour lui, ni pour sa mère. Résultats. Le nombre des opérations de symphyséotomie connues s'élève à 44; s»r ce no

it aussi beaucoup. Lauverjat, dans sa Nouvelle méthode de pratiquer l' opération césarienne, dit que, sur 18 femmes opé-rées, il y

nt de femmes que d'enfans, 21 morts; que sur 2 il fallut en venir à l' opération césarienne ; que 5 ont conservé une incontinence

aques; or il est toujours remarquable qu'elles n'ont pas lieu après l' opération de la symphyséotomie, car l'enfant peut rarement

e plaçant à la droite ou entre les jambes de la malade il procède à l' opération , après avoir toutefois évacué la vessie avec une

nant la présence de l'air dans l'articulation, proposa de pratiquer l' opération en deux temps; mais sa ma-nière de faire n'ayant

s molles, on a à se deman-der s'il ne vaudrait pas mieux recourir à l' opération césarienne, si elle était praticable, ou bien à l

es accidens qui pourraient surve-nir. Le régime est celui des grandes opérations . Bien que Sigault dise que la dame Laforest , opé

éotomie ordinaire. Dans le seul cas où M. Galbiati ait pratiqué cette opération , il administra immédiatement le seigle ergoté, et

. Il est impossible de juger de la valeur de la bi-pubiotomie par l' opération de M. Galbiati, parce qu'elle a été trop mal exéc

a eu tort de ne pas délivrer la femme immédiate-ment; au reste, cette opération pourrait être essayée de nouveau, en la pratiquan

t jamais laisser la femme plus de quelques heures sans la délivrer. OPÉRATION CÉSARIENNE OU HYSTÉROTOMIE (pl. 77). Le mot opé

a délivrer. OPÉRATION CÉSARIENNE OU HYSTÉROTOMIE (pl. 77). Le mot opération césarienne fut long-temps appliqué seulement à l'

iverses raisons qu'on a admis deux sortes d'opé-rations césariennes : opération césarienne abdominale, et opéra-tion césarienne v

e. A. OPÉRATION CÉSARIENNE ABDOMINALE. Historique. L'origine de l' opération césarienne se perd dans la nuit des temps. D'aprè

erveilleux le berceau des hommes extraordi-naires, ce serait de cette opération , à laquelle il aurait dû sa nais-sance, que le gr

temps de la première guerre punique (l'an 456 de Rome). Et quant à l' opération , connue dès les premiers temps de la mo-narchie ,

e-ci n'en demeure pas moins inconnue. Il est probable que la première opération de ce genre a été, comme beaucoup d'autres, le ré

ir agrandi l'ouverture : de là sera venue l'idée de régulariser cette opération et de l'appliquer à d'autres cas. Quoi qu'il en

oi qu'il en soit, le premier livre où il soit directement traité de l' opération césarienne est celui que Rousset publia à Paris,

Hystérotomotofde. Jusque-là, il n'a-vait été question de pratiquer l' opération qu'après la mort de la femme; Rousset proposa for

ge, ne pouvaient l'être, du temps de Rousset et de Bauhin , que par l' opération césarienne ou par le morcellement. Depuis lors, l

de la mère et celle de l'enfant sont aussi certaines que possible. Opération sur la femme vivante. Plusieurs motifs peuvent né

la femme vivante. Plusieurs motifs peuvent nécessiter, dans ce cas, l' opération césarienne. (a) Étroitesse du bassin. Quelle qu

s- Plinii , lib. vif, cap. 9. oblige à recourir le plus souvent à l' opération . Mettant de côté les exceptions telles que le rel

ellement, plutôt que d'exposer la mère, aux chances incertaines d'une opération aussi grave; voici ce qui est généralement admis

ouce 6 lignes), que l'enfant soit mort ou vivant, il faut pratiquer l' opération césarienne, parce que, alors, le morcellement ser

les Anglais préfèrent sacrifier l'enfant, en se fondant sur ce que l' opération fait souvent périr la mère, et qu'on ne retire fr

oppose à la sortie de l'enfant, cet accident réclame impérieusement l' opération , surtout si l'enfant a passé dans le ventre à tra

dans un sac herniaire, si la hernie est irréductible, il n'y a que l' opération qui puisse dé-barrasser et sauver la femme. Senne

l'extirpation de la tumeur exposerait la femme à plus de danger que l' opération césarienne : c'est l'avis de Simon; mais ce point

vagin. Elles ne pourraient empêcher l'ac-couchement, et nécessiter l' opération césarienne qu'autant qu'el-les seraient assez vol

que d'extraire l'enfant par l'incision du ventre et de la matrice. Opération sur la femme morte. Lorsque la mort a lieu après

la mort a lieu après le sixième mois, il est de règle de pratiquer l' opération , parce que l'enfant peut être viable. Si le tra

rir toutes les femmes qui mourraient en-ceintes. Lorsqu'on pratique l' opération césarienne après la mort, il faut la faire le plu

de signes cer-tains de la mort, il faut mettre autant de soin dans l' opération que si la femme était vivante, parce que si, par

ait d'autant plus de chances de lui faire recouvrer la santé, après l' opération , qu'il y aurait eu moins de désordres produits.

, qu'il y aurait eu moins de désordres produits. Les résultats de l' opération sur la femme morte sont générale-ment mauvais ; i

t que les mouvemens du cœur lui-même soient complète-ment anéantis. L' opération a cependant été couronnée de succès, et elle réus

is, et M. Monod un autre, à la Maternité. Méthodes opératoires. L' opération césarienne abdominale a été pratiquée de diverses

e difficilement aux liquides de s'écouler, soit pendant, soit après l' opération ; si enfin les lèvres de la plaie de l'utérus s'éc

plus tard dans un ouvrage intitulé : Nouvelle méthode de pratiquer l' opération césarienne, une incision trans-versale longue de

compris l'importance d'opérer hors du péritoine, mais de façon que l' opération soit faisable, a publié dans la Gazette des hô-pi

itaux (p. 468, 1842), une lettre, dans laquelle il propose de faire l' opération en deux temps, c'est-à-dire de commencer par fair

généralement pré-féré. Voici la manière dont il doit être exécuté. Opération césarienne sur la ligne blanche. j° Préparatifs.

pendant la grossesse , on sait d'avance si on devra la soumettre à l' opération . Dans ce cas, il faudra l'y préparer quelques jou

avance pour qu'elle puisse y passer les premiers jours qui suivront l' opération , car il est bon qu'on ne soit pas obligé de la tr

ance. Une nouvelle grossesse, en effet, outre le danger d'une seconde opération , expose encore pendant sa durée, surtout dans les

ure qui est souvent poussée dans le vagin. Ainsi, comme on le voit, l' opération à faire est fort différente, suivant que l'une ou

autre circonstance se présente. Les causes qui peuvent nécessiter l' opération césarienne vagi-nale, sont, pour le premier cas,

nts. Le prolapsus complet de l'utérus a quelquefois aussi nécessité l' opération du débridement. Dans un cas de ce genre, où Marig

opératoire. 1" Débridement (pl. 73, f. 3, 4 et 5). Pour faire cette opération , il faut faire placer la femme debout, comme si l

dans le ventre à la suite de grossesses extra-utérines. Quoique cette opération ne porte pas sur l'utérus, il nous paraît que l'o

as sur l'utérus, il nous paraît que l'on doit la ranger au nombre des opérations césariennes, au même titre que le pro-cédé de M.

pra-ticien à se conduire d'après les circonstances. Résultats de l' opération césarienne sur la kemme vivante. Probablement en

lheur tous les membres delà famille et le chirurgien lui-même, aucune opération n'a autant préoccupé les hommes de l'art, et les

préoccupé les hommes de l'art, et les gens du monde eux-mêmes, que l' opération césarienne, et cependant il s'en faut bien que le

ur adopter une opinion sur ce sujet, car les uns ont beaucoup vanté l' opération et les autres l'ont beau-coup dépréciée. En s'app

absolues : à Tenon qui rapporte vaguement le succès impossible de 70 opérations consécutives, on oppose le témoi-gnage bien plus

us certain de J. Burns et de J. Cooper, qui affirment que sur i5 à 20 opérations en Angleterre, aucune n'a réussi, et celui des ch

s de Paris, nos contemporains, qui n'ont pas vu le succès d'une seule opération césarienne depuis le commen-cement du siècle. Fau

ait trop décourageant. Pour avoir des idées saines sur la valeur de l' opération césarienne, il convient de relever les faits auth

ui était celui de l'ancienne académie de chirurgie. Sprengel, sur 106 opérations , n'accuse que 45 femmes mortes; 1 contre 2 i/3 gu

rgiens accoucheurs serait encore plus défavorable. Sur un total de 93 opérations , Baudelocque en comptait 33 faites avec succès, c

ue l'a fait M. Velpeau, on trouve que , jusqu'en c 835, il y a eu 2Ô5 opérations pratiquées; sur ce nombre 118 ont réussi, et 147

ux insuccès :: 118 : 147 ou :: 1 : i,2.5, ce qui veut dire que, sur 9 opérations , 4 ont réussi. En poussant encore plus loin, les

cas qui, joints à ceux réunis par M. Velpeau, forment un total de 2g3 opérations césariennes authentiques, sur lesquelles il y a e

nt aux seconds : : 1 : 1, 19 ou comme 5 : 6; c'est-à-dire que, sur 11 opérations , on a réussi 5 fois : c'est un peu moins de moiti

Sur 96 cas notés, il y a eu 67 enfans vivans et 29 morts. Dans les 28 opérations de l'article cité du Diction, des diction., il y

sur 125 enfans, 88 ont vécu. L'expérience a également appris que l' opération était moins meurtrière en ville que dans les hô

trière en ville que dans les hôpitaux ; car , d'il M. Velpeau, sur 36 opérations faites dans les hôpitaux, a5 ont été malheu-reuse

faites dans les hôpitaux, a5 ont été malheu-reuses; tandis que sur 60 opérations faites en ville, 3i ont réussi. On connaît un a

ville, 3i ont réussi. On connaît un assez grand nombre de cas où l' opération césa-rienne a été faite plusieurs fois , avec suc

ux fournis par les statistiques, en somme pourtant, le pronostic de l' opération césarienne n'est donc pas aussi fâcheux qu'on a v

cinquièmes des femmes qui, sans elle, périraient infailliblement; une opération qui permet de retirer vivans du sein de leur mère

nt aux accouchemens, nour-rissent encore d'injustes préjugés contre l' opération césarienne, et croient que le morcellement de l'e

VOLUME. TABLE DES MATIÈRES CONTENUES DANS LE SEPTIEME VOLUME OPÉRATIONS SPÉCIALES qui se pratiquent sur des organes com

PÉCIALES qui se pratiquent sur des organes complexes ou spéciaux. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQENT SUR L'OEIL. Page i—3o. Organ

pupille artificielle , 29. — Extirpation de la masse ocu-laire, 3o. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'APPAREIL DE L'AUDITION.

ellules mastoïdiennes, 35.—Rétablissement des voies naturelles, 35. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'APPAREIL DE L'OLFACTION

3; ligature, 43-45- — Cathétérisme et perforation des sinus, 45-47- OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES ORGANES DE LA GUSTATION

rophie, scarifications, cautérisation, ligature, excision, 70, 7 1. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LE COU. Pages 7 1— 86. Go

ou extraction des corps étrangers, 83, 84-=OEsophagotomie, 85, 86. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LE THORAX. Pages 86—97.

g5, 96. — Corps étrangers dans la cavité de la poitrine, g6, 97. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'ABDOMEN. Pages 97—147-

on, 108 ; suture avec application des surfaces séreuses, 109-1 1 1. opérations curatives des hernies de 1.'abdomen. Généralité

24-127.— Traitement préventif des accidens de la hernie, 127, 1 28. — Opération de la hernie étranglée, 1 28-131. — Conduite! à t

à tenir dans les cas de complications, 131 -133. — Accidens pendant l' opération , 1 33. — Opération appliquée aux her-nies spécia

de complications, 131 -133. — Accidens pendant l'opération , 1 33. — Opération appliquée aux her-nies spéciales, 1 33-1 35. — Mé

Opération appliquée aux her-nies spéciales, 1 33-1 35. — Méthodes et opérations ayant pour but la cure radicale des hernies. Comp

1 36, 1 {7 ; de M. Gerdy, 137 ; de M. Bon-net, de M. Velpeau, 138. opérations qui ont rapport a lanus anormal. Anus accidente

éthode de Callisen; procédés de MM. Amassât et Baudens, 144- * 4^ ¦ OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LE RECTUM ET L'ANUS Pages

sation, excision, 167, — Cancer du rectum. Extirpation , 1 67 -16g. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES ORGANES GÉNITO-UR1NAIRE

QUENT SUR LES ORGANES GÉNITO-UR1NAIRES DE L'HOMME. Pages 16g—28g. opérations qui se pratiquent sur le scrotum. Hydrocèfe. Mé

jections, incision, 176, 177. — Elephan-tiasis du scrotum, 177,178. opérations qui se pratiquent sur le testicule. SaPiCOCÉle.

aPiCOCÉle. castration. Généralités, 178, 179. Extirpation, 179-182. opérations qui se pratiquent sur le pénis. Imperforation d

nis par des corps étrangers. 188. — Am putation du pénis, 188, 18g. opérations qui se pratiquent sur l'urètre et la vessie. An

étérisme de la vessie chez l'homme. Appareil instrumental, ig4-ig6. — Opération . Avec les sondes courbes métalliques, 197-ig9; av

étérisme explorateur, 228-230. In-dications et contre-indications des opérations , 2.3o. — Mé-thodes opératoires. Lithodialysie, 23

s, 246. — Extraction des détritus lithiques, 246, 247. — Signes que l' opération est achevée, 247- — Indications et contre-indicat

ues des diverses espèces de tailles dans les deux sexes, 292 - 295. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES ORGANES GÉNITAUX DE LA

E PRATIQUENT SUR LES ORGANES GÉNITAUX DE LA FEMME. Pages 2g5—352. opérations qui ont pour siège les organes extérieurs de la g

ribach, Montain. Accidens des sutures, 3oo-3o2. Cautérisation, 3o2. opérations sur les organes intérieurs de la génération. Du

édés de MM. Dupuytren, Flatin, Colombat, 335. Suites et accidens de l' opération , 336. Appréciation, 337. Extirpation de l'utéru

-cédés de Théden, de Mac-Dowel, Monteggia, appréciation, 34i - 343. opérations tokologiques. Pubio-SYMPHYSéotomie. Historique,

uble section des os pubis. Procédés de Aitken, de M. Galbiati, 345. Opération césarienne.— Hysterotomie abdominale. Historique,

ration césarienne.— Hysterotomie abdominale. Historique, indications; opération sur la femme vivante, 345, 346. Opé-ration sur la

n, Zang, Jorg, Ritgen, MM. A.Baudelocque, Physick, Marchai, 347, 343. Opération sur la ligne blanche, 348- 3 5o. — Hysterotomie v

lanche, 348- 3 5o. — Hysterotomie vaginale, 3o5, 351. —Résultats de l' opération césarienne sur la femme vivante, 351, 352. SUPP

mécaniques, dans le détail desquels nous ne devons pas entrer, et les opérations ou sections démuselés et de tendons, myotomie et

irurgie sous-cutanée. Nous avons donc à présenter ici deux sortes d' opérations : i° La sclérotomie ordinaire, agissant plus ou m

près avoir été redressé. Du reste tel strabisme paraît simple avant l' opération , qui cependant est double; on s'en aperçoit après

du strabisme étant d'une grande importance pour motiver ou infirmer l' opération , des recherches nombreuses ont été faites à cet é

éorie qui rendrait compte de beau-coup de récidives dans des cas où l' opération a été bien faite, la plupart des ténotomistes pen

strabisme, puisqu'elle cesse après un certain temps par le fait de l' opération qui a détruit cette infirmité. Une autre cause, e

nt à un vice organique constitutionnel laissent peu de chances pour l' opération . 8° Imitation. On a vu quelquefois le strabisme

spoir de la guérir par divers moyens, pour ne point ten-ter d'abord l' opération . q" Enfin, Maître-Jean invoquait comme cause de

la section du muscle grand oblique, avait été induit à proposer cette opération pour la guérison de la myopie avec ou sans coexis

viendrons plus loin sur les discussions auxquelles ont donné lieu ces opérations variées, il suffit ici de constater le fait génér

tous les cas une source de diffi-cultés pour le chirurgien pendant l' opération . 5" Paralysie d'un ou de plusieurs muscles. Cet

e est l'une des contre-indications que l'on doit le plus respecter. L' opération pratiquée dans deux cas de paralysie d'un seul mu

ant, c'est que les causes et les complications de nature à infirmer l' opération du strabisme sont les plus rares, puisque, s'il f

oire chaque auteur, sur ses propres œuvres, sur plusieurs mil-liers d' opérations qui ont été faites par divers chirurgiens dans le

s souvent l'effet cpie la cause du strabisme, elle ne peut infirmer l' opération qui généralement la guérit ou la rend moins sensi

ie et que la déviation ayant lieu dans le sens opposé nécessiterait l' opération de ce côté, son existence ne nous semble pas pouv

mis de préjuger, ces derniers cas seraient proba-blement de ceux où l' opération , après une guérison temporaire, serait suivie de

e sur l'étiologie du strabisme; et il est heureux en vérité que cette opération réussisse dans la plupart des cas; car, il faut l

ns : les paralysies seules sont des contre-indications suffisantes. L' opération pratiquée en pareil cas sur deux sujets par MM. P

e Chassaigne, n'a pas réussi. Les opacités ne peuvent faire rejeter l' opération qu'autant qu'elles sont elles-mêmes incurables. P

en quelque sorte, sont détrui-tes dans leurs causes par le fait de l' opération , ou que du moins dans les cas moins heureux, la v

ns les cas moins heureux, la vue en est encore beaucoup amé-liorée. OPÉRATION DU STRABISME, (i) ANATOMIE OPÉRATOIRE. (2) Si

-même, n'a d'autre inconvénient que de prolonger un instant de plus l' opération , le chirurgien en étant averti par la persistance

cèdent se déduit la théorie des variétés diverses du strabisme et des opérations qui s'y rappor-tent.— i° Strabisme convergent. Qu

r que ces faits ne se reproduiront plus à l'avenir. Historique de l' opération . C'est une tâche épineuse et déli-cate que d'avoi

ec le couteau « qui a servi à ouvrir la conjonctive. Aussitôt après l' opération , « on fera pratiquer des fomentations froides, et

it affecté et le rendre « apte à reprendre ses fonctions ; cpiant à l' opération qui vient « d'être décrite, elle ne saurait être

a maladie; la possibilité de la guérir; les détails et la marche de l' opération , les soins consécutifs qu'elle réclame, et les ré

clame, et les résultats qu'on doit en attendre, déduits également des opérations de même importance pratiquées sur le même or-gane

importe que celui qui a tant deviné n'ait pas le premier pratiqué son opération sur le vivant. C'est pourtant bien lui l'inventeu

pas su lever cette difficulté inattendue, qui a empêché le succès des opérations . C'est en octobre i83g que, d'après tous les té

i83g que, d'après tous les témoignages, fu-rent faites les premières opérations de strabisme. Mais cette date admise, l'incertitu

ux autres faits, mais où le même inconvénient le força d'abandonner l' opération commencée. Toutefois la modestie de ces résultats

émorrhagie survint, la conjonctive fut dé-chirée par trois fois, et l' opération fut abandonnée. Ces faits avaient lieu en octobre

bach opérait, pour la première fois sur un jeune garçon de dix ans. L' opération fut longue et laborieuse mais elle réussit. Jusqu

e suite et la ténacité sont bien connus , ne s'était pas emparé d'une opération aussi belle que neuve pour la laisser imparfaite.

rhaeghe qui, par reconnaissance, s'est fait l'historien de l'heureuse opération qu'il avait subie le premier. (1 ) Comme il arr

la liberté qu'il m'avait accordée, en lui demandant « le motif d'une opération qui me paraissait parfaitement inutile, « pour ne

une section suffisante pour qu'il en fût ainsi; il y avait en un mot opération de strabisme. Ce prétendu docteur T. qui a tout l

t. Quoi qu'il en soit, il paraît incontestable que quelque chose de l' opération du strabisme remonterait anciennement à une époqu

vement l'attention en Belgique. M. Dieffenbach rendit compte de cette opération à l'Institut de France (février 1840), qui, dit M

e (1), dans une séance opératoire du i5 novembre 1840, il dé-montra l' opération de Dieffenbach à un grand nombre de chi-rurgiens

emiers surtout, après (rois mois, comptaient déjà les faits heureux d' opération par cen-taines. Aujourd'hui, après un an à peine

n résumé, de l'examen des pièces de ce procès sur la décou-verte de l' opération du strabisme, si vivement agité depuis deux ans e

ontribué à élever, en quelques mois, la myotomie oculaire au rang des opérations les plus fécondes, les plus brillantes et les plu

nt de ne point céder à l'impatience des malades qui, souvent, après l' opération , se voyant encore louches du côté non opéré, récl

encore louches du côté non opéré, réclament avec ar-deur une seconde opération pour être immédiatement délivrés de leur infirmit

re comme elle doit l'être. Ce sont ces cas qui nécessitent une double opération . Nous avons vu plus haut qu'ils ne se rencon-tren

ns strabistes, que la persistance d'une, déviation quelconque après l' opération , par l'effet de la contraction spasmodique des mu

e, qui fixe et em- brasse la tête du malade, sert en même temps à F opération . D'une main il tient l'élévateur de la paupière s

r la paupière supérieure, en prévoyant à mesure les divers temps de l' opération , fait de ce premier aide un personnage essentiel

« Je suppose que ce soit l'œil droit qui louche, c'est sur lui cpie l' opération est la plus simple. Le chirurgien place l'élévate

prend le crochet mousse de la main gauche devenue libre. Pour finii l' opération , il ne s'agit plus que de couper le muscle sur le

t affecté de strabisme, le procédé n'est que légèrement modifié, et l' opération peut se faire également de la main droite. L'aide

e sa main courbée tient le crochet qui doit porter l'œil en dehors. L' opération ne dure qu'un peu plus d'une minute. » Tel est

andonnent l'une ou l'autre paupière, ils peuvent compromettre toute l' opération . « Le chirurgien accroche la conjonctive avec s

e muscle est coupé en travers. L'œil fait un mouvement en dehors et l' opération est achevée en réséquant l'attache tendineuse qui

ions et les divers procédés dont nos chirurgiens ont depuis enrichi l' opération du strabisme. Procédé de M. Lucas. Ce chirurgie

ouvant de la difficulté à isoler le muscle, M. Hingest.on, présenta l' opération a conseillé de passer dessous un stylet dont l'in

l dans la direction contraire à la déviation , ce qui restreindrait l' opération aux cas de strabisme les plus faibles et la rendr

nse pas, comme je l'ai entendu expri-mera quelques chirurgiens, que l' opération simplifiée à ce point soit impossible. L'auteur e

l'œil, les manœuvres en seront toujours plus sûres et plus faciles. L' opération du strabisme n'étant pas de celles cpie l'on soit

oute sorte, qu'il n'en faut aux grands chirurgiens pour pratiquer les opérations les plus graves. Procédé de M. Sédiulot. L'aute

e de chirurgiens, sur une masse immense de faits, de la rapidité de l' opération , le malade étant assis, nous ne croyons pas qu'u

du malade que dans les manœu-vres, nous semble allonger inutilement l' opération . Quoi qu'il en soil de la position du malade, M.

aux très courbes sur le plat et un crochet mousse et très aplati. Son opération se divise en deux temps. (Pl. C, fig. 8, 9.) Pr

; que la moindre inadvertance à cet égard suffit pour faire manquer l' opération ; et que c'est pour n'avoir pas su faire face à ce

uton, et garnie d'uneéponge; enfin des ciseaux courbes. I Suit pour l' opération , le texte de l'auteur,V\. C, fig. i, 2, 3, 4 5.)

les instrumens que l'on y emploie ne soient utiles et ne facilitent l' opération ; mais ce cpii nous plaît dans celui-ci, c'est qu'

re de M. L. Boyer que je puiserai les renseignemens nécessaires sur l' opération qu'il annonce lui être commune avec son beau-frèr

il droit, l'autre main devant tenir l'une des éri-gnes pour aider à l' opération ; un autre aide abaisse avec l'au-tre refouleur la

ser le muscle dont la section s'annonce par un bruit de craquement. L' opération terminée on retire l'instrument suivant le même t

de rétraction l'un des mors, et pratique d'un seul coupla section : l' opération terminée, il rabat le lambeau, puis l'étalé et en

succès complet; puis quelque demi-succès, des cas de nécessité d'une opération nouvelle ou des récidives sans espoir. Ainsi donc

trabisme doit être admise à pren-dre rang dans la chirurgie parmi les opérations les plusheureuses et les moins offensives. Mais q

ncore toutes acquises, et que si un doute légitime plane encore sur l' opération même du strabisme dans ses résultats vrais , à pl

uteschoses, viendraient probablement infirmer. Au reste, pourvu que l' opération soit bien faite, il ne paraît pas qu'entre des pr

e rigoureusement tel ou tel procédé. SOINS CONSÉCUTIFS. Pendant l' opération un aide est chargé d'étancher le sang avec une pe

à ressort qui entre dans le matériel de tous les instrumens. Après l' opération , on lave l'œil avec de l'eau fraîche et on l'exam

ans beaucoup de cas il n'est survenu aucun accident cela prouve que l' opération est très inoffensive; mais il nous semble que ce

Dufresse-Chassaigne a suivi avec les opérés les règles suivantes : L' opération terminée, il injecte doucement dans la plaie 4o à

ATION. 1" EFFETS PHYSIOLOGIQUES DE LA SECTION. On reconnaît que l' opération a été bien faite aux caractères suivans. i° L'oei

suivant M. Baudens, pour faire manquer immédiatement le bénéfice de l' opération et amener une récidive en laissant le muscle, tou

n. 1° modifications anatomiques prouvées par l'autopsie. Pour une opération encore aussi nouvelle on ne devrait pas s'attendr

à ce qu'il existât déjà des preuves nécroscopiques des résultats de l' opération . Cependant on possède deux cas examinés et publié

ivisections pratiquées par M. Amussat sur le cheval et le mouton. Ces opérations et vivisections donnent des faits entièrement uni

e vivant par M. Baudens. Dans un cas de récidive, vingt jours après l' opération , ce chirurgien ayant été contraint de couper une

ou cinq muscles; à propos de ce dernier accident, nous parlerons de l' opération nouvelle imagi-née par M. Baudens pour y remédier

pour remédier à cet accident que M. J. Guérin a imaginé une nouvelle opération dont il a déjà lait plusieurs fois l'application

ation dont il a déjà lait plusieurs fois l'application avec succès. Opération secondaire de M. J. Guérin (Pl. E, fig. 67). Sa

où résulte une nouvelle rétraction. Le seul moyen à y opposer est une opération secondaire en ayant le soin, cette fois, de faire

direction; de sorte que rien n'est plus ordi-naire qu'au moment de l' opération , l'œil opéré ayant le regard fixe, ce soit l'autr

opéré. Nous avons eu déjà l'occasion de signaler ce phénomène avant l' opération . Evidemment il doit con-tinuer encore après, du m

fixer les objets à toute distance. 3° Incertitude du regard après l' opération . Voilà le résultat le plus commun de la myotomie

selon nous, c'est à lort que beaucoup de chirurgiens font peser sur l' opération un inconvénient qui a sa source dans la cause mêm

qui n'a subi aucune des influences de la cause, de ses effets et de l' opération avec ses conséquences anatomiques. Que si, comme

ences anatomiques. Que si, comme il arrive dans la plupart des cas, l' opération a changé un regard vicieux ou fatigant et nul pou

u plus assuré pour le malade et supportable à voir pour les autres, l' opération , disons-nous, par cela même a produit tout le bie

et que cette confusion tendrait à faire condamner à sa naissance une opération qui, dans ses applications légitimes, doit être c

SECTION OE MUSCLES VARIÉS. Jusqu'à présent nous avons supposé que l' opération se borne à la section d'un seul muscle et plus pa

riffes, ou de toute autre manière suivant ie procédé, on pratiquera l' opération comme il a été dit pour l'angle interne, si ce n'

u frontal, c'est la section du muscle droit supérieur qui constitue l' opération ou au moins son fait principal, et l'opération, t

érieur qui constitue l'opération ou au moins son fait principal, et l' opération , telle que nous la connaissons, se pratique alors

r le plus qu'on pourra la paupière inférieure. Quant aux détails de l' opération , ils nous sont déjà connus. Les mêmes observation

der, par prolongement de l'incision, à celle dudroit interne. La même opération se repré-sente dans les cas de section de plusieu

cles, mais peut-être n'a-t-on pas encore eu l'occasion de faire cette opération pour un strabisme inférieur direct, les cas qui s

ont réussi et les au-tres n'ont eu aucun résultat; à son avis, cette opération ne doit être tentée que lorsque l'œil strabique e

le tendon lui-même; mais hâtons-nous de dire que rien ne prouve que l' opération pratiquée de cette ma-nière aurait le résultat qu

r les paupières, il les fait fermer et tirer en dehors , comme pour l' opération de la fistule lacrymale, puis il enfonce perpendi

'angle osseux où elle s'implante. Section du petit oblique. Cette opération est encore au nombre de celles dont les indi-cati

rique, la situation du petit oblique exigeant, dans tous les cas, une opération spéciale. Procédé imité de la section des autre

de la conjonctive et du fascia, l'expérience de toutes les variétés d' opération de strabisme prouve surabondamment son innocuité.

férentes parties, manque cependant Indivision du muscle, objet de l' opération ; et enfin , entre les mains de son auteur, chirur

section intérieure des vaisseaux sanguins est assez grave pour que l' opération soit toujours suivie d'une énorme ec-chymose, par

de restreindre, au-tant que possible, le nombre et la succession des opérations subséquentes et la limite que l'on ne doit pas fr

que prévoir le cas de sections multiples , sauf à se guider pendant l' opération sur le mode de déviation pour couper tel ou tel m

n du grand oblique qui continuait à soulever l'œil en dedans. La même opération a eu le même résultat sur plus de vingt opérés; m

rne et droit externe. M. Dufresse a eu occasion de répéter les deux opérations pré-cédentes de strabisme convergent et divergent

s et en haut, met dans la nécessité de couper le petit oblique. Cette opération , pratiquée d'abord par M. Baudens (16 mars 1841,

'inspirant, à cha-que fois, de l'indication du moment. Mais outre les opérations secondaires applicables aux muscles eux-mêmes, ce

scles eux-mêmes, cet habile chi-rurgien a imaginé de remédier par une opération spéciale, a l'agrandissement de l'ouverture palpé

e, a l'agrandissement de l'ouverture palpébrale : de là deux sortes d' opérations . i° Opérations secondaires sur les muscles. Ce

ment de l'ouverture palpébrale : de là deux sortes d'opérations. i° Opérations secondaires sur les muscles. Ce n'est qu'en sui-v

'avons dit, les accidens inflammatoires l'ont forcé de renoncer. 2" Opération pour l'agrandissement de l'ouverture palpèbrale.

ontention, la pau-pière inférieure tombante, qui est l'objet de cette opération . Pour y parvenir, M. Baudens détache, au contour

es sutures à points séparés (fig. 10). L'auteur a déjà pratiqué cette opération , avec succès. En résumé, d'après les derniers r

dire, les névroses exceptées, aux-quels on ne puisse remédier par des opérations secondaires et des soins quotidiens , comme nous

ns signalées plus haut, un autre accident résultant quel-quefois de l' opération du strabisme, mais plus particulièrement des sect

er. Cet état maladif m'a paru se rencontrer surtout dans les cas où l' opération est suivie de diplopie, et particulièrement lorsq

ès circonspects sur les sections multiples. CONCLUSIONS. Pour une opération si nouvelle, l'essentiel serait de connaître avec

rés de fréquence des divers genres de strabisme, M. Phillips, sur 102 opérations pour 100 opérés, a constaté 84 strabismes converg

rapport du premier au second 6 : 1. D'un autre côté, M. Guérin sur 69 opérations , compte, 55 strabismes convergens et 8 diver-gens

fréquens que les strabismes divergens. Quant aux résultats réels des opérations , M. Ammon, de Dresde, sur 82 opérés, déclare 55 g

vec résultat in-complet et un neuvième de revers. M. Dufresse, sur 47 opérations affirme n'avoir éprouvé que 3 revers ou 1/16. Enf

rs ou 1/16. Enfin, M. Guérin, i/i5, représenté par G récidives sur 92 opérations pratiquées à l'hôpitaldes enfans. Le terme moyen

cle petit oblique. Depuis, les deux der-niers ont multiplié les cas d' opérations , et M. Bonnet, en parti-culier, possède un grand

ont été vus à Lyon, par notre prépara-teur M. Bernard. C'est à cette opération en particulier que se rapporte le procédé de sect

axe de rotation. Nous ne discuterons même pas l'op-portunité de cette opération qui ne saurait supporter l'examen au point de vue

erne étant coupé im-médiatement, le malade assurait, aussitôt après l' opération , qu'il voyait la lumière. Un peu d'inflammation s

audens, Bonnet, etc., signalent comme indication la plus précise de l' opération , l'état d'indura-tion du frein et du bord antérie

ne a beaucoup plus de valeur que les pre-miers à-peu-près nuls pour l' opération . Quelques-uns parlent la bouche entrouverte toujo

tituant essentiellement le bégaiement, et partant devant cesser par l' opération faite dans certaines condi-tions que nous précise

ui avaient amené le strabisme et le bégaiement. Sous l'influence de l' opération du génio-glosse, on vit l'un et l'autre diminuer.

ent par oubli des principes ou par toute autre cause qui échappe. L' opération peut alors être avantageuse, ainsi que nous en ve

son spontanée, diminuent singulièrement les chances et le mérite de l' opération . indications et contre-indications de l'opérati

et le mérite de l'opération. indications et contre-indications de l' opération . Indications. La science est loin d'être fixée

marche suivie dans l'étude du bégaiement? Encore dans l'ivresse de l' opération du strabisme, les chirurgiens se sont jetés sur c

et le diagnostic différentiel du bégaiement, sans lesquels pourtant l' opération n'est plus qu'un empirisme aveugle ? Aussi voyons

e simple infirmité, pratiquer presque sans connaissance de cause, les opérations les plus graves. On conçoit alors le blâme qui pè

t, surtout en présence des faits, presque tous de nature à infirmer l' opération . La plupart des physiologistes et des médecins pe

gique locale peut être attaquée avec, plus ou moins de succès par une opération . C'est le cas du bégaiement par rétraction muscul

bégaiement et notam-ment celles pour lesquelles M. Phillips rejette l' opération : c'est vraiment se montrer plus partial que consé

en (p. 355) ajoute que si le bégaiement porte sur l'h, le k ou l'm, l' opération est impuissante et qu'il n'a pu, jusqu'à ce jour,

é du Strabisme et du Bégaiement, p. i/jo) cite un malade qui, après l' opération , prononçait nettement les mots Hugues, Rakoski, m

des muscles de la respiration, excluent, par cela même , toute idée d' opération , à moins qu'elles ne soient compliquées des sign

agnés des signes physiques de rétraction, laissent peu de chances à l' opération . Il faut en dire autant de ceux par causes morale

n con-çoit qu'on doive avoir recours aux méthodes, préférablement à l' opération . Ainsi les traitemens locaux qui conviennent dans

iées de bégaiement que les indications et les contre-indications de l' opération doivent être puisées. Eu égard à l'âge, M. Bonn

n doivent être puisées. Eu égard à l'âge, M. Bonnet n'admet point l' opération passé vingt-cinq ans. Quelques praticiens citent

s ne sont pas troublées, on compterait presque autant de succès que d' opérations . Mais ajoutons que le nombre en serait singulière

et de la pratique générale basée déjà sur un nombre assez important d' opérations . OPÉRATION DU BÉGAIEMENT (Pl. F, G). anatomte

que générale basée déjà sur un nombre assez important d'opérations. OPÉRATION DU BÉGAIEMENT (Pl. F, G). anatomte operatoire (

losses, dont, au reste, la situation profonde compli-querait encore l' opération . Hyo-glosses. Leur partie postérieure ou les ké

ortelles, qui peuvent être la suite de leur lésion. historique de l' opération . Si la révélation faite par M. Velpeau , que l'

rique de l'opération. Si la révélation faite par M. Velpeau , que l' opération du stra-bisme aurait pu, quoique très imparfaite,

ects, quant à l'étiologie, les conditions anatomiques de la langue, l' opération qu'elle réclame, les accidens qui en résultent, l

'on trouve d'induré à la surface des chairs vives doit être divisé. L' opération terminée, on absterge la plaie avec de l'eau froi

qalionelinyuœ quodancylion dicitur, lib r iv, cap. xxix. Texte de l' opération . Collocari débet œgiotus in sedili ea figura ut l

e hémorrhagie, qu'on ne peut ar-rêter, en est fréquemment la suite. L' opération terminée, on doit absterger la plaie avec de l'ea

lté de Montpellier, au commencement du seizième siècle, connaissait l' opération de l'ancyloglosse et même son application aux mue

n'est, retenue par aucun ligament. C'est pour prouver le danger de l' opération faite dans ce cas sans nécessité, qu'il cite l'ex

de deux ans, qui était muet, me fut présenté afin que. je lui fisse l' opération du filet; mais ne lui trouvant aucun lien fibreux

mihi ab adstantibus relatum fuit, separavit. » Malheu-reusement cette opération n'eut point le succès désiré, l'enfant fut pris d

r jour, d'enduire la plaie de miel rosat. Deux mois après la première opération , trouvant le ligament réuni de nouveau, j'eus rec

opération, trouvant le ligament réuni de nouveau, j'eus recours à une opération analogue à la première. « Qua-propter eodem modo

ce de Hilden, termine en décrivant sa manière de pro-céder. « Cette opération est exempte de dangers, pourvu qu'elle soit faite

sez coupé, ou s'il y a réunion, on peut alors avoir recours à la même opération . Le ligament coupé, je recommande à la nourrice

loglosse, et ce-pendant rien ne prouve qu'il ait eu connaissance de l' opération pratiquée dans l'antiquité romaine. Au lieu de ce

otion ; il s'inspire de ce que cet homme a fait, et y apporte, dans l' opération pra-tiquée sur son frère, les modifications qu'il

s pré-sente, suffiraient à prouver qu'il a souvent eu recours à cette opération pour des causes variées, si déjà l'on n'avait à c

s génio-glosses, on peut donc induire de ses expressions que dans les opérations subséquentes, il entame au besoin la substance de

efforts pour ne pas laisser encore une fois retomber dans l'oubli une opération qui, étudiée avec persévérance et pratiquée avec

e quelques mots à ajouter. Après Fabrice de Hilden, il paraît que l' opération continue à rester dans la pratique. On trouve dan

ranes situées sous la langue sont trop courtes ou trop contractées, l' opération est alors le plus souvent nécessaire pour les gué

ens qu'il cite et résume par centons, donne les détails suivans sur l' opération telle qu'il l'a pratique. » Il faut de la main ga

ensés, il en arrive des suites terribles. » Tels sont, concernant l' opération du bégaiement, les docu-mens authentiques à notre

bien réellement à M. Dieffenbach, que l'on doit la réapparition de l' opération du bégaiement. Quelque blâme que nous soyons cont

le moyen de guérir le bégaiement par une incision dans la langue : l' opération qu'il a faite a complètement réussi. Sui-vant M.

hode originale, puis-qu'il transportait aux muscles sous-linguaux une opération pra-tiquée d'abord par M. Dieffenbach à la face d

dens. Bientôt enfin les tentatives et les procédés se multi-pliant, l' opération du bégaiement put commencer à entrer dans l'ensei

trine d'un aide placé debout derrière lui. Cet aide se rend utile à l' opération ; ses mains, seules ou armées de crochets ou de p

chirurgien, lui présente et en reçoit les instrumens nécessaires à l' opération . MÉTHODES ET PROCÉDÉS OPÉRATOIRES. Trois méth

teur s'exprime sur la manière dont l'idée lui vint de pratiquer cette opération . « Cette pen-sée de guérir le bégaiement par la

° Excision d'une pièce triangulaire de la langue ( 1 ). La pre-mière opération de M. Dieffenbach fut pratiquée, le 7 janvier 184

n gagnant en épaisseur, deux conditions favorables à l'exécution de l' opération . Pendant qu'un des aides amenait la langue autant

u visage ni dans les lèvres n'est demeuré après le septième jour de l' opération . » Section sous-cutanée de la racine de la lang

suffisent pour arrêter la perte de sang assez abondante. Toutes ces opérations sont suivies d'hémorrhagieset de tumé-faction con

aît cependant être moins subtil dans les premiers temps qui suivent l' opération . » Telle est, en texte original, la méthode de

e chose qui nous semble plus singulier, plus extraordinaire que cette opération , ce sont assu-rément les motifs sur lesquels elle

insistons avec tant de force sur les motifs et les manœuvres de cette opération , c'est en raison de la noblesse même de son origi

éritable utilité pratique. C'est pré-cisément ce. qui est arrivé de l' opération de M. Dieffenbacb : sur l'annonce de i4 guérisons

nt Tin scepticisme complet, et pour avoir trop applaudi d'abord à une opération blâmable, la plupart des chirurgiens en sont aujo

ver plus loin par des faits. A la méthode allemande se rattachent l' opération de M. Gears-ley de Londres et les procédés de M.

ser les troubles respiratoires en livrant passage à l'air; mais cette opération , qui ne s'appuie que sur une théorie hypothétique

ue, déjà condamnée par M. Dieffenbach; 20 la ligature du même organe, opération en-core plus douloureuse et moins justifiable. L'

ait subi l'épreuve des faits, puisque l'auteur lui-même a renoncé à l' opération qui s'y rapportait et qu'aucune tentative du même

Velpeau a pratiqué la section du pilier antérieur du voile du palais, opération qui ne semble qu'une imitation de celle de M. Jea

stant toute la musculature de la langue. L'hémorrhagie qui suit cette opération est très abondante, mais elle est salutaire au ma

ne, il nous est permis de le juger rigoureusement, surtout lorsqu'une opération aussi condamnable en a été la suite. Comment M. P

l'on ne possède aucun moyen de l'arrêter, si ce n'est par une seconde opération plus pénible et plus cruelle que celle faite pour

ui paraissent s'opposer à ce mouvement. Pendant quelque temps après l' opération , le pa-tient s'est plaint d'une douleur accompagn

vième paire ; mais cette douleur s'est bien-tôt dissipée. » Après l' opération quelques malades ont cru sentir leur langue plus

es millimètres ou, tout au plus, un centimètre. Ainsi limi-tée, cette opération n'est presque plus qu'un simple débridement, comm

Dans le point où je pratique la section des muscles génio-glosses , l' opération est moins difficile et moins dangereuse que dans

le fois; ordinairement il n'y est amené que par deux ou trois petites opérations pratiquées à quelques jours d'in-tervalles. Soi

s divisées, pour empêcher la récidive de se produire. Du moment que l' opération est arrêtée au degré convenable, le soin du chiru

les lames des ciseaux, on entend un claquement qui annonce que cette opération , qui dure à peine quelques secondes, est terminée

n, chez le plus grand nombre, n'est pas assez grande pour légitimer l' opération . L'opinion de M. Baudens, à ce sujet, est si comp

Baudens, à ce sujet, est si complète, qu'il croit devoir renoncer à l' opération si une dernière tentative qu'il vient de faire n'

t. Mettant de côté ces questions de priorité , voici quelles sont les opérations successives qui constituent la méthode actuelle d

ion à la mâchoire ; 3° le refoulement du muscle en arrière. Ces trois opérations ne sont que comme les temps complétifs d'une seul

on coupe la moitié droite de ce muscle. « Chacun des temps de cette opération demande des précau-tions particulières pour être

ngue hors de la bouche ; s'il ne peut lui faire dépasser les dents, l' opération est terminée: c'est une preuve, en effet, que l'a

ce qui prouve, comme il a été dit plus haut, que le but immédiat de l' opération n'est pas atteint, on procède au décollement du t

bouche, ce qui amène une effusion de sang qui oblige d'interrompre l' opération . Si cet accident n'a pas lieu, on continue le déc

de sortir de la bouche. Dans ces cas on peut prédire l'insuccès de l' opération , ou du moins le résultat que celle-ci peut produi

elle-ci peut produire doit être à-peu-près nul. « Ainsi, pour que l' opération soit complète, il faut i° que le doigt introduit

u muscle génio-glosse est complètement détruite, le but immédiat de l' opération a été atteint. Cette observation judicieuse, appu

a pas réussi à l'éviter, c'est qu'une fois (il s agit de sa pre-mière opération ), il avait coupé les g*nio-glosses dans leur port

prévoir par le volume et le nombre des vaisseaux lésés , ce sont les opérations de MM. Dieffenbach et Phillips qui ont présentele

fois le fer rouge fut appliqué, et, chose remarquable ! pendant cette opération le sang paraissait jaillir sur les côtés du cautè

part quelques cas rares, les hémorrhagies sont légères à la suite des opérations qui portent spécialement sur les attaches des gén

'en cite que deux cas.Un seul malade est mort, dix-neuf jours après l' opération , porteur d'un vaste abcès, et après avoir éprouvé

quelques procédés, la difficulté de parler augmente le lendemain de l' opération , et continue pendant quelques jours. Ordinaire-me

e-nouveler le bégaiement et, souvent, le rendent plus fort qu'avant l' opération . Il y aurait dans ce cas indication d'opérer de n

vu que M. Amussat l'établit en prati-que habituelle. résultats de l' opération . En général, immédiatement après l'opération, l

elle. résultats de l'opération. En général, immédiatement après l' opération , la langue acquiert la liberté de se mouvoir, la

ésultats générale-ment favorables : voici le résumé des [\i premières opérations , tel qu'il a été rédigé au mois de juillet 184 '

3° six malades, âgés de 3i à 42 ans, n'ont retiré aucun avantage de l' opération ; 4"sur les 3o derniers, âgés de 16 à 3i ans, et q

de amélioration, 2 des améliorations médiocres et 7 n'ont retiré de l' opération aucun résultat avantageux, de telle sorte que , d

avenir entre les dents. L'influence de l'âge sur les résultats de l' opération dans les bé-gaiemens causés par une difficulté da

s-simuler que l'opinion des chirurgiens, d'abord si favorable à cette opération , lui est en ce moment absolument contraire. A un

ltats ne semblent pas non plus très favorables. Sur un chiffre de 207 opérations pratiquées par MM. Amussat, Velpeau, Baudens, Duf

sous tous les aspects, l'histori-que, Pétiologie, le diagnostic, les opérations et leurs résultats, de manière à en tracer des mo

s, dont les différences, entre les auteurs, sont à peine sensibles, l' opération se compose de plusieurs temps : i" la tension des

st naturellement celui où ils font le plus de saillie sous la peau, l' opération dans ce point en étant plus facile, outre que l'o

les tendons des mus-cles indiqués, et toujours j'ai remédié par cette opération aux élémens de difformités qu'ils avaient concour

, dans des descriptions de procédés qui seraient surabondant pour des opérations si simplets, les formules géné-rales opératoires

se trouvant traitées avec tout le détail convenable, en regard des opérations elles-mêmes, dans les explications de planches.

isseurs de la jambe. MM. Dieffenbach et Stromeyer ont réitéré la même opération en i83o. M. Duval est le premier (i83y) qui ait c

la jambe, et M. Bouvier celle du tendon psoas iliaque; mais comme ces opérations sont encore récentes, et que la dernière, en part

justifiable, nous ne croyons devoir en-trer dans aucun détail sur ces opérations . MEMBRE THORACIQUE. Les succès obtenus par le

d'accidens très graves, du moins il paraît bien que le bénéfice de l' opération a été nul, pour ne pas dire plus. Ainsi donc, p

ur éviter à-la-fois le double inconvénient, ou d'ex-citer à faire des opérations blâmables, ou de décourager les chirurgiens de te

peuvent donner lieu à un allongement bien sensible. En transportant l' opération à l'autre extrémité du membre, en cas de rétracti

uation latérale des vaisseaux et des nerfs cubitaux et radiaux, cette opération exige beaucoup de précau-tion et d'habileté dans

es et légèrement concave sur le tranchant. Dans le premier temps de l' opération , la lame de l'instrument est introduite à plat, l

du sacro-spinal. Nous lui avons vu nous-même pratiquer cette dernière opération qui a permis aussitôt le redressement du tronc ch

Nous savons déjà que M. J. Guérin renferme sous ce titre toutes les opérations , quel qu'en soitl'objet, qu'il pratique actuellem

le célèbre chirurgien de l'Hôtel-Dieu. En i833, M. Stromeyer répéta l' opération de Delpech, dans le même but d'éviter la suppurat

qui a pratiqué, à l'invitation de M. Stromeyer, un si grand nombre d' opérations de ténotomie, dans ses nombreuses publications de

périences sur les animaux, confirmée successivement par de nombreuses opérations sur l'homme, ce chirurgien s'est assuré que la di

conditions des plaies sous-cu-tanées, et de faire, sous la peau, les opérations qui ne réclament pas indispensablement la divisio

s toujours à la suite des sections sous-cutanées des grands muscles ; opération répétée cpiatre fois avec succès complet, c'est-à

qui succèdent assez souvent aux épanchemens sanguins produits parles opérations de myo-tomie sous-cutanée; opération répétée troi

hemens sanguins produits parles opérations de myo-tomie sous-cutanée; opération répétée trois fois avec des résultats semblables

gement de ces tumeurs. Dans les trois cas où j'ai eu recours à cette opération , l'inflammation a été enrayée immédiatement, et l

7° La section sous-cutanée du sphincter de l'anus pour la fis-sure, opération pratiquée une fois par nous et répétée déjà avec

s complet par notre honorable ami M. Blandin. 8° Enfin, une foule d' opérations de myotomie entièrement nouvelles et que personne

re acquises que par la pratique. Constatons seule-ment que toutes ces opérations , quelque spéciales qu'elles puissent être, sont c

nt defois qu'il est nécessaire pour évacuer la totalité du liquide. L' opération terminée, reste à dégager la canule de la plaie;

m-plâtre adhésif. M. Guérin a déjà pratiqué avec succès , quant à l' opération du moins, ce nouveau mode de ponction de l'empyèm

voir réitérer la ponction qu'en pratiquant à chaque fois une nouvelle opération . 11 est bien vrai, comme nous nous en sommes assu

presque jamais; tou-tefois, reconnaissons que la nécessité d'autant d' opérations nou-velles est un point de difficulté par où l'em

ard, par exemple, quoique si inférieur à celui de M. Guérin quant à l' opération elle-même. Ponction des abcès ou des collection

our l'empyème. Nous ne croyons pas devoir insister sur le détail de l' opération qui ne serait que la répétition de ce que nous

p-tes chirurgicaux, de ceux que nous avons posés pour toute es-pèce d' opérations , et qui se trouvent longuement traités à propos d

qu'une nouvelle collection se forme pour avoir recours à une nouvelle opération . Nous avons vu ainsi M. Guérin pratiquer, à que

et la santé générale des malades s'amélio-rant à mesure, sans que les opérations donnassent lieu à aucun accident local. Nous n'hé

-miques prouvées par l'autopsie, xvi-xvn.—Accidens qui ont rapporta l' opération . Ecchymose, hémorrhagie, inflammation, névralgies

arnus, proéminence de l'œil, abo-lition du mouvement du muscle coupé, opération secondaire, strabisme inverse consécutif, récidiv

e. Diplopie, vue faible de l'œil opéré, incertitude du regard après l' opération , xvin-xix. = Section de muscles variés. Droit ext

ophthalmie, rétrécissement de l'ouverture palpe-brale nécessitant une opération secondaire, névroses, xxii-xxin. == Conclusions,

ces atmosphériques, hérédité. Indications et contre-in-dications de l' opération , xxv—xxvi. = Opération du bégaie-ment. Anatomie o

édité. Indications et contre-in-dications de l'opération, xxv—xxvi. = Opération du bégaie-ment. Anatomie opératoire, historique d

xvi. = Opération du bégaie-ment. Anatomie opératoire, historique de l' opération xxvn-xxx. — Examen de la langue et de la nature d

ous-cutanée,procédé de M. Bounet, de Lyon, xxxv-xxxvi. — Accidens de [ opération de ïancylo-glosse. Hémorrhagie, tuméfaction, abcè

nasal, et qui sert de guide pour la ponction avec le bistouri dans l' opération delà tumeur lacrymale. Le bord libre seule-ment d

œsophage. Tome 7. Pl. 1. TOME VII. PLANCHE 2. INSTRUMENTS DES OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'OEIL. GRANDEUR REELLE.

ET 4 PLANCHE 3. FIGURE i. Position figurée de la tête, dans les opérations qui se pratiquent sur les yeux et au travers des

héter de M. Gensoul. Figure 2. Elle représente les trois temps de l' opération . 1. Introduction horizontale de la sonde. 2.

figure 3 bis montre le parcours intérieur du cathéter. PLANCHE 4. OPÉRATIONS SUR LES VOIES LACRYMALES. FIGURE I. Injection

on du sinus maxillaire pour pratiquer une voie nasale artificielle. L' opération est celle de M. Laugier pratiquée avec son trocar

après nature par N.H. Jacob. TOME VIL PLANCHES 5 ET f. PLANCHE 5. OPÉRATIONS CURATIVES DE LA BLÉPHAROPTOSE ET DE ^ECTROPION

la paupière supérieure (procédé de Dieffenbach ). Figure 7. La même opération pratiquée à la paupière inférieure relevée par le

nant l'élévation de la paupière et l'ouverture de l'œil. PLANCHE 6. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES PAUPIÈRES. GRANDEUR

Im. de Lemercier Benard C° TOME VIL PLANCHES 7 ET 8. PLANCHE 7. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES PAUPIÈRES. GRANDEUR

r le plat à pointes mousses. PLANCHE 8. MALADIES QUI MOTIVENT LES OPÉRATIONS SUR LA CORNÉE, LE CRISTALLIN, ET L'IRIS. GRANDE

d'après nature par Rogat. TOME VIL PLANCHES 9 ET 10. PLANCHE 9. OPÉRATIONS DE LA CATARACTE PAR EXTRACTION, GRANDEUR NATURE

ératomie oblique pratiquée avec le couteau de Wenzel. PLANCHE 10. OPÉRATION DE LA CATARACTE. EXTRACTION ET ABAISSEMENT. G

rd au point A suivant la ligne a, b, se trouve, au commence-ment de l' opération , au-devant du cristallin, suivant la ligne c, d :

. Jacob direxit d'après nature par Rogat. TOME VII. PLANCHE 11. OPÉRATIONS DE PUPILLES ARTIFICIELLES. GRANDEUR NATURELLE.

1. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob.. TOME VIL PLANCHE 12. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'OREILLE. ADULTE, GRANDE

à l'autre extrémité. La figure 7 indique la manœuvre d'une seconde opération de ce genre. Une première ligature ayant été appl

N.H. Jacob. Im. de Lemercier Benard et C°. TOME VIL PLANCHE 15. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'OREILLE. GRANDEUR NATUR

10. Ciseaux à résection, à branches courtes et coudées sur le plat. opérations . Figure 11. Extraction d'un corps étranger dans

ines est maintenue par des corps étrangers. Figure 3. Résultat de l' opération après quinze ou vingt jours. (e) Plaie frontale

igures 7 et 8. Rhinoplastique par la méthode italienne. Figure 7. L' opération est représentée lorsque le premier temps vient d'

cette dernière en dehors par une incision. Dans le moment choisi de l' opération , le chirurgien, qui a saisi le polype entre les m

, l'excision ou même la ligature. FIGURES 3 et 4. LIGATURE. Cette opération ne pouvant être comprise du lecteur figurée , com

'ouverture pharyngée des fosses nasales. Dans le moment choisi de l' opération , les extrémités des trois fils , soit de la ligat

. de Lemercier Benard et C. TOME VIL PLANCHE 16. GÉNOPLASTIQUE. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES FOSSES NASALES. DEM

Procédé de M. Lallemand. Ces figures sont faites en imitation d'une opération pratiquée par Le célèbre professeur de Montpellie

re et la commissure. FIGURE 4. TAMPONNEMENT DES FOSSES NASALES. L' opération ne pouvant être bien comprise par l'extérieur, no

sse canine pour mettre à nu la surface osseuse. Au moment choisi de l' opération la tréphine est appliquée pour enlever un disque

e inférieure avec l'indication des quatre incisions qui constituent l' opération . —a, a. Incisions descendantes qui se réunissent

occupé à le dé-tacher avec le bistouri. Figure2. Pansement après l' opération . Les deux lambeaux latéraux sont réunis par des s

n gouverne plus facilement la dissection isolée et l'af-frontement. L' opération est représentée terminée. Si la courbe de la plai

n V l'incision verticale de M. Lisfranc. C'est de cette manière que l' opération est pratiquée, afin que les deux lignes de l'in-c

II. PLANCHE 18. BECS-DE-LIEVRE. grandeur naturelle. Trois cas d' opération pratiqués par Ant. Dubois et copiés sur des pièce

4, 5. Rec-de-lièvre double. Figure 1. Etat du bec-de-lièvre avant l' opération . Au milieu se pré-sente le tubercule incisif ou i

'un bourrelet gingival avec un tubercule cutané irrégulier. Figure 2. Opération pratiquée. Le tubercule cutané (a) {fig. 1, 2, 3)

avec les ciseaux, des bords de la division anormale (d), a terminé l' opération . Figure 3. Le même cas représenté au profil pou

le à toute l'extrémité du nez. La figure 7 montre le même cas après l' opération et la guérison. FIGURES 8,9, 10. Bec-de-lièvre

montrer l'écartement de la voûte palatine. Figube 10. Résultat de l' opération après la cicatrice obtenue. FIGURE 11. Ciseaux

harrière. Imp. de Lemercier Benard et C. TU M E VIL PLANCHE 20. OPÉRATIONS QUI ONT RAPPORT A LA FISTULE SALIVAIRE. ADULT

ponction ayant été faite d'avant en arrière, au mo-ment indiqué de l' opération une seconde ponction est dirigée d'ar-rière en av

jusqu'au delà de la partie malade de la langue; au moment choisi de l' opération , une seconde section est opérée avec les ci-seaux

iellement un som-met à la langue raccourcie. Figure 3. Réunion de l' opération précédente par deux points de suture; en arrière

ter toute plaie ex-térieure, comme dans les divers procédés usités, l' opération est figu-rée la ligature pratiquée par la bouche,

7 Pl.21. d'après nature par N.H. Jacob. TOME VIL PLANCHE 22. OPÉRATION DE LA STAPHYLORAPHIE. ADULTE, GRANDEUR NATURELL

EUR NATURELLE. Disposition commune à toutes les figures. Dans toute opération de staphyloraphie, la bouche, comme elle est repr

jà introduite par une première piqûre, dans le moment choisi pour l' opération , l'instrument qui a perforé du côté opposé est pr

FIGURES 6 et 7. LIGATURE. Figure 6. Ligature avec les doigts. L' opération est figurée sur l'anse postérieure, que l'on doit

TOME VII. PLANCHES 25 ET 24. GRANDEUR NATURELLE. PLANCHE 23. OPÉRATIONS DIVERSES SUR LE VOILE DU PALAIS. Figure 1. Stap

PALAIS. Figure 1. Staphyloplastique. Procédé de M. Dieffenbach. L' opération de la staphyloraphie étant pratiquée comme à l'or

œsophagienne pour la ramener par le nez. Dans le moment choisi pour l' opération , le médius et le pouce de la main droite (a) fixa

ARYNGOTOMIE ET TRACHÉOTOMIE. Figure 1. Cette figure représente deux opérations : en haut la laryngotomie, en bas la canule de M.

. Bretonneau en situation après la trachéotomie. A. Laryngotomie. L' opération est supposée pratiquée pour l'extrac-tion d'une p

B. Canule de M. Bretonneau laissée à demeure dans la plaie après l' opération de la trachéotomie. Elle est fixée par deux cordo

les bords de la plaie par des crochets mousses. Au moment choisi de l' opération le chirurgien ex-trait avec une pince à polype le

acé en situation, le cou tendu, le men-ton incliné un peu à droite, l' opération pratiquée a pour objet d'ex-traire un corps étran

tiques. La tumeur disséquée d'abord en dessous, au moment où en est l' opération le chirurgien, qui dirige à pleine main la masse

pectoral en regard. Figure 3. Réunion de la plaie. PLANCHE 28. OPÉRATION DE L'EMPYÈME. Figure 1. L'opération est représe

on de la plaie. PLANCHE 28. OPÉRATION DE L'EMPYÈME. Figure 1. L' opération est représentée pratiquée du côté droit sur un ho

ans l'adduction pour tendre les chairs du côté sur lequel on opère. L' opération est pratiquée sur le quatrième espace intercostal

oitié ce muscle et l'at-tache du grand oblique. Au moment où en est l' opération , le bistouri venant de faire la ponction , le flo

ner avec le trocart tenu de la main droite (d). Au moment figuré de l' opération , la piqûre étant faite, l'opérateur retire la tig

eur, en cas d'étranglement. Seulement il fout avertir que, pour cette opération , il est inutile d'intéresser les sacs herniaires.

r des té-gumens avec la paroi antérieure intermédiaire du canal. C. Opération terminée, la peau du bord de l'ouverture réunie a

le volume de l'abdomen. Figure 6. Procédé de M. Velpeau. Dans cette opération , les tégumens ayant été refoulés dans le canal co

ANUS ARTIFICIEL LOMBAIRE GAUCHE (METHODE DE M. AMUSSAT). Cette opération nouvelle et très importante a réussi déjà deux fo

3. Anus artificiel iliaque (procédé de Littre). La plaie représente l' opération terminée. L'intestin, dont la plaie est large-men

queuse et des fibres superficielles du sphincter cu-tané. FIGURE 2. Opération de la fistule a l'anus par incision. Le cas repré

eprésenté est l'un de ceux où l'orifice interne étant peu pro-fond, l' opération peut être faite seulement sur la sonde cannelée.

la pointe est guidée par la canne-lure de la sonde. FIGURE 3. Autre opération par incision. Ce cas est celui où l'orifice recta

.44. D'après nature par N.H. Jacob. TOME VIL PLANCHES 45 ET 46. OPÉRATIONS SUR LE RECTUM. ADULTE, DEMI-NATURE. PLANCHE 4

I-NATURE. PLANCHE 45. FIGURE 1. Ligature d'un polype du rectum. L' opération est représentée pratiquée à l'aide du spéculum à

rconférence de l'anus (chute du rectum, procédé de Dupuytren ). Cette opération a pour objet de rétrécir l'orifice par la cicatri

1. Tamponnement du rectum. Pour faire comprendre le mécanisme de l' opération , le résultat en est figuré sur le cadavre. La par

us avec un petit spéculum Semblable à celui du nez. FIGURES 4 et 5. Opération de l'anus artificiel pour absence congé-niale du

pération de l'anus artificiel pour absence congé-niale du rectum. L' opération de la figure 4 est représentée comme l'a pratiqué

e le chirurgien ouvre par une incision cruciale. La figure 5 montre l' opération terminée: la plaie horizontale est fermée par des

VIL PLANCHES 47 ET 48. ADULTE, GRANDEUR NATURELLE. PLANCHE 47. OPÉRATIONS CURATIVES DE L'HYDROCÈLE. Figure 1. Hydrocèle d

près nature à l'hô-pital du Gros - Caillou (voyez le même cas après l' opération , figure 4). Figure 2. Opération d'hydrocèle par

Caillou (voyez le même cas après l'opération, figure 4). Figure 2. Opération d'hydrocèle par ponction (côté gauche). La tumeur

tunique vaginale. Procédé de Dupuytren, modifié de Kinder Wood. Cette opération est ré-servée ppur les cas où, les tégumens étant

'un corps étranger. La jigure \ est le cas tel qu'il existait avant l' opération . Figure 5. Trocart à hydrocèle : (a) armé de sa

e. FlGURE 6*. Seringue à injection pour Phydrocèle. PLANCHE 48. OPÉRATIONS CURATIVES DU SARCOCÈLE. FigUrE 1. Sarcocèle des

à l'hôpital de la Charité dans le service de M. Velpeau, Figure 3. Opération de la castration pour un sarcocèle du côté gauche

PÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LE PÉNIS. PLANCHE 49. Figure 1. Opération du varicocèle (procédé de M. Breschet). A. Pinc

à l'orifice du gland, le canal de l'urètre manque. Figures 4 et 5. Opérations curatives de Vhypospadias, pour le cas où le cana

par Léveillé d'après nature TOME VII. PLANCHE Si instrumens des opérations QUI SU PRATIQUENT DANS 01 PAR LE CANAL DE L'URE

ÉCIALES DANS L'URÈTRE. Pour en faciliter l'intelligence, toutes ces opérations sont représentées cadavériques, au profil, sur le

hypertrophiée, avec le dilatateur de M. Leroy-d'Etiolles. Ces deux opérations sont représentées au profil, sur le plan de secti

lobe pathologique de la prostate (Procédé de M. Leroy-d'Etiolles). L' opération est représentée cadavérique pour laisser voir ce

re 6. Excision des côtés d'une poche uretrale calcúlense. Figure 7. Opération , par incision, du rétrécissement de l'urètre en a

t D'après nature par Rogat. TOME VII. IMA M.II IS 18, 59 LI Ml. opérations de la lithotritie vesicals. ADULTE, DEMI -"N AT

DEMI -"N ATURE. disposition générale commune aux trois figures. L' opération est représentée cadavérique pour laisser voir ce

tre ces vaisseaux, au-dessus de la vessie. PLANCHE 58. Figure i . Opération de la lithotritie par la méthode et avec l'appare

rforation). Le calcul étant saisi avec la pince à trois branches, l' opération est représentée au moment où le foret commence à

eroy-d'Etiolles. Cette manœuvre opératoire est commune à toutes les opérations de litho-tritie. Figure 3. Calcul qui a subi pl

Calcul qui a subi plusieurs perforations. PLANCHE 59. Figure i . Opération de la lithotritie avec le brisepierre de M. Jacob

avait été brisé par le percuteur denticulé. PLANCHE 60. Figure i. Opération de la lithotritie avec le percuteur perfectionne

cul étant saisi entre les mors de l'instrument, le moment choisi de l' opération est celui où l'on fait éclater ce calcul par la p

près nature par Edmond Pochet. TOME VII. PLANCHES 6 2, 6 3 ET 64. opérations de la lithotomie. PLANCHE 62. TAILLE LATÉRALI

sortie. TAILLE QUADRILATÉRALE. Figure 2. (Grandeur naturelle.) L' opération est représentée cadavérique sur les parties dissé

calcúleme pour l'extraction d'un calcul enchatonné. On a figuré ici l' opération comme pour le cas dessiné plan-che 54, fig. 12. L

r M. Charrière, de celui de Cheselden (9). Pour ce premier temps de l' opération , on emploie plus fréquemment un simple bistouri

(demi-nature). FIGURES i ET 2. PONCTION DE L'UTÉRUS. Comme cette opération ne saurait être comprise, étant figurée au poin d

tion. FIGURES 3, 4 ET 5. INCISION DU COL UTÉRIN. L'objet de cette opération improprement appelée utérotomie, est d'ob-tenir p

onque dans la cavité de l'utérus. L'incision du col n'est donc qu'une opération prépara-toire pour la ligature ou l'excision dans

. D'après nature par N.H. Jacob. TOME VII. PLANCHES 7 4 ET 7 5. opérations sur l'utérus cancéreux. PLANCHE 74. FIGURE i.

TURE DE L'UTÉRUS RENVERSÉ. La ligature constitue par elle seule une opération si l'on se propose d'ob-tenir la chute de la matr

travers du vagin, a déjà lié la moitié droite. Au moment choisi de l' opération , il est sur le point de prati-quer la ligature d

ant de l'anus ( b) pour faciliter l'extraction. Au moment choisi de l' opération , l'utérus amené au dehors est saisi entre les do

r le corps du viscère, les ligamens larges (d). Au moment choisi de l' opération , il élève l'utérus delà main gauche (e) tandis qu

mp. Lemercier, Benard et C°. TOME VII. PLANCHE 76. instrumens des opérations oui se pratiquent sur les organes génitaux de l

direxit D'après nature par Edmond Pochet. TOME VIL PLANCHE 7 7. OPÉRATION CÉSARIENNE. SYMPHYSÉOTOMIE. DEMI-NATURE. FI

OPÉRATION CÉSARIENNE. SYMPHYSÉOTOMIE. DEMI-NATURE. FIGURE i. OPÉRATION CÉSARIENNE MÉDIANE. L'incision, pour cette figu

n qui a été saisir la tête du fœtus et l'amène au dehors. FIGURE 2. OPÉRATION CÉSARIENNE LATÉRALE. ascendantes de la circonfl

enne, entre l'artère épigastrique et les branches abdominales Cette opération est représentée par le procédé ordinaire, c'est-à

lmp.Lemercier, Benard et C°. TOME VII. PLANCHE A. généralités des opérations du strabisme. ANATOMIE OPÉRATOIRE, fig. 1, 2, 3

animal. Ces trois faits de vivisection donnent le même résultat que l' opération sur l'homme. Figures 17 et 18. THÉORIE DU STRAB

. D'après nature par N.H. Jacob. TOME YTT. PLANCHES B, C, O, E. OPÉRATIONS DU STRABISME. PLANCHE B. FIGURE 1. Procédé de

jonctive doit être rabattu après la section pratiquée. Figuhe 6, 7. Opération secondaire en cas d'immobilité de l'œil du cote o

Charrière. D'après nature par Leveillé TOME VII. PLANCHES F, G. opérations du bégaiement. (GRANDEU 11 N ATURELLE.) PLANC

e la main droite e. FIGURES 4 et 5. Cicatrices de la langue après l' opération , copiées sur les figures de M. Dieffenbach. FIG

anisée , copiée d'après nature sur une jeune fille, neuf mois après l' opération . Tome 7. Pl.F. D'après nature par N.H. Jaco

acob. d'après nature par Leveillé TOME VIL PLANCHES H, I, J, K. opérations sur le pied-bot. Ces quatre planches sont entiè

de cet habile tônolomiste qui a posé lui-même pour faire dessiner ces opérations . Pour chaque genre de difformité, nous avons re

s avons représenté les cas qui en donnent la meilleure idée, avec une opération sur chaque espèce de pied. Toutefois, ayant dispo

ière de façon à dessiner toutes les variétés de sections, chacune des opérations ne signifie pas qu'elle est la seule à pratiquer

l'aponévrose plantaire et du court fléchisseur des orteils, l'une des opérations qu'il a fallu faire chez cette malade, et la figu

rès sensibles. C'està ces deux cas que s'adressent entre autres les opérations suivantes. Figures 3, 4, 5. FIGURE 3. Section s

s tendons du jambier postérieur et du long fléchisseur des orteils. L' opération est faite sur le cas de difformité représentée fi

n des fléchisseurs des orteils. C'est au valgus que se rapportent les opérations (ligures 3 et 4) représentées sur le pied-bot (li

, dessinés d'après nature, nous ont été fournis par M. J. Guérin. Les opérations représentent les procédés de l'auteur posés par l

rocédés sous-cutanés, avec la position du malade commune à toutes les opérations . Les deux mains ( a, b) d'un aide, placé debout d

scle qui doit être coupé en état de tension. Le temps représenté de l' opération est la ponction sous-cutanée; un pli à la peau es

n. FIGURE 13. Section des tendons du fléchisseur superficiel. Cette opération ne se pratique que dans le cas de rétraction des

tendons fléchisseurs; mais il ne parait pas que jusqu'à présent celte opération ail eu des résultats cura tifs salisfaisans. !a

s avancée au devant des parties profondes. Dans le moment choisi de l' opération , le chirurgien tourne, en haut le tranchant du té

ous les temps. Depuis la Renaissance, aucun chirurgien n'a publié une opération nouvelle qu'il n'ait essayé de faire comprendre,

ait essayé de faire comprendre, par des figures, et le mécanisme de l' opération , et les in-strumensqui y servaient. Aux seizième

t. De là tantde fautes, d'hésitations ou d'erreurs dans la pratique d' opérations , dont quelques-unes néanmoins sont devenues célèb

comprendre ou supposer, parle dessin, une succession de mouvemens, l' opération , même la plus simple, offre, pour la représentati

considérations physiologiques qui s'y rapportent, des maladies et des opérations dont elles sont le siège; les considérations spéc

elles sont le siège; les considérations spéciales qui ont rapport aux opérations en particulier devant être rapportées en avant de

eux Ambroise Paré, Fabrice, J.-L. Petit et M. Boyer, n'ont traité les opérations qu a l'occasion des maladies, classées elles-même

l de médecine opératoire. De même que M. Velpeau, il commence par les opérations simples, qui entrent, comme élémens dans la prati

la pratique des plus complexes. Déviant un peu de sa méthode pour les opérations de la petite chirurgie, il revient ensuite à l'or

il revient ensuite à l'ordre anatomique, et donne successivement les opérations qui se pratiquent sur, ou plutôt en vue de tissus

mble, une moitié de l'ouvrage offre dans autant de groupes toutes les opérations similaires, quelsque soient les organes qui en so

ant dans chacun d'eux; l'autre moitié, au contraire, donne toutes les opérations qui se pratiquent sur un même organe, quelque dis

lles; et si on n'y trouve pas de répétitions, c'est que plusieurs des opérations similaires, déjà décrites dans la première partie

t sur une artère ou une veine; car, si ces vaisseaux sont le but de l' opération , au moins ne doivent-ils être que légèrement comp

convenable, et l'extensiondu cadre topographique est telle que toute opération nouvelley rentrerait immédiatement; 2° les groupe

toute opération nouvelley rentrerait immédiatement; 2° les groupes d' opérations similaires, qui sont aussi les opérations réguliè

diatement; 2° les groupes d'opérations similaires, qui sont aussi les opérations régulières dont tous les temps peuvent être prévu

les applications spéciales se trouveront dans chaque localité; 3° le opérations au point de vue des organes rangent à part toutes

° le opérations au point de vue des organes rangent à part toutes les opérations régulières, mais absolument spéciales à une local

. Lelieu de chaque indication opératoire étant déterminé, quant aux opérations en elles-mêmes le texte comprendra trois parties

e comprendra trois parties : i° un rapide exposé de l'historique de l' opération ; 2° les indications qu'elle doit remplir ; 3° le

ns les planches où l'on a le moins ménagé l'espace, le lecteur voit l' opération pratiquée par un tiers, ce qui change absolument

ont il n'est que spectateur. Enfin, et ceci est capitanía plupart des opérations sont représentées à un point de vue cadavérique,

l y a moins de vingt ans, les occasions de voir pratiquer les grandes opérations étaient si communes, au moins dans les hôpitaux d

une dispersion plus générale des connaissances positives, les grandes opérations deviennent chaque jour de plus en plus rares, des

s du hasard pour avoir vu pratiquer un assez grand nombre de fois les opérations importantes, beaucoup d'entre eux, à l'expiration

à ce point de vue que nous nous sommes proposé de faire dessiner les opérations . Mais ici commencent, sous le rapport iconologiqu

6° Les aides, au nombre d'un, deux ou trois, suivant la gravité de l' opération , doivent être compris dans l'exercice des fonctio

çu un pareil résultat semble impossible, la disposition générale de l' opération la plus simple suffisant pour faire le sujet d'un

'elles sont d'une haute importance et trop négligées dans les cours d' opérations . Au contraire, dansun service chirurgical bien or

dépend la marche régulière et jusqu'à un certain point le succès des opérations . Au reste, nous aurons soin, dans les explication

érale étant connue, la figure ne peut exprimer qu'un seul temps d'une opération , dont pourtant il n'est pas moins essentiel de co

eure, mais peut encore être résolue dans la plupart des cas. Pour les opérations similaires, qui se présentent en grand nombre, le

erons, dans une sorte de manuel opératoire, tous les temps d'une même opération , figurés dans un pareil nombre de petites plaies,

niens, suivant les exigences des figures, le temps choisi pour chaque opération en particulier. Pour les opérations spéciales mai

gures, le temps choisi pour chaque opération en particulier. Pour les opérations spéciales mais régulières, telles que la cataract

de petites figures isolées, les principales circonstances. Quant aux opérations irrégulières, les ablations de tumeurs cancéreuse

préceptes généraux. Dans ce mode de représentation clinique, chaque opération entraînant avec elle ses exigences, cette nécessi

iguration. Comme nous l'avons dît plus haut, c'est à l'occasion des opérations régulières que nous donnerons sur la même planche

es parties sur lesquelles elle s'exerce, au point de vue spécial de l' opération elle-même. L'énumération des parties, et les dive

es instrumens d'exploration, ou même pour pratiquer un grand nombre d' opérations , sans que, dans beaucoup de cas, il soit nécessai

seuse que clans les parties molles de revêtement, les maladies et les opérations sont, en général, assez bien circonscrites dans l

le offre un orifice à travers lequel se pratiquent presque toutes les opérations . L'ouverture des narines suffit pour exercer le t

tabilité, permet de pratiquer, sans lésion extérieure, la plupart des opérations qui ont pour siège la cavité de la bouche : l'avu

ion des moyens empruntés à la thérapeutique chirurgicale, ou dans les opérations , que l'anatomie topographique va se produire dans

ions cérébrales, font de cette partie le siège le plus ordinaire de l' opération du trépan. Toute la surface de la voûte du crâne

surface de la voûte du crâne est accessible au chirurgien pour cette opération ; néanmoins il est un grand nombre de points qu'il

de léser les vaisseaux méningés. Toutefois, dans un cas forcé, cette opération peut encore être pratiquée avec toutes les précau

polypes et les tumeurs ércctiles et cancéreuses qui donnent lieu aux opérations les plus graves et les plus difficiles de la chir

ale ; nous aurons occasion de les signaler en traitant des nombreuses opérations dont cet organe est le siège. RÉGION ZYGOMATO-M

gion massétérine et génienne que s'exercent plus particulièrement les opérations qui ont pour but de remédier aux fistules salivai

fs qui s'y trouvent pour concevoir les dangers et les difficultés des opérations que l'on y pratique. 6° Squelette. Il est formé p

de la caisse du tambour. L'oreille externe est le siège de nombreuses opérations , soit pour l'ablation des tumeurs érectiles ou de

l'os hyoïde et les muscles styliens, se pratiquent un grand nombre d' opérations qui ont pour cause principale les phlegmons, les

ont la lésion, si difficile à éviter, a de graves conséquences dans l' opération de la trachéotomie. Les lymphatiques, très nombre

dien, avec ses deux grands sillons latéraux, est le siège de nombre d' opérations fort importantes : au milieu les incisions pour l

au milieu les incisions pour la laryngotomie, la trachéotomie, et les opérations auxquelles peuvent donner lieu les maladies du co

gions les plus intéressantes, et où s'exercent le plus grand nombre d' opérations . Derrière le sterno-mastoïdien sont comprises l'a

lets descendans qu'il est presque impossible de ne pas léser dans les opérations ; (b) les paires cervicales composant le plexus b

omes ou de diverses tumeurs dont on doive faire l'ablation ; mais les opérations les plus ordinaires et les plus graves que l'on y

s cartilages costaux. La région sternale n'offre en général d'autre opération que la trépanation de l'os dans le cas de carie o

première ablation ; d'où le précepte si important pour le succès de l' opération , d'emporter plutôt plus que moins, sans même resp

iu La région mammaire peut être le siège d'une multitude de petites opérations communes à toute la surface de la peau ; mais cel

sa valeur est pour ainsi dire négative, eu égard aux accidens et aux opérations , en raison du coussin protecteur épais que formen

a gravité diffère suivant qu'elles sont ou non pénétrantes. Quant aux opérations qui se pratiquent sur les parois de la poitrine,

Mais en outre, les parois de la poitrine sont le siège de fréquentes opérations nécessitées par leurs propres maladies, les phleg

une des plus importantes de la chirurgie, au point de vue spécial des opérations qui ont pour cause les diverses variétés de la he

lus communes; la dernière, en particulier, donne lieu à de nombreuses opérations dans le cas de rétrécissement. 2" scrotum. Le s

est de précepte de les lier immédiatement après leur section dans les opérations , vu leur rétractilité, qui peut donner lieu à des

r au milieu de la cavité 1 IManclie 3. du bassin dans une foule d' opérations , dont les principales ont pour objet l'extraction

mens considérables de la peau, circonstance souvent fâcheuse dans les opérations , où il n'est pas rare que le parallélisme des pla

on. Au reste, cette disposition anatoinique est sans intérêt pour les opérations , vu la mobilité de l'organe, qui se prête à toute

lus importante en chirurgie, en raison des maladies et des nombreuses opérations dont elle est le siège. Nous n'insisterons pas ic

proposant d'y revenir, avec les détails convenables, à l'occasion des opérations qui se pratiquent sur les voies urinaires et le r

et sa structure est le siège d'un très grand nombre cle maladies et d' opérations . Au fascia superficialis et aux ganglions lymphat

eux et les bubons ; aux gros vaisseaux les divers anévrismes et leurs opérations ; aux orifices cle passage, les hernies inguinale

n indiquée plus haut, est le siège d'un grand nombre de maladies et d' opérations . A la peau se rapportent le furoncle, l'anthrax,

us. L'aisselle est remarquable par un grand nombre de maladies et d' opérations . La peau, perspiratoire et très vasculaire, est f

est évident cpie c'est eu égard aux maladies de l'articulation et aux opérations qui s'y rapportent, que cette région offre quelqu

ion ou de l'apophyse coracoïde, les caries et nécroses de ces os. Les opérations spéciales les plus graves sont : les réductions,

orps de l'humérus, moins son extrémité articulaire. Outre certaines opérations communes à toutes sortes de parties, le sillon br

e des plus importantes à bien connaître, eu égard aux maladies et aux opérations . Intermédiaire du bras à lavant-bras, ses limites

ulaires qui s'y trouvent compris, et donnent lieu à des maladies, des opérations ou des accidens, ou spéciaux, ou différens de ceu

n du pli du coude est surtout à considérer en chirurgie, eu égard à l' opération de la phlébotomic. Néanmoins, vu les nombreux usa

huméro-cuhitale, elle n'offre guère d'intérêt qu'au point de vue des opérations qui se pratiquent sur les os. A l'extérieur, la r

ns. Comme complément chirurgical relativement à des maladies et à des opérations toutes spéciales, on considère isolément comme de

. Les maladies auxquelles elle est exposée motivent un grand nombre d' opérations que sa structure permet d'étendre à sa totalité o

te région offre peu d'intérêt en chirurgie, n'étant le siège d'aucune opération spéciale. Sa situation l'expose à de fréquentes l

émorale interne est le siège d'un assez grand nombre de maladies et d' opérations . La peau est fréquemment affectée d'érysipèle et

son de pratiquer de bonne heure de larges débridemens. Dans les cas d' opérations , il est même souvent utile, pour pouvoir agir en

fémoro-tibiale, des résections et la désarticulation ; toutefois, ces opérations guérissent si rarement, qu'on doit, eu général, l

s les plaies d'armes à feu et dans celles par écrasement du pied. Les opérations les plus importantes qui s'y pratiquent sont les

n distinguent suffisamment en chirurgie, eu égard aux maladies et aux opérations spéciales dont elles sont le siège. Chacune de ce

xtension, que l'on a pu songer à la résection isolée de cet os, cette opération , comme nous le verrons en son lieu, ne supportant

ues. Les maladies nombreuses qui en sont le résultat sont l'objet des opérations les plus variées, que la structure du pied permet

ou de circonscrire à une fraction déterminée. Sans parler des petites opérations particulières à l'art du pédicure, et en se borna

instrumental et aux manœuvres chirurgicales, est ce qui constitue les opérations . CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES COMMUNES A TOUTES LES

itue les opérations. CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES COMMUNES A TOUTES LES OPÉRATIONS . DÉFINITION, MANIÈRE D'AGIR ET DIVISION GÉNÉRAL

LES OPÉRATIONS. DÉFINITION, MANIÈRE D'AGIR ET DIVISION GÉNÉRALE DES OPÉRATIONS . Toute opération se compose d'une série d'actio

FINITION, MANIÈRE D'AGIR ET DIVISION GÉNÉRALE DES OPÉRATIONS. Toute opération se compose d'une série d'actions ou de manœuvres

spéciale et un emploi distinct, constituent par elles-mêmes autant d' opérations simples, suffisantes pour chacune d'elles dans le

disposition variables, elles deviennent élémentaires par rapport aux opérations complexes dont leurs actions successives, dans un

ce que l'on nomme les temps opératoires. Toutefois, parmi les grandes opérations , il n'en est pas d'assez compliquée pour nécessit

'enchaînement nécessaire des manœuvres chirurgicales, qu'il est peu d' opérations , réputées élémentaires, assez simples pour ne for

ns soit préparatoires, soit concomitantes ou ultérieures. EFFET DES OPÉRATIONS . L'opération en elle-même est toujours un fait

oires, soit concomitantes ou ultérieures. EFFET DES OPÉRATIONS. L' opération en elle-même est toujours un fait grave. Moraleme

iolent et contre nature, qui doit faire considérer en quelque sorte l' opération à toutes ses phases, avant, pendant et après son

e l'on doit se résoudre à l'entreprendre. MALADIES QUI MOTIVENT LES OPÉRATIONS . Dupuytren professait dans ses cliniques et a i

iniques et a inséré dans Saba-tier les conditions qui nécessitent les opérations ; il les réduit à quatre principales, i0 Quand il

s, i0 Quand il survient de prime-abord un accident redoutable, dont l' opération est le seul remède : tels sont les cas d'étrangle

t immédiatement enlevée. Cette circonstance, qui ne s'applique qu'aux opérations pratiquées à l'extrémité, comme une dernière ress

te tentative inutile, et si le malade pourra résister aux effets de l' opération en elle-même. 4° Comme une considération person

stic, au caractère et à l'habileté du chirurgien, avant de tenter une opération , il doit avoir acquis la triple certitude qu'elle

es corps étrangers dans la profondeur des membres ; nombre de petites opérations propres à certains organes spéciaux, l'œil, l'ore

s, ceux du moins où il n'y a pas nécessité actuelle d'opérer, et où l' opération , elle-même assez simple, promet une guérison prom

ladie et au malade, qui doivent faire accepter, différer ou rejeter l' opération . Tant de motifs et de considérations se présenten

n formule générale. Seulement, en principe, il faut établir que toute opération n'est justifiable qu'autant qu'elle est nécessair

malheureux, qui se renouvellent journellement dans la pratique, où l' opération la plus légère, une saignée, une incision, l'exci

de la perte du malade. conditions particulières aux maladies et aux opérations . i0 Choix du temps. L'époque à laquelle il conv

i0 Choix du temps. L'époque à laquelle il convient de pratiquer une opération est déterminée par les exigences de la maladie. O

ctuel, permet au chirurgien de choisir l'époque la plus favorable à l' opération . 2° Choix du lieu. Certaines maladies exigent q

d'Anel, etc. 3° Choix du mode opératoire. 11 est un petit nombre d' opérations qui ne se pratiquent que d'une seule manière : te

procédé est compris dans la méthode ; mais c'est lui qui constitue l' opération . Là où il n'y a qu'une manière d'opérer, ils se c

ut; mais dès que, pour satisfaire à une indication thérapeutique, les opérations se multiplient, il en résulte une ou plusieurs mé

s particulières au malade. i0 Age. En général, on doit éviter toute opération pratiquée dans le premier âge, les tissus étant e

s, sur lesquels on ne doit agir qu'autant que la vie est menacée, les opérations , dans un âge avancé, offrant plus de dangers avec

d'un grand intérêt pour éclairer le chirurgien sur l'opportunité des opérations . Voici les principales considérations qui s'y rap

il faut essayer d'en obtenir la guérison complète avant de tenter une opération , lors même que la maladie pour laquelle on opère

si cette maladie était évidemment liée à l'affection générale, toute opération serait téméraire et inutile avant un traitement a

die viscérale, l'état de faiblesse peut être un motif de différer une opération nécessaire, s'il est possible d'attendre que les

e, à moins que le malade ne soit dans le dernier état d'épuisement, l' opération , comme étant la seule chance favorable, doit être

e calme de l'esprit, le courage et la confiance dans le résultat de l' opération et dans le caractère et les talens du chirurgien

re. La terreur incurable qu'inspire à certaines personnes l'idée de l' opération , quoique par raison elles la réclament avec insta

il regarde presque comme désespérée, mais qui, néanmoins, parce que l' opération est raisonnable , s'y soumet avec un courage vrai

at atmosphérique qui importe, lorsque la maladie permet de différer l' opération . Ainsi, pour la cataracte, la taille, l'ablation

ne atmosphère artificielles. PRÉVISIONS ET SOINS QUI CONCERNENT LES OPÉRATIONS . dispositions générales avant l'opération. i

SOINS QUI CONCERNENT LES OPÉRATIONS. dispositions générales avant l' opération . i 0 Préparations du malade. Elles concernent à

moral et le physique, l'esprit et le corps. C'est avant comme après l' opération que l'homme de l'art doit se montrer tour à tour

es anti-spasmodiques, et même, au besoin, la saignée. Toutefois, si l' opération est de nature à donner lieu à des hémorrha-gies,

réservé sur la phlébotomie, sauf, s'il y a lieu, à y recourir après l' opération . 2° Apprêts de l'opération. Ils se composent du

auf, s'il y a lieu, à y recourir après l'opération. 2° Apprêts de l' opération . Ils se composent du choix et de la distribution

un si grand secours en chirurgie que, dans nombre de circonstances, l' opération sans eux serait impossible. Dans certains cas môm

pareil. Il se compose de l'ensemble des objets qui doivent servir à l' opération , les instrumens et les pièces de pansement. On pe

n'avoir qu'à les présenter sans les chercher. Le chirurgien, avant l' opération , vérifie s'il n'y a rien d'oublié. Les pièces de

père a une grande importance sur la marche régulière et le succès des opérations . La lumière du jour est préférable quand on peut

par-tout avec facilité, est le meilleur luminaire. soins pendant l' opération . Ils comprennent : la situation des diverses pe

comprennent : la situation des diverses personnes qui concourent à l' opération , les moyens de diminuer la douleur, la suspension

es du malade déterminent le choix de la position qu'on lui donne. Les opérations qui se pratiquent sur la face ou sur les tégumens

sur une chaise et supporté par un aide; il en est de même de quelques opérations qui se font sur le membre abdominal et de la plup

a plupart de celles qui ont pour siège le membre thoracique. Mais les opérations qui se pratiquent sur l'abdomen , le bassin, le p

e l'opéré. La position du chirurgien change trop entre les diverses opérations et dans l'exécution des manœuvres propres à chacu

ssis, sur-tout lorsque la main a besoin d'un point d'appui. Certaines opérations , enfin, exigent qu'il pose sur un genou : telle e

tés ces deux indications. Comme elles constituent par elles-mêmes des opérations élémentaires très détaillées, elles seront traité

ou rétablir immédiatement la compression, suivant les exigences de l' opération . Au contraire, l'emploi des compresseurs, toujour

s, toujours lent et compliqué, retarde, gêne et entrave la marche des opérations , et jette du trouble clans les manœuvres par la d

ercées par le chirurgien et ses aides pour la pratique entière de l' opération , par un procédé déterminé. Ces manœuvres, qui con

t le sujet même de la médecine opératoire, variables entre toutes les opérations et pour les temps d'une même opération, ne saurai

e, variables entre toutes les opérations et pour les temps d'une même opération , ne sauraient par cela seul être indiquées d'une

orte, réunit, etc.; en un mot, exerce les manœuvres essentielles de l' opération , et en même temps gouverne et stimule ses aides,

des, plus particulièrement exercés, sont nécessaires dans les grandes opérations . L'aide principat, celui qu'il faut appeler le pr

emier, placé généralement en face du chirurgien, sert directement à l' opération . Il présente au trajet de l'instrument les partie

compression du vaisseau principal, la maintient ferme tant que dure l' opération . Habile à saisir perpendiculairement avec la pulp

t qu'il est nécessaire pour suspendre le cours du sang, et une fois l' opération terminée, quand vient le moment de lier les vaiss

enté ou par une vive affection. C'est bien assez des difficultés de l' opération et des accideus T. VI. qu'elle entraîne, sans

Telle est généralement la distribution des personnes dans les grandes opérations . Une fois chacun à sa place, quelque incommode qu

Préoccupations qui concernent le malade. Aux diverses phases de toute opération , il est des égards et des soins dont le chirurgie

t harmonie aux fonctions qui le concernent. Rien de ce qui concerne l' opération ne doit frapper les regards du malade, et il doit

grands chirurgiens de tous les temps ont établi en précepte, dans les opérations un peu longues, de laisser le malade exhaler sa d

dens. Quatre accidens principaux sont à redouter pendant la durée des opérations : l'hémonbagie, la syncope, les convulsions et l'

sur les moyens d'arrêter Yhémorrhagie, renvoyant, pour cet objet, aux opérations élémentaires. La syncope est ordinairement produi

produite par la perte de sang, combinée avec la frayeur qu'imprime l' opération chez des malades précédemment affaiblis. Ordinair

l arrive assez fréquemment qu'à la moindre tentative pour reprendre l' opération , les syncopes se succèdent Dans ce cas, il vaut m

vaut mieux suspendre et remettre à un temps plus opportun la fin de l' opération , ce qui se nomme opérer en deux temps. Les conv

, par l'effet de la douleur vive et continue qui accompagne certaines opérations . Souvent aussi la terreur et la perte de sang y c

tte circonstance, comme dans celle qui précède, il faut interrompre l' opération , faire usage d'une potion antispasmodique, et att

on peut après un certain temps essayer avec ménagement de terminer l' opération ; mais si l'excitation nerveuse reparaît, un chiru

t la ligature, sans s'inquiéter des accidens graves dont cette légère opération est si fréquemment suivie. Mais, si malgré les pr

ce d'un accident qui entraîne inévitablement la mort. soins après l' opération . Lorsque l'opération est terminée, les derniers

traîne inévitablement la mort. soins après l'opération. Lorsque l' opération est terminée, les derniers soins du chirurgien co

es plaies, des ulcères, des fractures, etc., et le succès des grandes opérations chirurgicales. Leurs usages sont de maintenir les

petite chirurgie. soins consécutifs. — hygiène des opérés. Mais l' opération complètement terminée, le chirurgien n'a encore a

écutives dans les cas où elles sont à craindre, c'est surtout après l' opération qu'il doit se montrer médecin. Plus que jamais il

n augmentant l'effet que l'on voulait combattre. CLASSIFICATION DES OPÉRATIONS . Conformément à l'ordre que nous avons adopté d

nous avons adopté dans notre discours préliminaire, nous divisons les opérations en trois classes : i° Opérations élémentaires, ou

ours préliminaire, nous divisons les opérations en trois classes : i° Opérations élémentaires, ou élémens communs des opérations q

en trois classes : i° Opérations élémentaires, ou élémens communs des opérations qui se pratiquent par-tout sans distinction de ti

opérations qui se pratiquent par-tout sans distinction de tissus; 20 Opérations générales, qui se pratiquent en vue d'un ou de pl

vue d'un ou de plusieurs organes généraux élémentaires ou tissus ; 3° Opérations spéciales, ou qui se pratiquent sur les organes c

classes se dérouleront d'elles-mêmes dans le cours de la narration. OPÉRATIONS ÉLÉMENTAIRES OU ÉLÉMENS COMMUNS DES OPÉRATION

ATIONS QUI SE PRATIQUENT PAR-TOUT SANS DISTINCTION DE TISSUS. Les opérations simples, qui se pratiquent indifféremment sur tou

éunion. Considérées comme les élémens communs ou les temps divers des opérations complexes, il s'y joint deux indica DIVISION.

que sorte typique, ils entrent dans la manœuvre de presque toutes les opérations ; et même, entre des mains très exercées, ils pou

, de structure et de mécanisme, et prennent différens noms, suivant l' opération à laquelle ils sont affectés. Les instrumens de

le affecte et de son usage continuel en chirurgie, est, de toutes les opérations simples, celle qu'il importe le plus de s'exercer

faire. En effet, elle complète à elle seule une multitude de petites opérations , telles que sections, ouvertures d'abcès, dissect

elle entre comme un élément tellement indispensable dans les grandes opérations , que la pratique de ces dernières ne se compose,

ombre de cas; les autres de formes variées et réservés pour certaines opérations spéciales. du bistouri '. Le bistouri est une

clée. Le bistouri droit est d'un usage continuel dans toutes sortes d' opérations ; il est presque le seul dont on se serve pour les

ventés pour un usage spécial, nous proposant d'en parler à propos des opérations ; tels sont : (a) le bistouri concave, propre à e

mineuses; elles entrent, en outre, dans le manuel d'un grand nombre d' opérations . 2° Profondeur. Elle varie suivant l'objet qu'o

incision doit être dirigée très obliquement, afin de pouvoir, après l' opération pratiquée, détruire le parallélisme entre les div

des incisions. Il est essentiel, pour pratiquer convenablement ces opérations , d'avoir égard à un certain nombre de règles que

pour ne pas déposer dans la plaie un germe d'irritation étranger à l' opération . Pour faciliter le glissement, un chirurgien de H

5° Durée. En précepte général, la durée de l'incision, comme de toute opération , qui est pour le malade la durée de la douleur, d

le plus instruit du reste en théorie chirurgicale voudrait exécuter l' opération la plus simple, s'il ne l'a pas pratiquée un cert

ent, beaucoup plus mobile et comme suspendu , est préférable pour les opérations qui exigent de la délicatesse. La première posi

; celle au moyen de laquelle on atteint le canal de l'urèthre, dans l' opération de la taille latéralisée, etc. On peut cependan

er, offre le double avantage, pour le malade, d'abréger la durée de l' opération , et, pour le chirurgien, de donner de la grâce et

premier cas, l'incision en septième position constitue à elle seule l' opération . Pour la pratiquer, on se sert du bistouri convex

s de sections qui entrent successivement dans la manœuvre des grandes opérations , l'une des plus difficiles, et qu'il importe le p

d'emporter de lambeaux de tégumens lorsqu'ils ne sont pas malades. L' opération terminée, on les rapproche, et, si le cas le perm

r rafraîchir les bords des solutions de continuité congeniales dans l' opération du bec-de-lièvre. Pratiquées de dehors en dedans,

ent, afin d'être moins gêné par l'émission du sang dans le cours de l' opération . Les incisions elliptiques servent encore à cor

t cette disposition pour fabriquer les ciseaux dont on se sert dans l' opération du bec-de-lièvre. Dans les cas ordinaires, les ci

que pour les précédens. Nous aurons occasion d en parler à propos des opérations qui en réclament l'emploi. Positions des ciseau

ition des tranchans. On pratique avec les ciseaux diverses sortes d' opérations . Les cas où l'on incise avec ces instrumens sont

ant. En général, dans ces cas, la dissection forme le temps moyen des opérations que commence et que termine l'incision. Le bistou

vant le besoin, avec les diverses incisions dans les temps d'une même opération . DIVISION DES OS. Elle comprend trois modes o

rt pour les pratiquer. La ponction constitue souvent à elle seule une opération : telles sont la phlébotomie, la vaccination, les

me, avertissent que la pointe a pénétré à la profondeur convenable. L' opération arrivée à ce point, si l'on veut se borner à une

yême et des abcès par congestion. Son objet étant d'empêcher, après l' opération , l'introduction de l'air ambiant dans la cavité d

aussitôt après leur expulsion. 2° Ponction avec la lancette. Cette opération a également pour objet de donner issue à des liqu

ère pour qu'elle ne soit pas expulsée par le retrait des parties. L' opération terminée, le chirurgien, pour extraire la canule,

espaces celhileux profonds. 2 1 2n Arrachement. 11 constitue une opération plus grave et plus compliquée que la précédente,

ent des tumeurs pédiculées n'est ordinairement que le dernier temps d' opérations qui figurent parmi les plus graves de la chirurgi

et l'arrachement ont également pour avantages d'abréger la durée des opérations , et de permettre la division des parties sans avo

s tissus dilaceres , ils causent souvent d'atroces douleurs pendant l' opération , et sont suivis de vives congestions, de suppurat

reviendrons successivement sur chacun de ces instrumens à propos des opérations spéciales qui en réclament l'emploi. applicatio

elques jours ; elle se détache sans qu'il soit besoin de renouveler l' opération . Si, au contraire, les parties embrassées ont un

tielle immédiate. Dans ces cas graves, qui constituent tout une autre opération , et qui se présentent souvent, comme temps opérat

4° éponger exactement et mettre à sec la plaie pendant le cours de l' opération pour absorber les fluides qui suintent, au fur et

et du renouvellement des surfaces sous l'action des caustiques ; 5° l' opération effectuée, enlever, dans la cautérisation actuell

que fois le détritus animal pour mettre à nu de nouvelles surfaces. L' opération terminée, on enlève le superflu du caustique en a

hit sous une portion de peau non encore affectée. Il faut, dans cette opération , avoir soin de circonscrire le caustique sur les

c'est à l'aide d'instrumens particuliers qui seront décrits avec les opérations auxquelles ils se rapportent. 2° Potasse causti

tre, ne court pas le risque, en interrompant à plusieurs reprises son opération , de causer au malade des douleurs inutiles. Penda

fourni par des vaisseaux capillaires s'écoulait abondamment pendant l' opération , on devrait l'é-tancher avec rapidité avant de ca

M. Mayor, qui abrège la douleur en doublant l'effet produit. Après l' opération , les raies tracées par l'instrument sont brunes,

de sa température; car l'objet qu'on se propose uniquement dans cette opération est de ranimer les fonctions vitales par l'excita

nt en raison de l'agent thérapeutique dont on a fait usage, que cette opération a reçu le nom de cautérisation. L'effet produit p

congestion crythémateuse qui persiste pendant plusieurs jours après l' opération . Dès que la circulation capillaire est retombée d

mpression forme l'un des élémens les plus communs d'un grand nombre d' opérations . Elle sert à maintenir les fragmens en contact da

, les orifices des vaisseaux cléja coupés, pour ne point retarder une opération , et en attendant le moment d'en faire la ligature

à engourdir la sensibilité nerveuse pour diminuer la douleur dans les opérations . Avantages et inconvéniens. De quelque manière

Pour augmenter l'aire au travers de laquelle se pratiquent certaines opérations . Ainsi, on maintient largement ouverts par des sp

s herniaires pour en éviter le débridement; celui de Marianus clans l' opération de la taille, etc. La chirurgie moderne, éclairée

l des moyens, si variés, de dilatation, trouvera sa place dans chaque opération spéciale. EXTRACTION OU ABLATION. Ces deux ac

n conçoit que, sous ce titre, se trouvent comprises un grand nombre d' opérations les plus graves, variables , dans chaque cas, sui

prit da-propos du chirurgien. On peut donc renvoyer, à cet égard, aux opérations spéciales. Enfin, l'ablation des dents se nomme p

ratoires d'extraction , aussi nombreux que variés , appartiennent aux opérations spéciales pour chaque localité. Toutefois on peut

ois on peut les indiquer d'une manière générale. Gaz et liquides. L' opération qui leur donne issue se nomme évacuation; les moy

sie , l'urèthre, le vagin et le rectum, l'incision constitue autant d' opérations spéciales qui seront décrites en leur lieu. Man

on normale les parties accidentellement déplacées. Elle constitue des opérations très différentes, suivant la densité des tissus.

se , les contractions musculaires. Réduction proprement dite. Cette opération , dans les hernies , prend le nom de taxis. Elle s

uture ; clans le cas contraire, on remet à un autre jour à terminer l' opération . Procédés opératoires des sutures. suture ent

ligne continue en pas de vis, (pic l'on serrait à chaque extrémité l' opération terminée. L'étranglement inévitable qu'elle causa

puis du tissu cutané. ACTIONS COMPLEXES PROPRES A UN GRAND NOMBRE D' OPÉRATIONS . MOYENS PROPRES A ENGOURDIR LA SENSIRILITÉ ET D

oin d'y soumettre la compression artérielle, si essentielle clans les opérations , nous conseillerons toujours d'en faire le but pr

té , il serait impossible cle la maintenir une heure et demie avant l' opération , comme on a pu le faire pour le membre abdominal

ésumé, si la compression nerveuse, comme disposition préparatoire aux opérations , ne mérite pas l'oubli complet dans lequel elle e

e défaut cle parallélisme entre les divers plans intéressés. Dans les opérations , la section des vaisseaux doit toujours être comp

lle survient fréquemment dans les premières heures, après les grandes opérations , lorsque le premier moment de spasme est passé; e

itable traitement est l'enlèvement de la maladie elle-même, lorsque l' opération est possible. Les hémorrhagies spontanées activ

tente de l'hémorrhagie importe au chirurgien pour la prévenir avant l' opération , la suspendre pendant les manœuvres, et l'arrêter

pendre pendant les manœuvres, et l'arrêter définitivement lorsque l' opération est terminée. Dans le premier cas, les moyens pré

lable. Toutefois cette dernière, qui déjà constitue par elle-même une opération grave, sera décrite en son lieu, et du reste ne s

u, et du reste ne s'emploie que dans certains cas spéciaux, lorsque l' opération , pratiquée au travers de parties très vasculaire

doit être maintenue avec soin et vigilance pendant tout le cours de l' opération . D'après la théorie que nous avons donnée plus

rande vigilance, et s'être placé de manière à suivre les progrès de l' opération pendant tout le temps qu'elle dure. 6° Si, par

mune des muscles des lombes dans les attitudes forcées qu'exigent les opérations . 2° La main, dans son entier, s'emploie, en cas

e dure la compression; (d) mais sur-tout d'embarrasser la marche de l' opération par les lenteurs qu'il occasionne pour le réappli

isquer la gangrène, condition qui en restreint l'usage à la durée des opérations . 5° Pelote libre. Telle qu'elle a été introduit

circulation veineuse en retour et la rétraction des muscles dans les opérations ; (d) et enfin , ce qui est très important, de gr

re qu'on 26 puisse y avoir recours comme moyen préventif dans les opérations . i° Arlère temporale. (Pl. 19. ) Facile à compr

ectiles de la tête, soit comme moyen préventif avant de pratiquer une opération , pour éviter des hémorrhagies, déjà un grand nomb

guré ces divers modes de compression dans les ligatures et les autres opérations qui se pratiquent sur le membre thoracique. Mais

ÉS HÉMOSTATIQUES PENDANT LES OPÉRATIONS. L'hémorrhagie, pendant les opérations , est causée par les artères , par les veines, ou

nt tranchant. Ce moyen suspensif temporaire, qui permet de terminer l' opération sans la ralentir par des ligatures, trouve son ap

és, les lèvres, l'oreille , etc., soit les lambeaux charnus, dans des opérations variées, et, en particulier, dans les amputations

née. La ligature, ordinairement, est réservée comme dernier temps des opérations , lorsque toute section est terminée, pour être ef

urait à craindre des hémorrhagies formidables, pendant la durée d'une opération longue ou compliquée, et qui réclame tout le sang

on commence par la ligature de l'artère principale. Dans le cours des opérations , la ligature instantanée se fait à deux momens :

ous ou entre deux ligatures. 2° La section commencée, on interrompt l' opération après avoir détaché un lambeau , pour chercher à

isseaux coupés, ce qui transforme la section de chaque lambeau en une opération partielle. HÉMORRHAGIE VEINEUSE. L'hémorrhagi

mécanique au retour du sang vers le cœur, et ordinairement, dans les opérations , le garrot ou le compresseur; il suffit alors, po

orts du malade, circonstance qui se rencontre principalement dans les opérations pratiquées près de la veine cave supérieure, à la

TIQUES APRÈS LES OPÉRATIONS. Dès que les sections qui composent une opération sont terminées , avant d'enlever la compression d

ARTÉRIELLE. En général, et à part les cas exceptionnels, après les opérations on arrête définitivement l'hémorrhagie par la lig

s ou les compresseurs ; elle s'emploie, après aussi bien qu'avant les opérations , comme moyen subsidiaire pour diminuer ou suspend

thode hémostatique, dite d'ex-jectation, du chirurgien de Munich. Une opération étant terminée, la compression latérale est maint

ge qu'il promet de pouvoir se passer de ligature. ligature. Cette opération consiste à comprendre et à étrangler par strictio

en entier, employée comme moyen préventif, la cautérisation, après l' opération , étant le seul moyen curatif usité contre l'bémor

parla conviction récemment acquise de la nécessité de lier, dans les opérations , les veines peu éloignées du cœur, pour éviter l'

etit cylindre de linge, procédé dont l'application, plus récente, à l' opération de l'anévrisme, s'est attachée au nom de Scarpa.

t être mis à nu clans une certaine étendue et particulièrement dans l' opération de l'anévrisme par la méthode de Hunter, plusieur

lume, les unes se sont signalées d'elles-mêmes, pendant le cours de l' opération , par un jet de sang sur lequel un aide a dû appli

de sang, et qui n'aurait pas pu être trouvée ; suspicion qui, après l' opération terminée, devra engager le chirurgien à différer

articulier, nombre de rameaux de l'artère maxillaire interne dans les opérations qui se font à la face. La cautérisation est encor

ge pour chaque cas déterminé. L'agaric s'emploie pendant le cours des opérations , et convient très bien comme moyen temporaire ;

on a recours au cautère actuel, dont l'emploi est décrit plus haut. OPÉRATIONS GÉNÉRALES QUI SE PRATIQUENT EN VUE D'UN OU DE P

N VUE D'UN OU DE PLUSIEURS ORGANES GÉNÉRAUX ÉLÉMENTAIRES OU TISSUS. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'ÉPIDERME ET LA PEAU. ex

et très adhérente, exige pour s ébranler une nouvelle imbi-bition. L' opération terminée, il reste une surface lisse d'un rouge v

erveux et inflammatoires formidables, survenus à la suite dune petite opération de cette nature, où les parties avaient été long-

uve trop de difficulté à l'isoler, il vaut mieux remettre la fin de l' opération à un autre jour. La racine étant enlevée, s'il ex

tion, pour séparer complètement l'ongle en deux parties ; suspendre l' opération et recommencer à plusieurs fois, les jours suivan

facile, il ordonnait préalablement un pédiluve long-temps prolongé. L' opération terminée, il cautérisait les chairs s'il le jugea

ar M. Malgaigne, non encore essayé, mais qui nous paraît ingénieux, l' opération pourrait se borner à l'ablation de l'étendue néce

produise. Au reste, quel que soit le procédé dont on fasse usage, l' opération terminée, il faut s'assurer que la matrice de l'o

ure. OPERATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LA PEAU ET SES DÉPENDANCES. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES DENTS. La chirurgie d

lle n'existe plus nulle part ailleurs, les chirurgiens pratiquant les opérations sur les dents au même titre que toutes les autres

alade n'est plus possible. A. Nettoyage des dents. L'objet de cette opération est d'enlever toutes les impuretés qui surviennen

s, qui suppléent par le luxe de l'appareil à la faible importance des opérations , quelques-uns seulement sont indispensables : ce

de la détacher avec la rugine en bec de cuiller. 6° Pour terminer l' opération , on passe un bec de plume dans l'intervalle des d

u pure pour neutraliser l'excès d'acide. B. Limage des dents. Cette opération , l'une des plus importantes de l'art du dentiste,

leurs séries linéaires, les moindres inégalités pouvant causer dans l' opération des commotions douloureuses. La lime est tenue à

ume empêche le rapprochement des dents voisines, (f) Enfin dans toute opération de limage quelle qu'en soit l'étendue, l'agacemen

er lieu à des accidens généraux, est toujours un motif de suspendre l' opération ; et même, chez les malades très irritables, l'ar

e converti en un corps étranger. Il suffit d'énoncer l'objet de cette opération pour comprendre à quel point elle est contraire a

tre préféré aux caustiques. E. Plombage des dents. L'objet de cette opération est de mettre à l'abri du contact de l'air et des

ffés à la température convenable. Le plombage des dents est une des opérations les plus rationnelles. Pratiqué convenablement et

it de jour entre les surfaces, auquel cas il vaut mieux recommencer l' opération . Enfin le succès du plombage étant d'autant mieux

ue quand la surface est très évasée. Enfin, si quelques jours après l' opération la dent, auparavant insensible, devient très doul

se qui avait déterminé la douleur. RAPPROCHEMENT des dents. Cette opération n'ayant pour objet que de masquer une difformité

sser la dent plus ou moins inclinée ou déviée hors de son rang. Cette opération suppose ou que la place suffisante pour recevoi

ne luxation, étant aujourd'hui rejetée. LUXATION DES DENTS. Cette opération en elle-même n'est que le premier temps de l'extr

après la luxation de toutes les racines aucune chance de solidité. L' opération dans tous les cas exige que le sujet soit encore

précipitation. Extraction des racines des dents. (Pl. 26.) Cette opération est beaucoup plus complexe que l'extraction des d

chacun dans leur temps, les moyens appropriés. VACCINATION. Cette opération , la plus simple de toutes, est en même temps la p

que la même extrémité doit toujours être offerte au vaccin; car si, l' opération déjà commencée, on présentait l'autre extrémité,

isse la main avec promptitude dès que le verre est en fusion. La même opération , répétée à l'orifice d'entrée, donne T. VI. u

eur opposerait à la fusion et au rapprochement des parois du verre. L' opération terminée, on renferme ces tubes en plus ou moins

, et, dans les cas d'épidémie vario-liquc, on devrait pratiquer cette opération même sur les sujets affectés de maladies aiguës.

PERFORATION DU LOBULE DE L'OREILLE. (Pl. 22, fig. 2.) Cette légère opération est une sorte de ponction; on la pratique avec un

r; mais son effet ne doit point dépasser la vési-eation, auquel cas l' opération deviendrait un véritable moxa. Action rapide. L

fet révulsif que le moxa doit produire. Pendant le premier temps de l' opération , le malade n'éprouve d'abord qu'une chaleur douce

s remplies de sérosité, et cpù projette au loin les débris du moxa. L' opération terminée, la douleur s'éteint comme par enchantem

averse la plaie de part en part, lâche la peau et dégage le stylet. L' opération terminée , on panse avec un plumasseau recouvert

ns, percée à une extrémité d'un œillet porte-mèche, cle manière que l' opération se fait en un seul temps. Boyer vantait, à ce suj

PEAU MUTILÉE, ou AUTOPLASTIQUE CHIRURCtICALE. En général, dans les opérations , l'état des parties laisse la facilité de recouvr

t môme l'éviter, autant qu'on le peut, vu l'inconvénient d'une double opération avec la double chance de cicatrice vicieuse. Tout

efforcé de rapprocher artificiellement les bords de la plaie. 6° L' opération terminée, le lambeau pâlit et sa température s'ab

atoires, renvoyant, pour des indications plus précises, à chacune des opérations spéciales. Méthode de Celse. La plus ancienne e

ération de conditions aussi exigeantes, on s'étonne cpi'une semblable opération ait pu être tentée avec quelques chances de succè

de lui-même le choix de la méthode italienne. Quoi qu'il en soit, l' opération étant décidée, après avoir ravivé les bords de la

a plaie le lambeau retourné et on le fixe par des points de suture. L' opération terminée, le chirurgien, par un bandage approprié

os préserver de toute irritation, et éviter de les atteindre dans les opérations , à moins de les enlever en entier. Déjà, dès le

etc. Les cas cle réunion pour lesquels on doit avoir recours à une opération sont compris sous plusieurs désignations : cicatr

rmation fibreuse des muscles, l'adhérence des tendons, qui rendrait l' opération inutile. 3° Quand les cicatrices sont nombreuses,

chirurgien alors à se guider suivant le cas, en graduant la série des opérations de manière à améliorer, le plus tôt possible la s

gênantes, et, autant que possible, il s'éloignera, dans une nouvelle opération , du siège de la première, et attendra, pour la pr

à traiter un jeune malade qu'il est parvenu à guérir, par une série d' opérations , d'un vaste chapelet de cicatrices, après brûlure

les canaux eux mêmes manquent; toutes circonstances qui motivent des opérations différentes. L'oblitération est le plus souvent c

L'iniperforation et le rétrécissement nécessitent un certain nombre d' opérations spéciales qui seront décrites en leur lieu ; il n

ofondeur vers la surface, ou de la surface vers la profondeur. Chaque opération se fait avec un bistouri spécial, mince et large

ait fait usage , et la hauteur à laquelle on ait divisé le muscle; l' opération terminée, 011 redresse la tête et on la maintient

, et dont l'incurabilité n'était pas prouvée. Pourtant c'est déjà une opération assez grave, puisque, suivant le lieu sur lequel

es bandelettes longitudinales formeraient rétraction , pour abréger l' opération , dans la crainte des récidives, si fréquentes, un

VI, p. 3i , 32, et pl. 9; et dans VJponévrologir, t. II, pl. tSï. L' opération lernûnée et la main ramenée librement à l'extensi

érison , n'ayant pas autant de densité que celle qui existait avant l' opération . Section de l'aponévrose plantaire. II n'est pa

e l'aponévrose plantaire. II n'est pas à notre connaissance que cette opération ait encore été pratiquée. Cependant les rétractio

ut par suite de brûlures. Au reste, le cas échéant de pratiquer cette opération , les modes opératoires seraient les mêmes que po

r partiellement comme à la main. Les orteils étant redressés, après l' opération , on les fixerait, pendant la durée de la cicatris

bre de traction entre les muscles antagonistes a été le résultat de l' opération . OPERATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LE SYSTEME NE

ns opératoires, mais on n'avait point osé en faire le sujet même de l' opération . Tout au plus avait-on établi en précepte la sect

erf, l'affection se reporter sur un autre et annuler le bénéfice de l' opération ? C'est une des circonstances, si nombreuses, où i

la ponction poulies collections séreuses céphalo-rachidiennes. Cette opération hardie n'est praticable que dans la première anné

nvenables, justifiables en théorie et suivies de quelques succès, ces opérations néanmoins n'ont pas encore acquis la confiance de

fe, dont l'opéré était un enfant de quatre mois, la tête, avant toute opération , avait dix-huit pouces et un quart de circonféren

Malgaigne ne dit pas quel était le volume de la tête avant et après l' opération ; mais il ne croit pas au retrait des parois osseu

ns la plus grande circonspection. Pour dire toute notre pensée, cette opération , d'après les faits, nous paraît de celles où le c

s seules forces de la nature, et à laquelle on ne remédie que par une opération offensive, à chaque l'ois, pour la substance cé

ne diffère en rien des règles que nous avons tracées concernant cette opération . Dans la ponction avec la lancette, l'opérateur a

T. VI. Procédé par la muqueuse buccale. (Pl. a3, fig. ~. Dans cette opération , qui se pratique sous la lèvre supérieure, pour é

de la branche de la mâchoire, puis enlever le disque de l'os. Dans l' opération de M. Warren la table externe fut enlevée avec le

simple énumération de ces parties suffit pour montrer la gravité de l' opération en elle-même. Toutefois, en procédant avec méthod

ncore assez nombreux, nous ne croyons pas devoir tracer la manœuvre d' opérations qui ne peuvent être considérées comme acquises au

qui ne peuvent être considérées comme acquises au domaine de l'art. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES VAISSEAUX. Les vaisse

SUR LES VAISSEAUX. Les vaisseaux sont le siège d'un grand nombre d' opérations très variées dans leur but thérapeutique. Les une

maladies propres des vaisseaux, soit les artères, soit les veines. OPÉRATIONS SUR LES VAISSEAUX EN GÉNÉRAL. Les unes agissent

r les veines, la phlébotomie, et, sur les artères, l'artériotoinie. OPÉRATIONS QUI AGISSENT SUR LA CIRCULATION LOCALE. i° Sans

es. Mais, en préservant la peau, on n'obvie pas à l'inefficacité de l' opération : le vide est toujours trop imparfait. Second p

mploi des sangsues exige certains soins et comprend plusieurs petites opérations : le choix de ces annélides, leur application et

s sur la surface. Au besoin même, ce moyen peut servir pour abréger l' opération . 3° Suspension de l'hémorragie. Mais s'il arriv

ux et compliqué, et n'agit pas aussi efficacement que le précédent. opérations qui agissent sur la circulation générale. i° Sa

. 2° Avec évacuation de sang. PHLÉBOTOMIE. La phlébotomie est l' opération par laquelle on pratique artificiellement une pla

quant perpendiculairement par un coup sec à la surface du vaisseau. Opération en général. Tout étant disposé, le chirurgien pla

uite de tours en huit de chiffre. Conditions propres au succès de l' opération . Différentes circonstances influent sur l'abondan

second, de desserrer un peu la ligature. Insuccès et obstacles à l' opération . Fréquemment il arrive,après la piqûre, que le sa

e, rassurer le malade et attendre quelque temps. On reprend ensuite l' opération , mais alors, crainte de syncope, il vaut mieux ti

damment des difficultés ou des imperfections cpû peuvent compliquer l' opération , si simple en apparence, cle la saignée, des acci

usée par la section cle quelques filets nerveux. On la combat après l' opération par des applications émollientes et sédatives. Si

ave qui constitue une maladie spéciale plutôt qu'une nouvelle cause d' opération . Toutefois lorsque l'affection s'annonce par une

corps arrondi et peu volumineux, comme le lancetier, un étui, etc. L' opération terminée, on met le membre dans la demi-flexion,

xterne logé dans une gaine spéciale le long de son bord postérieur. Opération . Saphène interne. On saigne le tronc médian quand

ce point, le bandage connu sous le nom d'étrier. Saphène externe. L' opération est la même que pour la grande saphène ; seulemen

la saignée est à trois travers de doigt au-dessus de la clavicule. Opération . La saignée de la jugulaire diffère des autres pa

loyée en gouttière et dont le bord comprime au-dessous de la plaie. L' opération terminée, une compresse fixée par quelques tours

c'est le cas d'avoir recours à l'artériotomie. ARTÉRIOTOMIE Cette opération consiste dans la section transversale d'une artèr

e produire une émission sanguine. Les conditions pour pratiquer cette opération sont : que l'ar- 1 Pl. 3o; et pour le texte, An

upée en cas d'urgente nécessité; toutefois on ne pratique guère cette opération que sur l'artère temporale superficielle et spéci

our appliquer le bandage dit nœud d'emballeur, aujourd'hui inusité. Opération . La peau étant préalablement rasée, si des cheveu

ongle. Ces dispositions préliminaires étant prises , il existe pour l' opération deux procédés. 10 Procédé ordinaire. Le doigt i

pinces et des ciseaux. Le malade étant disposé, nous supposons que l' opération se pratique du côté gauche, qui exige le décubitu

en travers et ressort au dehors en élargissant la plaie. Ainsi cette opération se compose de trois temps, ponction, glissement s

ère de son côté. OPERAÏIOMS QUI SE PRATIQUENT SUR LES VEINES. Les opérations qui agissent sur les veines se pratiquent dans un

es-mêmes; 2° comme moyen curatif des maladies de ces vaisseaux. Les opérations du premier genre sont: la phlébotomie, déjà décri

est imminente par suite d'hémorragies abondantes et réitérées. Les opérations du second genre ont spécialement pour objet le tr

s sans une grave hésitation que nous nous décidons à mentionner cette opération , qui touche à de si hautes considérations morales

me autrefois les opinions se partagent sur la convenance morale d'une opération où les argumens de diverse nature, pour et contre

xceptionnels où le chirurgien croirait cle son devoir cle pratiquer l' opération , d'en indiquer le meilleur procédé. Ce n'est qu

d'être clair nous a fait insister longuement sur les détails de celte opération , dont les temps doivent se succéder avec beaucoup

ng ne parait pas suffisante, on a recours à une nouvelle injection. L' opération terminée, on réunit la plaie par première intenti

iguée des résultats contradictoires obtenus par les divers procédés d' opération , la chirurgie semblait avoir renoncé à la cure dé

les mors de la pince dont on opère le rapprochement. L'objet de cette opération est de déterminer par la pression une inflammatio

en. Ce dernier procédé, qui a prévalu, a été le point de départ des opérations pratiquées depuis, en substituant une épingle à l

inflammation adhésive. De seize malades traités par cette méthode, l' opération sur quatre n'a en absolument aucun résultat; chez

cette candeur avec laquelle il cherche à constater les suites de ses opérations . Si cet amour de la vérité était plus commun, on

cette dernière, l'emploi du bandage compressif immédiatement après l' opération , le premier procédé nous paraît préférable. Exc

d'une intention curative : si l'on s'arrête au résultat prochain de l' opération , il semble, d'après un nombre de faits plus ou mo

LIGATURE DES ARTÈRES. Le mot de ligature, employé pour désigner une opération spéciale aux artères , représente l'ensemble des

cancéreuses, soit comme moyen hémostatique préventif dans les grandes opérations . RÈGLES GÉNÉRALES POUR L'APPLICATION DES LIGATU

, car il ne faut jamais renoncer à ce signe aux diverses époques de l' opération . Enfin dans tous les cas, par prudence, s'assurer

tous les cas, par prudence, s'assurer au toucher, avant et pendant l' opération , et de l'existence en leur lieu des artères voisi

n écarte de manière à suivre rigoureusement le trajet propre à chaque opération . L'indication des interstices et saillies muscula

ds de l'incision, et revenir méthodiquement sur chacun des temps de l' opération en étudiant avec attention la succession des plan

à l'iliaque externe, suivant la hauteur de la lésion qui nécessite l' opération . ARTÈRE PÉDIEUSE (pl. 36) \ Situation et lieu

mpression efficace sur le tarse doit être tentée avant de pratiquer l' opération . Manuel opératoire. Le pied fixé dans l'exten

nécessité : le lieu proprement d'élection est le tiers moyen. Cas d' opération . Le plus commun est l'épanchcnient sanguin trauma

celui cité par Pellctan n'est pas suffisamment avéré. Au reste cette opération ne doit être pratiquée que pour les cas les plus

soit en dedans, soit en dehors, suivant sa position dans le lieu de l' opération , puis, avec la pince , soulever une lamelle de la

us les cas. 1 Voy. Anatoniie topographique, pag. et pl. 12. Cas d' opération . L'entourage de la tibiale postérieure, plus exte

mer en arrière le jumeau interne, dont les contractions gênent dans l' opération , peut-être vaudrait-il mieux l'inciser nettement

tte artère, encore assez forte, est plus facilement accessible. Cette opération est réservée pour les cas d'hémorragie traumatiqu

ns ce cas que pour la ligature des tibiales ; le point difficile de l' opération , qui consiste à atteindre le sillon profond, pers

térale interne sous le bord du jumeau interne et du soléaire. Cas d' opération . Outre les hémorragies traumatiques qui commanden

rence à celle de la fémorale, disons seulement en quelques mots que l' opération , pour cause d'anévrisme, est légitimée lorsque la

. Anatomie lopographique, pag. 53-54, et pl. 7, 8 et 11. 41 Cas d' opération . La ligature de l'artère fémorale à divers points

l. 39, fig. 2 et 3). On considère comme une modification d'une même opération , de lier l'artère fémorale à la partie moyenne ou

que doit correspondre le milieu de l'incision; c'est-à-dire que cette opération est à trois ou quatre centimètres près la même qu

veine en bas, dénuder l'artère et en faire la ligature. Dans cette opération il est important, vu la profondeur et le peu de v

les troncs, peut être pratiquée à toute hauteur quelconque. Les cas d' opération à la main sont assez restreints. L'anévrisme s'y

essus du premier espace inter-osseux, dénuder et lier l'artère. Cette opération , qui figure dans les livres, est inusitée dans la

a peau et auquel correspond l'origine de l'artère. Terminaison de l' opération . Quelle que soit la ligne plus ou moins favorable

bitale soit du tronc des inter-osseuscs. Mais, il faut le dire, cette opération est grave, compliquée, et serait remplacée avec b

erne quand il y en a deux. Le nerf médian, qui sert de guide dans les opérations ,1a croise longuement en diagonale, et lui est ex