20 pour la main gauche. L'achromatopsie est complète pour les deux
yeux
. Toutes les couleurs deviennent du « blanc », seu
vivement et les circonstances les plus insigni-fiantes prennent à ses
yeux
une importance exagérée. Parfois elle tombe dans
ouge à sa gauche \ elle a par instants comme un brouillard devant les
yeux
. Marie B... voit des chats noirs, des rats grim
, immobile, couvert d'un suaire. Il est maigre, pâle et roule de gros
yeux
noirs. Elle est saisie d'effroi, tout en ayant co
voir l'abattement de leurs traits, la pâleur de leur visage et leurs
yeux
cernés de noir. Leur réponse est prévue et presqu
., debout, appuyée contre son lit, silencieuse, les traits altérés, l'
œil
dirigé du côté de la fenêtre, fixe au dehors un p
à se contracturer. Une fois au lit, sa figure impassible ouvre les
yeux
démesurément, et im-mobile, ne cesse de fixer le
s environ. Tout d'un coup la tête se renverse, la bouche s'ouvre, tes
yeux
se ferment, les traits se contractent agités de q
as complètement connaissance, et éprouve des tressaillements dans les
yeux
et le long du bord interne des bras. Le tout dure
s, en dernier lieu, une obnubiîation de la vue marquée surtout dans l'
œil
gauche. » Les mêmes phénomènes se montreraient
marteau dans la tempe droite et en même temps celle dépression sur l'
œil
droit; alors sa vue se trouble, elle chancelle...
peut plus parler, mais elle entend; un brouillard descend devant ses
yeux
, et en même temps que son intelligence s'obscurci
iolence et l'agitation a été en-core plus vive. Elle avait devant les
yeux
« comme des papillons de toutes les couleurs. » A
siège vers l'angle de la mâchoire inférieure et s'étend de là vers l'
œil
et vers la région latérale du cou. La peau de cet
plu-sieurs soubresauts qui se succèdent rapidement. Puis en un clin d'
oeil
toute agita-tion cesse, et la malade retombe sur
out d'abord, ne tarde pas à se congestionner. Le front se ride, les
yeux
convulsés cachent habi-tuellement leur pupille so
épaule, la face est encore congestionnée et légère-ment bouffie, les
yeux
sont fermés, la respiration s'établit plus réguli
épaules; la face devient bouffie et commence à se congestionner. Les
yeux
grands ouverts se convulsent. Strabisme en dedans
nner. Les yeux grands ouverts se convulsent. Strabisme en dedans de l'
œil
droit, contraction pupillaire ; la bouche est dém
e librement. Il n'y a point de stertor. — Le faciès est immobile, les
yeux
fermés. L'écume coule le long du menton. Après
ème période. Math... 13 juillet Période épileptoïde. Début. — Les
yeux
se convulsent à droite et en haut. Quelques contr
gestionne, le front est contracté, sillonné de plis transversaux. Les
yeux
, convulsés en haut, tournent adroite et â gauche.
la face est congestionnée, les traits contractés, le cou gonflé; les
yeux
convulsés en bas et de côté. Il existe parfois du
périodes diversement accusées. La première période est écourtée. Les
yeux
se convulsent, la tête tourne à gauche, les bras
-rale, on voit se produire les expressions les plus terrifiantes. Les
yeux
sont grands ouverts, les pupilles convergent parf
ments saccadés que cette respiration singulière imprime au tronc. Les
yeux
sont ouverts, convulsés en haut et à gauche. Les
la titillation de la conjonctive, l'application d'un bandeau sur les
yeux
, la respira- Fig\ 1. Phase triste rie"- 2. Ph
due en croix : la tête, droite, légèrement renversée en arrière ; les
yeux
grands ouverts; son visage exprime la colère et l
rt de tentures mortuaires et rempli de squelettes effrayants dont les
yeux
caves lancent du feu. Il y a des flammes rouges p
ces qu'on ne lui connaissait pas. Elle se débal comme une forcenée, l'
œil
toujours fixé sur la vision et faisant des gestes
Attitude passionnelle. minée; mais il n'en est rien. Fermez-lui les
yeux
, faites retentit un bruit violent à son oreille,
e rapprochant de l'extase. Elle est à genoux ou assise sur son lit, l'
œil
au ciel, un doigt levé ou les mains jointes. Elle
vaillait dans un autre village, elle rencontra un chien qui avait les
yeux
hors delà tête, la gueule pleine de bave, la queu
t contractures, la face est congestionnée, les traits contractés, les
yeux
convul- ses en haut, la bouche grande ouverte e
urs!... (soulèvement de tout le tronc). Ah ! ah !... y m'onterevé les
yeux
!... ah ! ah! (plaintes sourdes).,„» Le calme se
... » crie-t-elle en se débattant. Ensuite, étendue sur le dos, les
yeux
fermés, elle récite de longues pièces de vers de
pour moi!... » Tout à coup elle se redresse, et regardant avec des
yeux
pleins de larmes, comme si quelqu'un venait de s'
nte ; cette question s'explique, parce que pendant tout ce délire ses
yeux
sont convulsés en haut, et elle ne voit pas.) La
je ne le suis pas, moi... Comme ils voltigent... plus que j'ouvre mes
yeux
plus qu'y a des bêtes... On m'appelle..., je ve
ant ses attaques ne s'y trompent pas. Elle se frotte les mains et les
yeux
, en demandant qu'on lui rende ses yeux; elle s'ag
lle se frotte les mains et les yeux, en demandant qu'on lui rende ses
yeux
; elle s'agenouille sur son lit, la face contre le
volubilité, converse avec les assistants. «Attends que je frotte mes
yeux
... Vlà mon lit qui tourne. Arrête-moi donc... Je
(Contracture de-pieds.) Qui vient là?... Je ne vois pas clair... (Les
yeux
convulsés cachen la pupille sous la paupière su
vais mes mains, comme je dévorerais tout ça... Laisse-moi frotter mes
yeux
, que je voie clair... (Elle cherche à échapper au
ture des jambes cesse. Elle fait de grands gestes avec les mains. Les
yeux
ne sont plus convulsés. Elle regarde dans la cour
; — puis arc de cercle parfait; les bras sont dans l'extension; les
yeux
ne sont pas convulsés; respiration normale. Cette
— Tout d'un coup les traits se contractent et respirent l'effroi, les
yeux
sont dirigés en haut et à droite. Elle pousse plu
et à droite. Elle pousse plusieurs cris de terreur, elle se débat, l'
œil
toujours fixé au même endroit. — Aussi promptemen
ères, car on voit ses lèvres remuer. Son expression est radieuse, ses
yeux
grands ouverts sont mouillés de larmes : «Je voud
— La scène change. « Oh! qu'il est joli! » Assise sur son séant, l'
œil
dirigé en haut, elle chantonne et marque la mesur
gauche replié. Elle se soulève, un nouveau tableau se déroule à ses
yeux
. « Oh! il y en a au moins deux millions!... Ils s
— Bientôt elle se redresse, et se penchant sur le bord de son lit, l'
œil
fixé à terre, elle est victime d'une hallucinatio
étendue à terre sur un matelas, elle est rigide, la tète droite, les
yeux
convulsés en haut, les dents serrées, les bras da
retombe affaissée, dans la résolution. Quelquefois elle se frotte les
yeux
, recouvre un instant connaissance, elle parle à s
ents dans les tempes, sonneries dans l'oreille, brouillard devant les
yeux
. Ces phénomènes se produisent presque exclusiveme
e corps se raidit en se con-tournant ; la face est congestionnée, les
yeux
convulsés en haut. Celte phase tonique, qui dure
aintiennent les genoux contre la poitrine. La tête est renversée, les
yeux
grands ouverts, et la face sans expression. Cette
oit son visageperdre son expression, sa respiration se précipite, ses
yeux
se convulsent en haut, tout son corps est agité d
élevés au-dessus de la tête. La tête est tournée un peu à droite, les
yeux
sont convulsés en haut et à droite, la bouche à d
e de nouveau, cherche du regard près d'elle, sent son oreiller. — Ses
yeux
se dirigent de nouveau en haut ; geste de défi. E
à droite; pendant la raideur générale, la face est congestionnée, les
yeux
fermés, il n'y a pas d'écume. Le tremblement géné
particulier. — Tout d'un coup il semble s'envoler. Elle le suit de l'
œil
dans l'espace : « Il faut lui couper l'aile. » De
ement insensible à toute excitation du dehors. On peut lui bander les
yeux
, son hallucination persiste quand même et ses ges
que à gauche, ovarienne du même côté, achromatoptique incomplète de l'
œil
gauche (elle ne voit pas le violet). Elle possède
ttent, les oreilles bourdonnent, principalement du côté gauche. « Son
œil
saute, » elle a des éblouissements, et voit souve
tête affreuse aux cheveux hérissés, aux oreilles énormes et dont les
yeux
sont « de toutes les couleurs ». Les attaques s
ue nous l'observons à 10 h. 5. Elle est dans le décubitus dorsal, les
yeux
convulsés en haut et à droite, le faciès immobile
. La physionomie respire la terreur : « Oh! non... » crie-t-elle. Les
yeux
lan-cent des regards terribles, elle se débat com
aisant entendre une longue plainte. La bouche est grande ouverte, les
yeux
fermés convul-sivement, et tout le visage rouge e
lée. Puis attitude de ter-reur : « Va-t'en... ne reste pas devant mes
yeux
!... Ah!... ça se passera mal... » — Attitude exta
nt mes yeux!... Ah!... ça se passera mal... » — Attitude extatique, l'
œil
fixe en haut, le tronc renversé en arrière, le vi
. 10 h. 40 m. Les paupières sont animées d'un fin clignotement, les
yeux
se convulsent en haut, cachant la pupille sous la
contracte, la bouche ouverte fait entendre une plainte prolongée. Les
yeux
sont fermés. Le tronc s'incurve en arrière, et le
l'expression disparaît de la physionomie qui devient impassible, les
yeux
sont tournés en haut et à droite. Les membres gar
n'occasionne aucun mouvement. Quelques larmes seulement viennent aux
yeux
. De petites secousses dans les bras et les épaule
ées. Elle voit alors de gros rats noirs avec de longues queues et des
yeux
rouges. Voici une série d'attaques prise dans tou
récipite. Le corps est dans l'extension,'la tête tourne à gauche, les
yeux
sont fermés et le visage sans expression. 10 h.
respiration cesse bientôt son ronflement bruyant. La malade ouvre les
yeux
, regarde à droite, dans son lit; l'effroi se pein
pied botvarus. La tête renversée tourne la face un peu à droite. Les
yeux
sont fermés, mais se laissent facilement ouvrir e
s couvertures, se tournant de côté et d'autre. La face est rouge, les
yeux
sont fermés, les paupières se laissent facilement
Ses jambes se fléchissent et s'étendent brusquement tour .à tour. Ses
yeux
sont tantôt ouverts, tantôt fermés. Le visage se
moment une sorte de demi-extase. Ernestine sur son séant s'arrête, l'
œil
fixe, et montre quelque chose avec le doigt. Puis
ment les globes oculaires avec quelque persistance en lui fermant les
yeux
. Elle voit toujours la vision. Puis tout d'un cou
son lit. Puis elle demeure inerte, la respiration se régularise, les
yeux
sont toujours fermés, la face sans expression, el
t d'un coup : a). La malade se raidit, la tète tourne à gauche, les
yeux
sont fermés, la face se congestionne, les dents g
s 45 secondes. b). Puis la malade s'arrête immobile, elle ouvre les
yeux
démesurément, et sou regard conserve une fixité q
en arrière, et la tête et les pieds reposaient seuls sur le lit. Les
yeux
ouverts étaient en strabisme convergent. J'appliq
des membres inférieurs. Cette rigidité gagnait rapidement le cou. Les
yeux
deve-naient fixes, hagards, un léger mouvement de
ent les attitudes de la prière, pendant lesquelles la malade lève les
yeux
au ciel et croise les bras, jusqu'à ce qu'un mouv
leucorrhée augmente, les crises nerveuses aussi, la vue se trouble, l'
œil
gauche ne perçoit plus les couleurs. « On comba
lques moments, madame x... n'y voyait plus du tout, quoique ayant les
yeux
tout grands ouverts, en plein jour. » Tel est l
tout le côté gauche, ovarie à gauche, amblyopie et achromatopsie de l'
œil
gauche; le sommeil fait totalement défaut et les
udes de frayeur, le faciès devient horrible, la face est rouge et les
yeux
injectés. Enfin la malade retombe dans l'immobi
éclate brusquement. La tête se tourne à droite sur l'oreiller. Les
yeux
roulent dans l'orbite et se dirigent du même côté
inuelle-ment. La nuit a été mauvaise. La malade n'a pas pu fermer l'
œil
à partir de minuit. Elle a entendu les cloches. C
ras en supination, le poignet fléchi; la tête s'incline à droite, les
yeux
grands ouverts, les pupilles dirigées en haut et
expression, le bras droit se raidit, la tête se penche à droite, les
yeux
se convulsent en haut et à droite ; le tronc s'in
ours adroite; les muscles du même côté s'agitent con-vulsivement, les
yeux
roulent dans leur orbite et les paupières ne s'en
ns une fureur indescriptible. La tête s'agite dans tous les sens. Les
yeux
sont convulsés et ne laissent voir que la sclérot
et vient alors la troisième période qui ne dure pas longtemps. — Les
yeux
se ferment, les traits prennent une expression de
ilisation du corps et des mem-bres. Les paupières sont fermées; les
yeux
sont en strabisme interne. Il n'y a pas protrusio
serrées. Les paupières sont fermées; si on les écarte, on trouve les
yeux
fortement portés en strabisme divergent, les con-
uin varus. Durant ce temps les paupières battent, mais laissent les
yeux
fermés; ceux-ci, lorsque l'on examine, sont animé
ières sont tour à tour fermées et ouvertes, et laissent entrevoir des
yeux
hagards et injectés, le visage grimace parfois et
de se laisse tomber sur son lit, comme accablée; elle ferme alors les
yeux
, gémit, se plaint quelquefois et pleure; ou bien
affaiblie (liypo-cousie ou hypocophose); la vision est diminuéedans l'
œil
gauche (amblyo-pie) et il y a également achromato
pigastre, le cœur, le cou, l'oreille gauche, la région temporale et l'
œil
du même côté. Faisons-nous analyser ces sensation
lle par un bruit de sifflet, à la tempe par des coups de marteau, à l'
œil
par une obnubilation de la vue. Ce sont, on le
etits mouvements saccadés; relevées, elles laissent en- trevoir les
yeux
en strabisme convergent; les pupilles sont dilaté
t fléchie sur le côté gauche, le visage a perdu de sa coloration, les
yeux
res-tent fermés, la bouche légèrement entr'ouvert
comme points d'appui. La face asymétrique est surtout grimaçante, les
yeux
sont ouverts et fixes, les sourcils froncés, la b
eu à l'épigastre, au cœur, au cou, à la tempe, ou aux oreilles et à l'
œil
gauche. La douleur ovarienne s'exaspère, et spont
gide. Les paupières sont closes, et quand on les ouvre, l'on voit les
yeux
en strabisme convergent et convulsés en haut. La
se succédant pour ainsi dire sans interruption; les paupières et les
yeux
participent à ces mouvements convulsifs; la bouch
orte la main à la région ovarienne gauche, elle se frotte ensuite les
yeux
, passe les mains sur le visage, pousse une série
sse les mains sur le visage, pousse une série de soupirs et ouvre les
yeux
. La connaissance est revenue, parfois complètemen
nférieures et du corps. La face alors devient rouge, turgescente, les
yeux
sont saillants, mais on ne voit que la conjonctiv
antôt la colère,quelquefois la rage]; il est turgescent, violacé; les
yeux
s'ouvrent largement, demeurent fixes ou roulent d
u et le thorax, les deux mains crispées étreignent vigoureusement les
yeux
et le front, et laissent parfois entrevoir un vis
et le front, et laissent parfois entrevoir un visage contracté et des
yeux
hagards ; le corps est comme ramassé sur lui-même
surtout des allumettes, et voit des objets lumineux passer devant ses
yeux
. A ces troubles psychiques et à ces hallucination
de; elle veut se jeter par la fenêtre ou bien elle veut se crever les
yeux
avec des ciseaux ou des aiguilles. Ces accès s'ac
ré-tation des faits seule change. Les anciens auteurs ont eu sous les
yeux
des cas d'hystérie semblables à ceux que nous avo
'il falloit plusieurs personnes pour empêcher la malade de se nuire ;
yeux
ouverts, étincelans, ne distinguant aucun objet ;
cou, le gonfle et produit la suffocation et une anxiété extrême, les
yeux
se ferment, la face reste pâle, la tête s'incline
uvements convulsifs par intervalles, tension de diverses parties; les
yeux
sont ouverts, fixes et dirigés en dedans vers le
cet instant, la respiration devient plus libre, le visage pâlit, les
yeux
sont fermés, le pouls fort et lent. Bientôt après
gts des pieds et des mains, le resserre-ment total de l'œsophage, les
yeux
hagards, la pupille dilatée, tantôt l'im-possibil
hou répétés. Dans cet état, elle était pelotonnée sur elle-même ; ses
yeux
fixés ou renversés en haut n'étaient im-pressionn
. Dans l'intervalle de ces crises, elle restait souvent immobile, les
yeux
fixes, tournés vers le ciel, le sourire sur les l
-vient un moment de calme; elle reste couchée sur le côté gauche, les
yeux
ouverts et fixes, dans une insensibilité et une i
respi-ration, face hideuse, pâle, puis livide, paupières ouvertes et
yeux
convulsés en strabisme convergent, mâchoire dévié
retire en arrière, la lèvre inférieure se repliant sur les dents. Les
yeux
, très mobiles d'abord, se fixent, les paupières s
e temps elle grince des dents. Tout à coup la ré-solution arrive, les
yeux
se rouvrent et restent fixes, le regard est sans
nd plus aux questions qu'on lui adresse; son teint devient blême, ses
yeux
s'enfon-cent, son expression est celle d'une idio
res. La respiration est gênée; le cou grossit, la face est rouge, les
yeux
sortent de leur orbite. Des cris violents témoign
int, rien ne peut l'en distraire, déjà elle ne s'appartient plus. Les
yeux
bientôt se ferment, sa face bleuit, ses dents son
rtement rentrés, tout son corps se raidit comme une barre de fer. Ses
yeux
, ordinairement fermés, s'entr'ou-vrent quelquefoi
immobiles et plongés dans le ravissement extatique; souvent aussi ses
yeux
sont tellement naturels, qu'ils semblent vous par
nsuite des phénomènes cérébraux d'un tout autre ordre. La malade, les
yeux
fermés bien entendu, a des hallucinations de la v
uiveutla mordre;cette femme est invariablement vêtue de noir et a les
yeux
bleus. Parfois c'est sa petite sœur, morte depuis
les personnes qui l'en-tourent, vous répond, mais ne peut ouvrir les
yeux
, ou si elle les ouvre, c'est sans en avoir consci
viennent clore la scène ; aussitôt après avoir pleuré, elle ouvre les
yeux
, voit et est très étonnée de vous trouver à côté
e plus souvent, d'une rougeur intense, la face devient vultueuse, les
yeux
sont fermés et convulsés en bas. Bien rarement el
st abandonnée à elle-même. Après quoi, sans encore pouvoir ouvrir les
yeux
, elle reprend lentement connaissance. Sa sensibil
t que la malade ne reprend la mémoire que du moment où elle ouvre les
yeux
; depuis un temps assez long déjà, elle a reconnu
u'on lui adresse, et cependant, au moment seulement où elle ouvre les
yeux
, elle semble se réveiller, et est surprise de vou
erait un profond soupir. Alors tout est fini; elle ouvre aussitôt les
yeux
... Les attaques ne se composent ici que des deu
Mon impression première fut,je dois V avouer, que j'avais devant les
yeux
une attaque d'épilepsie; mais bientôt le tableau
lucination qui dura à peine quel-ques minutes. La malade, ouvrant les
yeux
démesurément, se jeta dans la ruelle de son lit c
he, arrêt de la respiration, battements du cœur forts et rapides; les
yeux
se dévient à gauche, la tête se tourne aussi de c
il lui arrivait souvent de marcher dans cet état de sommeil, avec les
yeux
ouverts. Une fois, elle tomba, mais sans convulsi
ent des accès dans lesquels elle se mettait tout à coup à courir, les
yeux
ouverts, évitant les obstacles, et, au sortir de
ours de la description : « D'autres fois, au contraire, immobile, l'
œil
fixe, insensible aux excita-tions extérieures, la
it réunir ainsi pêle-mêle, sans établir une confusion dans laquelle l'
œil
le plus exercé aurait de la peine à se reconnaîtr
onnes qui les entourent, des morsures très profondes. Quelquefois les
yeux
roulent dans leurs orbites ou simulent le strabis
reste immobile, frémissant au moindre bruit et au moindre contact, l'
œil
fixe ou fermé, et quelquefois dans un étal d'exta
nt le siège d'expressions diverses, auxquelles contribuent'celles des
yeux
, qui jusque-là étaient couverts par les paupières
l'expression de la volupté, qui résulte surtout de l'inclinaison des
yeux
, portés en haut et en dedans, à moitié cachés sou
ique, lorsque surtout il y a, en même temps que le spasme cynique des
yeux
, une propulsion rythmique du bassin, et qu'on con
fface (l'expression passionnée de la période précédente), on voit les
yeux
s'humidifier, puis les larmes couler en abondance
environ. » D'abord sa vue se trouble, une flamme oscille devant ses
yeux
, les oreilles lui tintent, un fourmillement se fa
e extrême, face livide et tuméfiée, écume à la bouche, distorsion des
yeux
, respiration stertoreuse, mélange de raideurs tét
ée et se précipite. Des mouvcnients de déglutition se produisent. Les
yeux
se convulsent; les paupières, médiocrement ouvert
e phase de résolution. Le corps retombe inerte sur le côté droit, les
yeux
se ferment, la res[»iration devient stertoreuso.
les secousses; en même temps, elle é[)rouve un tiraillement dans les
yeux
, et sa langue se retourne, la pointe en haut, l^a
, que de l'hystérie. En etfet, presque aussitôt la malade ouvre les
yeux
, semble revenir à elle, mais elle ne parle pas en
La face se dirige légè- rement en haut, les paupières battent, les
yeux
sont demi-fermés, les globes oculaires eux-mêmes
b. Dans un accès un peu plus intense la face se tourne à gauche, les
yeux
sont convulsés en bas et à gauche. G... est agité
ée, est le siège de contractions intenses, les paupières battent, les
yeux
, convulsés en haut et à gauche, cachent sous la p
dans le décubitus dorsal, la tête repose à droite sur l'oreiller, les
yeux
sont fermés, et les lèvres rapprochées laissent p
caractères suivants : La tète se raidit et se tourne à gauche, les
yeux
se convulsent en haut et à droite, le front se ri
la face, conges-tionnée et bonifie, est afl'reusement grimaçante, les
yeux
con-vulsés ne laissent voir que le blanc de la sc
tion. La face revêt alors le masque de l'efìroi ou de la colère : les
yeux
dé- lUClIKR. • 20 ViG. 93 — Contorsion. Attaq
cède s'applique surtout aux deux malades que nous avons eues sous les
yeux
, elle est en quelque sorte le résumé des observat
nvulsion de tous les membres et des muscles du cou, de la bouche, des
yeux
, enfin de la langue (qui tantôt se retirait, tant
a placer dans une chambre capitonnée. Les pupilles sont dilatées, les
yeux
ne sont pas convulsés en haut. Les pu-pilles sont
oiume, et ne [lerd pres-que jimais ré(iuilibrc. Le pouls bat 130, son
œil
est fixe, le regard fa-rouche, la pupille dilatée
est assise : tantôt la tèle garde une altitude presque naturelle; les
yeux
sont légèrement dirigés en haut, les mains jointe
x minutes. Elle était dans son lit, le visage parfaitement calme, l'
œil
fermé, la pau-pière animée d'un mouvement incessa
ne reprit son immobilité. La paujDière que je souleva me montrait l'
œil
qui fuyait rapidement la lumière; ces tentatives
re; ces tentatives répétées amenèrent des larmes au coin externe de l'
œil
gauche. A ce moment aussi je la pinçai avec force
due sur son lit, pendant tout le temps que nous l'examinons. Mais ses
yeux
deviennent de plus en plus fixes; le regard de pl
plus en plus fixes; le regard de plus en plus vague. Elle dirige les
yeux
en haut sur le bois du lit. En ce moment le pouls
sur le devant de la poitrine; le regard devient tout à fait fixe, les
yeux
sont grands ouverts; ses lèvres remuent; elle sem
ou sont chauds et injectés. » 1 h. G min. Le pouls monte à 8-4. Les
yeux
semblent fatigués : Hs s'in-jectent et deviennent
l'autie et s'agenouille sur son lit : les mains restent jointes, les
yeux
toujours fixes. )) Alors commence la Passion ou
1 h. 47 m., au point d'où elle est partie. Pendant tout ce temps les
yeux
restent absolument fixes et grands ouverts. Voici
expérience, et reprennent plus vite aussitôt après; en même temps les
yeux
sont pris de clignements plus accusés, quoique pe
r position première. Nous voulons, à ce momcid, examiner le fond de l'
œil
à l'aide de l'ophtlialmoscope, mais la ma-lade cl
étonnante. L'expi-ration est très bruyante, comme soufflante. » Les
yeux
sont fermés et semblent fuir la lumière. Nous sou
soulevons la pau-pière et nous avons de la peine à voir la pupille; l'
œil
se rejette en haut immédiatement. » Les membres
ême position; elle ne s'est soulevée à peine qu'une ou deux fois. Les
yeux
sont toujours restés fermés. La respiration a rep
un effort pour se lever ; alors elle remue les bras et entr'ouvre les
yeux
. Le regard est terne, voilé. »Vers 5 h., elle c
ecoupées peu intelligibles. » Pendant ce monologue, Berguille a les
yeux
grands ouverts : elle les fixe en haut, mais les
ntempler ces objets. A ce moment, parait-il, elle voit la Vierge; ses
yeux
se remplissent de larmes. Elle prie et parle d'un
arrêt de la respiration, la turgescence de la face, la convulsion des
yeux
, le grincement des dents, l'écume à la bouche, le
e!... Tu sais bien ce qui te pend au nez... S'il t'a fait noire à mes
yeux
, il n'a fait que son devoir... Maman! Vas-tu fini
» Repos, se tortille. « Cochon, je te fiche une giffle ! » Repos, les
yeux
ouverts, fixes, les pupilles dilatées, regard ef-
ux! papa va le savoir, et (die en recevra des camouflets... Tu as les
yeux
de maman... Je n'en suis pas jalouse, j'ai papa p
aractères. On le voyait s'arrêter tout à coup ou dresser la tête, les
yeux
grands ouverts, faire coup sur coup une série de
otale et complète. Nous avons interrogé les sensibilités spéciales (
œil
, nez, ouïe) sans relever aucun trouble. 3 janvi
vulsions duraient, l'enfant était sans connaissance, elle roulait ses
yeux
, faisait des grimaces et exécutait avec ses bras
trouver notre ma-lade dans un délire furieux, ouvrant ses deux grands
yeux
noirs, vous fixant un instant, les roulant avec v
en défendit énergique-ment, nous demandant, avec des flammes dans les
yeux
, si notre titre d'é-cuyer de l'impératrice nous a
la toucher. Nous parvînmes cepen-dant à lui appliquer la main sur les
yeux
, mais sans parvenir à l'endormir. Le lendemain ma
matin, à la visite, nous trouvons la malade immobile sur son lit, les
yeux
fixes, le regard atone, sans raideur dans les ext
'on appelle le magnétisme animal. H y a des faits pathologiques,? mes
yeux
réels, et sur lesquels les magnétiseurs appuient
vient l'état cataleptique. La malade est comme fas-cinée, immobile, l'
œil
grand ouvert fixé sur la lumière, la conjonc-tive
raît subitement, ou si l'on empêche le rayon lumineux de parvenir à l'
œil
de la malade en interposant un écran, ou simpleme
mbe à la renverse, la tête rejetée en arrière, le cou saillant. Les
yeux
se ferment, et une inspiration sifflante se fait
isme. Si on l'appelle un peu vivement, elle se lève et se dirige, les
yeux
toujours fermés, vers l'interpellateur. On peut l
aire écrire, coudre, etc. Elle exécute tous ces différents actes, les
yeux
fermés, à peu près avec autant de précision que d
s venons d'étudier sont ainsi caractérisés : État cataleptique. — L'
œil
est grand ouvert; anesthésie totale et absolue; a
tracter le muscle par excitation mécanique. TÉtat léthargique. —Les
yeux
sont fermés ou demi-clos: fré-missement persistan
xcités sépa-rément et produisent la contraction des muscles soit de l'
œil
, soit du nez, soit de la bouche. Chez une de no
u gré de l'observateur, suivant qu'il maintient ouverts ou fermés les
yeux
de la malade. Cette expérience peut être variée
nfluence d'une vive lumière. Nous fermons avec la main un seul de ses
yeux
, l'œil droit par exemple, et aussitôt elle devien
d'une vive lumière. Nous fermons avec la main un seul de ses yeux, l'
œil
droit par exemple, et aussitôt elle devient létha
te. Au bout de peu d'instants, les malades entrent en catalepsie, les
yeux
restent ouverts, elles paraissent absorbées, elle
rendues cataleptiques par la lumière, il suffisait de leur fermer les
yeux
pour les plonger dans l'état léthar-gique. Dans l
ême résultat. Tant que dure la vibration sonore, l'on peut fermer les
yeux
de la malade, et la catalepsie n'en persiste pas
, mais ils sont le siège d'une certaine raideur. En lui fermant les
yeux
, la léthargie ne survient pas. Mais en répétant l
a physionomie conserve le plus souvent l'ex-pression de l'effroi, les
yeux
sont ouverts. Si on lui ferme les paupières, surv
immobihsée. Au bout de Fig. 97. quelques instants, on lui ferme l'
œil
droit, le bras droit retombe et la main laisse éc
t retombe et la main laisse échapper le percuteur; on ferme ensuite l'
œil
gauche, le bras gauche retombe, et la main laisse
ons à volonté les plonger dans l'état léthargique en leur fermant les
yeux
et repro-duire toute la série des phénomènes babi
fois la malade endormie de cette façon, il suffit de lui ou-vrir les
yeux
pour la rendre cataleptique ^ ; et l'on peut répé
gard devient d'une fixité particulière,la conjonctive est injectée, l'
œil
larmoyanL Si alors l'expérimentateur s'éloigne gr
, ne se réveille pas, elle ne tombe pas non plus dans le sommeil. Son
œil
demeure toujours grand ouvert, elle est immobile,
et par degrés, suivant la loi de la pesanteur. Il suffit d'ouvrir les
yeux
à la malade pour la rendre complètement catalepti
x lèvres; puis elle reprend aussitôt connaissance et regarde avec des
yeux
étonnés. Habituellement, on ne peut, par ce procé
peu d'instants perdirent connaissance et tombèrent en résolution, les
yeux
fermés; elles dormaient. Contrairement à ce qui s
rvés par le nerf excité. En soulevant les paupières supérieures les
yeux
restent ouverts les muscles ne sont plus hyperexc
cet état. Insensibilité générale à la piqûre. Fixité du regard. Les
yeux
sont ouverts. Immobilité. Passivité. La malade
e il est possible d'impressionner d'une façon variable la malade. L'
œil
est fixe et semble ne rien voir. En effet, il ne
n vient à placer, dans l'axe du rayon visuel et à peu de distance des
yeux
, un objet que l'on fait légèrement osciher, on vo
s mouvements. Le reste du corps peut demeurer catalep-tique, mais les
yeux
tournent en tous sens au gré de l'expérimen-tateu
que l'objet fixé est soustrait rapidement aux regards de la malade, l'
œil
reprend aussitôt sa fixité première et l'état cat
l'excitation des différents sens. A. La malade cataleptique, dont l'
œil
est en état de percevoir les mouvements de l'expé
savon entre ses mains, si l'on vient à abaisser la paupière d'un seul
œil
, de l'œil droit, par exemple, tout le côté droit
e ses mains, si l'on vient à abaisser la paupière d'un seul œil, de l'
œil
droit, par exemple, tout le côté droit du corps d
raction ne vient point les gêner ou les interrompre. L'occlusion d'un
œil
produit toujours le même effet qui est d'immobili
tion qui n'est complètement interrompue ciue par l'occlusion des deux
yeux
. La malade est alors rendue complètement léthargi
e de mécontentement. Fait singulier, si l'on vient à fermer un de ses
yeux
, la main correspondante s'arrête, le bras re-tomb
nt avec le doigt une de ses paupières supérieures et en main-tenant l'
œil
fermé, le bras correspondant s'arrête (il est dan
nterpose une feuille de carton entre ses mains qui travaillent et ses
yeux
, elle demeure impassible, et n'interrompt pas son
elle tourne la bande autour de son bras droit, on vient à fermer son
œil
gauche, le bras gauche est immobilisé et garde la
circum-duction cherche à enrouler la bande autour de lui. Si c'est l'
œil
droit qui est maintenu fermé, le bras droit, rend
auche le siège de la parole. Au milieu de sa lecture l'occlusion de l'
œil
droit (et par l'entrecroisement des nerfs optique
milieu d'un mot, au milieu d'une phrase. Elle reprend aussitôt que l'
œil
droit est ouvert de nouveau achevant !e mot ou la
e de fois a toujours donné le même résultat. Si au contraire, c'est l'
œil
gauche qui est fermé, B... continue sa lecture. I
lle est devenue plus difficile, elle hésite, approche le livre de son
œil
, s'arrête en disant : « Je ne vois plus ». Ceci s
ci s'explique par ce qu'elle est amblyo-pique et achromatopsique de l'
œil
droit et que cet état persiste pendant la catalep
es plus loin. Pour le moment, malgré l'imperfection de la vision de l'
œil
droit, les tentatives que fait B... pour lire pen
de l'œil droit, les tentatives que fait B... pour lire pendant que l'
œil
gauche est fermé, l'exclamation qu'elle laisse éc
qu'elle laisse échapper, suffisent pour prouver que l'occlusion de l'
œil
gauche qui agit sur le cerveau droit n'entrave en
oit n'entrave en aucune façon la parole, pendant que l'occlusion de l'
œil
droit qui agit sur le cerveau gauche l'arrête ins
t cachés, et la lecture continue) ; ici les carac-tères sont sous ses
yeux
, et leur renversement constitue un obstacle qu'el
es embrasse ; elle les décrit avec des cheveux blonds ou noirs et des
yeux
bleus. Elle les trouve tous fort gentils. Une aut
n se livre à une mimique pleine d'expression, l'occlusion d'un de ses
yeux
immobilise le côté correspondant du corps, dont l
lle ne se passent plus que d'un seul côté, du côté qui correspond à l'
œil
demeuré ouvert. Si c'est l'œil gau-che qui est fe
seul côté, du côté qui correspond à l'œil demeuré ouvert. Si c'est l'
œil
gau-che qui est fermé, la malade n'interrompt pas
n discours et répond aux questions qu'on lui adresse, mais si c'est l'
œil
droit, la parole est supprimée à l'instant même ^
onstate que les hallucinations co-lorées ne sont possibles que pour l'
oeil
qui n'est pas achromatopsique. Bar..., à l'état d
achromatopsique. Bar..., à l'état de veille est achromatopsique de l'
oeil
droit. Au point de vue du réveil provoqué, pend
ler encore plus loin et dépasser les limites de En lui maintenant l'
œil
gauche fermé, nous lui faisons ,voir une troupe d
ou gris. Mais les choses changent, si à ce moment nous lui ouvrons l'
œil
gauche, que l'œil droit soit fermé ou non; aussit
choses changent, si à ce moment nous lui ouvrons l'œil gauche, que l'
œil
droit soit fermé ou non; aussitôt elle s'extasie
ouvent réunies. Cette expérience a été variée de bien des façons. L'
œil
gauche fermé, nous lui montrons Arlequin, et elle
est original, ajoute-t-elle, mais ce n'est pas beau. » Nous ouvrons l'
œil
droit et aussitôt la notion des couleurs reparaît
us avons pu constater, au sujet des hallucinations provoquées. De l'
œil
gauche elle ne voit pas sur une robe imaginaire l
ire les rayures violettes dont elle admire la vivacité de teinte de l'
œil
droit. De l'oreille droite elle reconnaît parfa
arvenir de la main gauche. (On a eu soin de placer un écran entre ses
yeux
et ses mains). De la main droite elle prend une m
i affir-mer qu'elle a le vertige, pour qu'aussitôt elle se couvre les
yeux
avec le bras et se laisse tomber à la renverse. N
duit sur Bar..., la suggestion par l'attitude est en-core possible, l'
œil
peut encore suivre le doigt, mais là se bornent l
ns de la vue ne sont pas possibles (les malades ont dans cet état les
yeux
fermés) pendant que tous les autres sens peuvent
pris soin de placer un écran entre sa main et sa figure, bien que ses
yeux
soient fermés. semblables, est survenu un nouve
e même état que dans la léthargie avec hyperexcitabilité. La vue (les
yeux
sont toujours fermés), le goût totalement abolis,
état de la sensibilité ou de la motilité. Pendant tout ce temps les
yeux
de la malade demeurent clos. Si l'on vient à soul
s hallucinations aussi bien celles de la vue que des autres sens. Les
yeux
sont toujours fermés au moins en apparence. (Nous
sans se heurter aux accidents de terrain ou aux meubles, bien que ses
yeux
paraissent fermés. Nous avons même pu nous assure
a lecture s'arrête quand on interpose une feuille de carton entre les
yeux
et le livre. Witt..., reconnaît les personnes qui
catalepsie peut même n'affecter qu'un seul côte du corps, si un seul
œil
est maintenu ouvert (Obs. II, p. 371). Dans ce
quand la catalepsie fut occasionnée par un violent coup de gong. L'
œil
est le plus souvent ouvert, et les paupières ne s
ehors de toute intervention magnétique de la part de celles-ci. Les
yeux
étaient grands ouverts, la pupille très dilatée,
ai reconnu maintes fois, ajoute le même auteur, qu'en frictionnant un
œil
on fait cesser la catalepsie de la moitié corresp
ux le rapprochement suivant. Dans les deux cas, l'occlusion d'un seul
œil
occasionne l'hémiléthargie avec hyperexcitabilité
1° Anesthésie totale à la douleur de la peau et des muqueuses. T L'
œil
est ouvert, le regard a perdu sa fixité. L'état c
stérique du type que je viens d'indiquer, on applique la main sur les
yeux
ou qu'on ferme les paupières, par 1. Lasègue, A
) Si rapide qu'ait été le sommeil produit par la simple occlusion des
yeux
, il n'a lien qu'au bout de quelques minutes, plus
'hallucitations provoquées, comme nous le verrons plus loin. 4" Les
yeux
sont fermés ou à peu près, les globes oculaires c
e sans hyperexcitabilité (voy. obs. p. 381). La pression sur les deux
yeux
peut modifier son état et faire reparaître l'hype
état et faire reparaître l'hyperexcitabilité. La pression sur un seul
œil
ne fait revenir l'hyperexcitabilité que d'un seul
erexcitabilité que d'un seul côté du corps, du côté correspondant à l'
œil
pressé. Voici donc notre malade léthargique possé
appelle pour plus de concision le deuxième sommeil, la pression sur l'
œil
gauche ramène l'hyperexci-tabilité dans tout le c
estions qu'on lui adresse. Tout autre chose a lieu si l'on agit sur l'
œil
droit. Et en effet, en même temps que le côté dro
s est facile de les consigner dans un même tableau ; CATALEPSIE —
Yeux
ouverts. — Pas de convulsion des globes oculaires
n com-muniquée au membre. ÉTAT CATALEPTJFOUME ue la léthargie —
Yeux
fermés. ~ Convulsion des globes oculaires. — Fr
des muqueuses que dans la léthargie avec hyperexcitabilité. 3° Les
yeux
sont habituellement fermés, ils peuvent être en-t
stent à un certain degré, y compris celui de la vue (même lorsque les
yeux
paraissent complètement fermés) et permettent à l
de transformation possible en catalepsie par la simple ouverture des
yeux
. 9° Somnambulisme très marqué; il semble plus p
apportée (p. 390) si l'on vient à presser sur le Vertex, aussitôt ses
yeux
se ferment, d'automate elle devient som-nambule e
ien, personne ne m'en débarrassera donc! » Toujours la même femme aux
yeux
bleus et son petit chien noir, la même hallucinat
lle est dans la résolution la plus complète, la face est colorée, les
yeux
fermés, les paupières légèrement clignotantes, la
a pas faim. Elle dit avoir rêvé des choses agréables. Bientôt ses
yeux
deviennent fixes, puis tout d'un coup ses paupièr
elle sût ce qui allait lui être fait, nous commençâmes par bander les
yeux
de la malade qui reposait, au lit, dans le décubi
que la malade fût endormie, puis la malade (dont on avait débandé les
yeux
) ouvrit les paupières et sembla sortir d'un somme
ement qu'elle n'avait plus rien sur le ventre, mais encore, porta les
yeux
et la main sur la face interne des avant-bras sur
la malade en expé-rience, mais, cette fois en bandant simplement les
yeux
: les choses restant ainsi pendant dix minutes sa
huit secondes, la ma-lade (dont on n'avait pas cette fois débandé les
yeux
) se réveillât après avoir présenteles petits mouv
etirer l'aimant, on le laisse en place et on se contente d'ouvrir les
yeux
de la malade qui, immé-diatement, revint complète
ion de l'aimant sur un point quelconque du corps, la malade ayant les
yeux
fermés ou couverts) ; toujours la malade revint à
urs la malade revint à elle et recouvrait la sensibilité dès que, les
yeux
restant fermés, on retirait l'aimant, ou que, l'a
que, l'aimant restant en contact avec les téguments, on rouvrait les
yeux
. » Nombre de fois, afin de nous mettre en garde
aussitôt cesser la léthargie : en retirant l'aimant ou en ouvrant les
yeux
de la malade, le réveil était presque instantané.
près une heure et demie, la respiration augmente, la malade ouvre les
yeux
, et, frappée par l'appareil de la mort, elle revi
tes de congestion céré-brale, qui sont rendus évidents par l'état des
yeux
, par la coloi^ation de la face, par la gêne de la
laires également. Quand elle se réveille, elle se frotte un peu les
yeux
, et reprend très rapi-dement ses sens. Elle ne se
ons ovariennes, des douleurs en urinant, et une pho-tophobie des deux
yeux
tellement intense que depuis un mois la malade n'
yeux tellement intense que depuis un mois la malade n'a pu ouvrir les
yeux
. Pendant que je Pexamine, je remarque que tout
jet, que tous les muscles de la face et surtout les orbiculaires de l'
œil
droit et de la bouche se contractèrent de manière
j'avais un deuxième accès de contracture générale tétanique sous les
yeux
. Pendant ce deuxième accès, je lui ouvris forte
us les yeux. Pendant ce deuxième accès, je lui ouvris fortement les
yeux
dirigés du côté de la lumière, pour voir si je n'
racture tétanique resta ce qu'elle était. En outre, je ne vis pas les
yeux
fuir la lumière et les pupilles n'étaient ni élar
ir la malade par son procédé habituel. Il place alors la main sur les
yeux
et sur le front de la malade qui ne résiste pas.
il en soufflant sur le visage. En plaçant ma main sur le front et les
yeux
de la malade pour essayer la pression oculaire, j
sont ceux dans lesquels la malade présente l'attitude du sommeil. Les
yeux
sont fermés, les paupières clignotantes. Souvent,
attaque la malade présentait Fap-pai^ence du sommeil, elle avait les
yeux
fermés. La catalepsie n'exis-tait qu'aux membres
ures. Je fus la voir le len-demain, et je la trouvai qui pleurait les
yeux
fermés. Je vo'dus lui relever la paupière, mais j
ien portée depuis. Là encore la catalepsie est bien imparfaite, les
yeux
étaient fer-més et les paupières animées d'un cli
l'hyperexcitabilité. Nous voyons, en effet, que la malade avait les
yeux
fermés et que la catalepsie s'accompagnait de rai
rbiculaires, et la malade,jusque-là privée de senti-ment, ouvrait les
yeux
et recouvrait instantanément connaissance. l^ie
iron. Nous la trouvons étendue sur le dos, le visage impassible,, les
yeux
ouverts, les pupilles dirigées en haut. Les membr
e à gauche. En plaçant le doigt près de la pupille et bien en face, l'
œil
droit au bout de peu d'instants suit les divers m
divers mouve-ments du doigt, en haut, en bas, à droite ou à gauche. L'
œil
gauche au contraire demeure toujours immobile. L'
immobile. L'expérience est répétée plusieurs fois sur chacun des deux
yeux
en maintenant l'autre fermé et a toujours donné l
nt l'autre fermé et a toujours donné le même résultat. Quand les deux
yeux
sont ouverts on voit que l'œil gauche suit tous l
onné le même résultat. Quand les deux yeux sont ouverts on voit que l'
œil
gauche suit tous les mouvements de l'œil droit. —
x sont ouverts on voit que l'œil gauche suit tous les mouvements de l'
œil
droit. — Le flacon d'ammoniaque est senti à droit
Elle élève légèrement les épaules en signe de doute. L'oc-clusion des
yeux
ne modifie en rien l'état cataleptique. Nous la
t la troisième, il modifie l'attitude cataleptique. L'occlusion des
yeux
ne modifie en rien l'attitude cataleptique. Mais
. La sensibilité spéciale persiste à un certain degré, à droite; de l'
œil
droit, le regard suit le doigt. La malade se reli
ixité du regard dans un sommeil dont voici les caractères : Que les
yeux
soient ouverts ou fermés les signes ne changent p
lle intéresse la sensibilité générale aussi bien que tous les sens. L'
œil
droit ne suit plus le doigt. Et la malade ne se r
l'ordre triste, elle voit une grosse tête avec des cornes et de gros
yeux
. Dans l'ordre gai, elle prend une attitude qui se
es (catalepsie). La catalepsie s'accompagne de raideur manifeste. Les
yeux
sont toujours ouverts, pas de clignotement des pa
t en abaissant les paupières et en maintenant, quelques instants, les
yeux
fermés). Par la friction des muscles, les attitud
ine ne modifie en aucune façon l'attitude de la malade. Cependant les
yeux
se remplissent de larmes. Un bruit violent du g
gts, les phalanges des doigts, le poignet, l'avant-bras, le bras, les
yeux
, la tête, tout restait immobile dans la situation
s à Vaffection hystérique. A mesure que son oppression diminuait, ses
yeux
paraissaient plus fixes; en même temps qu'elle ce
ne fille assise dans son lit, le tronc immobile, la tête penchée, les
yeux
tournés de tous les côtés qu'on avisait de les to
tique manifeste inaugurer la grande attaque hystéro-épilep-tique. Les
yeux
grands ouverts fixaient un point dans l'espace, e
par minute, la respiration régulière, le visage sans expression, les
yeux
fermés; le bras droit, qu'on avait pris pour tâte
ers accès passèrent inaperçus mais, au sixième accès, l'ayant vue les
yeux
ouverts et fixes, ne parlant point, étant sans mo
à une heure et finissait à cinq. Lors-qu'elle y était, elle avait les
yeux
fixes, les paupières ouvertes et immobiles, elle
que fois) à un délire tout particulier, pendant lequel la malade, les
yeux
fermés, causait avec son père qu'elle avait perdu
elle ne suivait pas ses mouvements du regard, ou quand elle avait les
yeux
fermés, comme il lui arrivait souvent par suite d
ements qu'elle désirait, que lorsqu'elle était en état de diriger ses
yeux
vers ses membres. A la suite de fortes attaques,
x par M. Rosenthal, Traduc-hon du D' Lukanski, Paris, 1878, p. 517.
yeux
fixés eu haut et brillants, les paupières ouverte
e du matin. Une forte excita-tion semble la réveiller; elle ouvre les
yeux
, mais elle ne paraît point voir et les yeux sont
réveiller; elle ouvre les yeux, mais elle ne paraît point voir et les
yeux
sont fixes; elle ne peut parler, mais elle répond
La malade n'a pas remué de la nuit : la catelepsie est parfaite. Les
yeux
sont ouverts, fixes; les paupières immobiles; les
té ; la tête seule est animée de quelques mou-vements, tiinsi que les
yeux
et les paupières; le faciès exprime tour à tour J
d'un violent senti-ment de brûlure. Presque assise dans son lit, les
yeux
fixes et grands ouverts, elle décrit une flamme r
— On est obligé de lui tenir les mains, qu'elle porte avec rage à ses
yeux
pour en arracher un voile. — L'ouïe est d'une fin
s'est mépris sur finterprétation des phénomènes qu'il a eus sous les
yeux
, il a du moins le mérite d'avoir bien observé et
de tête, des lipo-thymies; divers mouvements convulsifs, surtout des
yeux
; delà catalepsie ou de la danse de Saint-Guy. Bie
s l'image d'une personne prise de sommeil. En effet, s'il n'a pas les
yeux
toujours fermés, au moins sont-ils insensibles. L
'attitude qu'elle nous présentait; elle était assise sur soe lit, les
yeux
fixes, largement ouverts, les bras étendus, parai
ant suivre toutes les péripéties d'un drame qui se déroulait sous ses
yeux
; puis brus-quement elle se jeta en avant, en s'éc
ression, la respiration devenir plus fré-quente et plus bruyante, les
yeux
s'entr'ouvrir et se diriger vers un point de la c
le S..., après les pleurs que terminaient les convulsions, ouvrit les
yeux
; il était minuit. L'épouvante la plus grande étai
degré. Je m'approchai d'elle et la pris par les bras, et soudain, ses
yeux
se fermèrent, sa figure redevint calme et reprit
é très grande et une mimique pbysiono-mique toute particulière et les
yeux
fermés, tandis que, lorsqu'on l'inter-roge, sa fi
Sa poitrine est haletante, sa démarche saccadée, sa figure rouge, ses
yeux
hagards aux pu-pilles fixes et extrêmement dilaté
re et le long du corps, son hallucination disparaît et elle ferme les
yeux
; il s'éloigne d'elle de huit à dix pas, et, par l
cousses; les membres tombent en résolution. 10 h. 35 minutes. — Les
yeux
s'ouvrent. Somnambulisme avec monologue et état c
pira-tion plaintive. 12 h. 31 minutes. — Secousses ; elle ouvre les
yeux
, se soulève faiblement. 12 h. 32 minutes. — Somna
ue. Un contentement extrême est peint sur la figure de la malade; ses
yeux
sont ouverts, mais elle paraît ne rien distinguer
n cri, puis il y a eu contraction de tous les muscles extenseurs; les
yeux
étaient convulsés en haut, la tête fortement renv
selle. Au bout d'une minute, résolution et coma. Puis, au réveil, les
yeux
s'ouvrent, mais la malade ne dit rien ; elle para
ron. Pendant cette nouvelle phase, notre jeune homme se promenait les
yeux
fermés, parlait et faisait des calculs sans lumiè
ela s'est terminé par une détente générale, et le malade a ouvert les
yeux
dans son état habituel, sans fatigue aucune. 11 p
p, sans autre prodrome qu'une douleur sincipitale ; elle s'endort les
yeux
ouverts, marche, s'agite, parle. l\ n'y a pas de
, car il est dit qu'elle restait souvent immobile, sans mot dire, les
yeux
fixes, et puis sortait de cet état d'extase pour
l'enfant était prise d'un besoin irrésistible de dormir, fermait les
yeux
e perdait complètement l'usage de ses sens.....
le scène de somnambulisme. La malade après s'être endormie, ouvre les
yeux
, se lève, marche, poursuit une hallucination.., e
ient livide ; les traits contractés expriment la douleur, d'abord les
yeux
sont fermés et la saillie de la cornée sous les p
permet de suivre les mouvements de rotation convulsive du globe de l'
œil
; puis les paupières, brusquement écartées, laisse
œil; puis les paupières, brusquement écartées, laissent à découvert l'
œil
au regard fixe et hébété, à pupille dilatée et im
les pupilles suc-cessivement en haut, puis en haut et en dedans; les
yeux
se ferment, les bras retombent inertes, et le som
ofTre de l'endormir. Elle a cru pendant longtemps que l'occlusion des
yeux
était le seul moyen que nous eussions à notre dis
utre moyen, elle s'y refusait vivement et protégeait de son mieux ses
yeux
contre nos tentatives. D'autre part, à l'état de
cune défiance par tout autre procédé que par celui de l'occlusion des
yeux
. Le pouls et la respiration sont réguliers, les
exci-tations variées : ouverture des paupières, insufflations sur les
yeux
, fric-tions des paupières, excitations douloureus
ssi inattendue qu'il s'était établi ; notre sujet ouvre lentement les
yeux
et se remet à parler et à agir comme si rien ne l
ût pour nos expériences et, dès qu'elle nous voit, protège-t-elle ses
yeux
, si elle est couchée,et sesauve-t-elle,si elle es
dormir dès notre arrivée, elle se montre fort étonnée, en ouvrant les
yeux
, de nous trouver à son côté. Mais, tandis que cet
e expérience, nous avions endormi la malade en faisant bril-ler à ses
yeux
la lumière d'un ruban de magnésium. A peine le so
ps, soit pendant plus de dix et douze heures. Pendant ce sommeil, les
yeux
sont convulsés, ren-versés en arrière. La sensibi
l le replace. L'enfant, du reste, est tournée du côté du mur et a les
yeux
fermés. » Un incident, dont fut particulièremen
pprochés de son lit, et, sans la prévenir, l'un d'eux lui a fermé les
yeux
avec la main. La malade a essayé de lutter quel-q
uls normal. Si on essaye de lui relever les pau-pières, on trouve les
yeux
convulsés en haut et en dedans ; mais les pau-piè
ations, la malade a été réveillée. Elle a commencé par se frotter les
yeux
, comme quelqu'un qui se réveille, et aussitôt sa
es noms inventés, accompagnant le tout de gestes et de mouvements des
yeux
, qu'elle avait ouverts, enfin avec toutes les cir
nte par différents procédés (bougie approchée très près du globe de l'
œil
, soufflets au visage, grand cri poussé dans son o
il se dresse sur ses pattes, le poil hérissé, l'aspect courroucé, les
yeux
injectés et brillants; il fixe le regard vers un
ortes et remplacées immé-diatement par des convulsions cloniques. Les
yeux
sont injectés, les pupilles très dilatées. De tem
paraît revenir un peu à lui. Il a toujours les pupilles dilatées, les
yeux
hagards, il regarde toujours dans une certaine di
t pâle, bouffi; il a le teint plombé, le visage couvert de sueur, les
yeux
brillants, les pupilles dilatées, égales; la lang
aim de mouches qui bour-donnent autour de sa tête, pénètrent dans les
yeux
, les oreilles, le nez et la bouche; ses crachats
es. Tremblement de tout le corps, frémisse-ment des muscles delà face;
yeux
injectés^... 1. Le D"". V. Magnan, toc. cit. p.
rs temps de ma maladie surtout, je voyais des cités, des palais que l'
œil
ne trouva jamais que dans les nuages. —A mon arch
ans la position où je me trouvais n'osant pas tourner la page, et les
yeux
fixés dans la glace sur la terrible apparition. U
quelques mesures, car un spectacle vraiment diabolique s'offrit à mes
yeux
: Je crus voir le portrait de mon frère, qui étai
leurs; il avait à sa gauche mademoiselle K***; ils étaient devant mes
yeux
, et, chose inouïe, je sentais que j'étais chez mo
ère ; je voyais surtout une lumière qui dansait sans cesse devant mes
yeux
(elle était causée par la flamme du charbon déter
danser ma lumière, qui devint verte, de blanche qu'elle était. Mes
yeux
étaient toujours fermés par une sorte de contract
, et je ne tardai pas à découvrir que mon domestique m'avait ciré les
yeux
avec de l'encaustique, et qu'il me les frottait a
r les parties profondes et s'étendre jusqu'aux muscles et aux os. Les
yeux
fermés, la malade perd la notion de la position d
en aper-çoive si son attention est attirée ailleurs, ou si elle a les
yeux
bandés. Les parties anesthésiées ont une températ
t des pi-qûres d'épingles dans le voisinage immédiat de la pièce (les
yeux
delà malade étant fermés soigneusement), ces piqû
c-tères identiques. Les modifications qui surviennent alors dans un
œil
achroma-topsique, sont particuUèrement intéressan
sujet atteint d'hémianesthésie générale et senso-rielle, du côté de l'
œil
achromatopsique, à une distance de un à deux cent
eut suivre pas à pas la réapparition successive des couleurs dans cet
œil
, précisé-ment suivant l'ordre indiqué par le degr
t, qui possède le champ visuel le plus rétréci. En même temps que l'
œil
d'abord achromatopsique recouvre la notion des co
ion des couleurs, on constate que celles-ci disparaissent dans fautre
œil
(phénomène du transfert), et précisément dans un
e fois le transfert obtenu, et la vision des couleurs re-venue dans l'
œil
achromatopsique en même temps qu'elle disparaît
rdu sa couleur, qui a ainsi disparu du centre à la périphérie. de l'
œil
sain, l'expérience n'est point terminée et commen
iqué en commençant par le violet et en finissant par le rouge, dans l'
œil
primitivement affecté ; et re-paraît suivant l'or
nombre de fois de suite, la notion des couleurs oscillant ainsi d'un
œil
à l'autre, apparaissant tour à tour dans l'un, po
pendant plusieurs heures elle possède la vision des couleurs du seul
œil
primitivement achromatopsique, ou même des deux y
couleurs du seul œil primitivement achromatopsique, ou même des deux
yeux
à la fois. Après quoi tout rentre dans l'ordre in
rvé la notion du rouge. Elle distingue donc la couleur rouge des deux
yeux
, mais de l'œil gauche elle ne distingue ni le jau
rouge. Elle distingue donc la couleur rouge des deux yeux, mais de l'
œil
gauche elle ne distingue ni le jaune, et, suivant
é en regard de la tempe gauche, à un centimètre environ de la peau, l'
œil
droit est main-tenu fermé avec la main, et l'on o
enu fermé avec la main, et l'on observe ce qui se passe, du côté de l'
œil
gauche, sous le rapport de la vision des couleurs
la vision des couleurs. Nous avons dit qu'elle ne distinguait de cet
œil
que le rouge ; en effet, toutes les autres couleu
A 6 m. 30 s. vision du violet. A ce moment, elle possède donc de l'
œil
gauche la vision de toutes les couleurs ; mais,
du phénomène du transfert, La maLade n'en dis-tingue plus aucune de l'
œil
droit, à l'exception toutefois de la couleur roug
efois de la couleur rouge, qui comme nous l'avons vu, existait dans l'
œil
achromatopsique et qui par suite n'a pas été tran
a pas été transférée. L'on continue à observer ce qui se passe dans l'
œil
gauche primitivement achromatopsique et qui vient
llation. — (On ne prend note que des phénomènes qui se passent dans l'
œil
gauche. L'œil droit est toujours maintenu fermé.)
ne prend note que des phénomènes qui se passent dans l'œil gauche. L'
œil
droit est toujours maintenu fermé.) A 11 m. 40
ation, la malade est anesthésique totale, et achromatopsique des deux
yeux
. Mais bientôt les couleurs reparaissent dans l'œi
topsique des deux yeux. Mais bientôt les couleurs reparaissent dans l'
œil
gauche. 9'= oscillation. — A 60 m. 25 s. retour
50 s. retour du violet. La vision des couleurs existe aussi pour l'
œil
droit. Cette fois il n'y a pas eu de transfert. L
nsfert. La malade distingue parfaitement toutes les couleurs des deux
yeux
, et la sensibilité cutanée s'est généralisée. Ell
que est rouge et blanc. On fait tourner rapidement ce disque. Pour un
œil
normal les parties vertes et rouges se confondent
usqu'au centre perceptif lui-même. Lorsque la vibration qui, pour les
yeux
sains, détermine la sensation du vert, arrive à c
plus particulièrement : a ) une moitié de la face ; les muscles de l'
œil
ne sont point épargnés, d'où résultent des troubl
esse point spontanément, et, dans les cas que nous avons eus sous les
yeux
, elle paraissait devoir persister si nous ne l'av
et totale. Le sens musculaire est aboli dans le membre paralysé; les
yeux
fermés, Wand... perd complètement la notion de sa
re pour le bras du môme côté. L'achromatopsie partielle existe pour l'
œil
gauche qui n'a conservé que la vision d'une seule
auche qui n'a conservé que la vision d'une seule couleur, le rouge. L'
œil
droit distingue parfaitement toutes les couleurs.
que cette dernière condition est facilement réalisable en bandant les
yeux
de la ma-lade, ou en faisant porter le traumatism
nts aesthésiogènes. Les couleurs apparaissent ou disparaissent dans l'
œil
achromatopsique, suivant un certain ordre, toujou
ois et variées de mille façons. Après avoir soigneusement bandé les
yeux
de la malade, des plaques de différents métaux, o
catalepsie de l'autre, suivant l'état d'ouverture ou d'occlu-sion des
yeux
(voy. p. 371), sont autant de faits inattendus qu
at cataleptique, provoqué à droite par l'ac-tion de la lumière, sur l'
œil
du même côté et la suppression des fonctions du l
ns d'ammoniaque, la colo-quinte placée sur la langue, l'occlusion des
yeux
ne troublent pas plus que les coups de tam-tam l'
n a fait des excitateurs adaptés à l'électrisalion de l'oreille, de l'
œil
, à l'exci-tation musculaire, etc. On peut lire la
ant à la malade des papiers colorés qu'on lui fait regarder d'un seul
œil
. Et l'on voit que le retour de la perception des
vant l'ordre connu, inverse de celui de leur disparition dans l'autre
œil
(voy. p. 541). Quelques minutes plus tard celte
sparaissait à chaque séance et cela sans que la peau du pourtour de l'
œil
redevînt sensible. Fait abso-lument exceptionnel.
ors, comme réveillés peu à peu d'un sommed magique, ils ouvraient les
yeux
, se mouvaient d'abord lentement et en mesure, pui
etait avec'impétuosité sur l'objet coloré, le dévorait avide-ment des
yeux
, le baisait^ l'approchait de son cœur et le combl
amant, et il embras^Étovec le plus grand transport, et les larmes aux
yeux
, l'étoffe qui était devant loUPmrae s'il eût voul
s comme pour avoir compagnie d'homme, durant laquelle indignité leurs
yeux
demeuraient clos, qu'elles ouvraient après honteu
e assez claire pour lui faire connaître celui qui se présentait à ses
yeux
, mais en quelque façon obscure pour lui pouvoir d
ens-là. Les lar-mes dont elle accompagna ce discours, en tirèrent des
yeux
de la plupart des assis-tants, qui ne croyaient p
hors de la bouche, avait les joues fort enflées, il ne paraissait des
yeux
quasi que le blanc ; a été assistée durant cela d
on et nullement pressée des dents : que la respiration fut égale, les
yeux
immobiles, toujours ouverts sans cligner : qu'il
t ; ils rendirent son visage bleuâtre, et firent arrêter fixement ses
yeux
sur une image de la Vierge. 11 était déjà tard, m
fice divin, et qu'on célébrait la sainte Messe, il représentait à ses
yeux
des horreurs abominables et se montrait en forme
es humaines impudiques. Elle dit le matin qu'elle n'avait pas fermé l'
œil
et qu'elle était si lasse qu'elle n'en pouvait pl
cela, ce sont des niaiseries de ces petits hommes », et rouillant les
yeux
et tirant une langue noire comme de l'encre, s'ad
e, le discours bon et raisonnable, et après avoir vu leur visage, les
yeux
, la langue, l'habitude, touché le pouls et pris g
après deux d'entr'elles commencèrent à changer de visage, tourner les
yeux
, sou-pirer, faire des grimaces, ensuite dire des
pût ni le voir ni s'en apercevoir ^, elle commença à « rouiller » les
yeux
, devenir furieuse, dire quantité d'exécrations et
mêmeréfecloire devant ces messieurs le visa^-e droit sans arrêter ses
yeux
, et les tournant d'un côté ou d'un autre, chantan
s, et des plus furieux mouvements, de toutes sortes de renversement d'
yeux
, suspension des sens et de mille autres tour-ment
cris aigus; d'autres fois, la bouche extraordinairement ouverte, les
yeux
égarés et les prunelles ren-versées au point qu'i
la sœur Catherine, dans l'exorcisme avait paru la tête renversée, les
yeux
ouverts, en sorte que la prunelle s'étant retirée
absolument sous la paupière supérieure, on ne voyait que le blanc des
yeux
, perdant apparemment l'usage de la vue en ce mome
i dure quelquefois demi-heure et plus, l'on ne peut remarquer ni de l'
œil
, ni de la main, aucune respiration en elles. Et e
ce et sans sentiment, le pouls fort et puissant, la face colorée, les
yeux
fermés, et les médecins disaient que c'était une
chien : » Et au même temps entra dans un assoupissement étrange, les
yeux
fermés, le corps sans aucun mouvement et comme sa
on Cismond) était par terre dans un assoupissement étrange; ayant les
yeux
fermés sans aucun mouvement, on lui re-muait les
. « Elles restaient immobiles, dit le père de Marie, tournaient les
yeux
vers le ciel, puis tendaient les bras en haut ; a
prise au mdieu de mai. Quand les crises la prenaient elle criait, ses
yeux
tournaient sans cesse, ede se sauvait de la maiso
a regarde par un trou qui existe dans une porte; dés qu'elle fixe ses
yeux
sur lui, il se transforme en oiseau et s'envole.
ysiologiques; la pupille se dilate et se resserre tour à tour, et les
yeux
participent aux mouvements généraux. A ce momen
e Saint-Médard. Bientôt des miracles * s'opè-rent sur sa tombe et aux
yeux
des appelans décident en faveur de la doctrine Ja
sang lui sortait par les ongles de la main gauche et l'angle des deux
yeux
; après quoi elle restait souvent plusieurs jours
s que lui donnait son frisson, dans le temps qu'il prenait, ayant les
yeux
fermés, le nez ridé et retiré vers le front, et l
re de silence et de calme a succédé à ses premières émotions, que les
yeux
égarés de la mourante tombent dans les ténèbres d
enfla par bosses et se retira vers le front, sa bouche se tourna, ses
yeux
parurent tout égarés, tous ses membres se raidire
ui ont commencé par des bâillements et un tremblement universel : ses
yeux
se sont tournés en sorte que l'on en voyait que l
que l'on en voyait que le blanc, les muscles oblique et releveur des
yeux
étant en contraction : le corps s'est agité avec
a assuré que dans le cours de l'accès où je perdais connaissance, mes
yeux
se renversaient, et que tous les mouvements dont
cher sasœurdese frapper;la figure de la malade devient vultueuse, ses
yeux
setournent, elle répète qu'elle a le bonheur d'êt
son corps qui ne fût agitée : tantôt c'était les mamelles, tantôt les
yeux
, tantôt la bouche; disant qu'elle avait encore ai
3 au 4 octobre. Pen-dant cette terrible nuit, elle avait eu sous les
yeux
le spectacle d'un cadavre décharné, dont les rega
s traits les plus caractérisés sur son visage devenu plombé, dans ses
yeux
mourants, et dans les tressaillements de son corp
on visage; la couleur de ses lèvres desséchées devient noirâtre ; ses
yeux
à demi fermés paraissent tout à fait éteints ; sa
é et plus frappant dans les tableaux vivants, qu'ils metleid sous nos
yeux
, des supplices que doivent endurer plusieurs des
és célestes. Leur visage est animé d'un feu vif et brillant, et leurs
yeux
, qu'on ne peut leur faire fermer 1. Carré de Mo
improvisateurs, n'étaient pas non plus toujours fort édi-fiantes aux
yeux
des personnes raisonnables... Un frère restait ét
ues convulsionnaires sont restés deux ou même trois jours de suhe les
yeux
ouverts sans aucun mouvement, ayant le visage trè
x sexes, l'iniagination des fdles ne se trouve réveillée sous de tels
yeux
et par de tedes mains? Mais quand bienmêrae l'ima
dans celte situation d'une fille qui donne son corps à remuersous les
yeux
et entre les mains de plusieurs hommes? Que si l'
de plusieurs hommes sur l'estomac, on leur marche sur le cou, sur les
yeux
, sur la gorge, sur le ventre, on s'y assied, on l
positions des spectateurs, dont plusieurs fermaient, disait-elle, les
yeux
à la lumière, et dont les autres ne les ouvraient
rs de l'enfantement, des convulsions des muscles des paupières, — les
yeux
fixes et hagards, les muscles du cou, du tronc et
me dansaitsur son banc pendant viugt à trente minutes. Elle avait les
yeux
fermés, et ses mouvemeids n'étaient pas exagérés
ne ne fut oubliée par le prédicateur. Il suait à grosses gouttes; ses
yeux
roulaient avec horreur; ses lèvres étaient couver
nes plus âgées; son visage était couvert de la pâleur de la mort, ses
yeux
hagards étaient privés de tout sentiment, et des
ements convulsifs de leurs membres, et bientôt je n'eus plus sous les
yeux
qu'une horrible confusion de têtes et de jambes s
ulte toujours croissant du pen, car d nous fut impossible de fermer l'
œil
. » Les scènes que nous venons de décrire se rep
is : « Une jeune femme couchée à terre, étendue de tout son long, les
yeux
clos, les mains jointes et élevées, le corps cour
nt plusieurs jours. Ils ne dorment pas, bien qu'ds puissent avoir les
yeux
clos. Lorsqu'ils sont en partie revenus à leur ét
commun défaut de ne pas s'ac-com[)lir... Pendant les ])aroxysmes, les
yeux
des malades brillaient d'un éclat extraordinaire,
Le visage rougissait et pâlissait alterna-tivement, l'expression des
yeux
changeait et devenait ordinairement plus vive. L'
; son visage était .tourné un peu en haut du côté de l'église, et ses
yeux
levés au ciel exprimaient l'absorption la plus pr
, s'échappant avec peine, annoncent que l'oppression augmente; de ses
yeux
, de plus en plus fixes et immobiles, coulent de g
mais ouverte dans toute sa largeur, le nez s'amincit et s'effile, les
yeux
, constamment immobiles, sont près de briser leurs
ine, le visage reprend sa forme et son calme : elle est à genoux, les
yeux
levés au ciel, tout occupée à offrir à Dieu son a
iaire. II ne lui faut qu'un instant pour se reconnaître et ouvrir les
yeux
, et alors elle est comme si elle n'avait jamais e
it pas encore parler, elle regarde son confesseur et le prie avec les
yeux
de répondre pour elle. » Ses yeux noirs exprime
on confesseur et le prie avec les yeux de répondre pour elle. » Ses
yeux
noirs expriment la joie et l'ingénuité du premier
, lors même qu'elle semble y prendre plaisir, on voit tout à coup ses
yeux
se voiler, et dans un instant, sans aucune transi
t autour d'elle, puis elles lui couvrent le visage, et on la suit des
yeux
descendant dans les profondeurs de l'eau diaphane
; et lorsqu'on voit briller, au mdieu de ses traits transfigurés, ses
yeux
noirs ouverts dans toute leur largeur en lançant
itude est recueillie, la figure est calme et sereine, tout à coup les
yeux
s'arrêtent, fixes, immobiles, tournés vers le cie
Unge qui les enve-loppe; les paupières écartées sont immobiles et les
yeux
sont portés en haut et un peu â droite. L'express
omme Tattitude, change souvent. Tantôt les traits s'épanouissent, les
yeux
s'humectent, un sourire de béatitude entr'ouvre s
. Quelquefois le tronc exécute un mouvement de ro-tation lent, et les
yeux
se meuvent comme pour suivre un cortège invisible
ol, couchée sur la poitrine, la tête reposant sur le bras gauche; les
yeux
sont fermés; la bouche est entr'ouverte ; les mem
bras tombent le long du corps, la tète s'incline sur la poitrine, les
yeux
se ferment, le nez s'effile, la face prend une pâ
Tout à coup, les paupières s'abaissent, les traits se détendent, les
yeux
se portent doucement d'une personne à l'autre, l'
une qrande et vive lumière; bientôt des figures se dessinent sous ses
yeux
; les différentes scènes de la Passion passent suc
tour. .....Les pupilles sont dilatées ; nous avons déjà dit que les
yeux
sont largement ouverts; au début de fextase il
nt des heures entières on n'observe pas le moindre cligno-tement. Les
yeux
, plongés dans le lointain, n'obéissent plus aux e
dans la direction du Midi d'Anvers. On juge alors, la carte sous les
yeux
, si la route de Hambourg à Anvers devait lui être
x sources différentes : de l'impression linoculaire transmise par les
yeux
et de l'impression inconsciente des mouvements ex
et traitement de l'eczéma; m. Jener : Rapport entre les maladies des
yeux
et des dents; M. Donath : De l'hypnotisme et de l
voir visuel de l'être aérien, avec celle différence que, eu un clin d'
oeil
, il se déplace et change ses horizons, et par con
ée (absolument erronée à mon avis) que le pigeon ne peut utiliser ses
yeux
pour se diriger que si, du point où on le lâche,
se l'expérience. Qu'on obstrue par un ankyloblepharon par exemple les
yeux
d'un pigeon, d'un chat, d'un chien même (ici il f
les mouches, les bourdons et les hannetons auxquels j'avais verni les
yeux
et qui allaient se cogner contre la terre et cont
on postérieure de la tête, on détermine facilement des mouvements des
yeux
qui ne peuvent naturellement être produits que pa
lui faire aucune suggestion. Il est dans un éai de fascination, les
yeux
ouverts, fixes, dirigés sur les surfaces rayonnan
faces rayonnantes. On lui fait la suggestion verbale de dormir. Ses
yeux
se ferment aussitôt et il se trouve dans un étal
l'apporte à l'hôpital ; il est encore au moins une heure et demie, l'
oeil
hagard, essayant d'articuler des mots qu'il ne pe
alade étant très éclairée, je me trouvais ci posé, en lui ouvrant les
yeux
, à le faire passer en état de catalepsie, étal da
ne était soutevée de temps eu temps par une Inspiration profonde, les
yeux
étaient fixes, le» paupières battant par moment.
étaient fixes, le» paupières battant par moment. Je lui fermai Ici
yeux
avec les doigts, et aussitôt une inspiration plus
e même la dyschromatopsie hystérique est ainsi purement psychique ; l'
œil
amblyopio voit la couleur réelle, mais la pervert
xpériences par l'hypothèse que l'amblyopie et la dyschromatopsie d'un
œil
chez les hystériques n'exittent que dans la visio
hez les hystériques n'exittent que dans la vision monoculaire, avec l'
œil
malade seul et non dans la vision binoculaire.
un malade de causer beaucoup, d'écrire, de se promener, d'ouvrir les
yeux
pendant son sommeil, je conviens qu'on ait produi
endormis sont invités à faire des mouvements, ceux qui souffrent des
yeux
exerceront leur vue à l'état de sommeil. Car les
boeuf concernant l'amélioration notable d'une affection luétique de l'
œil
, amélioration obtenue par la suggestion, est d'un
ité dans lequel se tient la personne couchée sur un lit de repos, les
yeux
fermés, une espèce de concentration interne serva
outefois, il devra rester l'idéal que nous avons constamment sous les
yeux
, le but que nous nous efforçons d'atteindre. Da
eutre. On met à Mathis le manteau du juif. El le songeur, fixant ses
yeux
sur l'assassin, le courbe, le magnétise et le for
lui-même.) Mathis. si tu dors, tu es perdu!... (Il reste debout, les
yeux
fixes devant lui, comme frappé d'horreur. — D'un
e songeur. — Qu'avez-vous? Mathis, bas. — 11 me regarde... Il a les
yeux
gris. (D'un accent intérieur, comme se parlant à
i!... (Ils'accroupit brusquement et reste immobile. Silence. Tous les
yeux
sont fixés sur lui. — Bas.) Tu seras riche... tu
ne remue plus ...(Il se relève en exhalant un soupire et promène les
yeux
autour de lui.) Le cheval est parti avec le traîn
s'affaise, la tête entre ses mains. — Bas.) Quels jeux !... oh! quels
yeux
!... comme il me regarde !... (Long silence. Rele
n'hésitent pas à la signaler comme un véritable danger social. A nos
yeux
, la gravité du mal résulte moins de son extension
sur les cordes d'une lyre. Mais s'il voit les juges, attentifs et les
yeux
fixés sur celui qui parle, témoigner par des sign
les effets de terreur oa de pitié en nous mettant seulement sous les
yeux
des spectacles terribles ou lamentables, mais qu'
-nous encore mieux le spectre si l'on ne nous en mettait pas sous les
yeux
une image matérielle. La vue d'un homme qui regar
image matérielle. La vue d'un homme qui regarde dans le vide avec des
yeux
dilatés par l'effroi est plus effrayante qu'aucun
le fait d'une voix étranglée par l'émotion, avec des larmes dans les
yeux
, voilà quelque chose de bien réel, qui nous émeut
ès, un calcul biliaire retrouvé dans les selles nous mettait sous les
yeux
le corps même du délit. Chez le second malade,
lation un peu plus forte que les autres et j'ouvris immédiatement les
yeux
: ils me parurent aussitôt, et pendant un instant
ent devant une fenétre laissant arriver, un peu de côté, sur les deux
yeux
à la fois, la lumière du ciel éclaire par des nua
i supposé qu'il suffirait peut-être de se tenir longtemps exposé, les
yeux
fermés, à la lumière d'un ciel blanc entrant larg
, au premier moment de l'irruption de la lumière blanche au fond de l'
œil
. La seconde condition est non moins indispensab
u le souvenir de l'expérience à laquelle je me livrais, de rester les
yeux
fermés pendant quelques instants après le réveil
r la fugitive sensation de vive coloration verte des objets quand les
yeux
s'ouvrent après le sommeil, il faut que la vue de
ouvrent après le sommeil, il faut que la vue de ces objets frappe les
yeux
très peu de temps après le réveil. Comment inte
eux. C'est bien la un des cas dans lesquels se révèle l'aptitude de l'
œil
à analyser la lumière blanche, à y voir seulement
réposées i la perception du rouge et du violet qui sont paralysées, l'
œil
ne percevra que le vert dans la lumière blanche.
sions exposées au début de cette note : c'est que l'illumination de l'
œil
en vert, su moment du réveil, s'explique très bie
che. L'illumination en rouge pourpre qui en résulte pour le fond de l'
œil
, en provoquant une certaine fatigue des organes d
laissant arriver la lumière du ciel à peu près également sur les deux
yeux
, voit-il dans la chambre, quand les paupières se
s ou gris illuminés fugitivement en vert très vif et très pur; 5° L'
œil
normal possède donc l'aptitude à analyser la lumi
dis qu'elle allait dormir; qu'il lui suffirait pour cela de fixer ses
yeux
sur les miens et de penser à ce qu'elle ressentai
'elle sentait venir le sommeil, et je l'aidai en lui disant : « Vos
yeux
vous piquent, vos paupières se ferment, votre tét
, sans secousse; réveillez-vous, réveillez-vous ! » Elle ouvrit les
yeux
, redressa la tête, qui s'était inclinée sur le co
s jouis suivants à la même heure. Le résultat fut complet : sitôt les
yeux
ouverts, elle fit un geste d'une éloquence toute
ait cependant à comprendre les mots écrits qu'on lui mettait sous les
yeux
en exécutant de la main droite les mouvements néc
euse qui la soignait. Les originaux de ces entretien» sont sous mes
yeux
: de grandes feuilles de papier couvertes dans to
. Fais-moi voir, Je l'en supplie 1 D. — Je vais vous souffler sur les
yeux
et vous verrez, immédiatement. R. — Ça m'est égal
. — Ça m'est égal, si tu peux me guérir. Nous lai soufflons sur les
yeux
; aussitôt elle les ouvre tout grands, regarde d'a
d'état somnambulique, car pendant cette période de cinq secondes, les
yeux
qui étaient ouverts se ferment, il se produit que
rès quoi vous entendrez › ; ou bien : « Je vais vous souffler sur les
yeux
et après vous pourrez voir ». pour que ces sugges
iques sont provoqués par des états corporels, que nous voyons par les
yeux
, que nous entendons par les oreilles, que nous go
re réfléchir, par exemple, le lait que, dans le rêve, nous voyons les
yeux
fermés, entendons les oreilles bouchées, goûtons
un dimanche à midi et quart ; je me suis borne a le regarder dans les
yeux
et i lui assurer que la premiere cigarette qu'il
ous mon regard. C'est ce qui se réalisa. J'eus beau mettre devant ses
yeux
l'image de son mari, de ses enfants, éveiller che
n gauche reposait sur le fioul de ta malade lui fermant doucement les
yeux
, ma droite tenait ses deux mains et je ne discont
les, etc. Mais voici la place qui conduit à l'église! On a sous les
yeux
le spectacle d'une fourmilière, tellement celte f
acontées, gué-risons qu'ilssont sûrs de voir se reproduire sous leurs
yeux
: au moius ils eu sont convaincus ! Leur esprit e
e, pâles et tremblantes à tomber. Je vis apparaître une jeune sœur, l'
œil
brillant, le sourire aux lèvres, tenant de chaque
t « ethnique. Dans les musées d'ethnographie, nous avons devant les
yeux
les « minifestations do la pensée, des arts, des
eutralisent inconsciemment avec leur imagination. Ils voient avec les
yeux
du corps ; ils ne voient pas avec les yeux de l'e
ation. Ils voient avec les yeux du corps ; ils ne voient pas avec les
yeux
de l'esprit: l'amaurose n'est qu'une illusion nég
e et de l'appareil de Snellen. On sait qu'un prisme placé devant un
œil
dévie l'image correspondante et produit ainsi la
il dévie l'image correspondante et produit ainsi la diplopie. L'autre
œil
étant fermé, il n'y a pas de diplopie : l'objet p
lyopie hystérique et suggestive unilatérale, le prisme placé devant l'
œil
sain devrait fournir une seule image, l'autre œil
isme placé devant l'œil sain devrait fournir une seule image, l'autre
œil
ne voyant pas. Or les sujets voient sans hésitati
es également nettes, correspondantes à la situation du prisme. Donc l'
œil
amaurotique voit. L'appareil de Snellen consist
arrés de verre alternativement rouges et verts. En regardant les deux
yeux
ouverts, on lit les six lettres ; en regardant av
deux yeux ouverts, on lit les six lettres ; en regardant avec un seul
œil
. l'autre étant fermé, on n'en voit que trois, cel
res, par le professeur bernheim. verre de lunette correspondant à l'
œil
qui regarde : les lettres rouges si c'est l'œil à
tte correspondant à l'œil qui regarde : les lettres rouges si c'est l'
œil
à verre rouge qui regarde ; les lettres vertes si
les six lettres, les lisent seuls sans hésiter, donc ils voient de l'
œil
amblyopique Si on leur ferme cet œil. alors ils n
ns hésiter, donc ils voient de l'œil amblyopique Si on leur ferme cet
œil
. alors ils ne voient que trois lettres. J'ai ét
opsie gauche ; par exemple : un carré de papier vert placé devant cet
œil
est vu gris. Or ce même carré vert étant placé de
evant cet œil est vu gris. Or ce même carré vert étant placé devant l'
œil
sain armé d'un prisme, le sujet voit deux carrés
prisme, le sujet voit deux carrés verts ; donc l'image fournie par l'
œil
gauche est verte. M. Parinaud, qui avait fait a
sion binoculaire. II établit l'hypothèse que dans la vision de chaque
œil
séparément, la rétine se met en rapport avec l'hé
ec l'hémisphère opposé, mais que dans la vision binoculaire, les deux
yeux
peuvent se mettre en rapport avec l'un ou l'autre
rique n'est qu'une illusion de l'esprit sur la couleur fournie par un
œil
; le centre sensoriel voit la vraie couleur ; mai
ires, ou tout au moins la partie de ces perceptions qui provient de l'
œil
amblyopique. L'hypothèse de la multiplicité des c
er involontairement ou de bonne foi les perceptions sensorielles d'un
œil
. L'observation suivante achèvera, je l'espère,
pie gauche ; il ne reconnaît pas les objets ; la main placée devant l'
œil
est vue comme une plaque noire ; une montre, de m
mme une plaque noire ; une montre, de même. Je mets un doigt devant l'
œil
, il ne voit rien ; je n'y mets rien, il dit voir
rôle dans les résultats obtenus. L'expérience du prisme placé sur l'
œil
droit montre dans ce cas. comme dans ceux observé
s ce cas. comme dans ceux observés déjà antérieurement par moi, que l'
œil
gauche amhlyope voit. Un objet vu à travers ce pr
taposées, comme elles doivent l'être suivant la position du prisme. L'
œil
gauche étant fermé, l'œil droit ne voit qu'une se
ent l'être suivant la position du prisme. L'œil gauche étant fermé, l'
œil
droit ne voit qu'une seule image à travers ce pri
ud. que l'amblyopie gauche n'existe que dans la vision séparée de cet
œil
et non dans la vision binoculaire. Cette conclusi
les expériences suivantes : Avec l'appareil de Snellellen. les deux
yeux
ouverts étant armés de la paire de lunettes rouge
rte, il lit les six lettres et reconnaît leurs couleurs, tandis que l'
œil
droit étant fermé, il voit tout noir; l'œil gau-
rs couleurs, tandis que l'œil droit étant fermé, il voit tout noir; l'
œil
gau- che armé du verre rouge étant fermé, il ne
ouge étant fermé, il ne voit que les lettres vertes correspondant I l'
œil
droit. Ce résultat montre que l'œil gauche, d'une
lettres vertes correspondant I l'œil droit. Ce résultat montre que l'
œil
gauche, d'une part, voit ces couleurs, mais, d'au
les lettres : et cela sans qu'il y ait vision binoculaire, puisque l'
œil
droit, d'après la théorie de l'appareil, ne voit
héorie de l'appareil, ne voit pas les lettres vues et reconnues par l'
œil
gauche seul. On pourrait conclure, il est vrai,
, conformément à la doctrine de M. Parinaud, que l'ouverture des deux
yeux
suffit pour permettre à chaque œil de se mettre e
arinaud, que l'ouverture des deux yeux suffit pour permettre à chaque
œil
de se mettre en rapport avec l'un ou l'autre hémi
chaque œil de se mettre en rapport avec l'un ou l'autre hémisphère. L'
œil
gauche pourrait ainsi voir avec l'hémisphère gauc
xpériences suivantes montrent que cette hypothèse est insoutenable. L'
œil
droit armé du verre vert étant fermé, l'œil gauch
thèse est insoutenable. L'œil droit armé du verre vert étant fermé, l'
œil
gauche armé du verre rouge étant seul ouvert, il
armé du verre rouge étant seul ouvert, il lit les lettres rouges ; l'
œil
gauche armé du verre vert lit les lettres vertes,
s lettres vertes, sans reconnaître, il est vrai, la couleur. Donc cet
œil
voit les objets dans la vision monoculaire. Ajo
Ajoutons d'ailleurs, que comme dans les autres expériences, les deux
yeux
ouverts sans lunettes, il voit les six lettres et
ts sans lunettes, il voit les six lettres et les six couleurs, avec l'
œil
droit seul, il les voit toutes ; avec l'œil gauch
les six couleurs, avec l'œil droit seul, il les voit toutes ; avec l'
œil
gauche seul, il ne voit rien. De même avec un pri
avec l'œil gauche seul, il ne voit rien. De même avec un prisme sur l'
œil
gauche, l'autre étant ouvert, un objet bleu donne
auche, l'autre étant ouvert, un objet bleu donne des images bleues: l'
œil
droit étant fermé, une seule image grise est vue.
ermé, une seule image grise est vue. Ces expériences montrent que l'
œil
gauche voit les couleurs et les objets dans la vi
s dans la vision monoculaire, sans s'aider de la notion fournie par l'
œil
sain, avec l'hémisphère droit seul. L'œil voit. l
de la notion fournie par l'œil sain, avec l'hémisphère droit seul. L'
œil
voit. lorsque l'imagination du sujet désorientée
j'envoie mon malade à la clinique ophtalmologique, pour l'examen des
yeux
. M. Kochler, chef de clinique, après avoir consta
en des yeux. M. Kochler, chef de clinique, après avoir constaté que l'
œil
gawhe ne peut pas lire, ni reconnaître les objets
yer, l'acuité visuelle ; il constate que cette a coite, pour les deux
yeux
, est de 0.6: pour l'œil droit de U.6; pour l'ceU
il constate que cette a coite, pour les deux yeux, est de 0.6: pour l'
œil
droit de U.6; pour l'ceU gajche de 0.5. Cet œil s
x, est de 0.6: pour l'œil droit de U.6; pour l'ceU gajche de 0.5. Cet
œil
seul lit très bien les cinq dernières lignes de l
iquant pas comment le eejet qui. devant moi. ne pouvait pas lire de l'
œil
gauche, les plus gros caractères d'imprimerie sur
ages blancs sur un fond noir J'essaie la vision des couleurs avec l'
œil
gauche. Le noir est vu blanc jusqu'à la distance
r apparaît. Les couleurs et les lettres de l'appareil Snellen. avec l'
œil
gauche seulement, sans lunettes. sont vues tontes
au delà. De plus près, tout est noir et illisible. Avec un prisme, l'
œil
droit étant fermé, l'œil gauche voit les couleurs
out est noir et illisible. Avec un prisme, l'œil droit étant fermé, l'
œil
gauche voit les couleurs (un livre bleu) à la dis
te l'autosuggestion de voir à la distance de cinq pas. Une fois que l'
œil
surpris par l'expérience instituée par M. Kochler
s ! Voici tes champs visuels du malade pris au périmètre ; celui de l'
œil
gauche est considérablement retracé ; celui de l'
tre ; celui de l'œil gauche est considérablement retracé ; celui de l'
œil
droit l'est aussi mais à un degré moindre. Ce tra
l'hystérie détermine ce mode de rétrécissement ; il ne sait pas que l'
œil
sain présente ordinairement un rétrécissement con
rétrécissement concomitant. mai> moins considérable que celui de l'
œil
malade. D'ailleurs toutes les amblyopies hystér
, le bras ou l'avant-bras gauche lui paraît froid. Le 15 janvier. ses
yeux
étant fermés, j'applique sa main gauche sur la fo
e, jusqu'à la brûlure, sans manifester aucune douleur. Si j'ouvre ses
yeux
de façon qu'il voie Où est sa main, il dit ne plu
si cette main est en l'air ou couchée sur la lit. Si je lui ferme les
yeux
et que je l'invite à chercher sa main gauche avec
ôté, elle n'arrive plus à la loucher. Le malade étant réveillé, ses
yeux
étant clos, je lui dis de chercher sa main gauche
champ visuel et un rétrécissement concomitant moins considérable de l'
œil
sain. Or j'ai constaté qu'il en est de même dan
e suggérée. Si je suggère a un sujet hypnotisé qu'il ne voit pas de l'
œil
gauche ou presque pas, sans dire autre chose, et
ans dire autre chose, et si au réveil je mesure le périmètre des deux
yeux
, je constate un rétrécissement concentrique consi
, en même temps, un rétrécissement moindre, mais accentué, de l'autre
œil
. C'est ce que vous verrez sur les tracés suivants
es propres à l'éviter. Voyez ce corps étranger qui veut entrer dans l'
œil
; vile le muscle se contracte qui rapproche les pa
tacle douloureux ! Elle git inerte, stupide, sans mouvement, avec des
yeux
qui ne voient pas, des oreilles qui n'entendent r
que notre intelligence embrasse, dont l'horizon est accessible à nos
yeux
du corps et de l'esprit ! Mesurons avec une fiert
ous les objets teints de sang, et avait des scintillements devant les
yeux
. Le 29 juillet, la malade eut une crise; elle s
fficulté d'obtenir la Concentration de l'attention et la fixation des
yeux
sur un objet brillant. Les passes et la suggestio
rcis intérieurement, qui se raccordent; celui qu'on applique contre l'
œil
est muni, de ce côté, d'une lentille convergente
'éclaîremcnt, dans une atmosphère complètement transparente, pour des
yeux
normaux exposés à des éclairements faibles (1), l
rendre compte. J'ai noté le temps quatre heures) au bout duquel mon
œil
, après un séjour d'une heure dans l'obscurité, po
nombres le plus petits pessibles, il est indispensable de conserver l'
œil
le plus longtemps possible dans l'obscurité. En c
variations du minimum perceptible p suivant la durée a du séjour de l'
œil
dans l'obscurité, j'ai trouvé qu'elles son! passa
i de faire parler ma nouvelle pensionnaire, mais ce fut eu vain ; son
œil
me fixait bien un peu, mais elle n'avait pas l'ai
thargie. C'était bien une léthargique en effet que j'avais sous les
yeux
, et ma pensionnaire ne se rappelle nullement aujo
n même temps une expression extatique qu'il garda une heure, puis les
yeux
se fermèrent et le sommeil survint. Le lundi 14
où elle ouvrait la bouche, la petite V... restait sans mouvement, les
yeux
grands ouverts et fixes, et ne faisait plus enten
écembre, les membres perdirent leur disposition à la contracture et l'
œil
devint également moins terne. Bientôt je pus obte
le maxillaire inférieur. Le soir méme, la bouche se ferma un peu et l'
œil
déviai moins atone. Le lendemain 15, je continu
. avec cela son sommeil était si profond qu'il n'ouvrait même pas les
yeux
; le lendemain il n'avait aucun souvenir d'avoir é
te suggestion fut accomplie à la lettre, l'enfant s'éveilla, alla les
yeux
ouverts au vase et urina, ce que sa mère vit arec
iné la malade et voilà ce que nous avons pu constater : Du côté des
yeux
seulement, une diminution de la réaction de la pu
ois ans, d'apparence vigoureuse, physionomie douce, intelligente, les
yeux
saillants presque à fleur de tète, la ligure colo
e en somnambulisme cet état de fascination, et l'insufflation sur les
yeux
amène le réveil immédiat. On constate les stigm
bien le cas d'appliquer ce principe des médecins légistes: ouvrir les
yeux
et fermer les oreilles. Je constate que cette opi
l : La physionomie est tranquille. Apparence de santé. Symétrie des
yeux
. Égalité de» pupilles. Pas de trouble de la vue n
s le pied droit, sensation qui monte le côté droit du corps Jusqu'à l'
œil
droit. Dès que l'aura est arrivée à l'œil, elle e
té droit du corps Jusqu'à l'œil droit. Dès que l'aura est arrivée à l'
œil
, elle est obligée de s'asseoir ou de s'étendre, s
ui est impossible de répondre. Il lui arrive quelquefois d'ouvrir les
yeux
, mais elle les referme aussitôt. J'ai essayé les
. Pas de trouble de la vue ni de la vision des couleurs. Symétrie des
yeux
et égalité des papilles. État normal de l'ouïe, d
ement des dents. A ce moment, il n'y a pas de raideur à la nuque. Les
yeux
sont fermés, mais en soulevant la paupière, on co
on la touche, la malade pousse un gémissement, se redresse, ouvre les
yeux
et me dit : « Je vous connais, vous êtes monsieur
icibles. La moindre indisposition d'un membre de sa famille est à ses
yeux
une maladie mortelle. L'un des sujets les plus co
importe quel procédé, fixation d'un objet brillant, des doigts où des
yeux
de l'opérateur, passes, suggestion vocale, occlus
uggestion vocale, occlusion des paupières, il arrive un moment où les
yeux
restent clos, souvent mais non toujours, renversé
mettre an membre en catalepsie, il n'est pas nécessaire d'ouvrir les
yeux
du sujet, ni de le soumettre à une vive lamiere o
estibilité chez les hypnotisés : les uns n'ont que de l'occlusion des
yeux
avec ou sans engourdissements; d'autres ont. en o
n peut ainsi faire disparaître certaines douleurs; il peut ouvrir les
yeux
spontanément. Dans le deuxième degré, l'apparen
ième degré, l'apparence est la même, mais le sujet ne peut ouvrir les
yeux
spontanément ; dans le troisième degré, les yeux
t ne peut ouvrir les yeux spontanément ; dans le troisième degré, les
yeux
sont ouverts ou fermés, le sujet est susceptible
ilité neuro-musculaire, les paupières sont ouvertes ou fermées et les
yeux
ne se laissent pas ouvrir facilement, la pupille
4° États frustes. ÉTATS MIXTES OU FRUSTES ?. État léthargoïdo les
yeux
ouverts. b. Étal léthargolde les yeux fermée, c
TES ?. État léthargoïdo les yeux ouverts. b. Étal léthargolde les
yeux
fermée, c. Léthargie lucide. a. État catalepiol
olde les yeux fermée, c. Léthargie lucide. a. État catalepiolde les
yeux
ouverts. b. État catalepiolde les yeux fermés.
. a. État catalepiolde les yeux ouverts. b. État catalepiolde les
yeux
fermés. c. État catalepiolde avec byperexcita-
dité n'était donc qu'apparente; cet état léthargolde peut exister les
yeux
fermés et les yeux ouverts, d'où deux formes dist
u'apparente; cet état léthargolde peut exister les yeux fermés et les
yeux
ouverts, d'où deux formes distinctes. L'état lélh
conservent les attitudes. Cet état catalepiolde peut se produire les
yeux
ouverts où les yeux fermés, d'où les deux premièr
tudes. Cet état catalepiolde peut se produire les yeux ouverts où les
yeux
fermés, d'où les deux premières variétés mentionn
auche, à droite il est encore perçu à quatre-vingt-dix centimètres. L'
œil
droit voit mieux que le gauche, ce qui correspond
es, à mettre la malade dans un état d'engourdissement manifeste : les
yeux
étaient ouverts a demi, la respiration forte, mai
ordres qu'on lui donnait. Lorsque l'on déliait Mme M... d'ouvrir les
yeux
elle enir'ouvrait les paupières et se réveillait
le goût, l'ouïe et l'odorat sont sensiblement égaux des deux côtés, l'
œil
droit voit mieux que le gauche et les champs visu
tremblement cesse presque complètement et si on la dé6e d'ouvrir les
yeux
, elle fait de vains efforts. On ne peot obtenir l
sœur également bien portante, elle-même a toujours souffert de maux d'
yeux
; actuellement elle est malade depuis cinq semain
stine B... Sous l'influence de quelques passes, Célesttne ferme les
yeux
au bout de quelques secondes : dans cet état, ell
d et obéit, sa sensibilité est normale et si on la délie d'ouvrir ses
yeux
, elle fait d'inutiles effort* : malgré cela la ma
rme son état somnambuloïde les veux fermés, en état somnambulolde les
yeux
ouverts ; elle a les apparences de la veille et c
de la sensibilité et suggestibilité. Si l'on défie Jolie d ouvrir ses
yeux
, elle fait des efforts sans y parvenir. En soulev
ir. En soulevant les paupières, on détermine l'état somnambulolde les
yeux
ouverts que nous a présenté la malade de l'observ
ble. L'élévation des paupières transformait l'état somnam-bulique les
yeux
fermés en état somnambulique les yeux ouverts, to
rmait l'état somnam-bulique les yeux fermés en état somnambulique les
yeux
ouverts, tous les autres phénomènes restant sembl
Jusqu'à 60 centimètres; la gauche seulement jusqu'à 43 centimètres. L'
œil
droit voit mieux que le gauche. Les champs visuel
us appartiennent au somnambulisme véritable. L'état somnambulique les
yeux
fermés peut se transformer en état analogue les y
omnambulique les yeux fermés peut se transformer en état analogue les
yeux
ouverts. L'hynotisa-tion répétée ne parvint pas i
donne. En soulevant les paupières, on transforme ce somnambulisme les
yeux
fermés en somnambulisme les yeux ouverts. En répé
, on transforme ce somnambulisme les yeux fermés en somnambulisme les
yeux
ouverts. En répétant l'hypnotisation, nous n'avon
mais «a sensibilité est conservée. et quand on la défie d'ouvrir les
yeux
, elle se réveille. Au bout de quelques séances, c
'observation III. se trouvent dans un état un peu plus profond, leurs
yeux
sont fermés, mais ils peuvent les ouvrir spontané
ême état que les malades précédents, mais elles ne peuvent ouvrir les
yeux
si on les en défie Eudoxie M.... de l'observation
ervation de la sensibilité et impossibilité d'ouvrir spontanément les
yeux
; mais, si on soulève leurs paupières, leur état s
eux; mais, si on soulève leurs paupières, leur état somnambuloïde les
yeux
fermés se transforme en état somnambuloïde les ye
somnambuloïde les yeux fermés se transforme en état somnambuloïde les
yeux
ouverts. Enfin Mme B...,de l'observation VIII.Mar
, état cessant aussitôt que les moyens hypnogènes sont suspendus, les
yeux
sont ouverts (observation I). 2° Engourdissemen
sibilité, ne cessant pas lorsqu'on suspend les moyens hypnogènes; les
yeux
sont fermés; si on défie le sujet d'ouvrir les ye
s hypnogènes; les yeux sont fermés; si on défie le sujet d'ouvrir les
yeux
, il se réveille (observations II et III). 3° So
sibilité, ne cessant pas lorsqu'on suspend les moyens hypnogènes; les
yeux
sont fermés: si on défie le sujet d'ouvrir les ye
s hypnogènes; les yeux sont fermés: si on défie le sujet d'ouvrir les
yeux
, il fait de vains efforts (observations IV et V).
sibilité, ne cessant pas lorsqu'on suspend les moyens hypnogènes, les
yeux
sont fermés ; si on défie le sujet d'ouvrir les
ypnogènes, les yeux sont fermés ; si on défie le sujet d'ouvrir les
yeux
, il fait de vains efforts. Si on soulève les paup
ains efforts. Si on soulève les paupières, cet état somnambuloïde les
yeux
fermés, se transforme en état analogue les yeux o
tat somnambuloïde les yeux fermés, se transforme en état analogue les
yeux
ouverts (observations VI et VII). Dans tous ces
y a deux variétés d'états somnambuliques : ° État somnambulique les
yeux
fermés. 2° État somnambulique tes yeux ouverts.
: ° État somnambulique les yeux fermés. 2° État somnambulique tes
yeux
ouverts. Toutes les formes se rapportant au som
, état cessant aussitôt que les moyens hypnogènes sont suspendus; les
yeux
sont ouverts. b. Engourdissement plus profond,
sibilité, ne cessant pas lorsqu'on suspend tes moyens hypnogènes; tes
yeux
sont fermés; si on défie te sujet d'ouvrir les ye
s hypnogènes; tes yeux sont fermés; si on défie te sujet d'ouvrir les
yeux
, il se réveille. c. Sommeil véritable, sans per
sensibilité, ne cessant pas si on suspend les moyens hypnogènes, les
yeux
sont fermés; si on défie te sujet d'ouvrir les ye
s hypnogènes, les yeux sont fermés; si on défie te sujet d'ouvrir les
yeux
, il fait de vains efforts. d. Sommeil véritable
sibilité, ce cessant ??r lorsqu'on suspend les moyens hypnogènes, les
yeux
sont fermés; si on défie le sujet d'ouvrir les ye
s hypnogènes, les yeux sont fermés; si on défie le sujet d'ouvrir les
yeux
, il fait de vains efforts. Si on soulève tes paup
ains efforts. Si on soulève tes paupières, cet étal somnambuloïde les
yeux
fermée se transforme en état analogue les yeux ou
étal somnambuloïde les yeux fermée se transforme en état analogue les
yeux
ouverts. perte de la conscience et de a Les yeu
état analogue les yeux ouverts. perte de la conscience et de a Les
yeux
fermes-la sensibilité, automatisme b Les Yeux ouv
conscience et de a Les yeux fermes-la sensibilité, automatisme b Les
Yeux
ouverts, absolu. En entreprenant l'étude des ph
e D... en somnambulisme la température, tout est perçu également. L'
œil
droit est plus clairvoyant que le gauche, ce qui
pendant laquelle Fig. 18. — Joséphine D... en état cataleptoïde les
yeux
fermés. Fig. 19. — Josephine D... en état catal
les yeux fermés. Fig. 19. — Josephine D... en état cataleptoïde les
yeux
ouverts. la malade se raidit, les yeux fixant u
... en état cataleptoïde les yeux ouverts. la malade se raidit, les
yeux
fixant un objet invisible, puis vient la période
tc.; en relevant les paupières, on provoque un état somnambulique les
yeux
ouverts, la sensibilité restant absente. A la t
ervaient les attitudes qu'on leur donnait. Cet état catalep-toïde les
yeux
fermés pouvait être transformé en un état analogu
toïde les yeux fermés pouvait être transformé en un état analogue les
yeux
ouverts, en relevant les paupières. Dans les deux
tibilité : elle répond aux questions et l'on peut, en lui ouvrant les
yeux
, provoquer un état somnambulique les yeux ouverts
on peut, en lui ouvrant les yeux, provoquer un état somnambulique les
yeux
ouverts. A la seconde séance, nous avons contin
ade était en somnambulisme et un état cataleptique s'est déchue : les
yeux
étaient fermés, les attitudes les plus bizarres p
ait plus en communication avec le monde extérieur ; en maintenant les
yeux
ouverts quelque temps, est état cataleptique les
maintenant les yeux ouverts quelque temps, est état cataleptique les
yeux
fermés se changeait en un état cataleptique les
taleptique les yeux fermés se changeait en un état cataleptique les
yeux
ouverts, correspondant au véritable état catalept
en somnambulime- Fig. 23. — Collette- H... en état cataleptique les
yeux
fermés. Fig- 24. — Expression de Collette H...
e, enfin les muscules sont dans un état de relâchement complet et les
yeux
sont dirigés fortements en haut. Si l'on maintien
et et les yeux sont dirigés fortements en haut. Si l'on maintient les
yeux
de ta malade quelques instants ouverts, on produi
malade quelques instants ouverts, on produit un état léthargique les
yeux
ouverts, absolument analogue à l'état léthargique
rgique les yeux ouverts, absolument analogue à l'état léthargique les
yeux
fermés : alors le regard se fixe sur un objet vir
V... à état léthargique les état lethargique les l'état de veille,
yeux
ouverts. yeux fermes. Pour réveiller la malade,
éthargique les état lethargique les l'état de veille, yeux ouverts.
yeux
fermes. Pour réveiller la malade, le commandeme
t pas, il faut souffler éner-giquement à différentes reprises sur les
yeux
. Ces états léthargiques se sont manifestés dès la
on XII, nous avons obtena d'abord l'état somnambulique véritable, les
yeux
fermés et les yeux ouverts: en rendant l'hypnose
obtena d'abord l'état somnambulique véritable, les yeux fermés et les
yeux
ouverts: en rendant l'hypnose plus profonde, nous
oursuivant l'hypnose, cette malade tombe dans l'état cataleptique les
yeux
fermés, caractérisé par la conservation des attit
en soulevant les paupières, cet état se tranformait en catalepsie les
yeux
ouverts : le regard est fixe, aucune communicatio
xtérieur et hyperexcitabilité neuro-musculaire; si l'on maintient les
yeux
ouverts, cette léthargie les yeux fermés se trans
o-musculaire; si l'on maintient les yeux ouverts, cette léthargie les
yeux
fermés se transforme en léthargie les yeux ouvert
verts, cette léthargie les yeux fermés se transforme en léthargie les
yeux
ouverts. Ces faits nous ont convaincu de la réali
ouverts. 2° États cataleptiques avec conservation des attitudes a.
yeux
fermés, mais sans aucune communication avec le mo
rmés, mais sans aucune communication avec le monde ex- teneur. b. Les
yeux
ouverts. Pour la léthargie, nous avons observé
ariétés : 1° États léthargoïdes. Immobilité, le malade entend a Les
yeux
fermés, mais ne réagît pas, pas d'hyperexcitabili
is ne réagît pas, pas d'hyperexcitabilité neuro- ) musculaire. b. Les
yeux
ouverts. 2° Étais léthargiques Immobilité, le m
d a. Les veux fermés, pas, hyperexcitabilité neuro-musculaire. b. Les
yeux
ouverts. Pour terminer ce qui concerne la class
' a près PITRES 1° État léthargique...... ?. État léthargoïde les
yeux
ouverts. b. État léthargoïde les yeux fermés, c
... ?. État léthargoïde les yeux ouverts. b. État léthargoïde les
yeux
fermés, c. Léthargie lucide. 2° État cataleptiq
hargie lucide. 2° État cataleptique..... ?. Etat eataleptolde les
yeux
ouverts. b. État cataleptoïde les yeux fermés.
. ?. Etat eataleptolde les yeux ouverts. b. État cataleptoïde les
yeux
fermés. c. Etat cataleptolde avec hyperexcitabi
?. 1er degré. b. 2e degré. c. 3e degré. d. 4e degré. ?. Les
yeux
fermés. b. Les yeux ouverts. ?. Les yeux ferm
e degré. c. 3e degré. d. 4e degré. ?. Les yeux fermés. b. Les
yeux
ouverts. ?. Les yeux fermés. b. Les yeux ouve
d. 4e degré. ?. Les yeux fermés. b. Les yeux ouverts. ?. Les
yeux
fermés. b. Les yeux ouverts. a. Les yeux ferm
es yeux fermés. b. Les yeux ouverts. ?. Les yeux fermés. b. Les
yeux
ouverts. a. Les yeux fermés. b. Les yeux ouve
s yeux ouverts. ?. Les yeux fermés. b. Les yeux ouverts. a. Les
yeux
fermés. b. Les yeux ouverts. ?. Les yeux ferm
es yeux fermés. b. Les yeux ouverts. a. Les yeux fermés. b. Les
yeux
ouverts. ?. Les yeux fermés, b. Les yeux ouvert
s yeux ouverts. a. Les yeux fermés. b. Les yeux ouverts. ?. Les
yeux
fermés, b. Les yeux ouverts, a. Les yeux fermés.
Les yeux fermés. b. Les yeux ouverts. ?. Les yeux fermés, b. Les
yeux
ouverts, a. Les yeux fermés. b. Les yeux ouvert
. Les yeux ouverts. ?. Les yeux fermés, b. Les yeux ouverts, a. Les
yeux
fermés. b. Les yeux ouvert». Sans faire de di
?. Les yeux fermés, b. Les yeux ouverts, a. Les yeux fermés. b. Les
yeux
ouvert». Sans faire de distinction de sujet, no
ne opinion précise sur l'état mental d'au accusé lorsqu'il a sous les
yeux
le rapport rédigé par ses confrères. Il lui sera
: sans rien lui dire nous avons appuyé légèrement sur le vertex, ses
yeux
se fermèrent et elle tomba en somnambulisme. Nous
ons dit, trois étals distincts : somnambulisme, état cataleptique les
yeux
fermés et état cataleptique les yeux ouverts. Dam
ambulisme, état cataleptique les yeux fermés et état cataleptique les
yeux
ouverts. Dam l'état somnambolique. Collette prése
nte trois états distincts : état somnambulique, état cataleptoïde les
yeux
fermés et état cataleptoïde les yeux ouverts : da
ambulique, état cataleptoïde les yeux fermés et état cataleptoïde les
yeux
ouverts : dans ces trois états, la malade reste e
l'image inconsciemment avec son imagination ; il ne voit pas avec les
yeux
et l'esprit, il se fait une illusion négative ou
ience de M. Bernheim sur une hystérique présentant de l'amaurose de l'
œil
gauche, par laquelle il démontre que celle cécité
onnant du noir, En effet, les hystériques de M. Bernheim. lisant de l'
œil
droit seul (le gauche-étant fermé} avec le verre
un verre rouge et non les vertes : mais, si on leur laissait les deux
yeux
ouverts, elles lisaient couramment toutes les let
ue nous faisons, nous continuons à l'observer. Bientôt elle ferme les
yeux
et semble se laisser aller avec mollesse, comme u
âge de dix ans il a eu la scarlatine et à la même époque il a perdu l'
œil
gauche par ophtalmie; ayant habité le Brésil, il
r pour la première fois le 13 avril dernier. Je lui ai fait fixer les
yeux
pendant trois quarts d'heure et par une suggestio
poser à ma suggestion une résistance assez grande, il se frottait le»
yeux
comme pour chasser le sommeil et il répétait : «
mme embrochée par le facial. Pas d'autre altération appréciable ù l'
oeil
nu, des centres ner- ^eux, sauf, à la partie po
e bras droit ; la bouche est tirée à droite, ainsi que la joue et l'
oeil
, et tout le côté droit de la face saute. En somme
t préciser. L'accès dure 2 ou 3 minutes. L'enfant ouvre ensuite les
yeux
, qui sont égarés ; puis elle s'endort. Si on ve
té vaccinée à 1 an avec succès.- Pas de gourmes, conjonctivite de l'
oeil
droit, étant toute jeune. L'enfant a, depuis
na- tions. - Pas d'autre tic que le clignement très fréquent de l'
oeil
gauche. - L'enfant pleure rarement. - Il est rare
lète : les membres, très rigides, n'éprouvent aucune secousse ; les
yeux
sont immobiles, les paupières sont ouvertes et
Son état phyique laisse aussi à dési- rer : le teint est pâle, les
yeux
cernés, elle mange moins, et maigrit un peu.
illations. L'enfant se cachectise ; son facies devient terreux, ses
yeux
cernés et profondément excavés, ses pupilles di
ient. P. KERAV1L. VI. Le trajet central des nerfs des muscles des
yeux
, par J. Piltz. (11'eurolog. Centralbl., XXI, 19
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. isolés des muscles des
yeux
. Puis on enlève ces zones et 14 jours après on
e du facial, dont l'excitation provoque des mouvements associés des
yeux
(Fritsch et Ilitzi). Il occupe la moitié extern
us l'influence d'nn point d'appui. Cet homme est menacé de perdre l'
oeil
droiL par ophtalmie neuro-paralytique, en vertu
trouble du côté de l'appa- reil optique, dioptrique, locomoteur des
yeux
, indemne égale- ment d'affections organiques du
l'aide des doigts la fente palpébrale ; puis, priez-le de fermer l'
oeil
en dépit de cette résistance, mais lentement, vou
la résistance, le nyslagmus cesse généralement, notamment lorsque l'
oeil
est dévié en dedans et en haut : toutefois on l
culaire épiscléral, qu'on peut croire à un tremblement continu de l'
oeil
entier. N'attribuons donc la valeur d'un résult
atrophie des nerfs optiques, et surtout de la macula lutea des deux
yeux
, celle-ci suivant exceptionnellement L la premi
l'état stuporeux-. Le malade, maintenu au lit y demeure inerte, les
yeux
fermés, ne les ou- \1',lliI que pour manger : n
essé, le malade avait seulement des contractu- res des mains et ses
yeux
étaient convulsés. Nous devons également releve
19 fois le nerf optique même était oedémalié et enflammé. Sur 42
yeux
atteints de papille étranglée, la lame criblée ét
'0- votlué d'emblée par une toxine. Les parties périphériques ¡le l'
oeil
n'onL pas été all'ec.Lées ; seule la papille a
que, bien que la toxine aiL agi par les portions anté- rieures de l'
oeil
, la papille possède une prédisposition spéciale a
e tel, accessi- hIe il. (l'auLl'Cs associations des mouvements de l'
oeil
, il rentre dans les centres des mouvements invo
nt l'association bilatérale des centres frontaux des mouvements des
yeux
avec les noyaux des nerfs abducteurs. En outre
centre spécial qui préside a la convergence as- sociative des deux
yeux
simultanément, il y a un centre pour chaque (ni
. En tout cas les centres frontaux qui président la convergence des
yeux
agissent par l'intermédiaire des centres sous-c
sent par l'intermédiaire des centres sous-corticaux qui portent les
yeux
en dedans ; les impulsions parties des deux hém
oivent en même temps se porter sur l'un el l'autre noyau qui meut l'
oeil
en dedans. En réalité, quand on excite le tuber
uelle de l'écorce cérébrale et de ses rapports avec les muscles des
yeux
; par \Y. M. Bech- terevv. Du centre cortical de
des lobes occipitaux se réfléchit sur la vue ; lui i bouche-L-on l'
oeil
du même côté que l'opération, il vole avec moin
ane de l'extirpation de la face interne du lobe occipital. C'est, l'
oeil
du côté opposé qui souffre le plus. 4. Chez le
des circonvolutions sigmoïdes provoque une amblvopie dif- fuse de l'
oeil
du côté opposé, en rapport probable avec l'altéra
li courbe fournit une Rmhl 0- pie légère, diffuse et passagère de l'
oeil
opposé. 5. La dissec- tion de la pie-mère au-de
IE PATHOLOGIQUES. 133 le singe, une amblyopie de courte durée sur l'
oeil
opposé. La lé- sion de la face interne du lobe
ie postérieure du lobe pariétal provo- la vision distincte), dans l'
oeil
opposé, avec cécité j)S) chique.6. Les lésions
ge, chez l'homme aussi, n'entraîne pas la cécité complète de tout l'
oeil
opposé (ni même de l'mil lionlon`'me)- 1(l. L'end
région visuelle dans l'écorce entraîne une cécité complète des deux
yeux
; la cécité peut ' · se transformer en amhlyopi
t ; les membres du même côté sont paresies. Seul les muscles de l'
oeil
, l'oculomoteur externe est atteint, car la distan
des paupières. Le malade peut généralement encore fermer les deux
yeux
en même temps, il peuL aussi leriner l'mil corres
ner l'mil correspondant à la lésion tandis qu'il maintient ouvert l'
oeil
opposé ; mais il est incapable de fermer seul c
riphériques guéries ; le malade, en ce cas, pouvait fermer les deux
yeux
si- III Il 1 Lan('llIl'nL, fermer aussi l'oeil
vait fermer les deux yeux si- III Il 1 Lan('llIl'nL, fermer aussi l'
oeil
homonyme seul ; il était inca- pable de fermer
ermer aussi l'oeil homonyme seul ; il était inca- pable de fermer l'
oeil
1)("'l"J'onJI)( ! seul, celle tentative entrai-
hypercri- nique plutôt que mécanique. Déviation de la tète et des
yeux
chez un aveugle de naissance. MM. ])ÉJERINE el
hémiplégique gauche et aveugle de naissance par fonte purulente des
yeux
. Il ne pomaitdoncpas être question de déviation
per suivant leurs formules les exemples que nous avons eu sous les
yeux
, et à cet effet nous adopterons la division la
este debout, face au mur et dans la plus complète immobi- lité. Les
yeux
baissés, la tète inclinée sur la poitrine, les
che, dans sonnez ou dans son oreille. D'autres fois, elle garde les
yeux
fer- més ou n'en ouvre qu'un seul. Nous n'ins
produire un clignement plus ou moins durable, qui porte sur un seul
oeil
ou sur les deux. Souvent le haut du visage rest
toujours stupides et puériles dans leur exécution. C'est sous les
yeux
mêmes des surveillants ou surveillantes que M.
? Qu est-ce qui est mal ? » elle regarde son interlocuteur avec un
oeil
hébété, et reste incapable de lui fournir une r
t une série de remarques à son interlocuteur : « Vous avez de beaux
yeux
; vous avez une jolie mous- tache ; vous avez u
r une som- nambule. Aussitôt faite, la remarque est oubliée : les
yeux
et la pensée vont ailleurs comme au hasard, et l'
ésohail en ramuscules échappant dans le tissu connectif compact à l'
oeil
nu. De nouvelles recherches expérimentales et a
copiques. u). Ceux qui ne se traduisent par aucune lésion bihle à l'
oeil
nu émanent probablement d'une métastase cancére
mosphérique émanée d'un orage planant sur Magdebourg. Amaurose de l'
oeil
gauche ; mais il fonctionne sous l'influence du
ais il fonctionne sous l'influence du fonctionnement simultané de l'
oeil
droit. C'est donc une affection psychique (ligu
ns contre 23 unilatérales. Sur les 23 unilatérales, 13 concernent l'
oeil
droit, Il l'oeil gauche. L'amaurose unilatérale
atérales. Sur les 23 unilatérales, 13 concernent l'oeil droit, Il l'
oeil
gauche. L'amaurose unilatérale a frappé 7 hommes
traumatisme. Nulle pari la paralysie des muscles intrinsèques de l'
oeil
n'est établie, pas plus que l'immobilité pureme
entent quelque ano- malie, sauf pour la blépharoptose. Le fond de l'
oeil
, indemne par définition (amaurose mentale), peu
trement que l'aveugle soma- tique. Dans l'amaurose unilatérale, l'
oeil
malade peut fonctionner sous l'influence de la
ionner sous l'influence de la vision binoculaire : quand on ferme l'
oeil
sain, l'oeil malade est instable, erratique, ra
'influence de la vision binoculaire : quand on ferme l'oeil sain, l'
oeil
malade est instable, erratique, rague, et ne repr
equel ils on) évolué demeure . avec ses stigmates. - L'examen des
yeux
, pratiqué a notre demande parnntreami, . . CANT
glaucome ni névrite. La malade accuse une amaurose totale de cel
oeil
depuis G ans. Cette amaul'ose a (l'ailll'ul's d
atigner et se blesser profondément des heures entières nez, museau,
yeux
; des modifications du carac- tère surprenantes
de : le patient reste parfois plu- sieurs minutes sans mouvement, l'
oeil
hagard, la tête penchée, puis le train postérie
es grosses convulsions palpébrales ou l'occlusion convul- sine de l'
oeil
sont des mouvements volontaires ou à demi-volon-
t du segment de rétine indemne ne sont pas iden- tiques dans chaque
oeil
. Ce résultat est constamment le même, que l'hém
té ni parallélisme entre la disparition des troubles oculaires d'un
oeil
et celle des troubles de l'aulce. Dans les lési
s lésions limitées, par exemple, parfois la perle de la vision de l'
oeil
correspondant disparaît plus lût que celle de l
la vision de l'oeil correspondant disparaît plus lût que celle de l'
oeil
opposé. Si, quand les troubles oculaires provoq
e une hémianopsie bilatérale homonyme associée à une amblyopie de l'
oeil
du côté opposé. Mais de nouvelles recherches so
e : on l'extrait. Quelques mois après, on constate : déviation de l'
oeil
droit en dedans et un peu en haut : le malade n
eil droit en dedans et un peu en haut : le malade ne peut tourner l'
oeil
en dehors, et. les mouvements du globe en bas s
u globe en bas sont. limites. Rien à gauche. Les milieux des deux
yeux
sont transparents. Pupilles dilatées. Réactions 3
dilatées. Réactions 31a lumière et. l'accommodation absentes dans l'
oeil
droit, conservées dans l'oeil gauche. Cécité to
et. l'accommodation absentes dans l'oeil droit, conservées dans l'
oeil
gauche. Cécité totale à droite, même à l'impressi
altéré, nous aurions une hémianopsie unilatérale gauche des deux
yeux
, ce qui n'est pas. L'auteur conclut aune hémorrha
, s'est pendue dans sa chambre à coucher il Feuchcl'o1le, 'sous les
yeux
de sa jeune enfant, et, malgré la prompte inter
inoculaire existe indiscutablement, malgré l'amblyopie intense de l'
oeil
malade. Dans- le deuxième, nous indiquerons, av
e, nous indiquerons, avec expériences à l'appui, que la vision de l'
oeil
amblyope existe sous certaines conditions, pour
cause de l'amblyopie paraît duc à la fermeture de la paupière de l'
oeil
sain, agissant comme interceptrice des rayons l
son, sans avoir été contrariée en aucune façon, elle ressent dans l'
oeil
droit une douleur vive, comme si elle avait reç
it une douleur vive, comme si elle avait reçu un grain de sable ; l'
oeil
lui pique, se trou- ble, pleure. Elle continue
e, pleure. Elle continue néanmoins à marcher, mais elle se frotte l'
oeil
qui continue à lui piquer et à pleurer abondammen
iquer et à pleurer abondamment. Ses petitesamies lui disent que son
oeil
est tout rouge. Elle visite néanmoins l'aquariu
-midi on retourne à la plage vers 3 h. comme les autres jours; et l'
oeil
qui, à l'ombre et pendant le déjeuner, ne lui fai
'est qu'en rentrant, vers 5 heures, que les maîtresses remarquent l'
oeil
, très rouge, de l'enfant. On le lui fait laver
pas se baigner 340 CLINIQUE NERVEUSE. et ordonne des lofions de l'
oeil
matin et soir. Cet étal demeure à pou près iden
re. Sa mère constate alors les mêmes signes que le 20 août : mais l'
oeil
gauche est-un peu rouge également, et la joue dro
calisée à droite et en avant, avec irradiations douloureuses dans l'
oeil
, et aussi dans la joue (mais moins fortes). Les
ion, mais nausées, et inappétence. Cependant, au bout de 8 jours, l'
oeil
droit présente une légère amélioration ; il est
it présente une légère amélioration ; il est moins rouge. Quant à l'
oeil
gauche, sa rougeur a complète- ment disparu.
it-elle, des douleurs qu'elle éprouve. Cha- que fois qu'elle lit, l'
oeil
lui pique, elle ne peut fixer un objet quelconq
.Iillrès nettement, si elle sèche ses larmes. Le 1 cr novembre l'
oeil
droit n'esl plus rouge, mais il pleure constamm
esl plus rouge, mais il pleure constamment. Au début de décembre, l'
oeil
redevient rouge, mais pour quelques joursseulem
rmillenle : afin de faire cesser ce phénomène, elle ferme tantôt un
oeil
, tantôt l'autre; AMBLYOPIE H1'S'l'1 : RIQl : I·
: I· : MONOCULAIRE SA DISPARITION 341 et elle constate que selon l'
oeil
avec lequel elle regarde, elle voit les ohjets
es ohjets de grandeur di rl'érente ; pIle remanlue (lue, VilS a\ cc l'
oeil
droit, les objets sont, plth petits el. plus lo
dans la détermination de l'a- cuité visuelle droite, il remarque, l'
oeil
gauche étant fermé, que l'enfant ne dislingue t
et il se demande si la malade ou sa mère n'ont pas instillé dans l'
oeil
quelques gouttes de la solution d'atropine pres
naire. Pas de diplopie. mais la lecture est toujours difficile de l'
oeil
droit. L'enfant se plaint encore par moments de
aspect si étrange que ses amies dispnt il Yalentine qu'elle a un «
oeil
de chai ». Cette mydriase cesse complètement en
inutes, une des électrodes étant spécialement placée au niveau de l'
oeil
amblyope, On lui fait aussi des enveloppements
vement brusque de rotation de la tête à droite avec clignement des
yeux
, froncement du nez, et haussement des épaules sur
gnalons plus particulièrement la persistance du tic de la tête, des
yeux
et de l'épaule droite déjà mentionné. Pas de tr
sion. -Rien ne frappe l'attention dans la musculature ex- terne des
yeux
; les paupières se lèvent et s'abaissent parfaite
s et réagis- sent bien à la lumière cL à l'accomn»clation. Lc5 deux
yeux
étant fixés sur un objet déterminé, si l'on fer
degré d'astigmatisme hvpermélropiquo conforme de 2 dioptries pour l'
oeil
droit et de 0,75 dioptrie pour le gauche. Le fo
pour l'oeil droit et de 0,75 dioptrie pour le gauche. Le fond de l'
oeil
est normal, les papilles sont en parfait étal à
tir de cette dislance de 40 cm. jusqu'à quelques cen- timètres de l'
oeil
, la malade voit toujours le point de celle même
r (pie la lettre E qui lui parait de grandeur plus petite qu'avec l'
oeil
gau- che : - E au lieu de E. ' Le sens chroma
ue nous venons de l'établir. Or, cette amblyopie si marquée quand l'
oeil
sain, ou gauche est fermé, disparaît complèteme
sain, ou gauche est fermé, disparaît complètement quand les deux
yeux
sont ouverts et qu'ils entrent synergique- ment
du prisme, de Greere), - E,"PI ! ? 'iel1 ce 1. Si je fixe les deux
yeux
sur un objet déterminé : carré de papier (Parin
x, je percevrai deux carrés, ou deux croix, ou deux points, chaque,
oeil
ayant alors son image. Mais il est évident que
image. Mais il est évident que si je suis vraie m ont aveugle d'un
oeil
, du droit par exemple, ce n'est pas un prisme qui
pas un prisme qui me '346 CLINIQUE NERVEUSE. rendra la vue de cet
oeil
: et je ne percevrai jamais qu'une seule mage.
e : or, elle voit deux images, dès qu'on lui met le prisme devant l'
oeil
droit : il est vrai qu'elle n'est pas complètem
ges devraient être inégales de dimension : l'une, en rapport avec l'
oeil
sain, serait égale aupointdelafiâ. 15; l'autre,
l sain, serait égale aupointdelafiâ. 15; l'autre, en rapport avec l'
oeil
amblyope, serait égale, selon la distance, à l'
delà de la distance correspondant à la vision la plus éloignée de l'
oeil
droit, c'est-à-dire au-delà de 1 mètre. Par con
a vision binoculaire. Expérience 2. En plaçant le prisme devant l'
oeil
sain ou gauche, les réponses sont identiques.
e, bleu, vert, de même dimension et que je place le prisme devant l'
oeil
droit, deux images sont perçues immédiate- ment
4. Si on répète la même expérience 3 en plaçant le prisme devant l'
oeil
sain, les réponses sont identiques. Expériences
telle sorte que le point jaune placé à gauche doit être vu par l'
oeil
droit, et que le point vert placé à droite doit ê
'oeil droit, et que le point vert placé à droite doit être vu par l'
oeil
gaucho. Un met la boîte devant les yeux de la mal
à droite doit être vu par l'oeil gaucho. Un met la boîte devant les
yeux
de la malade qui répond sans hésiter qu'elle di
respectives sans se tromper. Expérience G. Si on lui lait fermer l'
oeil
gauche sain, elle localise après hésitation un
vertir la malade, elle intervertit elle-même ses réponses ; et si l'
oeil
sain est fermé, le point vert est vu blanc dans l
t), Si on interpose verticalement une règle ou -un crayon entre les
yeux
d'un sujet normal qui lit et le texte qu'il tie
la main, la lecture s'ef- fectue sans difficulté : mais si l'un des
yeux
est fermé ou aveugle, la règle ou le crayon se
n se projette sur les lignes du texte et gène la lecture de l'autre
oeil
dans toute la zone de projection. Si donc Valen
a zone de projection. Si donc Valentine était vraiment aveugle de l'
oeil
droit, elle devrait être gênée dans la lecture
t être gênée dans la lecture dès qu'on place une règle de- vant ses
yeux
: or, elle lit parfaitement ; donc, là aussi, son
mage).- Soit deux règles placées l'une devant l'autre : si des deux
yeux
je fixe la plus proche, je vois double la plus
est la plus proche que je vois double ; si main- tenant je ferme un
oeil
et que de l'autre oeil je fixe une des deux règ
je vois double ; si main- tenant je ferme un oeil et que de l'autre
oeil
je fixe une des deux règles, l'autre règle est
Celle expérience pratiquée chez notre malade indique que, les deux
yeux
ouverts, elle voit double la règle non fixée, alo
qu'elle devrait la voir simple, si elle était amaurotique de son
oeil
droit ; donc elle a récupéré la vision de son oei
aurotique de son oeil droit ; donc elle a récupéré la vision de son
oeil
amblyope au moment de la vision binoculaire. ,
surle milieu du visage de l'enfant et lui dis de lire en fermant l'
oeil
gauche (c'est-à-dire le sain) : elle ne voit ab
est-à-dire le sain) : elle ne voit absolument rien. Si elle ferme l'
oeil
droit amblyope, elle lit très bien la partie de l
la phrase située à gauche du carton. Si enfin elle ouvre les deux
yeux
, elle lit parfaitement la phrase en entier, par c
ans l'expérience précédente et dis à Valentine de lire en fermant l'
oeil
gauche : elle distingue après hésitation les le
foncé et de dimension plus petite que la réalité ; si elle ferme l'
oeil
droit et ouvre le gauche, elle lit la première
leur grandeur réelle ; enfin, 348 CLINIQUE NERVEUSE. si les deux
yeux
sont ou verts, elle lit la phrase entière, elles
les lettres jaunes sont ^vues blanches et à peine distinctes par l'
oeil
amblyope seul ou- vert. ' Et ainsi de suite a
a craie blanche au milieu d'un tableau noir placé à30centimèlresdes
yeux
<le la malade. Je lui dis de fermer l'oeil a
acé à30centimèlresdes yeux <le la malade. Je lui dis de fermer l'
oeil
amblyope droit, le gauche fixant toujours la croi
croix, .le fais passer horizontalement de gaucho il droite, entre l'
oeil
et la croix, un bâton de craie blanche jusqu'à
lanche jusqu'à ce qu'il ne soit plus perçu..Il' lais alors ouvrir l'
oeil
droit amblyope, qui doit fixer la croix : et, le
portions exac- tes ; en faisant, fermer et ouvrir alternativement l'
oeil
droit, l'i- mage disparaît et reparaît tour à t
ouleurs différentes, on voit que la dyschomatopsie disparaît pour l'
oeil
amblyope, comme nous l'avons déjà vu par les ex
les expériences 13 et 14 avec deux images et en lais- sant les deux
yeux
du sujet ouverts. En rapprochant alors il l'im-
sujet ouverts. En rapprochant alors il l'im- proviste, tantôt de l'
oeil
gauche, tantôt de l'oeil droit, tantôt une imag
chant alors il l'im- proviste, tantôt de l'oeil gauche, tantôt de l'
oeil
droit, tantôt une image, tantôt l'autre image,
lettres alternativement vertes et rouges. On place alors devant les
yeux
du malade des 's lunettes dont un verre est rou
ormale,il litavecl'oeil au verrerougclcsleL- tres rouges, et avec l'
oeil
au verre vert les lettres vertes : il lit ainsi
ON. 340 toutes les lettres. S'il est au contraire amaurotiquc dut !
oeil
, il ne lira que les lettres dont la couleur cor
lettres dont la couleur correspond à celle du verre placé devant l'
oeil
sain. En d'autres termes, si Valentine est vrai-
n. En d'autres termes, si Valentine est vrai- ment amaurolique de l'
oeil
droit, ayant un verre vert à droite et un verre
res vertes ; or elle lit les lettres rouges ; donc elle voit avec l'
oeil
droit dans la vision binoculaire. Plusieurs varia
ci . Expérience li ? l1u lieu de meltre un verre de couleur sur l'
oeil
droit amblyope, je mets un verre opaque et place
it amblyope, je mets un verre opaque et place un verre coloré sur l'
oeil
gauche, par exemple un verre rouge. Valentinene
ne lit que les lettres rouges ; j'enlève alors le verre opaque de l'
oeil
amblyope et elle lit les lettres rouges et vert
erre opaque, elle lit aussi les lettres rouges. Elle voit donc de l'
oeil
droit au moment de la vision binoculaire. - '
'image de droite L ; suivant qu'on regarde dans l'instrument avec l'
oeil
gauche seul ou l'oeil droit seul on verra la le
uivant qu'on regarde dans l'instrument avec l'oeil gauche seul ou l'
oeil
droit seul on verra la lettre F ou la lettre L;
verra la lettre F ou la lettre L; mais si on regarde avec les deux
yeux
, les lettres F et L se fusionnent en une seule
en une seule et unique lettre qui est un E. Si Va)en- tine ferme l'
oeil
droit, elle ne voit que la lettre F; si elle ferm
e ne voit que la lettre F; si elle ferme 350 CLINIQUE NERVEUSE. l'
oeil
gauche, elle ne voit rien avec l'oeil droit ; ell
me 350 CLINIQUE NERVEUSE. l'oeil gauche, elle ne voit rien avec l'
oeil
droit ; elle paraît donc amaurotique et ne devr
urotique et ne devrait distinguer que la lettre F en rapport avec l'
oeil
sain ; or, elle lit E sans hésiter dès que les de
ort avec l'oeil sain ; or, elle lit E sans hésiter dès que les deux
yeux
sont ouverts ensemble : c'est donc que l'amblyo
(Fig. 21). Ce test étant placé au stéréoscope, si Valentine ferme l'
oeil
droit, elle voit les ronds vert et rose corresp
dant à l'image gauche, et conformément à la figure. Si elle ferme l'
oeil
gauche, l'image droite est vue comme suit : (fi
ême grosseur que dans la fig. 20. Si maintenant elle ouvre les deux
yeux
ensemble, les deux images se fusionnent en une
t dans la disposition que voici (fig. 23). En d'autres ternies, cet
oeil
droit, amblyope dans la vision monoculaire, s'est
droit, amblyope dans la vision monoculaire, s'est comporté comme un
oeil
normal dans la vision binoculaire ; 1 dyschroma
comme dans l'immense majorité des cas ana- logues, l'amaurose de l'
oeil
amblyope disparaît quand entre en jeu la vision
nt, il ne peut être question de vision binoculaire, que si les deux
yeux
per- 352 CLINIQUE NERVEUSE, , çoivent ensembl
le cas contraire, c'est-il-dit,c si certains objets sont vus par un
oeil
et certains autres par l'autre oeil, il y a dou
certains objets sont vus par un oeil et certains autres par l'autre
oeil
, il y a double vision monoculaire, mais pas vis
où vraiment la vision binoculaire entre en jeu, c'est-à-dire où les
yeux
fixent ou perçoivent les mêmes objets : ce sont
ù il existe une double vision mo- noculaire, c'est-à-dire où chaque
oeil
fixe une image dif- férente. Dans ce groupe nou
c'est classique que l'amblyopie se montre dès que le sujet ferme l'
oeil
sain. Mais si l'on prend soin d'annihiler la vi
e l'oeil sain. Mais si l'on prend soin d'annihiler la vision de cet
oeil
, par d'autres moyens que par la fermeture de la
autres moyens que par la fermeture de la paupière, la vision de l'
oeil
amblyope est entièrement normale : c'est ce que
ormale : c'est ce que nous allons démontrer. ' Expérience 23. Les
yeux
de la malade regardant au sté- réoscope le test
ions qui* l'mpéricncu préctnicnte n 23, ou constate également que l'
oeil
droit distingue parfaitement les images, en deh
place ensuite un carton quelconque, blanc de préférence, devant l'
oeil
gauchi ! h 1 ou 2 cent, de distance de la paupièr
t, perçus par le sujet, c'est-à-dire que la perception a lieu pur l'
oeil
;mblyolc settl. 1( suffit, que l'oeil gaucho so
ue la perception a lieu pur l'oeil ;mblyolc settl. 1( suffit, que l'
oeil
gaucho soit fermé au lieu d'être masqué, pour q
xpérience 16, les lunettes à verres colorés sont placées devant les
yeux
de la ma- lade, de façon que le verre vert soit
t les yeux de la ma- lade, de façon que le verre vert soit adroite (
oeil
amblyope) et le verre rouge à gauche (oeil sain
verre vert soit adroite (oeil amblyope) et le verre rouge à gauche (
oeil
sain). Pour obturer complètement la vue gauche,
vert : car rouge sur vert = noir. Dans ces conditions, au début, l'
oeil
droit perd subitement la vision en même temps que
u début, l'oeil droit perd subitement la vision en même temps que l'
oeil
gauche. En mettant inversement le verre vert
tant inversement le verre vert à gauche et le verre rouge à droite (
oeil
amblyope) et en obturant la vision gauche avec
ntrait par suite en contradic- tion avec les précédentes. Puisque l'
oeil
sain est ouvert, en c1l'c1. comment se fait-il
e cette obscurité n'était pas complète, le jour l'usant autour de l'
oeil
gauche, le sujet ne tardait pas au bout de quel
sujet ne tardait pas au bout de quelques instants à voir, de son
oeil
amblyope, les caractères verts ou rouges, suiva
érience est positive. Si, en effet, on met un verre opaque devant l'
oeil
gauche de Valentine et un verre rouge devant so
aque devant l'oeil gauche de Valentine et un verre rouge devant son
oeil
amblyope, ullclitnettement les lettres rou- ges
rmalement. Si maintenant, en contre-expérience, la malade ferme son
oeil
gauche, les deux' ronds sont vus comme dans la
périence est aussi démonstrative sans lunettes. Il suffit, les deux
yeux
étant ouverts et fixant un objet ou une image q
les-ronds de la ligure 21 par exemple, de placer un écran devant l'
oeil
gauche sain qui reste ouvert : Va- lentine cont
uche, ou sain, étant ouvert, mais sa vision masquée, la vision de l'
oeil
droit amblyope se montre cependant avec toutes
pour rechercher dans ces conditions l'étendue du champ visuel de l'
oeil
droit. Et nous avons pu constater que le rétrécis
constater que le rétrécissement du champ visuel, si marqué quand l'
oeil
sain est fermé, est beau- coup moins considérab
s : nlmimea·s : G ct37. - Ue mi·mc,la puinaaucc accmnmuUuLricc de l'
oeil
droit, recherchée à l'oplomèlre de l3a<1al, el
il droit, recherchée à l'oplomèlre de l3a<1al, ell IIlasqualll l'
oeil
gauche, devient égale à celle de l'oeil gauche :
a<1al, ell IIlasqualll l'oeil gauche, devient égale à celle de l'
oeil
gauche : 14 dioptrie» au licu Ilco,ll Iluaull L
ces (23 37), que nous venons de relater suffisent à démontrer que l'
oeil
am- blyope d'un sujet hystérique n'a pas nécess
it mise en jeu la vision binoculaire. Celle vision monoculaire de l'
oeil
malade peut parfaitement exister par elle-même,
itement exister par elle-même, indé- pellllammcnl de la vision de l'
oeil
sain. III. Il résulte, en somme, des laits qu
normal, que la vision soit annihilée par un obstacle placé devant l'
oeil
ou par la fermeture de la paupière, il n'y a pa
que l'occlusion de la paupière, étant plus hermé- tique, donne il l'
oeil
la sensation de l'obscurité, ce qui n'a pas lie
il l'oeil la sensation de l'obscurité, ce qui n'a pas lieu quand l'
oeil
est simplement couvert. On peut, par suite, se
lement couvert. On peut, par suite, se demander si l'amblyopie d'un
oeil
disparaît par ce seul l'ait que l'oeil opposé s
demander si l'amblyopie d'un oeil disparaît par ce seul l'ait que l'
oeil
opposé s'ouvre, ou bien par le fait que l'obscu
En d'au- tres termes, il nous faut rechercher si l'amblyopie d'un
oeil
est fonction de l'occlusion de l'autre oeil,on bi
her si l'amblyopie d'un oeil est fonction de l'occlusion de l'autre
oeil
,on bien si elle est fonction de l'obscurité qu'
8, les ronds colorés rose cl vertélant à 40-45 cm. de distance de l'
oeil
droit, les réponses du sujet ont été les suivan
apier noir ou bleu très foncé, ou rouge très foncé, placés devant l'
oeil
gauche ouvert et l'isolant ainsi entière- ment
l gauche ouvert et l'isolant ainsi entière- ment du jour ambiant, l'
oeil
droit amblvopo voit les ronds plus petits et pl
ouleur comme dans latigurc 22. Si on dit 1 il Valentine de fermer l'
oeil
gauche, l'un des cornets précédents demeurant s
e fermer l'oeil gauche, l'un des cornets précédents demeurant sur l'
oeil
, les ronds sont perçus identiques par l'oeil dr
édents demeurant sur l'oeil, les ronds sont perçus identiques par l'
oeil
droit. l. ' Avec des cornets de papier vert c
aire gaucho, n'empêche nullement les ronds colorés d'être tis par l'
oeil
droit comme à l'état normal, c'est-à-dire comme d
e avec les {'('l'an" (le papier aux couleurs les plu< variées, l'
oeil
droit n'a pas manifesté davantage la plu" légi'l'
'alu]¡lol)(e (le 1'(eil hystérique est due il un défaut (le l'autre
oeil
par la lumière blanche. Expérience 4(. Nous a
.il sain ; dès qu'elle est interceptée, l'amblyopie apparaît dans l'
oeil
droit. La paupière, en ob- turant hermétiquemen
raît dans l'oeil droit. La paupière, en ob- turant hermétiquement l'
oeil
sain, joue précisément le rôle de voile interce
isant office de voiles intercepleu\'s, qui, (liJ\'usantit lrayers l'
oeil
sain. empêche l'amblyopie de l'oeil malade. T
s, qui, (liJ\'usantit lrayers l'oeil sain. empêche l'amblyopie de l'
oeil
malade. TV. Dans un précédent (loi. cit.) à p
comprendre pourquoi. au même moment de l'expérience la réponse de l'
oeil
ma- lade difrère absolument, suivant que l'oeil
nce la réponse de l'oeil ma- lade difrère absolument, suivant que l'
oeil
sain est fermé ou simplement couvert. Les perce
st fermé ou simplement couvert. Les perceptions Jilrércn les de l'
oeil
malade, suivant que l'oeil sain est masqué avec d
uvert. Les perceptions Jilrércn les de l'oeil malade, suivant que l'
oeil
sain est masqué avec des cornets en papier de c
eurs, je ne m'explique pas bien pourquoi la vision monoculaire de l'
oeil
malade, qui n'existerait qu'à certains moments
t en jeu quand elle est seule il fonctionner, c'est- à-dire quand l'
oeil
sain est fermé ; c'est là vraiment le cas d'app
s normales delà vie courante, l'hystérique, qui regarde de ses deux
yeux
les objets qui l'cntourent, n'a a pas J'amblyop
deux yeux les objets qui l'cntourent, n'a a pas J'amblyopie de son
oeil
malade ; cet oeil distingue parfaitement par lu
ets qui l'cntourent, n'a a pas J'amblyopie de son oeil malade ; cet
oeil
distingue parfaitement par lui-même les objets,
des conditions particulières qui aboutissent à l'occlu- sion de l'
oeil
sain et privent ce dernier de la lumière du jou
Quant il savoir pourquoi la lumière blanche, en im- pressionnant l'
oeil
sain, lait disparaître 1 amblyopie de lu'il mal
l'amblyopie monoculaire. De multiples expérien- ces prouvent que l'
oeil
sain étant masqué, et par consé- quent la visio
masqué, et par consé- quent la vision binoculaire n'existant pas, l'
oeil
malade uerçoit aussi bien que l'oeil sain tous
binoculaire n'existant pas, l'oeil malade uerçoit aussi bien que l'
oeil
sain tous les objets qui l'cn- 360 CLI\IQUI : D
n propre compte; en réalité, l'aniblyopiedisparail dès ques ouvre l'
oeil
sain, elle apparaît desqu il se ferme : voila l
OCM/<7 ? elystei'i(pic serait donc fonction de l'occlusion de l'
oeil
sain. 4° L'occlusion de l'oeil sain, ainsi que
donc fonction de l'occlusion de l'oeil sain. 4° L'occlusion de l'
oeil
sain, ainsi que le démontrent nos expériences a
e les cornets en papiers colorés, com- mande l'amblyopie de l'autre
oeil
. non par le fait de son occlusion (action motri
eauté, mais elle est originale comme moi. En elle, je reconnais mes
yeux
... ces yeux «, noisette » dont on [tarie tant ;
elle est originale comme moi. En elle, je reconnais mes yeux... ces
yeux
«, noisette » dont on [tarie tant ;je reconnais
le champ de la vie et de la pensée, et la jeune hu- manité, sous l'
oeil
des linguistes, conjugue des aoristes périmés.
ante; embolies cérébrales ; déviation conjuguée de la tête et des
yeux
avec hémianopsie par ramollissement de la sphèr
tre membres, enlincomaavec déviation conjuguée, delà tête et des
yeux
à gauche. Inégalité pupillaire légère, la pupil
iuiàlenl·url'evinLence de ladé- viation conjuguée de la tôle et des
yeux
il gauche, coïncidant av ec une hémianopsie dro
tion de l'hémianopsie et delà déviation conjuguée de la tête et des
yeux
est bien susceptible de l'interprétation proposée
ez le maladu observé parles auteurs, la déviation de la tète et des
yeux
revêt bien le type de celle déviation par inhibit
ègue noire estime et notre affection, furent anéanties en un clin d'
oeil
; l'inexorable mort l'enlevait brusquement en pl
d'agir. « Les passages ci-après méritent aussi d'être mis sous les
yeux
de nos lecteurs. «Dans le tableau des admissi
couches : on conviendra que c'est pure fantasmagorie et poudre aux
yeux
que de prétendre que le personnel mis à notre d
lternative des deux états. Et quand l'al- ternative n'atteint qu'un
oeil
,notre méthode nous permet encore de savoir si l
es autres qui fnrettt aitcints 7'unormalitcs clilt·érentes aux deux
yeux
. 11 convient donc d'en faire un groupe séparé :
resse. -Nous savons que chez 21 de nos 14') paralytiques, un seul
oeil
fut altéré et chez 3 les deux yeux eurent des al-
e nos 14') paralytiques, un seul oeil fut altéré et chez 3 les deux
yeux
eurent des al- térations différentes. Quelles f
rmalité unilaté- rale et aux 3 cas d'anormalité différente aux deux
yeux
, ils se répartissent comme il suit aux trois pé
période que nous avons rencontré l'anormalité différente aux deux
yeux
. On voit combien sont intéressants et inédits l
me, les altérations sont toujours en moins et identiques aux deux
yeux
. Les résultats que nous avons obtenus en suivan
nance des deux états. Puis dans l'immense majorité des cas les deux
yeux
sont anormaux ; l'anormalité uni- latérale non
, exception- nellement, les anormalités sont différentes aux deux
yeux
; et elles ne furent toujours que momentanées,
ren- tes, jamais nous n'avons rencontré l'altération en plus à un
oeil
, et l'altération en moins il l'autre. Je. L'ano
t, à la seconde, nous avons vu des anormalités différentes aux deux
yeux
. V. L'exagération ne s'est produite qu'à la pre
re les deux altérations en moins, mais toujours identiques aux deux
yeux
, et même la normalité, et qui plus est. il litr
ns de la racine spinale du trijumeau : il semble qu'on ait sous les
yeux
une sorte de rapllé ou de commissure an- térieu
ion de l'attention sur un objet éclairci placé à la périphérie de l'
oeil
, quand l'accommodation et la clarté du milieu d
nt de la région avec paroxysmes dont le début est au voisinage de l'
oeil
et delà tempe dans les névralgies du maxillaire i
réconfort et les ragaillardis- sent en les relevant à leurs propres
yeux
. C'est pourquoi à l'Infirmerie spéciale, le méd
ront à des difficultés cliniques qui vous feront apparaître à leurs
yeux
,qui évoqueront votre sou- venir, et celui-ci,en
e, sans doute pour corri- ger ou dissimuler plus d'une tristesse, l'
oeil
toujours vigi- lant et exercé à déchiffrer les
suelle de l'- céré- brale et de ses rapports avec les muscles des
yeux
, par Bechterew, 131. Education physique. Voir
nte, embolies cé- rébrales, déviation conjuguée de la tête et des
yeux
avec hé- mianopsie par ramollissement de la s
hère visuelle occipita- le, par Nicolas et Cade, 383. Nerfs. Voir
Yeux
. Une preuve de l'existence des trophi- ques,
Wiazemsky, 76. Vue. VoirCentres. Wundt et sa psychologie, 465.
Yeux
. 1 e trajet central des nerfs des muscles des ,
aujourd'hui une fois de plus cette méthode en faisant passer sous vos
yeux
, à côté de quelques exemples d'affections mutilan
oici un cas tout à fait typique. La malade que vous avez devant les
yeux
est âgée de 42 ans. A l'âge de 25 ans, elle eut u
s verrez en quoi il consiste. Le nez est aminci, effilé, pincé. Les
yeux
sont excaves profondément et paraissent volumineu
ut pas notre surprise de voir le calme « de ce brave homme, qui a nos
yeux
n'était pas pré-« cisément un héros, et qui cepen
d, avec perte du sens musculaire au niveau de la main. L'examen des
yeux
, pratiqué par M. Parinaud le 20 décembre 1883, a
par M. Parinaud le 20 décembre 1883, a donné les résultats suivants :
œil
gauche atteint Fig. 5. — D'après une photograph
rétablie par le prisme (diplopie à l'aide d'un prisme placé devant l'
œil
droit, sain). Œil droit sain. Rien au fond de l'œ
risme (diplopie à l'aide d'un prisme placé devant l'œil droit, sain).
Œil
droit sain. Rien au fond de l'œil. Dans un second
me placé devant l'œil droit, sain). Œil droit sain. Rien au fond de l'
œil
. Dans un second examen le rétablissement de la vi
de nerfs. Il n'y a, en aucun point du corps, de traces visibles à l'
oeil
nu d'atrophie musculaire. Les avant-bras donnent
es deux Fig. 8 et 9. — Champ visuel de Care, amaurose complète de l'
œil
gauche. côtés, quoique masquées en partie par l
s verrez, par l'exemple du malade que je place aujourd'hui sous vos
yeux
, qu'il n'en est pas de même pour tous. Fort heure
clusions qu'il convient d'en déduire. Le jeune homme qui est sous vos
yeux
, le nommé D..., Victor, est âgé de 21 ans. Il exe
musculaire est perdu dans la main, l'avant-bras. Si je lui ferme les
yeux
et que je lui commande d'aller chercher sa main g
cement de la peau aux mêmes places n'est point douloureux. Les deux
yeux
sont le siège d'un léger rétrécissement du champ
héma ci-contre). Il existe un léger degré de mégalopsie dans les deux
yeux
et une diplopie monoculaire assez nette à droite.
exemple, car ce n'est pas le premier de ce genre que je mets sous vos
yeux
, combien l'hystérie mâle est souvent tenace, diff
ffet, il présente un rétrécissement concentrique du champ visuel de l'
œil
gauche, léger à la vérité, mais cependant bien ma
, de 50° à droite, de 45° à gauche, avec de la micromégalopsie pour l'
oeil
gauche, sans dyschromatopsie. Pas de paralysie
lmoplégie externe est réservée aux cas où les muscles extérieurs de l'
œil
, seuls, sont paralysés, tandis qu'on appelle avec
usive; elle n'intéresse pas, en effet, les autres nerfs moteurs clo l'
œil
. Les effets symptomatiques de ce genre de paral
iris manifeste non seulement dans les mouvements de convergence des
yeux
, mais encore sous l'action de la lumière. Nous tr
ment, c'est que la paralysie oculo-motrice n'occupe jamais qu'un seul
œil
; elle ne se répand pas d'un œil à l'autre et, cho
lo-motrice n'occupe jamais qu'un seul œil; elle ne se répand pas d'un
œil
à l'autre et, chose remarquable, c'est, dans un c
st, dans un cas donné de migraine ophthalmoplégique, toujours le même
œil
qui sera frappé dans les accès subséquents ; tant
même œil qui sera frappé dans les accès subséquents ; tantôt c'est l'
œil
droit, tantôt c'est l'œil gauche qui deviendra le
dans les accès subséquents ; tantôt c'est l'œil droit, tantôt c'est l'
œil
gauche qui deviendra le siège des phénomènes para
seront à l'avenir du côté droit ou, au contraire, du côté gauche. L'
œil
dans les accès se montre un peu congestionné en g
pénètre enfin dans l'orbite. « On dirait alors, dit la malade, que l'
oeil
est violemment attiré en arrière, vers le fond de
lace tout à coup à la période paralytique : chute de la paupière de l'
œil
droit, strabisme, mydriase, obnubilation de la vu
e l'œil droit, strabisme, mydriase, obnubilation de la vue de ce même
œil
, diplopie. Cette période a duré également environ
en abrégé, le résultat de l'examen des fonctions oculo-motrices de l'
œil
droit fait, il y a quelques jours, par M. Parinau
La paralysie ne porte pas seulement sur les muscles extérieurs de l'
œil
; elle occupe également, ainsi que cela est la règ
, il n'y a plus trace de ptosis, pas de diplopie, les mouvements de l'
œil
sont parfaits. Les pupilles se contractent sous l
te avec diplopie et léger strabisme. Elle ne pouvait plus lire de cet
oeil
à la distance ordinaire. Ces accidents paralyti
euse a duré jusqu'au 20 février. Alors, la céphalalgie ayant cessé, l'
œil
droit se ferma presque complètement. La diplopie
le. Examens de M. Parinaud, du 30 avril 1890. Ptosis incomplet de l'
œil
droit. Impossibilité de relever la paupière de ce
relever la paupière de ce côté. Quand on dit à la malade d'ouvrir les
yeux
, la paupière de l'œil gauche se relève très bien,
ce côté. Quand on dit à la malade d'ouvrir les yeux, la paupière de l'
œil
gauche se relève très bien, celle de l'œil droit
les yeux, la paupière de l'œil gauche se relève très bien, celle de l'
œil
droit reste immobile. Au repos, pas de strabism
différentes directions. Le mouvement d'adduction et d'élévation de l'
œil
droit est un peu limité. Pas de phénomènes spas
'œil droit est un peu limité. Pas de phénomènes spasmodiques dans l'
œil
gauche. Diplopie.— Pas de diplopie dans le plan
diplopie devient homonyme. En haut, diplopie verticale ; l'image de l'
œil
droit est plus haute. En bas, légère diplopie v
st plus haute. En bas, légère diplopie verticale, mais l'image de l'
œil
droit reste un peu plus haut. OD. M = — 0,50. I
la lumière ni à l'accommodation. V = if-Pas de lésions du fond de l'
oeil
. 2e Examen. 10 mai 1890. — Ptosis de l'oeil dro
de lésions du fond de l'oeil. 2e Examen. 10 mai 1890. — Ptosis de l'
oeil
droit. La paupière se lève difficilement. La pupi
à l'accommodation. Au repos, pas de strabisme. Les mouvements de l'
oeil
droit s'exécutent un peu difficilement, mais le t
t dans l'état suivant: Pas de ptosis, pas de diplopie. Mouvements des
yeux
normaux. Les pupilles se contractent aussi bien à
nation d'œdème bleu quej'ai proposée d'adopter parce qu'elle frappe l'
œil
tout d'abord, si je puis ainsi parler. Cette fo
nt ce qui est arrivé chez le malade que vous avez maintenant sous les
yeux
. Il se nomme Perr... et est âgé de 46 ans. Mari
les troubles tro-phiques hystériques (th. Paris, 1890). et dans les
yeux
l'histoire et" les caractères de cet accident de
ssis à provoquer chez la malade une sorte d'état somnambuliforme, les
yeux
fermés, pendant lequel elle répondait aux questio
sur le genou. On la releva immédiatement, saignant du nez et ayant l'
œil
droit violemment contusionné. Elle était un peu é
ous cas, elle n'y est jamais aussi précoce. Mais si nous jetons les
yeux
sur les nombreuses observations qui forment la ba
ite. Jamais de chute de la paupière, ni de paralysie des muscles de l'
œil
. Cet état, avec des rémissions 'plus ou moins lon
émianesthè-sique; lui-même remarqua qu'il ne pouvait plus lire avec l'
œil
gauche. Pendant l'Exposition il se fait vendeur
les trophiques qui l'accompagnent. Le malade que vous avez sous les
yeux
, le nommé Chap..., vous a déjà été présentele mar
musculaires et cutanés aussi graves que ceux que nous avons sous les
yeux
? Oui, il existe des sciatiques doubles non sym
trez aisément par l'exposé qui va suivre. J'ai fait placer sous vos
yeux
un de nos deux malades. Chez lui, les apparences
très originale, très spéciale, qui, dès le premier abord, frappe les
yeux
du médecin, et que l'on pourrait désigner sous le
tosis. » Ainsi, vous l'entendez, symétriquement il y a immobilité des
yeux
et chute incomplète de la paupière. Cette demi-
i couverte ; le regard en même temps est d'une fixité singulière, les
yeux
regardant en face vaguement, parce que les axes v
raits tient ici à une rigidité des muscles et non à une paralysie ; l'
œil
est plutôt grand ouvert, les sourcils sont élevés
ément que le malade est inhabile, s'il ne meut sa tête, à diriger ses
yeux
dans les directions les plus diverses ; et ceci n
oculaire externe ou abducens. Toute la musculature extérieure de l'
œil
, ou même des deux yeux, est donc atteinte symétri
bducens. Toute la musculature extérieure de l'œil, ou même des deux
yeux
, est donc atteinte symétriquement, bien que les d
digne d'être relevé au premier chef ; la musculature intérieure de l'
œil
, comprenant : 1° les muscles ciliaires, 2° les mu
ù les cellules d'origine des nerfs se rendant aux divers muscles de l'
œil
seraient entremêlées et confondues. L'expérimenta
omotrice de l'iris n'est troublée, alors que tous les mouvements de l'
œil
sont paralysés. C'est là, comme on le dit, un d
dit, un des grands caractères des paralysies nucléaires du globe de l'
œil
. Toutefois, ce caractère n'est pas absolu, car on
qui concerne l'ophthalmoplégie, que c'est le système des muscles de l'
œil
qui est affecté, sans tenir compte de la topograp
n, il avait les deux paupières tombantes, l'immobilité symétrique des
yeux
, la pupille restant indemne. Quelques semaines pl
ins souvent donné de rencontrer une paralysie double des muscles de l'
œil
sous forme d'Ophthalmoplegie externe. Dufour en c
on lente à la lumière. Réflexes conservés. Aucune lésion du fond de l'
oeil
. Les fonctions visuelles, sauf la diplopie, sont
L'appétit est conservé. La santé générale est intacte. L'examen des
yeux
pratiqué par M. le Dr Parinaud donne les résultat
légie externe double incomplète. — Tous les mouvements associés des
yeux
sont intéressés, principalement les mouvements de
elle est surtout déterminée par la prédominance de la paralysie sur l'
œil
droit. L'accommodation n'est pas altérée. Les p
ent, à la lumière et à l'accommodation. Il y a un léger ptosis de l'
œil
droit. L'acuité visuelle est sensiblement norma
œil droit. L'acuité visuelle est sensiblement normale dans les deux
yeux
: O.D. M = — 2 D. V = f. O.G. M = — 3 D. V = f.
ion du champ visuel ni de dyschromatopsie. Pas de lésion du fond de l'
œil
. Au mois de mai 1890 : les symptômes étaient re
ion lente et progressive du trouble de la parole. Il y a deux ans les
yeux
se prirent à leur tour (la malade s'en aperçut pa
de présente le faciès d'Hutchinson : tous les muscles extérieurs de l'
œil
, et ceux-là seuls, sont intéressés. L'ophthalmopl
el-Dieu et pendant ce temps on remarqua qu'il avait quelque chose aux
yeux
; on parla de le faire examiner par M. le profess
d on l'examine'iassis et à l'état de repos, c'est l'expression de ses
yeux
immobiles avec les paupières demi-tombantes, qui
endant aucune trace de paralysie faciale ni à droite ni à gauche. Les
yeux
seuls sont intéressés. On trouve là en effet to
us prononcé à gauche qu'à droite. Quand on dit au malade d'élever les
yeux
, la paupière supérieure se relève d'une manière t
rouvé de diplopie. Le champ visuel est normal, ainsi que le fond de l'
oeil
. Les mouvements de la bouche et des lèvres s'ex
ec — 1 dioptr. Pas de dyschromatopsie. Pas de lésion au fond de l'
œil
. Rétrécissement du champ visuel, également pron
léaire. Le front présente à peu près ses plis transversaux normaux. L'
œil
se ferme entièrement par la volonté ; il n'existe
nt, car c'est le seul moyen qu'il ait, à cause de l'immobilité de ses
yeux
, pour diriger ses regards autour de lui. Lorsque
due à l'atrophie des muscles de la nuque. Mais il suffît de jeter les
yeux
sur la face pour voir immédiatement qu'il ne s'ag
encéphalite. Ce malade à l'air pleurard et hébété conserve encore son
œil
vif. On le voit promener son regard dans toutes l
médier pour ainsi dire à l'immobilité de sa tête par l'agilité de ses
yeux
. C'est qu'en effet son bulbe inférieur seul est p
de cette dernière on devra toujours porter son attention du côté des
yeux
, afin de ne pas laisser inaperçue l'ophthalmoplég
umérale de la myopathie. La chose la plus saillante, ce sont les gros
yeux
des malades, largement découverts par les paupièr
doués de mouvements dans tous les sens. Ils ressemblent bien peu aux
yeux
des sujets atteints de polioencéphalite. Tandis q
t la discuter, car on connaît des cas de polynévrites dans lesquels l'
œil
a été touché. Il est vrai que quelques-uns de c
oplégie externe presque totale pour rœil droit, moins complète pour l'
œil
gauche, et diplopie. On constatait en outre tous
conserva qu'un certain degré de paralysie du droit externe de chaque
œil
, produisant un léger strabisme convergent. En l
s non réellement paralysé. Déplus, la face est indemne, ainsi que les
yeux
. Enfin on retrouvera, sinon dans l'état actuel, d
es qui ne permettent de différencier nettement les deux affections, l'
œil
étant immobile dans l'une et au contraire souvent
cés en mesure de bien mettre en valeur le cas que nous avons sous les
yeux
. C'est un nommé H..., âgé de 26 ans, dont l'his
la médecine ne s'appartient pas encore, et ne voit guère que par les
yeux
de l'expérimenta-lisme; il ouvre le chemin, et el
ous à propos de l'observation du malade que j'ai fait placer sous vos
yeux
. Mais avant d'arriver à l'analyse clinique de c
e du sens musculaire (doigt mis sur le bout du nez) plus accentué les
yeux
fermés que les yeux ouverts. Démarche hésitante
(doigt mis sur le bout du nez) plus accentué les yeux fermés que les
yeux
ouverts. Démarche hésitante, mal assurée, cepen
lisme que vous êtes amené à penser, et non pas au tabès. L'examen des
yeux
, l'absence de parésie vésicale véritable vous con
nation mentale). Eti résumé, Messieurs, je crois avoir mis sous vos
yeux
un bel exemple de paraplégie diabétique, probable
ue celui-ci avait entraînée. Je remets aujourd'hui ce malade sous vos
yeux
, parce qu'il est survenu chez lui diverses modifi
se constatent facilement sur les courbes que je fais passer sous vos
yeux
et qui ont été dressées par M. Grenouillet (Pl. I
isé, n'existe plus du tout aujourd'hui. Le malade se tient debout les
yeux
fermés sans perdre le moins du monde l'équilibre.
e rétrécissement du champ visuel avec micromégalopsie dans les deux
yeux
, sans scotome central. Le goût, l'ouïe, l'odorat
te encore une profonde cicatrice, 1 L'absinthe, c'est « la Muse aux
yeux
verts », comme l'appelle une chanson de carrefour
teur oculaire commun et dont chacun parait animer un des muscles de l'
œil
, et, d'autre part, le trajet intrapédonculaire de
présenter? Mais remarquez, je vous prie, que les autres muscles de l'
œil
sont épargnés et que ce ptosis est à l'état d'iso
spontanés s'accentuant lorsque le malade fait effort pour ouvrir son
œil
et que, quand on cherche à la relever de force, o
nt — elle s'accentue au contraire lorsqu'on lui commande d'ouvrir les
yeux
démesurément — et vous constaterez en même temps
parle pas ici des cas où il y a participation des autres muscles de l'
œil
; dans ces cas, l'origine paralytique est évidente
ons, de bourdonnements dans les oreilles, d'éblouissements devant les
yeux
, puis survenait très souvent une sensation de str
goût, l'odorat, l'ouïe, ne sont touchés d'aucun côté. L'examen des
yeux
, pratiqué le 17 février par M. Parinaud, donne le
ué le 17 février par M. Parinaud, donne les résultats suivants : « 1°
Œil
gauche. — Champ visuel rétréci à 55°; pas de dysc
ci à 55°; pas de dyschromatopsie. Y = y2. Pas de lésions du fond de l'
œil
. Contracture de l'accommodation; un peu de diplop
l. Contracture de l'accommodation; un peu de diplopie monoculaire. 2°
Œil
droit. —Champ visuel légèrement rétréci à 80°; co
ement rétréci à 80°; contracture de l'accommodation. — 3° Ptosis de l'
œil
gauche : la paupière couvre la moitié de la pupil
es pupilles sont égales et réagissent normalement; les mouvements des
yeux
sont normaux ; pas de diplopie, même avec l'emplo
gmentation de résistance. Lorsqu'on ordonne à la malade de fermer les
yeux
, elle le fait facilement et avec énergie. Si on l
nt s'en -faut, chose indifférente. Le malade que vous avez sous les
yeux
, le nommé B...., est âgé de vingt-deux ans, il
ue. Enfin l'examen oculaire n'est pas non plus pour y contredire. L'
œil
droit est petit, enfoncé dans l'orbite, la pupill
cle de Mùller dont la paralysie détermine l'enfoncement du globe de l'
œil
. Or, ces filets nerveux n'accompagnent la premièr
Ses localisations. Névrite optique. Autres lésions syphilitiques :
œil
, oreille, nez. Syphilis héréditaire. Influence so
s l'histoire de cette malade,que j'ai fait de nouveau placer sous vos
yeux
. Chemin faisant, j'aurai l'occasion de relever le
différents stigmates de l'affection qu'elle porte ne sautent pas aux
yeux
tout d'abord ; il est nécessaire pour les trouver
tte infiltration gommeuse, les nerfs optiques, les nerfs moteurs de l'
œil
, etc., se trouvent englobés ; ils subissent des l
i se traduisent cli-niquement, soit par la paralysie des muscles de l'
œil
, soit par la névrite optique. Ces lésions basal
vous allez le voir, n'ont pas été trompées, tant s'en faut. Dans l'
œil
gauche, l'acuité visuelle est réduite des deux ti
Voilà donc encore, en outre de la céphalée, un nouveau stigmate. L'
œil
droit présente lui aussi une lésion spécifique, u
e de la vision de mouches, de filaments volants qui se meuvent avec l'
œil
un peu dans tousles sens. L'ophthalmoscope donne
ne a publié, dans le Mercredi Médical, une paralysie des muscles de l'
œil
chez une femme atteinte de syphilis héréditaire.
ue vous pouvez le voir sur cette figure que j'ai fait placer sous vos
yeux
(Charcot et Gombault). Ici, les conséquences sont
pour garant que le cas du second malade que j'ai fait placer sous vos
yeux
. C'est un homme qui s'est présenté à la policli
abes. Dans la sclérose disséminée — les planches que je mets sous vos
yeux
et que nous devons à l'obligeance d'un oculiste t
. Charcot et son école ont montré que les paralysies des muscles de l'
oeil
s'expliquent par les lésions scléreuses de l'abdu
tilo-culaire envisagés au point de vue des paralysies des muscles des
yeux
, il a trouvé : a). Parésie de l'abducens, 6 (2
e commun, quoique considérées en bloc les paralysies des muscles de l'
œil
soient un peu plus fréquentes dans le tabès que d
qui est normale 5 de ce côté est au contraire très réduite dans l'
œil
droit où V = — • oô Chez l'autre, il n'y a au
V = — • oô Chez l'autre, il n'y a aucune altération du fond de l'
œil
, quoique la vision soit réduite dans l'œil gauche
ne altération du fond de l'œil, quoique la vision soit réduite dans l'
œil
gauche où V = gô' Il est vrai d'ajouter que cette
des troubles visuels accusés par le malade, des lésions du fond de l'
œil
. Il s'agit là d'un point de vue intéressant pou
mulé. La malade, âgée de 41 ans, que vous avez aujourd'hui sous les
yeux
, c'est, vieillie de quinze ans, celle qui fait le
u côté gauche du crâne, à la moitié gauche du front et au-dessus de l'
œil
du même côté. Les douleurs de tête ne se manifest
ce qu'il est aujourd'hui. Dès cette époque la malade s'aperçut que l'
œil
n'accomplissait pas les mouvements vers l'angle e
rfaite de l'appareil auditif périphérique et nerveux. L'examen de l'
œil
a été pratiqué par l'un de nous le 12 mars 1890 e
la paralysie faciale. Pupilles normales. Pas de lésions du fond de l'
œil
. L'odorat est parfaitement conservé des deux cô
de sécheresse de la fosse nasale droite, due à ce que les larmes de l'
œil
malade n'y tombant plus, mais s'écoulent sur la j
accentuées pour l'instant. Si Ton examine avec plus de détails les
yeux
de cette malade, on voit qu'il existe : 1° Une
lade, on voit qu'il existe : 1° Une paralysie de l'orbiculaire de l'
œil
droit, liée à la paralysie faciale. C'est cette p
rue l'on constate et qu'il ne faudrait pas attribuer à un ptosis de l'
œil
gauche. 2° Une paralysie de la 6e paire du même
u repos pas de strabisme, bien que la paralysie du droit externe de l'
œil
droit soit à peu près complète. Examen des mouv
l droit soit à peu près complète. Examen des mouvements dans chaque
œil
séparément. Vautre étant fermé : Œil gauche. —
men des mouvements dans chaque œil séparément. Vautre étant fermé :
Œil
gauche. — Tous les mouvements s'exécutent normale
ermé : Œil gauche. — Tous les mouvements s'exécutent normalement.
Œil
droit. — L'adduction, l'élévation et l'abaissemen
e l'abduction, c'est-à-dire la contraction du muscle droit externe, l'
œil
n'exécute qu'un très léger mouvement, sans s'écar
il se porte brusquement en dedans. Examen des mouvements, les deux
yeux
étant découverts. L'objet fixé est tenu à la dist
vers la droite de la malade, ce qui frappe tout d'abord, c'est que l'
œil
gauche, qui est Sain, se déplace brusquement en d
on. Si l'on continue à solliciter la fixation dans cette direction, l'
œil
droit ne tarde pas à se porter en dedans, égaleme
rusque. La malade est alors en strabisme convergent prononcé des deux
yeux
, comme si l'objet fixé était sur la ligne médiane
commodation, qui a son amplitude normale. Pas de lésion du fond de l'
œil
. Champ visuel normal. O. D. V.=-f O. G. V.=-f.
ses leçons cliniques, a insisté sur ces déviations particulières de l'
œil
dans la paralysie du droit externe. Déjà l'un de
sur les spasmes qui compliquent certaines paralysies des muscles de l'
œil
. Ces spasmes, qui intéressent, sur l'œil sain, le
paralysies des muscles de l'œil. Ces spasmes, qui intéressent, sur l'
œil
sain, les muscles associés des muscles paralysés,
ostic ; tantôt on croit à lu contracture primitive, tantôt on prend l'
œil
sain pour l'œil malade, car une paralysie peu acc
n croit à lu contracture primitive, tantôt on prend l'œil sain pour l'
œil
malade, car une paralysie peu accusée peut dévelo
œil malade, car une paralysie peu accusée peut développer sur l'autre
œil
un strabisme beaucoup plus prononcé que celui de
er sur l'autre œil un strabisme beaucoup plus prononcé que celui de l'
œil
paralysé. D'autre part, de Grœfe avait remarqué
éviation primitive. On sait que la déviation primitive est celle de l'
œil
qui louche, de l'œil malade. La déviation seconda
n sait que la déviation primitive est celle de l'œil qui louche, de l'
œil
malade. La déviation secondaire est celle que pré
he, de l'œil malade. La déviation secondaire est celle que présente l'
œil
sain quand on le couvre de manière à forcer le ma
présente l'œil sain quand on le couvre de manière à forcer le mauvais
œil
à fixer. On se sert dans cette épreuve d'un verre
n se sert dans cette épreuve d'un verre dépoli qui tout en excluant l'
œil
sain de la fixation permet de voir la position qu
quait l'excès de déviation secondaire par un excès d'innervation de l'
œil
sain résultant de l'association fonctionnelle des
ation de l'œil sain résultant de l'association fonctionnelle des deux
yeux
et de leur innervation commune pour un même mouve
t fixer un objet placé devant la malade en couvrant alternativement l'
œil
paralysé et l'œil sain, comme on le fait habituel
lacé devant la malade en couvrant alternativement l'œil paralysé et l'
œil
sain, comme on le fait habituellement, on constat
tion secondaire appréciable. Pour déterminer l'état particulier des
yeux
que nous venons de décrire, il faut solliciter pl
paralysé en forçant la malade à regarder à droite ; c'est alors que l'
œil
sain, sans qu'il soit besoin de le couvrir, se po
i constitue le spasme du muscle associé. Le muscle droit interne de l'
œil
gauche, innervé par le même centre que le droit e
de l'œil gauche, innervé par le même centre que le droit externe de l'
œil
droit pour les déplacements latéraux (noyau de la
n résulte d'un effort pour lutter contre l'obstacle au mouvement de l'
œil
droit. Mais là ne s'arrête pas le trouble fonct
rouble fonctionnel. Si l'on continue à solliciter le déplacement de l'
œil
droit en dehors, on voit qu'à un moment donné il
œil droit en dehors, on voit qu'à un moment donné il se porte comme l'
œil
sain brusquement en dedans. On détermine alors un
alors un état singulier dans lequel la malade ne fixe plus avec aucun
œil
l'objet qu'on l'invite à regarder, bien que l'œil
ixe plus avec aucun œil l'objet qu'on l'invite à regarder, bien que l'
œil
gauche puisse parfaitement le suivre dans toutes
uche puisse parfaitement le suivre dans toutes les directions quand l'
œil
droit est couvert. La déviation en dedans de l'
rections quand l'œil droit est couvert. La déviation en dedans de l'
œil
paralysé peut s'expliquer par la prédominance d'a
résultent des connexions^assez complexes du centre d'innervation de l'
œil
. Les spasmes qui compliquent certaines paralysi
ion de l'œil. Les spasmes qui compliquent certaines paralysies de l'
œil
semblent être le propre des paralysies périphériq
é opposé et se caractérise cliniquement parla déviation conjuguée des
yeux
. Ce phénomène est d'ailleurs parfaitement conform
trique du champ visuel à 40°, des deux côtés ; dyschromatopsie pour l'
œil
droit: le rouge et le jaune sont seuls nettement
ments respiratoires normaux, comme on peut s'en assurer en jetant les
yeux
sur la figure 58. Celle-ci représente la respirat
issement concentrique un peu irrégulier du champ visuel dans les deux
yeux
. Le malade porte plusieurs points hystérogènes
Ses localisations. Névrite optique. Autres lésions syphilitiques :
œil
, oreille, nez. Syphilis héréditaire. Influence so
syphilis héréditaire tardive, 381. Noyaux bulbaires des muscles des
yeux
, 193. Nutrition dans l'hystérie, 453. o Ocu
liers qui sont du ressort de la clinique; ils doivent passer sous vos
yeux
comme autant d'exemples, de démonstrations sensib
lles. § Ier. — ànatomie pathologique. Je mettrai d'abord sous vos
yeux
une série de pièces pathologiques qui vous représ
es de guérison, et bientôt plusieurs d'entre elles passeront sous vos
yeux
. Étudions donc de quelle manière s'accomplit le t
cts de la gibbosité sur les différents malades que vous avez sous les
yeux
, et dont l'affection occupe les régions dorsale o
er à chacune des trois autres formes. (1) J'ai fait passer sons vos
yeux
, dans la précédente séance, plusieurs enfants pré
e à l'anus ; étonné de la persistance de la suppuration, il jette les
yeux
sur la colonne vertébrale, et découvre que la fis
Les différences qui séparent ces deux catégories vont vous sauter aux
yeux
. Je mets en regard deux bosses appartenant à cha
nce du cerveau en conservant celle de la moelle. Vous avez sous les
yeux
un jeune garçon, le n° 29 de la salle St-Marcou,
ente un degré plus avancé d'un côté que de l'autre. Je place sous vos
yeux
plusieurs malades qui offrent ces différentes nua
tique de tous mes confrères. Les deux exemples que je mets sous vos
yeux
sont relatifs à la catégorie de cas dont je parle
je viens de poser et des résultats qu'elle procure, je place sous vos
yeux
un enfant de huit ans, nommé Morin, atteint de ma
nce marche, et la question n'est pas assez complètement résolue à mes
yeux
pour que je sois assuré de lui donner la même sol
one system. o. Avant de passer à un autre sujet, je mets sous vos
yeux
une pièce provenant d'une jeune fdle de 7 ans, mo
ents du sujet. — Nous allons les indiquer, en faisant passer sous vos
yeux
les malades de nos salles atteints de l'affection
otation pure, peu d'inclinaison. Lorsqu'il veut regarder de côté, ses
yeux
tournent et non sa tête. Ce qui domine chez ce ma
ête inclinée d'un côté ; tels sont les enfants chez lesquels les deux
yeux
sont de force inégale. b. Le torticolis volonta
pouvons cependant trouver, dans les faits qui nous ont passé sous les
yeux
, des considérations applicables à un grand nombre
. Sur une pièce recueillie par M. Verneuil, et que vous avez sous les
yeux
, on voit une articulation normale du côté droit;
s, l'orbite, s'oblitèrent après la chute des dents et l'ablation de l'
œil
, et en général les cavités naturelles, lorsqu'ell
s dont une des hanches se trouve luxée ; d'abord par la vue simple. L'
œil
est en général un bon appréciateur; il saisit sou
llure lombaire est bien caractérisée. (1) J'ai fait passer sous vos
yeux
, dans la précédente séance, douze sujets affectés
end l'observation des sujets vivants. Je vais faire repasser sous vos
yeux
quelques-uns des enfants qui vous ont été présent
lus libre dans ses mouvements. Les deux dessins que je place sous vos
yeux
représentent l'état des membres avant et après le
il y a en effet, action coordonnée, harmonique, des muscles des deux
yeux
, contraction simultanée des muscles droits supéri
La vision, pour être parfaite, exige deux conditions : 1° pour chaque
œil
, que l'image se forme dans le prolongement de l'a
me dans le prolongement de l'axe antéro-postérieur ; 2° pour les deux
yeux
, qu'elle se forme dans les points identiques des
nis le strabisme un vice de coordination de l'action des muscles de l'
œil
, s'opposant à la convergence des axes optiques su
férences nombreuses au point de vue de son siège, de la direction des
yeux
, de son étendue, de sa durée, etc. 1° Relativem
sa durée, etc. 1° Relativement à son siège, le strabisme affecte l'
œil
droit ou l'œil gauche ; il est quelquefois bi-ocu
1° Relativement à son siège, le strabisme affecte l'œil droit ou l'
œil
gauche ; il est quelquefois bi-oculaire alternati
quefois bi-oculaire alternatif, la déviation passant tour à tour d'un
œil
à l'autre ; mais il y a aussi un strabisme double
à l'autre ; mais il y a aussi un strabisme double simultané, les deux
yeux
étant déviés en même temps de leur direction norm
strabisme total, c'est-à-dire existant dans toutes les positions des
yeux
et dans toute l'étendue du champ de la vision ; i
aussi un strabisme partiel, dans lequel on observe un accord des deux
yeux
dans une portion du champ visuel, et une désharmo
qui, normalement, sépare le centre de la pupille d'un des angles de l'
œil
. Enfin l'iris, dans le troisième degré , se porte
— Quelle est la lésion musculaire à laquelle se lie la déviation des
yeux
? Elle est de deux sortes : il y a un strabisme p
paralysie musculaire partielle, donnant lieu au strabisme parce que l'
œil
n'obéit plus qu'à l'action des muscles sains; la
ge qu'il doit faire de sa vue : tel est le cas d'une personne dont un
œil
est myope, l'autre presbyte. Les deux organes ne
. Qu'arrive-t-il? C'est que le malade porte toute son attention sur l'
œil
le plus utile, et aban- donne au hasard le seco
tention sur l'œil le plus utile, et aban- donne au hasard le second
œil
, qui, n'ayant pas de but déterminé, se dévie à la
ffet. L'ophthalmie peut amener de plusieurs manières la déviation des
yeux
; elle agit, d'une part, en irritant les muscles e
ibuent à dévier les axes optiques de leur direction naturelle. Un des
yeux
sert moins que l'autre ; l'attention est moins po
a longue d'accompagner son congénère dans ses mouvements. Si l'un des
yeux
est entièrement perdu , l'effet est encore plus m
vie. Dans le strabisme par contraction, si l'on vient à fermer le bon
œil
, l'autre se redresse et peut alors parcourir tout
de l'ouverture des paupières. IVIais on observe souvent dans le même
œil
un mélange de contraction anormale et de rétracti
pposé à celui dont elle se rapproche habituellement, on voit dans cet
œil
une lutte et une série de saccades, le muscle qui
bile, permet, comme son nom l'indique, une assez grande mobilité de l'
œil
. Le strabisme fixe pourrait être confondu avec
s quelques cas, non dans d'autres. Outre l'appareil musculaire de l'
œil
, il est un organe qui joue un rôle important dans
st la membrane décrite par Tenon sous le nom de nouvelle tunique de l'
œil
. Elle s'attache directement au pourtour de l'orbi
upières. Appliquée exactement sur la moitié postérieure du globe de l'
œil
, elle est percée de plusieurs trous pour le passa
ent se raccourcir à la manière des ligaments, et contribuer à fixer l'
œil
dans une position vicieuse. III. État de la vis
elle-ci est quelquefois primitif. On est frappé d'une chose, dans l'
œil
strabique, c'est que les rayons lumineux ne tombe
rétine, et frappent obliquement sa partie centrale. La vue, dans cet
œil
, peut être comparée à la vue latérale dans un bon
a vue, dans cet œil, peut être comparée à la vue latérale dans un bon
œil
, c'est-à-dire qu'elle est très-imparfaite. Les op
l'amblyopie. L'état de la vue doit aussi être examiné dans les deux
yeux
à la fois. La portion du champ de la vision qui a
x yeux à la fois. La portion du champ de la vision qui appartient à l'
œil
louche est très-bornée. La diplopie est un symp
m'occupe. Vous savez comment on explique la vue simple avec les deux
yeux
dans l'état physiologique : les images se peignen
axes optiques et ceux où les rayons lumineux se croisent dans chaque
œil
(Millier). Les mêmes conditions n'existent plus d
llèle. La diplopie ne se produit pas dans toutes les positions de l'
œil
; quelques-unes la font cesser; elle n'est pas non
le degré de la déviation. On l'observe principalement quand les deux
yeux
sont d'égale force, et le strabisme récent ; elle
une tumeur blanche du genou droit. Il offre un strabisme interne de l'
œil
gauche, du deuxième degré, uniforme dans tous les
e n'obscurcit la transparence des cornées. Le malade peut lire avec l'
œil
gauche des caractères de moyenne grandeur, mais n
aractères de moyenne grandeur, mais non ceux d'un texte ordinaire ; l'
œil
droit, au contraire, distingue bien les lettres d
distingue bien les lettres de toutes les dimensions. L'abduction de l'
œil
gauche s'effectue complètement, sans saccades. Le
s'est déclarée une ophthalmie intense qui maintint les paupières de l'
œil
gauche fermées pendant quatorze jours. Quand l'en
tif, c'est-à-dire que la déviation porte alternativement sur les deux
yeux
. L'œil gauche, toutefois, est le siège habituel d
st-à-dire que la déviation porte alternativement sur les deux yeux. L'
œil
gauche, toutefois, est le siège habituel de la di
Voici par quel moyen nous constatons la mobilité du strabisme : si l'
œil
gauche se trouvant dévié, je viens à fermer celui
fixer un objet, le strabisme cesse immédiatement à gauche et occupe l'
œil
droit, même après que celui-ci a été ouvert et ju
latéralement, la déviation repasse du côté gauche, c'est-à-dire sur l'
œil
qu'elle occupait d'abord. Tantôt, dans ces stra
occupait d'abord. Tantôt, dans ces strabismes alternatifs, les deux
yeux
se dévient avec une égale facilité ; tantôt, et c
objets plus ou moins volumineux, plus ou moins éloignés. L'état des
yeux
date de la première enfance; le malade a éprouvé
t intactes. L'enfant, âgé de huit ans, lit avec la même facilité de l'
œil
droit et de l'œil gauche. IVe cas. — Un cas qui
nt, âgé de huit ans, lit avec la même facilité de l'œil droit et de l'
œil
gauche. IVe cas. — Un cas qui présente de l'ana
ière dans l'une de nos salles. Le strabisme est interne et occupe l'
œil
gauche; il date, dit-elle, de l'âge d'un an. Habi
par exemple, d'enfiler une aiguille. La vision est très-faible de l'
œil
gauche, qui distingue à peine de gros caractères
l'iris gauche se cache au quart ou au tiers dans le grand angle de l'
œil
; l'abduction est assez complète, l'iris atteint l
e externe. Ve cas. — Autre exemple; c'est un strabisme interne de l'
œil
droit, et du second degré. Le malade a six ans ;
présente un léger ectropion. Le globe oculaire de ce côté est sain. L'
œil
droit, affecté de staphylôme ancien, distingue se
le malade fixe un objet, circonstance d'autant plus remarquable que l'
œil
louche est à peu près inutile à la vision. Cet œi
remarquable que l'œil louche est à peu près inutile à la vision. Cet
œil
est le siège de quelques mouvements de nystagmus,
plète. VIe cas. — Nous avons l'exemple d'une déviation interne de l'
œil
gauche, du second degré, chez cette jeune fille d
é droit surtout, présentent des taches légères. L'enfant lit des deux
yeux
, mais plus facilement de l'œil droit; l'abducti
taches légères. L'enfant lit des deux yeux, mais plus facilement de l'
œil
droit; l'abduction est plus difficile et moins
ns durable à gauche qu'à droite. L'enfant louche par moments des deux
yeux
; elle fait naître à volonté un strabisme double e
tre alors dans le second degré. Les cornées sont exemptes de taies. L'
œil
droit n'aperçoit qu'une ligne noire là où l'œil g
exemptes de taies. L'œil droit n'aperçoit qu'une ligne noire là où l'
œil
gauche distingue nettement des caractères d'impri
ner naissance à une double image de ces objets. Dans le principe, les
yeux
retournaient facilement à leur direction normale
it commencé à se livrer à son bizarre exercice, et pendant la nuit, l'
œil
droit se dévie de lui-même en dedans, et conserve
aboutissent qu'à faire cesser le strabisme pendant quelques heures. L'
œil
retourne opiniâtrement à l'attitude nouvelle qu'i
cin, consulté pour cette difformité , fait appliquer un bandeau sur l'
œil
gauche, espérant par ce moyen ramener l'axe visue
eau sur l'œil gauche, espérant par ce moyen ramener l'axe visuel de l'
œil
droit dans sa direction primitive et naturelle. L
s'est trouvé obligé, pour ne voir qu'une seule image, de maintenir l'
œil
droit fermé. Lorsque le malade fixe un objet pl
rte en dedans, mais reste à trois millimètres de l'angle interne de l'
œil
. Dans l'adduction portée au plus haut degré, une
st meilleure à gauche qu'à droite ; mais la supériorité visuelle de l'
œil
gauche est peu marquée. Des deux images qui se fo
t la notion exacte de la situation des objets, prend naissance dans l'
œil
gauche; la seconde, variable dans sa position, es
se rapprochent l'une de l'autre à mesure que l'objet se rapproche des
yeux
, et elles coïncident enfin lorsqu'il n'est plus d
lus distant que de quelques lignes du dos du nez. * Si l'on ferme l'
œil
gauche, on rend à l'œil opposé sa direction natur
ues lignes du dos du nez. * Si l'on ferme l'œil gauche, on rend à l'
œil
opposé sa direction naturelle ; mais le strabisme
er. (1) Il résulte de l'examen des malades que j'ai placés sous vos
yeux
, que, pour arriver à un diagnostic complet du str
me, on ne doit pas se contenter de constater la position relative des
yeux
dans le regard fixe ; il faut encore observer les
n relative des yeux dans le regard fixe ; il faut encore observer les
yeux
dans des positions variées. Il sera bon de fermer
observer les yeux dans des positions variées. Il sera bon de fermer l'
œil
sain, afin de s'assurer de (1) Quinzième leçon,
ème leçon, 24 août 1855. l'étal des contractions musculaires dans l'
œil
affecté. On n'oubliera pas non plus de faire rega
cas, recourir à l'expérience qui consiste à clore les paupières de l'
œil
sain, de manière à permettre à l'œil malade de se
siste à clore les paupières de l'œil sain, de manière à permettre à l'
œil
malade de se redresser ; s'il conserve encore la
conserve encore la situation normale malgré la réouverture de l'autre
œil
, on en pourra conclure que la déviation existe de
la première de ces deux affections, on remarque des oscillations de l'
œil
plus ou moins rapides, mais toujours*très-fréquen
nier cas embarrassant est la paralysie d'un des muscles latéraux de l'
œil
. J'ai exposé précédemment les caractères qui la d
coup moins de cette âme extérieure qui réside principalement dans les
yeux
; on juge ces personnes défavorablement quand on n
tre elles. » Le strabisme a d'autres inconvénients : le langage des
yeux
est en défaut chez les strabiques ; la vision est
est en défaut chez les strabiques ; la vision est altérée ; l'un des
yeux
devient inutile, et les malades sont pour ainsi d
trabisme n'est pas sans agrément; c'est ce qu'on appelait autrefois Y
œil
ci la Montmorency. Les anciens attribuent ce lége
pplicables au traitement du strabisme; on ne peut, en effet, saisir l'
œil
et le maintenir à l'aide d'un bandage. Toutefois,
Toutefois, les fils passés dans la conjonctive oculaire, pour fixer l'
œil
dans une position déterminée, constituent une sor
de strabisme. Vous avez entendu un malade vous raconter qu'un de ses
yeux
s'est dévié à la suite d'efforts pour voir les ob
l-miques ; on se propose un double but en les employant : redresser l'
œil
strabique par l'exercice et rétablir Faction des
anciennement connus. Paul d'Égine a indiqué, pour le redressement des
yeux
déviés, les loucheltes, qui consistent en un doub
ruments ont le même inconvénient : c'est que, tandis que l'on croit l'
œil
louche bien dirigé, il reste dans sa position vic
icieuse ; on devra donc, quand on les emploiera , visiter souvent les
yeux
et s'assurer qu'ils ont, au moins par moments, un
ce naturaliste sur la cause du strabisme : il consiste à couvrir l'
œil
sain d'un bandeau afin de le rendre inactif, et d
u diminué. En s'efforçant de fixer dans un miroir l'image de chaque
œil
avec l'œil correspondant, on a espéré rendre au g
En s'efforçant de fixer dans un miroir l'image de chaque œil avec l'
œil
correspondant, on a espéré rendre au globe oculai
minent chirurgien dont je viens de parler. Les moyens qui forcent l'
œil
à se porter sur un objet peuvent être employés av
un de ses malades : celui-ci regardait les objets situés en face d'un
œil
avec l'œil opposé, et offrait, par conséquent, un
alades : celui-ci regardait les objets situés en face d'un œil avec l'
œil
opposé, et offrait, par conséquent, une convergen
énieux à l'aide duquel l'individu peut s'assurer s'il regarde avec un
œil
ou avec les deux yeux. Un miroir ordinaire, auque
l l'individu peut s'assurer s'il regarde avec un œil ou avec les deux
yeux
. Un miroir ordinaire, auquel serait adapté un dia
n'a point fait attention que les conditions de l'appareil moteur de l'
œil
sont toutes différentes de celles qui existent da
assurer l'exercice à peu près régulier de ses fonctions. Mais dans l'
œil
, il n'en est pas de même ; la précision des mouve
, ont aussi indiqué les effets de sa rétraction sur la direction de l'
œil
. Avant eux, on n'avait pas tenu compte de cette i
redressement, ont été vues du public et l'ont effrayé. Les premiers
yeux
redressés avaient attiré la foule des strabiques;
. L'aponévrose, ai-je dit, joue un grand rôle dans la déviation des
yeux
: elle se rétracte comme les muscles. Des liens p
ois temps. Premier temps. — A l'aide des ophthalmostats, on ouvre l'
œil
largement en écartant en sens inverse chaque paup
ostat à ressort, lorsque les aides font défaut. Deuxième temps. — L'
œil
étant ouvert, on procède à sa fixation. A cet eff
ieure du muscle sectionné forment plus tard sa nouvelle insertion à l'
œil
. La section une fois complète, on aperçoit la tei
ments. Après l'opération, tout n'est pas fini; il faut regarder les
yeux
et s'assurer de leur direction. Il peut arriver q
e le strabisme persiste au même degré. Si le patient peut tourner son
œil
en dedans tout autant qu'avant l'opération, celle
tant beaucoup de réserve, et on examinera de nouveau la direction des
yeux
et l'état de la vision. Une condition essentielle
action après l'opération ; il faut que le malade puisse diriger son
œil
en dedans, seulement dans une moindre étendue. S'
e. Toute la différence dans les conditions anatomiques que présente l'
œil
du côté externe, relativement à la strabotomie, c
de produire une plaie extérieure, de détruire les liens fibreux de l'
œil
dans un trop grand espace; de là le procédé sous-
s est d'exposer peut-être moins à détacher l'aponévrose du globe de l'
œil
dans une trop grande étendue. Le même avantage se
tinite, ophthalmie intense, etc., qui peuvent entraîner la perte de l'
œil
. On n'observe guère de pareils accidents que par
eux. Il reste assez souvent une légère dépression au grand angle de l'
œil
, entre cette cicatrice et la caroncule lacrymale.
ns divisées. Les choses se passent différemment dans les muscles de l'
œil
; il paraît que les deux bouts ne se réunissent j
du muscle; mais nous avons constaté la soudure du bout postérieur à l'
œil
; ce bout se greffe en quelque sorte à la scléroti
t antérieur, surtout s'il a une certaine longueur, puisse adhérer à l'
œil
près de la nouvelle attache du bout postérieur, a
ar des moyens orthophthalmiques, à l'aide d'un bandeau appliqué sur l'
œil
sain , par exemple, ou bien par un fil de soie pa
ar exemple, ou bien par un fil de soie passé dans la conjonctive de l'
œil
opéré. Je ne sais si ces tentatives ont été couro
quatre catégories les résultats définitifs de la strabotomie. Io L'
œil
est complètement redressé ; ses mouvements ont le
sé ; ses mouvements ont leur étendue naturelle ; c'est, en un mot, un
œil
tout à fait normal. Ce résultat parfait s'obtient
t que son congénère; mais ces différences sont à peine sensibles. Les
yeux
, vus de face, sont presque normaux; si le malade
cès d'écartement des paupières, au strabisme opposé, à la fixité de l'
œil
. Elles ne seraient guère admissibles que si la vi
ible, et qu'on eût l'espoir de rétablir cette fonction en donnant aux
yeux
une meilleure situation. Zi° L'opération produi
à celui qui existait, le muscle antagoniste attirant trop fortement l'
œil
de son côté. Cet accident, facile à produire dans
irurgiens ont observé à la suite de la division d'un des muscles de l'
œil
, dont l'action se trouve perdue par l'effet de qu
re relatifs à la vision. Elle s'améliore souvent, en même temps que l'
œil
se redresse ; la rétine retrouve sa sensibilité ;
t-cinq ans que j'ai opéré en 1851. Il avait un strabisme externe de l'
œil
droit, qui persiste encore aujourd'hui, mais qui
st à peine du deuxième degré. J'ai peu détaché le muscle abducteur, l'
œil
me paraissant suffisamment redressé au moment de
d'abduction, un léger intervalle entre l'iris et l'angle externe de l'
œil
du côté droit ; l'adduction s'exerce parfaitement
it ; l'adduction s'exerce parfaitement ; il y a accord entre les deux
yeux
dans ce mouvement. Si j'eusse porté plus loin la
du muscle, j'aurais obtenu un redressement plus complet du globe de l'
œil
; mais le mouvement d'abduction, déjà insuffisant
te jeune fille, âgée de dix-huit ans, a été opérée aussi en 1851. Ses
yeux
ont une direction normale; je considère ce résult
e résultat comme un succès. Il s'agissait d'un strabisme interne de l'
œil
gauche du troisième degré. L'autre œil participai
it d'un strabisme interne de l'œil gauche du troisième degré. L'autre
œil
participait à l'affection ; il y avait presque st
ne de l'iris n'atteint plus la caroncule lacrymale. L'accord des deux
yeux
est parfait dans le regard à droite ; ils cessent
t à gauche, et surtout à la fin de leur course. IVe cas. — Les deux
yeux
ont été opérés chez celte autre malade; elle avai
plet, l'abduction normale, l'adduction conservée ou peu diminuée. Les
yeux
se trouvaient d'accord, excepté dans des mouvemen
a fait naître un strabisme divergent. Il aurait fallu, pour ce second
œil
, se borner aux moyens orthophthaliniques, ou ména
année suivante, on constatait un très-léger défaut de convergence des
yeux
dans le regard vague, un accord dans les mouvemen
et gauche, excepté à la fin de ce dernier mouvement; l'abduction de l'
œil
gauche restait incomplète. Aujourd'hui on ne voit
elle avait eu une variole à trois ans; une taie s'était formée sur l'
œil
et avait été suivie d'une déviation du globe ocul
n s'arrêtait à deux millimètres de la caroncule lacrymale. En outre l'
œil
gauche était un peu plus grand que l'œil droit. L
oncule lacrymale. En outre l'œil gauche était un peu plus grand que l'
œil
droit. Le 19 mars 1841, la section du muscle droi
roit externe fut pratiquée sans amener de changement dans l'état de l'
œil
; de larges débridements eurent pour résultat son
on attache antérieure, a produit un redressement salis faisant de l'
œil
; l'étendue de l'adduction est très-peu diminuée.
nos opérés présentait, comme le précédent, un strabisme interne de l'
œil
gauche, dont la cause nous est inconnue; nous sav
'abduction était complète. Le malade nous disait voir moins bien de l'
œil
gauche ; toutefois la vue, de ce côté, était enco
toutefois la vue, de ce côté, était encore bonne. Quand on couvrait l'
œil
droit, on observait un redressement subit de l'œi
uand on couvrait l'œil droit, on observait un redressement subit de l'
œil
gauche. Les efforts du malade parvenaient à maint
it de l'œil gauche. Les efforts du malade parvenaient à maintenir cet
œil
redressé après la réouverture des paupières à dro
s la réouverture des paupières à droite; mais abandonné à lui-même, l'
œil
gauche retournait à sa position vicieuse. En li
ition vicieuse. En lisant, l'enfant ne paraissait regarder que de l'
œil
droit, l'œil gauche restant toujours dirigé en de
e. En lisant, l'enfant ne paraissait regarder que de l'œil droit, l'
œil
gauche restant toujours dirigé en dedans. Le doig
gauche restant toujours dirigé en dedans. Le doigt, placé en face des
yeux
, et de près, était vu double ; la deuxième image
x. Immédiatement après l'opération, le malade ne voit plus double ; l'
œil
est redressé ; mais quelques instants après, le s
e résistante, probablement formée de fibres charnues, que j'incise. L'
œil
reste alors bien redressé; l'adduction est étendu
; il n'en est distant que d'une demi-ligne. Aujourd'hui, l'état des
yeux
est satisfaisant; seulement le gauche est un peu
ns près qu'autrefois ; il en reste éloigné de plus d'un millimètre. L'
œil
gauche est assez bien d'accord avec le droit dans
rtant à l'extrême adduction. L'harmonie existe d'abord entre les deux
yeux
dans le regard à gauche, mais elle diminue et ces
la myotomie oculaire a permis d'obtenir un redressement complet de l'
œil
dans quatre cas, et dans trois de ces cas une amé
é un demi-succès dans deux autres cas ; et qu'enfin elle a laissé les
yeux
dans un état très-imparfait chez les deux dernier
appent l'un et l'autre, et si l'on a nommé le strabisme pied bot de l'
œil
, on pourrait, avec non moins de raison, appeler l
ence de cette cause par le bel exemple de talus que je place sous vos
yeux
. h° Le pied bot primitivement musculaire est de
emploie ; c'est le pied bot confirmé. Je vais faire passer sous vos
yeux
plusieurs enfants atteints de paralysie incomplèt
t analogue s'est produit chez une petite fille que vous avez sous les
yeux
, par la seule influence d'une faiblesse musculair
r en quelque sorte circulaire, comme vous en avez un exemple sous les
yeux
. C'est là le vrai pied bot dans le sens primitif
se. C'est ce qui se voit sur toutes les pièces que vous avez sous les
yeux
. En voici deux, néanmoins, qui offrent une disp
ion du calcanéum. L'un des deux pieds que je viens de mettre sous vos
yeux
en est un exemple. Voici encore une autre dispo
i décrit la même année (4), comme dans les exemples qui sont sous vos
yeux
. C'est là le talus commun. Ce talus commun nous
peut présenter aucune difficulté; c'est une difformité qui frappe les
yeux
. Cependant la vue peut tromper en pareil cas, e
, comme on l'appelle. C'est à peu près le modèle que je mets sous vos
yeux
. La chaussure diffère notablement de la précédent
s presque tous les appareils construits depuis. J'ai réuni sous vos
yeux
les machines pour pieds bots de plusieurs fabrica
ial du premier degré, et à gauche un valgus; vous avez ainsi sous les
yeux
deux appareils agissant en sens contraire pour le
it une dans le sens transversal. Dans les appareils placés sous vos
yeux
, il y a deux genres de mécanisme qui conduisent à
ieurs de MM. Charrière, Lebelleguic et Cottin, que vous avez sous les
yeux
. Vous comprenez que le haut du levier étant fix
augmenter sa résistance à une nouvelle torsion. Vous en avez sous les
yeux
plusieurs modèles : tous présentent, comme les ap
s raccourcis, pour que l'idée vînt de les couper. On avait devant les
yeux
l'exemple du torticolis, guéri par la section du
stique, de plasma. Cette matière organi-sable se voit quelquefois à l'
œil
nu chez le cheval. Tous les observateurs l'ont vu
s après, et c'est le moule fait à cette époque que vous avez sous les
yeux
. Il vous offre donc un exemple très-probant de la
é des travaux de M. Broca; je suis heureux de pouvoir mettre sous vos
yeux
, pour l'élucidation de cet ordre de faits, des pi
ondroïde et spongoïde sont très-minces et se voient difficilement à l'
œil
nu dans l'état normal; mais dans le rachitisme, l
ci dans de longs détails graphiques; je me bornerai à mettre sous vos
yeux
quelques-unes des figures de M. Broca et à vous r
ble hypertrophie rachitique. Vous en avez plusieurs exemples sous les
yeux
. C'est à cette hypertrophie, qu'il faut rapporter
porter cette forme de resserrement transversal que vous avez sous les
yeux
, et dans laquelle les pubis, inclinés en dedans,
ement différentes, comme vous pouvez vous en convaincre en jetant les
yeux
sur ces planches de M. Stanski (4). Figurez-vous
la contraction musculaire. Xe cas. — Je termine en plaçant sous vos
yeux
, comme exemple de l'emploi des machines, cette pe
de là que, de même que dans cette ligne brisée que vous avez sous les
yeux
, s'il se produit un angle dans une des brisures
bel exemple de cette courbure, dont je fais passer la figure sous vos
yeux
(1). Si les douleurs persistent, la colonne venéb
, et sur la partie postérieure du bassin de l'autre. Je mets sous vos
yeux
le dessin d'un appareil de ce genre. Tout en reco
e dois à sa complaisance de pouvoir mettre cette belle pièce sous vos
yeux
. Il manque le sacrum, cinq vertèbres cervicales e
nt la prévenir, est transformée de même en lordose. Je place eous vos
yeux
la photographie d'un malade de M. Duchenne , dont
semblent toutes; on les dirait calquées sur le même modèle. Jetez les
yeux
sur ces figures de M. Bouteiller, qui a publié un
ancher. F. Une dernière figure, parmi celles que vous avez sous les
yeux
, réunit à la flexion en S un abaissement du bassi
in destiné à remplir le vide d'un côté du dos et à égaliser, pour les
yeux
, la saillie des épaules. Galien, dans un ouvrag
ce n'est pas tout. Cet aplatissement, qui est tout ce qui frappe lès
yeux
dans une colonne entière, est accompagné d'autres
soient partout exactement symétriques. Vous en jugerez en jetant les
yeux
sur tous ces rachis. C'est surtout à la région do
s. Cette déviation et cette inégalité sont toujours peu sensibles à l'
œil
, et il faut quelque attention pour les saisir. La
r en avant. XIIe cas. — Fille, treize ans. Ophthalmie et perte d'un
œil
. Légère voussure latérale gauche par flexion habi
ancé, et elle est souvent compliquée de cyphose. Vous avez sous les
yeux
plusieurs pièces n'offrant qu'une seule courbure
muscles pour établir une courbure de compensation. Vous avez sous les
yeux
plusieurs exemples de courbure lombaire ou lombo-
s lombaires sont à gauche, une seule est à droite. Je remets sous vos
yeux
, en terminant, cette variété rare de gibbosité pr
à la crête ou dans la fosse iliaque. Vous en avez un exemple sous les
yeux
(2). Cette rencontre des dernières côtes avec le
vingt-cinq ans, avec un rachis en vilebrequin que vous avez sous les
yeux
, montre jusqu'où peut aller la compression des po
adavre, mous, relâchés, comme sur la pièce que vous avez eue sous les
yeux
. Us agissent pourtant ; nul doute, mais ils agiss
plus les muscles que dans l'expérience répétée dernièrement sous vos
yeux
. On devine quel rôle important jouent ces mouve
he (4). Ainsi, cette énorme courbure dorsale que vous avez sous les
yeux
, qui nous paraît évidemment primitive, ne serait
. Je n'ai pas rencontré, parmi les nombreux cas que j'ai eus sous les
yeux
, une plus grande proportion d'intelligences supér
oliotiques à courbure dorsale droite. Je place aujourd'hui sous vos
yeux
une enfant de dix ans atteinte d'une forte courbu
nes. C'est ce qui se rencontrait chez une jeune fille placée sous vos
yeux
dans la dernière séance; mais la forme en S spéci
insi que cela a eu lieu dans plusieurs des cas qui ont passé sous vos
yeux
. Des conditions analogues déterminent la durée,
essement à peu près complet des corps, et qui s'est produite sous vos
yeux
dans certaines attitudes de la station. En revanc
sont les pièces qui composent ces appareils ; vous les avez sous les
yeux
. (1) Voy. J. Guérin, Sur l'extension sigmoïde e
droit. La ceinture à levier de M. Hossard, dont vous avez sous les
yeux
plusieurs modèles, a été faite pour ce résultat p
ersonne. C'est là un beau succès, que j'ai dans le temps mis sous les
yeux
d'une commission de l'Académie des sciences. Mais
hacun de ces filaments est un nerf très-petit, un nerf élémentaire. L'
œil
armé du microscope découvre en chacun d'eux une o
odilien quelconque. Dans le Crocodilus lucius que nous avons sous les
yeux
, une première masse médiane et symétrique est log
lant. De toutes les parties de la cellule nerveuse, c'est celle que l'
œil
découvre le plus facilement. Quelques cellules
rotubérance, les faisceaux longitudinaux de l'axe qu'elle cachait aux
yeux
, apparaissent de nouveau sous forme de deux gros
ppées par des parties surajoutées, n'apparaissent pas directement à l'
œil
de l'observateur. Une étude approfondie de la str
bornerons-nous à décrire les faits sommaires tels qu'ils sautent aux
yeux
, si je puis m'exprimer ainsi. Cette exposition pr
d, on découvre ainsi l'intérieur du vestibule, et, vers son milieu, l'
œil
plongeant entre les deux couches optiques, aperço
ndibulum, au-dessous des cornes frontales des ventricules latéraux, l'
œil
aperçoit un cordon horizontal qui passe d'un corp
nroulées autour des pédoncules, qui avaient depuis longtemps frappé l'
œil
investiga^-teur de M. le professeur Gerdy, dont l
ace interne. Nous comprenons, sous ce nom face externe, tout ce que l'
œil
, regardant le cerveau de profil, peut à la fois e
l, regardant le cerveau de profil, peut à la fois embrasser. Ce que l'
œil
, fixé sur le centre de l'ouverture de l'hémisphèr
le centre de l'ouverture de l'hémisphère, peut voir d'un seul coup d'
œil
, sera, pour nous, la face interne de l'hémisphère
oit noir a pour base une masse grise amorphe, au milieu de laquelle l'
œil
distingue une grande quantité de cellules multipo
en distinguer plus de trois. Les observations qu'on peut faire à l'
œil
nu ou simplement armé d'une loupe ne peuvent guèr
quatre couches, et à coup sûr le microscope lui donne raison, mais l'
œil
armé d'une simple loupe donne raison à M. Baillar
° Cette préparation fort simple permet d'apercevoir, d'un seul coup d'
œil
, l'enroulement des bandelettes et des couches opt
Les observations qui vont suivre n'auront pas moins de valeur à leurs
yeux
. Dans les singes, dont le nerf optique est énor
vec le cerveau, de connexion directe. Ces animaux cependant ont des
yeux
; ils voient, et se déterminent d'après ce qu'ils
t le lecteur de lire ce résumé en ayant toujours les figures sous les
yeux
. Encore éprouvera-t-il, je le crains, des difficu
enroulé parallèlement au tœnia semicircularis, et bientôt échappe aux
yeux
par sa petitesse excessive. Mais quelle que soit
dans cette multitude d'assertions incomplètes et contradictoires, mes
yeux
peuvent se reposer sur quelques vérités démontrée
halic (1). Chez lui, la saillie des voûtes orbitaires s'abaisse, et l'
œil
est complètement refoulé par le cerveau dans la r
e cerveau dans la région moyenne de la face (2). Ainsi la saillie des
yeux
, quand elle coïncide avec un développement normal
du crâne, tandis que dans l'Homme, au contraire, le crâne refoulant l'
œil
, envahit le domaine de la face, comme pour exprim
ndre qu'un 10e. Cette grande dilatation du frontal explique comment l'
œil
, dirigé sur le vertex, voit à peine quelques poin
et capacité du crâne. Bien que la question de forme l'emporte à nos
yeux
sur la question de masse, nous sommes loin de pen
beaucoup moindre. Dans un crâne d'idiote congéniale que j'ai sous les
yeux
, le diamètre longitudinal, pris extérieurement, é
parents chauves naissent souvent des enfants chauves ; de parents aux
yeux
bleus, des enfants aux yeux bleus; de parents lou
vent des enfants chauves ; de parents aux yeux bleus, des enfants aux
yeux
bleus; de parents louches, des enfants louches, e
hommes droits. Ainsi les particularités qui les distinguent sont, aux
yeux
des nations, le critérium de la souveraine beauté
t donc celle de Bellingeri. M. Stilling en est si convaincu, qu'à ses
yeux
la substance grise est l'agent essentiel dans la
obe cérébral droit à un pigeon : l'animal perdit aussitôt la vue de l'
œil
opposé. Du reste il marchait, volait, se mouvait
s cérébelleux moyens est l'attitude dans laquelle se placent les deux
yeux
. Ils deviennent fixes en sens inverse. Celui du c
ens inverse. Celui du côté lésé se dirige alors en bas et en avant, l'
œil
opposé se porte en haut et en arrière (1). Je ne
il dépend de quelques dispositions des racines des nerfs moteurs de l'
œil
, dispositions jusqu'à présent inconnues. M. Lon
e la mémoire (1). » Ces centres nerveux ont un effet croisé sur les
yeux
. En effet, après l'ablation de l'un d'eux, l'œil
ffet croisé sur les yeux. En effet, après l'ablation de l'un d'eux, l'
œil
du côté opposé est frappé de cécité ; mais ils on
uls que la pensée est possible, et l'on pourrait dire qu'ils sont les
yeux
de l'âme, qui, sans eux, devient en effet aveugle
e des mouvements de l'iris, etde cette accommodation automatique de l'
œil
, sans laquelle il ne peut y avoir de vision disti
s, a été attribué par MM. Lafargue et Longet à la cécité dont Tun des
yeux
estalors frappé. M. Flourens n'admet pas complète
, si ce tournoiement ne tenait pas à la perte de la vi-« sion dans un
œil
. Je bandai donc un œil à plusieurs pigeons. « Ces
tenait pas à la perte de la vi-« sion dans un œil. Je bandai donc un
œil
à plusieurs pigeons. « Ces pigeons tournèrent, en
pigeons tournèrent, en effet, d'abord presque tous sur « le côté de l'
œil
non bandé , mais bien moins longtemps et « bien m
il sait qu'il ne pense ni par ses bras, ni par ses jambes, ni par les
yeux
, ni par les oreilles, ni par aucun autre organe e
la force des choses m'y entraine malgré moi. Leibnitz apparaît à mes
yeux
comme un autre Epicure; mais un Épi-cure agrandi
iduelle soit nécessairement un être individuel. Il suffit d'avoir des
yeux
, ajoute-t-il, pour apercevoir de tous les côtés d
le doigt d'un homme non prévenu, auquel on a, au préalable, bandé les
yeux
; notre aveugle en recevra aussitôt une certaine i
rties plus sensibles et dont le toucher est plus délicat, « comme les
yeux
, la langue, etc. Mais c'est uniquement « parce qu
mposer avec cos couleurs des images ressemblantes des choses. Ainsi l'
œil
est en lui-même un automate-peintre à la manière
ement et de l'habitude? D'où vient que nous voyons les objets par les
yeux
, sans les voir dans les yeux? Ce problème a de to
vient que nous voyons les objets par les yeux, sans les voir dans les
yeux
? Ce problème a de tout temps exercé l'esprit des
ilosophes. Les uns ont supposé que les rayons visuels sortaient des
yeux
pour aller toucher les corps. Ces rayons étaient-
s. Sans le toucher, s tous les objets nous paraîtraient être dans nos
yeux
, parce (( que les images des objets y sont en eff
plus petits selon qu'ils s'approchent ou qu'ils s'éloignent « de ses
yeux
(1). L'aveugle-né de Cheselden croyait que tous «
elden croyait que tous « les objets indifféremment lui touchaient les
yeux
. » Cette manière de voir n'est pas prouvée. On
es. Mais dire que tous les objets, indifféremment, lui touchaient les
yeux
, n'est-ce pas là une expression figurée, bien dig
u par eux. C'est par le toucher seul que nous avons une idée de notre
œil
(2). Un aveugle-né sent aussi bien ses yeux qu'un
us avons une idée de notre œil (2). Un aveugle-né sent aussi bien ses
yeux
qu'un homme clairvoyant, mais celui-ci ne sent pa
312. (2) Les mouvements réciproques des paupières et du globe de l'
œil
, éveillant la sensibilité de la conjonctive, sont
njonctive, sont la cause principale de l'idée que nous avons de notre
œil
en tant qu'organe vivant. il se fait dans l'esp
s une idée des choses extérieures, nous n'avons point l'idée de notre
œil
modifié. C'est là une sensation par excellence.
façon qu'il vous revienne un petit point lumineux. Fermez ensuite un
œil
et regardez le point lumineux en rêvant, c'est-à-
suite un œil et regardez le point lumineux en rêvant, c'est-à-dire, l'
œil
relâché ou dilaté. Ce point vous paraîtra plus gr
lus gros et rayonné ; alors, si vous placez votre doigt à droite de l'
œil
ouvert, et que vous l'approchiez de l'axe de l'œi
oigt à droite de l'œil ouvert, et que vous l'approchiez de l'axe de l'
œil
de droite à gauche pour couvrir ce point lumineux
un petit trou pratique dans une carte tenue à 6 ou 7 centimètres de l'
œil
. Si l'on fait alors passer un objet grêle, tel qu
i l'on fait alors passer un objet grêle, tel qu'une aiguille, entre l'
œil
et la carte, on verra une ombre distincte travers
sage que l'impression immédiate ou l'image totale qui se peint dans l'
œil
; mais cela ne l'est pas quant au jugement que l'e
t à droite ce qu'il touche à gauche. S'il se meut vers sa droite, les
yeux
fermés, dans la direction d'une corde tendue vers
certaine de l'unité de l'objet qu'il considère, cependant il y a deux
yeux
et par conséquent deux images. Comment se fait-il
le tranchaient la question en disant que dans la vision nette un seul
œil
était employé. ïl est certain que la vision avec
un seul œil était employé. ïl est certain que la vision avec un seul
œil
est plus distincte; quand au milieu d'une foule d
ulons en distin guer un seul, nous fermons instinctivement l'un des
yeux
(1). Il en est de même quand nous cherchons à voi
leur petitesse, échappent à la vue et à l'action simultanée des deux
yeux
: par un seul œil on voit donc plus nettement, ma
happent à la vue et à l'action simultanée des deux yeux : par un seul
œil
on voit donc plus nettement, mais il ne s'ensuit
œil on voit donc plus nettement, mais il ne s'ensuit pas qu'avec deux
yeux
un seul objet soit vu double, une expérience très
deux faces adjacentes. Les choses étant ainsi disposées, fermons un
œil
, l'œil gauche, par exemple, on perdra à l'instant
ces adjacentes. Les choses étant ainsi disposées, fermons un œil, l'
œil
gauche, par exemple, on perdra à l'instant même l
auche du prisme et de la bande parallèle du même côté; fermons-nous l'
œil
droit au contraire? c'est la face droite qui disp
èle qui lui est juxtaposée. On peut, lorsqu'on regarde avec un seul
œil
, disposer les choses de manière à n'apercevoir qu
ace du prisme, et jamais on n'en aperçoit plus de deux. Avec les deux
yeux
on peut voir à la fois trois faces, et il est imp
rnativement les raisons pour et contre, ferment habituellement un des
yeux
. C'est là un geste très-significatif de doute et
certain qu'on ne voit pas absolument de la même manière avec un seul
œil
ou avec deux yeux; mais en aucun cas on ne voit d
voit pas absolument de la même manière avec un seul œil ou avec deux
yeux
; mais en aucun cas on ne voit double l'objet qu'o
ttement. En répétant l'expérience de la vision du prisme par les deux
yeux
alternativement, on peut constater que, bien que
blable. Or, il est évident que dans la vision simultanée par les deux
yeux
, les parties dissemblables des deux images ne son
es parties dissemblables des deux images ne sont vues que par un seul
œil
, mais que les deux yeux voient à la fois les part
s des deux images ne sont vues que par un seul œil, mais que les deux
yeux
voient à la fois les parties semblables, et que c
, pour que cette superposition ait lieu, il est indispensable que les
yeux
soient dans certaines conditions d'adaptation har
conditions d'adaptation harmonique. Cela est si vrai que lorsque les
yeux
sont accommodés sur un point de manière à le voir
delà de ce point paraissent doubles. L'accord physiologique des deux
yeux
est-il détruit, le même phénomène de duplicité s'
pinceau optique. Dès lors, la simplicité de l'image vue avec les deux
yeux
, dépend, suivant lui, de ce que les axes de la vi
deux yeux, dépend, suivant lui, de ce que les axes de la vision d'un
œil
aboutissent au même point de l'objet auquel about
uivant ce célèbre physicien, chaque filet du nerf optique de l'un des
yeux
aboutit au même point du cerveau qu'un certain fi
yeux aboutit au même point du cerveau qu'un certain filet de l'autre
œil
. On peut ainsi considérer les fibres des deux ner
étines. Les objets que nous voyons par ces points homologues des deux
yeux
sont vus simples. Toutefois, comme l'image perçue
e couleurs plus vigoureuses que dans le cas de la vision avec un seul
œil
. A priori l'on pourrait croire que lorsque les
ion avec un seul œil. A priori l'on pourrait croire que lorsque les
yeux
ont une égale énergie, l'impression qu'on reçoit
une égale énergie, l'impression qu'on reçoit des objets par ces deux
yeux
à la fois est deux fois plus intense. Mais il n'e
mis de supposer que c'est là un phénomène purement cérébral et où les
yeux
ne sont pour rien. Ainsi, avec deux yeux, on ne
urement cérébral et où les yeux ne sont pour rien. Ainsi, avec deux
yeux
, on ne voit pas les objets doubles, parce que les
certain accord de ces deux organes. De la même manière, un troisième
œil
pourrait s'accorder avec le second, un quatrième
e partie, chap, xxxi, art. 20. ception d'une vision simple, par les
yeux
composés des insectes. Il y a donc en réalité d
es plus intéressants parmi ceux que révèle l'étude physiologique de l'
œil
. On pourrait varier presque à l'infini les expéri
x points d'une couleur opaque a et 6. Si l'on considère avec les deux
yeux
un objet quelconque au travers de cette lame, le
on parallèle à la ligne idéale qui unit les centres optiques des deux
yeux
. Ainsi, en inclinant la tête de côté et d'autre o
u point a et au point 6 un plan qui rende le point « invisible pour l'
œil
droit, et le point 6 invisible pour l'œil gauche.
le point « invisible pour l'œil droit, et le point 6 invisible pour l'
œil
gauche. On ne voit plus alors qu'une seule image
image résultant de la superposition de B et de A'. Ainsi avec deux
yeux
on peut voir un objet comme deux, et deux objets
de deux images d'objets distincts, dont chacune est imprimée dans un
œil
différent, en même temps qu'elle justifie la théo
le penser, mais rouge ou bleue. Ce résultat semble prouver que les
yeux
s'accommodent différemment pour la vision distinc
axes optiques convergent vers un même point ; 2° que chacun des deux
yeux
soit accommodé pour la même distance; 3° qu'aucun
étranger ne se trouve sur le prolongement des axes optiques d'un seul
œil
; 4° que l'esprit lui-même entre en jeu pour disti
prit n'intervient pas, il ne résulte de toutes ces impressions dans l'
œil
qu'une idée confuse. Cette synthèse de la sensati
synonymes. On sait que l'ensemble des images qui se peignent dans l'
œil
peut être aisément représenté sur une surface pla
anée des objets étant en raison inverse du carré de leur distance à l'
œil
, des teintes plus vives, plus arrêtées surtout, d
ets situés à des distances inégales. Cette nécessité d'accommoder ses
yeux
d'une manière spéciale pour chaque distance, ces
ère spéciale pour chaque distance, ces modifications successives de l'
œil
se portant d'objets plus rapprochés vers des obje
ndue. Il y a en effet une sorte de liaison naturelle du corps et de l'
œil
qui fait qu'aux mouvements de celui-ci s'associen
les objets se rapprochent davantage. Ainsi, de même que le toucher, l'
œil
n'éclaire l'intelligence que par l'intelligence,
rfection! rapides comme l'esprit, la succession des sensations dans l'
œil
est si prompte, que toutes semblent s'unir dans u
ue, tout ce qui se meut, tout ce qui est dans l'espace, c'est par les
yeux
que nous le connaissons, et si nous l'imaginons c
nous le connaissons, et si nous l'imaginons c'est comme chose vue. L'
œil
est donc le sens privilégié de l'esprit créateur
s sens, il est créateur d'images; aussi, quand après les ténèbres les
yeux
revoient la lumière, les portes de l'âme semblent
re partie, ch, vi. sont inhérentes à la constitution naturelle de l'
œil
. Tels sont, par exemple, les singuliers phénomène
nt d'autant plus longtemps que l'impression est plus forte ou que les
yeux
sont plus faibles. L'image consécutive peut durer
e dans le second. Quand nous fermons les paupières au grand soleil, l'
œil
est comme inondé d'une lumière rouge, ouvrons-nou
l, l'œil est comme inondé d'une lumière rouge, ouvrons-nous alors les
yeux
, tous les objets blancs semblent teintés de vert.
traste successif. Il y a contraste mixte dans le cas suivant : « Un
œil
étant fermé, par exemple l'œil droit, l'œil gauch
raste mixte dans le cas suivant : « Un œil étant fermé, par exemple l'
œil
droit, l'œil gauche regarde fixement une feuille
ans le cas suivant : « Un œil étant fermé, par exemple l'œil droit, l'
œil
gauche regarde fixement une feuille de papier d'u
it être à la rigueur expliqué, en admettant une certaine fatigue de l'
œil
et, par conséquent, une aptitude moindre de la ré
né. Il n'y a point là de fatigue, cependant « toutes les « fois que l'
œil
voit simultanément deux objets différemment « col
ouvement, comme une nappe d'eau coulant avec rapidité, l'on porte les
yeux
sur un objet immobile, une illusion constante vou
i l'on fixe un instant ce disque en mouvement, et que, détournant les
yeux
, on les porte immédiatement sur quelque objet, su
ervations de la nature de celles-ci. 11 est d'autres illusions de l'
œil
qui ne dépendent pas du mouvement des objets exté
s phénomènes du vertige. Quand on a longtemps tourné sur soi-même les
yeux
ouverts et qu'on s'arrête brusquement, tous les o
uisque le tournoiement des objets a lieu lors même qu'on a tourné les
yeux
fermés. Une autre preuve que les yeux n'y sont po
eu lors même qu'on a tourné les yeux fermés. Une autre preuve que les
yeux
n'y sont pour rien, c'est que si on détermine en
ernativement obscures et claires, et d'une oscillation insensible des
yeux
. Reste à savoir comment des impressions analogues
la remarque que, dans des dessins où plusieurs lignes se croisent, l'
œil
peut distinguer à volonté des figures diverses. A
peut encore à certains égards concevoir pourquoi tel a la mémoire des
yeux
, tel autre des sons ou des contacts, et cela indé
nté. C'est ainsi que nous cessons de regarder et que nous fermons les
yeux
quand nous voulons imaginer vivement des couleurs
d'instance, les attitudes du sommeil tendent à un équilibre passif. L'
œil
est entraîné en haut comme dans la mort, les paup
remier effet du sommeil commençant est de détruire la coaptation de l'
œil
aux objets. C'est ainsi que les lignes d'un livre
es, comme si l'âme se retirait lentement vers ses derniers refuges. L'
œil
s'endort d'abord, puis le toucher, et en dernier
auban, que dans cet état on puisse voir dans les ténèbres et lire les
yeux
fermés ou même au travers d'une feuille de papier
quœ noclu gesta essent ignarissimus. (2) Comp. Guépin. Éludes sur l'
œil
el la vision. (3) M. l'abbé Barthélémy, qui a é
e (3), et bien avant lui elle avait été formulée par Lactance ; à ses
yeux
il est si nécessaire que l'âme pense toujours, qu
er qu'avec réserve. Quoi qu'il en soit, quand on s'observe ainsi, l'
œil
regardant dans les ténèbres aperçoit une multitud
gures en nombre infini, où tout change avec une décevante rapidité, l'
œil
est ébloui et comme chatouillé par une succession
res formes indécises. dormant, lorsque tout à coup j'aperçus de mes
yeux
fermés, une tête éblouissante de couleur, dévie e
e qu'elle me semblait illuminée du soleil. Elle me regardait avec des
yeux
noirs et intelligents. Le reste du corps se termi
bservai pendant quelques instants cet objet fantastique, j'ouvris les
yeux
et le rêve cessa au moment même. Ces combinaiso
au travers des cils, affectaient encore la rétine et remplissaient l'
œil
de lumière. (2) M. Maury, dans un travail remar
e, ce sont des ténèbres absolues. Pénétrez dans un abîme, couvrez vos
yeux
, que dis-je? devenez aveugle; vous anéantirez pou
ur vous le monde extérieur, mais vous n'anéantirez pas votre âme. Les
yeux
fermés ou détruits sont pleins de lumières, phosp
extérieure n'éclaire plus les objets, soit qu'on ferme seulement les
yeux
, soit enfin qu'on ait perdu la vue. Nous donneron
hallucinations dont l'objet n'apparaît qu'au grand jour, lorsque les
yeux
sont ouverts et sous l'influence d'une vive lumiè
ns l'obscurité, c'est-à-dire dans une sorte dé sommeil partiel dont l'
œil
est le siège. Ces hallucinations ont dans la plup
d'un cauchemar, je me dégageai par un effort violent et j'ouvris les
yeux
. J'aperçus alors une tête gigantesque. Cette tê
ont impérieusement regarder. Elles paraissent suivre le mouvement des
yeux
, mais il ne s'ensuit pas nécessairement qu'elles
itude du corps fait que nous considérons comme ayant au-devant de nos
yeux
toutes les choses que nous nous imaginons voir. A
iques. Ces images semblent donc suivre le mouvement de la tête et des
yeux
. Je me suis convaincu de ce fait une nuit, à la
le, et cependant il se sentait frissonner; un instant il détourna les
yeux
et cessa alors devoir le fantôme, puis les report
lucinations nocturnes. Celles-ci, avons-nous dit, flottent devant les
yeux
comme des phosphènes ; l'objet de l'hallucination
mpossible d'apporter quelque remède « à sa frayeur. On lui voyait les
yeux
égarés à la vue de ce « spectre, et pour ne le pa
rs était homme de « bien et bon chrétien (1). » Ainsi, ferme-t-on les
yeux
, dé-tourne-t-on la tête? l'objet fantastique disp
é-tourne-t-on la tête? l'objet fantastique disparaît; dirige-t-on les
yeux
sur le lieu où on l'a vu d'abord? il paraît de no
ce avec les hallucinations crépusculaires; mais celles-ci offrent aux
yeux
des formes pâles; les fantômes diurnes apparaisse
ns la plupart des cas il suffit de l'impression de la lumière sur les
yeux
pour déterminer la vision d'objets qui disparaiss
pour déterminer la vision d'objets qui disparaissent aussitôt que les
yeux
sont fermés (1), souvent alors le fantôme n'est p
sont fermés (1), souvent alors le fantôme n'est perçu que par un seul
œil
. C'est là ce que M. Mi-chéa désigne sous le nom d
leptique, au moment de l'invasion de ses accès, apercevait, mais de l'
œil
gauche seulement, une roue dentée, (1) Cf. Beau
et de spectres affreux, quoiqu'en plein jour et lorsqu'elle avait les
yeux
bien ouverts. On regarda ceci comme une affection
erchait à l'arrêter, quelqu'un, par hasard, mit la main sur un de ses
yeux
. A l'instant tous ces horribles fantômes s'évanou
e de remédier à ce mal, ce fut de recouvrir pendant quelque temps cet
œil
, pour qu'il ne reçût pas de lumière. On a cru t
hallucinations de la vue et de l'ouïe, les hallucinations affectent l'
œil
d'un côté du corps, et l'oreille de l'autre. On a
e on a donné le nom de deuîéroscopie. Elle consiste à voir devant ses
yeux
un fantôme semblable à soi. (1) Maisonneuve, Ob
, « dit-il, mais je l'ai rêvé. Ainsi l'un eut tout éveillé sous les «
yeux
, à la faveur d'une image fantastique, ce que l'au
onnes passaient en ce moment sur le pont; l'animal se changea à leurs
yeux
en un cadavre d'homme; l'un voyait sa jambe, un a
souffle et son imagination ranime ces restes immobiles. Souvent, aux
yeux
d'un homme qui s'éveille de l'ivresse, les objets
et passagères : ensuite appuie ta barbe sur ta poitrine. « Tourne les
yeux
avec toute ta pensée au milieu de ton ven-« tre,
Il est certain que nous avons deux hémisphères, comme nous avons deux
yeux
. Or, comme on peut penser avec un seul hémisphère
par lui seul, et par conséquent comparer et discuter. Semblable à un
œil
(1) Leuret. Fragments psychologiques, pages 184
nt avoir dans ce cas des effets analogues à ceux de la lumière sur un
œil
excité. L'état du cerveau étant donné, le corps
ouvements d'une escarpolette, il n'est pas rare de la voir fermer les
yeux
. Examinez alors avec attention les mouvements du
ette expérience est simple et concluante. Poussons encore. Suivez des
yeux
un oiseau qui s'envole, un ballon qui s'élève; à
s les airs. Enlevez-vous, lui disait-on, et soudain elle fermait, les
yeux
, faisait un grand mouvement d'inspiration, pendan
cygnes qui folâtraient dans les eaux de la Seine qui coulait sous mes
yeux
. Quand l'histoire fut achevée et que mon attent
ion était facilement explicable. Ne regardant pas avec attention, mes
yeux
n'avaient vu que la blancheur; or cette blancheur
s à considérer machinalement l'étalage d'un marchand d'estampes : mes
yeux
se fixèrent plus particulièrement sur une gravure
e multiplication infinie d'images qui assiègent dans les ténèbres les
yeux
d'un homme éveillé; images dont un pen plus de du
ans les oreilles des animaux à propos d'une application attentive des
yeux
, en sont un exemple fort habituel. Les mouvemen
toute l'influence de l'esprit sur le pendule, il suffit de bander les
yeux
. Alors la volonté la plus énergique est impuissan
tion n'agit point indépendamment des organes du corps, elle conduit l'
œil
dans le sens du mouvement qu'elle rêve, comme ell
le corps entier dans le somnambulisme. A ce mouvement symbolique de l'
œil
, s'associe bientôt un mouvement sympathique de la
pendule. Le rôle de la vue est également évident dans ce cas; si les
yeux
sont bandés, il ne se produit plus rien d'analogu
magination; mais l'autre, que l'on suppose tenu hors de la portée des
yeux
, oscillera au hasard, et la volonté la plus énerg
mouvements d'un autre corps tenu suspense manu, hors de la portée des
yeux
; 3° que l'action de la volonté sur un pendule te
que l'action de la volonté sur un pendule tenu d'une main et dont les
yeux
suivent les mouvements, n'a aucune influence sur
ce sur les mouvements d'un pendule tenu de l'autre main, mais que les
yeux
n'aperçoivent pas; 4° que la volonté idéale n'a a
; 4° que la volonté idéale n'a aucune influence sur le pendule si les
yeux
sont bandés, quelle que soit d'ailleurs la durée
e n'a un effet sensible sur un pendule tenu à la main que lorsque les
yeux
sont actuellement dirigés sur ce pendule. Ainsi
suffit pas. Mais si à l'attention de l'esprit s'unit l'attention des
yeux
, le regard s'associant au désir chasse symbolique
gards ce mouvement, et l'action de cette volonté sur le mouvement des
yeux
se change sympathiquement en une action réelle de
périence suivante : qu'un homme auquel on aura au préalable bandé les
yeux
, sautille verticalement devant vous. Pendant ce t
vons ici tous les éléments du mouvement du pendule z l'attention de l'
œil
et l'idée d'un mouvement possible. Or, on ne peut
ngations qui rendent l'existence de ces tractions sensible à tous les
yeux
. On peut démontrer la même chose à l'aide d'une l
rps. Quand l'esprit est absorbé dans la contemplation d'une idée, les
yeux
sont symboliquement attentifs. Imagine-t-on des s
s que l'on pense vivement. Songeons-nous à quelque chose d'élevé? Nos
yeux
s'élèvent vers le ciel. Imaginons-nous quelque ab
tion maçonnique. L'épreuve imposée fut la suivante : on lui banda les
yeux
, puis l'on se mit en devoir de le saigner; en con
n d'un autre homme. Cette correspondance cachée qui s'établit par les
yeux
, par les oreilles, nous lie, pour ainsi dire, à t
nt nos mouvements, et les idées pénètrent par les oreilles et par les
yeux
. Je ne sais, par suite de ces observations, si le
giquement jeter un autre homme dans le sommeil magnétique regarde ses
yeux
. 11 veut que leurs paupières s'abaissent. Il pèse
était encore le monstre épicome de Home. On voyait, il est vrai, les
yeux
de la tête accessoire se mouvoir quand la tête no
me Frascator explique cela : La joie, dit-il, épanouit le cœur et les
yeux
, el par là, elle ouvre une porte au poison qui ém
produire chez les gens crédules et avertis. Mais si on leur bande les
yeux
, si on agit à leur insu, rien n'arrive. Réciproqu
nerfs, il est certain, par exemple, que sans un appareil d'optique l'
œil
ne serait point un organe de vision. Admettons qu
gnétisme celle des sorciers et des magiciens de l'Orient qui, par les
yeux
d'un enfant encore pur (1), voient dans un verre
morceau de charbon sur le parquet, devient comme une porte par où les
yeux
de l'homme charmé plongent dans les profondeurs d
st aveugle ; or pour observer des faits de ce genre il faut avoir des
yeux
et très-bien voir. J'ai assisté à plusieurs séa
bre souvent, est la vision au travers des corps opaques. On bande les
yeux
du somnambule, on remplit les orbites de coton qu
, et de les fortifier. Cette question a d'autant plus d'intérêt aux
yeux
du philosophe, que si l'idée est le principe de l
pris détermine un certain mouvement caractéristique de la bouche, des
yeux
et du nez. Je demande s'il est possible d'exécute
tance fière et de doute. A l'inverse, souriez en fermant à demi les
yeux
et en courbant un peu la pointe du nez, votre phy
l'entêtement stupide. Il faut les habituer à regarder en face, d'un
œil
modérément ouvert, sans contraction du sourcil, e
sourire précoce, surtout quand il est accompagné d'un clignement des
yeux
, parce que c'est une attitude de fausseté. L'enfa
c'est une attitude de fausseté. L'enfant doit rire par éclats et les
yeux
ouverts. On exercera son corps aux pratiques de
illon caché de quelque basse passion ? Respirez largement, ouvrez les
yeux
, dressez votre corps, et à l'instant votre âme se
qui glisse entre les feuilles tremblantes, elle échappe aisément à l'
œil
ébloui. Quant à l'araignée, atten tive au centr
e système. Le corps, par exemple, s'éloigne d'un objet menaçant que l'
œil
seul a vu, sans aucune participation de l'intelli
un vestige de langage ; ils vont même si loin à cet égard, qu'à leurs
yeux
l'homme ne diffère absolument des animaux que par
nom de mouvements prosboliques (1). Les mouvements prosboliques des
yeux
, des oreilles, de la bouche, des mains, de tout l
sensible de ces mouvements avec les sentiments qui les déterminent. L'
œil
s'ouvre-t-il modérément dans le regard, c'est que
aliment, c'est exprimer un sentiment agréable. Réciproquement, si les
yeux
se ferment ou se détournent, si les oreilles se c
cté. Ainsi, tout le corps s'associe naturellement aux mouvements de l'
œil
qui se ferme avec effort; dans ce cas, il se prod
tivement la bouche. Un son désagréable déchire-t-il les oreilles, les
yeux
se ferment d'eux-mêmes ; nous avons donné à ces m
raires s'associent. C'est ainsi qu'un animal qui a le soleil dans les
yeux
, regarde autrement un objet qui l'attire, qu'il n
ces inverses: l'une qui pousse à regarder, et l'autre à détourner les
yeux
. De là, des attitudes contrariées pleines d'effor
'expression. Des mouvements un peu différents se produisent quand l'
œil
est fixé sur un objet menaçant. Dans ce cas, les
nt alternativement, et de cette alternation résulte le clignement des
yeux
. On observe un grand nombre de faits analogues :
fait de même à son insu. Conçoit-il l'idée d'une chose visible ? ses
yeux
regardent; a-t-il l'idée de sons agréables? il éc
uables. Ainsi, l'esprit est-il attentif à quelque objet imaginaire, l'
œil
sera symboliquement attentif; mais ce regard sans
ler l'attention de l'âme par la perception d'aucun objet externe. Les
yeux
alors regardent sous les paupières abaissées ; d'
nté par l'ordre entier des mouvements sympathiques ; on se frotte les
yeux
, les narines se débarrassent d'obstacles imaginai
, par exemple, attentifs aux propriétés géométriques de l'espace? nos
yeux
exprimeront métaphoriquement cette attention ; l'
t tous les organes dans la sphère de leur activité propre. Ainsi, les
yeux
contemplent, les oreilles écoutent tout ce qui év
le caressent et l'attirent. L'idée est-elle un motif d'aversion? les
yeux
se détournent ou se mettent en défense; la tête s
de Lavater est populaire, et celui da Engel est presque ignoré! les
yeux
regardent avec une insistance pénible ; la tête f
ue l'admiration, sinon l'admission joyeuse d'un certain objet par les
yeux
? L'expression de l'amitié se compose de mouvement
ses les noms qu'elle a voulus. Elle désigne à l'esprit des sons par l'
œil
, et des couleurs par l'oreille. Elle exprime l'es
e même trois objets affectent nos sens autrement que deux, mais notre
œil
ne distingue pas neuf de dix; ceci est l'affaire
dée qu'on en a, suppose un langage formel. Ce que nous avons dit de l'
œil
est également vrai de l'oreille, elle peut conser
ble opposition. La première est en rapport avec le développement de l'
œil
et du nerf optique; la seconde suit le développem
ions du système nerveux central. J'ai fait mettre ce cerveau sous vos
yeux
afin que vous puissiez juger par vous-mêmes du si
ère gauche. Il n'existe dans l'hémisphère droit, sain d'ailleurs, à l'
œil
nu, dans tous ses autres points,qu'une seule lési
surtout par compression, mais cette destruction n'atteint point, à l'
œil
nu, la substance blanche sous-jacente. Une prépar
tenter d'impressionner l'organe visuel, car chez elle l'occlusion des
yeux
est complète pendant la léthargie. En soulevant
nt ses caractères distinctifs, nous plaçons un verre rouge devant les
yeux
de la malade. Immédiatement nous lui voyons esqui
tonnement admiratif. L'application d'un verre vert clair devant les
yeux
ne change rien à la scène précédente. Après ces
ait très joli ou très terrible ; ça lui passait rapidement devant les
yeux
. C'était comme s'il s'agissait d'elle, mais elle
pur souvenir, mais elle les voyait alors se dérouler, non devant ses
yeux
, mais dans son imagination. A ce moment précis où
véritables hallucinations suggérées, tableaux qui défilent devant les
yeux
de la malade, ou scènes un peu plus complexes dan
atiquées. Après l'avoir mise en catalepsie, nous plaçons devant ses
yeux
un verre bleu : immédiatement ses sourcils se fro
Verre vert. — Sourire ; elle fait le geste d'envoyer un baiser. Les
yeux
levés au ciel, sa physionomie exprime un parfait
prononcé, avec gestes. Eau de Cologne. — La malade sourit, lève les
yeux
au ciel, puis joint ses mains et se place dans l'
ense comme pour so battre. Alcool. — Elle joint les mains, lève les
yeux
au ciel et paraît prier. Les diverses excitatio
ès l'avoir mise en catalepsie, nous plaçons un verre rouge devant ses
yeux
. Immédiatement sa face prend l'expression d'une g
ce prend l'expression d'une grande frayeur. Ses bras se lèvent et ses
yeux
regardant dans le lointain semblent contempler un
blent contempler un spectacle terrible. Verre bleu. — Elle lève les
yeux
au ciel, joint ses mains en l'air dans l'attitude
, cligne les paupières et met ses mains en abat-jour au-dessus de se3
yeux
, comme pour se protéger d'une lumière trop vive.
d'une lumière trop vive. (Ce même verre jaune, placé sur nos propres
yeux
, nous donne à nous-mêmes l'illusion que les objet
se la tête, l'air profondément triste comme si ce qu'elle suivait des
yeux
avait disparu pour ne plus revenir. Nous avons pu
lation. Puis elle se comprime avec les deux mains l'ovaire droit. Ses
yeux
sont fixes et un peu hagards, sa face exprime une
u chemin de fer et le bruit de la locomotive, elle semble suivre de l'
œil
un train qui passe dans le lointain. Le bruit d
n gong, la plonge dans une grande tristesse. Elle met la main sur ses
yeux
comme quelqu'un qui pleure ou qui prie. Elle assi
tout cela comme un individu normal. Placez un verre rouge devant ses
yeux
, il voit les objets teints en rouge. Le catalepti
phase passionnelle de l'attaque.—En plaçant un verre vert devant les
yeux
du malade, il sourit, puis se met à rire. Verre
e l'attaque, de raconter les tableaux qui se sont déroulés devant ses
yeux
pendant les expériences des jours précédents, et
s superbe h.. Où vas-tu par un beau temps comme cela. (Elle ferme les
yeux
.) Quel soleil ! Allons à l'ombre... Les beaux nua
vert.— Il voit des feux de Bengale. Si on met le verre devant un seul
œil
, le feu de Bengale est raté. Si on le met devant
un seul œil, le feu de Bengale est raté. Si on le met devant les deux
yeux
, il est superbe. Verre bleu. — Il est juché sur
i nettoie sa chaufferette à la fenêtre. Il a de la poussière dans les
yeux
. Un charbon est tombé sur son pardessus qui brûle
ns des symptômes qui relèvent de ce somnambulisme. Le somnambule aies
yeux
grands ouverts, mais il les tient fixes, les pupi
les mêmes. C'est alors que le sujet est un vrai somnambule; il a les
yeux
ouverts, le plus souvent du moins, mais ne voit q
sans réflexion là où il se trouvait. Il allait droit devant lui, les
yeux
grands ouverts, le regard fixe, tournant les obst
t : 1° des accès de somnambulisme spontané dans lesquels il avait les
yeux
ouverts ; 2° du somnambulisme hypnotique provoqué
points hystériques, il existait une amblyopie hystérique totale de l'
œil
droit constatée par M. Parinaud, et qui était sur
sa physionomie change. Son regard devient fixe, presque aussitôt les
yeux
se convulsent en strabisme convergent et brusquem
sionomie d'un aveugle dont les paupières battaient et qui roulait ses
yeux
dans les orbites. Le lendemain une attaque se pro
ant, soit debout, travaillant, il « s'endormait » tout d'un coup. Ses
yeux
se fermaient, ses paupières battant légèrement, l
étendue et sans grande violence. Puis il se remettait au travail, les
yeux
toujours fermés, faisant son ouvrage avec une pré
té, il devenait rouge, suait à grosses'gouttes. De temps en temps les
yeux
s'ouvraient pour quelques secondes puis se referm
désintéressé. Il avait fini par s'apercevoir qu'en le fixant dans les
yeux
il « l'endormait» et il exécutait cette manœuvre
tuel (janvier 1890). C'est encore un enfant que nous avons devant les
yeux
, bien qu'il ait près de 17 ans. Sa voix n'a pas e
e, avec un peu de polyopie monoculaire et de mégalopsie, surtout de l'
œil
gauche. L'examen du champ visuel, pratiqué immédi
ère le dos. Cela dura quelques secondes, puis le malade se remit, Les
yeux
étaient toujours fermés, les paupières battant.
n..., derrière un gros poteau..., un gros poteau vert. » Il ouvre les
yeux
pendant quelques secondes, puis les referme. « Ma
le sol avec ses mains), il y a un tapis. » Il se lève. D. « Ouvre les
yeux
. Regarde-moi. » Il ouvre les yeux avec un certain
tapis. » Il se lève. D. « Ouvre les yeux. Regarde-moi. » Il ouvre les
yeux
avec un certain effort, fixe le regard d'un air m
près... Oh! c'est excessivement loin. » Il met ses deux mains sur ses
yeux
en abat-jour, puis cherchant à lire et déchiffran
es à dormir. » Puis il se tait et en effet au bout de 25 secondes ses
yeux
s'ouvrent et il revient à lui, très étonné de tro
auche. On a tenté pendant la crise de lui faire de nouveau ouvrir les
yeux
et on a pu remarquer que quand il disait regarder
ait rien, je le vois tout de même. » Puis mettant ses mains sur ses
yeux
en abat-jour, il lit dans le lointain sur un gran
e !» A ce moment on a approché la lampe de son visage. Il avait les
yeux
fermés, et bien qu'il les ait tenus constamment f
il le mange avec voracité. Il rapproche ses deux mains au-dessus des
yeux
, prend l'attitude d'une personne qui regarde au l
lit : « Ah I la voilà ! sale bête. » Enfin il se recouche, ouvre les
yeux
et c'est fini. Cela a duré environ 20 minutes.
doucement, avec une parcimonie de gestes qui saute d'autant plus aux
yeux
que, pendant qu'il délire, il est, au contraire,
à telle ou telle hallucination, il suffisait de lui mettre devant les
yeux
un verre coloré, sous les narines un corps odoran
dans une autre attaque les tableaux qui s'étaient déroulés devant ses
yeux
et les scènes auxquelles il avait pris part. Il o
la sur mon épaule. Tu me fais mal avec ton gros bec. Tu me piques les
yeux
. Oh ! là, là ! Oh ! là, là ! « ..... Oh ! tous
s marchez (elle rit aux éclats)..... « ..... Oh! ce gros hibou, ces
yeux
de chat qu'il a. Il méfait peur. Tue-le donc, Ale
c'est un diamant. Voyez donc comme il brille. Oh! il me fait mal aux
yeux
; je vais le cacher, car les hommes rouges pourra
édés dont l'énumération suit : En plaçant un verre rouge devant les
yeux
de la malade, sa physionomie revêt une expression
superbe !... Où vas-tu par un beau temps comme cela? » Elle ferme les
yeux
: « Allons à l'ombre.... Les beaux nuages ! » A
se la cataleptique impassible, l'application d'un verre rouge sur les
yeux
amène sur sa face l'expression d'une violente ter
ne l'hallucination de grand soleil et la malade met ses mains sur ses
yeux
comme une visière, pour se protéger contre le sol
empes. Mais si on prolongeait la fixation de l'objet, tout à coup les
yeux
se convulsaient en haut, la face grimaçait et imm
il s'arrête, redresse le tronc tout en restant assis sur le sol, les
yeux
effarés regardant fixement le parquet. Puis il av
it là, qu'on avait jeté devant lui avec intention, et qui prend à ses
yeux
la figure de la bête poursuivie. Il la tient alor
scription desquelles nous n'entrerons pas. Pendant tout ce temps, les
yeux
sont grand ouverts, clignant peu. De plus, on not
ous lui fournissons. C'est ainsi qu'en promenant les mains devant ses
yeux
on lui fait voir un papillon qui voltige, il souf
on arrive à des résultats analogues. Un verre rouge placé devant ses
yeux
lui fait voir du sang : « Quelle entaille!... Mai
lucination d'un feu de Bengale. Si le verre est placé devant les deux
yeux
le feu de Bengale est superbe ; devant un seul œi
é devant les deux yeux le feu de Bengale est superbe ; devant un seul
œil
, il est raté. Le verre bleu, mis devant les yeux,
erbe ; devant un seul œil, il est raté. Le verre bleu, mis devant les
yeux
, donne lieu à une scène bien particulière. Il est
ce qui se passe à côté de lui. On lui met presque les doigts dans les
yeux
sans qu'il s'en inquiète. Il semble voir dans un
met à écrire. On peut alors interposer un carton entre sa main et ses
yeux
, il continue sans direction, sans encre dans sa p
se dans son cerveau, qu'il ne conduit pas en réalité sa main avec ses
yeux
, mais qu'il s'agit en tout cela d'une simple imag
tout ce qu'il a écrit. On lui remet alors du papier blanc devant les
yeux
; il se trouve donc en présence d'un feuillet com
s les feuillets sur lesquels il avait écrit, il le voit « diriger ses
yeux
sur le haut de la page blanche ; relire tout ce q
uparavant il était noctambule, se levait pendant son sommeil, et, les
yeux
fermés, faisait son lit, s'habillait, se promenai
œuvre qu'il dit avoir été déjà employée dans ce but : l'occlusion des
yeux
avec une légère pression sur les globes oculaires
lade reste assis, calme, la tête un peu inclinée sur la poitrine, les
yeux
fermés, dans l'attitude de quelqu'un qui sommeill
int confirmer nos soupçons. Quelques instants après, le malade, les
yeux
toujours fermés, commence à réciter à voix basse
! marche !... Par le flanc droit !... droite!... » Puis, il ouvre les
yeux
, et le regard fixe, comme porté au loin, les paup
On frappe de nouveau quelques coups de gong; le malade se frotte les
yeux
, comme quelqu'un qui s'éveille; il a de nouveaux
eaux mouvements de déglutition et de régurgitation, puis il ouvre les
yeux
il est revenu à lui. On lui demande s'il sait ce
. En cherchant à explorer la sensibilité, on ferme avec la main les
yeux
du malade, qui retombe aussitôt dans son attaque.
gts, en frappant sur une table, une marche militaire : le malade, les
yeux
fermés, tourne la tête à droite et à gauche, puis
l'hypnose ne se bornait pas à l'emploi du procédé de l'occlusion des
yeux
avec pression des globes oculaires. Nous avons co
lques frissonnements convulsifs, puis reprend son attitude calme, les
yeux
fermés. On lui ouvre les yeux et on lui présent
puis reprend son attitude calme, les yeux fermés. On lui ouvre les
yeux
et on lui présente un verre coloré en rouge. Au b
de mouvements de déglutition, il se met à réciter, à voix basse, les
yeux
toujours fermés, des vers français. Bientôt, s'an
a quelques secousses convulsives puis de nouveau redevient calme, les
yeux
fermés. On frappe un coup sur une table, avec la
naphrodisiaque... » On place un étui cylindrique, rouge, devant les
yeux
du malade. Avec surprise: « Oh! le joli porte-or.
si le malade extériorise ses sensations, on place un prisme devant l'
œil
gauche. Le malade, avec étonnement : « Tiens, j'a
ters, de façon... » On réveille le malade, en lui soufflant sur les
yeux
. Il paraît ne pas se rappeler qu'on l'ait endormi
ne pas se rappeler qu'on l'ait endormi en lui mettant la main sur les
yeux
et n'a pas la moindre conscience de tout ce qui s
née qui avait été suivie de la période délirante habituelle. Il a les
yeux
grands ouverts et se promène dans la chambre sans
période délirante, lorsque nous lui avons mis son manuscrit sous les
yeux
. A l'avant-dernier vers on lit : du fond de leurs
correctement la même besogne. A ce moment nous lui mettons sous les
yeux
le manuscrit de l'état de veille et il commence a
e mon vote protesté. Inutile rameau, sa faulx rouge m'émonde. Les
yeux
secs, j'ai bien peu de regrets pour ce monde Vo
nier billet de faveur. Cette poésie écrite, nous plaçons devant les
yeux
du malade une feuille de papier sur laquelle nous
ter autour de lui des objets voyants et s'approcher assez près de ses
yeux
ou de sa copie, sans qu'il s'en occupe le moins d
re-vanche, en ce qui concerne la prose, il a souvent écrit devant nos
yeux
des lettres ou des pièces plus ou moins longues s
nt à lui après quelques mouvements con-vulsifs et on lui met sous les
yeux
le manuscrit qu'il vient de composer. Il reconnaî
un malade, tranquillement assis sur une chaise. Nous lui fermons les
yeux
avec la main, exerçant une légère pression sur le
e les deux ils ne font guère de différence. J'ai fait placer sous vos
yeux
un sujet de ce genre. Hab..., hystéro-épileptique
sa main gauche, elle n'y arrive pas. Si, enfin, nous lui fermons les
yeux
, elle tombe lourdement par terre pour peu qu'on n
uel est de 60° au lieu de 30 ; elle n'a plus d'achromatopsie que de l'
œil
gauche. Elle Fe rappelle, maintenant, très préc
nes hyperesthésiques. * * * L'élément hystérique, qui saute aux
yeux
chez la malade de M. Dufay, est encore bien plus
apsus ou de léthargie, avec résolution des membres. » L'individu, les
yeux
fermés, et dans la résolution musculaire la plus
la connaissance et une lucidité mentale surprenante. Le malade a les
yeux
fermés comme dans les deux autres stades; mais il
iellement, en lui ouvrant les paupières et en lui soufflant sur les
yeux
. » Pendant cet état, il est éminemment suggestibl
ère de Mlle X... ; l'expression de sa physionomie est différente, les
yeux
sont plus brillants, l'allure plus dégagée et plu
s se produisent dans les membres supérieurs, puis la malade ouvre les
yeux
; alors elle ne sait plus où elle en est, sa phys
çut qu'elle était bizarre. Elle restait pendant de longues heures les
yeux
fermés, marchant et se conduisant comme d'habitud
que temps, par se prolonger la plus grande partie de la journée ; les
yeux
n'étaient plus toujours fermés mais bien ouverts,
Mais ces phénomènes demandent à être cherchés, ils ne sautent pas aux
yeux
tout d'abord et, je le répète encore, cette jeune
de la photographie le prouve encore surabondamment. On met devant les
yeux
de la malade un carré de bristol, au verso duquel
aphie de M. Charcot, tel qu'il se présente le plus habituellement aux
yeux
des malades, assis dans son fauteuil, dans son ca
dors pas... Qu'est-ce que vous me voulez?... » Puis, tout à coup, ses
yeux
se convulsent dans l'orbite, elle se renverse en
connue sous le nom de fixation du regard. Il existe peut-être dans l'
œil
une zone hystérogène, analogue à celle qui existe
e les deux ils ne font guère de diiférence. J'ai fait placer sous vos
yeux
, à titre d'exemple, un sujet de ce genre: il s'ag
tel point qu'elle tombe comme une masse quand on lui fait fermer les
yeux
. En ce qui concerne les sens, le goût, l'ouïe e
tale. Elle ne tombe plus comme une masse quand on lui fait fermer les
yeux
. Le rétrécissement du champ visuel, qui était dan
te, n'est plus que de 80° de ce côté et de 40° de l'autre. De plus, l'
œil
gauche seul reste dyschroma-topsique ; le droit p
ésence de l'identité de nos deux cas, dont l'un avait évolué sous nos
yeux
et chez qui les phénomènes avaient été constatés
vu que ces phénomènes étaient les premiers qui nous avaient sauté aux
yeux
chez Marie H... et que nous étions restés longtem
re aujourd'hui, éclairé par les cas que j'ai eus depuis lors sous les
yeux
, qu'elle était tout simplement une vigilambule hy
vue, il en est d'autres qu'il faut chercher et qui ne sautent pas aux
yeux
tout d'abord, ce qui explique sans doute qu'on ne
lui demandais si elle me reconnaissait, elle portait spontanément ses
yeux
sur le tableau et prononçait mon nom. Mais ma pré
acquis. Quand je lui demande qui je suis, elle tourne directement les
yeux
vers le mur, comme si elle savait qu'un tableau p
our ne plus revenir. 11 y a un mois, sa vue a baissé surtout dans l'
œil
droit ; des douleurs névralgiques se sont montrée
. A droite le tic tac n'est pas entendu au delà de 3 centimètres. L'
œil
est franchement tabétique. Myosis bilatéral. Sign
r ici toute espèce de difficulté; il s'agit d'amblyo-pie tabélique, d'
œil
tabélique au grand complet : myo-sis bilatéral, s
ès. M. Parinaud, qui a fait à diverses reprises l'examen du fond de l'
œil
chez Lem... est catégorique sur l'existence, dans
Et ce tabes à début oeulaire semble rester isolé et se cantonner aux
yeux
. Cet arrêt du tabes qui débute par les yeux est l
isolé et se cantonner aux yeux. Cet arrêt du tabes qui débute par les
yeux
est la règle dans l'espèce. Le fait a été signalé
poussé à l'extrême ; Je malade est incapable de se tenir debout, les
yeux
ouverts, sans osciller et sans menacer de tomber.
accidents. L'analyse du mois d'avril 1890 que nous avons eue sous les
yeux
et deux examens pratiqués à la Salpêtrière en sep
ais réagissent à la lumière. Absence de dents. La station debout, les
yeux
fermés, est très incertaine. Incoordination motri
ico-diabétique. Pour ce qui concerne les paralysies des muscles des
yeux
d'origine diabétique, Althaus dit : « Actuellemen
des lésions peu profondes des noyaux bulbaires des nerfs moteurs de l'
œil
, car, ajoutent-ils, elles ont un caractère généra
'alcoolisme chronique. On (1) Galezowski. — Traité des maladies des
yeux
, 1875. distingue néanmoins l'atrophie optique d
rnières maladies, en ce que l'atrophie commence toujours dans un seul
œil
, et dans le cours ultérieur de la maladie, un œil
ujours dans un seul œil, et dans le cours ultérieur de la maladie, un
œil
est toujours plus affecté, excepté lorsque le mal
émorrhagies rétiniennes et peut-être l'atrophie du nerf optique. Or l'
œil
tabétique se présente avec des lésions toutes dif
symptôme caractéristique : la paralysie du muscle droit externe d'un
œil
avec inaction conjuguée du muscle droit interne d
e d'un œil avec inaction conjuguée du muscle droit interne de l'autre
œil
. Ce symptôme permet d'affirmer de la façon la p
a sixième paire est intéressé, car la paralysie du droit interne de l'
œil
sain ne s'observe pas dans les paralysies périphé
u contraire, un strabisme interne dû à une déviation spasmodique de l'
œil
sain (Parinaud) (1). Ces faits s'interprètent e
ire interne de (1) Parinaud. — Spasme et paralysie des muscles de l'
œil
(Gaz. heb. de méd. et de chir., 1887, n° 46, p. 7
pendant deux mois, puis un matin elle se réveilla avec la tête et les
yeux
tournés à droite, ne pouvant pas regarder devant
er devant elle. Les plus grands efforts pouvaient à peine ramener les
yeux
, le gauche surtout, jusqu'à la ligne médiane. Mai
surtout, jusqu'à la ligne médiane. Mais les mouvements en dedans de l'
œil
droit étaient conservés pour la convergence. La t
n objet spécial, il prend immédiatement la position de la tête et des
yeux
nécessaire pour réunir au même point les deux ima
e se trouvait auprès de lui quelqu'un pour le retenir. La tête et les
yeux
sont toujours dans la même position que lorsque l
toujours dans la même position que lorsque le malade est assis. Les
yeux
fermés, rien de spécial à noter quand il est assi
es gémissements, dont il ne se souvient pas au réveil. L'examen des
yeux
a été pratique à plusieurs reprises par M. Parina
ait une certaine tendance à tenir la tête déviée à gauche. L'état des
yeux
était le suivant \ le droit externe de l'oeil duo
ée à gauche. L'état des yeux était le suivant \ le droit externe de l'
oeil
duoit et le droit interne de l'œil gauche n'exé
suivant \ le droit externe de l'oeil duoit et le droit interne de l'
œil
gauche n'exécutaient aucun mouvement quand on sol
paralysie conjuguée de la 6e paire droite. Mais le droit interne de l'
œil
gauche se contractait pour la convergence. Les au
es réagissant aux excitations lumineuses. Pas de lésions du fond de l'
œil
. Acuité visuelle normale. Le 19 février, le mal
M. Pa-rinaud. On constate un léger strabisme convergent. L'examen des
yeux
montre que la paralysie conjuguée de la 6e paire,
ns, mais d'une façon à peine intelligible. Le regard est vague; les
yeux
sont à peu près immobiles, le gauche au milieu, l
ervation est avant tout un exemple probant de déviation conjuguée des
yeux
et de la tête, en rapport avec une lésion protubé
a vie ne pouvait donner lieu à aucune méprise : le droit externe de l'
œil
droit et le droit interne de l'œil gauche n'exécu
ne méprise : le droit externe de l'œil droit et le droit interne de l'
œil
gauche n'exécutaient pas de mouvements quand on s
d on sollicitait le regard à droite, tandis que le droit interne de l'
œil
gauche se contractait pour la convergence. Ce son
plus le vertige ne disparaissait pas complètement par l'occlusion des
yeux
. Aussi nous semble-t-il que la destruction des fi
produites au niveau du front. L'orbiculaire palpébral ferme bien les
yeux
; il n'y a pas d'épiphora. Pas de troubles de la m
les yeux; il n'y a pas d'épiphora. Pas de troubles de la motilité des
yeux
. Les plis naso-gésiens sont très marqués. Les m
ie musculaire. L'observation ci-dessous pourrait, à la rigueur, aux
yeux
d'un critique pointilleux, présenter un point fai
le travail de MM. Le Noir et Bezançon jsesont donc produites sous mes
yeux
, puisqu'il a été suivi par eux jusqu'en novembre
lus ou moins suivant leur importance. Front lisse, large, immobile,
yeux
larmoyants. Lèvres volumineuses et renversées en
réduites. J'ajoute que j'ai pour ainsi dire vu se développer sous mes
yeux
ces noyaux de pseudo-hypertrophie, qui n'existaie
ulier à noter du côté des muscles atrophiés ; rien dans la moelle à l'
œil
(1) Communication faite à la Société anatomique
d'une sorte de plan, de questionnaire écrit que nous avions sous les
yeux
et qui, mentionnant les phénomènes connus de l'ép
ur maximum le jour de l'accès. Pupilles, acuité visuelle et fond de l'
œil
normaux, ainsi que le champ visuel. Observation
l'enfance. N'a marché et parlé que vers 3 ans. Strabisme interne de l'
oeil
droit, congénital. Début à 14 ans, au moment de
tortille dans la bouche, puis suivent des mouvements de la face, des
yeux
et de la tête. Quelquefois prodromes éloignés c
e pomme, se déplaçant continuellement, scintillante, visible même les
yeux
fermés. Durée: un quart d'heure au maximum. Puis
l gauche, presque constamment, et d'une façon permanente a devant les
yeux
le scotome scintillant parfaitement typique. La c
ues de nerfs??). Convulsions dans l'enfance. Strabisme interne de l'
œil
droit. Début, à l'âge de 7 ans, par des accès e
de l'estomac et lui serrer la gorge; puis tout se brouille devant ses
yeux
; elle est saisie d'une peur indéfinissable; enfin
Au milieu d'une sorte d'étourdissement, avec un brouillard devant les
yeux
, elle perçoit un bourdonnement violent dans les o
t une boule de feu de grosseur d'une pomme, qui se promène devant ses
yeux
. Plus l'accès doit être violent, plus l'aura est
s très violents et très aigus dans les oreilles ; puis la tête et les
yeux
se tournent à gauche, et elle se renverse sur son
es sont agités de mouvements involontaires et elle voit, surtout de l'
œil
gauche, de petits globes de feu; les yeux et la t
s et elle voit, surtout de l'œil gauche, de petits globes de feu; les
yeux
et la tête se tournent à gauche, les bras s'élève
s présentait naguère un beau spécimen que j'ai fait replacer sous vos
yeux
. — Vous voyez que chez ce malade, le nommé Gaub..
la vie où l'hystérie ne se montre guère, existaient des clignements d'
yeux
, des grimaces qui ont fait place aux tics spasmod
nrent insensibles, presque complètement incapables de mouvements. L'
œil
droit fut frappé d'amaurose incomplète (amau-rose
pas de douleurs dans le trajet des membres ; amaurose incomplète de l'
œil
droit (probablement on eût trouvé là un rétréciss
tion du sujet dans le —, 155, Déviation conjuguée de la tête et des
yeux
, 362. Diabète sucré : association du tabes avec
duites au niveau du front. L'orbiculaire palpé- bral ferme bien les
yeux
: il n'y a pas d'épiphora. Pas de troubles de la
yeux : il n'y a pas d'épiphora. Pas de troubles de la motilité des
yeux
. Les plis naso-géniens sout très marqués. Les m
phie musculaire. L'observation ci-dessus pourrait à la rigueur, aux
yeux
d'un critique pointilleux, présenter un point f
travail de MM. Le Noir et Bezançon, se sont donc produites sous nos
yeux
, puisqu'il a été suivi par eux jusqu'en no- vem
lus ou moins suivant leur importance. Front lisse, large, immobile,
yeux
larmoyants. Lèvres volumineuses et ren- versées
duites. J'ajoute que j'ai pour ainsi dire vu se développer sous mes
yeux
ces noyaux de pseudo- lypertropllie qui n'exist
à peu près dis- paru, quand se manifeste un strabisme interne de l'
oeil
droit. Mais ce n'est en- core là qu'un trouble
sistera toute la durée de la vie. Je suis à même de mettre sous vos
yeux
deux exemples de ce genre. » Et M. le professeu
mps sur celle partie limitée du cerveau, sur les nerfs moteurs de l'
oeil
et sur certaines parties de l'écorce. A côté de
épingle, sans qu'elle réagisse à peine, surtout si on lui ferme les
yeux
. Cette anesthésie est étendue il toute la peau. P
ne apparente ou réelle les nerfs optiques et les nerfs moteurs de l'
oeil
(3°, 4e et 6e paires crâ- niennes). Mais cett
rânienne qui intéresse les nerfs optiques ou les nerfs moteurs de l'
oeil
dans une partie quelconque de leur trajet ou de l
atre jours et dont la vue s'est éteinte simultanément dans les deux
yeux
sans qu'il y ait eu une maladie aiguë à l'origi
EN BAVIÈRE Au cours d'un voyage en Allemagne nous avons eu sous les
yeux
le récit d'une intéressante exorcisation. Un je
la transubstantiation et ne pouvait jamais élever vers l'autel ses
yeux
qu'il tenait constamment fermés. Ce malheureux
it pleine de tristesse. Alors des larmes coulèrent en abondance des
yeux
de l'enfant, signe que le malin esprit l'avait
entouré de nombreux fidèles, en signe de reconnaissance. Et tous les
yeux
se mouillèrent de larmes, il la vue de cet enfa
oyeux. Pendant la possession il tenait constamment la bouche et les
yeux
clos ; on ne pouvait lui tirer aucune parole. D
ait lui tirer aucune parole. Depuis il est devenu très parleur. Ses
yeux
d'enfant brillent si clairs et si innocents que
isir de s'y mirer. Durant la possession, il baissait sans cesse les
yeux
maladivement vers sa poitrine et avait des secous
Entrée à l'hôpital en août 1892. Femme petite, cheveux châtains,
yeux
gris, a toujours eu un tempéra- ment nerveux et
ne de Rombergest très accusé. Aussitôt, en effet, qu'elle ferme les
yeux
ou qu'il fait nuit, la malade titube et tomberait
6 ans. Excès alcooliques fréquents. Maladie actuelle. A 27 ans, l'
oeil
gauche est frappé subitementd'unstra- bisme int
entre pour la première fois à l'hôpital. Homme châtain, grisonnant,
yeux
gris, myosis sthénique, acuité vi- suelle un pe
s inférieurs ainsi que le signe de Romberg. Dans l'obscurité ou les
yeux
fermés, le malade est incapable de marcher sans
'enfant est amené à l'hô- pital. - C'est un garçon aux cheveux et
yeux
bruns, joufflu, coloré, front étroit, crâne pet
s de syphilis médullaire que la clinique met journellement sous nos
yeux
. Les tumeurs gommeuses de la moelle constituent
nt d'aborder cette étude, il paraît tout indiqué de jeter un coup d'
oeil
d'ensemble sur le processus généralement suivi pa
ie. Intégrité M peu près complète de la moelle et de ses méninges à l'
oeil
nu. Examen microscopique : Arachnite elleptomén
périeurs sont indemnes. Pas de phénomènes cérébraux : rien dans les
yeux
, les réflexes pupillaires sont conservés. Le mala
nière et ses enveloppes ne présentent aucune lésion constatable à l'
oeil
nu. Tout au plus existe-t-il un peu de congesti
bulbe elles méninges encéphaliques ne présentent rien d'anormal à l'
oeil
nu. Viscères : la rate est molle, et les reins
t été examinés histologiquement, le cerveau qui avait paru sain à l'
oeil
nu n'ayant malheureusement pas été conservé. La
binoculaire, soit que l'amblyopie soit trop prononcée dans l'autre
oeil
, soit que la vision binoculaire n'exis- tait pa
rganiques et intra-crâniennes des nerfs ou des centres moteurs de l'
oeil
, on peut commencer par établir que ces troubles
ins pendant un certain temps du spasme du muscle associé de l'autre
oeil
. La paralysie du même muscle d'origine centrale
oplégies avec perte des mouvements associés, mais involontaires des
yeux
. Un fait de Thomsen confirme à cet égard les re
ment d'autres centres commandant aussi aux mouvements associés des
yeux
, mais, seulement aux mouvements volontaires. Po
urement corticales de la motilité, les mouvements involontaires des
yeux
sont conservés. Le jeu de la pupille, qui n'est p
es ». Mais il est d'usage de faire rentrer dans la musculature de l'
oeil
le mus- cle releveur de la paupière qui mérite
tions organiques avec les affections hys- tériques des muscles de l'
oeil
. Une première et importante remarque doit être
pro- pos du mode suivant lequel l'hystérie frappe les muscles de l'
oeil
: c'est qu'à l'inverse de ce qui a lieu pour le
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE l'intégrité de la musculature interne de l'
oeil
qu'on ne saurait le confon- dre avec le même sy
me de nature organique. Le seul trouble hystérique des muscles de l'
oeil
qui puisse prêter à cette confusion est le ptos
sis est ordinairement incomplet, Lorsqu'on dit au malade d'ouvrir l'
oeil
, il ne le peut pas ; mais à certains mouvements
externe des Quinze-Vingts avec toutes les apparences d'un ptosis de l'
oeil
gauche. Rien il signaler dans les antécédents
lendemain, à son réveil, on constate qu'elle ouvre incomplètement l'
oeil
gauche. Ce même jour, elle a des crises de nerfs
Pupilles réagissant normalement. Pas de diplopie. V = 2/3 pour chaque
oeil
. Rétrécissement du champ visuel à peu près égal
u'elles sont relevées. Il existe un peu de stra- bisme interne de l'
oeil
droit. Les pupilles sont égales. Raie méningitiqu
ès régulièrement dans l'action de siffler, de souffler, de fermer les
yeux
, de rire, de faire la moue, elc. Pas de strabis
e paré- sie des orbiculaires des paupières(occlusion incomplète des
yeux
), de l'anal- gésie avec thermo-aneslhésie aux b
oûte palatine ogivale, bonne den- tition, strabisme convergent de l'
oeil
gauche, la pupille est plus étroite de ce côté,
he, la pupille est plus étroite de ce côté, nystagmus vertical de l'
oeil
gauche, quelquefois associé à de peti- tes cont
itution. Il était en effet robuste et fort au travail. Examen des
yeux
. Son facies n'a rien de particulier, sauf une iné
st mal supportée par le malade : il est obligé de se ga- rantir les
yeux
. Il a môme des conserves pour se protéger du sole
t depuis 4 ans. Pas de dyschromatopsie. Pas de lésions du fond de l'
oeil
. Examen du malade nu. Examiné nu et en face Jea
ble. Le malade oscille continuellement. Si on lui dil de fermer les
yeux
, il perd alors l'équilibre foui à fait. La taille
a nôtre à bien des égards (1). La moelle présentait dans ce cas à l'
oeil
nu un ramollissement dans la région (1) IIonou.
e. Ici les altérations ne sont pas le plus souvent appréciables à l'
oeil
nu. Les lésions microsco- piques sont représent
ont la maladie évolua en moins d'un mois. Les lésions médullaires à l'
oeil
nu étaient insignifiantes. Mais le microscope r
le malade en moins de mois. La moelle fraîche paraissait saine à l'
oeil
nu. Mais le microscope montra des lésions consi-
du canal rachidien ; les enveloppes spinales paraissent saines il l'
oeil
nu, les vais- seaux qui serpentent à la surface
oelle nous a été confiée après durcissement. On pouvait constater à l'
oeil
nu, une déformation de l'organe occupant la rég
ieure et lombaire. Le bulbe, le cerveau, qui avaient paru sains à l'
oeil
nu, n'ont pas été conservés. Coupes au niveau d
in faisceau latéral gauche (Fig. 18). Ce foyer, qui présente il l'
oeil
nu les dimensions d'une tête d'épingle paraît j
e à la paupière une position telle, qu'elle adhère complètement à l'
oeil
et - couvre non seulement la sclérotique mais e
nférieur est contracté par l'effet de la volonté, tantôt celui de l'
oeil
droit, tantôt celui de l'oeil gauche. (l'l. XXII-
ffet de la volonté, tantôt celui de l'oeil droit, tantôt celui de l'
oeil
gauche. (l'l. XXII-XXV, Fig. 1 et 2. Hormis l
ement en forme d'éventail et qui descendent de l'angle interne de l'
oeil
en passant par la surface latérale du nez et su
les indices de la contrac- tion du muscle orbitaire inférieur de l'
oeil
. Par contre, lorsque le muscle sus-nommé se rel
e la paupière ne s'applique plus aussi exactement sur le globe de l'
oeil
et l'écoulement des larmes dans le canal lacrym
a ca- vité orbitaire se détache avec plus ou moins d'intensité, les
yeux
sont en- foncés (voyez les figures 7 et S). L
G et 7 ; pour ce qui est de la fi- gure n° G, il est visible sur l'
oeil
gauche seulement. La parésie de ce mus- cle se
s facile par ce fait que la parésie n'est pas la même dans les deux
yeux
(voyez la figure 6). La combinaison des parésie
sont effacés et ceux qui prennent naissance au coin intérieur de l'
oeil
sont très peu visi- bles. L'affaiblissement d
été, par un jour de soleil et cependant il n'y a pas clignement des
yeux
à cause de l'affaiblis- sement des muscles orbi
ins d'in- tensité avec laquelle les paupières ferment le globe de l'
oeil
, et d'autre part, la position des sourcils et l
la peau, depuis le coin de la bouchejusqu'à l'angle extérieur de l'
oeil
. Lorsque le système musculaire mimique est au r
ans les ophthalmoplégies certaines, lorsque les autres muscles de l'
oeil
sont déjà complètement paralysés (2). Ce fait dém
ien l'exacte reproduction d'un modèle que cet artiste a eu sous les
yeux
. Le Juif-Errant des estampes anciennes est bien
quée de la nuque, les mouvements de la tête sont gênés. Du côté des
yeux
: nystagmus très prononcé. Les mouvements des glo
es cliniques, aujourd'hui bien connus, qui se reproduisent sous nos
yeux
d'une façon (1) 111-.UBNER (Zienzssezz'a Uandbu
'un nerf crâ- nien et tout spécialement d'un des nerfs moteurs de l'
oeil
. (1) Cette clinique a été publiée depuis (Médec
tantes, diurnes et nocturnes. Cependant le sommeil est assez bon.
OEil
gauche : Myosis, impossible de porter l'oeil en a
sommeil est assez bon. OEil gauche : Myosis, impossible de porter l'
oeil
en abduction ; diplopie (pa- ralysie de la te p
rter l'oeil en abduction ; diplopie (pa- ralysie de la te paire).
OEil
droit normal. Besoins impérieux d'uriner, réten
ent normale. Rien dans le domaine des nerfs crâniens ; l'examen des
yeux
n'a montré au- cune espèce d'anomalie. L'état p
rrite ancienne du trijumeau) perte des réactions pu- pillaires de l'
oeil
droit. Amb... 32 ans, tonnelier, se présente à
, il affirme que 4 ans plus tard, à l'âge de 18 ans, le ptosis de l'
oeil
gauche était complet. Cela aurait suffi à le fa
plet. Cela aurait suffi à le faire réformer du service militaire. L'
oeil
droit n'avait rien ; d'ailleurs la vue était no
ts, dont il ne saurait dire le con- tenu. En 1887, un ptosis de l'
oeil
droit, se produit lentement, exactement comme cel
côté est opaque ; et le malade distingue à peine les objets de cet
oeil
. Il prétend que, pendant la grande maladie qui l'
ui l'a tenu 3 semaines au lit en juillet de l'an.dernier, il a eu l'
oeil
gauche très rouge, très injecté et que l'anes t
équence l'anesthésie signalée et des troubles trophiques du côté de l'
oeil
. L'examen des yeux, pratiqué par M. Parinaud il
signalée et des troubles trophiques du côté de l'oeil. L'examen des
yeux
, pratiqué par M. Parinaud il la Salpêtrière, a mo
r de couturière, sans éprouver aucune gêne du côté des mains ni des
yeux
. Elle remarque seulement vers le mois de décemb
ente et devient de plus en plus gênante. Vers la fin du même mois l'
oeil
gauche se ferme complètement ; les douleurs lan
les mouvements sont limités et douloureux - occlusion complète de l'
oeil
gauche faiblesse et douleurs dans les deux mem-
s les membres supérieurs ; il n'y a pas la moindre ataxie, même les
yeux
fermés. Sensibilité. Troubles subjectifs : La m
le indique la région sternalc. Pas de signe de Romberg. Face. L'
oeil
gauche est complètement fermé par la chute paraly
is, il existe d'une façon très manifeste une rétraction du globe de l'
oeil
avec rétrécissement de la fente palpébrale. L
dilatation pupillaire énorme avec immobilité complète du globe de l'
oeil
, sauf pour les mouvements en dehors. Il y a donc
ue pratiqué par M. Parinaud n'a révélé aucune lé- sion du fond de l'
oeil
. Rien d'anormal dans l'oeil droit pas de paralysi
n'a révélé aucune lé- sion du fond de l'oeil. Rien d'anormal dans l'
oeil
droit pas de paralysie as- sociée. L'on ne re
e : mais il n'y a pas de griffe à proprement parler. Le ptosis de l'
oeil
gauche existe encore; mais l'oeil n'est plus comp
proprement parler. Le ptosis de l'oeil gauche existe encore; mais l'
oeil
n'est plus complètement fermé. La diplopie main
namométrique donne : 16 kilog. à gauche ; 19 kilog. à droite. L'
oeil
gauche ne présente plus de ptosis, ni de rétracti
irconférence des bras et des avant-bras est la même des deux côtés.
OEil
gauche : pupille normale, réflexe pupillaire pare
sans le moindre phénomène cérébral en apparence. Mais l'examen des
yeux
fait découvrir une paralysie de l'ac- commodati
ires. - Iné- galité pupillaire et paralysie de l'accommodation de l'
oeil
gauche.- A l'oplrtlcnl- moscope, décoloration d
on. Voici le résultat de l'examen oculaire, fait par M. Parinaud.
OEil
gauche. - Pupille plus large que la droite, absen
is non aboli pour la convergence. Paraly- sie de l'accommodation.
OEil
droit. Les réactions pupillaires sont normales. L
n'y a cepen- dant aucun trouble paralytique du côté des muscles des
yeux
; et la diplopie n'est pas constatée au moment
ujours la plus large. La paralysie de l'accommodation persiste dans l'
oeil
du même côté. Légère eschare sacrée au début.
). Le sens musculaire est parfait. Amélioration notable du côté des
yeux
. Le malade n'accuse plus de diplopie du tout :
onc, les membres ont l'attitude et les contorsions classiques ; les
yeux
sont convulsés en haut, la bouche lar- gement o
ant les hôpitaux, les églises, les musées, où son espri sagace, son
oeil
pénétrant, auquel rien n'échappait, découvrait
ap- pante avec le Premier Consul, se dégelait, pour aiusi dire. Ses
yeux
, abri- tés derrière d'épais sourcils, profondém
Pas de sensibilité de la colonne vertébrale. Aucune anomalie dans les
yeux
, ni dans la sphère des nerfs crâniens. Les trou
t voir là rien de semblable au signe de Romberg : l'oc- clusion des
yeux
n'augmente pas les oscillations. Au lit, dans u
en accuse pas, et en particulier à pratiquer avec soin l'examen des
yeux
. Il est inutile de rappeler, parmi les accidents
tion, avec perte des mouvements réflexes de l'iris dans un des deux
yeux
. Grâce à l'intégrité de l'oeil du côté opposé,
réflexes de l'iris dans un des deux yeux. Grâce à l'intégrité de l'
oeil
du côté opposé, la vision n'en était nullement in
tion pupillaire avec perle des mouvements réflexes de l'iris pour l'
oeil
gauche. Men... Eugène, 26 ans, ferblantier, se
s il l'anus et dans la bouche. En même temps, il eut un iritis de l'
oeil
droit, qui fut parfaitement soigné et qui guéri
ports sexuels depuis le commencement de sa paraplégie. Examen des
yeux
(fait par M. Parinaud) : inégalité pupillaire. La
l'époque où nous avons pu observer le malade, nous avions sous les
yeux
un tableau clinique très analogue à celui du tabè
périeurs ; en un mot, tableau du labes dorsal spasmodique. Dans les
yeux
: abolition des réflexes lumineux pupillaires,
hysionomie une ex- pression à la fois douloureuse et attentive. Les
yeux
petits, mais vifs et intel- ligents, sont bridé
4 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. corps : tiraillement des
yeux
vers le fond de l'orbite, impression de froid con
la façon la plus attendrissante. Sa voix est pleine de sanglots, ses
yeux
sont remplis de larmes, il joint les mains dans
s qu'on lui dit; puis, peu à peu il esquisse un sourire, ses petits
yeux
malins se clignent à demi, il hoche la tête d'u
des. Les sourcils touffus et rapprochés dans un pli douloureux. Les
yeux
petits, tristes et malpropres. Le nez court, ap
et pour la musique. Il ne pouvait jouer qu'avec la musique sous les
yeux
. Aussi dut-il renoncer aux concerts et donner d
s. Il y avait un rétrécissement du champ vi- suel considérable de l'
oeil
droit, et l'oeil gauche était totalement amblyopi
rétrécissement du champ vi- suel considérable de l'oeil droit, et l'
oeil
gauche était totalement amblyopi- que. L'examen
t totalement amblyopi- que. L'examen du fond de ]'oeil révèle que l'
oeil
droit est sain ; l'oeil gau- che présente une c
que. L'examen du fond de ]'oeil révèle que l'oeil droit est sain ; l'
oeil
gau- che présente une choroïdite circonscrite,
illaire est normale autant à la lumière qu'à l'accomo- dation. Si l'
oeil
droit fixe quelque chose, l'oeil gauche se tourne
umière qu'à l'accomo- dation. Si l'oeil droit fixe quelque chose, l'
oeil
gauche se tourne en dehors ; cet oeil reste en
l droit fixe quelque chose, l'oeil gauche se tourne en dehors ; cet
oeil
reste en arrière dans tous les autres mouvements.
ONTRACTURES RÉFLEXES INTRADI PNOTIQUES 313 si même nous fermons ses
yeux
; il éprouve une sensation de picotement et de
son du diapason a un effet assez intéressant sur les mouvements des
yeux
; si nous le posons au-dessus du front, alors les
ouvements des yeux; si nous le posons au-dessus du front, alors les
yeux
se tournent en haut : de même ils se tournent e
t la même chose pour le diapason posé au côté droit ou gau- che les
yeux
se tournent toujours du côté d'où le son vient. S
d'où le son vient. Si nous en- levons brusquement le diapason, les
yeux
restent tournés dans la direction du diapason e
s yeux restent tournés dans la direction du diapason entendu. Les
yeux
se tournent donc, vers la source du son, suivant
e donne au contraire une contracture bilatérale. Si par ex- emple l'
oeil
gauche fixe une lumière ou le bouton blanc du cam
ié temporale ou nasale de la rétine. Expéri- mentons d'abord avec l'
oeil
droit. Le malade fixe avec ses yeux le bouton d
xpéri- mentons d'abord avec l'oeil droit. Le malade fixe avec ses
yeux
le bouton du campimètre, le cercle étant dans l
neux excitateur de dehors en dedans, j'excite la moitié nasale de l'
oeil
droit. Au moment, où l'objet excitant est arrivé
fait flasque (fig. 47). Puis nous excitons la moitié temporale de l'
oeil
droit. Maintenant l'ob- jet excitant produit à
corps reste flasque. En résumant les réflexes qui se rapportent à l'
oeil
droit, nous voyons que : 1. L'excitation de la
S CONTRACTURES RÉFLEXES INTRAnYPNOTIQUES 315 Examinons maintenant l'
oeil
gauche, qui est atteint, comme nous le savons,
orde avec le résultat, que nous avons obtenu avec l'excitation de l'
oeil
droit. 2. L'excitation de la moitié temporale d
Une contracture bilatérale apparaît chaque fois que nous excitons l'
oeil
droit ou le gauche au niveau de la macule jaune o
te sera le résultai de l'excitation du côté nasal de la rétine de l'
oeil
droit ou du côté temporal de la rétine de l'oeil
al de la rétine de l'oeil droit ou du côté temporal de la rétine de l'
oeil
gauche. 3. Une hemicontractnre gauche sera pr
uche sera produite en excitant le côté tempo- ral de la rétine de l'
oeil
droit et le côté nasal de la rétine de l'oeil gau
ral de la rétine de l'oeil droit et le côté nasal de la rétine de l'
oeil
gau- che. ' Par ces résultats nous voyons tou
e jaune ? Tout simplement par cette raison que la macula lutea d'un
oeil
est liée aux deux centres subcorbicaux (1Ve¡,-
re les contractures de la manière suivante. Expérimentons avec, l'
oeil
droit, dirigeons l'arc du campimètre dans le mé
citant de bas en haut. Nous voyons, que quand la macula lzetéa de l'
oeil
droit regarde le bouton du campimètre à 78 degr
ous avons obtenu jusqu'ici : Irritant le quart supérieur nasal de l'
oeil
droit nous avons vu que, l'ex- citation dans le
ouvelant ce procédé expérimental pour le quart nasal inférieur de l'
oeil
droit, nous obtiendrons le même résultat; plus no
pouvons résumer très brièvement nos expériences dé- taillées sur l'
oeil
gauche. Ici nous pouvons démontrer sur la rétine
iés rétiniennes à fonction identique. Pour la moitié temporale de l'
oeil
gauche : l'irritation des poinls de l'arc périp
s observations correspondantes de la moitié rétinienne. nasale de l'
oeil
droit. Pour la moitié nasale de l'oeil gauche : l
itié rétinienne. nasale de l'oeil droit. Pour la moitié nasale de l'
oeil
gauche : l'arc périphérique donne MORPHOLOGIE D
de avec les observations de la moitié tem- porale de la rétine de l'
oeil
droit. Ainsi nous avons traité la morphologie b
par la plupart de ses filets la moitié temporale de la rétine de l'
oeil
droit jusqu'à la périphé- rie de la rétine ; un
e par la plupart de ses fi- lets la moitié nasale de la rétine de l'
oeil
droit jusqu'à la périphérie de la réline; une f
n vertical passant par la macule jaune. d) Quant à la rétine de l'
oeil
gauche, c'est-à-dire à ses moitiés homolo- gues
et ainsi elle sépare exactement les deux moitiés de la rétine d'un
oeil
. En abordant la question, il ne faut pas oublie
y a un rétrécissement concentrique considérable du champ visuel, l'
oeil
gauche étant même aveugle tout il fait. Ainsi i
m'en rapporte à M. Heddens, selon qui la sensibilité de réflexe des
yeux
est liée évidemment à des filets nerveux différen
. La justesse de cette assertion est évidente aussi dans ce cas ; l'
oeil
gau- che comme l'a découvert la recherche stéré
de l'opticus droit pourvoit à la moitié temporale de la rétine de l'
oeil
droit par des filets nerveux éveillant des sentim
es. Mêmes conclusions pour les parties homologues de la rétine de l'
oeil
gauche. (A suivre) Chaules SCHAFFER, Prof
Préobragenscki : La malade est presque immobile; son visage et ses
yeux
présentent des signes d'abattement ; elle ne répo
reste étendue de tout son long, la tête renversée en ar- rière, les
yeux
fermés, les dents serrées, en gardant un silence
ns la région de la glabelle la peau forme des rides profondes : les
yeux
sont fermés ; il est impossible de soulever les
DE SUR CERTAINS NÉVROPATHES VOYAGEURS (Suite et fini). Examen des
yeux
. - Pas de lésions du fond de l'oeil ; les pupille
S (Suite et fini). Examen des yeux. - Pas de lésions du fond de l'
oeil
; les pupilles réagissent, quoique faiblement.
es rides. Les plis des sourciliers sont accentués très fortement. L'
oeil
que cachent un peu des lunettes, est triste, enfo
sement concen- trique il 30 degrés des 2 côtés. (Fig. 13). Pour l'
oeil
gauche, dischromatopsie pour le violet et le bleu
idé, les sourcilliers souvent contractés en un pli douloureux ; les
yeux
petits, clignotants et cerclés de fines rides ; l
leurs vives avec élancements dans tout le côté gau- che de la face (
oeil
, oreille, front) et du crâne. Dans le dos, doul
. La vue est faible ; la malade est myope et voit mal, surtout de l'
oeil
gauche. Pas de rétrécissement du champ visuel, pa
équente contraction des sourciliers, les muscles de la douleur. L'
oeil
est petit, triste, enfoncé, cerclé de rides qui s
s oculaires ne font pas défaut. Tous se plaignent de souf- frir des
yeux
, de ne pouvoir fixer longtemps un objet, ni lire,
hicaires ne fut pas sans réponse, et, si la Faculté vit naître d'un
oeil
soupconneux une orga- nisation qui donnait une
rer des jalousies terribles. La Faculté qui n'avait pas vu d'un bon
oeil
l'installation de ce concurrent actif et in- te
du sens musculaire au niveau de la main (iig. il, 2). L'examen des
yeux
pratiqué par M. Parinaud le 20 novembre 1889 a
ar M. Parinaud le 20 novembre 1889 a donné les résultats suivants :
oeil
gauche atteint d'amaurose très pro- bablement h
ablie par le prisme (di- plopie à l'aide d'un prisme placé devant l'
oeil
droit, sain). OEil droit sain. Rien au fond de
(di- plopie à l'aide d'un prisme placé devant l'oeil droit, sain).
OEil
droit sain. Rien au fond de l'oeil (fig. 3, 4).
lacé devant l'oeil droit, sain). OEil droit sain. Rien au fond de l'
oeil
(fig. 3, 4). Dans un second examen, le réta- bl
s de nerfs. Il n'y a en aucun point du corps de traces visibles à l'
oeil
nu d'atrophie musculaire ! ' Les avant-bras don
g. 9, 10) un rétrécissement concentrique à 60° du champ visuel de l'
oeil
droit; de la micromégalopsie, de la diplopie inte
lopsie, de la diplopie inter- mittente. Pas de lésions du fond de l'
oeil
; les pupilles sont égales et réagissent normale
es pommettes sont, au contraire, en rapport avec son âge. Quant aux
yeux
, ils sont fortement propulsés hors des cavités
ptôme qui puisse faire croire à la maladie de Basedow (le fond de l'
oeil
n'a pas été examiné). 6° L'atrophie du maxillai
t musculaire le plus complet. Il suffit, pour le voir, de jeter les
yeux
sur les mains du malade lors- qu'il les laisse
t au nombre de 8 à 9 ou 9 'lui2 par seconde. Il suffit de jeter les
yeux
sur les trois tracés ci-après qui représentent ce
ive, ont souvent pour substratum des individus hystériques, mais un
oeil
exercé permet absolument de différencier les de
ur des femmes pour tout ce qui était voyant, pour ce qui « tirait l'
oeil
», comincon dit vulgairement. Il ne faut pas oubl
niveau des fesses. Toute la marche des lésions se dessine sous les
yeux
du clinicien avec une netteté parfaite et l'on
es très souvent et sont devenues plus intenses. Sans prodromes, les
yeux
deviennent fixes, la bouche se dévie à gauche,
yopie monoculaire. Rétrécissement concentrique du champ visuel de l'
oeil
gauche, à 70" (fig. 33, 3 >.). L'odorat es
ique du champ visuel à ! 0°, des deux côtés; dyschromatopsie pour l'
oeil
droit : le rouge et le jaune sont seuls netteme
LPÈTRIÈRE. toires normaux, comme on peut s'en assurer en jetant les
yeux
sur la figure 42. Celle-ci représente la respir
sement concentrique un peu irrégulier du champ visuel dans les deux
yeux
. , . La malade porte plusieurs points hystérogè
un peu à gauche et inclinée en avant. Le masque est impassible, les
yeux
sont souvent fermés, les paupières animées d'un
s d'un clignotement continuel ou plus rarement immobiles. Quand les
yeux
sont ouverts, le' regard est fixé sur un point
ssez élevé mais étroit; la voûte palatine sensiblement ogivale; les
yeux
normaux, les oreilles symé- triques, le nez un
ie se maintint avec opiniâtreté, et les paralysies des muscles de l'
oeil
, l'atrophie du nerf optique ne présen- tèrent p
ir et de changer de position dans le lit. Intégrité des muscles des
yeux
, de la langue, du pharynx et de la face. Aucun
es. Les racines antérieures sont atrophiées, ainsi que l'examen à l'
oeil
nu avait permis de le constater, mais cette atr
ui l'amène à M. de Lapersonne. Etat actuel. -Il suffit de jeter les
yeux
sur le sujet (Pl.lXIV, XXV) pour être immédiate
ue pratiqué par M. de Lapersonne a donné les résultats suivants :
OEil
droit. - La papille est d'un blanc chatoyant avec
issement. Pas de lésions du côté de la macula ni à la périphérie.
OEil
gauche. - La papille est moins blanche, les bords
vement d'élévation conserve plus longtemps son éner- gie, puisque l'
oeil
reste en général ouvert, cette action ne doit pas
lité. La plupart des individus sont capables de fermer isolément un
oeil
; mais lorsque les deux yeux sont ouverts, beau
s sont capables de fermer isolément un oeil ; mais lorsque les deux
yeux
sont ouverts, beaucoup de sujets sont inca- pab
laisir, il se produit une apparence d'exophthalmie : on dit que les
yeux
sortent de la tête. En général, il existe en mê
al ou laryngoscopique et dans les efforts volontaires pour ouvrir l'
oeil
, qu'il soit douloureux ou non (de Wec- ker).
uée : la surface découverte de la scléro- tique s'arrondit, c'est l'
oeil
en boule de loto. Cette logophtllalmie active,
, 1887. 4. Centralbi. f. Nervenlteilk.. 1888. 5. l3erl. klill. \1
oeil
., 1888. 6. Arch. of Ophthal., 1888, XII, 2. 7
anence du spasme et l'absence dé syner- gie dans l'abaissement de l'
oeil
et de la paupière. ' En dehors du goitre exopht
ent ni' goitre. Il n'y a pas d'exophthalmie. Aucune ano- malie de l'
oeil
, les pupilles sont égales, moyennement. dilatées
ROPATIIIQUE DE LA PAUPIÈRE SUPÉRIEURE. 159 le malade ferme bien les
yeux
(fig. 1). Quand il regarde en face, on voit(fig
ontre que les rides frontales ne sont pas plus marquées lorsque les
yeux
sont ouverts que lorsqu'ils sont fermés; la con-
iculier; mais le clignement est rare et lorsque le sujet dirige son
oeil
en bas, la paupière supérieure suit le mouvement,
saillie considérable de la paroi supérieure de l'orbite. i ' Les
yeux
sont un peu saillants. Les paupières sont épaisse
rinaud, a donné les résultats suivants : aucune lésion du fond de l'
oeil
. La réduction de l'acuité visuelle est due à une
e celle propul- sion réagissant à un contact cutané sur le nez, les
yeux
étant soigneu- sement clos. On ne pourrait pas
e d'années (minimum cinq ans), on voit alors se dérouler devant les
yeux
toute une série de désordres qui ont été étudié
s. Négligeant à dessein les paralysies musculaires extérieures de l'
oeil
par tumeurs, hémorrhagies, ramollissements, névri
des filets nerveux destinés à la musculature interne du globe de l'
oeil
; mais on discute encore sur le rôle des diffé-
ment l'occasion d'observer la paralysie des muscles extérieurs de l'
oeil
avec l'intégrité de la musculature interne. Ce ca
sée par une lésion des centres .corticaux régissant les muscles des
yeux
et des faisceaux cortico-nucléaires, ou encore
ait pas davantage la paralysie exclusive des muscles extérieurs des
yeux
, à moins de faire passer les filets pupillo-acc
du nerf porte donc presque fatalement sur toute la musculature de l'
oeil
. Pour que l'origine périphérique de l'ophtllalm
une lésion périphérique frappant les nerfs extérieurs du globe de l'
oeil
et respectant les nerfs ciliaires. A l'appui de
ris, deux jours plus tard, de douleurs vives dans le voisinage de l'
oeil
droit et dans toute la moitié droite du visage, a
plopie, ptosis, paralysie complète de tous les muscles moteurs de l'
oeil
; lorsque Moebius l'examina, il constata, déplus,
lysie atteignit successivement les différents muscles externes de l'
oeil
. ' ' ., 'l, j Meyer a fourni la première et jus
s nerfs moteurs. Cette fois l'examen du système nerveux central à l'
oeil
nu et après durcissement resta absolument négat
ie classique : paralysie à peu près complète de tous les muscles de l'
oeil
des deux côtés, même des releveurs de la paupiè
dans un profond marasme. L'examen du système nerveux central à l'
oeil
nu et après durcissement resta absolument négat
les centres moteurs, ni dans les fibres radiculaires des nerfs de l'
oeil
, on ne put révéler la moindre lésion appréciabl
. Est-ce à dire que la participation de la musculature interne de l'
oeil
à la paralysie s'oppose à ce diagnostic ? Evidemm
l'une avec l'autre. La paralysie de la musculature extérieure de l'
oeil
constitue une sorte de paralysie bulbaire supér
tères cliniques de l'ophthalmoplégie externe. D'ordinaire, les deux
yeux
sont affectés à un égal degré, à peu de distanc
st pas tou- jours ainsi, témoin le cas rapporté par Birdsall2, où l'
oeil
droit fut frappé de paralysie un an et demi ava
all2, où l'oeil droit fut frappé de paralysie un an et demi avant l'
oeil
gauche. Exceptionnellement l'ophthalmoplégie re
nsparente; le regard en même temps est d'une fixité singulière, les
yeux
regardant en face vaguement, parce que les axes
, la motilité des globes oculaires est telle- ment abolie que a les
yeux
semblent figés dans de la cire (Benedikt) ». 1.
ÈRE. Régulièrement, dans la paralysie oculomotrice isolée, les deux
yeux
sont dirigés en dehors et un peu en bas, le gra
l faut donc pour avoir cette fixité du regard, cette immobilité des
yeux
sans déviation, une paralysie de toute la muscula
ès au milieu de la pupille et le malade se sert efficacement de ses
yeux
pour la vision des objets situés au-dessous de
aits tient ici à une rigidité des muscles et non à une paralysie; l'
oeil
est plutôt grand ouvert; les sourcils sont élev
é de parésie ou de paralysie des différents muscles extérieurs de l'
oeil
. Point inté- ressant à noter, la diplopie est r
lle s'est effectuée la dévia- tion oculaire : dans ces conditions l'
oeil
parvient, comme dans le stra- o 1. Blanc, Le
a paralysie, qui s'étend ainsi à toute la musculature extérieure de l'
oeil
. Cette ophthalmoplégie externe totale se tradui
plégie externe totale se traduit par l'immobilisation du globe de l'
oeil
, ou tout au moins par la limitation de ses mouvem
paupière, avec intégrité de l'iris et du muscle ciliaire. Fond de l'
oeil
normal. Le développement de l'affection s'était f
peu, parésie des autres muscles et, depuis six mois, pa- résie de l'
oeil
gauche. Immobilité des yeux complète. Obligation
les et, depuis six mois, pa- résie de l'oeil gauche. Immobilité des
yeux
complète. Obligation de tourner la tête pour fi
externe droit et déjà une certaine paresse de tous les muscles des
yeux
. Les pupilles avaient conservé leurs mouvements n
et l'accom- modation ne paraissait pas avoir souffert. Le 24, les
yeux
étaient tous deux immobiles dans l'orbite; à ce m
ulever par un effort de la volonté. Une immobilité absolue des deux
yeux
avec le regard dirigé à l'infini dans un plan hor
aralysie qui a frappé à la fois toutes les paires motrices des deux
yeux
, à savoir les 3', 4- et 6-. C'est même à cet en-
ux. 1. Gayet, Paralysie totale de tous les muscles moteurs des deux
yeux
, sauf des élévateurs des paupières et des pupil
uée à gauche. Face très amaigrie. Rien du côté de la langue, ni des
yeux
. Membres supérieurs. - M01wements. - Côté droit
mars 1884, il cul tout d'un coup la sensation d'un voile couvrant l'
oeil
droit; le même fait se reproduisit fréquemment da
ons sur les membres inférieurs, des instillations d'atropine dans l'
oeil
et de l'iodure de potassium à l'intérieur. Il con
iculière; le toucher était encore assez délicat. La même année, l'
oeil
gauche se couvrit à son tour d'une ombre qui l'em
que date la cécité partielle qui frappe encore aujourd'hui les deux
yeux
. En 1888, il resta pendant près de deux mois à
désordres moteurs, non appréciables. Il peut se tenir debout les
yeux
fermés sans osciller. Les réflexes rotuliens fo
remarque que cette opacité siège dans le corps vitré. Le fond de l'
oeil
gauche n'est pas visible. A droite, ou voit quelq
n'est pas visible. A droite, ou voit quelques détails du fond de l'
oeil
, au niveau de la partie supérieure seulement, et
éférence aux lésions d'origine centrale. 1. Ziehl, Deutsche merl. n'
oeil
., n° 17, 1889. 2. Berger, Wiener merl. Woch., 1
côté gauche du'crâne, à la moitié gauche du front et au-dessus de l'
oeil
du même côté. Les douleurs de têtes ne se manif
e qu'il est aujourd'hui. Dès cette époque la malade s'aperçut que l'
oeil
n'accomplissait pas les mouvements vers l'angle e
es. Fig. 3. La malade regardant à droite ; strabisme interne de l'
oeil
droit par déviation secondaire. LECROSNIER &a
iation primitive. On sait que la déviation primitive est celle de l'
oeil
qui louche, de l'oeil malade. La déviation second
ait que la déviation primitive est celle de l'oeil qui louche, de l'
oeil
malade. La déviation secondaire est celle que p
de l'oeil malade. La déviation secondaire est celle que présente l'
oeil
sain quand on le couvre de manière à forcer le
sente l'oeil sain quand on le couvre de manière à forcer le mauvais
oeil
à fixer. On se sert dans cette épreuve d'un verre
se sert dans cette épreuve d'un verre dépoli qui tout en excluant l'
oeil
sain^de la fixation permet de voir la posi- tio
ait l'excès de déviation secondaire par un excès d'innervation de l'
oeil
sain résultant de l'association fonctionnelle d
on de l'oeil sain résultant de l'association fonctionnelle des deux
yeux
et de leur innervation commune pour un même mou
xer un objet placé devant la malade en cou- vrant alternativement l'
oeil
paralysé et l'oeil sain, comme on le fait habit
devant la malade en cou- vrant alternativement l'oeil paralysé et l'
oeil
sain, comme on le fait habituellement, on const
on secondaire appréciable. Pour déterminer l'état particulier des
yeux
que nous venons de décrire, il faut solliciter
aralysé en forçant la malade à regarder à droite; c'est alors que l'
oeil
sain, sans qu'il soit besoin de le couvrir, se po
constitue le spasme du muscle associé. Le muscle droit interne de l'
oeil
gauche, innervé par le même centre que le droit
l'oeil gauche, innervé par le même centre que le droit externe de l'
oeil
droit pour les déplacements laté- raux (noyau d
sulte d'un effort pour lutter 1 contre l'obstacle au mouvement de l'
oeil
droit. Mais là ne s'arrête pas le trouble fonct
uble fonctionnel. Si l'on continue à solliciter le déplacement de l'
oeil
droit en dehors, on voit, qu'à un moment donné,
droit en dehors, on voit, qu'à un moment donné, il se porte comme l'
oeil
sain brusquement en dedans. On détermine alors
ors un état singulier dans lequel la malade ne fixe plus avec aucun
oeil
l'objet qu'on l'invite à regarder (Fig. 3), bien
c aucun oeil l'objet qu'on l'invite à regarder (Fig. 3), bien que l'
oeil
gauche puisse parfaitement le suivre dans toutes
puisse parfaitement le suivre dans toutes les direc- tions quand l'
oeil
droit est couvert. La déviation en dedans de l'
tions quand l'oeil droit est couvert. La déviation en dedans de l'
oeil
paralysé peut s'expliquer par la prédominance d
n de ce muscle droit interne intervienne. Ce déplacement actif de l'
oeil
droit en dedans peut s'ex- pliquer par la mise
ltent des con- nexions assez complexes du centre d'innervation de l'
oeil
. Les spasmes qui compliquent certaines paralysi
osé et se caractérise clinique- ment par la déviation conjuguée des
yeux
. Ce phénomène est d'ailleurs parfaitement confo
r sa mère. Les cheveux dénoués, la tête est rejetée en arrière, les
yeux
sont convulsés en haut, la bouche est ouverte.
eur jugera lui-même par les reproductions que nous mettons sous ses
yeux
. Dans la partie supérieure de la composi- tion,
qu'Alfred von Graefe rapporte dans son Compendium des maladies des
yeux
l'exemple d'un malade, atteint depuis quinze ans
e, puis permanente, et plus tard de ptosis avcc immobilité des deux
yeux
. Excitabilité électrique des muscles commandés
qu'il in- nerve soient paralysés au même titre que les muscles des
yeux
. La paralysie du facial inférieur n'est pas trè
uinze ans atteint d'ophthalmoplégie externe double. La mobilité des
yeux
est presque complètement perdue; ptosis modéré,
ante-quatre ans (26 novembre 1877). Ptosis double. Diver- gence des
yeux
. Perte de la motilité oculaire, sauf en bas où el
à droite d'abord, à gauche ensuite; enfin perte de la mobilité des
yeux
. Douleurs de tête. A eu une fois pendant quelques
Giraud-Teulon, je reconnus une paralysie du muscle droit externe. L'
oeil
droit, en effet, était en déviation permanente ve
dation. C'est à cette para- lysie de la musculature intérieure de l'
oeil
qu'on donne le nom d'oph- thalmoplégie interne.
- lyse des mouvements oculaires permel de constater ce qui suit :
OEil
gauche : paralysie complète des muscles droits su
it oblique. Intégrité des muscles droit externe et grand oblique.
OEil
droit : parésie de toutes les branches extrinsèqu
lade, qui a d'ailleurs une hypermétropie de près de 1 D pour chaque
oeil
. Pour le faire lire à 25 centimètres, il faut lui
timètres, il faut lui donner des verres convexes - 4 D. Fond de l'
oeil
parfaitement normal. T = : 0. D. 0. G. t- Dip
, se présente le G juillet 1803 il la clinique des Quinze-Vingts, l'
oeil
fixe, immobile, regardant en avant, les yeux « pa
e des Quinze-Vingts, l'oeil fixe, immobile, regardant en avant, les
yeux
« parais- sant sortir de la tête ». Les mouveme
nt, les yeux « parais- sant sortir de la tête ». Les mouvements des
yeux
sont absolument impos- sibles dans tous les sen
erte des forces. L'acuité visuelle est restée bonne et le fond de l'
oeil
normal. Aucune donnée sur l'état des mouvements
-16, double ptosis et faiblesse croissante de tous les muscles de l'
oeil
gauche. Rien à l'ophthalmoscope. L'orbiculaire
iculaire est parétique et la malade ne peut fermer complètement les
yeux
. . Tous ces phénomènes s'étendent et s'accentue
mènes s'étendent et s'accentuent graduellement, et en 1879 les deux
yeux
sont immobiles. A partir de 1879 (quatrième ann
ute de la paupière droite, puis de la paupière gauche, mobilité des
yeux
très affaiblie. Le 18 avril 1878. paralysie du
qué le soir que le matin. Parahsie complète de tous les muscles des
yeux
. Réaction pupillaire et accommodation conservée
e, pendant laquelle la paralysie de la muscula- ture extérieure des
yeux
se complète, dure plusieurs mois, un an et dava
on lente à la lumière. Réflexes conservés. Aucune lésion du fond de l'
oeil
. Les fonctions visuelles, sauf la diplopie, son
L'appétit est conservé. La santé générale est intacte. L'examen des
yeux
pratiqué par M. le D'' Parinaud donne les résulta
oplégie externe double incomplète. Tous les mouvements associés des
yeux
sont intéressés, principalement les mouvements de
le est surtout déterminée par la prédominance de la paralysie sur l'
oeil
droit. L'accommodation n'est pas altérée. Les p
ment, à la lumière et àl'accommodation. II y a un léger ptosis de l'
oeil
droit. 3)1 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPI :
: TRIÈRE. L'acuité visuelle est sensiblement normale dans les deux
yeux
: O.D.II=- ? D.V= 7.O.G.II--3D.V= 5. z Pas de
n du champ visuel ni de dyschromatopsie. Pas de lésion du fond de l'
oeil
. Au mois de mai 1890 : les symptômes étaient re
sions de dégénérescence inflammatoire dans les noyaux mo- teurs des
yeux
que dans ceux des 90e, 11, 12e paires. La malad
n lente et progressive du trouble de la parole. Il y a deux ans les
yeux
se prirent à leur tour (la malade s'en aperçut
jet principal de ce travail siègent tous sur des artères visibles à l'
œil
nu, et ont un volume qui peut atteindre un millim
les cas déjà nombreux d'hémorrhagie cérébrale qui ont passé sous nos
yeux
. Cette lésion consiste en une altération du systè
ue âge dans un nombre déterminé de décès. Mais il suffit de jeter les
yeux
surles relevés de Rochoux et de M.Durand-Fardel(2
els points on les rencontre. Tous ces anévrysmes, sont visibles à l'
œil
nu; ils apparaissent comme de petits grains globu
quelquefois un peu plus, appendus à un vaisseau également visible à l'
œil
nu ; une simple loupe suffit du moins pour les di
d'autres observateurs, ont été constatées par nous, non seulement à l'
oeil
nu, mais encore au microscope. hémorri1agies ré
uvré connaissance, on constate que la parole est embarrassée, que les
yeux
sont déviés à droite et qu'il existe une hémiplég
xprime la stupeur; la face est animée, les pommettes sont rouges, les
yeux
à demi-clos ; les deux pupilles sont également di
tes lamelles des parties les plus colorées, les préparations vues à l'
œil
nu par demi-transparence ont une teinte qui se ra
plus ou moins rapprochées les unes des autres. Lorsqu'on examine à l'
œil
nu et par transparence une préparation de la néo-
ésentées par les malades que ces médecins ont habituellement sous les
yeux
. Les écrits de MM. Baillarger, Lélut (Gazette méd
t et les divers auteurs qui professent la même opinion aient sous les
yeux
des faits de ce genre, et c'est peut-être là ce q
pas de bourdonnements d'oreille ni d'éblouissements. La pupille de l'
œil
droit est très notablement dilatée, tandis que ce
le de l'œil droit est très notablement dilatée, tandis que celle de l'
œil
gauche est normale. Le malade marche bien, et e
te du matin, on trouve le malade étendu sur le dos, dans son lit, les
yeux
ouverts et sans regard ; on lui parle, il ne répo
sont aussi paralysés, mais point aussi complètement. La pupille de l'
œil
droit, qui, après l'attaque du 11, s'était resser
errée et était revenue à peu près aux mêmes dimensions que celle de l'
œil
gauche, s'est encore resserrée davantage et est p
st encore resserrée davantage et est plus étroite que la pupille de l'
œil
gauche. La fréquence du pouls est plus grande que
ces convulsions du côté droit cle la face deviennent plus fortes ; l'
œil
droit est brusquement entraîné au dehors, tandis
fortes ; l'œil droit est brusquement entraîné au dehors, tandis que l'
œil
gauche est porté en dedans; les muscles du côté d
qu'on lui indiquait. — Du côté non paralysé, les traits du visage, l'
œil
surtout, étaient très expressifs. L'intelligence
s grande attention. Ces diverses circonvolutions ne présentèrent à lé
œil
nu aucune altération appréciable, soit dans le vo
parurent être à l'état sain. La pièce anatomique a été mise sous les
yeux
des membres de la Société de biologie, qui ont co
s pas ou même se tenir debout, sans être menacé de tomber lorsque les
yeux
sont fermés. Les plus légers attouchements sont c
aire quelques pas. Si, maintenue de la sorte, elle vient à fermer les
yeux
, elle oscille aussitôt et est menacée de s'affais
t amoindries, mais non complètement abolies ; lorsque la malade a les
yeux
fermés, il lui est impossible d'indiquer l'attitu
réter les troubles qui surviennent quelquefois dans la nutrition de l'
œil
, chez divers animaux, à la suite delà section d'u
e moitié latérale de la moelle épinière au dos,, lies affections de l'
œil
(ulcération, fonte de la cornée, conjonctivite pu
rsqu'on les abandonne après les avoir soulevés, la face ainsi que les
yeux
sont dirigés vers la droite. Les muscles du cou s
stertoreuse. — Lorsqu'on sollicite vivement la malade, elle ouvre les
yeux
, profère quelques paroles inintelligibles et se r
elques paroles inintelligibles et se rendort aussitôt. La face et les
yeux
sont dirigés vers la droite, la paupière supérieu
cartilages diarthro-diaux n'offrent aucune altération appréciable à l'
œil
nu. Leur surface est réouverte d'une couche mince
onsesvagues et embarras notable dans la prononciation. La face et les
yeux
paraissent constamment dirigés vers le côté droit
senter jusqu'ici aucune lésion concomitante, du moins appréciable à l'
œil
nu. Par contre, les gaines synoviales tendineuses
e d'une application métallique sur la tempe du côté correspondant à l'
œil
affecté d'achromatopsie, recommencent à être perç
vski a constaté que les hystériques voient mal les couleurs, et que l'
œil
de ces malades, particulièrement du côté où l'ane
zal. Plusieurs couleurs ne pouvaient être perçues par l'un ou l'autre
œil
. La dyschromatopsie existe des deux côtés ; mais
ire de dedans en dehors : violet, vert, rouge, orangé, jaune, bleu. L'
œil
gauche étant fermé, l'œil droit ne voit plus le v
violet, vert, rouge, orangé, jaune, bleu. L'œil gauche étant fermé, l'
œil
droit ne voit plus le violet, le vert ni le rouge
ont disparu, alors que les autres couleurs sont toujours vues par cet
œil
. L'œil droit est fermé à son tour, et l'on consta
paru, alors que les autres couleurs sont toujours vues par cet œil. L'
œil
droit est fermé à son tour, et l'on constate que
par cet œil. L'œil droit est fermé à son tour, et l'on constate que l'
œil
gauche ne voit pas le violet, niais voit les autr
la production d'un peu de mal à la tctc, le violet peut être vu par l'
œil
gauche ; Je violet et le rouge sont vus par l'œil
peut être vu par l'œil gauche ; Je violet et le rouge sont vus par l'
œil
droit. La couleur rouge est revenue la première,
â la périphérie, le violet d'abord, le bleu en dernier lieu. Les deux
yeux
sont entièrement achromatiques. M. Burq a donné à
mie à deux minutes plus tard, la couleur bleue reparaît dans les deux
yeux
, puis, après elle, le jaune et l'orangé. Les zone
lle, le jaune et l'orangé. Les zones rouge et verte reviennent dans l'
œil
gauche, mais le violet n'y revient pas. Quant à l
viennent dans l'œil gauche, mais le violet n'y revient pas. Quant à l'
œil
droit, la zone verte et le cercle violet n'y rena
sthésique et amblvo-pique du côté gauche; vous reconnaissez que, de l'
œil
gauche, elle a perdu la notion des couleurs. Cett
ns passer successivement des papiers de différentes couleurs devant l'
œil
tout à l'heure frappé d'achromatopsie. Vous voyez
persiste jusqu'au dernier terme. Enfui, il disparaît à son four et l'
œil
se trouve de nouveau dans l'état où il était, lor
s avons recueillies récemment. Je puis, d'ailleurs, mettre sous vos
yeux
, un nouveau cas propre à mettre en évidence le si
part des hystériques, était double et à peu près aussi prononcée d'un
œil
que de l'autre. 11 y avait diminution de l'acuité
ntreprendre de résoudre la question. Je me bornerai à mettre sous vos
yeux
tous les documents ; vous jugerez par vous-mêmes.
z par vous-mêmes. Parmi les quatre malades qui vont passer sous vos
yeux
, il y en a trois qui sont extrêmement améliorées,
à la métallotliérapie interne ; je ne la juge pas ; je place sous vos
yeux
quelques-unes des pièces du procès en vous montra
rvient Y état cataleptique. La malade est comme fascinée, immobile, l'
œil
grand ouvert fixé sur la lumière, la conjonctive
raît subitement, ou si l'on empêche le rayon lumineux de parvenir à l'
œil
de la malade en interposant un écran, ou simpleme
tombe à la renverse, la tête rejetée en arrière, le cou saillant. Les
yeux
se ferment et une inspiration sifflante se fait e
isme. Si on l'appelle un peu vivement, elle se lève et se dirige, les
yeux
toujours fermés ou demi-clos, vers l'interpellate
re écrire, coudre, etc. Elle exécute tous ses différents actes, les
yeux
fermés, à peu près avec autant de précision que d
enons d'étudier sont ainsi caractérises : 1° Etat cataleptique. — L'
œil
grand ouvert; anesthésie totale et absolue; aptit
cter le muscle par excitation mécanique. 2° Etat léthargique. — Les
yeux
sont fermés ou demi-clos; frémissement persistant
é de l'expérimentateur, suivant qu'il maintient ouverts ou fermés les
yeux
de la malade. Cette expérience peut être varice
fluence d'une vi\re lumière. Nous fermons avec la main un seul de ses
yeux
, l'œil droit par exemple et aussitôt elle devient
d'une vi\re lumière. Nous fermons avec la main un seul de ses yeux, l'
œil
droit par exemple et aussitôt elle devient léthar
te. Au bout de peu d'instants, les malades entrent en catalepsie; les
yeux
restent ouverts, elles paraissent absorbées, elle
rendues cataleptiques par la lumière, il suffisait de leur fermer les
yeux
pour les plonger dans l'état léthargique. Dans le
nfime résultat. Tant que dure la vibration sonore, on peut fermer les
yeux
de la malade et la catalepsie n'en persiste pas m
e fois la malade endormie de cette façon, il suffit de lui ouvrir les
yeux
pour la rendre cataleptique ; et l'on peut répéte
des sens. Cette jeune fille ne distinguait pas les couleurs avec son
œil
gauche ; elle voyait tout en blanc ou en gris. De
eurs avec son œil gauche ; elle voyait tout en blanc ou en gris. De l'
œil
droit, elle reconnaissait exactement les diverses
e jeune hystérique reconnaît successivement toutes les couleurs, de l'
œil
gauche, et que l'œil droit, primitivement normal
connaît successivement toutes les couleurs, de l'œil gauche, et que l'
œil
droit, primitivement normal au point de vue de la
pile sèche ou un aimant près de la tempe droite, vous constatez que l'
œil
droit, qui tout à l'heure reconnaissait toutes le
nt gris au centre de la couleur dont le malade va perdre la notion. L'
œil
gauche, d'ailleurs, voit exactement toutes les co
ille droite, battements à la tempe droite, troubles de la vision de l'
œil
droit, contractures du côté droit, douleur dans l
es présentent, en effet, une achromatopsie complète ou partielle de l'
œil
du côté liémianesthésique. On sait que le champ v
l du côté liémianesthésique. On sait que le champ visuel, même pour l'
œil
sain, n'est pis le même pour toutes les couleurs.
aimant, du métal auquel la malade est. sensible, etc., ramène dans l'
œil
achromatopsique la perception des couleurs, en mê
temps que la sensibilité cutanée. Cette jeune fille qui ne voit de l'
œil
droit que le rouge, ne reconnaît d'abord que la c
eau métallique, — elle est sensible au fer. Bientôt elle voit, de cet
œil
droit, une autre couleur, le jaune qu'elle peut n
présente gagne, par l'action métallique, la perception du rouge de l'
œil
droit, elle perd, dans l'œil gauche qui était sai
métallique, la perception du rouge de l'œil droit, elle perd, dans l'
œil
gauche qui était sain et percevait auparavant tou
rs et ne voit plus que de la grisaille. Nous avons fait passer dans l'
œil
gauche l'achromatopsie qui existait auparavant da
sser dans l'œil gauche l'achromatopsie qui existait auparavant dans l'
œil
droit. Mais cet état, provoqué par nous, ne persi
qûres à droite pendant tout le temps qu'elle voyait les couleurs de l'
œil
droit, passe de nouveau à l'état d'hémianesthésie
-même l'état dans lequel se trouve l'hystérique (le plus souvent d'un
œil
seulement). Si l'on combat la lumière du sodium
lui ouvrir les paupières de façon que l'impression du jour excite ses
yeux
. Aussitôt vous voyez que je lui donne foutes les
ayant regardée fixement avec beaucoup d'intérêt, je remarquai que ses
yeux
convergeaient en haut, avec du strabisme interne,
ore, chez quelques sujets par la fixation plus ou moins prolongée des
yeux
sur un objet quelconque, etc.; — b) consécutiveme
lconque, etc.; — b) consécutivement à l'état léthargique, lorsque les
yeux
, clos jusque-là, sont, dans un lieu éclairé, déco
s. — Le sujet cataleptisé est immobile ; il paraît comme fasciné. Les
yeux
sont ouverts, le regard fixe ; pas de clignement
à eux-mêmes. Les globes oculaires sont, au contraire, convulsés, les
yeux
clos ou demi-clos, et Ton observe habituellement
tanément l'état cataleptique, lorsque, dans un lieu éclairé, on met l'
œil
à découvert en soulevant les paupières supérieure
relation qui existe entre ce troisième état et les deux autres. Les
yeux
sont clos ou demi-clos ; les paupières se montren
aire, relevant les paupières, on maintient, dans un lieu éclairé, les
yeux
ouverts, l'état cataleptique ne se produit pas.
d'éteindre brusquement le foyer lumineux, ou simplement de fermer les
yeux
du sujet catalepfisé en abaissant avec le doigt l
tique s'est produit, si alors les vibrations cessent brusquement, les
yeux
se ferment, un bruit laryngé se fait entendre, le
lepsie. — Au cours de l'état cataleptique, il suffit de clore un des
yeux
du sujet pour amener la résolution et, en môme te
tout le côté du corps correspondant, pendant que l'autre côté, dont l'
œil
est demeuré ouvert, conserve fous les attributs d
s caractères de l'état cataleptique. Cependant, le côté du corps où l'
œil
est demeuré fermé conserve au même degré qu'aupar
uble, lorsqu'un prisme est maintenu appliqué au-devant de l'un de ses
yeux
. La seconde image est alors placée adroite, à gau
voix, il compte indéfiniment jusqu'au moment où l'on vient à fermer l'
œil
droit correspondant à l'hémisphère gauche, en aba
abaissant la paupière supérieure. Si cette paupière est relevée, et l'
œil
droit de nouveau mis à découvert, le sujet repren
édiatement son énumérafion là où il l'avait laissée. L'occlusion de l'
œil
gauche, correspondant à l'hémisphère droit n'amèn
d'épreuve : Del..., est anesthésique totale et achromatopsique de l'
œil
droit seulement. Les réflexes tendineux sont exag
) qu'on la prie de fixer du regard. Au bout de quelques instants, les
yeux
se convulsent en haut, les pupilles se cachent so
e. — Lignes secondaires : rides rayonnantes de l'angle extérieur de l'
œil
. Orbiculaire palpebral inférieur: Muscle de la
ent confirmatives des expériences de Duchenne. Malgré l'occlusion des
yeux
, dont le regard n'anime point la physionomie de l
ons essayé de compléter l'expression de terreur en faisant ouvrir les
yeux
de la malade par un aide, au moment où la contrac
alepsie produite dans tout un côté du corps par l'ouverture d'un seul
œil
, fait disparaître instantanément toute trace d'hy
'excitation, la contraction s'accuser davantage dans les muscles de l'
oeil
, du nez ou des lèvres et du menton. Dans l'expéri
dans l'état de léthargie avec hyperexcitabilité neuromusculaire ; les
yeux
sont fermés, et il suffit de soulever les paupièr
et faire naître la catalepsie. Inversement, l'occlusion nouvelle des
yeux
ramène au même instant l'hyperexcitabilité en fai
rs le sommeil ne peut être obtenu qu'à la condition de lui fermer les
yeux
. La catalepsie cesse aussitôt et la malade devien
re est parfaite. La catalepsie n'est plus possible parl'ou-verturedes
yeux
.L'étatdela motilité estle mêmepartoutlecorps. N
ante d'une grosse épingle que l'on maintient à peu de distance de ses
yeux
et un peu en haut. Au bout de cinq minutes envi
du regard, pensant que l'expérience était terminée. Mais aussitôt les
yeux
se ferment et la malade tombe dans un état de rés
e, qui autrement est impassible et sans expression. L'ouverture des
yeux
n'a pas lieu sans quelque difficulté, à cause du
eu d'instants les paupières se ferment d'elles-mêmes. Pendant que les
yeux
sont ouverts, l'état musculaire ne change pas ; p
ressons alors de la réveiller par le souffle sur le visage et sur les
yeux
. Il faut insister un peu pour y parvenir. La ma
este. Il n'y a aucune aptitude des muscles à la contracture quand les
yeux
sont fermés, et lorsqu'ils sont ouverts, aucune t
ité neuro-musculaire, et l'état cataleptique qui suit l'ouverture des
yeux
ne peut être provoqué. 18 février 1881. — V...,
bout de peu d'instants elle pousse quelques soupirs, puis bientôt les
yeux
se ferment, la tête se renverse, elle est endormi
nt par la friction. Le spasme des paupières empêche l'ouverture des
yeux
, les pupilles se cachent convulsivement sous la p
Les caractères de cet état cataleptique sont les suivants : 1° Les
yeux
sont ouverts, et le regard possède une fixité sur
gard, en convergence supérieure. Au bout de cinq minutes environ, les
yeux
se ferment tout à coup, la tête se renverse, le c
t ici bien moins violent. Bientôt le spasme cesse, et sans ouvrir les
yeux
, ni reprendre connaissance, la malade se met à di
ndant la phase de spasme ou celle de délire, et que la malade ait les
yeux
ouverts ou fermés. En premier lieu nous constaton
omplète. En soulevant les paupières de la malade et en maintenant ses
yeux
ouverts, l'état cataleptique véritable ne saurait
ure par excitation mécanique directe est toujours possible. Que les
yeux
soient ouverts ou fermés, la motilité, chez cette
malade, présente les mêmes modifications. Nous avons remarqué que les
yeux
maintenus ouverts présentaient toujours un certai
iblement. Nous avons pu noter que le plus souvent, dans ce cas, les
yeux
ne se laissent pas ouvrir facilement ; un spasme
fermer. Cependant nons avons pu remarquer quelquefois que lorsque les
yeux
étaient ouverts quel qu'imparfaitement que ce soi
les caractères de l'état cataleptiforme sont les suivants : 1° Les
yeux
sont le plus souvent fermés, s'il sont ouverts la
n degré quelconque. Les réflexes tendineux sont exaltés. 4° Que les
yeux
soient ouverts ou fermés, l'état musculaire reste
culaire s'est développée plus tard à la face chez cette malade. des
yeux
. Les paupières se laissent assez facilement soule
l'état cataleptiforme. — En effet, en insistant sur l'ouverture des
yeux
, les globes oculaires s'abaissent et le regard de
ques sujets, en conséquence delà fixation plus ou moins prolongée des
yeux
sur un objet quelconque. Il se développe consécut
que. Il se développe consécutivement à l'état léthargique lorsque les
yeux
clos, jusque-là, sont, dans un lieu éclairé, mis
rcée, se maintient en parfait équilibre et semble comme pétrifié. Les
yeux
sont ouverts, le regard fixe, la physionomie impa
onomie. Pendant que le sujet est plongé dans l'état cataleptique, les
yeux
restent ouverts, et la face ne demeure pas indiff
s, les sourcils s'élever, l'ouverture palpébrale s'agrandir un peu, l'
œil
devenir fixe , en un mot la physionomie prend l'e
s l'influence d'une nouvelle excitation cutanée. Nous avions sous les
yeux
un spectacle parfaitement analogue à celui que no
en mesure, maintenant, de tirer parti du cas que nous avons sous les
yeux
, qui est relatif, ainsi que je vous l'ai dit, à u
je veux vous présenter le revers de la médaille. Je place devant vos
yeux
une petite victime de l'hypnotisme, pratiqué inco
n porche voisin de l'hôtel de l'Ecu, à hypnotiser par la fixation des
yeux
le jeune homme que voici. C'est très vraisembla
ité relativement grande. Je vais maintenant faire exécuter sous vos
yeux
quelques expériences très simples et très vulgair
a machine. Une machine électrique, comme celle que vous avez sous les
yeux
(1), donne facilement une étincelle de vingt et m
ion beaucoup de science et de zèle. Je vais faire passer devant vos
yeux
, avant de terminer cette partie de la leçon quelq
citateurs de forme spéciale construits en vue de l'électrisation de l'
œil
, de l'oreille, des muscles, des cavités, etc. Le
eux symptômes, il constatait que chez les sujets qu'il avait sous les
yeux
, les phénomènes hynoptiques pouvaient affecter da
me. Il suffit, par exemple, chez un sujet en catalepsie, de fermer un
œil
pour voirie côté du. corps correspondant à cet œi
psie, de fermer un œil pour voirie côté du. corps correspondant à cet
œil
prendre les caractères de la léthargie, tandis qu
ctères de la léthargie, tandis que le côté opposé, qui correspond à l'
œil
ouvert, conserve les propriétés de la catalepsie.
it une déviation dans laquelle il a observé l'état cataleptoïcle, les
yeux
fermés (1). Toutes ces formes que nous venons c
rque une tendance à la formation de périodes distinctes ; lorsque les
yeux
sont fermés, la contracture léthargique se dévelo
somnambulique et la plasticité cataleptique; inversement, lorsque les
yeux
sont ouverts, cette dernière propriété est plus a
grandes attaques). On cherche à l'hypnotiser par la pression sur les
yeux
; la malade s'endort en léthargie, et présente to
tous les caractères de cet état. On cherche alors, en lui ouvrant les
yeux
à la faire passer en catalepsie, mais on ne peut
ie à maintes reprises de développer la catalepsie par l'ouverture des
yeux
lorsque la malade est en léthargie. Peine inutile
l. A plusieurs reprises, on avait cherché en vain par l'ouverture des
yeux
, à la faire passer de la léthargie en catalepsie.
était devenu absolument libre. Le transfert s'était accompli sous nos
yeux
. Or, personne n'en avait eu l'idée, et moi-même j
pêtrière, entre autres celle de l'hémi-catalepsie (lorsqu'on ouvre un
œil
) et de l'hémi-léthargie. Nous pûmes constater à c
e gaîne notablement multipliés. Fig. 2. — Aspect que présentent à l'
œil
nu les anévrysmes miliaires A, B, etc., dans les
rales. Fig. 3. — Aspect que les anévrysmes miliaires présentent à l'
œil
nu dans les parties centrales. B, Foyer ocreux
g. 2. — Vaisseau rompu et entouré par un fragment de caillot qui, à l'
œil
nu, simulait un anévrysme. Fig. 3. —Arterioles
t de l'oreille du côté droit. Contraction simultanée des muscles de l'
œil
, du nez et de la bouche. Fig. 3. — Excitation b
. — Même expérience que la précédente pendant laquelle on a ouver les
yeux
de la malade pour compléter l'expression de terre
La malade est rendue cataleptique du côté gauche par l'ouverture de l'
œil
gauche.—Excitation bilatérale du muscle élévateur
ui dura quarante-cinq jours. Elle pleurait presque constamment. Ses
yeux
devinrent malades et guérirent sous l'influence
abord, et cela me parut caractéristique, Mue de X... étala sous mes
yeux
une douzaine d'écrins renfermant des pièces pro-
utre une per- ception visuelle, une sensation des mouvements de l'
oeil
, une représentation motrice, consciente ou in-
tituée par des images tactiles et mus- culaires des mouvements de l'
oeil
, représentation nécessairement liée à cet acte
la phase centrifuge. Ce sentiment d'inner- vation des muscles de l'
oeil
, accompagnant la per- ception visuelle, expliqu
ouvenir. Ainsi, chez une hystérique en léthargie, l'ouverture des
yeux
, la vibration d'un diapason, une piqûre d'é- pi
che un peu qu'en faisant la manoeuvre du demi-tour. L'occlusion des
yeux
ne provoque pas de chutes. Elle 1 Charcot. Leço
ssant la tête. La malade, assise et consciente, meut ses jambes les
yeux
ouverts, et sans incoordination, elle ne peut l
yeux ouverts, et sans incoordination, elle ne peut les mouvoir les
yeux
fermés. Sans perdre connaissance, elle a pu ent
g. 1 ; fig. % et 3, tête) dont l'excitation produit l'ouverture des
yeux
, la dilatation de la pupille, et des mouvements d
x, la dilatation de la pupille, et des mouvements de la tête et des
yeux
du côté opposé. Ce centre a été différencié plu
delà langue. - il, re- traction de l'angle de la bouche. - 12, les
yeux
ouverts largement, les pupilles dila- tées, la
les yeux ouverts largement, les pupilles dila- tées, la tète et le
yeux
tournés du côté opposé. - 13, 13', les yeux dirig
la- tées, la tète et le yeux tournés du côté opposé. - 13, 13', les
yeux
dirigée du côté oppose. - 14, Picotement de l'o
igée du côté oppose. - 14, Picotement de l'oreille opposée, tête et
yeux
tournes du côté opposé, pupilles largement dila
es mouvements des cordes vocales. Les centres pour la tête et les
yeux
, le bras et la jambe, s'éten- dent au delà de l
pli courbe (13', 13, fig. 1), pro- duit des mouvements du globe des
yeux
, et parfois de la tête vers le côté opposé, gén
at. Mais Luciani et Tamburini ont parfois obtenu des mouvements des
yeux
semblables à ceux obtenus par l'excitation du p
un redressement de l'oreille du côté opposé, avec ouver- ture de l'
oeil
, dilatation de la pupille, et la direction de la
l'oeil, dilatation de la pupille, et la direction de la tête et des
yeux
du côté opposé. Précisément on obtient le même ré
e Beevor et Horsley. Aukte, cheville du pied ; Hlbow, coude : Eyes,
yeux
(a) ; Eyelids, paupières ; Halluæ. gros orteil ;
nt démontré les premiers Luc- cani et Tamburini, les mouvements des
yeux
par l'excitation du lobe occipital. Schæfer, qu
uvé aussi excitable que le reste, obtient des mouvements en bas des
yeux
par l'excitation, non seulement du segment post
e de la surface convexe. Il obtient un simple mouvement latéral des
yeux
en excitant le reste de la convexité du lobe oc
dans ce schéma. Mon hypothèse que ces mouvements de la tête et des
yeux
sont les signes d'une sensation visuelle subjec
eur opposé, flexion de la patte. -7, 7, Action des orbicul.ures des
yeux
et des 7.vgoinatiqties. - 8, Rétraction et élévat
e la langue. - 1 1, Retrac- tion de l'angle de la bouche, - 12, Les
yeux
largement ouverts avec dilatation des pu. pille
'autre directs. Le fait qu'on obtient toujours les » mouvements des
yeux
par l'excitation de la région occipito-angu- la
uction bila- térale produit une cécité complète et durable des deux
yeux
. A part la perte de la vision, il n'y aucune au
usqu'à maintenant, commence à se mouvoir, mais chancelle assez. Les
yeux
sont ouverts et les pupilles dilatées. Il montre
urent semblablement détruits, il y eut une cécité complète des deux
yeux
1. Les observations suivantes furent prises sur
contractiles à la lumière, et une vive lumière projetée devant ses
yeux
produisit un clignotement. Quand un morceau de
raient son désir de boire, ne pouvait trouver la tassé, quoique ses
yeux
regardassent droit sur elle. Cette épreuve fut
rbes sont des centres visuels, chacun étant en relation avec tout l'
oeil
du côté opposé, puisque l'effet d'une ablation
et d'une ablation unilatérale était la cécité totale passagère de l'
oeil
opposé et non une hémiopie. Et il semble que la
ue la destruc- tion bilatérale produit une cécité complète des deux
yeux
plus durable et que je suppose même permanente.
nimal, on cautérisa, avec le thermo-cautère le pli courbe gauche. L'
oeil
gauche fut fermé et l'animal sortit de la stupeur
touchât presque la conjonctive, alors, par le réflexe ordinaire, l'
oeil
se fermait. Une demi-heure plus fard on répéta
anquillement dans un coin avec les veux ouverts, on projeta sur ses
yeux
la lumière d'une lan- terne, mais il ne fit auc
, et courut dans un coin où il se blottit. « Le jour suivant, son
oeil
étant toujours fermé, il fit preuve, sans aucun
fit preuve, sans aucun doute, de la possession de la vision de son
oeil
droit. Il saisissait les choses comme d'habitud
rieure du corps cal- leux fut aussi divisé en même temps2. 2. « L'
oeil
gauche fut aussi soigneusement bouché, et on lais
'il se reposait, nous rampâmes vers lui, mais l'animal, quoique les
yeux
grands ouverts et tournés vers nous, ne fit auc
ucun signe de vision ni d'un côté ni de l'autre. Le jour suivant, l'
oeil
gauche ' Exp. V. Phil. Trairas., vol. Il, 1881.
complète de la sphère visuelle, n'était pas la cécité complète de l'
oeil
opposé, mais 1 hémiopie homonyme par la paralys
cipital et re- garde le pli courbe comme la sphère sensorielle de l'
oeil
. Cependant, d'après ce fait qu'il admet lui-mêm
ports respectifs entre le pli courbe et les lobes occipitaux et les
yeux
out été l'objet de recher- ches par de nombreux
bouche, aiec mouvements de la langue. - iJ, mouvement en avant de l'
oeil
opposé, pwfois torsion de la tète du côté oppose.
uées par la supposition que le pli courbe a des relations avec tout l'
oeil
opposé. ' Ph. Traus, vol. II, 1881. Experimen
tructive unilatérale de ce gyrus produit une cécité temporaire de l'
oeil
opposé, et que la destruction bilatérale produi
ion bilatérale produit une cécilé complète et durable dans les deux
yeux
. Comme ces résultats ont été beaucoup mis en dout
leur précision. J'ai vérifié la présence d'une cécilé complète de l'
oeil
du côté opposé par la destruction du pli courbe
entrer en ligne de compte pour la perte complète de la vision de l'
oeil
du côté opposé. Les connexions entre les deux p
es qu'il regarde comme indi- quant une perte de la sensibilité de l'
oeil
sont en réalité dus à une perte de la vision. A
es deux plis courbes. Il n'y avait aucun ptosis, les mouvements des
yeux
étaient normaux, les réflexes cun- jouctivaux c
tonnant, et paraissait insensible à un jet de lumière projeté à ses
yeux
. Le cinquième jour on trouva des preuves du ret
s signes de perception quand on lui projetait de la lumière sur les
yeux
, et parfois il semblait clignoter quand on le m
t. - C, iiienibie postérieur. - E, zone de la tête - F, région de l'
oeil
. - C, région de l'oreille. - H, légion du cou. -
haut, en bas et de chaque côté mieux que ceux placés en face de ses
yeux
. Six semaines après l'opération, mon collègue,
riphérie que sur le centre. Les objets tenus directement devant les
yeux
et à une petite distance, n'étaient pas bien vus
i- nait un objet le tenait toujours le bras allongé, éloigné de ses
yeux
. Les faits observés chez cet animal auraient ét
mieux vus à distance que de près et moins distinclement lorsque les
yeux
sont tournés directement vers eux. C'est précis
avec précision sur les petits objets placés directement devant ses
yeux
. Il n'y avait aucune preuve, au contraire, que le
e produit un affaiblissement durable de l'acuité usuelle des deux
yeux
1. Des résultats de mes expériences semblent démo
OLOGIE PATHOLOGIQUE. chaque pli courbe a des rapports avec les deux
yeux
- 1.'action croisée est cependant la seule qui
r le point de fiation. Archives, t. XXI 7 Fig. 11. - Rapports des
yeux
avec la zone visuelle chez le chien (d'après Mu
sitives dans la dépen- dance desquelles se trouve la nutrition de l'
oeil
. Les sensorielles ou optiques subissent la décu
ensorielles produisent l'amblyopie et des troubles sensitifs dans l'
oeil
. Un pareil résultat se produit dans les lésions d
sa dépense les changements qui se produisent dans la nutrition de l'
oeil
. Cette hypothèse demanderait que dans tous les
lésion cérébrale il y ait intégrité de la sensibilité du globe de l'
oeil
. Mais ce n'est certainement pas le cas; car, qu
ième paire, qui cause la perte ou un trouble de la sensibilité de l'
oeil
, fréquemment amène aussi des désordlcs fo- ' Ue
nkrenzung, 1889. - LES 'LOCALISATIONS CEREBRALES. 99 phiques de l'
oeil
, cependant ce n'est pas une chose nécessaire; et
'oeil, cependant ce n'est pas une chose nécessaire; et même quand l'
oeil
est absolument anesthésique, si aucun trouble t
oduite par la cocaïne n'atteint pas non plus l'acuité visuelle de l'
oeil
. Ces faits me semblent des objections fatales p
u- lièrement les centres de la vision claire, chacun surtout pour l'
oeil
du côté opposé. Que les autres régions de la ré
IE PATHOLOGIQUE. giques. Hilzig1, le premier, a noté la cécité de l'
oeil
opposé par la destruction do la région occipita
cérébrale. Elle était entièrement croisée et affectait seulement l'
oeil
du côté opposé à la lésion. Munk, dans ses prem
n'avait lieu seulement dans lot ! opposé. Dation 2 a aussi trouvé l'
oeil
opposé aveugle, et d'après toute apparence d'un
ulièrement sa portion médiane ou pariétale, produit une cécité de l'
oeil
opposé et un certain degré d'amblyopie de l'oei
it une cécité de l'oeil opposé et un certain degré d'amblyopie de l'
oeil
du même côté. Les autres expériences de Munk cepe
les chiens le centre visuel est principalement en relations avec l'
oeil
opposé, il est aussi en relation avec le quart
l'oeil opposé, il est aussi en relation avec le quart externe de l'
oeil
du même côté. Donc, la destruction du centre vi
ui d'un hémiopique homonyme vers le côté opposé : le trouble dans l'
oeil
opposé étant beaucoup plus considérable que dan
uble dans l'oeil opposé étant beaucoup plus considérable que dans l'
oeil
du même côté. Mais les faits rapportés par Lucian
nne de la deuxième circonvolution externe, il y a une cécité dans l'
oeil
opposé 6. Et Goltz remarque qu'il ne pense pas
autre plus spécialement dans la région pariétale, en rapport avec l'
oeil
du côté opposé seul. La lésion du premier produ
ant avec celle du premier, produit avec l'hémiopie l'amblyopie de l'
oeil
opposé par la paralysie du centre de la vision
les chats et les chiens, produisent invariablement uni) cécité de l'
oeil
opposé, sans aucun trouble de la vision de l'oe
uni) cécité de l'oeil opposé, sans aucun trouble de la vision de l'
oeil
du même côté. Ces auteurs, cependant, semblent
- volutions. De petites lésions produisent une cécité complète de l'
oeil
opposé durant d'un à deux jours à six semaines.
sagittal ne produi- sait une perte complète de la vision dans aucun
oeil
. Les récentes recherches de Singer et Munger, a
la portion posté- rieure de la deuxième circonvolution externe de l'
oeil
il place le centre de la vision claire (macula
du même côté, et que c'est seulement par une fixation anormale de l'
oeil
ou par l'habitude que l'animal peut éviter les
s lapins '. c J'ai enfin pensé que je pourrais déterminer avec quel
oeil
le lapin voit mieux et avec lequel il voit moin
'avais pensé que le trouble le plus grand de la vision était dans l'
oeil
gauche, l'autopsie révèle le fait que le tractu
e du lobe n'est pas en relation spécialeavec le centre extrême de l'
oeil
du même côté, ni aucune partie n'est pas plus en
gion indiquée comme produisant au moins la cécité tem- poraire de l'
oeil
opposé. On a supposé que chez cet animal, il y
gillaie du chiasma produit une perte complète de la vision des deux
yeux
. La décussation totale dans le chiasma du lapin
s recherches de Van Gud- den qui trouva qu'après l'énucléation d'un
oeil
le tractus optique opposé était seulement atrop
sma est en faveur de cette opinion que chez le lapin aussi les deux
yeux
sont plus on moins en rapport avec chaque centr
trouvé que la destruction de cetle région produit la cécité dans l'
oeil
opposé; tandis que l'ablation de la partie anté
a trouvé que la vision ne semblait pas en- tièrement abolie dans l'
oeil
opposé par la destruction de l'écorce ' Irchiu.
clut que quoique la vision semble d'abord abolie entièrement dans l'
oeil
opposé, cependant ap ès un certain temps. elle
cun oiseau possède une vision binoculaire c'était le hibou dont les
yeux
sont placés presque sur le même plan. Pouréluci
i récemment extirpé complè- tement l'hémisphère droit d'un hibou. L'
oeil
droit fut alors fermé. Le hibou réagit très bie
t parfaitement indifférent à la lumière électrique projetée sur son
oeil
, à toutes les menaces, et mis en mouvement il v
s de vision mais qu'on trouva dus à une fermeture incomplète de l'
oeil
droit. Pour s'assurer si le centre visuel de l'hé
'assurer si le centre visuel de l'hémisphère gauche était intact, l'
oeil
droit fut complètement ouvert. Ceci a eu pour r
résultat le retour de la vision de l'animal pour ce qui etait de l'
oeil
droit, mais aucune indication de vision ne peut
mais il pouvait voir vers la droite avec la porlion externe de son
oeil
gauche. Il clignait aux menaces faites sur sa dro
ns l'écorce grise. P. K. IIII. DE l'action DU courant CONTINU SUR L'
OEIL
normal ; par 0. SCHWARZ, (Arc1t. f. Psychiat.,
t. f. Psychiat., XXI, 2.) Etude. A. De l'excitation galvanique de l'
oeil
; B. Du courant continu sur l'impressionnabilité
le). Absence de nystagmus; intégrité despupilles et des muscles des
yeux
; conservation des réflexes ten- dineux fort act
ensibilité cutanée et du sens muscu- laire, présente, qu'il ait les
yeux
ouverts ou fermés, une parfaite certitude dans
as exactement de toutes les facultés de localisation quand il a les
yeux
fermés, cela est évident, mais ce sont justemen
M. Manz (de Fribourg) communique au Congrès l'état anatomique d'un
oeil
de lapin et d'un oeil humain affectés d'un colobo
communique au Congrès l'état anatomique d'un oeil de lapin et d'un
oeil
humain affectés d'un coloboma du nerf optique.
ique, produit par le défaut d'oblitération de la lente foetale de l'
oeil
à sa partie pos- térieure. L'orateur traite a
n fait le recensement de 600,000 individus affectés de maladies des
yeux
, on ne.la voit men- tionnée que 154 fois. M. Ma
s fibres à myéline dans la rétine, chez 4 d'entre eux tantôt sur un
oeil
, tantôt sur les deux yeux. Or, ces quatre individ
rétine, chez 4 d'entre eux tantôt sur un oeil, tantôt sur les deux
yeux
. Or, ces quatre individus étaient des psychopat
nt. L'artiste, peintre ou sculpteur, est un visuel; il juge par les
yeux
et la planche, plus que le texte, est pour lui co
fenêtre. Voilà un exemple d'auto-suggestion qui de\rait ouvrir les
yeux
des pouvoirs publics sur l'urgence extrême qu'i
ar des hachures .transversales sur la figure que vous avez sous les
yeux
, et qui correspond, comme vous pouvez en juger,
anatomie seulement faite pour les artistes ; vous en avez sous les
yeux
la preuve, puisque nous nous de- mandons ce que
pied, qu'est dû le steppage. Le soin avec lequel le malade suit des
yeux
les mouvements de ses jambes n'appartient pas n
il n'était pas inutile de décrire la région telle qu'on la voit à l'
oeil
nu ou aidé d'une simple loupe : peut-être, pour
térieurs de la circonvolution godronnée, détails faciles à voir à l'
oeil
nu. Seulement, il importe d'être prévenu que po
mblent abandonner les idées de Broca; et l'on revient à tourner les
yeux
du côté de la région de la corne d'Ammon. MAT
axie hystérique de Briquet' et de Lassègue n'existe que lorsque les
yeux
sont fermés. Les paraplégies hystériques flasqu
essement de l'oreille opposée, associé souvent avec l'ouverture des
yeux
, la dilatation de la pupille et la déviation de l
yeux, la dilatation de la pupille et la déviation de la tête et des
yeux
du côté opposé. Ce sont là justement les phénomèn
mènes manquent; le regard étonné, la déviation de la tête et des
yeux
du côté d'où est supposé venir le son. Les lésult
comme s'il était effrayé. Si on peut considérer les mouvements des
yeux
à la suite de l'excitation de la région occipito-
imal ne prêtait aucune attention jusqu'à ce qu'on arrive devant ses
yeux
. On observa aussi, au moins tout d'abord, que l
gion du membre postérieur. - E. Région de la tète. - F. Région de l'
oeil
. - G, Région de l'oieille. -Il. Région du cou. -
ne le faisait seulement que quand la vision était libre. Quand les
yeux
étaient fermés, l'animal était tout à fait inca
jambe, toutes les genres de sensibilité sont normales. Quand ses
yeux
sont fermés, il peut indiquer avec une précision
raphie dont il tire ce qui suit : Quand «ne déviation conjuguée des
yeux
peut être tenue pour le symp- tôme direct d'une
agne toujours, au moins passagère- ment, de déviation conjuguée des
yeux
; elle est on rapport avec lui, pourvu qu'on l'
logiques dans les 270 REVUE DE PAl'HOf.OGIE NERVEUSE. muscles des
yeux
. V. Allures des pupilles sur 100 cas. Il est im
raissent sains à la simple inspection. Cécité presque complète de l'
oeil
droit; à gauche, vue affaiblie. Pupille droite
ur oculaire commun et dont chacun parait animer un des muscles de l'
oeil
, et, d'autre part, le 328 8 CLINIQUE NERVEUSE.
senter ? Mais remarquez, je vous prie, que les autres muscles de l'
oeil
sont épargnés et que ce ptosis est à l'état d'i
pontanés s'accentuant lorsque le malade fait effort pour ouvrir son
oeil
et 336 CLINIQUE NERVEUSE. que, quand on cherc
nt-elle s'accentue au contraire lorsqu'on lui commande d'ouvrir les
yeux
démesurément et vous constaterez en même temps
rle pas ici des cas où il y a participation des autres muscles de l'
oeil
; dans ces cas, l'origine paraly- tique est évid
DU SYNDROME DE WEBER. 343 les oreilles, d'éblouissements devant les
yeux
, puis survenait très souvent une sensation de s
oût, l'odorat, l'ouïe, ne sont tou- chés d'aucun côté. L'examen des
yeux
, pratiqué le 17 février par M. Pai inaud, donne
é le 17 février par M. Pai inaud, donne les résultats suivants « 1°
OEil
gauche. - Champ visuel rétréci à 55°; pas de dy
ci à 55°; pas de dyschromatopsie. V = ? Pas de lésions du fond de l'
oeil
. Contracture de l'accommodation; un peu de dipl
Contracture de l'accommodation; un peu de diplopie monoculaire. 2°
OEil
droit. Champ visuel légè- rement rétréci à 80°
nt rétréci à 80° ; contracture de l'accommodation. - 3° Ptosis de l'
oeil
gauche : la paupière couvre la moitié do la pupil
pupilles sont égales et réagissent normalement; les mouvements des
yeux
sont normaux ; pas de diplopie, même avec l'emplo
tation de résistance. Lors- qu'on ordonne à la malade de fermer les
yeux
, elle le fait facile- ment et avec énergie. Si
hase passionnelle de l'attaque. En plaçant un verre vert devant les
yeux
du malade, il sourit, puis se met à rire. Verre
xpérience. - Verre rouge. Le placement des divers verres devant les
yeux
du malade à l'état normal ne produit pas l'atta
l'attaque, de raconter les tableaux qui se sont déroulés devant ses
yeux
pen- dant les expériences des jours précédents,
perbe ! ... Où vas-tu par un beau temps comme cela. (Elle ferme les
yeux
.) Quel soleil ! Allons à l'ombre... Les beaux n
ert.-II voit des feux de Bengale, Si on met le verre devant un seul
oeil
, lé feu de l3euâale est raté. Si on le met devant
eul oeil, lé feu de l3euâale est raté. Si on le met devant les deux
yeux
, il est superbe. Verre bleu,-II est juché sur q
nettoie sa chaufferette à la fenêtre. 11 a de la poussière dans les
yeux
. Un charbon est tombé sur son pardessus qui brû
M. Pitres ? Un enfant de dix-neuf ans voit son père tué sous ses
yeux
. A ce spectacle, assurément fait pour impressionn
ion éprouvée par son sujet au moment où son père a été tué sous ses
yeux
ait suffi pour provoquer le bégaie- ment. Il fa
par exemple, éprouvée par un fils qui voit son père écrasé sous ses
yeux
, on s'explique, dans une certaine mesure, le dé
ient une tendance à glisser de laperche, quand l'animal fermait les
yeux
ou s'endormait. Dans aucune des premières expér
maladresse et incertitude. Pendant que l'animal était au repos, les
yeux
fermés, j'ai tiré son bras droit loin de son co
droite presque complète avec déviation con jugée de la tête et des
yeux
du côté gauche, comme Jans les cas semblables che
as semblables chez l'homme, la déviation conjugée de la tête et des
yeux
fut de courte durée relativement et la paralysi
pouvoir de rotation, de flexion, d'extension et les mouvements des
yeux
et de la face sont normaux. L'animal sou- vent
essus, il tressaille et rapidement s'en débarrasse, ou il ferme les
yeux
et contracte ses oreilles si on touche sa patte d
lante droite comme le pied gauche, on provoquait la ferme- ture des
yeux
et la rétraction des oreilles comme auparavant, e
goutte d'eau chaude ou froide qu'on laissait tomber sur elle et les
yeux
fermés elle pouvait placer sa main gauche partout
malades pouvaient remuer les membres affectés librement même les
yeux
fermés. Cependant dans de telles conditions les m
ires effectués seulement avec l'aide de la vision sont, lorsque les
yeux
sont fermés, moins précis et certains que ceux
pratique pour une large part ; de telle sorte que, même lorsque les
yeux
sont fermés, la con- ception visuelle du mouvem
artie est en rapport avec les mouvements latéraux de la tète et des
yeux
. L'irritation produit, comme nous l'avons vu, l
yeux. L'irritation produit, comme nous l'avons vu, l'ouverture des
yeux
, la dilatation des pupilles et la déviation con
dilatation des pupilles et la déviation conjuguée de la tête et des
yeux
du côté opposé. Au moment de la destruction de ce
hères, il y a toujours une déviation tem- poraire de la tête et des
yeux
du côte de la lésion. Cependant ce n'est que pa
maux ne purent tourner ni d'un côté ni de l'autre la tête et les
yeux
pendant un jour après l'opération. D'abord, ils n
eure de la zone préfiontale produit une paralysie de la tête et des
yeux
, exactement de la même na- ture qu'auparavant.
l'animal, qui présente d'abord une grande torsion de la tête et des
yeux
du côté de la lésion, avec incapacité de les tour
ême état qu'auparavant, c'est-à-dire la déviation de la tête et des
yeux
du côté de la lé- sion, avec incapacité de les
incapacité de les tourner du côté opposé. La déviation conjugee des
yeux
persiste pendant quelque temps après le retour
t les maintenir dans une position élevée, ni mouvoir sa tête et ses
yeux
latéralement. Les yeux étaient fermés excepté q
e position élevée, ni mouvoir sa tête et ses yeux latéralement. Les
yeux
étaient fermés excepté quand il était dérangé.
le étaient intactes. Excepté l'incapacité de mouvoir la tête et les
yeux
, il n'y avait aucun autre trouble, ni sensitif
tement plus petite que la gauche. Le jour suivant, la déviation des
yeux
persista et il ne pouvait les tourner vers la d
la gauche diminua progressivement, mais l'incapacité de tourner les
yeux
vers la droite persista pendant toute la durée
dixième jour de l'opération. Dans ce cas, la déviation conjurée des
yeux
, per- sista plus longtemps que je ne l'avais ob
tale produit non seulement la déviation conjuguée de la tête et des
yeux
, mais aussi une paralysie temporaire des mouvemen
ne raison pour croire que les mouvements latéraux de la tête et des
yeux
ne peuvent être paralysés d'une façon permanente,
latérale de la région frontale, est dû à la déviation conjuguée des
yeux
du côté opposé, de sorte que l'animal, étant in
côté opposé, de sorte que l'animal, étant incapable de tourner ses
yeux
du côté opposé, ne voit pas un objet, jusqu'au
ntres. En plus de la paralysie deces mouve- ments de la tête et des
yeux
par la destruction des lobes frontaux, j'ai aus
st intimement reliée aux mouve- ments volontaires de la tête et des
yeux
. Sur ce point, qui a été discuté ailleurs, je n
ces, dans deux il y avait une déviation conjuguée de la tête et des
yeux
; douze chez lesquels l'intelligence était spé-
accuse un léger brouillard qui s'étend comme un voile devant les
yeux
. La durée de cette sensation, qui peut être fugit
lements; quelques sujets accusent la sensation d'éclairs devant les
yeux
. Lorsque ces phénomènes se produi- sent c'est q
pour laquelle la vue des étoffes est une cause de douleurs dans les
yeux
et qu'elle est obligée de regarder cependant, q
VANTES. rer principalement l'attention sur le degré d'ouverture des
yeux
et des narines. Sur le côté parésié, l'oeil est
e degré d'ouverture des yeux et des narines. Sur le côté parésié, l'
oeil
est habituellement plus large, tandis que la na
eu aride de for- mules de pathologie. Des malades sont mis sous les
yeux
des assis- tants pour venir donner plus' de rel
ps des), par Haie White, 273. - Courant continu (effet du sur l'
oeil
normal), par Schvartz, 128. Crâne, asymétrie du
cou, elle gagne toute la face, les lèvres sont bour- souflées, les
yeux
injectés, etc., etc. 1 Ces phénomènes varient b
a peau. Urine nor- male il tous les points de vue. « L'examen des
yeux
montra que la conjonctive, la cornée et l'iris ét
la cornée et l'iris étaient dans un état normal. Les mouvements des
yeux
étaient bons. A droite la lumière seule était p
artères et veines, étaient grêles, il tout autre égard le fond de l'
oeil
était normal. » J OBs. XIIII. - Femme mariée de
nt découvert que la malade est presque complète- ment, aveugle de l'
oeil
droit. La date de la diminution de la vue est inc
la tête. Dans l'été de 188G, diminution de la vue, d'abord dans l'
oeil
gauche, puis dans le droit; cette dimi- nution
e pas à plier complètement en avant le pavillon de l'oreille. Les
yeux
font une saillie assez singulière, à gauche surto
convergence mais d'une façon un peu paresseuse; les mouvements des
yeux
se font aisément. . La langue est grosse et mas
diminution assez considérable de l'acuité visuelle, surtout pour l'
oeil
gauche (les doigts ne sont reconnus que lorsque
lorsque l'éloignement ne dépasse pas 5c.1. Le champ visuel est pour l'
oeil
droit rétréci de tous les côtés ; il existe de
de plus une abolition totale pour le segment supéro-externe; pour l'
oeil
droit également, abolition complète de la visio
rché d'une façon spéciale; le malade reconnaissait le vert des deux
yeux
et centralement. L'examen ophtalmoscopique donn
pique donne des résultats normaux sans. aucune dif- férence entre l'
oeil
droit et le gauche. L'acuité auditive est aussi
nerveux central, non plus que du côté des organes des sens. Pour l'
oeil
S = 6/12, le cristallin est un peu scléreux, qu
antérieure du corps vitré. Pas d'altérations notables du fond de l'
oeil
, les vaisseaux rétiniens ne sont pas dilatés ; au
hypocondres et de l'épigastre, par le trouble et l'éga- rement des
yeux
, par des cris perçants, des pleurs, des hoquets,
ions indiscrètes du préfet de police, un jeune satyre amoureux^ les
yeux
bandés, le carquois en bandoulière, explore les
ent dans une phase de tristesse, cessant de travailler, gardant les
yeux
très fixes; huit jours après, période d'excitat
sauve, déshabillée, dans la cour; le 30 juin, nous la trouvons les
yeux
couverts d'un bandeau qn'elle maintient avec sa m
ée et nous avoue qu'elle a vu depuis trois jours et hier encore des
yeux
de /eu; elle assure ne pas entendre de voix. En
; reste au lit la face ensevelie dans l'oreiller; mange et boit les
yeux
fermés; demande parfois à travailler avec les a
t violettes; elle tient la tête penchée, se bandant quelquefois les
yeux
, avec des éclats de rire explosifs par moments.
ontre le mur; ou reste immobile sur sa chaise, la tête fléchie, les
yeux
fermés. Le 13, l'état cataleptoïde reparaît. Le
équivalent dans l'habitude qu'a la malade de tenir obstinément les
yeux
fermés, de se cacher par moments derrière les p
nt, de manière empêcher qu'il oscille, en même temps qu'il fixe ses
yeux
sur une montre à secondes pour régler minutieusem
ciale. L'étude du temps de réaction aux excitations cutanées (les
yeux
clos) donne les résultats suivants : Réaction
ment tombantes en avant et en bas. Une autre chose qui saute aux
yeux
, surtout dans la position de profil, c'est le d
A la suite d'une attaque survenue dans le mois de novembre 1887, l'
oeil
gauche est resté fermé. Dès le premier jour, il
a Salpêtrière bien avant la localisation de cette affection sur son
oeil
gauche; mais elle n'avait jamais été suggérée dan
aphonie, sa coxalgie hystérique à gauche et son blépharospasme de l'
oeil
gauche. l. Cette observation a été recueillie p
inution de l'acuité auditive de l'oreille gauche. Vision (fig. 40).
OEil
gauche. - Amaurose de cet oeil ; rien dans le fon
l'oreille gauche. Vision (fig. 40). OEil gauche. - Amaurose de cet
oeil
; rien dans le fond de l'oeil ; pupille réagiss
. 40). OEil gauche. - Amaurose de cet oeil ; rien dans le fond de l'
oeil
; pupille réagissant à la lumière. OEil droit.
; rien dans le fond de l'oeil ; pupille réagissant à la lumière.
OEil
droit. - Champ visuel un pou rétréci (30-50); pas
nte désormais deux phases du grand hypnotisme : la pression sur les
yeux
la met en léthargie et elle a alors de l'hypere
ictions du vertex la font passer en somnambulisme, elle a alors les
yeux
ouverts et présente également les phénomènes de l
voir sur la planche XVII. Lorsqu'on commande à II. J. d'ouvrir cet
oeil
, on remarque que tous ses efforts n'arrivent qu'à
rémissements qui s'affirment encore lorsqu'elle es- saye d'ouvrir l'
oeil
. Celui-ci reste encore fermé lorsque la malade es
sur un plan inférieur il celui du tronc. Du reste, l'occlusion de l'
oeil
n'est pas seulement complète; mais encore la pau-
SALPÊTRIÈRE. ' Les mouvements dévolus aux muscles extrinsèques de l'
oeil
s'effectuent normalement. t. , , Il existe un
ffectuent normalement. t. , , Il existe une amaurose absolue de l'
oeil
gauche : lorsqu'on relève de force la paupière
il gauche : lorsqu'on relève de force la paupière supérieure de cet
oeil
, et que l'on ferme l'oeil droit, la malade ne v
ve de force la paupière supérieure de cet oeil, et que l'on ferme l'
oeil
droit, la malade ne voit rien. L'usage du prism
r toutes les autres parties' de la cornée et de la conjonctive de l'
oeil
gauche. En promenant un papier sur la cornée, o
y ait de sensation douloureuse perçue par la malade. Autour de l'
oeil
gauche il y a une zone d'aneslhésie légumentaire,
ots qu'on lui fait dire. On lui suggère ensuite qu'elle peut ouvrir l'
oeil
gauche, ce qu'elle l'ait lorsque l'on a insisté
et l'on obtient les mêmes résultats; on essaie en outre, lorsque l'
oeil
reste ouvert aussitôt après la suggestion, de f
, de faire disparaître l'amaurose par le même procédé, en fermant l'
oeil
droit de la malade et en lui suggé- qu'elle peu
l'oeil droit de la malade et en lui suggé- qu'elle peut voir avec l'
oeil
gauche; mais celle suggestion reste sans effet.
ainsi à faire parler la malade à haute voix, -il lui faire ouvrir l'
oeil
gauche, et, pour la première fois, à faire dispar
e, et, pour la première fois, à faire disparaître l'amaurose de cet
oeil
. Après la suggestion, la malade voit donc avec so
rose de cet oeil. Après la suggestion, la malade voit donc avec son
oeil
gauche; néanmoins, l'acuité visuelle do cet oei
voit donc avec son oeil gauche; néanmoins, l'acuité visuelle do cet
oeil
, comparée à celle de l'oeil droit, est DE LA SU
he; néanmoins, l'acuité visuelle do cet oeil, comparée à celle de l'
oeil
droit, est DE LA SUPERPOSITION DES TROUBLES. 11
ons faites pour faire cesser le blépharospasme et l'amau- rose de l'
oeil
gauche donnent de bons résultats, et l'on voit ch
endant laquelle ces résultats persistent. , Les 8 et 9. décembre, l'
oeil
gauche reste ouvert jusqu'à huit heures et demie
ste ouvert jusqu'à huit heures et demie du soir; la vision avec cet
oeil
persisle, avec une acuité assez faible, il est
gestions faites le matin augmente encore un peu : la vision avec l'
oeil
gauche persiste pendant quatre heures et cet oe
la vision avec l'oeil gauche persiste pendant quatre heures et cet
oeil
ne se ferme que le soir neuf heures et demie, h
demi-heure. Après cette at- taque, elle est redevenue aphone et son
oeil
gauche reste fermé. Elle avait vu, avec cet oei
enue aphone et son oeil gauche reste fermé. Elle avait vu, avec cet
oeil
, jusqu'à trois heures de l'après-midi. Les jour
aites le matin vers neuf heures et demie; après quoi la vision avec l'
oeil
gauche persiste pendant quatre ou cinq heures e
on avec l'oeil gauche persiste pendant quatre ou cinq heures et cet
oeil
reste ouvert jus- qu'à ce que la malade s'endor
i persuader qu'elle peut parler à haute voix, qu'elle peut ouvrir l'
oeil
gauche et voir avec cet oeil. Les suggestions
er à haute voix, qu'elle peut ouvrir l'oeil gauche et voir avec cet
oeil
. Les suggestions se font d'ailleurs tout aussi
qu'elle sera réveillée, elle pourra parler à haute voix, ouvrir son
oeil
gauche et voir avec cet oeil, pour que ces sugg
pourra parler à haute voix, ouvrir son oeil gauche et voir avec cet
oeil
, pour que ces suggestions aieut leur effet immédi
ître par suggestion l'aphonie, le blépharospasme et l'amaurose de l'
oeil
gauche, sans jamais pouvoir rendre par suggesti
che, sans jamais pouvoir rendre par suggestion la sensibilité à cet
oeil
. La malade parle alors à haute voix et son oeil
a sensibilité à cet oeil. La malade parle alors à haute voix et son
oeil
gauche reste ouvert toute la journée, jusqu'au mo
rs neuf heures et demie ou dix heures du soir. Mais l'amaurose de l'
oeil
gauche reparaît plus tôt, et la malade cesse de v
'oeil gauche reparaît plus tôt, et la malade cesse de voir avec cet
oeil
vers six heures et demie ou sept heures du soir.
somnambulisme, son aphonie, son blépharospasme et son amaurose de l'
oeil
gauche. A dix heures, l'examen des yeux est fai
spasme et son amaurose de l'oeil gauche. A dix heures, l'examen des
yeux
est fait par M. le De' Parinaud : Acuité visuel
men des yeux est fait par M. le De' Parinaud : Acuité visuelle de l'
oeil
gauche = 1/3. Diplopie monoculaire de l'oeil ga
: Acuité visuelle de l'oeil gauche = 1/3. Diplopie monoculaire de l'
oeil
gauche. L'oeil gauche distingue toutes les coul
le de l'oeil gauche = 1/3. Diplopie monoculaire de l'oeil gauche. L'
oeil
gauche distingue toutes les couleurs; le champ vi
suel du bleu est plus rétréci que celui du rouge. Champ visuel de l'
oeil
gauche : en dehors 30, en dedans 20. Pas de lés
eil gauche : en dehors 30, en dedans 20. Pas de lésion du fond de l'
oeil
gauche. Rien dans l'oeil droit. Les pupilles de
30, en dedans 20. Pas de lésion du fond de l'oeil gauche. Rien dans l'
oeil
droit. Les pupilles des deux yeux réagissent no
ond de l'oeil gauche. Rien dans l'oeil droit. Les pupilles des deux
yeux
réagissent normalement. , Ce même jour, la mala
et n'occupent plus que l'hémiralolle crânienne, la périphérie de l'
oeil
gauche et toute la main gauche jusqu'à quatre t
repa- raissent au bout de quinze ou vingt minutes; l'amaurose de l'
oeil
gauche reparaît le soir, vers six ou sept heure
10 février, lorsque la malade s'est réveillée, elle put ouvrir Son
oeil
gauche et voir avec cet oeil, quoique l'acuité
e s'est réveillée, elle put ouvrir Son oeil gauche et voir avec cet
oeil
, quoique l'acuité visuelle n'en fut pas encore bi
spontanément. En son absence la vision a toujours été absente de l'
oeil
gauche, la cornée et la con- jonctive restant a
harospasme par suggestion sans que la vision et la sensibilité de l'
oeil
gauche et des parties périphériques se rétablisse
arer spontanément (27 au matin) que la vision s'est rétablie dans l'
oeil
gauche. C'est la première fois depuis son entrée
it ainsi d'une façon spontanée, naturelle (PI. XVIII). L'examen des
yeux
fait immédiatement donne ce qui suit (fig. 41) :
, la sensibilité est revenue sur la cornée et la conjonc- tive de l'
oeil
gauche; de même dans la zone périorhitaire. Là fa
es d'oculislique, août 1886. - Spasmes et paralysies des muscles de l'
oeil
. Gazette hebdomadaire de médecine, 1877, n°° 4G
ature hystérique. « Parmi les spasmes des muscles extrinsèques de l'
oeil
, dit-il, ceux des paupières sont de beaucoup les
ntiel de s'établir. Il existait en effet une amaurose complète de l'
oeil
gauche, une anesthésie comprenant la presque to
ne affection nerveuse indépendante de l'hystérie, on n'a devant les
yeux
qu'une copie imparfaite qui ne peut guère être co
dans la phase somnambulique de cet état nous lui suggérons que son
oeil
gauche se ferme, qu'elle ne peut plus ouvrir sa
elle ne peut plus ouvrir sa paupière et, qu'une fois réveillée, cet
oeil
restera encore fermé. Puis nous la réveillons e
3. La malade étant hémianu5tliésiquc droite, nous expérimentons sur l'
oeil
gauche pour les raisons précédemment indiquées.
s précédemment indiquées. DE LA SUPERPOSITION DES TROUBLES. 123 L'
oeil
gauche reste alors fermé par une contracture éner
'écarter les paupières. Si on les tient écartées, on constate que l'
oeil
est frappé d'amaurose complète ; la malade ne p
amaurose complète ; la malade ne peut même plus distinguer avec cet
oeil
la lumière de l'obscurité. En outre, la conjonc
t la cornée sont devenues com- plètement insensibles. Autour de l'
oeil
existe une zone d'anesthésie tégumentaire; elle c
nambulisme et nous lui suggérons qu'elle peut maintenant ouvrir son
oeil
et qu'elle pourra le tenir ouvert après son révei
rra le tenir ouvert après son réveil; puis nous la réveillons : son
oeil
s'ouvre et l'amaurose disparaît; la cornée, la
que du côté gauche, nous avons déter- miné un blépharospasme de son
oeil
droit, et nous avons obtenu les mêmes résultats
ue chez le premier sujet : en même temps que le blépharospasme de l'
oeil
droit, il y avait amaurose de cet oeil, anes- t
s que le blépharospasme de l'oeil droit, il y avait amaurose de cet
oeil
, anes- thésie et analgésie de la cornée et delà
une malade, qui est en somnambulisme, l'idée de ne pouvoir ouvrir l'
oeil
, il se produit une contracture do l'orbiculaire
a malade a porté dix-huit mois. .En décembre 1887, vive rougcur des
yeux
survenant subitement, dit la malade, dans l'esp
hobie. Dès le soir même, elle sent qu'elle ne petit ouvrir les deux
yeux
. Pendant huit jours, les douleurs persistent; l
uvrir les deux yeux. Pendant huit jours, les douleurs persistent; l'
oeil
gauche est fermé complètement et amaurolique, l'o
persistent; l'oeil gauche est fermé complètement et amaurolique, l'
oeil
droit peut à peine s'elitr'ouvrir et garde enco
au pourtour de la hanche gauche (signe de l3rolie). De pins, les
yeux
sont fermés par une contracture spasmodique des o
aucune altération osseuse de l'articulation coxo-fémorale gauche. L'
oeil
gauche est complètement fermé; la malade peut t
Ces phénomènes d'hyperesthésie sont surtout marqués au niveau de l'
oeil
gauche. A son entrée à l'hôpital, la malade e
ant. - Le blépharospasme s'est également amendé en ce qui regarde l'
oeil
droit. La photophobie est moins intense, l'oeil
en ce qui regarde l'oeil droit. La photophobie est moins intense, l'
oeil
s'ouvre plus facilement, mais le rétrécissement
e et la dyschromatopsie persistent. Le spasme de l'orhiculaire de l'
oeil
gauche reste toujours très accentué, la malade ne
eil gauche reste toujours très accentué, la malade ne peut ouvrir l'
oeil
. L'hylereslhésic de la zone périorhitaire est tou
ssa un cri «maman, maman », et tomba à terre sans connaissance, les
yeux
sont fermés, les membres raidis; il n'y a pas d
ies exprime l'hébétude, son regard est froid, furtif, il baisse les
yeux
quand on lui parle, il y a de l'égarement daus
SALPÈTRIÈRE. Accès. - Le malade pousse un cri et tombe à terre. Les
yeux
se ferment, la figure devient rouge, les dents
à même de lui donner. Malgré l'inégal intérêt que présentent à nos
yeux
les deux catégo- ries de spécimens que nous ven
un foulard blanc et appuyée sur un oreiller posé sur une table. Les
yeux
brillants, la face un peu vul- tueuse annoncent
rnées à se promener seul dans les cours, ou assis dans un coin, les
yeux
fixes et sans expression. Il est dans l'incapacit
passible; le front ridé transversalement, les sourcils élevés, les.
yeux
immobiles; le clignement des paupières très peu f
nesthésiques et le rétrécissement concentrique dû champ visuel de l'
oeil
droit si étroit que l'oeil pouvait être considé
sement concentrique dû champ visuel de l'oeil droit si étroit que l'
oeil
pouvait être considéré comme totalement amaurotiq
prise d'un spasme tonique du muscle orbiculaire des paupières de l'
oeil
droit qui augmenta peu à peu d'intensité et gag
lement. Le 20 juillet, le spasme de la bouche a disparu. Le 27, l'
oeil
s'est ouvert. A la suite de la disparition du spa
actéristique de la paralysie incomplète de la sixième paire droite (
oeil
atteint de blépharo- spasme). » L'écartement
oculaires dans l'hystérie, et d'attiré part la contracture dont cet
oeil
avait été atteint, je rapportai la diplopie non i
le consécutive à cette contracture et à l'occlusion permanente de l'
oeil
pendant plusieurs mois. La diplopie s'améliore
ontracture. Pour le premier, la vérification n'est pas difficile, l'
oeil
se ferme à moitié, spasdomiquement, dans les effo
celui d'Alex... Comme cette malade,Clés... appuie fortement sur son
oeil
pour rompre le spasme sans qu'il nous soit poss
rement remarquable en ce que nous avons w le spasme naître sous nos
yeux
, se localiser d'abord à la partie droite de la
s névralgiques de ce côté de la face. La langue n'est pas déviée. L'
oeil
droit est amaurotique. Il existe une anesthésie
iers spécimens du grand arbre généalogique, jetteraient ensuite les
yeux
sur le squelette de Ghirlenzoni, n'hésiteraient
aussi à la contracture. En effet, concurremment avec la langue, les
yeux
se sont déviés vers la droite, et, au moment où l
t leur situa- tion normale. Il est donc évident que les muscles des
yeux
étaient eux aussi contractés. - Si l'on tient
obtenu des contractures dans ces différents sens. Dans ces cas, les
yeux
ne participaient pas à ces diverses déviations.
, éburnées et' parsemées d'une myriade de petits trous.visibles à l'
oeil
nu... L'hypertrophie des mains et des pieds ne
ire du fond de l'orbite et de la graisse. Exophtalmie considérable,
yeux
assez sains. Hypertrophie du nez, des paupières
attaque... En effet, après quelque temps la maladie empire à vue d'
oeil
, le peu de force qui lui reste diminue tous les
ion.-Double rétrécissement concentrique du champ visuel à 35 pour l'
oeil
gauche, à 45° pour l'oeil droit. Diplopie monocul
concentrique du champ visuel à 35 pour l'oeil gauche, à 45° pour l'
oeil
droit. Diplopie monoculaire. Microméga- lopsie.
ttements dans les tempes; bruit dans les oreilles; nuage devant les
yeux
. Chute et perte de connaissance. L'aura est sou
e s'cedématie et se refroidit dans l'espace de deux heures sous les
yeux
du malade et des assistants. Les mouvements de-
ou deux fois, puis le malade se remet dans le décubitus dorsal, les
yeux
fermés, les membres souples. Cet état de calme
que. Il avait dit il un autre : Le père X... se met le doigt dans l'
oeil
, c'est un hystérique... Enfin ceci ou ça, ma ma
Pendant le'sommeil, à intervalles variables, tout d'un coup, les
yeux
fermés ou demi-clos, elle se découvrait brusqueme
Nous ferons encore remarquer, comme particularités, le myosis de l'
oeil
gauche, la diminution de la fente palpébrale, et
culaire : aboli : le malade perd ses jambes dans le lit. Examen des
yeux
(17 juillet 1889). Pupilles inégales (plus peti
ien que la droite; étroitesse de l'ouverture palpébrale. Globe de l'
oeil
gauche rétracté dans l'orbite. Les autres sens
ant sa crise, à la poitrine, au cou et dans la tête; il sentait ses
yeux
devenir fixes et le sang lui monter dans la poi
salutation et l'arc de cercle (emprosthotonos et opisthotonos). Les
yeux
sont alors ouverts, la pupille dilatée réagit s
lement par l'attitude du crucifiement. Dans cette 3e période, les
yeux
sont également ouverts d'ordinaire et la pupill
te raison, que lire les détails d'une observation et avoir sous les
yeux
le malade sont deux choses différentes. Nous somm
de vertige : .' sa tète tourne, des brouillards passent devant ses
yeux
, sa céphalalgie s'exaspère et il tombe sur un c
lioré. C'est à ce moment qu'il perdit pro- gressivement la vue de l'
oeil
droit. Au mois d'octobre 1889, il entre à l'hôp
ligé dc faire de grands efforts pour ne pas tomber. L'occlusion des
yeux
accroit un peu le tremblement et il menace de t
ormal. Troubles oculaires. Examen pratiqué par M. le D' Parinaud. L'
oeil
gauche présente un rétrécissement concentrique
m;Oopsie : le vert et le violet sont vus bleus. Spasme palpébral. L'
oeil
droit est amaurotique. Le malade ne distingue p
sont égales et réagissent normalement. Pas de lésions du fond de l'
oeil
. Pas de nystagmus. Le malade est soumis à un tr
i dans la catégorie hystérique : amblyopie sans lésion du fond de l'
oeil
. L'embarras de la parole lui-même, si ressembla
tent à trembler; le tronc, la tête tremblent aussi. L'occlusion des
yeux
exagère ce tremblement; mais il n'y a pas de si
l existe une petite plaque sen- sible au niveau du grand angle de l'
oeil
gauche. Les sens spéciaux sont altérés. Le goût
té gauche. L'ouïe très obnubilée du même côté. Le champ visuel et l'
oeil
n'ont pu être examinés, car ce malade présente
ses pieds du sol. Pas de signe de Romberg. La marche est possible les
yeux
fermés. Les réflexes rotuliens et plantaires so
secousses telles que le malade me- nace de tomber. L'occlusion des
yeux
ne paraît pas augi-nen ter l'instabilité. Penda
la névrose, à titre d'excep- tion rarissime. L'examen du fond de l'
oeil
n'a pas été fait. L'hystérie peut donc tout exp
culaires. Réduction considérable de l'acuité visuelle pour les deux
yeux
? ? Pas de lésions du fond de l'oeil. Achromatops
'acuité visuelle pour les deux yeux ? ? Pas de lésions du fond de l'
oeil
. Achromatopsie complète bilatérale. Diplopie mo
champ visuel présente un rétrécissement concentrique pour les deux
yeux
10. - Le goût et l'odorat sont abolis. Anesthés
férieur. Anesthésie pharyngée. Les sens spéciaux sont intéressés. L'
oeil
présente un léger l'étrécissement du champ visu
rtie du corps, ni aucun trouble des sens spéciaux. Les muscles de l'
oeil
, de la langue, de la bouche, sont normaux; les
olument nécessaire pour découvrir des lésions qu'on ne voit pas à l'
oeil
nu. D'autre part, les nerfs périphériques n'ont p
it, répondant doulou- reusement sur les côtés de la face et sur les
yeux
(qui étaient devenus le siège de sensations lum
avec leur secours, il ne peut se tenir debout, dès qu'il ferme les
yeux
. La sensibilité est répartie de la manière la p
t donner au mouvement une direction précise. Qu'il ait, ou non, les
yeux
ouverts, il atteint t sans peine le point, son
fisait à la rendre normale. Affaiblissement de la vue. L'examen des
yeux
fait par M. le Dr Badal (de Bordeaux), ne révèle
marchait qu'avec un appui, raide et menacé de chute s'il fermait les
yeux
. Les réflexes rotuliens étaient exaltés et il y
seul, il petits pas, les genoux à peine fléchis; il marche même les
yeux
fermés. Les membres inférieurs ne tremblent plus
une hémianesthésie complète du côté gauche, cutanée et sensorielle (l'
oeil
1. Erissaud, le Spasme saltatoire (Arc/¡, gén.
deux ans auparavant, la malade avait entièrement perdu la vue, de l'
oeil
droit; et l'avait recouvrée six semaines après.
présente le facies d'Hutchinson : tous les muscles extérieurs de l'
oeil
, et ceux-là seuls, sont intéressés. L'ophthalmo
-Dieu et pendant ce temps on remarqua qu'il avait quelque chose aux
yeux
; on parla de le faire examiner par M. le profe
n l'exa- mine assis et à l'état de repos, c'est l'expression de ses
yeux
immobiles avec les paupières demi-tombantes, qu
ÈRE. aucune Irace de paralysie faciale ni à droite ni à gauche. Les
yeux
seuls sont t intéressés.... , z On trouve la
rononcé il, gauche qu'à droite. Quand on dit au malade d'élever les
yeux
; la paupière supérieure se relève d'une manière t
é de diplopie. Le champ visuel est nor- mal, ainsi que le fond de l'
oeil
: Les mouvements de la bouche et des lèvres s'e
.\t Pas de dyschromatopsie. ' . ? ., " Pas de lésion du fond de l'
oeil
. - - Rétrécissement du champ visuel,, également
tête des cheveux frisés et pommadés ; la moustache est blonde; les
yeux
bleus. Physionomie douce, un peu effarée avec d
ent concentrique du champ visuel des deux côtés, plus marqué pour l'
oeil
droit (droit à 55. degrés en dehors, à 40 du FI
relèvement de la paupière droite. Dans les positions extrêmes de l'
oeil
, on a cette sorte de tremblotement des muscles
Pas de diplopie monoculaire. Pas de dyschromatopsic. Cependant l'
oeil
droit hésite un peu à reconnaître les couleurs.
, pour recher- cher le champ visuel pour les diverses couleurs. L'
oeil
droit se fatigue très vite; les objets se brouill
té esl également très variable. Ce phénomène s'est produit sous nos
yeux
à diverses reprises pendant l'examen du malade.
core qu'après avoir été fatigué par l'examen un peu prolongé de ses
yeux
, le malade se sentait la tête très lourde, et que
pnotique si on avait pu obtenir de lui qu'il fixât un instant notre
oeil
ou un point brillant quel- conque : autre manif
t vrai que cette éléva- tion ne s'est produite qu'une fois sous nos
yeux
; mais nous n'avons eu le malade que trois jour
er d'impressionner l'organe visuel, car on sait que l'occlusion des
yeux
est complète pendant la léthargie. En soulevant
ses caractères distinctifs, nous plaçons un verre rouge devant les
yeux
delà malade. Immédiatement nous lui voyons esqu
nt admi- ratif. f. L'application d'un verre vert clair devant les
yeux
ne change rien à la scène précédente. Après c
it très joli ou très terrible; ça lui passait rapidement devant les
yeux
. C'était comme s'il s'agissait d'elle, mais elle
ur souvenir, mais elle les voyait alors se dérouler, non devant ses
yeux
, mais dans son imagination. A ce moment précis
tables halluci- nations suggérées, tableaux qui défilent devant les
yeux
de la malade, ou scènes un peu plus complexes d
atiquées. Après l'avoir mise en catalepsie, nous plaçons devant ses
yeux
un verre bleu : immédiatement ses sourcils se f
Verre vert. -- Sourire; elle fait le geste d'envoyer un baiser. Les
yeux
levés au ciel, sa physionomie exprime un parfait
prononcé, avec gestes. Eau de Cologne. - La malade sourit, lève les
yeux
au ciel, puis joint ses mains et se placedans l
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Alcool. Elle joint les mains, lève les
yeux
au ciel et paraît prier. Les diverses excitatio
l'avoir mise en catalepsie, nous plaçons un verre rouge devant ses
yeux
. Immédiatement sa face prend l'expression d'une g
prend l'expression d'une grande frayeur. Ses bras se lèvent et ses
yeux
regardant dans le lointain sem- blent contemple
un spectacle terrible (PI. VI, fig. '1). Verre bleu. Elle lève les
yeux
au ciel, joint ses mains en l'air dans l'attitu
cligne les paupières et met ses mains en abat-jour au-dessus de ses
yeux
, comme pour se proléger d'une lumière trop vive
d'une lumière trop vive. (Ce même verre jaune placé sur nos propres
yeux
, nous donne à nous-mêmes l'illusion que les objet
la tête, l'air profondément triste comme si ce qu'elle suivait des
yeux
avait disparu pour ne plus revenir (PI. VII, -
lion. Puis elle se comprime avec les deux mains l'ovaire droit. Ses
yeux
sont fixes et un peu hagards, sa face exprime une
chemin de fer et le bruit de la locomotive, elle semble suivre de l'
oeil
un train qui passe dans le lointain. SG NOUVE
gong, la plonge dans une grande tristesse. Elle metla main sur ses
yeux
comme quelqu'un qui pleure ou qui prie. Elle as
out cela comme un individu normal. Placez un verre rouge devant ses
yeux
, il voit les objets teints en rouge. Le catalep
s -faits, réels d'ailleurs (témoin ce cerveau que je place sous vos
yeux
) (fig. 10), qui permettraient de croire que la
, dessins schématiques annexés à ce travail, et qui sont mis sous les
yeux
des membres dit Congrès, correspondent des opér
amertume n'est perçue qu'au bout de quelques secondes. Du côté des
yeux
on n'observe pas de rétrécissement du champ vis
ents actifs, sont autant de caractères bien autrement saillants à l'
oeil
de l'observateur que ne l'est le degré de rapid
ousses rhythmiques généra- lisées ou suffisamment amples pour que l'
oeil
de l'observateur puisse aisément les dissocier.
sont faciles à saisir. 11 suffit, pour en être frappé, de jeter les
yeux
sur un de cestrem- bleurs hystériques pendant q
aille, très robuste, aux formes viriles, au faciès intelligent. Les
yeux
sont légèrement injectés, le regard est extrême
pes, de bourdonnements dans les oreilles, de brouillards devant les
yeux
, c'est-à-dire, de prodromes de l 'aura céphalique
Tempéra ure irrégulière, souvpnl au-dessus de la normale. Fond des
yeux
normal. - Aeril 1889. Pas de changements appréc
t presque continue et force le malade à ne jamais regarder que d'un
oeil
. Pour regarder devant lui ils oulève, la paupière
aire. Le front présente à peu près ses plis transversaux normaux. L'
oeil
se ferme entièrement par la volonté; il n'exist
urvinrent tout d'abord une diminution de la puissance visuelle de l'
oeil
droit, puis de la diplopie, plus tard du ptosis,
Il s'agit là d'un cas de complication de la paralysie nucléaire des
yeux
par l'atrophie musculaire progressive. La lésion
pparaître. La paralysie porte aujourd'hui sur tous les muscles de l'
oeil
, sauf le muscle ciliaire, et l'atrophie très ac
ait en Europe, lorsqu'un jour il éprouva une forte dou- leur dans l'
oeil
gauche. Au moment de son retour à New-York, la pa
lectrique; il se produi- sit une certaine amélioration du côté de l'
oeil
gauche; mais l'état de l'oeil droit s'aggrava :
une certaine amélioration du côté de l'oeil gauche; mais l'état de l'
oeil
droit s'aggrava : les deux pupilles étaient dil
eau. Le malade avait des céphalalgies intenses. L'inflammation de l'
oeil
gauche était si violente, les lésions étaient t
étaient telles, que le médecin conseilla l'énucléation du globe de l'
oeil
. Le malade refusa et vit les accidents inflamma
genou et la hanche, mais non le cou- de-pied et le gros orteil. Les
yeux
étaient restés à peu près dans le même état; il
rk, il fut examiné par le Dr Grüning qui lui fit l'iridectomie de l'
oeil
droit sans améliorer la vision et lui releva pl
dilatée. 156 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Examen des
yeux
par Friedenberg : DE L'OPHTHALMOPLÉGIE EXTERNE.
té complète dans tous les autres sens. Pas de paralysie interne des
yeux
, pas d'altération de la vue, pas de troubles du f
des yeux, pas d'altération de la vue, pas de troubles du fond de l'
oeil
. Le masséter droit est un peu atrophié et le maxi
- pecte à gauche les muscles élévateurs et abaisseurs du globe de l'
oeil
, le releveur de la paupière et, à droite, le dr
ulières, mame- lonnées, teintées en rouge, qu'il est impossible à l'
oeil
le moins exercé, de ne pas reconnaître pour des
ens spéciaux, l'odorat, l'ouïe, le goût sont nor- maux. Du côté des
yeux
, il n'y a ni achromatopsie ni rétrécissement du c
s palpébraux, au niveau des com- fissures, ce qui fait paraître les
yeux
bridés et assez petits. Le nez est effilé, plut
e l'auteur, « une anomalie remarquable » : le champ visuel des deux
yeux
était diminué pour le blanc et les couleurs.
ptômes hystériques. Rétrécissement concentrique à 15° pour les deux
yeux
. Troubles visuels. -Achromatopsie binoculaire,
suivants : 1° rétrécissement concentrique à 30° du champ visuel de l'
oeil
droit ; 2, abolition du goût à gauche; 3° aboli
e, la.sensibilité tactile n'est que diminuée. La conjonc- tive de l'
oeil
droit, la muqueuse nasale du côté droit, la moiti
la nuit suivante couché dans un wagon-lit. Mais il ne put fermer l'
oeil
. Il avait, nous dit-il, la tête perdue; il lui
s efforts d'inspiration; elle a des battements dans les tempes; ses
yeux
se ferment; elle perd connaissance et l'attaque c
laire; 20 un rétrécissement concentrique à 70° du champ visuel de l'
oeil
droit; 3° le goût est aboli sur le côté droit de
es siégeaient dans toute la moitié droite du crâne et au- tour de l'
oeil
droit. C'étaient des élancements douloureux très
toute la moitié droite de la tête, de la nuque au front, pas dans l'
oeil
; avec des battements « comme des coups de marteau
un double rétrécissement concentrique du champ visuel, à 35° pour l'
oeil
gauche, à 45° pour l'oeil droit. L'examen de la v
oncentrique du champ visuel, à 35° pour l'oeil gauche, à 45° pour l'
oeil
droit. L'examen de la vision pratiqué par M. le
en outre, de la diplopie monoculaire et de la micromégalopsiepour l'
oeil
droit. 11 n'y a pas dyschromatopsie; 5° une par
bilité; un rétré- cissement concentrique à 70° du champ visuel de l'
oeil
droit; une diminution très marquée de l'acuité
douleurs, élancements dans toute la tête des deux côtés, autour des
yeux
, dans la mâchoire, qui descendaient le long de
s par elle-même; il s'agit des mouvements passifs, communiqués. Les
yeux
, la langue, la face, ne tremblent pas non plus.
ilogr. Les réflexes tendineux sont normaux. Face. La motilité des
yeux
est intacte. La langue est tirée droite. Les pl
t encore corroborer la paralysie de la musculature exté- rieure des
yeux
. Tels étaient les symptômes présentés par Peyn.
'hui il se tient debout sans appui et garde bien son équilibre. Ses
yeux
sont plus mobiles, le ptosis est moins apparent.
, car c'est le seul moyen qu'il ait, à cause de l'immobilité de ses
yeux
, pour diriger ses regards autour de lui. Lorsqu
e à l'atrophie des muscles de la nuque. Mais il suffit de jeter les
yeux
sur la face pour voir immédiatement qu'il ne s'
céphalite. Ce malade à l'air pleurard et hébété conserve encore son
oeil
vif. On le voit promener son regard dans toutes
dier pour ainsi dire à l'immobilité de sa tête par l'agilité de ses
yeux
. C'est qu'en effet son bulbe inférieur seul est
e cette dernière on devra toujours porter son attention du côté des
yeux
, afin de ne pas laisser passer inaperçue l'opht
érale de la myopathie. La chose la plus saillante, ce sont les gros
yeux
des malades, largement découverts par les paupièr
oués de mouvements dans tous les sens. Ils ressemblent bien peu aux
yeux
des sujets atteints de polioencéphalite. Tandis
la discuter, car on connaît des cas de polynévrites dans lesquels l'
oeil
a été touché. Il est vrai que quelques-uns de c
un double ptosis avec ophthalmoplégie externe presque totale pour l'
oeil
droit, moins complète pour l'oeil gauche, et dipl
gie externe presque totale pour l'oeil droit, moins complète pour l'
oeil
gauche, et diplopie. On constatait en outre tou
onserva qu'un certain degré de paralysie du droit externe de chaque
oeil
, produisant un léger strabisme convergent. En l
nonréellement paralysé. De plus, la face est indemne, ainsi que les
yeux
. Enfin on retrouvera, sinon dans l'état actuel,
qui ne permettent de différencier nettement les deux affections, l'
oeil
étant immobile dans l'une et au contraire souve
rras de la*po1e** *Lc I(i*lMÙt*l88(*ou constate un double ptosis; l'
oeil
gauche est dévié a droite, niais tous les mouve
'oeil gauche est dévié a droite, niais tous les mouvements des deux
yeux
sont extrêmement limités. Pas de diplopie, pupill
offre les symptômes connus du tabes dorsalis. En même temps que ses
yeux
devenaient immobiles, il fut at- teint de surdi
teint de surdité très marquée et éprouva de la peine à avaler. Les
yeux
sont 1 finalement immobiles, les paupières, sur
igourcux; ila du ptosis palpébral et de la parésie des muscles de l'
oeil
, mais les pupilles ont gardé leur faculté de se
ante. Strabisme divergent très prononcé; mouvements volontaires des
yeux
complètement abolis; vision excentrique normale
auche, et qui alla en se pronon- çant dans la suite. Le ptosis de l'
oeil
droit alla également en s'accentuant. Bref, d'a
du froncement transversal de la peau du front, de l'immobilité des
yeux
et du rétrécissement des fentes palpébrales. En
ommuns d'une teinte grise étaient également amincis. Les muscles de l'
oeil
présentent les traces d'une dégénérescence grai
érescence graisseuse avec atrophie. Sur la moelle on découvrait à l'
oeil
nu une teinte grise des cordons postérieurs qui
tenso. OBs. XL. Paralysie chronique et progressive des muscles de l'
oeil
. (Doelliger 1). Il s'agit d'un homme de soixa
es, absence de coordination des membres inférieurs. Oscillation les
yeux
fermés; marche en piétinant. Sensibilité parais
de perte de connaissance avec déviation conjuguée de la tête et des
yeux
(novembre), le malade fut pris de nouveaux accide
e, franche- ment attaquée jusqu'en ses altérations, s'offrait à des
yeux
façonnés aux conventions de l'Ecole. Gros avait
n goitre exophthalmique se développe, avec saillie considérable des
yeux
et troubles' cardiaques très inquiétants. L'oeil
lie considérable des yeux et troubles' cardiaques très inquiétants. L'
oeil
gauche, en particulier, élait tellement sorti d
e des extrémités et troubles particu- liers dans les mouvements des
yeux
. Nous n'avons pu réunir que très peu de renseig
à cette époque qu'on remarqua des troubles dans les mouvements des
yeux
; la santé du malade empira de plus en plus, le
les du visage, mais il y a chute de la paupière supérieure des deux
yeux
, surlout du droit si bien que le malade ne peut
ver à volonté (ptosis). Le malade s'oppose en fermant fortement les
yeux
aux essais faits dans le but de les ouvrir; de
davantage sous l'influence de la lumière; la faculté de fermer les
yeux
à volonté est intacte. L'examen des yeux donna
; la faculté de fermer les yeux à volonté est intacte. L'examen des
yeux
donna les résultats suivants : les deux globes so
s tous les sens sont très limités; dans le mouvement en dedans, les
yeux
atteignent à peine jusqu'à la ligne médiane ; d
us parfaitement libres; tous ces symptômes sont plus marqués dans l'
oeil
droit que dans le gauche. Les pupilles égales dan
l'oeil droit que dans le gauche. Les pupilles égales dans les deux
yeux
sont de moyenne grandeur et réagissent indubitabl
moins il est incontestable que le malade voit de l'un et de l'autre
oeil
; on ne peut pas non plus remarquer de troubles
possible de faire un examen plus complet de la vue et du fond de l'
oeil
, vu l'état psychique du patient, quoique nous n
aucoup plus faibles. La chute des paupières est plus accentuée. Les
yeux
dévient encore davantage au dehors et leurs mou
L'abaissement des paupières est également accusé des deux côtés; les
yeux
sont comme auparavant déviés en dehors et en ha
erstitielle. La paralysie toxique de la musculature extérieure de l'
oeil
ne se termine pas toujours aussi malheureusemen
uatre membres. Ptose palpébrale double plus marquée à droite. Sur l'
oeil
droit : paralysie du muscle droit interne et pa
nterne et parésie des droits externe, supérieur et inférieur. Sur l'
oeil
gauche : paralysie des muscles droits. Aucun trou
ie des poumons. Le cerveau seul a été autopsié. Rien de visible à l'
oeil
nu. Au microscope, hyperémie énorme des petites
certains cas, la paralysie double de la musculature extérieure de l'
oeil
entraîne néanmoins un pronostic i réservé que j
l'inférieure et surplombe celle-ci d'une façon très évidente'. Les
yeux
présentent un strabisme convergent très accusé. T
jugera ainsi de la forme du visage, ronde, ovoïde, de la forme des
yeux
, du nez, de la bouche, du développement des arcad
te). Examen descriptif des organes des sens. Pavillon de l'oreille.
Yeux
: orhites, paupières, globe de l'oeil. Nez. Bouch
sens. Pavillon de l'oreille. Yeux : orhites, paupières, globe de l'
oeil
. Nez. Bouche : lèvres, voûte palatine, voile du
lation normale du réseau d'où proviennent les aliénés considérés.
Yeux
. Du côté de l'oeil on peut rencontrer des variati
éseau d'où proviennent les aliénés considérés. Yeux. Du côté de l'
oeil
on peut rencontrer des variations nom- breuses
e, plus ou moins rectiligne. Vous savez que dans certaines races, l'
oeil
revêt un aspect particulier, je veux parler de l'
ines races, l'oeil revêt un aspect particulier, je veux parler de l'
oeil
dit mongolique. Ses caractères peuvent se résum
t acceptée, est celle de Metchnikow attribuant 'les caractères de l'
oeil
mongolique à la per- sistance d'un état foetal.
ongolique à la per- sistance d'un état foetal. -Ces caractères de l'
oeil
mongolique se ren- contrent parfois chez les Eu
nalé aussi le plérygion congénital (Wardrap, Beer). Le globe de l'
oeil
peut être plus ou moins saillant. Cette saillie n
Cette saillie ne tient pas tant aux dimensions mêmes du globe de l'
oeil
qu'à la dispo- sition des parties voisines, par
cette année (1890), le malade fut pris d'une autre affec- tion des
yeux
. On constata alors une paralysie de l'orbiculaire
n de pieds et de jambes en caoutchouc. Quand on lui fait fermer les
yeux
, elle a des oscillations assez manifestes et semb
la stupéfaction de cette bonne soeur, qui ne pouvait en croire ses
yeux
et est accourue nous annoncer cette heureuse nouv
lle n'a plus de déviation du rachis ; elle voit les cou- leurs de l'
oeil
gauche. Pas d'anesthésie faciale. Elle mange très
la malade de porter le doigt sur un point quelconque du corps, les
yeux
fermés, elle n'y réussit qu'après des tâtonneme
la malade écarte sa chemise de son cou, comme si elle étouffait; les
yeux
restent entr'ouverts. 1° Troubles moteurs. Le
étendue. La moelle fut retirée et examinée macroscopique- ment. A l'
oeil
nu, on ne constata aucune altération appréciable.
dorsale ne présentait aucune altération ; la moelle était saine à l'
oeil
nu, et, très évidemment, l'aurait été au micros
rale ne semble pas douloureuse; pas de zones douloureuses. Rien aux
yeux
. `1cJ novembre 1887. La malade quitte l'hôpital
rieur maximum 193 mm. transverse 15G. - frontal minimum '12G. "
Yeux
: inégalité pupillaire. Acuité visuelle OD, OG, V
n quelque sorte la diathèse de contracture se déve- lopper sous nos
yeux
; après la contracture par massage musculaire est
côte, nous dirigeons, après avoir pris la précaution de fermer les
yeux
du sujet, le vent d'une feuille de papier légèr
férentes conditions de température, nous avons examiné le fond de l'
oeil
et nous n'y avons jamais trouvé rien d'anormal, a
du corps. On constata aussi, à cette même époque, la déviation des
yeux
, la paralysie faciale et les troubles du langag
\ cependant il comprendre que l'on lui dit. i Enfin, du côté des
yeux
on est frappé par un strabisme double couver- t
tiqué par M. le Dr Koenig a donné les résultats suivants : « Dans l'
oeil
gauche, il n'y a pas d'infiltration caractérisé
360 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. l'étal normal. Dans l'
oeil
droit, la papille se, détache mieux sur le fond d
mal. Dans l'oeil droit, la papille se, détache mieux sur le fond de l'
oeil
il y a un peu de stase. Les pupilles sont égale
umière et à l'accommodation. Diplopie ( ? ) impossible à constater. L'
oeil
gauche est saillant et dévié en dedans près du
sement se font assez bien; lagophthalm6s;'la partie inférieure de l'
oeil
restant à découvert quand on le fait fermer. L'
inférieure de l'oeil restant à découvert quand on le fait fermer. L'
oeil
droit, quand on sollicite les mouvements de latér
ubérantielle ressortissant au type Millard-Gubler. Les troubles des
yeux
et du lan- gage qui la compliquent méritent que
L'odorat, l'ouïe, le goût, sont normaux des deux côtés. Du côté des
yeux
, l'examen pratiqué par M. Parinaud a donné les
tigmatisme. Les pupilles sont normales. Pas de lésions du fond de l'
oeil
. Pas de rétrécissement du champ visuel; un peu
la dépendance d'une paralysie oculaire ni d'une lésion du fond de l'
oeil
, tous phéno- mènes qui font ici défaut. La para
a à côté du but. Dans la station debout, appuyé sur sa canne et les
yeux
ouverts, il se tient immobile, toujours courbé;
il se tient immobile, toujours courbé; si on lui dit de fermer les
yeux
, il tombe comme une masse. Les réflexes rotulie
e. Il a en plus une sorte de spasme palpébral qui rend l'examen des
yeux
difficile à pratiquer. Les deux pupilles, de mo
s'accompagnent jamais de vomissements. État actuel. La marche, les
yeux
ouverts, ne traduit pas d'incoordina- lion bien
11 ne peut se tenir à cloche-pied. Lors- qu'on lui fait fermer les
yeux
, la station debout est impossible; le malade to
eds. Le sens musculaire est complètement aboli; il ne sait pas, les
yeux
fermés, la position de ses membres; dans l'obscur
tées et réagissent à peine à la lu- mière. - Amblyopie surtout de l'
oeil
gauche.-Diplopie monoculaire et mi- cromégalops
cet examen, notamment en ce qui concerne l'exploration du fond de l'
oeil
, qui n'a pas été faite. Néanmoins le tabes ne s
t assurément de l'ataxie des mouvements, ataxie que l'occlusion des
yeux
, l'obscurité exa- gèrent dans certains cas. Mai
ubles oculaires. Les éléments différentiels tirés de l'exa- men des
yeux
, ont, dans l'espèce, une importance capitale. Nou
essins exclusivement médicaux. Pour la plus grande satisfaction des
yeux
et de l'esprit, le pittoresque y tient une gran
ne attaque, apparurent un strabisme divergent et une amblyopie de l'
oeil
droit, accidents qui persistent encore aujourd'hu
ales. Pas d'anomalies de la rétraction. 01 ? il droit. Amaurose : l'
oeil
n'a qu'une vague perception lumi- 4M NOUVELLE I
égales et réagissent bien à la lumière. Pas de lésions du fond de l'
oeil
. Malgré l'amaurose dans la vision monoculaire, il
blissement de la vision binoculaire quand on place un prisme devant l'
oeil
sain. Pour s'assurer que la malade ne trompe pa
sain. Pour s'assurer que la malade ne trompe pas et que c'est bien l'
oeil
amaurotique qui voit, quand on le couvre on con
g donne un résultat négatif. Quand on dit à la malade de fermer les
yeux
et de les ouvrir, la paupière droite se relève di
elle s'est aperçue brusquement L qu'elle ne voyait plus clair de l'
oeil
droit. Celle amblyopie a persisté depuis. Il ct
tympan ; audition bonne à droite. » - Troubles oculaires (examen des
yeux
pratiqué par M. Parinaud, le 2t juin 1890). - D
ité visuelle est normale; le champ visuel n'est pas rétréci. Dans l'
oeil
droit, diminution considérable de l'acuité visu
a langue est un peu tirée à droite, la commissure droite relevée, l'
oeil
du même côté presque à demi fermé. De temps à a
goût et de l'odorat d'un côté, amau- rose sans lésion du fond de l'
oeil
, etc.1. Mais toute la symptomatologie 1. Cette
visuel, sans qu'il existe aucune altération matérielle du fond de l'
oeil
, d'une part, et sans que l'on constate aucun sy
leur dépend, sur toute l'étendue de la rétine, de l'adaptation de l'
oeil
, de la saturation, de l'intensité et de l'étendue
elle, et nous eu citerons des exemples tout à l'heure. Mais, si l'
oeil
peut être intéressé, les autres organes sensoriel
oir. Nous allons les citer ici, pour que le lecteur, ayant sous les
yeux
les pièces du procès, puisse juger en connaissa
hode que nous comptons procéder. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'
OEIL
. L'œil, le plus complexe des organes des sens,
ous comptons procéder. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'OEIL. L'
œil
, le plus complexe des organes des sens, est par c
pour siège : i0 l'appareil lacry-mal; 2° les organes protecteurs de l'
œil
; 3° le globe oculaire; 4° l'orhite osseux et l'en
s organes suivans : i°la glande lacrymale, située entre le globe de l'
œil
et le bord osseux de l'orbite à son angle externe
e lacrymale, petit amas de follicules encastré à l'angle interne de l'
œil
entre les conduits la-crymaux ; 4° h double surfa
eux parties : i° les conduits lacrymaux situés à l'angle interne de l'
œil
dont ils continuent la direction horizon-tale ; 2
cornet inférieur. Conduits lacrymaux. Situés à l'angle interne de l'
œil
, écartés en dehors, convergens en dedans de maniè
, le chirurgien devant être ambidextre pour toutes les opérations des
yeux
, la seringue doit être tenue de la main gauche po
ations des yeux, la seringue doit être tenue de la main gauche pour l'
œil
droit et de la main droite pour l'œil gauche. Tou
tenue de la main gauche pour l'œil droit et de la main droite pour l'
œil
gauche. Toutefois cette opération est facile à fa
. Toutefois cette opération est facile à faire également sur les deux
yeux
et sur les deux paupières, la seringue tenue de l
r du canal, parcourir son étendue et déboucher à l'angle interne de l'
œil
dans le sac lacrymal. Ces préliminaires posés, su
2, fig. 16) tenu, comme une plume à écrire, de la main droite pour l'
œil
gauche et vice versa, le point d'appui pris avec
ections. L'incision de Pouteau, qui transporte à l'angle interne de l'
œil
la difformité qu'il voulait éviter à la peau, et
ravers l'os unguis. Procédé de Woolhouse. Faire au grand angle de l'
œil
une in-cision semi-circulaire, qui ouvre largemen
nous paraît devoir rester dans la science. ORGANES PROTECTEURS DE L'
OEIL
. Les paupières, dans les diverses couches qui l
e, mais quelquefois envahissant l'une et l'autre paupière, il force l'
œil
à rester entrouvert ( lagophthalmieou œil de lièv
'autre paupière, il force l'œil à rester entrouvert ( lagophthalmieou
œil
de lièvre), et cause par cela même une irritation
t en dedans; puis, procédant de l'angle externe vers l'interne pour l'
œil
gauche, (pl. 5,fig. 2) ou en sens inverse pour l'
l'interne pour l'œil gauche, (pl. 5,fig. 2) ou en sens inverse pour l'
œil
droit, avec des ciseaux courbes sur le plat, exci
t de la main droite sur l'une ou l'autre paupière, ou l'un et l'autre
œil
, en procédant indifféremment de l'angle externe v
déformé la paupière par rétrécissement de la peau , de manière que l'
œil
est maintenu irrégulièrement entrouvert, il n'y a
ade étant placé en position convenable, et le chirurgien en face de l'
œil
qu'il opère, circonscrire la cicatrice entre deux
chute de la paupière supérieure, déterminant l'occlusion forcée de l'
œil
, constitue une maladie très fâcheuse en ce qu'ell
t de la peau par l'emploi des astringens et des caustiques. Mais si l'
œil
est entièrement recouvert par une peau tombante,
un pli cutané parallèle au bord palpébral, et assez large pour que l'
œil
soit bien ouvert, et enlever ce pli d'un seul cou
tillée. L'élévation forcée de la paupière entraîne une ouverture de l'
œil
proportionnée à la perte de substance et, après l
travers sur la région sour-cilière, maintient les trois premières. L'
œil
doit être ainsi main-tenu ouvert artificiellement
fig. 2, 3). Introduire sous la paupière, entre elle et le globe de l'
œil
, la plaque de l'élévatoire en écaille; soulever l
e de l'élévatoire en écaille; soulever la paupière,pour l'isoler de l'
œil
, et la faire tendre par un aide qui saisit le bor
e le pensons pas, et du reste, la figure qu'il a donnée lui-même d'un
œil
prétendu guéri, beaucoup plus difforme que celui
es. Pratiquer ensuite une pareille incision vers l'angle interne de l'
œil
, un peu en dehors du point lacrymal. Entre ces de
iste, en faire la section. Laissant ensuite retomber le lambeau sur l'
œil
, examiner s'il reste encore une introversion du b
ilatoires; ren-verser en dehors la paupière et l'isoler du globe de l'
œil
en la soulevant avec l'élévatoire en écaille, pui
s paupières étant saisies et soulevées, pour les isoler du globe de l'
œil
, pratiquer une ponction dans l'angle qui doit for
s la piqûre, une sonde cannelée, recourbée suivant la con-vexité de l'
œil
, pour tendre en avant le voile membraneux. Dans l
il a envahi en surface et en profondeur, réclamant l'extirpation de l'
œil
en entier. La vive sensibilité de l'œil ne permet
réclamant l'extirpation de l'œil en entier. La vive sensibilité de l'
œil
ne permettant pas d'employer la pâte arseni-cale,
ut autre tissu, le germe de ces tumeurs redoutables qui envahissent l'
œil
en entier et la cavité de l'orbite. Encanthis (
is le ptérygion, de forme triangulaire, est borné au grand angle de l'
œil
, tandis que le pannus recouvre toute la surface d
sse et d'apparence charnue, si-tuée ordinairement au grand angle de l'
œil
, mais parfois sur d'autres points. Sur cent cinq
épais lacis de vaisseaux variqueux convergens de l'angle interne de l'
œil
vers le centre de la cornée par un sommet unique
Rognetta, le ptérygion, aux quatre extrémités des deux diamètres de l'
œil
, ne serait sou-vent autre chose que la carnificat
n muscu-laire du tendon aponévrotique de l'un des muscles droits de l'
œil
. Trois méthodes opératoires ont été employées c
i forme comme une sorte de voile vasculairc sur toute la surface de l'
œil
, du pourtour de la gout-tière de réflexion de la
ne science encore incertaine , comprit qu'une substance opaque dans l'
œil
pouvait être un obstacle à la vision, osa concevo
ter une opération dont les suites peuvent être fu-nestes, même pour l'
œil
sain, tandis que le meilleur résultat que l'on pu
lleur résultat que l'on puisse espérer est la vision inégale des deux
yeux
? Conditions de succès. Elles se résument sous
et de dé-placer ou de broyer avec une aiguille, dans l'intérieur de l'
œil
, le cristallin et sa capsule. A ces procédés se r
noir; une petite compresse fenêtréeen linge fin , qui doit isoler les
yeux
après l'opération ; un plumasseau de charpie fine
ter la lumière. Au lieu de ces bandages , M. Quadri préfère laisser l'
œil
libre et maintient seulement les paupières rappro
n face à face de son malade est commune à toutes les opérations sur l'
œil
, lorsque le chirurgien est ambidextre. Dans le ca
chirurgien est ambidextre. Dans le cas contraire, et s'il opère sur l'
œil
droit, le chirurgien, suivant la conseil de Scarp
général cette posi-tion pour opérer toujours de la main droite sur l'
œil
droit; mais cet avis n'est point partagé par les
s la situation indiquée, la face légèrement inclinée de manière que l'
œil
sur lequel on opère s'offre en premier plan. La p
le petit doigt, coucher l'instru-ment sur la joue et le présenter à l'
œil
un peu obliquement à angle de vingt-cinq à trente
sa concavité en bas , ses tranchans tournés vers les deux angles de l'
œil
, l'offrir sur le point de la sclérotique correspo
ique correspondant à un millimètre au-dessous du plan horizontal de l'
œil
et à trois ou quatre millimètres du bord de la co
ou quatre millimètres du bord de la cornée ( fàg. 5,8). A ce moment l'
œil
étant fixé par une pression in-stantanée, en acco
la chambre antérieure. Procédé de Petit. L'aiguille insinuée dans l'
œil
, la faire glisser derrière le cristallin, et, par
a réascension. Procédé de M. Bretonneau. L'aiguille insinuée dans l'
œil
, la faire glisser dans la direction de la face po
n abaisse ou déprime. En quelques mots, l'évacuation des humeurs de l'
œil
, la lésion du corps ciliaire, la non-division pré
, qu'une évacuation, exposant, sous la pression nécessaire, à vider l'
œil
, comme l'ont démontré Scarpa, Ware, Saunders, Gib
me l'ont démontré Scarpa, Ware, Saunders, Gibson et M. Lusarcli. Si l'
œil
est saillant, le sujet do-cile et peu irritable,
t spécial de l'opération, par sclératonyxis ou kératonyxis. Mais si l'
œil
est enfoncé, très mobile et le sujet irritable, l
s les mêmes conditions et lorsqu'il est presque impossible de fixer l'
œil
immobile, que l'on peut choisir la kératonyxis po
t arc, en même temps qu'elle agit sur la cataracte, servant à fixer l'
œil
, outre que la cicatrice ultérieure ne peut nuire
dit pour la sclé-ratonyxis, avec la main droite, pour l'un ou l'autre
œil
, saisir l'aiguille, tenue comme une plume à écrir
ndent le succès probable sont que la chambre antérieure soit large, l'
œil
parfai-tement sain et parconséquent peu irritable
rgie a rejeté depuis long-temps tous les moyens mécaniques de fixer l'
œil
; les ophthalmostats de diffé-rentes formes n'ont
s paupières écartées; et que si l'on veut presser au point de fixer l'
œil
, on peut contondre et blesser sans être jamais ce
t le même mouvement horizontal qui la porte vers l'angle interne de l'
œil
. A mesure que le couteau chemine, le tranchant en
mouve-ment est bien conduit,avec fermeté et sans secousses, et que l'
œil
reste immobile, le lambeau doit se tailler lui-mê
mbeau est presque entière-ment taillé, préserver l'angle interne de l'
œil
de la piqûre de la pointe avec l'ongle de l'indic
oisia paupière supérieure et faire reposer pendant quelques instans l'
œil
, recouvert de ses paupières et au besoin d'une co
r la paupière inférieure, comme si le doigt devait s'insinuer entre l'
œil
et le plancher orbitaire. Sous la pression de hau
du couteau doit être calculé suivant la forme et les dimensions de l'
œil
. Le couteau de Richter modifié par Béer est en gé
étroit, trop court que trop long. La blessure de l'angle interne de l'
œil
,la di-vision inégale delà cornée, et même la lési
se dirige vers le côté interne de la cornée, il arrive souvent que l'
œil
, fuyant l'action de l'instrument, s'enfonce en de
u malade de regarder en sens contraire, at-tendre un instant, fixer l'
œil
de nouveau par une pression un peu plus forte de
ion de la cornée. 6° Dès que la pointe a pénétré du côté opposé , l'
œil
, étant fixé par le couteau, peut être moins compr
ection sans secousses, cet accident pouvant faire brusquement vider l'
œil
. Si des mouvemens convulsifs de l'œil empêchent d
uvant faire brusquement vider l'œil. Si des mouvemens convulsifs de l'
œil
empêchent d'achever sans danger la section, suspe
nt la paupière supérieure, pour fermer la plaie, et laisser reposer l'
œil
quelques instans; puis relever doucement la paupi
ent la paupière, et, comme la moindre pression pourrait faire vider l'
œil
, il vaut mieux aller saisir le cristallin, pour l
ation complète du corps vitré, inévitablement suivie de la perte de l'
œil
.Enfin, dans les cas rares où l'œil, à l'état turg
itablement suivie de la perte de l'œil.Enfin, dans les cas rares où l'
œil
, à l'état turgide, semble indiquer une hypersécré
de ren-verser la tête en arrière, pour éviter, par la direction de l'
œil
en haut, l'évacuation du corps vitré. Kératomie
eu haut à angle de qua-rante-cinq degrés avec le plan horizontal de l'
œil
, présenter per-pendiculairement la pointe à la su
ade, l'in-strument tenu le tranchant en haut, delà main droite pour l'
œil
gauche et vice versa. Toutefois la plupart des ch
a paupière inférieure. L'instrument est tenu de la main droite pour l'
œil
droit, et vice versa, le tranchant en haut, le po
s son exécution. La contraction convulsive des muscles, entraînant, l'
œil
en haut et en dedans sous la paupière superieure,
vec succès. Des recherches nombreuses sont faites sur l'anatomie de l'
œil
et en particulier de l'iris considéré dans sa str
sang, une lymphe coagulable, qui se déposent dans les cham-bres de l'
œil
à la suite d'ophthalinies internes violentes; 3°
mplications : i° l'effacement plus ou moins complet des chambres de l'
oeil
, résultat d'adhérences de l'iris (synécliie anté-
rdent comme indispensables les cinq conditions suivantes : i° Que l'
œil
ne soit le siège d'aucune inflammation ni d'au-cu
it du jour et perçoive les gradations de la lumière; 4°Que les deux
yeux
soient inserviables, parce que, du côté opéré, la
ôté opéré, la nouvelle pupille serait en clésharmonie avec celle de l'
œil
opposé, et, quant à ce dernier, on exposerait le
le, bien tpie chez les vieillards les inflammations consécutives de l'
œil
soient plus rares. C'est chez l'adulte que la pup
Saison. 11 faut, comme en gé-néral pour toutes les opérations sur les
yeux
, choisir une saison tempérée, le printemps ou l'a
ération dans l'ordre suivant : i° l'hémisphère inférieur de l'iris, l'
œil
étant à peine recouvert, par la paupière en ce se
peine recouvert, par la paupière en ce sens; 2" l'angle interne de l'
œil
, qui entraîne moins de strabisme que l'angle exte
vision; 4° enfin le lieu le moins favorable est l'angle externe de l'
œil
, qui conduit inévitablement au strabisme. Dans to
r-ture de la cornée. M. Gibson alors exerce une légère pression sur l'
œil
, pour faire saillir cette membrane entre les lèvr
icile de pratiquer le décollement de l'iris vers l'angle externe de l'
œil
; c'est pour ob-vier à cet inconvénient que Flajan
suivante : ils introduisent l'aiguille par la chambre antérieure de l'
œil
en piquant la cornée; alors, suivant eux, il devi
'orbite et en nécessitent l'ex-tirpation en masse. extirpation de l
oeil
. Cette opération, dont on trouve la première de
ans Bartisch, se pratique le plus ordinairement pour des cancers de l'
œil
ou de l'orbite. Bartisch vidait l'orbite avec u
et, à son exemple, on pratique encore aujourd'hui l'extirpation de l'
œil
avec un bistouri droit ordi-naire, une érigne sim
la tête très élevée, le chi-rurgien se place en face et du côté de l'
œil
affecté. Premier temps. Avec les pinces de Muse
e plume à écrire, le plonger un peu au-dessus de l'angle interne de l'
œil
, afin de divi-ser d'abord les insertions des gran
oin d'enlever en même temps la glande lacrymale. Troisième temps. L'
œil
ainsi détaché n'est plus supporté q ne par un min
UENT SUR L'APPAREIL DE L'OLFACTION. Beaucoup moins complexe que l'
œil
ou 1 oreille, l'appareil olfactif se compose prin
pour guide les divisions lobulaires de la tumeur que. l'on a sous les
yeux
, de la fractionner par la pensée en plusieurs par
pour achever de détruire les derniers prolonge-mens qui échappent à l'
œil
et au toucher dans les tissus. C'est donc en pa
its de nos contemporains, qui se sont pour ainsi dire passés sous nos
yeux
, le chiffre avoué des résultats obtenus. Offrant
atières, et on exécute un taxis véritable, les parties étant sous les
yeux
. Il est commode au chirurgien, pendant qu'il fait
hypertrophie de plexus veineux admis par plusieurs autres , etc. A l'
œil
nu les tumeurs hémorrhoïdales semblent formées pa
n du Villards, pour guérir les adhérences des paupières au globe de l'
œil
, lui a procuré plusieurs succès; il est probable
iquées deux ouvertures elliptiques , une de chaque côté, appelées les
yeux
de la sonde, et qui sont destinées à donner passa
e soin de les placer à des hauteurs dif-férentes afin que si l'un des
yeux
venait à être obstrué par quel-que matière étrang
e très fin et très fort, fait sur un mandrin de fer ou de cuivre; les
yeux
ne sont pas percés à la même hauteur dans la crai
sur l'obstacle. M. Lallemand ayant remarqué que , pour que les deux
yeux
de la sonde plongeassent dans la vessie, il falla
s du bec. Dans d'autres cas la sonde courbe, au lieu de présenter des
yeux
, est seulement perforée à son bec. Cette sorte de
ser à l'écoulement de l'urine , par suite de leur engagement dans les
yeux
de la sonde, M. Berre rapporte (Archives gêner, d
es, filiformes, situées transversalement, peu ou point saillantes à l'
œil
nu, mais facilement percevables quand on promène
ffèrent des sondes en gomme élas-tique que parce qu'elles n'ont pas d'
yeux
. Elles sont moins dures que les bougies pleines,
tre 5 et 10 millimètres. Ces sondes sont courbes, et ne portent qu'un
œil
sur leur concavité (PL 56 bis, fig. 1). Le traite
ar un bouton olivaire derrière lequel se trouvent deux fentes ou deux
yeux
pour laisser sortir les lames destinées à inciser
se qui présente, environ à 2 centimètres de la pointe, deux fentes ou
yeux
pour laisser passer deux lames qui ont la forme d
re proportionné à la largeur du canal et dont l'extrémité présente un
œil
assez grand pour que le calcul puisse y faire sai
il assez grand pour que le calcul puisse y faire saillie; lorsque cet
œil
est arrivé au niveau du corps étranger, il cherch
l'anse de fil, qu'on ramène dans la canule, et de là au dehors par l'
œil
qui laisse passer la canule métallique et son man
spèce de maladie. Tout y est plein de médecins. Les uns sont pour les
yeux
, les autres pour la tête ; ceux-ci pour les dents
s neuve, ainsi que M. Amussat, « dit M. Leroy (1), fit évanouir à mes
yeux
la plupart des diffi-« cultes qui m'avaient arrêt
de détritus pierreux. M. Leroy fait usage d'une sonde munie de grands
yeux
, à travers laquelle il pratique dans la vessie de
s injections qui entraînent tous les débris qui peuvent traverser ses
yeux
, situés à des hauteurs différentes, et en sens op
Le broiement de la partie des calculs qui fait saillie à travers les
yeux
s'opère par pression, à l'aide d'un mandrin flexi
efforts contraires, dans l'intérêt commun, il faut un peu fermer les
yeux
et lui venir en aide. Ceci posé, passons en revue
rès grosse; l'extrémité qui correspond à la vessie est percée de deux
yeux
, et celle qui est à l'extérieur est terminée par
qu'ils ne ressemblent à rien de ce qui se passe aujourd'hui sous nos
yeux
. Tandis que Cheselden avoue 24 morts sur 2i3 opér
ttre à nu le col utérin pour on rendre les altérations visibles à l'
œil
. Cet instru-ment était connu dès la plus haute an
acée dans l'épaisseur de l'instrument, en sortaient à volonté par les
yeux
de cette sonde, et devaient aller s'implanter dan
le vagin par la fistule, on introduit les deux bouts du fil dans les
yeux
de la sonde , et on les retire avec elle par l'ur
e assez fine , montée sur un mandrin, et dont nous remplissons un des
yeux
de nitrate d'argent fondu. i° Ulcères syphiliti
—Oblitération des conduits lacrymaux, 10. — Organes protecteurs de l'
œil
. Ec-tropion , 10-12. — Blépharoptose, 12.—Entropi
trer dans notre médecine opératoire. Nous avons long-temps attendu, l'
oeil
fixé sur les événemens, que toute cette matière e
ste dans un désaccord ou un manque d'harmonie entre les mouvemens des
yeux
dont un seul ou tous deux à-la-fois se dévient in
us souvent double. Dans le strabisme double presque toujours l'un des
yeux
est plus dévié que l'autre. On s'assure de la dir
lus dévié que l'autre. On s'assure de la direction de chacun des deux
yeux
en les fermant et faisant regarder alter-nativeme
fermant et faisant regarder alter-nativement avec l'un et l'autre. L'
œil
strabique, s'il n'y en a qu'un, ou s'ils le sont
pour que la cornée soit presque entièrement ca-chée sous l'angle de l'
œil
, cet organe, inutile jusque-là, ne voit encore qu
ctées de strabisme, peuvent néan-moins faire passer la déviation d'un
œil
à l'autre. M. Dufresse Chassaigne cite un chef de
Chassaigne cite un chef de bureau qui, ne pouvant travailler que d'un
œil
à-la-fois, se servait alternativement des deux à
rabisme s'observe à tous les degrés depuis la déviation exagérée où l'
œil
se cache sous les angles des paupières jusqu'à ce
ude du regard que Buffon appelle un faux trait dans la rue, et où les
yeux
ne louchent décidé-ment qu'en fixant des objets à
e distingue en six espèces prin-cipales fondées sur la direction de l'
œil
ou des yeux affectés : en dedans ou vers le nez;
en six espèces prin-cipales fondées sur la direction de l'œil ou des
yeux
affectés : en dedans ou vers le nez; strabisme in
quatre premières espèces le strabisme est simple ou du moins l'un des
yeux
est entraîné par celui où la déviation est le plu
ire, sont caractérisées par l'opposition des forces motrices des deux
yeux
. Le premier, où l'un des yeux se porte en haut et
opposition des forces motrices des deux yeux. Le premier, où l'un des
yeux
se porte en haut et l'autre en bas, a été nommé,
'une fois sur huit cents opérés, consiste dans une déviation des deux
yeux
en dehors, chacun de son côté. Non moins ef-frova
e à voir que le précédent il était caractérisé par la fixité des deux
yeux
dont les pupilles se cachaient aux deux tiers sou
s nombreux expli-quent cette différence : la propension naturelle des
yeux
à se porter en dedans pour converger vers un même
ogie. bles, ou par opposition entre les forces musculaires des deux
yeux
, sont, comme nous l'avons dit, très rares. Tout
st bien plus ordinaire que la synergie des muscles voisins entraîne l'
œil
dans les directions moyennes. Prenant pour exem-p
moins in-terne et supérieure, ou interne et inférieure, et en outre l'
œil
sera plus ou moins proéminent, si à cette double
la formule générale pouvant se résumer dans cette proposition : Que l'
œil
, dans ses déviations, représentant la résultante
s et surtout de la 5e paire, des opacités des milieux réfringens de l'
œil
, taies, cataracte, etc. La rétraction spasmodique
raccourcissement et n'offrait aucune résistance lorsqu'on déplaçait l'
œil
. Sur une autre femme de 62 ans atteinte de stra-b
t interne n'offrait qu'une tension légère lorsqu'on faisait subir à l'
œil
une assez forte rotation en dehors. 2" Contract
pos de la théorie du pied-bot, et allègue pour preuve qu'en fermant l'
œil
sain, l'autre redevient direct. Celte assertion e
ujours ainsi, rien ne prouve que les cas où s'effectue le retour de l'
œil
à sa direc-tion ne soient pas précisément ceux où
ernes con-couraient avec le muscle droit correspondant pour attirer l'
œil
en dedans et en haut. Pl. A, fig. 1 2. 3° Inéga
é de force musculaire. Cette distinction où l'on suppose que l'un des
yeux
, le strabique, est mu par une force moindre que c
n des yeux, le strabique, est mu par une force moindre que celle de l'
œil
sain, serait précisément l'inverse de la rétracti
ait le strabisme. Ayant remarqué que chez la plupart des strabiques l'
œil
dévié est plus faible que l'autre et ne voit pas
ble que l'autre et ne voit pas aussi loin, il en avait conclu que cet
œil
, plus tôt fatigué, se détournait instinctivement
plus tôt fatigué, se détournait instinctivement de l'objet fixé par l'
œil
le plus fort. Sans nier absolument cette théorie
s moins nombreux, dans tous les autres au contraire la faiblesse de l'
œil
étant, l'effet et non la cause du strabisme, puis
ion de Buffon, est l'exaltation de la sensibilité de la rétine dans l'
œil
affecté. Celle-ci, plus facile à reconnaître que
es individus, que dans les cas où ils veulent voir un objet avec leur
œil
affecté de taie; distinction qui détruit le fait,
opacité centrale1 n'empêche pas le redressement par l'opéra-tion de l'
œil
strabique ; d'antre part, que tous ceux qui offre
trabisme, la situation vicieuse de la cornée par rapport à l'axe de l'
œil
, et Lahire le défaut de concordance entre les poi
maladie, les malades, à mesure que le strabisme se confirme et que l'
œil
affecté devient plus faible, s'habituant à ne plu
devient plus faible, s'habituant à ne plus fixer les objets que de l'
œil
sain. Néanmoins, comme toutes les règles générale
son enfance, d'un double strabisme convergent, inégal entre les deux
yeux
, qui n'avait jamais cessé de voir double. Au rest
voit, s'exerçant tout de suite instinctivement âne regarder qu'avec l'
œil
sain. La cause physique delà diplopie est telleme
sur 100 strabismes, en a trouvé 23 accompagnés de diplo-pie; 16 de l'
oeil
droit et 7 de l'œil gauche; environ :: 1 : /j. M.
en a trouvé 23 accompagnés de diplo-pie; 16 de l'oeil droit et 7 de l'
œil
gauche; environ :: 1 : /j. M. Du-fresse l'a renco
ntré dans 9 cas sur 53 ou :: 1 : 6. 20 Myopie. Le strabisme, dans l'
œil
qui en est affecté, s'ac-compagne fréquemment de
diamètre antéro-postérieur que détermine la pression des muscles de l'
œil
, aux deux côtés des diamètres vertical et transve
qui s'opposent au raccourcissement du diamètre antéro-postérieur de l'
œil
. 3" Affaiblissement ou abolition de la vue dans
ans Vœil strabique. Deux causes de l'affaiblissement de la vue dans l'
œil
strabique ont été signalées : i° d'après tous les
ire que toutes deux concourent en même temps à l'affaiblissement de l'
œil
. Enfin, c'est à cette diminution de la sensibilit
ation plus ou moins prononcée de la pupille que présente si souvent l'
œil
affecté de strabisme convergent. 4° Etat convul
ussi d'une telle violence que le malade ne peut arrêter son regard, l'
œil
étant dans une agitation perpétuelle. Quand ce si
contracture musculaire paraît être caractérisée par la tendance de l'
œil
à rester dans sa position. Dans les cas exa-gérés
ller jusqu'à produire la fixité absolue ou l'immobilité du globe de l'
œil
(Baudens). E'inégalité de force musculaire n'est
out d'abord. Nous avons vu qu'elle n'empêche pas le redressement de l'
œil
strabique; maisil noussemble qu'il y aurait lieu
ner dans quelles con-ditions anatomiques se trouvent les muscles de l'
œil
affecté. On le voit suffisamment par tout ce qui
DU STRABISME, (i) ANATOMIE OPÉRATOIRE. (2) Six muscles meuvent l'
œil
, les quatre droits et les deux obli-ques, envelop
paires aux deux extrémités des diamètres vertical et transversal de l'
œil
, les quatre muscles droits forment les côtés d'un
rconférence, dont la traction s'accompagne d'une rotation légère de l'
œil
sur l'un de ses axes, dans le sens de chaque musc
nisme aux extrémités du diamètre auquel ils cor-respondent. Comme les
yeux
sont destinés naturellement à con-verger vers un
est d'environ 4 millimètres (2 lignes). Le mouvement d'élévation de l'
œil
étant le moins ordinaire, le muscle droit supérie
es droits, (a) Les muscles droits externe et interne font exécutera l'
œil
un mouvement de rotation sur son axe vertical. Si
le muscle antagoniste. S'ils agissent ensemble il y a rétraction de l'
œil
en travers, (b) Les muscles droits supérieur et i
ne et inférieur. 2° Muscles obliques. Le plus long des muscles de l'
œil
, le grand oblique, fixé en arrière à la gaîne fib
orbite; se dirige en arrière, en dedans et en bas, vers le globe de l'
œil
, s'insinue sous le tendon du droit, supérieur, et
il-laire, auprès du lac lacrymal, au milieu de la courbe externe de l'
œil
où il s'insère à la sclérotique, inscrit au-desso
en dehors. Si les deux obliques agissent simultanément ils attirent l'
œil
en dedans concurremment avec le droit interne,
pières. Le feuillet profond, continu dans toute la circonférence de l'
œil
, est intermédiaire des tendons à la sclérotique.
obliques, circonstances qui motivent des sections dif-férentes. Si l'
œil
est comme suspendu en haut et proéminent, il est
l en est la cause. Dans ce cas, suivant M. Phillips (Ténot. p. 88), l'
œil
strabique est en même temps myope, circonstance q
. L'une et l'au-tre affections cessent par la section du tendon. Si l'
œil
est en-foncé en dedans et en haut, il est probabl
ont également la cause, mais si en même temps le contour externe de l'
œil
proémine beaucoup en avant, il est probable que l
rabisme di-vergent. Trois variétés : direct, sans être très fort et l'
œil
plat, on peut supposer que le droit externe agit
en est de même s'il est externe et supérieur. Dans les deux cas si l'
œil
n'est point saillant, c'est un indice cpie les mu
dice cpie les muscles droits correspon-dans agissent seuls; mais si l'
œil
est proéminent on peut suppo-ser qu'à l'action de
hasard, coupant un muscle après l'autre jusqu'à isoler le globe de l'
œil
et produire une exopbthalmie, comme déjà il s'en
n général, en voyant que , sur des faits actuels et qui sont sous nos
yeux
, il est impossible , entre des prétentions rivale
ant contre « le strabisme de nature spasmodique. « On fait fermer l'
œil
sain, et on recommande au malade de « porter l'œi
« On fait fermer l'œil sain, et on recommande au malade de « porter l'
œil
affecté le plus possible en dehors de la directio
e que l'on confie à un aide intelligent, qui s'en sert « pour tirer l'
œil
en dehors. La conjonctive ayant été soulevée « à
Il faudra avoir soin de continuer, pendant « quelque temps, à tenir l'
œil
sain fermé, afin cpie l'exercice ait « le temps d
n cpie l'exercice ait « le temps de rétablir le mouvement normal de l'
œil
opéré. La « pratique orthopédique prouve qu'il su
des extirpations de tumeurs enkystées qui compromettent « rarement l'
œil
. » On le voit, rien n'est plus clair que ce tex
cées. Ce dernier opérant sur une jeune fille de quatorze ans dont les
yeux
étaient très mobiles, ne put parvenir à fixer ave
yeux étaient très mobiles, ne put parvenir à fixer avec des pinces l'
œil
dans l'ab- dtiction; une légère hémorrhagie sur
e aiguillée de soie, il prenait une portion de la con-« jonctive de l'
oeil
louche, vers la partie inférieure du globe, et «
t la coupait « avec des ciseaux; ensuite il mettait un emplâtre sur l'
œil
sain; • l'œil louche se redressait, et. chacun cr
avec des ciseaux; ensuite il mettait un emplâtre sur l'œil sain; • l'
œil
louche se redressait, et. chacun criait miracle !
aitement inutile, « pour ne pas dire dangereuse. Il me répondit qu'un
œil
n'était « louche que parce que l'équilibre entre
le témoignage même de Lecat qui ne croyait pas au succès définitif, l'
œil
se redressait; il y avait donc une section suffis
nation de l'espèce de strabisme. 1° Strabisme simple. Reconnaître l'
œil
qui louche ou celui qui louche le plus. « Pour pr
r ensuite à quatre pas de distance pour « éviter de faire loucher les
yeux
simultanément, ce qui a lieu « quand on est trop
« mine, et lui recommande de bien fixer ce doigt. Dans ce mo-« ment l'
oeil
dévié se dessine fortement, et l'œil sain fonctio
r ce doigt. Dans ce mo-« ment l'oeil dévié se dessine fortement, et l'
œil
sain fonctionnant « seul, forme un contraste frap
ouv. cité, p. GG.) 2" Strabisme double, mais inégal entre les deux
yeux
. Ce; cas, comme le strabisme simple, n'exige habi
que d'un côté. « Dans la loucherie double, dit M. Baudens, quand l'
œil
le « plus dévié a été seul opéré, le côté non opé
.......« Le faux trait qui subsiste par la légère dévia-it tion de l'
œil
non opéré, n'ôte rien à l'harmonie du regard ; le
it tion de l'œil non opéré, n'ôte rien à l'harmonie du regard ; les «
yeux
agissent ensemble avec tant d'accord, que si l'op
à des degrés différons, il suffit pour guérir l'affection, d'opérer l'
œil
le plus dévié, l'autre reprenant de lui-même sa r
eii ce cas se fonde sur les signes différentiels pour reconnaî-tre l'
œil
qui louche par maladie de celui qui louche par sy
louche par sympa-thie. Voici ce cpie dit à cet égard M. Baudens : « L'
œil
strabique « patbologiquement est toujours le plus
i. tt Quelquefois la loucherie est double en ce sens que l'un des «
yeux
peut loucher aussi bien que l'autre; mais il n'y
ns variées, à des distances cpii varient également, tan-« tôt avec un
œil
, tantôt avec l'autre. Nous avons rencontré des tt
uite, et toujours nous avons fini par reconnaître que « l'un des deux
yeux
était plus faible que l'autre. Nous avons « opéré
a-« tion. » (page 7/1). Un autre signe important pour reconnaître l'
œil
pathologique consiste dans la dilatation plus gra
bique des objets qui exigent une attention forte, sur cinq épreuves l'
œil
gauche louchait quatre fois, se détermina, sur ce
uche louchait quatre fois, se détermina, sur cet indice, à opérer cet
œil
et guérit son malade. En somme, le signe que l'au
moins trompeur est la faiblesse plus grande de la vue caractérisant l'
œil
le plus affecté. « Pour consta-« ter, dit-il, cet
découvrir ce côté faible. Pendant ces « épreuves, il faut laisser les
yeux
ouverts, sans baisser la pau-. pière de l'un des
pière de l'un des deux, sans quoi on amènerait le redressement « de l'
œil
strabique, et les épreuves n'auraient plus la mêm
mbre de muscles qui concourent à la déviation. En thèse générale si l'
œil
se porte franchement dans une direction déterminé
ou le strabisme divergent bien direct en dehors, et. que cependant l'
œil
, sans trop de difficulté, se tourne vers l'angle
e, dans le premier cas, ou du droit externe dans le second. Mais si l'
œil
est très enfoncé, s'il garde invariablement sa po
nds efforts, il est présumable que la section du muscle vers lequel l'
œil
est en-traîné sera insuffisante, les deux plus vo
e présente régulièrement à angle de 45 de-grés, sans enfoncement de l'
œil
dans le sens delà rétraction ni proé-minence à l'
, mais tous deux faiblement, au stra-bisme de même dénomination. Si l'
œil
au contraire est très en-foncé, surtout s'il est
une double pour enfoncer dans la sclérotique, gouverner le globe de l'
œil
et maîtriser les mouvemens de ses muscles; une ou
évateur de la paupière supérieure, et de l'autre il maintient fermé l'
œil
sain. Dans quelques procédés pour-tant, ou bien,
e main est employée à tenir l'érigne qui gouverne les mouveniens de l'
œil
. Cette double difficulté de contenir les mouvenie
la paupière inférieure et souvent l'érigne qui gouverne le globe de l'
œil
; un troisième éponge et fait le service des instr
bre à lui-même. Suit le texte original : « Je suppose que ce soit l'
œil
droit qui louche, c'est sur lui cpie l'opération
es mains du malade. Ensuite l'opé-rateur, fermant ou faisant fermer l'
œil
sain, ordonne au malade de porter son œil en deho
fermant ou faisant fermer l'œil sain, ordonne au malade de porter son
œil
en dehors, et implante un petit crochet aigu dans
het aigu dans la conjonctive, près de la caroncule lacrymale. Quand l'
œil
reste convulsivement tourné dans l'angle interne,
en arrière ; puis, saisissant la conjonc-tive, il peut alors tirer l'
œil
en dehors. Ce crochet est tenu par la main gauche
en même temps qu'avec le crochet, tenu de la main gauche , il porte l'
œil
un peu plus en dehors. Il dépose alors les ciseau
vec les mêmes ciseaux qui ont déjà été employés, et au même instant l'
œil
, comme délivré du lien qui le tenait enchaîné, se
eau froide pour enlever le sang, et on fait ouvrir au malade les deux
yeux
pour s'assurer s'ils sont en parallélisme. « Si
ade les deux yeux pour s'assurer s'ils sont en parallélisme. « Si l'
œil
gauche est affecté de strabisme, le procédé n'est
pui sur lui, et de sa main courbée tient le crochet qui doit porter l'
œil
en dehors. L'opération ne dure qu'un peu plus d'u
ig. 3 et 4) qu'il place entre la caroncule lacrymale et le globe de l'
œil
; il en confie une à l'aide placé derrière et il
; l'extrémité des ciseaux est portée entre le muscle et le globe de l'
œil
, afin de dé-truire toutes les adhérences, et ensu
e toutes les adhérences, et ensuite le muscle est coupé en travers. L'
œil
fait un mouvement en dehors et l'opération est ac
suivi l'exemple de M. Dieffenbach , a opéré delà manière suivante : L'
œil
sain étant, couvert avec un mono-cle , pour fixer
suivante : L'œil sain étant, couvert avec un mono-cle , pour fixer l'
œil
malade , un aide a relevé avec un spéculum la pau
inférieure. J^e chirurgien ordonnant alors à la malade de porter son
œil
en dehors autant que possible , a saisi avec des
avec des pinces carrées et plates la conjonctive au côté interne de l'
œil
, et l'a divisée verticalement, de bas en haut, da
). Une érigne double, implantée dans la sclérotique a servi à tirer l'
œil
en dehors, puis le chirur-gien éprouvant de la di
e très petite érigne double ; aucun moyen n'est, employé pour tirer l'
œil
en dehors. L'opérateur saisit alors avec des pinc
tits ci-seaux angulaires: voilà le premier temps. On laisse reposer l'
œil
pendant quelques secondes, puis écartant de nouve
nous paraît plus grave, est de n'employer aucun moyen pour attirer l'
œil
dans la direction contraire à la déviation , ce q
e les plus faibles et la rendrait impratiquable toutes les fois que l'
œil
est très mobile et un peu enfoncé, c'est-à-dire,
manœuvres nécessaires pour la section du muscle rétracté, soit que l'
œil
étant peu mobile et peu dévié, il puisse immédiat
à tous les cas. Evidemment l'opé-rateur ne saurait s'en tirer quand l'
œil
est très difficile à fixer; mais d'un autre côté
aide déplus, qui abaisse la paupière inférieure et concourt à fixer l'
œil
, les manœuvres en seront toujours plus sûres et p
tion. Quoi qu'il en soil de la position du malade, M. Sédillot fixe l'
œil
en dehors avec une érigne à trois brandies dont
ps. Le malade assis, la tête appuyée sur un corps résistant, tourne l'
œil
en haut et abaisse lui-même sa paupière inférieur
possède plusieurs ; encore, dans ce cas, laisserait-on à découvert l'
œil
sain, ce qui n'est pas moins contre tous les préc
s sur le plat et concaves sur le tranchant, un pour chaque angle de l'
œil
; un crochet-bistouri, dont le manche porte à son
l de la conjonctive, et un peu au-dessus du diamètre transversal de l'
œil
, si, comme dans ce cas, il s'agit d'un strabisme
nt sur elle un point fixe, nous faisons effort comme pour redresser l'
œil
. Par cette manœuvre se dessine en relief bien sen
son talon ; courbe sur le plat, pour éloigner sa pointe du globe de l'
œil
à mesure qu'il chemine ; large à son talon, pour
non sur la muqueuse, mais sur la peau, près des cils. On fit porter l'
œil
dévié aussi en dehors que pos-sible, puis on enfo
tranchant, et de la forme d'une serpette allongée, l'insinua entre l'
œil
et l'érigne que tenait toujours la main gauche, e
jonctive, près de la cornée, et confiée à un aide si l'on opère sur l'
œil
gauche ; elle est au contraire tenue par le chiru
e ; elle est au contraire tenue par le chirurgien si l'on opère sur l'
œil
droit. Une traction légère et en sens opposé de c
ve pour ne pas risquer de décoller cette membrane et mieux contenir l'
œil
. Il se sert, pour la section, du crochet de Dieff
et de M. Amussat a été d'éviter l'enfoncement de la caroncule entre l'
œil
et la paroi interne de l'orbite, qu'il croit le r
l'un des refouleurs la pau-pière supérieure, de la main gauche pour l'
œil
gauche, de la droite pour l'œil droit, l'autre ma
supérieure, de la main gauche pour l'œil gauche, de la droite pour l'
œil
droit, l'autre main devant tenir l'une des éri-gn
vec avantage dans la plupart des opérations qui se pratiquent sur les
yeux
. Les paupières étant fixées avec l'une des érig
cornée, un peu au-dessous de son diamè-tre transversal, pour fixer l'
œil
et. l'attirer, soit en dehors, soit en dedans, se
ien plus fondé, c'est le tiraillement excessif que l'on fait subira l'
œil
et qui quelquefois, vu la tension du muscle, fait
mordre cette pince un peu profondément, jusque sur la sclérotique, l'
oeil
est fixé fortement et sans danger. 3° Enfin pour
myotomes de divers genres qui mettent toujours en danger de crever l'
œil
, si le malade au moment de la piqûre se livre à q
dans le matériel de tous les instrumens. Après l'opération, on lave l'
œil
avec de l'eau fraîche et on l'examine avec attent
ne prescrivent absolument rien à leurs malades, pas même découvrir l'
œil
dans les premiers jours, et assurent que la plaie
née pour faire crisper les petits vaisseaux et tarir l'hémorrhagie. L'
œil
étant essuyé il applique au-devant des paupières
connaît que l'opération a été bien faite aux caractères suivans. i° L'
oeil
opéré doit être replacé fixe au centre de l'orbit
e replacé fixe au centre de l'orbite et la rectitude du regard pour l'
œil
sain, qui n'est jamais nette chez les slrabiques,
nette chez les slrabiques, doit être rétablie de manière que les deux
yeux
convergent également vers un même point. Toutefoi
rs instans, exiger à cet égard un résultat pré-cis, il suffit que les
yeux
convergent assez exactement vers un petit objet,
otique doit apparaître à nu dans toute la hauteur de l'incision. 3° L'
œil
Opéré ne doit pas pouvoir se tourner dans le sens
re externe, si le strabisme était di-vergent. Que si, au contraire, l'
œil
tourne sur son axe vertical pour suivie le bout d
lètement rétracté, il faut, par un examen attentif des mouvemens de l'
œil
, tâcher de reconnaître celui ou ceux des muscles
ez à Londres et Bouvier à Paris, de dissection, à l'autopsie, de deux
yeux
opérés du strabisme du vi-vant des malades, morts
n , portant un ulcère et affecté en outre de stra-bisme divergent à l'
œil
gauche, qui est opéré le i " décembre 1840. Après
Le malade meurt d'une pneumonie le ier janvier i84i. A l'autopsie, l'
œil
ayant été soigneusement disséqué, le muscle droit
arrière de la section , mais est resté toujours attaché au globe de l'
œil
par une forte bande de tissu cellulaire. Cette ba
mée par le tissu cel-lulaire flasque qui unit le muscle au globe de l'
œil
. Pour nous, en d'autres termes, ce tissu n'est qu
tissu n'est que la gaine cellulaire fournie à chacun des muscles de l'
œil
par la mince aponévrose oculaire de M. Bonnet, de
opérés, on ne rapporte que les deux cas publiés par M. Verhaeghe où l'
œil
ait été perdu par cette cause. Il est étonnant mê
comme cela a lieu quand on le coupe trop tôt. » 6° Proéminence de l'
œil
. La saillie de l'œil avec un léger agrandissement
nd on le coupe trop tôt. » 6° Proéminence de l'œil. La saillie de l'
œil
avec un léger agrandissement de l'ouverture palpé
e ou externe, pour un strabisme simple convergent ou divergent, que l'
œil
reste ha-bituellement fixe et soit absolument pri
rtion est plus postérieure et par conséquent plus près du centre de l'
œil
. C'est pour remédier à cet accident que M. J. Gué
mètres, puis décolle et renverse le lambeau vers l'angle interne de l'
œil
, de manière à mettre à découvert l'ancienne inser
de fil dont on ramène en dedans les deux chefs de ma-nière à forcer l'
œil
à se tourner en dedans; on fixe les deux bouts du
cette dernière est si peu offensive, que les malades ont pu dormir l'
œil
légèrement entre-ouvert et qu'il ne s'est présent
la plaie. Le moyen qu'il a substitué, c'est à-dire le frottement de l'
œil
en sens opposé par des compresses graduées, nous
e soin, cette fois, de faire porter et de fixer par une compression l'
œil
en sens op-posé, pour contraindre le bout divisé
ires, dépendant de la maladie, sont : la diplopie, la vue faible de l'
œil
opéré et Vin-certitude du regard. i° Diplopie.
ertitude du regard. i° Diplopie. Comme, dans le strabisme simple, l'
œil
est en-traîné sympathiquement dans la déviation d
me simple, l'œil est en-traîné sympathiquement dans la déviation de l'
œil
malade, après le redressement de celui-ci, l'autr
e sorte que rien n'est plus ordi-naire qu'au moment de l'opération, l'
œil
opéré ayant le regard fixe, ce soit l'autre œil a
ent de l'opération, l'œil opéré ayant le regard fixe, ce soit l'autre
œil
au contraire cpii louche. Mais habituel-lement ce
Mais habituel-lement cet état n'est que temporaire. La déviation de l'
œil
sain se corrige peu-à-peu d'elle-même, et, à mesu
e-même, et, à mesure que l'accord du re-gard s'établit entre les deux
yeux
, s'efface dans un laps de temps qui varie de quel
rabiques opérés depuis 8 à 10 mois chez lesquels le redressement de l'
œil
aété suivi d'une diplopie qui dure encore, sans q
faire préjuger une amélioration dans leur état. 1° Vue faible de l'
œil
opéré. Nous avons eu déjà l'occasion de signaler
précédent, il diminue de jour en jour à mesure que, par l'exercice, l'
œil
précédemment strabique s'habitue à fixer les obje
ême du strabisme et dans ses effets sur le mécanisme des muscles de l'
œil
. Il faut bien s'en convaincre, le strabisme étant
un grand bien. Il ne faut pas exiger l'impossible et de-mander qu'un
œil
dont les conditions anatomiques et physiologi-que
procédé, que de renverser ce que nous avons dit de la situation de l'
œil
et des instrumens, pour appliquer à l'angle exter
ns énon-cée plus haut, les paupières écartées de la même manière et l'
œil
sain maintenu fermé, on ordonnera au malade de to
ère et l'œil sain maintenu fermé, on ordonnera au malade de tourner l'
œil
le plus possible en dedans; puis saisissant la co
ngle interne, si ce n'est que la main gauche du chirurgien,qui fixe l'
œil
, se présentant renversée, le poignet et l'avant-b
ation, telle que nous la connaissons, se pratique alors en attirant l'
œil
en bas, sans autre modification que d'agir suivan
as, sans autre modification que d'agir suivant le rayon vertical de l'
œil
au lieu du rayon ho-rizontal interne. Il est à pe
n rapprochent le plus étant ceux de strabisme horrible , où celui des
yeux
qui se porte en bas est en même temps divergent.
es muscles droits interne et supérieur étant préalablement divisés, l'
œil
néanmoins est encore attiré dans la diagonale et
sultat; à son avis, cette opération ne doit être tentée que lorsque l'
œil
strabique est saillant et la vue myope. Dans ce c
ute-t-il, la section du droit interne et du grand oblique a rétabli l'
œil
dans sa rectitude. La proportion de ce genre de s
érotique avec la petite érigne dou-ble, et s'en servir pour attirer l'
œil
en bas et en dehors. Le ten-don du muscle venant
us lon-gue expérience. Le petit oblique, avons-nous dit, exerce sur l'
œil
un mouvement de demi-rotation, qui porte la corné
iale. D'un autre côté, par son enroulement en demi-cercle autour de l'
œil
, le petit oblique tend à comprimer le globe ocula
cles (Pl. D, fig. 7). Recommandant au malade de tourner fortement l'
œil
en haut et en dehors, écarter les paupières avec
uement en dehors et en haut et la confier à un aide chargé de fixer l'
œil
dans cette position ; diviser alors avec des cise
nt abaissée par le doigt indicateur d'un aide et le malade tournant l'
œil
en haut et en dehors, de sa main gauche, armée d'
té nécessaire, mais il n'est point dit s'il existait une saillie de l'
œil
qui ait pu la faire préjuger à l'avance. 2" Dans
un que l'on soit obligé de couper ultérieurement le petit oblique , l'
œil
après la section des muscles droits externe et su
ible; enfin celle du petit oblique amène le redressement complet de l'
œil
. Ici les trois sections paraissent avoir été néce
e la prunelle se cache pres-que entièrement dans l'angle interne de l'
œil
. Vous fermez la paupière de l'œil sain , et l'œil
tièrement dans l'angle interne de l'œil. Vous fermez la paupière de l'
œil
sain , et l'œil strabique ne peut se redresser cp
'angle interne de l'œil. Vous fermez la paupière de l'œil sain , et l'
œil
strabique ne peut se redresser cpie peu ou pas du
compagnéed'un large débridement du fascia, ait suffi pour redresser l'
œil
; mais quand cette première tentative a été sans
é-rieur , puis le tendon du grand oblique qui continuait à soulever l'
œil
en dedans. La même opération a eu le même résulta
déviation oculaire en dehors, « quand elle est tellement forte que l'
œil
dévié peut à peine faire quelques mouvemens en de
peut servir d'indice pour le diagnostic: que c'est dans les cas où l'
oeil
est. très enfoncé dans un sens et presque fixe en
antes : (a) Strabisme direct, interne, externe, ou supérieur. i° Si l'
œil
est encore bien mobile et que, sauf sa déviation
ble que la section du seul muscle rétracté sera suffisante. 20 Si l'
œil
est très peu mobile, on doit s'attendre à couper
ttendre à couper avec ]e muscle principal, les deux latéraux. 3° Si l'
œil
est très enfoncé et fixe dans sa déviation direct
aussi, celle des deux obliques. (b) Strabisme en diagonale. 10 Si l'
œil
est encore assez mobile on peut supposer que la d
on des deux muscles dont elle est la résultante. 20 Si au contraire l'
œil
est fixe dans le sens dévié, comme nous l'avons v
aux sections de plusieurs muscles: l'exophtlialmic, l'immobilité de l'
œil
et des névroses de formes variées. T Exopiitiia
s de formes variées. T Exopiitiialmie. La proéminence exagérée de l'
œil
qui sem-ble menacer de tomber, et dite plus exact
gérée de l'œil qui sem-ble menacer de tomber, et dite plus exactement
œil
de boulon buphthalmie, est un accident inévitable
lon buphthalmie, est un accident inévitable des sections multiples, l'
œil
privé des cordes qui le retiennent dans sa positi
pières comme pour s'échapper au dehors. Cette saillie exagérée de l'
œil
n'est pas seulement une diffor-mité, elle s'accom
rit le procédé par lequel M. Guérin cherche à rendre la mobilité de l'
œil
en dedans, après la section du droit interne, en
le malade, et obser-vant de jour en jour ce qui arrive, suivant que l'
œil
annonce de la tendance à se porter habituellement
n, il ordonne au malade de regarder habituellement en sens inverse, l'
œil
opéré se trouvant ainsi entraîné par l'œil sain,
llement en sens inverse, l'œil opéré se trouvant ainsi entraîné par l'
œil
sain, de manière à forcer un peu à rallongement d
des muscles qui menace de rétraction. Au besoin, pour contraindre les
yeux
à se porter dans la direction détermi-née , il ex
i-née , il exerce avec des compresses graduées une compression, sur l'
œil
du côté de la contraction, pour forcer le globe o
core molle, en détruit légèrement une portion et tire en même temps l'
œil
en sens con-traire. En procédant ainsi avec ménag
l a affaire à une simple récidive, ou à une immobilité partielle de l'
œil
, par suite d'une section simple, soit par exemple
dé-truisant les adhérences encore nouvelles et, par un mouvement de l'
œil
en sens opposé, en forçant la nouvelle cicatrice
aduées, méthodiquement appliquées en dehors sur l'arcade externe de l'
œil
et sur les pan- pières fermées, il contraint le
ssentiellement dou-bleest sirare que l'auteur n'opère plus jamais les
yeux
en une seule séance, presque toujours la converge
blissant d'elle-même à mesure que la vision s'harmonie entre les deux
yeux
. On est toujours à même d'opérer ultérieurement l
les deux yeux. On est toujours à même d'opérer ultérieurement l'autre
oeil
, si cet accord n'avait pas lieu. 20 II n'y a en
le cède fréquemment à de petites tractions méthodiques exercées sur l'
œil
, plusieurs jours de suite avec l'érigne. 3° Le
erf optique et de la scléro-tique, ou à une sorte d'encastrement de l'
œil
dans une position donnée des tissus ambians. 3°
e devant, par une légère rotation, ramener, à-peu-près au centre de l'
œil
, le segment diaphane qui s'en trouvait écarté lat
de l'c-EIL. Tout le monde a remarqué ces mouvemens convulsifs de l'
œil
, particuliers à certains strabismes; en ne consul
rès vingt jours de la section des droits externe et interne d'un seul
œil
, et chez un enfant de io ans, cpie le même résult
ltat aurait été obtenu par la section préalable du droit interne de l'
œil
gauche, et celle quinze jours après, des droits i
t l'autre de 48. Le premier était affecté de strabisme divergent de l'
œil
gauche : le muscle droit externe fut coupé; le ma
rre. Le sujet était une fille de 3a ans. La vision était nette pour l'
œil
gauche, mais très confuse pour l'œil droit. Le i"
ns. La vision était nette pour l'œil gauche, mais très confuse pour l'
œil
droit. Le i" mars, on pratique sur cet œil la sec
, mais très confuse pour l'œil droit. Le i" mars, on pratique sur cet
œil
la section du droit interne suivie d'une légère a
, section du muscle droit externe suivie du redressement complet de l'
œil
et de la cessation de la diplopie. Du 20 au a5 la
ont étouffer; ils s'agitent, tré-pignent ; la face est vultueuse, les
yeux
sont injectés et brillans; force leur est de s'as
M. Jules Guérin, une jeune fille, offrir à-la-fois la rétraction des
yeux
, de la langue, des jambes et de la vulve. On pour
de l'o-pérer. Elle était affectée d'un strabisme spasmodique des deux
yeux
. Dès-lors en y faisant plus attention, je remarqu
e immense, aux membres et au tronc, pro-duites journellement sous nos
yeux
par des convulsions succédant à des suppressions
ec les siens, en même temps que l'un dégage rapidement la pointe de l'
oeil
du robinet, l'autre en tourne immédiatement le pa
rhagie, inflammation, névralgies, bourgeons charnus, proéminence de l'
œil
, abo-lition du mouvement du muscle coupé, opérati
. — accidens qui ont rapport ci la maladie. Diplopie, vue faible de l'
œil
opéré, incertitude du regard après l'opération, x
verses maladies, lalbugo, la myopie, les mouvemens spas-modiques de l'
œil
, lamaurose, xxiv. BÉGAIEMENS. Différences et pa
VII. PLANCHE 2. INSTRUMENTS DES OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'
OEIL
. GRANDEUR REELLE. INSTRUMENS SPECIAUX DES MAL
rtificielle et pour de petites excisions dans plu-sieurs maladies des
yeux
. — 32. Ciseaux à pupille de M. Mau-noir. — Plusie
ion figurée de la tête, dans les opérations qui se pratiquent sur les
yeux
et au travers des fosses nasales. Le malade étant
ce d'où résulte l'élévation forcée de la paupière et l'ouverture de l'
œil
. Figures 11 et 12 (procédé ordinaire). — Figure
des sutures entraînant l'élévation de la paupière et l'ouverture de l'
œil
. PLANCHE 6. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR
'anky-loblépharon congenial, une piqûre étant faite vers l'angle de l'
œil
sur le voile palpébral soulevé, une sonde cannelé
scend sur la paupière, passe un peu au-dessus de l'angle externe de l'
œil
et se prolonge de huit lignes en dehors sur la sa
il et fixés par une bandelette agglutinative de manière à maintenir l'
œil
ouvert par le soulèvement total de la paupière. T
de la main gauche du chirurgien ( h), de manière a fixerait besoin l'
œil
entre les deux pressions. L'instrument est tenu d
ain droite du chirurgien. Figure 4. Plan de la section médiane d'un
œil
de profil. L'objet de cette figure est de montrer
au dehors sous la double pression du doigt indicateur au-dessous de l'
œil
(d), et du manche du kystitome ou de la curette (
re ( avec le couteau de Riehlcr ). L'o-pération étant pratiquée sur l'
œil
droit, cet organe est vu la tête ren-versée; le c
la section de la cornée. Figure 8. Plan de la section médiane d'un
œil
de profil. L'objet de cette figure est le même qu
érieur, antérieur. FIGURE 11. Trajet, sur la section verticale d'un
œil
de profil, de la dé-pression du cristallin après
apo-névrotique de l'anneau oblique externe seul conservé divise, à l'
œil
, la tumeur en deux portions, l'une extérieure ou
iaque du colon. A2. Fig. 3. Le pont aponévrotique (c) distingue à l'
œil
la cavité du sac herniaire (h) dans le cordon dil
sme. ANATOMIE OPÉRATOIRE, fig. 1, 2, 3, 4. Figure 1. Muscles de l'
œil
dépourvus de leurs enveloppes, et vus par le plan
du tendon du grand oblique. Figure 2. Appareil musculaire des deux
yeux
vu par le plan supérieur, le plancher orbitaire é
, le droit supérieur est coupé pour laisser à découvert le globe de l'
œil
. Du côté droit la sclérotique est à nu et la glan
le (f) est laissée en position sur la face externe et supérieure de l'
œil
. Du côté gauche, on a laissé la membrane fibro-ce
de Lyon. figures 3 et 4. Enveloppes de glissement des muscles de l'
œil
et du globe ocu-luire. Ces deux figures sont imit
. Guérin , dans ses conférences, sur les en-veloppes des muscles de l'
œil
, et M. Bonnet, dans sa lettre, reconnaît avec sa
t, par une omission spéciale, dans le petit groupe isolé, moteur de l'
œil
, ce qui n'exclut pas la découverte de détail de M
al, la théorie générale que nous avons posée. Figure 3. Aspect de l'
œil
, au profil, comme sur la figure 1 : les muscles é
rnéale forme une vaste circonférence érignée au contour du globe de l'
œil
. Selon nous, ce fascia forme deux feuillets conti
PATHOLOGIQUE DU STRABISME OPÉRATOIRE. Figures 12 et 13. Figure 12.
OEil
strabique non opéré, où le droit interne (a) étan
rt aussi à la rétraction. Figure 13. Dissection, à l'autopsie, d'un
œil
strabique opéré quelques se-maines auparavant, (a
esse-Chassaigne.» Sup-posez qu'on veuille regarder l'objet O avec les
yeux
A et B; lorsqu'ils sont droits, ils vont juste co
er avec l'objet o, et l'on n'en a qu'une perception simple. Mais si l'
œil
A converge un peu en dedans, tandis que l'autre g
position normale, son axe suivra la direction AB, coupera l'axe de l'
œil
B en C, et aura une perception confuse de l'objet
un certain rayon. Lors-que le strabisme augmentera, et que l'axe de l'
œil
(A) se portera en b' b", etc., il coupera l'axe d
e l'axe de l'œil (A) se portera en b' b", etc., il coupera l'axe de l'
œil
B en c' c", et n'aura plus qu'une perception de l
jusqu'à ce que, complètement situé hors des limites dans lesquelles l'
œil
A peut le percevoir il ne soit plus du toul visib
ccommodation) sur d, et a est vu double parce que a se dessine pour l'
œil
A en b et pour l'œil B en c. Ces images doubles d
et a est vu double parce que a se dessine pour l'œil A en b et pour l'
œil
B en c. Ces images doubles de l'objet a, sont trè
de Pellier, et de sa main droite (b) l'érigne qui fixe le globe de l'
œil
. Un autre aide, d'une main (c), tient le crochet
sseur de la paupière infé-rieure, et de l'autre (d) maintient fermé l'
œil
sain. L'opérateur tient de sa main gauche (e) le
de l'aide placé en arrière, dont la main gauche (b) maintient fermé l'
œil
sain : un antre aide lient le crochet abaisseur d
. —(c) Erigne double tenue par l'opérateur, et qui sert h gouverner l'
œil
. — (d) Ciseaux qui opèrent la section. FIGURES
é de M. Gairal. FIGURE 9 et 10. Auloplaslie de l'angle interne de l'
œil
pour remédier fe l'exophlhalmie ou agrandissement
cision d'un petit lambeau cutané au pourtour de l'angle in-terne de l'
œil
. — Figure 10. Affrontement, par deux points de su
atiquée. Figuhe 6, 7. Opération secondaire en cas d'immobilité de l'
œil
du cote opéré , avec strabisme inverse consécutif
(a), el une anse de fil (b) passée au-delà de la cornée , attirant l'
œil
en dedans avec des pinces (c), l'opérateur va che
et la faire cicatriser plus en avant : l'anse de fil, qui rappelle l'
œil
en dedans, est laissée a demeure pendant plusieur
ant la venue d'un monde nouveau, d’un monde où chaque homme aurait un
œil
de plus et des dons surnaturels. Et, pour prouver
ait une force immense que l’on pouvait rendre utile aux hommes? A nos
yeux
i! en aélé de même pour la force vitale: aperçue
s de la reine Christine, le conduit dans sa bibliothèque; il suit des
yeux
tous les livres et les regarde. Etant tombé sur u
dort la somnambule à deux cents pas de distance, me pria de clore les
yeux
de la jeune fille de manière à n’avoir aucun dout
appliqué, je nouai un foulard disposé en cravate sur le front et les
yeux
, et je commençai une partie d’écarlé. Prudence a
être parce qu'ellcavait perdu ses principaux organes, les globes de l’
œil
, el se trouvait limitée aux nerfs optiques, embra
r derrière et au-dessus de la téte jusqu'au front, de manière que les
yeux
, fussent-ils ouverts, ne pussent distinguer ce qu
ervez que Prudence dort, et que, pour éviter tout soupçon, elle a les
yeux
hermétiquement fermés par un masque et un mouchoi
avoir le regard immobilisé, la jeune fille, toujours endormie et les
yeux
bandés, s’est levée, a parcouru l’assemblée, et a
di. On a passé au phénomène de clairvoyance, malgré l’occlusion des
yeux
. Ici l’incrédulité, déjà fortement ébranlée, n
omb, les bandeaux et les foulards sur foulards qui lui couvraient les
yeux
. Une addition ayant paru l’embarrasser, une perso
bres inférieurs se manifeste et se communique à toute l’économie; les
yeux
deviennent brillants, vitreux, fixes; quelque cho
t demi, deux autres moins anciens, et une inflammation chronique de l’
œil
, guéris par le traitement chronique (I). (1) «
sujet prennent un caractère d’inquiétude; il fixe alternativement ses
yeux
sur les lignes, et ne regarde déjà plus l’assembl
té D de la ligne noire, regardant avec anxiété ce qui la termine. Ses
yeux
semblent lancer des lueurs tant ils sont brillant
cruelle situation ; il est sans connaissance et inondé de sueur; ses
yeux
sont immobiles. Transporté dans une pièce voisine
ue le désespoir s'empare de lui, que de grosses larmes coulent de scs
yeux
. On croit qu’un mauvais génie le pousse. Erreur!
s deu* ligpes. 11 a les traits bouleversés, les cheveux hérissés, les
yeux
hagards, les bras étendus, les doigts écartés ; i
sse la main sur le front du patient, qui se penche sur lui, ferme les
yeux
et redevient calme. Entraîné dans une autre pièce
e nous pouvions entrer. M11® Fulvia était assise sur un fauteuil, les
yeux
fermés, la physionomie calme, et dans l'attitude
ofonde indifférence pour son mari Annibal : Henri se réhabilite à ses
yeux
, et déjà ils oublient presque leurs douleurs quan
et nous ne comprenons pas que celui qui a enfoncé un stylet dans des
yeux
sains (I), pour s’assurer de la sensibilité de la
s’élevait tandis que l’autre s’abaissait, ce qui la faisait baver. L’
œil
du côté paralysé était insensible à la lumière, l
s qu’elle me dit le mal qu’elle éprouvait. Les misérables avaient dos
yeux
et ils ne voyaient point, des oreilles et ils n’e
Mahomet vivait, qu’il ne s’opère plus de miracles. Qu’ils ouvrent tes
yeux
, s’ils en ont, ils reconnaîtront tout le bien que
teint d’nne apoplexie foudroyante : dans quinze minutes il ouvrit les
yeux
, et dans vingt-sept il parla pour nie remercier d
vec attention quelles vont être les sensations éprouvées. Bientôt les
yeux
de ce second expérimenté se ferment ; sa tête com
bien-venu, comme une personne rêvée et attendue. Voyant avec mes deux
yeux
largement ou verts, jugeant avec ma raison nullem
cu- Icmentpoiir objet de glorifier une science dont vous ¿tes à nos
yeux
le plus digne représentant. « Ce que nous nous
rateur, ccux-lii sont doués d'une force d'impulsion irrésistible: Les
yeux
fixés sur un point de l'horizon, but de leur miss
e. Je cherchais vainement cette somnambule voyant sans le secours des
yeux
, trouvant à l'eau pure le goût qu’il plaît au mag
rouver sa lucidité, malgré le mouchoir épais dont j’avais couvert ses
yeux
, elle indiqua les places occupées par les personn
rite à un degré de supériorité remarquable. — Jouant à l’écarté les
yeux
parfaitement clos, elle ne s’amuse pas à prendre
is aussitôt que la lumière est venue m’éclairer je n’ai pas fermé les
yeux
, et il a bien fallu me rendre à l’évidence. P.-
pire avec activité, qu’il éprouve une sorte d’excitation fébrile; ses
yeux
brillent; il semble vivre davantage. Prié d’avanc
cles barbares nous ont transmis comme des vérités, et qui n’est à nos
yeux
qu’un défaut d’observation ou le fruit d’impostur
r la strychnine. Ayant observé qne la main de M. Gcrdy, approchée des
yeux
de la malade pour explorer la sensibilité de la r
on devrait nous convier à ses enivrements, on nous crie de fermer les
yeux
. Ainsi que tant d’autres j’allais suivre la route
. c penchai la tête.... et mes oreilles furent émerveillées, et mes
yeux
n’avaient plus assez (l’orbite.... J’étendis les
l’abîme? Donc c'est lui qui fait transition. Mais il est encore à nos
yeux
Esprit. Lumière. Ciel. Vie. Terre. Té
découvre 1rs individus au sein des ténèbres; et qui n’a reconnu, les
yeux
bandés, une main defi'ère, un souffle d’amie? Tou
connu) et l'eût jeté dans l’eau, infailliblement on lui eût crevé les
yeux
en disant : c’est le diable; il allume l’eau ! Ma
qui existe encore à Paris, avait en nourrice une petite iilie que ses
yeux
de mère trouvèrent gentille comme un amour quand
emblée, qui se compose, ce jour, de quatre-vingts personnes. Tous les
yeux
sont ouverts; c’est en plein jour, sur un parquet
ourcils, devient sombre et respire avec violence. On a alors sous les
yeux
la scène la plus étrange, la plus curieuse. L’exp
de tristesse, à mesure que les tableaux de l’avenir passent sous scs
yeux
. Bientôt même c’est le délire de l’emportement; i
bli. Indécis sur le choix d’un nouveau sujet, l’opérateur cherche des
yeux
dans l’assemblée la persanne qu’il croit apte à s
fit sentir. On la mit au lit: la fièvre se développa rapidement; les
yeux
devinrent brillants, la figure s’anima, et la voi
e, et cette sorte de décomposition de son tissu disparaissait à vue d’
œil
. Une crainte cependant affectait la malade: elle
ise qu’elle venait de quitter. En rentrant dans le bal; il jeta les
yeux
sur Marie de Clèves, la regarda avec autant de su
ta encore quelque temps aussi bien que Molly, qui dépérissait à vue d’
œil
. 11 cherchait à se distraire par le travail ; il
ible de la retenir. Actuellement elle était assise, tranquille, les
yeux
fermés, la tête penchée, dans l’attitude d’une pe
veil, malgré ses efforts, il ne put effacer celte image de devant ses
yeux
; elle lui inspirait un effroi secret, quoiqu'il s
lors ils sont comme des gens qui se réveillent d’un beau songe; leurs
yeux
brillent d'un feu calme qui s’éteint peu après ;
rmina de petits mouvements musculaires; la face se colora un peu, les
yeux
s’animèrent et les traits perdirent de leur immob
connaisse dans ce cas) affirme qu'il réussit dans les affections des
yeux
. Je n’ai encore jamais vu produire une insensibil
religieux en étendant le champ du spiritualisme, en découvrant à nos
yeux
de nouvelles et sublimes harmonies, en nous pén
toujours ? — Non, elle l’a perdue ; mais je la vois qui me tire les
yeux
, ça me fait mal, ça brille trop. (Elle se cache l
me tire les yeux, ça me fait mal, ça brille trop. (Elle se cache les
yeux
.) — Mais, puisque tu la vois, dis-moi donc ce q
ça m’ennuie d’aller là-bas à cause du monde qui me verra marcher les
yeux
fermés. — Non, non, tu me donneras le bras, et
-elle, si je ■ vous le dis. » » Je la rassurai. Alors elle leva les
yeux
au ciel avec o une expression singulière, et, d'u
s caractères mal formés, elle resta quelques instants à parcourir des
yeux
les trois pages de ce chapitre; puis, d’une voix
« Mais est-il quelqu’un au monde qui, sentant le soleil, ne lève les
yeux
vers cet astre bienfaisant, tout parcouru de béni
« — Pas tout-à-fait.... Mais c’est la femme qui lui a fait crever les
yeux
.... Mais il me dira peut-être son nom d’ici à dem
«Pendant toute la nuit Powleska fut épiée dans sa" prison, et deux
yeux
furent continuellement braqués sur elle sans qu’e
. Luck a refusé en disant : « C’est bien assez de lui avoir brûlé les
yeux
il y a quinze ans, pendant qu’il dormait devant v
ant la porte, il s’y endormit; c’est alors qu’elle lui fit brûler les
yeux
par Luck, qui le porta assez loin pour le dépayse
vines, perçant tous les voiles, même ceux du passé, seraient, comme l’
œil
et le témoignage de la Providence, mis au service
le s’interroger. Le silence règne. Les pensées vacillent, et tous les
yeux
sont fixés sur ce corps plein de vie qui a l’inse
e, dans une longue galerie, des ili'iirs, de la lumière à éblouir l’
œil
le plus lerne, de la musique, l’odeur des mets pr
grands hommes, mais les artistes ont le privilège de les peiudre aux
yeux
. . A M. Paul Carpenticr ; puisse sa modestie ne
Nous avons soulevé de l’anlique magic Le voile épais ; quand h nos
yeux
, Exhumé de sa tombe, apparaît le génie De. L’Or
illé ! Sur les oiseaux qu’abandonna Minerve Chante, il le faut, ton
œil
est dessillé. De nos aïeux adoptant la manière,
sur des êtres ingrats : Pauvres hiboux qu’aveugle la lumière, Les
yeux
ouverts, non, vous n’y voyez pas ! Cruels oisea
s guérir.... Mais, hélas! Pauvres hiboux qu’aveugle la lumière, Les
yeux
ouverts, non, vous n’y voyez pas! Lorsque parto
s vous tomberez bien bas! Pauvres hiboux qu’aveugle la lumière, Les
yeux
ouverts, non, vous n’y voyez pas ! Tout radieux
mps imprimera ses pas!... Pauvres hiboux qu’aveugle la lumière, Les
yeux
ouverts, non, vous n'y voyez pas! Les applaudis
matière partout, et le magnétisme n’a pu encore trouver grâce à leurs
yeux
. Plus les effets sont évidents, tranchés, plus le
it, cl il nie parait bien coupable en ce sens. Oh! s’il voyait de mes
yeux
l’avenir... quelle belle couronne la postérité dé
insensible, c'est qu’un tlacon#d’ammoniaque, tenn sous le nez et les
yeux
, a déterminé un larmoiement. C’est dire : Une pre
de Puységur et Deleuze. Longtemps encore le gouvernement fermera les
yeux
à la lumière; il ne fera rien pour ceux qui trava
ties du corps, même la peau du ventre, introduire les doigts dans les
yeux
, dans la bouche, dans les narines, sans eu ressen
de la précision des effets sans voir répéter les expériences sous ses
yeux
. « Qu’on prenne une branche d’épine-vinette (be
ue nul son ne frappe notre oreille, que mullc clarté n’arrive à notre
œil
, qu’aucun parfum n’émeut notre odorat, qu’aucune
s pour dire franchement la vérité d’après ce qui s’est passé sous mes
yeux
dans une affaire qui intéresse l’humanité souffra
t prononcé, o Par rapport au dernier, après avoir vu de ses propres
yeux
un somnambule et l’étendue de sa lucidité, Son Em
ble, et, l’ouvrant au hasard, le premier oracle qui se présente à mes
yeux
fut celle sage maxime que saint Paul inculque aux
s des faux dieux ; Les peuples sont instruits... le monde ouvre les
yeux
. Comme l'on voit au ciel, après un long orage,
je vous paie ce « viu avec de l’eau? » La villageoise ouvre de grands
yeux
et réplique : « C'est pour rire que vous me de-«
savants, ou entêté comme un académicien pour s’obstiner à fermer les
yeux
et les oreilles afin de pouvoir nier tout à son a
âtiment de son ignorance ; puisse la leçon lui profiter et ouvrir les
yeux
aux fluidistes. Le magnétisme n’en marchera pas m
ils concerneront. En conséquence , nous les invitons tous à jeter les
yeux
, chaque fois, sur l’article petite correspondance
e chœur du Roi des tics cannibales! Ensuite je le priai de fermer les
yeux
, ce qu’il fit en serrant fortement les paupières
u’il se laissa persuader, et je vis bientôt les muscles d’autour de l’
œil
graduellement se relâcher, ses traits devenir cal
disait son libérateur. Il avait l’air hébété, 'a moitié stupide et un
œil
gonflé; c’est pourquoi j’ordonnai de le conduire
in, et presque aussitôt lui passa l’autre transversalement devant les
yeux
. Là-dessus il perdit connaissance, et se souvient
pas; et qu'après avoir dit cela, il était tombé et s’était meurtri l'
œil
. Dans cet intervalle l’homme s’enfuit, mais il fu
nflammé de la torride ou dans les plaines glacées du Nord : partout l’
œil
jacotique retrouve tout dans tout. M. Esdaile nou
é reconnue être dans un état parfait de somnambulisme. Elle avait les
yeux
fermés et jouissait cependant de la plénitude d’a
nsible aux sons. Je le ramenai au degré primitif eu soufflant sur les
yeux
et lui parlant sans cesse ; alors il répéta avec
ne et ne donnant aucun signe de vie. Quand je lui eus soufflé sur les
yeux
, il recouvra instantanément ses sens et déclara n
endez la chambre obscure, commandez le silence, et, fermant alors les
yeux
de votre patient, commencez à passer lentement vo
du derrière de la tète à l’épigastre; restez quelques minutes sur les
yeux
, nez et bouche, puis passez une main de chaque cô
quart d’heure environ, cn soufflant tout le temps légèrement sur les
yeux
. Les passes longitudinales sont alors employées
ion de cœur.) 8. Marie Mirande, née Baron, de Geronce. (Maladie d'
yeux
.) 9. Jeanne Labau, épouse Labourdette, de Bizan
invielle, épouse Boudenave, d’Aressy. (Migraine continue, maladie d'
yeux
, d’oreilles, coliques et vents.) là. Jean-Pierr
(Convulsion ncrvcu.»e à la tète, continuité de migraine, maladie d'
yeux
et d'oreilles.) 2/i. Thérèse, épouse IIeyd, de
lammation dans les viscères et au bas-ventre, lait répandu, maladie d’
yeux
, d'oreilles, migraine cl mal de gorge.) 37. Epo
Salenave, épouse Tiieil, de Pau. . (Migraine permanente, maladie d’
yeux
, (^'oreilles, palpitation de cceur, douleurs de r
laogueur.) 52. Jean Bardé fils, de Gelos. (Migraine et maladie d'
yeux
.) 53. Pierre Radarlet, dit Pkré, de Siros. (I
nne Ci.arens, épouse Lacroi x, de Pau. (Migraine, mal d'oreilles, d’
yeux
, insomnie, palpitation de cœur, maladie des nerfs
) 57. Laurent Monda, de Vic-Bigorre. (Migraine, mal d'oreilles, d’
yeux
, palpitation de cœur cl maladie des nerfs.>
Pau. (Oppression de p.iitrine, douleurs de matrice, migraine, mal d'
yeux
, d’oreilles el des nerfs, vents.) 50. Thérèse,
veuse, etc.) 103) 71. Jeanne, fille Monleru, de Pau. (Maladie d'
yeux
.) 72. Pierrç Moünaut, de Gelos. (Douleurs rhu
glandes.) 75. Aune M...., do Vic-Bigorre. {Migraine et maladie d'
yeux
.) 70. Joséphine, fille Labat, de Vic-Bigorre.
ut rien avaler.) 78. Sophie-Catherine Castel, de Pau. (Maladie, d’
yeux
.) 7i>. Jean Beysku, d’Arète. (Oppression d
ses faites avec une seule ou les deux mains devant la figure, sur les
yeux
principalement. Le mesmériseur souillait doucemen
ait doucement et fréquemment dans le nez, entre les lèvres et sur les
yeux
. Le silence le plus profond était observé. L'empl
ses faites par le magnétiseur, qni sdlifflaitaussi sur la face et les
yeux
; 2° l'état normal des prunelles et de la conjonc
mentionnés spécialement. Bien que les patients n’ouvrissent point les
yeux
, n’articulassent aucun son et n’eussent besoin d’
complet. Alors, deux fampons de ouate furent faits et posés sur les
yeux
d’Alexis ; un mouchoir assura les tampons sur les
posés sur les yeux d’Alexis ; un mouchoir assura les tampons sur les
yeux
; deux autres mouchoirs, posés cn sautoir et noué
ible au somnambule de voir par l’organe naturel, c’est-à-dire par les
yeux
. Le fauteuil où dormait le somnambule fut roulé
i dit M. ¡Marc.illet. » ' ■‘ Etil lut sans hésitation, écrivant les
yeux
bandé«, les deux lignes suivantest ! « Nous ne
bre de Paul. Alors il se tourna vers un point du salon! et leva les
yeux
, cherchantà percer la muraille. «Nobvil'n’estpl
mba instantanément sous l’influence d'un- sommeijiîiirrésistible. Ses
yeux
se fermèrent un instant; sa tête, courbée en avan
et ne connût môme pas cette maison, se lit préparer une eau pour ses
yeux
et partit pour nese réveiller qu’en arrivant au p
ne légère insolation, s’est vu pris soudainement d’une ophtalmie de l’
œil
droit le 2 juin de cette année. Dès le début, l
trèrent bienlùt dans toulc leur gravité. Enfin, tel était l’état de l’
œil
all'ecté, qu’il distinguait à peine le jour d’ave
; ils imitèrent donc les miracles de Moïse «au point d’en imposer aux
yeux
des spectateurs; mais y o eut-il réellement du
oquer Samuel, ce serait que les pythonisses étaient en exécration aux
yeux
du peuple de Dieu, et que leur art était défendu
our des comptes. 1. Jeannette, fille feu Rf.y, de Pau. (Maladie d’
yeux
.) 2. Marie, épouse Buocsstr, de Saint-Faust.
de suite )| 17. Jeanne Claverie, de Pau, rue Gassies. (Maladie d'
yeux
.) 18. Jeanne Hkngas, fille, de Jurançon. (Ma
aladie d'yeux.) 18. Jeanne Hkngas, fille, de Jurançon. (Ma adie d’
yeux
.) 19. Pierre Paleu, postillon, de Pau. (Malad
(Ma adie d’yeux.) 19. Pierre Paleu, postillon, de Pau. (Maladie d'
yeux
, lièvre lente, migraine permanente, insomnie sans
langueur, elc.) 25. Jeanne Hkmïas, fille, de Jurançon. (Maladie d'
yeux
.) 20. Suzanne Pccueu , épouse Lapassade , d’Arl
Lallerade(Geis). (Oh'truclion de l'oie, une fistule au dessous de l'
œil
droit, maladie de nerfs, sans appétit, insomnie.)
dine Lapèze, épouse Jeau Gocis, de Lalte- rade (Gers). (Maladie d'
yeux
) 31. Bernard Baktiie, li. de Pau. (InHaminnl
de poitrine, palpitation de cœur tendant à un anévrisme et maladie d'
yeux
.) 32. Marie Legrand, fille, deuxième née, d'Orl
leurs rhumatismales.) 34. Pierre Cazadx fils, d’Ousse. (Maladie d’
yeux
très-compliquée.) 35. Anne, fille Rey, de Bizan
s. (Fièvres.) 36. Bergitte, fille Dadansens, de Pau. (Maladie d’
yeux
.) 37. Jeanne Pascal, épouse Daniel Canton, deNa
continue.) 39. Marie-Gracieuse, fdle Larrieu, de Pau. (Maladie d'
yeux
.) 40. Pierre Puyau fils, li. de Pau. (Fièvre
rveuses ) S1. Marie-Magdelaine, épouse Changé, de Pau. (Maladie d’
yeux
.) ¿2. Jean-Baptisle Lapkine, deuxième né, de Pa
toire ,■ épouse Minvielle, troisième née, de Monlestruc. (Maladie d’
yeux
, douleurs de foie, affection de nerfs.) GO. Ber
nsomnie.) 75. Pierre Tisné fils, troisième né, de Pau. (Maladie d'
yeux
.) 70. Jean Pon, domestique chez Cazenave, de Pa
t.) 81. Célesline, fille Pierre Pkrissou, de Jurançon. (Maladie d’
yeux
et inflammation de poitrine, etc.) 82. Philippe
u.) 87. Jeanne Jourrb, épouse Pierre Piqcepeb, de Pau. (Maladie d’
yeux
.) 88. Marie, fille Cuardies, dit Frances, d'Arb
avait un rhume depuis plus de douze ans, et unpolypr au-dcssuus de l'
œil
droit, qui avait environ six lignes de diamètre.)
s une séance.) 128. Pierre-Léon Cazenavh fils, de Pau. (Maladie d'
yeux
.) 129. Marie Croux-Bouville, fille, deuxième né
res ) 130. Anne Cazekave, fille, première née, de Pan. (Maladie d'
yeux
.) 131. Jean Saint-Pif.rrb, oncle, de Plaisance
agnétisée a sufû.) Ml. Anne Bernadotte, fille, de Pau. (Maladie d'
yeux
.) 112. Jean Loustalet, de Pau. (F.èvrc lonle,
ronchocèle.) 151. Catherine, fille Sol’birou, de l’an. (Maladie d'
yeux
, îles paupières, des crofltcs dans le nez cl au-d
lsions nerveuses.) 167. Pauline, fille Callet, de Pau. (Maladie d'
yeux
.) 1 G8. Marie Lapeyre, épouse Sarra, d’Artiguél
énéral.) 184. Catherine-Jeannc Laborde, fille, de Pau. (Maladie d’
yeux
.) 185. Marie, épouse Lalanne, de Bilhère. (.M
fi.) 189. Marie Taillefer, épouse Lassus, de Bordères. (Maladie d'
yeux
.) 190. Jeanne-Patiline Lalanne, d'Arbus. (Ell
préside au développement des faits miraculeux peut se dévoilai’ à vos
yeux
. Les barrières opposées par des préjugés ou de
s aux Ecritures; le sens caché cri est resté voilé pour leurs faibles
yeux
. Une science grande, noble et venant de Dieu, est
assine plus aujourd’hui les novateurs; on ne leur crève mêuie pas les
yeux
comme autrefois, le couteau sacré.est remis dans
es faits merveilleux « Qu'il opère üu grand jour et montre à tous les
yeux
? « line telle ignorance en vous vraiment m’attr
récurseurs de l’émission du fluide magnétique, ni vu de leurs propres
yeux
des phénomènes magnétiques sur le corps des malad
MESMER. A tra»ers les champ» de l’espace, Dérobant son vol à nos
yeux
, L’aigle, emporté par son audace, Ose s’éleve
sitôt! Ne riez donc pas, lecteur, des extraits que j'en mets sous vos
yeux
, tout naïfs el puérils qu'ils sont : « La premi
antôme de ville que je ne pouvais plus écarter de ma pensée ni de mes
yeux
pendant les derniers moments de mon séjour à Pari
son sac une lettre de mon père, qu’elle décacheta et tint devant mes
yeux
, et que je lus ainsi sans me déranger ni me décou
; je me retourne, il n’y avait personne sur le chemin. Je reporte mes
yeux
à la muraille : la grande silhouette marchais enc
ait péniblement autour de la table, mettant ses deux mains devant ses
yeux
pour n’ètre pas ébloui des lumières, et cher- c
ce qui frappait comme la foudre; la vie privée n’était plus murée aux
yeux
du somnambule lucide ; le libre arbitre était com
e satanique, le considèrent, après des expériences passées sous leurs
yeux
, comme une force naturelle et physique. Moi-mêm
cile à éveiller; il ne voulait pas être dérangé ; enfin il ouvrit les
yeux
, et sa première demande fut pourquoi tant de mond
nous en pûmes obtenir c’est qu’il ne voyait pas, malgré qu’il eût les
yeux
grand ouverts. Lorsque je voulus lui donner un co
ne, chez l’autre la raison a coupé les ailes au génie, et détruit cet
œil
sans prunelle que Dieu a placé dans chaque être.
grands hommes. Au premier échelon d’une échelle qu’ils gravirent, mon
œil
a pu les considérer, mais il me fut défendu d’en
ce grain de blé; dis-moi si dans cette goutte de liqueur séminale tes
yeux
savent distinguer l’être humain qui s’y trouve; i
’y apercevais? elle y était pour tanl. Dans celte pierre d’aimant ion
œil
a-l-il suivi les courants qui la parcourent? Non;
otre compatriote, qui a passé deux mois parmi nous, nous a ouvert les
yeux
. Entre autres choses il a entrepris la guérison d
t une tumeur cancéreuse, etc. Celle première opération lit voir à l’
œil
exercé que le virus n’étail pas enlevé; que tou
son magnétiseur, que de grosses larmes tombent par intervalles de ses
yeux
; elle prévoyait intuitivement la torture qu’on lu
ransporte pas plus vile, or ici l’action est instantanée. On voit les
yeux
de madame N*** devenir ternes , une couleur bilie
le prostration évidente succède rapidement une réaction terrible, les
yeux
deviennent brillants, les traits se conlraclcnt,
ce but m’éloigne desepl à huit pas, mais les effels continuenl ; les
yeux
de madame N*** se fixent allernalivement sur moi
cachant le miroir. Il était temps, nous n’avions plus alors sous les
yeux
qu’une femme évanouie : il fallut la soutenir et
Tout est ému en elle, elle pleure, se lamente, cl nous avons sous les
yeux
le spectacle le plug étrange, la scène la plus in
onde nouveau apparaît à l’horizon, el ce monde est invisible pour mes
yeux
; je l’avais pressenti, mais aujourd’hui il m’est
ci bien autrement clairvoyant, el cela s’explique puisque j’ouvre les
yeux
. L’Académie, certainement se rendrait, et Jean Ra
rassemblement. Tout à coup le rassemblement me regarde avec ses cent
yeux
, m’appelle avec ses cent bouches, el m’auire avec
e faculté de voir. — Mais elle ne dort pas ; elle ouvrait de grands
yeux
et buvait tranquillement son verre d'eau sucrée
185-r. n Et tout cela est exact, tl M”0 Hermann, eût-elle les deux
yeux
grandement ouverts, ne pourrait apercevoir la piè
s notre dictée. » Nous nous plaçâmes derrière elle pour suivre de l’
œil
» lous les mots qu’elle tracerait, et nous dict
déclarer qu’ils nous onl presque lous passé par les mains el sous les
yeux
, depuis une vingtaine d’années, à partir dis méta
solu, on le voit chanceler; il cherche à détourner son attention, ses
yeux
se portent ailleurs que sur le miroir, mais je le
sé en est un trop sûr indice; il s’agite, sa bouche s’entr’ouvre, ses
yeux
deviennent brillants, et la lividité de ses trait
ons sans rien nous apprendre du coeur humain. Ici il parle à tous les
yeux
; nous pouvons lire dans tous ses replis. Atten
compliqua d’une ophtalmie, déterminée peut-être par un coup d’air; l’
œil
gauche devint très-rouge et m’occasionna de vives
se, de la guimauve, et des tranches de veau fraîches appliquées sur l’
œil
pendant la nuit. L’œil devenant de plus en plus m
des tranches de veau fraîches appliquées sur l’œil pendant la nuit. L’
œil
devenant de plus en plus malade, je consultai un
c me vint sur la cornée ; un suintement avait lieu par ce bouton et l’
œil
diminuait de grosseur ; il va sans dire que la vu
il va sans dire que la vue était très-obscurcie; je dis la vue, car l’
œil
droit s’était pris par sympathie ; enfin le mal d
octobre une chute que je fis détermina une injection de sang dans les
yeux
, et je suspendis tout travail. Un troisième médec
boutons» tumeur sous l’aorte, et hydrocéphale chronique. Du reste les
yeux
n’étaient pas attaqués, et leur état provenait de
taqués, et leur état provenait de la corrélation qui existe entre les
yeux
et le foie. Le nitrate d’argent avait brûlé la co
e les yeux et le foie. Le nitrate d’argent avait brûlé la cornée de l’
œil
gauche ; pourtant je devais arriver à guérison, d
été employé, el l’unique remède que j’avais fait fui de me laver les
yeux
avec de l’eau de laitue; plus tard , je pris qnel
m'entourant le bas de la jambe d’amadou magnétisée. Le 4 mars, mes
yeux
allaient bien, et la vues’afTermissait; elle étai
ète une forte crise qui détermina une grande évacuation d’eau par les
yeux
et me soulagea. Pendant plus d’un mois encore j
onnexité entre lui el l’intelligence, se passent constamment sous nos
yeux
. De; cannetons, à peine éclos sous l’aile d’une p
er qu'il prenne connaissance de la route et de ses sinuosités par les
yeux
, les oreilles ou le nez; et cependant, il n'est p
sa poitrine, son estomac ou son abdomen, rarement à la hauteur de ses
yeux
. Les perceptions ainsi reçues doivent, de toute
ir des matériaux à l’intelligence, ne peuvent pas plus pénétrer que l’
œil
, en particulier, ne peut empiéter sur les attribu
le symptôme de la titubation dite cérébelleuse. Si on lui ferme les
yeux
en appuyant-sur les paupières il trébuche forte
du côté de la lésion). Pas de déviation conjuguée de la tête et des
yeux
. Tous les mouvements des extrémités sont possib
des objets qu'il voit doubles. Parfois léger strabisme interne de l'
oeil
gauche (parésie de la VI" paire a gauche). La pau
e avant tout l'ataxie cérébelleuse, les troubles des mouvements des
yeux
, ceux de la sensibilité dans la région du triju
muscles,nous avons pu étudier les lésions du tissu musculaire. A l'
oeil
nu les masses musculaires ne nous avaient paru
ambrer les reins, agiter ses jambes, crisper ses poings, rouler des
yeux
furibonds, la douleur lui arrache des cris lament
man of wyf Of hy hadt een key int lyf. J'aurais beau ouvrir cent
yeux
, il est n'est pas en mon pouvoir de retirer la
ont pu se former dans le corps, serait avec raison regardé de même
oeil
que celui dont il défendrait la cause ; c'est san
ment donc comprendre qu'elle ait pu épargner les nerfs moteurs de l'
oeil
? J'avoue que je ne trouvais pas de réponse abs
té prises cette époque sur son état. Femme robuste, bien faite, aux
yeux
noirs et vifs. Ataxie confirmée des membres inf
reculons est encore possible. Elle est totalement im- possible, les
yeux
fermés : l'incoordination motrice est telle que l
nous constatons une intégrité de la muscula- ture de la joue et les
yeux
, des pupilles normales, l'absence de troubles int
l'é- ruption syphilitique s'atténue et le malade engraisse à vue d'
oeil
. Mais les trou- blès moteurs s'amendent moins r
eurs du pied, avec participation légère des muscles ex- ternes de l'
oeil
(nystagmus paralytique), des muscles du tronc et
diffi- cilement,lentement, par secousses successives. Du côté de l'
oeil
, il y avait 1 paralysie totale et complète du n
autre part, on constatait une hémiparésie droite et des troubles de l'
oeil
gauche. L'hémiparésie était moins marquée que d
amométrique la main droite donnait 19 et la gauche 12. Du côté de l'
oeil
, la paupière supérieure recouvrait une partie du
e recouvrait une partie du globe oculaire; tous les mouvements de l'
oeil
étaient affaiblis sauf le mouvement en bas et l
y a entre elles, le cinématographe nous montre certains faits que l'
oeil
ne peut pas saisir. En effet, la cinématographi
e sous-maxillaire gauche, du volume d'un oeuf de pigeon, montra à l'
oeil
nu une hyper- trophie ganglionnaire qu'on put c
desséchées, de marmots et de squelettes, ne pouvaient échapper à l'
oeil
observateur des peintres naturalistes flamands
sionomie est toute différente et le co- piste n'a pas été adroit, l'
oeil
est grand ouvert et la figure plate et sans re-
u sujet et sur certains détails de physionomie mais qui sautent aux
yeux
en comparant lesplan- ches photo typiques repro
peu vieux cédant, G..... Jacques reçut la pointe du fleuret dans l'
oeil
. Ou s'aperçut après que ce fleuret était démouc
a lame avait pénétré dans le cul-de-sac conjonctival, au-dessous de l'
oeil
droit, le long de la paroi inférieure de l'orbi
e saute à cloche pied et peut se tenir sur le pied malade, même les
yeux
fermés. Les réflexes rotuliens étaient normaux,
tion. Quand on change la position des doigts de la main droite, les
yeux
fermés, et que l'on commande à la petite malade
sont beaucoup agrandis, ils sont normaux pour le rouge et le bleu à l'
oeil
droit t et encore très rétrécis à l'oeil gauche
ur le rouge et le bleu à l'oeil droit t et encore très rétrécis à l'
oeil
gauche (schémas III, IV, V). En mars 1896 le mê
a partie interne, vers le bord interne de la paupière inférieure. L'
oeil
ne fut pas blessé, le père dit que la tige avai
uité visuelle est normale, il n'y a pas d'hémianopsie, le fond de l'
oeil
est normal. Le côté gauche est paralysé, l'enfa
une paralysie gauche comprenant la face (impossibilité de fermer l'
oeil
gauche), le bras et aussi, mais à un degré moindr
ensemble. La langue est deviée à gauche. Le malade peut fermer ses
yeux
et glisser son front également bien des deux côté
IAL Cependant le malade éprouve de la difficulté il reconnaître les
yeux
fermés des objets usuels placés dans sa main ga
court par suite de la difficulté qu'elle éprouve à se coiffer. Les
yeux
sont vifs et brillants, les pommettes saillante
en est de même quand on tire les cheveux. Sensibilité spéciale. -
Yeux
. - La malade craint la lumière un peu vive; le
ettes appropriées rend possible la lecture d'un journal. Le fond de l'
oeil
est normal. Oreilles. - L'ouïe est fine. Ni b
s quand on déplace xm 17 258 SABRAZÈS ET FAUQUET ses pieds, les
yeux
étant fermés, elle ne peut dire exactement où se
a sensibilité musculaire et périostique. Paralysie des muscles de l'
oeil
droit avec abolition des réflexes pupillaires.
a sensibilité musculaire et périostique. Paralysie des muscles de l'
oeil
droit avec abolition des réllexes pupillaires.
: pupille droite un peu plus dilatée que la gauche. Mouvements des
yeux
normaux, léger nystagmus dans le regard oblique
orps en avant, pen- dant que ses genoux fléchissent. Ferme-t-il les
yeux
, des oscillations se pro- duisent. La marche
terre. Les pieds joints, il accuse de l'incertitude et vacille : les
yeux
fer- més, il chancelle prêt à tomber. Il marche
les talons joints. La station sur une seule jambe est difficile les
yeux
ouverts, impossible les yeux fermés. Les réflex
sur une seule jambe est difficile les yeux ouverts, impossible les
yeux
fermés. Les réflexes rotuliens sont abolis, avec
colonne vertébrale. Il n'y a pas de défor- mation du rachis. Les
yeux
sont saillants, les pupilles un peu dilatées et l
L'acuité visuelle est normale des deux côtés. L'examen du fond de l'
oeil
dénote une décoloration notable de la papillo g
érieure gauche, coïncidant avec une paralysie du droit interne de l'
oeil
droit. L'année suivante, en 1882, survenaient d
pieds lui paraissent serrés comme avec une corde. Il marche, les
yeux
ouverts ou fermés, avec très peu d'hésitation : i
ne se tient pas avec assurance sur l'une ou sur l'autre jambe : les
yeux
fermés, il vacille et tombe. En marchant, il sent
scurité, l'équilibre est très instable, dans la station debout, les
yeux
ouverts, les talons joints : les yeux » fermés,
le, dans la station debout, les yeux ouverts, les talons joints : les
yeux
» fermés, le malade vacille et tombe. Les pup
urs mois. Il n'existe pas de perturbation notable de la marche, les
yeux
ouverts. Un peu d'incertitude apparaît, dans la
es yeux ouverts. Un peu d'incertitude apparaît, dans la marche, les
yeux
fermés. La station debout sur une seule jambe e
yeux fermés. La station debout sur une seule jambe est possible les
yeux
ouverts, très difficile les yeux fermés. Les pu
sur une seule jambe est possible les yeux ouverts, très difficile les
yeux
fermés. Les pupilles sont inégales, la gauche e
jamais présenté de troubles de la vision ou de la musculature de l'
oeil
. Jamais de troubles urinaires ou génitaux. Etal
e rides. Les cheveux sont rares, plantés droits, grisonnants. ' L'
oeil
est assez vif : il n'existe pas de nystagmus, pas
s sont vifs. La station debout sur les deux pieds est possible, les
yeux
ouverts ou fermés. Le malade peut même rapproch
les jambes et réunir les talons. La station sur le pied gauche, les
yeux
ouverts, est facilement obtenue. L'équilibre est
lement obtenue. L'équilibre est im- possible sur le pied droit. Les
yeux
fermés, sur un pied comme sur l'autre, le. mala
ollement ses jambes à droite et il gauche. Il peut même marcher les
yeux
fermés ou il reculons. Le malade ressent encore
périences. Cela. ne m'empêchait pas, chemin faisant,de noter de mes
yeux
les attitudes des sujets moins bien peut-être q
e supérieure, et la dilatation des nariues, et 1'écarquillement des
yeux
ajoutent au réalisme de cette posture violente,
ntérêt le duel opératoire. Ce spectateur est vraiment curieux : son
oeil
surtout, un peu exorbitant, est (1) W 1617. - I
ourire de satisfaction. L'opéxé ne partage pas cette quiétude ; ses
yeux
convulsés et les plis de son front indiquent as
ène. La coloration il la toluidine est nette, intense, agréable à l'
oeil
. Quoi- qu'elle se porte aussi bien sur les cell
et demi. Le nerf sympathique a également été arraché du même côté (l'
oeil
et l'oreille présentaient des symptômes très ma
Nous rencontrons enfin quelques cellules qui frappent dès l'abord les
yeux
et qui sont dans un état très voisin de la cell
un peu abaissée. Examen de la tête et de la face. - L'occlusion des
yeux
se fait bien, mais la malade ne peut forcer l'o
rgiquement les sourcils. Il n'y a pas de paralysie des muscles de l'
oeil
, tous les mouvements isolés et synergiques des
ue, l'examen ophthalmoscopique ne révèle aucune lésion du fond de l'
oeil
; la vision des couleurs est intacte, mais il n'a
roduit correctement les attitudes imprimées il la main gauche,- les
yeux
fermés et inversement ; la malade porte également
porte également bien son doigt sur son nez ou sur son oreille, les
yeux
fermés ou les yeux ouverts ; la sensibilité des
en son doigt sur son nez ou sur son oreille, les yeux fermés ou les
yeux
ouverts ; la sensibilité des membres supérieurs
considérable et d'hésitations constantes. Pendant l'occlusion des
yeux
, la malade étant dans la station debout, il ne
er sur le bras d'un aide ; dans les derniers temps, l'occlusion des
yeux
augmentait davantage les troubles de la statique
mbres inférieurs. Assis sur un tabouret, il se tient aussi bien les
yeux
ouverts que les yeux fermés. 1 ne peut passer
ssis sur un tabouret, il se tient aussi bien les yeux ouverts que les
yeux
fermés. 1 ne peut passer de la position assis
il- lations augmentent encore d'amplitude quand le malade ferme les
yeux
. Il se baisse un peu, mais avec beaucoup de pei
. DEJERINE ET A. THOMAS Nous avons vu plus haut que l'occlusion des
yeux
augmente très légèrement l'instabilité, mais qu
Rombergà proprement parler; de môme il peut marcher en fermant les
yeux
; mais l'incertitude et les crain- tes du malad
par contre nullement modifiée ; et on peut dire que l'occlusion des
yeux
n'augmente que très légèrement les troubles de la
es pieds : si pendant la marche, on place un écran au-dessus de ses
yeux
, de façon à l'empêcher de voir le sol et ses pied
momètre : main droite 40, main gauche 50. Pas d'incoordination, les
yeux
ouverts le malade porte son index sur son nez o
dex sur son nez ou sur les oreilles, : mais pendant l'occlusion des
yeux
, le mouvement est moins régulier et le but moin
la droite, que la droite sur la gauche. Pas d'incoordination, les
yeux
ouverts ou fermés. Les réflexes tendineux sont
dyschromatopsie. Il y a une certaine incertitude des mouvements des
yeux
dans les mouve- ments rapides des globes oculai
ehors et de dehors en de- dans ; à la limite extrême du regard, les
yeux
sont animés de petites secousses nystagmiformes
environnants. La fatigue survient plus rapidement. L'occlusion des
yeux
augmente un peu les troubles de la marche, mais
est atteint de la même affection ; ses deux soeurs ont des maladies d'
yeux
. Dans les antécédents personnels du malade qui
AS gation plus minutieuse le malade, avait déjà un voile devant les
yeux
dès l'âge de 22 ans ; les troubles de la vue on
her les deux index, ce mouvement ne peut davantage être exécuté les
yeux
ou- verts que les yeux fermés. Les mains ne tre
mouvement ne peut davantage être exécuté les yeux ou- verts que les
yeux
fermés. Les mains ne tremblent nullement; cependa
scillations qui n'augmentent pas beaucoup pendant l'oc- clusion des
yeux
. Il ne peut marcher sans sa canne et même dans
est plus claire. Cet état est constant sur toutes les coupes sur l'
oeil
droit comme sur l'oeil gaucho, mais à gauche le
tat est constant sur toutes les coupes sur l'oeil droit comme sur l'
oeil
gaucho, mais à gauche les taches rouges sont plus
nt en rétrécissement du champ visuel et en altérations du fond de l'
oeil
. 360 J. DEJERINE ET A. THOMAS L'observation d
on de la direction du mouvement et les mouvements compensateurs des
yeux
dans les mouvements passifs de rotation étaient
e blessure à la tête. Le plomb était entré par l'angle interne de l'
oeil
droit et était parvenu dans la substance cérébr
e la seringue n'est pas enfoncée assez près de l'angle interne de l'
oeil
, elle ne rencontre pas la fente ni le trou sphé
(fig. 1 et 2), nous avons enfoncé la tige dans l'angle interne de l'
oeil
droit, d'une longueur de 15 cent. 5 (mesurée à
'interrompant pas le sommeil. A 5 ans, rougeole; depuis ce moment l'
oeil
gauche est le siège d'une blé- pharo-conjonctiv
dent qui le torture, il crispe nerveusement les poings et lève les
yeux
au ciel, semblant implorer le courage néces- sa
et le naturalisme de ces intérieurs demeure infiniment agréable à l'
oeil
. A l'égard des Arracheurs rfe dente, Teniers pa
un peu fort, la moustache naissante, les cheveux longs et frisés, l'
oeil
vif et la bouche rieuse. Parfois sérieux et atten
années, dit-il, un ecclésiastique vint me consulter : il avait les
yeux
injectés de sang, larmoyants, et craignait de per
s de t'abstenir du tabac. Je ne connais pas d'autre remède pour les
yeux
qu'une sage modération. Mais l'autorité du poèt
sfaire je lui citai ces paroles de Magnen : Dans les affections des
yeux
, il faut éviter le tabac, car il excite les flu
figure tri, remarquable en outre par le strabisme divergent de ses
yeux
. Henry Meige. Le gérant : P. Bouchez. hup,
oujours bien portée jusqu'à ce moment, remarqua la déviation de son
oeil
gauche qui se développait lente- ment, le globe
mba graduellement, il lui devint de plus en plus difficile d'ouvrir l'
oeil
gauche. Depuis deux ans cet oeil est complèteme
plus en plus difficile d'ouvrir l'oeil gauche. Depuis deux ans cet
oeil
est complètement fermé et le globe est xiii 31
DOVERNIG tourné au dehors ; actuellement, elle peut encore ouvrir l'
oeil
malade, mais avec de grands efforts et cet oeil
eut encore ouvrir l'oeil malade, mais avec de grands efforts et cet
oeil
se ferme bientôt malgré elle ; il lui est im- p
ne tour- ner à droite le bulbe dévié au dehors. C'est l'état de cet
oeil
qui a amené la malade à la clinique ; du reste
ésistance en exécutant ce mouvement. La malade peut encore ouvrir l'
oeil
gauche, mais pas autant que l'oeil droit; penda
. La malade peut encore ouvrir l'oeil gauche, mais pas autant que l'
oeil
droit; pendant ce mouvement, il y a dans la pau
dents; sans ce mouvement elle est absolument incapa- ble d'ouvrir l'
oeil
gauche. Ayant fait ce mouvement, la paupière ne r
ion régulière (Pl. LXX). Pas de troubles dans les mouvements de l'
oeil
droit ; à gauche, ce sont seule- ment les mouve
lade ne le peut pas tourner en dedans. Tous les autres muscles de l'
oeil
, innervés par le moteur oculaire com- mun gauch
éagit ni il la lumière ni à l'accommodation. La lumière jetée sur l'
oeil
gauche n'y produit aucune réaction, mais elle pro
lle droite, pendant que la gauche reste immobile. De l'examen des
yeux
, pratiqué par M. le Dr de Blaskovich il résulte,
, les faits suivants : L'acuité visuelle est toute nor- male dans l'
oeil
droit, mais très faible dans l'oeil gauche (II. 7
elle est toute nor- male dans l'oeil droit, mais très faible dans l'
oeil
gauche (II. 7. V. 5/30). Pas de modification du
, Hlldmlel'111g) PARALYSIE BULBAIRE SUPÉRIEURE CHRONIQUE 475 de l'
oeil
droit ; la pupille gauche est un peu ovale, mais
ranches du nerf moteur oculaire commun ; amblyopie congénitale de l'
oeil
gauche. Outre la paralysie de la troisième pair
ssus dans l'orbite devrait produire des lésions d'autres nerfs de l'
oeil
gauche. Parla même raison ce n'est pas non plus
nt parfois les muscles de la face du côté droit et les muscles de l'
oeil
droit (déviation de l'oeil en dehors). Il y avait
a face du côté droit et les muscles de l'oeil droit (déviation de l'
oeil
en dehors). Il y avait des con- tractures très
ue point. A l'examen microscopique des cellules nerveuses saute aux
yeux
la finesse'd'un grand nombre de prolongements p
niques de la su tance blanche. Dans la substance grise il saute aux
yeux
que la plus grande^ tie des cellules nerveuses
n est si visible qu'on peut voir l'endroit de la dégénérescence à l'
oeil
nu. Sur beau- coup de préparations, on rencontr
quatre premiers morceaux, des fibres dégé- nérées. Ce qui saute aux
yeux
ici principalement, c'est la masse de globules
antité assez marquée de pigment. D) Lobe temporal. Ce qui saute aux
yeux
c'est que les cellules nerveuses contiennent un
myéline avec formation d'une masse de globules granuleux saute aux
yeux
dans la région du pied du pédon- cule du côté g
VI. Au niveau de l'olive inférieure (Voyez PI. LXXI, B). - Déjà à l'
oeil
nu on voit une dégénérescence très marquée dans
ut de l'intumiscence cervicale. Déjà à l'examen de préparations à l'
oeil
nu on voit une dégénérescence très marquée dans
éante rembourrée de globules noirs. IV. Cône médullaire. - Même à l'
oeil
on aperçoit déjà la région dégénéra- tive dans
I. Moelle épinière a) lntumiscence cervicale (Pl. LXXI, E).- Déjà à l'
oeil
nu on remarque une dégénérescence des deux fais
s le faisceau pyramidal latéral a un peu changé ; on voit aussi à l'
oeil
nu la dégénérescence dans la région antérieure de
nce des faisceaux pyramidaux latéraux peut être distinguée même à l'
oeil
nu. Ainsi que dans le cas premier, ici aussi la d
urtout sur le lobe droit, tandis que l'exophthalmie prédominait à l'
oeil
gauche ; mais le plus souvent l'exophthalmie et l
douleurs vagues. Elle fait remonter à cette époque la saillie de son
oeil
droit. Depuis 18 mois, à la suite d'un refroidi
sont affectés du côté gauche, olfaction, vision, audition, goût. L'
oeil
gauche a son champ visuel très rétréci, de l'achr
existe du côté droit exclusivement une exophthalmie bien marquée : l'
oeil
est plus ouvert mais se ferme bien ; sa pupille
la paupière supérieure droite suit plus lentement le mouvement de l'
oeil
. La région cervicale antérieure ne présente auc
'affection il y a vingt ans par une paralysie du droit interne de l'
oeil
droit, qu'Abadie soigne durant trois mois, et qui
de cellules. Comme pour les cas précédents, nous avons ici sous les
yeux
tous les stades de la chromatolyse, depuis le d
ême côté se meuvent continuellement. Si on agite la main devant les
yeux
on ne détermine pas le resserrement du palpébral
rare). Dès le début du premier examen l'attention se perte sur les
yeux
du ma- lade.Ils sont bizarres, leur ouverture e
lapin. En observant avec plus de soin, on voit qu'au repos c'est l'
oeil
gauche qui est le plus petit, il est presque enti
frouto-sourciliers, un soulèvement de la pau- pière supérieure de l'
oeil
gauche entre le ptosis, strabisme divergent La
tait les symptômes suivants; Ptosis à droite avec im- mobilité de l'
oeil
droit en strabisme divergent, hémiplégie gauche (
le à l'approche d'une lumière ou quand le malade regarde au loin. L'
oeil
droit est dévié en dehors ; ce strabisme diverg
droite ; il augmente quand le regard se porte à gauche. Tandis que l'
oeil
gauche peut exécuter tous les mouvements, l'oei
uche. Tandis que l'oeil gauche peut exécuter tous les mouvements, l'
oeil
droit esquisse à peine, que l'autre oeil soit o
ter tous les mouvements, l'oeil droit esquisse à peine, que l'autre
oeil
soit ouvert ou non, les mouvements en haut et en
s sont ceux en dehors, et en bas et en dehors. Acuité visuelle. L'
oeil
gauche lit le n° 10 du tableau décimal à 4 mètres
suelle. L'oeil gauche lit le n° 10 du tableau décimal à 4 mètres, l'
oeil
droit ne peut lire ce même numéro qu'à 2 m. 50. N
e malade accuse une certaine diminution dans l'acuité visuelle de l'
oeil
sain (gauche) depuis l'accident. Quant à l'oeil
cuité visuelle de l'oeil sain (gauche) depuis l'accident. Quant à l'
oeil
droit il ne s'en sert plus ; il a pris l'habitude
ne s'en sert plus ; il a pris l'habitude de ne plus voir qu'avec l'
oeil
gauche. Avec l'oeil droit seul, il peut lire l'éc
il a pris l'habitude de ne plus voir qu'avec l'oeil gauche. Avec l'
oeil
droit seul, il peut lire l'écri- ture ordinaire
donc paralysie de l'accommodation. Habitué à ne plus voir qu'avec l'
oeil
gauche, B... n'accuse pas de diplopie. Il lui f
l lui faut un très grand effort d'attention pour voir avec les deux
yeux
: dans ce cas, il aperçoit une deuxième image à l
res sont possibles et aussi bien exécutés à gauche qu'à droite, les
yeux
étant ou non fermés Debuut le malade ne pré- DE
e à quelque distance. Il faut toujours que j'annule l'un ou l'autre
oeil
pour regar- der, et c'est toujours le droit qui
ge à droite, mais elle est moins complète. Pendant l'été de 1895, l'
oeil
tourna en dehors et la paupière tomba complètemen
un peu- Depuis lors, il a un meilleur contrôle sur les muscles de l'
oeil
gauche mais à part cela, il y a peu de changeme
Saint-Antoine, à ce moment il était plongé dans le coma, pâle, les
yeux
voilés, la respiration était stertoreuse et court
eltoïde droit pré- sentent une diminution de volume appréciable à l'
oeil
sur ceux du côté opposé. Le grand pectoral est
tient facile- ment debout sur la jambe droite et n'oscille pas les
yeux
fermés. Réflexes : égaux des 2 côtés. - - Sen
aussi bien qu'auparavant. Pas de dyschromatopsie. Il peut fermer l'
oeil
droit seul, mais pas le gauche Actuellement il
une personne la même phrase avec les deux mains simultanément, les
yeux
ouverts et fermés. On trouvera alors sur toutes
pro- chées. Les lignes écrites, surtout celles qui sont tracées les
yeux
fermés, s'écartent en montant et forment un ang
au souvenir de l'impression de l'image. » La simple, occlusion des
yeux
peut avoir un résultat analogue. Carl Vogt. a f
n a plus de tendance à écrire en miroir de la main gauche quand les
yeux
sont fermés que lors- qu'ils sont ouverts. La
ait, il trace des formes, c'est- à-dire des lettres, auxquelles son
oeil
n'est pas habitué, si bien qu'il lui est souven
r lire ; la lecture n'est venue qu'après, car elle n'avait sous les
yeux
, pour lire, d'autres exemples que ceux qu'elle tr
nomalie dans le développement ou dans l'inser- tion des muscles des
yeux
. Schenkl (1881) se rallie à son opinion. - De
es centres portant sur les noyaux bul- baires des nerfs moteurs des
yeux
. Lucanus (1886) admet dans son cas la même path
de Vossius dans laquelle on note le fait curieux de l'ouverture des
yeux
lorsque le malade ouvrait la bouche. Gazépy (
génitale de l'affection oculaire qu'elle présente. Elle est née les
yeux
fermés et ce n'est que 15 jours après sa naissa
ne sait pas nous dire quelle est celle qui a commencé. Depuis, les
yeux
se sont toujours ouverts un peu plus et chaque
t soulever ce sillon et le petit doigt introduit légèrement entre l'
oeil
et sa cavité ne découvre aucune anomalie. Le re
e front et le soulèvement bilatéral des sourcils. L'oc- clusion des
yeux
s'effectue très normalement. Les yeux sont larmoy
s sourcils. L'oc- clusion des yeux s'effectue très normalement. Les
yeux
sont larmoyants, particulièrement l'oeil droit,
ctue très normalement. Les yeux sont larmoyants, particulièrement l'
oeil
droit, particularité qui s'est montrée dès la nai
horizontalement, ce qui nécessite le rejet 4e la tête en arrière. L'
oeil
droit converge d'une façon plus marquée que 620
e), faits dont on se rend compte en promenant des objets devant les
yeux
de la petite malade en allant de droite à gauch
objet placé à sa gauche en immobilisent sa tête, on constate que l'
oeil
droit converge fortement vers l'objet, tandis q
tate que l'oeil droit converge fortement vers l'objet, tandis que l'
oeil
gauche, au lieu de tourner lui aussi à gauche, se
ssi à gauche, se porte à droite et converge par conséquent, comme l'
oeil
droit. A ce mouvement d'adduc- tion se joint en
Il n'existe pas de différences bien sensibles dans l'état des deux
yeux
et la description qui précède s'applique avec a
et la description qui précède s'applique avec autant de vérité à l'
oeil
droit qu'à l'oeil gauche. Les pupilles, égale
qui précède s'applique avec autant de vérité à l'oeil droit qu'à l'
oeil
gauche. Les pupilles, égales, ont environ 2 mil
réguliers et à surface rosée, peu pigmentée. Le reste du fond de l'
oeil
est entièrement normal : pas d'exagération ou de
pleure comme les au- tres enfants. Lorsqu'elle rit, elle cligne les
yeux
un peu plus que norma- lement. Les mouvements
vaient peut-être un peu mieux, surtout la gauche. La mobilité des
yeux
s'est aussi un peu améliorée. Il n'y a cependant
ne ; son développement physique et intellec- tuel se fait bien. Son
oeil
droit larmoie un petit peu au soleil et surtout
u soleil et surtout au vent. La mobilité des paupières et celle des
yeux
ne paraît pas s'être sensiblement améliorée : c
s s'être sensiblement améliorée : cependant, au dire des parents, l'
oeil
gauche re- muerait par moments un peu mieux que
ylome, pigmentation anormale du fond 622 CABANNES ET BARNEFF de l'
oeil
; malformation des doigts, des mains, des pieds, a
croissance de l'enfant peut se faire avec lenteur (Cabannes) et ses
yeux
restent fermés jusqu'à 15 jours après sa naissa
ente de la sorte de 2 à 4 milli- mètres de hauteur. L'occlusion des
yeux
s'effectue d'une façon normale. La coexistence
s plus aplaties que normalement. Il est des cas (Cabannes) où les
yeux
sont toujours larmoyants bien qu'il n'existe au
vation; elle était aussi bilatérale mais extrêmement marquée pour l'
oeil
gauche dans un cas de Heuck. L'oeil droit présent
mais extrêmement marquée pour l'oeil gauche dans un cas de Heuck. L'
oeil
droit présentait un volume énorme dans l'observ
ion de Baumgarten. Habituellement cette exophtal- mie manque et les
yeux
ont leur profondeur normale. Dans le cas de Mau
et les yeux ont leur profondeur normale. Dans le cas de Mauthner, l'
oeil
droit (Hyperm.) était même un peu exophtalme. L
, l'oeil droit (Hyperm.) était même un peu exophtalme. Les axes des
yeux
sont souvent inclinés en bas (Schenkl, cas de Heu
très précises, que cet angle n'est pas toujours égal pour les deux
yeux
et dans trois cas (Heuck) il y avait entre la val
y avait entre la valeur de chacun des angles correspondant aux deux
yeux
chez un même malade une différence variant entr
même malade une différence variant entre 6° et 10°. Les axes des
yeux
sont en outre habituellement convergents. Dans le
di, ils étaient divergents. Enfin dans l'observation de Mauthner, l'
oeil
gauche était convergent, l'oeil droit était div
n dans l'observation de Mauthner, l'oeil gauche était convergent, l'
oeil
droit était divergent de telle sorte que les deux
convergent, l'oeil droit était divergent de telle sorte que les deux
yeux
624 CABANNES ET BARNEFF étaient tournés vers
nés vers la droite et un peu inclinés en bas. D'autres fois un seul
oeil
diverge, le droit (Lawford). L'étude des mouvem
seul oeil diverge, le droit (Lawford). L'étude des mouvements des
yeux
montre que les muscles extrinsèques sont généra
est tout à fait conservée [2 derniers de Heuck, Cabannes, Mauthner (
oeil
gauche),Gourfein (3e cas), Hirschberg (2" cas),
Ces paralysies atteignent ordinairement d'une façon égale les deux
yeux
, ce n'est que dans des circonstances rares que no
yeux, ce n'est que dans des circonstances rares que nous voyons un
oeil
re- lativement indemne (` ? ° cas de Heuck et M
vergence peut se produire jusqu'à une distance très rapprochée de l'
oeil
et la vision binoculaire au ÉTUDE SUR t'OPIITAL
des obliques, maisaussi sous l'influence des autres mus- cles de l'
oeil
, alors que ceux-ci sont incomplètement paralysés
n'est qu'une secousse légère et peu étendue, tendant à dépla- cer l'
oeil
dans le sens de l'action du muscle atteint. Ces s
du pouls veineux mais pas de pouls artériel. Le reste du fond de l'
oeil
ne présente pas d'anomalie ; la pigmen- tation
le. Elle varie entre 1/10, 1/6, 1/3 et 1. Elle est égale dans les 2
yeux
(leur cas de Heuck, 3e cas de Ueuck, 1er et 30
euck, 3e cas de Ueuck, 1er et 30 cas de Gourfein) ou inégale pour l'
oeil
droit et l'oeil gauche du même sujet (2" et 4c ca
Ueuck, 1er et 30 cas de Gourfein) ou inégale pour l'oeil droit et l'
oeil
gauche du même sujet (2" et 4c cas de Heuck, Maut
hner et Gast, Lawford, Schenkl). Dans l'ob- servation de Mauthner l'
oeil
droit seul était hypermétrope, le gauche était
ermétropie légère il droite, de la myopie légère à gauche. Les deux
yeux
sont myopes à des degrés divers dans le 1er et
c'est de l'astigmatisme hypermétropique (Rampoldi, Uthoff) aux deux
yeux
ou à un seul oeil, l'autre étant normal, myope
tisme hypermétropique (Rampoldi, Uthoff) aux deux yeux ou à un seul
oeil
, l'autre étant normal, myope ou atteint d'astigma
s elle est provoquée par l'interposition d'un prisme faible entre l'
oeil
et l'objet. Dans presque tous les cas la recher
n). Telles sont les considérations cliniques concernant l'état de l'
oeil
dans 17 cas d'ophtalmoplégies congénitales que
e (Lucanus). Dans certains cas rares, le ptosis et l'immobilité des
yeux
dimi- nuent mais d'une manière presque insensib
avant tout des documents précis au sujet de l'état des muscles de l'
oeil
, des nerfs de l'orbite, de leurs noyaux bulbaires
ments les plus complets concernent peut-être l'état des muscles des
yeux
: position reculée de l'insertion des tendons mus
cas de Heuck où l'opération fut pratiquée, de tous les muscles de l'
oeil
à l'exception du droit interne (la position du
s ex- ÉTUDE SUR L'oPHTAL1110PLÉGIE CONGÉNITALE 629 trinsèques des
yeux
dans l'ophtalmoplégie congénitale. La musculature
cas de Bernhardt relatif à une paralysie partielle des muscles des
yeux
compliquée de paralysie faciale congénitale, dans
aux bulbaires qui président au fonctionnement des nerfs moteurs des
yeux
; les autres (Schenkl, Becker et Heuck surtout)
ier. Pour cet auteur, on doit considérer l'appareil de motilité des
yeux
630 CABALES ET BARNEFF comme un mécanisme com
s isolées et partielles des paralysies congénitales des muscles des
yeux
, formes qui sont parfaitement connues, il en exis
oubles trophiques de la peau. Sensibilité. - Strabisme interne de l'
oeil
gauche dont le début remonterait à l'époque de
en présence de la névrite optique droite, du strabisme interne de l'
oeil
gauche, nous pouvons conclure, les symptômes de l
ut périphérique dans le voisinage du seg- ment central suffit à ses
yeux
pour faciliter la réparation. . C'est ainsi qu'
itx (2) dont nous avons parlé en une Faisant pendant au Médecin des
Yeux
(2) dont nous avons parlé en une autre occasion
enversé en arrière sur son fau- teuil, crispe les poings, ferme les
yeux
et racle le sol de ses talons. Sa douleur doit
Le gamin, qui a eu plus de peur que de mal, demeure cependant les
yeux
pleins de larmes, tâtant avec son doigt la place
nts : L'un d'eux fait une trépanation, un autre une opération sur l'
oeil
, un troisième une incision à la jambe, un quatr
ssin de cuivre soigneusement poli dans lequel sont déposés ses deux
yeux
, avec quelques discrètes gouttes de sang. Une aut
périeure, bouffissure des paupières allant jusqu'à l'occlusion de l'
oeil
. Une mentonnière entoure ce masque boursouflé. L'
ns il la portée du public médical, celui qui a trait h l'examen des
yeux
et de la vision. Qu'on lise ce chapitre de la «
me, le plus facilement exploitable, est, sans contredit, celui de l'
oeil
. Des méthodes bien établies et une instrumentat
e du trouble constaté. La moindre parésie d'un muscle moteur de l'
oeil
est toujours consta- table et même 111('nsurabl
PREMIÈRE PARTIE TECHNIQUE - - DE L'EXAMEN^DU SYSTÈME NERVEUX DE L'
OEIL
i EXPLORATION DU NERF OPTIQUE ET DE LA RÉTINE
ndre l'acuité visuelle, il faut tenir compte de la distance entre l'
oeil
et l'objet qu'il regarde. , EXPLORATION DU NERF
l'aide d'objets de -1 grandeurs différentes placés à 5 mètres de l'
oeil
observé. L'objet employé, appelé « échelle typo
à laquelle les lettres de cette ligne devraient être lues par un
oeil
possédant une .acuité normale. ' Manière de p
typographique est placée à 5 mètres, sur un mur, à la hauteur des
yeux
, en honne lumière. Le malade lit l'échelle en c
e. Il faut alors employer le procédé suivant. On promène devant ses
yeux
la main dont les doigts sont écartes, on cherche
a distance D il laquelle les . lettres devraient être lues par un
oeil
d'acuilé visuelle nor- male. ! 4 4 TROUBLES N
de rechercher si le malade voit passer l'ombre delà main devant son
oeil
, s'il distingue les lumières, s'il localise les
tats anormaux de la réfrac- tion, quand par rapport à sa longueur l'
oeil
est trop réfringent (myopie) (fig. 5), ou pas a
C'est encore ce qui se produit quand les milieux transparents de l'
oeil
sont voilés, la cornée par une taie, le cristal
née, du cris- tallin, du vitré). zig. z. Vices de réfraction de l'
oeil
; E, oeil de dimensions normales (emmétrope); M, o
ris- tallin, du vitré). zig. z. Vices de réfraction de l'oeil; E,
oeil
de dimensions normales (emmétrope); M, oeil tro
réfraction de l'oeil; E, oeil de dimensions normales (emmétrope); M,
oeil
trop long (myope); 11, oeil trop court (hypermé
de dimensions normales (emmétrope); M, oeil trop long (myope); 11,
oeil
trop court (hypermétrope). Un faisceau lumineux p
u lumineux parallèle F venu d'un point lumineux lointain arrive à l'
oeil
, s'y réfracte et va former sur la rétine une im
re, en tenant compte des troubles qu'ils causent d'habitude dans un
oeil
sain, porter un jugement approximatif sur le de
procédés pour la détermination exacte de l'état de réfraction de l'
oeil
(ophtalmomètre, kératoscopie, etc.), je tiens n
s verres cylindriques. - Prenez les concaves et placez-les devant l'
oeil
horizontalement, puis verticalement, puis obliq
tigmatisme. : " b) Il n'améliore pas. Concluez : . Il a lésion de l'
oeil
. , Remarque : Pour l'essai des verres cylindriq
Remarque : Pour l'essai des verres cylindriques, on laisse devant l'
oeil
le sphérique concave ou convexe qui a donné le ma
ifficile de répondre à la question : « Y a-t-il lésion du fond de l'
oeil
? » Cepen- dant, même dans ces conditions, vous
centraux pour les couleurs.) Dans certaines affections nerveuses, l'
oeil
ne voit pas la couleur de l'objet qu'il fixe, n
coloré qui n'était pas vu au centre [de l'arc périmétrique, quand l'
oeil
le fixait. Il est alors perçu immédiatement et
ificultés de la recherche du scotome central, c'est d'obtenir que l'
oeil
se dirige exactement sur l'objet qu'on lui demand
llaitz, au moyen du stéréoscope, on obtient l'immo- bilisation de l'
oeil
, une immobilisation complète (fig. 4). Le malade,
sont assez complexes. En pratique on se contente de présenter il l'
oeil
observé des index colorés à divers degrés de sa
fixé vicn- l'ig. 6. Schéma pour montrer la forme du champ visuel. L'
oeil
fixant le point 0, les objets environnants, com
2, sections faites dans le champ visuel à diverses dis- tances de l'
oeil
. Fig. 7. - Schéma représentant la projection de
parties périphériques de notre rétine. L'étendue de l'espace qu'un
oeil
, immobile, en fixation, peut ainsi embrasser au
prend une portion de l'espace en forme de cône ayant son sommet à l'
oeil
(fig. 6). Les sections de ce cône perpendicu- l
le menton de l'observé. Ce support est disposé de telle façon que l'
oeil
du malade se trouve occuper le centre de lare
ent la hauteur du support mobile, élever ou abaisser le niveau de l'
oeil
et com- penser ainsi les différences dans la ha
se place en avant du malade et peut ainsi surveiller la position de l'
oeil
en examen. Le malade est placé comme je l'ai
oeil en examen. Le malade est placé comme je l'ai déjà indiqué, l'
oeil
en examen fixant le centre de l'arc, l'autre ob
à l'une des extrémités de l'arc périmétrique, du côté temporal de l'
oeil
en examen. On le met peu à peu en mouvement d
un éclairage plus ou moins vif. EXPLORATION OBJECTIVE DU FOND DE L'
OEIL
(Ophtalmoscopie.) L'ophtalmoscopic permet d'e
lmoscopic permet d'examiner, à fort grossissement, l'intérieur de l'
oeil
. C'est mieux qu'une « autopsie sur le vivant », c
t pas tout. Au contraire, un examen Fig. 1 l. - Aspect du fond de l'
oeil
, A à l'image droite. B a l'image renversée (Morax
l'ophtalmoscope. Troubles des milieux transparents. -. Le fond de l'
oeil
est visible il condition que les milieux (corné
blent d'une manière diffuse qui empêche, de distinguer le fond de l'
oeil
(trouble diffus du cristallin, du vitré, de la ré
utres circonstances, les milieux restent transparents, le fond de l'
oeil
est visible, mais, de temps en temps, pendant l
mais, de temps en temps, pendant l'examen, particulièrement quand l'
oeil
se mobilise, des flocons nuageux ou noirs passent
e la pupille et obscurcissent un moment l'image rouge du fond -de l'
oeil
(flo- du vitré). Dans certains cas aussi; les t
choroïde sous-jacente donnent lieu à un trouble diffus du fond de l'
oeil
à des flocons du vitré ou à des taches disséminée
séminées de cou- leur rouge, blanche ou noire. Souvent le fond de l'
oeil
prend un aspect tigré blanc et noir très, carac
idence nar le urocédé sui- vaut. Le malade fixe un point les deux
yeux
ouverts. S'il y a déviation, l'un des yeux n'es
fixe un point les deux yeux ouverts. S'il y a déviation, l'un des
yeux
n'est certainement pas dirigé vers le point d
igé vers le point de fixation. On couvre alternativement les deux
yeux
du malade toujours en fixation. Si on couvre
ment les deux yeux du malade toujours en fixation. Si on couvre l'
oeil
. strabique, l'oeil resté découvert ne bouge
u malade toujours en fixation. Si on couvre l'oeil . strabique, l'
oeil
resté découvert ne bouge pas, il était en fixat
esté découvert ne bouge pas, il était en fixation. Si on couvre l'
oeil
en fixation, l'oeil strabique se déplace et se
uge pas, il était en fixation. Si on couvre l'oeil en fixation, l'
oeil
strabique se déplace et se di- rige vers le p
OCULAIRES. 17 Mensuration du strabisme à l'aide du périmètre. -- L'
oeil
dévié est placé au centre de l'arc périmétrique
entre de l'arc périmétrique. Le malade (fig. 1G) fixe avec ses deux
yeux
un objet 0, situé au loin dans le prolongement du
étrique. finis ces conditions, la pupille et la ligne visuelle de l'
oeil
sain se dirigent vers l'objet 0; tandis que la
ent vers l'objet 0; tandis que la pupille et la ligne visuelle de l'
oeil
strabique se portent dans une autre direction s
t convergent. La ligne a L, marquant la direction pathologique de l'
oeil
, forme avec la ligne z0 0 un angle d proportion
me avec la ligne z0 0 un angle d proportionnel ! lIa déviation de l'
oeil
. Pour mesurer cet angle, il suffit d'établir en
et il la place d'abord au sommet de l'arc périmétrique. L'un de ses
yeux
, placé derrière la bougie qui sert de guidon, v
rière la bougie qui sert de guidon, vise la pupille du malade. Si l'
oeil
était normal, l'observateur, dans cette position,
s de la pupille'. On déplace alors la bougie (toujours suivie par l'
oeil
de l'observateur) le long de l'arc périmétrique,
érimètre; ABC, arc pèriméll'i'1uc; d et d', angles de déviation; a,
oeil
en strabisme convergent; a', oeil eu strabisme di
d et d', angles de déviation; a, oeil en strabisme convergent; a',
oeil
eu strabisme divergent; b et b', yeux normaux e
en strabisme convergent; a', oeil eu strabisme divergent; b et b',
yeux
normaux en fixation normale sur le point 0. 18
te d'une paralysie ou parésie d'un ou plusieurs muscles du globe, l'
oeil
n'est plus dans un état d'équilibre parfait. Da
dans un état d'équilibre parfait. Dans certaines positions, quand l'
oeil
n'est pas obligé de se porter dans, le sens d'a
muscles paralysés, les troubles apparaissent. A un moment donné, l'
oeil
parésié ne suit pas les mouvements de son congé
uisent dans le globe; mais malgré tout il s'épuise et, tandis que l'
oeil
sain continue son excursion, l'oeil malade s'at
tout il s'épuise et, tandis que l'oeil sain continue son excursion, l'
oeil
malade s'attarde, reste en chemin, cesse de sui
ecousses nystagmiformes, de strabisme dans certaines positions de l'
oeil
permettent de reconnaître une insuffisance fonc
, transformé, pour la circonstance, en dynamomètre des muscles de l'
oeil
. 1 Champ du regard monoculaire. Un oeil, pris i
ynamomètre des muscles de l'oeil. 1 Champ du regard monoculaire. Un
oeil
, pris indépendamment de son congénère, la tête
tion de l'espace dans laquelle sont compris tous ces points que l'
oeil
mobile peut fixer successivement avec sa macu
on du strabisme, se place au sommet de l'arc maintenu horizontal. L'
oeil
observé, placé au centre de l'arc, fixe la bougie
t le long de l'arc périmétrique par exemple vers le côté nasal de l'
oeil
en obser- vation. L'oeil suit la bougie, l'imag
trique par exemple vers le côté nasal de l'oeil en obser- vation. L'
oeil
suit la bougie, l'image lumineuse est toujours au
umineuse est toujours au centre de ia pupille. A un moment donné, l'
oeil
ayant atteint les limites de son excursion, s'a
pour explorer les méridiens verticaux ou voisins de la verticale. L'
oeil
observé suit ces lettres et les lit. A un momen
nt les plus excentriques. La disparition des lettres signifie que l'
oeil
ne les fixe plus avec sa macula, qu'il cesse de
Bien plus, dans le cas où plu- sieurs muscles de l'un ou dés deux
yeux
sont touchés ensemble, il est souvent difficile
aire, il existe une déviation même très légère d'un des globes, les
yeux
ne se dirigent plus exacte- ment vers l'objet f
. Une bougie étant placée à distance devant le malade, on met sur l'
oeil
sain un verre rouge. Le malade voit deux images
par le déplacement des objets quand on couvre alternativement deux
yeux
. Le malade dit s'il constate ou ne les constate
s constate pas un déplacement de l'objet quand l'écran passe d'un
oeil
à l'autre., . Baguette de Maddox. On place deva
oeil à l'autre., . Baguette de Maddox. On place devant 1 un ' des
yeux
, l'oeil droit par exemple, un appareil très simpl
'autre., . Baguette de Maddox. On place devant 1 un ' des yeux, l'
oeil
droit par exemple, un appareil très simple formé
n indiquée sur la figure 20. L'objet lumineux (une bougie) vu par l'
oeil
droit se trouve remplacé par une ligne lumineus
droit se trouve remplacé par une ligne lumineuse verticale. Si les
yeux
sont .en bonne fixation sur l'objet lumi- neux;
- sée. On fait ensuite tourner la baguette de 90° devant le même -
oeil
droit. Si la fixation binoculaire est bonne, on
es angles. Cette distance étant connue ainsi que celle qui sépare l'
oeil
de la surface de. projection, on peut déduire le
, est à la hauteur du centre de la sphère; un verre rouge couvre un
oeil
. L'observé voit deux images, l'une blanche l'au
DE. L'ACCOMMODATION , L'accommodation est le pouvoir que possède l'
oeil
de s'accommoder aux distances, d'augmenter ou d
ingence, 'suivant que l'objet fixé. est plus près ou plus loin de l'
oeil
. Grâce à cette augmentation de réfraction des m
rs nette sur la rétine, quelle que soit sa distance par rapport à l'
oeil
(ng. 25). - L'augmentation de réfraction est du
ment au delà de 5 métrés. Les rayons qu'il envoie, en arrivant il l'
oeil
, sont parallèles. Pour que l'image du -point lu
e le plus ¡l : J1't.<¡ui : donne le maximum d'acuité visuelle. L'
oeil
, ainsi muni de son verre, est rendu emmétrope; il
nt la vue, mesure,' en dioptries, la puissance d'accommodation de l'
oeil
examiné. Dans celte méthode, l'application deva
ation de l'oeil examiné. Dans celte méthode, l'application devant l'
oeil
d'un verre concave, diminue la réfringence et e
our expliquer l'action des verres concaves sur l'accommodation : A,
oeil
normal ; C, cristallin au repos. B, oeil en acc
s sur l'accommodation : A, oeil normal ; C, cristallin au repos. B,
oeil
en accommodation modérée : le cristallin cr se bo
er exactement l'aclion divergente de la lentille bicon- cave L'. C,
oeil
en accommodation forte : le cristallin C" se bomb
laquelle les lettres fines commencent à se troubler. A ce moment l'
oeil
a donné son maximum d'accommodation. Par un cal
Par un calcul facile on détermine la puissance d'accommodation de l'
oeil
. Si le trouble apparaît à 50 centimètres, le suje
t;lu l'l'lIexc pupillail'c à la IUll11 ? c du jour. - -1" temps : les
yeux
du sujet, grands ouverts et dirigés vers la fen
teur. 2G TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL. OCULAIRE. deux mains les
yeux
grands - ouverts du malade (fig. 25). Vivement on
yeux grands - ouverts du malade (fig. 25). Vivement on découvre un
oeil
, et la pupille frappée par la lumière se contract
devant l'observateur (fig. 26). On répète M même expérience pour l'
oeil
du côté opposé. Il importe, dans cette épreuv
ur l'oeil du côté opposé. Il importe, dans cette épreuve, que les
yeux
du malade restent bien ouverts sons la main de
de l'observateur, que les paupières ne clignent pas au moment où l'
oeil
est découvert, que le regard soit bien dirigé au
ormé en un faisceau convergent f2 très lumineux qu'on envoie dans l'
oeil
. L'un des yeux est couvert par la main. ' , E
isceau convergent f2 très lumineux qu'on envoie dans l'oeil. L'un des
yeux
est couvert par la main. ' , EXPLORATION DE L
liiioscopique. A l'aide de la loupe, interposée entre la Lampe et,l'
oeil
de l'observé, on fait arriver sur l'un des yeux
entre la Lampe et,l'oeil de l'observé, on fait arriver sur l'un des
yeux
un faisceau lumineux. Aussitôt la pupille se co
lumineux. Aussitôt la pupille se contracte. Même expérience pour l'
oeil
de l'autre côté (fig. 27). On peut se dispenser
lectrique est suffisante. Tandis que le ma- lade couvre l'un de ses
yeux
avec la paume de sa main, on fait arriver brusq
aume de sa main, on fait arriver brusquement la lumière sur l'autre
oeil
. Même expérience pour le second oeil (fig. 28 e
quement la lumière sur l'autre oeil. Même expérience pour le second
oeil
(fig. 28 et 29)." '. , " , " . \ , . [POULARD.]
8J'aide de la bougie. 1 ? temps : la malade couvre avec la main son
oeil
droit. Le medcjp examine l'oeil gauche. Il forme
: la malade couvre avec la main son oeil droit. Le medcjp examine l'
oeil
gauche. Il forme avec sa maiu gauche un écran d
et 51). Ils permettent d'opérer dans l'obscurité et d'illuminer l'
oeil
brus- quement. L'observateur donne ou in- ter
oyen permet de constater les réac- tions pupillaires invisibles à l'
oeil
nu et par les procédés habituels, d'éclai- ra
n- traction synergique, simultanée, des deux pupilles, celle de l'
oeil
éclairé (réflexe homolatéral) et celle dé l'aut
, celle de l'oeil éclairé (réflexe homolatéral) et celle dé l'autre
oeil
(réflexe hétérolatéral). Pour rechercher l'existe
ectrique et système de lentilles faisant converger la lumière sur l'
oeil
; B, loupe; C, interrupteur. EXPLORATION DE LA Î
le cas précédent, mais on observe les mouvements de la pupille de l'
oeil
du côté opposé, restée dans une obscurité modér
nt constaté que le réflexe homolatéral n'existait pas dans l'un des
yeux
, et qu'on veut rechercher dans ce même aeil l'eis
scurité. On peut projeter franchement une lumière vive sur les deux
yeux
simultanément, ce qui rend l'inspec- tion pupil
umer ou éteindre à volonté la lampe. La coquille étant placée sur l'
oeil
ouvert, on allume brusquement la lampe et on co
ensuel, con- siste, en se tenant au jour, il faire l'occlusion d'un
oeil
, tandis qu'on observe l'oeil découvert pour voi
ant au jour, il faire l'occlusion d'un oeil, tandis qu'on observe l'
oeil
découvert pour voir s'il ne se produit pas une lé
e est difficile; il est indispensable, en effet, de projeter dans l'
oeil
un faisceau lumineux étroit qui ne puisse diffuse
ueillis et con- centrés par une lentille placée entre la lampe et l'
oeil
du malade. Ils arrivent ainsi au niveau de la p
passage de la vision lointaine à la vision rapprochée. Quand les
yeux
passent de la vision lointaine à la vision rappro
demande de fixer brusquement son doigt placé il 30 centimètres des
yeux
. Pendant ce passage de la vision loin- taine à
on des paupières. 1" On demande à l'observé de fermer fortement les
yeux
. Au moment où il les ouvre ensuite, on note si
andit au moment de l'ouverture. '2" On demande encore de fermer les
yeux
, mais on s'oppose celte fois il l'occlusion, en
ment du bord palpébral; réflexe de défense à la projec- tion vers l'
oeil
d'un objet pointu ou susceptible de blesser (réfl
une description. Mensuration du ptosis. On se sert du périmètre. L'
oeil
est placé comme pour l'examen du champ -visuel,
ne de bas en haut un index sur lequel sont imprimées des lettres. L'
oeil
suit les lettres et les lit jusqu'au moment où
'index cesse d'être perçu. C'est le degré du ptosis. Normalement, l'
oeil
peut suivre l'objet et lit les lettres jusqu'à 45
DEUXIEME PARTIE VALEUR SÉMÉIOLOGIQUE DES TROUBLES NERVEUX DE L'
OEIL
i DIMINUTION DE LA VISION - AMBLYOPIES ET AMA
rde pas comme des amblyopies : les affections du globe visibles à l'
oeil
nu, comme les kératites, les cataractes, ou visib
s les diminutions de vision sans lésions oculaires appréciables à l'
oeil
ou à l'ophtalmoscope portent le nom d'amblyopie
n de l'appareil nerveux optique (lésion rétinienne invisible il nos
yeux
, lésion des nerfs optiques, du chiasma, des ban
abolition du réflexe pupillaire. Amaurose unilatérale.- Cécité d'un
oeil
. Réllcxe pupillaire conservé. Presque toujours
ôté correspondant. Rétrécissement du champ visuel du côté opposé. L'
oeil
, amblyope à l'état isolé, fonctionne 1. Beaucou
mmodative, c'est-à-dire fatigue rapide dans le travail appliqué des
yeux
. Tous ces troubles sont passagers. Ils disparai
ont été atteintes de strabisme non paralytique présentent, dans un
oeil
, une diminution de la vision, une amblyopie plus
Cette amblyopie, dont la cause est attribuée à un défaut d'usage de l'
oeil
strabique, ne s'accompagne d'aucune lésion réti
out chez les enfants, par la rééducation, le retour au travail de l'
oeil
amblyope. z . [FOULARD.] 58 TROUBLES NERVEUX
lésion des libres optiques avant leur entrée ou à leur entrée dans l'
oeil
. - LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL. 4't portion
es objets situés à sa droite. Souvent, il croit n'y pas voir « de l'
oeil
droit ». Les personnes qui passent devant lui d
issait ses légumes, [POULARD.] Fil(. W. - Lésions du chiasma. OD,
oeil
droit; OG, oeil gauche. 1. Lésion abolissaut les
es, [POULARD.] Fil(. W. - Lésions du chiasma. OD, oeil droit; OG,
oeil
gauche. 1. Lésion abolissaut les fonctions des
les fonctions des deux rétines nasales et de la rétine temporale de l'
oeil
gaucho, d'où cécité de l'oeil gaucho avec hémia
asales et de la rétine temporale de l'oeil gaucho, d'où cécité de l'
oeil
gaucho avec hémianopsie temporale de l'OD. 3. Lés
nscients de leur hémianopsie. Quand on projette brusquement vers un
oeil
sain un objet quelconque, l'extrémité du doigt,
'est leur existence binoculaire, leur tiomotateratite dans les deux
yeux
; elles soûl lotîtes les deux dans les .- . z -
lt;'orstér). ' Le faisceau maculaire compact, hien systématisé de l'
oeil
au corps gcnouillé, se disloque, se diffuse au
é. Sur le schéma (lig. 59), les'fibres de la voie optique vont de l'
oeil
il l'écol'ce cérébrale des cunéus en deux étape
noyaux du mésocéphale), une voie centrifuge (les nerfs moteurs de l'
oeil
). ' Coupez les voies optiques en avant des noya
us ou moins rétrécic. Il peut y avoir aussi amblyopie complète d'un
oeil
avec hémianopsie du côté opposé. Assez souvent
du chiasma ou de son voisi- nage puisse amener une hémianopsie d'un
oeil
et une cécité de l'autre (fig. 40, 2 et fig. 42
. - Hémianopsie hétérolatérale temporale. Fig. 42 (il). Cécité de l'
oeil
droit avec hémianopsie temporale de l'OG. Fig.
mporale unilatérale, l'hémianopsie temporale avec cécité de l'autre
oeil
, l'hémianopsie hinasale. On observe encore asse
tions du pouls, constipation. Paralysie des nerfs de la face ou des
yeux
. Céphalées.- Acromégalie. Il faut faire une pla
rte complète et passagère de la vue sans aucune lésion du fond de l'
oeil
(p. 57). Cette amaurose est une cécité cortical
isuelle partant de l'objet fixé et passant par le centre optique de l'
oeil
atteint la rétine. Cette règle permet, par le s
e méthode est aussi pré- cise que l'inspection directe du fond de l'
oeil
à l'ophtalmoscope. ni PARALYSIES DES MUSCLES
DES GLOBES Symptômes. Strabisme. - Le strabisme ou déviation de l'
oeil
se fait toujours dans le sens opposé au muscle
e l'oeil se fait toujours dans le sens opposé au muscle paralysé. L'
oeil
peut être dévié en dedans (S. in- terne ou conv
s et en bas du centre pupillaire. Dans certaines conformations de l'
oeil
(allongement, myopie; raccourcis- sement, hyper
orité des cas, Ù un vice ou il une inégalité de réfraction des deux
yeux
. Plusieurs caractères le distinguent du strabis
dernier symptôme : Quand le malade se présente au médecin, l'un des
yeux
fixe les objets qu'on lui demande de regarder,
en déviation. C'est la déviation primaire. On place alors devant l'
oeil
en fixation un écran, ou mieux, un verre dépoli
un strabisme non paralytique; cest quand la cécité survient dans un
oeil
ou dans les deux yeux. Dans ces conditions, le di
ytique; cest quand la cécité survient dans un oeil ou dans les deux
yeux
. Dans ces conditions, le dia- gnostic se l'ait
s'efforce continuellement pour ramener sur la fosse centrale de son
oeil
paralysé l'image de l'objet fixé. Ces tractions
l paralysé. Si nous demandons au malade strabique, et fixant avec l'
oeil
malade de toucher du doigt un objet (en ayant s
çoit qu'un muscle paralysé ou parésié n'ait pas la force de tirer l'
oeil
jusqu'à la limite de ces excursions normales (V
ssible de contraction à donner. Elle se dirige, de façon à porter l'
oeil
dans le sens d'action du muscle paralysé. Si, par
d'action du muscle paralysé. Si, par exemple, le droit externe de l'
oeil
droit est paralysé, la tète se tourne à droite
t est paralysé, la tète se tourne à droite : , ' - Occlusion d'un
OEiL
. Cette occlusion spontanée de l'oeil se fait dans
droite : , ' - Occlusion d'un OEiL. Cette occlusion spontanée de l'
oeil
se fait dans le but d'éviter la diplopie et les
re netteté de la fausse IMAGE, - L'image fausse qui correspond il l'
oeil
paralysé, est vue par une portion moins centrale
ula. . , Inclinaison fréquente de la fausse image. Les muscles de l'
oeil
.sont susceptibles, suivant leur position anatom
- tion. Lorsqu'un muscle rotateur est paralysé l'image perçue par l'
oeil
correspondant est inclinée. Cette inclinaison c
Cette inclinaison constitue encore un bon signe pour reconnaître l'
oeil
paralysé. ' Nystagmus. - Quand l'oeil se porte
on signe pour reconnaître l'oeil paralysé. ' Nystagmus. - Quand l'
oeil
se porte dans le sens d'action du muscle paraly
yer, à condition de connaître les trois principes suivants : 1° L'
oeil
est toujours dévié en sens contraire du muscle pa
alysie d'un seul muscle. - Le malade ayant un verre rouge devant un
oeil
regarde une bougie placée devant lui à 2 ou [PO
diplopie croisée), paralysie de l'adduction. (B) Diplopie homonyme.
OEil
en dedans, fausse image en dehors (diplopie hom
duction. l'ig. 4J. (A) Diplopie verlicale, fausse image supérieure.
OEil
en bas, fausse image en haut, paralysie de l'él
sie de l'élévation. (11) Diplopie verticale, fausse image inférieure.
OEil
en haut, fausse image en bas, paralysie de l'ab
des carrés de 20 cen- timètres. L'observé, un verre rouge sur l'
oeil
droit, est placé à distance du mur quadrillé
ent : 1" L'action physio- logique du muscle; 2° Les déviations de l'
oeil
résultant. de la paralysie du muscle ; 5° Les c
sain, et légèrement en bas par le grand oblique également intact. L'
oeil
est incapable de se mouvoir en dedans, en haut,
isement à différentes hau- teurs des voies nerveuses motrices des
yeux
, de la face et des membres (fig. 51). Les lib
et montrer l'entre-croi- sement successif des voies motrices des
yeux
, de la face et des membres. Le trajet des libre
ore amener des syndromes type Foville, avec déviation conjuguée des
yeux
, dont je don- nerai plus tard une description d
de Weber (paupière gauche tombante); B, syndrome de Millard-Gubler (
oeil
gauche en strabisme convergent). 72 TROUBLES
de l'oculogyre droit ou gauche, les mouvements com- binés des deux
yeux
vers la droite ou vers la gauche ne se font plus.
eux vers la droite ou vers la gauche ne se font plus. En outre, les
yeux
se dévient du côté opposé il l'oculogyre paralysé
5. (A; Syndrome type Foville dans les lésions pédonculaires (les deux
yeux
regardent à gauche). (B) Syndrome type Foville
ype Foville dans les lésions protuleraticlles supérieures (les deux
yeux
regardent à droite). PARALYSIES 'DES MUSCLES MO
. En même temps qu'une paralysie des mouvements de latéralité des
yeux
, il existe une hémiplégie alterne attei- gnan
Foville dans les lésions protubérantielles inférieures (les deux
yeux
regardent à droite). 74 TROUBLES NERVEUX DE L'A
C. s'éparpillent, se séparent; se dissocient, en avant du côté de l'
oeil
, pour aller à chacun des muscles, en arrière du
facies d'lIutchinson ». En écartant les paupières, on trouve les deux
yeux
complètement immobiles, figés dans l'orbite com
les deux yeux complètement immobiles, figés dans l'orbite comme des
yeux
en cire. Pour regarder à droite, à gauche, en h
des cellules motrices des noyaux d'ori- gine des nerfs moteurs des
yeux
. L'allure de cette ophtalmoplégie peut être aig
j, u y a paralysie associée des mouvements ae laté- ralité des deux
yeux
vers le côté paralysé. Dans le second (paralysie
rnes,, et si l'on demande au malade de regarder du côté paralysé, l'
oeil
atteint ne marche pas, tandis que l'oeil sain se
garder du côté paralysé, l'oeil atteint ne marche pas, tandis que l'
oeil
sain se porte en adduction,, d'où strabisme con
elle : quand on demande au malade de regarder du côté paralysé, les
yeux
se mettent en strabisme convergent (5). Paralys
5 î.- Schéma pour expliquer le mécanisme des mouvements combinés des
yeux
. C, muscle ciliaire accÓmmodateur; I, constrict
ont réunis entre eux et aux noyaux d'origine des nerfs moteurs de l'
oeil
par des tractus nerveux, dont l'ensemble forme
ième centre des mouvements associés de latéralité. La déviation des
yeux
se fait, dans ce cas, par retentissement sur les
un centre d'asso- ciation réflexe des mouvements de latéralité des
yeux
, auquel viennent aboutir les fibres des oculogy
ouvement qui demande, pour être exécuté, l'action combinée des deux
yeux
. Elle peut atteindre tous les mouvements asso-
ubles moteurs oculaires associés amènent une déviation latérale des
yeux
dans le même sens et au même degré, pour les de
latérale des yeux dans le même sens et au même degré, pour les deux
yeux
, sans strabisme et par suite sans diplopie. C'est
isme et par suite sans diplopie. C'est la dévia- lion conjuguée des
yeux
, une variété de troubles oculaires associés. Dé
sensorielle (Pierre Marie, Dard). Le malade regarde où il voit; les
yeux
se dirigent d'une manière réflexe vers le côté
ocaïne pour les pupilles larges. a) Instillation de cocaïne dans un
oeil
à pupille large. Mydriase spas- modique : dilat
latation supplémentaire modérée. b) Instillation d'atropine dans un
oeil
il pupille étroite. Myosis paraly- tique : dila
oratifs rap- pelant l'existence d'une, inflammation antérieure de l'
oeil
. Le glaucome, il la période aiguë, donne il la
e dilatation ou de rétrécissement pupillaire agis- sant sur un seul
oeil
peuvent, on le conçoit, amener une inégalité pu-
car elles dis- paraissent en cas de cécité binoculaire. Si un seul
oeil
est aveugle, l'oc- clusion de l'oeil sain arrêt
cécité binoculaire. Si un seul oeil est aveugle, l'oc- clusion de l'
oeil
sain arrête les mouvements pupillaires. Dans ce
glaucome). Ces lésions se constatent en général très facilement à l'
oeil
nu. D'autres fois la pupille ne réagit plus par
il faudra, en présence d'une amaurose complète, de l'un ou des deux
yeux
, sans lésions ophtalmoscopiqucs et avec persist
ral.. Dans ce cas, la pupille malade ne réagit pas, quel que soit l'
oeil
excité ; tandis que la pupille saine réagit tou
cité ; tandis que la pupille saine réagit toujours, quel que soit l'
oeil
frappé par la lumière (Voir lit, 50). Ce signe
s et dilatations de la pupille ont lieu simultanément dans les deux
yeux
; le réflexe est bilatéral, simultané. Ces mouve
quand l'agent provocateur du réflexe exerce son action sur les deux
yeux
, mais encore quand l'excitant réflexe (lumière)
ux, mais encore quand l'excitant réflexe (lumière) agit sur un seul
oeil
(fîg. 59). L'excitation recueillie par l'un des
r un seul oeil (fîg. 59). L'excitation recueillie par l'un des deux
yeux
est transmise aux deux centres excito-réffexes du
Réflexe à l'occlusion des paupières. 1" La fermeture énergique des
yeux
provoque un rétrécissement de la pupille qui se
trécissement de la pupille qui se redilate quand le sujet ouvre les
yeux
. 2° Si on commande au malade de fermer les paup
la pupille, empêchant ainsi les rayons lumineux de. pénétrer dans l'
oeil
. Pour éviter cet inconvénient, le malade contra
fait aucun effort pour la relever, et se contente de voir avec l'
oeil
resté découvert. La difformité qui en résulte
st complet ou très accentué, la vision ne se fait plus que par un
oeil
, et c'est un inconvénient sérieux de ne plus av
ent des personnes qui, le matin au réveil « ne peuvent ouvrir leurs
yeux
», « sont incapables de lever les paupières ».
eur et le facial inférieur, on est frappé par ce fait que, l'un des
yeux
, celui du côté malade, est largement ouvert, plus
largement ouvert, plus grand que celui du côté opposé. Autour de l'
oeil
, la peau du front est plus lisse, le sourcil pl
rcil plus élevé que du côté sain ('¡g. Ii 1). Pendant l'examen de l'
oeil
. les paupières restent immobiles, la fente palp
urface du globe oculaire. Si même on demande au malade de fermer un
oeil
, il est incapable d'amener l'occlusion complète
62). Souvent aussi une autre particularité frappe l'observateur : l'
oeil
est humide ; le bord palpébral. légèrement écar
armes, elle se dessèche au contact de l'air et finit par s'ulcérer. L'
oeil
devient rouge, s'enflamme et peut même s'infect
ntraîner des troubles . visuels considérables et même la perte de l'
oeil
. La lagophtalmie paralytique, n'est pas toujour
s palpébraux peu- vent être conservés. Dans l'effort d'occlusion, l'
oeil
se ferme presque complètement; cependant, les b
2. Paralysie faciale gauche. Le malade essaye vainement de fermer les
yeux
. 106- TROUBLES : Vl;R1 ! iUX 1)l : L'APPAREIL O
égique atteint de pa- ralysie faciale inférieure de fermer les deux
yeux
, il les ferme ; il peut également fermer l'oeil
de fermer les deux yeux, il les ferme ; il peut également fermer l'
oeil
du côté sain en laissant l'oeil du côté paralysé
ferme ; il peut également fermer l'oeil du côté sain en laissant l'
oeil
du côté paralysé ouvert; mais l'inverse est imp
paralysé ouvert; mais l'inverse est impossible, il ne peut fermer l'
oeil
du côté paralysé en laissant l'autre ouvert.
graves, aux approches de e l'agonie, le clignement se fait mal, les
yeux
restent entr'ouverts, d'où la production fréque
rouve place ici. EXOPHTALMIE DE LA MALADIE DE BASEDO ? Les deux
yeux
font saillie entre les paupières fortement écarté
dérable, le globe- saillant écarte les paupières; d'autres fois l'
oeil
est modéré- ment saillant, mais les pau- pièr
t le fait apparaître, tantôt le l'ait disparaître; l'occlusion d'un
oeil
peut l'augmenter. En même temps que le nystagmu
r 100 des cas, il ne se montre que dans les mouvements latéraux des
yeux
; dans 16 pour 100 des scléroses, les oscillatio
ttentes qui se produisent quand on demande au malade de tourner ses
yeux
dans le sens d'action du muscle parésié. Il fau
existe un nystagmus unilatéral, exceptionnel. On l'a observé sur un
oeil
dévié ou amblyope. Les oscillations sont surtout
ès et d'autres affections nerveuses. Cependant, par anesthésie de l'
oeil
, on entend, en général, la perte de la sensibil
sion. Deux causes extérieures, la pénétration des poussières dans l'
oeil
et la dessiccation de la surface cornéenne ont
ne ont une action traumatique indé- niable (théorie traumalique). L'
oeil
, insensible, ne se défend plus contre les objet
tions : iritis, hypopion, perforation cornéenne, fonte purulente de l'
oeil
. L'action mécanique des poussières et de la des
oraltltic. ou suture des paupières. C'est le seul moyen de sauver l'
oeil
pendant l'évolution de la maladie. Cela ne disp
ts colorés servant aux épreuves ne doivent pas être trop petits, un
oeil
atteint de scotome central pourrait, dans ce cas,
vue, des nuages, des brouillards qui passent rapidement devant les
yeux
. Dans l'intervalle, la vue reste bonne, souvent n
s avant l'apparition du moindre signe ophtalmoscopiqne au fond de l'
oeil
. Lésions du nerf optique. Les lésions du nerf o
entuée a précédé l'atrophie. TUMEURS CÉRÉBRALES.- 123 Saillie des
yeux
. Cette saillie des yeux se produit à une période
hie. TUMEURS CÉRÉBRALES.- 123 Saillie des yeux. Cette saillie des
yeux
se produit à une période avancée dans l'évoluti
hez le cérébelleux le vertige n'est pas modifié par l'occlusion des
yeux
, tandis que celle-ci exagère le déséquilibre la
ions du voile du palais, des troubles respiratoires . Du côté des
yeux
on a signalé le blépharospasme et des contraction
ations et des tumeurs à l'orbite, aux membranes et aux milieux de l'
oeil
(iritis,- irido-choroïdites, troubles cristalli
dre sous son lit, ou que le lit bascule et oscille. L'occlusion des
yeux
fait souvent diminuer la sensation ; dans d'aut
us tournons; ainsi le vertige rotatif s'exagère par l'occlusion des
yeux
; ainsi aussi, avec une vitesse égale, le vertig
vertical : on fait tourner le plan- cher, le sujet étant assis, les
yeux
bandés, le dos contre l'axe et les pieds sur le
ent il ce moment. 2" Vertige visuel. Le passage rapide devant les
yeux
d'objets qui paraissent en mouvement, la vue de
es compensatrices, soit que le sujet s'habitue à n'em- ployer que I"
oeil
sain, soit qu'il terme la paupière de l'oeil mala
e à n'em- ployer que I"oeil sain, soit qu'il terme la paupière de l'
oeil
malade, soit qu'il corrige le strabisme par des
tige per- mettront un facile diagnostic, de sa cause; l'examen de l'
oeil
complétera ce diagnostic. On ne prendra pas pou
u con, d'après Fl'r¡'" ou de convulsions partielles des muscles des
yeux
, d'après Huglings Jackson. Le vertige des éhilell
accès. La plupart des vertiges diminuent aussi part l'occlusion des
yeux
et 4.LEHf] 1 iti VERTIGES. par l'immobilisa
tions de la commissurc labiale, de la tête et du regard. Dans les
yeux
saillants, humides, il moitié clos, les pupilles
s sont un myosis prononcé, la déviation conjuguée de la tète et des
yeux
, l'existence de contractures généralisées ou lo
in d'examiner la lace : pâleur ou con- gestion, déviation, étal des
yeux
(ecchymose sous-conjonctivale) et des pupilles;
- libre fort difficiles il maintenir, notamment). 11 se déplace les
yeux
mi-clos ou grand ouverts, le regard fixe, les p
ts troubles augmentent considérablement lorsque le malade ferme les
yeux
. , ' , ' , La chorée exagère beaucoup les modif
ouchoir, etc.... " Faire exécuter des ordres simples : Fermez les
yeux
. Ouvrez la bouche. Tirez la langue. Donnez la m
D'UN APHASIQUE. 2) « Toussez », « ouvrez la bouche », « fermez les
yeux
», « mouchez- vous ». Faire lire des ordres p
er), il s'agit donc de deviner le mot alors qu'on n'a plus sous les
yeux
, pour ainsi dire, que les vestiges des lettres
ent à ces animaux, dont on peut au besoin placer le dessin sous ses
yeux
. el) Mémoire gustative. Faire déguster différen
malade des mouvements divers ; simples : lever la main, fermer les
yeux
, étendre le bras, donner la main; ? s complexes
s yeux, étendre le bras, donner la main; ? s complexes : ouvrir têt
oeil
, donner tel doigt, se frotter les mains, faire
ourra être déterminé « crayon ». Mais dès que le malade ouvrira les
yeux
. l'objet sera immédiatement et exactement nommé
il n'a aucune perception, aucune idée de ce qu'on lui met sons les
yeux
, bien que son langage intérieur ne soit aucunemen
mais sont très rares. Les hallucinations se produisent souvent les
yeux
ouverts, mais parfois seulement les yeux fermés
se produisent souvent les yeux ouverts, mais parfois seulement les
yeux
fermés, parfois seulement la nuit dans l'obscur
ns l'obscurité. II est nécessaire, dans certains cas, de fermer les
yeux
du malade pour les provoquer. Elles existent même
- cination se dédoublait par la pression du doigt sur le globe de l'
oeil
qui modifie le parallélisme des axes optiques;
abillé, nu si possible (en ayant soin de le garantir du froid), les
yeux
bandés et dans un endroit tranquille, le soustr
ntait pas trop souvent de demander sim- plement au malade ayant les
yeux
fermés d'indiquer l'endroit où on le louche san
beaucoup plus gros qu'ils ne le sont en réalité; si, en fermant les
yeux
d'un malade, on lui place une allumette dans la
s attitudes segmentaires, nous permet à chaque instant de dire, les
yeux
fermés, dans quelle position se trouve tel ou t
recherche la notion de position en clinique, en faisant fermer les
yeux
aux malades et en imprimant aux segments d'un mem
r la notion des mouvements passifs chez un malade, on lui bande les
yeux
et on imprime des mouvements lents de flexion et
ttitude passive, que le sujet peut conserver après la fermeture des
yeux
; 5" on aura soin, dans la flexion des phalanges,
stique. On le recherche de la façon suivante : le malade, ayant les
yeux
fermés, reçoit dans la main différents objets u
tié [ROUSSY.] ] : 'il () SENSIBILITÉ. du champ visuel, des deux
yeux
du côté opposé il la lésion, du même côté, que
avec secousses nystagmiformes dans l'élévation ou l'abaissement des
yeux
. Hémianesthésie bulbaire. Les rapports intimes
connu, avec un schéma de topographie sensitive radiculaire sous les
yeux
, le praticien sera capable de localiser dans bi
s malades. Yoici comment procède M. Babinski : « Je fais fermer les
yeux
du malade que j'examine, puis je commence par l
e la provoquer : lésions de la peau, érysipèle, lésions des os, des
yeux
, des oreilles, de la cavité buccale. L'examen m
per le front, la joue, l'or- bite avec sensation d'arrachement de l'
oeil
, le menton et l'oreille du côté paralysé. Aux m
dentaires, affections du nez et des sinus de la face, affections de l'
oeil
(herpès de la conjonctive, ulcère de la cornée,
e de la paupière, le point nasal au-dessous de l'angle interne de l'
oeil
au niveau où la branche externe du nerf nasal sor
énéral nulles le matin, augmentent dans la journée a mesure que les
yeux
travaillent plus longtemps. En cas de travail o
ande lacrymale et suit le périoste sans intéresser ni le globe de l'
oeil
ni aucun organe important. A la profondeur de 5
r retiré le mandrin. Il faut, recommander aux malades de fermer les
yeux
. On éprouve quel- ques difficultés en traversan
. L.-ll. Petit, pendant qu'il recherche le réflexe, fait examiner l'
oeil
du malade et fait relever la paupière supérieure
du côté de l'hémiplégie. La déviation conjuguée de la tête et des
yeux
se fait, quand elle existe, selon des règles im
-ci qu'on voit se produire la déviation conjuguée de la tête et des
yeux
et le type respiratoire de Cheyne-Stokes. Des p
a- leurs des tumeurs cérébrales, et notamment l'examen du fond de l'
oeil
rendra de grands services; mais, dans les cas a
ble, de l'autre paralysie des mouvements associés d'abduc- tion des
yeux
. Syndrome de la calotte pédonculaire (Gruner et
ouvements associés d'élévation, d'abaissement et de convergence des
yeux
, ophlal- moplégie interne. e) Moelle. Le diag
, dans la paralysie faciale, un mouvement de rotation du globe de l'
oeil
en haut et en dehors. qui se produit quand on c
e faciale : quand le malade veut rire il ferme involontairement les
yeux
, quand il veut 1'ermer l'oeil il relève l'angle
veut rire il ferme involontairement les yeux, quand il veut 1'ermer l'
oeil
il relève l'angle de la bouche; quelquefois ce
examen général du sujet (troubles des membres supérieurs, état des
yeux
, signe d'Argyll, .psychisme). La ponction lomba
scles peauciers de la face sont disposés pour la plupart autour des
yeux
, du nez, de la bouche. Ils jouent un rôle importa
rcilier. Par l'abaissement de la tête du sourcil l'angle interne de 1
oeil
est rétréci et la caroncule est cachée. Darwi
nte palpébrale et augmenter la saillie du sourcil dans les cas où l'
oeil
est exposé aune vive lumière. Duchenne a nomm
biculaire des paupières nait dans la région de l'angle interne de l'
oeil
et se termine sur la peau de l'angle externe.
l'orbiculaire se contracte dans l'occlusion avec effort, il ferme l'
oeil
en présence d'une vive lumière, il joue un rôle
. GUILLAIN.] ;)84 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. viser. L'occlusion de l'
oeil
se constate, ainsi que l'a fait remarquer Darwi
on de l'or- hiculairc aurait pour but d'empêcher la congestion de l'
oeil
en le com- primant. L'orbiculaire, en se cont
ieux, dans l'acte d'enfiler une aiguille, lors de l'exposition de l'
oeil
à la poussière. Au point de vue mimique le sour
imace. Associé a 1 orbieulaire des paupières (occlusion légère de l'
oeil
) est aux releveurs de la lèvre supérieure, il e
le du nez et de la lèvre supérieure s'étend de l'angle interne de l'
oeil
à la lèvre supérieure. Il s'insère en haut sur
le malade fait des efforts pour fermer les paupières, le globe de l'
oeil
est attiré en haut et en dehors (signe de Ch. B
aut et en dehors (signe de Ch. Bell); cette élévation du globe de l'
oeil
coexiste d'ailleurs normalement avec l'occlusio
ans cette attitude on commande au malade de fermer subi- tement les
yeux
, on voit aussitôt la. paupière du côté paralysé s
ant l'occlusion volontaire et énergique des paupières le globe de l'
oeil
, normalement, se convulsé en haut. Dans les cas
fet, l'hémiplégique qui a une paralysie du facial inférieur ferme l'
oeil
avec heaucoup moins de force du côté de l'hémip
r semble intact, le malade ne peut cependant pas fermer isolément l'
oeil
du côté paralysé. Les rides du front sont génér
même temps des convulsions épileptiformes généralisées du côté des
yeux
, de la face, des extrémités, etc. Puis la fin d
ertrophiés en entier au milieu de faisceaux atrophiés et former à l'
oeil
, à l'état de repos ou surtout pendant la contra
un autre nerf crânien que la 7e paire : muscles mo- teurs de l'
oeil
, mastica- teurs, langue,- voile du palais, ph
sures nasu-lalriales, la ligure tout entière deviennent lisses, les
yeux
sont grand ouverts et les globes oculaires semble
re dans les mouvements. Le malade ne peut fermer complètement les
yeux
; quand il dort, il reste un inters- tice entr
l dort, il reste un inters- tice entre les paupières, il dort les
yeux
entrouverts, et c'est cela qui souvent attire d
es 4 membres, mais encore aux muscles de la face, de la langue, des
yeux
, etc., avait aussi des signes manifestes de tab
les membres qu'après le voile du palais et souvent les muscles de l'
oeil
; elle commence aux membres infé- rieurs par les
os, la diffé- rence avec un muscle normal s'accuse plus encore, à l'
oeil
et à la main, à l'état de contraction; quand le
se rend compte de ses mou- vements et de ses attitudes que par les
yeux
; le cérébelleux a la sensation très nette des m
n l'empêche de fixer le sol, soit en interposant un écran entre ses
yeux
et la terre, soit en le faisant regarder en l'a
nts de repère sur les objets environnants en lui faisant fermer les
yeux
. Les troubles de la démarche peuvent être dùs u
ur les deux pieds ou sur un seul, peut manquer absolument quand les
yeux
sont ouverts et se produire nettement dès qu'on
eux sont ouverts et se produire nettement dès qu'on fait fermer les
yeux
; c'est ce qu'on appelle le signe \de homberg q
metlantsa chemise ou en passant la serviette ou l'éponge devant ses
yeux
. On peut déceler nettement la perte il un moind
mberg les pieds joints ; 4° Commander l'attitude à cloche-pied, les
yeux
ouverts, puis les yeux fermés. 1 Membres supé
; 4° Commander l'attitude à cloche-pied, les yeux ouverts, puis les
yeux
fermés. 1 Membres supérieurs. L'ataxie des me
;. Ecriture d'un tabétique. Varia- tion suivant que le malade a les
yeux
ouverts (lig-ne supérieure) ou Termes (ligne in
es oscillations, il se l'enfonce brusquement dans la joue ou dans l'
oeil
. Pour les membres supérieurs comme pour les inf
quand on em- pêche le malade de surveiller ses mouvements avec les
yeux
. Tronc. L'ataxie du tronc, qui paraît être très
INCOORDINATION ATAXIQUE. 759 debout, les talons joints];' et les
yeux
fermés, à la difficulté de porter exactement le
esure que le membre approche du but; l'influence de l'occlusion des
yeux
est généralement manifeste, mais moindre que da
es, soit nystagmus, soit absence des mouve- ments compensateurs des
yeux
dans les mouvements de rotation du corps A LÉRI
notion et l'incoordination n'est guère exagérée par l'occlusion des
yeux
; le signe de Romberg n'existe pas dans les lési
né de vertiges, de nystagmus ou parfois, au contraire, de hxtte des
yeux
, de vomissements, de céphalalgie occipitale : ces
c de plus ou moins amples mouvements de salutation. L'occlusion des
yeux
accentue beau- coup moins l'instabilité que che
, des batte- ments des paupières, des lèvres, des ailes du ne ? Les
yeux
présentent des secousses nystagluiforllles tran
cipe quelquefois à l'incoordination et aux mouvements associés. Les
yeux
sont animés de secousses nystigmiformes, La langu
de paralysies oculaires ou de troubles ataxiques des mus- cles de l'
oeil
; la présence dans près du tiers des cas d'une atr
ttend de lui, suffisamment attentif pour surveiller constamment des
yeux
tous les exercices, suffisamment patient pour se
s membres inférieurs seront pratiqués sous le contrôle constant des
yeux
, puisque, comme nous l'avons dit, c'est par la
pris, par des exercices suffisamment prolongés sous le contrôle des
yeux
, à mieux utiliser les restes plus ou moins import
d'eux, ou même en l'air ou sur le côté; ils con- servent ainsi les
yeux
ouverts et peuvent prendre encore des points de
nnants. Il est plus difficile généralement de les faire marcher les
yeux
fermés, c'est-à-dire en supprimant même ces poi
exercices au lit, il pourra être utile de faire parfois fermer les
yeux
dans deux buts différents : 1° avant le commencem
ncement de la cure, la comparaison des mêmes exercices exécutés les
yeux
ouverts et les yeux fermés permettra de se rend
la comparaison des mêmes exercices exécutés les yeux ouverts et les
yeux
fermés permettra de se rendre compte de l'inten
moins avancée, il sera bon, de temps en temps, de faire fermer les
yeux
pour faire exécuter au malade de véri- tables «
édecin donne à un membre inférieur telle ou telle position sous les
yeux
du malade; puis le malade ferme les yeux et doit
ou telle position sous les yeux du malade; puis le malade ferme les
yeux
et doit donner à l'autre membre une position an
donner à l'autre membre une position analogue; il rouvre alors les
yeux
et corrige ses erreurs; b) le malade, les yeux
il rouvre alors les yeux et corrige ses erreurs; b) le malade, les
yeux
fermés, doit mettre directement un membre infér
eur dans telle position commandée par le médecin; puis il ouvre les
yeux
et corrige la position obtenue. B) Tronc. La ré
édie antique (Trousseau). Cependant l'intelligence est intacte, les
yeux
(à moins de complications ou de syn- dromes ass
s gestes sont rares, la voie brève, soufflée, fréquemment cassée. L'
oeil
manque de vivacité ; le facies est souvent très a
inca- pable même d'assujettir de ses mains sa tète vacillante, les
yeux
mi-clos, il semble prêt à s'endormir. Les plis
es déviés, agités de mouvements incoordonnés et violents, mettant l'
oeil
en strabisme, entraînant la pupille en haut. Des
tés : byperesthésies, névralgies, sensations de fatigue du côté des
yeux
, amblyopie, diplopie, défaut d'accommodation. 1
phase d'invasion (contrac- tures dans les muscles de la face et des
yeux
, mouvements alternatifs de la tête à droite et
ments, en sensations de chatouillement sur la luette, dans l'un des
yeux
, dans l'une des narines, en excitation génitale i
utomatiques, tels que l'acte de se gratter le front, de cligner des
yeux
ou de se passer la langue sur les lèvres, les m
es animés, agiles de mouvements incoordonnés et violents, mettant l'
oeil
en strabisme, entraînant la pupille en haut. Le
sont entrecoupés par des pauses, par des bruits aspiratoircs ; les
yeux
se convulsent en diverses positions; on a signa
- gnotement est un geste de défense contre les corps étrangers de l'
oeil
que l'on trouve à l'origine de tous les tics de
ic de clignotement (suivant l'occlusion plus ou moins complète de l'
oeil
), cloniques; tic de clignement, tonique; tic d'éc
sont parfois assimilables à des tics des muscles intrinsèques de l'
oeil
. Les tics des lèvres sont les plus fréquents ap
l'oeil. Les tics des lèvres sont les plus fréquents après ceux des
yeux
: tics de moue, de pincement, de succion, tic d
uscles d'un coté innervés par le nerf facial : la face est ridée, l'
oeil
demi-clos, les commissures labiales tirées en hau
ue le pavillon de l'oreille est déplacé, en haut et en arrière, l'
oeil
se ferme par contraction.de l'orhiculaire en mê
on de la commissure labiale en haut et en arrière, l'occlusion de l'
oeil
associée à une contraction du frontal (plis cutan
de cli- gnement on fera lever et baisser les paupières tantôt d'un
oeil
, tantôt des deux ; contre les tics des lèvres,
ois, l'automatisme est plus complexe et s'étend aux mouvements. Les
yeux
fixes, le regard perdu, atone, le cataleptique se
ivant Frenkel, il existerait également des troubles des muscles des
yeux
, des muscles de la vessie et du rectum quc l'on p
res, le squelette, les articulations, les tendons, les muscles, les
yeux
. Une telle classification est un peu schématique,
er avec l'éruption vésicu- leuse ; c'est ainsi que des lésions de l'
oeil
se rencontrent dans le zona ophtalmique. Nous i
cils dans une ophtalmie sympathique consécutive à l'abla- tion de l'
oeil
opposé. L'amincissement, la fragilité des cheve
llie malaire, l'arc maxillaire infé- rieur sont comme effondrés ; l'
oeil
est enfoncé, les lèvres (du côté atteint) -et l
des ruptures tendineuses chez les tabétiques. Organes des sens. Les
yeux
seuls sont atteints de troubles intéressants. M
impuissance du voile du palais, des mas- ticateurs et du pharynx; l'
oeil
, la face y compris le facial supérieur, les mem
existe de la cypho-scoliose et fréquemment des troubles du fond de l'
oeil
. Enfin, lorsqu'avec une langue violacée, sailla
as d'épaisseur au- dessus des conduits auditifs, et en tâtonnant, l'
oeil
fixé sur la tige graduée, on élèvera, on avance
sière dont on retiré le couteau mobile. Se réglant sur la ligne des
yeux
(Manouvrier), . - [F. MOUTIER.] - 1066 . ANTH
e assis, le sujet sera placé sur un tabouret de 50 centimètres, les
yeux
Ù l'horizon, les pieds légèrement avancés pour
nce dans le sens vertical, et. dans ce visage ovalaire allongé, les
yeux
sont enfouis sous un front bas et saillant. Les o
ement et la pesanteur du profil. Les paupières sont lourdes sur les
yeux
sans expres- sion. La peau sèche, épaisse et fo
e cette tête plutôt volumineuse sont gonflées et cachent à demi des
yeux
sans expression.- Les cheveux sont roux, durs et
e grâce au repli cutané (épicanthus) qui bride l'angle interne de l'
oeil
. De diagnostic également l'acile sont l'idiot s
proéminent, est sur un plan antérieur au malaire gauche. De même, l'
oeil
gauche est sur un plan postérieur à l'oeil droit;
laire gauche. De même, l'oeil gauche est sur un plan postérieur à l'
oeil
droit; il est aussi plus allongé, plus oblique
a- vités d'une moitié du squelette peuvent dépendre de lésions de l'
oeil
, de l'oreille, ou de torticolis congénitaux ou
et Y hydrocéphalie .sont encore des types nets de dégénérescence.
OEil
. Nous nous c'ontenterons d'une simple énumération
ons d'une simple énumération. Asymétrie, différences de volume de l'
oeil
, de largeur de la fente pal- pébrale, épicanthu
volume de l'oeil, de largeur de la fente pal- pébrale, épicanthus (
oeil
mongolien), brièveté des paupières, troisième p
génitale du cristallin. Rétinite pigmentaire. Coloboma du fond de l'
oeil
. Décoloration de la choroïde. Persistance de l'
nom d'effondrement basai du nez est de nez en lorgnette. Sur les
yeux
on pourra constater l'existence d'inégalité pupil
'enfance, s'il a eu des érosions, des maladies de gorge, des maux d'
yeux
, des écoulements d'oreilles, des douleurs osseuse
lt;7Ûier). Le malade a eu le plus souvent dans l'enfance des maux d'
yeux
longs et terribles pourtant sans douleurs ayant
t terribles pourtant sans douleurs ayant souvent intéressé les deux
yeux
: ce sont le plus souvent des lésions d'iritis,
ormation de cet orifice. Enfin il existe des stigmates du fond de l'
oeil
, foyers atrophiques ou scléreux de chorio-rétin
ordinai- rement défaut, mais, de bonne heure, l'examen du fond de l'
oeil
révèle l'existence d'une stase papillaire ou d'
signifiance de la fièvre est moins propre que l'examen du fond de l'
oeil
à distinguer l'épen- dymite pseudo-méningée de
onne les impressions reçues en plusieurs secondes de pose, ce que l'
oeil
ne saurait faire ; la radiographie est donc lepro
ntimètres en général) : ces deux vues représenteront la vision de l'
oeil
droit et celle de l'oeil gauche et leur réunion
es deux vues représenteront la vision de l'oeil droit et celle de l'
oeil
gauche et leur réunion donnera dans le stereoscon
e et troubles visuels graves, récupéra partiellement la vision de l'
oeil
droit complètement abolie et celle 'de l'oeil gau
lement la vision de l'oeil droit complètement abolie et celle 'de l'
oeil
gauche très 1. GPA3f13GNA. Remee Neurologique,
direction des nerfs et des muscles. Si, en même temps, on suit des
yeux
l'aiguille du galvanomètre, on la voit, alors mêm
ns son voisinage et parfois même à une distance assez grande. Sur l'
oeil
ou dans son voisinage des courants de faible inte
lorsqu'il est debout. En même temps on observe souvent du côté des
yeux
du nystagmus latéral. Généralement les sensatio
ssent plus facilement et se trouvent augmentés avec l'occlusion des
yeux
. Après avoir recherché le vertige voltaïque ave
ses branches principales; sur la tempe près de l'angle externe de l'
oeil
au niveau de la branche frontale et des rameaux
biculaire des pau- pières ; sur le muscle frontal ; au-dessous de l'
oeil
, au niveau du plexus sous-orbitaire et des musc
hancrée en arrière au niveau de l'oreille, et en avant au niveau de l'
oeil
et de la bouche, recouvre toute la moitié de la
trois prolongements l'un sur le front, le second sur la joue entre l'
oeil
et la bouche, et le troisième sur le menton ; d
ion de la commissure labiale lorsque le malade cherche à fermer les
yeux
ou à plisser le front, ou inversement des mouve
aussi sur la tempe en arrière et en dehors de l'angle externe de l'
oeil
. On utilise des courants d'assez faible intensité
' . On a cherché aussi à agir plus directement sur les muscles de l'
oeil
. avec les courants faradiques ou avec les coura
trode, en forme d'e, présente deux échancrures l'une au niveau de l'
oeil
, l'autre au niveau de la bouche, et trois prolo
assez prononcée et que l'on veut chercher il agir directement sur l'
oeil
, nous sommes d'avis d'ajouter au traitement par
hysiologie, 552. Anémie pernicieuse, ataxie,-761. Anesthésie de l'
oeil
, origine oculaire, cé- rébrale, névritique, 115
orielle, 80. - Para- lysies associées, 80. -- - de la tete CI des
yeux
dans l'hémiplégie, 464. INDEX ALPHABÉTIQUE. l
cérébelleuse, 771. b Fol (Liquide de) Voy. Fixation. Fond de l'
oeil
, exploration objective, ].le. Forel. Voy. Carmi
6. - nerveux, 919. segiiieit- taine des membres inférieurs, 1046.
OEil
(Technique de l'examen du système nerveux de 1'
ée. Mais il est temps d'en revenir au sujet que nous avons sous les
yeux
. J'affirme que le bâillement est chez elle un phé
tière de pathologie nerveuse l'observation du malade qu'on a sous les
yeux
ne saurait être considérée que comme un épisode;
e des paupières, que vous connaissez, semblent vouloir protéger leurs
yeux
contre l'invasion d'un corps étranger; un autre e
lieu de rechercher le trouble psychique qui ne saute pas toujours aux
yeux
. Or, messieurs, les troubles psychiques dont il
nité. Avant de concentrer notre attention sur lui, veuillez jeter les
yeux
sur les dessins que j'ai fait placer devant vous;
n, dis-je, est bien remarquable, bien facile à saisir. Elle saute aux
yeux
en quelque sorte. Elle a dû se présenter à moi, b
tres membres le poids du corps. Un autre fait encore qui frappe les
yeux
, c'est l'amaigrissement relatif que présente ce m
Chez notre malade, le rétrécissement concentrique, occupant les deux
yeux
à peu près également, existe, porté à un haut deg
opie monoculaire ; cette anomalie se montre ici très accentuée dans l'
œil
du côté gauche (1). Procédons maintenant à l'én
ns les diverses industries connexes. Le malade que vous avez sous les
yeux
vous offre justement un exemple du genre. Il y
, etc., etc. (1). Eh bien, messieurs, nous avons justement sous les
yeux
un pauvre homme chez qui l'affection nerveuse don
e circonstance du rétrécissement portant exclusivement sur l'un des
yeux
, l'autre restant parfaitement indemne, parce que
ilà toute la série des stigmates classiques qui se déroule devant nos
yeux
, et après cela il n'est pas nécessaire, pour affi
imés, découragés, et justement le pauvre hère que nous avons sous les
yeux
présente, ainsi que je vous l'ai fait remarquer i
t. Evidemment c'est le syndrome de Brown-Séquard qu'on avait sous les
yeux
et le malade a entendu plusieurs fois retentir à
lre Malade. M. Charcot : La malade qui vient d'être placée sous vos
yeux
est suivant le langage usité dans cet hospice, ce
utant plus prononcées que vous faites plus d'efforts pour découvrir l'
œil
. Evidemment cela n'appartient nullement au sommei
général chez les « dormeuses », viendront, je pense, justifier à vos
yeux
, l'opinion que je professe depuis longtemps relat
que vous avez vu, par intervalle, la dormeuse que vous avez sous les
yeux
, se dresser tout à coup sur son séant, étendre le
ire concernant le cas d'attaque de « sommeil » que vous avez sous les
yeux
et les « attaques » de sommeil considérées en gén
ement rigides, comme dans le cas que nous avons actuellement sous les
yeux
, le diagnostic se pourra faire du premier coup, c
ous le voyez chez notre malade et j'ajouterai que chez elle aussi les
yeux
un instant maintenus ouverts par l'élévation des
qui s'appliquent plus spécialement au malade que nous avons sous les
yeux
. L'histoire de l'affection articulaire qui, che
paralysie faciale complète du côté gauche (paralysie périphérique); l'
œil
gauche ne peut pas se fermer complètement. Cette
t s'y tromper! la commissure labiale est tombante vers la droite et l'
œil
droit ne se ferme point. Au moindre jeu de phys
du percement de l'isthme. Mais dans le cas que nous avons sous les
yeux
il est facile d'éliminer toutes ces causes là, et
avoir dans l'esprit qu'à l'heure qu'il est nous n'avons pas sous les
yeux
un processus en pleine activité, mais bien le rés
en famille. » Rien d'étonnant qu'avec de pareils exemples sous les
yeux
il ait été enclin lui aussi, à abuser des boisson
oir bien souvent chantée « en société ». Cela s'appelle : La Muse aux
yeux
verts. 1er couplet Voyez cet homme à la face
rage affreux qui conduit à néant. REFRAIN Amis, c'est la muse aux
yeux
verts Fuyez devant ses folles étreintes, Sachez q
pervers, Car son amour était ma plainte (sic) Fuyez tous la Muse aux
yeux
verts!... Etc., etc. C'en est assez : il y en a
ontinué à cultiver avec un amour effréné, non seulement la Muse « aux
yeux
verts » mais encore toutes les autres muses de mê
verts » mais encore toutes les autres muses de même famille, dont les
yeux
sont d'autres couleurs. Par le fait, divers sym
Maria ! c'est le roman de l'hôpital Laënnec qui se déroule devant les
yeux
de son esprit, la série se termine de la sorte, m
également à gauche ; ouïe affectée à gauche ; enfin on observe sur l'
œil
gauche tous les caractères de l'amaurose hystér
us les caractères de l'amaurose hystérique complète, la vision de l'
œil
droit ne présentant aucune anomalie appréciable.
propos de l'examen oculaire de notre malade (Fig. 23). L'examen de l'
œil
D G Fig. 23. droit fait constater un champ
ge est, comme dans l'état normal, moins étendu que celui du bleu. L'
œil
gauche présente au contraire une amaurose complèt
complète ; on peut s'en assurer en approchant vivement un doigt de l'
œil
gauche, le réflexe du clignement n'a pas lieu. En
. Point d'anes-thésie cornéenne ou conjonctivale. Lorsque, les deux
yeux
étant ouverts, on fait regarder au malade un carr
er blanc, il ne voit qu'une image, laquelle disparaît si l'on ferme l'
œil
droit ; par contre si l'on place devant ce dernie
i l'on ferme l'œil droit ; par contre si l'on place devant ce dernier
œil
un prisme donnant une déviation de l'image de 10
terpose dans cette même expérience un verre coloré devant un des deux
yeux
, le malade voit une image colorée et une image bl
uivant la direction du prisme.Si,au lieu de placer le prisme devant l'
œil
droit, on le place devant l'œil gauche amaurotiqu
,au lieu de placer le prisme devant l'œil droit, on le place devant l'
œil
gauche amaurotique, le malade ne voit qu'une seul
œil gauche amaurotique, le malade ne voit qu'une seule image. Ainsi l'
œil
gauche,amaurotique dans la vision monoculaire,fon
lte, et pour ce qui est spécialement du sujet que nous avons sous les
yeux
, je ne pense pas qu'il puisse reprendre son trava
s dents du même côté. Déjà, ce soir-là, il ne pouvait plus fermer son
œil
droit complètement. Le lendemain la bouche était
ru dans le domaine du facial paralysé ; il peut fermer parfaitement l'
œil
, faire contracter normalement les divers muscles
paralysie faciale a paru deux jours après. Impossibilité de fermer l'
œil
droit, joue droite flasque et immobile. La réac
centuée dans tout le côté gauche de la face : front, orbiculaire de l'
œil
, muscles de la joue. Cependant il s'agirait, d'
de 28 ans. lre Malade. Messieurs, Je vais faire placer sous vos
yeux
un cas de chorée aiguë grave, menaçant au premier
nt ; sa situation ne nous permet pas de le laisser longtemps sous vos
yeux
. Je vous l'ai annoncé comme un choréique ; au p
l'espérer. Le malade est, en réalité, très prostré, très amaigri, les
yeux
enfoncés. Les lèvres sont sèches, couvertes d'end
ver les sourcils brusquement pour les abaisser ensuite, à tourner les
yeux
presque convulsivement de tous côtés ; mais le fa
s la maladie de Basedowe dans les vésanies, etc., etc. Cela saute aux
yeux
lorsque, cessant de concentrer toute son attentio
ns ceux de la face et du cou. Dans certains cas, à peine visibles à l'
œil
tant elles sont légères, elles sont d'autrefois t
rveau. Rien du côté du cervelet ni du bulbe : la moelle épinière, à l'
œil
nu ne présente aucune trace d'altération. Muscl
est en particulier le cas de la jeune malade que nous avons sous les
yeux
. Voici d'abord ce qui est relatif chez elle aux
he et située plus en arrière. Actuellement, je vais mettre sous vos
yeux
le pedigree de notre jeune malade et vous allez r
'une part et l'hystérie de l'autre. Le sujet que vous avez sous les
yeux
offre ainsi que vous le verrez un exemple de ce g
ours). : Les deux jeunes sujets qui viennent d'être placés sous vos
yeux
, sont l'un et l'autre atteints à divers degrés de
es particularités intéressantes des deux cas qui vont passer sous vos
yeux
. Mais avant d'en arriver là je voudrais, en pas
e ne répondent plus aux excitations. Ici encore nous avons sous les
yeux
un cas d'infirmité indélébile. Policlinique du
lever, s'il vous plaît, et vous tenir un instant debout ? Fermez les
yeux
tout à coup : vous le voyez, les yeux fermés,la m
un instant debout ? Fermez les yeux tout à coup : vous le voyez, les
yeux
fermés,la malade oscille et menace de choir; c'es
e affectées quand on les soumet à une vive lumière, ainsi que quand l'
œil
est placé dans l'obscurité. Les pupilles se contr
depuis plusieurs mois, la vision avait baissé remarquablement dans l'
œil
droit, un médecin avait déclaré à la suite d'un e
es. Il y avait lieu de s'étonner seulement qu'après cinq ans, l'autre
œil
ne fût pas affecté à son tour. Car, dans l'immens
cela. Quoiqu'il en soit, procédant à l'examen ophtalmoscopique de l'
œil
incriminé chez notre malade, — cet examen a été f
inaud, — nous n'avons pas été peu étonnés de reconnaître que dans cet
œil
-là comme dans l'autre, du reste, la papille était
déjà signalé plus haut d'ailleurs. 3° Dyschromatopsie dans les deux
yeux
pour le vert et pour le bleu, la malade au contra
z notre malade un rétrécissement du champ visuel portant sur les deux
yeux
, régulièrement concentrique, plus prononcé à droi
Elle est encore démontrée par le fait suivant : il y a dans les deux
yeux
diplopie monoculaire, en même temps que macropsie
facilitée par l'examen du tableau synoptique que j'ai placé sous vos
yeux
. TABLEAU SYNOPTIQUE DES SYMPTOMES OCULAIRES d
tabes, la sclerose en plaques et l hystérie a. Appareil moteur de l'
œil
. Tabès (Ataxie locomotrice). — Paralysie par lé
Sclérose en plaques : 1° Paralysies dans les mouvements associés des
yeux
, nécessairement binoculaires et de cause centrale
ier terme. 3° Cécité fatalement progressive et portant sur les ieux
yeux
. 1° Répondant au cas A : Amblyopie ou cécité te
s. 1° Rétrécissement régulièrement concentrique portant sur un seul
œil
ou sur les deux. 2° Dyshromatopsie représentée
érose en plaques, en tant qu'il s'agit des fonctions musculaires de l'
œil
, c'est le nystagmus. Or, vous savez que ce symptô
a règle, la conséquence de la paralysie d'un des muscles moteurs de l'
œil
; dans la sclérose en plaques, au contraire, elle
lle est surtout liée à une paralysie des mouvements associés des deux
yeux
. Une diplopie de même origine se voit assez souve
es qu'à tous les autres. De fait, il n'y a pas de lésion du fond de l'
œil
, appréciable à l'examen ophthalmosco-pique dans l
'existence d'un certain degré de parésie des mouvements associés de l'
oeil
, laquelle parésie entraine avec elle de la diplop
oloration atrophique de la pupille, par névrite optique dans les deux
yeux
: voilà certes qui n'est pas hystérique. Nous se
cutanée est compliquée d'anesthésie profonde. La malade a perdu, les
yeux
fermés, la notion de la posiàon imprimée à ce mem
vants : a Rétrécissement très prononcé du champ visuel, dans les deux
yeux
, mais rétrécissement inégal, limité par des bords
stitue en quelque sorte un symptôme banal ; b, Acuité visuelle dans l'
œil
droit 1/4, à gauche 1/6 (voir le schéma n° 37). L
rités dignes d'être notées. Note du 28 mars. — Il y a dans les deux
yeux
achromatopsie pour toutes les couleurs, à l'excep
l'examen du 5 décembre, l'achromatopsie étant devenue complète pour l'
œil
droit, on note que le rouge est désormais la seul
ote que le rouge est désormais la seule couleur qui soit perçue par l'
œil
gauche. Voici donc sur un même sujet un mélange
tt chez un garçon âgé de 24 ans. lre Malade. Vous avez devant les
yeux
une vieille connaissance à nous. Il y a plus dé v
par mal de Pott suivi de guérison. Point de raideur, appréciable à l'
œil
, dans les membres inférieurs qui se séparent aisé
de-pied, du genou sans que la malade s'en aperçoive, et en outre, les
yeux
fermés, elle méconnaît absolument les positions q
rofonde, même perte de la sensibilité articulaire, même ignorance les
yeux
fermés de la position donnée aux diverses parties
ouvent des bouffées de chaleur qui G Fig. 42. — Champ visuel de l'
œil
gauche. Le champ visuel de l'œil droit est normal
i G Fig. 42. — Champ visuel de l'œil gauche. Le champ visuel de l'
œil
droit est normal. lui montent au visage, puis t
aucoup mieux qu'autrefois sous l'influence de la lumière. Lorsque les
yeux
sont fermés, c'est à peine si le malade oscille.
ent afin d'empêcher les oscillations. Dans le même temps, il fixe les
yeux
sur une montre à secondes pour régler minutieusem
se tenir debout les pieds rapprochés l'un de l'autre et de fermer les
yeux
. On constate dans cette épreuve l'absence du sign
erait pas impossible d'ailleurs qu'un certain degré d'oscillation des
yeux
fût dans l'espèce un phénomène fréquent, constant
rer le vertige, et d'un autre côté il lui faut incessamment tenir ses
yeux
fixés sur le sol dans le but de s'adapter aux osc
tes ne sont plus de mise aujourd'hui (1). J'ai fait placer sous vos
yeux
un tableau où sont inscrits les tracés obtenus pa
evant vous, et dont la maigreur extrême n'a pas manqué de frapper vos
yeux
du premier coup. Cette maigreur, jointe aux quelq
forces se sont relevées; il y a augmentation de poids de 4 kilog. Les
yeux
sont peut-être un peu moins gros,mais le goitre e
Basedow ont, pendant ce temps,continué leur train: goitre volumineux,
yeux
très saillants, sueurs, chaleurs avec un pouls de
pression. Le sens musculaire est parfaitement conservé ; lorsque ses
yeux
sont clos, elle sait très bien déterminer l'attit
ns en même temps qu'il ressentait des palpitations de cœur et que ses
yeux
devenaient saillants. Ces symptômes de la maladie
a seule poursuite d'un but lucratif. La malade que vous avez sous les
yeux
oifre un exemple du genre parfaitement typique, c
ence de l'auditoire, l'ensemble symptomatique que nous avons sous les
yeux
s'évanouît tout à coup, et ainsi, à notre grand r
gne d'abord qu'elle ne peut rien dire : mais la voilà qui, jetant les
yeux
sur la table, saisit avec empressement une plume
nous permettra de répondre à la première question. Je place sous ses
yeux
une feuille administrative sur laquelle sont écri
ont capables de copier exactement les mots qui sont placés sous leurs
yeux
sans toutefois y rien comprendre. S'adressant à
raidir au point de ne pouvoir plus faire un mouvement : deux fois ses
yeux
ont tourné et une fois elle est tombée à la renve
e. On la tirait assez facilement de cet état en lui soufflant sur les
yeux
. Bien qu'elle n'eût reçu d'autres «suggestions »
amment à la production d'une attaque. En résumé nous avons sous les
yeux
un exemple, si je ne me trompe, 1. Apropos de c
un porche voisin de l'hôtel de l'Ecu à hypnotiser par la fixation des
yeux
un jeune garçon âgé de 12 ans que j'ai dans le te
pendant le cours de Tannée 1888, un total de ".9 hystériques dont les
yeux
ont été examinés. Sur ce nombre, il y a eu 49 fem
aux et la station debout n'est nullement affectée par l'occlusion des
yeux
. Je ne voudrais pas omettre de vous parler d'une
ne huitaine de jours, et durant cette période, une conjonctivite de l'
œil
gauche et une certaine douleur siégeant à la face
r 1889. G Examen du 22 janvier 1889. Fig. 57. — Champ visuel de l'
œil
gauche. Celui de l'œil droit est normal. plaque
22 janvier 1889. Fig. 57. — Champ visuel de l'œil gauche. Celui de l'
œil
droit est normal. plaque hyperesthésique occupe
oviste sur la question de savoir si les images qui passent devant ses
yeux
affectent de procéder toujours dans la même direc
lumière de la grosseur du poing ( ?) dit-il, qui se plaçait devant l'
œil
gauche. Il avait de la diplopie ; les barreaux de
araissait, mais alors survenait un nuage noir qui se plaçait devant l'
œil
gauche. C'est de cette époque que date la céphalé
s ; rétrécissement du champ visuel G Fig. 60. — Champ visuel de l'
œil
gauche. beaucoup plus marqué à gauche ; dyschro
le d'attaque de sommeil hystérique. Je viens de faire placer sous vos
yeux
un nouvel exemple du genre. Notre malade d'aujour
ble. On note que toutes les vingt minutes environ la malade ouvre les
yeux
tout grands, s'assied sur son séant et fait, en f
soir 37,6. Le 2 février. Trois fois dans la journée, elle ouvre les
yeux
, se dresse tout à coup sur son lit et fait mine d
r un événement bien significatif : Vous le voyez, la malade ouvre les
yeux
; elle se dresse sur son séant et la voilà qui, s
résistance, les paupières de la malade et je maintiens un instant ses
yeux
exposés au grand jour ; elles se referment aussit
paroi abdominale. Bientôt la malade pousse un cri perçant, ouvre les
yeux
, et aussitôt commence une attaque convulsive : ce
re aucune douleur ; l'on peut constater en même temps que lorsque ses
yeux
sont clos, la malade n'a aucune notion des mouvem
de l'épigastre à la gorge ; des cercles lumineux se présentent à ses
yeux
(scotome scintillant ?) ; puis, ce sont des siffl
sthésie à droite : léger rétrécissement du champ visuel pour les deux
yeux
. Voy. les fig. 64, 65, 66, 67 p. 290, 291. Pas de
up comme ébloui par des étincelles qui brillent un instant devant ses
yeux
(scotome scintillant ?) ; les oreilles lui tinten
ant d'arrière en avant. Ils disparaissent aussitôt qu'elle tourne les
yeux
de leur côté. On voit que ces phénomènes, intér
langue déviée à droite, bouche tirée à gauche et en haut, spasme de l'
œil
gauche. Attaques apoplec-tiformes (de sommeil),
sera du reste singulièrement facilitée si vous voulez bien jeter les
yeux
sur le tableau synoptique que j'ai fait placer so
eter les yeux sur le tableau synoptique que j'ai fait placer sous vos
yeux
; il résume sous une forme facile à saisir, les g
ontusion ecchymotique du front et de la joue et peut à peine ouvrir l'
œil
droit. Elle s'étend sur le lit et paraît s'asso
A ce moment, Mme T... est, prise d'un violent frisson, elle ferme les
yeux
, son corps tremble, elle a froid. Puis elle rouvr
ferme les yeux, son corps tremble, elle a froid. Puis elle rouvre les
yeux
, et voit alors la scène. Elle regarde autour d'el
e, January 1879. 2. Loc. cit. p. 111. marche presque toujours les
yeux
grands ouverts avec un regard d'amauro-tique, se
r, faire sa toilette et descendre dans le jardin ; là elle marche les
yeux
ouverts, ne répondant pas aux questions qu'on lui
'ar-rière-plan dansle tableau clinique que j'ai voulu placer sous vos
yeux
toute une collection de cas divers que M. le Dr T
lution progressive ; et justement, le sujet que nous avons devant les
yeux
offre un exemple de ce genre. Mais on peut aussi
se trouvait écrit le vrai diagnostic, destinée à être placée sous les
yeux
des médecins au moment de l'attaque afin de leur
de même des crises laryngées, des paralysies des muscles moteurs de l'
œil
, des crises vesicales et de bien d'autres symptôm
mouvements prescrits avec force et précision, aussi bien lorsque ses
yeux
sont fermés que lorsqu'ils sont ouverts. A tous l
ebout. V7ous le voyez, la station est ferme, absolument normale ; les
yeux
fermés, il n'oscille pas le moins du monde. Il pe
émontrent justement les cas du genre de celui que nous avons sous les
yeux
, puisqu'on y voit un de ces groupes plus ou moins
vous un tableau synoptique où vous pourrez embrasser d'un seul coup d'
œil
les principaux faits de l'histoire pathologique d
s (1); c'est ce que démontre justement le cas que nous avons sous les
yeux
. A ce propos, remarquons en passant que la prés
mblance, pour ne pas dire plus, la paraplégie que nous avons sous les
yeux
n'est autre qu'une paraplégie alcoolique. Mais pe
contact ou pincement, ne sont pas exactement rapportées, lorsque les
yeux
sont fermés, au point excité, mais presque toujou
ujets de cette catégorie. Et justement, celui que nous avons sous les
yeux
peut être cité comme un type du genre. Il est cer
et 4e Malades. Je vais maintenant, Messieurs, faire passer sous vos
yeux
, pour les soumettre à votre examen clinique, deux
sculaire dans le membre supérieur droit. Il ne peut rendre compte les
yeux
fermés des divers déplace-mentsqu'on imprime aux
es principaux enseignements qui en découlent. J'ai placé devant vos
yeux
une malheureuse créature sans intelligence, sans
la région à une compression un peu D Fig. 81. — Champ visuel de l'
œil
droit, celui de l'œil gauche est normal. forte
ssion un peu D Fig. 81. — Champ visuel de l'œil droit, celui de l'
œil
gauche est normal. forte pour déterminer les ph
ni allongées en museau ; siffler est pour le malade chose facile; les
yeux
sont ouverts également des deux côtés et se ferme
le schéma fig. 82). Si je presse sur ces deux points, vous voyez les
yeux
du malade devenir fixes, hagards, et si vous l'in
heures du matin, je suppose, le voilà qui tout à coup se raidit, ses
yeux
sont hagards, convulsés, il se mord la langue, pu
outes les attitudes du malade Dans la première phase le sujet a les
yeux
fixes, c'est l'aura ; l'attaque va commencer. Que
à incontestablement une circonstance bien faite pour accroître, à nos
yeux
, l'intérêt qui s'attache au cas actuel. I Je
du chemin, ayant le fossé à sa droite et notez le fait, cherchant des
yeux
, dans les champs voisins un pied de bruyères blan
ès pâle lorsqu'il est arrivé à la maison ; il tremblait, il avait les
yeux
égarés, il a refusé de manger et s'est couché. Je
le globe se mouvait assez lentement pour être parfaitement suivi de l'
œil
. Il vint frapper sur le pavé de la rue où il écla
nxiété, sa terreur étaient extrêmes, comme s'il avait encore sous les
yeux
le tableau dupéril auquel il venait d'échapperou
i à gauche (30°). Il y a diplopie monoculaire et micromégalopsie de l'
œil
gauche ; pas d'achromatopsie. Vous avez pu rema
aboli ; il ne se rend nul compte des mouvements qui, lorsqu'il a les
yeux
clos, sont imprimés à ses doigts. Les limites de
suite de quelques prodromes parmi lesquels figure la sensation dans l'
œil
droit d'un cercle lumineux présentant les couleur
e partielle). La caractéristique de la névrose hystérique saute aux
yeux
dans ce cas : c'est d'elle évidemment que relève
on brusque des paupières que vous connaissez, semblent protéger leurs
yeux
contre l'invasion d'un corps étranger ; un autre
parative des deux malades que j'ai fait placer, côte à côte, sous vjs
yeux
, justifiera pleinement les réserves que je viens
, saccadés que l'on observe : au premier abord, cela ne saute pas aux
yeux
, il faut è*,re prévenu pour le constater ; mais c
enus à l'aide des appareils enregistreurs que je fais placer sous vos
yeux
et qui représentent graphiquement les mou- Fig.
et une précision qui ne laisse rien à désirer, aussi bien lorsque les
yeux
sont ouverts que lorsqu'ils sont clos. J'ajoutera
existe un rétrécissement du champ visuel très développé dans les deux
yeux
, à 40° (voir le schéma), sans D G Fïg. 100.
pour la première fois,sur un malade qui justement sera placé sous vos
yeux
tout à l'heure, démontré dans une séance récente
i, sans doute, jusqu'à un certain point, du moins. Veuillez jeter les
yeux
sur cette figure schématique qui représente en qu
rveux que, dans la pratique, on a cru, le plus souvent avoir sous les
yeux
, alors que cependant, après vérification nécrosco
nécessite quelques développements, je crois utile de placer sous vos
yeux
, pour les soumettre à l'analyse clinique deux mal
Sensibilité à la chaleur (1). posé que je vais en faire, à porter vos
yeux
sur les schémas que j'ai placés devant vous, ils
sujets hystériques avec hémianesthésie que j'ai fait placer sous vos
yeux
. Dans la règle, comme vous le savez, l'hémianes
sa la nuit suivante couché dans un wagon-lit. Mais il ne put fermer l'
œil
. Il avait, nous dit-il, la tête perdue, il lui se
contre.la sensibilité tactile n'est que diminuée. La conjonctive de l'
œil
droit, la muqueuse nasale du côté droit, la moi
s musculaire, un rétrécissement concentrique du champ visuel des deux
yeux
, l'abolition du goût dans toute la moitié droite
1° La déformation en pied bot équin varus, que nous avons sous les
yeux
, a bien pourpoint de départ une contracture spasm
ur. , Le sens musculaire est très compromis. Le malade ne peut, les
yeux
fermés , porter l'index gauche à son nez; de même
Vue. — Il existe un rétrécissement concentrique du champ visuel de l'
œil
gauche. Pas de dyschromatopsie. Micropsie. Ouïe
agnostic avec Tabes, 331. Canaux semi-circulaires et mouvements des
yeux
, 227. Carpenter, 316. Carrion, 475. Cartaz.
a malade, qui était assise, laisse tomber la tête sur l'oreiller. Les
yeux
et la face se dirigent à gauche, les pupilles son
vements des globes oculaires sont normaux. Nulle différence entre les
yeux
à l'ophtalmoscope. (Landoit.) Outre ses grandes
ces. Ce matin, le délire continue; la face est un peu amaigrie, les
yeux
excavés, les pupilles dilatées : « Je vais au cim
secousses des bras, des épaules. La physionomie est très mobile ; les
yeux
sont dirigés un peu en haut ; les pupilles sont l
a coloration rosée ; les paupières se ferment et sont immobiles ; les
yeux
se dirigent en haut et à gauche ; les pupilles pa
laire, oculaire, buccale, vulvo-vaginale, etc.) que pour la peau. Les
yeux
fermés, W... est incapable d'indiquer avec exacti
uvoir y échapper; la physionomie exprime une sorte d'éton-nement; les
yeux
deviennent humides, brillants. Enfin, les paupièr
malade est endormie. Si on écarte les paupières, on constate que les
yeux
sont dirigés à gauche et en haut et que les conjo
es pour poser son diagnostic, serait exposé à croire qu'il a sous les
yeux
, non pas une hystérique mais une épileptique. L
on d'une profonde terreur, les paupières sont largement ouvertes, les
yeux
hagards, le bras droit est demi-fléchi, placé par
était heureuse, quand soudain elle aperçoit un lion énorme, dont les
yeux
d'un rouge de sang sont fixés sur elle. W... veut
n ouvre les paupières droites, la parole est supprimée ; on referme l'
œil
droit, elle parle, compte 1, 2, 3, 4, 5, 6 ; à ce
de la malade, M. Regnard fait, avec les doigts, dans le voisinage des
yeux
, des mouvements rapides, simulant ceux des ailes
gnard attire son attention sur un des assistants, affirme qu'il a les
yeux
verts et rouges. Elle prétend que « ce n'est pas
esprit sur Y assistant, en déclarant qu'il a un rond rouge autour des
yeux
; enfin, on réveille P... en lui soufflant au vis
près insistance, dit que c'est parce qu'il a un rond rouge autour des
yeux
, et que ceux-ci sont verts et rouges. On réveil
immobile. Hallucinations provoquées. — Les paupières écartées, les
yeux
sont dirigés artificiellement vers le ciel. Qu'y
décompose : « j'ai le bas de la bouche tout blanc et le pourtour des
yeux
tout jaune, » dit la malade. Elle a, de plus, des
d'impatience, lar moiement; puis, la tête s'incline lentement, les
yeux
se portent en haut, les paupières se ferment, pap
aire ; elle est dans l'état cataleptique. (D'habitude, elle reste les
yeux
ouverts). — Le corps, les membres, prennent et co
s sont animées de petites palpitations, puis s'ouvrent largement. Les
yeux
se dirigent en haut. Les pupilles, qui étaient no
a conservé la situation suivante : face naturelle, paupières closes,
yeux
en haut, tantôt à gauche, tantôt à droite, insens
succèdent promptement : douleurs dans les orbites, flammes devant les
yeux
, battements dans la tempe gauche, « soufflements
est fraîche, les joues sont roses, les paupières presque fermées; les
yeux
dirigés en haut, les pupilles dilatées, les lèvre
n crayon. — A 10 h. 50, elle prétend avoir un « brouillement » dans l'
œil
gauche. — A 11 h. 30, elle reconnaît, sur une piè
un arc de cercle; la tête est si fortement étendue que le front, les
yeux
et le nez sont appliqués sur l'oreiller. La compr
es de feu, des étoiles de toutes les couleurs se promènent devant les
yeux
, principalement devant l'œil gauche, les oreilles
es les couleurs se promènent devant les yeux, principalement devant l'
œil
gauche, les oreilles bourdonnent, les tempes sont
ivé ; car, aux cris des servantes, ils accoururent et virent de leurs
yeux
la jeune fille suspendue en l'air. La roideur de
re a disparu. Les pupilles sont un peu plus dilatées qu'au début. Les
yeux
sont humides. Somnambulisme. — Les paupières so
ltiples. — On ne parvient pas à prendre le regard, soit parce que les
yeux
se dirigent toujours en haut, soit à cause du str
ermant les paupières et appliquant les pouces simultanément sur les
yeux
et l'extrémité externe des arcades orbitaires. On
ayantes continuent à se dérouler devant elles bien qu'elles aient les
yeux
ouverts et que l'infirmière leur cause et les ras
des griffes; il étendait les bras comme pour me saisir; il avait les
yeux
rouges; son corps se terminait par une grande 1
palpitations des paupières, la conjonctive oculaire est injectée; les
yeux
, animés de nystagmus, sont le plus souvent dirigé
uet, le menton appuyé dans la main. De temps en temps, elle ferme les
yeux
et lutte évidemment de toutes ses forces contre l
carte la paupière supérieure, on éprouve une certaine résistance, les
yeux
sont humides, dirigés en avant et se portent en h
t encore et parfois les bras sont raides.— A 4 heures, elle ouvre les
yeux
, regarde, appelle la sous-surveillante et se rend
s bien de la main gauche que de la droite. Parfois, lorsqu'elle a les
yeux
fermés, elle ne distingue pas les objets; d'autre
le rit aux éclats ; à un autre moment, elle est assise, immobile, les
yeux
fixes. 28 mai. — La compression épigastrique ca
elle a encore des battements des paupières, un brouillard devant les
yeux
, une propension irrésistible à dormir; durant son
offrant les symptômes suivants : les paupières étaient ouvertes, les
yeux
dirigés en haut ; puis, elle poussait des « Oh !
c sentiment de constriction plus intense à gauche; élancements dans l'
œil
gauche, dans les doigts, le coude et l'épaule du
euses passe inaperçu ; mais le pincement, la piqûre sont sentis sur l'
œil
, la base de la langue, la luette ; anesthésie de
ongtemps. Et fut bien empefché le Caietain de faire uoir au doigt à l'
œil
, par viues raifons, à celle pauure femme abufee q
agnétisme, comme on dit, et trouvent moins dangereux de détourner les
yeux
que d'examiner un instant. On reconnaîtra que l
e et de chirurgie pratiques. Braid se contentait de faire fixer les
yeux
du sujet sur les siens, ses successeurs éliminère
l'intérieur de vos pouces touche l'intérieur des siens, et fixez vos
yeux
sur lui. Vous resterez de deux à cinq minutes dan
l pourra, tandis que, de votre côté, vous fixez sans interruption vos
yeux
sur les siens. Quelques profonds soupirs soulèv
e à lui éviter les atteintes de migraine que la magnétisation par les
yeux
occasionne volontiers et dont vous-mêmes ne serez
qui voulait se soumettre à son action, lui recommandait de fermer les
yeux
, et après quelques minutes de recueillement, lui
t, on asseoit la malade devant soi [Fig. S) et on la regarde dans les
yeux
. Ici, disent les magnétiseurs, il faut avoir la v
on voudra à la condition de maintenir son regard fixe et de cligner l'
œil
le moins possible. On tient les pouces du sujet d
meil. Après deux ou trois minutes de cet état immobile, on voit les
yeux
du sujet rougir, s'injecter légèrement; les larme
persister à regarder fixement; souvent le sujet ferme de lui-même les
yeux
et tombe en arrière. Si cet effet ne se produit
avantageusement combiner encore les deux méthodes : on peut fixer les
yeux
de la malade en lui appuyant les pouces sur les s
re asseoir la malade sur une chaise, puis (Fig. 5) on place entre ses
yeux
un corps quelconque (un crayon, un porte-plume en
par la simple fixation d'un point brillant : on prétend même que les
yeux
brillants la nuit des animaux félins leur serve
dans l'état cataleptique. En s'endormant, le sujet avait fermé les
yeux
, et, pendant toute la durée du sommeil, les paupi
ue. La chose peut être indéfiniment répétée. Il suffit de rouvrir les
yeux
pour que la catalepsie revienne et de les referme
disparaisse de nouveau. On a même vu qu'il suffisait d'ouvrir un seul
œil
pour avoir Y hémi-catalepsie et Y hémi-hypnotisme
Fig. 12.) Dès lors, le sujet vous suit partout, mais sans quitter vos
yeux
; il se baisse si vous vous baissez, et tourne vi
e disent les spécialistes, prendre le regard du sujet au moyen de ses
yeux
, en recommençant pour son propre compte la fascin
s, se mêlaient des rêves pénibles, dans lesquels la malade voyait des
yeux
rouges, des dents bleues, du sang, etc. Zones h
egard. Elle est impatiente, frappe du pied, fronce les sourcils ; les
yeux
sont brillants, humides ; les pupilles dilatées;
les paupières battent; il se produit un peu de larmoiement. Puis, les
yeux
se portent, le droit en dedans, le gauche en deho
placé en arc (Pl. XV), etc. Après avoir assis la malade, on ferme l'
œil
droit — tout le côté correspondant est en létharg
Un, deux, trois, quatre... » Ace moment, on écarte les paupières de l'
œil
droit : sur-le-champ elle s'arrête. On referme le
hallucinations provoquées. a) A l'aide des doigts placés devant les
yeux
de la malade, on prend son regard; elle suit alor
re, l'expérimentateur prend de nouveau le regard en le fixant sur ses
yeux
et tourne autour de la malade. Gelle- 1 Assista
tateur s'avance brusquement vers elle, d'un air menaçant : X... a les
yeux
hagards ; ses paupières sont largement ouvertes;
isse ses paupières , remet ses bras dans l'extension , puis ouvre les
yeux
, prend le regard , et ", en indiquant le parquet,
rdonnements dans l'oreille correspondante et des tiraillements dans l'
œil
du même côté. — B... n'aurait pas d'hallucination
ois par jour des faiblesses : battements des paupières, déviation des
yeux
, perte de la connaissance, sans mouvements convul
le bleu lui paraît gris, le violet rouge. Elle voit un peu mieux de l'
œil
droit. A certains jours, elle reconnaît mieux les
. Je n'en ai jamais vu comme çà dans la mer... Us grossissent à vue d'
œil
... Il ne fait pas bon nager dans ce moment-ci...
s en... Cela m'attriste de voir ça... Quelquefois ça me plait... (Les
yeux
sont toujours fortement déviés en haut et les pau
emander un baiser pour un morceau de pain. Elle s'arrête, ouvre les
yeux
, regarde fixement, porte la main sur son cœur, se
de repos, elle demande de nouveau à boire, se tortille, se frotte les
yeux
: « J'étouffe ! » Enfin, elle parvient à boire, d
de larmoiement, ni de stertor, ni de changement des pupilles 1 . Les
yeux
se portent rapidement en haut et en dedans, la tê
e regard de Suzanne et tourne autour d'elle en continuant à fixer ses
yeux
, la tête tourne, le corps s'incline et, à un mome
atan fe font par illufions, neantmoins qu'il ne peut pas efblouïr les
yeux
d'vn chacun.» (Bodin, loc. cit., p. 158.) Planc
nt aux Sorcelleries. Or Simon le Magicien auoit tellement fa/ciné les
yeux
de Néron, de toute l'aflemblee, qu'ils décollèren
, nouueaux à la vérité, mais d'vne nouueauté effroyable qui offence l'
œil
, foubfleue le cœur. Parmy ces mefmes fubiecls, il
mpofition fi brutale. en termes mots fi licencieux lubriques, que les
yeux
se troublent, les oreilles s'eftourdiffent, l'ent
mmeil, vous le regarderez fixe-» ment et vous ne pourrez détacher vos
yeux
des siens jusqu'à ce » que je dise : « Assez ! »
, en vous tenant debout et élargissant votre jupe, » de le cacher aux
yeux
des assistants, jusqu'à ce que je dise : 0 Pourqu
dormait au bout de deux minutes; elle s'éveilla, puis me regarda d'un
œil
fixe,étrange, inquiétant : elle ne pouvait détach
par la Revue médicale de Toulouse du 15 du même mois. J'ai sous les
yeux
d'autres documents encore; mais je ne veux pas ab
i chercha a remettre cet esprit, qui se dérangeait, » évidemment, aux
yeux
d'un observateur attentif. Dans un de ces som-» n
ni-ques de toute la musculature : le visage exprimait la terreur, les
yeux
et la bouche étaient largement ouverts, les extré
ion), la respiration était stertoreuse. Au bout d'une demi-heure, les
yeux
se fermèrent, les extrémités devinrent flasques e
esprit parfaitement sain, qui paraît complètement éveillée, qui a les
yeux
ouverts, la démarche aisée, la conversation facil
ancy, il ne s'agit pas d'hallucination du tout... « Il s'agit, pour l'
œil
comme pour le bras, d'un phénomène » d'inhibition
leur imagination : » oculos habent et non vident, ils voient avec les
yeux
du corps, » ils, ne voient pas avec les yeux de l
ent, ils voient avec les yeux du corps, » ils, ne voient pas avec les
yeux
de l'esprit; l'amaurose n'est » qu'une illusion n
a Camille, vous allez me voir et m'entendre. Je vous souffle sur les
yeux
. Vous vous portez maintenant fort bien. » Je suis
que nous venons d'examiner, parler comme MM. Binet et Féré, « pour l'
œil
, comme pour le bras, d'un phénomène d'inhibition
de l'hallucination négative peut entrer en rapport avec le sujet, aux
yeux
duquel on croyait l'avoir fait entièrement dispar
fixation du regard, qui cesse d'agir aussitôt que les sujets ont les
yeux
fermés. Suivant que ces sujets sont plus ou moi
elle il mettait une vingtaine de minutes pour obtenir la vue avec les
yeux
fermés, et je l'ai arrêté à diverses reprises pou
de contrition sous l'influence des paroles qu'il croit entendre; ses
yeux
sont remplis de larmes, et si on lui demande ce q
luence de la pression du point n° 18, correspondant au 6e sens. — Les
yeux
s'ouvrent généralement par suite du renversement
uand celui-ci la lui place devant la figure, comme un écran entre les
yeux
et l'apparition. Quand on pousse plus loin l'hy
) Chez Benoist, l'extase est accompagnée de l'ouverture spontanée des
yeux
; ce fait n'est pas général. cèdent, c'est qu
des points correspondants ; la tête se renverse en arrière, mais les
yeux
ne s'ouvrent pas et le sujet raconte ses visions.
n de l'aller que du retour. A l'état de somnambulisme, Mme X... a les
yeux
ouverts et sans fixité ; il faut recourir à l'exp
et, dans tous les états autres que les états léthargiques, elle a les
yeux
ouverts, mais ne voit que l'opérateur ou les obje
xpérience ? une distraction empêche de voir un objet placé devant les
yeux
et parfaitement éclairé. Il arrive même qu'une di
l'hypnose. Les uns, à l'exemple de Braid, font miroiter devant les
yeux
du sujet un objet brillant, un bouchon de cristal
une fois, dis-je. qu'on lui a dit de fixer le miroir, la fatigue des
yeux
arrive vite et. en général, au bout de cinq à six
tes, quelquefois même d'une façon instant-mée, on les voit fermer les
yeux
et s'endormir. On reconnaît alors que tantôt ils
le guérir, les empoignait avec ses mains, vous les mettait devant les
yeux
ou vous les jetait à la face ? Ils sont tous de
cette action. 2* degré. La personne magnétisée devient lourde, ses
yeux
se ferment ctj sans être endormie, elle ne peut p
d'action sur ses membres. 3" degré. Le magnétisé est absorbé ; ses
yeux
fermés ne peuvent s'ouvrir et ses paupières lui p
raits communs qui sont les suivants : Le magnétisé ne peut ouvrir les
yeux
; ¡1 est dans an état apparent de sommeil; il est
es : O mon Dteu, que c'est bon ! et ces mots répétés constamment, les
yeux
sont tout ouverts, le corps dons une espèce de ra
n médicale; c'est du moins vers ce but, plus ou moins déguisé a leurs
yeux
, que nos adversaires dirigent leurs efforts. L'
er Broussolle [i , « ils ne savent pas boiter », ils exagèrent, ei un
œil
exercé n'a pas grand'peîne a déjouer la ruse. ¦ I
blements des membres et une sensation oc brûlure et de picotement aux
yeux
. Les odeurs, en général, môme les odeurs suaves
ré prélat essaye même de trancher la question de fond, si obscure aux
yeux
même des hommes du métier et des savants de premi
er avec attention un point brillant au-dessus de son front, entre ses
yeux
: c'est, par exemple, une boule métallique frappé
corro- borer sa thèse, ces décisions dont j'ai le texte sous les
yeux
la rendent plus fragile encore. A Milan et à Vien
constater un léger rétrécissement du champ visuel, égal pour les deux
yeux
. -L'hystérie paraissant la cause des troubles q
net, en présence de ses élèves, essaye, en lui faisant fixer soit les
yeux
, soit un objet brillant, de produire le sommeil.
et mystifier son entourage. (i) Galézowski, Traité des maladies des
yeux
, p. 927. — Simplement nerveux, il y n un but
A notre premier examen, nous avons constaté un strabisme interne de l'
œil
gauche, le nystagmus et la blêsïté que l'on nous
ue toutes les nuits pendant huit jours : il ava;t toujours devant ses
yeux
l'homme déguisé. Dans l'intervalle des crises, il
le changement est complet. la physionomie est modifiée, il marche les
yeux
fermés, les mains derrière le dos et obéit à tout
l revenait avec une attitude spéciale, les mains derrière le dos, les
yeux
fermés, sachant toutefois éviter les obstacles, p
us l'avions suivi, je l'ai réveillé en lui soufflant vivement sur les
yeux
; il est tombé à ta renverse et a eu un moment d'e
ein d'angoisse, se jette dans les bras de son entourage. Tel, les
yeux
grands ouverts et hagards, se lève en silence 01,
se. Là. l'incontinence est la suite de la surexcitation nerveuse. Aux
yeux
du professeur Atkînson ,3 ,qui vient de publier s
veut que la chambre à coucher soit suffisamment éclairée pour que les
yeux
puissent, sans effort, reconnaître la nature des
u juge. Là, en présence de plusieurs témoins, Zamora. qui avait les
yeux
bandés, interrogea longuement le prévenu Picherea
gistrat* et des curieux, le devin sortit du tribunal et. toujours les
yeux
bandés, marcha résolument, à travers un dédale de
tation nerveuse, l'homme peut voir. même de loin, sans le secours des
yeux
; observer une étoile avec son gcnnu. suivre tous
'une hallucination négative: c'est-à-dire 4un défaut de conception. L'
oeil
, en apparence aveugle, voit: l'image es: perçue p
me verrez plus; je serai parti. » A son réveil, elle nie cherche des
yeux
et ne paraît pas me voir. J'ai beau lui parler, l
e ne m'entendait pas, elle ne me sentait pas! Elle me voyait avec les
yeux
du corps, elle ne me voyait pas avec les yeux de
Elle me voyait avec les yeux du corps, elle ne me voyait pas avec les
yeux
de l'esprfl Elle était frappée de cécité, de surd
elle se sentait devenir raide, ne pouvait plus remuer : deux fois ses
yeux
ont tourné et elle est même tombée une fois a la
ois a la renverse. 0:i la tirait de cet état en lui soufflant sur les
yeux
. Elle est retournée chez le magnétiseur cinq fois
e de consultation soutenue pur son mûri et marchant à petits pas. les
yeux
fermés, comme une somnambule, ou plutôt comme une
, pendant lequel la malade reste toujours, cependant, immobile et les
yeux
termes. Dans cet état, on peut, en insistant, obt
la malade commençait à se raidir, je lui soufflai brusquement sur les
yeux
. La raideur disparut aussitôt et la malade ouvrit
nt sur les yeux. La raideur disparut aussitôt et la malade ouvrit les
yeux
. La même chisc ayant réussi a plusijurs reprises
aux membres. Pas d'hypcrcxcitabilitc ncuro ni cutano-musculoirc. Les
yeux
sont fermés. Il y a des battements continuels des
ne force. Ils sont le siège de petites secousses. La face rougit, les
yeux
sont fermés, les paupières animées de battements
er genre. Toutes ces attaques peuvent cesser par le soufrîe sur les
yeux
et aussi par la suggestion, surtout celles de la
n la faisant p'accr simplement sur un lit et en lo{ projetant sur les
yeux
un faisceau de rayens lumineux réfléchis par un p
sonnes qui voulaient se confier à moi pour être endormies et dont le*
yeux
, d'apres mes indications, restèrent iïxés en haut
badauds. Enfin, une Société savante dont les arrêts jouissent, aux
yeux
* du monde scientifique, de l'autorité la plus jus
ans les bras. Quant à la tétc du docteur, c'était une sculpture : ses
yeux
étaient des yeux artificiels: ses dents de l'ivoi
nt à la tétc du docteur, c'était une sculpture : ses yeux étaient des
yeux
artificiels: ses dents de l'ivoire: sa barbe et s
e quinine est Je plus délicieux des breuvages; faire défiler sous ses
yeux
complaisants toute une série d'objets imaginaires
oués de la merveilleuse faculté de voir avec la peau, entendre avec l'
œil
, goûter avec la main. L'énoncé de ces faits étran
n lui commandant de fixer un objet brillant, soit en exerçant sur les
yeux
une pression douce et prolongée, on détermine che
de lui-même pour affirmer qu'un mouvement inconscient des lèvres, des
yeux
eu du visage n'aura pas servi a transmettre sa pe
elles couvrent les objets extérieurs, elles suivent le mouvement des
yeux
, elles persistent les yeux fermés ; projetées sur
extérieurs, elles suivent le mouvement des yeux, elles persistent les
yeux
fermés ; projetées sur un écran qu'on rapproche e
par la fixité du regard, sans résultat. Nous plaçâmes alors entre ses
yeux
, au niveau de la racine du nez, un crayon à bout
qu'elle en est affectée. C'est par hasard, quand on lui ferme le bon
oeil
, qu'elle s'aperçoit que l'autre ne voit pas. Elle
ans la cellule sensorielle corticale. Appliquant un prisme sur le bon
œil
et plaçant un objet devant ce prisme )c constate
i distinctes Tune que l'autre : or l'une des images est fournie par l'
œil
qui est censé ne pas voir. Donc cet œil voit; et
des images est fournie par l'œil qui est censé ne pas voir. Donc cet
œil
voit; et cependant le sujet ne voit pas de cet œi
pas voir. Donc cet œil voit; et cependant le sujet ne voit pas de cet
œil
; et il ne simule pas. La rétine est impressionné
s la bonne foi. Je me place devant elle, je la lixe dans le blanc des
yeux
, je la pince, je la pique : je lui dis des sottis
e sous les pieds, sentiment de, chute imminente, augmentant quand les
yeux
étaient clos. Station debout impossible. Anesthés
Vue très abaissée, surtout à droite, insuffisante pour la lecture. L'
œil
gauche distingue encore fort bien les objets, l'œ
our la lecture. L'œil gauche distingue encore fort bien les objets, l'
œil
droit servirait à peine au malade pour se conduir
du regard; réponses par signes; tcie abandonnée, penchée en arrière :
yeux
clos. Suggestion. — Vous pouvez mouvoir vos jam
: mais la jambe gauche reste encore à la traîne; le malade, ayant les
yeux
clos, reconnaît quand on le pince, ou qu'on le to
de volume. Dans la région cervico-dorsale, altérations manilestes a l'
œil
nu et consistant en taches 'gris saumoné dissémin
nerf optique ci ce nerf lui-même ont été trouvas sains et pourtant l'
œil
droit était avant la suggestion presque aniauroii
ncore cinq minutes environ et je la réveille en lui soufflant sur les
yeux
. Elle ouvre les yeux, ébauche un sourire, et dit
viron et je la réveille en lui soufflant sur les yeux. Elle ouvre les
yeux
, ébauche un sourire, et dit : € J'entends. » Elle
nt de quelques zogaies ; elle se peint alors de blanc le contour de l'
œil
, le bras et la jambe gauches, et de noir les même
ne manière confuse, les objets et les personnes qui l'entourent ; ses
yeux
convulsés en ba^. ses paupières invariablement cl
été préalablement enlevée pour que, à son réveil, elle n'eût sous les
yeux
aucune trace de l'expérience que nous venions de
nsité du sommeil hypnotique. Nous avions à ce moment même, sous les
yeux
, la démonstration expérimentale de cette influenc
nt fut de me mettre en garde contre le phénomène que j'avais sous les
yeux
, et de tenir pour suspectes mes propres impre
devenu instrument aveugle, incapable de tout acte spontané, debout, l"
œil
immobile et fixe sur l'expérimentateur, toujours
té hypnotisée, m'affirmait-elle. 11 suffisait de fixer un instant les
yeux
sur elle, pour qu'aussitôt elle s'attachât à vous
onséquent, être mise en doute dans sa sincérité ! J'avais là sous les
yeux
une nouvelle édition de ce fait de transmission a
fais présenter un second verre par mon interne, qui le met devant ses
yeux
, au contact de ses lèvres, sans qu'elle le voie n
Mon interne avait pris un troisième verre, qu'il tenait devant ses
yeux
, au contact de ses lèvres comme le précédent ; el
du filet une aiguille? J'avais fait placer ces deux objets sous ses
yeux
, sur la table prés de laquelle nous étions assis.
assis du côté opposé à la fenêtre, et dirige dans la direction de mes
yeux
le chas de son aiguille, dans lequel elle introdu
bile, les deux bras levés tenant le fil dans le cnas de l'aiguille, l'
œil
fixe sans clignement et sans larmes, dans l'inert
et sa plume sur le papier, prête à écrire, et reste là. immobile, les
yeux
fixés sur moi. D. — Commencez donc... R. — Je
ment. Avant de quitter la salle, je l'éveillai, et lui mis sous les
yeux
la feuille qu'elle venait d'écrire: elle eut une
ourne avec sa main le regard du fasciné et le porte doucement sur les
yeux
d'un assistant, â l'instant la concentration se f
nt les mêmes caractères d'isolement et de personnalité, mais dont les
yeux
sont convulsés et les paupières closes, qu'un ass
nde comète dont chacun se souvenait pour l'avoir parfaitement vue à l'
œil
nu, n'était plus visible depuis six semaines, d'a
in ci-joint. à la figure humaine (i carte pour le front, 2 pour les
yeux
, 1 pour le nez, 2 pour les oreilles. 1 pour la bo
cun ne soupçonne ma bonne foi) la partie correspondante, nez, menton,
œil
, etc., de son propre visage. Etant ainsi rensei
si déplacer de gauche a droite, revenait à sa position primitive, mon
œil
droit venait s'appliquer sur le métacarpe de mon
ivé de tomber dans l'état que je viens de décrire, j'ai pu ouvrir les
yeux
et. malgré ma somnolence , me rendre compte des m
chais à me remuer, cela me lut impossible. J'arrivai à ouvrir les
yeux
, et j'aperçus distinctement tous les objets envir
Le musicien exécutant a devant lui sa partition écrite. Il la Ht des
yeux
, il la comprend avec son esprit.sa mémoire, son i
ait que jouer la comédie lorsqu'on fait dis-, paraître un objet à ses
yeux
, il en soit autrement lorsqu'on fixe son bras, lo
édie plus ou moins bien jouée. Chez l'un l'inhibition est laible, les
yeux
clignent dès qu'un objet s'approche, un de ses mo
t et nous obtenons une vraie cécité corticale. Même le clignement des
yeux
cesse à l'approche des objets, et j'ai vu de pare
ar une nébulosité, jue la porte reparaisse ou ne reparaisse pas à ses
yeux
lorsqu'on 1 ouvre, etc.; tout cela dépend des aut
et se prépara à faire un petit somme. Bientôt, en cfTct. il ferma les
yeux
et parut s'endormir. J'épiai ce moment pour poser
pnotiser M. B. ne m'est venue qu'au moment même où celui-ci ferma les
yeux
. Je n'ai pas fixé le sujet, ni prononcé une seu
trait en gare de X. — Nous voilà arrivés, dit-il en se frottant les
yeux
. Moi. — Avez-vous bien dormi ? B. — Mais je n
ures prolongées, une fatigue et une faiblesse de la vue, surtout de l'
œil
gauche. Il y a cinq mois que le malade a cessé de
lentement, mais elles sont normales. Le malade voit mal, surtout de l'
œil
gauche ; il ne peut pas reconnaître ses connaissa
e peut pas reconnaître ses connaissances à la distance d'un pas. De l'
œil
droit il voìi suflîsamm-nt à la distance de c
l'œil droit il voìi suflîsamm-nt à la distance de cinq pas. De l'
œil
gauche, il lille» gros caractères à la distance d
gauche, il lille» gros caractères à la distance de 12 centim. ; de l'
œil
droit, a la distance de 30 centim. Première séa
sommeil léger. Suggestion : distinguera la distance de 3 pas, de l'
œil
gauche, les doigts de ma main et les traits de ma
ce. Après la séance, le malade voit bien i la distance de 6 pas, de l'
œil
gauche^- Le 12 avril, cinquième séance : sommei
xactement les caractcrcs ordinaires à la distance de 5o centim., de l'
œil
gauche./ Mlle A. Adjëmowa, de li ville de Rosio
ne faiblesse de la vue depuis deux ans. L'examen ophtalmoscopique des
yeux
ne décèle pas de maladies organiques ; elle Ht pé
une simple action physique des miroirs en rotation placés devant les
yeux
. Le malade n'a reçu de nous dacs les premiers jou
ce traitement revient tout entière à cette étrange influence sur les
yeux
d'abord, sur les centres nerveux ensuite, des vib
e mécanisme de l'amélioration considérable qui a été obtenue sous mes
yeux
. Le diagnostic de paralysie agitante m'a semblé
ussi le sens musculaire et est incapable de dire, si on lui ferme les
yeux
, dans quelle situation se trouve le membre. 11
tendu (un coup de gong), une vive lumière brusquement placée sous les
yeux
du sujet, la fixation plus ou moins prolongée d'u
jet de l'état de léthargie à l'état de catalepsie, en lui ouvrant les
yeux
devant un foyer lumineux d'une certaine intensité
x autres. Un sujet en état de catalepsie est immobile, fasciné, les
yeux
ouverts, le regard fixe : il possède une plastici
a été infirmée depuis et ce caractère est aujourd'hui abandonné. Les
yeux
sont clos ou demi-clos : il existe un léger frémi
vertex. Le somnambule présente l'apparence d'un sujet endormi : ses
yeux
sont clos ou demi-clos, les paupières sont agitée
epsie. En déterminant l'occlusion d'une paupière et laissant ouvert l'
oeil
du côté oppose, on provoquera d'un côte une hémi-
x. En 1886. elle fut prise d'une attaque congestive au cerveau; les
yeux
devinrent proéminents, et la physionomie prît une
Quand Mme Bre... vint me consulter, en décembre 1887. elle avait les
yeux
rixes, hagards, la figure congestionnée, souvent
rs une rougeur subi: lui montait à la face; clic devenait maussade, l'
œil
fixe, la physionomie dure. Ces accès étaient de c
appui, detous les motifs qui peuvent la justifier, soit à ses propres
yeux
, soit à ceux des autres. Tout ce qu'il voit, ce q
uie sa demande, suinsamment motivée désormais, il faut l'espérer, aux
yeux
du public, par l'étude remarquable de If. T. F...
re d'une épingle et que la présentation de mon index au-dessus de ses
yeux
détermine du clignement et une demi-occlusion des
main gauche sur son front, et la présentation d'un prisme devant ses
yeux
. Mme X... tombe en léthargie. Mes premières sug
même faculté de vision dans Vitat de rapport, après avoir ouvert les
yeux
des sujets endormis. (Voyez l'article précité s
: n e , 1Í88. faculté singulière de mouvoir, par la volonté, ses
yeux
dans des directions différentes simultanément, et
suivant tous les plans d'orientation habituelle ; elle peut aussi, un
œil
restant fixe, faire mouvoir l'autre suivant tous
l'enfance, parce qu'elle s'amusait déjà à donner le spectacle de ses
yeux
tournant chacun dans un sens dirlérent, à ses cam
es de jeu. Je me suis assuré que celte personne ne regarde que d'un
œil
pendant qu'elle exécute ses mouvements dissociés
ais elle peut regarde?-apercevoir indifféremment avec l'un ou l'autre
œil
, et peut même s'arranger à voir tantôt avec l'un,
réussît pas à regarder-apercevoir les objets dans les champs des deux
yeux
, au même instant, pendant qu'ils se meuvent suiva
u divergents, les objets dans le champ de vision particulier à chaque
œil
, tient a ceci que la conscience est une fonction
temps, il lui semblait qu'elle recelait des chocs, dans le fond de l'
œil
, suivis d'éblouissement, puis d'obscurcissement d
e ou séparément. Il se sert de tous les sens; ainsi, à l'aide des
yeux
, il perçoit les formes et les couleurs, les détai
elle présentait les symptômes suivants : La malade est agitée. Les
yeux
sont brillants et expriment la crainte : la parol
rs¬qu'elle ira mieux. Lorsqu'on lui présente une lumière devant les
yeux
, elle cherche à fuir, et sa figure exprime une gr
e difformité. Cette femme est atteinte de strabisme convergent de l'
œil
droit depuis l'âge de 2 ans. Pas d'altération app
antérieure en portant le coude en arrière. Lorsqu'elle est sous vos
yeux
, vous examinez avec soin le périoste, et vous voy
ment dans une étendue de 0m,003 à 0m,004. il en est de même entre les
yeux
, au-dessus de la racine du nez, où la peau est co
ïe. Le calme étant survenu quelques jours après, on fait l'examen des
yeux
à l'ophthalmoscope, et, sur le trajet d'un vaisse
se ; un petit foyer hémorrhagique s'est produit en cet endroit. A l'
œil
nu, les coupes de la moelle n'offrent rien de par
elques corps granuleux dans les cordons latéraux de la même région.
OEil
gauche. Le névrilème du nerf optique est épaissi
oire, par Roser, chez Chamerot et Lauwereyns. Nous avons sous les
yeux
trois ouvrages récents qui ont pour ob¬jet la pat
sième forment le premier volume, qui se termine par les ma¬ladies des
yeux
. — La pathologie générale est bien résumée et sui
elles qui ont acquis les plus légitimes suffrages. Les maladies des
yeux
sont traitées clairement et avec cette con¬cision
er la vraie science au verbiage. — Nous le répétons, les maladies des
yeux
sont clairement exposées dans le livre de M. Fano
mes amenés à signaler la partie du volume qui traite des maladies des
yeux
comme une difficulté heureusement vaincue ; plus
i donne une coloration rosée. Ces vaisseaux sont à peine visibles à l'
œil
nu, et n'occupent pas tout à fait la périphérie d
base de la mâchoire infé¬rieure, jusqu'à la paupière inférieure de l'
œil
, et transversalement, depuis l'oreille jusqu'à la
nte où les mouvements du sang ou de l'organe sont rendus visibles à l'
œil
par les ondulations du mercure ; c'est un véritab
bjets environnants semblaient en mouvement, un voile lui couvrait les
yeux
. Toutefois ces étourdissements, ou mieux ces vert
eptembre 1869. Vertige prolongé ; tournoiement, brouillard devant les
yeux
, bourdonnements d'oreilles, double résonnance des
anes, superposés suivant l'ordre de leurs rapports, se présentent à l'
œil
du lecteur comme le ferait une préparation sur le
n chien, d'un lapin, d'un chat, les objets placés au-de¬vant de leurs
yeux
, dans les derniers moments de l'existence de ces
e 14 juin 1868, entre midi et quatre heures du soir. L'extraction des
yeux
hors les orbites a été pratiquée le 16 juin, vers
btenue le même jour, vers six heures du soir. J'ai opéré sur les deux
yeux
de l'enfant et sur les deux yeux de la mère. Les
res du soir. J'ai opéré sur les deux yeux de l'enfant et sur les deux
yeux
de la mère. Les yeux de l'enfant n'ont rien donné
ré sur les deux yeux de l'enfant et sur les deux yeux de la mère. Les
yeux
de l'enfant n'ont rien donné autre chose que des
sur la rétine et sur le corps vitré. Je dis sur ces deux parties de l'
œil
, car l'une est corrélative de l'autre, d'une mani
ait pas eu d'image obtenue, le corps vitré s'affaissant. Ayant quatre
yeux
à ma disposition, j'ai d'abord opéré sur ceux de
après avoir enlevé le cristallin. Le résultat a été rien. Sur le même
œil
, j'ai fait sortir l'humeur vitrée, en maintenant
e résultat plus satisfaisant, ou plutôt encore moins. Sur le deuxième
œil
du même sujet, j'ai opéré de la même manière pour
t, j'ai opéré de la même manière pour arriver au même résultat. Sur l'
œil
gauche de la mère, même section, enlèvement du co
façon peu compréhensible ; car ce n'a été qu'après avoir opéré sur l'
œil
du côté droit, et après avoir obtenu l'image dont
age dont vous avez une épreuve, que j'ai pu m'en rendre compte. Sur l'
œil
droit, même section. Mais en conservant le cris¬t
eler que l'épreuve photographique à vous adressée a été obtenue sur l'
œil
de la victime, entre cinquante et cinquante-deux
par la pendaison, soit par l'acide prussique Je te-; nais en face des
yeux
, éclairés par une vive lumière, un objet bien dét
oduite avait pu persister sur la rétine. J'enlevais immédiatement les
yeux
et je me rendais chez le photographe ; quelques-u
l'humeur vitrée et tout ce qui constituait la partie antérieure de l'
œil
. Je fixais la pièce sur une carte à l'aide de qua
ères surtout, fugaces et imparfaites. Qu'on n'oublie pas encore que l'
œil
est l'organe que la putréfaction envahit le premi
que quand on se sert de l'ophtlialmoscope pour l'examen du fond de l'
œil
, il faut projeter une vive lumière sur la rétine.
un objet quelconque. Or ja¬ mais l'observateur n'a vu au fond de l'
œil
autre chose que la sur¬face rétinienne. J'ai prié
n'a pu voir sur la rétine aucune image des objets interposés entre l'
œil
et l'ophthal-moscope, ni aucun phénomène qui soit
de quelque objet ou disposition physique qui se trouvaient devant ses
yeux
au moment de la mort. J'ai sans doute mis de la
enant, un juge ou un juré venait à réclamer d'un expert l'examen de l'
œil
d'une victime pour y chercher quelques renseignem
9 ans, fut pris subitement sans cause appréciable, de douleurs dans l'
œil
droit et dans le côté correspondant de la face et
, pa¬ralysie faciale du même côté ; bientôt la vue s'obscurcit dans l'
œil
droit ; il semblait au malade qu'un brouillard ét
u trois jours après, commencement de restauration de la vision dans l'
œil
droit, laquelle était presque complète au bout d'
ait presque complète au bout d'une semaine. Quinze jours plus tard, l'
œil
gauche s'améliora. A la fin du mois, l'amaurose e
du ventre sont tombées, laissant à leur place une macule brunâtre. L'
œil
gauche va mieux. — Ni céphalée, ni angine, ni pla
simple, suffit pour établir le diagnostic d'une maladie du fond de l'
œil
, mais s'agit-il de donner une grande précision à
rmettant à l'observateur d'explorer les diverses régions du fond de l'
œil
et de l'arrêter sur celles qui peuvent offrir un
oscope proprement dit, l'appareil qui a pour but de rendre immobile l'
œil
du sujet, et enfin le pied qui supporte ces deux
le long du levier AC ; cette lentille s'éloigne ou se rapproche de l'
œil
observé au moyen du bouton F qui tient au chariot
axe K. On peut explorer, de cette façon, tous les points du fond de l'
œil
sans déplacer ce der¬nier. L'appareil qui a pour
déplacer ce der¬nier. L'appareil qui a pour but de rendre immobile l'
œil
du sujet se compose d'un cylindre en buffle 0 don
ités est taillée suivant un bourrelet oblique de manière à recevoir l'
œil
du patient et à donner un point d'appui solide
ermet de tourner à droite ou à gauche, selon que l'on veut observer l'
œil
droit ou l'œil gauche du sujet. Le support triang
r à droite ou à gauche, selon que l'on veut observer l'œil droit ou l'
œil
gauche du sujet. Le support triangulaire R est so
ée par le pignon D, élève ou abaisse l'ophthalmoscope,par rapport à l'
œil
observé, sans modifier la situa¬ tion de ce der
a pièce en buffle 0 étant tournée dans le sens voulu, on y applique l'
œil
du sujet ; cela fait, la lampe étant placée à la
il suffit d'abandonner l'instrument à lui-même et de faire suivre à l'
œil
observé divers déplacements de la boule N pour po
levée de façon à placer le levier de l'ophthalmoscope dans l'axe de l'
œil
du patient. — Le reste de l'examen pourra se fair
CHIRURGIEN DE L'HÔPITAL DE LOURCINE. Les vices de conformation de l'
œil
ne sont pas fréquents, et en particulier le colob
tégrité de la fonction visuelle ; elle voyait également bien des deux
yeux
, quoique son œil gauche pré¬sentât le vice de co
ion visuelle ; elle voyait également bien des deux yeux , quoique son
œil
gauche pré¬sentât le vice de conformation dont no
que et son milieu correspond au plan vertical, passant par l'axe de l'
œil
, c'est-à-dire dans le sens de la fente de l'iris.
nte de l'iris. Sur la photo¬graphie, on voit que l'image du fond de l'
œil
, renversée, offre, en haut, ce qui en réalité est
t porter des conserves bleues pour éviter toutes les irritations de l'
œil
. La malade est sortie de l'hôpital le 13 févrie
ite, ne se doutant nullement qu'elle eût un vice de conformation de l'
œil
gauche. CHIRURGIE GANGRÈNE DU PIED DROIT, CON
s d'extrait pour une drachme d'eau. On tenta enfin d'instiller dans l'
œil
quelques gouttes de la solution sans toutefois y
ns delà pie-mère; substance cérébrale ferme, saine. —Moelle, rien à l'
œil
nu. —Poumons forte¬ment congestionnés, noirs, non
moitié infé¬rieure de la conjonctive oculaire. En somme, du côté des
yeux
, on note des lésions anciennes et des lésions réc
ennes et des lésions récentes. Peu après le début de la maladie des
yeux
, les oreilles sont deve¬nues le siège d'un écoule
. Cécité à gauche datant de l'enfance et consécutive à une plaie de l'
œil
. Réglée à 20 ans. A Paris depuis trois ans. Elle
amai¬grissement fait des progrès rapides ; les traits s'altèrent, les
yeux
s'excavent; les accès de fièvre persistent, malgr
s fois se succèdent rapidement pendant trois ou quatre minutes. Les
yeux
sont un peu saillants, les pupilles dilatées, pri
n'y ait d'éruption. Ataxie prononcée du membre supé¬rieur gauche; les
yeux
fermés, elle ne peut toucher son nez sans un écar
photophobie. Par moments, elle a une espèce de voile noir devant les
yeux
; d'autres fois ce sont des étincelles ou des lueu
ncelles, etc.; souvent elle a la sensation d'un voile noir devant les
yeux
, surtout à gauche. L'ouïe, l'odorat, etc., sont n
cent personnes, vingt aveugles, dix borgnes et vingt autres dont les
yeux
étaient rouges, purulents et tachés. » Celte asse
ette affection à la poussière nitreuse qui irrite continuellement les
yeux
et finit par les enflammer. " La maladie, dit-il,
l de l'Egypte, " ce qui irrite et fatigue les parties sen¬sibles de l'
œil
, » l'usage immodéré des liqueurs spiritueuses et
es chirurgiens les principales causes qui amènent l'inflammation de l'
œil
.— Desgenettes recon¬naît à peu près la même origi
ses. Il est évident que ces circonstances physiques doivent nuire aux
yeux
des animaux sur lesquels elles exercent leur acti
ar dans la haute Egypte et en Nubie, par exemple, l'inflammation de l'
œil
est sinon inconnue, du moins fort rare? D'autre p
ontenu dans l'air pénètre dans sa bouche, dans ses na¬rines, dans ses
yeux
. Quelquefois une douleur vive, subite, se fait
bue d'abord à la pré¬sence d'un grain de sable entre la paupière et l'
œil
: la conjonctive devient rouge dans un point; cet
end; la vue s'obscurcit et bientôt la douleur devient continue, que l'
œil
soit ouvert ou fermé. Si, à ce moment, on suit le
e Prosper Alpin, si on fait immédiatement des lotions répétées dans l'
œil
, soit avec de l'eau de rose, soit simplement avec
des accidents qui compliquent les plus violentes inflamnialions de l'
œil
, abcès, ulcères de la cornée, adhérences iriennes
ères de la cornée, adhérences iriennes, et même fonte pu¬rulente de l'
œil
, avec toutes leurs conséquences. Telle est, en gé
rier le manuel opératoire, non-seulement au cas que l'on a sous les
yeux
, mais encore à l'âge et même à la position social
nts. Incoordi¬nation très-marquée, principalement lorsque fermant les
yeux
de cette femme, on lui recommande de porter l'un
sion, ne manquent pas de faire des lotions répétées de la face et des
yeux
, il est rare, très-rare, de voir chez eux des acc
urellement le climat sous lequel il vit. Presque toujours, il a les
yeux
rouges et chassieux ; ses cils sont accolés les u
nente le rebord oculo-palpébral ; très-souvent à l'angle interne de l'
œil
apparaît une gouttelette purulente.— Ce tableau d
spéciale que présentent les Arabes à contracter une inflammation de l'
œil
, sous l'influence d'une irritation extérieure. To
par infection, ou, en d'autres termes, que les miasmes provenant des
yeux
des sujets malades, flottant dans l'air, sont cap
sont capables à eux seuls de faire naître la même affection dans les
yeux
des autres personnes. Dans ces cas, l'air servira
frappés de maladie et de misère et repoussants de malpropreté. Leurs
yeux
sont chassieux, rouges, en¬flammés, souvent plein
eur trompe, elles sucent le liquide purulent baignant la surface de l'
œil
, et ensuite, avec leurs pattes, avec leurs ailes,
attes, avec leurs ailes, im¬prégnées de pus, elles vont porter sur un
œil
sain les molécules purulentes dont elles sont cha
fait dans lequel telle mouche donnée, après avoir humé du pus sur un
œil
malade, est allée déterminer l'inflammation d'un
mé du pus sur un œil malade, est allée déterminer l'inflammation d'un
œil
sain chez une autre personne, du moins voici une
nt. Maintes fois, il nous est arrivé de saisir des mouches autour des
yeux
de malades atteints d'ophthalmie, et toujours nou
domen un peu au-dessous de l'ombilic. Pas d'altération musculaire à l'
œil
nu. Observation XII. — Tétanos traumatique. — T
péritonéal est infiltré de sérosité louche. Pas de pus vé¬ritable à l'
œil
nu. Les ovaires sont très-vascularisés. A la face
scène fictive existe dans leur cerveau; ils ont vu, de leurs propres
yeux
vu, tout ce qui s'appelle vu. Est-il besoin d'i
Mme B... éprouva un léger frisson et s'affaissa sur son oreiller les
yeux
grands ouverts; je fermai aussitôt les paupières
uption dans la salle où nous étions rassemblés, s'avança vers moi les
yeux
hagards, l'air furieux, et subitement, s'armant d
aussitôt. A peine étendu, M. D... poussa un profond soupir, ferma les
yeux
et parut s'endormir. Je procédai alors par voie d
ectuelle; l'appétit revînt peu à peu, le tremblement disparut à vue d'
œil
. M. D... semblait impatient de reprendre la direc
t la fixation d'un point brillant, le ton impéra-tif, l'occlusion des
yeux
, la pression sur le vertex, etc., ne sont que des
par exemple, de lunettes faites avec ce verre, le rayon émanant de l'
œil
droit devenait positif et celui qui émanait de l'
yon émanant de l'œil droit devenait positif et celui qui émanait de l'
œil
gauche négatif, de telle sorte qu'on contracturai
té gauche: mais le tact conservé, au point qu'elle reconnaissait, les
yeux
fermés, tous les objets qu'on lui mettait entre l
ntes à la réveiller: les paupières n'ont pas cessé d'être closes, les
yeux
convulsés en bas, les catalepsies partielles, tou
e l'enfant terminée, la malade est réveillée en lui soufflant sur les
yeux
. Elle se frotte les paupières, les ouvre, s'éto
e dernière phase n'existait à son réveil. Nous avions donc sous les
yeux
une nouvelle et très remarquable preuve de la sci
peut faire passer V... i l'état de somnambulisme par la pression des
yeux
, l'ouverture des paupières et la friction du vert
de voir. La santé physique du dipsomane est rapidement altérée; ses
yeux
sont vitreux, souvent hébétés ; les joues sont co
s l'odeur alcoolique de l'haleine, le caractère vi-treux, hébété de l'
œil
, la coloration des joues, la bouche pourprée. la
ux heures pendant la nuit. J'obtiens enfin le sommeil hypnotique. Les
yeux
sont convulsés en haut, les paupières clignent et
que. Je n'en estime ces succès qu'à un plus haut prix, puisque, aux
yeux
d'un expert de sa valeur, la difficulté était ins
exemple, alors que nous savons que tout ce qui se déroule devant nos
yeux
n'est qu'une simple fiction, créée par les illusi
licite dans le sens qu'il lui plaît. Le sujet ayant par exemple les
yeux
ouverts, vient-on à lui présenter une image repro
bouche souriante. Dans le second cas, ses traits s'assombrissent, les
yeux
sont attristés, la face est rembrunie; il y a, en
i s'est opérée silencieusement en lui, suivant qu'on a mis devant ses
yeux
des figures gaies ou tristes. Et, chose bien re
tranger au monde extérieur, d'une manière générale. Il s'endort les
yeux
fermés; sur mon ordre, il les ouvre. Il peut caus
éit, mais il reste immobile comme quelqu'un qui dormirait debout. les
yeux
ouverts, ou comme un aveugle. Si je lui ordonne d
termédiaire; — 3° à distance et à travers l'air ambiant, nu moyen des
yeux
ou des doigts, tantôt directement, tantôt par réf
r. I. — Etat de rapport obtenu par contact. L... est endormi, ses
yeux
sont ouverts sur mon ordre; devant lui se trouve
au moyen du regard. Je me place derrière L... endormi et ayant les
yeux
ouverts. Devant lui et à quelques pas se trouve u
tte personne. L... la voit après deux ou trois secondes. Je ferme les
yeux
et. après cinq ou six secondes, L... ne la voit p
x et. après cinq ou six secondes, L... ne la voit plus. Je rouvre les
yeux
, il la voit. Je les ferme, il ne la voit plus, et
e vingt-cinq mètres devant L.... Placé derrière celui-ci endormi, les
yeux
ouverts, je rendais cette personne visible ou inv
sible ou invisible pour L..., à volonté, en ouvrant ou en fermant les
yeux
dirigés vers elle. 4. — Etat de rapport obtenu,
me voir directement, les résultats sont les mêmes. Lors donc que mes
yeux
sont ouverts, la personne précédemment invi-sible
'il indique spontanément qu'il le voit. El ¡1 me suffit de fermer les
yeux
ou de retirer mes doigts en les repliant pour qu'
esque aussitôt il l'entend. Puis il ne l'entend plus, si je ferme les
yeux
, et de nouveau il l'entend si je les rouvre, et a
je les rouvre, et ainsi de suite. Mêmes résultats si, au lieu des
yeux
, j'emploie les doigts. Toute personne mise par
e dans le corps humain, nous la voyons donc ici encore émaner par les
yeux
et par les extrémités des doigts, et constituer u
mi, le souffle le réveille complètement, s'il est dirigé sur les deux
yeux
à la fois, et seulement dans l'une ou l'autre moi
ié latérale du corps, lorsqu'on souffle isolément sur l'un ou l'autre
œil
. Mais pour L... le souffle a en plus une propri
sur le fluide magnétique, ou vital, ou nerveux, dont l'idée est à ses
yeux
une hypothèse simple, presque enfantine, et qui s
Maintenant. messieurs. permettez-moi de faire passer encore sous vos
yeux
deux cerveaux de sujets masculins, d'âge différen
érapeutique, 1863;—Précis de la réfraction et de l'accommodation de l'
œil
, 1865; — L'œil, un excellent petit volume de vulg
63;—Précis de la réfraction et de l'accommodation de l'œil, 1865; — L'
œil
, un excellent petit volume de vulgarisation des f
iences que M. Luys se fera un véritable plaisir de remeure sous leurs
yeux
, leur curiosité sera seule satisfaite. Si, au con
résentations pittoresques que j'ai l'honneur de faire passer sous vos
yeux
, et qui expriment avec une fidélité indiscutable
dans une certaine direction, se mettraient d'eux-mêmes en action; les
yeux
seuls sont ouverts et vivants, et, par leur regar
ns un état d'abattement profond quasi-comateux, la bouche béante, les
yeux
hagards, complètement aphone, avec arrêt des mouv
ie exprime un effroi profond, la face est tournée vers la gauche, les
yeux
sont saillants, la paupière supérieure très forte
ie, se replie comme pour donner un vigou-. reux coup de poing, et les
yeux
, tournés vers l'objet menaçant, sont chargés de c
mulatrice ? c'est un tout autre tableau qui va se dérouler devant vos
yeux
. Le place—t-on. par exemple, à droite, derrière l
la plupart du temps il est rapide, et on les voit, en se frottant les
yeux
, faire une longue inspiration, reprendre rapideme
ne intoxication iodique grave: coryza, larmoiement, douleurs dans les
yeux
, toux, nausées, sialorrhée. respiration sifflante
rmer un gaucher en ambidextre imparfait, je m'explique; j'ai sous les
yeux
un jeune garçon gaucher (mère névropathe), ses pa
paru. Deuxième séance, 31 mars. — Somnolence : ne peut ouvrir les
yeux
. Suggestion : fera des excuses à la personne cont
lente, comme on sait, pour déterminer le sommeil. On remarque que les
yeux
sont en strabisme convergent a fixation supérieur
six ans que la malade a commencé à présenter des mouvements dans les
yeux
et à loucher. Peu à peu les grimaces sont apparue
étonnant qu'elle ait cherché à imiter les tics qu'elle avait sous les
yeux
: il parait aussi qu'étant toute jeune, on s'amusa
ployés a diverses reprises, le sujet n'arrivait même pas à fermer les
yeux
. Je me suis adressé à des confrères expérimentés
t, le pouce et l'index venant comprimer légèrement et fermer les deux
yeux
, pendant que j'exécutais avec la main droite de d
le fait de l'application hétéronome, tomber en é:at de somnambulisme
yeux
ouverts, qui est la condition nécessaire à la pro
e dire qu'il y a des folies qui ne sont qu'une forme de somnambulisme
yeux
ouverts. Ce qui le prouve, c'est que des personne
rs feuilles de papier diversement colorées ayant été placées sous ses
yeux
, on l'a priée de nommer la couleur de chaque feui
a été détruite également par la fixation d'un papier rouge (+) avec l'
oeil
droit (-) (action hétéronome) et ramenée par la f
n hétéronome) et ramenée par la fixation du même papier à l'aide de l'
oeil
gauche (+) (action isonome). Le papier bleu (-),
(-), au contraire, ramenait la vision normale par la fixation avec l'
oeil
gauche (+) et l'achromatopsie par la fixation ave
tion avec l'oeil gauche (+) et l'achromatopsie par la fixation avec l'
œil
droit (-). Enfin, le sujet ayant été endormi de
chaise, tantôt, enfin, elle applique une cuisse contre l'autre... Ses
yeux
sont alors hagards et les traits de son visage se
puisque le plus souvent il suffit, pour cela, de lui souffler sur les
yeux
. Un meurtre est aussi fort difficile à suggérer
friction assez énergique sur le sommet de la tête, un souffle sur les
yeux
, une application polaire en hétéronomie sur le ce
) Fontan (J.) : La suggestion hypnotique appliquée aux maladies des
yeux
. (Rev. d'opht., juillet, août.) Roth (M.) : Phy
implement, d'une voix douce, persuasive : — » Regardez fixement mes
yeux
... Vos paupières vont se fatiguer... Elles devien
peu monotone. Le plus fréquemment, l'enfant ferme naturellement les
yeux
et il se laisse aller à la sensation d'engourdiss
nt suggérée. Quelquefois, la résistance est plus grande. II reste les
yeux
ouverts. Alors, en répétant les mêmes injonctions
ut en bas. Les paupières, fatiguées par la fixation précédente de vos
yeux
, clignotent et se ferment. On peut maintenir pe
, lorsque je vous aurai réveillé en vous soufflant légèrement sur les
yeux
, vous vous lèverez et vous ferez le tour de la sa
voit s'arrêter, revenir vers le fauteuil, s'y asseoir, se frotter les
yeux
. Quelquefois il résiste à l'envie de dormir, mais
re: « Allons, réveillez-vous ! » en leur soufflant légèrement sur les
yeux
. Une recommandation que nous jugeons indispensa
n fait passer le léthargique en catalepsie en ouvrant brusquement les
yeux
. 3* La phase de somnambulisme est celle pendant
ade, on lui dit : « Vous allez dormir tout naturellement. Fixez mon
œil
droit. Songez à dormir. Ne pensez à rien d'autre.
droit. Songez à dormir. Ne pensez à rien d'autre. Voici déjà que vos
yeux
sont humides. Vous êtes très las. Vos paupières s
ien. Je le touchais, pas de réaction: j'approchais une lumière de ses
yeux
, les pupilles largement dilatées ne se contractai
Société d'autopsie; j'accepte l'expression; elle est pour moi. à mes
yeux
, non un blâme, mais un éloge.» Qui pourrait blâ
fauteuil, Berthe immobile regarde droit devant elle, insensible et l'
œil
fixe. Il faut toucher l'épaule de la jeune fill
négations. Aucun doute ne subsiste dans la pensée du magistrat. A ses
yeux
, Berthe Mauclair est bien l'assassin de M. Givray
obligé d'occuper la Société de thérapeutique d'une affaire qui, à mes
yeux
, ne méritait point cet honneur. Mais pourquoi ne
a pas fait le moindre mouvement, si ce n'est un roulement de ses gros
yeux
, grands ouverts et effarés , lorsque des coups fo
à des tentatives d'hypnotisme au moyen du procédé de la fixation des
yeux
sur un ou deux doigts. — L'hypnose ne fut obtenue
dans un état qui dépassât la demi-léthargie, il ne pouvait ouvrir les
yeux
; il ne pouvait non plus se redresser sur son fau
naître. » Le 11 mai de la même année. Boucher fils mettait sous les
yeux
des membres de la Société de médecine de Rouen un
état de somnambulisme. Elle peut cependant répondre, mais répond les
yeux
fermés et ne travaille plus à un bas qu'elle repr
s le salon. Mme B... est toujours en eut de somnambulisme; elle a les
yeux
fermés, se heurte en marchant contre les murs et
e B.,. par une fente de la porte : elle était endormie, immobile, les
yeux
fermés, tenant son ouvrage à la main, mais ne tra
'a été la seule parole qu'elle ait prononcée ; mais elle l'a dite les
yeux
fermés et étant en état de somnambulisme. A 2 h
sme ait été bien caractérisé par l'attitude, l'allure, la clôture des
yeux
, la docilité (sans résistance) aux paroles de Mme
pondait pas; elle ne répondait pas non plus à Mme X... Elle avait les
yeux
à demi fermés, obstinément dirigés sur une montre
la boîte en or. Après que je lui ni eu touché le front et abaissé les
yeux
, elle m'a répondu : « C'est la montre qui m'a end
goût et pour la sensibilité de la langue et du pharynx. Du côte de l'
œil
: retard de la sensibilité de la cornée, abolition
nnaître les objets. Lorsque, par exemple, on plaçait la main devant l'
œil
gauche de la malade, elle ne pouvait la distingue
ression du vertex. Ayant, au cours de l'expérience, présenté devant l'
œil
gauche du sujet un papier rouge, je fus très éton
a figure du sujet, un écran disposé de telle façon, que chacun de ses
yeux
ne pût voir que les objets situés du côté corresp
ai que la malade voyait, du moins en apparence, les couleurs des deux
yeux
. L'examen de la sensibilité de l'œil gauche devai
pparence, les couleurs des deux yeux. L'examen de la sensibilité de l'
œil
gauche devait me fournir l'explication du fait. L
nergique, mais à droite, et la malade extériorait la sensation dans l'
œil
droit non touché. L'expérience de l'écran répétée
t une légère asymétrie faciale et par moments un léger strabisme de l'
œil
droit. Oreilles petites, bien ourlées: pas de lob
. Ainsi, on touche une cheville de la jambe droite et le patient, les
yeux
fermés, sent le contact dans la place corresponda
out le corps, à trois ou quatre reprises, puis sa tète se pencha, ses
yeux
se fermèrent, et elle s'endormit en poussant un l
e est-elle sur le tabouret qu'elle se met à trembler, elle pâlit, ses
yeux
se ferment et elle s'endort avant que je lui aie
uvaises. Je l'hypnotise facilement du premier coup en lui fermant les
yeux
avec deux doigts et en lui disant : « Dormez. » J
ns à l'éveiller qu'en écartant ses paupières et en soufflant dans ses
yeux
. Malgré la suggestion contraire, elle est maussad
face aplatie dans son ensemble, joues pleines, pommettes saillantes,
yeux
noirs et enfoncés, paupières à peine fendues, nez
des expériences du Belge Donato, qui paraissent si merveilleuses aux
yeux
d'une portion du public, ne doit-il pas être dévo
z élevée au-dessus de lut pour provoquer une fatigue considérable des
yeux
et des pau- (1) Sous ce titre, nous avons pour
et bigles, les borgnes, ceux qui ont la veué fort courte, qui ont les
yeux
cillans et fretillans et qui regardent de travers
chaque ceil, ou bien l'effigie d'un cheval en l'un d'eux, qui ont les
yeux
enfoncez et comme avaliez en une fosse, qui ont l
ge toute couverte de crasse et ordures; les louches aussi qui ont les
yeux
verds, azurez, bluetans et espouventables ensorce
bluetans et espouventables ensorcelent tout ce qu'ils regardent d'un
œil
fixe et courroucé. » Parmi les modernes, seuls
omplète : il est maigre, il a le visage creux, le teint pâle, de gros
yeux
qui ont quelque chose de ceux du crapaud et qu'il
le portrait subit quelques modifications : le teint est olivâtre, les
yeux
petits, le nez long et crochu et le cou long. V
père avec le plus de force ? X. Quels sont les gestes, son de voix,
œil
, caractères du visage qui font reconnaître le jet
s? Dans nos régions, on considère comme très dangereux les gens aux
yeux
caves ombragés de sourcils proéminents, ceux qui
r malpropreté et leur mine basse, ceux qui louchent, ceux qui ont des
yeux
vert de mer, d'un éclat sombre et d'une expressio
éclat sombre et d'une expression sinistre. En Allemagne, les gens aux
yeux
sombres, perçants, caves et rouges, ont le mauvai
les gens aux yeux sombres, perçants, caves et rouges, ont le mauvais
œil
. Gaule, dans Select cases of conscience, combat l
ur signe, en Angleterre, ie vieux signe païen, cest-a-dire les grands
yeux
. En Espagne, les fasci-nateurs sont les gens aux
dire les grands yeux. En Espagne, les fasci-nateurs sont les gens aux
yeux
vairons, de couleur incertaine ou variée et ceux
ifférentes ou d'inégales grandeurs. Les peuples slaves se défient des
yeux
profonds, très convexes et au regard sombre. En R
yeux profonds, très convexes et au regard sombre. En Russie, c'est l'
œil
noir qui est particulièrement malfaisant. Les Tur
r ou gris. Dans la Haute-Égypte et sur les rives de la mer Rouge, les
yeux
des fascinateurs sont les mêmes que ceux des autr
s Circassiens considèrent aussi une certaine forme et une couleur des
yeux
comme l'indice du pouvoir de fascination. En Maso
scination. En Masovie, si l'on est regardé par une personne qui a les
yeux
malades, on devient ensorcelé. Aux îles Hawaï, de
des malheurs sont a craindre si l'on rencontre une personne dont les
yeux
sont malades ou enflammés. Dans le Berry, on pe
nquilles et silencieux lorsqu'ils se trouvent en compagnie. Ils ont l'
œil
perçant et subtil; mais, comme si la nature eût v
« Ne fixe point ton regard sur le louche, il te donnerait le mauvais
œil
, « disent les Turcs. En Transylvanie, en Styrie
Ne te place jamais entre le roc et l'homme rouge », « Ne laisse pas l'
œil
d'un homme rouge s'arrêter sur toi » sont, en Irl
? — Je me sonviens que l'homme me fixa d'un regard persistant : son
œil
avait un reflet métallique qui me mit mal à mon a
rmait à poings fermés. Je m'approchai de son oreille et. touchant ses
yeux
, lui dis tout bas, de manière à ne réveiller ni e
du vaguement parler, l'attire par son inconnu, et elle s'y lance; les
yeux
fermés. Ce genre d'existence a duré plusieurs m
n sur la mâchoire inférieure de l'animal, de façon à faire sortir les
yeux
hors de l'orbite, et immédiatement tous les muscl
uys, étaient absolument identiques entre eux et cela à ce point que l'
œil
même le plus exercé n'y pouvait trouver de différ
Dans cette première séance, la commission vit se reproduire sous ses
yeux
les principaux phénomènes que M. Luys a décrits d
puis une contracture généralisée à tout le corps, que mis devant les
yeux
, il provoqua une terreur invincible et telle que
s fréquente. » Si, des régions voisines du pôle nord, on tourne les
yeux
sur celles qui le sont du pôle sud. on voit les h
'ignorance. » Sur la côte septentrionale d'Afrique, l'hystérie, à ses
yeux
, correspond à la torpeur intellectuelle et à la s
ille jour et .nuit; il leur est parfaitement impossible de fermer les
yeux
. La nuit entière. Us entendent sonner toutes les
sur la thérapeutique hydro--uBcraie ; Despagnet sur les maladies des
yeux
; Fournel, sur l'obstétrique, et Bérillon. sur I
inuera les lundis suivante, à la même heure. Programme: Le troisième-
œil
des vertébrés; la segmentation vertébrale ; les o
ues et somnambuliques par simple suggestion. Ni l'action d'ouvrir les
yeux
de l'hypnotisé, m la friction du vertex ne modifi
rodduire. II ne se cataleptisera pas tant qu'on n'aura pas ouvert ses
yeux
, s'il est pénétré de l'idée à priori que l'ouvert
ert ses yeux, s'il est pénétré de l'idée à priori que l'ouverture des
yeux
est nécessaire pour que la catalepsie se produise
e que la fatigue des paupières qui en résulte produit l'occlusion des
yeux
et que celle-ci -suggère l'idée du sommeil. Les p
iser par l'application d'une main sur le front et la pression sur les
yeux
. J'obtiens le sommeil au bout d'un quart d'heure.
ts ; le matin, pour aller au lavabo faire sa toilette. Elle tient les
yeux
presque absolument clos et ne parle à personne pe
projetés avec violence. La physionomie était toujours grimaçante, les
yeux
en strabisme convergent. C'était un spectacle des
cris et les mots obscènes ont tout a fait disparu. Les mouvements des
yeux
sont également moins fréquents et le strabisme es
ser le sang sous la porte. L'innocence du saint brillait à tous les
yeux
. Cependant, ne voulant pas désobéir à leur maître
èrent au palais. Ils racontèrent la scène qu'ils avaient eue sous les
yeux
: les quarante disciples de Sidi Mahmed bcn A
té, celui des jeunes femmes de l'île d'Yeu que nous avons eu sous les
yeux
et qui ne faisaient usage de viande qu'avec une e
re ans. d'avoir jeté l'Académie in médias res. d'avoir placé sous ses
yeux
, sans aucune précaution oratoire, des faits singu
Tout cela, sans que j'aie endormi M. Th.... sans qu'il ait fermé les
yeux
, sans qu'il ait cessé d'être en communication
les fées, les magiciens, les enchantements, les philtres, le mauvais
œil
, les talismans, l'ogre. Caliban. Croquemitaine...
scène fictive existe dans leur cerveau; ils ont vu, de leurs propres
yeux
vu, tout ce qui s'appelle vu. Est-il besoin d'i
Mme B... éprouva un léger frisson et s'affaissa sur son oreiller les
yeux
grands ouverts; je fermai aussitôt les paupières
uption dans la salle où nous étions rassemblés, s'avança vers moi les
yeux
hagards, l'air furieux, et subitement, s'armant d
aussitôt. A peine étendu, M. D... poussa un profond soupir, ferma les
yeux
et parut s'endormir. Je procédai alors par voie d
ectuelle; l'appétit revînt peu à peu, le tremblement disparut à vue d'
œil
. M. D... semblait impatient de reprendre la direc
t la fixation d'un point brillant, le ton impéra-tif, l'occlusion des
yeux
, la pression sur le vertex, etc., ne sont que des
par exemple, de lunettes faites avec ce verre, le rayon émanant de l'
œil
droit devenait positif et celui qui émanait de l'
yon émanant de l'œil droit devenait positif et celui qui émanait de l'
œil
gauche négatif, de telle sorte qu'on contracturai
té gauche: mais le tact conservé, au point qu'elle reconnaissait, les
yeux
fermés, tous les objets qu'on lui mettait entre l
ntes à la réveiller: les paupières n'ont pas cessé d'être closes, les
yeux
convulsés en bas, les catalepsies partielles, tou
e l'enfant terminée, la malade est réveillée en lui soufflant sur les
yeux
. Elle se frotte les paupières, les ouvre, s'éto
e dernière phase n'existait à son réveil. Nous avions donc sous les
yeux
une nouvelle et très remarquable preuve de la sci
peut faire passer V... i l'état de somnambulisme par la pression des
yeux
, l'ouverture des paupières et la friction du vert
de voir. La santé physique du dipsomane est rapidement altérée; ses
yeux
sont vitreux, souvent hébétés ; les joues sont co
s l'odeur alcoolique de l'haleine, le caractère vi-treux, hébété de l'
œil
, la coloration des joues, la bouche pourprée. la
ux heures pendant la nuit. J'obtiens enfin le sommeil hypnotique. Les
yeux
sont convulsés en haut, les paupières clignent et
que. Je n'en estime ces succès qu'à un plus haut prix, puisque, aux
yeux
d'un expert de sa valeur, la difficulté était ins
exemple, alors que nous savons que tout ce qui se déroule devant nos
yeux
n'est qu'une simple fiction, créée par les illusi
licite dans le sens qu'il lui plaît. Le sujet ayant par exemple les
yeux
ouverts, vient-on à lui présenter une image repro
bouche souriante. Dans le second cas, ses traits s'assombrissent, les
yeux
sont attristés, la face est rembrunie; il y a, en
i s'est opérée silencieusement en lui, suivant qu'on a mis devant ses
yeux
des figures gaies ou tristes. Et, chose bien re
tranger au monde extérieur, d'une manière générale. Il s'endort les
yeux
fermés; sur mon ordre, il les ouvre. Il peut caus
éit, mais il reste immobile comme quelqu'un qui dormirait debout. les
yeux
ouverts, ou comme un aveugle. Si je lui ordonne d
termédiaire; — 3° à distance et à travers l'air ambiant, nu moyen des
yeux
ou des doigts, tantôt directement, tantôt par réf
r. I. — Etat de rapport obtenu par contact. L... est endormi, ses
yeux
sont ouverts sur mon ordre; devant lui se trouve
au moyen du regard. Je me place derrière L... endormi et ayant les
yeux
ouverts. Devant lui et à quelques pas se trouve u
tte personne. L... la voit après deux ou trois secondes. Je ferme les
yeux
et. après cinq ou six secondes, L... ne la voit p
x et. après cinq ou six secondes, L... ne la voit plus. Je rouvre les
yeux
, il la voit. Je les ferme, il ne la voit plus, et
e vingt-cinq mètres devant L.... Placé derrière celui-ci endormi, les
yeux
ouverts, je rendais cette personne visible ou inv
sible ou invisible pour L..., à volonté, en ouvrant ou en fermant les
yeux
dirigés vers elle. 4. — Etat de rapport obtenu,
me voir directement, les résultats sont les mêmes. Lors donc que mes
yeux
sont ouverts, la personne précédemment invi-sible
'il indique spontanément qu'il le voit. El ¡1 me suffit de fermer les
yeux
ou de retirer mes doigts en les repliant pour qu'
esque aussitôt il l'entend. Puis il ne l'entend plus, si je ferme les
yeux
, et de nouveau il l'entend si je les rouvre, et a
je les rouvre, et ainsi de suite. Mêmes résultats si, au lieu des
yeux
, j'emploie les doigts. Toute personne mise par
e dans le corps humain, nous la voyons donc ici encore émaner par les
yeux
et par les extrémités des doigts, et constituer u
mi, le souffle le réveille complètement, s'il est dirigé sur les deux
yeux
à la fois, et seulement dans l'une ou l'autre moi
ié latérale du corps, lorsqu'on souffle isolément sur l'un ou l'autre
œil
. Mais pour L... le souffle a en plus une propri
sur le fluide magnétique, ou vital, ou nerveux, dont l'idée est à ses
yeux
une hypothèse simple, presque enfantine, et qui s
Maintenant. messieurs. permettez-moi de faire passer encore sous vos
yeux
deux cerveaux de sujets masculins, d'âge différen
érapeutique, 1863;—Précis de la réfraction et de l'accommodation de l'
œil
, 1865; — L'œil, un excellent petit volume de vulg
63;—Précis de la réfraction et de l'accommodation de l'œil, 1865; — L'
œil
, un excellent petit volume de vulgarisation des f
iences que M. Luys se fera un véritable plaisir de remeure sous leurs
yeux
, leur curiosité sera seule satisfaite. Si, au con
résentations pittoresques que j'ai l'honneur de faire passer sous vos
yeux
, et qui expriment avec une fidélité indiscutable
dans une certaine direction, se mettraient d'eux-mêmes en action; les
yeux
seuls sont ouverts et vivants, et, par leur regar
ns un état d'abattement profond quasi-comateux, la bouche béante, les
yeux
hagards, complètement aphone, avec arrêt des mouv
ie exprime un effroi profond, la face est tournée vers la gauche, les
yeux
sont saillants, la paupière supérieure très forte
ie, se replie comme pour donner un vigou-. reux coup de poing, et les
yeux
, tournés vers l'objet menaçant, sont chargés de c
mulatrice ? c'est un tout autre tableau qui va se dérouler devant vos
yeux
. Le place—t-on. par exemple, à droite, derrière l
la plupart du temps il est rapide, et on les voit, en se frottant les
yeux
, faire une longue inspiration, reprendre rapideme
ne intoxication iodique grave: coryza, larmoiement, douleurs dans les
yeux
, toux, nausées, sialorrhée. respiration sifflante
rmer un gaucher en ambidextre imparfait, je m'explique; j'ai sous les
yeux
un jeune garçon gaucher (mère névropathe), ses pa
paru. Deuxième séance, 31 mars. — Somnolence : ne peut ouvrir les
yeux
. Suggestion : fera des excuses à la personne cont
lente, comme on sait, pour déterminer le sommeil. On remarque que les
yeux
sont en strabisme convergent a fixation supérieur
six ans que la malade a commencé à présenter des mouvements dans les
yeux
et à loucher. Peu à peu les grimaces sont apparue
étonnant qu'elle ait cherché à imiter les tics qu'elle avait sous les
yeux
: il parait aussi qu'étant toute jeune, on s'amusa
ployés a diverses reprises, le sujet n'arrivait même pas à fermer les
yeux
. Je me suis adressé à des confrères expérimentés
t, le pouce et l'index venant comprimer légèrement et fermer les deux
yeux
, pendant que j'exécutais avec la main droite de d
le fait de l'application hétéronome, tomber en é:at de somnambulisme
yeux
ouverts, qui est la condition nécessaire à la pro
e dire qu'il y a des folies qui ne sont qu'une forme de somnambulisme
yeux
ouverts. Ce qui le prouve, c'est que des personne
rs feuilles de papier diversement colorées ayant été placées sous ses
yeux
, on l'a priée de nommer la couleur de chaque feui
a été détruite également par la fixation d'un papier rouge (+) avec l'
oeil
droit (-) (action hétéronome) et ramenée par la f
n hétéronome) et ramenée par la fixation du même papier à l'aide de l'
oeil
gauche (+) (action isonome). Le papier bleu (-),
(-), au contraire, ramenait la vision normale par la fixation avec l'
oeil
gauche (+) et l'achromatopsie par la fixation ave
tion avec l'oeil gauche (+) et l'achromatopsie par la fixation avec l'
œil
droit (-). Enfin, le sujet ayant été endormi de
chaise, tantôt, enfin, elle applique une cuisse contre l'autre... Ses
yeux
sont alors hagards et les traits de son visage se
puisque le plus souvent il suffit, pour cela, de lui souffler sur les
yeux
. Un meurtre est aussi fort difficile à suggérer
friction assez énergique sur le sommet de la tête, un souffle sur les
yeux
, une application polaire en hétéronomie sur le ce
) Fontan (J.) : La suggestion hypnotique appliquée aux maladies des
yeux
. (Rev. d'opht., juillet, août.) Roth (M.) : Phy
implement, d'une voix douce, persuasive : — » Regardez fixement mes
yeux
... Vos paupières vont se fatiguer... Elles devien
peu monotone. Le plus fréquemment, l'enfant ferme naturellement les
yeux
et il se laisse aller à la sensation d'engourdiss
nt suggérée. Quelquefois, la résistance est plus grande. II reste les
yeux
ouverts. Alors, en répétant les mêmes injonctions
ut en bas. Les paupières, fatiguées par la fixation précédente de vos
yeux
, clignotent et se ferment. On peut maintenir pe
, lorsque je vous aurai réveillé en vous soufflant légèrement sur les
yeux
, vous vous lèverez et vous ferez le tour de la sa
voit s'arrêter, revenir vers le fauteuil, s'y asseoir, se frotter les
yeux
. Quelquefois il résiste à l'envie de dormir, mais
re: « Allons, réveillez-vous ! » en leur soufflant légèrement sur les
yeux
. Une recommandation que nous jugeons indispensa
n fait passer le léthargique en catalepsie en ouvrant brusquement les
yeux
. 3* La phase de somnambulisme est celle pendant
ade, on lui dit : « Vous allez dormir tout naturellement. Fixez mon
œil
droit. Songez à dormir. Ne pensez à rien d'autre.
droit. Songez à dormir. Ne pensez à rien d'autre. Voici déjà que vos
yeux
sont humides. Vous êtes très las. Vos paupières s
ien. Je le touchais, pas de réaction: j'approchais une lumière de ses
yeux
, les pupilles largement dilatées ne se contractai
Société d'autopsie; j'accepte l'expression; elle est pour moi. à mes
yeux
, non un blâme, mais un éloge.» Qui pourrait blâ
fauteuil, Berthe immobile regarde droit devant elle, insensible et l'
œil
fixe. Il faut toucher l'épaule de la jeune fill
négations. Aucun doute ne subsiste dans la pensée du magistrat. A ses
yeux
, Berthe Mauclair est bien l'assassin de M. Givray
obligé d'occuper la Société de thérapeutique d'une affaire qui, à mes
yeux
, ne méritait point cet honneur. Mais pourquoi ne
a pas fait le moindre mouvement, si ce n'est un roulement de ses gros
yeux
, grands ouverts et effarés , lorsque des coups fo
à des tentatives d'hypnotisme au moyen du procédé de la fixation des
yeux
sur un ou deux doigts. — L'hypnose ne fut obtenue
dans un état qui dépassât la demi-léthargie, il ne pouvait ouvrir les
yeux
; il ne pouvait non plus se redresser sur son fau
naître. » Le 11 mai de la même année. Boucher fils mettait sous les
yeux
des membres de la Société de médecine de Rouen un
état de somnambulisme. Elle peut cependant répondre, mais répond les
yeux
fermés et ne travaille plus à un bas qu'elle repr
s le salon. Mme B... est toujours en eut de somnambulisme; elle a les
yeux
fermés, se heurte en marchant contre les murs et
e B.,. par une fente de la porte : elle était endormie, immobile, les
yeux
fermés, tenant son ouvrage à la main, mais ne tra
'a été la seule parole qu'elle ait prononcée ; mais elle l'a dite les
yeux
fermés et étant en état de somnambulisme. A 2 h
sme ait été bien caractérisé par l'attitude, l'allure, la clôture des
yeux
, la docilité (sans résistance) aux paroles de Mme
pondait pas; elle ne répondait pas non plus à Mme X... Elle avait les
yeux
à demi fermés, obstinément dirigés sur une montre
la boîte en or. Après que je lui ni eu touché le front et abaissé les
yeux
, elle m'a répondu : « C'est la montre qui m'a end
goût et pour la sensibilité de la langue et du pharynx. Du côte de l'
œil
: retard de la sensibilité de la cornée, abolition
nnaître les objets. Lorsque, par exemple, on plaçait la main devant l'
œil
gauche de la malade, elle ne pouvait la distingue
ression du vertex. Ayant, au cours de l'expérience, présenté devant l'
œil
gauche du sujet un papier rouge, je fus très éton
a figure du sujet, un écran disposé de telle façon, que chacun de ses
yeux
ne pût voir que les objets situés du côté corresp
ai que la malade voyait, du moins en apparence, les couleurs des deux
yeux
. L'examen de la sensibilité de l'œil gauche devai
pparence, les couleurs des deux yeux. L'examen de la sensibilité de l'
œil
gauche devait me fournir l'explication du fait. L
nergique, mais à droite, et la malade extériorait la sensation dans l'
œil
droit non touché. L'expérience de l'écran répétée
t une légère asymétrie faciale et par moments un léger strabisme de l'
œil
droit. Oreilles petites, bien ourlées: pas de lob
. Ainsi, on touche une cheville de la jambe droite et le patient, les
yeux
fermés, sent le contact dans la place corresponda
out le corps, à trois ou quatre reprises, puis sa tète se pencha, ses
yeux
se fermèrent, et elle s'endormit en poussant un l
e est-elle sur le tabouret qu'elle se met à trembler, elle pâlit, ses
yeux
se ferment et elle s'endort avant que je lui aie
uvaises. Je l'hypnotise facilement du premier coup en lui fermant les
yeux
avec deux doigts et en lui disant : « Dormez. » J
ns à l'éveiller qu'en écartant ses paupières et en soufflant dans ses
yeux
. Malgré la suggestion contraire, elle est maussad
face aplatie dans son ensemble, joues pleines, pommettes saillantes,
yeux
noirs et enfoncés, paupières à peine fendues, nez
des expériences du Belge Donato, qui paraissent si merveilleuses aux
yeux
d'une portion du public, ne doit-il pas être dévo
z élevée au-dessus de lut pour provoquer une fatigue considérable des
yeux
et des pau- (1) Sous ce titre, nous avons pour
et bigles, les borgnes, ceux qui ont la veué fort courte, qui ont les
yeux
cillans et fretillans et qui regardent de travers
chaque ceil, ou bien l'effigie d'un cheval en l'un d'eux, qui ont les
yeux
enfoncez et comme avaliez en une fosse, qui ont l
ge toute couverte de crasse et ordures; les louches aussi qui ont les
yeux
verds, azurez, bluetans et espouventables ensorce
bluetans et espouventables ensorcelent tout ce qu'ils regardent d'un
œil
fixe et courroucé. » Parmi les modernes, seuls
omplète : il est maigre, il a le visage creux, le teint pâle, de gros
yeux
qui ont quelque chose de ceux du crapaud et qu'il
le portrait subit quelques modifications : le teint est olivâtre, les
yeux
petits, le nez long et crochu et le cou long. V
père avec le plus de force ? X. Quels sont les gestes, son de voix,
œil
, caractères du visage qui font reconnaître le jet
s? Dans nos régions, on considère comme très dangereux les gens aux
yeux
caves ombragés de sourcils proéminents, ceux qui
r malpropreté et leur mine basse, ceux qui louchent, ceux qui ont des
yeux
vert de mer, d'un éclat sombre et d'une expressio
éclat sombre et d'une expression sinistre. En Allemagne, les gens aux
yeux
sombres, perçants, caves et rouges, ont le mauvai
les gens aux yeux sombres, perçants, caves et rouges, ont le mauvais
œil
. Gaule, dans Select cases of conscience, combat l
ur signe, en Angleterre, ie vieux signe païen, cest-a-dire les grands
yeux
. En Espagne, les fasci-nateurs sont les gens aux
dire les grands yeux. En Espagne, les fasci-nateurs sont les gens aux
yeux
vairons, de couleur incertaine ou variée et ceux
ifférentes ou d'inégales grandeurs. Les peuples slaves se défient des
yeux
profonds, très convexes et au regard sombre. En R
yeux profonds, très convexes et au regard sombre. En Russie, c'est l'
œil
noir qui est particulièrement malfaisant. Les Tur
r ou gris. Dans la Haute-Égypte et sur les rives de la mer Rouge, les
yeux
des fascinateurs sont les mêmes que ceux des autr
s Circassiens considèrent aussi une certaine forme et une couleur des
yeux
comme l'indice du pouvoir de fascination. En Maso
scination. En Masovie, si l'on est regardé par une personne qui a les
yeux
malades, on devient ensorcelé. Aux îles Hawaï, de
des malheurs sont a craindre si l'on rencontre une personne dont les
yeux
sont malades ou enflammés. Dans le Berry, on pe
nquilles et silencieux lorsqu'ils se trouvent en compagnie. Ils ont l'
œil
perçant et subtil; mais, comme si la nature eût v
« Ne fixe point ton regard sur le louche, il te donnerait le mauvais
œil
, « disent les Turcs. En Transylvanie, en Styrie
Ne te place jamais entre le roc et l'homme rouge », « Ne laisse pas l'
œil
d'un homme rouge s'arrêter sur toi » sont, en Irl
? — Je me sonviens que l'homme me fixa d'un regard persistant : son
œil
avait un reflet métallique qui me mit mal à mon a
rmait à poings fermés. Je m'approchai de son oreille et. touchant ses
yeux
, lui dis tout bas, de manière à ne réveiller ni e
du vaguement parler, l'attire par son inconnu, et elle s'y lance; les
yeux
fermés. Ce genre d'existence a duré plusieurs m
n sur la mâchoire inférieure de l'animal, de façon à faire sortir les
yeux
hors de l'orbite, et immédiatement tous les muscl
uys, étaient absolument identiques entre eux et cela à ce point que l'
œil
même le plus exercé n'y pouvait trouver de différ
Dans cette première séance, la commission vit se reproduire sous ses
yeux
les principaux phénomènes que M. Luys a décrits d
puis une contracture généralisée à tout le corps, que mis devant les
yeux
, il provoqua une terreur invincible et telle que
s fréquente. » Si, des régions voisines du pôle nord, on tourne les
yeux
sur celles qui le sont du pôle sud. on voit les h
'ignorance. » Sur la côte septentrionale d'Afrique, l'hystérie, à ses
yeux
, correspond à la torpeur intellectuelle et à la s
ille jour et .nuit; il leur est parfaitement impossible de fermer les
yeux
. La nuit entière. Us entendent sonner toutes les
sur la thérapeutique hydro--uBcraie ; Despagnet sur les maladies des
yeux
; Fournel, sur l'obstétrique, et Bérillon. sur I
inuera les lundis suivante, à la même heure. Programme: Le troisième-
œil
des vertébrés; la segmentation vertébrale ; les o
ues et somnambuliques par simple suggestion. Ni l'action d'ouvrir les
yeux
de l'hypnotisé, m la friction du vertex ne modifi
rodduire. II ne se cataleptisera pas tant qu'on n'aura pas ouvert ses
yeux
, s'il est pénétré de l'idée à priori que l'ouvert
ert ses yeux, s'il est pénétré de l'idée à priori que l'ouverture des
yeux
est nécessaire pour que la catalepsie se produise
e que la fatigue des paupières qui en résulte produit l'occlusion des
yeux
et que celle-ci -suggère l'idée du sommeil. Les p
iser par l'application d'une main sur le front et la pression sur les
yeux
. J'obtiens le sommeil au bout d'un quart d'heure.
ts ; le matin, pour aller au lavabo faire sa toilette. Elle tient les
yeux
presque absolument clos et ne parle à personne pe
projetés avec violence. La physionomie était toujours grimaçante, les
yeux
en strabisme convergent. C'était un spectacle des
cris et les mots obscènes ont tout a fait disparu. Les mouvements des
yeux
sont également moins fréquents et le strabisme es
ser le sang sous la porte. L'innocence du saint brillait à tous les
yeux
. Cependant, ne voulant pas désobéir à leur maître
èrent au palais. Ils racontèrent la scène qu'ils avaient eue sous les
yeux
: les quarante disciples de Sidi Mahmed bcn A
té, celui des jeunes femmes de l'île d'Yeu que nous avons eu sous les
yeux
et qui ne faisaient usage de viande qu'avec une e
re ans. d'avoir jeté l'Académie in médias res. d'avoir placé sous ses
yeux
, sans aucune précaution oratoire, des faits singu
Tout cela, sans que j'aie endormi M. Th.... sans qu'il ait fermé les
yeux
, sans qu'il ait cessé d'être en communication
les fées, les magiciens, les enchantements, les philtres, le mauvais
œil
, les talismans, l'ogre. Caliban. Croquemitaine...
les résultats d'un examen pratiqué par M. Landolt: « Amblyopie de l'
œil
droit dont l'acui té visuelle n'est que de Cet œi
« Amblyopie de l'œil droit dont l'acui té visuelle n'est que de Cet
œil
distingue toutes les couleurs et voit en gris (co
que de Cet œil distingue toutes les couleurs et voit en gris (comme l'
œil
gauche, normal) le mélange de trois couleurs fond
IE NORMALE vent être plus rapprochées (ou plus étendues) que pour l'
œil
gauche. « Ainsi, ia malade reconnaît avec son œ
ndues) que pour l'œil gauche. « Ainsi, ia malade reconnaît avec son
œil
droit des couleurs de deux millimètres de côté su
ajouter au blanc (disque rotatif) pour qu'elle soit perceptible à cet
œil
est : De 135 parties de rouge pour 226 de blanc
e blanc. « Quant à la perception des différents degrés de clarté, l'
œil
ne distingue pas la différence entre un mélange d
noir -f- 340 de blanc et de 25 parties de noir -f- 335 de blanc que l'
œil
normal reconnaît facilement. « Le champ visuel
blanc que l'œil normal reconnaît facilement. « Le champ visuel de l'
œil
droit est rétréci concentrique-ment. Les limites
— Les phosphènes ne sont perceptibles qu'à partir de l'é-quateur de l'
œil
, point qui correspond à peu près aux limites de s
er et se tendre à l'extrême ; les paupières s'ouvrent peu à peu ; les
yeux
d'abord en haut et à gauche, deviennent directs;
Autopsie le 21 jîiillel 1876. — Crâne. L'examen le plus attentif, à l'
œil
nu, ne fait découvrir aucune lésion dans le cerve
vaillait dans un autre village, elle rencontra un chien qui avait les
yeux
hors de la tête, la gueule pleine de bave, la que
'épaule droite [Fig. ! et 2) ou bien demeure rectiligne {Fig. 3). Les
yeux
regardent en haut et à gauche, à un tel degré que
cri. La tête se porte dans l'extension, le cou est tendu, gonflé, les
yeux
sont dirigés en haut, les pupilles sont très-dila
heveux, dénoués, sont rejetés derrière la tète et sur ses côtés ; les
yeux
sont dirigés en haut et un peu à gauche. Parfois,
écontracture et retombe ; les paupières sont largement ouvertes ; les
yeux
dirigés en haut. Les paupières ne battent plus. L
peur, pousse des cris d'effroi. « Les corbeaux!... ils me piquent les
yeux
. » Et, en un clin d'oeil, elle détache ses cheveu
ffroi. « Les corbeaux!... ils me piquent les yeux. » Et, en un clin d'
oeil
, elle détache ses cheveux et les jette sur sa fig
tions, déjà mentionnées, de la physionomie s'accusent davantage : les
yeux
deviennent hagards, les pupilles se dilatent, les
période : la tète se porte lentement dans l'extension, la face et les
yeux
se dirigent à gauche; le cou est violemment tendu
amen de la vision, fait par M. Landolt. 1875. Examen de la vision.—
Œil
droit. L'acuité visuelle est normale; G... distin
s les couleurs, seulement il faut les approcher plus près que pour un
œil
tout-à-fait sain. — Le champ visuel est rétréci c
ites dépassent également 45°; en dedans, il s'arrête à 30° environ.
Œil
gauche. — De cet œil, G... reconnaît toutes les c
ent 45°; en dedans, il s'arrête à 30° environ. Œil gauche. — De cet
œil
, G... reconnaît toutes les couleurs sauf le vert
rétréci (10°). A Tophtlialmoscope, on trouve que la rétine des deux
yeux
est congestionnée ainsi que la pupille quoique à
st assise : tantôt la tète garde une attitude presque naturelle ; les
yeux
sont légèrement dirigés en haut, les mains jointe
ron un demi litre de bière, cela avait suffi pour la faire passer aux
yeux
des habitants, grâce à la complicité d'un médecin
ns de la face ; extension suivie de flexion de la tète; déviation des
yeux
en bas; contracture des muscles du cou dont les v
urée variable. Ces douleurs siègent de chaque côté du front, dans les
yeux
, dans les oreilles, au sommet de la tète, à l'occ
tète est dans l'extension ; la face; les paupières sont closes ; les
yeux
fortement déviés en bas et à gauche ; le cou est
e un cri aigu, très-perçant; les paupières battent ; la déviation des
yeux
, qui avait diminué, augmente de nouveau; les pu
s, est plus prononcée que dans celle que nous venons de décrire ; les
yeux
se dirigent à droite au lieu de se porter vers
res, qui sont entr'ou-vertes, un léger nystagmus, de la déviation des
yeux
en bas et à gauche, uue dilatation modérée des pu
s) de la face prédominant à gauche ; une déviation très-prononcée des
yeux
en bas et à gauche, côté vers lequel la face est
s jambes sont toujours rigides. La malade semble regarder ; puis, les
yeux
sont fixes, le corps est immobile. Alors, la jamb
extension; le cou est gonflé; les paupières sont à demi-ouvertes, les
yeux
déviés en bas et à gauche, les pupilles modérémen
auche se décroise, devient souple, ainsi que les autres membres ; les
yeux
! s'ouvrent largement, le re-| gard exprime l'éto
s cuisses, son ventre, regarde les personnes qui l'entourent avec des
yeux
effarés ; parle entre ses dents, envoie des baise
bout dans un coin de sa cellule,les bras croisés sur sa poitrine, les
yeux
fixes, dirigés vers le ciel. Après avoir gardé
ivies d'une attaque incomplète et à laquelle succède une extase : les
yeux
sont largement ouverts, les bras sont en croix, l
à des gestes lubriques. On parvient à la calmer ; elle se couche, les
yeux
fermés, les mains jointes et reste tranquille jus
était triste, voyait des fantômes, avait peur, voulait se crever les
yeux
, crachait au visage des gens, voulait mourir, ava
t. On note un nouveau repos, après lequel la face reste immobile, les
yeux
convulsés en haut et à droite. Ces caractères s
intenses à gauche, sensations lumineuses, mouvements convulsifs de l'
œil
gauche « qui saute »). Ces derniers phénomènes, a
ntre autres la vue, offrent des modifications pathologiques. Ainsi, Y
œil
gauche voit le rose jaune, le bleu vert, le jaune
hthalmoscopique ne fait découvrir aucune lésion de l'un ou de l'autre
œil
(G-alezowski). On note encore une analgésie légèr
situation suivante : La perte de connaissance n'est pas complète, les
yeux
sont ouverts ; de temps en temps, il se produit d
nt qu'elle va avoir ses attaques. A peine était-elle fixée, que ses
yeux
se dirigent en haut comme si elle voyait quelqu'u
un coup et s'asseoit, la tête est légèrement penchée en arrière ; les
yeux
regardent en haut : Gélina est dans une sorte d'e
se peint sur le visage (Pl. XXX). — Après une troisième attaque, les
yeux
brillent de colère, la physionomie exprime le dég
ure ainsi caractérisés : La tête se porte à gauche et en arrière, les
yeux
à gauche et en haut; les pupilles se dilatent; le
attaques, il est vrai, mais après des crampes. 5 déc. — Examen des
yeux
(Landolt). — Diminution de l'acuité visuelle à dr
quelque chose » qui, du côté droit de la nuque, venait tomber dans l'
œil
correspondant, et, sur le champ, elle se plaignit
Amaurose hystérique); elle s'imaginait avoir une longue paille dans l'
œil
droit et éprouvait la plus grande difficulté à ou
ien de particulier. Elle avait la perception d'un brouillard épais. L'
œil
gauche était sain. M... a demandé qu'on lui mît u
il gauche était sain. M... a demandé qu'on lui mît un bandeau sur les
yeux
parce que la pression la soulageait. Elle a bien
rmi. Ce matin, quand on a voulu écarter les paupières pour examiner l'
œil
, elle accusa une vive douleur; elle croyait qu'on
accusa une vive douleur; elle croyait qu'on enfonçait les cils dans l'
œil
. — Actuel-ement, les deux yeux sont pris ; le tou
croyait qu'on enfonçait les cils dans l'œil. — Actuel-ement, les deux
yeux
sont pris ; le toucher est indolore ; les paupièr
e la face, de tractions sur la bouche, etc. 30 mars— Même état de l'
œil
droit ; même brouillard ver-dâtre. A gauche, dist
ôt les lettres deviennent troubles. Elle a continuellement devant les
yeux
des étincelles ou des flammes verdâtres. Elle rec
i une seconde fois la sensation d'une paille qui s'enfoncerait dans l'
œil
droit et la vue a été abolie, de ce côté, jusqu'à
ôté, jusqu'à ce matin. 4 avril.—De 6 à8 heures du soir, cécité de l'
œil
gauche ; vision colorée. Durant la cécité, douleu
« comme si on les tirait avec des ficelles. » La bouche se tourne ; l'
œil
gauche saute de temps en temps : Tous ces phénomè
laint de douleurs « atroces » dans le côté droit de la tête et dans l'
œil
correspondant qu'elle ne peut découvrir. De ce cô
cliné vers la droite, la face, immobile, ayant la même direction; les
yeux
sont fixes; la bouche est légèrement en-tr'ouvert
autre, une pelouse ; sur la place, il y a une négresse, nue, dont les
yeux
ressemblent à des lumières ardentes et qui lutte
ait impossible)... Il ne faut rien dire. » 10 h. 45. M... ouvre les
yeux
, respire deux ou trois fois profondément, pleure
; elle se laisse manier comme un automate. Elle demeure immobile, les
yeux
dirigés en haut et pleins de larmes, la figure ex
r par-dessus la compresse pour que l'évaporation soit plus lente. Ses
yeux
sont fermés ; elle secoue seulement la tète; pu
elle secoue seulement la tète; puis, elle ouvre les paupières; les
yeux
sont immobiles, les pupilles légèrement dilatées;
Chez M..., au contraire, l'amaurose, qui porta à la fois sur les deux
yeux
, ou, sur l'un d'eux, apparut indépendamment de to
t un demi-cercle. Un troisième magnétisé était obligé de fermer les
yeux
au bout de quelques instants d’action , et, sans
ées que tous les deux se levèrent en même temps, en se regardant d’un
oeil
provocateur; ils frappaient du pied le sol avec v
s seraient vaincs. Répondit l’audacieux : « Par le seul pouvoir des
yeux
« Je magnétise sans peines; « Et mime au trav
à tous les sentiments généreux, et souvent des pleurs coulent de ses
yeux
qui naguère étaient encore desséchés. Vous son mé
' comnamhul* luride : I.uri,r veut dir' qui [>eut tout voir» L'
œil
fermé soa> l’flulüe; Tu sena comben, dan» c*
s sens; dans quelques cas ouverture brusque des paupières, fixité des
yeux
, immobilité de la pupille, qui ne se contracte pa
ganes doués ou chargés d’autres facultés; ainsi on peut voir sans les
yeux
, entendre sans les oreilles, et se transporter en
diminution de vos forces vous avertira si vous avez agi, lorsque vos
yeux
n’auront rien découvert. Certains malades attiren
és. Il nous enseigne avec quelle puissance L’homme, sur l’homme aux
yeux
intelligents, Prouve qu’il lient son immortelle e
un fluide émanant du soleil et venant impressionner directement notre
œil
; puis, ou m’a dit que ses effets n’étaient dus q
haise ne bougea plus, et je ma-« gnétisai. Au bout de dix minutes les
yeux
se fer-« nièrent, et j’en restai là. « Je crois
n cette ville du phénomène extraor-« dinaire que nous avions sous les
yeux
, nous honora • également de sa visite. Il vit l
prit do mes auditeurs la vérité que je venais de faire luire à lfeurs
yeux
. Une sorte de réaction avait lieu contre moi, et
ontredire la marche des planètes. « parce qu’il avait constamment les
yeux
sur son tire- • pied. » Le Passe-temps des 11
l faut te mettre en règle. Mais dans ce lieu, on affirme qu’il y a un
œil
qui voit tout. Comment la crainte ne te saisit-el
on. Tu renverses, culbutes et mets tout ei» désordre autour de toi; l'
œil
de la police a beau s en-ir’ouvrir, s’écarquiller
ures du soir, profitant d’un instant où j’étais occupé à décoller les
yeux
d’une somnambule que je venais d’éveiller et l’at
ces magnétiques. Des faits, de plus en plus surprenants, frappent nos
yeux
, mais rien absolument ne se révèle qui puisse nou
ne personne magnétisée, celle par exemple que nous avons eue sous les
yeux
, nous rende compte à l’instant môme de ce qui se
oureuses. « Dans la première moitié de cette maladie elle avait les
yeux
parfaitement clos; dans la seconde elle les ouvri
personne de la chaîne. « 3* Phénomènes de la vision. — Quoique les
yeux
fussent fermés et même bandés, elle reconnaissait
ur le bonheur du genre humain, ils ne manqueraient pas d’ouvrir leurs
yeux
à la lumière et de devenir de fervents apôtres
is, je recourais à tous les expédients, lorsqu’enüu, par bonheur, mes
yeux
se dessillèrent. J’eus honte un moment de moi-mêm
ua graduellement l’extension. La tèto était tant soit peu élevée, les
yeux
parfaitement clos; quand je déchaussai la dent, p
La dent fat arrachée en un instant... la bouche resta ouverte et les
yeux
toujours clos, et pas un frissonnement, pas la mo
vers ses fins; chaque jour le bien qu’il peut faire se dévoile à nos
yeux
; encore un pas, et nous sauverons des mains de la
r ce religieux dans un état absolu de somnambulisme. « Il avait les
yeux
ouverts, mais fixes, n’étant vêtu que de la tuniq
ux lampes qui étaient sur mon bureau ne fit aucune impression sur ses
yeux
, et il s’en retourna comme il était venu, ouvrant
; mais mon émotion était telle qu’il me fut impossible de fermer les
yeux
le reste de la nuit. « Le lendemain, je fis app
l y a à Lisbonne, dit le frère Lebrun, une jenne femme qui a de vrais
yeux
do lynx ; elle a la vue si perçante qu’elle voit
plusieurs sources en sa présence sans autre secours «pie celui de ses
yeux
. « L’eau est la seulo chose qu’elle peut voir à
se produisent, la science qui se répand de tous côtés, sans que leurs
yeux
s’ou-vrent, est un phénomène plus grand que le ma
l’intelligence. Ce n’est pas tout. Restait le plus difficile à nos
yeux
du phénomène du magnétisme. Un ouvrage manuscrit
s le commencement delà séance jusqu’au réveil, la magnétisée a eu les
yeux
constamment fermés, sans qu’on ait jamais pu rema
i de nous que la volonté du magnétiseur avait rendu invisible à ses
yeux
. C’est par celte expérience que la séance a été
t autour de lui, autre que le magnétiseur. Je tenais à avoir sous les
yeux
des faits, et ils ont été pleinement satisfaisant
rient, ot en Egypte plus particulièrement, contre le sort, le mauvais
œil
, les épidémies, la stérilité, etc. Je ne rappelle
irai même accablant, et qu’il semblait éviter de fixer, dirigeant ses
yeux
à droite et à gauche plutôt que sur la personne à
t de ses expériences qu’il faisait en public, et qui semblaient à ses
yeux
plutôt un jeu à côté de ses autres secretsqu’il n
feu. Il l’engagea de nouveau à chercher dans l’encre le reflet de ses
yeux
, à regarder bien attentivement, et à l’avertir dè
ent à nos oreilles. « Le silence était profond ; l’enfant avait les
yeux
fixés sur sa main ; la fumée s’éleva en larges fl
n doute que le spectacle qu’il racontait était réellement là sous ses
yeux
. En définitive, le sultan s’était assis dans sa t
’elles indiquaient d’une manière évidente que l’enfant avait sous les
yeux
des choses entièrement neuves pour lui. Ainsi Sha
fatiguait; il lui releva la tête en lui appliquant les pouces sur les
yeux
et en prononçant des prières, puis il le laissa.
onçant des prières, puis il le laissa. L’enfant était comme ivre; ses
yeux
n’avaient point une direction fixe, son front é
détails, comme à un événement qui se serait réellement passé sous ses
yeux
. Mon étonnement avait surpassé mon attente; mai
gestes particuliers, je l’endors « immédiatement; mais elle reste les
yeux
ouverts, « parle et gesticule comme éveillée. » E
!...........> Lecteurs, ne vous a-t-il pas semblé tenir sous vos
yeux
l’annonce d’une parade magnétique? En effet, c’es
ance. Serez-vous toujours sourds? Lisez cette brochure; peut-être vos
yeux
se dessilleront-il«. Le Propriétaire-Gérant : H
rut. II fallait voir les têtes ten- ducs, les bouches ouvertes, les
yeux
fixes de rues spectateurs, attendant la réponse d
côtés, et je vis que je n’avais plus qu’à appuyer mes pouces sur les
yeux
de mon patient, car ils m'avaient tous quitté pou
rompé moi-même sur des faits qui se sont répétés vingt fois .sous mes
yeux
, par ma volonté, devant une foule de témoins diff
fin de s’assurer qu’on n’est pas dupe d’une mystification. Elle a les
yeux
préalablement bandés à l’aide d’un foulard, d’un
age et le travail. Elle porte toujours les objets à la hauteur de ses
yeux
. Mais nous sommes convaincus qu’elle ne peut voir
e danger auquel elle était exposée, et elle suppliait, les larmes aux
yeux
, son guide de la sauver des griffes d’une grosse
pose est humble, gracieuse et digne ! Quelle ferveur dans ses grands
yeux
levés au ciel! Que toute cette figure d’ordinaire
dans les défenses projetées une foule d’hommes dont le seul tort, aux
yeux
dos hommes de l’art, est de soulager et guérir sa
erre, ni impériale. M. le duc d’Orléans, qui la considéra de tous ses
yeux
, ne put jamais la deviner; il n’en avait jamais v
t la présentation d’une femme de Sau-mur, affectée d'une maladie de l’
œil
, mieux peut-être de la vision, laquelle aurait ét
s reconnaître. Cette huute approbation du tsar fera-t-ellc ouvrir les
yeux
à nos illustres académiciens? Vision somnambuli
urs fois en somnambulisme magnétique. Après deux minutes environ, les
yeux
du sujet se ferment peu à peu ; les paupières sup
es d’un léger tremblement, s’appuient avec force contre le globe de l’
œil
, lequel paraît se convulser sous l’arcade sourcil
d’insensibilité. Piqué, pincé sans mot dire, on lui présente devant l’
œil
ouvert un flacon débouché de pommade ammoniacale
ral. Précédemment on choisissait les voies respiratoires au lieu do l’
œil
pour cette épreuve, et l’insensibilité était auss
ère que Votre Majesté me « permettra d’en placer les preuves sous ses
yeux
. « Mais, avant toutes choses, je dois me rappeler
t nos premiers pas dans le champ de la réalité, éblouissante pour nos
yeux
habitués aux erreurs que la science officielle do
les maux que leur incurie perpétue. Vous les avez vus détournant les
yeux
lorsqu’ils ne pouvaient y apporter aucun soulagem
phénomènes que le magnétisme fuit éclore chaque jour et révèle à nos
yeux
, la seconde vue est peut-être la plus curieuse, s
porter sur la production des faits, des guérisons, qui prouvent, aux
yeux
des incrédules, infini- ment plus que le témoig
une romance. Le magnétiseur ne fait point de gestes, mais il suit des
yeux
la rebelle ; il sait que dans un instant elle va
intenant, dussé-je perdre lu vie. » Bientôt la magnétisée ferme les
yeux
, mais il n’y a point de sommeil cependant. Elle d
x pas dormir. Une scène muette a lieu alors; la magnétisée frotte ses
yeux
, fait des efforts inouïs pour les ouvrir, mais la
e où se peint 1a bonté. I>e célestes rayons semblent partir de ses
yeux
qu’elle entr’ouvre, et son âme en ce moment paraî
qu’elle a eu est loin de ses pensées; quelques larmes tombent de ses
yeux
. Bientôt elle sourit : ce n’est plus le même'ôtre
ssent de regrets. Et nous écoutons le bruit lointain des pas; notre
œil
se dirige sans cesse vers la porte par où doit pa
plaintes surtout? Crovez-vous qu’il trouve du charme à avoir sous ses
yeux
les misères humaines et la vie aux prises avec la
cessera d’être sèche et ta bouche aride, ton pouls battra moins, tes
yeux
seront moins brillants, et la cruelle fièvre qui
a. Quant au magnétiseur, valût de Satan, elle l’a toujours devant les
yeux
sous l’aspect d’un monstre, quoique réellement ce
que c’est de lui-méme et par lui-même qu’il doit voir, et non par les
yeux
d’autrui? Oh ! race humaine, tu permets qu’on d
s sont arrivés ; à ce signe certain C'est trop longtemps fermer vos
yeux
et vos oreilles; Peuples, réveillez-vous; n'est
nt la faculté de se promener en dormant, tout comme s’ils avaient les
yeux
ouverts, sont-ils insensibles à la douleur à ce p
-« dicateur fanatique qui leur parle d’une voix ton-« nante, avec des
yeux
étincelants et des gestes éner-« giques, etc., et
raison. Les effets des actions ne se trouvent pas toujours sous nos
yeux
ou assez près de l’action pour les motiver. On
Le contraste entre le vice et la vertu, qui leur sera mis sous les
yeux
, relèveront dans leur cœur le prix et l’amour pou
nfant, s’aperçurent bientôt que, bien que durant ces accès il eût les
yeux
fermés , il voyait assez pour se conduire, et mêm
ès; il ne pouvait prononcer aucune parole; de plus, il conservait les
yeux
fermés; mais en revanche l'odorat semblait acquér
t et les évitait ainsi en marchant aussi sûrement que s’il eût eu les
yeux
ouverts. Pour s'assurer que cet état extraordin
1 infirmité qu’il a en partage avec ses confrères : une taie sur les
yeux
. Nègres blancs. — A propos d’une discussion sur
a clef non aimantée suspendue par un fil quelconque à la hauteur de l’
œil
do l’expérimentateur, et à vingt ou trente centim
uche le corps de l’animal) qui se tournera vers votre doigt, vers vos
yeux
, etc.; si c’est un fétu de paille ouvert et aplat
rent, dit Bodin, comme en plein jour, et font toucher au doigt et à l'
œil
l’erreur de ceux qui ont écrit que ce transport d
te raison qui ne spécule que sur les faits que peuvent toucher et nos
yeux
et nos mains, est essentiellement incomplète, et,
la for,ne extérieure de la surface dont ils jaillissent. Quand notre
œil
devient la base de ce cône lumineux, le phénomène
face des corps dans l’espace ; et comme celle-ci, en pénétrant dans l’
œil
et conduite au cerveau, s’est transformée en idée
ans l’âme ajoule une nouvelle puissance à la pénétration du regard; l’
œil
s’illumine et s’enflamme, il lance des éclairs, i
ermédiaire de ses organes. Dans cet état, elle voit sans le moyen des
yeux
, entend sans le secours des oreilles, et elle voi
oigne sans que je bouge de place. « Enfin, pour isoler l’action des
yeux
d’avec celle de la main, des conducteurs, ou de l
quement l’ombre du corps, pour n agir aucunement sur celui-ci par les
yeux
, en qui de tout temps on a reconnu une grande T
ncontestables, sur une puissante loi de nature, et vous détournez les
yeux
! Qui êtes-vous done enfin? Avez-vous donc besoin
ui et la plaça sur son bureau, dans un bocal, où elle vit encore, les
yeux
constamment tournés vers celui qui lui a sauvé la
étiquement parlant, le chiffre de la foule. Maintenant choisissez des
yeux
la plus absorbée, la plus éplorée, la plus indign
à l'énergie de votre contemplation, la personne ainsi clouée par vos
yeux
sortira peu à peu de son immobilité; il sera fait
ieux les vaincre. Tant que votre volonté sera d’attirer vers vous ses
yeux
, une nécessité indomptable les forcera graduellem
il pas souvent malade dans le sanctuaire de ses dieux lares, tant les
yeux
de l’envie avaient dardé leurs invisibles poisons
t, presque aussitôt, par un subit retour sur lui-même, détournant les
yeux
et se voilant encore la face, il s’aperçoit avec
ranges vinrent danser sous (1) Confetiioni de saint Augutti". mes
yeux
; les Tous dont j’avais parlé, se dessinant sur le
se mon esprit, un éclat de rire convulsif s’échappe de ma poitrine; l’
œil
hagard, je m’écrie : « Et moi aussi, je suis fou
asiue. dans le cirque et clans la foule par ses oreilles et par ses
yeux
, le professeur était entraîné au désordre cérébra
pique de ce geste inspiré le courage dupeuple qui se battait sous ses
yeux
; mais, récipro-quemfent, les milliers de regards
aient avec la prière, dont l’aspiration visible disparaissait à leurs
yeux
. Aaron et Hur soutinrent les bras du prophète des
elle fit, dans cette attitude, plusieurs pirouettes rapides; puis, l’
œil
fixe et le regard menaçant, elle s’approcha de no
uand Jean-Jacques était aux pieds de madame d'Houdctot, vainement ses
yeux
brillants et ses torrents de larmes servaient-ils
ues du phénomène, la fascination purement animique déroulera sous nos
yeux
l’histoire complète •lu progrès des arts. Suivant
faisait avec la même aiguille ; elle avait perdu l’odorat, avait les
yeux
exactement fermés, et distinguait seulement par l
rtie supérieure des paupières, qu’elle se réveilla en se frottant les
yeux
, disant qu’elle n’était nullement fatiguée, et
examen, lorsqu’en me promenant dans le passage Vivienne j’arrêtai mes
yeux
sur l’affiche d’un cours de magnétisme que M. le
s détails à nos lecteurs, nous en mettons le procès-verbal sous leurs
yeux
. Cette opération, si intéressante pout’ la scienc
si des milliers d’hommes assurent qu’ils les ont vus de leurs propres
yeux
, il faut bien se résigner à les examiner avec c
nature, et quelques-uns à produire ces faits extraordinaires qui, aux
yeux
du vulgaire, ont passé pour des miracles; avec la
Launav, disent : la première, qu’ayant entièrement perdu l’usage d’un
œil
, elle avait été guérie par les prières de la Buea
s prières de la Bueaille; la seconde, qu’elle a été guérie d'un mal d’
yeux
par la même voie, avec cette circonstance que la
chargées de sable. Chute de matrice très-prononcée. Amaurosc de l’
oeil
droit. Œil gauche terne, vitreux. Indigestion
ble. Chute de matrice très-prononcée. Amaurosc de l’oeil droit.
Œil
gauche terne, vitreux. Indigestions fréquentes.
stre et le foie que j’actionne tout spécialement. Je ne magnétise les
yeux
que secondairement ; car je pressens que là le ma
s'étend maintenant jusqu’à lu base du cou. Nulle lucidité encore. Les
yeux
vont mieux. La malade ne fait plus usage de ses c
n radicale de l’amaurose à la suite d’une crise toute spéciale dans l'
œil
droit. Le 16. — La malade se découvre un nombre
mpoisonné... Lors de mon sevrage, l’humeur « galeuse se porta sur les
yeux
; je devins aveugle... « Je restai un an dans cet
le-« ment resté de ces palpitations une fissure dans la « cornée et l’
œil
droit. «Ma maladie au foie, à laquelle j’attrib
er au magnétisme l'importance scientifique qui lui est due; car à vos
yeux
, je l’espère, il est comme aux miens la science p
ment par l’auteur des Médecins dévoilés, ne pouvait trouver grâce aux
yeux
de M. Couturier, qui no croit mieux faire que de
e. Le lendemain matin, je trouvai ma malade assise sur son lit; ses
yeux
étaient fermés; elle voulait, di-sait-elle, s’hab
eau de la réveiller ; j’y parvins presque; elle ouvrit un instant les
yeux
, nous regarda ; mais, à mon grand étonnement, ell
rait une personne bien éveillée. Il est inutile de dire qu’elle a les
yeux
fermés durant la représentation. Le rôle qu’elle
as la dernière, et l’Académie sera bien obli-« gée d’ouvrir enfin les
yeux
à la lumière, si elle ne « veut passe couvrir de
nétisme? Ne pouvons-nous opposer fait contre fait, montrer à tous les
yeux
ce que leur art a de vain et d’impuissant? Usons
estinées des nations. Mais il faut commencer par l’établir à tous les
yeux
; le temps en fera ressortir l’importance, el nou
ure, naturelle est la faculté de dessiner tout ce qui peut parler aux
yeux
. La langue et l’écriture de convention consiste
il se précipite comme un furieux, les traits profondément altérés, l’
œil
hagard, dans l’attitude d’un homme qui veut atten
e doute lit des objections; on y répondit en couvrant de bandeaux les
yeux
des dormeurs; on mit sur leur lace des masques d’
, Virginie, etc., etc., qui lisent couramment, comme chacun sait, les
yeux
fermés, n’étaient pas assez fous pour risquer l’e
s nie. Une vérité magnifique existe aussi brillante quele soleil; ses
yeux
ne sauraient l’apercevoir. N’est-ce pas là le sig
e déjà trop longue des méfaits somnambuli-ques que j’ai mise sous vos
yeux
, j’aurais pu ajouter les grossières erreurs que c
bohémiens d’un autre âge, ils disent l’avenir, jouent aux cartes les
yeux
bandés, et tendent en sortant la main pour recevo
énomènes intellectuels, dont le tableau si riche était placé sous scs
yeux
. Mais voilà que tout à coup la limite est franc
où l’on n’a plus besoin du témoignage des sens, où l’on voit sans les
yeux
, entend sans les oreilles, etc., etc. Les corps o
à présent ils lui ont refusé l’entrée de leur temple. Ah ! si leurs
yeux
pouvaient apercevoir ce jeu singulier des forces
mme brun, jeune, de haute taille, coiffé d’un chapeau enfoncé sur les
yeux
, et enveloppé d’un manteau avec lequel il se cach
ouver enfin. Il n’est même aucun crime qui ne puisse être dévoilé aux
yeux
d’un clairvoyant lorsque celui-ci est mis en rapp
la prudence. IU se croient forts parce qu’ils sont nombreux; mais les
yeux
sont ouverts sur leurs démarches; qu’ils aillent
nce n’on serait pas moins manifeste. En effet, il faudrait fermer les
yeux
et les couvrir d’un épais bandeau pour ne point v
mettre sur le compte de la volonté du magnétiseur ce qui n’est à mes
yeux
qu'une transmission île pensée. La transmission
magni-lorama que quelques enthousiastes veulent faire passer sous nos
yeux
! Ils promènent notre esprit de féerie en féerie
l’heure si sensibles... Que vous faut-il de plus? Vous détournez les
yeux
sans mot dire! Ah I je vois votre trouble, votre
epsie. Sa figure ne présente rien de remarquable, si ce n’est que ses
yeux
sont légèrement affectés de strabisme. « M. Pou
omment voulez-vous qu’elle voie ce que z’aidanslc corps en fermantles
yeux
, quand les a«tres, en les ouvrant bien, ne peuven
ables du paganisme ne sont que d’ingénieuses fictions pour cacher aux
yeux
du vulgaire les principales découvertes de la sci
. Mes cheveux étaient dressés, des larmes de joie s’écoulaient de mes
yeux
, et mon esprit était d’une légèreté telle que nul
omnambulique : « Croyez-vous, dit-il, que l’âme ne voie que par les
yeux
et qu’elle soit circonscrite par la portée de nos
us que l’âme puisse porter un regard assuré sur les objets cachés aux
yeux
du corps, lorsque souvent, quand nos paupières so
mes et ses hiéroglyphes, elle laisse facilement percer et dévoile aux
yeux
des adeptes des notions bien arrêtées sur les ava
dant son sommeil, à ses travaux habituels. Lorsqu'on lui couvrait les
yeux
d'un épais bandeau, la vision s’exerçait avec la
ise, l’irritabilité se porte en plus grande quantité sur la rétine, l’
œil
devient susceptible d’apercevoir les objets micro
bles par leurs dispositions internes, ne se rendit jamais visible aux
yeux
des spectateurs dans l’usage des procédés de Mesm
, en leur recommandant de la regarder fixement, sans en détourner les
yeux
et sans entraver la liberté de leur clignotement.
comment condamnerait-elle une médication qui n’est qu’illusoire à ses
yeux
? Tant que les tribunaux refuseront une existence
gnée. A la suite de cette dernière, le bras droit et la paupière de l’
œil
gauche commencent à, se paralyser. Cet état dura
18, application régulière du magnétisme. « Au bout de huit jours, l’
œil
droit s’ouvre. Le dixième jour, les passes magnét
e; au commencement de juillet, le bras droit; quelques jours après, l’
œil
gauche. \ la fin de juillet, je commence à marche
our éviter tout contact, et que le simple fait même qu’on portait les
yeux
sur mon dos me faisait crier. « Au mois de mai
es suivants : face contractée, grippée, bouche tordue rrégulièrement,
yeux
fermés et le globe renversé, pâleur inale du vi
t de vingt à vingt-cinq minutes que durent ces passes, elle ouvre les
yeux
, l’œil gauche toujours quelques minutes après le
gt à vingt-cinq minutes que durent ces passes, elle ouvre les yeux, l’
œil
gauche toujours quelques minutes après le droit,
froid du magnétiseur, dirigé avec une certaine force sur la face, les
yeux
et principalement le front, pendant environ dix m
étique, avec une ou deux personnes qui lui étaient sympathiques ; scs
yeux
étaient complètement fermés: elle me tournait le
son lit, le pouls est à 90, et à huit heures et demie le globule de l'
œil
gauche se renverse ; des mouvements convulsifs ag
a un mouvement de déglutition bruyant, continuel. A neuf heures, les
yeux
se ferment, l’agitation continue; le pouls est à
soulever les paupières, qui me laissent cependant voir le globe de l’
œil
convulsivement porté vers le haut de l’orbite; c'
avoir la conscience que ce fût la mienne; je [souffrais tant, que mes
yeux
se sont renversés; des passes latérales, que vous
s instruite de l’école, ses études ayant été retardées par des maux d’
yeux
. Son discours roula surtout sur la vie de Jésus-C
les réduit à cette alternative, ou de nier ce qu’ils ont vu de leurs
yeux
ou entendu de leurs oreilles, ou d’avouer qu’ils
itre heureux. Dans mi livre destiné «aux masses, qui doit frapper les
yeux
pour arriver à l’esprit, le titre est d’une grand
les temples de Thèbes ou de Memphis, vient donner l’enseignement des
yeux
à ceux que les textes n’auraient pas entièrement
e grand et maigre, d’une physionomie repoussante, à laquelle ses deux
yeux
fauves, allumés par la fièvre, donnaient une expr
la vue de cette masse flasque, gluante et froide qu’éclairaient deux
yeux
fixes et fulgurants, la panique s’empara des plus
be ou un trou pour se blottir. « Oléda, (pii ne le quittait pas des
yeux
, le saisit de nouveau et le souleva en nous le pr
Je restai confondu, les deux nègres ne voulaient pas en croire leurs
yeux
: Li ka ami, bon Dit ! disaient-ils entre leurs d
pa vigoureusement à plusieurs reprises. A cette nouvelle attaque, les
yeux
ronds du serpent étincelèrent, sa gueule se rempl
straire, si, pour mieux vous renfermer en vous-même, vous couvrez vos
yeux
, ne finissez-vous pas par voir, en quelque sorte,
n malheureuse la vérité la plus puissante qui fut jamais dévoilée aux
yeux
humains, (le qui ne serait que ridicule chez les
entes douleurs faciales, le côté gauche de sa figure était enflé et l’
œil
gauche contourné; or, s’étant fait magnétiser que
d’action, qu’il ne m’entend plus que lorsque je le touche. « A mes
yeux
s’en sont joints huit autres supplémentaires, qui
n’était-ce qu’un abaissement de la paupière, une occlusion forcée des
yeux
? Je l’ignore. Quant au singe dont il s’agit, je
au centre d’un bouton rouge, les invite à fixer imperturbablement les
yeux
sur ce bouton, et recommande à l’assistance un si
z la bouche ; bien ! Vous ne pouvez plus fermer la bouche. Fermez les
yeux
; vous ne pouvez plus ouvrir les yeux. Tenez-vous
us fermer la bouche. Fermez les yeux ; vous ne pouvez plus ouvrir les
yeux
. Tenez-vous debout; vous ne pouvez plus vous asse
examinés et étudiés plus facilement, il sera bon de les soumettre aux
yeux
et à l’esprit des lecteurs avec toutes leurs circ
rus sur parole. L'homme qui raisonné veut marcher à la conviction les
yeux
ouverts et à la lumière de la logique ; il refuse
nt son regard dans le miroir, que je tenais à quelque distance de ses
yeux
, elle me suivait dans une sorte de transport lors
ppelai Héloïse, elle se leva tout d’une pièce et vint près de moi les
yeux
fermés. « Vous allez me servir. — Oui, monsie
la vérité. J’ai même ajouté aux faits qui déjà avaient passé sous vos
yeux
, deux nouveaux documents, qui ne sont pas sans va
guérisons par le toucher, la parole ; qu’avec sa salive il ouvrit les
yeux
d’un aveugle, et qu'il a transmis le don de guéri
que parfaite et instantanée de mes mouvements, même la fermeture d’un
œil
et la contraction d’un muscle de la face. J’ai ég
ble à celle du soleil; elle augmente de plus en plus, et me bride les
yeux
. » L’envie la prend d’approcher le pied du disq
rapidement, lui donne la sensation d'une forte chaleur à la face; ses
yeux
éblouis ont peine it le fixer, elle voit beaucoup
laire. Pas de vision. Les jours suivants, à peine a-t-elle jeté les
yeux
sur le miroir et revu cette brillante lumière, qu
ité de mes doigts, des flammes s’élancer de la paume de ma main ; mes
yeux
et mon cœur dardent aussi des rayons d’un vif écl
e cœur, duquel, de temps en temps, jaillit comme un éclair ; puis les
yeux
, puis l’extrémité des doigts..... Pas de vision ;
e ; seulement la physionomie du disque lui paraît plus sévère, et les
yeux
sont fixes et lumineux ; cette tête ne fait aucun
mée, qu’en me fixant elle distingue déjà une certaine clarté dans les
yeux
, les comparant à ceux d’un chat pendant la nuit;
assées étaient accompagnées d’un charmant cavalier au teint brun, aux
yeux
beaux, dont les traits réguliers étaient rehaussé
ent et naïvement le récit des expériences qui se sont faites sous mes
yeux
ou que j’ai faites moi-même. Dans l’humble mais
gens. Ces jeunes gens, je les ai vus enfants, ils ont grandi sous mes
yeux
; je connais leur caractère, leur moralité, leurs
rageait. Tout à coup, an milieu d’un intermède de silence, quarante
yeux
s'écarquillent et vingt voix s’écrient: Elle boug
otre fête est un tribut de reconnaissance envers celui qui ouvrit nos
yeux
à la lumière, une consécration de la vérité qu’il
e chaos des mensonges Fait resplendir la vérité; La foudre qui de l'
œil
s'élance Pour écraser ta liberté..... Ou rani
nel. Si vous doutez de l'efficacité curative du magnétisme, jetez les
yeux
autour do vous, interrogez les douleurs qu’il a s
ries; demandez si ses effets sont bienfaisants, à cette mère qui, les
yeux
au ciel, presse sur sa poitrine son enfant arrach
itié frémissante dans la main de 1 homme, et mets le paradis dans les
yeux
de la femme; oh ! non, tu n’es pas un mal, tu es
s du temple couvre l’Isis mystérieuse, et je laisserais briller à vos
yeux
la lumière qui rayonne de son sein. Permettez-moi
t trop haut, que blessent toutes les ronces du chemin parce que leurs
yeux
sont attachés au ciel; pauvres plantes des beaux
a santé des académiciens, pour qu’une faveur du Ciel ouvrît enfin les
yeux
à tant d’aveugles! Hélas! ce sentiment fait honne
ur le sceptique au plus c’est un atôme Imperceptible aux regards do l'
œil
nu ; Pour l’ignorant souvent c’est un fantôme,
fdle à l’hôpital, pour s’éviter la douleur de la voir périr sous ses
yeux
, ce qui devait arriver, disait-il, avant peu de j
mbulisme, être parfaitement isolée et insensible, avec convulsion des
yeux
en haut I Questionnée sur ce qu’elle éprouvait
je partage-avec vous, de voir un jour le Ciél entr’ouvert devant nos
yeux
, la mort engloutie à jamais, Fhomme et la femme r
contraire, tant qu’il y a des hommes il y a nécessairement devant nos
yeux
un foyer de miracles perpétuels, et que les mirac
la dignité de son espèce, lorsqu’il a eu le malheur de détourner les
yeux
de dessus cet être miraculeux que l’on appelle l’
ahit dans son langage la même tendance, et Jésus-Christ tf est, à ses
yeux
, qu’un agent supérieur de magnétisme, comme Socra
s, nous y voyons le triomphe d’une vérité longtemps cachée à tous les
yeux
, vérité qui doit un jour faire disparaître bien d
ace Qu’un songe perdu sans retour. L'image que l’erreur impose, L'
œil
sans rayon sur qui repose, Sans Péclairer, le f
e; niais aujourd'hui, après avoir vu, ce qui s’appelle vu de mes deux
yeux
, des labiés tourner clans tous les sens, et obéir
ne foi, et attendre que le temps vienne le confirmer et dessiller les
yeux
de ceux qui croient que tout est découvert parce
conseillées généralement par les homéopathes dans les affections des
yeux
; c’est précisément le genre de maladie dont Mm°
etite ville d’Aix : M'"' X*'** lit par 1rs pieds, sons le secours des
yeux
!... Personne ne croit à ce miracle, et je partag
s ne perdons pas de vue un seul instant celle qui doit Y opérer à nos
yeux
. Nous faisons de temps à autre la conversation av
et de médecins, devraient pourtant avoir rendu incontestable pour les
yeux
éclairés la réalité de l’a-geni dit magnétique, e
pose exister dans l'aimant; mais lien ne justifie cette croyance. L'
œil
de l’observateur placé dans les circonstances les
d’une attaque épileptiforme. Elle souffrait beaucoup de la tête ; ses
yeux
étaient brillants, les pupilles très-dilatées, le
ibilité complète de la peau, sans point hyperliestésique, face rouge,
yeux
brillants, bouche brûlante, pouls à 125—ÜO— 120—1
la commissure des lèvres est tirée tantôt en haut, tantôt en bas; les
yeux
roulent dans leur orbite avec un aspect hagard, e
ux, moraux, philosophiques qui vont rouler devant nous et éblouir les
yeux
de nos têtes et de nos esprits : surgit apollo st
rois heures, l’affection avait revêtu un caractère tout autre ; les
yeux
de la malade s’étaient tournés lentement vers une
est très-simple : le magnétisme me monte au cerveau, il me dilate les
yeux
, ils voient ; le premier objet qui les frappe est
oment dans la rue, supposez que le magnétisme, au lieu de dilater mes
yeux
, dilate mes oreilles... l’orgue aurait opéré le m
constante de la nature, qui nous a toujours appris qu’on voit par les
yeux
, qu’on sent par le nez, qu’on entend par les orei
le chambranle de la cheminée, il y trouve, en tâtonnant (car il a les
yeux
fermés), une grosse poire qu’il mange avec avidit
hier, écrivait (saus y voir, puisque dans tous ses accès il avait les
yeux
fermés) les temps d’un verbe grec (du verbe «&
nt fut à son comble lorsqu’on vint à découvrir qu’il lisait aussi les
yeux
fermés. J’étais à, la campagne dans ce moment,
s, on l’a vu lisant avec la plus grande facilité, sans le secours des
yeux
, au moyen de la main. Des personnes les plus reco
première observation : l’habitude du corps dans l’état naturel ; les
yeux
complètement fermés ; les paupières pouvaient cep
ependant être facilement séparées, et l’on voyait alors le globe de l’
œil
dévié de sa position normale. M***, disposé à cor
une finesse et une exaltation merveilleuses. Le malade, marchant les
yeux
fermés, flairait continuellement et paraissait se
de chez lui, cheminer dans la rue aussi sûrement que s’il eût eu les
yeux
ouverts ; d’autres fois, il est monté sur le toit
à une certaine distance du malade (tout à fait hors de la portée des
yeux
les plus clairvoyants) cette question : « Mon che
tc. » M. Roux, témoin de ce fait, voulait mettre un bandeau sur les
yeux
, afin de mieux s’assurer que le malade ne lisait
habile clignotement, les questions qu’on lui adressait par écrit. Les
yeux
bandés, ce que M*** voulut bien souffrir, pour l’
ais toutes sortes de choses. » Non contents d’avoir ainsi bandé les
yeux
avec un mouchoir, nous voulûmes encore appliquer
un mouchoir, nous voulûmes encore appliquer une compresse sur chaque
œil
, ce qui fut fait, et le bandeau servit à les main
nmes enfin le même résultat encore en interposant un carton entre les
yeux
et le papier sur lequel les questions devaient êt
mettant cette condition : « Si vous me mettez un carton devant les
yeux
et non sous le nez. » Nouvelle preuve du sens o
fortement appliquée contre le visage, et s’élevait bien au-dessus des
yeux
. Le malade lut également dans cette position ce q
ant que l’autre. Le somnambule ou le jongleur, si l’on veut, a lu les
yeux
fermés, voilà qui est constant; des compresses, m
t; des compresses, maintenues par un bandeau, ont été placées sur ses
yeux
. Dira-t-on que le petit intervalle qui subsiste t
le nouveau Lyncée put lire avec tant de rapidité à la distance de ses
yeux
à ses genoux, sur lesquels il posait ordinairemen
ite, et marcha sur les genoux aussi rapidement que sur ses pieds; ses
yeux
étaient ouverts; le mouvement des paupières était
mon malade pouvait voir, et pour m’assurer qu’il n’userait pas de ses
yeux
, je me plaçai derrière lui, et tirant de ma poche
ah! vert, s’écria-t-il, incrédule, qui croit que j’ai « besoin de mes
yeux
pour voir ! » « On lui présenta à l’oreille des
is si la loi de la nature est que la vision s’exerce par le moyen des
yeux
; si les différentes parties qui concourent à la
yeux ; si les différentes parties qui concourent à la formation de l’
œil
sont disposées pour que l'impression des objets e
ut-on conclure de là que la vision qui s’exerce naturellement par les
yeux
ne puisse, en aucune manière et dans un état cont
l dans les phénomènes de la vision. Les membranes et les humeurs de l’
œil
ne formant qu’un appareil réfringent, ne sont pas
, ditEuler, qu’autant que leurs images sont peintes dans le fond de l’
œil
. Elles constituent l’objet immédiat de la vision
dans l’acte de la vision. Nous la voyons en effet se produire dans l’
œil
frappé d’amau-rose, ainsi que dans l’œil de l’hom
en effet se produire dans l’œil frappé d’amau-rose, ainsi que dans l’
œil
de l’homme ou de l’animal mort. Lors donc que nou
que sorte l’empreinte de cet objet. Supposons un carré sur lequel les
yeux
se dirigent; de tous les points de ce carré parte
t d’une bête féroce, il en fait un lion qui veut mordre et griffer. L’
œil
injecté, la respiration haletante , les ongles so
u doubler, à sou gré, l’action des muscles. Ainsi, il fait ouvrir les
yeux
et la bouche avec défense de les pouvoir fermer;
taracte au moyen d’un tronc d’arbre qui forme pont. Il fallait voir l’
œil
du sujet mesurant le vide, et croyant marcher sur
lève sa main au-dessus de sa tête, et la table se lève au niveau des
yeux
. Alors le lama fait un mouvement en avant, et la
vince de Transbaïque, près du village de Jelauy. Je me méfiais de mes
yeux
, j’étais convaincu que le lama levait la table à
ONNES. • La question de la rotation des tables semble épuisée aux
yeux
du vulgaire ; en réalité, elle est à peine posée
cles à des « enfants, à des chèvres, à des tables; s’ils trompent les
yeux
« en charlatans adroits, par des prodiges apparen
nstriction vers l'épigastre ; elle y portait aussitôt les mains ; ses
yeux
se fermaient ; elle se levait brusquement quand e
entr'ouvraient spasmodiquement et laissaient apercevoir le globe de l’
œil
convulsé ; les poings étaient fermés, les pouces
53. 20 lesquelles le calme survenait brusquement : elle ouvrait les
yeux
, le regard ¿‘tait fixe; elle se relevait avec viv
épigastre, presque à l’instant môme le calme reparaît : le globe de l’
œil
reste toujours convulsé, la face est pourpre; les
m ¡ron cinq à dix minutes; elle agite ses membres convulsivement; ses
yeux
se ferment, le globe de l’œil se convulse ; elle
agite ses membres convulsivement; ses yeux se ferment, le globe de l’
œil
se convulse ; elle frappe avec violence sur la ta
côté est la crédulité, je le demande, du côté de ceux qui ferment les
yeux
ou du côté de ceux qui les ouvrent, qui comparent
dre. Toutes les autres personnes qui entouraient la table avaient les
yeux
fermés et ne les ouvraient qu’après la fin de l’o
les neuf autres personnes qui fonnaient la chaîne et qui tenaient les
yeux
fermés pendant la durée entière de l’opération.
e sait plus comment peindre cet être mystérieux, et n’a plus sous les
yeux
que les traditions du passé ; les exorcismes sont
us retient captif dans votre ignorance; c’est lui qui vous bouche les
yeux
et obstrue vos oreilles comme si vous étiez membr
a science moderne ne saurait vous en apprendre ; vous recouvrerez vos
yeux
et vos oreilles, et en sachant quelque chose de c
ormais examiner les plus curieux phénomènes, et faire passer sous les
yeux
du lecteur ce qui est dans notre pensée, ce qui
s comment la bôte broute et s’engraisse,’et qu’il n’é-lève jamais les
yeux
vers le ciel pour y chercher le vrai Dieu : voilà
eux qui ne sont plus leur est possible, car ils ne voient point par l’
œil
matériel, mais par celui des purs esprits. 0 Vé
i nous porte irrésistiblement à sui\ re le mouvement produit sous nos
yeux
. C’est cette tendance qui fait que le joueur de b
le celle-ci, qui met en quelque sorte les battements du cœur sous les
yeux
. « On prend un petit bocal à large ouverture. O
continuer de broder. Venait-on à interposer un corps opaque entre ses
yeux
et l’objet qu’elle tenait, elle poursuivait sa tâ
bandon. Et cependant le sujet qui ne peut lire dans sa pensée, et aux
yeux
duquel tout se passe extérieurement, comme d’habi
somnambule qu'à son réveil il ne puisse voir un objet placé sous ses
yeux
, ou qu’il éprouve un vif désir pour une chose qui
e par l’agent magnétique, voit ces signes corporels, invisibles à nos
yeux
, et peut ainsi lire dans la pensée, ou 11 eu reço
rez juste d’en faire part à vos lecteurs pour mettre ainsi sous leurs
yeux
toutes les pièces d’un débat qui, non-seulement i
parut respirer. Des larmes de joie et d’espoir coulèrent de tous les
yeux
; les deux frères redoublèrent d’action, et ils e
ne peut apercevoir, ce dont on peut même s’assurer en lui bandant les
yeux
avec soin. Les ciseaux sur lesquels la main est p
que. A M11' MARIE A...., MAGNÉTISÉE. Quel est donc l’avenir à tes
yeux
éblouis, 0 belle jeune fille? A ce miroir magiq
On la vit tout à coup, de la terre affranchie, Se transformer aux
yeux
. — Dans un éclat plus pur Se montraient les objet
e, Éclatant tout & coup sous les feux du soleil, Découvre à l’
œil
charmé des horizons immonses; Ainsi, par un sou
ses baisers et ses chaudes caresses ? Peut-être aussi ton père à tes
yeux
s’est montré, Bon vieillard, qui grondait, en sou
leur existence, cependant, n’est pas moins certaine que la vôtre. Vos
yeux
ne voient de nous que l’enveloppe ; la partie spi
rveilleuses de l’agent nouveau ? Non ! Ces sages modernes ferment les
yeux
à la lumière; satisfaits d’eux-mêmes, ils ressass
nt sous l’influence magnétique , ce qu’indiquaient le brillant de ses
yeux
et l’attitude de ses traits. C’est dans cet état
QUE. Regarde dans ce miroir, saisis ces images qui passent sous tes
yeux
comme des nuages légers. — Je vois les temps pa
s faits bien plus étranges, et que j’ai également rus, de mes propres
yeux
vus, ce qui s’appelle ru : Toutes les tables qu
rçon, cela est faux ! Quand même il lui eût mis un bandeau devant les
yeux
, ce n’est qu’un accord qu’ils ont ensemble : «l
niverselle; elle attire la curiosité des gens du monde, elle luit aux
yeux
des malades comme un phare consolateur; elle évei
uste valeur les assertions que nous venons de faire passer sous leurs
yeux
, et qui leur donneront un échantillon suffisant d
jusqu’alors, que le diable y est pour quelque chose. Ouvrez donc les
yeux
; le diable, grâce à votre énorme ignorance, a jou
vous vous dépouilliez de votre dignité naturelle, comme aussi de vos
yeux
, pour en faire hommage au diable. « Mais la vol
telligence à chercher la cause des phénomènes qui se passent sous nos
yeux
, et que nous devons peut-être toujours ignorer, l
fois vous appeliez à vous quelques hommes et cherchiez à ouvrir leurs
yeux
à la lumière ; mais, comme un seigneur (jui sait
tout à coup et présentant un masque mobile indescriptible. Tantôt les
yeux
sortent de leurs orbites et se présentent rouges
e se déformait, la langue sortait de la bouche. C’était alors par les
yeux
, le front et les sourcils que je pouvais lire une
tisation, tout rentra bientôt dans l’ordre, et je n’eus plus sous les
yeux
qu’un visage où se montrait seulement la souffran
i que j’avais vu déjà, mais une figure de vieille décrépite, avec des
yeux
chassieux, des lèvres pendantes, des rides à y me
seconde magnétisation, voici l’image d’une possession ; j’ai sous les
yeux
une religieuse de Loudun, une des saintes filles
n instinct.... quelque chose.... me dit de persévérer. J’étais tout
yeux
et tout oreilles. Au bout de cinq minutes, mon ma
homme consentit à se laisser magnétiser: au bout de cinq minutes ses
yeux
se fermèrent, dix minutes après, sur ma demande,
t sans regarder le sol, si ce n’est de temps en temps, comme si les
yeux
voyaient en relief cette empreinte des pas qui es
retourna, vit l’empreinte déjà effacée et imperceptible pour d’autres
yeux
, puis ne parla plus de l’affaire. Un an et demi p
tat de dépisteur? Quel pouvoir microscopique se développe-t-il dans l’
œil
de ces hommes ? Quelle sublime créature est celle
nt l’avenir, les somnambules continuent à voir à distance, à voir les
yeux
fermés, ce qui n’esl pas, du reste, un rtfctuvais
fermés, ce qui n’esl pas, du reste, un rtfctuvais moyen : « Ferme les
yeux
et tu « verras. » C’est-à-dire que la pensée nous
C’est-à-dire que la pensée nous apprend que ce qui se passe sous nos
yeux
n’est rien que formes vaines, apparences fugitive
serai convaincu que l’on peut voir à distance et sans le secours des
yeux
. „ _ Vous êtes persuadé que votre expérience a
ne nombreuse société. Comme le major H.... l’exécuta souvent sous mes
yeux
, je puis décrire en détail les moyens qu’il emplo
aux retapés en poil de lapin, qu’on vend au Temple, où ils frappent l’
œil
de l’antiquaire; les naïfs béotiens les achètent,
ieuses des faux sorciers; alors seulement vous vous réhabiliterez aux
yeux
du inonde sérieux ! ! ! Un dernier mot. Dans la
e ans), qu'il s'est aperçu que, lorsqu'il regar- dait en l'air, ses
yeux
se trouvaient connue fixés dans cetle posi- tio
raide ren- dait la parole lente et disgracieuse, les muscles des
yeux
étaient atteints, ainsi que ceux de la face. Se
les moteurs à presque tous les muscles volon- taires (même ceux des
yeux
et de la langue), leur ca- ractère transitoire,
pètes ; en même temps rougeur vive à la joue gauche, injection de l'
oeil
gauche. La paroi labyrinthique est méconnaissab
la verge et le siège, des cau- chemars, des boules de feu dans les
yeux
, etc. Enfin il a éprouvé des absences véritable
onnais pas un seul cas de folie paralytique qui ait évolué sous l'
oeil
du sens interne. Comment, en effet, une lésion
érence entre un maniaque et un délirant par persécution sautera aux
yeux
des moins clairvoyants. J'étudierai successivem
r distinguer les caractères, il faut que l'objet soit très près des
yeux
. Dans le crépuscule il reconnaît à peine les pe
e capable d'engendrer le tableau symptomatique qu'on avait sous les
yeux
. Quelle était donc l'étiquette qui convenait à
envahi le côté gauche; le malade croit qu'il n'existait que dans l'
oeil
droit; mais il est probable qu'il occu- pait le
ulbe, ne présentaient aucune lésion, ou déformation appréciable à l'
oeil
nu 1. Ainsi nous voilà en présence d'un état
alade se lève, reste quelques secondes dans la position assise, les
yeux
hagards; puis elle se renverse sur le lit, et s
ressemble au sommeil. Bientôt apparaissent des convulsions dans les
yeux
et dans les muscles de la face, puis sur le cou
de courts intervalles. Puis la malade a du délire. Elle ouvre les
yeux
, se lève et commence à causer avec les personnes
sante observation qui offre avec les cas que nous avons sous nos
yeux
, à la Salpêtrière, de nombreux points de rappro-
ée en arrière, le cou raide et gonflé, la figure congestionnée, les
yeux
convulsivement fermés, le corps contusionné et
s étaient de nouveau complètement fermées, et elle criait que ses
yeux
« éclataient ». Les lèvres étaient couvertes d'éc
sion de l'abdomen, mouvements fréquents de déglutition, roulement d'
yeux
, mouvements convulsifs de la face, et perte mom
malade à cette période de la crise. Il suffit d'un simple coup d'
oeil
pour être frappé du caractère éminemment hystériq
ce américaine, avec ceux de même espèce que nous avons ici sous les
yeux
. La malade est étendue rigide sur son lit, la t
et de la fatigue dans les membres. Au commencement de l'attaque ses
yeux
devenaient lourds et son regard vague, sa tête se
rises parfaitement comparables à celles que nous avons ici sous les
yeux
, et aux- quelles peut s'appliquer exactement la
surface de cet organe, entre les artères et les veines visibles à l'
oeil
nu et que nous venons de décrire, il existe un
ut pendant les efforts d'accommodation, impos- sibles pour les deux
yeux
à la fois sur le même objet, à raison du nystag
ouillé externe, aussi complète qu'après l'énucléation du globe de l'
oeil
par Gudden), ou en un mot des trois centres G.
substance blanche en est lésée. Non moins concluante serait, à ses
yeux
, l'absence de dégénérescence médullaire, surtou
ux localisations pathologiques, M. Duret expose rapidement sous les
yeux
du lecteur, avec leurs princi- cipaux signes et
e, et donne de sa blessure des nouvelles rassurantes; la plaie de l'
oeil
droit qui lui avait causé d'abord des inquiétudes
e Lamaëstre, au moment de la visite, avait essayé de lui crever les
yeux
avec les doigts. 108 SOCIÉTÉS SAVANTES. prome
était en nourrice dans une ferme, où il avait constamment sous les
yeux
les plus mauvais exemples : à trois ans et demi
pas une thèse générale ; aussi faudrait-il avoir le malade sous les
yeux
pour donner un avis motivé ; cependant on doit
en juin 188 ! ; perle de connaissance, hémiplégie, pan- nus dans l'
oeil
gauche, surdité absolue de l'oreille du même côté
ppa à la lésion, mais l'ophtlialmique fut paralysé et la perte de l'
oeil
arriva très rapidement; dans les derniers jours
EUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES
YEUX
; Par M. Il. PARINAUD. Dans l'élude des paraly
X; Par M. Il. PARINAUD. Dans l'élude des paralysies motrices de l'
oeil
, on semble admettre que la lésion est toujours
de Biologie, 1880), et les paralysies des mouvements associés des
yeux
qui font l'objet de ce travail. Les mouvements
ciés des yeux qui font l'objet de ce travail. Les mouvements de l'
oeil
, comme la plupart de ceux qui sont soumis à la
iennent surtout nécessaires dans les mouvements associés des deux
yeux
, qui se font à l'aide de muscles tantôt homo- n
ler que le point de départ de PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES
YEUX
. 147 ces travaux a été dans l'observation clini
aire, donne donc en réalité des filets aux trois nerfs moteurs de l'
oeil
, et nous voyons par cet exemple qu'il ne faut p
nts qui relèvent de muscles innervés par un même nerf dans les deux
yeux
. La difficulté au fond est la même : ces mouvem
car une incision, même super- PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES
YEUX
. 149 ficielle, pratiquée sur la ligne médiane d
unissent les différents noyaux d'origine des nerfs mo- teurs des
yeux
et que l'on possède l'explication du mécanisme
en particulier du vermis inférieur, sur les mouvements associés des
yeux
. On voit par cette énumération combien le probl
ue nous avons en oculistique de déterminer les troubles moteurs des
yeux
par les caractères de la diplopie. Or, on mécon
pprochant de mes propres observations. Les' mouvements associés des
yeux
sont de plusieurs espèces; ils sont parallèles
t parallèles ou non parallèles. Dans les mouvements parallèles, les
yeux
se déplacent dans le même sens, par rapport à l
rt à l'axe du corps. Ils sont PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES
YEUX
. 151 très nombreux, les pupilles pouvant prendr
ipale des quatres muscles droits, et qui, envisagés dans les deux
yeux
, donnent les mouvements horizontaux à gauche et
ou. La paralysie oculaire intéresse à la fois le droit externe de l'
oeil
gauche et le droit interne de l'ceil droit, mais
ncée pour le premier que pour le second. Elle existe lorsque chaque
oeil
est examiné séparément, aussi bien que dans la
eurs incomplète, elle n'occa- sionne pas de déviation sensible, les
yeux
étant au repos; mais je constate que, après un
son médecin M. le Dur Girou. PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES
YEUX
. 153 diane.) Les pupilles sont égales et réagis
s et réagissent assez bien. L'acuité visuelle est égale dans chaque
oeil
examiné séparé- ment. Il n'y a pas de lésion au
aque oeil examiné séparé- ment. Il n'y a pas de lésion au fond de l'
oeil
. Je ne constate à ce moment aucune modification
u- guée est plus prononcée; elle s'accompagne d'une déviation des
yeux
à droite. Le mouvement de convergence s'exécute e
mois les symptômes pa- ralytiques ont été limités aux muscles de l'
oeil
. Cette forme de paralysie, qui me fit porter dè
ésion de la protubérance produit le syndrome paralysie conjugée des
yeux
, hémiplégie, et paralysie faciale, cette derniè
meilleure. Ces attitudes sont PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES
YEUX
. 155 fréquentes dans les paralysies oculaires.
ections de la protubérance, elle a lieu du côté de la déviation des
yeux
et du côté opposé à la lésion. Observation II
. Mêmes résultats sous le rapport de l'amplitude des mouvements : l'
oeil
gauche et l'oeil droit ne peuvent se porter à d
sous le rapport de l'amplitude des mouvements : l'oeil gauche et l'
oeil
droit ne peuvent se porter à droite. Nystagmu
ou la fixation à distance sur la ligne médiane. L'occlusion d'un
oeil
développe dans l'autre un nystagmus très pronon
mais irrégulière en ce sens qu'il est beaucoup plus prononcé pour l'
oeil
droit, où il est même exagéré du fait de la par
litude normale. Il développe du nys- tagmus surtout prononcé dans l'
oeil
gauche. Les mouvements d'élévation et d'abaisse
e pas actuellement. A l'état de repos il n'y a pas de déviation des
yeux
, ni de la face. La malade a seulement une tenda
lade a seulement une tendance marquée à suppléer aux mouvements des
yeux
par un déplacement de la tète quand on la fait
égales et se contractent normalement., Pas de lésions du fond de l'
oeil
. L'examen de la sensibilité rétinienne n'a pas
lysie du droit externe de cause périphérique, le droit interne de l'
oeil
opposé, loin d'être atteint d'inaction conjugué
le, lorsque l'on fait regarder à gauche, 158 CLINIQUE NERVEUSE. l'
oeil
droit sain se dévie brusquement en dedans, et la
sain se dévie brusquement en dedans, et la fixation se fait avec l'
oeil
malade. Ce signe différentiel rendra presque to
tion IV. Paralysie de l'élévation et de l'abaissement dans les deux
yeux
avec conservation des mouvements de laté- ralit
eu près absolue de l'éléva- lion et de l' abaissement dans les deux
yeux
. L'impotence fonc- PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASS
deux yeux. L'impotence fonc- PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES
YEUX
. 1 .}'J tionnelle est la même quand on fait fix
DES YEUX. 1 .}'J tionnelle est la même quand on fait fixer les deux
yeux
simul- tanément ou séparément. Tandis que la pa
rément. Tandis que la paralysie est complète et égale dans les deux
yeux
pour rabaissement, dans l'éléva- tion, l'oeil d
t égale dans les deux yeux pour rabaissement, dans l'éléva- tion, l'
oeil
droit exécute un léger mouvement qu'il importe de
ompte des caractères de la diplopie. Quand on insiste pour porter l'
oeil
en haut, il a de la tendance à se dévier à gauc
ité a gauche ou à droite ont leur amplitude normale dans les deux
yeux
. On remarque seulement quand le regard se porte à
caractère dominant est 1 écartement vertical des images, celle de l'
oeil
droit étant toujours plus basse. Les pupilles s
es, de la lumière et des couleurs. II - + 1,75 Diopt. dans les doux
yeux
. L'amplitude d'accom- modation est à peu près n
érome des radiales. Le 12 février, je pratique un nouvel examen des
yeux
qui donne sensiblement les mêmes résultats. J'a
siège. Quant au mécanisme de la paralysie associée dans les deux
yeux
, je ne tenterai pas de l'expliquer. Je ferai se
'elle semble l'être au premier abord. Si elle n'occupait qu'un seul
oeil
, elle pourrait s'expliquer par une lésion parti
téralité s'explique très bien PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES
YEUX
. 161 par le filet que le noyau de la sixième pa
Paralysie du mouvement de convergence et d'élévation dans les deux
yeux
. M-1 Jéof..., vingt ans (Consultation de M. Cha
andis que le mouvement d'élévation est à peu près nul dans les deux
yeux
. Quand on invite la malade à regarder dans cett
ralysie ainsi constituées : PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES
YEUX
. 163 peut, lire plus facilement en fermant un o
NTS ASSOCIÉS DES YEUX. 163 peut, lire plus facilement en fermant un
oeil
. Plus tard la di- plopie se caractérise. Une vi
culaires suivants : L'amplitude des mouvements examinés dans chaque
oeil
séparément, est normale. Dans la vision assoc
développe du stra- bisme. Si l'on couvre alternativement chacun des
yeux
, celui que l'on découvre exécute un mouvement d
ée par un rétrécissement irré- gulier du champ visuel dans les deux
yeux
, plus prononcé dans l'oeil droit du côté nasal.
- gulier du champ visuel dans les deux yeux, plus prononcé dans l'
oeil
droit du côté nasal. La vision centrale est relat
es, le punc- tum proximum est à 30 centimètres, S = ; dans les deux
yeux
qui sont emmétropes. La sensibilité pour la lum
fonctionnel. Il tient habituellement la tête déviée à droite et les
yeux
ont également de la tendance à se porter de ce
é au niveau de sou origine, sa partie périphérique parait saine à l'
oeil
nu. Quant au nerf moteur oculaire commun, en ra
ti à son origine et divisé en PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES
YEUX
. 165 quatre 'ou cinq faisceaux ; son tronc ne p
q faisceaux ; son tronc ne paraît du reste nulle- ment dégénéré à l'
oeil
nu. « (L'examen histologique n'a pas encore été
e prononcée des droits internes, en couvrant alternativement chaque
oeil
. Il est manifeste d'ailleurs, que cette insuffi
illeurs, que cette insuffisance n'est pas de cause optique, car les
yeux
, au lieu d'être myopes sont hypermétropes. L'hy
gales réagissant normalement. Acuité visuelle normale dans les deux
yeux
. D. - Mouvement de divergence. Les .observati
orrect de paralysie du mouve- PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES
YEUX
. 167 Î ment de divergence, j'ai surtout pour bu
la tête. La marche est un peu incertaine ; elle est possible les
yeux
étant fermés, tandis que dans ces mêmes condition
atin. Le 12 avril je constate l'état suivant : Les mouvements des
yeux
se font avec un peu d'incertitude et s'accompag
es directions extrêmes du regard à gauche et à droite, l'image de l'
oeil
droit est un peu plus haute (deux centimètres p
re et la convergence, l'acuité visuelle est normale et le fond de l'
oeil
ne présente pas de lésions. J'ai pratiqué l'e
remarquable qu'elle est asso- PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES
YEUX
. IG9 ciée à une insuffisance des droits interne
oscillations nystagmiques qui se développent surtout lorsque les
yeux
arrivent dans cette position ou lorsqu'ils la qui
compte au contraire de cette PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES
YEUX
. 171 forme de diplopie par la lésion d'un centr
avec sensa- tion de tournoiement des objets, que l'occlusion des
yeux
ne faisait pas cesser, et des vomissements. Nou
vue. Or, c'est précisément par les mouvements de convergence des
yeux
que nous acquerrons la notion de la troisième d
protubérance produisent cons- tamment des déviations conjuguées des
yeux
, celles du cervelet et en particulier du vermis
llent des dévia- tions dissociées dans lesquelles les axes des deux
yeux
, au lieu de se déplacer parallèlement, sont mod
'est la surdité, il n'en- tend pas la voix articulée, même sous ses
yeux
, à vingt centi- mètres de ses oreilles ; il sem
dans toute la tête; elle se sent onduler, tourner, si elle lève les
yeux
; et se sent évanouir si elle lève la tête. La'
Observation XIX. Dame X..., vingt ans, scrofuleuse, taies sur les
yeux
, pharyngite chronique, otorrhées dans l'en- fan
VERTIGE DE MBNIMRE. 185 une valeur précieuse ; celle-ci éclate aux
yeux
quand on se trouve en face de lésions d'apparen
erfs, celles qui s'accompagnent de modifications appréciables à l'
oeil
nu, de rougeur évidente ou de suppuration. Or,
étaient ni ramollis, ni indurés, ni rouges, ni oedémateux. Rien à l'
oeil
nu n'indiquait qu'ils fussent malades. Le micro
pipe du côté gauche. Rotation de la tête et déviation conjuguée des
yeux
vers la droite. Inertie et perte absolue de ton
et difficile. La rotation de la tête et la déviation conjuguée des
yeux
persistent; les pupilles sont égales et contrac
une phlyctène de la grosseur d'une noisette qui se crève sous nos
yeux
pendant qu'on en pratique l'examen. Le soir, le
de la faire parler ; plus de rotation de la tête , la déviation des
yeux
persiste toujours. L'hémiplégie gauche est toujou
lignement. Il n'y a pas de rotation de la tète, ni de déviation des
yeux
. Les deux membres du côté gauche sont inertes,
tologique. Toutes les branches recueillies, d'apparence normale à l'
oeil
nu, sont profondément altérées, et toutes les f
ur aucun de ces organes, on ne découvre de lésions appréciables à l'
oeil
nu. DES NÉVRITES PÉRIPHÉRIQUES NON TRAUMAT1QUES
ntérieure et postérieure qui paraissaient absolument semblables à l'
oeil
nu, diffèrent considérablement lorsqu'on les ex
rande hystérie développée en province, à Carmaux (Tarn), sous les
yeux
du Dr Calmels, qui avait eu l'obligeance de me la
crise de gastralgie, J... perd subitement l'usage de ses sens, les
yeux
sont fixes, les membres roidis. On ne peut obte
rend pour une dame étrangère. Mon vêtement noir se transforme à ses
yeux
en une belle robe bleue. Elle veut en faire con
utes. Période épileptoïde. Durée totale deux à trois minutes. Les
yeux
deviennent fixes, sont dirigés en haut. La face p
rigent lentement en haut et à droite. La tête sent le mouvement des
yeux
. La physionomie exprime la terreur. Le tronc se
e prolonge pas au delà de vingt secondes. Puis la malade fixe les
yeux
vers une apparition située en haut et à gauche.
a mesure de la tête, tourne la page du morceau qu'elle a devant les
yeux
. (Je ferai remarquer ici qu'elle ignore l'art d
s Huguenots, elle sourit, fait le geste de porter une jumelle à ses
yeux
, applaudit ; puis tout à coup, effroi ! 1 Ce so
a étudié alors l'influence de la circulation, d'abord en rendant l'
oeil
exsangue par compression, puis par la ligature
mentaires de la rétine. Il pense en outre qu'il doit exister dans l'
oeil
des centres nerveux particuliers, analogues aux
la production n'est pas influencée par les gros troncs nerveux de l'
oeil
. Nous ne connaissons pas de substance capable d
produit à travers le cerveau un « courant de couleur » allant de l'
oeil
qui reçoit le plus de rayons colorés à celui qui
, puis la couleur elle-même. Pour le démontrer, il place devant les
yeux
des tubes dont l'un est largement ouvert, l'aut
Rolando. Le premiei- (1 2c de Ferrier) préside aux mouvements des
yeux
et de la tête; le second, l'extension du bras qui
ond, l'extension du bras qui se dirige vers la proie signalée par l'
oeil
; le troisième, aux mouvements qui doivent porte
voisinage immédiat que les centres qui président aux mouvements des
yeux
et aux mouvements de course. Le centre des mouv
z eux que le dernier terme de la série. Chez le chat, le centre des
yeux
est éloigné des autres; en effet, le tou- cher
t de surdité complète, il était, sept ans plus tard, privé des deux
yeux
par suite d'un coup de feu. C'est à l'âge de 18
Le Dr Stilling, privat-docent de Strasbourg, fait passer sous les
yeux
de l'Assemblée des préparations par dissociation
er, entre les lignes et le trait d'union des deux points moyens des
yeux
(ligne fondamentale). Le plan de visée coupe touj
uges, mais n ly ? 1 sentent p ? d'aü,trelaltéra(ion appréciable a 1
oeil
nu. . ? ... . i . i.*a. "i ? «-M- ^( .H ! ,ii3n
s; muscu- ''làiré ? eh1' revanche;1 'est notablement émoussé : ,Les
yeux
fermas, ''la'malaUe'no'Jsc.rend pas comptede la
articulaires postérieures^isolées avec Lsoin, ne présentaient à l'
oeil
.nu aucune altération, appréciable ? 1 De petits
, peiçus. "' 1 Il 1 . illli li' fil r `1>n ,-fin il Lexamen.de 1
oeil
continue avec le concours bienveillant de nos e
uins, M. Rosenthal remarque- que la chute a lieu. lorsqu'on ferme l'
oeil
sain, ' du côté de cet oeil, tandis qu'il n'y a
que la chute a lieu. lorsqu'on ferme l'oeil sain, ' du côté de cet
oeil
, tandis qu'il n'y a'pas'de chute par l'oblitéra
e cet oeil, tandis qu'il n'y a'pas'de chute par l'oblitération de l'
oeil
achromatopsique. La 'fermeture des deux yeux' e
es couleurs'centrales (violet et vert), on peut être, assure que- 1
oeil
, .utilisable a'ia a lecture, n'est pas encore d
our constater l'intégrité. des membranes internes et, externes de l'
oeil
. Lei 19 août, en.s'essuyant les yeux, T..., s'a
nes internes et, externes de l'oeil. Lei 19 août, en.s'essuyant les
yeux
, T..., s'aperçoit de la rougeur de ses larmes.
depuis longtemps et a lieu régulièrement chaque matin pour les deux
yeux
. D. li. revue de pathologie nerveuse. 355 con
in sont carac- térisées par la rigidité dans la station debout, les
yeux
ouverts, ou par l'exécution automatique d'un ac
te, mousse buccale, évacuations alvines, etc. L'examen du fond de l'
oeil
et l'expérimentation chez les ani- maux démontr
rne, par Senator, 10 ! 1. Paralysie des mouvements associés des
yeux
, par l'arinaud, 145. Paralysie isolée du grand
e ne parlerai toutefois que des principaux d'entre eux. I. COUP D'
OEIL
HISTORIQUE. De tout temps les anatomistes ont'r
aissent, dans la plupart des cas, au pourtour de l'angle externe de l'
œil
. Voici comment on devrait expliquer ces mouveme
ure et du nez; les rides rayonnantes voisines de l'angle externe de l'
œil
sont dues à l'action du sphincter des paupières.
e sur laquelle je faisais culte expérience, s'était abaissé sur ses
yeux
). Quelle fut alors nia surprise en voyant que la
à côté des autres, se modifient tellement et de telle manière, que l'
œil
les voit tout autres qu'elles ne sont en réalité.
énéralement, dit Descartes, toutes les actions tant du visage que des
yeux
peuvent être changées par l'âme, lorsque, voulant
action musculaire dans le jeu de la physionomie..... 1 I. -- Coup d'
œil
historique............................... 2 A.
égères, et manquaient tellement de profondeur, que si, par exemple, l'
œil
était mis au point, le nez et l'oreille n'y éta
a face, vous remarquerez d'abord l'obscurité profonde qui enveloppe l'
œil
et l'orbite de ce côté, obscurité qui se répand s
fférence la plus complète. Là, au contraire, la lumière qui éclaire l'
œil
et l'orbite, rayonne aussi sur toute la joue, don
euve incontestable de mon assertion. A voir, en effet, cet éclat de l'
œil
droit, ce point lumineux qui étincelle sur la p
lumineux qui étincelle sur la prunelle, vous pourriez croire que cet
œil
a subi une profonde modification organique, sous
regard sur le côté gauche de la face, vous n'y rencontrez plus qu'un
œil
terne, qui représente l'état réel de l'âme du suj
est donc de toute évidence que, dans notre expérience, cet éclat de l'
œil
, ce feu du regard, sont sous la dépendance d'un m
ourcils se sont abaissés, sont devenus rectilignes et ont ombragé son
œil
, sous l'influence de la contraction de l'orbicula
ncés. portés en dedans, taisant pour ainsi dire la nuit autour de l'
oeil
, ces sourcils dont la tête se gonfle, dont l'espa
ourcils. Il en est tellement maître, que non-seulement il donne à son
œil
des expressions variées, mais qu'il peut les mouv
l l'extrémité interne du sourcil est abaissée, où le grand angle de l'
œil
est plus aigu et cache la caroncule lacrymale, où
e ce phénomène se fait en couvrant et en découvrant alternativement l'
œil
de ce côté. — Chez cet homme, l'expression habitu
la fig. 3), ce que du reste on constate dans la figure 17, lorsque l'
œil
droit est caché: mais à l'instant où celui-ci est
voir un regard plus méchant? 11 annonce un instinct féroce ; c'est l'
œil
du tigre. MUSCLE DE LA DOULEUR (sourgilieb, 0
fort que dans la figure 23, chez le même sujet vu de face, et dont l'
œil
est tourné obliquement en haut et de côté, compar
parativement à la contraction du frontal, avec le même mouvement de l'
œil
. A gauche, contraction volontaire du sourcilier
e du sourcilier dans cette figure 2/i, il est nécessaire de masquer l'
œil
droit? longue exposition à l'air et à l'insolat
manière : que l'on recouvre alternativement et comparativement chaque
œil
, et l'on verra, du côté où le sourcilier est mis
re. Le sujet de la figure 22 a été photographié en plein soleil ; son
œil
n'en paraissait pas incommodé (voy. le côté droit
e muscle était forcée, comme dans cette figure, et qu'en même temps l'
œil
et le front étaient très éclairés. On observe f
demi à 3 centimètres en dehors et au-dessous de l'angle externe de l'
œil
. C'est à peu près vers ce point que mes rhéophore
ns la figure 30, montre les rides rayonnantes de l'angle externe de l'
œil
plus profondes et la convexité de la courbe naso-
La première ride se voit d'abord au niveau de l'angle externe de l'
œil
, et les autres augmentent progressivement en nomb
ttes, les mêmes rides rayonnantes qui partent de l'angle externe de l'
œil
. C'est uniquement d'un mouvement particulier de l
e la figure 31 exprime la gaieté la plus folle. Mais à l'instant où l'
œil
est découvert, vous constatez, dans la figure 32,
s les figures 30 et 31, surtout dans la première, l'indifférence de l'
œil
contraste, d'une manière choquante, avec le grand
-ci est éveillée par un mouvement du cœur. Non-seulement il égayé l'
œil
, et à ce titre il est le muscle complémentaire du
ttement; ses commissures labiales tombaient, et pour qu'il ouvrît les
yeux
, il me fallait réveiller fortement son attention,
le de contracter le petit zygomatique, sans produire l'occlusion de l'
œil
par l'excitation du sphincter des paupières, bien
la vue d'un ami ou d'une personne qui lui plaisait, sa bouche et son
œil
souriaient d'abord; mais aussitôt la courbure de
zygomatique avait remplacé celle du grand zygomatique, et ensuite ses
yeux
se remplissaient de larmes. Il en sentait le ridi
on muscle frontal étant mis d'abord énergiquement en contraction, son
œil
est devenu attentif, tel qu'il a été photographié
rité admirable. La direction un peu oblique de son regard donne à son
œil
une expression d'inquiétude, de crainte, en môme
t, en modelant celui-ci de la même manière que dans la figure 69, son
œil
devient douloureux, ou paraît gêné par une trop v
i donne le caractère d'une douleur physique, et la convergence de ses
yeux
nous le montre succombant à une mort violente et
paraissent moins l'affecter que celles » de ses enfants, qui ont les
yeux
fixés sur leur père, et qui » implorent son secou
ns ses regards languissants, et la compassion » semble nager dans ses
yeux
comme une vapeur sombre. Sa » physionomie exprime
mbre. Sa » physionomie exprime les plaintes et non pas les cris ; ses
yeux
» dirigés vers le ciel implorent Vassistance supr
droite (1). Prière douloureuse, mais avec résignation, en cachant l'
œil
, le sourcil et le front du côté droit; — prière u
gauche. La tête vue isolément: — souvenir douloureux, en cachant l'
œil
, le sourcil et le front, du côté droit ; — souven
l non celui du lecteur. Prière dans l'extrême douleur, en cachant l'
œil
, le sourcil et le front, du côté droit; — prière
xtatique, avec saints transports d'une pureté virginale, en cachant l'
œil
, le sourcil et le front, du côté gauche. La têt
nt produit par l'action synergique des muscles droits supérieurs de l'
œil
et frontaux). De chaque côté, la courbe du sourci
complit un grand acte, qu'elle va renoncer au monde? Si vous cachez l'
œil
et le Iront du côté gauche, vous sentez, à la t
s affections les plus chères. — Mais si, au contraire, vous couvrez l'
œil
et le front du côté opposé, vous voyez que son sa
é montre déjà qu'elle prie ardemment. Cache-t-on alors, à droite, son
œil
et son front, on voit que sa figure est illuminée
se. Mais dès que l'on découvre le côté gauche, après avoir masqué l'
œil
et le front du côté droit, tous les traits de cet
ographiée dans la figure 77 en est un bel exemple. En effet, avec son
œil
un peu voilé et obliquement tourné en haut et à
ression combinée discordante de la joie et du pleurer. En cachant l'
oeil
gauche, joie d'une mère qui voit son enfant échap
qui voit son enfant échapper à une maladie mortelle ; — en cachant l'
œil
droit, même joie maternelle, unie à la douleur pr
expression est assez bien rendue sur la ligure 79, si l'on en cache l'
œil
gauche. Mais, dans la scène qui fait le sujet p
'est ce qui est exprimé sur la moitié gauche de la figure 79, quand l'
œil
droit en est masqué. Pour obtenir cette express
e joie mêlée de douleur.—Pour la compléter, il m'eût fallu rendre son
œil
humide et faire couler ses larmes, car une mère q
de ce sourcil une forme un peu sinueuse. lien résulte qu'en cachant l'
œil
droit, sa physionomie peint la joie maternelle pu
iera bien sur ces figures l'influence réciproque de la bouche et de l'
oeil
, en cachant alternativement l'une ou l'autre de c
ursuivi par la Justice et la Vengeance divine, fuit épouvanté; mais l'
œil
du fratricide est cruel et féroce. Cette expressi
étendait qu'on peut aussi bien se servir des actions du visage et des
yeux
pour dissimuler ses passions que pour les déclare
(cachez la moitié droite de la bouche et de la joue) ! voyez comme l'
œil
est froid et glace ce sourire !—C'est un sourire
lle, de rides rayonnantes se former au niveau de l'angle externe de l'
œil
, comme chez le vieillard des figures 30, 32, parc
met ici d'exposer l'étude de l'influence expressive réciproque de l'
œil
au repos et du mouvement modéré des commissures l
dès que du côté gauche la moitié droite de la lèvre est démasquée, l'
œil
semble s'égayer et les traits s'épanouir un peu,
de, on conçoit combien il est préférable d'avoir constamment sous les
yeux
chacune des moitiés de la face; alors leurs carac
que leur comparaison devient facile et des plus concluantes. Ainsi l'
œil
paraît froid et dédaigneux dans la figure ""78, t
"'78. Cependant il n'existe, en réalité, aucune différence entre ces
yeux
; car l'orbiculaire des paupières se contracte ex
modification apparente du regard résulte de l'influence exercée sur l'
œil
par la forme de la bouche. L'espèce d'illusion qu
alors, est bien plus grande, lorsque l'on a comparativement sous les
yeux
les expériences représentées dans les deux figure
idérations m’ont engagé à reproduire de nouveaux et à mettre sous les
yeux
du gouvernement et du publique ces deux projets i
decine donne à la parole de M. Roger une valeur trop considérable aux
yeux
du public pour que l’homme le plus désintéressé d
cides, ceux-ci, du moins,pourraientm’instruire et faire luire à mes
yeux
les vérités dont mon âme pressent l’existence. Il
vement; quatre séances, guérison. « Homme de trente ans , tache à l’
œil
droit par suite d’un coup d’un fer chaud, vue tro
trente-sept ans, coup d’une branche d’arbre au-dessus du sourcil de l’
œil
droit, par suite vue obscurcie; une séance, guéri
s que je touchais; enfin, au bout de dix minutes, le malade ferma les
yeux
et tressaillit par tout le corps en laissant écha
nthousiasme général, quoiqu’il semble n’avoir rien vu, de ses propres
yeux
vu, ce qui s’appelle vu. Lecteur bienveillant des
si détruire les phénomènes qu’ils ont vus cent fois, de leurs propres
yeux
vus. Nous pourrions parier que la nalure a produi
ssez difficile à cause de sa forme qui était oblongue). Il ouvrit les
yeux
au moment où la pierre passait à travers le bassi
ations précédentes, il ne vit clair que quelque temps après avoir les
yeux
grands ouverts. La première chose qu’il vit disti
eût été plus complète qu’aucune de celles qu’on ait vues. Quant aux
yeux
insensibles aux objets extérieurs, quoique grands
qu’elle se sentait beaucoup de force. Je plaçai mes doigts devant ses
yeux
, une minute ou deux, et elle s’endormit de nouvea
n lit, et on le renversa soudainement dessus. On lui ouvrit aussi les
yeux
, et tout cela sans interrompre son sommeil. On le
avec répugnance, et il désira se rendormir. Je mis mes doigts sur ses
yeux
pendant une minuto; quand je les relevai, il étai
pouvoir; si l’institut et les Académies réglaient nos destinées, nos
yeux
ravis ne pourraient pas longtemps contempler les
tr’ouvrir les paupières; mais l’iris était renversé, et le blanc de l’
œil
était seul apparent. Avant hier, ayant aperçu que
peu de courage! Au lieu de rapetisser la pensée du maître, jetons les
yeux
sur toutes les conceptions puissantes qui grandis
quelques vérités utiles des ténèbres épaisses qui les dérobent à nos
yeux
. J-a méthode des médecins hermétiques offre d’ail
e donner occasion de me plaire en sa compaignie ; et que, fichant ses
yeux
sur la frescheur de mon visage, et sa pensee sur
d’elle-même, se met de la partie, et un monde nouveau se révèle à nos
yeux
. 11 fait partie de la double manifestation de la
t un peu. Lors- qu'on écarte ces parties, on voit que le globe de l’
œil
roule dans l’orbite, et qu’il est flans un état c
marque aucun mouvement si l’on place une chandelle allumée devant les
yeux
de la malade. La peau, devenue terreuse seulement
pières s’entr’ouvrent largement et ne laissent voir que le blanc de l’
œil
, l’iris disparaissant presque entièrement sous l’
rs, si la société est corrompue, ce qui se passe chaque jour sous nos
yeux
ne prouve-t-il pas que les couches supérieures du
r égoïsme leur a fait méconnaître la voix de Dieu : ils ont fermé les
yeux
pour ne point voir, et ils ont bouché leurs oreil
exaltation cérébrale, agitation, marche et mouvement volontaires. Les
yeux
sont ouverts et brillants, la face n’a plus celte
ne doivent-elles point se succéder sans relâche? Aussi manquez-vous d’
yeux
et de sens ; car c’est l’inconnu qui vous frappe
ance, et vous surprenez ce que la vie habituellement cache à tous les
yeux
: le naturel vrai de l’être. La nature parle par
eu où l’on expérimente. On nie l’existence des esprits, parce que nos
yeux
ne nous les font point connaître. Mais toutes les
nce. Pendant l’opération , Anne Chaigneau a plusieurs fois ouvert les
yeux
, mais presque aussitôt ses paupières sont retombé
ténèbres. » « Le commandant, dont la pénétration et la fixité de l’
œil
égalent celles de l’aigle, jette un regard perçan
stater jour par jour tous les faits rares qui se déroutant sous mes
yeux
. D’après mes plaintes de voir tomber dans l’oubli
pays comme 1e représentant du magnétisme. Monsieur, J’ai sous les
yeux
le numéro du Journal du Magnétisme , où, après av
ênait le magnétiseur et incommodait la bià-lade , celle-ci ouvrit les
yeux
plusieurs fois, et leur expression s’adressait à
viez; Dieu le veut! » A ce moment solennel les larmes coulèrent des
yeux
de tous les assistants, étonnés el attendris. D
e à seize ans. Son visage régulier, son teint plein de fraîcheur, ses
yeux
bleus, grands et beaux, sa taille moyenne, concou
vements saccadés et convulsifs, laissant voir à peine la pupille de l’
œil
; enfin, elle éprouva une contraction du bras dro
remière fois. Ses bras manifestèrent un mouvement spasmodique, et ses
yeux
s'ouvrant complètement se dirigèrent vers le Ciel
versée suffisamment pour concourir à la direction de son regard ; ses
yeux
, arrivés à leur plus grand développement, brillai
r, ou plutôt elle priait réellement; car, sa bouche d’accord avec ses
yeux
, avec les traits de son visage et toutes les part
son visage étaient épurés, anoblis; sa bouche plus gracieuse, et ses
yeux
agrandis, resplendissants, étaient devenus comme
es bras élevés, et paraissant réaliser un mouvement d’ascension ; les
yeux
plus saturés encore de leur vive lumière, de leur
h ! alors , elle était dans le Ciel, ou plutôt le Ciel était dans ses
yeux
. A la vue d’un spectacle aussi ravissant que no
alettes et vos ciseaux, si le type divin de l’Art se fût révélé à vos
yeux
comme aux nôtres, sous l’image plastique des pass
s pénétré, car elle finit où la nôtre commence. Ve- nez, ouvrez les
yeux
et instruisez-vous ! lit si vous notes pas convai
ve animation de la face , et des pleurs coulent avec abondance de ses
yeux
. Quoique très-éloigné du lieu d’expérimentation ,
entation , et entouré d’une foule nombreuse, il dirige sans cesse ses
yeux
dans la direction du signe magique, semble faire
e riait point ; au contraire, d’un sérieux de glace, il plongeait ses
yeux
pleins de feu sur le signe. Saisi bientôt de mouv
s humaines dans une sorte de cuvette, les cadavres s’agitent sous ses
yeux
, et, bientôt, se trouvant mal, nous l’emportons s
-longer; mais l’esprit doit se rapetisser. L’immensité est devant nos
yeux
, c’est à nous de comprendre ; les interprètes de
ue Mesmer, en soulevant de sa main hardie le voile qui dérobait à nos
yeux
cet immense horizon tout resplendissant des feux
atonie, dépérissement, faiblesse extrême; grand affaiblissement d’un
œil
, strabisme outré de l’autre qui restait sans fonc
rticularité à remarquer : le chirurgien, dans l’espoir de redresser l’
œil
louche, et d’en rétablir l’usage, détacha l’adduc
culaire se redressa considérablement dès les premières semaines. Si l’
œil
n’est pas tout-à-fait droit, les somnambules sont
e, vision sublime..... — Ne vois-tu plus rien là-bas ? — Sous mes
yeux
, chaîne fatale Do crimes et de vertus, Tourne u
ements; quelques instants après la physionomie change totalement; les
yeux
s’enfoncent en s’entourant d’un cercle bleu ; pea
s ; je vous initie à un art nouveau, j’ai besoin de me dévoiler à vos
yeux
pour me faire mieux comprendre. Vous verrez bient
n action ne se remarque point; mais aussitôt qu’il est découvert, les
yeux
des spectateurs se dirigent sur lui. Chacun se de
ts, et semblent ne considérer qu’une chose, le signe magique. Leurs
yeux
deviennent ardents, expressifs; 011 peut aussi re
très-réelle? Est-ce que le chêne n'est pas dans le gland, quoique nos
yeux
ne l’y voient point ? Juger tout par los yeux,
le gland, quoique nos yeux ne l’y voient point ? Juger tout par los
yeux
, c'est s’exposer à commettre les plus grandes err
tant trois personnes qui y plongeaient leurs regards, et, dardant ses
yeux
de feu, elle vil, mais ne dil point ce qui lui ét
longueur sur quatre d’épaisseur. Mon fils ne peut plus marcher : ses
yeux
sont enfoncés dans leur orbite ; le teint est jau
ne vînt un jour, en perçant son enveloppe , se montrer rayonnant aux
yeux
éblouis de ses ennemis déclarés. Non, messieurs,
ture d’une pièce de la correspondance qui avait fait faire les grands
yeux
à M. Magendie, et dessiné un sourire ironique sur
’il n’était pas survenu d’hémorrhagie, le malade se leva , ouvrit les
yeux
, porta la main à la plaie, qu’il semblait voir, e
gauche. A la section de la seconde moitié, le patient cria, mais ses
yeux
restèrent fermés, et aucun son articulé ne lui
ligature des artères, pour lui administrer un cordial. Il ouvrit les
yeux
, mais dit ne pas voir. Il but le vin que j’avais
e. « Je lui avais donné une bouteille contenant une lotion pour ses
yeux
qui, à ce moment, étaient fatigués. Il l’emporta
riptions de sa somnambule, ont seuls été employés. J’en ai sous les
yeux
le journal détaillé en soixante séances. Il est à
organiques très-graves, ainsi que nous en avons des preuves sous les
yeux
.... J’ai ouï dire qu’il a déjà été employé dans d
èces, ces trésors de savoir, cachés, même dans les temps anciens, aux
yeux
profanes de la foule ignorante. Dans ses mains qu
la science des siècles, dégagée des préjugés qui la flétrissaient aux
yeux
du sage, dépouillée de tout l’appareil mystérieux
que ce jeune homme était suffisamment dominé, M. du l’otet porta ses
yeux
, avec une intention préméditée, sur l’autre pers
sure qu’il changeait d’objet, sa physionomie s'animait davantage, son
œil
devenait menaçant, ses narines se gonflaient, ses
cées fortement, exprimaient le mépris et la colère, et sa face et ses
yeux
étaient comme injectés par un épanchement bilieux
rès l'avoir dominé du regard pendant quelques instants, le sujet, les
yeux
restés ouverts, exécuta tous les mouvements que f
plongé dans un sommeil naturel ou artificiel, l’homme apparaît à nos
yeux
jouissant de toutes ses facultés, dans l’ordre de
résentation ! Le serpent, toujours plus excité ou charmé, avait les
yeux
fixés sur l'homme, dont il semblait suivre les év
terreur lorsque nous vîmes le charmeur, comme pôur se glorifier à nos
yeux
de son taiomphe , s’approcher de la cobra, chanta
’opération avait duré plus d’une heure : la scène se passait sous nos
yeux
; nous pouvions être certains qu’il n’y avait là
ténacité ; chez la mère surtout, figure osseuse el jaune, nez serré,
yeux
petits. Chez le fils il s’y joignait une expressi
onfuses, devinrent intelligibles; il se lamentait (ayant toujours les
yeux
fermés) sur son triste 'sort de vivre pour être t
ree, cause de tous ses malheurs. Je continuai de lui souffler sur les
yeux
, il s’en aperçut, et demanda à rester ainsi; je m
fureur. Quelques minutes après, je lui jetai de l’eau froide sur les
yeux
, qu’il ouvrit enfin. « Il paraissait éveillé. J
je vous le dire sans « lunettes. » Je lui souillai de nouveau sur les
yeux
; il me reconnut. 11 ne souffrait, dit-il, nulle p
magnétisé sont vagues et sans objet, gênant à peine l’opérateur. Ses
yeux
ne s’ouvrent jamais, à moins que la trance ne soi
e fit aucun mouvement pour arrêter l’opération, et n’ouvrit point les
yeux
. » Du reste nulle connaissance au réveil, comme
ête et eut des mouvements convulsifs de la face, mais sans ouvrir les
yeux
ni gémir. 11 s’éveilla spontanément peu après la
s d’écarter le feu. Une demi-minute après, il ouvrit soudainement les
yeux
; le croyant éveillé, je lui enlevai le charbon, e
it éveillé. 11 ne répondit point. Je vis de suite, à la fixité de ses
yeux
, qu’il n’était pas réveillé. Presque aussitôt ses
it à haute voix : Juggernath, et demanda à être éventé. 11 ouvrit les
yeux
et retomba instantanément en coma. Démcs-mérisé,
aillir. On ne put l’éveiller qu’en lui jetant de l’eau froide sur les
yeux
. Le lendemain, on fit viln*cr à ses oreilles un
nature, par prédestination) ; donc, moi très fort, j’ouvre do grands
yeux
, et mu permets de sourire in petto, et de dout
emmes surtout, éprouvaient des spasmes nerveux, des suffocations; les
yeux
se fermaient; on se sentait défaillir; on entrait
vraiment sauveurs; ils voyaient au delà du rayon qu’il est donné à l’
œil
de parcourir; ils avaient le don de prescience, l
ulisme. Alors sa figure prit une expression de béatitude infinie, ses
yeux
brillèrent d’un vif éclat, et se croyant transpor
c'était vouloir rendre sensible ce que Dieu voulut cacher à tous les
yeux
. Et nous rappelâmes cette sentence des anciens, p
res, nous serons dans le temple, attendant que la taie qui couvre vos
yeux
s’abaisse , et que Dieu vous éclaire. 1)U POTET
, la thèse qu’il a précédemment développée avec tant d’aménité. A ses
yeux
nous sommes tous des jongleurs, et cependant il s
n question. Ils citent des traits de lucidité, malgré l’occlusion des
yeux
par des tampons, des bandeaux, etc. C’est, comme
choisi pour cela les rideaux de.théâtre, sur lesquels se portent les
yeux
des spectateurs, durant les entre actes. La Press
acuations. Plusieurs pilules de mie de pain furent préparées sous nos
yeux
; la malade, fort éloignée de soupçonner nos inten
veille, que le nom de l’individu, tel qu’il le signe, apparaît à ses
yeux
: les lettres se tracent et s’effacent successive
récompenser. Au-dessus de toute science humaine, elle apparaît à nos
yeux
étonnés comme une émanation des plus purs esprits
saint Marcou guérissait des écrouelles ; saint Clair des maladies des
yeux
; saint Fiacre des hémorrhoïdes; saint Ouen de la
vaut, à quoi elle peut être utile. Le magnétisme animal est, à nos
yeux
, dans ce cas; courant lé monde sans guides, il ne
crit, qu’on a, pour ainsi dire, toutes les formes du genre sous les
yeux
. Ce qui dispense de recourir à une multitude de s
le scandale : « Une femme affectée d’une violente inflammation des
yeux
, demanda à un écolier s’il ne connaissait pas que
tique, qui contenait ces paroles : « Que le diable t’arrache les deux
yeux
, « et te bouche la place avec de la boue. » Ces d
’assista à cette cure que comme spectateur, en eut tout le mérite aux
yeux
du public. Il sc vit entouré chaque jour de nombr
rités utiles. Après avoir démontré que tous les hommes investis aux
yeux
du peuple des prestiges de la puissance divine, é
ry vous accorde. Le Comité aurait voulu, messieurs, placer sous vos
yeux
une longue liste de propositions ; mais, M/*
pport, quoique ne disant pas tout ce que mérite ce savant, aura à vos
yeux
suffisamment justifié la récompense que nous dema
’injure et de semer le doute, là où la vérité est évidente à tous les
yeux
. Par contre, tout ce que Cherbourg renferme de pl
: pour nous le savant est semblable, lorsque nous étalons sous ses
yeux
couverts de taies les merveilles de la science no
ependant, une minute écoulée, il tressaille, son visage s’altère, ses
yeux
se voilent : il commence à chanceler; essayant de
simulation; car nul au monde ne serait assez habile pour tromper les
yeux
à ce point, pour imiter, même en s’en éloignant b
nnihiler dans un être, à ce point de rendre méconnaissable à tous les
yeux
ce qui tout à l’heure nous était semblable? Ah !
st faible, elle a perdu son timbre argenlin ; les traits se rident, l’
œil
perd sa vivacité. Il s’appuie sur la canne que je
donc en ma puissance une baguette de fée? Dois-je montrer à tous les
yeux
les tableaux imaginaires des poètes d’un autre âg
et dire que je suis resté bien au-dessous de ce qui a frappé leurs
yeux
; niais c’est assez pour moi de dire : J’ai fait
on meurt en l’adorant, et qu’on lui tresse des couronnes! Ouvre les
yeux
, et considère les fruits empoisonnés que laissent
e temps a durcis. Enveloppes de philosophes, elles cachent à tous les
yeux
des misères profondes : le doute, la négation, le
r semble avoir inspirés comme moyen de vengeance, seront mis sous tes
yeux
comme les seuls consolateurs de l'affligé, comme
années écoulées déjà, cela pourrait refroidir votre zèle; portez vos
yeux
vers l’avenir, et réjouissez-vous en songeant an
gent nouvellement découvert tant de vertus, cachées encore à tous les
yeux
, qu’on peut prédire hardiment la révolution la pl
, faire qu’elle déloge du domicile humain; rendre sensible à tous les
yeux
cette singulière opération, et frapper ¿’épouvant
l, des battements dans les tempes, des tinte- monts d'oreilles, scs
yeux
se voilent ; il a un commencement de vertige. Ses
i s’y trouve renfermée, on traverse des couches de terrains divers, l’
œil
examine avec curiosité ce que la sonde apporte. A
à l’endroit qui bientôt devenait gonflé et plus ou moins tuméfié. Les
yeux
ou les joues, le cou ou les bras étaient tour à t
ogie , la chimie , pour montrer jusqu’à quelle profondeur a pénétré l’
œil
perçant de l’étude. Et quoique l'ultimatum de ses
édèrent dans la carrière des sciences, ne voulurent jamais ouvrir les
yeux
à cetle lumière et éclairer les nations par des r
de VUnion, vous marchez à reculons, ou vous fermez volontairement les
yeux
à la lumière ! Le magnétisme est partout ; vous s
a façon du dix-neuvième siècle, par mille tortures imperceptibles à l’
œil
nu , mais tout aussi meurtrières que les outils d
s disciples à vous envoyer directement ceux qui leur tombent sous les
yeux
, en lisant des milliers de feuilles que vous ne p
écrire, dans son état de conscience externe, ce qu’il voyait avec ses
yeux
spirituels; et, affranchi de toute illusion, voir
fournissent à l’état de veille : elle voit, elle entend, quoique les
yeux
et les oreilles aient été rendus insensibles. Ces
ucun témoignage ne soutient; comment se peut-il que G. Bush ferme les
yeux
, et commette un véritable suicide de l’intelligen
r d’une religion nouvelle, il exige que, comme lui-même, on ferme les
yeux
de l’intelligence, et qu’on croie avec humilité.
e de ces êtres immatériels (les esprits), que, sans les voir avec ses
yeux
, elle pouvait donner une description de leur figu
elle donnée par la voyante. Elle disait : je ne les vois pas avec mes
yeux
ordinaires; je les vois intérieurement (from with
ques, et enveloppé ses définitions de nuages presqu’impénétrables à l’
œil
de l’intelligence? Pourquoi, dans ses écrits, tou
, pen- dant trente minutes. Aurait été toute raide, sans secousses,
yeux
grands ouverts. Depuis lors, jusqu'à trois ans,
ts, châtain foncé, bien plantés. Pau- pières mobiles et régulières.
Yeux
normaux. Nez droit. Pommettes régulières. Voûte
as de brouillard, mais souvent elle voit un fil noir tendu devant l'
oeil
gauche. Ni rhumatisme, ni chorée, ni fièvre typho
a figure s'est congestionnée, les paupières ont battu vivement, ses
yeux
se sont- dirigés- en haut, ses mâchoires se son
dans l'extension, est pen- chée sur l'épaule droite. La face et les
yeux
sont dirigée en haut et à gauche. Paupières ouv
le voyons alors qu'il a des mouvements cloniques des paupières (les
yeux
sont portés directement en haut) et des bras qu
ible par transparence. Pomme de terre. Pas de culture apparente à l'
oeil
nu, bien que le micros ? )' cope montre un déve
ils ne tardèrent pas à disparaître. Les troubles des muscles des
yeux
furent trop mobiles et, ultérieurement, trop faib
evenu d'une douceur, d'une insouciance remar- quables. L'état des
yeux
est tout aussi intéressant. L'étude anatomique
rale compli- quée d'hémorragies. La cécité et l'état du fond de l'
oeil
qui, au début, pouvait fort bien représenter le
nt siégeant très probablement dans le cerveau antérieur. L'état des
yeux
ne s'y rattachait plus. On opina pour l'indépen
s en avant et en arrière surtout en mon- tant un escalier. Dans les
yeux
,'il n'existe qu'un peu de pâleur de la pupille,
a main qui a été paralysée, l'impossibilité d'occlusion isolée de l'
oeil
de ce côté, l'amnésie. Le lacunaire peut guérir
t en troubles de la motilité (ftq. 4). · 1° Troubles oculaires. L'
oeil
gauche est en ptosis paralytique avec contracti
raction intense du frontal pour essayer de relever la pau- pière. L'
oeil
est en strabisme externe permanent. On constate u
La sixième paire et la quatrième paire sont normales. Le fond de l'
oeil
ne présente pas traces de névrite. Absence d'hé
e l'oeil ne présente pas traces de névrite. Absence d'hémiopie. L'
oeil
droit montre déjà une légère parésie de tous les
du réflexe lumineux consensuel montre que : 10 l'excita- tion de l'
oeil
droit amène une contraction de la pupille droite,
de la pupille droite, mais non de la gauche ; 2° l'excitation de l'
oeil
gauche est sans effet sur la pupille gauche, ma
rotuliens sont Fig. 5. Ptosis et strabisme externe paralytique de l'
oeil
gauche. Ptosis léger de l'ml droit. CAS DE PA
ire de nombreuses oscillations en différents sens. L'occlusion de l'
oeil
droit (l'oeil gauche est un ptosis permanent) n
ses oscillations en différents sens. L'occlusion de l'oeil droit (l'
oeil
gauche est un ptosis permanent) ne pai ait pas
observions au milieu d'autres sujets présentant du tremblement des
yeux
sympto- matique d'une maladie du système nerveu
TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNITAUX 403 la bouche et
yeux
convulsés. Pendant ces attaques, le visage était
ou colère. Il n'y a pas de tremblement dans le sens vertical. Les
yeux
ne présentent rien de spécial. L'examen du fond d
ertical. Les yeux ne présentent rien de spécial. L'examen du fond d'
oeil
'104 PATHOLOGIE NERVEUSE. pratiqué par le Dr
et le nystagmus est démon- trée par ce fait que lorsqu'on ferme les
yeux
, les mouve- ments de la tête s'arrêtent, et que
ce de réfraction, d'une anomalie congé- nitale ou d'une lésion de l'
oeil
. Nous avons noté du strabisme dans quelques-une
ontal) qui s'exagère par la vision dans les positions extrêmes de l'
oeil
. Le sujet incline naturellement la tête pour arri
ujet incline naturellement la tête pour arriver à immobi- liser les
yeux
. Il n'a pas de tremblement ni d'oscillations (mou
nus du pied. La sensibilité est conservée intégralement. Examen des
yeux
. = V = 1 (H in -f- 0,50). Pas de strabisme, fon
Examen des yeux. = V = 1 (H in -f- 0,50). Pas de strabisme, fond d'
oeil
normal. Réactions pupillaires et réflexes normaux
droite extrême : dans cette situation il parvient à immobiliser ses
yeux
. Mais dans la position gauche extrême le nystag
a date L'écriture du sujet est manifestement tremblée. Examen des
yeux
=V - 3 - Hm + 0,50. Fond d'oeil et milieux 3
manifestement tremblée. Examen des yeux =V - 3 - Hm + 0,50. Fond d'
oeil
et milieux 3 oculaires normaux. Réactions pup
mus horizontal. Emmétrope, vision normale. Pas d'ano- malies dans l'
oeil
. Pas de mouvements de la tète. Asymétrie faciale.
icile de faire disparaître. 110 PATHOLOGIE NERVEUSE. Examen des
yeux
. Nystagmus mixte, horizontal et rolatoire. Stra
ternant divergent intermittent. Emmétrope. V Lecture facile. Fond d'
oeil
et milieux oculaires normaux. Pas de tremblemen
affirmatif lorsqu'il dit qu'il est le seul dans la famille dont les
yeux
bougent. Lui-même n'a jamais eu d'autres maladies
coeur. Examezz des ? /eM.c. Nystagmus horizontal. Milieux et fond d'
oeil
4 normaux. Emmétrope. Vue'= . Réactions pupil
Rien d'anormal dans les milieux oculaires. Aucune lésion du fond d'
oeil
. Pas de strabisme. Ilm z- 0,75 V = -^-. Lec- tu
e à la consultation de l'hôpital le 24 septembre 1901. Examen des
yeux
. Nystagmus mixte (horizontal et rotatoire). Ce
. Em... V= 1 0. D. Myopie de 9 D. sans lésions choroï- diennes (cet
oeil
a du strabisme divergent et est amblyope par dé
et fait l'objet de l'obser- vation IV. Il existe un frère dont les
yeux
ne bougent pas. Le sujet n'a jamais été malade.
bonne : emmétropie. Hien d'anormal dans les milieux et le fond de l'
oeil
. Oscillalions de la tête nettement pendulaires
r de troubles de sensibilité. D'après le père, le tremblement des
yeux
aurait toujours existé. Il en serait de même ch
ours existé. Il en serait de même chez le frère cadet. Examen des
yeux
. - Nystagmus horizontal. Mouvements pen- dulair
a pas de strabisme. Emmétropie. Pas d'anomalies ni de lésions des
yeux
. ' TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNI
mort à l'âge de vingt jours. Le père ne sait pas s'il tremblait des
yeux
. Chez Yves M... le nystagmus a toujours existé.
est normale. Les réflexes patellaires sont normaux. ' Examen des
yeux
. Le nystagmus et le tremblement de la tête prés
eux enfants précédents. A été réformé du service militaire pour ses
yeux
. N'a jamais été malade. C'est un alcoolique ren-
. Il n'a pas de tremble- ment fibrillaire des muscles. Examen des
yeux
. Nystagmus horizontal (qui a toujours existé) p
que chez les enfants NI... Stra- bisme alternant convergent. Fond d'
oeil
normal. Bonne vision de chaque oeil : emmétropi
me alternant convergent. Fond d'oeil normal. Bonne vision de chaque
oeil
: emmétropie. Pas de tremblement de la tête. Réfl
ge de cinq ans. Il aurait eu, dès son jeune âge, du tremblement des
yeux
qui a toujours existé. Ce renseigne- ment est d
ifiantes. Il a eu deux frères et deux soeurs bien portants dont les
yeux
ne tremblent pas. Les parents sont bien porta
vations VII et VIII, qui ne présente pas de nystagmus. Examen des
yeux
. Strabisme alternant convergent intermit- tent.
l'accommodation. Kératoscopie. Vue normale. Hm très légère. Fond d'
oeil
normal. Rien dans les milieux de l'oeil. Tremblem
ale. Hm très légère. Fond d'oeil normal. Rien dans les milieux de l'
oeil
. Tremblement de la tête peu accentué, mais nett
, 4 garçons ; l'un d'emre eux a eu un fils maintenant mort dont les
yeux
tremblaient.; la fille a 3 enfants dont l'aînée
es yeux tremblaient.; la fille a 3 enfants dont l'aînée tremble des
yeux
depuis la naissance. 3 Voir à ce sujet le Préam
cérébrales accompagnées de troubles de la motilité des muscles de l'
oeil
, la lésion siégeait plusieurs fois au niveau du
formes qui se produisent seulement dans les posi- tions forcées des
yeux
, et qui proviendraient d'une parésie disséminée
tions cellulaires fines des noyaux d'origine des nerfs moteurs de l'
oeil
, défaut de conductibilité du cylindraxe peut êt
régulier. On croirait, en lisant son autobiographie, avoir sous les
yeux
l'observation d'une de ces malades qui peuplent
utour de l'appartement, puis, m'apercevant, fermer de nouveau les
yeux
et rentrer dans l'immobilité accoutumée; je lui d
était une fourberie de sa part, que je venais de le voir ouvrir les
yeux
et me regarder; il fut insensible à mes objurga
les mouvements du globe oculaire, lorsqu'on lui disait de fermer l'
oeil
du côté malade, étaient tout différents de ceux
petites et dentelées; il y a deux ans kératite interstitielle à un
oeil
. gagnant l'autre au bout de quinze jours. Parmi
- gue et des cordes vocales, avec conservation des mouvements des
yeux
, des membres et du tronc. L'auteur base son diagn
ge sécrétoire dans un nerf moteur. Le larmoiement unila- téral de l'
oeil
dans la névralgie unilatérale de la 5° paire, pla
voit point les larmes couler ni déborder dans l'angle interne de l'
oeil
. La destruction, chez tous ces ani- maux, du fa
ique du nerf lacrymal provoque aussi la formation des larmes dans l'
oeil
du même côté. L'excitation des racines du trijume
taient, de temps à autre, les muscles du côté droit de la face. Les
yeux
étaient immobiles et légèrement entr'ouverts. En
énéralisées à tout le corps, mais prédominance à gauche. Myosis à l'
oeil
gauche, mydnase à droite. Dépression punctiform
Tel est son état, quand, le 23 juillet 1901, je constate aux deux
yeux
, sur la line médiane et verticale et à l'union de
sions (ftg. 15 et 16). Le 25 juillet, la dépression a disparu sur l'
oeil
gauche (fig. 9 et 10). Le 29 juillet, il n'exis
e (fig. 9 et 10). Le 29 juillet, il n'existe de dépression ni sur l'
oeil
gauche ni sur l'oeil droit, mais ce dernier pré
29 juillet, il n'existe de dépression ni sur l'oeil gauche ni sur l'
oeil
droit, mais ce dernier présente sur le tiers infé
es voix, ramasse des pierres, s'étend sur le sol à plat ventre. Ses
yeux
sont légèrement injectés, les conjonctives hypo
la cornée gauche (fig. 21 et 22). Le 19 juillet, la dépression de l'
oeil
gauche a totalement rétro- cédé, tandis que, à
confus et inconscient. Son visage est émacié, son regard égaré, ses
yeux
caves. Le 20 juillet. Yeux de plus en plus cave
sage est émacié, son regard égaré, ses yeux caves. Le 20 juillet.
Yeux
de plus en plus caves ; même état de la cor- né
rotuliens normaux ; alitement (fig. 23 et 24). Le 22 juillet. Sur l'
oeil
droit seulement et sur le limbe de la cor- née,
'étendre empiète sur la sclérotique (rig. 25). Le 27 juillet. Sur l'
oeil
droit même dépression en dedans, sur l'oeil gau
Le 27 juillet. Sur l'oeil droit même dépression en dedans, sur l'
oeil
gauche dépression en dedans et dépression en deho
illet. Dépressions moins apparentes à droite ; la dépres- sion de l'
oeil
gauche a pris un aspect légèrement laiteux, sans
29 juillet ont disparu, il en est survenu une autre en dehors de l'
oeil
gauche, moins étendue que les précédentes (fig. 2
la dépression gauche, mais apparition sur un point symétrique de l'
oeil
droit, d'une nou- velle dépression empiétant su
clérotique ( ? 29). Le 30 août. Il n'existe de dépression que sur l'
oeil
droit en dedans de la cornée (fig. 30 et 31).
énéral paraisse meilleur ; sa physionomie devient plus normale; ses
yeux
sont moins excavés. Le 12 septembre. Eveil lent
dernière fois, je constate ce jour-là, en dedans de la cornée de l'
oeil
droit, une dépression d'aspect laiteux (rig. 32
on bruyante, état comateux. A la visite du matin, je constate sur l'
oeil
droit une dépression de la cornée située à l'unio
tion apparente des tissus de la cornée ou des autres membranes de l'
oeil
. Décès survenu le 31 novembre 1901, à 4 heures
approcherai certaine^ remarques faites par Brière de Boismont sur l'
oeil
et parti- culièrement sur la cornée de certains
s {Mémoires de l'Académie de médecine, t. XI, p. 552). « Etat des
yeux
. Les yeux révèlent la gravité du mal, et leur a
s de l'Académie de médecine, t. XI, p. 552). « Etat des yeux. Les
yeux
révèlent la gravité du mal, et leur aspect suff
coup. Dans d'autres cas, ils prennent un air de ma lice. Tantôt les
yeux
sont fixes, tantôt ils sont très mobiles, agités
ernativement ternes et bril- lants. Beaucoup de ces malades ont les
yeux
effarés, hagards, me- naçants. La pupille est t
ilatée ; lorsque la maladie est avancée, la dilatation diminue et l'
oeil
reprend sa 218 CLINIQUE NERVEUSE/* dimension
s que l'étrangeté du regard. Enfin, il arrive quel- quefois que les
yeux
, pendant le cours du délire, ne sont ni dilatés
dilatés ni resserrés. -.Lorsque le délire a duré quelque temps, les
yeux
perdent de leur éclat, de leur vivacité; ils de
it nuage, qui répond soziveizt et une dépression. A cette époque, l'
oeil
est le siège d'une sécrétion muqueuse puriforme
es qu'à une résorption extrêmement rapide des milieux liquides de l'
oeil
. Mais cette interprétation.ne DÉPRESSION KÉRATI
ouva, et sur ce qu'elle voulait dire par ces mots : « Voir avec les
yeux
de l'âme ». « Comme j'étais un jour avec une pe
eur se présenta à moi d'un air courroucé; je ne l'aper- çus que des
yeux
de l'âme, mais je le vis plus clairement que je
e l'âme, mais je le vis plus clairement que je ne l'aurais fait des
yeux
du corps. » Ce n'est pas, on le voit, une hallu
INTE THÉRÈSE qu'éprouve Thérèse; elle a bien soin de distinguer les
yeux
de l'âme de ceux du corps. Que veut dire Thér
ur dire ce qu'ils ont éprouvé et Thérèse appelle cela voir avec les
yeux
de l'âme ; entendre avec les oreilles de l'âme
le premier. Or pour expliqu : r le mot de Thérèse, voir avec les
yeux
L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 229 de l'âme, di
roisième temps seul s'est produit; pour Thérèse c'est voir avec les
yeux
de l'âme ; elle aurait pu aussi se servir de l'
e même qu'il y a des hallucinations de la vue incom- plètes que les
yeux
de l'âme perçoivent, de même il y a des halluci
e sainte Thérèse. Voici quelques exemples d'hallucinations avec les
yeux
de l'âme racontées par sainte Thérèse : « Lorsq
ntées par sainte Thérèse : « Lorsque j'aperçus le Seigneur avec les
yeux
de l'âme me regardant d'un air 2j0 , L'HYSTÉRIE
un artifice du malin esprit, mais qu'on ne pouvait voir qu'avec les
yeux
du corps ». - - Parmi les mêmes hallucination
s sa- voir qu'on pouvait voir quelque chose autrement que par les
yeux
du corps ». Les psychiques auditives. Voici : «
ans, elle entendit avec les oreilles de l'âme ou elle vit avec les
yeux
de l'âme. Cela la mettait dans un grand état L
son, je vis ou plutôt je sentis, car je ne vis rien en effet ni des
yeux
de l'âme ni autrement, je sentis, dis-je, que N
eusse, je ne pus jamais distinguer la couleur ni la grandeur de ses
yeux
. Dès que je voulais le faire, la vision disparais
e laisse pas de voir, malgré cela, tout ce qui peut faire peine aux
yeux
. Cette vue de l'Enfer m'a fait prendre un vif i
ôtés, comme autrefois, dans les visions psy- chiques, mais avec les
yeux
du corps. Il agitait son corps sans qu'elle fût
s individuelles; aussi contemple-t-il les hommes et les choses d'un
oeil
équitable et tolérant. Il est convaincu, par l'
tre procédé que de se prendre le front dans les deux mains, et, les
yeux
fermés, de pratiquer l'introspection de leur pe
ul fait naître ceux-ci. Au con- traire, une escarbille entre dans l'
oeil
, la paupière cligne, c'est un spasme ; ce clign
t victime de cet accident a porté pour la première fois la main à l'
oeil
offensé pour en chasser le corps étranger, il a a
tte femme qui semble solliciter les passants par son clignotement d'
oeil
spécial et dont un placier en vins de Bordeaux
que fort difficilement et après plusieurs mois de son clignement d'
oeil
. Je dois ajouter ici que Mm0 X... était la peti
t couramment par un attouchement quelconque après avoir bandé les
yeux
du sujet. Gibert (du Havre) les guérissait par in
ramassant quelques provisions ou du bois. Par pitié, on fermait les
yeux
sur ces maraudages insignifiants. On suppose
, les enfonça dans lès orbites d'un infirmier qui perdit l'un des
yeux
. Il appelait cela faire la fourche. A Cannes, u
qui font craindre l'invasion du délire aigu. Couché sur le dos, les
yeux
habituellement lermés, G... ne cesse de s'agite
ses traits, etc.. Tout cela se passe au lit, étendu sur le dos, les
yeux
fermés, avec toujours le même mouvement latéral
. Ces troubles de l'équilibre s'exagèrent quand le malade ferme les
yeux
, la sensibilité est obtuse aux membres inférieu
tension forcée, le bras droit secoué de convulsions, la tète et les
yeux
tournés à droite. Obtu- sion intellectuelle con
es forces s'en vont : on peut à grande peine remuer les mains ; les
yeux
se ferment malgré soi, ou s'ils restent, ouvert
sujet éprouve d'abord une vague aura, la boule hystérique, puis les
yeux
se ferment, la parole s'arrête, le corps s'immo
s toujours bizarres et effrayantes, avec délire con- comitant ; les
yeux
sont convulsés sous la paupière supé- rieure ;
irment les nôtres et, à, l'appui, nous allons faire passer sous vos
yeux
, un certain nombre de photographies, prises de
en fait, ces fâcheuses exceptions, elles suffisent à justifier, aux
yeux
du médecin et du magistrat, l'étude clinique et m
. Ianv.vr, et G. IiAVIInT. Les publications sur l'état du fond de l'
oeil
chez les paralytiques généraux nous ay ant paru m
. Ces nécropsies ont été pratiquées quinze jours après l'examen des
yeux
. 1° La rétine présentait des altérations de la
ental; mais souvent ces troubles ne sont qu'ébauchés. 11 faudrait l'
oeil
d'un aliéniste pour les apercevoir; le magistra
es antispasmodiques, qu'il faut prescrire ; ce sont des trompe- - l'
oeil
qui ne font qu'augmenter l'intoxication. Ce qu'il
les déments avec épreuves photographiques qui sont passées sous les
yeux
des membres du Congrès. Dans sa communication
s de coloration plus foncée que les che- veux. Orbites peu excavés.
Yeux
mobiles, ni exophtalmie, ni strabisme, ni paral
e au commissaire par des voisines, qui remarquant qu'elle avait les
yeux
cernés lui auraient demandé si elle ne « s'amus
te est vivement tirée en arrière et en haut et s'en vient boucher l'
oeil
droit ; à ce moment les lèvres sont, surtout la
à la suite d'émotions. Cette malade était atteinte d'amaurose de l'
oeil
gauche ; cet accident remontait à plus de dix a
a malade l'avait constaté par hasard en se mettant un bandeau sur l'
oeil
droit ; elle le croyait irréparable, un oculiste
que de ce phéno- mène ; en effet, d'une part, l'examen du fond de l'
oeil
permettait 430 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
l'amaurose unilatérale des hystériques ; c'est ainsi que, les deux
yeux
étant ouverts, et la malade prétendant ne rien
deux yeux étant ouverts, et la malade prétendant ne rien voir de l'
oeil
droit, si on appuyait avec l'ongle au-dessous d
n voir de l'oeil droit, si on appuyait avec l'ongle au-dessous de l'
oeil
droit de manière à déplacer l'axe visuel de cet
parition de cet accident, la perte de la vision s'était étendue à l'
oeil
droit, à deux reprises, à la suite d'émotions, et
ant sept jours, l'autre fois. Lors de l'examen fait par M. Janet, l'
oeil
droit était absolument normal. L'auteur a mis e
y était très affaiblie. Si on excitait trop vivement la vision de l'
oeil
droit, son champ visuel s'élargissait, mais cel
on de l'oeil droit, son champ visuel s'élargissait, mais celui de l'
oeil
gauche diminuait. L'auteur a pu ainsi constater
ubstitution de l'hémianopsie gauche à l'amaurose unila- térale de l'
oeil
gauche, constitue un fait d'équivalence hystériqu
lésion, puisque le grand sympathique, qui se-rend à la région de l'
oeil
, a son origine en ce point où est le siège du c
phalite en évolution et l'absence de ramollissement constatable à l'
oeil
nu ou au microscope, au niveau des régions irri
rès avoir accouché, ressentit tout à coup des douleurs vives dans l'
oeil
droit et observa le lendemain que sa bouche était
as du tout rare d'observer une inégalité pupillaire défavorable à l'
oeil
placé le plus près de la fenêlre. C'est que le
volonté ; il suffit que l'éclairage porte uniformément sur les deux
yeux
en même temps pour'qu'elle disparaisse à son tour
t son automatisme. L'importance médico-légale de cet état saute aux
yeux
. Le malade peut commettre, sans le savoir, des
trémités, violette à l'autre : ce malade voyait beaucoup mieux de l'
oeil
aveugle aux couleurs que de' l'autre. A mesur
de catalepsie avec contractures dif- fuses. Quand on ouvre l'un des
yeux
, le bras au côté correspondant cesse d'être con
mentale, par Atlianassio, 465. 'DÉ1(Ehystérique, par Dufour, 176.
OEIL
. Voir paralysie générale, Ongles. Voir aliénés.
cde-Ia généralR. pai Jotfroy et Mercier, 331. L'état du fond de l'
oeil
dans - générale et ses lésions initiales, par K
s les apparences du sommeil normal ; ils reposent tranquillement, les
yeux
fermés ; en réalité ils dorment profondément, d'u
f ou au type moteur. Tel sujet résistera longtemps à la fatigue des
yeux
qui sera promptement influencé par des suggestion
part que le bon moyen d'échapper à ce péril ce soit de se bander les
yeux
pour ne pas le voir et de se donner l'illusion qu
dé. Le lendemain, voici comment je m'y pris pendant la fixation des
yeux
sur le miroir : au moment très court où je vis le
que je lui montrerais écrit. Le sommeil obtenu, j'approchai de son
œil
droit, la paupière supérieure levée, une feuille
cilement. Tenez! Regardez-le! Il dort! L'enfant restait immobile, les
yeux
ouverts, fixes, étonnés. L'aspect rigide de la fa
iquer avec une épingle sans qu'il manifesta de réaction. Je dis : les
yeux
vont se fermer. Ils ne se fermaient pas ; le suje
dormir de nouveau. Il suffit que je le dise : c'est fait. Il dort les
yeux
fermés. Vous voyez donc que ce sujet a pu être
vous dites : dormez, le premier mouvement du sujet est de fermer les
yeux
et de rester un instant immobile. Mais après quel
ester un instant immobile. Mais après quelques secondes, il ouvre ses
yeux
, et refuse de les fermer, disant qu'il ne peut pa
ement immédiat de sa physionomie, son inertie rigide au moment où les
yeux
étaient fermés, vous avez lieu de penser qu'il ét
influencé. Ce sujet -est certainement suggestible. Si, maintenant ses
yeux
fermés, vous brisez doucement sa résistance, si v
e temps. Au bout d'un quart d'heure, je le réveille, il se frotte les
yeux
et regarde étonné autour de lui, ne se souvenant
de clinique n'était pas arrivé à l'endormir. Il cherche à rouvrir ses
yeux
quand je les tiens clos ; je vois manifestement q
s. Dormez, mon enfant. Mais sa face ne changea pas d'expression ; ses
yeux
ne se fermèrent pas et les paupières battiren
rent pas et les paupières battirent comme d'habitude. Je tins ses
yeux
clos ; je constatai qu'il s'efforçait de les rouv
s dans son lit pour guérir sa maladie de poitrine, et, lui tenant ses
yeux
clos pendant une minute, lui suggérant qu'il dorm
je retrouvai chaque fois la même résistance. II me fallait tenir les
yeux
clos et neutraliser la tendance du malade à les o
uve de nouveau la résistance habituelle ; il essaie d'entr'ouvrir les
yeux
et dit : « Ce n'est pas cela qui me guérira. » J'
prêtre alla chercher le Saint-Sacrement. Nicole, aussitôt, ouvrit les
yeux
et se mit sur son séant en faisant le signe de cr
orbe, dont elle a esternué par cinq fois violemment, apparaissant aux
yeux
quelques larmes. Puis, en après, luy a esté frott
s, en présence de plusieurs personnes qui le gardaient, il ouvrit les
yeux
, et, comme réveillé d'un doux sommeil, il dit amo
l'office de Notre-Dame, il fut élevé en esprit et vit comme avec les
yeux
une image de la Trinité qui lui représentait d'un
, qui était présent, s'approcha du malade, fît une courte prière, les
yeux
fixés au ciel, et toucha de la main la tête de Ba
ucha de la main la tête de Bastida. A ce contact, celui-ci ouvrit les
yeux
comme au sortir d'un profond sommeil, et se trouv
e ride, aucune velléité de résistance. Je dis : « Il va dormir. » Ses
yeux
restent rigides, puis se ferment. Il est hallucin
e lui fais boire du lait fictif. Je dis : « Il va se réveiller. » Ses
yeux
s'ouvrent ; il ne se souvient de rien. Il est cer
ous mes personnages, dit-il, j'observe constamment leur bouche, leurs
yeux
et leurs oreilles. » Et il écrivait ce qu'il voya
a femme de le tromper, de le déshonorer, toutes les nuits, devant ses
yeux
, dit au médecin de la maison de santé où il avait
aucune : je ne fais pas fixer un point brillant, je ne plonge pas mes
yeux
dans ceux du sujet, je me contente de mettre ma m
çoit de la sensibilité, des sensations ? Pas plus que nous voyons à l'
œil
ou au microscope la différence entre un fil métal
ne réussit pas. A son réveil, au bout de 2 minutes, il se frotte les
yeux
comme s'il avait sommeil, mais résiste. Je l'endo
ncier de ceux que nous allons décrire. Dans l'état léthargique, les
yeux
sont clos ou demi-clos ; les globes oculaires con
en état de léthargie, de façon qu'une vive lumière vienne frapper ses
yeux
, il passe dans un autre état qui est l'état catal
se maintient en parfait équilibre tant que dure la catalepsie. Les
yeux
sont-ouverts, le regard fixe, la physionomie impa
es et cataleptiques. Le sujet placé dans l'état somnambulique a les
yeux
clos ou demi-clos; il peut les ouvrir au bout de
r en catalepsie, en lui ouvrant les paupières et en dirigeant sur ses
yeux
un rayon de lumière vive. Cet état cataleptique
. Je fais placer le sujet debout devant moi et je lui fais bander les
yeux
avec un mouchoir, ou je lui recommande de fermer
tout à fait à sa gauche. Me tenant absolument immobile, je fixai les
yeux
sur le sujet ; au bout de peu d'instants, après q
je me tiens derrière lui. Je fixe, avec la plus grande attention, les
yeux
sur le chemin ainsi tracé à la craie, et je suis
is les mains en travers devant son visage et en lui soufflant sur les
yeux
. Le sujet se souvient en général des actes qu'il
s, par moments, il reprend l'expression d'une extase voluptueuse, les
yeux
sont brillants, mouillés et largement ouverts
on procédé usuel, consistant à fermer et à ouvrir alternativement les
yeux
du sujet, très rapidement, en lui suggérant chaqu
bateur. Son champ visuel est concentriquement rétréci, surtout pour l'
œil
gauche. Je prescris le traitement polybromuré à h
à la besogne. La pauvre enfant m'est ramenée la figure ravagée, les
yeux
presque hagards, ahurie et plus sale que la premi
nt de bonnes paroles pour la relever, en quelque sorte, à ses propres
yeux
... Puis, je recommande à sa belle-mère ainsi qu'à
iques, particulièrement du côté droit. Or, il me suffit de fermer les
yeux
pour devenir, par le fait de mon irritabilité lab
a peur, avec même un commencement d'impulsion. Je suis agoraphobe les
yeux
fermés, comme d'autres ont le signe de Rombert. L
oraphobe les yeux fermés, comme d'autres ont le signe de Rombert. Les
yeux
ouverts, tout disparait, la vue objective concrèt
Une de ses camarades de pension reçoit une boulette de papier dans l'
œil
et on la conduit chez un oculiste ; ma malade, pa
lade, par sympathie ou pour une autre raison, commence à se frotter l'
œil
correspondant au point d'amener de l'érythème de
os membres inférieurs avec une parfaite précision et force, ayant les
yeux
ouverts ou fermés. Mais hors du lit, soutenue des
lle se trouve seule devant l'immensité de la terre, représentée à ses
yeux
par une plaine crayeuse et blanche, ayant la cour
iter, sans paraître y mettre d'affectation, de rencontrer, devant ses
yeux
, les yeux et le visage de qui que ce soit. Si, ma
paraître y mettre d'affectation, de rencontrer, devant ses yeux, les
yeux
et le visage de qui que ce soit. Si, malgré toute
nstamment un voile qui cachât complètement son visage et empêchât ses
yeux
de se porter sur le visage d'une autre personne.
voir ce qui se passe autour d'eux en leur bandant hermétiquement les
yeux
. — J'ai fait fabriquer ù cet effet un bandeau de
complètement la lumière, qui ne couvre pas seulement le front et les
yeux
, mais qui emboîte encore le nez, avec un système
uits dans la pièce où elles se passent qu'après que le sujet a eu les
yeux
bandés et sans qu'il en soit jamais fait mention.
arriver d'un fort mal de tête, il vit passer un brouillard devant ses
yeux
et perdit totalement connaissance ; à partir de c
e fit dans son esprit. Ce fut comme un voile qui se leva devant ses
yeux
et, ayant repris sa personnalité première, il ren
r Millée fera, le jeudi 5 mars, à cinq heures, une conférence sur : l'
œil
névropathique. Hospice de la Salpêtrière. — Cli
me réveillera dans un quart d'heure. » A 20, en effet, il ferme les
yeux
et son corps se raidit. Au bout de plusieurs minu
77 ans, était devenue amau-rotique en perdant successivement les deux
yeux
à quelques années d'intervalle : les douleurs de
servée avec grande attention, et, immédiatement après, on a fermé les
yeux
pour s'endormir — toutes ces opérations ont été e
te, et les troubles oculaires évoluent de façons différentes : 1° L'
œil
droit est atteint au début d'amblyopie, de dyschr
nservation de la sensibilité cornéenne. On note enfin pour les deux
yeux
le rétrécissement concentrique du champ visuel, l
alysie conjuguée gauche pour les mouvements volontaires. Le fond de l'
œil
est normal. L'état général de la malade est très
uteur constata une hémianopsie homonyme latérale droite. Le fond de l'
œil
était parfaitement normal. L'auteur a observé l
s travaux de Carpenlcr sur l'Expectant attention m'avait dessillé les
yeux
. Charcot avait nié Burq, pendant longtemps ; mais
r Millée fera, le jeudi 5 mars, à cinq heures, une conférence sur : L'
œil
nèvropathique. _ Hospice de la SalpÈtrière. — C
J'ai entendu raconter à Louvain une histoire analogue d'une loupe à l'
œil
, récalcitrante à l'art des médecins, mais tombant
islatives belgés, p. 69. Paris, Félix Alcan. le mal s'étalait aux
yeux
, on ne peut admettre que les hommes éminenls qui
t, de vives douleurs. Elle ne pouvait élever son bras plus haut que l'
œil
, ni le rapprocher de la figure de moins de vingt
profonde angoisse. Je renouvelai mon injonction. Il tourna alors les
yeux
vers son père — je lui avais fait ouvrir les yeux
Il tourna alors les yeux vers son père — je lui avais fait ouvrir les
yeux
sans le tirer de l'état d'hypnose — comme pour lu
le bras du sujet est soulevé en l'air et reste ainsi cataleptisé, son
œil
reste fixe, immobile, la face devient inerte, com
rte, comme cataleptisée elle-même; puis, après quelques secondes, les
yeux
clignotent et peuvent se fermer spontanément ; le
Les autres, chez qui cette apparence de sommeil avec occlusion des
yeux
ne survient pas spontanément par le fait seul de
s très facilement hypnotisables. 11 suffît souvent de leur fermer les
yeux
, de les tenir clos pendant quelques secondes, de
à toute autre impression, il ne reçoit plus celles des sens; aussi l'
œil
devient rigide, fixe ; la face inerte, comme pétr
vient rigide, fixe ; la face inerte, comme pétrifiée. Quelquefois les
yeux
, n'apportant plus rien au sensorium, se ferment,
pas de les grouper en un ensemble tel, qu'ayant les schémas sous les
yeux
, nous puissions voir les diverses combinaisons po
mouvements réflexes : tels les mouvements de tête, les clignements d'
yeux
, les mouvements de répulsion. La destruction de
lignements d'yeux, les mouvements de répulsion. La destruction de l'
œil
et du nerf optique rend aveugle, mais si 1 persis
ellera le monde extérieur. Passons maintenant aux conducteurs ; L'
œil
voit un objet, un chapeau par exemple : 1 perçoit
ant à 3, éveille le mot « chapeau » si le sujet est un visuel. Si l'
œil
voit le mot chapeau écrit, ! perçoit le mot sans
sons qui peuvent exister dans la lésion aphasique. Les ayant sous les
yeux
et pouvant se les rappeler d'emblée et sans peine
il résolut de coucher chez ce dernier, et il commençait à fermer les
yeux
, quand il sentit les approches de la crise l'enva
s fort ! On se rappelle l'image accusatrice de Tassas-sin fixée sur l'
œil
de la victime. Impossible de nier : l'œil du mort
e de Tassas-sin fixée sur l'œil de la victime. Impossible de nier : l'
œil
du mort, encore ouvert, montrait distinctement le
inique se conserve, et les vibrations qui n'impressionnent plus notre
œil
n'en persistent pas moins un certain temps. Une i
tre étudiée, et, qui sait? en s'y prenant bien, un de ces jours notre
œil
pourra remplacer les jumelles photographiques. Pl
rs avaient vingt à trente verrues à chaque main. « Elle bandait les
yeux
des gens qui venaient chez elle en leur recommand
nus le secret de ma parente. « J'agis comme suit : « Je bande les
yeux
du malade, puis, après avoir cherché un remède im
ivement la personne ; c'est dans cette intention que je lui bande les
yeux
et que je fixe môme un jour pour la séance en pré
vont à la recherche des particules odorantes. Quand nous fermons les
yeux
, quand nous nous étendons commodément, quand nous
f Zaousailofï consiste simplement à ordonner aux sujets de fermer les
yeux
et leur dire, sans élever la voix : «Restez tranq
ux et leur dire, sans élever la voix : «Restez tranquille, fermez les
yeux
, et dormez ». Si le malade ne s'endort pas, on le
x, et dormez ». Si le malade ne s'endort pas, on le force à tenir les
yeux
ouverts, le bras tendu pendant un quart d'heure e
leur soufflant à la figure ou encore en leur commandant d'ouvrii' les
yeux
. Dans un cas seulement, il mit dix minutes pour
très réelle. Cela sort absolument du convenu, et au premier abord l'
œil
est surpris par ces attitudes auxquelles il n'est
nduit par le gardien, dans l'attitude suivante: Le corps droit, les
yeux
tournés vers le plafond, le regard fixe et vague,
en détails, l'accident arrivé la nuit, je procède à l'examen des deux
yeux
. Il n'y a pas de congestion de la conjonctive
de ces organes. Aucune paralysie des paupières ou des muscles de l'
œil
, mo-¦bilité du globe parfaite. Les pupilles son
eux paraisse légèrement diminué. Après atropinïsation, le fond de l'
œil
est reconnu absolument sain. A peine pourrait-o
ncore cette hyperémie est-elle peut-être l'état habituel du fond de l'
œil
. La cornée est sensible aux attouchements. Le
e des pupilles sous l'influence d'une vive lumière approchée des deux
yeux
, dilatation peu prononcée dans le cabinet noir.
r, dans les prisons de la Seine, aux détenus atteints de maladies des
yeux
. Le 26 septembre, le pourvoi ayant été rejeté,
c le fait qui a été l'objet de mon examen. L'action de l'éclair sur l'
œil
parait être une légende populaire. Si j'insiste
mplète que la simple diminution de l'acuité visuelle de l'un des deux
yeux
. Quoi qu'il en soit, je fus appelé à l'examiner
és des deux côtés ; quant aux milieux et aux membranes profondes de l'
œil
, ils étaient intacts, à droite comme à gauche.
e puis affirmer, c'est que cet homme ne présentait aucune lésion de l'
œil
, cinq mois après le début de la cécité, ce qui es
te. Rien n'avait pu lui faire avouer sa supercherie. On lui banda les
yeux
, on le conduisit sur le bord d'une rivière, dont
n soit, je demande la permission à mes collègues de mettre sous leurs
yeux
quelques courts extraits d'un pauvre petit livre,
à droite. Acuité visuelle très diminuée à droite- Dit voir mieux dc l'
œil
gauche. Hémianopsie. Voit parfois une étoile qui
(moutarde). Le 20 Mars. — Chute en arrière. Perte de connaissance.
Yeux
hagards, fixes, portés en haut et en dedans. Pas
3e La malade ne comprend, ni ne peut lire le mot qu'elle a devant les
yeux
(Aphasie totale). C'est la troisième forme qui
je le présente à droite, à gauche, en haut, en bas. Elle le voit de l'
œil
droit, mais de l'œil gauche elle ne le voit pas.
te, à gauche, en haut, en bas. Elle le voit de l'œil droit, mais de l'
œil
gauche elle ne le voit pas. Elle ne le voit disti
elle ne le voit pas. Elle ne le voit distinctement que de face avec l'
œil
gauche. 30 Octobre. — Hypnose. L'œil droit ét
inctement que de face avec l'œil gauche. 30 Octobre. — Hypnose. L'
œil
droit étant couvert, je lui dis d'ouvrir l'œil ga
Octobre. — Hypnose. L'œil droit étant couvert, je lui dis d'ouvrir l'
œil
gauche : elle ne voit le crayon que de face ; je
r plusieurs mouvements du malade. Je lui commandai alors d'ouvrir les
yeux
et de regarder sa mère. Après environ un quart d'
et de regarder sa mère. Après environ un quart d'heure, il ouvrit les
yeux
, regarda sa mère et retomba en léthargie. Je reco
. Je recommençai la même manœuvrent constatai que chaque fois que ses
yeux
rencontraient sa mère, il retombait dans son état
is, il essaya de me regarder, mais, au bout de quelques instants, ses
yeux
se refermaient pour retomber dans un sommeil entr
ur: il me donnait parfaitement l'idée de toutes ses souffrances ; les
yeux
constamment attaches sur l'ennemi deviné, étrange
rme animal; il reculait une patte et regardait autour de lui avec des
yeux
égarés, pleins d'effroi et de stupidité. Sa terre
s et gens aisés des villages. 11 a débuté par guérir des maladies des
yeux
; il ordonnait un collyre astringent et l'obscurit
ance. Du reste, en Lozère, les paysans se contentent de croire au bon
œil
et à la puissance du guérisseur. Il est assez c
oyais mes camarades accablés par la nécessité de se lever matin, .les
yeux
gros de sommeil, la face congestionnée et bouffie
ment. Mais si l'on ordonne à C... de porter, après avoir fermé les
yeux
, l'index de chaque main à l'extrémité du nez, il
ant ou en arrière. La station debout devient impossible lorsque les
yeux
sont clos, ce qui dénote une altération du sens
ironnants lui paraissent rouges verts, et il voit passer devant ses
yeux
des points brillants. En même temps il pâlitet
nt pris dans son acception populaire), portant sur la bouche et les
yeux
. Elle allait néanmoius à l'école, qu'elle a sui
brusques et répétées se produisant au niveau de la bouche et " des
yeux
. Ces tics, fréquents chez les enfants, sont, le p
ner, comme eux-mêmes de leur côté l'examinaient, discrète- ment des
yeux
, mais avec toutes sortes de curiosités et d'inter
sans que nulle part cette mollesse devienne extrême. L'examen à l'
oeil
nu des surface de section n'indique pas d'al- t
dorsale au niveau des deuxième et troisième paires dorsales. A l'
oeil
nu, sur des coupes colorées par le picro-carmin,
sposition. Mais les lésions diminuent d'intensité et d'étendue; à l'
oeil
nu, on voit que les différents foyers situés da
que les lésions atteignent leur plus haut degré d'intensité. A l'
oeil
nu, on remarque que la substance blanche, surtout
rme une trame dont les mailles irrégulières apparais- sent même à l'
oeil
nu. L'examen microscopique fait constater une h
la moelle qui ait été à notre disposition, on ne constate plus à l'
oeil
nu aucune altération. Au microscope, on voit
e par les particula- rités que voici. Nystagmus, paralysie des deux
yeux
en haut, mais intégrité de tous les autres mouv
deux yeux en haut, mais intégrité de tous les autres mouvements des
yeux
; nul trouble de la vision. Impossible de savoi
TRIBUTION A l'étude ET au mécanisme DES paralysies DES MUSCLES DE L'
OEIL
CHRONIQUES, PROGRESSIVES, ET A LA FINE ANATOMIE
ducerveau et en particulier de ceux qui commandent aux muscles des
yeux
. P. K. XIV. Contribution A la pathologie DES
chez le nouveau-né j à ses mouvements, à la façon dont il ferme les
yeux
quand on le lave à l'eau froide, on voit qu'il
de l'ocutomoteur externe gauche et paré- sie du droit interne de l'
oeil
droit; anesthésie cornéenne et conjonc- tivale,
e ou émanée de l'influence de boissons excitantes; le rappel, les
yeux
fermés, de souvenirs visuels : fout cela produit
fantastiques. L'auteur se place dans une chambre obscure, et, les
yeux
fermés, couché sur le côté droit, comme pour dorm
diminution de la sensibilité et la perle de l'équilibre lorsque les
yeux
élaient termes constituaient des symptômes de scl
us cas, elle n'y estjamais aussi précoce. Mais si nous jetons les
yeux
sur les nombreuses- observations qui forment la
Jamais de chute de la paupière, ni de paralysie des muscles de l'
oeil
. Cet état, avec des rémissions plus ou moins long
e6</ttue; lui-même re- marqua qu'il ne pouvait plus lire avec t'
oeil
gauche. - Pendant l'Exposition il se fait vende
occlusion des paupières et prétend même marcher plus facilement les
yeux
fermés. Par exemple elle, a plus de difficulté
ertain temps; la clarté la fatigue et elle cache habituellement ses
yeux
avec ses mains; l'oeil gauche surtout parait at
la fatigue et elle cache habituellement ses yeux avec ses mains; l'
oeil
gauche surtout parait atteint fonctionnellement,
nt fonctionnellement, et la jeune fille prétend mieux y voir avec l'
oeil
droit qu'en faisant usage des deux yeux. Cepend
prétend mieux y voir avec l'oeil droit qu'en faisant usage des deux
yeux
. Cependant le champ visuel n'est pas diminué; l
suelle est moins grande à gauche qu'à droite. L'examen du fond de l'
oeil
pratiquée par mon interne, M. Castagne, ne révèle
si c'est vrai- ment la névrose pure, isolée, que l'on a devant les
yeux
, si l'altération des centres nerveux est simple
même, penche immédiatement vers la gauche. L'acuité visuelle de l'
oeil
gauche est également diminuée; les veines du fond
le de l'oeil gauche est également diminuée; les veines du fond de l'
oeil
sont volumineuses : les deux papilles sont légè
D'autres muscles isolés ont encore été frappés : les muscles de l'
oeil
(Knapp1), ceux de la vessie, le deltoïde (Ons. pe
aroche, insuffisamment détaillées, où l'occlusion incomplète de l'
oeil
du côté atteint d'hémiplégie a été signalée; il
ycosurie. Troubles cérébraux. Accidents du côté de la motilité de l'
oeil
et des réflexes tendineux. P. K. XXXVI. UNE FOR
siologique des globes oculaires. Chez des individus bien portants à
yeux
sail- lants, il a trouvé de l'insuffisance de c
s facile de compren- dre que, de toutes les fonctions motrices de l'
oeil
, la convergence est celle qui exige le plus d'e
ergence est celle qui exige le plus d'ell'ort. Que les muscles de l'
oeil
soient tant soit peu affaiblis, vite la converg
deux oculo- moteurs externes, et d'une espèce de nystagmus des deux
yeux
. Si l'on en rapproche les troubles de l'équilib
égère sensation de tension et de traction dans l'angle interne de l'
oeil
gauche d'où elle irradie en dedans et le long d
psie : Quand l'accès a été fort, la tension de l'angle interne de l'
oeil
disparaît et l'on y peut toucher impunément. Aucu
frontale et temporale gauche, surtout au voisi- nage immédiat de l'
oeil
, sur la paupière et la portion contiguë du nez
iat de l'oeil, sur la paupière et la portion contiguë du nez sous l'
oeil
. En pressant sur une zone située au-dessus et en
région axillaire; pigmentation diffuse sur la peau qui entoure les
yeux
. En quatre semaines le bras tout entier et les
- 1° Plus le paroxysme est intense et prolongé (qu'on ait sous les
yeux
le syndrome manie ou le syndrome mélancolie), plu
prend pas part à qui se passe autour de lui. Sauvage, immobile, les
yeux
fixés au plafond il pousse de temps à autre des
D'' llan- ning, les autres au D' Stirling. Il fait passer sous les
yeux
des membres du Congrès : 1° un tableau statisti
anco- liques ont souvent en effet de l'accélération du pouls et les
yeux
fixes et saillants. Les renseignements pris aup
nseignements pris auprès de la famille ont cependant appris que les
yeux
étaient devenus saillants un peu avant la malad
s. Les vertiges se modifient suivant l'ouverture ou l'occlusion des
yeux
. Passant à la division des vertiges, M. Grasset
te intense qui provoqua l'apparition de douleurs lancinantes dans l'
oeil
et d'une obnubilation de la vue, phénomènes int
une vision lumineuse. Prudh... aperçoit du côté gauche et des deux
yeux
à la fois, ce dont, il s'est assuré, en fermant
x à la fois, ce dont, il s'est assuré, en fermant alternativement l'
oeil
droit et l'oeil gauche, des étincelles, des tra
dont, il s'est assuré, en fermant alternativement l'oeil droit et l'
oeil
gauche, des étincelles, des traits lumineux jaune
sont insensibles. Le malade présente des troubles visuels des deux
yeux
; il y a de l'amblyopie légère, de la diplopie m
rveux. Elles sont lancinantes, s'ac- compagnent de photophobie de l'
oeil
droit qui est presque tou- jours fermé, s'exagè
orsale, et la malade peut encore obtenir le même effet en fermant l'
oeil
droit. A. G... a l'apparence d'une fille vigour
culaire à droite. La malade ne peut se tenir sur le pied droit, les
yeux
fermés, tandis qu'elle le fait bien sur le pied
dis- tingue pas le violet et le bleu du noir. Le champ visuel de l'
oeil
' droit est un.peu rétréci. Il y a une diminuti
accès constitué d'une façon diffé- rente : la malade voit devant l'
oeil
droit une lumière qui occupe toute l'étendue du
rent sans cesse ; en même temps, douleur en vrille très vive dans l'
oeil
gauche et nausées suivies de vomissements. Cet
dement toute l'étendue du champ visuel ; en effet, lorsque les deux
yeux
étaient ouverts, la malade ne voyait rien devan
nt ouverts, la malade ne voyait rien devant elle ;si elle fermait l'
oeil
gauche elle ne pouvait non plus distinguer aucu
use disparaissait, la malade restait quelque temps aveugle des deux
yeux
; ensuite, la cécité restait limitée à l'oeil dr
temps aveugle des deux yeux; ensuite, la cécité restait limitée à l'
oeil
droit et disparaissait enfin complètement. Aprè
roite. - Diminution du goût et de l'odorat à gauche. - L'examen des
yeux
fait par M. Parinaud ne révèle rien d'anormal.
La lumière, au lieu d'occuper toute l'étendue du champ visuel de l'
oeil
droit, n'apparaît plus qu'à sa partie externe;
istingue toutes les couleurs,sauf le violet, en ce qni con- cerne l'
oeil
gauche; sauf le violet et le jaune, en ce qui con
rne l'oeil gauche; sauf le violet et le jaune, en ce qui concerne l'
oeil
droit; de la polyopie monoculaire. Ajoutons que l
côté : elle laisse voir les faits tels qu'ils sont et non avec les
yeux
des auteurs. En dépit de la meilleure volonté,
ût quelque crédit auprès du lecteur, il fallait lui mettre sous les
yeux
toutes les pièces du procès. C'est pourquoi j'a
préparation. Sur plus de cent cerveaux qui me sont passés sous les
yeux
, je l'ai toujours constaté. Circonvolutions o
examiné 38 tabétiques dont 22 présentaient des lésions du fond de l'
oeil
. Chez les 16 malades avec le fond de l'oeil plu
es lésions du fond de l'oeil. Chez les 16 malades avec le fond de l'
oeil
plus ou moins normal, on constatait malgré le d
s, représen- tés sous forme de tableaux dans lesquels OD signifie
oeil
droit, OG -- oeil gauche, YB vision binocu- lai
sous forme de tableaux dans lesquels OD signifie oeil droit, OG --
oeil
gauche, YB vision binocu- laire. Les malades de
èses sorties ces dernières années de la Salpêtrière. L'examen des
yeux
chez les hystériques a porté sur la perceptibil
'un jour à l'autre. Mais ce n'est que la valeur absolue pour chaque
oeil
qui varie, tandis que la valeur relative c'est-
ERCEPTIBILITÉ DIFFÉRENTIELLE. 363 rapport entre les valeurs de deux
yeux
reste toujours constant. ' " Un fait intéress
us le qu'à l'état de veille mais elle dé-, passe même le seuil de l'
oeil
normal chez un individu sain. Ainsi, plusieurs
l ( ) qui correspond au 96 9b ' n° 47, tandis que le seuil de nos
yeux
normaux est à ( (ni 44). Après ce court aperçu
ats des recherches suivantes faites exclusive- ment sur nos propres
yeux
normaux. Ces résultats se montrèrent si concord
bres et celle des tableaux. La perceptibilité différentielle de nos
yeux
fut étudiée à différents degrés de l'éclairage,
t lire les lettres. Les exigences sont ainsi bien plus grandes, l'
oeil
percevant encore l'ombre alors que la forme des
des ombres, on a, dans la vision monoculaire, pour chacun des deux
yeux
la fraction 1/140, on aura 1/200 pour le cas de
e ceux de spasme d'accommodation, de paralysie des mus- cles de l'
oeil
, etc. Ces cas sont suffisamment clairs par eux-
confirment pas le fait trouvé par nous et valable seulement pour l'
oeil
normal. Comment expliquer cette différence en
fonctionnel, causé par l'ha- bitude défectueuse de n'utiliser qu'un
oeil
dans la vision et par l'influence qu'une pareil
faire à une synthèse cérébrale des excitants fournis par les deux
yeux
? Nous ne déciderons point la question, mais ra
cas d'une amplification de l'image rétinienne pour l'un des deux
yeux
seulement, le sujet perçoit des différences plus
jets atteints de dischromatopsie ne perçoivent avec aucun de deux
yeux
isolément telle couleur, qu'ils reconnaissent i
fficulté parla vision binoculaire; 3° l'éblouissement d'un des deux
yeux
trouble la perceptibilité différentielle de son
exposé des faits relatifs à la percep- tibilité différentielle de l'
oeil
normal, nous pouvons maintenant aborder les rec
int pour cela. Pour plus de clarté, ci- tons l'exemple suivant : un
oeil
donné perçoit un centième de différence entre d
ence entre deux excitants lumineux a et b; si la sensibilité de cet
oeil
diminue, de manière que chacun de ces deux exci
ériques ; chez ces dernières, la perceptibilité différentielle de l'
oeil
amblyopique se trouve toujours sensiblement dim
Il est donc probable, que les modifications de l'excitabilité de l'
oeil
sous des influences de nature pathologique obéi
, en tant qu'il s'agit bien entendu du type ci-dessus décrit pour l'
oeil
normal. La courbe reste toujours concave, par r
Lip...tz atteint d'hystéro-épilepsie (Clinique n° 6). Comme pour l'
oeil
normal, on voit éga- lement ici la diminution d
arinaud', nous nous dispensons d'en parler ici. - Le seuil pour nos
yeux
normaux étudiés avec cet optometre était de 0,9
la différence à peine perceptible est n fois ce qu'elle est dans l'
oeil
normal. Un malade a-t-il, par exemple, une perc
mple, une perceptibilité différentielle de 1/33 à un éclairage où l'
oeil
normal perçoit encore une différence de 1/100,
nous nous poserons la question suivante : Peut-il s'opérer dans l'
oeil
normal et dans certaines conditions une diverge
sion binoculaire, égale presque toujours celle du meilleur des deux
yeux
; 3° Avec la diminution de l'éclairage, c'est-à-
'une façon nette, que la même divergence se constate aussi dans l'
oeil
malade. Ce fait nous paraît être d'une im- port
sieurs reprises la différence que nous avons pu constater entre l'
oeil
des ataxiques et celui des hystériques. Or, cel
ier se rétrécit, plus la première diminue. Dans les cas où les deux
yeux
sont atteints, nous avons constaté toujours et
sont atteints, nous avons constaté toujours et sans exception que l'
oeil
le plus malade, c'est-à-dire celui dont le cham
érentielle. On observe ce fait, non seulement en examinant les deux
yeux
malades chez le même individu, mais aussi, quoi
ndividu, mais aussi, quoique en plus faible degré en comparant deux
yeux
malades chez deux hystériques différents. Ce
e vue diagnostique. La manière différente dont le champ visuel de l'
oeil
habetique et hystérique se comporte vis-à-vis d
ude de suppli- cation et joint les mains. Un soir, en fermant les
yeux
et en les rouvrant fixement ensuite, elle disai
endre quelque chose, elle se contentait le plus souvent de lire des
yeux
; quelquefois en même temps elle parlait à voix
rovoquer des mouvements de locomotion en approchant un corps de ses
yeux
; mais encore j'ai constaté qu'il évite les obs-
un bâton à sa droite ou à sa gauche, à quelques centimètres de son
oeil
correspondant, j'ai pu faire tourner le poisson
t, les modes habituels d'activité, régis principale- ment par les
yeux
, restent sans modifications apparentes. Greno
s, et sans aucune exci- tation extérieure apparente, ils lèvent les
yeux
, ;1âi lIent, sesecouent, arrangent leurs plumes
ez pour suivre les mouvements d'une flamme tenue en face de leurs
yeux
à une distance suffisante pour ne pas provoquer d
ense que l'ablation d'un seul hé- misphère produit la cécité dans l'
oeil
opposé, Gastrowitz4, d'après ses propres expéri
l'ablation d'un hémisphère ne produise pas la cécité complète de l'
oeil
du côté opposé. Mais Muni ? lui-même a fait sur
vaient pas été entièrement détruits, la vision se continuant par l'
oeil
dont l'hémisphère opposé n'avait pas été extirpé
Les pupilles se contractent lorsqu'on projette une lumière sur ses
yeux
, et il cligne des paupières quand on touche la
il ne regimbait pas lorsqu'on plaçait une forte lumière devant ses
yeux
et ne montrait aucune crainte à aucune sorte de
contre les obstacles comme il le faisait invariablement lorsque ses
yeux
étaient bouchés. Il n'était pas sourd, car il pou
On accepte généralement que la paralysie des muscles rotateurs de l'
oeil
et de l'élévateur de la paupière supérieure avec
admettre que les fibres nerveuses qui se dirigent aux muscles de l'
oeil
sont lésées dans ces muscles mêmes ou dans leur
Heddoeus désigne sous le nom de sensibilité réflexe l'aptitude d'un
oeil
à conduire l'excitation lumineuse aux centres du
mobiles quand on éclaire alternativement et diverse- ment les deux
yeux
, mais immobiles quand on éclaire seulement l'oe
- ment les deux yeux, mais immobiles quand on éclaire seulement l'
oeil
malade (atrophie du nerf optique après embolie pa
ndique une lésion cérébrale, qu'il y ait ou non lésion du fond de l'
oeil
, notamment une paralysie générale ou une apople
TUDE SUR'LES rapports DE l'aliénation mentale avec LES maladies DES
yeux
; par M. HOYET. L'aliénation mentale est dans b
dans beaucoup de cas (56 p. 100) en relation avec des maladies de l'
oeil
. Le délire en général et l'hallucination en par
s une affection oculaire, dépendent géuéf aloment d'une lésion de l'
oeil
droit. Cetfe lésion de l'oeil droit ne doit pas a
ndent géuéf aloment d'une lésion de l'oeil droit. Cetfe lésion de l'
oeil
droit ne doit pas abolir la vision, maissimplem
lques millimètres au-dessous de l'angle externe . VARIA. 453 de l'
oeil
gauche. Je puis dire que je l'échappai belle ; j'
nendorff, Wendt, Loehr, 115 ; rapports de l ? et des maladies des
yeux
, par ltoyet, 135 ; - des vieillards, par Biau
con-sécutifs aux lésions non traumatiques. — Troubles trophiques de l'
œil
, dans les cas de tumeur comprimant le trijumeau.
négligées. D'autres fois, au contraire, ces lésions acquièrent aux
yeux
du clinicien, en raison, soit des graves désordre
produit la section du nerf sciatique. Vous savez que les lésions de l'
œil
qni se montrent chez les animaux à la suite de ce
tiques de tout genre. Si, après la section du trijumeau, on protège l'
œil
, suivant la méthode de Snellen, en fixant au-deva
omène qu'on observe après la section complète du trijumeau, lorsque l'
œil
a été convenablement protégé (1). 3° En ce qui
esthésie peut s'élever à un tel degré qu'au moindre attouchement de l'
œil
, l'animal est pris de convulsions générales. Il s
formé une petite collection purulente dans la chambre antérieure de l'
œil
. A part l'hypérémie, on n'observe jamais d'altéra
pour expliquer l'apparition des troubles trophiques survenant dans l'
œil
non convenablement protégé (1). A la suite d'un
Nerven. Leipzig, 1860, p. 61. lapin, Meissner a vu paraître dans l'
œil
,qui avaitconservé d'ail-leurs sa sensibilité, des
es du trijumeau dans le crâne, et dans lesquelles l'inflammation de l'
œil
s'est développée malgré la persistance de la sens
ans les expériences de Samuel les troubles trophiques survenir dans l'
œil
en conséquence de l'irritation faradiquede la cin
le nerf, en conséquence delà sec-tion partielle, que les lésions de l'
œil
se sont produites ? A l'ap-pui de cette opinion,
nnées dans son cas, ont une action particulière sur la nutrition de l'
œil
. Il se fonde sur ce que dans trois autres cas où
respectées, les troubles trophiques ne se sont pas développés dans l'
œil
, bien que celui-ci, devenu insensible, n'eût pas
euvent, elles aussi, sans être suivies d'anesthésie, provoquer dans l'
œil
des désordres trophiques très accentués. Une fe
ession un peu forte ramenait de vives douleurs. — La conjonctive de l'
œil
droit était injectée ; la cornée, dans sa partie
na issue à un liquide puri-forme sous l'influence de la pression de l'
œil
. La mort arriva inopinément. A l'autopsie, on tro
Untersuchungen, etc., p. 100 Gharcot. Œuvres complètes, t. i. 2 l'
œil
gauche, ainsi que dans le côté gauche de la face,
après l'attaque apoplectique. Dans le môme temps, la conjonctive de l'
œil
gauche s'injecta et il y eut exagé-ration de la s
ons actuellement (1). 1. Les faits de troubles de la nutrition de l'
œil
, consécutifs aux lésions spon-tanées de la 5° pai
accès épilcptiformes. Plus tard, les douleurs se loca-iseront dans l'
œil
et l'oreille droits. L'œil était rouge, tuméfié,
tard, les douleurs se loca-iseront dans l'œil et l'oreille droits. L'
œil
était rouge, tuméfié, saillant, mais recouvert ce
surface tout entière du visage avait conservé le sentiment. Seuls, l'
œil
droit et la face interne des paupières étaient de
oitié droite de la langue ; il y avait eu une inflammation aiguë de l'
œil
droit avec œdème des paupières, obnubilation et p
éter les troubles qui sur-viennent quelquefois dans la nutrition de l'
œil
, chez divers animaux, à la suite de évidente en
une moitié latérale de la moelle épinière au dos. Les affections de l'
œil
ulcérations, fonte delà cornée, conjonctivite pur
rnier mode que se produisent quelquefois les troubles trophiques de l'
œil
consécutifs aux lésions du triju-meau : il s'agit
'atrophie. Mais il ne s'agit là, sans doute, que d'un examen fait à l'
œil
nu. Au rapport de M. Schiff, lorsque la paralysie
du nerf; ce dernier, cependant, est encore mobile dans la gaine. A l'
œil
nu, les branches du facial ne présentent aucune m
aralysés ; paraysie faciale incomplète, également du côté gauche. Les
yeux
sont constamment dirigés vers la droite, et il y
est calme, sans stertor. Il n'y a pas de déviation de la tête ou des
yeux
. Les commissures labiales ne sont point déviées;
auche est plus contractée que la droite : de plus, les vaisseaux de l'
œil
gauche sont plus volumineux, plus nombreux que ce
aux de l'œil gauche sont plus volumineux, plus nombreux que ceux de l'
œil
droit. Les évacuations sont redevenues volontaire
u'ici présenter aucune lésion conco-mitante, du moins appréciable à l'
œil
nu. Par contre, les gaines synoviales tendineuses
it là de l'arthrite sèche ordinaire(1). Je mets maintenant sous vos
yeux
, afin d'établir le contraste, une articulation du
pparition des désordres de nutrition que détermine quelquefois dans l'
œil
la section de la 5e paire(6) et, dans ses expérie
s lesquels nous sommes entrés, si j'avais réussi, en mettant sous vos
yeux
les pièces du procès, à vous inspirer le désir de
eurs. Ceci nous conduisit à réunir les faits que nous avions sous les
yeux
, et, les joignant à des observations empruntées a
S'agissait-il vraiment de la paralysie agitante ou avait-on sous les
yeux
le tableau clinique de la sclérose en plaques ? L
s notre mémoire) ayant trait à un père qui vit Luer son fils sous ses
yeux
; 2e un autre publié par Oppolzer, concernant un
faciliter la compréhension de nos ¦^ét#des, nous mettrons sous vos
yeux
les pièces anatomiques ^ué5g^us avons conservée
ond à la forme cérébro-sp ina le. Pour en finir avec l'anatomie à l'
œil
nu, il ne me reste plus qu'à indiquer les princip
cilement sur les très belles coupes que je vais faire passer sous vos
yeux
et que je dois à l'obligeance de notre confrère M
, et qu'il sera bon de mettre en œuvre. A. Lorsque l'on examine à l'
œil
nu un tronçon cle moelle portant une plaque de sc
z le constater sur les préparations que je vais faire passer sous vos
yeux
, dans les parties où se rencontrent les produits
ls se dessinent sous forme de petites traînées blanches, visibles à l'
œil
nu, sur le fond gris de la plaque sclérosée. Cepe
nier trait est vraiment décisif — que, dans l'ataxie, l'occlusion des
yeux
a toujours pour effet d'exagérer d'une manière tr
us approfondie et plus circon-stanciée du cas que nous avons sous les
yeux
va nous permettre de recueillir bien d'autres ind
physiologie, t. II, p. 795), il y avait atrophie papillaire des deux
yeux
avec cécité complète. 2. Observation de la nomm
out se borne chez Mlle V... à une amblyopie assez pro-noncée des deux
yeux
. L'examen ophtalmoscopique n'a permis de reconnaî
te dernière cesse d'exister dès que le malade tient fermé l'un de ses
yeux
. Le vertige dont il s'agit est un symptôme d'au
ière et les malades atteints de cette dernière affection peuvent, les
yeux
fermés, déterminer avec précision l'attitude qui
cision l'attitude qui a été imprimée à leurs membres. L'occlusion des
yeux
n'a pas non plus d'influence marquée sur la stati
ieds sont un peu projetés « comme chez les ataxiques ». — Lorsque les
yeux
sont clos, il y a . exagération de la litubation,
diminué d'une manière notable », La malade ne sait pas indiquer, les
yeux
fermés, l'attitude qui a été imprimée à ses membr
u point de vue de l'ataxie locomotrice : difficulté de la marche, les
yeux
étaient fermés: nolion de position îles membres i
n pareil cas, avec la diplopie, etpeut-être une légère titubation les
yeux
étant fermés, les seuls symptômes actuels de la m
considérable ; il en sortira parles oreilles, par le nombril, par les
yeux
et même par le nez, ainsi que cela eut encore lie
ès, survinrent l'écoulement d'urine par le nombril, les oreilles, les
yeux
, les mamelons, et enfin l'évacuation de matières
occupant la tempe gau-che, et enfin une obnubiiafion de la vue dans l'
œil
correspon-dant. Je me contente, pour le moment, d
trac-ture remplace la flaccidité. En avril, nous avions donc sous les
yeux
une contracture aussi intense que possible des qu
ucun moment, elle ne fut prise en défaut. Je vous prie de jeter les
yeux
sur les tableaux (Pl. IX, X et XI) que je vous pr
mes extraordinaires, tels que l'écoulement de l'urine par le nez, les
yeux
, etc., et les vomissements de matière fécale. Que
plète; analgésie profonde des membres su-périeurs; achromatopsie de l'
œil
gauche qui ne distingue pas la couleur jaune : vo
parties lésées dans les observations de L. Tûrck. Je mets sous vos
yeux
une coupe frontale faite au travers des hémisphèr
ation temporaire de la vue: il n'y a pas de différence entre les deux
yeux
. — Avril. L'ancsthésie existe encore sur toute la
Note de la 3e éd.). hystérique. Du côté frappé (l'hémianesthésie, l'
œil
était atteint d'amhlyopie, l'odorat perdu, le goû
s, en dernier lieu, une obnubilation de la vue marquée surtout dans l'
œil
gauche, Les mêmes phénomènes se montreraient su
bserver très nettement chez deux des ma-lades que j'ai mises sous vos
yeux
. — Chez elles, l'arrêt déter-miné par la compress
êt. XII. Je dois en terminant, Messieurs, faire passer devant vos
yeux
les malades que j'ai eues surtout en vue dans la
tte à des vomissements fréquents et a présenté deYachro-matopsie de l'
œil
gauche. Les attaques sont précédées par une aur
s-mêmes, car je suis assez heureux pour pouvoir faire passer sous vos
yeux
deux malades qui présentent l'une la forme hémipl
e la vision peuvent quelquefois s'accompagner de lésions du fond de l'
œil
que l'ophtalmoscope fait reconnaître. Un élève de
IX, p. 275, Leçon XI, p, 320), on n'avait découvert sur le fond de l'
œil
gauche, frappé d'amblyopie hystérique, aucune lés
visuelle et la perception centrale des couleurs sont normales dans l'
œil
du côté non anes-thésie. Toutes les fonctions de
l'œil du côté non anes-thésie. Toutes les fonctions de la rétine de l'
œil
du côté malade ont diminué pro-portionnellement.
vous ai donnée à propos de chacune des malades qui ont passé sous vos
yeux
, lors de nos dernières réunions, j'ai eu soin de
l'hystérie ordinaire. VI. Si, d'un autre côté, nous tournons nos
yeux
vers l'épilepsie vraie, nous rencontrons un certa
ître et suivre ces particularités sur le tableau que je mets sous vos
yeux
, etquinousmontre les modifications qu'a présentée
de convulsions rapides. 10 à 15 secondes plus tard, la face et les
yeux
se retournent vers la droite; le tronc s'incline
t pas en propre, tant s'en faut, à qu'il n'y a pas d'injection de l'
œil
droit, à gauche, il existe une hypérémie con-sidé
aude que la partie droite. Les paupières sont à demi ouvertes : les
yeux
sont portés en haut ; les pupilles sont modérémen
é. — Cervelet, isthme, rien à noter. Moelle. La substance grise à l'
œil
nu paraît un peu déformée. Thorax. Congestion a
rte, les paupières alternativement ouvertes et fermées, le globe de l'
œil
fortement tourné an i:aul. Puis survinrent dans l
suite sommeil paisible en apparence ; enfui bâillement, ouverture des
yeux
et retour de la conscience après six minutes. L
thologique rare, tout à fait digne, à ce titre, d'être placé sous vos
yeux
, mais qui de sa nature, est essentiellement insta
pour être amenés à reconnaître que l'affection que vous avez sous les
yeux
peut être appelée une chorée, si,toutefois, nous
ité auditive de l'oreille droite, amblyopie avec dyschromatopsie de l'
œil
droit. De cet œil, G. ..a complète-ment perdu la
oreille droite, amblyopie avec dyschromatopsie de l'œil droit. De cet
œil
, G. ..a complète-ment perdu la perception des cou
aussi, ainsi que vous le xroyez par l'exemple que nous avons sous les
yeux
, des hystériques polymétalliques, c'est-à-dire se
malade peut toutefois les relever et tes abaisser sans difîcutté. Les
yeux
, peu expressifs, sont dirigés en avant; pour rega
hent. Si les jambes sont écartées, l'équilibre est incertain. Que les
yeux
soient ouverts ou fermés, la malade se tient de l
t par paroxysmes, s'accompagnaient souvent d'une rougeur intense de l'
œil
gauche. Elle se sont terminées, comme il le racon
, ainsi que je l'ai dit plus haut, on peut a peine les déchiffrer à l'
œil
nu. Les mains ne présentent pas de déformation
ête reste immobile, lé-gèrement fléchie. Les traits sont inertes, les
yeux
fixes, fa bouche serrée. Les parotes s'échappent
nt tremblés, particularité qui ne frappait pas à l'examen pratiquée l'
œil
nu. Fig. 31. Fig. 32. Les mêmes caractères
de vertige, et de diplopie et quelques jours après de strabisme de l'
œil
gauche. Ce dernier symptôme a bientôt disparu. Un
escentimètres. — A leur niveau, la pie-mère est très adhérente. — A l'
œil
nu, sur des coupes transversales, on trouve des p
s mentionné l'exis-tence de divers phénomènes morbides qui occupent l'
œil
du côté où siège l'hémianesthésie : de ce côté, «
absolue que 1. Landolt. — Leçons sur le diagnostic des maladies des
yeux
, p. 155 et suivantes. les couleurs centrales, l
nservée, et alors les objets n'apparaissent plus en quelque sorte aux
yeux
du malade que sous l'aspect où ils se présentent
u champ visuel se manifestent principalement, comme on Ta dit, dans l'
œil
correspondant au co^Lé.hémianesthésie; mais il es
en même temps rétréci, à la vérité à un degré beaucoup moindre dans l'
œil
du côté opposé. C'est pourquoi il n'est pas très
e de rencontrer des hystériques qui, par exemple, ne distinguant de l'
œil
gauche, répondant au côté hémianesthésie, que les
ériques, à sa-voir le jaune et le bleu, auront perdu, seulementpour l'
œil
du côté opposé, la notion des couleurs centrales,
sont tout fonctionnels et qu'ils ne s'accompagnent, dans le fond de l'
œil
, d'aucune altération visible àl'ophtalmoscope. La
es conditions tout à fait norma-les. L'examem comparatif du fond de l'
œil
des deux côtés ne dénote même aucune différence a
e qu'elle s'était produite. Une amaurose absolue portant sur les deux
yeux
pourra aussi s'établir momentanément à la suite d
qu'on l'a fait pressentir, l'amaurose complète, portant sur les deux
yeux
, est dans l'hystérie, un fait relativement rare.
la dyschromatopsie, l'achro-matopsie et même l'amaurore complète d'un
œil
, celui qui correspond au côté ou siègent l'hémian
I, p. 129-151. deuxyeux,ou tout au plus la malade perçoit-elle de l'
œil
gauche, et encore seulement par moments, les coul
ue sorte normal dans l'espèce, du champ visuel pour les couleurs de l'
œil
relativement sain, s'est exagéré, comme on voit,
et gé néral du champ visuel pour les couleurs, mar-qué dans les deux
yeux
, mais prédominant beaucoup dans l'œil du côté opp
ouleurs, mar-qué dans les deux yeux, mais prédominant beaucoup dans l'
œil
du côté opposé au siège de la lésion intra-encéph
e la lésion intra-encéphalique ; même absence de lésions du fond de l'
œil
,appréciables à l'ophtalmos-cope.Les divers caract
nt en avant. Ils disparaissent en général aussitôt qu'elle tourne les
yeux
directement de leur côté ; cependant, il peut arr
l^Ma^c??)— Hémianesthésie et ovarie gauches, dyschroma-topsie de l'
œil
gauche. Voit souvent tout à coup des rats gris ou
. — Anesthésie totale, mais prédominant à gauche ; achromatopsie de l'
œil
gauche, ovarie double prédominant à gauche. Au so
ble ; mais ces phénomènes prédominent à gauche ; dischromatopsie de l'
œil
gauche. 4° B... Alors môme que la malade est en
mplètement dans son enfance à la suite d'une maladie des milieux de l'
œil
. — Quand elle est menacée d'avoir des attaques, i
grimaçante. e) Phase de résolution. — La face demeure bouffie, les
yeux
sont fermés, tous les muscles sont dans la résolu
t le siège d'expressions diverses, auxquelles contri-buent celles des
yeux
qui, jusque-là étaient couverts par les paupières
l'expression de la volupté, qui résulte surtout de l'inclinaison des
yeux
, portés en haut et en dedans, à moitié cachés sou
tique, lorsque surtout il y a en même temps que le spasme cynique des
yeux
, une propusion rythmique du bassin, et qu'on cons
face (l'expression passion-née de la période précédente), on voit les
yeux
s'humidifier, puis les larmes couler en abondance
ANCHE XIII CHAMP visuel des couleurs. Fig. 1. — Champ visuel d'un
œil
gauche normal. —¦ Ces champs visuels ont été obte
con-sécutifs aux lésions non traumatiques. — Troubles trophiques de l'
œil
, dans les cas de tumeur comprimant le trijumeau.
ints noirs : puncla coca, Ce phénomène, toujours plus mar- qué de l'
oeil
droit ou de l'oeil gauche, ne tarde pas à aboutir
coca, Ce phénomène, toujours plus mar- qué de l'oeil droit ou de l'
oeil
gauche, ne tarde pas à aboutir à une hémiopie c
actéristique verticale. Supposons que l'amblyopie brusque affecte l'
oeil
gauche, elle gagne d'abord l'oeil droit, puis,
que l'amblyopie brusque affecte l'oeil gauche, elle gagne d'abord l'
oeil
droit, puis, l'hémiopie, portant sur l'ensemble
ccompagne de scotome scintillant bilatéral, mais prédominant dans l'
oeil
gauche par lequel ont commencé les accidents. D
et simultané à laquelle il n'y a d'autre remède que le sommeil, les
yeux
bien clos, dans un milieu sombre et calme; une
é droit (noter que l'amblyopie dans l'accès envisagé a débuté par l'
oeil
gauche). C'est une anesthésie comparable à cell
s de l'aphasie motrice (rappelons encore que l'accès a débuté par l'
oeil
gauche), de la cécité verbale et de l'agraphie.
phrases en question. - Quand la migraine ophtalmique débute par l'
oeil
droit, l'hémio- pie est inverse, plus accusée à
l'hémiopie, droit ou gauche. Même quand l'hémiopie apparaît par l'
oeil
gauche, il est bien plus rare à présent que l'a
é. Il ne parait y avoir ni tumeur cérébrale (intégrité du fond de l'
oeil
), ni paralysie générale, ni syphilis, ni épilep
3,) 36 PATHOLOGIE MENTALE. celles qu'ils repoussent ; fermant les
yeux
à l'évidence et dédaignant les opinions courant
leur tour exécutés ensuite, châtiment désiré mais mérité à leurs
yeux
, qu'ils ne se sentent pas le courage de s'inflige
ie gauche et des troubles visuels (diplopie, strabisme interne de l'
oeil
gauche par inter- valles). Pas de céphalée ni d
s troubles visuels surtout s'accentuèrent : perte de la vision de l'
oeil
gauche ; constatation à l'ophtalmoscope, de neuro
vec atrophie de la papille; puis les mêmes symptômes apparurent à l'
oeil
droit et la cécité devint complète. La malade m
près avoir subi quelques oscillations, tombe sur une épaule, et les
yeux
, tournés vers le ciel, s'humec- tent de larmes.
ice forcée du drame que la France s'est plue de vous jeter sous les
yeux
, car si on me tient ici, ce n'est que par tous
faire transporter dans une ile, où au moins je n'aurai pas sous les
yeux
le spectacle de tant d'ignominies. « Je prie do
au contraire est plus dilatée. Chen... ne ferme pas facilement les
yeux
isolés mais il a moins de diffi- culté à fermer
question. En attendant, ce n'est pas en vain, on le conçoit, que l'
oeil
d'un Cajal a contemplé à son tour ces ré- gions
ut pas penser que l'on commence par déplacer son mal, ce qui, à ses
yeux
ne le guérit pas; il ne peut pas le désirer. Do
a aucune part. I. Mouvements réflexes conscients involontaires. - L'
oeil
en tant qu'organe sensoriel (rétine) correspond
re calcarine seulement avec ses deux lèvres, d'après Henschen). L'
oeil
, avec ses muscles, en tant que doué de la sensibi
mière se produit à ma droite : mon regard se dirige de ce côté, mes
yeux
, conver- gent sur le point lumineux, ma pupille
aire des oculo-moteurs s'est produit le mouvement de latéralité des
yeux
à droite, la con- vergence, la contraction irie
sigmoïde et la pointe du lobe occipital a vu : 1° la déviation des
yeux
du côté opposé ; 2° une légère occlusion des pa
centre sensitivo-moteur. Schaefier6 a précisé davantage encore. Les
yeux
se dirigeaient en bas par l'excitation de la zo
excitation d'un seul lobe occipital produit les mouvements des deux
yeux
(Steiner). L'expérimentation et l'anatomie norm
ervé par la septième paire. J'approche vivement mon poing fermé des
yeux
ouverts d'un malade ; ils se ferment vivement :
rticale, conservé dans certains cas de paralysie des mouvements des
yeux
(V. plus loin) dans la paralysie pseudo-bulbair
: 2 PHYSIOLOGIE. tion correspondant à la sensibilité générale de l'
oeil
et de ses annexes est-elle en même temps motric
evor et Horsley, Munk, Steiner ont aussi produit des mouvements des
yeux
par l'excitation de l'écorce du lobe frontal. L
te donc une portion de l'écorce correspondant à la sensibilité de l'
oeil
et de l'orbite et à la mobilité du globe oculai
ion, l'insula, du pied de la deuxième frontale qui fait mouvoir mes
yeux
, des autres circonvolutions motrices qui me fon
t le problème de lu conscience- 'L84 PHYSIOLOGIE. de mouvoir un
oeil
isolément. Cela nous fait déjà prévoir que nous
nous ne trouverons jamais de paralysies de ces musles sur uu seul
oeil
, dans les lésions corticales. Les muscles moteu
nous .pouvons cependant mouvoir isolément la paupière d'un seul -
oeil
. C'est dire que là, comme pour le pharynx et le l
x ordres de faits sont à considérer : 1° la déviation conjuguée des
yeux
; 1° les troubles moteurs des paupières. . g
teurs des paupières. . g Je". Déviation conjuguée de la tète et des
yeux
. Nous ne pouvons faire ici l'historique de cett
lésion des hémisphères. - a) Déviation conjuguée de la tête et des
yeux
associée il l'hémianopsie latérale. Cette forme
elle peut être facilement corrigée, le malade tourne sa tête et ses
yeux
du DOUBLE CENTRE D'INNERVATION CORTICALE, ETC.
ntimement mêlées aux fibres centripètes. La déviation conjuguée des
yeux
associée à ,l'hémiano- psie est sous la dépenda
tripètes et centrifuges. b) Déviation conjuguée de la léte et des
yeux
dans les lésions du pli courbe. Grasset et Land
ce d'un centre cortical de la déviation conjuguée de la tête et des
yeux
au pied du lobule pariétal inférieur (Landouzy)
ps que de l'hémianopsie de la déviation conjuguée de la tête et des
yeux
. Faut-il généraliser et dire que si la lésion d
rès superficielle et légère ne détermine aucun symptôme du côté des
yeux
; une lésion un peu plus prononcée détermine de
onger jusqu'au pli courbe le centre postérieur des mouvements des
yeux
. 11 n'est pas prouvé, en effet, que cette région
ous formulerons la conclusion suivante : La déviation conjuguée des
yeux
, consécutive aux lésions du pli courbe, est due
stérieur sensol'io-moteur. c) Déviation conjuguée de la tête et des
yeux
par lésion du centre oculo-moteur &tK<ë
mie normale et de l'ex- périmentation. La déviation conjuguée des
yeux
, habituellement asso- ciée à l'hémiplégie motri
. ' A l'état normal il nous est possible de fermer et d'ouvrir un
oeil
isolément; dans l'hémiplégie organique, ces mouve
l un certain nom- bre d'individus n'ont pas la faculté de fermer un
oeil
isolé- ment. Pugliese (Revista di Patologia Méi
son apparition date de l'ictus.. ' Si après avoir fait fermer les
yeux
à un hémiplégique, nous plaçons nos deux pouces
uces sur ses paupières et que nous lui ordonnions d'ouvrir les deux
yeux
, nous sentons manifeste- ment que le mouvement
ntres oculo-moteurs commande à tous les muscles groupés autour de l'
oeil
. On connait d'ailleurs l'association fonctionnell
muscles de la face, trismus, déviation conjuguée de la tête et des
yeux
. Du côté des yeux on note une « ophtalmoplégie
e, trismus, déviation conjuguée de la tête et des yeux. Du côté des
yeux
on note une « ophtalmoplégie ne portant que sur
obtenus quelques mouvements peu accusés des globes oculaires et les
yeux
peuvent se fermer ». Autopsie. - il droilea « f
malade atteint de paralysie pseudo-bulbaire présentait du côté des
yeux
les symptômes suivants : « Les yeux sont déviés à
bulbaire présentait du côté des yeux les symptômes suivants : « Les
yeux
sont déviés à gauche et ne peuvent pas volontai
blement quelques mouvements peu accusés des globes oculaires et les
yeux
peuvent se fermer. Grâce à l'obligeance de M.
bulbaire, la malade n'attirait nullement l'attention du côté de ses
yeux
: ceux-ci ne présentaient aucune déviation, pas
xait sur les personnes qui l'approchaient. Les troubles du côté des
yeux
pouvaient très facilement passer inaperçus. Tou
ccipital. Si au contraire on com- mandait à la malade de fermer les
yeux
, elle s'y efforçait en vain, alors qu'il suffis
vait une suppression des deux centres oculo-moleurs antérieurs; les
yeux
n'obéissaient plus qu'aux centres oculo-moteurs
la suite de plusieurs ictus. En ce qui regarde les mouvements des
yeux
, nous citons textuellement. « Elle ne peut pas da
ont et d'une manière complète si l'on approche vivement la main des
yeux
, si on expose les yeux à une vive lumière, ou b
mplète si l'on approche vivement la main des yeux, si on expose les
yeux
à une vive lumière, ou bien dans l'éternue- men
u lieu de la langue. Le froncement des frontaux est impossible. Les
yeux
sont grands ouverts. Il ne peut absolument pas
gnote à la lumière et à l'approche brusque de la main ; dort les
yeux
fermes. La vue est bonne; pas de lésions ophtalmo
n encore un cas d'Andral, et un autre de Thomson, mais l'examen des
yeux
nous a semblé insuffisant. On doit très proba
résentant une paralysie incomplète des mouvements de latéralité des
yeux
. Dans le second cas, un malade âgé de quarante-
lysie pseudo- bulbaire, présentait des mouvements de latéralité des
yeux
incomplets à gauche. ' - - Nous préférons ne
almoplégie pseudo-nudéaire 3 : plaçant le centre des mouvements des
yeux
dans le lobule pariétal inférieur, il admettait
ion clinique et anatomo-pathologique, s'accordent à démontrer que l'
oeil
possède au point de vue moteur, de même qu'au p
culo-moteur antérieur peut produire : a) la déviation conjuguée des
yeux
; b) des troubles légers des mouvements palpébra
centre oculo-moteur postérieur pro- duit la déviation conjuguée des
yeux
, et l'hémianopsie. La. lésion du pli courbe agi
ticulier caractérisé par l'abolition des mouvements volontaires des
yeux
et des DE L'APOPLEXIE PROGRESSIVE. 199 paupiè
un léger degré de paralysie faciale, sur la déviation latérale des
yeux
presque constante, avec par- fois déviation con
que constante, avec par- fois déviation conjuguée de la tête et des
yeux
, sur la- forma- tion rapide d'eschares et la mo
anes- thésie. Température 38°. Le 3, déviation de la tête et îles
yeux
du côté gauche. Température 3'J,2 à droite, 38°,8
remercier... 20' : 1 2 PATHOLOGIE NERVEUSE. Le 4, la tête et les
yeux
tournent brusquement à droite; convulsions; mor
trois quarts. 11 existe de la déviation conjuguée de la tête et des
yeux
: la tête est inclinée sur l'épaule gauche, le
s yeux : la tête est inclinée sur l'épaule gauche, le menton et les
yeux
sont fixés à droite ; on constate en outre de l
lasque et les paupières sont abaissées. Déviation de la tête et des
yeux
à droite; pupilles punctiformes, immobiles à la
abaissées, léger nystagmus latéral ; la déviation de la tête et des
yeux
a disparu, mais on constate par moments un stra
es- deux commissures, paralysie flasque à gauche. Dans la soirée, l'
oeil
gauche est dévié en dehors, le droit regar- dan
r. Elle est actuellement dans un coma complet. Paupières abaissées;
oeil
gauche fortement dévié en dehors, mais de temps
ées; oeil gauche fortement dévié en dehors, mais de temps à autre l'
oeil
revient par un mouvement très lent, dans l'axe
nomènes paralytiques, hémianes- thésie, déviation de la tête et des
yeux
, sans perte de connaissance ; enfin' le seul sy
une hémiplégie gauche flasque, de la déviation de la tête et des
yeux
à gauche, des convulsions à droite, des pupilles
araître définitivement le troisième. La déviation de la tète et des
yeux
du côté de la lésion, est notée dans la plupart
ement du coma. Dans l'observation I, la déviation de la tète et des
yeux
qui s'était faite à gauche, se déplaça brusquem
Signe de Romberg. Impossibilité de se tenir sur une jambe même les
yeux
ouverts. Démarche extrêmement incertaine et vac
au but à grands pas et rapidement ; il tombe quand on lui ferme les
yeux
. Debout ou en REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
au mouvement de rotation du début. Conservation des mouvements des
yeux
compensateurs. Diagnostic. Lésion de l'organe d
s. En ce qui concerne l'oculo- moteur commun, le droit interne de l'
oeil
gauche est seul paralysé. Sensation auditive ab
ions. Démarche normale, non ataxique, non titubante, sûre, même les
yeux
fermés. Pendant la marche en avant, l'inclinais
phie muscu- laire. Sur la plaque centrifuge, la malade ne sent, les
yeux
fermés, aucune rotation, elle croit être en rep
oir les mouvements passifs totaux et incitateuis de= mouvements des
yeux
compensateurs sont détruits ; l'organe de la stat
che en avant, titubation toujours vers la -.gauche; l'occlusion des
yeux
détermine un mouvement de manège à gauche. Tout
rota- tion pour les rotations de droite à gauche. On l'assied, les
yeux
fermés, le visage à la périphérie de l'appareil
suggestion, il n'est pas besoin qu'il dorme, il n'a qu'à fermer les
yeux
, à penser fermement à sa santé et à songer à ce
réflexe lumineux des pupilles; parésie du muscle droit interne de l'
oeil
droit et de la jambe droite; ataxie des membres
ent le rétablissement des mouvements du poignet et de la main, de l'
oeil
, de la réaction pupillaire. La malade reprend tou
- fois que la multiplicité des questions qu'il fait passer sous les
yeux
du lecteur a été la cause fatale d'une défectuo
t persiste seule. 15 décembre. Rotation conjuguée de la tête et des
yeux
à droite, par conséquent du côté de la lésion e
ons du pied. Disparition de la rotation conjuguée de la tête et des
yeux
. 12. Les douleurs s'étendent au côté droit. Pas
fondément. Un appel ou un léger contact le réveille et il ouvre les
yeux
comme effrayé, comme s'il sortait d'un profond so
e met à marcher comme un petit enfant à ses débuts. Puis sous notre
oeil
, l'amélioration progresse graduelle- ment ; sou
ALOMONSON. (Neurolog.Centralbl., XVII, 18C8.) 1° Les muscles de l'
oeil
sont dits inaccessibles à l'examen électro- dia
96) ne parle pas de l'examen électro- diagnostique des muscles de l'
oeil
; - 2° La cause de l'absence de locomotion appa
tion apparente du globe de l'ceil, quand on excite les muscles de l'
oeil
par l'électricité, tiendrait, pour la plupart d
l la faible résistance à la conductibilité électrique du globe de l'
oeil
. La plupart des ondes du courant traver- sent l
divantes ; - 9° L'impossibilité d'exciter les muscles du globe de l'
oeil
doit être déterminée par la tonicité permanente d
ectrique (Ziemssen). C'est ce qui empêche l'excursion du globe de l'
oeil
sous l'influence de l'excitation galvanique direc
ous l'influence de l'excitation galvanique directe d'un muscle de l'
oeil
paralysé. La lenteur indubitable de la contractio
s de paralysie faciale locale puisque le malade ne pouvait fermer l'
oeil
, mouvoir les lèvres et les joues, mais avec tétan
iens et chats, dit-il, le regardant de travers, lui faisant de gros
yeux
et toutes sortes de misères, l'empêchant même d
ns, dans les articulations (Baillarger), dans l'estomac ou dans les
yeux
(Séglas). Habituellement, c'est la langue qui e
vue de son professeur qui avait, nous dit-on, la voix brève et les
yeux
méchants l'effraie au point de déterminer chez
plus blonds, courts et clairsemés aux paupières inférieures ; les
yeux
sont gros, saillants, l'iris gris marron, la pupi
ce d'un mètre ne peut lire des lettres de 3 centimètres de long ; l'
oeil
gauche est plus faible que l'oeil droit ; l'ouïe,
tres de 3 centimètres de long ; l'oeil gauche est plus faible que l'
oeil
droit ; l'ouïe, normale à droite et faible à ga
re le tronc, la face se congestionne, les traits se cris- pent, les
yeux
sortent de l'orbite, restent grands ouverts, la
e, la face tout en restant con- gestionnée se couvre de sueurs, les
yeux
se remplissent de larmes. Les paupières restent
pières restent immobiles même si on fait passer un objet devant les
yeux
. L'attaque proprement dite a duré dix-huit minu
pas, les paupières se ferment si on fait passcr un objet devant les
yeux
. Le 19, l'enfant se plaint toute la matinée de
e du limaçon. Le ganglion spiral existe donc. On voit nettement à l'
oeil
nu le limaçon osseux transformé. Le limacon mem
aible excen- tricité. L'entrée du nerf optique dans le globe de l'
oeil
a lieu sous la forme d'une étroite tige oblique
sivement au segment de sphère interne, inférieur et postérieur de l'
oeil
. L'angle que forme la papille avec la perpendic
tail qu'elle forme en faisant sail- lie à l'intérieur du globe de l'
oeil
, décomposent celui-ci en deux compartiments; un
nts agricoles, elle reste très faible, alors qu'elle croit sous nos
yeux
en intensité et en quantité dans nos grands cen
e plaies, dont deux, l'une au bas-ventre et l'autre au-dessous de l'
oeil
gauche, semblaient avoir été faites avec un cou
ette manière de voir. Mais il est une thérapeutique qui jouit à mes
yeux
d'une haute importance, c'est celle qui consiste
te au même titre que les mouvements pas- sifs. L'individu qui a les
yeux
fermés et dont on percute pourla pre- mière foi
rotulien (signe de Westphal). Impossibilité de se tenir debout les
yeux
fermés (signe de Rom- berg). Disparition du r
à la même époque la consultation ci-jointe : « 11 n'y a au fond des
yeux
que de légers staphylomes postérieurs. La pupil
es jambes et les pieds, voit des mouches noires voltiger devant ses
yeux
et souffre fréquemment de maux de tête comparab
tion. Pas de ptosis, pas de diplopie, mouches volantes devant les
yeux
. Sifflements presque continuels dans l'oreille
lle. du coude et du poignet. Impossibilité de se tenir debout les
yeux
fermés. I roubles de la marche peu accentués, a
tent, lui reprochent ses crimes. Un tableau noir présent devant ses
yeux
porte le nom du candidat pour lequel il doit vo
lui envoie du fluide sur la figure et des mouches noires devant les
yeux
. 14 janvier 1898. Persistance des hallucination
entend dire qu'on va lui couper le cou, le brûler, lui arracher les
yeux
. il prétend qu'on l'empoisonne, que ses voisins
ès prononcé ; inégalité pupillaire > G D; brouillards devant les
yeux
; sonneries dans l'oreille droite ; vertiges fré
gens », on va le tuer, le faire rentrer en terre, lui arracher les
yeux
, lui couper les jambes. Pendant ces crises qui
uve, le 5 juin 189G, de la céphalalgie et du scintillement devant l'
oeil
droit. La douleur s'aggrave et des nuages obscurc
il droit. La douleur s'aggrave et des nuages obscurcissent les deux
yeux
. Trois jours plus tard il est presque totalement
, et iris normaux. Milieux REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 487 de l'
oeil
transparents. Pupilles égales, mais fortement dil
nvergence. Sens lumineux et acuité visuelle tout à fait éteints à l'
oeil
droit, faibles à l'oeil gauche. Vision périphér
et acuité visuelle tout à fait éteints à l'oeil droit, faibles à l'
oeil
gauche. Vision périphérique encore conservée en
iques. Hepos dans une chambre noire avec compresses chaudes sur les
yeux
fermés ; quelques purgatifs, alimentation liqui
t seule tout à fait normale, mais il n'y a guère que le rouge que l'
oeil
gauche perçoive bien distincte- ment. Six mois
mois après le commencement de la maladie, hyper- métropie des deux
yeux
(1/2 D), acuité normale à gauche, acuité d'un t
mp visuel tout à fait normal ; mais achro- matopsie ; fond des deux
yeux
normal mais quelques éblouisse- ments. On presc
e strychnine et, en juin 4S9 î, acuité normale et parfaite des deux
yeux
; plus du tout d'achromatopsie. champ visuel com
pression; un effacement du pli nasolabial gauche; du nystagmus de l'
oeil
gauche, par accès; du larmoiement, de la conjon
ui succèdent à l'apparition des céphalalgies ; cécité complète d'un
oeil
avec hémianopsie de l'autre à la même époque; a
; paralysie complète des muscles extrinsèques et intrinsèques des
yeux
. Aucun autre sens n'est atteint. Il n'existe ni p
l'on ne tarde pas, comme dans ce cas, à observer l'amalll'ose d'un
oeil
associée à une hémianopsie de l'autre ; toute» le
(Bath, Heusser, Hippel). Les variétés de paralysies des muscles des
yeux
tiennent aux al- lures variables de la tumeur d
variables de la tumeur dans ses rapports avec les divers nerfs de l'
oeil
. Ici, quelques mois après le début de la maladie,
i, quelques mois après le début de la maladie, les mou- vements des
yeux
étaient conservés; la pupille droite réagissait
s deux pupilles ne réagissaient plus, les muscles extrinsèques de l'
oeil
n'étaient point paralysés. Vingt-quatre mois ap
ctions pupillaires faisaient tout à fait défaut, les mouvements des
yeux
étaient extrêmement limités, mais l'examen préc
liers de la marche : la station debout est possible sans appui, les
yeux
ouverts ou fermés; cependant, au bout de 2 à 3
ie. M. le Dr liuet. Examen du larynx. M. le Dr Cartaz. Examen des
yeux
. M. le Dr Sauvineau. Examen des oreilles. M. le D
it leurs splendeurs avec indifférence; vous aurez beau étaler à ses
yeux
des chefs-d’œuvre, il restera froid et n’aura de
eux que la science, jusqu’à ce joür, n’a pu guérir;» vous verre* fies
yeux
«’ouvrir, sa figure s’animer; un rayon d’espoir s
és du désir d’être utiles à nos frères, nous allons mettre sous leurs
yeux
les pages merveilleuses d’une nouvelle science. N
antage encore toute espèce de supercherie, lui mit un bandeau sur les
yeux
, et les expériences précédentes furent répétées a
onvulsifs, soit qu’il ait eu ou qu’il n’ait pas eu un bandeau sur les
yeux
. » Ces expériences étaient faites rue de Poitie
s. Les pulsations ne restent pas au même degré; la chaleur varie, les
yeux
deviennent brillants; une exaltation de la sensib
risons et des effets qui se produisent. Nous allons mettre sous vos
yeux
l’ensemble de ces phénomènes, comme si nous les v
ABLE. Premiers effets : Légère chaleur, respiration plus marquée,
yeux
plus animés, sentiment de bien-être inaccoutumé,
e l’ai dit, pour expérimenter. Et quel ne fut pas mon étonnement? Ses
yeux
devinrent mobiles; il reprit connaissance ; nous
ient sans que l’on osât l’interrompre, bien qu’il dépérissait à vue d’
œil
; cependant ce sommeil paraissait moralement lui ê
tait pas. Je trouvai ce jeune homme couché sur un canapé, ayant les
yeux
ouverts, mais fixes; les muscles de la face dans
s encore étrangers aux faits nouveaux. Ce qui se produit sous leurs
yeux
éveillera leur attention, et, une fois les phénom
senta à l’hôpital avec uno perte complète de la faculté visuelle de l’
œil
droit, resserrement excessif de sa pupille et con
par la supérieure des religieuses d’y avoir recours. Aujourd’hui l’
œil
de la malheureuse femme est perdu^ans ressource,
étiser, montrait de la main une personne qu’elle ne pouvait voir, scs
yeux
étant fermés, et enfin se servait du mot magnétis
our la peinture des combats auxquels il a assisté; au brillant de ses
yeux
, à la fierté de son maintien, à l’agitation fébri
l’émonctoire qui doit servir de voie d’expulsion se découvrira à vos
yeux
; la peau, par des transpirations, les reins, par
lieu. La nature, renforcée, aidée, no cachait point ses opérations; l’
œil
le moins exercé pouvait les apercevoir. Ces tra
en elle, et ses paroles étaient du reste confirmées par tout ce que l’
œil
pouvait constater. La convalescence fut franche,
tourna le nez contre le mur, parlant tout seul, riant aux éclats, les
yeux
illumin 's et dans une jubilation profonde. Jusqu
s’écliaj paient des millions de peti.es étinci.les; les ci’.s de mes
yeux
s’ul rongeaient imléf. nim.?nt, s’enroulant comme
tions par minute; la figure était injectée. Bientôt M. B... ferma les
yeux
pour mieux se recueillir ; ses idées lui semblaie
nt devenus très-mobiles ; il a un rire sardónique ; l’expression de l’
œil
est animée, la figure est colorée, le pouls bat c
exprimer. «Je voudrais, dit-il, que vous m’otassiez une oreille et un
œil
pour me donner une langue de plus, afin de rendre
orinodu délire deM. D... change; il s’asseoit dans un coin, ferme les
yeux
et se parle à lui-même5 il a l’air d’un inspiré.
peau a pris une teinte très-pâle; le pouls donne cent pulsations; les
yeux
sont fermés et il les ouvre sur la demandé de son
onstituent la partie appelée matérielle du monde, sont visibles à nos
yeux
; les images ou les pensées de l’homme ne le sont
és inférieures des personnes soumises au traitement magnétique, leurs
yeux
s’ouvraient, si déjà il y avait eu un commencemen
ons, et plus la force, dite magnétique, se dévoile et se montre â vos
yeux
. Nous avons vu le résultat obtenu en magnétisan
érieurement, et les contractions remuent bientôt tout le tronc. Les
yeux
; j’ai obtenu aussi des contractions des muscles d
t qui, du reste, l'affirment eux-mêmes. Je pourrais mettre sous vos
yeux
les guérisons éclatantes que j’ai obtenues moi-mê
cin qui a voulu rester impuissant, qui, lorsque la lumière luit à ses
yeux
, baisse la paupière pour ne pas voir le jour ? Je
, il trouva que la chambre était trop éclairée, et, quoiqu’il eût les
yeux
clos, on les lui banda avec un foulard. On lui de
n, et, ce temps précisément écoulé, le magnétisé fit un mouvement des
yeux
, mais ne put les ouvrir, et l’état magnétique dur
i n'existe pas. Mais quel fut mon étonnement le lendemain! Jetant les
yeux
sur les numéros que chaque buraliste placardait à
onduit longtemps et je fermais les. (ij Pages 1 i1! et Miivoule..
yeux
à la lumière, satisfait de mon scepticisme, car i
-vingts pulsations; M. Courantes! chargé de l'expérience. Bientôt les
yeux
se closent, la tète se penche, les bras sont pend
t, dit qu’il entend tout, qu’il ne dort pas, qu’il ne peut ouvrir les
yeux
, qu’il est engourdi et dans un état singulier d’a
ce quelque chose de lourd et chaud qui lui tombait sur la tôle et les
yeux
surtout. Le docteur I>u>saux magnétise en
ns qui en dépendent s’opèrent intérieurement. « Le somnambule a les
yeux
fermés; il ne voit point par les yeux, il n’enten
rement. « Le somnambule a les yeux fermés; il ne voit point par les
yeux
, il n’entend pas par les oreilles; mais il voit e
je des enfants? Voyez ce que j’ai dans ma poche. Pouvez-vous lire les
yeux
fermés? » Et mille autres questions aussi oiseuse
u’humaine. « Au moment où s’augmentait la faculté de créer dans mes
yeux
, une espèce de sympathie s’établissait entre l’ét
te faculté redoutable; car, dès qu’une chose pouvait se présenter aux
yeux
, je n’avais qu’à y penser dans l’obscurité; je la
t sa vie entière, jusqu’aux plus petits accidents, se présenter à ses
yeux
comme dans un miroir, et qu’il s’était senti en m
rs temps de ma maladie surlout, je voyais des cités, des palais que l’
œil
ne trouva jamais que dans les nuages. A mon archi
ns la position où je me trouvais, n’osant pas tourner la page, et leâ
yeux
iixés dans la glace stir la terrible apparition.
ules voient si facilement (I). Le gros cordon qui s’épanouit dans l’
œil
(nerf optique ) se divise en ramifications infini
mon tour. Nous n’admettons pas que les hydroscopes voient avec leurs
yeux
, mais ils voient avec l’âme, avec ce sixième sens
grande accélération du pouls, de violentes palpitations du cœur; les
yeux
*e ferment, la bouche s’ouvre, la lôte est rejeté
le rassure à ce sujet, et, au bout de quelques minutes, il ferme les
yeux
sans pouvoir les ouvrir. Les ex l rémi tés supéri
dont je parle. Il est de ces malades qui distinguent fut ilement à l’
œil
nu des objets microscopiques; d’autres qui voient
rsque ce manège eut été répété cinq ou six fois, lu figure ouvrit les
yeux
et ferma la bouche volontairement, puis avala d’e
et du tumulte, car personne ne les comprend d’abord. Ils voient d’un
œil
morne l*ut ce qui n’est pas dans le domaine qu'il
pital à Saint-Pétersbourg. Ici, me disais-je après avoir parcouru des
yeux
cet asile de l’infortune, on a tout fait pour ado
vants étonnés tu montres l’harmonie Wégnant sous notre sol. — Là, ton
œil
scrutateur > surpris des trésors, bienfaits du
ole brève. En moins de deux minutes, le corps s’arque en arrière, les
yeux
se ferment, les mâchoires se serrent; il gesticul
vous l'indiquer, et la poitrine se gonfle, les dents se serrent, les
yeux
se convulsent. Les malades sont loin 1 une do l’a
es malades, souvent méfiie je ne les magnétisais qu’à distance. Leurs
yeux
étaient difficiles à ouvrir, et les muscles, quoi
née à carte nommée par Alexis, à qui j’avais moi-môme attaché sur les
yeux
un triple bandeau. Je ne m’étendrai pas non plus
relatifs aux affaires d’Espagne de ladite époque....; tout à coup mes
yeux
se portent sur un endossement ainsi conçu : Ho
environ vingt minutes sur cet objet surprenant qui occupait tous mes
yeux
. J’appelai à mon secours tout mon peu de philosop
’un aspect épouvantable, qui grinçait des dents el qui jetait par les
yeux
de véritables étincelles de feu, sans parler des
se présentaient à mon esprit échauffé. « Dans ces occasions-là les
yeux
tiennent lieu de pinceaux. Les nerfs optiques ain
ites les variétés du . auchemur, mais seulement laire passer sous les
yeux
du lecteur quelques faits ayant rapport avec l'ob
magnétique, H. WlART. Cambrai, 12 juin 1815. Nous avons sous les
yeux
les six premières livraisons des Archives de la S
tout ce qu’il me plaît de commander, vous l’oxécutez à l’instant; vos
yeux
se convulsent, et si vous ôtes debout vous fléchi
iraculeusement. » Obéissante, je plonge dans la glace fatidique Mon
œil
el mon âme attentive ; Mais ma vue n’est pas as
ns combat. A peine si je l’approche que déjà il fléchit, n’a plus d’
yeux
, plus de jambes ; il respire avec précipitation ;
que : Eh! je ne vom trouve point de mal; au même instant il ouvre les
yeux
, et de l’air le plus étonné il continue : /lh ! m
ierez le magnétisme et plus cette découverte se montrera grande à vos
yeux
. L’expérience commence à être un flamheau pour mo
— AFFRETIONS SCROFIILF.USKS. Ici le magnétisme montre rarement aux
yeux
son travail; il faut le deviner sur de petits sig
’organe affecté. Ainsi chez une malade que j’ai actuellement sous les
yeux
, tous les médecins appelés, et il y en eut beauc
s étaient tellement abondantes, que la malade n’eu pouvait croire ses
yeux
. Ces premières déjections la soulagèrent; la lang
plus, l’impression qu’il avait faite le remettait toujours devant les
yeux
, et la crainte passee en donnait une nouvelle. \
crainte frivole, se figurer des fantômes, il applique son esprit, ses
yeux
et sa main à écrire. Au commencement de la nuit,
ers s’entrechoquer, des chaînes qui se heurtaient. Il ne lève pas les
yeux
; il ne quitte point sa plume, se rassure et s ef
oint d’expressions pour rendre les merveilles qui s’offraient à leurs
yeux
, ei que d’ailleurs 011 ne voudrait pas les croire
, présente le phénomène de lucidité au travers des corps opaques. Les
yeux
tamponnés avec du coton el couverts de trois épai
on osait à peine respirer. Dès que j’eus fait quelques passes sur les
yeux
de mon patient, à ma propre surprise et à l elonn
tendit les bras, rejeta sa lûte en arrière, el, en môme temps que ses
yeux
s’agitaient convulsivement dans leurs orbites, il
evons rencontrer! C'est lui qui donne aux éclairs qui jaillissent des
yeux
de l’homme courageux cet éclat fascinateur qui fa
uoi, vous objecteront-ils , ne peut-il lire le mot tout entier? A nos
yeux
il n’y a rien d’étrange à ce qu’il n’ait pu déc|i
t rayonne autour du vous, le trouble, le déconcerte, el obscurcit les
yeux
de son intelligence, comme la colère, l’impatienc
monter le sang au cerveau el font passer des éblouissemens devant les
yeux
du corps! Prenez le causeur le plus spirituel,
physionomie d’un auditeur malveillant; en vain il veut détourner ses
yeux
, son attention, de cette ligure antipathique: ils
vers celte lumière qui éclaire les mystères de sa nature et dont ses
yeux
éblouis démêlent confusément quelques rayons! I.e
les espèces. L’enfant n’y trouvant plus rien promène autour de lui un
œil
inquiet el chagrin en se plaignant de la disparit
n’a souvent pour cause qu’une émanation de vos nerfs projetée par les
yeux
ou exhalée par la peau. On ne peut s’en défaire q
en apercevant du sang aussi distinctement que s’il eût été sous leurs
yeux
. Et au jour indiqué, ù l’heure précise, les maman
se présente des cas comme celui-ci, par exemple? Traitant sous les
yeux
d’un médecin un jeune enfant affecté d’une maladi
ntageux qu’outre la propagande des fails, beaucoup plus éloquents aux
yeux
des masses que les considérations scientifiques,
i nous nous en croyons nous-mêtne, lorsqu'ils sc manifestent sous nos
yeux
. Comme on le voit, la tâche du magnétiseur est ru
la clairvoyance sans cet organe; car, assurément, ce n'est pas notre
oeil
qui voit, c’est quelque autre chose placée en arr
ra expliqué nettement comment l’âme voit l’image qui est placée sur l’
œil
, 011 pourra peut-être avoir des données certaines
nne n'est pas lucide; magnétisée en moins de deux minutes, elle a les
yeux
clos, le globe oculaire convulsé; sensible à l'at
nomène de la clairvoyance somnambuli-que. Après lui avoir tamponé les
yeux
avec du coton et couvert la face de trois foulard
t poinl. Il passa ainsi trois ou quatre jours, la langue sèche, les
yeux
enflammés, et sans rien manger. Il fut, dans cet
ent de coloration de la face, abaissement fréquent des paupières. Les
yeux
plus brillants prennent un caractère de fixité si
!c produire cette crise, n’examine plus, et il suffit qu’on ferme les
yeux
pour qu il s’imagine que le sommeil a lieu. J’ajo
econdes, et à la distance de deux mètres. Elle ouvrit tout à coup les
yeux
, se mit à sourire à ceux qui l’entouraient, et de
le, plus l’âme ou l'homme spirituel esl libre. Il n'a plus besoin des
yeux
de son corps matériel pour voir, et il n’aurait v
ut emière entre la cliai r el l’ongle (ce que j'ai vu île mes propres
yeux
) ( 1 ), n’ait pu permettre aux charlatans magnéti
permettre aux charlatans magnétiseurs d’autrefois de faire passer aux
yeux
du vulgaire leur sujet pour un cadavre, cadavre q
ivre ou dans un autre il n’était pas nécessaire de le placer sous scs
yeux
; il suffisait que, lenanl le livre ouvert derrièr
lanthropiques ; l’autre incrédule en mesmérisme. Ce dernier banda les
yeux
de la patiente el lui présenta un album contenant
ar le magnélisme, mais aussi suffisamment éclairés pour justifier aux
yeux
do lous les bienfaits de l’art nouveau et lo défe
e reconnaissance que cela n’agirait que faiblement sur l’opinion. Aux
yeux
d’un médecin, une guérison ne signifie rien ; il
ingt, trente garderobes survinrent; le malade s’affaiblissait ù vue d’
œil
; la famille en alarmes entourait le moribond; c’
lruire ; Il faut donc s'entre-secourir; Il fauls’cntrc-pretcr des
yeux
pour se conduire; 11 fauts’enlre-douner un aide
échappé à sa tendresse; mais los pharmaciens me regardent de mauvais
œil
parce que je guéris sans médicaments. Les prêtr
xplications, nos lecteurs nous sauront gré de faire passer sous leurs
yeux
quelques-uns de ces faits, notre recueil étant le
nous dites rien de la vôtre. » Il fut quelque temps en silence et les
yeux
baissés. « Mail dame, avez-vous lu le siège île J
1ITUALMIE CHRONIQUE. « Une humeur visqueuse très-visible couvrait l’
œil
de mademoiselle I. C..., et ne lui permettait d a
qui se montre à l’horizon? Entendez-vous la voix des hommes dont les
yeux
en sont ravis? Les clameurs des gens intéressés à
sur les partisans du magnétisme. Vous le voyez, celui qui ferme les
yeux
à la lumière n'empêche [ias qu'elle soilj cl ce
ils sont venus étudier parmi nous. Partout enfin où nous jetons les
yeux
nous constatons un progrès réel. Les ennemis du m
nace de le dénoncer. Paroxysme d'agitation. Perte de la vision de l'
oeil
gauche (P. Garnier). Certificat d'admission : déb
tions; idées de persécution; excitation passa- gère; cataracte de l'
oeil
gauche (Magnan). Certificat immédiat : Débilité
phiés. Il est atteint d'une cataracte dure, d'un blanc opaque, de l'
oeil
gauche qui détermine le strabisme externe de ce
opaque, de l'oeil gauche qui détermine le strabisme externe de cet
oeil
. Ses organes génitaux, enfin, sontbien dévelop-
ssi violet. La cataracte qui le prive entièrement de la vision de l'
oeil
gauche ne nous permet naturellement pas d'explo
pas d'explorer comparativement la sensibilité visuelle de ses deux
yeux
. 4° Ouie. L'ouïe paraît normale et à peu près é
ence, c'est un symptôme constant; 2° à la difficulté de marcher les
yeux
fermés et dans l'obscurité, qui a été présentée
ien (il ne distinguait pas le jour de la nuit), il avait devant les
yeux
une grande tache noire changeant quelquefois un
n coup, souvent aussi sensations de brûlure ou de froid. Dans les
yeux
, il voyait des étincelles, des points brillants s
ts, même en regardant en l'air; mais, dès qu'on lui fait fermer les
yeux
, il tombe en arrière. La force des fléchisseurs
sol, il a un mouvement de ressort. Le malade oscille tellement, les
yeux
fermés, qu'il est obligé de les ouvrir pour évi
ans l'équilibre, même avec l'appui d'une canne, par l'occlusion des
yeux
.- La force musculaire ne parait pas du tout dim
, les oscillations déterminées dans l'équilibre par l'occlusion des
yeux
sont à peine appréciables. Les engourdis- semen
ires, mais non ses aliments. 4° Signe de Romberg. - L'occlusion des
yeux
déterminait dans l'équilibre des trois malades
les oscillations détermi- nées dans l'équilibre par l'occlusion des
yeux
, mon- trent évidemment que notre malade était e
; les oscillations déterminées dans l'équilibre par l'occlusion des
yeux
, étaient peine appréciables, les engourdissemen
. Signe de Romberg. Difficulté de la marche dans l'obscurité et les
yeux
fermés. Perle de notion précise de position des
très manifestes, déterminées dans l'équilibre par l'occlusion des
yeux
. Il marche avec difficulté dans l'obscurité elles
cclusion des yeux. Il marche avec difficulté dans l'obscurité elles
yeux
fermés. Il n'a pas une notion précise des diffé
retards dans la sensibilité. Pas d'oscillation par l'occlusion des
yeux
. Pas de difficulté dans la marche sans le conco
dehors, la langue très grosse faisant ordi- nairement saillie, aux
yeux
très écartés et bridés par des paupières hou(fi
e. Elle est un peu asymétrique et bien plus large que le crâne. Les
yeux
ne sont pas sur le même plan, le gauche est plus
x symptômes, il constatait que chez les sujets qu'il avait sous les
yeux
les phénomènes hypnotiques pouvaient affecter d
re chez quelques sujets par la fixation plus ou moins prolongée des
yeux
sur un sujet quelconque, etc.; b). Consécutivem
lconque, etc.; b). Consécutivement à l'état léthargique lorsque les
yeux
, clos jusque-là, sont, dans un lieu éclairé, dé
des sciences, I CS3, z .lncmvr- t. \1'It.. 7 98 REVUE CRITIQUE.
yeux
sont ouverts, le regard fixe; pas de clignement d
x- mêmes. Les globes oculaires sont; au contraire, convulsés, les
yeux
clos ou demi-clos, et l'on observe habituellement
tion qui existe entre ce troisième état et les deux autres. « Les
yeux
sont clos ou demi-clos ; les paupières se montr
. Il suffit, par exemple, chez un sujet en catalepsie, de fermer un
oeil
pour voir le côté du corps correspondant à cet
e, de fermer un oeil pour voir le côté du corps correspondant à cet
oeil
prendre les caractères de la léthargie, tandis
ères de la léthargie, tandis que le côté opposé, qui correspond à l'
oeil
ouvert, conserve les propriétés de la catalepsi
une dé- viation dans laquelle il a observé l'état cataleptoïde les
yeux
fermés 1. Toutes ces formes que nous venons d
re le grand et le petit hypnotisme, Richer. 102 REVUE CRITIQUE.
yeux
sont fermés, la contracture léthargique se dévelo
mnambulique et la plasticité cataleptique; inversement, lorsque les
yeux
sont ouverts, cette dernière propriété est plus
randes attaques). On cherche à l'hypnotiser par la pression sur les
yeux
; la malade s'endort en léthargie et présente t
us les caractères de cet état. On cherche alors, en lui ouvrant les
yeux
, à la faire passer en catalepsie, mais on ne pe
maintes reprises de développer la catalepsie par l'ou- verture des
yeux
lorsque la malade est en léthargie. Peine inuti
blant à des crises gastriques; l'année suivante, un vacille- ment à
yeux
clos; à quarante-cinq ans, douleurs lancinantes d
-edtatiée ont surtout baissé). Myose très pro- noncée dans les deux
yeux
et symptôme d'Argyl-Robertson. Antécédents. Il
un engourdissement dans les fesses et les reins et un vacillement à
yeux
clos. De temps à autre, 186 PATHOLOGIE NERVEUSE
la marche et pendant les mouve- ments au lit. Lorsqu'elle ferme les
yeux
, la malade tombe à l'ins- tant. Force des jambe
paralysie presque complète dans la région du nerf oculomoteur de l'
oeil
gauche; ptosis, strabisme divergent, absence de
t que peut souffert. La malade peut à peine se tenir deboutavec les
yeux
ouverts; elle tombe dès qu'elle les ferme. Quoi
lèverai le fait que la réaction à la lumière et la conservation des
yeux
sont intactes. Depuis un mois, l'ouïe et l'odorat
ations des deux coudes sont normales). La démarche qui, lorsque les
yeux
sont ouverts, semble parétique, devient, quand
s internes, nous ne relèverons que, la descente de l'utérus. Dans l'
oeil
droit, ÉTUDE DE L'ÉTIOLOGIE DU TABES. 189 ,st
rgent d'ancienne date et leucome (d'origine trau- matique) ; dans l'
oeil
gauche, myose prononcée et symptôme d'Ar- gyl-R
notre hono- rable confrère, M. le Dl K. Adelheim, démontre dans cet
oeil
.l'état normal des papilles des nerfs optiques.
e d'atrophie), démarche ataxique typique très prononcée lorsque les
yeux
sont ouverts; quand elle les .ferme, la malade
ni de dormir. Myose et symptôme d'Ar(, 1-Robert- son dans les deux
yeux
. Ataxie lors des mouvements des jambes, la mala
au lit; cette dernière tombe lorsque, étant debout, elle ferme les
yeux
. Force des muscles excellente. [Contractilité é
nt, encore main- tenant, de diplopie et de ptosis passagère dans un
oeil
. Il transmit la maladie à sa femme, ce qu'il me
it. Se tient debout tant bien que mal et en vacil- lant lorsque les
yeux
sont ouverts et tombe dès qu'elle les ferme. My
es ferme. Myose spinale et symptôme d'Argyl-Robertson dans les deux
yeux
; par places, plaques d'anesthésie dans les jamb
92 ), PATHOLOGIE NERVEUSE. symptôme d'Argyl-Robertson dans les deux
yeux
; lorsque les yeux sont fermés, léger vacillemen
ERVEUSE. symptôme d'Argyl-Robertson dans les deux yeux; lorsque les
yeux
sont fermés, léger vacillement et peut-être lég
Dans sept cas sur huit, il y avait vacillement visible lorsque les
yeux
étaient fermés et dans six cas, il y avait une
er cas où, semble-t-il, il n'y avait pas d'ataxie, le vacillement à
yeux
clos se retrouvait. Dans six cas il y avait sym
le endormie. Un bon exemple d'amnésie verbale a été étudié sous mes
yeux
, à l'hôpital de Norwich'. Quand ou montrait une
ntionnel des symboles graphiques. La .vision n'est pas affectée ; l'
oeil
, de même qu'un instrument d'optique, est parfai
e d'orthographe importante. « J'écris, dit-il, comme si j'avais les
yeux
fermés ; je ne lis pas ce que j'écris. » Défait
; je ne lis pas ce que j'écris. » Défait il écrivait aussi bien les
yeux
fermés. Il vient d'écrire son nom; on lui dit d
vaient pas une liaison la plus éloignée avec ce qui était sous ses
yeux
, sur la page imprimée. En parlant de lui, sa fe
i courbe produit seulement une perte, passagère de la vision dans l'
oeil
opposé; et même la destruction bilatérale du pl
l'ceil opposé, et une hémiopie plus ou moins durable dans les deux
yeux
, du côté opposé à la lésion, -à cause de la par
rale de t'oei) opposé, et peut-être d'une petite étendue aussi de l'
oeil
du même côté'. Les récentes recherches du profe
il a passé une nuit d'agitation, d'inquiétude ; il n'a pas fermé l'
oeil
. Le 3 juin, le matin, le malade se lève ayant l
a cécité de cinq minutes de l'OBSERYATION V, les éblouissemeuts des
yeux
et la vision d'étincelles de l'OBSERVATIO-,f XV
temps, il avait une sensation de brûlure tellement intense dans les
yeux
qu'il les frottait follement. Les conjonctives
ent du casque, c'était 10 heures matin, le malade est pris dans les
yeux
de douleurs si intenses, qu'il poussait des cri
il ne lui reste qu'une sensation incom- mode de plénitude dans les
yeux
et de brûlure, il se frottait les yeux et les p
mode de plénitude dans les yeux et de brûlure, il se frottait les
yeux
et les pressait pour se soulager. La cécité était
ne distinguait pas le jour de la nuit, n'avait, dit-il, devant'ses
yeux
une grande tache noire qui quelquefois changeai
médiatement après l'enlèvement du casque, on le voit se frotter les
yeux
, ce qui était dû à une sensation de brûlure int
l'enlèvement du casque, il est pris d'une brûlure intolé- rable aux
yeux
, qu'il frottait follement et qui étaient en même
que, le plongeur est pris de paralysie faciale gauche. Il fermait l'
oeil
gauche aussi bien que le droit. Il n'y aurait e
he. La bouche, en même temps, était de travers. Il pouvait fermer l'
oeil
gauche aussi bien que le droit. Il n'y a aucune
oids des objets. Sa bouche est tirée à droite; il ferme très bien l'
oeil
gauche. Il n'y a aucune trace d'atrophie muscul
A plusieurs reprises, on avait cherché en vain par l'ouverture des
yeux
, à la faire passer de la léthargie en catalepsi
ait devenu absolument libre. Le transfert s'était accompli sous nos
yeux
. Or, personne n'en avait eu l'idée, et moi-même
ière, entre autres celle de l'bémi-cata- lepsie (lorsqu'on ouvre un
oeil
) et de l'hémi-léthargie. Nous pûmes constater à
ères paralysé; impossibilité de clore complète- ment les paupières.
Yeux
presque immobiles, fixés en avant. Réflexes pup
du voile du palais disparaît, et deux semaines plus tard celle des
yeux
. Guérison complète après deux mois de maladie.
e ramollissement de la moelle occupaient toute cette étendue. A l'
oeil
nu on trouvait un foyer fusiforme étendu de la ci
immobile, se dilatera on se con- tractera. Les autres parties de l'
oeil
marquent aussi leur image. Cet appareil appelé
llaires pendant le clignement des paupières et que l'occlusion de l'
oeil
se fait beaucoup plus vite que son ouverture. L
minue rapi- dement ainsi que le diamètre des vaisseaux du fond de l'
oeil
; la pupille tend à se rétrécir. La compression
n même de l'examen (exercice delà fonc- tion), transforment à vue d'
oeil
l'état de la sensibilité (une obser- vation), a
( ? ), mais intégrité des troncs radiculaires des nerfs moteurs des
yeux
. Aucune autre lésion organique à l'appui de la
e. ' ' P. K. XVIII. DE LA PARALYSIE DU MOUVEMENT DE CONVERGENCE DES
YEUX
AU début du tabès dorsal; par A. DE VATTRYIL1.E
e avec en- térorrhée, parmi les premiers signes du tabès. Aucun des
yeux
ne fixe bien un objet à la distance de un mètre
ulaire se présente en avant, dans le plan même du bord de l'orbite.
OEil
plat. 2° La synostose complète de la suture sag
utre part, le globe oculaire est anomalement enfoncé dans l'orbite.
OEil
enfoncé. ' 3" La synostose postérieure, de la s
Ce qui distingue ce crâne de l'oxycéphale, c'est l'enfoncement de l'
oeil
(tête en coin, spliénocéphalie). Discussion :
à des manifestations spinales et à des paralysies des muscles de l'
oeil
; l'affaiblissement de la mémoire lui succéda da
ssion, qui a modifié en conséquence le texte que vous avez sous les
yeux
et vous propose de le rempla- cer par la rédact
la disposition de l'autorité administrative : c'est excessif à mes
yeux
. ' Nous serions d'accord, je crois, avec la com
honorable collègue et ami, M. Delsol, ce qui paraîtra toujours aux
yeux
du public comme la revanche prise Archives, t.
nce de l'acquittement prononcé par le jury, la cour ne semblât, aux
yeux
du public, le mettre en opposition avec le verd
ent sur la nature et les fonctions du cerveau humain en ouvrant les
yeux
du clinicien sur les troubles partiels de cet o
ette maladie a cependant existé, mais qu'elle a passé inaperçue aux
yeux
du malade et des médecins; mais comme nous n'av
ormaux ; rien d'anormal dans les nerfs crâniens. Les mouvements des
yeux
dans toutes les directions s'opèrent normalemen
s papilles des nerfs optiques et de l'acuité visuelle dans les deux
yeux
, avec un peu d'astigmatisme, surtout dans l'oei
elle dans les deux yeux, avec un peu d'astigmatisme, surtout dans l'
oeil
droit; outre cela, une héméralopie légère. Le
parfaitement normaux en ce qui concerne la force; mais lorsque les
yeux
du malade sont fermés, on peut y remarquer une
st à moitié effectué, il la redresse tout d'un coup. Quand il a les
yeux
fermés, il lève trop haut les jambes et les lan
oser le talon sur le genou dé l'autre jambe et, même quand il a les
yeux
ouverts, tous ses .mouvements n'atlei- gnent pa
e entra à l'hôpital, il pouvait se tenir debout; quand il avait les
yeux
clos, il chancelait. Maintenant il se tient deb
it. Maintenant il se tient debout avec peine, et quand il ferme les
yeux
, il tombe. Sa dé- marche est très caractéristiq
ouvements une ataxie violente que nous voyons progresser devant nos
yeux
dans les membres infé- rieurs et moins prononcé
rions, malgré l'état normal des muscles oculaires et du fond de l'
oeil
, pleinement le droit de diagnostiquer le tabes
ncives, ont disparu, les symptômes nerveux ont progressé devant nos
yeux
et il ne se produit aucune apparence d'améliora
donc que le symptôme qui nous troublait le plus l'état normal des
yeux
dans notre cas, n'est pas une preuve par- lante
corps (p. 115, en cursive dans le texte). Dans le cas XV, où les
yeux
étaient parfaitement normaux, on remarquait, ou
la douleur-dans tout le corps, avec état tout à fait nor- mal des
yeux
et de la sensibilité tactile. Notre sujet prése
est excessivement mobile et en conséquence vague et incertain. Ses
yeux
sont vifs, brillants et injectés. Ses cheveux,
tion, devenue en même temps plus fréquente, et d'éblouissements des
yeux
. Tous ces symptômes ont disparu pendant sa mont
gne médiane était très grande. L'insuffisance de droit interne de l'
oeil
droitétait très marquée ; si on couvrait l'oeil
droit interne de l'oeil droitétait très marquée ; si on couvrait l'
oeil
droit et si on lui disait de fixer notre doigt,
20 centimètres de distance, on constatait que le droit interne de t'
oeil
droit que l'on découvrait, exécutait un mouve-
ômes céphaliques (paralysie du droit externe, du droit interne de l'
oeil
gauche, rétrécisse- ment irrégulier du champ vi
- ment irrégulier du champ visuel, atrophie de la papille du même
oeil
, vertiges, amnésie). ' L'existence du syndrome
ion très rapide, qui a eu lieu en trois heures, on a alors sous les
yeux
un véritable accès de manie tran- sitoire. Le
des plaques plus ou moins éten- dues, noirâtres. En lui ouvrant les
yeux
, on s'apercevait que l'oeil droit était presque
en- dues, noirâtres. En lui ouvrant les yeux, on s'apercevait que l'
oeil
droit était presque uniformément noir et on ne
le pour vomir, ce qui en effet réussit. Bientôt après il tourne les
yeux
, serre les mâchoires et est dans une perte de c
il a été atteint 41(5 ' CLINIQUE NERVEUSE. d'une brûlure dans les
yeux
qu'il frottait fortement et qui étaient rouges.
t antérieur au point de vue des symptômes céphaliques : brûlure des
yeux
, rougeur conjonctivale, vertige, mal de tête, d
flée et noirâtre, sa langue était sortie de ses lèvres enflées, ses
yeux
étaient saillants, ses mem- bres supérieurs fro
quart d'heure après, il se plaignait d'avoir une forte douleur à l'
oeil
gauche et demandait à ses compagnons si ses yeux
forte douleur à l'oeil gauche et demandait à ses compagnons si ses
yeux
étaient ' Loc. cil. 4,3 CLINIQUE NERVEUSE. AC
rd, que ce tremblement occupe les bras, les jambes, les lèvres, les
yeux
, tout le corps quelquefois ou, du moins, les pa
on nerveuse, déterminant des troubles visuels propres. L'examen des
yeux
, chez les hystériques, porte sur le champ visue
ssissement d'un objet quand on l'éloigné ou qu'on le rapproche de l'
oeil
.) La micromégalopsie qui est liée à la contract
uguée des deux sixièmes paires, c'est-à-dire intéressant les deux
yeux
pour la direction du regard à gauche ou à droite.
nistes, le releveur et l'orbiculaire. Si on lui commande d'ouvrir l'
oeil
, la paupière n'exécute aucun mouvement. Si on lui
affection et où nous voyons les deux affections se* refléter dans l'
oeil
par leurs symptômes propres, qu'un examen atten
ophthalmyplégie exter- ne, qui respecte la musculature interne de l'
oeil
, ne produit qu'un ptosis incomplet et peut rest
'Observation 137 l'abolition totale de la sensibilité générale de l'
oeil
, cornée, conjonctive, paupière; ne s'accom- pag
nt très gonflées, comme dans un cas d'anasarque très prononcé ; les
yeux
ne se découvrent jamais complètement; le nez est
r Binswanger, 288 ; paralysie des mouvements de convergence des
yeux
, au début du), par Watte- ville, 294; localisat
499. Vaso-moteurs (trajet central des nerfs), par Hehvig, 108.
Yeux
(paralysie des mouvements de convergence des -
tait, dit la chronique, un homme d’une démarche grave et mesurée; ses
yeux
baissés, son humble contenance, sa barhe longue e
ns des incrédules! Encore quelque temps, ils frapperont tellement les
yeux
de tous, qu’il n’y aura plus de possibilité de le
iât, parce qu’elle y avait Teçu un nouveau pouvoir de charmer par les
yeux
. A cela le narrateur ajoute que Madeleine fut att
ut dans l’histoire, préfèrent les nier effrontément! Mais, fermer les
yeux
à la lumière, déserter l’examen d'une question de
les faits de magie que nous voyons chaque jour se reproduire sous nos
yeux
à des œuvres du prince des ténèbres et dont les c
eil me gêne, la réverbération de la lumière sur l’eau me fait mal aux
yeux
. — Approchez et montez à bord, à l’arrière du n
’importe à quelle distance. Un somnambule est dans un fauteuil, les
yeux
fermés et mouillés; s’il veut voir une chose qui
on exécute généralement l’expérience dite vue malgré l'occlusion des
yeux
, où l’on emploie des tampons et des masques qui
tes jouées par les deux parties. Aucune personne éveillée et les deux
yeux
grands ouverts ne serait capable d’en faire autan
aculté que j'ai tant combattue De toucher les objets de loin avec les
yeux
. Dieu! que c'est étonnant, inouï, merveilleux!
gaz et à la vue d’une douzaine de personnes bien éveillées et les
yeux
bien ouverts , ce piano, d’une dimension colossal
moin ailleurs. Mon cher et honoré maître, voilà maintenant sous vos
yeux
à peu près toute mon expérience des manifestation
e pour que les mouvements de chaque personne pussent être suivis de l’
œil
aisément, et, pour mon compte, je m’appliquai à n
es apaiser. Ils eussent bien volontiers quitté leurs sièges, et leurs
yeux
adressaient des regards suppliants à la compagnie
ous faisions face l’un à l'autre. J’étais parfaitement éveillé et mes
yeux
tout grands ouverts; je puis donc garantir la réa
’éveiller et manifesta l’impression que lot causait sa présence : les
yeux
s’ouvrirent, son regard élw comme dans l’état ord
taillée toutes les circonstances, et n’ont rien d'invraisemblable aux
yeux
di ceux qui sont familiarisés avec le magnétisme.
on des esprits. Qu’on donne au voyant le nom de médium, qu’il ait les
yeux
ouverts ou fermés, peu importe. Si les phénomènes
reste, au lieu de ce qui exilU. A la iV ligne le la nrtnie page : les
yeux
fermés et convulsés, au Iha da mouillés. , . A
, la face cadavéreuse, les lèvres et les pommettes très-colorées, les
yeux
ternes et enfoncés dans leur orbite ; — le pouls
avance graduellement jusqu’à ce o qu’il puisse poser sa main sur les
yeux
de l'animal et qu’il , soit parvenu à lui souille
d nombre de personnes. M. Ellis ne parvint qu’avec peineà couvrir les
yeux
dece petitanimal tout àla fois peureux et sauvage
ne dont le tronc pourri présentait une large déchirure. En levant les
yeux
, il aperçut un corps attaché par le cou à l’une
ue ce qu’elle crée est impérissable, quoique ne le voyant pas par nos
yeux
. Je sais qu’elle a des formes et des couleurs; qu
ue temps, un jeune homme se brûlait la cervelle rue Mornand, sous les
yeux
d’une jeune fille nom-, niée Julie R..., dont il
l dans toutes les familles? quand donc les médecins ouvriront-ils les
yeux
? Nous marchons en avant, chaque jour nous consta
de l’emploi de ces procédés, ces traces ne sont pas visibles pour nos
yeux
, elles n’en existent pas moins, et il est vraisem
et le cheval n’a pas bougé ; il a ouvert devant lui et passé sous ses
yeux
et sur sa tête un parapluie qu’il a ensuite refer
du magnétisme. Toujours est-il que quand M. Rarey était à terre, ses
yeux
ne quittaient pas ceux du cheval ; M. Rarey a d'a
manifestant ni douleur, ni crainte, ni colère, mais attachant sur les
yeux
même du cheval un regard puissant, fixe, patient,
i tué plus d’une fois le reptile au moment où, la gueule ouverte, les
yeux
fixés et le cou tendu, il n’attendait plus que la
ci, du reste, ce que j'éprouve : A l’état de veille, étant couché les
yeux
fermés, je commence à distinguer un point bleu, p
lliards de ces molécules pénètrent dans un organe aussi délicat que l'
œil
sans occasionner aucune douleur, sans faire senti
ésentées et de manière à ne donner prise à l’illusion. Jusqu’aux doux
yeux
rayonnant à l'égal dos gemmes brillant sur les ti
ence du fluide mystérieux. Il débute par une partie de cartes ; les
yeux
sont bandés d’un triple bandeau : cependant sa ma
quiet. Ce que j’appelle ma raison résiste encore au témoignage de mes
yeux
; mais je conçois aujourd’hui les passions vives,
e que, par suite d'une imprudence, j’ai eu depuis une autre maladie d’
yeux
, également grave (n’ayant aucun rapport avec la p
lysie de la pupille et paralysie complète , alors qu’on approche de l’
œil
une bougie allumée à un centimètre de distance du
de l’œil une bougie allumée à un centimètre de distance du globe de l’
œil
. 3° line grande variation dans le mouvement du po
espèce de charlatanisme el appréciables par toute personne qui a des
yeux
pour juger et des doigts pour toucher. En foi d
is auteurs présumés des souffrances ressenties. Les sorts, le mauvais
œil
, les incantations, etc... sont invoqués en témoig
ve du fou Mesmer, prétend que des gens endormis voient plus clair les
yeux
fermés que tous les docteurs aidés de leurs meill
peu respectueux du magnétisme, le spiritualisme, enfant terrible aux
yeux
d’un grand nombre de gens trop timorés, repré
Puis, sur leur front imprimant l'auréole, Vint leur ouvrir et les
yeux
et le cœur. En leur disant : Allez de par le mo
Gascon qui veut rire, Défiant les plus clairvoyants, A qui sans les
yeux
pourrait lire, Offrit un jour trois mille francs
ientôt, refusant l'enquête, Il craignit la lucidité ; On eut sans
yeux
vu qu’en sa tète Se logeait la stupidité. Bien
idèrent la découverte de Mesmer que comme un agent de guérison; à nos
yeux
, ils sontcomme des enfants qui jouent avec le feu
de janvier dernier, parmi nos visiteurs, je remarquai un monsieur à l’
œil
scrutateur et d’un extérieur assez décidé. — Mons
fripons: les faits innombrables qui se passent journellement sous les
yeux
d’une multitude d'observateurs et qu’il ne tient
cette sorte de concert divin; rien de plus beau à contempler que ses
yeux
noyés dans le vague des rêves éthérés qui ne rega
ier rang de la science. 11 faut que la vérité,-ou ce qui brille à vos
yeux
sous ses apparences, ait un pouvoir bien fascinat
a jamais été interrompue, et le récit que nous allons mettre sous les
yeux
du lecteur a un caractère de naïveté et de franch
et ce que tu vois n’est que de la fumée et de l’ombre; ainsi lève les
yeux
. A peine m'eut-il obéi qu’il reprit : Tout le Col
en parlant, je regardai Agnolino Gaddi. Il était si épouvanté que les
yeux
lui sortaient de la tête et qu'il semblait être p
tagonistes nous demanderai nous ajoutons foi aux philtres, au mauvais
œil
, au déchaînement des tempêtes, aux stygmates,aux
ule, et nous répondons sans détour : Oui, nous admettons le mauvais
œil
, les onguents rendus délétères non-seulement par
uence sur le monde, au-dessus de la rédemption : il est vrai qu’à ses
yeux
c’était le fait capital qui consacrait d’une mani
nte, je vis par la clarté du feu que madame X... avait la main et les
yeux
vei s le ciel dans une apparence d’extase ; son m
crasée par le rapport du terrible M. Dubois (d’Amiens), bien qu’à ses
yeux
la commission Burdin aitconfirmé cet écrasement,
prix fût réputé gagné dès qu’une personne verrait sans le secours des
yeux
, quel que fût le mode de procéder. Ainsi il n’éta
mé dans une boîte, on se contentait, ou d’un bandeau appliqué sur les
yeux
du somnambule, ou d’une simple feuille de papier
du somnambule, ou d’une simple feuille de papier interposée entre les
yeux
et l’objet, avec faculté pour la somnambule de pr
On était allé jusqu’à supprimer la feuille de papier, pourvu que les
yeux
étant tenus abaissés parla pression des doigts d’
titude, et l’on ne demandait qu’une chose, la vue sans le secours des
yeux
. M. Mabru, au contraire, restreint le mode de pro
fois, le mot circulation ne me plaît pas ; ce mot sera impropre à mes
yeux
tant que je ne verrai pas de liquide qui circule.
ent ; par exemple, au fait de la vision, sans le secours apparent des
yeux
. La constatation d’un pareil fait me semble la
s; on « a pu leur chatouiller les pieds, les narines et l'angle des h
yeux
par l’approche d’une plume, leur pincer la peau,
d’enfant! Un écrit contre le magnétisme n’a pas plus de valeur, à nos
yeux
, que ceux qu’on lancerait contre l’électricité, l
avais! près de moi mes pistolets, sur lesquels je portais souvent les
yeux
; mais quel ne fut pas mon étonnement de voir, qu
marches, qu’un horrible hibou, perché sur la rampe, ine présenta deux
yeux
ronds et flamboyants..... Au même moment, une o
ur cette vue nocturne. « J’avais monté un quinzaine de marches, les
yeux
à l’affût, l’oreille au guet, quand je crus enten
’était un affreux hibou qui me regardait fixement à faire baisser les
yeux
d’un zouave. « La patience m’échappa, j'armai l
l’origine, y parer par instant ; mais mille agents, cachés à tous les
yeux
, peuvent nous faire sentir leur mauvaise influen
u mauvaises. Les obstacles qui pourraient obscurcir ou voiler à nos
yeux
la lumière pure de la vérité dans la question qui
e ! Le préjugé, ce prisme trompeur de notre intelligence, éblouit nos
yeux
et empêche noire âme de voir la vérité. Nouveau
igieuse de voir à travers les corps dits opaques, sans le secours des
yeux
du corps qui, d’ailleurs, sont exactement fermés
En résumé, voir à distance et travers les corps sans le secours des
yeux
, connaître d’une manière plus parfaite la nature
e à l’aide des organes des sens. Ainsi, non-seulement il aperçoit les
yeux
fermés et couverts d’un bandeau épais les objets
perdu dans la montagne. Le lendemain, tous les invités se lèvent les
yeux
hagards, les figures effarées ; il vont trouver l
mmencent. De tous les coins s’élancent des fantômes, des monstres à l’
œil
de feu, aux dents de crocodile, aux ailes velues,
oupée de blessures béantes. 11 resta un moment silencieux, fixant ses
yeux
noirs et profonds sur le voyageur endormi, puis s
pour passer la nuit dans une auberge. Mais à peine avait-il fermé les
yeux
, que le spectre lui apparut une seconde fois, tri
s qu’il se reposa dans un lit, le fantôme se dressa encore devant ses
yeux
, non plus farouche et irrité, ¡ jjiais doux et bi
ologiques du magnétisme animal, n’on t jamais été des miracles qu’aux
yeux
des ignorants. Sans en découvrir ou en expliquer
ambes et les bras, se dressent sur leur séant, ouvrent et roulent les
yeux
dans leurs orbites, tordent la bouche de manière
encore on en a vu un grand nombre qui, au milieu des ténèbres et les
yeux
fermés, lisent, écrivent, calculent, composent en
pris les mains dans les miennes, et je la regardai fixement dans les
yeux
. Au bout de quelques secondes, sa vue devint trou
eux. Au bout de quelques secondes, sa vue devint trouble, égarée, ses
yeux
larmoyants; ses doigts s’agitèrent doucement ; se
ements rapides que l’opérateur avait employés peu auparavant. « Les
yeux
étaient encore fermés. Invitée à lever les paupiè
avait le pouls tranquille. Bien quelle se rappelât avoir éprouvé aux
yeux
une sensation douloureuse depuis le moment où je
aletante, précipitée ; la sueur couvre toute la surface du corps, les
yeux
deviennent brillants et semblent lancer des flamm
lé du magnétisme devant un tribunal. C’est en cela que consiste à nos
yeux
le principal intérêt de cette affaire. Car, il ne
bule naturel et cataleptique, cette circonstance ne pouvait avoir aux
yeux
des juges l’importance qu’y attachait le défenseu
imes n’ont pas assez de vie pour deux, vous les voyez dépérir à vue d’
œil
, et leur langueur ne cesse que par la mort ou l’é
dépétrez-vous si vous pouvez des liens qui vous enchaînent et que vos
yeux
ne peuvent voir, n’accusez point Dieu, mais votre
ué lui-même par l’attente et par les convulsions qu’il avait sous les
yeux
, éprouvait une insupportable oppression. Enfin l’
i ; je discernais le bruit de pas légers sur le plancher ; enfin, mes
yeux
étonnés se trouvèrent en présence de ma sœur...
veillèrent toute la nuit, mais ne remarquèrent aucun changement. Ses
yeux
étaient grands ouverts et convulsés, le regard se
de l’acier. Cette sensation le tira de son sommeil, et il vit, de ses
yeux
éveillés, deux gaillards sauter à bas de sa voitu
n convulsion, les mâchoires se serrent, les paupières sont agitées, l’
œil
s’ouvre démesurément, les cheveux s’horripilent,
onvulsif, ou bien encore l'extase ou le ravissement du sujet dont les
yeux
fixes et immobiles dirigés vers le ciel, semblent
semblent chercher ou voir dans l’espace des êtres spirituels que nos
yeux
à nous n’y sauraient apercevoir dans cet instant.
ante à créer, mais l’agent, le protée, le magicien qui vient sous vos
yeux
d’opérer ce qu’il lui a plu de produire ; son jeu
ment incontestable que le doute n’est plus permis ; ainsi bandant les
yeux
du sujet et dirigeant la main sur un endroit quel
existence est entière« complète; les opinions contraires n’ont à mes
yeux
et depuis longtemps aucune sorte de valeur. Bar
touraient le berceau dirent qu’elle vivait. En effet, elle ouvrit les
yeux
F Le médium parlait dans le jargon des Indiens et
qu’il considérait comme lucide et capable de voir sans le secours des
yeux
. On appliqua sur les yeux du sujet un bandeau, et
cide et capable de voir sans le secours des yeux. On appliqua sur les
yeux
du sujet un bandeau, et elle parvint à lire c
baissées eût pu les voir ; dès qu’on élevait l’objet à la hauteur des
yeux
, elle ne pouvait plus rien distinguer ; il n'étai
ières, et on pouvait regarder comme possible qu’elle vit au moyen des
yeux
. Son magnétiseur repoussait cette supposition en
s.ouvrages faciles ; tandis que, danql’état somnam-bulique, ajant les
yeux
fermés, elle fait toutes sortes d’ouvrages avec u
te; on pourrait, quand cette.dame est.en somnambulisme,.lui tenir les
yeux
ouverts, et l'on s'assurerait si les pupilles pré
il veillait avec le plus d’attention, sa sonnette s’ébranla: il mit l’
œil
à son judas, personne ! ïl courut sur l’escalie
mmunication avec les esprits , arrive à un état extatiforme, rêve les
yeux
ouverts , croit entendre des oracles et.retrace p
chez moi. J’étais couché sur le dos, ma tête penchée à gauche, et les
yeux
fermés, quand je sentis sur mon frontle contact d
e 1855, ma mère souffrit cruellement d’une névralgie à la tète et aux
yeux
. Vers le milieu de juin, il lui arriva un jour d’
laçai la peau de serpent sur le linge, et je posai cet emplâtre sur l’
œil
de la malade : en cinq minutes, elle fut entièrem
donner des consultations, il n'a pas besoin d’wSir le malade sous‘les
yeux
, il suffit de lui indiquer la demeure et le nom d
vice dans la maison de votre mari, je vois une petite négresse dont l’
œil
jaloux jette des feux sinistres. Oh ! le petit mo
, le 14 septembre 1857, il reçut la lettre suivante que j’ai sous les
yeux
en ce moment : « Monsieur, «Il y a un an, le
e la prudence, et qu'elles ne soient dupes de quelque fourberie qu’un
œil
plus vigilant eût facilement déjouée. Dès qu’une
loyer : Quand un médium écrit, interposez un corps opaque entre ses
yeux
et son papier ; ça pourra gêner le médium, mais n
er le médium, mais non l’Esprit qui conduit sa main. — Posez sous les
yeux
du médium des questions écrites ; vous verrez com
ie ait pour vous de nouveaux charmes; venez, et, dans un instant, vos
yeux
apercevront la plus grande merveille du monde. Vo
canne pour découvrir les conduits mystérieux qui cachent, à tous les
yeux
, mes mécaniques. Je les laisse gloser et les ti
u’il touche, de celui dans lequel il entre ; il lui ferme bientôt les
yeux
et lui bouche les oreilles ; il le rend insensibl
’autres personnes avec moi, parce qu’elles l’ont vu, de leurs propres
yeux
vu, et même éprouvé et contrôlé, c’est que notre
de vision transposée ; je lui reprocherai, moi, de s’être mis sur les
yeux
un bandeau bien autrement épais : l’incrédulité s
es amies. Le magnétiseur fait les passes d’usage; la dame ferme les
yeux
, simule une profonde syncope et finit par dire :
bals masqués, a pu à son aise intriguer tout le monde. Avoir de bons
yeux
pour bien voir le mal, puis les fermer pour le di
ites jusqu’à ce jour démontrent que le somnambule ne voit pas par ses
yeux
, n’entend pas par ses oreilles. » Quant à l’audi
pas apercevoir M. Collyer qui, debout derrière lui, avait sur lui les
yeux
fixés. Le sujet essaya avec une certaine énergie
l bégaya deux ou trois mots, passa deux ou trois fois sa main sur ses
yeux
comme pour dissiper un brouillard, et resta court
er ce qu’il avait commencé ; puis, passant de nouveau sa main sur ses
yeux
, il les frotta comme un homme qui n’est qu’imparf
alors il s’aperçut que M. Collyer était derrière lui et avait les
yeux
fixés sur lui ; il s'en éloigna d’environ trois p
pas s’apercevoir de ce qui se faisait et se disait autour de lui, les
yeux
demeurant fixes et ne paraissant rien voir. On lu
ès-bas : Oui, monsieur. Après un peu d’intervalle, ayant toujours les
yeux
très-fixes, il ajoute : J’éprouve quelque chose d
J’éprouve quelque chose de très-singulier; je ne puis mouvoir ni les
yeux
ni les membres. Une minute après, iJ parut pl
ande doucement s'il entend quelque chose, il répond que non. Il a les
yeux
ouverts : M. Sto-rer en fait remarquer les mouvem
, remue les épaules , se passe les mains sur la figure, se frotte les
yeux
, puis étend les membres comme un homme qui sort d
qui jugent mieux de l’état d'un malade, sur un simple vêtement et les
yeux
fermés que vous à l’inspection de la langue et au
r de me sauver. Le dévouement de mon ami fut infatigable. Il fixa les
yeux
sur moi, et avec les plus grands efforts, il diss
et, sur vingt pratiques , 011 en ,vit quinze d’entre elles fermer les
yeux
, et cet étrange phénomène eut pour témoins des d
ère, son évidence était semblable à celle du soleil, mais ouvrant vos
yeux
pour toutes choses, vous les fermiez pour le magn
des convulsions. Je cours chez elle, sa mère me reçoit les larmes aux
yeux
: — « Ma fille est daas un état désespéré, les co
éro du 10 novembre 1856, pa^c 566. est ou parait insensible ; ses
yeux
sont convulsés, tout son corps est pris d’un spas
e semble comme fou- droyée par mon regard, elle ne peul lever les
yeux
sur moi sans éprouver de très-fortes secousses, q
ptivité, m’en rapportant au premier passage qui me tomberait sous les
yeux
. J’ouvre, et je lis au haut d’une page : celle a/
rtes d’arbres touffus, et reparaissait ensuite en réfléchissant à mes
yeux
la lumière brillante du jour. Pourquoi avais-je m
omènes du somnambulisme : la prévision, la vision sans le secours des
yeux
, le diagnostic des maladies, la communication de
, les cas de mort se sont multipliés ; plusieurs ont eu lieu sous les
yeux
des praticiens les plus consommés, de telle s
se drape orgueilleusement en montrant Hippocrate. Pourquoi fermer les
yeux
devant le soleil et nier la clarté qui nous éblou
r le rôle d’aveugles, ce rôle est indigne de vous; ne fermez plus les
yeux
à la lumière nouvelle ou craignez de devenir séri
ng de saint Janvier et celui de la Vierge de Ritnini qui tourne les
yeux
..... Aussi Naples et Rimini attirent plus de pè
liquer scientifiquement. Etude par M. Grirnaud de Caux, 365. — Coup d'
œil
sur lo mémo sujet, par M. l'abbé Caupert, 451.
Sous l'influence de celles-ci, la malade déplace la tête, ouvre les
yeux
et pousse quelques plaintes comme si elle se ré
Le coma est moins profond qu'hier; quand on essaye d'examiner les
yeux
à l'ophthalmoscope, L... agite la tête et remue l
oncée, leur trajet sinueux. Pas d'exsudation ; l'image du fond de l'
oeil
est parfaitement nette dans toute son étendue (
s deux côtés , la tète est un peu dans l'extension ; la face et les
yeux
sont dirigés en haut; les pupilles sont à peine
secousses cloniques, égales des deux côtés comme la rigidité ; les
yeux
se dirigent en avant, la respira- tion se préci
tait assise sur une chaise lorsqu'on s'est aperçu qu'elle avait les
yeux
fixes, puis dirigés en haut. Dans la crainte qu
se (bleu céleste). J'ai exposé, dans la séance précédente, sous les
yeux
des membres de la Société, un tube contenant un
eur sourds et précipités. Au bout d'une minute, la malade ouvre les
yeux
, regarde d'un air étonné et dit : « Je vous re-
s de coeur qui l'avertissent; elle devient toute pâle, se cache les
yeux
: On dirait qu'elle a peur, prétend l'in- firmi
ension; la face regarde à droite ; les paupières sont ouvertes, les
yeux
sont dirigés en haut et à droite, les pupilles
es, se montrent quelques secousses cloniques ; puis, la face et les
yeux
se portent à gauche et alors la rigidité prédom
ons, mais elle se souvient qu'elle a eu le carreau, une maladie des
yeux
qui l'a rendue presque aveugle de deux à cinq a
it des étin- celles qui sautent, des éclairs qui passent devant les
yeux
68 RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES. et elle a des e
vec la main droite. La tète était penchée sur l'épaule gauche ; les
yeux
étaient dirigés vers la gauche. Les pupilles, a
.... ne répond pas. Au bout de cinq minutes, les larmes coulent des
yeux
de la malade qui prononce quelques paroles inco
nt trop tenus pour être visibles, furent alors très-apparents à l'
oeil
nu. La masse cérébrale sembla devenir trop volu-
t. Pick pense qu'il s'agit là d'une projection de l'ares lutes de l'
oeil
(1). Les fonctions digestives ne sont pas série
gouttes de nitrite d'amyle. En 40 secondes, le malade ouvrit les
yeux
; en une minute, il leva la tête et regarda autour
. Depuis l'inhalation la malade n'a plus eu d'accès; la face et les
yeux
sont dirigés vers la gauche ; la pupille droite
, à droite. La face, d'abord pâle, devient rouge ou violacée. Les
yeux
sont dirigés en haut et à droite. Mouvements de d
, mais D..., quoique dans une sorte de demi connaissance, avait les
yeux
convulsés, de la rigidité des membres et faisai
succédant avec une certaine régularité. La face devient rouge, les
yeux
se portent à gauche, à droite, les pupilles se
. b) La congestion de la face augmente ainsi que la déviation des
yeux
; - le cou est rouge, tendu, comme gonflé et prés
tre attaque. - Apres la seconde inha- lation, elle avait devant les
yeux
des milliers d'étincelles bleues et rouges. Ell
d'étincelles bleues et rouges. Elle se souvient qu'elle remuait les
yeux
et la langue et dit qu'elle ne pouvait s'oppose
d'amyle. A la suite d'une inhalation, M... voyait tomber devant ses
yeux
des flocons de neige jaune qui furent bientôt r
ces d'une nouvelle crise (battements des paupières, dévia- tion des
yeux
, extension de la tète, etc.). Nouvelle inhalation
serve des grimaces, des battements des paupières, une déviation des
yeux
, etc. Nous renouvelons l'inhalation : Peu après
i surviennent du côté de la face, des muqueuses de la bouche et des
yeux
, etc., nous paraissent en fournir une preuve sé
: 1'ILL,PSIL. 1 t Î (Noireterre), rencontra un chien qui avait les
yeux
hors de la tête, la gueule pleine de bave, la q
uelquefois et souvent ses oreillers. La face est congestionnée, les
yeux
grands ouverts, hagards, fixes, les pupilles di
ards, fixes, les pupilles dilatées. Si l'on approche les doigts des
yeux
, elle ne s'en aperçoit qu'au moment où l'on y t
tire la jambe, le bras ou la tête, qu'elle a des animaux dans les
yeux
, la tète ou le ventre. Ses idées sont incohérente
ue son attaque allait commencer. En effet, à peine déshabillée, les
yeux
se tournent à droite et en haut ; la tête se po
la face tournée dans le même sens; les paupières sont ouvertes, les
yeux
regardent en haut et à droite. L... pousse un c
tourne à droite, la tète s'incline sur l'épaule du même côté ; les
yeux
regardent en haut et à droite, à un tel degré q
ange dans la main gauche, la malade la maintient tant qu'elle a les
yeux
ouverts, mais elle la laisse échapper dès que l
ures du soir). - Attaque tonique. La face est tournée à droite, les
yeux
regardent à droite et en haut. La malade a de l
es paupières sont demi-closes; la malade ne peut les relever. Les
yeux
, dirigés en haut et à droite, ne peuvent tourner
hui (front, sourcils, nez, joues, lèvres, etc.). Les paupières de l'
oeil
gauche ayant été lésées, Etch... ne voyait plus
e. La malade dit qu'elle voit plus distinctement quand elle ferme l'
oeil
gauche. Les pupilles sont très-contractiles ; m
e vers lui le rayon visuel : elle semble regarder un autre point. L'
oeil
droit i étant fermé, Etch... dit voir deux ou t
constatés par.lui : La malade pré- sente une hémiopie interne de l'
oeil
gauche, /avec' : diminution de l'acuité visuell
le champ visuel. Elle ne distin- gue, en outre, aucune couleur de l'
oeil
gauche, tandis que de l'oeil droit elle perçoit
- gue, en outre, aucune couleur de l'oeil gauche, tandis que de l'
oeil
droit elle perçoit toutes les nuances, des couleu
cription d'une attaque. La malade est dans le décubitus dorsal, les
yeux
sont ouverts et fixes, les pupilles sont moyenn
uvements convulsifs. La face est aussi le siège de convulsions. Les
yeux
sont fixes, sans aucune déviation, les pupilles
. Voici les faits qu'il a constatés : « 1 ° Examen des couleurs, a)
OEil
gauche. Il distingue à peine et dans certaines
Ga- lezowski). Toutes les autres nuances paraissent en blanc. b)
OEil
droit. Il distinguo le bleu ; Foranger lui parait
autres couleurs noires. « 2° Champ visuel, a) Hémiopie droite de l'
oeil
gauche, par une ligne médiane parfaitement vert
e ligne médiane parfaitement verticale. - b) Le champ vi- suel de l'
oeil
droit est limité, sur le côté externe, à une dis-
st aussi une ligne verticale. » 3" Examen oplttltal1lloscopique. a)
OEil
gauche. La papille gauche est plus rouge que la
la vue, s'est certainement produite depuis le dernier examen. - b)
OEil
droit. La papille et le fond de l'oeil sont ident
puis le dernier examen. - b) OEil droit. La papille et le fond de l'
oeil
sont identique- ment dans le même état que lors
on, consiste en ce qu'un objet placé à une petite distance devant l'
oeil
gauche parait mul- tiple ; les images ainsi vue
1 59 disparaissent pas lorsqu'on met un verre biconcave devant l'
oeil
. Au contraire, l'objet éloigné parait unique, mai
la sensibilité tactile n'est pas abolie tout-à-fait à la main. Les
yeux
étant fermés, on constate que la malade n'a pas
x côtés, la papille est normale et la rétine fortement pig- mentée.
OEil
gauche : le bleu indigo parait noir; le jaune,
, la langue sort; la face, congestionnée, se tourne à gauche, les
yeux
se dirigent en haut et à gauche, la rigidité est
ISCHURIE. 167 Parfois, elle s'arrête au milieu d'une phrase : les
yeux
sont largement ouverts, fixes ; elle semble ne
un jet de vapeur dans les oreilles, elle voit des éclairs devant l'
oeil
droit, elle a des bouffées de chaleur, elle se
é plus marquée à gauche; puis, cris, face violacée, grimaçante; les
yeux
étaient tantôt fixes, tantôt dé- viés à gauche
rticulations temporo-maxillaires ; qu'elle ne voit presque pas de l'
oeil
droit. En effet, elle ne distingue pas les objets
n effet, elle ne distingue pas les objets que l'on place devant cet
oeil
. - L'ancsthésie est com- plète par tout le corp
et sans appui sur l'une ou l'autre jambe. Elle distingue, avec l'
oeil
gauche, les traits de la physionomie des personne
a vision, pratiqué par M. Landolt, a donné les résultats suivants :
oeil
gauche. Etch... reconnaît les mouvements delà m
p visuel est rétréci con- centriquement jusqu'au point de fixation.
OEil
droit. Elle compte les doigts à un mètre. Elle
ait de douleurs lom- baires très-vives, son visage était rouge, ses
yeux
lar- moyants, elle s'agitait sur son lit, puis
es ont duré près de quatre mois ; la guérison est survenue sous nos
yeux
, et c'est de ta que notre étude tire son princi
rce que les cri-siaques ont pour la plupart les paupières closes, les
yeux
convulsés, et restent volontiers immobiles, si le
t en sonmambu- Toiik XIII ■ N« 17». — 1» JANVIER 185* l lisme les
yeux
ouverts, et dans ce cas le regard est lise, les p
nts; on reconnaît que le somnambule voit plus par son âme que par ses
yeux
. Tout somnambule qui ne présente pas les caract
chaque instant de plus en plus; s’étendre, se remuer, se frotter les
yeux
, se tordre sur son siège, rien n’y manquait; mais
efforts inutiles, il succomba et, se renversant en arrière, resta les
yeux
fermés comme un homme endormi convulsivement. «
in à hauteur de sa figure, le dos de cette main tourné du côté de ses
yeux
, il dit sans hésiter : « — Il est 10 heures moi
s ou indifférents? C’est parce que les effluves qui passent par leurs
yeux
l’ont produit; s’ils sont privés de ce sens, il l
cessivement et par addition un magnifique édifice, ne se montre à nos
yeux
qu’à de rares instants, se laissant plutôt devine
t mieux aimé passer outre que d’av.ouer leur ignorance. Fermant leurs
yeux
à la lumière, la vie n’a été désormais que le mou
lui, faire exécuter mon commandement lorsque rien n’a pu traduire aux
yeux
ma pensée? Cette pensée ainsi portée, quelle est-
ns devant nous sont empaillés : fixes sur leurs ressorts, ils ont des
yeux
pour ne pas voir, des oreilles pour ne pas entend
n’est plus certain. — Comment donc s’en assurer? — D’abord parles
yeux
. — Mais je ne vois rien que la matière. — Eh
tuelle sera entière, complète, sans qu’il y manque rien. — Mais mes
yeux
ne l’aperçoivent point. — Ecoute et saisis ceci
vir à le dépeindre. La perception de l’extatique n’a point lieu par l’
œil
; les objets éloignés viennent cependant se peind
Quelques malades sont !■. enveloppés d'un esprit immatériel que leurs
yeux
ne pcu- vent apercevoir, mais qui tombe sous un a
nde une clarté douce et res- i plemlissante qui oblige de tenir les
yeux
à demi fermés. Ce « sont là positivement les song
vait fait quitter sa chambre, lorsqu’il aper- çut qu’elle avait les
yeux
fermés et paraissait profondément endormie. «La
du passage dont l’artiste s’est inspiré. ........Tancrède ouvre les
yeux
, et puis il les abaisse ternes et lourds, et He
dans certaines maladies, l'àme perçoit les objets sans le secours des
yeux
; il ajoute qu’il laudrait être insensé pour dout
mpressions passagères d’aberration mentale. Le Dr Andral eut sous ses
yeux
, pendant une journée entière, le cadavre d’un enf
soumettra à cette expérience à roidir les jambes et à se boucher les
yeux
et les oreilles, afin de s'isoler le plus complèt
e que îles hommes plus éclairés arracheront le bandeau qui couvre mes
yeux
, lin attendant je m’adresse ces questions : Est
e patient est d’abord à terre, faisant le roide-mort, se bouchant les
yeux
et les oreilles avec ses mains, afin qu’il ne \oi
appétit, je m’aperçus qu’une espèce de brouillard se répandit sur mes
yeux
, et que le plancher de ma chambre ôtait couvert d
ère , quoique très-vive, ne fit aucune impression douloureuse sur mes
yeux
. Le Seigneur était vêtu de pourpre, et la vision
u de pourpre, et la vision dura un quart d’heure. Ceüs même nuit, mes
yeux
furent ouverts pour voir dans le citi. dans le mo
s par les expériences dont nous parlons ? L a-venir est couvert à nos
yeux
d’un voile impénétrable; il est, pour notre faibl
élicates attentions, et la pensée que nous étions sans cesse sous les
yeux
et sous la protection de ces messagers célestes,
hemins obscurs et détournés aux impies et à tous ceux qui ferment les
yeux
à la véritable lumière. Privés qu’ils sont de la
son petit doigt ;ï l'imagination, j’a1 .-./m île lui faire fermer les
yeux
; et le phénomène a presque toujours lieu. Je do
t entouré des soins les plus éclairés et lui ont pieusement fermé les
yeux
. Sa dernière pensée a été pour la science magné
de me réveiller! Mon rêve est fini : oh ! quel bonheur ! Ouvrant les
yeux
, j’aperçus mon père debout près de moi, et je sen
signifie rien, absolument rien. Jugez plutôt. Une jeune fille, aux
yeux
hagards, se promène nuitamment, vêtue d’un peigno
qu’il se trouve en présence de Marie-Au-toinette, il lui met sous les
yeux
le verre d’eau fatidique, et lui fait voir ainsi
coup, au milieu de ces tendres épanchements, elle soupire, ferme les
yeux
, puis s’enfuit précipitamment vers un pavillon él
vation égalant la hauteur des impostes non fermés par les volets; son
œil
en feu voit à travers les volets. 11 n’ira pas le
une projection en avant de toute l'habitude du corps; un moment, les
yeux
sont dérobés, et tout cela sans cris, sans gémiss
t dérobés, et tout cela sans cris, sans gémissements, bien que pour l'
œil
observateur il y eût apparence de souffrance marq
sans corps, de vous montrer les immortels! C/est avec vos sens, et l’
œil
bien ouvert, c’est avec les doigts que vous voule
ur se dégager totalement? Cette tourmente n’apparalt donc point à vos
yeux
pour ce qu’elle vaut et ce qu’elle cache? Ah ! vo
bsister un faible voile, je ne trouve autour de moi que des gens sans
yeux
et sans oreilles. Et si quelques-uns, plus confia
ompte que d'une manière fort imparfaite ; il voit sans le secours des
yeux
, il embrasse les choses éloignées, malgré l'inter
uand nous examinons un astre situé à cent millions de lieues de notre
œil
, nous n’avons pas besoin de supposer que notre âm
un bon esprit; ce sera au contraire l’indice d’un esprit d’erreur aux
yeux
du penseur qui prend son critérium dans les ouvra
r les imbéciles ou les plaisants de mauvais goût. Si je lève sous vos
yeux
un poids de vingt-cinq kilog., est-ce une raison
se cacher dans uu endroit mystérieux et tout à fait inaccessible à l’
œil
des curieux. « Tribunaux. — On lit dans le Sièc
nous faire de larges concessions, n’était la vue sans le secours des
yeux
, et autres phénomènes réputés diableries par les
De même les pontifes de la science, en se mettant un bandeau sur les
yeux
pour se dispenser de voir le3 faits qui ont le ma
t pas dépourvu d’intérêt. Ainsi, dans l'écrit que nous avons sous les
yeux
se trouve une étude fort bien laite de la questio
stérieux faits sur le front d’un individu suffisaient pour fermer les
yeux
de son corps et ouvrir ceux de son âme ; en un mo
été doué de mains qu’il peut faire mouvoir au gré de sa volonté, et d’
yeux
qu’il peut charger des foudres terrifiantes de la
aux ténèbres des sens en l’animant d’une vue céleste qui ouvrait ses
yeux
à une vue infinie sur le monde de l’avenir, et po
lignes que je viens d’écrire ; — quels ont été les mouvements de mes
yeux
, contre-maîtres plus ou moins vigilants, chargés
nutes, que de la division 10 à la division 10. Qu’un opérateur, les
yeux
bandés, appuie alors les mains sur la barcelonnet
egard noyé et langoureux, dont le degré h' plus prononcé rappelle l’
œil
(le la gazelle, distingue les sujets très-impress
eulement que (1) Nous employons ce mot esprits, qui est reçu. A nos
yeux
, un ftro qui serait doué de la vie de relation de
qui ne voyaient pas. La foi avait-elle fait tomber les écailles des
yeux
des voyants? avait-elle disposé devant eux un pri
doux fruits. « Oui, chers compagnons, le (lambeau qui brille à nos
yeux
éclairera un jour l’humanité tout entière, car sa
ge ou de signes matériels; il voit l’être moral aussi nettement que l’
œil
charnel voit l’être physique ; il lit dans l’inté
pas ferme et hardi, leur nombre s’accroît en marchant, et dans leurs
yeux
pleins d’une indomptable énergie se lisent les ha
que le «.ligne président du banquet de Mesmer faisait briller à no3
yeux
le triomphe (ant désiré. A Dieu ne plaise que je
veille. Chaque monde, chaque merveille, Chaque objet qui frappe ses
yeux
. Cepondant sous lo manleau bleu De celle splend
t sans fierté ni dédain ; Cn chemin pour touto science, Pour tout
œil
, toute intelligence, Et pour le faible et pour
; La force qui dompte la bêlo Lorsqu'un homme lui crie : Arrête' L'
œil
qui d’un orbe menaçant Peut fairo une verge docil
elle page et montrer un mérite fort au-dessus de l’ordinaire. A nos
yeux
, le principal titre de M. Lacaussade est moins da
aissent tomber leur tête alternativement à droite ou à gauche ; leurs
yeux
deviennent fixes, hagards, on voit que l’enivreme
hœur se tait. Un vieillard à l’air vénérable, à la barbe blanche, les
yeux
levés vers le ciel, chante un air religieux dont
e par le soleil brûlant de ce climat et le sable fin projeté dans ses
yeux
par le vent du désert. Cette maladie, très-comm
tions d’eau de laitne et d’eau blanche. Une taie étant survenue à l’
œil
droit, elle fut combattue par l’instillation de q
t la malade ignore le nom. Cinq jours après l’emploi de ce moyen, l’
œil
s’est crevé, et l’ouverture provenant de cette ru
d’août dernier, elle se borna à faire des lotions d’eau fraîche sur l’
œil
droit qu’elle .avait perdu et sur l’œil gauche do
s lotions d’eau fraîche sur l’œil droit qu’elle .avait perdu et sur l’
œil
gauche dont l’inflammation inspirait assez d'inqu
vec le sulfate de cuivre. L’emploi de ce moyen faillit produire h l’
œil
gauche un effet semblable à celui qui était arriv
oduire h l’œil gauche un effet semblable à celui qui était arrivé à l’
œil
droit. La malade devint tout à fait aveugle. Il y
e magnétisation, et commença à distinguer confusément la lumière de l'
œil
gaucho à la troisième. Avant de réclamer les so
ère fois, le 9 février 1852. Nous avons constaté la perte totale de l'
œil
droit, l’existence d’une kératite de l'œil gauche
staté la perte totale de l'œil droit, l’existence d’une kératite de l'
œil
gauche, avec opacité de la partie inférieure et i
ètre de distance, et interposant , entre la pointe de ses doigts et l'
œil
de cette malade, une glace d'un décimètre carré d
sa santé, mais celle de son mari, qui ne pouvait non plus fermer les
yeux
, tant l'agitation de sa femme était grande. Aussi
des faits que (je suis obligé de le répéter) j'ai vus, de mes propres
yeux
vus, ce qui s’appelle ru, faits qui du reste se s
chands de crayon qui se font passer pour patriarches, le public a les
yeux
ouverts sur les abus qu'on pourrait faire du magn
e erreur, une illusion, et il vous prouve qu'on ne peut voir sans les
yeux
, entendre sans les oreilles, etc. 11 a raison, ca
à coup lumineux, mais si lumineux que j’en fus ébloui à fermer les
yeux
..... ensuite je ne sais plus ce que je vis, car
s pressentiments épais ; il dévoile la profondeur des espaces à notre
œil
, dont l’horizon est si borné ; la nuit et les cor
vie dans notre oreille, ainsi que chaque onde lumineuse révèle à, nos
yeux
son mode d’existence ; aussi, dans ses expérience
ue je raisonne ainsi, c’est l'histoire en main, l’expérience sous les
yeux
. En effet, voyez comme ce principe du dégagemen
quoi monter une affaire avec cela. » A mon tour j’ouvris de grands
yeux
.... «Monter une affaire avec des torpilles?...
crainte de s’échapper, et de cette étreinte jaillit du feu.... Leurs
yeux
sc rencontrent et brillent comme des éclairs; leu
demi-voilés, tout à l’heure enjouées, naïves enfants, maintenant les
yeux
ouverts, étonnés, plongeant dans une phase nouvel
léchir, il verra qu’il a dans sa main toutes les puissances, dans ses
yeux
tous les sourires de l’amour. J’ai refusé souvent
epoussent tout ce qui présente un caractère magnétique et ferment les
yeux
pour ne point voir cette nouvelle lumière, des ho
t à fait insignifiantes d’abord; puis tout à coup, la fixant dans les
yeux
de ce regard qui sonde la pensée, je lui demandai
de leur enfant, toutes fixaient pieusement, mais en tremblant, leurs
yeux
sur la route de Kassim-Pacha. On ne voyait rien,
rinage de la Mecque. Son visage ôtait encadré d’une barbe grise ; ses
yeux
brillaient sous d’épais sourcils. n U11 tapis f
ssement général, la marche presque impossible, la face décolorée, les
yeux
enfoncés dans leur orbite, les paupières à demi f
te, les paupières à demi fermées et entourées d’un cercle noirâtre; l’
œil
gauche, plus saillant que le droit, était atteint
ts, dette dernière paraissait, à mon avis, la plus grave, parce que l’
œil
, qui en était le siège, semblait déjà frappé de c
é cette partie, qu’à mon arrivée j’eus de la peine à reconnaître si l’
œil
n’était pas entièrement perdu. Voici dans quell
tablies. Depuis qu’elle se trouvait sous l’influence du magnétisme, l’
œil
s'était sensiblement amélioré, la vue était en pa
ait : « Les frictions mercurielles qui ont été faites autour de mon
œil
, me dit-elle un jour, sont la cause du phénomène
bé , a pénétré dans la paupière, et de cet endroit dans le globe de l’
œil
. Sa présence a désorganisé le tissu, et je perdra
C’est à peine si, quelques jours plus tard, 011 reconnaissait que cet
œil
avait été malade. 11 y a environ dix mois que c
rouvait mon ami. Les traits étaient altérés, la face cadavéreuse, les
yeux
à demi voilés, le ventre météorisé, la peau sèche
prouve de 1 agitation, des mouvements nerveux et des bâillements, ses
yeux
se ferment; elle serre alors convulsivement dans
pouvait parler. Comme elle cherchait elle-même à se démagnétiser les
yeux
en se servant de ses deux mains, Mme de M... s’y
de l’article est malveillant ; de ce que le sujet qu’il a eu sous les
yeux
n’a pas réussi, l’auteur conclut que tous les som
de quelque malade. Elle saisit la lettre sans tourner vers elle ses
yeux
fermés, La plaça sur le sommet de sa tête, et dit
voyance directe. — La première forme est celle où le sujet, ayant les
yeux
fermés, voit la luminosité qui émane des doigts d
nue au-dessus de sa tète, ou de toute autre manière, pourvu que les
yeux
11c puissent l’apercevoir. Ceci est un cas très-o
que soit dans ce cas le moyen de vision, dès que ce ne sont plus les
yeux
qui fonctionnent, la perception peut avoir lieu m
insi elles peuvent arriver directanenl au cerveau sans passer par les
yeux
ou tout autre appareil des sens, et déterminer un
point qu’il ne peut jamais satisfaire sa faim ; il engraisse à vue d’
œil
; ses vilaine crachats n’existent plus : on dirai
oir : je la trouve couchée dans son lit, en supination, immobile, les
yeux
fermés; les pupilles, si on écarte les paupières,
peine sept minutes s’étaient-elles écoulées, que la malade ouvrit les
yeux
comme au sortir d’un sommeil calme et bienfaisant
en les écrivant ait glissé sur la peau avec une grande rapidité. A l’
œil
, ça faisait l'effet d’une brûlure ou d’un érésypè
e venir celle-ci. Je la regardai fixement, et je crus voir dans ses
yeux
le regard et l’expression de ma cousine absente ;
sson pour combattre les affections de l’estomac ; en lotions pour les
yeux
, et en injections pour les oreilles. Cette eau
responsabilité des faits qu’il rapporte comme s’étant passés sous ses
yeux
. « La ville de Cadix est en ce moment en grand
à chacun les vertus que le corps humain renferme, afin que, sous les
yeux
mômes de tout médecin, la nature sollicitée, aidé
cécités, des cancers, des névralgies, des maux de hanche, des maux d’
yeux
, des entorses, des cas de paralysie, d’épilepsie,
La main fait éprouver dans cette région quelque chose d’insolite. Les
yeux
sont fermés. J’ouvre les paupières; je vois l'axe
lite. Les yeux sont fermés. J’ouvre les paupières; je vois l'axe de l’
œil
dévié et porté en haut. Voici ce que me présent
ité de ses réponses dans son sommeil ; on répandit qu’elle lisait les
yeux
fermés, etc., etc. Je ne vis rien de semblable; j
éplace sa chaise et lui présente le dos. Malgré ce déplacement, ses
yeux
cherchent de côté à voir les gestes du jeune homm
n bas en caractères inconnus. Mais à peine Cipriano y eut-il jeté les
yeux
, que, éclairé par une lumière supérieure, il comp
mença aussitôt. Cipriano ne put dormir et passa la nuit sans fermer l’
œil
. Le matin, il courut chez Charlotte pour lui conf
tendant la main ; mais tout à coup il s’arrête en fixant sur elle des
yeux
effrayés. Et il v avait de quoi ! A travers les
endre incarnat des joues qu’il avait tant aimé. L’infortuné! dans ces
yeux
si beaux et si pleins d’amour, il ne trouvait p
de la terre, l'objet de ses pures aspirations. Ce n'était plus à ses
yeux
qu une préparation anatomique. Cipriano s’enfuit
à genoux devant l’image sainte et pria. Mais à peine eut-il levé les
yeux
, qu’elle disparut pour lui. 11 n’y avait plus là
ire des faits. L’invention d’un système de philosophie n’était, à ses
yeux
, que le désir de dire du nouveau. Pour lui, il n’
ante, et dans une lente succession ! Aujourd’hui les voilà devant ses
yeux
, les voilà tous simultanément et dans leur triste
faible qu’elle qui l’approchait, elle ^affaiblissait elle-même. Ses
yeux
projetaient un éclat singulier. Le lien entre ses
gardant la lune, elle se sentait envahir par le froid. Pour elle, les
yeux
des hommes lançaient des rayons blancs ; ceux des
nous. Toutes les fois que M””' II... a regardé attentivement dans l’
œil
droit d’un homme, attention qui augmentait sa for
utre image qui ne ressemblait ni à elle-même, ni au propriétaire de l’
œil
, et qu’elle prétendait être celle d’un autre homm
homme tantôt plus grave, tantôt plus léger que lui. Si c’était sur l’
œil
gauche de cet homme que se fixait son attention,
’il avait malades, et les remèdes qui pouvaient les rétablir. —Dans l’
œil
gauche d’un borgne, elle a vu à la fois sa doublu
ne, ses organes malades et les remèdes à leur appliquer. Au fond de l’
œil
droit de plusieurs animaux, elle a vu une flamme
conscience d’eux-mêmes. Elle a dit apercevoir tout cela au moyen d’un
œil
intérieur. Il va sans dire qu’il était facile de
semblent planer, tandis que les mauvaises marchent péniblement. Leurs
yeux
sont tous étincelants. Elles peuvent non-seulemen
corps. Le malheur des plus pesantes est d’avoir toujours devant les
yeux
et ces fautes et la félicité dont elles se sont p
“ f9S. — 25 octobre 185t. 20 tiscr la tête, et particulièrement les
yeux
, étant assis, ils s'appuient l'avant-bras sur la
e parce que les fondateurs de ces institutions n’avaient pas sous les
yeux
les écrits de ce grand homme. Je crois bon de rep
rir la cause, comme ont fait Newton et Bacon ; il suffit d’ouvrir les
yeux
pour s’assurer de la réalité du mesmérisme, qui e
tait de la bouche, il était incapable d’articuler aucune syllabe, ses
yeux
semblaient prêts à sortir des orbites et étaient
rison do maux de tête nerveux, de névralgies, d'érésipèles, de maux d’
yeux
, d’oreilles, de poitrine, de poumons, de cœur, de
mpette .et cherchent la gloire, que leur mérite apparaisse à tous les
yeux
, nous marcherons nous-mêrae à leur suite et leur
able. L'un de ces partisans lance des gerbes d’artifice à éblouir les
yeux
, c’est un feu roulant de mous-queterie, on croira
donc des facultés transcendantes ! S’ils voient, sans le secours de l’
œil
, ce que l'œil est incapable de voir, ils ont donc
tés transcendantes ! S’ils voient, sans le secours de l’œil, ce que l'
œil
est incapable de voir, ils ont donc une seconde r
ment lumineux, bien que nous n’ayons pu encore le voir de nos propres
yeux
. — Comment s’opère sa circulation ? — Comme l
ère considérable autour de chaque être en santé, et c’est ainsi qu'un
œil
exercé peut dire avec certitude : Celui-ci est ma
e sa valeur propre, dont le caractère surhumain doit frapper tous les
yeux
. On voit ce qu’un pareil système a de hasardé, de
pelait les miracles de saint Médard ; le mot de miracle était à leurs
yeux
une fin de non recevoir, un motif péremp-toire de
s. Ce qu’il y a d’immortel en nous, c’est ce qui est caché à tous les
yeux
et qui ne se révèle qu’aux amants de la vérité. J
e endormi : l’image des objets extérieurs viendra se peindre dans ses
yeux
comme dans l’état de veille, et néanmoins l’âme n
pouvez pas dire que cet objet vient se peindre dans la rétine de mon
œil
; il ne se manifeste pas à moi par la propriété c
obstacle à l’action des sens, puisque, comme le remarque l’auteur, l’
œil
, dans l’état ordinaire, voit des astres situés à
aison de celles que franchissent les rayons lumineux qui frappent nos
yeux
. Que dans la vue à distance des somnambules, le
ommande en nous ; si, dis-je, on a tous ces faits présents devant les
yeux
, on ne sera guère étonné, je pense, en voyant se
s ce qui paraît si simple, maintenant qu’on a la comparaison sous les
yeux
, demandait un effort d’intelligence que personne
ux qui ne tiennent aucun compte de nos efforts n’ont qu’un tort à nos
yeux
, celui de mal voir. Je n’en ai pas fini avec me
On sait ce qui en advint. Le magné- tisme à son tour fut nié à ses
yeux
par ces peau-ùhmefte, et l’immortelle découverte
ondeur presque surnaturelle; je ne saurais rendre l'expression de ses
yeux
: c’était en même temps de là flamme et de la gla
, comme un Espagnol, « avec un chapeau militaire très-rabattu sur les
yeux
. 11 pa-*' naissait attendre, et, dès que nous pas
et qui fait assez « de bruit, ce me semble. « Kourakin ouvrait des
yeux
étonnés, et m’assura qu’à « ma gauche il ne voyai
vis briller, sous ce « chapeau d’une forme singulière, je l’ai dit, l’
œil
le plus « étincelant que j’aie rencontré ni depui
’œil le plus « étincelant que j’aie rencontré ni depuis ni avaut. Cet
œil
« me regardait, me fascinait; je ne pouvais pas e
des âmes. » a II reprit son chemin en me regardant toujours de cet «
œil
qui semblait se détacher de sa tête ; et, de même
très-facilement « son visage. Je reculai alors malgré moi : c’était l’
œil
d’ai-« gle, c’était le front basané, le sourire s
eu! que de sang! que de sang! « C’est affreux. » « Elle cacha ses
yeux
avec ses mains, comme pour ne pas voir ces objets
ignit. ,, — Pauvre monsieur! dit-elle lentement et les larmes « aux
yeux
, pourquoi me demander ce que vous saurez vous-mnê
ète à, des présages!.....» A peine a-t-on lu ces réflexions que les
yeux
s’arrêtent avec snrpjise sur les lignes que voici
s d’utiles renseignements. Le principal mérite de M. Lafontaine aux
yeux
des mes-mériens, c’est d’avoir su préférer, en th
atridje-Dower, à Dublin , fut guéri de la danse de Saint-Guy sous les
yeux
du Dr Lavv, qui l’a certifié. Le même succès fu
ement du sommeil magnétique ? „ — Je ne dors pas, bien qu’ayant les
yeux
fermes, mais je suis en pleine vie magnétique.
ntail aux petits enfants. — Arrête, téméraire ! ouvre seulement les
yeux
; vois ces arsenaux, ces dépôts d’armes dont une
on que je viens d'indiquer sont trop frappants pour ne pas sauter aux
yeux
. Dans l'hospice, en général, les cas très accentu
u diagnostic plus de pénétration et de rigueur. J'ai placé sous vos
yeux
un schéma {Fig. 1) qui représente, en quelque sor
cette femme aujourd'hui même ; car l'occasion de vous mettre sous les
yeux
une contracture hystérique d'origine traumatique
duira quand nous le désirerons. Vous la voyez avec un coussinet sur l'
œil
droit, à l'état de repos ; il ne se passe rien de
i nous le relevons seulement légèrement, sans découvrir le globe de l'
œil
/ qui est en permanence protégé par les paupières
une contraction des muscles de la face à droite. Si nous découvrons l'
œil
, le spasme se produit plus énergiquement encore,
à la suite d'une contrariété, elle a eu une attaque assez violente, l'
œil
est resté normalement ouvert depuis ; mais les at
orrespondante au côté où se fait le défaut visuel ou le spectre, et l'
œil
du même côté est le siège d'une douleur de tensio
nsensibilité d'un côté du corps et de la face, il se manifeste dans l'
œil
correspondant un trouble de la vue, plus ou moins
montre clairement le phénomène en question. Chez la nommée N..., l'
œil
droit est affecté d'un certain degré de rétréciss
l pour les couleurs qui restent pourtant dans l'ordre normal ; pour l'
œil
gauche, le rétrécissement du champ visuel pour la
réciable à l'ophthalmoscope, des milieux réfringents, ni du fond de l'
œil
; il n'y a même pas de modifications vasculaires,
nvexité abdominale. Dans une troisième phase, il se met à marcher les
yeux
ouverts, poussant un cri de frayeur (il voit sa m
ussie méridionale) ; il a beaucoup travaillé, il est intelligent, a l'
œil
vif, nuús il est petit et très pâle. 11 se plaint
ont affaiblis de ce côté. 11 se plaint de ne pas voir clairement de l'
œil
droit, et l'examen méthodique du champ visuel mon
Cela dure trois à quatre minutes, puis les membres se détendent, les
yeux
se mouillent de larmes, et tout est fini ; pas de
alade. 1. Ch. Féré. — Sur quelques phénomènes observés du calé de l'
œil
chez lei fv/sléro-épileptiques, soit en dehors de
essière ni ecchymose, ni tuméfaction. Si vous voulez bien jeter les
yeux
sur la figure d'anatomie que je vous montre, vous
l s'est présenté à nous pour la première fois. 1° C'est un garçon à l'
œil
vif, intelligent, à la démarche assurée, aux gest
ographe, sans passer de mots. « J'écris, dit-il, comme si j'avais les
yeux
fermés, je ne lis pas ce que j'écris. » De fait,
més, je ne lis pas ce que j'écris. » De fait, il écrit aussi bien les
yeux
fermés. Il vient d'écrire son nom, on lui dit d
vements dans la lecture mentale des signes écrits, on fait fermer les
yeux
aux malades, on arme sa main d'une plume et commu
i aucune modification, dans la moitié gauche du champ visuel des deux
yeux
, il éprouve une grande difficulté à épeler les mo
elle fut suffisamment instruite de ce côté, s'efforça de lire par les
yeux
, en même temps qu'elle s'aidait de la lecture des
était très présent autrefois, il l'évoquait souvent. L'examen de l'
œil
a été complètement négatif. M. X... est atteint d
pas chez lui d'une intensité exceptionnelle. En effet si, lorsque ses
yeux
étant fermés, on communique à sa main les mouveme
t les objets de toute nature, en un mot tout ce qui se reflète dans l'
œil
. « Permettez-moi de vous faire observer que je
mes études : Je lisais ce que je voulais apprendre et en fermant les
yeux
je revoyais clairement les lettres dans leurs plu
vous le disais plus haut, de tout objet qui avait été aperçu par mes
yeux
. « Tout d'un coup cette vision intérieure a abs
ore pour copier est-il obligé de tenir le modèle constamment sous ses
yeux
, de façon à ne le point perdre de vue un seul ins
pertrophique de l'autre. Chez le jeune L..., que vous avez sous les
yeux
(fig. 27), l'impotence fonctionnelle est le fait
is aucune modification de volume des muscles ne saute Kj. il. aux
yeux
. Le seul fait clinique dominant chez lui, par con
à signa- Fig. 28 et 20. — Elles montrent le maximum d'occlusion des
yeux
auquel peut arriver la malade. 1er, cette forme
lisser son front, relever ses sourcils ; elle dort habituellement les
yeux
à demi ouverts, et, à l'état de veille, la contra
ues millimètres de large à travers laquelle on aperçoit le globe de l'
œil
. Ce phénomène a été remarqué dès la plus tendre e
mouvement est tellement caractéristique qu'il saute immédiatement aux
yeux
(fig. 31). Pendant la marche, qui est celle du ps
rophie, ni hyper- Fig. 33. — Elle montré l'occlusion incomplète des
yeux
et l'asymétrie des lèvres, quand le malade veut s
M. Erb, un examen tout à fait spécial des muscles de la bouche et des
yeux
permettrait-il de retrouver quelques-uns des sign
oubles ne sautent Fig. 34. — Elle montre l'occlusion incomplète des
yeux
et un peu l'asymétrie des lèvres ; on voit bien a
ntre nettement la déviation du rachis et celle des épaules. pas aux
yeux
, il faut les rechercher pour les trouver. Nous ob
s pouvez constater ces caractères chez le malade que je mets sous vos
yeux
. Remarquez que la main et les doigts tremblent in
craindrais, en tardant plus, de manquer l'occasion de placer sous vos
yeux
un certain nombre d'exemples qu'on a rarement la
ter sur ces généralités, je vais successivement faire passer sous vos
yeux
trois malades qui présentent à des degrés différe
usses rhylhmées du bras, les mouvements malléaloires. La malade a les
yeux
fermés. Puis à celte période succède une période
pparente qui est propre à la chorée rhylhmée. La crise cesse sous nos
yeux
spontanément. Pendant toute sa durée, la malade n
stant immobiles. De temps à autre, ceux-ci se mettent à trépider; les
yeux
restent clos ou les paupières palpitent. Par inst
s et la partie interne de l'articulation du coude droit. L'examen des
yeux
fait par M. Parinaud donne des résultats caractér
ouve constitué chez lui par une contracture des deux orbiculaires des
yeux
qui peut durer de 3 à 5 minutes, sans perte de co
L'enfant raidit alors ses membres supérieurs et inférieurs, ferme les
yeux
, esquisse l'arc de cercle; puis il se jette à ter
commissures labiales sont tirées en dehors, il mâchonne, ferme les
yeux
, prononce quelques paroles incohérentes et tout p
i. Mais, parfois, à la suite de ces phénomènes, ou même d'emblée, les
yeux
se-ferment, le corps se raidit, se met en arc de
ue leur sœur ils pouvaient, dans les dortoirs communs, avoir sous les
yeux
, et, à différentes reprises, des manifestations d
vraiment remarquable de malades, que je pourrai faire passer sous vos
yeux
et étudier avec vous. J'ai pour but, surtout, de
animaux affreux, ou bien la scène de la cave se déroulait devant ses
yeux
et il voyait des fûts qui roulaient sur lui et me
tion notable de l'ouïe; perte complète de l'odorat et du goût; à. l'
œil
gauche, achromatopsie complète régulièrement cons
oite. Il n'existe, d'ailleurs, aucune trace d'une lésion du fond de l'
œil
, soit à droite soit à gauche. Constamment il se
cal Record. 6 déc. 1S84. Obs. III. — L'homme que vous avez sous les
yeux
est un nommé Gui..., âgé de 27 ans, exerçant la p
expéditions nocturnes, il reçut un coup de couteau qui pénétra dans l'
œil
gauche. Il fut immédiatement porté à l'Hôtel-Dieu
e de M. Panas, qui, peu de temps après, pratiqua l'énucléation de cet
œil
. Au sortir de l'hôpital, G... ne tarda pas à repr
ncement de 1882, il arriva fréquemment qu'au moment où il fermait les
yeux
pour s'endormir, il croyait voir un monstre à fig
e qui s'avançait vers lui. Epouvanté, il poussait un cri, ouvrait les
yeux
et la vision disparaissait^ mais pour reprendre a
très bien caractérisées. Du côté droit — vous n'avez pas oublié que l'
œil
gauche est absent, —le champ visuel est extrêmeme
champ visuel est extrêmement rétréci. Le rouge seul est perçu par cet
œil
et le cercle de cette couleur est réduit presque
'abord augmente et se précipite le tremblement de la main droite, les
yeux
se convulsent en haut, les membres s'étendent, le
procédés de la photographie instantanée. Je fais pas- ser sous vos
yeux
les figures qui ont été ainsi obtenues par .Fig
tre épuisé. Trois nouveaux sujets vont successivement passer sous vos
yeux
; au fur et à mesure les principaux détails des o
d'oreilles, battements dans les tempes. Puis l'attaque commence : les
yeux
se renversent en haut dans leur orbite, les bras
ût et de l'odorat à gauche; rétrécissement du champ visuel limité à l'
œil
droit; points hystérogènes très étendus, sous for
nnaître. Donc, le 10 mars dernier, le garçon que vous avez sous les
yeux
se présentait à nous, atteint d'une monoplégie br
musculaire. Pour se rendre compte de ce fait, il suffit de fermer les
yeux
de P... et de lui enjoindre de chercher son avant
a ordonné de toucher. Il ne sait point dire non plus, quand il a les
yeux
fermés, si l'on meut son poignet, son coude ou so
autres faits cliniques très ntéressanls; mais ils ne frappent pas les
yeux
tout d'abord, et nous n'avons pu les reconnaître
usion du plexus. Je suis assez heureux pour pouvoir placer sous vos
yeux
, à côlé de p..., un malade chez lequel il existe
nfin. Les symptômes en question, je vous l'ai dit, ne sautent pas aux
yeux
tout d'abord ; pour les trouver il faut diriger l
cataracte, astigmatisme par lésion de la cornée, introduction dans l'
œil
de l'ésérine ou de l'atropine, etc. De plus, en d
tenu verticalement à une distance de quelques centimètres de l'un des
yeux
, l'autre élant fermé, il ne distingue alors qu'un
deux images lui apparaîtront bientôt ; à huit ou dix centimètres de l'
œil
elles sont bien séparées l'une de l'autre et très
très nettes. De plus, au moment où le crayon est placé tout près de l'
œil
il paraît démesurément gros, tandis que tenu à un
.-M.-C.) classique, en un mot. Mais cela, justement, le rendra, aux
yeux
du clinicien, particulièrement intéressant ; car
'un jeune homme, nommé Pin..., que je fais de nouveau placer sous vos
yeux
. Aux quelques traits que je vais vous remettre en
le : ce rétrécissement peut être en effet exactement limité à un seul
œil
. Le cas du nommé Gil... en particulier, cité dans
art la série n'est un instant interrompue. Nous avons donc sous les
yeux
deux exemples de monoplégie brachiale hystérique,
nt défaut : La malade, en effet, lorsqu'un écran est placé devant ses
yeux
est dans l'impossibilité absolue de trouver avec
us voulez bien, à l'aide de ces schémas que j'ai fait placer sous vos
yeux
, comparer la disposition qu'affecte le territoire
les deux, ils ne font guère de différence. J'ai fait placer sous vos
yeux
, à litre d'exemple, un 1. En ce qui concerne le
fluence dépressive très accentuée, qu'a, chez Pin..., l'occlusion des
yeux
, sur la force qu'il développe. Le chiffre qu'il o
, sur la force qu'il développe. Le chiffre qu'il obtient, lorsque ses
yeux
sont fermés, est toujours de 8 à 10k inférieur à
s, est toujours de 8 à 10k inférieur à celui qu'il donne lorsque, les
yeux
étant ouverts, il reçoit l'image visuelle du mouv
sont parfaitement saisissables sur le dessin que je place sous vos
yeux
et qui a été fait d'après une photographie (%. 77
rès notablement rétréci, tandis que rien de semblable n'a lieu pour l'
œil
droit. — Ajoutons, et c'est là, vous le savez, un
uérison probable. Messieurs, J'ai fait de nouveau placer sous vos
yeux
le malade que je vous ai présenté dans notre dern
ère, profondément modifiée, lorsqu'il n'aura plus toujours devant les
yeux
le spectre de la misère; l'état de dépression psy
urd'hui ce n'est pas une paralysie llaccide que nous avons sous les
yeux
, mais bien une contracture spasmodique, et c'est
contracture décrits par M. Yolkmann et celui que nous avons sous les
yeux
, il n'y a aucune espèce de rapprochement à établi
dage fût par là devenue nécessaire, nous aurions aujourd'hui sous les
yeux
, non pas une monoplégie avec flaccidité, mais bie
déterminer la contracture musculaire durable que nous avons sous les
yeux
. Ce développement d'une contracture spasmodique
se laisser prendre, peut-être; et cela, précisément, justifiera à vos
yeux
le rapprochement que j'en veux faire. Ce rapproch
st là justement ce qui se voit chez le malade que nous avons sous les
yeux
. Il y a là, vous le comprenez bien, Messieurs,
paraît vivement souffrir. Il dit avoir la nuit des flammes devant les
yeux
, des rêves fatigants, et, en tout temps, des batt
es, mais il oscille et menace de choir quand on lui dit de fermer les
yeux
; impossible, du reste, de faire un pas en avant
ent pas la moindre douleur, pas même la moindre sensation ; quand les
yeux
sont fermés, le malade ignore absolument les atti
ce membre librement, alors même qu'ils ne peuvent avoir recours, les
yeux
étant fermés, à l'influence à la fois directrice
eintes dans toute l'étendue du membre supérieur gauche et lorsque ses
yeux
sont fermés, il ne possède aucune notion des mouv
s de ce membre, non plus que de laposifion que ceux-ci affectent. Les
yeux
étant ouverts, les mouvements volontaires générau
état normal. Ces mouvements persistent, en grande partie, lorsque les
yeux
sont fermés, seulement ils sont plus incertains,
s : ils s'opèrent, en un mot, comme à tâtons. Pin... peut encore, les
yeux
clos, diriger ses doigts avec une certaine précis
momélrique qui, pour la main, accuse par exemple 30 kil., lorsque les
yeux
sont ouverts, tandis qu'elle donne seulement lok.
ne la main droite paralysée, après avoir pris soin de lui boucher les
yeux
, et vous voyez, Messieurs, qu'elle est tout à fai
té à saisir son pied droit avec la main gauche, après l'occlusion des
yeux
. Un phénomène qui présente aussi quelque intérê
es, mais il ne se mord jamais la langue et il n'urine pas sous lui. L'
œil
est vif, intelligent, la langue peut se mouvoir a
éflexes. L'examen laryn-goscopique n'a pas été pratiqué. L'examen des
yeux
, pratiqué par le Dr Parinaud, montre un rétréciss
comme actes de l'organe de la parole; 3° comme impression faite sur l'
œil
parles caractères (écrits ou imprimés); 4° comme
signes du langage écrit, ou centre visuel des mots, CVM, c'est par l'
œil
que les notions spéciales ayant trait au mot écri
iculaires ou cardiaques, chez tel autre sur les organes des sens, l'
oeil
ou l'oreille. On aurait pu s'étonner, dans de t
ement dans le coma. Behr le trouve dans l'état suivant : face pâle,
yeux
fixes, carphologie, fièvre intense, pouls à 115
la face est paralysée du côté gauche. Déviation conjuguée des deux
yeux
à gauche. La langue est aussi un peu déviée du
élioré; la paralysie et l'aphasie persistent, mais la déviation des
yeux
a disparu et la paralysie faciale est très atté
e névralgie orbitaire avec para- lysie transitoire des muscles de l'
oeil
dont voici la description : quand la malade se
orte « d'engour- dissement dans le cerveau et dès qu'elle remue les
yeux
pour regarder dans la chambre, une violente dou
bre. C'est celle-ci qu'il nous a été donné d'observer. L'examen des
yeux
fait le 2 janvier, pendant un accès de moyenne
aralysie incomplète de l'accommodation H m = + 1,25 D dans les deux
yeux
. S=0 Du 0 G ,=o; champ visuel normal. Pas de lé
thalmoscopiques. Les phosphènes sont beau- coup plus intenses sur l'
oeil
malade que sur l'oeil droit. Le nerf sus-orbita
hosphènes sont beau- coup plus intenses sur l'oeil malade que sur l'
oeil
droit. Le nerf sus-orbitaire gauche, n'est pas
ysie AIHI3,.t, XI. 2 t8 : . CLINIQUE NERVEUSE. des'muscles de l'
oeil
; ou verra que, dans les observa- tions qui sui
ix ans, dès l'âge de onze mois, avait déjà eu pendant trois jours l'
oeil
droit de tra- vers ; à l'âge de trois ans penda
e de trois ans pendant neuf ou dix jours, violentes douleurs dans l'
oeil
droit, à la suite desquelles celui-ci se met en
e palpébrale commença à devenir plus petite; et du soir au matin, l'
oeil
fut complètement fermé, en même temps que les d
t plus remarquer aucun trouble dans les mouvements des muscles de l'
oeil
, mais la mydriase subsistait encore; la mère in
e le ptosis disparaissait le deuxième jour, et que les muscles de l'
oeil
redevenaient libres le troisième jour, mais que
ccès particuliers. Ils débutaient par de la douleur au- dessus de l'
oeil
gauche, des nausées, de la saburre, des vomis-
constipation; ces sympômes disparurent au bout de trois jours et l'
oeil
fut paralysé. Huit semaines après le commenceme
ge de cinq ans, pris d'une paralysie du moteur oculaire commun de l'
oeil
droit en même temps que de nausées, de douleurs
d'angoisse nocturne (Angtanfall) ; 3° que le 'champ visuel des deux
yeux
, mais surtout celui de l'oeil droit montre un r
l) ; 3° que le 'champ visuel des deux yeux, mais surtout celui de l'
oeil
droit montre un rétrécissement concentrique tou
avec celle-ci. Au plus fort de la paralysie, le champ visuel de l'
oeil
droit ne mesurait que 3-5°, à gauche 20°; les cer
ommun droit, un ptosis très prononcé, une déviation très forte de l'
oeil
en dehors. Dans les plus grands efforts de visi
'oeil en dehors. Dans les plus grands efforts de vision à gauche, l'
oeil
n'atteignait pas la position moyenne, le mouvem
aignait d'une dou- leur sourde et térébrante dans le voisinage de l'
oeil
, et surtout derrière l'oeil. Cette douleur avai
de et térébrante dans le voisinage de l'oeil, et surtout derrière l'
oeil
. Cette douleur avait d'ailleurs commencé dès le
ctée ; après deux séances de courants continus , les fonctions de l'
oeil
s'étaient amé- liorées. Le quatrième jour, la p
ôpital général de Birmingham pour malaise et douleur au-dessus de l'
oeil
droit et dans la région malaire droite. L'oeil
uleur au-dessus de l'oeil droit et dans la région malaire droite. L'
oeil
droit était fermé; il était indisposé depuis 3
son admission et ne se plaint d'aucune douleur. Il y a ptosis de l'
oeil
droit et parésie du droit interne ; il voit dou
du droit interne ; il voit double et, quand il marche, couvre son
oeil
droit ; pas de sensibilité du cuir chevelu. Léger
res, notamment l'estomac, ne présentent aucun trouble. L'examen des
yeux
fait par Ealès le 6 septembre n'a montré aucune
ntré aucune paralysie des muscles ni aucune altération du fond de l'
oeil
. Saundby considère ce cas malgré les lacunes de
commencement de novembre, on ne remarquait plus rien d'anormal à l'
oeil
gauche sauf un léger ptosis. Le 20 novembre en
i plusieurs fois s'étaient accompagnés d'un peu de strabisme de l'
oeil
gauche, de diplopie et d'un sentiment d'engour-
ions et les projetant autour de lui. Enfin, l'habitus cadavéreux, l'
oeil
atone et devenu insensible, quelques frémisseme
céré- braux, le cervelet, le bulbe, la protubérance n'offrent, à l'
oeil
nu, rien de particulier à noter. La moelle n'a
ais non plus observé l'hémiopie, la paralysie du grand oblique de l'
oeil
, etc. ; signes habituels de lésion ou de compre
ant été égarées) : mais si les lésions n'ont pu être constatées à l'
oeil
nu dans la première observation, nous avons été
FLVATIoN I, si ces lésions n'étaient pas, il est vrai, visibles à l'
oeil
nu, nous gardons la conviction que l'examen his
l'âge de treize ans, il se mit un jour à regarder sa mère avec des
yeux
étranges, il se précipita sur elle et l'embrass
sensoriels sont atteints. Généralement, les champs visuels des deux
yeux
présentent un rétrécissement concentrique aussi
nom, et, le 29 décembre, on constate de la déviation conjuguée des
yeux
à droite : ce phéno- mène est passager. Elle es
paraître le faisceau de la calotte, il faut, après avoir énucléé un
oeil
, pénétrer par le trou optique, ou transpercer e
ème paupière, le muscle rétracteur du globe oculaire peut retirer l'
oeil
assez profondément pour permettre la fermeture
e la plupart des lésions sys- tématisées de la moelle, de fixer les
yeux
sur les cas dans lesquels les altérations sont
es paresthésies et des fourmillements avec ataxie, oscillations les
yeux
fermés, etc. ; tantôt les phéno- mènes tabétiqu
PATHOLOGIE NERVEUSE. breux cas d'ataxie que nous avons eus sous les
yeux
. D'autre part, on a constaté chez ce malade, pe
t très difficile. M. Charcot, consulté alors, lui fait fermer les
yeux
, constate qu'il ne peut pas se tenir, explore les
ment ses membres dans son lit. Allongé dans son lit, il fait, les
yeux
ouverts, tous les mouvements qu'il veut avec se
membres inférieurs et il les exécute avec une certaine énergie. Les
yeux
fermés, il les fait encore, mais avec une incoo
plus rarement qu'autrefois. La marche est absolument impossible les
yeux
fermés. Les yeux ouverts, elle est possible ave
trefois. La marche est absolument impossible les yeux fermés. Les
yeux
ouverts, elle est possible avec un bras et une ca
n très notable de la sensibilité. Pas d'ataxie véritable : même les
yeux
fermés, il porte la main à son nez, sur l'épaul
un tabes : l'incoordination motrice, l'influence de l'occlusion des
yeux
, les douleurs ful- gurantes, les anesthésies, l
domine beaucoup plus nettement : pas d'ataxie véritable ; même les
yeux
fermés, le malade porte la main à l'épaule ou a
trecroisent AHOUVES, t. XI. ! 2 178 PATHOLOGIE NERVEUSE. dans l'
oeil
avant d'impressionner la rétine, il s'ensuit que,
eure ou inférieure, due presque toujours à un défaut intérieur de l'
oeil
et qui intéresse relativement peu le neurologis
ant les deux faisceaux latéraux, l'hémianopsie nasale dans les deux
yeux
. 6. Une lésion comprimant le chiasma dans ses b
rieur ou postérieur produira l'hémianopsie temporale dans les deux
yeux
, en altérant les deux faisceaux croisés. 7. Tou
les intellectuels. Le malade se plaignait de trouble de la vue de l'
oeil
droit. Les pupilles, les muscles et le fond de
e la vue de l'oeil droit. Les pupilles, les muscles et le fond de l'
oeil
étaient normaux. Vision centrale du côté droit =
main droite. Pas de troubles du sens mus- culaire ; le malade, les
yeux
fermés, sent très bien les mouvements passifs q
u côté temporal. Le Dr G. W. Hale, chirurgien de l'hôpital pour les
yeux
et les oreilles, a bien voulu faire l'examen mé
es yeux et les oreilles, a bien voulu faire l'examen méthodique des
yeux
DE L'H$\IlAI;OP51E COR7" CAIE. 183 de H... et
w + nu 6 J'it8" Les pupilles réagissent normalement. Muscles de l'
oeil
: pas d'insuffisance d'aucun côté à 20' ou l'.
de l'oeil : pas d'insuffisance d'aucun côté à 20' ou l'. Fond de l'
oeil
: vaisseaux sanguins de dimensions normales. Le
icale passant par le point de fixation. Pas de lésions du fond de l'
oeil
. Il n'est pas fait mention de l'état des pupill
it beaucoup sur un autre symptôme qu'il qualifiait de « cécité de l'
oeil
gauche ». 11 ne pouvait, disait-il, voir les obje
s objets situés à sa gauche, sans tourner de ce côté sa tête et ses
yeux
. L'examen à l'aide d'un objet brillant par les
al. Le docteur C. R. Agnew fut mandé le lendemain pour examiner les
yeux
du malade et il m'adressa la lettre suivante po
'HÉMIANOPSIE CORTICALE. 203 « Mon cher docteur, «J'ai examiné les
yeux
de M. D... Il a de l'hémiopie gauche, comme vou
pupille gauche, s'étendant à une petite distance dans le fond de l'
oeil
, ce qui est physiologique. Il y a quelques alté
même et la vue resta bonne. Le malade se plaignait toujours que son
oeil
gauche était faible (fait que l'on rencontre so
tôt remplacée par une faiblesse de la vue' permanente dans les deux
yeux
. 4° La destruction unilatérale de l'écorce du g
yrus angularis z cause une abolition temporaire de la vision dans l'
oeil
opposé, sans caractère hémiopique. 5° On peut
du gyrus angularis d'un côté cause une amblyopie temporaire dans l'
oeil
opposé et une hémianopsie des deux yeux du côté
amblyopie temporaire dans l'oeil opposé et une hémianopsie des deux
yeux
du côté opposé à la lésion. 7° Comme dans aucun
nte, l'on peut en conclure que la vision est possible avec les deux
yeux
, s'il reste seulement des deux côtés quelques p
ue et coupe ainsi toute communication entre le centre visuel et les
yeux
. Je fais passer sous vos yeux une pièce sur laq
ication entre le centre visuel et les yeux. Je fais passer sous vos
yeux
une pièce sur laquelle une DE L'HÉMIANOPSIE COR
t chaque capsule interne contient toutes les fibres desti- nées à l'
oeil
opposé. Ce schéma fut fait par Charcot pour expli
- quer et appuyer sa théorie de la production de l'amblyopie d'un
oeil
par lésion du lobe occipital et de la' capsule in
rne du côté opposé. Il pensait avoir observé cette amblyopie d'un
oeil
et non l'hémianopsie , accompagnant l'hémianesthé
emporal 1 gauche. R. N. F., demi-champ visuel nasal droit. - 0. S ,
oeil
gauche. - 0. D., oeil droit. -N. T., moitiés na
. F., demi-champ visuel nasal droit. - 0. S , oeil gauche. - 0. D.,
oeil
droit. -N. T., moitiés nasale et temporale des ré
même passe lui-même à l'état granuleux. On a, en somme, sous les
yeux
la structure générale du protoplasma vivant, iden
est tout étonné lorsqu'à la fin de l'expérience on jette un coup d'
oeil
sur le tracé, et que l'on s'aperçoit que l'espace
t après la mort. Le malade ne pouvait relever la tête ni même les
yeux
. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 249 Un a
ces muscles; il se plaignait aussi de crampes dans les muscles de l'
oeil
gauche et des muscles innervés par le facial ga
l'agitation a reparu tout d'un coup : mouvements de la tête, des
yeux
, des membres, envie de pleurer, etc. On l'a
endant l'été de 4882, sensations impor- lunes à la tête et dans les
yeux
, affaiblissement de la mémoire. Depuis l'agress
hangements de temps et de température, sensations de poids dans les
yeux
, au milieu du front, au-dessus de la racine du
reçut le coup en question (1883), il lui sembla qu'on projetait ses
yeux
en avant, hors de l'orbite, il lui est impossbi
belle, avec irradiation vers la racine du nez, l'angle interne de l'
oeil
gauche ; fréquemment, en outre, douleurs térébr
re, quoique ne récupérant à aucun moment ses propriétés normales...
OEil
gauche plus volumineux, sans modification de la
certains appareils ou de certains systèmes de l'économie, tels : l'
oeil
, les poumons, la charpente musculaire. Les mani
meurant en l'air et n'entrant pas en contact avec le sol; peut, les
yeux
fermés, marcher et se tenir debout, aucun troub
s. L'ataxie apparaît surtout quand, après lui avoir fait fermer les
yeux
, on lui fait exécuter dans une baignoire des SO
aires; il n'est, pour le reste, ataxiqueque quand on lui obture les
yeux
, sa vue rectifiant assez ses mouvements pour qu
assez agile pour rapprocher ses pieds de sa bouche, mais non les
yeux
fermés. Ces trois tabétiques mentionnent que le
somnolence. On y constate du myosis et les mouvements continus des
yeux
propres au sommeil (par absence d'excitation du b
aut d'action psychique proprement dite. Les mouvements soporeux des
yeux
' peuvent se joindre à ces états. Dans l'état d
tre pas cette succession kaléidoscopique de visions variant à vue d'
oeil
en grandeur, en couleur, en éloigne- ment, c'es
e la moelle ainsi que des noyaux du bulbe. Au microscope, comme à l'
oeil
nu, intégrité des centres nerveux : les nerfs p
TAIRE. 343 noyés dans un brouillard. Les membranes extérieures de l'
oeil
, les milieux et la rétine ne présentent aucune
A leur voisinage, la pie-mère parait légèrement hype- rémiée. A l'
oeil
nu, la moelle ne montre aucune altération appré-
avail remarquable sur la localisation des mouve- ments associés des
yeux
. Chacun, comme on le voit, trouve des symptômes
nce corticale; cet arrêt serait produit par l'irritation légère des
yeux
et de la peau de la face; plus tard, en collabo
sible de deviner le mécanisme de l'in- uuence qui se présente à nos
yeux
comme inhibition; seulement, pour moi, ce n'est
rsé en arrière et quelquefois un peu en sautillant. L'occlusion des
yeux
n'a pas grand effet sensible sur l'équilibre; L
t des sphincters et l'influence (quoique légère) de l'occlusion des
yeux
sont des signes de tabes ataxique qui rendent p
de la sensibilité paraplégique, l'impossibilité de mar- cher les
yeux
fermés (la sensibilité étant plus atteinte à ga
mbe ou à monter sur une chaise, etc. L'influence de l'occlusion des
yeux
est expressé- ment indiquée dans six cas (il" 1
ur de tout le corps, elle était allongée sur son lit, immobile, les
yeux
fermés, les mains tournées, la paume en dehors, l
Tout à coup, elle se met à crier ou à chanter, puis elle ferme les
yeux
, et la raideur envahit tout le corps, elle tomb
e a remarqué que dans cette position, elle ouvre démesu- rément les
yeux
, et qu'il suffit de passer la main devant ses yeu
mesu- rément les yeux, et qu'il suffit de passer la main devant ses
yeux
, pour qu'elle tombe sur son lit près duquel on
pie monoculaire droite ou gauche; 5° De la dyschromatopsie des deux
yeux
, surtout de l'oeil droit;. 6° Le rétrécissement
ite ou gauche; 5° De la dyschromatopsie des deux yeux, surtout de l'
oeil
droit;. 6° Le rétrécissement du champ visuel au
efois plus fortes à gauche, soit aux membres, soit à la face et aux
yeux
. Au moins de février 1883, elle prend, étant à
deux régions tem- porales gauche et droite. Déviation conjuguée des
yeux
tantôt à droite, tantôt à gauche. Etat de fureu
on excessive. Pâleur et cyanose de la face. Déviation conjuguée des
yeux
, tantôt à gauche, tantôt à droite. L'examen des
plusieurs taches purpurines à leur surface, parais- sait normal à l'
oeil
nu. Le ramollissement que nous avons noté ne se
substance blanche qui entoure la corne occipitale paraît saine à l'
oeil
nu, sauf à con- firmer notre assertion par l'ex
ies, la corne d'Ammon a été trouvée constamment saine, du moins à l'
oeil
nu, et nous pouvons remarquer en passant, que,
umatisme qui avait déterminé une fracture du crâne et la perte de l'
oeil
droit. Le diagnostic porté à son entrée à l'asile
xemple, s'il s'agit de reconnaître un livre que nous avons sous les
yeux
, nous ajoutons aux sensations brutes de la vue
s audiences d'un des cantons de Lyon, se présente timidement et les
yeux
baissés une demoiselle d'âge un peu mur, d'autr
r la force attractive de ses mains. En marchant, elle parut avoir les
yeux
fermés, mais sa démarche était naturelle. Pendant
s les dents fortement serrées; je vis quelques larmes rouler dans les
yeux
. Le spectacle affreux de cette fille accoutumée a
d’une faible machine à induction, elle retirait les bras, ouvrait les
yeux
en s’écriant : Oli ! non. » Le magnétiseur me fit
i longtemps que vous voudrez, » dit-il. Alors je lui fis bander les
yeux
, et le bras tomba lentement, mais immédiatement.
je n’admets pas de sentiment musculaire excepté dans les muscles de l’
œil
) devient bientôt confus si le membre reste tranqu
ité et à rendre témoignage à la vérité quand elle se présente à leurs
yeux
. « Veuillez agréer, etc. « Antoine REGAZZONI.
ns l'instrument, c’est là la tactique de nos adversaires. C’est à nos
yeux
une faute que d’appeler, pour rendre témoignage à
? Illustres docteurs, vous ne craignez donc pas qu’on jette enfin les
yeux
sur le fond de votre savoir, et que l’on vous dem
que le temps lui a manqué pour examiner chacun des malades ; mais son
œil
d’aigle a tout vu; le reste est l’affaire du phar
es ; alors elle est exaltée, de nouveaux horizons se découvrent à ses
yeux
, elle voit l’avenir. Trois femmes qui ne s’étai
es uns aux autres, doués de la force et de la vigueur de l’âge où les
yeux
sont pleins de fluide, le cœur en ébullition et l
n, moi, j’ai mon bon ange, qui me parle par la bouche et voit par les
yeux
(de l’esprit) d’une bonne dame à qui tu as fait h
occasion d’en citer de nombreux exemples qui se sont passés sous mes
yeux
, ne voulant toujours vous entretenir que de ce qu
ien , elle alla jusqu’à son cabinet, le Docteur, n’en croyant pas ses
yeux
, la fit marcher, tandis que lui-môme tremblait de
grande sagesse en insultant l’homme qui cherchait à débarrasser leurs
yeux
de la cataracte qui les empêchait de voir. Et l
nfirmer sous ce rapport la doctrine de mon frère, en étalant sous nos
yeux
le merveilleux appareil dont se sert la nature po
e plus savant que toute la Faculté. Si ces cas ne prouvent rien aux
yeux
des plus entêtés, peut-être ceux que nous allons
voulant point d’un art qui peut vous nuire, vous êtes coupables à nos
yeux
autant que la mère qui étoufTe son enfant. Je v
ngés dans le prétendu sommeil magnétique, et un bandeau placé sur les
yeux
n’empêchera pas qu’on voie par dessous l’étendue
ait des visions semblables à celles Su’on éprouve quelquefois, les
yeux
fermés, avant de s’en-ormir ; car les nerfs optiq
es, tout est croyable ; mais, dès qu’ils se donnent pourvoir avec les
yeux
bandés, ou avec les doigts, ou avec l’épigastre,
bnle a pu voir que non-seulement les paupières sont fermées, mais les
yeux
convulsés; en sorte que la vision normale, par ce
èrement nouveau, qui n’a pas besoin d’un instrument optique tel que l’
œil
. Parmi les sens le plus communément exalté dans l
acer complètement la vue dans beaucoup d’opérations pour lesquelles l’
œil
est ordinairement requis. Ainsi nous trouvons que
urnissait aucun secours, car nous avons tenu un gros volume entre les
yeux
et la main de l’écrivain. Non-seulement les ligne
patient dans un fauteuil et après lui avoir recommandé de fermer les
yeux
et de faire attention sur soi-même en prononçant
nous nous en amusâmes pendant environ cinq minutes quand, levant les
yeux
, nous pûmes voir, par les physionomies excitées d
dian de la main gauche ; tenez-le à une distance de 8 à 15 pouces des
yeux
, dans une position telle, au dessus du front, qu’
tion telle, au dessus du front, qu’il exerce le plus d’action sur les
yeux
et les paupières, et qu’il mette le patient en ét
é dessus. On fera entendre au patient qu’il doit tenir constammentles
yeux
fixés sur l’objet et l’esprit uniquement attaché
aché à l’idée de cet objet. On observera qu’en vertu du consensus des
yeux
, les pupilles se contracteront d’abord ; bientôt
ain droite, étendus et un peu séparés sont portés de l’objet vers les
yeux
, il est très-probable que les paupières se fermer
ormir lui-même facilement en regardant son doigt placé assez près des
yeux
pour causer une convergence sensible de leurs axe
et fixant le regard sur un point éloigné. En tout cas, la fixité des
yeux
est la circonstance qui a le plus d’importance, q
ême effet peut être produit de nuit ou sur des sujets aveugles si les
yeux
sont tenus dans une situation fixe, spécialement
ession produite par l’opérateur, et quant à l’effet de la fixité de l’
œil
. Les phénomènes ordinaires du somnambulisme mesmé
conclue ici que cette faculté n’existe pas. S’il entend dire que les
yeux
ne jouent aucun rôle dans ce fait, et qu’il n’y a
, il l’avoue lui-même avec cette haute loyauté quil’honore tant à nos
yeux
, après avoir pendant trois ans entiers nié et com
ogiques du magnétisme animal, n’ont jamais été des mira-(' des qu’aux
yeux
des ignorants. Sans en découvrir ou en « explique
ble dans ces apparitions, mais elle avait beaucoup d’expression ; les
yeux
étaient ordinairement levés vers le ciel avec un
une sorte de tic nerveux faisait contracter sa face et clignoter ses
yeux
; il bâillait fréquemment et laissait voir une lan
te. Mais la curiosité l’emportant sur la peur, je risquai aussitôt un
œil
pour épier les démarches de ce singulier visiteur
is citer, et qui fit, pour la première fois, jaillir la lumière à nos
yeux
. Je fus appelé à donner des soins à un homme, s
ée ensuite par de nombreux cas d’épilepsie traités et guéris sous nos
yeux
, entre autres un d’épilepsie soliloque extrêmemen
voudrait bien dormir.... (Depuis deux jours elle n’avait pas fermé l’
œil
.) Sur le mot de dormir, encouragé que j’étais p
« — ¡Mais non, puisque je vous vois ! « — Eh bien , ouvrez donc les
yeux
!.... « — Mais je vous vois assez bien !....»
ous vois assez bien !....» J’essayai de soulever ses paupières, les
yeux
étaient complètement convulsés. Je l’invitai à ne
les, cela réussit parfaitement; et voilà la pauvre mère qui ouvre les
yeux
petit à petit, et qui tout étonnée de me voir dev
à laquelle se rendra une résolution aussi for- melle de fermer les
yeux
et de se clore les oreilles? Nous n’aurions pas m
int de ces passes qui semblent si ridicules à M. Jacques, et qui, les
yeux
grands ouverts et tout en se livrant à la convers
ts phénomènes qui l’accompagnent : hoquet, délire, faciès cadavéreux,
yeux
cernés et enfoncés dans l’orbite, coma, soubresau
omnambulisme, porte en épigraphe : « Ceux qui ne voient qu’avec les
yeux
de la chair sont bien près d'être aveugles », I
i arrivait ordinairement après une émotion ou une frayeur. Alors, les
yeux
convulsés en haut, les avant-bras fortement fléch
moite; enfin, sauf une anesthésie complète (le lu peau et l’état des
yeux
qui sont convulsés vers le haut, ce sommeil parai
, elle présente l’état cataleptique. Sur ma demande, elle ouvre les
yeux
, accuse de la somnolence ; j’exige quelle lienue
e ouvre les yeux, accuse de la somnolence ; j’exige quelle lienue les
yeux
ouverts jusqu’à complète démagnétisation ; après
une chaise comme une masse inerte. Quelques monvements convulsifs des
yeux
, de légères secousses de tout le corps sans perte
e ; le visage se décolore, devient froid, le faciès se décompose, les
yeux
se convulsent, le pouls est presque insensible, à
ratique une large saignée. Dès que le sang coule, la malade ouvre les
yeux
, scs joues se colorent, la chaleur revient à la p
er ? Le fascicule du Magnétophile de M. Alix, que nous avons sous les
yeux
, contient un long article sur les variations magn
découverte; à peine si les hommes ont le temps de respirer, tant les
yeux
sont éblouis et l’esprit captivé. .Mais tout fait
changement? Ne le savez-vous point, messieurs? C’est que ce qui, aux
yeux
des savants, signifiait mensonge, est devenu véri
est vrai qu’un rayon de la sagesse éternelle ait lui un instant à nos
yeux
, ne laissons point perdre ce qu’il nous permit de
te des traînards du passé, obstinés à nier quand même et à fermer les
yeux
pour ne pas voir. « Nourris des traditions du m
bileté. Il existe un ordre de faits mystérieux qui se dévoile à nos
yeux
par le magnétisme humain, la rotation des tables,
je n’ai point d’autre mérite dans ce travail, j’aurai du moins à vos
yeux
celui de la franchise et de la netteté de princip
cidai pour ces dernières. J’avais vu le magnétisme accomplir sous mes
yeux
et sur moi tant de miracles que je résolus de pou
même époque où elle nie traitait moi-même. Elles eurent lieu sous mes
yeux
, et je puis en garantir l’authenticité. D’ailleur
res et aux côtes, une plaie chirurgicale tous guéris. Voici, sous mes
yeux
, des affections invétérées de la poitrine, un cas
masse la masse de faits semblables qu’il a vus s’accomplir sous scs
yeux
; qu’il groupe le nombre des guérisons opérées par
ie, il est vrai, vit, toucha et confessa ; mais, eux, ils ferment les
yeux
, enfoncent leurs mains sous leur manteau et répon
comme possibles, et dont l’énoncé seul aurait dû, à tout jamais, aux
yeux
du simple bon sens, couvrir les magnétiseurs de r
accepte sans peine qu’un individu magnétisé voit sans le secours des
yeux
et contemple, à Paris, ce qui se fait à Pékin ; o
st pas une preuve. Vous avez beau railler, les faits vous crèvent les
yeux
; et, vous le savez, Broussais a dit : Bien n’est
re voulut lui donner à téter, il prit bien le sein, mais il avait les
yeux
tellement fermés, qu’il semblait que les paupière
’est que ce phénomène, qui pour la première fois s’est passé sous les
yeux
d’un prélat catholique, est aujourd’hui très-comm
tre mon opinion à l’égard de cet esprit, je lui dirai que c’est à mes
yeux
-un mauvais esprit qui se plaît à tromper, mais s
vous frappez, par exemple, ceux qui croient qu’on peut voir sans les
yeux
dans le somnambulisme, chose que vous appelez une
ous savons, croyez-nous, tout aussi bien que vous, que c'est avec les
yeux
que nous voyons. Nous croyons même aux causes fin
Nous croyons même aux causes finales; nous croyous fermement que les
yeux
nous ont été donnés pour voir et que nous ne les
uvent de rêver? Ne voyez-vous pas alors une foule de choses, sans les
yeux
? Nous savons bien que vous nous répondrez que le
reproduit des images qui lui ont été apportées antérieurement par les
yeux
; que vous ne voyez dans vos songes que des choses
choses que vous avez déjà vues, au moins une première fois, avec vos
yeux
. Nous le savons comme vous, mais on n’a pas toujo
ement à la vision exercée dans le somnambulisme sans le secours des
yeux
. Sans doute la même explication ne peut pas ici n
uait, reconnaître non-seulement la vision exercée sans le secours des
yeux
, pour laquelle il paraît avoir une si profonde ré
e nous ne poin tus lui accorder, dussions-nous, pour cela, être à ses
yeux
cent fois plus charlatans et plus idéologues. Le
Quand le doute touche la lumière, l’incrédulité détourne ou ferme les
yeux
pour ne pas en être éblouie. Si l’un est la voie
ors que le monde extérieur semble étranger à celui qu’il possède? Les
yeux
sont ouverts, et pourtant ils ne voient pas, l’or
l agit, n’en rendra pas mieux compte ; car, essayez dans la nuit, les
yeux
ouverts, de vous diriger à travers les lieux que
me avant le somnambulisme ? Le magnétisé voit -il sans le secours des
yeux
, par l’occiput, l’épigastre, etc.? /r Se dévelo
sa piété par de coupables manœuvres, voyait bien s’accomplir sous ses
yeux
un fait positif matériel, une image concrète du d
expériences plus ou moins curieuses qui seules ont de l’intérêt à vos
yeux
! L’aveu est, 011 en conviendra, barbarement naïf
s, si, comme ces pécheurs endurcis dont parle le Psal-miste, il a des
yeux
pour ne point voir et des oreilles pour ne point
ls, c’est que l’âme ne peut rien sans eux, elle ne peut voir sans les
yeux
, elle ne peut entendre sans les oreilles, elle ne
un traitement magnétique.) « Tout à coup, je me sens saisie..., mes
yeux
se ferment, j’abandonne le journal en me levant p
our achever le feuilleton; mais, s’apercevant bientôt que j’avais les
yeux
clos et que je passais devant elle sans broncher,
côtés, et vous demandez ; Qui m’a touché? 32. « Et il cherchait des
yeux
autour de lui pour voir qui avait fait cela. 33
ons ou la raideur des membres. — Les passes de haut en bas devant les
yeux
font fasier les paupières et incitent au sommeil.
pas elle seulement, mais l’avenir de son enfant; voyez-la essuyer ses
yeux
, rasséréner son front et trouver un masque de g
santé ?» .Mais les faits usuels, qui sont continuellement sous les
yeux
, sont ceux que lions remarquons le moins. Il semb
le bon saint un Ici qui est chargé plus spécialement, soit des maux d’
yeux
, soit des maux de jambes, etc., et aux chapelles
ans doute que l’action magnétique. Il en résulte que la prière, à nos
yeux
, peut avoir par elle-même une valeur intrinsèque,
mbre de leurs voûtes élevées, leurs pilastres cannelés si élancés à l’
œil
qui dirigent le regard vers le ciel, comme pour p
nt pour faire entrer en extase leurs enfants prophètes. Mais, à nos
yeux
, les églises, comme lieu habituel de réunion et d
t) et sc coucha sur l'enfant. 11 mit sa bouche sur sa lx>uche, scs
yeux
sur ses yeux et ses mains sur ses mains, et il sc
ha sur l'enfant. 11 mit sa bouche sur sa lx>uche, scs yeux sur ses
yeux
et ses mains sur ses mains, et il sc courba sur l
coucha sur l'enfant. Alors l’enfant bâilla sept fols et il ouvrit les
yeux
. f 36. « Elisée app«ela ensuite Giézi et lui di
organisateur. — Point. — Le sujet de chair et d’os qu’il a devant ses
yeux
n’existe pas pour lui. C’est Satan lui-même qu’il
traduisent pas par des faits extérieurs, j’ai prié pour eux. Si à vos
yeux
c’est une aggravation de mon prétendu crime, requ
et astre annonce la fin du jour, en disparaissant à l'occident, leurs
yeux
deviennent hagards; ils se sentent pris de frayeu
tout particulier qui n’est plus ni le repos ni l’état de veille : ses
yeux
sont ouverts; il entend; sa main sent et agit, so
izon s’élevait autour de moi comme une muraille; le ciel formait âmes
yeux
la voûte immense « d’une salle fermée de tous côt
illants qui, « comme des lustres, éclairaient cette salle; puis mes
yeux
.« se fermaient, ma tête se penchait en avant, et
tive qui se trouvent en face de la cornée transparente; suivant que l’
œil
est plus ou moins ouvert, ces objets prennent une
rence différente. Les images ne paraissent souvent pas éloignées de l’
œil
de plus de cinquante centimètres à 1111 mètre; el
ir pour me livrer passage, et je puis vous certifier (pie j’avais les
yeux
parfaitement ouverts. « Une hallucination fréqu
toutefois que l’éclat de ces objets ne puisse pas être soutenu par l'
œil
; c’est pourquoi, dans le ragle, si on se trompe
sens perdent cependant en clairvoyance ce que l’imagination gagne. L’
œil
, quoique ouvert, finit par ne plus voir, et les p
près. J’entends par là une chose, un objet quelconque mis devant les
yeux
. « Pendant une nuit, je voyageais sur une route
avant comme pour écarter un objet, un obstacle ; l’écarquillement des
yeux
; quand il chancèle sur son cheval ; quand il agi
îche peuvent mettre fin à un accès ; ou bien encore il faut fixer les
yeux
sur les étoiles. Le café est employé avec beaucou
augmenter encore l’intérêt manifeste du fait que nous avons sous les
yeux
. C’est que, contrairement à l’axiome chirurgical
tint le sommeil en neuf minutes, en tenant les mains et en fixant les
yeux
de M’’,c Flowerday. Au bout de quelque temps, ses
Flowerday. Au bout de quelque temps, ses paupières tremblèrent et ses
yeux
se tournèrent en haut. Neuf minutes après, ceux-c
endormie, monsieur, et la dernière chose que j’ai h vue, ce sont vos
yeux
. » « On proposa de la porter au lit, mais elle
e catalepsie, dont les phases principales se sont, déroulées sous ses
yeux
. Voici cette observation, d’après le procès-ver
époque, et pendant trois mois de durée, je vois se dérouler sous mes
yeux
le tableau des accidents qui caractérisent la mal
toutes les parties du corps, durcissement du système musculaire ; les
yeux
sont immobiles et les paupières, largement ouvert
ore analyser les rayons magiques de sa belle lumière, que nos faibles
yeux
ne sontpas encore accoutumés à son éclat, nous le
nt sur la réalité objective des phénomènes constatés. Il a vu, de ses
yeux
vu les rotations et les soulèvements sans contact
donnements. M. Mayhew le magné- tisa à grandes passes en fixant ses
yeux
sur lui. En moins de trois semaines, le malade ép
présenté à un individu quelconque qui devait y attacher fixement les
yeux
, des efiels exactement semblables à ceux produits
e magnétisme du geste, et du regard qui va fouiller jusque dans leurs
yeux
, et il y a enfin ce magnétisme puissant de la con
Je puis affirmer, dit Rust, qu’il a guéri des vertiges, des « maux d’
yeux
et des maux d’oreilles très-graves ; des épice le
ses conseils salutaires. En cette circonstance, Luisa l’écoute. Les
yeux
, les lèvres, les doigts de mademoiselle 0*** se m
t des temps, arène immense.dans laquelle ils se cachent cependant 1 L’
œil
est obscurci ; le cœur porte aussi son armure ; l
distance et mieux éviter ses fautes, vous existez du présent, et vos
yeux
regardent l’avenir. Aux doux loisirs de cette s
n d’eux pour savoir si la lumière existe, il nous suffit d’ouvrir les
yeux
. Vous donc, qui cherchez comme nous la vérité,
emblait se complaire davantage au triste spectacle qu’offraient â ses
yeux
ébahis les douleurs sans cesse renaissantes d’une
ffectueusement. Néanmoins voilà ce que je remarquai : faciès fatigué,
yeux
cernés, indolents, pâleur du visage, lenteur des
ou sans délire, se ressemblaient presque. Au moment de la crise, les
yeux
se convulsaient ensemble et à la fois vers la rac
mposait les mains sur la douleur, et la douleur fuyait; il touchait l’
œil
, et l’œil qui avait cessé de voir voyait aussitôt
s mains sur la douleur, et la douleur fuyait; il touchait l’œil, et l’
œil
qui avait cessé de voir voyait aussitôt, les para
hasseur, le fusil à la main, immobile et comme frappé de stupeur, les
yeux
fixés sur un buisson à environ vingt verges (1) d
s il ne put répondre. On le secoua poulie tirer de cet état, mais ses
yeux
continuaient toujours d’être fixes. C’est alors q
observa dans la direction de ses regards la tête d’un tigre dont les
yeux
étincelants étaient attachés à la proie qu’il con
vision oculaire était parfaitement obstruée. On plaça d’abord sur les
yeux
un tampon de coton, puis ses gants furent roulés
ait aussi impossible à tout mortel devoir ce qu’il y avait devant ses
yeux
, que de voir à travers un mur de pierre. « Le s
ous savons que Phébé Jackson peut voir clair ayant un bandeau sur les
yeux
sans que personne la magnétise; qu’elle montre, a
perçues, par exemple, une jolie figure de femme qui se change à vue d’
œil
en vieille figure grimaçante, qui desinit in pisc
ur soulever le voile épais qui jusqu’ici en a dérobé les arcanes ii l’
œil
du vulgaire; il a lu, commenté, expliqué les œuvr
exacte avec les choses inappréciables à nos sens et invisibles à nos
yeux
. » Si c’est là tout le dogme, on ne conçoit pas
près elle reprend : « G... (son mari) est cocu », et les larmes aux
yeux
elle s'écrie : En voilà une torture ! Être obli
x avant-bras. f f - . 1 Bientôt après ces derniers accidents, son
oeil
droit fut atteint et la chute de la paupière su
a chute de la paupière supérieure a disparu et le malade a les deux
yeux
ouverts. Il succombe le 1er février à des phéno
Enfin, ces phénomènes 'paralytiques s'étendent ''à la face, et à l'
oeil
.. Le malade se trouve de la sorte, au moment' o
ant à la hauteur de ces lésions; la participation de la face et des
yeux
indique qu'elles sont assez élevées et quejes'
es paralysies des mouve- ments des bras ou même des mouvements de l'
oeil
paraissent être dus à des troubles psychologiqu
urs, de vous résumer brièvement les principales opérations qui, aux
yeux
des psy- chologues, semblent constituer un souv
dement obtenu après les premières hypnotisations, mais il est à mes
yeux
la caractéristique de l'état somnambulique plus
t atteinte d'une dyschromatopsie com- plète et ne percevait ni d'un
oeil
ni de l'autre aucune couleur. Il m'était alors
il l'a constaté sur une femme qui n'était acliromatopsique que d'un
oeil
, ce qui rend l'in- terprétation psychologique p
mnambulisme différentes. Dans la première, elle reste immobile, les
yeux
fermés comme endormie, elle ne répond pas et ne
pond pas et ne parait pas entendre. Dans la seconde, elle ouvre les
yeux
, remue et parle d'une manière naturelle, mais s
l'un de ces états provoqués, vous voyez qu'elle reste étendue, les
yeux
fermés, mais qu'elle peut parler, si on insiste
ciproque. - - Pendant qu'elle est endormie, forçons-la à ouvrir les
yeux
, il arrive alors une chose qui est loin d'être
d le souvenir de ce qu'elle vient de me dire quand elle avait les
yeux
fermés. Mais par contre, elle a acquis des souven
l'attaque elle se souvient de ses som- nambulismes artificiels les
yeux
ouverts. Voici encore deux états réciproques.
le, rétrécissement considérable du champ visuel, achromatopsie de l'
oeil
gauche et surdité de l'oreille gauche. Vous sav
la tête). Il y a cinq ans, paralysie transi- toire des muscles des
yeux
. Les accidents du côté de la parole datant d'un
raie très accusée, paralysie de tous les musses extrinsèques des
yeux
(globe de l'oeil en équilibre). Conservation de l
sée, paralysie de tous les musses extrinsèques des yeux (globe de l'
oeil
en équilibre). Conservation de la résection pu-
on pu- pillaire, sens de la vue normal, avec ii)té-riLédufi)nd d3 l'
oeil
. Gra- duellement,, sensation d'engourdissement
nt du champ visuel, occupant brusquement le méridien principal d'un
oeil
(endartérite rétinienne) et finissant par envah
ge- reuse en discutant sur un cas aussi délicat sans avoir sous les
yeux
et l'inculpé et tous les éléments du procès. N'
ionner les sections et leurs pensionnaires, ou qu'on les ait sous l'
oeil
. Il y a donc une adaptation architecturale à trou
r époux. Peu à peu certains mots ou certains noms acquièrent il ses
yeux
une influence néfaste soit pour elle-même, soit
à la barrière du Tiône, en voilure, j'ai eu le malheur de jeter les
yeux
sur une baraque surmontée de l'enseigne « les c
4 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Pour le prouver, il suffit de jeter les
yeux
sur le relevé des accès de ces épileptiques : v
animal une fois libre est agité de frissons, le poil est hérissé, l'
oeil
terne, il ne cherche pas à fuir. Pas de convulsio
. Légère congestion pulmonaire et rénale, rien dans l'encéphale à l'
oeil
nu. Voici dans quelles conditions l'urine a été
lsifs intenses. Convulsions toniques de la face et des muscles des.
yeux
à la suite des convul- sions toniques. Mort. Pa
yopies et amauroses (troubles de la vision sans lésion du fond de l'
oeil
) peuvent se diviser en persistantes et transitoir
ant une sensation de malaise, il voit apparaître devant l'un de ses
yeux
, et quelquefois devant les deux, un brouillard
ement presque toute l'étendue du champ visuel, de façon à rendre un
oeil
, ou les deux à la fois, presque aveugles. Alors
ine. Quelquefois pendant l'accès le malade a la sensation que son
oeil
est poussé au dehors, ou au contraire violemment
, c'est-à-dire à demi transparent. Il peut se présenter sur un seul
oeil
, mais presque toujours il' saisit les deux à la
ry dit, à propos de son observation personnelle, qu'en couvrant les
yeux
de ses mains, le scintillement lui était encore
t la ligne médiane pour envahir tout le champ visuel, ren- dant les
yeux
tout à fait aveugles. Une autre fois Dianoux eut
ne autre fois Dianoux eut le scotôme limité presque entièrement à l'
oeil
droit, z, peine accompagné d'un léger obscurcis
pie qui succède au scotôme scintillant atteint, en général les deux
yeux
, est homolatérale et n'empiète pas sur le point
de la vision binoculaire, semblent assez souvent prédominer dans un
oeil
; et parfois, dans ce même oeil, le malade accus
t assez souvent prédominer dans un oeil; et parfois, dans ce même
oeil
, le malade accuse une sensation de tension (Finck
ntôt de haut en bas, tantôt de bas en haut, affectant dans les deux
yeux
, la forme d'une hémiopie supé- rieure ou inféri
ement commence dans le côté tem- poral, simultanément dans les deux
yeux
, pour aboutir à l'obscur- cissement complet du
souffrante. Pesanteur dans la tête et les 212 CLINIQUE nerveuse.
yeux
, surtout lorsqu'une crise l'a prise dans la matin
resque continue, mais surtout pendant et après les crises. Etat des
yeux
. Un peu de rétrécissement du champ visuel (à 70
uel (à 70° du côté temporal, 45° du côté nasal égal dans les deux
yeux
).Emmétropie dans les deux yeux, V = iô. La diminu
45° du côté nasal égal dans les deux yeux).Emmétropie dans les deux
yeux
, V = iô. La diminution de - l'acuité visuelle n
e semblait voir une ombre plus ou moins opaque interposée entre mes
yeux
et l'objet, de telle façon que je le voyais ind
st que le scintillement paraissait toujours avoir lieu dans un seul
oeil
, tandis que le scotôme central persistait égaleme
t également dans les deux côtés, en regardant un objet avec un seul
oeil
ou avec les deux ensemble. . L'autre observat
graineux et l'amblyopie transitoire. Cette zone peut siéger dans l'
oeil
lui-même; alors, la douleur débutera, par exemple
ansitoire est notée : mais dans trois de ces quatre observations, l'
oeil
, examiné après l'attaque ne présentait plus- qu
e du champ visuel, et dans un quatrième cas (Babinski- Parinaud), l'
oeil
étant examiné au moment même où le malade ne vo
subitement, comme un rideau, dit le malade, qui tombe devant ses
yeux
et les rend complètement et immédiatement aveugle
parfaitement aveugle, mais quelques minutes après il se frotte les
yeux
et la vue revient. A ce moment l'ophtalmoscope
t. A ce moment l'ophtalmoscope ne montre rien d'anormal au fond des
yeux
, si ce n'est une légère teinte rose des papille
miopie transitoire gauche, par le scintillement caractéristique à l'
oeil
gauche, suivi de nausées sans vomissements. A l
te, il s'ensuit parfois la perte de connaissance, la convulsion des
yeux
, la généralisation des mouvements convulsifs, l
seulement avoir un léger brouillard, presque en auréole, devant son
oeil
gauche. Pendant plus d'un an, le malade revint
moins fortes. Accuse toujours faiblesse et trouble de la vue dans l'
oeil
gauche. ' ' i Observation Il. Scotôme scint
la vision de flammes fugitives ou de cercles de feu devant les deux
yeux
. Observation V. Migraine ophtalmique et épileps
écèdent de quelques jours les règles. La malade dit, que devant son
oeil
gauche se place comme l'ombre d'une tête (scotô
er abus de boissons. Emmétropie et acuité visuelle normale aux deux
yeux
. Depuis environ trois ans, accès d'engour- diss
e, placé un peu en bas et à droite de l'objet qu'il fixait avec son
oeil
droit. Jamais de véritables migraines, mais trè
il dit que la partie inférieure et droite du champ visuel des deux
yeux
(même 228 clinique NERVEUSE en les fermant l'
centres spéciaux pour les mouve- ments du tronc, de la tête et des
yeux
, des membres'supérieurs et inférieurs, de chacu
mêmes choses lors- qu'elles sont écrites ou représentées sous leurs
yeux
. Ces symptômes et bien d'autres phénomènes simi
rgie, les dangers de la trépanation n'apparurent pas aussi gros aux
yeux
des chirur- giens qu'à l'époque moderne, surtou
s, ce n'est pas certainement dans le but de faire paraître sous vos
yeux
un tableau d'un optimisme tranquilisant. Bien a
le contact est ainsi parfait. L'appareil étant placé entre les deux
yeux
et muni d'une lentille, les objets éclairants o
u traumatisme, il récupère la moti- lité. Mais, si on lui bande les
yeux
, il demeure immobile, étend les jambes et s'all
lles sont noir bleuâtre par transparence, rouge brun métallique à l'
oeil
nu. On les immerge un temps va- riable, suivant
XXV. SUR UN cas DE paralysie PROGRESSIVE CHRONIQUE DES MUSCLES DES
YEUX
, associé A UNE amblyopie toxique ; par BOEDEKER.
ychiat., XXIII, 2.) D'abord les accidents sus-désignés du côté de l'
oeil
, puis accidents du tabes et de la paralysie gén
on par intervalles atteinte presque simultanée, symétrique des deux
yeux
, scotôme pour le rouge et le vert dans le champ
surtout à l'occasion des mouvements intentionnels, douleur dans les
yeux
, céphalalgies, vertiges, ralentissement de la p
s sus-désignées sont vues doubles quand on place un prisme devant l'
oeil
, Fond de l'oeil tout à fait normal. Réaction pa
sont vues doubles quand on place un prisme devant l'oeil, Fond de l'
oeil
tout à fait normal. Réaction parfaite des pupil
Intégrité de la molilité et des réflexes. Titube, mais marche les
yeux
fermés. Dysaconsie à droite seulement depuis l'âg
corps tout entier, de l'âme, de Dieu (la malade dit qu'elle n'a ni
yeux
, ni têle, ni cheveux, ni langue, ni coeur, ni a
s prêtres qui la possè- dent, parlant par sa bouche, voyant par ses
yeux
. Elle ne cesse de se plaindre, de réclamer vive
gaines vasculaires très dilatées et il semble que l'on ait sous les
yeux
le résultat de réplétions fréquentes prolougées
t la mienne et je l'ai regardée fixement sans pouvoir détourner les
yeux
. J'ai voulu la lâcher, il a fallu que je détour-
aucluse, projetée à Villejuif. M. BOUR1VEVILLE fait passer sous les
yeux
des membres du Con- grès les plans de ces diver
S/8). 334 THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE. Le résultat de l'examen des
yeux
, qui fut fait par mon ami, le Dr Hensell, est l
pupilles répondaient à la lumière et'étaient en rapport, celle d'un
oeil
ré- pondant en contraction et en dilatation à l
'exposition alternative à la lumière et à l'obscurité. Le fond de l'
oeil
, les nerfs optiques sont de bonne couleur. Le l
fant ordi- naire de deux mois, et terminé en pointe. Par moment les
yeux
étaient animés de mouvements convulsifs, les pu
rugine, larges d'un quart de pouce, s'étendant juste au-dessus des
yeux
jusqu'à la protubérance occipitale, laissant un p
était très marqué. L'enfant remar- quait ce qui l'entourait, et ses
yeux
suivaient le déplacement des objets. Il saisiss
ant présente l'intelligence d'une enfant de six mois. Elle suit des
yeux
les personnes et les choses qui s'agi- tent dev
ndant la nuit le choléra. z Je l'ai vu, ajoutait-il, de mes propres
yeux
vu ! » « Voici ce qu'on raconte à ce sujet. Le
tion à toutes ses idées obsédantes; dans sa famille, on fermait les
yeux
sur ce qu'on appelait ses petites manies, et el
tie étourdie, resserrée, oppres- sée et a été obligée de fermer les
yeux
et de se blottir dans un coin. ' ' ' Cette ob
ons. Les réactions pupillaires sont normales. Pas de nistagmus. -
OEil
droits Légère discromatopsie. La malade distingue
t polyopie nonoculaire. Pas de diplopie. Acuité visuelle normale.
OEil
gauche. - Complètement normal. -111me Gi... éprou
actéristiques, la rigidité pupillaire, les altérations du fond de l'
oeil
, les vertiges, la céphalée matutinée, etc. e. -
es étaient très fréquentes; dans une de celles-ci, elle reçut sur l'
oeil
droit un très fort coup de poing; il s'en suivi
esthésie complète des conjonctives des deux côtés. (Fig. 3 et 4.)
OEIL
gauche. Il y a poliopie, macropsie et micropsie ;
; rétrécissement du champ visuel à 60°. Pas de lésion du fond de l'
oeil
. OEIL Droit. - Rétrécissement du champ visuel à
cissement du champ visuel à 60°. Pas de lésion du fond de l'oeil.
OEIL
Droit. - Rétrécissement du champ visuel à 65°. Lé
p visuel à 65°. Légère dis- cromatopsie. Pas de lésion du fond de l'
oeil
. Motilité. Cha... résiste très bien aux mouveme
rare dans l'hystérie et la parfaite fonctionnalité des muscles de l'
oeil
, l'absence de phénomènes d'une autre maladie qu
encé par la jambe et qui respectèrent les muscles de la face et des
yeux
. Après quelques minutes la crise prit fin, enla
dix-sept. Il a le crâne très développé, le cou long et maigre, les
yeux
vifs et intelligents. Dans l'ensemble, il ne donn
ste qui existe entre les deux côtés est frappant : tandis qn'avec l'
oeil
droit il reconnaît rapidement les plus légères gr
motilité, ni de la sensibilité. L'hystérie, dans ces cas, saute aux
yeux
, comme dit M. Char- cot. Ils démontrent non seu
e petite taille, avec de rares cheveux rougeâtres sur le crâne, des
yeux
grisâtres et une physionomie un peu hébétée. Il
laires. Pas d'altération dans les muscles externes et internes de l'
oeil
. Pas d'altération au fond de lui). Motilité.
Galezowski l'aurait confirmé), le spasme des vaisseaux du fond de l'
oeil
pendant l'accès de scotôme scintillant. A part la
Parinaud, etc...), n'ont rien remarqué d'anormal dans le fond'de l'
oeil
pendant l'amblyopie transitoire,. Donc, même en
tine par la conslriclion des vaisseaux dans une partie du fond de l'
oeil
(Brewster et Quaglino), la névrose partielle (vas
l n'a pu constater aucune différence appréciable entre le fond de l'
oeil
des deux côtés. " . 426 . CLINIQUE NERVEUSE.
ies commencent dans des points symétriques du champ visuel des deux
yeux
: .' donc, cette forme d'amblyopie transitoire
que le sco- tôme scintillant apparaît le plus souvent dans les deux
yeux
et du même côté du champ visuel (hallucination
aboli- tion du réflexe pupillaire et de troubles de la motilité des
yeux
. Il doit donc s'agir, dans l'amblyopie transito
res il s'aperçut que dans la moitié droite du champ visuel des deux
yeux
il voyait un nuage épais, qui l'empêchait de voir
optique, nous admettons que les deux faisceaux appartenant à chaque
oeil
, dont se compose la bandelette, se séparent en
. 435 amaurose complète, pendant dix à quinze mois, dans les deux
yeux
). Dans d'autres crises, l'obscurcissement commenç
rcissement commençait du côté temporal, simultanément dans les deux
yeux
. Souvent, les deux points de fixations étaient
est-à-dire que les personnes voient du vert ou du bleu devant leurs
yeux
, et même du scin- tillement et de l'obscurcisse
els que l'artère temporale, la carotide, les vaisseaux du fond de l'
oeil
. L'observation de Hilbert est pour cela bien dé
e (point de fixation res- pecté et Y = I) du champ visuel de chaque
oeil
. D'autres exemples encore fournissent les obser
nt plus fortes du côté où l'hémiopie va se déclarer, ou bien dans l'
oeil
du même côté où les phénomènes d'épilepsie par-
le scintillement le long du bord supérieur du scotôme dans un seul
oeil
devait tenir à l'irri- tation de l'écorce visue
brale, et les rapports complexes 'que chaque hémisphère a avec l'
oeil
du même côté, l'autre oeil et les deux à la fois.
omplexes 'que chaque hémisphère a avec l'oeil du même côté, l'autre
oeil
et les deux à la fois. RÉSUMÉ 10 Puisque dans
is. Réaction pupillaire bien faible à la lumière. Rien au fond de l'
oeil
. ' 'Observations de Hosch, Wernicke, Forster, e
riphérique est plus souvent intéressée que la centrale, et lés deux
yeux
à la fois plus souvent qu'un seul oeil; de sorte
que la centrale, et lés deux yeux à la fois plus souvent qu'un seul
oeil
; de sorte que la forme la plus fréquente de l'a
issent des névralgies oculaires, ou une sensation de tension dans l'
oeil
, qui pourraient faire songer à une attaque de g
a vision centrale ou pour la périphérique, pour la vision d'un seul
oeil
ou pour la vision binoculaire. D'autres cas (hémi
d'autres affections, telles que les maladies des membranes de z l'
oeil
, glaucome, etc., est trop grossier pour qu'il soi
arder au malade le repos en décubitus horizontal avec occlusion des
yeux
. 446 CLINIQUE NERVEUSE. Souvent le bromure de
. Parry. Collections rrom the writings, 1825. 3. Pelletan. - Coup d'
oeil
sur la migraine. (Paris, 1830.) 4. Piorry. Mémo
migraine ophtalmique dans le supplément au traité des maladies des
yeux
de Mackenzie, 1876. 15. Listing et Ruette. Obse
La migraine. (Paris, 1887.) 38. Galezowski. Traité des maladies des
yeux
. (Paris, 1888, p. 562.) 39. Charcot. - Leçons
as pour moi un sens aussi vaste et aussi indéfini. Il désigne à mes
yeux
un phénomène très réel, très important, mais un
r l'apparence de réalité, d'objectivité enfin qu'elles prennent aux
yeux
du sujet. On constate très souvent des phénomèn
s les soirs, une crise d'hystérie formidable et passe une heure tes
yeux
fixés sur les rideaux, en posture de terreur. T
idée ne se déve- loppera pas en vous parce que vous avez devant les
yeux
, en regardant cette estrade, un spectacle tout
ns, mon ami, pensez à guérir, pensez que vous êtes guéri, tenez les
yeux
fermés, faites semblant de dormir, etc. » Le ma
re. » J'ai toujours, me disait-elle, comme un brouillard devant les
yeux
, je ne reconnais pas bien les choses... Je ne c
é changés. Les réflexes restent tout à fait normaux aux genoux, aux
yeux
, à la bouche; elle tousse, cligne des yeux, etc
normaux aux genoux, aux yeux, à la bouche; elle tousse, cligne des
yeux
, etc. Les mouvements qui, par l'exercice, sont de
très diminuée à gauche. De même pour l'odorat. Cécité complète de l'
oeil
gauche qui ne peut distinguer la lumière du jou
a nuit. Pas de nystagmus. Aucun trouble apparent des membranes de l'
oeil
. Rétrécissement du champ visuel droit : 474 R
13 aviil. Nouvelle séance d'hypnotisme. On lui suggère de voir de l'
oeil
gauche complètement amaurotique et on tente de [r
SYNDROME HYSTÉRIQUE DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES. 475 L'occlusion des
yeux
ne parait pas augmenter sensiblement les secous
es, mais le malade perd immédiatement l'équilibre.' Le lendemain, l'
oeil
gauche a retrouvé entièrement ses fonc- tions,
1891, Archives de Neurologie. SOCIÉTÉS SAVANTES. 491 trophie de l'
oeil
qui mettent en évidence lasemi-décussation incon-
in et des doigts. Immo- bihté absolue des pupilles. Les muscles des
yeux
ne sont pas para- ' Voy. Archives de Neurologie
M. POEDEKER décrit un cas de pamlysie p1'ogl'essive des muscles des
yeux
chez un paralytique tabétique avec autopsie. L'af
uge et le vert. Peu de temps avant la mort, les autres muscles de l'
oeil
furent aussi atteints de parésie (l'élévateur d
très larges, égales, réagissant promptemont à la lumière, fond de l'
oeil
normal. Dévia- tion en dedans des deux yeux, su
à la lumière, fond de l'oeil normal. Dévia- tion en dedans des deux
yeux
, surtout de l'oeil gauche; difficulté à les ame
de l'oeil normal. Dévia- tion en dedans des deux yeux, surtout de l'
oeil
gauche; difficulté à les amener en dehors. Pers
3; - toxique avec paralysie progressive chronique des muscles des
yeux
, par Boe- deker, 276.. Amnésie hystérique, pa
T DES (COLLABORATEURS. 3° par Darkschevitch et Ri- bytkow, 263.
Yeux
, paralysie progressive des muscles des-chez un
t elle voyait Dieu irrité, et, se précipitant à genoux, elle lève les
yeux
au ciel et promet de ne plus parler sans avoir bi
omnambulisme, en lui appliquant le doigt sur le front, entre les deux
yeux
; nous pouvons dire; que le succès fut complet, ca
ndre lorsque nous connaissons la rigueur des anciens à soustraire aux
yeux
du vulgaire tous les secrets de leur doctrine méd
de frictions modérées sur tous les membres, et palpait légèrement les
yeux
. (1) Description de la Cbine. (2) Voyage au M
tion : c’est quelquefois un mystère impénétrable et dérobé à tous les
yeux
. Le sage cache sa vie, l’orgueilleux la dissimu
e la maison paternelle, quelquefois avec de grosses larmes dans les
yeux
; «“lies ne nie venaient point de la souffrance, j
s de ma bonne mère me revenaient parfois, et voilaient de nouveau mes
yeux
; j’essuyais ces pleurs, c’était tout. Rebuté, ch
maîtres. Mais, sceptique pour tout ce que je n’avais point vu de mes
yeux
et touché de mes mains, j’acquis enfin un petit n
issance réelle, je cherchais les occasions de la démontrer à tous les
yeux
, de la faire briller dans toute son évidente réal
humaines celle qu’ils croient incu-« rable; tu la guériras sous leurs
yeux
, par la seule « imposition de tes mains, afin de
les autres agents de la nature, ses vertus cachées encore à tous les
yeux
, la source d’où découle enfin cet agent merveille
dehors de lui-même, il se crée un monde dans l’espace; il récuse ses
yeux
de chair, il prétend mieux voir avec les yeux de
l’espace; il récuse ses yeux de chair, il prétend mieux voir avec les
yeux
de son esprit. Suivons d'abord une marche diffé
que j’ai su découvrir quelque chose de ce qui élait caché à bien des
yeux
. Je m’attends bien que beaucoup diront : Mais j
de la barrière d’une prairie qui bordait la roule, un taureau dont l’
œil
en feu, les naseaux ouverts et les longs mugissem
influences de l’action magnétique. Trois ou quatre minutes après, les
yeux
du taureau se fermèrent insensiblement, el l’anim
rce, et hors d’état d’aller jusqu’au lendemain.' Alsie, mourante, les
yeux
ternes et humides, les naseaux secs, la bouche et
nte du fluide, et , le lendemain, le vétérinaire n’en peut croire ses
yeux
en la retrouvant vivante. Cependant une nouvelle
monta et se coucha sur l’enfant, et mit sa bouche sur la sienne, ses
yeux
sur ses yeux, et ses poumons sur ses poumons, et
coucha sur l’enfant, et mit sa bouche sur la sienne, ses yeux sur ses
yeux
, et ses poumons sur ses poumons, et se pencha sur
encore sur lui ; enfin l’enfant éternua par sept fois, et ouvrit les
yeux
. » Les ouvrages profanes font mention de guéris
en dépit des droits de la raison, ne laisse pas de compromettre, aux
yeux
des classes intelligentes, une découverte aussi i
ibylle moderne, quand des plaintes furent adressées au parquet. « L’
œil
vigilant de la polir,e était déjà ouvert sur leur
èses du fluide, de l’atmosphère nerveuse, très-propres à cacher à nos
yeux
notre ignorance, se sont vus dans l’impossibilité
mbules les plus en renom, a trouvé deux .somnambules qui voyaient les
yeux
fermés ; deux autres qui pouvaient prévoir des ac
ut ce qui a été découvert depuis dans celte voie n’existe point à ses
yeux
: c’est là qu’est son erreur. Le magnétisme est u
es; seulement, lorsque M. Iluguet venait la visiter, elle roulait des
yeux
pleins de tendresse et semblait lui dire : « Vous
onde, puis ses chagrins, puis encore ses malheurs. J’étalais sous les
yeux
d’un public attentif les pièces de ce grand procè
foule, je sentais dans mon être quelque chose d’indéfinissable ; mes
yeux
embrassant l’é- tendue, recevaient à angle aigu
au composé; mais quand il fallut parler de la vue sans le secours des
yeux
, de la prévision, de l’instinct des remèdes, de l
La science! mais elle est cachée en moi, puisque je réalise sous vos
yeux
les prodiges de l’antiquité, et que mes doigts se
e donne à l’homme la double vue; il pressent, ou plutôt voit ce que l’
œil
ne peut apercevoir. Est-ce sa raison qui parle et
, dans la nuit, nous voyons notre chambre éclairée par la foudre, nos
yeux
aperçoivent un instant ce que l’obscurilé empêcha
nter le plus dégoûtant spectacle. Hâtons-nous donc d’en détourner les
yeux
. « Si maintenant 011 nous demande s’il est vrai
.) etienne vermot. Il a recours à la femme Desaillous pour un mal d’
yeux
dont il était affecté ; la femme Desaillous lui a
disposé à croire, elles seules résistent et s’obsli-nent à fermer les
yeux
. Et pourtant les faits s’accumulent, le magnétism
irement que je n’étais encore qu’un apprenti. Suivant pourtant d’un
œil
attentif les travaux précieux des membres illustr
iseau qui grandit, et qui. apercevant l’espace, le mesure d’abord des
yeux
, puis, ses ailes poussées, s’y élance enfin. Le g
u la traduire par des signes, en indiquer le sens par des images, les
yeux
voyaient sans voir, les oreilles entendaient sans
s! nous les révélerons dans cet écrit, nous les exposerons à tous les
yeux
. Viens, Nature, réchauffer mon esprit; donne-mo
vancer, qu’on leur présente la science nouvelle, et toujours, à leurs
yeux
, nous sommes des charlatans et des jongleurs! Ah!
it d’avec le corps que j’avais d’abord habité, j’essayai d'ouvrir les
yeux
, afin de voir encore mes amis et leur raconter le
ticulière de souffle sur ma face et sur ines tête, après laquelle mes
yeux
s’ouvrirent. Je vis alor ce^ dans les objets qui
e et la plus argentine qui semblait flotter dans l’atmosphère, et mes
yeux
contemplaient un pays magnifique et sans bornes.
e était haute et élancée et son maintien imposant. La vivacité de ses
yeux
, son regard scrutateur, l’assurance de son débit,
e M. le principal du collège. Je souffrais depuis longtemps de maux d’
yeux
et de maux de tête qui parfois m’ôtaient la mémoi
e à Nogent. J’ai consulté Mme Rose pour mon fils qui avait des maux d’
yeux
. Elle le palpa, puis nous dit que la cause du mal
officiels de la science se mirent en quelque sorte un bandeau sur les
yeux
pour ne pas voir, afin de ne pas être obligés de
ésenté un rapport duquel il résulte que deux somnambules voyaient les
yeux
fermés, que deux autres pouvaient prévoir des act
hèses de fluide et d’atmosphère nerveuse, très-propres à cacher à nos
yeux
notre ignorance, se sont vus dans l’impossibilité
u magnétisé ; 5° que des somnambules peuvent voir sans le secours des
yeux
, et même à travers les corps opaques ; 4° qu’ils
e l’intimité, les notes qui ne devaient jamais paraître sous d’autres
yeux
que les nôtres, surprenne ainsi nos secrets cl le
le savant dont toute la vie a été consacrée à l’étude des maladies d’
yeux
, après un long entretien avec la malade, un exame
n’y a pas moyen do simuler l’enflure du ventre qui se produit sous l’
œil
du spectateur. Tous ces faits achèvent donc de dé
e dissertation en règle, l’importance du dénouement accompli sous ses
yeux
; quand on a déployé tant de moyens en pure perte,
onne!.... » Voyez-vous cette pauvre somnambule écarquillant non scs
yeux
, mais son âme, pour déchiffrer l’écrit perfide. L
le, « il fait plusieurs passes en élevant les bras, et fixant « des
yeux
le plafond. (Gestes et regard que la cri-« siaque
de ses expériences ont très-bien réussi. Le somnambule a pu lire les
yeux
couverts d’un bandeau préparé avec toutes les pré
mmés aussi délibérément que l’eût fait toute autre personne ayant les
yeux
parfaitement ouverts. Dans plusieurs cas il a lu
t visiter et décrire des lieux qu’il n’avait jamais vus, et lire, les
yeux
bandés, dans un livre fermé. Aussi devint-il pend
t que le sujet était suffisamment magnétisé. On lui bandait alors les
yeux
pour les proléger contre la lumière; après quoi i
commencement jusqu’à la fin, quoique pendant cet entretien il eût les
yeux
bandés (2). Nous voici arrivés à la troisième e
ne constamment, bien qu’à des degrés variés. Dans l’état extatique, l’
œil
du sujet devient clair, brillant, pénétrant; il s
il est pris chez la voyante de Prévorst, célèbre auto-extatique. «Ses
yeux
, dit Kerner son biographe, malgré ses grandes sou
: Un jour, dans l’après-midi, en entrant dans sa chambre, je vis ses
yeux
brillants comme des flammes. Je reculai en disant
, répondit-il, ne vous effrayez pas : le Seigneur a ainsi disposé mes
yeux
, afin que les esprits puissent voir ce qui ¿si .d
rmité psychologique par laquelle Swedenborg prétend que c’est par ses
yeux
que les esprits voient les choses de ce monde. Ne
us ne pouvions pas manquer d’avoir l’autre pour adversaire. Or, à nos
yeux
, le pire des suicides étant celui de l’intelligen
en à ajouter à cet excellent témoignage de son beau-père ; il reste l’
œil
fixe et impassible, comme s’il était en extase, e
délicat ni généreux de la part d’un homme qui a constamment sous les
yeux
l’exemple de tant de vertus : M. Marcillet en est
ame. Voici l’état dans lequel je la trouvai : raideur cataleptique,
yeux
fixes, ne donnant aucun signe de vie. Cet état du
es morbides s’aggravant de jour en jour, l’enfant dépérissait à vue d’
œil
; le médecin ne savait plus qu’en penser. C’est d
ns doute beaucoup trop absolu ; le magnétisme ne passera jamais à nos
yeux
pour une panacée universelle. Mesmer lui-méme éta
is que le savant confond l’âme et le corps; il n’admet que ce que ses
yeux
perçoivent : matière et mouvement, rien de plus.
ent : matière et mouvement, rien de plus. « Vue sans le secours des
yeux
, prévision, instinct des remèdes, pénétration des
che en faits physiques, toute une nouvelle physiologie apparaît à nos
yeux
surpris. Agissant sur chaque organe par l’agent n
e pour se diriger dans la recherche de l’inconnu , elle se jette, les
yeux
bandés, sur une route hérissée de problèmes, et q
ballon qui pas6e ; Mais il faut, pour l'apercevoir, D'excellents
yeux
, » disait à la foule assemblée Un amateur à l'œil
ir, D'excellents yeux, » disait à la foule assemblée Un amateur à l'
œil
perçant. (Dire une vérité d'emblée Est toujou
ou par sa volonté, ne devrait-il pas être assimilé à l'exorciste, aux
yeux
des juges ? F.h bien ! puisqu’ils ne poursuiven
bile, et aujourd’hui, sous les voûtes du Panthéon, nous voyons de nos
yeux
tourner le monde. A la fin du 18e siècle, un arrê
bule se relevait fière et hautaine, ses traits se transformaient, ses
yeux
lançaient des ¿clairs... Et enfin le retour d’u
avait de la grandeur dans l’émaciation de ses traits, du feu dans ses
yeux
bleus, de la poésie dans ses cheveux blonds et ép
ible. Toute la famille s’approche.... et au lieu de chercher dans mes
yeux
l’arrêt fatal, on regarde languissamment la morib
bien entendu) ; ma main droite actionne le crâne, le sujet ferme les
yeux
, et au bout de deux minutes, à la question mental
un désir de.... poitrinaire!.... » ajouta-t-elle en me regardant d’un
œil
résigné, et en laissant tomber ce mot comme s’il
ains, el parcourt mon bras de son doigter : sa figure s’illumine, ses
yeux
fixent les cieux : c’était sainte Cécile ! Et voi
frémissements du clavier imaginaire, sa mère sort de son apathie, ses
yeux
deviennent fixes, elle s’agenouille, et semble co
titre, en tout cas je n’étais pas un homme libre! J’avais devant les
yeux
une étendue où tant d’objets se présentaient à la
ntonnent un hymne en battant la mesure et en fixant sur leur sœur cet
œil
vitreux que vous connaissez si bien, vous qui nou
essant de parler au milieu d’une phrase. Sa fille venait d’ouvrir les
yeux
: « Je le laisse, mc dit doucement celle ri ; i
ecueillie, semble une statue à qui le souille est permis. Louise, les
yeux
parfaitement mobiles, la figure tantôt pâle, tant
ravive l’infusoire desséché... « Leur forme est une sensation que l’
œil
terrestre ne comprend pas; toutes ces ombres sont
a réalité promise à toute molécule qui accomplit son évolution sous l’
œil
infini de la déité... « Je joue de l’orgue, par
hera sous des habits d’homme, et tu croiras parler à un homme, et son
œil
, ombragé par des sourcils humains, le fascinera !
rant encore le monde, frais de toute ma nature, n’en croyant qu’à mes
yeux
, qu’à mes sens, après unspectaclecomme celui-là
se trompant pas d’un point, le cahier de la salle interposé entre ses
yeux
et son ouvrage. Quant aux termes scientifiques
il consistait en cataplasm e de fiente d’hirondelle appliqués sur les
yeux
. Le cataplasme ne fut pas du goût de l’aveugl •,
is votre allure ne tardera pas à changer : on mettra bientôt sous les
yeux
du public les pages où vous traitez le magnétisme
’il ne soit que l’extension de ce qui se passe journellement sous nos
yeux
. Ne voit-on pas, dans les relations ordinaires de
ubliait cotte autre réponse: Monsieur le rédacteur, J’ai sous les
yeux
votre numéro du 11 courant, qui contient un artic
eurs de tous ses infirmiers, et pratiqué pendant vingt mois, sous les
yeux
et l’autorité du gouvernement anglais, des centai
des points qu’il ne craint pas d’aborder , ne désire pas voir de scs
yeux
, toucher de ses mains, etc., ne se défie pas des
isé, à plus de cinq lieues , une dame qu’il n’a pas encore vue de ses
yeux
. Il a décrit exactement la dame et les autres hab
voir la sympathie, le rapport magnétique, la vue sans le secours des
yeux
, la vue à distance, l’introspection, ni aucun aul
seconde, celles de la réalité des faits de vision sans le secours des
yeux
. Ces leçons, quoique strictement logiques, ont ét
seid objet, l’opérateur s’approche du sujet et le prie de fermer les
yeux
. Ce qui étant fait, il lui passe rapidement les d
passe rapidement les doigts du milieu du front à l’angle externe des
yeux
, en déprimant les paupières , comme pour les col
ui dit d’un ton assuré et quasi-impératif : Yous ne pouvez ouvrir les
yeux
. Si néanmoins les paupières se lèvent, c’est-à-di
end une main du sujet dans la sienne, et le regarde fixement dans les
yeux
durant quelques instants; après quoi il répète l’
première séance en renouvelant les essais. Quand, par l’épreuve des
yeux
, M. Darling a reconnu que le sujet peut obéir à s
soumet à l’épreuve tient d’une main, en avant et un peu au-dessus des
yeux
, un objet luisant qu’elle regarde attentivement :
us gagne en lisant des ouvrages abstraits, ne vient que de ce que les
yeux
sont fixés attentivement sur les mots dont nous c
pêcher à la ligne, etc., dans un état apparent de veille; ils ont les
yeux
ouverts, et se souviennent ensuite de ce qu’ils o
qu’un de ces auxiliaires, et qu'il est surtout un moyen de fixer les
yeux
, l’attention, l’immo- bilité, choses nécessaire
rsonnes ont été mises dans l’état mesmérique, on peut leur ouvrir les
yeux
et agir sur elles comme si elles étaient éveillée
nts, qui fut rendu à la santé par un respectable négociant, avait les
yeux
vitreux et enfoncés dans leurs orbites, les lèvre
ettez-moi de déclarer que, dési- vanl mo convaincre par mes propres
yeux
du pouvoir auquel prétend le; Dr Fiske, de faire
rme étrange qu’on appelle Cercle de Tivoli, ne se doutant guère que l’
œil
de la science était fixé sur (1) Tout va bien,
les coups résonnent sur le dos de la victime; Timolhée s’animait, ses
yeux
étincelaient; ail right! répétait-il avec l’ardeu
à un effort déterminé, quand tout à coup un nuage obscur couvrit ses
yeux
, une volée de coups de manche à balai lui plut su
t juste que cette affaire soit exposée dans son propre jour, sous les
yeux
du public. Ce n’a été, d*r commcnccmcnl jusqu’à l
e n’a pas vu ce phénomène; mais dès que l’on constate, de ses propres
yeux
, la production de ces faits mystérieux, 0Il est d
dont les magnétiseurs vous entretiennent; observez-les de vos propres
yeux
, et vous les croirez. Vous finirez par les produi
e magnétisme est une bêtise; d’autres qui, à force d’avoir, sinon les
yeux
crevés, du moins les oreilles brisées par les fai
de consulter le passé: nous en avons presque tous les jours sous les
yeux
. Nous le ferons cependanl, s’il y a lieu de justi
n. » Ce fluide, personne ne l’a vu. sa matérialité échappe à tous les
yeux
, si ce n’est à ceux de certains somnambules doué
royons être l’erreur partout où nous la rencontrons, de dessiller les
yeux
, d’éclairer les esprits, et voilà pourquoi nous a
e médiocrement notre attention. Le somnambule jouait aux cartes les
yeux
bandés, ou, pour mieux dire, calfeutres, ot lisai
que impénétrable à la vue troublée d’Alexis. Pourtant, peu à peu, les
yeux
de son âme débrouillèrent ce chaos, et il parvint
de la force incalculable du magnétisme, que nos savants ouvriront les
yeux
. Bravo ! Messieurs, vous ne changez point, vous ê
est-ce qu’une fois repliés sur vous-mêmes , vous saurez lire par les
yeux
de votre esprit et le sentiment de vos cœurs, dan
universelle de la Divinité. L’auteur de cet ouvrage nous met sous les
yeux
la formation de l’univers, et le premier spectacl
e votre bras autant que possible ; si vous fixez votre regard sur les
yeux
du patient avec une ferme volonté de le guérir; s
, cet aphorisme de la physiologie de l’école qui pose : « que, sans l’
œil
, l’homme ne «peut prendre connaissance des choses
je le priai de me magnétiser. A peine eut-il fixé sur moi ses grands
yeux
noirs el perçants, à peine eut il étendu s:i main
nute désignée par nous, ignorée de la som- nambulc, elle ouvrit les
yeux
, témoigna un grand étonnement de se voir étendue
ccessivement? Et ce dernier même, avant que la mort ne lui fermât les
yeux
, n’a-t-il pas reconnu le néant de ses travaux qui
ne tombe en maçonnerie construite exprès pour le recevoir. Sous leurs
yeux
le fakir ferma avec de la cire, à l’exception de
me, tous les faits où la divination se montre et qui passent sous les
yeux
des lecteurs pou attentifs comme s’ils n’avaient
alin esprit. « Une telle jonglerie eût dû, ce me semble, ouvrir les
yeux
au sieur D.... : il n’en fut rien; et tout au con
la Suisse, et qui, il y a quelque temps, fut atteinte d’une maladie d’
yeux
contre laquelle furent impuissants tous les trait
ficiels ? Est- cc qu’il; peuvent nous comprendre? Nous sommes à leur;
yeux
ce qu’ils sont aux nôtres, des imbéciles; mai; ce
tonner qu’en des temps où de nombreuses épidémies se présentaient aux
yeux
du vulgaire sous la forme de véritables obsession
rétion est un remède favorable contre les dartres, l’inflammation des
yeux
, les chancres, etc. D’après l’expérience de que
de, fort inquiète, avait peu dormi, ses parents n’avaient pas fermé l’
œil
. Je me hâtai de questionner Eugénie dès que le ma
juger. Mettons donc quelques nouvelles pièces de ce procès sous les
yeux
du public. Nous avons déjà dit comment chacun peu
os assistants, étrangers au magnétisme, à s'approcher pour bander los
yeux
du sujet. Deux messieurs se présentèrent, et mire
s yeux du sujet. Deux messieurs se présentèrent, et mirent sur chaque
œil
un tampon de coton, retenu par dos mouchoirs. Nou
: « Je dois perdre. » « L’expérience suivante consistait à lire les
yeux
également bandés. Un monsieur présenta sa carte;
ne position fixe et un peu élevée. Celui qui avait confiance tint les
yeux
ilxéa sur cette cuiller, la tête un peu renversée
elles des personnes qui avaient été instantaué-mcnt guéries sous ses
yeux
; elle a voulu s’assurer si leur guérison persist
cid. La vision disparut, mais je restai dans la même attitude et les
yeux
fixes, jusqu’à cc que quelqu’un, entrant dans la
des gémissements. n Cinq minutes s’étaient écoulées depuis que les
yeux
étaient fixés sur la spatule. J'élève le bras gau
ssitôt ma main et la porte à ses lèvres. K Pendant l'opéralion, les
yeux
étaient agités d’un mouve-oscillatoire ; ils avai
sme ni la moindre contraction ; Jarrie semblait toujours chercher des
yeux
le corps brûlant. u 11 est resté bien avéré pou
l’opération, se roidissait fortement sur ses pattes et qui avait les
yeux
très-mobiles, commença, au bout d'environ deux mi
quement, elle itgita de nouveau la tète plusieurs reprises, remua les
yeux
et se mit à courir. Keprise et maintenue de nouve
enir de l'enchantement, c’est-à-dire en se bornant à souffler sur les
yeux
du sujet endormi. M. Michéa a confirmé, par les e
survinrent au bout de deux minutes. On souffla alors légèrement sur l'
œil
droit, et immédiatement, d'immobile et de silenci
ant «n certain temps, enregardantunpointbrillanltrès-rapprochédes
yeux
, produit le sommeil artificiel des nerfs, ella ca
evez la patipière d’un dormeur ou d’un somnambule, veu8 trouverez les
yeux
convulsés en dedans et en haut; le réveil les ram
ou moins le nerf optique contre la paroi solide du trou du fond de l’
œil
. 11 en est de même de teus les nerfs de la sensib
atalepsie, l'bypnobatase amènerait la mort en irès-peu de mûutes. L’
œil
éveillé qui examine quelque chose envoie l'image
utes ces opérations en action tiennent l’homme éveillé j mais quand l’
œil
est convulsé, ou que le nerf optique est comprimé
tion télégraphique, en attendant le coup de sonnette du réveil. Les
yeux
bavards, mobiles, agités, sont le signe de l’ivre
ards, mobiles, agités, sont le signe de l’ivresse ou de la folie. Ces
yeux
ne transmettent plus aux nerfs optiques que des i
ention des idiots sur riën ; ils ont perdu la faculté d'arrêter leurs
yeux
sur quoi q«e ce soit; cette simple attention que
ui, il est hors de lui. Quand vous êtes en face d’un homme dont les
yeux
écar-quillés regardent vos deux oreilles au lieu
eu de chercher l’âme, ton scalpel â la main, cherche à la voir de ton
œil
interne. Tu admires sans comprendre, alors tu adm
e au moyen de diverses passes el de l'imposition des maiûs devant les
yeux
des magnétisés, sous un arbre disposé à cet efiet
ment adopté consiste dans les passes longitudinales faites devant les
yeux
du magnétisé. a Aujourd’hui, le procédé employé
nsiste h faire mii-oiter pendant un temps plus oi> moins long, aux
yeux
des malades ou des individus qu’ils veulent endor
n'ai pas coiiciu des faits extraordinaires qui se passaient sous mes
yeux
qu’ils eussent rlen^ de surnaturèl ; j'ai pensé s
te vision siu’natu-lelle, et comment peut-on voir sans le secours des
yeux
? comment l'ûiuo peut-elle prévoir les choses futu
scal, est un merveilleux instrument pour nous crever agréablement les
yeux
. Il semble du pretnior abord que nier un fait q
antes qui, croyant réellement en Dieu, étendaient avec ferveur et les
yeux
tournés vers le ciel leurs mains sacrées, où des
ivrer passage à une dame en toilette de bal, et sur laquelle tous les
yeux
sûnt braqités h l’instant ! Troublée en voyant
rèls. S'illui eût seulement ordonné de se réveiller, ou soufllé sur l’
œil
, tout était dit. (i Quevoulez-vous que fasse un
t le nùaiit pour tous. Lorsqu’on place un objet brillant devant les
yeux
à une distanco d’environ 1 ’\ ceiitirnètres et qu
oncluant, à beaucoup d’exceptions près néanmoins. Pour que les deux
yeux
restent fixés sur un objet, il faut un effort de
ues qui sont le siège rtel de la vision, pénétrant daus le globe de l’
œil
où ils s'épanouissent en rétine , sout très-court
parquet et en figurant une corde, une ligne droite (mi, partant de l'
œil
de la poule, se prolonge en s’éloignant. Détachez
une sorte d’étonnement ; elle restera immobile sur la table, et, les
yeux
dirigés vers la ligne de craie, elle ue cessera p
im corps aussi nombreux et éclairé était honorable pour moi, et à mes
yeux
elle honorait cette école. Ces jeunes gens me dis
tardataires des académies, tous ces lauréats impui.ssants qui ont des
yeux
dont le crislaijiii est dépoli et qui croient que
s certain, de frapper de nouveau sur la pierre pour s’assurer que ses
yeux
ne l’avaient point trompé : ainsi chaque découver
rt, elle sera immobile. Ce phénomène s’accomplit chaque jour sous nos
yeux
, à chaque découverte nouvelle nous voyons les sav
e ces hommes qui ont obstinément et systématiquement voulu fermer les
yeux
à la lumière et repoussé la vérité. Lerhibs.
étendue sur les bras de sa mère, elle avait la pâleur de la mort, ses
yeux
étaient immobiles, fixes, sa bouche se contractai
bras et la jambe ganche étaieut agités convulsivement; quelquefois l’
œil
gauche se rapprochait de la bouche, qui se contra
chercher. Une femme fut atteinte à la joue droite, au-dessous de l’
œil
. d'un petic bout^'n ([ni, ayant pris assez rapi
compte que par la vision, absolument comme un homme qui, fermant les
yeux
, voudrait par le toucher reconnaître des gaz colo
des flacons. 11 ne comprendrait ríen par le tact, mais s'il ouvre 1^
yeux
, l'oi^ane de la vision fera parvenir à son intell
’ Si, malgré l’occlusion des paupières et la convulsion du globe de l'
œil
, tel somnambule peut voir ce qu'on lui présente à
illiers de milliards de soleils et de planètes qui passeront aous vos
yeux
dans l’espace, tâchez d’apercevoir, au passage, u
’a écrite Al. le docteur Roger restera, et on la lui placera sous les
yeux
pour sa plus grande confusion. Baron du Potet.
cuse de l’avoir escroquée. Ce n’est pas sans raison, et, malgré ses
yeux
baissés, son ton doucereux, Amélie Vaiiderliagen
agnétisl£s. eussent annoncé un phéno* mène de vue sans le secours des
yeux
, une prévision quelcqnr que venant d'un ou d’une
loin, ni de près, et rnùme sans qu’on exigeât de lui qu'il fermât les
yeux
, fut, disons-nous, selon qn’on nous l’a assuré, e
e d’une forte lampe à chiste qu’on mit devant lui à un centimètre des
yeux
. Ces effets se produisaient ou cessaient dès qu
, il ne voyait et u’eniendait que iM. Manlius, quoique ayant les deux
yeux
grand ouverts. A chaque relais, M. *** croyait bo
'évidence la plus éclatante ne suffit pas toujours pour dessiller les
yeux
qu’il a fermés. Ainsi, il est des savants, d'aill
l’ouvrage et le dénoûment du mystérieux drame, s'entr'ouvre sous dos
yeux
dans les manifestations étranges dont je vou.s en
les heures souffrantes ; il s’y cramponne des mains, de la voix, d'un
œil
suppliant, de tout son poids, au moindre signe d’
ois constatées de la physique. La maladie devient même folie, à leurs
yeux
, lorsqu’au déplacement de l’action des organes se
isions des extatiques ont des objets réels, vus, il est vrai, non des
yeux
du corps, mais des yeux de l’esprit. L’extase est
t des objets réels, vus, il est vrai, non des yeux du corps, mais des
yeux
de l’esprit. L’extase est pour eux le pont jeté d
observations que m’a suggérées ce sujet. Ces observations ont, à mes
yeux
, une importance réelle. Chaque fois que j’ai eu
n'admettre que ce que vous avez vu par vous-mêmes, vu de vos propres
yeux
, jusqu'à ce qu’on vous fasse assister à de nouvel
apporté d'amélioration notable, il me demanda mon avis, et comme mes
yeux
ne voient pas dans l’estomac de mes clients, j’eu
n’en prouvent pas moins, lorsqu’ils apparaissent Ostensiblement à nos
yeux
, que les forces qui agissent en eux nous seront à
e la compression du nerf optique contre la paroi du trou du fond de l’
œil
, paralysé momentanément par une cause quelconque,
on du regard sur un point quelconque, ou de Ini placer entre les deux
yeux
un objet brillant, on est naturellement porté à c
Rappelé à son état ordinaire, par le même procédé, quoiqu'il eût les
yeux
fermés, il ne conservait plus aucun souvenir de c
aucune différence appréciable avec son état habituel (il avait ses
yeux
ouverts et les mouvait comme s'il eût été éveillé
nt, avec cette différence qu'il jouissait d'une lucidité moyenne. Les
yeux
fer- (0 Nous recommandons à l'attention do noir
ude. Quand je magnétisais quelqu’un, il m’avertissait, toujours les
yeux
fermés et sans avoir besoin de le toucher, des di
tion est sufGsante. Ce jeune somnambule magnétisait lui-mème et les
yeux
fermés avec l’habileté du magnétiseur le plus exp
me laisser comme souvenir, il me pria de lui démagnétiser un peu les
yeux
qui lui faisaient mal ; dans ce but, j'y souillai
gens que nous estimons, nous dirons petit & petit ce qu’est à nos
yeux
le spiritualisme moderne. Baron oü Potbt Pari
vec un aimant. Ainsi une personne placée dans les ténèbres brille aux
yeux
des sensitifs d’une lumière qui émane directement
les espèces nocturnes. 2” L’effet phosphorescent que produisent les
yeux
de certains animaux, principalement ceux de la ra
-à-dire sur ces lueurs phosphorescentes qui se manifestent devant les
yeux
, dans l’obscurité, lorsqu’on se frotte les paupiè
u en cherchant la solution de moa problème, j’^tiens la fermeture des
yeux
, le sommeil magnétique ou le somnambulisme parfai
cdte à cdte en causant des beautés du site qui se déroulait sous nos
yeux
. Tout à coup le sol manqua sous les pieds de ma c
veis lequel il se laissait aller etrit tm énorme serpent qaitenùtaes
yeux
ronds et ouverts fixés sur lui. Levaillant, avert
njoer i plein gosier um cbaoson bacbiqua très connue. En levaot les
yeux
, ces personnes virent perché à l'extré» mité du t
u’au monde des causes, saui-a dévoiler ce qui est caché à nos faibles
yeux
. Continuons pacifiquement notr« œuvre de propagan
its que vous niez... combien j'en ai vu naître ; Ils brillent à mes
yeux
, ils s’offrent à ma main, Et souvent sans appel
résurrectiouistes. Beaucoup de voyageurs rapportent avoir vu de leurs
yeux
cette opération qu’ils déciivent ainsi : On fai
oduit quelques gouttes de rhum dans lu bouche, on lui souffle sur les
yeux
et dans les narines, comme dans le réveil hypnoti
e dont le général Veninra Dca a conté l’hislolre : 11 svait va de sei
yeux
l’enterrement et It r«»nrreclioD i trois mois de
ient éprouver de petits mouvements involontaires, des clignotements d'
yeux
. Ces premiers symptômes ont été suivis par de f
destiné à faire revivre les grandeurs décbues, \ faire apparaître aux
yeux
des générations nouvelles cesgé-nies puissants qu
Elle s’y tenait tout d'une pièce : le visage vermeil et rebondi, les
yeux
grandement ouverts et fixes, la pupille dilatée,
très-promptement. Je continue quelques passes encore, après quoi les
yeux
se convulsent en haut et fort en arrière, et la v
dant cinq jours, h. dater du lendemain. Sur mon ordre, elle ouvre les
yeux
. Le 10 mai, Pauline est agitée. Ses nuits ont é
t agitée. Ses nuits ont été mauvaises. Je l’endors immédiatement. Ses
yeux
se convulsent, mais je ne retrouve plus sa lucidi
réveiller? — Oui. — Réveillez-vous. EUe ouvre graduellement les
yeux
et se réveille. — Levez-vous. Elle se lève.
paravent, dans un coin obscur, Pauline Tbib... ferma spontanément les
yeux
et se-leva du fauteuil où nous l’avions laissée a
'il s'ensuit que leur expérience k cet égard se borne à faire de gros
yeux
, comme les apprentis, et à exercerdes gesticulati
ûr l’extase. Cet état donne au visage une lumière singulière ; et les
yeux
tout ouverts et fixes, semblent indiquer, à l’obs
t; grande irritation de la gorge, de la poitrine, el in-nammation des
yeux
; les refroidlMemcntioccssionnenl ceUc nisladiff.
e M. Figuier), l’intendant de la province voulut lul-mêine bander les
yeux
à Aymard. li fit ensuite cacher les serpes dans d
s deux sortes de uerfs ne dilTèrent que par les appareils (oreille et
œil
) dont ils sont pourvus et qui sont destinés k con
nd notre oreille est frappée des vibrations sonores de l'air, que nos
yeux
sont frappés des vibrations lumineuses de l’éther
nouvellent, et souvent d’une manière très-importune. Si l’on fixe les
yeux
pendant quelques secondes sur un corps lumineux,
bique ii’a piis conscience des images r(’;-liniennes qui agitent sot)
œil
faible, car s’il les pelxevait, il verrait double
u cerveau, car les nerfs optiques étant les plus courts de tous, et l'
œil
étant de tous les organes le plus voisin du centr
rveau. Aussi qui ne connaît la puissance fascinatrice du regard ! Les
yeux
sont le miroir de l’àmc, dit avec raison le vulga
omnambule Ut, plus ou moins couramment, ayant un épms bandeau sur les
yeux
: voici un fait brut. Je constate que la somnambu
collastesunivci'sitaires.n’iinilez pasleur ilotisme : votre vue a des
yeux
qu’ils renient, votre pied s’est posé sur des sen
oméopathique..... n Mais los nombreuses guérisons obtenues sous mes
yeux
, à l'un des dispensaires homéopathiques, forcèren
veuse extrême, symptômes paralytiques, palpitations, lèvres blanches,
yeux
enflammés, jaunisse. Je le magnétisai sans perdre
C’esl un verre d’optique qui permet do voir beaucoup pins loin que l’
œil
nu. C’est à lui qu’il considère comme une trace l
le laissai opérer pendant un certain temps, après lequel, fixant mes
yeux
sur le patient, il fut magnétisé sur-le-champ. Pu
et au calme qu’il doit conserver. S’il m’arrive de fixer parfois mes
yeux
sur les siens, c’est un regard doux dans lequel j
emplacer celui que le temps a miné et qui croule aujourd’hui sous nos
yeux
. Baron du Potet. LE ZODIAQUE DE LA VIE HUMAIN
ère du plus beau jour ; c’est 14 la royale demeure des dieux, que nos
yeux
corporels ne peuvent apercevoir. La nature déliée
, par l'aLljo DU Verset; Paris, 1797]? Son crime imparcluunalilo. aux
yeux
do ses plus cruel» ennemis, fut de ne point aduii
produits, qui se renouvellent et se multiplient incessamment sous ses
yeux
. Une telle résolution, une telle constance, une t
ssi : « Les chostsde Uieu, qui sont invisibles, se voient comme à l'
oeil
nu, par Is création du mondt>.’ ¡¿pUreaui Kmai
nt de vue de la pliysiologie, on remarque les caractères suivants : l’
œil
du somnambule eslconvulsé, le rapport avec le ino
ent êlre changées en aucune façon. Bref, la vue s’exerce au moyen des
yeux
, l’ouïe au moyen des oreilles, le tact, le goût,
œé-diateinent paralysé. Donc, il existe une relation intime entre l’
œil
des somnambules et le genre de vision qui est pro
l. Doue la vue tnagnétiijiie ne peut s’exercer sans le concours des
yeux
. Et de deux 1 3« FAIT. — L’ouïe clicz lea somnamb
nous séparer linira, ’en ai la confiance, par disparaître à tous les
yeux
. Chacun reconnaît que les pliénomènes revendiqués
eut agir sans eux ; si elle s'en passe, à quoi bon nous avoir dotés d
yeux
pour voir, d’oreilles pour entendre, de nerfs pou
nir le décret qu’il avait porté, savoir que nous ne verrions rien des
yeux
de l’esprit que par l’intermédiaire des yeux du c
ous ne verrions rien des yeux de l’esprit que par l’intermédiaire des
yeux
du corps, et que tout ce que nous aurions la prét
attention. Ce signe d’ébahissement se manifeste aussi bien quand les
yeux
sont vivement captivés que lorsque ce sont les or
s personnes soi-disant instruites qui cherchent à faire prévaloir aux
yeux
des ignorants leurs connaissances superficielles,
leva une, et on constata la conti’action de la pupille. Le globe de l’
œil
, immobile, semblait plutôt convulsé vers le bas d
œil, immobile, semblait plutôt convulsé vers le bas de l’oibite ; cet
œil
, terne et vitreux, ne percevait plus les rayons d
i les livrait à la mort, I avait également élu pour arracher do leurs
yeux
le bandeau de la superstition, et changer leur cu
e va nous l'offrir, ainsi que l’Inde, l'Egypte, la Grèce et Rome. Les
yeux
les plus opaques verront par des images que le ma
e somiiaiiilnilisnie, mais cclul-ci était Uill'érent du premier ; les
yeux
élalent restés ouverts ; pas un abaissement de pa
ctéi'isé par l’occlusion des paupières et la convulsion du globe de l’
œil
. Cet organe présente un cas de strabisme poussé a
t pas i mais, malgré toute sa force de volonté, il ne peut ouvrir les
yeux
. Ën dehors de ces caractères, l’état dont il s’ag
rfait : 1“ l’occlusion des paupières; 2* la con-vutsion du globe de l’
œil
; 3” l'isolement complet ; 4“ l'insensi-biliti ab
ant je crois devoir révéler un fait qui a uue grande importance à mes
yeux
. C’est que toute personne iCCEssiBLE aux expéri
obscurité la plus profonde. L’interposition d’un corps opaque entre l’
œil
du somnambule et l'objet sur lequel on attire son
squ’il sera en train de lirei interposei un écran enü'e le livre et l’
œil
du somnambule, ce dernier continuera sa lecture c
, des erreurs et rien de plus (J ). Bien que chez les somnambules l'
œil
soit en quelque sorte atrophié, le sens de la vue
uelle on peut se convaincre qu'il existe une relation iiitime entre l’
œil
des somnambules et le genre de vision qui est pro
la lumière, ou bien malgré l’interposition d’un corps opaque entre l'
œil
du somnambule et l’objet sur lequel est portée so
—Oui, monsieur. — Comment est-elle? — Elle a des cheveux bnins, des
yeux
noirs elun petit nez camus. — Ce n’est pas cela q
le est toute ramassée sur elle-même : elle a les mains posées sur les
yeux
, la tête près des genoux, les pieds collés contre
U.... mit au monde une petite fille qui avait des cheveux bruns, des
yeux
noirs et un petit nez camus. Tout se passa d’aill
maux infinis enfantés par l’ignorance. Arrêtons-nous ici; que notre
œil
se repose sur de plus riantes perspectives; indiq
(roni jusqu'atn yenx. • tiédeur.. • . 26 — contre !■ 40 Depuis les
yeux
, et par les cdlés, juaqu’À la ^uche......fratcb
ent sur la véritable voie. En effet, du sommet 1c la tète jusqu'aux
yeux
, il se produisait tic la clialciir ou tiédeur, rt
aux yeux, il se produisait tic la clialciir ou tiédeur, rtileiwis les
yeux
ct.paj-c.Oté jusqu'au menton, de la fraîcheur: en
talî un rameau du (trifacial) ressort au-des- sus de la cavité de l’
œil
, et gagne en se ramifiant sous la peau et sur le
r le front le sommet delatôte,.le.suj)rqirpcWc«n's (grand orbite de l’
œil
) est presque dans la môme condition ; la seconde
e du trifacial donne le nerf sous-orbitaire, qui sort au-dessous de l’
œil
par lô cânal sous-orbitaire, et va par cûté jusqu
ts nerveux' qui viennent tous deux du trifacial; un en proximité de l’
œil
s’effile en montant, l'autre fait de même sur les
tête au menton rencontre ces deut rameaux nerveux; la passe jusqu’à l’
œil
qui s’exerce dans un sens opposé à la direction d
goïsme de nos antagonistes. Qu’ils prennent donc garde qu’un jour des
yeux
scrutateurs ne pénètrent dans l’abtœe où sont ent
ent, envahit peu à peu tous les muscles du corps y compris ceux des
yeux
, qui conservèrent cepen- dant toujours leur vol
il lit les lettres et les nombres, dès qu'on les a tracés sous ses
yeux
; il lit les mots en les épelant dès qu'on lui
ie. 1 L'électrisation et l'arsenic à doses progressives ont à vue d'
oeil
légèrement amélioré les mouvements des petits m
qui, après avoir énergiquement contracté ses paupières, ouvre les
yeux
, on constate que les pupilles d'abord plus étroit
du patient pendant que celui-ci est invité à essayer de fermer les
yeux
et puis à les ouvrir. C'est le phéno- mène pupi
ts, l'écume sanglante de la bouche, et l'éclat métallique terne des
yeux
également noté à cette période. Cet éclat mét
certaine substance vénéneuse, dont dépendent et l'éclat spécial des
yeux
, accompagné de mydriase, et les accès. Ce signe
tronome, cependant que M. Abadie, chef de clinique, manipule sous l'
oeil
attentif du malade les interrupteurs et les com
réci. Le rétrécisse- ment portait à peu près également sur les deux
yeux
; il réduisait le champ de la vision de la moiti
nbaum, Bélougou. -' Amélioration des troubles des nerfs moteurs des
yeux
: Ber- nhardt, Ladame, Rondel, Moutard-Martin.
s indiqués ; commence à courir et fait le tour de la salle avec les
yeux
fermés; ne ressent aucune gêne dans lachevile g
ment ; la malade, qui ne pouvait pas se tenir quelques secondes les
yeux
fermés, arrive maintenant à se tenir debout les
secondes les yeux fermés, arrive maintenant à se tenir debout les
yeux
fermés une et deux minutes. Chez le malade de la
ué à tel point, que le malade pouvait faire le tour de la salle les
yeux
fermés et marche sans difficulté en arrière. La
, plusieurs cas où la suspension agit sur les affections aiguës des
yeux
des tabétiques. M. Darier ' W. Bechtereff. Uebe
oubles moteurs, ainsi que ceux de la vue, dispa- raissaient à vue d'
oeil
. Nous fimes à cette malade au commence- ment l'
u des miroirs ne lui permettant de voir qu'un objet avec chacun des
yeux
, mais de telle façon que celui situé à droite l
ent, il ne voit d'objet que celui que lui fait voir effectivement l'
oeil
tout à l'heure aveugle. Que deviennent donc dan
e différen- ciation dure au moins dix minutes. Elle se traduit, à l'
oeil
nu, par une couleur rouge-bleuâtre, les grosses
- tion lumineuse forme, avec le concours de l'élément moteur de l'
oeil
, des images d'objets; vers les limites antérieure
t presque nuls les mouvements de latéralité vers la gauche des deux
yeux
. On avait cru à une lésion en foyer siégeant da
il étudie l'épilepsie : des milliers de malades ont passé sous ses
yeux
, il a pu les étudier sous toutes leurs formes, so
les me piquent la nuque, le front; les mains deviennent moites, les
yeux
humides, voilés. Parfois, je me trouble, je dis
peler de près ou de loin, la rougeur. Je me bouche mentalement les
yeux
et les oreilles. Impossible. Si je suis en compag
îner. Ma préoccupation est de savoir si j'aurai la lumière dans les
yeux
. S'il en est ainsi, je ne cesse de me dire : ne
s la tète qui brûle (pariétal droit). Sentez les paupières et les
yeux
: mouvements d'élévation du frontal et du relev
me fait plus mal +En dedans, il y a quelque chose qui me pique les
yeux
. et qui part de la nuque -)-+-+ Crise, petit so
esaut + Il y a quelque chose qui s'est cassé là-dedans (nuque), les
yeux
ne me font plus mal + Crise z Louis ne m'entend
her + Il y a encore des fils qui partent de la nuque pour aller aux
yeux
+ Vous n'entendez pas ? Le chemin de fer siffle
bloqué. Je lui fais réveiller son corps en entier. Louis ouvre les,
yeux
tout seul au bout de six minutes. , 25. La jour
du 24 a été bonne. Je fais à Louis du réveil général. Il ouvre les
yeux
au bout de deux minutes, mais avec un soubresau
s, mais avec un soubresaut : ça a fait poum (à l'angle externe de l'
oeil
droit). 27. Louis se plaint d'avoir les pieds,
depuis la mort de sa mère, dès qu'il se couche le soir et ferme les
yeux
, il se sent étouffé, a chaud, puis voit et ente
alors que l'anesthésie a disparu, étire ses membres, se frotte les
yeux
et me dit : Oh ! il fait chaud, vous savez; il me
rappelé. Il y avait là deux fils; l'un partait des oreilles et des
yeux
à droite et allait jusqu'à l'estomac; l'autre p
un soubresaut et je me suis réveillé en me rappelant. Sentez les
yeux
, les oreilles, la tête : rien n'y est plus bloqué
ntendais l'instituteur qui médisait de remuer la langue. Sentez les
yeux
: j'ai som- meil, les yeux comme fatigués + Il
médisait de remuer la langue. Sentez les yeux : j'ai som- meil, les
yeux
comme fatigués + Il tonne, il pleut, vous n'enten
éger -j- Il s'est désemparé quelque chose au devant du front-)- Les
yeux
ne me pèsent plus-(-Urne semble qu'il y a quelq
le bras. Tout à l'heure, je l'ai vu, il me semblait que j'avais les
yeux
ouverts. M. L.-A. parle à Louis qui l'entend et
nous ne sommes que no s deux et, après un réveil général, ouvre les
yeux
spontanément. 27. Resensibilisation progressive
con- vaincu que sans mon intervention, Louis serait mort sous mes
yeux
. Vers le 20 janvier, Louis s'est plaint de violen
bandonne également. On en retrouve des vestiges chez les fous : les
yeux
de l'imbécile, les fantaisies émotives des hébéph
ATHOLOGIE MENTALE. 33 'net du professeur; l'élève alors frappe, ses
yeux
se troublent, il ne sait ce qu'il fait, il cont
mas- ses populaires mystiques et religieuses qui croient au mauvais
oeil
à l'ensorcellement, à la possession, à l'incarn
s faits psychologiques. Dans ce but, M. Duprat fait passer sous les
yeux
du lecteur tous les éléments qui lui permettent
prédominais dans l'école, et ce sentiment me rehaussa à mes propres
yeux
; en outre, je conquis par mes manières affable
s hommes suffisait à me faire monter le sang aux joues en un clin d'
oeil
et à provoquer l'angoisse. Six mois après, j'
aient éloigné de mon travail, et quoique ayant mon livre devant les
yeux
, je ne faisais cependant rien. Je n'ai certes p
nt un livre, je me mettais à le lire ou à le feuil- leter, mais mes
yeux
voyaient à peine les caractères. Mes pensées n'
ences, mais j'avais pendant des heures entièros le livre devant les
yeux
tout en son- geant combien ce serait beau de l'
ous retournâmes à Berlin et, de façon à avoir du mouvement sous les
yeux
et à me distraire, j'allai occuper un appartement
rdable, mais je cherchais autant que je le pouvais à dissimuler aux
yeux
du monde mon épouvan- table état. Si malgré la
onsidé- rable du front et une compression des paupières lorsque les
yeux
sont fermés et une sensation de piqûre ou de pi
te misanthropie ? par l'effroyable regard et par conséquent par les
yeux
. Comme un rayon de lumière, cela est entré en m
moi par le sens : « Si ton bras te scandalise, coupe-le, et si ton
oeil
te scandalise, arrache-le » et pour un mal si pro
usage comme les autres, mais je suis obligé de reconnaître que mon
oeil
ne me sert que si je suis seul; en présence des
uis seul; en présence des hommes, je ne jouis d'aucun spectacle des
yeux
, et l'oeil ne m'apporte que préjudice, le préju
n présence des hommes, je ne jouis d'aucun spectacle des yeux, et l'
oeil
ne m'apporte que préjudice, le préjudice redout
; il y a eu des moments de paroxysmes dans lesquels je fermais les
yeux
et je me sentais mieux. Le chagrin que j'éprouv
e me sentais mieux. Le chagrin que j'éprouverais de la perte de mes
yeux
serait évidemment très vif; ce serait pour moi
notes sur la leçon ; mais même s'il laissait reposer sa plume, son
oeil
ne quittait pas son cahier, et je n'ai jamais v
ble aux résultats 300 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. thérapeutiques. Les
yeux
et la face des personnes qui se trouvent dans l
réveillé, on allume la bougie, on éprouve une légère tension dans l'
oeil
; le champ visuel se voile comme d'un nuage gri
tenir à l'aberration chromatique naturelle propre aux milieux de l'
oeil
qui est d'ordinaire annulée par le jeu de l'accom
ne femme de quarante-six ans, qui présentait une blépharoptose de l'
oeil
droit, avec strabisme et perte de l'acuité visu
immédiate- ment adjacentes.- Notre homme, qui s'était blessé à l'
oeil
gauche, en tombant, alors qu'il-était ivre, d'u
bles du côté des extrémités, du triju- meau, des muscles de l'autre
oeil
. La suppression de la réaction à la lumière de
upérieur de l'orbite, la tuméfaction des parties molles autour de l'
oeil
(nous ignorons s'il y a eu suffusion de la conjon
des modifications de la pression en rapport avec le pincement de l'
oeil
produisant la congestion de l'iris et son rétré
la pupille avait cependant lieu par la ferme- . ture énergique des
yeux
. - Voilà maintenant six observations où la pupi
ue des yeux. - Voilà maintenant six observations où la pupille d'un
oeil
se - contracte sous l'influence de la fermeture
e - contracte sous l'influence de la fermeture énergique de l'autre
oeil
seul : c'est la réaction consensuelle de la pup
upille sous l'influence de la fermeture énergique et volontaire des
yeux
est un mouve- ment associé de l'iris qui accomp
e peut produire, soit en priant le sujet de , fermer résolument les
yeux
et de les rouvrir rapidement (myosis à ' la fer
n maintenant les paupières tandis que le patient essaie de fermer l'
oeil
lentement- et complète- ment (myosis à l'effort
larité que dans la moitié des cas, au moment où le patient rouvre l'
oeil
, la pupille n'est ni , rétrécie, ni dilatée, el
r pathologique relative. . Genèse. Quand une personne saine ferme l'
oeil
, l'ombre pro- duite par la .paupière tend à dét
éanmoins à se dilater par sympathie, consen- ; suelle, avec l'autre
oeil
qui se ferme. Dans les deux cas cette ten- danc
THOLOGIQUES. 313 consensuelle par la fermeture exclusive de l'autre
oeil
est plus faible : aussi le rétrécissement de la
hez les catatoniques tient à la moindre tendance à la mydriase de l'
oeil
fermé, ou à leur plus grande facilité à la vaincr
aire, qui sur- compense la tendance mydriatique de l'occlusion de l'
oeil
. Pour finir, une observation de paralysie unila
action à la lumière et à l'accommodation, l'énergique fermeture des
yeux
faisait rétrécir la pupille. P. KERAVAL. z XL.
malade recopiait les modèles d'écriture qu'on lui mettait sous les
yeux
sans savoir ce qu'il écrivait. Il aurait donc été
ticulier. Cécité cérébrale et déviation conjuguée de la tète et des
yeux
. M. Touc : 1E montre un cerveau atteint d'un ge
ble en rien à ce que présente M. Touche. La lésion qu'on a sous les
yeux
est en tout cas exceptionnelle chez l'adulte et i
très variée; la déformation peut être'très apparente et visible à l'
oeil
nu, ou peu marquée et bien visible alors seulem
examen, on constate une légère parésie du pied gauche. Le fond de l'
oeil
, examiné soigneu- sement à deux reprises, a été
le qui débutent par des mouvements conjugués de la tête et des deux
yeux
à gauche, auxquelles succèdent des mouvements c
uante ans, elle avait procédé ainsi loyalement, franchement, sous l'
oeil
vigilant des ministres du commerce et des finan
qui, se trouvant en conversa- tion avec elle et remarquant que ses
yeux
devenaient hagards, lui versa sur la tête le co
ILEPSIE A CRISES DISTINCTES. 359 . connaissance est complète; les
yeux
sont tournés en haut ; les pupilles sont entièr
ce pendant près de dix minutes. Au bout de ce temps, elle ouvre les
yeux
, mais n'est pas encore bien orientée; on la por
oit et le malade avait de la diplopie. Comme l'acuité visuelle de l'
oeil
droit était supérieure à celle de luit gauche,
ente de spasme au niveau de la bouche. Çà et là la face rougit, les
yeux
se fer- ment, les joues se gonflent et se contr
s'il jouait, dans l'em- bouchure de son cor dévissée, on a sous les
yeux
ses lèvres éclai- rées, à l'aide d'un miroir, d
tades de la réaction (grattage, incurvation latérale, fermeture des
yeux
, etc.), mais, l'attaque parfaite, qui jadis éta
e dégénérescence des voies conductrices. Paralysies des muscles des
yeux
se manifestant d'abord par une parésie totale d
muscles des yeux se manifestant d'abord par une parésie totale de l'
oeil
droit qui se limite ultérieurement au muscle dr
ite ultérieurement au muscle droit externe; finalement parésie de l'
oeil
gauche dans les mêmes conditions, nystagmus bil
troubles de la vision en rapport avec la paralysie des muscles des
yeux
. Genèse lentement progressive à la suite d'une af
sis, diminution de la fente palpébrale, enfon- cement du globe de l'
oeil
), indique l'intégrité du rameau commu- nicant q
er ses stigmates, et qu'il faut étudier la peau, les muqueuses, les
yeux
, le coeur, les vaisseaux et les viscères. L'aut
rynx (gomme du palais, périchondrile syphi- litique du larynx) ; 2°
Yeux
: chercher l'iritis (surtout l'iritis plas- tiq
bolie dans la moitié temporale ou externe du champ visuel de chaque
oeil
(fig. 20). Hémianopsie croisée nasale, ou encor
perdre de vue que la portion tempo- rale du champ visuel de chaque
oeil
correspond au segment nasal de la rétine, et sa
ents et à des apparitions de flammèches dans le champ visuel de son
oeil
droit. Ces phosphènes étaient suivis de l'appar
t aux efforts d'ac- commodation. Tous les muscles extrinsèques de l'
oeil
fonc- tionnent bien, des deux côtés. L'examen
on crâne était normalement conformé. L'inspection de la face et des
yeux
ne révélait rien de pathologique, à cela près q
atait pas la moindre anomalie de la vision. L'examen du fond de l'
oeil
n'a donné que des résultats normaux, et cela s'ap
anopsie. Celle-ci affecte la moitié droite du champ visuel des deux
yeux
, à l'instar de ce qui avait lieu chez notre pre
ppelle aussi qu'au point où l'axe antéro-pos- térieur du globe de l'
oeil
rencontre la rétine se trouve la tache jaune, l
tique de droite renferme les fibres issues du segment temporal de l'
oeil
droit et celles qui tirent leur origine du segm
'oeil droit et celles qui tirent leur origine du segment nasal de l'
oeil
gauche. Conséquemment, une lésion qui désorgani
la vision, interrompt les fibres destinées au segment temporal de l'
oeil
du même ~côté et au segment nasal du côté oppos
as perdre de vue que la portion temporale du champ visuel de chaque
oeil
répond au segment nasal de la rétine et la port
t de la tache jaune de chaque côté : la vision cen- lrale de chaque
oeil
serait donc sous la dépendance des deux centres
s, vous savez ce qu'on entend par ces termes. Vous avez eu sous les
yeux
un exemple vivant d'hal- lucinations de la vue,
itation, pour trouver le nom d'objets usuels qu'on place devant ses
yeux
et qu'elle reconnaît d'ailleurs d'une façon trè
mière et aux efforts d'accommodation. Les muscles extrinsèques de l'
oeil
fonctionnent bien. A l'examen ophtal- moscopiqu
oeil fonctionnent bien. A l'examen ophtal- moscopique, le fond de l'
oeil
présente un aspect normal. L'examen péri-optomé
ine faiblesse, et d'une grande maladresse, qui d'ailleurs saute aux
yeux
. Il ne fauche pas, en marchant. Nulle part on n
moi vous rappeler en quoi consiste ce signe : Quand on approche des
yeux
une source de lumière, tant soit peu vive, les
bitemporale. Un coup d'oeil jeté sur la figure placée devant vos
yeux
(fg. 29) vous fera bien saisir les rapports du
es phénomènes en rapport avec la compression des nerfs moteurs de l'
oeil
, ou du trijumeau, des phénomènes de paralysie m
stence réelle des voix qu'elle entend en elle-même. Elles ont à ses
yeux
une véri- table origine exogène. Cependant le s
homotrices, il nous a donné la clef du phénomène ; il a étalé à nos
yeux
les éléments et édifié la genèse de ces hal- lu
hal- lucinations, que nous voyons se constituer entièrement à nos
yeux
sans qu'il nous soit nécessaire d'invoquer pour
i le malade présente quelques altérations pathologiques du côté des
yeux
, le périmètre est supérieur à l'ophthalmoscope
e demeure normale. Longtemps l'image ophthalmoscopique du fond de l'
oeil
ne présente pas de modifica- tions tranchées, p
n obtenant des patients qu'ils fer- massent vigoureusement les deux
yeux
plusieurs fois de suite,-d'un paralytique, chez
l le même changement a heu par l'éclairage ou la mise à l'ombre des
yeux
, - enfin d'une quatrième observa- tion où l'alt
eur antérieure; la pupille gauche, au moment où la malade ouvre les
yeux
, est très fortement rétrécie et ne revient que
eture des paupières maintenues par l'observateur se traduit : sur l'
oeil
droit, par un myosis net avec déviation du globe
tion du globe en haut et en dehors, qui disparaît assez vite, sur l'
oeil
gauche, par un très fort myosis avec rotation d
n dedans, qui ne cesse que très lentement. La malade ferme les deux
yeux
et plu- sieurs reprises coup sur coup énergique
fait insensible à la lumière, elle diminue peu à la fermeture de l'
oeil
et recouvre vite sa dilatation première. La pup
le, diminue' très fortement quand la malade ferme énergiquement les
yeux
, elle ne se redilate que très lentement, aussi
très lentement, aussi est-elle plus étroite que la droite quand les
yeux
restent ouverts à la suite de ce manège. Dans l
e de celle de la pupille gauche. La fermeture répétée énergique des
yeux
intervertit les éléments : la pupille droite de
sensible à la lumière, ne diminue que peu pendant la fermeture des
yeux
, et reprend très vite sa dilatation antérieure, -
aussi l'obtenir en éclairant ou en plongeant dans l'ombre les deux
yeux
. Le paralytique de l'observation 111 a la pupille
large que la pupille droite. Dès qu'il a fermé éner- giquement les
yeux
, la pupille gauche est plus étroite que l'autre,
e. Et bien, en éclairant brusquement d'une lumière intense les deux
yeux
, la pupille gauche devient plus petite que la d
l'inégalité pupillaire émane ici de la réaction différente des deux
yeux
à l'accom- modation. - - Il : n'y a pas de ra
s. VI); 3° contraction égale des deux pu- pilles à la fermeture des
yeux
, sensibilité à la lumière de la pupille la plus
réagissent inégalement à l'accommodation ; c) en faisant fermer les
yeux
aux malades volontairement, quand, la pupille l
ar tous les moyens - possibles, de le rencontrer, en détournant les
yeux
, en les bais- ' sant, etc., etc. Souvent ils po
oint troublé, décontenancé, ; je ne sais où diriger mon regard, mes
yeux
se remplissent de lar- mes, et je suis obligé d
ur, timidité et me paralysent en quelque sorte. Si par hasard ' mes
yeux
se portent sur une personne qui se présente à moi
« Je sens que mon regard réfléchit toujours ma maladie quand ; les
yeux
d'autrui m'indiquent un esprit timoré ou anormal.
dant que je les regarde, je n'ai qu'une idée me rendre compte ; des
yeux
de celui qui me. cause, aussi je néglige le fond
me. cause, aussi je néglige le fond même . de la conversation. Les
yeux
francs et hardis ne produisent pas sur asiles d
e tienne exclusivement à la supposition faite par le malade que ses
yeux
peuvent trahir 'l'état maladif de son esprit. B
lampe électrique au fond d'un entonnoir opaque est placée devant l'
oeil
. Un boulon pressé établit l'incan- descence et
et déclenche une aiguille chronométrique. A la constata- tion sur l'
oeil
libre du réflexe on lâche le bouton et l'aiguille
'emmène au ciel... En prononçant ces paroles, MUe Farget levait les
yeux
au ciel et tentait de saisir sa voisine par la
CHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Contribution à l'étude de l'
oeil
chez lessàiiénés 5 1 ? , Travail du laboratoi
en dehors. Ce rétré- cissement est toujours semblable pour les deux
yeux
dans sa forme, parfois inégal comme degré. Pe
llucinations psycho-sensorielles 'bila- CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'
OEIL
CHEZ LES ALIENES. 3 térales de l'ouïe (voix ins
s du champ visuel. Ci-dessous la partie supérieure de 2 tracés de l'
oeil
gauche (fit. 1 et 2). Le tracé n° 1, pris le 28
champ visuel. Ci-dessous la par- tie supérieure de deux tracés de l'
oeil
gauche (fig. 3 et 4). Le tracé n° 3 pris le 11
de la fig. 5, 5, Le 11 septembre Rétrécissement notable pour les 2
yeux
, hallu- cinations intenses, le malade voit des
u feu).Le 12. N'en voit plus que par instant, le champ monte pour l'
oeil
droit. Le 13. Il se sent bien, on a une élévation
l'oeil droit. Le 13. Il se sent bien, on a une élévation pour les 2
yeux
. Le 8 octobre. Abaissement des 2 yeux, le malade
on a une élévation pour les 2 yeux. Le 8 octobre. Abaissement des 2
yeux
, le malade est déprimé. Le 9. Il est bien, le c
t déprimé. Le 9. Il est bien, le champ s'élève nettement pour les 2
yeux
. Le 11. Nouvel abaissement du champ visuel avec é
ation le lendemain. Le 19. Abaissement du champ vi- suel pour les 2
yeux
, avec rétrécissement notable en haut et en - de
TION A L ETUDE DE L'OEIL CHEZ LES ALIENES. 7 Abaissement pour les 2
yeux
, rétrécissement en haut et en dehors, hallucina
artie supérieure des tracés du 11 septembre, et du 8 octobre pour l'
oeil
gauche (fig. 6 et 7). La figure 6 présente les
, voûte pala- Ons. 23. Fin 9. - O. G. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'
OEIL
CHEZ LES ALIÉNÉS. 11 tiné élevée, dentition mau
périmétriques. Ci-dessus la partie supérieure de deux tracés de l'
oeil
droit (fig. 11,'et 12). , Ons. 17. FIG. 11.
906. Microcéphalie. Voûte palatine élevée, oreilles mal conformées,
yeux
petits, regard Ons. 40. Fic.. 13. - rlat normal
l. Obs. 40. FIG. 14. des brouillards. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'
OEIL
CHEZ LES ALIENES. 13 sans expression. Diminutio
concordants. Ci-dessus la partie supérieure de deux tracés pour l'
oeil
droit (ng. 13 et 14). Le tracé n° 13, pris le 3
uel en haut (fig. 15). Le 24 août. Rétrécissement portant sur les 2
yeux
, hallucina- tions intenses (voit des gendarmes
u lever,soit 14 heures après ; le soir même, le champs'élève pour l'
oeil
gauche, l'oeil droit restant stationnaire, des
heures après ; le soir même, le champs'élève pour l'oeil gauche, l'
oeil
droit restant stationnaire, des hallucinations pe
. -Le 7. Le malade est calme. On a une ascension franche pour les 2
yeux
. Le 10. ascension des deux yeux notable surtout
a une ascension franche pour les 2 yeux. Le 10. ascension des deux
yeux
notable surtout pour l'oeil droit ; le 11, le mal
r les 2 yeux. Le 10. ascension des deux yeux notable surtout pour l'
oeil
droit ; le 11, le malade est très agité (les br
les voit pas, car ils sont enfermés), il y a un abaissement pour l'
oeil
droit ; l'oeil gauche restant stationnaire ; le
car ils sont enfermés), il y a un abaissement pour l'oeil droit ; l'
oeil
gauche restant stationnaire ; le 12, le malade
stationnaire ; le 12, le malade est calme.-Le 21 as- cension des 2
yeux
, le lendemain agitation violente, sans halluci-
halluci- nations de la vue. Le 20 octobre, abaissement notable de l'
oeil
droit, le lendemain hallucinations de la vue, a
nemis. frappe les murs pour les écraser, etc..), l'abaissement de l'
oeil
gau- che est constaté. Le 23, ascension notable
e l'oeil gau- che est constaté. Le 23, ascension notable pour les 2
yeux
, le malade étant calme. a Imbécillité avec st
l'asile le 23 janv. 1906. - Front bas, CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'
OEIL
CHEZ LES ALIENES. 15 étroit, oreilles mal confo
ement concordants 'Ci- dessus la partie supérieure de 2 tracés de l'
oeil
gauche '(fig. 16 'et 17). ). - OBs. 117. Fac.
mens périmétriques. Ci-contre la partie supérieure de 2 tracés de l'
oeil
droit (fig. 18 et 19). Le tracé n° 18 pris le 1
. 20. 0. D. OBS. 37. Fie. 21. - 0. G. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'
OEIL
CHEZ LES ALIÉNÉS. 10 citation ou de dépression
els en haut (fig. 23). Le 8 septembre. Le champ visuel monte pour l'
oeil
gauche, la malade devient agitée la nuit d'aprè
t d'après. -Le 30 septembre. Le champ visuel baisse à 55 pour les 2
yeux
, la malade dort la nuil, est calme Ons. 48. FIG
en que paraissant déprimée, le champ vi- suel monte à 60 pour les 2
yeux
, elle s'agite la nuit et les jours sui- vants.
hamp est glo- balement étendu. Le 5 septembre. Ascension pour les 2
yeux
cons- tatée à 4 heures de l'après-midi, isolé l
, isolé le lendemain au réveil. Le 6. L'élévation s'accentue pour l'
oeil
gauche. le malade reste isolé. Le 7. Chute pour
e pour l'oeil gauche. le malade reste isolé. Le 7. Chute pour les 2
yeux
, le malade est calme. Le 12. Le malade est dépr
imé, on avait un abaissement la veille. Le 17 sept. Ascension des 2
yeux
s'accompagnant de logorrhée. Le 18 sept. Chute,
nt de l'examen, le champ reste cependant sensiblement normal pour l'
oeil
droit ; elle a été agitée toute la nuit précédent
amp visuel complets pour le blanc. Ci-contre 2 tracés complets de l'
oeil
gauche pour le blanc (fig. 26 et 27). 2° Avec
idi accuse un rétrécissement net du champ visuel en haut pour les 2
yeux
; le soiràlO h. 1/2, soit 7 heures 30 après, sa
visuel dans ce cas nous a présenté une oscillation contraire pour l'
oeil
gauche, l'oeil droit restant rétréci. Le rétréc
cas nous a présenté une oscillation contraire pour l'oeil gauche, l'
oeil
droit restant rétréci. Le rétrécissement pour l'o
oeil gauche, l'oeil droit restant rétréci. Le rétrécissement pour l'
oeil
gauche a donc dû se produire plus tard, soit qu
tard, soit quelques heures avant l'hallucination. -Le 6 octobre. L'
oeil
gauche étant déjà fortement rétréci, nous trouv
éjà fortement rétréci, nous trouvons un abaissement très net pour l'
oeil
droit ; à 10 heures 1/2 du soir, le malade tent
ssement correspond à des hallucinations CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'
OEIL
CHEZ LES ALIÉNÉS. 27 champ pris à 4 h. de l'apr
4 h. de l'après-midi, donne un rétrécissement no- table pour les 2
yeux
, le lendemain matin à 10 heures, le malade a un
es après reste rétréci, il redevient normal le lendemain pour les 2
yeux
. Le 2 octobre. Ou a un rétrécissement pour l'oeil
demain pour les 2 yeux. Le 2 octobre. Ou a un rétrécissement pour l'
oeil
droit et une crise dans la soirée. Le 10 oct.
oit et une crise dans la soirée. Le 10 oct. Rétrécissement pour l'
oeil
droitcrise légère quelques heures après.- Le 30
ise légère quelques heures après.- Le 30. Rétrécissement pour les 2
yeux
.- Le 31 à 2 h. de l'après-midi, crise violente.
te ; le lendemain iL, novembre le champ redevient normal pour les 2
yeux
. 2° 77 ? /.</c//</;«'. Chez ces malades é
s, et qui porte sur tous les aliénés. - .. - Chapitre II. Fond DE L'
OEIL
. Nous avons pour chaque classe de malades, divi
ies : d'un côté l'état des pupilles, de l'autre l'état du fond de l'
oeil
. La réfraction a fait l'objet d'un paragraphe s
é des milieux (opacités cristalliniennes) soit du côté du fond de l'
oeil
(staphylome postérieur), lorsque res lésions no
ous sommes servis pour l'examen du fond de 2S CL1N1QIE MENTALE. l'
oeil
, de l'ophtalmoscope à imago droite, qui seul, don
ndocile ou inconscient. Les aspects ophtalmosco- piques des fonds d'
yeux
normaux sont quelquefois si va- riés, que l'on
ne sera peut-être pas inutile d'ajouter, que nous avons examiné les
yeux
des aliénés, sans connaître ni le genre de leur
fréquents de la paralysie générale. -- CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'
OEIL
CHEZ LES ALIÉNÉS. 29 Pour Terrien, elle exister
. Nous l'avons presque toujours rencontré, à la fois sur les deux
yeux
, généralement franc, c'est-à-dire avec conservati
uel. 2° Examen du fond de l'eil. L'examen ophtalmos- copique de l'
oeil
des paralytiques généraux ne nous a rien révélé
ssait le plus souvent du réflexe lumineux. 2° Examen du fond de l'
oeil
, Le fond de l'oeil des hallucinés présente les
vent du réflexe lumineux. 2° Examen du fond de l'oeil, Le fond de l'
oeil
des hallucinés présente les mêmes signes que ce
, aussi bien du côté de la papille, qui CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'
OEIL
CHEZ LES ALIÉNÉS. 31 paraît tantôt hyperhémiée,
que cet aspect ophtal- moscopique soit caractéristique du fond de l'
oeil
de l'hal- luciné ; nous l'avons trouvé, en effe
oscopie de 1876, reproduit, dans la figure 81, l'image du fond de l'
oeil
droit d'une enfant de 9 ans atteinte « d'épi- l
nous l'avons trouvée inférieure à 1/2. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'
OEIL
CHEZ LES ALIENES. 33 C. Etat avec troubles DE l
si bien à l'accommodation qu'à la lumière. 2° Examen du fond de l'
oeil
. A l'examen ophtalmos- copique, nous avons noté
ion, dans 8 % des cas à la fois à l'un et à l'autre. Le fond de l'
oeil
du maniaque ne nous a paru présenter rien de ca
un certain nombre de cas. Il nous a paru cependant que le fond de l'
oeil
du maniaque était plus hyperémié, mieux nourri
remarquable, c'est l'état de flexuosité des vaisseaux du fond de l'
oeil
(50 % des cas contre 28 % pour l'ensemble des a
'imbécile, de donner un nom à la couleur qui lui est présentée. L'
oeil
des aliénés considéré au point de vue de la réfra
L'oeil des aliénés considéré au point de vue de la réfrac- lion. L'
oeil
des aliénés, pris d'une façon générale, ne nous
% des cas, plus forte (au-dessus de une CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'
OEIL
CHEZ LES ALIÉNÉS. 35 dioptrie), dans 11 % des c
. rolog. Centralbl, XIII, 1894.- ATHANASSIO (ALEX.) (Bucarest). L'
oeil
des mélancoliques. Archives de neurolog., mars 18
RAVIAIiT et CAUDRON. Contribution il l'étude de l'état du fond de l'
oeil
dans la paralysie générale (Résul- tat de l'exa
ensorielle gauche. Arch. Neurol., 1905. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'
OEIL
CHEZ LES ALIENES. 37 FERAY. Séméiologie des hal
rch. neurol., mai 1904. A. Keraval et DAN HAN. L'étaL du fondde l'
oeil
chezles paraly- tiques généraux. Arch. neur., 1
aux. Arch. neur., 1904.-K>;nnvnr, etRAviART. L'état du fond de l'
oeil
chez les paralytiques généraux et ses lésions ini
paralysie générale. A. N. juin 1905. MARTIN (G.). Des rapports de l'
oeil
avec l'épilepsie. Journ. deméd. de Bordeaux, N°
vtnnr et CAUDRON. Fréquen. ce et évolution des lésions du fond de l'
oeil
dans la paralysie géné- rale. Journ. de neur.,
mais qui respectait le droit externe et la musculature interne de l'
oeil
: muscle du corps ciliaire et muscle irien. C'é
savons bien, n'aiment guère ce mot d'adjoints, qui emporte à leurs
yeux
une certaine subor- dination. Cependant, jusqu'
ue le malade ait à attendre qu'une autorité quelconque ait jeté les
yeux
précisément sur le folio 6 le concernant et où
signé la demande d'admission peut faire opposition ! C'est, à mes
yeux
, une simple monstruosité : car si le tri- bunal
u'aux genoux o 124 CLINIQUE MENTALE. la tête congestionnée, les
yeux
brillants ; il mange très peu et maigrit beauco
membres ou de la face, sans déviation conjuguée de la tète. ni des
yeux
. Les symptômes sont rattachés par l'auteur aune
d'une cécité psy-' chique, mais d'une lésion organique du fond de l'
oeil
; la marche devint titubante, les vomissements e
ent réfléchie par les globes oculaires de l'expérimentateur ; - des
yeux
de verre auraient sûrement le même effet ; la c
ucune relation entre les mouvements de la malade et la position des
yeux
de ^observateur. » Dans le procès-verbal des ex
restant en place, « l'expérimentateur fixe simultané- ment les deux
yeux
du sujet... l'action du regard est entière sur
ment les deux yeux du sujet... l'action du regard est entière sur l'
oeil
libre et ouvert ; elle est amoindrie sur l'ceil r
n verra des expérimentateurs poser en principe que l'occlusion de l'
oeil
gauche exclut l'hémisphère droit de toute parti
trecroisements grâce auxquels, au fonctionnement successif des deux
yeux
, de leurs centres et de leurs muscles, des anim
e l'immense classe des faits qu'elles concer- nent. t. « Dans les
yeux
composés à facettes des Insectes, l'image réti-
mposée présente la même orientation que l'objet. Aussi quand un tel
oeil
est pourvu d'un appareil musculaire, au lieu de
centre situé derrière lui dans le corps de l'animal. » (Wundt). Cet
oeil
réalise à merveille la vision « toucher à dista
l'entrecroisement est complet.Chez les Vertébrés in ré- rieurs, les
yeux
sont en général placés latéralement et leurs hAlI
ême pas toujours contigus ; mais, chez les animaux plus élevés, les
yeux
se placent t de plus en plus en avant et leurs
visuel sa position naturelle par rapport à celle donnée par l'autre
oeil
; son extrémité externe sur la rétine redevient i
inon contiguë à l'extré- mité interne de l'image donnée par l'autre
oeil
et également trans- portée sur le centre visuel
t correction des rapports mutuels des images rétiniennes des doux
yeux
, mais encore redressement, dans le centre nerveux
sans l'hypothèse du croisement vertical des fibres ; dans tous les
yeux
pourvus d'un système dioptrique opérant le renv
le renversement des images, le centre de rotation est intérieur à l'
oeil
, au lieu de lui être extérieur comme dans les y
st intérieur à l'oeil, au lieu de lui être extérieur comme dans les
yeux
pédonculés des Invertébrés. Quand la tache jaune,
r un mécanisme semblable, c'est-à-dire, par les mouvements,des deux
yeux
, l'orientation adéquate de3 deux images rétinie
d'un objet allant par exemple du bord externe du champ visuel de l'
oeil
droit au bord externe du champ visuel de l'oeil
u champ visuel de l'oeil droit au bord externe du champ visuel de l'
oeil
gauche : l'oeil droit accom- pagne l'objetgrâce
e l'oeil droit au bord externe du champ visuel de l'oeil gauche : l'
oeil
droit accom- pagne l'objetgrâce à la con tracti
u droit interne; dès quel'objet passe dans le champ visuelgauche, l'
oeil
gauche le saisit t car il est dirigé en dedans
suivie immédiatement de celle du droit externe, grâce à laquelle l'
oeil
gauche accompagne l'objet jusqu'à sa sortie du
) devrait suivre une marche interrompue : par exemple, tant que l'
oeil
droit se meut, se propager de dedans en dehors, p
'oeil droit se meut, se propager de dedans en dehors, pour, quand l'
oeil
gauche se meut à son tour.sauter aux centres du c
s rapprochés situés dans le champ visuel commun, les mouvements des
yeux
sont exécutés synergi- quement et symétriquemen
ar rapport au plan médian et, conséquemment, par rap- port à chaque
oeil
. Les conditions présidant dans les centres à la
e, c'est que, pour toute la portion du champ visuel commun aux deux
yeux
et ser- vant à la vision stéréoscopique, les vo
t aux lois particulières de laquelle sont soumis les mouvements des
yeux
. Elle impose naturellement le croisement comple
saire pour que les SUR LA- 5YMTRJ¡ ? UILATÉRALE DUCORPS. 197 deux
yeux
fonctionnent symétriquement par rapport à l'un de
s, les seules, que l'auteur ait trouvées, et qui justi- fient à ses
yeux
la permanence de la bi-individualité et l'oppos
solue ; que, pour les mouvements bilatéraux dyssymé- triqués (tête,
yeux
, mouvements de la marche. etc.), il existe des
on, formée en commun (par les organes dit tact et du mouvement, les
yeux
et leurs 11ll ! scles)est ensuite uti- lisée pa
aune ». Ellesupplie de prévenir sa mère de sa mort pro- chaine. Les
yeux
en larmes elle insiste pour qu'on aille la cher-
a narine gauche de la moitié gauche de la langue. la vi- sion par l'
oeil
gauche et non pas à la vision dans la moitié gau-
pas à la vision dans la moitié gau- che des champs visuels dea deux
yeux
; la motricité des deux membres gauches à la mo
s certaines circonstance. Dans l'amaurose hystérique unilatérale, l'
oeil
atteint fonctionne dans la vision binoculaire,
i « les hommes de science sont les derniers à voir ce qui saute aux
yeux
n (p. 31), la vérité s'est pourtant imposée, et
ains et les frotte vive- ment l'une contre l'autre. « Ferme-t-on un
oeil
du sujet, le bras du même'côté retombe inerte,
bles. Le dernier cas milite dans le même sens : l'occlu- sion d'un
oeil
agit également sur les deux hémisphères : il n'
tte de supposer que l'inertie du bras produite par l'occlusion de l'
oeil
droit résulte de la suppression fonctionnelle d
ain de lire et dont la lecture est interrompue par l'occlusion d'un
oeil
, le droit, tandis que l'occlusion de l'oeil gau
ue par l'occlusion d'un oeil, le droit, tandis que l'occlusion de l'
oeil
gauche reste sans effet. Il suffira de rapporte
oite et la gauche et les solidarisent. Cela serait surtout vrai des
yeux
, car, de chaque oeil partent des nerfs qui vont
les solidarisent. Cela serait surtout vrai des yeux, car, de chaque
oeil
partent des nerfs qui vont de l'un à l'autre ce
he pas que le cerveau gau- che à cessé de voir ? quand on a fermé l'
oeil
droit du su- jet. » (p. 28). Il faudrait avoir
circonstance tout à fait accessoire, établie entie la vision par l'
oeil
droit (im- pression des deux moitiés du champ v
l'oeil droit (im- pression des deux moitiés du champ visuel de cet
oeil
, fonctionnement de ses muscles,etc.)et l'exerci
; la suppres- 310 psychologie. ' sion totale du champ visuel d'un
oeil
ne peut avoir avec l'inhibition des centres du
pression sur le vertex...; on lui ordonne d'ouvrir complètement les
yeux
.On fixe alors dans le plan vertical médian de l
a figure du sujet un écran disposé de telle façon que chacun de ses
yeux
ne puisse voir que les objets situés du côté co
ne : Pneumogastrique. Nerfs sensoriels, sensitif et et moteurs de l'
oeil
. Bulbe rachidien. Centres moteurs corticaux. Ep
nd le menton ou l'oreille, monte ses petites mains à hauteur de ses
yeux
». (p. 122) et de psychologue : « Du dix-huitiè
nt souvent recouverts d'une épaisse couche. J'ai vu, de mes propres
yeux
vu, ramasser de la salade de pis- senlit pour l
x concomitants; 3° renseignements fournis parl'examen du fond de [l'
oeil
, des pupilles et des réflexes pupil- laires ; 6
ome, caractérisé par des troubles myotoniques de la musculature des
yeux
, de la langue et des membres supérieurs survenu
me complet B. LA'l11ÉTHOIJE POUR LES SCIENCES BIOLOGIQUES. .Aux
yeux
de l'Auteur,cette méthode, d'un ordre tout à fa
éoscopique ; courant d'inhibition dans les mou vements latéraux des
yeux
: mouvements de l'accomo dation ; manifestation
, VIII, p. 396 à 400, 1902. Chez les ambidextres, la mémoire de l'
oeil
et de l'oreille gauches l'emporte constamment, co
ches l'emporte constamment, comme chez les gauchers, sur celle de l'
oeil
et de l'oreille droits. BLEULER. -Psyclziatr.-n
ui depuis sept ans ré- dige chaque semaine, et sans modèle sous les
yeux
, six lettres si exactement identiques en tout q
s de céphalée, vomissements et trou- bles oculaires ; l'examen de l'
oeil
fit constater une stase papillaire marquée à dr
; 3° Soins de propreté spé- ciaux chez fébricitants : bouche, nez,
yeux
, etc. ; 4° Prise et ins- cription de la tempéra
s, p. 310. Industrie et - ; par Sullivan, p. 428. Aliénés. Voir
OEil
. Voir Pa- ralysie générale. Les - en li- bert
t- « établir - terminé en forme de fourche z, Râle de l'iris. - L'
oeil
ne voit pas seulement par la réfraction « opéré
ls entendraient bien. Ce trou n'est pas dans le « champ visible à l'
oeil
dans les conditions actuelles; il y aura à « co
hiératique, les cheveux étalés soigneusement sur son oreiller, les
yeux
brillants, l'air inspiré, le ton prédicant, ell
figure grossièrement un profil de tête d'homme. Elle- l'a tracé les
yeux
fermés, machinalement, sans diriger sa main ell
ecteur céleste. Fig. 1. - Premier dessin médianimique exécuté les
yeux
fermés par Cam... MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 17
ersation banale, Cam... entre en état d'inspiration, elle ferme les
yeux
. Son crayon s'applique sur le papier très forte
emble de lignes courbes et de lignes droites; sans avoir ouvert les
yeux
elle ajoute des points et une barre intérieure
e (fiq.2) qui forment très imparfaitement une figure humaine. Les
yeux
toujours fermés, mais après avoir regardé elle éc
piration continuant, elle ferme aussitôt pour la troisième fois les
yeux
et écrit précipitamment sur la même feuille : « D
ints sont exécutés de la même manière, les,points étant ajoutés les
yeux
fermés. Chacun d'eux reçoit. son explication so
e, plutôt au Nord qu'au Fig. 3 a. - Dessin médianimique exécuté les
yeux
fermés. Nous demandons ce qu'il représente :
gure 5 nous est expliquée Fig. 3 b. Dessin médianimique exécuté les
yeux
fermés, les points ont été mis après, mais avan
ermés, les points ont été mis après, mais avant d'avoir rouverl les
yeux
. « C'est, dit Deus à Cam, une constellation prè
Afrique « pays de neige - pays bleu - » Les points qui forment les
yeux
et le nez ont été ajoutés, les yeux toujours cl
- » Les points qui forment les yeux et le nez ont été ajoutés, les
yeux
toujours clos, ainsi que labarre de la bouche,
avoir terminé le dessin de la figure 8, Cam... écrit de nouveau les
yeux
ouverts : « Explication du dessin b donnée corr
sable par l'âme impérissable. Perfection- % 4. Dessins exécutés les
yeux
fermés ; légendes dictées par Deus après avoir
b. A, manche du fnuel. Fig. G. Dessins médianimiques exécutés les
yeux
fermés. Deus a dicté les explications immédiate
de l'automatisme de Cam.... l'un de nous lui demanda de tracer, les
yeux
clos, une ligne longue et repliée sur elle-même
epliée sur elle-même en sinuosités compliquées, et, sans ouvrir les
yeux
, de revenir du point terminal de la ligne au poin
sultat en fut en effet tout différent, la malade ne put jamais, les
yeux
fermés, revenir sur les méandres d'une ligne qu
aires, cellules d'origine des libres optiques. Nous avons coupé les
yeux
de 11 tabétiques amauroti- ques et dans tous le
omatopsiques. En SOCIÉTÉS SAVANTES. 83 général, l'excitation de l'
oeil
par les couleurs centrales entraine le re- tour
et récents et des fausses réminiscences; en même temps sautait aux
yeux
une certaine vivacité de la psychique, une expr
yeux une certaine vivacité de la psychique, une expression vive des
yeux
et de la face. Dans le cours ultérieur, l'état
nefois et demie plus souvent que chez les femmes; surtout saute aux
yeux
ce fait que la plus grande majorité des cas de
de mon collègue, M. le professeur agrégé Jeanselme, mettre sous vos
yeux
un malade atteint d'une affection relativement
x, que vous allez voir chez le malade que je vais placer sous vos
yeux
. Il y a quelques années, j'ai déjà eu l'occasion
- tion manifeste et progressive : l'éruption de la face a pâli, l'
oeil
droit se ferme mieux, l'anesthésie a diminué, la
ent, en jetant un coup d'oeil sur les schémas que je place sous vos
yeux
, vous rendre compte de la disposition de ces tr
l. DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 105 est surtout marqué autour de l'
oeil
et sur le nez et, en ces deux points il s'accom
actile que pour les deux autres; elle predomine au nez, autour de l'
oeil
droit et à l'oreille droite. La palpation, pr
té qu'éprouvair la malade à rappro- cher les sourcils et à fermer l'
oeil
gauche : celui-ci présentait en outre de l'épip
lement identiques chez le malade que je viens d'examiner sous vos
yeux
et chez la femme dont je vous ai résumé l'histoir
que, d'atrophie du type Aran-Duchenne. Je place à dessein, sous vos
yeux
, cette autre malade atteinte en effet de cette
e de la névrite interstitielle hypertrophique ? Je place sous vos
yeux
une de nos malades du service atteinte de cette d
plus fréquente, c'est celle aussi que je viens de mettre sous vos
yeux
. La nature et la répartition des troubles troph
oute .m fond de toi cet esprit qui te charme . Et qui, du coeur aux
yeux
fait monter une larme Sans que sa voix résonne
a rosée solidifiée, « une vapeur vivante et une tête dominante; des
yeux
bleus vert « clair; une barbe de Dieu assyrien
coeur sur l'infini penché ' Dieu pénètre en nos coeurs et reste aux
yeux
caché, L'on sent que sa bonté vous calme et vou
ont nous ne pouvons qu'indiquer l'idée générale. Après avoir lixé l'
oeil
, on enfonce, soit obliquement à travers la corn
Quatre zones produiraient un effort de l'accommodation, tdntde l'
oeil
du même côté que de l'oeil du côté opposé à l'exc
t un effort de l'accommodation, tdntde l'oeil du même côté que de l'
oeil
du côté opposé à l'excitation. L'une occupe une
t il se compose de grosses cellules multipolaires déjà visibles à l'
oeil
nu, souvent plus volumineuses que les cellules
stance achromatique comme la chromatique. déviation conjuguée des
yeux
avec rotation en sens opposé de la tête. MM. Ro
s sa face même, il est une région infiniment sensible : ce sont les
yeux
. Les regards fixés sur ses yeux et rencontrant
n infiniment sensible : ce sont les yeux. Les regards fixés sur ses
yeux
et rencontrant ses propres regards le mettent d
des expressions artificielles décontenance. Enfin, pour voiler les
yeux
, le moyen le plus simple est de baisser les pau
t voir toujours devant lui, même quand il fermait ses paupières, un
oeil
fixe qui le regardait, semblable à l'oeil de la
fermait ses paupières, un oeil fixe qui le regardait, semblable à l'
oeil
de la conscience dans la légende de Caïn. Parfo
ttribuer leur phobie des regards étrangers. Pour le visage et les
yeux
l'explication est un peu diffé- rente. Il sembl
ades qu'exposer ainsi à la vue des profanes leur visage nu et leurs
yeux
où se réflète leur pensée intime et qui trahiss
'est un mal que je porte avec moi, que j'ai tou- jours là, dans les
yeux
. Je ne puis supporter qu'on me regarde, et le r
le regard qui se fixe sur moi je ne puis le soutenir. A sentir les
yeux
de quelqu'un qui se posent sur moi, sur mon corps
conversation, si c'est moi qui parle, je regarde successivement les
yeux
, le nez, la bouche de mon « adversaire », puis
es yeux, le nez, la bouche de mon « adversaire », puis je porte les
yeux
sur un objet voisin. Tout en discourant, je pen
l'air de ne pas l'écouter. Alors, je fixe sa pupille, le blanc de l'
oeil
, j'essaie de suivre le mouvement des paupières.
disais, il me regarda de côté, sans remuer la tète, en tournant les
yeux
. Ce regard de travers me troubla; il produisit
ensée et de la parole, une envie de fuir et de se cacher à tous les
yeux
. ' Ce sont les regards fixés sur son visage qui
elle ne le peut point. Lorsqu'elle essaye seulement de diriger ses
yeux
vers ceux de ses interlocu- teurs, aussitôt ses
nales, thyroïde, etc. De ces deux constatations, la première, à nos
yeux
, signifie simplement qu'une prédisposition est
reste, les liens de parenté que l'état démentiel éclate à tous les
yeux
; ou bien les accalmies ne sont pas assez franch
alysies associées, bilatérales, lévogyres ou dextro- gyres des deux
yeux
, frappant du même coup le droit interne du côté
phtalmie puru- lente des nonveau-nés, avec lésions plus graves de l'
oeil
gauche et des voies optiques gauches, morte de
berculose dans le service du Dr Viallon. L'examen nécropsique des
yeux
, fait par M. le Dr Louis Dor, a montré l'existe
i on incurve le crin en anse, et que l'on applique cette anse sur l'
oeil
, on peut étudier la sensation de con- tact. Pou
us nous sommes servis d'eau chaude ou d'eau froide instillée dans l'
oeil
au moyen d'un compte-gouttes à extrémité capill
aire. L'internement dans un asile spécial ne serait justifié, à mes
yeux
, que pour quelques dégénérés doués de mauvais i
sur le iront une légère entaille, tandis qu'ils mettaient sous les
yeux
du patient, au bout d'une énorme pince, une pie
ue des deux points faibles du trajet du nerf : a) son entrée dans l'
oeil
, où il est resserré dans la gaine scléroticale ;
ucculente) . Enfin, la malade est atteinte d'un clignement des deux
yeux
, qui semble avoir eu pour point de départ la ph
ature et l'origine. Contribution à l'étude de l'état du fond de l'
oeil
dans la paralysie générale. (Résultat de l'exam
RT et Chaudron. - Conclusion : On a trouvé des lésions du fond de l'
oeil
chez les paralytiques générales dans une propor
ais perdue, il dit lui-même en riant, qu'il a toujours la larme à l'
oeil
. De treize à dix-sept ans, il a habité avec son
pieds nus et en jupes courtes. C'est dans ce pays et avec sous les
yeux
cette pittoresque nudité, que la puberté évolua
t d'abord exprès de multiplier les occasions de les placer sous ses
yeux
et quand elle jugea le moment venu, elle demanda
ession de la folie de sa mère, je commençai par lui mettre sous les
yeux
, l'opinion de M. Magnan, que l'obses- sion n'év
nettes, le malade croyait voir les têtes, les parties du corps, les
yeux
de quelqu'un de ses proches parents, par exemple
oyait le portrait de son père défunt, en aspect d'un crâne avec des
yeux
; ces fausses représentations visuelles pour la
in dans la bouche, que ce n'était pas du pain, mais, par exemple, l'
oeil
de sa mère ou de son frère ; et il se sentait t
sentait tellement, parfois, comme s'il mangeait effectivement les
yeux
ou les organes génitaux de ses parents; pourtant,
obscènes, sacrilèges et grossières ; dans le cas donné sautent aux
yeux
les associations obsé- dantes des idées et des
sont les troubles du sommeil. La nuit, dès que la malade ferme les
yeux
, se produisent des rêves et des L'ANESTHÉSIE AV
e jusqu'au moment où elle se réveille ou plus exactement, ouvre les
yeux
; alors tout disparait. Ces cauchemars sont, po
ont, pour ainsi dire, stéréotypés ; ils se produi- sent dès que les
yeux
sont fermés et ne disparaissent que lorsque les
nt dès que les yeux sont fermés et ne disparaissent que lorsque les
yeux
se rouvrent. Mais il lui est impossible d'ouvrir
yeux se rouvrent. Mais il lui est impossible d'ouvrir elle-même les
yeux
ce qu'elle traduit en disant qu'il faut qu'on la
caractéristique, c'est que la malade ne peut d'elle-même ouvrir les
yeux
; elle sent qu'elle est réveillée, mais elle ne
cient elle appelle à son aide et demande qu'on lui fasse ouvrir les
yeux
. « Dès que mes yeux sont ouverts, je sais où je
son aide et demande qu'on lui fasse ouvrir les yeux. « Dès que mes
yeux
sont ouverts, je sais où je suis et alors je suis
rreur, il faut l'appeler doucement et encore mieux souffler sur ses
yeux
, elle les ouvre et tout est fini. En présence d
nir les mêmes phénomènes. Voici comment je pro- cède : je ferme les
yeux
à la malade (ce qui m'est difficile les paupièr
laint jus', qu'à ce que, cédant à sa prière, on lui fait ouvrir les
yeux
, alors elle est bien et tout disparaît. On peut
t bien et tout disparaît. On peut répéter la chose à l'infini : les
yeux
fermés, les cauchemars apparaissent, pour ainsi
s, les cauchemars apparaissent, pour ainsi dire instantanément, les
yeux
ouverts ils dispa- raissent. Demandez à la mala
de si réellement elle dort : «Je ne sais pas, mais dès que j'ai les
yeux
fermés j'étouffe et j'ai peur ». Ces deux sensa
ns pas et cela pour deux raisons : . 1° Cette malade, dès que ses
yeux
sont fermés, perd abso- lument la notion de tem
« ce doit être puisque vous le dites.... mais faites-moi ouvrir les
yeux
et alors je saurais ». Demandez lui si elle dor
al parce que je n'y vois pas ». Faites-là marcher et fermez-lui les
yeux
ou plus simplement empèchez-là de voir ses jamb
ne peut tenir debout. Demandez-lui où elle est et fer- mez-lui les
yeux
elle ne saura plus. En sorte que par cet acte s
le ne saura plus. En sorte que par cet acte simple, l'occlusion des
yeux
, on arrête sa vie tant physique que psychique.
que vous me dites parce que je n'y vois pas ; faites-moi ouvrir les
yeux
et alors je me rendrais compte ». 2° Si on déte
ous occupe, c'est que, dans ce somnambulisme provoqué, bien que les
yeux
soient fermés, la malade ne pré- sente pas ces
pparaissent lors- qu'on se borne simplement à faire l'occlusion des
yeux
. Dans ce dernier cas le sujet est absolument re
bat, crie, se plaint, demande instamment à ce qu'on lui ouvre les
yeux
. Dans le premier cas, au contraire, il est calme,
NESTllESOE AVEC LES RÊVES ET LES CAUCHEMARS. 315 â pas à ouvrir les
yeux
; si on les lui fait ouvrir il ne se rend pas c
je ne sens plus rien, je tombe, je m'étouffe, je vais mourir ». Lés
yeux
fermés elle est incapable d'une pensée, d'un mo
tat de pseudo-veille de son pseudo-sommeil c'est, dans' un cas, les
yeux
ouverts, dans l'autre, les yeux fermés ; mais d
do-sommeil c'est, dans' un cas, les yeux ouverts, dans l'autre, les
yeux
fermés ; mais dans ces deux états les trou- ble
Ce qui, à première vue, peut tromper c'est que, lorsqu'elle* a les
yeux
ouverts, grâce aux points de repère qu'elle peu
nt interpréter les cauchemars que notre malade présente dès que ses
yeux
sont fermés ? Par l'anes- thésie. Nous avons di
au- ses de mort. Elle ne peut sortir de cet état qu'en ouvrantles
yeux
, elle a alors la preuve visuelle qu'elle n'était
hypnotique : l'impossibilité de la malade à ouvrir spontanément ses
yeux
. Ici encore c'est l'anesthésie qui nous donnera
même lorsqu'elle veut dormir, ce qui pour elle revient à fermer les
yeux
, est obligée de mettre sa tête basse, de se cou
jeune homme de dix-huit ans qui louchait depuis son jeune âge de l'
oeil
gauche, astliénopique,. en dedans, mais posséda
t une vision binoculaire passable. On est obligé de lui énucléer. l'
oeil
droit. Quand dix-huit jours aptes l'opé- ration
it jours aptes l'opé- ration, on l'examine, il dit voir double de l'
oeil
gauche qui lui reste : à gauche et un peu au-de
u'il fixe, il voit un fantôme moins net. Pour fixer ce fantôme, son
oeil
exécute un déplacement de 5° environ, et à ce m
cation saccadée des coefficients de réfrangibilité des milieux de l'
oeil
. M. Storch pense qu'on est obligé d'admettre qu
l'élément sentant de la rétine, qu'il a encore un autre facteur. L'
oeil
qui louche a une macula physiologique à lui ada
ppréciation de la pers- pective sous la direction de la macula de l'
oeil
sain. Il a pour ainsi dire deux centres de perc
ien, celui des adaptations originelles, et celui que lui a imposé l'
oeil
normal. Tant que ce dernier lui imposait de fai
s adaptations origi- nelles demeuraient inconscientes. Le jour où l'
oeil
normal a été enlevé, celles-ci ont repris leur
sième, 23 attaques, obtusion croissante, déviation alternative des
yeux
, veines rétiniennes turgescentes, hémiparésie gau
à douze ans elle avait été affectée d'un clignotement convulsif des
yeux
qui en deux mois avait cédé au K. Br. et aux bain
pé- ration fait invariablement reparaître le trouble de la vue de l'
oeil
qui a été le premier endommagé. 2° Ce trouble v
est sou- vent tout aussi accusé et même plus marqué que celui de l'
oeil
qui est à son tour endommagé par la seconde opé
seconde opération. 3° On observe parfois que le trouble visuel de l'
oeil
qui correspond au côté opéré en dernier subit u
pupilles à la lumière normale des deux côtés. On a donc sous les
yeux
les traces d'une affection spinale aiguë. L'atr
foy et recula d'horreur devant le spectacle qui se présentait à ses
yeux
. Complètement nu, le ventre ouvert et per- dant
C'est ainsi que j'ai pu rendre quelques services en dessillant les
yeux
à des malades ou à de simples prédisposés qui n
. G. DENY. 'L'il. Fréquence et évolution des lésions du fond de l'
oeil
dans la paralysie générale; par MM. Ravurt et C
travers ; il ne peut lire, les caractères se brouillant devant ses
yeux
, écrire car il est incapable de trouver les tra
'entre eux se borne à des nuages ou à des anneaux de feu devant les
yeux
; un autre se traduit par une angoisse subite av
de, regardant en bas, on lui com- mande de fermer énergiquement les
yeux
, on voit alors dans la paupière supérieure du c
est fortement entrainée en haut pendant les efforts d'occlusion des
yeux
, par le globe oculaire qui s'élève à ce moment gr
âce à un mouvement associé et inconscient. Inversement, lorsque l'
oeil
se dirige en bas, il entraine avec lui la paupi
loniques, mais les convulsions Précloml- nuient du côté gauche; les
yeux
n'auraient pas été tournés; il y eut des évacua
ucune non plus à la face, pas de congestion, pas de dévia- tion des
yeux
. Un peu de bave filante. Ni miction, ni défécatio
ormale. Au point de vue sensoriel, l'enfant verrait moins bien de l'
oeil
gauche; mais aucune différence en ce qui concerne
ni à gauche, le nez est pincé, les paupières battent vivement, les
yeux
sont demi-ouverts, non injectés, les pupilles s
et les oreilles sont d'un rouge pourpre, la figure boursouflée, les
yeux
légèrement injectés, les lèvres noirâtres; même
bsence de phéno- mènes moteurs et d'aphasie, oedème papillaire de l'
oeil
droit, vision diminuée; amélioration par la pon
relles reproduisant les veines dilatées et noi- râtres du fond de l'
oeil
. Malgré cette cyanose locale, la vision ne souf
xuelle, par Ma- randon de Montyel, 289. 634 TABLE DES MATIÈRES.
OEIL
. Voir Paralysie générale. OPHTAL110PLÉGIE et ar
bès, par Léri, 248. Contribution à l'étude de l'état du fond de l'
oeil
, dans la générale, par Briche, Raviart et Caudr
ion pupillaire. Fré- quence et évolution des lésions du fond de l'
oeil
dans la - générale, par Raviart et Caudron, 417
crobes de dans un cas d'ostéo- malacie sénile, par Lacomme, 68.
Yeux
. Déviation conjugée des avec rotation en sens o
i de difformes. .4."P. 'Pas de' maladies d'enfance; quelques maux d'
yeux
sans gour- mes ni abcès ganglionnaires. Il a ma
fet de la suggestion de la surdité sur les mouvements associés de l'
oeil
est aussi très intéressant. Pendant une surdité
roite, le diapason du côté droit ne pro- duisit aucun mouvement des
yeux
; mais ils se tournèrent promptement du côté gau
les côtés chan- gèrent. Si on suggère une surdité bilatérale, les
yeux
ne se meuvent pas. cet d) Les hallucinations né
mpimétriqueest restée inactive sur cet ceil : par l'excitation de l'
oeil
gauche les contractu- res se manifestaient de l
a lutea faisait naître une contracture bila- térale. > 2. Si l'
oeil
gauche était rendu aveugle par une suggestion, al
était rendu aveugle par une suggestion, alors l'excita- tion de cet
oeil
restait sans effet, mais par l'oeil droit j'obten
on, alors l'excita- tion de cet oeil restait sans effet, mais par l'
oeil
droit j'obtenais les contrac- tures suivantes,
i- contracture gauche, provoquée par une excitation quelconque de l'
oeil
droit; les membres droits restaient flasques. P
it; les membres droits restaient flasques. Par des excitations de l'
oeil
gauche il se produisait seulement une hémicontr
is se développer par des excitations campimétriques appliquées à un
oeil
quelconque, uni- quement une hémicontracture dr
t les suivants : - 1. Je suggérais la lumière d'une chandelle à l'
oeil
droit; au bout d'une z minute une hémicontractu
une hémicontracture droite se manifestait; la même sugges- tion à l'
oeil
gauche produisait une hémicontracture gauche; tan
isait une hémicontracture gauche; tandis que la suggestion aux deux
yeux
, faisait naître une contracture bilatérale. Je
rvenait tou- jours une hémicontracture droite par l'excitation de l'
oeil
droit et une hé- mi contracture gauche par l'ex
l'oeil droit et une hé- mi contracture gauche par l'excitation de l'
oeil
gauche. Les résultats, que j'ai obtenus au mois
e cette année, sont les suivants : En suggérant de la lumière à l'
oeil
droit, j'étais surpris de voir survenir une con
voir survenir une contracture bilatérale, de même la suggestion à l'
oeil
gauche faisait apparaître une contracture bilat
uniquement le texte de la suggestion et l'effet). 1. « Devant votre
oeil
droit une lumière brille ! » contracture bi- la
une lumière » - hémicon- tracture droite. 3. « Vous voyez avec l'
oeil
droit une lumière ; elle est située devant votr
uée devant votre nez », hémicontracture gauche. 4. « Devant votre
oeil
gauche, une lumière brille », contracture bi- l
de la lumière », hémicon- traclure gauche. 6. « Vous voyez avec l'
oeil
gauche une lumière, qui est située devant votre
e droite ou gauche, corres- pondant il l'excitation suggérée pour l'
oeil
droit ou gauche. J'expliquais ce fait en disant
is ce fait en disant : puisque la projection fonctionnelle pour les
yeux
, comme pour les autres sens est croisée, l'hall
ce dans l'hémis- phère opposée. Par exemple la lumière suggérée à l'
oeil
droit produit une excitation quelconque dans le
on, cette suggestion positive : « il y a de la lumière devant votre
oeil
droit », se rapporte l'hémisphère gau- che. Les
une excitation dans le centre opti- que du côté correspondant de l'
oeil
, et, nous l'avons déjà mentionné, une hémicontr
ment une hémicontracture gauche par l'excita- tion de l'un des deux
yeux
. Pour expliquer ce cas, nous devons dire que la
iences antérieures (par exemple celle ou pendant une cécité droite, l'
oeil
droit pouvait être excité sans effet), nous som
l'oreille gauche. Par l'excitation campimé- trique de l'un des deux
yeux
, il se produit seulement une hémicontracture dr
t qu'une hémi- contracture gauche par l'excitation de l'un des deux
yeux
. 3. En suggérant une surdité totale aucune cont
uche. Puisque non seulement les réflexes acoustiques, mais ceux des
yeux
font aussi défaut dans les circonstances précéd
nous pouvons produire par l'excitation de la partie temporale de l'
oeil
droit et de la partie nasale de l'oeil gauche. S'
de la partie temporale de l'oeil droit et de la partie nasale de l'
oeil
gauche. S'il y a un obstacle dans le champ visu
e cor- tical « aveugle aux réflexes», tandisque lapartienasale de l'
oeil
droit et la partie temporale de l'oeil gauche t
andisque lapartienasale de l'oeil droit et la partie temporale de l'
oeil
gauche transmettent leurs excitations au champ
nosmie droite, les hémicontractures gauches s'ef- fectuent des deux
yeux
, mais les hémicontractures droites retardent. Ce
tes sourde de l'oreille droite et vous voyez une lumière de- vant l'
oeil
droit ». Il survient seulement une hémicontractur
ous êtes sourde de l'oreille droite et une lumière est devant votre
oeil
droit ». Hémicontracture gauche; le côté droit du
s êtes sourde de l'oreille droite et la lumière brille devant votre
oeil
gauche ». - Hémicontraclure gauche. 4. « Vous ê
urde de votre oreille gauche et vous voyez une lumière devant votre
oeil
gauche. » - IIémicontracture droite. Il est fac
exemple, je citerai l'expérience suivante : La malade lisait avec l'
oeil
droit la cinquième ligne du tableau de Snel- le
irations dans les exemples que la nature met chaque jour sous leurs
yeux
. L'art caricatural n'est pas tou- jours conçu p
une consciencieuse observation de la nature qu'ils avaient sous les
yeux
. Voyez le possédé de Gérasa sur une miniature d
différente les accidents d'origine hystérique qu'il a eus sous les
yeux
. C'était l'époque des fameuses épidémies de Danse
ien faites pour séduire l'artiste qui les voit se dérouler sous ses
yeux
. Les attitudes passionnelles révèlent des aspec
consciencieuse de la nature. Ces attitudes inusitées passant à ses
yeux
pour des manifestations de la possession divine,
er l'attitude désordonnée des membres, et surtout la convulsion des
yeux
de la Pythonisse. Le gérant : Louis BATTAlr.r.E
nt naturellement de' chaque côté du corps. La face est verticale, l'
oeil
dirigé à l'horizon (Fig. 16) Cette attitude se
pas déviée. Pas de déviation des traits de la face. L'examen des
yeux
pratiqué par M. Parinaud a donné les résultais su
e réflexe lumineux est un peu affaibli. Pas de lésions du fond de l'
oeil
. La malade se plaint de vertiges, de sensations
uise, reçut de- vant Boulogne un coup de lance, qui au-dessous de l'
oeil
dextre déclinant vers le nez, entra et passa ou
a ratiocination, n'a plus de mémoire, parle sans occasion, et a les
yeux
ténébreux ». Paré étudie longuement le régime d
on dure tout le temps de l'appui unilatéral. La raison en saute aux
yeux
. Elle s'oppose à la chute latérale du bassin en
he qui n'entend plus depuis ce temps. Elle voit aussi fort mal de l'
oeil
gauche. Elle a eu 6 enfants et 3 fausses couches.
e pli naso-géuien des deux côtés (Voy. fig. 47 et PI. XVIII). Les
yeux
sont peu saillants, moins gros, parait-il, qu'ils
e ; elle grimpe alors le long de ses jambes. Rien d'appréciable à l'
oeil
dans la forme des muscles abdominaux. Cependant t
pieds gelés » et « l'onglée ». Sens. Ouïe, odorat, goût normaux.
OEil
: Vision normale. Sensibilité conjonctivale un pe
Il n'a jamais remarqué qu'il ne pouvait pas fermer complètement ses
yeux
. De même il a toujours pu siffler comme aujourd
les sourciliers se contractent normalement. L'occlusion normale des
yeux
est incomplète ; il reste un écartement de 3 à 4
les orbiculaires résistent a peine à l'ouverture passive. Aussi les
yeux
sont-ils en pseudo-exorbitisme, la sclérotique
ens, les temporaux sont respectés ainsi que les muscles moteurs des
yeux
. Les pupilles sont égales, réagissent bien et l'a
Mais elle n'est pas comme la ma- lade, et elle ferme très bien les
yeux
. Antécédents personnels. Notre malade est ven
l'âge de 3 jours. La mère affirme qu'elle n'a jamais pu fermer les
yeux
convenablement. A un an, elle fil une chute d
réflexes patellaires existent, mais sont diminués des deux côtés,
OEil
. Le fond de l'oeil est normal, et les mouvements
res existent, mais sont diminués des deux côtés, OEil. Le fond de l'
oeil
est normal, et les mouvements du globe ocu- lai
e si l'on place une des électro- des auprès de l'angle externe de l'
oeil
gauche, on remarque une déviation conjuguée des
e externe de l'oeil gauche, on remarque une déviation conjuguée des
yeux
. Ceci ne s'observe pas de l'autre côté, pas même
« Le front, d'un poli d'ivoire est remarquablement lisse... « Les
yeux
grands ouverts, autant que l'occlusion imcomplète
dont l'inférieure est tom- bante, et par l'onverture exagérée de l'
oeil
. On ne saurait cependant se prononcer il coup s
T 201 l'ouverture des lèvres 7 sont très accusés. En même temps les
yeux
sont saillants et le front lisse, mais non fuya
troubles de la nutrition des tissus. Je vais faire passer sous vos
yeux
un certain nombre de tabétiques dont quelques-uns
ement moteur. Voici maintenant un type inverse : vous avez sous les
yeux
un homme de 60 ans, grand, vigoureux, taillé en
de paralysie générale progressive (1). Il vous suffit de jeter les
yeux
sur la figure an- nexée à cet opuscule et que j
accompagnée d'oedème. En 1887, paralysie de la troisième paire de l'
oeil
droit et diplopie qui a per- sisté depuis. En
. ' : Les réflexes rotuliens sont abolis. ' ; : ' " : Du côté des
yeux
, on trouve un ptosis très peu -'prononcé de l'oei
" : Du côté des yeux, on trouve un ptosis très peu -'prononcé de l'
oeil
droit. La' paupière supérieure recouvre en gran
it. La' paupière supérieure recouvre en grande partie le globe de l'
oeil
;'les mouvez ments des yeux s'accomplissent nor
recouvre en grande partie le globe de l'oeil ;'les mouvez ments des
yeux
s'accomplissent normalement dans toutes les direc
s, -ne ! réagissent ni il la la lumière ni à la convergence. Dans l'
oeil
droit, kératite inters- Pas de lésions du fond
ce. Dans l'oeil droit, kératite inters- Pas de lésions du fond de l'
oeil
. Au point de vue de la sensibilité objective, a
ue de bois a axe perpendiculaire à celui du verre. En dirigeant les
yeux
le long d'un bord du prisme sur n'importe quel
ellement. La tète est légèrement fléchie en avant et à gauche ; les
yeux
très lar- gement ouverts, convulsés vers la dro
rations anciennes des dé- moniaques. Il a indiqué la convulsion des
yeux
, la rotation de la tête et la saillie des muscl
es d'une très exacte interprétation de la nature. La convulsion des
yeux
, la protrusion de la langue, le rejet de la têt
écorce cérébrale ; elle conserve toutes les images que l'objectif l'
oeil
de l'appareil a laissé passer il l'état de vibr
donner plus de valeur telle autre. Il a fait du paysage que tous les
yeux
voient de la même façon, quoique chose de perso
l'office de Notre-Dame, il fut élevé en esprit, et vit comme avec les
yeux
une image de la Trinité qui lui représentait d'
en présence du plusieurs personnes qui le gardaient, il ouvrit les
yeux
, et, comme réveillé d'un doux sommeil, il dit a
qui était présent, s'approcha du malade, fit une courte prière, les
yeux
fixés au ciel, et toucha de la main la tête de Ba
ha de la main la tête de Bastida. A ce contact, celui-ci ouvrit les
yeux
comme au sortir d'un profond sommeil, et se tro
E L'attitude du malade est bien observée. Il est en léthargie; les
yeux
fermés, la bouche demi-close ; la tête tombe mo
es du second plan est plus typique. La convulsion de la tète et des
yeux
est bien indiquée. C'est assurément un démoniaque
ette et la vésicule auditives comme homologues du cris- tallin de l'
oeil
, car elles apparaissent après t'avortement de la
es noyaux cérébelleux ou cérébraux (2). Le malade ne sent plus, les
yeux
fermés, son manque d'équilibre, que par le sens a
de nystagmus que l'on constate derrière les paupières abaissées. L'
oeil
n'est plus fixé par la vision et n'obéit qu'à l
t, avec points douloureux au niveau des dents, de la narine et de l'
oeil
. Bientôt est survenue, d'abord dans (1) Nous ra
DE WEBER L. BATTAILLE ET C" DEUX cas DE syndrome DE WEBER 365 l'
oeil
droit et puis dans l'oeil gauche, une amblyopie.
C" DEUX cas DE syndrome DE WEBER 365 l'oeil droit et puis dans l'
oeil
gauche, une amblyopie. Cette amblyopie progressiv
tte amblyopie progressive a abouti, en 3 mois, il une amaurose de l'
oeil
droit. Il y a un mois (octobre 1893), elle a re
ssé ; la langue est tirée du côté paralysé, l'occlusion isolée do l'
oeil
gauche est impossible. Le membre supérieur gauc
es troubles trophiques ni vaso-moteurs appréciables. 2° Du côté des
yeux
, il y a paralysie complète et totale de la troisi
uction, d'élévation et d'abaissement. La vision est abolie dans cet
oeil
, sauf pour la lumière. Dans l'oeil gauche, il n
La vision est abolie dans cet oeil, sauf pour la lumière. Dans l'
oeil
gauche, il n'y a aucune paralysie du mouvement; s
s le côté hémiplégique s'est sensiblement accentuée. Le ptosis de l'
oeil
droit est complet (PI. XLI1l). L'l1émihypoestl1és
vertigineuse qui en résulte ferme volontairement et complètement l'
oeil
gauche, de sorte qu'il se présente l'oeil fermé
irement et complètement l'oeil gauche, de sorte qu'il se présente l'
oeil
fermé tandis qu'en réalité le ptosis n'est pas co
jambe peut encore être élevée au dessus du plan du lit. Examen des
yeux
par M. le Dr Koenig, que nous remercions de son o
e nous remercions de son obligean- ce, à la date du 19 février. «
OEil
gauche. La paupière supérieure recouvre en grande
che. La paupière supérieure recouvre en grande partie le globe de l'
oeil
. Il n'y a aucun pli à la peau. Le sourcil est éle
be de l'oeil. Il n'y a aucun pli à la peau. Le sourcil est élevé. L'
oeil
est fixé on dehors quand on sollicite les mouve
ssement et l'adduction sont totalement per- dus. Dans l'abduction l'
oeil
atteint sans difficulté la commissure externe.
centimes. L'acuité visuelle est normale. Pas de vice de réfraction.
OEil
droit. - La paupière supérieure est un peu rétrac
eure est un peu rétractée ; elle laisse a dé- couvert le globe de l'
oeil
quand on provoque le regard en haut. Dans ce sens
le. DEUX CAS DE SYNDROME DE WEBER 369 Pas de lésions du fond de l'
oeil
. Pas de rétrécissement du champ visuel ». La dé
rdinaires l'attention, l'éton- nement, la tristesse ou la colère. L'
oeil
garde son éclat et sa vivacité et autour de lui
a seule poursuite d'un but lucratif. La malade que vous avez sous les
yeux
offre un exemple du genre parfaitement typique, c
ence de l'auditoire, l'ensemble symptomatique que nous avons sous les
yeux
s'évanouit tout à coup, et ainsi, à notre grand r
gne d'abord qu'elle ne peut rien dire : mais la voilà qui, jetant les
yeux
sur la table, saisit avec empressement une plume
nous permettra de répondre à la première question. Je place sous ses
yeux
une feuille administrative sur laquelle sont écri
ont capables de copier exactement les mots qui sont placés sous leurs
yeux
sans toutefois y rien comprendre. S' adressant
raidir au point de ne plus pouvoir faire un mouvement : deux fois ses
yeux
ont tourné et une fois elle est tombée à la renve
e. On la tirait assez facilement de cet état en lui soufflant sur les
yeux
. Bien qu'elle n'eût reçu d'autres 0: suggestions
mment à la production d'une attaque. En résumé, nous avons sous les
yeux
un exemple, si je ne me trompe, bien propre à mon
n porche voisin de l'hôtel de l'Ecu, à hypnotiser par la fixation des
yeux
un jeune garçon âgé de 12 ans que j'ai dans le te
j'essaie de l'hypnotiser. Elle paraît d'abord réfractaire, rouvre les
yeux
, rit, dit qu'elle ne peut pas dormir. Je cherche
bien jusqu'à ce que je vous réveille, » Je la quitte. Elle reste les
yeux
fermés, dans l'attitude d'une personne endormie.
ofondément. Quelque temps après, je la réveille. Elle se frotte les
yeux
, revient à elle et regarde l'assistance d'un air
: « II entra brusquement, puis s'arrêta tout à coup en baissant les
yeux
. Quand il commença à parler, un de ses amis les p
it comme dominé par une autre force. Quand il eut fini, il releva les
yeux
pour la première fois et son regard était vague e
de réveil. Réveiller un malade en lui soufflant brusquement sur les
yeux
constitue, selon nous. le plus sûr moyen de déter
. Il est évident qu'à une époque où l'hypnotisme n'apparaissait aux
yeux
du public qu'avec une apparence de merveilleux, l
m. Laurent. De l'hystérie pulmonaire chez l'homme. passe devant ses
yeux
; son oreille droite est pleine de bourdonnements
Pendant ce temps, sa physionomie est tourmentée et grimaçante, les
yeux
sont injectés et hagards, toute la peau du visage
! alors l'agitation se calme un peu; il rcs:e couché sur le dos, les
yeux
fixés sur quelque objet imaginaire. Soudain il sa
près on l'appelle, le son de la voix le fait revenir à lui : mais ses
yeux
sont encore hagards; il est halluciné; car il m
e). « Donc, cet homme, conclut Rendu, qui l'a eu longtemps sous les
yeux
, est un hystérique avéré. Mais quelle influence l
pareil cas, l'existence très habituelle, sinon constante, est, à ses
yeux
, un stigmate assez significatif pour trancher la
sement se fait-il sentir qu'il sursaute et se réveille en ouvrant les
yeux
et protestant contre le sommeil qui ne viendra ja
ts trop persistants et trop pénibles. La malade me regarda avec des
yeux
foudroyants, me demandant de la soulager. Une pot
imulassent des maladies pour se rendre plus ou moins intéressants aux
yeux
du public médical. Toutefois, M. Herbette ne de
on trouve l'expression jusque dans les traits de la malade, dans ses
yeux
et dans ses paroles, l'aménorrhée résultant de l'
u-dessus du front que le plus grand effort fût nécessaire du côté des
yeux
et des paupières pour que le sujet regardât fixem
sujet regardât fixement l'objet. Il recommande au sujet de tenir les
yeux
constamment attachés à cet objet et de ne se lais
moment, si l''on dirige les doigts un peu écartés de l'objet vers les
yeux
, les paupières se ferment seules, avec un mouveme
enir l'objet brillant de Braid à une distanc plus ou moins grande des
yeux
, on le place entre les yeux mêmes, à la racine
id à une distanc plus ou moins grande des yeux, on le place entre les
yeux
mêmes, à la racine du nez. La fixation de l'obj
bjet produirait chez les hystériques la léthargie que l'ouverture des
yeux
transformerait en catalepsie, et l'attouchement d
subitement la rétine ou par une fixation plus ou moins prolongée des
yeux
sur un point quelconque. L'abbé Faria fut peut-
nser au sommeil; de le regarder; il fixait lui-même de loin sesgrands
yeux
sur eux, leur montrait le revers élevé de sa main
essionnables, ne peuvent fixer un objet quelque temps sans sentir les
yeux
se fermer, et chez eux, il suffit de fermer les y
sans sentir les yeux se fermer, et chez eux, il suffit de fermer les
yeux
et de les tenir clos quel-ques instants, pour pro
uel-ques instants, pour provoquer un sommeil profond. L'occlusion des
yeux
, l'absence d'impression visuelle, l'obscurité, co
ut est, je le répète, dans la suggestion. Les passes, la fixation des
yeux
ou d'un objet brillant, l'attouchement, ne sont n
Il !e voit et recule épouvanté. J'ajoute : « Dormez ! » Il ferme les
yeux
et dort, par dessus le marché. Tout cela s'exécut
calme comme le sommeil naturel. J'approche une main doucement de ses
yeux
et je dis : « Dormez ». Quelques-uns ferment les
oucement de ses yeux et je dis : « Dormez ». Quelques-uns ferment les
yeux
instantanément et sont pris. D'autres, sans ferme
rment les yeux instantanément et sont pris. D'autres, sans fermer les
yeux
, sont pris le regard fixe et avec tous les phénom
'hypnose. D'autres présentent quelques clignements de paupières ; les
yeux
s'ouvrent et se ferment alternativement. En génér
mmobiles et inertes ; d'autres cherchent à se ressaisir, rouvrent les
yeux
, se réveillent à chaque instant : j'insiste, je m
nt. Le sommeil complet n'est pas nécessaire. Ne parlez pas. Tenez les
yeux
clos. Ecoutez bien. etc. » Je tâche ainsi de capt
conscience que présente le sujet, tels que rire, geste, ouverture des
yeux
, paroles prononcées; ils le croient réfractaire p
en disant ausujet : « Je vous laisse vous rendormir seul. Gardez les
yeux
fermés. Le sommeil va venir. - Et je les laisse.
t mieux pour les urs, la" brusquerie pour les autres. L'occlusion des
yeux
, quelques frictions sur les globes oculaires, l'e
sortir spontanément de l'état hypnotique. J'accentue, je dis : c Vos
yeux
s'ouvrent! Vous êtes réveillé ! » Ou bien, renfor
se lasse. Je n'emploie jamais, ni frictions, ni insufflation sur les
yeux
. Le réveil est on ne peut plus facile, quand on e
nquiète et témoigne son inquiétude; il frictionne, souffle, ouvre les
yeux
du sujet, s'acharne après lui. Celui-ci, témoin m
des effets remarquables sans sommeil. J'invite le malade à fermer les
yeux
, a concentrer son attention sur moi: je cherche à
r degré : elle avait conscience de son sommeil, ne pouvait ouvrir les
yeux
, mais entendait et se rappelait tout. Je ne réuss
presque toujours). Plus je lui disais de se réveiller et d'ouvrir les
yeux
, plus elle contractait les paupières. Alors je me
mirant cette puissante machine de Nayer fabriquant le papier sous ses
yeux
, pour se convaincre que la Belgique et la Suisse
ent avec force détails tout ce qu'ils voient se dérouler deuant leurs
yeux
, en désignant du doigt les endroits précis où se
l y a dix ans, du même coté, du ptosis avec diplopie. L'examen de l'
œil
ne laisse voir qu'une légère mydriase, mais aucun
qu'une légère mydriase, mais aucune lésion caractérisée du fond de l'
oeil
. La suggestion hypnotique pratiquée en avril 18
au point de vue du moral, et pour la fonction visuelle. La vue de l'
œil
droit, qui n'était pas chiffrable, devient après
ngt-quatre heures. Le lendemain matin je feignis de reconnaître à ses
yeux
qu'elle était sous l'éminence d'une crise et que
rre sur son cercueil. Lorsque je la revis, je fis repasser sous ses
yeux
, pendant l'hypnose, toute la scène de l'enterreme
lle je lui avait suggéré une odeur particulière. Elle avait alors les
yeux
bandés. Je lui faisais aussi retrouver par l'odor
inalement, il fallut la porter à son lit dans un état de torpeur. Les
yeux
de la malade ressemblaient a ceux d'une personne
uis levé, je m'allonge sur un canapé ou sur un lauteuil, je ferme les
yeux
, je cherche à dormir et je pense à l'auto-suggest
t le meilleur possible pour favoriser l'auto-suggestion. Je ferme les
yeux
et cherche à m'endormir en pensant à avoir chaud
ec les précédentes. J'ai voulu avoir chaud aux pieds, sans fermer les
yeux
et sans changer ma manière d'être éveillé. J'ai v
i dormait profondément, analgésique Il se réveille en se frottant les
yeux
et ne sait pas combien de temps il a dormi, ni ce
it et je l'engageais à ne plus recommencer. Ayant jeté par hasard les
yeux
sur ses doigts, je m'aperçus que ses ongles étaie
s tous les jours, au contraire, les parents étalent leurs vices à ses
yeux
:le père s'enivre, vole et va en prison; la mère
rtait de cinq à six francs par jour. C'est un garçon pâle chétif. aux
yeux
noirs, doux et profonds, ombrages par de longs ci
tite taille, aux formes graciles, mais élégantes et harmonieuses, aux
yeux
noirs très vifs, avec un visage pâle et enfantin.
la moyenne. Sarah est maigriote. avec des cheveux blonds pales et des
yeux
bleus. Elle présente du strabisme assez prononcé
les et des yeux bleus. Elle présente du strabisme assez prononcé de l'
œil
gauche. Peu vicieuse et peu portée aux plaisirs d
ondants, une tète forte au front proéminent et bombé, avec des petits
yeux
vifs et un nez retroussé en trpmpette. Bien qu'el
nt j'ai déi't parlé dans un autre chapitre. Celui-ci fit miroiter aux
yeux
du commis les agréments d'une vie large et heureu
, dit-il. à une honorable famille de l'Anjou et n'eut jamais sous les
yeux
que de bons exemples. Il fut élevé par si mère, e
t fixe, employant les blépharostates pour les-obliger a conserver les
yeux
ouverts, et se servir de tous les moyens hyp-nogé
nt la lampe de magnésium, ou mieux lampe électrique placée auprès des
yeux
un peu au-dessus, la suggestion coup sur coup, et
gure pleine d'une terreur et d'un désespoir indescriptibles, avec les
yeux
carrés par les branches des blépharostates, tout
'y réussis au bout de 10 minutes par le procédé de la fixation de ses
yeux
, de l'application de ma main sur son front et l'i
onna quelques-uns et mit à mort les autres. Un Cadi. qui avait eu les
yeux
crevés pour cette offense présumée, fut amené dev
nde, répandant la terreur et la désolation partout où il tournait les
yeux
. Quantité de gens s'enfuirent au Bengale où Mulli
les mains et les pieds, le nez et les oreilles, en leur arrachant les
yeux
, en pulvérisant les os des coupables vivants avec
s par une femme. Putz invita la femme à le regarder dans le blanc des
yeux
. La femme obéit, et elle ne tarda pas a tomber da
oix forte: « Réveille-toi ! » La dormeuse se réveilla et, ouvrant les
yeux
, elle s'écria avec effroi ; « L'homme aux yeux te
veilla et, ouvrant les yeux, elle s'écria avec effroi ; « L'homme aux
yeux
terribles est-il encore là ? » On la rassura, et
ait l'écrire que d'après une de ses signatures qu'on lui met sous les
yeux
. Un cas de léthargie. On écrivait de Rodez, l
bonpoint ; saint Clair, sainte Claire, sainte Luce, contre les maux d'
yeux
; saint Cloud, contre les furoncles : saint Fort,
urthe-et-Moselle fut due à une suggestion. Les gens naïfs avaient les
yeux
et les oreilles remplis des images de Boulanger e
mir. La malade est étendue sur son lit. dans le decubitus dorsal, les
yeux
sont fermés, la face présente son aspect naturel
soudaine, la malade reste figée dans la position qu'elle occupe. Les
yeux
sont largement ouverts. le regard est fixe ; les
l'ayant surprise au moment où elle se coiffait. Si on ferme alors les
yeux
de la malade, elle pousse un profond soupir et en
ère de Mlle X... : l'expression de sa physionomie est différente, les
yeux
sont plus brillants, l'allure plus dégagée et plu
mère morte, etc. Les scènes de sa vie passée se déroulent devant ses
yeux
et sa mimique très-expressive rend fidèlement com
remonter à la gorge. La malade angoissée se soulève sur son lit, les
yeux
sont hagards, la bouche ouverte ; la face se cont
une immobilité plus inquiétante encore. La face devient cyanosée, les
yeux
sont fermés, la bouche légèrement entrouverte, le
n somnambulisme hypnotique. Mlle X... va et vient dans sa chambre les
yeux
ouverts ; elle cause et s'occupe comme à l'état n
à celle qu'on trouve chez certaines hystériques en état d'extase. Ses
yeux
excavés expriment une profonde tristesse ; sa fig
éral se manifeste qui dare peut-être deux ou trois secondes, puis ses
yeux
se mettent en strabisme supérieur et interne et l
La volonté du sujet est supprimée complètement ou partiellement. Les
yeux
sont le plus souvent clos, parfois ouverts. L'amn
différent et impuissant. Lorsqu'il n'aurait, souvent, qu'à fermer les
yeux
d'un malheureux en proie à de violentes crises d'
Il est inutile que je vous regarde, vous dormez ! * immédiatement ses
yeux
se ferment et elle est en somnambulisme. Je prie
, assez rapides, mais peu d'amplitude. » Durant toute la crise, les
yeux
sont fermés; la lace est souvent congestionnée, l
pendant la visite, permettant à la jeune fille, qui est couchée, les
yeux
clos, dans son lit de, causer et d'exécuter tous
rd ou d'un objet brillant pendant quelques secondes. Louise ferme les
yeux
et reste dans la position où elle se trouve, mais
Elle exécute les actes qu'on lui commande, s'habille sans ouvrir les
yeux
, s'en va les yeux fermés à tel ou tel point de la
actes qu'on lui commande, s'habille sans ouvrir les yeux, s'en va les
yeux
fermés à tel ou tel point de la salle, va prendre
ouvelle pression des globes oculaires, suivie de l'ordre d'ouvrir les
yeux
, la malade entre en contracture, avec impossibili
contracture, avec impossibilité de parler: la face est immobile, les
yeux
sont ouverts Elle retombe en somnambulisme par pr
es. Sommeil somnambulique obtenu de nouveau en posant la main sur les
yeux
. Fascination provoquée par le relèvement des paup
tion utérine un peu violente ; la jeune femme ouvre immédiatement les
yeux
, pousse des cris et déclare qu'elle ne peut reste
u'il est inutile de continuer à nous tromper. Aussitôt elle ouvre les
yeux
, place sa main devant sa figure et S'en va en ple
r la réveiller, j'ai d'abord employé la parole, et le souffle sur les
yeux
. Chaque lois que je relevais les paupières convul
ur les mains. Elle ne répond pas comme toujours au salut matinal. Les
yeux
, vagues comme dans un rêve n'aperçoivent pas les
les, des Canaques, des Sénégalais, des Nègres, et il les met sous nos
yeux
grâce à la reproduction en phototypie d'excellent
simplement plusieurs fois : « Dormez, dormez, dormez ! » Bientôt ses
yeux
sont devenus humides, ses paupières se sont abais
plaints. » Plusieurs minutes après, je le réveille. Il se frotte les
yeux
, croit s'être réveillé spontanément et n'a souven
convaincus que c'était arrivé : la scène était présente devant leurs
yeux
. Les sept étaient des suggestibles qui avaient dé
t un peu fort, un coup de sifflet, le reflet d'une glace frappant ses
yeux
, et il tombe dans un sommeil hypnotique. Un jour,
t. Pranzini reprend son rôle ; L... l'aperçoit constamment devant ses
yeux
, non pas comme une image fixe, immobile, mais agi
Le malade, comme dans une rêvasserie pénible, voit défiler devant ses
yeux
(vision mentale) des quantités de tableaux que so
gination étaient autant de tableaux vivants qui défilaient devant ses
yeux
avec une rapidité quasi caleidoscopique que nous
vous trouveriez quelque intérêt à connaître et à voir passer sous vos
yeux
quelques exemples des stigmates qui, à cette époq
es de l'expérience, et vous voyez l'inscription se compléter sous vos
yeux
, la ligne pâle s'étendre. grossir rapidement, p
xemples reproduits par ces photographies, que je fais passer sous vos
yeux
: je les dois à l'obligeance d'un jeune artiste q
phénomène extérieur de circulation capillaire, qui se passe sous nos
yeux
dans l'autographisme, aurait-il son congénère dan
, ne se trouvant indiquée dans aucun des procès que j'ai eus sous les
yeux
, a dû passer inaperçue. Ignorance cent fois heu
t, signe de la conservation du réflexe lacrvmal. Si, lui tenant les
yeux
bandés, on lui mettait au contact des lèvres un v
minutes, avec l'idée ferme de l'endormir, elle ferma spontanément les
yeux
(bien qu'elle ne se prêtat pas volontiers à l'exp
ts, la pression sur la peau, l'impression du froid et du chaud. Les
yeux
tenus fermés, elle avait la notion exacte des div
es débats si curieux après lesquels, malgré l'évidence des faits, les
yeux
restèrent fermés, et les déclarations imprudentes
ns de leur affection, rémissions Îui passent pour des cuérisons aux
yeux
du public- En ce qui concerne X... est certain qu
ège, le capitaine D... l'aborde dans un coin, et là, sans quitter ses
yeux
du regard, commence à lui faire des passes avec s
sme et spiritisme in-8° 174 Burkhart. Geneve, 1890. Masoin — Coup d'
œil
sur l'assistance des é pileptiques en Belgique et
rvir de tous ses organes. On habituera ses oreilles à l'harmonie, ses
yeux
aux couleurs, ses narines aux parfums et son pala
eau lut nus sur le bras ci le malade se coucha, dans un lit, sous nos
yeux
. A la hn de la séance, à 11 heures et demie, no
respondances internes. Nous pouvons « donc embrasser d'un seul coup d'
œil
l'évolution du monde organique « qui nous paraît
homme commodément installé dans son fauteuil, fermant simplement les
yeux
et écoutant religieusement la parole suggestive d
alade n'a plus éprouvé de rechute. BIBLIOGRAPHIE E. mason. COUP D'
OEIL
SUR L.'ASSI STANCE DES EPILEPTIQUES EN BELGIQUE E
révoltait à l'annonce, manifestement et outrageusement absurde à ses
yeux
, qu'il allait perdre l'usage de ses jambes ou de
unités psychiques diverses, n'offrant jusqu'ici qu'un tout confus à l'
œil
nu, qui concourent à constituer ce que nous nommo
is-je faire ? » — « Rien de difficile ; si vous voulez bien fixer mes
yeux
, vous allez presqu'aussitôt vous endormir. » Mo
dormi. » — « Moi, mais je n'ai pas dormi. » — « Quand vous aviez les
yeux
fermés, vous ne dormiez pas ? » — « Mais, je n'ai
yeux fermés, vous ne dormiez pas ? » — « Mais, je n'ai pas fermé les
yeux
; vous m'avez dit de vous regarder, et je n'ai ce
Comment, tu n'as pas dormi ? Nous sommes témoins que tu dormais, les
yeux
fermés, et si bien, que tu n'as pas vu la bonne a
s médicales une plus grande activité.. Un jour, comme elle fixait mes
yeux
pour s'endormir suivant l'habitude, elle me dit e
suggestionnelle? Pas le moins du monde, et cela par la raison, à mes
yeux
pé-remploire, que de semblables prodiges s'accomp
u contrôle le plus rigoureux ? Ne nous obstinons pas à fermer les
yeux
à l'évidence par esprit de système. L'influence d
n ; non, mais c'est dans la formule même de l'invocation que gita ses
yeux
le merveilleux pouvoir de son instrument ; et cet
ssez nombreuses et longtemps continuées pour résoudre la question aux
yeux
des sceptiques, elle a déjà montré « jusqu'à quel
et ses bottes à la chaleur bienfaisante du feu ; mais, en jetant les
yeux
autour de lui, il s'aperçoit que chacun reste fro
pouvait pas même supporter cet animal en peinture. Il détournait les
yeux
en voyant un cavalier perché sur sa bête et des f
e 37 ans, névropathe, sujette aux palpitations, à des douleurs dans l'
œil
droit, qui avait un polype implanté dans la fosse
ion dilatait sa pupille droite à volonté. En outre, la my-driase de l'
œil
droit devenait permanente pendant les trois jours
ons négatives, rendant le sujet inconscient d'actes exécutés sous ses
yeux
. 5° Des hallucinations rétroactives, constituée
ogne en prévenant les vols que de les laisser se commettre sous leurs
yeux
. Il faudrait enfin conseiller à certaines femme
ue sa vue devienne trouble. Rétrécissement du champs visuel, pour l'
œil
gauche dans le segment inférieur et externe ; pou
suel, pour l'œil gauche dans le segment inférieur et externe ; pour l'
œil
droit dans le segment inférieur. Pas de diplopi
olet pour le noir ; le vert pour le bleu ; le rouge pour le noir. L'
œil
gauche est légèrement astigmate. Elle dit qu'el
it que dans la portion la plus interne du champ visuel. Vision de l'
œil
gauche trouble pour les objets rapprochés. Acui
que l'habitude, il arrive à une indifférence complote. Peu à peu ses
yeux
se reposent avec complaisance sur cette clinique
ntellectuel encore imparfait, inégal, intermittent, ne frappe pas les
yeux
et n'éveille pas Tétonnement : or l'aliénation pr
s davantage qu'on ne supprime pas les obstacles parce qu'on ferme les
yeux
pour ne pas les voir. Et quand les maîtres que
normales; il n'y a plus de constipation: la malade engraisse à vue d'
œil
. Mais ce qui la frappe surtout, c'est qu'elle n'a
mai 1895, le malade a quarante-sept ans. Il a le faciès concentré, l'
œil
morne, l'accent navré des hypochondriaques. Il ve
x, récit interminable, où les détails les plus futiles prennent à ses
yeux
des proportions extravagantes. Il est accablé: se
s paupières ne bougaient pas lorsqu'on agitait un mouchoir devant ses
yeux
; le regard était fixe ; la physionomie inerte.
omme le constate M. von Krafft-Ebing l'inertie de sa physionomie, son
œil
fixe, hagard, comme amaurotique. Des particular
de l'endormir par le seul effet de la volonté. Sans le regarder, mes
yeux
fixés dans la direction du foyer, je lui ordonnai
t en moins d'une minute, avant que le feu fut rallumé, ayant levé les
yeux
vers lui, je m'aperçus qu'il dormait. Dès que nou
ension cérébrale, j'eus la satisfaction de voir Gustave P. ouvrir les
yeux
et sortir de son immobilité de statue. Aux parole
heures moins dix. Redoublement de curiosité chez Gustave P., dont les
yeux
vont alternativement du sujet à la pendule. Je pr
entalement de s'endormir, et tout à coup, au milieu d'une phrase, ses
yeux
se fermèrent, et il resta muet. Comme cela lui ar
ssaient ceux qui l'entouraient en le voyant tout à coup immobile, les
yeux
fermés, la parole en quelque sorte coupée aux lèv
erçût de mon départ. Gustave, au moment où je m'en allais, était tout
yeux
et tout oreilles à ce qui se passait devant lui.
vision, on observait quelque chose de semblable. Le malade avait les
yeux
presque clos et ne voyait presque qu'à travers se
tion publique (de Belgique). Je citerai, parmi ceux que j'ai sous les
yeux
: Essai sur quelques questions de grammaire raiso
renciation de fonction qu'ils ont constatée entre la tache jaune de l'
oeil
et la périphérie de la rétine : « A mesure que le
he jaune de l'oeil et la périphérie de la rétine : « A mesure que les
yeux
de nos ancêtres les plus reculés quittaient la po
tembre dernier, de l'enfant de ses maitres, un coup de fouet dans son
œil
droit grand ouvert. La vision de ce côté aurait é
tionnels visibles disparaissent, mais la vision demeure abolie de cet
œil
. Cependant, à la nuit absolue a succédé une amb
En contradiction avec cette amblyopie presque absolue, le fond de l'
œil
apparaît normal, et nous ne découvrons aucune lés
l, et nous ne découvrons aucune lésion dans les diverses parties de l'
œil
: nerf optique, macula, rétine, cristallin ; la co
lettres des deux couleurs, bien qu'un verre rouge soit appliqué sur l'
œil
gauche resté sain. Il n'y a donc pas à en doute
liqué sur l'œil gauche resté sain. Il n'y a donc pas à en douter, l'
œil
droit est un œil voyant, malgré qu'il ne puisse d
auche resté sain. Il n'y a donc pas à en douter, l'œil droit est un
œil
voyant, malgré qu'il ne puisse distinguer aucun o
oyant, malgré qu'il ne puisse distinguer aucun objet, si l'on ferme l'
œil
gauche. Dans la pensée — et dans l'espérance po
it une opération qui lui serait faite le lendemain. Le lendemain, l'
œil
étant toujours aussi amblyope, nous demandons à h
médecin traitant a si bien cru à des désordres matériels du fond de l'
œil
, qu'il nous avait envoyé la malade pour que nous
ze ans nous est amenée par ses parents pour une amaurose absolue de l'
œil
droit. L'amaurose remontait à plusieurs mois, aya
au visage de l'enfant et le coin du cahier lui avait un peu heurté l'
oeil
, mais sans causer aucun dégât sérieux. Pas la moi
e, mydriase absolue résistant à toutes les excitations ; avec cela un
œil
absolument sain en apparence, dans ses milieux et
plopie et d'une acuité visuelle en réalité égale à la normale, de cet
œil
. Comme les parents affirmaient que l'enfant était
plus. Elle fut conduite alors chez un confrère qui, en lui ouvrant l'
œil
et en lui retournant la paupière, découvrit un as
cahier de papier. Le lendemain la vision était revenue normale de cet
œil
. Comme j'avais examiné les culs-de-sac, et non
lle raconte que, sans douleur aucune, sans cause morale ou autre, ses
yeux
se sont fermés brusquement. La gêne de cette situ
tivement la malade, ou mieux, quand on insiste pour qu'elle ouvre les
yeux
, très rapidement on peut voir les paupières se re
tomber immédiatement. La vision est d'ailleurs normale, et l'état des
yeux
eux-mêmes ne comporte rien de particulier. Les
ettait à la gêne d'un pansement spécial, nous avons instillé dans les
yeux
quelques gouttes d'eau distillée et nous avons ap
quelques gouttes d'eau distillée et nous avons appliqué sur les deux
yeux
un pansement occlusif. Au bout de trois jours, à
elle s'était plainte d'avoir, pendant la nuit, rendu du sang par les
yeux
. J'examinai l'œil, la cavité conjonctivale dans
d'avoir, pendant la nuit, rendu du sang par les yeux. J'examinai l'
œil
, la cavité conjonctivale dans tous les recoins, l
ne reparut pas. Je changeai le pansement en annonçant que l'état des
yeux
était très satisfaisant, et je remis un nouveau b
s musculaires, aux paralysies multiples des muscles extrinsèques de l'
œil
, à la mydriase spasmodique ou paralytique, au nys
te faisant défaut.il titube dans l'obscurité. Mais fait-il clair, ses
yeux
suppléeront ; la sensation visuelle du sol déterm
doctrines qui avaient cours à la Salpêtrière. Il voulut voir par ses
yeux
, comme il avait fait pour Paris, et, un beau jour
s gens, vieillards, enfants encore, tous pâles, les traits tirés, les
yeux
bouffis. Encore des victimes de l'idée obsédante,
pertrophiée et faiblement déviée en dehors. Le facies est hébété, l'
œil
atone et l'attitude sournoise. Le crâne énorme do
anière, et le teint plus frais, le visage plus ouvert, trahissent aux
yeux
les moins clairvoyants l'étonnante transformation
e je l'éprouve moi-même. Votre cœur, Sganarelle. est meilleur que vos
yeux
. Ils ont lu un pluriel où j'avais mis un singulie
s crises d'hallucinations hypnogogiques ; il lui suffit de fermer les
yeux
pendant quelques instants pour voir des tours, de
nte ; mais la malade dit que de temps a autre il lui passe devant les
yeux
un nuage qui peut persister une demi-journée et q
n étant totale et permanente. Jadis, il y a six mois, elle avait eu l'
œil
droit fermé plusieurs heures par jour, pendant tr
rmé plusieurs heures par jour, pendant trois semaines environ. Puis l'
œil
gauche s'était clos aussi, mais par intermittente
t clos aussi, mais par intermittentes alternant avec l'occlusion de l'
œil
droit. En écartant les paupières, avec beaucoup
ai de dire à la malade : « Mon enfant, jusqu'ici, on a mal soigné tes
yeux
, si tu veux croire en moi, je te promets de te gu
n sommeil somnambulique vrai. Je lui déclarai alors qu'à son réveil l'
œil
droit s'ouvrirait un peu et que vers six heures d
ement convaincue, je t'endormirai demain et je guérirai Ion autre
œil
. » Toutes ces précautions oratoires peuvent sembl
riai la sœur de service de noter l'heure exacte où la malade aurait l'
œil
droit ouvert. A six heures précises, Eugénie B...
cises, Eugénie B... s'écriait: « Ma sœur, quel bonheur ! je vois, mon
œil
est complètement ouvert. » Le lendemain de mon
ouvert. » Le lendemain de mon arrivée, je lui dis : « Eh bien, ton
œil
droit est ouvert, je vais te guérir l'autre aussi
vint me consulter le 29 mars 1896, pour une occlusion permanente de l'
œil
gauche accompagnée de larmoiement avec sensations
compagnée de larmoiement avec sensations douloureuses à la lumière. L'
œil
droit était clos de même, quand elle se présenta
tablir le diagnostic. Sauf les lésions mécaniques consécutives, les
yeux
fonctionnaient normalement, et l'étude de la réfr
ister outre mesure, me convainquirent de l'état absolument normal des
yeux
de mes deux malades. Et pourtant, généralement, l
rnier cas, lorsque le pansement s'était décollé à l'insu du malade, l'
œil
restait ouvert, mais si le chirurgien pratiquait
uggestion dont se servait Silver en guérissant un blépharospasme de l'
œil
gauche par le procédé suivant : Il affirma à son
'œil gauche par le procédé suivant : Il affirma à son malade que si l'
œil
droit se fermait, immédiatement l'œil gauche s'ou
l affirma à son malade que si l'œil droit se fermait, immédiatement l'
œil
gauche s'ouvrirait ; après avoir renouvelé avec é
édiatement la paupière gauche s'éleva. On appliqua un pansement sur l'
œil
droit dont la paupière fut fixée à la joue, l'œil
un pansement sur l'œil droit dont la paupière fut fixée à la joue, l'
œil
gauche resta ouvert, la guérison se maintint. C
y galvanism (Lancet, I, p. 378, 1871.) Lasdesbert. — Affection de l'
oeil
dépendant de l'hystérie. (Journal of nervous and
s, il tombe, et l'attaque commence. Le cri initial fait défaut. Les
yeux
se convulsent en haut et à droite. La bouche est
corticale dans l'hémisphère gauche. La déviation conjuguée des deux
yeux
vers la droite, c'est-à-dire du côté des membres
rer, cela au grand étonnement de sa mère qui ne pouvait en croire ses
yeux
. Cette guérison remonte à un an. J'ai eu des no
a que l'un des sujets était dans l'impossibilité absolue d'ouvrir les
yeux
. Braid considéra ceci comme un phénomène réel et
fixation du regard, et il en conclut que l'impossibilité d'ouvrir les
yeux
venait de la paralysie de certains centres nerveu
s du front, de manière à produire le plus de tension possible sur les
yeux
et sur les paupières et, en même temps, il rivait
re rigide ; qu'il pouvait, par les mêmes moyens, rétablir la vue d'un
œil
tout en laissant l'autre insensible; exciter une
lus indispensable condition, de fixer l'attention sur une idée et {es
yeux
sur un point. » Quelques expériences que fit Br
le patient, crutdevoir cesser de la prolonger jusqu'au moment où les
yeux
se ferment d'eux-mêmes, et il expérimenta ainsi q
condition nécessaire pour déterminer l'hypnotisme était de tenir les
yeux
fixes et l'esprit et le corps en repos, il import
s en repos, il importait peu que le sujet fût dans l'obscurité et les
yeux
bandés ou en pleine lumière et les yeux à découve
t fût dans l'obscurité et les yeux bandés ou en pleine lumière et les
yeux
à découvert. Ayant toujours échoué cependant dans
: lorsqu'il éclot, le petit pigeon est imparfaitement développé ; ses
yeux
ne sont pas ouverts, il ne peut se tenir debout e
ggestion hypnotique. Durant toute l'opération, la patiente tourna les
yeux
dans toutes les positions requises, et les tint d
it de douze à quinze heures par jour à confectionner au chalumeau des
yeux
de verre pour naturalistes. Deux ou trois fois pa
ffrances, et, sans préambule, nous la regardons fixement dans les
yeux
, en lui affirmant qu'en moins d'une minute elle v
u, nous lui réitérons la suggestion déjà faite. Jeanne F... ouvre les
yeux
: elle ne se souvient de rien ; mais tout se pass
s des manifestations de peur dont l'enfant aura eu l'exemple sous les
yeux
. Ce qui tendrait à prouver que la pusillanimité
pice, elle avait eu un accès de somnambulisme,' elle était allée, les
yeux
fermés, automatiquement, chez ses voisins qui, ef
ninterrompu. Ses réveils durent deux minutes à peine ; elle ouvre les
yeux
, appelle, demande impérieusement à boire ou à
r des excitations sur les nerfs médian et cubital ; elle a ouvert les
yeux
, mais elle s'est aussitôt rendormie. Victorine Do
89a, il avait eu un ictus qui aurait été suivi d'une paralysie de l'
oeil
gauche. A son entrée, il se présente avec un em
toïde à droite, pas de trouble de la marche, instabilité légère les
yeux
fermés, pas d'incoordination motrice; au dynamo
cesse dans sa bouche ; ptosis complet à droite avec déviation de l'
oeil
en dehors, déviation corrigeable par la volonté
arce qu'elles ne REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 39 sautent pas aux
yeux
, et qu'elles dérangent peu la fonction des extr
en prison. Les inconvénients de ce. mode d'observation sautent aux
yeux
, seule l'observation dans des sections spéciale
est intacte; les sensations sont bien localisées; le - `malade, les
yeux
bandés, énonce avec seulement de rares erreurs,
est correcte. Tout au plus pourrait on signaler que le malade, les
yeux
bandés, ne parvient qu'à grand'peine à former s
le rétrécissement des deux pupilles, avec déviation simultanée des
yeux
en bas et en dedans, l'oeil du même côté se porta
pupilles, avec déviation simultanée des yeux en bas et en dedans, l'
oeil
du même côté se portant un peu plus en dedans q
dedans, l'oeil du même côté se portant un peu plus en dedans que l'
oeil
du côté opposé. Dans la région pariétale, imméd
un second centre de rétrécissement des pupilles, avec déviation des
yeux
en haut et un peu du côté opposé. Ce sont deu
terne de la scissure pariéto-occipitale, il dévie en même temps les
yeux
dans un sens opposé : l'autre, sur le pli courbe,
du lobe occipital, doit simultanément tendre l'accommodation des
yeux
; du moins dans son voisinage immédiat doit-il se
n de troubles psychiques à la puberté, la déviation conju- guée des
yeux
dans l'une au moins des attaques; l'inconscience
tard de paralysie des membres inférieurs, s'étendant aux bras, aux
yeux
, à la gorge, avec une certaine atteinte des sph
uche. Un matin elle se leva disant qu'elle ne voyait plus rien de l'
oeil
gauche. Plusieurs jours après elle fut examinée
aire. Aucune douleur. Pas de lésions ophtalmoscopiques du fond de l'
oeil
. Réaction pupillaire normale. Un certain degré
e de Harlan fut employée, et la malade put lire facilement avec l'
oeil
soi-disant « aveugle », les caractères correspond
trécissement marqué du champ visuel pour les couleurs dans les deux
yeux
, avec inversion complète des champs visuels pou
amp visuel l'enfant ne parut pas s'apercevoir qu'elle voyait avec l'
oeil
gauche,bien que le droit nécessaire ment, fût cou
t. Quelques jours plus tard la vision restait normale dans les deux
yeux
, il n'y avait plus d'anesthésie cornéenne et co
butant invariablement par la déviation conjuguée de la tête et des
yeux
à gauche, puis convulsant la moitié gauche de la
e point en France de livre vraiment pratique sur la réfraction de l'
oeil
. Des auteurs éminents ont étudié cette partie i
des rayons lumineux (réllection et réfraction), la description de l'
oeil
schéma- tique, la description et le diagnostic
ritent. Un chapitre spécial est consacré à l'étude des muscles de l'
oeil
et particulièrement aux troubles de convergence
écoles De Boodstein d'Elberfeld ; - de 1 heure à 1 h. 1/2, « Coup d'
oeil
sur l'augmentation et le nombre actuel des idio
par rapport au bleu, puis au vert (le plus rétréci). Au niveau de l'
oeil
droit, les champs visuels pour le rouge et le b
e s'il n'y a pas de simulation. Le poing dirigé avec violence sur l'
oeil
n'entraîne aucun recul réflexe de la tête, et l
u'elle permet de voir (avec interposition de la lentille) un fond d'
oeil
absolument normal, ne produit aucune sensation. I
est de même avec une lampe électrique dirigée brutalement sur les
yeux
, allumée et éteinte ensuite alternativement. On
anoeuvres directes ; à cet effet, on instille d'abord dans les deux
yeux
du sulfate de zinc, sans résultat, puis dans l'
d dans les deux yeux du sulfate de zinc, sans résultat, puis dans l'
oeil
droit de l'atropine, qui provoque une hystérie
cal : un jet d'eau froide, assez fort, lancé sur- le-champ dans ses
yeux
à l'aide d'une seringue, provoque une sensation
utes, elle déclare même qu'elle vient d'apercevoir une lueur dans l'
oeil
droit. On recommence une série de douches et peu
espondant à une acuité de 1/10. Ayant ainsi amélioré la vision de l'
oeil
droit d'une façon notable, on la prie de lire l
t de conclure que la malade a bien véritablement de l'amaurose de l'
oeil
gauche et font éliminer toute supercherie possi
lles épreuves, celles du prisme et de la règle ; mais l'acuité de l'
oeil
droit est trop faible et l'atropine ins- tillée
nique complètement guérie et raconte qu'elle a recouvré la vue de l'
oeil
gauche, en caressant un chat grimpé sur ses gen
, s'amusait, quand tout à coup elle s'arrête, dit voir trouble de l'
oeil
gauche ; quelques minutes après, elle ne distin
gauche ; quelques minutes après, elle ne distingue plus rien de cet
oeil
; mais ce n'est qu'un peu plus tard, vers 7 heu
art, au moment de rentrer chez elle, qu'elle perd aussi la vue de l'
oeil
droit, devient complètement aveugle. 11 est à n
nt extrême- ment intéressants, en ce sens qu'ils affectent les deux
yeux
à la fois et qu'il y a cécité complète. Marthe
approche, par surprise alternativement, à 1 ou 2 centimètres de ses
yeux
la pointe d'un thermocautère chauffée au rouge
e, pas et accuse simplement une sensation de chaleur au niveau de l'
oeil
droit, le gauche participant (comme nous l'avons
égales, réa- gissant bien à la lumière; ancune lésion du fond de l'
oeil
. Nous songeons alois, vers il heures du matin,
dique qu'il n'y a aucun trouble de réfraction ; emmétropie des deux
yeux
; pas d'astigmatisme; aucune lésion du fond de l
ropie des deux yeux; pas d'astigmatisme; aucune lésion du fond de l'
oeil
. Les pupilles égales, réagissent à la lumière et
ermées, la malade accuse une sensation de vert, ici au niveau de- l'
oeil
droit exclusivement (signe de Le Dantec). L'acu
rait indiquer un spasme du ciliaire gauche. Divers objets vus par l'
oeil
gauche paraissent quelques fois plus grands, ma
es objets colorés. Le sens chromatique est perverti pour les deux
yeux
; il n'y a que le rouge que le malade reconnaît
re : 1° Dans un premier examen, la malade étant restée aveugle de l'
oeil
gauche seulement, les expériences faites démont
'oeil gauche seulement, les expériences faites démontrent que cet
oeil
est totalement amaurotique, et que par conséquent
e peut lire ou reconnaître les objets, à peu près aussi bien de l'
oeil
droit que de l'oeil gauche, quand elle lesferme a
onnaître les objets, à peu près aussi bien de l'oeil droit que de l'
oeil
gauche, quand elle lesferme alterna- tivement.
une diminution de l'acuité gauche égale à la moitié et voit, avec l'
oeil
gauche, les objets un peu plus petits ou un peu
uche, les objets un peu plus petits ou un peu plus grands qu'avec l'
oeil
droit, nous savons bien que ces troubles ne son
bsolument contraire à la règle ordinaire. Généralement, en effet, l'
oeil
qui est amaurotique quand l'autre oeil est ferm
e. Généralement, en effet, l'oeil qui est amaurotique quand l'autre
oeil
est fermé, ne l'est plus quand les deux sont ou
quand les deux sont ouverts, et la vision binoculaire existe. Ici l'
oeil
amblyope qui voit bien quand l'autre est fermé, n
qui voit bien quand l'autre est fermé, n'y voit plus quand les deux
yeux
sont ouverts. Il résulterait déjà de ceci, que
générale de Fuels : « Lorsque quelqu'un voit simple avec les deux
yeux
, cela peut s'expliquer de deux manières : ou bi
s'expliquer de deux manières : ou bien il fixe exactement des deux
yeux
et reçoit les impres- sions des deux yeux au mê
fixe exactement des deux yeux et reçoit les impres- sions des deux
yeux
au même endroit -vision binoculaire simple; ou
t -vision binoculaire simple; ou bien il ne voit pas de l'un de ses
yeux
, parce que celui-ci est aveugle, ou parce qu'il
ou de l'amaurose monoculaire, lorsque le malade ne ferme pas le bon
oeil
, est du reste en rapport avec les carac- tères
inoculaire, soit que l'amblyopie soit trop pro- noncée dans l'autre
oeil
, soit que la vision binoculaire n'existât pas o
on de M. Lagrange : « Les observations d'hystériques amblyopes d'un
oeil
qui ne peuvent recouvrer la vision binoculaire
se présenter. Le fait général, il est vrai, est que la vision de l'
oeil
amblyope reparaît dans la vision binoculaire, m
ur guérir l'espèce d'aboulie de la vision qui affecte l'un des deux
yeux
1 »- Cette guérison peut être complète et durab
tidienne, ne prend conscience que des impressions reçues par le bon
oeil
. Mais qu'une émotion, l'attention, un danger, u
le sujet am- blyope, étant obligé de subir une opération sur le bon
oeil
, récupère aussitôt la vision de son oeil amblyo
r une opération sur le bon oeil, récupère aussitôt la vision de son
oeil
amblyope (plusieurs cas de M. Badal) etc. 2°
riables qu'exigent les diverses expériences de vision avec les deux
yeux
n'aient pas toujours tous la même influence. Et
par exemple ; à l'état ordinaire elle ignore, pour ainsi dire, son
oeil
gauche comme elle ignore toutes ses sensations
n. Si nous la faisons regarder dans la boîte de Fiées, c'est bien l'
oeil
droit qui voit ; si nous la faisons lire avec l
s la faisons lire avec la règle ou l'écran, il n'y a toujours que l'
oeil
droit qui voit; avec le prisme placé devant l'o
a toujours que l'oeil droit qui voit; avec le prisme placé devant l'
oeil
droit nous n'obtenons pas de double image ; avec
e voit toujours que l'image de droite. Donc, elle ne voit qu'avec l'
oeil
droit. Fermons le lui ; et c'est le gauche qui
éréoscopeet le point à droite avec la boîte de Fiées, etc. Ainsi, l'
oeil
gauche voit aussi, et si nous voulons maintenan
l gauche voit aussi, et si nous voulons maintenant faire ouvrir l'
oeil
droit, il semble que la vision binoculaire va a
le que la vision binoculaire va avoir lieu. Faisons donc ouvrir cet
oeil
droit : aussitôt le gauche retombe dans l'incon
es épreuves précédentes). L'expérience suivante cependant, les deux
yeux
étant ouverts, montre que l'oeil gauche peut, d
ience suivante cependant, les deux yeux étant ouverts, montre que l'
oeil
gauche peut, dans certaines condi- tions, voir
condi- tions, voir simultanément avec le droit. Si on met sur les
yeux
de Marthe des lunettes à verres colorés, de façon
e des lunettes à verres colorés, de façon que le vert soit devant l'
oeil
gauche amblyope et le rouge devant l'oeil droit
e le vert soit devant l'oeil gauche amblyope et le rouge devant l'
oeil
droit,puis, qu'on lui fasse lire ensuite l'échell
usivement les lettres rouges, c'est-à-dire qu'elle ne voit que de l'
oeil
droit, observation conforme aux observations pr
s. Mais si on change les verres de façon que le rouge soit devant l'
oeil
amblyope et le vert devant l'oeil droit, elle n
façon que le rouge soit devant l'oeil amblyope et le vert devant l'
oeil
droit, elle ne distingue d'abord que les lettres
dique qu'elle voit à la faveur du rouge simultanément avec les deux
yeux
. A-t-elle pour cela la vision binoculaire ? Une
ien regarder-», tout en veillant à ce qu'elle ait toujours les deux
yeux
ouverts, elle finit par distinguer le pain à ca
toujours mono- culaire ; monoculaire presque constamment par le bon
oeil
, elle peut, sous certaines influences, devenir
cil., p. 220. HYSTÉRIE JUVÉNILE CREIEZ UNE FILLETTE. 203 3 Dans l'
oeil
amblyope arrivé au second stade : a) La vision
au second stade : a) La vision monoculaire exclusivement par lebon
oeil
est la règle ; 1 - fi) A certains moments et
moments et sous certaines causes, la vision monoculaire par le bon
oeil
devient monoculaire par l'oeil amblyope : elle
es, la vision monoculaire par le bon oeil devient monoculaire par l'
oeil
amblyope : elle est dite alternante ; y) A ce
urose monoculaire. Cette inté- grité nous explique : d'abords que l'
oeil
amblyope ou amauro- tique ne dévie pas, car le
ne gêne pas l'hystérique, lorsqu'il se promène ou s'occupe les deux
yeux
ouverts... » Et plus loin : « Si le réflexe rét
raisonnement identique pousse le même auteur à écrire encore : « L'
oeil
amaurotique fonctionne inconsciem- ment, en acc
t, et ce dernier possède exclusivement la vision monoculaire de l'
oeil
sain. 2° Dans le deuxième stade, le sujet peut
par deux visions monoculaÍ1'es, l'une, complète, en rapport avec l'
oeil
sain, l'autre presque toujours incomplète, en r
l'oeil sain, l'autre presque toujours incomplète, en rapport avec l'
oeil
amblyope : il en ' hoc. cil., p. 231-32. HYST
mois, nous avons eu l'occasion de voir naître très souvent sous nos
yeux
des hallucinations, dont voici, pour fixer les
ndre, elle les sent maintenant ; ils lui « arrachent l'estomac, les
yeux
», ils la torturent; ils lui sortent les épingl
trice, elle se calme, reste assise sans bouger, la tête immobile, l'
oeil
fixe et largement ouvert. Elle semble écouter o
arlerr qu'il s'agit d'idées de persécution ; la malade a devant ses
yeux
des tableaux effrayants auxquels elle réagit au
ément à cause de- cette structure psychopathique ils prennent à nos
yeux
» une im- portance capitale, puisqu'ils permette
ET DE physiologie pathologiques. parties tout à fait voisines de l'
oeil
. Il manque lorsque le stimulus, de quelque natu
ns le corps médical, un rôle philosophique et social qui est, à mes
yeux
, votre plus beau titre de gloire. Si ce rôle, d
émerveillés, mais vous trouverez à Limoges, assez pour charmer vos
yeux
, si vous n'êtes pas insensibles aux séductions
istologistes, à l'horizon circonscrit et borné, allaient s'user les
yeux
et dépenser des trésors de patience et de labeu
as gastrique s'accentue rapidement, les malades maigrissent à vue d'
oeil
, leur bouche se sèche, les dents et les lèvres
, siégeant soit dans l'angle interne, soit dans l'angle externe des
yeux
. Celles-ci, au contraire des précédentes, c'est
ue l'anatomie topographique du globe oculaire et l'innervation de l'
oeil
, étudie ensuite la sensi- bilité oculaire à la
1° Céphalalgie ; 2° Modification de la papille du nerf optique de l'
oeil
droit. B. Phénomènes de lésions en foyer. 10 Hé-
deux hôpitaux auxquels il est attaché. L'examen systématique des
yeux
a porté sur cent malades. , Au point de vue oph
'absence 'des grandes manifestations habituelles du tabes, les deux
yeux
deviennent complètement aveugles. Parmi les meil-
ladie, tandis que les manifestations moins importantes du fond de l'
oeil
, comme une décoloration gris verdâtre du disque
x vous impressionne : c'est un clou du plancher. Il brille comme un
oeil
. A côté, quelques ondulations des fibres ligneu
ut donc se surveiller. Le trouble de l'esprit peut pénétrer par les
yeux
, par les divers sens, comme par toute autre voi
vallées du Taurion et de la Vienne. Ils ont eu sans cesse sous les
yeux
à l'aller le panorama des collines et en reve-
les on simplement arriérés. A l'appui, nous faisons passer sous vos
yeux
18 photographies collectives d'enfant idiots co
vie sociale. Les photographies que nous avons fait passer sous vos
yeux
, nous semblent, Messieurs, tout à fait démonstr
16. Il ne peut plus se tenir debout. La face est très colorée, les
yeux
sont très injec- tés. Il ne peut plus prendre q
la lumière disparue, le réflexe de conver- gence paresseux dans un
oeil
et normal dans l'Autre, une fois; 5° absence de
5° absence de contraction à la lumière et de convergence dans un
oeil
, lenteur de ces actes dans l'autre, deux fois ; f
deux fois ; fin insuffisance de réflexe à la lumière dans les deux
yeux
, la réaction de conver- gence et d'accommodatio
re de six, où l'autopsie a été pratiquée. Cinq fois on a trouvé à l'
oeil
nu des étals analogues à ceux que l'on a coutum
me contraste avec le personnel des infirmiers. Ainsi, j'ai sous les
yeux
la liste du personnel de l'asile de Quatre-Mare
riées avec mutisme presque complet. Le malade est maigre, pâle, à l'
oeil
effrayé et hagard; haleine horriblement létide,
plusieurs tics « l'un consistait à fermer d'une façon saccadée les
yeux
en allongeant rapidement le bras droit et en pr
ui les lui font accomplir, absolument comme ils lui font fermer les
yeux
ou prononcer des mots qu'elle ne comprend pas e
at· tout doit aller par trois... Il lui arrive aussi de cligner les
yeux
trois fois de suite. Quand elle ne pouvait dorm
bras immobiles ou bien animés d'une sorte de mouvement cadencé, les
yeux
fixés à une certaine hau- teur, et en sifflant
monotone et scandé, puis elle marchait de même en sens inverse, les
yeux
toujours à la même hauteur, et il ne fallait pa
7 une conjonctivite. A ce moment elle se frottait cons- tamment les
yeux
avec ses mains, en même temps qu'elle répétait
es yeux avec ses mains, en même temps qu'elle répétait : « J'ai les
yeux
trop petits; je n'ai pas d'yeux... » En 1900, e
temps qu'elle répétait : « J'ai les yeux trop petits; je n'ai pas d'
yeux
... » En 1900, elle a conservé invariablement so
préoccupation journalière, c'est de se toucher et de se frotter les
yeux
1. Les stéréotypies sont aussi très marquées da
il imprimait à son pied droit avec lequel il frap- pait le sol. Les
yeux
étaient convulsivement fermés, il ne desserrait
ans la position directe. Pendant toute la durée du mou- vement, les
yeux
sont fixés au plafond. Les mouvements sont exéc
e en soit distincte ; par exemple la même force qui, agissant sur l'
oeil
, donne la sensation de lumière, donnera, si ell
f susorbitaire; puis une semaine après diminution de la vision de l'
oeil
gauche, et deux jours plus tard cécité complète
on de l'oeil gauche, et deux jours plus tard cécité complète de cet
oeil
. Aux dernières nouvelles de la malade (octobre
te avec vous, expérimentant sur vous-même, je vous ai fait fermer les
yeux
, contraint à marcher, enfin que votre faculté vol
hardie, une espérance irréalisable. 0 Vous paraît !... Ainsi, à vos
yeux
, ma prétention de réforme médicale n’est pas déci
e nous, nous pensons y mettre de la mansuétude : c’est un crime à nos
yeux
de ne pas utiliser le magnétisme dans les maux qu
e, lorsqu’elle est souimaahule, voit parfaitement sans le secours des
yeux
; c’e6t ainsi que souvent elle a lu les entêtes d
l’écar-tait avec la plus grande brusquerie ; bref, tout en ayant les
yeux
hermétiquement clos, elle percevait tous les obje
rsqu’elle vit son expérience réussir; le sujet docile avait fermé les
yeux
d’abard, mais avec assez de contrainte, et s’étai
terlocutrice. Je me hasardai alors à lui soulever la paupière, et son
œil
avait complètement tourné comme dans un sommeil r
quelques minutes de ce dernier moyen. Peu à peu , M. M... rouvrit les
yeux
et se leva, mais il ne revint complètement à lui
ner sans qu’il eût la force de â’y opposer; qu’il n’avait pas fermé l’
œil
de toute la nuit et se trouvait dans un état de m
ls n’ont pas affaire à quelque Bly; on accepte tout de confiance, les
yeux
fermés. Et pourtant 011 peut dire aussi à ces ent
ois connues : si, au contraire, la foi lui met un bandeau sur les
yeux
, il ne discute plus , il ne raisonne plus, il s’i
tuellement hors de danger; il ne lui reste qu’un léger clignotement d’
yeux
qui pourrait être un tic naturel. M. Broughton.
isent-ils un effet quelconque? et surtout guérissent-ils? C’est à mes
yeux
, la seule question vraiment importante. C’était
EL. Liège, le 45 janvier 185D. Monsieur le baron, J'ai sous les
yeux
une brochure intitulée : Histoire d’une névrose e
de quelque ouvrage, tantôt et subitement, sans sommeil préalable, les
yeux
toujours ouverts, en plein jour comme le soir, sa
il le fait ; elle le remercie avec effusion de cœur et les larmes aux
yeux
, se lève et prend congé, rayonnante de joie et d’
lle avait coutume dele faire pour s’amuser dans l’état de veille. Ses
yeux
étaient parfaitement clos : mais, pours’assurer q
ment dans l’obscurité beaucoup d'autres actes qui exigent l’usage des
yeux
, et il s en acquittait aussi bien que s’il eût ag
acquittait aussi bien que s’il eût agi en plein jour. Néanmoins, ses
yeux
étaient strictement fermés, il ne pouvait voir qu
cuta une foule d’autres travaux qui exigent la lumière et l’usage des
yeux
, dont il semblait pouvoir se passer. « Voici en
on état extraordinaire, est capable, sans aucun usage apparent de ses
yeux
, de recevoir des impressions aussi bien qu’éveill
es traits réguliers sont relevés par un front large et découvert, ses
yeux
grands et noirs, et le mouvement général de sa ph
s. Chose étrange ! toute la force de ma volonté fut impuissante ; mes
yeux
sondaient les siens , mais ses paupières restaien
e force et un appel de fluide dans nos membres, puis nous fermons les
yeux
; car l'œil est l’organe par lequel nous dépenson
appel de fluide dans nos membres, puis nous fermons les yeux ; car l'
œil
est l’organe par lequel nous dépensons le plus d’
vols aériens, qui ont frappé l’attention de M. Lemoine, ne sont à nos
yeux
rien moins que la réalité. C’est là un prélude à
par tableaux qu’il fait passer devant le cerveau du sujet, devant les
yeux
de l’esprit, phénomène dont les expériences faite
d’Orléans retrouve dans le caveau et qui la met en paix , c’est à nos
yeux
l’invasion en elle de l’âme du duc d’Orléans ; il
je l'appelai incessant- , ment par son nom; je fixai constamment mes
yeux
sur les : siens, jusqu’à ce que nos axes visuels
été bien sensible; ce bienveillant accueil me porte à mettre sous vos
yeux
un nouveau fait, une nouvelle guérison que far eu
risé la tôte à se demander pourquoi tel phénomène s’est produit à nos
yeux
, 011 en arrive, après vingt essais inutiles, à po
vait pressenti la grande loi suprême des prodiges qu’il enfantait aux
yeux
du monde étonné ; mais, absorbé par les péripétie
donner un système, et jusqu’à présent, lecteur, je n’ai offert à tes
yeux
qu’une ébauche. Patience, je tiendrai ce que j’ai
le baron), du moins d’opérer des guérisons qui ont dessillé bien des
yeux
, et qui ont en. quelque sorte préparé la voie, la
ns les dilutions plus élevées où les instruments sont insuffisants, l’
œil
de rintelligence découvre indéfiniment une fracti
urs et dans leur plus secrète destinée. Elle voit sans le secours des
yeux
, à travers les corps les plus denses ou à des dis
s plus denses ou à des distances auxquelles pourrait seul atteindre l’
œil
de la Providence. Elle va dans le passé prendre c
n, une chaleur vague, de la sueur, du bâillement, le clignotement des
yeux
, une sorte de resserrement des paupières, avec un
xécutent pendant le sommeil (Franck). mil" en effet, tiennent les
yeux
fermés et souvent élevés vers le ciel, la pupille
aisant autorité en Allemagne et dans le monde scientifique, est à nos
yeux
d’un très-grand poids. Le moyen de rendre en tern
ulisme, de l’extase, de la catalepsie, du délire qui, lorsqu’on a les
yeux
fermés, en offre l’image, et de l’hystérie. 2.
OMMEIL. 1. Les paupières sont lâches. 2. Les muscles moteurs de l’
œil
sont dans un repos parfait. 3. La pupille est d
, quelle que soit la manière dont on en parle, n’est-ce pas déjà, aux
yeux
d’un philosophe , commander pour elles l’attentio
simplement l’eûel du délire ou de l'ignoranco ; c’était ii leurs
yeux
l'inspiration des puissances infernales qui prêta
oignant, elle releva comme si elle eût été mue par des ressorts ; ses
yeux
étaient ouverts et semblaient ne point voir ; ses
resque instantanée, la respiration devint extrêmement fréquente , les
yeux
se fermèrent et dans cette situation, à plusieurs
ient difficilement, afin qu’elle pût constater et voir de ses propres
yeux
les singuliers et irrésistibles résultats de la f
me d’existence, où, comme les clairvoyants, elle voit quelquefois les
yeux
fermés, bt une lettre cachetée, aperçoitee qui se
enir toute substitution. Sur l’invitation de Marcillet, je bandai les
yeux
d’Alexis. Je collai sur la peau des bandes de taf
, je puis affirmer que le sujet était incapable de faire usage de ses
yeux
. Ce fut moi qui le premier donnai les cartes. «
rais refusé de croire si les faits 113 se fussent pas passés sous mes
yeux
. J’étais tellement ému que la sueur me ruisselait
sommeil magnétique, malgré le minutieux bandage qui lui couvrait les
yeux
. Dans cette séance, M. L. Roumieux, poëte nîmoi
ortuné se calme et pousse .an profond soupir •. bientôt il rouvre les
yeux
et peut boire un verre d'eau qu’on lui présen
par tradition : la Faculté ne daigne pas s’en occuper; ce sont, à ses
yeux
, des remèdes de bonne femme, la science ne pe
iracles avec l'emploi du laudanum pour la guérison des taies de l’
œil
; le premier médecin qui se servitdece remède, le
lieux que nous avons visités, et qu'aussitôt nous voyons, non par les
yeux
du corps 'mais par ceux de l’esprit, si cëla se p
mène de la pomme se détachant de sa branche et tombant à terre, à nos
yeux
se révèle encore une nouvelle loi, la gravitation
t d’une même cause, cause première, cause suprême, qui apparaît à nos
yeux
comme le centre du cercle, dont les forces connue
000 fr., fondé en faveur de celui qui pourra lire sans le secours des
yeux
, n’a pu être gagné, et il déclare proroger le dél
nous regrettons leur silence et leur inaction. Il est évident qu’aux
yeux
du public peu versé dans ces matières, ne pas rel
fit découvrir dans un creux du tronc une couleuvre lien, dardant ses
yeux
fixes dans la direction de l'écureuil. L’écureu
mammifères et même une femme hollandaise avaient été dévorés sous ses
yeux
par des serpents. Il n’ignorait pas davantage que
lté que j'ai tant combattue, De toucher les objets de loin avec les
yeux
; Dieu que c'est étonnant, inouï, merveilleux!
mes'visiteuses. « — Ah! monsieur, s’écrièrent-elles les larmes aux
yeux
, il n’y a que vous ici qui puissiez sauver notre:
. « Quoique intimidée parla présence detantde personnes qui ont les
yeux
braqués sur elle, la jeune enfant ne perd rien de
appelait le docteur), ou excroissance cancéreuse, s’étendant depuis l’
œil
droit jusqu’au-dessous du menton, en comprenant t
oration , l’excroissance de la joue diminua de volume, de sorte que l’
œil
droit se trouva entièrement sain. Je m'intéressai
tion à nos paroles, tâchez de les retenir, je vais vous éveiller. Les
yeux
s’entr’ouvraient et semblaient appartenir à un ca
alade alors : Je ne vois pas encore, il y a un voile qui recouvre mes
yeux
..., mais je vais voir... et tout à coup, poussant
ment dans son lit, aga- çant tous ceux qui s’en approchaient. Ses
yeux
étaient convulsivement fermés, et toute espèce îl
hais à réveiller la malade par des passes magnétiques régulières, les
yeux
s’ouvraient tout à coup, comme je l’ai déjà dit,
ré- sentes à notre observation, c’est d'abord pour établir ii vos
yeux
l’existence de cet agent singulier, et démontrer
possible de détacher d'eux par 1 évocation et de rendre visibles aux
yeux
d’un somnambule, armé^ou non d’un miroir magique.
l'orgueil, qui est toujours principe du mal, ferme nécessairement les
yeux
à la lumière supérieure. Heureux donc, mais trois
e, je vis la malade laisser tomber sa tète sur l’oreiller, fermer les
yeux
et s'endormir. Bon, dis-je, la voilà en somnamb
dés traditionnels. Ils ont voulu interdire ces pratiques qui, à leurs
yeux
, étaient sans valeur, que repoussaient la science
anes, nos sens s’alourdissent, les relations extérieures cessent, nos
yeux
se ferment involontairement et nous tombons dans
eil, mais un réveil étrange ; les organes du corps sont anéantis, les
yeux
ouverts à la lumière ne voient que ténèbres, tand
é dans nos recherches, si la moindre clarté n’est venue briller à nos
yeux
, si, en un mot, nos tentatives ont été vaines, n
a production des phénomènes qui viennent chaque jour se révéler à nos
yeux
et confondre notre esprit, et que, par exemple, p
lgré le calcul. Que faire? Le matin, ordinairement, je parcourais des
yeux
les jeux qui se présentaient dans les conditions
, ce voile qui tombe quand on les magnétise, et qui rerient sur leurs
yeux
(je dis, moi, sur leur imagination) quand on les
étisé. Ee somnambule ne voit rien du monde extérieur avec ses propres
yeux
, et n’entend rien avec ses oreilles; ces deux sen
ement fermés pour toutes les eheses du dehors. Il ne voit qu’avec les
yeux
et n’entend qu’avec les oreilles de celui qui le
re près.du lit où elle était couchée avec l’enfant le plus petit. Ses
yeux
se remuaient pt ses lèvres paraissaient parler, m
nvaincus de la réalité de la lucidité; comme ils en ont eu sous leurs
yeux
des preuves irrécusables, ils voudraient pouvoir
tout ee qu’ils en entendent raconter, et qui, voyant de leurs propres
yeux
, sont ravis, enchantés, et passent subitement du
par l’obstinadon et la mauvaise fbi. Quant à ceux qui détournent les
yeux
pour ne pas voir, ce n’est qu’u'ie faible excepti
s’initier aux éléments de la science et peut voir opérer sous ses
yeux
les faits merveilleux dont il a entendu parler, e
ter dans les rangs du bataillon sacré ; ce serait se déconsidérer aux
yeux
du public et renoncer pour toujours aux titres de
is perdu : perdu dans une multiplication. Quôi.faire ? Je fermais les
yeux
une seconde, ma lucidité revenait. Ce fait s’est
ez l’hommei et dans certains animaux , la puissance roagiy-tique de l’
œil
est incontestable ; ainsi, le serpent fascine- sa
rce de fuir, et certains hommes en forcent d’autres à baisser les
yeux
: ne serait-ce pas un peu pour cela que des troup
e d’un seul mot il eût obtenu un pareil résultat : « Eh bien ! et ces
yeux
-là donc, que vous ne comptez pas, dit l’artisan e
oppé d’un suaire, de petites pièces de monnaie furent placées sur les
yeux
, selon la coutume, et le cercueil fut commandé. I
dernière fois sa petite-fille. Le vieillard enleva de dessus les
yeux
les j>etites pièces de monnaie qu’on y avait p
l’avait crue morte. Elle nomma la personne qui lui avait couvert les
yeux
; elle répéta les paroles qui avaient été prononc
gueur de la jeunesse, on n’eut bientôt plus qu’un corps décharné, aux
yeux
caves et enfoncés, et sentant le sapin d'une lieu
ion avait fini par se tarir peu à peu, la plaie s'était refermée, les
yeux
avaient repris leur place et leur éclat, et les p
l est clair que cette expérience devait avoir bien moins de poids aux
yeux
d’un observateur que les précédentes , car la seu
ent des discours suivis, des réponses convenables quand le médium a l’
œil
sur l’appareil, si ensuite, l’appareil étant reti
émoignent en général de l’horreur pour de pareils spectacles. A leurs
yeux
, toutes ces opérations sont perverses et diaboliq
sculaire succéda un état de calme complet; il paraissait endormi, ses
yeux
étaient fermés, et pourtant, sous l’influence de
aires générales chroniques, point d’insensibilité de la peau, ni de l’
œil
, qui se dérobe à l’action de la lumière quand on
idérée attentivement, éblouit et trouble la vue; alors la fatigue des
yeux
favorise les hallucinations du cerveau. Cagliostr
cieuses assertions, il me serait bien facile de leur faire ouvrir les
yeux
à la himière, en leur citant pour preuve irrécusa
dominer les êtres invisibles, à exécuter des prodiges admirables. Anx
yeux
de l’homme religieux et timoré, ce sont des magic
elle a vu en haut. Celui-ci, voulant juger delà chose par ses propres
yeux
, monte avec sa femme, et trouve le fantôme avec s
entrait dans la chambre, il la trouva au lit couchée sur le dos, les
yeux
fermés. Il en fut très-content, croyant qu’elle d
elle ne répondit rien. Mais au bout de quelque temps, elle ouvrit les
yeux
, et leur dit : « Dieu vous assiste. » Le curé lui
u magnétisme veulent, nous dit-on, pour se convaincre,- voir de leurs
yeux
, toucher de leurs mains. Eh bien, qui les empêche
r sur leur sujet le somnambulisme, alors ils verront de leurs propres
yeux
qu’on peut bien se passer de la matière et des or
inconnus, étranges.... Alors quelque chose d’angélique apparaît à nos
yeux
... L’extase, la contemplation, la félicité se pei
par vos propes « sens et parles instruments dont la science a doué l’
œil
de « l’homme ; l’autre nous est révélée par la fo
notre globe pour lui donner la forme sous laquelle il apparaît à nos
yeux
, la matière brute, dis-je, sortant de cet état d’
herches, et leurs expériences, cette question conserve encore à leurs
yeux
de lacunes et d’obscurité : aussi, faute d’avoir
es physiologistes, mais je m’en tiens à ces trois faits qui ont à mes
yeux
une valeur capitale. Si d’un côté nous devons adm
des sons qui, dans un autre moment, eussent passé indifférents, que l’
œil
est offensé, ébloui par la moindre lumière, etc.
point démasqués? Tout cela devait être et est encore. J’ai vu de mes
yeux
des fraudes abominables. Est-ce donc à dire que d
ouveaux offerts à l’observation , vous avez marché un bandeau sur les
yeux
, vous élançant dans un monde inconnu, sans tenir
avec la Vierge immaculée? N'avons-nous pas aujourd'hui même, sous les
yeux
, un spiritualiste plus avancé, qui promène partou
s magnétistes affirment « qu’une somnambule lucide peut voir sans les
yeux
, enten-« dre sans les oreilles, goûter sans les o
angs raconte le cas intéressant d'une dame voyant sans le secours des
yeux
, et ses collègues l’entendent avec un vif intérêt
r l’épigastre de manière que, même en supposant une supercherie , les
yeux
ne pussent voir. La crisiaque épelait chaque mot
emporté avec une rapidité de hO kilomètres à l’heure, ayant dcvantles
yeux
ces filsélec-triques sillonnant la ligne, aussi r
ncer. « Tout à coup je la vis passer une main, puis l’autre sur scs
yeux
, pour combattre, à ce qu’il me parut du moins, un
e sommeil. Un léger Iressalllement flefveux la saisit, elle ferma les
yeux
pendant une minute environ, puis les rouvrit auss
ce monsieur qui est près de la porte et qui a de la barbe. » « Ses
yeux
étaient fermés, son bras était fixé vers moi. «
s, de vouloir bien, s’il est possible, faire briller la lumière à nos
yeux
. C’est ce dont nous allons les prier à l’instan
incre de la présence d’un Esprit. Si les expérimentateurs ferment les
yeux
, la table remue encore sous les doigts, mais ne t
al aussi sûrement que j’eusse pu le faire en ayant le malade sous les
yeux
; et elle le voyait même mieux que moi, puisqu’el
qu’il consacrerait. Nous souhaitons que cette annonce tombe sous les
yeux
d’une personne possédantles qualités requises et
pas stérile et que bientôt nous serons à même de voir de nos propres
yeux
, et d’étudier les merveilles transatlantiques don
fauteuil, il croisa ses jambes l’une sur l’autre, se moucha, jeta les
yeux
autour de lui pour voir si tout le monde était bi
uiarrivait ordinairement après une émotion ou une frayeur. Alors, les
yeux
convulsés en haut, les avant-bras fortement fléch
is, elle présente l’état cataleptique. Sur ma demande, elle ouvre les
yeux
, accuse de la somnolence; j’exige qu’elle tienne
e ouvre les yeux, accuse de la somnolence; j’exige qu’elle tienne les
yeux
ouverts jusqu’il complète démagnétisation ; après
une chaise comme une masse inerte. Quelques mouvements convulsifs des
yeux
, de légères secousses de tout le corps sans perte
le, le visage se décolore, devient froid, le faciès se décompose, les
yeux
se convulsent, le pouls est presque insensible, à
que une large saignée. « Dès que le sang coule, lamalade rouvre les
yeux
, ses joues se colorent, la chaleur revient à la p
que voici : Placez devant le visage d'une personne, entre les deux
yeux
, à une distance de 15 à 20 centimètres, un objet
seul objet, l’opérateur s’approche du sujet et le prie de fermer les
yeux
. Ce qui étant fait, il lui passe rapidement les
se rapidement les doigts du milieu du front à l'angle externe des
yeux
, en déprimant les paupières, comme pour les coll
ui dit d’un ton assuré et quasi-impératif : Vous ne pouvez ouvrir les
yeux
. Si néanmoins les paupières se lèvent, c'est-à-di
end une main du sujet dans la sienne, et le regardé fixement dans les
yeux
durant quelques instants ; après quoi il répète l
première séance en renouvelant les essais. Quand, par l’épreuve des
yeux
, M. Darling a reconnu que le sujet peut obéir à s
soumet à l’épreuve tient d'une main, en avantet un peu au-dessus des
yeux
, un objet luisant qu’elle (I) Voyez les comptes
us gagne en lisant des ouvrages abstraits, ne vient que de ce que les
yeux
sont fixés attentivement sur les mots dont nous c
ation par les soins de M. Guidi, 644. Journal du Magnétisme. Coup d'
œil
sur la route déjà suivie par ce journal, et sur c
ptés depuis Para celse et Van Helmont jusqu'à nos jours, 63. — Coup d’
œil
sur le même sujet, par M. Rossi, 372. Religion
les priait de lui donner l'aumône. « Mais arrêtant, avec Jean, les
yeux
sur lui, Pierre dit : « Regarde- nous. o « Et
on augmente; elle augmente encore plus, si on lui dit de fermer les
yeux
, et il tomberait si on n'était auprès de lui po
r. Le même phénomène se produit si, au lieu de lui faire fermer les
yeux
, on lui dit de regarder le plafond. Pendant la
l'autre, et il nous dit qu'il lui arrive rarement z de tomber. Les
yeux
fermés il peut faire quelques pas, mais la tituba
quelques pas, mais la titubation est plus prononcée que lorsque les
yeux
sont ouverts. Lorsqu'il est assis, il lui est i
ne cuillère, l'hésitation est encore plus marquée, sur- tout si les
yeux
sont fermés; dans ces conditions (les yeux fermés
arquée, sur- tout si les yeux sont fermés; dans ces conditions (les
yeux
fermés) la cuillère 48 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
e sont également bien conservés; le malade se rend bien compte, les
yeux
fermés, des diverses positions données aux doig
il rit très facilement et sans raison suffi- sante. L'examen des
yeux
a été fait par M. Parinaud : pas de lésion du fon
en des yeux a été fait par M. Parinaud : pas de lésion du fond de l'
oeil
. Pas de paralysie des muscles moteurs du globe oc
la langue lorsque celle-ci est tirée hors de la bouche. Du côté des
yeux
, léger nystagmus dans le sens transversal. Lors
en extension d'une façon exagérée. Si alors on lui fait fermer les
yeux
, les oscillations deviennent beaucoup plus pron
oite; cette titubation augmente manifestement par l'occlu- sion des
yeux
. Il existe également de l'incoordination des me
n voit'aussitôt apparaître des oscillations du corps. L'occlusion des
yeux
provoquerait la chute (signe de liombcrg). L'
le. Ces mouvements sont encore plus marqués lorsqu'on lui ferme les
yeux
; du reste dans cette situa- tion, même lorsque
dehors est agitée par de légers mouvements. Lorsqu'on lui dit, les
yeux
ouverts, de porter l'index sur son nez, le mouve-
, après quelques hésitations latérales toutefois; mais, lorsque les
yeux
sont fermés, la justesse du mouvement devient i
sens musculaire est du reste fortement perverti ; c'est ainsi que les
yeux
Si NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
ssé; le goût est normal ; de même l'ouïe et. l'odorat. L'examen des
yeux
montre qu'il existe des deux côtés une instabilit
ais existé de diplopie ni d'autres troubles oculaires; le fond de l'
oeil
est normal; le champ visuel non rétréci; les co
L'orbiculaire des paupières résiste bien quand, le malade ayant les
yeux
fermés, on cherche à les ouvrir. La colonne ver
us avons déjà citées s'accentuent encore. Vient-on à lui fermer les
yeux
, Aub... oscille alors sur sa base, les pieds se
s ses pieds quand il marche et il lui est impossible de marcher les
yeux
fermés. Lorsqu'on lui commande de prendre une é
e son contenu ne se répande sur le sol. Lorsque, lui maintenant les
yeux
fermés, on lui commande de porter l'index de la
eint, ce qui existe également, mais à un degré moindre, lorsque les
yeux
sont ouverts, L'intention exagère donc considér
le point de s'endormir étant assis. On note aussi un strabisme de l'
oeil
gauche, qui. paraît-il, est congénital. Il n'exis
ent du talon, etc. La station debout, les jambes rapprochées et les
yeux
fermés, est impossible (signe de Romberg). Le tro
(signe de Romberg). Le trouble paraît augmenté par l'occlusion des
yeux
. La sensibilité et la force musculaire des memb
-grotesque, nous paraît l'avoir rencontré sur son chemin, vu de ses
yeux
, saisi au passage et reproduit avec une fidélit
ns que le spasme est localisé à une moitié de la face. Il envahit l'
oeil
qui se trouve clos en partie ou complètement, a
n nu- mérotée). Tout le côté gauche de la figure est contracté, l'
oeil
est fermé, la narine fortement relevée, le nez
côté. La joue gauche est plissée, sillonnée de rides. Par contre, l'
oeil
droit est grand ouvert, saillant, et tout ce même
de la bouche, la narine est relevée, le nez tordu, la joue ridée, l'
oeil
fermé. Ceci a lieu à droite, pendant que tout l
e, couverte de rides, front bas, arcades sour- cilières saillantes,
yeux
petits, oreilles larges, minces et détachées du
elques faits destinés à prouver que l'absence ou la fusion des deux
yeux
coïn- cide souvent avec plusieurs agénésies cér
reste pendant deux ou trois minutes fixe, en état de rigidité, les
yeux
hagards, le visage pourpre; puis il fait entendre
e 1/2. A l'oplitalmoscopc on ne constate aucune lésion du fond de l'
oeil
. Les réflexes pupillaires sont conservés. « I
oncentrique du champ visuel à 50°, intéres- sant également les deux
yeux
, sans dyschromatopsie. » Et il ajoutait : « En
réflexes pupil- laires sont conservés. Pas de lésions du fond de l'
oeil
autres que celles delamyopie : M = 4 dioptries.
utres que celles delamyopie : M = 4 dioptries. Acuité visuelle : V=
oeil
droit 1/3, oeil gauche 1/20. « Rétrécissement
delamyopie : M = 4 dioptries. Acuité visuelle : V= oeil droit 1/3,
oeil
gauche 1/20. « Rétrécissement concentrique du
e 1/20. « Rétrécissement concentrique du champ visuel il 40° pour l'
oeil
droit, il 25° pour l'oeil gauche (fig. 44). c
oncentrique du champ visuel il 40° pour l'oeil droit, il 25° pour l'
oeil
gauche (fig. 44). c Le champ visuel du bleu est
mp visuel du bleu est moins étendu que celui du rouge dans les deux
yeux
. L'oeil gauche ne distingue pas le violet à la vi
l du bleu est moins étendu que celui du rouge dans les deux yeux. L'
oeil
gauche ne distingue pas le violet à la vision c
it-il, une sorte de fièvre muqueuse. Pas de ganglions, ni de maux d'
yeux
, ni d'écoulements purulents. Il s'enrhume facil
eu. III. Alex... peut rester debout avec les jambes écartées et les
yeux
ouverts. Mais dans cette position, sa tête est
la conservation de l'équilibre. Dans cette position, même avec les
yeux
ouverts, il finirait par tomber, si on ne le sout
il finirait par tomber, si on ne le soutenait pas. S'il fermait les
yeux
, même avec les jambes écartées, il lui serait imp
déplacer un instant ses regards de ses pieds, soit qu'il ferme les
yeux
, soit qu'il regarde le plafond, il tombe, si on
s pure, se manifeste à toutes les épreuves connues. L'occlusion des
yeux
exagère tous ces troubles. Les troubles des mou
usieurs années avant le début de sa maladie. Actuellement, avec les
yeux
fermés, il lui est impos- sible d'écrire quoi q
t impos- sible d'écrire quoi que ce soit; néanmoins, quand il a les
yeux
ouverts, et quand il y met beaucoup d'attention
se dévie à droite en même temps qu'elle s'ouvre large- ment et les
yeux
clignent ou se ferment. Il existe en même temps d
ndiquer très exactement un léger défaut physique. Si l'on examine l'
oeil
droit, on constate en effet ce renversement de
e : « Lève-toi ! » sou- lève le poignet gauche du malheureux qui, l'
oeil
fixe et la bouche bée, semble encore douter de
ridée; pommettes sail- lantes ; orbites creux au fond desquels les
yeux
paraissent plus brillants; nez écrasé à sa raci
artie inférieure de l'arcade sourcilière est de 25 millimètres. Les
yeux
sont légèrement saillants, de volume normal, la c
re que l'acuité visuelle est très peu réduite : V= 1o pour les deux
yeux
; pas de troubles pour l'appareil musculaire et le
t aux membres inférieurs. V. - La vue est parfaite : le fond de l'
oeil
, examiné par M. Parinaud, est 1. Voir le n° i,
lopie, ni de strabisme, ni de ptosis. Cependant les mouvements de l'
oeil
ne sont pas normaux. Je constate un certain degré
e sont pas normaux. Je constate un certain degré de nystagmus. Si l'
oeil
est en repos absolu, il n'y a pas de mouvements a
oeil est en repos absolu, il n'y a pas de mouvements anormaux. Si l'
oeil
fixe un objet en avant, quelques petites secousse
ns. Le malade ne peut rester dans la station debout, s'il ferme les
yeux
; il vacille et tomberait, s'il n'était soutenu.
ulputure. Nous nous bornerons à signaler le mouvement expressif des
yeux
qui nous paraît admirable- ment rendu. Ces yeux
ement expressif des yeux qui nous paraît admirable- ment rendu. Ces
yeux
inégalement ouverts, au-dessus desquels le sour
iter l'accès désormais inutile de la lumière du jour, sont bien les
yeux
d'un aveugle. 11 est en effet bien curieux d'
es. Il marche seul, la canne en avant, raide et tout d'une pièce, l'
oeil
sans regard dirigé en haut, avec une assurance et
t les passants. Ou bien il est accompagné, et le conducteur, dont l'
oeil
est sans cesse sollicité parce qui se passe aut
e et compassée de son compagnon. D'aussi loin qu'il les aperçoit, l'
oeil
le moins exercé n'hésite pas à reconnaître lequ
celui d'apporter un obstacle à l'entrée des rayons lumineux dans l'
oeil
; d'où le froncement ou l'abaissement constant des
ens et les plus graves (atrophie papillaire, atrophie du globe de l'
oeil
tout entier^ alors que toute perception lumineu
un certain temps. » Et aussitôt les ténèbres tombèrent sur lui, ses
yeux
s'obscurcirent, et tournant de tous côtés, il c
toute la partie du visage qui se trouve au-dessous de la ligne des
yeux
se fait rcmarquerpar une pla- cidité et une imp
contradictoiremcnt, et le reste de la face impassible, plaçons les
yeux
fixes et immobiles, grands ouverts, avec une ab
nt t aucune paralysie ni atrophie musculaire. Enfin l'examen de l'
oeil
montra les pupilles parfaitement égales. Du reste
essive. Parfois il y a comme des nuages de fumée passant devant les
yeux
. Pupilles égales. Ainsi donc, chez ce malade, t
pas sa langue. Souvent, il lui passe comme un brouillard devant les
yeux
; cette obnubilation de la vue, très-fugace, dur
cités cornéennes très étendues ont empêché tout examen du fond de l'
oeil
). Vers l'âge de frente-deuv. à trenle-trois ans
x, n'en trouvant point dont la forme soit assez ample pour lui; ses
yeux
sont actuellement très à fleur de tête par l'ép
e éprouvait un accablement général; tout son corps s'est tuméfié; l'
oeil
est presque sorti de son orbite et larmoyait cont
suivent pas dans une égale proportion le développement des os, les
yeux
ne sont guère plus gros que normalement, le nez e
possible. Au- dessous, enfoncés dans les orbites se trouvaient deux
yeux
petits, noirs, peu expressifs et nullement en p
e n'est pas constant ni assez accentué pour qu'on puisse indiquer l'
oeil
dévié. Le nez est extrêmement développé. L'él
Le malade prétend avoir remarqué une diminution de la mémoire. Les
yeux
seraient devenus plus faibles, mais l'ouïe et les
erçoit pas dans la conversation de la diminution de la mémoire. Les
yeux
sont hypermétropes mais d'une acuité visuelle nor
s pour un homme passe vite ; dès qu'un autre homme, plus joli à mes
yeux
, se présente, la pensée du premier disparaît.
run, grand, bien charpenté, il a le crâne régulièrement conformé, l'
oeil
vif, le visage énergique et intelligent, malgré
ce, se raidit; présente ensuite des secousses dans les membres, les
yeux
se convulsent, les mâchoires s'entre- choquent
les mouvements des membres supérieurs et inférieurs. La marche, les
yeux
fermés, était incertaine, et dans la marche ord
ut incapable de me dire combien faisaient 60 et 25; elle fixa les
yeux
sur moi quelque temps et dit enfin : Oh ! toutes
gauche, rotation de la tête à gauche, avec déviation conjuguée des
yeux
. La sensibilité parait intacte. Pas d'hémiplé
dans la pression intra-oculaire ; l'amaurose que l'on signale sur l'
oeil
gauche correspond à l'apparence confuse de la p
ts de Hugh. Jackson et de Fournier. Les paralysies des muscles de l'
oeil
aussi bien que les troubles visuels, amblyopies
d'Andernach; est nommé membre titulaire. Le De Hertz 'met sous lès'
yeux
de la Société le plan du nouvel asile construit
l'habitus extérieur de l'aliéné, sur la façon dont il se révèle à l'
oeil
exercé du praticien, les diffi- cultés d'une dé
e sommeil ne peut être obtenu qu'à la condition do lui former les
yeux
. La catalepsie cesse aussitôt et la malade devien
est parfaite. La catalepsie n'est plus possible par l'ouverture des
yeux
. L'état de la motilité est le même par tout le
te d'une grosse épingle que l'on maintient à peu de distance de ses
yeux
et un peu en haut. Au bout de cinq minutes envi
regard, pensant que l'expérience était terminée. Mais aussitôt les
yeux
se ferment et la malade tombe dans un état de r
. ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 139 L'ouverture des
yeux
n'a pas lieu sans quelque difficulté, à cause d
d'instants les paupières se ferment d'elles-mêmes. Pendant que les
yeux
sont ouverts, l'état mus- ' culaire ne change p
ssons alors de la réveiller par le souffle sur le visage et sur les
yeux
. Il faut insister un peu pour y par- venir. L
te. Il n'y a aucune aptitude des muscles à la contracture quand les
yeux
sont fermés, et lorsqu'ils sont ouverts, aucune
é neuro-musculaire, et l'état cataleptique qui suit l'ouverture des
yeux
ne peut être provoqué. 18 février 181.-V...,I
ut de peu d'instants elle pousse quelques soupirs, puis bientôt les
yeux
se ferment, la tête se renverse, elle est endor
par la friction. Le spasme des paupières empêche l'ouverture des
yeux
, les pupilles se cachent convulsivement sous la
ce qui rendait la marche très difficile, particulièrement avec les
yeux
fermés. Les facultés psychiques peuvent être in
ons dans l'exposition de quelques faits que nous avons eus sous les
yeux
dans le service de M. Charcot, à la Salpêtrière
réci surtout du côté gauche. Elle voit toutes les couleurs des deux
yeux
, mais elle est incapable de différencier les nu
e direction, ce dont on se rend très bien compte en tenant l'autre-
oeil
ouvert. Cette insensibilité parait même quelque
ssait le verre, j'ai pu lui mettrele doigt sur la cornée sans que l'
oeil
se ferme et sans que le regard change de direct
sont exagérés ; pas de somnambulisme pro- voqué. Elle s'endort les
yeux
convulsés en haut; on nepeutpas découvrir la pu
on peut quelquefois lui porter le doigt sur la cornée sans que son
oeil
se dévie; puis, couchée sur le côté, en chien de
e a conservé le sens musculaire, elle se tient très bien debout les
yeux
fermés. Elle entend un peu moins bien la montre
lexe, ni mouvement des pau- 172 CLINIQUE NERVEUSE. pières ou de l'
oeil
, ni sécrétion de larmes; mais tandis qu'à droit
dis qu'à droite, il est impossible de toucher la cornée, sans que l'
oeil
se retire immédiatement et sans que les paupièr
, et ne détermine l'occlusion des paupières et la rétraction de l'
oeil
que lorsqu'elle arrive dans le champ pupillaire.
UE CRITIQUE. r en sortira par les oreilles, par le nombril, par les
yeux
et même par le nez, ainsi que cela eut encore l
ne plus marcher pen- dant de longs mois ; une hystérique tient les
yeux
fermés pen- dant des journées entières, laissan
la physionomie, l'animation facile des traits, l'éclat brillant des
yeux
, l'épaisseur et la coloration des lèvres qui so
chairs flasques et le ventre creusé en bateau, face pâle et blême,
yeux
excavés, ' On sait qu'autrefois Cruveilhier par
ompagnant une certaine mobilité des traits. Pour Todd, l'éclat de l'
oeil
et un léger abaissement de la paupière supé- ri
llaire, une certaine hésitation de la parole, et du tremblement des
yeux
et de la langue, mais l'amélioration intellectu
e est tout à fait au début. (Coloration blanc verdâtre du nerf) : l'
oeil
droit lit encore les plus fins caractères, l'oeil
âtre du nerf) : l'oeil droit lit encore les plus fins caractères, l'
oeil
gauche, l'impres- sion habituelle. La vision ce
0. avec rétrécissement du champ visuel. Diplopie ; divergence de l'
oeil
SOCIÉTÉS SAVANTES. 233 gauche bientôt suivie
phénomène du genou. Acuité visuelle normale ainsi que le fond de l'
oeil
. L'hémianesthésie comprend aussi la langue, et la
et la surface du globe oculaire. Parésie de l'oculo-moteur droit; l'
oeil
droit est dévié en dehors. La diplopie tient à
e l'autre : pas de réaction à la lumière, mais dilatation dès que l'
oeil
fixe un point éloigné. L'iodure de potassium à
che d'une source éclai- rante. Léger ptosis a droite; mobilité de l'
oeil
de ce côté limitée surtout en dedans. Les frict
curielles employées jusqu'au ptyalisme diminuent la divergence de l'
oeil
droit (diplopie presque disparue), mais la paré
oit (diplopie presque disparue), mais la parésie accommodative de l'
oeil
gauche aug- mente, l'organe étant limité dans s
- mente, l'organe étant limité dans sa motilité interne. Les deux
yeux
arrivent à converger sur un objet placé à 1'2", m
ractées naturellement peuvent se resserrer encore si l'on force les
yeux
à converger et à accommoder. L'ordre du jour
oires. 11 concerne un garçon de dix-neuf ans qui s'étant frappé à l'
oeil
droit avec un fouet, vit s'y développer une pan-
uvième jour de la dys- phagie avec paralysie de l'oculo-moteur de l'
oeil
gauche (sphincter inen indemne) dans lequel l'e
ellules, les noyaux même de l'oculo-moteur sont demeurés intacts. L'
oeil
blessé présente, outre les lésions de la panophth
ue, la portion inlra-crânienne du nerf et le chiasma étant sains. L'
oeil
gauche sympathiquement affecté est le siège d'une
ée d'un sys- tème uvéal à l'autre, la choroïdite communiquée dans l'
oeil
gauche y ayant entrainé la neuro-rétinite, conf
r lui il y a neuf ans, dans laquelle à la suite d'une blessure de l'
oeil
par un corps contondant était survenue une légè
papille, il se pro- duit toujours un obscurcissement passager de l'
oeil
, l'analogue delà commotion cérébrale passagère,
& en termes & mots si licencieux & lubricques, que les
yeux
se troublent, les oreilles s'eftourdiffent, &am
Par Ci. FÉRÉ. IV. SUR QUELQUES PHÉNOMÈNES OBSERVÉS DU CÔTÉ DE L'
OEIL
CHEZ LES IIISTÈI10-$l'ILI : PTIQUES, SOIT EN DEHO
a conjonctive et de la cornée une bandelette de papier, on voit l'
oeil
et les paupières rester immobiles, tant que le
i ont des troubles de la sensibilité des membranes extérieures de l'
oeil
, ont également des troubles visuels, soit achro
sens. Le rapport qui existe entre la sensibilité spéciale de l'
oeil
et la sensibilité de la conjonctive, nous paraît
fonde, celle qu'on obtient, par exemple, par un bruit soudain, les
yeux
restent fixes, sans clignement de paupières ; d
quer de réflexe. 2° En agi- tant plusieurs fois un objet devant les
yeux
de la cata- leptique, on arrive à fixer son reg
fois qu'on le veut; le résultat est toujours le même : sitôt que l'
oeil
perd sa fixité, la sensibilité de la conjonctiv
ilité de la conjonctive reparaît. L'objet mis en mouvement devant l'
oeil
excite la sensibilité spéciale de l'organe comm
ec la fonction visuelle, la sensibilité de la membrane externe de l'
oeil
a reparu. DE il111YSTPI',O-ÉPILEPSIE. 287 B.
s maintenant à l'étude de quelques phénomènes observés du côté de l'
oeil
pendant l'attaque d'hystéro- épilepsie. L'explo
e l'oeil pendant l'attaque d'hystéro- épilepsie. L'exploration de l'
oeil
pendant l'attaque présente une grande difficult
lté, en raison des batte- ments des paupières, de la convulsion des
yeux
qui se portent souvent vers un des angles de l'
la cornée durant plusieurs secondes. Les membranes externes de l'
oeil
sont donc insensibles pendant l'attaque. L'état
pupilles sont généralement contractées pen- dant la convergence des
yeux
et quelquefois sans con- vergence par un spasme
phase épileptoïde, la face se convulsé, se tourne d'un côté, les
yeux
deviennent fixes, les membres se rai- dissent e
l'objet est bien vu comme un objet réel et qu'il est vu des deux
yeux
suivant les lois physiologiques ordinaires. Sur
portrait. Si alors, sans prévenir, on place un prisme devant un des
yeux
, immédiatement le sujet s'étonne de voir deux p
le place devant l'oei) le plus près de l'état normal, ou devant l'
oeil
le plus amblyope. Du reste, à l'état de veille,
objets réels. Une de nos malades, complètement achromatopsique d'un
oeil
, ne peut avoir d'halluciua- tions colorées de c
aractères de cet état catalep- tique sont les suivants : ' 1° Les
yeux
sont ouverts, et le regard possède une fixité s
rd, en convergence supérieure. Au bout de cinq minutes environ, les
yeux
se ferment tout à coup, la tête se renverse, le
ici bien moins violent. Bientôt le spasme cesse, et sans ouvrir les
yeux
, ni reprendre connais- sance, la malade se met
ant la phase de spasme ou celle de délire, et que la malade ait les
yeux
ouverts ou fermés. En premier lieu nous constat
plète. En soulevant les paupières de la malade et en maintenant ses
yeux
ouverts, l'état cataleptique véritable ne saura
e par excitation mécanique directe est toujours possible. Que les
yeux
soient ouverts ou fermés, la motilité, chez cet
lade, présente les mêmes modifications. Nous avons remarqué que les
yeux
maintenus ouverts présentaient tou- jours un ce
lement. Nous avons pu noter que le plus souvent, dans ce cas, les
yeux
ne se laissent pas ouvrir facilement ; un spasme
rmer. Cependant nous avons pu remarquer quelquefois que lorsque les
yeux
étaient ouverts, quelqu'imparfaitement que ce s
orme sont les suivants : 316 H PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. 1° Les
yeux
sont le plus souvent fermés, s'ils sont ouverts
degré quelconque. Les réflexes tendineux sont exaltés. 4° Que les
yeux
soient ouverts ou fermés, l'état mus- culaire r
Nous essayons de produire l'état cataleptique par l'ouverture des
yeux
. Les paupières se laissent assez facilement soule
état catalepti- forme. - En effet, en insistant sur l'ouverture des
yeux
, les globes oculaires s'abaissent et le regard
100 de bichromate d'ammoniaque. Après durcissement, elle parait à l'
oeil
nu tout à fait normale, depuis son extrémité su
lières; excavation cachectique des fosses temporales; nez aquilin;-
yeux
profondément excavés, cils bruns, pupilles égal
nvul- sions internes ( ? ). - Ce matin, D... est prostré, pâle, les
yeux
caves; le pouls est à I ? 0. Nouvelle dose de 0
saillie des apophyses malaires, excavation des joues et des tempes,
yeux
creux, cernés, ternes, rictus sardonique, saillie
l'anesthé- sie cutanée peut être limitée à la région qui avoisine l'
oeil
. Quand une lésion cérébrale détermine des troub
ésion cérébrale détermine des troubles seusitifs des téguments de l'
oeil
, il faut chercher les troubles sensoriels de l'
miner la paralysie des fibres rétiniennes de la moitié externe de l'
oeil
correspondant, et de la moitié interne de l'oei
oitié externe de l'oeil correspondant, et de la moitié interne de l'
oeil
opposé, la vision centrale étant presque toujours
res- pectée dans tous les cas, on est forcé d'admettre que chaque
oeil
a une relation bilatérale avec les hémisphères cé
Il faut convenir, toutefois, que les connexions du cerveau et de l'
oeil
ne peuvent pas être établies d'une façon assez cl
très étendues sur lesquelles il a pu suivre à la loupe ou même à l'
oeil
nu le trajet de certains groupes de fibres. C'e
elant. Le malade ne le dit externe que parce qu'il prédomine dans l'
oeil
affecté du côté externe ; il est véritablement
e elles dépendent de la cachexie pellagreuse, l'aspect du fond de l'
oeil
présente certains caractères spéciaux consistan
lles très développées peuvent en imposer tout d'abord et passer aux
yeux
du monde pour avoir une certaine intelligence, ma
de <'/t.)o<o&'6'(; dans le lobe occi- pital cl celui de l'
oeil
dans le lobe frontal. » E. li. XIII. Etudes cli
E PORTANT SUR LE CENTRE CONJUGUÉ DES MOUVEMENTS DE LA TÈTE ET DES
YEUX
, PAR R M. CHIRAY, Ancien chef de Clinique d
physiologie pathologique de la déviation conjuguée de la tête et de
yeux
a suscité de nombreuses -discussions depuis le tr
la lésion d'un centre cortical des mouve-' ments de la tête et des
yeux
, centre qui serait situé au niveau du pli courb
l'existence de ce centre des mouvements conjugués de la têteet des
yeux
. Seulement les uns (Bonardi) le placent au pli co
bitement prise d'une crise de déviation conjuguée de la tête et des
yeux
sans aucune convulsion des bras. La tête se dévia
ête se déviait vers la gauche par petites saccades, de même que les
yeux
qui présen- taient en même temps du nystagmus.
levait volontairement le bras droit pour se frotter le front et les
yeux
, ce qui, disait-elle, remettait ses yeux en pla
se frotter le front et les yeux, ce qui, disait-elle, remettait ses
yeux
en place. La crise durait une minute environ pu
niens exactement limités à la déviation conjuguée de la tête et des
yeux
vers la gauche, c'est-à-dire du côté opposé à la
psie JACKSONNIENNE portant sur le centre conjugué de la tête et des
yeux
. (Cbiray) . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPI
al développés, mal implantés et assez friables. Examen du fond de l'
oeil
(Dr Grignolo de la clinique ophtalmologique de
'opinion de Rath pour lequel cette anomalie paradoxale du fond de l'
oeil
serait la conséquence directe et immédiate de l
ril 1913, le dit Joseph B... fut frappé par une balle élastique à l'
oeil
droit par un de ses camarades pendant qu'il jouai
lade recourut à nous afin qu'on le guérit d'autres désordres dont l'
oeil
droit était encore affligé. Etat actuel (21 mai
contracture accentuée de la paupière droite, qui ferme complètement l'
oeil
du même côté. Contemporainement on remarque que
ement on remarque que le sourcil de ce côté est baissé. A gauche, l'
oeil
est découvert, mais la paupière est aussi en cont
ade affirme d'être dans l'impossibilité d'ouvrir, si peu soit-il, l'
oeil
droit et d'ouvrir davantage le gauche. En vainqua
t une légère résistance, on réussit à lui ouvrir les paupières de l'
oeil
droit. Ce mouvement provoque alors la fermeture
Ce mouvement provoque alors la fermeture complète et spontanée de l'
oeil
gauche. Si l'obser- vateur lâche les paupières
tanée de l'oeil gauche. Si l'obser- vateur lâche les paupières de l'
oeil
droit, celui-ci se ferme de nouveau pen- dant q
de nouveau pen- dant que le gauche s'ouvre. Si on ferme au malade l'
oeil
gauche, le droit reste également fermé. En lui
, le droit reste également fermé. En lui ouvrant les paupières de l'
oeil
droit et en mettant à découvert le bulbe, on re
côté interne (PI. XI). En ouvrant au malade les paupières des deux
yeux
, on remarque une légère agitation des bulbes oc
l'autre. En invitant le patient à exécuter des mouvements avec les
yeux
, on observe qu'ils se comportent normalement da
ren- ces entre les deux côtés. Odorat, ouïe et goût normaux vue :
oeil
gauche, acuité visuelle = 1. Champ visuel norma
, acuité visuelle = 1. Champ visuel normal, pas de dyschromatopsie.
OEil
droit : le malade dit de ne voir que la lumière
x noires, mais plus foncée celle qui l'est réellement. En bandant l'
oeil
gauche au malade et en l'invitant à marcher dans
ec précau- tion. On ne réussit pas à mesurer le champ visuel de l'
oeil
droit. Le fond de l'oeil est normal des deux cô
réussit pas à mesurer le champ visuel de l'oeil droit. Le fond de l'
oeil
est normal des deux côtés. ' L'examen des organ
moscopique avait démontré que ies milieux dioptriques et le fond de l'
oeil
étaient normaux.Cela n'étai t pas sufnsantpour
organiques. En outre, la démarche du malade, quand on lui fermait l'
oeil
sain, était typique pour l'amaurose hystérique.
AIRE DES PAUPIÈRES 38 d'un sujet normal qui ferme volontairement un
oeil
. En effet, lorsqu'un sujet normal fait ce mouve
légèrement la commissure labiale du même côté, pendant que l'autre
oeil
se ferme aussi un tout petit peu. En plus, chez
ne lésion organique irritative du trijumeau. En pareil cas, l'autre
oeil
ne participe au spasme en aucune façon et le sour
e à bascule de Pacelti. Dans le signe de Pacetti, la fermeture de l'
oeil
sain peut déterminer l'ouverture de l'oeil ferm
cetti, la fermeture de l'oeil sain peut déterminer l'ouverture de l'
oeil
fermé par la ptose palpébrale, c'est-à-dire que l
aminant un grand nombre. Or, si on invite un sujet sain à fermer un
oeil
et à s'opposer à la tentative d'ouvrir les paupiè
r un oeil et à s'opposer à la tentative d'ouvrir les paupières de l'
oeil
fermé, on observe que, lorsque nous réussissons à
réussissons à vaincre la résistance opposée par l'individu, l'autre
oeil
se ferme. L'oeil ne se ferme pas à cause de l'a
ncre la résistance opposée par l'individu, l'autre oeil se ferme. L'
oeil
ne se ferme pas à cause de l'abaissement de la
involontaire ; nous disons involontaire parce que la fermeture de l'
oeil
ouvert ne dépend pas de la Volonté du sujet et
ue chez le malade en question il ne s'agit pas de la fermeture de l'
oeil
par spasme de l'orbiculaire, mais au contraire
impler parle de la possibilité que certains individus souffrant des
yeux
, et même quelques normaux, ont de baisser la pa
e ou par une paralysie des muscles intrinsèques ou extrinsèques des
yeux
. ' Ces faits faisaient défaut chez notre malade
et l'abaissement du sourcil gauche pendant que le patient fermait l'
oeil
. Mais en ce moment-là nous avons pu constater e
-dire de la résistance que l'on sent en écartant les paupières de l'
oeil
atteint de pseudoplose, étant donné les conditi
releveur de la paupière, le droit supérieur, le petit oblique de l'
oeil
et le frontal pendant l'élévation de l'oeil, mouv
, le petit oblique de l'oeil et le frontal pendant l'élévation de l'
oeil
, mouvement auquel la paupière inférieure partic
et en dedans, syncynésies qui se produisent au moment de fermer les
yeux
. Dans la paralysie faciale périphérique les deu
arement observés chez les sujets normaux, ainsi que la fermeture de l'
oeil
quand on luille. M. Oppenheim, dans un cas de
bilatéral) clignait t 38 MENDICINI ET ARTOM · des paupières de l'
oeil
gauche. Jolly a remarqué dans la diplégie faciale
tes pour la mimique, et celles entre le mouvement de clignement des
yeux
et les dilatateurs des narines. Dans la paralysie
e périphérique on a souvent observé que lorsque le malade ferme les
yeux
, se produit non seulement la contraction de l'o
e buccale. Le même fait a été observé dans la fermeture réflexe des
yeux
. Les syncynésies entre les deux orbiculaires de
grand nombre de sujets normaux ne peuvent pas fermer isolément les
yeux
. Ce phénomène a été interprété par Langendorff
hénomène a été interprété par Langendorff dans le sens que les deux
yeux
, étant rappro- chés l'un de l'autre, ont en com
un menace aussi l'autre, de sorte qu'il est nécessaire que les deux
yeux
se ferment ensemble. Onanoff aurait trouvé que,
ent ensemble. Onanoff aurait trouvé que, chez les individus dont un
oeil
ne peut se fermer séparément, il y a en général
peut se fermer séparément, il y a en général un trouble de l'autre
oeil
dont la fers meture estpossible (astigmatisme,
ture estpossible (astigmatisme, diminution de l'acuité visuelle). L'
oeil
sain ne se fermerait pas, parce qu'il devrait fai
lui est bilatéral, car il se produit t en même temps dans les deux
yeux
. Quelques auteurs expliquent ce fait en admetta
de Revilliod qui consiste en ceci : le patient peut fermer les deux
yeux
ensemble, ou bien celui du côté sain, en laissant
r les deux yeux ensemble, ou bien celui du côté sain, en laissant l'
oeil
ouvert du côté paralysé, mais il ne peut pas fa
asc. 111, 1896. PAIIINAUD, - Spasmes et paralysies des muscles de l'
oeil
. Gaz. hebd. de méd., 1891, n$46 et 47. HEMAK.
le malade est en profonde somnolence, c'est à peine s'il ouvre les
yeux
de temps en temps. L'attitude est tout à fait pas
devant lui, que nous déplaçons, nous voyons que le malade la suit des
yeux
.* Les pupilles sont également étroites des deux
à la base sont épaissis. Des hémorragies ne sont pas constatées à l'
oeil
nu. Une atrophie bien appréciable des circonvol
es, formant ainsi des taches ou des lignes claires remarquables à l'
oeil
nu. Là où le processus a atteint ce degré d'inten
ne cicatrice d'othématome à l'oreille gauche, et une cataracte de l'
oeil
gauche. Aucun trouble apparent des sécrétions g
e, la malade a présenté des phénomènes analogues au niveau des deux
yeux
. Cette fois la rougeur locale a débuté sur la c
yeux. Cette fois la rougeur locale a débuté sur la conjonctive de l'
oeil
gauche, égarant d'a- ord notre diaguostic. Bien
vraies stéréotypies. Tantôt, au contraire, elles naissent sous,les
yeux
du médecin, et sur un individu dont l'intelligenc
, ses examens laissèrent à désirer. Pen- dant l'été il souffrit des
yeux
, des lunettes le soulagèrent, mais la sensation d
es cas, n'est pas paralytique, se perçoit quelquefois peu quand les
yeux
sont ouverts et peut se réduire seulement il de
eut se réduire seulement il de la rougeur des conjonctives. Mais, les
yeux
étant fermés, il est alors très facile de l'obs
qu'il y a de la part des orbiculaires qui s'efforcent de clore- les
yeux
au moment de la pose photographique, on voit la
l trophique et paralytique et il n'augmente pas par l'occlusion des
yeux
. Les lépreux anesthésiques de ces tissus ne pré
tant dans la la situation diagnostique ainsi que la marche avec les
yeux
fermés. A ce sujet je donne dans la figure 1G l
n, presqu'abolition du réflexe rotulien. Pendant la marche avec les
yeux
fermés, dévie comme un labyrinlhique et il surv
malade ne souffre de sensation vertigineuse que quand il ferme les
yeux
étant debout ou étant en marche. Reg. 27 Fi
années et dont également la motilité intrinsèque et extrinsèque des
yeux
était normale. L'anesthésie des tissus profon
ons un lépreux ayant de l'aneslhésie des tissus des mains, avec les
yeux
fermés, il exécuter le geste connu de faire tou
e avec son doigt le point désigné. Ce trouble a lieu aussi avec les
yeux
ouverts. Tous nous voyons des tabétiques qui pr
e doit regar- der quelque chose qui ne se trouve pas en face de ses
yeux
, comme dans l'acte de répondre une personne qui
re avec beaucoup de lenteur : Les malades de ce genre portent leurs
yeux
sur leur interlocuteur bien avant que leur ligu
n de l'insuffisance des deux orbiculaires dans l'acle de fermer les
yeux
. Il est sourd et il a le signe de Romberg très cl
LOGIE DU SYSTÈME NERVEUX Le manque d'association des mouvements des
yeux
de l'homme de la figure 1 est dû à des processu
on ne constate de trouble du côté des organes des sens, du côté des
yeux
particulièrement. L'examen des réflexes donne d
e se retrouvent-elles en anatomie patho- logique ? Je mets sous vos
yeux
la planche du mémoire de Gombault et Mallet, qu
Acuité visuelle normale. Pas de photophobie. L'examen du fond de l'
oeil
, pratiqué à plusieurs reprises par M. le médeci
temps en temps, de la sensation" de brouillard, de nuages devant les
yeux
. Depuis à peu près la même époque apparaissent
aurose, sent affectivement avec la peau anesthésique ou voit avec l'
oeil
amaurotique, mais ces sensations demeurent tout à
l'organisation de la fonction motrice paraît douteuse, au moins aux
yeux
d'un certain nombre de neurologistes. Et pourta
rrégulière et très profonde. Si nous prions le malade de fermer les
yeux
, l'ordre est exécuté sans diffi- culté. Par con
té sans diffi- culté. Par contre il n'est pas capable de fermer les
yeux
séparément. Il fait des grimaces terribles, il
u corps est en agitation, mais l'action ordonnée n'est pas obtenue.
Yeux
. Les pupilles sont égales, la réaction à la lumiè
égales, la réaction à la lumière est bonne. Tous les mouvements des
yeux
sont bien exécutés, pas de lenteur, pas de nystag
scopiquement c'est encore la réduction du corps strié qui saute aux
yeux
. La capsule interne est intacte. La surface épend
; tout de suite il la retire. Le malade est tout à fait muet. Les
yeux
sont très mobiles : il me suit toujours de son re
l'cuïe est faible à gauche, à peu près nulle à droite. Du côté des
yeux
, on note une pupille droite plus dilatée que la
elle mesurée à l'échelle de Wecker donne sans correction 1/2 pour l'
oeil
droit et 1/3 pour l'oeil gauche. Le Wassermann
de Wecker donne sans correction 1/2 pour l'oeil droit et 1/3 pour l'
oeil
gauche. Le Wassermann pratiqué dans le sang et
ture extrinsèque. Le champ visuel est normal. L'examen du fond de l'
oeil
a montré des pupilles normales. Les réllexes te
ir de son coma. Elle fait quelques mouvements, se défend, ouvre les
yeux
avec un regard vague, pupilles peti- tes. Elle
tretenir dans ces bonnes dispositions, de faire miroiter devant ses
yeux
l'image attirante de la guérison. C'est là une
usion des globes oculaires, des paralysies des muscles moteurs de l'
oeil
, le nys- tagmus, la réaction hémiopique de Wern
deux cornées sont infiltrées et dénoncent une ancienne kératite. L'
oeil
gauche présente un strabisme interne ; les pupill
ins prompte du côté droit. L'examen du champ visuel et du fond de l'
oeil
n'a pu être fait à cause de l'indocilité de la ma
diminuée et parfois un nuage vient rendre les objets troubles à ses
yeux
. L'étude du fonds mental a montré une intellige
t entière qui est modifiée et dont la modification se traduit à nos
yeux
par des processus différents. La réduction des
ouver constamment une déviation conjuguée (tourner le visage et les
yeux
du côté des lésions cérébrales). Benders a appelé
accusait des étourdissements et des douleurs dans la tête, dans les
yeux
. Il dormait peu, mangeait mal : il faisait toujou
abandonner à lui-même. On le voit tremblant, les poings fermés, les
yeux
largement ouverts et il dit : « Boum ! Boum ! Gri
u'a pas dit d'autres paroles. 29. Ne dit pas un mot. Immobile, les
yeux
fixes, le faciès vultueux. Gâtisme. Il prend bi
lit. Quand on dirige l'index sur une de ses pupilles, il ferme les
yeux
, mais ne détourne pas la tête. Pouls petit et rap
pait les bras et qu'on me les recollait. Je croyais que j'avais les
yeux
rentrés. Si on déplaçait mon bras, je n'avais p
e portant sur le centre conjugué des mouvements de la tête el des
yeux
, par CRIRAY, 1. - Groupe « Ires in una », par H
nne portant sur le centre conjugué des mouvements de la tête et des
yeux
, 1. CLUZET et Lf : vr (L.). Etude clinique, rad
x forces physiques, et f entre forcément dans le monde moral. A nos
yeux
, le magnétisme se présente comme un principe volu
es que ceux qui méconnaissent la puissance de cet agent invisible aux
yeux
et qui s’introduit sans bruit à travers les tissu
ois àla vérité de déclarer qu’à la première magnétisation et sous mes
yeux
, les symptômes adynamiques disparurent pour ne pl
riant à leur sœur, la poétique Espérance, et qui passaient devant nos
yeux
éblouis, enchantés, avec leurs rêves étoilés, leu
e vérité ne venait pas de Dieu, — elle se montre, elle apparaît à nos
yeux
dans toute sa sereine grandeur : elle défie tout
il y en a qui n’ont pas vu, parce qu’ils ont volontairement fermé les
yeux
à la lumière ; mais aussi reconnaissons que bien
s. Nous en citerons quelques-unes. Les somnambules extatiques ont les
yeux
ouverts, les paupières restent complètement immob
amais. La nature pour moi n’a point d'horizon. — N’ai-je pas sous les
yeux
le spectacle constant de l’infini ? Mais nous nou
science de Dieu, c’est-à-dire le magnétisme , ne se présente à leurs
yeux
que comme une vision , que comme un enfantement s
s , et nous voilà tous les deux, debout, en face l’un de l’autre, mes
yeux
fixés sur les siens, ma volonté tendue, lui passi
rbe, lustré et parfumé ses moustaches, lorsqu’il s’est appliqué sur l’
œil
un lorgnon, il croit ne plus appartenir à la race
la ouate dans ses habits pour couvrir ses os sans muscles ; il a des
yeux
malades, souvent une tête sans cervelle. La misèr
médecin se trompe sur l’origine de l’état morbide qu’il a devant les
yeux
; souvent encore, quand il la connaît, il ne sait
ambule ne se sert pas de ses organes. Quand le somnambule , ayant les
yeux
fermés, voit un objet qu’il tient à la main , per
Hume est un homme de vingt-cinq à vingt-six ans, très-maigre, avec l’
œil
très-vif et le pied très-leste. A la première vue
nant non de nous-mêmes, mais découlant d’une source cachée à tous les
yeux
, et que nul n’a pu découvrir. Lecteur, vous cro
u’il est impossible de mépriser. L’homme qui n’admet que la vue des
yeux
a une bien courte vue. Celui qui n’a point reconn
tion, un homme qui désire les voir et les produire ! Cela cache à nos
yeux
l’action de la Providence. Cet aveuglement, dont
réunies croyant assister à une agonie. De fait, la malade avait les
yeux
hagards et la parole lui était enlevée, l’ouïe pa
t fait une voie dont ils se détournent peu, et c’a toujours été à nos
yeux
une faute de s’adresser aux académies pour faire
tout au moins bien peu instruit en magnétisme, science sublime à ties
yeux
, et dans laquelle j’ai le désir le plus ardent de
Au bout de deux minutes : — Je ne puis vous regarder davantage ; vos
yeux
sont trop brillants, et d’ailleurs ma paupière s'
rillants, et d’ailleurs ma paupière s'alourdit. « — Fermez donc les
yeux
et ne vous occupez pas de ce que je fais. » « E
s pris part à notre conversation, ayant gardé la même attitude et les
yeux
toujours fermés. «— Comment te trouves-tu ? lui
visage est moite et coloré, — la respiration calme et large, — les
yeux
fermés, un sourire gît au coin des lèvres, — tout
le lit et se couche sur l'enfant. Il met sa bouche sur sa bouche, ses
yeux
sur ses yeux et ses mains sur ses mains ; il se c
couche sur l'enfant. Il met sa bouche sur sa bouche, ses yeux sur ses
yeux
et ses mains sur ses mains ; il se courbe sur l'e
se coucha sur l'enfant. Alors l’enfant bâilla sept fois et ouvrit les
yeux
(iv Rois, iv, 213-0.) » 11 n’y a pas à se mépre
ues. Dès que les animaux l’aperçoivent, ils bondissent rie joie , les
yeux
étincelants ; ils s’attachent aux barreaux rie le
ux philosophes de ce qui se passe en ce moment, voit la paille dans l’
œil
de son voisin, et il ne voit pas la poutre dans l
Ce soir peut-être, si l'esprit est docile, je verrai par mes propres
yeux
et je vous dirai ce que le de visu aura ajouté à
ui qui était assis auprès du feu, seulement il avait la face morne, l’
œil
creux, le regard éteint, la couleur terne, effacé
e. Je lui demandai en pleurant ce qu’il fallait attendre. Il leva les
yeux
au ciel et me répondit : — Dieu est grand ! Je
M. Hume est un jeune homme pâle, ayant l'air mélancolique ; il a des
yeux
qui semblent regarder en dedans, à moins qu’il ne
malades (suit l’indication de circonstances de fait établissant, aux
yeux
du tribunal, que l’assistance de Laporte n’avait
ce fut long ! A chaque instant, elle se levait en ouvrant ses grands
yeux
convulsés et en proférant des paroles inarticulée
une douleur. — Attendez!... magnétisez-moi la tête, bouchez-moi les
yeux
et les oreilles, et allez sans crainte ; magnétis
fit-elle en souriant... — D'où viennent ces larmes ? lui dis-je. (L’
œil
droit tout seul pleurait.) — (C’est te nerf denta
ut seul pleurait.) — (C’est te nerf dentaire qui réagit suc celui des
yeux
). — Mais je ne sens rien. Je saisis alors une c
gnétique. Je concentrai donc toute ma virtualité fluidique dans mes
yeux
, avec l’intention qu’au même moment où la lumière
ai au hasard prendre une épreuve; elle la regarde,... ouvre de grands
yeux
,... frissonne,... baisse les paupières... et s’en
drer de grandes choses : un vouloir... et tout un monde s’ouvre à nos
yeux
... un souille... et bientôt une tempête éclate au
t la lucidité augmentait chaque jour. Elle lisait couramment avec les
yeux
bandés , et lorsque, doutant encore, je lui appuy
ndeau, elle s’écriait d’un ton fâché : « Mais vous voyez bien que mes
yeux
sont bien fermés et que ce n’est qu’avec l’âme qu
une dame qui vint la consulter. Elle était déjà endormie et avait les
yeux
bandés , lorsque cette dame entra ; malgré cela,
été un jeu pour amuser différentes personnes, et qu’elle avait lu les
yeux
couverts d’un bandeau, au moyen d’une ouverture q
nt cru boire de l’eau-de-vie. Je magnétisai une fois la bouche et les
yeux
d’un Juif, qui alors, sans s’en douter, sc mi
t fait rapidement, et presque à son insu , quelques passes devant les
yeux
, je lui donnai une poignée de poivre et de sel qu
régisseur fut appelé, je lui fis de nouveau des passes devant les
yeux
, en lui annonçant l’arrivée de la jeune fille, et
question refusa de se montrer en public, mais lui ayant magnétisé les
yeux
, je l’emmenai en voiture au palais du comte U...,
sieurs personnes s’approchèrent de la jenne fille, et, lui voyant les
yeux
ouverts, crurent que c’était une supercherie. Pou
e voir oh elle était, mais je lui fis de nouveau une passe devant les
yeux
, et elle ne vit que sa chambre. En la renvoyant s
a chaleur grisant les tètes, nous voyions dans l’ombre scintiller les
yeux
des Arabes et frissonner la foule. A travers l’iv
e quatrième plat, la pièce principale du festin , fut le bâton dans l’
œil
. Après une série de simagrées qui se passèrent de
nds ; puis, écartant à deux mains ses crins épars, il se logea dans l’
œil
la pointe du bâton. Quelques sous-cornacs s’en fu
aumes de ses mains la boule du bâton dont l’autre bout était dans son
œil
; et cette pointe semblait entrer peu à peu comme
le dans du chêne ; enfin elle entra si bien que, sous elle, chassé, l’
œil
sortit de l’orbite , sanglant : un œil arraché !
bien que, sous elle, chassé, l’œil sortit de l’orbite , sanglant : un
œil
arraché ! Et cependant l’inspiré roulait toujours
a cervelle à jour ; et cessant de crier, puis de danser, de son autre
œil
il regardait la foule avec orgueil, parcourant la
la dura ainsi plus de cinq minutes, après quoi l’Aïs-saoua laissa son
œil
se replacer, et alla prendre rang parmi les a
air et fumant une cigarette, un des illuminés, n II avait (dit-il) un
œil
intelligent et une figure sympathique qui nous fi
nchants de sabre et môme de rasoir posés droit ne coupent pas ; que l’
œil
humain peut sortir de l’orbite et y rentrer sans
vée. Pour ce qui concerne en particulier l’expérience du bâton dans l’
œil
, nous doutons qu'un seul médecin , soit de ville
t cinq minutes , d’agiter un bâton en le poussant dans la cavité de l’
œil
(ce qui aggrave encore l'accident déjà très-alarm
inconséquence, les autres une distinction un peu bien subtile. A nos
yeux
, le principe de l’action magnétique, c’est la vol
ui examine, qui vous écoute et vous considère, la matière n’a point d’
yeux
et point d’oreilles, je le suppose du moins. C’es
demande si les médecins consciencieux fermeront encore longtemps les
yeux
à la lumière qui les éblouit. Une seule réponse e
ennemis d’eux-mômes s’acheminer vers la tombe, le regard triste et l’
œil
abattu, croyant que sous une froide pierre se ter
notre digne président. Je constate avec bonheur que la cure de mes
yeux
a été sans rechute. C’est bien à la science certa
emis sont réduits au silence. La sainte vérité brille enfin ù leurs
yeux
. Maître chéri, du haut des cieux, Au jour sac
nciés, faits par des hommes de mérite et qui ont vu, de leurs propres
yeux
vu, les faite qu’ils racontent ; des récits qui c
Nous transmigrons, mais 110 périssons pas. Loin de n'offrir à nos
yeux
ses merveilles Que par mépris de chétifs moribond
ce solennel régnait dans le salon ; Hume était debout, en extase, les
yeux
levés au ciel, les mains étendues. On eût dit
produit. Le cadavre terrestre est visible ; l’autre est invisible aux
yeux
des corps terrestres, et ne peut être aperçu que
e voie Adèle, me dit le magné-tiste. — « Madame *•*. » Adèle, les
yeux
clos et les paupières agitées de secousses convul
nce de tous les faits remarquables qui vinrent se multiplier sous nos
yeux
. Les choses les plus spontanées, les plus inatten
Nous avons été témoin de la manifestation , et nous avons eu sous les
yeux
la réponse du mair«d«Fougères. La chose s'est pas
bleue 1 c’est une gloxinie. » J’avais effectivement placé devant ses
yeux
un pot de gloci-nia speciosa, variété cœrulca, qu
u’elle faible qui l’approchait, elle s’affaiblissait elle-même. Ses
yeux
projetaient un éclat singulier. Elle sentait aux
ux. La parole écrite lui projetait des esprits qui l’agitaient. Les
yeux
des hommes lui lançaient des rayons blancs ; ceux
s avez raison (1). Ainsi, dans deux essais, au domicile et sous les
yeux
d’un anti-spiritualiste formel, nous avons eu spo
es doutes désobligeants, en revanche, j’espère qu’elles ouvriront les
yeux
du plus grand nombre sur l’importance de faits au
tel est le sommaire de l’analyse que j’espère placer bientôt sous vos
yeux
, dans une prochaine communication. En attendan
ant que l’instrument était isolé dans l’air, à quelques pouces de ses
yeux
. « lin résumé, le résultat a été des plus sat
sol. D’autres fois, comme des éclairs lapides qui vous effleurent les
yeux
; ou de gros tortis de feu très-vif qui descenden
dix-sapt ans; elle « portait écrits autour d«la prunelle de ses beaux
yeux
bleus les mots : « Xapolêon, empereur. Celte enfa
de bois. A chaque fois « qu’il sc relevait, le bois croissait à vue d’
œil
, et, à la troi-« sièine, il en sortit des branche
dit à l’autre : kTiens, il me semble que le mort vient de remuer un
œil
. » « Et en efTct, ils virent l’œil droit grand
e que le mort vient de remuer un œil. » « Et en efTct, ils virent l’
œil
droit grand ouvert en plein d’une vivante express
vert en plein d’une vivante expression; puis tout coup il se ferma; l’
œil
gauche s’ouvrit à son tour. Plusieurs fois, les d
se ferma; l’œil gauche s’ouvrit à son tour. Plusieurs fois, les deux
yeux
s’ouvrirent et se refermèrent alternativement ; i
e ce fait, nous sommes allé aux sources, nous avons vu de nos propres
yeux
, nous avons recueilli tous les éclaircissements d
st gros : une pendule, un chapeau, un fauteuil, n'y jettes-tu pas les
yeux
dessus pour le voir comme tu le ferais dans ton é
remier charlatan qui lui tombe des nues ! J'ai vu mille insensés, l'
œil
tendu vers leurs mains, D'une table tournante a
ent et raillent môme après avoir vu, clairement• vu, de leurs propres
yeux
vu. « Il y a quelques jours, nous assistions à
et lorsque les circonstances font qu’il a vu, bien vu, de ses propres
yeux
vu, il se demande encore comment on peut croire à
e cas échéant, le rédacteur du Courrier de Paris voulût en croire ses
yeux
et ses sens, et qu’en allant montrer ses apparenc
n moyen d’agir sur quelques personnes et de les empêcher d’ouvrir les
yeux
sur les faux mérites des gens chargés de l’enseig
me il n’a pas fait le magnétisme, le magnétisme n existe pas. A nos
yeux
, le plus grand mal qui puisse exister pour une na
ort, pouvaient-ils alléguer? La pureté de leur conscience? Riais, aux
yeux
des hommes qui eussent été appelés à se prononcer
écoulés, en me rappelant cette époque, je crois encore avoir sous les
yeux
ce terrible drame. » L’expérience périlleuse réus
ens, rentrent dans l'enveloppe matérielle que nous leur connaissons :
yeux
, nez, oreilles, etc., etc., comme dans un étui, u
de vision : Dans l'après-midi du 17 de ce mois , il me survint à, l’
œil
gauche un nuage obscurcissant, ou plutôt ellaçant
évident que les verres périscopiques, ayant à peu près la forme de l’
œil
qu’ils emboîtent pour ainsi dire, doivent par cel
re l'avenir, 011 même nous montrer des faits qui reposent loin de nos
yeux
? lisi-il vrai qu’il ait la puissance d’évoquer no
dur, enfin les symptômes les plus visibles de la mort frappaient mes
yeux
et m’épouvantaient sur le résultat de mon entrepr
n qu’il se croie naviguer dans les mers lointaines, est ici sous 110s
yeux
, éprouve véritablement tous les symptômes du mal
iens, rentrent dans l’enveloppe matérielle que nous leur connaissons;
yeux
, nez, oreilles, etc., etc., comme dans un étui, u
fortement contractées qu’il ne lui a jamais été possible d’ouvrir les
yeux
sans dégagement préalable ; et même, depuis une q
je la laisse habituellement une heure, qu’elle ouvrit brusquement les
yeux
en s’écriant : « Je 11e dors plus ! >> — Je
de décerner un prix de 25,000 fr. au sujet magnétique qui lirait les
yeux
bandés. Ici est l’erreur, attendu qu’aucune acadé
rix modeste de 3,000 fr. au somnambule qui lirait sans le secours des
yeux
; je sais aussi que le docteur retira trop tôt so
s avez offert un prix au somnambule qui lirait malgré l’occlusion des
yeux
: depuis, il m’a été assuré que vous aviez retiré
xis ayant pour condition qu’il lira dans un livre sans le secours des
yeux
. « Je compte sur votre justice, monsieur le réd
ous qui avons eu des somnambules qui lisaient sans le secours des
yeux
, nous ne faisons aucun doute qu'il en soit de mêm
fille, jeune somnambule qui avait le don de lire sans le secours des
yeux
. M. Pigeaire fit alors, devant un grand, nombre d
sions , sa mère qu'elle venait devoir mourir, disait-elle, devant ses
yeux
. « Après avoir de son mieux consolé la jeune fi
se recueillit pendant un quart d’heure sans parler et sans lever les
yeux
sur personne. Enfin il se leva, s’approcha de moi
lune se levait dans l’une des rosaces et semblait la prunelle de cet
œil
cyclopéeu ; on était au mois d avril. J’enten
n état magnétique peu avancé, état dans lequel il y avait clôture des
yeux
. L’expérimentateur était M. Morin , qui, après av
, la tête était fraîche, mais le pouls était petit et fréquent et les
yeux
hagards. _ • Les vaisseaux du col explorés prés
demande si les médecins consciencieux fermeront encore longtemps les
yeux
à la lumière qui les éblouit. Une seule réponse e
comme je n’ai eu pour but que de justifier mon injuste opposition aux
yeux
du savant docteur Charpignon, en le plaçant en fa
gnétisme que M. de Résie accumule les foudres de son éloquence; à ses
yeux
, c’est une œuvre infernale, et tout ce qui se pro
es qui, sans avoir rien de malfaisant, sont vus par elle d’un mauvais
œil
; elle lui fait une part si belle, que nous ne sa
s en agir ainsi, que pour nous tout découle du magnétisme , qui à nos
yeux
encore n’a point dit son dernier mot. Nous lais
n rendre compte par ce fait que son tablier était à la hauteur de nos
yeux
. Elle retomba doucement sur le sol, sans bruit,
ré et fréquent ; les extrémités glacées; la l'ace pâle, anxieuse, les
yeux
enfoncés dans leur orbite , les évacuations clair
t fréquent. La face devint livide, les lèvres se décolorèrent, et les
yeux
, rentrés dans l’orbite, étaient à demi voilés par
st retiré dans une salle voisine, puis un des spectateurs a bandé les
yeux
au sujet, l'a fait tourner plusieurs fois sur lui
moire. — 11 n’aurait d’ailleurs pu en faire usage, car il parlait les
yeux
fermés. — Il étala une érudition théologique et h
, sous la table , sous les chaises. Rien de suspect ne s’offrit k mes
yeux
. Avant de me faire rentrer dans les ténèbres obli
ta pour moi la certitude qu’en fait d’êtres humains visibles pour mes
yeux
matériels, nous n’étions que trois dans la salle.
chute, près de Lucé, par plusieurs personnes qui l’avaient suivie des
yeux
jusqu’au point où elle atteignit le sol, n’était
session de celte femme. J’ai voulu voir cette possédée de mes propres
yeux
et mettre à l’épreuve l’esprit qui l’obsède. Voic
e s’est vivement coloré , sa figure a pris une grande animation : ses
yeux
s’agrandirent et devinrent hagards, sa respiratio
e réponse. Il approche; il aperçoit son frère couché sur le clos, les
yeux
à demi fermés, la bouche entr’ouverte, le visage
que bientôt la lumière se fera, et que la vérité luira pour tous les
yeux
(1). (1) La Patrie, journal très-bienveillant p
par MM. Buret, 212; — Morin, 285, 582. Etat du magnétisme. Coup d'
œil
sur la situation actuelle du magnétisme et sur le
le Alexis un prix ayant pour condition qu’il lira sans le secours des
yeux
, 548. Dessins gravés par la foudre, 527. Empr
n symptôme très important du tabès : l'influence de l'occlusion des
yeux
sur les mouvements et l'équilibre des ataxiques
e du vertige, et nous avons vu que l'ouverture ou l'occlu- sion des
yeux
a très souvent une grande influence sur sa pro-
groupes : les uns s'atténuent ou disparaissent par l'occlusion des
yeux
; d'autres au contraire naissent et s'exagèrent
; d'autres au contraire naissent et s'exagèrent par l'occlusion des
yeux
et disparaissent ou s'atténuent beaucoup par le
vous le savez, dans la perte de l'équilibre lors de l'occlusion des
yeux
. Le signe de Romberg répond à la définition du
e effective de l'équilibre, survenant à la suite de l'occlusion des
yeux
et cessant par leur ouverture, succède à une se
t est atteint directement. Ainsi se passent les choses tant que les
yeux
restent ouverts. Si au contraire les yeux sont
t les choses tant que les yeux restent ouverts. Si au contraire les
yeux
sont fermés, le malade marche beau- coup plus m
ccentuée, et perd l'équilibre lorsqu'il n'est pas soutenu. Avec les
yeux
ouverts, il peut se soutenir debout, sans canne
sans canne, immobile, et les pieds rapprochés ; mais dès que les
yeux
sont fermés, il oscille, et s'effondrerait vite s
oujours droit devant lui, et peut même se déplacer en dirigeant ses
yeux
vers le plafond. D'ail- leurs, afin de vous mie
evant vous l'expérience sui- vante : cet homme étant debout, et les
yeux
ouverts, j'ai placé un carton entre ses yeux et
e étant debout, et les yeux ouverts, j'ai placé un carton entre ses
yeux
et ses pieds ; il a parfaitement con- servé sa
ssible de voir ses jambes. Il ne peut se tenir sur un pied, que les
yeux
soient ouverts ou fermés. Les réflexes rotulien
émonstrative cette conservation de la sensibilité plan- taire : les
yeux
étant fermés on a fait marcher cet homme sur un
alade étant allongé dans son lit, les DU VERTIGE DUS ATAXIQUES. U
yeux
fermés, on attache successivement divers poids au
d'examiner les muscles du mollet. Enfin, cet homme étant assis, les
yeux
toujours fermés, on a disposé différents poids
rai l'incoordination dans la marche, l'influence de l'occlusion des
yeux
sur les mouve- ments et l'équilibre, l'abolitio
ors que les traits secon- daires s'accusent ou s'effacent suivant l'
oeil
de l'observateur, et le moment où l'examen a po
motion, le mouvement aug- mente d'étendue ; alors le clignement des
yeux
s'effectue et s'ac- compagne d'un léger tiraill
ien difficile de l'en faire chan- ger, même en lui mettant sous les
yeux
les preuves de son erreur; si elle contracte l'
é les résultats sui- vants : acuité visuelle très diminuée des deux
yeux
; champ visuel rétréci notamment à droite; l'oe
diminuée des deux yeux ; champ visuel rétréci notamment à droite; l'
oeil
gauche ne distingue pas le violet et le vert; l
nt à droite; l'oeil gauche ne distingue pas le violet et le vert; l'
oeil
droit ne perçoit pas également ces deux couleurs,
toujours été délicate. Dans son enfance, elle a souffert de maux d'
yeux
, présenté des engorgements ganglionnaires, ainsi
hétive, peau blanche, système pileux développé, blépharite des deux
yeux
(les bords libres des paupières sont absolument
se en jeu de certains muscles. Il suffit, à cet égard, de jeter les
yeux
sur le tracé suivant, obtenu par la fixation du
ltats sui- vants : rétrécissement concentrique du champ visuel de l'
oeil
droit; ouïe, goût, odorat diminués à droite; il
nt de torsion de droite à gauche; 2e temps : Clignement brusque des
yeux
, flexion de la tête sur l'épaule droite, qui s'
gauche. - Fonctionnement de la musculature interne et externe de l'
oeil
, parfait. Pas de diplopie, pas de nystagmus. La
cailles osseuses furent extraites de sa blessure. La fermeture de l'
oeil
droit dura deux mois; pendant ces temps il dut
de secondes et avec beau- coup de peine; si on lui fait fermer les
yeux
, sa difficulté à se tenir en équilibre augmente
ètement absent dans les deux membres gauches. En faisant fermer les
yeux
à B..., il réussit avec beaucoup de difficultés
mort survient à la suile d'un rêve qui l'a représenté à ses propres
yeux
sanglant et mutilé; un autre interprète dans le
log. Centralbl., 1891.) Paralytique général atteint d'amaurose de l'
oeil
gauche (atrophie de la papille) pendant les der
iers temps de la vie; rétrécissement simultané du champ visuel de l'
oeil
droit à droite. L'autopsie révèle une atrophie
rdu les sensations kinesthésiques sont incapables de se mouvoir les
yeux
fermés. (Raymond, Revue de Médecine, mai.) Or,
bler ou arrêter tout à fait la motilité. Ainsi agit l'occlusion des
yeux
et même des oreilles; ainsi agit le trouble de
sinon pas de trace. Quelles traces la lumière laisse-t-elle dans l'
oeil
? Les optogrammes sont la résultante de la déco
tant un centaure, etc.) L'a- nimal se meut-il, nous déplaçons notre
oeil
, et, tandis que nous sai- sissons les détails,
sensibilité dans la moitié gauche du corps, avec amaurose des deux
yeux
. Les accidents moteurs et sensitifs cédèrent en
dultes. L'expérience consistait dans l'extirpation unilatérale de l'
oeil
; les animaux vivaient de vingt à vingt-sept jours
pas; il n'y a de même aucune commissure entre les rétines des deux
yeux
(commissure antérieure de Hannover). Chez le la
comme un faisceau de fibres optiques qui réunissent la rétine de l'
oeil
avec le noyau du nerf moteur ocu- laire commun.
aient retournés pour exécution à Varsovie la même année, que sous l'
oeil
du comité de construction le professeur de psyc
accompagne d'un état spasmodique suffisamment accentué. Jetez les
yeux
sur les membres supérieurs de ce malade et fait
trophie est des plus prononcées ; elle saute pour ainsi dire aux
yeux
tant la différence de volume des deux membres i
air. - Manuel de pathologie interne, 1890. 180 CLINIQUE NERVEUSE.
yeux
, ou mieux du passage brusque de la lumière à l'ob
ionnaire muni- cipal de Brooklyn qui avait l'habitude de fermer les
yeux
en faisant l'ablution du visage le matin au lev
s la marche ; tandis que le patient se déplace, vous lui fermez les
yeux
, ou bien vous lui commandez de les fermer ; vou
Après vous être assurés que cette position est bien gardée avec les
yeux
ouverts, vous lui dites de les fermer, et vous
le faire, vous lui donnez l'ordre à un certain moment de fermer les
yeux
, et vous tenez compte aussi du résultat obtenu.
résultat obtenu. S'il n'arrive pas à se fixer sur un seul pied, les
yeux
ouverts, n'en concluez pas qu'il soit ataxique
ui cependant n'ont rien de cette maladie. C'est à l'occlusion des
yeux
, et aux effets qui l'accompagnent que vous devez
s du signe de Romberg, et surtout on constate que l'oc- clusion des
yeux
est bien plus active pour sa production que les
omprendre le passage suivant de Althaüs ' : : Le malade emploie ses
yeux
en guise de béquilles; » et plus loin : « quel-
i ; d'où la difficulté ou même l'impossibilité de rester debout les
yeux
fermés. » Dans le livre de Jaccoud 3 écrit en l
ues, vous pourrez lire : « Ces effets singuliers de l'occlusion des
yeux
résultent, je le répète, de l'anesthésie muscul
, marche beaucoup mieux que l'ataxique ordinaire à qui on ferme les
yeux
? 2. Comment expliquer encore pourquoi les effe
re pourquoi les effets sont si différents lorsqu'on fait fermer les
yeux
au malade et lorsqu'on l'empêche par un artific
s symptômes est beaucoup moins pro- noncée que dans l'occlusion des
yeux
» Pierre Marie 3 note aussi que l'on peut en qu
r ce contrôle de la vue. « Si, au lieu de fermer complète- ment les
yeux
du malade, vous vous bornez à lui cacher ses pi
rnum, vous voyez les oscillations être moins fortes que lorsque les
yeux
sont fermés, mais plus 1 Eichhorst, loc. cit.,
l'équilibre est aussitôt rompu lorsque, au contraire, il ferme les
yeux
. J'ai répété ces mêmes manoeuvres devant vous c
s phénomènes ne sont nullement identiques suivant qu'elle ferme les
yeux
, ou qu'on place au-dessous du menton un écran ;
eut-il cependant continuer à se tenir debout, ou à marcher avec les
yeux
dirigés au plafond, ou en ayant la vue intercep
ait tomber, si la théorie est vraie, comme l'ataxique qui ferme les
yeux
. Or je vous ai montré qu'il n'en est rien. Donc
ères; mais il lui est impossible de marcher dès qu'on lui ferme les
yeux
. Notre fait n'est pas toutefois le seul qui mér
re complète, il marchait parfaitement, et, lorsqu'il mar- chait les
yeux
fermés, il le faisait avec autant d'aisance que
yant perdu son sens musculaire ne peut plus bouger quand elle a les
yeux
fermés; elle croit exécuter les mouvements comm
ens mus- culaire, n'ait une action sur la marche ou la station, les
yeux
étant fermés ; mais il me paraît démontré que l
culièrement de ces vertiges qui se pro- duisent par l'occlusion des
yeux
. Quand nous avons analysé le vertige, nous avon
eulement qu'il y a dans l'in- certitude de l'ataxique qui ferme les
yeux
quelque chose de moral et que la crainte de tom
supérieure a toujours semblé plus lourde, et, quand elle dormait, l'
oeil
n'était jamais tout à fait couvert. Elle a toujou
était jamais tout à fait couvert. Elle a toujours eu les larmes aux
yeux
. Avant l'âge de quatorze ans, elle était parfai
d'acné punctiforme. Le sourcil n'offre pas de relief appréciable. L'
oeil
est largement ouvert, mais rempli de larmes qui
la ligne médiane (attention, menace). La direction générale de l'
oeil
est oblique en bas et en dedans; les paupières ne
euvent être exactement fermées. La paupière supérieure reste pour l'
oeil
droit, à environ 1 millimètre de la paupière in
eil droit, à environ 1 millimètre de la paupière inférieure; pour l'
oeil
gauche, 2 millimètres et demi. Les mouvements s
iques de la paupière supérieure coïncidant avec les mouvements de l'
oeil
dans la vision en haut et en bas, sont normaux.
dans la vision en haut et en bas, sont normaux. Les mouvements des
yeux
sont parfaitement réguliers. Il y a toujours un
es premiers examens avaient paru presque indemnes. A la face, les
yeux
restent largement ouverts, mème lors des plus g
a totalité du nerf radial fixé par l'acide osmique, on remarque à l'
oeil
nu, et môme encore, à un faible grossissement d
réflexes intacts, D.V. central. Tympans normaux et mobiles sur les
yeux
, mem- brane et marteau. 216 pathologie nerveu
ées sans perte de connaissance ; mal de tête constant au-dessus des
yeux
; si elle fixe, la vue se trouble, il y a des po
nstruée, urines normale ? Le vertige vient au moindre mouvement des
yeux
, de la tête; elle a dû garder le lit très souve
s faits de même ordre. Cette année, il est passé également sous nos
yeux
un certain nombre de cas de surdité dues à des
du cou. On remarqua qu'il n'avait pas d'ongles et -qu'il avait les
yeux
malades; cette affection guérit-au bout de deux
stupide.' Arcades sonrcilières déprimées, sour- cils châtain clair.
Yeux
: strabisme interne double, surtout accusé à dr
ecueil DE faits. Décembre. - Noies de l'école. - Phvsionomie douce,
yeux
à demi fermés. Il marche en sautant, traînant l
légèrement baissée et tendue en avant, il regarde avec fixité, les
yeux
dans un léger strabisme convergent (fig. 26, 27).
e pas guidé par une intention offensive. Ayant voulu examiner ses
yeux
et entr'ouvrir ses paupières, il se met il pous
Sim..., idiot aveugle, a l'habitude de mettre ses doigts dans ses
yeux
, puis dans sa bouche, ou bien il passe ses mains
es mains, lui donne un aspect repoussant. Gouj... ouvre de grands
yeux
, frotte ses mains l'une contre l'autre, et aspi
cination visuelle dans la vision mo- noculaire, l'un ou l'autre des
yeux
étant fermé, avec réapparition dans la vision b
ême. P. K. V. DE la paralysie chronique PROGRESSIVE DES MUSCLES DES
YEUX
, 1 travail posthume de C. WESTPHAL, mis en ordr
nalyse minutieuse des altérations des noyaux des nerfs moteurs de l'
oeil
, nous relevons ce qui suit. La racine dite acces-
spèce, de l'étendue, de la marche de la paralysie des - muscles des
yeux
et la simultanéité des signes spinaux et céré-
ux. Il y a cependant des cas de paralysie chronique des muscles des
yeux
indemnes cliniquement de toute complication du cô
tions névritiques, d'admettre une névrite en arrière du globe' de l'
oeil
, terminée par une atrophie partielle. Mal- ' Vo
la vue, il existe des modifications des réactions galvaniques de l'
oeil
(comme il en existe dans l'auditif chez les hal
les cas de lésions organiques et d'altérations fonctionnelles de l'
oeil
, conformément aux principes de Erb ? Tel étai
e minimum de la sensibilité lumineuse galvanique se montre dans les
yeux
sains (acuité visuelle = 1, aucune anomalie de la
uité visuelle = 1, aucune anomalie de la réfraction ni du fond de l'
oeil
) quand on fait agir un courant dont l'intensité
l'intensité varie entre 1/50 et 1/5 de milliampère; la plupart des
yeux
réagissent sous l'influence de 1/20 à 1/10 de mil
urs minima, quand elles ont atteint une certaine limite. Des deux
yeux
d'un individu ayant 1 pour acuité visuelle, il
er dans l'existence d'électrodes virtuelles au pôle postérieur de l'
oeil
. Quant à la durée de la sensation dans ses rap-
petite, toutes deux réagissant bien à la lumière. Le fond des deux
yeux
était normal. Les ré- flexes profonds, bien mar
Il existait du nystagmus et du strabisme interne. Les. globes de l'
oeil
étaient profondément enfoncés dans les orbites.
osique du cerveau. Il insiste en particulier sur les paralysies des
yeux
, et sur leur valeur sémeiologique dans le diagnos
bitaire persiste, chaque secousse spasmodique s'ac- compagne dans l'
oeil
droit d'une sensation visuelle tout à fait t an
etit, pendant l'at- taque s'agrandit. La douleur siège au fond de l'
oeil
et s'irradie aux nerfs sus et sous-orbitaires,
t le scotome scintillant persistent encore. La dyschromatopsie de l'
oeil
gauche est atténuée. Pas d'attaque de migraine
sme facial du côté gauche, accompagné d'un scotome scintillant de l'
oeil
correspondant. Or dans le temps que la monoplég
ous les mouvements associés. Les pupilles réagissent normalement.
OEil
droit : acuité visuelle diminuée (V = 1/8). pas d
: hypoesthésie. TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 3 9
OEil
gauche : rétrécissement irrégulièrement concentri
t 48.) L'examen périmétrique a démontré dans l'un et dans l'autre
oeil
un rétrécissement concentrique du champ visuel po
ut ajouter certaines sensations de pesanteur ayant pour siège les
yeux
ou les paupières. Après avoir décrit les divers
ts et des fa- milles au-dessus des intérêts financiers. B. Coup D'
OEIL
rétrospectif SUR l'histoire DE la création DE la
, son attitude et les mouvements dont le bras gauche est agité. Les
yeux
fixes, grands ouverts, les sourcils relevés, le f
reconnaît cependant que l'harmonie des traits n'est pas absolue ; l'
oeil
gauche est un peu'plus ouvert que le droit; le
nt, tout d'une pièce (fig. 3), mais avec une grande régularité, les
yeux
ouverts ou fer- més, et le changement de direct
urée. Cependant M... voit arriver la nuit avec plaisir; dès que ses
yeux
sont soustraits à l'action-de la lumière, il re
ales du corps. Lors même que des malades affirment avoir devant les
yeux
le tableau des scènes empruntées à leur vie, c'
Visuel (appareil), réaction galva- nique de l ? par Hoche, 280.
Yeux
, paralysie chronique des muscles des -, par Sie
sont par cela seuls estampillés comme aliénés, tare indélébile aux
yeux
du monde, qui peut plus tard leur porter le plu
minutes, on voit seulement quelques palpitations des paupières; les
yeux
s'humectent un peu, puis quelques mouve- ments
r le dos. Nouveau repos dans l'extension, les paupières closes* les
yeux
dirigés en haut, les pupilles fortement dilatées,
RVATIONS D'tiISTRIE MALE. bres. 11 y a de l'écume à la bouche ; les
yeux
sont fortement déviés à gauche; les pouces sont
upille et de savoir de quel côté la déviation a lieu. Le globe de l'
oeil
n'est certainement pas dévié en haut. Les att
éveille un peu et demande à boire. Deux minutes après avoir bu, les
yeux
se dévient en bas et à droite. Il a des mouveme
re deux minutes environ, puis le malade se calme. A ce moment les
yeux
sont déviés en bas et à droite, les pupilles sont
e se redresse et se met à genoux, la tête renversée en arrière, les
yeux
regardant au ciel et à droite. Nouvelle attaque
r bruyant, avec résolution complète et dilatation pupillaire, les
yeux
convulsés en haut et à droite. Ecume à la bouche.
t quand il se baisse. S'il est debout « ça lui fait noir devant les
yeux
». « Les personnes qui sont autour de lui sont n
ques rares mouve- ments du bassin. Ses paupières sont baissées, les
yeux
convulsés en haut et en dedans. La sensibilité
et par suite de l'attaque. On le réveille en lui soufflant sur les
yeux
. Une fois réveillé, au bout de dix minutes il r
bout de dix minutes il reconnaît toutes les couleurs suggérées de l'
oeil
droit. Il doit venir nous retrouver demain seul
t l'acuité visuelle est diminuée. La sensibilité des téguments de l'
oeil
est conservée, quoi- que un peu diminuée du côt
: « Au feu, venait trouver son père, la figure très effrayée et les
yeux
ouverts. Cela lui arrivait environ trois fois p
ait pas l'arc de cercle. Il cherchait à s'arracher la poitrine. Les
yeux
étaient fermés. De temps en temps il y avait un
u, à la face et au cou. Sur le tronc et les membres inférieurs, les
yeux
fermés, elle est prise pour un pincement. La se
er surtout quand il monte les escaliers. Quand on le met debout les
yeux
fermés il chancelle, et tomberait si on ne le r
ance. Le regard n'était pas modifié tout d'abord. Il clignotait des
yeux
seulement et cherchait à mordue et à égratigner
de. cercle, puis retombait inerte et recommençait ensuite. Puis ses
yeux
tour- nèrent, il grinça des dents et poussa des
n pendant sept minutes. Pendant tout le temps des convul- sions les
yeux
étaient fermés et les globes oculaires convulsés
en haut et en dedans. Après la période de résolution il rouvre les
yeux
. Le regard est fixe, hagard. Il regarde devant
d'environ deux minutes. Puis gémissements. Il ouvre légèrement les
yeux
, a l'air moins égaré, semble comprendre et se dre
l se redresse sur son séant, pousse un grand soupir, entr'ouvre les
yeux
, puis retombe sur le dos dans un état de résolu
Etant assis tranquillement sur un banc, il a tout à coup fermé les
yeux
comme s'il s'endormait, puis a glissé à terre.
glissé à terre. Au bout de quatre à cinq minutes il entr'ouvre les
yeux
et tourne la tête à gauche. Frémissement des pa
coeur; peau moite. Résolution de sept minutes. Il entr'ou- vre les
yeux
,.se redresse sur son séant, tourne la tête à droi
X NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. gauche, puis retombe. Les
yeux
sont refermés : frémissement des paupières, gri
veau la tête à droite et à gauche; frémissements des paupières; les
yeux
hagards s'entr'ouvrent; frémissements des extré
s enfants au concert, il se met à genoux tout à coup en fermant les
yeux
et exécute avec sa tête et ses bras le mouvemen
e est pâle, les mains sont froides. On l'emmène à l'infirmerie, les
yeux
toujours fermés, en le soutenant sous les bras po
e même état. Ses parents étant venus le voir, il ne put rouvrir les
yeux
en leur pré- sence, mais aussitôt après leur dé
'une attaque de peu de durée, à la suite de laquelle il rouvrit les
yeux
en disant : « Je vois clair. A 7 heures du soir
r, de dix minutes de durée, à la suite de laquelle on le coucha les
yeux
fermés. Le lendemain, il n'a pas pu rouvrir les
le coucha les yeux fermés. Le lendemain, il n'a pas pu rouvrir les
yeux
. Les paupières sont plissées dans les angles in
que qui dure quatre minutes à la suite de laquelle il a rouvert tes
yeux
. Le soir, étant debout, ses yeux se sont fermés
suite de laquelle il a rouvert tes yeux. Le soir, étant debout, ses
yeux
se sont fermés de nouveau, il a fait une dizaine
tombe brusquement sur le dos les bras croisés sur la poitrine. Ses
yeux
se ferment, ses bras s'étendent en croix, les p
muscles de la face. Arc de cercle pro- noncé. Il ouvre et ferme les
yeux
à deux reprises. Les yeux sont hagards, puis fi
cercle pro- noncé. Il ouvre et ferme les yeux à deux reprises. Les
yeux
sont hagards, puis fixes, et se ferment enfin,
secousses. Petits gémissements. Repos de quatre à cinq minutes. Ses
yeux
se rouvrent, il se dresse péniblement sur son s
té gauche. Il se dresse sur le côté droit, se passe la main sur les
yeux
, déboutonne de la main gauche son gilet. Les trai
de la main gauche son gilet. Les traits du visage sont crispés, les
yeux
fermés. Il ôte sa veste et la jette brus- queme
e deux minutes. Il se dresse alors sur son séant en se frottant les
yeux
, la poitrine et les épaules. Il se met debout,
ut de huit minutes il seJève, se dirige lentemenl vers l'orgue, les
yeux
fer- més, le visage très pâle. Arrivé devant l'
ans l'extension. Nouvelle attaque. Rigidité très forte, face rouge,
yeux
en haut. Durée de dix secondes. Ecume blanche,
urne brusquement sur le ventre, puis sur le dos. Il ouvre alors les
yeux
, parait étonné, se lève, se plaint de la tnte. -
aque. Il bat l'air de ses bras, et reste vingt secondes debout, les
yeux
fermés; puis il tombe à terre après avoir sauté
urceaux, et gardé plus soigneusement que de coutume, il demeura les
yeux
tellement fermez qu'impossible fut de les descl
requit de prier, ce qu'elle fit et incontinent elle lui ouvrit les
yeux
, au grand esbaliissement de chacun... L. (Jean
urcils peu fournis, très'distants l'un de l'autre, châtains foncés.
Yeux
profondément enfoncés sous l'arcade. Pas de lés
de très prononcé.- Bouche demi-entrouverte, sèche. Pâleur extrême.
Yeux
vagues et ternes, sans modifications de la pupill
e systémati- que du cerveau, analogue il celles de la moelle. A l'
oeil
nu la moelle ne présentait pas de sclérose des-
8J0, p. 33. 56 Sclérose symptomatique DU cerveau. delà moelle à l'
oeil
nu, quoique les phénomènes de parésie et-' de c
donc se relever un peu, bien que son faciès ne soit pas rassurant;
yeux
caves. 130URNEVILLE, Bicêtre, 1891. ' 5 ln; E
prostration grave, tPint plombé, lèvres cyanôsées, haleine fétide,
yeux
voilés. Des inspirations'sont fréquentes et sac
e sont ceux qui confinent aux pertes de substance que l'on voit à l'
oeil
nu sur la coupe du poumon, il y a nécrobiose to
r l'alcool : les deux hémisphè- res étant à peu près semblables à l'
oeil
nu, on a examiné seu- lement l'hémisphère droit
gauche. L'enfant ne tousse plus. 15 mai. - L'enfant présente sur l'
oeil
droit au niveau du limbe cornéen, deux vésicule
com- plètement disparu.. Petite opacité, en nuage, de la cornée.
OEil
g : : mche : blépharite ciliaire plus accusée. Lé
tombés. Le bord externe et la peau avoisinant l'angle externe de l'
oeil
, ont un aspect érythémateux. Conjonctivite ocul
s et symétriques. Ne-- triangulaire, asymétrique ; odo- rat normal.
Yeux
en amandes ; cils longs. Strabisme interne de l
rat normal. Yeux en amandes ; cils longs. Strabisme interne de l'
oeil
droit. Iris châtains. La vision paraît normale ;
ption, rien dans la poitrine; abdomne un peu ballonné; peau chaude,
yeux
brillants, langue sèche et saburrale. Gorge trè
orbitaires saillantes. Nez court et large. Pas de malformations des
yeux
, des fusses nasales ni de lacavité buccale, sau
moitié externe. -rentes palpébrales étroi- tes surtout la droite; l'
oeil
ce ce côté paraît un peu plus petit que l'autre
oit de mémoire. Ces jeux divers exercent à la fois la main et les
yeux
du malade, qui arrive de lui-même à ima- giner
à les couleurs, les surfaces et les chiffres. Certain alors que l'
oeil
et l'attention sont suffi- samment exercés, nou
même et enfin, mélangeant les cartons que l'enfant a eus sous les
yeux
, lui faire chercher, 'parmi eux, le carton désign
hilis; 3 de congestion pulmonaire ; 4 de cachexie ; 6 pour maux d'
yeux
, 14 pour gourmes, 23 pour diarrhée, 10 pour bro
en finissant, dans les documents que nous faisons passer sous vos
yeux
, toutes les raisons que nous avons invoquées da
tiges ou mieux les absences : Pas d'aura ; un brouillard devant los
yeux
, battements des paupières : « Ça passe comme un
sur la narine et la lèvre supérieure, au niveau du grand angle de l'
oeil
, sur le lobule de l'oreille et le côté du cou,
es, aux paupières, sans empêcher toutefois le malade d'ouvrir les
yeux
; il s'arrête en haut à la naissance des cheveux.
t les lèvres. Ce gonflement est plus prononcé du côté gauche où l'
oeil
parait moins grand. Sur la face dorsale des doigt
ux régions parotidiennes et aux lèvres ; le malade ne peut ouvrir l'
oeil
gauche. Muqueuse buccale rouge mais sans gonfle
e traitement est suspendu. 24 mai. - Gonflement très intense, les
yeux
sont presque complètement formés. Les phlyctène
tie. - Hémiplégie spasmodique droite. - Stra- bisme convergent de l'
oeil
droit. - Marche lente et dty/t- cite.- Pleurési
Pas de blépharite ni de conjonctivite. Strabisme convergent de l'
oeil
droit, très apparent. Quelques secousses nystagmi
vue de son professeur qui avait, nous dit-on, la voix brève et les
yeux
méchants l'effraie au point de déterminer chez
, plus blonds, courts et clairsemés aux paupières inférieures ; les
yeux
sont gros, saillants, l'iris gris marron, la pu
ce d'un mètre ne peut lire des lettres de 3 centimètres de long ; l'
oeil
gauche; est plus faible que J'ccil droit ; l'ou
ntre le tronc, la face se congestionne, les traits se crispent, les
yeux
sortent de l'orbite, restent grands ouverts, la
e, la face tout en restant congestionnée se couvre de sueurs, les
yeux
se remplissent cle larmes. Les paupières restent
pières restent immobiles même si on fait passer un objet devant les
yeux
. L'attaque proprement dite a duré dix-huit minu
pas, les paupières se ferment si on fait passer un objet devant les
yeux
. - Le; 19, l'enfant se plaint toute; la matinée
étrie de la face et du crâne. A retenir cependant la faiblesse de l'
oeil
et de l'oreille gauches. III. Nous nous trouv
é en poussant un cri de terreur. La tête se rejette en arrière, les
yeux
se portent en haut, les membres se; raidis- sen
âtain blond, assez fournis, offrent une solution de continuité. Les
yeux
sont assez ouverts, iris bleu. Les paupières su
fermés, le pouce en dehors. La physionomie exprime la frayeur, les
yeux
fixes regardent en haut, il y de l'extase dans
on lit : il y reste cinq minutes, puis se déshabille les larmes aux
yeux
et se couche sans autre incident. - Dans le cou
resserrent, les masséters saillent. La face est congestionnée, les
yeux
convulsés en strabisme conver- gent. La figure;
s le cou et les bras. La physionomie exprime toujours l'effroi, les
yeux
sont convul- sés en un slabisme convergent, la
l'attaque l'abdomen s'aplatit. A chaque rémission de rigidité, les
yeux
sont humides, une larme perle il la commissure
d'une expiration bruyante : IL.. étire ses membres, se frotte les
yeux
et le front, et se met il pleurer. Deux minutes a
Le 28, vers 10 heures du soir, dans le lit, IL.. sans ouvrir les
yeux
se met à parler à haute voix sur un ton de discus
à droite ; tremblement des mains, marche impossible, déviation de l'
oeil
droit. - Disparition pro- gressive de ces accid
eurs névralgiques. Pas do migraines, ni de dartres. Il semble que l'
oeil
droit soit un peu plus couvert que le gauche. (
en 1892, a la Maison texan- terre, de sénilité (j6 ans). (2) Les
yeux
, dit-elle, sont égaux, mais la paupière supérieur
dit-elle, sont égaux, mais la paupière supérieure cache davantage l'
oeil
droit. (3) Mul..., père de M ? Iléii..., a été
uatre membres et la face; rigidité générale ; pas de secousses. Les
yeux
étaient convulsés en dedans, « tout retournés c
mois. C'est il ce moment que l'on nota le tremblement de la tête. L'
oeil
droit, resté dévié après les convulsions, repri
es jambes, au bout de six mois. A cette date, on remarqua que ses
yeux
sautaient quand il voulait fixer un objet. A pa
tion cérébrale (face rouge, céphalalgie, convulsions internes : ses
yeux
se retour- naient). Cet état ne dura qu'un jour
chez lui quelques absences : « Il nous regardait, dit la mère, les
yeux
fixes, hébété, comme s'il ne voyait ni n'entend
ans proéminence des bosses frontales, le crâne, est symétrique. Les
yeux
sont mobiles, les pupilles égales; H... dinting
e la bouche. Il ne peut se tenir debout sur une seule jambe que les
yeux
soient fermés ou non. La résistance du sol est
y a pas, actuellement, de nystagmus, mais le malade prétend que ses
yeux
« dansent quand il a beaucoup travaillé).. « Pa
il lit sans difficulté notable : « Il y a des moments où je lis des
yeux
sans pouvoir bien articuler. » Si on lui ordonn
- Il eu quelquefois des céphalalgies, mais pas de vertiges : « Mes
yeux
dansent souvent », dit-il. Le tremblement aurai
e différence. Habituellement, B... mange de la main gauche. « Les
yeux
vont bien, dit-il, mon ceil droit saute moins m
eux vont bien, dit-il, mon ceil droit saute moins maintenant et mon
oeil
gauche ne saute jamais. » Il ajoute que la vue,
fulgurantes. Station et marche non modi- fiées par l'occlusion des
yeux
ni l'obscurité. Conservation de la notion de po
s ; - 3° tremblement des mains et de la tête ; - lao déviation de l'
oeil
droit qui persista environ six mois; 5° nystagm
geste d'écarter : « Maman ! les bêtes me mangent ! » » Il avait les
yeux
grands ouverts, cherchait autour de lui, pleura
e du service, aurait offert les caractères suivants : Pas de cri.
Yeux
tournés en haut et à droite. Paupières agitées de
ect d'une strumeuse. Le visage est boum, pâle, sans expression, les
yeux
sont chassieux. Elle crie ou pleure sans cesse
l, vase- line boriquée sur les régions qui desquament, lavage des
yeux
à l'eau boriquée tiède. 174 LÉSIONS DE LINSULA
x côtés. « La face était blanche, ne se défaisait pas beaucoup; les
yeux
remuaient et se portaient en haut. » Pas de ron
une rémission d'une ou deux semaines. On a alors remarqué que les
yeux
étaient brouillés comme s'il ne voyait pas clair.
êts de deux mois : le corps devenait raide, le cou était tendu, les
yeux
se portaient en haut; venaient ensuite des seco
ine bombé. Arcades sourcilières peu saillantes. Aucune lésion des
yeux
. Iris bruns, réagissant bien à la lumière. - Ne--
a face est très congestionnée, d'autres fois très pâle et alors les
yeux
sont cernés, enfoncés, et l'enfant semble souff
doigts qu'il agite, en poussant un léger grognement, tout près des
yeux
; remue sa tête de droite et de gauche. Onanism
rner pour troubles men- taux. Le 0 mai, on la trouva chez elle, les
yeux
hagards, demandant ses enfants, refusant de man
nomie semble assez intelligente, elle est mobile, éclairée par deux
yeux
vifs et brillants, La peau est blanche, pas de
réagissant bien il la lumière et à l'ac- commodation. Le fond de l'
oeil
ne décèle rien de particu- lier. L'acuité visue
répète, les savoure. Tantôt, elle s'arrête, lève vers les cieux des
yeux
si brillants qu'ils sem- blent presque lumineux
il chanter, à rire. Ce matin, on la trouve assise sur son lit, les
yeux
brillants, le regard égaré, d'une extrême mobil
re- mières crises convulsives : Elles se raidissait, tournait les
yeux
et avait ensuite quelques secousses, mais sans cr
paupières sont mobiles et les fentes palpébrales très élargies. Les
yeux
se meuvent clans tous les sens, mais ont plus d
bien à la lumière, moins à l'accommodation. L'examen du fond de l'
oeil
n'a pu être fait. - Le nez est assez large, dépri
lade voit une allumette enflammée qu'on lui présente et la suit des
yeux
. - Les réflexes irions il la lumière sont très
du membre supérieur droit également contracturés ne permettent à l'
oeil
nu aucune constatation intéressante. Cause de l
s. Dans un accès le 3 août, il s'est contusionné les paupières de l'
oeil
gauche. 18 octobre. Le 22 septembre, il partit
ous prévient. On le couche. Période tonique. - Face pâle, immobile,
yeux
convulsés en haut, le bras droit est en demi-fl
. - Dans le dernier accès, il s'est fait une contusion violente à l'
oeil
et il la bosse frontale du côté droit. En allant
heure après. Elle s'est mise il rire en même temps aux éclats ; ses
yeux
sont restés égarés, fixes. Elle a suivi le conv
n enfant. » Pas de rire, pas de pleurs, mutisme pendant : 3 heures,
yeux
hagards. Rien du 22 au 24, c'est-à-dire hier au
urait eu la vue troublée; il avait « comme un brouillard devant les
yeux
. » De plus, il dit avoir perdu du sang par la b
pris d'un accès et a dégringolé l'escalier, d'où longue plaie de l'
oeil
gauche, avec écoulement abondant de sang. On l'
eau du poids et de la taille (2). 24G Descendance. miers mois ses
yeux
tournaient souvent, et plusieurs fois par jour.
s secousses. 13 avril. - De temps en temps, quand on lui parle, ses
yeux
deviennent fixes, et elle ne répond pas. Elle r
ette du côté gau- che ; - des plaies graves de l'angle externe de l'
oeil
et de l'oreille du même côté, ou de l'oreille e
ille du même côté, ou de l'oreille et du menton ; - contusions de l'
oeil
et du front à droite ; plaies de la lèvre supér
violentes, a eu quelques accidents rnnvulsifs légers, limités aux
yeux
, ct des troubles du sommeil : il est, d'ailleur
eu des convulsions ;. sa tète se dé- viait surtout à gauche. Les
yeux
se convulsaientun peu en haut ; le malade ne perd
rlait difficilement et il ne pouvait plus ni fumer, ni cracher. Ses
yeux
restaient grand ouverts, même pendant le sommei
ique a été frappé de l'immobilité des traits de la face; seuls, les
yeux
avaient conservé quelque vie, et leur expression
fortement renversées en dehors,les sillons nasolabiaux effacés. Les
yeux
étaient largement ouverts; on n'observait pas l
tatait plus de traces d'une paralysie des muscles extrinsèques de l'
oeil
. Les pupilles réagissaient d'une façon très nette
ut se tenir sur la pointe du pied, et quand on lui fait, fermer les
yeux
, il présente un certain degré d'incoordination.
endant,du côté gauche, le front commence à se plisser (Pl. II). Les
yeux
, il est vrai, se ferment difficilement, et il y a
forme. Des troubles en rapport avec une paralysie des muscles de l'
oeil
, ou avec une 7e paire sont tout à fait exceptio
ez souvent, elle s'accompagne de quelque paralysie des muscles de l'
oeil
, et vous vous rappelez que notre malade a présent
- ces et sans mou- d'abord modérées, Pratiques de mas- vements, les
yeux
puis de plus en plus turbation à l'âge de ouver
es assez bien. phénomènes paréti- ques ou spasmodi- ques. Les
yeux
fermés Idem. Idem. l'incertitude de la marche
uité visuelle normale chez tous les malades. spéciale. Le fond de l'
oeil
a été trouvé normal chez les deux frères Vue. (
déjà existé depuis longtemps mais à un degré faible, s'accentua : l'
oeil
droit se tourna du côté extérieur (strabisme di
par la méthode de Pal les particularités pathologiques sautent aux
yeux
surtout dans la région cervicale. Nous trouvons
rbe est clairsemée ; la moustache peu fournie et à poils rudes. Les
yeux
sont saillants, parti- culièrement il gauche. L
re la moue et à froncer le sourcil. Lorsqu'on lui dit de fermer les
yeux
, la paupière supérieure n'atteint pas l'inférie
imètre à droite. Le malade s'efforce, sans y réussir, de fermer les
yeux
en redres- sant la paupière inférieure et les j
x en redres- sant la paupière inférieure et les joues. L'examen des
yeux
a été pratiqué à la clinique ophtalmologique de
ées reste à découvert; une kératite à hypopyon s'est développée à l'
oeil
gauche ; on a dû pratiquer une paracentèse de la
orizontalité; examen ophtatmoscopique : pas de lésions du fond de l'
oeil
; pas de tremblement des paupières. Le malade t
rdé de four- rure blanche et les reliefs d'or de sa robe flattent l'
oeil
agréablement. Mais cela ne la touche guère. Et
de couleur sombre, le tout sans aucun ornement : cela suffit à ses
yeux
pour assurer le décorum professionnel. Il est v
s ; mais je gage que notre malade souffre encore par ailleurs : ces
yeux
rougis, ces lèvres décolorées, cette grande lan
semble atteinte de cette affection à la mode qui, pénétrant par les
yeux
, va se loger au coeur... Sera-ce grave ? Oui et n
couleurs, ses lèvres sont blanches et ses paupières rougies. Mais son
oeil
est très vif : elle suit attentivement du regar
d'une aiguière de grès. Et, gravement, l'homme de l'art mesure des
yeux
le niveau du liquide, tandis que la patiente to
assionnelle et ce duo canin d'un naturalisme assez osé, avaient aux
yeux
du peintre une signi- fication très précise. No
forces, pouvant à peine soutenir sa tête capuchonnée de blanc, les
yeux
mi-clos, un soupir aux lèvres. Son costume et s
si l'on sait les racheter par des dehors élégants ? Sans doute, son
oeil
est trop petit, son nez trop long, sa bouche trop
saison ; moins de souci de la toilette ris- querait de choquer les
yeux
. Il faut savoir accommoder sa mise à la qua- li
connus et s'y cantonnent si étroitement, qu'il faudrait fermer les
yeux
pour contester leur subordination à l'autorité ré
métamérique de la sclérodermie, dans le cas dont vous avez sous les
yeux
la figure, permet de préciser le lieu exact de
debout sur un pied est facile, ainsi que la z marche à reculons les
yeux
fermés. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 119 La
iqûre des deux côtés. Le réflexe abdominal est normal. Examen des
yeux
. - La vueest excellente et n'a subi aucune modifi
ts d'ostéoporose du maxillaire, mais les troubles trophi- ques de l'
oeil
et de l'oreille, l'atrophie simultanée des papill
le sens musculaire parce qu'il oscille dans l'attitude debout, les
yeux
fermés, dans l'attitude où il présente ce qu'on
der la vision de notre conscience. Quand, les doigts ouverts et les
yeux
fermés, je fixe l'attention de mon sens des att
omatique. Le sens des attitudes fixe tel point de mon corps comme l'
oeil
le fixerait pour sa part. Je sens tel doigt en y
ivement telle altitude commandée; mais, quand ce malade, couché les
yeux
fermés, et à qui on prescrit la passivité la pl
uvements de la tète. Si, quand la tête tourne d'un certain angle, l'
oeil
ne suit pas exactement la variation d'attitude, o
d'orientation révélant la variation d'attitude, disparaît dès que l'
oeil
est, par l'oculomotricité, im- mobilisé dans l'
de compensateur. Quand le mouvement de la tête ne . permet plus à l'
oeil
de fixer le même point, l'oeil s'en détache et fi
ment de la tête ne . permet plus à l'oeil de fixer le même point, l'
oeil
s'en détache et fixe un autre point; c'est ce q
galement les paupières fermées. Chez certains sujets, le globe de l'
oeil
met un grand retard à suivre le mouvement de la t
n normale par,une véritable secousse; si le mouvement con- tinue, l'
oeil
fait ainsi une série de sauts dans le sens de la
sion nette, tandis que, pendant le retard du globe à se déplacer, l'
oeil
semble reculer par rapport au mouvement de la t
étine sont donc animés du mouvement rotatoire inverse de celui de l'
oeil
et par conséquent de même sens que le déplaceme
nette. Il y a ici plus qu'une illusion due à un trouble moteur de l'
oeil
, et j'y vois une véritable hallucination d'une
te et dépassent à chaque rotation de la tête la position normale. Les
yeux
sont indociles à suivre la rotation, puis, quan
rnée dont on perçoit les mouvements ; ou bien en faisant ouvrir les
yeux
du malade aussitôt le mouvement de la tête exéc
uvement de la tête exécuté et en notant la position im- médiate des
yeux
, avant que le regard les ait de nouveau fixés et
le labyrinthique il apparaît au contraire assez nettement quand les
yeux
sont fermés, ainsi que les oscillations exagérées
lésion la- byrinthique centrale est définitive et bilatérale, car l'
oeil
n'a plus à se re- prendre pour suivre ce mouvem
'il y ait dans certains cas la moindre fatigue sentie au niveau des
yeux
; il peut provenir d'un trouble stomacal qui ne
, ce qui est de règle dans le vertige auriculaire périphé- rique. L'
oeil
gauche était en adduction forcée et la diplopie t
ispation,, le spasme de l'abducteur est immédiat, brusque, et jette l'
oeil
de côté sans laisser à la rétine le temps de fi
ovoquait en lui l'au- dition d'une certaine mélodie en tournant les
yeux
à droite. Il semblerait que le nystagmus perman
eurs reprises un strabisme léger qui exagé- rait la divergence de l'
oeil
correspondant au côté de l'oreille atteint. Je sa
st tout différent de l'attitude vague que prennent spontanément les
yeux
quand la vue se trouve privée, par l'occlusion
ès une longue occlusion des paupières, quand le malade rouvrait les
yeux
, la pupille du côté de la lé- sion auriculaire
que sa vue s'était troublée et reconnut bientôt quetan- dis que son
oeil
gauche restait myope comme auparavant, il ne lisa
oeil gauche restait myope comme auparavant, il ne lisait plus de l'
oeil
droit qu'à une distance assez grande. L'accommo
is qu'il se refusait à fonctionner avec l'abducteur gauche et que l'
oeil
droit restait immobile tandis que l'oeil gauche
'abducteur gauche et que l'oeil droit restait immobile tandis que l'
oeil
gauche se portait en dehors. « De plus, remarque
pour les papilles du fond de l'oreille que pour celles du fond de l'
oeil
(Rousseau, Moos, Gellé, Zaufal, Mac-Kay, Kipp,
estion du fond de l'oreille s'accompagne volon- tiers do celle de l'
oeil
correspondant. Peut-être ces troubles vasculaires
à son entrée à l'hôpital ; pendant son séjour il continua sous nos
yeux
la série de ses accidents hystériques : il se pla
conseilla de vérifier ce fait. Pour ce faire, après avoir fermé les
yeux
du malade, nous introduisîmes une sonde dans l'
e un diable en bénitier, hurlant à pleine bouche, ouvrant de grands
yeux
effarés aux paupières rougies. De la main gauch
ée par une enflure maladive ? ... Dans leurs masques d'albâtre, les
yeux
des chlorotiques prennent une expression singul
médecin de Montpellier, Baille, a judicieusement re- marqué que les
yeux
des chlorotiques, ont « une expression de langueu
muants, rieurs, débordant d'entrain et de santé. Ainsi sautent aux
yeux
l'asthénie et la mélancolie des malades d'amour.
ureux anéantissement. . Ses paupières alourdies s'abaissent sur ses
yeux
dont le regard mourant est perdu dans le vague.
son fauteuil, gardant cependant une étincelle de vie dans ses jolis
yeux
et quelques frissons dans son petit pied. Tabli
lement, est-elle peu scrupuleuse sur le chapitre des libertés ? Cet
oeil
mutin, cette lèvre rieuse, les frisons d'or qui e
rt de ses impressions aux assistants. Se rengorgeant, clignant de l'
oeil
, la lèvre malicieuse sous une ombre de moustach
te sur sa poitrine, et pousse des soupirs na- vrants, en levant les
yeux
au ciel. Cette cliente, un peu trop langoureuse
la plaisante satire qui s'adresse aux médecins, nous avons vu que l'
oeil
du peintre avait su percevoir plus d'un détail cl
ntenu de l'urinai qu'il élève de la main gauche à la hauteur de son
oeil
: sa main droite qui tient des gants est appuyé
its fatigués, ses paupières battues témoignent d'un réel malaise. L'
oeil
humide et triste semble poursuivre au loin la v
point. Cette pâleur d'albâtre, ce teint de « cire vieillie », ces
yeux
langou- reux, ces lèvres exsangues, ce brisemen
e. Elle en a « les pâles couleurs », d'un jaune presque verdâtre, l'
oeil
alangui, la fatigue extrême ; on devine qu'elle
llande, t. Il, p ? 3. XII IS 258 HENRY MEIGE Mais qui sait si l'
oeil
exercé de cet éminent urologue n'est pas capable
et énergiques, ombrée par un soupçon de moustache, éclairée par un
oeil
vif et pénétrant. ' Costume discret, ni trop
si lentement qu'on veut, complètement même, de manière à dérouter l'
oeil
le plus exercé. Une fois guérie, on peut refair
t retombe insensiblement dans son état primitif. Il passe, sous vos
yeux
, de la santé parfaite à l'hypothy- roïdie bénig
tant aux tempes qu'à la région occipitale, également au-dessus des
yeux
. La douleur est surtout intense le matin, au saut
poils ni les téguments ne présentent d'altérations appréciables à l'
oeil
nu; au (1) Cil. ri : Ri ? Contribution à l'étud
mencé par des modifications de la vue, « des brouillards devant les
yeux
» ; elle n'a pas présenté de diplopie. Survinre
? h,dil, TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES 337 L'
oeil
gauche converge difficilement, il y a une légère
onstate une atrophie des nerfs optiques, plus accentuée à gauche, l'
oeil
de ce côté est complètement amaurotique. Myopie à
ions lentes, pas de dyschromatopsie. La mesure du champ visuel de l'
oeil
droit fait constater un rétrécissement considér
cter. L'examen des urines ne révèle rien de spécial. L'examen des
yeux
montre que les pupilles sont égales, elles réagis
flasques,et surtout ce visage souffreteux, qu'éclairent deux grands
yeux
noirs, lamentablement tristes. Je ne connais pa
oit dans un grand fauteuil, la tête appuyée contre un oreiller, les
yeux
mi-clos, le regard mourant, les lèvres molles, le
decine peut réaliser de ces rencontres. Un minois frais, de tendres
yeux
, la bouche mignonne, les épaules et NOUV. ICONO
er du médecin ? Cet élégant aux cheveux bouclés, la lèvre rieuse, l'
oeil
séducteur, le corps moulé de velours noir, paré
aucoup plus de l'effet produit par ses boucles blondes et ses jolis
yeux
que de regarder l'urinal qu'il tient dans sa ma
ins beau, mais a demi caché dans l'ombre, regardant sa victime d'un
oeil
tendre et anxieux, tandis qu'une vieille servante
la malade tourne à demi la tête vers son docteur, levant au ciel un
oeil
désespéré, aux paupières rougies,où perle une gro
doctorale. Et voyez comme il fronce un sourcil menaçant, comme son
oeil
est sévère, tout cela uniquement pour consulter l
Le visage amaigri est encadré de frisons qui simulent des favoris; l'
oeil
1 est triste, fatigué, alangui. Près du lit,
e feint de détourner la tête pour ne pas voir son médecin; mais ses
yeux
se portent vers lui, avec un regard oblique de
mise et la mignardise de son maintien. Jeune précieux, aux beaux
yeux
assassins, portant un fil de moustache soigneus
est le plus beau et le plus charmant que j'aie jamais vu ; il a les
yeux
de madame de Mazarin et les dents parfaites, le
aient pas auXVIP siè- cle. Un gracieux visage, de belles dents, des
yeux
langoureux, et surtout une mise galante, rehaus
Musée de la Haye. Massos et C'c, Éditeurs. LE MAL d'amour 349 l'
oeil
vif et le sourire facile. Il doit trop bien conna
che, jolie, bien en chair, mais tout en lar- mes, et s'essuyant les
yeux
. D'où vient ce gros chagrin ? De l'excès de sa
Près de lui, la patiente est debout, toute confuse et baissant les
yeux
. Son attitude est déjà un aveu. En vain d'ail-
rement ; pas de diplo- pie, pas de nystagmus. Les mouvements de l'
oeil
se font bien ; occlusion complète. La parole est
le bras gauche et au cou. Le malade marche assez bien ; même les
yeux
fermés, il peut se tenir sur chaque jambe. Se
s organes des sens. Pas de paralysie des muscles de la face ni de l'
oeil
, ni du palais. Muscles du cou. - Sterno-mastoïd
s d'inégalité pupillaire, pas de nystagmus ; tous les mouvements de l'
oeil
se font bien. Le malade accuse une diplopie pas
laires exagérés légèrement, pas de phénomènes du pied. Du côté de l'
oeil
, diplopie passagère après fatigue. En somme, le
, bien que titubant un peu ; il peut se tenir sur un pied, même les
yeux
fermés. Il marche encore assez facilement, mais l
veau du cartilage thyroïde. Ulcération profonde de la cornée de l'
oeil
droit. A l'ouverture de la tumeur axillaire, on
ion de rougeurs à l'exploration de la sensibilité. A l'examen des
yeux
, on note de l'inégalité pupillaire, la pupille dr
tère radiale est souple, le pouls bat 90 à la mi- nute. Du côté des
yeux
, on remarque de l'inégalité pupillaire, le réflex
isuelle normale, pas de dyschromatopsie, pas de lésion du fond de l'
oeil
. , Les réflexes sont abolis aux poignets, aux c
pécial. Les règles ne viennent pas depuis deux mois. Du côté de l'
oeil
, la malade n'a pas présenté de diplopie transitoi
l'on recueille ses urines et qu'on les porte chez l'empi- rique à l'
oeil
clairvoyant. Rien déplus judicieux de la part des
roite, un médecin se tient debout et regarde l'urinal. Clignant des
yeux
d'un air narquois, il montre avec le doigt la m
eiller, un large emplâtre de taffetas noir sur la tempe gauche. Les
yeux
clos, elle semble avoir perdu connaissance ; so
'efforcent de la ranimer. L'évanouie, la bouche entr'ou- verte, les
yeux
levés au ciel, est peut-être une jeune mariée qui
es sens et s'affaisse sur le plancher, notre Docteur, clignant de l'
oeil
, inspecte d'un air entendu le petit ballon aux
auprès d'une chaise sur laquelle repose encore son bras gauche. Ses
yeux
rougis, aux paupiè- res- mi-closes, son regard
de perles, la grâce de son cou souple et potelé, la langueur de ses
yeux
, toute la splendeur de ses charmes librement en
ontairement, dédaigne de voir tous les attraits qui s'offrent à ses
yeux
. Tout cela est un peu maniéré sans doute et nou
La troisième est une fillette en larmes qui, tristement, s'essuie les
yeux
. Quant au décor, ce qu'on en voit est à l'uniss
nt très touchant de compassion. Le visage fatigué de la malade, ses
yeux
inquiets aux paupières alour- dies; l'affaissem
l'on peut être certain que jamais il ne se permet les clignements d'
yeux
ni les propos gouailleurs des docteurs de Shalk
uccessivement le doigt sur cha- que ligne en paraissant compter des
yeux
; elle s'est arrêtée rapidement en disant : « P
ant : « Je n'ai pas été à l'école, je n'ai pas pu, regardez là (son
oeil
couvert d'une taie). Je n'ai pas menti. » Quand e
ez, un ne ? Dans ces essais de lecture elle ne lit qu'au moyen de l'
oeil
gauche et en te- nant le modèle tout à fait en
Pas de troubles de la respiration. Pouls fort et rapide (90). Aux
yeux
, reliquat de kératite ancienne, avec opacité quas
urs segments de l'individu, suivant des processus capricieux, à nos
yeux
tout au moins. On voit des jeunes gens qui po
a station sur un pied est impossible. Le malade se tient debout les
yeux
fermés, mais incoordination de la marche dans c
x membres ankylosés, tout perclus de rhumatismes, possède encore un
oeil
singuliè- rement audacieux. Son regard oublie d
e la bles- sure, de paralysies musculaires, de perte d'un organe (
oeil
, nez, etc.) d'atrophie, etc., suivant qu'un nerf
de coups de sabre. Il guérit, mais avec un strabisme divergent de l'
oeil
gauche, qui est à peu près perdu. Cinq ans aprè
la face trois profondes cicatrices parallèles, deux au-dessus de l'
oeil
, l'autre au-dessous; l'oeil gauche est perdu : 'c
atrices parallèles, deux au-dessus de l'oeil, l'autre au-dessous; l'
oeil
gauche est perdu : 'ces cicatrices proviennent
du Mexique, il fut atteint d'une balle qui pénétra au-dessous de l'
oeil
gauche et ressortit dans la région temporale; o
au-dessous de l'oeil gauche et ressortit dans la région temporale;
oeil
perdu. A la suite de cette blessure, l'intelligen
« circonvolutions postérieures », détermine toujours la cécité de l'
oeil
opposé, et, si la lésion est bilatérale, la céc
autres fonctions cérébrales » : il notait, chez un oiseau dont un
oeil
avait été énucléé dès la naissance, une hypertr
ne hypertrophie compensatrice du cerveau et du crâne du côté de l'
oeil
détruit 3. C'est ainsi que la figure 3 de Tambu
u crâne d'un chien, du côté correspondant à la destruc- tion de l'
oeil
, hypertrophie qui s'était étendue, toujours du
re d'années. Ainsi, chez un individu, mort à dix-huit ans, dont l'
oeil
gauche était atrophié par suite d'une blessure
rtie de la substance cérébrale des lobes postérieurs produit, sur l'
oeil
du côté opposé, des phénomènes de cécité, comme
nes de cécité, comme Hitzig l'observa en 1874, et que la perte d'un
oeil
détermine une atrophie ascendante des tubercule
qu'après un désordre cérébral il y a souvent cécité complète d'un
oeil
, l'autre restant tout à fait indemne (illeso),
rale du centre de la vision détermine, non une cécité complète de l'
oeil
opposé, comme le voulait Ferrier, mais une céci
apport avec les deux rétines, et non uniquement avec la rétine de l'
oeil
du côté opposé, les faisceaux croisés des nerfs
one visuelle du chien provoquait une amaurose presque complète de l'
oeil
opposé à la lésion et une légère amblyopie de l
complète de l'oeil opposé à la lésion et une légère amblyopie de l'
oeil
du côté correspondant. Il fallait donc admettre
vision, la prova dell'alirnentazione, avec occlusion d'un des deux
yeux
. LES FONCTIONS DU CERVEAU.. 35 L'oeil gauche
vec occlusion d'un des deux yeux. LES FONCTIONS DU CERVEAU.. 35 L'
oeil
gauche étant bandé, par exemple, on jette au ch
t les voies tracées et évite les obstacles; dès qu'on lui bande les
yeux
, il se comporte tout autrement : il va lentemen
vision ? Quels rapports existent entre le champ rétinien de chaque
oeil
et les sphères visuelles de l'écorce ? Quelle e
. II. Quels rapports existent entre le champ réti- nien de chaque
oeil
et les deux sphères visuelles de l'écorce ? Les
chez le chien, avec le segment interne (les 2/3) de la rétine de l'
oeil
du côté opposé, et avec le segment externe (1/3
du côté opposé, et avec le segment externe (1/3) de la rétine de l'
oeil
du côté correspondant. Chez les singes, comme c
s du faisceau croisé, issues du segment interne de la rétine de l'
oeil
opposé, soutiennent avec l'écorce du centre vis
lèvres et de la langue. Les réactions synergiques des muscles de l'
oeil
aux di- verses impressions lumineuses ou à cet
physiologique les centres mo- teurs et les centres sensoriels de l'
oeil
et de la vision. Les fonctions du lobe pariétal
nues, on le sait. Des centres sensoriels, sensitifs et moteurs de l'
oeil
et de la vision ont été, entre autres, localisé
exclu- sivement limitée à ce lobe. Dès que l'examen du fond de l'
oeil
n'a révélé durant la vie aucune altération, lor
. ? Psych. Vlll^ et IX" vol., 1877-78.) M PHYSIOLOGIE. forme, l'
oeil
du côté hémiplégie, d'ailleurs intact à l'exame
te du lobe occipital chez de jeunes lapins dont il avait énucléé un
oeil
six ou sept mois auparavant 2. Inversement, d
élire de persécution qui, le soir, avant de s'endormir, voyait de l'
oeil
droit des personnes à lui connues, de grandeur
mètre indiqua un rétrécissement considérable du champ visuel de l'
oeil
droit, en haut et un peu en dedans, c'est-à-dir
rmine un mouvement de l'oreille du côté opposé, qui se dresse ; les
yeux
s'ouvrent tout grands, les pu- pilles se dilate
pparente se mouvoir de côté et d'autre dans l'hu- meur aqueuse de l'
oeil
d'une vipère à l'instant où cet animal pa- rais
udroyé, ayant la langue mordue et les pattes fortement tendues. Ses
yeux
x sont très rouges, les petits vaisseaux de la
injectés; Archives, t. XVIII. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE. même à l'
oeil
nu, on voit des bullettes d'air intra-vasculaires
ide céphalo-rachidien contient du gaz. La chambre antérieure de l'
oeil
enferme elle aussi des bulles d'air, on trouve
crises nerveuses pendant lesquelles il étend les bras, crie, à les
yeux
saillants, et qui ressemblent plutôt à des accè
ses, on en a pas voulu, « quand on a vu la façon dont il tourne les
yeux
». Pendant tout ce temps il est allé plusieurs
afin d'empêcher les oscillations. Dans le même temps, il fixe les
yeux
sur une montre à secondes pour régler minutieusem
s l'ordre des mouvements successifs. c, cheville. Y, 'eu'\ : . - y.
yeux
ouverts. C. coude. D, tous les doigts. 1. index
: absence complète de réactions motrices du côté des membres et des
yeux
. '. Ce n'est que plus tard, au début du cinquiè
milieu des circonvolutions occipitales une déviation conjuguée des
yeux
du côté opposé à l'hémisphère excité, avec cett
nce détermine à partir du second mois une déviation conjuguée des
yeux
. Celle déviation s'obtient soit après avoir enlev
nsuite la substance blanche des lobes occipitaux : la déviation des
yeux
appa- rait avec ses caractères habituels. Elle
stance grise montrent que les centres de la déviation conjuguée des
yeux
doivent se trouver non pas dans les régions psy
ure du sillon précentral, les mouvements latéraux de la tête et des
yeux
, décrits par Fcrrier, commencent nettement. L'a
itation du tiers ou de la moitié supérieure produit l'occlusion des
yeux
, la dilatation de l'aile du nez, la rétraction
ts par l'excitation sont ceux décrits par Fer- rier : ouverture des
yeux
, dilatation des pupilles, rotation de la tête d
s, rotation de la tête du côté opposé, avec déviation conjuguée des
yeux
du même côté. En arrière, sur le bord supérieur
fait rapprocher les pieds sur la même ligne et qu'on lui ferme les
yeux
. Sensation toute subjective d'engourdissement d
ossible. 1 ' M. 1h'sTexar.. D'une lésion anatomique des muscles des
yeux
dans l'ophthalmoplégie. Il s'agit d'une observa
ons qui laissent en place les circonvolutions, et se traduisent à l'
oeil
nu par les adhérences méningées plus ou moins f
pes, à l'aide d'un faible grossissement qui permette d'avoir sous l'
oeil
toute l'épaisseur de la substance grise, on la
, dans lesquelles le trau- matisme s'est produit. C'est ainsi qu'un
oeil
, ou même les deux yeux, peuvent être perdus, qu
- matisme s'est produit. C'est ainsi qu'un oeil, ou même les deux
yeux
, peuvent être perdus, que l'ouïe peut être abol
ne guérie, le blessé est resté hémiplégique, s'il y a eu perte d'un
oeil
, ou surdité, en un mot si le résultat a été une
travailler. La nuit du 15 au 20 mai fut agitée, il n'a pu fermer l'
oeil
. Le lendemain matin, 20 mai, cet homme faisant
t passé une nuit d'agitation, d'inquiétude sans avoir pu fermer l'
oeil
. Le 3 juin, le matin, le malade s'était levé ayan
s sont égales, mais très dilatées; lorsqu'on approche le doigt de l'
oeil
, les paupières se referment, mais le lobe ocula
immobile. Si l'on place une allumette en ignition tout près de l'
oeil
, les paupières ne se ferment pas et les pupilles
mplète. La projection d'air froid sur le visage, et surtout sur les
yeux
, ne change rien. La bouche.est fermée; j'abaiss
.., comme mu par un ressort, s'assied sur son lit, il se frotte les
yeux
, se lève et s'habille, sans mot dire, et très r
encées lorsque nous placions, à quelques millimètres seulement de l'
oeil
, une allumette en ignition et puisqu'une compre
s épaules, la face était bouffie, les lèvres pâles et gonflées, les
yeux
ternes, les che- veux et la barbe du malade, en
utres, ceux de dépression. Ce qui saute surtout et premièrement aux
yeux
, c'est la faiblesse, l'insûreté et la vacillati
odeur pénétrante. Il fume légèrement à l'air, irrite fortement les
yeux
et provoque la toux. Il est très soluble dans l
et spécialement des circonvolutions. Les altéra- tions du fond de l'
oeil
ne permettraient guère chez l'une ou l'au- tre
à s'évader, commit une nouvelle tentative de viol presque sous les
yeux
des gar- diens qui le poursuivaient; on s'empar
écrire automatiquement avec un écran interposé entre la main et les
yeux
. M. ! lhERS (de Londres) croit à la possibilité
sans l'intermédiaire des sens. Il hypnotise un sujet, lui bande les
yeux
et se sépare de lui par un écran. Il tire alors
ggestion). Il insiste sur lesphénomènes qu'il détermine du côté des
yeux
, lesquels finissent par se fermer tout à fait. Qu
15, 20 jours et plus dans les cabanons dont j'ai dû mettre sous vos
yeux
les dispositions défectueuses ou dangereuses. J
envahi le côté gauche; le malade croit qu'il n'existait que dans l'
oeil
droit; mais il est probable qu'il 1 M. Charcot.
trophie des éléments nerveux eux-mêmes et est masquée en partie à l'
oeil
nu par la prolifération scléreuse. Ce processus
à centre vacuolaire sont assez étendus pour qu'on les distingue à l'
oeil
nu sur les coupes. Ils s'étendent jus- qu'à la
est vrai, avec les mêmes lésions d'atrophie et d'état chagriné à l'
oeil
nu. L'atrophie et l'état chagriné des circonvol
ais, lesquels déterminent de véritables taches grises, visibles à l'
oeil
nu par transparence. Cette bande empiète sur la
des qui étaient remplis par un liquideà l'état frais. On a sous les
yeux
des cavités aréolaires, irrégulières, cloi- son
és s'agrandissent au point de former un tissu aréolaire visible à l'
oeil
nu. Ces lésions expliquent l'état chagriné qui
sa naissance, en un point qui ne contient pas de foyer visible à l'
oeil
nu, il existe une vascularisation anormale très
exemple, le vol des nuages, Stricker éprouve dans les muscles des
yeux
les mêmes sensations que s'il suivait en réa- l
et des paraly- sies d'origine corticale, plaidaient fortement, aux
yeux
de Tamburini, pour la nature motrice de ces cen
ette région, dont l'excitation provoque toujours des mouvements des
yeux
, des oreilles, du nez et des joues. L'excitatio
la pointe du lobe occipital, pro- duit une déviation conjuguée des
yeux
du côté opposé, un rétrécissement des pupilles,
s à un groupe de muscles, ' Danillo a prouvé que les mouvements des
yeux
observés dans l'ex- citation du lobe occipital
'excitation du gyrus sigmoïde. Quant aux mouvements conjugués des
yeux
, déterminés par l'excitation de l'écorce du lob
semaines, petites convulsions internes : immobilité, occlusion des
yeux
, pâleur de la face, durée de trois quarts d'heu
n peu, on l'a renvoyé. Il est rentré chez lui méconnais- sable, les
yeux
hagards, le visage décomposé, rompu de fatigue.
ge, sans saillies frontales. Arcades sourcilières assez saillantes.
Yeux
bleus. Nez aquilin. Bouche petite, lèvres épais
ale. - Vision : 11 distingue nettement toutes les couleurs des deux
yeux
. Quand il fixe des objets un peu éloignés, sa v
ds un peu écartés, bras étendus en croix. Cou et tête en extension,
yeux
fermés, face colorée, poings fermés. - A 10 h.
lacement. A 10 h. 10, le malade revient à lui subitement, ouvre les
yeux
qui Fig. 5. - Attitude du crucifiement. Fig.
cle transitoire. Extension, les jambes écartées, les bras en croix.
Yeux
légèrement convulsés en haut et en dehors. Diffic
colorés qui arrivent du côté gauche et qui, une fois au-devant de l'
oeil
droit, remontent et disparaissent. 11 ne tombe
lade par le regard. Il est assis ; au bout d'une à deux minutes les
yeux
commencent à s'humecter, il y a quelques palpit
ssent légèrement, mais il paraît se réveiller. 11 semble imiter les
yeux
de l'expérimentateur. Celui-ti, à un moment don
ateur. Celui-ti, à un moment donné, ayant ouvert plus largement les
yeux
, il le fait lui-même aussitôt. Bientôt les DE L
fait lui-même aussitôt. Bientôt les DE L'HYSTERO-ÉPILEPSIE, '1 9
yeux
se portent à différentes reprises en haut et en d
avant-bras ne déter- mine pas de contracture. On cherche à ouvrir l'
oeil
gauche, mais il ne reste pas ouvert.1 On comman
end l'attitude en X, puis reste un peu immobile. Puis, il ouvre les
yeux
, regarde d'un air étonné, mâ- chonne. Interrogé
d à 10 h. 37 et on lui fait exécuter un certain nombre d'ordres les
yeux
fermés. Par la per- cussion longtemps répétée d
saigner demain à 9 heures. On le réveille en lui soufflant sur les
yeux
. 28 août. - Hier il a eu deux attaques. Après c
de tissu cellulaire sous-cutané. C'est pourquoi au premier coup d'
oeil
l'idée se présente qu'on se trouve en présence d'
veau ayant produit une rotation EN sens contraire DE LI tête ET DES
yeux
et une déviation inégale DES deux yeux ; par M.
contraire DE LI tête ET DES yeux et une déviation inégale DES deux
yeux
; par M. F. Leclerc. (Lyon méd. 1888, t. LV).
tte infraction à la loi de la déviation conjuguée de la tête et des
yeux
. Le même malade présentait un kyste hydatique d
main 440 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. droite, enfin de paralysie de l'
oeil
droit. Atteint bientôt après de paralysie génér
-grisâtre ou gris-jaunâtre tranchant assez crûment sur le fond de l'
oeil
. Un même rameau artériel pouvait porter plusieu
- lation en retour. M. Rvna (privat-docent). Aspects du fend de l'
oeil
dans l'épilep- sie. Examen d'un malade pendant
même ne dépassait pas une minute, puis la vue (il s'agis- sait de l'
oeil
droit dans le cas d'épilepsie due à la sypliilis)
nostic a été déterminé pendant la vie par la paralysie associée des
yeux
, la convergence n'ayant pas subi d'atteinte, et
nus pourraient simuler des malaises pour se rendre intéressants aux
yeux
des médecins qui viendraient les examiner. La s
illo, 445. Uphthalmoplégie (lésions anatonn- ques des muscles des
yeux
dan, I par Westphal, 151. " Ovanotomie chez u
objets et rapporte ainsi que cela a lieu en général, ce trouble à l'
oeil
droit tandis qu'en réalité il appartient aux de
trouble à l'oeil droit tandis qu'en réalité il appartient aux deux
yeux
; puis surviennent des vomisse- ments. Un peu pl
ns de vous faire vous a déjà fixé sur un dia- gnostic qui saute aux
yeux
, si je puis m'exprimer ainsi. Il s'agit, ;i n'en
dans la peau de l'épaule. ¡ Le schéma que vous avez sous les
yeux
(Fig. 1 et 2), mis.en parallèle avec la prépara
s toujours froids. Le sternum fait une saillie bombée en avant. Les
yeux
et les oreilles sont sains ; de même pour le ne
Le signe deJRomberg était très manifeste et la station debout, les
yeux
fermés, n'était possible que si les pieds étaient
trou- bles de la marche peu accusés. En particulier l'occlusion des
yeux
ne paraissait exercer aucune influence sur la s
out non plus que sur la marche et le malade pouvait facilement, les
yeux
fermés, aller d'un bout de la salle à l'autre,
on douloureuse. L'examen peut être fait pendant que le malade a les
yeux
ouverts, si on ne veut pas en même temps examin
ve à noter qu'une kératite avec strabisme externe et amblyopie de l'
oeil
gauche, dont l'origine remonte à la première en
type androgyne d'un corps humain que la nature mit un jour sous les
yeux
d'un artiste de talent, et où les formes de la
sion : le regard craintif et inquiet. Le front bas, étroit, ridé, l'
oeil
petit, le nez long et fortement busqué, les oreil
avoir fidèlement t copié les modèles que le hasard a mis sous leurs
yeux
. Ceux-là sont bien les hermaphrodites dont Plat
externe du pied gauche. Un schéma que je vais faire placer sous vos
yeux
vous permettra de vous rendre un compte exact d
trous de conjugaison. La figure (fig. 8) que je vous mets sous les
yeux
vous donne une repré- sentation nette de cette
osition. Cette autre figure (fig. 9) queje place également sous vos
yeux
, en même temps que ces belles préparations ana-
entre le sacrum et le coccyx. Si maintenant, je vous mets sous les
yeux
, les chiffres qui expriment la distance compris
insi que vous le montrent les figures schématiques placées sous vos
yeux
(V. fig. B). Aux pieds, elle peut être limité
aux indications causales. D'après le tableau que j'ai mis sous vos
yeux
, en vous exposant l'élio- logie des affections
e ne donne point la photographie, mais parfaitement appréciable à l'
oeil
. Dans la contraction frénatrice, le muscle est
alet l'état du reste parfaitement normal des pupilles, du fond de l'
oeil
, et de la musculature oculaire, l'opération fut
e l'o- péré. La pupille droite était un peu rétrécie. Le fonds de l'
oeil
était nor- mal ; l'état général était excellent
pas trace de trouble oculo-pupillaire ni d'altération du fond de l'
oeil
; il n'y a aucune gène des mouvement du cou qui
se -servir de sa main pour manger sa soupe et pour écrire sous nos
yeux
quelques lignes : tous ceux qui l'avaient vu la v
de Romberg. Il marche comme tout le monde ; il se tient debout, les
yeux
fermés, sans osciller. Seuls les réflexes tendine
ature soient au repos ou en action. Le malade ferme bien les deux
yeux
simultanément. Il ferme bien l'oeil gau- cho se
. Le malade ferme bien les deux yeux simultanément. Il ferme bien l'
oeil
gau- cho seul. Il n'a jamais pu fermer l'oeil d
ment. Il ferme bien l'oeil gau- cho seul. Il n'a jamais pu fermer l'
oeil
droit seul. Les pupilles sont inégales, mais ce
49 UN NOUVEAU TYPE D'HÉMIPLÉGIE ALTERNE 185 ment reconnaître à l'
oeil
nu du côté du cordon latéral droit et du faisceau
il l'exception de la partie du faisceau latéral droit qui déjà il l'
oeil
nu se distinguait par sa coloration du reste delà
ien. Comme nous l'avons dit plus haut, le bulbe présentait déjà à l'
oeil
nu une atrophie de la pyramide gauche dont l'extr
asque en plomb pour le protéger contre les douleurs de l'angle de l'
oeil
, origine, d'a- près lui, du rhume de cerveau.
de nonchalance. Son visage pâle, aux- traits doux et réguliers, ses
yeux
rougis témoignent des mauvaises nuits passées s
la Femme hydropique de Gérard Dou. Il pince les lèvres, cligne de l'
oeil
et fronce le sourcil de la bonne manière. C'est
liente ? Cette pâleur d'albâtre, ce teint de « cire vieillie », ces
yeux
humides et fatigués, ces lèvres pâles, ces main
r bien dangereusement atteinte. Son teint n'est pas inquiétant, ses
yeux
pétillent de malice, et ses lèvres (1) W. Burge
S. van Iloogstraa- ten. Ses lèvres décolorées ne sourient pas, son
oeil
est perdu dans une rêverie maladive, el son pâl
r extrême du visage, éclairé de reflets légèrement ver- dâtres, les
yeux
qui regardent en haut et en arrière avec une expr
ée en arrière, le cou proémine, la bouche est entr'ou- verte et les
yeux
renversés vers le haut laissent voir largement le
es. Mais la bouche n'est pas crispée, la langue ne sort pas, et les
yeux
sont simplement relevés sous la paupière supérieu
cas, la pâleur du visage, l'abandon de la tète, le renversement des
yeux
et l'ou- I verture de la bouche autorisent pens
de Dresde. La tôle du Jacob endormi, couché près d'un buisson, les
yeux
clos, la bouche demi-ouverte, offre les plus gr
microscope ne révèle guère que ce que montre très bien l'examen à l'
oeil
nu de la pièce sèche. Raréfaction de l'os à la su
po- tasse (liqueur de tlIüller). Une fois durcie, on constate il l'
oeil
nu dans la région des cordons postérieurs, une
e de cuivre, ces différences de coloration existent constamment à l'
oeil
nu. Cependant si on fait des coupes et qu'on les
méthode de Weigert-Pal on constate que les régions si altérées à l'
oeil
nu le sont beaucoup moins an réalité 1 microsco
fibres nerveuses à myéline, des régions qui paraissent malades à l'
oeil
nu, ne fixant pas d'une façon intensive ia laqu
duit par une teinte pâle de cette région, constatable également à l'
oeil
nu sur des 1 coupes. Dans la région lombaire,
eil nu sur des 1 coupes. Dans la région lombaire, on constate à l'
oeil
nu, mais très atténuées, les mêmes lésions que
moyenne et inférieure (Pl. XXXV). Ces lésions sont constatables à l'
oeil
nu sur la moelle à l'état frais ; elles donnent
Le crâne est asymétrique, la moitié gauche aplatie en arrière, les
yeux
ont une disposition oblique comme chez les Chin
ique : la tuméfaction du ventre et de la cheville de la malade, ses
yeux
bouffis, son teint blême, et la syncope qui la
lisés autrefois dans l'extraction des dents. Les opérations sur les
yeux
, le ne : ; ou les oreilles ne semblent pas avoir
cisions profitent à la migraine, aux délluxions qui tombent sur les
yeux
, et aux douleurs précédentes d'une défluxion chau
ons du front profilent aux dé- fluxions chaudes qui tombent sur les
yeux
, aux rougeurs de la face, et lorsqu'on sent au
luxion abondante qui descend des veines d'en haut, et tombe sur les
yeux
» (1). Ambroise Paré conseille, encore d'après
rrière les oreilles, dit Fabrice d'Aquapen- dente, servent pour les
yeux
, pour la tête, pour la rêverie, pour l'assou- p
humeurs dans le cerveau ; item aux déflluxions qui tombent sur les
yeux
, narines, oreilles, luette, gosier; aux douleurs
langage d'antan, donne maintes autres raisons qui justifient à ses
yeux
l'excellence du cautère potentiel, Les « humeur
fous de douleur et affamés de soulagement, se pré- cipitaient, les
yeux
fermés, chez le guérisseur de passage. Celui-ci
maintient leurs bras, soutient leur tête, et au besoin leur bande les
yeux
. Sévère et sûr de lui, le chirurgien s'avance,
r l'épaule gauche. La face ridée est remarquablement expressive : l'
oeil
profond, mi-clos, le nez fort sur lequel chevau
rtes laissent passer ses gémissements ; des larmes cou- lent de ses
yeux
; les muscles de la douleur et de l'effroi se con
i, voulu. C'est la mimique du désespoir, de l'angoisse éplorée. Les
yeux
sont clos, mais volontairement, pour nepas voir
figure du malheureux et lui enfonçant brutalement son pouce dans l'
oeil
droit. Dans cette position vraiment critique, l
x que de fixer au dos du fauteuil un long bandeau qui passe sur ses
yeux
: procédé tout simple qui, en outre, a l'avantage
catarrhe de la rougeole a disparu, dès que l'enfant a pu rouvrir les
yeux
. Je tiens à souligner, en passant, l'apparition
contrôler les troubles que je viens de' vous raconter. Du côté des
yeux
, l'oeil gauche était dans une position normale
er les troubles que je viens de' vous raconter. Du côté des yeux, l'
oeil
gauche était dans une position normale 'et. l'o
côté des yeux, l'oeil gauche était dans une position normale 'et. l'
oeil
droit dévié en dehors. Dans l'oeil gauche, IF ,
dans une position normale 'et. l'oeil droit dévié en dehors. Dans l'
oeil
gauche, IF , , . 9 les mouvements de latérali
perclus, l'élévation très limitée mais l'abaissement normal. Dans l'
oeil
droit, l'abaissement se fai- sait également bie
osis ; encore est-il beaucoup moins prononcé qu'à l'origine. Dans l'
oeil
droit, les mouvements de latéralité et d'abaiss
sement sont normaux; seule l'élévation du globe est limitée. Dans l'
oeil
gauche, l'élévation et l'abduction sont encore im
d'une série de centres successifs, destinés aux divers muscles des
yeux
(Fig. 3). En avant, sur la paroi du troisième ven
défaut d'autres raisons, l'intégrité de la musculature interne'des
yeux
suffirait pour faire rejeter une sem- blable hy
. . ' * \ Tout lui sautait dans'la face, son nez, ses oreilles, ses
yeux
, sa bouche, et il lui semblait que cela était t
uteau et des bandes. L'opéré n'a pas l'air mécontent; il cligne les
yeux
sous la douche qui tombe sur sa tête, et, de cô
mentable bonhomme, arrive en clopinant, conduit par une matrone à l'
oeil
sévère, un malheureux infirme dont l'état n'est p
iront tout à l'heure à faire le tour de passe-passe. Il cligne de l'
oeil
d'un air entendu en montrant les tumeurs factices
Celui-ci s'attendrit à l'idée de la douleur et du sang répandu; les
yeux
de celui-là brillent de l'espoir d'être bientôt s
d'une boite, on ne sait pourduoi, qui fait une affreuse grimace. Un
oeil
clos, la face contractée d'un seul côté, la langu
ente pour la sor- cière qui semble s'y connaître et la regarde d'un
oeil
satisfait. Tout ce peuple crie, s'agite, se bou
. Le confrère abandonné est 'là, accoudé sur le mur, regardant d'un
oeil
attristé le vin 20 ;¿98 ' . NOUVELLE ICONOGRA
uche énorme, raidissant son cou, fronçant les sourcils, roulant les
yeux
, contractant tous les muscles de son visage, da
a Possédée de Rubens, la protrusion de la langue, la convulsion des
yeux
en haut, le gonflement du cou, sont l'exacte co
Peut-être attend-elle son tour, et le spectacle qu'elle a sous les
yeux
l'impressionne vivement. Comme tous 1 les perso
ux et sou- tient la tête. Le patient souffre cruellement, ferme les
yeux
, ouvre la bou- che et croise les mains comme po
les. contractions de son visage, la grimace de sa bouche et de ses
yeux
rendent admirablement la violente douleur qu'il
de la veine temporale, opération très recommandée contre les maux d'
yeux
ou d'oreilles. Cependant la palette fait défaut
, où une jeune femme semble avaler avec peine une médecine sous les
yeux
d'un jeune docteur. (4) V° 3t6. (5) No 1312.
cher son opération. Le patient fait une affreuse grimace, ferme les
yeux
, hurle à pleine bouche, bat l'estrade de ses gros
s, les gens du village viennent en foule. Deux malades, un homme, l'
oeil
couvert d'un bandeau,'et une vieille, toute cas
ns le bassin d'étain que la vieille femme met juste à portée de ses
yeux
. El les pierres tombent, tombent toujours : ...
t. En revanche, il pousse des cris lamentables, et ferme à demi les
yeux
en ouvrant la bouche de travers. Une corneill
ie d'un tour de passe-passe ayant pour but de faire tomber sous les
yeux
du patient une pierre que le chirurgien dissimu
son interne. Les hasards de la clinique réunissaient ainsi sous nos
yeux
deux cas dont l'expression symptomatique se res
ue les dégénérescences secondaires sont relativement minimes. A l'
oeil
nu on les voyait sur la pièce durcie, où elles tr
a moelle. Il est donc très vraisemblable que nous avons eu sous les
yeux
la lésion primitive dans toute sa pureté, sans mé
elle fut prise subitement de paralysie du côté gauche de la face. L'
oeil
gau- che était tourné en haut et en dehors ; la
e leur évolution. La moelle ne présente rien de caractéristique à l'
oeil
nu, sauf une vas- cularisation anormale des mén
ites très nettes sont irrégulières ; on le distingue facilement à l'
oeil
nu sur les cou- pes où il forme une large tache
u de , tuméfaction ou de rougeur visibles. Mais il se fait sous nos
yeux
, du 26 octobre au 10 novembre, une* poussée d'a
nt nets, le malade peut relever et froncer les sourcils, fermer lés
yeux
et tirer les commissures de ses lèvres for- tem
aniques quelconques. En elfet après avoir her- métiquement clos les
yeux
de notre malade, nous lui avons introduit dans
oute la par- tie du visage qui se trouve au-dessous de la ligne des
yeux
se fait remar- quer par une placidité et une im
contradictoirement, et le reste de la face impassible, plaçons les
yeux
fixes et immobiles, grands ouverts, avec une ab
parfaitement applicable ici. Chez la malade que nous avons sous les
yeux
le tableau morphologique se complète par une ex
hui, reproduit les ol>-jets avec la lidélitè de leurs formes, et l’
œil
humaiu est allé dans l’espace chercher un astre i
n de lui conserver son originalité et toute sa naïveté qui sont à nos
yeux
d’un grand prix. A M. le Président du jury magn
e pas le rôle de cet agent physique qui calme aussitôt la douleur des
yeux
, causée à l’improviste par quelque substance étra
ne peine infinie à obtenir le déplacement du bandeau qui couvrait ses
yeux
; elle ne pouvait supporter l’effet du clair-obscu
. Je constatai que les muqueuses étaient tellement enflammées que les
yeux
paraissaient pleins de sang; la mère me déclara q
étisation générale pendant 5 minutes; 2° magnétisation locale sur les
yeux
le même espace de temps; 3° cinq ou six passes su
s voir la manière de magnétiser l’eau et lui recommandai de laver les
yeux
avec celte eau deux fois chaque jour. La seconde
cer à voir à l’ombre pour ne pas trop se fatiguer, elle découvrait un
œil
et allait jouer avec les enfants du voisinage; lo
ait un œil et allait jouer avec les enfants du voisinage; lorsque l’
œil
découvert était fatigué, elle replaçait le bandea
cence d’inflammation, il fallut garder constamment le bandeau sur les
yeux
. La mère, bien affligée de celte rechute, l’amena
la conduisit chez M. *** qui lui donna peu d’espoir; il lui dit que l’
œil
gauche était presque perdu; qu’il y avait peu d’e
succès tellement inespéré qu’après cinq semaines de magnétisation les
yeux
de l’enfant étaient complètement guéris. Plus d’i
t guéris. Plus d’inflammation ; les filets sanguins ont disparu ; les
yeux
sont clairs, elle jouit des bienfaits de la lumiè
ssez jolie figure. Elle s’avança lentement, mais d’un pas assuré, les
yeux
ouverts et fixes; son attitudeet sa physionomie
haînait ses sens, la jeune femme soupira, étendit les bras, ferma les
yeux
, les rouvrit et promena sur l’assemblée un regard
aussi mentiez-vous à la science et comment n’avez-vous pas ouvert les
yeux
plus tôt ? — On nous assure que le gouvernement
t le bonsoir, qu’il était temps de se retirer. La tète baissée et les
yeux
fixés sur les lisons, il gardait un profond sil
raissaient lumineuses sur un font sombre, éblouissaient tellement les
yeux
, que des quatre témoins de cette scène extraordin
r vis-à-vis d’un public nombreux ne voit qu’une masse confuse, où ses
yeux
ne peuvent distinguer un seul individu. Sur le
ment parmi les coiffes à la paysanne. Un bonnet de coton s’essuie les
yeux
.) » Le témoin Corally ajoute à sa déposition. —
e élec-Iro-galvanique. Après avoir étudié les phénomènes visibles à l’
œil
nu, ils eussent pris leur longue-vue pour pénétre
maisons : dans les autres saisons celte instruction se fera sous les
yeux
du peuple assemblé en fête. Les élèves les mieu
ment des cils et une insensibilité parfaite et totale. En ouvrant ses
yeux
de force, le blanc en était seul visible, et je n
, pendant 10 minutes encore, et essayai de l’éveiller en frottant les
yeux
, soufflant dessus, y injectant de l’eau et en arr
ent commençant à se remuer; le spasme des paupières continuait et les
yeux
étaient toujours convulsés, la prunelle dirigée e
après il se mit à m’appeler par mon nom, me priant de lui ouvrir les
yeux
, ce à quoi je tâchai de complaire sans pouvoir y
uelque chose, il répondit que non. Au bout de G minutes il ouvrit les
yeux
pour la première fois, mais il était évident qu’i
ensemble avec de la glue ; pendant qu’il priait qu’on lui ouvrit les
yeux
il était insensible aux persévérantes piqûres que
il était tout à fait insensible, quoique tout le temps il frottât ses
yeux
pour les ouvrir, et, par moments, répondit correc
et d’agir, et faisaient la demande raisonnable qu’on leur ouvrit les
yeux
, quoiqu’ils fussent insensibles an déluge d’eau q
Deux fois il vit paraître, quoique fort bien éveillé, mais ayant les
yeux
fermés, une lueur qui la première fois lui sembla
vait encore pu convaincre malgré tout ce qui s’était passé sous leurs
yeux
, craignant peut-être de prolonger ce traitement,
ctionné, il m’a dit plusieurs fois : grâce à vous je n’ai pas fermé l’
œil
de toute la nuit, et cependant je me trouve ce ma
manière singulière d’honorer la Divinité, mais elle n’offense ni les
yeux
ni les oreilles; et loin d’être des fanatiques gr
ices, sorte de walse qui se fait pied 1111 et sur le talon droit, les
yeux
fermés et les bras ouverts. Rien n’est plus singu
in sur la tête, font des insufflations mystérieuses sur le front, les
yeux
ou les oreilles, touchent la partie souffrante, e
i vient la jet-tatura, ce geste des Italiens pour conjurer le mauvais
œil
, le destin contraire. Les émirs remettent .ensu
poux d'être unis. Ils préviennent enfin les tristes effets du mauvais
œil
en (t) Voyez Journal du Magnétisme, lomc iv, |i
id, qui ne peut se rendre compte de ce qu’il éprouve... Bientôt ses
yeux
demeurent immobiles, son regard devient fixe...
out entier et le plongent dans un complet extase. Soudain, levant les
yeux
au ciel, Griseldis semble s'écrier : « Séjour de
n lui ban tombe, sa ceinture se déroule, il ruisselle de sueur et ses
yeux
se troublent. Tournant sur lui-même, il se frappe
l’extase estai rivée. 11 s’arrête alors, regarde le patient dans les
yeux
, lui passe les bras au- tour du corps et sur la
be qui traite de cette matière, on obtient avec la jeune pousse, ou Y
œil
qui parait aux aisselles de la plante, avec la gr
journal français deNew-York, du 11 août 1847. « Nous avons sous les
yeux
un livre très-remarquable, publié l’année dernièr
e orateur est entré à ce sujet dans des détails qui prouvent qu’à ses
yeux
le magnétisme est une vérité démontrée, incontest
ssance, et dont l’influence, heureuse ou maligne, est écrite dans nos
yeux
, sur nos fronts, dans nos traits, dans les déliné
sur le messie, que nous passons, le narrateur con(inue : ».....Ses
yeux
, quelquefois voilés d’un peu d’humeur pendant q
elligence et à la parole; vous devez être poète: cela se lit dans vos
yeux
et dans la partie supérieure de votre figure; plu
ous les verrons tous décamper ainsi; même ceux qui avaient ouvert les
yeux
à la lumière. Grand enseignement pour nous, de la
male ont une parenté si évidente avec ceux du magnétisme animal que l’
œil
le moins exercé l’aperçoit de prime abord. Le man
as, et mon père, témoin de cette expérience, ne pouvait en croire ses
yeux
. Ce ne fut qu'un prélude; plusieurs fois je revin
n art. Voici pourquoi. Si les somnambules voyaient comme nous par l'
œil
, cet organe devrait être dans sa position normale
in d’être savant pour le comprendre. Eh bien! dans le somnambulisme l’
œil
est convulsé (ce dont on s'assure en soulevant la
eurs inhabiles, les placent comme dans la vue normale, au-devant le l’
œil
, qui présente à l’ouverture palpébrale sa sclérot
ment chez l’enfant, que nous voyons s’agiter et éprouver, quoique les
yeux
fussent toujours fermés, toutes les angoisses de
onde, le cordon qui le retenait à la mère; une chaîne invisible à nos
yeux
existe encore, et la vie continue de circuler de
t il faut plaindre l’aveuglement... M. J. Duval perdit l’usage de l’
œil
gauche, il y a vingt-cinq ans, par suite d’un cou
nte bleuâtre. M. Duval lui trouve, en effet, de la transparence, et l’
œil
a partiellement recouvré sa faculté, surtout du c
étisation. M. Poulet avait, depuis plus de trente ans, une laie à l’
œil
droit qui ne percevait presque plus. Magnétisée l
née, soit devenue à peine visible, et M. Poulet peut déjà lire de cet
œil
sans trop de gène. M'nt Landier, à la suite d’u
té, je me demandais si les maladies véritables, dont j’avais sous les
yeux
les analogues; ou bien encore, si certains états
tous les jours, la mère du petit malade me pria de faire un essai. L’
œil
était tenu fermé, et l’inflammation y était consi
le médecin, à qui on n’osa rien dire de ce que j’avais fait, trouva l’
œil
si bien, qu’il déclara n’y avoir plus nécessité p
rriblement d'une fluxion à la joue, et l’enflure y était telle, que l’
œil
en était fermé à demi et la bouche de côté. En mo
e : l'opportunité. Les védeltes du progrès doivent avoir toujours les
yeux
ouverts. Du reste, quoi qu’il arrive, et quoi q
escendais de cheval, durant que je tournais autour de lui, tenait ses
yeux
fixés sur moi, le nez toujours plongé sur l’herbe
ou trois fois avec force dans ses naseaux en tenant mes mains sur ses
yeux
, aussitôt il devenait, comme par miracle, un anim
ez quelques magnétisés et somnambules qui voient, sans le secours des
yeux
, et lisent un écrit malgré l’interposition d’un c
un écrit malgré l’interposition d’un carton ou corps opaque entre les
yeux
et le livre. On assure aussi que certains magnéti
e de 12 comme les couleurs, dont 7 seulement sont visibles pour notre
œil
subversif ; et leurs combinaisons fournissent, co
créatrice de la volonté humaine, 212. Ordre nouveau (l'). — Coup d’
œil
sur la situation magnétique, 364. P. chal (de
es tapi dans un coin de sa chambre ; son visage était sinistre et ses
yeux
étaient hagards; je l’accostai d’un bonjour, auqu
indre; après l’avoir magnétisé dix minutes environ, et voyant que ses
yeux
se rem-plissaientde larmes, je lui demandai comme
t de ce nouvel état de choses, rien n’étant plus dlfcourageant, à mes
yeux
, qu’une maladie stationnaire; je recommençai do
s, qu’ils ne conviennent pas même d’avoir lu certains écrits. A leurs
yeux
, convenir de ces lectures, avouer des conférences
même jongleur magnéti- sant son sujet, qui avait bien le faciès, l’
œil
fixe et vitreux des somnambules. » Dans une aut
tents ? Puisque l’exercice de la médecine est mis, par la loi, sous l’
œil
de la police et sous la surveillance du magistrat
rrière ; qu’il est bon qu’elle aille et qu’elle voie l’écu en main, l’
œil
ouvert. Le jury est dans nos mœurs, et la magistr
magnétisme animal, parvenu à une phase nouvelle, expose sous tous les
yeux
. Mais le magnétisme animal présente-t-il une ph
plus. Chacun peut raconter des faits, peut les garantir au nom de ses
yeux
, de sa critique et de sa véracité. Mais tout cela
uatre fois la partie d’un somnambule à qui j’avais moi-même bandé les
yeux
et qu’il ne s’est pas trompé sur une seule carte,
s. En effet, cesomnambulesi lucide, qui a su lire tant de lettres les
yeux
fermés, n’a su déchiffrer devant moi qu’un seul m
armi les hommes de génie, et que cette circonstance avait suffi à ses
yeux
pour en faire des docteurs de l’E-glise transfigu
ns maintenant M. Charpignon développer librement ses idées : Coup d'
œil
sun certaines doctmnbs médicales contemporaines.
agnet n’hésite point. L’univers est rempli d’un monde invisible à nos
yeux
charnels, mais très-appréciable à l’œil de l’espr
i d’un monde invisible à nos yeux charnels, mais très-appréciable à l’
œil
de l’esprit des voyants. Cette vie terrestre ne s
n rôle n'est point borné à régir son domaine terrestre, serait, à nos
yeux
, un bienfait sans pareil, car il changerait l'hum
férence, lit brave vos efforts... — Soit ! dit-il, essayons. Et ses
yeux
vers mes yeux dardent tous leurs rayons, Dans l
rave vos efforts... — Soit ! dit-il, essayons. Et ses yeux vers mes
yeux
dardent tous leurs rayons, Dans l'air, autour d
sez-moi ! grâce! grâce! Je retombe... un sommeil do plomb ferme mes
yeux
. Tenez : sans ironie accueillez mes aveux : I
sme une confiance illimitée. Le magnétisme ne peut donc être, à mes
yeux
, qu’un auxiliaire, puissant dans beaucoup de cas,
haute sagesse, tracées avec des larmes quelquefois bien amères. Aux
yeux
du médecin qui sait prendre pour maîtres la natur
on qui est créée pour mourir et par conséquent pour souffrir. A mes
yeux
, le médecin est un artiste qu’on peut assimiler a
ujours appropriés aux désordres; si le travail était alors jugé par l’
œil
de l’esprit, et les crises et changements prédits
onté, de ma liberté tant morale que physique, qu’ils voyaient par mes
yeux
, entendaient par mes oreilles, touchaient par mes
dée, ni contrariée de ces épreuves. 2° Vision malgré iocclusion des
yeux
. » L’émir voit, en souriant, qu’on prend la pei
» L’émir voit, en souriant, qu’on prend la peine de matelasser les
yeux
du sujet, de comprimer les tampons, et de lui env
as-» semblée, les cheveux hérissés, le visage pâle et trou-» blé, les
yeux
grands, ronds, fort ouverts, enflammés » et hideu
la source de ces paroles, je ne découvris personne ; levant alors mes
yeux
au plafond pour voir s’il n’existait pas quelque
x dire il les percevait par mes propressens. Ainsi, il voyait par mes
yeux
, entendait par mes oreilles, touchait par mes mai
préserver mes sens de toutes les impressions extérieures, je lins mes
yeux
clos, mes oreilles bouchées, etc., et éloignant d
l’embrasure de l'une des croisées, le dos tourné h la fenêtre et mes
yeux
dirigés vers le fond de la chambre d'où m’arrivai
dans la direction du courant habituel et à une petite distance de mes
yeux
un coussin de canapé recouvert en étoffe verte po
ue se déplaçait le regard du promeneur, et elles passaient devant mes
yeux
comme dans un tableau mouvant. Je les voyais de g
me que la partie basse de l’édifice qui disparaissait elle-même à mes
yeux
s’il passait outre ou bien s’il y entrait. Je doi
malade, par l’histoire succincle de l’affection dont j’avais sous les
yeux
le tableau hideux. • Ceitëenfant n'est pas morte,
e de mes forces, l’effet se produisit; la malade s’agita , ouvrit les
yeux
, la bouche, et dit : ma...man. Ces premières ar
e fut prévenue de mon arrivée dans la maison, par la malade, dont les
yeux
, refermés après mon départ, se rouvrirent à mon a
ie des mystères que les prêtres voilaient avec le plus grand soin aux
yeux
des profanes, et dont les hiéroglyphes étaient la
«Lame, dit Hippocratc (du Régime, liv. III), voit parfaitement les
yeux
fermés ce qu’éprouve le corps : Quæ corpus contin
« Tous les faits ( Vision médicale ) répétés journellement sous mes
yeux
pendant plusieurs mois, dit Bertrand (Traité du S
et je suis bien convaincu que la majeure partie des lecteurs sous les
yeux
desquels il passera, le prendra pour un conte de
es , quoique impalpables et immatérielles, produisent cependant à ses
yeux
l’effet de corps opaques, sans avoir toute la net
cheval, en lui faisant des signes avec la tête, et en fixant sur ses
yeux
les regards les plus doux; puis, passant la longe
u bridon, il flatta le cheval en le caressant sur le front et sur les
yeux
avec la main droite. Il fallut peu de temps pour
ous distinguons les caractères dimpies-sion d’un livre placé sous nos
yeux
. On objectera peut-être que la plupart des somn
nce de son âge, malheurensement trop avancé. Rien n’échappait à son
œil
observateur; ii était zélé et studieux, ne recula
iqué, et ce n’était pas sans une certaine émotion qu’elle suivait des
yeux
l’aiguille de sa montre, en attendant midi. Au mo
Au moment où elle indiqua cette heure fatale, madame 1'... lova les
yeux
. Qu'on juge de sa surprise, nous dirons presque d
que, et qu’ils le saigneraient jusqu’à la mort. Ils lui bandèrent les
yeux
, lièrent les membres, et le couchèrent sur une ta
tabli que la vision ne pouvant s’exercer sans instrument d’optique, l’
œil
est indispensable pour voir, ce qui est incontest
it chez elle, je lui posai sur l’épigastre, après lui avoir bandé les
yeux
pour bannir toute crainte de supercherie, une cui
ration chez une femme instruite, elle se mit de suite en prières, les
yeux
au ciel, mains jointes, exprimant une douceur de
appellent la jeUatura, et les Français l’ensorcellement ou le mauvais
œil
. Les cataleptiques étaient jadis des possédés,
r, par des expériences incontestables , qu’il n’est rien de caché à l’
œil
magnétique, et que cet œil peut dénoncer le crime
ntestables , qu’il n’est rien de caché à l’œil magnétique, et que cet
œil
peut dénoncer le crime et poursuivre le coupable,
é les germes! Nous jouirions aujourd’hui de la vraie lumière , el nos
yeux
ravis contempleraient les œuvres du Dieu de justi
plus longtemps elle m’eût placé au nombre de ses persécuteurs. A ses
yeux
, si je n’avouais pas, c’est que je savais ; un ho
t venu de Cuttack sur l’avis d’un de ses amis opéré à Hooghly. Il a l’
œil
vif et l’air bien portant, il a marché dix jours
t sont un peu plus faibles à gauche qu'à droite. - Rien du côté des
yeux
; pas de rétrécissement du champ visuel. ' At
cale, et les globes oculaires; il suffit de mettre la main sur les,
yeux
pour provoquer l'attaque. Dans la première atta
bé brusquement; sans pousser .de cri, à la suite de l'occlusion des
yeux
; son corps fait aussitôt un arc de cercle ; l'a
malade reste dans cette situation sans pousser le moindre cri, les
yeux
fermés, la figure sans aucune expression partic
- thésie n'est si profonde, et, d'un autre côté, si l'onjette lès
yeux
sur les ligures 1 et 2, on voit que cette anesthé
e malade n'est pas complète, avons-nous dit, mais si l'on jette les
yeux
sur les figures 3 et 4, on voit qu'au membre su
t son acuité visuelle, sa réfraction, son accommodation, son fond d'
oeil
, afin d'éliminer les cas dou- teux, et de reméd
é intervallaire, privation de sentiment, rotation de la tête et des
yeux
à gauche, langue déchiquetée; de tempsà autre,
tion totale de l'odorat et quasi complète du goût du côté droit ; l'
oeil
, du même côté, percevait encore les mouvements
me côté, percevait encore les mouvements de la main ; l'acuité de l'
oeil
gauche était égale aux trois quarts et il existai
ation directe du cerveau était indispensable; l'examen du fond de l'
oeil
peut rendre des services, cet examen avait été
nt qu'il n'y avait aucun changement dans les vaisseaux du fond de l'
oeil
. Ruger et Forster prouvèrent au contraire qu'à
la suite d'inhalation de l'amylnitrite. les vaisseaux du fond de l'
oeil
devenaient plus volumineux et l'on apercevait u
du cerveau soient toujours hyperémiés -en même temps que ceux de l'
oeil
. Les expériences sur le cerveau ont été faites
était plus marquée du côté de sa contrac- ture, la conjonctive de l'
oeil
gauche était plus irritée. -- Quant à la manièr
n'éprouvent aucun changement, sauf des mouches volantes devant les
yeux
; d'autres au contraire, perdent complètement co
ostérieure affecte des rapports intimes avec les nerfs moteurs de l'
oeil
et, en particulier, avec le moteur oculaire com
lement d'une débilité mentale congéniale. Intégrité des muscles des
yeux
. Aucun trouble électrique, excepté dans les mus
culations du genou, au pénis, sur le scrotum. Champ visuel des deux
yeux
remarquablement restreint pour le blanc et les
n de l'acuité auditive, sur- tout à droite ; intégrité du fond de l'
oeil
; photophobie et flammes devant les yeux. Sens
e ; intégrité du fond de l'oeil ; photophobie et flammes devant les
yeux
. Sens musculaire atteint, mais il est en- core
e de nettement se prononcer sur ce sujet. Intégrité des muscles des
yeux
. Affaiblissement très notable de la force des m
n'avait dé- truit que d'un côté la substance grise de la cavité : l'
oeil
corres- pondant au côté lésé présentait de l'in
ientes douleurs dans les deux rameaux sus- mentionnés (joue, front,
oeil
); puis, assez brusquement, la sécré- tion lacry
u- table à la syphilis, la malade ne pouvait plus pleurer qu'avec l'
oeil
gauche; mais, en dehors des émotions, l'oeil ga
plus pleurer qu'avec l'oeil gauche; mais, en dehors des émotions, l'
oeil
gauche, sain demeu- rait invariablement sec, al
ns, l'oeil gauche, sain demeu- rait invariablement sec, alors que l'
oeil
droit était en permanence lubréfié par les larm
t de la polyopie monoculaire; par l'absence de lésions du fond de l'
oeil
. Cette amblyopie n'est pas absolument propre à
affection. (Fig. 5) La tête est grosse et ronde; la face large; les
yeux
sont très écartés; le nez à sa naissance est pl
utanée paraît normale dans ses différents modes. Organes des sens. -
Yeux
normaux; pupilles régulières, iris jaune brun f
es, iris jaune brun foncé et contractile; Gr... dit voir mieux de l'
oeil
gauche que de l'oeil droit. En ell'et, on remar
oncé et contractile; Gr... dit voir mieux de l'oeil gauche que de l'
oeil
droit. En ell'et, on remarque, sur la cornée de c
il aurait eu, à une époque qu'il ne peut préciser, une maladie de l'
oeil
pour laquelle il serait resté dix-huit mois à l
upérieures très bouffies diminuant considérablement l'ouverture des
yeux
, sans trace d'oedème, mais rappelant les gonfle
état. Les paupières gauches sont plus bouffies qu'à droite, aussi l'
oeil
droit est-il plus ouvert. A la lèvre supérieure,
la pression. Dans le flanc droit existe un point très douloureux.
Yeux
. Le malade ne distingue pas les objets de l'oeil
t très douloureux. Yeux. Le malade ne distingue pas les objets de l'
oeil
gau- che ; il voit seulement s'il est dans l'ob
dans l'obscurité ou à la lumière; mais il voit mieux avec les deux
yeux
qu'avec l'oeil droit seul. A droite il y a un r
té ou à la lumière; mais il voit mieux avec les deux yeux qu'avec l'
oeil
droit seul. A droite il y a un rétrécissement d
malade se rappelle seulement qu'il lui était difficile de fermer l'
oeil
gauche. La sensibilité était complètement aboli
au- che. La sensibilité gustalive semble diminuée à droite. Les
yeux
paraissent normaux des deux côtés. Le malade n'
centuées dans la partie lombaire. La première chose qui saute aux
yeux
à l'examen des préparats microscopiques, c'est
mis donc aussitôt en devoir d'endormir la malade parla fixation des
yeux
, et j'y réussis au bout de vingt minutes environ;
dégénérative, l'ataxie des membres supérieurs quand on obstrue les
yeux
du patient. Enfin il attribue à des mouvements
u- tile ou impossible, notamment quand le malade est ataxique les
yeux
ouverts, la cause de l'ataxie doit être cherchée
upérieure de la moelle cervicale, des noyaux des nerfs moteurs de l'
oeil
, du bulbe. Il existe une diminution de volume m
paralysie d'un ou de plusieurs des muscles droits ou obliques de l'
oeil
; ces symptômes, fréquents dans la série envisag
tteintes d'une ataxie locomo- trice à laquelle il succomba sous ses
yeux
, il éprouve tous les symptômes subjectifs de la
atient se sert de ce qui lui reste du grand oblique et, parsuite, l'
oeil
tourne REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 233 auto
VEUSE. 233 autour de son axe du côté de la tempe; les axes des deux
yeux
divergent légèrement quand ils demeurent tranqu
commodation, ni modifica- tions pupillaires, ni lésion du fond de l'
oeil
, acuité visuelle mo- dérée (astigmatisme) Intég
a blépharoptose. P. K. XXXIII. Un cas DE paralysie DES MUSCLES DE L'
OEIL
A la suite DE diphthérite DE la gorge; par W. I
dégénérative, ayant englobé, au début, quelques nerfs moteurs de l'
oeil
(diplopie de trois mois) et attei- gnant actuel
té excessifs, la diplopie (insuffisance congénitale des muscles des
yeux
), la tuméfaction inlermitlanle des mains 1 Voy.
as de l'existence dela para- lysie du muscle droit externe d'un des
yeux
, de concert avec la paralysie du muscle droit i
ux, de concert avec la paralysie du muscle droit interne de l'autre
oeil
sans que l'ocumoloteur commun,dont dépend le dr
droit, para- lysie du droit externe; parésie du droit interne de l'
oeil
gauche. Double névrorétinite. L'autopsie révèle
la para- lysie des muscles soumis à l'oculomoteur commun des deux
yeux
excepté de l'élévateur de la paupière supérieure,
pupilles ne réagissentplus, on note de la dévia- tion conjuguée des
yeux
à gauche et en haut. Simultanément, aphasie amn
s (quel- ques idées de persécution concomitantes), on a eu sous les
yeux
, depuis janvier 1883 jusqu'au 27 août 1881, un
s c'etait le tour de sa tête : il lui était impossible d'ouvrir les
yeux
, elle était prise d'une lassitude effrayante, se
corps semble ceint d'une sangle, elle ne peut parler et n'ouvre les
yeux
qu'avec peine, et tout en entendant ce qui se p
instruction, si im- 262 FAITS DIVERS. portante qu'elle soit à nos
yeux
, ne primera jamais les qualités morales sans le
borowsky ; le résultat reste le même. L'examen de l'oreille et de l'
oeil
donne des résultats négatifs. On n'observe pas
. Le 27 décembre, il éprouve une vive douleur dans la région de l'
oeil
droit, on observe même la ptosis qui dure près d'
indiquée par M. Parinaud, était nettement prononcée; en fermant un
oeil
, de l'autre le malade voyait chaque objet répél
a tête, mais il ne res- sent pas de mal à la piqûre; la vision de l'
oeil
gauche est plus faible que celle du droit; le c
erveux, qu'on répéta, donna les résultats suivants : la vision de l'
oeil
gauche est de -îü-; celle du droit est très faibl
ouvel examen du système nerveux fait constater : la vision des deux
yeux
est de 20/40; la sensation des couleurs n'est p
nt QUELQUES CAS D'HYS1`ERIE DANS LES TROUPES RUSSES. 283 que, les
yeux
fermés, il ne trouve plus son nez, ni son autre
il marche facilement , sans aucun symptôme d'ataxie, aussi bien les
yeux
ouverts que fermés. Le champ p visuel est beauc
éci; le goût est aboli. Il existe une anesthésie des muqueuses de l'
oeil
, du nez, de la bouche et du pharynx. On constat
et mince, un crayon, par exemple, éloigné à 8 ou 1 centimètres d'un
oeil
, l'autre étant fermé, lui parait de la grosseur
8 janvier, il ne reste plus qu'une insensibilité des muqueuses de l'
oeil
et du pharynx, qui disparait le lendemain. Le 23,
9 janvier. L'achromatopsie ne s'observe que quand il regarde d'un
oeil
; des deux yeux ouverts ensemble il distingue par
chromatopsie ne s'observe que quand il regarde d'un oeil ; des deux
yeux
ouverts ensemble il distingue parfai- tement le
n, le malade présentait le tableau suivant : sans connaissance, les
yeux
fermés; les pupilles dilatées; de temps en temp
es dilatées; de temps en temps, apparaît un spasme des muscles de l'
oeil
, ce qui fait que les globes oculaires prennent
Le 15 et le 16, il se trouve en état de stupeur, il est couché, les
yeux
fixés sur un point; ne demande rien, ne se plaint
pouls, le malade dirige ses regards dessus et ne la quitte plus des
yeux
, il se retourne même dans son lit, se soulève,
'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 285 la sensation des couleurs; l'
oeil
droit voit en vert des fils rouges, bleus et no
leurs; l'oeil droit voit en vert des fils rouges, bleus et noirs, l'
oeil
gauche les voit jaunes. Les deux yeux ouverts d
s rouges, bleus et noirs, l'oeil gauche les voit jaunes. Les deux
yeux
ouverts distinguent bien les couleurs. Macropie,
, comme chez le sujet n° 10. Abolition du goût; les muqueuses des
yeux
, du nez, de la bouche et du pharynx sont anes-
pté une seule amélioration, qu'il marche tout àfaitfacile- ment les
yeux
ouverts et fermés. Il peut même courir. Je ne m
ement, quelques heures avant l'accès, le malade devient abattu, les
yeux
ternes; on constate des anesthésies prodromique
e se couche, tombe en état de stupeur, 288 CLINIQUE NERVEUSE. les
yeux
ouverts, fixés sur un point, et ne répond pas s
nt glabre; les sourcils sont à peine marqués et les cils rares; les
yeux
restent constamment à demi fermés et les paupiè
; la peau desquame par place ; les paupières restent gonflées, les
yeux
larmoyants. L'érysipèle a quitté la face pour d
Mort à 10 heures 35 du soir. Avant de mourir, le Pacha a ouvert les
yeux
tout grands et a poussé plusieurs soupirs. T. R.
oucher plus dur que d'habi- tude, sans qu'on puisse y constater à l'
oeil
nu de lésions de néphrite interstitielle (épais
en forme de boule ; les paupières sont tuméfiées, immo- biles, les
yeux
à peine ouverts, chassieux, le regard est triste,
joues; les paupières inférieures étaient enflées; le nez large, les
yeux
proéminents et bien formés. La glande thyroïde
he est généralement ouverte, le nez est épaissi et élargi entre les
yeux
, les narines dilatées, les oreilles grandes et pl
pression, bouffie, terreuse ; le front est ridé, le nez aplati, les
yeux
très écartés l'un de l'autre; les paupières, volu
e; les paupières, volumineuses et plissées, tendent à maintenir les
yeux
à demi-fermés. La bouche, largement fendue, off
il sourit, des plis extraordinaires viennent creuser le visage, les
yeux
se ferment, les paupières s'allongent, les lèvr
tteints que de lésions structurales, ne se décelant quelquefois à l'
oeil
nu que par des nuances délicates de coloration,
ont bien déve- loppés, contrairement à ceux du mollet. Le fond de l'
oeil
est nor- mal. Mentalement, c'était une enfant l
s que rapporter succinctement les faits qui se sont passés sous nos
yeux
. OBSERVATION. - Tentative de suicide par pendai
août. - Le cou est toujours gonflé, les lèvres sont violacées, les
yeux
saillants; le tirage n'est point dimi- nué et i
dait sur le côté droit de la face et faisait tourner la tête et les
yeux
vers la droite. » En somme, les différentes par
ce se contractait et le malade perdait connaissance. La main et les
yeux
étaient tournés à gauche et le membre inférieur
a gorge et quelquefois une toux spasmodique. La tête et souvent les
yeux
étaient tournés vers la droite; le bras droit é
traîne le rétrécissement du champ visuel de la seconde moitié de l'
oeil
primitivement fatigué, jamais elle n'empiète sur
ine. Cependant il peut arriver que la fatigue des deux moitiés d'un
oeil
n'engendre le rétrécissement du champ visuel qu
endre le rétrécissement du champ visuel que sur la moitié du second
oeil
. Parfois aussi des examens périmétriques réitér
explication et quelques exemples. Qu'on veuille bien jeter les
yeux
. sur la figure 11, qui représente le nerf, l'ar
our ne plus revenir. Il y a un mois, sa vue a baissé surtout dans l'
oeil
droit ; des dou-' leurs névralgiques se sont mo
oite le tic tac n'est pas entendu au delà de trois centimètres. L'
oeil
est franchement tabétique. Myosis bilatéral. Sign
ci toute espèce de difficulté; il s'agit d'amblyopie ta- bétique, d'
oeil
tabétique au grand complet : myosis bilatéral,
111. Parinaud, qui a fait à diverses reprises l'examen du fond de l'
oeil
chez Lem... est catégo- rique sur l'existence,
ce tabes à début ocu- laire semble rester isolé et se cantonner aux
yeux
. Cet arrêt du tabes qui débute par les yeux est
olé et se cantonner aux yeux. Cet arrêt du tabes qui débute par les
yeux
est la règle, dans l'espèce. Le fait a été sign
poussé à l'extrême; le malade est incapable de se tenir debout, les
yeux
ouverts, sans osciller et sans menacer de tombe
cidents. L'analyse du mois d'avril 1890 que nous avons eue sous les
yeux
et deux examens pratiqués à la Salpêtrière en s
s réagissent à la lumière. Absence de dents. La station debout, les
yeux
fermés, est très incertaine. Incoordination mo-
sentait naguère un beau spécimen que j'ai fait replacer sous vos
yeux
. Vous voyez que chez ce malade, le nommé Gaub..
ne- TOUX ET BRUITS LARYNGÉS CHEZ LES HYSTÉRIQUES, ETC. 83 ments d'
yeux
, des grimaces qui ont fait place aux tics spasm
pattes, soit le saut, soit la marcue à cloche-pied. L'occlusion des
yeux
ne modifie pas ces phénomènes. Jusqu'ici le syn
très forte et sa nutrition générale paraît parfaite. Déjà un coup d'
oeil
superficiel suffit pour constater combien son vis
auche de la face et une diminution considérable des mouvements de l'
oeil
gauche. P. K. III. Hémiplégie basale; par E. RE
étrécissement concentrique du champ visuel et des couleurs des deux
yeux
, mais surtout à gauche. 1 A l'état de veille, l
ntes sont bonnes à méditer. 1. Les cas dans lesquels le fond de l'
oeil
est resté normal jusqu'à la mort sont très rare
té, les troubles de la sensibilité, les paralysies des muscles de l'
oeil
, la démence sarcas- tique avec propos triviaux,
côtés. Diplopie REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 99 monoculaire de l'
oeil
droit. Amblyopie, surtout à droite. Traitement
en : cinq à six semaines plus tard, kératite neuro-paralytique de l'
oeil
droit, anesthésie des trois branches de trijume
sie des trois branches de trijumeau de ce côté, dé- viation du même
oeil
en dedans, contracture secondaire en dedans de
ation du même oeil en dedans, contracture secondaire en dedans de l'
oeil
gauche. C'est tout. Une tante maternelle est atte
xie des muscles de la physio- nomie champ limité des mouvements des
yeux
, en haut, en haut et en dehors, en haut et en d
des membres du côté droit, déviation conjuguée de la tête et des
yeux
du côté sain. La lésion était située à la partie
on si difficile de para- lysies et des contractures des muscles des
yeux
dans l'hystérie. L'ouvrage se termine par un ex
r la lumière (signe de A. Robertson). Pas de lésions du fond de l'
oeil
. Pas de diplopie. Pas de nystagmus ; 5° Des fou
o-diabétique. Pour ce qui concerne les paralysies des muscles des
yeux
d'origine- diabétique, Althaus dit : « Actuel-
lésions peu profondes des noyaux bulbaires des nerfs moteurs de l'
oeil
, car, ajoutent-ils, elles ont un caractère généra
française de J. Morin, 1885. Galezowsky. Traité des maladies des
yeux
, 1875. 186 PATHOLOGIE NERVEUSE. déclare que l
nière maladies, en ce que l'atrophie commence toujours dans un seul
oeil
, et dans le cours ultérieur de la maladie, un o
urs dans un seul oeil, et dans le cours ultérieur de la maladie, un
oeil
est toujours plus affecté, excepté lorsque le m
orrbagies rétiniennes et peut-être l'atrophie du nerf optique. Or l'
oeil
tabé- tique se présente avec des lésions toutes
n'était pas dans son état normal. Elle avait un mouvement dans les
yeux
. Elle se sentait faible sur ses jambes. Ils ach
variable de son regard. Quand on lui fait fixer quel- que chose ses
yeux
ne divergent pas, ils peuvent même converger da
quand elle regarde devant elle sans fixer son attention, on voit l'
oeil
droit entraîné en dehors. L'acuité visuelle de ce
, on voit l'oeil droit entraîné en dehors. L'acuité visuelle de cet
oeil
droit est moindre que celle de l'oeil gauche. C
ors. L'acuité visuelle de cet oeil droit est moindre que celle de l'
oeil
gauche. Ces troubles de la vision parais- sent
pensée. En somme, pour résumer cette longue observation qui à nos
yeux
représente un type de mélancolie, Mél. Paq. sembl
certificats on lui ait attribué des hallucinations de l'ouïe. Aux
yeux
de son entourage elle passe aussi pour avoir eu d
un peu dilatées, pas toujours égales, réagissant bien. Le fond de l'
oeil
est d'un rose sale. L'ouïe, le goût, l'odorat s
mille, et aux approches de la menstruation, attaque de sommeil. Les
yeux
sont her- métiquemant feimés, les paupières sup
rs un regard dépourvu d'expression ; on cesse la compres- sion, les
yeux
se referment. Quelques heures plus tard, elle pou
t du côté gauche. Intégrité du champ visuel et des fonc- tions de l'
oeil
. Le bras droit est dénué de vigueur; le malade ac
pupilles, des douleurs lancinantes dans les extrémités, la tête, l'
oeil
gauche. Les éléments du tabès dorsal apparurent a
esthésies. Finalement hémiatrophie faciale gauche, enfoncement de l'
oeil
gauche, affais- sement et pigmentation anormale
e réveillant, sans prodromes, s'aperçoit qu'elle n'y voit plus de l'
oeil
gauche. Le jour même on l'examine a l'ophthalmo
laque d'un Touge cerise. La perception lumineuse a disparu dans cet
oeil
; tou- 252 SOCIÉTÉS savantes. tefois sur une p
démontra la vérité des faits pathologiques qu'ils avaient sous les
yeux
. Con- vaincu que la démonstration scientifique
signe de souffrance; l'expression de sa physionomie est calme, les
yeux
sont fermés avec un léger mouvement vibratoire
ée de ce sommeil léthargique, cette jeune fille porte la main à ses
yeux
, se frotte les paupières, fait un grand et prof
se frotte les paupières, fait un grand et profond soupir, ouvre les
yeux
, sourit à ses parents qui l'entourent, et deman
re comme la veille. Après quoi, elle se réveille en se frottant les
yeux
, sans souvenir de sa crise, et en manifestant l
, la jeune fille fait plusieurs grandes inspirations, se frotte les
yeux
comme d'habitude; on crut qu'elle allait s'évei
nt, disant qu'on lui fait mal. Les paupières sont fermées, et les
yeux
convulsés en dedans, ce qui semble lui être dou
itôt elle descend de son lit, se vêtit à la légère, et toujours les
yeux
fermés, se dirige vers la porte pour sortir. Ses
it son lit avec méthode, bien qu'elle ait les paupières closes, les
yeux
con- vulsés ; elle étendait légèrement ses main
eil léthargique, et à 3 heures, se réveille après s'être frotté les
yeux
, ignorant tout. Le reste de la journée se passe
nt parallèlement avec elle. Aujourd'hui 1872, nous avons sous les
yeux
un fait de même nature, dans lequel l'accès de
longées se rencontreraient sous un angle de 120 degrés environ. Les
yeux
, très saillants, sont comme pédiculés. Le cercl
hologique. L'étendue de l'es- pace qui est visible d'un seul coup d'
oeil
, pendant que l'oeil est immobile, est rétrécie,
de l'es- pace qui est visible d'un seul coup d'oeil, pendant que l'
oeil
est immobile, est rétrécie, c'est-à-dire que le
amaurotique a une lunette d'anesthésie sur la face. Elle a perdu l'
oeil
, non pas seulement dans le sens physiolo- gique
e et font de perpétuels efforts pour remuer dans tous les sens leur
oeil
dont le champ visuel est rétréci. Ces efforts e
uffrances et des troubles dans les mouvements des paupières et de l'
oeil
. Est-ce que les hystériques ont des souffrances
e je vais d'ailleurs vous présenter tout à l'heure. Elle a aux deux
yeux
un rétrécissement énorme, le champ visuel à droit
considérable du champ visuel, une achromatopsie complète des deux
yeux
, enfin tous les symptômes classiques. Dans ma n
nt la précaution de détourner la tête de la malade et de cacher les
yeux
par un écran : les contractions se produisirent
ions, coups de pied, etc., et brusquement la malade se dressait les
yeux
ouverts. Elle regardait fixement les rideaux de
dernièrement, elle tombait brusquement dès qu'on lui fer- mait les
yeux
. Or, j'ai souvent pris la précaution de lui ferme
ait les yeux. Or, j'ai souvent pris la précaution de lui fermer les
yeux
avant de placer les bras et la crise n'en commenç
imètre, comme pour lui mesurer le champ visuel, je lui fis fermer l'
oeil
droit et fixer avec l'autre oeil le point central
champ visuel, je lui fis fermer l'oeil droit et fixer avec l'autre
oeil
le point central. Il s'attendait à voir avancer
résentent souvent, quand on les examine, une amaurose complète d'un
oeil
. Mais cette perte d'un oeil semble les gêner si
les examine, une amaurose complète d'un oeil. Mais cette perte d'un
oeil
semble les gêner si peu, comme d'ailleurs L'ANE
u de miroirs, le sujet qui regarde dans la boîte en tenant les deux
yeux
ouverts voit à sa droite un objet, un pain à ca
cacheter rouge par exemple, qui est vu en réalité uniquement par l'
oeil
gauche et il voit à sa gauche un pain à cachete
it à sa gauche un pain à cacheter blanc qui est vu uniquement par l'
oeil
droit. Supposons un simulateur non prévenu prét
Supposons un simulateur non prévenu prétendant n'y pas voir de l'
oeil
gauche, il dira qu'il ne voit pas le point qui lu
aît à droite; or justement ce point rouge ne peut être vu que par l'
oeil
gauche. Eh bien, montrons cette boîte à une hys
he. Eh bien, montrons cette boîte à une hystérique amaurotique de l'
oeil
gauche, elle va tomber dans l'erreur des simula
it pas les autres couleurs, mais si on faisait tourner devant ses
yeux
une roue de Newton sur laquelle étaient peintes l
une certaine manière ; un grand nombre de recherches prouvent que l'
oeil
en apparence aveugle voit parfaitement en réali
jeune fille de l'hôpital du Havre semblait absolument aveugle de l'
oeil
gauche; elle prétendait être dans l'obscurité a
lle prétendait être dans l'obscurité absolue quand on lui fermait l'
oeil
droit. Un jour,j'étais placé à sa droite et je
ux, que le sujet garde le souvenir d'un objet uniquement montré à l'
oeil
gauche pen- dant que l'oeil droit était fermé '
uvenir d'un objet uniquement montré à l'oeil gauche pen- dant que l'
oeil
droit était fermé ' , mais nous aurons à vous p
s seulement que les malades amaurotiques continuent à, voir de leur
oeil
aveugle ; cela est bizarre, mais certain. Mais
nution très marquée du goût et de l'odorat, et une amaurose de l'
oeil
gauche. Je vérifie soigneusement et sévèrement de
urciller. Et vous voyez ce singulier spectacle, quoiqu'elle ait les
yeux
soigneusement cachés par un écran, elle ne se t
te et « non» p quand je pince la main gauche. Elle est aveugle de l'
oeil
gauche et se plaint de se trouver dans l'obscur
t se plaint de se trouver dans l'obscurité absolue quand je ferme l'
oeil
droit : je la fais regarder dans la boîte de Fiée
n pain à cacheter rouge. Vous savez qu'il ne peut être vu que par l'
oeil
gauche. Voici maintenant une autre jeune fille,
spèces, qui sont quelquefois suivies d'une cécité complète des deux
yeux
heureusement passagère. Elle est hémianesthésiq
cissement du champ visuel intéressant. Il est le même pour les deux
yeux
et il est certainement inférieurà 10°, nous dis
e que vous connaissez bien. Eh bien ! je la place au périmètre, l'
oeil
droit fermé et l'oeil gauche fixé sur le point ce
z bien. Eh bien ! je la place au périmètre, l'oeil droit fermé et l'
oeil
gauche fixé sur le point central, j'avance lent
accommodation sont intacts, comme vous pouvez le -voir, même pour l'
oeil
amaurotique d'Isabelle et cependant ces réflexe
xpérience d'une autre manière : Voici Isabelle qui est aveugle de l'
oeil
gauche. Je lui fais une suggestion du même genr
leur bleue, tu enten- dras sonner des cloches. » Fermons-lui bien l'
oeil
droit et mon- trons à son oeil gauche, aveugle,
er des cloches. » Fermons-lui bien l'oeil droit et mon- trons à son
oeil
gauche, aveugle, des laines de couleur. Aux pre
ches ! » Regardez, c'est que je lui ai mis une laine bleue devant l'
oeil
aveugle. Cette expérience pourrait être répétée
t en relief chez eux la persistance de la sensation visuelle dans l'
oeil
amaurotique quand les deux yeux sont ouverts, o
nce de la sensation visuelle dans l'oeil amaurotique quand les deux
yeux
sont ouverts, on ne réussit pas aussi bien à le
ont ouverts, on ne réussit pas aussi bien à le manifester quand l'
oeil
sain est fermé. Ce sont pour moi des malades frus
onvulsifs une albuminurie moyenne. Le 16 septembre, elle a sous nos
yeux
un accès incomplet. Elle tombe brusquement en
rnativement et lentement non con- tracturées. Pendant ce temps, les
yeux
sont mi-clos; les pupilles, dilatées, sont conv
dre indéterminé, au hasard en quelque sorte. Il suffit de jeter les
yeux
sur les cahiers tenus dans les services spéciau
de liquide séreux roussâtre. L'hémisphère droit n'offrait, à vue d'
oeil
, guère plus de la moitié du volume de l'hémisph
hallucination peut survenir et disparaître quand le patient ferme l'
oeil
, l'oreille, qu'il existe des hallucinations uni
à la pression. Elle repousse la voûte de l'orbite droite en bas; l'
oeil
de ce côté parait plus enfoncé d'un centimètre
connaissance. Mais en même temps, on peut établir qu'on a sous les
yeux
un individu irritable, un jouisseur qui, par se
trop longtemps attendue et qui, du reste, ne vous grandit pas à nos
yeux
. Ce que nous apprécions le plus en elle, aujour
s que l'occasion s'en offrira, nous continuerons à placer, sous les
yeux
des préfets, des documents officiels instructifs.
heures, j'entendis ma porte s'entre-bâiller doucement. J'ouvris les
yeux
. Deux hommes entraient : un grand et un petit.
notre époque des personnes qui ne regardent la Photographie que d'un
œil
indifférent, qui tiennent en une sorte de suspici
r l'observation directe. Il est même des hypothèses dans lesquelles l'
œil
lui-même ne saurait percevoir les mouvements par
s photochro-nographiques on suppléera facilement à l'impuissance de l'
œil
dans ce cas particulier et l'on obtiendra des doc
faire à grande échelle la tête ou quelques parties de celle-ci : les
yeux
, la bouche, le nez ou les oreilles. La grande dim
puisque les deux centres des images devraient être à la distance des
yeux
, c'est-à-dire à om,07 environ. Néanmoins, M. Boye
le même temps. S'il y a une différence de sensibilité elle saute aux
yeux
immédiatement et aucun doute à cet égard n'est po
nche). i,i5 1,09 0,94 Pied........................ 2,20 r,65 1,22
Œil
......................... 3,36 Langue...........
ttent seuls de saisir des modifications rapides qui échappent à notre
œil
. Ces études de grand intérêt non seulement pour
t trois plans principaux, l'un passant devant le nez, l'autre par les
yeux
et le dernier par les oreilles, il est évident qu
ré la tête comme constituée par trois plans : celui du nez, celui des
yeux
et celui des oreilles. Or on sait que l'objectif
ifférentes. Si la mise au point est faite sur le plan passant par les
yeux
, les oreilles paraîtront plus petites et le nez p
et le nez plus fort. Si elle est effectuée sur le plan antérieur, les
yeux
et les oreilles seront reproduits à plus petite é
s oreilles seront reproduits à plus petite échelle; au contraire, les
yeux
et le nez paraîtront plus forts si l'on met au po
e faire ces rapprochements si l'on n'a pas les divers sujets sous les
yeux
en même temps. Au contraire, les épreuves photogr
state que toute la partie du visage située en dessous de la ligne des
yeux
, se fait remarquer par une placidité et une impas
de ce bas de figure impassible, donne, avec l'aspect particulier des
yeux
fixes et immobiles, un masque étrange et saisissa
es réductions ne sauraient être employées pour le nez, la bouche, les
yeux
ou les oreilles. Pour obtenir des épreuves d'une
dit, nous rapprocher beaucoup du modèle. Dans certains même, pour les
yeux
par exemple, il pourra être nécessaire d'avoir un
rches originales à faire, surtout en ce qui concerne l'oreille. Les
yeux
seront reproduits avec succès lorsqu'il s'agira d
et 22). Le spasme est localisé à une moitié de la face. Il envahit l'
œil
qui se trouve clos en partie ou complètement, ain
t certain que l'objectif photographique peut révéler des choses que l'
œil
le plus exercé ne saurait percevoir. Que l'on tra
te de quinine et l'on obtiendra une image très satisfaisante, quand l'
œil
ne pouvait rien discerner. La reproduction des vi
su normal, elles peuvent être révélées par la plaque avant même que l'
œil
puisse percevoir ces différences. H y a donc de c
phase du mouvement, phase qui peut même ne pas être perçue par notre
œil
à cause de sa rapidité. Nous obtiendrons évidemme
tte épreuve unique puisse nous donner l'impression perçue par notre
œil
. Celui-ci voit, en effet, une série non interromp
voiture passe devant nous à grande allure : dans ces conditions notre
œil
n'aperçoit pas les rayons des roues, mais il a la
rence qu'il y a entre les séries d'images reçues successivement par l'
œil
et l'épreuve unique obtenue photographi-quement.
s'exécutent avec très grande rapidité et par cela même échappent à l'
œil
qui voit une succession d'images, mais n'est pas
vement observé, phase qui n'est peut-être pas d'ailleurs perçue par l'
œil
, qu'arrivera-t-il si nous employons une vitesse d
attitude quelconque? Fig. 27. qui peut être non perçue par notre
œil
(Jîg. 27,1), mais nous serons incapables de dire
pressions de physionomie et ceci en interposant simplement devant les
yeux
des verres différemment colorés ou en leur faisan
es attitudes obtenues dans ces circonstances et nous mettons sous les
yeux
du lecteur quelques-unes de ces épreuves. Sous l'
e cligne les paupières et met ses mains en abat-jour au-dessus de ses
yeux
, comme pour se protéger d'une lumière trop vive.
nir (Pl. VII, fig. 2). Un verre bleu étant interposé, elle lève les
yeux
au ciel(P/. VII, fig. 3), joint les mains en l'ai
t et se bouche le nez entre le pouce et l'index met la main sur ses
yeux
, comme quelqu'un qui pleure ou qui prie (Pl. VU,
ccessives. En effet, certains de ces mouvements sont si rapides que l'
œil
ne peut en faire qu'une analyse absolument imparf
le verre dépoli. Au moyen d'une bonnette à laquelle on place les deux
yeux
, on peut examiner cette image sans l'emploi du vo
ttitude ne seront pas moins utiles à recueillir. cise. Le fond de l'
œil
lui-même est étudié au moyen de l'ophtal-moscope
ont été le plus étudiés jusqu'à présent il faut citer le larynx et l'
œil
. Nous allons donner un aperçu des travaux qui ont
à examiner, ils se trouvent aisément. La photographie du fond de l'
œil
a fait également l'objet de nombreuses recherch
nous devrions ajouter la couleur rouge antiphotogénique du fond de l'
œil
. Grâce à l'intensité de l'éclair magnésique, ce
s grande prudence. Les premiers essais de photographie du fond de l'
œil
furent entrepris en i865 par Rosebrugh, qui fit c
. L'appareil, au moyen de prismes, permettait d'examiner le fond de l'
œil
et de le photographier en même temps. A ce point
ki au Congrès d'Heidelberg en 1887. Galezowski place alors devant l'
œil
une cuve remplie d'eau ayant en avant et sur le c
antérieure d'une lame de verre à faces parallèles est fixée devant l'
œil
. Elle est maintenue par des caoutchoucs enserrant
nt l'œil. Elle est maintenue par des caoutchoucs enserrant la tête. L'
œil
est au préalable alropinisé et cocaïne, le menton
éalable alropinisé et cocaïne, le menton placé sur un support fixe. L'
œil
est dirigé de façon à regarder une bougie placée
La source d'éclairage artificiel est placée à gauche et séparée de l'
œil
par un écran que l'on enlève au moment de l'opéra
ngue parfaitement la papille et les différents vaisseaux du fond de l'
œil
. C'est là un véritable progrès sur ce qui a été
irecte de la lumière, il est certain que la photographie du fond de l'
œil
entrera dans la pratique et permettra aux oculist
e la Photographie est prise avant qu'il ait eu le temps de fermer les
yeux
, ce qui arrive fatalement lorsqu'une lumière inte
t suffisamment rapide, elle sera reproduite dans son état naturel les
yeux
ouverts, sinon elle pourra être plus ou moins flo
des colorations variées. Certaines couleurs, très intenses pour notre
œil
, n'ont qu'une action très faible sur la couche se
les, si nous osons nous exprimer ainsi, pour la plaque que pour notre
œil
. Il s'ensuit que les effets peuvent se trouver co
plaque photographique des résultats absolument contraires à ce que l'
œil
percevait. Donnons un exemple : On colore fréquem
lequel ils se détachent en rose ou en rouge plus ou moins intenses. L'
œil
perçoit l'impression d'un objet foncé se détachan
essus du menton. Il est évident que de telles pièces mises sous les
yeux
des jurés et des magistrats doivent leur enlever
nouveaux frémissements ou mouvements convulsifs de tout le corps. Les
yeux
toujours fermés, il élève les bras en portant le
r son mouvement d’élévation) ; alors seulement il ouvre largement les
yeux
, et, cessant de parler, se livre le plus souvent
toute l’étendne de cette pièce, où je ne vois âme qui vive. Mais mes
yeux
s’étant involontairement portés sur la susdite co
éguillettes, drapeaux ; faire diverses illusions par fascinations des
yeux
, s’aidant semblablement de cartes et autres chose
. Elle s’v tenait tout d’une pièce: le visage vermeil et rebondi, les
yeux
grandement ouverts et fixes, la pupille dilatée,
t agitée, ses nuits ont été mauvaises. Je l’endors immédiatement. Ses
yeux
se convulsent, mais je ne retrouve plus sa lucidi
eau, pour annihiler la lucidité. Ce fait a une portée immense a nos
yeux
, il renverse d'un seul coup loute la doctrine spi
espas aperçu qu’au moment où la jeune malade fermait spontanément les
yeux
, comme vous le dites vous-même, ei.le tom-hait en
ce qu’il l’examine, comme toujours, à l’aide du prisme qui couvre ses
yeux
. Analysons les laits. Le prince Dimitri s’est
ions, de réfuter nos arguments et d’enlever le bandeau qui couvre nos
yeux
, s’il est vrai que c’est n,ous qui avons mal obse
st debout, la lyre à la main, la tète couronnée du laurier sacré, les
yeux
tournés vers l’Orient et il chante. 11 chante les
e regarde plus que le ciel; il pleure, il prie, et Eurydice ouvre les
yeux
.... Malheureux! ne la regarde pas, chante encore,
lle.... 11 la presse dans ses bras et il la trouve encore glacée, ses
yeux
se sont refermés, ses lèvres sont plus pâles et p
onstipation permanente. Après avoir maigri en quelque sorte à vue d’
œil
, cette personne éprouvait des douleurs aiguës et
rsque cette'personne me fut présentée, sa maigreur était extrême, ses
yeux
brillants, et parfois humides; le visage n’était
ions se régularisaient, le visage reprenait son aspect ordinaire, les
yeux
étaient moins brillants, moins humides, la gaieté
moment où elle me parlait, l’empêchait pai sa violence d’ouvrir les
yeux
. Après un quart d’heure de magnétisation, elle se
e du spiritualisme. A pareil jour, à pareille fête, en 1858, sous les
yeux
du même président, j’ai retracé l’exposé de ce sy
s élance au dehors... et, dans quelques minutes , vous avez sous les
yeux
mille poitrines palpitantes, mille bras dévoués!.
ée de leurs sens, myopes obstiné qui répudient les horizons que leurs
yeux
sont incapables d'apercevoir. « Non, nous ne so
ce céleste royaume Où le désespoir trouve un baume, J'envoyais mes
yeux
et mon cœur. J'écoutais l'insecte dans l’herbe,
oûtes éternelles, Nous effleurer avec vos ailes ; Paraissez à nos
yeux
épris ! XI Arrêtez un peu votre course Au sei
lent convaincre des hommes de leur existence, et ils lui bouchent les
yeux
! Vraiment ils sont petits d’intelligence s’ils c
iste a modernisé son dessin. Ses figures, vues de profil, offrent les
yeux
comme ils doivent paraître, tandis que, tradition
tandis que, traditionnellement, l’artiste égyptien plaçait toujours l’
œil
vu de face, même dans les figures en profil. (l
médical cette affection étrange que les Romains nommaient le mauvais
œil
et qui est encore redouté à Naples sous le nom de
nt le souvenir des scènes douloureuses qui se sont passées sous leurs
yeux
. Il semble qu’un vertige général a frappé les sen
suivies d'un grand affaissement ; puis des convulsions du globe de l’
œil
succédèrent avec une \ iolence telle, que plusieu
me. Cet exemple, et quelques autres, sans doute, qu’il a eus sous les
yeux
, ont porté M. Cornet à se prononcer en faveur du
un compte de ce qui ne peut ni se peser, '•er, ni enfin de ce que les
yeux
n’aperçoivent point. . * électricité, la vapeur,
prêtres ou hiérophantes d’alors faisaient dans les temples, loin des
yeux
du vulgaire? ne croit-on pas aujourd’hui, et ne p
ivants, et se pratiquent ournellement dans nos contrées et devant nos
yeux
. Par conséquent, quelques numéros de nos livraiso
e les autres peuples, croient (sans aucun examen pourtant) au mauvais
œil
, c’est ce qu’ils appellent simplement (nazar), mo
société. Le nazar des Turcs n’est pas seulement un simple effet des
yeux
, la passion, la jalousie, l’envie, l’amour même p
usement de magnétisme. On croit communément que ce sont seulement les
yeux
bleusou verdâtres qui concentrent une puissance f
dent point la vertu d’accumuler ainsi le fluide électrique. Donc, les
yeux
bleus peuvent, d’après la solution scientifique e
antés par les Scaldes du Septentrion peignent leurs héroïnes avec des
yeux
bleus. La Vénus Aphrodite d’Homère a les yeux ble
leurs héroïnes avec des yeux bleus. La Vénus Aphrodite d’Homère a les
yeux
bleus. (2) Je ferai remarquer ici que parmi les
ce, sous le nom de chromalomagnélisme. (3) A propos du nazar et des
yeux
bleus je citerai un fait étrange : Il existe, à
tion, dit que Ven ante, roi d’Arménie (S5 ans après J. C.), avait fes
yeux
si pleins de feu, que chaque matin ses pages avai
pages avaient l'habitude d’exposer des morceaux de roches devant ses
yeux
, et ces roches se brisaient en mille morceaux. Mo
son regard. Nous pouvons conclure enfin que la tradition du mauvais
œil
est non-seulement aussi vieille que le monde, mai
si grand que l’iris, et celle tache provenait de la force occulte des
yeux
de cet homme... L’horloger assure les avoir polis
mme... L’horloger assure les avoir polis lui-même plusieurs fois. Les
yeux
de cet homme, dit-il, étaient d'une couleur verl-
ent, quelque mélange métallique qui, recevant le fluide provenant des
yeux
«le cet homme, se décomposait et formait au centr
rtent dans leurs habits, comme préservatif efficace contre le mauvais
œil
. Je demande maintenant pourquoi ce brimborion a-t
, ronde et plate, ayant au milieu un iris représentant tout entier un
œil
bleu ; ci aussi nous voyons que les Orientaux opp
ntier un œil bleu ; ci aussi nous voyons que les Orientaux opposent l’
œil
bleu contre l’œil bleu. Voilà encore un reflet du
; ci aussi nous voyons que les Orientaux opposent l’œil bleu contre l’
œil
bleu. Voilà encore un reflet du principe d’Hahnem
cette translucidité que présente une main qui serait placée entre nos
yeux
et la flamme d’une bougie. Toute émotion calmée
-seulement de l’existence de i'od qu’il venait de voir de ses propres
yeux
, mais aussi de l’influence que cet agent exerce s
ité de son éclat du moins, semble s’être réfugiée dans la trompe. Des
yeux
du sanglier, jaillissent de brillantes étincelles
lumière odique s’échappe avec impétuosité de leur corps, et de leurs
yeux
en jets resplendissants ou en étincelles brillant
mbes et, s’il approche d’un mur, un spectre noir se dresse devant scs
yeux
! Étonné et cherchant la cause de cette apparitio
son ou de son savoir en présence de tels phénomènes, légitimera à ses
yeux
sa croyance à une intervention surnaturelle vers
laulre la contrée où nous nous trouvions. Cependant je lui bandai les
yeux
, el la prenant par la main, je la conduisis dehor
ères; il y aura toujours des milliers de rêveurs qui détourneront les
yeux
des tristes réalités de la vie, pour les reporter
crée tous les jours, je puis bien en faire autant, sans passer à vos
yeux
pour un hérétique). De môme que du choc de deux
nez-vous pas, cher Confrère, que les écailles qui sont tombées de vos
yeux
n’aient été remplacées par d’autres plus épaisses
nifestations concluantes, ne peuvent acquérir une valeur réelle à mes
yeux
que du jour où elles se passeront constamment de
s’est considérablement renforcé depuis que j'ai vu, ■de mes propres
yeux
vu, ce qui s’appelle vu, et suivi dans toutes ses
er que dans toutes les apparitions, les esprits se mollirent avec des
yeux
comme nous. « Mon père possédait en Bretagne la
ins qui ne seront pas suffisamment concluantes, me passeront sous les
yeux
, je me ferai un devoir de les combattre, d’après
par son nom, en dépit de toute raison, a voulu faire tomber sous mes
yeux
en place de tout autre. Mais qu’il n’aille pas cr
lles se livraient les infortunés qu’il avait continuellement sous les
yeux
influaient sur son cerveau de telle façon que ses
gémissements qu’ils firemt entendre, la mère accourut et suivit d'un
œil
inquiet les pas du ravisseur; et, voyant qu'il se
au collet, il le renverse à ses pieds et s'efforce de lui crever les
yeux
, en lui meurtrissant le visage avec une coupe d’o
dans sa préoccupation, il cherchait à s’emplir la poitrine d’air, les
yeux
de lumière, et les mains, qu’il ouvrait et fermai
de son crâne sombre deux regards fixes, droits et inflexibles sur les
yeux
verts du naja, qui achevait ses rotations homicid
rbillon harmonieux qui lui plaisait; c est alors qu’il rencontra deux
yeux
plus étranges et plus infernaux que les siens, ce
t que la morsure était faite, que tout était fini, car la tête et les
yeux
de l’animal exécré de l’homme depuis le premier j
le dernier d’une agonie affreuse. Des larmes de sang jaillirent des
yeux
de Nadir-Zeb, qui allait tenter d’arracher, n’imp
La nuit suivante, dans son sommeil, elle crut voir passer devant ses
yeux
un jeune homme en habit de voyage, avec un large
pinion de ceux qui nous ont devancés, ne prouve absolument rien à mes
yeux
. » On pourrait pourtant lui citer le proverbe :
aradis, affectée depuis l’âge de quatre ans, d’une horrible maladie d’
yeux
qui avait fait sortir les lobes de la cavité orbi
es que la nature semble indiquer par le travail qu'elle fait sous nos
yeux
. Je laisserai de côté tout le langage médical,
aud, toujours dans son rêve, dit que, sous « le prisme qui couvre mes
yeux
, »je prêche le surnaturalisme (lisez le contre-na
i ! «La tête de la voyante se recule d’un mouvement convulsif ; ses
yeux
sont fixes; elle contemple avec une immobilité d’
r : il était à peu de distance, les bras accoudés sur ses genoux, les
yeux
dans une projection fixe en face du guéridon. (
, chez tous les peuples, même à leur origine, quoique défigurée à nos
yeux
, il est vrai, par des mythes, des symboles, ou pa
le calorique, et l’homme malade, qui sent sa défaillance, jetant les
yeux
sur celui qui se porte bien, envie sa force et in
e ; cependant, notre devoir d’historien nous oblige à mettre sous les
yeux
des lecteurs quelques extraits des correspondance
concours de la science officielle, il espère par ses cures ouvrir les
yeux
au public en guérissant des malades. Voici en q
un qui l’autre, et tenant chacun le « bout de sa gaule appuyé sur ses
yeux
, dans l’oreille, aux « reins, contre la poitrine,
espectueuse du 29 mars remercié la reine « d’avoir daigné arrêter ses
yeux
sur lui » et lui avoir exposé les motifs qui le f
bien I Il est maint spécifique Entendez-moi bien. Enfin deux beaux
yeux
sont l'aimant Qui m'attire invinciblement; Ce p
s assuraient qu’il pouvait également montrer, à l’aide du miroir, aux
yeux
d’un enfant, la personne sur laquelle on voulait
lus sévère retraite, on devient en état de voir, soit par ses propres
yeux
, soit par ceux d’une vierge ou d’un enfant, appar
cédés réellement magiques. L’enfant à double vue du premier, qui, les
yeux
bandés, devine les plus plus petits objets à une
celui de M. Terceral, est inégale ; mais cette inégalité échappe à l’
œil
, en sorte que le rayon de courbure delà partie co
ront commentés. A mesure que ces phénomènes se dérouleront sous nos
yeux
, on verra apparaître toute une science ; on décou
es). 169. Maladie grave de l'utérus, 260. — du foie, 226. — des
yeux
, 558. Maux de tête, 259. Névralgie faciale, 1
yant la pro-priété de conjurer l'influence du regard bleu, ou mauvais
œil
, Théo- rie à ce sujet, par M. Constant, 401.
es physiciens, les kabalistes et les philosophes, 457. Mauvais (le)
œil
, ou nazar. Croyance orientale à une influence fas
influence fascina-trice et attractive du regard, particulièrement des
yeux
bleus. Renseignements par M. Constant, 398. Mer
11 ; — biologique, 21. Prophylactiques contre le nazar, ou mauvais
œil
, dans le Levant; renseignements par M. Constant ,
rne le contact des sensitifs avec divers corps, etc., 379. — Coup d'
œil
sur le même sujet, par M. d'Arbaud, 179. Sensat
sance médicale. Faits et ré-flexious, 9, 165. Influence de certains
yeux
sur les verres de lunettes, 599. Influence du m
rites dans son état lucide, 374. Nazar (le), ou croyance au mauvais
œil
dans l’Asie Mineure, 308. Nécrologie. Mort du m
topsie. Ilency (1874) signale l'impossibilité de fermer isolément l'
oeil
du côté paralysé, symptôme que Simoneau (1877)
l'hémiplégie de cause centrale, les malades peuvent fermer les deux
yeux
, l'occlusion simultanée des deux yeux se fait t
lades peuvent fermer les deux yeux, l'occlusion simultanée des deux
yeux
se fait toujours; mais les malades sont incapab
ux se fait toujours; mais les malades sont incapables de fermer l'
oeil
du côté malade tout seul, tandis qu'ils peuvent e
du côté malade tout seul, tandis qu'ils peuvent en général fermer l'
oeil
sain isolément. Dans tous nos cas nous avons tr
ire des paupières : chez certains malades la fente palpébrable de l'
oeil
du côté paralysé est plus grande; chez d'autres
NIQUE NERVEUSE. fermeture synergique volontaire et réflexe des deux
yeux
, le muscle orbiculaire de la partie paralysée s
Enfin sur les 25 malades examinés, 22 fois la fermeture isolée de l'
oeil
du côté malade était impossible. Ce pourcentage
en direct seront ainsi mises en lumière. La fermeture isolée d'un
oeil
est parfois impossible chez des individus sains
avaient été soldats, si jadis ils pouvaient isolément fermer chaque
oeil
. Nous n'avons utilisé que les cas où les rensei-
ppréciables. Le malade tenant les L'ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 7
yeux
fermés et résistant, on cherche à relever la paup
nt et se baissent également bien ; le malade ferme isolément chaque
oeil
. Le seul fait à noter est que la fente palpébra
ien les sourcils des deux côtés, et ferme isolément l'un et l'autre
oeil
. Observation III. C... M..., soixante-huit ans.
ilement d'un côté que de l'autre. Le malade peut fermer isolément l'
oeil
gauche, mais pas l'oeil dioit. Il ne peut aussi
l'autre. Le malade peut fermer isolément l'oeil gauche, mais pas l'
oeil
dioit. Il ne peut aussi l'ouvrir isolément. O
gauche qu'a droite. La malade peut fermer isolément l'un et l'autre
oeil
, mais elle le fait plus facilement et plus comp
plus facilement et plus complètement pour i'oeit gauche que pour l'
oeil
droit. L'oeil droit est un peu plus ouvert que le
nt et plus complètement pour i'oeit gauche que pour l'oeil droit. L'
oeil
droit est un peu plus ouvert que le gauche. Obs
s égales des deux côtés. La malade ferme facilement et avec force l'
oeil
gauche, mais elle ne peut pas fermer complèteme
ec force l'oeil gauche, mais elle ne peut pas fermer complètement l'
oeil
droit : Il persiste malgré ses efforts une légè
t symétriques des deux côtés. Le malade ne peut. fermer isolément l'
oeil
droit, mais cela n'a aucune valeur car le malad
La ma- lade ferme isolément l'aeil droit et ne peut le faire pour l'
oeil
gauche. Elle peut ouvrir isolément l'un et l'au
aire pour l'oeil gauche. Elle peut ouvrir isolément l'un et l'autre
oeil
, mais avec plus de difficulté et plus lentement
l'autre oeil, mais avec plus de difficulté et plus lentement pour l'
oeil
gauche. Observation XIII.' B..., veuve S..., so
ade n'a jamais pu, même avant son attaque de paralysie, fermer un
oeil
isolément. Observation XIV. - 111..., veuve H..
lus étendu que celui du sourcil gauche. La malade ferme isolément l'
oeil
droit mais pas l'oeil gauche : elle affirme, d'
u sourcil gauche. La malade ferme isolément l'oeil droit mais pas l'
oeil
gauche : elle affirme, d'ailleurs, que jamais ell
Son champ d'excursion est donc limité. Le malade ferme isolément l'
oeil
gauche et ne peut le faire du côté droit; il ne
'oeil gauche et ne peut le faire du côté droit; il ne peut ouvrir l'
oeil
droit isolément. Observation XVIII. G..., soixa
gauche se baisse et se lève moins vite que le droit. Aucun des deux
yeux
ne peut se fermer isolément. 12 CLINIQUE NE
t aussi plus étendu. Le malade ne peut fermer ni ouvrir isolément l'
oeil
gauche, ce qu'il fait faci- lement à droite.
moins vite que l'autre. Le malade ne ferme isolément aucun des deux
yeux
; il ne pouvait d'ailleurs le faire avant sa para
ssifs la même résistance. Le malade ferme isolément l'un et l'autre
oeil
. Observation 1XIII. D... Jean-François, quarant
malade, même avant la paralysie, n'a jamais pu fermer isolément un
oeil
. Observation XXV. G... François, soixante-cinq
semble égale des deux côtés. N'a jamais pu fermer isolément un seul
oeil
. Observation XXVI. N... Jeanne, quarante-six an
tre, il se meut par sac- cades. La malade ne peutfermer isolément l'
oeil
droit, tandis qu'elle ferme bien l'oeil gauche.
e ne peutfermer isolément l'oeil droit, tandis qu'elle ferme bien l'
oeil
gauche. Ede peut, bien qu'avec peine et moins f
moins résistant que le droit. Le malade ne peut fermer isolément l'
oeil
gauche, ce qu'il faisait bien avant son hémiplé
ccades. Cet homme n'a jamais pu, même avant sa paralysie, fermer un
oeil
iso lément. Observation 1\IY. R..., femme Il.
SUPÉRIEUR. ' 15 immobilisé. La malade ne peut fermer isolément ni l'
oeil
droit ni l'oeil gauche. Observation XXX. A...
immobilisé. La malade ne peut fermer isolément ni l'oeil droit ni l'
oeil
gauche. Observation XXX. A... Louis, soixante-h
e à gauche qu'à droite. Le malade ferme isolé- ment l'un et l'autre
oeil
. Pas de troubles de motilité ni de sensibilité
e du facial supérieur est la fermeture et l'ouverture isolée d'un
oeil
, et encore beaucoup d'individus ne peuvent-ils ex
déformation des traits inférieurs de la face. Elle ne saute pas aux
yeux
, il faut la mettre en lumière. Voici comment le
moins résistants (Legendre). La perte de l'occlusion isolée de l'
oeil
, du côté sain, ne nous a pas paru aussi fréquen
sont les individus qui normalement ne peuvent fermer isolément un
oeil
. 11 faut donc s'enquérir avec soin auprès du mala
lade pour savoir si jadis, avant sa paralysie, il pouvait fermer un
oeil
iso- lément. Il ne faudra tenir compte que des
éfaut de ces renseignements, même quand le malade ferme à-volonté l'
oeil
du côté sain, et ne peut en faire autant du côt
avons vu des individus nor- maux qui pouvaient fermer isolément un
oeil
et pas l'autre. Il y a donc là une cause d'erre
tains cas, quand le malade a perdu la faculté de fermer isolément l'
oeil
du côté paralysé, alors qu'il le faisait jadis,
ysie du facial supérieur. Si le malade ne peut fermer isolément l'
oeil
du côté para- lysé, il est aussi incapable de l
ncapable de l'ouvrir isolément. On fait fer- mer au malade les deux
yeux
; si on lui commande d'ouvrir isolément l'oeil
r au malade les deux yeux ; si on lui commande d'ouvrir isolément l'
oeil
du côté sain, il le fait facilement; du côté pa
inférieur et entraînaient la rotation conjuguée de la tête et des
yeux
. L'autopsie montre un kyste appoplectique s'éten-
il y a là un paradoxe. Dans la paralysie faciale périphé- rique, l'
oeil
du côté paralyse est largement ouvert et le mal
FAL SUPÉRIEUR. 23 apparent que réel. Quand on examine avec soin les
yeux
du malade, on se rend parfaitement compte que c
côté paralysé ; celui-ci a perdu en partie sa courbe normale, et l'
oeil
par suite de cet abaissement du sourcil, semble
ns l'impossibilité de fermer L'ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 25 ' l'
oeil
paralysé. Or, dans la paralysie faciale périphéri
mologue du côté paralysé pour tous les mouvements synergiques des
yeux
; mais celui du côté hémiplégie sera amoindri dans
ente est la coïncidence de la déviation conjuguée de la tête et des
yeux
. Exception- nellement même on a vu une paralysi
e et des yeux. Exception- nellement même on a vu une paralysie de l'
oeil
. La participation du moteur oculaire commun à l
ique, tout au moins chez certains indi- vidus qui peuvent, les deux
yeux
étant fermés, ouvrir isolé- ment chaque oeil. O
qui peuvent, les deux yeux étant fermés, ouvrir isolé- ment chaque
oeil
. On comprend donc pourquoi la parésie de la tro
nutieuse nous a révélé les particularités suivantes : Le tonus de l'
oeil
parait diminué, surtout dans les cas de mélanco
s dans la majorité des cas. L'examen ophthalmoscopique du fond de l'
oeil
nous montre une colo- ration gris-jaunâtre du c
éponse, quelque insistance que nous mettons à la questionner. Les
yeux
et le regard troubles, dirigés en bas. On note au
des heures entières immobile, la tête appuyée sur. la poitrine, les
yeux
fixés en bas. Elle garde un mutisme absolu, il
hose d'incompréhensible, gémit, soupire et est prête à pleurer; les
yeux
s'humectent. Elle paraît ne pas comprendre, ou
raidi, puis l'enfant s'est écrié : tjevais mourir » ; il ouvraitles
yeux
démesurément, se penchait en arrière et serait
eur le suit, sur le pont d'Austerlitz, colère violente, crie, a les
yeux
hagards, veut se jeter sous les roues des voiture
ien fait, sans déviation; les sourcils sont bruns, peu fournis; les
yeux
sont bien ouverts, très fendus, iris marron ; les
le corps, porte le tronc en avant ; la face est congestionnée, les
yeux
fixes et hagards, les lèvres entr'ouvertes, la
t étendu sur le gazon, les jambes allongées, les bras en croix, les
yeux
grands ouverts, fixes ; au bout de cinq mi- nut
rtout a droite ; les dents sont serrées, les lèvres écar- tées, les
yeux
fixes et grands ouverts. Durée deux minutes. Rémi
s'exagérant pendant les mouvements et cessant pen- dant le sommeil.
Yeux
et pupilles indemnes. Sensibilités diverses R
paraît quand elle élait passée inaperçue, lorsqu'on fait fermer les
yeux
au malade, non seulement dans la station vertic
peut dans certaines limites le corriger, tandis que lorsqu'il a les
yeux
fermés et est atteint de grands troubles de la
'exagé- ration de la tension des muscles lui sert d'indicateur, les
yeux
fer- més, et lui fournit des renseignements cor
ntôt on observa encore une diminution de la motilité des globes des
yeux
. Depuis ce temps l'affection paralytique des mu
le front elle arrive à 7 mm. envi- ron. La motilité des bulbes des
yeux
est aussi très réduite ; le ma ` lade n'est cap
après une méthode inventée par lui-même. Premièrement, on a opéré l'
oeil
gauche du second malade, puis le même mil du pr
ue la contracture précoce, la déviation conjuguée de la tête et des
yeux
, le décubitus acutus, tous symptômes alarmants.
smes hystériques à forme de névralgie faciale où il faut souvent un
oeil
exercé pour faire la différence basée sur les p
e d'entrée par un serrurier. Un spectacle lamentable s'offrit aux
yeux
. Sur le plancher, la femme Mondane était étendue
vé. Etat psychique. L'aspect du malade est humble, les larmes aux
yeux
, si es émotif, il s'accuse d'avoir injurié Dieu e
médical, mais sans bonne volonté et sans résignation. Il reste les
yeux
fermés, ne veut pas répondre aux questions, ain
dation épileptoïde. La marche est difficile. Le malade marchant les
yeux
fermés, est pris d'oscillations (signe de Rombe
des couteaux pour le surveiller; il vit alors l'un d'eux faire de l'
oeil
à sa femme et lui demander s'il faut ou non le
ces phénomènes de quelques heures à une semaine après. Retrait de l'
oeil
dans 160 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. l'orbite.
inute; les membres postérieurs sont anesthésiés. L'animal ferme les
yeux
; ralentissement de la respiration avec arrêt mo
res, elle reste étendue sur l'abdomen, la tête sur le plancher, les
yeux
fermés. Elle demeure dans cet état comateux penda
be oculaire en haut et en dehors quand le malade voulait fermer les
yeux
, douleur de la région frontale, anesthésie RE
es survenues très longtemps, (vingt ans) après l'énucléa- tion de l'
oeil
opposé pour lésion accidentelle traumatique. Dans
ccasion 236 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de l'application d'un
oeil
artificiel du côté opposé sur un mognon nerveux
s symboles; l'âme ses mystères ; tous les voiles tombent devant ses
yeux
, il saura tout, sans avoir rien appris, il rail
ternativement d'un état et l'autre suivant qu'il ouvre ou ferme les
yeux
; c'est qu'aussi, et un degré plus marqué et sau
tration ne nous arrêtera pas longtemps, car la similitude saute aux
yeux
. Nous avons, comme le dit Chaslin dans son livr
ire cesser ou faire revenir le délire à volonté en leur ouvrant les
yeux
ou en les fermant. Un typhique entre autres, pl
le la nuit, revenait à lui le jour, mais à la condition d'avoir les
yeux
ouverts ; dès qu'il les fermait il s'assoupissa
t près de lui le regardaient avec des 302 ) PATHOLOGIE MENTALE.
yeux
étranges, qu'on le soupçonnait d'être la cause d'
es phonétiques et graphiques s'effectueraient comme suit : Ag est l'
oeil
; oE l'élément optique d'une conception objective;
K l'image phonétique correspondante ; Sch l'image graphique. Par 1
oeil
nous obtenons, au moyen de la voie a les éléments
dissociation des mouvements d'a- baissement de la paupière et de l'
oeil
. L'auteur se rallie à l'hypo- thèse du spasme d
oite. Aucune lésion des sphincters. Pas de lésions des muscles de l'
oeil
. Accès de rire forcé. 5° Artériosclérose généra
Types de criminels russes. M. ORciiANsKi, faisant passer sous les
yeux
de la société une collection de photographies de
comateux. La température est de 38° 5-380 7. Strabisme externe de l'
oeil
gauche, parésie faciale inférieure du même côté
se lever, à s'enfuir ; elle étend les bras en avant, se débat, les
yeux
fixes, l'aspect effrayé, comme en proie à une vis
... Mais vous ne les voyez donc pas, vous avez donc de la m..., aux
yeux
, sauf votre respect ? ... » Le Président de la
6 mai, dans un moment de calme, elle avoue qu'il lui semble que les
yeux
des personnes qui la regardent ne sont pas touj
e, S'édition. Vienne, 1897. a Mayser. 77aHMCtonsc/ie<' Wahnsinn.
oeil
, sur Psych. Bd. XLII, 1, 1885.) DÉGÉNÉRESCE
littérature neuropathologique et comme tel nous l'avons nommé. L'
OEIL
DES MÉLANCOLIQUES; Par le D' ALeX. ATOANASSIO,
aliénés. Nous savons l'importance clinique qu'offre l'examen de l'
oeil
chez les paralytiques généraux. [L'exploration de
xamen de l'oeil chez les paralytiques généraux. [L'exploration de l'
oeil
chez les mélancoliques, bien que ne nous présen
ste, abaissé, souvent la paupière supé- rieure ferme complètement l'
oeil
. Cet oeil, tout en ne lar- moyant que dans quel
sé, souvent la paupière supé- rieure ferme complètement l'oeil. Cet
oeil
, tout en ne lar- moyant que dans quelques rares
lar- moyant que dans quelques rares cas, offre bien l'aspect d'un
oeil
affecté et qui pleure. Les paupières sont parfo
t parfois rouges à leurs bords libres. Les mouvements du globe de l'
oeil
se font difficilement, surtout les mouvements d
Cette immobilité de la pupille n'existe pas si nous sous- trayons l'
oeil
à l'influence de la lumière en le cachant avec
ne façon insigni- fiante. Le champ du regard est modifié, ainsi l'
oeil
regarde fixe- ment d'une façon atone, dirigé su
avons vu, avec beaucoup de lenteur, le mouvement d'abaissement de l'
oeil
est prédomi- nant et permanent. Le sens des cou
côté de l'appareil de la vision, elle eut du strabisme interne de l'
oeil
gauche; donc, paralysie du droit externe. De plus
nférieurs, de l'af- faiblissement de la vision, atteignant les deux
yeux
, des troubles psychiques qui ne ressemblent en
néral de la Préfecture des Bouches-du-Rhône, dont le prestige à nos
yeux
est accru par ce fait qu'il appartient, de très
s ont bien voulu faire au Contres du Menu artistique placé sous vos
yeux
et qui représente fidèlement les traits d'Aubanel
re exagérés ou arrêtés complètement; 10° On note encore du côté des
yeux
quel- ques phénomènes vasomoteurs, à savoir une
à gauche ; parésie des membres droits supérieur et interne du même
oeil
; la pupille gauche est plus large que la droit
; les jours précédents il n'avait éprouvé aucun trouble du côté des
yeux
; il se sentait seulement très fatigué par ses
usquement. Un matin P... se réveilla voyant parfaite- ment des deux
yeux
. Une huitaine de jours plus tard, il s'aperçut
e l'hôpital St-Antoine, un jeune garçon hystérique amaurotique d'un
oeil
, il avait été examiné à, diverses reprises par
s bienveillantes des veilleurs ne tardent pas à les rassurer. Leurs
yeux
perçoivent nettement tous les objets qui les envi
té gauche, face comprise, une déviation conjuguée de la tête et des
yeux
. Le malade regarde sa lésion. Pupilles très res
face ; pupilles contractées, déviation conjuguée de la tête et des
yeux
à gauche. Il regarde sa lésion. Sensibilité abo
fois la fixation du regard, le strabisme convergent, la fatigue des
yeux
et la constriction du crâne. Alcoolisme. La S
ie-Hibbard, 145. de la lèpre, par Ashlneah, 222. Mélancoliques. L'
oeil
des , par Atl ! anasslo,35ï. Les-, par Atha-
bitude de la locomotion rapide; il a aussi besoin d'être soutenu, aux
yeux
mêmes de celui qui l'éprouve, par un certain déco
Certes, pour voir de beaux paysages, pour jouir de la nature par les
yeux
, il faut prendre son bâton de voyage et marcher à
ans le temps et dans l'espace. Quelques-uns. après avoir ouvert les
yeux
, disent, inquiets : « Où suis-je ? Je ne sais pas
ns continue à vivre son réve quelques secondes après avoir ouvert les
yeux
. Il faut que je lui parle pour qu'elle se rende c
mère est très nerveuse. II est né avec une cataracte congénitale de l'
œil
droit. A onze ans, il reçoit sur cet œil un coup
e cataracte congénitale de l'œil droit. A onze ans, il reçoit sur cet
œil
un coup de poing (1) Présentation de malade fai
racte. Une ophtalmie sympathique se déclare à gauche et l'on enlève l'
œil
de ce côté. A quinze ans, on le place en provin
alcool d'immunités singulières. Leur téte est solide ; ils parlent, l'
œil
brillant, la face rutilante, le verbe haut. Jamai
ue les malades considèrent comme de nature à les rendre ridicules aux
yeux
du monde. Et, en ce cas, ce que redoutera surtout
ne façon beaucoup plus précise; en effet, ils se développent sous nos
yeux
; nous pouvons en saisir la contexture, les compli
nes environ, sans raison apparente, je m'aperçus que je louchais de l'
œil
droit, chose qui eût certainement été très passag
'eus craint de voir persister ce strabisme, cause de fatigue pour mes
yeux
. Cette crainte devint une obsession ; plus j'y pe
is été persuadé qu'il n'y avait là dedans aucun inconvénient pour mes
yeux
, je suis convaincu que, négligeant ce défaut sans
Veuillez en effet considérer les tableaux que je fais passer sous vos
yeux
, et dont je donne en même temps le commentaire.
à Sentis par les évêques de Sens et de Reims, il finit par avoir les
yeux
crevés par ordre de son père, et fut enfermé dans
ns ses haines comme dans ses affections, elle creva avec un bâton les
yeux
de son confesseur Etienne, condamné au (eu comme
Institut psychothérapique dont j'ai l'honneur de vous mettre sous les
yeux
quelques vues photographiques. Je saisis l'occa
vous voir un objet au loin, vous concentrez toutes vos forces sur les
yeux
. Pendant ce temps l'ouïe, le tact, etc.. diminuen
ct, etc.. diminuent considérablement, un amateur de musique ferme les
yeux
, donc supprime un sens, pendant une audition. Les
rrive chez moi dans un état très inquiétant. Je lui dis de fermer les
yeux
et elle s'endort instantanément et depuis cinq an
ération, comme aussi les inconvénients de certains faits mis sous les
yeux
et portés à la . connaissance de la foule. On a v
inet la veille de la cérémonie religieuse; il a les traits tirés, les
yeux
brillants, l'air inquiet, et, sans autre préambul
ronger ses ongles; sa mine est meilleure, ses traits moins tirés, ses
yeux
moins creux, moins cernés semblent indiquer qu'il
arler gravement à cet enfant, (non moins étonné et qui, attentif, les
yeux
grands ouverts, m'écoutait bouche bée), à lui dir
endant plusieurs minutes sans faire un mouvement et sans détacher ses
yeux
de cette ligne blanche. La Revue de l'Hypnotism
fixe et se dandine devant lui, lui fait des passes lentes devant les
yeux
et. quand il l'a ainsi suffisamment hypnotisé, il
ion en soulevant doucement ses ailes comme une colombe amoureuse, ses
yeux
roulaient et perdaient leur éclat, elle s'aff
ujet en état d'hypnose, il n'est pas toujours besoin de lui fixer les
yeux
, ce qui serait, sinon impossible, mais très diffi
re de procédés qui lui réussissaient en dehors de la fixation des
yeux
, et qui lui réussissaient justement chez des suje
raisonnablement et qu'un homme muet qui agit raisonnablement sous nos
yeux
sont conscients et nous disons de même qu'un chat
ec une corde, puis de la placer sur une table et de tracer devant ses
yeux
une ligne droite avec de la craie. La poule fixe
devant ses yeux une ligne droite avec de la craie. La poule fixe les
yeux
sur cette ligne et reste immobile, même si on la
rs oiseaux s'endormaient facilement dès qu'on avait approché de leurs
yeux
un objet quelconque : les doigts de l'expérimenta
ement facilité par l'objet « fascina-teur » qu'on approchait de leurs
yeux
. La découverte de cette circonstance favorisant l
neuro-physiologie. La fascination que produit un objet rapproché des
yeux
des oiseaux, conclut Czermak, est une preuve cert
avril 1898, l'enfant s'était réveillé un matin sans pouvoir ouvrir l'
œil
. Des lotions à l'acide borique continuées penda
atre mois consécutifs lui firent, dit la mère, le pins grand bien ! L'
oeil
se rouvrit en effet progressivement au mois d'aoû
cas compliqué d'amaurose, un examen plus approfondi s'imposait. : L'
œil
droit (sain) ne présente aucune lésion externe ni
présente une forme rectangulaire inclinée à 30° environ. : Quant à l'
œil
gauche (amaurotique) son aspect extérieur semble
ieur semble normal. Cependant la pupille est paresseuse. Le fond de l'
œil
est absolument normal; il n'existe aucune altérat
té externe, par contre il s'est éloigné du côté interne, et en bas. L'
œil
gauche est toujours amaurotique. A partir de ce
partir de ce jour, je commence la suggestion à l'état de veille sur l'
œil
droit (sain) de façon à amener une amélioration v
augmenté sensiblement. Par contre, l'acuité a baissé jusqu'à 0,4. L'
œil
gauche, dont je ne m'occupe pas, est toujours dan
L'acuité est remontée à 0,6. Je commence alors la suggestion sur l'
œil
gauche. J'ordonne un collyre à la cocaïne et j'
s et lui feront voir clair. Je fais instiller les gouttes dans chaque
œil
, « pour augmenter la vision de l'œil droit et ram
nstiller les gouttes dans chaque œil, « pour augmenter la vision de l'
œil
droit et ramener la vue du côté gauche ». Quatr
jours après, le 25 juin, l'enfant m"est ramené. Le champ visuel de l'
œil
droit est sensiblement normal. L'acuité est éga
iblement normal. L'acuité est également augmentée VOD = 0,8. De l'
œil
gauche je note VOG = 0,15 et le champ visuel est
te VOG = 0,15 et le champ visuel est identique à celui présenté par l'
œil
droit le 12 juin. Trois jours après, le 28 juin,
isuels sont les suivants : et l'acuité est devenue normale pour l'
œil
droit VOD = 1, et a monté de 0,15 à 0,6 pour l'œi
nue normale pour l'œil droit VOD = 1, et a monté de 0,15 à 0,6 pour l'
œil
gauche. Enfin, le 2 juillet, les deux champs vi
marquer l'association à ce double état de l'amblyo-pie partielle de l'
œil
droit. Enfin dans l'état même de ces troubles,
une amaurose unilatérale hystérique compliquée d'amblyopie de l'autre
œil
. Dans de tels cas, la suggestion à l'état de ve
ne fillette âgée de 10 ans, qui présentait une amaurose complète de l'
œil
droit datant déjà de quinze jours environ. Réac
lution de cocaïne ramenèrent en vingt-quatre heures l'acuité à 1 de l'
œil
amaurotique et le champ visuel normal. Nous avo
nous n'hésitons pas à le récuser, cet homme a vu le doigt... avec les
yeux
de la foi ! Une seule personne nous parait avoi
es jours, peuvent venir en ootre, ou s'en servir pour se neftoyer les
yeux
. b) Dans la nef gauche de l'église, il y a un b
t une eau où fut plongé le Saint-Doigt (Dour Bis). On s'en frotte les
yeux
ou le visage ; ou bien on la fait couler sur la p
e le voir, la spécialité du Doigt, c'estl'OpHTHALMOLOGiE (Maladie des
Yeux
). terrestre, Labiée bien connue de la famille d
ces faits et l'expression bien connue : Se mettre le « doigt » dans l'
œil
! Toutefois, nous croyons pouvoir risquer l'hyp
(2J, acquerrait, par ce seul fait, la propriété de guérir les maux d'
yeux
(Tradition fort ancienne : Médecine préhistorique
que que le doigt est vénéré spécialement pour toutes les maladies des
yeux
. 2e En 1506, la Reine Anne, « incommodée d'une
a Reine Anne, « incommodée d'une déflexion qui lui était tombée sur l'
œil
gauche », alla en pèlerinage à Saint-Jean. — On l
aint-Jean. — On lui montra « à nud » le doigt et a l'appliqua sur son
œil
». — La Reine partit sans doute guérie. On attr
ins de soixante ans, est d'apparence imposante. Il a la voix forte, l'
œil
pénétrant et, bien qu'il affecte le maintien grav
ec les nerfs optiques sectionnés, ainsi que chez les oiseaux dont les
yeux
ont été bandés avant l'expérience. Heubel comba
du regard, car elle craint de s'endormir et ouvre continuellement les
yeux
. Le lendemain je résous de lui faire respirer que
out) amènent la catalepsie suggestive et l'impossibilité d'ouvrir les
yeux
. En endormant à l'aide du chloroforme, j'obtiens
propos, en toute posture, à toute heure. Au soleil, s'il s'abrite les
yeux
avec la main et vient à s'endormir, sa main reste
rvient une troisième période stertoreuse. Le malade est immobile, les
yeux
fermés, il respire profondément et ronfle; chaque
années, avec ou sans périodes de réveil. Tantôt, le dormeur ouvre les
yeux
, dit quelques paroles, fait quelques gestes, puis
lieu douze heures après le décès. Une statistique que j'ai sous les
yeux
rapporte, pour une durée de 13 années, 94 cas de
carcération, etc. Quand ces faux dormeurs sont seuls, ils ouvrent les
yeux
à la dérobée, ou bien mangent,, boivent et évacue
mmeil calme et tranquille ; couché dans le décubitus dorsal, il a les
yeux
fermés, la respiration régulière, la température
nt de la peine à se retourner. Mais leur respiration énergique, leurs
yeux
mobiles, leurs pupilles dilatées prouvent qu'elle
nt toujours été largement ouvertes pendant le sommeil hypnotique. Les
yeux
sont écar-quillés, fortement saillants hors des o
resque rondes (sauf une petite encoche dans la partie inférieure de l'
œil
. Or, dès qu'on endort une grenouille et qu'on obs
re de l'œil. Or, dès qu'on endort une grenouille et qu'on observe ses
yeux
à la loupe, on voit que ses pupilles se rétréciss
forme d'une fente allongée dans le sens horizontal. L'immobilité des
yeux
largement ouverts et le rétrécissement considérab
insi on peut exécuter avec les mains toute sorte de gestes devant les
yeux
largement ouverts de l'animal, sans qu'il fas
Très docilement, il se prête à mes exigences. Il reste immobile, les
yeux
fermés, pendant une demi-heure, trois quarts d'he
it mieux que le tableau superficiel et capricieux que déroulent à nos
yeux
les événements de la vie quotidienne. L'art peut
remet dans le vase avec de l'eau, elles se tiennent tranquilles, les
yeux
retirés dans les orbites, les paupières closes. O
vait su comprendre son modèle, il avait su rendre l'expression de ses
yeux
tournés vers la pensée intérieure, la beauté du v
aquit à Favières, petit village de Meurthe-et-Moselle. Tandis que ses
yeux
d'enfants s'ouvraient à la vie, les appareils à b
ult et de son œuvre, nous sauront gré d'avoir fait revivre sous leurs
yeux
le souvenir de l'homme dont les travaux les ont i
c'est une anesthésie segmenlaire, en manchette. Quand la malade a les
yeux
fermés, elle n'a pas la notion de la position de
s les rangs et de l'audace et de la jactance de ces petits hommes aux
yeux
obliques. La supériorité que lui donne l'art du
artout dans la nature la beauté répandue à profusion, réjouissant les
yeux
et les oreilles, quoique cette beauté ne soit pas
i la leur rend attrayante et de ce qui lui donne de la valeur à leurs
yeux
; sans jouissances artistiques, elles se sentirai
rie de chiffres. Le numéro, d'ailleurs, n'a rien de saisissant pour l'
œil
, ni d'imprégnant pour la mémoire. Il faut un effo
plus le journal et parait indifférent aux questions d'actualité. Ses
yeux
expriment quelque vivacité d'esprit et lorsqu'on
aitement psychothérapique. On l'a vu, à plusieurs reprises, jeter les
yeux
sur un journal, ce qu'il n'avait pas fait depuis
liner devant lui, comme incapables de supporter la fascination de ses
yeux
. Pour Stanley, ce fut là une manifestation d'hypn
; celle-ci doit donc valoir assez pour mériter d'être placée sous les
yeux
du monde et de la postérité). une création su
trouvait en décadence. Que les créations du génie flottent devant les
yeux
de l'élève comme un idéal vers lequel il veut s'e
uelque autre objet ou que l'on pense trop à soi-même. Ayez devant vos
yeux
le plus splendide tableau présenté par la nature,
s de sens rassis et positif, sans beaucoup d'imagination, qui n'ont d'
yeux
que pour les réalités immédiates, et ne peuvent s
ue l'on croie que les horreurs d'une tragédie se déroulent devant nos
yeux
avec tout le sérieux effrayant de la réalité, les
le plaisir éprouvé par ceux-ci. Nous ne voyons pas seulement avec les
yeux
du corps, mais en même temps avec ceux de l'espri
re voyageur verront chacun un marché aux esclaves avec de tous autres
yeux
que les deux autres; chacun, en raison de sa voca
ès prononcé et l'affaiblissement de la sensibilité des muqueuses de l'
œil
, du nez, de la bouche et du pharynx. La déglutiti
s visuelles : des têtes de femmes et des corps nus passent devant ses
yeux
. Ces visions paraissent plus fortes à la vue des
igrie depuis ces derniers quatre mois. La peau est pâle, fiasque, les
yeux
cernés, les mains froides et moites. La sensibili
pas de maux de tète, que l'appétit revient et je vois renaître à mes
yeux
la malade. Il est vrai que je lui conseille de ne
aisse voir le limon dont elle fut formée. Je vais faire luire à vos
yeux
une vérité nouvelle contestée par la science, que
lectuels dont le tableau si riche, si magnifique était placé sous ses
yeux
. Et voilà que tout à coup la limite est tranché
e, il les récuse môme, car, dans cet état singulier, on voit sans les
yeux
, on entend sans les oreilles, les corps opaques s
sans mesure, et toujours sans que les .Ycadémies daignent ouvrir les
yeux
pour les considérer. Il serait absurde de ne pas
Ne vous étonnez donc plus si la nouvelle force que je présente à vos
yeux
est restée si longtemps dans l’oubli. Peut-être d
angereux se révèle au monde, une croyance s établit, et tu fermes les
yeux
! Des futilités occupent tes instants, tandis que
dans sa maison. Pendant cet état (le somnambulisme, elle avait les
yeux
ovcrts et entendait parfaitement ce qu’on lui dis
e grise, à bonnet pointu de feutre gris entouré d’un turban vert, à l’
œil
vif et à la physionomie aussi bienveillante cpie
eurs formes émaciées, je ne sais quoi de féroce et de hagard dans les
yeux
, tout cela contrastait singulièrement avec le ron
on intérieure; sa poitrine se souleva, ses narines s'enflèrent et scs
yeux
roulèrent dans leurs orbites avec une singulière
t pourtant que je demeurai pensive et embarrassée. Qu’était cela? Mes
yeux
n’avaient-ils point vu, mes mains n’avaient-elles
, malgré le bruit, les conversations, etc., il n’a pu en détacher les
yeux
; U° Celui-ci, étant assis, a décrit avec son c
issait tout à coup avec la force qu’il a dans le milieu du jour, quel
œil
humain pourrait en soutenir la lumière? — De même
ble, Dieu a ordonné ce qui ne peut être vu, et la marche suivie à nos
yeux
par la nature matérielle, se répète dans la spiri
arait à venir ; bientôt, sa lumière se répandant sur la terre, et les
yeux
de l’âme s’habituant à autre chose que les ténèbr
accès soudain d’extase qui se manifesta par l’occlusion complète des
yeux
, la résolution de tous les membres, une insensibi
de contrôle qui permet de les établir comme il suit : Rosa V. a les
yeux
fermés ; elle n’entend ni les voix, ni les cris d
airer des choses souvent confuses, embrouillées ou imperceptibles à l'
œil
nu. La table serait donc un réflecteur paraboliqu
ce qu’elle était accouchée trois jours auparavant, tout habillée, les
yeux
hagards, la mine fiévreuse. «C’est bien que tu vi
Ahl La tête de la voyante se recule d’un mouvement convulsif ; ses
yeux
sont fixes ; elle contemple avec une immobilité d
les doubles que j’avais eu soin de lui passer sans qu’il y portât les
yeux
, il s’écria tout de suite et très-exactement : «
pe, et je tirai de ma poche.au hasard, et en ayant soin de fermer les
yeux
, deux autres pièces de 5 fr. propres à la circula
: il était à. peu de distance, les bras accoudés sur ses genoux, les
yeux
dans une projection fixe en face du guéridon. —
paraît étrange dans ses dissemblances harmoniques. La profondeur de l’
œil
est extrême : le bas du visage a une froideur qui
excentrique. Nous avouons humblement ne pas comprendr e comment, aux
yeux
d’un homme sensé, un ordonnance en elle-même peut
t, c’est parce que nous avions un excellent exemple à mettre sous les
yeux
du lecteur (1). 11 n’en doit pas moins être bien
té si notoire, les feuilles du doute tombèrent subitement de tous les
yeux
. Quant à moi, reportant aussitôt mon esprit vers
n homme aussi instruit s’applique volontairement les écailles sur les
yeux
pour ne pas voir, et se croie par là autorisé à n
iente sur l’opération, et affectant de passer l’instrument devant ses
yeux
(le sujet avait les yeux ouverts et l’incrédule n
affectant de passer l’instrument devant ses yeux (le sujet avait les
yeux
ouverts et l’incrédule ne se doutait pas qu’elle
clignotement des paupières et les mouvements convulsifs du globe de l’
œil
quand une mouche vient s’y promener et le sucer d
s anatomistes et des physiologistes? Il ne faut pour cela quo de bons
yeux
et surtout du lion sens. Ces qualités ne font poi
nce qui réussit mieux que je n’aurais osé l’espérer. On lui banda les
yeux
, puis je promenai ma main au-dessus de son corps
oins l’idée des rapports des objets. Elle ne parlait point, avait les
yeux
largement ouverts, les pupilles dilatées : elle c
ltat de nos recherches : Si on mettait une main, un livre entre les
yeux
de la malade et la lumière, sans que toutefois le
té, M"* *** continuait sa lettre ; si on interposait un écran entre l’
œil
et le papier, M" *** cessait d’écrire; puis, dans
ès incessants que fait tous les jours le magnétisme feront ouvrir les
yeux
aux médecins, et qu’ils finiront, dans l’intérêt
répandre la lumière de la vérité sur tous ceux qui veulent ouvrir les
yeux
pour voir, sur tous les hommes de bonne volonté.
e Malherbe, l’ami de M. Ro- gèremcnt la tôle lourde, en fermant les
yeux
j’ai vu des images fantasmagoriques. Je crois que
rop vrai; la malade (une jeune femme qui venait de sortir, et que nos
yeux
n’eussent pas soupçonnée en cette triste situatio
lois constatées de la physique. La maladie devient même folie à leurs
yeux
, lorsqu'au déplacement de l'action des organes se
isions des extatiques ont des objets réels, vus, if est vrai, non des
yeux
du corps, mais des yeux de l’esprit. L’extase est
t des objets réels, vus, if est vrai, non des yeux du corps, mais des
yeux
de l’esprit. L’extase est, pour eux, le pont jeté
e m'est jamais arrivé d’attendre en vain. Je voyais passer devant mes
yeux
une longue suite de figures et d’images diverses,
araissait aussitôt, de telle sorte que jo saisissais d’un seul coup d'
œil
, ut pourtant sans confusion, les détails et l'ens
e atmosphère partiçulière, composée elle-même de cercles visibles à l’
œil
et néanmoins transparents. Je jouissais avec déli
ces du spectacle de ces merveilles, et je fixais sur celte vision des
yeux
si attentifs et si animés, que ma hière me demand
le atteinte peul-étre, il n’articulai« po nt librement la parole. Se*
yeux
étaient blancs et njetalopes, et sa vue se conser
nt toujours en grandeur et en sublimité, s’ollrent sans cesse a nos
yeux
, à, mesure que nous progressons. Quoique ces sp
és à une sphère plus haute de pensée et d’action, et ayant devant les
yeux
un horizon plus vaste, nous pouvons pénétrer plus
Le Rousseau, ouvrace cilé. vez par vous-même, vous l’avez vu de vos
yeux
, vous l’avez entendu de vos oreilles : la main du
ière dans ces quelques mots. Je ne l’extrais que pour présenter à vos
yeux
, par la voix de la sagesse et de la raison, un mé
it rien ; ensuite, par l’effet d’une certaine durée de l’attention, l’
œil
projetant, je pense , un effluve plus actif, quel
ts, se convulsionna tant que l'on voulut. L’une des tôles roulant ses
yeux
hagards et grinçant sa mâchoire, faillit me mordr
utissent qu'à des fascinations. Pourquoi ne pas énoncer de môme que l’
œil
, armé du microscope, n'a plus qu'une vue malade e
clef lourna. Chacun haussa les épaules, sans vouloir en croire ses
yeux
. Quatre mois s'étant écoulés, LouisXVUI trônait
. Dès le matin , il éprouva de violentes contractions à la gorge, aux
yeux
et aux jambes. Vers onze heures , ces douleurs au
journée se passe en contractions fréquentes dans les jambes, dans les
yeux
et dans la gorge. 17 mars. Mêmes douleurs que l
deux ii cinq minutes ; puis la malade se calme peu à. peu, frotte ses
yeux
appesantis, regarde l’heure à l’horloge, examine
e se soulève, ses membres s’agitent, ses sourcils se contractent, ses
yeux
se ferment, ses dents se serrent à se briser ; pu
à la chatière du monde extérieur, pour entendre ce qui s’y dit, et l’
œil
pour voir ce qui s'y passe. » Ce que vous ignorez
tour ignore-t-il notamment le rapport de M. Husson, qui devrait à ses
yeux
jouir d’une autorité toute particulière, comme ém
rsuivre sans conclure. Notre tâche exige que nous placions sous les
yeux
du lecteur attentif les pièces les plus probantes
vision ; ce qui ne veut pas dire que cet organe jouerait le rôle de l’
œil
en transmettant au cerveau les impressions de la
ées et à contempler stérilement vos vieilles idoles : osez ouvrir les
yeux
à la lumière qui éclaire de nouveaux horizons, en
me sens de force à le prendre par les cornes et à lui parler dans les
yeux
. Dire que depuis six mille ans il se nourrit de
oici sa réponse : Je te pridis un prand succès Pour ton archet, Inn
œil
de flamme, Mon fils, ne fais jamais d'excès,
n’aperçoivent plus qu’impossibilités, utopies et chimères, et dont l’
œil
débile ne peut supporter les splendeurs réservées
e, est donc un acte de bonne et stricte justice. — Pour moi, dont les
yeux
se sont ouverts trop tard à la vérité dont Mesmer
sur les horizons lointains de l’avenir; vous avez fait briller à nos
yeux
les magnifiques triomphes réservés au magnétisme.
ien, et puis répondez. » Elle se recueillit un instant en fermant les
yeux
, et traça ces mots en grands et beaux caractère
-elle en me regardant, vous connaissez mon opinion. »Puis, jetant les
yeux
sur le papier, elle fut prise d’un saisissement i
le même sujet ; histoire dont les phases se sont déroulées devant mes
yeux
, sans que, pour cela, je puisse dire en avoir été
s mois entiers ! (Nous en avons nous-même, tous les jours, sous les
yeux
, un exemple dans la personne de la femme d’un de
de suite. Elle a eu des contractions des paupières, les pupilles des
yeux
ont été bientôt convulsées et tournées en haut, e
illes des yeux ont été bientôt convulsées et tournées en haut, et les
yeux
se sont fermés. C’était, à n’eu point douter, l’é
dit qu’elle le voyait couché, pâle, immobile; ici elle se couvrit les
yeux
, elle me dit tout bas qu’il étaitptirli (c’est sa
ux moitiés du cerveau sont chacune un cerveau complet, comme les deux
yeux
sont chacun complets et indépendants. De même qu’
n complets et indépendants. De même qu’on peut voir parfaitement d’un
œil
, on peut parfaitement penser, sentir, etc., d’un
rouvé que la plupart des hommes ne font usage habituellement que d’un
œil
, de sorte que l’autre devient souvent affaibli pa
Quéqu’ somnambul’ lucide : Lucid' veut dir’ qui peut tout voir, L’
œil
fermé sans l’fluide. Tu sons combien dans c' t’
vers , C'est merveill' qu'un' tell’ vue, Lorsque tant d’gens, les
yeux
ouverts, Ont toujours la berlue. Pour ces dor
frappés d’ex- Aon et laissent la parole à ceux qui ont d’assez bons
yeux
d assez bonnes oreilles pour voir et entendre d
c l’autre, je retins ses pieds au barreau de sa chaise. Je bandai ses
yeux
avec l’un des mouchoirs, et j’appliquai l’autre s
je d’un ton de commandement, asseyez-vous là, fixez attentivement mes
yeux
, sans prononcer une parole, et concentrez toutes
essants qu’ils soient, des traitements divers que nous avons sous les
yeux
; nou3 devons forcément nous borner à donner le r
nuer : les caractères devenaient confus et se brouillaient devant ses
yeux
au point qu’il ne pouvait plus les distinguer. Il
ses bienfaisants rayons, parce qu’il plairait à un fou de fermer les
yeux
et de le nier ? — Vous ne parlez que d’or, d’arge
s points, atteinte d’une ophtalmie assez grave, particulièrement de l’
œil
droit. On lui donna le conseil de ve-air consulte
’obscurité, les paupières, clignant vivement» dépriment le globe de l’
œil
et lui laissent reprendre sa forme. Le nerf optiq
rf optique est ébranlé : nous voyons une lumière. Un coup porte sur l’
œil
ou lui communique une secousse qui arrive jusqu’a
pper cette idée, qui demande d’ailleurs encore à être, mûrie. A nos
yeux
, et nous le déclarons franchement, il y a là dans
part. Or le corselet se dressera sur ses ambulacres, et suivant de l’
œil
les mouvements de l’ennemi, cherchera à se défend
autres rougissent. C'était un ictère bien caractérisé. Le blanc de l’
œil
(cornée opaque) devenait franchement jaune, et ce
rbi-culaires, et la malade, jusque-là privée de sentiment, ouvrit les
yeux
et recouvra immédiatement connaissance. Le lendem
nt les nuages du doute et de l’incertitude, et ferait briller à leurs
yeux
la lumière sainte et émanée des régions supérieur
la vision d’un objet a lieu au moyen de la transmission faite à notre
œil
, par la lumière, de l'image de cet objet. Cette t
ruites depuis l’instant où leur image s’est mise en marche vers notre
œil
, et néanmoins cent ans après ce départ, nous les
ances indéfinies ; cette image existera donc toujours, sinon pour les
yeux
humains , du moins pour les êtres placés dans des
r un individu, vous prenez une lettre écrite par lui. Vous fermez les
yeux
, afin de vous isoler du monde extérieur et de vou
les chats y voient la nuit, et que certains hommes peuvent avoir des
yeux
de chat. Passe pour cette explication. Mais la mé
pas suffisamment étudié le sujet, ne saurait être d’aucun poids. Des
yeux
pour voir, des mains pour toucher, des oreilles p
cela fait, il faut appuyer sa main pour ne pas fatiguer et fixer ses
yeux
sur la tache huilée. Il arrive que des rayons mag
huilée. Il arrive que des rayons magnétiques s’établissent entre les
yeux
et la tache que j’appelle miroir. Aussitôt que ce
essentielle qu’il faut observer, c’est que l’opérateur doit fixer ses
yeux
sûr le miroir sans jamais les en détourner. « J
de M. Charles Lafontaine, Y Art de magnétiser, il ne put avoir, aux
yeux
des magnétistes purs, qu’une importance relative
en faire la matière d’un rapport secret, destiné à être mis sous les
yeux
du roi, seul. Ils réduisirent les causes de cet
nés n’ont qu’à se bien tenir. 11 va leur planter le flambeau dans les
yeux
. La brochure a pour titre : Introduction du mag
cher tous les masques, à ne rien épargner, de môme qu’à ne fermer les
yeux
à rien, afin que la vérité puisse être transparen
ations chirurgicales, il peut en certifier l’efficacité établie à ses
yeux
par les rapports officiels de témoins du plus hau
rétexte singulièrement choisi, car le mémoire que nous avons sous les
yeux
contient, seulement dans son premier chapitre, 18
..... 3 Extraction d’un cancer à la joue............1 ld. Id. à l’
œil
..............1 ld. Id. au scrotum..........3
sont interrompus ; elle bégaie, la parole expire sur ses lèvres, ses
yeux
se convulsent, elle s’affaisse comme si elle eût
tordoit u les membres de son corps, sautoit en air, contour-« noitles
yeux
, et la face tout à rebours, espouvantoit de sa «
sans hésiter, c’est un voyant. Voilà un mot terriblement suspect aux
yeux
des disciples de Voltaire, d’Helvétius et de Caba
nse, causée par l’introduction d’un insecte dans l’angle interne de l’
œil
et parles manœuvres maladroites d’une jardinière
t sans l’autorisation de celui d’où il se révèle. » Je magnétisai l’
œil
malade dix minutes chaque matins Application de
nutes ; Insufflations, trois minutes; Eaumagnétiséepourbassiner l’
œil
dans la journée et la nuit. Au bout de trois jo
assiner l’œil dans la journée et la nuit. Au bout de trois jours, l’
œil
était complètement guiril Les seules traces des
respiration devient difficile, la parole s’arrête, le brillant de ses
yeux
s’éteint, le mouvement cesse. I.a vie, Vesprit, l
tontes les formes supérieures doivent être appréciables à nos sens. L’
œil
ne peut pas tout voir, ni l’homme tout savoir : s
avec les esprits infernaux; l’Église actuelle voit d’un très-mauvais
œil
le magnétisme, et l'on ne peut invoquer la bienve
une demi-heure environ, elle ne dormait point, quoiqu’elle fermât les
yeux
de temps en temps ; elle rompit tout à coup le si
Elle est de temps en temps entransée, et alors elle va et vient, les
yeux
fermés ou parfois ouverts; elle voit, écrit, parl
pable du crime imaginaire de sorcellerie, ne devait-on pas ouvrir les
yeux
sur le danger de poursuivre comme ennemis de Dieu
voue que si plus tard l’expérience ne s’était pas renouvelée sous mes
yeux
, et dans des conditions qui écartaient toute idé
r, il se retire à l’écart et magnétise à trois lieues de distance les
yeux
de sa patiente de Laandam, affirmant que les paup
econd essai, il parut ii M. Sicmelink qu'on avait essayé d’ouvrir les
yeux
par force, et le jour suivant, il .apprit en effe
fet que le frère de la patiente avait tâché en vain de lui ouvrir les
yeux
, ce qui lui avait causé un accident nerveux et fa
lle, et les leur fit conserver pendant longtemps ; il leur ouvrit les
yeux
et ils restèrent non seulement immobiles, mais en
du sang de S. Janvier et celui de la Madone de llincini qui remue les
yeux
, il s’enfonçait des clous dans le nez et des sabr
Petit d’Ormoy, 400, 429. Fluide (du) vital ou magnétique. Coup d'
œil
sur son action et ses propriétés, par M. Mozzoni,
Commission spéciale pour acuité visuelle inférieure à un demi de l'
oeil
droit et bronchite chronique. Il s'embarque alors
n affec- tant des hoquets, des efforts violents; puis je tourne des
yeux
effroyables. Le médecin C... me fait donner du
mouvement qu'ils exécutent, mais ils n'en perçoivent nettement les
yeux
fermés ni l'étendue, ni la direction. Ces seule
con- naissance. Les maux de tête augmentent, la vue s'affaiblit, l'
oeil
droit ne voit pas la lumière, la pupille est in
ument aboli à gauche, un ob- jet saisi ne peut pas être reconnu les
yeux
fermés; le malade appré- cie si l'objet est fro
ble; tantôt, c'est un simple épaississement partiel appréciable à l'
oeil
et au toucher; tantôt, c'est une virole qui adh
nham, SOCIÉTÉS SAVANTES. 87 le deuxième pour un tic convulsif des
yeux
, du nez et de la bouche sans coprolalie, le tro
ouler le sang. Les dents claquent, le visage est jaune, humide, les
yeux
hagards... Quand on lui donne des gouttes, il mor
r de la tirer. Pas de mouvements fibrillaires. Les mouvements des
yeux
sont normaux. La démarche du malade est très gê
rès huit ans de chorée. N'ayant pas eu le travail original sous les
yeux
, j'ignore si l'auteur a noté les circonstances
lange d'éther et de glycérine de Unna (Griibler), jusqu'à ce qu'à l'
oeil
nu la substance blanche se dis- tingue de la su
exerçant une compression en haut et en arrière sur le globe de l'
oeil
dans la direction du canal infraorbitaire, de faç
'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. des artères du fond de l'
oeil
, des tempes, des extrémités supé- rieures ; l'h
jours. 4° 11 résulte de l'observation des cas que j'ai eus sous les
yeux
que l'on peut espérer obtenir un sérum antidipl
tre eux peut porter un diagnostic ferme. Tic d'élévation des deux
yeux
. M. O. CRouzoN. Le malade présenté a l'habitude
uand il veut fixer son attention sur tel ou tel objet de placer ses
yeux
dans l'élévation. Puis, par un effort de volont
d'un tic et cette localisation à une une fonction des muscles de l'
oeil
a paru intéressante à signaler. M. Joffroy décl
lui, d'ailleurs, quand il y a trouble des muscles extrinsèques de l'
oeil
, toutes les présomptions sont plutôt en faveur
oitié droite de la face, avec déviation conjuguée de la tête et des
yeux
du même côté. Dans l'intervalle des crises : pa
aralysie faciale inférieure gauche avec déviation de la tète et des
yeux
à gauche. Présentation de photographies de coup
mment ; une autre fois, il a essayé avec ses doigts de s'arracher l'
oeil
droit de l'orbite et, comme il n'y par- venait
des nerfs de la sensibilité entraîne la perte du mouve- ' ment des
yeux
, de la face, de la locomotion, etc. Le mouvement
occipital doit affec- ter partiellement les champs visuels des deux
yeux
et être de nécessité bilatérale et homonyme. Da
dure trois quarts d'heure. Je réveille Zoé en lui soufflant sur les
yeux
. Il lui semble qu'une toile obscurcit,sa vue ;
iquide et enfin sentiment de bien-être. 3-1. Resensibilisation de l'
oeil
droit. Sentez vos yeux : mes yeux se détournent
nt de bien-être. 3-1. Resensibilisation de l'oeil droit. Sentez vos
yeux
: mes yeux se détournent + on les brûle + on le
re. 3-1. Resensibilisation de l'oeil droit. Sentez vos yeux : mes
yeux
se détournent + on les brûle + on les tiraille. L
yeux : mes yeux se détournent + on les brûle + on les tiraille. Les
yeux
sursautent dans les paupières. - Ça me fait mal
+il y a des fils qui partent de derrière la tète jusqu'au fond de l'
oeil
+ Je vois noir, bleu, rouge, vert, marron ? noi
r, rouge, bleu, marron, rose, jaune + noir, rouge, bleu, vert ? mes
yeux
s'en- foncent + mon oeil gauche est froid, le d
ose, jaune + noir, rouge, bleu, vert ? mes yeux s'en- foncent + mon
oeil
gauche est froid, le droit brûle encore un peu
+ Il se refroidit -r- La malade fronce les sourcils, se frotte les
yeux
. - + Je vois jaune, mauve, bleu pâle, rose + roug
air à gauche + Je vois rose clair, bleu pâle + c'est clair des deux
yeux
également + c'est bleu, rouge, c'est blanc, bla
anément. Je lui referme les TRAITEMENT MÉCANIQUE DE L'HYSTÉRIE 21
yeux
+ Je lui fais sentir complètement la tête -f- Ma
malade revint à lui, il s'aperçut qu'il avait perdu la vision de l'
oeil
gauche et de la moitié interne de l'oeil droit. M
avait perdu la vision de l'oeil gauche et de la moitié interne de l'
oeil
droit. Malgré tous les soins son état oculaire
rent, le malade accusa une augmenta- tion de l'acuité visuelle de l'
oeil
gauche ; mais cette amélioration ne se maintint
gauche ; mais cette amélioration ne se maintint pas et peu à peu l'
oeil
revint à l'état primitif. Le malade rentré au s
r aux crétins ; ils ont en outre fort souvent du strabisme et leurs
yeux
sont manifestement du type mongo- lien. La tête
Bodeker insistent sur la rareté de la para- lysie des muscles de l'
oeil
, et Ballet sur la diminution ou la perte du réf
rés. Inté- grité des sphincters. Paralysie complète des muscles des
yeux
pour les mouvements d'en haut et d'en bas, tand
ments d'en haut et d'en bas, tandis que les mouvements latéraux des
yeux
s'effectuent bien mais, avec un léger nystagme au
ation. Un mois plus tard commença l'amélioration des mouvements des
yeux
en bas, plus tard encore on nota une améliorati
'on fit de l'occuper dans un atelier de chaudronnerie, il reçut à l'
oeil
gauche et à la main droite deux blessures graves
et d'une voix très calme, le fou fondit en larmes. Mais bientôt ses
yeux
se séchèrent, il recom- mença à divaguer et le
cations collatérales et en appendices collatéraux, ce qui saute aux
yeux
à l'examen microscopique de l'écorce cérébrale
t avoir une maladie qui lui a été donnée par un sort. Traits tirés,
yeux
hagards, toujours en mouvement. Voix enrouée. P
ve, on constate une brûlure linéaire allant de l'angle interne de l'
oeil
gauche à la commissure gauche de la l'èvre ; un
e de l'orbiculaire détermine un rétrécis- sement de la pupille de l'
oeil
correspondant. Ceci se produit d'au- tant mieux
ur écarte les pau- pières du patient malgré lui, plus le globe de l'
oeil
se porte en haut et en dehors, plus rarement en
nce n'y est pour rien, car il y a rotation simultanée du globe de l'
oeil
en haut et en dehors. Non plus l'accommodation,
circulation irienne par la contraction de la paupière comprimant l'
oeil
, car, ni chez les malades à pupilles immobiles
de l'orbiculaire, tout comme la rotation concomitante du globe de l'
oeil
en haut et en dehors. La synergie produite par
a même impulsion volontaire agissant à la fois sur l'occlusion de l'
oeil
(parlefacial) à la fois sur d'autres muscles du
quand un pinceau lumineux frappe subitement, vivement, fortement l'
oeil
(l3ridsall Uhthoff Hitzig). Ainsi parle M. West
le résultat d'un mouvement associé de la fermeture volontaire des
yeux
. Il l'étudie comparativement chez 22 paralytiqu
illes étaient tout à fait insensibles à la lumière, la pupille d'un
oeil
se rétrécit chaque fois qu'il clignote simplement
n oeil se rétrécit chaque fois qu'il clignote simplement de l'autre
oeil
, le premier oeil restant dans le plan horizontal.
t chaque fois qu'il clignote simplement de l'autre oeil, le premier
oeil
restant dans le plan horizontal. C'est là la ré
la pupille par l'orbiculaire ; de plus, le simple clignotement des
yeux
provoque une contraction très vive et très fort
mais elle se rétrécit quand elle regarde en haut ou ferme les deux
yeux
. Si l'on maintient les paupières qui essaient é
ait chez un tabétique atteint d'ophtalmoplégie incomplète du même
oeil
. La persistance de la réaction des pupilles par l
quement bien conformée, sauf au niveau du renflement "lombaire; à l'
oeil
nu on trouve une dépression ellipsoïde de la su
hale avec légère plagiocéphalie gauche. Stra- bisme convergent de l'
oeil
droit. Pas de phénomènes acromégaliques. Sensib
ment. Premiers symptômes : Faiblesse intermittente des muscles de l'
oeil
; vision double, obs- curcissement plus ou moins
e de deux ans à partir du début, elle a vu apparaître : Ptosis de l'
oeil
droit; faiblesse des muscles de la face. Les mouv
me dans l'action de siffler) devint impossible ; strabisme des deux
yeux
, et limitation des mouvements de l'oeil dans tout
ssible ; strabisme des deux yeux, et limitation des mouvements de l'
oeil
dans toutes les directions; larmoiement. Exam
ents de l'oeil dans toutes les directions; larmoiement. Examen. -
Yeux
fixes, sans mouvement. Un léger degré de pro- t
re. Larmoiement très accentué. Pupilles réagissent. Ptosis des deux
yeux
surtout marqué à gauche. Diplopie. Face. - Pâle
rente-sept ans, présenta sept ans auparavant un ptosis graduel de l'
oeil
gauche d'abord, de l'oeil droit ensuite. Quatre
ept ans auparavant un ptosis graduel de l'oeil gauche d'abord, de l'
oeil
droit ensuite. Quatre mois plus tard (1893, jan
ires. La fatigue qui survient dans les divers muscles (muscles de l'
oeil
et de la gorge, ceux des jambes et des bras), e
e chute de la paupière supérieure gauche et rotation en dehors de l'
oeil
gauche. Quelques mois plus tard. mêmes symptôme
hors de l'oeil gauche. Quelques mois plus tard. mêmes symptômes à l'
oeil
droit. Dix-sept mois plus tard faiblesse dans l
férieures, aux groupes musculaires tibiaux antérieurs. L'examen des
yeux
fait à l'heure actuelle, deux ans et demi après l
Romberg existait en dépit de la cécité. Paralysie des muscles de l'
oeil
: dans 33 cas. Signe d'Argyl- Robertson : dans
pulaire, les actes de sa vie se sont rapidement déroulés devant ses
yeux
, il a pu se dire à juste titre : Je meurs, sans
n profonde de ce que nous pouvons appeler les devoirs nouveaux. Ses
yeux
à jamais fermés eurent ce rayon de douceur qui,
ulaires. On avait déjà constaté qu'il suffisait de faire fermer les
yeux
aux malades pour que les hallucinations apparai
oussée ou simplement un bout de papier, après avoir fait fermer les
yeux
au malade, nous avons provoqué des hallucinatio
tre de ce genre rampe sur sa poitrine, on verra le malade fixer des
yeux
l'endroit désigné, et, une expression d'horreur
une femme petite, plutôt laide, mais la physionomie expressive, les
yeux
vifs, les dents bien plantées, ne présentant pa
é, de taille moyenne. La face est rouge et cou- verte de sueur, les
yeux
brillants; le tremblement est généralisé à tout
remière fois produites, le résultat est négatif. Ouïe. L... a les
yeux
fermés. On lui presse légèrement sur les oreill
sion en est rendue dans des termes identiques. Goût. - On ferme les
yeux
du malade, on lui fait tirer la langue et on lu
ncore robuste pour son âge, assez grand, la figure toute rouge, les
yeux
brillants. Tremblement généralisé. Comme signe
es membres des régions plantaires et palmaires. Si l'on ferme les
yeux
du malade et qu'on lui frappe l'une de ces part
he légèrement la langue avec du papier roulé, après avoir fermé les
yeux
de 13..., il demande : « Pourquoi m'avez-vous m
ndue est la suivante : le malade, âgé de trente à quarante ans, les
yeux
fermés, chancelle, vacille, ne peut pas du tout
ents, la force des contractions des muscles est conservée; avec les
yeux
fermés, la répétition d'un mouve- ment quelconq
es, mais avec la vue qui s'éteint parfaitement, peu à peu, des deux
yeux
. Excepté le cas de tabès héréditaire, dans tous
démarche du malade devient plus régulière, il chancelait moins les
yeux
fermés, les fonctions de l'appareil urinaire de
ans les membres infé- rieurs, la suspension du vacillement avec les
yeux
fermés et le rétablissement complet des fonctio
nception de l'espace ne dépend pas exclusivement des mouvements des
yeux
; elle est liée il chaque mouvement muscu- lair
'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 425 visuel temporal de l'
oeil
gauche et plus tard, perte du champ visuel nasa
ral de l'oeil gauche et plus tard, perte du champ visuel nasal de l'
oeil
droit (hémianopsie homonyme) ; diminution de l'
mianopsie homonyme) ; diminution de l'acuité visuelle dans les deux
yeux
; plus tard perte de la vision des couleurs dans
ssaud. Ils insistent sur la multiplicité des lésions constatées à l'
oeil
nu et au microscope avec les nouvelles méthodes.
résie de la jambe gauche. Légère céphalée généralisée. Le fond de l'
oeil
est normal. L'administration de bromure et d'io
ans l'avenir divers objets insignifiants qui lui tombaient sous les
yeux
, tels qu'une mouche qui vole, l'allumette qu'il v
s pupilles dilatées réagissent bien, il n'y a pas de nystagmus, les
yeux
sont constamment en mouvement. La sensibilité e
eil est interrompu par des cauchemars ; il voit passer devant ses
yeux
des mouches brillantes, de petites lueurs, des ét
elles cessent. t. ' . 478 CLINIQUE MENTALE. Si F..., ayant les
yeux
fermés, on lui fait toucher divers objets : un
voit, n'entend et ne sent rien. En revanche, si, lui fermant les
yeux
, comme précédemment, on lui fait tirer la langu
lende- main matin 4 avril. C'est un grand brun, bien musclé ; les-
yeux
sont hagards, les traits inquiets. Tremblement
d'une stru- meuse. Le visage est boufli, pâle, sans expression, les
yeux
sont chassieux. Elle crie ou pleure sans cesse
. ment implantés et moins abondants à la paupière inférieure. Les
yeux
ne présentent pas de lésions apparentes, les iris
ctive droite est injectée surtout au niveau de l'angle externe de l'
oeil
où existe un pannus. Congestion irradiant autour
néral, vaseline boriquée sur les régions qui desquament, lavage des
yeux
à l'eau boriquée tiède. Juillet. - Les yeux son
esquament, lavage des yeux à l'eau boriquée tiède. Juillet. - Les
yeux
sont complètement guéris. La diarrhée s'est éta
ieure correspond au quart de cercle supérieur de la rétine des deux
yeux
(Hun, Henschen). On ne sait pas grand'chose sur
deux rétines, mais jusqu'au corps genouillé les faisceaux des deux
yeux
ont un trajet complètement séparé. P. J{ERAVAL.
mentale. Knoll sectionne le nerf optique, il obtient la cécité de l'
oeil
du même côté et la dilatation de la pupille ; il
in. La section transverse d'une bandelette lui donne la cécité de l'
oeil
du côté opposé ; il sépare le chiasma dans le s
vite certains objets, présente quelque divergence dans les axes des
yeux
pour la vision de loin, et conserve une réactio
champ visuel du côté opposé, un rétrécissement du champ visuel de l'
oeil
opposé toujours beaucoup plus marqué que du côt
e la lésion; la déchéance du champ visuel est limitée dans les deux
yeux
par la verticale, mais la vision distincte para
verticale, mais la vision distincte parait toujours diminuée dans l'
oeil
opposé, intacte dans l'oeil du même côté. La de
stincte parait toujours diminuée dans l'oeil opposé, intacte dans l'
oeil
du même côté. La destruction du corps genouillé
sie avec déficit de la moitié du champ visuel croisée dans les deux
yeux
, lacune plus considérable dans l'oeil opposé à la
visuel croisée dans les deux yeux, lacune plus considérable dans l'
oeil
opposé à la lésion. 510 REVUE D'ANATOMIE ET DE
0 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. La pupille de l'
oeil
opposé est simplement un peu plus dilatée; géné
sverse de la bandelette, constaté une hémianopsie homonyme des deux
yeux
, avec, du côté opposé à la lésion, réaction pup
vant. Le patient parait éprou- ver plus de difficulté à tourner les
yeux
à gauche qu'à droite. Intégrité de la sensibili
ure 11 inches 1/4. Réaction pupillaire se fait avec paresse. Pour l'
oeil
droit, champ visuel très rétréci pour le vert, no
l très rétréci pour le vert, normal pour la couleur blanche. Pour l'
oeil
gauche, hémianopsie tem- REVUE DE PATHOLOGIE NE
s présentant des troubles marqués de la réfrac- tion du milieu de l'
oeil
, et de l'hypermétropie dont les attaques dispar
res, on n'est pas évidemment amené à croire que l'effort fait par l'
oeil
pour arriver à une réfraction normale soit capa
t 1897.) Les cas de perte complète de la vision de l'un ou des deux
yeux
sans modifications appréciables du fond de l'oe
l'un ou des deux yeux sans modifications appréciables du fond de l'
oeil
et sans lésion du nerf optique ou du cerveau, a
ne personne tomber en somnambulisme après qu'elle eut reçu dans les
yeux
des rayons solaires réflétés dans une glace. J'
crises. Opothérapie testiculaire avec résultat passager. Sous mes
yeux
, en six mois, se développe une tumeur du cordon d
il s'éteignait doucement et sans qu'il fût besoin de lui fermer les
yeux
. Armand Semelaigne. d'une taille plutôt haute,
endement du sens moral en ne cessant de répéter, de mettre sous les
yeux
, de faire apprendre des maximes courtes, précis
tement de la maladie des -, par Spehl, 65. - d'élévation des deux
yeux
, par Crouzon, 170. Torticolis spasmodique, par
s'impose de prime abord ; et, nier cette association, c'est, à mes
yeux
, -nier l'évidence même. Mais si le gigantisme
au lit pendant deux grands mois. Il affirme n'avoir jamais vu de l'
oeil
gauche; nous y reviendrons plus loin. De plus,
ine le géant José Lopes, un fait principal frappe immédiatement les
yeux
, attire et retient l'attention : C'est la persi
he et très affaiblis à droite. L'acuité visuelle est normale pour l'
oeil
droit, et égale à zéro pour l'oeil gau- che céc
acuité visuelle est normale pour l'oeil droit, et égale à zéro pour l'
oeil
gau- che cécité absolue congénitale. Le champ
l'oeil gau- che cécité absolue congénitale. Le champ visuel de l'
oeil
droit offre dans la partie externe, ou temporale
x champs visuels projetés sur les rétines correspondantes. Dans l'
oeil
gauche, la vision est complètement supprimée dans
osé Lopes. L'enfant a bien grandi ; sa taille, qui poussait à vue d'
oeil
, dépassa la moyenne et de très bonne heure (ava
quer qu'elles s'accordent sur tous les points avec la cé- cité de l'
oeil
gauche et la céphalée ; le sujet les fait égaleme
core toute jeune, et qui se plaignait t de maux de tôle « entre les
yeux
», de quelques troubles visuels, et qui présent
et de juin 1687. Copiant exactement le modèle qu'il avait sous les
yeux
? artiste a su mettre en valeur la brièveté des
ire, et surtout de façon plus pittoresque dans le Pourpoint : « Les
yeux
leur demeurent rouges et esraillez qui filent l
184 M. 'l'ltl;NLL Nous ajouterons que du puits sort un amour les
yeux
bandés et l'arc tendu, allégorie facile à expli
un croisé du genou), les pansements de tête, minerves, croisés de l'
oeil
. Tous les personnages sont béquillards, couvert
re à l'infirmerie. Examiné à 6 heures du soir, il est immobile, les
yeux
ouverts, dans un demi-sommeil, et ne répond pas
ns posées. La tête est fortement penchée sur l'épaule gauche et les
yeux
eu déviation extrême vers la droite, avec de peti
ule gauche, comme hier soir, mais le visage regarde à droite et les
yeux
sont déviés à droite avec petites secousses de
lsifs. Rien à la face. Pas de déviation conjuguée de la tête et des
yeux
, pas de nystagmus. L'hémiparésie droite est net
te s'incline sur l'épaule gauche, la face regardant à droite et les
yeux
se déviant de ce côté. Pas de mouvements convul
de sa torpeur; il ne présente plus de déviations de la tête ni des
yeux
. Il prononce quelques phrases : « Vous êtes bien
né, plongé dans un demi-coma dont il ne sort qu'en entr'ouvrant les
yeux
, quand on s'approche de son lit ou quand lorsqu
^mi^ mt;\fOHRAGTR CEREBRALE RECENTRA rOYrItS MULTIPLES 1 '.17 les
yeux
, ceux-ci ont une direction à peu près fixe, regar
llie papillaire, dilatations veineuses) ont complètement disparu. L'
oeil
droit compte les doigts à 1 m, 50, le gauche voit
convulsions, avec perte de connaissance et déviation conjuguée des
yeux
vers la gauche, la mar- che devient spasmodique
nerfs spinaux paraissent, autant, du moins qu'on en peut juger à l'
oeil
nu, présenter un léger degré de la dis- tension
personnel, où les méninges de la base étaient absolument saines à l'
oeil
nu. Si leptoméningite il y a, force est de recour
t affaissée, le corps tout entier en flexion, la tête immobile, les
yeux
fixés en avant très légèrement baissés. On consta
les mains froides, pas de troubles vaso-moteurs. Même aspect, mais
oeil
méfiant, impatienté. Ne pa- rait pas halluciné.
casquette sur la tête ; le corps tout entier en llexion légère, les
yeux
fixés en avant et en bas, I air un peu soucieux e
le mette dans sa soupe. G. parle rarement et à voix basse. Il a les
yeux
pres- que constamment tournés vers le plafond.
ême expression de phy- sionomie, figée et légèrement soucieuse, les
yeux
baissés, mais regardant de temps en temps très
aud : son cou massif, sa tête puissante, ses cheveux léo- nins, son
oeil
profond ombragé de sourcils broussailleux. Dans l
oit un amas de cellules nerveuses, formation qu'il regarde comme un
oeil
pariétal rudimentaire. Marburg s'est occupé aus
ix). A, Paralysie faciale gauche. - La malade regardant a gauche, l'
oeil
gauche reste immobile (paralysie de l'abiuceus)
ou est frappé de l'asymétrie de son visage, la face est déviée, les
yeux
en strabisme convergent par suite de l'immobilité
viée, les yeux en strabisme convergent par suite de l'immobilité de l'
oeil
gauche dans le regard externe, le cou amaigri p
paire. - A l'état statique on constate un strabisme convergent de l'
oeil
gauche. A l'état dynamique, ce strabisme s'exag
.s : 7 gauche est normale en haut, en bas et en dedans. En dehors l'
oeil
dépasse à peine la ligne médiane. Il en est de
t de même en haut et en dehors et en bas et en dehors. Du côté de l'
oeil
droit, la motilité est normale. On note quelques
a jamais eu de diplopie, mais la malade présente une amblyopie de l'
oeil
droit. Cette amblyopie explique également les s
eu abaissée. Le sillon naso-géuien moins marqué du côté gauche. L'
oeil
est un peu plus largement ouvert. Les rides du
ées du même côté. A l'état dynamique : . Quand la malade lève les
yeux
la différence entre les rides du front s'accen-
ides du front s'accen- tue considérablement. Elle peut fermer les
yeux
, mais elle le fait beaucoup plus mal du côté gauc
n d'anormal dp ce côté. Pas d'ataxie. Pas d'asynergie. Examen des
yeux
(Dr Coutela). Les cornées présentent en plus d'un
lrnoscopique (cataracte sénile). Examen op/i;(t/MOf ! c'o/)tt<e.
OEil
droit : chorio-rétinite et pigmentaire diffuse
rophique par suite des lésions concomitantes de la chorio-rétine.
OEil
gauche : Pas de lésions ophtalmoscopiques appréci
UE 307 Musculature. A l'état statique : strabisme convergent de l'
oeil
gauche. A l'état dynamique : le strabisme s'exa
la gauche. OG : motilité normale en haut, en bas et en dedans. L'
oeil
dépasse à peine la ligne médiane dans le regard e
ité de prendre la diplopie, par suite de l'amblyopie accentuée de l'
oeil
droit. Conclusion. Paralysie de l'abducteur du
malade. Dos normal. Pas de cyphose. Pas de déformation qui attire l'
oeil
. Les divers mouvements de la colonne vertébrale
t du front olympien. Les arcades sourcilières sont saillantes : les
yeux
petits, allongés dans le sens transversal ; pas
ujon. Au point de vue visuel on constate : Aspect normal des deux
yeux
: pupilles égales réagissant normalement à la l
réagissant normalement à la lumière et à l'accommodation. Fond d'
oeil
normal : teinte normale de la papille. Rétrécis
n frontale et s'accompagnent de sensation douloureuse au niveau des
yeux
. Ils passent en général au bout de 2 ou 3 heure
t examen ; pour la. même cause, on n'a pas pu examiner le fond de l'
oeil
. Etat mental. - Le malade est arrivé à l'hôpita
orps en général sont d'autant plus marquées, que le malade tien les
yeux
fermés pendant les exécutions de ces mouvements
ements volontaires. Si nous demandons au malade de marcher avec les
yeux
ouverts, il marche assez facilement, à moins qu
rps. Si au contraire nous prions le même malade de marcher avec les
yeux
fermés, sa marche devient immédiatement beaucou
son positif). Quoique n'observant aucune paralysie des muscles de l'
oeil
, quand on demande au malade de regarder en dive
nt sur une canne. Il lui est presque impossible de marcher avec les
yeux
fermés si on ne le soutient pas. Avec les yeux ou
de marcher avec les yeux fermés si on ne le soutient pas. Avec les
yeux
ouverts, il s'assied facilement sur une chaise,
e lever facilement; mais s'il veut s'asseoir ou se relever avec les
yeux
fermés, on observe un balancement. Celui-ci est
rester tranquille LE MÉCANISME DE l'at\XIE TABÉTIQUE 343 avec les
yeux
ouverts, mais s'il les ferme, on observe que son
lade est incapable de se maintenir sur un seul pied, surtout si les
yeux
sont fermés. Il y ci donc des cas incontestable
Nous disions tout à l'heure que si le malade précédent fermait les
yeux
, ces oscillations étaient plus intenses encore ;
té pro- fonde. L'explication est la suivante- : le malade ayant les
yeux
fermés, se rend moins bien compte dans quel sen
dans quel sens il risque de perdre l'équilibre, tandis qu'avec les
yeux
ouverts, il intervient rapidement, presque imper-
alades ont gardé leurs forces musculaires, s'ils peuvent suivre des
yeux
ces oscillations in- volontaires, et s'ils ont
application du bandage. Ils peuvent rester sur place, même avec les
yeux
fermés, tandis qu'avant ils présentaient le signe
sans canne et même s'il la garde, il n'a plus besoin de suivre des
yeux
ses pieds, car le malade étant sûr de leur dire
n, il regarde droit devant lui. Il est certain que s'il fermait les
yeux
, l'incoordination le signe de Romberg - réappar
cédent, étant assis sur une chaise, si, en lui disant de fermer les
yeux
, je lui déplace les pieds, et puis je lui recomma
les pieds, et puis je lui recommande de se relever, en- gardant les
yeux
fermés, alors il rapproche les pieds, les met d
lades tabétiques, dont la musculatule au repos ne pré- sente ni à l'
oeil
, ni à la palpation, le moindre signe d'altération
chute, rotation de la tête à gau- che et mouvements désordonnés des
yeux
. L'enfant ne perdit pas connaissan- ce, ne se m
survenue l'atrophie des organes génitaux qui a passé inaperçue aux
yeux
du malade. Il est soigné à diverses reprises da
st normal par ses réflexes et parla recherche de la sensibilité : l'
oeil
droit a une petite tache cornéenne et une lésion
une lésion ancienne de l'iris qui l'a laissé un peu déformé. Pond d'
oeil
normal. Champ visuel normal. Pas de dyschromato
a sensibilité parfaite et les réflexes conservés aux membres et aux
yeux
. Le tube digestif fonctionne parfaitement ; les
iveau sem- ble un peu tendue et épaissie ; le front est plissé, les
yeux
grand ouverts et la bouche entr'ouverte; les lè
à ce malade de toucher avec sou index droit le bout de son nez, les
yeux
fermés, il tâtonnait à l'entour, sans pouvoir arr
ade se trouvait dans l'impossi- bilité de loucher son nez, avec les
yeux
fermés car avec les yeux ouverts il réussissait
possi- bilité de loucher son nez, avec les yeux fermés car avec les
yeux
ouverts il réussissait - c'était,parce qu'il av
n doigt dans l'espace. Si une personne normale louche même avec les
yeux
fermés le bout de son nez, c'est parce qu'elle se
'ayant plus ce sens, ne peut toucher son bout du nez que s'il a les
yeux
ouverts. En d'autres termes, par la vue il a pu
la vue il a pu remplacer le sens des attitudes, et en lui fermant les
yeux
, nous avons pn réussir à lui faire exécuter le
ns maintenant nos expériences précédentes. Nous disions qu'avec les
yeux
bandés, le malade pouvait toucher le bout de son
s demandons au malade, de partir avec son doigt - toujours avec les
yeux
bandés - du bout du nez, et d'aller toucher l'om-
n'arrive pas à toucher avec un doigt son bout du nez quand il a les
yeux
fermés, mais aussi que, s'il veut faire ce mouvem
ncisions faites avec le couteau. S'il vou- lait couper son pain les
yeux
fermés, cela lui serait impossible, parce qu'ayan
Nous avons vu aussi que pendant que le malade coupait son pain les
yeux
fermés, souvent le couteau déviait et coupait d
s vu les mêmes phénomènes. Il la coupait trop brusquement, même les
yeux
ouverts, et en y portant toute son attention ; et
et en y portant toute son attention ; et quand il coupait avec les
yeux
fermés, en finissant de couper la tranche, il con
. Pour plus de facilité je lui ai dit de suivre l'aiguille avec les
yeux
. Le résultat a été que le malade dépassait toujou
nce. Je citerai maintenant d'autres expériences. En lui fermant les
yeux
, j'ai mis entre le pouce et l'index du malade,
vait quelque chose entre les doigts. Je lui ai dit alors d'ouvrir les
yeux
et de prendre la pierre qu'il voyait maintenant
ncore et on comprend pourquoi - quand le malade la faisait avec les
yeux
fermés. L'explication est la même que dans le c
toute la main. Ces troubles, on les observe quand le malade a les
yeux
ouverts, mais s'il ferme les yeux, ils sont enc
les observe quand le malade a les yeux ouverts, mais s'il ferme les
yeux
, ils sont encore plus accentués, car il ne peut p
vement. De ces expériences, on comprend très bien que même avec les
yeux
ouverts beaucoup de mouvements nécessaires à l'
ci, ou simplement si nous lui demandons de faire le poing avec les
yeux
fermés, il ferme alors simultanément l'autre ma
fermés, il ferme alors simultanément l'autre main. De même avec les
yeux
fermés, il ouvre les deux poings la fois, sans
ésistons un peu, ou s'il exécute sim- plement le mouvement avec les
yeux
fermés, le même mouvement se reproduit alors de
la nuit et de l'incontinence des matières fécales. Rien du côté des
yeux
, les pupilles sont égales et réagissent à la lumi
de tomber de ce côté-là, si le malade exécute ce mouvement avec les
yeux
fermés. Pour toucher avec un talon le genou opp
voilà ce qu'il fait : quand il veut toucher le genou en tenant les
yeux
fermés, il fléchit la jambe du membre avec lequ
e malade ne peut pas rester debout sur un seul pied, même ayant les
yeux
ouverts. Soutenu par les aisselles, ou s'appuyant
bien voir ce qu'il fait. Mais si .on lui dit de s'asseoir avec les
yeux
fermés, il le fait si rapidement qu'on dirait u
plus difficile. Il réussit tout de même à le faire, s'il tient les
yeux
ouverts et s'il s'appuie sur ses deux cannes. Ave
tient les yeux ouverts et s'il s'appuie sur ses deux cannes. Avec les
yeux
fer- més, c'est beaucoup plus difficile : on vo
laire. La preuve est que, si le malade exécute ce mouvement avec les
yeux
ouverts, et s'il le fait avec grande précaution
sur une chaise, si nous lui demandons de se relever, sans fermer les
yeux
, il regarde alors ses pieds, très attentivement
l se lève. Si maintenant nous lui demandons de se relever ayant les
yeux
fermés, et après lui avoir posé les pieds par t
ans la position néces- saire pour pouvoir se relever, même avec les
yeux
fermés. Observation IV. J... D..., âgé de 55
le latéralement, et tombe en dehors s'il fait ce mouvement avec les
yeux
fermés. Il touche un genou avec le talon opposé
ille même aqrès l'avoir mis dessus. S'il fait ce mouvement avec les
yeux
fermés, il commence à toucher la face antérieur
e debout comme une personne nor- male, à condition qu'il tienne les
yeux
ouverts, mais si ayant les yeux fermés nous lui
male, à condition qu'il tienne les yeux ouverts, mais si ayant les
yeux
fermés nous lui déplaçons les jambes, il cherch
bonne po- sition, pour se fixer sur eux. S'il est debout avec les
yeux
fermés, il s'asseoit sur le lit brusquement ; a
vec les yeux fermés, il s'asseoit sur le lit brusquement ; avec les
yeux
ouverts, il s'asseoit au contraire beaucoup plus
e jambe. Pendant l'exécution de ce mouvement, il surveille bien des
yeux
le membre qui se déplace, pour qu'il n'oscille
. Car s'il ne regarde pas, ou s'il déplace le membre en fermant les
yeux
, on observe qu'il relève le pied plus haut qu'ava
é par terre, plus loin que s'il avait fait son pas antérieur avec les
yeux
fermés. En réalité le malade, pose le pied mo
e malade, pose le pied moins loin qu'auparavaut lorsqu'il avait les
yeux
ouverts, et voilà la preuve. Le malade est debout
e maintenant le malade de faire le même pas en avant, mais avec les
yeux
fermés. Cette fois-ci il soulève le pied plus hau
us en arrière que la fois précédente lorsqu'il exécutait le pas les
yeux
ouverts. On le prie après, tout en maintenant l
t le pas les yeux ouverts. On le prie après, tout en maintenant les
yeux
fermés, de retirer sou pied et de le remettre à
oujours avec le même résultat. En d'autres mots, le malade avec les
yeux
fermés, en voulant faire le pas en avant, pose le
n arrière qu'il ne le faisait quand il exécutait le même pas avec les
yeux
ouverts. Voilà quelle est pour nous l'interprét
e étant suspendue en l'air se met à osciller, et comme il tient les
yeux
fermés et comme le sens articu- LE MÉCANISME DE
mesurés. Si nous demandons au malade de faire quelques pas avec les
yeux
fermés, s'appuyant sur sa canne et sur une pers
e un pas tout à l'heure, il ne peut plus en faire d'autres avec les
yeux
fermés, car il ne sait pas où se trouvent ses p
me, mais il soutient qu'il lui est im- possible de marcher avec les
yeux
fermés. Si le malade, qui paraît sincère, nous
d'autres mots, le malade, après avoir fait un pas ou deux, avec les
yeux
fermés, perd ses jambes dans l'espace et ne sait
royait ceux-ci de bonne foi, quand tout en pouvant marcher avec les
yeux
fermés, Duchenne prétendait que ses ma- lades n
ette évolution mor- bide, nous savons nous armer pour l'avenir, les
yeux
fixés non seulement sur une lésion inaccessible
ive métaphore en disant qu'il marche avec ses bras. L'occlusion des
yeux
n'aug- mente pas ses troubles. Il n'a jamais eu
s à la main chez un homme recouvert de ses vêtements, sensibles à l'
oeil
chez un homme nu. Mais ils me parais- sent de d
Les deux temporaux font en effet une saillie anormale appréciable à l'
oeil
au-dessus du pavillon de l'oreille ; la déforma
de l'angle des deux pièces du sternum est toujours bien accusée; l'
oeil
n'apprécie pas la déformation en cuvette, mais on
égion épigastri- que contribue à rendre difficile apercevoir pour l'
oeil
la dépression thoracique. Nous avons trouvé, ch
examinés, les uns ne présentent pas d'altérations appréciables à l'
oeil
nu, les autres (fémurs) attirent l'attention parc
e pieds, cheminant comme une bête, la langue hors de la bouche, les
yeux
et toute la face flamboyante, désirant toujours v
ut envoyé au pape. » «Monstre ayant le nez crochu, le col long, les
yeux
étincelants, une queue aiguë, des pieds fort ag
res tournoyer la nuit sur la lande déserte, autour d'un spectre aux
yeux
pleins de flamme, qui activait la danse en ricana
n ne trouve de nystagmus dans aucun sens ; la pupille, le fond de l'
oeil
sont intacts. Dans le domaine des nerfs bulbair
nt oscillante ou retombait sur l'une ou l'autre épaule. Du côté des
yeux
, on notait un certain degré de nystagmus transver
fut faite par MM. Philippe et Oberthür et je désire mettre sous vos
yeux
les résultats de leurs examens histologiques illu
décrites dans notre premier cas, mais plus petites, non visibles à l'
oeil
nu. On les retrouve partout, mais elles ne sont
reconnaît chacun de nous à son pas ; lorsque nous lui causons, ses
yeux
trouvent immédiatement l'endroit où nous sommes
1901, la malade ne voit plus du tout la flamme qu'on place devant ses
yeux
. Malgré cela elle est persuadée qu'elle n'a pas
eloppèrent une paralysie des muscles droits interne et inférieur de l'
oeil
droit, une parésie du droit inférieur à gauche
int de maux de tête ; vomissements. Pouls 65. L'examen du fond de l'
oeil
dévoile la présence d'une papillite (Stauungs-p
e tumeur de la région des corps quadrijumeaux n'est plus douteux.
Yeux
. En octobre 1896 la pupille droite est dilatée, n
t plus du tout. Peu il peu se développe un strabisme divergent de l'
oeil
droit avec du ptosis, de sorte qu'en juin 1897
ergent de l'oeil droit avec du ptosis, de sorte qu'en juin 1897 cet
oeil
occupe continuellement l'angle externe de l'orb
eut plus être ramené jusqu'à la ligne médiane.Dès la fin de 1898, l'
oeil
gauche reste fixé sur la ligne médiane. Les effor
DEUX GLOBES OCULAIRES, AVEC ATTEINTE DE LA MUSCULATURE INTERNE DES
YEUX
ET CONSERVATION PARFAITE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉ
au moindre mouvement et qui est localisée à la nuque. Examen des
yeux
. Le fait le plus saillant et qui attire tout de s
lytique. En effet, presque tous les mus- cles extrinsèques des deux
yeux
étant paralysés, il y a propulsion des globes o
ments de latéralité à droite et à gauche sont conservés et les deux
yeux
se déplacent jusque dans la position extrême du
ystagmiformes. Les muscles droits externes sont valides et les deux
yeux
sont en strabisme divergent, toutefois le malad
grité partielle des mus- cles intrinsèques. L'examen du fond de l'
oeil
fait constater la stase papillaire avec névrite o
illard, il se plaint en outre d'une sen- sation de brûlure dans les
yeux
et d'une abondante lacrymation ; la conjonc- ti
sur une sensation de chaleur très nette du côté droit. Examen des
yeux
. Les faits les plus saillants sont du côté des ye
oit. Examen des yeux. Les faits les plus saillants sont du côté des
yeux
: le malade présente un ptosis double très pron
fermée à cause d'un degré très grand d'exophtalmie paralytique, les
yeux
sont très saillants et les muscles frontaux donne
paralysie absolue de l'élévation et de l'abaissement dans les deux
yeux
. L'impotence fonctionnelle est la même quand on f
L'impotence fonctionnelle est la même quand on fait fixer les deux
yeux
simultanément ou séparément. Quand on insiste pou
deux yeux simultanément ou séparément. Quand on insiste pour porter l'
oeil
en haut ou en bas, il a de la tendance à se dév
alité à gauche et à droite ont leur amplitude normale dans les deux
yeux
(PI. XXVI, C et D). 16 GRUNER ET BERTOLOTTt B
sociés de latéralité, le mouvement de convergence est nul. Les deux
yeux
sont en strabisme externe, toutefois la diplopie
matopsie avec perte de la cou- leur violette. L'examen du fond de l'
oeil
dénote la stase et l'oedème de la pa- pille des
on de la vue. 21. Commencement de kératite neuro-paralytique dans l'
oeil
gauche. 25. Le malade mange avec appétit, se pl
s on fait exécuter facilement les mouvements de la bilatéralité des
yeux
. 12. Le malade a eu un accès de mouvements spas
science, répond bien aux questions qu'on lui pose. Mou- vements des
yeux
conservés à droite et à gauche. Hémoptysie. 21.
otrice vienne s'associer une paralysie des mouvements conjugués des
yeux
. Il s'agit alors d'un syndrome qui se rapproche
des mouvements (1) PARI\.1UU, Paralysie des mouvements associés des
yeux
, Arch. de neurologie, 1883, p. 145. (2) Sauvi
série, 1903. SYNDROME DE LA CALOTTE PÉDONCULAIRE 169 associés des
yeux
et sur le siège des lésions qui entraînent la par
stence de centres supra-nucléaires pour les mouvements associés des
yeux
, placés dans les tubercules quadrijumeaux, s'im
les voies d'association, qui régissent les mouvements conjugués des
yeux
, se- raient placés dans la protubérance entre l
uadrijumeaux antérieurs, sans paralysie des mouvements associés des
yeux
; tels sont les cas de Nothnagel, de Wienland, de
rt, en étudiant bien les caractères de la paralysie des muscles des
yeux
dans nos cas, parfaitement bilatérale et symétriq
lésion nous renseignait très bien sur la paralysie des muscles des
yeux
, musculature interne y comprise, mais comment a
s du mécanisme qui régit les mouvements conjugués de latéralité des
yeux
; on avait admis pour l'expliquer, un entrecrois
(1) DUVAL ET LABORDE, De l'innervation des mouvements associés des
yeux
. Journal de l'anat., 1880. (2) Bruche, A cas
de perception du monde extérieur, que toutes les diverses parties :
oeil
, oreilles, muscles de la face et du cou; doiven
- sociation qui régissent les mouvements associés de latéralité des
yeux
. Cette donnée est devenue classique depuis les
es quadrijumeaux ou de leur voisinage, la paralysie des muscles des
yeux
porte de préférence sur tous les autres mouvement
alite supérieure subaiguë ou chronique ; alors tous les muscles des
yeux
étant paralysés, le relâche- ment des muscles d
Les artères et les nerfs de la capsule sont sains. Surrénales.- A l'
oeil
nu, les surrénales, bosselées et criblées de poin
Quelques globules nains. 196 BABINSKI ET 'roUrESCO . z Examen des
yeux
. -L'enfant, hypermétrope de + 1 D de ses deux yeu
O . z Examen des yeux. -L'enfant, hypermétrope de + 1 D de ses deux
yeux
, n'a jamais. éprouvé la moindre fatigue oculair
indre fatigue oculaire. Son acuité visuelle est 10/10 pour les deux
yeux
; son champ visuel est normal pour le blanc et le
et à la convergence. Les milieux sont transparents. Le fond de l'
oeil
présente un aspect particulier, il est cyanosé. A
gion maculaire qui partage la teinte bleuâtre du reste du fond de l'
oeil
(V. fig. 2). Cet aspect du fond de l'oeil est s
tre du reste du fond de l'oeil (V. fig. 2). Cet aspect du fond de l'
oeil
est symétrique aux deux yeux. En résumé, cyanos
l (V. fig. 2). Cet aspect du fond de l'oeil est symétrique aux deux
yeux
. En résumé, cyanose des rétines chez un enfant
logique. Les cornées sont transparentes, ainsi que les milieux de l'
oeil
. La skiascopie montre que l'OD est emmétrope, t
V = 2/10. L'iris brun ne présente aucune différence de teinte d'un
oeil
à l'autre. Les pupilles, rondes et égales, réag
visuel est normal, ainsi que la vision des couleurs. Dans les deux
yeux
, la teinte générale du fond de l'oeil est un peu
n des couleurs. Dans les deux yeux, la teinte générale du fond de l'
oeil
est un peu bleuâtre, la région maculaire est fo
ec l'hyperpigmentation DE LA CYANOSE DES RÉTINES 199 du fond de l'
oeil
qui accompagne la pigmentation congénitale de la
rmale, tandis que dans le premier elle n'est que de 1/4 pour chaque
oeil
. Le dernier cas de cya- nose rétinienne est dû
nik in Tübingen, t. II, 3, p. 411. PANAS. - Traité des maladies des
yeux
, t. 1, p. 619. Sébileau. Thèse de Paris, 1904,
existe une déformation thoracique plus 212 MATIGNON apparente à l'
oeil
que réelle, chaque hémi-thorax ayant les mêmes di
é lui- même à une opération de ce genre, soit qu'il ait eu sous les
yeux
une de ces bel les gravures sur bois ou sur cui
ix de nombreu- ses ulcérations corticales. La moelle présente à l'
oeil
nu une teinte grise des cordons postérieurs. Le
hérentes d'hypochondrie : il n'a plus de tête, on lui a arraché les
yeux
, etc. ; il est inconscient de sa situation et inc
oite est la plus dilatée. Pas de nystagmus ; pas de dé- viation des
yeux
. La sensibilité au tact et à la douleur paraît
'obstacle. Le même fait se produit, que l'on place l'objet devant l'
oeil
gauche ou l'oeil droit. Les bruits les plus vio
ême fait se produit, que l'on place l'objet devant l'oeil gauche ou l'
oeil
droit. Les bruits les plus violents ne paraisse
nte de fatigue et de somnolence. B La malade essayant de fermer les
yeux
: occlusion incomplète des paupières et des lèvre
: « Ramollissement bulbaire intéressant les centres mo- teurs de l'
oeil
(VIe paire droite) et le facial du même côté » da
... lisait la page de gauche ; le léger mouvement de la tête et des
yeux
nécessaires pour passer à la page de droite ame
droite ». De plus, avant de commencer ce mouvement, elle tourne les
yeux
à gauche et fixe le bord de la cornette tant qu
lève pas chez la malade d'autre tare organique : l'examen du fond d'
oeil
nous a paru normal ; peut-être y a-t-il sur la ré
ement défaut de la façon la plus complète ; le nez est épaté et les
yeux
donnent l'impression d'un exorbitisme parfois exc
nerfs oculo-mo- teurs, sans se rendre compte que la disposition des
yeux
est purement relative, à la fois à l'absence ou
rale, on observe un certain nombre de traits généraux apparents à l'
oeil
nu et que met en évi- dence la dissection simpl
rbide présente encore des restes de poils parfaitement visibles à l'
oeil
nu, vestiges des cheveux que l'on retrouve généra
, ces troncs nerveux se perdent dans une masse en tout semblable, à l'
oeil
nu, à la tumeur ordinaire des Pseudencéphaliens
hique bien développé et n'offrant aucune altération appréciable à l'
oeil
. C'est d'ailleurs ce qu'ont noté les différents
essent déjà leur disparition prochaine. Nous voyons naître sous nos
yeux
un tissu conjonctivo-vasculaire, qui tend à se su
rfois un champ d'un demi-centimètre, et par conséquent visibles à l'
oeil
nu. Au microscope, la paroi de ces lacunes ne p
anglions se retrouve; elle se retrouve tout particulièrement dans l'
oeil
. La plupart des auteurs qui ont examiné au micr
dans l'oeil. La plupart des auteurs qui ont examiné au microscope l'
oeil
les pseudencéphaliens ont indiqué que cet oeil
miné au microscope l'oeil les pseudencéphaliens ont indiqué que cet
oeil
offrait la structure habituelle ; quelques-uns mê
rimitifs de l'embryologie. J'ai fait des observations analogues : l'
oeil
est constamment en bon état. Mais, il faut bien
aient débuté plus tôt, soit qu'ils aient marché plus rapidement, l'
oeil
présente des lésions assez accen- tuées. 4° M
arche générale du processus méningitique. L'intégrité relative de l'
oeil
, et, d'une façon plus générale, celle des ganglio
te constitution est pour nous très claire : nous avons ici sous les
yeux
une phase plus avancée de l'envahissement conjo
rachidien. 392 RABAUD ganglion. Dans l'ensemble, on n'a sous les
yeux
qu'une néoformation vasculo- conjonctive, tout
u moelle) appartiennent les différentes régions que l'on a sous les
yeux
, la chose est tout à fait impossible; on ne peu
cas précédents ; nous avions constaté la tardive inflammation de l'
oeil
; tout cela n'est rien à côté de ce fait que le
anche, elle ne peut être indiquée en aucune façon ; on n'a sous les
yeux
que des débris. L'envahissement vasculo-conjoncti
sibilité de tirer la langue hors de la bouche. Rien d'extérieur aux
yeux
. Membres supérieurs normaux de tous points. P
che pachydermique. Clonus du pied. Le malade ne suit pas avec ses
yeux
le doigt ; mais il existe des mouvements sponta
vec ses yeux le doigt ; mais il existe des mouvements spontanés des
yeux
. 15 décembre 1904. Même tableau. Etat actuel,
r une chaise : Expression ahurie et pleurarde du visage. Fixité'des
yeux
dont l'ouverture est étroite. Déviation de la f
ure des muscles élévateurs de la mâchoire. Réflexe massélérin fort.
Yeux
. - Muscles difficiles à examiner, le malade ne su
le doigt quand on le lui commande. Mais quand il tourne la tête les
yeux
se déplacent et gagnent la commissure palpébral
un peu lentes à la lumière. Pas de nys- tagmus. , Rien aux fond d'
oeil
. Sensibilité. Le malade localise bien mais fait
in, obs. 28). Quant à la diffi- culté que le malade a de suivre des
yeux
le doigt de l'observateur, nous ne pouvons nous
esponsable, quoique dans les mouvements de rotation de la tête, les
yeux
suivent le mouvement. Peut-être cette contracture
iocre, orientation bonne. Dépression morale avec pleurs. Rien aux
yeux
, tremblement fibrillaire de la langue. Tremblemen
spasme du peaucier avec déviation de )a commissure ; occlusion de l'
oeil
avec contraction du contât se traduisant par des
ctions mus- culaires qui, d'abord limitées soit au menton, soit à l'
oeil
, soit à une autre partie de la figure, se génér
e la commissure labiale en haut et en arrière, à une occlusion de l'
oeil
, et provoquent une déformation spéciale de la f
ulière est la suivante : en même temps que le muscle orbiculaire de l'
oeil
se contracte et que l'oeil se ferme, la partie
ême temps que le muscle orbiculaire de l'oeil se contracte et que l'
oeil
se ferme, la partie interne du muscle frontal se
is sont en opposition avec de pareils actes ; quand, par exemple, l'
oeil
se ferme sous l'influence de la volonté, le sou
l, du moins sa partie interne, se relève pendant l'oc- clusion de l'
oeil
. J'ajoute que l'incurvation du nez, la fossette m
droite.Elle s'est d'ailleurs amen- dée au point que l'occlusion des
yeux
est parfaitement possible ; mais elle apparaît
urs de la commissure lobiale du même côté, pendant l'occlusion de l'
oeil
droit. C. - Même phénomène pendant l'occlusion
sés. Mais vient-on à commander au sujet de fermer énergiquement les
yeux
, voici que, en même temps que l'orbiculaire des
IX) ! Le phénomène est encore plus frappant quand le malade ferme l'
oeil
droit isolément (fig. B). Voilà bien la synergi
obule droit est un peu plus grand et plus accolé que le ganche. Les
yeux
normaux, les pupilles égales, elles réagissent
écial, celui de la scoliose hystérique, dont nous avons eu sous les
yeux
un exemple intéres- sant au début de l'année et
ENFANTS 461 d'un côté, en avant de l'autre côté : or il sautait aux
yeux
, du premier coup, que le thorax était parfaitem
s les membres tout à fait égaux, à la mensuration aussi bien qu'à l'
oeil
. De toute notre étude clinique ressortait cette
t rose, aucune trace d'amaigrissement. La mine est très éveillée, les
yeux
vifs, les regards extrêmement mobiles. Aux prem
ouvantables. Le vacarme été si affreux que les larmes coulaient des
yeux
d'un grand nombre de spectateurs. Beaucoup d'étra
mucine, as- sez translucide chez le nouveau-né, paraît parfois, à l'
oeil
nu, traversé par un réseau de petits tractus co
ent intactes. Tous les vaisseaux, on peut dire, y sont visibles à l'
oeil
nu tellement l'anneau sclé- reux qui les entour
n de dégénérescence. Pas de troubles de la musculature externe de l'
oeil
bien qu'il dise avoir eu parfois un peu de dipl
ut; on ne peut, par exemple, distinguer aucun phénomène du côté des
yeux
isolés de leur cen- tre, dont les muscles ont p
la constitue prive la cavité orbitaire d'une partie de son toit, l'
oeil
parait faire saillie en dehors de l'orbite, alo
s.. Le cerveau, dont le poids est de 1030 grammes, ne présente, à l'
oeil
nu, aucune altération ; il en est de même pour
upes colorées par l'hématoxyline-éosine. Sur une de ces coupes, l'
oeil
est attiré de suite sur une bande cartilagineuse
a rapporté du même A. Cooper un cas très singulier, dans lequel les
yeux
furent chassés de l'orbite par un processus d'exo
ort à Page de 13 ans environ. De plus, il était né aveugle des deux
yeux
. Esthérine n'a jamais été malade ; son aspect t
, frère de la précédente, 2 ans et demi. Il est né aveugle des deux
yeux
(irido-choroïdite bilatérale avec formation de sy
ppelé, dans ma revue du début, le cas de A. Cooper, dans lequel les
yeux
furent expulsés de l'orbite par de semblables pro
ens (Archiv. sur Ophtalmo- logi, 1873) a examiné au microscope huit
yeux
énucléés, y a trouvé du tissu osseux de nouvell
/2 milimètre de diamètre à peu près, et par conséquent visibles à l'
oeil
nu. Au microscope elles sont composées par un a
ssance. Elle a un facies et une attitude absolument particuliers. L'
oeil
droit complète- ment fermé, l'oeil gauche peine
itude absolument particuliers. L'oeil droit complète- ment fermé, l'
oeil
gauche peine entr'ouvert et découvrant un globe o
mobilisé dans l'angle externe, elle doit pour regarder avec le seul
oeil
gauche imprimer à la tête des mouvements de renve
ce ptosis bilatéral, et sans insis- ter maintenant sur l'examen des
yeux
qu'on trouvera plus loin, elle présente (1) Com
de ne sait ni lire, ni écrire ; caractère irritable. - Examen des
yeux
. - Des deux côtés le ptosis est complet ; à gauch
ué, animés d'un nystagmus horizontal à oscillations très rapides. L'
oeil
gauche dans le sens horizontal a une mobilité d'e
de la malade rendent impossible un examen satisfaisant du fond de l'
oeil
. Cependant il n'existe certainement pas de grosse
essortir au bégaiement. Le troisième enfant, fille de 20 ans, a les
yeux
normalement conformés. Le quatrième est la malade
que nous avons vue et qui ne présente rien d'anor- mal du côté des
yeux
et dont le développement est régulier. OBs. II.
l'observation I mais à un degré sensiblement moindre. Examen des
yeux
. L'ophtalmoplégie existe depuis la naissance et n
rts de la malade. Si on soulève les deux paupières on voit les deux
yeux
en divergence. Mesurée au périmètre cette diverge
à droite. On peut provoquer un mouvement t d'adduction dans chaque
oeil
isolément sur un parcours de 25 à 30 degrés. Les
d'élévation, et d'abaissement sont absolument impossibles. Les deux
yeux
sont animés d'un nystagmus horizontal à petites o
'accommodation est normale, on ne constate aucune lésion du fond de l'
oeil
. OBS. III. F. Alphonse,14 ans. Né à terme. Aucu
ns immédia- tement la description de l'ophtalmoplégie. Examen des
yeux
. - O.G. Le bord inférieur de la paupière supérieu
le. O.D. Il n'atteint que le bord inférieur de la pupille. Les deux
yeux
sont en divergence très marquée, surtout à droi
sont égales et réagissent normalement. Pas de lésions du fond de l'
oeil
. Les lésions de la cornée ont produit un astigm
blance d'une origine syphilitique de l'ophtalmoplégie. Examen des
yeux
. 0. D. La paupière supérieure cache la moitié de
qué et la paupière descend seulement un peu' au-dessous du limbe. L'
oeil
droit est en divergence de 20 à 25 degrés ; il pe
vergence de 20 à 25 degrés ; il peut converger de 15 à 20 degrés. L'
oeil
gauche est en divergence de 50 degrés ; il ne s
rés ; il ne semble pas avoir de mouvements de convergence. Les deux
yeux
présen- tent également du nystagmus horizontal.
ontal. Il y a donc là plus qu'une simple paralysie extrinsèque de l'
oeil
mais tout un ensemble de troubles de développem
éfaut chez tous. L'intégrité absolue de la musculature interne de l'
oeil
chez tous les membres de cette famille est un f
'un arrêt de développe- ment, d'une aplasie des noyaux moteurs de l'
oeil
. A ne s'en tenir qu'aux arguments d'ordre clini
t héréditaire, la bilatéralité, l'inégale atteinte des muselés de l'
oeil
aux diverses générations parlent évidemment avec
en histologique des organes, aussi bien des ganglions nerveux et de l'
oeil
que des organes somatiques révèle des processus
iale de la maladie intra-utérine. L'exemple que nous avons sous les
yeux
est, à ce point de vue, tout à fait instructif. I
u crâne ; le cerveau, quoique mal développé, paraissait indemne à l'
oeil
nu. L'auteur considère ce cas comme se rattachant
n des ganglions rachidiens et crâniens. On s'est étonné de voir les
yeux
exister et même atteindre un degré très avancé
pidement. Il semblerait, en effet, qu'il dût en être ainsi; que les
yeux
aussi bien que les ganglions spinaux ne dussent p
ouvons en conclure que l'état de différenciation où nous trouvons l'
oeil
et les ganglions a été acquis bien après l'inva
, mais il s'expliquerait précisément par l'action du sympathique, l'
oeil
étant complètement isolé de tout centre cérébra
émoire est imprimé, deux travaux ont paru : G. F. COS\fETTAT05. - L'
oeil
des Anencéphales. Archives d'ophtalmologie, 1905,
n rai- son de son âge réel, ses parents croyaient devoir fermer les
yeux
. Dans d'autres cas moins caractéristiques ou mo
in du myxoedème. Le jeune Philippe avait le facies « lunaire », les
yeux
un . peu bouffis, les lèvres épaisses, les joue
es encore gonflées par une « boule de Bichat » volumineuse,s'il a les
yeux
bouffis comme au jour de sa naissance, incontes
urs que dans les mille exemples que nous avons chaque jour sous les
yeux
. Dès l'instant que l'in- fantilisme total est,
ans un fauteuil, sans prononcer une parole, les membres raides, les
yeux
fermés ; les mâchoires serrées rendant l'introduc
ion, les bras également demi-uéchis et appuyés sur la poitrine, les
yeux
fermés. Si on le découvre pour l'examiner, on l
enues oedématiées par suite de cette position, la tête fléchie, les
yeux
fixés sur l'une ou l'autre de ses mains, qu'il re
les coupes traitées par la méthode de Weigert-Pal on voit déjà a l'
oeil
nu ou avec un faible grossissement (Pl. V, B et
foncées et elles présentent par places de gros amas de myéline. A l'
oeil
nu les nerfs ne sont pas atrophiés ; quelques-u
as de Romberg. La démarche n'est pas influencée par l'occlusion des
yeux
(PI. VII). La force musculaire est conservée d'
mière et à l'accommodation conservé. Pas de nystagmus. Motilité des
yeux
normale. ' Pas de troubles de la sensibilité (s
les segments des membres inférieurs et supérieurs ; la motilité des
yeux
est normale, il n'y a pas de nystagmus. La pa
des atrophies cérébelleuses. Examen anatomique. Rien à noter à l'
oeil
nu dans les hémisphères cérébraux dont les méning
itre l'étude comparative des coupes sagittates et horizontales. A l'
oeil
nu on peut déjà observer que l'écorce du lobe qua
lle prend avec l'hématéine-éosine, le carmin. Ce- pendant, même à l'
oeil
nu, la distinction entre les trois couches (moléc
é de relever la paupière gauche et de plus l'amaurose complète de l'
oeil
droit et un affaiblissement considérable de l'a
droit et un affaiblissement considérable de l'acuité visuelle de l'
oeil
gauche. Elle consulte Panas et Galezowski qui d
mois plus tard la vision réap- paraît progressivement dans les deux
yeux
; dès lors la malade voit double. Dans la suite
t double. Dans la suite la vision redevint normale à gauche, mais l'
oeil
droit après cette amélioration transitoire devi
es escaliers mieux qu'elle ne les monte. Dans la station debout les
yeux
fermés, le signe de Romberg est ébauché. La for
n est égal an tiers du temps normal. De tous les organes des sens l'
oeil
seul est touché. Cet examen a été prati- qué pa
ment composés pour les peintres et les sculpteurs. . J'ai sous les
yeux
un Atlas intitulé : Abrégé d'anatomie accommodé a
illeures oeuvres d'art. Mais, toujours, le futur artiste a sous les
yeux
l'image réelle de la vie qu'il est appelé à rep
de même pour le futur médecin ? Pourquoi ne met-on jamais sous ses
yeux
l'image de la vie qu'il est des- tiné à conserv
abisme externe) ; mais pas de mydriase, la musculature interne de l'
oeil
n'est pas touchée par la paralysie. A gauche : pt
a ophtalmoplégie (sans participation de la musculature interne de l'
oeil
), et paralysie de la branche motrice de la 5e pai
rotubérance et le bulbe ne présentent pas de lésions appréciables à l'
oeil
nu. Moelle la dure-mère est d'aspect normal, sa
orrespon- dantes.A ces divers étages de la moelle on peut, même à l'
oeil
nu, sur les mor- ceaux encore dans le liquide d
hématoxyline-éosine, Pal, Pal- cochenille, Weigert. Moelle.- A l'
oeil
nu on voit déjà qu'il existe, dans la région sacr
up moins développée que la moitié droite. Cette asymétrie, même à l'
oeil
nu, paraît être due à une atrophie plus ou moin
admirablement conservé, d'aspecl très robuste, au teint coloré, aux
yeux
vifs, paraissant dans un état de santé géné- ra
gite ; et en ayant conservé encore actuellement l'aspect devant les
yeux
, je n'ai aucune hésitation à l'attribuer un tro
e à faire, ce qu'on appelle magotage, en terme de métier, crève les
yeux
: les raccords n'ont rien d'anatomique. Enfin, il
Ils seraient ainsi en mesure de comparer le cadavre au vivant. Leur
oeil
s'habituerait à la configuration de l'homme nor
0 l'état de ses membres du côté droit n'a pas sensiblement varié. L'
oeil
gauche resta fermé pendant 5 mois après le début
oit interne au contraire se contracte modérément. Le mouvement de l'
oeil
en dehors est normal. Le ma- lade est dans l'im
alade, qui ne peut pas accommoder, ait l'impression que sa vue de l'
oeil
gauche est très mauvaise, la recherche de l'acu
roite. A l'ophtalmoscope, on ne constate aucune lésion du fond de l'
oeil
. Réflexes : le réflexe rotulien est très exagér
ubles objectifs ou subjectifs de la sensibilité générale. Fond de l'
oeil
normal. Goût et odorat normaux. Forte diminution
e, et une hémianopsie homonyme droite avec réaction hémiopique de l'
oeil
droit. L'auteur émet l'hypothèse de l'existence
à la réaction hémiopique de Wernicke ; nous savons seulement que l'
oeil
droit réagissait bien à la lumière et à l'accommo
la lumière et à l'accommodation. Mais nous ne savons pas si, pour l'
oeil
droit, le réflexe pupillaire à la lumière pouvait
paire intéressant presque complètement la musculature externe de l'
oeil
innervé par ce nerf et complètement la musculatur
, rapproché de la paralysie complète de la musculature interne de l'
oeil
semble être en contradiction avec l'opinion sou
adiculaires de la IIP paire, correspondant au di- vers muscles de l'
oeil
. - Quoi qu'il en.soit, il est indéniable que nous
auti-c côté une nécrose semblable plus près du sillon. Il saute aux
yeux
qu'une embolie gazeuse des branches nourricières
faciale incomplète ; ophtalmoplégie externe totale et complète à l'
oeil
gauche, et incomplète au droit ; réaction pupilla
d'amélioration ; la tachycardie avait cessé, il pouvait mouvoir les
yeux
, les lèvres et la tête, quand il restait assis su
Mais ces temps ne sont plus et nous ne voulons que mettre sous les
yeux
du lecteur un document iconographique, qui vien
30. 228 VOISIN, MACÉ DE LI : I'1NA1 ET lNFlio1'l' sif facial, les
yeux
à fleur de tête, le nez allongé, la bouche large
légèrement jaunâtre, ridée aux tempes, légèrement bouffie sous les
yeux
. Les cheveux, plantés bas sur le front, sont cl
porter maintenant. 1° Instillation d'une goutte d'eau froide dans l'
oeil
droit ; le contact de cette goutte provuque une
yosis intense; le malade accuse une sensa- tion de tension dans son
oeil
et il prétend voir plus mal qu'auparavant ; il a
ade n'en éprouve aucune gène à cause de sa myopie. 7° Pendant que l'
oeil
est sous l'action de l'atropine, l'instillation d
trode positive est placée dans le dos et l'électrode négative sur l'
oeil
, la paupière étant fermée. Les courants faibles
lésion anatomique de l'iris lui-même ; enfin rien dans l'état de l'
oeil
ne peut l'expliquer. Il nous faut donc rattacher
a face est de même absolument normale ; le malade siffle, ferme les
yeux
, d'une manière correcte. Lorsqu'il tire la lang
; il y a donc une paralysie de la corde vocale droite. Du côté des
yeux
, s'il n'existe aucune lésion du fond de l'oeil et
droite. Du côté des yeux, s'il n'existe aucune lésion du fond de l'
oeil
et si les pu- pilles réagissent bien à la lumiè
s vers la droite, c'est-à-dire fait agir le muscle grand oblique de l'
oeil
droit. La sensibilité est extrêmement touchée
esthésie de la face. Le nystagmus rotatoire constaté au niveau de l'
oeil
droit du malade quand il regarde en bas et en d
ce semi-circulaire récente dans la région pariétale droite. Fond de l'
oeil
gauche apparemment normal ; à droite, dilatatio
de connaissance sans convul- sions. Léger strabisme divergent de l'
oeil
droit. Les moitiés droites des rétines paraisse
us à sortir la langue ; il salue encore de la tête et nous suit des
yeux
. Rxitus le 4 avril 1904. DATES. - 30 septembre
'examen macroscopique de l'encéphale a démontré que le cerveau, à l'
oeil
nu ne présentait pas de modification importante.
e entre les deux moitiés de la surface de section est appréciable à l'
oeil
nu, mais beaucoup plus visible il un faible gro
ti- cale ou centrale. La moelle ne présentait aucune altération à l'
oeil
nu, mais elle n'a pas été examinée au microscop
sa compagnie de faire balte, dit adieu à ses soldats les larmes aux
yeux
et commanda ensuite au sergent-major de continuer
u 25 février 1907 : n Le cervelet présente des lacunes visibles à l'
oeil
nu, lacunes nombreuses et quelques-unes capables
u sa vue s'affaiblit. Il s'aperçoit un jour, par hasard, en fermant l'
oeil
gauche, qu'il ne voyait plus de l'oeil droit.
ur, par hasard, en fermant l'oeil gauche, qu'il ne voyait plus de l'
oeil
droit. En juillet 1904, il rentre à l'hôpital m
as- sétérin est exagéré. Il n'y a pas de paralysie des muscles de l'
oeil
. Le diagnostic porté était celui de paralysie p
ement en deçà de la ligne médiane et euvahissant l'angle droit de l'
oeil
; en haut, allant se perdre par nuances dégradé
ion des oreilles, l'audition n'est pas considérablement diminuée.
OEil
. Le malade prétend ne pas voir très clair ; les p
Toutes les modifications portent sur la 'substance grise. Déjà à l'
oeil
nu on constatait dans la région cervicale in- f
aris, 1899. DEBOUT et DUPLAY. - Dict. Dechambre. DEBOUT. - Coup d'
oeil
sur les vices de conformation produits par l'arrê
s, le nez ré- gulier et non déprimé à la racine. Les narines et les
yeux
sont très écartés (la distance entre les deux a
x sont très écartés (la distance entre les deux angles internes des
yeux
est de 4 cent. 3). La voûte palatine est profon
ceinte et six mois après elle commença à remarquer une saillie de l'
oeil
droit et un accroissement notable du genou droit
mouvement des globes oculaires est normal ; toutefois le globe de l'
oeil
droit est en strabisme externe ; ce strabisme exi
L'examen des réactions pupillaires, du champ visuel et du fond de l'
oeil
est complètement négatif. Outre le sens de la v
impor- tance dans la genèse de ce mouvement involontaire : les deux
yeux
ne voient pas également bien ; le gauche est un
longue date, Taurone a-t-il pris l'habitude d'utiliser surtout son
oeil
droit, et, pour cela, il tourne la tête à gauche.
ttitude lui est notamment familière il fixe son papier avec le seul
oeil
droit. se rappelle d'ailleurs que plusieurs perso
et il pense que c'est pour regarder l'interlocuteur de son meilleur
oeil
. D'autre part, Taurone entendait moins bien de
un livre, la tête est entraînée à gauche; il ne peut lire que de l'
oeil
droit, et encore est -il obligé de déporter con
e la face, et une ligne horizontale passant par les angles des deux
yeux
; au-dessous de cette ligne, une seconde ligne ho
hori- zontale passe par la base du cou, au-dessus des épaules. Les
yeux
doivent rester fixés sur le point d'intersectio
s contractions un peu dou- loureuses de la face avec clignement des
yeux
. 4° Je passe ma journée à tiquer constamment et
aient fait perdre à celui-ci son efficacité ; en effet, lorsque mes
yeux
se trouvaient en face du croisement des lignes
est cette attitude défectueuse pro- voquée par le désir d'avancer l'
oeil
droit, bien meilleur chez moi que l'oeil gau- c
uée par le désir d'avancer l'oeil droit, bien meilleur chez moi que l'
oeil
gau- che, qui a dû (prise inconsciemment depuis
bauche de contractions accessoires ; le cuir chevelu, le front, les
yeux
, les joues, le nez, la bouche, le peaucier du c
e le tiens un peu à droite pour entraîner la tête de ce côté, et, l'
oeil
fixé sur les caractères, et la pensée autant que
de droite est dépoli, de sorte que je suis obligé de regarder de l'
oeil
gauche et de prendre ainsi une position inverse d
lsif et la tête se portait violemment à gauche, dès que je jetais les
yeux
sur la ligne verticale ; j'ai essayé de faire d
2) a pu observer quelquefois le phénomène inverse, c'est-à-dire les
yeux
déviés vers le bas; je n'ai pas réussi à observ
rnée) ; 2° Il facilite la sortie des larmes des points lacrymaux (l'
oeil
reste pressé). Le mouvement des paupières infér
oints lacry- maux les corps étrangers qui peuvent se trouver dans l'
oeil
; 3° L'oeil est protégé d s actions extérieures
maux les corps étrangers qui peuvent se trouver dans l'oeil ; 3° L'
oeil
est protégé d s actions extérieures (le phénomène
, de nettoyer la cornée des corps étrangers). Celle déviation des
yeux
vers le haut est un mouvement combiné d'un très
e était plus épaisse, à cause de la contraction de l'orbiculaire, l'
oeil
reçoit une moindre quan- tité de rayons, et sim
it les bulbes oculaires dans aucune direction, que la déviation des
yeux
vers le haut était un phénomène actif. En effet
l'obtenir dès que la paupière inférieure était mise au contact de l'
oeil
. On peut observer le phénomène de Ch. Bell, non
omène de Ch. Bell, non seulement chaque fois z que la pression de l'
oeil
est complète, mais aussi comme j'ai pu l'observer
r en confirmant les résultats d'autres observateurs, en examinant l'
oeil
des sujets qui sont sur le point de s'endormir
sujets qui sont sur le point de s'endormir ; car dans cet état les
yeux
.sont tournés en haut, vers l'extérieur, au-dess
vaient l'habitude de dormir avec les pau- pières mi-closes, que les
yeux
se meuvent, ou, généralement, qu'ils sont tourn
oumis à l'action de ses propres centres nerveux et où la fixation des
yeux
ne dépend plus de sa volonté. Dans ces cas, en
eur. Chacun a observé, à ce propos, la position caractéristique des
yeux
d'un individu soumis à la narcose géné- rale ch
.Jl1'ome du Domenicllino pour se donner une idée de la position des
yeux
dans l'extase et dans l'évanouissement. Guido R
ement. Guido Reni fut incomparable pour représenter la position des
yeux
dans l'agonie,comme on peut le voir dans ses fi
cce Homo (PI.LXXXIX). Non moins caractéristique est la position des
yeux
du Saint Sébastien du même Guido Reni (il sembl
eure. De plus, il insista beaucoup sur ce fait que la déviation des
yeux
ne faisait pas partie intégrante de la maladie, m
s paupières demi-fer- mées, on voit manifestement le phénomène de l'
oeil
. Ce phénomène est bien plus manifeste en cas de
rieur ; tandis que, si l'on fait fermer arec force les paupières, l'
oeil
du sujet se meut à l'inslant dans la direction
facial, la cornée disparaît si complètement sous la paupière que l'
oeil
ressemble à celui des anciennes statues dans le
on ne voit jamais modelées ni la cornée ni la pupille. A peine les
yeux
sont-ils sous les paupières supé- rieures, qu'o
n examinant le mouvement des muscles du visage, le déplacement de l'
oeil
vers le haut, en serrant les paupières, devient t
s individus la même impulsion volontaire commande la fermeture de l'
oeil
(par la voie du facial) et qu'elle transmet en mê
force (j'ai pu constater cela en fixant une flamme, en fermant les
yeux
et en les ouvrant de nouveau : l'image négative
agel observe en outre que le phénomène était plus in- tense quand l'
oeil
était comprimé par un bandage occlusif; on pouvai
fixer un objet, car précisément pendant la' période d'occlusion, l'
oeil
était resté dans la position de Ch. Bell. 516
mée contre le paroi supérieure de la cavité oculaire. En fermant un
oeil
par un bandage occlusif trop pressant, Nagel nota
age occlusif trop pressant, Nagel nota qu'en fixant un objet avec l'
oeil
libre, la tète de l'observateur se courbait incon
rmé, qui était dans la position de Bell, et dans les jours suivants l'
oeil
fermé présentait une douleur caractéristique co
u'on devrait avoir si elle dépendait réellement de celle position des
yeux
). Selon Nagel, à peine eût-on cocaïnlsé la corn
ion des yeux). Selon Nagel, à peine eût-on cocaïnlsé la cornée de l'
oeil
occlus, l'observa- teur put regarder avec l'oei
lsé la cornée de l'oeil occlus, l'observa- teur put regarder avec l'
oeil
qui était resté libre en ligne directe sans épr
ésie de la cornée était complète j'invitais les sujets à fermer les
yeux
et à l'aide de deux doigts posés sur les paupière
rapport avec les résultats obtenus après la cocaïnisalion des deux
yeux
on est porté à conclure que le phénomène de Cha
revient à lui, et par conséquent où reparaît le réflexe coméal, les
yeux
reprennent tout de suile leur position normale)
entres supérieurs cérébraux, en-' voient des nerfs aux muscles de l'
oeil
, de la face, de la langue, etc. situés du même
sa dépendance la plus grande partie de la musculature externe de l'
oeil
par les filets qu'il envoie aux muscles droit int
ment sous sa dépendance une partie de la muscu- lature interne de l'
oeil
par les filets qui vont au muscle ciliaire et au
et reprenons l'examen de notre malade. Vous pouvez constater que l'
oeil
droit est entièrement recouvert par la Nouv. IC
PERMANENTE 9 paupière supérieure tombante et paralysée, alors que l'
oeil
gauche est grand ouvert, et que de ce côté vous
et caractérisé par l'impossibilité absolue de porter le globe de l'
oeil
droit dans l'angle interne. Voici d'ailleurs le
dans l'angle interne. Voici d'ailleurs le résultat de l'examen des
yeux
pratiqué par leD" Sau- vineau, chef des travaux
oit inférieur, petit oblique, c'est-à-dire de tous les muscles de l'
oeil
droit innervés par les branches extrinsèques de
t mouvoir un objet de gauche à droite devant l'un ou l'autre de ses
yeux
, elle ne le perçoit qu'au moment précis où il a
t qu'au moment précis où il arrive sur le plan vertical médian de l'
oeil
pour venir se placer en face de la moitié droit
sorte qu'on constate une hémiopie 10 A. JOFFROY temporale pour l'
oeil
gauche, et une hémiopie nasale pour l'oeil droit,
JOFFROY temporale pour l'oeil gauche, et une hémiopie nasale pour l'
oeil
droit, c'est-à-dire, ce que l'on désigne sous l
peu accusés, l'hémi- plégie légère et la paralysie des muscles de l'
oeil
en voie d'amélioration, tandis que l'hémiopie p
phasie a complètement disparu, et c'est à peine si les muscles de l'
oeil
révèlent à un examen systématique un peu d'affaib
calqué sur le précédent. . Le malade se présenta très inquiet, les
yeux
égarés et la physionomie angoissée. Il montrait
u'il n'y avait aucune parésie, j'ai pu remarquer que le malade, les
yeux
fermés, ne se rendait pas compte de la position
la grande névrose, c'est l'abolition des mouvements volontaires des
yeux
absolue pour l'élévation et la convergence, et ma
surtout s'il est placé au-dessus du plan horizontal passant par ses
yeux
, ceux-ci res- tent immobiles. < Une maladi
à la lumière et à la distance sont normales ainsi que le fond de l'
oeil
et l'acuité visuelle. Observation II. - Pic...
emière cataracte. LES PEINTRES DE LA MÉDECINE UNE OPÉRATION SUR L'
OEIL
PAR HENRY MEIGE. Une peinture de la galerie
représente un chirurgien de vit lage pratiquant une opération sur l'
oeil
d'un paysan. C'est, à notre connaisssance, le s
s la galerie de Schwerin, etqui forme pen- dant à l'Opération sur l'
oeil
dont nous allons parler (2). Ce tableau est int
NE Dietrich (1 ï 12-1 ïï4) École allemande. Une opération sur l'
oeil
. (Galerie de Schwerin.) UNE OPÉRATION SUR L'O
opération sur l'oeil. (Galerie de Schwerin.) UNE OPÉRATION SUR L'
OEIL
61 les giboulées, son feutre a pris une forme e
il fait usage. Que veut-il tenter ? Très probablement, retirer de l'
oeil
de son client un corps étranger insupportable,
pas la portée des barbiers de village. Les soins qu'ils donnaient aux
yeux
se limitaient à de grossiers pansements pour le
ien qu'il pousse un cri de douleur ou d'effroi. Mais la mimique des
yeux
n'accompagne pas celle du reste du visage. L'en
ent dans le bassin. Le fait est saisissant et facile à observer à l'
oeil
nu. Quant aux oscillations dans le sens de la h
prédominance unilatérale, par paralysie de tous les mouvements de l'
oeil
gau- che. Le signe d'A. Robertson existe des de
obertson existe des deux côtés. Il n'y a pas de lésion du fond de l'
oeil
. La sensibilité objective est conservée à tous le
rophie blanche de la papille. En plus, scotome scintillant devant l'
oeil
gauche. La malade souffre de crises rectales av
e indubitable, quand on fait faire au malade certains exercices les
yeux
fermés. L'exploration de la-sensibilitéest diff
réciable, diffus. La moelle est diminuée de volume. On constate à l'
oeil
nu une sclérose des cordons postérieurs dans to
onsidérablement exagérés; la malade perd l'équilibre en fermant les
yeux
. Ainsi dans tous les cas du lichen ruber que no
ont considérablement exagérés, surtout du côté gauche du corps. Les
yeux
fermés le malade ne peut pas garder l'équilibre
adique est sensiblement diminuée du côté gauche du corps. Ayant les
yeux
fermés le malade ne peut pas garder l'équilibre
u triangulaire du menton, Bokaï celle des muscles extrinsèques de l'
oeil
. Munchmeyer croyait également que les muscles d
ésentation fidèle des types morbides vivants qui passent sous leurs
yeux
. Bien mieux qu'un dessin, et même qu'une photog
d'ap- peler l'Infantilisme myxoedémateux. Il suffit de jeter les
yeux
sur la reproduction de la statuette (PI. XVI) p
osités; tous ces phénomènes, d'ailleurs frustes, échapperaient à un
oeil
non prévenu. En dedans de cette bordure, se voi
(2). » Cependant Potain (3) avait noté l'impossibilité de fermer l'
oeil
du côté hémiplégique si ce n'est en associant c
ôté hémiplégique si ce n'est en associant ce mouvement à celui de l'
oeil
sain. Coingt, tout en admettant que, dans l'hém
procédé d'observation qui parait avoir été négligé ; quand les deux
yeux
sont fermés, si on relève la paupière avec le d
édicale de la Suisse romande. 1889. p. 595). 150 cu. rcal; et cet
oeil
ne se fermait pas isolément, le froncement du sou
aire que lorsque le malade est complètement incapable de fer- mer l'
oeil
. L'orbiculaire des paupières est intéressé dans l
elques heures, elle disparaît comme fait la déviation conjuguée des
yeux
. On peut s'expliquer cette restauration rapide
s et mous comme des-chiffons, dit la mère, la face était atteinte ; l'
oeil
ne se fermait pas. Les mouvements des membres r
sait complète ; mais depuis cette époque l'enfant a toujours dormi, l'
oeil
(1) Byrom Bramwell, Stitdies in clinical medici
ement. Dans ces derniers temps les secousses et les battements dans l'
oeil
sont devenus plus fréquents, et plus intenses e
présentent pas non plus des différences latérales notables. C'est l'
oeil
, comme on peut s'en assurer sur les photographi
ente les caractères les plus marqués de paralysie. Lorsque les deux
yeux
sont ouverts, l'oeil droit paraît plus béant : on
es plus marqués de paralysie. Lorsque les deux yeux sont ouverts, l'
oeil
droit paraît plus béant : on voit bien que les
eil droit paraît plus béant : on voit bien que les deux angles do l'
oeil
sont plus ouverts (Pl. XVIII), et on remarque 1
st légèrement bouffée à droite. La malade est incapable de fermer l'
oeil
droit séparément, mais elle ne ferme pas davant
fermer l'oeil droit séparément, mais elle ne ferme pas davantage l'
oeil
gauche. Quand elle ferme volontaire- ment les d
davantage l'oeil gauche. Quand elle ferme volontaire- ment les deux
yeux
, la paupière supérieure droite est animée des mou
ait remarquer que, pendant le sommeil, la différence entre les deux
yeux
est beaucoup plus grande, et « qu'on voit du bl
lait aussi s'ètre atténuée. Quant aux battements des paupières de l'
oeil
droit ils se produisent encore de temps en temps
biculaires. On ne peut pas comparer le temps de réaction aux deux
yeux
, parce que les mouvements isolés des deux orbic
s individus. Un bon nombre sont incapa- bles de fermer isolément un
oeil
ou l'autre : aussi le signe basé sur la compara
ieures ne sont pas connues : notre malade est incapable de fermer l'
oeil
du côté sain isolément. Mais l'étude du temps de
bute au plus tard à la puberté, et cela, lors- qu'il avait sous les
yeux
l'histoire du malade de Testelin et Dambressi don
in, il était tellement accusé que le malade ne pouvait pas ouvrir l'
oeil
. Ces accidents aigus, gonflement, douleur et fi
vec quelques mouvements de projection comme chez les ataxiques. Les
yeux
fermés, la marche est impossible, l'incoordinatio
exe rotulien aboli. Les membres supérieurs, pendant l'occlusion des
yeux
, présentent de l'in- coordination ; la parole e
de la peine a comprendre. Pas d'atrophie linguale. Du côté des
yeux
, il n'y a ni paralysie, ni nystagmus, ni rétrécis
c les premières un contraste très marqué. A la coupe, on voit à l'
oeil
nu avant tout durcissement : à la région cervi-
e passe-passe à l'aide duquel le chirurgien faisait tomber sous les
yeux
du patient une pierre qu'il dissimulait dans une
e femme est une vieille commère coiffée il la napolitaine, dont les
yeux
affaiblis ont besoin poursuivre les péripéties de
ée X..., est actuellement âgée de 22 ans. Deux faits qui ont, à mes
yeux
, une grosse importance sont à relever dans ses
ues auprès d'elle, elle était d'une extrême pâleur ; elle avait les
yeux
clos ; sa respiration était à peine perceptible,
es relever. Il n'y avait aucune trace de paralysie des muscles de l'
oeil
. Les pupilles réagissaient bien aux impressions
pendant, lorsqu'elle approchait un livre une faible distance de ses
yeux
, elle parvenait encore à lire; la lecture, qui
lumineuse. Marche très défectueuse, vacillante. Vi- sion nulle de l'
oeil
droit. Intelligence très médiocre. L'enfant conna
l'atrophie n'est pas discutable. Elle se laisse constater déjà à l'
oeil
nu sur les coupes, elle est unilatérale, elle est
endant la marche. Les autres fonctions s'exécutent bien. Examen des
yeux
par H orner. - A gauche, amaurose complète, atrop
ion de la paroi vasculaire. Au-dessous, peut-être à l'équateur de l'
oeil
, se voit une tache ronde comme la moitié de la
e la moitié de la papille, sur laquelle passe un vaisseau intact.
OEil
droit. Moitié externe de la papille aplatie, la l
optique est rouge ; champ visuel normal. Un an après, même état des
yeux
. La tache blanche de l'oeil gauche provient, d'
visuel normal. Un an après, même état des yeux. La tache blanche de l'
oeil
gauche provient, d'après l'auteur, d'un dépôt d
droite. Muscles de la mimique normaux. Mouve- ments des lèvres, des
yeux
et de la langue normaux. Ankylose de la mâchoire
à la suite d'une grande frayeur. Un autre est resté aveugle de l'
oeil
gauche à la suite d'une ophtalmie. Notre malade
vant et en bas. Pour regarder les objets situés à la hauteur de ses
yeux
, Duf... porte en haut ses globes oculaires. Si
out également déve- loppés. Il n'y a rien d'anormal dans l'état des
yeux
et de la sécrétion des lar- mes. La mobilité de
n de spécial dans l'état des ganglions du cou ni des carotides. L'
oeil
droit présente un strabisme convergent et une myo
itaire droit est saillant; la joue droite volumineuse sur- plombe l'
oeil
et attire en bas l'aile correspondante du nez ain
entimètre plus grande à droite qu'à gauche. De l'angle interne de l'
oeil
à la pommette, il y a à droite 0 m.06 millimètr
lement nasal et auriculaire existent des deux côtés. A l'examen des
yeux
et des oreilles, rien de particulier. Le malade g
de la vision ne présente pas non plus de modifications notables. L'
oeil
est myope et en strabisme convergent dans l'obser
illaires à la lu- mière et à l'accommodation. L'examen du fond de l'
oeil
, pratiqué par le Dr Wa- gner, a permis de const
crânienne et de cerveau, le monstre en question ne possède qu'un seul
oeil
situé au-dessus de la lèvre, au milieu du front
re n'existe que dans les régions dorsale et lombaire (PI. XLII, M). L'
oeil
surtoutprésente beaucoup d'intérêt (P. XLII, N)
ux cornées, mais aussi deux iris et deux cristallins, et que tout l'
oeil
était partagé par une cloison en deux moitiés,
agé par une cloison en deux moitiés, gauche et droite. En somme cet
oeil
est formé de l'union de deux yeux. Parmi les an
s, gauche et droite. En somme cet oeil est formé de l'union de deux
yeux
. Parmi les anomalies des viscères observés chez c
du dans la région cervicale supérieure ; N, face du cyclope avec un
oeil
formé par l'union de deux yeux MASSON & Cle
upérieure ; N, face du cyclope avec un oeil formé par l'union de deux
yeux
MASSON & Cle, Editeurs. DES DIFFORMITÉS C
t de l'a- myélie. En tout cas, puisque chez nos quatre monstres les
yeux
étaient conformés régulièrement et puisque la v
cervicale les particularités pathologiques sui- vantes sautent'aux
yeux
(P).XLIII,0).Les cordons antérieurs sont diminués
serve chez les sujets atteints d'liénaiatroplaie crânio- faciale. L'
oeil
est en retrait, la joue est creuse, le front fu
italiens et espagnols l'histoire des maladies qui passaient sous ses
yeux
, il les a retrouvées dans l'antiquité et le moy
n'en étaient pas des victimes. Faut-il s'étonner, dès lors, qu'aux
yeux
des représentants de la science officielle, s'int
ent- a mo- delée dans le bronze, on se demande si l'on a devant les
yeux
l'image d'un professeur ou celle d'un prêtre. O
r au visage de la malade cette laideur presque re- poussante. Les
yeux
sont normaux, mais les vaisseaux de la conjonctiv
t injec- tés ; les paupières ferment bien, mais dans l'occlusion, l'
oeil
gauche parait saillant à cause de l'épaisseur p
Alcoolisme aigu. - Chorée généralisée : t spasmes des muscles de l'
oeil
. - Guérison apparente. Rechutes. Chorée partiel
ic : elle relevait l'aile du nez du côté gauche en même temps que l'
oeil
clignait. L'intensité de ce spasme était très v
temps en temps de voir double tout d'un coup et on constata que son
oeil
gauche se déviait 15olément en différents sens.
ce qui frappe surtout dans sa physionomie,ce sont les mouvements de l'
oeil
1 gauche qui se dévie isolément, soit en haut,
, en partant en promenade, on avait remarqué quelques clignements d'
yeux
. Pendant un parcours en tramway, elle crut qu'une
s étaient beaucoup atté- nués. Il ne s'en reproduisait pas dans les
yeux
comme à la précédente atta- que ; les mouvement
e, il est bon de relever les mouvements, spasmodiques du globe de l'
oeil
et de l'iris.Sheffield a déjà ob- servé une fil
ttaques nous lui comprimons l'ovaire droit et la négresse ouvre les
yeux
, subitement délivrée de ses convulsions. Le l
même pas l'air de faire attention à son oppression et il saute aux
yeux
que son état général ne se ressent guère de cet
droite. Cicatrice sur le front sans ossifications à sa périphérie.
Yeux
normaux. Nez oblique et épaissi ; au niveau de
t négligeable de tout ce qui pouvait pénétrer dans l'esprit par les
yeux
, il ne parlait jamais (1*11 il malade sans le pré
ste tableau synoptique que le spectateur cnlhl'assaiL d'lIll cuup d'
oeil
. Pour son (envie, tonte d'(J\¡scl'\'31 iOIl vi-
! c. comme pour son enseignement, qui s'adressait de préférence aux
yeux
, Charcot si 1 1 utiliser à merveille les aptitu
dos, les reins cambrés, le cou saillant, la bouche grimaçante, les
yeux
convulsés et, la langue Urée de travers, n'est-
gnent de sa prédilection pour tout ce qui est capable de parler aux
yeux
. - C'cst la photographie qui, sous l'habile dir
ces documents esthétiques accrochés à la muraille réjouis- saient l'
oeil
du maître, adoucissaient peut-être les inquiétude
r les impres- sions visuelles par le dessin. Celle « mémoire des -
yeux
». que Charcot avait excellente, lui était d'un
faite harmonie de l'ensemble el la plus z complète satisfaction des
yeux
. Pas une faute, pas un anachronisme : rien ne c
on inoubliable que laissait la vision, fut-elle instantanée, de cet
oeil
pénétrant creusé dans un masque impénétrable, C
cet oeil pénétrant creusé dans un masque impénétrable, Charcot. aux
yeux
d'un observateur superficiel, pou- vait h la ri
u Maroc par le peintre Delacroix. ' , Si Charcot. avait surtout l'
oeil
exercé au diagnoslic visuel. la musique ne le l
l de rameur excessive, cxnibanl un gilet uormolue, cravate jusquaux
yeux
et porteur d'un éblouissant « tromblon ». Et le
Sou collègue, le baron Larroy, reconnut an pf'clIIiel' CUIIJ ! d'
oeil
le fameux financier. « Avec un tel docu- Ca
99, 3 ? D. Peintres de la médecine. Dietrich. Une opération sur l'
oeil
, par Henry MEIGE (1 phot.), 59. Sclérodermie
ENRY). Les peintres de la méde- cine. Dietrich, une opération sur l'
oeil
(1 phot.), 59. Meige (Henry). Un lépreux de J
ul Richer), XVI. Les peintres de la médecine. Une opération sur l'
oeil
(Henry Meige), IX. Maladie de Friedreich à débu
ui contenaient « une substance jaunâtre, analogue au corps vitré de l'
œil
. « Après cette expulsion la voix reprit son timbr
âgé de trente-huit ans, se présenta à ma Clinique le 4 août 1868. Son
œil
gauche était atteint d'une destruction presque co
al. A cette époque, le malade distinguait le jour de la nuit avec l'
œil
affecté, et il était à présumer que la formation
re, son pays natal, lui disant toutefois de revenir à Paris dès que l'
œil
droit serait pris de rougeur et de sensibilité.
dation, M. G... se présenta de nouveau à ma Clinique le 2 5 août. Son
œil
droit était le siège d'une injection périkératiqu
érable, sans lésion bien déterminée. Mon attention se portant sur l'
œil
gauche, je constatai que la cornée, en voie de ré
de ce leucôme central une zone semi-transparente. La vision de cet
œil
était sensiblement améliorée, et pquvait distingu
rrain sur le centre opaque. Le malade repartit le 20 septembre, son
œil
droit étant d'ailleurs parfaitement rétabli. Au
nasales, etc.) est extrêmement grave, ne se laisse pas distinguer à l'
œil
nu du carcinome encéphaloïde, et se généralise au
0 Tel est le cas d'obésité ou de polysarcie que nous avons sous les
yeux
. D'après M. le professeur Hardy, ce développeme
aturelle est très rapide, se termine en peu d'heures parla perte de l'
œil
; si elle est arrêtée, mais non guérie par un tra
anulations conjonctivales ; 6° Elle affecte habituellement les deux
yeux
à la fois ; 7° Le seul traitement qui lui convi
avements, ainsi que nous nous en sommes assurés. Si maintenant, les
yeux
fixés sur la région vulvo-périnéale, on fait pous
rire, de sorte que ceux qui le virent le crurent en état d'ivresse. L'
œil
, aujourd'hui, est assez saillant; l'iris très rét
elle peut avoir lieu à distance par les miasmes volatils émanés de l'
œil
malade. En outre, on ne s'entend pas toujours b
eii-trerlesconjonctivites muco-purulentesdans lesquelles l'examen à l'
œil
nu ne révèle pas toujours la présence du pus, mai
es malades et les personnes saines; 4° Surveiller attentivement les
yeux
des personnes qui vivent dans le même milieu, et
se publie aujourd'hui. Le premier de ces ouvrages était écrit sous l'
œil
du maître, par M. Baudot, et le second par M. Bau
les deux commissures labiales, nous permet de voir, d'un seul coup d'
œil
, toute la lésion. Elle nous montre, en avant, le
partie qui représente le vestige des fosses nasales, à ce niveau. L'
œil
peut plonger facilement dans les cavités nasales,
mple, c'est-à-dire qu'il n'y avait pas d'adhérence avec le globe de l'
œil
, mais les paupières, ce qui n'est pas commun, je
encore. — Chez les animaux, les chiens, par exemple, qui naissent les
yeux
fermés, je n'ai jamais rien vu de semblable. Les
ent vient le frapper dans la région orbitaire, à l'angle interne de l'
œil
gauche. Le malade ressent une violente douleur, e
resses fraîches sur les paupières et lui fait mettre un bandeau sur l'
œil
. Vingt-quatre heures après l'accident, le malad
ouvrir ses paupières, et s'aperçoit qu'il ne voit plus du tout de son
œil
. Le soleil même ne lui donne pas la sensation de
l même ne lui donne pas la sensation de lumière, tandis que son autre
œil
voit comme à l'ordinaire. Le médecin qu'il consul
l se présente, voici ce que je constate : Les parties externes de l'
œil
n'ont presque pas conservé de traces du traumatis
lètement normal; la pupille, de la même grandeur que celle de l'autre
œil
, montre les contractions consensuelles (celles qu
celles qui se produisent quand on fait tomber la lumière dans l'autre
œil
) ; mais elle est absolument immobile, lorsqu'on f
s l'autre œil) ; mais elle est absolument immobile, lorsqu'on ferme l'
œil
sain. Le malade étant placé en face du jour ne pe
e l'œil sain. Le malade étant placé en face du jour ne perçoit de son
œil
malade aucune sensation de lumière. La recherche,
herche, des phosphènes donne également un résultat négatif. L'autre
œil
, examiné de la manière habituelle, présente une a
procédant à l'examen ophthalmoscopique, je constate de nouveau que l'
œil
est complètement insensible à la lumière, même fo
la même influence, ne se contracte nullement quand on a fermé l'autre
œil
, tandis qu'elle présente une très grande mobilité
exposé à la lumière (contractions consensuelles). Les milieux de l'
œil
, cristallin et corps vitré, sont d'une transparen
plus minutieuse, aucune trace d'opacité. L'inspection du fond de l'
œil
(planche XIX) fait voir des hémorrhagies multiple
qui auraient permis d'expliquer autrement que par le traumatisme de l'
œil
ces apoplexies rétiniennes. Nous n'avons trouvé a
extérieurement aucune lésion, ne voulut pas se décider à porter sur l'
œil
un bandage compressif. Huit jours plus tard, je
ement stationnaire, et le malade a perdu définitivement la vue de son
œil
gauche. Dans les derniers temps, on voit commence
nts assez forts, répondant au pouls. Ils sont d'ailleurs visibles à l'
œil
. Parfois, il y a des arrêts ; point de véritables
st aperçu que Roif était pâle, sans connaissance. — Actuellement, les
yeux
sont fixes; la salive coule par la commissure lab
ons, soit dans son épaisseur, les plexus choroïdes, les méninges, les
yeux
surtout, où ils se logent dans la cornée, ou sous
savants belges, et nous les prions, si ces lignes tombent sous leurs
yeux
, de vouloir bien nous adresser les particularités
ce mal si pénible. Puissent ces quelques lignes lui tomber sous les
yeux
et l'engager à dévoiler son secret! Paul Lambli
tue, surtout à la face. Le 16 mars. Conjonctivite avec iritis, de l'
œil
gauche; traitement approprié; disparition de ces
ulcères et des fistules, des vices de conformation, des maladies des
yeux
, des oreilles, du larynx, des organes génito-urin
paule droite due à la torsion du cou, une déviation de la face et des
yeux
dans le même sens, une traction de la commissure
que est aujourd'hui d'un usage très répandu. Le liquide projeté sur l'
oeil
sous forme de pluie fine a pour effet d'enlever d
lle n'ont fait voir aucune lésion récente. Il n'y a pas, du moins à l'
œil
nu, de dégénération secondaire du cordon latéral
(tumeurs érectiles, adénomes lymphatiques, céphalématome, cancer de l'
œil
, grenouillette ; kystes du maxillaire inférieur,
es, le troisième fascicule en contient une série sur les maladies des
yeux
. Elles sont précédées d'une étude de la circulati
la circulation intra-oculaire et des divers modes d'exploration de l'
œil
. De ces leçons/les plus remarquables, à notre avi
tétanos, les kystes hydatiques musculaires , les corps étrangers de l'
œil
, de l'oreille, des voies aériennes, et les différ
x qui aient traité d'une manière satisfaisante de la physiologie de l'
œil
: en dehors des leçons du professeur Gavarret, no
'à un petit nombre ce qu'Hermann apprend à tous. — La pathologie de l'
œil
, en tant que milieu réfringent, cesse d'être obsc
aptisés du nom de rayons X. Ceux-ci, absolument invisi- bles pour l'
oeil
,possèdent'par contre la propriété de réduire les
vaste champ représenté par le schéma que j'ai fait placer sous vos
yeux
(Fig. 1 et 2).. A la partie antéro-externe de la
des ilots bien circonscrits, au tronc. Quand le malade fermait les
yeux
, il n'avait plus conscience des changements d'a
uelques jours après cette leçon. Voici le résultat de l'examen, à l'
oeil
nu, de la moelle : La coupe est normale au nive
pe, des cornes et des cordons qui paraissent absolument normaux à l'
oeil
nu ; on ne voit pas de grosse lésion au niveau
'heure actuelle. Puis la vue retint peu il peu surtout du côté de l'
oeil
droit. Cependant la patiente voyait encore tous
ée sur l'épaule gauche. Ce qui lient ce que le sujet, voyant mal de l'
oeil
gauche, incline la tète de ce côté pour supplée
al de l'oeil gauche, incline la tète de ce côté pour suppléer par l'
oeil
droit a t'insufn- sance de la vision. En même t
at de ptose complète et recouvre presque complètement le globe de l'
oeil
. Les deux yeux se ferment également bien, mais la
plète et recouvre presque complètement le globe de l'oeil. Les deux
yeux
se ferment également bien, mais la malade ne peut
tel qu'il a été pratiqué par M. le docteur Sauvineau : Examen des
yeux
. Paralysie incomplète de la 3e paire gauche (ptos
droit supérieur et le droit interne sont sains. Quand on sollicite l'
oeil
à se porter en bas, il se dévie énergiquement e
(grand oblique). Dans le mouvement de latéralité à droite des deux
yeux
, mouvement qui se fait très incomplètement (par
e. - A gauche, les deux réflexes sont abolis. Examen du fond de l'
oeil
. La papille optique est décolorée à chaque oeil
Examen du fond de l'oeil. La papille optique est décolorée à chaque
oeil
. Les artères sont petites. Les veines sont au con
V... voit les objets simples même dans les posi- tions extrêmes des
yeux
. Mais elle les voit troubles, ils lui semblent co
erne complète. Il y a toujours des prodromes. L'examen du fond de l'
oeil
est tout à fait dif- férent de ce que nous avon
r. Ce sont des paralysies partielles, presque par- cellaires pour l'
oeil
droit. Les modifications qu'elles ont subies en d
ir à un autre pro- cessus que le tabes. Ajoutons qu'au moins pour l'
oeil
droit le signe d'Ar- gyll est incontestable, et
endineux sont exagérés. Examen du système nerveux. En examinant les
yeux
du malade on est frappé d'une inégalité pupilla
sont conservés, les réflexes rotuliens sont exagérés. L'examen des
yeux
fait par M. Sauviuanx a donné les résultats suiva
u côté droit la fente palpébrale est manifestement rétrécie. Fond d'
oeil
normal. Enfin nous n'avons pas de troubles psyc
mment de l'examen électrique (quoi- que incomplet), de l'examen des
yeux
fait cependant avec beaucoup de soin, nous croy
ses forces l'abandonner; mais la colère le soutient encore, et son
oeil
suit de loin les péripéties du combat où il brûle
'enfant essuie ses larmes avec un pan de son vêtement, et cache à ses
yeux
la blessure de son père. Dans le fond, deux T
ées sur les côtés pour permettre au chirurgien de mieux suivre de l'
oeil
son opération. « Leurs extrémités offrent des r
igre : il est étendu dans le décubitus dorsal, la tète relevée, les
yeux
dirigés vers le.plafond... ' Son intelligence e
la tunique interne. V. Tumeurs. 1° Tumeur gauche, supérieure. -A l'
oeil
nu, ou a un fai- ble grossissement, la tumeur s
celles colorées par la méthode de Weigert, on est frappé, même à l'
oeil
nu, de l'identité de forme, de texture et de ra
isissables pour notre sens de la lu- mière, c'est-à-dire pour notre
oeil
. Depuis le conte charmant de microbe- gas, c'es
qu'elle conduit à se demander si les rayons insaisissables pour nos
yeux
ne seraient pas per- ceptibles pour certains an
La figure est peu mouvementée, la bou- che est close. Cependant les
yeux
ouverts semblent convulsés en haut et en dedans
à guérir une paralysie ou une contracture hys- térique, Fixant ses
yeux
sur ceux de la malade, il évoque l'idée d'une s
ntre les bras d'un homme, la tête rejetéë en arrière et à droite, les
yeux
convulsés, la bouche ouverte, les cheveux épars
tête tournée à gauche fait une horrible grimace. Cheveux hérissés,
yeux
grand ouverts et convulsés, bou- che de travers
es gaillards, la tête et le haut du corps renversés en arrière, les
yeux
convulsés en haut, les mains crispées. La légen
arbe au menton. De sa bouche ouverte s'échappe un diable ailé ; les
yeux
sont mal indiqués et les paupières presque clos
les chaînes qui lui liaient les bras; il a la bouche ouverte et les
yeux
convulsés en haut; mais on ne relève dans son a
accentuée Pas do cicatrices cutanées, de lésions des membranes de l'
oeil
. Le système dentaire présente des lésions qui m
tion debout n'est possible que si les jambes sont écartées, que les
yeux
soient ouverts ou fermés. Les masses musculaire
bas- sin. La tête est régulièrement conformée ; rien il noter aux
yeux
, aux oreilles, au nez. Les dents sont bonnes et
de paralysie de la face, mais difficulté de détourner (everling) les
yeux
en dehors due il la participation de la 6° pair
24 il ne pouvait plus marcher, ne pouvait plus se tenir debout les
yeux
formés ; les membres inférieurs étaient paralysés
e. Or il n'existait chez Marius R... aucune cicatrice fessière, les
yeux
, les oreilles, le nez étaient en parfait étal.
tique ou' une chorio-rétinite sy- philitique, l'examen du fond de l'
oeil
n'ayant laissé apercevoir aucune lésion, à un m
(1). Nous l'avons vu plusieurs fois,en janvier et février 1896,son
oeil
est actuellement en parfait état. Le malade est
m. 40. Elle dit n'avoir jamais eu d'éruptions cutanées ni de maux d'
yeux
ou d'o- reilles. Réglée à 17'ans, toujours bien
mbres inférieurs. Il avait un ptosis de la paupière supérieure de l'
oeil
droit avec strabisme externe. Elle parlait faci
nt sur le lit. La force musculaire est conservée. L'occlu- sion des
yeux
, dans la station verticale, produit immédiatement
; oreille droite plus normale. Chute permanente de la paupière de l'
oeil
droit. Toutefois, la malade peut la relever spo
elever spontanément en faisant un effort mais elle retombe bientôt. L'
oeil
droit est dévié en permanence en haut et en deh
sque la paupière est relevée, il semble que la malade neutralise un
oeil
et que la vi- sion soit purement momentanée.
he, ne sem- ble pas rétréci. Nystagmus horizontal très marqué des 2
yeux
. Les mouvements de la langue sont normaux. Le
as la notion d'être assise. Dans cette situation, si elle ferme les
yeux
, elle manque d'équilibre, se renverse en arrière;
é de trépidation spinale. - Signe de Romberg, les pieds joints, les
yeux
fermés. La palpation et la percussion des vertè
epose et ne perd plus ses jambes dans le vide lorsqu'elle ferme les
yeux
; le signe de Romberg n'existe plus. Le réflexe
petite taille. Asymétrie fa- ciale assez prononcée. L'examen des
yeux
pratiqué par M. Sauvineau (novembre 1895) révèle
uvineau (novembre 1895) révèle les particularités suivantes : « Les
yeux
sont volumineux et présentent un léger degré d'
sentent un léger degré d'exophtalmie. Fort strabisme divergent de l'
oeil
droit, non paralytique. Tous les mouvements des
droite, quelques secousses nystagmiformes se produisent,surtout à l'
oeil
droit. « Les pupilles sont inégales ; la gauche
; 0. G. =8 dioptries. La papille optique est ac- compagnée à chaque
oeil
d'un large staphylome postérieur en forme de croi
e jusqu'à l'origine de ces vais- seaux. « Il existe dans les deux
yeux
un certain nombre de taches de rétinite pigmen-
n note de nombreux signes de dégénérescence, strabisme interne de l'
oeil
gauche, oreilles très volumineuses et très détach
é ou de la sen- sibilité. Du côté de la face rien à relever.' '
Yeux
. Les pupilles sont égales et réagissent bien. L'e
réagissent bien. L'examen de la mus- culature externe dénote pour l'
oeil
gauche, une paralysie de l'oblique supérieur ca
ction du globe oculaire; il s'accompagne alors d'une déviation de l'
oeil
en haut et en dedans. L'auscultation des poum
ille était de 77 centimètres. « Sa tète est bien proportionnée, ses
yeux
sont beaux et pleins de feu; tous ses (rails so
ples en sont nombreux dans l'Art. Voyez la face lunaire, les petits
yeux
bridés, aux paupières épaissies, les bajoues fl
ueillis dans nos asiles, l'ana- logie ne peut manquer de sauter aux
yeux
. Et môme,'dans l'Art Egyptien, les innombrables
ourte et trop épaisse, leur nez camus suintant sans cesse, et leurs
yeux
languissants, forment un masque bien typique, app
es larges et pendantes, couvertes d'une barbe courte et frisée, les
yeux
petits aux paupières lourdes et bridées : l'ens
essemblances extérieures frap- pantes avec les myxoedémateux. Mômes
yeux
bridés, mêmes joues flasques et pendantes, môme
é par la coupe des cheveux, montre un petit nez enfantin, de grands
yeux
enfoncés,- un 'front assez bombé el des joues r
ale du visage et fait disparaître pres- que entièrement le cou. Les
yeux
, dont le peintre a sans doute quelque peu agran
aux pommettes saillantes, à mâchoire inférieure anguleuse ; petits
yeux
enfoncés, au regard vif et malicieux ; large bouc
ait Gene- viève se raidir et se convulser désespérément, rouler les
yeux
, grincer des dents ; on l'entendait tenir des p
ient admettre qu'on niât l'évidence. Des deux côtés, on voyait d'un
oeil
peubienveillant l'arrivée d'un intrus dont on s
tique, et même de l'histoire naturelle, a travaillé à désiller les-
yeux
à toute une province étonnée d'une prétendue mala
s, et marqués de cicatrices qu'on dirait être des brûlures. ' Ses
yeux
et ses paupières étaient très rouges, et très enf
e sur les six heures, aux agitations du corps près : elle avait les
yeux
fermés, la bouche ouverte, on me dit qu'elle do
Voilà donc le tableau que présente le sujet que vous avez sous les
yeux
; voici maintenant son histoire et ses antécéde
s- cles, si on en excepte toutefois les paralysies des muscles de l'
oeil
. » Bien que nos recherches soient loin d'être c
arach- noïdien elles s'accumulent mais ne les pénétrent pas, et à l'
oeil
nu rien ne révèle ce processus si vigoureux.
ionnent en une véritable tumeur, cette tumeur est alors visible à l'
oeil
nu. C'est la gomme méningée, nous l'avons trouv
de, des deux côtés de la scissure interhémisphérique. La moelle à l'
oeil
nu paraît saine ainsi que ses enveloppes. Au mi
surface cérébrale sous-ja- cente. L'examen de la moelle qui, à l'
oeil
nu, parait saine, a constamment montré par la m
is lamentables. Les plis de ses sourcils traduisent sa douleur, ses
yeux
s'écarquillent d'effroi, ses lèvres renversées
le nez, plis- sant le front, contractant ses sourcils, fermant les
yeux
à demi, mais ouvrant une large bouche en projet
nts visibles à l'aeil nu. Dans la région de la queue de cheval, à l'
oeil
nu on ne voit plus la tumeur, la dure-mère est
t aux racines. Cette infiltration peut être telle, que \lisible à l'
oeil
nu elle prend l'aspect d'une.tumeur qui a tous
'effet désiré : la douleur et l'effroi du sujet. Du côté droit, l'
oeil
mi-clos, le sourcil baissé, le nez froncé, la bou
que du pleurer. Du côté gauche, le front ridé, le sourcil relevé, l'
oeil
ouvert, effaré, anxieux, les lèvres plus serrée
Irait il la supercherie des « Pierres de tu)c » est tombée sous mes
yeux
depuis lors. C'est une cau-forie de 'l'1lJ : uIJo
ée de garder la cham- bre. Peu de temps après, sa vue se trouble; l'
oeil
droit est atteint d'abord par l'amblyopie; puis
e; l'oeil droit est atteint d'abord par l'amblyopie; puis bientôt l'
oeil
gauche se prend à son tour. Céphalée, vomisseme
a malade devant vous. Dès l'abord vous êtes frappé par l'aspect des
yeux
; ceux-ci sont largement ouverts mais fixes avec
mon collaborateur, M. Dupuy-Dutemps, a montré, du côté du fond de l'
oeil
, une stase papillaire intense avec hémonhagies
e la malade, une ébauche de déviation conju- guée de la tête et des
yeux
vers la gauche ; il y a comme une légère parési
certains détails, les intéressantes constatations déjà relevées à l'
oeil
nu. C'est ainsi que le microscope montra plus n
d'aller se mettre dans un coin. Assis sur une chaise, il ferme les
yeux
et se détourne de plus en plus du méde- cin qui
malade est taciturne, il a beaucoup de plis verticaux au front, les
yeux
sont presque fermés, les lèvres un peu tendues en
n pourquoi il ne le veut pas. Par exemple, à la prière d'ouvrir les
yeux
pour faire voir ses pupilles, il les ferme enco
ocu- laires et tâche de résister. « Pourquoi n'ouvrez-vous pas vos
yeux
? » « Parce que les gens m'ont ennuyé. » « Mont
nt la possibilité de le convaincre de se tenir sur un pied avec les
yeux
fermés, et on nota alors que le malade chancela
e penchée sur l'épaule droite et un peu tournée du côté droit ; les
yeux
à demi-ouverts ; en arrivant dans son coin, il pr
pproché du corps ; il a l'air de vouloir se couvrir de la main, les
yeux
; son corps est ordinairement penché d'un côté
ciles. La démence déjà très marquée à son entrée, s'accroit à vue d'
oeil
et conformément à cela les symptômes catatoniqu
vitres de la fenêtre, de sorte qu'on était obligé de l'avoir sous l'
oeil
afin de l'empêcher d'approcher les fenêtres. A
ée. Le malade ne fait aucune attention à son entourage, tient les
yeux
fixés des heures entières sur un seul point, n'en
les excitations lumineuses à tous les noyaux des nerfs moteurs de l'
oeil
, des troisième, quatrième et sixième paires : -.
s muscles des REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. z
yeux
qui dépendent des excitations lumineuses. Une sér
ment fibrillaire de l'orbiculaire des paupières, sans fermeture des
yeux
: tout au plus les paupières se rappro- chent-e
issements, avec chute de la paupière supé- rieure et déviation de l'
oeil
droit en dehors et plus tard des mou- vements i
s une hyperesthésie du sens génésique, une démarche ataxique, les
yeux
fermés, une exagération des réflexes rotuliens et
tement éveillé, assis en face de , soi, qu'en le regardant dans les
yeux
,,on va l'endormir, quelle espèce d'acte fait-on
ou contraires à la réalité. Le fait de rester soudain immobile, les
yeux
fermés, de répondre aux questions de l'hypnotis
- dormir). 3° Vous voici endormie, vous ne pouvez plus ouvrir les
yeux
, ni vous lever, ni remuer les bras. (Réflexio
t entière). - 4° Quand je vous aurai réveillée en soufflant sur vos
yeux
, vous ne serez paralysée d'aucun membre. Pour v
t constate avec tous les auteurs ayant étudié cette question, que l'
oeil
du sujet hypnotisé se comporte en tous points c
n, que l'oeil du sujet hypnotisé se comporte en tous points comme l'
oeil
d'un sujet nor- mal : il obéit aux lois de l'op
le degré suivant lequel sont intéressés les mus- cles internes de l'
oeil
paraît être un index très sensible du degré de
la lumière et à l'accommodation. La vision est bonne dans les deux
yeux
. La malade paraît intelligente, gaie et tranqui
action faradique normale. Voici ce que l'on constate à l'examen des
yeux
: pupilles légèrement contractées également des
hthalmoscope, en un point qui correspond à la tache jaune de chaque
oeil
, une large plaque blanc bleuâ- tre, à bords ram
kine, Marie, qui aime le vieux Mazépa, qui a été ensorcelée par ses
yeux
merveilleux, est une hystérique suggestionnée,
sphincters et les membres supé- riaurs sont intacts. L'examen des
yeux
montre une immobilité papillaire totale à la lu
anique. Chez les indi- vidus sains, les muscles homologues des deux
yeux
ont exacte- ment la même puissance. Dans l'hémi
ts : 1° Chez les individus sains, les muscles homologues des deux
yeux
n'ont pas toujours exactement la même puissance é
sie du globe a la pression, rétrécissement des artères du fond de l'
oeil
. Douleurs en ceinture il la base du thorax. Lym
du malade, entre 38°,5 et 39°,5. Pendant les dix derniers jours, l'
oeil
droit est atteint de kératite avec opacité et v
eville reprend l''ig. 0. Mutilation et autophagie. Destruction de l'
oeil
gauche. 188 . VARIA. tous lestas d'inégalité
9. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. L'état du fond de l'
oeil
chez les paralytiques généraux;- PAHLFS DOCTE
optique Il nous a semblé utile de procéder à l'examen du fond de l'
oeil
chez la femme paralytique et dans un autre mili
tre elles ne présentaient certainement aucune anomalie du fond de l'
oeil
et de la papille, ni à droite ni à gauche. Nous
. même année un état loi/- Keraval et Itaviart. L'état du fond de l'
oeil
chez les paralytiques Qeneraux el ses lésions a
iales et terminales. Nou- relle contribution il l'état du fond de 1
oeil
chez les paralytiques géné- raux = (.4rclzivest
e l'examen et le relevé correspondant de l'ap- parence du fond de l'
oeil
. Observation V. - L..., veuve Mir..., 55 ans ;
te. La malade dit voir mal, il lui semble avoir un voile devant les
yeux
. Aucun rétrécissement du champ visuel. On const
trée le 9 mai 1903. Examen du 15 septembre 1903. Idées LE FOND DE L'
OEIL
CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 197 de satisfac
'accommo- dation. 0 198 CLINIQUE MENTALE. L'examen du fond de l'
oeil
permet de constater à droite : une' papille pâl
se félicite de la santé excellente dont elle jouit. LE FOND DE L'
OEIL
CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 199 Examen du 8
ersée). C'est un type de neuroré- Unité paralytique. LE FOND DE L'
OEIL
CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 201 Observation
r son âge, n'a qu'une conscience très incomplète de sa LE FOND DE L'
OEIL
CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 203 situation.
- IV. Enfin, sept paralytiques portaient des lésions du fond de l'
oeil
paraissant indépendantes de la maladie cérébrale
s altérations de vieille kératite empê- chant l'examen du fond de l'
oeil
, à droite; à gauche, on perçoit difficilement l
nant, comme de juste, les sept observations de lésions du fond de l'
oeil
ou d'aspects du fond de l'oeil indé- pendants d
observations de lésions du fond de l'oeil ou d'aspects du fond de l'
oeil
indé- pendants de la paralysie générale, ou, si
en chiffres ronds, une proportion de 38 p. 100 d'états du fond de l'
oeil
normaux, et de 61 p. 100 de lésions du fond de
u fond de l'oeil normaux, et de 61 p. 100 de lésions du fond de l'
oeil
d'origine paralytique. CLINIQUE NERVEUSE. Epi
salive, contraction de tous les muscles de la face, projection des
yeux
en avant par la forte rétraction de la paupière
ce suivante : si l'on demande à une hémiplégique de fermer les deux
yeux
, à la fois, il les ferme-; ilpeat également fer
ferme-; ilpeat également fermer 7'oéil dit côté sain en laissant l'
oeil
ouvert du côté paralysé, mais il lui est impossib
ui est impossible de faire l'inverse, c'est-à-dire,'de fèrmersèul l'
oeil
du côté paralysé, l'antre restant ouvert. Pôu
lysie faciale périphérique. Non seulement, la fermeture isolée de l'
oeil
du côté paralysé n'est pas abolie, mais même l'
on en est . plus parfaite que dans la fermeture simultanée des deux
yeux
. Le malade peut la tenter isolément de chaque c
as, mais ne peut pas la baisser'quand on lui com- mande de fermer l'
oeil
; cela en raison de l'expansion aponévri- tique
de tête avec vomissement et du trouble des mouvements associés des
yeux
il gauche et à droite, tandis que les mouvemens
sociés des yeux il gauche et à droite, tandis que les mouvemens des
yeux
en haut et en bas étaient normaux, de même que
et en bas étaient normaux, de même que les mouvements associés des
yeux
en dehors. En mai 1901, on constata chez la malad
devinrent plus forts, apparut une hémiparosie sinistre, cécité de l'
oeil
gauche, puis de l'oeil droit, trouble de déglut
pparut une hémiparosie sinistre, cécité de l'oeil gauche, puis de l'
oeil
droit, trouble de déglutition, somnolence, la p
e réflexe cutané plan- étaire est en flexion. - - - - Du côté des
yeux
, les réactions sont normales, il n'y a pas d'in
s responsables du com- plexus symptômatique que vous aviez sous les
yeux
? Ici, les centres nerveux encéphaliques ou méd
alement délivrer la malheureuse que vous aviez à l'instant sous les
yeux
/etcecià brève échéance. Nous sommes ici, comme
urs, vous avez vu que, dans le cas qui vient de pas- ser devant vos
yeux
, j'ai conclu à des lésions siégeant sur le syst
ttiraient l'attention. En pleine masse musculaire, de tous côtés, l'
oeil
découvrait une quantité de petites granulations
ts ils sont accolés aux nodules néoplasiques. Rien de visible à l'
oeil
nu, dans le squelette, le cerveau et la moelle.
ns les figures histologiques et par le schéma que je. mets sous vos
yeux
. (Fig. 13). . De même vous pouvez ainsi vous ex
s, se rapportent les figures que vous aviez tout à l'heure sous les
yeux
. Il s'agissait d'une femme de quarante-neuf ans
peu considérable. Cpho-scoliose extrêmement accusée. Du côté des
yeux
, léger nystagmus, névrite optique ancienne à dr
phtalmie dépend d'un trouble de l'innervation du sympa- thiqne de l'
oeil
, comme le syndrome basedowien. Ou bien il y a c
observés, alors queconcuremment elle déterminerait au niveau de l'
oeil
, par prédominance des fibres vaso-constrictives,
aideur. - Pas de troubles de la coordination, ni de l'équilibre les
yeux
fermés;- pas de troubles des sphincters. Les ré
érie ayant ou non vraiment engendré la psychose que l'on a sous les
yeux
, des accidents hystériformes imputables à cette p
pas une grande différence entre les deux écritures qu'il a sous les
yeux
. M. Philippe. Une écriture automatique *est tou
un article de M. Bourdon sur la distinction des sensations des deux
yeux
, et enfin une série de mémoires dus à M. A. Bin
paralytiques de la musculature externe, ou des lésions du fond de l'
oeil
, mais ce sont les troubles iriens qui sont de b
notre rétine, l'orifice pupillaire se rétrécit; inversement quand l'
oeil
est placé dans l'obscurité, la pupille se dilat
individu. L'ouverture pupillaire est d'autant plus réduite que l'
oeil
accommode pour un point plus rapproché du punc-
s ce cas de ne pas se placer devant le malade qui, aussitôt que ses
yeux
sont ouverts, accommoderait à la distance où se
rsqu'après l'ouverture brusque des paupières on place en avant de l'
oeil
une source lumineuse; le malade regarde la sour
légère- ment une source lumineuse placée sur le même plan que les
yeux
du malade et un peu en arrière de lui. On le fait
cave le fais- ceau lumineux provenant de la source de lumière sur l'
oeil
du malade qui continue à épeler à haute voix le
paralytiques généraux, des troubles de la musculature externe de l'
oeil
et des altérations du nerf optique et du fond d
xterne de l'oeil et des altérations du nerf optique et du fond de l'
oeil
. Chez nos 227 malades, 38 fois nous avons noté
ainsi l'aspect de la paralysie générale tabétiforme. Le fond de l'
oeil
; a toujours été examiné chez nos paraly- tiques
jà on a décrit des hyperémies, des lésions artérielles du fond de l'
oeil
, de l'oedème et sur- tout de l'atrophie papilla
mmond, Wiglesworth, etc., ont étudié les altéra- tions du fond de l'
oeil
chez les'paralytiques généraux, et, dans ces de
s par ces derniers auteurs 42 ont présenté des lésions du fond de l'
oeil
. : » atrophies blanches de la pupille, 1 atroph
E MENTALE. bords indécis. En somme 42 fois des lésions du fond de l'
oeil
sur 51 malades examinés. ' ' L'examen de nos
t. Gowers, ne décrit pas chez ses malades de lésions du fond de l'
oeil
, sauf des cas très exceptionnels. M. Ballet, sur
et, sur 37 malades ne signale non plus aucune lésion du fond de l'
oeil
. Chez nos 227 malades, 27 fois seulement nous a
des, 27 fois seulement nous avons noté des altérations du fond de l'
oeil
, soit 12 p. 100, ce qui est loin des 82 p. 100
rès leurs observations, vous voyez que les altérations du fond de l'
oeil
chez les paralyti- ques généraux seraient beauc
t Raviart. Nous n'avons en effet que 27 cas de lésions du fond de l'
oeil
chez nos 227 malades, à savoir : 22 lésions pap
s érotiques très intenses. Lorsqu'un homme entrait dans la salle, l'
oeil
devenait brillant, le visage rouge, et soit dan
que et enfin le relâche- ment moteur. L'acte sexuel ne serait à nos
yeux
, que le plus haut développement, que l'épanouis
t l'audition d'un morceau de musique, X... change de physionomie, l'
oeil
devient brillant, les traits sont remontés, un
r- miner. « 1° Qu'il y a un rapport' étroit entre la position des
yeux
et celle des paupières, ainsi qu'entre les mouvem
s yeux et celle des paupières, ainsi qu'entre les mouvements de l'
oeil
et ceux des paupières ; 1° Que 1'liypotonicité de
oeil et ceux des paupières ; 1° Que 1'liypotonicité des muscles des
yeux
est en rapport avec un défaut de conver- gence
avec un défaut de conver- gence et un état d'indépendance des deux
yeux
dans leurs 1 VASCUI ? E et VURPAS. Essai sur la
logie de. l'amour ou plutôt de l'acte sexuel; c'est la position des
yeux
. Au début la tonicité des muscles de l'oeil sem
; c'est la position des yeux. Au début la tonicité des muscles de l'
oeil
semble s'accroître, le releveur de la paupière
e la paupière provoque l'élé- vation de la paupière supérieure et l'
oeil
semble plus grand; sa mobilité et son éclat aug
me dans la dynamique ocu. laire les muscles qui dirigent l'axe de l'
oeil
« en dedans » sont les plus forts, il en résult
cet état tra- duit ainsi la contracture musculaire des muscles de l'
oeil
qui elle-même n'est que la traduction de l'état
musique. 3° Un autre argument peut être tiré de' la position des
yeux
dans l'acte sexuel. La direction convergente des
e syllabes dénuées de sens, de chiffres, en le priant d'y jeter les
yeux
le moins possible, je lui ai fait barrer certaine
soler et de le surveiller spécialement. l. A peine jette-t'on les
yeux
sur lui qu'il se lève et parle de suite de vous
du médecin. Tout d'un coup elle se détourne vivement et cligne des
yeux
comme si de menus objets lui tombaient sur la f
eloppée que chez un enfant né à huit mois et ayant vécu un mois les
yeux
exposés il la lumière. Les expériences d'Ambron
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 477 Î avancée dans le nerf optique de l'
oeil
qui a été exposé à la lumière. Cette expérience
re peu accentués. Depuis, la cécité s'est complétée ; l'examen de l'
oeil
pratiqué par Félix Terrien a montré une névrite
e, Irar Hotcfl : is, 33R. - ne la main chez un hémiplégique, 418.
OEil
. L'état du fond de 1'- citez les paralytiques g
- générale, par Vorobieff, 509. P : 112ALYTIQiIFS généraux. Voir
OEil
. - Voir Hallucinations Des - persécutés et da
le domaine du facial inférieur. ' -10 CLINIQUE NERVEUSE. les deux
yeux
, sans scotome central. Le goût, l'ouïe, l'odora
vit aucun trouble nerveux durable. 1 L'absinthe c'est « la Musc aux
yeux
verts » comme l'appelle une chanson de carrefou
s la possèdent si bien qu'ils parlent par sa bouche, voient par ses
yeux
, etc. - Un jour (juillet 1888) qu'elle lisait le
est alors qu'elle comprend par les mouve- ments de la langue. Les
yeux
ont été changés en 1887 ; mais depuis octobre 188
s depuis octobre 1888, elle a des prêtres dedans qui voient par ses
yeux
et même lui par- lent par ses yeux. Elle s'en e
rêtres dedans qui voient par ses yeux et même lui par- lent par ses
yeux
. Elle s'en est aperçue à ce que ses yeux remuent
même lui par- lent par ses yeux. Elle s'en est aperçue à ce que ses
yeux
remuent par moments (blépharospasme) ; mais la
étonnant, ajoute- t-elle, car il se passe cependant alors dans son
oeil
la même chose qu'elle ressent dans sa langue lo
dernier elle le comprend. Pour qu'elle comprenne ce que celui de l'
oeil
veut dire, il faut que celui qui est dans la la
s. 11 y a aussi quelques hallucinations de la vue : elle a vu des
yeux
de morts ; ils lui ont fait voir un drap mortuair
ais en face, parce qu'elle craint qu'on ne devienne possédé, si ses
yeux
se fixaient sur nous. DU DÉDOUBLEMENT DE LA P
comprendre ce que dit le prêtre qui lui parle parlesmouvements de l'
oeil
,en tout semblables cependant à ceux provoqués d
ement hallucinatoire : D... semble voir un spectacle effrayant, les
yeux
fixes, largement ouverts expriment la terreur, la
te est mobile dans tous les sens. Actuellement, nous avons sous les
yeux
une paralysie complète et flasque des quatre me
i les faits et l'opinion de Luys. On peut ne pas les accep- ter les
yeux
fermés, mais j'estime qu'on ne doit pas non plus
autre élé- ment de l'appareil olfactif. Cette connexité saute aux
yeux
quand on examine la voûte chez un animal osma-
ne provoque pas de convulsions. Seule, la déviation latérale des
yeux
persiste encore dans ce cas lorsqu'on excite un c
) C'est un symptôme très illusoire qui exige l'examen précis de l'
oeil
et notamment de l'état de sa réfraction, de son a
ant s'en faut, chose indifférente. Le malade que vous avez sous les
yeux
, le nommé B...., est âgé de 22 ans, il est ouvr
. Enfin l'examen oculaire n'est pas non plus pour y contredire. L'
oeil
droit est petit, enfoncé dans l'orbite, la pupi
IÈRE PAIRE DORSALE. 173 lysie détermine l'enfoncement du globe de l'
oeil
. Or, ces filets nerveux n'accompagnent la premi
lques mots à voix basse, aux questions les plus bienveillantes. Les
yeux
devien- nent ternes, le teint terreux. 10r se
trémité de la scissure parallèle temporale, centre du mouvement des
yeux
, était attaquée. Le pus fusait alors vers le co
rs, vers celui des membres supérieurs ; 3° Que les mouvements des
yeux
sont bien localisés au sommet de la deuxième ci
que ce carrefour est en continuité directe (continuité visible à l'
oeil
nu et sans préparation aucune), d'une part avec
e, produisant une double hémianopsie, mais différente pour les deux
yeux
, notre malade a des hallucinations dont l'inten
troubles de tous les autres. M. RovER. Contribution à l'étude de l'
oeil
des aliénés. 1° Conclu- sions générales : 1° au
e présentent aucune maladie oculaire qui leur soit spéciale. - 2° L'
oeil
droit chez les droitiers, l'oeil gauche chez les
ire qui leur soit spéciale. - 2° L'oeil droit chez les droitiers, l'
oeil
gauche chez les gauchers sont le plus souvent i
odèles précédents employés. En outre, à environ 35 centimètres de l'
oeil
est un repère qui, une fois arrivé à la hauteur
e malade, qui est affectée depuis janvier 1888 d'une amblyopie de l'
oeil
droit, a été prise du même trouble de l'oeil ga
8 d'une amblyopie de l'oeil droit, a été prise du même trouble de l'
oeil
gauche au mois d'août. A l'ophtalmoscope on con
e. Le trouble de la vue s'est installé brutalement et intense sur l'
oeil
droit; il ne s'est développé que plus tard grad
pé que plus tard graduellement et à un degré bien plus faible sur l'
oeil
gauche. M. BERNHARDT. - Des paralysies du pér
AL. Chez un malade atteint de paralysie progressive des muscles des
yeux
, on trouve une hypérémie notable du noyau atrop
istance des réflexes cutanés. Léger nystagmus hori- zontal des deux
yeux
. Diminution évidente de la force motrice brûle.
e légère. Réaction pupillaire prompte; intégrité des mouvements des
yeux
; rien d'anormal à l'ophtalmoscope. Parésie lég
auche et la colonne vertébrale; elle est pulsalile eL croit à vue d'
oeil
. Finalement héma. témèse, mort. Pendant les der
du reste, y avoir de relation entre la direction du mouvement des
yeux
et celle du mouvement de la tête. , A côté des
particulière de regarder les objets, l'en- fant fermant à demi les
yeux
et renversant la tète en arrière, pour regarder
stant comme stupide et regardant dans le vide avec un mouvement des
yeux
plus rapide) que jamais. Enfin, lorsque l'affec
que vers le qua- ' trième mois que les mouvements de la tête et des
yeux
deviennent harmonieusement associés, et pendant
an- ton l'a fait envoyer au Dépôt. - Vers minuit un individu, les
yeux
hagards, se présentait au poste de police du 4°
rentreront aisément toutes les individualités qui passent sous nos
yeux
. Je me garderai bien de proposer une classificati
les idées religieuses. J'en ai deux exemples remarquables sous les
yeux
. Observation X. C..., né en 1858, est le dernie
uche associée à des troubles psychiques passagers. En même temps, l'
oeil
gauche s'était enfoncé dans son orbite et parai
ation est très accusée dans tous les muscles paralysés ; 5° Vue : L'
oeil
gauche parait plus petit que l'autre, moins ouver
le de 111üller est simplement un des quatre muscles orbitaires de l'
oeil
, à savoir l'orbitaire inférieur. La paralysie n
ans l'observation qui nous occupe. Cette rétraction du globe de l'
oeil
ainsi que le myosis parais- 1 Mendel's Centralb
minutes, on voit seulement quelques palpitations des paupières; les
yeux
s'humectent un peu, puis quelques mouve- ments
le dos. - Nouveau repos dans l'extension, les paupières closes, les
yeux
dirigés en haut, les pupilles fortement dilatées,
IONS D'HYSTÉRIE MALE. 369 bres. Il y a de l'écume à la bouche : les
yeux
sont fortement déviés à gauche; les pouces sont
upille et de savoir de quel côté la déviation a lieu. Le globe de l'
oeil
n'est certainement pas dévié en haut. Les att
éveille un peu et demande à boire. Deux minutes après avoir bu, les
yeux
se dévient en bas et à droite. Il a des mouveme
re deux minutes environ, puis le malade se calme. A ce moment les
yeux
sont déviés en bas et à droite, les pupilles sont
e se redresse et se met à genoux, la tête renversée en arrière, les
yeux
regardant au ciel et à droite. Nouvelle attaque
r bruyant, avec résolution complète et dilatation pupillaire, les
yeux
convulsés en haut et à droite. Ecume à la bouche.
t quand il se baisse. S'il est debout « ça lui fait noir devant les
yeux
». Les personnes qui sont autour de lui sont no
es rares mouve- ments du bassin. - Ses paupières sont baissées, les
yeux
convulsés en haut et en dedans. La sensibilité
et par suite de l'allaque. On le réveille en lui soufflant sur les
yeux
. Une fois réveillé, au bout de dix minutes il r
bout de dix minutes il reconnaît toutes les couleurs suggérées de l'
oeil
droit. Il doit venir nous retrouver demain seul
t l'acuité visuelle est diminuée. La sensibilité des téguments de l'
oeil
est conservée, quoi- que un peu diminuée du côt
« Au feu o, venait trouver son père, la figure très effrayée et les
yeux
ouverts. Cela lui arrivait environ trois fois p
ait pas l'arc de cercle. Il cherchait à s'arracher la poitrine. Les
yeux
étaient fermés. De temps en temps il y avait un
u, à la face et au cou. Sur le tronc et les membres inférieurs, les
yeux
fermés, elle est prise pour un pincement. La se
er surtout quand il monte les escaliers. Quand on le met debout les
yeux
fermés il chancelle, et tomberait si on ne le r
ance. Le regard n'était pas modifié tout d'abord. Il clignotait des
yeux
seulement et cherchait à mordre et à égratigner
de cercle, puis retombait inerte et recommençait ensuite. Puis ses
yeux
tour- nèrent, il grinça des dents et poussa des
n pendant sept minutes. Pendant tout le lemps des convul- sions les
yeux
étaient fermés et les globes oculaires convulsés
en haut et en dedans. Après la période de résolution il rouvre les
yeux
. Le regard est fixe, hagard. Il regarde devant
d'environ deux minutes. Puis gémissements. Il ouvre légèrement les
yeux
, a l'air moins égaré, semble comprendre et se dre
l se redresse sur son séant, pousse un grand soupir, entr'ouvre les
yeux
, puis]retombe survie dos dans un état de résolu
Etant assis tranquillement sur un banc, il a tout à coup fermé les
yeux
comme s'il s'endormait, puis a glissé à terre.
a glissé à terre. Au bout de quatre à cinq minutes il entrouvre les
yeux
et tourne la tête à gauche. Frémissement des pa
coeur; peau moite. Résolution de sept minutes. Il entr'ou- vre les
yeux
, se redresse sur son séant, tourne la tête à droi
UVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. 387 gauche, puis retombe. Les
yeux
sont refermés : frémissement des paupières, pri
veau la tête à droite et à gauche; frémissements des paupières; les
yeux
hagards s'entr'ouvrent; frémissements des extré
s enfants au concert, il se met à genoux tout à coup en fermant les
yeux
et exécute avec sa tête et ses bras le mouvemen
e est pâle, les mains sont froides. On l'emmène à l'infirmerie, les
yeux
toujours fermés, en le soutenant sous les bras po
même état. - Ses parenls étant venus le voir, il ne put rouvrir les
yeux
en leur pré- sence, mais aussitôt après leur dé
'une attaque de peu de durée, à la suite de laquelle il rouvrit les
yeux
en disant : « Je vois clair. » A sept heures du
r, de dix minutes de durée, à la suite de laquelle on le coucha les
yeux
fermés.. Le lendemain, il n'a pas pu rouvrir le
le coucha les yeux fermés.. Le lendemain, il n'a pas pu rouvrir les
yeux
. Les paupières sont plissées dans les angles in
que qui dure quatre minutes à la suite de laquelle il a rouvert tes
yeux
. Le soir, étant debout, ses yeux se sont fermés
suite de laquelle il a rouvert tes yeux. Le soir, étant debout, ses
yeux
se sont fermés de nouveau, il a fait une dizaine
tombe brusquement sur le dos les bras croisés sur la poitrine. Ses
yeux
se ferment, ses bras s'étendent en croix, les p
muscles de la face. Arc de cercle pro- noncé. Il ouvre et ferme les
yeux
à deux reprises. Les yeux sont hagards, puis fi
cercle pro- noncé. Il ouvre et ferme les yeux à deux reprises. Les
yeux
sont hagards, puis fixes, et se ferment enfin,
secousses. Petits gémissements. Repos de quatre à cinq minutes. Ses
yeux
se rouvrent, il se dresse péniblement sur son s
té gauche. Il se dresse sur le côté droit, se passe la main sur les
yeux
, déboutonne de la main gauche son gilet. Les trai
de la main gauche son gilet. Les traits du visage sont crispés, les
yeux
fermés. Il ôte sa veste et la jette brus- queme
e deux minutes. Il se dresse alors sur son séant en se frottant les
yeux
, la poitrine et les épaules. Il se met debout,
t de huit minutes il se lève, se dirige lentement vers l'orgue, les
yeux
fer- més, le visage très pâle. Arrivé devant l'
ans l'extension. Nouvelle attaque. Rigidité très forte, face rouge,
yeux
en haut. Durée de 10 secondes. Ecume blanche, l
urne brusquement sur le ventre, puis sur le dos. Il ouvre alors les
yeux
, parait étonné, se lève, se plaint de la tête. -
attaque. Il bat l'air de ses bras, el reste 20 secondes debout, les
yeux
fer- més ; puis il tombe il terre après avoir s
en que par des obser- vateurs voyant passer annuellement sous leurs
yeux
'un grand nombre de nouveaux malades et, dans c
XIII. Des psychoses consécutives aux opérations pratiquées SUR LES
YEUX
; par DE Frankl-Hochwart. {Jahrbuech. f. Psych. IX
trouble de coor- dination. L'hémisphère cérébelleux gauche est, à l'
oeil
nu, d'un tiers moins développé que celui du côt
huit ans, employé à la colonie agricole depuis trois ans, sous les
yeux
mêmes des infirmiers. M. RICHTER (de Dalldorf).
ntense, d'émaciation extraordinaire et rapide, de facies terreux, d'
yeux
caves, de perversion de la sensibilité, d'hal-
cuteurs, par Coutagne; 242 ; révision de la loi sur les -, 156; -
oeil
chez les -, par Roger, 261 ; osteo- malacie c
de l ? par Vestphal 269 ; - paralysie de l ? par UhthotI, 270.
OEIL
, chez les aliénés, par Royer, 261 ; paralysie p
par l ? ranl¡\-Hochwart, 409; - consécutive aux opérations des
yeux
, par Frankl Hochwart, 409. Pupilles, incertitud
nflées. Il lui arrive aussi de saigner du nez, d'avoir le matin les
yeux
bouffis, de ressentir des crampes dans les jamb
onnons que celui-ci était porteur d'un léger strabisme interne de l'
oeil
droit, qu'il avait eu un frère mort phtisique à v
ialmie ; paupières normales, fentes palpé- brales horizontales. Les
yeux
sont mobiles en tous les sens. Pas de strabisme
ement. L'examen fonctionnel ne peut être fait. l'enfant fermant les
yeux
constamment d'une part, d'autre part son absenc
aru. Aujour- d'hui il ne lui reste plus guère qu'un clignement de l'
oeil
gauche. Caractère affectueux, aime les caresses
ttement à l'hérédo-ataxie cérébelleuse (manifestations du fond de l'
oeil
, tremblement de la langue, tremblement des mains,
u contraire un ptosis double très accentué, très différent de ces «
yeux
grands ouverts » REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
plitude augmentent pendant les actes volontaires et l'occlusion des
yeux
, ou à l'occasion d'efforts et diminuent, au con
bétique de tenir la main en l'air, sans la raidir, et de fermer les
yeux
. Les observations de tabes avec mouvements athé
erçoit un beau matin, que sans raison appré- ciable, il louche de l'
oeil
droit, Comme il y a, jadis, beaucoup souffert d
il craint de voir persister ce strabisme, cause de fatigue pour ses
yeux
. Cette crainte devient une obsession ; plus il
evient une obsession ; plus il y pense, plus il louche, tantôt d'un
oeil
, tantôt de l'autre. S'il est absorbé par une oc
s'il était bien convaincu qu'il n'en résulte aucun danger pour ses
yeux
, il négligerait ce défaut sans importance, lequel
sive et fatale. Dans d'autres cas, dus à une double suppuration des
yeux
et des oreilles, à la suite de fièvres éruptive
e de Deb... 108 RECUEIL DE FAITS. ment bornés à apprécier à vue d'
oeil
le degré d'atrophie ou d'hy- pertrophie de tell
HOLOGIQUE. Nouvelle contribution à l'étude de l'état du fond de l'
oeil
chez les paralytiques généraux. «Atrophie papil
mier travail' étudié les différents stades des lésions du fond de l'
oeil
dans la paralysie générale. Nous rapportons auj
t terminales (Archives de Neurologie. 1903, il- 85). LE FOND DE L'
OEIL
CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 127 Î veut : se
- En somme lésions caractéristiques de la paralysie générale. Les
Yeux
énucléés quelques heures après la mort ont été fi
e de Van Gieson pour celle du tissu conjonctifet des cylindraxes.
OEil
droit. - C'est sur des préparations intéressant à
essant à la fois le net 1* optiqtie à son entrée dans le globe de l'
oeil
, la papille .en sa partie centrale et la rétine
s. lésions de même intensité que celles que nous avons LE FOND DE L'
OEIL
CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 129 décrites à
que nous rencontrons dans la partie de l'hémisphère supérieur de l'
oeil
voisine de la papille. Si nous examinons mainte
taire consécutive au décollement. A ce même niveau, la LE FOND DE L'
OEIL
CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 135 choroïde es
distinctes quoique plus ou moins altérées dans leurs éléments. L'
oeil
gauche, présentait simplement les lésions de l'at
ns ordinaires de l'atrophie papillaire et rétinienne, dans les deux
yeux
, soit l'absence presque complète d'éléments nob
ieurs de la cuisse. Il conserve très imparfaitement l'équilibre les
yeux
fermés. Il existe un tremblement très fort des do
sietaciaie légère, surtout à droite. Les muscles droits interne des
yeux
sont paré- siés surtout du côté droit : la lumi
des quatre membres et de quelques-uns des muscles intrinsèques des
yeux
relève de l'as- thénic, bien plus que de t'akiu
ection essentiellement motrice : ptosis, paralysie des muscles de l'
oeil
, troubles de la mastication, de la déglutition,
inurie, ni sucre. Les troubles sensoriels loca- lisés au niveau des
yeux
consistent en strabisme divergent, fonc- tion d
auche. La tête était tournée à gauche, avec déviation conjuguée des
yeux
vers le même côté. Les crises étaient suivies d
sychique peut au contraire demeurer de longues années inaperçue aux
yeux
des per- sonnes non exercées. Les crises mental
nilaté- rale hystérique complique compliquée d'amblyopie de l'autre
oeil
, tous deux guéries par suggestion. Incontinen
les paralysies alternes, les paralysies des mouvements associés des
yeux
, l'asthénie bulbaire, etc., ont fait l'objet de
te étude se déroule à travers quinze leçons substantielles sous les
yeux
du lecteur captivé, parce qu'il s'assi- milie s
avec perte de conscience. Dans le cas donné, d'un côté saute aux
yeux
la conduite absurde de la malade sous l'influen
férent à tout ce qui se passe autour de lui. Il reste immobile, les
yeux
fermés ne faisant pas un geste. Si on le tire d
physiques congénitales notables. A son entrée, nous le trouvons les
yeux
bouffis, les pupilles contractées et légèrement
es tics ne sont légitimés par aucune affection des paupières ni des
yeux
) et en même temps les muscles du nez et des jou
cheveux tombant sur leurs oreilles. Même geste de la main vers les
yeux
qu'elle frotte vigoureusement. Les mouvements d
vie végétative. Phy- sionomie tout à fait déprimée, bouche ouverte,
yeux
mornes; mains idiotes, courtes, larges, épaisse
erreur scientifique. Les documents que je viens de mettre sous vos
yeux
en fournissent la démonstration La tâche, certes,
s un repli semi-lunaire de la peau au-devant de l'angle interne des
yeux
(Epicanthus) qui contribue à rendre plus large
pré- senté par les différents arts ou professions s'exerçant sous l'
oeil
du public (représentations, conférences, examen
, danscette attitude, on commande au malade de fermer fortement les
yeux
, on voit aussitôt la pau- pière du côté paralys
n volontaire et énergique des paupières, normalement, le globe de l'
oeil
se convulsé en haut. Dans les cas de paralysie fa
re. Le même fait se produit d'ailleurs à l'état nor- mal, quand les
yeux
sont clos, mais il est alors plus difficilement
ficilement appréciable. Sur un sujet qui dirige au commandement ses
yeux
en haut et en bas sous les paupières fermées, o
-six ans, liqueur, fils de tiqueur, frère de tiqueur. Clignements d'
yeux
, reniflements, froncements des sourcils et du fro
cécité hystérique, ou perte complète absolue de la vision des deux
yeux
est un accident rare, plutôt fréquent chez la fem
essaire de décrire ici des types que chacun a facilement devant les
yeux
. Le maniaque, le confus, l'anxieux, le dément agi
émarche est un peu hésitante, la malade ne peut se tenir debout les
yeux
fermés ; les réflexes rotuliens et achil- léens
e, avec obésité ou avec infantilisme. (M. B... fait passer sous les
yeux
des membres du Congrès des photographies collec
creusent, la pommette est saillante, la commissure labiale tirée, l'
oeil
demi-clos, mais cette contracture n'est pas unifo
BLIOGRAPHIE. 381 I saillantes, le teint terreux, le front plissé, l'
oeil
droit immobile et comme fixé dans le lointain,
ns le lointain, Saul penche un peu la tête pendant qu'il s'essuie l'
oeil
gauche avec un pan de son manteau. Et l'on pens
i se tiennent à l'écart dans des attitudes de tristesse et dont les
yeux
, aux pupilles sou- vent dilatées, reflètent la
re 1902, le patient con- sulta un spécialiste pour les maladies des
yeux
; celui-ci déclara qu'il n'avait aucun remède co
te maladie. Ils prescrivirent la frankh- nisation de la tête et des
yeux
et Natrium lodatum en dedans. Sous l'influence
vue était d'origine centrale, attendu que l'ophtalmoscopie des deux
yeux
donna un résultat purement' négatif, de même que
lissement de la vue s'augmentait toujours, le champ visuel des deux
yeux
, celui de l'oeil gauche surtout, se rétré- ciss
ue s'augmentait toujours, le champ visuel des deux yeux, celui de l'
oeil
gauche surtout, se rétré- cissait de plus en pl
rs à la tète qui furent accompagnées de douleurs fulgurantes dans l'
oeil
gau- che. Attendre encore était impossible, le
il ne peut se tenir debout un temps tant soit peu considérable les
yeux
fermés comme les yeux ouverts, les jambes se jo
ebout un temps tant soit peu considérable les yeux fermés comme les
yeux
ouverts, les jambes se joignent ; il ne peut no
main, présente le tableau suivant : (Fig. 18, dex. et sizz.) Dans l'
oeil
droit on n'a obtenu qu'une partie du champ visu
verte s'étend dans toutes les directions jusqu'à environ 5°. Avec l'
oeil
droit le patient déchiffre le 14 des tables de
ient déchiffre le 14 des tables de Jàger. La vue périsphérique de l'
oeil
Fig.-2\. 1. 390 . THÉRAPEUTIQUE. gauche est
ement le mouvement des doigts tout près ; l'ophtalmoscopie des deux
yeux
ne découvrit aucunes modili- cations sensibles,
cba tre des parties extérieures des deux papilles nervi optici. Les
yeux
ont leur mobilité normale, la pupille droite es
jusqu'à un anéantissement presque complet de ses facultés dans l'
oeil
gauche, sans modification sensible du fond de l'a
i, parait-il, affaire à l'affai- blissemeut de la vue dans les deux
yeux
sous forme de hémianop- sie sinistra qui, progr
lus en plus. L'été dernier, sans doute à la suite de la fatigue des
yeux
, cau- sée par les travaux pratiques à l'institu
mon patient qu'une partie du champ visuel périphérique dans chaque
oeil
avec une diminution considérable de la perception
es maintenant ; il se manifesta des douleurs perçantes, aiguës, à l'
oeil
gauche et, en plus, des fourmil- lements dans l
e résultat entièrement négatif, obtenu à l'oplitalmos- pie des deux
yeux
, confirma encore notre opinion. Les mouvements
a le tableau suivant. L'étendue du champ visuel périphéri- que de l'
oeil
gauche s'était encore plus rétrécie, celui de l'a
eil droit s'était un peu augmentée. La perception des couleurs de l'
oeil
droit avait diminué un peu ; la perception de l
vait être constatée seulement au centre du champ visuel droit. De l'
oeil
gauche le malade ne distinguait que les mouveme
ts devaient-ils être rapprochés de l'eeil le plus possible : avec l'
oeil
droit il ne déchiffrait que le 14 des tables de
édiatement après la deuxième friction les douleurs à la tête et à l'
oeil
gauche disparurent complètement et l'appétit co
me félicita des résultats obtenus. Quoique le périmétrogramme de l'
oeil
gauche eût encore diminué, mais dans le cadran
pouvait déjà compter les doigts à une distance plus grande. Dans l'
oeil
droit s'était opérée une augmentation vi- sible
perception des couleurs. Le patient comptait déjà les doigts avec l'
oeil
gauche aussi à la distance de S,75 m. et pouvai
S,75 m. et pouvait déjà déchiffrer le 8 des tables deJâger. Dans l'
oeil
droit tous les périmétrogrammes, celui du champ
de la vue. Le patient pouvait déjà déchiffrer avec l'un et l'autre
oeil
le 1 de tables de Jager. Il se manifesta au surpl
ue et la perception des couleurs sont rétablies complètement dans l'
oeil
droit, mais dans l'aeilgauche la perception des
TOMIE PATHOLOGIQUE. Fréquence et évolution des lésions du fond de l'
oeil
dans la paralysie générale. F1'UI)E CLINIQUE
avec M. le D1' Kéraval, nous avons étudié les lésions du fond de l'
oeil
dans la paralysie générale et montré leur fréqu
u'il y aurait intérêt à suivre l'évolution des lésions du fond de l'
oeil
observées un an auparavant et nous avons réexam
ée en 1902. 1 Communication au Congrès de Bruxelles. LE FOND DE L'
OEIL
DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 421 Nous avons cru
ques généraux à la deuxième ou à la troisième période. Le fond de l'
oeil
de chacun d'eux a été exa- miné avec soin, et l
or, pu constater que d'une façon générale, les lésions du fond de l'
oeil
avaient évolué parallèlement aux lésions du cer
s deux papilles ; Deux fois une papille blanchâtre du côté droit; l'
oeil
gauche étant normal chez un des malades tandis
ns un autre cas ; Enfin six malades seulement avaient leur fond d'
oeil
normal. Trente-huit malades sur quarante-quatre
ades sur quarante-quatre présentaient donc des lésions du fond de l'
oeil
ce qui fait 73,33 p. 100 d'altérations. La plup
eux de noter l'association fonctionnelle entre l'orbicu- laire de l'
oeil
et le ptérygoidien externe, le contact de la corn
deux côtés même chez le nouveau-né, même chez l'adulte à fermer ses
yeux
alterna- tivement.C'est un réflexe, car on peut
ne pupille normale ou d'une pupille immobile à la lumière, même d'
yeux
amaurotiques. Ce phénomène a lieu en outre dans l
e dégénérescence sont ordinairement obscurs, et souvent masqués aux
yeux
du praticien par l'état général grave sur leque
outre que, de même que les innombrables images qui passent sous nos
yeux
changent continuellement, il se produit dans le
i limitant ce sillon longitudinal et antéro-postérieur constaté à l'
oeil
nu dans toute la hauteur du foyer pathologique
Seulement, comme ces données que la iiattite a fait passer sous nos
yeux
, sans notre collaboration, sont à peu près les
une phrase dont ils ont perdu le sens; leur mimique est nulle, leur
oeil
terne est sans mobilité, les gestes absents ; c
égalité de la terre. J'ai les pupilles dilatées parce que j'ai un -
oeil
ouvert par le jour. C'est un oeu[ craquelé qu'ell
s. Plaque d'or et je Iravaille. Je suis jeune et tout Paris. « Deux
yeux
et puis pas de pantalon et puis deux yeux qui pas
une et tout Paris. « Deux yeux et puis pas de pantalon et puis deux
yeux
qui pas- sent. Tu passes Congo et puis Paris. C
curieux, la parole entendue, telou tel fait qui se passe devant les
yeux
du sujet devient, le point de départ d'un monol
individu normal. Plaçant alors un tube tronconique devant l'un des
yeux
, l'au- tre oeil étant fermé, on s'assure que le
Plaçant alors un tube tronconique devant l'un des yeux, l'au- tre
oeil
étant fermé, on s'assure que le disque est bien d
bien dans le champ visuel deceteeil ; le malade ouvre alors l'autre
oeil
; immé- diatement il voit deux disques et cette
is, la diplopie semble disparaître, bien que le malade ait les deux
yeux
ouverts, mais c'est que, alors, le malade ne re
rts, mais c'est que, alors, le malade ne regarde le disque que d'un
oeil
, l'autre oeil ne le voit pas, mais si le malade
t que, alors, le malade ne regarde le disque que d'un oeil, l'autre
oeil
ne le voit pas, mais si le malade cherche à ape
pas, mais si le malade cherche à apercevoir le disque avec les deux
yeux
, la diplopie apparaît : dans la vision binoculair
l n'y a pas trace de diplopie ; nous plaçons le tube devant J'autre
oeil
, immédiatement la diplopie réapparaît. Le secon
VANTES. à 8° pour le droit interne. Les muscles homologues des deux
yeux
ont rigoureusement la même puissance. Les aut
apparaît dès que, par un artifice, on immobilise l'axe visuel d'un
oeil
. 2° Les muscles oculo-moteurs participent à l'i
l'ilemic'1)111lie Liiez l'homme, par Mourait, 425. Oedème. Voit
Oeil
. Le fond de i' . \Ulr Para- lytiques généraux.
Vtgou- roux. 279. Fiéquence et évolution des lésions du fond de l'
oeil
dans la - générale, par liaviai,t et Caudion,
généraux. Nouvelle contribution à l'étude de l'état du fond de l'
oeil
chez les -. Atro- phie papillaire et décollemen
ici l'énumération qui, croyons- nous, paraîtra très instructive aux
yeux
des personnes compétentes : . (1) M. Boutilli
ngagé dans la construction des ateliers. C'est là d'ailleurs, à nos
yeux
, une considé- ration secondaire, il en sera de
ffection (Fiq. 4 .) La tête est grosse et ronde; la face large; les
yeux
sont très écartés; le nez à sa naissance est pl
es, iris jaune brun foncé et contractile; Gr... dit voir mieux de l'
oeil
gauche que de l'oeil droit. En effet, on remarq
oncé et contractile; Gr... dit voir mieux de l'oeil gauche que de l'
oeil
droit. En effet, on remarque, sur la cornée de ce
il aurait eu, à une époque qu'il ne peut préciser, une maladie de l'
oeil
pour laquelle il serait resté dix-huit mois à l
upérieures très bouffies diminuant considérablement l'ouverture des
yeux
, sans trace d'oedème , mais rappelant les gonfl
état. Les paupières gauches sont plus bouffies qu'à droite, aussi l'
oeil
droit est-il plus ouvert. A la lèvre supérieure,
/t'ig. 6. - Th... à l'à-e de 20 ans. marqués et les cils rares; les
yeux
restent constamment à demi fermés et les paupiè
; la peau desquame par place ; les paupières restent gonflées, les
yeux
larmoyants. - L'érysipèle a quitté la face pour
Mort à 10 heures 35 du soir. Avant de mourir, le Pacha a ouvert les
yeux
tout grands et a poussé plusieurs soupirs. T. R.
oucher plus dur que d'habi- tude, sans qu'on puisse y constater à l'
oeil
nu de lésions de néphrite interstitielle (épais
en forme de boule ; les paupières sont tuméfiées, immo- biles, les
yeux
à peine ouverts, chassieux, le regard est triste,
joues; les paupières inférieures étaient enllées; le nez large, les
yeux
proéminents et bien formés. La glande thyroïde
he est généralement ouverte, le nez est épaissi et élargi entre les
yeux
, les narines dilatées, les oreilles grandes et pl
pression, bouffie, terreuse ; le front est ridé, le nez aplati, les
yeux
très écartés l'un de l'autre; les paupières, volu
e; les paupières, volumineuses et plissées, tendent à maintenir les
yeux
à demi-fermés. La bouche, largement fendue, off
il sourit, des plis extraordinaires viennent creuser le visage, les
yeux
se ferment, les paupières s'allongent, les lèvr
tteints que de lésions structurales, ne se décèlant quelquefois à l'
oeil
nu que par des nuances délicates de coloration,
ont bien déve- loppés, contrairement à ceux du mollet. Le fond de l'
oeil
est nor- mal. Mentalement, c'était une enfant l
« crise de nerfs ». Pendant plus d'un quart d'heure il tourna les
yeux
et se cacha. Depuis ce temps, cauchemars et peu
, on le mena à l'école et le premier jour il revint lou- chant de l'
oeil
gauche « parce qu'il avait trop regardé le tabl
ce qu'il avait trop regardé le tableau», dit la mère.Le lendemain l'
oeil
n'avait plus rien, mais le soir on remarqua que
bien et était gai, mais les jours suivants il devint triste, ses
yeux
étaient égarés et cet état dura jusqu'à la fin de
sens ; c'est ainsi qu'on ne peut apprécier l'état de la vue ; les
yeux
sont grands, l'iris est brun foncé, les pupilles
un peu contractées; il y a un strabisme in- terne très accusé de l'
oeil
gauche. - L'ouïe semble nor- male ; en effet, l
peau est moins accusée que les- jours précédents. Face très rouge,
yeux
mi-clos, bouche ouverte. Le malade parait se pl
avec des inter- mittences fréquentes. Strabisme convergent des deux
yeux
. Hyperesthésie cutanée. Dès qu'on le touche, Ho
et raideur des bras très diminuées; strabisme interne, surtout à l'
oeil
gauche, constipation. Hier soir, on a donné un
périeure droite. Strabisme externe et dilatation de la pupille de l'
oeil
droit. Rien à gauche. Sensibilité normale des d
osis léger de la paupière supérieure gauche; strabisme interne de l'
oeil
correspondant. Pupilles égales. Peu après, paré
et l'enfant tousse beaucoup. 13 août 1885. Crâne normal. Au repos l'
oeil
droit ne louche pas et l'oeil gauche regarde en
3 août 1885. Crâne normal. Au repos l'oeil droit ne louche pas et l'
oeil
gauche regarde en dedans. La mobilité des deux
uche pas et l'oeil gauche regarde en dedans. La mobilité des deux
yeux
vers la gauche est très limitée. Les autres mouve
ers la gauche est très limitée. Les autres mouvements du globe de l'
oeil
sont conservés, mais l'oeil droit ne peut se tour
ée. Les autres mouvements du globe de l'oeil sont conservés, mais l'
oeil
droit ne peut se tourner que très peu vers la d
teur à gauche; paralysie du droit interne, des muscles moteurs de l'
oeil
vers la gauche, FAITS CLINIQUES. ' 123 surtou
l vers la gauche, FAITS CLINIQUES. ' 123 surtout prononcée pour l'
oeil
gauche, anesthésie de la cornée et de la conjon
ée à droite. Coma profond. 20 octobre. Aucun trouble à la face, les
yeux
ne présentent aucune modification. Coma persist
ires droites. De ce côté : surdité marquée, protusion du globe de l'
oeil
et stra- bisme interne. Tête inclinée sur l'épa
ille gauche dilatée. L'examen ophthalmoscopique montre le fond de l'
oeil
pâle et la papille mal dessinée à droite. La co
omber du côté droit. La tête est droite. Lestrabisme divergent de l'
oeil
gauche a disparu, mais le strabisme convergent
rgent de l'oeil gauche a disparu, mais le strabisme convergent de l'
oeil
droit s'est accusé davantage. Parésie de la moi
résenta un épisode aigu qui commença par du strabisme passager de l'
oeil
gauche et se continua par un état fébrile sur l
auxquels s'ajoutèrent de la dyspnée et du stra- bisme interne de l'
oeil
gauche. A son arrivée à Bicêtre (2 avril), IIoë
la gourme ; mais ni ophthalmie ni otite (sa soeur a souvent mal aux
yeux
). Il ne toussait pas; n'était pas sujet aux dia
les- tempes ; face ovale ; arcades sourcillières peu prononcées,
yeux
légèrement enfoncés, pupilles égales, iris brun,
ni d'onanisme. On n'a pas observé de strabisme : il fixait bien ses
yeux
; on a re- marqué cependant que lorsqu'il voulai
isième jour de la naissance, à trois ou quatre mois, il eut mal aux
yeux
et, à partir de deux mois, de l'eczéma impétigi
phié. La protubérance et le bulbe n'offrent rien de particulier à l'
oeil
nu. RÉFLEXIONS. - I. L'hérédité a exercé, dans
tes, ni cicatrices; les sourcils sont châtains et peu fournis ; les
yeux
gris bleus ; le nez est droit et régulier; les
s jambes fléchies ; il en est de même pour les avant-bras. Il a les
yeux
fermés comme s'il craignait la lumière; il refu
nt : les sourcils sont froncés, les paupière ? fortement fermées. L'
oeil
droit est en strabisme conver- gent ; les pupil
37° et 38°. 18 février. Ce matin T. R. 38°,4; le malade ouvre les
yeux
; il tousse beaucoup moins; le mâchonnement est
ma- tin subitement une petite crise. Il est devenu pâle, puis les
yeux
se sont déviés en haut et à gauche; les ailes du
trophie des éléments nerveux eux-mêmes et est masquée en partie à l'
oeil
nu par la prolifération scléreuse. Ce processus
sonne. Il a de nombreux tics : il saute, il tappe ses mains sur ses
yeux
, secoue fortement la tête ; il élève les bras e
te ; il élève les bras et tourne vive- ment les mains; il roule les
yeux
en haut et,en même temps (1) Nous avons eu l'oc
enant ; il mange; il fait de petites grimaces avec clignotement des
yeux
et stra- bisme. Pas de voracité ni de ruminatio
n le regarder et de dire plusieurs fois de suite : maman. Alors ses
yeux
se fixent sur ceux de la maîtresse et il se met
ontale, à sa naissance, enun point qui ne contient pas de foyer à l'
oeil
nu, il existe une vascularisation anormale très
ubs- tance grise, des taches grisâtres plus claires, visibles à l'
oeil
nu par transparence, atteignant 1 à 2 millim. de
ans des conditions assez voisines de celles que nous avons sous les
yeux
. Ces foyers sont situés aux points du cerveau l
s'étendant de la racine du nez sur le front et long de 1 cent. 1/2.
Yeux
un peu enfoncés. - Pupilles con- tractiles très
j'ai mal au ventre, dit-il. » Lo regard est brillant ; le blanc des
yeux
et la peau du visage deviennent « jaunes » ; la
dement quand on les soulève. Face un peu pâle, paupières mi-closes,
yeux
excavés et un peu convulsés en haut, nystagmus,
heures : 39°. Décubitus dorsal, tête tournée à droite ainsi que les
yeux
; coma; respiration haute, fréquente, bruyante;
iers, dans la maison de M. Ochorowicz, sans complice possible, sous l'
œil
toujours attentif de ses hôtes. II y eut pendant
arges. Un peu de rétrécissement visuel aux segments internes des deux
yeux
. Réflexes conjonctivaux normaux. Pas d'hypéresthé
sistible d'un objet, d'un endroit, d'une personne, il a bon pied, bon
œil
, bon estomac, bon cœur et se porte bien. Après av
pendant quelques secondes un rond faiblement luisant, grand comme un
œil
d'homme ; la lumière avait la forme de spirale pl
moment précis je leur fait la suggestion que je vais leur rouvrir les
yeux
, les fixer fortement et qu'alors les paupières to
avoir plongé la malade dans un sommeil hypnotique, je pratiquai sur l'
œil
malade un lavage au sublimé au 6/1000e La patie
is donc avec les ciseaux une incision en V, jusque vers le globe de l'
œil
, en enlevant tout le lambeau palpébral compris da
e sur la ligne de réunion. Un pansement antiseptique sec immobilisa l'
œil
. J'enlevai les épingles et les fils métalliques v
pération. Je lui avais recommandé, en la suggestionnant, de tenir son
œil
immobile, de ne ressentir aucune douleur, de bien
omplète. L'opération avait été pratiquée lentement, à main reposée. L'
œil
, sans contention d'aucune sorte, sans l'aide de d
nerveuses pendant ses grossesses. Le malade que nous avons sous les
yeux
est un exemple de nerveux dégénéré. Il est facile
sujet en lui faisant regarder un objet brillant placé entre les deux
yeux
. Dans cette première séance, je lui fis la sugges
lus que rarement appliquée aux maladies mentales qui passent sous nos
yeux
dans les asiles. Avec Foville, nous comprendrons,
it très fatiguée. Eusapia fit soudain un mouvement et, regardant d'un
œil
égaré alternativement ma main et la sienne, s'écr
dans le cabinet d'Ochorowicz, où Eusapia, encore à demi endormie et l'
œil
égaré, s'assit sur un sopha, s'inclinant en avant
mon brin d'herbe entre les doigts. Elle se tut, ouvrit largement les
yeux
, et regardant ma main, s'écria : — Qu'est-ce que
ontractures réflexes en divers muscles du corps. Il continue : « Si l'
œil
gauche étant fermé je fais fixer avec l'œil droit
rps. Il continue : « Si l'œil gauche étant fermé je fais fixer avec l'
œil
droit le bouton blanc du périmètre — en d'autres
ur la moitié temporale ou nasale de la rétine et les a répétées sur l'
œil
droit. Il résume de la façon suivante la morpho
icontracture. La moitié nasale la plus périphérique de la rétine de l'
œil
droit et la moitié temporale la plus périphérique
l droit et la moitié temporale la plus périphérique de la rétine de l'
œil
gauche, provoquent exclusivement une hérnicontrac
on de la partie périphérique de la moitié temporale de la réline de l'
œil
droit et de la moitié nasale de l'œil gauche prov
tié temporale de la réline de l'œil droit et de la moitié nasale de l'
œil
gauche provoque une hémicontracture gauche. Par
du nerf optique droit fournit à la moitié temporale de la rétine de l'
œil
droit la sensation lumineuse et détermine en même
sé du nerf optique droit s'étend à la moitié nasale de la rétine de l'
œil
droit avec ceux qui fournissent la sensation lumi
ouvements consécutifs du corps, amortissement des sens, fermeture des
yeux
, rêves, etc., toutes marques du recueillement de
a provoqué chez une hystérique le sommeil par la simple occlusion des
yeux
et des oreilles, et a trouvé que dans le sommeil
ec limitation du champ visuel et cécité incomplète des couleurs (à un
œil
). La maladie s'était produite à la suite d'un cou
œil). La maladie s'était produite à la suite d'un coup de poing sur l'
œil
. Reiersen18 fournit des indications pour l'empl
y- siques, que la machine corporelle, devra toujours avoir sous les
yeux
l'importance de l'influence psychique et de l'éta
psomanie, épilepsie, asthmes, paralysie du côté droit, strabisme de l'
oeil
gauche, faiblesse musculaire, idées fixes, vomiss
ême, que ce soit le sommeil, un fait ou une sensation. La fatigue des
yeux
n'interviendrait dans la production du sommeil qu
due dans les esprits entre l'idée de sommeil et l'idée de fatigue des
yeux
. La fixation du regard provoque la fatigue; la fa
ls n'ont jamais vu survenir le moindre accident. On soufflait sur les
yeux
du sujet et il se réveillait immédiatement. A l
a de lui-même, ces mêmes mots venant de nouveau à se présenter à ses
yeux
, lu sans épeler mais en embrassant d'un seul coup
i s'opéra, lui éveillé, dès qu'il se mit à table. Il couva ce vin des
yeux
, le dégusta, le trouva délicieux, et plein de joi
st opposé de ceux qu'ils veulent articuler et qui, enfin, restent les
yeux
dirigés continuellement sur une même partie de le
le; il se laissa lier sans résistance, toute son énergie étant dans l'
œil
. » Sans doute les animaux féroces auxquels on l
ent sur eux-mêmes : « quelquefois leur tète se renverse, montrant des
yeux
blancs, des traits illuminés, des lèvres ontr'ouv
pas, en tirant de leur poitrine un hurlement rauque et prolongé ; les
yeux
brillent, une écume épileptique mousse aux commis
e épuisée sur le sol quand on cesse de la soutenir ; elle a alors les
yeux
hagards et le système nerveux violemment surexcit
femmes tournent autour de l'idole, dans une course éche-velée, sous l'
œil
des prêtres. Quand cette cérémonie se passe dans
cher une partie du jour à une même heure, et à rester tranquilles les
yeux
fermés, écoutant les suggestions de calme et de b
née une hallucination obsédante à l'état de veille : on ne sait quels
yeux
expressifs, la regardant de derrière un amas de p
e ; cette extase sensuelle se manifeste non seulement dans l'état des
yeux
brillants, mouillés et largement ouverts, non seu
es analogues), l'irritation générale des nerfs, le mal de tête et des
yeux
, le tremblement du corps entier et les convulsion
tuel, soit plus de cent mille litres par jour. Le 5 avril, sous les
yeux
du médecin Dozous, incrédule notoire, et de plusi
accident fut suivi d'une méningite et il en résulta une amaurose de l'
œil
droit, qui résista à de nombreux traitements ; qu
t, qui résista à de nombreux traitements ; quand Bourriette fermait l'
œil
gauche, il ne pouvait plus distinguer un homme d'
un homme d'un arbre. Cet ouvrier applique de l'eau de la grotte sur l'
œil
malade, et, du coup, l'acuité visuelle revient pr
e sur un cadran; elle s'évanouit dans le bain; quand elle rouvrit les
yeux
, toute douleur avait cessé, les membres étaient r
portée évanouie dans la piscine. Au sortir elle reprend ses sens, ses
yeux
revoient, elle peut lire, elle se lève, affirme s
fréquentes, au point qu'elle ne mangeait plus et dépérissait à vue d'
œil
. Dix-huit mois avant sa mort, son médecin, à bout
re, l'école opposée, qui voit en eux des malades, comme le sont à ses
yeux
le fou et le criminel, affirme qu'on ne pourrait
mera les portes sans bruit, marchera sur ses bas, aura l'oreille et l'
œil
au guet, et quelle oreille! quel œil ! Il se souv
sur ses bas, aura l'oreille et l'œil au guet, et quelle oreille! quel
œil
! Il se souviendra de ce qu'on voudra, il oublier
que je le surveillerais, se garde bien, tant qu'ostensiblement j'ai l'
œil
sur lui, d'aller sur-le-champ, « avec la fatalité
-vous jamais eu en main une aussi belle orange? Elle m'a donné dans l'
œil
, j'ai tenu à l'avoir. D'ailleurs, il ne l'a pas v
— Mais oui, pas vu, pas pris », répond-il avec un petit clignement d'
yeux
fûté et significatif. Quelques instants après, qu
nt. M™ G... est, en effet, bien changée. Les traits sont tirés, les
yeux
enfoncés dans l'orbite; elle me raconte son histo
à des tentatives d'hypnotisme au moyen du procédé de la fixation des
yeux
sur un ou plusieurs doigts. L'hypnose n'a pu être
ongé dans un état dépassant la demi-léthargie ; il ne peut ouvrir les
yeux
; il ne peut non plus se redresser sur son fauteu
s l'Amiénois, quand, le soir, les enfants bâillent et se frottent les
yeux
, on dit : « Allons, le marchand de poussière va p
réussite des expériences, et qu'il fallait que celle-ci eût sous les
yeux
ou dans la pensée la solution demandée; sinon l'e
sur un carnet; si longue soit-elle, il suffit qu'elle passe sous les
yeux
maternels pour que l'enfant répète la phrase mot
ré vainqueur, après être resté sept jours et sept nuits sans fermer l'
œil
. Mais il était, après cette semaine d'insomnie,
argumentant ses compétiteurs. Un de ses juges, Rayer, fit valoir aux
yeux
du jury l'intérêt de ses titres scientifiques et,
ors M. Durand (de Gros) à peine âgé de 26 ans, devait être à tous les
yeux
la plus grande des témérités : il brûlait ses vai
ope; et de Grimm, pour l'Amérique (1). Elle consiste à concentrer les
yeux
du sujet vers un objet, pendant qu'on affirme la
ée dans notre service, nous constatons : léger strabisme interne de l'
œil
droit ; rétrécissement du champ visuel de cet œil
abisme interne de l'œil droit ; rétrécissement du champ visuel de cet
œil
en bas et en dedans. Déviation de pointe de la la
blement. Nous l'avons fait placer sur un lit ayant au-dessus de ses
yeux
une boule brillante, et il lui a été dit qu'en re
éconisé le système de la décentralisation des concours, ce qui, à nos
yeux
, ne serait qu'une aggravation du système fâcheux
t peut-être une allusion aux fantômes effrayants qui passent sous les
yeux
du malade aux heures de crise. Ce rapprochement p
aient immobiles et semblaient piongées dans le sommeil; toutefois les
yeux
ouverts et presque effarouchés ne permettaient pa
regard l'indiquait avec netteté; il s'y prêta volontiers, mit sur ses
yeux
un bandeaudoublé d'une épaisse couche de ouate, p
désignée par moi), avec une sûreté remarquable, et bien qu'il eût les
yeux
complètement bandés. Je lui suggérai alors de don
de la main, qui, dans certains jeux de salon, aident la personne aux
yeux
bandés à s'arrêter devant tel objet pensé par son
ous pensons à la guerre et nous voyons le mot guerre écrit devant nos
yeux
. Nous ne pensons en somme qu'avec des souvenirs d
esquels ce phénomène est possible. Si vous êtes moteurs, fermez les
yeux
, et, sans bouger ni faire agir aucun muscle de vo
ge : ce fut suffisant, à la rigueur, pour nous ouvrir entièrement les
yeux
. De cette confession et de tout ce qui précède,
sont jamais chez elle sous les index, la face n'est pas cyanosée, les
yeux
ne sont pas portés en haut. Le visage ne présente
es lèvres, à l'écume buccale, à la teinte livide. Les convulsions des
yeux
qui sont portés en tous sens et roulent dans leur
eu près tous les jours. Pendant ce sommeil elle était fort calme, les
yeux
à demi fermés, avec quelques tremblements rares d
s'arrêtait en fixant un objet, puis restait absolument immobile, les
yeux
grands ouverts. On ne. pouvait la sortir de cette
sans qu'elle s'en doutât et sans qu'elle modifiai la direction de ses
yeux
(1). Elle se réveillait au bout d'un temps plus o
nvulsions. Mais la malade se relevait aussitôt, la figure sombre, les
yeux
fixes, et cherchait à sortir ; si elle le pouvait
en appliquant le doigt sur le pouls. Souvent ils se font bander les
yeux
et s'avancent, tantôt lentement, tantôt d'un pas
n autre s'improvise guide. Le guide prend la main du médium qui a les
yeux
bandés, ou bien lui pose les deux mains sur les é
rés précités. Au médium occasionnel des jeux de salon, on bande les
yeux
pour lui retrancher une partie des impressions qu
t encore se traduisent sur son visage par les sourcils froncés et les
yeux
élargis. S'il est, lui aussi, anormal à un point
un parvenu dans un salon aristocratique du dernier siècle, est 1 tout
yeux
et tout oreilles, et charmé ou intimidé malgré so
ut oreilles, et charmé ou intimidé malgré son orgueil.; Mais il n'a d'
yeux
et d'oreilles que pour tout ce qui l'étonné et dé
utez-moi, vons allez vous endormir doucement. Laissez-vous aller. Vos
yeux
se ferment; vous avez besoin de sommeil. Vous dor
Vos yeux se ferment; vous avez besoin de sommeil. Vous dormez. » Ses
yeux
se fermèrent ; je les tins clos pendant quelques
-il, et son front d'une grande pureté; de longs cils ombrageaient ses
yeux
noirs et profonds qui donnaient à toute sa physio
nier n'y fit aucune attention mais continua de se faire habiller. Ses
yeux
étaient ouverts mais il avait un air abstrait tou
nce d'hypnotisme. Mettez un sujet dans l'état de somnambulisme, les
yeux
ouverts, présentez-lui votre montre et donnez lui
asser de cette femme, il ne peut plus chasser son image de devant ses
yeux
; 1 elle peuple ses rêves, et cette vision obséda
auquel vous devrez ressembler plus tard, de faire défiler devant vos
yeux
quelques types de médecins « comme si n'en faut p
plus qu'on puisse jamais obtenir une fonction normale. Ayant sous les
yeux
le cerveau de Bichat, il l'eut certainement pris
édicale de Montpellier, s'y est évertué. Chez la jeune fille, à ses
yeux
, la paralysie n'est rien moins qu'orga- : nique.
cas de rappeler à ce confrère qui distingue si bien la paille dans l'
œil
d'autrui, qu'il ferait bien de songer un peu à la
ignotements incessants de la paupière gauche. Il lui semblait que son
œil
allait se fermer. Trois jours après, elle était a
il profond. Nous lui suggérons qu'à son réveil, elle ouvrira les deux
yeux
en même temps et que le spasme de la paupière sup
suggestion suffit pour déterminer la ma-lade à manger et a ouvrir les
yeux
qu'elle tenait obstinément fer-mes. Il nous a été
ulu se jeter a l'eau. Elle a emjambé la rampe. On l'avait remarquée l'
œil
hagard, parlant seule, l'air sinistre, courant su
spécifique, avec enflammation du nerf optique de l'un, et de l'autre
œil
. L'accident primitif date de 1875, quatre ans apr
, l'électricité ont été employés en vain. Au mois de décembre 188s, l'
œil
droit ne comptait plus les doigts, l'œil gauche n
Au mois de décembre 188s, l'œil droit ne comptait plus les doigts, l'
œil
gauche ne comptait qu'à une distance de 50 cm. A
une distance de 50 cm. A gauche il y a un scotôme central, â droite l'
œil
a perdu la moitié interne de son champ visuel. L'
tral, â droite l'œil a perdu la moitié interne de son champ visuel. L'
œil
droit destiné à être plus tard le meilleur a un a
. L'amélioration obtenue a été assez grande à la fin du traitement, l'
œil
droit comptait les doigts à une distance de trois
nt, l'œil droit comptait les doigts à une distance de trois mètres, l'
œil
gauche aun mètre. Il ne pouvait pas lire, mais il
nt le sommeil provoque, (souvent les malades de M.Delbœuf dorment les
yeux
ouverts)à une distance plus grande. Supposons que
rale, le malade ayant constaté qu'il pouvait maintenant voir ses deux
yeux
dans un miroir. Au texte sont ajoutés huit figu
euse interstitielle, datant de 1884, ayant laissé sur l'un et l'autre
œil
une large tache cornéenne abolissant à peu près c
ords pupillaires des deux iris étaient adhérents au cristallin et les
yeux
devenant durs, on pratiqua des iridectomies. Da
au 26 avril 1888, M. Delbœuf a réussi à élargir le champ visuel de l'
œil
droit. En 1890. on a pu constater que l'améliorat
e fois; alors je constatai ; constitution assez faible, visage rouge,
yeux
larmoyants, tremblements dans les muscles, marche
isparait sans bruit et, au bout de cinq minutes, on la voit revenir l'
œil
brilla::; et .a figure animée. Elle est allée se
éveils'opère d'une façon très simple: en soufflant légèrement sur les
yeux
du sujet. L'auteur rapporte à la même cause l'a
pendant que ic coq est immobile, on trace,Sur le plan, a portée de l'
œil
, un trait de craie qu'on laissera après l'enlèvem
ouché, immobile dans son lit, ne prononçant aucune parole, tenant les
yeux
fermés, ne faisant aucun signe, ne manifestant au
e coup porta à quelques millimètres au-dessus de l'angle externe de l'
œil
gauche. M. Ritti en fut quitte pour une plaie, un
la fenéta.. — Voilà an exemple de sugges-lion qui devrait ouvrir les
yeux
ces pouvoirs publics sur l' urgence extreme qu'il
dans le petit niai. Puis, une ou deux minutes après, elle ouvrait les
yeux
et communiquait librement avec le monde extérieur
un bruit intense, une lumière vive, ou simplement par l'ouverture des
yeux
chez l'individu endormi. On fait passer le sujet
l'état précédent dans l'état de léthargie par la simple occlusion des
yeux
. Dans cette période, on constate l'exis-tense de
es, en modifier les caractères, créer, par exemple, la catalepsie les
yeux
fermés, rendre suggestible le malade dans la péri
pas non plus fixer trop longtemps l'effluve, mais on doit promener l'
œil
, tantôt sur un objet, tantôt sur l'autre, de faço
une différence de plus de moitié! Un cristal de roche, examiné avec l'
œil
gauche, présentait, au pôle positif, une effluve
nes de hauteur et de 40 lignes au pôle négatif; dans le même temps, l'
œil
n'indiquait que 16 a 18 lignes, et, en usant les
s, et, en usant les deuxjeux réunis, on obtenait 36 et 83 lignes. Les
yeux
ne se comportent donc pas, vis-à-vis de l'effluve
onscience de la valeur morale des actes qui s'étaient passés sous ses
yeux
. Ne devait-on pas regarder comme l'indice d'un tr
lle Bompard s'est écroulé; sa complicité consciente éclate à tous les
yeux
... et son avocat se raccroche désespérément à cet
volontiers à l'épreuve. Fixe ma montre pendant 10 m., puis ferme les
yeux
et s'endort. Léthargie. Sensation abolie par sugg
Alors je dis : « Je veux vous réveiller », et aussitôt elle ouvre les
yeux
. Seconde séance le 9 novembre, sommeil profond pe
ntre disant que j'allais l'endormir. Elle fixe pendant 2 m., puis ses
yeux
se ferment, elle soupire profondément et reste im
ontraction très forte, elle laisse échapper un cri, je presse sur les
yeux
en lui ordonnant de dormir plus fortement, puis j
es ses forces, ne veut plus de compresses, mais lient ma main sur ses
yeux
. Contractions chaque 2 m., pas de douleurs. A min
la femme ne bouge pas. Après l'expulsion de l'enfant, elle ouvre les
yeux
et s'étonne d'avoir accouché. Les suites de couch
s paupières, des secousses nerveuses légères dans le bras gauche, les
yeux
se tournent en haut et se ferment. Alors je press
ir pendant son accouchement, puis je la réveille en soufflant sur ses
yeux
. Elle se trouve bien et n'a pas conscience du tem
lui fait mal. Jela réveille au bout de 10 m. ; réveil difficile, les
yeux
se referment et il faut lui répéter plusieurs foi
ntend tout ce qui se passe autour d'elle, mais ne peut pas ouvrir les
yeux
et cause continuellement, se fâchant contre elle-
2 je l'endors par fixation d'une montre et après 30 m. elle ferme les
yeux
, ne souffre plus, dit qu'elle est très bien : € C
et le dos, que cela lui Ole les douleurs. Elle ne peut pas ouvrir les
yeux
, mais répond à toutes les questions qu'on lui adr
mais reste calme. A 6h. 1/2 la poche se rompt et la malade ouvre les
yeux
, maïs continue â pousser sans gémir. A 6 h. 1/4,
xcommunié aux yeux de tous, il s'isole encore davantage à ses propres
yeux
, se gloriûede sa mauvaise action et s'y complaît.
n et la certitude, altquid inconcussum. Mais ce n'est cependant qu'un
œil
rudimentaire. • Quand, dit-il, au fond des mers,
on humaine et horrible... Quand la réalité concrète surgit devant les
yeux
ou devant l'imagination, l'échafaud dressé, la de
au rapport de MM. Schooffs et Masoin ; vos lecteurs auront devant les
yeux
les pièces du procès. Agréez, mon cher rédacteu
eine à le rassurer et à obtenir son consentement. Fermant alors les
yeux
de la patiente et pressant sur ses globes oculair
une minute, à endormir la patiente. Ses paupières étaient closes, les
yeux
convulsés en dedans, la respiration calme, les me
ndant, répondait aux questions qu'on lui posait, mais sans ouvrir les
yeux
. Il était environ six heures du matin. Assis à
e avoir sommeil. Elle avait de la peine à ouvrir les paupières et les
yeux
étaient encore un peu convulsés en dedans. Elle p
lai à onze heures en lui soufflant sur les paupières. Elle ouvrit les
yeux
immédiatement et dit qu'elle se sentait assez bie
hée rougeâtre; les deux droites, bleuâtres; même observation pour les
yeux
. A la queue pendait tout un panache de Lohée, for
à chaque minute, l'empêchent de fixer, alors je fais l'occlusion des
yeux
et je l'engage énergiquement à dormir, en disant
ousse, reste calme. A 7 h. l'expulsion est finie, jute ma main de ses
yeux
et elle les ouvre de suite, demande le sexe de Su
a pas senti venir, qu'elle ne donnait pas, qu'elle pouvait ouvrir les
yeux
, mais que si je mettais ma main sur ses yeux, ell
'elle pouvait ouvrir les yeux, mais que si je mettais ma main sur ses
yeux
, elle se sentait bien et cessait de souffrir. L'e
ant l'accouchement et je la réveille en souillant; elle se frotte les
yeux
, s'élonue d'avoir dormi et se plaint d'une pesant
de fixer; La douleur passée, fixe de nouveau, et après 2 m. ferme Les
yeux
et dort. A ma question : « Dormez-vous? » elle ré
plaint k peine, regarde autour d'elle dans Les intervalles, ferme les
yeux
cl dort. Les contractions se répètent toutes les
. ; au moment des douleurs elle crie, mais continue à fixer, puis les
yeux
se ferment, la respiration se ralentit, devient p
euse, aujourd'hui si fréquente, et qui passe si souvent inaperçue aux
yeux
d'un grand nombre de médecins non encore prévenus
ant l'Académie royale de Médecine de Belgique. J'ai donc mis sons les
yeux
de mes honorables collègues, entre autres pièces,
e qu'ils voient qu'elles sont difficiles. Fixer avec persévérance les
yeux
du sujet, faire des gestes, des manipulations, de
e la rétine et l'intérieur du larynx, très vite, sans aucune peine; l'
œil
et la main s'y font seuls. On procède automatique
moral. Le patient écoute avec intérêt; il s'agit de lui; il est tout
yeux
, tout oreilles. J'ajoute : « Il est certainement
vous serez délivré ». Quelques-uns commencent d'emblée par fermer les
yeux
. Je dis: « Voici le sommeil ». Ils sont pris, cat
aux élèves leur regard fixe et immobile. J'ajoute simplement : « Les
yeux
se ferment. Dormez ». L'apparence de l'hypnose es
ose est complète. Mais ils sont déjà hypnotisés avant l'occlusion des
yeux
. Il en est qui n'ont plus l'initiative nécessai
x. Il en est qui n'ont plus l'initiative nécessaire pour fermer les
yeux
. J'ai beau dire : c Dormez », ils restent les yeu
re pour fermer les yeux. J'ai beau dire : c Dormez », ils restent les
yeux
ouverts. On les croirait rebelles, si on n'avait
rateur, se ressaisit bien vite. Ordinairement il suffit de fermer les
yeux
pour qu'ils restent clos. J'ajoute : c Vous êtes
s longue ; il faut provoquer l'hypnose par quelques gestes devant les
yeux
, tenir les paupières closes, suggérer les phénomè
re, en appliquant son énergie, résister à la suggestion et ouvrir les
yeux
); 116 arrivèrent à l'hypotaxie (le sujet ne peu
ux); 116 arrivèrent à l'hypotaxie (le sujet ne peut plus ouvrir les
yeux
; il obéit à une partie des suggestions, ou à tout
guéri ; qu'il ne vomira plus, n'aura plus ni erises, ni douleur. Les
yeux
restent clos; je lui dis de continuer à dormir tr
fait ensuite sortir de cet état cataleptique en lui soufflant sur les
yeux
. Elle présente aussi ce que M. Charcot appelle la
, il faut admettre une hyperacuité visuelle singulière qui permet à l'
œil
de saisir dans le papier les moindres défauts qui
si complète chez elle qu'elle s'affaisse aussitôt qu'on lui ferme les
yeux
. Elle a conservé à peu près l'ouïe et l'odorat, m
lée depuis 1885. En outre, elle n'est plus achromatopsique que de l'
œil
-droit: de l'œil gauche, elle reconnaît toutes le
En outre, elle n'est plus achromatopsique que de l'œil -droit: de l'
œil
gauche, elle reconnaît toutes les couleurs; la se
ses modes, est revenue du côté droit et elle peut se tenir debout les
yeux
fermés. Enfin, on ne peut pins produire ni cata
risée de ses collègues, et de passer pour avoir l'esprit dérangé aux
yeux
du monde scientifique? Qui de nous n'aurait eu
i, par suite d'un coup de fusil, était devenu entièrement aveugle (un
œil
enlevé par le projectile et l'autre fondu). Exp
idée de simulation. Ce qui pourrait passer pour de la simulation aux
yeux
des profanes — et malheureusement aussi aux yeux
de la simulation aux yeux des profanes — et malheureusement aussi aux
yeux
des savants qui ne veulent ou ne peuvent pas comp
de la Société de médecine de Paris (1779). « La bouche, dit-il, ou l'
oeil
, ou le cou, ou la main, entrent en convulsion : c
a moitié droite de la face semble moins développée que la gauche. Les
yeux
jouissent de tous leurs mouvements. R... voit moi
halmoscopique fait reconnaître un staphylôme postérieur à droite. — L'
œil
gauche est normal. 1874. 30 mai. Névralgie faci
'ouverture palpébrale gauche est un peu plus petite que la droite ; l'
œil
gauche serait aussi moins volumineux (?). Les par
définitivement en juin 1876. 1877. Novembre. — Elle voit mieux de l'
œil
gauche que du droit ; elle sent mieux de la 2
— le bras paralysé se retournerait plus que l'autre, la bouche et les
yeux
seraient déviés à droite : ce serait de ce côté q
gaux comme profondeur, mais il y en a 4 à gauche et 5 à droite. — Les
yeux
paraissent égaux. Les pupilles sont normales. Il
du côté droit et à la face « Emma, dit son père, avait un tic dans l'
œil
droit. » Les membres, envahis par les convulsions
sens ; les paupières sont fermées; si on les écarte, on aperçoit les
yeux
très-déviés à droite et en haut. — Les membres du
rice déclara que Jeanne avait parfois des mouvements nerveux, que ses
yeux
tournaient. Elle aurait dit n'avoir pas obser
e prise d'un accès et cherche à s'asseoir. Un éclair passe devant ses
yeux
; les paupières se ferment spasmodiquement. V a
cond mouvement de rotation, les battements des paupières cessent, les
yeux
s'ouvrent, l'avant-bras s'étend brusquement sur l
, on note ceux qui suivent : La face regarde à gauche et en haut, les
yeux
se convulsent dans le même sens; la commissure la
accès devienne complet. 4 mars 1872. — Description d'un accès : Les
yeux
deviennent fixes, la bouche se contourne ; la mal
la fermer. Les paupières s'abaissent quand on approche le doigt de l'
œil
. — T. R. 38°. — Dans certains accès, il y a aus
. Les paupières sont agitées par de petits mouvements convulsifs; les
yeux
regardent en haut. Puis, la tète oscille de gauch
tissant de l'arrivée d'un, accès : Le tronc se soulève en avant les
yeux
se dévient fortement en haut et à gauche, les pau
ais on dirait que la malade a de la peine à déplisser son front ; les
yeux
s'abaissent. La dimension des pupilles et la colo
à cet instant : rigidité tétanique de tout le corps ; la face et les
yeux
sont déviés à gauche ; les paupières battent rapi
outre, le front se plisse, la tête s'incline sur l'épaule gauche, les
yeux
et la face regardent à gauche ; la commissure lab
et se porte en arrière; — la face regarde à gauche et en haut; — les
yeux
sont déviés dans le même sens; — les paupières so
centue ; les muscles de la face semblent se convulser davantage ; les
yeux
se portent tout à fait en bas et à gauche ; les p
e ne diminue pas, V... soulève brusquement le bras droit, ouvre les
yeux
, regarde à droite. Les plaintes recommencent: «No
ttaques ébauchées : La face se colore, les lèvres se plissent ; les
yeux
se portent à gauche et en bas ; — les membres sup
ile et tournée à gauche ; les paupières sont largement ouvertes ; les
yeux
sont déviés à gauche et en haut ; pas de nystagmu
Le cou n'est pas roide. Attaque. 1° Période tonique. La face et les
yeux
se portent à gauche ; les bras, déjà allongés, se
lui opposait. Une troisième fois, C..., après avoir fait luire à ses
yeux
toutes sortes de promesses, lui avoir offert de b
rs plus tard, L... étant couchée dans sa chambre eut peur, voyant les
yeux
verts d'un chat qui la regardaient ; elle poussa
s muqueuses de la moitié droite du corps (conduit auditif, paupières,
œil
, narine, bouche, langue, palais, vulve). Elle s'a
on n'existe plus à droite : si la malade étant distraite et ayant les
yeux
fermés, on imprime différentes positions aux doig
a connaissance revenue, L... se plaint que le médicament la pique aux
yeux
et dans le nez et lui donne une sensation de ress
s sont décharnés ; ils ouvrent la bouche et ont des lumières dans les
yeux
. Le charriot est accompagné d'une dizaine d'homme
brève; G... est impolie, irritable ; ses mouvements sont brusques;les
yeux
deviennent hagards, fixes; les pupilles se dilate
nt d'un rouge vermillon très-vif et se couvre peu à peu de sueur; les
yeux
sont dirigés en haut; les pupilles se dilatent da
ondant, puis arrêt ; pas d'attaques ce jour-là ni le 11. Examen des
yeux
fait avec M. Landolt. — L'acuité visuelle est plu
e. — A Yophthalmoscope, on ne trouve pas de différence entre les deux
yeux
; il n'y a aucune lésion ; les veines sont un peu
e à gauche. — X... ne sent pas la résistance du parquet à droite. Les
yeux
étant ouverts, elle est capable de se tenir sur l
pieds. Le pied droit ne repose pas complètement sur le sol. — Si les
yeux
sont fermés, X... s'avance tout à fait à la façon
iner : la notion des couleurs est conservée à gauche ; même état de l'
œil
droit. — Il y a une rétention d'urine qui nécessi
oit, sous le prétexte qu'il est serré, « qu'il veut aller rejoindre l'
œil
gauehe. » S'agit-il là d'une contracture du muscl
ent rapidement, le regard devient fixe, les pupilles se dilatent, les
yeux
se portent en haut, la malade a perdu connaissanc
!... Tu sais bien ce qui te pend au nez... S'il t'a fait noire à mes
yeux
, il n'a fait que son devoir... Maman! Vas-tu fini
Repos, se tortille, ce Cochon! je te fiche une gif fie! » Repos, les
yeux
ouverts, fixes, les pupilles dilatées, regard eff
x ! papa va le savoir et elle en recevra des camouflets.. . Tu as les
yeux
de maman.. . Je n'en suis pas jalouse ; j'ai papa
sorte de rage concentrée; d'autres fois, elle demeurait immobile, les
yeux
fixes, l'air ahuri. Plus tard, elle s'est levée e
montrant la place libre qu'elle lui fait dans le lit. Elle ferme les
yeux
, la physionomie dénote la possession,le désir ass
s tempes et sifflements dans les oreilles, des tiraillements dans les
yeux
; ces derniers (1) Cette rédaction est faite d'
des hallucinations effrayantes, se suspend ; le regard est fixe, les
yeux
se portent en haut, les paupières se ferment, la
II). b) Phase clonique : Palpitations des paupières, mouvements des
yeux
, convulsions isolées de la face, petites secousse
e mari charmé et sans aide lui-même, contraint de souffrir sa honte à
yeux
ouverts et à bras croisés. » Jeanne Herviliers,
unique et en d'autres qua-» lités. » Elle avait sans cesse devant les
yeux
l'objet invisible de son amour. Elle le contempla
à genoux dans la chapelle ou dans sa cellule, le visage lumineux, les
yeux
pleins de larmes... Tout lui tombait des mains...
genoux douze heures de suite, les mains jointes sur la poitrine, les
yeux
fermés, immobile, sans tousser ni faire le moindr
ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANAT0M1E PATHOLOGIQUE. L'état du fond de l'
oeil
chez les paralytiques géné- raux et ses lésions
ophtalmoscope, les neuro-pathologistes purent examiner le fond de l'
oeil
des paralytiques généraux. Dès 1853, Lasègue, M
bles, et ses conclusions étaient les suivantes : 1° « Dans les deux
yeux
existe un liseré grisâtre des deux côtés des va
. Ach. Foville fils, la même année, s'occupait de la question : « L'
oeil
peut être le premier lésé, on peut voir des mal
ches hémorrhagiques ou bien une congestion généralisée du fond de l'
oeil
». Nettleship cite une observation où l'atrophi
n homme âgé de 35 ans, avait été suivie neuf mois plus LE FOND DE L'
OEIL
CHEZ LES PARALYTIQUES GENERAUX. 3 tard de troub
des recherches ultérieures, Uhthoff trouva des lésions du fond de l'
oeil
chez 50 p. 100 des paralytiques examinés (1130)
professeur Schmidt Rimpler signale, en 1898, des alté- rations de l'
oeil
qu'il a trouvées plus que partout ailleurs dans
nvenablement, de sorte qu'en réalité il ne nous en est LE FOND DE L'
OEIL
CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 5 resté que 51.
ois la dégénérescence vingt-quatre fois. Les lésions du fond de l'
oeil
que nous avons constatées étaient«très variable
lanche bilatérale ; deux fois l'atrophie blanche de la papille de l'
oeil
gauche, la papille droite étant moins atteinte.
e bilatérale. Une fois de la scléro-choroïdite postérieure des deux
yeux
. Le malade n'était pas myope, sa sclérochoroïdi
lade nous dit avoir vu bien souvent des éclairs passer devant ses
yeux
; sa vision était assez bonne. Il serait peut-êtr
ire qu'elle n'y est pas étran- gère. 1 Caudron (P.). Le fond de l'
oeil
des paralytiques généraux et ses lésions initia
sible de se diriger. Les lésions intéressaient inégalement les deux
yeux
chez 18 de ces 35 malades, chez les 17 autres,
montrer péremptoirement lagrande fréquence des lésions du fond de l'
oeil
chez les paralytiques généraux, lésions revê- t
ent l'état flou que nous avons décrit; comme chez l'un et l'autre l'
oeil
gauche était d'appa- rence normale, nous avons
de la papille, et que examens clinique et histologique LE FOND DE L'
OEIL
CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 9 sont bien adé
la lumière et à l'accommodation normal. Examen ophtalmoscopiqtze :
oeil
droit : légère atrophie avec état vascularisé i
e externe très réfringente, nacrée ; demi-sphère interne normale. L'
oeil
gauche paraissait normal. L'affection évolua ra
le. Vaisseaux : Athérome des artères basilaire et sylviennes. Les
yeux
ont été fixés sitôt après la mort dans de l'alcoo
nous ont permis de constater l'existence des lésions suivantes :
OEil
droit. - 10 Rétine : La couche des fibres nerveus
coupe longitudinale du nerf optique à son entrée dans le globe de l'
oeil
, telle qu'elle est représentée, figure 2, nous
le dernier stade est la déformation et la décoloration LE FOND DE L'
OEIL
CHEZ LES PARALYTIQUES GENERAUX. 15 du noyau. Al
iques. Les tubes nerveux ne présentent pas d'altération évidente.
OEil
gauche. - 1° Rétine : La rétine présente des alté
es sont en certains points plus accusées que celles décrites pour l'
oeil
droit. Raréfiées en certains points, les fibres
s, présentant à tous les degrés les modi- fications étudiées pour l'
oeil
droit; les neuronophages existent également. Pa
es et névrogliques, la papille présente un aspect très LE FOND DE L'
OEIL
CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 17 différent de
ui ne sont pas noyés parmi les cellules de soutien, comme ceux de l'
oeil
droit, sont très apparents. L'artère et la ve
niveau des circonvolutions frontales et du cuneus notamment. Les
yeux
et les nerfs optiques ont été fixés dans le liqui
pes transversales du nerf optique dans sa portion intracranienne.
OEil
droit. 1° Rétine : Pas de lésions apparentes de l
ents, nous en avons en n représenté quel- ques-unes. LE FOND DE L*
OEIL
CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 21 La méthode d
hi ne nous révèle aucune altération notable des fibres nerveuses.
OEil
gauche. 1° Rétine : Celte membrane parait peu alt
r l'absence de lésions systématisées des cordons postérieurs. Les
yeux
ont été fixés quatre heures après la mort dans la
de leur examen par les méthodes de Weigert et de Marchi. Les deux
yeux
présentant les mêmes lésions, nous n'avons fait
ur des recherches qui pourraient être nécessaires ultérieurement.
OEil
droit. Après inclusion dans la celloïdine, nous a
orte aux deux extrémités de son trajet, montrent bien que près de l'
oeil
comme au voisinage du chiasma, Fi,q. 7. Coupe
s n'avons 'igui'uquo)canou\. : Gt'.= : 372diamuh'es. LE FOND DE L'
OEIL
CHEZ LES PARALYTIQUES GENERAUX. Il Î riches en
ne piale, altérations diverses des fibres nerveuses. LE FOND DE L'
OEIL
CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 29 Si nous rapp
marquée que dans le premier cas. Dans l'un et l'autre cas enfin, l'
oeil
qui paraissait normal à l'examen ophthalmoscopi
l'asile d'Armentieres présentent de notables lésions du fond de l'
oeil
; il n'y a guère que ceux qui sont en rémission qu
tinite présentant les mêmes caractères que la méningo- LE FOND DE l'
OEIL
CHLZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 31 encéphalite
htali ? îosco2)y, Loiidon, 1879. Boy. Étude clinique du fond de l'
oeil
dans la paralysie générale. Thèse de Paris, 187
pupil- laire. L'importance de ce signe en médecine légale saute aux
yeux
. P. IEIiAVAL. IX. De la dourine des chevaux;
nerfs crâniens, le facial, plus rarement les nerfs des muscles de l'
oeil
, ou le glosso-pharyngien. Jamais de paralysie d
n effet, dans ces conditions, tout excitant lumineux qui atteint un
oeil
doit, en 'se transmettant à l'autre noyau sphin
examiner et la rassurer de la maladie dont elle souffre du côté des
yeux
. A la longue, des états secondaires alternatifs
in. « Le pain me fait pourrir le sang et les miettes me sautent aux
yeux
, dit-elle». Par ses réponses, elle cherche à ca
anifestes : un rétrécissement du champ visuel très net surtout de l'
oeil
droit ; diploplie avec amblyopie, et quelquefoi
ie avec amblyopie, et quelquefois les objets lui dansent devant les
yeux
; -, douleur à la pression dans la région épiga
le de ne jamais négliger le malade, de l'avoir chaque jour sous les
yeux
, de lui instituer un traitement médical et mora
ois pas de blépharoptose permanente, pas de parésie des muscles des
yeux
, pas de diplopie, pas de régurgitation des liqu
jets, la mère et l'enfant atteints de nystagmus congénital des deux
yeux
sans autres lésions. La première a quarante-sep
ants : 1° L'hérédité ; 2° Les mouvements associés de la tête et des
yeux
; L'ab- .sence de toute lésion oculaire. Ces
'insuffisance d'in- nervation corticale des muscles volontaires des
yeux
. Cette définition parait juste. La vision binoc
inférieur gauches. On constate, en même temps, un enfoncement de l'
oeil
, une chute de la paupière du myosis ; pen- dant
cas de paralysie alterne avec déviation conjuguée de la tête et des
yeux
. M. Thomas rapporte l'histoire de ce cas dont l
sensations banales. Les accidents ont débuté par des clignements d'
yeux
à l'occasion d'une conjonctivite ; celle-ci a g
flexes lumineux faibles ; réflexes accomodateurs énergiques; fond d'
oeil
normal). Plusieurs examens pratiqués par M. Hue
t des per- forations de la voûte palatine, parfois les maladies des
yeux
, de l'oreille, du nez, et qui peuvent se guérir
l en un mot. Ce masque porte deux échancrures, l'une au niveau de l'
oeil
. l'autre au niveau de la muqueuse labiale, de f
ge : tout danse autour de lui;'il ne peut s'empêcher de cligner des
yeux
, il sent qu'on lui tire le ventre, il ressent d
les membres, sa face est cyanosée, sauf autour de la bouche et des
yeux
où elle est pâle, les pupilles sont larges, con
ne, des bourdon- nements dans l'oreille gauche et une amaurose de l'
oeil
droit; puis l'amaurose était devenue double. Il
che, d'une paralysie des mouvements associés de latéralité des deux
yeux
. A l'autopsie, on trouva un gros tubercule ovoï
, intéressant le ruban de Reil, respectant les noyaux mo- teurs des
yeux
, mais ayant détruit les fibres qui vont de l'écor
paire droite et créer dès lors un strabisme interne permanent de l'
oeil
droit. Chez un 3° malade, existent, d'abord une p
paupières qui succède à la pénétration d'un corps étranger dans l'
oeil
qui est le point de départ du tic; l'écorce n'ent
es et récidivants. Paralysie temporaire des mouvements associés des
yeux
pour la vision binoculaire à gauche, plus tard
jours : elle débuta en 1887, par de la parésie des mouve- ments des
yeux
à gauche et des membres gauches. Après quelques
ous la forme de paralysie associée des mouvements de latéralité des
yeux
à droite. Aggravation progressive des troubles, a
l distingue bien les couleurs l'une de l'autre. Vision des deux 5
yeux
: . En lisant, il ne perd pas les lignes et passe
octobre 1901. Hémianopsie gauche très accentuée. 7 2 Vision de l'
oeil
droit = - - , vision de l'oeil gauche = Le 10 d
he très accentuée. 7 2 Vision de l'oeil droit = - - , vision de l'
oeil
gauche = Le 10 dO malade distingue bien les c
par GRASHBY (le maladie pouvait lire le mot s'il l'avait devant ses
yeux
en entier ; mais si on le faisait lire ce même
e champ du repos. lia eu, si l'image de la mort s'est offerte à ses
yeux
perdus dans, les derniers brouillards, la. consol
'Andilly, que quand je rentrai dans sa chambre et que je jettai les
yeux
sur elle, je vis la mort sur son visage". » Les
a cornée, à des paralysies oeulo-motrices graves et à la perte de l'
oeil
. La question est donc de savoir actuellement, s
trocement violente, et il lui semble qu'on lui arrache la langue. L'
oeil
parait être projeté hors de l'orbite. Chaque pa
s satisfaisant. N'a plus que quelques élancements au voisinage de l'
oeil
. En novembre, éprouve une crise très forte à la
r contourne le sourcil, puis se fixe au pourtour de l'un ou l'autre
oeil
, ou bien s'étend jusqu'à la région occipito-mas
ain soulagement. Pas de tic complet mais quelques spasmes légers (l'
oeil
tend à se fermer par spasme de l'orbiculaire.
il n'existe ni signe de Romberg, ni signe d'Argyll, ni lésions de l'
oeil
. L'examen de l'appareil oculaire permet de cons
ale. Il y a quinze ou seize ans, cette malade a reçu au-dessus de l'
oeil
droit un coup assez violent, et croit devoir attr
t et n'avoir à se plaindre que de quelques douleurs vagues dans les
yeux
. La malade éprouve de nouveau quelques douleurs
type grave. L'accès commence par des éclairs qui passent devant les
yeux
, immédiatement suivis d'une sensation de déchir
ns on peut noter : un léger nystagmus, lorsque la malade tourne les
yeux
du côté droit ; des mouvements comme ataxiques,
eu à droite ; le pli labio-nasal est plus accentué du côté droit; t'
oeil
droit se ferme plus fortement que l'oeil gauche.
accentué du côté droit; t'oeil droit se ferme plus fortement que l'
oeil
gauche. Les mouve- ments des yeux sont normaux.
oit se ferme plus fortement que l'oeil gauche. Les mouve- ments des
yeux
sont normaux. Les pupilles sont égales et réa-
ormaux. Les pupilles sont égales et réa- gissent bien. Le fond de l'
oeil
est normal. Souvent apparaissent des convulsion
très marqué avec symptôme de Babinski du côté gauche. Le-fond de l'
oeil
est normal. Au mois de novembre commença une am
'influence favorable sur la maladie. Dans le cas donné, sautent aux
yeux
les oscillations dans le cours de la maladie, les
progressant toujours, atteignit jusqu'à l'amaurose complète de l'
oeil
droit et l'amblyopie assez significative de l'oei
se complète de l'oeil droit et l'amblyopie assez significative de l'
oeil
gauche. L'examen du fond de l'mil par le D'' Av
il par le D'' Averbach, donna des résul- tats négatifs concernant l'
oeil
droit (névrite rétrobullaire) et démon- tra une
droit (névrite rétrobullaire) et démon- tra une névro-rétinite de l'
oeil
gauche; ensuite apparut une parésie de l'abduct
ès le début de la maladie. Pourtant actuellement encore la vue de l'
oeil
gauche = 0,6-0,7; l'oeil droit distingue les do
. Pourtant actuellement encore la vue de l'oeil gauche = 0,6-0,7; l'
oeil
droit distingue les doigts à 25 centimètres de lo
l droit distingue les doigts à 25 centimètres de loin; le fond de l'
oeil
gauche est normal; dans l'oeil droit on remarque
25 centimètres de loin; le fond de l'oeil gauche est normal; dans l'
oeil
droit on remarque la pâleur de la papille, la p
l lâchât de conserver. Il se remettoit néanmoins à écrire, mais les
yeux
un peu étonnés et l'esprit un peu agité de dist
u à peu près. ' IL 11 y a un rapport étroit entre la position des
yeux
et celle des paupières, ainsi qu'entre les mouv
des yeux et celle des paupières, ainsi qu'entre les mouvements de l'
oeil
et ceux des paupières. 454 REVUE D'ANATOMIE E
eveur correspond à une hypotonicité générale de la musculature de l'
oeil
. - IV. L'hypotonicité des muscles des yeux est
de la musculature de l'oeil. - IV. L'hypotonicité des muscles des
yeux
est en rapport avec un défaut de convergence et
rt avec un défaut de convergence et un état d'indépendance des deux
yeux
dans leurs rapports réciproques. V. Le défaut
s.Ason entrée à la clinique, 10 décembre 1901, avant tout saute aux
yeux
l'expression d'étonnement, comme figée sur la p
ression d'étonnement, comme figée sur la physionomie du malade. Ses
yeux
sont ouverts plus que d'ordinaire, le front légèr
nt, le malade regarde ses pieds, risquant de tomber s'il relève ses
yeux
en haut; parfois il chancelle de côté et d'autr
instruments pour l'examen du sang, de la sensibilité, du fond de l'
oeil
, des réflexes (appareil mul- tiplicateur des ré
te qu'à l'occasion d'un cas spécial il peut faire passer devant les
yeux
de ses auditeurs les projections de tous les ca
e oculo-moteur compliqué avec difficulté de rotation des bulbes des
yeux
à gauche et avec parésie du muscle droit inféri
e choc, la folle se mit à jeter des cris perçants qui, en un clin d'
oeil
, amassèrent autour de la voiture plusieurs centai
, Par (,al latia, 97. ]'%IIILYSIE générale. L'état du fond de l'
oeil
chez les paralytiques gé- néraux Pt ses lésions
un cas de - al- terne avec déviation conjuguée de la tête et des
yeux
, par bornas, 199. Contribution à l'étude de l'o
t récidi- vants. Paralysie temporaire des mouvements associés des
yeux
pour la vision binoculaire à TABLE DES MATIÈR
et aussi jeux de tonneau et de passe-boules, pour l'éducation de l'
oeil
et de la main. x Grande école ; éducation physi
rovisoire dressé par M. l'architecte et que nous mettons sous vos
yeux
. M. l'architecte place le bâtiment de l'adminis
ls (bronettage, passe-boules, tonneau), exercices delà main et de l'
oeil
. Pour pal- lier à cet inconvénient, nous avons
. Elles consistent en égratignures qui ont pour siège principal les
yeux
, en coups do pied lancés énergiquement, en mors
ndant ces accès, son visage est pourpre, ruisse- lant de sueur, les
yeux
sont hagards, le nez est pincé, les lèvres sont
lus clairement ici en présence des faits, avec les malades sous vos
yeux
, que dans la salle de nos séances. J'ai été plu
us ne croyons mieux faire que d'en placer le texte complet sous vos
yeux
. Pari,, C avril 1892. Monsieur le Président,
8 jours, elle fut atteinte de convulsions. La face était bleue, les
yeux
roulaient. On ne sait s'ils se tournaient d'un
l'entrée de l'enfant à la Fondation Vallée. Elle n'avait jamais les
yeux
fixés sur ce qu'on lui faisait voir; riait bête
isme effréné, crural et manuel. Tics : L'enfant ferme souvent les
yeux
, fait des grimaces de la face, grince des dents
istèrent en l'ouverture de la bouche, en mouvements dissociés des
yeux
, et grimaces sans prédominance à droite ou à gauc
t en dehors, peu épais, châtain clairs; fentes palpébrales grandes,
yeux
en amandes ; cils longs et noirs. Pas d'exophta
aura; l'enfant criait : « maman, maman ! » puis sans autre cri, les
yeux
« chaviraient » et le côté paralysé parais- sai
ilières. La bosse pariétale est surtout proéminente à gauche. Les
yeux
sont bruns, parfaitement mobiles, sans paralysies
arait pourtant que peu impressionnée par les objets présentés à ses
yeux
. Sa mère, avons-nous vu, la tient pour complèteme
qu'elle eût des perceptions visuelles quelconques. Les muscles de l'
oeil
fonctionnent régulièrement. Pas de strabisme, p
plaignait en grognant, puis se raidissait, la bouche écumante, les
yeux
fixes et hagards. Aucun mou- vement tonique, ni
palpébrales moyennes et réguliè- res. Cils longs et bien implantés.
Yeux
grands, à motilité nor- male, pas d'exophthalmi
ée (38°). Eruption discrète sur la face et le tronc. Toux grasse.
Yeux
larmoyants, coryza peu intense. Rien à l'ausculta
ment la part de l'exanthème. Blépharite ciliaire assez accusée de l'
oeil
gauche; lavages boriqués. T. R. 37", 2. - Soir
rcils abondants, mais assez clairsemés, noirs. Cils longs et noirs.
Yeux
mobiles dans tous les sons. Pas de nystagmus en
s en ce moment. Impossible d'apprécier la valeur fonctionnelle de l'
oeil
. Iris presque brun. Les pupilles sont égales. L
ns; au cours de sa dentition, elle eut trois fois des syncopes (ses
yeux
ne tournèrent pas, ses memhres ne s'agitèrent p
ent en un tres- saillement des bras avec rotation de la tête et des
yeux
. Elles n'étaient pas généralisées et le côté dr
it. Les jambes étaient moins agitées, ainsi que le bras gauche. Les
yeux
se déviaient, devenaient blancs, puis l'enfant
mobiles dans tous les sens. Il y a du strabisme externe, soit de l'
oeil
gauche seul, soit des deux yeux. Dans aucun mouve
y a du strabisme externe, soit de l'oeil gauche seul, soit des deux
yeux
. Dans aucun mouve- ment, la pupille de l'un ou
pille est moins dilatée et ne réagit pas à la lumière. Le fond de l'
oeil
est invisible. Il y a cécité compte. ! liez droit
pas et tient continuellement dans son lit ses jambes repliées. -Les
yeux
, atteints de cécité, restent constamment ouvert
a face devient rouge, se tourne à droite ainsi que la bouche et les
yeux
. Légers mouvements des paupières ; quelques sec
t n'avait pas de vertiges, mais lorsqu'un accès était imminent, ses
yeux
» devenaient fixes.» Ces accès lui revenaient qu
t actuel. - L'enfant est d'une pâleur terreuse. Il est amaigri. Les
yeux
sont excavés et brillants, fortement cer- t-11
lèvent bien, et produisent en s'abaissant l'occlusion parfaite de l'
oeil
. Les cil" noirs, sont longs et abondants. Yeux
lusion parfaite de l'oeil. Les cil" noirs, sont longs et abondants.
Yeux
bien mobiles; pas d'exopthalmie. Pas ? strabism
maigrissait et sa mère s'aperçut qu'il tenait toute la journée les
yeux
fermés; qu'il ne les ouvrait que la nuit. Elle
les ouvrait que la nuit. Elle constatait quotidiennement que « ses
yeux
marchaient tout le temps comme un moulin. » Ce
maison. » Il restait toujours assoupi. A 3 mois, les mouvements des
yeux
cessent; l'enfant reste maigre, ne donnant aucu
gne d'intelligence. Il demeure cou- ché dans son lit, immobile, les
yeux
clos, la bouche à demi ouverte et ne riant jama
cé. Pupilles égales à réac- tions normales. Examen fonctionnel de l'
oeil
impossible. - Nez, aplati, légèrement camard. P
s, à apparition irrégulière, se manifes- tant surtout au niveau des
yeux
et s'amendant après le repos. Ces céphalalgies
rs, surve- naient souvent par crises de ) ou 7 ; en même temps, les
yeux
se convulsaient, « on ne voyait que le blanc. »
r. Les pa- rents racontent qu'à ce moment « il perça les dents de l'
oeil
. » Petit à petit, dit-on, tout le côté droit fu
s par minute. Affaissement général, pouls filiforme, visage abattu,
yeux
cer- nés, somnolence. Il n'a pas de secousses t
grandes variétés : mouvements divers des muscles de la face et clés
yeux
, grimaces de toutes sortes ; mouvements alterna
ses du corps. La face était très pâle, les mâchoires serrées et les
yeux
détournés. L'enfant criait constamment. Dès son
evient de plus en plus mauvais. Respiration pénible, torpeur. Les
yeux
sont brillants et sans expression. Pas de sueurs,
. Sourcils noirs, abondants et longs. Cils longs et bien implantés.
Yeux
mobiles, sans exophthalmie, ni paralysie, ni ny
Vers 9 h. t du matin, il est pris d'un accès épilepti- forme : les
yeux
roulent convulsivement dans leurs orbites, la f
et que la grand'mère croit être des convulsions. L'enfant avait les
yeux
convulsés en haut, les membres supérieurs étaie
s. Pas de blépharite, pas d'exopthalmie. Appareil mus- culaire de l'
oeil
naturel. Sensibilité de la conjonctive normale.
ant a eu une syncope. Ce matin, elle est d'une pâleur exsangue. Les
yeux
sont légère- ment voilés. Le pouls est assez bo
tes, duraient moins longtemps que les pré- cédentes. La bouche, les
yeux
et les muscles de la face étaient seuls intéres
15 février à la Grande Ecole. 2 ? nars. Légère conjonctivite de l'
oeil
droit, qui amène son entrée à l'infirmerie. J
muscles du visage sont également animés de quelques spasmes. Les
yeux
, portés fortement en haut (pupilles également dil
oloquinte sur ses doigts ; l'empêcher de mettre ses doigts dans ses
yeux
(habitude fré- quente chez nos enfants idiots a
igreur augmente. Raideur de la nuque. Légère parésie du côté droit.
Yeux
caves et bistrés. Les grincements de dents cont
1, il eut des symptômes méningitiques; il avait des convulsions des
yeux
, se frottait le front continuelle- ment avec le
. La toux est très fréquente. L'abattement est très prononcé. Les
yeux
sont cernés. Le sommeil est très agité et l'enfan
. Elles ont duré tres-peu et portaient principalement sur la tête. (
Yeux
, 218 DESCRIPTION DU malade. face). Il tordait
et assez fournis. Les cils sont longs, noirs et un peu relevés. Les
yeux
sont mobiles. Pas de nystag- mus ; l'iris est c
rmales, cils courts et peu abondants. Fentes palpébrales peti- tes.
Yeux
à motilité normale, ni strabisme, ni nystagmus.
expression de tristesse. Les paupières sont normales, bien fendues.
Yeux
: les cils, longs, montré- guliers. les pu pi l
La respiration semble cependant encore assez facile. L'enfant a les
yeux
excavés, vitreux. Elle a perdu beaucoup de force,
éduite à une émaciation extrême et s'affaiblit graduelle- ment. Les
yeux
sont ternes, à-demi fermés. Le pouls est encore
ILLIET. - Le fragment de cervelet qui nous a été remis présente à l'
oeil
nu (Fig. 8) une poche kystique tapissée par une
sorte que cette membrane qui paraissait homogène sur le kyste à l'
oeil
nu, s'étale en un réseau sur les coupes. Le tissu
de ce malade dans notre service, vu la tête se développer sous nos
yeux
par suite de l'hydrocépha- lie ventriculaire. T
r du cou. On remarqua qu'il n'avait pas d'ongles et qu'il avait les
yeux
malades : cette affection guérit au bout de deux
à la grande école. Décembre. Notes de l'école. Physionomie douce,
yeux
à demi fermés. Il marche en sautant, (rainant l
e légèrement baissée et tendue en avant, il regarde avec fixité,les
yeux
dans un léger strabisme, convergent (/ig.l6,'1
pas guidé par une intention offensante. Ayant voulu examiner ses
yeux
et entr'ouvrir ses paupières il se mit à pousse
. Sim ? idiot aveugle, a Yhabilutle de mettre ses doigts dans ses
yeux
, puis dans sa bouche, ou bien il passe ses main
es mains, lui donne un aspect repoussant. Gouj... ouvre de grands
yeux
, frotte ses mains l'une contre l'autre, et aspi
e, Messieurs, si les crânes ([tic nous allons faire passer sous vos
yeux
, corroborent l'opinion très optimiste de Al. le
ls bien formés, mais minces, fournis de poils foncés et courts. -
Yeux
petits, très écartés. Fentes palpébrales assez gr
antes. Cils courts et assez rares, gris et arqués. Musculature de l'
oeil
saine, pas de paralysie, pas de strabisme, pas
n augmentant de. fréquence et d'intensité jusqu'au traumatisme de l'
oeil
qu'ont suivi les mutilations auxquelles il ne s
volon- tiers demandé la réduction de nos moyens d'action. A leurs
yeux
, nous avons trop fait pour de tels enfants. Leu
che, tremblements, hébétude de la physionomie (pupilles dilatées,
yeux
cernés, teint jaunâtre, pustules d'acné, etc.),
UËS. LXXI intéressé vivement aux enfants atteints de maladies des
yeux
. Depuis il a rempli les fonctions d'interne dan
légère, souvent insignifiante s'accumulant dans le grand angle de l'
oeil
, avec un peu de rougeur de la conjonctive, mani
que, si ce n'est une blepha- ritc chronique : « Elle a toujours les
yeux
collés au réveil. » Ni vers ni onanisme. État
, clairsemés, légèrement arqués, sans solution de conti- nuité. Les
yeux
sont assez ouverts, fendus en amande : iris gri
pupilles dilatées môme en pleine lumière, strabisme convergent de l'
oeil
droit ; paupières plutôt fortes, relevées il le
1 à gauche. Aréole rosée, mamelon bien dessiné 0m 005 à 0m 006. A l'
oeil
le sein gauche est plus bombé. Bassin large, ve
age est ovale et ne présente ni cicatrices, ni malformations. - Les
yeux
sont nor- maux, les pupilles réagissent à la lu
Premières convulsions le 10^ jour, elles ont continué 3 jours. Les
yeux
se convulsaient en haut. Le bras gauche se cont
e, cils fournis. Fentes palpébrales grandes. Orbites peu grandes.
Yeux
, strabisme convergent. Mobilité des yeux assez
es. Orbites peu grandes. Yeux, strabisme convergent. Mobilité des
yeux
assez grande. Iris brun et de couleur uniforme.
se raidir et, au besoin, aux sujets impressionnables de fermer les
yeux
. A l'état normal, les orteils se fléchissent, c
cherché de deux façons : 1° dans l'obscurité : on place a côté de l'
oeil
il examiner un rat ou une bougie allumée. On fa
la lumière entre et la source de lumière. * On éclaire à volonté l'
oeil
en retirant la main : la pupille reçoit la lumi
ferme, les deux paupières et on ouvre brusquement la paupière de l'
oeil
examiné en la soulevant avec le pouce : la pupi
pupille se contracte ; on referme cette pau- pière et on examine l'
oeil
opposé de la même façon. b) Examen consensuel.
pposé de la même façon. b) Examen consensuel. On maintient ouvert l'
oeil
à exa- miner, le droit par exemple : on ferme l
tient ouvert l'oeil à exa- miner, le droit par exemple : on ferme l'
oeil
gauche. Puis brusquement on soulève la paupière
n ferme l'oeil gauche. Puis brusquement on soulève la paupière de l'
oeil
gauche en main- tenant l'attention fixée sur l'
ine : 650 gram- mes. Le visage est beau- coup moins gonflé, les
yeux
sont plus ouverts. Erythème des aines dû aux
eb... 114 IDIOTIE myxoedémateuse. ment bornés à apprécier à vue d'
oeil
le degré d'atrophie ou d'hy- pertrophie de tell
thalmie; paupières normales, fentes palpé- braies horizontales. Les
yeux
sont mobiles en tous les sens. Pas de strabisme
ment. L'examen fonctionnel ne peut être fait. l'enfant fermant' les
yeux
constamment d'une part, d'autre part z son abse
aru. Aujour- d'hui il ne lui reste plus guère qu'un clignement de l'
oeil
gauche. Caractère affectueux, aime les caresses
es tics ne sont légitimés par aucune affection des paupières ni des
yeux
) et en même temps les muscles du nez et des jou
cheveux tombant sur leurs oreilles. Même geste de la main vers les
yeux
qu'elle frotte vigoureusement. Les mouvements d
V... n'a su nous le dire. Plutarque (2) raconte de Sylla que « ses
yeux
es- toyent ardents et étincelants à merveille ;
e piqueté hémorragique est interrompu entre les angles internes des
yeux
. Pomm.... (Gilbert), âge de 28 ans, épileptique
d'une crise, il s'est pro- duit un piqueté hémorragique autour des
yeux
, sur la partie avoisinante des yeux et sur le c
piqueté hémorragique autour des yeux, sur la partie avoisinante des
yeux
et sur le cou.-Pendant les accès, il a toujours
ne ecchymose de la conjonctive oculaire, clans l'angle interne de l'
oeil
gauche. Cette ecchymose a disparu au bout de qu
dolychocé- phalie. - Visage ovale, arcades sourcillières effacées,
yeux
gris, hyperhémie conjonctivale fréquente, à la
Température des cinq premiers jours. ' 196 Mélancolie; mutisme. z
yeux
creux et cernés. Au déjeuner, elle refuse de mang
lu- sieurs fois dans la journée on remarque qu'elle maintient ses
yeux
fermés durant quelques minutes et il lui est arri
s douleurs de tête. Deux, fois, en se levant, brouillard devant les
yeux
. En raison de ces accidents, durant lesquels le
uomanie. - Phlegmon de l'orbite gauche. Sup- puration et perte de l'
oeil
. Manie de s'écorcher ; autophagie. (Lèvre). - E
re turbulent. A3 ans et demi convulsions débutant dans la nuit; les
yeux
sont tournés en haut, les membres agités. Ces c
Pli orbito- palpébral excessivement saillant et chargé de graisse.
Yeux
mobiles; pas de strabisme, de nystagmus, ni de
fois il la leçon de chant, il y est resté absolument en extase, les
yeux
fixes et la bouche entr'ouverte. Il ne connaît
isons à la figure, tantôt aux lèvres et à leur pourtour, tantôt aux
yeux
, au nez, dans le cuir chevelu, il est alors por
ec rougeur érésypélateuse s'étendant aux mues. Un peu de pus dans l'
oeil
droit. Nitrate d'argent et lavage de l'oeil. A
s. Un peu de pus dans l'oeil droit. Nitrate d'argent et lavage de l'
oeil
. A cinq heures du soir l'enfant passe à l'isole
l'isolement. Ler..., parait avoir été piqué par un insecte sous l'
oeil
gau- che, et, à la suite des coups qu'il s'est
puis l'alitement. 13 juillet.- L'aspect delà face est repoussant, l'
oeil
gauche est en exophtalmie sous des paupières tr
ulaire. Actuellement, tuméfaction considé- rable des paupières de l'
oeil
gauche. La paupière supérieure, sphacélée, a la
correspondantes de la cavité orbitaire d'une collection purulente L'
oeil
droit est tout à fait débarrassé. Le globe oc
jour, on est obligé de l'attacher. Ses diverses blessures, tant aux
yeux
qu'à la bouche, semblent entrer en voie de cica
qu'au 1S août. A ce moment, son agitation devient moins vive, ses
yeux
, de même que la blessure de sa lèvre, sont en bon
le, il s'arrache la bouche, les lèvres, enfonce les doigts dans ses
yeux
, se mord (1) et cherche il mordre ceux qui l'en
déchirées et présentent de nombreuses cicatrices. Le moignon de l'
oeil
gauche a été enlevé au milieu des tis- sus grai
aupières avec rou- geur et gonflement, puis coups de poings sur les
yeux
, principalement le gauche, cognements de la fac
les barreaux du lit, plaie, érysipèle, phlegmon et suppuration de l'
oeil
gauche. Vers le milieu de juillet, il commence
connaîtrait encore. " Ne louchait pas, quand il était petit : ses
yeux
se seraient tournés vers deux ans. Parfois
Parfois il a des secousses dans les membres et de la rotation des
yeux
. Ces secousses revenaient pres- que tous les
it sa mère, attendu qu'il ne voulait manger qu'avec elle. A les
yeux
un peu déviés en bas, on ne sait depuis quand
s saillante que la gauche. Oreilles grandes et très écartées.
Yeux
assez mobiles : 8tra- bisme convergent, intermi
mobiles : 8tra- bisme convergent, intermit- tent, plus marqué à l'
oeil
droit. Pas d'exophtalmie, léger nystagmus. Pu
tion ; la réaction à la lumière persiste. L'exa- men du fond de l'
oeil
n'a pas été pratiqué. . Thorax mal conformé,
a région fron- tale antérieure. Oreilles, mômes carac- tères.
Yeux
présentent un léger nystagmus. Pas d'au tretrou
Il est idiot complet ; son facies est dénué d'expres- sion, ses
yeux
regardent toujours dans le vague, il ne dit a
, le front est plissé. Les maxillaires sout nettement dessinés. Les
yeux
sont injectés, toujours larmoyants ; les paupiè
ts. On ne remarque rien à l'examen de la bouche et de la gorge. Les
yeux
sont larmoyants et vitreux, fortement excavés d
e mouvement respiratoire. Les plis du front ont disparu à gauche. L'
oeil
gauche ne se ferme pas ; épiphora. En un mot, p
ales dans les muscles innervés par le facial supérieur; cependant l'
oeil
se ferme encore avec une certaine difficulté, i
ralysie faciale du côté gauche; la guérison n'a pas été complète; l'
oeil
gauche se ferme difficilement; épiphora. La con
face se congestionne, bleuit; il y a une sorte d'exophtalmie; les
yeux
sortent de la tête; les épaules, les bras sont
eur haletant, le corps couvert de sueur, a la face congestionnée, l'
oeil
hagard; il pousse des cris que l'on compare à c
pour atteindre un objet élevé. Dans cet état, le globe gauche de l'
oeil
, disait-elle, roulait dans son orbite, agité d'un
des pupilles, qui sont égales en diamètre; immobilité du globe de l'
oeil
; bouche entr'ouverte, et sans torsion apparente
s, et son absence donne lieu à des mouvements désordonnés quand les
yeux
sont fermés, et à la perte de la notion de posi
t la sen- sibilité profonde sont complètement éteintes, et qui, les
yeux
ouverts exécutent tous les mouvements avec préc
verts exécutent tous les mouvements avec précision, tandis que, les
yeux
fermés, ils tàtonnent, mais sans incoordination
é du bord libre du trapèze. -Sens musculaire aboli. Si on ferme les
yeux
de la ma- lade, elle perd complètement l'usage
trouver. Au contraire, elle s'en sert à merveille quand elle a les
yeux
ouverts, pour n'importe quel ouvrage, grossier ou
trémités inférieures. Dans quelques cas les nerfs de la face et des
yeux
sont gris et le malade est sur son lit comme un
a pas sans doute dans les idées de la commission de considérer d'un
oeil
moins favorable la famille qui fait traiter son
er toutes les garanties désirables; mais au moins faudrait-il à mes
yeux
, dans tous les cas, assimiler au père de famill
déterminés ne pouvant pas excéder trois mois. C'est même là, à mes
yeux
, une prescription d'une rigueur excessive; quan
ner par le tribunal. Telle est la seule conciliation possible à mes
yeux
, entre les droits de la famille d'un côté, et l
tionnée sous tous les rapports, comme taille et comme ensemble. Ses
yeux
tiraient d'une façon indé- cise entre le bleu e
Il fut chargé d'assister la jeune fille et de ne pas la quitter des
yeux
un seul instant. On fit déposer à cette dernièr
er, et d'abondantes humeurs sor- taient de son nez ainsi que de ses
yeux
. Il arriva bien plus : son corps tout entier se
naturelle règne en tout son corps. La respiration est normale, les
yeux
, les narines et les oreilles exhalent leurs hum
ralysée. Le goût, l'odorat, sont diminués à gauche. L'examen des
yeux
montre l'existence d'un rétré- cissement concen
d'un rétré- cissement concentrique prononcé du champs visuel de l'
oeil
gauche. Rien à droite. Il y a, du côté gauche
aucune difficulté quand on le lui commande, même lorsqu'elle a les
yeux
fer- més. Il n'y a donc pas de paralysie, au se
ionnelle tenant exclusivement à l'anesthésie. Quand la malade a les
yeux
fermés, elle est incapable de tenir un objet :
alade a les yeux fermés, elle est incapable de tenir un objet : les
yeux
ouverts, au contraire, elle peut s'occuper pres
ille; il échappe heureusement 1'1 la mort, mais voit périr sous ses
yeux
plusieurs de ses soldats. En 1873, chute de che
este visible : elle eut pour résultat un strabisme diver- gent de l'
oeil
du côté blessé. Vers 1882, premiers signes de l
s quatre ans, rougeole. - A huit ans, opltthalmie grave (taie sur l'
oeil
droit), pas d'autres maladies, sauf des furoncl
- On s'apercevait de l'arrivée de la crise procursive parce que ses
yeux
changeaient, devenaient hagards, que la face pâ
ant de s'endormir en regardant pour ainsi dire à l'intérieur de son
oeil
, en sollici- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 271
NTALE. 271 tant la rétine par la mise en mouvement des milieux de l'
oeil
, pro- voquer la formation de fantasmes qui se p
convulsivement, la tête se tourne irrésistiblement vers le dos, les
yeux
deviennent larmoyants. L'accès laisse après lui
équemment, vertiges avec battements de coeur, et flammes devant les
yeux
pendant une minute, rem- plaçant les céphalalgi
constate : nutrition lamen- table, muqueuses anémiées, globes de l'
oeil
un peu proéminents ; égalité des pupilles réagi
ite des pertes'de connaissance. En décembre, cécité définitive de l'
oeil
droit ; à gauche demi- acuité avec rétrécisseme
lle tombe alors soudain à terre, sa tête se fléchit en arrière; les
yeux
sont fixes, immobiles, largement ouverts, les pup
agitation, rigidité, perte de connaissance avec cri perçant, les
yeux
largement ouverts et tournés à gauche ; P., 50 ;
faissement, enfin des accidents caractérisques dans le fonds de l'
oeil
. Cette tumeur devait siéger à gauche, car les phé
ordre qui lui enjoint de ne pro- noncer aucune parole, de tenir les
yeux
si fixement fermés que les bords palpébraux s'e
des médecins aliénistes. Eh bien, voulez-vous que je mette sous vos
yeux
un passage du rapport du docteur Blanche ? Voic
le droit d'entrer. Je n'ai pas de texte de la loi de 183S sous les
yeux
. M. le rappor- teur prétend que les termes de l
. En 1868, à la suite de ses couches, elle eut une ophtalmie de l'
oeil
gauche, qui persista plusieurs années avec des al
rnatives d'amélioration et de recrudescence. En 1876, l'état de cet
oeil
ayant empiré, elle dut entrer à l'Hôtel-Dieu de
uvelle ophtalmie qui aboutit cette fois à la fonte purulente de cet
oeil
, aujourd'hui complètement vidé. Depuis l'âge de
: d'abord, si la malade est debout ou assise, elle tombe, puis les
yeux
se ferment, HISTOIRE D'UNE HYSTERIQUE HYPNOTISA
côté des organes des sens, nous trouvons les paupières fermées et l'
oeil
sain convulsé en haut. L'odorat est aboli, car
'autre à plusieurs reprises, puis elle les ouvre, les porte sur ses
yeux
, frotte ceux-ci, les ouvre, se couvre si elle est
persistance de la compression jusqu'au moment où elle se frotte les
yeux
. Pendant ces diverses phases du réveil, l'anest
il, l'anesthésie persiste et ne disparait que lorsqu'elle ouvre les
yeux
. M. Mossé reprend sur F... les expériences de s
prête à sortir de la salle où elle se trouve, quand tout à coup ses
yeux
deviennent hagards, prennent une expression de
a clinique pour nous consul- ter : depuis deux jours, la vue de son
oeil
sain s'est tellement obscurcie qu'elle ne peut
oix, se fâche contre ceux qui lui disent que nous sommes devant ses
yeux
, enfin se précipite sur nous pour voir si nous
érieurement. Le 20 décembre, M. Grasset lui ordonne de s'endormir l'
oeil
ouvert et en y voyant. Le sommeil est provoqué
ne répond pas aux questions qu'on lui fait. L'ordre de s'endormir l'
oeil
ouvert, répété les jours suivants, donne toujou
nt pas le tableau de la crise hystérique vulgaire. F... dort, son
oeil
unique fermé, le pouls et la res- piration calm
és : 1° la fixation du regard : en la regar- dant fixement dans son
oeil
unique, on l'endort très vite; on réussit alors
emier type de sommeil spontané que nous avons décrit. Elle dort l'
oeil
fermé, avec une anesthésie de tout le corps et
it toujours contracturé. Nous avons obtenu artifi- ciellement que l'
oeil
restât ouvert; mais elle n'y voyait pas plus po
différences avec l'état cataleptique sont nom- breuses : F.. a les
yeux
fermés et non ouverts, il n'y a pas résistance
rence relative, par exemple la perceptibilité différen- tielle d'un
oeil
qui perçoit 0,1 de différence, est deux 356 PSY
trouve sa mesure dans la grandeur du plus petit angle sous lequel l'
oeil
peut distinguer un objet donné. Par suite, tout
l'appareil optique », il .devrait désigner la fonction totale de l'
oeil
; ajoutons qu'il est inutile, tout ce que l'on a
. Ole Bull a a étudié le sens des cou- leurs dans les maladies de l'
oeil
. Jeannik Bjerrum s, dans ses recherches « sur l
la lumière et sur le sens de l'espace dans diverses affections de l'
oeil
», laissant de côté la per- ceptibilité différe
ttaché à déterminer l'acuité visuelle dans l'état pathologique de l'
oeil
à différents degrés d'éclairage et de différenc
relle, au degré d'éclairage où le seuil ci-dessus mentionné, pour l'
oeil
normal, se trouve justement atteint. Ce résulta
taient placées à une distance de trente à quarante centimètres de l'
oeil
des malades. (A suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE
res, mais on ne remarque pas d'atrophie. Les muscles extérieurs des
yeux
n'ont pas été at- teints. Les pupilles sont iné
Les organes des sens supérieurs sont à l'état normal. Le fond de l'
oeil
est normal. Le sommeil est bon. Les facultés inte
erait sujet à de petits accidents cérébraux que l'on décrit ainsi :
yeux
fixes, perte de connaissance, parfois rigidité; é
peu mieux sur les jambes et fait un pas en avant. 1862. Juin : Les
yeux
vont beaucoup mieux; l'exercice lui a rendu un
a vue est bonne. La vision monoculaire paraît un peu trouble pour l'
oeil
gauche ( ? ). Les pupilles sont égales, moyenneme
g n'existe pas : le malade se tient debout et marche aussi bien les
yeux
bandés que lorsqu'il'a les yeux ouverts. Il décla
ent debout et marche aussi bien les yeux bandés que lorsqu'il'a les
yeux
ouverts. Il déclare mieux marcher avec ses soul
it fort et paraissait bien venir. Les convulsions portaient sur les
yeux
; on ne peut rien dire des bras ni des jambes.
tre, les commissures labiales s'abaissent, le menton se plisse, les
yeux
s'ouvrent. Il parait qu'il en est ainsi chaque
e muscu- laire et de la direction des 711ouvcmcllls, même quand les
yeux
REVUE DE PATHOLOGE NERVEUSE. 40 sont fermés.
ouvements d'athétose. La marche ne parait pas modifiée, lorsque les
yeux
sont fermés. Lem... comprend tout ce qu'on lu
atrophie excessive des cornes antérieures saute im- médiatement aux
yeux
, tandis que les cornes postérieures ne sont pas
t au commandement sur-le-champ, com- plètement, vigoureusement, les
yeux
, les névropathes simples se mettent d'abord à c
aissant le jour passer à travers une fente étroite, et rouvrent les
yeux
immédiatement pour regarder autour d'eux avec e
angoisse. En vain leur renouvelle-t-ou l'injonc- tion de fermer les
yeux
complètement, leurs efforts convulsifs de- meur
nique soit préoccupé jusqu'à l'angoisse de l'idée qu'il va fermer l'
oeil
, il craint une surprise désagréable, soit de la
plexie, présenta une hémiplégie droite avec déviation conjuguée des
yeux
et de la face à gauche. A l'autopsie, on trouva
dernière lésion qu'il faudrait attribuer la déviation conjuguée des
yeux
. Cette observation vien- drait donc à l'appui d
nce, ne présentant plus que des traces de perception lumineuse de l'
oeil
gauche, (altération papillaire, mai 1884), atte
, atteint en mai 1883 de choroï- dite bilatérale avec glaucome de l'
oeil
droit, on constate une aplasie manifeste de l'o
eurs services, ces agents remplissant bien leurs fonc- tions sous l'
oeil
de la justice et de l'autorité administrative. 'l
tran- cher celte question, qui est une question de principe il nos
yeux
, il est indispensable que le Sénat soit au cour
vé un véritable monument par l'abondance des documents mis sous vos
yeux
, a voulu, avec le sentiment de sa responsabilit
inistration départemen- tale, d'une commission qui déplaçait, à ses
yeux
, la responsabi- lité véritable de l'administrat
ncipe n'est pas tellement sacré que l'Etat est obligé de fermer les
yeux
sur léducation mauvaise qui peut souvent être d
ce billet sur votre « front ayec votre main droite, en fermant les
yeux
, et vous vous endor- « mirez pendant une demi-h
decins de Londres, n'a montré aucune lésion nerveuse consia-table à l'
œil
nu. Cela semble indiquer a priori qu'il s'agit d'
èvera les doutes à ce sujet. Les paralysies des muscles moteurs des
yeux
semblent confirmer cette localisation. Le malade
ement. La moitié droite de la figure est contractée vers la gauche; l'
œil
droit ne peut être fermé môme avec les plus grand
p visuel n'est pas rétréci, aucune dyschromatopsie. Arrière-fond de l'
œil
normal. Ouïe, odorat et goût normaux. Appétit mau
ormit effectivement après avoir fixé un court instant un point de mon
œil
gauche, et en même temps je la suggestionnais lui
œil gauche, et en même temps je la suggestionnais lui disant que ses
yeux
se fermaient, qu'elle s'endormait, etc. Je fis mê
tat hypnotique ils se contractaient parfaitement à mon ordre et que l'
œil
se fermait complètement. Ce cas, messieurs, ne
e lui ». C'est ce que fait tout somnambule auquel on ne bande pas les
yeux
— à moins toujours de suggestion contraire. P.
amblyopies unilatérales. A l'état habituel, le sujet ne voit que d'un
œil
, mais mettez-lui un prisme devant l'œil sain, il
el, le sujet ne voit que d'un œil, mais mettez-lui un prisme devant l'
œil
sain, il verra deux images, preuve incontestable
nt l'œil sain, il verra deux images, preuve incontestable que l'autre
œil
eu api»arence amblyope possède la perception lumi
s. puisque je puis le menacer, approcher un instrument piquant de son
œil
sau* qu'il fasse un mouvement. Et cependant ce su
la plupart des personnes qui parcouraient la rue, présentaient, à ses
yeux
, sur un côté de la figure, une tache semblable à
es les apparences du sommeil normal; ils reposent tranquillement, les
yeux
fermés, en réalité ils donnent profondément d'un
gme i deviner, et en la soutenant légèrement avec sa main, Brown, les
yeux
fermés, trouvait la personne mentalement désignée
e héritier, les phénomènes de la lecture des pensées. On couvrait les
yeux
à M. Bischopp, et l'on bouchait, avec de la ouate
alement bien avec différents inducteurs. Si l'inducteur fermait les
yeux
et n'était plus en état de suivre les mouvements
des lois sur l'art de guérir, comme si la justice pouvait fermer les
yeux
sur les faits scandaleux de Braine-le-Château où
e lui ». C'est ce que fait tout sommambule auquel on ne bande pas les
yeux
, à moins, toutefois, de suggestion contraire ».
thérapie sur les malades qui s'y soumettent. Une telle assertion, aux
yeux
d'examinateurs sérieux, n'a certainement pas la m
hystériques des effets qui nous expliquent parfaitement pourquoi, aux
yeux
d'une grande partie du public, l'hypnotisme est u
i venait de s'arrêter, il était dans un état de grande faiblesse. Les
yeux
sont fermés. A mes demandes, il ne répond qu'avec
je n'avais pas le courage, en voyant la mère désolée, les larmes aux
yeux
, me priant de sauver son enfant, de lui avouer mo
t blessé. -- Tout cela est dit de l'air le plus naturel du monde, les
yeux
ouverts, sans l'apparence du sommeil. Pour diss
pas suggéré le sommeil, je dis: t Réveillez-vous ». Il se frotte les
yeux
, l'expression de sa figure se modifie, un nouvel
l le fondatour du collège avoit donné le nom de maistre, pour avoir l'
œil
dessus tous les escoliers boursiers, fut tantost
isseaux sanguins. Cette diminution ne se remarque pas directement à l'
œil
nu, mais elle peut être constatée par des apparei
ue je vais dire va arriver... Vous allez être à Paris ». Il ferme les
yeux
pour évoquer son rêve; mais je puis lui dire de l
r son bras. A la fin, il pousse un grand cri de douleur et rouvre les
yeux
comme un homme qui se réveille. Il est tout effar
des crises dans sa clinique. Mais ce qui m'ouvrit définitivement les
yeux
, c'est que la personne s'est crue hypnotisée, et
les deux premières formes d'expériences, le lecteur des pensées a les
yeux
fermés ou bandés d'un mouchoir, ou recouverts par
Il est presque impossible, à qui connaît ces faits, de voir d'un bon
œil
cette tendance trop répandue à prodiguer ces expé
sut •enoiwni di sensodfc moto délia respirufooe c délia eirtulaxione
oeil
ipnotismo, etc*. - [ItivUta tprrimérdaU di Frtmia
t d'une manière prolongée; par exemple l'action de la lumière sur les
yeux
ouverts, la vibration du diapason près des oreill
as d'attirer l'attention des médecins allemands et de leur ouvrir les
yeux
sur les avantages réels de la nouvelle méthode th
veraient sa haute mission; elle sait qu'elle ne doit aToir devant les
yeux
qu'un ensemble pathologique dont le délinquant à
larités suivantes : Le malade ne peut se tenir debout lorsqu'il a les
yeux
fermés; les réflexes rotuliens sont abolis: il po
es réflexes rotuliens étaient abolis; il ne se tenait plus debout les
yeux
fermés. Les fourmillements se manifestaient déjà
aru. De celte observation et de l'examen du sujet qui dort sous vos
yeux
, il nous parait résulter la démonstration de l'ac
n'est plus commun que de voir les paralysies des muscles moteurs de l'
oeil
, chei les diabétiques, disparaître sans le secour
aperçus il y a sept mois; l'enfant maigrissait, palissait) avait les
yeux
cerclés. Ils le surveillèrent et le surprirent en
m d'audition colorée un phénomène caractérisé par l'apparition dans l'
œil
de certaines couleurs, — couleurs n'étant pas, en
ines couleurs, — couleurs n'étant pas, en réalité, placées devant cet
œil
, — et qui se manifeste a propos de l'excitation q
même sensation lumineuse correspondant à la même saveur. Le mauvais
œil
. On écrit de New-ïord à la Wiener Mediziniache
e le Dp Philippe ne consente pas a la soigner. La croyance au mauvais
œil
el aux jeteurs de sorts, qui s'était peu à peu ét
rsuite des manœuvres de la médecine illégale, devront savoir fermer l'
œil
à propos, dans l'intérêt de la science et de la s
al faisait complètement défaut; les os pariétals peu développés ; les
yeux
étaient placés en haut de l'os frontal qui était
l est également connu que la projection soudaine d'une lumière dans l'
œil
de la mère aussi bien qu'un bruit inattendu produ
stion, il ne peut lui-même se rendre compte si c'est par la voie de l'
œil
ou de l'oreille qu'elle y a pénétré. Tout ce qu'i
. Pour un peu il paraphraserait le vers de Molière : Je l'ai de mes
yeux
vu. ce qui s'appelle vu. Nous avons reproduit l
Angleterre et en Amérique, la morphinomanie aggrave même le délit aux
yeux
des tribunaux. Les impulsions au suicide manque
es l'autorité judiciaire se voit forcée le plus souvent de fermer les
yeux
pour ne pas encombrer les prisons. Tout étranger
ntes à mesure qu'il continuait à marcher. Aussitôt couché au lit, les
yeux
fermés, les secousses douloureuses le reprenaient
névrite, avait disparu. Le malade, couché dans son lit et fermant les
yeux
, le cerveau étranger à toute impression sensoriel
t pas tous les caractères officiels, parce qu'ils se présentent à vos
yeux
sous les accoutrements les plus variés et dans le
luggestion suffit pour déterminer la malade à manger et à ouvrir les
yeux
, qu'elle tenait obstinément fermés. Il nou* a été
es étaient dans un état de stupeur ires marqué, qu'elle* tenaient les
yeux
obstinément fermes, nous n'avions pas tenté de pr
ément pour la voir, malgré une résistance assez apparente, fermer les
yeux
et tomber dans un état profond d'hypnose avec per
ne nous avait dit avoir, le 23, sans raison, brusquement ^cnti son
œil
gauche se gonfler de larmes. Elle prit son moucho
ttirer l'attention sur ce point et à demander qu'on l'examinât. • L'
œil
était absolument sain, pas de trace de blessure,
sensibilité pharyngée était notablement diminuée; la perception de l'
œil
droit très diffuse. Nous n'avons pu, fiuile d'ins
a face palmaire de la main gauche. Ce phénomène se produisit sous nos
yeux
, sans que M. Artigalas se soit éloigné de la mala
es de l'expérience, et vous voyez l'inscription se compléter sous vos
yeux
, la ligne pâle s'étendre, grossir rapidement, pre
ue de la peau, nous semblent meilleurs, maïs ils ont le défaut, à nos
yeux
, tout en indiquant que la peau garde l'empreinte
ns recourir ? la suggestion. Quand j'invitais la malade à fixer mes
yeux
, elle s'endormait presque instantanément, l'anest
pnotiques. Ni la compression des globes oculaires, ni l'ouverture des
yeux
, ni le bruit d'un gong, ni la projection dans les
'ouverture des yeux, ni le bruit d'un gong, ni la projection dans les
yeux
de lumière de magnésium, ni la pression du vertes
nt à la suite d'une paralysie infantile, l'enfant a perdu In vue de l'
œil
droit, et son côte droit a subi uu arrêt de dével
elle c'est accentuée et les trois élats ont apparu. L'ouverture de l'
œil
droit amaurolîque, a produit la catalepsie du côt
be elle-même dans des crises, elle se raidit, grince des dents, a les
yeux
convulsés et perd connaissance. La nuit, elle a d
nambulisme; il en est de même de la projection de la lumière dans les
yeux
, la pression sur le vértex qui amènent, non la pé
de la Salpéirière examine les sujets. Il les endort, puis ouvre les
yeux
, ensuite fait la pression sur la tète. Si le prem
de dans le cerveau, acquiert une telle énergie qu'il se substitue à l'
œil
. Nous avons pu constater cela avec des lentille
ons ne pas exister (suggestion négative), malgré qu'il l'eût sous ses
yeux
, le centre visuel cortical prend la place de l'œi
il l'eût sous ses yeux, le centre visuel cortical prend la place de l'
œil
: il voit sans le secoars de l'œil. Les images
isuel cortical prend la place de l'œil : il voit sans le secoars de l'
œil
. Les images qui proviennent par l'excitation in
la vision même, c'est-à-dire que le cerveau puisse voir, au lieu de l'
œil
. Quand on a la transmission de la pensée, qu'ar
s épargne la fatigue de penser et d'étudier. Ce doute disparaît aux
yeux
du psychiatre qui a veilli en étudiant les hystér
is, à ma surprise et à ma consternation, je ne pus rien entendre, mes
yeux
ne constataient aucun mouvement respiratoire. Une
assassinai des chefs, etc., etc.? El l'on continuerait de fermer les
yeux
sur une (elle situation? En vérité, je n'y veux p
tres malades. L'ayant fait asseoir, je lui indiquai de regarder mes
yeux
et me mis à fixer les siens à mon tour sans faire
veille, quand elle voit les mouvements des lèvres. Ici elle avait les
yeux
fermés et j'étais de cdté. J'eus une lueur d'es
quement au visage, et au moment où, sous ce souffle, elle ouvrait les
yeux
, à lui faire signe qu'elle était très bien réveil
entatives, aucune contracture ne se produit. Nous ouvrons alors les
yeux
du sujet et nous ne constatons aucune modificatio
les bras et les jambes soulevés gardent l'attitude imprimée, que les
yeux
soient ouverts ou fermés. La pression sur le ve
ais l'endort à nouveau. Lorsqu'elle est endormie, on lui comprime les
yeux
et on pratique sur elle la malaxation des extense
ation suggestive et parle mot : « Réveillez-vous », — elle ouvrit les
yeux
, souriant en voyant la stupéfaction de ceux qui l
La Salpéirière examine les sujets. a II les endort, puis ouvre les
yeux
, ensuite fait la pression sur la lèle. Si ¦ le
se passe dans la pupille d'un sujet sensible et qui ne trompe pas un
œil
exercé. J'ai eu l'occasion de signaler l'alternan
e chez les autres. Plusieurs tentatives par la fixation directe des
yeux
ne donnèrent pas de résultais favorables. Je me s
je ne fus pas plus heureux. Ni la fatigue par la longue fixation des
yeux
ou d'un point brillant ui l'impression rétinienne
ule qui remonte partant du ventre, etc.... Elle reste anéantie, tes
yeux
hagards au réveil. Ces crises se répètent pendant
ie, disoyenl que ladite Mia estoyent leur maialroise et làppeloyent «
yeux
de chèvre et borgne t, et qu'elle avoit mis ccii*
n) les mains luy fourmillent en telle façon qu'on la cognoist à vue d'
œil
. « Elle ajoute encore qu'avant le temps que la
es cris en forme d'hurlements et à (aire des postures du corps et des
yeux
extraordinaires, et à vouloir mordre et esgratine
lement, il faut que vous mettiez ce conseil de sainet Paul devant les
yeux
: « Tout ce que vous faites soit en parlant, soit
médicaments à la mode, 30. Manie de la superstition. 11. Mauvais
œil
(le), 139. Mécanisme des phénomènes hypnotiques
d'un tic de la face qui n'oc- cupait d'abord que les paupières de l'
oeil
droit, puis s'est étendu à toute la moitié de l
faite à la partie moyenne de la région dorsale, on ne voit plus à l'
oeil
nu que l'altération de la moitié postérieure de
umineux (1,720 gr.), congestionné, mais sans lésion appréciable à l'
oeil
nu. La rate, très grosse, pèse 450 gr. Elle est
ce secondaire. On jugera aisément de cette différence en jetant les
yeux
sur la figure 16 (PL. III). En A est représenté
dans les vaisseaux. On est frappé, en effet, lorsqu'on jette les
yeux
sur nos diverses coupes de moelle, particulière-
e dure environ 13 secondes; au bout de ce temps, l'enfant ouvre les
yeux
et prononce plusieurs fois de suite les syllabe
ure une minute, puis l'enfant s'assied, regarde les assistants d'un
oeil
étonné, cherche il les écarter de la main et se
quelques instants, le malade se relève sur son séant, se frotte les
yeux
et se met à exécuter sur place des mouvements d
été facile d'endormir notre malade soit au moyen de la fixation des
yeux
par le regard, soit au ma) en de passes ma- gné
n oreille à sou insu, tantôt en pro- duisant inopinément devant ses
yeux
une flamme vive, celle que détermine, par exemp
s'assied vis-à- vis du malade et dirige fixement le regard sur ses
yeux
. Au u bout de quelques minutes, on observe quel
des paupières qui se ferment progressivement, en même temps que les
yeux
se couvrent de larmes et se dirigent en haut. L
sa mère jusqu'à trois ans. Dès la naissance, on remarqua que « les
yeux
se tournaient » ; à deux mois, il a eu, pendant
4y2. Visage rond, peut-être un peu plus large en bas, symétrique.
Yeux
caves; iris gris brun, pupilles contractiles, éga
. Il ne reste jamais en repos; grimace continuellement, fermant les
yeux
, agitant la main devant l'oeil gauche, remuant la
grimace continuellement, fermant les yeux, agitant la main devant l'
oeil
gauche, remuant la bouche, tournant la tête ; s
son gobelet du côté gauche de la bouche, regardant le contenu do l'
oeil
droit. Il boit généralement d'un trait. , La ru
musculaires est souvent si peu sensible qu'elle échappe même à l'
oeil
de l'observateur; enfin, les aliments loin de s'é
N DU CE\1'REDE L'IRIS ET DE LA CONTRACTION DES MUSCLES moteurs de L'
OEIL
; par l3ECDTEREFr·. (Messager de psychiatrie et de
stance grise centrale sans s'entrecroiser. Il 11 existe pour chaque
oeil
un arc réflexe indépendant qui passe par le ner
deux côtés il existe un lien qui sert à transmettre le réflexe d'un
oeil
avec la pupille de l'autre. Ce lien réside, sel
te pas de centres qui servent à contracter les muscles moteurs de l'
oeil
, dans le sens de MM. Ilonsen et Wolkers. 9° L
de MM. Ilonsen et Wolkers. 9° Les changements dans la position de l'
oeil
apparaissant avec les autres troubles moteurs (
le, ont le même caractère que les changements dans la position de l'
oeil
qui se montrent à la suite de la destruction de
tous les organes cités ont une influence sur la sphère motrice de l'
oeil
en général, sans excepter les globes oculaires.
es. 10° Les centres pour les mouvements volontaires du globe de l'
oeil
doivent se trouver dans le domaine des noyaux des
rtent ont suivi des changements stationnaires dans la position de l'
oeil
. 11" Jusqu'à présent, on n'a pas encore démontr
le même effet, no- tamment : Diminution du champ visuel des deux
yeux
du côté con- traire à l'hémisphère lésé. - L'ét
aire supérieure et ayant atteint le trijumeau, les trois nerfs de l'
oeil
, finalement le nerf optique. Dans ces condition
ttaques convulsives, soit d'emblée, après une période de repos. Les
yeux
sont alors largement ouverts et fixes. Rosa G..
Le surlendemain, elle voit « une bête verte, sans pattes, qui a des
yeux
verts et qui rampe ». Elle demande qu'on l'arrê
une hystérique, le fait n'était point douteux. Un jour, sous nos
yeux
, cette femme tomba en attaque : attaque assez p
ur une partie, la suite de la lésion des centres des mouvements des
yeux
, et pour le reste, les symptômes de '1 shok».
trophie musculaire, ni troubles de la sensibilité. Rien du côté des
yeux
. Ouïe et odorat un peu affaiblis à gauche. La
es, cette action lui est totalement impossible. L'orbiculaire des
yeux
est tout à fait intact. Le visage a une expressio
es particularités re- marquables que présente l'examen du bulbe à l'
oeil
nu sont les suivantes : Le plancher du quatri
pières; toutes deux présentent quelques mouvements fibrillaires ; l'
oeil
gauche s'ouvre moins facilement que le droit.
alysie de l'orbicu- laire des paupières ni des muscles moteurs de l'
oeil
. Affaissement cérébral assez accentué. Intellig
n'empiétant pas sur la capsule. Ramollissement de la moelle, à l'
oeil
nu, jusqu'à la région lombaire. A l'examen micros
gauche de la capsule interne. Pas de dégénérescence appréciable à l'
oeil
nu dans les pédon- cules. Ramollissement marqué
re; mais, en somme, la plupart des affections dites goutteuses de l'
oeil
(conjonctivites avec dépôts d'urate de soude de
me temps est survenue de la diplopie, avec strabisme interne de l'
oeil
gauche, par paralysie du moteur oculaire externe.
ensibilité gustative font constater l'intégrité de ces fonctions. L'
oeil
gauche est atteint d'un léger strabisme interne.
peu près à la même époque, le malade aurait eu de la déviation de l'
oeil
gauche, et des dou- leurs en ceinture. Un an ou
e Leisier, il y avait para- lysie de plusieurs des muscles des deux
yeux
; chez Grossor ? nous avons relevé l'existence
e, il est très vraisemblable qu'il l'est aussi pour les muscles des
yeux
. Nous n'en voulons pour preuve que les examens
M. Pierret. Dans les casde déviations paralytiques définitives des
yeux
, « il se .produit, dit cet auteur, des altérati
LA LANGUE. 215 occupent, muscles des membres, de la langue ou des
yeux
, reconnaître une pathogénie univoque. On sait q
langue et les impotences fonctionnelles permanentes des muscles des
yeux
. Les faits cliniques d'ailleurs plaident ici da
cas d'ataxie bulbaire avec lésions de la langue ou des muscles des
yeux
, on ne trouve relaté aucun trouble de la sensib
, Depuis quelques jours, la vue baisse rapidement et l'examen des
yeux
révèlent les particularités suivantes : le champ
compression peut arrêter la soi-disant attaque en faisant fixer les
yeux
, ce qui le place dans un état léthargique, qui es
bre qui provoque de sa part une attaque hysté- rique). En ouvrant l'
oeil
gauche, on fai tcessercetétat, eton lechange en
ée coin- cidant avec une diminution de la sensibilité spéciale de l'
oeil
et de l'oreille. M. Walton trouve là une except
avait gardé un souvenir si précis qu'il lui suffisait de fermer les
yeux
et de faire un léger effort de réminiscence pou
a vue, de l'ouïe, ni de l'odorat. Pas de paralysie des muscles de l'
oeil
. Rien du côté du facial supérieur. Paralysie fa
'ouvrant et se fermant bien. Pupilles égales, moyennement dilatées.
Yeux
convulsés en haut et à gauche, sans déviation d
et protubérance. Plancher du quatrième ventricule paraît normal à l'
oeil
nu. Sur des coupes transversales de la l'¡[J. 1
cote des organes des sens, du facial supérieur et des muscles des
yeux
. Pas de paralysie des membres. Mort par épanche
ts gargouillements dans l'esto- mac, pas de mouvements visibles à l'
oeil
nu, même après friction de l'épigastre. » Le
ant la forme de tensions musculaires passa- gères, de rotations des
yeux
dans leurs orbites, nystagmus, mou- vements for
nvul- sions, de l'irrégularité du pouls, de la fixité dans les deux
yeux
sous forme de crises, de l'érythème facial pass
sparue, et des troubles (trophiques ? ) qui ont amené la perte de l'
oeil
gauche. Il y a vingt-huit ans que les lésions o
le précédent, mais où l'influence de la profession ne saute pas à l'
oeil
du premier coup, où son influence paraît moins
parole sur la paralysie progressive de la totalité des muscles de l'
oeil
chez les aliénés avec présentation de ma- lades
ement et aboutit à l'immobilité absolue ou presque absolue des deux
yeux
, accompagnée d'une légère blépharoptose et de f
à la clinique, on notait, avec la parésie de tous les muscles des
yeux
, de l'atrophie des nerfs optiques (cécité d'un cô
oubles psychiques, perdait l'usage complet de tous les muscles de l'
oeil
, des extrémités inférieures et en partie des ex
côtés. Sur trente-deux faits de paralysie de tous les muscles de l'
oeil
, dont six observés par M. Westphal lui-même, si
cté. Conclusions. La paralysie progressive de tous les muscles de l'
oeil
, qui peut également s'allier à l'impotence des
tres observa- tions se résument en : atrophie des nerf moteurs de l'
oeil
et de leurs muscles (hyperplasie conjonctive, d
ernière période d'observation, ma- nie légère. Tous les muscles des
yeux
sont presque complètement paralysés ; le patien
s vues sous toute réserve, puisqu'il ne peut placer encore sous les
yeux
de l'assemblée les attaches des fibres nerveuse
e occipital, parfois même en plein milieu des tissus. On a sous les
yeux
une figure semblable à celle qui caractérise les
s musculaires, sensations émanées de l'innervation des muscles de l'
oeil
, etc.. De même, chaque image commémora- tive si
c hallucinations, on a trouvé cinq fois des 'anomalies du fond de l'
oeil
Dans trois de ces cas, il y avait en même temps
e. Un seul fait. caractérisé par une hypérémie modérée du fond de l'
oeil
, ressortissait à la folie systématique chroniqu
at trouble de la rétine. Sur trente épileptiques, quatre fonds de l'
oeil
pathologiques, depuis la névrite légère, jusqu'à
les. Sur cent paralysées générales, dix-sept offraient un fond de l'
oeil
trouble qui prouvait une modi- fication morbide
pes d'affections cérébrales non paralytiques, l'examen du fond de l'
oeil
décela des altérations de diverses catégories i
eurs'. Il pense qu'il n'existe aucun rapport fixe entre l'état de l'
oeil
et la durée, la marche de la paralysie générale
Discussion : .' M. UTHHOFF complète les notions de M. Moeli. Dans l'
oeil
nor- mal, dit-il, trois facteurs se partagent à
ires(calibre) avec anomalie de réflexion des vaisseaux du fond de l'
oeil
, ne sont pas pathologiques. L'alcoolique présen
psychose. En tout cas il rejette l'hypothèse, qu'on aurait sous les
yeux
une substance artificielle produite par la techni
ause de symptôme d'une affection en foyer, par Holloender, 332.
OEil
(du trajet des fibres qui ser- vent à rétrécir
la contraction des muscles moteurs de l'), par Bechtereff, 121.
OEil
(paralysie progressive de la totalité des muscl
qu'ils peuvent expliquer les altérations névriti- ques du fond de l'
oeil
chez certains sujets oxycéphales; de plus, ils pe
à relever que, dans certains cas d'atrophie névritique du fond de l'
oeil
, il est possible de déceler, par la radiographi
linique, fit un examen complet de l'acuité visuelle et du fond de l'
oeil
et l'envoya à nous pour l'examen radiographique
à regarder de près l'étrange expression de sa figure (PI. 1). Les
yeux
à Ileur de tête, la conformation du nez, la forme
rgeur de la racine du nez ou espace interorbitaire est anormal, les
yeux
sont saillants. Les bosses frontales sont à pei
ère et à l'accommodation. A l'examen oplrtalmoscopique du fond de l'
oeil
, l'on peut relever qu'il existe une atrophie pa
s une heure il s'était réchauffé un peu et il commença à ouvrir les
yeux
et à pleurer ». Mais la santé de l'enfant ne de
34 centimètres (PI. lI), il marche comme tous les aveugles avec des
yeux
hagards et d'un pas automatique en tenant toujour
ans la position de repos, une déviation conjuguée de la tête et des
yeux
vers la droite. Aplatissement de la racine du n
zontal, mouvements des globes limités à droite. Examen du fond de l'
oeil
. 0. D. : papille blanche nacrée, allongée trans-
déjà, à cette époque, les parents avaient observé qu'elle avait les
yeux
à fleur de tête. Je n'ai pu obtenir aucun rense
le est plutôt bombée. Les apophyses sont étroites et longues. Les
yeux
présentent un degré assez prononcé d'exophtalmie,
onnent aux yeux de Marie une conformation qui rappelle assez bien l'
oeil
mongolique. La racine du nez est aplatie. Exa
ien l'oeil mongolique. La racine du nez est aplatie. Examen des
yeux
, par le Docteur Montalcini ; Exophtalmie bilaté
teur Montalcini ; Exophtalmie bilatérale. A l'examen du fond de l'
oeil
l'on note une pâleur très accusée des deux papi
demi, on dut changer de nourrice, car l'enfant maigrissait à vue d'
oeil
. A l'âge de quinze mois il fut repris à la maison
assez bas. La largeur de la racine du nez est un peu exagérée, les
yeux
sont saillants, il existe ici encore un certain
n dans les mouvements des globes ocu- laires. Examen du fond de l'
oeil
. - La papille est très décolorée, notamment'à d
près, c'est-à-dire le 27 janvier 1912 un nouvel examen du fond de l'
oeil
a été fait par le Dr Montalcini qui a cette époqu
qui a cette époque m'écrit : « J'ai renouvelé l'examen du fond de l'
oeil
au petit Maccagno et c'est avec une véritable s
, est le seul dans lequel, à l'examen ophtalmoscopique du fond de l'
oeil
, on n'ait pas retrouvé des alté- rations névrit
gion frontale susjacente peut contribuer encore à faire paraître l'
oeil
plus saillant (PI. VIII). ' Enfin je serais p
préciser l'époque du début de ces troubles. L'exa- men du fond de l'
oeil
, dont s'est chargé notre confrère le Dr Monra Bra
très avancée du côté gauche. Le champ visuel était très rétréci à l'
oeil
gauche (côté nasal). Les phénomènes cliniques q
' ? L'appa- rence extérieure de son chef, les lésions du fond de l'
oeil
font que cette question ne peut être résolue pa
a nuque. 31. L'état du malade parait être meilleur, il a ouvert les
yeux
et il a pu prendre quelques cuillers de lait. I
ctive le malade dit qu'il se produit comme un brouillard devant son
oeil
droit quand il fait un effort, par exemple quand
ion couchée il la station verticale. Les objets fuyaient devant ses
yeux
sans pouvoir préciser dans quelle direction. Sa d
Il a continuellement la sensation que les objets fuient devant ses
yeux
. La force musculaire a beaucoup diminué. Il se
on, tête fléchie, ballante, comme trop lourde ; la figure, avec ses
yeux
grand ouverts, exprime l'ahurissement mêlé d'hébé
sion. Il n'y a pas d'incoordination des mouvements volontaires; les
yeux
étant fermés, le malade porte sans hésitation l
aucune paralysie : le malade prétend bien ne pas pouvoir fermer les
yeux
ni tirer la langue, et quand on lui de- mande d
ble appréciable des sens, pas de nystagmus dans aucune position des
yeux
. Pas de scoliose. En résumé l'on trouve chez
servations faciles à faire sur soi-même, par exemple en fermant les
yeux
, permettent de se rendre compte que cette cécité
ots. La physionomie du barbier est très calme; il ne quitte pas des
yeux
son blessé. - Voilà pour les deux principaux
de l'ouïe et le bon état de l'appareil ventriculaire. L'examen des
yeux
, effectué parle Dr Forsberg, donna les résultats
constaté une hémianopsie binoculaire intéressant le côté droit de l'
oeil
. La ligne de délimitation entre la lumière et l'o
ntéresse dans une mesure non négligeable aussi la moitié gauche des
yeux
sous forme d'un rétrécissement concentrique du ch
ns la plu- part des cas il désigne correctement les objets que, les
yeux
fermés, il est admis à tenir dans sa main ; que
ns les contours, l'absence d'hémianopsie bi-lemporale. Le fond de l'
oeil
est normal. La macroglossie est minime. Notons en
réflexes cutanés, tendineux et oculaires sont normaux. Le fond de l'
oeil
ne présente rien d'anormal. La force musculaire
e son sexe des propositions d'inverti. L'un est aimé à cause de ses
yeux
, l'autre parce qu'il lui dit des pa- roles brut
nte pas d'anomalies importantes, sauf que le lobule est adhérent. L'
oeil
est absolument normal. Le front est très bas, v
es légèrement tuméfiées restent fermées, les oreilles saillent, les
yeux
sont un peu divergents, les poils sont rares. La
erveau et le milieu de sa substance, ils en pourront voir aussi à l'
oeil
assez d'indices pour n'en pouvoir douter, s'ils
s de notre cerveau sont toutes doubles, comme aussi nous avons deux
yeux
, deux mains, deux oreilles, et enfin tous les o
qu'il y ait quelque lieu où les deux images qui viennent par les deux
yeux
, où les deux autres impressions qui viennent d'
imprimée en mesme4ems qu'elle en la Mé- moire.Comme si je vois deux
yeux
avec un nez, je m'imagine aussi-tost un front e
ar un exemple. Si quelqu'un avance prompte- ment sa main contre nos
yeux
, comme pour nous frapper, quoique nous sachions
orps est tellement composée que le mouvement de notre main vers nos
yeux
excite un autre mouvement en notre cerveau qui co
oinspour peu que l'on soit attentif, et que l'on veuille jetler les
yeux
sur mes (1) 0. HAA12LIN, in op. laud., p. 3 ! )
nimal. Les modifications de luminosité se sont produites devant nos
yeux
. A. Cellule avec des granulations de luminosité
des foules de monstruosités : la fissure spinale ou spina bifida, l'
oeil
unique médian, l'exencéphalie, le coeur double, l
et l'état des tibias de la mère, ainsi que sur l'état du fond de J'
oeil
de la fillette. Ces mêmes auteurs ont noté en out
s-uns des types de démarches pathologiques la simple inspection à l'
oeil
nu s'impose, dans d'autres cas il faut bien savoi
, quel que soit le type de la marche, il y a des détails que seul l'
oeil
exercé dans ces études peut bien reconnaître et s
u lit, elle « s'appuyait un peu sur les pieds » tout en gardant les
yeux
fermés. Toutefois, les hommes travaillaient au de
ce à elle, la gouver- nante. Caroline était fortement amaigrie, les
yeux
étaient extraordi- naires », le teint d'une pâl
araissait jeune encore, grâce à son ! eint rose sans rides et à ses
yeux
riants ; sa taille n'atteignait pas tout à fait
la tète lui avait tourné, la lumière du jour lui avait fait ma) aux
yeux
et elle avait surtout eu envie de continuer à r
ours de l'année 1892, il commença à « se réveil- ler », restant les
yeux
ouverts, prenant du lait, se remettant ;c parler
u moins compacte. Quant aux régions claires, d'as- pect vitreux à l'
oeil
nu, elles apparaissent, au microscope (PI.XXXVIII
les veines sont thrombosées ; ces lésions étaient déjà visibles à l'
oeil
nu sur la face antérieure de la tumeur (fig. 2, v
façon que la moitié gauche, et qu'en dormant il ne fermait pas bien l'
oeil
1 droit. Pendant les années suivantes, il y e
près cette cure, l'enfant réussit à fermer presque com- plètement l'
oeil
droit. Cette application de courants électriques
la fente palpébrale de droite, lorsque le sujet essaie de fermer les
yeux
; le lagophtalmus ; la lèvre inférieure tombant
ifférents l'étiologie que le ha- sard des cas avait mise sous leurs
yeux
: « l'esprit de l'observateur, frappé des antéc
à l'H. G. de N., dans le service des nerveux, le petit malade a les
yeux
fixes, ouverts d'une façon démesurée ; il est en
ns ordres comme de regar- der un doigt, tirer la langue, fermer les
yeux
. Il s'asseoit dans son lit, les jambes pliées l
présent. » Il fixe le médecin et dit : « Il y a le Diable dans vos
yeux
... Tenez il est là « aussi (sous la table). Je
ce que j'ai vu « et entendu ? D'ailleurs quand j'ouvrais grands les
yeux
, il n'y avait plus « rien ». Retour des phéno
des cris sourds, se dresse dans son lit en ouvrant démesurément les
yeux
. 9. - L'enfant semble plus calme. Il nous donne
ut je voyais le Diable qui me « poursuivait ; je le voyais dans vos
yeux
, dans vos mains, comme la première « fois.... C
« Je voyais la Vierge dans la salle remuer les mains, ouvrir les «
yeux
et me dire d'aller à elle... Le Christ aussi remu
dure jusqu'à l'âge de trois ans. Atteint de strabisme externe de l'
oeil
droit, il est opéré avec succès. Jusqu'à douze
lement fibrillaire des muscles de la face quand le malade ferme les
yeux
. Pas de troubles de l'articulation des mots ; l'é
uïe,' la parole, la déglutition, la mastication normales. Le fond des
yeux
sans changement ; les pupilles sont égales, la'
n à la lumière et à l'accom- modation-bien conservée ; mobilité des
yeux
régulière, de dimension suffisante CARIE DES VE
forme d'anneau complet; au-dessus et au-dessous de cette région à l'
oeil
nu on ne constate pas la présence de masse caséeu
bilité des pupilles qui changent transitoirement même de forme. Les
yeux
sont enfoncés, l'espace libre entre les paupières
et il n'a pas de pho- tographie à nous donner. Les mouvements des
yeux
sont parfaits. L'examen du fond de l'oeil, prati-
onner. Les mouvements des yeux sont parfaits. L'examen du fond de l'
oeil
, prati- qué par l'ophtalmologiste professeur Gr
constant parce qu'il s'efforce de se corriger. Quand il marche les
yeux
fermés la déviation à droite est constante, aus
n se soulevant sur la pointe des pieds il a peine à se maintenir, les
yeux
ouverts ; il tombe ci droite les yeux fermés.
l a peine à se maintenir, les yeux ouverts ; il tombe ci droite les
yeux
fermés. Il se maintient mieux en équilibre sur
perd rapidement son équilibre et tombe, généralement, à droite. Les
yeux
fermés tout cela s'aggrave. La marche sur un se
un léger degré de lagophtalmie à droite. Qnand le malade ferme les
yeux
lentement, l'oeil droit montre une petite fente q
lagophtalmie à droite. Qnand le malade ferme les yeux lentement, l'
oeil
droit montre une petite fente qu'on continue à vo
sion. Il est myope. L'examen ophtalmologique a montré les fonds des
yeux
normaux. L'observation a été faite le 26 février
vre, déviation qui se produit ou à droite ou à gauche. Marche les
yeux
fermés en avant et en arrière avec hésitation, ma
.. " Le VIe nerf droit est paralysé et le muscle droit interne de l'
oeil
gauche semble être parésié : la malade présente
a malade présente un certain degré de déviation conju- gué des deux
yeux
il gauche. Quand on la force à regarder à droite
plaint d'une certaine diminution de vision. L'exa- men du fond de l'
oeil
(Prof. Gama Pinto) montre une névrite optique dou
retomber avec précipitation (dysmétrie). La marche en arrière, les
yeux
ouverts, se fait ré- gulièrement. Marche les
en arrière, les yeux ouverts, se fait ré- gulièrement. Marche les
yeux
fermés. - Il y a toujours déviation à droite (en
ccentué. Pas de Rom- berg. Il se soutient sur le pied gauche, les
yeux
ouverts. Il perd l'équilibre les yeux fermés. I
tient sur le pied gauche, les yeux ouverts. Il perd l'équilibre les
yeux
fermés. Il ne peut pas se maintenir sur la jambe
és. Il ne peut pas se maintenir sur la jambe droite seule, même les
yeux
ouverts. La marche à cloche-pied est possible s
htalmie à droite, seulement percep- tible quand le malade ferme les
yeux
lentement. Pas d'autres signes de para- lysie f
tit degré de lagophtalmie quand les malades fermaient lentement les
yeux
. La paupière dioite n'accompagnait pas le mouveme
st fortement touchée; cependant la marche est possible. Du côté des
yeux
pas de signe d'Argyll Robertson, pas de paralys
valeur est plus que douteuse, car il y a une cataracte à gauche,et l'
oeil
droit a été opéré et iridectomisé pour la même
Romberg net. Pas de troubles marqués de la sensibilité. Du côté des
yeux
, signe d'Argyll Robertson bilatéral complet. Para
l'intervalle des accès, mâchonnement bref, et tics spasmodiques de l'
oeil
droit. A l'examen, tout le côté droit est par
acromégalie, et d'en faire un syndrome terminal. L'examen du fond d'
oeil
nous serait dans cette discussion d'un grand se
a vie (On peut voir les phénomènes électriques par exemple dans les
yeux
, surtout pendant les NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA S
homme. et dans les animaux. Il y en a trois caté- gories : dans les
yeux
, dans le larynx et dans les vaisseaux. Le sang es
dans les maladies nerveuses, dans la goutte, dans les maladies des
yeux
où l'on peut en toute conscience prescrire l'él
paroles bienveillantes et on l'encourage en faisant miroiter à ses
yeux
l'espoir d'une guérison prochaine. Après quoi o
des suggestions qu'on leur donne, et nous en avons vu ne fermer les
yeux
que par obéissance et qui ne guérissaient pas m
Observation XL C..., garçon de dix ans. Père mort d'une tumeur de l'
oeil
. Mère normale. Soeur bien portante, frère ayant e
i de la peine à rassurer. Il ne s'endort pas; il faut lui tenir les
yeux
fer- més. Suggestion : ne plus uriner au ht; se
eiller. 16. Trois nuits humides cette semaine. Ferme toujours les
yeux
par pure obéissance. Même suggestion. 23. Quatr
ucun signe d'hypnose n'ayant été constaté chez lui. L'occlusion des
yeux
suffit donc à produire une certaine passivité c
agité : elle a des cauchemars, du vigilambulisme; elle se lève les
yeux
ouverts, va au lit de ses parents, leur parle,
sans grande importance. Un état de simple passivité psychique avec
yeux
maintenus fermés, paraît suffire à l'action de
était faite, la pec- cadille qui la lui avait attirée prenait à ses
yeux
des proportions énormes. Dès cette époque aussi
es se concertent pour lui couper les testi- cules, lui arracher les
yeux
, etc. La nuit suivante, il entend des voix qui
une série de centres successifs, desti- nés aux divers muscles de l'
oeil
. En avant, sous la paroi du troisième ventricul
ie externe bilatérale, puisque les centres des muscles moteurs de l'
oeil
sont contigus, ceux d'un côté touchant presque
temps, il ne peut plus lire, sinon il ressent des douleurs dans les
yeux
. Tous les auteurs tiennent l'akinésie douloureu
spension pour rétablir la sensibilité, sup- primer l'amblyopie de l'
oeil
droit et réinstaller l'activité sensorielle de
dit l'auteur, un traitement de « tour de force t. P. K. XXV. Les
yeux
DU neurasthénique ; par J. ALTAQ.1S. (L Siglo med
Cette asthénopie accommodative est due à ce que les muscles de l'
oeil
subissent le même processus de fatigue douloureus
s aulour des objets lumineux, dou- leur pendant les mouvements de l'
oeil
, tout cela dû à la congestion passagère des pro
moindre écart de régime; la tête devient chaude et douloureuse, les
yeux
tendus, les pommettes rouges. Il demande à chaque
écise, quelque peu vacillante, impossible quand le malade ferme les
yeux
. Les pupilles sont très inégales, la gauche est
g caillé. Les vaisseaux de la néomembrane ne [sont pas visibles à l'
oeil
nu. La dure-mère débarrassée decelle-ci, conser
son poli, elle n'est pas augmentée d'épaisseur, et ne présente à l'
oeil
nu aucune modification spéciale. L'arachnoïde un
uelques gros troncs artériels et un peu d'endartérite invisible à l'
oeil
nu dans les vaisseaux de la pie-mère. M. Bondur
ureux Roberto ne vécut plus. 11 errait dans sa demeure, sombre, les
yeux
hagards, ne mangeant pas, ne dormant pas. Tel
Voici son état à son arrivée : la face est pâle, l'air hagard, les
yeux
sont convulsés en haut, les pupilles dilatées,
chromatopsie. Alors que Noyes, dans son traité sur les maladies des
yeux
, trouve 5 cas pour 100 d'achromatopsie chez les
à l'asile, doit être présente à l'esprit de l'expert qui a sous les
yeux
un rapport fait au moment où la psychose était
que l'homme bien portant. Au début le, malade surveillera avec les
yeux
attentivement ses mouvements, mais au sur et à
'il fait les exercices, et enfin il devra faire les exer- cices les
yeux
fèrmés. , Les exercices au lit constituent la p
ire suppléent la vue dans la coordination, et chez le tabétique les
yeux
cherchent à com- penser les troubles de la sens
mettent les fibres nerveuses sensitives altérées. Les exercices les
yeux
fermés ont précisément pour but d'amé- liorer l
complètement disparu. Le malade peut se tenir debout et marcher les
yeux
fermés. L'Observation VIII est intéressante p
ublée dans toutes les articulations des extrémités inférieures. Les
yeux
fermés, le malade ne reconnaît pas la position
pas non plus se tenir sur une seule jambe. Aussitôt qu'il ferme les
yeux
, il chancelle et tombe. Locomotion. Le malade n
s'est atténué à un tel point, que le malade peut rester debout les
yeux
fermés et "même les pieds joints. Il peut march
bout les yeux fermés et "même les pieds joints. Il peut marcher les
yeux
fermés et dans l'obscurité. Le seul exercice qu'i
ration qu'au bout de six mois de traitement. Le malade, a} anl1es
yeux
fermés, sent maintenant parfaitement les moindr
trie, nous est fourni par l'histoire de ce qui s'est passé sous nos
yeux
lorsque se sont établies dans la pathologie du
riverait de précieux éléments d'en- seignement s'il ne suivait d'un
oeil
attentif et curieux les recher- ches qui se fon
eut y avoir association concordante des troubles hallucinatoires, l'
oeil
voyant le personnage que l'oreille entend par e
nt les membres peuvent être atteints mais encore les paupières, les
yeux
, les lèvres, la langue, la mâchoire, la rotule.
objet proche, le fait est tout à fait extraordinaire quand l'un des
yeux
regarde au loin. Ce nystagmus est accessible à
eur traitement après onze mois de maladie est unleurre, un trompe l'
oeil
, une mesure sociale inefficace parce qu'elle cond
lades, ne se prêtent aucun secours mutuel. D'où la conclusion à ses
yeux
, qu'il y a lieu de créer des annexes où les malad
'une monoplégie faciale avec déviation compliquée de la face et des
yeux
. A l'autopsie, on ne trouve pour expliquer ces
enfants atteints d'obésité. Des tableaux et des tracés mis sous les
yeux
des membres du Congrès, il ressort que l'adminis-
physionomie prendre un aspect spécial de contrainte et de gêne; les
yeux
deviennent fixes; le front se plisse, attirant
de la mâchoire inférieure... Signes de dégénérescence : Crâne...
Yeux
... Nez... Oreilles... Bouche... Face... Squelette
Les veines postérieures de la moelle sont très congestionnées. A l'
oeil
nu, la moelle paraît nor- male, sauf une colora
centres nerveux, sauf la moelle et les méninges, sont indemnes. A l'
oeil
nu, la moelle est simplement congestionnée, les
xplorant la vessie avec une sonde métal- lique, le malade ayant les
yeux
bandés, celui-ci ne sent pas la sonde et n'accu
sions tuber- culeuses. Les altérations sont toutes médullaires, à l'
oeil
nu on constate l'existence de deux noyaux gomme
méningite bacillaire de la base, intéressant les nerfs moteurs de l'
oeil
n'est pas admise par l'auteur, parce que surtout
a malade, ni dans ceux de son mari, parce que l'examen du fond de l'
oeil
n'indique pas la présence d'une lésion syphilit
l'indépendance des paralysies qui atteignent certains muscles de l'
oeil
innervés par le moteur commun et qui respectent
vée 56 fois; celle des membres inférieurs 52 fois; des muscles de l'
oeil
26 fois; des membres inférieurs 21 fois; du lar
de nouveaux faits. ire autopsie. - La moelle semblait normale à l'
oeil
nu, on ne l'a pas examinée au microscope à l'ét
s cordons latéraux. 2e autopsie. - Les nerfs périphériques sont à l'
oeil
nu, considéra- blement augmentés de volume. La
ntés des spectacles variés qui venaient de se succéder sous leurs
yeux
et de l'aimable accueil qui leur avait été fait.
avec elle,, en étaient effrayées et lui disaient qu'elle avait les
yeux
« tout de travers » comme une mourante. Cette c
ouir d'une bonne santé générale. Aucune paralysie aux muscles des
yeux
, ni à ceux de la face. Rien de particulier du c
tte jambe. TRAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS. 339 Les
yeux
fermés, elle exécute tous les mouvements régulièr
t les mouve- ments qu'on imprime aux articulations de la jambe. Les
yeux
fer- més, elle exécute les mouvements très irré
malade exécute tous les mouvements avec une régularité absolue, les
yeux
ouverts ainsi que les yeux fermés. Jambe gauche
vements avec une régularité absolue, les yeux ouverts ainsi que les
yeux
fermés. Jambe gauche. Le pied gauche se trouve
dination est naturellement fortement exagé- rée par l'occlusion des
yeux
. Station debout. La malade ne peut pas se tenir
s'améliore de plus en plus. La malade reste debout et marche les
yeux
fermés. La marche est devenue tout à fait norma
l'obscurité il lui était im- possible de descendre un escalier. Les
yeux
ouverts elle marchait encore très bien et elle
nce est normale, l'humeur calme. Pas de paralysie aux muscles des
yeux
, ni de la face. Les pupilles sont d'un diamètre
teint dans toutes les articulations des extrémités inférieures. Les
yeux
fermés, la malade ne sait pas où sont ses jambe
uemment. La vue se trouble, un léger brouillard apparaît devant les
yeux
. Elle n'a pas eu de diplopie, ni aucun autre tr
culaire, musculaire) présente peu d'al- térations appréciables. Les
yeux
fermés, la malade apprécie avec peu de précisio
it prendre aux articulations des membres inférieurs, et exécute les
yeux
ouverts avec les jambes, très régulièrement, to
degré il existe toujours. La malade ne tombe pas quand elle a les
yeux
fermés, cependant son corps chancelle toujours un
ependant son corps chancelle toujours un peu. Quand elle marche les
yeux
fermés, la démarche est moins sûrc et moins rég
pille droite est très dilatée. La vision est. réduite de ce côté. L'
oeil
gauche est normal. Immobilité pupil- laire pour
sion rapprochée et ne l'a pas empêchée d'exercer sa profession. Les
yeux
sont facile- ment larmoyants. Du côté de l'ouïe
nsibilité profonde (articulaire, musculaire) est très affectée. Les
yeux
fermés la malade n'a aucune notion sur la positio
t à propos de rien. Rien de particulier aux muscles de la face, des
yeux
, à la langue, aux dents, du côté du goût, de l'
ents modes de sensibilité cutanée donne des résultats négatifs. Les
yeux
fermés il reconnaît bien les objets qu'on lui f
culaire musculaire) est profondément t altétée. Le malade ayant les
yeux
fermés ne reconnaît pas la posi- tion qu'on don
hissements des genoux ont lieu avec des redressements brusques. Les
yeux
fermés le malade tombe comme une masse. Locom
Très émotif. La moindre contrariété le fait éclater de colère. ,
Yeux
. Pas de ptosis. Diplopie à distance. Les deux obj
sidérable. La sensibilité profonde (articulaire, musculaire). - Les
yeux
fer- més le malade n'a aucune notion sur.la pos
ssibilité de se tenir sur un pied. Aussitôt que le malade ferme les
yeux
; il tombe comme une masse. Lncomotion. Le mal
lement diminué. Appuyésur sacanne, le malade peut rester debout les
yeux
fermés, il peut même pendant ce temps fléchir l
aux deux jambes. Si on lui croise les jambes, le malade, ayant les
yeux
fermés, ne sait pas quelle jambe est dessus, laqu
t pas apprécier le degré de contraction des muscles des jambes (les
yeux
fermés naturellement). Tous les mouvements des
e malade surveille attentivement ses pieds, aussitôt qu'il lève les
yeux
, le pied gauche se renverse et le malade tombe.
s et cirés. En s'appuyant sur sa canne, il peut rester debout les
yeux
fermés. Le ptosis est presque imperceptible. On
quelle jambe est dessus, laquelle est dessous. Le malade ayant les
yeux
fermés, reconnaît la position qu'on donne à son
u crâne, ni à la face; aucun stigmate physique de dégénérescence.
Yeux
. - Pas de blépharoptose, ni de strabisme. Pas de
e bras et dans la main droite. Main gauche. - Le malade ayant les
yeux
fermés ne sent pas les positions qu'on donne au
us de troubles psychiques consécutifs à des blessures du globe de l'
oeil
. Il tient compte aussi des influences morales (
re est un agent de réception des mouvements lumineux invisibles à l'
oeil
, obtenus dans l'obscurité, ou avec la lumière r
iste aussi quelques reproductions d'opéra- tions pratiquées sur les
yeux
, mais les opérations pratiquées sur le crâne on
r d'hystérie. Nous croyons utile d'en placer la relation sous les
yeux
de nos lecteurs. « Aux frères habitant le mont
i «vu entrer par cette petite porte un horrible homme noir, aux «
yeux
flamboyants, le feu lui sortait par la bouche, et
la Trinité. Il m'écoutait attentivement, quand soudain il ferma les
yeux
et sembla perdre connaissance ; cependant il te
e nous le répétions une seconde fois, vers la moitié, il ouvrit les
yeux
et s'écria : « Gloire à vous, ô mon Dieu ! gloi
c les odeurs terrestres, enfin, le firma- ment s'ouvre devant leurs
yeux
ébahis, ils contemplent il loisir le trône du c
ndre... Tous ces acci- dents semblent confirmer de plus en plus aux
yeux
des théo- manes leur don de prophétie, l'import
ées, il voit les générations futures passer successivement sous ses
yeux
et se dérouler devant lui, les plus magnifiques
s de la compression, et qu'à l'autopsie, la moelle parait saine à l'
oeil
nu, et le microscope fait voir que, malgré une
sta- tion debout est possible un moment, mais très pénible ; si les
yeux
sont clos, le sujet oscille et tomberait. L'act
ir de leurs REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 483
yeux
, el combien peu de plaisir ils manifestaient d'av
e sénile avec paralysie agitante et dimi- nution de la motilité des
yeux
et des extrémités. Autopsie. Artério- sclérose
gie clinique, DJauet; Examen de l'oreille, du larynx et du nez, des
yeux
, Drs Gellé, Cartaz et Sauvineau. LES drames D
. - et paralysie gé- nérale, par Régis, 252. cunnsmt : wnur.. Les
yeux
du -, par .\ltabas, 5G. NEUROTABES alcoolique
es livres et des amphithéâtres, le souvenir de Givet en faisait à ses
yeux
une espèce d'Eldorado dont la possession ne tarda
tiques, Nitzsch, professeur à Halle, a découvert l'existence de trois
yeux
; M. Ehrenherg a vu les mêmes organes chez la plup
ires des organes destinés à une sensation spéciale, puisqu'il y a des
yeux
, il faut dans l'organisation une substance capabl
tous; car, ainsi que. je le disais tout-à-l'heure, puisqu'ils ont des
yeux
, ils doivent être pourvus d'un organe qui reçoive
upérieure de l'anneau, et fournissent des nerfs aux tentacules et aux
yeux
; ce sont les ganglions, qu'à l'exemple de M. Gar
ils remplissent. Les oscabrions, animaux dépourvus de tentacules et d'
yeux
, feraient exception à cette règle, et manqueraien
es; car, parmi les articulés, le lombric de terre, qui est dépourvu d'
yeux
et de tentacules, a néanmoins deux ganglions céph
te l'anneau ; il part de ces ganglions environ douze nerfs allant aux
yeux
, aux tentacules , aux tégumens, aux mâchoires, au
agienne de l'anneau ; il part de chacun d'eux cinq nerfs qui vont aux
yeux
, aux vrais tentacules ou tentacules inférieurs qu
médullaire que viennent les différens nerfs. Je n'ai pu apercevoir d'
œil
quoique la figure de Phipps paraisse en indiquer
ophagien, ont, chez les céphalopodes, un haut degré de perfection ; l'
œil
, par exemple, y est presque aussi complet que che
sophagien ; il donne les nerfs optiques qui, avant de pénétrer dans l'
œil
, se renflent en un ganglion qui l'emporte de beau
t, l'apparence qu'indique M. de Blainville , lorsqu'on les étudie à l'
œil
nu, ou même en s'aidant de la loupe ; mais il n'e
u lieu de prendre le ganglion pour point de départ, que l'on prenne l'
œil
, le nerf recouvre ses véritables attributions ; m
ort avec le volume et la perfection des organes qu'ils animent; or, l'
œil
des céphalopodes est déjà d'une grande (i) Aris
sont la bouche, qui a deux dents, et au-dessus des dents deux grands
yeux
; entre les yeux est un petit cartilage, contenan
qui a deux dents, et au-dessus des dents deux grands yeux ; entre les
yeux
est un petit cartilage, contenant un peu de cerve
eut s'en convaincre en lisant la description qu'a donnée Cuvier, de l'
œil
du poulpe, et celle que M. Owen a donnée de l'œil
donnée Cuvier, de l'œil du poulpe, et celle que M. Owen a donnée de l'
œil
du nautile; ainsi déjà chez les mollusques, on de
développé, qu'on pourrait presque dire de leur tête qu'elle est tout
yeux
. L'argument tiré du peu ou si l'on veut du défaut
cables ici ; car chez les céphalopodes et les insectes, le volume des
yeux
, loin d'être amoindri, est plus que centuplé, si
ctif, mais il ne l'est nullement que beaucoup d'entre eux n'aient des
yeux
, que plusieurs n'aient des oreilles , et qu'il ex
es du poulpe, par exemple, parce que le nerf qui va s'épanouir dans l'
œil
de cet animal et qui sert à le vivifier, n'est pa
oelle. Cette moelle a des ganglions très distincts, bien visibles à l'
œil
nu et fournissant chacun deux paires de nerfs. En
e nerveux et même toutes les parties de leur corps, à l'exception des
yeux
, d'une transparence parfaite : tels sont les phyl
hyllosomes qui sont transparens comme du cristal, à à l'exception des
yeux
dont la couleur est bleu de ciel ; tels sont auss
très considérable comme chez tous les insectes, donne uniquement aux
yeux
. Le ganglion sous-œsophagien , regardé par M. Str
chiffres sur la valeur desquels je suis moi-même en doute. Vus à l'
œil
nu ou grossi avec la loupe, les ganglions de l'ab
ns médullaires sont transparens ainsi que les nerfs. On peut voir à l'
œil
nu les ganglions de quelques insectes , on aperço
ui sont propres à déchirer la brebis, et ne peuvent point frapper ses
yeux
sans les blesser et sans les diviser cruellement.
nt le corps garni de soies, plusieurs ont des tentacules, et même des
yeux
, d'autres en sont tout-à-fait dépourvus. La sangs
ne galerie ; l'ouvrière dont tous les mouvemens se faisaient sous mes
yeux
, lui donna plus de profondeur, l'élargit, nettoya
te ébauchée, releva le mur sur lequel elle reposait, et fit, sous mes
yeux
, une nouvelle voûte avec les débris de l'ancienne
le sort, mais pour plus long-temps et sans qu'on puisse la suivre des
yeux
. Ainsi que les fourmis et beaucoup d'insectes, el
esquelles il s'écarte peu. I. 9 Pour en avoir un exemple, jetez les
yeux
sur les Comptes-rendus de la justice criminelle e
e seconde racine du même nerf. Ils sont en rapport de volume avec les
yeux
; chez les pleuronectes, par exemple, ainsi que l
nectes, par exemple, ainsi que l'a observé M. Gotts -Che, qui ont les
yeux
d'inégale grosseur , les lobes optiques sont inég
sè portent obliquement en avant, celui de droite se dirigeant vers l'
œil
gauche, et celui du gauche vers l'œil droit. A l'
i de droite se dirigeant vers l'œil gauche, et celui du gauche vers l'
œil
droit. A l'endroit où ces nerfs se rencontrent, i
es nerfs optiques des reptiles. 3e Paire, nerfs moteurs communs des
yeux
. On les voit à la base de l'encéphale, en dehors
inférieure de la moelle, et qui'va se rendre au muscle abducteur de l'
œil
auquel il est destiné. Ce nerf, ainsi que les aut
nnaître l'âge de l'homme et celui des animaux que l'on élève sous nos
yeux
, celle circonstance nous permet de multiplier nos
enue dans un tissu dont la disposition aréolaire est très visible à l'
œil
nu et qu'un faible grossissement permet de bien é
es, est, Pour le nerf optique, de...... 3,00 Le moteur commun des
yeux
. . 1,5 Le pathétique........ 0,8 L'abducteur
Pour le nerf optique, le rapport de. là 1,291 Le moteur commun les
yeux
, là 5,164 Le pathétique....... là 18,155 L'ab
qui sont circulaires, ont pour diamètre, Le nerf moteur commun des
yeux
. 1,0 Le pathétique........ 0,5 L'abducteur...
Pour le nerf optique, le rapport de. . là 321 Le moteur commun des
yeux
. . 1 à 1,607 Le pathétique........ là 6,428
etit cerveau, était largo de 3So mill.; l'intervalle entre 1er. deux,
yeux
, était de 89 mill., et la longueur de la tête, me
onné pour rapport 1 à 5668. 6. Les nerfs optique, moteur commun des
yeux
, pathétique et abducteur, comparés à l'encéphale,
berg a fait représenter. On voit les articulations se former sous les
yeux
et dans une multitude de points à-la-fois. Serait
ance blanche. Mais pour apercevoir les granules qui la composent, les
yeux
ne suffisent pas, il faut se servir du microscope
Fibre du trifacial........... 0,01494 Id. Fibre du mot. commun des
yeux
. 0,01494 Carpe. Fibre du trifacial........... 0
de chaque tubule nerveux. 9e expérience. —Carpe. Nerf olfactif. A l'
œil
nu, il paraît fibreux ; au microscope, on découvr
le me les a montrées plus élargies, mais tellement obscures , que mes
yeux
se fatiguaient inutilement à les observer. Sur
andent au loin et deviennent un guide pour ces chercheurs de proie. L'
œil
les sert moins, car la lumière ne pénètre pas dan
s sur les côtés de la tête des nageoires en éventail ; au-dessus, des
yeux
énormes, et une rangée de crochets longs et point
, il fallait avoir une grande confiance dans l'exactitude d'un coup-d*
œil
, dans la fidélité d'un souvenir ; et cette confia
poissons m'a révélé son existence et que si on ne l'aperçoit pas à l'
œil
nu et comme partie distincte de l'encéphale des r
anus , en parlant du nerf de la troisième paire, ou moteur commun des
yeux
, dit, à la vérité, que la racine de ce nerf est e
parlerai bientôt de cet entrecroisement. 3epaire. Nerfs moteurs des
yeux
. Ces nerfs existent chez tous les reptiles, excep
français les a cependant vus, chez un têtard de 9 jours, mais par les
yeux
de l'imagination. 5e paire. Nerfs trijumeaux. I
e, n'aurai-je que les nerfs optiques et les nerfs moteurs communs des
yeux
, comme termes de comparaison. 7e paire. Nerfs f
les ; je vais donner la mesure des nerfs optique et moteur commun des
yeux
, et comparer le volume de ces nerfs au volume de
ur le nerf optique de......0,4 mill. cub. Pour le moteur commun des
yeux
, de 0,3 Donc le rapport entre ces nerfs et l'en
le nerf optique, celui de......là 386 Et pour le moteur commun des
yeux
de . . là 687 La moelle épinière, mesurée au-de
Pour le nerf optique de.......0,5 mill. Pour le moteur commun des
yeux
de . . 0,35 Donc le rapport entre la section de
st Pour le nerf optique de.......là 494 Pour le moteur commun des
yeux
de . . là 1,009 La moelle épinière de la grenou
ganisation. L'estomac a besoin d'alimens, le poumon a besoin d'air, l'
œil
a besoin de lumière, l'oreille a besoin de vibrat
etit volume et constamment dépourvu de circonvolutions. J'ai sous les
yeux
un encéphale de crocodile vulgaire dont le cervel
es nerfs. l'encéphale. Poids. Vol. Optiq. M.yeui. Pathét. Optiq. M.
yeux
. Pathétiq. gr. rail.c. m. m. m. Pie mâle. ...
comme 1 à 8,87. 11. Le volume du nerf optique, du moteur commun des
yeux
et du pathétique, est, relativement au volume de
vues de nodosités. Par contre, j'ai trouvé, dans le moteur commun des
yeux
de la mésange, beaucoup de fibres présentant çà e
inière................. 0,00666 Id. Fibre du nerf moteur commun des
yeux
....... 0,0075 Pigeon. Même nerf................
elés nocturnes. Leur pupille, largement ouverte, laisse entrer dans l'
œil
, pendant le jour, un si grand nombre de rayons lu
noir, devinent facilement une proie qui se dérobe entièrement à leurs
yeux
; semblables en cela à la mouche appelée musca car
ture de tous deux, et le reste du temps se tient non loin du nid, les
yeux
vers la femelle, gazouillant ou chantant ses plus
on vit des Baskirs pour la première fois, leur front rétréci, leurs
yeux
obliques, leur nez épaté et leur bouche énormémen
é le volume du cerveau et celui des nerfs optique , moteur commun des
yeux
et pathétique du chardonneret, de la poule, du va
rtie supérieure du crâne de la dinde et de la poule, et au niveau des
yeux
, une saillie qui n'existerait pas et qui, en effe
3 celui de la dinde et la fig. 4 celui du coq-d'inde. j'ai sous les
yeux
et tout près l'un de l'autre, le crâne d'une poul
ait de la dernière évidence et dont on pourra s'assurer en jetant les
yeux
sur le lobe cérébral d'un éléphant, lobe que l'on
jets. Un anatomiste un peu distingué ne peut réellement pas jeter le*
yeux
sur ces figures, sans éprouver un sentiment pénib
et placée immédiatement derrière l'origine du nerf moteur commun des
yeux
: c'est le pont de varole; l'autre plus étroite,
es nerfs ne manquent pas cependant chez cet animal3 je les ai vus à l'
œil
nu, et j'en ai déterminé le diamètre à l'aide du
es phrénologistes, dit-il, consentent à mesurer, mais ils préfèrent l'
œil
à la main; ce qu'ils rejettent surtout quand les
ique. Mot. com. Pathétique. Abducteur. Trifacial. Facial. Auditif des
yeux
. Chez le Chien. 1 à 17044 1 à 139452 1 à G0S722
oit, sur cinq nerfs mesurés, savoir : l'optique, le moteur commun des
yeux
, le pathétique, l'abducteur et le trifacial, le c
ensuite : ils sont les premiers, l'un pour le nerf moteur commun des
yeux
, l'autre pour le nerf optique. La martre et le ch
aux? Le chien alla chercher la lettre o; je le crus en défaut, et mes
yeux
se fixaient très attentivement sur son maître, af
des visiteurs, se placent près des barreaux de leur loge, ferment les
yeux
et la bouche, et présentent leur dos pour qu'on l
out-à-fait semblable aux chats comme on en pourra juger en jetant les
yeux
sur la figure qu'en a publiée M. Richard Owen (2)
avec du lait et des végétaux, mais il mange aussi de la chair. Il a l'
œil
très vif et la physionomie aussi intelligente que
e fit taire et l'éloigna. Je tiens ce fait de M. Lau-rillard sous les
yeux
duquel il s'est passé. L'ours vit solitaire, ta
ette imperfection ; car une chauve-souris à laquelle on a arraché les
yeux
, peut encore voler el éviter les obstacles placés
es autres ruminans, qui vivent en liberté, sont généralement bons ; l'
œil
, l'oreille et surtout l'odorat sont excellens; ce
volume, ce qu'il prétend démontrer par le rapetissement, jugé à vue d'
œil
, des fosses occipitales; or, les pesées faites à
impos- sible. Le facies ne présente aucun caractère particulier.
Yeux
noirs, assez vifs, langue normale, tremblant un
considérable entre la paupière supérieure et l'arcade sourcillière (
yeux
exca- vés). Les plis naso-labiaux sont assez ma
ve sa mère étendue sur le dos, la bouche un peu tirée à gauche, les
yeux
blancs ; la malade était alors sans CAS DE SCLÉ
2 maintiennent que la traction nerveuse peut même être observée à l'
oeil
nu sur la moelle d'un cadavre. Le Dr Gillette f
s des autres quant à leurs contours; en un mot, nous avons sous les
yeux
le tableau d'une sclérose diffuse du cordon pos
vivement, c'est pour cela que nous avons examiné de prime abord les
yeux
du malade. Cet examen nous a fourni des renseig
gle des paupières, et les mnscles droit externe et interne des deux
yeux
se fatiguaient si rapidement, que c'était avec
evenir à la ligne médiane. L'insuffisance du droit interne des deux
yeux
était des plus belles; en effet, si on couvrait
es deux yeux était des plus belles; en effet, si on couvrait un des
yeux
du malade et on lui disait de fixer notre doigt
20 centimètres de distance; on remarquait que ce droit interne de l'
oeil
que l'on. découvrait exécutait un mouvement trè
ment très marqué de redressement en dedans. Aussi, si on fixait les
yeux
du malade à la même distance, on voyait clairem
temps, M. Limpritis et moi avons remarqué de loin que les axes des
yeux
n'étaient pas du tout parallèles et ne se conver-
ndiquaient parfaitement, le nystagmus, les paralysies associées des
yeux
, le regard vague, l'exaltation des réflexes, l'
plopie intense et de vertiges diplopiques; car si on lui fermait un
oeil
, les vertiges dis- paraissaient. Cette nouvelle
- ments intentionnels, le nystagmus, les paralysies associées des
yeux
, la paralysie de la convergence, l'insuffisance d
j'ai constaté l'état suivant : nystagmus, paralysies associées des
yeux
, paralysie de la convergence, insuffisance des
effet, le regard vague, le nystagmus, les paralysies associées des
yeux
, la paralysie de la convergence, l'insuffisance
res, la preuve de l'extrême importance de l'examen méthodique des
yeux
. Ce sont en effet, les lésions de l'oeil surtout
de l'examen méthodique des yeux. Ce sont en effet, les lésions de l'
oeil
surtout qui nous ont mis dans la vraie voie et
ingérantune quantité respectable d'aliments, mai- grissent à vue d'
oeil
, sans présenter de troubles subjectifs gastro-
les pieds rapprochés, il' n'oscillait ni lorsqu'on lui fermait les
yeux
ni lorsqu'il fut devenu aveugle. L'écorce du ce
ant un temps assez long, et compliqué de paralysie des muscles de l'
oeil
, le premier symptôme de l'affection spinale fut
du côté paralysé, il y reste toujours plus complet que sur l'autre
oeil
dont le champ visuel diminue du reste également
t installé dans l'inter- valle des accès, une faible déviation de l'
oeil
gauche en dehors; la strabotomie n'a eu qu'un r
périodi- que de l'oculo-moteur commun, il a vu s'effectuer sous ses
yeux
la rétrocession des symptômes, si bien que le l
. M. HIRSCH13ERG. Le cas de Thomsen constitue un astigmatismede l'
oeil
droit. Si les troubles de la vue eussent été ceux
nes que dans une phase du sommeil provoqué, l'état cataleptoïde les
yeux
fermés. Ce qui ajoute à la ressemblance, c'est
ellement. Ainsi la malade étant placée dans l'état cataleptoïde,les
yeux
fermés, l'attaque la met en léthar gie : la mal
l'expérience : celui qui a choisi l'opération à exécuter reste les
yeux
ouverts, le lecteur a les yeux bandés; c'est ai
isi l'opération à exécuter reste les yeux ouverts, le lecteur a les
yeux
bandés; c'est ainsi que ces deux personnes, le
pulsions seront. perçues avec avidité par le toucher du lecteur aux
yeux
bandés. Par conséquent, le fond de l'action réc
tainement sous l'in- fluence des mouvements associés du bras et des
yeux
, qui a lieu dans ces conditions. Bref, le bras
itions. Bref, le bras travaille, dans ce cas,-sous la direction des
yeux
. Dès que j'eus introduit cette condition, toute
iblement le chiffre 4 de celui de 1. Dès que le suggesteur fixe ses
yeux
sur le carré, il offre une plus grande résistan
ire hallucinatoire : il voyait' des personnages défiler devant' ses
yeux
, il entendait des chants, parfois des menaces, il
ce moment. Dans les rues, il baisse la tête, ferme quelquefois les
yeux
pour ne voir ni les noms, ni les enseignes sur le
t horriblement souffrir. Il est obligé d'avoir constamment sous les
yeux
l'almanach des 25,000 adresses. » (Ann. médico-
ptômes peu accentués et qu'un commerce suivi peut seul dévoiler à l'
oeil
de l'observateur. Ce sera par exemple un vice d
latérales, mais la dépression sus-sourcilière est moins profonde. L'
oeil
droit est aussi moins strabique, ce qui, sans d
rascible. Il a un tic qui consiste à se frotter continuellement les
yeux
. Les organes générateurs sont normalement dével
gnées de mouches violettes, rouges, blanches, qui volent devant les
yeux
, sans que ceux-ci soient douloureux; en même te
( ? ) à sept mois : pendant la nuit on s'est aperçu qu'il avait les
yeux
égarés, on n'a pas vu les convulsions. A dix an
de la face. La déglutition et la phonation se font facilement : les
yeux
peuvent être mus facilement dans tous les sens.
Sa maladie e préoccupe beaucoup : il cherche à la cacher à tous les
yeux
et n'en parle jamais à ses amis. A peine en a-t
es particularités et nous nous appliquons surtout à mettre sous les
yeux
du lecteur 1 Camuset. Ann.. hléd. psych. (janvi
Même insensibilité au frôlement et à la température. Amblyopie de l'
oeil
gauche; la vision à droite est normale; pas de
ent pour reparaître avec la fin de la sommation. L'ouverture d'un
oeil
, puis des deux yeux le met en hémi-cata- lepsie
avec la fin de la sommation. L'ouverture d'un oeil, puis des deux
yeux
le met en hémi-cata- lepsie d'abord, ensuite en
On interrompt l'atta- que convulsive par la pression du globe de l'
oeil
, et le malade reste alors hypnotisé, pour repre
s jours, dans les conditions normales, c'est-à-dire qu'en ouvrant l'
oeil
droit, le malade étant hypnotisé et récitant des
res du côté droit retombaient inertes sur le lit. Si l'on ouvrait l'
oeil
gauche, l'hémi- catalppsie se montrait à gauche
echerche da l'aphasie provoquée, c'est maintenant, et de nouveau, l'
oeil
droit dont l'ouverture détermine l'arrêt de la
e dont il s'est agi. On hypnotisait le malade. Par l'ouverture de l'
oeil
droit, on stupéfiait le cerveau gauche, et l'on
'expérience réussit en, sens inverse. Ce fut alors l'ouverture de l'
oeil
gauche qui provoqua l'arrêt de la parole en mêm
cette fois que l'ouverture pal- pébrale de'l'oeil droit et non de l'
oeil
gauche comme précédem- ment, détermine de nouve
lle âgée de dix-huit ans, à laquelle on pratiqua l'énucléation de l'
oeil
droit; immédiatement après son réveil, elle fut
quante ma- lades, treize présentaient des troubles des muscles de l'
oeil
, dix-neuf des perturbations pupillaires(dont qu
p visuel (5), ou des mêmes symptô- mes avec altération du fond de l'
oeil
: atrophie totale ou partielle des nerfs optiqu
; il y aurait lieu de les rapprocher des mouvements coordonnés des
yeux
d'une précision régulière qu'on observe pendant
, de la protu- bérance, des noyaux, qui commandent aux muscles de l'
oeil
. Seuls les noyaux de l'hypoglosse semblent, dan
égétatif, réflexe (1 observ.); à un degré plusvélevé, op'a sous les
yeux
un enfant d'un an et demi à deux ans qui émet d
respiratoire; dès que la respiration reprend, le patient rouvre les
yeux
, roule les globes oculaires dans les orbites, r
? <1 1t « i v t - , ni t' il . , ..1 Les mouvements comateux des
yeux
déjà décrits (Arch. f. Psych. XI) , consistent
s visuelles. En effet pendant l'état de veille les mou- vements des
yeux
, coordonnés .d'une façon précise et régulière d
compagne la lenteur très frap- pante de ces changements de lieu des
yeux
est un indice impor- tant en faveur, de l'exist
uosesont', devenues toutes petites. Au- delà, on,,ne distingue il l'
oeil
nu'aucune anomalie., Mais au, microscope, on. c
acte : de phthisie du glp ! Je, oculaire,,dans,le courant de, 1SS3; l'
oeil
droit a invariablement présenté 1 ! ! 1C,p,r.I
affirmative, car la malade étant calme n'avait pu se heurter, et l'
oeil
droit- n'avait pas subi, ces altérations. D'aille
gé qu'indigné du spectacle horrible qui chaque jour s'offrait à ses
yeux
. Les malades, chargés de chaînes, à peine vêtus
ents sont exprimés a un plus haut degré. De plus, ici, se jette aux
yeux
que des veines sont remplies des globules de sa
MOELLE ÉPINIÈRE. 3t7 de la veine fémorale. La moelle, examinée à l'
oeil
nu, fut trouvée ramollie dans la partie inférie
ce n'était pas des convulsions, mais une crise nerveuse. Après, les
yeux
étaient retournés et il a louché pendant t un a
ifiant l'état cynesthétique (le rétrécissement du champ viauel de l'
oeil
gauche avait lui-même diminué), amener un peu de
neuro-musculaire : l'insen- sibilité est absolue. L'ouverture d'un
oeil
ou des yeux détermine l'hémicatalepsie ou la ca
laire : l'insen- sibilité est absolue. L'ouverture d'un oeil ou des
yeux
détermine l'hémicatalepsie ou la catalepsie com
sitions. - La malade étant revenue en léthargie par l'occlusion des
yeux
, la pression sur le vertex détermine le sonmamb
des yeux, la pression sur le vertex détermine le sonmambulisme, les
yeux
ne s'ouvrant qu'incomplètement. La sensibilité
onvaincue de nos paroles. Elle est réveillée par le souffle sur les
yeux
et quelques heures après elle dit toujours souf
in touche par hasard le vertex, alors la malade essaye d'ouvrir les
yeux
. A ce moment, apparition des phénomènes catalep
uscles antagonistes. La malade est réveillée par le souffle sur les
yeux
: aucune conscience au réveil. 20. - Très cal
ionne légèrement le vertex, la malade se remue, essaye d'ouvrir les
yeux
, je fais disparaître alors les contractures par
uvelle mes suggestions et provoque le réveil par le souffle sur les
yeux
. 23. - Très calme, les suggestions persistent ;
ures. 3. Accès de migraine ophlhalmique très-net : douleur dans l'
oeil
gauche et la région sus-orbilaire s'arradiant de
mes bleus et jaunes sur les côtés, passant quelquefois de- vant les
yeux
en dansant et en faisant une ligne tordue eu zi
e zygomatique droit. Ecoulement des larmes dans l'angle externe des
yeux
, sur- tout à droite : dilatation de la pupille
eure de la tête; il leur semble qu'elles ont comme du plomb sur les
yeux
(OBs. V). Tantôt il s'agit de véri- table migra
ez la femme. Dans huit cas, elle était double et avait débuté par l'
oeil
gauche., Ce sont là d'ailleurs ses caractères o
rouillard plus ou moins épais, de nuages interposés devant les deux
yeux
, parfois de sensations lumineuses, de lueurs br
jusqu'à la mort. Intégrité des organes sensoriels, et notamment des
yeux
. Con- comitance exacte de l'hyperesthésie et de
le : le sixième enfant a dû subir à dix-huit ans l'énucléation de l'
oeil
gauche et est devenu sourd après l'opéra- tion,
bougie de stéarine distante de trois à quatre pas. La situation des
yeux
du sujet par rapport à la flamme évite la produ
e le 15 octobre 1875; le 2 décembre, elle s'arrache littéralement l'
oeil
droit avec ses doigts; elle refuse de manger :
ir recours aux moyens de contention pour l'empêcher de s'arracher l'
oeil
gauche. Deux ans après son entrée, son état ne
res à conformation extérieure régulière, des anomalies du fond de l'
oeil
, faciles à constater avec l'ophthalmoscope; des p
t est absolue et nettement limitée à la ligne mé- diane du corps. L'
oeil
droit a une acuité très faible, et le sens des
à l'occasion des figures que nous avons cru devoir placer sous les
yeux
des lecteurs. ' III.l;nfa71t.srohre.s et vali
ité d'âge de 4 ans (mari plus âgé). Tète penchée. - Convulsions des
yeux
depuis la naissance jusqu'à 4 ans. Légère paral
uls. - Marche, attention et parole nulles. Tics de la bouche et des
yeux
. Onanisme. Rougeole, diarrhée- : Amaigrissement
e ou d'imbécillité à un degré prononcé. Nous ferons passer sous vos
yeux
les piiotog rapides collectives des malades, et
e Traitement 11LÉDICO-PÉDAGOGIQUE. si seulement. Tournoiement des
yeux
. Attention diffi- cile à soutenir. ' Feutri..
se déshabiller. Ne sait pas à se laver seul, tape constam- ment ses
yeux
(tic). Caractère sournois, frappe ses camarades
et maintenant elles coulent encore de temps en temps. Pas de maux d'
yeux
, pas d'adénites. A la fin du moins de mars 1892
te partout, le malade pincé réagit. Les pupilles sont dilatées, les
yeux
dirigés à gauche, pas de déviation des traits,
erne. Cils châtains, longs, implantation normale. Orbites normales.
Yeux
, très mobiles. Iris bleu pâle, Pupille gauche r
e joue pas. Pré- sente quelques tics (battements des paupières, les
yeux
étant à moitié fermés, froncements du front). R
lectuelles déclinent ; les pupilles sont inégales et on a sous les
yeux
un ensemble symptomatique rappelant celui de Ia
urcillières sont peu développées, les sourcils blonds, clair-semés.
Yeux
bleux, vifs. mobiles, assez intelligents. Face
pelait sa mère : pas de cri, perte de connaissance, bouche tournée,
yeux
fixes ; écume, convulsions des membres surtout
res peu saillantes. - Cils et sourcils assez épais, bien implantés.
Yeux
grands, léger strabisme interne de l'oeil droit
ez épais, bien implantés. Yeux grands, léger strabisme interne de l'
oeil
droit. Pommettes peu proéminentes, symétriques.
s' en plus diffuses il se figure guéri et veut partir chez lui. Les
yeux
sont hagards. 14 juin. Hier soir l'enfant s'est
se cou- chent sur le ventre et aux jardiniers de toujours avoir l'
oeil
sur les épileptiques qui travaillent sous leurs
après sa naissance, il fut pris de convulsions. Il devint pâle, ses
yeux
se convulsèrent un peu. Quelques mouve- ments s
eut tout le reste de sa vie de ces espèces de vertiges avec pâleur,
yeux
hagards ou convulsés, et indiffé- rence complèt
et symétriques. Les no- yaux gris n'ont rien de particulier <t l'
oeil
nu. Quand on soulève le cerveau pour l'enlever,
ent dans le bras droit; la main était continuellement secouée ; les
yeux
d'abord normalement dirigés se convulsè- rent l
dirigés se convulsè- rent le 3e ou le 4e jour. Ces convulsions des
yeux
ont duré cinq jours ( ? ). Le bras et la jambe
côté, sans cri aigu, devenait pâle; les mains se crispaient, les
yeux
se convulsaient en haut; puis apparaissaient quel
à gauche et la commissure de ce côté forme un pli plus marqué. Les
yeux
ont leur saillie normale, les fentes palpébrale
182 .' - Hydrocéphalie. Le malade a la face dirigée à gauche, les
yeux
déviés du même côté et un peu en haut; les pupi
ce côté, couverte de mucosités. \-y/sta/m2es transversal des deux
yeux
. - Les pupilles sont très peu contractiles. - La
s, la tête com- mence à grossir et l'on constate que l'enfant a les
yeux
forte- ment portés en haut, de sorte que l'on n
tiformes. - longs et noirs. Rien de particulier à noter du coté des
yeux
; Iris brun jaunâtre, pupilles égales, pas de st
cils rares assez bien implantés; légère exophthalmic. Motilité des
yeux
en tous sens et synergique, niais l'enfant rega
minces, rosées, sillon- nées de veinules, recouvrant exactement les
yeux
. Blépha- rite ciliaire. Yeux bleus, pupilles tr
de veinules, recouvrant exactement les yeux. Blépha- rite ciliaire.
Yeux
bleus, pupilles très dilatées, égales, pas de s
urcillières qui ne sont pas saillantes et paraissent symétriques. -
Yeux
n'offrant aucune lésion, ni trouble de la motil
culièrement sur la I Hydrocéphalie; antécédents. 227. face et les
yeux
survenant par crises et durant de 4 à 5 jours.
ure du soir il fut pris de conuul,sions. Son visage était pâle, les
yeux
animés de mouvements convulsifs, la mâchoire sa
sur 10 centimètres de diagonale transversale. Pas de strabisme, les
yeux
ne paraissent point percevoir la lumière, les p
aillantes. - Face ovale, symétrique, moins développée que le crâne.
Yeux
à globes peu proéminents, paupières normales, c
vec du lait de vache et du tapioca. Il n'avait pas de déviation des
yeux
, mais ne reconnaissait personne. Sa tête énorme
la contracture sur l'un des côtés. Il n'avait pas de secousses, ses
yeux
se tournaient simplement, sa physionomie ne se
ux châtains, bien implantés, descendent assez bas sur les tempes.
Yeux
. Les arcades sourcilières ne sont pas marquées.
ite légère. Léger strabisme convergent. Nystagmus plus prononcé à l'
oeil
droit. Pas d'exophtalmie. Iris bleu ver- datre.
H'ëmon'ha- gie méningée; troubles trophiques; fonte purulente des
yeux
; contracture; élévation de la température; diminu
e; bosses frontales saillantes. Arcades sourcillières peu marquées.
Yeux
; légère blepharite ; pas de strabisme ; ;. iri
m- bres ont toujours été grêles ; l'enfant voyait un peu des deux
yeux
qui étaient moins enfoncés dans les orbites qu'il
encé à parler. Elle avait l'habitude d'enfoncer ses doigts dans ses
yeux
. Elle n'a jamais marché, ni pu tenir quelque ch
) Tête volumineuse. Face petite, étroite, vieillote, triangulaire ;
yeux
très enfoncés, non seulement à cause de leur ét
uillait » pas comme eux. On observa vers deux ans « que parfois ses
yeux
se tournaient, que sa figure était pâle et ses
ans. Dans les intervalles, l'enfant tournait toujours un peu les
yeux
et ne pouvait pas maintenir son regard fixe. Il a
de petites convulsions, il pleurait, se roidissait et tournait les
yeux
. 11 ne riait jamais. Quand sa mère le reprit à
e, il eut des convulsions quotidiennes, mais ne portant que sur les
yeux
. A partir de 3 ans, les convulsions se générali
équence. Elles se bornaient à une raideur du cou avec déviation des
yeux
durant environ une ou deux minutes. Mis à l'Asi
les et occipita- les, offre un exemple typique de scathocéphalie. -
Yeux
: strabisme convergent double. Albugo sur la co
ars, - Entré à l'infirmerie pour y être soigné d'une contusion de l'
oeil
, à la suite d'un coup donné par un cama- rade e
geole à 4 ans, ophtalmie consécutive ayant déterminé une taie sur l'
oeil
gauche. Tous les ans, il est sujet à des poussé
1885. 4 mars. L'enfant est atteint d'ophtalmie purulente des deux
yeux
qu'on attribue la singulière habitude qu'il a d
constate pas généralement de troubles prononcés de la motilité de l'
oeil
, ni des réflexes de la pupille. 7° Nutrition
s châtains foncés peu abondants. Cils noirs d'une longueur moyenne.
Yeux
sans exophtalmie, léger strabisme in- terne, pa
es- que droits; paupières normales ; cils assez longs, réguliers.
Yeux
à iris bleu clair ne présentant pas de traces de
Septembre, - Il fait un court séjour à l'infirmerie, ayant mal aux
yeux
; on constate une kératite interstitielle et de
ment occlusif. 1892. Durant toute l'année, Peti... se plaint de ses
yeux
et prétend ne pas voir suffisamment pour travai
njection des conjonc- tives ; 4° un léger strabisme convergent de l'
oeil
droit. Peti ? n'a ni vertiges, ni tournements d
par sa mère. A trois semaines, on remarqua une saillie anormale des
yeux
qui restaient a demi-voilés par la paupière inf
ite. Val... n'eut alors ni fièvre, ni convulsions, ni syncopes. Ses
yeux
, petit à petit, revinrent dans une position nor
e corps. La vue est bien développée, les mouvements synergiques des
yeux
s'exécutent bien, les pupilles sont normalement
e ressentait aucune lourdeur dans les paupières et pouvait ouvrir les
yeux
sans difficulté. Je lui dis de fixer un de mes ye
ouvait ouvrir les yeux sans difficulté. Je lui dis de fixer un de mes
yeux
. Les paupières clignotèrent, les pupilles se dila
eux. Les paupières clignotèrent, les pupilles se dilatèrent, mais les
yeux
ne se fermèrent pas d'eux mêmes ; je dus prier le
e fixer mes doigts et c'est seulement lorsque je les approchai de ses
yeux
, que ceux-ci se fermèrent. Je réussis à obtenir d
deur dans les bras et les jambes. Il croit qu'il aurait pu ouvrir les
yeux
: s'il ne l'a pas fait, c'est uniquement qu'il ne
mes procédés que la veille. Il a dormi tranquillement et a ouvert les
yeux
avant que je le lui ordonne Le sommeil n'était do
û suggérer tous les phénomènes précurseurs du sommeil (clignotement d'
yeux
, lourdeur des paupières etc .) et alors le sommei
t venu, plus profond. Le malade ne pouvait pas de lui-même ouvrir les
yeux
. Après cette séance, il n'eut plus envie de boire
ade hyslérique et anesthésique le sommeil nerveux par l'occlusion des
yeux
et des paupières. Le professeur Raymond /in Revue
isuelle et qui s'endormait quand on lui appliquait un bandeau sur les
yeux
. M. Raymond qui a réuni plusieurs faits analogues
le déplacement de la tête. A son passage, sur les oreilles et sur les
yeux
, ce bandeau est renflé par des tampons qui sont a
e même qu'entre ce dernier tampon et celui qui doit s'appliquer sur l'
œil
, le bandeau est constitué par du tissu élastique
ces tampons un écartement en rapport avec celui de l'oreille et de l'
œil
du malade. Applications. — Tous les malades ner
eures, assurer ensuite la persistance de ces états. L'occlusion des
yeux
est parfaite, l'occlusion des oreilles ne peut êt
littérature leur doit des chefs-d'œuvre. Chez beaucoup d'invertis l'
œil
perspicace du médecin peut déjà diagnostiquer le
ancien officier, il persiste dans sa timidité. Enfin.à pas menus, les
yeux
baissés, comme une très jeune fille qui opère son
s morceaux qu'on chante ou qu'on récite, ne sont point faits pour des
yeux
ou pour des oreilles de femmes. La vérité, c'est
us exceptionnelle, jalousie sans émission ! Sans doute la « fille aux
yeux
d'or » a-telle obtenu d'un amant trompé, mais ému
es plus minutieux ; car ils peuvent prendre une grande importance aux
yeux
du malade, occuper son attention et contribuer à
re avec toutes ses imperfections, l'auteur, qui a toujours devant les
yeux
le modèle parfait, créé par son imagination, se t
leur forme la plus pure et la plus élevée, fermant volontairement les
yeux
sur les défauts qui auraient pu les amoindrir.
ne et leur surface verdàtre était tatouée au vert de Schweinfurt; les
yeux
et la langue longue et acérée, étaient tatoués au
lement émotionnant que nous ne croyons pas qu'un seul de nous eut les
yeux
secs. Nous avons tous plus ou moins pleuré, et Lé
il reconnaît son fils ! « Luy seul, sans rien dire, sans sciller les
yeux
, se tint debout, contemplant fixement le corps de
nouissement de cette dégénérescence qui tous les jours éclôt sous les
yeux
même des parents impuissants — pour ne pas dire b
telligents. Si je demande, par exemple, à une personne de fixer ses
yeux
sur les miens avec toute l'attention dont elle es
tarde pas à-observer dans son regard un singulier état de fixité. Ses
yeux
, grands ouverts, présentent un certain degré d'ex
esprit qu'une idée fixe, obsédante, celle de ne pas perdre de vue les
yeux
qu'on lui a demandé de fixer. La fascination vi
irmer, d'une façon imperative, qu'ils ne peuvent plus détourner leurs
yeux
de ceux de l'opérateur, et qu'ils sont obligés de
de la tête, le sujet l'imite, afin de pouvoir suivre le mouvement des
yeux
qu'il contemple. Si l'hypnotiseur recule, le suje
ur satisfaire plus complètement ce besoin de fixer avec intensité les
yeux
de l'opérateur et se maintenir au premier plan, d
dire spontanée, il m'avait suffi de l'inviter à fixer un instant mes
yeux
pour qu'elle se trouvât plongée dans un état de f
le très marqué, se traduisant parle besoin irrésistible de suivre mes
yeux
dans leurs mouvements. Or il s'agissait d'une jeu
ances, des fleurs et des objets divers, sans avoir le modèle sous les
yeux
. Les personnes chez lesquelles l'hérédité a con
ont une tendance naturelle à se fasciner d'elles-mêmes. La fixité des
yeux
que l'on observe chez elles lorsque l'on cherche
passés. T7n tel sens est un organe universel du sentiment : c'est un
œil
qui toil les objets non seulement où ils sont, ma
it par le moyen plus doux d'une hémorragie. Après lui avoir bandé les
yeux
, on lui annonça qu'on allait le faire mourir en l
nerie, fut soumis à une fausse opération de saignée. On lui banda les
yeux
, on lui mit une ligature autour du bras : on fit
ttre a mort. Ils lui lient les mains derrière le dos, lui bandent les
yeux
et lui placent la tête sur un billot. On passe ra
après ce simulacre d'exécution, on détache ses liens, on. débande ses
yeux
: il est mort ! Dans ces cas, le patienta cru à
de la vie, prennent la résolution de mourir, se couchent, ferment les
yeux
et cessent de vivre. Après avoir cité cet auteur,
s, à deux illustres hommes de guerre, la tâche de me disculper, à vos
yeux
, d'avoir si longuement parlé de la psychologie mo
es connaissances acquises. La composition faite en classe, sous les
yeux
du professeur, a un caractère plus sérieux, exige
n'ait encore jamais embrassé de jeune fille. Pour les maladies des
yeux
, on conserve dans certaines familles des bagues t
f Are. Si l'un des vôtres a la cataracte, vous n'avez qu'à crever l'
œil
d'une jeune hirondelle. La mère ira chercher dans
« Ce fut, dit-il, comme un éclair qui fit tomber les écailles de mes
yeux
. J'étais comme un homme qui retrouve sa propre es
alysé. Il me mit sur un canapé et me regarda en souriant de ses beaux
yeux
noirs : je perdis connaissance. Je ne saurais déc
diopathie artérielle dont les symptômes évoluèrent pas à pas sous ses
yeux
, sans qu'aucune, autre cause ait pu être incrimin
notisme, je lis que la méthode de l'hypnotisation par l'occlusion des
yeux
et des paupières est attribuée à 31. le professeu
J'ai complété la méthode de Lassègue par une petite pression sur les
yeux
, exercée avec les doigte. J'ai généralement combi
cié-Ton-Fa témoigne du souci de l'Ecole de psychologie de soivre d'un
œil
attentif l'évolution psychologique des races et d
de leur état de grossesse ; elle leur trouve les traits fatigués, les
yeux
cernée ; elle pense que ces symptômes sont caract
la voie, s'approchant de la glace, elle constate avec effroi que ses
yeux
sont cernés. Il n'y avait pas à en douter ; elle
t de lui faire comprendre son erreur, mais j ai pu oublier ; j'ai les
yeux
cernés et c'est la preuve certaine que je suis en
stionner, me dit-elle vivement, dites-moi nettement pourquoi on a les
yeux
cernés, et dans quelle maladie cela arrive. On n'
on a les yeux cernés, et dans quelle maladie cela arrive. On n'a les
yeux
cernés que dans la grossesse ; donc je suis encei
dans la grossesse ; donc je suis enceinte ». — « Vous n'avez pas les
yeux
cernés du tout, lui dis-je, après l'avoir attenti
-je, après l'avoir attentivement dévisagée, et même si vous aviez les
yeux
cernés, cela ne prouverait nullement que vous ête
s ; il ne lui semble plus qu'on la regarde ; elle ne pense plus à ses
yeux
cernés ni à sa grossesse. Elle ne fuit pas la soc
e sent très bien, n'évite plus la compagnie, ne se demande pas si ses
yeux
sont cernés on non et n'a pas envie de regarder d
tabernacle par terre, il fait monter dessus la grande-prêtresse. L'
œil
hagard, le corps électrisé, la pythonisse saisie
Elles préfèrent les vins de champagne dont le pétillement charme les
yeux
, mais dont les différences de saveur se résument
inesse de son odorat, ni insinué qu'il fut anosmique. Par contre, les
yeux
de Vénus sont figurés toujours bien ouverts et au
en comparant ces traces avec ce que nous avons actuellement sous les
yeux
; et c'est le résultat de cette comparaison que n
erver de multiples dangers ; il lui fallait donc ne * dormir que d'un
œil
>, selon l'énergique expression du vulgaire. P
rappelait que la science et l'amour de la Patrie constituaient à ses
yeux
les fondements essentiels de la moralité. Fidèl
n air avec Dieu, tandis qu'en bas ses fidèles la regardaient avec des
yeux
extasiés. Lors des grandes fêtes,tous les fidèles
important dans la symphonie des sensations supérieures. L'odorat, aux
yeux
du plus grand nombre tiendrait la place qui d'ord
ons du monde extérieur non plus par le nez, mais principalement par l'
œil
et par l'oreille, ceux qui trouvaient encore quel
uelque grand désir qu'elle en eût. Le hasard lui ayant mis sous les
yeux
des exemples de guérison par l'hypnotisme, elle m
ets à des tentatives d'hypnotisme au moyen du procédé de fixation des
yeux
. L'hypnose n'a pu être obtenue qu'au bout de deux
ongé dans un état dépassant la demi-léthargie ; il ne peut ouvrir les
yeux
, il ne peut, non plus, se redresser sur son faute
tonte suggestion médicale, mais je le relevais surtout à ses propres
yeux
; il reprenait petit à petit possession de lui-mê
ravers dont soient affectés les humains : « Tel voit la paille dans l'
œil
de son voisin, dit-il un jour à ses disciples, qu
a peau est moins rouge, dont les traits sont plus agréables, dont les
yeux
souvent bleus ou gris verdâtres expriment plus de
rs 1905. Elle présente un aspect étrange ; elle est très pale ; ses
yeux
sont démesurément ouverts et les pupilles immobil
ères. D'ailleurs, quand elle ne dort pas, il suffit de lui fermer les
yeux
pour supprimer en elle toute perception. Si l'o
-dlaphraginatiqne. /fee. de l'Hypn. jnin 1905, p. 367. elle a les
yeux
brillants, le visage animé, la mine souriante : e
Lorsque, après la journée consacrée à vos travaux professionnels, vos
yeux
se porteront sur ce bronze, nous souhaitons qu'il
'ouïe et le toucher. Le moindre rayon de lumière venant frapper les
yeux
, suffit pour réveiller un animal profondément end
est de même des affusions d'eau froide faites sur le front et sur les
yeux
. Cette action de l'eau fraîche est si marquée que
tient est dominé par le grand hypnotisme, que sa vue est annulée, ses
yeux
convulsés, ses sens inertes, ses membres raidis,
licita tiens de la parole le laissent insouciant : un souffle sur les
yeux
rompt le charme ; le sujet se frotte los yeux et
nt : un souffle sur les yeux rompt le charme ; le sujet se frotte los
yeux
et passe sans transition d'un aemmeil léthargique
a été une rentable révélation. Qui que ce soit peut souffler sur les
yeux
du patient, avec la bouche, un soufflet, un évent
s du docteur O. Vogt. je pense qu'il fnut continuer à mettre sous les
yeux
des médecins praticiens les résultats cliniques o
ent incriminer les exemples déplorables que celles-ci ont eu sous les
yeux
. Les pupilles de l'Assistance abandonnées, dès le
que d'éducation de l'enfant, les mauvais exemples qu'il a eu sous les
yeux
: d'autre part, les modifications pathologiques de
nt à la suggestion à l'état de veille, j'ai observé, j'ai mesuré de l'
œil
des centaines de pupilles. • Durant que je parl
ogés ont observé cette dilatation de la pupille chez les élèves ; les
yeux
se fixent et deviennent clairs. L'élève dont le r
as le réel qui, sous ces conditions, ressort le mieux et tombe sous l'
œil
. Il se peut parfaitement, au contraire, que les o
sous les mains du coiffeur. L'excitation prolongée et monotone de l'
œil
produit d'abord la fatigue du centre de la vue et
un point donné du mur et du plafond aussi longtemps que possible. Les
yeux
se fatiguent. 1ns paupières se ferment, le malade
n mentale. Elle ne comprenait pas la question qu'on lui posait et ses
yeux
étaient hagards. Sa sensibilité à gauche était
ns d'autres cas, j'ai constaté l'anesthésie do la cornée pour un seul
œil
. tandis que de l'autre côté la sensibilité était
EnGn chez d'autres sujets plus rares, on trouve sur la cornée du mémo
œil
une zone d'anesthésie et une autre zone de sensib
région inférieure, etc. Ces zones irrégulicres constatées sur un seul
œil
ne peuvent en aucune façon permettre de préjuger
ucune façon permettre de préjuger l'état de la sensibilité de l'autre
œil
, qui peut être normal ou aneslhésié, en totalité
tre. 4° Relativement au réflexe oculaire, il faut examiner les deux
yeux
et explorer successivement les différentes partie
iques, est du même ordre, et je me verrai conduit à replacer sous vos
yeux
les principes immuables de toute saine pédagogie,
peut-être pour se débarrasser. Cependant, mettre des faits sous les
yeux
d'un enfant ne suffit pas. Il faut tout d'abord a
l'intermédiaire de l'oreille, de l'odorat, etc., aussi bien que de l'
œil
. Il faut en outre que ces perceptions ne soient p
Toutes deux sont d'une importance pratique dont l'évidence crève les
yeux
; toutes deux ont fait d'immenses progrès au cour
t c'est le but que je voulais seulement atteindre en plaçant sous vos
yeux
ces observations — quelles précautions logiques,
e sous nos regards d'incessants phénomènes, et il suffit d'ouvrir les
yeux
pour en retirer les plus précieux des enseignemen
édain non dissimulé. Les auteurs de Récréations scientifiques à leurs
yeux
n'étaient que de vulgaires amuseurs. Songez donc!
cipes pourraient bien être des sporules de moisissures invisibles à l'
œil
, mais dont l'existence est démontrée par la produ
tière d'un rêve. Dans les deux cas, aussi, il sera utile de clore les
yeux
du malade et de solliciter ainsi son activité psy
able précoce. Quand il-sera grand, si ces lignes lui tombent sou» les
yeux
, il ne s'offensera pas qu'il se soit trouvé quelq
: couchée, évanouie d'amour, les mains, les pieds « nus pendants, les
yeux
demi-clos, elle s'est laissé tomber de bonheur «
« faillir; elle est comme évanouie; à peine peut-elle respirer... les
yeux
« se ferment d'eux-mêmes et s'ils demeurent ouver
i de regarder attentivement sa main. Celle-ci se dégonflerait à vue d'
œil
. Au bout de 20 minutes sous l'influence de cett
hurlement expiratoirc rauque, inarticulé; déjà beaucoup fermaient les
yeux
. La musique reprit plus fort et plus vive, les mo
; le tambourin avait cessé ; les marabouts passaient la main sur les
yeux
des Aissahouas, leur souillaient sur le visage et
s médecins, en pressant les globes oculaires, ou en souillant sur les
yeux
. i Enfin, comme les médecins, ils savent faire
réci, comme on peut s'en rendre compte d'après les chiffres suivants.
Œil
droit : en haut: 10. » en bas : 15. » en deda
» en dedans : 20. » en dehors : 10. (1) Echo médical du Nord.
Œil
gauche : en haut : 15. a en bas : 20. n en deda
notre homme sent des coups dans la nuque, voit des ombres devant les
yeux
; sa face est grimaçante et il subit une certaine
, dans une deuxième séance, je lui dis qu'il ne devait pas fermer les
yeux
tout de suite pour me faire plaisir, comme il ava
ion ; ainsi on peut parfaitement brûler la jambe pour une maladie des
yeux
: ce qui prouve l'action suggestive de ce remède.
. Le cautérisateur affirme d'ailleurs qu'un nerf va de la jambe à l'
oeil
' malade. Les Arabes sont peu sensibles à la do
e forte crise, elle présente un piqueté hémorrhagique au pourtour des
yeux
et des seins. On a prétendu à tort que ce piqueté
le reptile commence à s'engourdir, l'hypnotiseur lui fait devant les
yeux
des passes lentes et méthodiques, puis il le sais
issement où elle croyoit tomber dès qu'elle pensoit un peu fermer les
yeux
» (9). Et la veille du dénouement, bien qu'elle m
s fréquents: Josèphe (C&ntiq. VIII, 2-5) rapporte avoir vu de ses
yeux
un exorciste juif qui tirait les démons du nez de
coucha sur l'enfant, et mit sa bouche sur la bouche de l'enfant, ses
yeux
sur ses yeux, ses mains sur ses mains, et s'étend
'enfant, et mit sa bouche sur la bouche de l'enfant, ses yeux sur ses
yeux
, ses mains sur ses mains, et s'étendit sur lui; e
dait encore sur lui ; enfin, l'enfant éternua sept fois et ouvrit les
yeux
. » Les apôtres Pierre (Actes, IX, 4ûj et Paul r
ési.ter à recourir à l'intervention des agents physiques (fatigue des
yeux
par la fixation d'un objet brillant, .bruit monot
uche, un rétrécissement assez important du champ visuel pour les deux
yeux
, de l'anesthésie pharyngée, etc. Il s'agit donc d
refacilementsupprimés, vous allez, séance tenante, absorber, sous mes
yeux
, une tasse de lait que vous garderez sans éprouve
r la provoquer que de lancer une pierre dans l'abîme ; on la suit des
yeux
et la représentation intense de la chute détermin
, si usitée par tous les thérapeutes. Tltouchaitla partie malade, les
yeux
des aveugles (Mat,, XX, 34,) l'oreille des sourds
, promu favori des Dieux devant la plèbe alexandrine, cracha dans les
yeux
d'un aveugle qui, nécessairement, recouvra la vue
un mélange de salive et de terre, puis avec cette boue il oignait les
yeux
de l'aveugle (Jean IX, 7). Ce dernier, alla se la
ait: cet homme qu'on appelle Jésus a fait de taboue, il en a oint mes
yeux
... Jean IX, 11} et plus loin : a or, c'était un j
t fait des miracles et Isaie a proclamé qu'à la venue du Messie « les
yeux
des aveugles s'ouvrent et tes oreilles des sourds
ataleptique. — Le sujet cataleptique est immobile, comme fasciné. Les
yeux
sont ouverte, le regard fixe, sans clignement des
un éclat de rlro bruyant et plein d'insolence. Apollonius tourna les
yeux
vers lui et lui dit : « Ce n'est pas vous (1) C
e. Lcjeune homme parut sortir d'un profond sommeil : Il se frotta les
yeux
, les tourna vers le soleil, et fut confus de voir
, experts en ces questions, habitués à observer autrement qu'avec les
yeux
de la foi, assez indépendants pour proclamer l'au
nnemis du surnaturel, nous sommes journellement accusés de fermer les
yeux
à la lumière et de ne point croire parce que nous
t constaté qu'en réalité ils interprétaient un geste, un clignement d'
yeux
de leur barnum. Cependant on vient de montrer d
s, à chaque fois et, sans la moindre hésitation, après avoir fixé les
yeux
de celui-qui pensera à l'une des cartes ou à l'un
Vous ne laisserez pas en péril l'honneur du régiment, la Patrie a les
yeux
sur vous, etc., il les persuade. Il emploie des
ière visite, nous la plongeons dans l'état d'hypnose par fixation des
yeux
et suggestion du sommeil. Bile tombe presque immé
ion de la suggestion et de l'acte de souffler avec insistance sur les
yeux
, la malade revient à l'état antérieur. Ainsi la
lade revient à l'état antérieur. Ainsi la même cause, (fixation des
yeux
et suggestion) a provoqué un état d'hypnotisme di
de conscience parfaite. Ce procédé présente un avantage énorme à nos
yeux
: contrairement à ce qui se passe pour la suggest
oduits simultanément sous l'influence d'une même cause : fixation des
yeux
et suggestion. Le côté droit de la malade était
sente des pertes de mémoire, du tremblement, des troubles du côté des
yeux
, des hémorrhagies rétiniennes. On incline à porte
ue nient l'évolutionnisme, c'est-à-dire l'observation, et ferment les
yeux
plutôt que de reconnaître les faits qui, par mill
criminelle, avait pour but l'étude de l'homme criminel, eût ferméles
yeux
devant les découvertes de deux sciences qui, comm
pro- noncées ou lettres écrites pénètrent par les oreilles ou les
yeux
pour agir sur le cerveau : elle ne fatigue pas ce
malade nous les avons nettement constatés. Dès que nous fixions ses
yeux
et lui touchions le front, la malade se contractu
main, on voyait survenir de légères secousses dans tout le corps, ses
yeux
se remplissaient de larmes et elle pleurait penda
mais, je n'ai qu'à ouvrir la boite et à lui mettre la glace sous les
yeux
pour qu'immédiatement renaisse l'hallucination et
ie sont très nets; elle a un fort rétrécissement du champ visuel de l'
œil
droit et une hémianesthésie droite totale. Elle m
mentalité. * Cette femme a 26 ans. Elle porte un bandeau sur les
yeux
. Et pourquoi ce bandeau? Parce qu'elle a des doul
nc tout porté à la croire ; elle se plaint, elle a un bandeau sur les
yeux
, donc elle souffre. — Mais, quand on enlève ce ba
le ressent les mêmes douleurs que si certaines étoffes couvraient ses
yeux
. Si on lui demande de lire, elle voit les lettres
tous les oculistes qui l'ont vue lui ont dit qu'elle n'avait rien aux
yeux
. Un seul a prononcé le mot d'asthénopie nerveuse,
aya et elle rapporta ces phénomènes anormaux à un mauvais état de ses
yeux
, comme jadis elle avait été amenée à se plaindre
t été amenée à se plaindre de son utérus. Elle fut convaincue que ses
yeux
étaient gravement lésés et de là à dire qu'elle s
endue compte que son attention, sa volonté étaient malades et non ses
yeux
. On lui mit des collyres à l'ésérine, au sulfat
ugmenta sa douleur; elle s'écria qu'on avait percé a la membrane de l'
œil
, qui est si délicate o et affolée, elle est accou
transformation de la personnalité. Cette femme a fait de l'algie des
yeux
, avec crainte de cécité. L'algie est réelle et el
ine. Au moment où le malade se calme u*n peu, je fais la pression des
yeux
et du creux de l'estomac et, en deux minutes, j'o
é. Elle est ensorcelée. Pression des points sensibles, ovaires et des
yeux
; sommeil hypnotique, après deux minutes au plus.
ieds. Je soutiens d'un bras la fillette et de l'autre main presse les
yeux
, et lâ fillette monte tranquillement dans la voit
mac très sensible (pointe du sternum). La pression de ce point et des
yeux
produit presque instantanément le sommeil. Sugges
cembre, mieux sensible. Nouveau sommeil. Je fais lever la malade, les
yeux
bandés. Elle transporte un objet d'un endroit à u
, le goût sont normaux, mais la muqueuse extérieure des lèvres et des
yeux
est insensible. Le champ visuel est très rétréc
complet isolement où il vivait, seul avec quelques domestiques... Son
œil
brillant, fixé droit devant lui, semblait aigu et
ociété d'archéologie biblique, 1892, 2 Xiv, p. 170-lSî. maigre, l'
œil
enfonce, assez creux sous l'arcade sourcillière,
uyants d'une vision fan-« tastique, c'était une réalité vivante que l'
œil
jugeait palpable comme « la chair de nous tous. »
te mit à réciter son chapelet-i Celle-ci était toujours immobile, les
yeux
tournés vers cette Dame si « douce et si belle, »
de conscience est de pure apparence. En effet il suffit de fermer les
yeux
de Marie-Louise pour qu'immédiatement, instantané
e ne sait même plus si elle vit. Par cet acte simple, l'occlusion des
yeux
, elle perd toute faculté de localisation dans l'e
les perceptions absentes par des perceptions visuelles c'est que, les
yeux
fermés, bien que les spasmes persistent, Marie-Lo
raires à celles qui devraient normalement exister. C'est pourquoi les
yeux
fermés Marie-Louise accuse des sensations d'étouf
revenu, il y a presque de la boulimie; les sécrétions reviennent, les
yeux
, la bouche sont humides, l'émission d'urine est d
r les Assyriens et plus tard par les Cypriotes. Ce qui eût choqué les
yeux
à Athènes, était (1) Biographie universelle anc
(*), d'après le livre du Dr Hirschfeld est surtout intéressante à nos
yeux
, parce qu'elle porte au menton une barbe très acc
ible: on y distingue du rouge sur les lèvres, du noir à la barbe, aux
yeux
et aux sourcils. Le sexe féminin est marqué très
fait de la tête de la Gorgone un objet d'horreur, et communiqué à ses
yeux
le pouvoir de changer en pierre tous ceux qu'elle
iens comme une amulette douée de la propriété de préserver du mauvais
œil
. Tous les peuples primitifs imaginent ainsi des m
st retirée. Mlle de C... ne dormait pas; étendue sur son lit, les
yeux
grands ouverts dans l'obscurité, elle vit, sans l
econde avait été douloureusement émotionnée en voyant passer sous ses
yeux
le cercueil de son amant. Comme on le voit, che
ra que, Bernadette croira fermement avoir la Sainte Vierge devant les
yeux
et imposera à la foule sa conviction. VII L'Aur
y arrivent, comme dans le sommeil, qu'avec lenteur et atténuées : les
yeux
tantôt grands ouverts, tantôt mi-clos sont à pein
; les forces s'en vont : on peut à grand'peine remuer les mains. Les
yeux
se ferment malgré soi, ou, s'ils restent ouverts,
de veille ou plus exactement de pseudo-veille que par l'occlusion des
yeux
; vers la fin du traitement, au contraire, ce somm
sa main tantôt sur les épaules du sujet, tantôt sur son front ou ses
yeux
, tantôt sur un point hypnogène quelconque, tantôt
pas considéré comme invraisemblable. » • # Xous avons eu sops les
yeux
un certain nombre de figures anciennes dans lesqu
trice diabolique, ils la dotent du caractère le plus capable, à leurs
yeux
, de calmer le désir amoureux : ils lui mettent de
l'influence d'une vive impulsion : elle s'agenouillait à l'entrée, l'
œil
attentif vers l'ouverture du rocher. Alors, nous
oule hystérique. Le monde extérieur n'existait plus pour elle ; les
yeux
ouverts ne voyaient plus, au point qu'on pouvait
heur indicible et une admiration pleine de délices se voyait dans ses
yeux
grands ouverts tandis que la bouche béate exprima
eureuse du visage ait changée, on voyait de grosses larmes emplir ses
yeux
et couler sur ses vêtements. Bernadette alors p
ouverte était béate d'admiration et paraissait aspirer le « ciel. Les
yeux
fixes et bien heureux contemplaient une beauté in
t hypnotisé l'attitude de la prière, les mains jointes, à genoux, les
yeux
au ciel, mettait son sujet dans une crise d'extas
me il fallait que Bernadette fût à genoux, en prières et donnât à ses
yeux
, à son visage, et à tout son corps l'attitude de
la Sainte Vierge s'éclaire tout à coup, et a s'illumine de joie : ses
yeux
se fixent sur l'excavation de la grotte, € avec u
si une « force d'en haut la tirait : pâle, les lèvres décolorées, les
yeux
élevés « et fixes, elle restait comme une statue
n état extatique des plus prononcés ; des « larmes s'échappent de ses
yeux
immobiles qui restent constamment « fixés sur l'e
r, j'allais dire une • autre âme se voyait : elle ouvrait de grands
yeux
, des yeux béants « et presqu'immobiles o. Elle so
s dire une • autre âme se voyait : elle ouvrait de grands yeux, des
yeux
béants « et presqu'immobiles o. Elle souriait à c
a tristesse ou la joie; tel morceau bien exécuté amène les larmes aux
yeux
d'un auditeur parfois très ignorant en musique, t
sique, d'un frôlement, d'un mouvement de son voisin. Souvent môme les
yeux
se ferment; il y a là une véritable hypoiaxie, et
motions violentes? A ce titre, les guerres devraient acquérir à nos
yeux
une importance psychologique plus grande, puisque
pas été pervertis par les exemples pernicieux qu'ils avaient sous les
yeux
dans leurs familles, Us ont été détournés de la v
soin de nous dire, au contraire, que ces grosses larmes coulaient des
yeux
de Berna- (I) Au sujet de la température chez l
irent deux grosses larmes couler sur les joues de Bernadette dont les
yeux
fixes restaient grands ouverts. » (') a De temp
roulaient parmi ses sourires. » j2) « Des larmes s'échappent de ses
yeux
, immobiles, fixés sur l'endroit « de la grotte où
'est ce contraste extraordinaire, delà bouche qui rit pendant que les
yeux
pleurent, qui forme un des caractères les plus cu
t cause pour la malade contre le curé; on regardait celui-ci avec des
yeux
méchants, on abandonnait ses sermons et son confe
heurta, en se relevant, contre le coin d'une armoire, et se creva un
œil
. « Elle souffrit dos douleurs extrêmes » ('). Ell
un œil. « Elle souffrit dos douleurs extrêmes » ('). Elle perdit cet
œil
, puis l'autre par ophtalmie sympathique. Cette cé
e zone d'anesthésie, qui comprend la partie interne de la cornée de l'
œil
gauche, dont l'excitation ne provoque pas de réfl
radués, au modelage, au dessin, à la musique : exercer la main et les
yeux
de l'enfant autant que sa mémoire ; avoir souci d
rétexte qu'un des leurs avait été guéri d'une ophtalmie en lavant son
œil
dans cette eau, vinrent en foule et firent le res
maçait horriblement. La langue pendait démesurément de la bouche, les
yeux
avaient un aspect effrayant, elle imitait les cri
période épileptoïde avec ses convulsions : la face est menaçante, les
yeux
convulsés. Enfin, dans la période de clownisme,
physionomie est empreinte d'une grande douceur. Elle a de fort jolis
yeux
. D'ailleurs l'élégance de sa toilette, les bijoux
la fait aller à droite et à gauche, lui envoie des rayons X dans les
yeux
; la nuit, il la tire par les pieds, se penche su
garçons, dont : Fouques, Guillaume JI dit Talvas, qui fit crever les
yeux
, couper le nez, les oreilles et les parties génit
sans faire un geste, sans même remuer les lèvres, il apprend par les
yeux
; ce sont des images visuelles qu'il grave dans s
l'apprend par cceur, en silence, à tète reposée. Quand il l'a lue des
yeux
, un certain nombre de fois, il la possède bien ;
es visuels et les graphiques devront, en même temps qu'ils lisent des
yeux
et écrivent de leur propre main, articuler nettem
nt chez l'homme, ne réussissent pas ; en somme si l'on veut fixer les
yeux
d'un animal, comme on les fixe chez l'homme pour
ou peu de chose, ce surtout à cause de la disposition anatomique des
yeux
qui ne permettent pas la fixation simultanée des
es oculaires, de plus l'animal, ou ne se laisse pas du tout fixer les
yeux
, ou au bout d'un moment de fixation, parait être
nes jusqu'à nos jours. Puis il fait successivement défiler sous nos
yeux
, avec leur physionomie réelle et leur couleur ori
en éventails à partir de la base du nez. Teint bistré de campagnard ;
œil
brillant et animé ; parole sonore et précipitée,
à l'effort que faisaient les sujets pour fixer leur attention sur ses
yeux
, et à leurcontention d'esprit. Dès ce moment, il
ention de ces personnes, ils veillent encore à ce qu'elles fixent les
yeux
sur les leurs ou à ce qu'elles regardent un objet
de toutes ces clartés 1 Hypnotique sommeil où l'Ame se réveille,
Yeux
clos où la santé par le Verbe descend, Songe et n
res, les blessés du Destin, les maudits. Le bon sommeil fermait leurs
yeux
mélancoliques, Et quand ils les rouvraient, l'esp
e celte malade est anes-thésique totale, il suffira de lui fermer les
yeux
et de lui boucher les oreilles pour l'endormir ;
lques minutes. Alors les cris cessèrent. La malade tomba à terre, les
yeux
fermés, respirant lourdement dans les bras de ses
ses parents. Le père Jean l'apostropha à trois reprises : « Ouvre les
yeux
! » La malade obéit avec un grand effort. Il lui
à celui du sommeil spontané. Il résiste quelque temps, se frotte les
yeux
, baille, désire s'étendre sur une chaise-longue,
lications à la vibrothérapie. Le principe de l'appareil est que les
yeux
du malade se repaissent uniquement de lumière ble
sse ce point, notre homme devient alternativement pâle et rouge ; ses
yeux
sont hagards et il a une crise de nerfs. C'est
gendre bien souvent pierre et sable ». Il est malsain de a dormir les
yeux
ouverts, ou la bouche ouverte... Parler et ronfle
la main. Van Helmont vivait dans l'aisance, excité au travail par les
yeux
bleus et languides de l'être aimé. Ni l'un ni l
des courants électriques ; une visite chez Bernheim lui a ouvert les
yeux
et il a commencé de s'occuper d'hypnotisme thérap
raconte ceci : o Une jeune femme qui descendait du train m'a touché l'
œil
gauche avec son doigt et c'est ce qui m'a fait do
mouvements de tête. Une autre fois, comme on lui demande d'ouvrir les
yeux
, elle répond : « Vous le voyez bien, j'ai beau es
, pendant quelques minutes la parole embarrassée ; elle se frotte les
yeux
et se sent fatiguée. A quelque heure qu'elle se r
ible, traverser à l'éclat des lumières, un salon rempli de monde. Les
yeux
fixés sur lui, lui causaient un véritable malaise
e soit, l'hypnotiseur crée toujours une sensation de fatigue dans les
yeux
, fatigue préliminaire même du sommeil naturel. Pa
masse. Le blépharospasme qu'elle présentait l'empêchait d'ouvrir les
yeux
à la lumière. C'était, comme nous l'avons dit a
uction des enfants. On a fait passer à diverses reprises sous leurs
yeux
des sujets d'histoire naturelle, des vues de l'
hoicl.e. 2 enfants ont eu des affections, d'ailleurs légères, des
yeux
. Musée pathologique. Le Musée placé sous la di-
re. Premières convulsions à 4 mois, générales, avec déviation des
yeux
, cyanose, d'une durée de 4 à 5 minutes. Pendant
. La bosse frontale droite est un peu plus saillante que la gauche.
Yeux
grands, pupilles égales ; R... distingue bien l
rothérapie. 8 décembre. - Hier, il a donné un coup de poing sur l'
oeil
d'un de ses camarades ; et, à la promenade, il a
névropathiques. - De 5 à G arls, tics, gri- maces, clignements des
yeux
. - Crises épileptiques en 1885. Traitement par
dix minutes : les membres étaient raides, les paupières closes, les
yeux
retour- nés ; tout le corps au-dessous de la ce
e connaissance qui n'existaient pas aupa- ravant : il pleurait, ses
yeux
se fermaient, la tête tombait; il restait incon
l restait inconscient pendant quelques minutes, puis rouvrait les
yeux
. Ces accidents réviennent environ deux fois par
ulaires. Les cils sont longs et collés (blépharite ciliaire). - Les
yeux
sont petits, les iris d'un bleu clair; le gauch
elle se réveillait en frayeur, faisait un petit saut, tournait ses
yeux
, plissait le front. La bouche n'était pas tirée
pendant quatre jours, toute la moitié gauche du corps enflée. « Ses
yeux
n'ont pas grande signification, dit sa mère; el
ons qui laissent en place les circonvolutions, et se traduisent à l'
oeil
nu par les adhérences méningées plus ou moins f
pes, à l'aide d'un faible grossissement qui permette d'avoir sous l'
oeil
toute l'épaisseur de la substance grise, on la
trophie des éléments nerveux eux-mêmes et est masquée en partie à l'
oeil
nu par la prolifération scléreuse. Ce processus
à centre vacuolaire sont assez étendus pour qu'on les distingue à l'
oeil
nu sur les coupes. Ils s'étendent jus- qu'à la
est vrai, avec les mêmes lésions d'atrophie et d'état chagriné à l'
oeil
nu. L'atrophie et l'état chagriné des circonvol
ais, lesquels déterminent de véritables taches grises, visibles à l'
oeil
nu par transparence. Cette bande empièle sur la
es qui étaient remplis par un liquide à l'état frais. On a sous les
yeux
des cavités aréolaires, irrégulières, cloi- son
és s'agrandissent au point de former un tissu aréolaire visible à l'
oeil
nu. Ces lésions expliquent l'état chagriné qui
sa naissance, en un point qui ne contient pas de foyer visible à l'
oeil
nu, il existe une vascularisation anormale très
semaines, petites convulsions internes : immobilité, occlusion des
yeux
, pâleur de la face, durée de trois quarts d'heu
n peu, on l'a renvoyé. Il est rentré chez lui méconnais- sable, les
yeux
hagards, le visage décomposé, rompu de fatigue.
ge, sans saillies frontales. Arcades sourcilières assez saillantes.
Yeux
bleus. Ne : aquilin. Bouche petite, lèvres épai
ale. - Vision : Il distingue nettement toutes les couleurs des deux
yeux
. Quand il fixe des objets un peu éloignés, sa v
ds un peu écartés, bras étendus en croix. Cou et tête en extension,
yeux
fermés, face colorée, poings fermés. - A 10 h.
cement. - A 10 h. 10, le malade revient à lui subitement, ouvre les
yeux
qui jusqu'alors étaient constamment fermés. Il
cle transitoire. Extension, les jambes écartées, les bras eu croix.
Yeux
légèrement convulsés en haut et en dehors. Diffic
colorés qui arrivent du côté gauche et qui, une fois au-devant de l'
oeil
droit, remontent et disparaissent. Il ne tombe
alade par le regard. Il est assis; au bout d'une à deux minutes les
yeux
commencent à s'humecter, il y a quelques palpit
ent t légèrement, mais il paraît se réveiller. 11 semble imiter les
yeux
de l'expérimentateur. Celui-ci, à un moment don
ateur. Celui-ci, à un moment donné, ayant ouvert plus largement les
yeux
, il le fait lui-même aussitôt. Bientôt les yeux
plus largement les yeux, il le fait lui-même aussitôt. Bientôt les
yeux
se portent à différentes reprises en haut et en d
avant-bras ne déter- mine pas de contracture. On cherche à ouvrir l'
oeil
gauche, mais il ne reste pas ouvert. On command
end l'attitude en X, puis reste un peu immobile. Puis, il ouvre les
yeux
, regarde d'un air étonné, mâ- chonne. Interrogé
d à 10 h. 37 et on lui fait exécuter un certain nombre d'ordres les
yeux
fermés. Par la per- cussion longtemps répétée d
saigner demain à 9 heures. On le réveille en lui soufflant sur les
yeux
. 28 août. - Hier il a eu deux attaques. Après c
re et a appelé sa mère qui l'a trouvée renversée sur sa chaise, les
yeux
grands ouverts, la bouche béante. Flacidilé génér
e de quarante minutes. Dans l'intervalle des crises, elle avait les
yeux
hagards ; elle voyait les gens et ne les reconn
levée elle la trouva sans connaissance, la face rouge violacée, les
yeux
grands ouverts, fixes, la tête immobile, les me
ndant environ dix minutes. Mais, si on lui passe la main devant les
yeux
, elle a une sorte de soubresaut. L'appétit a dimi
s. Les muqueuses sont un peu pâles. Elle recommence à voir devant l'
oeil
gauche des cheveux qui passent. Sa vue se broui
eds restaient raides dans ses souliers. Le visage était altéré, les
yeux
hagards, le son de voix changé. Il a mangé un peu
gulières. Légère céphalalgie frontale droite. Il a pâli un peu, les
yeux
sont souvent cernés. Pas d'onanisme. Pas de ver
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