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1 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
orbitaire, et l'autre en arrière jusqu'au niveau de la protubérance occipitale externe. La calotte crânienne est ensuite enlev
rsque les deux os pariétaux, les deux os frontaux et l'écaille de l' occipital ontété ainsi enle- vés, on plonge la tète dans
s apophyses épineuses, une longue incision allant de l'écaille de l' occipital jusqu'à la base du coccyx. On rabat la peau de
pération a bien réussi, on doit enlever d'un seul coup et jusqu'à l' occipital , toute la paroi postérieure du canal rachidien.
Mcf préoccipitale. - iSl, insertion du septum lucidum. - LO, lobe occipital . - LOr, lobule orbitaire. - LT, Lobe temporal.
MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 23 nant le lobe occipital et une partie du lobe pariétal; un antérieur comp
aux recouvrent ses parois latérales et au cinquième mois, les lobes occipitaux recouvrent complètement les tubercules quadriju-
ure, la corne temporale ou sphénoïdale ou étage inférieur. La corne occipitale ne se développe que beaucoup plus tardivement,
res cérébelleux. - 1,'infundibulum. - LF, lobe. frontal. - LO, lobe occipital . - Lola, lobe olfactif antérieur. - Lolp, lobe ol
bulbe olfactif. - Cst, corps strié. - LF, lobe frontal. - L0, lobe occipital .- LP, lobe pariota].TLo/ff, ! obc olfactif anté
lenticulaire. - nL, nerfs de Lancisi. - 0, première circonvolution occipitale . - l'ch, pli choroïdien et plexus choroïdes des
, vésicule des hémisphères. - l'l, ventricule latéral. - Foc, corne occipitale du ventricule latéral. - 1 ? troisième ventricule
. Les fibres de la capsule interne qui provien- nent de l'extrémité occipitale du manteau cérébral, se portent en avant et en
e. - Lg, lobe lingual. - Lela, lobe olfac- tif antérieur. - 0, lobe occipital . -- oi, sillon collatéral. - P, lobe pariétal.
be pariétal. - Pu, pli marginal de Schmidt. po, scissuro pariéto- occipitale . - sap, sillon arqué postérieur. SI, septum lucid
le (ot), qui déprime la paroi ventriculaire, et forme dans la corne occipitale l'éoai- nence collatérale de Meckel. La scissur
irection antéro-postérieure et s'étend du lobe sphé- noïdal au lobe occipital ; elle sépare, dans la région sphénoïdale, la circ
ion de l'hippocampe (H) du lobule fusiforme (Fus) et dans la région occipitale , le lobule fusiforme du lobule lingual (Lq) compr
, lobe olfactif antérieur. lt, lame terminale embryonnaire. 0, lobe occipital . ot, sillon collatéral. - P, lobe pariétal. -Po,
erne, qui représente la face interne des lobes frontal, parié- tal, occipital et temporal. La région externe comme la région
ntale interne.-ot, sillon collatéral. -PF, pôle frontal. - PO, pôle occipital . po, scissure pariéto-occipitale. PrC, prxcunéus.
riétal et qui sépare le praecuneus du lobe limbique; dans la région occipitale , par la branche commune ci la scissure calcarin
ire ou paracentral. Le lobe pariétal fournit le praecuneus, le lobe occipital le cuneus et le lobule lingual; le lobe tempora
cette obli- quité tient très probablement au développement du lobe occipital . Puis le segment antérieur se coude, grâce au d
- FS, fosse sylvienne. - Zot. lobe olfactif antéi-ictir. - 0, lobe occipital . - P, lobe pariétal.- paFS, prolongement antéri
MIE DES CENTRES NERVEUX. Scissure de Rolando. Scissure pariéto- occipitale . Sillon pré-occipital. Division de face ext
la face externe de l'hémisphère, et sépare le lobe pariétal du lobe occipital ; vers la même époque, apparaît le sillon pré-oc
occipital; vers la même époque, apparaît le sillon pré-occipital ou occipital antérieur de Wernicke, qui délimite en avant le
l ou occipital antérieur de Wernicke, qui délimite en avant le lobe occipital et le sépare du lobe temporal. La face extern
est alors divisée en quatre lobes : les lobes frontal, pariétal, occipital et temporal (fig. 69). Des sillons secondaire
, sillon inter-pariëtal. - Lola, lobe olfactif antérieur. - 0, lobe occipital . - Oi, olive in- frieure. - OpR, opercule rolan
e verticale de la scissure parallèle, et se continue avec le lobe occipital en formant le gyrus angulaire ou pli courbe.
ngulaire ou pli courbe. Le lobe temporal se fusionne avec le lobe occipital à la face in- férieure. Il en est séparé à la f
troisième circonvolution temporale et le lobule fusiforme. Le lobe occipital , mal délimité en avant par la scissure pa2,iéio-o
élimité en avant par la scissure pa2,iéio-occipi- tale et le sillon occipital antérieur de Wernicke, forme à la face inféro-in-
riétale. - Pa, 2° circonvolution pariétale. po, scissure pariéto- occipitale . - pi,i, sillon prérolandique inférieur. - prs,
oiseaux. Chezles mammifères. mois, le sillon iozter-occipital ou occipital antérieur, qui fait suite au sillon inter-parié
onner naissance au huitième mois à un sillon transversal, le sillon occipital transverse. Vers le huitième mois, apparaît éga
tal transverse. Vers le huitième mois, apparaît également le sillon occipital inférieur à direction antéro-postérieure. La fa
l inférieur à direction antéro-postérieure. La face externe du lobe occipital est ainsi divisée en trois circonvolutions : le
al est ainsi divisée en trois circonvolutions : les circonvolutions occipitales supérieure, moyenne et inférieure. Ces circonvo
ticale, le gyrzcs descendens d'Ecker. En avant, la circonvolu- tiou occipitale supérieure, qui représente la face supérieure et
la première circonvolution pariétale. La deuxième circonvo- llttion occipitale , se continue avec la circonvolution pariétale inf
nférieure au niveau du gyrus angulaire. La troisième circonvolution occipitale enfin, se continue en avant avec la troisième c
des extrémités antérieure et postérieure de ses cornes frontale et occipitale . La substance grise périphérique revêt la forme
presque totalité de la cavité crânienne, à l'excep- tion des fosses occipitales inférieures; il se présente sous la forme d'un
eure et postérieure de l'encéphale. , Le cervelet occupe les fosses occipitales inférieures; il est recouvert par la partie pos
nvolution frontale. -NL, nerf de Lancisi. Oi, première circonvolution occipitale . - Pi, Pa, première et deuxième circonvolutions
. - po, scissure pariéto-occipitale. - poi, pli de passage parièlo- occipital interne de Gratiolet. - por, sillon post-rolandiq
e sous-tend. Cette base sépare donc complètement les extré- - mités occipitales des hémisphères. Chaque hémisphère présente à é
'OM/a/ répond à la fosse frontale, l'extré- mité postérieure oulole occipital , à la fosse occipitale supérieure (fig. lui9).
se frontale, l'extré- mité postérieure oulole occipital, à la fosse occipitale supérieure (fig. lui9). Le bord supérieur demi-
triangulaire; elles le sont beaucoup moins au niveau de l'extrémité occipitale , où la face interne se continue avec la face in
'intermédiaire des méninges avec l'os frontal, en arrière avec l'os occipital , à sa partie moyenne et supérieure avec l'os pa
ace externe ou convexe de l'hémisphère, en lobes frontal, pariétal, occipital et temporal (fig. d30). La face interne, plan
gual. Ig, sillon lingual. L[i), isthme du lobe limbique. - LO, lobe occipital . - LOr, lobule orbitaire. - LT, lobe temporal. z
lobe temporal. z NI[, nerf optique. - 03, troisième circonvolution occipitale . - oF,, oFs, oF" partie orbitaire , des premièr
chement concave, affecte la forme d'un rein, répond au lobe sphéno- occipital (GT, ! 0) et déborde en bas le niveau du lobe fro
ande scissure inter-hémisphérique, et se continue au niveau du lobe occipital et sous un angle très ouvert, avec la face intern
rveau durci dans l'alcool.) F, lobe frontal. - I, insula. - 0, lobe occipital . - P, lobe pariétal. - T, lobe tem- poral. - F,
arine. - 0 ! , 0;,03, première, deuxième et troisième circonvolutions occipitales . - o, 03, deuxième et troisième sillons occipit
circonvolutions occipitales. - o, 03, deuxième et troisième sillons occipitaux . - oa, sillon occipital antérieur. oF\, oF" oF3
es. - o, 03, deuxième et troisième sillons occipitaux. - oa, sillon occipital antérieur. oF\, oF" oF3, face orbitaire des pre
alcarine. K+po, branche commune aux scissures calcarine et pariéto- occipitale . - LI, première circonvolution du lobe limbique.
taux, par exemple, s'anastomosent largement en arrière avec le lobe occipital , de telle sorte que la délimitation de ces trois
e de Rolando (il) et le segment externe de la scissure pariéto- - . occipitale (po), à cheval sur le bord hémisphérique supérieu
le lobe paniétal (P) en haut, le lobe temporal (T) en bas, le lobe occipital (0) en arrière et dans le fond de la scissure de
carine. - 01,0.,Oa, première, deuxième et troisième circonvolutions occipitales . - 0" deuxième sillon occipital. - oa, sillon occ
ième et troisième circonvolutions occipitales. - 0" deuxième sillon occipital . - oa, sillon occipital antérieur. - oF\¡oF ? o
onvolutions occipitales. - 0" deuxième sillon occipital. - oa, sillon occipital antérieur. - oF\¡oF ? oF3, partie orbitaire des
émité supérieure est séparée de l'extrémité posté- rieure du lobe occipital par une distance moyenne de 49 millimètres (V
to- graphie d'une pièce à l'état frais.) Les pointes frontales et occipitales ont été sectionnées et la face interne légèreme
de l'oper- cule. - in, sillon inter-parital. - ipo, incisure pré- occipitale . - ipop, incisure pariétale de l'opercule. - j,
sure pariétale de l'opercule. - j, incisure de Jensen. - oa, sillon occipital anté- rieur. osa, partie orbitaire de la troisi
s (Ecker). - External pal'iéto-occipital fissure (Turner). - Scissure occipitale externe (Broca). J ? ssMi'6t occipitalis perpez
du bord supérieur de l'hémisphère, sépare le lobe pariétal du lobe occipital ; elle appartient à la fois à la face interne et
, séparant ainsi nettement, à la convexité de l'hémisphère, le lobe occipital des lobes temporal et pariétal. - B. LOBES DE L
re de Sylvius, le lobe frontal atteint en haut Scissure pal'Îlho- occipitale . Lobe frontal. FIe. i;i5. - Lohe frontal droi
Jensen. - 0" o ? 03, première, deuxième, troisième circonvolutions occipitales . 02. deuxième sillon occipital. - oa, sillon oc
euxième, troisième circonvolutions occipitales. 02. deuxième sillon occipital . - oa, sillon occipital antérieur. - partie orbit
nvolutions occipitales. 02. deuxième sillon occipital. - oa, sillon occipital antérieur. - partie orbitaire de la troisième cir
ution pariétale ascendante. - Pc, pli courbe. po, scissure parieto- occipitale . pal', sillon post-rolandiquc. pri, sillon prérol
incisure de Jensen. - 01, 0., première et deuxième circonvolutions occipitales . Pi, Pi, circonvolu- tions pariétales supérieur
en. - 0,, 0., 03, première, deuxième et troi- sième circonvolutions occipitales . - o., deuxième sillon occipital. - oa, sillon oc
e et troi- sième circonvolutions occipitales. - o., deuxième sillon occipital . - oa, sillon occipital antérieur. - oF,, oF ?
nvolutions occipitales. - o., deuxième sillon occipital. - oa, sillon occipital antérieur. - oF,, oF ? 0F3, partie orbitaire de
incisure de Jensen. - 0,, 0, pre- mière et deuxième circonvolutions occipitales . - 0" deuxième sillon occipital. - oa, sillon o
mière et deuxième circonvolutions occipitales. - 0" deuxième sillon occipital . - oa, sillon occipital antérieur. - or., oF3,
volutions occipitales. - 0" deuxième sillon occipital. - oa, sillon occipital antérieur. - or., oF3, partie orbitaire des deuxi
asse les limites fictives du lobe pariétal, et pénètre dans le lobe occipital où il se continue avec le sillon interoccipital (
cipital. - ip, sillon inter- pariétal.- Oi, première circonvolution occipitale . - 0" deuxième circonvolution occipitale. - 03,
Oi, première circonvolution occipitale. - 0" deuxième circonvolution occipitale . - 03, troisième circonvolution occipitale. - O
deuxième circonvolution occipitale. - 03, troisième circonvolution occipitale . - Os, deuxième sillon occipital. - oF3, partie o
e. - 03, troisième circonvolution occipitale. - Os, deuxième sillon occipital . - oF3, partie orbi- taire de la troisième circ
a scissure calcarine. - 01,0t, première et deuxième circonvolutions occipitales . - 0" deuxième sillon occipital. - oF3, partie or
mière et deuxième circonvolutions occipitales. - 0" deuxième sillon occipital . - oF3, partie orbitaire de la troisième circon
blée. En arrière, elle s'anastomose avec la première circonvolution occipitale (0,) par le premier pli de passage pariéto-occi
Broca. L'anse postérieure, se jette sur la deuxième circonvolution occipitale (02), r .Fic. 166. - Face externe et bord supér
, gyrus supra-marginalis. - ic, incisure du cap. - io, siUon inter- occipital . - ip, silloninter-pariétal. ipo, incisure pré-oc
e frontal.OpjR, oper- cule rolandique. - 0" première circonvolution occipitale . - 0=, deuxième circonvolution occipitale. - 0,
" première circonvolution occipitale. - 0=, deuxième circonvolution occipitale . - 0,; troisième circonvolution occipitale. - o,,
deuxième circonvolution occipitale. - 0,; troisième circonvolution occipitale . - o,, deuxième, sillon occipital. 03, troisièm
le. - 0,; troisième circonvolution occipitale. - o,, deuxième, sillon occipital . 03, troisième sillon occipital. - oa, sillon o
occipitale. - o,, deuxième, sillon occipital. 03, troisième sillon occipital . - oa, sillon occipital antérieur. OpP., opercule
ème, sillon occipital. 03, troisième sillon occipital. - oa, sillon occipital antérieur. OpP., opercule de la deuxième . circ
ui interrompent la scissure interpariétale. Elle est reliée au lobe occipital par le deuxième pli, de passage pariél o-occipi
re de Jensen (fig. l(i0, 161, 162, 165, 166, 170, 171.) , 3° lobe occipital (0). Le lobe occipital, remarquablement petit T
i0, 161, 162, 165, 166, 170, 171.) , 3° lobe occipital (0). Le lobe occipital , remarquablement petit Topographie va- riahle
Point de repère pour déterminer la place du pli courbe. Lobe occipital . 2ïO 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le lobe
be. Lobe occipital. 2ïO 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le lobe occipital a la t'ormo d'une- pyra- mide. Ses rapports
n délimité à la face interne. Silloll prd-occipi- tal. Sillon occipital an- térieur. chez l'homme, se présente sous l
ommet correspond à l'extrémité postérieure de l'hémisphère, au pôle occipital de Broca, dont la base, mal délimitée, est antéri
quelquefois ri la lace externe un véritable sillon, le sillon pré- occipital de Meynert (ipo) (fig. 1HO, 170). Sur le trajet
trouve souvent t un sillon oblique en haut et en arrière, le sillon occipital antérieur de Wernicke (o a) (Gb. 171). Ce sillo
e l'incisure pré-occi- . pitale, et sépare le lobe temporal du lobe occipital son extrémité supérieure FIG. 1G7. Face postéro
sen. - 0,· 0, 0 ? pre- mière, deuxième et troisième circonvolutions occipitales . - 0" 0" premier et deuxième sillons occipitaux
me circonvolutions occipitales. - 0" 0" premier et deuxième sillons occipitaux . - Opll., opercule de la circonvolution pariéta
térieure, et établissent l'anastomose du lobe pariétal avec le lobe occipital . Si ces plis de passage sont profonds, comme on n
la scissure perpendiculaire externe, en se réunissant au sillon occipital anté- rieur, parcourt toute la face convexe d
a face convexe de l'hémi- sphère, et sépare nette- ment le lohe occipital du lobe pariétal et du lobe temporal; de là l
la scissure perpendicu- laire externe. La face externe du lobe occipital présente à considérer outre l'iuci- sure pré-
nte à considérer outre l'iuci- sure pré-occipitale et le sillon occipital antérieur, trois sillons profonds, à directio
e premier sillon oc- cipital, sillon inter-occipital (i o) [sillon, occipital supérieur o,] d'Ecker), n'est autre que la cont
upérieur o,] d'Ecker), n'est autre que la continuation dans le lobe occipital du sillon, interpariétal (i p). Il continue la
rpariétal, et se termine quel- quefois au niveau du deuxième sillon occipital ou sillon occipital Irans- vcnsc (o =) (fig. 1
mine quel- quefois au niveau du deuxième sillon occipital ou sillon occipital Irans- vcnsc (o =) (fig. 1 : i0, 1 G, 168); le
n sillon étoile et se prolonge jusqu'au niveau de la pointe du lobe occipital (fig. 1164, 171). Il divise le lobe occipital en
de la pointe du lobe occipital (fig. 1164, 171). Il divise le lobe occipital en Les plis occipito- pariétaux relient le
Les plis occipito- pariétaux relient le lobe pariétal an lobe occipital . Fente simienne. Sillons occipitaux FIG. 16
t le lobe pariétal an lobe occipital. Fente simienne. Sillons occipitaux FIG. 168. - Pointe occipitale. Hémisphère gauch
ccipital. Fente simienne. Sillons occipitaux FIG. 168. - Pointe occipitale . Hémisphère gauche. (D'après la photographie d'
ine. - 01, 0" 0,, première, deuxième et troisième cir- convolutions occipitales . -0" deuxième sillon occipital. - z oa, sillon
ème et troisième cir- convolutions occipitales. -0" deuxième sillon occipital . - z oa, sillon occipital antérieur. - Pi, ! '.
olutions occipitales. -0" deuxième sillon occipital. - z oa, sillon occipital antérieur. - Pi, ! '. première et deuxième circ
ns temporaux. 212 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Circonvolutions occipitale .. Gyrlls desccndens. ! Première circon- vol
s occipitale.. Gyrlls desccndens. ! Première circon- volution occipitale . deux parties, l'une supérieure et postérieure,
érieure et postérieure, qui correspond à la première circonvolution occipitale (0,), ou à la face externe du cuneus (C), l'autre
inférieure qui comprend les deuxième et lioisième circon- volutions occipitales (0,, 03) et l'anastomose de ces circonvolutions a
e ces circonvolutions avec le pli courbe (Pc). Le deuxième sillon occipital (o,) [sillon occipital transverse [o], (Ecker),
vec le pli courbe (Pc). Le deuxième sillon occipital (o,) [sillon occipital transverse [o], (Ecker), fissura occipitalis ex
à direction antéro-postérieure, sépare la première cir- convolution occipitale (0,) de la deuxième (0.) : il s'enlre-croise souv
du sillon parallèle (t,) (fig. 150, 168, 171). Le troisième sillon occipital (o3) ou sillon occipital moyen (Schwalbe), sill
(fig. 150, 168, 171). Le troisième sillon occipital (o3) ou sillon occipital moyen (Schwalbe), sillon occipital inférieur (E
sillon occipital (o3) ou sillon occipital moyen (Schwalbe), sillon occipital inférieur (Ecker), est un petit sillon antéro-pos
ntéro-postéricur superficiel, qui sépare la deuxième circonvolution occipitale de la troi- s sième. Il se porte en avant vers
ces sillons sont au nombre de quatre : t Les trois circonvolutions occipitales désignées de haut en bas sous le nom de : premi
sous le nom de : première (0,), deuxième (0» et ou circonvolutions occipitales ' supérieure, moyenne et inférieure, et la circ
ante (D) ou " gyrus descendais d'Ecker. ' Première circonvolution occipitale (0,). - Synonymie. Gyrus occipitalis primus siv
alts, Erstc oder obère II interhauphuindung (Ecker). Circonvolution occipitale supérieure (I : cher). - Pli occipital supérieur
ung (Ecker). Circonvolution occipitale supérieure (I : cher). - Pli occipital supérieur et pli de passage supé- rieur externe
elieitelbogenii,i ? 21zing (Bisclioff). - Pi-einiéie ci,convoliiiioii occipitale (Broca). Notation : (0,) (Ecker, Broca). La p
roca). Notation : (0,) (Ecker, Broca). La première circonvolution occipitale (0,) est située au-dessus de la scissure interp
C) et s'étend de la scissure perpendiculaire externe (po) au sillon occipital transverse o.,). Sa partie antérieure s'anastom
irconvolution pariétale supérieure (P,), la première circonvolution occipitale se dirige en bas et en arrière, décrit plusieur
nter-hémisphérique et con- tourne l'extrémité postérieure du sillon occipital transverse, où elle s'anas- - tomose avec le gy
rus rlc.vcmrrlcrr.s d'Echer (D) (fig. 168). Deuxième circonvolution occipitale (0,). Synonymie. Gyrus occipitalis médius (Pans
on occipitale (0,). Synonymie. Gyrus occipitalis médius (Pansci)).F occipital moyen et deuxième pli de passage externe (Gratiol
er fritte Sclteitelbogenwindung (Bischoff). - Deuxième circonvolution occipitale (Broca). Notation : 0, (Broca, Ecker). La deu
(Broca). Notation : 0, (Broca, Ecker). La deuxième circonvolution occipitale (02) est limitée en arrière par le sillon inter
arrière par le sillon inter-occipital (io), en avant par le sillon occipital antérieur (oa), en bas par le deuxième sillon o
r le sillon occipital antérieur (oa), en bas par le deuxième sillon occipital (o,). en haut elle se con- tinue avec le pli co
t du pli courbe, elle se dirige en arrière, contourne le sillon occipital transverse (02) et l'extrémité inférieure du sill
volution descendante d'Ecker (fig. l 7 1 Troisième circonvolution occipitale (03), - SYN0,NYIIE. - Gyrus occipitalis lertius
- Gyrus occipitalis lertius sive temporo-occipitalis (Ecker). - Pli occipital inférieur; Troisième et quatrième pli de passag
). Gyrus occipitalis inferiol' (Pansch). - Troisième circonvolution occipitale (Broca). - Notation : 03 (Ecker, Broca). ' 18
Notation : 03 (Ecker, Broca). ' 18 Deuxième nircon- volution occipitale . lnc. 169. - Face postérieure du cerveau. (D'ap
carine. Oi,0°,03, pre- mière, deuxième et troisième circonvolutions occipitales . - P1,1>" première et deuxième circonvolutio
: 274 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Tt'oisicmccit'con- volntion occipitale . Circonvolutioll oc- cipitale Ilesccntlantc.
temporal l'clmit les trois fa- ral. La troisième circonvolution occipitale (03) est une petite circonvolution à direction
ère, séparée de la circonvolution précédente par le deuxième sillon occipital (oz) et du lobule lingual (Lg) par le troisième
on occipital (oz) et du lobule lingual (Lg) par le troisième sillon occipital (03). En arrière, elle s'insère, sur le gyrus d
euxième circonvolution temporale (T,) en interrom- pant le sillon occipital anté- rieur (oa) ; d'autrefois elle con- tour
8, 16y, 171) occupe l'extrémité tout à fait posté- rieure du lobe occipital , elle représente la circonvolution d'origine
nte la circonvolution d'origine commune des trois circonvolutions occipitales , entoure les éperons de la scis- sure calcari
de triangulaire très allongée, dont la base se confond avec le lobe occipital et le lobe pariétal, et dont le sommet cons- ti
continue sans ligne de démarcation avec la face inférieure du lobe occipital , pour former la région temporo-occipitale (lig.
. - ipo + oa, incisure pré-occipitale, se coMtinuant avec le sillon occipital antérieur. j, incisure de Jensen. - 0,,0,,03, p
Jensen. - 0,,0,,03, première, deuxième et troisième circonvolutions occipitales . - o3, troi- sième sillon occipital. - OpP2, op
et troisième circonvolutions occipitales. - o3, troi- sième sillon occipital . - OpP2, opercule de la circon- volution pariét
Jensen. - 0,,0,Oa, première, deuxième et troisième circonvolutions occipitales . Oi,o», deuxième et troisième sillons occipitau
circonvolutions occipitales. Oi,o», deuxième et troisième sillons occipitaux . OpP ? opercule pariétal. OpR, oper- cule rolan
ion pariétale ascendante. Pc, pli courbe. - po, scissure pariéto- occipitale . - por, sillon post-rolandique. - prs, sillon p
pariéto-occipitale (po), se continue souvent en bas avec le sillon occipital antérieur de Wernicke (oa) (fig. 16), et établi
nicke (oa) (fig. 16), et établit ainsi la limite antérieure du lobe occipital . D'autres fois encore, un pli de passage superf
euxième circonvolution temporale (T,), à la deuxième circonvolution occipitale (0); le sillon occipital antérieur (oa) fait
porale (T,), à la deuxième circonvolution occipitale (0); le sillon occipital antérieur (oa) fait alors défaut et le sil- l
ule. - Oi,0>,03, première, deuxième et troisième circonvolutions occipitales . - oa, deuxième sillon occipital. - OpP, opercu
e et troisième circonvolutions occipitales. - oa, deuxième sillon occipital . - OpP, opercule pariétale. opR, oper- cule rol
n pariétale ascendante. - Pc, pli courbe. - po, scissure pariélo- occipitale . - por, sillon posl,-rolandique. - pri, sillon
de Tensen. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 277 concourt à former le sillon occipital antérieur de Wernicke (oa) (fig. 170), tantôt e
llon, dépend donc l'indépendance plus ou moins com- plète du sillon occipital antérieur (oa). Troisième sillon temporal (t3).
me sillon temporal (t3). - Synonymie. - Première scissure ternpono- occipitale (Pansrli). - Sulcus temporalis inferior sive tert
oisième circonvolution temporale (T3) à la troisième circonvolution occipitale (03). Les trois sillons temporaux limitent troi
be (Pc), dont elle concourt former, avec la deuxième circonvolution occipitale , la branche descendante. Le sillon occipital anté
uxième circonvolution occipitale, la branche descendante. Le sillon occipital anté- rieur (oa) la sépare en arrière, des deux
sépare en arrière, des deuxième (02) et troisième circonvolu- tions occipitales (03) (fig. 150, 171). Première Circonvolution t
rieur. - Oi,0>,03, première, deuxième et troisième circonvolutions occipitales . - o,, deuxième sillon occipital. -oa, sillon o
ème et troisième circonvolutions occipitales. - o,, deuxième sillon occipital . -oa, sillon occipital 'lntÓrieur de 'V ernicke.
volutions occipitales. - o,, deuxième sillon occipital. -oa, sillon occipital 'lntÓrieur de 'V ernicke. -oF"oF2,oF3, partie o
nvolution frontale. - PI, pôle de l'insula. - po, sillon pariéto- . occipital . - pOl', sillon post-rolandicine. - pri, sillon p
le lobe temporal (T), largement anastomosé en arrière avec le lobe occipital . Ces lobes sont tout unis à une circonvolution fa
res scissures se réunissent à angle aigu et délimitent dans le lobe occipital un lobule triangulaire, le crrzaéus (C). Les autr
nisphère. 284 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Scissure pariéto- occipitale . nale (cm) et la scissure sous-pariétale (sp) l
hère (fig. 169), l'autre interne qui constitue la scissure pariéto- occipitale proprement dite, ou scissure perpendiculaire inte
le sive posterior. Senkrechte hintere Hionspalte (magner). - Scissure occipitale interne (Broca). - Fissura occipitalis interna
scissure pariéto-occipitale (po) forme la limite antérieure du lobe occipital et sépare à la face interne de l'hémisphère le
issure, horizontale et extrêmement profonde, appar- tient au lobe occipital , et s'unit à angle aigu à la scissure pariéto-
au lobe occipital, et s'unit à angle aigu à la scissure pariéto- occipitale (po), avec laquelle elle délimite un lobule tri
imite un lobule triangulaire, le cunéus (C). Etendue de la pointe occipitale au bourrelet du corps calleux, elle sépare le c
gual.Elle nait le plus souvent très près de l'ex- trémité du lobe occipital , par un double éperon qui empiète quel- quefo
(7tcl). La branche commune aux scissures calcarine et pariéto- occipitale (K + po), se dirige obli- quement en bas et en
u lobe limbique. - o, scissure collatérale. po, scissure parieto- occipitale . - PrC, précunéus. - aplp, pli pariéto-limbique
excellence, elle déprime en effet la paroi interne du prolongement occipital du ventricule latéral, pour former l'ergot de M
bule lingual et plis cunéo-linguaux superficiels. (Ces deux pointes occipitales appartiennent à un même cerveau.) , C, cuneus.
ment constante et profonde, com- mence en arrière au niveau du pôle occipital , plus près de son bord externe que de son bord
e scissure, parallèle à la scissure cal- carine, appartient au lobe occipital et sépare le lobule lingual (Lg) du lobule fusi
ot de Morand, formée par la scissure calcarine dans le prolongement occipital . Cette saillie, décrite sous le nom d'éminence co
et quatre lobes excentriques, les lobes frontal (F), pariétal (P), occipital (0) et temporal (T), qui ne sont autres que la fa
dont elle continue la direction courbe antéro-postérieure. 3° Lobe occipital . Ce lobe est représenté à la face interne de l'hé
obule l'lis pal'iéto-lim111- quo antérieur pos- térieur. Lobe occipital . fie. 178. - Face infèro-interne de 1 hémisphèr
térale (ot); le cuneus est limité en avant par la scissure pariéto- occipitale (po), et le lobule fusiforme est limité en dehors
Le cuneus et le lobule lingual appartiennent exclusivement au lobe occipital , le lobule fusiforme appartient à la fois au lo
au lobe occipital, le lobule fusiforme appartient à la fois au lobe occipital et au lobe temporal, il est le seul qui mérite
1° Cunéus (C). Synonymie : Cuneus, Zwiêkel (Burdach, Henle). - Lobule occipital (Gratiolet). -lnte1'l111l occipital lobule (Hux
êkel (Burdach, Henle). - Lobule occipital (Gratiolet). -lnte1'l111l occipital lobule (Huxley). Lobe triangulaire (Broca). - Occ
-lnte1'l111l occipital lobule (Huxley). Lobe triangulaire (Broca). - Occipital lo- bule (Turner). -Lobulus medialis posterior
(K). Il représente la face interne de la première circonvo- lution occipitale (0,), au même titre que le précunéus et la circon
terhauptwirt- Llungsg1'llppe (Bischoff). - Cinquième circonvolution occipitale (Broca). Seconde circon- volution temporo-occip
carine (K) qui la sépare du cuneus (C), et la partie postérieure ou occipitale de la scissure collatérale (ot) qui la sépare d
loúule fusif/J/'me (Fus). Elle s'étend d'arrière en avant, du pôle occipital , où elle représente la face interne des deuxième
eprésente la face interne des deuxième et troisième circonvolutions occipitales , jusqu'au-dessous du bourrelet du corps calleux
e de l'hé- misphère, avec les deuxième et troisième circonvolutions occipitales (0,, Oa), par l'intermédiaire du gyrus descende
issure, et se continue en dehors avec la troisième circon- volution occipitale (03), en avant avec le lobule fusiforme (Fus), au
lt;6 ? tftup<tOtMM ! tszM{/ (Bischoff). - Quatrième circonvolution occipitale (Broca). - Première circonvolution temporo-occi
irconvolution qui appartienne à la fois au lobe temporal et au lobe occipital . Le lobule lingual (Lg), que quelques auteurs r
un petit lobule bien délimité, qui appartient exclusivement au lobe occipital , tandis que la circonvolution de l'hippocampe n
des incisures superficielles; en arrière, il n'atteint pas le pôle occipital , mais contourne en général l'extrémité postérie
la scissure collatérale, pour s'unir à la troisième circonvolution occipitale (0,,) (fig. 176, 179, 180, 182) ; en avant, il
iarcisrrre pré-occipitale de Meyncrt, incisure qui délimite le lobe occipital d'avec le lobe temporal (fig. 175, 176, 180). 4
o-limbiques antérieur et postérieur. tzpoi, pli de passage parieto- occipital interne. plis rétro-limbiques. 7utl, pli temporo-
oca pour les circonvolutions fron- tales, pariétales, temporales et occipitales de la convexité de l'hémisphère. Avec Charcot,
re ou circonvolution temporale transverse ou profonde.. Tp Lobe occipital O. Sillons : . z 4. Sillon occipital antérieu
erse ou profonde.. Tp Lobe occipital O. Sillons : . z 4. Sillon occipital antérieur.. oa 2. Sillon pré-occipital ...... i
ur.... K" Branche commune aux scis- sures calcarine et pariéto- occipitale ........ Ti-1-po 5. Sillon inter-occipital.... i
pitale........ Ti-1-po 5. Sillon inter-occipital.... io 6. Sillon occipital transverse. os 7. Troisième sillon occipital..
tal.... io 6. Sillon occipital transverse. os 7. Troisième sillon occipital .. 03 8. Sillon du.cunéus, . : .. c 9. Sillon
2. Sa portion interne ou Cunéus. C Son pli de passage pariéto- occipital interne et supé- rieur api 3. Deuxième circon
oisième circonvolution oc- cipitale......... 03 5. Circonvolution occipitale des- - cendante (gyrus descen- dons).........
frontalc, - VG, nerf dc Lancisi. - 0,, 'prc- I mièro circonvolution occipitale . - Pi, Pi, première et deuxième circonvolutions p
NI,, nerf de Lancisi. - 0,, 0, première et deuxième circonvolutions occipitales . ou, sillon occipital antérieur de Wernicke : /
0,, 0, première et deuxième circonvolutions occipitales. ou, sillon occipital antérieur de Wernicke : /'t, deuxième circonvol
ique. - l ? l ? branches verticales du sillon parallèle. Voc, corne occipitale du ventricule latéral. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 3
eclivum). - vif, corne frontal du ventricule latéral. - l'oc, corne occipitale du ventricule latéral. - VSl, ventricule du septu
es fibres com- missuralcs. Fic, 204. -Prolongements sphénoïdal et occipital du ventricule latéral. Corne d'Ammon, Ergot de
Fm, forceps major. ipo, incisure pré-occipitale de Meynert. LO, lobe occipital . - LT, lobe temporal, joo, scissure pariéto-occ
ier postérieur du trigone. TgV, carrefour ventriculaire. Voc, corne occipitale . Vsph, corne sphénoïdale. 350 ANATOMIE DES CENT
entricule latéral change de direction, il envoie vers l'ex- trémité occipitale du cerveau un prolongement horizontal et curvilig
itale du cerveau un prolongement horizontal et curviligne, la corne occipitale (Voc), connue encore sous les noms de cavité digi
ue en avant avec la corne frontale (Vf), en arrière avec les cornes occipitale (Voc) et sphénoïdale (Vsph) et correspond il la
declivum). V ? corne frontale du ven- tricule latéral. - Voc, corne occipitale du ventricule latéral. VSl, ventricule du septum
ure et se continue directement avec la paroi supérieure de la corne occipitale (Voc). Elle présente en dedans les expansions t
al, de sa partie intra- ventriculaire. - LF, lobe frontal. LO, lobe occipital . - LT, lobe temporal. NA, noyau amygdalien. Na,
l de Forel et Onufrowicz (OF). La paroi, ou le plancher de la corne occipitale (fig. 210) présente en dedans la saillie connue
u de cuissard de Malacarne, et qui s'étend en arrière dans la corne occipitale . Un sillon intraventriculaire profond et très é
ale et de l'éminence collatérale de Meckel. La corne postérieure ou occipitale (Voc), cavité digitale ou arzcyroïde, née du po
ique ; cette corne fait en elfet défaut toutes les fois que le lobe occipital n'est pas développé. On la trouve chez les sing
e collaté- rale do Meckel. Diverticule du su- ¡¡c\11mu. Corne occipitale du ;entriculc lat6ral. 360 ANATOMIE DES CENTR
360 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ses limites. Sa voûte. lobe occipital est rudimentaire. Chez ces animaux, la partie fro
sphé- noïdal, sans émettre de diverticule postérieur. . La corne occipitale (Voc), située à cheval sur la scissure calcarine
u et se termine en une pointe distante de 2 à 3 centimètres du pôle occipital , mais Lrès voi- sine de l'écorce du fond de la
ctement sur les reliefs de 1'1G. 21U. -Prolongements sptIènoÚlal et occipital du ventricule latéral. Corne d'Ammon. Ergot de
le de Meynert. - Li, première circonvo- lution limbique. - LO, lobe occipital . - LT, lobe temporal. po, sillon pariéto-occipita
r postérieur du trigone. - TgV, trigone ventriculaire. - Voc, corne occipitale . - Vsph, corne sphénoïdale.' MORPHOLOGIE CÉRÉBR
de l'étage supérieur du ventricule latéral : les cornes frontale et occipitale en sont en effet dépourvues. Libres par leurs fac
us choroïdes du ventricule latéral. ,. Les cornes fron- tale et occipitale sont dépourvues de plexus choroïdes. Glomér
a corne fron- &Mk taie Vf), l'extrémité postérieure de la corne occipitale (Voc), et le fond des diverticules du subiculum
ntal, de sa partie intra- ventriculaire. LF, lobe frontal. LO, lobe occipital . LT, lobe temporal. JV<4, noyau amygdalien.
rontale du ventricule latéral. -- vu, veine de Galion. - Voc, corne occipitale du ventricule latéral. VSI, ventricule du septum
optiques de Gratiolet) provient du lobe temporal et surtout du lobe occipital . Ses fibres se dirigent d'arrière en avant et p
(po), enfin l'extrémité supérieure de la première ! tt circonvolution occipitale (0,) et du cunéus (C). , Substance blanche. Dan
S[p] et par une incisure du sillon inteJ'-pa/'Ù ! tal (ip). La pointe occipitale est occupée par la première circonvolution occi
p). La pointe occipitale est occupée par la première circonvolution occipitale (0[),qui forme à la face interne le cunéus (C).
rconvolution frontale. NC, noyau caudé.- 0" première circonvolution occipitale . - OF, faisceau occipito- frontal. - Pu, circon
corne frontale. - Sgé, substance grise sous-épendymaire de la corne occipitale . - sp, sillon sous- pariétal. t ? partie vertic
is qu'en arrière, elle se prolonge dans la couche sagittale du lobe occipital qu'elle concourt à former. Sur cette coupe, enfin
noyau caudé. NC ? queue du noyau caudé. - 0,, première circonvolution occipitale . - OF, faisceau uccipito-fruntal. P>, circon
ième circonvolution temporale (T.,) avec la deuxième circonvolution occipitale (0). Le sillon interpariétal (ip) est remplacé
optique.- \'C', queue du noyau caudé. - 0., première circonvolution occipitale . - OF, faisceau occipito-frontal. - Pa, cir- co
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. n'en est que le prolongement. La pointe occipitale est formée par la première circonvolution occip
ent. La pointe occipitale est formée par la première circonvolution occipitale (0,) qui se continue il la face interne avec le c
e (Sge) n'est apparente qu'au microscope dans le fond de la \ corne occipitale , mais au niveau de la corne frontale, elle coiffe
du noyau lenticulaire. - 0" 0" première et deuxième circonvolutions occipitales . - OF, faisceau occipito-frontal. OpF" opercule d
e. V, ruban de Vicq d'Ary·r. - VI, ventricule latéral. - Voc, corne occipitale . - T'Sl, ventri- cule du septum lucidum. - Vcst
erne (Cirl) et se portent en arrière dans la couche sagittale du lobe occipital . La masse blanche du lobe occipito-lemporal est
tapisse la corne occi- pitale se trouve la couche sagittale du lobe occipital . Sur les coupes de cerveaux durcis par les bich
stence d'un système analogue à celui de la couche sagittale du lobe occipital ; les fibres thalamiques du segment antérieur de
bique postérieur (-1tplp) et J'isthme du lobe limbique (L,), le lobe occipital . Les bords * de l'opercule, formé ici par les c
par le /lIp1 ! /llIn (Tap), recouvert par la couche sagittale du lobe occipital . Au niveau de la corne frontale, on trouve comm
de Graliulct (RTh) qui se portent dans la couche sagittale du lobe occipital . Sa face interne est bordée d'une mince couche de
noyau lenticulaire. - Oi, Os, première et deuxième circonvolutions occipitales . oa, sillon occipital antérieur de Wernicke. OF,
i, Os, première et deuxième circonvolutions occipitales. oa, sillon occipital antérieur de Wernicke. OF, faisceau occipito-fr
Vcst, veine du corps strié. - l'l, ventricule latéral. - Voc, corne occipitale . - Vsl, ventricule du septum lucidum. Zr, zone
ème temporale (T2). Celle-ci est limitée, en arrière, par le sillon occipital antérieur de lb'eraiclce (oa) qui la sépare du lo
illon occipital antérieur de lb'eraiclce (oa) qui la sépare du lobe occipital . A la face externe le lobe occipital est surtou
e (oa) qui la sépare du lobe occipital. A la face externe le lobe occipital est surtout constitué par la deuxième ci,»- con
e occipital est surtout constitué par la deuxième ci,»- convolution occipitale (0,), qui concourt en partie à la formation de la
occipitale (0,), qui concourt en partie à la formation de la pointe occipitale , et qui est séparée de la première circonvolution
pointe occipitale, et qui est séparée de la première circonvolution occipitale (0,) par le sillon iufcr·-occiyilal (io). A l
au de son éperon supérieur, qui sépare le cunéus (C) de la première occipitale (0,); une autre fois au niveau de sa partie moy
yau lenticu- laire. 0,> Os, première et deuxième circonvolutions occipitales . - oa, sillon occipital anté- rieur dcWcrnicke.
t; Os, première et deuxième circonvolutions occipitales. - oa, sillon occipital anté- rieur dcWcrnicke. - OF, faisceau occipito
- Vcst, veine du corps strié. VI, ventricule latéral. - porc, corne occipitale du ventricule latéral. J'sl, ventricule du' sep
sa partie antérieure ; la scissure est ici très voisine de la corne occipitale du ventricule latéral (Voc), dont elle n'est sé
que par une lame de substance blanche qui double en dedans la corne occipitale . L'écorce qui limite la scissure calcarine présen
ut suivre, très atténuée, il est vrai, jusqu'au niveau de la pointe occipitale et sur la face externe du lobe occipital. Le lo
qu'au niveau de la pointe occipitale et sur la face externe du lobe occipital . Le lobe limbique est intéressé au niveau de l'
(Tga) et l'extrémité antérieure de la couche optique (Th). La corne occipitale (Voc) est limitée en dedans par le faisceau infér
nant au faisceau postérieur du cingulum (Cing); en dehors, la corne occipitale est recouverte par le tapetum (Tap) et les couc
t recouverte par le tapetum (Tap) et les couches sagittales du lobe occipital , dont la partie interne est formée par les radi
CERVEAU. 409 : \ " i clmëo-limbique el), se prolonge jusqu'au pôle occipital et peut être suivi ¡da ftfêtïs externe de l'hém
rale (T2). -, Cavités ventriculaires. La corne frontale et la corne occipitale forment deux diverticules qui ne communiquent e
um lucidum (Vsl) et le pilier antérieur du trigone (1'ga), La corne occipitale (Voc) est large à son origine au niveau du carref
re, elle peut être poursuivie jusqu'à deux centimètres de la pointe occipitale le long de la ligne droite qui correspond au di
le le long de la ligne droite qui correspond au diverlicule du lobe occipital (do). D'habitude, les parois ventricu- laires s
la substance grise sous-épendymaire, qui double le fond de la corne occipitale (Voy. Coupes vcrtico-Uau.sveosales). La corne o
e la corne occipitale (Voy. Coupes vcrtico-Uau.sveosales). La corne occipitale n'est séparée du fond de la scissure cal- carin
aisceau, inférieur du forceps du corps calleux (Fin'). Dans le lobe occipital on trouve, outre les fibres d'association propres
stérieure. - Csc,. circonvolutions sous- calleuses. do, diverticule occipital . F,,F~,F3, première, deuxième et troisième circon
du noyau lenticulaire. 0,, 0 ? première et deuxième circonvolutions occipitales . - oa, sillon occipital -antérieur de Wernicke. O
0 ? première et deuxième circonvolutions occipitales. - oa, sillon occipital -antérieur de Wernicke. OF, faisceau occipito-f
OMIE DES CENTRES NERVEUX. convolutions, la couche sagittale du lobe occipital , formée en dehors par le faisceau longitudinal
i dégénère dans sa partie temporale, à la suite des lésions du lobe occipital , ainsi que nous l'avons constaté plusieurs fois.
la couche sagittale est formée par les fibres de projection du lobe occipital , par les radiations thalamiques (RTh) qui passent
mite le troisième ventricule en avant. La paroi interne de la corne occipitale (Voc) est limitée au niveau du carre- four vent
érieure. - Csc, circonvolutions sous-calleuses. - do, diverti- cule occipital . - dsp, diverticule sous-pinéal. - F,, ]0'" premi
u deux segments, ,, ? - 0" Os, première et deuxième circonvolutions occipitales . - oa, sillon occipital antérieur. - OF, faisceau
Os, première et deuxième circonvolutions occipitales. - oa, sillon occipital antérieur. - OF, faisceau occipito- frontal.O/F
en arrière et se confondent avec la couche blanche sagittale du lobe occipital . La paroi externe du carrefour ventriculaire et
cipital. La paroi externe du carrefour ventriculaire et de la corne occipitale (Voc) pré- sente en avant la partie recourbée d
frontal.) En dehors du tapetum se trouve la couche sagittale du lobe occipital , constituée par les radiations optiques de Grat
mmissure antérieure. - cop, commissure postérieure. do, diverticule occipital . lis, diverticule du subiculum. F,, h Fi. F,, p
i, sillon de l'insula. - la, insula antérieur. - io, sillon inter- occipital .- Ip, insula postérieur. - IC, scissure calcarine
tre médian de Luys). - 0,, 0 ? première et deuxième circonvolutions occipitales . - OF, faisceau occipito-frontal. oa, sillon occi
nvolutions occipitales. - OF, faisceau occipito-frontal. oa, sillon occipital antérieur de Wernicke. Pul, pulvinar. Qa, tuber
- VA, faisceau de Vicqd'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale. - Voc, corne occipitale du ventricule latéral. W , 1.. 0) 'v et' Vtlll\
e (K) et de la branche commune aux scissures calcarine et ]JOI'ido- occipitale (K + po). La face profonde de la circonvolution d
). En arrière, le carrefour ventriculaire se continue avec la corne occipitale (Voc) qui se prolonge dans l'épaisseur du lobe oc
ec la corne occipitale (Voc) qui se prolonge dans l'épaisseur du lobe occipital et donne naissance à un diverticule étroit, sit
ouge. - 0,, Os, 03, première, deuxième et troisième circonvolutions occipitales .-oa, sillon occipital antérieur de Wernicke. -
ière, deuxième et troisième circonvolutions occipitales.-oa, sillon occipital antérieur de Wernicke. - OF, faisceau occipito-
(T;¡), mal délimitée, se continue avec la troisième circonvolution occipitale . (0,), dont la sépare le sillon occipital antérie
troisième circonvolution occipitale. (0,), dont la sépare le sillon occipital antérieur (oa) ; puis viennent la deuxième circ
occipital antérieur (oa) ; puis viennent la deuxième circonvolution occipitale (0), enfin la partie inférieure de la première
itale (0), enfin la partie inférieure de la première circonvolution occipitale (0,) et le dernier vestige du cunéus (C) qui se
DES CENTRES NERVEUX. Substance blanche. - La masse blanche du lobe occipital est considéra- blement réduite. On y voit appar
rencontre encore, quoique très réduite, la couche sagittale du lobe occipital . La corne sphé- noïdale (Vsph) est aplatie laté
triques, assez sem- blables à celles de la couche sagittale du lobe occipital . La couche profonde, blanche et très mince, app
i, sillon de l'insula. - la, insula antérieur. - io, sillon inter- occipital . - io', incisure du sillon inter-occipital. - Ip,
oyau lenticulaire. - NR, noyau rouge. - Os, deuxième circonvolution occipitale . - oa, sillon occi- pital antérieur. - ot, sill
oyau lenticulaire. - VR, noyau rouge. - Oi, deuxième circonvolution occipitale . - oa, sillon occipital antérieur de Wcrnicke. of
noyau rouge. - Oi, deuxième circonvolution occipitale. - oa, sillon occipital antérieur de Wcrnicke. of, sillon collatéral. P,
. - NR, noyau rouge. - 0" 03, deuxième et troisième circonvolutions occipitales . - 0" deuxième sillon occipital. - oa, sillon o
ième et troisième circonvolutions occipitales. - 0" deuxième sillon occipital . - oa, sillon occipital antérieur de Wcrnicke. oi
volutions occipitales. - 0" deuxième sillon occipital. - oa, sillon occipital antérieur de Wcrnicke. oi, sillon collatéral. - P
occipilal les trois circonvolutions temporales (T T=, T), le sillon occipital anté- rieur (oa), une petite partie de la trois
anté- rieur (oa), une petite partie de la troisième circonvolution occipitale (p.) qui se continue en avant et en dedans avec
edans avec le lobule fusiforme (Fus), et la deuxième circonvolution occipitale (02) qui se continue en dedans avec le lobule lin
en trois parties, une partie postérieure qui appartient à la pointe occipitale , un îlot moyen, et une languette antérieure qui r
sentent rien de particulier à noter dans les extrémités frontale et occipitale , mais au niveau du dernier vestige de l'insula (I
eue du noyau caudé. - 0" 0" deuxième et troisième circonvolu- tions occipitales . o, deuxième sillon occipital. - or ? partie orbi
ième et troisième circonvolu- tions occipitales. o, deuxième sillon occipital . - or ? partie orbitaire de la troisième cir- c
e orbitaire de la troisième cir- convolution frontale. - oa, sillon occipital antérieur de Vcrnicl : c. - ot, sillon collatéral
e ('1.,) et la face externe des deuxième et troisième circonvolutions occipitales (020,J. Au niveau de la deuxième circonvolution
(of). Cette incisure se con- tinue à la face externe avec le sillon occipital antérieur de IŸer·rriche (oa). A la face intern
rrière du lobule lingual (Lg). Le lobule lingual (Lg) forme la pointe occipitale et se continue à la face externe, avec la deuxi
e et se continue à la face externe, avec la deuxième circonvolution occipitale (0.,). Cette coupe n'intéresse que l'extrémité
occi- pitales. - 1· ? troisième circonvolution frontale. oa, sillon occipital antérieur de Wernicke. - ol, sillon collatéral.
ente coupes, pratiquées d'avant en arrière, du pôle frontal au pôle occipital , et correspondant aux lignes de repère indiquée
. Ce faisceau qui met en connexion le lobe 1l'oil- tal avec le lobe occipital , esta la paroi externe du ventricule, ce que le c
ux radiations thalamiques de Graliolet (RTh) pour atteindre le lobe occipital . Les radiations du corps genouillé externe (Cge
e sphénoïdale du ventricule latéral. tec, ténia tecta. - Foc, cornc occipitale du ventricule latéral. COUPES MACROSCOPIQUES DU
carrefour ventriculaire, c'est-il-dire la partie commune aux cornes occipitale et sphénoïdale et il l'étage supérieur du ventric
. tec, tcenia tecta.- Tgp, pilier postérieur du trigone. Voc, corne occipitale du ventricule latéral. 47G ANATOMIE DES CENTRES
al. -la-i- po, branche commune aux scissures calcarinc ct luiriétn- occipitale . - L,, première circonvolution limbique. - 01, si
me et troisième sillons temporaux. <ee, tænia tecta. l'oc, corne occipitale du ventricule latéral. COUPES MACROSCOPIQUES DU
OF), grand faisceau d'association qui relie le lobe frontal au lobe occipital et dont nous avons étudié, sur les coupes précé
97,-99 (fig. 258 à 260), la couche des fibres de projection du lobe occipital , ou radiations optiques de Gratiolet (RTh). Cette
iforme (Fus). Ce faisceau forme la couche sagittale externe du lobe occipital ; il représente un long faisceau d'association, qu
al; il représente un long faisceau d'association, qui relie le lobe occipital au lobe temporal et au lobe frontal par l'intermé
adiations de Gratiolet (RTh), con- sécutivement aux lésions du lobe occipital . Quant aux autres longs faisceaux d'association
x lignes 137 des figures 235 et 236. Ces coupes intéressent le lobe occipital en arrière du bourrelet du corps calleux. Les d
ur les coupes suivantes, et prend dans la constitution de la pointe occipitale une part importante. Ce pli profond, pli czcnreo-
apetum. tec, ttenia tecta. V, ruban de Vicq d' : lzyr.- l'oc, corne occipitale du ventricule latéral. 480 ANATOMIE DES CENTR
fig. 266) un îlot cortical, complètement séparé de l'écorce du lobe occipital par la scissure pariéto- occipitale (po) qui s'
ement séparé de l'écorce du lobe occipital par la scissure pariéto- occipitale (po) qui s'étend de la face interne il la face ex
ns temporaux. Tap, tapetum. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - Voc, corne occipitale du ventricule littéral. COUPES- MACROSCOPIQUES
ion ne porte que sur la deuxième pariétale (P 2) et sur la deuxième occipitale (02). Le bord inféro-interne de l'hémisphère es
rmé par le lobule. fusiforme (Fus) et la troi- sième circonvolution occipitale (0.) sur les coupes nOS 116 et 122 (fig. 263, 26
les dernières coupes n'intéressent que la troisième circonvolution occipitale (Fus -+- 0.;) et le lobule lingual (Lg). Le c
, lobule lingual. - 0 : , 03, deuxième et troisième circonvolutions occipitales . 03, troisième sillon occipital. - ot, sillon col
ième et troisième circonvolutions occipitales. 03, troisième sillon occipital . - ot, sillon collatéral. Pi, circonvolution pa
ticale du sillon parallèle. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - Voc, corne occipitale du ventricule latéral. 482 ANATOMIE DES CENTRES
DES CENTRES NERVEUX.; qu'occupe le cunéus à la face interne du lobe occipital . Elles n'intéressent en effet que la partie ant
lcarine extrême - ment profonde, dé- prime la paroi de la corne occipitale du ventricule latéral (Voc) et y détermine
got de J11ol'al1d (EII). Cavités ventri- culaires. La corne e occipitale (Voc) est irrégulièrement quadrangulaire sur les
Tap), en dehors duquel nous trouvons les couches sagittales du lobe occipital a savoir : Fieu. - Coupe vertico-transversaie d
on du lobe lingual. O., 03, deuxième et troisième circon- volutions occipitales . o3, troisième sillon occipital. oi, sillon col
me et troisième circon- volutions occipitales. o3, troisième sillon occipital . oi, sillon collatéral. P,, circonvolution pari
m : (IC). Les extré- mités supérieure et inférieure de la corne occipitale se recour- benten dedans;l'extré- mité supéri
. 226 et 237). La cavité ventriculaire n'atteint donc pas la pointe occipitale , son extrémité postérieure en est éloignée peu
+ 03, union du lobule fusiforme et de la troisième cir- convolution occipitale . - ip, sillon inter-pariétal. - K, scissure, ca
on du lobule lingual. - 0,. 0" première et deuxième circonvolutions occipitales . - ot, sillon collatéral. - P,, circonvolution
dissantes, qui tapissent la paroi externe et inférieure de la corne occipitale (Voc) et forment le tapetum (Tap). En dedans el
s 03, union du lobule fusiforme et de la troisième cir- convolution occipitale . ip, sillon inter-pariétal. - K, scissure calca
lobule lingual. - 0[, ou, première et deuxième circonvolu- tions occipitales .-ot, sillon collatéral. - P,, circonvolu- tion
e il la périphérie : les fibres calleuses, les fibres de projection occipitales ou radiations thalamiques (RTh) et les longues
très aigu, avec celles de la paroi interne. Au niveau de la pointe occipitale , ces trois couches forment donc un cercle compl
les autres coupes passent en arrière de ce faisceau. Dans la pointe occipitale (coupe n° 133, fig. 265), au niveau de la parti
s le nom de faisceau transvase du cunéus (FteS), appartient au lobe occipital et réunit le cunéus (C) à la convexité de ce lobe
), d'apparence triangulaire, est compris entre la scissure pariéto- occipitale (po) et là scissure calcarine (K). Sa face inféri
il, noyau rouge. - Nt, noyau du toit. - 0), première circonvolution occipitale . - oF, partie orbi- taire de la première circon
couche optique. - NR, noyau rouge. - 0,, première circon- volution occipitale . Oc, olive cérébelleuse. - oF, (Gr), partie orbit
r, depuis la corne frontale (Vf) jusqu'à la nais- sance de la corne occipitale . La corne sphénoïdale (Vsph) est sectionnée il so
mus. NI3, " putamen et globus pallidus. 0, première circonvolution occipitale . Ou, olive cérébelleuse. oF\, partie orbiLairc
ajor du corps calleux (Fm), une seconde fois au-dessous de la corne occipitale (Voc) ; COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. " M'J
x scissures calcarine el pariéto-occipitale (K+po). Dans la région, occipitale de l'hémisphère, nous trou- vons en arrière de
a scissure ¡JllI'Ïr ! to-occipitale (po) la première circonvolution occipitale (0,), le sillon inln.r-occipital (io) et la deuxi
e (0,), le sillon inln.r-occipital (io) et la deuxième circonvolution occipitale (02), qui se prolonge sur la face inférieure de
ntrons en effet ici en plein centre ovale. Au-dessous du ventricule occipital (Voc), au-dessus du pli rélro-limbique il exist
avec ses trois segntents.-0,, 0, première et deuxième circonvolutions occipitale ? oFt.oF.j, oF" partie orhitairc des première,
ala- mus (couche optique). U, circonvolution du crochet. Voc, corne occipitale du ventricule latéral. V8, vallée de Sylvius. V
es calcarine et pw'iéto-occipitale (K + po) détermine dans la corne occipitale (Voc) la saillie de V ergot de Jloraud (EM) (fi
(Vsph) en bas et en avant, le carrefour ventriculaire et. la corne occipitale (Voc) en arrière. La corne sphénoïdale (Vsph) s'e
rale. -K + po,1)ranche commune aux scissures calcarine ct. pariéto- occipitale . - le, lame cornée et toenia scmi-circularis - Lg
yau lenticulaire et ses trois segments. Oi, première circonvolution occipitale . oF,, oF ? 0l'3, partie orbitaire des pre- mièr
). L'aspect des fibres blanches est différent au niveau de la corne occipitale (Voc) ; ici nous commençons à voir apparaître l
voir apparaître les trois couches- de fibres qui doublent la corne occipitale , à savoir : le tapetum (Tap), la couche des radia
sous l'aspect d'une lamelle blanche qui coiffe le fond de la corne occipitale (Voc). semi-circularis. - L'g, lobule lingual.
xième segments du noyau lenticu- laire. 02, deuxième circonvolution occipitale . - oF2, OF3, partie orbitaire des deuxième et t
F2, OF3, partie orbitaire des deuxième et troisième circonvolutions occipitales . ot, sillon collatéral. - P,, P2, première et deu
Th, thalamus (couche optique). v, orifices vasculaires. Voc, corne occipitale du ventricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale du
ue du noyau caudé (NC') au niveau de sa réflexion. Quant à la corne occipitale (Voc), elle est limitée en haut par la couche é
ques (RTh). Au niveau du fond et de la paroi inférieure de la corne occipitale , on retrouve ces deux couches superposées, auxq
). Très accentuées et très distinctes au niveau du fond de la corne occipitale , ces trois couches se réduisent au niveau de la p
queuc du noyau caudé. - NL,, putamcn. - 0" deuxième circonvolution occipitale . oF" oF3, partie orbitaire des deuxième et troi
oF" oF3, partie orbitaire des deuxième et troisième circonvolutions occipitales . - ot, sillon collatéral. - P ? deuxième circon
amus). - t'l, partie verti- cale du sillon parallèle. - T'oc, corne occipitale . - Vsph, corne sphénoïdale. ; ! )0 ANATOMIE DES
queue du noyau caudé. Os, 0,; deuxième et troisième circonvolutions occipitales . oF2, oFs, partie orbitaire des deuxième et tro
on marginal supérieur. 0,,03, deuxième et troisième circonvolutions occipitales . - 0F3, partie orbitaire de la troisième circon
ra-margi- nalis). - Opli, opercule rolandique. - 0" deuxième sillon occipital . oa, sillon occipital antérieur de Wcrnicke. ot
Opli, opercule rolandique. - 0" deuxième sillon occipital. oa, sillon occipital antérieur de Wcrnicke. ot, sillon collatéral. -
é anté- rieure du lobe temporal, on rencontre en passant parle lobe occipital les circonvolu- tions suivantes : la portion or
('1\), qui se con- tinue en arrière avec la deuxième circonvolution occipitale (0.,) subdivisée par le deuxième sillon occipit
e circonvolution occipitale (0.,) subdivisée par le deuxième sillon occipital (o.,). L'angle postero-infericur de la coupe, est
ro-infericur de la coupe, est formé par la troisième circonvolution occipitale (0 : )), séparée du lobule fusiforme (Fus) par le
arginal postérieur. - Os, 03, deuxième et troisième circonvolutions occipitales . oF3, partie orbitaire de la troisième circonvolu
,, opercule de la première circon- volution temporale. - oa, sillon occipital antérieur de Wernicke. - P : , circonvolution p
Pa), le pli courbe (Pc), les deuxième et troisième circonvolutions occipitales (0 ? 0;1) et la troisième circozzvolzc- tion te
fGsm]) et au niveau du pli courbe (Pc). La troisième circonvolution occipitale (03) occupe l'angle inféro-externedelacoupe; so
sonécorce se continueenarrièreaveccelledela deuxième circonvolution occipitale (0,), en avant avec celle de la troisième circonv
c celle de la troisième circonvo- lution temporale (T.,); le sillon occipital antérieur (oa) la limite en avant. Au niveau de
u-dessus du ventricule latéral, soit au niveau des cornes frontale, occipitale ou sphénoïdale; la façon dont se détachent les md
mesure que l'on s'approche du carrefour ventriculaire et de la corne occipitale . Au niveau des parois inféro-externe de la corn
cozz- volution pariétale supérieure (P,), la branche descendante ou occipitale du pli courbe (Pc), puis les deuxième et troisi
du pli courbe (Pc), puis les deuxième et troisième circonvolutions occipitales ). Tandis que la face externe est nettement c
eau de la scissure calcarine (ka et du lobule lingual (Lg).La corne occipitale (Voc) présente une surface de section triangula
fond de la scissure calcarine qui forme l'ergot de Morand. La corne occipitale est entourée par trois couches con- centriques
(Fm) ; ce dernier forme, au niveau de l'angle supérieur de la corne occipitale , un faisceau volumineux et très épais, fortemen
très obliquement. Le tapetum et le forceps major entourent la corne occipitale d'une couche continue, très analogue à celle qu
t des fibres qui traversent les deux couches sagittales de la corne occipitale , pour se rendre dans la masse blanche des cir-
Lg, lobule lingual. 01, 03, deuxième et troisième circonvo- lutions occipitales . ôs, deuxième sillon occipital. oa', incisure du
ème et troisième circonvo- lutions occipitales. ôs, deuxième sillon occipital . oa', incisure du sillon occipital antérieur de
s occipitales. ôs, deuxième sillon occipital. oa', incisure du sillon occipital antérieur de Werniclce. - ot, sillon collatéral
devenir parallèles qu'au niveau de la paroi inférieure de la corne occipitale (Voc). Ces fibres renferment presque toutes les f
s fibres renferment presque toutes les fibres de projection du lobe occipital , fibres qui passent dans le segment rétro-lenticu
ches précédentes, cette couche entoure d'un anneau complet la corne occipitale . Très épaisse au niveau de la partie inférieure e
se réduit au niveau de la partie supérieure et interne de la corne occipitale , la largeur de deux ou trois fascicules de fibres
lingual (Lg), lobule fusiforme (Fus) et des trois circon- vulutions occipitales de la face externe (0"0=,Oa). Elles se portent en
ieure et relie les circonvolutions temporales aux circonvo- lutions occipitales (Voy. Coupes horizontales, fig. 392, 293 et 298).
tion lemporo-occipilal. Il dégénère il la suite des lésions du lobe occipital , et contient donc des fibres dont les cellules d'
donc des fibres dont les cellules d'origine siègent, dans l'écorce occipitale et dont les fibres se terminent dans l'écorce du
couches de fibres qui constituent les couches s'agit- tales du lobe occipital , on trouve les fibres d'association propres de ce
e interne du cunéus (C) aux circonvolutions de la convexité du lobe occipital et en particulier au pli courbe (Pc). Le fond
elle sorte que, du fond de la scissure calcarine jusqu'au 'ventricule occipital , on compte quatre couches de fibres : 1° le str
- scopique no 135 (fig. 265). - - Cette coupe intéresse la pointe occipitale au niveau du premier pli anastomotique cunéo-li
cunéo-lingual (1tC+ Lg) et passe en arrière du p1'écunéus. La corne occipitale (Voc) présente ici encore une forme triangulaire
lingual. 0,, 02, 03, première, deuxième et troisième circonvolutions occipitales . - o2, deuxième sillon occipital. et, sillon co
ème et troisième circonvolutions occipitales. - o2, deuxième sillon occipital . et, sillon collatéral. ol', incisure du sillon c
iolet. strK, stratum calcarinum de Sachs.-Tap,tapetuin.- Voe, corne occipitale du ventricule latéral. COUPES MICROSCOPIQUES DU
o-externe du ventricule, il tapisse la paroi inférieure de la corne occipitale (Voc) d'une très épaisse couche de libres, forte-
s'irradient dans le lobule, fusiforme (Fus) et les circonvolutions occipitales inférieures (0 ? 03), qu'elles relient au lobul
i met en relation la région calcarinienne avec la convexité du lobe occipital . La moitié supérieure de ce système est constit
se recourbe en bas et en dehors, le long de la face externe du lobe occipital dans lequel il s'irradie. Quelques-unes de ses fi
s par des fibres à direction verticale, qui relient la base du lobe occipital la convexité et consti- tuent le faisceau occip
la base du lobe occipital la convexité et consti- tuent le faisceau occipital vertical de Wernicke (Ov, fig. 389) (faisceau per
convexité de Sachs). Sur les coupes passant en arrière de la corne occipitale (Voc), les trois couches de fibres disparaissen
forment une couche distincte qu'au voisinage immédiat de la corne, occipitale ; nuis les radiations thalamiques (IlTh) disparais
isparaissent à leur tour et, à un centimètre en arrière de la corne occipitale , le faisceau longitudinal inférieur (Fli) n'exi
d et la scissure calcarine (K) au niveau du diverticule de la corne occipitale . Elle passe par la partie infé- rieure du corps
coupe est surtout destinée à l'étude des couches sagittales du lobe occipital . Sur la face interne de cette coupe on constate
accusé au niveau du lobule lingual(Lg), du cunéus (C) et de la pointe occipitale (0,). Il se perd peu à peu sur la face externe
iveau du lobe limbique (L,). Le carrefour ventriculaire et la corne occipitale (Voc) ne se prolongent guère sur cette coupe au
voi- sinage du tænia tecta (tec). Les couches sagittales du lobe occipital se voient sur celle préparation dans toute leur
tème d'association, et qui dégénère il la suite des lésions du lobe occipital , se présente sous l'aspect d'une bande de libre
ns la capsule externe (Ce). Le long de la paroi interne de la corne occipitale et de l'ergot de on trouve en dehors du stratum
udinal inférieur, on trouve le long de la paroi externe de la corne occipitale une couche caracté- risée par la finesse et la
3 sectionnées parallèlement à leur longueur. Au niveau de la pointe occipitale (0,) on les voit traverser la couche des fibres
oisième segments du noyau lenticulaire.-0,, première circonvolution occipitale . - Plchl, plexus choroïdes du ventricule latéral.
corne frontale. - Sgé, sulmtance grise sous-epcndymaire de la corne occipitale . strz, stratum xonale ? 7 ? première et deuxième
- V, ruban de Vicq d'A/.yr. - VI, ventricule latéral. - Voc, corne occipitale . - Zr, zone réticulée ou grillagée. 566 ANATO
s d'association inlra-hémisphérique, mettant en connexion la région occipitale avec la région frontale (Voy. faisceau occ ? )
, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Voe, corne occipitale du ventricule latéral. - W, zone de Wernicke. ;,
. Le carrefour ventriculaire (Voc) ne se prolonge plus dans le lobe occipital , mais donne, en arrière de la corne d'Ammon (CA
e latéral (VI) et constitue un faisceau d'association reliant le lobe occipital au lobe frontal. Le long de la face externe du
llé externe. Ces fibres prennent leur origine dans l'écorce du lobe occipital et dégé- 2èi,eiii a la suite des lésions de la
e inférieur du pédoncule, des fibres des couches sagittales du lobe occipital (radiations optiques postérieures ou de Graliolel
le cérébral persistent en effet intacts la suite de lésions du lobe occipital , et dans ce cas, le segment rétro-lenti- culair
s rolandiques et dans le lobule para- central, son minimum, au pôle occipital . Lorsqu'on examine à l'oeil nu une mince coupe
ries de Baillarger (fig. 330). Au niveau de la face interne du lobe occipital , l'écorce cérébrale apparaît formée seulement p
ans le cunrfus, et va en s'amincissant jusqu'au niveau de la pointe occipitale (fig. 223 à 234 et 261 à 266). Ces différences
blanche intermédiaire externe de Remak, qui constitue dans le lobe occipital le ruban de Vicq d'Azyr. Dans certaines cir- .1..
. convolutions, en particulier au niveau de la face externe du lobe occipital ! jjJ)J ! et du lobe frontal, ainsi que de la f
r la strie externe de Baillarger. Cette strie présente dans le lobe occipital une grande épaisseur et y forme une véritable cou
deux coudes secondaires, et ainsi se trouva constitué, dans le lobe occipital , le type longtemps classique des huit couches d
i- pales : la région rolandique, la région de l'insula et la région occipitale . Région rolandique (zone psycho-motrice).-Les c
par le fort calibre de ces dernières ; très nombreuses dans le lobe occipital ces fibres y son ! particulièrement fines. Le lob
calibre, signalées pour la première fois par Bechterew dans le lobe occipital . Ces libres, qui constituent la strie de Bechte
, aux confins du feutrage super- radiaire et seraient, dans le lobe occipital , l'homologue de la couche l1uf- douaire moyenne
ge super-radiaire d'Edinger. Elle n'est du reste pas propre au lobe occipital comme le croyait Bechterew, IL mais apparaît d'
e est par conséquent, particulièrement développée au niveau du lobe occipital , du lobe temporal, des circonvolutions rolan- d
es. La strie de Baillarger s'épaissit considérablement dans le lobe occipital , où elle porte le nom de ruban de Vicq d'Azyr o
rger se dédouble dans le lobe frontal et constitue daus le lobe occipital l'il- ban de Vicq d'Azyr. 8G ANATOM1E DES CEN
ième et le troisième mois, la myélinisation s'effectue dans le lobe occipital ; elle apparaît dans le lobe frontal après le ci
nt au pédoncule 'inféro-in- terno du thalamus. Ecorce du lobe occipital . Les 8 couches de l'écorce du lobe occi- pi
s repré- sentent les rares fibres de projection de l'insula. Lobe occipital . Dans le lobe occipital, la présence du ruban de
ares fibres de projection de l'insula. Lobe occipital. Dans le lobe occipital , la présence du ruban de Vicq d'Azyr montre déj
s spéciales. Meynert distinguait huit couches dans l'écorce du lobe occipital , et créa le type à 8 couches stratifiées qu'il
d à la 4° couche du type commun. ' Hamon y Cajal, étudiant l'écorce occipitale des petits mammifères, ne s'est pas rallié à l'
scription (fig. 345 et 346), n'admet que cinq couches dans l'écorce occipitale , à savoir : - STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE..
do Cajal. - rie. do. aciiema représentant les coucnes de l'écorce occipitale d'après Meynert et - d'après Cajal. Les couches
res-axes et le ' Fie 340. Coupe de la partie inférieure de l'écorce occipitale d'un cobaye de 8 jours. Méthode double de Golgi
uban de Vicq d'Azyr. (Retzius, Martinotti, Cajal.) L'écorce du lohe occipital est très riche en fibres tangentielles. C'est ici
polymor- phes. (58 couche de Cajal.) Dans l'écorce du z lobe occipital , les z libres tangentielles sont très nombreu
n de Vicq d'Azyr devient moins dense et sur la face externe du lobe occipital , il se continue insensiblement avec la strie ex
des fibres radiées. Ces dernières fibres se comportent dans le lobe occipital comme dans les autres régions de l'écorce; sur le
truttura del Asla di Ammon y Fascia dentata. Estruttura de la Corteza occipital ! K/'6t' ! Ot' de los pequenos mammiferos. Trabaj
es fibres longues qui relient, par exemple, le lobe frontal au lobe occipital , ou le lobe frontal avec l'extrémité antérieure d
Les longs faisceaux d'association; C. Les fibres propres des lobes occipital et frontal. A. Fibres courtes d'association (fi
le faisceau longi- tudinal inférieur relie le lobe temporal au lobe occipital ; le faisceau occipito- frontal de Forci et Onuf
iétal. - 0" 0 ? 0,, première, deuxième et troisième circonvolutions occipitales . - oF,, oF2, oF3, partie orbitaire des première
u pli courbe (Pc) et des circonvolutions de la face externe du lobe occipital (0"02,0.,). A mesure que l'on s'éloigne du sillon
re avec la couche des fibres verticales de la convexité des régions occipitale et pariéto-tempo- Le faisceau u'lJu présente
aire. Les faisceaux uncina- lus, arqué ou longitudinal supérieur et occipital vertical, sont vus par transparence. Arc, faisc
lon marginal supérieur. 0\, 0" première et deuxième circonvolutions occipitales . oa, sillon occipital antérieur de \'erniclce.
0\, 0" première et deuxième circonvolutions occipitales. oa, sillon occipital antérieur de \'erniclce. oF,, 07 ? opta, partie o
.- OPR, opercule rolandique/ 0/.) ? opercule pariétal. Ov, faisceau occipital vertical. - PI, 1 ? première et deuxième circonvo
génésie du corps calleux. raie, couche constituée par le faisceau occipital vertical (Ov, fig. 377) de Wernicke. Sur les
he de fibres qui tapisse la paroi externe des cornes sphénoïdale et occipitale est nor- malement développé, et se continue en
libres n'entre dans la constitution de la paroi externe des cornes occipitale et sphénoïdale. Nous décrirons donc, sous le no
frontal de Forel et Onufrowicz, formant le tapetum de la corne occipitale . - po, scissure pariéto- occipitale. - 7î77t, r
ormant le tapetum de la corne occipitale. - po, scissure pariéto- occipitale . - 7î77t, radiations tha- lamiques. - Voc, corn
iéto- occipitale. - 7î77t, radiations tha- lamiques. - Voc, corne occipitale . 762 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Sa iorme s
de l'étage supérieur du ven- tricule latéral et la voûte des cornes occipitale et sphénoïdale. D'après la dissection d'une piè
du carrefour ventriculaire et en particulier au niveau de la corne occipitale , avec les fibres du forceps major du corps calleu
e détacher du forceps major, et longer la paroi externe de la corne occipitale . Dans les lésions limitées du lobe occipital, on
i externe de la corne occipitale. Dans les lésions limitées du lobe occipital , on voit en outre, les fibres dégénérées du tap
certaine part dans la constitution de la paroi externe de la corne occipitale , et cela est d'autant plus probable, que Cajal a
tion interne des longues fibres d'association. Les lésions du lobe occipital retentissent, ainsi que nous le verrons plus lo
le tapotum et s'irradie dans la face externe du lobe temporo- occipital . Le faisceau occi- pito-frnntal dégénère à
phère motrice ou de la destruction des circonvolutions frontales ou occipitales . Mais ce faisceau, et en particulier le tapetum,
ongitudinal inférieur (Burdach) (Fli). - Couches sagittales du lobe occipital (Wernicke). Stratum sagittale externwn (Sachs). F
u du bord inféro-externe du lobe sphéno-occipital et étendu du pôle occipital au pôle temporal. Il forme la couche externe de
oral. 166 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Sa for111e dans le lobe occipital . Son aspect sur les coupes vertico-traus- v
la base des circonvolutions troisième temporale (T.,) et troisième occipitale (0.,) (fig. 383, voy. aussi lige52 à 262). La p
is cette forme particulière que dans le lobe temporal; dans le lobe occipital , la paroi inférieure de la gouttière se réfléch
som- met effilé est situé, environ, à 2 centimètres et demi du pâle occipital . Il résulte de cette disposition que, sur les c
versales. le à faisceau longitudinal inférieur affecte dans le lobe occipital la forme d'un WkM anneau plus ou moins irréguli
e projection et d'association, qui tapissent le plancher des cornes occipitale et sphénoïdale, et qui sont comprises entre l'é
, où il entoure d'un anneau complet l'extrémité effilée de la corne occipitale , il s'épaissit considérablement le long de la par
égulière et recouverte par les libres d'association propres au lobe occipital (voy. p. 780); elle présente il la base de chacun
onvolu- tions temporales ('C,T2,T3), de la troisième circonvolution occipitale (0,,) et des lobules fusiforme (Fus) et lingual
, lobule lingual. - Os, 03, deuxième et troisième cir- convolutions occipitales . Os, deuxième sillon occipital. oa', incisure du
ème et troisième cir- convolutions occipitales. Os, deuxième sillon occipital . oa', incisure du sillon occipital antérieur de
s occipitales. Os, deuxième sillon occipital. oa', incisure du sillon occipital antérieur de Wernicke. - of, sillon collatéral.
- RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Tap, tapetum. Voc, corne occipitale du ventricule latéral. FAISCEAUX D'ASSOCIATION
secondaires, consécutives à des lésions corticales limitées du lobe occipital , nous ont toutefois montré, que ce faisceau con-
al inférieur prennent leur origine dans l'écorce du pôle et du lobe occipital ; elles traversent radiairement, avec les libres
sième segments du noyau lenticulaire. - 0,, première circonvolution occipitale . - Plchl, plexus choroïdes du ventricule latéra
orne frontale. - Sge', substance grise sous-épendymaire de la corne occipitale . - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche
. - V, ruban de Vicq d'Azyr. VI, ven- tricule latéral. - Voc, corne occipitale . Zr, zone réticulée ou grillagée. lobe, et se g
illagée. lobe, et se groupent de bonne heure en arrière de la corne occipitale , en un mince faisceau annulaire, facile à disti
forme (Fus) et des trois circonvolutions de la face convexe du lobe occipital (Oi,02,03). Toutes ces fibres ne présentent pas
prennent leur origine dans la moitié inférieure et externe du lobe occipital se portent d'arrière en avant, le long du bord in
rtent d'arrière en avant, le long du bord inféro-externe des cornes occipitale et sphénoïdale, les fibres qui naissent de la par
i- quement en bas et en avant, longent la paroi interne de la corne occipitale en dehors du stratum calcarinum, puis passent a
stratum calcarinum, puis passent au-dessous du plancher de la corne occipitale . Toutes ces fibres se rapprochent donc de plus en
auteurs qui assimilent ce faisceau aux fibres de projection du lobe occipital et le décrivent avec ces dernières sous les noms
me des faisceaux optiques (Meynert), substance sa- yittccle du lobe occipital (Wernicke), faisceau sensitif (Charcot, Ballet, B
faisceau longitudinal inférieur est traversé, dans toute sa partie occipitale , par les fibres qui de l'écorce occipitale se r
sé, dans toute sa partie occipitale, par les fibres qui de l'écorce occipitale se rendent dans le tapetum et dans la couche des
er et qu'elles appartiennent, soit à la couronne rayonnante du lobe occipital , soit à la couronne rayonnante du lobe temporal
de l'écor- ce temporale (J. De- jerine.) Les lésions du lobe occipital ne retentis- sent pas sur. le pied du pédoncu
s fibres du « faisceau dit de Tüuclc » proviennent, non pas du lobe occipital , comme l'ont admis Türch, Meynert, Wernicke, Char
énérescences secondaires consécutives aux lésions de la corticalité occipitale confirme encore l'origine temporale du faisceau d
faites par l'un de nous dans cinq cas de lésions de la corticalité occipitale , - intéressant soit la convexité occipitale jusqu
sions de la corticalité occipitale, - intéressant soit la convexité occipitale jusqu'au pli courbe inclusivement, soit le cuné
capsule interne, persistent intacts à la suite des lésions du lobe occipital et que, dans ces cas, le segment rétro-lenticulai
vail, mon- tre en effet que, tant que la lésion est limitée au lobe occipital , la dégé- nérescence secondaire est toujours ca
dès que les altérations corticales ne sont plus cantonnées au lobe occipital , mais empiètent sur les lohes pariétal et tempora
ité générale, le faisceau sensitif, qui s'épanouissait dans le lobe occipital et qui constituait le faisceau externe du pédon
ous venons de l'indiquer, le faisceau de Türch ne vient pas du lobe occipital et d'autre part, c'est là une chose prouvée par d
ses observations èliniques suivies d'autopsies, les lésions du lohe occipital , corticales ou centrales, ne retentissent pas s
s microscopiques sériées de cerveaux de singe Les lésions du lobe occipital no produi- sent pas de troubles de la sensibi
de la capsule interne. coa, commissure antérieure. - duo, diverticule occipital .eA', écorce . de la scissure calcarine. I· ? de
ig. : 388\ on ne retrouve dans la couche sagittale du lobe temporo- occipital les différences de coloration si caractéristiques
fortement colorés par l'hématoxyline. Ces libres nais- sent du lobe occipital (pointe, face interne et face externe), se porten
ent de fibres de l'ergot de Morand, entourent complètement la corne occipitale , se réunissent le long de la paroi externe du v
oscopiques sériées, ce faisceau naît en arrière des circonvolutions occipitales , en particulier de la pointe occipitale et de ses
rrière des circonvolutions occipitales, en particulier de la pointe occipitale et de ses faces interne et externe; de là il se
]\'L3, NL" Ni ? noyau lenticulaire et ses trois segments. - 0, lobe occipital . - off, partie orbitaire de la première circonv
rtie orbitaire de la première circonvolution frontale. Ov, faisceau occipital vertical de Wernicke. - ! 'iTk, pédoncule infér
ûro dans les deux sens. fibres d'associa- tion propre au lobe occipital . matoxyline n'a rien qui doive étonner, étant d
nférieur est avant tout un faisceau d'association qui relie le lobe occipital , et en particulier la zone visuelle, au lobe te
lobe temporal. Ce faisceau dégénère à la suite des lésions du lobe occipital et se trouve intéressé, dans la variété de cécité
férieur, à la suite des lésions portant non plus sur la corticalité occipitale , mais sur la masse blanche sous-jacente et en par
ieur ne contient pas, outre les fibres qui lui viennent de l'écorce occipitale et qui constituent du reste presque la totalité d
lui venant de l'écorce temporale, iraient s'arboriser dans l'écorce occipitale . La méthode des dégénérescences secon- daires e
e tel ou tel de ces faisceaux. Fibres d'association propres au lobe occipital (Stratum pro- prium corlicis de Sachs). Autour
sceau longitudinal inférieur se groupent les fibres propres au lobe occipital , disposées en cinq faisceaux plus ou moins nett
s. Ce sont : en dedans le stratum calcarinum, en dehors le faisceau occipital vertical de Wernicke, enbas le faisceau trans-
rse du cunéus et le faisceau propre du cunéus de Sachs. Le faisceau occipital vertical, le stratum calcarinum et le faisceau
plus ou moins verticales, qui relient la partie supérieure du lobe occipital à ses parties moyenne et inférieure; les fibres
u lobule lingual. Cette couche de fibres verticales s'étend du pôle occipital au lobe limbique, unit, au niveau de la branche c
éus serait ainsi dépourvu. L'examen microscopique de coupes du lobe occipital , colorées par les méthodes de Weigert ou de Pal
ns longues, avant d'arriver la couche des fibres sagittales du lobe occipital . Le faisceau occipital vertical ou occipital pe
er la couche des fibres sagittales du lobe occipital. Le faisceau occipital vertical ou occipital perpendiculaire de Wernicke
res sagittales du lobe occipital. Le faisceau occipital vertical ou occipital perpendiculaire de Wernicke (Ov), (fig. 377, 38
is de Sachs, constitue une épaisse couche de fibres propres au lobe occipital et qui relie le bord supérieur de ce lobe à sa
re. Il met par conséquent en con- nexion la première circonvolution occipitale avec la troisième circonvolu- tion occipitale e
emière circonvolution occipitale avec la troisième circonvolu- tion occipitale et avec le lobule fusiforme. Très épaisse dans la
occipitale et avec le lobule fusiforme. Très épaisse dans la région occipitale , cette couche s'amincit en avant; elle est toutef
sillon parallèle. En arrière du gyrus supra-marginalis, le faisceau occipital vertical de Stratum calcari- Ullll1. ri 1
igine et son trajct. 782 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Faisceau occipital transvcrse du cu- néus. Ce faisceau relie l
cu- néus. Ce faisceau relie le cunéus à la convexité du lobe occipital et à son bord infére-ex- terne. Faisceau oc
té du lobe occipital et à son bord infére-ex- terne. Faisceau occipital transverse du lobule lingual de Vialet. Ce
région calcarinienne en communication avec la convexité du lobe occipital . , Wernicke se confond avec les fibres postérie
tituent - donc une sorte de cloison verticale, étendue de la pointe occipitale à la branche postérieure de la scissure de Sylv
r coloration moins foncée par la laque hématoxylinique. Le faisceau occipital transverse du cunéus (stratum cllnei tranSVeJ'SIf
tcS), (fig. 390, 384 et 389) relie le cunéus à la convexité du lobe occipital et à son bord inféro-externe ; il appartient à la
urbent en haut, passent au-dessus du cône creux formé par la partie occipitale du faisceau longitudinal inférieur, puis tra- v
e du faisceau longitudinal inférieur, puis tra- versent le faisceau occipital vertical, se mélangent intimement aux fibres co
s'irradient très probablement dans l'écorce de la convexité du lobe occipital et de son 4tY'" " bord inféro-externe. Les libr
e pariétal supé- rieur et dans le pli courbe (Sachs). Le faisceau occipital transverse du lobule lingual de Vialet (fig. 290
h, une seconde fois au niveau de l'angle inféro-externe de la corne occipitale , puis elles traversent le fais- ceau occipital
externe de la corne occipitale, puis elles traversent le fais- ceau occipital vertical de Wernicke, et s'irradient dans l'écorc
de Wernicke, et s'irradient dans l'écorce de la con- vexité du lobe occipital et de son bord inféro-externe. Ce faisscau, qui r
tion qui met en relation la région calcarinienne avec la convexité occipitale , se trouve quelquefois, dans certaines lésions
é occipitale, se trouve quelquefois, dans certaines lésions du lobe occipital , persister intact, parmi les libres dégénérées
alet, Obs. III). Outre ces quatre couches de fibres propres au lobe occipital , Sachs dé- crit une cinquième couche de oourtes
m proprium cunei. r ig. 389. - Coupe vertico-transversale du lobe occipital gauche, destinée à montrer . l'origine et le tr
r . l'origine et le trajet des fibres d'association propres du lobe occipital . (Demi- schématique.) , C, cunéus. - far, fib
ngual. 0,, 0" 03, première, deuxième et troisième circonvolu- tions occipitales .- os, deuxième sillon occipital. - Or, faisceau o
me et troisième circonvolu- tions occipitales.- os, deuxième sillon occipital . - Or, faisceau occipital vertical.-at, si1lon
- tions occipitales.- os, deuxième sillon occipital. - Or, faisceau occipital vertical.-at, si1lon collatéral. po, scissure p
oprium cunei. - Tap, tapetum. V, ruban de Vicq d'Azyr. - Fac, corne occipitale du ventricule latéral. 78t ANATOMIE DES CENTRES
d'association propres est beaucoup moins développé que dans le lobe occipital . La corne occipitale, autour de laquelle se gro
s est beaucoup moins développé que dans le lobe occipital. La corne occipitale , autour de laquelle se groupent les couches sag
s fibres d'association, se prolonge en effet très loin dans le lobe occipital , tandis que la corne frontale ne dépasse guère l'
quoique beaucoup plus réduite, à ce que l'on observe dans la corne occipitale (fig. 390). L'anneau interne se trouve constitu
ciation ne se disposent pas en couches compactes comme dans le lobe occipital - elles s'entre-croisent en effet avec les nomb
. parties postérieures et réfléchies; nées de toute l'écorce du lobe occipital et de la partie postérieure du lobe pariétal, c
lobe pariétal, ces dernières entourent d'un anneau complet la corne occipitale . Grâce à la saillie de l'ergot de Morand dans l
etit, qui reçoit les radiations de la partie inféro-interne du lobe occipital , l'autre supérieur, beaucoup plus volumi- neux,
e dernier faisceau détermine à la partie supéro-interne de la corne occipitale la production d'un relief conoïde, situé en dedan
ires du forceps. Les radiations calleuses qui naissent de la pointe occipitale (faces externe, interne et inférieure) converge
e) convergent vers l'extrémité effilée et pos- térieure de la corne occipitale . Confondues en arrière avec les fibres d'asso-
e immédiat de la cavité ventri- ' culaire. Elles entourent la corne occipitale d'une couche mince et régulière . (Tap) fig. 29
ans, et plus ou moins parallèlement il la paroi interne de la corne occipitale (fig. 384, p. 768). Il en est de même de la plu
terne du ventricule. Nées des troisième et deuxième circonvolutions occipitales 10" 03), ces libres rayon- nent vers la paroi e
es qui naissent du cunéus (( : ;1 et lit première ('ir- convolution occipitale IO,) convergent, en rayonnant, vers l'angle supér
e IO,) convergent, en rayonnant, vers l'angle supérieur de la corne occipitale , traversent les couches des faisceaux d'associati
ig. 384). Renforcé par les libres de la paroi . externe de la corne occipitale et surtout par le fort contingent, qui lui vient
ontingent, qui lui vient du cunéus et de la première circonvolution occipitale , ce faisceau se porte en avant et reçoit dans l
nc, en d'autres termes, une sorte de cône creux qui coiffe la corne occipitale et qui est recouvert par deux cônes concentriqu
aire, qui tapisse la paroi supéro-externe des cornes sphénoïdale et occipitale ; cette couche se continuait en haut avec la parti
nis- sait en arrière, au forceps, au niveau de la voûte de la corne occipitale . Burdach, au contraire, ne désigne sous le nom
certaine part dans la constitution de la paroi externe de la corne occipitale (voy. Faisceau occipito-frontal et fig. 384); s
effet, un certain nombre de fibres de la paroi externe de la corne occipitale aborder le faisceau principal ou major du forceps
en effet comme celles du forceps à la suite de lésions de l'écorce occipitale . Ce sont les lésions expérimentales ou pathologiq
tème de projection et le système calleux. Si le cunéus et la pointe occipitale sont le siège d'un ramollissement ancien, si, c
2 et 393, il s'agit d'une plaque jaune ancienne, occupant la pointe occipitale (0" O2), le gyrus descendens (D), le cunéus (C)
alleuses se dispose comme suit : les fibres dégénérées de la pointe occipitale et de la base du cunéus revêtent la partie postér
et de la base du cunéus revêtent la partie postérieure de la corne occipitale d'un anneau dégénéré complet et sous-épendymaire.
ne et supérieure du lobe occipito-pariétal (deuxième circonvolution occipitale [0.=], pli courbe [Pc], première circonvolution
dégénérée se cantonne aux parois inférieure et externe de la corne occipitale , puis remonte le long de la paroi externe du ve
e de Vialet, Obs. I). Si la lésion porte au contraire sur la pointe occipitale (0,,02), sur les lobules fusiforme (Fus) et lin
g. 397 et 398). En résumé donc, les lésions de la scissure pariéto- occipitale (po) (fig. 395). et de la partie postérieure de
lors la partie profonde du bourrelet. Dans les lésions de la partie occipitale de la scissure collaté- rale (ot), du pli cunéo
corticale. Plaque jaune ancienne du cunéus et des circon- volutions occipitales gauches, légères plaques jaunes sur les deuxième
er. Deux cas d'hémianopsie homonyme par lésions de l'écorce du lobe occipital . Arch. de Phys., 1890, p. 177 et Vialet, Thèse de
lcarine (K), la face du cunéus (C) qui regarde la scissure pariéto- occipitale (po), le fond du sillon inter-pariétal (ip) et le
la scissure calcarine (K). Les courtes fibres d'association du lobe occipital telles que le faisceau transverse du cunéus de
aisceau transverse du lobule lingual de Vialet (ftlgY), le faisceau occipital perpendiculaire ou vertical de Wernicke (Ov) sont
interne des radiations Fie. 394. Coupe vertico-transversale du lobe occipital dans un cas d'hémianopsie homonyme latérale dro
g. 392 et 393). Cette coupe passe environ à 45 millim. de la pointe occipitale et intéresse le pli courbe (Pc), la scissure pa
a zone de dégénérescence qui occupe la paroi inférieure de la corne occipitale , elle doit être rapportée à la lésion de la point
corne occipitale, elle doit être rapportée à la lésion de la pointe occipitale . Sur les coupes qui passent en arrière de la co
énérées du tapetum et des radiations thalamiques entourent la corne occipitale d'un anneau dégénéré complet. Sur les coupes
suiv., t. II et Vialet, Thèse de Paris, 1893). Les lésions du lobe occipital , et en particulier celles du cunéus, en- traîne
la bandelette optique. Mais, fait important, ces lésions du lobe occipital ne déterminent pas de dégénérescence dans le pied
le faisceau de Turck, dé- génère non à la suite de lésions du lobe occipital , mais consécutivement à à Fig. 395. Ilémianolos
calleuses s'observent non seulement il la suite de lésions du lobe occipital , mais consécutivement à n'importe quelle lésion
e ainsi que de la parole, et relevant des lésions anciennes du lobe occipital . Pendant le deuxième stade, qui ne dura qu'une
ce du cunéus du lobule lingual, du lobule fusiforme et de la pointe occipitale et, d'autre part, avec ce que nous avons dit plus
les dégénérescences du bourrelet consécutives à des lésions du lobe occipital . Mais l'examen méthodique de la pièce, par la m
lle intéresse en outre au niveau de la paroi inférieure de la corne occipitale (Voc), à la base du lobule fusiforme (Fus), la
e on voit ces fibres dégénérées longer la paroi interne de la corne occipitale , se rassembler pour former le faisceau inférieu
ème sillons temporaux. Tap, tapetum. lec, ttenia tecta. T'oc, corne occipitale du ventricule latéral. Ce cas a trait à un homm
ey- nert (15G51, l'ont suivie par la dissection jusque dans le lobe occipital ; Arnold (1851) et Luys (186a) n'ont pu la suivr
érale, intéressant le lobule lingual (Lg), le cunéus (C), la pointe occipitale (0,, 0,), le lobule fusiforme (Fus) et la parti
dans le cas de ramollissement cortical du cunéus (C), de la pointe occipitale (0,,0) et de la lèvre calcarine du lobule lingual
1893. Du même. Note sur l'existence à la partie inférieure du lobe occipital d'un faisceau d'association distinct, le faisceau
2 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
ions frontales; P,P, circonvolutions pariétales; 0,0, circonvolutions occipitales ; ce, corps calleux; NL, nerfs de Lancisi. chez
circonvolutions frontales ; les postérieures sont les circonvolutions occipitales ; les moyennes sont les circonvolutions pariétale
ns la partie antérieure ou orbitaire et dans la partie postérieure ou occipitale . Le corps calleux (ce) y est entrevu, dans la pro
sphénoïdal; en arrière elles convergent également pour former le pôle occipital (PO), où elles font suite aux circonvolutions occ
ormer le pôle occipital (PO), où elles font suite aux circonvolutions occipitales de la convexité. La portion antérieure de la fe
utions antérieures ou orbitaires; PO, circonvolutions postérieures ou occipitales ; Bf, fente deBichat; T3, circonvolutions temporal
un bistouri dans le canal rachidien par la partie antérieure du trou occipital et l'on divise la moelle au niveau du collet du b
mité répond à la région frontale et la petite extrémité à la région occipitale . Chaque demi-ovoïde présente une surface externe
face externe du même hémisphère. F, extrémité frontale; 0, extrémité occipitale ; S, dépression de la vallée de Sylvius, au-dessou
m, trou de Monro; VF, corne frontale du ventricule latéral; VO, corne occipitale ; VS, corne sphenoidale; CO, centre ovale de Vieus
en arrière, par un prolongement étroit et aplati, avec une dilatation occipitale , triangulaire, terminée en pointe au voisinage du
ion occipitale, triangulaire, terminée en pointe au voisinage du pôle occipital : c'est la corne occipitale du ventricule latéral
e, terminée en pointe au voisinage du pôle occipital : c'est la corne occipitale du ventricule latéral (VO). Enfin la corne occipi
c'est la corne occipitale du ventricule latéral (VO). Enfin la corne occipitale elle-même communique largement en avant et en bas
le; les fibres du splenium passent au-dessus et en dehors de la corne occipitale . Uniformément convexe à sa face supérieure et c
rtie ménagée en blanc sur le schéma 8 (A), F, côté frontal; 0, côté occipital de l'héjriis])hère ; ce, corps calleux; GC, genou
ds départements ou lobes : le lobe frontal, le lobe pariétal, le lobe occipital , le lobe temporal, le lobe limbique et le lobe de
eure; S'", sa branche verticale) ; L, scissure limbique ; 0, scissure occipitale ; K, scissure calcarine ; R, scissure de Rolando
ux circonvolutions pariétales ; 010203040506, les six circonvolutions occipitales ; T1TÎT3T4T5, les cinq circonvolutions temporales;
tions frontales; T4,06 désignent la quatrième temporale et la sixième occipitale . La circonvolution frontale ascendante et la pari
ite ainsi plus facilement la confusion de O1 (première circonvolution occipitale ) avec Ot (premier sillon occipital)..... et ainsi
on de O1 (première circonvolution occipitale) avec Ot (premier sillon occipital )..... et ainsi de suite. Les plis de passage et
et tout aussi facile à comprendre que celui de sixième circonvolution occipitale . À l'époque encore peu éloignée où les plis du
ntale (F) se confond avec la région pariétale. (P). Quant à la région occipitale , elle n'existe que virtuellement, en arrière de l
nouvelle scissure se montre, oblique en bas et en avant : la scissure occipitale interne (Oi, schéma 14). Elle forme avec la calca
ine un angle ouvert en arrière, dont les côtés limitent le futur lobe occipital . Au-dessous de la calcarine (K) est le lobe tempo
e (K) est le lobe temporal (T) ; au-dessus et en avant de la scissure occipitale interne (Oi) est le lobe pariétal (P). Le lobe
es parties que nous avons déjà K, scissure calcarine Oi, scissure occipitale interne ; F, région frontale; P, région parié
rine (K) se relève en arrière et se confond en avant avec la scissure occipitale (Oi, schéma 15). La portion de l'écorce comprise
formé par ces deux scissures est le cuneus ou sixième circonvolution occipitale . Cette sixième circonvolution occipitale représen
us ou sixième circonvolution occipitale. Cette sixième circonvolution occipitale représente en réalité la partie essentielle du lo
lution occipitale représente en réalité la partie essentielle du lobe occipital à la face interne du cerveau. La scissure occipit
sentielle du lobe occipital à la face interne du cerveau. La scissure occipitale interne, qui le limite en avant, (Oi) atteint le
ontinuité dans le trajet de ces deux plis; qu'ils vont depuis le pôle occipital (PO), au-dessous de la scissure calcarine (K), ju
émarcation entre les circonvolutions temporales (T4, T3) et la région occipitale . La partie la plus reculée de la cinquième circon
te, dans la nomenclature de Broca, le nom de cinquième circonvolution occipitale (O3 schéma 15). Mais ce n'est là qu'une assimi-
cinq mois et demi à six mois). À', scissure calcarine; Oi, scissure occipitale interne; 0e, sixième circonvolution occipitale ou
alcarine; Oi, scissure occipitale interne; 0e, sixième circonvolution occipitale ou cuneus ; 05, gyrus lingual ; PO, pôle occipita
me circonvolution occipitale ou cuneus ; 05, gyrus lingual ; PO, pôle occipital ; ott, quatrième sillon occipito-temporal; T8, cin
l. lation avec ce qu'on observe sur le cerveau du singe, où le lobe occipital a une autonomie parfaite. Dans la nomenclature al
. Il y a peu de modificji-tions à signaler (schéma 16) dans la région occipitale et dans la région temporale. On remarquera seulem
et dans la région temporale. On remarquera seulement que la scissure occipitale (Oe) entame de plus en plus profondément le bord
Enfin, dans l'intervalle qui sépare le lobe paracentral (Pa) du lobe occipital (06), c'est-à-dire entre la scissure limbique (L)
ital (06), c'est-à-dire entre la scissure limbique (L) et la scissure occipitale (Oe), on voit une surface quadrilatérale, qu'on a
lleux; GC, genou du corps calleux; X,scissure calcarine; Oe, scissure occipitale interne faisant suite à la scissure occipitale ex
alcarine; Oe, scissure occipitale interne faisant suite à la scissure occipitale externe ; oi^, grand sillon occipito-temporal; 0"
misphère droit (fœtus à terme), if, scissure calcarine ; Oe, scissure occipitale envoyant une branche dans le cuneus (0") ; ot^, g
circonvolution temporale, se continuant en arrière avec la quatrième occipitale (0*), ou gyrus fusiforme; T", cinquième circonvol
orale (ou de l'hippocampe) se continuant en arrière avec la cinquième occipitale (0^) ou linguale, et, en avant, avec le crochet (
cinquième circonvolution occipito-temporale, en arrière, vers le pôle occipital , le grand sillon occipito-temporal (0/4) envoie u
ux des branches delà scissure sous-pariétale, a pour base la scissure occipitale (Oe). Le grand sillon métopique (sME), la plupa
lus qu'à la face interne, il n'est possible de reconnaître une région occipitale distincte. Dans le courant du cinquième mois, l
on (f2), deuxième sillon temporal, apparaît au voisinage de la région occipitale (0). Le lobe temporal est donc, lui aussi, défini
premier sillon temporal; tt,, deuxième sillon temporal; 0, région occipitale . Schéma 19. — Face externe d'un hémisphère droi
e ces sillons. En arrière, le lobe temporal se confond avec la région occipitale et avec la région pariétale. Dans le courant du
irconvolution pariétale ascendante; GP, lobule du pli courbe; 0, pôle occipital ; r.O, pli de passage pariéto-occipital supérieur
érieur de l'hémisphère, en arrière, apparaît l'encoche de la scissure occipitale (Oe), que nous avons déjà signalée à la face inte
la face interne de l'hémisphère. Ce qui est en arrière de la scissure occipitale est le lobe occipital (0). Au-dessous de cette en
misphère. Ce qui est en arrière de la scissure occipitale est le lobe occipital (0). Au-dessous de cette encoche, un sillon profo
n 0), qui décrit une courbe à concavité interne autour de la scissure occipitale externe (Oe) ; c'est le pli de passage pariéto-oc
erne (Gratiolet). Il réunit le lobule pariétal supérieur (P1) au lobe occipital (0); un pli inférieur (71 P), au-dessous du sillo
, au-dessous du sillon pariétal (p), relie le pli courbe (PC) au lobe occipital : c'est le deuxième pli de passage externe, ou pl
s la région pariétale, il n'y a rien à signaler; c'est dans la région occipitale (celle dont le développement est certainement le
rtantes. Sur l'hémisphère que nous avons reproduit ici, la scissure occipitale externe (Oe) atteint le sillon pariétal (p), de t
petite incisure transversale (0,), qu'on doit appeler premier sillon occipital , mais qu'on peut considérer — par assimilation av
ui s'observe chez les primates — comme un prolongement de la scissure occipitale externe (Oe). Ce qui se trouve au-dessus et en av
rne (Oe). Ce qui se trouve au-dessus et en avant de ce premier sillon occipital est la première circonvolution occipitale (O1).
avant de ce premier sillon occipital est la première circonvolution occipitale (O1). La première occipitale fait immédiatement s
cipital est la première circonvolution occipitale (O1). La première occipitale fait immédiatement suite, on le conçoit, au premi
externe. Ce qui se trouve au-dessous et en arrière du premier sillon occipital (oj) est la deuxième circonvolution occipitale (O
rière du premier sillon occipital (oj) est la deuxième circonvolution occipitale (O2). La deuxième circonvolution occipitale est r
a deuxième circonvolution occipitale (O2). La deuxième circonvolution occipitale est reliée au pli courbe (PC) par le deuxième pli
rolandique supérieur ; sillon post-rolandique inférieur; Oe, scissure occipitale externe ; o,,, premier sillon occipital ; o,, deu
ique inférieur; Oe, scissure occipitale externe ; o,,, premier sillon occipital ; o,, deuxième sillon occij)ital ; 0\ 0^, 0', pre
occij)ital ; 0\ 0^, 0', première, deuxième, troisième circonvolutions occipitales ; PC, pli courbe ; r.V, deuxième pli de passage e
t^, deuxième sillon temporal. Enfin, cette deuxième circonvolution occipitale est limitée en bas — mal limitée d'ailleurs — par
— mal limitée d'ailleurs — par un petit sillon (02), deuxième sillon occipital , qui est sur le prolongement du deuxième sillon t
euxième sillon temporal {t^. Ce qui est au-dessous du deuxième sillon occipital est la troisième circonvolution occipitale (0^),
-dessous du deuxième sillon occipital est la troisième circonvolution occipitale (0^), toujours confondue avec la troisième tempor
premier et deuxième lobules pariétaux; PC, pli courbe ; Oe, scissure occipitale externe; A', scissure calcarine ; O1, O2, 05, pre
calcarine ; O1, O2, 05, première, deuxième, troisième circonvolutions occipitales . ment fermée. Il faut en écarter les lèvres pou
territoires (P, P1, P2) sont plus complètement isolés. Sur le lobe occipital on peut reconnaître encore les trois circonvoluti
O3). Mais leurs limites ne sont pas représentées par les deux sillons occipitaux (o„ ot schéma 21). C'est le prolongement bifurqué
ourbe ; PC, pli courbe ; O1, O2, première et deuxième circonvolutions occipitales ; r.O, premier pli de passage externe ; itP, deuxi
insi que nous l'avons dit, la continuation antérieure de la cinquième occipitale (03), et aussi la continuation du lobe carré (CQ)
Sur ce schéma on constate facilement que la quatrième circonvolution occipitale (O1), ou gyrus fusiforme, occupe la région tempor
u gyrus fusiforme, occupe la région temporale bien plus que la région occipitale . Les circonvolutions orbitaires, en avant de la
érieure ou horizontale de Sylvius ; PS, pôle sphénoïdal; PO, pôle occipital ; Bf, fonte de Bichat; T-, T% T*, T% deuxième
», deuxième, troisième, quatrième, cinquième, sixième circonvolutions occipitales ; A', scissure calcarine ; Oc, scissure occipi
irconvolutions occipitales; A', scissure calcarine ; Oc, scissure occipitale ; oZj, grand sillon occipito-temporal de Pansch
sillon sous-frontal ; sf, deuxième sillon sous-frontal ; Oe, scissure occipitale ; À', scissure calcarine ; A'', branche inférieur
; R, scissure de Rolande ; sP, scissure sous-pariétale; Oi, scissure occipitale interne; K, scissure calcarine; ot^, grand sillon
o-temporal; 0^, 0^, 0°, quatrième, cinquième, sixième circonvolutions occipitales ; T*, quatrième circonvolution temporale. (C). E
lobe carré; BQ, bourrelet du lobe carré; 0*, quatrième circonvolution occipitale ; T*, quatrième circonvolution temporale. interv
la continuité absolue du gyrus fusiforme ou quatrième circonvolution occipitale (O4) avec la quatrième temporale (T4). Nous ven
ue; R, scissure do Rolando; sP, scissure sous-pariétale; Oe, scissure occipitale ; K, scissure calcarine; 0S, gyrus lingual ou cinq
K, scissure calcarine; 0S, gyrus lingual ou cinquième circonvolution occipitale ; 06, gyrus cunéiforme (cuneus) ou sixième circonv
n occipitale; 06, gyrus cunéiforme (cuneus) ou sixième circonvolution occipitale . interne de l'hémisphère droit d'une négresse,
rine (K), par une exception vraiment rare, n'arrive pas jusqu'au pôle occipital . Elle est interrompue par un pli d'anastomose qui
terrompue par un pli d'anastomose qui relie la sixième circonvolution occipitale (O6) à la cinquième (0S). De ce fait, le sillon d
De ce fait, le sillon du cuneus, au lieu de se jeter dans la scissure occipitale (Oe), se jette dans la calcarine (K). Le schéma
ssure de Rolando; itL, pli de passage pariéto-limbique ; Oe, scissure occipitale ; K, scissure calcarine ; 06, gyrus cunéiforme ; o
arine (K) par un pli d'anastomose qui relie la sixième circonvolution occipitale (06) à la cinquième située au-dessous. Les plan
re du lobule du pli courbe; ipc, incisure du pli courbe; Oe, scissure occipitale ; A', scissure calcarine; K', branche inférieure d
pli courbe; 0', 0-, 0', première, deuxième, troisième circonvolutions occipitales ; r.O, premier de passage externe ; icP, deuxième
; L, scissure limbique ; pi, sillon pariétal transverse; Oe, scissure occipitale . Schéma 38. — Face externe d'un hémisphère droi
e; sillon interpariétal; pt, sillon pariétal transverse; Oe, scissure occipitale ; T% T-, T", première, deuxième, ti'oisième circon
i courbe; 0^, 0^, 0', première, deuxième et troisième circonvolutions occipitales ; itO, premier pli de passage externe ;-P, deuxièm
isent la série des coupes verticales de l'hémisphère depuis la région occipitale jusqu'à la région frontale. Quiconque voudra prat
de Bichat; VF, corne frontale (hi ventricule latéral ; YO, corne occipitale : VS, corne sphénoï-dale; CV, carrefour ventr
eprésentées sur chaque figure. Au contraire, les repères de la région occipitale ou de la région frontale, qui ne correspondent qu
ace interne de l'hémisphère. Lorsqu'on est arrivé ainsi dans la corne occipitale du ventricule, on a sous les yeux la face interne
rne de la cavité. Le schéma 47 représente la face interne de la corne occipitale du ventricule latéral droit. Le corps calleux (ce
le forceps major (il occupe la face supérieure et interne de la_corne occipitale ). Au-dessous du corps calleux, le trigone céréb
l'ergot de Morand comme appartenant à la face inférieure de la corne occipitale . UU1SSAUD. f et on dehors; il est constitué p
llon post-rolandique inférieur (P*) jusqu'à un tronçon de la scissure occipitale externe (Oe). Il sépare deux régions bien distinc
3). Il se prolonge en arrière jusque dans la troisième circonvolution occipitale (03), où il se termine. Son extrémité postérieure
sous de la troisième temporale, en avant et en dedans de la troisième occipitale (03). Il se confond en partie à ce niveau avec la
ée en arrière de l'extrémité supérieure de Rolando. Oe. La scissure occipitale externe ne se reconnaît qu'à la situation précise
e forme la limite du pli courbe (PC) et de la première circonvolution occipitale (01). Elle reçoit l'extrémité postérieure du sill
édentes, à la face interne de l'hémisphère, entame légèrement le lobe occipital , parla branche supérieure qu'elle envoie en haut
he supérieure qu'elle envoie en haut et en arrière, au-dessus du pôle occipital . Elle sépare la première circonvolution occipital
, au-dessus du pôle occipital. Elle sépare la première circonvolution occipitale (O1) de la seconde (02). F. La circonvolution f
t commun au lobule pariétal supérieur et à la première circonvolution occipitale (O1). Ce pli de passage ferme en dehors la scissu
lution occipitale (O1). Ce pli de passage ferme en dehors la scissure occipitale externe (Oe). Au-dessous de lui, et un peu en arr
pli courbe (ipc)., en arrière par le tronçon inférieur de la scissure occipitale externe (Oe), il n'a pas de limite inférieure ; i
de limite inférieure ; il se continue avec la deuxième circonvolution occipitale (O2) par le deuxième pli de passage pariéto-occip
e passage ne se confond pas seulement avec la deuxième circonvolution occipitale (O2) ; il envoie un prolongement à la première (O
ed de la temporale transverse (pTt). O1. La première circonvolution occipitale fait suite au premier pli de passage externe (tcO
En avant et en dehors de cette scissure, la première circonvolution occipitale se réunit à la seconde, au niveau du deuxième pli
u du deuxième pli de passage (tïP) . 02. La deuxième circonvolution occipitale est séparée de la première par le prolongement su
euxième temporale (T2); enfin elle se confond aussi avec la troisième occipitale (O3), dont elle n'est isolée que par le prolongem
ent inférieur de la calcarine (K'). 03. La troisième circonvolution occipitale forme le pôle occipital (PO). Elle se continue sa
rine (K'). 03. La troisième circonvolution occipitale forme le pôle occipital (PO). Elle se continue sans aucune démarcation av
xième sillons temporaux (t± et £2) jusqu'à la deuxième circonvolution occipitale (O2), avec laquelle elle se confond grâce au troi
ère; elle se prolonge, en arrière, dans la troisième circonvolution occipitale (O3). C'est la même circonvolution qui forme le b
férieur de l'hémisphère, depuis le pôle sphénoïdal (PS) jusqu'au pôle occipital (PO). Rien ne permet de différencier la troisième
Rien ne permet de différencier la troisième temporale de la troisième occipitale . Figure 2. HÉMISPHÈRE DROIT Les analogies d
adrijumeau antérieur (QA). L'extrémité frontale est à gauche; le pôle occipital (PO) est à droite. ce. Le corps calleux occupe
mière circonvolution temporale (T*). 0^. La deuxième circonvolution occipitale est située immédiatement en arrière du tronçon in
té par les trois plis du lobe carré (GQA, GQP, BQ). Oi. La scissure occipitale interne sépare le lobe pariétal du lobe occipital
Oi. La scissure occipitale interne sépare le lobe pariétal du lobe occipital . Elle s'étend obliquement de haut en bas et d'arr
la circonvolution limbique au-dessous du corps calleux, jusqu'au pôle occipital (PO) où elle se bifurque. La branche supérieure d
che supérieure de bifurcation pénètre dans la deuxième circonvolution occipitale (0^). La branche de bifurcation inférieure pénètr
he de bifurcation inférieure pénètre dans la troisième circonvolution occipitale (0^). La scissure limbique (I), la scissure sou
ipito-temporal s'étend d'arrière en avant depuis le voisinage du pôle occipital (PO) jusqu'au voisinage du pôle sphénoïdal. Il es
e confond avec le cap (CQ). 0". Le cuneus ou sixième circonvolution occipitale s'enfonce comme un coin dans l'angle formé par la
occipitale s'enfonce comme un coin dans l'angle formé par la scissure occipitale interne {Oi) avec la calcarine (K). Il se continu
premier pli de passage pariéto-occipital (tcO), qui ferme la scissure occipitale interne {Oi). En bas, il se confond avec la deuxi
e interne {Oi). En bas, il se confond avec la deuxième circonvolution occipitale (0^). On constate qu'il est parcouru d'arrière en
s {sCu), qui est le plus élevé, se jette directement dans la scissure occipitale interne (Oi). Le sommet du cuneus, très aminci
i:0®). Ce pli de passage sépare l'extrémité antérieure de la scissure occipitale interne [Oi) de l'extrémité antérieure de la calc
. pl. Vlll, TiO^). 0^ Le lobule lingual ou cinquième circonvolution occipitale est très régulièrement conformé et aussi nettem
ù il s'enroule autour du sillon (si), branché sur le quatrième sillon occipital {oQ. Il décrit donc une courbe à concavité antéri
, en bas et en dehors, il se confond avec la troisième circonvolution occipitale (0^). En avant, il va, en s'amincis-sant, se conf
emporal (o/,^). 0*. Le gyrus fusiforme, ou quatrième circonvolution occipitale , très largo en arrière, très mince en avant, n'at
le, très largo en arrière, très mince en avant, n'atteint pas le pôle occipital (PO). Elle ne l'atteint jamais et elle figure à t
e ne l'atteint jamais et elle figure à tort parmi les circonvolutions occipitales du cerveau humain. En avant elle se confond sans
on longitudinale inférieure, fait suite à la troisième circonvolution occipitale (0^). Elle disparaît ici, vers son extrémité anté
ne de l'hémisphère. 0% 0\ Les deuxième et troisième circonvolutions occipitales sont ici visibles et représentent, au point où
ci visibles et représentent, au point où elles se confondent, le pôle occipital (PO). Il n'est pas constant qu'on les observe à l
issure calcarine (/t), au lieu de se bifurquer au niveau même du pôle occipital (PO), se bifurque en avant et en dedans de ce pôl
ur et le gyrus postérieur du lobe carré (GQA, GQP). Oi. La scissure occipitale interne ne reçoit pas le sillon du cuneus (sCu).
carine, presque confondue à son extrémité antérieure avec la scissure occipitale interne, se l)ifur(|ue en arrière, immédiatement
le interne, se l)ifur(|ue en arrière, immédiatement au-dessus du pôle occipital (PO). Ses branches de bifurcation passent à la fa
re, entre elles, qu'une étroite surface de la deuxième circonvolution occipitale (0^). Les sillons de la région temporale ne pré
e absolument la masse corticale commune à la cinquième circonvolution occipitale (0^) et à la circonvolution de l'hippocampe (T")
e l'hippocampe (T") de la masse commune k la quatrième circonvolution occipitale (0*) et à la quatrième temporale (T*). TJ. Le t
; puis ils convergent et se confondent sur la deuxième circonvolution occipitale (0^). Aucune description ne peut suppléer à la co
lus grande que la distance qui sépare le milieu de Rolando et le pôle occipital (0^). Cette hypertrophie du lobe frontal entraîne
{p) avec la scissure perpendiculaire externe {Oe). Oe. La scissure occipitale ou perpendiculaire externe s'enfonce directement
e c'est h cette absence du premier pli de passage externe que le lobe occipital doit de présenter, par compensation, un développe
compensation, un développement inusité de la première circonvolution occipitale (0') \ t^. Le sillon parallèle ou premier sillo
1 A ce propos nous ferons remarquer que la présence d'une scissure occipitale complète, entaillant le bord supérieur de l'iiémi
supérieur de l'iiémisplière, doit entraîner une conformation du lobe occipital plus conforme au type schématique que dans les ca
remier pli de passage externe interrompt la continuité de la scissure occipitale . La conformation du lobe occipital, chez l'homme,
ompt la continuité de la scissure occipitale. La conformation du lobe occipital , chez l'homme, est sujette à varier à l'inlini. E
. Or ceux-ci présentent, sans exception, la continuité de la scissure occipitale externe qu'on observe sur la figure 1 de cette pl
n que sur le cerveau en question (fig. 1), les trois cii'convolutions occipitales externes (C, 0-, 0^) sont si faciles à limiter.
érieur (pj jusqu'à son extrémité postérieure au niveau de la scissure occipitale externe [Oe). Cependant, à sa partie moyenne, on
eux plis (P's et P'i), relativement peu compliqués. Oe. La scissure occipitale externe n'est interrompue, dans son trajet à la s
passage pour rendre plus complexe la disposition des circonvolutions occipitales externes (0', 0% 0"'). Tout ce qu'on peut dire de
Enfin le sillon du cuneus (sCu) ne s'anastomose pas avec la scissure occipitale interne (Oi). 0^ Le gyrus lingual, très simple,
ple, se confond largement en arrière avec la troisième circonvolution occipitale (0"'). Mais cette simpHcité n'est peut-être qu'ap
e. On remarquera, en outre, que le cuneus ou sixième circonvolution occipitale (0") occupe à la face interne de l'hémisphère une
du cuneus ne représente ici, en elTet, qu'une branche de la scissure occipitale interne {Oi) s'avançant, d'avant en arrière, à un
ère, à une faible distance dans la masse de la sixième circonvolution occipitale (0"). Par compensation on voit s'avancer en sens
verse, c'est-à-dire d'arrière en avant, une branche du premier sillon occipital (oj venue de la face externe du cerveau. Cette br
tronçon du sillon du cuneus (sCu), anastomosée avec le premier sillon occipital . Enfin, pour parfaire la compensation, on voit un
étude de la région du lobe carré, du cuneus et surtout de la scissure occipitale interne. C'est uniquement à l'étude de ces part
ure de la scissure sous-pariétale semble communiquer avec la scissure occipitale . Il en résulte que le cap du lobe carré (CQ) et l
bée, et ne sont divisés que par l'extrémité inférieure de la scissure occipitale (Oi). BQ. Le bourrelet du lobe carré apparaît a
carré apparaît ainsi, comme un pli isolé, interposé entre la scissure occipitale (Oi) qui le limite en arrière, et la scissure sou
cissure sous-pariétale (sP) qui le limite en avant. Oi. La scissure occipitale interne borde en avant le cuneus (0*^) qui est ét
-limbique (xT). Elle est ainsi absolument indépendante de la scissure occipitale interne (Oi); il est donc inexact de dire que la
de dire que la scissure calcarine se jette en avant dans la scissure occipitale interne ; elle en est séparée par le pli de passa
e cunéo-limbique (i^O^) ; et si elle semble se jeter dans la scissure occipitale interne, c'est seulement lorsque la surface de l'
importante à connaître pour bien comprendre les rapports de la corne occipitale du ventricule latéral avec la fente de Bichat.
iatement en dehors du triangle sous-calleux, on pénètre dans la corne occipitale du ventricule latéral, et le stylet va buter cont
lobule lingual, large et contourné sur lui-même à l'extrémité du lobe occipital , va s'amincissant progressivement d'arrière en av
ascia dentata (Fd). Le lobule lingual est la cinquième circonvolution occipitale . La circonvolution de l'hippocampe est la cinquiè
timement accolé. 0\ Le gyrus fusiforme, ou quatrième circonvolution occipitale , appartient, d'une façon évidente, beaucoup plus
ne façon évidente, beaucoup plus à la région temporale qu'à la région occipitale . Comme, d'autre part, il se continue en avant, sa
nert, est encore plus fusionnée, s'il est possible, avec la troisième occipitale . Nous avons dit que la coupe avait été pratiqué
e inférieure de la scissure sous-pariétale (sP), apparaît la scissure occipitale interne (Oi), séparée de la calcarine {!() par la
volutions, situées en arrière font partie du lobe temporal et du lobe occipital . Les circonvolutions de la région occipito-temp
-même ; en arrière elle semble séparée de la troisième circonvolution occipitale (0^) par un prolongement du troisième sillon (oL)
du cerveau, la troisième temporale (ï^) se continue avec la troisième occipitale (0^), en dehors du troisième sillon. T*. La qua
(PRU). En arrière, elle se continuerait directement avec la quatrième occipitale (0') ou gyrus fusiforme, n'était un sillon d'anas
ième circonvolution temporale (T''). 0\ La troisième circonvolution occipitale forme le pôle occipital. Elle s'anastomose avec l
rale (T''). 0\ La troisième circonvolution occipitale forme le pôle occipital . Elle s'anastomose avec le gyrus lingual (0^) en
atrième {ot^}, communique en arrière avec la troisième circonvolution occipitale ; à sa partie moyenne il présente une incisure lo
d sillon occipito-temporal. 11 communique en dehors avec la troisième occipitale (0^), en dedans et en haut avec la sixième (0®),
ui unissent la troisième circonvolution temporale {T') à la quatrième occipitale (0*). 0*. Le gyrus fusiforme est toujours inter
branches transversales. Mais la forme de la quatrième circonvolution occipitale (0*) est complètement modifiée. On n'a plus sous
a plus sous les yeux un gyrus fusiforme ; la quatrième circonvolution occipitale et la quatrième temporale sont confondues en un s
a branche montante qui sépare, à cet endroit, le cuneus (0'') du pôle occipital (PO). A la face externe de l'hémisphère, les tr
ements ; nous venons de voir le prolongement frontal. Le prolongement occipital passe sous la partie la plus externe du corps cal
blanche. ce. Le corps calleux, dans le lobe frontal et dans le lobe occipital , n'émet pas ses fibres transversales, directement
ux fibres de la couronne rayonnante de ce noyau (RNC). Dans le lobe occipital , le corps calleux, après avoir formé la paroi sup
t cette bande claire à direction antéro-postérieure qui, dans le lobe occipital , fait suite à la couronne rayonnante (RC). Il est
faisceau sensitif diminue de largeur à mesure qu'il approche du pôle occipital (PO). En avant il envoie un prolongement externe,
n système analogue d'association verticale, entre les circonvolutions occipitales internes et le lobe carré. Figure 2. COUPE HO
volution (T^) ; elle est séparée :par le troisième sillon (L) du pôle occipital (PO), où l'on voit s'enfoncer la branche relevée
ctuosité delà calcarine et celle qu'on retrouve à l'extrémité du lobe occipital , la face interne de l'hémisphère est représentée
il sépare du lobule fusiforme. Cavité ventriculaire. Ici la corne occipitale est seule entamée par la coupe. La corne est au-d
. La corne est au-dessus du plan horizontal de section. Cette corne occipitale a pour paroi interne la corne d'Ammon, constituée
rons plus loin. Enfin il n'existe pas de paroi antérieure; la corne occipitale se continue avec la corne sphénoïdale, sous le pu
ux lames, .',unc externe, une interne, s'étend, en dehors de la corne occipitale du ventricule, dont il est séparé par le tapetum
paré par le tapetum (TAP), depuis le noyau lenticulaire jusqu'au pôle occipital (PO). Le faisceau sensitif externe (FSe), envisag
isceaux sensitifs accolés vont ainsi d'avant en arrière jusqu'au pôle occipital (PO); mais on remarquera encore que leur épaisseu
re recourbés de dehors en dedans sous la paroi inférieure de la corne occipitale . FLI. Le faisceau longitudinal inférieur, placé
TAP. Le tapetum, lame fibreuse adossée à la paroi externe de la corne occipitale , est toujours sectionnée perpendiculairement à la
emporales. Il fait suite, sans démarcation bien tranchée, au faisceau occipital vertical (FOV). FOV. Le faisceau occipital vert
en tranchée, au faisceau occipital vertical (FOV). FOV. Le faisceau occipital vertical. LFE. La lame festonnée, placée à égal
ofj, derrière lequel s'étend le gyrus fusiforme (0''). Enfin, le pôle occipital est formé encore par le gyrus lingual (0") qui,
t être distingué que tWs difficilement de la troisième circonvolution occipitale . A la face externe, la deuxième circonvolution
es précédentes, s'étendait, d'avant en arrière, en dehors de la corne occipitale du ventricule, se reconnaît, malgré la disparitio
pitale du ventricule, se reconnaît, malgré la disparition de la corne occipitale , à la partie externe du sillon occipito-temporal
depuis le cul-de-sac postérieur de la fosse de Sylvius jusqu'au lobe occipital , où il devient tout à fait diflùs. En dedans, il
xième et troisième circonvolutions temporales, tandis que le faisceau occipital vertical, visible seulement sur la figure 2 (FOV)
tenir aux hémisphères peu plissés, consiste dans le fait que la corne occipitale du ventricule latéral s'étend en arrière jusqu'au
aisceaux qui suivent d'avant en arrière les quatre parois de la corne occipitale se confondent en un seul. On conçoit les difficul
coupes verticales de cette région sur des cerveaux dont le ventricule occipital se prolonge très loin en arrière. Mais ce choix n
La prolongation de la cavité ventriculaire jusqu'à Vécorce du pôle occipital n'est pas douteuse, môme dans les cas où le vide
aroi externe. Pour s'assurer que, même dans ce dernier cas, la cavité occipitale s'étend jusqu'à l'écorce, il suffit de pratiquer
millimètres. Les faisceaux dirigés d'avant en arrière vers le pôle occipital , étant séparés, au moins dans le sens vertical, p
la figure 1 (pl. XI), où l'ensemble des faisceaux postérieurs du lobe occipital se réduisent à un seul (FS), représenté par une s
t étudiés un peu plus loin). Dans quelle région de l'écorce du lobe occipital s'effectuent cette convergence et cette intricati
t invariablement à l'écorce du lobule lingual, au niveau môme du pôle occipital , par conséquent au-dessous du cuneus en dedans, e
eure et postérieure du gyrus lingual (0^) ou cinquième circonvolution occipitale de Broca que vient s'épuiser en arrière le systèm
dans une région plus antérieure, donne aux coupes verticales du pôle occipital une complexité extrême. Tout y arrive et tout s'y
t impossible qu'il en soit autrement. L'examen attentif de ces coupes occipitales s'impose donc d'une manière absolue, puisqu'elles
l, dans la substance blanche, s'étend plus ou moins loin vers le pôle occipital . En général, ainsi que nous l'avons dit, à deux c
al, ainsi que nous l'avons dit, à deux centimètres en avant du i pôle occipital , le couteau ne pénètre pas dans le ventricule ; m
et de l'aire de section est représenté par la première circonvolution occipitale (0'), qui appartient à la fois à la face externe
dans toute son étendue aiitéro-postérieure, depuis la pointe du lobe occipital jusqu'à son anastomose avec la scissure perpendic
s fusiforme (0^), qui s'étend, comme lui, depuis le voisinage du pôle occipital jusqu'au voisinage du pôle sphénoïdal, et qui, da
ndue antéro-postérieure, le bord inférieur du cerveau, depuis le pôle occipital jusqu'au voisinage du pôle sphénoïdaP. "l- IN'o
r de l'hémisphère, formé par le sommet de la première circonvolu-tion occipitale (0'), s'étend un plan incliné, sans sillons ni in
bord supérieur est toujours représenté par la première circonvolution occipitale (0*). Sur la face interne, on reconnaît la scissu
as, il l'est toujours d'autant plus qu'on l'examine plus près du pôle occipital . Souvent il présente une courbure assez prononcée
ce externe de la cavité; elles vont ainsi jusqu'à l'extrémité du lobe occipital . LFE. La lame festonnée est de plus en plus cla
de l'hémisphère, n'est plus représenté par la première circonvolution occipitale (0'), mais par l'angle postéro-supérieur du lobe
d'un nouveau faisceau de fibres blanches, verticales (FOY), faisceau occipital vertical qui s'étend de la 3" circonvolution temp
contraire, vont en arrière jusqu'à la partie la plus reculée du lobe occipital . FCF. Le faisceau compact du fornix traverse en
r dans l'écorce du sillon interpariétal (p). FOV. Quant au faisceau occipital vertical, il est représenté par une bande claire,
lobule pariétal supérieur (1"), dans toute sa hauLeui'. — Le faisceau occipital vertical (FOV) s'accuse de plus en plus. PLANCH
sceaux tendent déjà à s'incurver au-dessus du recessus de la scissure occipitale interne {sQ) pour se porter en avant et en dedans
un prolongement transversal de la scissure perpendiculaire externe ou occipitale externe {Oe). Ce prolongement de la scissure occi
re externe ou occipitale externe {Oe). Ce prolongement de la scissure occipitale est donc séparé du bord médian de l'hémisphère pa
Le faisceau pariéto-frontal (FPF) se porte sur le fond de la scissure occipitale [Oi) et pénètre dans le lobe carré entre les deux
ranche inférieure est la calcarine (K). La cinquième circonvolution occipitale (0"), immédiatement sous-jacente à la scissure ca
tie les faisceaux longitudinaux qui entourent la cavité de ; la corne occipitale du ventricule : en haut, le faisceau inférieur du
x n'est plus représenté, entre i le recessus antérieur de la scissure occipitale interne et la voûte du ventricule, que par une mi
ligne oblique en haut et en dehors, parallèle au fond de la scissure occipitale (sQ), dont elle n'est séparée que par le reste de
en avant et en dedans, au devant du recessus inférieur de la scissure occipitale interne. LFE. La lame festonnée du cuneus (0")
ère de la scissin'e limbique (voy. fig. 10 et il). FOV. Le faisceau occipital vertical se montre plus net au fur et à mesure qu
; il passe en avant et au-dessus du recessus antérieur de la scissure occipitale interne et va, se dirigeant obliquement en bas et
a partie inférieure à la partie supérieure du recessus de la scissure occipitale . Cette disposition est absolument constante. Oi
occipitale. Cette disposition est absolument constante. Oi scissure occipitale interne s'enfonçant dans l'hémisplière derrière
stérieure semble, sur ce schéma, être situé au-dessous de la scissure occipitale [Oi). Schéma 52. FCF. Le faisceau compact du
ceau compact du fornix (fig. 10), accolé au cul-de-sac de la scissure occipitale interne {Oi), s'enfonce dans le manteau du pli de
orte insertion sur le lobule pariétal supérieur (P'). FOV. Faisceau occipital vertical (fig. 9). F'Om. Faisceau moyen du forcep
ce grise recouvrant le fond de la gouttière antérieure de la scissure occipitale interne (sQ). La calcarine et la scissure occip
de la scissure occipitale interne (sQ). La calcarine et la scissure occipitale interne réunies (K) ne s'enfoncent plus l'une et
hangement de nom, la circonvolution dont il s'agit (d'abord cinquième occipitale , puis cinquième temporale) est bornée à sa partie
reste toujours quadrilatérale. Le bord supérieur ou voûte de la corne occipitale correspond au faisceau moyen du forceps (FOm), le
fornix, au moment où disparaît le cul-de-sac antérieur de la scissure occipitale interne auquel il était accolé, passe directement
Le cingulura, immédiatement sous-jacent au cul-de-sac de la scissure occipitale irrterne, se présente sous l'aspect d'un faisceau
ité la plus postérieure et se jettent dans la substance grise du pôle occipital . Le changement de coloration de ce faisceau au-
onséquent, les plus compactes, sont celles qui sont destinées au pôle occipital ; les plus externes, plus claires, se BIUSSAUD.
e ascendante et à la frontale ascendante (P et F). FOV. Le faisceau occipital vertical (FOV, fig. 14), situé en dehors du faisc
venues verticales, elles ne se distinguent plus de celles du faisceau occipital vertical (FOV). Mais on les retrouve sur les coup
ième temporale (T4). rieurc et externe du cul-de-sac de là scissure occipitale interne, se porte directement en dedans, maintena
a dépassé la partie la plus antérieure de la gouttière de la scissure occipitale encore visible sur la coupe précédente (sQ), le
circonvolutions frontale et pariétale ascendantes. FOV. Le faisceau occipital vertical, à peine reconnaissais, a disparu en gra
de fixer d'une façon bien précise les rapports des faisceaux du lobe occipital , dont les changements de direction sont très diff
ente toujours les mômes rapports médiats avec le plancher de la corne occipitale . La face externe des coupes ne diffère en rien,
rtie postérieure de celui-ci, s'épanouissent dans les circonvolutions occipitales et occipito-temporales : le faisceau diffus du fo
celui des trois faisceaux du splenium qui forme la voûte de la corne occipitale . Les fibres ainsi sectionnées se portent toujours
ent toujours plus loin en arrière, les unes directement jusqu'au pôle occipital ; les autres, inclinées en bas, en arrière et en d
deux faisceaux se mélangent d'une manière intime. Quant au faisceau occipital vertical (FOV, voy. pl. XIII), il a cessé d'exist
e d'entre elles se réfléchissent sous la paroi inférieure de la corne occipitale . CO. Faisceau du centre ovale. Sur les figures
t d'avant en arrière, du bourrelet (ou sple-nium) aux circonvolutions occipitales internes. FS. Le faisceau sensitif, dont les de
s, fig. 54), et puis ensuite en dedans sous le plancher de la corne occipitale , au-dessus du faisceau longitudinal inférieur (FL
majeure partie forme le tapetum. Il en est ainsi dans toute la région occipitale . Un peu plus en avant les fibres du corps calleux
c n'est pas celui qui correspond à 1 arête supéro-externe de la corne occipitale . Ici il n'y a plus d'angle supéro-externe, à prop
u'une partie des fibres du faisceau sensitif, réfléchie sous la corne occipitale . FDF. Le faisceau diffus du fornix devient de p
au niveau de la coupe vertico-transversale 5i (Pl. 19). VO. portion occipitale du ventricule latéral. Iïf, l'ente de Bichat.
sives de l'hémisphère intéressent ici d'abord la cavité ventriculaire occipitale dans toute sa hauteur (fig. 55), puis la portion
ment), puis sa portion inférieure qui est le prolongement de la corne occipitale . La séparation est due ici à ce fait que la couch
e dans la capsule interne, pour aller se terminer à la pointe du lobe occipital (c'est le faisceau cortical direct du carrefour s
tif, auquel il les abandonne à travers la couronne rayonnante du lobe occipital . Il résulte de là que le faisceau de Tûrck-Meyn
au pyramidal dans le pied du pédoncule du côté gauche. T'O, portion occipitale du ventricule latéral ; GE, corps genouillé ext
auche. L'extrémité antérieure de l'hémisphère est à droite, le pôle occipital est à gauche. La coupe 91, vertico-transversale
ncule. Le faisceau de Turck-Meynert, en effet, a disparu dans le lobe occipital , et le faisceau pyramidal qu'on distinguait encor
parce qu'il est arrêté par les fibres corticales des lobes frontal et occipital qui se projettent sur le pédoncule à travers la c
urales aux circonvolutions inférieures de l'hémisphère, y compris les occipitales . Nous ne contesterons pas que certaines fibres, v
tit nombre d'entre elles parviennent ainsi jusqu'au voisinage du pôle occipital . Mais le rôle anatomique de la commissure antérie
t la direction. Mais elle abandonne aussi quelques fibres à la région occipitale : ce sont les fibres qui suivent le trajet primit
u noyau caudé occupe l'angle formé par la paroi externe du ventricule occipital et la face postérieure du pulvinar. Il est placé
oro-occipitale, depuis la partie postérieure du putamen jusqu'au pôle occipital ; il n'est séparé de la cavité ventriculaire {VO,
. 3) dans la substance blanche du lobe carré, en avant de la scissure occipitale interne (01). Il semble faire suite à la lame fes
depuis le bulbe de la corne postérieure (BCP, fig. 2) jusq^u'au pôle occipital . FPV. Le faisceau pariétal vertical (fig. 2 et
Se), n'est que la continuation, dans la région pariétale, du faisceau occipital vertical (FOV, fig. 1). psp. Le pédoncule du se
upérieur du forceps (FOs) réfléchie dans la paroi externe de la corne occipitale du ventricule. — Le faisceau supérieur du forceps
ent donc, l'un la paroi externe, l'autre la paroi interne de la corne occipitale du ventricule. Tous les deux ont une coloration f
; la figure 2 représente l'hémisphère droit. Sur ce dernier, la corne occipitale du ventricule latéral (VO) est largement béante,
e laquelle se trouve la commissure antérieure (CA). Oi. La scissure occipitale interne s'enfonce, avec l'extrémité antérieure de
e fasciola cinerea est rectiligne. Cavité ventriculaire. La corne occipitale du ventricule latéral est seule divisée par le pl
du claustrum (CL), en dehors du centre ovale (CO). FOV. Le faisceau occipital vertical est ici, par le fait d'une disposition p
s calleux la convexité de la téte du noyau caudé (NC). VO. La corne occipitale du ventricule, largement béante, présente quatre
xtrémité postérieure. 11 se partage entre la troisième circonvolution occipitale (0") et la quatrième (0^). La majeure partie de s
ement plus ou moins prononcé de l'extrémité inférieure de la scissure occipitale interne (Oi). PLANCHE XXXIX COUPES HORIZONTAL
, les première, deuxième et troisième temporales (T', V, T'). Le pôle occipital est formé, en dehors par la quatrième occipitale
(T', V, T'). Le pôle occipital est formé, en dehors par la quatrième occipitale (0'), en dedans par la sixième (0"). La cavité
x prolongements : le postérieur et le plus externe va former la corne occipitale ; l'interne est une fissure arquée qui passe sous
ci, en effet, est la portion antérieure du gyrus lingual ou cinquième occipitale . Elle est recouverte par la substance réticulaire
du forceps major. FOs. Fibres supérieures du forceps. FOV. Faisceau occipital vertical. \ FP. Faisceau pyramidal. FP'. Fibr
Lancisi). LN. Locus niger, substance noire de Sœmmering. LO. Lobe occipital . LP. Lobule pariétal. LS. Lobe sphénoïdal.
ion du pédoncule cérébelleux supérieur. 0'. Première circonvolution occipitale . 0^. Premier sillon occipital. 0\ Deuxième ci
rieur. 0'. Première circonvolution occipitale. 0^. Premier sillon occipital . 0\ Deuxième circonvolution occipitale. 0^. D
ipitale. 0^. Premier sillon occipital. 0\ Deuxième circonvolution occipitale . 0^. Deuxième sillon occipital. 0\ Troisième
pital. 0\ Deuxième circonvolution occipitale. 0^. Deuxième sillon occipital . 0\ Troisième circonvolution occipitale. 0..
itale. 0^. Deuxième sillon occipital. 0\ Troisième circonvolution occipitale . 0.. Troisième sillon occipital. 0*. Quatrièm
tal. 0\ Troisième circonvolution occipitale. 0.. Troisième sillon occipital . 0*. Quatrième circonvolution occipitale, gyrus
ale. 0.. Troisième sillon occipital. 0*. Quatrième circonvolution occipitale , gyrus fusiforme. 0^ Cinquième circonvolution occ
rconvolution occipitale, gyrus fusiforme. 0^ Cinquième circonvolution occipitale , gyrus lingual. 0^ Sixième circonvolution occipit
e circonvolution occipitale, gyrus lingual. 0^ Sixième circonvolution occipitale , Coin, cuneus, gyrus cunéiforme. Oe. Scissure p
s, gyrus cunéiforme. Oe. Scissure perpendiculaire externe, scissure occipitale externe. OF. Opercule frontal. Oi. Scissure per
tale externe. OF. Opercule frontal. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne. OL. Nerf olfactif. OLB. Bulbe du ner
T. Opercule temporal. 0T^ OT. Deuxième et troisième circonvolutions occipitales se continuant avec les deuxième et troisième te
rbe (entre P et GP). PI. Pôle de l'insula, pied de l'insula. PO. Pôle occipital . PP. Pied du pédoncule cérébral. pP\ Pied de la d
. Premier pli de passage pariéto-occipital, pli de passage pariéto- occipital supérieur, premier pli de passage externe (Gratio
sales du bec du corps calleux. jR^. Recessus antérieur de la scissure occipitale interne. RR. Ruban de Reil. RSG. Couronne rayon
lemniscus. VM. VcnliicLilc nioyeii, troisième ventricule. VO. Corne occipitale du ventricule latéral. VS. Corne sphénoïdale du v
irconvolution limbique (C)............xxxvn, 22, 29 Circonvolutions occipitales (voy. occipitales).......... n Circonvolution p
ique (C)............xxxvn, 22, 29 Circonvolutions occipitales (voy. occipitales ).......... n Circonvolution pariétale ascendant
102 Faisceau moyen du forceps (FOm). ............... 105 Faisceau occipital vertical (FOV)............... 97 Faisceaux opti
GQP, BQ).............. xl Lobe frontal...................... Lobe occipital ...................... pnss. Lobe sphénoïdal....
...... 255 Moteur oculaire commun (MOG)............. "vm, 300 o Occipitale (première circonvolution), (0*)........... 11 O
300 o Occipitale (première circonvolution), (0*)........... 11 Occipitale (deuxième circonvolution), (0")......... xlvi, 11
. 11 Occipitale (deuxième circonvolution), (0")......... xlvi, 11 Occipitale (troisième circonvolution), (0"')........xlvi, 11
, 11 Occipitale (troisième circonvolution), (0"')........xlvi, 11 Occipitale (quatrième circonvolution), (0^)........... 26
lvi, 11 Occipitale (quatrième circonvolution), (0^)........... 26 Occipitale (cinquième circonvolution), (0^)............ 25
... 26 Occipitale (cinquième circonvolution), (0^)............ 25 Occipitale (sixième circonvolution), (0^)............ 26 O
........ xli Pôle frontal (PF)....................• . . xlhi Pôle occipital (PO)..........^ . .......... xxxv Pôle sphénoïd
.xlhi, 2 Scissure limbiqne (i).................xxxvi, 18 Scissure occipitale (Oe)................... xxxiv Scissure parallèl
xxvi, 21 Sillon métopique (petit) (sme)................ 21 Sillon occipital (premier), (Oj)................ xlv Sillon occi
.. 21 Sillon occipital (premier), (Oj)................ xlv Sillon occipital (deuxième), (o,).. . -............ xlvi Sillon
v Sillon occipital (deuxième), (o,).. . -............ xlvi Sillon occipital (troisième), (oj).. ............. pass. Sillon
i Sillon occipital (troisième), (oj).. ............. pass. Sillon occipital (quatrième), (o^).............. pass. Sillon oc
portion frontale), {vf)............ xvn Ventricule latéral (portion occipitale ), (FOj........., . xvn Ventricule latéral (port
3 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Atlas
est pas ainsi étayée, elle s'affaisse dès les premiers jours, le lobe occipital se tord sur lui-même, et lorsque le moment est ve
ratiquer les coupes vertico-transversales, on s'aperçoit que la corne occipitale du ventricule latéral n'existe plus; c'est-à-dire
aire. Or la détermination exacte du trajet des faisceaux dans le lobe occipital n'est possible qu'à la condition que la cavité ve
le-même dans la région rolandique, cela est impossible dans la région occipitale . La pie-mère en effet, dans la région occipitale,
sible dans la région occipitale. La pie-mère en effet, dans la région occipitale , est toujours si mince et si adhérente, que la mo
nscrite, sur un petit fragment de l'hémisphère, sur la pointe du lobe occipital , par exemple, ou sur le pôle sphénoïdal, l'inclus
arine, 12. L. Scissure limbique, 7, 14. 01. Première circonvolution occipitale , 12. 02. Deuxième circonvolution occipitale, 12
Première circonvolution occipitale, 12. 02. Deuxième circonvolution occipitale , 12, 16. 03. Troisième circonvolution occipital
ème circonvolution occipitale, 12, 16. 03. Troisième circonvolution occipitale , 12. 0'*. Quatrième circonvolution occipitale,
isième circonvolution occipitale, 12. 0'*. Quatrième circonvolution occipitale , gyrus fusiforme. O8. Sixième circonvolution oc
convolution occipitale, gyrus fusiforme. O8. Sixième circonvolution occipitale , Coin, cuneits, 16. Oe. Scissure perpendiculair
, Coin, cuneits, 16. Oe. Scissure perpendiculaire externe, scissure occipitale externe, 8, 16. OF. Opercule frontal, 8. OP.
ale ascendante et le lobule du pli courbe (entre P et GP). PO. Pôle occipital . pP2. Pied de la deuxième circonvolution pariét
20, 29. L. Scissure limbique, 18, 2 7. 02. Deuxième circonvolution occipitale , 20. O''. Troisième circonvolution occipitale, 20
Deuxième circonvolution occipitale, 20. O''. Troisième circonvolution occipitale , 20 . O'". Quatrième circonvolution occipitale,
sième circonvolution occipitale, 20 . O'". Quatrième circonvolution occipitale , gyrus fusifjrmj, 20. 03. Cinquième circonvolut
ution occipitale, gyrus fusifjrmj, 20. 03. Cinquième circonvolution occipitale , gyrus lingual, 25. O8. Sixième circonvolution
nvolution occipitale, gyrus lingual, 25. O8. Sixième circonvolution occipitale , coin, cunius, gyrui cunéi-forme, 25. Oi. Sciss
oin, cunius, gyrui cunéi-forme, 25. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne, 20, 29. ot.. Troisième sillon occipito-t
29. PEN. Pli, ourlet ou pentagone du lobe carré, 22, 29. PO. Pôle occipital , 16. PP. Pied du pédoncule cérébral. pro. Sil
issure calcarine. L. Scissure limbique. 02. Deuxième circonvolution occipitale , 54. 03. Troisième circonvolution occipitale.
euxième circonvolution occipitale, 54. 03. Troisième circonvolution occipitale . 0G. Sixième circonvolution occipitale, cuneus,
03. Troisième circonvolution occipitale. 0G. Sixième circonvolution occipitale , cuneus, Oe. Scissure perpendiculaire externe,
occipitale, cuneus, Oe. Scissure perpendiculaire externe, scissure occipitale externe. OF. Opercule frontal. OP. Opercule p
OT2. Deuxième circonvolution temporale se continuant avec la deuxième occipitale , 33. o/2. Deuxième sillon occipito-temporal.
lution frontale. PI. Pôle de l'insula, pied de l'insula, 54. PO. Pôle occipital . pP2. Pied de la deuxième circonvolution pariét
orale de Sylvius. L. Scissure limbique. 01. Première circonvolution occipitale , 57, 40. Ov Premier sillon occipital. 02. Deuxi
. 01. Première circonvolution occipitale, 57, 40. Ov Premier sillon occipital . 02. Deuxième circonvolution occipitale, 40.
e, 57, 40. Ov Premier sillon occipital. 02. Deuxième circonvolution occipitale , 40. 02. Deuxième sillon occipital. 03. Trois
. 02. Deuxième circonvolution occipitale, 40. 02. Deuxième sillon occipital . 03. Troisième circonvolution occipitale, 40.
, 40. 02. Deuxième sillon occipital. 03. Troisième circonvolution occipitale , 40. Oe. Scissure perpendiculaire externe, scis
tion occipitale, 40. Oe. Scissure perpendiculaire externe, scissure occipitale externe, 57, 40. OF. Opercule frontal. OP. Op
du fond de Sylvius. OT2, OT3. Deuxième et troisième circonvolutions occipitales se continuant avec les deuxième et troisième te
acilis. NT». Noyau rouge de la calotte. 02. Deuxième circonvolution occipitale . 03. Troisième circonvolution occipitale. O1.
2. Deuxième circonvolution occipitale. 03. Troisième circonvolution occipitale . O1. Quatrième circonvolution occipitale, gyrus
. Troisième circonvolution occipitale. O1. Quatrième circonvolution occipitale , gyrus fusiforme. O3. Cinquième circonvolution
nvolution occipitale, gyrus fusiforme. O3. Cinquième circonvolution occipitale , gyrus lingual, 42, 45. O6. Sixième circonvolut
ution occipitale, gyrus lingual, 42, 45. O6. Sixième circonvolution occipitale , coin, cuneus, gyrus cunéi-forme, 42, 45. 01. S
cuneus, gyrus cunéi-forme, 42, 45. 01. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne. ot.t. Quatrième sillon occipito-tempor
ou pellucidum. PEN. Pli, ourlet ou pentagone du lobe carré. PO. Pôle occipital . PP. Pied du pédoncule cérébral. pro. Sillon prœ-
um subrolun-dum). NR. Noyau rouge de la calotte. Ot. Premier sillon occipital . 02. Deuxième circonvolution occipitale. 03.
calotte. Ot. Premier sillon occipital. 02. Deuxième circonvolution occipitale . 03. Troisième circonvolution occipitale. 04.
2. Deuxième circonvolution occipitale. 03. Troisième circonvolution occipitale . 04. Quatrième circonvolution occipitale, gyrus
. Troisième circonvolution occipitale. 04. Quatrième circonvolution occipitale , gyrus fusiforme. O3. Cinquième circonvolution oc
convolution occipitale, gyrus fusiforme. O3. Cinquième circonvolution occipitale , gyrus lingual, 52. O6. Sixième circonvolution
nvolution occipitale, gyrus lingual, 52. O6. Sixième circonvolution occipitale , coin, cuneus, gyrus cunéi-forme, 47, 51. Oi. S
cuneus, gyrus cunéi-forme, 47, 51. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne. otk. Quatrième sillon occipito-tempora
arente. PEN. Pli, ourlet ou pentagone du lobe carré, 48. PO. Pôle occipital . pro. Sillon prœ-ovalaire, 52. PS. Pôle sphén
alcarine. L, L'. Scissure limbique, 55. 02. Deuxième circonvolution occipitale . 0r'. Troisième circonvolution occipitale. O'1.
02. Deuxième circonvolution occipitale. 0r'. Troisième circonvolution occipitale . O'1. Quatrième circonvolution occipitale, gyru
Troisième circonvolution occipitale. O'1. Quatrième circonvolution occipitale , gyrus fusiforme. 03. Cinquième circonvolution
nvolution occipitale, gyrus fusiforme. 03. Cinquième circonvolution occipitale , gyrus lingual, 54. O6. Sixième circonvolution oc
convolution occipitale, gyrus lingual, 54. O6. Sixième circonvolution occipitale , cuneus. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipi
circonvolution occipitale, cuneus. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne. ot7t. Troisième sillon occipito-temporal
udô. NiC. Noyau interne du thalamus. O3. Troisième circonvolution occipitale . O1. Quatrième circonvolution occipitale, gyrus
. Troisième circonvolution occipitale. O1. Quatrième circonvolution occipitale , gyrus fusiforme, 60. Os. Cinquième circonvolut
ution occipitale, gyrus fusiforme, 60. Os. Cinquième circonvolution occipitale , gyrus lingual, 59. O6. Sixième circonvolution
nvolution occipitale, gyrus lingual, 59. O6. Sixième circonvolution occipitale , cuneus. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipi
circonvolution occipitale, cuneus. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne, 57. OL. Nerf olfactif. OLB. Bulbe du
'opercule. a'. Scissure calcarine, 63. O3. Troisième circonvolution occipitale . 0*. Quatrième circonvolution occipitale, gyrus f
O3. Troisième circonvolution occipitale. 0*. Quatrième circonvolution occipitale , gyrus fusi-forme, 66. O5, Cinquième circonvolu
tion occipitale, gyrus fusi-forme, 66. O5, Cinquième circonvolution occipitale , gyrus lingual. OF. Opercule frontal. Oi. Sciss
yrus lingual. OF. Opercule frontal. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne, 63. OL. Nerf olfactif, 65. OLB. Bulbe du
. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 78, 80, 82. FOV. Faisceau occipital vertical, 78, 82. FPV. Faisceau pariétal vertic
leus ruber, noyau rouge de Stilling, 79. O1. Quatrième circonvolution occipitale , gyrus fusiforme, 79, 80. Q3. Cinquième circo
occipitale, gyrus fusiforme, 79, 80. Q3. Cinquième circonvolution occipitale , gyrus lingual, 75, 79. O6. Sixième circonvolut
ution occipitale, gyrus lingual, 75, 79. O6. Sixième circonvolution occipitale , Coin, cuneus, gyrus cunéiforme, 68. Oi. Scissu
Coin, cuneus, gyrus cunéiforme, 68. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne. OLE. Racine olfactive externe, 81. OP. O
ente, 67. PL Pôle de l'insula, pied de l'insula, 79, 80, 81. PO. Pôle occipital , 68, 72. pri. Sillon prserolandique inférieur, 80
rayonnante du noyau caudé, 74. RQ. Recessus antérieur de la scissure occipitale interne. Rlh. Radiatio thalami, couronne rayonnan
ps major, 97, 98. FOs. Fibres supérieures du forceps. FOV. Faisceau occipital vertical, 96, 97, 99. FPF. Faisceau pariéto-front
me festonnée, 88, 91, 92, 95, 95, 97, 98. O1. Première circonvolution occipitale , 86, 88. O*. Quatrième circonvolution occipitale,
mière circonvolution occipitale, 86, 88. O*. Quatrième circonvolution occipitale , gyrus fusiforme, 87. 0B. Cinquième circonvolutio
olution occipitale, gyrus fusiforme, 87. 0B. Cinquième circonvolution occipitale , gyrus lingual, 87, 89, 91, 92, 94, 97, 98. 0
s lingual, 87, 89, 91, 92, 94, 97, 98. 0e. Sixième circonvolution occipitale , Coin, cuneus, gyrus cunéi-forme, 89, 97. Oe. S
cunéi-forme, 89, 97. Oe. Scissure perpendiculaire externe, scissure occipitale externe, 96. Oi. Scissure perpendiculaire ou oc
e, scissure occipitale externe, 96. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne, 86, 89, 96. ot2. Deuxième sillon occip
s major. FOs. Fibres supérieures du forceps, 108. FOY. Faisceau occipital vertical, 102, 106. FPF. Faisceau pariéto-front
LFE. Lame festonnée, 102, 105, 108. O*. Quatrième circonvolution occipitale , gyrus fusiforme, 100, 107. O5. Cinquième circo
occipitale, gyrus fusiforme, 100, 107. O5. Cinquième circonvolution occipitale , gyrus lingual, 100, 101, 102, 107. Oe. Scissur
100, 101, 102, 107. Oe. Scissure perpendiculaire externe, scissure occipitale externe, 99. Oi. Scissure perpendiculaire ou occi
rne, scissure occipitale externe, 99. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne, 99, 102. oth. Quatrième sillon occipito-
ieures du forceps, 114, 118, 121, 125, 125, 126, 150. FOV. Faisceau occipital vertical, 114. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 114
stonnée, 114, 118, 121, 124, 126, 150. ()•". Cinquième circonvolution occipitale , gyrus lingual, 110, 115. o/4. Quatrième sillon o
Meynert, 454. FOi. Fibres inférieures du forceps major. FOV. Faisceau occipital verlical, 454. FPV. Faisceau pariétal vertical, 4
caudé, 450. NR. Noyau rouge de Stilling, 428. 02. Deuxième sillon occipital . Ofi. Sixième circonvolution occipitale, cuneus
, 428. 02. Deuxième sillon occipital. Ofi. Sixième circonvolution occipitale , cuneus. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipi
circonvolution occipitale, cuneus. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne, 454. OLC. Fibres commissurales du nerf
zonalis, 429. VF. Corne frontale du ventricule latéral. VO. Corne occipitale du ventricule latéral. ZGi. Stratum zonale du c
. NR. Noyau rouge de la calotte, 455. O2. Deuxième circonvolution occipitale . 0°. Sixième circonvolution occipitale, cuneus.
O2. Deuxième circonvolution occipitale. 0°. Sixième circonvolution occipitale , cuneus. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipi
circonvolution occipitale, cuneus. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne. PEL. Septum lucidum. psp. Pédoncule,
NpC. Noyau postérieur du thalamus, 440. 01. Première circonvolution occipitale . 02. Deuxième circonvolution occipitale. 0e. Si
01. Première circonvolution occipitale. 02. Deuxième circonvolution occipitale . 0e. Sixième circonvolution occipitale. Oe. Sciss
02. Deuxième circonvolution occipitale. 0e. Sixième circonvolution occipitale . Oe. Scissure perpendiculaire externe. Oi. Scissu
PEL. Septum lucidum, 412. PEN. Pentagone du lobe carré. PO. Pôle occipital . PUT. Putamen, 441. irBM. Pli d'anastomose moye
é, 445. NeC. Noyau externe du thalamus. 01. Première circonvolution occipitale . Ov Premier sillon occipital. 02. Deuxième circ
thalamus. 01. Première circonvolution occipitale. Ov Premier sillon occipital . 02. Deuxième circonvolution occipitale. Oe.
ccipitale. Ov Premier sillon occipital. 02. Deuxième circonvolution occipitale . Oe. Scissure perpendiculaire externe, scissure
volution occipitale. Oe. Scissure perpendiculaire externe, scissure occipitale externe. OF. Opercule frontal, 448. Oi. Scissur
externe. OF. Opercule frontal, 448. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne. OP. Opercule pariétal de Sylvius, oper
O. Premier pli de passage pariéto-occipital, pli de passage pariéto - occipital supérieur, premier pli de passage externe (Gratio
FI. Fimbria, 454. FM. Faisceau de Tûrck-Meynert, 452. FOV. Faisceau occipital vertical, 454. FPF. Faisceau pariéto-frontal. F
us, 456. NR. Noyau rouge de Stilling. 02. Deuxième circonvolution occipitale . 03. Troisième circonvolution occipitale, 456.
2. Deuxième circonvolution occipitale. 03. Troisième circonvolution occipitale , 456. O4. Quatrième circonvolution occipitale,
isième circonvolution occipitale, 456. O4. Quatrième circonvolution occipitale , 456. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipital
ème circonvolution occipitale, 456. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne, 450, 456. OP. Opercule pariétal de Syl
transverse. VF. Corne frontale du ventricule latéral, 454. VO. Corne occipitale du ventricule latéral, 454. ZS. Stratum zonale.
du splenium ou faisceau moyen du forceps major, 458. FOV. Faisceau occipital vertical. FP. Faisceau pyramidal. FPV. Faisce
e du thalamus. NiC. Noyau interne du thalamus. Or Deuxième sillon occipital . 01. Scissure perpendiculaire interne. pF3. P
é, 459. NR. Noyau rouge de la calotte. O1. Quatrième circonvolution occipitale , gyrus fusiforme, 461. 05. Cinquième circonvolu
tion occipitale, gyrus fusiforme, 461. 05. Cinquième circonvolution occipitale , gyrus lingual. 06. Cuneus, 461. OL. Nerf olf
FI. Fimbria. FL1. Faisceau longitudinal inférieur. FOY. Faisceau occipital vertical. FS. Faisceau sensitif. FU. Fascicid
ceps major, 464 FOs. Fibres supérieures du forceps. FOV. Faisceau occipital vertical. FP. Faisceau pyramidal. FPV. Faisce
au caudé. NR. Noyau rouge de Stilling. 0'. Quatrième circonvolution occipitale , gyrus fusiforme. (F. Cinquième circonvolution
nvolution occipitale, gyrus fusiforme. (F. Cinquième circonvolution occipitale , gyrus lingual, 465. ot,t. Quatrième sillon occ
. NPi. Noyau rouge de la calotte. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne. OLC. Fibres commissurales du nerf olfa
4 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
s. tinuent avec d'autres qui se dirigent en arrière et vont au lobe occipital . L'un de ces processus descend au-dessous de la s
et vont se confondre avec ceux de la région frontale et de la région occipitale . Les processus de la région frontale présentent u
Cruveilhier les distingue en circonvolutions frontales, pariétales et occipitales : V Les circonvolutions frontales, au nombre de
en partie, aux procès verticaux de Rolando. 3° Les circonvolutions occipitales sont dirigées d'avant en arrière et partent de la
s circonvolutions verticales de Rolando; la troisième est la traverse occipitale . Ces lignes séparent sur la face externe de l'hém
3° l'espace compris entre la traverse médio-pariétale et la traverse occipitale ; 4** enfin l'espace qui s'étend de l'extrémité p
re est, pour nous, l'extrémité postérieure de l'hémisphère, extrémité occipitale . Je demande grâce pour ces dénominations. Je sa
stérieure. La postérieure constitue ce que nous appellerons le lohe occipital . L'antérieure est divisée en deux étages par la s
eur du lobe temporal et réunit le sommet de ce lobe au sommet du lobe occipital . Tels sont les plis du lobe temporo-sphénoïdal.
Ces plis sont, en effet, continus à ceux du lobe pariétal et du lobe occipital . 4" Plis du lobe occipital. Le lobe occipital
tinus à ceux du lobe pariétal et du lobe occipital. 4" Plis du lobe occipital . Le lobe occipital présente plusieurs plis dont
pariétal et du lobe occipital. 4" Plis du lobe occipital. Le lobe occipital présente plusieurs plis dont la disposition, comp
mement remarquable. En effet, de même que les plis frontaux, les plis occipitaux se développent, en général, dans une direction ho
sillons parallèles. Nous distinguerons. 1" Le pli inférieur, pli occipital inférieur f f, borde inférieurement le lobe occip
inférieur, pli occipital inférieur f f, borde inférieurement le lobe occipital , et se jette en avant dans le pli temporal moyen.
jette en avant dans le pli temporal moyen. 2" Lé deuxième pli, pli occipital moyen g g, est fort épais; un pont très-grêle, pa
ire, réunit ce pli au pli temporal moyen. 3"* Le troisième pli, pli occipital supérieur h h, est assez mal défmi; c'est un étag
verrons par la suite. Tels sont les plis de la face externe du lobe occipital dans le Callitriche; ces plis, comme on le voit,
on ne présente aucune difficulté. L'étude du bord antérieur du lobe occipital présente plus d'intérêt. En effet, si nous écar
voyons que la lèvre postérieure, formée par le bord antérieur du lobe occipital , est mince, tranchante et appliquée sur la lèvre
perficiels m et iv qui réunissent au pli temporal moyen les deux plis occipitaux inférieurs, nous pourrons admettre quatre plis de
L autre est postérieure; elle répond à la partie supérieure du lobe occipital . Nous lui donnerons le nom de lobule occipital in
tie supérieure du lobe occipital. Nous lui donnerons le nom de lobule occipital interne. Cette partie de la face interne de l'h
pes, répond à la fois au lobe temporal et à l'étage inférieur du lobe occipital . Nous distinguons ainsi, sur la face interne de
nterne de l'hémisphère, 1 " Le lobe fronto-pariétal, 2" Le lobule occipital interne, 3° Le lobe occipito-temporal. Les pl
xterne du lobe pariétal et au pli frontal supérieur. Plis du lobule occipital . Le lobule occipital est presque vertical et fo
et au pli frontal supérieur. Plis du lobule occipital. Le lobule occipital est presque vertical et fort étroit dans le Calli
scend du sommet du lobule quadrilatère et remonte au sommet du lobule occipital , où il se termine en s'unissant au pli de passage
i de passage inférieur interne, unit l'extrémité inférieure du lobule occipital à la base du lobule quadrilatère. Ce pli est supe
al inférieur e e de la face externe. Le pli P ?) est l'origine du pli occipital inférieur externe f f. Enfin le pli y y répond au
u pli occipital inférieur externe f f. Enfin le pli y y répond au pli occipital moyen externe g g. Ces trois plis, se réunissan
pariétal est vert. Le lobe temporo-sphéroïdal est jaune. Le lobe occipital est violet. Les plis de passage sont blancs.
en général, un peu atténué et saillant à ses deux extrémités. Le lobe occipital externe est grand, triangulaire et plus long que
lier dans la Mo7ie ; souvent aussi les deux étages supérieurs du lobe occipital sont confondus par suite de l'absence de la sciss
toujours très-relevée à sa partie supérieure, en sorte que le lobule occipital interne est presque toujours très-petit, étroit e
loppement du lobe frontal ou du lobe pariétal. En revanche, le lobe occipital est fort réduit; deux scissures profondes le divi
en arrière le lobe pariétal, et celui-ci refoule, à son tour, le lobe occipital , dont l'opercule s'atrophie visiblement. La val
ers; les plis antérieurs se développent plus tard : aussi la vertèbre occipitale et la pariétale sont-elles relativement très-gran
, une prédominance relative du lobe frontal dans le Gibbon et du lobe occipital dans VEntelle : ainsi les faits sériaux confirmen
est médiocre; le lobe temporal fait une grande saillie; enfin le lobe occipital est fort étendu. Toutes ces conditions rapprochen
ion frontale. Le lobe frontal est court; le pariétal est très-long; l' occipital a une grandeur médiocre; il est, en général, plus
enons, cette disposition est une conséquence du développement du lobe occipital , qui refoule la branche descendante du pli courbe
and coude, descend, se relève, et vient se terminer au sommet du lobe occipital . Les lobes et les plis de la face interne prése
nces directes. 1** Le lobule quadrilatère est très-grand; le lobule occipital interne est droit et assez haut, mais fort étroit
us aurons à noter des différences remarquables. Ainsi : 1 " Le lobe occipital est très-grand, souvent chargé de plis, encore un
e des hippocampes sont à peu près égales entre elles ; 3" Le lobule occipital interne n'est plus droit et vertical comme dans l
la grandeur singulière et le nombre d'incisures que présente le lobe occipital , par la disposition de la scissure des hippocampe
pital, par la disposition de la scissure des hippocampes et du lobule occipital , ils sont aisément séparés des uns et des autres.
ills s'en éloignent davantage par un développement plus grand du lobe occipital et par une réduction poussée plus loin du prolong
tégorie, en s'élevant des Cercopithèques aux Gibbons, on voit le lobe occipital se réduire de plus en plus, et la région fronto-p
les Macaques , le lobe pariétal s'allonge; le lobe frontal et le lobe occipital ont une grandeur médiocre. 3'' Dans les Babouin
grandeur médiocre. 3'' Dans les Babouins et les Mandrills, le lobe occipital grandit et se couvre de plis ; le lobe pariétal e
ale; 2" le lobe pariétal; enfin la région pariéto-occipitale, le lobe occipital grandissant alors de plus en plus. Ces faits so
d, mais son développement s'effectue exclusivement aux dépens du lobe occipital , qui est singulièrement réduit. Le lobe temporo
age a. Ce pli forme un large pont entre le lobe pariétal et le lobe occipital . Le deuxième pli de passage est très-peu dévelo
squ'ici, la grandeur du lobe antérieur, la petitesse relative du lobe occipital , le développement du pli supérieur de passage nou
divisés que ceux des Cynocéphales. Nous avons déjà dit que le lobe occipital est très-grand. 11 présente plusieurs incisures p
t du lobule frontal, mais une grandeur bien plus considérable du lobe occipital du Chimpanzé; 2** Une dégradation relative des
par le même caractère et par les proportions caractéristiques du lobe occipital . Si nous rapprochons, au contraire, les caractè
et les rendront sensibles. A. Longueur totale de la pointe du lobe occipital à celle du lobe frontal........................
ession, je crois pouvoir assurer d'avance que dans le Gorille le lobe occipital est beaucoup plus large et plus grand que dans le
du lobe frontal, correspondant à un plus grand développement du lobe occipital , établirait entre le Gorille et le Chimpanzé une
tout à l'heure. Par la même raison, les limites antérieures du lobe occipital sont mal déterminées. Toutefois il est évident, m
de la région fronto-pariétale, s'incline un peu en arrière. Le lobule occipital interne compris entre ces deux scissures est tria
s, qui sont constantes, doivent être notées avec soin. Plis du lobe occipital . Ce lobe est, ainsi que nous l'avons déjà dit,
cendant. Ce lobule et le pli de passage qui le prolonge jusqu'au lobe occipital forment, de chaque côté de la grande scissure cér
l est énorme, et développé surtout dans son étage supérieur ; le lobe occipital est, au contraire, extrêmement réduit. Le lobe pa
lus haut point significatif. En effet, r Dans le Chimpanzé, le lobe occipital est grand et son opercule bien dessiné; le pli co
r manque, et le deuxième est caché. 2° Dans y Orang-Outang, le lobe occipital est médiocre et son opercule incomplet. Le pli co
d et superficiel, et le deuxième est caché. 3° Dans VHomme, le lobe occipital est extrêmement réduit, son opercule nul. Le pli
ppement du lobe fronto-pariétal, s'incline fort en arriére. Le lobule occipital interne, compris entre ces deux scissures, est tr
tivement au cerveau des Singes, fort développé ; en sorte que le lobe occipital , qui, dans les Singes, domine à la face externe d
u'on marche vers les parties postérieures, en sorte que sur le lobule occipital ils ne sont plus séparés que par de simples incis
teur du lobe frontal est beaucoup plus considérable que celle du lobe occipital ; ce qui donne au cerveau des Áteles une physio-
ippocampes, qui est à peu près horizontale. Le lobule interne du lobe occipital , compris dans leur écartement, est triangulaire,
uable, sauf peut-être l'extrême simplicité de ses plis. Quant au lobe occipital , il est très-court; mais sa hauteur est considéra
urbe, forme un coude Irès-sensible et remonte jusqu'au sommet du lobe occipital . Ce pli est superficiel dans tonte son étendue. A
ce interne sont moins anormaux que ceux de la face externe. Le lobule occipital interne est fort étroit; en revancbe, les plis de
cation est fort élevée, ce qui est en rapport avec la hauteur du lobe occipital . La scissure longitudinale du lobe fronto-pariéta
ment une physionomie propre due surtout à la forme singulière du lobe occipital . Outre le cerveau du Saï capuciii, j'ai eu occa
ée, dans le Sajou que dans le Saï, de la scissure de Sylvius. Le lobe occipital est développé et assez bien subdivisé en trois ét
rveau est assez globuleuse et le lobe temporal très-saillant. Le lobe occipital recouvre la totalité du cervelet. Ainsi, au poi
que complètement effacées. Il en est de même de celles de l'extrémité occipitale . Les seules scissures qui ont persisté sont 1 "
be antérieur, une scissure peu profonde indique la séparation du lobe occipital , très-réduit, d'ailleurs, dès cette époque. Le re
ous prenons pour type, le cerveau est surtout large en avant. Le lobe occipital , au contraire, est fort réduit; les plis temporau
Le lobe temporo-sphénoïdal, situé au-dessous d'elle. 4° Enfin le lobe occipital , qui forme l'extrémité postérieure de l'hémisphèr
t pas toujours bien distinct; son extrémité postérieure passe au lobe occipital . Le lobe occipital est subdivisé à son tour, da
istinct; son extrémité postérieure passe au lobe occipital. Le lobe occipital est subdivisé à son tour, dans quelques individus
ncidence singulière, le lobe frontal, les lobes pariétal, temporal et occipital comprennent chacun trois plis ordinairement bien
Outre ces plis, il faut encore en noter quatre qui passent du lobe occipital au lobe temporal et au lobe pariétal. Je les no
deuxième pli unit le sommet du pli courbe à l'étage supérieur du bord occipital . Le troisième pli est intermédiaire au pli temp
li est intermédiaire au pli temporal moyen et à l'étage moyen du lobe occipital . Le quatrième pli, enfin, unit à l'étage inféri
ccipital. Le quatrième pli, enfin, unit à l'étage inférieur du lobe occipital le pli moyen du lobe temporal. De ces quatre pl
ils peuvent être tous les deux cachés sous le bord antérieur du lobe occipital , qui forme alors, au-dessus de la scissure perpen
s hippocampes et la scissure perpendiculaire recevra le nom de lobule occipital interne. Le lobe occipito-temporal est étendu d
du cerveau, le lobe pariétal de la face externe. Les plis du lobule occipital interne sont, en général, très-simples; ils ne so
s plis temporaux et deux lobules, le lobule quadrilatère et le lobule occipital interne, complètent cette énumération. Outre ces
voir 1° deux plis de passage passant du lobule quadrilatère au lobule occipital , et dont l'inférieur borde la scissure des hippoc
le lobule quadrilatère, qui grandit ainsi de plus en plus. Le lobule occipital , singulièrement refoulé, s'incline en arrière, et
s, l'Atèle, le Lagotriche et le Saï. 4" Le lobe pariétal et le lobe occipital sont simultanément développés ; exemple, les Guen
, les Guenons, les Macaques à queue courte et le Papión. 5" Le lobe occipital l'emporte exclusivement; exemple, le Mandrill.
loppe comme les plis de la face interne de l'hémisphère. D. Du lobe occipital . C-e lobe atteint le maximum de son développeme
ges américains du premier groupe. Ainsi voyons-nous décroître le lobe occipital des Sajous et des Saïs aux Lagotriches et aux Atè
me chez eux aucune scissure ne détermine la limite antérieure du lobe occipital , il est difficile d'en donner une idée précise. T
ir d'exceptions. On peut donc affirmer que le développement du lobe occipital exprime une infériorité typique. E. Des plis de
Il est rudimentaire chez les Guenons et caché sous l'opercule du lobe occipital ; superficiel dans les Semnopithèques, il se dével
le de la branche ascendante du pli courbe ; l'amoindrissement du lobe occipital et du pli marginal sont, dans tous les Singes, un
s autres, le lobe pariétal domine; dans d'autres enfin, c'est le lobe occipital . Ces lobes, si j'ose ainsi m'exprimer, se dispu
la Phrénologie. Qu'un phrénologiste promène ses doigts sur les bosses occipitales supérieures d'un Homme et d'un animal (je suppose
et dans l'autre), il conclut aussitôt à un égal développement du lobe occipital . Cette conclusion est-elle légitime? Non, car u
rconstances absolument différentes. A. Dans un premier cas, le lobe occipital sera très-grand, et à cause de sa grandeur il fer
arrière une saillie très-prononcée. B. Dans un second cas, le lobe occipital sera très-petit ; mais, refoulé en arrière par un
ère une saillie non moins grande. C. Dans un troisième cas, le lobe occipital et le lobe pariétal, simultanément développés, co
ignifier trois choses distinctes : r Un grand développement du lobe occipital coïncidant avec une grandeur médiocre du lobe tem
diocre du lobe temporo-pariétal; 2° Un faible développement du lobe occipital compensé par un agrandissement proportionnel du l
pariétal ou des plis de passage ; 3'' Un égal développement du lobe occipital et du lobe pariétal. C'est ainsi que dans l'Hom
pital et du lobe pariétal. C'est ainsi que dans l'Homme, où le lobe occipital est très-petit, la saillie postérieure du cerveau
rande. Dans le Papión, au contraire, à une moindre saillie des bosses occipitales correspond un grand développement du lobe postéri
asti(|ues du tnoyen âge. Trois vertèbres fondamentales, la vertèbre occipitale , la pariétale, la frontale, enferment la cavité c
5 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
et symétrique, s'articule en haut avec le pariétal, en arrière avec l' occipital , en avant avec le sphénoïde, et, enfin avec le ma
;^ nommée apophyse jugulaire ou paramastoïde. Formée au dépens de l' occipital latéral, elle continue en dehors la ligne demi-ci
léger relief (éminence jugulaire), situé sur la face inférieure de l' occipital , derrière le trou déchiré postérieur. Exceptionne
uture occipito-mas-toïdienne et la partie postérieure du condyle de l' occipital . Son sommet, aplati d'avant en arrière, présentai
rrière pour rejoindre la ligne courbe demi-circulaire supérieure de l' occipital . On remarque à son niveau le groupe des veines ém
à une ligne tirée de la commissure externe de l'œil à la protubérance occipitale externe. Il l'a trouvé : A droite A gaucho Au
enne aiguë, avec douleurs presque exclusivement rétro-auriculaires et occipitales ; 19 jours après le début de la maladie, il prése
eaux de libres dont le plus important est celui de la bulle. L'artère occipitale , branche de la carotide externe, creuse en dedans
u même nom. Elle irrigue, par ses ramifications terminales, la région occipitale . Dunn décrit sous le nom de lame occipitale de
s terminales, la région occipitale. Dunn décrit sous le nom de lame occipitale de l'apophyse mastoïde, la zone de la corticale d
tro-stylienne de .Ionesco. Il pourra enfin, par le trajet de l'artère occipitale , se propager à la loge cervicale postérieure, s'i
rose stylo-pharyngienne (Jonesco). Le bord postérieur est soudé à l' occipital et contribue à la formation du trou déchiré (fora
ments répétés plusieurs fois dans la journée. Céphalalgie frontale et occipitale , vertiges, température 37°, le matin. Pouls 80. R
s inquiet, se retourne cons-lamment dans son lit et enfonce la région occipitale dans son oreiller. Respiration accélérée ; pouls
à peu près transversale, passe au devant de L éminence jugulaire de l' occipital et marque la soudure de cet os au rocher : c'est
ncéphale, du crâne et de l'oreille. Il s'étend depuis la protubérance occipitale interne jusqu'à l'extrémité sternale de la clavic
gitudinal supérieur et droit, convergent au niveau de la protubérance occipitale interne pour s'aboucher dans les sinus efférents
cipitale interne pour s'aboucher dans les sinus efférents latéraux et occipitaux postérieurs. Cet abouchement se fait de plusieurs
émisphères cérébraux se dévie à droite ou à gauche de la protubérance occipitale interne, pour se continuer avec l'un ou l'autre d
l du sinus latéral. Elle répond en haut à la troisième circonvolution occipitale , et en bas aux lobes supérieur-postérieur et supé
reçoit, au niveau de sa portion horizontale : a) La veine émissaire occipitale ; b) Les veines cérébelleuses latérales supérie
s ; d) La veine anastomotique de Labbé ; e) Les veines diploïques occipitales . Au niveau du coude du si nus latéral : f) Le s
ante du sinus : j) Les veines émissaires mastoïdiennes ; k) Les sinus occipitaux postérieurs ; l) L'anastomose du sinus condylien
rotidien ; s) Le tronc thyro-linguo-facial. a) La veine émissaire occipitale (Spérino). — Elle traverse la paroi crânienne au
ino). — Elle traverse la paroi crânienne au niveau de la protubérance occipitale externe et fait communiquer le pressoir d'Hérophi
e externe et fait communiquer le pressoir d'Hérophile avec les veines occipitales profondes, branches afférentes de la jugulaire ex
te veine se jette dans l'entre-croisement des sinus à la protubérance occipitale interne. » (Hédon). c) Veines cérébrales postér
s postérieur du sinus longitudinal supérieur. e) Veines diploïqLies occipitales . —Elles sont creusées dans l'épaisseur de l'occip
s diploïqLies occipitales. —Elles sont creusées dans l'épaisseur de l' occipital et se jettent dans un des canaux afférents du pre
phénoïdal de Cruveilhier, formé par les sinus caverneux, coronaire et occipital transverse. Il reçoit : la veine de l'aqueduc du
ayonnant à l'émergence du crâne, les internes s'anastomosent avec les occipitales profondes: d'autres, descendantes, avec la jugula
a mastoïdienne. 11 la nomme veine accessoire mastoïdienne. k) Sinus occipital postérieur. — Il relie les deux extrémités du sin
téraux sont très petits, le sang passe en grande partie par les sinus occipitaux . Son trajet comprend une partie verticale qui des
faux du cerveau, et une portion horizontale qui, en longeant le trou occipital , constitue le sinus marginal, et vient enfin s'ab
igmoïde. Il reçoit des anastomoses venant du plexus rachidien du trou occipital . 1) Anastomose du sinus condylien. — Labbé a si
bre normal traverse la tente du cervelet, à droite de la protubérance occipitale interne, et se dirige en ligne droite vers le gol
portion horizontale livre à peine passage à une fine sonde. Le sinus occipital postérieur est dédoublé ». Le sinus latéral peut
rachidiens et par les veines émissaires mastoïdiennes, temporales et occipitales , qui se jettent dans les jugulaires externes et p
du sinus latéral, envahir les sinus, longitudinal supérieur, droit et occipitaux , pénétrer dans le sinus latéral du côté opposé; e
ieure du sinus sigmoïde. Chemin faisant, on a récliné ou lié J'artère occipitale qui passe en longeant le bord inférieur du muscle
s sont rencontrés. En allant de bas en haut, on voit d'abord l'artère occipitale qui croise la face externe de la veine en montant
endant, la face profonde du digastrique, passe au-dessous de l'artère occipitale , croise la jugulaire immédiatement en avant de la
eptionnelle. § i. — CERVEAU Nous décrirons les lobes temporaux et occipitaux , qui intéressent plus spécialement l'otologiste.
giste. Lobe temporal. — Inclus entre les lobes frontal, pariétal et occipital , le lobe temporal repose sur l'étage moyen du crâ
ncavité de la grande aile du sphénoïde, et une base répondant au lobe occipital . Cette limite postérieure est indiquée par une li
que le lobule fusiforme ; eile court sur la face inférieure des lobes occipitaux et temporaux, sans atteindre le pôle temporal en
aux et temporaux, sans atteindre le pôle temporal en avant ni le pôle occipital en arrière. Cette situation lui a valu le nom de
rapport avec le prolongement sphénoïdal du ventricule latéral. Lobe occipital . —Il occupe la partie postérieure de l'étage moye
râne. Sa forme est triangulaire, avec un sommet postérieur nommé pôle occipital ; trois faces : interne, externe et inférieure :
terne de ce lobe, les première, deuxième et troisième circonvolutions occipitales . La face interne est limitée en avant par la scis
al. Elle comprend en haut le cunéus, qui se continue avec la première occipitale , et la circonvolution supérieure du lobule lingua
convolution supérieure du lobule lingual qui correspond k la deuxième occipitale . Entre le cunéus et le lobule lingual se trouve l
eure du lobule lingual, séparées par la scissure collatérale. Le pôle occipital est constitué par la circonvolution descendante d
escendante de Ecker, point de concentration des trois circonvolutions occipitales et du lobule lingual. Lobe pariétal. — La face
troisième est la plus inférieure. Structure des lobes temporaux et occipitaux . — Dans chaque lobe cérébral, on doit considérer
ment dite occupent des points symétriques sur la face interne du lobe occipital , — plus exactement, sur le territoire cortical de
la vision psychique occupent l'écorce de la convexité des deux lobes occipitaux . Leur lésion entraîne la cécité psychique qui met
mporal et le noyau interne du thalamus. Couronne rayonnante.du lobe occipital . — Elle comprend : a) La radiatio optica de Gra
e centrale optique, qui vient se terminer sur la face interne du lobe occipital au niveau du territoire de la scissure calcarine,
b) Des fibres centripètes et centrifuges reliant les circonvolutions occipitales au pulvinar : elles s'entremêlent aux fibres de l
l'opercule rolandique jusqu'aux deux premières temporales, les trois occipitales et le pli courbe ; b) Le faisceau uncinatus, re
s appartiendraient k une série de faisceaux courts.) d) Le faisceau occipital vertical de Wernicke, placé en dehors des couches
cé en dehors des couches sagittales entre la première et la troisième occipitales et le lobule fusiforme ; e) Le faisceau occipit
et la troisième occipitales et le lobule fusiforme ; e) Le faisceau occipital transversal du cunéus (Sachs), reliant celui-ci k
u cunéus (Sachs), reliant celui-ci k l'écorce de la convexité du lobe occipital ; f) Le faisceau occipital transversal du lobul
ui-ci k l'écorce de la convexité du lobe occipital ; f) Le faisceau occipital transversal du lobule lingual (Vialet) unissant l
extrémité de la scissure calcarine k l'écorce de la convexité du lobe occipital ; g) Les fibres en Y de Meynert (stratum propriu
r, formés par des fibres qui viennent des différentes parties du lobe occipital , passent par le splénius, et se distribuent dans
terruption porte alors sur les fibres qui, de la face convexe du,lobe occipital , se rendent aux différenls centres du langage.
e indiquait un siège très reculé, très probablement au niveau du lobe occipital . Les troubles moteurs étaient variables et dus, s
velet occupe la loge ostéo-iibreuse formée en arrière et en bas par l' occipital , en avant par le rocher, en haut par le ientoriam
avant par le rocher, en haut par le ientoriam, et sur les côtés par l' occipital et par l'apophyse mastoïde (Pl. XVIII). Il est si
n effet, « une ponction, dirigée en haut et en arrière, en plein lobe occipital , qui ramena enfin un pus crémeux, épais, très fét
tendus entre les centres du langage et les centres sensoriels du lobe occipital . L'évidement pétreux devra atteindre Veminentia
ire, celui de Doyen, celui de Péan, enfin la trépanation de l'écaillé occipitale , sur le milieu d'une ligne tirée entre le sommet
ligne tirée entre le sommet de l'apophyse mastoïde et la protubérance occipitale externe. Nous savons, grâce aux beaux travaux de
rchives italiennes de biologie. i8g5. Lucy (P.), Les anomalies de l' occipital expliquées par l'anatomie comparée et le développ
IRES IMP. CONI FRÈRES On a réséqué une grande partie de l'écaillé occipitale pour dégager l'extrémité postérieure de l'encépha
uvert sur tout son trajet. On aperçoit les orifices des sinus droits, occipitaux postérieurs et pétreux supérieurs, ainsi que celu
n aperçoit la dure-mère cérébrale qui tapisse la face externe du lobe occipital . PHOTOTYPIE PEUSER BUENOS AIRES IMP. CONI F
On trouve, en arrière de la ligne pointillée, la face externe du lobe occipital avec ses trois circonvolutions, une partie du lob
mporal, le faisceau longitudinal inférieur qui unit en partie le lobe occipital aux lobes temporaux et frontaux, et, enfin, des f
llimètres en arrière de ce coude. La scie a sectionné : i° la corne occipitale du ventricule latéral, le corps dentelé et les si
le golfe de la veine jugulaire, la veine jugulaire interne, le sinus occipital , l'avant-mur, la queue du noyau eau dé, les corne
tal, l'avant-mur, la queue du noyau eau dé, les cornes sphénoïdale et occipitale du ventricule latéral; 2° sur l'écorce : les circ
riétales ascendante ou centralis posterior et supérieure, la deuxième occipitale , les lobules lingual et fusiforme, le pôle tempor
ouvert, en avant, l'épiglotte; en arrière, elle a sectionné les lobes occipitaux . Celte coupe n'est pas symétrique. A droite, en e
6 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
e mouvement d'extension de la tête de vives douleurs dans la région occipitale et la nuque : puis survint une paraplégie avec
ession remonte jusqu'aux racines de l'hypoglosse, au niveau du trou occipital , il en peut résulter une atrophie de la langue,
c la colonne vertébrale. La colonne a été brisée à son union avec l' occipital ; l'irrégularité extrême de la face supérieure
s nous fait supposer qu'il y avait ankylose totale de cet os avec l' occipital . b) Côtes et articulations costo-vertébrales. L
t d'augmentation d'épais- seur, excepté à un endroit limité de l'os occipital , rien qui rappellera une tu- meur cérébrale : l
radiations thalamiques sous le nom de « couronne rayonnante du lobe occipital » ; mais la première description à part en fut fa
t formé de fibres d'asso- ciation, prenait son origine dans le lobe occipital , limitait en dehors la cou- ronne rayonnante et
ke (5) qui propose la dénomination de « substance sagittale du lobe occipital ». Sachs (6) fait de nouveau prévaloir les idée
t un faisceau d'association qui provient de la totalité de l'écorce occipitale et qui se termine entièrement dans le lobe tem-
tie externe du pied du pédoncule et qui se terminerait dans le lobe occipital . ' Brissaud (3) admet ces mêmes idées, mais sub
des troisième circonvolution temporale, troisième circonvolu- tion occipitale et des lobules lingual et fusiforme auxquels le f
nstitue exclusivement un fais- ceau d'association qui relie le lobe occipital , et en particulier la sphère visuelle , au lobe
la sphère visuelle , au lobe temporal. Les lésions limitées du lobe occipital entraînent une dégé- nérescence qui peut être s
robable qu'il renferme, outre les fibres qui vien- nent de l'écorce occipitale et qui en constituent la presque totalité, un cer
renferme que des fibres de projection qui se terminent dans le lobe occipital et particulièrement dans la sphère visuelle. Ce
Sachs ne représente pas un faisceau d'asso- ciation reliant le lobe occipital au lobe temporal... elle est formée exclusivement
rne et des circonvolutions, temporales et se terminent dans le lobe occipital ; mais il existe, en outre, des fibres allant d
fibres allant dans le sens inverse, et qui proviennent de l'écorce occipitale . Mais le faisceau longitudinal inférieur renfer
une grande partie des radiations sagittales qui se rendent au lobe occipital ; elles concourent à former surtout la couche sa-
irent leur origine de la sphère visuelle corti- cale et de l'écorce occipitale et vont s'irradier dans les centres optiques ; le
eux sens. , A la suite de lésions de la région calcarine et du lobe occipital on observe une dégénérescence des radiations th
une dégénérescence corticipète qui se poursuit jusque dans le lobe occipital . Au niveau du carrefour ventriculaire les radia
u lobule lingual, au gyrus descendens, à la deuxième circonvolution occipitale , peut-être aussi aux autres circonvolutions occip
rconvolution occipitale, peut-être aussi aux autres circonvolutions occipitales et à la partie postérieure du pli courbe. Le
ouche sagittale interne contient des fibres qui passent de l'écorce occipitale à la couche optique, et la couche sagittale ext
sagittale (commune) recevrait les fibres de trois circon- volutions occipitales ; elles seraient destinées au pulvinar, au corps
nal inférieur qui s'épuise et dans le lobe temporal et dans le lobe occipital . Parmi les fibres non dégénérées de ce fais- ce
qui tirent leur origine de l'écorce des circonvolutions temporales, occipitales et des lo- bules lingual et fusiforme, ces dern
onc des fibres thalamo-corti- cales destinées aux lobes temporal et occipital et, en outre, des fibres qui pro- viennent de c
sceau lon- gitudinal qu'il a pu suivre jusque dans l'écorce du lobe occipital et de la scis- sure calcarine ; il en conclut,
ittale externe. Une partie du faisceau longitudinal, allant au lobe occipital est cependant respectée, car ce faisceau reçoit a
ans ce cas, £ ces noyaux sont in- demnes. ' Les lobes pariétal et occipital envoient des fibres au corps quadrijumeau an- t
110 LA SALLE AHCHAMBAULT ' faisceau d'association qui relie le lobe occipital au lobe temporal et vice versai Dans un cas où,
vention',et cette'dégénérescence se poursuivait jusque dans le lobé occipital . Pour Edingèr.'ce'cas vient à l'appui' de/l'origi
res sagittales profondes. Toutes ces fibres se rendent dans le lobe occipital pour se terminer dans les deux lèvres de la sci
t de la scissure cal- carine, mais reçoivent un contingent, du pôle occipital , de la partie la plus postérieure, du, lobule f
postérieure, du, lobule fusiforme et de la troisième circonvolution occipitale ; elles se terminent,dans le .pulvinar de la cou
aires et secondaires sont en relation avec cette partie de l'écorce occipitale délimitée par la strie de Vicq-d'Azyr. Les fibr
orizontal constituent un faisceau d'association passant de l'écorce occipitale à l'écorce temporale. · - Le contingent formé d
de Türelc ); ce faisceau ne recevrait aucun contingent de l'écorce occipitale , ne fait nullement partie du faisceau longitudi
'autenr, la majorité des fibres de ce faisceau lui viennent du lobe occipital , et, de plus, elles font partie du faisceau lon
ble de ces fibres, l'auteur donne le nom de « faisceau temporo-pré- occipital » ; ce serait un faisceau d'association, Redlic
trale ; il se termine dans l'écorce de la scissure calcarine, du pôle occipital , des circonvolutions inférieures du lobe occipi
lcarine, du pôle occipital, des circonvolutions inférieures du lobe occipital et en partie dans l'écorce des cir- convolution
une dégénérescence du faisceau longitudinal à la suite d'une lésion occipitale située à l'angle inféro-interne de la corne occip
d'une lésion occipitale située à l'angle inféro-interne de la corne occipitale et sectionnant les couches sagittales profondes
auteur, que ce segment inféro-interne soit en relation avec le lobe occipital . Plus loin, l'auteur revient sur l'origine du f
faisceau longitudinal et dit que les fibres qui proviennent du pôle occipital se dirigent horizontalement en avant, celles qu
ontalement en avant, celles qui naissent de la face interne du lobe occipital contournent les parois ventriculaires, et enfin
e fibres que le faisceau longitudinal envoie à la calcarine,au pôle occipital , aux circonvolutions du bord inférieur, au cunéus
férieur, au cunéus, au lobule lingual, à la première circonvolution occipitale . D'où viennent ces fibres ? On ne parvient pas
les deux couches sagittales, il donne le nom de « Stratum sagittale occipitale » à l'ensemble des fibres du faisceau longitudi
ceau longitudinal inférieur, couche sagittale externe. Dans le lobe occipital la distinction entre ces termes n'a guère d'impor
elle ne représente nullement la couche sagit- tale externe du lobe occipital . Plus loin encore, à un niveau antérieur au corps
en vue est de démontrer : que, la couche sagittale externe du lobe occipital , le faisceau longitudinal inférieur tel qu'il exi
s la Fra. 1. Coupe frontale normale de la partie antérieure du lobe occipital . Fs : faisceau du cuneus de Sachs. Foc : fais
. 180 LASALLE-ARCHAMBAULT couronne rayonnante corticipète du lobe occipital , il provient du corps genouillé externe et se t
prise dans son ensemble, à travers toute l'étendue du lobe temporo- occipital . 1er Cas : Lamb... Hémiplégie gauche. Ramolliss
ticale et sous-corticale des deuxième et troisième circonvolutions occipitales , la partie postéro-inférieure de la circonvolut
: pre- Schéma n° I. - Cas Lamb... Fiv. 4. Ramollissement du pôle occipital . Coupe frontale. C : scissure calcarine. Foc
coupe (Planche XXXII, 13), prise au niveau de la pointe delà corne occipitale , est privée elle aussi de couches sagittales. Le
Le ramollissement atteint les deuxième et troisième circonvolutions occipitales , mais ne s'étend pas jusqu'à l'épendyme bien qu
externe et destinées aux circonvolutions de la face interne du lobe occipital . 2° Cas : Ro... Hémiplégie gauche, hémianopsie
e gauche. 1 Ramollissement des première et deuxième circonvolutions occipitales , de la partie inférieure du pli courbe, des 3/4
supramarginalis, du lobule fusiforme (lésion corticale de sa partie occipitale ) et de la partie postérieure de la circonvolution
: Nous commencerons par décrire les coupes postérieures. La coupe occipitale (Planche XXVIII, 1) intéresse le cunéus, le précu
, cette dégénérescence se confond avec celle qui dépend des lésions occipitales . Dans un autre de nos cas (cas Giro..., planche
tient un bon nombre de radiations thalamiques provenant des régions occipitale et pariéto-lemporale postérieure, enfin elle comp
la totalité des trois circonvo- lutions de la face externe du lobe occipital , le cuneus et la scissure calca- rine ; de tout
e occipital, le cuneus et la scissure calca- rine ; de tout le lobe occipital il n'y a que la partie supérieure du lobule lin-
. La figure 4 représente une coupe frontale prise au niveau du pôle occipital , les lésions sont anciennes et ont détruit la t
, les lésions sont anciennes et ont détruit la totalité de l'écorce occipitale à l'ex- ception d'une partie du lobule lingual
st le faisceau optique central, la couche sagittale externe du lobe occipital , le faisceau longitudinal inférieur des auteurs c
ig. 17), les lésions sont moins destructives, mais partout l'écorce occipitale a disparu et c'est encore le lobule lingual qui
aisceau optique central, le faisceau longitudinal inférieur du lobe occipital ; il est lui-même légèrement touché par un foyer
accordons aux fibres corticipètes de la couronne rayonnante du lobe occipital et, en particulier, à une partie du faisceau opti
r intact partout où il n'était lui-même atteint, alors que l'écorce occipitale avait presque totalement disparu ; un foyer profo
s. Il est évident que ce faisceau ne tire pas son ori- gine du lobe occipital , autrement il n'en resterait pas trace sur la cou
a couche sagittale interne, c'est-à-dire les radiations thalamiques occipitales ; ces radiations passent en arrière et au-dessu
mois qui occupe la partie antérieure de la deuxième circonvolution occipitale , la totalité du pli courbe, le pied de la deuxi
rs postérieur de la première circonvolution temporale. Dans le lobe occipital (Fig. 2), la lésion détruit le pli courbe et la d
. 2), la lésion détruit le pli courbe et la deuxième circonvolution occipitale , elle s'étend dans la profondeur, mais beaucoup m
uit à travers toute l'étendue du lobe temporal et qui, dans le lobe occipital , se porte progressivement en dedans et disparaî
nérées appar- tiennent à la couronne rayonnante corticipète du lobe occipital . Nous croyons qu'elles font partie d'un faiscea
onstituent la presque totalité de la couche sagittale externe du lobe occipital , mais dans le lobe temporal elles n'occupent qu
postérieure est prise immédiatement en avant (PI. XXX, 7) du début occipital du ramollissement. La totalité du lobule fusiform
one renferme les fibres du faisceau de Vialet (cin- gulum inférieur occipital ) qui proviennent des circonvolutions inférieures
t entièrement dégénérée, car à ce niveau les radiations thalamiques occipitales ont déjà passé dans le pulvinar. La dégé- néres
droit où cette dernière se confond avec la troisième circonvolution occipitale . Sur une coupe frontale passant à trois cen- ti
e. Il existe en outre un ramollissement sur la face interne du lobe occipital qui détruit la moitié postérieure du lobule lingu
al et toute cette partie du lobule fusiforme comprise entre le pôle occipital et une ligne imagi- naire passant par la partie
e pariétal ( ? )mais pour nous, la couche sagittale externe du lobe occipital ne renferme que des fibres géniculo-calcarinien
s ayant porté tout particulièrement sur la couche sagittale externe occipitale , sur le faisceau longitudinal inférieur (que nous
lobe temporal ne représente pas la couche sagittale externe du lobe occipital , sa constitution est beaucoup plus complexe ; c
omporte exactement de la même façon ; nous croyons que dans le lobe occipital , cette couche ne renferme que des fibres corticif
La couche sagittale interne dégénère à la suite de lésions du lobe occipital et 198 LASALLE-ARCHAMBAULT de la partie posté
constituée cette couche, proviennent de toutes les circonvolutions occipitales , ainsi que du pli courbe, de la partie postérie
ussi les radiations du corps qua- drijumeau antérieur. Dans le lobe occipital , la majorité des fibres de la couche sagittale
imer schématiquement la constitution de la couche sagittale interne occipitale de la façon suivante : Couche sagittale interne
occipitale de la façon suivante : Couche sagittale interne du lobe occipital renferme des : a) Radiations thalamiques pures.
xions corticales de noyaux déterminés. Les radiations thalamiques occipitales se terminent surtout dans la partie inférieure
usivement, de la sphère visuelle corticale. A la suite de lésions occipitales , nous n'avons jamais observé de dégénéres- cenc
l'avons retrouvé aussi bien dans le lobe temporal que dans le lobe occipital et par conséquent nous n'admettons pas qu'il soit
i courbe et du gyrus supramarginalis, elles se rendent dans le lobe occipital aux deuxième et troisième circonvolutions occipit
nt dans le lobe occipital aux deuxième et troisième circonvolutions occipitales , et plus en avant aux deuxième et troisième cir
onvexité (pli courbe, gyrus supramarginalis). A la suite de lésions occipitales et de la partie postérieure des lobes tempo- ra
ceau longitudinal inférieur, de la couche sagittale externe du lobe occipital , car c'est surtout sur ce faisceau que portent
que cette couche de fibres ne dégénère pas à la suite de lé- sions occipitales ; nous l'avons vu persister intacte alors que la
s ; nous l'avons vu persister intacte alors que la totalité du lobe occipital était le siège d'un ramollissement, de sorte qu'e
ence du faisceau longitudinal inférieur, soit à la suite de lésions occipitales (Gg. 6, lésion du lobule lingual et du lobule f
ures (fig. 5, le segment supérieur de la cou- che sagittale externe occipitale est totalement dégénéré à la suite d'une lésion
li courbe et de la partie adja- cente de la deuxième circonvolution occipitale ), lésions profondes avec partici- pation des co
, le liseré blanchâtre oc- cupe la couche sagittale externe du lobe occipital et,selon qu'il siège dans la partie supérieure
faisceau de projection, la couronne rayonnante corticipète du lobe occipital ; nous croyons avoir précisé son origine dans l
extrêmement dissociées par les radiations thala- miques des régions occipitale , pariétale et temporale qui, à ce niveau, passent
résente le « carrefour sensitif». FiG. 5 - Coupe frontale du lobe occipital . Foc, faisceau optique central. 204 LASALLE-A
oral. Suivons maintenant le faisceau optique central depuis le lobe occipital jus- qu'à la partie antérieure du lobe temporal
coupes vertico-transversales, ce faisceau cons- titue dans le lobe occipital la couche sagittale externe de Sachs, le faisceau
ieure de la scissure calcarine et enverrait des fibres à la convexité occipitale , mais il a été trouvé intact dans certaines lés
xité occipitale, mais il a été trouvé intact dans certaines lésions occipitales . Pour nous, ce Fio. 6. - Coupe frontale du lobe
lésions occipitales. Pour nous, ce Fio. 6. - Coupe frontale du lobe occipital . Fs : faisceau du cuneus de Sachs. Foc : fais
ela, nous admettons parfaitement qu'il y ait au-dessous de la corne occipitale , de nombreuses fibres d'association plns ou moins
nous croyons que la plupart proviennent de la face externe du lobe occipital et que d'autres appartiennent au faisceau de Wern
aisceau de Wernicke, contournent l'angle inféro-externe de la corne occipitale et s'irradient dans le lobule fusiforme et dans
scissure calcarine et reçoit de nombreuses fibres de la con- vexité occipitale , mais il contient en outre les fibres de la parti
et qui font par- tie de la couronne rayonnante corticipète du lobe occipital . Nous voyons donc l'intimité de relation qui ex
le ex- terne ne représente plus la couche sagittale externe du lobe occipital ; elle en diffère sensiblement. Les fibres du f
entriculaire inférieure, elle est à peu près la même que dans le lobe occipital , c'est-à-dire que la couche externe comprend su
e l'hémisphère à ce niveau, le problème déjà difficile dans le lobe occipital se complique plus que jamais. Dans le lobe occi
dans le lobe occipital se complique plus que jamais. Dans le lobe occipital , la corne ventriculaire est petite, il n'existe p
n a décrit un bon nombre de faisceaux d'association propres au lobe occipital . Personnelle- ment nous admettons que ces faisc
faisceaux étaient bien indépendants de la couche sagittale externe occipitale , et c'est ce que nous croyons nous-même, except
nous ne croyons pas, c'est que ces faisceaux soient propres au lobe occipital . Nous devons donc nous éloigner momentanément d
lum horizontal conserve son individualité, se continue vers le pôle occipital et occupe le cunéus et le précuneus, il prend i
relations du cingulum. Or, la même chose se passe au niveau du lobe occipital ,' le faisceau transverse de Sachs est l'analogue
t et émet pour les 'circonvolutions médianes et supérieures du lobe occipital . Ces deux faisceaux font partie d'un seul système
partie d'un seul système, constituent le cingulum supérieur du lobe occipital et ne diffèrent dans leurs caractères physiques
Vialet, mais pour nous il représente le cingulum inférieur du lobe occipital : il émet pour le lobule fusiforme, la troisièm
tal : il émet pour le lobule fusiforme, la troisième circonvolution occipitale et (plus en avant) pour la troi- sième circonvo
s qu'il existe de la dilatation ventriculaire au niveau de la corne occipitale . Les faisceaux de Sachs et de Vialet contiennen
antérieure du lobe temporal, nous voyons qu'ici, comme dans le lobe occipital , il existe un fais- ceau d'association, absolum
tte région leur refuse le vaste champ qu'elles avaient dans le lobe occipital ? Évidemment elles devront forcément occuper le
ue de faire du faisceau de Vialet et de la couche sagittale externe occipitale un seul et même faisceau. Or, comme on n'a jama
faisceau. Or, comme on n'a jamais songé à cette union pour le lobe occipital , pourquoi faire exception du lobe temporal ? Di
la partie antérieure du lobe temporal le faisceau de Vialet du lobe occipital . Nous nous sommes étendu longuement sur la cons
rs ; seulement le faisceau longitudinal prend son origine dans lobe occipital et se termine dans l'écorce du lobe temporal, t
ervé une dégénérescence de la couche sagittale externe dans le lobe occipital et a vu ses fibres se terminer dans les deux lèvr
pas que les lésions de la couche optique retentissent sur le lobe. occipital ; exception faite, bien entendu, de ces lésions s
au longitudinal inférieur. Ce passage de fibres débute dans le lobe occipital et se continue sur toute l'étendue comprise entre
e occipital et se continue sur toute l'étendue comprise entre le pôle occipital et les ganglions de la base ; enfin, au niveau
faisceau qui représente la couronne rayonnante corticipète du lobe occipital , tire son ori gine du corps genouillé externe e
es d'association. 3) Quelle que soit l'étendue d'une lésion du lobe occipital , tout rentre dans l'ordre au niveau de la parti
de Beevor, se conti- 216 LASALLE-ARCfIAMBA ULT nuent dans le lobe occipital où ils prennent les-noms de faisceaux de Sachs et
5) Les faisceaux de Sachs et de Vialet ne sont pas propres au lobe occipital , mais existent également dans la lobe pariéto-t
au perpendiculaire ou vertical de Wernicke n'est pas propre au lobe occipital , il se retrouve dans le lobe temporal ; c'est mêm
es) proviennent de toutes les circonvolutions des lobes temporal et occipital et de la partie postérieure du lobe pariétal. 8
isceau d'association occipito-frontal. 11) Aucune fibre de l'écorce occipitale ne passe dans le pied du pédoncule cérébral ; t
par le cerveau dilaté sur le ten- tor. cerebelli. Enfin le foramen occipital pourrait avoir été plus ou moins obstrué par re
Signalons encore deux petits foyers dans l'épendyme des ventricules occipitaux . Tous ces néoplasmes répartis également sur les
ties, ressemblent une fente, à gauche encore plus qu'à droite ; les occipitales par contre se sont arrondies de façon à atteind
(t) Coupant actuellement une gomme pariéto-temporale où les cornes occipitales sont en partie soudées, je me réserve de reveni
ence pariétale gauche. Sortie à droite au niveau de la protubérance occipitale . Large incision des tissus mous réunissant les
ceau longitudinal inférieur, couche sagittale externe. Dans le lobe occipital la distinction entre ces termes n'a guère d'impor
s en vue est de démontrer : que la couche sagittale externe du lobe occipital , le faisceau longitudinal inférieur tel qu'il exi
rojection, il représente la couronne rayonnante corticipète du lobe occipital , il provient du corps genouillé externe et se ter
, et qu'elles appartiennent soit à la couronne rayon- nante du lobe occipital , soit a la couronne rayonnante du lobe temporal.
caractère purement corticipète de cette couche qu'au niveau du lobe occipital . Surtout n'avons-nous pas eu le tourment de vac
e la pointe et des faces externe, interne et infé- 1 ieure, du lobe occipital ; en avant viennent s'ajouter les fibres du précu
lement dans la région calcarine mais encore dans toute la convexité occipitale (Voy. nos cas Cogery et Dautri- che) s. Voilà
ne saurions admettre, car d'une part, les fibres que la corticalité occipitale envoie aux noyaux centraux occupent la couche sag
ariétal et temporal. Nous n'en avons jamais retrouvé dans la région occipitale . Pour nous, les seu- les fibres qui s'unissent
e notre point de départ n'est autre que la couche sagittale externe occipitale . Nous acceptons cependant le pli courbe qui est
ne-t elle à la région calcarine (qui, elle aussi, atteint la pointe occipitale , ou rayonne-t- elle également vers tous les poi
et radiations thalamiques) pouvant être suivie jusque dans la pointe occipitale ». Malheureusement, dans l'un et l'autre de ces
'insérer les planches destinées à la topographie de la décoloration occipitale . S'il ne fallait tenir compte que de ces deux c
blit pas les confins du territoire qu'elle occupe au niveau du lobe occipital . Ainsi, l'on abandonnerait l'ancienne théorie qui
firmatifs de nos idées sur l'origine de la couche sagittale externe occipitale ; ils ne suffisent certainement pas à établir q
e pariéto-temporo-occipital. · Viennent d'abord les lésions du lobe occipital , « elles entraînent une dégé- nérescence du fai
) il s'agit d'une lésion de la pointe et de la face interne du lobe occipital , intéressant la base du cunéus, l'écorce des lè
étendant en profon- deur jusqu'à l'épendyme du plancher de la corne occipitale et sectionnant à ce niveau, les couches sagitta
inférieure et la moitié inférieure de la paroi externe de la corne occipitale et du carrefour ventriculaire. Cette LE FAISCEA
ongitu- dinal inférieur (longues fibres d'association de provenance occipitale ), en admettant que nous sommes à la partie anté
n (p. 114) et que ce tableau est l'expression d'une lésion purement occipitale ? Nous nous trouvons en présence de faits telle
) qui tapissent la paroi inférieure et inféro- latérale de la corne occipitale et du carrefour ventriculaire, répond en grande
9 cette dernière plaque commence en arrière à 2 centimètres du pôle occipital , atteint en bas le bord inférieur de l'hémisphè
c très nettement de cet exposé que la lésion n'est pas unique- ment occipitale , mais également et franchement temporale. Nous ad
principe que nous nous refusons ai admettre comme « type de lésion occipitale » la vaste plaque jaune que présente ce cas Bra
vaste plaque jaune que présente ce cas Bras. Un ramollissement est occipital ou il ne l'est pas ». Quand l'on songe que c'es
tte dégénérescence puisse également être suivie « jusqu'à la pointe occipitale », étant donné que les cou- ches profondes ne s
us-corticale du lobule lingual, et cela, bien en avant de la pointe occipitale dont les coupes peuvent servir de prépa- ration
ve une dégénéres- cence considérable de la couche sagittale externe occipitale , il s'agit soit d'une lésion des ganglions infr
ollissement temporal intéressant les couches profondes, la réaction occipitale se cantonne presque exclusivement à la couche sag
cette dernière s'épuise assez rapidement, et en région franchement occipitale on ne retrouve guère de dégénérescence que dans
ches sagittales se faisant dans les deux sens, du côté de la pointe occipitale d'une part, du côté du segment rétrolenticulaire
ales externe et interne, pouvait être suivie presque dans la pointe occipitale , etc. ». LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET
adiations tha- lamiques) pouvant être suivie presque dans la pointe occipitale . Elle est due à la dégénérescence des fibres, q
accorde un complément d'associa- tion de provenance essentiellement occipitale ? 2 Est-il juste d'affirmer la dégénérescence r
ce problème difficile, ce serait de faire voir la réaction, non pas occipitale , mais simplement temporale, dans un cas de lési
e faisceau longitudinal avec la couche externe qu'au niveau du lobe occipital ce que nous avons établi tex- tuellement dans u
vant, les faisceaux de Sachs, de Vialet et de Wernicke dans le lobe occipital ? Nous tenons à le dire, « toutes les fibres d'as
rantiel. Quaut à la pyramide bulbaire, elle se réfléchit dans le lobe occipital . Nous avons vu que la pyramide bulbaire ue renf
de la couche sagittale externe tout en- tière, mais de son secteur occipital qui est également (pour nous) à ce niveau, le f
riées, rapprochées et enfin réunies indissoluble- ment en un tout « occipital ». Il s'était produit en effet un fendillement
central se déploient progressivement et se cantonnent dans le lobe occipital , à la couche sagittale externe dont elles const
lement aux radiations du corps quadrijumeau antérieur de provenance occipitale , ce qui est encore en faveur de la nature vrais
x racines postérieures ; car la bandelette est sensorielle. Le lobe occipital représente le lobe intra-cérébral de l'appareil
ge, l'équivalent sensitif de la voie optique. On sait que le lobe occipital envoie de nombreuses fibres aux ganglions in- f
entre en connexion surtout avec le corps genouillé, les radiations occipitales se rendent eh plus grand nombre au pulvinar et au
inon physiologique) nous ferons remarquer que la rétine et l'écorce occipitale se comportent vis-à- vis des centres primaires
ielle. 3° Au pulvinar, un très petit nombre de fibres. b) Le lobe occipital envoie : 1° Au corps genouillé externe, les 20
le et fonctionnellement périphérique. Par conséquent, c'est le lobe occipital seul, qui renferme une corticalité visuelle rée
les impressions lumineuses et visuelles de la rétine et de l'écorce occipitale (directement surtout, mais peut-être indirec- t
s des circonvolutions de la face inféro-externe et latérale du lobe occipital . L'analogie est grande et fait ressortir que l'
uant à la grande commissure visuelle, elle se retrouve dans le lobe occipital ; elle constitue la majeure partie du splénium ca
elation avec des régions fonc- tionnelles autres que la corticalité occipitale ; nous reviendrons sur ces faits, dans un travai
ire. Avant de reprendre l'étude de cette analogie au niveau du lobe occipital , il reste un détail digne d'être compris dans n
libres genotiillées qui se rendent à la couronne rayonnante du lobe occipital contra-latéral ; enfin, de simples fibres agenoui
nsidération du trajet du faisceau optique central au niveau du lobe occipital ; il reste en effet quelques particularités digne
sans souffrir d'atteinte a son intégrité. Il est au niveau du lobe occipital ce qu'il est dans la partie moyenne du lobe tem
éploient lentement et forment un anneau complet qui cercle la corne occipitale , mais, ainsi que nous l'avons dit, ce cercle n'es
terne du segment sous- ventriculaire de la couche sagittale externe occipitale . Les libres qui siègent dans le segment sus-ven
plus considérable qui est situé au-dessous et en dehors de la corne occipitale LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCE
ruisant les couches sagittales à l'angle supéro-interne de la corne occipitale , c'est-à-dire dans la substance blanche du cunéus
e la voie pyramidale. Une fois que l'on dépasse en arrière la corne occipitale , on cons- tate la disparition du faisceau optiq
idement, grâce au territoire plus vaste qu'occupe au niveau du pôle occipital , la scissure calcarine. Ces particularités sont
la différence entre la répartition des couches sagittales d'un lobe occipital avec symphyse ventriculaire et celle d'un lobe oc
d'un lobe occipital avec symphyse ventriculaire et celle d'un lobe occipital hydro- céphalique ? 2 Les libres géniculo-cal
es constituent la presque totalité de la cou- che sagittale externe occipitale , mais elles obéissent à la règle générale, pour
l'état de pu- reté presque dans la couche sagittale externe du lobe occipital , entourent d'un anneau la corne ventriculaire d
existe à l'état de pureté dans la couche sagittale externe du lobe occipital . Ainsi qu'une lésion cérébrale se traduit par u
rmine que la dégénérescence de la couche externe, au niveau du lobe occipital . M. et Mme Dejerine terminent leur réponse en n
7 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
pa. Os pariétal, très court comparativement à l'os frontal. oc. Os occipital ne recouvrant que le cervelet et ne s'avançant pa
, le pariétal recouvre une portion a#ssez restreinte de cet organe, l' occipital n'arrive pas jusqu'à lui; tandis que chez l'homme
des animaux, circonvolutions qui vont alors recouvrir le cervelet, l' occipital et le pariétal ont acquis une extension considéra
aperçoit la démarcation qui existe entre les os frontal, pariétal et occipital . fr. Os frontal, pa. Os pariélal. oc. Occipital
rontal, pariétal et occipital. fr. Os frontal, pa. Os pariélal. oc. Occipital . L'os pariétal est des trois, celui qui recouvr
t et de l'hémisphère cérébral. fr. Os frontal, pa. Os pariétal, oc. Occipital , ba. Base du crâne. I. A., 11. A., III. A.; Pre
du lobe occipito-sphénoïdal se continuant jusqu'à Vextrémité du lobe occipital par l'intermédiaire du troisième et du quatrième
olutions de la face interne de l'hémisphère droit. fr. Frontal, oc. Occipital . A A. Partie interne de la troisième circonvolu
. fr. Extrémité frontale de l'hémisphère droit. oc. Son extrémité occipitale . sph. Son extrémité sphénoïdale. ce, ce, ce,
stérieur. Fig. \. Charruas. fr. Extrémité frontale, oc. Extrémité occipitale , sph. Extrémité sphénoïdale. A. A A. Trois circ
olongement de l'une des deux circonvolutions supérieures vers le lobe occipital . (Lobule du pli pariétal ascendant.) P. P. Circ
les sont tiraillées et beaucoup trop longues. Eu revanche les parties occipitales sont trop courtes. CHARRÚAS ADULTE. — FACE LATE
ÊME FACE. Fig. \. Charruas. fr. Extrémité frontale, oc. Extrémité occipitale , sph. Extrémités sphénoïdales. O. O. Circonvolu
nt. Le cervelet a été enlevé. fr. Extrémité frontale, oc. Extrémité occipitale , sph. Extrémité sphénoïdale. A. A. Portion inte
nné par M. Gi-raldès). E. F. Extrémité frontale. E. OC. Extrémité occipitale . E. 0. Face orbitaire du lobe frontal. G. Cer
». Premier pli ou pli supérieur de passage unissant au sommet du lobe occipital le lobule du pli pariétal ascendant. y. Deuxièm
y. Deuxième pli de passage, unissant le pli courbe au sommet du lobe occipital . k. Troisième pli de passage. 1. Quatrième pl
des primates). E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. L. 0. Lobe occipital . E. 0. Lobule orbitaire du lobe frontal très-ex
frontal très-excavé. SC. P. Scissure perpendiculaire séparant le lobe occipital d'avec le lobe pariétal. a. Scissure de Sylvius
couvrant les cornes frontales des ventricules latéraux. c.c. Cornes occipitales des ventricules latéraux recouvertes par certaine
gées au-dessus du corps calleux de l'extrémité frontale à l'extrémité occipitale de l'hémisphère. ci . Fibres supérieures de l'o
a'". Fibres inférieures de l'ourlet qui se portent vers l'extrémité occipitale de l'hémisphère. 6. Intervalle qui sépare les f
es, n. Commissure antérieure. E.F. Extrémité frontale. E.O. Extrémité occipitale . E.S. Extrémité sphénoïdale. C.C.j CC Couches c
rrière dans le bord supérieur de l'hémisphère au-dessus de la corne occipitale du ventricule latéral, ce'. Division delà branche
arrière dans le bord inférieur de l'hémisphère au-dessous de la corne occipitale du ventricule latéral Entre cette branche et la p
latéral, cette figure permet d'apprécier l'énorme étendue de la corne occipitale du ventricule latéral dans les singes. c.c.c. C
postérieures de l'hémisphère. EF. Extrémité frontale. EO. Extrémité occipitale . Fig. 2. Cette préparation est destinée à montr
que gauche. p. p. Commissure propre, étendue de la pointe du lobe occipital à celle du lobe sphénoïdal. q. Expansion des fibr
'hémisphère. E. F. Extrémité frontale du cerveau. E. 0. Son extrémité occipitale . Fig. 8. Profil du même cerveau. B. Bulbe.
es. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Son extrémité occipitale . L. S. Lobe sphénoïdal. F. S. Fosse de Sylvius,
veau. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Son extrémité occipitale . N.B. On remarque déjà quelques traces de plis
ncts. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Son extrémité occipitale . L. Sph. Lobe sphénoïdal. F. S. Fosse de Sylviu
aquelle se voient à peine quelques indices de plis. E. 0. Extrémité occipitale . S. S. Scissure de Sylvius fermée par le rappro
veau. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Son extrémité occipitale . S. R. Sillon de Rolando en vestige. SC S. Scissu
Morgny). E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Extrémité occipitale . OL. Olive. P. A. Pyramide antérieure. P. V. Po
erveau. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Extrémité occipitale . L. SPH. Lobe sphénoïdal. SC. S. Scissure de Sy
cerveau. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Extrémité occipitale . S. R. Sillon de Rolando. SC. S. Scissure de Sylv
tilhiac). E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Extrémité occipitale . SC. T. Scissure transverse. SC. S. Scissure de S
cerveau. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Extrémité occipitale . L. OL. Lobe olfactif. SC. S. Scissure de Sylvi
rieure du même cerveau. E. F. Extrémité frontale. E. 0. Extrémité occipitale . P. F. A. Pli frontal ascendant. P. P. A. Pli
t. P. C. Pli courbe qu'on voit communiquer avec le sommet du lobe occipital par l'intermédiaire d'un large pli de passage.
alleux. E. F. Extrémité frontale de 1 hémisphère. E. 0. Extrémité occipitale . L. SPH. Extrémité sphenoidale. + + Extrémité
4. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Son extrémité occipitale . L. SPH. Lobe sphénoïdal. CC, CC, CC, CC, CC.
g. 2. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Son extrémité occipitale . C C; C. C, Couches corticales. C, C Corps calleu
ept mois, vu de profil. E, F. Extrémité frontale. E. O. Extrémité occipitale . L. O. Lobe olfactif. L. SPH. Lobe sphénoïdal
tal ascendant. P. C. Pli courbe communiquant avec le sommet du lobe occipital par un large pli de passage. 1° Étage inférieur d
rieure du même cerveau. E. F. Extrémité frontale. E. O. Extrémité occipitale . P. F. A. Pli frontal ascendant. P. P. A. Pli
ssage. P. C. Pli courbe avec le pli de passage qui l'unit au lobe occipital . C. O. Lobe occipital. 2. Étage moyen du lobule
rbe avec le pli de passage qui l'unit au lobe occipital. C. O. Lobe occipital . 2. Étage moyen du lobule frontal. 3. Étage s
le. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. O. Son extrémité occipitale . L. SPH. Extrémité du lobe sphénoïdal. L. O. Lo
'. Pli de passage passant du sommet du pli courbe au sommet du lobe occipital . P. C.P.C. Pli courbe. P. M. I. Pli marginal infé
rieure du même cerveau. E. F. Extrémité frontale. E. 0. Extrémité occipitale . P. F. A. Pli frontal ascendant. P. P. A. Pli
. CD. Cervelet latéral droit. V. Vermis. L. 0., L. 0., L. 0., Lobes occipitaux atrophiés et ne recouvrant qu'incomplètement le c
t a été détaché pour mieux en découvrir l'ensemble. E. D. Extrémité occipitale . E. F. Extrémité frontale. P. F. S. I. Pli fr
8 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
menstruée deux à trois fois. z A l'autopsie on constata que le trou occipital était plus'petit qu'à 4 Fletcher Beach. - Notes
ière et sa forme rappelle grossièrement celle d'un pain de sucre. L' occipital forme en arrière une saillie notable du côté ga
ntaire. - Les cheveux sont noirs, moyennement abondants à la région occipitale ; ils vont en diminuant sur la partie inférieure
est luisant et rappelle, principalement sur les lobes temporaux et occipitaux , l'aspect du cerveau des nouveau-nés, sorte d'asp
les pariétaux sont quelque peu plus proéminents que le frontal. - L' occipital proémine de même sur les pariétaux. - La fontan
les deux tables sont peu développées, le diploé l'est davantage. L' occipital est peu développé. Vue par sa face interne, la
dirigeant du lobule pariétal supérieur à la première circonvolution occipitale ; son extrémité inférieure se trouve située à un
inueux, bien développé; un pli de passage à niveau le relie au lobe occipital . La scissure interpariétale (Sc. i) prend son o
e normale se continue ensuite presque dans le lit du premier sillon occipital . Le lobule pariétal inférieur (P2) et le pli co
i de passage relie celui-ci au lobule pariétal inférieur. Le lobe occipital (L 0) nettement séparé du lobe temporal est rel
me circonvolution temporales se trouvent en retrait, c, sur le lobe occipital et les parties antérieures du lobe temporal. -
issure temporale, séparant ainsi nettement le lobe temporal du lobe occipital . On trouve encore quatre circonvolutions tempor
s venons de parler; elle se prolonge ensuile presque dans le sillon occipital transverse. - Le lobule pariétal infétiew' (P,)
e externe (c) qui va se jeter dans la scissure parallèle. Le lobe occipital (L, 0), nettement séparé des lobes pariétal et
lution temporale; en arrière, une de ses por- tions isolées (sillon occipital antérieur (d) sépare nettement en se réunissant
sant à l'incisure préoccipitale (In. pré.) le lobe temporal du lobe occipital . - Il existe trois circonvolutions temporales (3;
à rétrécir le diamètre antéro-postérieur du crâne. La réunion de l' occipital avec les pariétaux est marquée par un sillon qui
ns les cheveux d'une femme. Malgré cette espèce de chevauchement, l' occipital fait une certaine saillie en arrière, et les fo
se, plutôt brachycé- phale, avec aplatissement notable de la région occipitale ; les cheveux étaient rares, le visage pâle, les
Etat actuel (21 avril 1886). Crâne ovoïde, bosses parié- tales et occipitales moyennement développées et symé- triques. Bosse
e à l'autre . 28,» Longueur de la racine du nez à la protubérance occipitale externe en passant par le sommet.. 30,0 Face ar
sure de Sylvius, est sinueuse et va se jeter dans le premier sillon occipital ; au niveau de sa courbe, un rameau ascendant, q
e du pli de passage qui se rend du pli pariétal supérieur au lobe occipital . Le pli pariétal inférieur est assez bien déve-
indre l'incisure préoccipitale et sépare le lobe temporal du lobe occipital . La deuxième temporale est sinueuse, bien dével
roisième. Celle-ci est également assez bien déve- loppée. - Le lobe occipital présente son aspect ordinaire, mais ses circonv
oprement dite, après un trajet un peu sinueux, va aboutir au sillon occipital transverse. Le pli pariétal supérieur très sinu
loppé ainsi que le pli pariétal inférieur et le pli courbe. Le lobe occipital est moins volumineux qu'à gau- che ; il est un
u, est une tumeur, grosse comme une lentille. A la pointe du lobe occipital gauche du cerveau, on remar- que une tumeur lar
e à l'autre ........ 29 - ' De la racine du nez à la protubérance occipitale - 30 Front très étroit, peu élevé, aplati latér
s interrompue, alors qu'elle l'est à gauche plusieurs fois. Le lobe occipital est assez développé mais moins plissé qu'à gauc
e 04. - Tête assez grosso, un peu carrée, développement modéré de l' occipital ; bosses pariétales un peu saillantes, la droite
be frontal, la moitié postérieure de la région pariétale et le lobe occipital sont moins développés que les parties centrales
,est atrophié en arrière. L'atrophie porte aussi sur tout le lobe occipital et sur les parties postérieures de la première
, non sinueuse. Le coin, atrophié, a un aspect vermiculé. Le lobe occipital est atrophié comme sur la face externe. La circ
ut aux points de pénétration des capillaires. Sur une coupe du lobe occipital , une portion assez considé- rable de substance
alite, étendue à presque tout le cerveau, prédominant sur les lobes occipitaux et pariétaux, mais ayant aussi atteint les lobe
ruit complètement les lobes temporaux et en grande partie les lobes occipitaux et les lobules do l'insula. Nous serions heureu
énal. - En- céphale : Destruction complète des lobes temporaux et occipitaux , des lobules de l'insula remplacés par deux pse
Tête, un peu petite ; bosses frontales assez bien dessinées; région occipitale saillante; protubérance occipitale peu marquée.
les assez bien dessinées; région occipitale saillante; protubérance occipitale peu marquée. Front étroit, légère ligne en gout
Les différentes parties du crâne paraissent symétriques. Le trou occipital , les fosses occipitales et la gouttière basilaire
ties du crâne paraissent symétriques. Le trou occipital, les fosses occipitales et la gouttière basilaire forment un entonnoir
lobule pariétal inférieur, le pli courbe, les lobes tempo- ral et occipital , le lobule de l'insu la sont entièrement com- p
onde, limite par sa lèvre inférieure la lésion siégeant sur le lobe occipital . La scis- sure parallèle est comprise dans le k
le ascendante parait cepen- dant à peu près naturelle. Tout le lobe occipital est atro- phié et montre à sa surface une color
x avaient détruit plus ou moins complètement les lobes temporaux et occipitaux , les lobules pariétaux infé- rieurs et les lobu
astomose en bas avec l'extrémité de la deuxième .temporale. Le lobe occipital est d'aspect assez maigre. - La scissure de Syl
s étroites, assez maigres. Le coin est petit et régulier. Le lobe occipital est formé par des circonvolutions un peu plus v
lobe carré est étroit, le coin un peu plusgros qu'à droite. Le lobe occipital est composé de circonvo- lutions maigres. La ci
ales des deux côtés, on en trouve aussi sur les lobes frontaux et occipitaux ; mais elles sont beaucoup plus restreintes. L'
ans la substance blan- che. La coupe d'une circonvolution du lobe occipital gauche à la face externe de l'hémisphère, au-de
en haut avec le lobe pariétal supé- rieur, en arrière, avec le lobe occipital ; elle est séparée du lobe temporal par une inc
présente trois digitations saillantes.- Les circonvolutions du lobe occipital sont amaigries et tassées ; leurs sillons sont
lobe temporal, l'est davan- tage et d'une façon typique sur le lobe occipital ; cet aspect est dû, on le sait, à des sillons
in présente des circon- .volutions amaigries et chagrinées. Le lobe occipital est assez développé. - La circonvolution du cor
st assez volumineux et fournit en arrière un pli de passage au lobe occipital . Tout le lobe pariétal a un aspect chagriné et
on le voit, très chagriné sur presque toute son étendue. Le lobe occipital , composé de circonvolutions peu dé- veloppées,
eux est semblable à celle de droite. -- Les circonvolutions du lobe occipital sont amaigries, mais moins que du côté opposé.
ont très dilatés, les corps granuleux sont très abon- dants. Lobe occipital . - Les coupes du lobe occipital, au niveau d'un
uleux sont très abon- dants. Lobe occipital. - Les coupes du lobe occipital , au niveau d'un foyer plus étendu que celui que
saillie considérable des deux bosses pariétales. La protubérance occipitale et les bosses frontales font une saillie moyenne.
icatrices à la racine des cheveux et à la par- tie postérieure de l' occipital , dont deux courbes, linéaires et très allongées
a- rallèle, puis va se perdre dans le lit de la première scissure occipitale , elle-même très sinueuse, en coupant la scissure
e, allant du lobule pariétal supérieur à la première circonvolution occipitale , se continue ensuite presque jusqu'à la scissur
celles du lobule pariétal inférieur d'une part et de celles du lobe occipital d'autre part; une scissure verticale, dérivée d
pli de passage grêle allant de la seconde temporale à la troisième occipitale , est formée à la face convexe parle sillon occi
la troisième occipitale, est formée à la face convexe parle sillon occipital , antérieur (de Wernicke), l'incisure préoccipil
de lapremière scissure temporale, une sorte de confluent. Le lobe occipital , nettement séparé par les sillons précé- demmen
trois circonvolutions bien dé- veloppées et sinueuses. La scissure occipitale transverse coupe la scissure occipitale supérie
s et sinueuses. La scissure occipitale transverse coupe la scissure occipitale supérieure, puis l'inférieure, et n'est séparée
un pli de passage à niveau de 3 millimètres. Une seconde scissure occipitale transverse se trouve en arrière, part de la scis-
occipitale transverse se trouve en arrière, part de la scis- sure occipitale supérieure et coupe la scissure occipitale infé
e, part de la scis- sure occipitale supérieure et coupe la scissure occipitale inférieure. Ces deux scissures transverses cons
res transverses constituent, avec une partie de la seconde scissure occipitale , une scis- sure en H. Le lobule orbitaire et
ppé et très sinueux à la deuxième circonvolution de passage du lobe occipital et qu'il n'existe pas de pli de passage allant,
un pli de passage allant du pli courbe à la seconde circonvolution occipitale . La scissure verticale provenant de la seconde
est beaucoup moins développée qu'à gauche. Il existe deux scissures occipitales transverses, mais elles no coupent pas la sciss
ures occipitales transverses, mais elles no coupent pas la scissure occipitale inférieure. Los lobules pariétal supérieur et i
upérieur et inférieur, le pli courbe, les circonvolutions des lobes occipital et temporal sont bien développées et ont le mêm
, 1880, t. I, p. 213). CRUCIFIE,NIENT; attitude spéciale. 219 l' occipital (1) et enfin l'attitude spéciale prise par le cor
ure du lobe frontal droit, sur le lobe temporal gauche, sur le lobe occipital droit et le cervelet. - Les artères et les nerf
poursuit ensuite son trajet jusquo dans lo lit du premier sillon occipital . Le pli pariétal supérieur et le pli pariétal inf
et en une partie postérieure, plus développée. Les circonvolutions occipitales sont assez régulières, ainsi que leurs scissure
ie des plis de passage à niveau à la troisième temporale et au lobe occipital . Le deuxième scissure temporale, très profonde,
fond avec la scissure perpendiculaire externe, le sillon transverse occipital et le premier sillon occipital. Le pli pa- riét
ulaire externe, le sillon transverse occipital et le premier sillon occipital . Le pli pa- riétal supérieur est bien développé
profond le fait communiquer aussi avec la première circonvolution occipitale . - Le pli pariétal inférieur est moins bien déve-
ur est moins bien déve- loppé ; le pli courbe est normal. Le lobe occipital présente des circonvolutions très sinueuses, dé
a partie antérieure, simple en arrière et séparés nettement du lobe occipital . - Les circonvolutions temporo-occipitales et l
ur. P2, Pli pariétal inférieur. Ps, Pli courbe. i,· 0. C., Lobe occipital . Ti, 1" circonvolution temporale. T2, 2" circ
remarquera sur chaque face convexe la séparation bien nette du lobe occipital des parties environnantes. Les lettres Sc. p. p
celles de la planche Il, à l'exception des suivantes : d., Sillon occipital antérieur. b., Sillon intermédiaire au pli pari
9 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
tre ordres de faisceaux : fibres frontales, fibres pariétales, fibres occipitales et fibres sphénoïdales. Ce premier travail, des
couché obliquement sur l'os basilaire, de la selle turcique au trou occipital . Il est en continuité supérieurement avec les deu
es cérébraux, inférieurement avec les deux lobes cérébelleux. Au trou occipital , il prend le nom de moelle épinière. La partie en
t dans les circonvolutions des régions moyennes; mais, dans la région occipitale , surtout sur les circonvolutions de la face inter
ractéristique et nettement apparent, dans les circonvolutions du lobe occipital , sous la forme d'une bandelette blanche. Cette ba
térise exclusivement les circonvolutions de l'étage inférieur du lobe occipital . La zone profonde de la substance grise cortica
divise également la substance grise de l'écorce de la pointe du lobe occipital en huit couches. La lre et la 2e couche sont se
ndiquées par la physiologie comme des centres moteurs. Dans le lobe occipital , les deux premières circonvolutions sphénoïdales,
es; à la région postérieure, un autre faisceau, le faisceau arciforme occipital (Pl. XII, 5), décrit une anse du lobulus extremus
orme occipital (Pl. XII, 5), décrit une anse du lobulus extremus de l' occipital vers le lobe pariétal supérieur ; un troisième fa
lobe frontal au lobule paracentral et au lobule quadrilatère; du lobe occipital , un faisceau de fibres, le faisceau longitudinal
du lobe frontal à la partie supérieure du lobe sphénoïdal et au lobe occipital , en décrivant une courbe qui embrasse les circonv
ent un espace désigné sous les noms de ventricules latéraux, de corne occipitale , as corne sphénoïdale. Le lieu où s'effectue cett
rconvolutions postérieures, se portent directement vers l'axe du lobe occipital , se juxtaposent, se condensent sur le côté extern
le que les fibres convergentes des régions internes seulement du lobe occipital vont s'amortir dans le pulvinar (Pl. XX, 9; XXII,
térieures du cerveau, la loge constituée par les parois osseuses de l' occipital et le repli horizontal de la dure-mère, nommé ten
ux réunis l'un à l'autre par un petit lobe médian et séparé des lobes occipitaux du cerveau par la tente du cervelet ; il est en c
e et en bas, et gagne les régions postérieures et inférieures du lobe occipital (Pl. XXVI, 5). Les cordons antérieurs de la moe
II. — Substance grise corticale du cerveau [circonvolution du lobule occipital interne). a. Liséré blanc ou ruban de Vicq-d'Az
'attachent au bord antérieur de l'apo-névrose épicrânienne. Le muscle occipital se fixe en bas aux deux tiers externes de la lign
e occipital se fixe en bas aux deux tiers externes de la ligne courbe occipitale supérieure; en haut, les fibres s'attachent au bo
les os de la face et le frontal ; en haut, le pariétal; en arrière, l' occipital . Ces parois osseuses sont formées de deux lames d
ée des parois du crâne, depuis le trou borgne jusqu'à la protubérance occipitale interne. Un dédoublement de ce bord supérieur con
feuillets le sinus droit qui aboutit en arrière vers la protubérance occipitale au pressoir d Hérophile, confluent des sinus laté
verticale du sinus sphénoïdal et de la portion quadrangulaire de l'os occipital , située en avant du trou occipital, appelée corps
la portion quadrangulaire de l'os occipital, située en avant du trou occipital , appelée corps de l'os, ou apophyse basi-laire. C
sphénoïde continue la partie antérieure de l'apophyse basilaire de l' occipital ; son corps renferme deux cavités, sinus sphénoïda
la nuque. 10. — Ligament cervical postérieur. 11. — Protubérance occipitale externe. Gavoy. — Encéphale. 8 12. — Face int
nte du cervelet, tendue horizontalement de la gouttière latérale de l' occipital aux bords supérieurs des rochers des os temporaux
en avant, les pariétaux et les temporaux latéralement, par les fosses occipitales supérieures en arrière. 16. — Coupe du lobe méd
ervelet. Les lobes latéraux du cervelet occupent la cavité des fosses occipitales inférieures ; ils sont recouverts par la tente du
terceptent entre elles un lobule de forme triangulaire, appelé lobule occipital interne ou cuneus (1). 2. — Section perpendicul
à la partie inférieure du lobe sphénoïdal, la troisième (d) au lobule occipital interne (cuneus) et au lobulus extremus de Ecker.
lution temporo-occipitale, lobulus lingualis, acquiè-rent à la région occipitale un plus grand développement ; leur extrémité anté
n prolonge-ment horizontal, qui gagne l'extrémité postérieure du lobe occipital . La partie anté-rieure du ventricule latéral est
mmée corne frontale; le diverticulum postérieur porte le nom de corne occipitale , de cavité digitale ou ancyroïde (3); le prolonge
ier postérieur du trigone (5), qui recouvre l'hippocampe. La cavité occipitale présente une saillie, Vergot de Morand (4) ou pet
cavité des ventricules latéraux a atteint sa limite externe; la corne occipitale s'étend moins loin vers la région postérieure; à
ce grise du noyau caudé, s'étendant en arrière jusqu'au prolonge-ment occipital de la cavité ventriculaire. 6. — Substance gris
ance grise du noyau lenticulaire. 12. — Dernier vestige de la corne occipitale . A l'entrée du diverticulum est la section de la
iforme longitudinal inférieur part de l'extrémité postérieure du lobe occipital et s'étend jusqu'à la région antérieure du lobe s
icule divergent désigné sous le nom de corne frontale (6) et de coime occipitale (7) ou forceps major. Le fascicule qui se pro-lon
bres commissurantes des régions postérieures, appartenante la corne occipitale du corps calleux ; il est en rapport avec un fais
atéral et celle qui forme la paroi de la cavité. 15. — Prolongement occipital ou corne occipitale de la cavité des ventricules
forme la paroi de la cavité. 15. — Prolongement occipital ou corne occipitale de la cavité des ventricules laté-raux. Son extré
16. —Vermis superior apparaissant entre les bords internes des lobes occipitaux . XIX.—Encéphale dont on a détaché la coupe préc
frontale de la cavité des ventricules latéraux, en arrière, la corne occipitale . Les bords internes des lobes postérieurs compr
la présence du ruban de Vicq d'Azyr dans la substance grise des lobes occipitaux . XX. — Coupe horizontale antéro-postérieure, pa
Ammon ou grand hippocampe (3). En arrière, à l'entrée du prolongement occipital des ventricules latéraux, est Y ergot de Morand o
roïdes des ventricules latéraux. Entre les bords internes des lobes occipitaux apparaît la section de la région supérieure et mé
régions postérieures. Ce faisceau suit la direction de l'axe du lobe occipital , contourne la cavité sphénoïdale et se jette en p
par conséquent que les fibres des régions internes seulement du lobe occipital soient en connexion avec la région postérieure de
t postérieur, issues des circonvolutions des régions internes du lobe occipital . 14. — En dedans du centre médian apparaît le f
veau frais, du bourrelet vers le genou du corps calleux.) Les lobes occipitaux et les régions postérieures du cervelet sont déta
également, dans la substance médullaire du lobe sphénoïdal et du lobe occipital , une petite cavité désignée sous le nom de prolon
té désignée sous le nom de prolongement sphénoïdal et de prolongement occipital des ventricules latéraux. Les fibres commissura
et à peu près direct. La section a enlevé, en avant du prolongement occipital , une partie de la cloison postérieure du ventricu
10 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
r. Diphtérie : mort. AUTOPSIE. - Absence presque complète du lobe occipital . - Acrocéphalie. Arrêt de développement et malf
court, comme rectangulaire, mais assez régulier sauf au niveau de l' occipital . Les bosses frontales ne font pas de relief : l
s de relief : les bosses pariétales sont légèrement sail- lantes. L' occipital est très déprimé, sa direction est oblique comm
m. transversalement et 0,03 d'avant en arrière. Au-dessous d'elle l' occipital de chaque côté devient plus saillant, surtout à
rtout en arrière, et au voisinage de la jonction du pariétal avec l' occipital . Au niveau de la crête occipitale et de toute l
e la jonction du pariétal avec l'occipital. Au niveau de la crête occipitale et de toute la partie déprimée dont nous avons
trophie générale des circonvolutions, sclérose de la pointe du lobe occipital droit. Soulèvement partiel de l'écorce cérébral
l et de la partie Fig. 4. - OBS. II. 24 IDIOTIE. moyenne de l' occipital , 4 à 5 au niveau du pariétal. La suture métopiq
par dessuturessinueuses et se trouvesitué sur la moitié gauche de l' occipital (2 cm. 3 cm.). Nombreuses plaques translucides
sur la moitié postérieure des pariétaux, la partie supérieure de l' occipital , au niveau de bregma et sur la partie latérale
utour d'elle, et à l'extrémité de la suture fronto-pariétale et des occipitaux , se voient des plaques transparentes. (Fig. 9).
ques transparentes au niveau du bregma, des bosses pariétales, de l' occipital et de la suture coronale. ! Fig. 10). ' 1 ' OBS
e cérébral gauche; face supérieure. 1,1', lobe frontal. 1.0, lobe occipital . I ra ? aomm. 1 11, »sortis. 1', porus. T
· FA, frontale ascendante. PA, pariétale ascendante. 1.0, lobule occipital . P, porus. sr, sillon de Rolando. 26 IDIO
dante. l'A, pariétale ascendante. LI'. lobe pariétal. 1,0, lobe occipital . 1', parus, sr, sillon de Rolando TRAITEMEN
, lobes pariétaux supé- rieur et inférieur, pli courbe. 1.0, lobe occipital . i' '1'2, première et seconde tem- portales-
pariéto-occipitales ont des dentelures un peu plus sinueuses, et l' occipital est si peu soudé aux pariétaux qu'il en est au
PC lobes pariétaux supé- rieur et inférieur, pli courbe. LO, lobe occipital . 1 ? 1 ? T : I, première, seconde et troisièm
e. LP, lobule paracentral. AC, avant-coin. C, coin.- Lo, lobe occipital .. T3, troisième temporale. 00,couche optique.
mière, seconde et tro sième circonvolutions temporales. 1,0, lobe occipital , ss, scissure de Sylvius. sr, sillon de Rolan
ession du frontal à droite et du pariétal à gauche, et surtout de l' occipital . Son épaisseur varie de 1 Ynm. 1/2 à 2 mm. 1/2.
eure du pariétal droit et de la par- .tie supérieure et droite de l' occipital . Transparence, encore .très, marquée dans la ré
'environ 2 cm. q. A gauche, les régions pariétales pos- térieure et occipitale supérieure sont encore transparentes, traitemen
C, lobes pariétaux supé- rieur et inférieur; pli courbe. Lo, lobe occipital . 1 ? T2, T3, première, seconde et troisième c
les parties inférieures des pariétaux et'la région supérieure de l' occipital : Lasuture métopique est. fermée. Les sutures c
lambda trois os- at·or- miens. Il n'y a pas trace de division de l' occipital . Sur la face interne, les sutures ne sont pas 8
différentes cavités de la base du crâne sont symétri- ques. Le trou occipital n'est pas rétréci. (Fig. 32.) Les trois crânes
une façon prononcée en dehors et en arrière; il en est de même de l' occipital du même côté. Les deux pariétaux se présentent
une étendue de a à 7 centimètres carrés de chaque côté; 3° sur l' occipital , à droite et à gauche, dans les points correspon-
aplatie. Les fosses sphénoidalcs parais- sent symétriques. La fosse occipitale gauche est un peu plus Bourneville, Bicêtre, 18
métrique ; le côté gauche est plus développé au niveau de la région occipitale que le côté droit; la protubérance occipitale s
u niveau de la région occipitale que le côté droit; la protubérance occipitale semble reportée adroite de la ligne médiane. L'
nérale de la calotte est régu- lièrement ovoïde, à grosse extrémité occipitale . Les bosses pariétales sont très saillantes. No
s, qui offrent une épaisseur variant de 1 à 2 millimètres </2- L' occipital est parti- culièrement mince et présente latéra
2 à 1891. OBS. VI. IDIOTIE complète. Sommaire. Père, céphalalgies occipitales ctiite- tère très emporté, ..exalté, instable,
latéraux. Les différentes cavités de la base sont symétriques, trou occipital normal. Glande pinéale allongée, de la gros- se
st épaissi, principalement au niveau de-^ frontaux et du centre des occipitaux et plus à droite qu'à gauche Les os sont denses
ie de deux à cinq millimètres. Le frontal gauche avance et la bosse occipitale gauche est plus saillante et plus grosse que la
t violacés. Les diverses fosses de la base sont symétriques. Letrou occipital n'est pas rétréci. - Dure-mère couve l'te de sa
s. Etat actuel (l"r a vriI18K6.) - Tête petite, cnmerond ; région occipitale un peu aplatie à gauche; bosse occipitale peu s
petite, cnmerond ; région occipitale un peu aplatie à gauche; bosse occipitale peu saillante ; bosses pariétales, et frontales
et pariétale ascendantes. A partir de là jusqu'à la pointe du lobe occipital les adhérences sont géné- ralisées et ont entra
ent dans leur moitié postérieure. Il n'y a presque rien sur le lobe occipital , quelques petites adhéren- ces sur la 1re tempo
uitaire est petit, d'aspect et de con- sistance ordinaires. Le trou occipital n'est pas rétréci. La face convexe des hémisphè
s ecchymotiques aussi sur les lobes temporaux à la pointe des lobes occipitaux . Sur la base de l'encéphale, la pie-mère est mo
r ordinaire. Les sinus ne pré- sentent rien de particulier, Le trou occipital est régulier. La lame osseuse formant la selle
osses sont peu saillantes et mousses : aplat tissement de la région occipitale . - Front moyen, assez large, sans proéminence d
continue sa marche Hydrocéphalie : cerveau. 4ô5' jusqu'au sillon occipital transverse. Le lobule pariétal- inférieur est a
ez maigre et en retrait allant au lobule pariétal inférieur. Lobe occipital . Il existe deux plis de passage allant l'une du
ourbe à la seconde circonvolution occi- pitale. Les circonvolutions occipitales sont sinueuses et assez grosses. Lobe tempora
èle qui circonscrit le pli courbe, séparant ainsi nettement le lobe occipital ; elle n'est interrompue que vers son tiers infé
la, un peu chagriné, possède cinq digitations. Face interne. Lobe occipital . La le circonvolution occipitale est assez volu
q digitations. Face interne. Lobe occipital. La le circonvolution occipitale est assez volumineuse.- La 21110 circonvolution o
age à niveau, transversal : il se continue au- delà jusqu'au sillon occipital transverse. Le lobule pariétal supérieur est bi
concrit par deux sillons provenant de la scissure parallèle. Lobe occipital . Il est bien conformé dans toutes ses par- ties
niveau allant de la seconde temporale à la deuxième circonvolution occipitale . Face interne. Lobe tem]J()1'o-occipilat. Les d
es forment une saillie très nette, plus accusée à gauche. La région occipitale , au lieu d'être arron- die, est aplatie. La moi
crâne, d'aspect normal, est légèrement asy- métrique, car la fosse occipitale droite est notablement plus développée que la g
surtout dans les cornes frontale et sphénoïdale droites. Les cornes occipitales sont peu dilatées et, à leur niveau, les circon
tion de l'hippo- campe est réduite à une simple membrane. - Le lobe occipital parait absolument sain. Face interne. Elle es
poche kystique d'une pâleur bleuâtre, plus prononcée au niveau de l' occipital et à , BOURNEVILLE, Bicêtre, 1893. 14 2 ? 10'
cérébrale de 5 centimètres carrés environ forme le vestige du lobe occipital . Une surface lisse et mem<r braneuse lui suc
du lobe temporo-sphé-- Iroidal. Quelques vestiges sclérosés du lobe occipital forment' en arrière un petit îlot. La base du c
, les os vont progressivement 1t en diminuant d'épaisseur jusqu'à l' occipital , excessivement mince. Cette diminution progress
roite. ' '> - 218 Hydrocéphalie : cerveau. région temporale et occipitale , formée d'une paroi de subs- tancecèrÚ/n'¿¡II'
e volumineuse. Crâne asy- métrique ; saillie prononcée de la région occipitale avec dépl'ell- sion au-dessus paraissant corres
La corne frontale a' environ 3 centimètres de profondeur, la corne occipitale , la plus dilatée, a environ 5 centimètres, tand
e circonscrit une énorme poche à prolongements frontal, temporal et occipital . - Le corps calleux, sa circon-, volution et ce
mineuse, plagio céphalie, le côté droit est plus aplati à la région occipitale que le gauche et la bosse pariétale gauche est
t où devait exister la fontanelle postérieure, la déviation du trou occipital , Hydrocéphalie. 255 etc. méritent aussi de fi
te de Fig. 53. - L F, lobe frontal. - L M, lobe moyen. - I. 0, lobe occipital . z S S, scissure de Sylvius. - L I, lobule de l
lobe paracentral. L Q, lobe carré - C C, corps calleux. - L 0, lobe occipital . (/1 loyer hémorrhagique. , Cette figure et l
en haut et dont le sommet tronqué aboutit à l'angle supérieur de l' occipital . La base, longue de 9 centimètres, est formée p
bord antérieur est en rapport avec le frontal, le postérieur avec l' occipital ; l'inférieur n'existe pas, puisqu'il est soudé
eurs forment les côtés de la fontanelle postérieure. L'écaillé de l' occipital paraît peu développée relativement au reste de
timètre de hauteur; en arrière, au niveau de l'angle supérieur de l' occipital , elle se bifurque pour se continuer avec la ten
ient presque au contact des os frontaux ;.en arrière, l'extré- mité occipitale est assez éloignée de la paroi crânienne. En in
e, et son grand diamètre s'étend de la lame quadrilatère à la bosse occipitale interne. La loge du cervelet est extrêmement ét
Revill... Ces crânes, moins brachycéphalcs, ont un développement occipital exagéré. Il n'y a pas de persistance des fon- t
atéral gauche est notablement dilaté, surtout au niveau de sa corne occipitale et à sa partie moyenne. La couche optique est u
a prédominance de la dilatation ventriculaire au niveau de la corne occipitale explique la disposition particulière de la tête
HYDRO-SCAPHOCFPHALIE. mince dans la région pariétale postérieure et occipitale , il est épais, spongoïde et opaque vers les rég
80). - Tête volumineuse avec prédo- minance très marquée du segment occipital . Le côté gauche de l'occiput est plus saillant
'a pas de contours com- pliqués, ni d'os wormiens sur son trajet. L' occipital fait saillie ur les pariétaux et en avant de la
par mois. Elle se plaint alors de dou- leurs sourdes dans la région occipitale qui lui donnent des nausées suivies, mais rarem
e énorme, de forme quadrilatère, pas d'asymé- trie apparente. Bosse occipitale très proéminente, bosses pariétales non saillan
ère a remarqué que la calotte de Vigo irritait légèrement la région occipitale . Traitement : Un bain salé tous les trois jours
11 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
bosse pariétale gauche est néanmoins plus proé- minente. La région occipitale est très saillante avec un méplat au-dessus.
te arrondie, assez grande ; aplatissement de la partie médiane de l' occipital , avec saillie latérale : apla- tissement de la
égion postérieure; léger aplatissement de la partie supérieure de l' occipital . Le front est assez haut; bosse frontale gauche
lc droite est plus profonde et plus large que l'opposée ; la cavité occipitale est plus étendue à gauche. Encéphale : 1340 gra
ne, assez régulièrement conformé, sauf une saillie dans la région occipitale . - Fontanelles fermées, - cependant il y a une
orrespondant est notablement aplati dans sa moitié anté- rieure ; l' occipital du même côté est également déprimé; le droit es
al du même côté est également déprimé; le droit est plus convexe. L' occipital est plus proéminent à droite qu'à gauche et s'i
lobe temporal, on n'est pas arrêté par l'insertion du lobule. Lobe occipital . - Rien de bien intéressant. La scissure perpen
age vont du lobe pariétal et du lobe temporal jusque dans le lobe occipital . Lésions méningitiques très limitées. Lobe temp
e circonvolution frontale, presque tout le lobe pariétal et le lobe occipital et de plus une atro- phie de toutes les circonv
ues points de méningo-encéphalite disséminés sur le lobe temporo- occipital et sur le bord interne du lobe orbitaire. Le ce
Pseudo-hyste du lobe temporal gauche et droit avec atrophie du lobe occipital gauche et du lobe frontal droit. - Atrophie il
es transparentes. Légère plagiocéphalie : fron- tal gauche déprimé, occipital gauche saillant; la moitié gauche de la voûte e
a droite. Toutes les sutures per- sistent. Imbrication externe de l' occipital .- La glande pitui- faire une couleur rouge verm
pondante du côté gauche, enfin une atrophie considérable du lobe occipital gauche et du lobe frontal droit. Les artères de
. Le reste du lobe pariétal est normal. Les circonvolutions du lobe occipital sont nota- blement atrophiées, LO. Face inter
s calleux, le lobule para- central, le lobe quadrilatère et le lobe occipital , ce der- nier cependant atrophié. -Le ventricul
dique est encore très incomplètement formé. - Les lobes pariétal et occipital n'ont rien de particulier; ce dernier est cepen
iens sur la suture pariéto-occipitale droite; base symétrique, trou occipital un peu rétréci. On constate, d'une façon géné
upérieur de l'hémisphère et se continue en arrière avec la première occipitale , P1; - 2° la deuxième se dirige parallèle- ment
pour se continuer à son tour par un pli de passage avec la deuxième occipitale , P2; - 3° la troisième enfin se dirige en arriè
semble qu'il n'y a pas non plus de pariétale ascendante. Le lobe occipital , LO, n'a rien de particulier. Trois petites cir
cipital, LO, n'a rien de particulier. Trois petites circonvolutions occipitales sont séparées par deux sillons qui se continuen
eu limité eu avant, il est très nettement séparé en arrière du lobe occipital par la profonde scissure perpendiculaire intern
age cunéo-limbique et hippocampo-limbique. Dans les circonvolutions occipitales , rien de particulier. - Sur cette face enfin no
certain degré d'hydrocéphalie. A la jonction des cornes frontale et occipitale nous trouvons le porus déjà étudié. - La couche
rrière du lobe orbitaire, la vallée sylvienne et le lobe temporo- occipital . Dans ce lobe nous trouvons les deux circonvolu-
des méninges molles épaissies et sur les circonvolutions du pôle occipital et du pôle frontal. Les méninges molles sont le
sions visibles à l'oeil nu. En certaines régions, notamment au lobe occipital , les méninges n'avaient pas été décortiquées ;
rbillon central. Bosses pariétales saillantes et symétriques. Bosse occipitale légèrement sail- lante au-dessus de la nuque. A
d'os wormiens, - Les fontanelles sont fermées. - Les pariétaux et l' occipital sont assez minces, ainsi qu'on le voit sur la c
nt antérieures que posté- rieures, sont bien développées. - Le trou occipital n'est pas rétréci. Cerveau. - La décorticatio
coloration naturelle, sont assez grosses, sauf les circonvolutions occipitales , et paraissent tassées les unes contre les autr
ntimètres de la longueur de la circonvolution de passage. - Le lobe occipital est peu volumineux, sans sclérose. La lèvre s
ère de Tl, quelques adhérences légères de la pie-mère jusqu'au lobe occipital . - Les trois circonvolutions du lobe temporal (
par LO sur la Planche VIII, est plus petit qu'à gauche. - Le lobe occipital est composé de circonvolutions plutôt peu dévelop
et le pli courbe (PC) sont plutôt volumineux, tandis que le lobe occipital est notablement réduit. - Les circonvolutions t
obe quadrilatère (LQ) et le coin n'ont rien de particulier. Le lobe occipital est petit; la circonvo/¡t- tion de l'hippocampe
brune jaunâtre ; 4° enfin le volume relativement exigu des lobes occipitaux . La destruction presque complète des lobes fron
de hauteur. On ne perçoit pas la fontanelle postérieure. La bosse occipitale est développée et, au-dessus, existe une sorte
. 4). Plagiocéphalie très-prononcée : frontal droit très déprimé, occipital correspondant un peu proéminent. - La suture mé
ormiens. -Base du crâne très asymétrique ; les fosses temporales et occipitales sont beaucoup plus dévelop- pées à droite qu'à
le s'étend obliquement du pied de PA à la partie antérieure du lobe occipital . Nombreuses adhérences sur le lobe pariétal. La
Le tiers postérieur du lobe temporal et le tiers antérieur du lobe occipital sont atrophiés (PL. XI). La face interne est to
si lésée. Fez, le lobe paracentral, l'avant coin, le coin, la corne occipitale sont déprimés. La circonvolution de l'hippocamp
urbe et la région qui, horizontalement, va du pli courbe à la corne occipitale offre une zone atrophiée de 3 cent. de CONVULSI
ère gauche, au niveau de la zone motrice, de l'insula, de la région occipitale suffisent à rendre compte de la paralysie gauch
symétrique ; bosses parié- tales bien marquées, régulières ; bosse occipitale nette. - Bosses frontales très saillantes ; le
ls. - Les fosses de la base sont normales et symétriques. Le trou occipital n'est pas rétréci. - Liquide céphalo-rachidien en
peu grêle. Rien à noter au niveau du lobule de l'insula ni du lobe occipital Face interne. -1"17 le lobe paracentral, l'avan
gaucl)e. Plagiocéphalie assez prononcée : frontal gauche déprimé, occipital droit saillant. Légère transparence des fosses
- La glande pituitaire parait avoir ses dimensions normales. 7'rou occipital ]ior)nal. Liquide céphalo- rachidien en petite
loppement du lobe frontal (PL. XIV, FI, F. ) ? ) et surtout du lobe occipital (PL. XIV, Or, O2, 0 ? et PC.) et du pli courbe
émisphère gauche. Face convexe. Mêmes caractères des lobes frontal, occipital , pariétal et temporal. La compa- raison des mêm
BOURNEVILLE, Bicêtre, '1897. Il 162 DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. lobes occipitaux , l'asymétrie très remarquable des circonvolutio
bosses frontales et pariétales sont légèrement saillantes. La bosse occipitale est proéminente. Les cheveux d'un blond clair,
PS, pli pariétal supérieur. PI, pli pariétal inférieur. LO, lobe occipital . '1". T3, seconde et troisième circonvolutions
i pariétal inférieur. Fo, foyer de pseudo-porencéphalie. LO, lobe occipital . 190 Explication des planches. Planche III.
! 'A, pariétale ascendante. LP, lobe pariétal supérieur. LO, lobe occipital . Fo, foyer de pseudo-porencéphalie. LT, lobe
'p, lobule paracentral ( ? ). pl, pariétale, ascendante. LO, lobe occipital . T1, T2, première et seconde circonvolutions te
gt;1, pli pariétal supérieur. 1, pli pariétal inférieur. LO, lobe occipital . T', T2, première, seconde circonvolutions temp
ère. SPI scissure perpendiculaire interne. LO, (en arrière), lobe occipital . UH, circonvolutions de l'hipocampc. TT, circ
CO, couche optique. CH, circonvolution de l'hippocampe. LO, lobe occipital . BOURNEVILLE, Bicêtre, 189ï, PL. VII[. 202 EX
supérieur, P2, qli pariétal inférieur. PC, plie ourle. LO, lobe occipital . T1, T2, T3, circonvolutions temporales. : On
obe paracentral. Pp0 (au lieu de LQ), lobe quadrilatère. LO, lobe occipital . CCC, circonvolution du corps calleux. CC, co
. PC, pli courbe (atrophie prononcée). 01, 02, 0\ circonvolutions occipitales . 51'I, scissure perpendiculaire externe. . Op
inférieur. PC, pli courbe (atrophié). 0, 0 ? OB, circonvolutions occipitales . BOURNEVILLE, Bicêtre, 189T. PL. XVI. 218 S .
12 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
les pupilles sont normales. Crâne. Léger aplatissement de la région occipitale , avec proéminence des bosses pariétales. Le fro
nglobée dans un îlot ; noyau volumineux sur la face convexe du lobe occipital ; un sur le lobe pariétal supérieur; - un à la p
n autre sur la 2e temporo-sphénoï- dale : - un dernier sur la corne occipitale . b) Face interne : un petit noyau sur lapartie
onanisme, Etat actuel. - Le crâne offre une saillie spéciale de l' occipital qui est divisé en deux plans par une crève transi
ne ; les apophyses mas- toïdes sont très développées. - De la bosse occipitale ex- terne à la racine du nez, en passant par le
n frontale, le lobule paracentral, l'avant-coin, le coin, le lobe occipital de toute leur substance grise, laquelle ne résist
olutions ascendantes, du lobule paracentral, de l'extrémité du lobe occipital , et de la face interne du lobe temporal. Mais o
paracentraux et des lobes carrés. Ces derniers, ainsi que les lobes occipitaux , offraient d'assez nombreux sillons superficiel
deux côtés; à droite, il est horizontal et continu avec la scissure occipitale externe; à gauche, il est vertical et parallèle
itale externe; à gauche, il est vertical et parallèle à la scissure occipitale externe dont il est séparé par le premier pli d
re circonvolution pariétale droite est complètement séparée du lobe occipital , le premier pli de passage étant tout à lait pr
e est superficiel, quoiqu'un peu renfoncé; il contourne la scissure occipitale externe pour ne l'interrompre qu'au niveau de l
ale. A droite, la deuxième pariétale ne communique pas avec le lobe occipital , le deuxième pli de passage étant tout à fait p
profond et la deuxième temporale est complète- ment séparée du lobe occipital ; le troisième pli de passage est constant et t
de 2 ou 3 millimètres, qui partdubord antérieur de la scis- sure occipitale externe, se prolonge entre cette scissure et la
tal qui lui est parallèle de ce côté et se continue jusqu'au sillon occipital latéral, sur la limite du lobe occipital, sans
e continue jusqu'au sillon occipital latéral, sur la limite du lobe occipital , sans être interrompu par les plis de pas- sage
dé- pression est comme une ébauche ou un vestige d'une scis- sure occipitale primitive analogue à celle du côté droit, où le
ge auraient été profonds aussi ; a une certaine époque, la scissure occipitale gauche aurait donc été semblable à la droite, m
petite anastomose qui sépare le deuxième sillon temporal du sillon occipital latéral. D'ailleurs , à gauche, il n'y a aucun
des sillons temporaux qui se conti- nue en arrière avec les sillons occipitaux ; il en est autre- ment à droite, où tous les si
t à droite, où tous les sillons temporaux se continuent sur le lobe occipital , comme c'est l'ordinaire. «Les lobes occipitaux
inuent sur le lobe occipital, comme c'est l'ordinaire. «Les lobes occipitaux sont très petits. Comme je l'ai déjà dit, ils f
la deuxième circonvolution pariétale et que, par suite, la scissure occipitale externe n'est interrompue qu'à une certaine dis
son de la scissure calcarine à la face externe. A droite, le sillon occipital la- téral est continu en avant avec le deuxième
continu en avant avec le deuxième sillon tempo- ral et la scissure occipitale externe : en arrière, il se termine par une inc
té aussi, vient se terminer sur la face externe. «Entre le sillon occipital latéral et la scissure calcarine s'étend le lob
sous-occipital, formé des quatrième et cin- quième circonvolutions occipitales , continues en avant avec les troisième, quatriè
avec les troisième, quatrième et cinquième temporales. La quatrième occipitale s'unit avec les troisième et quatrième temporal
avec les troisième et quatrième temporales fusionnées; la cinquième occipitale avec la cin- quième temporale par le pli de pas
rrière, dans la portion anté- rieure de la cinquième circonvolution occipitale où la cin- quième temporale s'anastomose avec l
dont l'externe sépare la quatrième de la cinquième circon- volution occipitale et l'interne se perd dans la cinquième occipita
ircon- volution occipitale et l'interne se perd dans la cinquième occipitale , près de l'extrémité antérieure de la scissure ca
nges. «La scissure calcarine droite communique avec la scis- sure occipitale interne,c'est-à-dire que le pli de passage cu-
étrolimbique supérieur est profond. Après s'être unie à la scissure occipitale interne, la scis- sure calcarine, au lieu de se
iels. « A gauche, la scissure calcarineestparallèle à la scissure occipitale interne et en est très rapprochée; son extrémité
rieure se termine en avant de l'extrémité antérieure de la scissure occipitale interne, dans une dépression qua- drilatère, do
quadrilatère, au-dessus de l'extrémité anté- rieure de la scissure occipitale interne, dont elle semble représenter la portio
ais séparée anormale- ment de la portion postérieure de la scissure occipitale interne comme par une compression d'avant en ar
comme par une compression d'avant en arrière. Si on examine le lobe occipital gauche, on y voit un plisse- ment beaucoup plus
plisse- ment beaucoup plus considérable qu'à droite, les sillons occipitaux sont multipliés, leur continuité ordinaire avec
errompue; la scissure calcarine est devenue parallèle à la scissure occipitale interne, et le cunéus est, par suite, linéaire
bas et produit par cette compression l'interruption de la scissure occipitale interne et le plissement du lobe sous-occipital
ie postérieure, une incisure courbe qui se jette dans la scissure occipitale interne et s'étend du bord sagittal de l'hémis-
e; la suture sagittale se dessine sur la peau, en forme de crête. L' occipital est déprimé, au niveau de son articulation avec
lques plaques blanchâtres sur l'aorte. Squelette. 1° Crâne. Le trou occipital ne présentait pas de déformation appréciable. L
étaux inférieurs ainsi que la partie antérieure des circonvolutions occipitales . Au point de vue macrosco- pique, la lésion se
tout la gauche; les arcades sourcilières déprimées; la protubérance occipitale externe est très accentuée; les yeux sont norma
uche. Les circonvolutions sont normales, sauf au niveau de la corne occipitale où il existe un grand nombre de plis de passage
vée au niveau de ses trois étages, princi- palement dans les fosses occipitales . L'apophyse crista-galli est très étendue en ha
jourd'lmi, on ouvre un abcès déve- loppéà la partie supérieure de l' occipital . 5 Septembre. Pendant la nuit l'enfant a eu des
dien, 120 gr. environ. La base du crâne est asymétrique; les fosses occipitale et tem- porale du côté droit sont moins excavée
rale du côté droit sont moins excavées qu'à gauche. La protubérance occipitale interne se trouve déjetée à droite. Sur la voût
pie-mère est très finement vascularisée, principalement à la région occipitale . Il n'existe pas d'anomalies dans les organes d
ère gauche. La pie-mère est très adhérente, surtout vers les cornes occipitales , et au niveau du gyrus fornicat'us. Les circonv
e-mère injectée, adhérente à gauche au niveau des lobes frontaux et occipitaux , du pli courbe, et de la face interne. - Sur l'
P3, pli courbe. T1, T-, T3, circonvolutions temporales. L 0, lobe Occipital . Leuba. lith. Imp.Becquet 7 ? $, PI A.Leuba
L P, lobule paracentral. L Q, lobe carré. L C, coin. L 0, lobe occipital . T1, Tr', quatrième et cinquième circonvolution
13 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
âne offre un aplatissement de la région pariétale et de la région occipitale tandis que les fosses temporales sont creuses.
a la forme d'un coeur de carte à jouer à pointe inférieure. Lobe occipital . Il existe une circonvolution de passage se ren
on de passage se rendant du lobule pariétal supérieur à la première occipitale , et un autre entre le pli courbe et la seconde
première occipitale, et un autre entre le pli courbe et la seconde occipitale . Les circonvolutions et scissures du lobe occip
et la seconde occipitale. Les circonvolutions et scissures du lobe occipital ne présentent rien de particulier. Lobe tempo
maigre, la postérieure volumineuse. La deuxième scissure temporo- occipitale est profonde. La seconde circonvolution temporo-
poro- occipitale est profonde. La seconde circonvolution temporo- occipitale est grêle en arrière, bien développée en avant.
tie la plus postérieure, le pli de pas- sage se rendant la première occipitale est fortement en retrait, et comme atrophié.- L
le pariétal inférieur, puis elle continue su chemin jusqu'au sillon occipital trans- verse. Le lobule pariétal inférieur est
r, est également assez Les circonvolutions et les scissures du lobe occipital ne présen- tent aucune anomalie. Lobe tempora
sée par de nombreux plis de passage. Les circonvolutions temporo- occipitales sont bien développées, régulières; les scissures
be paracentral, les cir- convolutions du corps calleux et les lobes occipitaux . Ars.. (Emile), 10 ans, né le 10 mars 1880, est
e, assez épaisse. Légère asy- métrie de la base du crâne : la fosse occipitale gauche est plus large que la droite et la Crète
la fosse occipitale gauche est plus large que la droite et la Crète occipitale est oblique de gauche à droite et d'avant en ar
céphalique (Fig. 5). La base du prisme est constituée par la région occipitale forte- ment aplatie. L'arête antérieure répond
r le lobule de l'insula, sur la face interne des lobes tem- poraux, occipitaux , sur le lobe paracentral et quadrilatère. Au ni
ant toutefois les faces interne et externe des lobes tem- poraux et occipitaux . La substance corticale s'enlève presque complè
lobes frontaux, effilés, la base, par toute la région pariétale et occipitale des hémis- phères. Après décortication la subst
sion corticale très marquée au niveau des régions pariéta- les et occipitales nous autorisent, croyons-nous, à donner de ce s
aillante ; aplatissement assez marqué au niveau de la jonction de l' occipital avec les parié taux; cet apla- tissement prédom
r et le pli courbe sont sinueux et assez bien développés. Le lobe occipital nettement séparé du lobe pariétal et tem- poral
passage à niveau se rendant du lobule pariétal supérieur au lobule occipital . Lobule orbitaire. Le lobule orbitaire est mieu
ère de cette seconde circonvolution 80 Lésions du rachis. Le lobe occipital a des sillons et des circonvolutions nor- males
re interpariétale qui, elle, va se perdre dans le sillon transverse occipital . Le lobule pariétal supérieur est moyennement d
est de même de la bosse pariétale : c'est l'inverse pour la-bosse occipitale . 92 Description DU malade. La conformation gé
kilogr. ; taille 1 ? 69. Tête : régu- lière, brachycéphale; bosses occipitales développées. DESCRIPTION d'une attaque. 109 D
is 1880, p. 90.. - 116 Microcéphalie. atavique : ainsi la calotte occipitale , la continuité du sillon pariétal avec la sciss
lotte occipitale, la continuité du sillon pariétal avec la scissure occipitale externe, la longueur du premier sillon temporal
très petite et relativement haute. Le crâne est arrondi; la région occipitale à peu près nulle. La face estal- longée, le fro
ontraire il la partie postérieure la. Autopsie : crâne. 127 fosse occipitale gauche semble plus étroite que la droite. Toute
ble plus étroite que la droite. Toutes deux sont profondes. Le trou occipital est normal; la fosse pituitaire également. La d
li courbe et le lobule du pli courbe n'existent donc pas. Le lobe occipital (L 0) est remplacé par une grosse circon- volut
lution représentant le lobule pariétal inférieur, se trouve le lobe occipital sous forme d'une simple circonvolution sép.iréc
le lobule pariétal supérieur, le pli courbe et son lobule. Le lobc occipital est réduit à une simple circonvolution et ne pr
ie-mère et du liquide céphalo-rachidien ; d'où il suit que, entre l' occipital et la partie postérieure du cer- veau, il y ava
que l'apla- tissement très prononcé de la partie supérieure de l' occipital pourrait être attribué à ce qu'elle cor- respon
stérieure où se trouve un méplat allant du vertex à la protubérance occipitale externe ; dans le sens transversal, le crâne es
30 juin 1889. Tête ovoïde à grosse extrémité postérieure. La région occipitale est assez développée; les bosses pariétales son
e). Tête à peu près ronde; aplatis- sement de la moitié droite de l' occipital , surtout dans sa par- ' tie supérieure; les rég
la superficie de la calotte. La base est symétrique, sauf la cavité occipitale droite qui est plus petite que la gauche. A l'i
Le pli supérieur est simple et s'arrête avant d'arriver à la pointe occipitale , le second, plus volumineux, décrit une courbe
eux, décrit une courbe à concavité supérieure, va jusqu'à la pointe occipitale , se recourbe en bas en s'élargissant, et se ter
partie moyenne se détache une bifurcation qui va jusqu'à la pointe occipitale et se recourbe pour faire partie du bord occipi
e. En arrière existe une cavité qui parait faire partie de la corne occipitale du ventricule latéral. Face interne. La 1 ? f
iéto-occil)ital est profond. Cuneus en partie confondu avec le lobe occipital de telle sorte que la scissure calcarine est in
lcarine est incomplète. Les plis qui composent le cuneus et le lobe occipital sont très sinueux et se replient pour con- verg
orte de tour- billon. Un sillon assez creux sépare en avant le lobe occipital de la partie postérieure du lobe temporal. La
de l'hémisphère. Thrombose semblable des veines méningées du lobe occipital . A gauche, thrombose d'une veine descen- dant e
ès étendue, allant de la partie postérieure du lobe frontal au lobe occipital . Le cerveau étant encore recouvert de la pie-mè
artie inférieure. En résumé, on trouve le lobe fron- tal et le lobe occipital à peu près intacts, ainsi que la corne sphénoïd
ul pli de passage.- La scissure calcarine est peu profonde. Le lobe occipital est relativement régulier. Description DU cerve
re de la scissure de Sylvius. La partie inférieure comprend le lobe occipital avec des circonvolu- tions volumineuses, contou
s ses 3/4 antérieurs. Elle est peu large et assez profonde. Le lobe occipital se compose de circon- PSEUDO-PODENctPHALOE. 185
ées sur elles- même et rayonnant également vers le kyste. Le lobe occipital est relativement bien conservé et formé par une
cédente. Enfin une circonvolution se continuant avec celles du lobe occipital . Le lobe orbitaire est bien développé. Face i
e masse commune avec cette 3"le temporale. Elle est séparée du lobe occipital par un sillon assez net. Le lobule de l'insu la
dirigée obliquement d'avant en arrière et de bas en haut. Le lobe occipital est bien développé, ses circonvolutions sont si
le quadrilatère normal, bien développé, séparé du cuneus et du lobe occipital par un sillon vertical très profond. Cuneus trè
sses', séparées par un sillon Bifide au milieu, et distinct du lobe occipital , grâce à un profond sillon. ' ' Lobe occipita
t distinct du lobe occipital, grâce à un profond sillon. ' ' Lobe occipital . Il est formé d'une grosse -circonvolution quad
antérieurs et formée d'un pli simple qui rejoint en arrière le lobe occipital . Il en est de même de la deuxième temporale. -
u contraire en arrière par un sillon creux, bifide en avant. Lobe occipital formé de petites circonvolutions séparées par d
ale supérieure et s'arrête en bas à la scis- sure parallèle. Lobe occipital . - Il se compose d'une masse irrégulière compri
rale n'est distincte qu'en arrière, où elle se confond avec le lobe occipital . Lobule de l'insula , rien de particulier. Fa
Scissure calcarine très profonde.- Cuneus à peine marqué. Le lobe occipital se compose d'une petite masse de cir- convoluti
a tète est brachycéphale, avec une saillie considérable delà région occipitale . La face est plate, large ; les joues sont gon-
tempes. Il n'existe de crasse eczémateuse qu'au niveau de la région occipitale . Le front présente des rides très profondes, qu
14 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ut à celle de la vision réelle. Au lieu d'être situé dans le lobe occipital , comme ce serait le cas dans une hallu- cinatio
êmes chiffres. Dans mes premières expériences, l'excitation du lobe occipital ne m'a donné aucun résultat. Mais Luciani et Ta
es se produisant après l'excitation des différentes parties du lobe occipital et des régions avoisinantes. Mes expériences su
s du globe oculaire, puissent être obtenus par l'excitation du lobe occipital , ils sont, en règle générale, moins constants e
cani et Tamburini, les mouvements des yeux par l'excitation du lobe occipital . Schæfer, qui oublie le segment antérieur du pli
rieure de la circonvolution temporale moyenne, cette partie du lobe occipital immédiatement derrière la scissure occipito-parié
occipito-pariétale externe et de chaque côté de la scissure pariélo occipitale interne. Il obtient des mouvements en haut par
vements en haut par l'excitation de la surface sous-jacente du lobe occipital , la partie la plus inférieure de ce lobe, et de
ement latéral des yeux en excitant le reste de la convexité du lobe occipital et une étroite bande le long de la marge de la
e de quelques centièmes de seconde dans le cas d'excitation du lobe occipital que dans le cas d'excita- tion du centre fronta
que la section des fibres d'association des ré- gions frontales et occipitales n'empêchent pas les mouvements oculaires; tandi
ec Munk qu'il y a des fibres radiales ou centrifuges entre l'écorce occipitale et les centres oculo-moteurs, et l'excitation d
résultats uniformé- ment négatifs de la destruction des deux lobes occipitaux , excepté lorsque la lésion empiétait sur la sci
d'un cerveau de mes premieis animaux en expériences Les deux lobes occipitaux lurent enlevés en même temps. Il survient un peu
ion. Vous verrez, que sur le côté droit, non seulement tout le lobe occipital , mais aussi une partie du segment postérieur du
est dû à cette cause ; car, lorsque la ligne de . section des lobes occipitaux était bien séparée de cette scissure, on ne per
percevait aucun trouble de la vision. Ainsi on a mis à nu les lobes occipitaux , des deux côtés. chez un singe, et on détruisit l
ssé sur sa perche t. » Malgré la destruction étendue des deux lobes occipitaux dans ce cas, l'animal, un peu plus de deux heur
a conservation de sa vision précise. Dans un autre cas où les lobes occipitaux furent enlevés par une section à six millimètre
'animal, malgré l'ablation d'au moins les deux tiers des deux lobes occipitaux , prouva la netteté de sa vision, une demi- heur
ici aussi la photographie du cerveau d'un singe chez lequel le lobe occipital gauche fut enlevé par une incision immédiatemen
blement par hernie, correspond à peu près à la scissure pariéto- occipitale externe 4. Ces expériences ont mis en lumière l
mière les résultats négatifs des lésions uni ou bilatérales du lobe occipital . J'ai cependant trouvé dans mes premières expér
lis courbes qui étaient oedé- matiés et au bord antérieur des lobes occipitaux , comprenant un léger empiétement du bord postér
riétale, et il localise la sphère visuelle, uniquement dans le lobe occipital et re- garde le pli courbe comme la sphère sens
ble de supposer que les opérations de Munck, pour enlever les lobes occipitales , atteignent secondairement le pli courbe et ses
ion de la délimitation exacte de la sphère visuelle, soit aux lobes occipitaux comme le veut Munck, soit comprenant aussi le p
, et celle des rapports respectifs entre le pli courbe et les lobes occipitaux et les yeux out été l'objet de recher- ches par
te conclusion que les centres visuels ne sont pas limités aux lobes occipitaux , mais embrassent aussi le pli courbe, quoique l
ale, Phil, Trains., vol. CLXXIX, 1888. Bd. XX. 5 Functions of the occipital and temporal lobes of the illoitkey's (Brain Ph
liorsley et Scha;fer rapportent plusieurs expériences sur les lobes occipitaux , sur un seul ou sur les deux. L'expérience suiv
propres ternies, est spécialement digne de remarque. c Tout le lobe occipital gauche fut enlevé par une incision oblique le lon
grand intérêt, puisqu'elles montrent l'ablation complète des lobes occipitaux et frontaux et les limites de la lésion de la f
s un cas' (Expérience XXVI), dans laquelle on enleva les deux lobes occipitaux (surface externe et postérieure et une partie d
nces de Ilorsley et Schoefer, dans lesquelles les lésions des lobes occipitaux sont plus considérables que dans celles de Yéo
plus haut, il parait y avoir eu une extirpation com- plète du lobe occipital , et cependant, l'hémiopie ne fut pas perma- nen
ne fut pas perma- nente. La destruction du pli courbe avec le lobe occipital fut la lésion qui a produit un résultat permane
propres termes sont les suivantes : « Nos expériences sur la région occipitale , quoique peu nombreuses, semblent com- porter l
nt déjà arrivés Munck, Tessier et Yéo. Elles montrent que les lobes occipitaux et les plis courbes ont des fonctions en rappor
t avec les perceptions visuelles de telle manière que chaque région occipitale est en rapport avec la moitié latérale correspo
eci est aussi conforme aux résultats de Luciani. Autant que le lobe occipital seul est intéressé, nos observations confir- me
Mais la vision imparfaite qui reste après l'ablation des deux lobes occipitaux (voir cas 25 et et 26) fait penser que le centr
d'accord avec Munk que l'extirpation complète unilatérale d'un lobe occipital seule produit une hémiopie persistante et que l
l ne s'ensuit pas que les résultats soient dus à l'ablation du lobe occipital tel quel. - Schoefer ' lui-même admet que' le c
i-même admet que' le centre visuel n'embrasse pas seulement le lobe occipital mais aussi une partie ou la totalité du ph cour
nt postérieur d'après Schoefer), plus grande même que celle du lobe occipital . Donc si une cécité totale suit l'ablation des
lobe occipital. Donc si une cécité totale suit l'ablation des lobes occipitaux suivant la direction de la scissure pariéto-occ
eau et spécialement du pli courbe peuvent être coupées avec le lobe occipital et que cette hypothèse s'appuie sur de nombreus
ans participation du pli courbe ou d'aucune autre por- tion du lube occipital . J'at moi-même rapporté des cas l où on note de
la lésion s'est étendue en partie sur la surface inférieure du lobe occipital . A l'exception de cette lésion du lobe occipita
inférieure du lobe occipital. A l'exception de cette lésion du lobe occipital , tout le reste de la zone visuelle était intact,
s de la rétine. Il semble donc que l'incision de l'ablation du lobe occipital racée le long de la scissure pariéto-occipilale
aut un conducteur à ce point entre la surface 1l1fé- rieure du lobe occipital et la tente , et je passe un stylet courbé le l
tiques primaires. Brown elTbompson 2 pensent que l'ablation du lobe occipital d'un côté produit de l'hémiopie du côté opposé
détails sur un singe chez lequel on constate après ablation du lobe occipital gauche, une hémiopie droite, avec une hémianest
on. Cent jours après la première opération. on enleva aussi le lobe occipital droit. Il s'ensuivit une cécité complète mais i
e donnent aucune preuve du fait, que probablement quelques fibres occipitales avaient été épaignées pendant la seconde opératio
e deux cent trente-unième jour. A l'autopsie, on trouva que le lobe occipital entier avait été enlevé de chaque côte derrière
cependant que cette première lésion a dû s'étendre au delà du lobe occipital , à cause de l'hénllanestéoie qui ne se produit
qui ne se produit pas quand les lésions sortent localisées au lobe occipital ; et ce fait que l'ablation des lobes occipitaux,
localisées au lobe occipital ; et ce fait que l'ablation des lobes occipitaux , tels mêmes qu'ils ont été trouvés complètement
une seconde opéra- tion, consistant dans l'incision de tout le lobe occipital droit. Elle fut suivie d'une hémiopie gauche qu
, d'un autre côté, qui a fait de nombreuses expérien- sur les lobes occipitaux et les gyri angulaires chez les singes, dit, d'
accord avec mes résultats et ceux de Yeo, que la des uction du lobe occipital ne produit aucun trouble appréciable de la vision
is il dit que vu que l'am- mal ne pouvait pas être aveugle, le lobe occipital étant probable- ment intact, l'absence de clign
pothèse de Gowers que sur la surface exté- rieure au-devant du lobe occipital , il y avait un centre visuel plus élevé 96 " PH
idérable de l'hémisphère opposé com- prenant le pli courbé. Le lobe occipital était intact et nullement t diminué de volume p
ques subissent la décussation dans le chiasma et se rendent au lobe occipital ; les sensitives subissent la décussation dans le
t spécialement représentés dans des régions correspondantes du lobe occipital , suivant les hypo- thèses de Munk et de Scbafer
ien prouvée; car même après la destruction la plus grande des lobes occipitaux , aucune partie de la rétine ne parait absolumen
rentes portions du champ visuel avec certaines portions de l'écorce occipitale , cette relation, autant que nous pouvons le jug
qu'on ait publié des cas strictement de lésions corticales du lobe occipital accompagé d'hémiopie sans participation directe
res de la région postérieure vaguement ou sans raison dénommes lobe occipital ; or. si l'écorce a été grav emen atteinte, les
sions ont été multiples et diffuses et non confinées dans la région occipitale . Et en plus de l'hémiopie, il y a eu de l'hémiane
ux lésions des tractus cérébraux et des centres dépassent la région occipitale . Sous ma direction, mon ami et élève le Urlvven
res et supra-marginale seulement, Ici décrits comme lésions du lobe occipital seul. De ces 15 il n'y en avait que 2 (cas de H
ni abcès, ni ramollissement de la substance médullaire de la région occipitale ni une autre lésion atteignant le thalamus opti
de la région occipito-temporale, 3 des lésions des circonvolutions occipitales , temporales et pariétales ensemble, le pli courbe
son voisinage, Segttin et Nothnagel pense que cette portion du lobe occipital a une relation spéciale avec la perception visu
and pense que le centre visuel est plus spécialement dans la pointe occipitale . Ces hypothèses s'appuient sur des recherches ,
zone qui avait détruit la plus grande partie de la cir- convolution occipitale moyenne. Ce cas est donc trop complexe pour pei
, a noté la cécité de l'oeil opposé par la destruction do la région occipitale chez les chiens, et en 1881 Goltz décrivit un t
rébral opposé, qu'il ne rapporte pas cependant spécialement au lobe occipital , rapport qu'il a admis plus récem- ment. Le tro
une profondeur suffisantes, dans la partie postérieure de la région occipitale chez les chats et les chiens, produisent invari
tions électriques correspond chez le singe au pli courbe et au lobe occipital . Le centre visuel décrit par Munk est représenté
es termes amusants : « Une portion considérable de l'écorce du lobe occipital , est décrite comme centre visuel par Munk. Mais
Goltz, les troubles de la vision à la suite de lésions des régions occipitales paraissent avoir été presque invariablement ass
ux systèmes différents, un sys- tème périphérique qui vient du lobe occipital , un système médian par rapport au premier qui e
tre extrémité était fixée sur la peau du sujet,, soit sur la région occipitale , pariétale ou fron- tale, soit sur les joues. L
une extrémité de la pile était appliquée sur les régions pariétale, occipitale , etc., de la tête, le galva- nomètre est demeur
volution temporale supérieure et les parties avoisinantes des lobes occipitaux et parié- taux et un cas est rapporté comme dû
ve que chacune de ces facultés occupe un point distinct de l'écorce occipitale ; il rappelle les expériences de Siemerling et
tance grise des frontales y compris la frontale ascendante, du lobe occipital et des tempo- rales des deux côtés. Vaisseaux à
re analyse aux troisième et cinquième cou- ches de l'écorce du lobe occipital . La troisième couche corticale du même lobe con
vers le frontal comme vers le temporal; elle allait même jusqu'à l' occipital . Son diamètre longitudinal était de 10 centimèt
édoncule mais encore la couche optique, le lobe temporal et le lobe occipital étaient touchés, de telle manière que, si en ré
orce, dans la région située entre la scissure de Rolando et le lobe occipital . Meynert a sup- posé que le tiers externe du pi
artie du pédoncule évidemment en rapport avec des lésions des lobes occipital et temporal, et Flechsig dit que ces fibres n'e
en dehors pour s'irradier dans l'écorce des régions tempo- rale et occipitale . On suppose qu'elles unissent ces régions au cer-
LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 379 moins grande destruction du lobe occipital ou de la région tem- porale inférieure. - On pe
la région de l'hippocampe par un cautère enfoncé a travers le lobe occipital et dirigé en bas et en avant suivant le trajet de
li de liquide. A l'exception des cicatrices de l'ablation des lobes occipitaux , le cerveau, les cordons olfactifs et les bulles
ux hémisphères; car si les centres moteurs d'un côté et les régions occipitales de l'autre côté sont détruits, le chien peut ma
ssion visuelle ne peut être produite s'il existe une lésion du lobe occipital , et inversement une excitation de ce lobe produ
15 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ite d'une blessure reçue à l'âge de trois ans, la région pariéto- occipitale de l'hémisphère droit et le thalamus du même cô
la couche optique, et des faisceaux qui s'irradient dans le lobe occipital . Je dois ajouter que, comme les premiers expéri
ution externe, de la région frontale au commence- ment de la région occipitale . Ils niaient par conséquent que la sphère visue
ctère et des façons d'être et d'agir des chiens opérés de la région occipitale , ces auteurs italiens inclinaient à y voir un c
tal : « Le centre visuel du singe ne peut être confiné dans le lobe occipital ; il doit comprendre encore tout le gyrus angul
sivement à un singe l'écorce des deux plis courbes et celle du lobe occipital , bref, les centres de la vision selon Ferrier e
rminé des troubles de ce genre, comme celles des lobes pariétaux et occipitaux . Peut-être l'écorce de la LES FONCTIONS DU CERV
ransitoires , ceux que détermine l'extirpation bilatérale des lobes occipitaux et pariétaux sont permanents. En outre, alors q
chien, d'après la dernière ma- nière de voir de Luciani, les lobes occipitaux et parié- taux représentent, en somme, le centr
voie. De même pour les singes. «.Nul doute que l'écorce des lobes occipitaux des singes ne représente la partie centrale , L
tirpation d'un gyrus angulaire, à la réaction inflammatoire du lobe occipital , surtout à la lésion des faisceaux optiques qui
ui, des ganglions d'origine des tractus optiques, gagnent les lobes occipitaux en passant sous l'écorce du pli courbe. Ueber d
resque aussi fort que le fais- ceau croisé. L'extirpation d'un lobe occipital produit donc une hémianopsie bilatérale homonym
seraient associés qu'avec une région distincte de l'écorce du lobe occipital (le point A). L'ablation d'un point déterminé d
nyme au côté opéré, non pas seulement après l'extirpation d'un lobe occipital , mais après l'ablation étendue d'un lobe pariét
be temporal; 2° les extirpations partielles bilatérales des lobes occipitaux , c'est-à-dire des sphères visuelles de Munk, ne
opsie consécutifs aux larges extirpa- tions unilatérales 'des lobes occipital , pariétal ou temporal, sont aussi peu permanent
es. Il en est de même chez les singes après l'extirpation d'un lobe occipital entier. Il faut donc admettre, dit Luciani, que
aussi, au delà LES FONCTIONS DU CERVEAU.. 43 des limites du lobe occipital , et que chaque partie du centre de la vision me
gions centrales. On conçoit ainsi comment l'extirpation d'un lobe occipital , pariétal ou temporal, causera de l'hémiop.,ie
rimentales. Les lésions étaient localisées dans les lobes pariétal, occipital , ou dans les deux, pariétal et temporal, occipi
lobes pariétal, occipital, ou dans les deux, pariétal et temporal, occipital et frontal. Tamburini et Luciani Le localizzazi
sion ne sont ni dans le gyrus angulaire (Ferrier) ni dans le lobe occipital (Munk), considérés isolément, mais dans ces deu
que, indi- quaient nettement l'importance des lésions des régions occipitales dans la production des troubles de la vision, e
con- tiguïté anatomique du lobule pariétal inférieur avec le lobe occipital , doit correspondre à des rapports physio- 1 Gio
t des lèvres; en arrière, aux ré- gions psycho-sensorielles du lobe occipital . La partie an- térieure du lobule pariétal infé
que, chez l'homme, ce centre est surtout localisé dans les régions occipitales du cerveau. Archives, t. XVIII. 4 00 PHYSIOLO
s lesquels on trouve, comme caractères commun, une lésion du lobe occipital : dans cinq cas même, la lésion est exclu- sive
d'établir une relation entre l'hémiauopsie et les lésions du lobe occipital , que le processus se limite à l'écorce céré- ,
ent en faveur de la doctrine qui, chez l'homme, considère les lobes occipitaux comme les organes, non pas exclusifs, sans dout
me, consécutive à la lésion d'u lobe LES FONCTIONS DU CERVEAU. SI occipital démontre que chacun de ces lobes est en rapport
hémisphère opposé ! En outre, dans deux cas, ce n'était pas le lobe occipital , mais le lobe frontal et le lobe tem- poral qui
rait donc être attribué à une action exercée à distance sur le lobe occipital par les régions encéphaliques malades. Puis, co
psie bila- térale homonyme consécutifs à la lésion d'un seul lobe occipital . Elles ont été faites sur des malades dont l'ét
les singes, les centres de la vision ne sont pas limités aux lobes occipitaux , mais s'irradient dans les circonvolutions du p
es bandeleltes faisaient entièrement défaut, et les circonvolutions occipitales étaient atrophiées des deux côtés. Giovanardi,
et que cette observation d'anophthalmie congénitale, où les lobes occipitaux ont été trouvés atrophiés, confirme le fait que
om- munication : « Il est très probable que les circonvolu- tions occipitales étaient peu développées déjà à l'époque de la n
ps genouillés, des tubercules quadrijumeaux et de la pointe du lobe occipital chez de jeunes lapins dont il avait énucléé un
nversement, dans un cas de porencéphalie portant sur les deux lobes occipitaux , publié par Monakow ? ' Eugenio Giovanardi ? lz
n foetus humain de huit mois environ auquel manquaient tout le lobe occipital des deux côtés et une partie du lobe pariétal.
comme chez les mammifères (chats, lapins) dont on extirpe les lobes occipitaux les premiers jours après la naissance. Monakow
s optiques infracorticaux n'envoient de radiations que dans le lobe occipital , non dans le lobe temporal aussi, et que le cor
que le corps genouillé interne n'est pas en rap- port avec le lobe occipital , mais avec le lobe temporal. Tout ce qu'ont écr
isuels infracorticaux ou basilaires, depuis la rétine jusqu'au lobe occipital . · Nous terminerons ce chapitre, consacré à l'é
'est toute une étude à faire. Les cas de lésion destructive du lobe occipital ont souvent été précédés de processus irritatif
Gowers, à Monakow, où existaient, à l'autopsie des lésions du lobe occipital . Tamburini et Riva, dans un récent travail sur
OLOGIE. pli courbe, mais aussi celles des circonvolutions du lobe occipital . Quoique considérée généralement comme un sympt
du grand hippocampe subiraient, comme celles qui émanent du lobe occipital , une décussation partielle avant de se distribu
ques. Deux grands infarc- tus hémorrhagiques existant à chaque lobe occipital , plus étendus à celui du côté droit. - Ils sont
forte, haute, en forme de toit, sans saillies exagérées. La région occipitale est aplatie. Inclinaison très rapide du vertex
de plus l'ordre de succession dans ces mouve- ments. H. LES LOBES occipitaux dans LEURS rapports avec LES fonctions 0CUL0-M0
vie extra-utérine : on a soumis la subslance corticale de ses lobes occipitaux à une excitation par un courant induit fort et
'excitation de la substance corticale du milieu des circonvolutions occipitales une déviation conjuguée des yeux du côté opposé
nomènes résultant de l'excitation de la substance blanche des lobes occipitaux : Dans ce but, l'expérimentateur excise la subs
gion psychomotrice et excite ensuite la substance blanche des lobes occipitaux : la déviation des yeux appa- rait avec ses car
lle apparaît encore lorsqu'on excite la substance blanche des lobes occipitaux après avoir fait une section transversale de un
itudinales de même profondeur le long de la première circonvolution occipitale ou de la circonvolution an- gulaire, parallèlem
EVUE DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. conclusions suivantes : Les lobes occipitaux paraissent dépourvus de centres analogues à ceu
aquelle les mouvements oculaires observés dans l'excitation du lobe occipital sont le résultat de sensations optiques subject
s yeux doivent se trouver non pas dans les régions psychomotrice et occipitale , mais plus bas. Enfin, chez les animaux âgés de
nde que celle des aires marginales. Leurs expériences sur la région occipitale , quoique peu nom- breuses, concordent avec cell
concordent avec celles de Munk et de Ferrier et Yeo. Les deux lobes occipitaux et les gyrus angulaires sont en rapport avec le
avec les perceptions visuelles, de telle sorte que chaque région occipitale est en rapport avec la moitié correspondante de c
espondante de cliaque rétine et qu'une partie seulement de l'écorce occipitale est capable de remplir presque complètement les
vations corroborent les assertions de Munie que la lésion des lobes occipitaux produit l'liémiauopsieï.Afaisla vision imparfai
aisla vision imparfaite qui subsiste aprèsl'ablation des deux lobes occipitaux fait penser que l'aire de la conscience visuell
plus de moitié par rapport à celle de gau- che, tandis que le lobe occipital et le lobe temporal sont demeurés presque intac
our de ce rendez-vous gagner ensemble le pied du pédoncule. Le lobe occipital n'envoie pas de faisceaux directs dans le pied du
he. 186 PATHOLOGIE MENTALE. La coupe d'une circonvolution du lobe occipital gauche à la face externe de l'hémisphère montre
dans les régions motrices gauches. La première frontale et le lobe occipital droits sont à peu près semblables aux parties g
é expérimentale chez un chien, produite par ablation des deux lobes occipitaux . Cet ani- mal voit encore pour se conduire, il
ut aux points de pénétration des capillaires. Sur une coupe du lobe occipital , une portion assez considérable de substance gr
vasculaires très dilatés. Dans une circonvolution prise sur le lobe occipital , les foyers de désintégration, à centre vacuola
eux, elle offre les mêmes caractères que ci-dessus. Dans le lobe occipital , l'état est le même. Il existe autour de beauco
e retrouve sur les pièces montées à .la glycérine. Coupes du lobe occipital gauche. Il présente aussi de l'amai- grissement
etrouve les mêmes désordres dans les régions motrices, dans le lobe occipital . Là toutefois, elles sont moins accentuées, et ce
seulement un grand nombre de corpuscules amylacés. Coupes du lobe occipital , atrophié. Même vascularisation ; l'espace comp
sur les coupes laissées vingt-quatre heures dans ce réactif. Lobe occipital droit en dehors de la lésion. Vaisseaux nombreux,
Nombreux corps granuleux dans la substance blanche. Dans le lobe occipital , on retrouve, à côté de points normaux dans l'éco
ont très dilatés, les corps granuleux sont très abondants. , Lobe occipital . Les coupes du lobe occipital, au niveau d'un f
granuleux sont très abondants. , Lobe occipital. Les coupes du lobe occipital , au niveau d'un foyer plus étendu que celui que
), la sécrétion longitudinale commence à reprendre (baume). 2° Lobe occipital (Schad.). De la pie-mère (A) partent des vaisseau
, dans le coin et dans la première cirvonvo- lution externe du lobe occipital , d'autres fonctions de la vision que dans le re
le, entre le bord postérieur du gyrus sigmoïde et la pointe du lobe occipital , pro- duit une déviation conjuguée des yeux du
vé que les mouvements des yeux observés dans l'ex- citation du lobe occipital ne peuvent être de natuie réflexe, c'est-à-dire
iques subjectives, car, après l'ablation totale de l'écorce du lobe occipital , ces mouvements se produisent avec une parfaite
dentité lorsqu'on excite la substance blanche de ce lobe. Les lobes occipitaux dans leurs rapports avec les fonctions oculo-ntot
njugués des yeux, déterminés par l'excitation de l'écorce du lobe occipital , ils n'ont apparu qu'après la fin du pre- mier
qu'il a lui-même reconnu et confessé que les fonctions des régions occipitales diffèrent de celles des régions antérieures. Ma
tions des perceptions tactiles n'at- teignent sans doute ni le lobe occipital , ni le lohe temporo-sphénoïdal, ni la corne d'A
el. Mai 1885. - Tête arrondie. Pas de saillies exagérées des bosses occipitales ni pariétales. Front peu élevé et peu large, sa
avorable d'une ancienne cépha- 442 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. lalgie occipitale et de l'état psychique (idées de persécution avec
tonique termine la scène. Nothnagel a signalé dans l'écorce du lobe occipital , un endroit dont l'excita- tion, par des agents
), la sécrétion longitudinale commence à reprendre (baume). 2° Lobe occipital (Schad.). De la pie-mère (A) partent des vaisseau
16 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
ée, tête assez bien confor- mée ; les bosses frontale, pariétale et occipitale droites paraissent un peu peu plus saillantes q
es à cet égard. II. Pour déterminer les rapports qu'affecte le lobe occipital avec la bandelette optique, AI. Ganser le résèq
antes.au lobe frontal, à l'insula, au lobule paracentral et au lobe occipital . Passons aux particularités : les fibres d'asso
le lobule paracentral et les circonvolu- Lions ascendantes. Le lobe occipital est parcouru dans les mêmes zones par des fibre
lobe frontal, maisselle s'ételid·raussi,au3rrégions sphénoïdale et occipitale ? L'hémisphère dr61Lsémblilpériàfrer l'hémisphè
' Fi»ssiti-e î)a- 21ét( ? Occipit'ale 'externe (Turner) ; '-Sillon occipital transverse' 'de l3roca;Fc'sszcapéopéndiculâxis`
dulobe temporal, séparant ainsi nettement, à la convexité, le lobe occipital des lobes pariétal et temporal. Il n'en est pas
es trois scissures qui limitent les quatre lobes frontal, pariétal, occipital , temporal. Etudions-en la face con- vexe, latér
érieure. 1, scissure de Sylvius ;>-2, première scissure- temporo occipitale ; 3, clemiume scissure temporo-occipitale. ,g .co
sage externe qui, lors- qu'il existe, unit le lobe pariétal au lobe occipital . La scissiiî,e aialerpareélale (Ecker), doit fi
poursuit, sans interrup- tion, sa marche dans le lit même du sillon occipital supérieur. C'est dans ce dernier cas, que le te
la scissure perpendiculaire (interne et externe) qui sépare le lobe occipital du lobe pariétal; aussi devrait-on lui ajouter
pariétaux inférieurs. Elle rattache la pariétale ascendante au lobe occipital , en pas- sant au-dessus de l'extrémité postérie
, première circouvolutiou occi- pitale; Os, deuxième circonvolution occipitale ; Os, troisième circonvo- lotion occipitale. T
deuxième circonvolution occipitale; Os, troisième circonvo- lotion occipitale . TABLEAU DES TERMES APPLIQUÉS A LA DENOMINATION
e de la complexité des régions en chaque cas particulier. D. Lobe occipital ? Chez l'homme, avons-nous dit, la scissure per
ndiculaire externe se réduit à une encoche. Par conséquent, le lobe occipital continue sans interruption le lobe pariétal, no
convolutions de cette partie de la région le nom de circonvolutions occipitales , les regardent toutes comme des plis de passage
gardent toutes comme des plis de passage du lobe pariétal aux lobes occipital et temporal (Gratiolet), tandis que les autres
irconvolutions de passage avant de parler des trois circonvolutions occipitales classiques. Cette façon de faire lui parait le
pli courbe (Richer), d'une part, et, en arrière, avec les 2e et 3c occipitales , elle reçoit vers .son milieu un pli de renforc
e ce lobule et de la première temporale. c. Première circonvolution occipitale , supérieure, qui, d'après , Pozzi, termine en,a
us parieto-occipilalis medialis (Ecker; ; Pre- mière circonvolution occipitale ou circonvolution occipitale supé- rieure (Ecke
is (Ecker; ; Pre- mière circonvolution occipitale ou circonvolution occipitale supé- rieure (Ecker) ; Pli occipital supérieur,
occipitale ou circonvolution occipitale supé- rieure (Ecker) ; Pli occipital supérieur, pli de passage supérieur externe (Gr
innere Sclieitelbogeizzvinduiig (Bischoir). d. Première scissure occipitale longitudinale ou supérieure (Pozzi). "' '" Sv
inter-pariétale , mais sépare simplement la première circonvolution occipitale de la deuxième. ^ .9 o C'est à la partie anté
uxième. ^ .9 o C'est à la partie antérieure de la première scissure occipitale que se trouve la scissure occipitale trarzsvers
rieure de la première scissure occipitale que se trouve la scissure occipitale trarzsverse (Pozzi)f ? 1 Synonymie : Sillon occ
la scissure occipitale trarzsverse (Pozzi)f ? 1 Synonymie : Sillon occipital postérieur ou ti,aizstîé7-se (Ecker). C'est enc
vec la scissure perpendiculaire externe. e. Deuxième circonvolution occipitale ou moyenne (Pansch). Synonymie : Pli occipital
ième circonvolution occipitale ou moyenne (Pansch). Synonymie : Pli occipital moyen et pli de passage externe (Gratiolet) ; C
ans Ecker et aanslRiéher.,L aludoi . ,a ^^ im f. Deuxième scissure1 occipitale * longitudinale ou inférieure k- (Pozzi). , , j.
196 , REVUE CRITIQUE. Schwalbe décrit encore à la pointe du lobe occipital un troisième sulcus occipitalis longitudiaalis,
il sépare, comme la deuxième scissure, la deuxième cir- convolution occipitale de la troisième. g. Troisième circonvolution oc
tie étant elle-même empruntée au pli tem- poral moyen, la troisième occipitale provient de la deuxième temporale. Toutes les
ale provient de la deuxième temporale. Toutes les circonvolutions occipitales et temporo-occipitales se confondent, à l'extré
temporo-occipitales se confondent, à l'extrémité postérieure (pôle occipital de Broca, extrémité occipitale de Pansch) de l'
dent, à l'extrémité postérieure (pôle occipital de Broca, extrémité occipitale de Pansch) de l'hémisphère, par l'intermédiaire
on' avec l'extrémité postérieure fondue dans lest lobes pariétal et occipital . Ce pôle antérieur est le lieu de convergence d
férieur (première circonvolution temporale), et les circonvolutions occipitales . De telle sorte que la deuxième temporale devie
est d'habitude simple en arrière, et plus ou moins distinct du lobe occipital . C'est ici qu'il importe de poser les deux ques
rte de poser les deux questions suivantes : Qu'entend-on par sillon occipitale antérieur de'1 Wernicke ? Qu'entend-on par z*nc
a partie postérieure de.cette, scissure devient, en avant du lobule occipital , un sillon à part, comme on peut le voir dans u
rvus CRITIQUE. (hémisphère droit). C'est lui qui a été nommé sillon occipital an- térieur (V'erniclte). (h'ig.7.; En le prolo
a scissure perpendi- culaire externe en séparant totalement le lobe occipital des lobes pariétal et temporal. Elle passerait
l des lobes pariétal et temporal. Elle passerait en avant du sillon occipital transverse. Il nous faut également ne point p
, première circonvolution occi- pitale; 0 ? deuxième circonvolution occipitale ; 03, troisième circonvo- lution occipitale. n '
deuxième circonvolution occipitale; 03, troisième circonvo- lution occipitale . n ' e DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES. 199'') i
smarginal (pari étal inférieur de Hietter) sur presque tout le lobe occipital à droite, sur le lobe occipital presque entier,
e Hietter) sur presque tout le lobe occipital à droite, sur le lobe occipital presque entier, sur la circonvolution du corps
nsverse et se termine de 4 centimètres et demi de la pointe du lobe occipital ; la troisième est constituée par un coagulum r
destruction des libres qui, de la couche optique, gagnent le lobule occipital . Lapathog-énie des foyers proviendrait, pour lu
z régulier, symétrique, d'aspect arrondi plutôt qu'ovale. La région occipitale , les bosses pariétales et les apophyses mas- to
légèrement chagriné qui ne se retrouve pas de l'autre côté. Le lobe occipital est relativement assez volumineux. La première
t large et parait normal ainsi que le coin, la face interne du lobe occipital , la corne (I'Aminoz, la circonvolution de l'hippo
cts; à cet égard c'est un cerveau type. Les circonvolutions du lobe occipital sont assez volumineuses. Le lobule de l'insula
par un sillon vertical. Le lobe carré (L Q), le coin (L C), le lobe occipital (L 0), sont normaux (PL. IX). Réflexions. Cette
acentral ; AC,lobule quadrilatère ou avant-coin; C, coin, ou lobule occipital interne; TO,, première cinon- volution temporo-
central; AC. lobule quadrilatère ou avant-coin ; C, coin, ou lobule occipital interne; 1'02, deuxième cir- convolution tempor
fond de la scissure perpen- diculaire, et gagne le sommet du lobule occipital interne (coin). 3* Un pli de passage pariéto-te
olet, occipito-hippo- caznpique (Broca), unit l'extrémité du lobule occipital interne (coin) à l'angle postéro-inférieur du l
orte en arrière l'éperon double, sans atteindre l'extrémité du lobe occipital ; une bran- che oblique en bas qui, après avoir
diculaire interne et la scissure calcarine qu'est inscrit le lobule occipital interne. Nous n'insistons pas sur le gyrus dent
gyrus fornicalus) au corps bordé et au corps godronné. c. Lobule occipital interne. Synonymie : Coin, Cuneus, Zivickel (He
in, Cuneus, Zivickel (Henle, Burdach) ; Lobe triangulaire (Broca) ; Occipital lobule (Turner) ; Lobulus medialis posterlor (P
dispensent d'en rien dire. Il est le confluent des circonvolutions occipitales de la face convexe qui le rejoignent, ainsi que
pariétal se trouve complètement séparé, à la face externe, du lobe occipital , par un grand sillon perpendiculaire qui consti
ts avec le sillon iiiterpai-iétal, la scissure parallèle, le sillon occipital transverse, ainsi que sa direction sur la face mé
uée en arrière de la scissure pariéto-occipitale, non pas le sillon occipital transverse, mais bien une scissure représentant
- diculaire externe), qui se confond assez souvent a\ec le sillon occipital externe de Meynert si fréquemment absent d'ailleu
uent, ces fibres de projection prennent leur origine dans la région occipitale , nommée par Munk, sphère visuelle 2. Elles abou
lobule pariétal supérieur, du lobule pariétal infé- rieur, du lobe occipital . L'extension et l'intensité des lésions si- gna
intra-utérin soit écoulé). Puis l'apparition s'en fait dans le lobe occipital et dans certaines portions de l'insula. Aucune
ntral, en dehors des circonvolutions ascendantes, en dehors du lobe occipital , il n'y a pas d'autres zones du manteau dont la s
nsuffisants. 11 installe alors l'anodeau-dessous de la protubérance occipitale et fait tenir la cathode à la main, les convuls
doncule cérébral gauche est plus fort que celui de droite. La fosse occipitale infé- rieure présente une moindre capacité surt
e circonférence, on est également frappé de la brièveté de la crête occipitale interne, de l'absence du sillon transverse et d
du sillon transverse et de la force des sillons destinés aux sinus occipitaux postérieurs dilatés, enfin, de l'étroitesse du pl
plan incliné de Blumenbach qui descend de la selle turcique au trou occipital . Ces pièces proviennent du cadavre d'un homme d
isme de la pointe du cerveau an- térieur doit exercer sur les lobes occipitaux (sphère visuelle), il doit exister des connexio
et, relier les lésions de l'écorce c'est-à-dire de l'écorce du lobe occipital que l'on rend responsables de l'hémianopsie, au
L P, Lobe paracentral. L C, Lobe carré. L C, Coin. L 0, Lobe occipital . C c, Circonvolution du corps calleux. C, Cor
érieur. Il , Pli pariétal inférieur. P c, Pli courbe. L 0, Lobe occipital . T, , Première circonvolution temporale. L I,
L P, Lobe paracentral. , L Q, Lobe carré L C, Coin. L 0, Lobe occipital C S, Corps strié. C 0. Couche optique. C H,
aracentraux (L P), les lobes carrés (L Q), le coin (1 Ci, les lobes occipitaux (L 0), les circonvolutions temporales présentent
17 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
spect sur les coupes vertico-trans- versales dans les ré- gions occipitale et temporo-pariétale. Son origine. Sa dispo
ire et se réfléchit autour de son plancher (Fig. 9). Dans la région occipitale (Fig. 8), il forme un cône creux qui emboîte la
on occipitale (Fig. 8), il forme un cône creux qui emboîte la corne occipitale et qui n'est séparé de l'épendyme ventriculaire
sure calcarine, en déprimant fortement la paroi interne de la corne occipitale , pour produire l'ergot de Morand, refoule les fib
nt de la pointe et des faces externe, interne et inférieure du lobe occipital (cuneus (C), lobules lingual (Lg) et fusiforme
), première (0,), deuxième (0,) et troisième (03) circonvo- lutions occipitales ). En avant viennent se joindre les fibres du prec
nt toutes, par contre, aux fibres de pro- jection. Dans la région occipitale et dans la partie postérieure du carrefour vent
et ses deux couches sagit- tales externe et interne dans la région occipitale . Coupe vertico-transversale passant par le pli
faisceau occipito-frontal. - ot, sillon collatéral. - Ov, faisceau occipital vertical.-ou, orifices vasculaires.- Pi, l'a. pre
nérescences secondaires, de nombreuses libres de projection du lobe occipital (voy. cas Courrière, et Bras, Fig. 83, 84, 85 e
Elles font suite aux couches sagittales externe et interne du lobe occipital , affectent une direction sagittale et décrivent
sième segments du noyau lenticulaire. - 01, première circonvolution occipitale . - l'lchl, plexus choroïdes du ventricule latéral
i. - l', ruban de Vicq d'Alyr. - 17, ventricule latéral. Yoe, corne occipitale . - Zr, zone réticulée ou criiiaeëe. FIG. H. Le
ème seg- ment du noyau lenticulaire. O, première circonvolution occipitale .- OF, faisceau oc- ciliLo-frontal. - OF + l'r,
ccipitale.- OF, faisceau oc- ciliLo-frontal. - OF + l'r, faisceau occipital et libres de projection. - 7'j, deuxième circ
e médian de Luys. - 0,, 0" première, deuxième circon- volutions occipitales . - oa, sillon occipital antérieur. - pcn, pie
première, deuxième circon- volutions occipitales. - oa, sillon occipital antérieur. - pcn, pied de la couronne ]-;tyoi
. - VR noyau rouge. - 0,, 02 première, deuxième circonvolutions occipitales . - oa. sillon oc- cipital antérieur ? <, pul
as de fibres dans le pied du pédoncule cérébral; tributaire du lobe occipital (en particulier du cuneus (C) des lobules lingu
RCE CÉRÉBRALE. 47 lésion de la face interne et de la pointe du lobe occipital ainsi que des lobules lin- gual et fusiforme ch
, Fig. 135, p. 144) et ne dégénère ni à la suite de lésions du lobe occipital (Dejerine, p. 107 et suiv.), ni à la suite de l
la partie postérieure du noyau externe du thalamus; celles du lobe occipital (cas Courrière et Bras, p. 108, Fig. 80 à 95) s
43). - Les fibres cortico-thalamiques postérieures relient le lobe occipital et la partie adjacente du lobe pariétal à l'extré
neus, des lobules lingual et fusiforme, des trois circonvo- lutions occipitales , du pli courbe, de la partie adjacente des circon
tico-tlta- lamiques posti ripu- res. Elles relu'nt 1"101 ? u· occipital au puh inar et tonnent le stratum zonale et I
T2 T3 Fus), de la circonvo- lution de l'hippocampe (II) et du lobe occipital . Voy. cas Heudebert (Fig. 124 a 128, p. 140); c
ire les trois quarts antérieurs du lobe frontal d'une part, le lobe occipital , y compris le pli courbe, d'autre part, n'envoi
drijumeau antérieur (Qt) reçoivent le contingent des fibres du lobe occipital ; la partie postérieure du noyau externe du thal
terne du pied du pédoncule entrait en connexion intime avec le lobe occipital . Pour Meynert, il constituait la portion sensit
de Goll et de Burdach, les cordons postérieurs de la moelle au lobe occipital (Fig. 51). Pour Charcot, ce faisceau n'était ja
e un faisceau leu- p01'o-pl'otubéranliel et que les lésions du lobe occipital ne retentissent pas sur le pied du pédoncule cé
cule cérébral ou faisceau de Turck; il provient de l'écorce des lobes occipital et tem- poral, occupe la partie externe de la p
fibres du locus niger et des fibres directes de l'écorce des lobes occipital et temporal. Ces dernières occupaient la partie
de trois, seraient : l'une postérieure, comprenant le lobe temporo- occipital , le lobe pariétal et le précunéus; l'autre moyenn
deux tiers antérieurs du lobe frontal, le lobe pariétal et le lobe occipital , le précunéus, les lobules lingual et fusiforme,
centraux. Il existait en outre dans ce cas une dilatation de la corne occipitale et du carrefour ventriculaire, et une atrophie
par cette couche que passent les fibres de projection de la région occipitale (faces interne et externe), ce cas correspond en
treintes, limitées aux différents lobes ou segments de lobe. LOBE OCCIPITAL . - Dans les lésions du lobe occipital, on observe
bes ou segments de lobe. LOBE OCCIPITAL. - Dans les lésions du lobe occipital , on observe toujours une dégénérescence - d'aut
ieure : artère temporo-occipitale antérieure (OTa), artère temporo- occipitale moyenne (OTm), artère calcarine (K), ou Lemporo-o
s radiées du pulvinar et des fibres du stratum zonale (Strz). Le lobe occipital pos- sède donc : 1° des fibres de projection co
ico-clundrijéntirzales antérieures. Par contre, les lésions du lobe occipital ne retentissent ni sur l'étage inférieur ou pied
le segment postérieur de la capsule interne (Voy. Fig. 49). Le lobe occipital ne participe donc pas à la formation de la voie p
: t° Des courtes fibres d'association et des libres propres du lobe occipital : faisceau occi- pital Iransverse du cunétts (f
pital : faisceau occi- pital Iransverse du cunétts (ftcS), faisceau occipital transverse du lobule lingual (ilgl), stra- tum
carinum, faisceau propre du cunéus, et une dégénérescence du faisceau occipital vertical (Ov), lorsque la lésion siège à la fac
al vertical (Ov), lorsque la lésion siège à la face externe du lobe occipital ; 2° Du faisceau long d'association : faisceau l
e faisceau passent par la couche sagittale externe du lobe temporo- occipital et s'irradient dans l'écorce du lobe temporal (fa
ntal (OF). Voy. T. I ? pj 794-800. Les fibres commissurales du lobe occipital prennent, non seulement la voie du tapetum, mais
ux, ainsi que nous l'avons montré dès 1892. Les libres de la pointe occipitale et de la partie postérieure des lobules lingual
, il s'agit d'une lésion de la pointe et de la face interne du lobe occipital intéressant la base du cunéus, l'écorce des lèv
s'étendant en profondeur jusqu'à l'épendyme du plancher de la corne occipitale et sectionnant à ce niveau les couches sagittal
inférieure et la moitié inférieure de la paroi externe de la corne occipitale et du carrefour ventriculaire (Fig. 8B). Cette dé
ui entourent le plancher, les parois externe et interne de la corne occipitale , forment le tapetum (Tap) et le faisceau inféri
tinue surtout à la partie inférieure de la face externe de la corne occipitale et du carrefour ventriculaire; sur les coupes sér
e ainsi que de la parole, et relevant des lésions anciennes du lobe occipital . Pendant le deuxième stade, qui ne dura qu'une
du forceps du corps calleux occupe toute la paroi interne de la corne occipitale . Dans la région du bourrelet ces fibres sont re
courtes fibres d'association qui relient la face inférieure du lobe occipital à la face,interne et aux circonvolutions du bord
nce des fibres d'association qui relient la face inférieure du lobe occipital à la face supérieure de la région pariéto-occihil
lle intéresse en outre au niveau de la paroi inférieure de la corne occipitale (Voc), la base du lobule fusiforme (Fus), la pa
cette dernière plaque commence en arrière, à 2 centimètres du pôle occipital , atteint en bas le bord inférieur de l'hémi- sp
nsformée en un tissu scléreux, jaunâtre, mollasse, formant à la corne occipitale une paroi de quelques millimètres seulement. Le
it les trois couches de fibres qui doublent le plancher de la corne occipitale , que l'écorce du fond de la scissure calcarine es
e est ratatinée et complètement isolée du reste de l'écorce du lobe occipital par la plaque jaune sous-jacente. Ces lésions s
l par la plaque jaune sous-jacente. Ces lésions si étendues du lobe occipital ont entraîné : 1° une dégénérescence très inten
ées des couches sagittales qui longent la paroi externe de la corne occipitale , il existe un petit nombre de fibres saines (rR
fibres de projection des circonvolutions de la face externe du lobe occipital ; elles peuvent être suivies sur FiG. 87 et 88.
ques (RTh) et faisceau longi- tudinal inférieur) (Fli), du faisceau occipital vertical (Ov), de la substance blanche non diff
de la substance blanche non différenciée de la face externe du lobe occipital . (Les zones dégénérées sont colo- rées en jaune
). 3° Une dégénérescence des courts faisceaux d'association du lobe occipital : faisceau occipital vertical (Ov), faisceau tr
nce des courts faisceaux d'association du lobe occipital : faisceau occipital vertical (Ov), faisceau transverse du cuneus, fai
r l'hémisphère gauche (Fig. 87) il n'existe à la face interne du lobe occipital FiG. 90. - Cas Bras. Cécité corticale. - Hémisp
égénérescence du tapetum qui double la paroi inférieure de la corne occipitale . La dégénérescence si intense du forceps major qu
ÉCORCE CÉRÉBRALE. n9 qui doublent la paroi inférieure de la corne occipitale (Fig. 92) ; les fibres dégénérées se concentren
e long de l'angle inféro-externe et de la paroi externe de la corne occipitale à la hauteur de la deuxième circonvolution tempor
ches sagittales se faisant dans les deux sens, du côté de la pointe occipitale d'une part, et du côté du segment rétro-lenticula
itudinal inférieur et la substance blanche non différenciée du lobe occipital ; dégénérescences du tapetum, du forceps postéri
: 1° des courtes fibres d'asso- ciation de la région et du faisceau occipital vertical (Ov), qui recouvre les couches sagit-
général, ce lobe se trouve en effet lésé en même temps que le lobe occipital ou le lobe pariétal. Les lésions du lobe occipi
emps que le lobe occipital ou le lobe pariétal. Les lésions du lobe occipital étendues au lobe temporal occupent le plus souven
ibres de la région. Aux dégénérescences secondaires propres au lobe occipital , au lobe pariétal et aux couches sagittales sou
Il s'agit d'une plaque jaune ayant délruit la face externe du lobe occipital et les parties postérieure et moyenne des 2e et
miner ce qui, dans la dégénérescence du pu/vinai', revient au lobe occipital et ce qui revient au lobe temporal. Mais, vu l'
générescence du pied du pédoncule cérébral dans les lésions du lobe occipital rapportées plus haut (cas Courrière, Fig 80 à 8
pédoncule cérébral que l'on observe, soit lorsque la lésion du lobe occipital empiète sur le lobe temporal, et délruit les de
es lésions intéressent parfois la couche sagittale du lobe temporo- occipital et détruisent par conséquent un certain nombre de
occipital et détruisent par conséquent un certain nombre de fibres occipitales ; mais, nous avons montré plus haut (p. 108 et s
ns montré plus haut (p. 108 et suiv.) que les lésions isolées du lobe occipital ne retentissent pas sur le pied du pédoncule cé
es fibres temporales passent au-dessus et en avant des fibres du lobe occipital . La dégénérescence du faisceau longitudinal inf
e moyenne les unes, à la pointe temporale, les autres à la pointe occipitale . Toutes ces fibres empruntent, dans une parti
de la face externe du lobe frontal se comportent donc comme le lobe occipital et la partie postérieure du lobe pariétal. Elle
onnante (Fig. 192, 193, 191) pouvant être suivi jusque dans la pointe occipitale ; une dégénérescence partielle de la substance b
s et on reconnaît une face interne, une face inférieure et une pointe occipitales , la circonvolution de l'hippocampe avec son cro
2 à 227, 229 et 230.) Cette disposition n'existe pas dans la région occipitale où l'on distingue une pointe, une face interne,
distinctes au voisinage de la cavité ventriculaire. Dans le lobe occipital on trouve les trois couches concentriques du cerv
ouches profondes de la membrane épendymaire, on trouve dans le lobe occipital comme, dans toute la convexité de l'hémisphère,
223). Fil,. 219. - Cas Richard. Coupe vertico-transversale du lobe occipital gauche, passant par la ligne de repère 6 de la
gle interne et la face inférieure du ventricule. Lorsque les cornes occipitales s'ouvrent dans la cavité ventriculaire unique,
l'état normal, les fibres calleuses entourent complètement la corne occipitale d'une couche épaisse, surtout le long des paroi
i courbe, la première circon- volution temporale (Ferrier), le lobe occipital (Schafer, Munk, Scherrington, Risien Russell,Ob
une lumière ou un son viennent à être perçus. Le centi e postérieur occipital ou occipito-temporal des mouvements des yeux est
nsitive comprend toute la partie postérieure de l'hémisphère (lobes occipital et pariétal) et empiète en avant sur la zone ro
isations visuelles. -- Le centre visuel cortical siège dans le lobe occipital . Hitzig (J 875) fut l'initiateur de cette localis
auditif; chez le singe, il est mieux délimité et occupe tout le lobe occipital (face interne et face externe). L'extirpation
st totale et permanente; si on laisse intacte une porlion des lobes occipitaux , on observe un reste de vision dans le champ visu
s sont uni ou bilatérales, siègent toutes à la face interne du lobe occipital , comme le montrent les documents rapportés par
orsler, Sachs. Chez l'homme, c'est en effet la face interne du lobe occipital et plus particuliè- rement le domaine de la sci
le centre visuel cortical, non seulement à la face interne du lobe occipital , mais encore à la face externe et au pli courbe,
rne et au pli courbe, Vialet le localise il la face interne du lobe occipital (cunéus, lobules lingual et fusiforme), Seguin
mite au cunéus, Nothnagel au cunéus et à la première circonvolution occipitale , Brissaud au lobule lingual et IIenschen le confi
u'agis- sent encore les lésions de la face externe, convexe du lobe occipital . Les troubles visuels, en particulier l'hémiano
er, a pu être appelé à localiser le centre visuel, non dans le lobe occipital , mais dans le pli courbe. - Ce der- nier appart
alogues à ceux qui surviennent à la suite de l'abla- tion des lobes occipitaux . Ces résultats expérimentaux ne tiennent pas deva
urd'hui. Pour v. llonal : ow enfin, aucune région corticale du lobe occipital et de la partie postérieure du pli courbe ne sera
de Schafer, Wilbrand admet une projection de la rétine sur le lobe occipital , et explique l'hémianopsie en secteur par le sièg
e du noyau caudé. - NR, noyau rouge. - 0, première circon- volution occipitale . - ofi, face orbitaire de la première circonvolut
r, qu'elle détruise les lobules lingual et fusi- forme et la pointe occipitale , qu'elle interrompe enfin les conducteurs optique
ersistante et durable, cécité corticale par double lésion des lobes occipitaux . Elle débute le plus souvent après une première
une double FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 245 lésion occipitale , intéressant plus particulièrement l'écorce et la
rielle, et relèvent en général de doubles lésions profondes du lobe occipital qui détruisent les radia- tions optiques et emp
Wilbrand à conclure à l'existence dans toute la face externe du lobe occipital d'un centre auquel il donne le nom de centre de
erception (ÎVahrne- mungsfeld), qui siège à la face interne du lobe occipital . Localisations auditives. - Les recherches expé
ar de nombreuses fibres d'association, avec la face interne du lobe occipital , zone de la vision générale. Ces trois centres so
s'établissent par le corps calleux, par la couche sagittale du lobe occipital , par le faisceau longitudinal inférieur. Dans la
BROWN. et E. A. Schafer. An Investigation into the furetions of the occipital et temporal Lobes of the monkey's Brain. Philos
rain, janv. 1888, 379. - Du Même. On electriccal Excitation o/' the occipital lobe and adjacent parts of the ilionlieys brain
fibres calleuses qui, provenant de la face interne et de la pointe occipitale (Fig. 2GO), forment le forceps postérieur du co
- nérescence du bourrelet consécutive il une lésion étendue du lobe occipital (lobule lingual, lobule fusiforme, cuneus, poin
du lobe occipital (lobule lingual, lobule fusiforme, cuneus, pointe occipitale ). La partie antérieure du bec postérieur (Spl)
nces du bourrelet du corps calleux consécutives aux lésions du lobe occipital (Fig. 260), le trajet de toutes ces fibres perf
tie postérieure du sillon parallèle jusqu'à la face externe du lobe occipital qui présente un léger ramollissement au niveau de
nte un léger ramollissement au niveau de la deuxième circonvolution occipitale . Il n'existe dans le pied du pédoncule cérébral,
suivre lordne ce segment est dégénéré à la suite de lésions du lobe occipital et du lobe occipito-pariétal (cas Bras, Fig. 90
radiations optiques de Gratiolet (Voy. p. 65), proviennent du lobe occipital , et en particulier de la zone visuelle et s'irrad
s'irradient des fibres qui provien- nent de la face externe du lobe occipital , de la partie adjacente du lobe pa- riéto-tempo
laire de la cap- sule interne (Cirl) et la couche sagittale du lobe occipital . Elles se rendent ensuite dans la zone visuelle
e dans la rétineet aboutissenten dernière analyse àl'écorce du lobe occipital ; elles se divisent en deux grands segments : l'
e du noyau caudé. - 11'li, noyau rouge. - Oi, première circonvolution occipitale - 0F1 face orbitaire de la première circonvolut
) et qui s'étend au cuneus (C), au lobe lingual (Lg) et à la pointe occipitale (Fig. 215). Les deux segments de l'appareil vis
ellulaires. Quant aux rapports existant entre la macula et l'écorce occipitale , la question est encore pendante faute de docum
ion de faire l'autopsie, on trouve qu'une petite partie de l'écorce occipitale interne, d'un côté ou de l'autre, est restée in
ouissent rapidement et vont aboutir à toute la face interne du lobe occipital (cunéus, scissure calcarine, lobule lingual et
issement des radiations optiques dans toute la face interne du lobe occipital , en un mot toutes les dispositions anatomiques
loge crânienne inférieure, repose sur les fosses cérébelleuses de l' occipital , se place en arrière et en dedans du rocher et
t en dedans du rocher et cle l'apophyse mastoïde, au-dessus du trou occipital dans lequel il plonge avec le bulbe rachidien,
quel il plonge avec le bulbe rachidien, au-dessus du rebord du trou occipital qui imprime a sa face inférieure un sillon plus o
de l'axe du tronc encéphalique et au peu de développement des lobes occipitaux , le cervelet est situé au-dessus du tronc encépha
très rapprochée de celle du côté opposé et qui plonge dans le trou occipital avec le bulbe rachidien en arrière duquel elle
située. Cette saillie, que nous désignerons sous le nom d'éminence occipitale , est séparée du reste de l'hémisphère cérébelle
ioj ? tgzila2,i.9) (eoc, Fig. 332) qui correspond au rebord du trou occipital et au tubercule jugu- laire de l'occipital; ell
espond au rebord du trou occipital et au tubercule jugu- laire de l' occipital ; elle commence sur les parties latérales de la va
rachidien; il surplombe le vermis inférieur et plonge dans le trou occipital . C'est l'amygdale (Amg), la tonsille des anciens
ofonde, Y empreinte jugulaire (Fig. 332) qui loge le rebord du trou occipital ; sa partie externe est située dans la fosse occ
ebord du trou occipital; sa partie externe est située dans la fosse occipitale inférieure ou cérébel- leuse, sa partie interne
e, sa partie interne pend avec le sommet de l'amygdale dans le trou occipital , en arrière et en dehors du bulbe rachidien. Cett
ousse et arrondie, elle plonge avec le bulbe rachidien dans le trou occipital , représente la partie la plus déclive du cer- v
linée que de 20° à 30° en avant d'une verticale passant par le trou occipital . L'axe du rhombencéphale forme ainsi avec l'axe
eure. (Fig. 319). Celte face repose sur la gouttière basilaire de l' occipital dont la séparent l'artère basilaire et un vaste c
- dien ; sa partie inférieure est en rapport avec le rebord du trou occipital et l'extrémité supérieure de l'apophyse odontoï
elles occupaient la partie externe, puis s'iriadiaient dans le lobe occipital . (Voy. Historique de la voie pédonculaire, p. 8
18 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
ites supérieures répondent dans tous ces animaux aux environs du trou occipital . Quant à ses limites inférieures, elles sont dans
fle de nouveau à la région cervicale, et s'atténue au-dessous du trou occipital pour se renfler une dernière fois dans le crâne.
le nom de cavité digitale ou ancyroïde. Nous préférons celui de corne occipitale . Les cornes frontales des ventricules latéraux
vr. univers., lib. I, de cercbro, cap, xi). la corne postérieure ou occipitale du ventricule latéral. On le désigne encore sous
, à dessein, sur ces dénominations de cornes frontales, sphénoïdales, occipitales . M. Foville a fort à propos remarqué que la forme
me des auteurs modernes), qui touchent au noyau (1) Ce prolongement occipital du ventricule est particulier aux primates (singe
uement conçu. Si l'on attachait à la considération de ce prolongement occipital une importance absolue, l'homme serait inférieur
s temporo-sphénoïdales, aux cornes postérieures la saillie des bosses occipitales . Voilà ce que M. Foville a, selon nous, mis hors
oidal; enfin, à la corne postérieure du ventricule correspond le lobe occipital . Ces quatre lobes boursouflés autour de l'ensembl
xterne. La région qu'elle limite, en avant, est le lobe postérieur ou occipital . Si, maintenant, nous écartons les lèvres de la
ci quatre lobes : le frontal, le pariétal, le temporo-sphénoïdal et l' occipital . A. Du lobe central. Ce lobe est complètement
al mot/en, est étendu de la pointe du lobe sphenoidal à celle du lobe occipital ; il est donc commun à ces deux lobes. Ce pli reç
e le moyen, s'étend de l'extrémité du lobe sphenoidal à celle du lobe occipital . E. Plis du lobe occipital. Il nous reste à é
émité du lobe sphenoidal à celle du lobe occipital. E. Plis du lobe occipital . Il nous reste à étudier le lobe occipital, et
pital. E. Plis du lobe occipital. Il nous reste à étudier le lobe occipital , et les parties situées au fond de la scissure pe
rties situées au fond de la scissure perpendiculaire externe. Le lobe occipital est très-grand dans tous les singes. Lisse dans l
e, on détache, par une section habilement ménagée, Y opercule du lobe occipital , on découvrira les parties cachées au fond de la
n pli qui du lobule du pli pariétal ascendant passe au sommet du lobe occipital , et 2° un pli qui du sommet du pli courbe passe a
2° un pli qui du sommet du pli courbe passe au bord antérieur du lobe occipital . J'ai donné à ces plis, dont la considération est
omblent en quelque sorte la scissure perpendiculaire externe. Le lobe occipital , extrêmement réduit, n'a plus alors d'opercule.
férieur du lobe temporo-sphénoïdal, se portent dans le sommet du lobe occipital . On peut les désigner sous le nom de troisième et
passage grands et superficiels. Deux passent du lobe pariétal au lobe occipital . Les deux autres unissent ce même lobe occipita
e pariétal au lobe occipital. Les deux autres unissent ce même lobe occipital au lobe tcmporo-sphénoïdal. Si l'on prend comme
riétal ascendant naissent des plis qui se prolongent vers l'extrémité occipitale . On pourrait considérer les plis du lobe temporo-
ges ce sont en général les plis du lobe temporo-sphénoïdal et le lobe occipital qui prédominent; dans l'homme, au contraire, les
isphère, et s'étendent de l'extrémité du lobe frontal à celle du lobe occipital , que leur développement excessif refoule à l'extr
deuxième scissure (se. des Hippocampes) commence à la pointe du lobe occipital et se dirige presque horizontalement vers le geno
'Hippocampe lui convient plus particulièrement; quant à son extrémité occipitale elle a reçu le nom d'ergot. Ces dénominations n'o
scissure des Hippocampes. Ce lobe, de forme triangulaire, est le lobe occipital interne. Le troisième lobe s'étend de la pointe
e occipital interne. Le troisième lobe s'étend de la pointe du lobe occipital à celle du lobe sphenoidal au dessous du lobe occ
ointe du lobe occipital à celle du lobe sphenoidal au dessous du lobe occipital interne et de la grande ouverture cérébrale. Nous
fond avec le pli supérieur du lobe frontal externe. B. Plis du lobe occipital interne. Ces plis, à peu près nuls dans les sin
e bord inférieur de la scissure des hippocampes, de la pointe du lobe occipital à celle du lobe sphenoidal. Ce pli assez grêle en
loppement du lobe fronto-pariétal, dti lobule quadrilatère et du lobe occipital interne. 2° La réduction relative des plis du l
, loin de là. Dans la plupart des singes, le bord antérieur du lobe occipital dépasse de beaucoup l'os de ce nom et anticipe su
e sur la région des os pariétaux. Dans l'homme, au contraire, le lobe occipital , extrêmement réduit, n'occupe que la minime parti
cipital, extrêmement réduit, n'occupe que la minime partie des fosses occipitales supérieures; en sorte que ces prolongements du lo
ous le nom de plis de passage, anticipent, à leur tour, sur la région occipitale . Ce n'est pas tout. Dans les singes où le lobe
la région occipitale. Ce n'est pas tout. Dans les singes où le lobe occipital est si grand, l'os occipital est plat et fait à p
est pas tout. Dans les singes où le lobe occipital est si grand, l'os occipital est plat et fait à peine saillie au delà de l'atl
ne saillie au delà de l'atlas. Dans l'homme, au contraire, où le lobe occipital est si petit, la saillie des tubérositôs occipita
traire, où le lobe occipital est si petit, la saillie des tubérositôs occipitales est énorme. Il n'y a donc aucun rapport nécessair
nt entre le développement des lobes olfactifs et celui des extrémités occipitales des hémisphères; peut-être n'a-t-on pas assez rem
ssent des fibres qui, de la pointe du lobe sphenoidal à celle du lobe occipital , rayonnent dans toute l'étendue du bord inférieur
s toute l'étendue du bord inférieur de l'hémisphère. Les irradiations occipitales de ce système forment un faisceau distinct qui ma
né du genou postérieur du corps calleux, se porte vers les extrémités occipitales du bord supérieur de l'hémisphère, en suivant l'é
it, dans toute son étendue, la paroi externe de la corne ancyroïde ou occipitale du ventricule latéral. Si, à l'aide d'un petit
émisphère, depuis le deuxième pli ascendant jusqu'à la pointe du lobe occipital . Quelle est l'origine de ce nouveau plan? viend
son côté inférieur, et de là se prolonge jusqu'au sommet de la pointe occipitale de l'hémisphère. La seconde, l'externe, est plu
s toute l'étendue du bord supérieur de l'hémisphère, de son extrémité occipitale à son extrémité frontale ; ainsi les expansions r
ventail qui s'étend de l'extrémité du lobe sphenoidal à celle du lobe occipital le long du bord inférieur de l'hémisphère, et de
sa paroi postérieure, et, se prolongeant jusqu'à l'extrémité du lobe occipital , doublent dans les singes tous les plis cérébraux
ylvius. Leur véritable terminaison est dans le bord supérieur du lobe occipital ; je ne les ai pas vues remonter plus haut chez l
entiers; dans les singes, c'est une commissure entre leurs extrémités occipitales seulement; dans les autres animaux c'est surtout
vont aux plis de la face interne ; 4° La paroi interne de la corne occipitale du ventricule latéral ; 5° La paroi externe de
remière a pour corps l'os basilaire, pour lames supérieures, les deux occipitaux , et pour arcs inférieurs des pièces analogues aux
, auxquelles nous donnons, quand elles existent, le nom d'os palatins occipitaux : cette vertèbre est la vertèbre occipitale. La
ent, le nom d'os palatins occipitaux : cette vertèbre est la vertèbre occipitale . La deuxième a pour corps le sphénoïde postérie
e premier bulbe, l'acoustique, est en effet compris entre la vertèbre occipitale , et la sphéno-pariétale. Le deuxième, l'optique,
ns spéciales. I. NERFS MOTEURS CRANIENS. «. Première paire, paire occipitale . Elle comprend : (a) l'hypoglosse, (b) le spinal,
son postérieur, et par conséquent concourt à la formation de la paire occipitale . 2° Deux branches, le maxillaire supérieur et l
disséminées. Il y a aussi quelques vestiges de plis vers l'extrémité occipitale , mais le lobe occipito-pariétal est encore absolu
Rolando ; 2° un petit sillon qui distingue, dès cette époque, le lobe occipital . La scissure parallèle, qui est si profonde chez
u cerveau. » Ce repli est tendu entre les gouttières latérales de l' occipital et le bord supérieur des deux rochers, et souvent
loge un canal transverse qui répond aux gouttières latérales de l'os occipital . Les deux extrémités de ce canal s'inclinant vers
la fois ils communiquent avec les sinus latéraux vers la protubérance occipitale interne ; ce confluent de sinus donne lieu à une
e de la masse des hémisphères. passent à droite et à gauche du trou occipital , et se terminent de chaque côté dans le golfe des
e golfe des veines jugulaires. Ils sont désignés sous le nom de sinus occipitaux . Les sinus que nous venons de décrire composent
e, entre le même sinus caverneux et le sinus latéral. Enfin, le sinus occipital transverse fait communiquer les sinus pétreux et
and nombre d'issues. B. Dure-mère rachidienne. Âu-dessous du trou occipital les deux feuillets de la dure-mère, presque parto
série de ces dentelures, au nombre de 21 ou 22, s'étend entre le trou occipital et la première vertèbre lombaire. Cette limite in
rébraux. — Les deux vertébrales pénètrent dans le crâne par le trou occipital . Placées de chaque côté du bulbe, elles convergen
x osseux primitifs composent la voûte du crâne. L'une, postérieure ou occipitale , loge essentiellement le cervelet. Une seconde ve
t le domaine de la vertèbre frontale, de l'autre celui de la vertèbre occipitale . C'est du côté du frontal que les premiers empi
même temps il s'accroît, mais plus lentement, du côté de la vertèbre occipitale . Mais l'espace que lui fournit cette vertèbre, dé
a majeure partie de cette vertèbre et s'accroît en outre du côté de l' occipital (1). D'une manière générale, le cerveau est d'a
ue la suture qui sépare la portion mastoïdienne du temporal dans l'os occipital , est celle que l'on trouve le plus souvent oblité
ge sur le derrière de la tête et anticipe sur le domaine de la région occipitale , et d'autre part que le bord antérieur du pariéta
du frontal, en même temps qu'il cède la place aux accroissements de l' occipital . Cette opposition est remarquable, et il est fort
rait davantage dans le sens de la vertèbre frontale et de la vertèbre occipitale . En effet, dans toutes les races humaines, le cer
térieure et la partie postérieure du crâne; dans certains crânes où Y occipital et le frontal ont peu de développement, la région
ppement, la région pariétale prédomine, dans d'autres c'est la région occipitale ; dans d'autres enfin, c'est la frontale. A cet ég
gard les races pourraient être distinguées en races pariétales, races occipitales et races frontales. Une prédominance trop marqu
lus en plus le cervelet, accordent une grande importance aux saillies occipitales , et ils affirment que ces saillies sont un caract
Nous ne le contestons point ; mais il ne s'ensuit pas que les parties occipitales du cerveau puissent se substituer à ses parties f
un égal degré, la question se réduit à savoir laquelle de la vertèbre occipitale ou de la frontale est la plus capable de contribu
demment la réponse est facile. La capacité des fosses cérébrales de l' occipital étant assez faible, un grand accroissement relati
râne. Ainsi, et surtout à l'égard du cerveau, une grande saillie de l' occipital donne beaucoup moins qu'une égale saillie du fron
e saillie du frontal. Si donc dans les crânes caucasiques normaux Y occipital est peu saillant eu égard au frontal, nous verron
différant de la race tasmanienne, méritent évidemment le nom de races occipitales . D'ailleurs, de cette prédominance relative du
occiput. 0,179 0,i77 0,177 Hauteur mesurée du bord postérieur du trou occipital , au point opposé de la suture sagittale........
95 0 095 0,035 T'~ ... , j Longueur....... 0,035 0.035 0,035 Trou occipital l Ur^m........ £m Qm 0029 Diamètre jugal.......
00 0,302 0,306 Dist. du bord alvéolaire au bord antérieur du trou occipital ...... 0,113 0,100 0,103 0,100 0,090 0,088 0,091 0
des individus; il va même jusqu'à admettre qu'une légère déformation occipitale pourrait dans certains cas être avantageuse. Ce
volonté se trouvent clairement indiqués à la vertèbre postérieure ou occipitale , la vie végétative et le sentiment à la vertèbre
ent évidemment quand les hémisphères grandissent. De même la vertèbre occipitale dans l'homme n'a pas seulement rapport au cervele
e de beaucoup. Eh bien ! le cerveau occupe chez eux, dans la vertèbre occipitale , un espace relativement beaucoup moindre que dans
eau est dans les chiens et les chats complètement hors de la vertèbre occipitale , s'ensuit-il qu'ils n'aient ni passions, ni insti
er. Toutefois, l'antagonisme qui existe entre la région frontale et l' occipitale , et qui ne leur permet pas de se développer simul
toute sa grandeur et toute sa puissance ; aussi la forme de la région occipitale du crâne subit-elle des variations singulières. C
19 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
re du lobe parié- tal et la région supérieure des lobes temporal et occipital qui présente des traces d'adhérences nombreuses
s jambes quand on l'examine. Tête ronde, assez développée; bosses occipitales et parié- tales saillantes. Sutures et fontanel
, le lobule de l'insula, la partie antérieure des circonvolutions occipitales , qui est détruite sauf au niveau de la 5e. Les
nces nom- breuses de la pie-mère au niveau du pli courbe. Le lobe occipital est fort peu développé ; les circonvolutions y
emporale et au niveau des plis de passage, au pli courbe et au lobe occipital un foyer très net de sclérose atrophique. La
une atrophie considérable qui se prolonge sur la 2we circonvolution occipitale , où elle atteint son maximum Les circonvolution
ose, la transparence de ces sutures, la disjonction pos- sible de l' occipital des pariétaux, ce qui montre que le crâne était
vec la lésion du coin droit et le manque de déve- loppement du lobe occipital gauche. VIII. Mentionnons enfin l'adénopathie é
réunion de cette suture à la coronale. A droite de la protubérance occipitale interne, on remarque encore un point peu épais.
lement un os wormien. - La base du crâne est asymétrique. Le trou occipital est régulier.- Le liquide céphalo-rachidien n'est
les os sont très-épais : le frontal au niveau de ses deux bosses, l' occipital dans sa partie moyenne, au-dessus de la protubé
s, l'occipital dans sa partie moyenne, au-dessus de la protubérance occipitale , mesurent un centimètre d'épaisseur. 62 Scléros
misphères cérébraux paraisssent avoir la môme longueur. Les lobes occipitaux ne recouvrent que les deux tiers antérieurs du ce
cendante, le lobule pariétal supérieur en entier, ainsi que le lobe occipital Face interne. - En avant, les circonvolutions s
e interne du lobule pariétal supérieur et la face interne du lobe occipital ; sur la partie tout-à-fait postérieure de la circ
postérieure de la circonvo- lution du corps calleux. - La scissure occipitale est très- nette et se prolonge sur la face exte
en II du lobule orbitaire ; en arrière, sclérose atrophique du lobe occipital semblable à celle des deux autres faces. Le c
ningées considéra- bles mais assez nettement circonscrites. Le lobe occipital offre à sa partie antérieure un aspect franchem
au du pli courbe. Scissure de Syl- vius, lobule de l'insula et lobe occipital , rien de particulier. - Aspect chagriné et adhé
front est étroit, les bosses frontales peu saillantes; les bosses occipitales sont plus marquées. On ne trouve pas iL la palp :
eur volupté est presque normal. Le lobe pariétal est séparé du lohe occipital par une scissure perpendiculaire externe bien d
sure perpendiculaire externe bien développée. Les circonvolutions occipitales sont rudimentaires et du volume d'un lombric. L
es qui s'en détachent sont net- tement séparées des circonvolutions occipitales par une scis- sure perpendiculaire externe très
blement avec celles de la face convexe. Au niveau du prolongement occipital du ventricule, on voit une nouvelle communicati
e dépasse l'os correspondant du côté droit et le côté gauche de l' occipital est plus saillant que le droit. - Les sutures tam
principalement à droite. -La base du crâne est asymétrique. Le trou occipital est très oblique. Bourneville, Bicêtre, 4592.
iciel qui réunit les deux circon- volutions F A et P A. La scissure occipitale ne se prolonge pas sur la face externe. Les sil
soit profonds, soit superficiels. Les circonvolutions parié- tales, occipitales , temporales, n'ont rien de particulier. - Rien
pariétales saillantes sont situées fort en arrière. La protubérance occipitale externe est très développée. Le crâne est sensi
la seconde circonvolution temporale (T2). Les lobes temporaux et occipitaux sont fortement altérés, toutefois, T3 offre un
une vascularisation très fine sur les lobes temporaux, pariétaux et occipitaux ; la vascularisation prédomine à droite. Les d
iques, sauf une légère inégalité due a la plagiocéphalie. - Le trou occipital est normal. Les os de la calotte crânienne sont
e la première temporale est chagrinée et grêle. Les circonvolutions occipitales n'offrent rien de particulier. La scissure perp
e perpendiculaire externe est très accentuée. Les cir- convolutions occipitales ont un aspect normal. - Le lobe temporo-sphènoï
es frontales et pariétales sont assez sail- lantes. La protubérance occipitale externe est accentuée. Pas de traces de sutures
aire du reste de l'oc- cipital par deux sutures aboutissant au trou occipital et pas- sant en avant du trou condylien antérie
re lambdoïde, la sépa- ration de l'apophyse basilaire du reste de l' occipital , joints à cet état particulier des sutures et a
umineux, presque trigonocéphale, fortement asymétrique : les bosses occipitale et pariétale du côté droit sont plus sail- lant
une façon prononcée en dehors et en arrière; il en est de même de l' occipital du môme côté. Les deux pariétaux se présentent
ns une étendue de 6 à 7 centimètres carrés de chaque côté; 3° sur l' occipital , à droite et à gauche, dans les points correspo
iques. Corps pituitaire de la grosseur d'un petit pois. (Il Sur l' occipital , 2 ^w, à peine; 6 et 7 ? sur la coupe de la parti
e externe est très accentuée. Le lobule pariétal inférieur, le lobe occipital sont d'apparence normale. Rien sur Ti. Adhérenc
ne vers le front, et 0, 007 millimètres au point correspondant de l' occipital . Cette épaisseur va graduellement en diminuant
ang coagulé. Les cavités de la base paraissent symétriques, le trou occipital est normal. Corps pituiatire, rien de particuli
d'aspect chétif. - Tête assez développée, asymétrique. Protubérance occipitale très proé- minente. Bosse pariétale droite plus
'atrophie portant sur les circonvolutions qui bordent la scis- sure occipitale , du côté gauche seulement. Les circonvolutions
ymétrique. Pas de sail- lies particulières des bosses pariétales ou occipitales . Bosses frontales distinctes. Pas d traces de f
ns sa partie antérieure. Crâne mince, de texture compacte; la crête occipitale est un peu déviée à gauche et la partie gauche
gauche et la partie gauche de cet os est un peu déprimée. La fosse occipitale gauche est un peu plus petite que la droite. No
paisseur et 10 millimètres au niveau de la coupe de la protubérance occipitale externe. L'épaisseur des autres parties de la c
ntimètres 5 environ, les dentelures se simplifient et on note sur l' occipital , en arrière de la suture, de petits îlots osseu
présente des adhérences méningitiques assez accentuées. - Les lobes occipital et temporal ont une dispo- sition régulière.
t surtout porter sur le territoire de l'artère sylvienne. - Le lobe occipital est indemne. - Le lobe temporal l'est aussi, sa
u corps. On ne constate plus de traces des fontanelles. Les bosses. occipitales et pariétales sont symétriques et peu accusées.
, aplatie. Les fosses sphénoïdales paraissent symétriques. La fosse occipitale gauche est un peu plus développée que la droite
et le pli courbe ont un aspect normal. Il en est de même des lobes occipitaux et temporaux et la seule remarque qu'on peut y
sième dépression existe dans la 248 Cerveau; hydrocéphalie. corne occipitale . La membrane ventriculaire est épaissie, comme
as plus que le lobe pariétal infé- rieur, ni le pli courbe. Le lobe occipital est d'apparence normale. Il en est de même de T
contrairement aux dires du père. Crdne très petit, peu élevé. Bosse occipitale assez saillante. Régions pariétales peu proémin
étrique; le côté gauche est plus dévelop- pé au niveau de la région occipitale que le côté droit; la pro- tubérance occipitale
niveau de la région occipitale que le côté droit; la pro- tubérance occipitale semble reportée à droite de la ligne médiane, l
une dizaine d'os wormiens à droite et une quinzaine à gau- che. - L' occipital semble séparé, au moins dans sa partie supérieu
s pariéto-occipitales ont des dentelures un peu plus sinueuses et l' occipital est si peu soudé aux pariétaux, qu'il en est au
nérale de la calotte est régu- lièrement ovoïde, à grosse extrémité occipitale . Les bosses pariétales sont très saillantes. No
es os qui offrent une épaisseur variant de 1 à 2 millimètres 1/2. L' occipital est parti- culièrement mince et présente latéra
P2, PC,lobes pariétaux supérieur et inférieur, pli courbe. Lo, lobe occipital . Tt, T2, première et seconde temporales. sr,
2, PC, lobes pariétaux supérieur et inférieur, pli courbe. LO, lobe occipital . Tl, T2, T3, première, seconde et troisième cir
le. LP, lobule paracentral. AC, avant-coin. C, coin. Lo, lobe occipital . T3, troisième temporale. CO, couche optique.
emière, seconde et troisième circonvolutions temporales. LO, lobe occipital , ss, scissure de Sylvius. sr, sillon de Rolan
hère cérébral gauche; face supérieure. LF, lobe frontal. LO, lobe occipital . Péd, pédoncule. P, porus. Bourneville, Bic
. FA, frontale ascendante. PA, pariétale ascendante. LO, lobule occipital . P, porus. sr, sillon de Rolando. BOURNEVIL
l-, PC, lobes pariétaux supérieur, inférieur et pli courbe Lo, lobe occipital . Tl, T2, T3, première, seconde et troisième cir
20 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
Etat de mal. Calotte peu épaisse et peu dure ; graisseuse ; fosse occipitale guuche plus développée que la droite. - Adhéren
nces de la dure-mère i à la calotte et de la pie-mère à la région occipitale des deux côtés. Arrêt de déve- loppement des ci
nés après un accouchement par le sommet. Légère asymétrie. La bosse occipitale ne fait pas saillie, les bosses frontales sont
ssement de la selle tur- cique, de la fosse frontale gauche et de l' occipitale à droite. - Rien il noter au trou occipital, ni
rontale gauche et de l'occipitale à droite. - Rien il noter au trou occipital , ni au niveau des fosses tempo- rales qui parai
veau. 23 substance cérébrale. Le pli courbe est atrophié. Le lobe occipital est formé de petites circonvolutions plates, nota
rs postérieur participe à l'aplatissement et il, l'atrophie du lobe occipital . Face interne. - Fi a un aspect normal mais le
xemptes de toute lésion. Il en est de même du pli courbe. Le lobe occipital et le lobe temporal sont aussi d'apparence norm
a circonvolution du corps calleux à sa partie antérieure. - Le lobe occipital et le lobe tempo- 24 IDIOTIE HYDHOCÉPHALIQUE.
ET cerveau. 35 plagiocéphalie . (saillie du frontal gauche et de l' occipital droit), peu épais; nombreuses plaques transpare
breuses plaques transparentes princi- palement au niveau des fosses occipitales . La suture fronto- pariétale droite est sinueus
avec des sillons plus accentués que sur l'hémisphère gauche. Lobe occipital , circonvolutions 11'l'égulièl'es, -Première circo
. Lobule paracenlral, bien développé. - Coin et circonvolu- tions occipitales , nettement séparés. - Corps calleux et noyaux g
ovoïde avec plagiocéphalie (aplatissement du frontal droit et de l' occipital gauche). La coupe est mince, le tissu compacte.
pariétal gauche. de la partie moyenne des tem- poraux et des fosses occipitales . Toutes les sutures persistent sur les deux fac
s sillons peu profonds. - Le pli courbe (P3.) est normal. - Le lobe occipital (L.O.C.) est trôs-irrégulier parcouru par des s
upérieur et infé- rieur, ne présente rien de particulier. - Le lobe occipital est normal, entrecoupé de nombreux sillons. - L
st étroit. Le coin, bien délimité, est de petite dimension. Le lobe occipital présente trois petits sillons qui s'entrecoupen
rophiées qui finissent par disparaître absolument au niveau du lobe occipital et du lobe temporal. - Ces deux lobes se compos
euse, la plus grande partie des lobes temporal, temporo-sphénoïdal, occipital et le lobule pariétal inférieur, dont les sillo
es relient entre elles. Le lobe pariétal, le lobe temporal, le lobe occipital n'ont rien de notable. (PL. VII.) Face intern
ivement à celle du côté droit, fort peu dilatée. Ce sont les cornes occipitale et surtout sphénoïdalc qui offrent le plus gran
saillie notable des pariétaux et une dépression assez prononcée des occipitaux . La suture métopique persiste dans une longueur
s, sinueuses et sillonnées il gauche. Les circonvolutions des lobes occipitaux sont assez grêles mais plus symétriques. On not
est nettement auto- nome tandis que T2 et T3 sont unies. Le lobe occipital peut être divisé en trois petites circonvo- lut
peu contournées,- surtout le lobule pariétal inférieur.. ; - Lobe occipital . Rien de bien particulier; les circonvolutions,
r région pos- térieure le siège de nombreuses adhérences. Le lobe occipital forme une petite région autonome divisée par un
ces méningitiques existent à la partie postérieure de Ta. Le lobe occipital forme trois petites circonvolutions très Cas su
niveau de la fontanelle antérieure. Au-dessus de la protubé- rance occipitale externe, dépression en méplat de la face postér
s caractères que sur l'hémisphère opposé. Il en est de même au lobe occipital et au lobe temporal, Tl, cependant est coupée p
et sont coupées en tous sens par de petites incisures. - Le lobe occipital est formé de circonvolutions irrégulières qui n
ée, mais dans des proportions moindres que les cornes frontale et occipitale . Cou et thorax. -- Pas de persistance du thymus
at il sa partie postérieure, la région antérieure du coin, la corne occipitale et la seconde circonvolution temporo-occipitale
aut en bas, est divisé en deux par le sillon paral- lèle. Le lobe occipital est sclérosé au niveau de l'extrémité de la cor
Le lobe occipital est sclérosé au niveau de l'extrémité de la corne occipitale et ce foyer, qui semble la continuation du noya
ontinuation du noyau pariétal, occupe la moitié postérieure du lobe occipital . Sclérose tubéreuse. 193 Un autre noyau assez
, d'un centimètre environ, existe il la jonction de T3 avec le lobe occipital . · Le lobe temporal présente vers la corne sphé
ique. ? Après fixation par lu solution de formol aL 10 0/0, le lobe occipital a été divisé en plusieurs blocs par des section
vroglie, tissu conjonctif et vaisseaux). Ainsi, au niveau du lobe occipital tout entier, nous avons pu étudier l'écorce, le
convolution, le centre ovale proprement dit. Rappelons que le lobe occipital , à l'oeil nu, présentait les mêmes nodosités sc
ans la substance blan- che. môme dans la région voisine de la corne occipitale du ventricule latéral ; toujours, nous l'avons
upérieur. P2, pli pariétal inférieur. P3, pli courbe. LOC, lobe occipital . Tl, T ? T-3, première, deuxième et troisième c
llèle. 0., O2 03, première,. seconde et troisième circonvolutions occipitales . TI T2 T3, première, seconde et troisième circo
ales. 01, 0 ? 03, première, deuxième et troisième circonvolutions occipitales , . BOÜRNEVILLE, Bicêtre, 1898. - PL. VII. 222
pli courbe. S P E, scissure perpendiculaire externe. L.0 0, Io-be occipital . Oio I ? opercule, frontal. L l, lobule de l'
21 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
a face externe de l'hémisphère gauche, partant de la pointe du lobe occipital gauche s'étendant en avant à la partie supérieu
eaux blancs sous-jacents (faisceau longitudinal supérieur, faisceau occipital vertical de Wer- nicke). - Sont respectés : la
ion pariéto-occipitale (PI. V, A) (1). Le foyer partant de la corne occipitale à deux centimètres environ en avant de l'extrémit
cipitale à deux centimètres environ en avant de l'extrémité du pôle occipital , s'étend en avant vers la deuxième pariétale, int
'étend en avant vers la deuxième pariétale, intéressant la deuxième occipitale , le pli courbe, la partie tout à fait postérieure
l'hémisphère sur une très petite étendue. La face interne du lobe occipital est absolument respectée ainsi que la face infé
. XVIII. Pl. V APHASIE AMNESIQUE /7 ? );'t''J A. Les deux lobes occipitaux . On voit les lésions des lobes occipital et parié
);'t''J A. Les deux lobes occipitaux. On voit les lésions des lobes occipital et pariétal gauches. B. Coupe horizontale de
ie postérieure du pli courbe à 2 cm. 1/2 environ en avant du pôle occipital . C, Cunéus. - Cc, Corps calleux. - CO, Centre o
, Lobule lingual.-Lg,Sillon du lobule lingual.- 02, 2. circonvolution occipitale .- Pa, Pariétale ascendante.- Parc, Lobule parac
, 3 circonvolutions temporales.- V, Ventricule latéral.- Voc, corne occipitale du ventricule latéral. APHASIE AMNÉSIQUE (Hal
lésion dessine une vaste perte de substance approchant de la corne occipitale du ventricule latéral, mais sans l'at- teindre
du faisceau longitudinal supérieur). 7° Coupe portant sur la corne occipitale à 2 centimètres 1/2 en avant du pôle occipital
ortant sur la corne occipitale à 2 centimètres 1/2 en avant du pôle occipital (PI.VI et VII,E). La lésion porte sur la Ire et l
ôle occipital (PI.VI et VII,E). La lésion porte sur la Ire et le 2e occipitale . La 3e oc- cipitale est respectée. Le cuneus es
fu- siforme. Profondément la substance blanche sous-jacente à la 2e occipitale est détruite ainsi que celle correspondant au p
ruction du faisceau longitudinal supérieur etd'unepartiedu faisceau occipital vertical deWernieke). La substance blanche du c
gi- tudinal supérieur), lésions s'étendant vers les points du globe occipital (intéressant la substance blanche faisceau vert
globe occipital (intéressant la substance blanche faisceau vertical occipital de Wernicke). 2) Une lésion superficielle du lo
rbale. AUTOPSIE - Ramollissement jaune partant de la pointe du lobe occipital gau- che et gagnant de là le lobule pariétal in
ion la lésion est à la fois corticale (pli courbe, cir- convolution occipitale ) et sous-corticale (faisceau longitudinal supérie
itale) et sous-corticale (faisceau longitudinal supérieur, faisceau occipital vertical de Wernicke). Peut-être est-ce à cette l
ingite. Un petit tubercule ancien, fibreux, siège au niveau du pôle occipital gauche. La moelle est très grêle, aplatie à la
et n'avait du reste que très peu altéré la forme extérieure du lobe occipital . Ses dimensions étaient d'en- viron 5 centimètr
s dans son intérieur. Nous avons débité en coupes sériées ce lobe occipital : toutes les coupes qui se trouvent en arrière
faut. Résumé. Phénomènes de compression limités à la partie du lobe occipital périphérique à la plus grande extension de la t
s. Ling, lobule lingual. Tum., tumeur. ouf, 02, 03, circonvolutions occipitales . 142 WEBEII ET PAPADAkI exagérée du tissu cor
galement : il l'est beaucoup plus dans sa corne frontale que dans l' occipitale (fig. 2). Comme il y avait communication large
'à une différence de résistance du tissu ambiant. Mais dans le lobe occipital le ventricule est entouré de faisceaux de proje
nd. Il en est de même du tapetum et des faisceaux sagittaux du lobe occipital . Là la dilatation ventriculaire est le plus pro
ent partout, mais elles sont peut-être plus prononcées dans le lobe occipital droit. Ecorce.- Dès le pôle frontal et jusqu'au
bres conservées jusqu'au voisinage immédiat de la tumeur. Le lobe occipital droit (côté du néoplasme) présente au carmin une
e, parce qu'il se trouvait serré contre la paroi osseuse du foramen occipital a souf- fert tout autant dans ses fonctions.
ues, les tumeurs de la région de la tente du cervelet et du foramen occipital sont particulièrement funestes. Il est toutef
petite et laissant indemne la majeure partie de la pie-mère du lobe occipital ait pu gêner à ce point la circulation ? Comment
es. Il est notablement élargi à sa partie postérieure où les bosses occipitales sont bien marquées. Les lignes courbes du tempo
Cerveau. Nos recherches ont porté sur les lobes frontaux, les lobes occipitaux , les circonvolutions sylviennes droites et gau-
t séparées par un sillon ; les bosses pariétales et la saillie de l' occipital sont très nets ; léger ressaut post-lambdoïdien.
une grosse saillie bilatérale ; les fonta- nelles y sont soudées. L' occipital est saillant ; pas de ressaut post-lambdoïdien.
éparées par un large sillon, les bosses pariétales très marquées, l' occipital saillant, le ressaut post- lambdoïdien assez ne
lambdoïde, béante et entourant l'extrémité supérieure de l'écaille occipitale très facilement perceptible. Au total, elle mes
espace fonta- nellaire correspondant à la fontanelle postérieure. L' occipital aplati descend verticalement rejoindre la ligne
toïdien du côté où ce rudiment n'a qu'un centimètre ; les faisceaux occipitaux s'insérant sur le cordon fibreux et les rudimen
ales sont peu développées et déprimées (Scheu- thauer). L'écaille occipitale est leplus souvent saillante : il en est ainsi da
t très serrée et si les rapports entre le pariétal, le frontal et l' occipital sont en- core lâches, il n'y a pas d'écartement
frontal, la raréfaction osseuse de la voûte et la position du trou occipital qui regarde en avant et en bas. La face prése
tée à l'encéphale - au moins à la vue simple et qu'ilexiste un trou occipital , c'est un Pseudencéphalien Nosencéphale; l'absenc
ccipital, c'est un Pseudencéphalien Nosencéphale; l'absence de trou occipital est le caractère du Thlipsencéphale; l'adjonction
ière elle envahit d'une façon presque générale toute la région de l' occipital , gagne sur le cou et tend à empiéter sur la rég
umeur correspondait, extérieurement, à la seule région de l'écaille occipitale . A ce niveau, la peau semble être perforée et l
pseudencéphalique postérieure. 0. S. Limite supérieure de la région occipitale . T. Tumeur. 356 RABAUD d'aspect graisseux q
du frontal, l'écaillé du temporal et les pariétaux. L'écaille de l' occipital manque également le plus souvent. Il convient,
distinction très nette entre les crâues présen- tant ou non un trou occipital . Celui-ci, ou plus exactement les parties qui le
temporal et au pariétal a complètement disparu ; il ne reste que l' occipital conservant sa forme et ses dispositions habituell
à la rencontre l'une de l'autre se 'souder et circonscrire le trou occipital , res- tent étalées horizontalement, se recourba
e certainement la portion basilaire, cartila- gineuse, de l'écaille occipitale . Ces deux fragments de l'écaille restent situés s
du crâne. Ainsi constitué par des parties symétriques disjointes, l' occipital affecte la forme d'un arc de cercle ouvert en hau
me, il n'y a pas de différence essentielle entre les cas où le trou occipital est circonscrit et ceux où il n'est pas circonscr
uve également. , '. ' Pseudencéphalie sans hémicrânie. Si l'écaille occipitale ainsi ré- duite représente à elle seule le crân
e Belhomme (1), dans un cas un peu particulier, a vu l'écaille de l' occipital . De même, chez le veau, Joly et Lavocat ont trouv
fragment de pariétal sous forme d'une bandelette étroite, allant de l' occipital étalé à l'apophyse orbitaire externe. Le corona
crâne (1) présente encore ceci d'in téressant que les éléments de l' occipital , bien que disjoints et ne circonscrivant pas un
postérieur du coro- nal, tandis que le sommet opposé va rejoindre l' occipital . Par rapport à la ligne médiane du crâne, la ha
base du crâne ; celle-ci est à nu dans leur intervalle. Quant à l' occipital , il affecte la disposition que nous avons décrite
disposition que nous avons décrite chez les . individus où le trou occipital n'est pas circonscrit par un cercle osseux : les
dehors, ils restent néanmoins superposés aux os de la base. Seul l' occipital est partiellement étalé.Suivant toutes probabilit
t toutes probabilités, l'étalement ne se répercute pas au delà de l' occipital . Si même celui-ci n'est pas complètement renver
rsqu'il n'existe que des vestiges épars de la voûte, non reliés à l' occipital , il n'y a pas lieu de croire à un renversement
qu'une ouverture, postérieure, ménagée à travers les éléments de l' occipital . Ces dispositions, comme d'ailleurs les pré- cé
Malaire et zygomatique. F. Frontal. - P. Pariétal. - E. o. Ecaille occipitale . M. 1. Masses latérales. - A."b. Apophyse basilai
vé. Les variations semblent plus considérables pour ce qui est de l' occipital . Dans les crânes représentés par E. Geoffroy-Sain
est perpendiculaire sur la direction de ce qui représente l'écaille occipitale proprement dite. L'ensemble constitue un cercle
ons de l'épactal de B se rejoignent. Dans ce dernier cas, le cercle occipital est com- plet. 11,1 Dans le' crâne que j'ai o
tuelle. Il est impossible de distinguer les limites entre l'écaille occipitale et l'os épactal, limites d'ailleurs peut-être arb
respondant à la figure 2). F. Frontal. P. Pariétal. T. Temporal. 0. occipital . 364 RABAUD indiquées par E. Geoffroy-Saint-I
éduite que dans les cas de Geoffroy-Saint-Hilaire. Entre la voûte occipitale et la base du crâne, est ménagée une petite cavit
èbres cervicales, et cela même constitue avec l'ouver- ture du trou occipital le caractère retenu par les classificateurs pour
celui que nous avons observé pour les parties cartilagineuses de l' occipital . Ces lames étalées sont incontestablement plus
ertébrale de chaque côté. Les frères J... présentent dans la région occipitale un aplatissement de la moitié latérale du crâne
rmation brachicéphalique, présente un petit front,et dans la région occipitale droite on voit et l'on sent un aplatissement osse
rachi-céphalique, il présente un front peu bombé, et dans la région occipitale droite existe un aplatissement des os, assez ac
de ce côté droit que le muscle sterno-cléido-mastoïdien et le chef occipital du trapèze sont durs, formant une masse saillante
elques points d'hyperesthésie très marqués au ni- veau de la région occipitale . La pression des testicules est particulièrement
ncore séparées par du cartilage. Il y a sou- dure des condyles de l' occipital avec leur écaille épaissie, et surtout soudure
her dont la face postérieure devient verticale, tandis que la fosse occipitale paraît plus profonde (Regnault). Regnault propo
e de la fissure pétro-squameuse. La portion inférieure de l'écaille occipitale , soudée à ses condyles, est épaissie mais arrêtée
traire, les deux points d'ossification supérieurs se développent. L' occipital inférieur ne mesure plus que le cinquième ou le n
rmal ces dimensions sont à peu près égales. L'épaississe- ment de l' occipital inférieur contraste avec la minceur du supérieur.
ipital inférieur contraste avec la minceur du supérieur. Les crêtes occipitales sont très marquées » (Regnault). Le thorax est
nault, etLegry). Il peut même en résulter un rétrécissement du trou occipital et du canal médullaire qui, dans le cas de Lamp
adulte (.Musée de la Maternité). Sur ce crâne les diamètres du trou occipital sont : 'antéro-postérieur : 3 cent. 1/2, tranve
. La surface basilaire mesure 3 cent. 3/4 du bord antérieur du trou occipital au bord post. vomer. 8. Crâne achondroplasique
lig. 6). Circonférence maxima 53 centimètres. Les diamètres du trou occipital , très inférieurs à la normale, sont : antéro-po
raccourcie, mesure 2,1 centimètres seulement, du bord ant., du trou occipital , au bord post. du vomer. Petitesse de la voûte pa
ant le maxillaire en haut. LES \IICROM);L1GS CONGHMTALES 501 trou occipital , dont les diamètres étaient du 1/3 au-dessous de
e, très raccourcie, avait 2,1 centimètres du bord antérieur du trou occipital au bord postérieur du vomer (au lieu de 3 3/4 cen
lement; les os condyliens sont séparés du basilaire et de l'écaille occipitale , la' suture sphéno-basilaire persiste ; de plus
re). Le diamètre antéro-postérieur de la glabelle à la protubérance occipitale ex- 540 PARIION, SHUNDA ET ZALPLACHTA terne =
rée dans le service on constate ce qui suit : le crâne globuleux, l' occipital aplati, le front large et assez élevé, la face
'une part sur divers points du squelette dorsal, d'autre part sur l' occipital , tendent constamment à diminuer la distance qui
certain, nombre d'individus, l'étalement des masses latérales de l' occipital fait défaut,le trou occipital existe,-et l'on sai
l'étalement des masses latérales de l'occipital fait défaut,le trou occipital existe,-et l'on sait que Isidore Geoffroy- Sain
ère des divisions toxonomiques. Or, pour que l'étalement des pièces occipitales ne se produise pas, il suffit que les liens rat
contractions musculaires qui ont violemment tiré sur les cartilages occipitaux ; mais ceux-ci, éloignés encore de toute lésion, e
es : celles-ci restent accolées l'une à l'autre, délimitant le trou occipital . La vitesse de propagation des lésions entre ic
tique ; ce qui reste des pièces ossifiées temporales, pariétales ou occipitales est en- traîné en dehors par le même mécanisme
n est suffisamment lente, non seule- ment les masses latérales de l' occipital résistent à la traction, mais encore l'os- sifi
urs parties antérieures ; tantôt ils restent unis, sauf cependant l' occipital qui, chez ces individus sans hémicrânie, est cons
pariétaux por- tent directement sur le cerveau, le refoulant vers l' occipital , -tandis que d'autre part, les tractions qui po
ccipital, -tandis que d'autre part, les tractions qui portent sur l' occipital tendent à écarter ses deux moitiés et, par suit
de sa partie postérieure. Le cerveau ainsi refoulé, butte contre l' occipital , ajoutant son effort à celui des contractions m
elle se montre au sur et à mesure que l'ossification se poursuit. L' occipital seul se sépare en deux parties qui s'étalent en
: marchant d'arrière en avant, il dépasse les limites de la suture occipitale , entame la suture pariétale et peut même se pro
ion de l'épendyme. Espaces périvasculaires dilatés. 60/1. B. Région occipitale . Extrémité du ventricule. Foyers sous-épendymaire
n de l'épendyme à gauche. Pus intraventriculaire. 20/1. C. Région occipitale . Gros bouchon de pus intrav·cntriculaire. Conserv
rencontré le pus de paquets névrogliques spiralés (fig. 2). Au pôle occipital le revêtement épendymaire n'est pas partout conse
truction partielle et déviation à droite du trigone. Fig. 4.- Coupe occipitale . Le ventricule complètement obstrué par du pus. M
sur la ligne médiane, le cerveau passe entre les deux moitiés de l' occipital . La voûte s'aplatit alors sur la base et s'ossi
22 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ng tout récent sous-arachnoidien, en lame, à la convexité des lobes occipitaux et de la portion postérieure du lobe pariétal d
nte; ainsi l'écorce du lobe frontal serait motrice, celle des lobes occipitaux et temporaux serait sensorielle. M. J. Pop est
lions de la base et notamment les irradiations qui issues des lobes occipitaux , temporaux et pariétaux entrent dans la cou- ch
'hémianopsie était due à une lésion de la substance blanche du lobe occipital , au nombre de onze. 5. Les cas d'hémianopsie tr
Les cas d'hémianopsie traumatique, due à des lésions de la portion occipitale du crâne et de l'encéphale sous-jacent. Ceux-ci
la ligne médiane, à un pouce et quart au dessus de la protubérance occipitale externe, et sortit en un point situé à deux pou
est sur la ligne médiane à 3 centim. 5 au dessus de la protubérance occipitale externe. La ligne tirée du bregma à la cicatric
(Keen et Xhomson) est indiqué par la portion ombrée, dans la partie occipitale de la tête, coupant les lignes 2 et B. - ) j
trouva alors que le trajet de la balle suivait la face dorsale de l' occipital , à travers le lobe pariétal jusqu'aux confins d
e celle du côté opposé. Il y avait une dépression au niveau du lobe occipital droit, la pie- mère adhérant sur une excavation
met du lobe frontal gauche, l'autre près de la pointe - A du lobe occipital droit. Ependyme des ventricules granuleux ; lég
de Sylvius. - Fg.3, A. Tumeur au niveau de la face moyenne du lobe occipital droit : hémia- nopsie latérale gauche.-Il. Coup
ie presque entièrement dans la substance cérébrale. La base du lobe occipital n'était pas atteinte. Tumeurs caséeuses. Observ
ère cérébrale postérieure irriguant la face postéro-interne du lobe occipital droit. . La maladie de M. D... dura, avec des
cissure de Rolando. En regardant le cerveau d'en haut l'extrémité occipitale de l'hémisphère droit paraît plus mince que du
sé. Cet as- pect est dû à la destruction de la face interne du lobe occipital droit par un large foyer, évidemment ancien, de
volution de l'hippocampe. La lésion n'atteint pas la pointe du lobe occipital . Les autres circonvolutions des deux hémisphère
e de la troisième branche de l'artère cérébrale postérieure, artère occipitale de Duret. Les objections que peut soulever l'
ianesthésie seule. 3. Qu'une lésion de la substance blanche du lobe occipital , au niveau des fibres les plus postérieures de
l'alexie, l'hémianopsie et l'hémiplégie. 6. Que les lésions du lobe occipital , écorce et substance DE L'HÉMIANOPSIE CORTICALE
J'ai essayé de fondre ensemble les schémas des 16 cas avec lésions occipitales (en dehors des cas traumatiques) sur une même f
couches, correspondait au coin et à la portion voisine de la pointe occipitale . C'est une simplification de la méthode de Exne
s visuelles, ou centres de la vision psychique, sont dans les lobes occipitaux et que chacun d'eux a des connexions avec les d
produit l'hémianopsie chez les chiens en détruisant un des lobes occipitaux . Et ces résultats ont été vérifiés sur des chats
t reproduites dans le Brain, april 188'4 : 1° Les lésions des lobes occipitaux et du gyrus angularis 1 .lolui C. Dalton. - Veu
ise la perte complète de la vue est la destruction totale des lobes occipitaux et des gyrus angularis des deux côtés. - 3° L
la fois sans amener du trouble visuel. 6° La destruction du lobe occipital et du gyrus angularis d'un côté cause une ambly
et d'autre part, une particularité dans l'anatomie de l'extrémité occipitale du cerveau vient expliquer les résultats de Ferri
riétal inférieur et du gyrus angularis dans son trajet vers le lobe occipital (le coin principa- lement). Une lésion du gyrus
héorie de la production de l'amblyopie d'un oeil par lésion du lobe occipital et de la' capsule interne du côté opposé. Il pe
é postérieure avec les résultats bien établis des lésions des lobes occipitaux , mérite une sévère critique. Mais il suffit de
es optiques réunies forment dans la substance blanche de la portion occipitale du cerveau un faisceau homo- gène qui passe le
postérieure. CI- A - région du gyrns ziiigtil.i iç. - 1,. 0. S., lobe occipital gauche. - L. 0. D., lobe occipital droit. - C,
ziiigtil.i iç. - 1,. 0. S., lobe occipital gauche. - L. 0. D., lobe occipital droit. - C, u.. coin et circonvolutions sous-jace
ubstance griseimmédiatementenvironnante sur la face interne du lobe occipital , dans l'hémisphère opposé à la moitié du champ
e pavillon de l'oreille et la région temporale et à la protubérance occipitale ) = Om, 52; distance directe delà racine du nez
de développement très notable qui occupe prin- cipalement les lobes occipitaux et temporaux; le lobe frontal est le plus compl
artie de la troisième temporale, sur la zone limite entre les lobes occipitaux et temporaux ; aucune altération n'occupe la face
ent à l'occasion de certains mouvements ou d'efforts, de dou- leurs occipitales etrachidiennes qui se prolongeaient dans le côté
lle aucune blessure, onperçoit, au niveau de l'angle supérieur de l' occipital , une dépression transverse, profonde, irrégulière
ression. Ren- seignements pris à la clinique de Francfort. Douleurs occipitales continues excessives à l'occasion des changemen
bite, il lui est impossbie de rien supporter qui pèse sur la région occipitale . De temps à autre, il souffre le long du rachis
ire extraordinairement affaiblie. Diagnostic. Com- pression du lobe occipital gauche par une exostose consécutive à une fract
sécutives à l'excitation des nerfs sen- sitifs (névralgie frontale, occipitale , voy. Griesinger); c'est l'his- toire encore de
é disparaît derrière l'état pathologique, RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES . 405 et nous sommes d'avis que la cour peut exo
ent mise en liberté. i RECUEIL DE FAITS RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES DANS L'ÉPILEPSIE ; Par M. G. ZOHRAB, interne
ntinence d'urine dès l'enfance, asymétrie RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES . 407 faciale, folie épileptique, manie religieu
ssement de la substance blanche nerveuse entourant les deux, cornes occipitales des deux ventricules latéraux. Antécédents héré
lexes tendineux et cutanés sont abolis. RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES . 409 Le 28 décembre au soir, crises épileptique
andis que le sommet en esta Om4R5. A la coupe pédiculo-pariétale et occipitale du cerveau, on constate sur les deux hémisphère
nce blanche entourant dans une étendue de 3 centim. les deux cornes occipitales des ventricules latéraux. A l'examen microsco
ns trouvé d'autre lésion que le ramollissement entourant les cornes occipitales des deux ventricules latéraux. Tout le reste de
Surdité absolue du même côté. Autopsie : ramollissement de la corne occipitale gauche. Tumeur du cervelet. Antécédents héréd
enstrues régulières. Le. plus souvent les RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES . 411 i crises apparaissent au moment de la disp
congestion généralisée, surtout du poumon RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES . 413 droit. t. Coeur : poids 255 grammes. -Rétr
couleur hortensia à leur surface. A la coupe pédiculo-pariétale et occipitale du cerveau, on trouve un ramollissement crémeux
4 RECUEIL DE FAITS. la substance périépendymaire limitée à la corne occipitale du ventricule latéral gauche (à droite, la subs
latéral gauche (à droite, la substance blanche qui entoure la corne occipitale paraît saine à l'oeil nu, sauf à con- firmer no
in rap- port de cause à effet entre le ramollissement de la corne occipitale et les convulsions épileptiques. A ces deux obs
rale. Crises épileptiformes. Autopsie : ramollissement de la corne' occipitale du ventricule latéral droit. Antécédents hérédi
e troubles de sensibilité ni de motilité. RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES . 415 5 L'état général est bon. Les urines sont
gris centraux paraissent intacts. A la coupe pédiculo-pariétale et occipitale , on observe un ra- mollissement crémeux avec di
rémeux avec diffluence de la substance blanche limitant l'extrémité occipitale de ventricule latéral. Hémisphère gauche : poid
toute son étendue, sauf au niveau de la paitie située dans le lobe occipital où il existe en ramollissement puriforme, ditfl
rme, ditfluent delà substance blanche ner- veuse entourant la corne occipitale . Le foyer hémorrhagique se prolonge dans le lob
sont également envahis par l'hémorrhagle,. DES CORNES POSTÉRIEURES OCCIPITALES . 417 de même que la capsule interne. Les cornes
les Archives, t. XI. 27 418 RECUEIL DE FAITS. CORNES POSTÉRIEURES OCCIPITALES . autopsies de sujets morts d'affections variées
e excitation constante des couches corticales du cer- veau (du lobe occipital surtout (Iloseiibacli), comme provoquant l'épil
-L'expérience démontrera plus tard s'il existe dans ces ré- gions occipitales de véritables zones épileptoyènes, ou bien s'il
pagnés d'un ramollissement de la partie sous-épendymaire des cornes occipitales des ventri- cules latéraux; 2° Que dans ces c
déterminé une plaie siégeant à droite à un pouce de la protubérance occipitale . Il est resté 21 heures sans connaissance, et p
23 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
Etat actuel (il niai 188 1). - Tête ovale, symétrique; la région occipitale est modérément développée ; les bosses pa- riét
e pli de passage signalé plus haut, puis se poursuit dans le sillon occipital supérieur jusqu'au sillon transverse. - Le pli
transverse. - Le pli courbe est assez développé, sinueux. - Le lobe occipital est bien conformé. Lobe temporal. - La première
loppés et ne percutent pas d'anomalies. Il existe un sillon pré- occipital complet qui partant de l'incisure préoccipitale v
t il est séparé par un pli de passage, allant du pli courbe au lobe occipital . Ce sillon délimite nettement le lobe temporal
be occipital. Ce sillon délimite nettement le lobe temporal du lobe occipital . -Le lobule de l'inszzla ne possède que deux di
lèle presque complète. Elle se continue en arrière avec la scissure occipitale supé- rieure au delà de la scissure occipitale
ère avec la scissure occipitale supé- rieure au delà de la scissure occipitale transverse. - Le lobe occipital est bien confor
é- rieure au delà de la scissure occipitale transverse. - Le lobe occipital est bien conformé; mais la scissure occipitale tr
transverse. - Le lobe occipital est bien conformé; mais la scissure occipitale trans- verse n'existe que dans sa partie supéri
ar un pli de passage se dirigeant vers la deuxième circonvolution occipitale . A un centimètre en avant du pôle occipital se tr
euxième circonvolution occipitale. A un centimètre en avant du pôle occipital se trouve une scissure transverse assez profond
nde allant de la scissure interhémisphérique à la deuxième scissure occipitale . Lobe temporal. - La première circonvolution te
e parallèle au niveau de sa courbe et isole ainsi nettement le lobe occipital . Le lobule de l'insula n'a que deux digitations
ès gros à bipartie postérieure du pli pariétal supérieur. - Le lobe occipital , assez plissé, est très volumineux. Longueur de
DE l'épilepsie procursive. point à l'extrémité postérieure du lobe occipital , 11 centi- mètres et demi '. Le lobule de l'i
est plissé et possède des sillons superficiels. Le coin et le lobe occipital sont composés de petites circonvolutions. La cil'
onvolution quadrangulaire qui envoie un pli de passage vers le lobe occipital et en reçoit un du pli pariétal inférieur. Le l
e lobe occipital et en reçoit un du pli pariétal inférieur. Le lobe occipital est assez plissé et volumi- neux. Les digitatio
lution qui semble plutôt se rattacher au coin. - Le coin et le lobe occipital peu sinueux sont assez développés. - Les masses
sée dans son ensemble. - Crâne régulier; prédominance des parties occipitales ; bosse occipitale cependant peu saillante; bosses
mble. - Crâne régulier; prédominance des parties occipitales; bosse occipitale cependant peu saillante; bosses pariétales égal
me circonvolution temporale par un pli de passage à niveau. Le lobe occipital n'offre pas d'anomalies, mais ses circonvolutio
in la scissure interpariétale va se terminer dans le premier sillon occipital . Le lobule01'bitalÎ'e est bien développé, normal.
st de même du pli courbe, mais à un degré moins prononcé. Le lobe occipital est assez volumineux ; mais ses deuxième et tro
olait, comme chez le singe, les lobes pariétaux et temporal du lobe occipital . Bien que cela nous écarte un peu de notre suje
de boudin; esto- mac plein; thymus persistant. - Atrophie des lobes occipitaux . - Hémisphère droit 20 gr. de moins que le gauc
mal le français. 124 DE l'épilepsie PROCURSIVE. proéminence de l' occipital qui. est surmonté par un méplat médian et régul
atrices de 4 à 5 centimètres à gauche à l'union du pariétal et de l' occipital , une autre plus petite vers la partie médiane e
cérébelleux droit arrive au niveau de la partie postérieure du lobe occipital , mais le lobe cérébelleux gauche est en retrait d
re de la scissure interpariétale et par son intermédiaire le sillon occipital transverse. - La scissure interpariétale forme
ui réunit le pli courbe aux deuxième et troisième cir- convolutions occipitales . - Le lobule orbitaire est bien conformé. Face
veloppés, très découpés; il en est de même du pli courbe. - Le lobe occipital est bien déve- loppé, mais les scissures et les
n pli de passage à niveau reliant le pli pariétal supérieur au lobe occipital . - La scissure interpariélale ne possède qu'un
obule pariétal supérieur ; elle continue son chemin jusqu'au sillon occipital transverse. Le lobule orbitaire est normal, trè
uliers par suite de nom- breux sillons qui les découpent. Le lobe occipital , dont lés circonvolutions paraissent un peu grê
e scissure irrégulière, sinueuse, qui prolonge le sillon transverse occipital jusque vers l'incisure préoccipitale. Lobe te
la partie moyenne de la circonvolution frontale ascendante, du lobe occipital , l'état chagriné des pre- ' Nous ferons remarqu
frontales saillantes, bosses pariétales peu marquées; protubérance occipitale en relief. - Front large, bombé, saillant. Yeux n
pli de passage à niveau allant du lobule pariétal supérieur au lobe occipital . La scissure interpariétale, qui forme en arriè
presque complète, se prolongejusque dans le lit du premier sillon occipital et envoie deux rameaux descendants, l'un en avant
e passage à niveau relie le pli courbe à la première circonvolution occipitale . Le lobe occipital est plutôt petit; la méningo
elie le pli courbe à la première circonvolution occipitale. Le lobe occipital est plutôt petit; la méningo-encéphalite y est
passage à niveau se rendant du lobule pariétal supérieur au lobule occipital . - La scissure perpendiculaire externe forme, e
ieur au pli courbe ; plus loin, elle va se confondre avec le sillon occipital transverse. Le lobule orbitaire est atteint de
on de la substance cérébrale parait à peu près normale. ' Le lobe occipital , sans être manifestement atrophié, offre cepen-
sur les coupes laissées vingt-quatre heures dans ce réactif. Lobe occipital droit en dehors delà lésion. - Vaisseaux nombreux
s. Nombreux corps granuleux dans la substance blanche. Dans le lobe occipital , on retrouve, à côté de points normaux dans l'é
ds, zip kilogr. 80. - Tête assez forte. Pas da saillie de la région occipitale , aplatissement de la région comprise entre le v
ccipitale, aplatissement de la région comprise entre le vertex et l' occipital ; bosses pariétales moyenne- ment saillantes. Fr
24 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
z régulier, symétrique, d'aspect arrondi plutôt qu'ovale. La région occipitale , les bosses pariétales et les apophyses mas- to
légèrement chagriné qui ne se retrouve pas de l'autre côté. Le lobe occipital est relativement assez volumineux. La première
t large etparait nurmal ainsi que le, coin, la face interne du lobe occipital , la corne cl'.I 11111[1)11, la circonvolution de
cts; à cet égard c'est un cerveau type. Les circonvolutions du lobe occipital sont assez volumineuses. Le lobule de l'insula
r un sillon vertical. - Le lobe carré (L Q), le coin (L C), le lobe occipital (L 0), sont normaux (PL. IV). Réflexions. - Cet
est notablement plus développée; méplat à la partie supérieure de l' occipital ; sillon transversal au niveau de la fon- tanel
aissant pas asymétrique ; pas de méplat à la partie supérieure de l' occipital , bosses pariétales peu prononcées, ainsi que le
f olfactif et s'élen- dant jusqu'à 2 centim. et demi de l'extrémité occipitale de l'hémis- phère. En dedans, le pseudo-kyste l
et sur la face convexe et semble avoir séparé complètement le lobe occipital du reste de l'hémisphère. Le kyste distendu a u
rconvolutions temporales sont normales, bien développées. - Le lobe occipital est normal. - Le lobule de l'insula est bien dé
du lobe pariétal inférieur, la partie la plus antérieure du lobe occipital , le pli courbe, la partie postérieure du lobule p
frontal et région pariétale), l'autre postérieure répondant au lobe occipital . La partie antérieure du lobe pariétal est atro
hiée encore, se trouve beaucoup plus en retrait par rapport au lobe occipital . -Le coin se trouve perdu dans le foyer. - Le l
u lobe occipital. -Le coin se trouve perdu dans le foyer. - Le lobe occipital est bien développé, sauf dans une petite por- t
L. V, fig. % et 4). Troisième coupe. Elle est pratiquée sur le lobe occipital et vers l'extrémité du kyste et montre encore u
rès marquée. LC,assez développé, envoie un pli de passage au lobe occipital , LO,qui est petit, et dont les circonvolutions
ciens, ni sclérose de la corne d'Ammon, ni rétrécissement du trou occipital , etc. Les accès, autant que nous avons pu le sa
ciput est saillant; il existe un méplat à la partie supérieure de l' occipital et postérieure des pariétaux. Les bosses pariét
l se bifurque en arrière en V qui reçoit entre ses branches le lobe occipital ; il envoie un pli de passage au pli courbe. Le
blé en arrière d'un pli bifurqué envoyant un pli de passage au lobe occipital . Le lobe occipital est peu développé avec deti
pli bifurqué envoyant un pli de passage au lobe occipital. Le lobe occipital est peu développé avec deti sillons très superf
inférieur et allant s'ouvrir à la scissure parallèle sépare le lobe occipital du lobe temporal. CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES. 1
versaux. - Le lobule lingual s'arrête loin de l'extré- mité du lobe occipital . La scissure parallèle s'arrête moins haut que
avec des sillons pro- fonds. - Le coin est petit ainsi que le lobe occipital ; tous les deux ont des sillons peu profonds. ?
t très sinueux et envoie un pli de passage au pli courbe et au lobe occipital . - Le lobule pa- riétal inférieur est sinueux,
urbe et le rendent ainsi irrégulier; entre le pli courbe et le lobe occipital , il y a une circonvolution qui, en bas, envoie
a une circonvolution qui, en bas, envoie un pli de passage au lobe occipital . - Le lobe occipital est composé de circonvolut
qui, en bas, envoie un pli de passage au lobe occipital. - Le lobe occipital est composé de circonvolutions petites et pliss
ule masse. - La scis- sure pariéto-occipitale est profonde. Le lobe occipital est peu volumineux, sinueux; il envoie un prolo
r.; Taille : 1 ? 48. La tête est régulièrement conformée; la région occipitale est très peu saillante et présente un large mép
e. LP, Lobe paracentral. * LC, Lobe carré. LC, Coin. LO, Lobe occipital . CC, Circonvolution du corps calleux. 0, Corp
upérieur. P2, Pli pariétal inférieur. P c, Pli courbe. LO, Lobe occipital . Tt Première circonvolution temporale. LI, Lo
eux. LP, Lobe paracentral. LQ, Lobe carré. LC, Coin. LO, Lobe occipital . CS, Corps strié. CO, Couche optique. CH, C
s paracentraux (LP), les lobes carrés (LQ), le coin (LC), les lobes occipitaux (LO), les circonvolutions temporales présentent
oupe de la pie-mère épaissie. Fig. 3. - Coupe pratiquée sur le lobe occipital et vers l'extrémité é du pseudo-kyste. LO, Lo
le lobe occipital et vers l'extrémité é du pseudo-kyste. LO, Lobe occipital . LC, Coin. CO, Corne occipitale. TA, TA, tissu
rémité é du pseudo-kyste. LO, Lobe occipital. LC, Coin. CO, Corne occipitale . TA, TA, tissu aréolaire. Hémisphère gauche.
iétal inférieur. TT, Circonvolutions temporales. Fig. 6. - LO, Lobe occipital . - CO, Corne occipitale. PARIS. - IIIP. V. GOUK
rconvolutions temporales. Fig. 6. - LO, Lobe occipital. - CO, Corne occipitale . PARIS. - IIIP. V. GOUKÏ ET JOURDAN, RUE DE REN
25 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
une légère dépression de la bosse frontale gauche et de la bosse occipitale droite. Dans son ensemble le cr;tne a la forme tr
lement sur l'hémisphère droit, au niveau de la face externe du lobe occipital , la moitié antérieure de la première frontale,
9 P1, bien développé, envoie en arrière un pli de passage au lobe occipital . - P2, assez volumineux, avec sillons superfi-
ée de circonvolutions développées, sinueuses, envoie un pli au lobe occipital , un au lobule pariétal inférieur, un au lobule
égulière. Les fontanelles sont ossifiées. Légère saillie des bosses occipitales et pariétales. Cheveux châtain- foncé, abondant
upérieure. - La première pariétale envoie un pli de passage au lobe occipital . - La deuxième pariétale est peu développée. Le
- Le pli courbe, assez volumineux, envoie un pli de passage au lobe occipital . - Le lobule de l'insula, très développé, se co
a deuxième et la troisième qui sont en partie confondues. - Le lobe occipital , assez volumineux, est facilement décortiqué.
e nulles sur la face interne. Des deux côtés les lobes temporaux, occipitaux , et l'insula sont indemnes; des deux côtés auss
rement ovoïde les bosses pariétales sont peu saillantes ; la région occipitale l'est légè- rement, le front est assez élevé un
grande scissure, sur la face convexe des lobes frontal, pariétal et occipital , est finement vascularisée, épaissie, avec de n
n avec les pariétaux. Enfin, tandis que l'obélion est fort élevé, l' occipital est aplati et l'inion peu marqué. Mensuration
qui constituent la F3 et une partie de la I .A. - La T3 et le lobe occipital ne présentent rien à signaler. Le pli pariétal
ièrement aux circonvolutions occipita- les. - Les lobes temporal et occipital n'offrent rien de spécial. 62 Imbécillité, hémi
ur des pariétaux, pour la pos- térieure, par l'angle inférieur de l' occipital ; pas d'autres inégalités à la palpation. - Fro
face in- terne. Les cavités de la base sont symétriques, le trou occipital n'est pas rétréci. La glande pituitaire a le volu
me celles que l'on rencontre chez les très jeunes chiens. 3° Lobe occipital . Son aspect est tout à fait semblable à celui d
s, la droite un peu plus saillante que la gauche. A gauche la bosse occipitale est volumineuse, Front assez large, mais bas. -
droite qu'à gauche; plagiocéphalie : bosse frontale droite et bosse occipitale gauche saillantes. - Su- tures fermées, sans sy
crâne également asymétrique. Obliquité de gau- che à droite du trou occipital (2). Crête frontale très saillante. Fosse sphén
ne les crânes des épileptiques. (2) Nous mentionnons l'état du trou occipital dans toutes nos autopsies d'épi- leptiques parc
). - Fig. 4. - Rubéole. DESCRIPTION DE la malade.. 105; pées, l' occipitale saillante. Front assez élevé, peu large. Face o
autre occupe le pli courbe ; une autre la partie antérieure du lobe occipital . - z La face interne de cet hémisphère ne prése
s- qu e moitié plus épaisse que celle du pariétal gauche. Le trou occipital n'offre rien de spécial. On voit de nombreuses ad
he. La suture coronale est normale ainsi que les sutures pariéto- occipitales . Il existe, en revanche, une synostose complète
petit que celui du côté droit et se confond en partie avec le lobe occipital peu développé, comme le lobe temporal. La circo
la région, mais beaucoup plus petites qu'à l'état normal. 3" Lobe occipital . Ici l'atrophie est très prononcée. Les dif- fé
La suture métopique persiste dans toute sa hauteur. La partie de l' occipital , le long- des dentelures de la suture pariéto-o
d'épaisseur. Les fosses de la hase paraissent symétriques, le trou occipital normal. Les sinus latéraux sont remplis de cail
ascendante toutes les temporales, les plis pariétaux, tout le lobe occipital . - Sur la face interne de l'hémisphère, les lés
l'hémisphère, les lésions de méningo-encéphalite occupent le lotie occipital , le lobe quadrilatère, le lohe temporal, le tie
riétale ascendante. L.P.S., lobule pariétal supérieur. L.O., lobe occipital . Tl, première temporale. S.S., scissure de Sy
pariétal supérieur. L.P'.L, lobule pariétal inférieur. L.O., lobe occipital . Les chiffres i,i,3, etc., indiquent les ilots
le. L.P., lobe paracentral. L.Q., lobe quadrilatère. L.O., lobe occipital . 1, 2, îlots de sclérose. Bourneville, Bicêtr
isième circonvolutions temporales. P.C., pli courbe. L.O., lobe occipital . Bourneville, Bicêtre, 1895. PL. V. 246 Expli
r. L.P.L, lobe pariétal inférieur. P.C., pli courbe. L.O., lobe occipital . T1) T2, T3., première, deuxième, troisième cir
26 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
au centre, vers les régions pa-riétales ; en arrière vers l'extrémité occipitale . Dans la nomenclature de Burdach, on désigne la p
t ; — p m i, pli marginal inférieur ; — p c, pli courbe ; — l o, lobe occipital ; — l q r, lobeorbitaire. Situation des centres
pariéto-occipitale (spe). Elle sépare nettementchez le singe le lobe occipital du lobe temporal et du lobe pariétal. Cette sépar
es : le lobe frontal, le lobe pariétal, le lobe sphénoïdal et le lobe occipital . Chacun de ces lobes est partagé à son tour en
produirait la cécité temporaire dans l'œil du côté opposé (F). Lobe occipital . —- Un sillon transverse partage ce lobe en deux
, chez l'homme, en raison de l'existence des plis de passage, le lobe occipital des lobes pariétal et sphenoidal. Vous pouvez d
onsidérons, par exemple, à ce point de vue, l'étage inférieur du lobe occipital . Dans les parties de ce lobe qui entourent la cor
cription. En arrière, la région comprend tout le lobe sphénoïdal, l' occipital et la partie médiane jusqu'au bord antérieur du l
moitié postérieure du lo-bule lingual et fusiforme ; c) tout le lobe occipital ; d) les deux premières circonvolutions sphénoïda
3 partie des lobes pariétaux, mal délimitée encore du côté du lobe occipital . Nous verrons dans un instant que ce type se mont
s de l'encéphale comprenant : 1° tout le lobe sphénoïdal ; 2° le lobe occipital , et 3° enfin les parties de l'écorce grise de la
Lobe carré ou avant-coin ; — LC, Lobule cunéiforme ou coin ; LO, Lobe occipital ; Cil, Circonvolution de l'Hippocampe; CA, Circonv
de passage, sépare nettement le lobe carré (ou quadrila-tère) du lobe occipital ; 4° immédiatement en arrière du lo-bule carré, da
4° immédiatement en arrière du lo-bule carré, dans le domaine du lobe occipital , il y a à remar-quer un lobule triangulaire dont
a promiscuité déjà signalée à propos de la face externe entre le lobe occipital et le lobe sphénoïdal. Là, il convient de disting
ncontrent ces particularités compren-nent, je vous le répète, le lobe occipital tout entier, le lobe sphénoïdal et les parties po
rieur. — LPi, lobule pariétal inférieur. — Pc, pli courbe. — Lo, lobe occipital . recourbent ensuite, de dedans en dehors, pour
périeure du cerveau. — P, lobe frontal. — P, lobe pariétal. — 0, lobe occipital . — S, fin de la branche hori-zontale de la scissu
italis. — t !, sillon temporal supérieur. — 0 première circonvolution occipitale . — o, sulcus occipitalis transversus. Artères.
O z, coin (Zwickel). — P o, scissure pariéto-occipitale. — 0, sillon occipital transverse. — Oc, fissure calcarinc; o c', sa bra
ieure. — II. Ar-tère temporale postérieure. — lit (inférieur). Artère occipitale . primée. La circonvolution frontale ascendante
porale anté-rieure. — II, artère temporale postérieure. — III, artère occipitale . nés —cette intégrité est mentionnée d'une faço
es pédonculaires directes se rendant à la substance corticale du lobe occipital ; — leur rôle relativement à la sensibilité. — Pre
pédoncu-laires directes se rendant à la substance cor-ticale du lobe occipital . Ce schéma est emprun-té à l'ouvrage de M. Huguen
n suivre le parcours dans l'épaisseur de la substance blanche du lobe occipital , immédiatement en dehors de la corne postérieure
1 importerait maintenant de décider si les lésions étendues des lobes occipitaux et en particulier de leur écorce grise dé-termine
om- (1) Dans les observations de ramollissement superficiel du lobe occipital que j'ai recueillies, il s'agit aussi souvent d'h
eau du cercocebus cinomolgus. F, Extrémité frontale. — O, extrémité occipitale . — H, la corne d'Ammon. — RR, la substance grise
rcuatus dont les fibres au-dessus du corps calleux s'étendent du lobe occipital au lobe frontal ; — en Ig, le faisceau longitudin
rontal ; — en Ig, le faisceau longitudinal inférieur qui unit le lobe occipital à l'extrémité du lobe sphénoï" dal, enfin, en une
erveau du Cercocebus cinomolgus. F, extrémité frontale. — 0, région occipitale . — F S, entrée de la scissure de Sylvius. — I, in
P, pied du pédoncule cérébral. Om, faisceaux médullaires qui, du lobe occipital , vont au pulvinar auxBS, bras des tubercules qu
h et de Gratiolet se diri-gent en arrière, dans l'épaisseur des lobes occipitaux et sphénoïdaux. Les faits cliniques conduisent à
le prolongement des fibres médullaires, dans l'écorce grise des lobes occipitaux et sphénoïdaux. Nous aurons à revenir sur ce po
erficiels (plaques jau-nes) étendus, lorsqu'ils occupent soit le lobe occipital , soit les parties postérieures du lobe temporal o
ie quelconque des lo-bes sphénoïdaux, le lobe carré, le coin, un lobe occipital ou les deux lobes occipitaux tout entiers, une ré
énoïdaux, le lobe carré, le coin, un lobe occipital ou les deux lobes occipitaux tout entiers, une région quelconque des deux tier
l'état fœtal; ce n'est qu'au bout d'un mois que la substance du lobe occipital commencera à blanchir; et, quatre mois après se
hromique. Les sillons com-pris entre les circonvolutions frontales et occipitales étaient grêles et durs, et les sillons précentral
es pédonculaires directes se rendant à la substance corticale du lobe occipital ; — leur rôle relativement à la sensibilité. — Pre
27 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
s pariétaux, elle semble un peu moindre pour les frontaux et pour l' occipital dont la surface se pré- sente même irrégulière.
mbres ni est très réduite. La tête est volumineuse. La protubérance occipitale externe très accentuée. La circonférence crânie
mètres. Les bosses frontales sont bien développées. La protubérance occipitale externe est bien accentuée. Le diamètre crâni
latation des sinus frontaux ainsi que la saillie de la protubérance occipitale externe. Nous ne pouvons pas connaître, d'après
concaves qu'à l'état normal (PI. XXXII). L'apophyse basilaire de l' occipital est très courte car elle n'atteint que 1 cent.
llon du sinus latéral, le trou déchiré postérieur ainsi que le trou occipital sont beaucoup plus étroits sur le crâne achondr
sont beaucoup plus étroits sur le crâne achondroplase. Les fosses occipitales inférieures sont beaucoup plus profondes et plus
beaucoup moins prononcée. Le diamètre antéro-postérieur des fosses occipitales inférieures est de 5 centimètres sur le crâne a
entimètres sur le crâne normal. La crête qui sépare les deux fosses occipitales inférieures a, an moins dans sa partie antérieu
sur le crâne achondroplase (pie sur le crâne normal. Los condyles occipitaux , surtout celui du côté gauche,sont aplatis et leu
impression rugueuse sur la face postérieure de l'os jusqu'au sillon occipital qui est délimité par deux crêtes rugueuses proé
ace interne), les faibles di- mensions de l'apophyse basilaire de l' occipital , du trou déchiré postérieur et du tronc occipit
se basilaire de l'occipital, du trou déchiré postérieur et du tronc occipital lui-même, la profondeur et l'étroitesse du sinus
bosse frontale gauche est plus saillante que la droite et la bosse occipitale droite plus que la gauche. Dans l'ensemble, la
qu'il faut expliquer la pâleur de la substance blanche dans le lobe occipital , au niyeau de la scissure calcarine. - Le fai
droit. t, tuherculome de la couche optique. ? tuberculomes des lobes occipitaux . (G. Ralszier et J. Baulllel) Nouvelle Iconog
izaine de corps semblables, siégeant pour la plupart dans la région occipitale et quelques-uns (deux ou trois dont un aussi vo
bles visuels trouvaient leur justification dans la lésion des lobes occipitaux et à la rigueur de la couche optique, il n'en r
micellée occupant tout le lobe frontal. Le lobe pariétal et le lobe occipital sont séparés par une bande de sclérose qui a en
i interne du ventricule latéral et joignant le lobe frontal au lobe occipital . Il y a donc un vestige du corps calleux dans cha
peu près au même niveau que celle-ci. Elles révèlent en outre sur l' occipital et sur les pariétaux de nombreuses impressions di
yphose de l'apopliyse basilaire, accompagnée d'une dislocation de l' occipital . C'est néanmoins du crâne de la dysostose cléid
ase émergeant au niveau du sphénoïde etde la portion basilaire de l' occipital et s'enfonçant dans l'intérieur de la cavité crân
elle n'avait plus qu'un ou deux millimètres de profondeur. Le trou occipital paraissait fortement diminué d'avant en arrière
certain degré de convexobasie, refoulant le bord antérieur' du trou occipital et diminuant son étendue ; ces lésions étaient ma
pincer entre les doigts : il en est ainsi pour le pourtour du trou occipital , pour la portion basilaire comme pour 454 -il L
er de ceux qui bordent le sinus sphénoïdal, apophyse basilaire de l' occipital , sphé- noïde, ethmoïde ; on y voit l'épaississe
surtout parle rétrécissement de tous les trous de la base. Le trou occipital est rélréci; moins dans son dia- mètre antéro-p
es déformations est l'enfoncement dans le crâne du pourtour du trou occipital et des parties voisines; plus exactement, la pe
crâne sous le poids du cerveau, il l'exception du pourtour du trou occipital , seule partie qui soit sou- tenue. C'est cette
LÉRI par sa face inférieure : alors qu'à l'état normal les condyles occipitaux sont plutôt au-dessous de l'écaille occipitale
normal les condyles occipitaux sont plutôt au-dessous de l'écaille occipitale et que le bord antérieur du trou occipital est
au-dessous de l'écaille occipitale et que le bord antérieur du trou occipital est au-dessous du bord postérieur, c'est diamétra
ette der- nière déformation, surélévation du bord antérieur du trou occipital , était L très frappante sur les deux crânes fra
le système nerveuxparaissait presque étranglé à ce niveau, le trou occipital , vu par l'intérieur du crâne, paraissant extrêmem
f).2). Sur le crâne 7, on peut voir que la por- tion basilaire de I occipital est à un bon centimètre au-dessus de sa portion
r une ligne médiane le bord antérieur et le bord postérieur du trou occipital , la ligne aboutit à l'état normal au niveau du
hyse basilaire elle-même, à quelques milli- mètres en avant du trou occipital . Cet enfoncement du pourtour du trou occipital
res en avant du trou occipital. Cet enfoncement du pourtour du trou occipital dans le crâne a des conséquences multiples, dir
que la partie de l'écaille qui est immédiatement en arrière du trou occipital devient oblique en bas et en arrière, ce qui a
notre première observation (PI. LXVIII, fig. 2), où l'écaille de l' occipital est à peu près coudée à angle droit à environ 1
coudée à angle droit à environ 1 centimètre ]/2 en arrière du trou occipital et à peu près à égale dis- tance de la protubér
trou occipital et à peu près à égale dis- tance de la protubérance occipitale interne. La traduction en chiffres de cette déf
vant, la conséquence directe de cet enfoncement du pourtour du trou occipital est le soulèvement du corps de l'occipital et de
ment du pourtour du trou occipital est le soulèvement du corps de l' occipital et de la partie postérieure du sphénoïde. Le so
sont celles que l'on observe au pourtour pres- que immédiat du trou occipital : elles consistent toutes en un soulèvement. Au
vant et latéralement ce qu'elle perd en hauteur au pourtour du trou occipital . Celle dilatation de compensation, pour ainsi d
ent absolu ou . relatif, c'est-à-dire au niveau du pourtour du trou occipital : toutes les parties de la tète tendent à conve
ur du crâne est relativement beaucoup plus grande au niveau du trou occipital que chez l'adulte et que le massif sphéno-basitai
dans le cours de t'existence que petitil petit le pourtour du trou occipital s'enfonce, pour ainsi dire, dans le crâne. Cet
(crânes 1 et 7), on voit nettement une plicature de l'écaille de l' occipital qui apparaît sous forme d'un angle aigu d'envir
élargit tous les os de la base el en rétrécit tous les trous : trou occipital et orifices vasculaires et nerveux. Le point de
rmation est l'enfoncement relatif dans le crâne du pourtour du trou occipital ; il a pour conséquences l'abaissement relatif
éterminent un rétrécissement parfois extrême- ment prononcé du trou occipital et des différents trous de la base, y com- pris
a condensation osseuse de cette même suirace. La diminution du trou occipital est tiès apparente sur tous les crânes, si on les
e et grand rond, sont nettement rétrécis. L'apophyse basilaire de l' occipital est devenue plus horizontale, ce qui est surtout
no-tmsilaire se voit nettement, avec la plicatnre de l'écaillé de l' occipital et le nivellement général de la base. La largeu
es de la base et surtout l'élargissement considérable du corps de l' occipital et de ses masses latérales. L'épai.,siQsempnt d
évation du massif sphano-basilaire avec horizontalité du corps de l' occipital , nivellement des étages antérieur et moyen du crâ
sement de la selle turcique, rétrécissement antéro-postérieur du trou occipital , écrasement antéro-postérieur et étalement tran
nt transversal des fosses cerébelleuses avec plicature de l'écaille occipitale ; la dilatation transversale de la cavilé crânien
profil. Enorme élargissement transversal ; diminution de la portion occipitale ; faciès fuyant. PL. LXIX. - Coupes sagittale
étique n" 1 n'est pas due à une veiticalité excessive du corps de l' occipital ; au contraire celui-ci est beaucoup plus horiz
, l'aplatissement de la selle turcique, la plicature de l'é- caille occipitale et le rétrécissement de l'étage postérieur du crâ
o- basique ; de plus la hauteur relative du crâne au niveau du trou occipital est beau- coup plus grande que chez l'adulte. C
28 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
ansversalement. En arrière l'asymétrie est plus prononcée, la bosse occipitale gauche est à peine sensible, tandis que la droi
développée dans sa partie postérieure, saillie très prononcée de l' occipital au niveau de la protubérance. La calotte crânie
U MÉRYCISME. de pain de sucre : les bosses sont à peine marquées. L' occipitale ne fait aucune saillie et, de ce côté, la tête
quadrilatère est volumineux, irrégulier, plissé. - Le coin, le lobe occipital n'offrent rien de spécial. - La circonvolution
nchent, par conséquent, avec les régions d'aspect chagriné. Le lobe occipital est peu volumi- neux. - Le lobule de l'insula p
umineux la relie à la circon- volution frontale. Le coin et le lobe occipital sont peu volumineux. Des deux côtés, les lobes
est réduit à un simple pli. Le pli courbe est rudimentaire; le lobe occipital , composé de trois replis, est assez gros. La pr
lume, dont la partie horizontale se confond en arrière avec le lobe occipital . Les sillons sont assez profonds sur la face conv
. Le lobule pariétal supérieur, l'inférieur, le pli courbe, le lobe occipital sont rudimentaires; les circonvolutions tempora
formé. La tête est assez développée, sans prédominance de la région occipitale ; le front est saillant, élevé, avec des dépress
mesure 2 cent. 1/2 sur la ligne médiane, entre les pa- riétaux et l' occipital ; à droite, elle se prolonge à 11 centi- mètres
en haut et dont le sommet tronqué aboutit à l'angle supérieur de l' occipital . La base, longue de 9 centimètres, est formée p
bord antérieur est en rapport avec le frontal, le postérieur avec l' occipital ; l'inférieur n'existe pas, puisqu'il est soudé
eurs forment les côtés de la fontanelle postérieure. L'ccaille de l' occipital paraît peu développée relativement au reste de
mètre de hauteur; en arrière, au niveau de l'angle supérieur de l' occipital , elle se bifurque pour se continuer avec la tente
ient presque au contact des os frontaux ; en ar- rière, l'extrémité occipitale est assez éloignée de la paroi crânienne. En in
ment; les Fig. 2. - L F, lobe frontal. - L M, lobe moyen. L O, lobe occipital . z S S, scissure de Sylvius. - L I, lobule de l
e paracentral. - L Q, lobe carré. - C C, corps calleux. - L 0, lobe occipital . - f h, foyer hémorrhagique. 128 DESCRIPTION DE
Q) qui semblent répondre au lobe carré et au coin. Quant au lobe occipital (L O), il est assez épais et parait faire suite
ne avait 58 centimètres de circonférence, 38 depuis la protubérance occipitale externe jusqu'à la racine du nez, et 33 entre l
était de 58 centimètres ; la distance de la pointe du nez à la base occipitale 41 cent.; celle d'une oreille à l'autre, 37 cen
é bien plus prononcé, la corne frontale que les cornes temporale et occipitale , c'est cette inégalité de dilatation qui expliq
suivantes : Encéphalocèle. Siège le plus fréquent à la ré- gion occipitale (53 fois sur 75.) Tumeur circonscrite. Bourre
Le plus souvent générale; ex- ceptionnellement bornée à la région occipitale . Tumeur diffuse. Pas de bourrelet osseux ; se
des méninges à travers un trou situé à la place de la protubérance occipitale et répondant à l'intervalle des quatre points d
ie posté- rieure du pariétal droit et de la partie avoisinante de l' occipital . La tumeur faisait une saillie extérieure qui n
ant, au-dessus de l'oreille et la grosse extrémité au ni- veau de l' occipital . On notait un petit étranglement à l'union du t
ivement superficiels. Le coin est peu volumineux, ainsi que le lobe occipital . La circonvolution du corps calleux, le corps c
pli courbe paraissent réguliers, sans arrêt de développement. Lobe occipital , normal. Face interne : circonvolution frontale
29 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
l le 7 septembre 1905. Il y a dix semaines, douleurs dans la région occipitale . En même temps, gon- flement de la face et du c
ure à la moyenne, elles sont inégales, particulièrement à la région occipitale . Visage. La mâchoire inférieure est bien dévelo
ontour régulier, d'une épaisseur à peu près normale. Protubé- rance occipitale externe très développée. Les sutures sont très pe
e par une apparente 278 CATOLA ' 1 surélévation du pariétal sur l' occipital . Par ailleurs,la surface des os pariétaux est a
râne ovoïdal, dolichocéphale. Cheveux noirs avec un seul tourbillon occipital ; ligne d'insertion antérieure semi-circulaire ;
ntes splénoïdales sont lar- ges. Le rocher est normal.Le corps de l' occipital est réuni au splénoïde par un cartilage. Le c
pital est réuni au splénoïde par un cartilage. Le contour du trou occipital est un peu irrégulier ; son échancrure posté- r
ulier ; son échancrure posté- rieure est très marquée. Les condyles occipitaux sont atrophiés ; ils sont un peu concaves trans
e dans sa partie atloïdienne où il continue la direction delà crête occipitale ex- terne ; fortement oblique à droite ; presqu
lle cervicale supé- rieure peuvent naître des douleurs de la région occipitale (Pulnam- Krauss-Park, Saenger), des symptômes b
marginalis, au gyrus angularis, et à la superficie complexe du lobe occipital , c'est-à-dire à des zones qui, pour la formalion
ticalement dans la substance médullaire du lobe temporal et du lobe occipital . Or, dans tous ces cas, où la répétition des mo
e cérébral droit, au point de passage du lobe pariétal dans le lobe occipital , au-dessous et en arrière du gyrus angularis, u
écrites se fasse de préférence dans l'extrémité antérieure du lobe occipital [gyrus al1gut(t1'is), on comprend comment, dans
rieur de la F3, et l'operculum rolandicum, à l'exception de sa face occipitale . Est dégénérée la partie dorsale et an- térieur
x peut être partielle ou complète. Parfois le segment postérieur ou occipital seul fait défaut. La commissure antérieure peut
arrière pour former deux pi- liers arrondis dirigés vers les lobes occipitaux et qui s'enfonçaient peu à peu dans la profonde
ur tota- lité, mais un degré moindre cependant au niveau des cornes occipitales . Le tapétum des cornes temporo-sphénoïdales et
s cornes occipitales. Le tapétum des cornes temporo-sphénoïdales et occipitales est intact et ne peut donc pas, selon l'auteur,
ique du corps calleux, puisque celui-ci, ainsi que son prolongement occipital , le forceps majeur, font complètement défaut. Pou
e cette partie du tapétum située au-dessus et en dehors de la corne occipitale . Il existait également le long de la paroi inte
ors que la partie située au-dessous du splénium et destinée au lobe occipital était demeurée abso- lument intacte. Le faisc
génère à la suite de lésions aussi bien du lobe frontal que du lobe occipital ; dans le premier cas, la sclérose n'est pas li
du carrefour ventriculaire et en particulier au niveau de la corne' occipitale , avec les fibres du forceps major du corps calleu
c les fibres du forceps major du corps calleux. Les lésions du lobe occipital retentissent non seulement sur le forceps du co
, et au niveau de sa face interne, la corne sphénoïdale et la corne occipitale se trouvent presque complètement exposées, grâc
au fond de laquelle les ganglions de la base font saillie. La corne occipitale est limitéeen bas par un bourrelet cortical qui
ière, puis remonte en dedans de l'extrémité postérieure de la corne occipitale pour se recourber ensuite en avant et former la
gres. Le corps du trigone fait totalement défaut. Au niveau du lobe occipital , aucune des scissures typiques, pas même la cal
s, poursuit l'auteur, font partie du faisceau d'association fronto- occipital ; certaines d'entre elles se rendent à la capsule
nom de faisceau d'association fronto-temporal. Au niveau du lobe occipital , le tapétum est formé, selon l'auteur, par les
es fibres se rendent directement à la capsule externe. Dans le lobe occipital , les fibres de ce faisceau peuvent être suivies e
ome, le faisceau d'asso- ciation fronto-temporal. Au niveau du lobe occipital gauche, un certain nombre des fibres du cingulu
iane ou interne est constituée par le cingulum, le faisceau fronto- occipital et le faisceau fronto-temporal ; elle représente
neux se rend plus en arrière pour constituer le tapétum de la corne occipitale . Cette corne est très dilatée des deux côtés. D
e corne est très dilatée des deux côtés. Dans la profondeur du lobe occipital droit, on note plusieurs îlots do substance gri
it défaut et la fente ventriculaire s'étend du pôle frontal au pôle occipital . La circonvo- lution frontale supérieure et la
que hémisphère un faisceau sagittal reliant le pôle frontal au pôle occipital . Schrôder accepte cette hypothèse de Sachs que
res fournies par ces deux feuillets entourent complètement la corne occipitale . Les fibres du trigone pénètrent en avant dans
vent être suivies très loin et dans le lobe frontal et dans le lobe occipital . La commissure antérieure nettement reconnaissa
, le faisceau calleux longitudinal contourne les cornes frontale et occipitale du ventricule latéral et reçoit de nombreuses fib
x côtés,'une micro- gyrie très accentuée du lobe frontal et du lobe occipital , et, d'une façon générale, toutes les circonvol
u profondes et poursuivent un trajet atypique. La scissure pariéto- occipitale interne et la scissure calcarine ne se rencontren
tés et le revêtement épen- dymaire, surtout des cornes frontales et occipitales , est notablement épaissi et granuleux. L'étude
mais particuliè- rement nette au niveau du lobe frontal et du lobe occipital . Le cervelet est le siège d'une hypoplasie très
tout proéminent comme chez certains nains achondroplasiques ; l'os occipital est très développé et donne à la tête, .vue de pr
ètre longitudinal, et le développement relativement exagéré de l'os occipital ; ce qui est très visible dans la photographie
la prévalence énorme du diamètre antéro-postérieur du crâne : l'os occipital est, comme chez notre premier sujet, très saill
valence du diamètre antéro-postérieur et par la proéminence de l'os occipital . Notre enfant, actuellement âgée de 22 mois, pè
t : Hémisphère gauche. Rien d'anormal pour les méninges. La corne occipitale du ventricule latéral est entourée d'un tissu ano
thologique, mais il en existe aussi sur la paroi interne et la corne occipitale est xxm 41 614 MERLE ET PASTINE entourée da
ntourée dans son entier par une véritable coiffe. En arrière la corne occipitale ventriculaire est légèrement symphysée et la sc
ée assez épaisse qui se dirige vers l'extrémité postérieure du lobe occipital . En avant la sclérose périveutriculaire s'étend j
la sclérose périventriculaire du ventricule latéral. Toute la corne occipitale est englobée dans une coiffe de sclérose et cet
eux, assez petites (1 centimètre de diamètre environ), dans le lobe occipital , et quatre, très petites, du volume d'un grain
1.x sclérose périventriculaire formant une coiHe qui entoure la corne occipitale . (Iréll11sphére droit. Il eu était : r peu prés
ance on note souvent leur absence complète. Dans une plaque du lobe occipital , constituée par de fines fibrilles névrogliques t
r de l'hémisphère pour se recourber ensuite en arrière vers le pôle occipital . Dans notre cas, comme dans tant d'autres, la pre
es anomalies dans le trajet des sillons du lobe pariétal et du lobe occipital . La branche verticale ascendante de la scissure i
lution pa- riétale supérieure par un large pli de passsage. Le lobe occipital pré- sente dans sa totalité un aspect légèremen
égèrement microgyrique et les deuxième et troisième circonvolutions occipitales sont l'une et l'autre subdivisées en trois part
obliquement en avant pour s'unir au second sillon temporal. Le lobe occipital droit a, comme le gauche, une tendance à la mic
le gauche, une tendance à la microgyrie. La deuxième circonvolution occipitale est traversée par un sillon qui relie la scissure
par un sillon qui relie la scissure pariéto-occipi- tale au sillon occipital inférieur. Le pied de la première circonvolution
e en arrière directement avec le lobule fusiforme et que le segment occipital de ce lo- bule est abondamment et irrégulièreme
u-dessous. Il existe toutefois au niveau de la face interne du lobe occipital , un lobe triangulaire limité en haut par un sil-
ouve plus très nettement à ce niveau le cin- gulum pariétal. Lobe occipital . Dans la partie moyenne de ce lobe, la corne post
habituellement considérés comme étant des faisceaux propres au lobe occipital , n'étaient que les prolongements postérieurs de
moindre trace du faisceau de Sachs. Plus en arrière, vers la pointe occipitale , ce faisceau finit par se dessiner, assez vagueme
encié au niveau du lobule lingual à travers toute l'étendue du lobe occipital . Ces particularités sont non seulement intéressan
s radiations calleuses du bord supérieur et de la convexité du lobe occipital . La couche sagittale interne est très dégénérée
n seg- ment ventral ou inférieur.Elle entoure complètement la corne occipitale , et ses fibres peuvent être suivies avec la plu
i AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX 645 Dès que l'on se rapproche du pôle occipital , on constate que les fibres du faisceau sagitta
i originale qu'un bord irrégulier et déchiqueté. En outre, la corne occipitale est le siège en deux points différents, d'une sym
quées et très étendues. Le tapétum s'étend peu à peu vers la région occipitale , mais ne dépasse pas encore en arrière le segment
gment temporal de la paroi ventriculaire externe. Au niveau du lobe occipital et des circonvolutions de la face médiane de l'
termine plus loin une symphyse ventriculaire circonscrite. La corne occipitale est particulièrement atteinte et est elle-même
upérieur du ventricule latéral. En arrière,là où il aborde la corne occipitale , le faisceau sagittal médian se renfle pour forme
s et sous-épendymaires qui sont surtout accen- tuées dans sa partie occipitale . Résumé ET interprétation DES faits. Nous ven
e chaque hémisphère, à partir de la corne frontale jusqu'à la corne occipitale , la zone sous-épendymaire est alimentée par de
phère opposé.Ce fais- ceau sagittal s'étend du pôle frontal au pôle occipital en côtoyant l'angle supéro-interne du ventricul
30 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
saillie issez prononcée des bosses parié- tales, symétriques. Bosse occipitale en relief. Visage arrondi, d'apparence un peu b
t, est nettement distinct. De même que sur la face externe, le lobe occipital est petit. V L., C C, couche optique, corps ttr
iques, lobule paracentral ; 1° et 2e circonv. frontales; circonv. occipitales : circonv. temporales ; etc.). - Colorations à
rent. Le crâne est légèrement ovoïde, petit, bosses pariétales et occipitales il peine saillantes. Le cou est assez long, cir
s répondant au 1/3 antérieur de la suture en question. Ecaille de l' occipital . Face externe. La bosse occipitale gauche est p
suture en question. Ecaille de l'occipital. Face externe. La bosse occipitale gauche est plus saillante que la bosse occipita
externe. La bosse occipitale gauche est plus saillante que la bosse occipitale droite. Face interne. La fosse occipitale gauch
us saillante que la bosse occipitale droite. Face interne. La fosse occipitale gauche est plus profonde que la droite. La crêt
itale gauche est plus profonde que la droite. La crête interne de l' occipital forme une courbe très prononcée à concavité gau
est plus développée que la partie droite. Pas de trans- parence ; l' occipital est il peu près uniformément opaque. Sutures. L
e normale. Les différentes fosses sont régulières ainsi que le trou occipital . L'apophyse crista-galli est arrondie et épaiss
volutions des autres lobes, arrêtées dans leur développement. Lobe occipital . Circonvolutions très grêles sur ses deux faces
profonde; la scissure calcarine est peu prononcée. Le coin, le lobe occipital , la circonvolution de l'hippocam- pe, la quatri
al est plus développé à gauche qu'à droite ; il en est de même de l' occipital correspondant. Toutes les sutures persistent. L
Tète. Elle est ovoïde avec prédominance très accusée de la région occipitale , saillie prononcée des bosses pariétales et rét
ur P2, sont assez volumineux ainsi que le pli courbe, PC et le lobe occipital LOC. Le pli courbe envoie un pli de passage au
lobe occipital LOC. Le pli courbe envoie un pli de passage au lobe occipital qui est assez développé, Le lobe tempo- nul a s
ditif A correspond exacte- ment au basion B (bord antérieur du trou occipital ). Or, sur un crâne normal, ces deux points sont
timètres de taille (1 m O) et que son poids égalait 35 kilogr. L'os occipital est légèrement saillant : il semble l'avoir été d
e plan du rocher (R), répond au plan de l'inion. - op, plan du trou occipital . Les signes XX répondent aux bosses frontales e
rieur du rocher. A, trou auditif. B, basion (bord antérieur du trou occipital ). ' Voir sur les os du crâne des myxoedémateux
s de l'écorce cérébrale : par exemple, au niveau des lobes frontal, occipital et rolandique (lobule paracentral). Pour le dir
structure générale des neuroblastes. Dans les au lies régions ¡lobe occipital , par exemple), le pro- ces>us pathologique n
laire de 2 cent, sur 5 ou 6 cent. sur le côté droit, au niveau de l' occipital ; plusieurs ecchymoses en avant au niveau des pa
circonvolutions pariétales, le pli cour- be et les circonvolutions occipitales supérieures sont plutôt un peu grêles. - La lob
tandis que les circonvolutions du lobe carré, du coin et du lobe occipital sont plutôt petites. Les plis de passage sont a
. Crâne asymétrique : la ré- gion pariétale droite et la région occipitale gauche font saillie, de telle sorte que le gr
ent symétriques. L'apophyse crista galli est mince, mousse. Le trou occipital n'offre rien de particulier. Les apophyses clin
nférieur. P3, pli courbe. Se S., scissure de Sylvius. LOC, lobe occipital . LO, lobule orbitaire. Tl, T2, T3, 1 ? 2°, 3e
convolution frontale ascendante. SR, Sillon de Rolando. LOC, Lobe occipital . LO, Lobule orbitaire. T',T2,T3, lire, 2e, 3°
d'Ammon. CH, Circonvolution de l'hippocampe C, Coin. LOC, Lobe occipital . Sc cm, Scissure calloso-marginale. Se ip, Sc
scendante. ' r SR, sillon de Rolando. PC, pli courbe. LOC, lobe occipital . LO, lobe orbitaire. Ti, T2, T3, 1re, 2e, 3"
le plan du rocher (R), répond au plan de l'inion. op, plan du trou occipital . - Les signes XX répondent aux bosses frontales
rieur du rocher. A, trou auditif. B, basion (bord antérieur du trou occipital ). $OTJRNIL1 E : Biçétré. T902. PL. Y. 294 Exp
31 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
et son grand dia- mètre s'étend de la lame quadrilatère à la bosse occipitale interne. La loge du cervelet est extrêmement
scend jusqu'a la scissure calloso-marginale. Le lobe carré, le lobe occipital semblent normaux. ., La circonvolution pariétal
bule pariétal supérieur ; sur le pli courbe ; sur la pointe du lobe occipital . b) Face inférieure : îlots sur les deux circon
ngeait un ther- momètre à même la pulpe cérébrale à travers le trou occipital ; la température paraissait alors plus basse à l
t par ce moyen la température s'élever au niveau de la protubérance occipitale (sans cependant dépasser 102 REVUE CRITIQUE.
ion temporale, et de chaque côté de la ligne médiane pour la région occipitale . Les tiges des ther- momètres sont protégées pa
érant ces températures par régions céphaliques, on voit que le lobe occipital fournit constamment les chiffres les plus faibl
les formes de maladies mentales, comme chez l'homme sain, la région occipitale a une température plus basse que celle des autr
stérieure, le triceps crural répond à la partie postérieure du lobe occipital , les muscles abdominaux et ceux de la colonne v
e de' la région optique ainsi pré- sentée et conduite jusqu'au lobe occipital à travers le ganglion- géniculé externe est pré
es hallucinations.-Il existait en outre une céphalalgie frontale et occipitale intense.-Cécité complète; pupilles dilatées, su
ù la pie-mère entraîne avec elle l'écorce grise; -c'est sur le lobe occipital que les lésions sont le moins accentuées. Hémis
lution du corps calleux. - Rien sur le lobe pariétal ni sur le lobe occipital . Ventricules latéraux très dilatés des deux côt
. - Pleurésie. Démence. - Mort. - Autopsie : Rétrécissement du trou occipital . ? e ? H'Ho-e) ! cepAa ? <e. Tuberculose pul
80. . AUTOPSIE. Rétrécissement antéro-postérieur très net du trou occipital . Injection marquée et opacités de la pie-mère s
s bords de la scissure de Sylvius et sur la partie centrale du lobe occipital . Au niveau de ces adhérences, la substance cort
rammes par jour). A cette époque, l'enfant pré- sentait à la région occipitale une tuméfaction dure, due à des DE LA DÉMENCE É
-mère est notablement adhé- rente à l'extrémité postérieure du lobe occipital . Les poumons 'présentent une congestion très ma
en examinant la face interne. La crête frontale et la protubérance occipitale interne sont, en effet, notablement re- portées
la base du crâne, mesurée de la suture sagittale à la protubérance occipitale externe, est, à droite de 285 mill. et à gauche
fin, lorsque, tendant un fil de la crête frontale à la protubérance occipitale interne, on mesure la distance qui le sépare de
os du crâne sont soudés sur plusieurs points des sutures pariéto- occipitales . Dure-mère très épaissie, très adhérente sur le
'extrémité supérieure du .6 sillon" dé' Rolando à la pointe du lobe occipital : à droite, 13 c.; à gauche,, 8,,5. Remarquons
lus grand développe- ment du lobe frontal. ? 't'Les'circônvolutÍons occipitales et sphénoïdales ne présentent pas d'anomalies,
iH ? ".l|l-) ? i on voit une configuration des sillons temporaux et occipitaux , ? ^· ffl7f. -fl; IrrP f : t r;.Lrn l ? f) 4'1'-1
"10" 1 C t· [ ! Ym , . n ? -illi / . r,,i il et le troisième sillon occipital se continuent directement l'un 1N i ; i 11111 s
ait depuis quatorze jours d'une violente névralgie sus-orbitaire et occipitale . Quatre fortes crises par jour, durant depuis u
gué- rirent. t. Femme âgée de 55 ans, névralgie sus-orbitaire et occipitale ; douleurs continues et à paroxysmes ; pas d'am
VUE DE THÉRAPEUTIQUE. Femme souffrant d'une névralgie du grand nerf occipital gauche; quatre doses d'un demi-drachme de l'ext
vers le haut, suivant le trajet normal, arrivait jusqu'au sillon occipital (ou sillon pariéto-occipital), et le coupait à
onvolution de l'hippocampe (gyus hippo- campe). Les circonvolutions occipitales , plus nom- 362 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. breuses
contenait 20 onces d'une sérosité ' Campbel Clark. -d detached left occipital lobe, and ollaer abnorma- lities in the brain o
qu'on remarquait sur ce cerveau, il faut citer encore : 1° le lobe occipital gauche, de dimensions réduites, qui se trouvait
es, se détache très finement le sillon pariéto-occipital (ou sillon occipital , ou scissure perpendiculaire LOCALISATIONS CÉRÉ
moins nettement le sillon interpariétal (PL. X, XI, C) et le sillon occipital transverse. Entre le lobule pariétal inférieur
dirige en arrière, contourne le sillon pariéto-occipital (ou sillon occipital , ou scissure perpendiculaire externe), et va, d
e perpendiculaire externe), et va, des deux côtés, couper le sillon occipital transverse. A gauche, le sillon pariéto-occipit
to-occipital (PL. X, XI, po) est assez largement béant. Sur le lobe occipital (PL. X, XI, 0), en outre du sillon occi- pital
(PL. X, XI, Tr.) on trouve encore un sillon : de sorte que le lobe occipital se présente avec ses trois circonvolu- tions ca
o, sillon pariéto-occipital. C, sillon intrà-pariétal. Tr, sillon occipital transverse. Planche XI. Surface externe de l'
premier sillon frontal. f*, deuxième sillon frontal. Tu', sillon occipital transverse. T 1, T ', premier et deuxième sillo
ains reposent sur la poitrine. La tête est petite ; la protubérance occipitale est très sail- lante ; en avant on remarque une
ase du cerveau (PL. IX), on remar- que à la face inférieure du lobe occipital droit, une disposition anormale des circonvolut
its ombrés que l'on voit sur la même Planche, à l'extrémité du lobe occipital gauche, ne donnent qu'une médiocre idée des lés
e médiocre idée des lésions. En effet, toutes les circon- volutions occipitales , aussi bien à la face inférieure de ce lobe qu'
Hémisphère gauche. Ainsi, les circonvolutions qui bordent la région occipitale de la grande scissure du cerveau sont atro- phi
rande scissure du cerveau sont atro- phiées. De l'extrémité du lobe occipital et à trois centimètres au-dessous partent, sous
ps calleux; enfin atrophie des première et deuxième circonvolutions occipitales . C'est à six mois que sont apparues les convuls
ution temporale; - j) enfin un îlot sur la troisième circonvolution occipitale ( PL. VI, N. ). 2° Face interne. Notons : a ) u
rijumeau antérieur. 8° La diminution de volume de la pointe du lobe occipital est due à l'altération de celui-ci et non à un
quadrijumeau antérieur sous-jacent (Gudden); 9° La pointe du lobe occipital est,chez lelapin,le centre cortical de l'appare
édiane, à 4 centimètres et demi au-dessus du bord antérieur du trou occipital , une perte de substance arrondie ayant presque le
de la moelle allongée, qui est plus ferme que la protubérance; trou occipital de lalargeur normale, il n'y a pas d'hypertrophie
logue à celle que déterminerait la pression du petit doigt. Le trou occipital a la forme d'un ha- ricot dont le hile serait d
e osseux de la base du crâne en ce point limité qui s'étend du trou occipital à la selle turcique, l'ecchon- drose qui, pour
oraux, et en arrière avec les centres psycho-sensoriels des régions occipitales . La partie antérieure de cette circonvolution s
endante), (PL. XIII, cm). La scissure pariéto-occipitale (ou sillon occipital , ou scissure perpendiculaire interne) se présen
te; nous atteignons icilascissure=ipariéto-occipitalef(ou ^ "sillon occipital /ou scissure -perpendiculaire interne et externe)
8l 91 zr4 ? aisfr r 91v^iiîoae'rri ? 5'2S zaDiaètre ·e rtical dulbe occipital , des deux côtés ... 7,25 du wi o 1 ,Otidillde à
lgb du lobe temporal. foil flOI3 - Iit nez n ·. -'rr ? ? f- dullobe occipital . Diamètre transversal du pédoncule cérébral, 'p
ane desfaisceauxpariétauxsupérieurs.pédiculo-parlétauxsupérieurs, occipitaux et n'intéressant que la substance blanche. Une se
o, sillon pariéto-occipital. C, sillon intrà-pariétal. Tr, sillon occipital transverse. 678 EXPLICATION DES PLANCHES. PLA
', premier sillon frontal. f, deuxième sillon frontal. 7 ? sillon occipital transverse. y',7 ? ! , premier et deuxième sill
In : p, lobe postérieur de l'insula (portion proéminente). 0, lobe occipital . T l,T2, T 3, première, deuxième, troisième cir
n arrière de la coupe précédente; elle sectionne le sillon pariéto- occipital . Ip, substance grise de la portion saillante de
32 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
se intestinale. - Atrophie du cerveau surtout des lobes frontaux et occipitaux . - Développement exagéré du cervelet. - Pac/t.M
ratique une incision horizontale et on s'aperçoit qu'au niveau de l' occipital , la dure-mère est très épaissie, et qu'il exist
En avant en haut et en dehors la cavité était limitée par les lobes occipitaux du cerveau. Ceux-ci offrent un aspect gélatinif
des traces analogues situées sur la pariétale ascendante. Les lobes occipitaux dont nous avons déja signalé l'atrophie, sont d
lobe pariétal est régulier bien que légèrement atrophié. - Le lobe occipital est lisse, régulier; il est atrophié à sa partie
postérieure des lobes temporaux et ce qui représente les , lobes occipitaux n'offrent que des lésions de méningite ou de mé
aucoup de cheveux, qui ne sont pas tombés. Au niveau des bosses occipitales , il existe une bande d'alopécie ayant 10 cent
s bos- ses pariétales sont assez saillantes et égales. La bosse occipitale gauche est plus saillante que la droite. La f
te symétrique, mince partoutsaufau niveau de la partie moyenne de l' occipital où elle est assez épaisse et mesure 7 nullim. N
t de niveau avec les parties voisines des pariétaux. La partie de l' occipital , située immédiatement au-dessous, est épaissie
rpendiculaire, externe est nette, plus accusée qu'a gauche. Le lobe occipital est toujours d'aspect rudimen- taire mais un pe
assez grosse ; crâne oval, symétrique, assez développé aux régions occipitale et mastoïdienne. 8ci DESCRIPTION DU malade. l
(Voir plus loin la description complète du squelette). - Le trou occipital est normal. - La dure-mère est très congestionnée
re et de l'extrémité du lobe fron- tal. Les circonvolutions du lobe occipital sont aussi plusgré. les que ne le fait voir la
plus accentué iL gauche. - Rien de particulier à noter à la région occipitale . La suture lambdoïde est très sinueuse, réguliè
euse, régulière, asymétrique. Le pariétal gauche empiète plus sur l' occipital que le droit La crête occipitale du côté de la
pariétal gauche empiète plus sur l'occipital que le droit La crête occipitale du côté de la face interne est très saillante.
l délimité. PA garde seule son autonomie. Il en est de même du lobe occipital qui est sclérosé et atrophié dans toute la part
de l'hémisphère droit est d'aspect normal. Les lobes pariétaux et occipitaux n'offrent aucune particu- larité si ce n'est da
ume moyen, il n'offre rien de particulier. Les bosses pariétales et occipitales sont normales, les fontanelles soudées. - Le vi
corps calleux, la première frontale, le lobe quadrilatère, le lobe occipital et le lobe temporal. Seul le lobe paracentral,
rginal et ceux qui séparent le coin du lobe quadrilatère et du lobe occipital ne présentent pas d'adhérences. Aux points atte
téraux sont dilatés, mais à un degré moyen, surtout dans les cornes occipitales et tem- porales. Leurs parois sont lisses et ré
895. - Crâne à peu près arrondi avec proéminence assez marquée de l' occipital . Les bosses pariétales sont volumineuses. Le fr
mbé un peu plus iL droite qu'à gauche ; bosses pariétales et région occipitale saillantes. Cuir chevelu épais, recouvert d'une
, immédiatement en dehors de l'angle supérieur et postérieur de l' occipital . - L'os frontal est fuyant et, au-dessus de sa
es deux hémisphères. Sauf sur la face interne des lobes temporal et occipital droits et sur la région pariétale gauche où il
.P.I., pli pariétal inférieur. T1, première temporale. L.O., lobe occipital . Fig. 2. - Face interne du même hémisphère. C
le. L.P., lobe paracentral. L.Q., lobe quadrilatère. L.O., lobe occipital . BOURNEVILLE, Bicêtre, 189'" £ PL. III Bour
ière, seconde et troisième circonvolutions temporales. L.O., lobe occipital . Le foyer a détruit la circonvolution d'enceint
x. L.P., lobe paracentral. L.Q., lobe quadrilatère. L.()., lobe occipital . C.lI., circonvolution de l'hippocampe. BOURN
33 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
ie postérieure droite est un plus saillante que la partie gauche. L' occipital est très développé. La bosse frontale droite es
(Fig. 1). Tète longue, avec une proéminence assez prononcée de l' occipital , surmontée d'un méplat. Les bosses pariétales, as
actuel (15 janvier 1888). Tête symétrique, un peu carrée. La région occipitale est assez volumineuse; les bosses parié- tales
- fant est éveillée. Etat actuel (11 juin 1888). - Tête ovoïde, l' occipital for- mant une saillie assez prononcée et le fro
grêles par places, puis ren- flées entre ces étranglements. Le lobe occipital est petit; les circonvolutions serrées et peu s
tal sont très peu pro- fonds ; ceux des lobes pariétal, temporal et occipital le sont un peu plus. Les sillons de la face int
eloppée, ainsi que la 3e. - Le pli courbe est bien formé. - Le lobe occipital est formé de cir- convolutions peu sinueuses. -
loppés jusqu'à la scissure cal- carine. Les circonvolutions du lobe occipital présentent beaucoup de points amaigris. La circ
r,). Les cré- tins ne présentent généralement pas de protubérance occipitale . (Commission Sarde). Cheveux épais, très four
u verlex, large à la base et carrée, asymétrique ; protu- bérance occipitale offrant un développement à peu près normal.
nt dans la substance blanche. La coupe d'une circonvolution du lobe occipital gauche à la,. '122 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. f
dans les régions motrices gauches. La première frontale et le lobe occipital droits sont à peu près semblables aux parties g
ut aux points de pénétration des capillaires. Sur une coupe du lobe occipital , une portion assez considérable de substance gr
vasculaires très dilatés. Dans une circonvolution prise sur le lobe occipital , les foyers de désintégration à centre vacuolai
se retrouve sur les pièces montées à la glycérine. Coupes du lobe occipital gauche. - Il présente aussi de l'amai- grisseme
etrouve les mêmes désordres dans les régions motrices, dans le lobe occipital . Là toutefois, elles sont moins accentuées, et ce
seulement un grand nombre de corpuscules amylacés. Coupes du lobe occipital , atrophié. Même vascularisation ; l'espace comp
les coupes laissées vingt-quatre heures dans ce réactif. f. Lobe occipital clroit en dehors de la lésion. Vaisseaux nombreux
Nombreux corps granuleux dans la substance blanche. Dans le lobe occipital , on retrouve, à côté de points normaux dans l'éco
sont très dilatés, les corps granuleux sont très abondants. Lobe occipital . - Les coupes du lobe occipital, au niveau d'un
granuleux sont très abondants. Lobe occipital. - Les coupes du lobe occipital , au niveau d'un foyer plus étendu que celui que
tuel. Mai 1S83. Tête arrondie. Pas de saillies exagérées des bosses occipitales ni pariétales. Front peu élevé et peu large, sa
Tête. - Elle est ovoïde avec prédominance très accusée de la région occipitale , saillie prononcée des bosses pariétales et rétré
la sécrétion longitudinale commence à reprendre (baume). 2° Lobe occipital (Schad.). - De la pie-mère (A) partent des vais
34 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
Crâne asymétrique : la ré- gion pariétale droite et la ré- gion occipitale gauche font Fia ? - Tlcn ? ,t 11{/J'c. Juille
ent symétriques. L'apophyse crista galli est mince, mousse. Le trou occipital n'offre rien de particulier. Les apophyses clin
en arrière du vertex et étendu sur une longueur de '1 il centim. L' occipital est sail- lant. La fontanelle antérieure persis
, sans ecchymoses. Crâne plagiocéphalique : frontal droit saillant, occipital droit déprimé. Les os sont durs, moyennement ép
sez longue. Pas d'asymétrie des fosses de la base du crâne. Le trou occipital semble avoir ses dimensions normales. La pie-mè
; on note un épaississement au niveau de la suture coronalc. Bosses occipitale et pariétale gau- ches plus saillantes que les
sangue. Les différentes fosses de la base sont symétriques, le trou occipital est normal. Cerveau, - Hémisphère droit. Pie-mè
st ovoïde avec un léger degré de plagiocéphalie (aplatissement de l' occipital droit et du frontal gauche). Elle est très minc
pariétaux, un peu plus sur le gauche que sur le droit, enfin sur l' occipital gauche. Les fontanelles sont ossifiées ; les su
e équivaut à une petite noix. On en sent un autre au niveau du lobe occipital gauche. A droite, on sent une petite induration
des parties jaunâtres, plus épaisses, non transparentes.- Les lobes occipitaux et tempo- raux sont bien dessinés. Le lobe te
épaississement à sa pointe, d'environ un centimètre carré. Le lobe occipital gauche offre, dans sa moitié postérieure, un épai
ble pas y avoir de fragments de circonvolution. En arrière, le lobe occipital persiste avec des circonvolutions qui ont une f
capillaire. - A la partie moyenne, même aspect qu'à gauche. Le lobe occipital n'est plus reconnaissahie, en tant que circon-
tal, rolandique, frontal, temporal et la plus grande partie du lobe occipital , le ventricule latéral, le corps opto-strié tout
- Sauf quelques points de détail (disparition plus complète du lobe occipital , épaississement plus ou moins marqué des membra
e grande comme un franc; une autre plaque plus grande à la région occipitale (1). Petits ganglions sous-maxillaires et cervica
très nettement, même à l'oeil nu, sur les préparations de la région occipitale colorées au Weigert-Pal. Le réseau d'Exner et l
euse. La peau est blanche, sèche. Le crâne est élargi en arrière, l' occipital est proéminent, les bosses pariétales sont accu
Mort. Résultats de l'autopsie : Absence presque complète du lobe occipital . Arrêt de développement et malformations consid
nts. - Oreillons. Rougeole à 9 ans. - Autopsie : sclérose du lobe occipital droit. Loui.. (Joseph), né à Paris le 10 mars 1
' P3., pli courbe. Se., t ? , scissure temporale. L. Oc., Lobe occipital . BOURNEVILLE, Bicêtre, 1900. Po. II. 216 Expl
frontale. Tout, Top, première et deuxième circonvolution temporo- occipitales . C.A., Corne d'Ammon. Sc. to2., Deuxième scis
. R., sillon de Romande L. O., lobule orbitaire. - 1. O. C., lobe occipital . Tl, T2, T3., 1 rc, 2e, 3" circonvolutions temp
35 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
endant ses attaques, et qui est alors très douloureux. Céphalalgies occipitales et tem- porales fréquentes. Digestion. -Bon a
un sillon superficiel pour aller enfin s'anasto- moser avec le lobe occipital . Le lobule pariétal inférieur est au contraire
as les circonvolutions de l'insula qui sont atrophiées. , Le lobe occipital ne dénote rien de particulier. Les circonvoluti
mporale^. La scissure perpendiculaire externe est très profonde. La occipitale , grosse, est dédoublée; la 2"" très grêle est u
lutions dont la supérieure est double en arrière. La Il-- temporale occipitale , épaisse et chagrinée en arrière, donne en avan
endiculaire externe est profonde, bien marquée. Les circonvolutions occipitales sont séparées par des plis profonds : la premiè
rière à la 11'0 dont elle est séparée par un sillon profond. La 3me occipitale , double ne arrière, devient simple et très irré
r la face inférieure présente l'aspect suivant : La -1"" temporo- occipitale est grosse, double en arrière, très sinueuse; la
tudinal supérieur. Le diplod est peu développé, sauf au niveau de l' occipital . Toutes les sutures sont persistantes, sauf la
ière en avant, avec la circonvolution du corps calleux. La scissure occipitale est bien plus marquée qu'à la, face externe.
que la droite. Les fosses temporales paraissent égales. Les fosses occipitales sont profondes. - Le trou. occipital paraît nor
araissent égales. Les fosses occipitales sont profondes. - Le trou. occipital paraît normal. La dure-mère est un peu épaissie
angle droit pour le limiter en arrière, et le séparer ainsi du lobe occipital auquel il n'est contigu que par sa partie supér
i se continue du reste avec cette circonvolution temporale. Le lobe occipital est séparé de cette dernière par un sillon prof
ques petits sillons peu profonds à -direction indéterminée. Le lobe occipital est séparé, comme nous l'avons dit, de la circo
tion précédente par une 'scissure extrêmement profonde, la scissure occipitale . Il a une forme triangulaire et est constitué p
ttement séparé du dernier par la scissure sous- frontale et du lobe occipital par la scissure occipitale. Le lobe du corps ca
par la scissure sous- frontale et du lobe occipital par la scissure occipitale . Le lobe du corps calleux est très peu développ
sentant d'assez nombreuses sinuosités des .circonvolutions. Le lobe occipital n'offre rien de particulier. Face inférieure. V
ntes et très rapprochées de la ligne médiane : bosses pariétales et occipitales assez marquées. Front étroit et un peu bas; arc
issie La base recouverte de la dure-mère parait symétrique; le trou occipital est un peu déjeté à droite. La glande pituitair
ère, seconde et troisième circonvolutions frontales. L. Oc., lobe occipital . S. O., scissure occipitale. L. F., lobe fron
convolutions frontales. L. Oc., lobe occipital. S. O., scissure occipitale . L. F., lobe frontal. L. P., lobe pariétal.
36 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
beaucoup plus considérables : les écaille ? temporales et l'écaille occipitale for- mant trois saillies très prononcées. En pa
ieur. A signaler la dépression sus-orbitaire et la dépression sous- occipitale . Dimensions du crâne. 1 4 BERTOLOTTI dire a
de la fosse cérébrale postérieure, limitée en arrière par l'écaille occipitale . Avant de passer à l'étude radiographique du cr
ÉTUDE DU SYi\DKO ! lOE 0lYl;PHALIQUE 23 limite antérieure du trou occipital ). En joignant entre eux ces trois points nous o
r est toujours petit el le trou auditif apparaît normal ; l'écaille occipitale suit une courbure à peu près régulière mais tous
nt le plan du jic2cn sphenoïdalis. Par suite de cette courbure, l' occipital présente une inflexion plus accusée de la parti
accusée de la partie inférieure de l'écaille, et la posilion du Irou occipital et des condyles devient très oblique, de façon
vu par l'élude anatomique du crâne oxycéphale, la direction du trou occipital est bien plus rapprochée du plan horizontal qu'
ntal qu'à l'état physiologique. Cette rotation antérieure du trou occipital vient donc à altérer les rap- ports de la ligne
hose basilaire de la dysostose et la direction très oblique du trou occipital dans l'hydrocéphalie qui peut donner à la ligne
s loca- lisées à la partie postérieure du crâne el notamment à l'os occipital . Elsasser, Schultz, Betz, Sleiner, Duval et Pic
st le même, avec simplement tendance à l'en- foncement de l'écaille occipitale . L'enfoncement de la selle turcique dans l'oxyc
siège fixe. Elle occupe tantôt la région frontale, tantôt la région occipitale . Il survient en outre, une sensation intense de
t également fréquente dans la légion frontale, comme dans la région occipitale . Par la percussion, on ne constate pas un endro
r la ligne médiane de la tête, cm. 1/2 au-dessus de la protubérance occipitale externe, existe une plaie analogue. A peu près à
était cons- .tituée par des parties de l'écaille du temporal, de l' occipital et, surtout, du pariétal, avait été réduite en
tons, et plus bas cette même ligne séparerait les lobes temporal et occipital . Tant par l'évolution clinique de la maladie qu
ure du pli courbe, pour ressortir par la deuxième circonvo- lui ion occipitale ; en outre, par répercussion, la substance médull
r la taille un peu forte du nez, par ['exagération de la tubérosité occipitale externe et des sinus frontaux, par la saillie d
e triangulaire à base supé- rieure répondant au bord inférieur de l' occipital , et dont le sommet coïncide avec la 3' apophyse
'une au-dessus de l'autre. Cette apophyse épineuse est séparée de l' occipital par une dépression que l'on augmente en mettant
avec l'atlas, est en partie remplacé par l'intervalle qui sépare l' occipital de la première apophyse épineuse. Et ceci nous
jusqu'à la base du crâne et qu'il vient finir à peu de distance de l' occipital . Le coeur occupe sa situation habituelle ; il e
IL cachée par le maxillaire inférieur en avant, et par la base de l' occipital en arrière. La présence du poumon est indiqué
horaci- que, on sent la première vertèbre et le bord inférieur de l' occipital . Côtes. - Les côtes qui forment cette cage thor
pter les côtes. Base du crâne. - La partie potéro-inférieure de l' occipital présente une protubérance occipitale externe tr
a partie potéro-inférieure de l'occipital présente une protubérance occipitale externe très saillante, elle atteint 1 centimètre
e vertébrale du crâne et de l'opinion des auteurs qui considèrent l' occipital comme une ver- tèbre et la protubérance occipit
qui considèrent l'occipital comme une ver- tèbre et la protubérance occipitale externe comme une ébauche d'apophyse épineuse.
s occuperons que de la partie de la colonne vertébrale étendue de l' occipital au sacrum ; le reste nous ayant paru normal.
t à droite. · Les vertèbres. Cette colonne vertébrale, étendue de l' occipital au sa- crum, est formée de 12 vertèbres netteme
ne légère scissure, où s'articulait, peut-être, un tuber- cule de l' occipital , disposition que l'on rencontre chez certaines es
nne vertébrale ; nous avons noté que les rapports avec la base de l' occipital étaient variables suivant la position de la têt
t la position de la tête : Lorsque la tête est en hyperextension, l' occipital venait au contact de cette apophyse épineuse (v
erflexion, un espace de 2 centimètres la sépa- rait de la base de l' occipital . Un doigt introduit dans cet espace pénétrait d
puisque seules ces vertèbres possè- dent des côtes. dorsale et l' occipital . c) Sont vertèbres lombaires, toutes les vertèb
10 Vertèbres. Le nombre des vertèbres formant le squelette depuis l' occipital jusqu'au sacrum est très réduit. Nous ne compto
ar un large orifice qui était en communication directe avec le trou occipital . En avant de cet orifice se trouve une ébauche
fontanelle antérieure où on percevait des battements. Saillie de l' occipital au niveau de la suture lambdoïde. Palais très ogi
veux) est plus petite (75 mm.) que la gauche (8 cent.). A la région occipitale on retrouve un sillon moins accentué, se contin
malades des auteurs français précités, l'aplatissement de la région occipitale . Les deux clavicules ne sont représentées que p
re- ment plus saillante qu'à l'ordinaire. Le diamètre frontal droit occipital gauche = 172 ; le diamètre frontal gauche occip
e frontal droit occipital gauche = 172 ; le diamètre frontal gauche occipital droit = 175 : le crâne est donc légèrement plag
augmentent et surtout le coït. Elles sont localisées dans la région occipitale . Aujourd'hui il lPS trouve aussi fortes à droite
ier cas, au commencement elle a été localisée à droite de la région occipitale et ensuite aux deux côtés de la, même région. Les
enne des deux pavillons auriculaires en passant par la protubérance occipitale externe ; les fossettes rétro-mas- toïdiennes s
37 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
estons. Le crâne est nettement brachycé- phale : de la protubérance occipitale à la glabelle, on mesure 35 cent. ; d'une apoph
SYPHILIS UÈRÉDITAIHE TARDIVE 87 entre les deux lobes pariétal et occipital et allant en s'amincissant vers la ,l scissure
un pont de substance de 2 centimètres environ. De ce fait, le lobe occipital se termine en une languette mince, de 2 cent. 1
AR L. MARCHAND, Médecin-Adjoint des asiles d'aliénés. Les lobes occipitaux sont le siège des centres visuels corticaux; c'es
ue les centres visuels corticaux occupent la face interne des lobes occipitaux , au niveau de la scissure calcarine. L'obser- v
bles déterminés chez l'homme par la sclé- rose symétrique des lobes occipitaux . La marche lente de l'affection, la lésion défi
e qui peut être assimilée à une destruction complète des deux lobes occipitaux ajoutent encore à l'intérêt de cette observation.
menaçait de tuer les personnes de son SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES LOBES OCCIPITAUX 101 entourage. Ses parents la soignèrent pendan
tte crâ- nienne. Les os du crâne sont très épaissis. Au niveau de l' occipital , le crâne NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtriè
archand.) Masson & CL, Editeurs SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES LOBES OCCIPITAUX 103 mesure un centimètre environ d'épaisseur. L
érences entre la dure-mère et la pie-mère. Au niveau des deux lobes occipitaux , la dure-mère adhère à la pie-mère ; le cerveau e
ses et solides, d'autant plus nombreuses qu'on se rapproche du pôle occipital . Le cerveau est congestionné. L'hémisphère droi
aux et temporaux. Au niveau de la face externe et interne des lobes occipitaux , le cerveau est recouvert de membranes détermin
x circonvolutions. Les circonvolutions de la face externe des lobes occipitaux sont petites, ratatinées, atrophiées ; elles ont
nétrées par les fausses membranes. A la face interne des deux lobes occipitaux , les circonvolutions ont le même aspect; au tou
st due au peu d'épaisseur que présente la paroi interne de la corne occipitale du ventricule latéral. Cette paroi mesure en mo
antéro-postérieur du cerveau et passant quatre centimètres du pôle occipital , la minceur de la partie interne des lobes occipi
blanche au niveau des circonvolutions de la face externe des lobes occipitaux ; ces parties donnent au toucher une sensation tr
amen micrographique. -- L'examen a porté sur les parois de la corne occipitale des ventricules latéraux, les deux putamens. les
min et à l'hématoxyline de Delalield. La paroi interne des cornes occipitales des ventricules latéraux, réduite à une milice
e la partie antérieure du précunéus. La paroi externe de la corne occipitale des ventricules latéraux est également le siège
oire. Von Monakow com- prend comme sphères visuelles tous les lobes occipitaux jusqu'aux plis courbes, Vialet la face interne
obule lingual, 1\othnagel au cunéus et à la première circonvolution occipitale ; Henschen précisant davantage le restreint aux
rmes. Bull, Dahms, Henschen et Vialet SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES LOBES OCCIPITAUX 109 se sont élevés contre cette hypothèse et on
la marche de l'affection Notre malade, malgré l'étendue des lésions occipitales avait conserva un petit champ visuel autour du
me des aveugles par lésions périphériques. Dans les lésions du lobe occipital , il est de règle de voir les malades perdre leur
f. Ophtalmologie, Leipzig, 1890, I. SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES LOBES OCCIPITAUX 10 ? dans les lésions des sphères visuelles : «
e (Sachs). Chez les malades atteints de lésion symétrique des lobes occipitaux et ayant conservé la vision centrale, la vue de l
es et tactiles ne peuvent plus être reproduites en séries ; le lobe occipital a presque toujours perdu ses relations avec les
vant en arrière. Le corps du sphé- noïde, les rochers, la base de l' occipital , ses masses latérales concourent à la formation
ure-mère et le plan osseux que forment le sphénoïde, le rocher et l' occipital . ne se dégage, dans le sac durai, que vers l'oc
rocher et l'occipital. ne se dégage, dans le sac durai, que vers l' occipital , et il vient flotter libre jusque vers le rachis
gnathisme du maxillaire inférieur; forte saillie de la protubérance occipitale ; - langue volumineuse et très étalée. Au tronc
La distance du nez au sommet est 125 mm., du nez et la protubérance occipitale externe 315 mm., l'arc biauriculaire par le som
IV et LV, A, B, C). Dans les Lobes pariétal droit, pariétal gauche, occipital droit, occipital gauche, on trouve à peu près t
). Dans les Lobes pariétal droit, pariétal gauche, occipital droit, occipital gauche, on trouve à peu près toujours les mêmes
pho- tocollogr.), par M. Dide, 341. Sclérose symétrique des lobes occipitaux (1 pl. en photocollogr.), par Marchand, 100.
e (2 pl.), 280. Marchand. Un cas de sclérose symétrique des lobes occipitaux (1 pl. en photogr.), 100. Mariani . L'Apothic
e catatonique (Dide), LXV à LXVIII. Sclérose symétrique des lobes occipitaux (Marchand), XXII. Spasmes et tremblements che
38 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
droite. Régions temporales saillantes. La partie gauche de la bosse occipitale est plus proéminente que la droite. Angle facia
que. Bosses frontales, pariétales, saillie moyenne et égale. Bosse occipitale normale. Front haut de 5 cm. La face, car- rée,
matisme violent ; notons ce- pendant une plaie contuse de la région occipitale dont il reste une cicatrice. Au point de vue
rachycéphale, saillie marquée des bosses pariétales. La potubérance occipitale externe et les bosses frontales sont peu sailla
clair, longs et abondants. Crâne légèrement dolichocéphale. Bosses occipitales peu saillantes, pariétales et frontales assez s
Les régions temporales présentent une très petite bosse. La région occipitale est plate. (Voir le tableau des mensurations dé
ées vers les circonvo- lutions frontales inférieures, temporales et occipitales . Agencement des couches cellulaires. Celles-ci,
e gaucho 11 mm., à la région pariétale droite 8 mm. ; la coupe de l' occipital est beaucoup moins épaisse, surtout il gauche.
it est un peu plus saillant que le gau- che, il en est de même de l' occipital droit. Les os sont peu durs. Sur la coupe, le c
roites qu'à droite. Pas de diffé- rence bien appréciable des fosses occipitales . - Les nerfs olfactifs paraissent égaux. - Le n
olutions; l'atrophie prédonime au niveau du lobe frontal et du lobe occipital . - Toutes les circonvolutions sont un peu indur
ur atrophie, très-notable, prédomine sur le lobe frontal et le lobe occipital . Il y a également, à gauche, mais moins marquée
ice externe du conduit auditif et le basion (bord antérieur du trou occipital ) normalement à un niveau différent se trouvaien
re 3 millimètres, le pariétal 3 millimètres). La moitié droite de l' occipital participe à cette hypertrophie osseuse (Fig. 67
rontal gauche (légèrement hypertrophiée) ainsi que le pariétal et l' occipital droits sont gras et d'un gris violacé, indice d
a suture pariélo-occipitale sont très dentelées. Extérieurement l' occipital fait une saillie notable sur le pariétal à gauc
très volumi- HYPERTROPHIE DU crâne A gauche. 259 neuses. Fosse occipitale droite un peu moins longue . que la gauche. Pie
quadri- latère et le coin, formant une masse confuse, enfin le lobe occipital déformé, - La circonvolution du corps calleux,
asymétrique, plagiocéphalie légère méplat léger au côte droit de l' occipital et diminution de la bosse frontale gauche. La f
en avant. Il est ex- cessivement grêle. Rien de particulier au lobe occipital . La face interne de l'hémisphère présente une f
nt dessinées. Il en est de même de FA et de PA. Les lobes pariétal, occipital et temporal ont sensiblement l'aspect normal. M
volution de l'hippocampe. . L O, lobe carré. C, coin. L O, lobe occipital . Planche VIII. Face convexe de l'hémisphère c
volution de l'hippocampe. - LQ, lobe carré. - C, coin. - LO, lobe occipital . L, f, lobe fusiforme très volumineux. T3, troi
le pariétal supérieur. - P2 lobule pariétal inférieur. - LO, lobe occipital . Planche XV. Hémisphère cérébral droit : face
obe temporal composé de circonvolutions très atro- phiées. LO, lobe occipital . ERRATA. Page 164, ligne 11, l'indication Fig
39 (1844) Traité complet de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système nerveux cérébro-spinal. Première partie. Anatomie
temporal a été excisé ainsi que la partie externe inférieure du lobe occipital . Le cervelet aussi a été excisé. f, entrecroise
x, cul-de-sac de la région temporale du ventricule, o o , cul-de-sac occipital du ventricule. Z, scissure inter-lobaire du cerve
averse médio-pariétale. D H h h, traverse surcilière. G G G, traverse occipitale . Toutes ces traverses vont de la circonvolu-tion
branche f" la traverse surcilière. g g, ligne d'union de la traverse occipitale à la grande circonvolution de deuxième ordre. C
ère le groupe en croissant du groupe quadrilatère. P P P D', traverse occipitale allant de l'angle aigu de la scissure de Sylvius
première circonvolution de deuxième ordre a a' D', et de la traverse occipitale G G G. Dans cette figure, A marque la scissure
de la traverse pariétale postérieure. O, O. O, indiquent la tra-verse occipitale . Cette planche contient deux figures dont le bu
longement postérieur du ventricule et se trouve en regard de la bosse occipitale supérieure. R", tubérosité temporale répondant
I F, rayon postérieur ouvert dans l'intervalle de 1 I, condyles de l' occipital . FIGURE 2e. Base du crâne à l'intérieur. I,
postérieur. 1 -f -|- 4 , rayon postérieur ouvert en -|—h par le trou occipital . Cette planche représente un crâne déformé à la
40 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es pariétal supérieur et inférieur et la plus grande partie du lobe occipital . 1 M. Freud (Neui-ologisches Centralblatt, n" 6
ais distinguer les bords postérieurs des pariétaux, la protubérance occipitale , et d'un côté une substance mince, comme du car
comme du carton, que je sup- posai être les lames non réunies de l' occipital . Occupant cette position c'était une tumeur flu
rties de la calotte et de la base paraissent symétri- ques, le trou occipital est normal. Les artères de la base de l'encépha
e pli de passage signalé plus haut, puis se poursuit dans le sillon occipital supérieur jusqu'au sillon transverse. - Le pli
n transverse. - Le pli courbe est assez développé, sinueux. Le lobe occipital est bien conformé. Lobe temporal. La première c
loppés et ne percutent pas d'anomalies. Il existe un sillon pré- occipital complet qui partant de l'incisure préoccipitale v
t il est séparé par un pli de passage, allant du pli courbe au lobe occipital . Ce sillon délimite nettement le lobe temporal
be occipital. Ce sillon délimite nettement le lobe temporal du lobe occipital . -Le lobule dc l'insula ne possède que deux dig
lèle presque complète. Elle se continue en arrière avec la scissure occipitale supé- rieure au delà de la scissure occipitale
ère avec la scissure occipitale supé- rieure au delà de la scissure occipitale transverse. Le lobe occipital est bien conformé
upé- rieure au delà de la scissure occipitale transverse. Le lobe occipital est bien conformé; mais la scissure occipitale tr
e transverse. Le lobe occipital est bien conformé; mais la scissure occipitale trans- verse n'existe que dans sa partie supéri
ar un pli de passage se dirigeant vers la deuxième circonvolution occipitale . A un centimètre en avant du pôle occipital se tr
euxième circonvolution occipitale. A un centimètre en avant du pôle occipital se trouve une scissure transverse assez profond
nde allant de la scissure interhémisphérique à la deuxième scissure occipitale . Lobe temporal. La première circonvolution temp
e parallèle au niveau de sa courbe et isole ainsi nettement le lobe occipital . Le lobule de l'insu la n'a que deux digitation
s gros à la partie postérieure du pli pariétal supérieur. - Le lobe occipital , assez plissé, est très volumineux. Longueur de
er 266 CLINIQUE NERVEUSE. point à l'extrémité postérieure du lobe occipital , 11 centi- mètres et demi'. Le lobule de l'in
est plissé et possède des sillons superficiels. Le coin et le lobe occipital sont composés de petites circonvolutions. La circ
onvolution quadrangulaire qui envoie un pli de passage vers le lobe occipital et en reçoit un du pli pariétal inférieur. Le l
e lobe occipital et en reçoit un du pli pariétal inférieur. Le lobe occipital est assez plissé et volumi- neux. Les digitatio
volution qui semble plutôt se rattacher au coin. Le coin et le lobe occipital peu sinueux sont assez développés. Les masses c
forte céphalalgie initiale; l'accès est suivi de violentes douleurs occipitales et à la nuque. Les jours suivants, accès de forte
Poids, 50 kilogr. 80. Tête assez forte. Pas de saillie de la région occipitale , aplatissement de la région comprise entre le v
ccipitale, aplatissement de la région comprise entre le vertex et l' occipital ; bosses pariétales moyenne- ment saillantes. F
de pression qui n'est jamais suivi d'hyperpression. C'est la région occipitale qui semble prendre le moins part à l'action vas
constate une aplasie manifeste de l'os interpariétal (écaille de l' occipital ). 1lI.Be- nedikt en conclut qu'il existe concur
nedikt en conclut qu'il existe concurremment une aplasie des lobes occipitaux , ou des centres visuels de Munit. Il est évident
té congénitale ou précoce procédant d'une aplasie corticale du lobe occipital . Cette obser- vation est doac des plus intéress
tre produite soit dans la bandelette même, soit dans la terminaison occipitale de cette dernière, soit dans ses relais (corps
plet, la céphalalgie est localisée à une zone circulaire, à maximum occipital , donnant l'impression d'une coiffure pesante et
moins étendue encore et comparable à un crampon placé à la région occipitale . Après l'esquisse d'autres formes moins pures d
41 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
avoir contourné la face interne, entre le lobe pariétal et le lobe occipital pour se replier sous la face inférieure du lobe
a 2o et une partie de la 3° temporale, un étroit morceau de la vira occipitale et du gyrus angulaire, un étroit segment du déb
râniennes fréquente ? , l'existence également fréquente de la fosse occipitale moyenne, une diminution de la capacité intra- c
condaire des trousseaux optiques, à la suite d'altération des lobes occipitaux . Sera publié in-extenso 1. Présentation et ex
menstruée deux à trois fois. A J'autopsie on constata que le trou occipital était plus petit qu'à t Fletcher Beach. - Notes
modes (tact, douleur, température, sens musculaire). Dans la région occipitale gauche existe une zone extrêmement dou- loureus
ncore de l'encéphalite interstitielle ; peut-être la lésion du lobe occipital est-elle en rapport avec les syndrômes oculaire
ière et sa forme rappelle grossièrement celle d'un pain de sucre. L' occipital forme en arrière une saillie notable du côté ga
ntaire. - Les cheveux sont noirs, moyennement abondants à la région occipitale ; ils vont en diminuant sur la partie inférieure
est luisant et rappelle, principalement sur les lobes temporaux et occipitaux , l'aspect du cerveau des nouveau-nés, sorte d'asp
les pariétaux sont quelque peu 'plus proéminents que le frontal. L' occipital proémine de même sur.les pariétaux. - La fontan
les deux tables sont peu développées, le diploé l'est davantage. L' occipital est peu développé. Vue par sa face interne, la
dirigeant du lobule pariétal supérieur à la première circonvolution occipitale ; son extrémité inférieure se trouve située à un
inueux, bien développé; un pli de passage à niveau le relie au lobe occipital . La scissure interpariétale (Se. i) prend son o
e normale se continue ensuite presque dans le lit du premier sillon occipital . Le lobule pariétal inférieur (P.) et le pli co
i de passage relie celui-ci au lobule pariétal inférieur. Le lobe occipital (L 0) nettement séparé du lobe temporal est rel
me circonvolution temporales se trouvent en retrait, e, sur le lobe occipital et les parties antérieures du lobe temporal. -
issure temporale, séparant ainsi nettement le lobe temporal du lobe occipital . On trouve encore quatre circonvolutions tempor
s venons de parler; elle se prolonge ensuite presque dans le sillon occipital transverse. - Le lobule pariétal inféi'icU1' (P
e externe (c) qui va se jeter dans la scissure parallèle. Le lobe occipital (L, 0), nettement séparé des lobes pariétal et
lution temporale; en arrière, une de ses por- tions isolées (sillon occipital antérieur (d) sépare nettement en se réunissant
ant à l'incisure préoccipitale (Izz. pré.) le lobe temporal du lobe occipital . Il existe trois circonvolutions temporales (3),
à rétrécir le diamètre antéro-postérieur du crâne. La réunion de l' occipital avec les pariétaux est marquée par un sillon qui
ns les cheveux d'une femme. Malgré cette espèce de chevauchement, l' occipital fait une certaine saillie en arrière, et les fo
se, plutôt brachycé- phale, avec aplatissement notable de la région occipitale ; les cheveux étaient rares, le visage pâle, les
se trouve à la nuque tout le long des apophyses épineuses, depuis l' occipital jusqu'à la proéminente. Un premier vésicatoire
tionnelle emprunte l'intermédiaire de la sphère visuelle du lobe occipital ne s'effectue pas directement et dans la rétine;
battre l'hypothèse de Wernicke etMunk d'après laquelle chaque lobe occipital se décomposerait en deux territoires séparés, des
ieur. '1, Pli pariétal inférieur. P.3, Pli courbe. L. oc., Lobe occipital . 7 ? l,e circonvolution temporale. T,, 2'' ci
la planche III, il 1'0 : \- ception de.-) suivantes : d., Sillon occipital antérieur. b., Sillon intermédiaire au pli pari
42 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
it est un peu plus saillant que le gau- che, il en est de même de l' occipital droit. Les os sont peu durs. Sur la coupe, le c
roites qu'à droite. Pas de diffé- rence bien appréciable des fosses occipitales . - Les nerfs olfactifs paraissent égaux, - Le n
l. XIX. 3 34 RECUEIL DE FAITS. niveau du lobe frontal et du lobe occipital . Toutes les circonvolutions sont un peu indurée
ur atrophie, très-notable, prédomine sur le lohe frontal et le lobe occipital . Il y a également, iL gauche, mais moins marqué
lysies des muscles oculaires : zone frontale, pariétale, temporale, occipitale . Il ne s'agit ici que des deux premières. 1.
égénérescences corticales principalement des as- cendantes, du lobe occipital ; amvélinie moins absolue des lobes frontaux et
mbrane obturatrice postérieure, tout contre le bord externe du trou occipital , et a pénétré dans la ca- vilé crânienne, en se
cusos(liëurus). Celte disposition, surtout mar- quée dans la région occipitale deux desliemispheres, se retrouve e dans la rég
centres de convergence sont doubles. lien existe un dans la région occipitale du singe, un peu en arrière du point de jonc- t
inement conservé.' 2. Chez \ oiseau, (pigeon), l'ablation des lobes occipitaux se réfléchit sur la vue ; lui i bouche-L-on l'o
cécité corticale émane de l'extirpation de la face interne du lobe occipital . C'est, l'oeil du côté opposé qui souffre le plus
d'une bande d'un demi-centimètre qui occupe la face externe du lobe occipital el la partie la plus postérieure du lohe pariét
rte durée sur l'oeil opposé. La lé- sion de la face interne du lobe occipital provoqueunehemianop- sie homonvme corticale. L'
de l'extirpation antérieure. La lé- sion de la face externe du lobe occipital jusqu'au sillon pariélo- occipilal et celle de
. \os préparations relatives aux lésions de la face interne du lobe occipital chez le singe montrent que les voies d'associat
ntrent que les voies d'association, gagnent la face externe du lobe occipital (centre d'élaboration mentale), les portions su
e temporal en parlant de la face externe de l'écorce de la région occipitale (faisceau longitudinal inférieur). Les voies comm
corps genouillés externes. La lésion commence dès la pointe du lobe occipital et rend méconnaissable en bonne partie la régio
sable en bonne partie la région calcarine. A environ 23 mm. du pôle occipital elle a une hauteur de 23 mm. (fig. 4), plus en
tuation des coupes que nous reproduisons. Ce ratatine- ment du lobé occipital est en partie compensé par une dilata- tion de
ité qu'à l'état normal il contienne aussi des libres allanL du lobe occipital à la première circonvolution temporale. L'enche-
. qui dépend direc- tement de l'état du nerf optique et non du lobe occipital (v. llonal : ow)... " Nous ne saurions termin
férieur est avant tout un faisceau d'association qui relie le lobe occipital et en particulier la zone visuelle au lobe temp
voudrions nous rallier en la modifiant quelque peu. Dans le lobe occipital , la partie inférieure de Fli. con- tient mélang
du lobe temporal et se recourberait en- suite pour arriver au lobe occipital . En 1900 nous avons publié les résultats de l'e
s avons publié les résultats de l'examen d'un cas de tumeur du lobe occipital avec dégénérescence secondaire de H th. Le néop
destruction de l'écorce du cerveau. Une lésion limitée de la région occipitale ne donne souvent dès le début qu'une hémiamblyo
araître définitivement. Une destruction plus accentuée de la région occipitale se tra- duit par une hémianopsie plus marquée e
oubles oculaires provoqués par une première destruction de l'écorce occipitale ont disparu, on pratique une seconde destructio
de lésion étendue de l'écorce d'un hémisphère portant sur larégion occipitale et pariétale, on ob- tienne une hémianopsie bil
des yeux avec hémianopsie par ramollissement de la sphère visuelle occipitale ; par MM..1. Nicolas et Cade. (.S'Ot;tt''<t
XC. Hémianopsie homonyme droite par abcès sous-cor- tical du lobe occipital gauche ; par M. Braun. (Société mé- die, des Hô
térêt en raison de sa localisation, qui est assez rare. Dansle lobe occipital gauche, exis- tait une cavité du volume d'un pe
ion du cervelet sur le milieu d'une ligne allant de la protubérance occipitale ex- terne à la pointe de l'apophyse masloïde.La
ir Néo- plasme. homonyme droite par abcès sous-cortical du lobe occipital gauche, par Braun, 383. HEMicuoREE, par Babin
43 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es de la vue, hémianopsie, etc., avec lésions des circonvolu- tions occipitales sont en ce moment à l'étude *. On tend à locali
re antéro-postérieur qui va de la racine du nez à la protubé- rance occipitale externe, se trouve sur un plan sensiblement hor
gauches qu'un lambeau tout petit qui appar- tient à la base du lobe occipital . Les ganglions profonds ont subi une destructio
la selle turcique en arrière a subi un relè- vement tel que le trou occipital parait être au niveau du bord supérieur de la s
'on constate une dégéné- rescence diffuse. Il s'agissait du cerveau occipital d'un paralytique général qui présentait en plus
trijumeau et paraît être comme distribuée suivant les nerfs (nerf occipital grand et petit, etc.); mais c'est ici justement
frontales saillantes, bosses pariétales peu marquées; protubérance occipitale en relief. Front large, bombé, saillant. Yeux nor
pli de passage à niveau allant du lobule pariétal supérieur au lobe occipital . La scissure interpariétale, qui forme en arriè
presque complète, se prolongejusque dans le lit du premier sillon occipital et envoie deux rameaux descendants, l'un en avant
e passage à niveau relie le pli courbe à la première circonvolution occipitale . Le lobe occipital est plutôt petit; la méningo
elie le pli courbe à la première circonvolution occipitale. Le lobe occipital est plutôt petit; la méningo-encéphalite y est
passage à niveau se rendant du lobule pariétal supérieur au lobule occipital . La scissure perpendiculaire externe forme, en
rieur au pli courbe; plus loin, elle va se confondre avec le sillon occipital transverse. Le lobule orbitaire est atteint de
tion de la substance cérébrale paraît à peu près normale. Le lobe occipital , sans être manifestement atrophié, offre cepen-
sur les coupes laissées vingt-quatre heures dans ce réactif. Lobe occipital droit en dehors delà lésion. Vaisseaux nombreux,
s. Nombreux corps granuleux dans la substance blanche. Dans le lobe occipital , on retrouve, à côté de points normaux dans l'é
orrespondre aux circonvolutions postérieures, aux circon- volutions occipitales , sans détermination plus exacte. C'est à cette
ensibilité 2 D, permettent de dire qu'assigner à l'écorce des lobes occipitaux exclusivement, le rôle de zone sensitive n'est
ue la zone sensitive corticale doit certainement dépasser la région occipitale . En somme, rien de précis sur les limites de la
e corticale sensitive \ Nous n'avons point coloré la zone sensitive occipitale sur la figure. Outre les zones intellectuelle
s lésions de la région intermédiaire aux deux coupes préfrontale et occipitale de Pitres ont toujours déterminé une paralysie
ent pour regarder l'écorce grise des cir- convolutions postérieures occipitales comme l'aboutissant d'un faisceau de fibres cen
n arrière du fais- ceau pyramidal' en un point où toutes les fibres occipitales se rapprochent et se réunissent pour constituer
le faisceau sensitif doit nécessairement correspondre aux faisceaux occipitaux delà coupe occipitale de Pitres (non figurée su
oit nécessairement correspondre aux faisceaux occipitaux delà coupe occipitale de Pitres (non figurée sur la planche I), puisq
rayonnantes du faisceau de Meynert se rendent à l'écorce des lobes occipitaux . Les fibres centripètes que nous avons vues dis
de la capsule interne et une partie atteignant l'écorce aux lobes occipitaux , après avoir traversé directement la capsule sans
u est, avons-nous dit, assez mal délimitée sur l'écorce des lobes occipitaux . Comme pour la description du trajet du faiscea
temporales. 0. 1, 0. 2, 0. 3; première, deuxième et troisième cire, occipitales . R. R.; scissure de Rolando. - S. S. ; sciss. d
ibilité : des paresthésies cutanées, des douleurs le long des nerfs occipitaux , une humeur hypochondriaque; nous supposons que
érieur du même côté. Autopsie. Foyer de ramollissement dans le lobe occipital gauche. Foyers de ramollissement microscopiques
de la pre- mière temporale, le lobe paracenirai, la pointe du lobe occipital , de l'hémisphère gauche le cervelet. Les espace
temporales. 0. 1, 0. 2, 0. 3; première, deuxième et troisième cire, occipitales . R. R.; scissure de Rolande S. S. ; sciss. de S
44 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
les bords des deux hémisphères, depuis les lobes frontaux jusqu'aux occipitaux . Sa surface interne est par- ' faitement lisse.
dans l'arrangement général des sillons du lobe pariétal et du lobe occipital . On sait que ce qui distingue le cerveau de l'hom
de notre malade a tout à fait le cachet pithécoïde. Un large sillon occipital antérieur (Wernicke) semble continuer la 120 .
upérieur (premier pli de passage de Gratiolet). Au devant du sillon occipital antérieur, le sillon intermédiaire de Jen- sen,
sgau vient de publier des re- cherches très complètes sur la région occipitale (weber die Occipi- tal Région, 1899), résultant
pharynx (abcès par congestion probable). Une carie de la base de l' occipital et des première et deuxième vertèbres cervicale
la canule dans la région sous-occipitale, entre l'atlas et le trou occipital , la tête étant fortement fléchie sur la poitrin
yau lenticulaire. Les libres de ce trousseau arrivent par la partie occipitale du globus pallidus et en gagnent, en haut, les
particulier que l'hallu- cination résultant d'une lésion d'un lobe occipital doit affec- ter partiellement les champs visuel
l'hippocampe, par le centre visuel placé à la face interne du lobe occipital , et par le centre auditif localisé sur la premi
sursautent dans les paupières. - Ça me fait mal à la tête (région occipitale d'abord, puis temporale gauche dans le voisinage
autour + Elle s'étire + ça me fait mal là en arrière (protubérance occipitale ) + On me lance des coups de pincette rougie + m
tômes suivants, que nous résumons : pour le cerveau : cé- phalalgie occipitale sourde, insomnie, sensation de bandeau fron- ta
ieure et rolandique ; puis lespariétales et tempo- rales, enfin les occipitales . Les lésions siègent toujours dans lesdeux hémi
côté une pression qui a enfoncé l'amygdale de ce côté dans le trou occipital , déterminant ainsi une compression du bulbe. Le
ité psychique pure correspondant à un ramol- lissement dans le lobe occipital gauche et dans le bourrelet du corps calleux (a
ts cités, consisterait fréquemment en une double lésion des lobes occipitaux ; les cas les plus intéressants reconnaissent pou
rrespondant.) L'apophyse crista-galli est petite, arrondie. Le trou occipital n'a rien de particulier. Nombreuses atlhérences t
, et la fissure calcarine il y a une encoche profonde entre le lobe occipital en bas, P' et LQ en arrière (PL. IV et V). Le
supérieur et inférieur. Le lobe temporal dans son entier et le lobe occipital sont formés de circonvolutions assez volumineus
ls qui commencent à la rétine et se terminent dans l'écorce du lobe occipital ou de la fissure calca- rine (ergot de Morand)
ntact des nerfs de la rétine et des cellules nerveuses de la région occipitale , le mécanisme de l'inter- ruption par le corps
à fin avril 1893. On trouve un kyste hémorragique dans le segment occipital de la couche optique et du pulvinsr, qui a pénétr
it en ce point, mais a respecté la bandelette et le faisceau visuel occipital ; ce qui prouve que le segment supérieur du corp
être traités : d'un côté le sterno-matoïdien, de l'autre le groupe occipital . Le traitement médical a échoué complète- ment
uche et par la partie postérieure dans la substance blanche du lobe occipital . La tumeur n'est pas bien délimitée, de couleur
re le cerveau. Celui-ci présente un foyer de ramollissement du lobe occipital droit, intéressant la face inférieure de la fac
droit, intéressant la face inférieure de la face interne du lobe occipital avec destruction du cunéus; le pli courbe parait
xpliquée par la même source d'irrigation de ce tubercule et du lobe occipital . Le malade n'avait jamais présenté de signes d'
l de Gra- tiolet ; p o., scissure pariéto-occipitale : o a., sillon occipital anté- rieur de vVermike, i o., sillon intpr-oec
mike, i o., sillon intpr-oecipital; - 0'" première cir- convolution occipitale ; 0 ? deuxième circonvolution occipitale; 0 ? tr
" première cir- convolution occipitale; 0 ? deuxième circonvolution occipitale ; 0 ? troisième circonvolution occipitale; D., c
? deuxième circonvolution occipitale; 0 ? troisième circonvolution occipitale ; D., circonvolution descendante d'Kcker : 0 ? d
itale; D., circonvolution descendante d'Kcker : 0 ? deuxième sillon occipital ; T ? première circonvolution temporale; - T2..
verse; - o. o. (5), scissure pariéto-occipntale; -o ci. (°), sillon occipital antérieur; - L. o., lobe occipital ; j'. ('), sil
o-occipntale; -o ci. (°), sillon occipital antérieur; - L. o., lobe occipital ; j'. ('), sillon intermédiaire de Jensen. (*
scissure interpariétale; L. O., lobule orbitaire; L. O. C., lobule occipital ; - Sc. S., scissure de Sylvius; Op. F., oper-
to', 1" scissure temporo-occipitale; Se. to2, 2' scissure temporo- occipitale ; F ? 4° circonvolution frontale interne; - C. C.
45 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la planche. Celle-ci a une excavation, desti- née à loger la partie occipitale de la tête du patient. M. Jacob emploie ce genr
iant le mode même d'extension . Nous avons supprimé, l'excavation occipitale , en faisant notre planche plane, car l'extension
n ; GO l'existence de douleurs névralgiques dans le domaine dû nerf occipital . L'auteur présume d'après ces symptômes que la
ience, ne présente aucun signe extérieur, il éprouve un mal de tête occipital . Il perd alors le souvenir des événements qui lui
la vue. Dans la région de la fissure calcarine, du coin, et du pôle occipital , la simple percep- tion lumineuse forme, avec l
uis 153 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. le pôle occipital jusqu'à la limite extéro-antérieure de la sphère
almie gauche, hémia- nopsie bitemporale, névrite optique, céphalées occipitales paroxys- tiques, somnolence, apathie. Les dimen
largeur, de même qu'une certaine aug- mentation des sinus frontaux, occipitaux et maxillaires. Les par- ties molles et les car
a cervelle, mais quelque chose est attaché ici dedans (protubérance occipitale externe) + Pro- AnclllvEs, 2. série, t. XIII. 1
ut à dix-neuf ans, peu de temps après un traumatisme dans la région occipitale . Père alcoo- lique ; mère ayant eu plusieurs fa
ccès d'hémicranie (héréditaire) à localisation variable (temporale, occipitale , gauche et droite). Dans le courant des dernières
a paralysie faciale a été précédée d'un accès très fort de migraine occipitale du même côté; la paralysie faciale survint deux
1111. IoIwIUOrF et ROSSOUMO. V. VO ! \OlJIEFF. Du soi-disant type occipital du crâne des aliénés dégénérés. - Pour précis
ation de l'occiput, puisque le seul point saillant, la protubérance occipitale externe, se déplace plus ou moins en rapport pl
rt plutôt avec le développement des mus- cles du cou et du ligament occipital qu'avec celui des lobes occipi- taux du cerveau
ement décollées. Crâne : légère dépression de la moitié droite de l' occipital ; la moitié gauche du frontal est moins saillante
e sang expliquerait des symptômes neurasthéniques tels que douleurs occipitales , douleurs lombaires, troubles gastriques. De no
1 inflammations du trijumeau, 4 des nerfs intercos- taux, 1 du nerf occipital . Il a eu 29 guérisons, 4-améliorations. Ce résu
tat de dépres- sion mélancolique, de confusion, d'amnésie; céphalée occipitale , fièvre irréguliere, alimentation difficile, pr
Tout le monde est d'accord pour le localiser dans l'écorce du lobe occipital . Seulement, suivant les uns, il ne dépasse pas
sinantes; suivant d'autres, enfin, il embrasse toute l'aire du lobe occipital , débordant même sur laportion adjacente du lobe
ément vasculaire, et à localisation prépondérante au niveau du lobe occipital . Nous avons fait, chez cette première malade, u
omment expliquer qu'à la suite de la destruction complète d'un lobe occipital , le corps genouillé du côté cor- respondant sub
ès complète, si le territoire en question n'est pas relié au lobe occipital par des prolongements ascendants ? z Quoi qu'il
de fibres d'association; elles relient les circonvolutions du lobe occipital à la pointe du lobe Lem-, poral. D'abord comp
rigine. Ses fibres constituantes rayonnent vers les circonvolutions occipitales . Leurs lieux d'aboutissement constituent précis
ule fusiforme, c'est-à-dire les faces interne et inférieure du lobe occipital . D'après von Monakow, elle embrasse toute l'éte
pital. D'après von Monakow, elle embrasse toute l'étendue du lobe occipital ; elle empiéterait même sur la partie avoisi- n
de ramol- lissement, à peu près symétriques, dans les deux lobes occipitaux , au voisinage de la scissure calcarine. Le malade
2 centimètres carrés de surface, qui, partant de la pointe du lobe occipital , s'étendait jus- qu'à 18 millimètres de celle-c
tères distinctes, par ta. céré- brale postérieure et par la branche occipitale de l'artère, sylvienne - ce qui est encore à dé
t la conséquence de lésions corticales ou sous-» corticales du lobe occipital gauche. Il nous est impossible de leur assigner
mianopsie homonyme peut être l'unique symptôme d'une lésion du lobe occipital de l'un des hémisphères. Il est rare qu'elle se
tions temporales, dans le pli courbe, dans une bonne partie du lobe occipital , mais prin- cipalement dans le territoire qui c
temporales, le pli courbe, la partie antérieure des circonvolutions occipitales , la pointe du lobe temporo-occi- pital. Donc, u
ue relativement grande, peut-être la totalité de la surface du lobe occipital , un foyer circons- crit, situé dans la substanc
(/{. 28), ainsi que la partie postérieure des trois circonvolutions occipitales et de la troisième temporale, à la face externe
, depuis son origine réti- nienne jusqu'à son terminus dans le lobe occipital . Une remarque, pour terminer : Dans ce qui pr
46 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
ste décollement de toute la portion correspondante a l'écaille de l' occipital et à la partie postérieure des pariétaux. Au ni
2.) - Tête assez forte, ronde; saillie assez prononcée de la région occipitale ; front bas, très large; les bosses frontales so
musculaire est passablement développé. Tête ovale, proéminence de l' occipital en arrière et surtout à droite de la ligne médi
es bosses pariétales sont extrêmement saillantes ainsi que la bosse occipitale ; le vertex est aplati : 48 traitement hydrot
rique en avant, mais asy- métrique en arrière ; pas de saillie de l' occipital , mais au-dessous de la fontanelle postérieure e
est partout très adhé- rente à la substance grise sur tout le lobe occipital , tout le lobe temporal, la face postérieure de
face intérieure du lobe frontal, le lobe carré, le coin et le lobe occipital sont complètement dépouillés de substance grise
re de la première temporale est à peu près saine. La pointe du lobe occipital présente quelques petites portions saines et c'
ai 1882). - Tête assez volumineuse, symétrique; pas de saillie de l' occipital ; bosses pariétales égales; front haut et droit
Les plis pariétaux supérieur et inférieur, le pli courbe, le lobe occipital , ainsi que les circonvolutions temporales n'ont
ainsi que le DESCRIPTION DES EXOSTOSES. 117 pli courbe et le lobe occipital . Le lobule de l'insula est large, aplati, et po
'en mesure que trois. - Circonvolution du corps calleux, coin, lobe occipital , circonvolution de l'hippocampe, corne cL'tlnzm
1111, 61. - Tête assez volumineuse, sans prédominance de la partie occipitale ; apophyses mastoïdes un peu saillantes des deux
47 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
le il en est un fort intéressant, se rattachant à la lésion du lobe occipital , c'est l'hé- miopie homonyme dont nous aurons à
occuper dans un instant. Cette hémiopie est droite si c'est le lobe occipital gauche qui est lésé ; elle est gauche si c'est
be occipital gauche qui est lésé ; elle est gauche si c'est le lobe occipital droit, de sorte qu'au premier abord il sem- ble
ersement quand l'hémiopie estgauche. Dans ces cas la lésion du lobe occipital détermine donc dans chacune des deux rétines un
l y a une paralysie de la moitié gauche des rétines quand la lésion occipitale est gauche, et de leur moitié droite quand la l
ion occipitale est gauche, et de leur moitié droite quand la lésion occipitale est à droite. Mais je ne fais ici que signaler ce
soit dans les centres mêmes de la vision, c'est-à-dire dans le lobe occipital . Nous savons également que les troubles parapha
chez les gauchers), c'est-à-dire tout à fait sur la limite du lobe occipital . Cela étant établi, et en nous reportant à la d
, toute la partie postéro-inférieure du lobe temporal, tout le lobe occipital , ainsi que l'ergot de Morand. En outre, entre
et la nécrobiose qui s'ensuivra portera uniquement sur tout le lobe occipital et une grande partie du lobe temporal, L'hémiopie
(par la destruction des fibres d'association qui réunissent le lobe occipital et les centres sensoriels du langage) et qu'il
ion, et à cause de ce voisinage et de leurs connexions avec le lobe occipital , subiront certains troubles qui, quoique pouvan
observe habi- tuellement dans les cas d'hémiopie par lésion du lobe occipital , le champ visuel était très nettement divisé en
ébrale postérieure donnant lieu à un ramollissement de tout le lobe occipital , de toute la partie postéro-inférieure du lobe te
es terminales, il n'y aura en con- séquence aucune lésion des lobes occipital et temporal ; mais par contre les collatérales
rébral, tandis qu'il se produira un ramol- lissement étendu du lobe occipital et d'une grande partie du lobe tempo- ral donna
y- den. 1C A. JOFFROY . cérébral, de la couche optique, du lobe occipital et de la plus grande par- tie du lobe temporal.
ntre d'association postérieur, comprenant une grande partie du lobe occipital , du lobe pariétal el du lobe temporal ; il sera
uture, il reste confiné sur un os, sur le pariétal, le frontal ou l' occipital , tandis que le noyau primitif de myosite ossifian
SUR LES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU CERVEAU 187 pariétal et l'os occipital , 4 centimètres, et entre l'os pariétal et l'os te
ntimètres, entre les os frontaux ),5, entre l'os pa- riétal et l'os occipital de 2 centimètres. La tète était fluctuante. Quand
es du crâne, il se produisit une hémorrhagie dans la région de l'os occipital . A la section de la tète il s'écoula 830 centimèt
étrie est générale et intéresse les trois fosses ; 3° Sur le trou occipital , tout à fait irrégulier de forme ; 4° Enfin jus
forme ; 4° Enfin jusque sur les vaisseaux : ainsi, dans les fosses occipitales , le sinus latéral gauche offre des dimensions m
x mesure 8 millimètres. Il existe sur les pariétaux, et aussi sur l' occipital , plusieurs points peu étendus, il est vrai, de cr
e latéralement et présentant un énorme dévelop- pement de la région occipitale ». Erosions dentaires. Une seconde variété, d
y a près de cinq pouces et demi de distance entre l'os frontal et l' occipital à l'endroit de la suture sagittale dont on ne v
rappelle fort bien le crème natiforme de Parrot; 4° Une bosselure occipitale assez accentuée, surtout dans sa portion horizon-
re; hyperostose de la table externe, très accusée il la pointe de l' occipital . L'autopsie révèle, en outre : abcès enkysté de
ce sur le front due a une chute. Exostose sur le côté gauche de l' occipital émettant, à sa droite, une bande- lette osseuse
che, 25 centimètres pour la moitié droite ; b) Circonférence fronto occipitale ; 43 centimètres, dont 24 centimètres pour la m
de nègre) sur la ligne médiane antéro-postérieure, dans la ré- gion occipitale . Salivation. Pas de troubles moteurs. Sensibilité
ci-dessous : En examinant le cuir chevelu, on voit, dans la région occipitale , une petite bande en forme de fer à cheval à co
s en une traînée avec hy- perchromie du cuir chevelu dans la région occipitale . Dans 7 cas, les os participent complètement à
ainsi que les parties avoisinantes et la partie postérieure des os occipitaux , on voit que,dans ce cas, la partie inférieure
mporal gauche près la suture pariétale, une autre plus petite sur l' occipital . Coudes ne peuvent être éloignés au delà de 8 p
'omoplate droite, dans le trapèze gauche tout près de son insertion occipitale . Les gros orteils en hallux valgus, raccourciss
48 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mine en se rétrécissant à la limite du pli courbe et de la deuxième occipitale . Ce foyer aune longueur de dix centimètres ; so
outre les mêmes régions, la plus grande partie de l'écorce du lobe occipital . Cet animal pouvait encore fléchir la colonne v
2. 124 SOCIÉTÉS SAVANTES. étendue et très profonde des deux lobes occipitaux ; anéantisse- ment eomplet des deux zones visuel
ée; il en est de même, mais à un moindre degré, des circonvolutions occipitales et frontales. Intégrité du crâne, de la dure-mè
t considérablement augmenté. (fig. 5.) Dans la région du nerf grand occipital des deux côtés de tout le nerf tri- jumeau droi
rasée dans son ensemble. Crâne régulier; prédominance des parties occipitales ; bosse occipitale cependant peu saillante; bosses
semble. Crâne régulier; prédominance des parties occipitales; bosse occipitale cependant peu saillante; bosses pariétales égal
ssure interpa- riétale sur un centimètre de longueur avec le sillon occipital transverse, la partie postérieure isolée de la
incisure préoccipitale. Il résulte de cette disposition que le lobe occipital est complètement isolé des lobes pariétal et te
me circonvolution temporale par un pli de passage à niveau. Le lobe occipital n'offre pas d'anomalies, mais ses circonvolutio
in la scissure interpariétale va se terminer dans le premier sillon occipital . Le lobule O1'bifaÙ'e est bien développé, normal.
st de même du pli courbe, mais à un degré moins prononcé. Le lobe occipital est assez volumineux ; mais ses deuxième et tro
olait, comme chez le singe, les lobes pariétaux et temporal du lobe occipital . Bien que cela nous écarte un peu de notre suje
boudin; esto- 7zt«r; plein; thymus persistant. - Atrophie des lobes occipitaux . - Hémisphère droit 20 gr. de moins que le gauc
e, apparente ou réelle : - hypéresthésie fréquente : la céphalalgie occipitale localisée est - " assez caractéristique delà Ca
ctuante. Somme toute, il n'y a que l'extrémité des lobes frontal et occipital qui soit demeurée indemne, et ce ramollissement
rieurs du lobe frontal étaient, ainsi que certaines parties du lobe occipital , abso- lument indemnes, je crois à une embolie
t n'avait épargné que la corne la plus externe des lobes frontal et occipital . M. KNEcHr. Cas d'aphasie amnésique avec cécité
ctuel (21 mai 1883). Tête carrée, symétrique, sans proéminence de l' occipital qui est surmonté par un méplat médian et réguli
atrices de 4 à 5 centimètres à gauche à l'union du pariétal et de l' occipital , une autre plus petite vers la partie médiane e
cérébelleux droit arrive au niveau de la partie postérieure du lobe occipital , mais le lobe cérébelleux gauche est en retrait d
ui réunit le pli courbe aux deuxième et troisième cir- convolutions occipitales . Le lobule orbitaire est bien conformé. Face co
développés, très découpés; il en est de même du pli courbe. Le lobe occipital est bien déve- loppé, mais les scissures et les
n pli de passage à niveau reliant le pli pariétal supérieur au lobe occipital . - La scissure interpariétale ne possède qu'un
obule pariétal supérieur ; elle continue son chemin jusqu'au sillon occipital transverse. Le lobule orbitaire est normal, trè
uliers par suite de nom- breux sillons qui les découpent. Le lobe occipital , dont lés circonvolutions paraissent un peu grê
e scissure irrégulière, sinueuse, qui prolonge le sillon transverse occipital jusque vers l'incisure préoccipitale. Lobe te
la partie moyenne de la circonvolution frontale ascendante, du lobe occipital , l'état chagriné des pre- .' Nous ferons remarq
un autre foyer de ramollissement jaune, récent, siège dans le lobe occipital gauche, traversant l'écorce et la substance bla
nte encore ces accidents sur un sol uni, ainsi que des céphalalgies occipitales , une titubation légère, des troubles peu accent
moïdienne; la seconde (zone inactive) comprend les lobes frontal et occipital . Par ses recherches personnelles, M. Franck a m
49 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e liquide; l'atrophie porte surtout sur les circonvolutions du lobe occipital . L'hémis- phère droit pèse 555 grammes. La coup
n de savoir : 1° si la lésion de la cécité verbale est pariétale ou occipitale ; 2v si cette lésion est corticale ou sous-cort
nt normal; varicocèle à gau- che. Aplatissement marqué de la région occipitale . La circonférence du crâne est de 550 millimètr
plus grande partie des lobes antérieurs (frontaux) et postérieurs occipitaux ) demeure ainsi disponible. Les lobes antérieurs
rdres de preuves qu'il a énumérés. Preuves biologiques. - Les lobes occipitaux apparaissent tard chez les vertébrés, et augmen
lis de passage. Dans les cerveaux à évolution supérieure, les lobes occipitaux deviennent plus profonds, plus pleins, plus arr
Dans les races humaines intellectuelle- ment inférieures, les lobes occipitaux sont petits. Preuves Urées,du développement. Ch
loppement. Chez l'individu, comme dans l'échelle animale, les lobes occipitaux apparaissent tardivement, obéissant ainsi à la
orie la plus déshéritée qui présente le plus faible développe- ment occipital . Tout le monde sait que les idiots se font remarq
par un cou absolument vertical et une absence de la protubérance occipitale ; Fletcher Beach et Shullleworth reconnaissent tou
orth reconnaissent tous deux le vice de développement de la portion occipitale du cerveau chez les idiots. Preuves pathologi
oportionnels au degré de rapprochement entre la lésion et les lobes occipitaux , ainsi que l'avait déjà montré Dax. Enfin, dans l
des déments chroniques, il y a une atrophie considérable des lobes occipitaux . . ' `s1 t`2,11w,.... REVUE D'ANATOMIE ET DE
meurt de fièvre typhoïde. Autopsie. Sclérose névroglique des lobes occipitaux , temporaux et pariétaux ; gliose sous-pie- méri
En outre, dans la substance blanche des lobes temporaux, pariétaux, occipitaux , frontaux, ainsi que des ganglions de la base,
ion siégeant sur le parcours compris entre la rétine et les centres occipitaux : 2) ceux dans les- quels la perceptibilité dif
uveaux accidents constaté l'hémianopsie.- A la face interne du lobe occipital droit 1 occupant tout le cunéus le long de la s
surtout quand la tumeur , intéressait soit la base, soit les lobes occipitaux ou temporaux, soit le cervelet. La névrite op
st ovoïde avec un léger degré de plagiocéphalie (aplatissement de l' occipital droit et du frontal gauche). Elle est très minc
pariétaux, un peu plus sur le gauche que sur le droit, enfin sur l' occipital gauche. Les fontanelles sont ossifiées; les sut
e équivaut à une petite noix. On en sent un autre au niveau du lobe occipital gauche. A droite, on sent une petite induration
des parties jaunàtles, plus épaisses, non transparentes. Les lobes occipitaux et tempo- rccux sont bien dessinés. Le lobe l
épaississement à sa pointe, d'environ un centimètre carré. Le lobe occipital gauche offre, dans sa moitié postérieure, un épai
ble pas y avoir de fragments de circonvolution. En arrière, le lobe occipital persiste avec des circonvolutions qui ont une f
capillaire. A la partie moyenne, même aspect qu'à gauche. Le lobe occipital n'est plus reconnaissable, en tant que circon-
tal, rolandique, frontal, temporal et la plus grande partie du lobe occipital , le ventricule latéral, le corps opto-strié tout
. Sauf quelques points de détail (disparition plus complète du lobe occipital , épaississement plus ou moins marqué des membra
ne douleur. A la nuque, immédiatement au-dessous de la protubérance occipitale externe, on note l'empâtement sur une hauteur d
ifs : '1° Une céphalalgie tenace et rebelle localisée à la région occipitale ; 2° des nausées; 3° de la. raideur de la nuque ;
e nous avons pu observer : déviation de la tête à droite, céphalée, occipitale , raideur modérée de la nuque. - - Peut-être f
pariétales ascendantes ; 3° le-milieu de la seconde circonvolution occipitale ; 3 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
ont exactement semblables des deux côtés pour les lobes frontaux et occipitaux . Dans les deux hémisphères, la substance blanch
z l'homme à la région frontale, le minimum dans les circonvolutions occipitales , tandis que dans la corne d'Ammon la substance
ment les mêmes tant dans les régions frontales que dans les régions occipitales . mais elles sont beaucoup plus considérables da
st à décou- vert, par suite de l'arrêt de développement des régions occipitales des hémisphères cérébraux. Raccourcissement du
ôt sympathique. La figure gentille, avec le crâne brachicéphajique, occipital aplati, montrant une déformation plus grande pe
50 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
peu vers le sommet de la tète, mais elle ne gagne jamais la région occipitale . L'enfant comp arc cette douleur à une pression
0 à scissure occipitale- externe', 36 mill ! ;'de celle-ci au pGle occipital , 23 mill. r .-trmf ." rm ,up uh itr ? toun'nl 'It
lolle`frotital,'83 mi]).; du lobe tem- 'p'oral, '98 'milr ? du'lobe occipital , 73 nlill'l.a plus grande hauteur, GO mill., et
éilutdu'lôliëlfroiiLUl,'(i8,7 : i;rdu'lobe pariétal;1 M,12; du lobe occipital ,' 11,96 ;'Iargeu ? dú"Joh81 frontal ? 66\40;' dul
Joh81 frontal ? 66\40;' dulobe pariéto- ' temporal, 76;oC; du'lobe" occipital , «37, 03 ;Ma plus'grande hauteur, ' 46;87 ;'la
ur'dé la- négresse, ^longueur du'lobe' pa- riétal, 7,74, et du lobe occipital , G,9 : ;i largeur du lobe temporal, 43;G ? et'd
be occipital, G,9 : ;i largeur du lobe temporal, 43;G ? et'du lobe' occipital , 3,83 : ' plus r grande bauteur;43;99;1cir- 'éô
arI ! ¡eJ. mpQ¡alesjP( : 1J.nb : r 3, ¡} 4 ? Jt : U ! ( ,C31,J ? I1 occipitaux , sont frès petits, f ""a m- -1111[1 ? 1 ,.1 '"I,w
f ""a m- -1111[1 ? 1 ,.1 '"I,w' 't""01 ' '1{, ,,«1 Entre le sillon occipital et la scissure calcarme, dit Ducatle, s'étend,
oisièIIHI'etl quatrième' ! temporales- fusionnées ;ila,1cin- quième occipitale avec- la cinquième temporale parle pli de.passage
arrière,, dans la portion antérieure de^la cinquième circonvolution occipitale 1 où. ;la cinquième temporale s'anastomose"avec
ipitale 1 où. ;la cinquième temporale s'anastomose"avecJa cinquième occipitale "et 'celle-ci 'avec la troi- sième et la quatri
dont l'externe sépare la quatrième de la cinquième circon- volution occipitale et l'interne se perd dans la cinquième occipi-
ête une sensation de compression qui sié- geait surtout à la région occipitale et s'irradiait vers les tempes; ils n'accusaien
le lobe frontal, se fait aussi sentir dans les lobes sphénoïdàl et occipital . Le lobe droit a, en quelque sorte, pénétré dan
ment dans les parties qui paraissent être saines. Dans la direction occipitale , la différence de lar- geur de la couche de sub
s parois. Les cellules ner- veuses des lobes frontaux, temporaux et occipitaux des deux hémisphères, pris avec les vaisseaux d
examinant les coupes prises dans les deux directions (frontale et occipitale ) près de la portion la plus tuméfiée, ou pouvait
ercule. L. f., Lobe frontal. L. t., Lobe temporal. L. oc., Lobe occipital . Se. S. Scissure de Sylvius. lits., Insula de
frontal. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 375 L. oc., Lobe occipital . Se. S. a., Rameau ascendant de la scissure de
tre plus haut que la seconde. L. f., Lobe frontal. L. oc., Lobe occipital . Se. pn.. Scissure proecentrale. C. c. a., Ci
ansversalement. En arrière l'asymétrie est plus prononcée, la bosse occipitale gauche est à peine sensible, tandis que la droi
développée dans sa partie postérieure, saillie très prononcée de l' occipital au niveau de la protubérance. La calotte crânie
s, portaient, soit, comme dans les expériences de Munk, sur le lobe occipital exclusivement (obs. 1), soit sur le lobe temporo-
le lobe occipital exclusivement (obs. 1), soit sur le lobe temporo- occipital (obs. II). L'ensemble des attaques dont chacune é
t, la perception est abolie, M. Stenger tend à admettre que le lobe occipital renferme deux centres : l'un situé à la pointe et
PATHOLOGIE MENTALE. K)3 il reste au surplus indéterminé '. Au lobe occipital serait égale- ment dévolu l'hémianopsie croisée
réquents; chute de cheveux. A la suite de céphalalgies frontales et occipitales , accompagnées de nausées et de vomissements, el
obule du pli courbe, l'alté- ration passe dans la 2e circonvolution occipitale . Partout la lésion se borne exclusivement à la
cule. L. f., Lobe fruntal. ' L. t., Lobe temporal. L. oc., Lobe occipital . Se. S. Scissure de SUvius. Ins., lusula de I
plus haut que la précédente. L. f., Lobe frontal. L. oc., Lobe occipital . Se. S. a., Rameau ascendant de la scissure de
tre plus haut que la seconde. L. f., Lobe frontal. L. oc., Lobe occipital . Se. yr·.. Scissure prfficentrale. C. c. a.,
51 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ice externe du conduit auditif et le basion (bord antérieur du trou occipital ) normalement à un niveau différent se 1 trouvai
e l'exagération des réflexes tendineux. Il s'y joint : une céphalée occipitale assez caractéristique, de la raideur de la nuque
LOGIE PATHOLOGIQUES. XV. Sur les manifestations des tumeurs du lobe occipital et du . lobe temporo-sphénoidal ; par H. Duret.
étudie la manifestation la plus caractéristique des tumeurs du lobe occipital , Y hémianopsie latérale homonyme. Ce phénomène
IOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXI. Un cas de sclérose symétrique des lobes occipitaux ; par Marchand. (IVO2GU. ICO)20g7'. de la S'LlI)
A l'autopsie on constate une sclérose de toute l'étendue des lobes occipitaux avec maximum au niveau des scissures calcarines
rtion de la P3 et une vaste portion de la face interne de la région occipitale (cuneus, lobule lingual, lobule fusiforme) il y
ans l'un de ces cas on a constaté de plus l'existence dans la corne occipitale du ventricule de fausses membranes réunissant p
Par contre, les ascendantes, les frontales de la convexité, le lobe occipital , le coin. la corne d'Ammon, une partie de l'ins
e tiers postérieur des 2e et 3° pariétales et empiète sur la région occipitale antérieure (chien et singe). Une petite zone est
sont étendues aux deux hémisphères, avec un maximum dans les lobes occipitaux et le pôle frontal. Elles vont en décroissant d
table étranglement bulbaire dans une gouttière basilaire et un trou occipital malformé; 2° La polynévrite diphtéritique venant
us limitée de la rétine, se trans- mettant jusqu'à l'écorce du lobe occipital , doit se diffuser sur un grand espace, peut-êtr
, on constate des apoplexies capillaires très pressées dans le lobe occipital , isolées dans le lobe frontal. Dilata- tion ext
ches de la carotide interne ; seul leur segment postérieur (régions occipitales et une partie des régions temporales) reçoit le
Animaux ayant subi des lésions expérimentales de la sphère visuelle occipitale de Munk. I. Lésions unilatérales. 1° Le trouble
ot privé de la presque totalité de son lobe temporal et de son lobe occipital a cependant conservé son faisceau longitudinal
eau longitudinal inférieur : il est facile de voir qu'il va du pôle occipital , non au lobe temporal, comme le prétendent les
l n'atteint pas; il s'en rappro- che à mesure qu'il gagne la région occipitale , pour n'aboutir à l'écorce que dans le gyrus li
IOLOGIE pathologiques. 399 coin. Les antres circonvolutions du lobe occipital ne sont munies de fibres myéliques que lorsque
re 3 millimètres, le pariétal 3 millimètres). La moitié droite de l' occipital participe à cette hypertrophie osseuse (1-"ig.
rontal gauche (légèrement hypertrophiée) ainsi que le pariétal et l' occipital droits sont gras et d'un gris violacé, indice d
a suture pariéto-occipilale sont très dentelées. Extérieurement l' occipital fait une saillie notable sur le pariétal à gauc
res au contraire très volumi- 472 RECUEIL DE FAITS. neuses. Fosse occipitale droite un peu moins longue que la gauche. Pie-m
fosses temporales profondes, fosses ethmoidades étroites, condyles occipitaux saillants, sinus frontaux larges, os de la face p
étaient aussi les deux divisions du lobule pariétal inférieur. Lobe occipital : circonvolutions petites et irrégu- lières. A
y avait une constriction marquée qui rejetait en saillie la portion occipitale . Lobe temporo-sphénoïdal gauche : circonvolutio
avec la région correspondante du côté gauche, bien développés. Lobe occipital droit : circonvolution moyenne particulièrement
rconvolution de l'hippocampe, - LQ, lobe carré. C, coin. - LO, lobe occipital . L, f, lobe fusiforme très volumineux. T', troi
obe temporal composé de circonvolutions très atrophiées. - LO, lobe occipital . · Le rédacteur-gérant : Bourneville. ! ARC
érose en plaques. Voir Cezaelet. Un cas de - symétrique des lobes occipitaux , par Marchand, 68. en plaques chez un infantile
du cervelet, par Duret, 64. Sur les manifestations des du lobe occipital et du lobetemporo-spté- noidal, par Duret, 66.
52 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
it presque pas sur les lobes temporaux et pariétaux ; quant au lobe occipital , il parait sain. Les circonvolutions ne sont pa
l, aussi bien à droite qu'à gauche, et à son maximum dans le lobe occipital . - A l'encéphalite se joint une méningite, moin
en a que quelques-unes dans le lobe frontal droit, et dans le lobe occipital gauche ; le lobe occipital droit en contient à
s le lobe frontal droit, et dans le lobe occipital gauche ; le lobe occipital droit en contient à peine. On trouve égalemen
ncées à la superficie, surtout la première ; enfin que dans le lobe occipital les lésions vasculaires sont à leur minimum, le
ns les régions motneeeturontate sont lesiplus malades. et la région occipitale la moins atteinte.. 31%/[t;ij,<i ul n[ ,lmrapl
uffisait à interrompre toute communi- cation entre l'écorce du lobe occipital et l'ensemble du reste de l'écorce des deux hém
la faculté d'en acquérir de nouvelles. Foyer probable dans le lobe occipital droit (hémianopsie gauche). Un second accès lui
amp visuel dans son quart supérieur, ce qui indique un double foyer occipital (un dans chaque lobe). Lésion vasculaire syphil
ur cérébrale indéniable. Compression et destruction de tout le lobe occipital gauche; foyer de ramollissement ayant interromp
ramollissement ayant interrompu toute la substance blanche du lobe occipital gauche au niveau du bourrelet du corps calleux.
issement inter- rompait les fibres d'association unissant la région occipitale droite conservée avec le côté gauche et avec le
s, c'est-à-dire de lire par imitation, possédait donc, dans sonlobe occipital droit, des images commémoratives optiques pour
probable qu'il y avait conservation des tractus, unis- sant le lobe occipital droit indemne aux'centres commandant aux faisce
préexistent pas à la fonc- tion ? A côté de la suppression du lobe occipital gauche et de l'in- terruption des fibres d'asso
ion des fibres d'association qui, parle corps calleux, vont au lobe occipital droit, il faut encore tenir compte de la légère c
sion exercée à droite, par la tumeur, sur la partie médiane du lobe occipital dans la région du coin et de l'avant-coin. 1 '
gt; ,» i«" 11 est probable qu'il y1 a' lésion d'une partie du lobe, occipital . Le traitement est resté, sans résultat. Evidem
admettent uncentre) particulier, de la parole écrite dans le lobe " occipital , y : ait destruction`de ce centre,, soit que, c
les rapports DE la cécité bilatérale avec les ARFECTIONS des lobes occipitaux ; parle Dr SEPPILI R2U. sp. di fi-en., t. XVIII,
: La cécité bilatérale peut dépendre d'une affection des deux lobes occipitaux . Lorsque la cécité apparaît des deux côtés, rap
on devra la rapporter, à.- une, lésion 3 I)ilatéi,ale de la région occipitale . La cécité due.'à;une lésion des deux lobes occ
de la région occipitale. La cécité due.'à;une lésion des deux lobes occipitaux tantôt ,se montre en même; temps, dans tout le.
6° quand on se borne à'détruire le' bord interne' d'un 'des'' lobes occipitaux et en même temps `la substance 1 blanche .sous-
s droites ; le chiffre le plus fort après ceux-ci con- cerne lelobe occipital droit ; 6° les fibres les plus belles se rencon-
veau ; les plus fines se rencontrent dans les frontales' et le lobe occipital ; 7 ? constance de la raie de Germain.'1' Celle
protu- jo .. ,a ,1 `Illyt. Iw"t'7 4 e - - ... , berance externe, occipitale .. La partie,,du, cuir., chevelu fut, alors - ?
s au niveau de' la 'deuxième frontale. Les méninges, minces au lobe occipital , épaissies à la partie'antérieure, soudées au niv
e. La pie-mère lèche sur le reste de la surface de ce lobe. Le lobe occipital , le lobe pariétal, le lobe temporal, la plus gran
be pariétal en entier (sauf la pariétale ascendante), tout "le lobe occipital . (Annales médico- psychologiques, 1893.), jryoï
il s'agit de criminels ou de non criminels, en frontaux; pariétaux, occipitaux , l'intelligence occupant les régions antérieure
le succombe à un glio-sarcôme occupant la substance blanche du lobe occipital droit allant jusqu'au pulvinar; autres glio-sar
sur les rapports de la bilate- rale avec les affections des lobes occipitaux , par Soeppili, 195., Cellule nerveuse, anatomie
53 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s sont nettes; le lobule du pli courbe, le lobule pariétal, le lobe occipital sont très distincts, très simples et sans circonv
paracentraux et des lobes carrés. Ces derniers, ainsi que les lobes occipitaux , offraient d'assez nombreux sil- lons superfici
pli courbe. Tl, 7 ? 1'3, circonvolutions temporales. L. 0., lobe occipital . PLANCUE II Face interne de l'hémisphère gauc
ol)ule paracentral. L. C., lobe carré. L. C., coin. L. 0., lobe occipital . T4, 7 ? quatrième et cinquième circonvolutions
re de la capsule, se rendent, d'après l'auteur, aux circonvolutions occipitales . Nous avons élargi la signification de ce mot,
e, pour se diriger aussitôt après en arrière vers la pointe du lobe occipital , et celle d'un autre tractus, déjà décrit par G
tiers postérieur de la cap- sule interne jusqu'aux circonvolutions occipitales ; les autres nous en ont révélé la forme, la ha
imensions, y est situé à la partie latérale externe du prolongement occipital du ventricule ; nous l'appelons , à cause de ce
i- mètre ou à un centimètre et demi en avant de la pointe du lobe occipital . Elle n'intéresse plus le ventricule qui est tout
75 hauteur diminuent à mesure qu'on approche de la pointe du lobe occipital . La forme du corps du faisceau peut être assez
sensations visuelles sont per- çues surtout par les circonvolutions occipitales . Il est possible en effet, comme nous l'avons d
dure-mé- riennes. Une triple fracture s'étend : de l'extrémité de l' occipital au sommet du temporal gauche, du milieu de l'oc
trémité de l'occipital au sommet du temporal gauche, du milieu de l' occipital au trou dé- chiré postérieur droit, et sur le t
voix basse la personne en expérience et d'ausculter dans la région occipitale . Dans ces conditions, il a trou\é le son de la
ke, Reinhard, W. Sander, M. Wernicke constate l'ennlobement du lobe occipital dans la zone d'atrophie ; cependant, MM. Heinha
e chose de semblable chez un malade atteint d'un abcès dans le lobe occipital gauche. Cet abcès avait pénétré jusqu'à la subs-
Avec elle, on constate de la raideur du cou. Elle s'étend depuis l' occipital jusqu'aux fesses dans les efforts faits par le
use, du lambda et de la scissure perpendiculaire externe. Les lobes occipital et temporo-sphé- noïdalont les mêmes limites qu
e. Il y avait quelques contusions de la tête, l'une por- tant sur l' occipital gauche, et une autre plus étendue sur la région
ait le malade à l'égard des. objets placés à sa droite; les lésions occipitales surtout sont à rapprocher des résultats récemme
pli courbe. - y, T-, 1'3, circonvolutions temporales. L. 0., lobe occipital . - H2 EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE Il
obule paracentral. L. C ., lobe carré. L. C., coin. L. 0., lobe occipital . Tà, Ts, quatrième et cinquième circonvolutions
54 (1881) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1880
ière et sa forme rappelle grossièrement celle d'un pain de sucre. L' occipital forme en arrière une saillie notable du côté ga
t du malade. La tête est assez régulière- ment conformée ; la bosse occipitale un peu saillante ; le front, assez haut et bomb
n examinant la face interne. La crête frontale et la protu- bérance occipitale interne sont, en effet, notablement re- ASYMÉTR
la base du crâne, mesurée de la suture sagittale à la protubérance occipitale externe, est, droite de 285 mill. et à gauche s
nfin, lorsque tendant un fil de la crête frontale à la protubérance occipitale interne, on me- sure la distance qui sépare le
de l'extrémité supérieure du sillon de Rolando à la pointe du côté occipital : adroite, 13 cent.; à gauche 8,5. Remar- quons
développement sur le plus petit hé- misphère. Les circonvolutions occipitales et sphénoïdales ne pré- sentent pas d'anomalies
ssent de dimensions égales. Pas de rétrécis- sement notable du trou occipital . La moitié droite de la voûte crânienne est bea
ecchymotiques sur la face convexe des lobes frontaux, sur les lobes occipitaux et sur le bord postérieur du cervelet. Le lob
raît sil- lonné de vaisseaux nombreux. Sur les. confins des lobes occipital et sphénoidal, il existe un bourrelet volumineux
se dans tout le cul-de-sac dure-mérien qui reçoit la pointe du lobe occipital . Dans toute l'étendue de l'hémisphère droit, la
55 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le De Poucel lui fait une trépanation de la partie supérieure de l' occipital gauche (avril 18cl6). Après l'opération, l'état d
nte des cicatrices de la variole, le nez est écrasé. Au niveau de l' occipital gauche se trouve une dépre,s- sion de 8 à 10 ce
'INNERVATION CORTICALE, ETC. 119 face interne et inférieure du lobe occipital (cuneus, lobe lin- gual et lobe fusiforme d'apr
st pas neuve de faire jouer un rôle oculo-moteur à l'écorce du lobe occipital . Nous avons à ce sujet un certain nombre de don
ien entre le bord postérieur du gyrus sigmoïde et la pointe du lobe occipital a vu : 1° la déviation des yeux du côté opposé
s pupilles. Ce n'est pas, probablement, que la face convexe du lobe occipital joue un rôle par elle-même. Mais nous savons qu
e dirigeaient en bas par l'excitation de la zone supérieure du lobe occipital , en haut par l'excitation de la zone inférieure
ntenses lorsque l'excitation était portée à la face interne du lobe occipital . Il admet que l'excitation produit des images s
st pas nécessaire, car l'excitation de la substance blanche du lobe occipital produit les mêmes mou- vements (Danillo). La se
aux résultats (Munk). La section de la couronne rayonnante du lobe occipital empêche ces mouvements de se produire (Munk). M
ù l'entrecroisement optique est complet l'excitation d'un seul lobe occipital produit les mouvements des deux yeux (Steiner).
e s'accordent donc à faire de la face interne et inférieure du lobe occipital un centre non seulement sensitif, mais aussi mo
malade ; ils se ferment vivement : le centre réflexe a été le lobe occipital . En effet, ce réflexe est aboli dans la cécité
mouvements que nous avons mis plus haut sous la dépendanee du lobe occipital (mouvements de latéralité, convergence, pupille
ée à l'hémiplégie motrice, sans lésion ni du pli courbe, ni du lobe occipital , est produite par une lésion du centre oculo-mo
s donc quels sont les troubles produits soit par une lésion du lobe occipital , soit par une lésion du centre oculo-moleur ant
on du centre oculo-moleur antérieur. a) Dans les lésions du, lobe occipital . Lorsque celles-ci sont isolées, les troubles s
uvements palpébraux ayant la rétine pour point de départ et le lobe occipital comme centre de réflexion. C'est d'abord le c
produit par une vive lumière; il est aboli dans les lésions du lobe occipital : une lueur intense produite dans la moitié abo
s deux mouvements étant sous la dépendance de chacun des deux lobes occipitaux , ne sont pas troublés dans les lésions unilatér
e siège pas au niveau du pli courbe, mais à la face interne du lobe occipital ; les fibres centrifuges qui en partent pas- se
tenant que ces mouvements ont leur centre de réflexion«dans le lobe occipital . Si au contraire on com- mandait à la malade de
ielle (rétine) au niveau de la face interne et inférieure du lobe occipital . 2° Chacun de ces centres agit bilatéralement,
enticulaire et avait envahi, à travers la capsule interne, la corne occipitale du ventricule. Dans nos cas, nous voyons (obs.
ostérieure) et fait par là irruption dans les cornes descendante et occipitale du ventricule. L'ob- servation II est particuli
e et se fait, on peut dire tout entière, entre ce noyau et la corne occipitale du ventricule ; c'est sans doute pour ce motif
rveau présente des zones de coloration très différentes : les lobes occipitaux sont affaissés, complètement déco- lorés, le sy
artie antérieure et ramolli dans le système de projection des lobes occipitaux . Athérome très pro- noncé de tout le système ar
mmes ; pas de suffusions sanguines. Les méninges minces sur le lobe occipital , plus épaisses à la partie antérieure présenten
érieure de l'hémisphère gauche. S'agit-il du lobe pariétal, du lobe occipital , du lobe temporal ? ? Le caractère variable et
ents. 11 existe de la douleur et un peu de rai- deur dans la région occipitale et à la nuque, une diminution de la mémoire et
56 (1895) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1894
pointue ; la suture pariétale forme un relief très marqué, la bosse occipitale est saillante, la bosse pariétale droite est pl
lobule sont très nets et très simples. Le lobe temporal et le lobe occipital offrent également le mémo aspect schéma-" tique
100 IDIOTIE myxoedémateuse. postérieures qu'en avant. La bosse occipitale fait une saillie régulière, symétrique, très pr
ière, symétrique, très prononcée en arrière. L'angle supérieur de l' occipital est le point le plus élevé du crâne. A partir d
u du vertex, trois os wormiens. Il n'y a pas trace de division de l' occipital . Sur la face interne, les sutures ne sont pas s
yant 2 cm. 5 de longueur, sépare le lobe pariétal supérieur du lobe occipital . Le lobe pariétal inférieur est représenté par
relie à PA et deux plis de passage postérieurs l'unis- sent au lobe occipital . Le lobe occipital est formé de trois petites c
plis de passage postérieurs l'unis- sent au lobe occipital. Le lobe occipital est formé de trois petites circonvolutions de 3
liers postérieur sinueuse et autonome et va se perdre dans le lobe occipital . Face interne. F1 est formée à sa partie antéri
xterne, qui est accentuée, par un pli de passage qui l'unit au lobe occipital . Le lobe pariétal inférieur et le pli courbe so
rconvolutions ayant la même disposition que du côté opposé. Le lobe occipital a aussi les mêmes caractères qu'à droite. Fac
P. L, lobule pariétal inférieur. P. C., pli courbe.. L. O., lobe occipital . T1, première circonvolution temporale. T2,'
57 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
, est déprimée, aplatie, tandis que la moitié correspondante de l' occipital fait saillie. Inversement la bosse frontale d
se frontale droite est saillante et la moitié correspondante de l' occipital est déprimée. (Crâne oblique.) .. Déformation
ières au-dessus de la racine du nez. Sommet de la tête. Protub. occipitale ext. Milieu de la suture inter-pariétale. Poi
ent décollées. - Crâne : légère dépression de la moitié droite de l' occipital ; la moitié gauche du frontal est moins saillante
E sclérose. l'hémisphère gauche; atropine moins accentuée du lobe occipital . - Hémisphère droit presque normal. - Iné- gali
ifférentes cavités de la base paraissent normales ainsi que le trou occipital . - L°s nerfs et les artères de la base de l'enc
s temporales (Tl, T2, T3) sont normales. T et T2 sont unies au lobe occipital par des plis de passage. Les circonvolutions oc
tout, c'est l'atrophie du coin et de la partie postérieure du lobe occipital . La partie comprise entre la scissure perpendic
quée, les 3 circonvolutions Tri, T2, T3 sont de volume normal. Lobe occipital . Le lobe occipital a un volume ordinaire. Il es
olutions Tri, T2, T3 sont de volume normal. Lobe occipital. Le lobe occipital a un volume ordinaire. Il est toutefois à remar
re. Il est toutefois à remarquer que les circonvolutions temporo- occipitales et pariéto-occipitales sont un peu grêles. Face
versal. La deuxième pariétale est très réduite de longueur. Le lobe occipital est de même normal. Face interne. La cissure
pariétale postérieure, aux environs du pli courbe, et il la région occipitale (surtout scissure calcarine et circonvo- lution
région occipitale (surtout scissure calcarine et circonvo- lutions occipitales internes). Les types lésionnels sont très analo
océphalie prononcée ; aplatissement du frontal gauche, saillie de l' occipital droit ; os durs, assez épais ; pla- ques transp
ar la lésion dans son bord antérieur et son bord supérieur. Le lobe occipital n'offrait rien de particulier. L'examen de ce
érieur. P2, pli pariétal inférieur. , PC, pli courbe. LOC, lobe occipital . 232 .. EXPLICATION DES PLANCHES. PUNCHE XVI.
58 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
hien. Chez le singe, au contraire (extirpation bilatérale des lobes occipitaux ), qui survécut deux ans, les cordons de Goll et
connexions du même genre entre le cervelet et les lobes temporal et occipital . Voici les phénomènes de déficit consécutifs à
es circonvolutions du lobe frontal, non plus que celles des lobes occipital et temporal, ne déterminent aucun trouble de la
occupe les première et deuxième temporales ; - 4° la lésion du lobe occipital engendre des troubles de la vue directs, qui ap
duit de préférence quand l'altération occupe la con- vexité du lobe occipital ; - 10° les lacunes du champ visuel ne passent t
orce, un endroit de la convexité qui pourrait bien être la deuxième occipitale , se trouve détruit : 11° cet endroit correspond
idu. Il n'est pas démontré que chez l'homme l'écorce de chaque lobe occipital se divise en deux compartiments ; - 13° l'hypothè
es corrélatives, cécité psychique associative. C'est dans les lobes occipitaux que réside la perception consciente des impress
te par l'interruption des fibres d'association qui unissent le lobe occipital au reste des hémisphères. Une telle interruptio
en partie de la zone motrice, et la première circonvolution du lobe occipital , siège reconnu de la vision mentale. La FA ap
on. De même, pour l'étude de la première circonvolu- tion du lobe occipital , Golgi, qui nie que les divisions de cette régi
que ne sont pas moins intéressantes. De la PA jusqu'à l'extrémité occipitale , l'épaisseur de l'écorce diminue; elle est à so
essivement, à partir de cette scissure, jusqu'à l'extrémité du lobe occipital . Enfin, dans la région intermédiaire, Conti a t
Tête. Elle est ovoïde avec prédominance très accusée de la région occipitale , saillie prononcée des bosses pariétales et rétré
tre l'abolition complète de la vision et la double lésion des lobes occipitaux . G. D. V. Contribution : 1 L'ÉTUDE des affect
chien chez lequel, le jour de la naissance, on avait enlevé le lobe occipital du côté gauche et une partie du lobe temporal.
equel il existait un foyer de n(- wollissement ancien en plein lobe occipital guuclie. Cettepièce appar- SOCIÉTÉS SAVANTES. 2
ie. La substance blanche ressortissant au pli courbe, à la première occipitale , à la portion supéro-postérieure de l'avant- co
u ventricule la- téral. Intégrité du coin, des seconde et troisième occipitales , du segment inférieur des libres de Gratiolet,
e du pulvinar et du corps genouillé externe des deux côtés (le lobe occipital semble d'ailleurs normal). Le corps genouillé i
primaires s'atrophient forcément à la suite de destructions du lobe occipital ; à cette dégénérescence secondaire participe g
uis cette époque, il était en proie à des céphalalgies frontales et occipitales violentes; ces accès duraient quelques heures.
quelques fibres du raphé. Le cerveau (circonvolutions frontales et occipitales ) ne pré- sente rien d'anormal. Le cervelet (h
59 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ous allons parler, quelques circonvolutions des régions frontale et occipitale ont été examinées, de façon à être certain que
re droite; foyers de ramollissement du lobe temporal droit, du lobe occipital , de l'hémisphère cérébelleux droit. Gomme syphi
ésie avec hémianesthésie gauche observée pendant la vie, au foyer occipital , la surdité complète à celui du lobe temporal dro
'attache desloreilles : 0,55; de la racine du nez à la protubérance occipitale externe : 0,36; d'une oreille à l'autre : 0,36;
trouve quelques-unes isolées dans le lobe frontal, et dans le lobe occipital avec de petites et de moyennes. Forme un peu ar
iaux laissés par Broca, sur le poids des Lobés frontaux, dès lôliês occipitaux et sociétés savantes. 213 des régions pàriélo
olir la région frbn- talé, la^scissure de Rôlàndd; poUr, la. région occipitale , la scissure perpendiculaire. Lès régions parié
On trouyo, à l'autopsie, un foyer de ramollis- sement dans le lobe occipital droit qui évidemment a causé l'hémianopsie; auc
gauche- doit'être imputée à un foyer de ramollissement dans le lobe occipital droit. Les os du crâne extraordinairement epais
hie unilaté-' raie. Intégrité 'des' cellules corticales des''lobes' occipitaux .' ' l" ' Quelle'' est ! dans'les cerveaux d'Iié
; ! ? 'i' JI' t J rait pu suivre la dégénérescence partie du.lobe , occipital pour, ra,l, P, 'SIV.r ? 1 . 1 . 1 1 1 9, oc p,l
écoule pas nécessairement que ces altérations .émanas- sent du lobe occipital puisqu'un des cas témoignait d'une atrophie par
pital puisqu'un des cas témoignait d'une atrophie partielle du nerf, occipital droit de, par une tumeur (action rétro- grade),
, globe, oculaire gauche, la relation entre cet accident et le lobe occipital n'est pas démontrée. ' '' " " l' Conclusions :
, ,il s'exerce une action cumulative. 3° La destruction d'un lohe occipital ne produit pas nécessairement d'altérations macro
eurs années, 1° 11 n'est pas, démontré que la destruction d'un lobe occipital détermine sur les cellules nerveuses des organe
est très volumineuse, tandis que la gauche est à peine indiquée. L' occipital est plat suivant un plan vertical, la 356 CLINI
UE MENTALE. moitié droite en retrait sur la gauche; les deux bosses occipitales sont peu saillantes, égales, mais ne sont pas s
1 m. 19. 9 juillet. Etat actuel. - Tête ovoïde assez développée; l' occipital fait uns légère saillie, au dessous de laquelle
tandis qu'à gauche il existe une convexité assez marquée. La bosse occipitale droite est plus accentuée que la gauche; de mêm
plus saillante que la gauche, surtout à l'union du pariétal avec l' occipital . La bosse pariétale gauche est plus basse et pl
13. Anurie depuisdeux jours : pas de vomissements. - Né- vralgie occipitale . 14. - Urines abondantes (chiendent). 2 f écr
s les plus communes de la céphalalgie diabétique est la céphalalgie occipitale avec douleur localisée à la nuque (Oss. XLV, LV
affectent le sciatique, le crural, les nerfs intercostaux, frontal, occipital , cervico-occipital ; elles n'ont que peu de rap
e gauche, un foyer de ramollissement superficiel à la base du lot e occipital droit, n'empiétant aucunement sur;les régions e
es tubercules méningés visibles étaient limités aux lobes pariétal, occipital et temporo-sphénoïdal du côté droit; ils suivai
60 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
ra la tuméfaction sous-mentale que nous aurons à décrire. i° Groupe occipital . — Au niveau des insertions supérieures du trapèz
que les muscles et les aponévroses prennent sur la ligne courbe de l' occipital . La peau n'est pas adhérente à ces tumeurs ; el
e de classer ces tumeurs en plusieurs groupes distincts : i° Groupe occipital . Les tumeurs occupent toute la région occipitale,
stincts : i° Groupe occipital. Les tumeurs occupent toute la région occipitale , nettement limitées par leur bord supérieur, conc
u cou. La peau qu'elles soulèvent semble plus' normale qu'à la région occipitale . Elle est aussi plus souple; et les tumeurs sous-
ue celles du groupe précédent. 3° Région cervicale. De la base de l' occipital jusqu'au niveau de la sixième on septième vertèbr
ligne de démarcation distincte, se confondent en haut avec le groupe occipital , et sur les côtés avec le groupe sous-maxillaire.
peut être diversement interprétée; le Dr de Macédo pense que c'est l' occipital d'un fœtus enclavé ; pour nous ce serait un os il
t, si ce n'est au niveau de la face convexe des lobes sphé-noïdal e': occipital où cette enveloppe, infiltrée de sérosité, adhère
é, on observe une atrophie considérable des circonvolutions des lobes occipital et sphénoïdal, atrophie qui se traduit par une di
petite circonvolution pariétale postérieure et la circonvolution dite occipitale , va en s'atrophiant progressivement d'avant en ar
se continuant avec une autre cicatrice semblable qui occupe la corne occipitale du ventricule et presque toute la corne sphénoïda
détruit ou considérablement frappé toutes les circonvolutions du lobe occipital gauche et la plus grande partie des circonvolutio
61 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a gauche. Les bosses parié- tales sont peu saillantes de même que l' occipitale . La fontanelle antérieure n'est pas complètemen
e lobe occipilai droit, foyer de ramollissement étendu dans le lobe occipital gauche. Ce foyer s'étendait sur une grande part
irconvolution de l'hippocampe. Le foyer de ramollis- sement du lobe occipital ne se bornait pas à l'écorce, mais portait auss
a- lamus opticus et la queue du noyau caudé. La convexité du lobe occipital et du lobe temporal était intacte. Le territoir
ques parties du tapetum du corps calleux. La partie convexe du lobe occipital est indemne, même au point de vue microscopique
. On sait que Déje- rine admet, en dehors du centre optique du lobe occipital , un centre optique spécial, où seraient déposée
ès à égale distance de la scissure de Rolando et de la protubérance occipitale externe, un peu à gauche de la ligne médiane :
n. Quatre ans plus tard, douleur vive dans les régions pariétale et occipitale gauches : attaque de petit mal ; changement trè
irconvolutions de l'hémisphère gauche, dans les régions frontale et occipitale , sont très petites, flétries et comme comprimées;
sques à la limite du frontal et du pariétal, entre le pariétal et l' occipital ; au niveau des sutures le son est un peu plus é
se constate au niveau de la moitié postérieure des pariétaux, de l' occipital , des prolongements des apophyses mastoïdes ; un
aux, on rencontre 45 fois la douleur ou la sensibilité de la région occipitale : ce signe est douteux dans 30 cas; dans 8 il n
e, l'asthénie musculaire, la douleur et la sensibilité de la région occipitale , la tendance de la démarche à incliner du côté
chez l'homme dans la scissure collatérale, qui existe comme partie occipitale de la scissure rliiuale chez les animaux. La pr
- 298 SOCIÉTÉS SAVANTES. - ruptions du pôle frontal jusqu'au pôle occipital par exemple chez le rosuarus et le taureau comm
hez l'homme, à cette première scissure de Leuret et sa continuation occipitale qui se trouve chez les animaux comme scissure m
e chez les animaux comme scissure médio-latérale (première scissure occipitale ). La seconde scissure de Leuret se trouve compl
ariétale (ou scissure de Turner, selon M. Benedikt). Dans la région occipitale la seconde scissure de Leuret n'est pas toujours
et assez complète pour le lobe frontal. Elle y manque pour le lobe occipital . Chez l'homme la partie frontale de cette trois
temporale et aboutit au pôle occi- pital (comme troisième scissure occipitale ) où elle sépare la partie externe de la circonv
rne de la circonvolution fusiforme de la troisième circonvolu- tion occipitale . La scissure temporo-occipitale apparaît chez bea
sversal est celui qui sépare la circonvolution quadrilatère du lobe occipital et que Benedikt désigne comme- scissure précuné
-méningé avec pachymé- ningite interne au niveau de la protubérance occipitale (deux couronnes de trépan avec excision au cise
lcarine, le coin, le lobule lingual, les segments pos- térieurs des occipitales . La région située en arrière du pli courbe ne p
s d'absence du corps calleux. Les deux couches passent dans le lobe occipital (Sachs); à la partie moyenne de celui-ci, la couc
ne, ses fibres parvenant aux extrémités convexes et basales du lobe occipital ; dans le lobe tem- poral, elles arrivent, du r
fibres du faisceau subcalleuxqui proviennent des lobes temporal et occipital ; de là elles se dirigent en commun en arrière
ccipitale, on voit que, sui- vant ce plan, la paroi médiane du lobe occipital présente, du côté du ventricule, une couche ini
mique de groupes fonctionnels simultanés. Excitez en effet l'écorce occipitale , vous pourrez produire des mouvements des globes
62 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
lissement, cortical également, et placé sur la face externe du lobe occipital , où il occupe la cir- convolution 02 et la part
La première, déjà signalée, est placée sur la face externe du lobe occipital , au niveau de la circonvolution °2' Dans la pro
ette dernière est conservée. Le segment postérieur comprend le lobe occipital , la partie postérieure des circonvolutions pari
es quelques cas décrits par d'autres auteurs. La forme de la région occipitale est plus variable : le plus souvent, elle paraî
nt arriver à remplacer en grande ,partie les pariétaux et l'écaille occipitale (v. Pl. XVI) ; et même, dans le crâne d'Helsing
ttement qu'il en est ainsi. Soit que l'on considère la largeur de l' occipital (mesuré à la limite de l'écaillé et des parties
ouvent en retrait sous le front saillant, et la forme -de la région occipitale pourraient faire supposer que la dimension longi-
ment le plan du jugum sphénoïdal. Par suite de cette courbure, l' occipital présente une inflexion plus accusée de la parti
ue, en outre, dans , tous les cas, la position très oblique du trou occipital et des condyles dont 'les surfaces articulaires
DANS LA DYSOSTOSE CLÉIDOCRANIENNE 99 moitiés postérieures. Le trou occipital est orienté en avant au point que son plan prol
la fissure est en général béante. Entre les différentes pièces de l' occipital persistent souvent des restes des synchon- dros
sans doute du ré- trécissement général de la base. L'indice du trou occipital peut être infé- rieure à 66 (1). Il est bien
ie d'un garçon dysostosique indiquait une direction oblique du trou occipital , s'accorde exactement avec les faits craniologi
ne sorte de cyphose de l'apophyse basilaire et une dislocation de l' occipital telle que, dans sa partie basale, il regarde, a
tal telle que, dans sa partie basale, il regarde, ainsi que le trou occipital , plus en avant. 3° Ossification incomplète du
et cérébrale, poussée jusqu'à l'apathie la plus complète, céphalée occipitale , douleurs dans les membres, verti- ges, somnole
remarquer à la voûte cranienne, sauf une légère saillie de la bosse occipitale , les arcades sourcilières paraissent bien plus pr
ée. La face postérieure du crâne tombe assez à pic. La protubérance occipitale externe est peu saillante. Le crâne est complèt
éro-postérieur (de la glabelle au point le plus reculé de l'écaille occipitale ),la moyenne étant de 178 millimètres, on a 165
des sourcils pour faire le tour par la partie la plus reculée de l' occipital , 505 et 505 au lieu de 517. Courbure sus-auri
vaisseaux, n'a pas été fortement gênée. Ventricules. - Les cornes occipitale , frontale et temporale sont un peu dila- tées à
mité du ventricule, s'infiltre dans les faisceaux sagittaux du lobe occipital et augmente rapidement d'étendue, dans des cou-
sans doute à droite que l'on rencontrera le néoplasme, car la corne occipitale gauche est plus ouverte que la droite ; ensuite p
e gauche est plus ouverte que la droite ; ensuite parce que le lobe occipital droit est plus tassé, que les coupes y sont plus
est plus petit que le gauche ; diminution porte surtout sur le lobe occipital droit. Les parois des artères de la base sont f
auche. A droite la destruction la plus importante se trouve au lobe occipital . Elle s'étend aux deux circonvolutions bordant
e spécifique. Elle a entraîné une forte réduction de volume du lobe occipital , frappante surtout en ce qui concerne Fli. Il
s portions calleuses diffèrent un peu déjà (il : 10). C'est sur les occipitales que porte à peu près tout l'écart ^14 : 10).
tumeur ; il en est généralement ainsi. Cependant l'atrophie du lobe occipital droit n'est pas compensée par une cavité ventricu
présente une dépression longitudinale assez marquée dans la région occipitale supérieure. Il est asymétrique, ainsi que le visa
63 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
e moyenne ou pariéto-sphénoïdale ; 3° Dans-la partie postérieure ou occipitale . Telles sont les trois questions auxquelles il
se comporte la couronne rayon- nante dans la partie postérieure ou occipitale .-Ce que l'on appelle prolongement occipital de
partie postérieure ou occipitale.-Ce que l'on appelle prolongement occipital de la capsule interne constitue, pour ainsi dir
mence à l'é- corce du lobe frontal et va se terminer dans le lobe occipital , en traversant le centre ovale. Il est constitué
e parait plus naturel d'en parler avant. Il va de la pointe du lobe occipital à celle du lobe tem- poral. Sa structure est ce
e la septième zone frontale, où il limite en dehors le prolongement occipital de la capsule interne comme le tapetum le limit
nheik-. Psych. gerichtl Psychopath., 1880.) 1° L'ablation des lobes occipitaux des deux côtés sans inté- resser les plis courb
resser les plis courbes, c'est-à-dire en arrière du sillon pariéto- occipital , n'entraîna aucun trouble de la vue. 2° La dest
mblyopie évidente. 3° L'ablation à la fois du pli courbe et du lobe occipital d'un hémisphère entraîne l'hémiopie des deux ye
l'hémisphère est mince (hémisphères foetaux, 166 ANATOMIE. région occipitale et ergot de Morand chez l'adulte), se traduit d
nt occupant le lobe DE LA CÉCITÉ ET' DE1 LA SURDITÉ DES MOTS. 231 occipital et sphénoïdal et se terminant a la racine'des lob
hes physiologiques et a cité deux cas de cécité avec lésion du lobe occipital . En 1874, Hitzig admettait qu'une lésion destru
ipital. En 1874, Hitzig admettait qu'une lésion destructive du lobe occipital produisait la cécité du côté opposé. Ensuite, M
est de même pour lés relations ' établies entre'la corne'etle lobe occipital , la substance blanche^ du lobe sphénoïdal; l'éc
r Wt L'auteur rapporte Meux-1 observations, 'où une céphalalgie ? occipitale existait si bien localisée et si persistante, qu'
e lui tira un coup de revolver à bout portant.^ La balle fractura l' occipital et détermina des accidents i cérébraux-t qui en
vision dans les hémisphères, par J.-C. Dalton, 128. Céphalagie occipitale comme sym- ptôme de l'urémie, pat Séguin, 248
ase du crâne, 253. ,(-» ' -Hifqn " ' j »* Urémie ( céphalalgies occipitale comme symptôme de l') ; par s6 Séguin, s48 ··
64 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
e la moelle avait disparu encore plus promptement : au niveau du trou occipital , elle était déjà rétrécie, et au niveau de la deu
l., et la longueur de la tête, mesurée depuis la bouche jusqu'au trou occipital ,était de 'jiomill. naître de la moelle, immédia
ieure et qu'il coupait cette ligne par une autre qui, partant du trou occipital , se prolongeait en avant, pour aboutir au même po
aution que j'ai prise de couper toujours la moelle au-dessous du trou occipital , il est arrivé qu'une partie de cet organe a été
de ces animaux, pris comme on le fait d'ordinaire, au-dessous du trou occipital , donnerait fort mal le volume total de cette moel
elle épinière mesurée à sa naissance, c'est-à-dire au-dessous du trou occipital , a une largeur dont la moyenne, comparée au diamè
frontaux , et celui du courage su les muscles qui vont s'insérer à l' occipital . » Voy, t. n, p. 116. Et, parlai d'un autre phrén
orsque l'on mesure les cavités qui renferment le cervelet, les fosses occipitales , dans toutes leurs dimensions. Le développement
mouton, l'os frontal est très considérable, le pariétal est petit, l' occipital ne s'avance pas jusqu'au cerveau (pl. vu, fig. 4)
ativement au pariétal, beaucoup moins étendu que chez le mouton, et l' occipital vient recouvrir, comme chez l'homme, l'extrémité
s les autres mammifères. 33. L'os pariétal est plus étroit, et l'os occipital est moins développé chez les moutons que chez les
prétend démontrer par le rapetissement, jugé à vue d'œil, des fosses occipitales ; or, les pesées faites à ma prière, par M. Marcha
pix, Munich, i8i5, in-fol. avec 18 pl. productive et générative à l' occipital ; l'âme réfléchissante, aux pariétaux; l'âme intel
ité postérieure du lobe cérébral que recouvre l'angle postérieur de l' occipital , la faculté de concevoir et déjuger, dans la port
de l'échelle animale, il ne reste plus que les portions basilaire el occipitale du crâne; aussi Pâme de ces derniers animaux manq
n ou de l'autre, plus développé, comparativement que le pariétal et l' occipital , eût donné à ces animaux de la science, de la rai
uraient jamais été proposés. L'os frontal, comparé au pariétal et à l' occipital , est regardé comme beaucoup plus étendu chez l'ho
e la face, mais qu'il est en même temps celui dont les pariétaux et l' occipital sont les plus considérables. Dans les autres mamm
u-devant de lui, en même temps le pariétal se rétrécit beaucoup, et l' occipital cesse de recouvrir aucune portion du cerveau. D
ence complète, chez presque tous les mammifères, de cette partie de l' occipital qui recouvre l'extrémité postérieure du lobe céré
à la disparition complète de ceux que recouvre l'angle supérieur de l' occipital , et, par conséquent, à la diminution et même à la
rénologie a placé l'amour pour les petits sous l'angle supérieur de l' occipital ; puisqu'elle explique l'amour maternel des singe
e que très imparfaitement le cervelet1, et que l'angle supérieur de l' occipital manque au cerveau? L'organe manque, donc la facul
vu que le principe posé par elle conduirait là, et ne trouvant plus d' occipital pour loger la philogéniture, elle l'a glissé sous
pement comparatif des os, de l'élévation du front, de la saillie de l' occipital ? Elle est réduite à rien par les phrénologistes e
65 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
un peu en haut. Les bosses pariétales, frontales et la protubérance occipitale sont saillantes. Les diamètres de la tête son
LOGIQUE DE L'ACROMÉGALIE. Iit - Il faut aussi remarquer que le trou occipital est dans son ensemble petit, son plus grand dia
eux de la base du crâne sont plutôt rétrécis ; en particulier le trou occipital et les trous déchirés postérieurs dont le gauch
e des sinus frontaux; le second dans l'épaisseur qu'avait acquise l' occipital au niveau du pressoir d'Hérophile. En fait les
dire 17 millimètres de plus que la moyenne établie par Parchappe; l' occipital a une épaisseur de 2G millimètres c'est-à-dire su
ée moins que d'habitude d'avant en arrière, de sorte que les fosses occipitales paraissent être presque au même niveau que les fo
se il faut donc admettre que l'orbiculaire palpébral, le frontal, l' occipital , en un mot les muscles peauciers de la région, à
talement en bas au niveau de l'omoplate, et en haut, dans la région occipitale , au niveau des insertions du trapèze. La sensibil
i minces qu'en les regardant à contre-jour ils sont transparents. L' occipital présente en outre une apophyse basilaire assez
rès saillante en avant. Les surfaces d'insertions musculaires sur l' occipital sont très développées. Les apophyses mastoïdes
pophyses mastoïdes et styloïdes sont développées. Les condylcs de l' occipital sont aplatis par suite d'une usure manifeste. L
tière du sinus longi- tudinal se montrent surélevés par rapport à l' occipital , et la gouttière elle- même dans toute son éten
seur en certains points ne dépasse pas 1 mill. (fig. 69). La partie occipitale , au contraire, est nettement épaissie jusqu'à 10
du crâne. Les sutures, ne sont nullement ossifiées. Au niveau de l' occipital , de l'apophyse mastoïde, du rocher, toutes les ru
base, 2 i. mill. à droite et 22 mill. il gauche. Les condyles de l' occipital sont à peu près normaux quoiqu'un peu bos- selé
nt manifeste dû à un tissu spongieux abondant entourant le sinus. L' occipital dans la partie supérieure de son écaille, les par
large que le gauche, ainsi que le trou déchiré postérieur. Le sinus occipital droit est très marqué. Le trou occipital a 30 m
chiré postérieur. Le sinus occipital droit est très marqué. Le trou occipital a 30 mill.de diamètre antéro-postérieur; 27 mill.
amètre transversal. Diamètres intra-cratierts. - De la protubérance occipitale interne au trou borgne, 140 mill.; delà protubé
66 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
exercée sur la moelle par la moitié postérieure du pourtour du tissu occipital et par l'apophyse odontoide. La figure 3 donne
nait à une maladie des ligamens qui unissent l'apophyse odontoide à l' occipital et à l'atlas. Or, une cause rhumatismale en se fi
là face antérieure, qui s'étendait en haut jusqu'au voisinage du trou occipital , et en bas jusqu'au niveau de la 4e vertèbre cerv
Luxation spontanée de la 1re vertebre cervicale sur la 2de et sur l' occipital compression de la moelle épinière d Chazal M.
ent sur le trajet des divisions principales des artères temporales et occipitales . La tumeur de la région frontale droite en partic
ex-encéphale. Point de voûte crânienne proprement dite; point de trou occipital : il n'existe de l'occipital que la portion basil
crânienne proprement dite; point de trou occipital : il n'existe de l' occipital que la portion basilaire et les parties latérales
t ossifié; l'oreille droite est à peine visible. La partie médiane et occipitale de la tête donne insertion à un grand nombre de c
e de l'hémisphère cérébral droit, une deuxième qui occupait la région occipitale de l'hémisphère gauche, une troisième qui occupai
t renversé de bas en haut et d'avant en arrière, je vis dans la fosse occipitale inférieure gauche, par conséquent au-dessous de l
dans la fosse sphéno-temporale, et en celles qui naissent de la fosse occipitale inférieure. Les premières produisent directement
et remplissait plus de la moitié de l'espace compris entre les fosses occipitales inférieures et latérales du cervelet ; elle adhér
livr. Je reviens à la tumeur principale: elle remplissait la fosse occipitale droite et empiétait un peu du côté gauche, refoul
. Cette douleur occupe le sommet de la tête : les régions frontale et occipitale en sont entièrement exemptes. Le caractère de la
upissement. Ouverture. Ramollissement hortensia des circonvolutions occipitales inférieures du côté gauche. Du reste, cerveau, ce
bulbe et de la protubérance par une tumeur développée dans les fosses occipitales inférieures; mais le défaut complet de céphalalgi
e pus examiner que la partie de moelle qu'on peut enlever par le trou occipital : elle était parfaitement saine au-dessous et à cô
on exercée sur le bulbe rachidien par le déplacement de l'atlas sur l' occipital , compression qui portait plus fortement d'un côté
gure i représente une tumeur cancéreuse développée aux dépens du lobe occipital de l'hémisphère droit du cerveau, et plus particu
cerveau, avait-elle été formée dans l'épaisseur et aux dépens du lobe occipital ; ou bien, développée dans le tissu cellulaire de
a tumeur s'est formée très superficiellement dans l'épaisseur du lobe occipital , et que la couche mince qui la séparait des membr
as analogues, il est probable que son histoire est celle-ci : douleur occipitale habituelle permanente, ou rémittente, ou intermit
Hémisphère droit. Destruction des circonvolutions inférieures du lobe occipital . Une cicatrice peau de daim remplace les circonvo
re un jour acquérir quelque importance, c'est que les circonvolutions occipitales sont peut-être de toutes les parties du cerveau c
l'appui de la proposition précédente, savoir, que les circonvolutions occipitales sont extrêmement sujettes au ramollissement, comm
bable de ramollissement. — Destruction presque complète de la corne occipitale gauche. Femme Gambier, 73 ans, salle Saint-Luc,
opposé à la paralysie). Grande perte de substance des circonvolutions occipitales inférieures, qui sont remplacées par une membrane
jaunâtre. La substance blanche, qui forme le centre ou noyau du lobe occipital , présente, i° une cicatrice celluleuse infiltrée
liquide trouble jaunâtre. Hémisphère gauche. Trois circonvolutions occipitales présentent, au lieu de substance grise , des pell
cicatrices parfaitement confectionnées. Chez ce sujet, les deux lobes occipitaux avaient été successivement le siège du ramollisse
la substance grise. 2" Dansl'hémisphèregauche, les circonvolutions occipitales , celles qui occupent la corne occipitale postérie
gauche, les circonvolutions occipitales, celles qui occupent la corne occipitale postérieure comme celles qui répondent à la porti
es débris et par une masse globuleuse C qui se voit au-dessus du trou occipital , dans la fosse qu'occupe d'ordinaire le cervelet.
ent pourvu de cheveux, était plissé sur lui-même, surtout à la région occipitale , et paraissait avoir été destiné à recouvrir un c
e crête transversale très saillante, qui représentait la protubérance occipitale et la ligne courbe supérieure des carnassiers, ma
s, mais qui n'était autre chose que la partie supérieure de l'écaillé occipitale brusquement et anguleusement repliée sur elle-mêm
ne et la portion écailleuse des os temporaux étant restés en place, l' occipital , et surtout les pariétaux s'étaient rapetisses et
oint de réunion des angles des pariétaux et de l'angle supérieur de l' occipital , existe une tumeur du volume d'une petite noix. L
ement des pariétaux, développement plus grand qu'à l'état normal de l' occipital , qui, de son angle supérieur, se recourbe brusque
uelle s'échappait la tumeur, avait la forme et les dimensions du trou occipital . La tumeur a pour enveloppes les méninges épaissi
s'était plaint pendant quatre mois d'une douleur violente à la région occipitale , de douleur avec rigidité des muscles de la nuque
it aucune autre altération dans le cerveau. Une douleur à la région occipitale , coïncidant avec une diminution dans la myotilité
et des cheveux. Trouillu était chauve antérieurement, mais la région occipitale était suffisamment pourvue de cheveux; il avait a
d'une céphalalgie extrêmement intense, qui occupait surtout la région occipitale . A cette céphalalgie se joignirent des vomissemen
roduction du cancer. 31e liv-, pl. n,p. 2. CÉPHALALGIE. Céphalalgie occipitale résultant de la présence de tubercules dans le ce
probable de ramollissement. Destruction presque complète de la corne occipitale gauche. 33e liv.Kpl. 11, p. 4. — Cicatrices du ce
extra-utérine. 17e liv., pl. r, p. 4. — Monstruosités : Spina bifida occipital et cervical antérieur. Hernie cervicale du poumon
s syméliens. 33e liv., pl. v, vi, p. '. MONSTRUOSITÉS. Spina bifida occipital et cervical antérieur. Hernie cervicale du poumon
n'est pas mortel par lui-même. 16e liv., pl. iv, p. 4.— Spina-bifida occipital et cervical antérieur. 19e liv., pl. v,vi, ». /.—
67 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ompagner au début presque exclusivement de migraine ou de névralgie occipitale ; le phénomène rotulien faisait défaut, ce qui a
ers l'écorce du cerveau d'un pa- ralytique général : a dans le lobe occipital (fibres très abondantes dans toutes les couches
tablie. En mai, surviennent des céphalalg-iesfréqueli- te,, surtout occipitales , à la suite desquelles se montrent des troubles
H),p.23(;. , Pouls petit, facilement dépressible =-'70. Céphalalgie occipitale , parfois frontale; angoisse, vertiges, lassitud
développée; méplat à la partie 206 THÉRAPEUTIQUE. supérieure de l' occipital ; sillon transversal au niveau de la fon- tanell
aissant pas asymétrique ; pas de méplat à la partie supérieure de l' occipital , bosses pariétales peu prononcées, ainsi que le
ception, nous voyons en effet une lésion de la face interne du lobe occipital , au lieu d'une lésion du lobule pariétal infé-
eau-nés. Aux uns on enlève des zones circonscrites du dé- partement occipital . Aux autres on énuclée le globe de l'oeil. Chez
apport étroit avec les troisième et cinquième couches de l'é- corce occipitale . Il en est de même chez le chat. La résection d
f olfactif et s'éten- dant jusqu'à 2 centim. et demi de l'extrémité occipitale de l'hémis- phère. En dedans, le pseudo-kyste l
et sur la face convexe et semble avoir séparé complètement le lobe occipital du reste de l'hémisphère. Le kyste distendu a u
irconvolutions temporales sont normales, bien développées. -Le lobe occipital est normal. Le lobule de l'insula est bien déve
du lobe pariétal inférieur, la partie la plus antérieure du lobe occipital , le pli courbe, la partie postérieure du lobule p
frontal et région pariétale), l'autre postérieure répondant au lobe occipital . La partie antérieure du lobe pariétal est atro
hiée encore, se trouve beaucoup plus en retrait par rapport au lobe occipital .' Le corn se trouve perdu dans le foyer. - Le l
u lobe occipital.' Le corn se trouve perdu dans le foyer. - Le lobe occipital est bien développé, sauf dans une petite por- t
i avec le kyste). Troisième coupe. Elle est pratiquée sur le lobe occipital et vers l'extrémité du kyste et montre encore u
e qui sépare le lobe temporal du lobe pariétal, et celui-ci du lobe occipital . Une troisième perte de substance cicatricielle
oupe de la pie-mère épaissie. FiG. 3. Coupe pratiquée sur le lobe occipital et vers l'extrémité du pseudo-kllsle. L 0, lo
le lobe occipital et vers l'extrémité du pseudo-kllsle. L 0, lobe occipital . - L C, coin. Ç 0, corne occipitale. TA, TA, ti
té du pseudo-kllsle. L 0, lobe occipital. - L C, coin. Ç 0, corne occipitale . TA, TA, tissu aréolaire. Hémisphère gauche.
al in- férieur. T l', circonvolutions temporales. Fie. 6. 0, lobe occipital . C 0, corne occipitale. F.rrm. ( : h. imp. - 58
, circonvolutions temporales. Fie. 6. 0, lobe occipital. C 0, corne occipitale . F.rrm. ( : h. imp. - 585.
68 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ula sont le siège d'un ramollissement très étendu qui gagne le lobe occipital en arrière. Sur la première coupe transversale,
; la suture sagittale se dessine sous la peau, en forme de crête. L' occipital est déprimé au niveau de son articu- lation ave
la diminution se manifeste principalement sur les lobes frontaux et occipitaux , assertion qui ruinerait la théorie simienne de
crista-galli, de crête frontale, la cavité crânienne, dont la crête occipitale interne n'existe pour ainsi dire pas, et qui manq
interne n'existe pour ainsi dire pas, et qui manque de protubérance occipitale autant que des crêtes qui y abou- tissent, se d
la couche optique surle plancher ventriculaire. Nulle trace de lobe occipital . Il n'existe ni corps calleux, ni commissure an
éléments qui à leur tour en dépen- dent ; telle l'absence de lobes occipitaux causée par celle du corps calleux (Reichert). L
ne douleur sourde qui s'accompa- gnait d'élancements vers la région occipitale ; les mouvements de 1 Thorens. -- Documents pour
s d'onanisme. État actuel. Le crâne offre une saillie spéciale de l' occipital qui est divisé en deux plans par une crête tran
yennne ; les apophyses mastoides sont très développées. De la bosse occipitale externe à la racine du nez, en passant par le v
sphères ne paraissent pas égaux; du côté droit les lobes frontal et occipital 3 a se RECUEIL DE faits. sont en retrait sur
- tions ascendantes du lobule paracentral/ de l'extrémité du lobe occipital , et de la face interne du lobe temporal. Mais on
MM. Ferrier et Yeo placer leur centre visuel à la fois dans le lobe occipital et dans le gyrus angulaire, tandis que M. Munk
dans le gyrus angulaire, tandis que M. Munk le limite dans le lobe occipital seul. M. Munk, MM. Lucianni et Tamburini produi
rovoquée aussi bien par des lésions frontales, que pariétales et qu' occipitales . Comment comprendre que dans les expériences de
terminer une amblyopie croisée temporaire, que l'ablation d'un lobe occipital peut ne produire aucun trouble visuel, tandis q
le trouble visuel est en rapport avec une lésion corticale du lobe occipital , tou- jours il s'agit de lésions siégeant à la
relation entre l'hémianopsie et les lésions très étendues^du lobe occipital . D'autre part, un fait de M. Hujuenin, dans leque
blent aussi pouvoir être déterminée par certaines lésions du lobe occipital (fait de Petrina). Quant à l'hémianopsie, elle se
llèlement, ou à peu près, aux fibres du pédoncule cérébral. Du lobe occipital du cerveau on voit partir quatre groupes de fib
69 (1911) La pratique neurologique
u mésocé- plale, dans l'hémisphère droit et se termine dans le lobe occipital droit. C'est le faisceau direct. L'autre port
uche du mésocéphalc, dans l'hémisphère gauche et aboutit à l'écorce occipitale gauche. C'est le faisceau croisé. ~ Même trajet
es, en arrière des noyaux du mésocéphale, entre ceux-ci et l'écorce occipitale ou sur l'écorce occipitale elle-même. Hémiachro
u mésocéphale, entre ceux-ci et l'écorce occipitale ou sur l'écorce occipitale elle-même. Hémiachromatopsie. Il y a doute sur
sant les voies optiques dans leur long trajet du chiasma à l'écorce occipitale , peut amener des symptômes variés suivant son s
ant surtout dans le pied de la 2" frontale, un centre postérieur ou occipital sensorio-moteur occupant la zone.* visuelle occ
postérieur ou occipital sensorio-moteur occupant la zone.* visuelle occipitale . Les impressions sensitives générales du globe
in pour le blanc lui-même (p. 50). Dans certaines lésions des lobes occipitaux on aurait constaté une achromatopsie complète.
ut cas, des observations d'hemia- chromatopsie par lésion d'un lobe occipital . Pierre Marie a vu dans l'hémianopsie, certaine
e du tableau des atrophies congénitales du cervelet. La céphalalgie occipitale permanente et les vomissements répétés à caract
bitaire moyenne, temporo-frontale, temporale, du vertex, pariétale, occipitale , rostrale, maxillaire, mandibulaire, hyoïdienne
e occupe la' région orbilo-leinporale et peut s'étendre à la région occipitale . La céphalalgie, connue les autres sym- ptômes
tiurc. Le point apophysaire de Trousseau a pour siège la tuherosite occipitale externe et les '2'' et 5'' apophyses épi- neuse
premiers nerfs cervicaux. La branche postérieure; du deuxième nerf occipital , le grand nerf occipital, est sou- vent atteint
. La branche postérieure; du deuxième nerf occipital, le grand nerf occipital , est sou- vent atteinte de névralgie à l'exclus
ou- vent atteinte de névralgie à l'exclusion des autres : névralgie occipitale . Les causes les plus fréquentes des névralgies
itaux de Pains, 1904) a insisté sur la froc- quence de la névralgie occipitale dans les angines vulgaires (angines simple, éry
herpétique, phlegmoneuse). La douleur de la névralgie du grand nerf occipital est réveillée par les mouvements de la tête, pa
la fossette de la nuque et au niveau du point d'émergence des nerfs occipitaux . Cette occipitalgic paraît devoir s'expli- quer
nx et le deuxième nerf cervical postérieur d'où émane le grand nerf occipital d'Arnold. En effet la deuxième racine cervicale p
en. Ainsi s'explique la solidarité qui existe parfois entre le nerf occipital et les branches sensitives du pharynx. L'anasto
l'occipitalgie ne l'est pas non plus.-Claude a signalé la névralgie occipitale dans la rhino-pharyngite purulente, Jacquet dans
à la nuque, sur le sommet de la tête et jusqu'au front (grand nerf occipital ), dans la région parotidienne et le pavillon de
oureux habituels des névralgies cervico-occipitales sont : le point occipital à l'émergence du grand nerf occipital à travers
o-occipitales sont : le point occipital à l'émergence du grand nerf occipital à travers le muscle complexus, ce point est sit
en partie sur la portion externe de la ligne courbe supérieure de l' occipital ; le chef claviciilaire s'insère en lias sur le qu
lequel elles se confondent, gagnent la ligne courbe supérieure de l' occipital , et se terminent sur la partie externe de cette
e transversc de l'atlas, d'autre part sur l'apophyse jugulaire de l' occipital . Innervation. 11 est innervé par un rameau issu
t sur la face inférieure de l'apo- physe basilaire en avant du trou occipital , si ! porte en bas et en dehors, se divise en q
art sur la face inférieure de l'apophyse basilaire en avant du trou occipital , et d'autre part sur la face antérieure des mas
eure de la ligne courbe occipilalc supérieure), sur la protubérance occipitale externe, sur le ligament cervical postérieur, l
le ligament cervical postérieur, lequel s'étend de la protubérance occipitale externe à l'apophyse épineuse de la sixième ver
de la tête s'insère sur les deux tiers externes de la ligne, courbe occipitale supérieure, sur la portion mastoïdienne du tempor
nnervation. Branches postérieures des nerfs cervicaux et grand nerf occipital . Physiologie. Le sptenius étend la tête, l'incl
rtent en haut [G. GUILLAIN. ;.Í1 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. vers l' occipital et s'insèrent sur l'empreinte rugueuse située ent
use située entre les deux lignes courbes. Innervation. Grand nerf occipital . Le muscle reçoit aussi des 1¡leh nerveux prove
érieur et le sommet de l'apophyse mastoïde. Innervation. Grand nerf occipital et branches postérieures des trois ou quatre ne
hyse épineuse de l'axis, d'autre part sur l'empreinte rugueuse de l' occipital qui est au-dessous de la ligne courbe inférieure.
einte rugueuse située au-dessous de la ligne courbe inférieure de l' occipital en dedans du grand droit. Innervation. Branche
premier nerf cervical et branche postérieure de deuxième nerf grand occipital . Physiologie. Le grand oblique de la tête, rapp
s, ses fibres se portent en haut et en dedans et se terminent sur l' occipital au-dessus et en dehors de l'insertion supé- rie
fixe à la base de l'apophyse mastoïde et il la partie voisine de l' occipital , accessoirement il l'aponévrose du sterno-mastoïd
USCLES DES PAUPIÈRES Muscle occipito-frontal. Insertions. Le muscle occipital en arrière et le muscle frontal en avant sont r
e 'occipital naît en arrière sur les deux tiers externes delà ligne occipitale supérieure et sur la partie correspondante de l'a
nt à la face pEpfonde de la peau de ces régions. " Innervation. L' occipital est innervé par le, rameau auriculaire pos- tér
branche teniporo- faciale du nerf facial. Physiologie. Le muscle occipital , qui, chez beaucoup d'animaux, est un rétracteu
'admiration, la frayeur, l'horreur. Le frontal conjointement avec l' occipital produit les mouvements antéro- postérieurs du c
astoïdite de Bézold que le pus vient fuser par la gaine de l'artère occipitale de l'a face interne de la mastoïde jusqu'au dev
signalée par P. Marie et Onanoll' (1). C'est un aplatissement de l' occipital tel que la partie postérieure de la tète rejoin
: au lieu d'être oblongue, la tête paraît carrée ; la protubérance occipitale s'efface et la face postérieure du crâne se con
s, au contraire, de hxtte des yeux, de vomissements, de céphalalgie occipitale : ces [A. LÉRI] 776 INCOORDINATIONS. symptô
: syndrome associé à vertiges, nystagmus, vomissements, céphalalgie occipitale , signes de compression cérébrale, souvent aiaxie
insidieux. Il s'accuse par une céphalée quelquefois à prédominance occipitale , par des névralgies et des vertiges, par de la
nance remarquable sur le territoire des tri- . jumeaux ou des nerfs occipitaux . Ce sont, des masses d'une laxité remar- quable
uents dans la sclérodermie du cuir chevelu, les blessures des nerfs occipitaux , les truunlatismes et les névralgies du tri- ju
al, on cherchera le point le plus éloigné du crâne,. dans la région occipitale par conséquent. Mais il est admis que si ce poi
admis que si ce point devait tomber au sommet d'une protu- bérance occipitale externe ou inion (tvtov-nucrue) très développée,
à noter que chez ces malades, il peut être augmenté par un ressaut occipital post-lambdoïdien. Chez les trigonocéphales, la
. Porak a signalé aussi une atrophie de la base du crâne et du trou occipital , un faible développement du bassin dans tons le
ès trépanation chez un ado- lescent porlellr d'un osteosarcome de l' occipital , montra, par des irradia- tions répétées laites
OPSIE DES CENTRES NERVEUX. 1517 7 « deux frontaux et l'écaillé de l' occipital ont été ainsi enlevés, on plonge « la tête dans
r faire saillir la colonne vertébrale. La peau est incisée depuis l' occipital jusqu'au coccyx, les muscles des gouttières ver
70 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
formant un coussinet mobile, supporte la tête par les conclyles de l' occipital . Les limites du cou sont tracées à l'extérieur
érieure, le crâne ouvre largement dans le canal rachidien par le trou occipital . Outre le prolongement médullaire auquel cet orif
se partage de chaque côté du plan moyen en cinq régions : frontale;, occipitale , pariétale, temporale, et mastoïdienne. RÉGION
terne, que sa situation expose fréquemment à être fracturée. RÉGION OCCIPITALE . Situation, délimitation, configuration. Située
suit l'attache des muscles extenseurs de la tête, de la protubérance occipitale interne vers l'apophyse mas-toïde ; en dehors et
uscles et aponévrose. La couche musculaire est formée par le peaucier occipital , joint au frontal par l'aponévrose intermédiaire.
es postérieurs. 4° Vaisseaux sanguins. L'artère de cette région est l' occipitale , d'un trajet très flexueux, dirigée en diagonale
irigée en diagonale de bas en haut et de dehors en dedans. Les veines occipitales sont souvent doubles, l'une superficielle, et l'a
es, f Squelette. Il est formé seulement par l'une des moitiés de l'os occipital , et n'est sous-cutané que dans sa partie supérieu
ale inférieure de l'aponévrose épicrânienne qui unit les deuxfmuscles occipital et frontal; elle sert elle-même d'épanouissement
t au-dessous [aponévrose épicrânienne, intermédiaire des deux muscles occipital et frontal. 3° Faisseaux. Disposés sur trois plan
ose épicrânienne, intermédiaire des cartilages de l'oreille au muscle occipital , et sur laquelle s'épanouit le petit muscle auric
ont les auriculaires postérieures, anastomosées avec les branches des occipitales ; les nerfs proviennent du sous-occipital et du so
'est dans ce trajet que les troncs fournissent les branches faciales, occipitales , auriculaires postérieures, pharyngiennes supérie
masse des muscles extenseurs de la tête, limitée en haut par la bosse occipitale externe et la ligne courbe supérieure, en bas par
gée par le sillon vertical qui en sépare les deux moitiés. A la bosse occipitale correspond intérieurement le confluent des sinus;
5° Vaisseaux. En petit nombre, ils se composent en haut des branches occipitales , inférieurement de quelques branches des scapulai
es profonds. 70 Squelette. Il se compose de la moitié inférieure de l' occipital et des sept vertèbres cervicales. L'occipital est
moitié inférieure de l'occipital et des sept vertèbres cervicales. L' occipital est parfois le siège de fractures, et, comme tous
18.) 4° Branches crâniennes. En cas de lésion d'une branche cutanée occipitale ou auriculaire, il convient, de même que pour les
ertains lieux déterminés : \°\esynciputet les régions mastoïdienne et occipitale dans les affections comateuses ; 2° la région aur
ne jugulaire externe, l'artère carotide externe avec ses divisions, l' occipitale , l'auriculaire postérieure et la pharyngienne sup
rgien écarte en haut l'artère auriculaire supérieure, en bas l'artère occipitale , isole et refoule en avant la masse de la glande
dans ce cas : la temporale, la faciale sur l'angle de la mâchoire, l' occipitale au-dessus de l'attache du complexus, la radiale à
tres artères de la tête dont on fait la ligature sont la faciale et l' occipitale . ARTÈRE FACIALE (pl. 4$ , fig- l- B et B2 ).
la face : le mieux est de lier les vaisseaux dans la plaie. ARTÈRE OCCIPITALE (pl. 44? %• 1 ^ et B 2). Cette opération est en
re moins motivée que la précédente, les branches lésées que fournit l' occipitale pouvant être comprimées directement sur les os du
er la peau dans une longueur de trois centimètres sur la ligne courbe occipitale dans le lieu indiqué ; après la section de la pea
rficielle, l'artère se présente dans un canal aponévrotique, la veine occipitale superficielle au-dessus, la veine profonde et le
enne du frontal, sur les sutures des os du crâne, sur la protubérance occipitale et vers l'angle antérieur et inférieur du pariéta
8. ANATOMIE TOPOGRAPHIQUE. CRANE. Région frontale, 29, 30.—Région occipitale , région temporale, 30. — Région pariétale, région
. — Sous-clavière, 170, 171. = Artères de la tête et du cou. Faciale, occipitale , 171. — Linguale, 172. — Carotide externe, 172. —
INDICATION DES CHIFFRES. CRANE. 1. Région frontale. 2. Région occipitale . 3. Région temporale. 4. Région pariétale.
eux linguo-facial. 9. Nerf grand hypoglosse. 10. Branche nerveuse occipitale de la seconde paire cervicale. 11. Branche anté
Attache de l'aponévrose au corps sphéno-basilaire. b. Insertion à l' occipital près de l'éminence jugulaire. L'aponévrose revê
ar N.H. Jacob. LIGATURE DES ARTÈRES CAROTIDE EXTERNE, LINGUALE, OCCIPITALE ET TEMPORALE. ADULTE, DEMI-NATURE. DISPOSITIO
dien et du trapèze. 1. Section de la peau et des attaches du muscle occipital . 2. Surface formée par les attaches du splénius
e par les attaches du splénius. 3. Nerf sous-occipital. ht. Veine occipitale profonde. 5. Artère occipitale sous laquelle es
3. Nerf sous-occipital. ht. Veine occipitale profonde. 5. Artère occipitale sous laquelle est passé un stylet aiguillé. C e
71 (1886) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1885
us marquée à droite, méplat peu pro- noncé à l'angle supérieur de l' occipital qui est saillant. L'occi- pital est aplati, les
cipital qui est saillant. L'occi- pital est aplati, les deux bosses occipitales saillantes, surtout la droite. Circonférence
attache des oreilles, 0, 5;i; de la racine du nez à la protubérance occipitale externe, 0,34 ; d'une oreille à l'autre, 0,31 ;
est très volumineuse, tandis que la gauche est à peine indiquée. L' occipital est plat suivant un plan vertical, la DES FAMIL
'IDIOTS. 27 moitié droite en retrait sur la gauche; les deux bosses occipitales sont peu saillantes, égales, mais ne sont pas s
1 m. 19. 9 juillet. Etat actuel. - Tête ovoïde assez développée; l' occipital fait une légère saillie, au dessous de laquelle
tandis qu'à gauche il existe une convexité assez marquée. La bosse occipitale droite est plus accentuée que la gauche; de mêm
plus saillante que la gauche, surtout à l'union du pariétal avec l' occipital . La bosse pariétale gauche est plus basse et pl
ses frontales et pariétales sont peu saillantes. La protubérance occipitale , assez proéminente, est surmontée d'une dépressio
72 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
mation évidente du crâne qui est microcé- phale, avec platycéphalie occipitale et brachycéphalie exagérée (Voir pl. IV). e Men
remarque au pre- mier abord un degré très prononcé de platicéphalie occipitale . L'étage basilaire du crâne est très restreint
e. Ils sont présents dans l'écorce des lobes frontaux, pariétaux et occipitaux (PI. XII). Une coupe de - la circonvolution de
par cette couche que passent les fihres de projection de la région occipitale (faces interne et externe), ce cas correspond en
pariétal. Pour ce qui en est des lésions du lobe frontal et du lobe occipital , les cas publiés par M. Dejerine semblent démon
amarginalis) ; dans quatre autres, également, les circonvolu- tions occipitales (région calcarinienne et 0, à 03) ; dans deux enf
le noyau rouge, il s'agissait de foyers strictement limités au lobe occipital (4 cas), au lobe pariétal (4 cas), ou au lobe t
du sillon de Rolando, c'est-à-dire des lobes pariétal, temporal et occipital . L'auteur élimine également du territoire cortica
198 LA SALLE ARCHAMBAULT été d'un si grand secours pour le trajet occipital des fibres géniculo-cal- cariniennes, nous avon
eau Nc. 4. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 199 du lobe occipital (cunéus, lobule lingual), et ne lésail que faible
le ramollis- sement siège à la face inféro-interne du lobe temporo occipital et atteint, en particulier, le lobule lingual,
e ; dans deux, il se localise presque entièrement au niveau du lobe occipital ; dans un, le foyer se limite assez nettement au
n de la face médiane du lobe temporo-occipital gauche. Dans le lobe occipital , ce ramollissement détruit toute la lèvre supérie
vers le bord inférieur de l'hémisphère. Plus eh avant dans le lobe occipital , le foyer détruit toute l'extrémité anté- rieur
ière circonvolution oc- cipitale, la totalité du cunéus, le segment occipital du lobule fusiforme, la ma- jeure partie du lob
on de l'hippo- campe. La lésion débute en arrière près de la pointe occipitale et s'étend en avant jusqu'au niveau d'un plan v
vertical passant par le bord antérieur du noyau rouge. Dans le lobe occipital , le ramollissement intéresse la majeure partie "d
es provenant de la face médiane. Quant aux lésions limitées au lobe occipital ou à la région rétro-rolandique du lobe pariétal,
uissions affirmer que dans les lésions strictement limitées au lobe occipital ou au lobe pariétal (exception faite de la pariét
iale, d'autres, enfin, de la face médiane du lobe temporal. Le lobe occipital , le lobe pariétal et la face externe du lobe te
s inégal des parois crâniennes, porté ici au maximum au niveau de l' occipital . Le progna- tisme, peu appréciable à l'examen d
ues parties des circon- volutions frontales, centrales, temporales, occipitales et du cervelet sont fixées dans l'alcool, d'aut
73 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
Profil des deux frères Meules montrant l'aplatissement de la région occipitale signalé chez les myopathiques par P. Marie et Ona
mple, son image vers le pôle opposé, c'est-à-dire vers la convexité occipitale gauche ; le champ auditif droit se figure diamé
embraneuse forme une bande antéro-postérieure allant de la ré- gion occipitale à la racine de la tumeur, sur une longueur de 12
autres. Voici les particularités qu'ils présentent (fig. 1 et 2). Occipital . De chaque côté, les points inférieur et supérieu
développé que le gauche. - A droite, une distance de 1 cm. sépare l' occipital du pariétal ; de l'autre côté, 5 millimètres se
(Les parties laissées en blanc sont les portions membraneuses). 1. Occipital gauche (points d'ossification supérieur et inféri
ant se dirige, partant à 5 millimètres au- dessus du rebord du trou occipital , un petit repli méningé mince, ayant au plus 1
rectiligne. Si l'on prend comme points de repère le centre du trou occipital , le milieu de la selle turci- que et la crête d
tie postérieure de l'hémisphère droit. Les deux lobes temporal et occipital ne forment qu'un ensemble peu net où courent de
plus curieuses. A droite ils sont reconnaissables. Le prolongement occipital (pl. XXIX, fig. K et L) est très nettement indi
centimètres. La communi- cation entre les prolongements frontal et occipital est de forme ovalaire, de 1 centimètre sur cm.
1 centimètre sur cm. 5 environ. A gauche, les deux prolongements occipital et sphénoïdal (pi. XXIX, fig. K et L) se présen
eaient à la région frontale, tandis que 68 existaient à la ré- gion occipitale . Nul doute que les altérations des extrémités n
ève-t-elle d'une lésion toujours pariétale ou d'une lésion toujours occipitale ; 2' la lésion est-elle corticale ou sous-corti
écises. - Observation. Cécité verbale ; hémiopie - Ramollissement occipital gauche (région calcarine) ; dégénérescence du s
il était atteint, la constalation anatomique d'un ramol- lissement occipital gauche perdait tout intérêt. Or, si incomplète qu
te à préciser la localisation et les limites du ramollisIÛâI ? è' 1 occipital . v ? « Le ramollissement occupe l'extrémité pos
lle-même. Les seules portions du cuneus respectées sont ? 1 le pôle occipital lui- même; 2°te bord an léi-o -supérieur, sui,
-supérieur, sui, toute l'étendue de la scissure perpendiculaire ou occipitale interne. En avant le ramollissement s'arrête à
l ouvert. Le lobule fusi- forme et même la troisième circonvolution occipitale dans leur partie la plus voisine du pôle sont e
alcarine. Quant aux fibres blanches qui limitent en dehors la corne occipitale du ventricule (celles qu'on appelle dans leur e
longitudinal inférieur, nettement limité en dehors par le faisceau occipital vertical. Le tapetum et le faisceau optique propr
al se prolonge sous l'aspect d'une fente linéaire jusqu'à la pointe occipitale . En dehors de la fente elle même, le tapetum et l
e l'hémisphère droit pratiquées en dehors des précédentes. La corne occipitale du ventricule latéral a été largement ouverte par
sse cérébelleuse. Mais il n'existe rien d'anormal soit du côté de l' occipital , soit du côté de la base du crâne. L'atrophie por
bordait en avant, de même qu'en arrière sur la partie asilaire de l' occipital . Le trou occipital semble très petit (diamètre
même qu'en arrière sur la partie asilaire de l'occipital. Le trou occipital semble très petit (diamètre sagittal : 31 mm. ; d
74 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
, ainsi que les vaisseaux et les mé- ninges de la moelle. 4° Lobe occipital . - Les coupes frontales du lobe occipital gauche
ges de la moelle. 4° Lobe occipital. - Les coupes frontales du lobe occipital gauche mon- trent qu'il existe une diminution d
ette couche, ce qui lui donne un aspect plus pâle que celle du lobe occipital droit. Les circonvolutions du lobe occipital ga
le que celle du lobe occipital droit. Les circonvolutions du lobe occipital gauche sont, d'une façon générale, un peu moins
n faite pour quelques petits faisceaux les plus internes. Le lobe occipital est indemne de tout foyer primitif. Comme dégén
externe et interne, à une grande partie du lobe temporal et au lobe occipital . On comprend aisé- ment que l'oblitération isol
à l'extrémité de la corne sphénoïdale,un deuxième au sommet du lobe occipital ). Dans l'observation de Blessigs (2) il existai
de Blessigs (2) il existait aussi un foyer pédonculaire et un foyer occipital , mais ce dernier avait en plus déterminé de l'h
ent pé- donculaire) et dans ses branches terminales (ramollissement occipital ) pourrait se traduire par cette association de
». Pour l'auteur ce n'est que par l'intermédiaire du ramollissement occipital que la lésion de la cérébrale postérieure pourr
ncore perceptible. La soudure n'existe pas entre les pariétaux et l' occipital . La suture sagittale, dans son point le plus rétr
on ne voit que très imparfaitement l'image du frontal; l'image de l' occipital est encore plus pâle. Au niveau du rocher et de l
radiographique, seuls le frontal, la base du temporal, et un peu l' occipital sont opaques, 2 : {2 VOISIN, MACÉ DE LÉPINAY ET
trait du massif facial. A travers l'ombre légère du frontal et de l' occipital , on voit fort bien les hémisphères cérébraux. L
e, puis- que nous avons pu obtenir au travers des pariétaux et de l' occipital l'image radiographique du cerveau. 3° L'aplas
n de volume de l'hémisphère droit porte sur les segments frontal et occipital ; une moitié seulement sur les grandes coupes du
arrière le tissu cérébral. Les scissures nombreuses, fron- tales et occipitales , se sont fermées, la substance blanche s'est tass
surface totale, différence en moins allant jusqu'à 10 0/0, au lobe occipital droit avec ses scissures profondes. Il est inté
r elle garantit la nu- trition de l'organe. Ventricules. La corne occipitale droite après avoir formé un petit diver- ticule
Le ventricule latéral gauche est tout à fait analogue dans la région occipitale ; un peu dilaté dans la partie frontale, il est
chements sanguins. Examen des coupes sériées. Dès la pointe du lobe occipital il y a une diflé- rence entre les deux hémisphè
ons récentes (Iconogr., n° 3,1906). Les faisceaux sagittaux du lobe occipital droit sont particulièrement al- térés, ce qui e
. Comme je l'ai toujours constaté en pareil cas, ce sont les cornes occipitales et frontales qui sont le plus dilatées, soit parc
ncapable de dire si la douleur commen- çait par la région frontale, occipitale , etc., du côté droit ou du côté gauche du crâne
lle s'a- mincit et prend un développement considérable dans le lobe occipital qui n'est plus réduit qu'à une simple lame de t
n de deux doigts de la main gauche derrière la tête, dans la région occipitale , suffit à faire disparaître le spasme, qui réap
e. La nouvelle opération est pratiquée et l'on sectionne la portion occipitale du trapèze, les splénius, les grands complexus, l
75 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le sorte que le diamètre transversal est augmenté ; le frontal et l' occipital ont perdu leur convexité par suite de cet aplat
rêt de développement dans les lobes préfrontaux; - 2 fois des lobes occipitaux petits et 'arrêtés dans leur développe- ment ;
éveloppement à la fois dans les lobes préfrontaux et dans les lobes occipitaux . Ces faits viennent donc à l'appui de la théorie
G. 1) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE 1. Abcès traumatique du lobe occipital droit avec symptômes cérébelleux Abcès cérébell
l'abcès avait eu pourpoint de départ une plaie infectée delà région occipitale . Chez le second malade c'est à une otite moyenn
ystagmus caractéristique des lésions du cer- velet, puis la douleur occipitale et les signes de compression bulbo protubérenti
l'abcès se trouvait dans le cervelet tandis qu'il siégeait au pôle occipital au voisinage de la plaie osseuse constaté. Le s
. Le seul symptôme qui eût permis de localiser l'abcès dans le lobe occipital , l'hémianopsie faisait défaut ou du moins les r
s des symptômes cérébelleux étaient dus à une compression des lobes occipitaux en même temps que du cervelet par une gomme que
. 112 sont assez 'volumineux ainsi que le pli courbe, PC et le lobe occipital LOC. Le pli courbe envoie un pli de passage au
lobe occipital LOC. Le pli courbe envoie un pli de passage au lobe occipital qui est assez développé, Le lobe tempo- ral a s
ditif A correspond exacte- ment au basion B (bord antérieur du trou occipital ). Or, sur un crâne normal, ces deux points sont
imètres de taille (1 m 05) et que son poids égalait 35 kilogr. L'os occipital est légèrement saillant : il semble l'avoir été d
le plan du rocher (1t), répond au plan de l'mion. op, plan du trou occipital . Les signes XX répondent aux bosses frontales e
rieur du rocher. A, trou auditif. D, basion (bord antérieur du trou occipital ;. 'Voir sur les os du crâne des myxoedémateux i
ie l·ecorce cért'Lrale : par exemple, au niveau des lobes frontal, occipital et rolandique (lobule paruceW ral). Pour le dir
structure généiale des neuroblastes. Dans les autres régions (lobe occipital , par exemple), le pro- cessus pathologique n'a
tteint à quatre atiz, à la suite d'une chute d'un mal de Pott sous- occipital , qui, guéri vers l'âge de douze ans, a laissé com
étendues chez les épileptictues. (B.) .) 372 SOCIÉTÉS SAVANTES. occipital . Si nous écoutons un mot parlé, quelclues fibrill
courants divers arrivent dans des cellules correspondantes du lobe occipital , mais produisent là des courants secondaires. A
ants secondaires. Ainsi le groupe de cellules excitées dans le lobe occipital seront alliées entre elles et causeront une hyp
e fibres d'association tous les groupes mentionnés, et dans le lobe occipital et dans le lobe pariétal. Parce que nous avons
itut polytechnique, il se déve- loppa chez le malade dans la partie occipitale de l'hémispère droit du grand cerveau une tumeu
croissant en large et en dedans exerçait une pression sur la partie occipitale gauche du grand cerveau. A la suite de cette pr
eu la surface extérieure de la partie Fin 27 396 THÉRAPEUTIQUE. occipitale de l'hémisphère droit du grand cerveau, l'endroit
le ascendante. SR, sillon dr ttolando. PC, pli courbe LOC, lobe occipital . L0, lobe orbitaire. T', T', T', 1 ? 2-. 3 ci
t. XVI. 3· T : 113Lh Dh.S 31ATlÈItFS .lm : i.a tranmatiyue u lobe occipital choit avec sympômes cérébelleux. - cérébt lli
76 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Céphalalgie tenace, siégeant souvent mais non toujours à la région occipitale , vomissements, vertiges persistants accompagnés
une lésion (ramollissement) limitée aux lobules linguaux des lobes occipitaux , la partie posté- 84 REVUE d'anatomie ET DE PHY
trophie du lobe frontal au lobe pariétal, ni de l'intégrité du lobe occipital ; le processus mar- cherait du reste surtout pa
portion pa- riétale du lobe temporal et d'un petit segment du lobe occipital , ayant entraîné une dégénérescence secondaire d
rela- lion à cet égard entre le cervelet, le lobe frontal, le lobe occipital . Intégrité des autres éléments cérébelleux, not
out les deux couches externes qui ont souffert; les circonvolutions occipitales gauches et la circonvolution du corps calleux o
partie des fibres inte1'mé- lliui1'es. Les ascendantes et les lobes occipitaux sont le moins endom- magés. Telles sont les alt
ans la substance blanche de l'hémisphère droit, au niveau du lobe occipital une masse cancéreuse de la grosseur d'un oeuf d
voque quelque douleur; la pres- sion à la nuque, entre l'atlas et l' occipital détermine une tension particulière ainsi qu'une
es ascendantes, pariétales ascendantes, lobules paracentraux, lobes occipitaux , insulas, corps striés, des deux côtés - de la fr
il pousse de temps à autre des gémissements, accuse des douleurs occipitales , cérébrales, abdominales. Gâtisme, malpropreté, i
ion siégeant sur le parcours compris entre la rétine et les centres occipitaux , comme dans les cas d'intoxication alcoolique,
cerveau, avec recherches SUR LE TYPE DES CIRCONVOLU- TIONS DU LOBE occipital DES mammifères ET résultats DE pesées DES lobes
ment étendu de l'hémisphère droit dont l'analyse montre que le lobe occipital envoie ses fibres au pulvinar et aux ganglions
LES DE la VUE ET DE leur hiérarchie par rapport aux LÉSIONS du lobe occipital ; par MOOREN. (Neurol. Centralbl., 1888.) Nous
minution de l'acuité visuelle. Mais ce sont les altérations du lobe occipital qui se traduisent par l'abolition de ces deux f
e des tubercules quadrijumeaux, caractérise l'hémianopsie d'origine occipitale . La perception des couleurs occupe la couche la
n des couleurs occupe la couche la plus externe de l'écorce du lobe occipital ; au-dessous d'elle est le centre de l'acuité vis
'en préciser le substratum anatomique, il est évident que le lobe occipital , sans être détruit, peut, par une lésion diffuse,
e manifestent que lorsque les excitations déterminées par la lésion occipitale ont été assez fortes pour engendrer de l'hypéré
lucinatoire, par Hoppe, 96; - troubles de la - et lésions du lobe occipital , par Mooren, 434. 'Zones épileptogènes, par H
77 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
minuant à mesure que l'on mon-« tait vers la base du crâne et le trou occipital . Dans une assez grande longueur, environ du milie
e; 4° que, depuis la septième vertèbre cervicale jusqu'au niveau de l' occipital , l'altération allait progressivement en diminuant
os du crâne. Une autre fois, le péricrâne des deux pariétaux et de l' occipital était séparé des os par une couche épaisse de san
lieu indépendamment de l'apoplexie, peut servir à expliquer ces abcès occipitaux que l'on voit survenir dans les premiers jours qu
os à nu. J'ai donné mes soins à un enfant dont la portion large de l' occipital se sépara en trois fragments qui furent successiv
latation du col très lente. Ouverture. Crâne déformé. Le frontal et l' occipital rapprochés avaient refoulé sur les côtés les deux
en arrière; l'ossification était très avancée; les sutures réunies; l' occipital présentait une crête transversale très saillante,
présentait une crête transversale très saillante, analogue à la crête occipitale des animaux; le diamètre vertical du crâne était
onsidérable; sa circonférence prise au niveau des bosses frontales et occipitales est de deux pieds. La fontanelle antérieure a un
blation du pariétal, du frontal droit et de la partie supérieure de l' occipital . La faux cérébrale, F, est énorme; sur elle est a
ues circonvolutions appliquées contre la faux, et occupant les fosses occipitale et temporale; la surface interne de ce débris qui
; les débris du cervelet, DC, DC. Fig. 5. Base du crâne. Les fosses occipitales inférieures ont un peu moins de capacité que de c
-mère et la tente du cervelet incisées, la moelle coupée vers le trou occipital , la masse encéphalique enlevée et renversée, on r
a masse encéphalique enlevée et renversée, on remarque que les fosses occipitales inférieures sont remplies de sérosité. « A la pla
par deux pédoncules membraneux et gélatineux, l'existence des fosses occipitales inférieures, la présence de la sérosité dans ces
Exemple : un homme fait une chute de huit pieds de haut sur la région occipitale ; forte contusion. Saignée. Symptômes de phlébite
tails qui me manquent sur le sujet des figures 5 et 3'. Céphalalgie occipitale . Paralysie du mouvement de la moitié gauche du co
long-temps d'une douleur vive, lancinante intermittente, à la région occipitale , fut pris tout-à-coup de strabisme. La vue s'aff
aigreur générale ; pâleur de la face et de toute la peau. Céphalalgie occipitale ; déviation de la bouche à gauche, et abaissement
he; intelligence nette ; état très variable des pupilles. Céphalalgie occipitale ne revenant qu'à des intervalles éloignés. Dans
DU FOETUS. « MONSTRUOSITÉS. XIXe livr., Pl. V et VI. Spina bifida occipital et cervical antérieur. Hernie cervicale du poumon
O, 2e TO, ouvertes, permettent d'apprécier leur situation à la région occipitale et leur position relative, l'une lre TO occupant
ant : on chercherait vainement la portion postérieure ou écaille de l' occipital : il n'en existe pas de traces. L'ouverture ou
nte la base du crâne et qu'on prendrait au premier abord pour le trou occipital , est constitué, par toutes les vertèbres de la ré
. Derrière le rocher se voit un os OL, qui lui est parallèle; c'est l' occipital latéral, facile à reconnaître au trou condylien a
onsidère comme vestige un petit fragment osseux O B? situé derrière l' occipital latéral droit OL et rejeté en arrière. Je ferai
auches, 1 2 G sont soudées. On reconnaît aisément les roches R R, les occipitaux latéraux OL, OL, les arcs latéraux des vertèbres
a région supérieure du dos, la partie postérieure ou écaille use de l' occipital ne pourra se développer : le cerveau comprimé dan
ide remplacera le cerveau. Dans tous les cas , il y aura spina bifida occipital . Le renversement de la tête en arrière n'explique
le antérieure devenue base du crâne, comme il fait effort à la région occipitale ; d'où la division des corps de vertèbres cervical
circonvolutions ou étendu à un très grand nombre. Les circonvolutions occipitales sont celles qui m'ont paru les plus susceptibles
cée par une lame jaunâtre. Il est à remarquer que les circonvolutions occipitales sont celles qui présentent le plus souvent ces ci
e. La substance grise de toutes les circonvolutions et anfractuosités occipitales , la convexité de l'hémisphère gauche, à l'excepti
1 ! 6 b' 3 - ; Maladies du fœtus. Monstruosité spina bifida occipital et cervical antérieur; hernie cervicale du poumon
78 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
très profonde, et sépare complètement des lobes pariétaux les lobes occipitaux qui forment calotte, reproduisant ainsi à un ha
ins haut, et est beaucoup plus volumi- neux qu'à gauche. 3° Lobes occipitaux . Les deux plis de passage pariéto-occipitaux s
ndiculaire externe sans la moindre duplicature. Les circonvolutions occipitales sont à peine indiquées. 4° Lobes temporaux. Eno
ych., XIV, 3) '. Porencéphalie-bilatérale symétrique des deux lobes occipitaux chez un foetus de huit mois : atrophie totale d
; chez lui, le système des fibres de projection de l'écorce du lobe occipital aux centres optiques infracorticaux a beaucoup
corce ; le corps genouillé interne est eu rapport non avec le' lobe occipital , mais avec le lobe temporal ; les faisceaux de
? ) Observation du mémoire actuel. Encéphalomulacie des deux lobes occipitaux avec lacune dans la première circonvolution tem
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 81 côtés, les circonvolutions occipitales sont anéanties ou séparées de leurs attaches pé
ce versd. Planches à l'appui. Conclusion générale. L'écorce du lobe occipital est étroitement unie aux centres optiques prima
ion des cellules est plus marquée. Les cellules de l'écorce du lobe occipital demeurent intactes. On ne peut, en supposant qu
llules granulo-graisseuses.En ce qui concerne les relations du lobe occipital avec les centres optiques infra- corticaux, au
gauche homonyme, lui permet d'affirmer que la destruction d'un lobe occipital s'accompagne de dégénérescence des centres opti
e convexe de l'hé- misphère, c'est-à-dire les trois circonvolutions occipitales pro- prement dites; c'est sur la paroi externe
hémisphères cérébraux très difficile à prendre, par exemple le lobe occipital où se réunis- sent une surface plane, une surfa
e,. Etat actuel (17 mai 1881). 7"c/c ovale, symétrique; la région occipitale est modérément déveluppée ; les bosses pa- riét
depuis l'ex- trémité supérieure de cette scissure jusqu'à la pointe occipitale 7 centimètres et demi. CAS DE MÉLANCOLIE AVEC
e blanche qui contiennent les fibres de projection issues des lobes occipitaux et d'une partie de celles qui viennent des circ
convolutions pariétales et tempo- rales,'d sorte que les deux lobes occipitaux , une petite portion du lobe temporal droit, une
(cécité corticale presque totale) ; destruction dans les deux lobes occipitaux , mais intégrité complète des deux globes oculai
plectiforme, comme les deux foyers sont limités aux circonvolutions occipitales et qu'en dehors de l'amaurose on n'a rencontré
s se réunissent danslasubstance blanche anté- ropostérieure du lobe occipital en un solide tractus qui se dirige le long du t
um du corps calleux (Reil) et entre dans l'écorce de circonvolution occipitale et surtout dans celle du coin, du lobule lingua
79 (1907) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1906
ment plagiocéphalique avec frontal droit un peu saillant en avant, et occipital gauche un peu plus saillant en arrière. Les sutur
la pie-mère, sans ecchymose. Sclérose atrophique d'une partie du lobe occipital et de la par-tie postérieure du lobe temporal sur
la face interne prédomine sur les circonvolutions antérieures du lobe occipital : en arrière les circonvolutions sont plus maigre
ce des sutures, la mètopique est seule fermée. Forme irrègulière de l' occipital . Pas de lésions des méninges. Arrêt de développem
elu. Erythème très prononcé des fesses . Un peu d'eczéma de la région occipitale . La dentition do lait est complète. Elle est norm
ecchymose. — Crâne petit; de forme irrégulière; la partie droite de l' occipital est comme carrée. Les os du crâne sont très peu é
Les fosses orbitaires et temporales paraissent symétriques ; la fosse occipitale gauche est comme carrée, ce qui répond à la forme
ndantes grosses, défigurées, avec un pli de passage large ; les lobes occipitaux sont tout petits. Les sillons sont très irrégul
80 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
s, nomb. et larges plaques t r a n s p a r e n t e s , applat. de l' occipital droit. — Pas de synostose. — II. G. adhér e n
, sont finement dentelées et gor-gées de sang. La partie médiane de l' occipital est légèrement Fig. 15. — Bar... en .janvier 10
te des pariétaux. Légère plagiocéphalie, frontal gauche en retrait, occipital gauche en saillie. —Pende liquide céphalo-rachidi
lle a eu un vomisse-ment. 10 mai. — Douleurs sourdes dans la région occipitale gauche ; l'état des yeux n'est pas modifié ; touj
onvolutions du lobe temporal ne sont dis-tinctes qu'en avant. Le Jobe occipital est petit. Hémisphère gauche (550 gr.). La scis
épaissi (9 mm. à d. et 8 à g. Le pariétal d. 5 mm. et le g. 3 mm. ; l' occipital d. 4 mm. et 3 àg.). Toutes les sutures persistent
a circonvolution du corps calleux. — Le lobule paracentral et le lobe occipital sont indemnes sur la face interne, la méningo-enc
âne. Les différentes parties de la base du crâne sont égales. Le trou occipital est normal. La glande pituitaire est assez volumi
pâle. — Os du crâne: durs, peu épais au niveau des temporaux et de l' occipital , les os du front sont considérablement épaissis (
à droite 12 mm). —Apophyse crista galli : mince et petite. — La fosse occipitale gauche est plus petite que la droite. — Les fos
droit. — Corps calleux normal. Dilatation assez prononcée de la corne occipitale de l'hémisphère gauche. — Le corps strié, la couc
ésions en foyer pour expliquer la parésie. La dilata lion de la corne occipitale du ventricule latéral gauche permettrait l'hypoth
81 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
ANÉVRYSME DE L'AHTÈRE VERTÉBRALE GAUCUE 13 Dans les coupes les plus occipitales du cervelet, on trouve à gauche un petit reste
ont la limite supérieure correspond exac- tement aux lignes courbes occipitales supérieures. A ce niveau la peau est mobile et
emarquer. Au moment d'extraire le cerveau on remarque que les pôles occipitaux et frontaux se détachent facilement, mais on ne
n'a-t-on pas trouvé, il droite du moins, un ramollissement du lobe occipital , puisque la cérébrale postérieure, de ce côté éta
région orbitaire, la région malaire et en dernier lieu les régions occipitale , frontale et palatine. Il y a bien un cas où le
tte époque, elle a très souvent souffert de céphalées temporales et occipitales , s'exaspérant surtout la nuit. Elle n'a jamais
ques survenues à cet endroit. Les mouvements des articulations de l' occipital avec l'axis et l'atlas sont conservés et normaux.
rande vio- lence (un coup de pied de cheval) portant en plein sur l' occipital ne donne pas d'hémiplégie. Mais si le traumatis
iplégie. Mais si le traumatisme porte sur le bord de l'écaille de l' occipital , la lésion produite a pour conséquence l'hémianop
me la lésion du bord du pariétal correspondant, sans lésion du bord occipital , ne peut déterminer l'hémiopie, à moins que le tr
re d'hémianopsies latérales homonymes à la suite de lésions du bord occipital dans la collection Henschen. Cependant le point
la pie- mère à droite et remplissait en arrière les deux concavités occipitales ; le sang pénétrait également dans le ventricul
t au-dessus du splénium du corps calleux atteint légèrement le lobe occipital dans la deuxième circonvolution temporo-occipit
pariétal inférieur; PC, pli courbe; ° : 1' deuxième mr- convolution occipitale ; 0" troisième circonvolution occipitale, 'l'" tro
1' deuxième mr- convolution occipitale; 0" troisième circonvolution occipitale , 'l'" troisième circonvolution tem- ])orale; SP
elle redevient libre et embroche un peu la deuxième circonvolution occipitale , au-dessous du pli courbé. Voici une lésion qui
la substance et ne se termine qu'au droit de la 3e cir- convolution occipitale . En rencontrant l'occipitale, la portion de proje
qu'au droit de la 3e cir- convolution occipitale. En rencontrant l' occipitale , la portion de projectile qui y était pervenue,
était pervenue, fut déviée, elle perça à travers les circonvolutions occipitales DE L'HÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE 391 jusqu'à la ba
ors de l'opération on trouva que l'abcès intéressait plutôt le lobe occipital et le lobule du pli courbé (l'altération de cet
ace une largeur disproportionnée à celle du front ; la protubérance occipitale fait une forte saillie ; l'angle sternal et l'ins
endices collatéraux et même de leur disparition totale. 2. Région occipitale . - La quantité d'appendices collatéraux qui couvr
d'appendices collatéraux qui couvrent les dendrites dans la région occipitale comparativement avec les lobes frontaux est bie
lobes frontaux et dans la région motrice gauche, que dans les lobes occipitaux . Dans le lobe fron- tal le nombre d'appendices
luisantes, quelquefois avec des globules noirs en dedans. B) Lobe occipital . Nous avons pris deux morceaux. Par places le ta-
e globules noirs se trouvant en liaison avec les vaisseaux. B) Lobe occipital . - Le tableau microscopique a beaucoup de ressem-
ressem- blance avec le tableau observé sur les préparations du lobe occipital gauche, mais seulement il y a ici bien moins de
groupes, auprès de la périphérie de l'écorce cérébrale.- b) Région occipitale .- On observe appro- ximativement le même tablea
à peu près au-dessus et légèrement en arrière de la sortie du nerf occipital gauche est décidément plus molle à la pression et
nt continuellement pendant des mois puis s'aggravant, à gauche de l' occipital un ganglion large et ramolli. En marchant il se
82 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cissure interpariétale. L. 0., Lobule orbitaire. L. 0. C., Lobule occipital . EXPLICATION DES PLANCHES. 39 Se. S., Scissur
mètres ; dans sa partie moyenne le frontal atteint 14 millimères, l' occipital près de sa pointe supérieure où siège un gros o
erveau présente, surtout au niveau des lobes frontaux, pariétaux et occipitaux , des altérations de la méningoencéphalite avec
t en rapport avec les altérations cérébrales des régions frontales, occipitales . P. KERAVAL. XVIII. Petite contribution à la qu
s yeux peuvent être provoqués par l'excitation électrique des lobes occipitaux (sphère visuelle). Mes expériences ne portent
galité de poids des hémisphe- res cérébraux. Malformation des lobes occipitaux dans lesquels les sinus latéraux se sont creusé
re ; foie également congestionné. 216 RECUEIL DE faits. Les lobes occipitaux du cerveau présentent en arrière une anomalie t
ue à deux centimètres en avant de l'extrémité postérieure des lobes occipitaux pour former ces sinus. L'hémisphère cérébral ga
ésions constatées à l'autopsie consistaient dans une félure de l'os occipital sans déplacement osseux et dans un épanchement
maladie de Basedow. · A. FENAYROU. XLV. Un cas de tumeur du lobe occipital ; par le Dr Weber. (Rev. méd. de la Suisse Roman
dans l'hémisphère cérébral droit une tumeur qui s'étendait du pôle occipital jusque vers le milieu de l'hippocampe, occupant
riétal étaient plus développés que la région temporo-sphénoïdale et occipitale . Dans les deux cas décrits par Cunningham et Te
e notoire et essentiel du cerveau réduit est l'état abortif du lobe occipital ». La place qui nous est assignée ne nous perme
en avant de la fissure triradiée, et dans les régions pariétale et occipitale , le cortex était remplacé par une membrane poli
circulaire, avec une tendance au parallélisme des plans frontal et occipital . Le crâne lui-même est généralement mince et, e
us, ou plan incliné formé par la réunion des procès basilaires de l' occipital et du sphénoïde, est très escarpé. Les fosses c
ant de la partie antérieure du lobe frontal droit presque jusqu'à l' occipital , laissant la lame orbitale nue et découvrant une
aient le troisième ventricule, le ventricule latéral droit, le lobe occipital droit, la face convexe de la région frontale dr
cortex/spécialement des circonvolutions frontales et centrales, les occipitales n'étant relati- vement que peu affectées. Il y
s frontale, frontale ascendante, pariétale ascendante, pariétale et occipitale . En apparence, c'est comme du blanc d'oeuf, dur
3-1889). En 1874, Hitzig fait remarquer qu'après une lésion du lobe occipital , l'oeil du côté opposé est frappé de cécité. Ce
réactions correspondantes. Les fibres qui rayonnent vers les lobes occipitaux se dessinent grâce à leur couleur intense ; cel
tions centrales se décolorent le moins vile et avant tout les lobes occipitaux . . 424 £ . CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE.
à l'existence d'une tumeur cérébelleuse à raison de la céphalalgie occipitale , de la pupille étranglée, de la tituba- tion en
lton; 130, par van Gehuchten et Le-i\lolt, t, 132. Tumeur du lobe occipital , par Weber, 227. Urine. Evacuation involontai
83 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
de taille moyenne. Tête en forme de tour; absence de toute voussure occipitale . Peau de la figure et du ventre légèrement pig-
postérieur du cerveau ne se trouve que très peu en arrière du trou occipital . Vu de haut, au lieu de présenter un pourtour 1
essus d'un plan passant par les bosses frontales et la protubérance occipitale ; au-dessous de ce plan, on remarque que le lob
ent et occupe une place énorme en comparaison des lobes frontaux et occipitaux . L'axe de la protubérance et de la moelle allon
enne dans la région du chiasma. Légère injection sur les deux pôles occipitaux . Les pôles tem- poraux font fortement saillie à
de la moelle allongée un bourrelet symétrique correspondant au trou occipital , PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UN 011'Ci : ltiALIQUE
es. Les sillons sont étroits. Sur les coupes transversales, le lobe occipital a une forme triangulaire, comme tirée au cordea
- rales y paraissent atrophiées. Sur les coupes sagittales, le lobe occipital sur- ' tout présente des circonvolutions très n
a boite osseuse, la forme triangulaire, presque rectiligne, du lobe occipital , entraînant le déplacement de la scissure cal-
ournir des indi- cations importantes. Peu visibles au vertex, à l' occipital et dans la partie supérieure du frontal et des
E GÉNÉRALE CHEZ UNE OXYCÉPHALIQUE 23 dehors et intéressant la corne occipitale . Le diamètre oblique indique la moyenne obtenue
nt plus en arrière et échelonnées sur toute la longueur de la corne occipitale . La distance verticale i', entre cette corne et
e et la périphérie, n'entre pas en ligne de compte, puisque le lobe occipital ne repose pas sur l'os, mais sur la tente du ce
sion, de rotation et de pronation. La main peut atteindre la région occipitale et même le vertex. Elle est d'abord lancée légè
'opération. Autopsie (DI HmTEs). Incision opératoire dans la région occipitale et ou- verture du crâne au même niveau. Fractur
e au même niveau. Fracture de la partie postérieure du bord du trou occipital . Pas d'hémorragie locale, seulement des petits ca
SUR LES HEMORRAGIES MÉNINGÉES 323 sombre liquide s'écoulait du lobe occipital droit. A l'examen attentif, on a découvert à ce
'une noisette. Cet endroit est situé sur la surface interne du lobe occipital droit (environ 3 centimètres du pôle arrière du
loppement prépondérant de la face, le prognathisme, la saillie de l' occipital et la cyphose cervico-dorsale, tous caractères
eux talons au même niveau, la tète repose normalement sur la région occipitale . Tous les mouvements de la tête s'exécutent nor
dans les membres inférieurs. Il souffrait, en outre, d'une céphalée occipitale , exagérée par les mouvements, qui a été vive pe
84 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
pparition d'exostoses au niveau de deux apophyses mastoïdes et de l' occipital . Les maxillaires inférieurs et la région lombai
ouvé une hydrocé- phalie remarquable par sa localisation à la corne occipitale des deux ventricules latéraux et par sa coexist
-1. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. aux dépens de la corne occipitale du ventricule latéral; elle mesure 0m,10 de lon
t O'n,07 de largeur et se termine en cul-de-sac a la pointe du lobe occipital dont toute la substance blanche a disparu ainsi
s le ventricule latéral. - b. Scissure courbe d'Arnold. c. Scissure occipitale (perpendiculaire interne). - d. Sil- lon second
a cavité ventriculaire qui s'étend de la corne frontale il la corne occipitale et de la circonférence externe au bord interne
les à suivre avec le doigt ; la pro- L'ACROMÉGALIE. 181 tubérance occipitale externe et les lignes qui en partent font une sai
il la nuque, à deux travers de doigt à gauche de la pro- tubérance occipitale externe, une légère saillie osseuse, qui remonte,
ètre mento-bregmatique, 27. Distance de la racine du nez à la bosse occipitale , 19 centimètres. Diamètre bi-malaire, 15 centim
elles qui réunissent le frontal aux pariétaux, et les pariétaux à l' occipital , font une proéminence très appréciable, une sor
t envahies par l'hyperostosc. Au niveau de l'angle supérieur de l' occipital au point de jonction avec la 2<0 NOUVELLE IC
L'accroissement anormal de la peau est surtout visible il la région occipitale . Au niveau de la protu- bérance occipitale exte
out visible il la région occipitale. Au niveau de la protu- bérance occipitale externe se trouve une exostose horizontale en for
nences osseuses, aplaties, allant des os pariétaux à l'écaille de l' occipital . Les cheveux sont abondants et épais, ils crois
85 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mme nous l'avions pensé, dans le lobe temporal, mais dans le lobe occipital ; intégrité du chiasma, déchéance de la troisième
le centre A des images écrites des mots et des lettres dans le lobe occipital , le centre B d'association des lettres quelque
rale; destruction de l'un ou des deux centres optiques dans un lobe occipital , ou de l'irradiation des fibres optiques ou des n
s, opéré également par Keen, la tumeur était localisée dans le lobe occipital et ne fut pas enlevée, car le malade mourut le
de la vie, a abaissé le rocher, tiré sur la partie écailleuse de l' occipital et déplacé en bas et à gauche la moitié corresp
troubles du sens du lieu, qui se montrent dans les lésions du lobe occipital , tiennent à la perte d'un grand nombre d'images c
ement prognathe, mal développée, surtout dans la région frontale et occipitale . Deux photographies, l'une prise à vingt et un
es franches pour se développer. J'irai jusque dans les frontales et occipitales de façon que ces lobes, principa- lement le fro
pouce en deçà du sommet supra-orbitaire et presque en arrière de l' occipital , mesurant 6 pouces 1/4 de longueur, et un quart d
la ligne médiane de la base du nez jusqu'au-delà de la protubérance occipitale . La peau du crâne est écartée d'un pouce environ
pouce, s'étendant juste au-dessus des yeux jusqu'à la protubérance occipitale , laissant un pont de trois quarts de pouce de l
bas, au fond du gosier, il contracte en même temps le frontal et l' occipital et tend fortement le cuir chevelu. Cette contra
la partie postérieure du pli courbe et la partie adjacente du lobe occipital ), plus les scotômes hémianopiques sont symé- tr
ectives de couleurs, trouva un foyer de ramollissement dans le lobe occipital droit; analogues sont les observations de Jowen
prouvant la lésion uni- latérale des centres visuelles de l'écorce occipitale . c). Considérons maintenant en quoi les formes
e siège, comme dans le cas de l'amblyopie transitoire, dans le lobe occipital (Samelsohn) 2.. Et, même les troubles de la p
hémisphère est profonde, et atteint les fibres envoyées par le lobe occipital aux ganglions visuels de la base, l'hémianopsie
ou- bles de la mémoire optique, dont les centres occupent le lobe occipital . ' En effet, il semble, d'après les nombreuses
t-à-dire penser que l'affection intéresse tout de même un seul lobe occipital du cerveau, mais qu'il y a anomalie de distribu
re plusieurs à la fois, des régions pos- térieures de l'écorce lobe occipital , pariétal et temporal - où se trouvent surtout
la vision maculaire est mieux vascularisé que le reste de l'écorce occipitale visuelle, nous pouvons comprendre pour- quoi l'
s centres visuels corticaux (surtout le cuneus et la circonvolution occipitale superieure), à la suite de troubles circulatoir
de paralysie, mais il éprouve de violentes douleurs dans la région occipitale , et présente un tremblement généralisé, surtout
s le lobule pariétal inférieur, et le pli courbe gagner l'extrémité occipitale de la scissure de Sylvius. Quatrième opération
86 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
endante, les première et deuxième pariétales et les circonvolutions occipitales de l'hémi- sphère droit. J.-B. CHARCOT. VII.
ieure du corps calleux et ayant proliféré dans la substance du`lobe occipital droit/ D'avant t en airière, la tumeur/atteint,
sillon cal- loso-marginal, dépasse en haut de 2 centimètres le lobe occipital , comprime les tubercules quadrijumeaux 'et le'
nt deux sièges différents' : la région frontale gauche et la région occipitale droite ; dans ces deux points, de dehors en ded
mer cette manière'de ! voir,'e'est que-les'deux.lésions^frontale et occipitale ) occupent les-deux extrémités ! d'un. même axe cr
circonvolutions occipito- 'temporales inférieures,- de la troisième occipitale ; et la moitié infé- rieure de la pariétale infé
e incision partant de l'éminence frontale gauche àt la protubérance occipitale . On, sépara, le cuir chevelu, on soulevai 1 le
, partant de la bosse frontale jusqu'à un pouce de\ la protubérance occipitale . On ramena le périoste sur cette ouver- ture, o
s du cerveau, et l'atrophie des lobes, spécialement le frontal et l' occipital . L'examen microscopique montre la diminu- tion
s les plus importantes; on peut alors distinguer les lobes frontal, occipital , pariétaux et temporaux et les scissures primit
ndaires apparaissent entre le cinquième et le sixième mois; le lobe occipital couvrirait le cervelet au sixième mois, selon B
'il a fait après la mort sur un cas d'adulte, chez lequel les lobes occipitaux étaient défectueux et où il y avait aplatisseme
Le lobe droit est moins altéré. Enfin en arrivant dans le lobe occipital , on retrouve encore une atrophie très marquée d
araitre dans le lobe pariétal et s'atténuer de nouveau dans le lobe occipital , le plus éloigné de la cause de compression. Da
tumeur cérébelleuse (nystagmus oculaire, vertige intense, céphalée occipitale , constipation, vomissements, tendance à la chut
bres tangentielles épaisses. La première frontale gauche et le lobe occipital droit possèdent une abondance considé- rable de
s centres optiques primitifs (infra-corti- caux), dépendent du lobe occipital correspondant, puisque les lésions encéphalomal
céphalomalaciques, hydrocéphaliques, traumatiques ou autres du lobe occipital , entraînant des dégénérescences secondaires de
es organes. La dégénérescence secondaire part du point lésé du lobe occipital et se propage par la substance blanche antéro-p
s dépend de la différence de localisations des lésions dans le lobe occipital . La dégénérescence secondaire est en tout sembl
de la fissure calcarine (coin lobule lingual pre- mière et deuxième occipitale ) commande au corps genouillé externe, au pulvin
courbe, se groupent, avec quelques fibres des première et deuxième occipitales , en un trous- seau de fibres blanches qui const
e sont en relation avec les parties corticales de la pointe du lobe occipital ; celles qui sont plus antérieures, sont surtout
s ont été les suivants : névralgie inlen-eà à gauche et céphalalgie occipitale , paroxystiques pendant plusieurs mois, et accom
87 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
s. Quelques douleurs à type fulgurant existeraient dans la ré- gion occipitale . UN CAS DE TABES SUPÉRIEUR AVEC CONSERVATION DE
- tés. Elle a eu de plus des douleurs à type fulgurant dans la zone occipitale . Si chez elle beaucoup de symptômes ne sont qu'
s la surface du lobe frontal droit et du lobe temporo-sphénoldal et occipital gauche où se trouvent de véritables foyers de ram
emenLproéminent ; les mains et les pieds sont énormes; les saillies occipitales sont aussi très développées. Le faciès acroméga
c'est a peu près un 1/8-1/9 de la surface dorsale pariétale. Lobe occipital . Sauf l'union déjà nommée de la scissure pariétal
l. Sauf l'union déjà nommée de la scissure pariétale avec le sillon occipital longitudinal supérieur rien de particulier n'a ét
cérébrale. Comme le montre très distinctement la Pl.XXVI,le lobe occipital gauche se présente comme un morceau indépendant
r ses bords latéraux et inférieurs. Le passage de la circonvolution occipitale supérieure il la circonvolu- tion pariétale sup
eure est resté intact, tandis que le passage de la cir- convolution occipitale médiane à la circonvolution pariétale inférieure
; on voit ainsi une démarcation très distincte de la circonvolution occipitale médiane. A la surface inférieure, les circonvol
s. La figure nous fait voir très évidemment une inclinaison du lobe occipital à la hauteur de l'impressio petrosa ; comme si
cle il la propagation du processus destructif, de sorte que le lobe occipital est resté épargné. , . Lobe temporal. A droite,
tissu détruit. Grâce à cette modification, le trajet de la fissure occipitale est à peu près horizontal, tandis que la scissu
on, les filets les. plus externes entrenl en relations avec le lobe occipital et les' fibres plus médianes avec les circonvol
laires latérales,et sur une trouvaille de lt'ilakler où sur un lobe occipital normal fut trouvé une dégénération du fascicule
à la surface du lobe frontal droit et du lobe temporo-sphénoïdal et occipital gauche oit se trouvent de véritables foyers de ra
noïdienno dans toute la fosse sylvienne et dans les sillons du lobe occipital . Moelle. - Ici l'altération atteint des limites
ette hypertrophie porte principalement sur la face. La protubérance occipitale externe est extra- ordinairement développée ; l
88 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
senbach, ont tous produit des accès d'épilepsie en excitant le lobe occipital . Pour être efficace, l'excitation portée sur ce
Comme, après l'ablation de la zone motrice, les excitations du lobe occipital ne provoquent plus de convul- sions, on en conc
ions épileptiformes, ne suffit pas lorsqu'on l'applique aux régions occipitales ; 2° ce n'est qu'avec des cou- rants d'une plus
met pas fin aux convul- sions. L'excitation portée sur les régions occipitales se propage horizontalement à travers l'écorce,
iété épileptogène autonome que Unverricht semble accorder aux lobes occipitaux 2, Unverricht soutient que de pures affections
ion aux éléments moteurs, produire des accès convul- sifs : le lobe occipital n'a pas de « propriété épileptogène » spéciale.
arqué, qui unissent le lobe frontal aux lobes temporal, pariétal et occipital , au faisceau longitudinal inférieur, au faisceau
it atteint. La troisième observation est celle d'une tumeur du lobe occipital droit (Wollenberg); vertiges, attaques épilepti
at de la plaie. Le coup a été porté il la partie supérieure de l'os occipital près de son point de suture avec les deux parié
t de la tête et en arrière, à la réunion des deux pariétaux et de l' occipital , au-dessus des sinus latéraux et du pressoir d'
masse du bulbe. T. Q, tubercules quadrijumeaux. C, coin, ou lobule occipital interne. - A C, avant-coin, ou lobule quadrilat
rois cas d'altération du nerf optique à la suite de lésions du lobe occipital du cerveau, présentation des pièces. Les deux p
porencéphalie et amoindrissement consi- dérable des circonvolutions occipitales d'un côté, avec hydrocépha- lie très marquée) o
intra-crâniennedu nerf optique, des foyers bilatéraux dans le lobe occipital . Le mémoire sera publié. Séance du 11 novembre
oire publié. M. Sachs (de Breslau). De la substance blanche du lobe occipital dans le cerveau humain. Mémoire publié. Démonst
t le centre cortical de la vision en 1835, dans les circonvolutions occipitales . Munck l'étendit au lobe occi- pital. Luciani e
endant ses attaques, et qui est alors très douloureux. Céphalalgies occipitales et tem- porales fréquentes. Digestion. -Bon a
E la bandelette OPTIQUE ET DU serf OPTIQUE dans les lésions du lobe occipital du cerveau, par C. Moeli. (.-11'Ch. f.Psych.,XX
. , Deux observations montrant que les lésions cérébrales du lobe occipital atteint pendant son développement se traduisent p
altération de la bandelette et du nerf - dans les lésions du lobe occipital , par Moeli, 'F00. Oreille, mouvements de 1'- et
89 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
. 10. Tête. Crâne symétrique. Bosses pariétales prononcées. Bosse occipitale saillante, surmontée d'un léger méplat. Les che
rieur, P, volumineux et sinueux, envoie un pli de pas- sage au lobe occipital et un autre au pli courbe. Le pli parié- tal in
ourbe, P C. Ce dernier est peu développé, mais entre lui et le lobe occipital , il existe une circonvolution composée de trois
volution composée de trois replis (lobule du pli courbe). Le lobe occipital , LO, est composé de circonvolutions assez pliss
rficiel. Le coin, LC, est sinueux, avec des plis superficiels. Lobe occipital assez bien développé et plissé. La circonvoluti
de deux replis sinueux, envoie en arrière un pli de passage au lobe occipital . P2,non dédoublée, envoie un pli de passage ass
ourbe, bien dé- veloppé, et qui envoie deux plis de passage au lobe occipital composé de circonvolutions assez petites, prése
forte, haute, en forme de toit, sans saillies exagérées. La région occipitale est aplatie. Inclinaison très rapide, du vertex
90 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
artie postérieure du crâne et occupant en haut la région moyenne de l' occipital . Cette tumeur, qui nais-sait au-dessous de l'angl
tal. Cette tumeur, qui nais-sait au-dessous de l'angle supérieur de l' occipital descendait jus-qu'aux premières vertèbres sacrées
ête, est de 10 centimètres 1/2. En avant de la tumeur, du sommet de l' occipital à l'épine nasale, la distance est de 7 centimètre
resté dans la cavité crânienne reposant en grande partie sur la fesse occipitale gauche. De ce côté, en effet, il persiste une lam
se occipitale gauche. De ce côté, en effet, il persiste une lame de l' occipital large de 2 centimètres, tandis que, du côté droit
c la face inférieure du cervelet, ils sont en contact avec les cornes occipitales , formant au-dessous d'elles une sorte de cordon p
ar lequel fait hernie la substance nerveuse est formé aux dépens de l' occipital , des vertèbres cervicales et des six pre-mières v
dans son diamètre transversal. Ce trou est constitué aux dépens de l' occipital . La partie inférieure donne un orifice terminé
se trouve si voisine de la première ou partie formée aux dé-pens de l' occipital . L'occipital n'existe donc plus que dans son pour
voisine de la première ou partie formée aux dé-pens de l'occipital. L' occipital n'existe donc plus que dans son pourtour en haut
as que nous avons eu sous les yeux, il n'existait sur les parois de l' occipital aucune trace d'altération ou de prolifération ann
crânien, 1871. 2 Gruveilhier. Anatomie pathologique : Spina bifida occipital et spina bifida cervical antérieur réunis, dans M
l se plaint de douleurs de tête continues, occupant surfout la région occipitale ; la mémoire s'affaiblit progressivement, l'intel
rbide et qui l'alimentent de sang sont : 1° La branche externe de l' occipitale , qui se rend dans les lacs postérieurs et externe
u niveau de l'arcade zygomalique. Lorsque l'on comprime fortement l' occipitale et la carotide externe un peu au-dessous du lobul
s que précédemment, c'est-à-dire compression de la carotide et de l' occipitale pour diminuer le cours du sang. Le perchlorure de
l'oreille, ou dans les parties avoisinantes. On en trouve trois. L' occipitale , dont le tronc est très-volumineux dans sa branch
91 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
formé. La tête est assez développée, sans prédominance de la région occipitale ; le front est saillant, élevé, avec des dépress
ue, en forme de pain de sucre : les bosses sont à peine marquées. L' occipitale ne fait aucune saillie et, de ce côté, la tête
est réduit à un simple pli. Le pli courbe est rudimentaire, le lobe occipital , composé de trois replis assez gros. La premièr
lume, dont la partie horizontale se confond en arrière avec le lobe occipital . Les sillons sont assez profonds sur la face conv
. Le lobule pariétal supérieur, l'inférieur, le pli courbe, le lobe occipital sont rudimentaires; les circonvolutions tempora
re et la seconde circonvolution, il partir de l'extrémité du lobe occipital jusqu'au lieu de passage de celle seconde circonv
nouillé externe correspond, à raison de sa situation dans la région occipitale , au centre visuel de Munk; sa résection détermi
que d'un faisceau d'association qui rejoint le lobe frontal au lobe occipital ; le segment antérieur de la capsule interne di
river à une solution, chez quelques animaux la membrane atlanto- occipitale fut ouverte, et la pie-mère, déchirée à l'endroit
araît à peu près de la même date, dans la substance blanche du lobe occipital , et dui afllue à la face profonde d'une des cir
voûte du crâne qu'il longe en descen- dant jusqu'à la protubérance occipitale interne, il débouche dans le pressoir d'Hérophi
Accidents du décubitus. Vaste foyer de ramollissement dans le lobe occipital droit. Petit foyer dans le noyau lenticulaire gau
r et l'extrémité la plus postérieure des 1 , 2°, 3e circonvolutions occipitales . Confirmation des idées de Charcot et Pitres sur
Confirmation des idées de Charcot et Pitres sur le rôle de l'écorce occipitale . Les troubles de la motilité du côté droit sont
et ils se rencontrent aussi dans lelobule paracentral, dans le lobe occipital , parfois même en plein milieu des tissus. On a
olue des faces latérales et médianes des lobes frontaux, pariétaux, occipitaux , dont la face inférieure est également indemne;
92 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tale est rejeté en arrière, et situé beaucoup plus près de la corne occipitale que de la corne frontale. En outre les circonvo
ndo, qui le limite en arrière, était beaucoup plus près de la corne occipitale que de la corne frontale ; elle consistait, en
du gyrus hippocampi et du lobule lingual jusqu'à la pointe du lobe occipital . Intégrité du gyrus fusiforme. A la convexité il
un centimètre et demi dans la substance blanche. Enfin dans le lobe occipital gauche une tumeur vasculaire sans limites préci
er); crâne plus développé proportionnellement que la face; région occipitale aplatie. Au cou, les sterno-mastoïdiens très atro
(P.-R ? Cerebellar tumor. Opération- · Jloemorrhagi from defect of occipital Bone; Death, gênerai Remarks. - Brochure in-18
- La pie-mwe cérébrale, dans toute son étendue, même sur les lobes occipitaux , est infiltrée de noyaux ronds. La lésion est i
de thyroïdienne en nature. R. M. C. XXVI. Névralgie DU grand nerf occipital accompagnée DE symptômes D'UNE lésion DESTRUCTI
ène d'excitation ayant *>, pour siège la sphère visuelle du lobe occipital , comparable aux'plié- - - nomènes d'excitation
culature assez bien développée. La tête est plutôt forte. La région occipitale est aplatie. Les bosses parié- tales sont moyen
ns pro- fondes (sensibilité pariétale des épileptiques, sensibilité occipitale de certaines affections cérébrales), les syphil
nuleux en quantité. Atrophie des circonvolutions voisines des lobes occipital , temporal et pariétal. Hémisphère droit. Pas de
droit. Pas de lésions en foyer, mais une atrophie manifeste du lobe occipital . Les coupes des deux hémisphères ont montré les
énérescence presque totale des fibres du corps calleux dans le lobe occipital ; tapetum droit plus pauvre en fibres que le gau
u côté gauche et rupture des faisceaux d'association des deux lobes occipitaux ; dégé- 478 sociétés savantes. nérescence des
t-il supposé l'existence d'un foyer situé à la face interne du lobe occipital de l'hémisphère gauche et celle d'un second foy
missurales qui relient la surface interne et la convexité des lobes occipitaux , les deux circonvolutions temporales, les deux lo
bes occipitaux, les deux circonvolutions temporales, les deux lobes occipitaux . De ces faisceaux un grand nombre ont été détruit
érer, comme le prouve l'atrophie des circonvolutions des deux lobes occipitaux . La dégénérescence accusée du bourrelet du corp
IÈRES. sous Nelropsychoses, par Prend,45. Névralgie du grand nerf occipital , par Johnson, 314. Névrite périphérique consé
93 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
égions lombaire, dorsale, aux omoplates, aux cuisses et aux muscles occipitaux ; NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊfRitRE. T.
e de ce faisceau qui tapisse la paroi inféro- interne du ventricule occipital sont conservés. Sur la figure suivante et plus
observation analogue, plus compliquée cependant, car les deux lobes occipitaux furent envahis par des néoplasmes. Observation
is la dure-mère enlevée, on put ainsi prévoir que surtout les lobes occipitaux seraient le siège de néoplasmes, la masse la pl
'en ai compté 15, 9 à droite, 6 à gauche. C'est bien dans les lobes occipitaux qu'ils sont ou le plus grands, ou le plus dense
s fais- ceaux sagittaux qui longent la paroi extérieure de la corne occipitale pour se rendre à la calcarine. Rth étant, dan
hors de cela, le cerveau paraît peu comprimé, sauf dans les régions occipitales . ' Il s'agit donc probablement d'altérations os
par l'ouverture du trépan. Coupes sériées. - Très tôt déjà, le lobe occipital droit se distingue du gau- che. Les noyaux sont
o- rachidien, allant du T11" au IV ventricule et de là, par le trou occipital , au canal rachidien. Tout en admettant que ce c
éral précoce (voisinage de l'rlque- duc, du IVe ventricule, du trou occipital ) forcent le malade à se présenter lôt au médeci
obe temporal et les régions adjacentes des lobes frontal, pariétal et occipital . En outre, il existe dans l'un et l'autre hémis
situé eu arrière 196 SOUQUES de celui-ci et deux dans la région' occipitale (Pl. XXVI, I).Une coupe passant à un centimètre
petite hémorragie récente au niveau de la substance blanche du lobe occipital . Une coupe rasant le bord su- périeur du corps
e surtout la nuit, localisée habituellement aux régions frontale et occipitale droites. Presque au même moment, survenaient le m
la compression des tubercules quadrijumeaux antérieurs par la corne occipitale saillante en dedans. Ludlum (3) dans deux cas
rrière et toujours du côté gauche, la région temporale postérieure, occipitale , et plus bas la Fin. 1 '117. 2 A PROPOS DE
poesthésie, parésie, légères atrophies des muscles dans les régions occipitale , dorsale et lombaire, des soubresauts et convulsi
n revenant de son travail. - C'était une céphalée tenace, surtout occipitale , avec exacerbation lancinante dans la nuque. Ce
a malade se plaint de douleurs de tête qui prédominent il la région occipitale si bien que l'on pourrait penser à la compressi
gissait d'une tuberculose de l'atlas et de la partie condyloïdede l' occipital ayant déterminé une para- lysie du spinal et de
94 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cas, on se trouve en présence d'une lésion corticale des deux lobes occipitaux ayant détermini une hémianopsie double : cette
ve sensa- tion de douleur de tête, parfois circonscrite à la région occipitale , ou s'irradiant vers les yeux et en même temps
uloureuse et de paresthésie dans le domaine du trijumeau, des nerfs occipitaux , du plexus cervico-bracliial ; l'ensemble de ce
t vers la surface de l'écorce. Le ruban rayé de Vicq-d'Azyr du lobe occipital , beaucoup plus large que les stries des six cou
en partie de la zone motrice, et la première circonvolution du lobe occipital , siège reconnu d'une fonction des sens spéciaux
la naissance. Ses fibres se dirigent bien en arrière dans le lobe occipital et, en particulier dans le centre visuel; mais, e
e assez grosse; crâne oval, symétrique, assez développé aux régions occipitale et mastoïdienne. 190 RECUEIL DE FAITS. Memb
(Voir plus loin la description com- plète du squelette.) - Le trou occipital est normal. La dure- mère est assez congestionn
ilatère et l'extrémité du lobe frontal. Les circonvolutions du lobe occipital sont aussi plus grêles que ne le fait voir la pla
me une longue voie d'associàtion entre le lobe frontal et le lobe occipital . Chaqueprolongementcylindraxileémetses collatéra-
entes régions quel- ques déviations du plan général. Ainsi, le lobe occipital est muni d'un plus grand nombre de fibres tange
tre d'associa- tion postérieur comprenant une grande partie du lobe occipital , du lobe pariétal et du lobe temporal ; 2" le c
ement, à l'aide des radiations optiques, dans les cir- convolutions occipitales et particulièrement dans la circonvolution calc
come) de la grosseur d'une pomme, dans la substance blanche du lobe occipital . III. La troisième observation est celle d'une
, lui aussi, différent dans chaque cas : 1° lobe temporal ; 2° lobe occipital ; 3° cervelet. Les trois cas présentent cependa
ale droite qui comprend une partie du temporal, du pariétal et de l' occipital (fig. 8), au lieu de présenter la même forme ar
gné la troisième frontale ; puis, refoulé par la résistance du lobe occipital , il a comprimé la face interne des hémisphères
.P.I., pli pariétal inférieur. T', première temporale. L.O., lobe occipital . riq. 2. - Face interne du même hémisphère. C
. L.P., lobe paracentral. L. Q., lobe quadrilatère. 1..0., lobe occipital . TABLE DES MATIÈRES Académie de médecine, 143
95 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
sur le frontal. J'ai pratiqué aussi une craniectomie linéaire sur l' occipital , entre la suture occipito-pariétale et le sinus
des os du crâne. Sur le sujet auquel j'ai pratiqué une craniectomie occipitale immé- diatement au-dessus du sinus latéral, j'a
s cette céphalée gravative incessante et prédominant dans la région occipitale qui est apparue dès la seconde semaine après la c
crâne. Cette céphalée était particulièrement intense dans la région occipitale . En outre, il se plaignait d'une gêne douloureu
régions frontales, pariétales, une partie des régions temporales et occipitales sert il découvrir déjà certaines malformations
t, l'acrocéphalie, la dolichocéphalie, le degré de proéminence de l' occipital , etc.. - La vue de face, suivant la norma anter
ion suivant la face postérieure, norma ])ostel'iol' (Laurillard) ou occipitale , peut donner des indications sur la hauteur des b
u occipitale, peut donner des indications sur la hauteur des bosses occipitales , la largeur bimastoïdienne, l'implantation des pa
pressions craniennes, le volume des bosses frontales, parié- tales, occipitales ; leur situation symétrique ou non (pl : 1giocépha
essus du plan horizontal. d. L'inion (iviov, nuque) ou protubérance occipitale externe. e. Le point occipital maximum ou le pl
nion (iviov, nuque) ou protubérance occipitale externe. e. Le point occipital maximum ou le plus reculé. f. Le bregma céphalo
isant passer l'ins- trument sur le milieu du font, sur le vertex, l' occipital , jusqu'à l'inion. En général la longueur de cet
cin)es. G, Glabelle. 0, OJlh1')On. V, Vertex. I, Inion.- 0 M, Point occipital maximum. - S A, Poinl sus-aul'icul.1Ïl'c. - B P
on supérieure de l'oreille, puis par le point le plus saillant de l' occipital pour revenir à l'ophryon en restant de l'autre
joignant les deux mêmes points et passant par le point maximum de l' occipital . c. La demi-courbe latérale droite allant de l'
postérieure du compas indique alors le point le plus saillant de l' occipital qui n'est jamais l'inion, lequel est toujours p
es dégradés, les idiots par exemple, le développement de la portion occipitale du crâne est supérieure à celui de la portion f
ologique capital. Le plus élevé, que son siège permettait d'appeler occipital , n'existe guère que dans l'extension de la tête
s la flexion, il comble dans l'extension tout l'espace qui sépare l' occipital de la partie supérieure du dos; à droite et à gau
96 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
Tête. - Cuir chevelu amaigri. Le crâne, ovoïde, à grosse extrémité occipitale , est mince, avec des plaques transparentes au n
. Il n'en est pas de même des sutures inter-pariétale et pariéto- occipitales qui, elles, sont très-sinueuses. - La bosse occip
érieure sur une surface d'environ 3 centi- mètres carrés. Les lobes occipitaux et temporaux n'offrent wmevcroscopicluement rie
rieure et interne. - Rien au niveau de PA ni des lobes pariétaux, occipitaux et temporaux, ni au niveau de l'insula. La base
nce normales. (PA, P1, moitié supérieure de L.Q ; extrémité du lobe occipital , pied de FA, F3). Par suite cle la sclérose atr
et la fissure calcarine il y a une encoche profonde entre le lobe occipital en bas, pl et LQ en arrière. (pal. I et II). Le
s différentes cavités de la base du crâne sont symétriques. Le trou occipital est normal. La veine méningée moyenne est diste
ible- ment symétrique ; front étroit comparativement il la région occipitale , très élevé (0 ? 07 d'une bosse frontale il l'aut
cause la maladie. État actuel. - La tête est volumineuse, la région occipitale est peu saillante, si peu saillante que lo plan
e que lo plan du cou semble se continuer directement avec la région occipitale . Le front est peu élevé, déprimé sur les côtés.
Scissure interpariétale, L. O., Lobule orbitaire. L. O. C, Lobule occipital . Se. S., Scissure de Sylvius. Op. F., Opercul
97 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
sauf ce qu'il y a de spécial dans celles de l'atlas avec l'axis et l' occipital , qui présentent dans leurs surfaces de contact et
autres régions ; 2° l'affection des deux premières vertèbres et de l' occipital ou le spondylarthrocace, qui diffère du mal verté
s du cou et leurs articulations entre elles et avec les condyles de l' occipital . L'anatomie nous montre dans cette région, des
gure au musée Du-pnytren sous le n° 613, nous voyons une soudure de l' occipital et de l'atlas, mais sans luxation, et une destruc
as disparaître en presque totalité et l'axis entrer en contact avec l' occipital . Je dois à l'obligeance de M. Duheaume, interne d
cou. Une collection contenant des débris de tubercule existait sous l' occipital . Il est regrettable qu'on n'ait point recherché s
tion s'étendait à l'atlas, qui présentait une érosion étendue, et à l' occipital , dont le condyle droit était le siège d'une ostéi
e tirée du musée Dupuytren, et offrant une soudure de l'atlas et de l' occipital , sans perte de substance de ces deux os. L'ankylo
faissement latéral est énorme. Le plan tangent aux deux condyles de l' occipital forme un angle aigu avec l'axe du cou ; il y a eu
: destruction de la moitié droite de l'atlas ; l'axis rapproché de l' occipital en ce point ; soudure étendue entre la deuxième e
blable entre l'apophyse odontoïde et l'atlas ; rétrécissement du trou occipital , qui, cependant, est encore suffisant pour loger
recueilli un fait de guérison par ankylose survenue entre l'axis et l' occipital . Il ne restait plus qu'un point osseux de l'atlas
tion, la saillie de l'axis n'est plus en rapport avec la protubérance occipitale externe; ces deux éminen-ces osseuses ne se trouv
ns allemands ont décrit un rachitisme crânien qui porte surtout sur l' occipital . Dans cette variété, qu'ils nomment occiput mou,
t saillie en arrière. Il en résulte qu'un fil à plomb qui part de l' occipital tombe au-dessus du bassin même dans la première v
6. (4) Observation inédite. tervalle des pariétaux. Les pièces de l' occipital séparées laissent entre elles un écarternent occu
98 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ine, il en existe une autre qui surplombe en quelque sorte la corne occipitale du même ventricule. Sur la face interne de la c
ce rela- tivement dure, qui s'échelonnent sur les parois des cornes occipitale et spliénoïdale, En résumé dans le cerveau, o
ue. Les circonvolutions temporo-sphé- noidules, les circonvolutions occipitales , les scissures perpendicu- taires externes et l
occipital est affaissé, mais non interrompu en avant de la scissure occipitale externe (SOE). Le troisième est aussi interromp
re verticale qui rejoint le cou de la scissure parallèle. Le lobe occipital , elle lobe temporo-splrénoïdal n'offrent pas de
inférieur, constitué par trois plis, 11, 12 et 13. S 0 F. Scissure occipitale externe. REVUE CRITIQUE NOTES ET OBSERVATIONS
haut, au-dessous et en arrière delà bosse pariétale; la scissure occipitale externe répond au lambda. Les distances rolando-
eurs, relient le pulvinar et le corps genouillé externe à la région occipitale (fibres de Gra- tiolet). Il semblerait que le l
s les masses centrales qui paraissent tout à fait normales. Le lobe occipital est sain. Les nerfs cutanés correspondant à cha
t pas en rapport nécessaire avec les lésions destructives des lobes occipitaux , puisque ces lobes étaient intacts chez notre m
circonvolution sphénoïdale et du lobule pariétal inférieur. Le lobe occipital est sain. Ces foyers de ramollissement pénètren
Ou peut encore noter dans cette observation l'inté- grité des lobes occipitaux malgré le développement d'une eschare rapide.
après la mort. Rien au crâne. La dure- mère est tendue; à sa partie occipitale , on perçoit de la fluc- tuation. Les incisions
sur les deux hémisphères. On trouve quelques caillots sur les lobes occipitaux et dans les fosses sp lié ii oïdal es; ils'nesoii
étteldans,ly,silloliidel Rolande' extrêmement sinueux. ^Le lobe ? . occipital ,, gauche possède, i dqs il replis,, plus, petit
ion inter-soureilièrc à la protuhé : SOCIETES SAVANTES. 397 ranco occipitale postérieure ; il pense de la sorte, en tenant com
99 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
SIOLI présente des coupes du cerveau dans un cas de lésion du lobe occipital . 11 y avait complète amaurose d'origine centrale
la bandelette optique, on dut penser .. à une lésion des deux lobes occipitaux et, étant donné l'ancienneté des symptômes et;
es. Il y avait lieu de croire que toute la sphère visuelle- du lobe occipital , gauche était détruite et que, dans le lobe' dr
- tion d'une zone du lobe pariétal immédiatement contiguë au lobe occipital et plus particulièrement dans l'hémisphère droit
de Sylvius, détruisait le pli,courbe et se continuait dans le, lobe occipital ...) , ( . ,.} ' v s ni' ' ? ► t ' < t Lé tra
l'hémisphère droit était le suivant. Dans. la profondeur du. sillon occipital supérieur commençait l'altération, elle gagnait
s les cas invétérés, et il est frontal et tempo- ral, plus rarement occipital . La plaque spinale (existe trente-cinq fois sur
e sensations de fatigue, et de brisement des os; céphalée en casque occipitale et pariétale; insomnie; .palpitations subjectives
oum., -10 mars 1894.) L'enfant à la naissance présentait une tumeur occipitale du volume d'une orange, contenant de la substan
résie droite des extrémités supérieures et inférieures; céphalalgie occipitale ; paralysie de l'oculo-moteur externe droit; céc
n inféro-postérieure au niveau de l'extrémité posté- rieure du Jobe occipital . P. KERAVAL. VI. Note SUR on ostéotome crânien
oit. Evidemment les réflexes rétiniens sont en rapport avec le lobe occipital droit, c'est-à-dire que les réflexes obtenus pa
et rétinienne nasale de l'eeil gauche sont en rapport- avec le lobe occipital droit. Le corollaire, c'est que la suggestion d
'UN CORPS ÉTRANGER DANS LE 398 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. nerf occipital D'ARNOLD; par G. GALLERANI ET G. PACI\OTTI. Netl-
) . ' Fragment de porcelaine enkysté au point d'émergence du nerf occipital dans la région où il s'anastomose avec les autres
âne, très large dans le sens transversal, est aplati dans la région occipitale . On voit, au niveau de la région pariétale gauc
sseuse sous-jacente lisse et régulière. On aperçoit dans la régio.n occipitale droite une cica- trice analogue, conséquence d'
om- mer, 316. Or3NUUIL.ITfoN llost-épilcptique, Iar Nagy,t02. Occipital , coupes du cerveau dans un cas de lésions du lo
100 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t des muscles : section du sterno-mastoïdien, section de la portion occipitale du trapèze, section du splénius, section du gra
es, on trouva encore un ramollissement jaune des deux tiers du lobe occipital droit, qui s'étendait jusqu'au fond de la corne
du lobe occipital droit, qui s'étendait jusqu'au fond de la corne occipitale du ventricule latéral et envahissait sa paroi int
ndeur de ramollissement jaune était aussi observé au sommet du lobe occipital gauche. On constata, en outre, du côté droit, d
a mémoire, des maux de tête dans les régions frontale, pariétale et occipitale ; la per- cussion de la tête lui cause une doul
orticale s'explique parfaitement par la lésion bilatérale des lobes occipitaux (le som- met du coin et de l'ergot de Morand) t
e méningite scléreuse très accentuée. Au niveau des lobes frontaux, occipitaux et temporaux les lésions sont les mêmes, mais m
'imposait : embolie partie du poumon ou de la plèvre, abcès du lobe occipital gauche. En raison de l'absence actuelle de phén
mourut en quelques heures. A l'autopsie nous trouvâmes dans le lobe occipital gauche un gros abcès du volume d'une orange. fl
res de hauteur. On neperçoit pas la fontanelleposlérieure. La bosse occipitale est développée et, au-dessus, existe une sorte de
eu de 135ram). IDIOTIE HYDROCÙPHALLQUF ACQUISE. 297 temporales et occipitales sont beaucoup plus développées à droite qu'à ga
Le tiers postérieur du lobe temporal et le tiers antérieur du lobe occipital sont atrophiés (Pl. I). La face interne est t
si lésée. F', le lobe paracentral, l'avant- coin, le coin, la corne occipitale sont déprimés. La circonvolution de l'hippocamp
be et la région qui, horizonta- lement, va du pli courbe à la corne occipitale offre une zone atrophiée de 3 centimètres de la
ère gauche, au niveau de la zone motrice, de l'insula, de la région occipitale suffisent à rendre compte de la paralysie gauch
sa partie supérieure, immédiatement au-dessous de la protubérance occipitale . , De cette revue critique découlent quelques d
psie au même titre qu'une lésion des radiations optiques ou du lobe occipital du même côté. Dr F. DEVAY. LXIII. LÉSIONS DE
de néoplasmes. Système nerveux. Le canal racliidien est ouvert de l' occipital à la deuxième sacrée. La moelle paraît déjà aug
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