orbitaire, et l'autre en arrière jusqu'au niveau de la protubérance
occipitale
externe. La calotte crânienne est ensuite enlev
rsque les deux os pariétaux, les deux os frontaux et l'écaille de l'
occipital
ontété ainsi enle- vés, on plonge la tète dans
s apophyses épineuses, une longue incision allant de l'écaille de l'
occipital
jusqu'à la base du coccyx. On rabat la peau de
pération a bien réussi, on doit enlever d'un seul coup et jusqu'à l'
occipital
, toute la paroi postérieure du canal rachidien.
Mcf préoccipitale. - iSl, insertion du septum lucidum. - LO, lobe
occipital
. - LOr, lobule orbitaire. - LT, Lobe temporal.
MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 23 nant le lobe
occipital
et une partie du lobe pariétal; un antérieur comp
aux recouvrent ses parois latérales et au cinquième mois, les lobes
occipitaux
recouvrent complètement les tubercules quadriju-
ure, la corne temporale ou sphénoïdale ou étage inférieur. La corne
occipitale
ne se développe que beaucoup plus tardivement,
res cérébelleux. - 1,'infundibulum. - LF, lobe. frontal. - LO, lobe
occipital
. - Lola, lobe olfactif antérieur. - Lolp, lobe ol
bulbe olfactif. - Cst, corps strié. - LF, lobe frontal. - L0, lobe
occipital
.- LP, lobe pariota].TLo/ff, ! obc olfactif anté
lenticulaire. - nL, nerfs de Lancisi. - 0, première circonvolution
occipitale
. - l'ch, pli choroïdien et plexus choroïdes des
, vésicule des hémisphères. - l'l, ventricule latéral. - Foc, corne
occipitale
du ventricule latéral. - 1 ? troisième ventricule
. Les fibres de la capsule interne qui provien- nent de l'extrémité
occipitale
du manteau cérébral, se portent en avant et en
e. - Lg, lobe lingual. - Lela, lobe olfac- tif antérieur. - 0, lobe
occipital
. -- oi, sillon collatéral. - P, lobe pariétal.
be pariétal. - Pu, pli marginal de Schmidt. po, scissuro pariéto-
occipitale
. - sap, sillon arqué postérieur. SI, septum lucid
le (ot), qui déprime la paroi ventriculaire, et forme dans la corne
occipitale
l'éoai- nence collatérale de Meckel. La scissur
irection antéro-postérieure et s'étend du lobe sphé- noïdal au lobe
occipital
; elle sépare, dans la région sphénoïdale, la circ
ion de l'hippocampe (H) du lobule fusiforme (Fus) et dans la région
occipitale
, le lobule fusiforme du lobule lingual (Lq) compr
, lobe olfactif antérieur. lt, lame terminale embryonnaire. 0, lobe
occipital
. ot, sillon collatéral. - P, lobe pariétal. -Po,
erne, qui représente la face interne des lobes frontal, parié- tal,
occipital
et temporal. La région externe comme la région
ntale interne.-ot, sillon collatéral. -PF, pôle frontal. - PO, pôle
occipital
. po, scissure pariéto-occipitale. PrC, prxcunéus.
riétal et qui sépare le praecuneus du lobe limbique; dans la région
occipitale
, par la branche commune ci la scissure calcarin
ire ou paracentral. Le lobe pariétal fournit le praecuneus, le lobe
occipital
le cuneus et le lobule lingual; le lobe tempora
cette obli- quité tient très probablement au développement du lobe
occipital
. Puis le segment antérieur se coude, grâce au d
- FS, fosse sylvienne. - Zot. lobe olfactif antéi-ictir. - 0, lobe
occipital
. - P, lobe pariétal.- paFS, prolongement antéri
MIE DES CENTRES NERVEUX. Scissure de Rolando. Scissure pariéto-
occipitale
. Sillon pré-occipital. Division de face ext
la face externe de l'hémisphère, et sépare le lobe pariétal du lobe
occipital
; vers la même époque, apparaît le sillon pré-oc
occipital; vers la même époque, apparaît le sillon pré-occipital ou
occipital
antérieur de Wernicke, qui délimite en avant le
l ou occipital antérieur de Wernicke, qui délimite en avant le lobe
occipital
et le sépare du lobe temporal. La face extern
est alors divisée en quatre lobes : les lobes frontal, pariétal,
occipital
et temporal (fig. 69). Des sillons secondaire
, sillon inter-pariëtal. - Lola, lobe olfactif antérieur. - 0, lobe
occipital
. - Oi, olive in- frieure. - OpR, opercule rolan
e verticale de la scissure parallèle, et se continue avec le lobe
occipital
en formant le gyrus angulaire ou pli courbe.
ngulaire ou pli courbe. Le lobe temporal se fusionne avec le lobe
occipital
à la face in- férieure. Il en est séparé à la f
troisième circonvolution temporale et le lobule fusiforme. Le lobe
occipital
, mal délimité en avant par la scissure pa2,iéio-o
élimité en avant par la scissure pa2,iéio-occipi- tale et le sillon
occipital
antérieur de Wernicke, forme à la face inféro-in-
riétale. - Pa, 2° circonvolution pariétale. po, scissure pariéto-
occipitale
. - pi,i, sillon prérolandique inférieur. - prs,
oiseaux. Chezles mammifères. mois, le sillon iozter-occipital ou
occipital
antérieur, qui fait suite au sillon inter-parié
onner naissance au huitième mois à un sillon transversal, le sillon
occipital
transverse. Vers le huitième mois, apparaît éga
tal transverse. Vers le huitième mois, apparaît également le sillon
occipital
inférieur à direction antéro-postérieure. La fa
l inférieur à direction antéro-postérieure. La face externe du lobe
occipital
est ainsi divisée en trois circonvolutions : le
al est ainsi divisée en trois circonvolutions : les circonvolutions
occipitales
supérieure, moyenne et inférieure. Ces circonvo
ticale, le gyrzcs descendens d'Ecker. En avant, la circonvolu- tiou
occipitale
supérieure, qui représente la face supérieure et
la première circonvolution pariétale. La deuxième circonvo- llttion
occipitale
, se continue avec la circonvolution pariétale inf
nférieure au niveau du gyrus angulaire. La troisième circonvolution
occipitale
enfin, se continue en avant avec la troisième c
des extrémités antérieure et postérieure de ses cornes frontale et
occipitale
. La substance grise périphérique revêt la forme
presque totalité de la cavité crânienne, à l'excep- tion des fosses
occipitales
inférieures; il se présente sous la forme d'un
eure et postérieure de l'encéphale. , Le cervelet occupe les fosses
occipitales
inférieures; il est recouvert par la partie pos
nvolution frontale. -NL, nerf de Lancisi. Oi, première circonvolution
occipitale
. - Pi, Pa, première et deuxième circonvolutions
. - po, scissure pariéto-occipitale. - poi, pli de passage parièlo-
occipital
interne de Gratiolet. - por, sillon post-rolandiq
e sous-tend. Cette base sépare donc complètement les extré- - mités
occipitales
des hémisphères. Chaque hémisphère présente à é
'OM/a/ répond à la fosse frontale, l'extré- mité postérieure oulole
occipital
, à la fosse occipitale supérieure (fig. lui9).
se frontale, l'extré- mité postérieure oulole occipital, à la fosse
occipitale
supérieure (fig. lui9). Le bord supérieur demi-
triangulaire; elles le sont beaucoup moins au niveau de l'extrémité
occipitale
, où la face interne se continue avec la face in
'intermédiaire des méninges avec l'os frontal, en arrière avec l'os
occipital
, à sa partie moyenne et supérieure avec l'os pa
ace externe ou convexe de l'hémisphère, en lobes frontal, pariétal,
occipital
et temporal (fig. d30). La face interne, plan
gual. Ig, sillon lingual. L[i), isthme du lobe limbique. - LO, lobe
occipital
. - LOr, lobule orbitaire. - LT, lobe temporal. z
lobe temporal. z NI[, nerf optique. - 03, troisième circonvolution
occipitale
. - oF,, oFs, oF" partie orbitaire , des premièr
chement concave, affecte la forme d'un rein, répond au lobe sphéno-
occipital
(GT, ! 0) et déborde en bas le niveau du lobe fro
ande scissure inter-hémisphérique, et se continue au niveau du lobe
occipital
et sous un angle très ouvert, avec la face intern
rveau durci dans l'alcool.) F, lobe frontal. - I, insula. - 0, lobe
occipital
. - P, lobe pariétal. - T, lobe tem- poral. - F,
arine. - 0 ! , 0;,03, première, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. - o, 03, deuxième et troisième sillons occipit
circonvolutions occipitales. - o, 03, deuxième et troisième sillons
occipitaux
. - oa, sillon occipital antérieur. oF\, oF" oF3
es. - o, 03, deuxième et troisième sillons occipitaux. - oa, sillon
occipital
antérieur. oF\, oF" oF3, face orbitaire des pre
alcarine. K+po, branche commune aux scissures calcarine et pariéto-
occipitale
. - LI, première circonvolution du lobe limbique.
taux, par exemple, s'anastomosent largement en arrière avec le lobe
occipital
, de telle sorte que la délimitation de ces trois
e de Rolando (il) et le segment externe de la scissure pariéto- - .
occipitale
(po), à cheval sur le bord hémisphérique supérieu
le lobe paniétal (P) en haut, le lobe temporal (T) en bas, le lobe
occipital
(0) en arrière et dans le fond de la scissure de
carine. - 01,0.,Oa, première, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. - 0" deuxième sillon occipital. - oa, sillon occ
ième et troisième circonvolutions occipitales. - 0" deuxième sillon
occipital
. - oa, sillon occipital antérieur. - oF\¡oF ? o
onvolutions occipitales. - 0" deuxième sillon occipital. - oa, sillon
occipital
antérieur. - oF\¡oF ? oF3, partie orbitaire des
émité supérieure est séparée de l'extrémité posté- rieure du lobe
occipital
par une distance moyenne de 49 millimètres (V
to- graphie d'une pièce à l'état frais.) Les pointes frontales et
occipitales
ont été sectionnées et la face interne légèreme
de l'oper- cule. - in, sillon inter-parital. - ipo, incisure pré-
occipitale
. - ipop, incisure pariétale de l'opercule. - j,
sure pariétale de l'opercule. - j, incisure de Jensen. - oa, sillon
occipital
anté- rieur. osa, partie orbitaire de la troisi
s (Ecker). - External pal'iéto-occipital fissure (Turner). - Scissure
occipitale
externe (Broca). J ? ssMi'6t occipitalis perpez
du bord supérieur de l'hémisphère, sépare le lobe pariétal du lobe
occipital
; elle appartient à la fois à la face interne et
, séparant ainsi nettement, à la convexité de l'hémisphère, le lobe
occipital
des lobes temporal et pariétal. - B. LOBES DE L
re de Sylvius, le lobe frontal atteint en haut Scissure pal'Îlho-
occipitale
. Lobe frontal. FIe. i;i5. - Lohe frontal droi
Jensen. - 0" o ? 03, première, deuxième, troisième circonvolutions
occipitales
. 02. deuxième sillon occipital. - oa, sillon oc
euxième, troisième circonvolutions occipitales. 02. deuxième sillon
occipital
. - oa, sillon occipital antérieur. - partie orbit
nvolutions occipitales. 02. deuxième sillon occipital. - oa, sillon
occipital
antérieur. - partie orbitaire de la troisième cir
ution pariétale ascendante. - Pc, pli courbe. po, scissure parieto-
occipitale
. pal', sillon post-rolandiquc. pri, sillon prérol
incisure de Jensen. - 01, 0., première et deuxième circonvolutions
occipitales
. Pi, Pi, circonvolu- tions pariétales supérieur
en. - 0,, 0., 03, première, deuxième et troi- sième circonvolutions
occipitales
. - o., deuxième sillon occipital. - oa, sillon oc
e et troi- sième circonvolutions occipitales. - o., deuxième sillon
occipital
. - oa, sillon occipital antérieur. - oF,, oF ?
nvolutions occipitales. - o., deuxième sillon occipital. - oa, sillon
occipital
antérieur. - oF,, oF ? 0F3, partie orbitaire de
incisure de Jensen. - 0,, 0, pre- mière et deuxième circonvolutions
occipitales
. - 0" deuxième sillon occipital. - oa, sillon o
mière et deuxième circonvolutions occipitales. - 0" deuxième sillon
occipital
. - oa, sillon occipital antérieur. - or., oF3,
volutions occipitales. - 0" deuxième sillon occipital. - oa, sillon
occipital
antérieur. - or., oF3, partie orbitaire des deuxi
asse les limites fictives du lobe pariétal, et pénètre dans le lobe
occipital
où il se continue avec le sillon interoccipital (
cipital. - ip, sillon inter- pariétal.- Oi, première circonvolution
occipitale
. - 0" deuxième circonvolution occipitale. - 03,
Oi, première circonvolution occipitale. - 0" deuxième circonvolution
occipitale
. - 03, troisième circonvolution occipitale. - O
deuxième circonvolution occipitale. - 03, troisième circonvolution
occipitale
. - Os, deuxième sillon occipital. - oF3, partie o
e. - 03, troisième circonvolution occipitale. - Os, deuxième sillon
occipital
. - oF3, partie orbi- taire de la troisième circ
a scissure calcarine. - 01,0t, première et deuxième circonvolutions
occipitales
. - 0" deuxième sillon occipital. - oF3, partie or
mière et deuxième circonvolutions occipitales. - 0" deuxième sillon
occipital
. - oF3, partie orbitaire de la troisième circon
blée. En arrière, elle s'anastomose avec la première circonvolution
occipitale
(0,) par le premier pli de passage pariéto-occi
Broca. L'anse postérieure, se jette sur la deuxième circonvolution
occipitale
(02), r .Fic. 166. - Face externe et bord supér
, gyrus supra-marginalis. - ic, incisure du cap. - io, siUon inter-
occipital
. - ip, silloninter-pariétal. ipo, incisure pré-oc
e frontal.OpjR, oper- cule rolandique. - 0" première circonvolution
occipitale
. - 0=, deuxième circonvolution occipitale. - 0,
" première circonvolution occipitale. - 0=, deuxième circonvolution
occipitale
. - 0,; troisième circonvolution occipitale. - o,,
deuxième circonvolution occipitale. - 0,; troisième circonvolution
occipitale
. - o,, deuxième, sillon occipital. 03, troisièm
le. - 0,; troisième circonvolution occipitale. - o,, deuxième, sillon
occipital
. 03, troisième sillon occipital. - oa, sillon o
occipitale. - o,, deuxième, sillon occipital. 03, troisième sillon
occipital
. - oa, sillon occipital antérieur. OpP., opercule
ème, sillon occipital. 03, troisième sillon occipital. - oa, sillon
occipital
antérieur. OpP., opercule de la deuxième . circ
ui interrompent la scissure interpariétale. Elle est reliée au lobe
occipital
par le deuxième pli, de passage pariél o-occipi
re de Jensen (fig. l(i0, 161, 162, 165, 166, 170, 171.) , 3° lobe
occipital
(0). Le lobe occipital, remarquablement petit T
i0, 161, 162, 165, 166, 170, 171.) , 3° lobe occipital (0). Le lobe
occipital
, remarquablement petit Topographie va- riahle
Point de repère pour déterminer la place du pli courbe. Lobe
occipital
. 2ïO 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le lobe
be. Lobe occipital. 2ïO 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le lobe
occipital
a la t'ormo d'une- pyra- mide. Ses rapports
n délimité à la face interne. Silloll prd-occipi- tal. Sillon
occipital
an- térieur. chez l'homme, se présente sous l
ommet correspond à l'extrémité postérieure de l'hémisphère, au pôle
occipital
de Broca, dont la base, mal délimitée, est antéri
quelquefois ri la lace externe un véritable sillon, le sillon pré-
occipital
de Meynert (ipo) (fig. 1HO, 170). Sur le trajet
trouve souvent t un sillon oblique en haut et en arrière, le sillon
occipital
antérieur de Wernicke (o a) (Gb. 171). Ce sillo
e l'incisure pré-occi- . pitale, et sépare le lobe temporal du lobe
occipital
son extrémité supérieure FIG. 1G7. Face postéro
sen. - 0,· 0, 0 ? pre- mière, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. - 0" 0" premier et deuxième sillons occipitaux
me circonvolutions occipitales. - 0" 0" premier et deuxième sillons
occipitaux
. - Opll., opercule de la circonvolution pariéta
térieure, et établissent l'anastomose du lobe pariétal avec le lobe
occipital
. Si ces plis de passage sont profonds, comme on n
la scissure perpendiculaire externe, en se réunissant au sillon
occipital
anté- rieur, parcourt toute la face convexe d
a face convexe de l'hémi- sphère, et sépare nette- ment le lohe
occipital
du lobe pariétal et du lobe temporal; de là l
la scissure perpendicu- laire externe. La face externe du lobe
occipital
présente à considérer outre l'iuci- sure pré-
nte à considérer outre l'iuci- sure pré-occipitale et le sillon
occipital
antérieur, trois sillons profonds, à directio
e premier sillon oc- cipital, sillon inter-occipital (i o) [sillon,
occipital
supérieur o,] d'Ecker), n'est autre que la cont
upérieur o,] d'Ecker), n'est autre que la continuation dans le lobe
occipital
du sillon, interpariétal (i p). Il continue la
rpariétal, et se termine quel- quefois au niveau du deuxième sillon
occipital
ou sillon occipital Irans- vcnsc (o =) (fig. 1
mine quel- quefois au niveau du deuxième sillon occipital ou sillon
occipital
Irans- vcnsc (o =) (fig. 1 : i0, 1 G, 168); le
n sillon étoile et se prolonge jusqu'au niveau de la pointe du lobe
occipital
(fig. 1164, 171). Il divise le lobe occipital en
de la pointe du lobe occipital (fig. 1164, 171). Il divise le lobe
occipital
en Les plis occipito- pariétaux relient le
Les plis occipito- pariétaux relient le lobe pariétal an lobe
occipital
. Fente simienne. Sillons occipitaux FIG. 16
t le lobe pariétal an lobe occipital. Fente simienne. Sillons
occipitaux
FIG. 168. - Pointe occipitale. Hémisphère gauch
ccipital. Fente simienne. Sillons occipitaux FIG. 168. - Pointe
occipitale
. Hémisphère gauche. (D'après la photographie d'
ine. - 01, 0" 0,, première, deuxième et troisième cir- convolutions
occipitales
. -0" deuxième sillon occipital. - z oa, sillon
ème et troisième cir- convolutions occipitales. -0" deuxième sillon
occipital
. - z oa, sillon occipital antérieur. - Pi, ! '.
olutions occipitales. -0" deuxième sillon occipital. - z oa, sillon
occipital
antérieur. - Pi, ! '. première et deuxième circ
ns temporaux. 212 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Circonvolutions
occipitale
.. Gyrlls desccndens. ! Première circon- vol
s occipitale.. Gyrlls desccndens. ! Première circon- volution
occipitale
. deux parties, l'une supérieure et postérieure,
érieure et postérieure, qui correspond à la première circonvolution
occipitale
(0,), ou à la face externe du cuneus (C), l'autre
inférieure qui comprend les deuxième et lioisième circon- volutions
occipitales
(0,, 03) et l'anastomose de ces circonvolutions a
e ces circonvolutions avec le pli courbe (Pc). Le deuxième sillon
occipital
(o,) [sillon occipital transverse [o], (Ecker),
vec le pli courbe (Pc). Le deuxième sillon occipital (o,) [sillon
occipital
transverse [o], (Ecker), fissura occipitalis ex
à direction antéro-postérieure, sépare la première cir- convolution
occipitale
(0,) de la deuxième (0.) : il s'enlre-croise souv
du sillon parallèle (t,) (fig. 150, 168, 171). Le troisième sillon
occipital
(o3) ou sillon occipital moyen (Schwalbe), sill
(fig. 150, 168, 171). Le troisième sillon occipital (o3) ou sillon
occipital
moyen (Schwalbe), sillon occipital inférieur (E
sillon occipital (o3) ou sillon occipital moyen (Schwalbe), sillon
occipital
inférieur (Ecker), est un petit sillon antéro-pos
ntéro-postéricur superficiel, qui sépare la deuxième circonvolution
occipitale
de la troi- s sième. Il se porte en avant vers
ces sillons sont au nombre de quatre : t Les trois circonvolutions
occipitales
désignées de haut en bas sous le nom de : premi
sous le nom de : première (0,), deuxième (0» et ou circonvolutions
occipitales
' supérieure, moyenne et inférieure, et la circ
ante (D) ou " gyrus descendais d'Ecker. ' Première circonvolution
occipitale
(0,). - Synonymie. Gyrus occipitalis primus siv
alts, Erstc oder obère II interhauphuindung (Ecker). Circonvolution
occipitale
supérieure (I : cher). - Pli occipital supérieur
ung (Ecker). Circonvolution occipitale supérieure (I : cher). - Pli
occipital
supérieur et pli de passage supé- rieur externe
elieitelbogenii,i ? 21zing (Bisclioff). - Pi-einiéie ci,convoliiiioii
occipitale
(Broca). Notation : (0,) (Ecker, Broca). La p
roca). Notation : (0,) (Ecker, Broca). La première circonvolution
occipitale
(0,) est située au-dessus de la scissure interp
C) et s'étend de la scissure perpendiculaire externe (po) au sillon
occipital
transverse o.,). Sa partie antérieure s'anastom
irconvolution pariétale supérieure (P,), la première circonvolution
occipitale
se dirige en bas et en arrière, décrit plusieur
nter-hémisphérique et con- tourne l'extrémité postérieure du sillon
occipital
transverse, où elle s'anas- - tomose avec le gy
rus rlc.vcmrrlcrr.s d'Echer (D) (fig. 168). Deuxième circonvolution
occipitale
(0,). Synonymie. Gyrus occipitalis médius (Pans
on occipitale (0,). Synonymie. Gyrus occipitalis médius (Pansci)).F
occipital
moyen et deuxième pli de passage externe (Gratiol
er fritte Sclteitelbogenwindung (Bischoff). - Deuxième circonvolution
occipitale
(Broca). Notation : 0, (Broca, Ecker). La deu
(Broca). Notation : 0, (Broca, Ecker). La deuxième circonvolution
occipitale
(02) est limitée en arrière par le sillon inter
arrière par le sillon inter-occipital (io), en avant par le sillon
occipital
antérieur (oa), en bas par le deuxième sillon o
r le sillon occipital antérieur (oa), en bas par le deuxième sillon
occipital
(o,). en haut elle se con- tinue avec le pli co
t du pli courbe, elle se dirige en arrière, contourne le sillon
occipital
transverse (02) et l'extrémité inférieure du sill
volution descendante d'Ecker (fig. l 7 1 Troisième circonvolution
occipitale
(03), - SYN0,NYIIE. - Gyrus occipitalis lertius
- Gyrus occipitalis lertius sive temporo-occipitalis (Ecker). - Pli
occipital
inférieur; Troisième et quatrième pli de passag
). Gyrus occipitalis inferiol' (Pansch). - Troisième circonvolution
occipitale
(Broca). - Notation : 03 (Ecker, Broca). ' 18
Notation : 03 (Ecker, Broca). ' 18 Deuxième nircon- volution
occipitale
. lnc. 169. - Face postérieure du cerveau. (D'ap
carine. Oi,0°,03, pre- mière, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. - P1,1>" première et deuxième circonvolutio
: 274 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Tt'oisicmccit'con- volntion
occipitale
. Circonvolutioll oc- cipitale Ilesccntlantc.
temporal l'clmit les trois fa- ral. La troisième circonvolution
occipitale
(03) est une petite circonvolution à direction
ère, séparée de la circonvolution précédente par le deuxième sillon
occipital
(oz) et du lobule lingual (Lg) par le troisième
on occipital (oz) et du lobule lingual (Lg) par le troisième sillon
occipital
(03). En arrière, elle s'insère, sur le gyrus d
euxième circonvolution temporale (T,) en interrom- pant le sillon
occipital
anté- rieur (oa) ; d'autrefois elle con- tour
8, 16y, 171) occupe l'extrémité tout à fait posté- rieure du lobe
occipital
, elle représente la circonvolution d'origine
nte la circonvolution d'origine commune des trois circonvolutions
occipitales
, entoure les éperons de la scis- sure calcari
de triangulaire très allongée, dont la base se confond avec le lobe
occipital
et le lobe pariétal, et dont le sommet cons- ti
continue sans ligne de démarcation avec la face inférieure du lobe
occipital
, pour former la région temporo-occipitale (lig.
. - ipo + oa, incisure pré-occipitale, se coMtinuant avec le sillon
occipital
antérieur. j, incisure de Jensen. - 0,,0,,03, p
Jensen. - 0,,0,,03, première, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. - o3, troi- sième sillon occipital. - OpP2, op
et troisième circonvolutions occipitales. - o3, troi- sième sillon
occipital
. - OpP2, opercule de la circon- volution pariét
Jensen. - 0,,0,Oa, première, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. Oi,o», deuxième et troisième sillons occipitau
circonvolutions occipitales. Oi,o», deuxième et troisième sillons
occipitaux
. OpP ? opercule pariétal. OpR, oper- cule rolan
ion pariétale ascendante. Pc, pli courbe. - po, scissure pariéto-
occipitale
. - por, sillon post-rolandique. - prs, sillon p
pariéto-occipitale (po), se continue souvent en bas avec le sillon
occipital
antérieur de Wernicke (oa) (fig. 16), et établi
nicke (oa) (fig. 16), et établit ainsi la limite antérieure du lobe
occipital
. D'autres fois encore, un pli de passage superf
euxième circonvolution temporale (T,), à la deuxième circonvolution
occipitale
(0); le sillon occipital antérieur (oa) fait
porale (T,), à la deuxième circonvolution occipitale (0); le sillon
occipital
antérieur (oa) fait alors défaut et le sil- l
ule. - Oi,0>,03, première, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. - oa, deuxième sillon occipital. - OpP, opercu
e et troisième circonvolutions occipitales. - oa, deuxième sillon
occipital
. - OpP, opercule pariétale. opR, oper- cule rol
n pariétale ascendante. - Pc, pli courbe. - po, scissure pariélo-
occipitale
. - por, sillon posl,-rolandique. - pri, sillon
de Tensen. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 277 concourt à former le sillon
occipital
antérieur de Wernicke (oa) (fig. 170), tantôt e
llon, dépend donc l'indépendance plus ou moins com- plète du sillon
occipital
antérieur (oa). Troisième sillon temporal (t3).
me sillon temporal (t3). - Synonymie. - Première scissure ternpono-
occipitale
(Pansrli). - Sulcus temporalis inferior sive tert
oisième circonvolution temporale (T3) à la troisième circonvolution
occipitale
(03). Les trois sillons temporaux limitent troi
be (Pc), dont elle concourt former, avec la deuxième circonvolution
occipitale
, la branche descendante. Le sillon occipital anté
uxième circonvolution occipitale, la branche descendante. Le sillon
occipital
anté- rieur (oa) la sépare en arrière, des deux
sépare en arrière, des deuxième (02) et troisième circonvolu- tions
occipitales
(03) (fig. 150, 171). Première Circonvolution t
rieur. - Oi,0>,03, première, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. - o,, deuxième sillon occipital. -oa, sillon o
ème et troisième circonvolutions occipitales. - o,, deuxième sillon
occipital
. -oa, sillon occipital 'lntÓrieur de 'V ernicke.
volutions occipitales. - o,, deuxième sillon occipital. -oa, sillon
occipital
'lntÓrieur de 'V ernicke. -oF"oF2,oF3, partie o
nvolution frontale. - PI, pôle de l'insula. - po, sillon pariéto- .
occipital
. - pOl', sillon post-rolandicine. - pri, sillon p
le lobe temporal (T), largement anastomosé en arrière avec le lobe
occipital
. Ces lobes sont tout unis à une circonvolution fa
res scissures se réunissent à angle aigu et délimitent dans le lobe
occipital
un lobule triangulaire, le crrzaéus (C). Les autr
nisphère. 284 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Scissure pariéto-
occipitale
. nale (cm) et la scissure sous-pariétale (sp) l
hère (fig. 169), l'autre interne qui constitue la scissure pariéto-
occipitale
proprement dite, ou scissure perpendiculaire inte
le sive posterior. Senkrechte hintere Hionspalte (magner). - Scissure
occipitale
interne (Broca). - Fissura occipitalis interna
scissure pariéto-occipitale (po) forme la limite antérieure du lobe
occipital
et sépare à la face interne de l'hémisphère le
issure, horizontale et extrêmement profonde, appar- tient au lobe
occipital
, et s'unit à angle aigu à la scissure pariéto-
au lobe occipital, et s'unit à angle aigu à la scissure pariéto-
occipitale
(po), avec laquelle elle délimite un lobule tri
imite un lobule triangulaire, le cunéus (C). Etendue de la pointe
occipitale
au bourrelet du corps calleux, elle sépare le c
gual.Elle nait le plus souvent très près de l'ex- trémité du lobe
occipital
, par un double éperon qui empiète quel- quefo
(7tcl). La branche commune aux scissures calcarine et pariéto-
occipitale
(K + po), se dirige obli- quement en bas et en
u lobe limbique. - o, scissure collatérale. po, scissure parieto-
occipitale
. - PrC, précunéus. - aplp, pli pariéto-limbique
excellence, elle déprime en effet la paroi interne du prolongement
occipital
du ventricule latéral, pour former l'ergot de M
bule lingual et plis cunéo-linguaux superficiels. (Ces deux pointes
occipitales
appartiennent à un même cerveau.) , C, cuneus.
ment constante et profonde, com- mence en arrière au niveau du pôle
occipital
, plus près de son bord externe que de son bord
e scissure, parallèle à la scissure cal- carine, appartient au lobe
occipital
et sépare le lobule lingual (Lg) du lobule fusi
ot de Morand, formée par la scissure calcarine dans le prolongement
occipital
. Cette saillie, décrite sous le nom d'éminence co
et quatre lobes excentriques, les lobes frontal (F), pariétal (P),
occipital
(0) et temporal (T), qui ne sont autres que la fa
dont elle continue la direction courbe antéro-postérieure. 3° Lobe
occipital
. Ce lobe est représenté à la face interne de l'hé
obule l'lis pal'iéto-lim111- quo antérieur pos- térieur. Lobe
occipital
. fie. 178. - Face infèro-interne de 1 hémisphèr
térale (ot); le cuneus est limité en avant par la scissure pariéto-
occipitale
(po), et le lobule fusiforme est limité en dehors
Le cuneus et le lobule lingual appartiennent exclusivement au lobe
occipital
, le lobule fusiforme appartient à la fois au lo
au lobe occipital, le lobule fusiforme appartient à la fois au lobe
occipital
et au lobe temporal, il est le seul qui mérite
1° Cunéus (C). Synonymie : Cuneus, Zwiêkel (Burdach, Henle). - Lobule
occipital
(Gratiolet). -lnte1'l111l occipital lobule (Hux
êkel (Burdach, Henle). - Lobule occipital (Gratiolet). -lnte1'l111l
occipital
lobule (Huxley). Lobe triangulaire (Broca). - Occ
-lnte1'l111l occipital lobule (Huxley). Lobe triangulaire (Broca). -
Occipital
lo- bule (Turner). -Lobulus medialis posterior
(K). Il représente la face interne de la première circonvo- lution
occipitale
(0,), au même titre que le précunéus et la circon
terhauptwirt- Llungsg1'llppe (Bischoff). - Cinquième circonvolution
occipitale
(Broca). Seconde circon- volution temporo-occip
carine (K) qui la sépare du cuneus (C), et la partie postérieure ou
occipitale
de la scissure collatérale (ot) qui la sépare d
loúule fusif/J/'me (Fus). Elle s'étend d'arrière en avant, du pôle
occipital
, où elle représente la face interne des deuxième
eprésente la face interne des deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
, jusqu'au-dessous du bourrelet du corps calleux
e de l'hé- misphère, avec les deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
(0,, Oa), par l'intermédiaire du gyrus descende
issure, et se continue en dehors avec la troisième circon- volution
occipitale
(03), en avant avec le lobule fusiforme (Fus), au
lt;6 ? tftup<tOtMM ! tszM{/ (Bischoff). - Quatrième circonvolution
occipitale
(Broca). - Première circonvolution temporo-occi
irconvolution qui appartienne à la fois au lobe temporal et au lobe
occipital
. Le lobule lingual (Lg), que quelques auteurs r
un petit lobule bien délimité, qui appartient exclusivement au lobe
occipital
, tandis que la circonvolution de l'hippocampe n
des incisures superficielles; en arrière, il n'atteint pas le pôle
occipital
, mais contourne en général l'extrémité postérie
la scissure collatérale, pour s'unir à la troisième circonvolution
occipitale
(0,,) (fig. 176, 179, 180, 182) ; en avant, il
iarcisrrre pré-occipitale de Meyncrt, incisure qui délimite le lobe
occipital
d'avec le lobe temporal (fig. 175, 176, 180). 4
o-limbiques antérieur et postérieur. tzpoi, pli de passage parieto-
occipital
interne. plis rétro-limbiques. 7utl, pli temporo-
oca pour les circonvolutions fron- tales, pariétales, temporales et
occipitales
de la convexité de l'hémisphère. Avec Charcot,
re ou circonvolution temporale transverse ou profonde.. Tp Lobe
occipital
O. Sillons : . z 4. Sillon occipital antérieu
erse ou profonde.. Tp Lobe occipital O. Sillons : . z 4. Sillon
occipital
antérieur.. oa 2. Sillon pré-occipital ...... i
ur.... K" Branche commune aux scis- sures calcarine et pariéto-
occipitale
........ Ti-1-po 5. Sillon inter-occipital.... i
pitale........ Ti-1-po 5. Sillon inter-occipital.... io 6. Sillon
occipital
transverse. os 7. Troisième sillon occipital..
tal.... io 6. Sillon occipital transverse. os 7. Troisième sillon
occipital
.. 03 8. Sillon du.cunéus, . : .. c 9. Sillon
2. Sa portion interne ou Cunéus. C Son pli de passage pariéto-
occipital
interne et supé- rieur api 3. Deuxième circon
oisième circonvolution oc- cipitale......... 03 5. Circonvolution
occipitale
des- - cendante (gyrus descen- dons).........
frontalc, - VG, nerf dc Lancisi. - 0,, 'prc- I mièro circonvolution
occipitale
. - Pi, Pi, première et deuxième circonvolutions p
NI,, nerf de Lancisi. - 0,, 0, première et deuxième circonvolutions
occipitales
. ou, sillon occipital antérieur de Wernicke : /
0,, 0, première et deuxième circonvolutions occipitales. ou, sillon
occipital
antérieur de Wernicke : /'t, deuxième circonvol
ique. - l ? l ? branches verticales du sillon parallèle. Voc, corne
occipitale
du ventricule latéral. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 3
eclivum). - vif, corne frontal du ventricule latéral. - l'oc, corne
occipitale
du ventricule latéral. - VSl, ventricule du septu
es fibres com- missuralcs. Fic, 204. -Prolongements sphénoïdal et
occipital
du ventricule latéral. Corne d'Ammon, Ergot de
Fm, forceps major. ipo, incisure pré-occipitale de Meynert. LO, lobe
occipital
. - LT, lobe temporal, joo, scissure pariéto-occ
ier postérieur du trigone. TgV, carrefour ventriculaire. Voc, corne
occipitale
. Vsph, corne sphénoïdale. 350 ANATOMIE DES CENT
entricule latéral change de direction, il envoie vers l'ex- trémité
occipitale
du cerveau un prolongement horizontal et curvilig
itale du cerveau un prolongement horizontal et curviligne, la corne
occipitale
(Voc), connue encore sous les noms de cavité digi
ue en avant avec la corne frontale (Vf), en arrière avec les cornes
occipitale
(Voc) et sphénoïdale (Vsph) et correspond il la
declivum). V ? corne frontale du ven- tricule latéral. - Voc, corne
occipitale
du ventricule latéral. VSl, ventricule du septum
ure et se continue directement avec la paroi supérieure de la corne
occipitale
(Voc). Elle présente en dedans les expansions t
al, de sa partie intra- ventriculaire. - LF, lobe frontal. LO, lobe
occipital
. - LT, lobe temporal. NA, noyau amygdalien. Na,
l de Forel et Onufrowicz (OF). La paroi, ou le plancher de la corne
occipitale
(fig. 210) présente en dedans la saillie connue
u de cuissard de Malacarne, et qui s'étend en arrière dans la corne
occipitale
. Un sillon intraventriculaire profond et très é
ale et de l'éminence collatérale de Meckel. La corne postérieure ou
occipitale
(Voc), cavité digitale ou arzcyroïde, née du po
ique ; cette corne fait en elfet défaut toutes les fois que le lobe
occipital
n'est pas développé. On la trouve chez les sing
e collaté- rale do Meckel. Diverticule du su- ¡¡c\11mu. Corne
occipitale
du ;entriculc lat6ral. 360 ANATOMIE DES CENTR
360 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ses limites. Sa voûte. lobe
occipital
est rudimentaire. Chez ces animaux, la partie fro
sphé- noïdal, sans émettre de diverticule postérieur. . La corne
occipitale
(Voc), située à cheval sur la scissure calcarine
u et se termine en une pointe distante de 2 à 3 centimètres du pôle
occipital
, mais Lrès voi- sine de l'écorce du fond de la
ctement sur les reliefs de 1'1G. 21U. -Prolongements sptIènoÚlal et
occipital
du ventricule latéral. Corne d'Ammon. Ergot de
le de Meynert. - Li, première circonvo- lution limbique. - LO, lobe
occipital
. - LT, lobe temporal. po, sillon pariéto-occipita
r postérieur du trigone. - TgV, trigone ventriculaire. - Voc, corne
occipitale
. - Vsph, corne sphénoïdale.' MORPHOLOGIE CÉRÉBR
de l'étage supérieur du ventricule latéral : les cornes frontale et
occipitale
en sont en effet dépourvues. Libres par leurs fac
us choroïdes du ventricule latéral. ,. Les cornes fron- tale et
occipitale
sont dépourvues de plexus choroïdes. Glomér
a corne fron- &Mk taie Vf), l'extrémité postérieure de la corne
occipitale
(Voc), et le fond des diverticules du subiculum
ntal, de sa partie intra- ventriculaire. LF, lobe frontal. LO, lobe
occipital
. LT, lobe temporal. JV<4, noyau amygdalien.
rontale du ventricule latéral. -- vu, veine de Galion. - Voc, corne
occipitale
du ventricule latéral. VSI, ventricule du septum
optiques de Gratiolet) provient du lobe temporal et surtout du lobe
occipital
. Ses fibres se dirigent d'arrière en avant et p
(po), enfin l'extrémité supérieure de la première ! tt circonvolution
occipitale
(0,) et du cunéus (C). , Substance blanche. Dan
S[p] et par une incisure du sillon inteJ'-pa/'Ù ! tal (ip). La pointe
occipitale
est occupée par la première circonvolution occi
p). La pointe occipitale est occupée par la première circonvolution
occipitale
(0[),qui forme à la face interne le cunéus (C).
rconvolution frontale. NC, noyau caudé.- 0" première circonvolution
occipitale
. - OF, faisceau occipito- frontal. - Pu, circon
corne frontale. - Sgé, substance grise sous-épendymaire de la corne
occipitale
. - sp, sillon sous- pariétal. t ? partie vertic
is qu'en arrière, elle se prolonge dans la couche sagittale du lobe
occipital
qu'elle concourt à former. Sur cette coupe, enfin
noyau caudé. NC ? queue du noyau caudé. - 0,, première circonvolution
occipitale
. - OF, faisceau uccipito-fruntal. P>, circon
ième circonvolution temporale (T.,) avec la deuxième circonvolution
occipitale
(0). Le sillon interpariétal (ip) est remplacé
optique.- \'C', queue du noyau caudé. - 0., première circonvolution
occipitale
. - OF, faisceau occipito-frontal. - Pa, cir- co
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. n'en est que le prolongement. La pointe
occipitale
est formée par la première circonvolution occip
ent. La pointe occipitale est formée par la première circonvolution
occipitale
(0,) qui se continue il la face interne avec le c
e (Sge) n'est apparente qu'au microscope dans le fond de la \ corne
occipitale
, mais au niveau de la corne frontale, elle coiffe
du noyau lenticulaire. - 0" 0" première et deuxième circonvolutions
occipitales
. - OF, faisceau occipito-frontal. OpF" opercule d
e. V, ruban de Vicq d'Ary·r. - VI, ventricule latéral. - Voc, corne
occipitale
. - T'Sl, ventri- cule du septum lucidum. - Vcst
erne (Cirl) et se portent en arrière dans la couche sagittale du lobe
occipital
. La masse blanche du lobe occipito-lemporal est
tapisse la corne occi- pitale se trouve la couche sagittale du lobe
occipital
. Sur les coupes de cerveaux durcis par les bich
stence d'un système analogue à celui de la couche sagittale du lobe
occipital
; les fibres thalamiques du segment antérieur de
bique postérieur (-1tplp) et J'isthme du lobe limbique (L,), le lobe
occipital
. Les bords * de l'opercule, formé ici par les c
par le /lIp1 ! /llIn (Tap), recouvert par la couche sagittale du lobe
occipital
. Au niveau de la corne frontale, on trouve comm
de Graliulct (RTh) qui se portent dans la couche sagittale du lobe
occipital
. Sa face interne est bordée d'une mince couche de
noyau lenticulaire. - Oi, Os, première et deuxième circonvolutions
occipitales
. oa, sillon occipital antérieur de Wernicke. OF,
i, Os, première et deuxième circonvolutions occipitales. oa, sillon
occipital
antérieur de Wernicke. OF, faisceau occipito-fr
Vcst, veine du corps strié. - l'l, ventricule latéral. - Voc, corne
occipitale
. - Vsl, ventricule du septum lucidum. Zr, zone
ème temporale (T2). Celle-ci est limitée, en arrière, par le sillon
occipital
antérieur de lb'eraiclce (oa) qui la sépare du lo
illon occipital antérieur de lb'eraiclce (oa) qui la sépare du lobe
occipital
. A la face externe le lobe occipital est surtou
e (oa) qui la sépare du lobe occipital. A la face externe le lobe
occipital
est surtout constitué par la deuxième ci,»- con
e occipital est surtout constitué par la deuxième ci,»- convolution
occipitale
(0,), qui concourt en partie à la formation de la
occipitale (0,), qui concourt en partie à la formation de la pointe
occipitale
, et qui est séparée de la première circonvolution
pointe occipitale, et qui est séparée de la première circonvolution
occipitale
(0,) par le sillon iufcr·-occiyilal (io). A l
au de son éperon supérieur, qui sépare le cunéus (C) de la première
occipitale
(0,); une autre fois au niveau de sa partie moy
yau lenticu- laire. 0,> Os, première et deuxième circonvolutions
occipitales
. - oa, sillon occipital anté- rieur dcWcrnicke.
t; Os, première et deuxième circonvolutions occipitales. - oa, sillon
occipital
anté- rieur dcWcrnicke. - OF, faisceau occipito
- Vcst, veine du corps strié. VI, ventricule latéral. - porc, corne
occipitale
du ventricule latéral. J'sl, ventricule du' sep
sa partie antérieure ; la scissure est ici très voisine de la corne
occipitale
du ventricule latéral (Voc), dont elle n'est sé
que par une lame de substance blanche qui double en dedans la corne
occipitale
. L'écorce qui limite la scissure calcarine présen
ut suivre, très atténuée, il est vrai, jusqu'au niveau de la pointe
occipitale
et sur la face externe du lobe occipital. Le lo
qu'au niveau de la pointe occipitale et sur la face externe du lobe
occipital
. Le lobe limbique est intéressé au niveau de l'
(Tga) et l'extrémité antérieure de la couche optique (Th). La corne
occipitale
(Voc) est limitée en dedans par le faisceau infér
nant au faisceau postérieur du cingulum (Cing); en dehors, la corne
occipitale
est recouverte par le tapetum (Tap) et les couc
t recouverte par le tapetum (Tap) et les couches sagittales du lobe
occipital
, dont la partie interne est formée par les radi
CERVEAU. 409 : \ " i clmëo-limbique el), se prolonge jusqu'au pôle
occipital
et peut être suivi ¡da ftfêtïs externe de l'hém
rale (T2). -, Cavités ventriculaires. La corne frontale et la corne
occipitale
forment deux diverticules qui ne communiquent e
um lucidum (Vsl) et le pilier antérieur du trigone (1'ga), La corne
occipitale
(Voc) est large à son origine au niveau du carref
re, elle peut être poursuivie jusqu'à deux centimètres de la pointe
occipitale
le long de la ligne droite qui correspond au di
le le long de la ligne droite qui correspond au diverlicule du lobe
occipital
(do). D'habitude, les parois ventricu- laires s
la substance grise sous-épendymaire, qui double le fond de la corne
occipitale
(Voy. Coupes vcrtico-Uau.sveosales). La corne o
e la corne occipitale (Voy. Coupes vcrtico-Uau.sveosales). La corne
occipitale
n'est séparée du fond de la scissure cal- carin
aisceau, inférieur du forceps du corps calleux (Fin'). Dans le lobe
occipital
on trouve, outre les fibres d'association propres
stérieure. - Csc,. circonvolutions sous- calleuses. do, diverticule
occipital
. F,,F~,F3, première, deuxième et troisième circon
du noyau lenticulaire. 0,, 0 ? première et deuxième circonvolutions
occipitales
. - oa, sillon occipital -antérieur de Wernicke. O
0 ? première et deuxième circonvolutions occipitales. - oa, sillon
occipital
-antérieur de Wernicke. OF, faisceau occipito-f
OMIE DES CENTRES NERVEUX. convolutions, la couche sagittale du lobe
occipital
, formée en dehors par le faisceau longitudinal
i dégénère dans sa partie temporale, à la suite des lésions du lobe
occipital
, ainsi que nous l'avons constaté plusieurs fois.
la couche sagittale est formée par les fibres de projection du lobe
occipital
, par les radiations thalamiques (RTh) qui passent
mite le troisième ventricule en avant. La paroi interne de la corne
occipitale
(Voc) est limitée au niveau du carre- four vent
érieure. - Csc, circonvolutions sous-calleuses. - do, diverti- cule
occipital
. - dsp, diverticule sous-pinéal. - F,, ]0'" premi
u deux segments, ,, ? - 0" Os, première et deuxième circonvolutions
occipitales
. - oa, sillon occipital antérieur. - OF, faisceau
Os, première et deuxième circonvolutions occipitales. - oa, sillon
occipital
antérieur. - OF, faisceau occipito- frontal.O/F
en arrière et se confondent avec la couche blanche sagittale du lobe
occipital
. La paroi externe du carrefour ventriculaire et
cipital. La paroi externe du carrefour ventriculaire et de la corne
occipitale
(Voc) pré- sente en avant la partie recourbée d
frontal.) En dehors du tapetum se trouve la couche sagittale du lobe
occipital
, constituée par les radiations optiques de Grat
mmissure antérieure. - cop, commissure postérieure. do, diverticule
occipital
. lis, diverticule du subiculum. F,, h Fi. F,, p
i, sillon de l'insula. - la, insula antérieur. - io, sillon inter-
occipital
.- Ip, insula postérieur. - IC, scissure calcarine
tre médian de Luys). - 0,, 0 ? première et deuxième circonvolutions
occipitales
. - OF, faisceau occipito-frontal. oa, sillon occi
nvolutions occipitales. - OF, faisceau occipito-frontal. oa, sillon
occipital
antérieur de Wernicke. Pul, pulvinar. Qa, tuber
- VA, faisceau de Vicqd'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale. - Voc, corne
occipitale
du ventricule latéral. W , 1.. 0) 'v et' Vtlll\
e (K) et de la branche commune aux scissures calcarine et ]JOI'ido-
occipitale
(K + po). La face profonde de la circonvolution d
). En arrière, le carrefour ventriculaire se continue avec la corne
occipitale
(Voc) qui se prolonge dans l'épaisseur du lobe oc
ec la corne occipitale (Voc) qui se prolonge dans l'épaisseur du lobe
occipital
et donne naissance à un diverticule étroit, sit
ouge. - 0,, Os, 03, première, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
.-oa, sillon occipital antérieur de Wernicke. -
ière, deuxième et troisième circonvolutions occipitales.-oa, sillon
occipital
antérieur de Wernicke. - OF, faisceau occipito-
(T;¡), mal délimitée, se continue avec la troisième circonvolution
occipitale
. (0,), dont la sépare le sillon occipital antérie
troisième circonvolution occipitale. (0,), dont la sépare le sillon
occipital
antérieur (oa) ; puis viennent la deuxième circ
occipital antérieur (oa) ; puis viennent la deuxième circonvolution
occipitale
(0), enfin la partie inférieure de la première
itale (0), enfin la partie inférieure de la première circonvolution
occipitale
(0,) et le dernier vestige du cunéus (C) qui se
DES CENTRES NERVEUX. Substance blanche. - La masse blanche du lobe
occipital
est considéra- blement réduite. On y voit appar
rencontre encore, quoique très réduite, la couche sagittale du lobe
occipital
. La corne sphé- noïdale (Vsph) est aplatie laté
triques, assez sem- blables à celles de la couche sagittale du lobe
occipital
. La couche profonde, blanche et très mince, app
i, sillon de l'insula. - la, insula antérieur. - io, sillon inter-
occipital
. - io', incisure du sillon inter-occipital. - Ip,
oyau lenticulaire. - NR, noyau rouge. - Os, deuxième circonvolution
occipitale
. - oa, sillon occi- pital antérieur. - ot, sill
oyau lenticulaire. - VR, noyau rouge. - Oi, deuxième circonvolution
occipitale
. - oa, sillon occipital antérieur de Wcrnicke. of
noyau rouge. - Oi, deuxième circonvolution occipitale. - oa, sillon
occipital
antérieur de Wcrnicke. of, sillon collatéral. P,
. - NR, noyau rouge. - 0" 03, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. - 0" deuxième sillon occipital. - oa, sillon o
ième et troisième circonvolutions occipitales. - 0" deuxième sillon
occipital
. - oa, sillon occipital antérieur de Wcrnicke. oi
volutions occipitales. - 0" deuxième sillon occipital. - oa, sillon
occipital
antérieur de Wcrnicke. oi, sillon collatéral. - P
occipilal les trois circonvolutions temporales (T T=, T), le sillon
occipital
anté- rieur (oa), une petite partie de la trois
anté- rieur (oa), une petite partie de la troisième circonvolution
occipitale
(p.) qui se continue en avant et en dedans avec
edans avec le lobule fusiforme (Fus), et la deuxième circonvolution
occipitale
(02) qui se continue en dedans avec le lobule lin
en trois parties, une partie postérieure qui appartient à la pointe
occipitale
, un îlot moyen, et une languette antérieure qui r
sentent rien de particulier à noter dans les extrémités frontale et
occipitale
, mais au niveau du dernier vestige de l'insula (I
eue du noyau caudé. - 0" 0" deuxième et troisième circonvolu- tions
occipitales
. o, deuxième sillon occipital. - or ? partie orbi
ième et troisième circonvolu- tions occipitales. o, deuxième sillon
occipital
. - or ? partie orbitaire de la troisième cir- c
e orbitaire de la troisième cir- convolution frontale. - oa, sillon
occipital
antérieur de Vcrnicl : c. - ot, sillon collatéral
e ('1.,) et la face externe des deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
(020,J. Au niveau de la deuxième circonvolution
(of). Cette incisure se con- tinue à la face externe avec le sillon
occipital
antérieur de IŸer·rriche (oa). A la face intern
rrière du lobule lingual (Lg). Le lobule lingual (Lg) forme la pointe
occipitale
et se continue à la face externe, avec la deuxi
e et se continue à la face externe, avec la deuxième circonvolution
occipitale
(0.,). Cette coupe n'intéresse que l'extrémité
occi- pitales. - 1· ? troisième circonvolution frontale. oa, sillon
occipital
antérieur de Wernicke. - ol, sillon collatéral.
ente coupes, pratiquées d'avant en arrière, du pôle frontal au pôle
occipital
, et correspondant aux lignes de repère indiquée
. Ce faisceau qui met en connexion le lobe 1l'oil- tal avec le lobe
occipital
, esta la paroi externe du ventricule, ce que le c
ux radiations thalamiques de Graliolet (RTh) pour atteindre le lobe
occipital
. Les radiations du corps genouillé externe (Cge
e sphénoïdale du ventricule latéral. tec, ténia tecta. - Foc, cornc
occipitale
du ventricule latéral. COUPES MACROSCOPIQUES DU
carrefour ventriculaire, c'est-il-dire la partie commune aux cornes
occipitale
et sphénoïdale et il l'étage supérieur du ventric
. tec, tcenia tecta.- Tgp, pilier postérieur du trigone. Voc, corne
occipitale
du ventricule latéral. 47G ANATOMIE DES CENTRES
al. -la-i- po, branche commune aux scissures calcarinc ct luiriétn-
occipitale
. - L,, première circonvolution limbique. - 01, si
me et troisième sillons temporaux. <ee, tænia tecta. l'oc, corne
occipitale
du ventricule latéral. COUPES MACROSCOPIQUES DU
OF), grand faisceau d'association qui relie le lobe frontal au lobe
occipital
et dont nous avons étudié, sur les coupes précé
97,-99 (fig. 258 à 260), la couche des fibres de projection du lobe
occipital
, ou radiations optiques de Gratiolet (RTh). Cette
iforme (Fus). Ce faisceau forme la couche sagittale externe du lobe
occipital
; il représente un long faisceau d'association, qu
al; il représente un long faisceau d'association, qui relie le lobe
occipital
au lobe temporal et au lobe frontal par l'intermé
adiations de Gratiolet (RTh), con- sécutivement aux lésions du lobe
occipital
. Quant aux autres longs faisceaux d'association
x lignes 137 des figures 235 et 236. Ces coupes intéressent le lobe
occipital
en arrière du bourrelet du corps calleux. Les d
ur les coupes suivantes, et prend dans la constitution de la pointe
occipitale
une part importante. Ce pli profond, pli czcnreo-
apetum. tec, ttenia tecta. V, ruban de Vicq d' : lzyr.- l'oc, corne
occipitale
du ventricule latéral. 480 ANATOMIE DES CENTR
fig. 266) un îlot cortical, complètement séparé de l'écorce du lobe
occipital
par la scissure pariéto- occipitale (po) qui s'
ement séparé de l'écorce du lobe occipital par la scissure pariéto-
occipitale
(po) qui s'étend de la face interne il la face ex
ns temporaux. Tap, tapetum. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - Voc, corne
occipitale
du ventricule littéral. COUPES- MACROSCOPIQUES
ion ne porte que sur la deuxième pariétale (P 2) et sur la deuxième
occipitale
(02). Le bord inféro-interne de l'hémisphère es
rmé par le lobule. fusiforme (Fus) et la troi- sième circonvolution
occipitale
(0.) sur les coupes nOS 116 et 122 (fig. 263, 26
les dernières coupes n'intéressent que la troisième circonvolution
occipitale
(Fus -+- 0.;) et le lobule lingual (Lg). Le c
, lobule lingual. - 0 : , 03, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. 03, troisième sillon occipital. - ot, sillon col
ième et troisième circonvolutions occipitales. 03, troisième sillon
occipital
. - ot, sillon collatéral. Pi, circonvolution pa
ticale du sillon parallèle. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - Voc, corne
occipitale
du ventricule latéral. 482 ANATOMIE DES CENTRES
DES CENTRES NERVEUX.; qu'occupe le cunéus à la face interne du lobe
occipital
. Elles n'intéressent en effet que la partie ant
lcarine extrême - ment profonde, dé- prime la paroi de la corne
occipitale
du ventricule latéral (Voc) et y détermine
got de J11ol'al1d (EII). Cavités ventri- culaires. La corne e
occipitale
(Voc) est irrégulièrement quadrangulaire sur les
Tap), en dehors duquel nous trouvons les couches sagittales du lobe
occipital
a savoir : Fieu. - Coupe vertico-transversaie d
on du lobe lingual. O., 03, deuxième et troisième circon- volutions
occipitales
. o3, troisième sillon occipital. oi, sillon col
me et troisième circon- volutions occipitales. o3, troisième sillon
occipital
. oi, sillon collatéral. P,, circonvolution pari
m : (IC). Les extré- mités supérieure et inférieure de la corne
occipitale
se recour- benten dedans;l'extré- mité supéri
. 226 et 237). La cavité ventriculaire n'atteint donc pas la pointe
occipitale
, son extrémité postérieure en est éloignée peu
+ 03, union du lobule fusiforme et de la troisième cir- convolution
occipitale
. - ip, sillon inter-pariétal. - K, scissure, ca
on du lobule lingual. - 0,. 0" première et deuxième circonvolutions
occipitales
. - ot, sillon collatéral. - P,, circonvolution
dissantes, qui tapissent la paroi externe et inférieure de la corne
occipitale
(Voc) et forment le tapetum (Tap). En dedans el
s 03, union du lobule fusiforme et de la troisième cir- convolution
occipitale
. ip, sillon inter-pariétal. - K, scissure calca
lobule lingual. - 0[, ou, première et deuxième circonvolu- tions
occipitales
.-ot, sillon collatéral. - P,, circonvolu- tion
e il la périphérie : les fibres calleuses, les fibres de projection
occipitales
ou radiations thalamiques (RTh) et les longues
très aigu, avec celles de la paroi interne. Au niveau de la pointe
occipitale
, ces trois couches forment donc un cercle compl
les autres coupes passent en arrière de ce faisceau. Dans la pointe
occipitale
(coupe n° 133, fig. 265), au niveau de la parti
s le nom de faisceau transvase du cunéus (FteS), appartient au lobe
occipital
et réunit le cunéus (C) à la convexité de ce lobe
), d'apparence triangulaire, est compris entre la scissure pariéto-
occipitale
(po) et là scissure calcarine (K). Sa face inféri
il, noyau rouge. - Nt, noyau du toit. - 0), première circonvolution
occipitale
. - oF, partie orbi- taire de la première circon
couche optique. - NR, noyau rouge. - 0,, première circon- volution
occipitale
. Oc, olive cérébelleuse. - oF, (Gr), partie orbit
r, depuis la corne frontale (Vf) jusqu'à la nais- sance de la corne
occipitale
. La corne sphénoïdale (Vsph) est sectionnée il so
mus. NI3, " putamen et globus pallidus. 0, première circonvolution
occipitale
. Ou, olive cérébelleuse. oF\, partie orbiLairc
ajor du corps calleux (Fm), une seconde fois au-dessous de la corne
occipitale
(Voc) ; COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. " M'J
x scissures calcarine el pariéto-occipitale (K+po). Dans la région,
occipitale
de l'hémisphère, nous trou- vons en arrière de
a scissure ¡JllI'Ïr ! to-occipitale (po) la première circonvolution
occipitale
(0,), le sillon inln.r-occipital (io) et la deuxi
e (0,), le sillon inln.r-occipital (io) et la deuxième circonvolution
occipitale
(02), qui se prolonge sur la face inférieure de
ntrons en effet ici en plein centre ovale. Au-dessous du ventricule
occipital
(Voc), au-dessus du pli rélro-limbique il exist
avec ses trois segntents.-0,, 0, première et deuxième circonvolutions
occipitale
? oFt.oF.j, oF" partie orhitairc des première,
ala- mus (couche optique). U, circonvolution du crochet. Voc, corne
occipitale
du ventricule latéral. V8, vallée de Sylvius. V
es calcarine et pw'iéto-occipitale (K + po) détermine dans la corne
occipitale
(Voc) la saillie de V ergot de Jloraud (EM) (fi
(Vsph) en bas et en avant, le carrefour ventriculaire et. la corne
occipitale
(Voc) en arrière. La corne sphénoïdale (Vsph) s'e
rale. -K + po,1)ranche commune aux scissures calcarine ct. pariéto-
occipitale
. - le, lame cornée et toenia scmi-circularis - Lg
yau lenticulaire et ses trois segments. Oi, première circonvolution
occipitale
. oF,, oF ? 0l'3, partie orbitaire des pre- mièr
). L'aspect des fibres blanches est différent au niveau de la corne
occipitale
(Voc) ; ici nous commençons à voir apparaître l
voir apparaître les trois couches- de fibres qui doublent la corne
occipitale
, à savoir : le tapetum (Tap), la couche des radia
sous l'aspect d'une lamelle blanche qui coiffe le fond de la corne
occipitale
(Voc). semi-circularis. - L'g, lobule lingual.
xième segments du noyau lenticu- laire. 02, deuxième circonvolution
occipitale
. - oF2, OF3, partie orbitaire des deuxième et t
F2, OF3, partie orbitaire des deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. ot, sillon collatéral. - P,, P2, première et deu
Th, thalamus (couche optique). v, orifices vasculaires. Voc, corne
occipitale
du ventricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale du
ue du noyau caudé (NC') au niveau de sa réflexion. Quant à la corne
occipitale
(Voc), elle est limitée en haut par la couche é
ques (RTh). Au niveau du fond et de la paroi inférieure de la corne
occipitale
, on retrouve ces deux couches superposées, auxq
). Très accentuées et très distinctes au niveau du fond de la corne
occipitale
, ces trois couches se réduisent au niveau de la p
queuc du noyau caudé. - NL,, putamcn. - 0" deuxième circonvolution
occipitale
. oF" oF3, partie orbitaire des deuxième et troi
oF" oF3, partie orbitaire des deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. - ot, sillon collatéral. - P ? deuxième circon
amus). - t'l, partie verti- cale du sillon parallèle. - T'oc, corne
occipitale
. - Vsph, corne sphénoïdale. ; ! )0 ANATOMIE DES
queue du noyau caudé. Os, 0,; deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. oF2, oFs, partie orbitaire des deuxième et tro
on marginal supérieur. 0,,03, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. - 0F3, partie orbitaire de la troisième circon
ra-margi- nalis). - Opli, opercule rolandique. - 0" deuxième sillon
occipital
. oa, sillon occipital antérieur de Wcrnicke. ot
Opli, opercule rolandique. - 0" deuxième sillon occipital. oa, sillon
occipital
antérieur de Wcrnicke. ot, sillon collatéral. -
é anté- rieure du lobe temporal, on rencontre en passant parle lobe
occipital
les circonvolu- tions suivantes : la portion or
('1\), qui se con- tinue en arrière avec la deuxième circonvolution
occipitale
(0.,) subdivisée par le deuxième sillon occipit
e circonvolution occipitale (0.,) subdivisée par le deuxième sillon
occipital
(o.,). L'angle postero-infericur de la coupe, est
ro-infericur de la coupe, est formé par la troisième circonvolution
occipitale
(0 : )), séparée du lobule fusiforme (Fus) par le
arginal postérieur. - Os, 03, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. oF3, partie orbitaire de la troisième circonvolu
,, opercule de la première circon- volution temporale. - oa, sillon
occipital
antérieur de Wernicke. - P : , circonvolution p
Pa), le pli courbe (Pc), les deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
(0 ? 0;1) et la troisième circozzvolzc- tion te
fGsm]) et au niveau du pli courbe (Pc). La troisième circonvolution
occipitale
(03) occupe l'angle inféro-externedelacoupe; so
sonécorce se continueenarrièreaveccelledela deuxième circonvolution
occipitale
(0,), en avant avec celle de la troisième circonv
c celle de la troisième circonvo- lution temporale (T.,); le sillon
occipital
antérieur (oa) la limite en avant. Au niveau de
u-dessus du ventricule latéral, soit au niveau des cornes frontale,
occipitale
ou sphénoïdale; la façon dont se détachent les md
mesure que l'on s'approche du carrefour ventriculaire et de la corne
occipitale
. Au niveau des parois inféro-externe de la corn
cozz- volution pariétale supérieure (P,), la branche descendante ou
occipitale
du pli courbe (Pc), puis les deuxième et troisi
du pli courbe (Pc), puis les deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
). Tandis que la face externe est nettement c
eau de la scissure calcarine (ka et du lobule lingual (Lg).La corne
occipitale
(Voc) présente une surface de section triangula
fond de la scissure calcarine qui forme l'ergot de Morand. La corne
occipitale
est entourée par trois couches con- centriques
(Fm) ; ce dernier forme, au niveau de l'angle supérieur de la corne
occipitale
, un faisceau volumineux et très épais, fortemen
très obliquement. Le tapetum et le forceps major entourent la corne
occipitale
d'une couche continue, très analogue à celle qu
t des fibres qui traversent les deux couches sagittales de la corne
occipitale
, pour se rendre dans la masse blanche des cir-
Lg, lobule lingual. 01, 03, deuxième et troisième circonvo- lutions
occipitales
. ôs, deuxième sillon occipital. oa', incisure du
ème et troisième circonvo- lutions occipitales. ôs, deuxième sillon
occipital
. oa', incisure du sillon occipital antérieur de
s occipitales. ôs, deuxième sillon occipital. oa', incisure du sillon
occipital
antérieur de Werniclce. - ot, sillon collatéral
devenir parallèles qu'au niveau de la paroi inférieure de la corne
occipitale
(Voc). Ces fibres renferment presque toutes les f
s fibres renferment presque toutes les fibres de projection du lobe
occipital
, fibres qui passent dans le segment rétro-lenticu
ches précédentes, cette couche entoure d'un anneau complet la corne
occipitale
. Très épaisse au niveau de la partie inférieure e
se réduit au niveau de la partie supérieure et interne de la corne
occipitale
, la largeur de deux ou trois fascicules de fibres
lingual (Lg), lobule fusiforme (Fus) et des trois circon- vulutions
occipitales
de la face externe (0"0=,Oa). Elles se portent en
ieure et relie les circonvolutions temporales aux circonvo- lutions
occipitales
(Voy. Coupes horizontales, fig. 392, 293 et 298).
tion lemporo-occipilal. Il dégénère il la suite des lésions du lobe
occipital
, et contient donc des fibres dont les cellules d'
donc des fibres dont les cellules d'origine siègent, dans l'écorce
occipitale
et dont les fibres se terminent dans l'écorce du
couches de fibres qui constituent les couches s'agit- tales du lobe
occipital
, on trouve les fibres d'association propres de ce
e interne du cunéus (C) aux circonvolutions de la convexité du lobe
occipital
et en particulier au pli courbe (Pc). Le fond
elle sorte que, du fond de la scissure calcarine jusqu'au 'ventricule
occipital
, on compte quatre couches de fibres : 1° le str
- scopique no 135 (fig. 265). - - Cette coupe intéresse la pointe
occipitale
au niveau du premier pli anastomotique cunéo-li
cunéo-lingual (1tC+ Lg) et passe en arrière du p1'écunéus. La corne
occipitale
(Voc) présente ici encore une forme triangulaire
lingual. 0,, 02, 03, première, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. - o2, deuxième sillon occipital. et, sillon co
ème et troisième circonvolutions occipitales. - o2, deuxième sillon
occipital
. et, sillon collatéral. ol', incisure du sillon c
iolet. strK, stratum calcarinum de Sachs.-Tap,tapetuin.- Voe, corne
occipitale
du ventricule latéral. COUPES MICROSCOPIQUES DU
o-externe du ventricule, il tapisse la paroi inférieure de la corne
occipitale
(Voc) d'une très épaisse couche de libres, forte-
s'irradient dans le lobule, fusiforme (Fus) et les circonvolutions
occipitales
inférieures (0 ? 03), qu'elles relient au lobul
i met en relation la région calcarinienne avec la convexité du lobe
occipital
. La moitié supérieure de ce système est constit
se recourbe en bas et en dehors, le long de la face externe du lobe
occipital
dans lequel il s'irradie. Quelques-unes de ses fi
s par des fibres à direction verticale, qui relient la base du lobe
occipital
la convexité et consti- tuent le faisceau occip
la base du lobe occipital la convexité et consti- tuent le faisceau
occipital
vertical de Wernicke (Ov, fig. 389) (faisceau per
convexité de Sachs). Sur les coupes passant en arrière de la corne
occipitale
(Voc), les trois couches de fibres disparaissen
forment une couche distincte qu'au voisinage immédiat de la corne,
occipitale
; nuis les radiations thalamiques (IlTh) disparais
isparaissent à leur tour et, à un centimètre en arrière de la corne
occipitale
, le faisceau longitudinal inférieur (Fli) n'exi
d et la scissure calcarine (K) au niveau du diverticule de la corne
occipitale
. Elle passe par la partie infé- rieure du corps
coupe est surtout destinée à l'étude des couches sagittales du lobe
occipital
. Sur la face interne de cette coupe on constate
accusé au niveau du lobule lingual(Lg), du cunéus (C) et de la pointe
occipitale
(0,). Il se perd peu à peu sur la face externe
iveau du lobe limbique (L,). Le carrefour ventriculaire et la corne
occipitale
(Voc) ne se prolongent guère sur cette coupe au
voi- sinage du tænia tecta (tec). Les couches sagittales du lobe
occipital
se voient sur celle préparation dans toute leur
tème d'association, et qui dégénère il la suite des lésions du lobe
occipital
, se présente sous l'aspect d'une bande de libre
ns la capsule externe (Ce). Le long de la paroi interne de la corne
occipitale
et de l'ergot de on trouve en dehors du stratum
udinal inférieur, on trouve le long de la paroi externe de la corne
occipitale
une couche caracté- risée par la finesse et la
3 sectionnées parallèlement à leur longueur. Au niveau de la pointe
occipitale
(0,) on les voit traverser la couche des fibres
oisième segments du noyau lenticulaire.-0,, première circonvolution
occipitale
. - Plchl, plexus choroïdes du ventricule latéral.
corne frontale. - Sgé, sulmtance grise sous-epcndymaire de la corne
occipitale
. strz, stratum xonale ? 7 ? première et deuxième
- V, ruban de Vicq d'A/.yr. - VI, ventricule latéral. - Voc, corne
occipitale
. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 566 ANATO
s d'association inlra-hémisphérique, mettant en connexion la région
occipitale
avec la région frontale (Voy. faisceau occ ? )
, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Voe, corne
occipitale
du ventricule latéral. - W, zone de Wernicke. ;,
. Le carrefour ventriculaire (Voc) ne se prolonge plus dans le lobe
occipital
, mais donne, en arrière de la corne d'Ammon (CA
e latéral (VI) et constitue un faisceau d'association reliant le lobe
occipital
au lobe frontal. Le long de la face externe du
llé externe. Ces fibres prennent leur origine dans l'écorce du lobe
occipital
et dégé- 2èi,eiii a la suite des lésions de la
e inférieur du pédoncule, des fibres des couches sagittales du lobe
occipital
(radiations optiques postérieures ou de Graliolel
le cérébral persistent en effet intacts la suite de lésions du lobe
occipital
, et dans ce cas, le segment rétro-lenti- culair
s rolandiques et dans le lobule para- central, son minimum, au pôle
occipital
. Lorsqu'on examine à l'oeil nu une mince coupe
ries de Baillarger (fig. 330). Au niveau de la face interne du lobe
occipital
, l'écorce cérébrale apparaît formée seulement p
ans le cunrfus, et va en s'amincissant jusqu'au niveau de la pointe
occipitale
(fig. 223 à 234 et 261 à 266). Ces différences
blanche intermédiaire externe de Remak, qui constitue dans le lobe
occipital
le ruban de Vicq d'Azyr. Dans certaines cir- .1..
. convolutions, en particulier au niveau de la face externe du lobe
occipital
! jjJ)J ! et du lobe frontal, ainsi que de la f
r la strie externe de Baillarger. Cette strie présente dans le lobe
occipital
une grande épaisseur et y forme une véritable cou
deux coudes secondaires, et ainsi se trouva constitué, dans le lobe
occipital
, le type longtemps classique des huit couches d
i- pales : la région rolandique, la région de l'insula et la région
occipitale
. Région rolandique (zone psycho-motrice).-Les c
par le fort calibre de ces dernières ; très nombreuses dans le lobe
occipital
ces fibres y son ! particulièrement fines. Le lob
calibre, signalées pour la première fois par Bechterew dans le lobe
occipital
. Ces libres, qui constituent la strie de Bechte
, aux confins du feutrage super- radiaire et seraient, dans le lobe
occipital
, l'homologue de la couche l1uf- douaire moyenne
ge super-radiaire d'Edinger. Elle n'est du reste pas propre au lobe
occipital
comme le croyait Bechterew, IL mais apparaît d'
e est par conséquent, particulièrement développée au niveau du lobe
occipital
, du lobe temporal, des circonvolutions rolan- d
es. La strie de Baillarger s'épaissit considérablement dans le lobe
occipital
, où elle porte le nom de ruban de Vicq d'Azyr o
rger se dédouble dans le lobe frontal et constitue daus le lobe
occipital
l'il- ban de Vicq d'Azyr. 8G ANATOM1E DES CEN
ième et le troisième mois, la myélinisation s'effectue dans le lobe
occipital
; elle apparaît dans le lobe frontal après le ci
nt au pédoncule 'inféro-in- terno du thalamus. Ecorce du lobe
occipital
. Les 8 couches de l'écorce du lobe occi- pi
s repré- sentent les rares fibres de projection de l'insula. Lobe
occipital
. Dans le lobe occipital, la présence du ruban de
ares fibres de projection de l'insula. Lobe occipital. Dans le lobe
occipital
, la présence du ruban de Vicq d'Azyr montre déj
s spéciales. Meynert distinguait huit couches dans l'écorce du lobe
occipital
, et créa le type à 8 couches stratifiées qu'il
d à la 4° couche du type commun. ' Hamon y Cajal, étudiant l'écorce
occipitale
des petits mammifères, ne s'est pas rallié à l'
scription (fig. 345 et 346), n'admet que cinq couches dans l'écorce
occipitale
, à savoir : - STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE..
do Cajal. - rie. do. aciiema représentant les coucnes de l'écorce
occipitale
d'après Meynert et - d'après Cajal. Les couches
res-axes et le ' Fie 340. Coupe de la partie inférieure de l'écorce
occipitale
d'un cobaye de 8 jours. Méthode double de Golgi
uban de Vicq d'Azyr. (Retzius, Martinotti, Cajal.) L'écorce du lohe
occipital
est très riche en fibres tangentielles. C'est ici
polymor- phes. (58 couche de Cajal.) Dans l'écorce du z lobe
occipital
, les z libres tangentielles sont très nombreu
n de Vicq d'Azyr devient moins dense et sur la face externe du lobe
occipital
, il se continue insensiblement avec la strie ex
des fibres radiées. Ces dernières fibres se comportent dans le lobe
occipital
comme dans les autres régions de l'écorce; sur le
truttura del Asla di Ammon y Fascia dentata. Estruttura de la Corteza
occipital
! K/'6t' ! Ot' de los pequenos mammiferos. Trabaj
es fibres longues qui relient, par exemple, le lobe frontal au lobe
occipital
, ou le lobe frontal avec l'extrémité antérieure d
Les longs faisceaux d'association; C. Les fibres propres des lobes
occipital
et frontal. A. Fibres courtes d'association (fi
le faisceau longi- tudinal inférieur relie le lobe temporal au lobe
occipital
; le faisceau occipito- frontal de Forci et Onuf
iétal. - 0" 0 ? 0,, première, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. - oF,, oF2, oF3, partie orbitaire des première
u pli courbe (Pc) et des circonvolutions de la face externe du lobe
occipital
(0"02,0.,). A mesure que l'on s'éloigne du sillon
re avec la couche des fibres verticales de la convexité des régions
occipitale
et pariéto-tempo- Le faisceau u'lJu présente
aire. Les faisceaux uncina- lus, arqué ou longitudinal supérieur et
occipital
vertical, sont vus par transparence. Arc, faisc
lon marginal supérieur. 0\, 0" première et deuxième circonvolutions
occipitales
. oa, sillon occipital antérieur de \'erniclce.
0\, 0" première et deuxième circonvolutions occipitales. oa, sillon
occipital
antérieur de \'erniclce. oF,, 07 ? opta, partie o
.- OPR, opercule rolandique/ 0/.) ? opercule pariétal. Ov, faisceau
occipital
vertical. - PI, 1 ? première et deuxième circonvo
génésie du corps calleux. raie, couche constituée par le faisceau
occipital
vertical (Ov, fig. 377) de Wernicke. Sur les
he de fibres qui tapisse la paroi externe des cornes sphénoïdale et
occipitale
est nor- malement développé, et se continue en
libres n'entre dans la constitution de la paroi externe des cornes
occipitale
et sphénoïdale. Nous décrirons donc, sous le no
frontal de Forel et Onufrowicz, formant le tapetum de la corne
occipitale
. - po, scissure pariéto- occipitale. - 7î77t, r
ormant le tapetum de la corne occipitale. - po, scissure pariéto-
occipitale
. - 7î77t, radiations tha- lamiques. - Voc, corn
iéto- occipitale. - 7î77t, radiations tha- lamiques. - Voc, corne
occipitale
. 762 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Sa iorme s
de l'étage supérieur du ven- tricule latéral et la voûte des cornes
occipitale
et sphénoïdale. D'après la dissection d'une piè
du carrefour ventriculaire et en particulier au niveau de la corne
occipitale
, avec les fibres du forceps major du corps calleu
e détacher du forceps major, et longer la paroi externe de la corne
occipitale
. Dans les lésions limitées du lobe occipital, on
i externe de la corne occipitale. Dans les lésions limitées du lobe
occipital
, on voit en outre, les fibres dégénérées du tap
certaine part dans la constitution de la paroi externe de la corne
occipitale
, et cela est d'autant plus probable, que Cajal a
tion interne des longues fibres d'association. Les lésions du lobe
occipital
retentissent, ainsi que nous le verrons plus lo
le tapotum et s'irradie dans la face externe du lobe temporo-
occipital
. Le faisceau occi- pito-frnntal dégénère à
phère motrice ou de la destruction des circonvolutions frontales ou
occipitales
. Mais ce faisceau, et en particulier le tapetum,
ongitudinal inférieur (Burdach) (Fli). - Couches sagittales du lobe
occipital
(Wernicke). Stratum sagittale externwn (Sachs). F
u du bord inféro-externe du lobe sphéno-occipital et étendu du pôle
occipital
au pôle temporal. Il forme la couche externe de
oral. 166 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Sa for111e dans le lobe
occipital
. Son aspect sur les coupes vertico-traus- v
la base des circonvolutions troisième temporale (T.,) et troisième
occipitale
(0.,) (fig. 383, voy. aussi lige52 à 262). La p
is cette forme particulière que dans le lobe temporal; dans le lobe
occipital
, la paroi inférieure de la gouttière se réfléch
som- met effilé est situé, environ, à 2 centimètres et demi du pâle
occipital
. Il résulte de cette disposition que, sur les c
versales. le à faisceau longitudinal inférieur affecte dans le lobe
occipital
la forme d'un WkM anneau plus ou moins irréguli
e projection et d'association, qui tapissent le plancher des cornes
occipitale
et sphénoïdale, et qui sont comprises entre l'é
, où il entoure d'un anneau complet l'extrémité effilée de la corne
occipitale
, il s'épaissit considérablement le long de la par
égulière et recouverte par les libres d'association propres au lobe
occipital
(voy. p. 780); elle présente il la base de chacun
onvolu- tions temporales ('C,T2,T3), de la troisième circonvolution
occipitale
(0,,) et des lobules fusiforme (Fus) et lingual
, lobule lingual. - Os, 03, deuxième et troisième cir- convolutions
occipitales
. Os, deuxième sillon occipital. oa', incisure du
ème et troisième cir- convolutions occipitales. Os, deuxième sillon
occipital
. oa', incisure du sillon occipital antérieur de
s occipitales. Os, deuxième sillon occipital. oa', incisure du sillon
occipital
antérieur de Wernicke. - of, sillon collatéral.
- RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Tap, tapetum. Voc, corne
occipitale
du ventricule latéral. FAISCEAUX D'ASSOCIATION
secondaires, consécutives à des lésions corticales limitées du lobe
occipital
, nous ont toutefois montré, que ce faisceau con-
al inférieur prennent leur origine dans l'écorce du pôle et du lobe
occipital
; elles traversent radiairement, avec les libres
sième segments du noyau lenticulaire. - 0,, première circonvolution
occipitale
. - Plchl, plexus choroïdes du ventricule latéra
orne frontale. - Sge', substance grise sous-épendymaire de la corne
occipitale
. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche
. - V, ruban de Vicq d'Azyr. VI, ven- tricule latéral. - Voc, corne
occipitale
. Zr, zone réticulée ou grillagée. lobe, et se g
illagée. lobe, et se groupent de bonne heure en arrière de la corne
occipitale
, en un mince faisceau annulaire, facile à disti
forme (Fus) et des trois circonvolutions de la face convexe du lobe
occipital
(Oi,02,03). Toutes ces fibres ne présentent pas
prennent leur origine dans la moitié inférieure et externe du lobe
occipital
se portent d'arrière en avant, le long du bord in
rtent d'arrière en avant, le long du bord inféro-externe des cornes
occipitale
et sphénoïdale, les fibres qui naissent de la par
i- quement en bas et en avant, longent la paroi interne de la corne
occipitale
en dehors du stratum calcarinum, puis passent a
stratum calcarinum, puis passent au-dessous du plancher de la corne
occipitale
. Toutes ces fibres se rapprochent donc de plus en
auteurs qui assimilent ce faisceau aux fibres de projection du lobe
occipital
et le décrivent avec ces dernières sous les noms
me des faisceaux optiques (Meynert), substance sa- yittccle du lobe
occipital
(Wernicke), faisceau sensitif (Charcot, Ballet, B
faisceau longitudinal inférieur est traversé, dans toute sa partie
occipitale
, par les fibres qui de l'écorce occipitale se r
sé, dans toute sa partie occipitale, par les fibres qui de l'écorce
occipitale
se rendent dans le tapetum et dans la couche des
er et qu'elles appartiennent, soit à la couronne rayonnante du lobe
occipital
, soit à la couronne rayonnante du lobe temporal
de l'écor- ce temporale (J. De- jerine.) Les lésions du lobe
occipital
ne retentis- sent pas sur. le pied du pédoncu
s fibres du « faisceau dit de Tüuclc » proviennent, non pas du lobe
occipital
, comme l'ont admis Türch, Meynert, Wernicke, Char
énérescences secondaires consécutives aux lésions de la corticalité
occipitale
confirme encore l'origine temporale du faisceau d
faites par l'un de nous dans cinq cas de lésions de la corticalité
occipitale
, - intéressant soit la convexité occipitale jusqu
sions de la corticalité occipitale, - intéressant soit la convexité
occipitale
jusqu'au pli courbe inclusivement, soit le cuné
capsule interne, persistent intacts à la suite des lésions du lobe
occipital
et que, dans ces cas, le segment rétro-lenticulai
vail, mon- tre en effet que, tant que la lésion est limitée au lobe
occipital
, la dégé- nérescence secondaire est toujours ca
dès que les altérations corticales ne sont plus cantonnées au lobe
occipital
, mais empiètent sur les lohes pariétal et tempora
ité générale, le faisceau sensitif, qui s'épanouissait dans le lobe
occipital
et qui constituait le faisceau externe du pédon
ous venons de l'indiquer, le faisceau de Türch ne vient pas du lobe
occipital
et d'autre part, c'est là une chose prouvée par d
ses observations èliniques suivies d'autopsies, les lésions du lohe
occipital
, corticales ou centrales, ne retentissent pas s
s microscopiques sériées de cerveaux de singe Les lésions du lobe
occipital
no produi- sent pas de troubles de la sensibi
de la capsule interne. coa, commissure antérieure. - duo, diverticule
occipital
.eA', écorce . de la scissure calcarine. I· ? de
ig. : 388\ on ne retrouve dans la couche sagittale du lobe temporo-
occipital
les différences de coloration si caractéristiques
fortement colorés par l'hématoxyline. Ces libres nais- sent du lobe
occipital
(pointe, face interne et face externe), se porten
ent de fibres de l'ergot de Morand, entourent complètement la corne
occipitale
, se réunissent le long de la paroi externe du v
oscopiques sériées, ce faisceau naît en arrière des circonvolutions
occipitales
, en particulier de la pointe occipitale et de ses
rrière des circonvolutions occipitales, en particulier de la pointe
occipitale
et de ses faces interne et externe; de là il se
]\'L3, NL" Ni ? noyau lenticulaire et ses trois segments. - 0, lobe
occipital
. - off, partie orbitaire de la première circonv
rtie orbitaire de la première circonvolution frontale. Ov, faisceau
occipital
vertical de Wernicke. - ! 'iTk, pédoncule infér
ûro dans les deux sens. fibres d'associa- tion propre au lobe
occipital
. matoxyline n'a rien qui doive étonner, étant d
nférieur est avant tout un faisceau d'association qui relie le lobe
occipital
, et en particulier la zone visuelle, au lobe te
lobe temporal. Ce faisceau dégénère à la suite des lésions du lobe
occipital
et se trouve intéressé, dans la variété de cécité
férieur, à la suite des lésions portant non plus sur la corticalité
occipitale
, mais sur la masse blanche sous-jacente et en par
ieur ne contient pas, outre les fibres qui lui viennent de l'écorce
occipitale
et qui constituent du reste presque la totalité d
lui venant de l'écorce temporale, iraient s'arboriser dans l'écorce
occipitale
. La méthode des dégénérescences secon- daires e
e tel ou tel de ces faisceaux. Fibres d'association propres au lobe
occipital
(Stratum pro- prium corlicis de Sachs). Autour
sceau longitudinal inférieur se groupent les fibres propres au lobe
occipital
, disposées en cinq faisceaux plus ou moins nett
s. Ce sont : en dedans le stratum calcarinum, en dehors le faisceau
occipital
vertical de Wernicke, enbas le faisceau trans-
rse du cunéus et le faisceau propre du cunéus de Sachs. Le faisceau
occipital
vertical, le stratum calcarinum et le faisceau
plus ou moins verticales, qui relient la partie supérieure du lobe
occipital
à ses parties moyenne et inférieure; les fibres
u lobule lingual. Cette couche de fibres verticales s'étend du pôle
occipital
au lobe limbique, unit, au niveau de la branche c
éus serait ainsi dépourvu. L'examen microscopique de coupes du lobe
occipital
, colorées par les méthodes de Weigert ou de Pal
ns longues, avant d'arriver la couche des fibres sagittales du lobe
occipital
. Le faisceau occipital vertical ou occipital pe
er la couche des fibres sagittales du lobe occipital. Le faisceau
occipital
vertical ou occipital perpendiculaire de Wernicke
res sagittales du lobe occipital. Le faisceau occipital vertical ou
occipital
perpendiculaire de Wernicke (Ov), (fig. 377, 38
is de Sachs, constitue une épaisse couche de fibres propres au lobe
occipital
et qui relie le bord supérieur de ce lobe à sa
re. Il met par conséquent en con- nexion la première circonvolution
occipitale
avec la troisième circonvolu- tion occipitale e
emière circonvolution occipitale avec la troisième circonvolu- tion
occipitale
et avec le lobule fusiforme. Très épaisse dans la
occipitale et avec le lobule fusiforme. Très épaisse dans la région
occipitale
, cette couche s'amincit en avant; elle est toutef
sillon parallèle. En arrière du gyrus supra-marginalis, le faisceau
occipital
vertical de Stratum calcari- Ullll1. ri 1
igine et son trajct. 782 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Faisceau
occipital
transvcrse du cu- néus. Ce faisceau relie l
cu- néus. Ce faisceau relie le cunéus à la convexité du lobe
occipital
et à son bord infére-ex- terne. Faisceau oc
té du lobe occipital et à son bord infére-ex- terne. Faisceau
occipital
transverse du lobule lingual de Vialet. Ce
région calcarinienne en communication avec la convexité du lobe
occipital
. , Wernicke se confond avec les fibres postérie
tituent - donc une sorte de cloison verticale, étendue de la pointe
occipitale
à la branche postérieure de la scissure de Sylv
r coloration moins foncée par la laque hématoxylinique. Le faisceau
occipital
transverse du cunéus (stratum cllnei tranSVeJ'SIf
tcS), (fig. 390, 384 et 389) relie le cunéus à la convexité du lobe
occipital
et à son bord inféro-externe ; il appartient à la
urbent en haut, passent au-dessus du cône creux formé par la partie
occipitale
du faisceau longitudinal inférieur, puis tra- v
e du faisceau longitudinal inférieur, puis tra- versent le faisceau
occipital
vertical, se mélangent intimement aux fibres co
s'irradient très probablement dans l'écorce de la convexité du lobe
occipital
et de son 4tY'" " bord inféro-externe. Les libr
e pariétal supé- rieur et dans le pli courbe (Sachs). Le faisceau
occipital
transverse du lobule lingual de Vialet (fig. 290
h, une seconde fois au niveau de l'angle inféro-externe de la corne
occipitale
, puis elles traversent le fais- ceau occipital
externe de la corne occipitale, puis elles traversent le fais- ceau
occipital
vertical de Wernicke, et s'irradient dans l'écorc
de Wernicke, et s'irradient dans l'écorce de la con- vexité du lobe
occipital
et de son bord inféro-externe. Ce faisscau, qui r
tion qui met en relation la région calcarinienne avec la convexité
occipitale
, se trouve quelquefois, dans certaines lésions
é occipitale, se trouve quelquefois, dans certaines lésions du lobe
occipital
, persister intact, parmi les libres dégénérées
alet, Obs. III). Outre ces quatre couches de fibres propres au lobe
occipital
, Sachs dé- crit une cinquième couche de oourtes
m proprium cunei. r ig. 389. - Coupe vertico-transversale du lobe
occipital
gauche, destinée à montrer . l'origine et le tr
r . l'origine et le trajet des fibres d'association propres du lobe
occipital
. (Demi- schématique.) , C, cunéus. - far, fib
ngual. 0,, 0" 03, première, deuxième et troisième circonvolu- tions
occipitales
.- os, deuxième sillon occipital. - Or, faisceau o
me et troisième circonvolu- tions occipitales.- os, deuxième sillon
occipital
. - Or, faisceau occipital vertical.-at, si1lon
- tions occipitales.- os, deuxième sillon occipital. - Or, faisceau
occipital
vertical.-at, si1lon collatéral. po, scissure p
oprium cunei. - Tap, tapetum. V, ruban de Vicq d'Azyr. - Fac, corne
occipitale
du ventricule latéral. 78t ANATOMIE DES CENTRES
d'association propres est beaucoup moins développé que dans le lobe
occipital
. La corne occipitale, autour de laquelle se gro
s est beaucoup moins développé que dans le lobe occipital. La corne
occipitale
, autour de laquelle se groupent les couches sag
s fibres d'association, se prolonge en effet très loin dans le lobe
occipital
, tandis que la corne frontale ne dépasse guère l'
quoique beaucoup plus réduite, à ce que l'on observe dans la corne
occipitale
(fig. 390). L'anneau interne se trouve constitu
ciation ne se disposent pas en couches compactes comme dans le lobe
occipital
- elles s'entre-croisent en effet avec les nomb
. parties postérieures et réfléchies; nées de toute l'écorce du lobe
occipital
et de la partie postérieure du lobe pariétal, c
lobe pariétal, ces dernières entourent d'un anneau complet la corne
occipitale
. Grâce à la saillie de l'ergot de Morand dans l
etit, qui reçoit les radiations de la partie inféro-interne du lobe
occipital
, l'autre supérieur, beaucoup plus volumi- neux,
e dernier faisceau détermine à la partie supéro-interne de la corne
occipitale
la production d'un relief conoïde, situé en dedan
ires du forceps. Les radiations calleuses qui naissent de la pointe
occipitale
(faces externe, interne et inférieure) converge
e) convergent vers l'extrémité effilée et pos- térieure de la corne
occipitale
. Confondues en arrière avec les fibres d'asso-
e immédiat de la cavité ventri- ' culaire. Elles entourent la corne
occipitale
d'une couche mince et régulière . (Tap) fig. 29
ans, et plus ou moins parallèlement il la paroi interne de la corne
occipitale
(fig. 384, p. 768). Il en est de même de la plu
terne du ventricule. Nées des troisième et deuxième circonvolutions
occipitales
10" 03), ces libres rayon- nent vers la paroi e
es qui naissent du cunéus (( : ;1 et lit première ('ir- convolution
occipitale
IO,) convergent, en rayonnant, vers l'angle supér
e IO,) convergent, en rayonnant, vers l'angle supérieur de la corne
occipitale
, traversent les couches des faisceaux d'associati
ig. 384). Renforcé par les libres de la paroi . externe de la corne
occipitale
et surtout par le fort contingent, qui lui vient
ontingent, qui lui vient du cunéus et de la première circonvolution
occipitale
, ce faisceau se porte en avant et reçoit dans l
nc, en d'autres termes, une sorte de cône creux qui coiffe la corne
occipitale
et qui est recouvert par deux cônes concentriqu
aire, qui tapisse la paroi supéro-externe des cornes sphénoïdale et
occipitale
; cette couche se continuait en haut avec la parti
nis- sait en arrière, au forceps, au niveau de la voûte de la corne
occipitale
. Burdach, au contraire, ne désigne sous le nom
certaine part dans la constitution de la paroi externe de la corne
occipitale
(voy. Faisceau occipito-frontal et fig. 384); s
effet, un certain nombre de fibres de la paroi externe de la corne
occipitale
aborder le faisceau principal ou major du forceps
en effet comme celles du forceps à la suite de lésions de l'écorce
occipitale
. Ce sont les lésions expérimentales ou pathologiq
tème de projection et le système calleux. Si le cunéus et la pointe
occipitale
sont le siège d'un ramollissement ancien, si, c
2 et 393, il s'agit d'une plaque jaune ancienne, occupant la pointe
occipitale
(0" O2), le gyrus descendens (D), le cunéus (C)
alleuses se dispose comme suit : les fibres dégénérées de la pointe
occipitale
et de la base du cunéus revêtent la partie postér
et de la base du cunéus revêtent la partie postérieure de la corne
occipitale
d'un anneau dégénéré complet et sous-épendymaire.
ne et supérieure du lobe occipito-pariétal (deuxième circonvolution
occipitale
[0.=], pli courbe [Pc], première circonvolution
dégénérée se cantonne aux parois inférieure et externe de la corne
occipitale
, puis remonte le long de la paroi externe du ve
e de Vialet, Obs. I). Si la lésion porte au contraire sur la pointe
occipitale
(0,,02), sur les lobules fusiforme (Fus) et lin
g. 397 et 398). En résumé donc, les lésions de la scissure pariéto-
occipitale
(po) (fig. 395). et de la partie postérieure de
lors la partie profonde du bourrelet. Dans les lésions de la partie
occipitale
de la scissure collaté- rale (ot), du pli cunéo
corticale. Plaque jaune ancienne du cunéus et des circon- volutions
occipitales
gauches, légères plaques jaunes sur les deuxième
er. Deux cas d'hémianopsie homonyme par lésions de l'écorce du lobe
occipital
. Arch. de Phys., 1890, p. 177 et Vialet, Thèse de
lcarine (K), la face du cunéus (C) qui regarde la scissure pariéto-
occipitale
(po), le fond du sillon inter-pariétal (ip) et le
la scissure calcarine (K). Les courtes fibres d'association du lobe
occipital
telles que le faisceau transverse du cunéus de
aisceau transverse du lobule lingual de Vialet (ftlgY), le faisceau
occipital
perpendiculaire ou vertical de Wernicke (Ov) sont
interne des radiations Fie. 394. Coupe vertico-transversale du lobe
occipital
dans un cas d'hémianopsie homonyme latérale dro
g. 392 et 393). Cette coupe passe environ à 45 millim. de la pointe
occipitale
et intéresse le pli courbe (Pc), la scissure pa
a zone de dégénérescence qui occupe la paroi inférieure de la corne
occipitale
, elle doit être rapportée à la lésion de la point
corne occipitale, elle doit être rapportée à la lésion de la pointe
occipitale
. Sur les coupes qui passent en arrière de la co
énérées du tapetum et des radiations thalamiques entourent la corne
occipitale
d'un anneau dégénéré complet. Sur les coupes
suiv., t. II et Vialet, Thèse de Paris, 1893). Les lésions du lobe
occipital
, et en particulier celles du cunéus, en- traîne
la bandelette optique. Mais, fait important, ces lésions du lobe
occipital
ne déterminent pas de dégénérescence dans le pied
le faisceau de Turck, dé- génère non à la suite de lésions du lobe
occipital
, mais consécutivement à à Fig. 395. Ilémianolos
calleuses s'observent non seulement il la suite de lésions du lobe
occipital
, mais consécutivement à n'importe quelle lésion
e ainsi que de la parole, et relevant des lésions anciennes du lobe
occipital
. Pendant le deuxième stade, qui ne dura qu'une
ce du cunéus du lobule lingual, du lobule fusiforme et de la pointe
occipitale
et, d'autre part, avec ce que nous avons dit plus
les dégénérescences du bourrelet consécutives à des lésions du lobe
occipital
. Mais l'examen méthodique de la pièce, par la m
lle intéresse en outre au niveau de la paroi inférieure de la corne
occipitale
(Voc), à la base du lobule fusiforme (Fus), la
e on voit ces fibres dégénérées longer la paroi interne de la corne
occipitale
, se rassembler pour former le faisceau inférieu
ème sillons temporaux. Tap, tapetum. lec, ttenia tecta. T'oc, corne
occipitale
du ventricule latéral. Ce cas a trait à un homm
ey- nert (15G51, l'ont suivie par la dissection jusque dans le lobe
occipital
; Arnold (1851) et Luys (186a) n'ont pu la suivr
érale, intéressant le lobule lingual (Lg), le cunéus (C), la pointe
occipitale
(0,, 0,), le lobule fusiforme (Fus) et la parti
dans le cas de ramollissement cortical du cunéus (C), de la pointe
occipitale
(0,,0) et de la lèvre calcarine du lobule lingual
1893. Du même. Note sur l'existence à la partie inférieure du lobe
occipital
d'un faisceau d'association distinct, le faisceau
ions frontales; P,P, circonvolutions pariétales; 0,0, circonvolutions
occipitales
; ce, corps calleux; NL, nerfs de Lancisi. chez
circonvolutions frontales ; les postérieures sont les circonvolutions
occipitales
; les moyennes sont les circonvolutions pariétale
ns la partie antérieure ou orbitaire et dans la partie postérieure ou
occipitale
. Le corps calleux (ce) y est entrevu, dans la pro
sphénoïdal; en arrière elles convergent également pour former le pôle
occipital
(PO), où elles font suite aux circonvolutions occ
ormer le pôle occipital (PO), où elles font suite aux circonvolutions
occipitales
de la convexité. La portion antérieure de la fe
utions antérieures ou orbitaires; PO, circonvolutions postérieures ou
occipitales
; Bf, fente deBichat; T3, circonvolutions temporal
un bistouri dans le canal rachidien par la partie antérieure du trou
occipital
et l'on divise la moelle au niveau du collet du b
mité répond à la région frontale et la petite extrémité à la région
occipitale
. Chaque demi-ovoïde présente une surface externe
face externe du même hémisphère. F, extrémité frontale; 0, extrémité
occipitale
; S, dépression de la vallée de Sylvius, au-dessou
m, trou de Monro; VF, corne frontale du ventricule latéral; VO, corne
occipitale
; VS, corne sphenoidale; CO, centre ovale de Vieus
en arrière, par un prolongement étroit et aplati, avec une dilatation
occipitale
, triangulaire, terminée en pointe au voisinage du
ion occipitale, triangulaire, terminée en pointe au voisinage du pôle
occipital
: c'est la corne occipitale du ventricule latéral
e, terminée en pointe au voisinage du pôle occipital : c'est la corne
occipitale
du ventricule latéral (VO). Enfin la corne occipi
c'est la corne occipitale du ventricule latéral (VO). Enfin la corne
occipitale
elle-même communique largement en avant et en bas
le; les fibres du splenium passent au-dessus et en dehors de la corne
occipitale
. Uniformément convexe à sa face supérieure et c
rtie ménagée en blanc sur le schéma 8 (A), F, côté frontal; 0, côté
occipital
de l'héjriis])hère ; ce, corps calleux; GC, genou
ds départements ou lobes : le lobe frontal, le lobe pariétal, le lobe
occipital
, le lobe temporal, le lobe limbique et le lobe de
eure; S'", sa branche verticale) ; L, scissure limbique ; 0, scissure
occipitale
; K, scissure calcarine ; R, scissure de Rolando
ux circonvolutions pariétales ; 010203040506, les six circonvolutions
occipitales
; T1TÎT3T4T5, les cinq circonvolutions temporales;
tions frontales; T4,06 désignent la quatrième temporale et la sixième
occipitale
. La circonvolution frontale ascendante et la pari
ite ainsi plus facilement la confusion de O1 (première circonvolution
occipitale
) avec Ot (premier sillon occipital)..... et ainsi
on de O1 (première circonvolution occipitale) avec Ot (premier sillon
occipital
)..... et ainsi de suite. Les plis de passage et
et tout aussi facile à comprendre que celui de sixième circonvolution
occipitale
. À l'époque encore peu éloignée où les plis du
ntale (F) se confond avec la région pariétale. (P). Quant à la région
occipitale
, elle n'existe que virtuellement, en arrière de l
nouvelle scissure se montre, oblique en bas et en avant : la scissure
occipitale
interne (Oi, schéma 14). Elle forme avec la calca
ine un angle ouvert en arrière, dont les côtés limitent le futur lobe
occipital
. Au-dessous de la calcarine (K) est le lobe tempo
e (K) est le lobe temporal (T) ; au-dessus et en avant de la scissure
occipitale
interne (Oi) est le lobe pariétal (P). Le lobe
es parties que nous avons déjà K, scissure calcarine Oi, scissure
occipitale
interne ; F, région frontale; P, région parié
rine (K) se relève en arrière et se confond en avant avec la scissure
occipitale
(Oi, schéma 15). La portion de l'écorce comprise
formé par ces deux scissures est le cuneus ou sixième circonvolution
occipitale
. Cette sixième circonvolution occipitale représen
us ou sixième circonvolution occipitale. Cette sixième circonvolution
occipitale
représente en réalité la partie essentielle du lo
lution occipitale représente en réalité la partie essentielle du lobe
occipital
à la face interne du cerveau. La scissure occipit
sentielle du lobe occipital à la face interne du cerveau. La scissure
occipitale
interne, qui le limite en avant, (Oi) atteint le
ontinuité dans le trajet de ces deux plis; qu'ils vont depuis le pôle
occipital
(PO), au-dessous de la scissure calcarine (K), ju
émarcation entre les circonvolutions temporales (T4, T3) et la région
occipitale
. La partie la plus reculée de la cinquième circon
te, dans la nomenclature de Broca, le nom de cinquième circonvolution
occipitale
(O3 schéma 15). Mais ce n'est là qu'une assimi-
cinq mois et demi à six mois). À', scissure calcarine; Oi, scissure
occipitale
interne; 0e, sixième circonvolution occipitale ou
alcarine; Oi, scissure occipitale interne; 0e, sixième circonvolution
occipitale
ou cuneus ; 05, gyrus lingual ; PO, pôle occipita
me circonvolution occipitale ou cuneus ; 05, gyrus lingual ; PO, pôle
occipital
; ott, quatrième sillon occipito-temporal; T8, cin
l. lation avec ce qu'on observe sur le cerveau du singe, où le lobe
occipital
a une autonomie parfaite. Dans la nomenclature al
. Il y a peu de modificji-tions à signaler (schéma 16) dans la région
occipitale
et dans la région temporale. On remarquera seulem
et dans la région temporale. On remarquera seulement que la scissure
occipitale
(Oe) entame de plus en plus profondément le bord
Enfin, dans l'intervalle qui sépare le lobe paracentral (Pa) du lobe
occipital
(06), c'est-à-dire entre la scissure limbique (L)
ital (06), c'est-à-dire entre la scissure limbique (L) et la scissure
occipitale
(Oe), on voit une surface quadrilatérale, qu'on a
lleux; GC, genou du corps calleux; X,scissure calcarine; Oe, scissure
occipitale
interne faisant suite à la scissure occipitale ex
alcarine; Oe, scissure occipitale interne faisant suite à la scissure
occipitale
externe ; oi^, grand sillon occipito-temporal; 0"
misphère droit (fœtus à terme), if, scissure calcarine ; Oe, scissure
occipitale
envoyant une branche dans le cuneus (0") ; ot^, g
circonvolution temporale, se continuant en arrière avec la quatrième
occipitale
(0*), ou gyrus fusiforme; T", cinquième circonvol
orale (ou de l'hippocampe) se continuant en arrière avec la cinquième
occipitale
(0^) ou linguale, et, en avant, avec le crochet (
cinquième circonvolution occipito-temporale, en arrière, vers le pôle
occipital
, le grand sillon occipito-temporal (0/4) envoie u
ux des branches delà scissure sous-pariétale, a pour base la scissure
occipitale
(Oe). Le grand sillon métopique (sME), la plupa
lus qu'à la face interne, il n'est possible de reconnaître une région
occipitale
distincte. Dans le courant du cinquième mois, l
on (f2), deuxième sillon temporal, apparaît au voisinage de la région
occipitale
(0). Le lobe temporal est donc, lui aussi, défini
premier sillon temporal; tt,, deuxième sillon temporal; 0, région
occipitale
. Schéma 19. — Face externe d'un hémisphère droi
e ces sillons. En arrière, le lobe temporal se confond avec la région
occipitale
et avec la région pariétale. Dans le courant du
irconvolution pariétale ascendante; GP, lobule du pli courbe; 0, pôle
occipital
; r.O, pli de passage pariéto-occipital supérieur
érieur de l'hémisphère, en arrière, apparaît l'encoche de la scissure
occipitale
(Oe), que nous avons déjà signalée à la face inte
la face interne de l'hémisphère. Ce qui est en arrière de la scissure
occipitale
est le lobe occipital (0). Au-dessous de cette en
misphère. Ce qui est en arrière de la scissure occipitale est le lobe
occipital
(0). Au-dessous de cette encoche, un sillon profo
n 0), qui décrit une courbe à concavité interne autour de la scissure
occipitale
externe (Oe) ; c'est le pli de passage pariéto-oc
erne (Gratiolet). Il réunit le lobule pariétal supérieur (P1) au lobe
occipital
(0); un pli inférieur (71 P), au-dessous du sillo
, au-dessous du sillon pariétal (p), relie le pli courbe (PC) au lobe
occipital
: c'est le deuxième pli de passage externe, ou pl
s la région pariétale, il n'y a rien à signaler; c'est dans la région
occipitale
(celle dont le développement est certainement le
rtantes. Sur l'hémisphère que nous avons reproduit ici, la scissure
occipitale
externe (Oe) atteint le sillon pariétal (p), de t
petite incisure transversale (0,), qu'on doit appeler premier sillon
occipital
, mais qu'on peut considérer — par assimilation av
ui s'observe chez les primates — comme un prolongement de la scissure
occipitale
externe (Oe). Ce qui se trouve au-dessus et en av
rne (Oe). Ce qui se trouve au-dessus et en avant de ce premier sillon
occipital
est la première circonvolution occipitale (O1).
avant de ce premier sillon occipital est la première circonvolution
occipitale
(O1). La première occipitale fait immédiatement s
cipital est la première circonvolution occipitale (O1). La première
occipitale
fait immédiatement suite, on le conçoit, au premi
externe. Ce qui se trouve au-dessous et en arrière du premier sillon
occipital
(oj) est la deuxième circonvolution occipitale (O
rière du premier sillon occipital (oj) est la deuxième circonvolution
occipitale
(O2). La deuxième circonvolution occipitale est r
a deuxième circonvolution occipitale (O2). La deuxième circonvolution
occipitale
est reliée au pli courbe (PC) par le deuxième pli
rolandique supérieur ; sillon post-rolandique inférieur; Oe, scissure
occipitale
externe ; o,,, premier sillon occipital ; o,, deu
ique inférieur; Oe, scissure occipitale externe ; o,,, premier sillon
occipital
; o,, deuxième sillon occij)ital ; 0\ 0^, 0', pre
occij)ital ; 0\ 0^, 0', première, deuxième, troisième circonvolutions
occipitales
; PC, pli courbe ; r.V, deuxième pli de passage e
t^, deuxième sillon temporal. Enfin, cette deuxième circonvolution
occipitale
est limitée en bas — mal limitée d'ailleurs — par
— mal limitée d'ailleurs — par un petit sillon (02), deuxième sillon
occipital
, qui est sur le prolongement du deuxième sillon t
euxième sillon temporal {t^. Ce qui est au-dessous du deuxième sillon
occipital
est la troisième circonvolution occipitale (0^),
-dessous du deuxième sillon occipital est la troisième circonvolution
occipitale
(0^), toujours confondue avec la troisième tempor
premier et deuxième lobules pariétaux; PC, pli courbe ; Oe, scissure
occipitale
externe; A', scissure calcarine ; O1, O2, 05, pre
calcarine ; O1, O2, 05, première, deuxième, troisième circonvolutions
occipitales
. ment fermée. Il faut en écarter les lèvres pou
territoires (P, P1, P2) sont plus complètement isolés. Sur le lobe
occipital
on peut reconnaître encore les trois circonvoluti
O3). Mais leurs limites ne sont pas représentées par les deux sillons
occipitaux
(o„ ot schéma 21). C'est le prolongement bifurqué
ourbe ; PC, pli courbe ; O1, O2, première et deuxième circonvolutions
occipitales
; r.O, premier pli de passage externe ; itP, deuxi
insi que nous l'avons dit, la continuation antérieure de la cinquième
occipitale
(03), et aussi la continuation du lobe carré (CQ)
Sur ce schéma on constate facilement que la quatrième circonvolution
occipitale
(O1), ou gyrus fusiforme, occupe la région tempor
u gyrus fusiforme, occupe la région temporale bien plus que la région
occipitale
. Les circonvolutions orbitaires, en avant de la
érieure ou horizontale de Sylvius ; PS, pôle sphénoïdal; PO, pôle
occipital
; Bf, fonte de Bichat; T-, T% T*, T% deuxième
», deuxième, troisième, quatrième, cinquième, sixième circonvolutions
occipitales
; A', scissure calcarine ; Oc, scissure occipi
irconvolutions occipitales; A', scissure calcarine ; Oc, scissure
occipitale
; oZj, grand sillon occipito-temporal de Pansch
sillon sous-frontal ; sf, deuxième sillon sous-frontal ; Oe, scissure
occipitale
; À', scissure calcarine ; A'', branche inférieur
; R, scissure de Rolande ; sP, scissure sous-pariétale; Oi, scissure
occipitale
interne; K, scissure calcarine; ot^, grand sillon
o-temporal; 0^, 0^, 0°, quatrième, cinquième, sixième circonvolutions
occipitales
; T*, quatrième circonvolution temporale. (C). E
lobe carré; BQ, bourrelet du lobe carré; 0*, quatrième circonvolution
occipitale
; T*, quatrième circonvolution temporale. interv
la continuité absolue du gyrus fusiforme ou quatrième circonvolution
occipitale
(O4) avec la quatrième temporale (T4). Nous ven
ue; R, scissure do Rolando; sP, scissure sous-pariétale; Oe, scissure
occipitale
; K, scissure calcarine; 0S, gyrus lingual ou cinq
K, scissure calcarine; 0S, gyrus lingual ou cinquième circonvolution
occipitale
; 06, gyrus cunéiforme (cuneus) ou sixième circonv
n occipitale; 06, gyrus cunéiforme (cuneus) ou sixième circonvolution
occipitale
. interne de l'hémisphère droit d'une négresse,
rine (K), par une exception vraiment rare, n'arrive pas jusqu'au pôle
occipital
. Elle est interrompue par un pli d'anastomose qui
terrompue par un pli d'anastomose qui relie la sixième circonvolution
occipitale
(O6) à la cinquième (0S). De ce fait, le sillon d
De ce fait, le sillon du cuneus, au lieu de se jeter dans la scissure
occipitale
(Oe), se jette dans la calcarine (K). Le schéma
ssure de Rolando; itL, pli de passage pariéto-limbique ; Oe, scissure
occipitale
; K, scissure calcarine ; 06, gyrus cunéiforme ; o
arine (K) par un pli d'anastomose qui relie la sixième circonvolution
occipitale
(06) à la cinquième située au-dessous. Les plan
re du lobule du pli courbe; ipc, incisure du pli courbe; Oe, scissure
occipitale
; A', scissure calcarine; K', branche inférieure d
pli courbe; 0', 0-, 0', première, deuxième, troisième circonvolutions
occipitales
; r.O, premier de passage externe ; icP, deuxième
; L, scissure limbique ; pi, sillon pariétal transverse; Oe, scissure
occipitale
. Schéma 38. — Face externe d'un hémisphère droi
e; sillon interpariétal; pt, sillon pariétal transverse; Oe, scissure
occipitale
; T% T-, T", première, deuxième, ti'oisième circon
i courbe; 0^, 0^, 0', première, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
; itO, premier pli de passage externe ;-P, deuxièm
isent la série des coupes verticales de l'hémisphère depuis la région
occipitale
jusqu'à la région frontale. Quiconque voudra prat
de Bichat; VF, corne frontale (hi ventricule latéral ; YO, corne
occipitale
: VS, corne sphénoï-dale; CV, carrefour ventr
eprésentées sur chaque figure. Au contraire, les repères de la région
occipitale
ou de la région frontale, qui ne correspondent qu
ace interne de l'hémisphère. Lorsqu'on est arrivé ainsi dans la corne
occipitale
du ventricule, on a sous les yeux la face interne
rne de la cavité. Le schéma 47 représente la face interne de la corne
occipitale
du ventricule latéral droit. Le corps calleux (ce
le forceps major (il occupe la face supérieure et interne de la_corne
occipitale
). Au-dessous du corps calleux, le trigone céréb
l'ergot de Morand comme appartenant à la face inférieure de la corne
occipitale
. UU1SSAUD. f et on dehors; il est constitué p
llon post-rolandique inférieur (P*) jusqu'à un tronçon de la scissure
occipitale
externe (Oe). Il sépare deux régions bien distinc
3). Il se prolonge en arrière jusque dans la troisième circonvolution
occipitale
(03), où il se termine. Son extrémité postérieure
sous de la troisième temporale, en avant et en dedans de la troisième
occipitale
(03). Il se confond en partie à ce niveau avec la
ée en arrière de l'extrémité supérieure de Rolando. Oe. La scissure
occipitale
externe ne se reconnaît qu'à la situation précise
e forme la limite du pli courbe (PC) et de la première circonvolution
occipitale
(01). Elle reçoit l'extrémité postérieure du sill
édentes, à la face interne de l'hémisphère, entame légèrement le lobe
occipital
, parla branche supérieure qu'elle envoie en haut
he supérieure qu'elle envoie en haut et en arrière, au-dessus du pôle
occipital
. Elle sépare la première circonvolution occipital
, au-dessus du pôle occipital. Elle sépare la première circonvolution
occipitale
(O1) de la seconde (02). F. La circonvolution f
t commun au lobule pariétal supérieur et à la première circonvolution
occipitale
(O1). Ce pli de passage ferme en dehors la scissu
lution occipitale (O1). Ce pli de passage ferme en dehors la scissure
occipitale
externe (Oe). Au-dessous de lui, et un peu en arr
pli courbe (ipc)., en arrière par le tronçon inférieur de la scissure
occipitale
externe (Oe), il n'a pas de limite inférieure ; i
de limite inférieure ; il se continue avec la deuxième circonvolution
occipitale
(O2) par le deuxième pli de passage pariéto-occip
e passage ne se confond pas seulement avec la deuxième circonvolution
occipitale
(O2) ; il envoie un prolongement à la première (O
ed de la temporale transverse (pTt). O1. La première circonvolution
occipitale
fait suite au premier pli de passage externe (tcO
En avant et en dehors de cette scissure, la première circonvolution
occipitale
se réunit à la seconde, au niveau du deuxième pli
u du deuxième pli de passage (tïP) . 02. La deuxième circonvolution
occipitale
est séparée de la première par le prolongement su
euxième temporale (T2); enfin elle se confond aussi avec la troisième
occipitale
(O3), dont elle n'est isolée que par le prolongem
ent inférieur de la calcarine (K'). 03. La troisième circonvolution
occipitale
forme le pôle occipital (PO). Elle se continue sa
rine (K'). 03. La troisième circonvolution occipitale forme le pôle
occipital
(PO). Elle se continue sans aucune démarcation av
xième sillons temporaux (t± et £2) jusqu'à la deuxième circonvolution
occipitale
(O2), avec laquelle elle se confond grâce au troi
ère; elle se prolonge, en arrière, dans la troisième circonvolution
occipitale
(O3). C'est la même circonvolution qui forme le b
férieur de l'hémisphère, depuis le pôle sphénoïdal (PS) jusqu'au pôle
occipital
(PO). Rien ne permet de différencier la troisième
Rien ne permet de différencier la troisième temporale de la troisième
occipitale
. Figure 2. HÉMISPHÈRE DROIT Les analogies d
adrijumeau antérieur (QA). L'extrémité frontale est à gauche; le pôle
occipital
(PO) est à droite. ce. Le corps calleux occupe
mière circonvolution temporale (T*). 0^. La deuxième circonvolution
occipitale
est située immédiatement en arrière du tronçon in
té par les trois plis du lobe carré (GQA, GQP, BQ). Oi. La scissure
occipitale
interne sépare le lobe pariétal du lobe occipital
Oi. La scissure occipitale interne sépare le lobe pariétal du lobe
occipital
. Elle s'étend obliquement de haut en bas et d'arr
la circonvolution limbique au-dessous du corps calleux, jusqu'au pôle
occipital
(PO) où elle se bifurque. La branche supérieure d
che supérieure de bifurcation pénètre dans la deuxième circonvolution
occipitale
(0^). La branche de bifurcation inférieure pénètr
he de bifurcation inférieure pénètre dans la troisième circonvolution
occipitale
(0^). La scissure limbique (I), la scissure sou
ipito-temporal s'étend d'arrière en avant depuis le voisinage du pôle
occipital
(PO) jusqu'au voisinage du pôle sphénoïdal. Il es
e confond avec le cap (CQ). 0". Le cuneus ou sixième circonvolution
occipitale
s'enfonce comme un coin dans l'angle formé par la
occipitale s'enfonce comme un coin dans l'angle formé par la scissure
occipitale
interne {Oi) avec la calcarine (K). Il se continu
premier pli de passage pariéto-occipital (tcO), qui ferme la scissure
occipitale
interne {Oi). En bas, il se confond avec la deuxi
e interne {Oi). En bas, il se confond avec la deuxième circonvolution
occipitale
(0^). On constate qu'il est parcouru d'arrière en
s {sCu), qui est le plus élevé, se jette directement dans la scissure
occipitale
interne (Oi). Le sommet du cuneus, très aminci
i:0®). Ce pli de passage sépare l'extrémité antérieure de la scissure
occipitale
interne [Oi) de l'extrémité antérieure de la calc
. pl. Vlll, TiO^). 0^ Le lobule lingual ou cinquième circonvolution
occipitale
est très régulièrement conformé et aussi nettem
ù il s'enroule autour du sillon (si), branché sur le quatrième sillon
occipital
{oQ. Il décrit donc une courbe à concavité antéri
, en bas et en dehors, il se confond avec la troisième circonvolution
occipitale
(0^). En avant, il va, en s'amincis-sant, se conf
emporal (o/,^). 0*. Le gyrus fusiforme, ou quatrième circonvolution
occipitale
, très largo en arrière, très mince en avant, n'at
le, très largo en arrière, très mince en avant, n'atteint pas le pôle
occipital
(PO). Elle ne l'atteint jamais et elle figure à t
e ne l'atteint jamais et elle figure à tort parmi les circonvolutions
occipitales
du cerveau humain. En avant elle se confond sans
on longitudinale inférieure, fait suite à la troisième circonvolution
occipitale
(0^). Elle disparaît ici, vers son extrémité anté
ne de l'hémisphère. 0% 0\ Les deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
sont ici visibles et représentent, au point où
ci visibles et représentent, au point où elles se confondent, le pôle
occipital
(PO). Il n'est pas constant qu'on les observe à l
issure calcarine (/t), au lieu de se bifurquer au niveau même du pôle
occipital
(PO), se bifurque en avant et en dedans de ce pôl
ur et le gyrus postérieur du lobe carré (GQA, GQP). Oi. La scissure
occipitale
interne ne reçoit pas le sillon du cuneus (sCu).
carine, presque confondue à son extrémité antérieure avec la scissure
occipitale
interne, se l)ifur(|ue en arrière, immédiatement
le interne, se l)ifur(|ue en arrière, immédiatement au-dessus du pôle
occipital
(PO). Ses branches de bifurcation passent à la fa
re, entre elles, qu'une étroite surface de la deuxième circonvolution
occipitale
(0^). Les sillons de la région temporale ne pré
e absolument la masse corticale commune à la cinquième circonvolution
occipitale
(0^) et à la circonvolution de l'hippocampe (T")
e l'hippocampe (T") de la masse commune k la quatrième circonvolution
occipitale
(0*) et à la quatrième temporale (T*). TJ. Le t
; puis ils convergent et se confondent sur la deuxième circonvolution
occipitale
(0^). Aucune description ne peut suppléer à la co
lus grande que la distance qui sépare le milieu de Rolando et le pôle
occipital
(0^). Cette hypertrophie du lobe frontal entraîne
{p) avec la scissure perpendiculaire externe {Oe). Oe. La scissure
occipitale
ou perpendiculaire externe s'enfonce directement
e c'est h cette absence du premier pli de passage externe que le lobe
occipital
doit de présenter, par compensation, un développe
compensation, un développement inusité de la première circonvolution
occipitale
(0') \ t^. Le sillon parallèle ou premier sillo
1 A ce propos nous ferons remarquer que la présence d'une scissure
occipitale
complète, entaillant le bord supérieur de l'iiémi
supérieur de l'iiémisplière, doit entraîner une conformation du lobe
occipital
plus conforme au type schématique que dans les ca
remier pli de passage externe interrompt la continuité de la scissure
occipitale
. La conformation du lobe occipital, chez l'homme,
ompt la continuité de la scissure occipitale. La conformation du lobe
occipital
, chez l'homme, est sujette à varier à l'inlini. E
. Or ceux-ci présentent, sans exception, la continuité de la scissure
occipitale
externe qu'on observe sur la figure 1 de cette pl
n que sur le cerveau en question (fig. 1), les trois cii'convolutions
occipitales
externes (C, 0-, 0^) sont si faciles à limiter.
érieur (pj jusqu'à son extrémité postérieure au niveau de la scissure
occipitale
externe [Oe). Cependant, à sa partie moyenne, on
eux plis (P's et P'i), relativement peu compliqués. Oe. La scissure
occipitale
externe n'est interrompue, dans son trajet à la s
passage pour rendre plus complexe la disposition des circonvolutions
occipitales
externes (0', 0% 0"'). Tout ce qu'on peut dire de
Enfin le sillon du cuneus (sCu) ne s'anastomose pas avec la scissure
occipitale
interne (Oi). 0^ Le gyrus lingual, très simple,
ple, se confond largement en arrière avec la troisième circonvolution
occipitale
(0"'). Mais cette simpHcité n'est peut-être qu'ap
e. On remarquera, en outre, que le cuneus ou sixième circonvolution
occipitale
(0") occupe à la face interne de l'hémisphère une
du cuneus ne représente ici, en elTet, qu'une branche de la scissure
occipitale
interne {Oi) s'avançant, d'avant en arrière, à un
ère, à une faible distance dans la masse de la sixième circonvolution
occipitale
(0"). Par compensation on voit s'avancer en sens
verse, c'est-à-dire d'arrière en avant, une branche du premier sillon
occipital
(oj venue de la face externe du cerveau. Cette br
tronçon du sillon du cuneus (sCu), anastomosée avec le premier sillon
occipital
. Enfin, pour parfaire la compensation, on voit un
étude de la région du lobe carré, du cuneus et surtout de la scissure
occipitale
interne. C'est uniquement à l'étude de ces part
ure de la scissure sous-pariétale semble communiquer avec la scissure
occipitale
. Il en résulte que le cap du lobe carré (CQ) et l
bée, et ne sont divisés que par l'extrémité inférieure de la scissure
occipitale
(Oi). BQ. Le bourrelet du lobe carré apparaît a
carré apparaît ainsi, comme un pli isolé, interposé entre la scissure
occipitale
(Oi) qui le limite en arrière, et la scissure sou
cissure sous-pariétale (sP) qui le limite en avant. Oi. La scissure
occipitale
interne borde en avant le cuneus (0*^) qui est ét
-limbique (xT). Elle est ainsi absolument indépendante de la scissure
occipitale
interne (Oi); il est donc inexact de dire que la
de dire que la scissure calcarine se jette en avant dans la scissure
occipitale
interne ; elle en est séparée par le pli de passa
e cunéo-limbique (i^O^) ; et si elle semble se jeter dans la scissure
occipitale
interne, c'est seulement lorsque la surface de l'
importante à connaître pour bien comprendre les rapports de la corne
occipitale
du ventricule latéral avec la fente de Bichat.
iatement en dehors du triangle sous-calleux, on pénètre dans la corne
occipitale
du ventricule latéral, et le stylet va buter cont
lobule lingual, large et contourné sur lui-même à l'extrémité du lobe
occipital
, va s'amincissant progressivement d'arrière en av
ascia dentata (Fd). Le lobule lingual est la cinquième circonvolution
occipitale
. La circonvolution de l'hippocampe est la cinquiè
timement accolé. 0\ Le gyrus fusiforme, ou quatrième circonvolution
occipitale
, appartient, d'une façon évidente, beaucoup plus
ne façon évidente, beaucoup plus à la région temporale qu'à la région
occipitale
. Comme, d'autre part, il se continue en avant, sa
nert, est encore plus fusionnée, s'il est possible, avec la troisième
occipitale
. Nous avons dit que la coupe avait été pratiqué
e inférieure de la scissure sous-pariétale (sP), apparaît la scissure
occipitale
interne (Oi), séparée de la calcarine {!() par la
volutions, situées en arrière font partie du lobe temporal et du lobe
occipital
. Les circonvolutions de la région occipito-temp
-même ; en arrière elle semble séparée de la troisième circonvolution
occipitale
(0^) par un prolongement du troisième sillon (oL)
du cerveau, la troisième temporale (ï^) se continue avec la troisième
occipitale
(0^), en dehors du troisième sillon. T*. La qua
(PRU). En arrière, elle se continuerait directement avec la quatrième
occipitale
(0') ou gyrus fusiforme, n'était un sillon d'anas
ième circonvolution temporale (T''). 0\ La troisième circonvolution
occipitale
forme le pôle occipital. Elle s'anastomose avec l
rale (T''). 0\ La troisième circonvolution occipitale forme le pôle
occipital
. Elle s'anastomose avec le gyrus lingual (0^) en
atrième {ot^}, communique en arrière avec la troisième circonvolution
occipitale
; à sa partie moyenne il présente une incisure lo
d sillon occipito-temporal. 11 communique en dehors avec la troisième
occipitale
(0^), en dedans et en haut avec la sixième (0®),
ui unissent la troisième circonvolution temporale {T') à la quatrième
occipitale
(0*). 0*. Le gyrus fusiforme est toujours inter
branches transversales. Mais la forme de la quatrième circonvolution
occipitale
(0*) est complètement modifiée. On n'a plus sous
a plus sous les yeux un gyrus fusiforme ; la quatrième circonvolution
occipitale
et la quatrième temporale sont confondues en un s
a branche montante qui sépare, à cet endroit, le cuneus (0'') du pôle
occipital
(PO). A la face externe de l'hémisphère, les tr
ements ; nous venons de voir le prolongement frontal. Le prolongement
occipital
passe sous la partie la plus externe du corps cal
blanche. ce. Le corps calleux, dans le lobe frontal et dans le lobe
occipital
, n'émet pas ses fibres transversales, directement
ux fibres de la couronne rayonnante de ce noyau (RNC). Dans le lobe
occipital
, le corps calleux, après avoir formé la paroi sup
t cette bande claire à direction antéro-postérieure qui, dans le lobe
occipital
, fait suite à la couronne rayonnante (RC). Il est
faisceau sensitif diminue de largeur à mesure qu'il approche du pôle
occipital
(PO). En avant il envoie un prolongement externe,
n système analogue d'association verticale, entre les circonvolutions
occipitales
internes et le lobe carré. Figure 2. COUPE HO
volution (T^) ; elle est séparée :par le troisième sillon (L) du pôle
occipital
(PO), où l'on voit s'enfoncer la branche relevée
ctuosité delà calcarine et celle qu'on retrouve à l'extrémité du lobe
occipital
, la face interne de l'hémisphère est représentée
il sépare du lobule fusiforme. Cavité ventriculaire. Ici la corne
occipitale
est seule entamée par la coupe. La corne est au-d
. La corne est au-dessus du plan horizontal de section. Cette corne
occipitale
a pour paroi interne la corne d'Ammon, constituée
rons plus loin. Enfin il n'existe pas de paroi antérieure; la corne
occipitale
se continue avec la corne sphénoïdale, sous le pu
ux lames, .',unc externe, une interne, s'étend, en dehors de la corne
occipitale
du ventricule, dont il est séparé par le tapetum
paré par le tapetum (TAP), depuis le noyau lenticulaire jusqu'au pôle
occipital
(PO). Le faisceau sensitif externe (FSe), envisag
isceaux sensitifs accolés vont ainsi d'avant en arrière jusqu'au pôle
occipital
(PO); mais on remarquera encore que leur épaisseu
re recourbés de dehors en dedans sous la paroi inférieure de la corne
occipitale
. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur, placé
TAP. Le tapetum, lame fibreuse adossée à la paroi externe de la corne
occipitale
, est toujours sectionnée perpendiculairement à la
emporales. Il fait suite, sans démarcation bien tranchée, au faisceau
occipital
vertical (FOV). FOV. Le faisceau occipital vert
en tranchée, au faisceau occipital vertical (FOV). FOV. Le faisceau
occipital
vertical. LFE. La lame festonnée, placée à égal
ofj, derrière lequel s'étend le gyrus fusiforme (0''). Enfin, le pôle
occipital
est formé encore par le gyrus lingual (0") qui,
t être distingué que tWs difficilement de la troisième circonvolution
occipitale
. A la face externe, la deuxième circonvolution
es précédentes, s'étendait, d'avant en arrière, en dehors de la corne
occipitale
du ventricule, se reconnaît, malgré la disparitio
pitale du ventricule, se reconnaît, malgré la disparition de la corne
occipitale
, à la partie externe du sillon occipito-temporal
depuis le cul-de-sac postérieur de la fosse de Sylvius jusqu'au lobe
occipital
, où il devient tout à fait diflùs. En dedans, il
xième et troisième circonvolutions temporales, tandis que le faisceau
occipital
vertical, visible seulement sur la figure 2 (FOV)
tenir aux hémisphères peu plissés, consiste dans le fait que la corne
occipitale
du ventricule latéral s'étend en arrière jusqu'au
aisceaux qui suivent d'avant en arrière les quatre parois de la corne
occipitale
se confondent en un seul. On conçoit les difficul
coupes verticales de cette région sur des cerveaux dont le ventricule
occipital
se prolonge très loin en arrière. Mais ce choix n
La prolongation de la cavité ventriculaire jusqu'à Vécorce du pôle
occipital
n'est pas douteuse, môme dans les cas où le vide
aroi externe. Pour s'assurer que, même dans ce dernier cas, la cavité
occipitale
s'étend jusqu'à l'écorce, il suffit de pratiquer
millimètres. Les faisceaux dirigés d'avant en arrière vers le pôle
occipital
, étant séparés, au moins dans le sens vertical, p
la figure 1 (pl. XI), où l'ensemble des faisceaux postérieurs du lobe
occipital
se réduisent à un seul (FS), représenté par une s
t étudiés un peu plus loin). Dans quelle région de l'écorce du lobe
occipital
s'effectuent cette convergence et cette intricati
t invariablement à l'écorce du lobule lingual, au niveau môme du pôle
occipital
, par conséquent au-dessous du cuneus en dedans, e
eure et postérieure du gyrus lingual (0^) ou cinquième circonvolution
occipitale
de Broca que vient s'épuiser en arrière le systèm
dans une région plus antérieure, donne aux coupes verticales du pôle
occipital
une complexité extrême. Tout y arrive et tout s'y
t impossible qu'il en soit autrement. L'examen attentif de ces coupes
occipitales
s'impose donc d'une manière absolue, puisqu'elles
l, dans la substance blanche, s'étend plus ou moins loin vers le pôle
occipital
. En général, ainsi que nous l'avons dit, à deux c
al, ainsi que nous l'avons dit, à deux centimètres en avant du i pôle
occipital
, le couteau ne pénètre pas dans le ventricule ; m
et de l'aire de section est représenté par la première circonvolution
occipitale
(0'), qui appartient à la fois à la face externe
dans toute son étendue aiitéro-postérieure, depuis la pointe du lobe
occipital
jusqu'à son anastomose avec la scissure perpendic
s fusiforme (0^), qui s'étend, comme lui, depuis le voisinage du pôle
occipital
jusqu'au voisinage du pôle sphénoïdal, et qui, da
ndue antéro-postérieure, le bord inférieur du cerveau, depuis le pôle
occipital
jusqu'au voisinage du pôle sphénoïdaP. "l- IN'o
r de l'hémisphère, formé par le sommet de la première circonvolu-tion
occipitale
(0'), s'étend un plan incliné, sans sillons ni in
bord supérieur est toujours représenté par la première circonvolution
occipitale
(0*). Sur la face interne, on reconnaît la scissu
as, il l'est toujours d'autant plus qu'on l'examine plus près du pôle
occipital
. Souvent il présente une courbure assez prononcée
ce externe de la cavité; elles vont ainsi jusqu'à l'extrémité du lobe
occipital
. LFE. La lame festonnée est de plus en plus cla
de l'hémisphère, n'est plus représenté par la première circonvolution
occipitale
(0'), mais par l'angle postéro-supérieur du lobe
d'un nouveau faisceau de fibres blanches, verticales (FOY), faisceau
occipital
vertical qui s'étend de la 3" circonvolution temp
contraire, vont en arrière jusqu'à la partie la plus reculée du lobe
occipital
. FCF. Le faisceau compact du fornix traverse en
r dans l'écorce du sillon interpariétal (p). FOV. Quant au faisceau
occipital
vertical, il est représenté par une bande claire,
lobule pariétal supérieur (1"), dans toute sa hauLeui'. — Le faisceau
occipital
vertical (FOV) s'accuse de plus en plus. PLANCH
sceaux tendent déjà à s'incurver au-dessus du recessus de la scissure
occipitale
interne {sQ) pour se porter en avant et en dedans
un prolongement transversal de la scissure perpendiculaire externe ou
occipitale
externe {Oe). Ce prolongement de la scissure occi
re externe ou occipitale externe {Oe). Ce prolongement de la scissure
occipitale
est donc séparé du bord médian de l'hémisphère pa
Le faisceau pariéto-frontal (FPF) se porte sur le fond de la scissure
occipitale
[Oi) et pénètre dans le lobe carré entre les deux
ranche inférieure est la calcarine (K). La cinquième circonvolution
occipitale
(0"), immédiatement sous-jacente à la scissure ca
tie les faisceaux longitudinaux qui entourent la cavité de ; la corne
occipitale
du ventricule : en haut, le faisceau inférieur du
x n'est plus représenté, entre i le recessus antérieur de la scissure
occipitale
interne et la voûte du ventricule, que par une mi
ligne oblique en haut et en dehors, parallèle au fond de la scissure
occipitale
(sQ), dont elle n'est séparée que par le reste de
en avant et en dedans, au devant du recessus inférieur de la scissure
occipitale
interne. LFE. La lame festonnée du cuneus (0")
ère de la scissin'e limbique (voy. fig. 10 et il). FOV. Le faisceau
occipital
vertical se montre plus net au fur et à mesure qu
; il passe en avant et au-dessus du recessus antérieur de la scissure
occipitale
interne et va, se dirigeant obliquement en bas et
a partie inférieure à la partie supérieure du recessus de la scissure
occipitale
. Cette disposition est absolument constante. Oi
occipitale. Cette disposition est absolument constante. Oi scissure
occipitale
interne s'enfonçant dans l'hémisplière derrière
stérieure semble, sur ce schéma, être situé au-dessous de la scissure
occipitale
[Oi). Schéma 52. FCF. Le faisceau compact du
ceau compact du fornix (fig. 10), accolé au cul-de-sac de la scissure
occipitale
interne {Oi), s'enfonce dans le manteau du pli de
orte insertion sur le lobule pariétal supérieur (P'). FOV. Faisceau
occipital
vertical (fig. 9). F'Om. Faisceau moyen du forcep
ce grise recouvrant le fond de la gouttière antérieure de la scissure
occipitale
interne (sQ). La calcarine et la scissure occip
de la scissure occipitale interne (sQ). La calcarine et la scissure
occipitale
interne réunies (K) ne s'enfoncent plus l'une et
hangement de nom, la circonvolution dont il s'agit (d'abord cinquième
occipitale
, puis cinquième temporale) est bornée à sa partie
reste toujours quadrilatérale. Le bord supérieur ou voûte de la corne
occipitale
correspond au faisceau moyen du forceps (FOm), le
fornix, au moment où disparaît le cul-de-sac antérieur de la scissure
occipitale
interne auquel il était accolé, passe directement
Le cingulura, immédiatement sous-jacent au cul-de-sac de la scissure
occipitale
irrterne, se présente sous l'aspect d'un faisceau
ité la plus postérieure et se jettent dans la substance grise du pôle
occipital
. Le changement de coloration de ce faisceau au-
onséquent, les plus compactes, sont celles qui sont destinées au pôle
occipital
; les plus externes, plus claires, se BIUSSAUD.
e ascendante et à la frontale ascendante (P et F). FOV. Le faisceau
occipital
vertical (FOV, fig. 14), situé en dehors du faisc
venues verticales, elles ne se distinguent plus de celles du faisceau
occipital
vertical (FOV). Mais on les retrouve sur les coup
ième temporale (T4). rieurc et externe du cul-de-sac de là scissure
occipitale
interne, se porte directement en dedans, maintena
a dépassé la partie la plus antérieure de la gouttière de la scissure
occipitale
encore visible sur la coupe précédente (sQ), le
circonvolutions frontale et pariétale ascendantes. FOV. Le faisceau
occipital
vertical, à peine reconnaissais, a disparu en gra
de fixer d'une façon bien précise les rapports des faisceaux du lobe
occipital
, dont les changements de direction sont très diff
ente toujours les mômes rapports médiats avec le plancher de la corne
occipitale
. La face externe des coupes ne diffère en rien,
rtie postérieure de celui-ci, s'épanouissent dans les circonvolutions
occipitales
et occipito-temporales : le faisceau diffus du fo
celui des trois faisceaux du splenium qui forme la voûte de la corne
occipitale
. Les fibres ainsi sectionnées se portent toujours
ent toujours plus loin en arrière, les unes directement jusqu'au pôle
occipital
; les autres, inclinées en bas, en arrière et en d
deux faisceaux se mélangent d'une manière intime. Quant au faisceau
occipital
vertical (FOV, voy. pl. XIII), il a cessé d'exist
e d'entre elles se réfléchissent sous la paroi inférieure de la corne
occipitale
. CO. Faisceau du centre ovale. Sur les figures
t d'avant en arrière, du bourrelet (ou sple-nium) aux circonvolutions
occipitales
internes. FS. Le faisceau sensitif, dont les de
s, fig. 54), et puis ensuite en dedans sous le plancher de la corne
occipitale
, au-dessus du faisceau longitudinal inférieur (FL
majeure partie forme le tapetum. Il en est ainsi dans toute la région
occipitale
. Un peu plus en avant les fibres du corps calleux
c n'est pas celui qui correspond à 1 arête supéro-externe de la corne
occipitale
. Ici il n'y a plus d'angle supéro-externe, à prop
u'une partie des fibres du faisceau sensitif, réfléchie sous la corne
occipitale
. FDF. Le faisceau diffus du fornix devient de p
au niveau de la coupe vertico-transversale 5i (Pl. 19). VO. portion
occipitale
du ventricule latéral. Iïf, l'ente de Bichat.
sives de l'hémisphère intéressent ici d'abord la cavité ventriculaire
occipitale
dans toute sa hauteur (fig. 55), puis la portion
ment), puis sa portion inférieure qui est le prolongement de la corne
occipitale
. La séparation est due ici à ce fait que la couch
e dans la capsule interne, pour aller se terminer à la pointe du lobe
occipital
(c'est le faisceau cortical direct du carrefour s
tif, auquel il les abandonne à travers la couronne rayonnante du lobe
occipital
. Il résulte de là que le faisceau de Tûrck-Meyn
au pyramidal dans le pied du pédoncule du côté gauche. T'O, portion
occipitale
du ventricule latéral ; GE, corps genouillé ext
auche. L'extrémité antérieure de l'hémisphère est à droite, le pôle
occipital
est à gauche. La coupe 91, vertico-transversale
ncule. Le faisceau de Turck-Meynert, en effet, a disparu dans le lobe
occipital
, et le faisceau pyramidal qu'on distinguait encor
parce qu'il est arrêté par les fibres corticales des lobes frontal et
occipital
qui se projettent sur le pédoncule à travers la c
urales aux circonvolutions inférieures de l'hémisphère, y compris les
occipitales
. Nous ne contesterons pas que certaines fibres, v
tit nombre d'entre elles parviennent ainsi jusqu'au voisinage du pôle
occipital
. Mais le rôle anatomique de la commissure antérie
t la direction. Mais elle abandonne aussi quelques fibres à la région
occipitale
: ce sont les fibres qui suivent le trajet primit
u noyau caudé occupe l'angle formé par la paroi externe du ventricule
occipital
et la face postérieure du pulvinar. Il est placé
oro-occipitale, depuis la partie postérieure du putamen jusqu'au pôle
occipital
; il n'est séparé de la cavité ventriculaire {VO,
. 3) dans la substance blanche du lobe carré, en avant de la scissure
occipitale
interne (01). Il semble faire suite à la lame fes
depuis le bulbe de la corne postérieure (BCP, fig. 2) jusq^u'au pôle
occipital
. FPV. Le faisceau pariétal vertical (fig. 2 et
Se), n'est que la continuation, dans la région pariétale, du faisceau
occipital
vertical (FOV, fig. 1). psp. Le pédoncule du se
upérieur du forceps (FOs) réfléchie dans la paroi externe de la corne
occipitale
du ventricule. — Le faisceau supérieur du forceps
ent donc, l'un la paroi externe, l'autre la paroi interne de la corne
occipitale
du ventricule. Tous les deux ont une coloration f
; la figure 2 représente l'hémisphère droit. Sur ce dernier, la corne
occipitale
du ventricule latéral (VO) est largement béante,
e laquelle se trouve la commissure antérieure (CA). Oi. La scissure
occipitale
interne s'enfonce, avec l'extrémité antérieure de
e fasciola cinerea est rectiligne. Cavité ventriculaire. La corne
occipitale
du ventricule latéral est seule divisée par le pl
du claustrum (CL), en dehors du centre ovale (CO). FOV. Le faisceau
occipital
vertical est ici, par le fait d'une disposition p
s calleux la convexité de la téte du noyau caudé (NC). VO. La corne
occipitale
du ventricule, largement béante, présente quatre
xtrémité postérieure. 11 se partage entre la troisième circonvolution
occipitale
(0") et la quatrième (0^). La majeure partie de s
ement plus ou moins prononcé de l'extrémité inférieure de la scissure
occipitale
interne (Oi). PLANCHE XXXIX COUPES HORIZONTAL
, les première, deuxième et troisième temporales (T', V, T'). Le pôle
occipital
est formé, en dehors par la quatrième occipitale
(T', V, T'). Le pôle occipital est formé, en dehors par la quatrième
occipitale
(0'), en dedans par la sixième (0"). La cavité
x prolongements : le postérieur et le plus externe va former la corne
occipitale
; l'interne est une fissure arquée qui passe sous
ci, en effet, est la portion antérieure du gyrus lingual ou cinquième
occipitale
. Elle est recouverte par la substance réticulaire
du forceps major. FOs. Fibres supérieures du forceps. FOV. Faisceau
occipital
vertical. \ FP. Faisceau pyramidal. FP'. Fibr
Lancisi). LN. Locus niger, substance noire de Sœmmering. LO. Lobe
occipital
. LP. Lobule pariétal. LS. Lobe sphénoïdal.
ion du pédoncule cérébelleux supérieur. 0'. Première circonvolution
occipitale
. 0^. Premier sillon occipital. 0\ Deuxième ci
rieur. 0'. Première circonvolution occipitale. 0^. Premier sillon
occipital
. 0\ Deuxième circonvolution occipitale. 0^. D
ipitale. 0^. Premier sillon occipital. 0\ Deuxième circonvolution
occipitale
. 0^. Deuxième sillon occipital. 0\ Troisième
pital. 0\ Deuxième circonvolution occipitale. 0^. Deuxième sillon
occipital
. 0\ Troisième circonvolution occipitale. 0..
itale. 0^. Deuxième sillon occipital. 0\ Troisième circonvolution
occipitale
. 0.. Troisième sillon occipital. 0*. Quatrièm
tal. 0\ Troisième circonvolution occipitale. 0.. Troisième sillon
occipital
. 0*. Quatrième circonvolution occipitale, gyrus
ale. 0.. Troisième sillon occipital. 0*. Quatrième circonvolution
occipitale
, gyrus fusiforme. 0^ Cinquième circonvolution occ
rconvolution occipitale, gyrus fusiforme. 0^ Cinquième circonvolution
occipitale
, gyrus lingual. 0^ Sixième circonvolution occipit
e circonvolution occipitale, gyrus lingual. 0^ Sixième circonvolution
occipitale
, Coin, cuneus, gyrus cunéiforme. Oe. Scissure p
s, gyrus cunéiforme. Oe. Scissure perpendiculaire externe, scissure
occipitale
externe. OF. Opercule frontal. Oi. Scissure per
tale externe. OF. Opercule frontal. Oi. Scissure perpendiculaire ou
occipitale
interne. OL. Nerf olfactif. OLB. Bulbe du ner
T. Opercule temporal. 0T^ OT. Deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
se continuant avec les deuxième et troisième te
rbe (entre P et GP). PI. Pôle de l'insula, pied de l'insula. PO. Pôle
occipital
. PP. Pied du pédoncule cérébral. pP\ Pied de la d
. Premier pli de passage pariéto-occipital, pli de passage pariéto-
occipital
supérieur, premier pli de passage externe (Gratio
sales du bec du corps calleux. jR^. Recessus antérieur de la scissure
occipitale
interne. RR. Ruban de Reil. RSG. Couronne rayon
lemniscus. VM. VcnliicLilc nioyeii, troisième ventricule. VO. Corne
occipitale
du ventricule latéral. VS. Corne sphénoïdale du v
irconvolution limbique (C)............xxxvn, 22, 29 Circonvolutions
occipitales
(voy. occipitales).......... n Circonvolution p
ique (C)............xxxvn, 22, 29 Circonvolutions occipitales (voy.
occipitales
).......... n Circonvolution pariétale ascendant
102 Faisceau moyen du forceps (FOm). ............... 105 Faisceau
occipital
vertical (FOV)............... 97 Faisceaux opti
GQP, BQ).............. xl Lobe frontal...................... Lobe
occipital
...................... pnss. Lobe sphénoïdal....
...... 255 Moteur oculaire commun (MOG)............. "vm, 300 o
Occipitale
(première circonvolution), (0*)........... 11 O
300 o Occipitale (première circonvolution), (0*)........... 11
Occipitale
(deuxième circonvolution), (0")......... xlvi, 11
. 11 Occipitale (deuxième circonvolution), (0")......... xlvi, 11
Occipitale
(troisième circonvolution), (0"')........xlvi, 11
, 11 Occipitale (troisième circonvolution), (0"')........xlvi, 11
Occipitale
(quatrième circonvolution), (0^)........... 26
lvi, 11 Occipitale (quatrième circonvolution), (0^)........... 26
Occipitale
(cinquième circonvolution), (0^)............ 25
... 26 Occipitale (cinquième circonvolution), (0^)............ 25
Occipitale
(sixième circonvolution), (0^)............ 26 O
........ xli Pôle frontal (PF)....................• . . xlhi Pôle
occipital
(PO)..........^ . .......... xxxv Pôle sphénoïd
.xlhi, 2 Scissure limbiqne (i).................xxxvi, 18 Scissure
occipitale
(Oe)................... xxxiv Scissure parallèl
xxvi, 21 Sillon métopique (petit) (sme)................ 21 Sillon
occipital
(premier), (Oj)................ xlv Sillon occi
.. 21 Sillon occipital (premier), (Oj)................ xlv Sillon
occipital
(deuxième), (o,).. . -............ xlvi Sillon
v Sillon occipital (deuxième), (o,).. . -............ xlvi Sillon
occipital
(troisième), (oj).. ............. pass. Sillon
i Sillon occipital (troisième), (oj).. ............. pass. Sillon
occipital
(quatrième), (o^).............. pass. Sillon oc
portion frontale), {vf)............ xvn Ventricule latéral (portion
occipitale
), (FOj........., . xvn Ventricule latéral (port
est pas ainsi étayée, elle s'affaisse dès les premiers jours, le lobe
occipital
se tord sur lui-même, et lorsque le moment est ve
ratiquer les coupes vertico-transversales, on s'aperçoit que la corne
occipitale
du ventricule latéral n'existe plus; c'est-à-dire
aire. Or la détermination exacte du trajet des faisceaux dans le lobe
occipital
n'est possible qu'à la condition que la cavité ve
le-même dans la région rolandique, cela est impossible dans la région
occipitale
. La pie-mère en effet, dans la région occipitale,
sible dans la région occipitale. La pie-mère en effet, dans la région
occipitale
, est toujours si mince et si adhérente, que la mo
nscrite, sur un petit fragment de l'hémisphère, sur la pointe du lobe
occipital
, par exemple, ou sur le pôle sphénoïdal, l'inclus
arine, 12. L. Scissure limbique, 7, 14. 01. Première circonvolution
occipitale
, 12. 02. Deuxième circonvolution occipitale, 12
Première circonvolution occipitale, 12. 02. Deuxième circonvolution
occipitale
, 12, 16. 03. Troisième circonvolution occipital
ème circonvolution occipitale, 12, 16. 03. Troisième circonvolution
occipitale
, 12. 0'*. Quatrième circonvolution occipitale,
isième circonvolution occipitale, 12. 0'*. Quatrième circonvolution
occipitale
, gyrus fusiforme. O8. Sixième circonvolution oc
convolution occipitale, gyrus fusiforme. O8. Sixième circonvolution
occipitale
, Coin, cuneits, 16. Oe. Scissure perpendiculair
, Coin, cuneits, 16. Oe. Scissure perpendiculaire externe, scissure
occipitale
externe, 8, 16. OF. Opercule frontal, 8. OP.
ale ascendante et le lobule du pli courbe (entre P et GP). PO. Pôle
occipital
. pP2. Pied de la deuxième circonvolution pariét
20, 29. L. Scissure limbique, 18, 2 7. 02. Deuxième circonvolution
occipitale
, 20. O''. Troisième circonvolution occipitale, 20
Deuxième circonvolution occipitale, 20. O''. Troisième circonvolution
occipitale
, 20 . O'". Quatrième circonvolution occipitale,
sième circonvolution occipitale, 20 . O'". Quatrième circonvolution
occipitale
, gyrus fusifjrmj, 20. 03. Cinquième circonvolut
ution occipitale, gyrus fusifjrmj, 20. 03. Cinquième circonvolution
occipitale
, gyrus lingual, 25. O8. Sixième circonvolution
nvolution occipitale, gyrus lingual, 25. O8. Sixième circonvolution
occipitale
, coin, cunius, gyrui cunéi-forme, 25. Oi. Sciss
oin, cunius, gyrui cunéi-forme, 25. Oi. Scissure perpendiculaire ou
occipitale
interne, 20, 29. ot.. Troisième sillon occipito-t
29. PEN. Pli, ourlet ou pentagone du lobe carré, 22, 29. PO. Pôle
occipital
, 16. PP. Pied du pédoncule cérébral. pro. Sil
issure calcarine. L. Scissure limbique. 02. Deuxième circonvolution
occipitale
, 54. 03. Troisième circonvolution occipitale.
euxième circonvolution occipitale, 54. 03. Troisième circonvolution
occipitale
. 0G. Sixième circonvolution occipitale, cuneus,
03. Troisième circonvolution occipitale. 0G. Sixième circonvolution
occipitale
, cuneus, Oe. Scissure perpendiculaire externe,
occipitale, cuneus, Oe. Scissure perpendiculaire externe, scissure
occipitale
externe. OF. Opercule frontal. OP. Opercule p
OT2. Deuxième circonvolution temporale se continuant avec la deuxième
occipitale
, 33. o/2. Deuxième sillon occipito-temporal.
lution frontale. PI. Pôle de l'insula, pied de l'insula, 54. PO. Pôle
occipital
. pP2. Pied de la deuxième circonvolution pariét
orale de Sylvius. L. Scissure limbique. 01. Première circonvolution
occipitale
, 57, 40. Ov Premier sillon occipital. 02. Deuxi
. 01. Première circonvolution occipitale, 57, 40. Ov Premier sillon
occipital
. 02. Deuxième circonvolution occipitale, 40.
e, 57, 40. Ov Premier sillon occipital. 02. Deuxième circonvolution
occipitale
, 40. 02. Deuxième sillon occipital. 03. Trois
. 02. Deuxième circonvolution occipitale, 40. 02. Deuxième sillon
occipital
. 03. Troisième circonvolution occipitale, 40.
, 40. 02. Deuxième sillon occipital. 03. Troisième circonvolution
occipitale
, 40. Oe. Scissure perpendiculaire externe, scis
tion occipitale, 40. Oe. Scissure perpendiculaire externe, scissure
occipitale
externe, 57, 40. OF. Opercule frontal. OP. Op
du fond de Sylvius. OT2, OT3. Deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
se continuant avec les deuxième et troisième te
acilis. NT». Noyau rouge de la calotte. 02. Deuxième circonvolution
occipitale
. 03. Troisième circonvolution occipitale. O1.
2. Deuxième circonvolution occipitale. 03. Troisième circonvolution
occipitale
. O1. Quatrième circonvolution occipitale, gyrus
. Troisième circonvolution occipitale. O1. Quatrième circonvolution
occipitale
, gyrus fusiforme. O3. Cinquième circonvolution
nvolution occipitale, gyrus fusiforme. O3. Cinquième circonvolution
occipitale
, gyrus lingual, 42, 45. O6. Sixième circonvolut
ution occipitale, gyrus lingual, 42, 45. O6. Sixième circonvolution
occipitale
, coin, cuneus, gyrus cunéi-forme, 42, 45. 01. S
cuneus, gyrus cunéi-forme, 42, 45. 01. Scissure perpendiculaire ou
occipitale
interne. ot.t. Quatrième sillon occipito-tempor
ou pellucidum. PEN. Pli, ourlet ou pentagone du lobe carré. PO. Pôle
occipital
. PP. Pied du pédoncule cérébral. pro. Sillon prœ-
um subrolun-dum). NR. Noyau rouge de la calotte. Ot. Premier sillon
occipital
. 02. Deuxième circonvolution occipitale. 03.
calotte. Ot. Premier sillon occipital. 02. Deuxième circonvolution
occipitale
. 03. Troisième circonvolution occipitale. 04.
2. Deuxième circonvolution occipitale. 03. Troisième circonvolution
occipitale
. 04. Quatrième circonvolution occipitale, gyrus
. Troisième circonvolution occipitale. 04. Quatrième circonvolution
occipitale
, gyrus fusiforme. O3. Cinquième circonvolution oc
convolution occipitale, gyrus fusiforme. O3. Cinquième circonvolution
occipitale
, gyrus lingual, 52. O6. Sixième circonvolution
nvolution occipitale, gyrus lingual, 52. O6. Sixième circonvolution
occipitale
, coin, cuneus, gyrus cunéi-forme, 47, 51. Oi. S
cuneus, gyrus cunéi-forme, 47, 51. Oi. Scissure perpendiculaire ou
occipitale
interne. otk. Quatrième sillon occipito-tempora
arente. PEN. Pli, ourlet ou pentagone du lobe carré, 48. PO. Pôle
occipital
. pro. Sillon prœ-ovalaire, 52. PS. Pôle sphén
alcarine. L, L'. Scissure limbique, 55. 02. Deuxième circonvolution
occipitale
. 0r'. Troisième circonvolution occipitale. O'1.
02. Deuxième circonvolution occipitale. 0r'. Troisième circonvolution
occipitale
. O'1. Quatrième circonvolution occipitale, gyru
Troisième circonvolution occipitale. O'1. Quatrième circonvolution
occipitale
, gyrus fusiforme. 03. Cinquième circonvolution
nvolution occipitale, gyrus fusiforme. 03. Cinquième circonvolution
occipitale
, gyrus lingual, 54. O6. Sixième circonvolution oc
convolution occipitale, gyrus lingual, 54. O6. Sixième circonvolution
occipitale
, cuneus. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipi
circonvolution occipitale, cuneus. Oi. Scissure perpendiculaire ou
occipitale
interne. ot7t. Troisième sillon occipito-temporal
udô. NiC. Noyau interne du thalamus. O3. Troisième circonvolution
occipitale
. O1. Quatrième circonvolution occipitale, gyrus
. Troisième circonvolution occipitale. O1. Quatrième circonvolution
occipitale
, gyrus fusiforme, 60. Os. Cinquième circonvolut
ution occipitale, gyrus fusiforme, 60. Os. Cinquième circonvolution
occipitale
, gyrus lingual, 59. O6. Sixième circonvolution
nvolution occipitale, gyrus lingual, 59. O6. Sixième circonvolution
occipitale
, cuneus. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipi
circonvolution occipitale, cuneus. Oi. Scissure perpendiculaire ou
occipitale
interne, 57. OL. Nerf olfactif. OLB. Bulbe du
'opercule. a'. Scissure calcarine, 63. O3. Troisième circonvolution
occipitale
. 0*. Quatrième circonvolution occipitale, gyrus f
O3. Troisième circonvolution occipitale. 0*. Quatrième circonvolution
occipitale
, gyrus fusi-forme, 66. O5, Cinquième circonvolu
tion occipitale, gyrus fusi-forme, 66. O5, Cinquième circonvolution
occipitale
, gyrus lingual. OF. Opercule frontal. Oi. Sciss
yrus lingual. OF. Opercule frontal. Oi. Scissure perpendiculaire ou
occipitale
interne, 63. OL. Nerf olfactif, 65. OLB. Bulbe du
. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 78, 80, 82. FOV. Faisceau
occipital
vertical, 78, 82. FPV. Faisceau pariétal vertic
leus ruber, noyau rouge de Stilling, 79. O1. Quatrième circonvolution
occipitale
, gyrus fusiforme, 79, 80. Q3. Cinquième circo
occipitale, gyrus fusiforme, 79, 80. Q3. Cinquième circonvolution
occipitale
, gyrus lingual, 75, 79. O6. Sixième circonvolut
ution occipitale, gyrus lingual, 75, 79. O6. Sixième circonvolution
occipitale
, Coin, cuneus, gyrus cunéiforme, 68. Oi. Scissu
Coin, cuneus, gyrus cunéiforme, 68. Oi. Scissure perpendiculaire ou
occipitale
interne. OLE. Racine olfactive externe, 81. OP. O
ente, 67. PL Pôle de l'insula, pied de l'insula, 79, 80, 81. PO. Pôle
occipital
, 68, 72. pri. Sillon prserolandique inférieur, 80
rayonnante du noyau caudé, 74. RQ. Recessus antérieur de la scissure
occipitale
interne. Rlh. Radiatio thalami, couronne rayonnan
ps major, 97, 98. FOs. Fibres supérieures du forceps. FOV. Faisceau
occipital
vertical, 96, 97, 99. FPF. Faisceau pariéto-front
me festonnée, 88, 91, 92, 95, 95, 97, 98. O1. Première circonvolution
occipitale
, 86, 88. O*. Quatrième circonvolution occipitale,
mière circonvolution occipitale, 86, 88. O*. Quatrième circonvolution
occipitale
, gyrus fusiforme, 87. 0B. Cinquième circonvolutio
olution occipitale, gyrus fusiforme, 87. 0B. Cinquième circonvolution
occipitale
, gyrus lingual, 87, 89, 91, 92, 94, 97, 98. 0
s lingual, 87, 89, 91, 92, 94, 97, 98. 0e. Sixième circonvolution
occipitale
, Coin, cuneus, gyrus cunéi-forme, 89, 97. Oe. S
cunéi-forme, 89, 97. Oe. Scissure perpendiculaire externe, scissure
occipitale
externe, 96. Oi. Scissure perpendiculaire ou oc
e, scissure occipitale externe, 96. Oi. Scissure perpendiculaire ou
occipitale
interne, 86, 89, 96. ot2. Deuxième sillon occip
s major. FOs. Fibres supérieures du forceps, 108. FOY. Faisceau
occipital
vertical, 102, 106. FPF. Faisceau pariéto-front
LFE. Lame festonnée, 102, 105, 108. O*. Quatrième circonvolution
occipitale
, gyrus fusiforme, 100, 107. O5. Cinquième circo
occipitale, gyrus fusiforme, 100, 107. O5. Cinquième circonvolution
occipitale
, gyrus lingual, 100, 101, 102, 107. Oe. Scissur
100, 101, 102, 107. Oe. Scissure perpendiculaire externe, scissure
occipitale
externe, 99. Oi. Scissure perpendiculaire ou occi
rne, scissure occipitale externe, 99. Oi. Scissure perpendiculaire ou
occipitale
interne, 99, 102. oth. Quatrième sillon occipito-
ieures du forceps, 114, 118, 121, 125, 125, 126, 150. FOV. Faisceau
occipital
vertical, 114. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 114
stonnée, 114, 118, 121, 124, 126, 150. ()•". Cinquième circonvolution
occipitale
, gyrus lingual, 110, 115. o/4. Quatrième sillon o
Meynert, 454. FOi. Fibres inférieures du forceps major. FOV. Faisceau
occipital
verlical, 454. FPV. Faisceau pariétal vertical, 4
caudé, 450. NR. Noyau rouge de Stilling, 428. 02. Deuxième sillon
occipital
. Ofi. Sixième circonvolution occipitale, cuneus
, 428. 02. Deuxième sillon occipital. Ofi. Sixième circonvolution
occipitale
, cuneus. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipi
circonvolution occipitale, cuneus. Oi. Scissure perpendiculaire ou
occipitale
interne, 454. OLC. Fibres commissurales du nerf
zonalis, 429. VF. Corne frontale du ventricule latéral. VO. Corne
occipitale
du ventricule latéral. ZGi. Stratum zonale du c
. NR. Noyau rouge de la calotte, 455. O2. Deuxième circonvolution
occipitale
. 0°. Sixième circonvolution occipitale, cuneus.
O2. Deuxième circonvolution occipitale. 0°. Sixième circonvolution
occipitale
, cuneus. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipi
circonvolution occipitale, cuneus. Oi. Scissure perpendiculaire ou
occipitale
interne. PEL. Septum lucidum. psp. Pédoncule,
NpC. Noyau postérieur du thalamus, 440. 01. Première circonvolution
occipitale
. 02. Deuxième circonvolution occipitale. 0e. Si
01. Première circonvolution occipitale. 02. Deuxième circonvolution
occipitale
. 0e. Sixième circonvolution occipitale. Oe. Sciss
02. Deuxième circonvolution occipitale. 0e. Sixième circonvolution
occipitale
. Oe. Scissure perpendiculaire externe. Oi. Scissu
PEL. Septum lucidum, 412. PEN. Pentagone du lobe carré. PO. Pôle
occipital
. PUT. Putamen, 441. irBM. Pli d'anastomose moye
é, 445. NeC. Noyau externe du thalamus. 01. Première circonvolution
occipitale
. Ov Premier sillon occipital. 02. Deuxième circ
thalamus. 01. Première circonvolution occipitale. Ov Premier sillon
occipital
. 02. Deuxième circonvolution occipitale. Oe.
ccipitale. Ov Premier sillon occipital. 02. Deuxième circonvolution
occipitale
. Oe. Scissure perpendiculaire externe, scissure
volution occipitale. Oe. Scissure perpendiculaire externe, scissure
occipitale
externe. OF. Opercule frontal, 448. Oi. Scissur
externe. OF. Opercule frontal, 448. Oi. Scissure perpendiculaire ou
occipitale
interne. OP. Opercule pariétal de Sylvius, oper
O. Premier pli de passage pariéto-occipital, pli de passage pariéto -
occipital
supérieur, premier pli de passage externe (Gratio
FI. Fimbria, 454. FM. Faisceau de Tûrck-Meynert, 452. FOV. Faisceau
occipital
vertical, 454. FPF. Faisceau pariéto-frontal. F
us, 456. NR. Noyau rouge de Stilling. 02. Deuxième circonvolution
occipitale
. 03. Troisième circonvolution occipitale, 456.
2. Deuxième circonvolution occipitale. 03. Troisième circonvolution
occipitale
, 456. O4. Quatrième circonvolution occipitale,
isième circonvolution occipitale, 456. O4. Quatrième circonvolution
occipitale
, 456. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipital
ème circonvolution occipitale, 456. Oi. Scissure perpendiculaire ou
occipitale
interne, 450, 456. OP. Opercule pariétal de Syl
transverse. VF. Corne frontale du ventricule latéral, 454. VO. Corne
occipitale
du ventricule latéral, 454. ZS. Stratum zonale.
du splenium ou faisceau moyen du forceps major, 458. FOV. Faisceau
occipital
vertical. FP. Faisceau pyramidal. FPV. Faisce
e du thalamus. NiC. Noyau interne du thalamus. Or Deuxième sillon
occipital
. 01. Scissure perpendiculaire interne. pF3. P
é, 459. NR. Noyau rouge de la calotte. O1. Quatrième circonvolution
occipitale
, gyrus fusiforme, 461. 05. Cinquième circonvolu
tion occipitale, gyrus fusiforme, 461. 05. Cinquième circonvolution
occipitale
, gyrus lingual. 06. Cuneus, 461. OL. Nerf olf
FI. Fimbria. FL1. Faisceau longitudinal inférieur. FOY. Faisceau
occipital
vertical. FS. Faisceau sensitif. FU. Fascicid
ceps major, 464 FOs. Fibres supérieures du forceps. FOV. Faisceau
occipital
vertical. FP. Faisceau pyramidal. FPV. Faisce
au caudé. NR. Noyau rouge de Stilling. 0'. Quatrième circonvolution
occipitale
, gyrus fusiforme. (F. Cinquième circonvolution
nvolution occipitale, gyrus fusiforme. (F. Cinquième circonvolution
occipitale
, gyrus lingual, 465. ot,t. Quatrième sillon occ
. NPi. Noyau rouge de la calotte. Oi. Scissure perpendiculaire ou
occipitale
interne. OLC. Fibres commissurales du nerf olfa
s. tinuent avec d'autres qui se dirigent en arrière et vont au lobe
occipital
. L'un de ces processus descend au-dessous de la s
et vont se confondre avec ceux de la région frontale et de la région
occipitale
. Les processus de la région frontale présentent u
Cruveilhier les distingue en circonvolutions frontales, pariétales et
occipitales
: V Les circonvolutions frontales, au nombre de
en partie, aux procès verticaux de Rolando. 3° Les circonvolutions
occipitales
sont dirigées d'avant en arrière et partent de la
s circonvolutions verticales de Rolando; la troisième est la traverse
occipitale
. Ces lignes séparent sur la face externe de l'hém
3° l'espace compris entre la traverse médio-pariétale et la traverse
occipitale
; 4** enfin l'espace qui s'étend de l'extrémité p
re est, pour nous, l'extrémité postérieure de l'hémisphère, extrémité
occipitale
. Je demande grâce pour ces dénominations. Je sa
stérieure. La postérieure constitue ce que nous appellerons le lohe
occipital
. L'antérieure est divisée en deux étages par la s
eur du lobe temporal et réunit le sommet de ce lobe au sommet du lobe
occipital
. Tels sont les plis du lobe temporo-sphénoïdal.
Ces plis sont, en effet, continus à ceux du lobe pariétal et du lobe
occipital
. 4" Plis du lobe occipital. Le lobe occipital
tinus à ceux du lobe pariétal et du lobe occipital. 4" Plis du lobe
occipital
. Le lobe occipital présente plusieurs plis dont
pariétal et du lobe occipital. 4" Plis du lobe occipital. Le lobe
occipital
présente plusieurs plis dont la disposition, comp
mement remarquable. En effet, de même que les plis frontaux, les plis
occipitaux
se développent, en général, dans une direction ho
sillons parallèles. Nous distinguerons. 1" Le pli inférieur, pli
occipital
inférieur f f, borde inférieurement le lobe occip
inférieur, pli occipital inférieur f f, borde inférieurement le lobe
occipital
, et se jette en avant dans le pli temporal moyen.
jette en avant dans le pli temporal moyen. 2" Lé deuxième pli, pli
occipital
moyen g g, est fort épais; un pont très-grêle, pa
ire, réunit ce pli au pli temporal moyen. 3"* Le troisième pli, pli
occipital
supérieur h h, est assez mal défmi; c'est un étag
verrons par la suite. Tels sont les plis de la face externe du lobe
occipital
dans le Callitriche; ces plis, comme on le voit,
on ne présente aucune difficulté. L'étude du bord antérieur du lobe
occipital
présente plus d'intérêt. En effet, si nous écar
voyons que la lèvre postérieure, formée par le bord antérieur du lobe
occipital
, est mince, tranchante et appliquée sur la lèvre
perficiels m et iv qui réunissent au pli temporal moyen les deux plis
occipitaux
inférieurs, nous pourrons admettre quatre plis de
L autre est postérieure; elle répond à la partie supérieure du lobe
occipital
. Nous lui donnerons le nom de lobule occipital in
tie supérieure du lobe occipital. Nous lui donnerons le nom de lobule
occipital
interne. Cette partie de la face interne de l'h
pes, répond à la fois au lobe temporal et à l'étage inférieur du lobe
occipital
. Nous distinguons ainsi, sur la face interne de
nterne de l'hémisphère, 1 " Le lobe fronto-pariétal, 2" Le lobule
occipital
interne, 3° Le lobe occipito-temporal. Les pl
xterne du lobe pariétal et au pli frontal supérieur. Plis du lobule
occipital
. Le lobule occipital est presque vertical et fo
et au pli frontal supérieur. Plis du lobule occipital. Le lobule
occipital
est presque vertical et fort étroit dans le Calli
scend du sommet du lobule quadrilatère et remonte au sommet du lobule
occipital
, où il se termine en s'unissant au pli de passage
i de passage inférieur interne, unit l'extrémité inférieure du lobule
occipital
à la base du lobule quadrilatère. Ce pli est supe
al inférieur e e de la face externe. Le pli P ?) est l'origine du pli
occipital
inférieur externe f f. Enfin le pli y y répond au
u pli occipital inférieur externe f f. Enfin le pli y y répond au pli
occipital
moyen externe g g. Ces trois plis, se réunissan
pariétal est vert. Le lobe temporo-sphéroïdal est jaune. Le lobe
occipital
est violet. Les plis de passage sont blancs.
en général, un peu atténué et saillant à ses deux extrémités. Le lobe
occipital
externe est grand, triangulaire et plus long que
lier dans la Mo7ie ; souvent aussi les deux étages supérieurs du lobe
occipital
sont confondus par suite de l'absence de la sciss
toujours très-relevée à sa partie supérieure, en sorte que le lobule
occipital
interne est presque toujours très-petit, étroit e
loppement du lobe frontal ou du lobe pariétal. En revanche, le lobe
occipital
est fort réduit; deux scissures profondes le divi
en arrière le lobe pariétal, et celui-ci refoule, à son tour, le lobe
occipital
, dont l'opercule s'atrophie visiblement. La val
ers; les plis antérieurs se développent plus tard : aussi la vertèbre
occipitale
et la pariétale sont-elles relativement très-gran
, une prédominance relative du lobe frontal dans le Gibbon et du lobe
occipital
dans VEntelle : ainsi les faits sériaux confirmen
est médiocre; le lobe temporal fait une grande saillie; enfin le lobe
occipital
est fort étendu. Toutes ces conditions rapprochen
ion frontale. Le lobe frontal est court; le pariétal est très-long; l'
occipital
a une grandeur médiocre; il est, en général, plus
enons, cette disposition est une conséquence du développement du lobe
occipital
, qui refoule la branche descendante du pli courbe
and coude, descend, se relève, et vient se terminer au sommet du lobe
occipital
. Les lobes et les plis de la face interne prése
nces directes. 1** Le lobule quadrilatère est très-grand; le lobule
occipital
interne est droit et assez haut, mais fort étroit
us aurons à noter des différences remarquables. Ainsi : 1 " Le lobe
occipital
est très-grand, souvent chargé de plis, encore un
e des hippocampes sont à peu près égales entre elles ; 3" Le lobule
occipital
interne n'est plus droit et vertical comme dans l
la grandeur singulière et le nombre d'incisures que présente le lobe
occipital
, par la disposition de la scissure des hippocampe
pital, par la disposition de la scissure des hippocampes et du lobule
occipital
, ils sont aisément séparés des uns et des autres.
ills s'en éloignent davantage par un développement plus grand du lobe
occipital
et par une réduction poussée plus loin du prolong
tégorie, en s'élevant des Cercopithèques aux Gibbons, on voit le lobe
occipital
se réduire de plus en plus, et la région fronto-p
les Macaques , le lobe pariétal s'allonge; le lobe frontal et le lobe
occipital
ont une grandeur médiocre. 3'' Dans les Babouin
grandeur médiocre. 3'' Dans les Babouins et les Mandrills, le lobe
occipital
grandit et se couvre de plis ; le lobe pariétal e
ale; 2" le lobe pariétal; enfin la région pariéto-occipitale, le lobe
occipital
grandissant alors de plus en plus. Ces faits so
d, mais son développement s'effectue exclusivement aux dépens du lobe
occipital
, qui est singulièrement réduit. Le lobe temporo
age a. Ce pli forme un large pont entre le lobe pariétal et le lobe
occipital
. Le deuxième pli de passage est très-peu dévelo
squ'ici, la grandeur du lobe antérieur, la petitesse relative du lobe
occipital
, le développement du pli supérieur de passage nou
divisés que ceux des Cynocéphales. Nous avons déjà dit que le lobe
occipital
est très-grand. 11 présente plusieurs incisures p
t du lobule frontal, mais une grandeur bien plus considérable du lobe
occipital
du Chimpanzé; 2** Une dégradation relative des
par le même caractère et par les proportions caractéristiques du lobe
occipital
. Si nous rapprochons, au contraire, les caractè
et les rendront sensibles. A. Longueur totale de la pointe du lobe
occipital
à celle du lobe frontal........................
ession, je crois pouvoir assurer d'avance que dans le Gorille le lobe
occipital
est beaucoup plus large et plus grand que dans le
du lobe frontal, correspondant à un plus grand développement du lobe
occipital
, établirait entre le Gorille et le Chimpanzé une
tout à l'heure. Par la même raison, les limites antérieures du lobe
occipital
sont mal déterminées. Toutefois il est évident, m
de la région fronto-pariétale, s'incline un peu en arrière. Le lobule
occipital
interne compris entre ces deux scissures est tria
s, qui sont constantes, doivent être notées avec soin. Plis du lobe
occipital
. Ce lobe est, ainsi que nous l'avons déjà dit,
cendant. Ce lobule et le pli de passage qui le prolonge jusqu'au lobe
occipital
forment, de chaque côté de la grande scissure cér
l est énorme, et développé surtout dans son étage supérieur ; le lobe
occipital
est, au contraire, extrêmement réduit. Le lobe pa
lus haut point significatif. En effet, r Dans le Chimpanzé, le lobe
occipital
est grand et son opercule bien dessiné; le pli co
r manque, et le deuxième est caché. 2° Dans y Orang-Outang, le lobe
occipital
est médiocre et son opercule incomplet. Le pli co
d et superficiel, et le deuxième est caché. 3° Dans VHomme, le lobe
occipital
est extrêmement réduit, son opercule nul. Le pli
ppement du lobe fronto-pariétal, s'incline fort en arriére. Le lobule
occipital
interne, compris entre ces deux scissures, est tr
tivement au cerveau des Singes, fort développé ; en sorte que le lobe
occipital
, qui, dans les Singes, domine à la face externe d
u'on marche vers les parties postérieures, en sorte que sur le lobule
occipital
ils ne sont plus séparés que par de simples incis
teur du lobe frontal est beaucoup plus considérable que celle du lobe
occipital
; ce qui donne au cerveau des Áteles une physio-
ippocampes, qui est à peu près horizontale. Le lobule interne du lobe
occipital
, compris dans leur écartement, est triangulaire,
uable, sauf peut-être l'extrême simplicité de ses plis. Quant au lobe
occipital
, il est très-court; mais sa hauteur est considéra
urbe, forme un coude Irès-sensible et remonte jusqu'au sommet du lobe
occipital
. Ce pli est superficiel dans tonte son étendue. A
ce interne sont moins anormaux que ceux de la face externe. Le lobule
occipital
interne est fort étroit; en revancbe, les plis de
cation est fort élevée, ce qui est en rapport avec la hauteur du lobe
occipital
. La scissure longitudinale du lobe fronto-pariéta
ment une physionomie propre due surtout à la forme singulière du lobe
occipital
. Outre le cerveau du Saï capuciii, j'ai eu occa
ée, dans le Sajou que dans le Saï, de la scissure de Sylvius. Le lobe
occipital
est développé et assez bien subdivisé en trois ét
rveau est assez globuleuse et le lobe temporal très-saillant. Le lobe
occipital
recouvre la totalité du cervelet. Ainsi, au poi
que complètement effacées. Il en est de même de celles de l'extrémité
occipitale
. Les seules scissures qui ont persisté sont 1 "
be antérieur, une scissure peu profonde indique la séparation du lobe
occipital
, très-réduit, d'ailleurs, dès cette époque. Le re
ous prenons pour type, le cerveau est surtout large en avant. Le lobe
occipital
, au contraire, est fort réduit; les plis temporau
Le lobe temporo-sphénoïdal, situé au-dessous d'elle. 4° Enfin le lobe
occipital
, qui forme l'extrémité postérieure de l'hémisphèr
t pas toujours bien distinct; son extrémité postérieure passe au lobe
occipital
. Le lobe occipital est subdivisé à son tour, da
istinct; son extrémité postérieure passe au lobe occipital. Le lobe
occipital
est subdivisé à son tour, dans quelques individus
ncidence singulière, le lobe frontal, les lobes pariétal, temporal et
occipital
comprennent chacun trois plis ordinairement bien
Outre ces plis, il faut encore en noter quatre qui passent du lobe
occipital
au lobe temporal et au lobe pariétal. Je les no
deuxième pli unit le sommet du pli courbe à l'étage supérieur du bord
occipital
. Le troisième pli est intermédiaire au pli temp
li est intermédiaire au pli temporal moyen et à l'étage moyen du lobe
occipital
. Le quatrième pli, enfin, unit à l'étage inféri
ccipital. Le quatrième pli, enfin, unit à l'étage inférieur du lobe
occipital
le pli moyen du lobe temporal. De ces quatre pl
ils peuvent être tous les deux cachés sous le bord antérieur du lobe
occipital
, qui forme alors, au-dessus de la scissure perpen
s hippocampes et la scissure perpendiculaire recevra le nom de lobule
occipital
interne. Le lobe occipito-temporal est étendu d
du cerveau, le lobe pariétal de la face externe. Les plis du lobule
occipital
interne sont, en général, très-simples; ils ne so
s plis temporaux et deux lobules, le lobule quadrilatère et le lobule
occipital
interne, complètent cette énumération. Outre ces
voir 1° deux plis de passage passant du lobule quadrilatère au lobule
occipital
, et dont l'inférieur borde la scissure des hippoc
le lobule quadrilatère, qui grandit ainsi de plus en plus. Le lobule
occipital
, singulièrement refoulé, s'incline en arrière, et
s, l'Atèle, le Lagotriche et le Saï. 4" Le lobe pariétal et le lobe
occipital
sont simultanément développés ; exemple, les Guen
, les Guenons, les Macaques à queue courte et le Papión. 5" Le lobe
occipital
l'emporte exclusivement; exemple, le Mandrill.
loppe comme les plis de la face interne de l'hémisphère. D. Du lobe
occipital
. C-e lobe atteint le maximum de son développeme
ges américains du premier groupe. Ainsi voyons-nous décroître le lobe
occipital
des Sajous et des Saïs aux Lagotriches et aux Atè
me chez eux aucune scissure ne détermine la limite antérieure du lobe
occipital
, il est difficile d'en donner une idée précise. T
ir d'exceptions. On peut donc affirmer que le développement du lobe
occipital
exprime une infériorité typique. E. Des plis de
Il est rudimentaire chez les Guenons et caché sous l'opercule du lobe
occipital
; superficiel dans les Semnopithèques, il se dével
le de la branche ascendante du pli courbe ; l'amoindrissement du lobe
occipital
et du pli marginal sont, dans tous les Singes, un
s autres, le lobe pariétal domine; dans d'autres enfin, c'est le lobe
occipital
. Ces lobes, si j'ose ainsi m'exprimer, se dispu
la Phrénologie. Qu'un phrénologiste promène ses doigts sur les bosses
occipitales
supérieures d'un Homme et d'un animal (je suppose
et dans l'autre), il conclut aussitôt à un égal développement du lobe
occipital
. Cette conclusion est-elle légitime? Non, car u
rconstances absolument différentes. A. Dans un premier cas, le lobe
occipital
sera très-grand, et à cause de sa grandeur il fer
arrière une saillie très-prononcée. B. Dans un second cas, le lobe
occipital
sera très-petit ; mais, refoulé en arrière par un
ère une saillie non moins grande. C. Dans un troisième cas, le lobe
occipital
et le lobe pariétal, simultanément développés, co
ignifier trois choses distinctes : r Un grand développement du lobe
occipital
coïncidant avec une grandeur médiocre du lobe tem
diocre du lobe temporo-pariétal; 2° Un faible développement du lobe
occipital
compensé par un agrandissement proportionnel du l
pariétal ou des plis de passage ; 3'' Un égal développement du lobe
occipital
et du lobe pariétal. C'est ainsi que dans l'Hom
pital et du lobe pariétal. C'est ainsi que dans l'Homme, où le lobe
occipital
est très-petit, la saillie postérieure du cerveau
rande. Dans le Papión, au contraire, à une moindre saillie des bosses
occipitales
correspond un grand développement du lobe postéri
asti(|ues du tnoyen âge. Trois vertèbres fondamentales, la vertèbre
occipitale
, la pariétale, la frontale, enferment la cavité c
et symétrique, s'articule en haut avec le pariétal, en arrière avec l'
occipital
, en avant avec le sphénoïde, et, enfin avec le ma
;^ nommée apophyse jugulaire ou paramastoïde. Formée au dépens de l'
occipital
latéral, elle continue en dehors la ligne demi-ci
léger relief (éminence jugulaire), situé sur la face inférieure de l'
occipital
, derrière le trou déchiré postérieur. Exceptionne
uture occipito-mas-toïdienne et la partie postérieure du condyle de l'
occipital
. Son sommet, aplati d'avant en arrière, présentai
rrière pour rejoindre la ligne courbe demi-circulaire supérieure de l'
occipital
. On remarque à son niveau le groupe des veines ém
à une ligne tirée de la commissure externe de l'œil à la protubérance
occipitale
externe. Il l'a trouvé : A droite A gaucho Au
enne aiguë, avec douleurs presque exclusivement rétro-auriculaires et
occipitales
; 19 jours après le début de la maladie, il prése
eaux de libres dont le plus important est celui de la bulle. L'artère
occipitale
, branche de la carotide externe, creuse en dedans
u même nom. Elle irrigue, par ses ramifications terminales, la région
occipitale
. Dunn décrit sous le nom de lame occipitale de
s terminales, la région occipitale. Dunn décrit sous le nom de lame
occipitale
de l'apophyse mastoïde, la zone de la corticale d
tro-stylienne de .Ionesco. Il pourra enfin, par le trajet de l'artère
occipitale
, se propager à la loge cervicale postérieure, s'i
rose stylo-pharyngienne (Jonesco). Le bord postérieur est soudé à l'
occipital
et contribue à la formation du trou déchiré (fora
ments répétés plusieurs fois dans la journée. Céphalalgie frontale et
occipitale
, vertiges, température 37°, le matin. Pouls 80. R
s inquiet, se retourne cons-lamment dans son lit et enfonce la région
occipitale
dans son oreiller. Respiration accélérée ; pouls
à peu près transversale, passe au devant de L éminence jugulaire de l'
occipital
et marque la soudure de cet os au rocher : c'est
ncéphale, du crâne et de l'oreille. Il s'étend depuis la protubérance
occipitale
interne jusqu'à l'extrémité sternale de la clavic
gitudinal supérieur et droit, convergent au niveau de la protubérance
occipitale
interne pour s'aboucher dans les sinus efférents
cipitale interne pour s'aboucher dans les sinus efférents latéraux et
occipitaux
postérieurs. Cet abouchement se fait de plusieurs
émisphères cérébraux se dévie à droite ou à gauche de la protubérance
occipitale
interne, pour se continuer avec l'un ou l'autre d
l du sinus latéral. Elle répond en haut à la troisième circonvolution
occipitale
, et en bas aux lobes supérieur-postérieur et supé
reçoit, au niveau de sa portion horizontale : a) La veine émissaire
occipitale
; b) Les veines cérébelleuses latérales supérie
s ; d) La veine anastomotique de Labbé ; e) Les veines diploïques
occipitales
. Au niveau du coude du si nus latéral : f) Le s
ante du sinus : j) Les veines émissaires mastoïdiennes ; k) Les sinus
occipitaux
postérieurs ; l) L'anastomose du sinus condylien
rotidien ; s) Le tronc thyro-linguo-facial. a) La veine émissaire
occipitale
(Spérino). — Elle traverse la paroi crânienne au
ino). — Elle traverse la paroi crânienne au niveau de la protubérance
occipitale
externe et fait communiquer le pressoir d'Hérophi
e externe et fait communiquer le pressoir d'Hérophile avec les veines
occipitales
profondes, branches afférentes de la jugulaire ex
te veine se jette dans l'entre-croisement des sinus à la protubérance
occipitale
interne. » (Hédon). c) Veines cérébrales postér
s postérieur du sinus longitudinal supérieur. e) Veines diploïqLies
occipitales
. —Elles sont creusées dans l'épaisseur de l'occip
s diploïqLies occipitales. —Elles sont creusées dans l'épaisseur de l'
occipital
et se jettent dans un des canaux afférents du pre
phénoïdal de Cruveilhier, formé par les sinus caverneux, coronaire et
occipital
transverse. Il reçoit : la veine de l'aqueduc du
ayonnant à l'émergence du crâne, les internes s'anastomosent avec les
occipitales
profondes: d'autres, descendantes, avec la jugula
a mastoïdienne. 11 la nomme veine accessoire mastoïdienne. k) Sinus
occipital
postérieur. — Il relie les deux extrémités du sin
téraux sont très petits, le sang passe en grande partie par les sinus
occipitaux
. Son trajet comprend une partie verticale qui des
faux du cerveau, et une portion horizontale qui, en longeant le trou
occipital
, constitue le sinus marginal, et vient enfin s'ab
igmoïde. Il reçoit des anastomoses venant du plexus rachidien du trou
occipital
. 1) Anastomose du sinus condylien. — Labbé a si
bre normal traverse la tente du cervelet, à droite de la protubérance
occipitale
interne, et se dirige en ligne droite vers le gol
portion horizontale livre à peine passage à une fine sonde. Le sinus
occipital
postérieur est dédoublé ». Le sinus latéral peut
rachidiens et par les veines émissaires mastoïdiennes, temporales et
occipitales
, qui se jettent dans les jugulaires externes et p
du sinus latéral, envahir les sinus, longitudinal supérieur, droit et
occipitaux
, pénétrer dans le sinus latéral du côté opposé; e
ieure du sinus sigmoïde. Chemin faisant, on a récliné ou lié J'artère
occipitale
qui passe en longeant le bord inférieur du muscle
s sont rencontrés. En allant de bas en haut, on voit d'abord l'artère
occipitale
qui croise la face externe de la veine en montant
endant, la face profonde du digastrique, passe au-dessous de l'artère
occipitale
, croise la jugulaire immédiatement en avant de la
eptionnelle. § i. — CERVEAU Nous décrirons les lobes temporaux et
occipitaux
, qui intéressent plus spécialement l'otologiste.
giste. Lobe temporal. — Inclus entre les lobes frontal, pariétal et
occipital
, le lobe temporal repose sur l'étage moyen du crâ
ncavité de la grande aile du sphénoïde, et une base répondant au lobe
occipital
. Cette limite postérieure est indiquée par une li
que le lobule fusiforme ; eile court sur la face inférieure des lobes
occipitaux
et temporaux, sans atteindre le pôle temporal en
aux et temporaux, sans atteindre le pôle temporal en avant ni le pôle
occipital
en arrière. Cette situation lui a valu le nom de
rapport avec le prolongement sphénoïdal du ventricule latéral. Lobe
occipital
. —Il occupe la partie postérieure de l'étage moye
râne. Sa forme est triangulaire, avec un sommet postérieur nommé pôle
occipital
; trois faces : interne, externe et inférieure :
terne de ce lobe, les première, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
. La face interne est limitée en avant par la scis
al. Elle comprend en haut le cunéus, qui se continue avec la première
occipitale
, et la circonvolution supérieure du lobule lingua
convolution supérieure du lobule lingual qui correspond k la deuxième
occipitale
. Entre le cunéus et le lobule lingual se trouve l
eure du lobule lingual, séparées par la scissure collatérale. Le pôle
occipital
est constitué par la circonvolution descendante d
escendante de Ecker, point de concentration des trois circonvolutions
occipitales
et du lobule lingual. Lobe pariétal. — La face
troisième est la plus inférieure. Structure des lobes temporaux et
occipitaux
. — Dans chaque lobe cérébral, on doit considérer
ment dite occupent des points symétriques sur la face interne du lobe
occipital
, — plus exactement, sur le territoire cortical de
la vision psychique occupent l'écorce de la convexité des deux lobes
occipitaux
. Leur lésion entraîne la cécité psychique qui met
mporal et le noyau interne du thalamus. Couronne rayonnante.du lobe
occipital
. — Elle comprend : a) La radiatio optica de Gra
e centrale optique, qui vient se terminer sur la face interne du lobe
occipital
au niveau du territoire de la scissure calcarine,
b) Des fibres centripètes et centrifuges reliant les circonvolutions
occipitales
au pulvinar : elles s'entremêlent aux fibres de l
l'opercule rolandique jusqu'aux deux premières temporales, les trois
occipitales
et le pli courbe ; b) Le faisceau uncinatus, re
s appartiendraient k une série de faisceaux courts.) d) Le faisceau
occipital
vertical de Wernicke, placé en dehors des couches
cé en dehors des couches sagittales entre la première et la troisième
occipitales
et le lobule fusiforme ; e) Le faisceau occipit
et la troisième occipitales et le lobule fusiforme ; e) Le faisceau
occipital
transversal du cunéus (Sachs), reliant celui-ci k
u cunéus (Sachs), reliant celui-ci k l'écorce de la convexité du lobe
occipital
; f) Le faisceau occipital transversal du lobul
ui-ci k l'écorce de la convexité du lobe occipital ; f) Le faisceau
occipital
transversal du lobule lingual (Vialet) unissant l
extrémité de la scissure calcarine k l'écorce de la convexité du lobe
occipital
; g) Les fibres en Y de Meynert (stratum propriu
r, formés par des fibres qui viennent des différentes parties du lobe
occipital
, passent par le splénius, et se distribuent dans
terruption porte alors sur les fibres qui, de la face convexe du,lobe
occipital
, se rendent aux différenls centres du langage.
e indiquait un siège très reculé, très probablement au niveau du lobe
occipital
. Les troubles moteurs étaient variables et dus, s
velet occupe la loge ostéo-iibreuse formée en arrière et en bas par l'
occipital
, en avant par le rocher, en haut par le ientoriam
avant par le rocher, en haut par le ientoriam, et sur les côtés par l'
occipital
et par l'apophyse mastoïde (Pl. XVIII). Il est si
n effet, « une ponction, dirigée en haut et en arrière, en plein lobe
occipital
, qui ramena enfin un pus crémeux, épais, très fét
tendus entre les centres du langage et les centres sensoriels du lobe
occipital
. L'évidement pétreux devra atteindre Veminentia
ire, celui de Doyen, celui de Péan, enfin la trépanation de l'écaillé
occipitale
, sur le milieu d'une ligne tirée entre le sommet
ligne tirée entre le sommet de l'apophyse mastoïde et la protubérance
occipitale
externe. Nous savons, grâce aux beaux travaux de
rchives italiennes de biologie. i8g5. Lucy (P.), Les anomalies de l'
occipital
expliquées par l'anatomie comparée et le développ
IRES IMP. CONI FRÈRES On a réséqué une grande partie de l'écaillé
occipitale
pour dégager l'extrémité postérieure de l'encépha
uvert sur tout son trajet. On aperçoit les orifices des sinus droits,
occipitaux
postérieurs et pétreux supérieurs, ainsi que celu
n aperçoit la dure-mère cérébrale qui tapisse la face externe du lobe
occipital
. PHOTOTYPIE PEUSER BUENOS AIRES IMP. CONI F
On trouve, en arrière de la ligne pointillée, la face externe du lobe
occipital
avec ses trois circonvolutions, une partie du lob
mporal, le faisceau longitudinal inférieur qui unit en partie le lobe
occipital
aux lobes temporaux et frontaux, et, enfin, des f
llimètres en arrière de ce coude. La scie a sectionné : i° la corne
occipitale
du ventricule latéral, le corps dentelé et les si
le golfe de la veine jugulaire, la veine jugulaire interne, le sinus
occipital
, l'avant-mur, la queue du noyau eau dé, les corne
tal, l'avant-mur, la queue du noyau eau dé, les cornes sphénoïdale et
occipitale
du ventricule latéral; 2° sur l'écorce : les circ
riétales ascendante ou centralis posterior et supérieure, la deuxième
occipitale
, les lobules lingual et fusiforme, le pôle tempor
ouvert, en avant, l'épiglotte; en arrière, elle a sectionné les lobes
occipitaux
. Celte coupe n'est pas symétrique. A droite, en e
e mouvement d'extension de la tête de vives douleurs dans la région
occipitale
et la nuque : puis survint une paraplégie avec
ession remonte jusqu'aux racines de l'hypoglosse, au niveau du trou
occipital
, il en peut résulter une atrophie de la langue,
c la colonne vertébrale. La colonne a été brisée à son union avec l'
occipital
; l'irrégularité extrême de la face supérieure
s nous fait supposer qu'il y avait ankylose totale de cet os avec l'
occipital
. b) Côtes et articulations costo-vertébrales. L
t d'augmentation d'épais- seur, excepté à un endroit limité de l'os
occipital
, rien qui rappellera une tu- meur cérébrale : l
radiations thalamiques sous le nom de « couronne rayonnante du lobe
occipital
» ; mais la première description à part en fut fa
t formé de fibres d'asso- ciation, prenait son origine dans le lobe
occipital
, limitait en dehors la cou- ronne rayonnante et
ke (5) qui propose la dénomination de « substance sagittale du lobe
occipital
». Sachs (6) fait de nouveau prévaloir les idée
t un faisceau d'association qui provient de la totalité de l'écorce
occipitale
et qui se termine entièrement dans le lobe tem-
tie externe du pied du pédoncule et qui se terminerait dans le lobe
occipital
. ' Brissaud (3) admet ces mêmes idées, mais sub
des troisième circonvolution temporale, troisième circonvolu- tion
occipitale
et des lobules lingual et fusiforme auxquels le f
nstitue exclusivement un fais- ceau d'association qui relie le lobe
occipital
, et en particulier la sphère visuelle , au lobe
la sphère visuelle , au lobe temporal. Les lésions limitées du lobe
occipital
entraînent une dégé- nérescence qui peut être s
robable qu'il renferme, outre les fibres qui vien- nent de l'écorce
occipitale
et qui en constituent la presque totalité, un cer
renferme que des fibres de projection qui se terminent dans le lobe
occipital
et particulièrement dans la sphère visuelle. Ce
Sachs ne représente pas un faisceau d'asso- ciation reliant le lobe
occipital
au lobe temporal... elle est formée exclusivement
rne et des circonvolutions, temporales et se terminent dans le lobe
occipital
; mais il existe, en outre, des fibres allant d
fibres allant dans le sens inverse, et qui proviennent de l'écorce
occipitale
. Mais le faisceau longitudinal inférieur renfer
une grande partie des radiations sagittales qui se rendent au lobe
occipital
; elles concourent à former surtout la couche sa-
irent leur origine de la sphère visuelle corti- cale et de l'écorce
occipitale
et vont s'irradier dans les centres optiques ; le
eux sens. , A la suite de lésions de la région calcarine et du lobe
occipital
on observe une dégénérescence des radiations th
une dégénérescence corticipète qui se poursuit jusque dans le lobe
occipital
. Au niveau du carrefour ventriculaire les radia
u lobule lingual, au gyrus descendens, à la deuxième circonvolution
occipitale
, peut-être aussi aux autres circonvolutions occip
rconvolution occipitale, peut-être aussi aux autres circonvolutions
occipitales
et à la partie postérieure du pli courbe. Le
ouche sagittale interne contient des fibres qui passent de l'écorce
occipitale
à la couche optique, et la couche sagittale ext
sagittale (commune) recevrait les fibres de trois circon- volutions
occipitales
; elles seraient destinées au pulvinar, au corps
nal inférieur qui s'épuise et dans le lobe temporal et dans le lobe
occipital
. Parmi les fibres non dégénérées de ce fais- ce
qui tirent leur origine de l'écorce des circonvolutions temporales,
occipitales
et des lo- bules lingual et fusiforme, ces dern
onc des fibres thalamo-corti- cales destinées aux lobes temporal et
occipital
et, en outre, des fibres qui pro- viennent de c
sceau lon- gitudinal qu'il a pu suivre jusque dans l'écorce du lobe
occipital
et de la scis- sure calcarine ; il en conclut,
ittale externe. Une partie du faisceau longitudinal, allant au lobe
occipital
est cependant respectée, car ce faisceau reçoit a
ans ce cas, £ ces noyaux sont in- demnes. ' Les lobes pariétal et
occipital
envoient des fibres au corps quadrijumeau an- t
110 LA SALLE AHCHAMBAULT ' faisceau d'association qui relie le lobe
occipital
au lobe temporal et vice versai Dans un cas où,
vention',et cette'dégénérescence se poursuivait jusque dans le lobé
occipital
. Pour Edingèr.'ce'cas vient à l'appui' de/l'origi
res sagittales profondes. Toutes ces fibres se rendent dans le lobe
occipital
pour se terminer dans les deux lèvres de la sci
t de la scissure cal- carine, mais reçoivent un contingent, du pôle
occipital
, de la partie la plus postérieure, du, lobule f
postérieure, du, lobule fusiforme et de la troisième circonvolution
occipitale
; elles se terminent,dans le .pulvinar de la cou
aires et secondaires sont en relation avec cette partie de l'écorce
occipitale
délimitée par la strie de Vicq-d'Azyr. Les fibr
orizontal constituent un faisceau d'association passant de l'écorce
occipitale
à l'écorce temporale. · - Le contingent formé d
de Türelc ); ce faisceau ne recevrait aucun contingent de l'écorce
occipitale
, ne fait nullement partie du faisceau longitudi
'autenr, la majorité des fibres de ce faisceau lui viennent du lobe
occipital
, et, de plus, elles font partie du faisceau lon
ble de ces fibres, l'auteur donne le nom de « faisceau temporo-pré-
occipital
» ; ce serait un faisceau d'association, Redlic
trale ; il se termine dans l'écorce de la scissure calcarine, du pôle
occipital
, des circonvolutions inférieures du lobe occipi
lcarine, du pôle occipital, des circonvolutions inférieures du lobe
occipital
et en partie dans l'écorce des cir- convolution
une dégénérescence du faisceau longitudinal à la suite d'une lésion
occipitale
située à l'angle inféro-interne de la corne occip
d'une lésion occipitale située à l'angle inféro-interne de la corne
occipitale
et sectionnant les couches sagittales profondes
auteur, que ce segment inféro-interne soit en relation avec le lobe
occipital
. Plus loin, l'auteur revient sur l'origine du f
faisceau longitudinal et dit que les fibres qui proviennent du pôle
occipital
se dirigent horizontalement en avant, celles qu
ontalement en avant, celles qui naissent de la face interne du lobe
occipital
contournent les parois ventriculaires, et enfin
e fibres que le faisceau longitudinal envoie à la calcarine,au pôle
occipital
, aux circonvolutions du bord inférieur, au cunéus
férieur, au cunéus, au lobule lingual, à la première circonvolution
occipitale
. D'où viennent ces fibres ? On ne parvient pas
les deux couches sagittales, il donne le nom de « Stratum sagittale
occipitale
» à l'ensemble des fibres du faisceau longitudi
ceau longitudinal inférieur, couche sagittale externe. Dans le lobe
occipital
la distinction entre ces termes n'a guère d'impor
elle ne représente nullement la couche sagit- tale externe du lobe
occipital
. Plus loin encore, à un niveau antérieur au corps
en vue est de démontrer : que, la couche sagittale externe du lobe
occipital
, le faisceau longitudinal inférieur tel qu'il exi
s la Fra. 1. Coupe frontale normale de la partie antérieure du lobe
occipital
. Fs : faisceau du cuneus de Sachs. Foc : fais
. 180 LASALLE-ARCHAMBAULT couronne rayonnante corticipète du lobe
occipital
, il provient du corps genouillé externe et se t
prise dans son ensemble, à travers toute l'étendue du lobe temporo-
occipital
. 1er Cas : Lamb... Hémiplégie gauche. Ramolliss
ticale et sous-corticale des deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
, la partie postéro-inférieure de la circonvolut
: pre- Schéma n° I. - Cas Lamb... Fiv. 4. Ramollissement du pôle
occipital
. Coupe frontale. C : scissure calcarine. Foc
coupe (Planche XXXII, 13), prise au niveau de la pointe delà corne
occipitale
, est privée elle aussi de couches sagittales. Le
Le ramollissement atteint les deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
, mais ne s'étend pas jusqu'à l'épendyme bien qu
externe et destinées aux circonvolutions de la face interne du lobe
occipital
. 2° Cas : Ro... Hémiplégie gauche, hémianopsie
e gauche. 1 Ramollissement des première et deuxième circonvolutions
occipitales
, de la partie inférieure du pli courbe, des 3/4
supramarginalis, du lobule fusiforme (lésion corticale de sa partie
occipitale
) et de la partie postérieure de la circonvolution
: Nous commencerons par décrire les coupes postérieures. La coupe
occipitale
(Planche XXVIII, 1) intéresse le cunéus, le précu
, cette dégénérescence se confond avec celle qui dépend des lésions
occipitales
. Dans un autre de nos cas (cas Giro..., planche
tient un bon nombre de radiations thalamiques provenant des régions
occipitale
et pariéto-lemporale postérieure, enfin elle comp
la totalité des trois circonvo- lutions de la face externe du lobe
occipital
, le cuneus et la scissure calca- rine ; de tout
e occipital, le cuneus et la scissure calca- rine ; de tout le lobe
occipital
il n'y a que la partie supérieure du lobule lin-
. La figure 4 représente une coupe frontale prise au niveau du pôle
occipital
, les lésions sont anciennes et ont détruit la t
, les lésions sont anciennes et ont détruit la totalité de l'écorce
occipitale
à l'ex- ception d'une partie du lobule lingual
st le faisceau optique central, la couche sagittale externe du lobe
occipital
, le faisceau longitudinal inférieur des auteurs c
ig. 17), les lésions sont moins destructives, mais partout l'écorce
occipitale
a disparu et c'est encore le lobule lingual qui
aisceau optique central, le faisceau longitudinal inférieur du lobe
occipital
; il est lui-même légèrement touché par un foyer
accordons aux fibres corticipètes de la couronne rayonnante du lobe
occipital
et, en particulier, à une partie du faisceau opti
r intact partout où il n'était lui-même atteint, alors que l'écorce
occipitale
avait presque totalement disparu ; un foyer profo
s. Il est évident que ce faisceau ne tire pas son ori- gine du lobe
occipital
, autrement il n'en resterait pas trace sur la cou
a couche sagittale interne, c'est-à-dire les radiations thalamiques
occipitales
; ces radiations passent en arrière et au-dessu
mois qui occupe la partie antérieure de la deuxième circonvolution
occipitale
, la totalité du pli courbe, le pied de la deuxi
rs postérieur de la première circonvolution temporale. Dans le lobe
occipital
(Fig. 2), la lésion détruit le pli courbe et la d
. 2), la lésion détruit le pli courbe et la deuxième circonvolution
occipitale
, elle s'étend dans la profondeur, mais beaucoup m
uit à travers toute l'étendue du lobe temporal et qui, dans le lobe
occipital
, se porte progressivement en dedans et disparaî
nérées appar- tiennent à la couronne rayonnante corticipète du lobe
occipital
. Nous croyons qu'elles font partie d'un faiscea
onstituent la presque totalité de la couche sagittale externe du lobe
occipital
, mais dans le lobe temporal elles n'occupent qu
postérieure est prise immédiatement en avant (PI. XXX, 7) du début
occipital
du ramollissement. La totalité du lobule fusiform
one renferme les fibres du faisceau de Vialet (cin- gulum inférieur
occipital
) qui proviennent des circonvolutions inférieures
t entièrement dégénérée, car à ce niveau les radiations thalamiques
occipitales
ont déjà passé dans le pulvinar. La dégé- néres
droit où cette dernière se confond avec la troisième circonvolution
occipitale
. Sur une coupe frontale passant à trois cen- ti
e. Il existe en outre un ramollissement sur la face interne du lobe
occipital
qui détruit la moitié postérieure du lobule lingu
al et toute cette partie du lobule fusiforme comprise entre le pôle
occipital
et une ligne imagi- naire passant par la partie
e pariétal ( ? )mais pour nous, la couche sagittale externe du lobe
occipital
ne renferme que des fibres géniculo-calcarinien
s ayant porté tout particulièrement sur la couche sagittale externe
occipitale
, sur le faisceau longitudinal inférieur (que nous
lobe temporal ne représente pas la couche sagittale externe du lobe
occipital
, sa constitution est beaucoup plus complexe ; c
omporte exactement de la même façon ; nous croyons que dans le lobe
occipital
, cette couche ne renferme que des fibres corticif
La couche sagittale interne dégénère à la suite de lésions du lobe
occipital
et 198 LASALLE-ARCHAMBAULT de la partie posté
constituée cette couche, proviennent de toutes les circonvolutions
occipitales
, ainsi que du pli courbe, de la partie postérie
ussi les radiations du corps qua- drijumeau antérieur. Dans le lobe
occipital
, la majorité des fibres de la couche sagittale
imer schématiquement la constitution de la couche sagittale interne
occipitale
de la façon suivante : Couche sagittale interne
occipitale de la façon suivante : Couche sagittale interne du lobe
occipital
renferme des : a) Radiations thalamiques pures.
xions corticales de noyaux déterminés. Les radiations thalamiques
occipitales
se terminent surtout dans la partie inférieure
usivement, de la sphère visuelle corticale. A la suite de lésions
occipitales
, nous n'avons jamais observé de dégénéres- cenc
l'avons retrouvé aussi bien dans le lobe temporal que dans le lobe
occipital
et par conséquent nous n'admettons pas qu'il soit
i courbe et du gyrus supramarginalis, elles se rendent dans le lobe
occipital
aux deuxième et troisième circonvolutions occipit
nt dans le lobe occipital aux deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
, et plus en avant aux deuxième et troisième cir
onvexité (pli courbe, gyrus supramarginalis). A la suite de lésions
occipitales
et de la partie postérieure des lobes tempo- ra
ceau longitudinal inférieur, de la couche sagittale externe du lobe
occipital
, car c'est surtout sur ce faisceau que portent
que cette couche de fibres ne dégénère pas à la suite de lé- sions
occipitales
; nous l'avons vu persister intacte alors que la
s ; nous l'avons vu persister intacte alors que la totalité du lobe
occipital
était le siège d'un ramollissement, de sorte qu'e
ence du faisceau longitudinal inférieur, soit à la suite de lésions
occipitales
(Gg. 6, lésion du lobule lingual et du lobule f
ures (fig. 5, le segment supérieur de la cou- che sagittale externe
occipitale
est totalement dégénéré à la suite d'une lésion
li courbe et de la partie adja- cente de la deuxième circonvolution
occipitale
), lésions profondes avec partici- pation des co
, le liseré blanchâtre oc- cupe la couche sagittale externe du lobe
occipital
et,selon qu'il siège dans la partie supérieure
faisceau de projection, la couronne rayonnante corticipète du lobe
occipital
; nous croyons avoir précisé son origine dans l
extrêmement dissociées par les radiations thala- miques des régions
occipitale
, pariétale et temporale qui, à ce niveau, passent
résente le « carrefour sensitif». FiG. 5 - Coupe frontale du lobe
occipital
. Foc, faisceau optique central. 204 LASALLE-A
oral. Suivons maintenant le faisceau optique central depuis le lobe
occipital
jus- qu'à la partie antérieure du lobe temporal
coupes vertico-transversales, ce faisceau cons- titue dans le lobe
occipital
la couche sagittale externe de Sachs, le faisceau
ieure de la scissure calcarine et enverrait des fibres à la convexité
occipitale
, mais il a été trouvé intact dans certaines lés
xité occipitale, mais il a été trouvé intact dans certaines lésions
occipitales
. Pour nous, ce Fio. 6. - Coupe frontale du lobe
lésions occipitales. Pour nous, ce Fio. 6. - Coupe frontale du lobe
occipital
. Fs : faisceau du cuneus de Sachs. Foc : fais
ela, nous admettons parfaitement qu'il y ait au-dessous de la corne
occipitale
, de nombreuses fibres d'association plns ou moins
nous croyons que la plupart proviennent de la face externe du lobe
occipital
et que d'autres appartiennent au faisceau de Wern
aisceau de Wernicke, contournent l'angle inféro-externe de la corne
occipitale
et s'irradient dans le lobule fusiforme et dans
scissure calcarine et reçoit de nombreuses fibres de la con- vexité
occipitale
, mais il contient en outre les fibres de la parti
et qui font par- tie de la couronne rayonnante corticipète du lobe
occipital
. Nous voyons donc l'intimité de relation qui ex
le ex- terne ne représente plus la couche sagittale externe du lobe
occipital
; elle en diffère sensiblement. Les fibres du f
entriculaire inférieure, elle est à peu près la même que dans le lobe
occipital
, c'est-à-dire que la couche externe comprend su
e l'hémisphère à ce niveau, le problème déjà difficile dans le lobe
occipital
se complique plus que jamais. Dans le lobe occi
dans le lobe occipital se complique plus que jamais. Dans le lobe
occipital
, la corne ventriculaire est petite, il n'existe p
n a décrit un bon nombre de faisceaux d'association propres au lobe
occipital
. Personnelle- ment nous admettons que ces faisc
faisceaux étaient bien indépendants de la couche sagittale externe
occipitale
, et c'est ce que nous croyons nous-même, except
nous ne croyons pas, c'est que ces faisceaux soient propres au lobe
occipital
. Nous devons donc nous éloigner momentanément d
lum horizontal conserve son individualité, se continue vers le pôle
occipital
et occupe le cunéus et le précuneus, il prend i
relations du cingulum. Or, la même chose se passe au niveau du lobe
occipital
,' le faisceau transverse de Sachs est l'analogue
t et émet pour les 'circonvolutions médianes et supérieures du lobe
occipital
. Ces deux faisceaux font partie d'un seul système
partie d'un seul système, constituent le cingulum supérieur du lobe
occipital
et ne diffèrent dans leurs caractères physiques
Vialet, mais pour nous il représente le cingulum inférieur du lobe
occipital
: il émet pour le lobule fusiforme, la troisièm
tal : il émet pour le lobule fusiforme, la troisième circonvolution
occipitale
et (plus en avant) pour la troi- sième circonvo
s qu'il existe de la dilatation ventriculaire au niveau de la corne
occipitale
. Les faisceaux de Sachs et de Vialet contiennen
antérieure du lobe temporal, nous voyons qu'ici, comme dans le lobe
occipital
, il existe un fais- ceau d'association, absolum
tte région leur refuse le vaste champ qu'elles avaient dans le lobe
occipital
? Évidemment elles devront forcément occuper le
ue de faire du faisceau de Vialet et de la couche sagittale externe
occipitale
un seul et même faisceau. Or, comme on n'a jama
faisceau. Or, comme on n'a jamais songé à cette union pour le lobe
occipital
, pourquoi faire exception du lobe temporal ? Di
la partie antérieure du lobe temporal le faisceau de Vialet du lobe
occipital
. Nous nous sommes étendu longuement sur la cons
rs ; seulement le faisceau longitudinal prend son origine dans lobe
occipital
et se termine dans l'écorce du lobe temporal, t
ervé une dégénérescence de la couche sagittale externe dans le lobe
occipital
et a vu ses fibres se terminer dans les deux lèvr
pas que les lésions de la couche optique retentissent sur le lobe.
occipital
; exception faite, bien entendu, de ces lésions s
au longitudinal inférieur. Ce passage de fibres débute dans le lobe
occipital
et se continue sur toute l'étendue comprise entre
e occipital et se continue sur toute l'étendue comprise entre le pôle
occipital
et les ganglions de la base ; enfin, au niveau
faisceau qui représente la couronne rayonnante corticipète du lobe
occipital
, tire son ori gine du corps genouillé externe e
es d'association. 3) Quelle que soit l'étendue d'une lésion du lobe
occipital
, tout rentre dans l'ordre au niveau de la parti
de Beevor, se conti- 216 LASALLE-ARCfIAMBA ULT nuent dans le lobe
occipital
où ils prennent les-noms de faisceaux de Sachs et
5) Les faisceaux de Sachs et de Vialet ne sont pas propres au lobe
occipital
, mais existent également dans la lobe pariéto-t
au perpendiculaire ou vertical de Wernicke n'est pas propre au lobe
occipital
, il se retrouve dans le lobe temporal ; c'est mêm
es) proviennent de toutes les circonvolutions des lobes temporal et
occipital
et de la partie postérieure du lobe pariétal. 8
isceau d'association occipito-frontal. 11) Aucune fibre de l'écorce
occipitale
ne passe dans le pied du pédoncule cérébral ; t
par le cerveau dilaté sur le ten- tor. cerebelli. Enfin le foramen
occipital
pourrait avoir été plus ou moins obstrué par re
Signalons encore deux petits foyers dans l'épendyme des ventricules
occipitaux
. Tous ces néoplasmes répartis également sur les
ties, ressemblent une fente, à gauche encore plus qu'à droite ; les
occipitales
par contre se sont arrondies de façon à atteind
(t) Coupant actuellement une gomme pariéto-temporale où les cornes
occipitales
sont en partie soudées, je me réserve de reveni
ence pariétale gauche. Sortie à droite au niveau de la protubérance
occipitale
. Large incision des tissus mous réunissant les
ceau longitudinal inférieur, couche sagittale externe. Dans le lobe
occipital
la distinction entre ces termes n'a guère d'impor
s en vue est de démontrer : que la couche sagittale externe du lobe
occipital
, le faisceau longitudinal inférieur tel qu'il exi
rojection, il représente la couronne rayonnante corticipète du lobe
occipital
, il provient du corps genouillé externe et se ter
, et qu'elles appartiennent soit à la couronne rayon- nante du lobe
occipital
, soit a la couronne rayonnante du lobe temporal.
caractère purement corticipète de cette couche qu'au niveau du lobe
occipital
. Surtout n'avons-nous pas eu le tourment de vac
e la pointe et des faces externe, interne et infé- 1 ieure, du lobe
occipital
; en avant viennent s'ajouter les fibres du précu
lement dans la région calcarine mais encore dans toute la convexité
occipitale
(Voy. nos cas Cogery et Dautri- che) s. Voilà
ne saurions admettre, car d'une part, les fibres que la corticalité
occipitale
envoie aux noyaux centraux occupent la couche sag
ariétal et temporal. Nous n'en avons jamais retrouvé dans la région
occipitale
. Pour nous, les seu- les fibres qui s'unissent
e notre point de départ n'est autre que la couche sagittale externe
occipitale
. Nous acceptons cependant le pli courbe qui est
ne-t elle à la région calcarine (qui, elle aussi, atteint la pointe
occipitale
, ou rayonne-t- elle également vers tous les poi
et radiations thalamiques) pouvant être suivie jusque dans la pointe
occipitale
». Malheureusement, dans l'un et l'autre de ces
'insérer les planches destinées à la topographie de la décoloration
occipitale
. S'il ne fallait tenir compte que de ces deux c
blit pas les confins du territoire qu'elle occupe au niveau du lobe
occipital
. Ainsi, l'on abandonnerait l'ancienne théorie qui
firmatifs de nos idées sur l'origine de la couche sagittale externe
occipitale
; ils ne suffisent certainement pas à établir q
e pariéto-temporo-occipital. · Viennent d'abord les lésions du lobe
occipital
, « elles entraînent une dégé- nérescence du fai
) il s'agit d'une lésion de la pointe et de la face interne du lobe
occipital
, intéressant la base du cunéus, l'écorce des lè
étendant en profon- deur jusqu'à l'épendyme du plancher de la corne
occipitale
et sectionnant à ce niveau, les couches sagitta
inférieure et la moitié inférieure de la paroi externe de la corne
occipitale
et du carrefour ventriculaire. Cette LE FAISCEA
ongitu- dinal inférieur (longues fibres d'association de provenance
occipitale
), en admettant que nous sommes à la partie anté
n (p. 114) et que ce tableau est l'expression d'une lésion purement
occipitale
? Nous nous trouvons en présence de faits telle
) qui tapissent la paroi inférieure et inféro- latérale de la corne
occipitale
et du carrefour ventriculaire, répond en grande
9 cette dernière plaque commence en arrière à 2 centimètres du pôle
occipital
, atteint en bas le bord inférieur de l'hémisphè
c très nettement de cet exposé que la lésion n'est pas unique- ment
occipitale
, mais également et franchement temporale. Nous ad
principe que nous nous refusons ai admettre comme « type de lésion
occipitale
» la vaste plaque jaune que présente ce cas Bra
vaste plaque jaune que présente ce cas Bras. Un ramollissement est
occipital
ou il ne l'est pas ». Quand l'on songe que c'es
tte dégénérescence puisse également être suivie « jusqu'à la pointe
occipitale
», étant donné que les cou- ches profondes ne s
us-corticale du lobule lingual, et cela, bien en avant de la pointe
occipitale
dont les coupes peuvent servir de prépa- ration
ve une dégénéres- cence considérable de la couche sagittale externe
occipitale
, il s'agit soit d'une lésion des ganglions infr
ollissement temporal intéressant les couches profondes, la réaction
occipitale
se cantonne presque exclusivement à la couche sag
cette dernière s'épuise assez rapidement, et en région franchement
occipitale
on ne retrouve guère de dégénérescence que dans
ches sagittales se faisant dans les deux sens, du côté de la pointe
occipitale
d'une part, du côté du segment rétrolenticulaire
ales externe et interne, pouvait être suivie presque dans la pointe
occipitale
, etc. ». LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET
adiations tha- lamiques) pouvant être suivie presque dans la pointe
occipitale
. Elle est due à la dégénérescence des fibres, q
accorde un complément d'associa- tion de provenance essentiellement
occipitale
? 2 Est-il juste d'affirmer la dégénérescence r
ce problème difficile, ce serait de faire voir la réaction, non pas
occipitale
, mais simplement temporale, dans un cas de lési
e faisceau longitudinal avec la couche externe qu'au niveau du lobe
occipital
ce que nous avons établi tex- tuellement dans u
vant, les faisceaux de Sachs, de Vialet et de Wernicke dans le lobe
occipital
? Nous tenons à le dire, « toutes les fibres d'as
rantiel. Quaut à la pyramide bulbaire, elle se réfléchit dans le lobe
occipital
. Nous avons vu que la pyramide bulbaire ue renf
de la couche sagittale externe tout en- tière, mais de son secteur
occipital
qui est également (pour nous) à ce niveau, le f
riées, rapprochées et enfin réunies indissoluble- ment en un tout «
occipital
». Il s'était produit en effet un fendillement
central se déploient progressivement et se cantonnent dans le lobe
occipital
, à la couche sagittale externe dont elles const
lement aux radiations du corps quadrijumeau antérieur de provenance
occipitale
, ce qui est encore en faveur de la nature vrais
x racines postérieures ; car la bandelette est sensorielle. Le lobe
occipital
représente le lobe intra-cérébral de l'appareil
ge, l'équivalent sensitif de la voie optique. On sait que le lobe
occipital
envoie de nombreuses fibres aux ganglions in- f
entre en connexion surtout avec le corps genouillé, les radiations
occipitales
se rendent eh plus grand nombre au pulvinar et au
inon physiologique) nous ferons remarquer que la rétine et l'écorce
occipitale
se comportent vis-à- vis des centres primaires
ielle. 3° Au pulvinar, un très petit nombre de fibres. b) Le lobe
occipital
envoie : 1° Au corps genouillé externe, les 20
le et fonctionnellement périphérique. Par conséquent, c'est le lobe
occipital
seul, qui renferme une corticalité visuelle rée
les impressions lumineuses et visuelles de la rétine et de l'écorce
occipitale
(directement surtout, mais peut-être indirec- t
s des circonvolutions de la face inféro-externe et latérale du lobe
occipital
. L'analogie est grande et fait ressortir que l'
uant à la grande commissure visuelle, elle se retrouve dans le lobe
occipital
; elle constitue la majeure partie du splénium ca
elation avec des régions fonc- tionnelles autres que la corticalité
occipitale
; nous reviendrons sur ces faits, dans un travai
ire. Avant de reprendre l'étude de cette analogie au niveau du lobe
occipital
, il reste un détail digne d'être compris dans n
libres genotiillées qui se rendent à la couronne rayonnante du lobe
occipital
contra-latéral ; enfin, de simples fibres agenoui
nsidération du trajet du faisceau optique central au niveau du lobe
occipital
; il reste en effet quelques particularités digne
sans souffrir d'atteinte a son intégrité. Il est au niveau du lobe
occipital
ce qu'il est dans la partie moyenne du lobe tem
éploient lentement et forment un anneau complet qui cercle la corne
occipitale
, mais, ainsi que nous l'avons dit, ce cercle n'es
terne du segment sous- ventriculaire de la couche sagittale externe
occipitale
. Les libres qui siègent dans le segment sus-ven
plus considérable qui est situé au-dessous et en dehors de la corne
occipitale
LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCE
ruisant les couches sagittales à l'angle supéro-interne de la corne
occipitale
, c'est-à-dire dans la substance blanche du cunéus
e la voie pyramidale. Une fois que l'on dépasse en arrière la corne
occipitale
, on cons- tate la disparition du faisceau optiq
idement, grâce au territoire plus vaste qu'occupe au niveau du pôle
occipital
, la scissure calcarine. Ces particularités sont
la différence entre la répartition des couches sagittales d'un lobe
occipital
avec symphyse ventriculaire et celle d'un lobe oc
d'un lobe occipital avec symphyse ventriculaire et celle d'un lobe
occipital
hydro- céphalique ? 2 Les libres géniculo-cal
es constituent la presque totalité de la cou- che sagittale externe
occipitale
, mais elles obéissent à la règle générale, pour
l'état de pu- reté presque dans la couche sagittale externe du lobe
occipital
, entourent d'un anneau la corne ventriculaire d
existe à l'état de pureté dans la couche sagittale externe du lobe
occipital
. Ainsi qu'une lésion cérébrale se traduit par u
rmine que la dégénérescence de la couche externe, au niveau du lobe
occipital
. M. et Mme Dejerine terminent leur réponse en n
pa. Os pariétal, très court comparativement à l'os frontal. oc. Os
occipital
ne recouvrant que le cervelet et ne s'avançant pa
, le pariétal recouvre une portion a#ssez restreinte de cet organe, l'
occipital
n'arrive pas jusqu'à lui; tandis que chez l'homme
des animaux, circonvolutions qui vont alors recouvrir le cervelet, l'
occipital
et le pariétal ont acquis une extension considéra
aperçoit la démarcation qui existe entre les os frontal, pariétal et
occipital
. fr. Os frontal, pa. Os pariélal. oc. Occipital
rontal, pariétal et occipital. fr. Os frontal, pa. Os pariélal. oc.
Occipital
. L'os pariétal est des trois, celui qui recouvr
t et de l'hémisphère cérébral. fr. Os frontal, pa. Os pariétal, oc.
Occipital
, ba. Base du crâne. I. A., 11. A., III. A.; Pre
du lobe occipito-sphénoïdal se continuant jusqu'à Vextrémité du lobe
occipital
par l'intermédiaire du troisième et du quatrième
olutions de la face interne de l'hémisphère droit. fr. Frontal, oc.
Occipital
. A A. Partie interne de la troisième circonvolu
. fr. Extrémité frontale de l'hémisphère droit. oc. Son extrémité
occipitale
. sph. Son extrémité sphénoïdale. ce, ce, ce,
stérieur. Fig. \. Charruas. fr. Extrémité frontale, oc. Extrémité
occipitale
, sph. Extrémité sphénoïdale. A. A A. Trois circ
olongement de l'une des deux circonvolutions supérieures vers le lobe
occipital
. (Lobule du pli pariétal ascendant.) P. P. Circ
les sont tiraillées et beaucoup trop longues. Eu revanche les parties
occipitales
sont trop courtes. CHARRÚAS ADULTE. — FACE LATE
ÊME FACE. Fig. \. Charruas. fr. Extrémité frontale, oc. Extrémité
occipitale
, sph. Extrémités sphénoïdales. O. O. Circonvolu
nt. Le cervelet a été enlevé. fr. Extrémité frontale, oc. Extrémité
occipitale
, sph. Extrémité sphénoïdale. A. A. Portion inte
nné par M. Gi-raldès). E. F. Extrémité frontale. E. OC. Extrémité
occipitale
. E. 0. Face orbitaire du lobe frontal. G. Cer
». Premier pli ou pli supérieur de passage unissant au sommet du lobe
occipital
le lobule du pli pariétal ascendant. y. Deuxièm
y. Deuxième pli de passage, unissant le pli courbe au sommet du lobe
occipital
. k. Troisième pli de passage. 1. Quatrième pl
des primates). E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. L. 0. Lobe
occipital
. E. 0. Lobule orbitaire du lobe frontal très-ex
frontal très-excavé. SC. P. Scissure perpendiculaire séparant le lobe
occipital
d'avec le lobe pariétal. a. Scissure de Sylvius
couvrant les cornes frontales des ventricules latéraux. c.c. Cornes
occipitales
des ventricules latéraux recouvertes par certaine
gées au-dessus du corps calleux de l'extrémité frontale à l'extrémité
occipitale
de l'hémisphère. ci . Fibres supérieures de l'o
a'". Fibres inférieures de l'ourlet qui se portent vers l'extrémité
occipitale
de l'hémisphère. 6. Intervalle qui sépare les f
es, n. Commissure antérieure. E.F. Extrémité frontale. E.O. Extrémité
occipitale
. E.S. Extrémité sphénoïdale. C.C.j CC Couches c
rrière dans le bord supérieur de l'hémisphère au-dessus de la corne
occipitale
du ventricule latéral, ce'. Division delà branche
arrière dans le bord inférieur de l'hémisphère au-dessous de la corne
occipitale
du ventricule latéral Entre cette branche et la p
latéral, cette figure permet d'apprécier l'énorme étendue de la corne
occipitale
du ventricule latéral dans les singes. c.c.c. C
postérieures de l'hémisphère. EF. Extrémité frontale. EO. Extrémité
occipitale
. Fig. 2. Cette préparation est destinée à montr
que gauche. p. p. Commissure propre, étendue de la pointe du lobe
occipital
à celle du lobe sphénoïdal. q. Expansion des fibr
'hémisphère. E. F. Extrémité frontale du cerveau. E. 0. Son extrémité
occipitale
. Fig. 8. Profil du même cerveau. B. Bulbe.
es. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Son extrémité
occipitale
. L. S. Lobe sphénoïdal. F. S. Fosse de Sylvius,
veau. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Son extrémité
occipitale
. N.B. On remarque déjà quelques traces de plis
ncts. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Son extrémité
occipitale
. L. Sph. Lobe sphénoïdal. F. S. Fosse de Sylviu
aquelle se voient à peine quelques indices de plis. E. 0. Extrémité
occipitale
. S. S. Scissure de Sylvius fermée par le rappro
veau. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Son extrémité
occipitale
. S. R. Sillon de Rolando en vestige. SC S. Scissu
Morgny). E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Extrémité
occipitale
. OL. Olive. P. A. Pyramide antérieure. P. V. Po
erveau. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Extrémité
occipitale
. L. SPH. Lobe sphénoïdal. SC. S. Scissure de Sy
cerveau. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Extrémité
occipitale
. S. R. Sillon de Rolando. SC. S. Scissure de Sylv
tilhiac). E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Extrémité
occipitale
. SC. T. Scissure transverse. SC. S. Scissure de S
cerveau. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Extrémité
occipitale
. L. OL. Lobe olfactif. SC. S. Scissure de Sylvi
rieure du même cerveau. E. F. Extrémité frontale. E. 0. Extrémité
occipitale
. P. F. A. Pli frontal ascendant. P. P. A. Pli
t. P. C. Pli courbe qu'on voit communiquer avec le sommet du lobe
occipital
par l'intermédiaire d'un large pli de passage.
alleux. E. F. Extrémité frontale de 1 hémisphère. E. 0. Extrémité
occipitale
. L. SPH. Extrémité sphenoidale. + + Extrémité
4. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Son extrémité
occipitale
. L. SPH. Lobe sphénoïdal. CC, CC, CC, CC, CC.
g. 2. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Son extrémité
occipitale
. C C; C. C, Couches corticales. C, C Corps calleu
ept mois, vu de profil. E, F. Extrémité frontale. E. O. Extrémité
occipitale
. L. O. Lobe olfactif. L. SPH. Lobe sphénoïdal
tal ascendant. P. C. Pli courbe communiquant avec le sommet du lobe
occipital
par un large pli de passage. 1° Étage inférieur d
rieure du même cerveau. E. F. Extrémité frontale. E. O. Extrémité
occipitale
. P. F. A. Pli frontal ascendant. P. P. A. Pli
ssage. P. C. Pli courbe avec le pli de passage qui l'unit au lobe
occipital
. C. O. Lobe occipital. 2. Étage moyen du lobule
rbe avec le pli de passage qui l'unit au lobe occipital. C. O. Lobe
occipital
. 2. Étage moyen du lobule frontal. 3. Étage s
le. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. O. Son extrémité
occipitale
. L. SPH. Extrémité du lobe sphénoïdal. L. O. Lo
'. Pli de passage passant du sommet du pli courbe au sommet du lobe
occipital
. P. C.P.C. Pli courbe. P. M. I. Pli marginal infé
rieure du même cerveau. E. F. Extrémité frontale. E. 0. Extrémité
occipitale
. P. F. A. Pli frontal ascendant. P. P. A. Pli
. CD. Cervelet latéral droit. V. Vermis. L. 0., L. 0., L. 0., Lobes
occipitaux
atrophiés et ne recouvrant qu'incomplètement le c
t a été détaché pour mieux en découvrir l'ensemble. E. D. Extrémité
occipitale
. E. F. Extrémité frontale. P. F. S. I. Pli fr
menstruée deux à trois fois. z A l'autopsie on constata que le trou
occipital
était plus'petit qu'à 4 Fletcher Beach. - Notes
ière et sa forme rappelle grossièrement celle d'un pain de sucre. L'
occipital
forme en arrière une saillie notable du côté ga
ntaire. - Les cheveux sont noirs, moyennement abondants à la région
occipitale
; ils vont en diminuant sur la partie inférieure
est luisant et rappelle, principalement sur les lobes temporaux et
occipitaux
, l'aspect du cerveau des nouveau-nés, sorte d'asp
les pariétaux sont quelque peu plus proéminents que le frontal. - L'
occipital
proémine de même sur les pariétaux. - La fontan
les deux tables sont peu développées, le diploé l'est davantage. L'
occipital
est peu développé. Vue par sa face interne, la
dirigeant du lobule pariétal supérieur à la première circonvolution
occipitale
; son extrémité inférieure se trouve située à un
inueux, bien développé; un pli de passage à niveau le relie au lobe
occipital
. La scissure interpariétale (Sc. i) prend son o
e normale se continue ensuite presque dans le lit du premier sillon
occipital
. Le lobule pariétal inférieur (P2) et le pli co
i de passage relie celui-ci au lobule pariétal inférieur. Le lobe
occipital
(L 0) nettement séparé du lobe temporal est rel
me circonvolution temporales se trouvent en retrait, c, sur le lobe
occipital
et les parties antérieures du lobe temporal. -
issure temporale, séparant ainsi nettement le lobe temporal du lobe
occipital
. On trouve encore quatre circonvolutions tempor
s venons de parler; elle se prolonge ensuile presque dans le sillon
occipital
transverse. - Le lobule pariétal infétiew' (P,)
e externe (c) qui va se jeter dans la scissure parallèle. Le lobe
occipital
(L, 0), nettement séparé des lobes pariétal et
lution temporale; en arrière, une de ses por- tions isolées (sillon
occipital
antérieur (d) sépare nettement en se réunissant
sant à l'incisure préoccipitale (In. pré.) le lobe temporal du lobe
occipital
. - Il existe trois circonvolutions temporales (3;
à rétrécir le diamètre antéro-postérieur du crâne. La réunion de l'
occipital
avec les pariétaux est marquée par un sillon qui
ns les cheveux d'une femme. Malgré cette espèce de chevauchement, l'
occipital
fait une certaine saillie en arrière, et les fo
se, plutôt brachycé- phale, avec aplatissement notable de la région
occipitale
; les cheveux étaient rares, le visage pâle, les
Etat actuel (21 avril 1886). Crâne ovoïde, bosses parié- tales et
occipitales
moyennement développées et symé- triques. Bosse
e à l'autre . 28,» Longueur de la racine du nez à la protubérance
occipitale
externe en passant par le sommet.. 30,0 Face ar
sure de Sylvius, est sinueuse et va se jeter dans le premier sillon
occipital
; au niveau de sa courbe, un rameau ascendant, q
e du pli de passage qui se rend du pli pariétal supérieur au lobe
occipital
. Le pli pariétal inférieur est assez bien déve-
indre l'incisure préoccipitale et sépare le lobe temporal du lobe
occipital
. La deuxième temporale est sinueuse, bien dével
roisième. Celle-ci est également assez bien déve- loppée. - Le lobe
occipital
présente son aspect ordinaire, mais ses circonv
oprement dite, après un trajet un peu sinueux, va aboutir au sillon
occipital
transverse. Le pli pariétal supérieur très sinu
loppé ainsi que le pli pariétal inférieur et le pli courbe. Le lobe
occipital
est moins volumineux qu'à gau- che ; il est un
u, est une tumeur, grosse comme une lentille. A la pointe du lobe
occipital
gauche du cerveau, on remar- que une tumeur lar
e à l'autre ........ 29 - ' De la racine du nez à la protubérance
occipitale
- 30 Front très étroit, peu élevé, aplati latér
s interrompue, alors qu'elle l'est à gauche plusieurs fois. Le lobe
occipital
est assez développé mais moins plissé qu'à gauc
e 04. - Tête assez grosso, un peu carrée, développement modéré de l'
occipital
; bosses pariétales un peu saillantes, la droite
be frontal, la moitié postérieure de la région pariétale et le lobe
occipital
sont moins développés que les parties centrales
,est atrophié en arrière. L'atrophie porte aussi sur tout le lobe
occipital
et sur les parties postérieures de la première
, non sinueuse. Le coin, atrophié, a un aspect vermiculé. Le lobe
occipital
est atrophié comme sur la face externe. La circ
ut aux points de pénétration des capillaires. Sur une coupe du lobe
occipital
, une portion assez considé- rable de substance
alite, étendue à presque tout le cerveau, prédominant sur les lobes
occipitaux
et pariétaux, mais ayant aussi atteint les lobe
ruit complètement les lobes temporaux et en grande partie les lobes
occipitaux
et les lobules do l'insula. Nous serions heureu
énal. - En- céphale : Destruction complète des lobes temporaux et
occipitaux
, des lobules de l'insula remplacés par deux pse
Tête, un peu petite ; bosses frontales assez bien dessinées; région
occipitale
saillante; protubérance occipitale peu marquée.
les assez bien dessinées; région occipitale saillante; protubérance
occipitale
peu marquée. Front étroit, légère ligne en gout
Les différentes parties du crâne paraissent symétriques. Le trou
occipital
, les fosses occipitales et la gouttière basilaire
ties du crâne paraissent symétriques. Le trou occipital, les fosses
occipitales
et la gouttière basilaire forment un entonnoir
lobule pariétal inférieur, le pli courbe, les lobes tempo- ral et
occipital
, le lobule de l'insu la sont entièrement com- p
onde, limite par sa lèvre inférieure la lésion siégeant sur le lobe
occipital
. La scis- sure parallèle est comprise dans le k
le ascendante parait cepen- dant à peu près naturelle. Tout le lobe
occipital
est atro- phié et montre à sa surface une color
x avaient détruit plus ou moins complètement les lobes temporaux et
occipitaux
, les lobules pariétaux infé- rieurs et les lobu
astomose en bas avec l'extrémité de la deuxième .temporale. Le lobe
occipital
est d'aspect assez maigre. - La scissure de Syl
s étroites, assez maigres. Le coin est petit et régulier. Le lobe
occipital
est formé par des circonvolutions un peu plus v
lobe carré est étroit, le coin un peu plusgros qu'à droite. Le lobe
occipital
est composé de circonvo- lutions maigres. La ci
ales des deux côtés, on en trouve aussi sur les lobes frontaux et
occipitaux
; mais elles sont beaucoup plus restreintes. L'
ans la substance blan- che. La coupe d'une circonvolution du lobe
occipital
gauche à la face externe de l'hémisphère, au-de
en haut avec le lobe pariétal supé- rieur, en arrière, avec le lobe
occipital
; elle est séparée du lobe temporal par une inc
présente trois digitations saillantes.- Les circonvolutions du lobe
occipital
sont amaigries et tassées ; leurs sillons sont
lobe temporal, l'est davan- tage et d'une façon typique sur le lobe
occipital
; cet aspect est dû, on le sait, à des sillons
in présente des circon- .volutions amaigries et chagrinées. Le lobe
occipital
est assez développé. - La circonvolution du cor
st assez volumineux et fournit en arrière un pli de passage au lobe
occipital
. Tout le lobe pariétal a un aspect chagriné et
on le voit, très chagriné sur presque toute son étendue. Le lobe
occipital
, composé de circonvolutions peu dé- veloppées,
eux est semblable à celle de droite. -- Les circonvolutions du lobe
occipital
sont amaigries, mais moins que du côté opposé.
ont très dilatés, les corps granuleux sont très abon- dants. Lobe
occipital
. - Les coupes du lobe occipital, au niveau d'un
uleux sont très abon- dants. Lobe occipital. - Les coupes du lobe
occipital
, au niveau d'un foyer plus étendu que celui que
saillie considérable des deux bosses pariétales. La protubérance
occipitale
et les bosses frontales font une saillie moyenne.
icatrices à la racine des cheveux et à la par- tie postérieure de l'
occipital
, dont deux courbes, linéaires et très allongées
a- rallèle, puis va se perdre dans le lit de la première scissure
occipitale
, elle-même très sinueuse, en coupant la scissure
e, allant du lobule pariétal supérieur à la première circonvolution
occipitale
, se continue ensuite presque jusqu'à la scissur
celles du lobule pariétal inférieur d'une part et de celles du lobe
occipital
d'autre part; une scissure verticale, dérivée d
pli de passage grêle allant de la seconde temporale à la troisième
occipitale
, est formée à la face convexe parle sillon occi
la troisième occipitale, est formée à la face convexe parle sillon
occipital
, antérieur (de Wernicke), l'incisure préoccipil
de lapremière scissure temporale, une sorte de confluent. Le lobe
occipital
, nettement séparé par les sillons précé- demmen
trois circonvolutions bien dé- veloppées et sinueuses. La scissure
occipitale
transverse coupe la scissure occipitale supérie
s et sinueuses. La scissure occipitale transverse coupe la scissure
occipitale
supérieure, puis l'inférieure, et n'est séparée
un pli de passage à niveau de 3 millimètres. Une seconde scissure
occipitale
transverse se trouve en arrière, part de la scis-
occipitale transverse se trouve en arrière, part de la scis- sure
occipitale
supérieure et coupe la scissure occipitale infé
e, part de la scis- sure occipitale supérieure et coupe la scissure
occipitale
inférieure. Ces deux scissures transverses cons
res transverses constituent, avec une partie de la seconde scissure
occipitale
, une scis- sure en H. Le lobule orbitaire et
ppé et très sinueux à la deuxième circonvolution de passage du lobe
occipital
et qu'il n'existe pas de pli de passage allant,
un pli de passage allant du pli courbe à la seconde circonvolution
occipitale
. La scissure verticale provenant de la seconde
est beaucoup moins développée qu'à gauche. Il existe deux scissures
occipitales
transverses, mais elles no coupent pas la sciss
ures occipitales transverses, mais elles no coupent pas la scissure
occipitale
inférieure. Los lobules pariétal supérieur et i
upérieur et inférieur, le pli courbe, les circonvolutions des lobes
occipital
et temporal sont bien développées et ont le mêm
, 1880, t. I, p. 213). CRUCIFIE,NIENT; attitude spéciale. 219 l'
occipital
(1) et enfin l'attitude spéciale prise par le cor
ure du lobe frontal droit, sur le lobe temporal gauche, sur le lobe
occipital
droit et le cervelet. - Les artères et les nerf
poursuit ensuite son trajet jusquo dans lo lit du premier sillon
occipital
. Le pli pariétal supérieur et le pli pariétal inf
et en une partie postérieure, plus développée. Les circonvolutions
occipitales
sont assez régulières, ainsi que leurs scissure
ie des plis de passage à niveau à la troisième temporale et au lobe
occipital
. Le deuxième scissure temporale, très profonde,
fond avec la scissure perpendiculaire externe, le sillon transverse
occipital
et le premier sillon occipital. Le pli pa- riét
ulaire externe, le sillon transverse occipital et le premier sillon
occipital
. Le pli pa- riétal supérieur est bien développé
profond le fait communiquer aussi avec la première circonvolution
occipitale
. - Le pli pariétal inférieur est moins bien déve-
ur est moins bien déve- loppé ; le pli courbe est normal. Le lobe
occipital
présente des circonvolutions très sinueuses, dé
a partie antérieure, simple en arrière et séparés nettement du lobe
occipital
. - Les circonvolutions temporo-occipitales et l
ur. P2, Pli pariétal inférieur. Ps, Pli courbe. i,· 0. C., Lobe
occipital
. Ti, 1" circonvolution temporale. T2, 2" circ
remarquera sur chaque face convexe la séparation bien nette du lobe
occipital
des parties environnantes. Les lettres Sc. p. p
celles de la planche Il, à l'exception des suivantes : d., Sillon
occipital
antérieur. b., Sillon intermédiaire au pli pari
tre ordres de faisceaux : fibres frontales, fibres pariétales, fibres
occipitales
et fibres sphénoïdales. Ce premier travail, des
couché obliquement sur l'os basilaire, de la selle turcique au trou
occipital
. Il est en continuité supérieurement avec les deu
es cérébraux, inférieurement avec les deux lobes cérébelleux. Au trou
occipital
, il prend le nom de moelle épinière. La partie en
t dans les circonvolutions des régions moyennes; mais, dans la région
occipitale
, surtout sur les circonvolutions de la face inter
ractéristique et nettement apparent, dans les circonvolutions du lobe
occipital
, sous la forme d'une bandelette blanche. Cette ba
térise exclusivement les circonvolutions de l'étage inférieur du lobe
occipital
. La zone profonde de la substance grise cortica
divise également la substance grise de l'écorce de la pointe du lobe
occipital
en huit couches. La lre et la 2e couche sont se
ndiquées par la physiologie comme des centres moteurs. Dans le lobe
occipital
, les deux premières circonvolutions sphénoïdales,
es; à la région postérieure, un autre faisceau, le faisceau arciforme
occipital
(Pl. XII, 5), décrit une anse du lobulus extremus
orme occipital (Pl. XII, 5), décrit une anse du lobulus extremus de l'
occipital
vers le lobe pariétal supérieur ; un troisième fa
lobe frontal au lobule paracentral et au lobule quadrilatère; du lobe
occipital
, un faisceau de fibres, le faisceau longitudinal
du lobe frontal à la partie supérieure du lobe sphénoïdal et au lobe
occipital
, en décrivant une courbe qui embrasse les circonv
ent un espace désigné sous les noms de ventricules latéraux, de corne
occipitale
, as corne sphénoïdale. Le lieu où s'effectue cett
rconvolutions postérieures, se portent directement vers l'axe du lobe
occipital
, se juxtaposent, se condensent sur le côté extern
le que les fibres convergentes des régions internes seulement du lobe
occipital
vont s'amortir dans le pulvinar (Pl. XX, 9; XXII,
térieures du cerveau, la loge constituée par les parois osseuses de l'
occipital
et le repli horizontal de la dure-mère, nommé ten
ux réunis l'un à l'autre par un petit lobe médian et séparé des lobes
occipitaux
du cerveau par la tente du cervelet ; il est en c
e et en bas, et gagne les régions postérieures et inférieures du lobe
occipital
(Pl. XXVI, 5). Les cordons antérieurs de la moe
II. — Substance grise corticale du cerveau [circonvolution du lobule
occipital
interne). a. Liséré blanc ou ruban de Vicq-d'Az
'attachent au bord antérieur de l'apo-névrose épicrânienne. Le muscle
occipital
se fixe en bas aux deux tiers externes de la lign
e occipital se fixe en bas aux deux tiers externes de la ligne courbe
occipitale
supérieure; en haut, les fibres s'attachent au bo
les os de la face et le frontal ; en haut, le pariétal; en arrière, l'
occipital
. Ces parois osseuses sont formées de deux lames d
ée des parois du crâne, depuis le trou borgne jusqu'à la protubérance
occipitale
interne. Un dédoublement de ce bord supérieur con
feuillets le sinus droit qui aboutit en arrière vers la protubérance
occipitale
au pressoir d Hérophile, confluent des sinus laté
verticale du sinus sphénoïdal et de la portion quadrangulaire de l'os
occipital
, située en avant du trou occipital, appelée corps
la portion quadrangulaire de l'os occipital, située en avant du trou
occipital
, appelée corps de l'os, ou apophyse basi-laire. C
sphénoïde continue la partie antérieure de l'apophyse basilaire de l'
occipital
; son corps renferme deux cavités, sinus sphénoïda
la nuque. 10. — Ligament cervical postérieur. 11. — Protubérance
occipitale
externe. Gavoy. — Encéphale. 8 12. — Face int
nte du cervelet, tendue horizontalement de la gouttière latérale de l'
occipital
aux bords supérieurs des rochers des os temporaux
en avant, les pariétaux et les temporaux latéralement, par les fosses
occipitales
supérieures en arrière. 16. — Coupe du lobe méd
ervelet. Les lobes latéraux du cervelet occupent la cavité des fosses
occipitales
inférieures ; ils sont recouverts par la tente du
terceptent entre elles un lobule de forme triangulaire, appelé lobule
occipital
interne ou cuneus (1). 2. — Section perpendicul
à la partie inférieure du lobe sphénoïdal, la troisième (d) au lobule
occipital
interne (cuneus) et au lobulus extremus de Ecker.
lution temporo-occipitale, lobulus lingualis, acquiè-rent à la région
occipitale
un plus grand développement ; leur extrémité anté
n prolonge-ment horizontal, qui gagne l'extrémité postérieure du lobe
occipital
. La partie anté-rieure du ventricule latéral est
mmée corne frontale; le diverticulum postérieur porte le nom de corne
occipitale
, de cavité digitale ou ancyroïde (3); le prolonge
ier postérieur du trigone (5), qui recouvre l'hippocampe. La cavité
occipitale
présente une saillie, Vergot de Morand (4) ou pet
cavité des ventricules latéraux a atteint sa limite externe; la corne
occipitale
s'étend moins loin vers la région postérieure; à
ce grise du noyau caudé, s'étendant en arrière jusqu'au prolonge-ment
occipital
de la cavité ventriculaire. 6. — Substance gris
ance grise du noyau lenticulaire. 12. — Dernier vestige de la corne
occipitale
. A l'entrée du diverticulum est la section de la
iforme longitudinal inférieur part de l'extrémité postérieure du lobe
occipital
et s'étend jusqu'à la région antérieure du lobe s
icule divergent désigné sous le nom de corne frontale (6) et de coime
occipitale
(7) ou forceps major. Le fascicule qui se pro-lon
bres commissurantes des régions postérieures, appartenante la corne
occipitale
du corps calleux ; il est en rapport avec un fais
atéral et celle qui forme la paroi de la cavité. 15. — Prolongement
occipital
ou corne occipitale de la cavité des ventricules
forme la paroi de la cavité. 15. — Prolongement occipital ou corne
occipitale
de la cavité des ventricules laté-raux. Son extré
16. —Vermis superior apparaissant entre les bords internes des lobes
occipitaux
. XIX.—Encéphale dont on a détaché la coupe préc
frontale de la cavité des ventricules latéraux, en arrière, la corne
occipitale
. Les bords internes des lobes postérieurs compr
la présence du ruban de Vicq d'Azyr dans la substance grise des lobes
occipitaux
. XX. — Coupe horizontale antéro-postérieure, pa
Ammon ou grand hippocampe (3). En arrière, à l'entrée du prolongement
occipital
des ventricules latéraux, est Y ergot de Morand o
roïdes des ventricules latéraux. Entre les bords internes des lobes
occipitaux
apparaît la section de la région supérieure et mé
régions postérieures. Ce faisceau suit la direction de l'axe du lobe
occipital
, contourne la cavité sphénoïdale et se jette en p
par conséquent que les fibres des régions internes seulement du lobe
occipital
soient en connexion avec la région postérieure de
t postérieur, issues des circonvolutions des régions internes du lobe
occipital
. 14. — En dedans du centre médian apparaît le f
veau frais, du bourrelet vers le genou du corps calleux.) Les lobes
occipitaux
et les régions postérieures du cervelet sont déta
également, dans la substance médullaire du lobe sphénoïdal et du lobe
occipital
, une petite cavité désignée sous le nom de prolon
té désignée sous le nom de prolongement sphénoïdal et de prolongement
occipital
des ventricules latéraux. Les fibres commissura
et à peu près direct. La section a enlevé, en avant du prolongement
occipital
, une partie de la cloison postérieure du ventricu
r. Diphtérie : mort. AUTOPSIE. - Absence presque complète du lobe
occipital
. - Acrocéphalie. Arrêt de développement et malf
court, comme rectangulaire, mais assez régulier sauf au niveau de l'
occipital
. Les bosses frontales ne font pas de relief : l
s de relief : les bosses pariétales sont légèrement sail- lantes. L'
occipital
est très déprimé, sa direction est oblique comm
m. transversalement et 0,03 d'avant en arrière. Au-dessous d'elle l'
occipital
de chaque côté devient plus saillant, surtout à
rtout en arrière, et au voisinage de la jonction du pariétal avec l'
occipital
. Au niveau de la crête occipitale et de toute l
e la jonction du pariétal avec l'occipital. Au niveau de la crête
occipitale
et de toute la partie déprimée dont nous avons
trophie générale des circonvolutions, sclérose de la pointe du lobe
occipital
droit. Soulèvement partiel de l'écorce cérébral
l et de la partie Fig. 4. - OBS. II. 24 IDIOTIE. moyenne de l'
occipital
, 4 à 5 au niveau du pariétal. La suture métopiq
par dessuturessinueuses et se trouvesitué sur la moitié gauche de l'
occipital
(2 cm. 3 cm.). Nombreuses plaques translucides
sur la moitié postérieure des pariétaux, la partie supérieure de l'
occipital
, au niveau de bregma et sur la partie latérale
utour d'elle, et à l'extrémité de la suture fronto-pariétale et des
occipitaux
, se voient des plaques transparentes. (Fig. 9).
ques transparentes au niveau du bregma, des bosses pariétales, de l'
occipital
et de la suture coronale. ! Fig. 10). ' 1 ' OBS
e cérébral gauche; face supérieure. 1,1', lobe frontal. 1.0, lobe
occipital
. I ra ? aomm. 1 11, »sortis. 1', porus. T
· FA, frontale ascendante. PA, pariétale ascendante. 1.0, lobule
occipital
. P, porus. sr, sillon de Rolando. 26 IDIO
dante. l'A, pariétale ascendante. LI'. lobe pariétal. 1,0, lobe
occipital
. 1', parus, sr, sillon de Rolando TRAITEMEN
, lobes pariétaux supé- rieur et inférieur, pli courbe. 1.0, lobe
occipital
. i' '1'2, première et seconde tem- portales-
pariéto-occipitales ont des dentelures un peu plus sinueuses, et l'
occipital
est si peu soudé aux pariétaux qu'il en est au
PC lobes pariétaux supé- rieur et inférieur, pli courbe. LO, lobe
occipital
. 1 ? 1 ? T : I, première, seconde et troisièm
e. LP, lobule paracentral. AC, avant-coin. C, coin.- Lo, lobe
occipital
.. T3, troisième temporale. 00,couche optique.
mière, seconde et tro sième circonvolutions temporales. 1,0, lobe
occipital
, ss, scissure de Sylvius. sr, sillon de Rolan
ession du frontal à droite et du pariétal à gauche, et surtout de l'
occipital
. Son épaisseur varie de 1 Ynm. 1/2 à 2 mm. 1/2.
eure du pariétal droit et de la par- .tie supérieure et droite de l'
occipital
. Transparence, encore .très, marquée dans la ré
'environ 2 cm. q. A gauche, les régions pariétales pos- térieure et
occipitale
supérieure sont encore transparentes, traitemen
C, lobes pariétaux supé- rieur et inférieur; pli courbe. Lo, lobe
occipital
. 1 ? T2, T3, première, seconde et troisième c
les parties inférieures des pariétaux et'la région supérieure de l'
occipital
: Lasuture métopique est. fermée. Les sutures c
lambda trois os- at·or- miens. Il n'y a pas trace de division de l'
occipital
. Sur la face interne, les sutures ne sont pas 8
différentes cavités de la base du crâne sont symétri- ques. Le trou
occipital
n'est pas rétréci. (Fig. 32.) Les trois crânes
une façon prononcée en dehors et en arrière; il en est de même de l'
occipital
du même côté. Les deux pariétaux se présentent
une étendue de a à 7 centimètres carrés de chaque côté; 3° sur l'
occipital
, à droite et à gauche, dans les points correspon-
aplatie. Les fosses sphénoidalcs parais- sent symétriques. La fosse
occipitale
gauche est un peu plus Bourneville, Bicêtre, 18
métrique ; le côté gauche est plus développé au niveau de la région
occipitale
que le côté droit; la protubérance occipitale s
u niveau de la région occipitale que le côté droit; la protubérance
occipitale
semble reportée adroite de la ligne médiane. L'
nérale de la calotte est régu- lièrement ovoïde, à grosse extrémité
occipitale
. Les bosses pariétales sont très saillantes. No
s, qui offrent une épaisseur variant de 1 à 2 millimètres </2- L'
occipital
est parti- culièrement mince et présente latéra
2 à 1891. OBS. VI. IDIOTIE complète. Sommaire. Père, céphalalgies
occipitales
ctiite- tère très emporté, ..exalté, instable,
latéraux. Les différentes cavités de la base sont symétriques, trou
occipital
normal. Glande pinéale allongée, de la gros- se
st épaissi, principalement au niveau de-^ frontaux et du centre des
occipitaux
et plus à droite qu'à gauche Les os sont denses
ie de deux à cinq millimètres. Le frontal gauche avance et la bosse
occipitale
gauche est plus saillante et plus grosse que la
t violacés. Les diverses fosses de la base sont symétriques. Letrou
occipital
n'est pas rétréci. - Dure-mère couve l'te de sa
s. Etat actuel (l"r a vriI18K6.) - Tête petite, cnmerond ; région
occipitale
un peu aplatie à gauche; bosse occipitale peu s
petite, cnmerond ; région occipitale un peu aplatie à gauche; bosse
occipitale
peu saillante ; bosses pariétales, et frontales
et pariétale ascendantes. A partir de là jusqu'à la pointe du lobe
occipital
les adhérences sont géné- ralisées et ont entra
ent dans leur moitié postérieure. Il n'y a presque rien sur le lobe
occipital
, quelques petites adhéren- ces sur la 1re tempo
uitaire est petit, d'aspect et de con- sistance ordinaires. Le trou
occipital
n'est pas rétréci. La face convexe des hémisphè
s ecchymotiques aussi sur les lobes temporaux à la pointe des lobes
occipitaux
. Sur la base de l'encéphale, la pie-mère est mo
r ordinaire. Les sinus ne pré- sentent rien de particulier, Le trou
occipital
est régulier. La lame osseuse formant la selle
osses sont peu saillantes et mousses : aplat tissement de la région
occipitale
. - Front moyen, assez large, sans proéminence d
continue sa marche Hydrocéphalie : cerveau. 4ô5' jusqu'au sillon
occipital
transverse. Le lobule pariétal- inférieur est a
ez maigre et en retrait allant au lobule pariétal inférieur. Lobe
occipital
. Il existe deux plis de passage allant l'une du
ourbe à la seconde circonvolution occi- pitale. Les circonvolutions
occipitales
sont sinueuses et assez grosses. Lobe tempora
èle qui circonscrit le pli courbe, séparant ainsi nettement le lobe
occipital
; elle n'est interrompue que vers son tiers infé
la, un peu chagriné, possède cinq digitations. Face interne. Lobe
occipital
. La le circonvolution occipitale est assez volu
q digitations. Face interne. Lobe occipital. La le circonvolution
occipitale
est assez volumineuse.- La 21110 circonvolution o
age à niveau, transversal : il se continue au- delà jusqu'au sillon
occipital
transverse. Le lobule pariétal supérieur est bi
concrit par deux sillons provenant de la scissure parallèle. Lobe
occipital
. Il est bien conformé dans toutes ses par- ties
niveau allant de la seconde temporale à la deuxième circonvolution
occipitale
. Face interne. Lobe tem]J()1'o-occipilat. Les d
es forment une saillie très nette, plus accusée à gauche. La région
occipitale
, au lieu d'être arron- die, est aplatie. La moi
crâne, d'aspect normal, est légèrement asy- métrique, car la fosse
occipitale
droite est notablement plus développée que la g
surtout dans les cornes frontale et sphénoïdale droites. Les cornes
occipitales
sont peu dilatées et, à leur niveau, les circon
tion de l'hippo- campe est réduite à une simple membrane. - Le lobe
occipital
parait absolument sain. Face interne. Elle es
poche kystique d'une pâleur bleuâtre, plus prononcée au niveau de l'
occipital
et à , BOURNEVILLE, Bicêtre, 1893. 14 2 ? 10'
cérébrale de 5 centimètres carrés environ forme le vestige du lobe
occipital
. Une surface lisse et mem<r braneuse lui suc
du lobe temporo-sphé-- Iroidal. Quelques vestiges sclérosés du lobe
occipital
forment' en arrière un petit îlot. La base du c
, les os vont progressivement 1t en diminuant d'épaisseur jusqu'à l'
occipital
, excessivement mince. Cette diminution progress
roite. ' '> - 218 Hydrocéphalie : cerveau. région temporale et
occipitale
, formée d'une paroi de subs- tancecèrÚ/n'¿¡II'
e volumineuse. Crâne asy- métrique ; saillie prononcée de la région
occipitale
avec dépl'ell- sion au-dessus paraissant corres
La corne frontale a' environ 3 centimètres de profondeur, la corne
occipitale
, la plus dilatée, a environ 5 centimètres, tand
e circonscrit une énorme poche à prolongements frontal, temporal et
occipital
. - Le corps calleux, sa circon-, volution et ce
mineuse, plagio céphalie, le côté droit est plus aplati à la région
occipitale
que le gauche et la bosse pariétale gauche est
t où devait exister la fontanelle postérieure, la déviation du trou
occipital
, Hydrocéphalie. 255 etc. méritent aussi de fi
te de Fig. 53. - L F, lobe frontal. - L M, lobe moyen. - I. 0, lobe
occipital
. z S S, scissure de Sylvius. - L I, lobule de l
lobe paracentral. L Q, lobe carré - C C, corps calleux. - L 0, lobe
occipital
. (/1 loyer hémorrhagique. , Cette figure et l
en haut et dont le sommet tronqué aboutit à l'angle supérieur de l'
occipital
. La base, longue de 9 centimètres, est formée p
bord antérieur est en rapport avec le frontal, le postérieur avec l'
occipital
; l'inférieur n'existe pas, puisqu'il est soudé
eurs forment les côtés de la fontanelle postérieure. L'écaillé de l'
occipital
paraît peu développée relativement au reste de
timètre de hauteur; en arrière, au niveau de l'angle supérieur de l'
occipital
, elle se bifurque pour se continuer avec la ten
ient presque au contact des os frontaux ;.en arrière, l'extré- mité
occipitale
est assez éloignée de la paroi crânienne. En in
e, et son grand diamètre s'étend de la lame quadrilatère à la bosse
occipitale
interne. La loge du cervelet est extrêmement ét
Revill... Ces crânes, moins brachycéphalcs, ont un développement
occipital
exagéré. Il n'y a pas de persistance des fon- t
atéral gauche est notablement dilaté, surtout au niveau de sa corne
occipitale
et à sa partie moyenne. La couche optique est u
a prédominance de la dilatation ventriculaire au niveau de la corne
occipitale
explique la disposition particulière de la tête
HYDRO-SCAPHOCFPHALIE. mince dans la région pariétale postérieure et
occipitale
, il est épais, spongoïde et opaque vers les rég
80). - Tête volumineuse avec prédo- minance très marquée du segment
occipital
. Le côté gauche de l'occiput est plus saillant
'a pas de contours com- pliqués, ni d'os wormiens sur son trajet. L'
occipital
fait saillie ur les pariétaux et en avant de la
par mois. Elle se plaint alors de dou- leurs sourdes dans la région
occipitale
qui lui donnent des nausées suivies, mais rarem
e énorme, de forme quadrilatère, pas d'asymé- trie apparente. Bosse
occipitale
très proéminente, bosses pariétales non saillan
ère a remarqué que la calotte de Vigo irritait légèrement la région
occipitale
. Traitement : Un bain salé tous les trois jours
bosse pariétale gauche est néanmoins plus proé- minente. La région
occipitale
est très saillante avec un méplat au-dessus.
te arrondie, assez grande ; aplatissement de la partie médiane de l'
occipital
, avec saillie latérale : apla- tissement de la
égion postérieure; léger aplatissement de la partie supérieure de l'
occipital
. Le front est assez haut; bosse frontale gauche
lc droite est plus profonde et plus large que l'opposée ; la cavité
occipitale
est plus étendue à gauche. Encéphale : 1340 gra
ne, assez régulièrement conformé, sauf une saillie dans la région
occipitale
. - Fontanelles fermées, - cependant il y a une
orrespondant est notablement aplati dans sa moitié anté- rieure ; l'
occipital
du même côté est également déprimé; le droit es
al du même côté est également déprimé; le droit est plus convexe. L'
occipital
est plus proéminent à droite qu'à gauche et s'i
lobe temporal, on n'est pas arrêté par l'insertion du lobule. Lobe
occipital
. - Rien de bien intéressant. La scissure perpen
age vont du lobe pariétal et du lobe temporal jusque dans le lobe
occipital
. Lésions méningitiques très limitées. Lobe temp
e circonvolution frontale, presque tout le lobe pariétal et le lobe
occipital
et de plus une atro- phie de toutes les circonv
ues points de méningo-encéphalite disséminés sur le lobe temporo-
occipital
et sur le bord interne du lobe orbitaire. Le ce
Pseudo-hyste du lobe temporal gauche et droit avec atrophie du lobe
occipital
gauche et du lobe frontal droit. - Atrophie il
es transparentes. Légère plagiocéphalie : fron- tal gauche déprimé,
occipital
gauche saillant; la moitié gauche de la voûte e
a droite. Toutes les sutures per- sistent. Imbrication externe de l'
occipital
.- La glande pitui- faire une couleur rouge verm
pondante du côté gauche, enfin une atrophie considérable du lobe
occipital
gauche et du lobe frontal droit. Les artères de
. Le reste du lobe pariétal est normal. Les circonvolutions du lobe
occipital
sont nota- blement atrophiées, LO. Face inter
s calleux, le lobule para- central, le lobe quadrilatère et le lobe
occipital
, ce der- nier cependant atrophié. -Le ventricul
dique est encore très incomplètement formé. - Les lobes pariétal et
occipital
n'ont rien de particulier; ce dernier est cepen
iens sur la suture pariéto-occipitale droite; base symétrique, trou
occipital
un peu rétréci. On constate, d'une façon géné
upérieur de l'hémisphère et se continue en arrière avec la première
occipitale
, P1; - 2° la deuxième se dirige parallèle- ment
pour se continuer à son tour par un pli de passage avec la deuxième
occipitale
, P2; - 3° la troisième enfin se dirige en arriè
semble qu'il n'y a pas non plus de pariétale ascendante. Le lobe
occipital
, LO, n'a rien de particulier. Trois petites cir
cipital, LO, n'a rien de particulier. Trois petites circonvolutions
occipitales
sont séparées par deux sillons qui se continuen
eu limité eu avant, il est très nettement séparé en arrière du lobe
occipital
par la profonde scissure perpendiculaire intern
age cunéo-limbique et hippocampo-limbique. Dans les circonvolutions
occipitales
, rien de particulier. - Sur cette face enfin no
certain degré d'hydrocéphalie. A la jonction des cornes frontale et
occipitale
nous trouvons le porus déjà étudié. - La couche
rrière du lobe orbitaire, la vallée sylvienne et le lobe temporo-
occipital
. Dans ce lobe nous trouvons les deux circonvolu-
des méninges molles épaissies et sur les circonvolutions du pôle
occipital
et du pôle frontal. Les méninges molles sont le
sions visibles à l'oeil nu. En certaines régions, notamment au lobe
occipital
, les méninges n'avaient pas été décortiquées ;
rbillon central. Bosses pariétales saillantes et symétriques. Bosse
occipitale
légèrement sail- lante au-dessus de la nuque. A
d'os wormiens, - Les fontanelles sont fermées. - Les pariétaux et l'
occipital
sont assez minces, ainsi qu'on le voit sur la c
nt antérieures que posté- rieures, sont bien développées. - Le trou
occipital
n'est pas rétréci. Cerveau. - La décorticatio
coloration naturelle, sont assez grosses, sauf les circonvolutions
occipitales
, et paraissent tassées les unes contre les autr
ntimètres de la longueur de la circonvolution de passage. - Le lobe
occipital
est peu volumineux, sans sclérose. La lèvre s
ère de Tl, quelques adhérences légères de la pie-mère jusqu'au lobe
occipital
. - Les trois circonvolutions du lobe temporal (
par LO sur la Planche VIII, est plus petit qu'à gauche. - Le lobe
occipital
est composé de circonvolutions plutôt peu dévelop
et le pli courbe (PC) sont plutôt volumineux, tandis que le lobe
occipital
est notablement réduit. - Les circonvolutions t
obe quadrilatère (LQ) et le coin n'ont rien de particulier. Le lobe
occipital
est petit; la circonvo/¡t- tion de l'hippocampe
brune jaunâtre ; 4° enfin le volume relativement exigu des lobes
occipitaux
. La destruction presque complète des lobes fron
de hauteur. On ne perçoit pas la fontanelle postérieure. La bosse
occipitale
est développée et, au-dessus, existe une sorte
. 4). Plagiocéphalie très-prononcée : frontal droit très déprimé,
occipital
correspondant un peu proéminent. - La suture mé
ormiens. -Base du crâne très asymétrique ; les fosses temporales et
occipitales
sont beaucoup plus dévelop- pées à droite qu'à
le s'étend obliquement du pied de PA à la partie antérieure du lobe
occipital
. Nombreuses adhérences sur le lobe pariétal. La
Le tiers postérieur du lobe temporal et le tiers antérieur du lobe
occipital
sont atrophiés (PL. XI). La face interne est to
si lésée. Fez, le lobe paracentral, l'avant coin, le coin, la corne
occipitale
sont déprimés. La circonvolution de l'hippocamp
urbe et la région qui, horizontalement, va du pli courbe à la corne
occipitale
offre une zone atrophiée de 3 cent. de CONVULSI
ère gauche, au niveau de la zone motrice, de l'insula, de la région
occipitale
suffisent à rendre compte de la paralysie gauch
symétrique ; bosses parié- tales bien marquées, régulières ; bosse
occipitale
nette. - Bosses frontales très saillantes ; le
ls. - Les fosses de la base sont normales et symétriques. Le trou
occipital
n'est pas rétréci. - Liquide céphalo-rachidien en
peu grêle. Rien à noter au niveau du lobule de l'insula ni du lobe
occipital
Face interne. -1"17 le lobe paracentral, l'avan
gaucl)e. Plagiocéphalie assez prononcée : frontal gauche déprimé,
occipital
droit saillant. Légère transparence des fosses
- La glande pituitaire parait avoir ses dimensions normales. 7'rou
occipital
]ior)nal. Liquide céphalo- rachidien en petite
loppement du lobe frontal (PL. XIV, FI, F. ) ? ) et surtout du lobe
occipital
(PL. XIV, Or, O2, 0 ? et PC.) et du pli courbe
émisphère gauche. Face convexe. Mêmes caractères des lobes frontal,
occipital
, pariétal et temporal. La compa- raison des mêm
BOURNEVILLE, Bicêtre, '1897. Il 162 DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. lobes
occipitaux
, l'asymétrie très remarquable des circonvolutio
bosses frontales et pariétales sont légèrement saillantes. La bosse
occipitale
est proéminente. Les cheveux d'un blond clair,
PS, pli pariétal supérieur. PI, pli pariétal inférieur. LO, lobe
occipital
. '1". T3, seconde et troisième circonvolutions
i pariétal inférieur. Fo, foyer de pseudo-porencéphalie. LO, lobe
occipital
. 190 Explication des planches. Planche III.
! 'A, pariétale ascendante. LP, lobe pariétal supérieur. LO, lobe
occipital
. Fo, foyer de pseudo-porencéphalie. LT, lobe
'p, lobule paracentral ( ? ). pl, pariétale, ascendante. LO, lobe
occipital
. T1, T2, première et seconde circonvolutions te
gt;1, pli pariétal supérieur. 1, pli pariétal inférieur. LO, lobe
occipital
. T', T2, première, seconde circonvolutions temp
ère. SPI scissure perpendiculaire interne. LO, (en arrière), lobe
occipital
. UH, circonvolutions de l'hipocampc. TT, circ
CO, couche optique. CH, circonvolution de l'hippocampe. LO, lobe
occipital
. BOURNEVILLE, Bicêtre, 189ï, PL. VII[. 202 EX
supérieur, P2, qli pariétal inférieur. PC, plie ourle. LO, lobe
occipital
. T1, T2, T3, circonvolutions temporales. : On
obe paracentral. Pp0 (au lieu de LQ), lobe quadrilatère. LO, lobe
occipital
. CCC, circonvolution du corps calleux. CC, co
. PC, pli courbe (atrophie prononcée). 01, 02, 0\ circonvolutions
occipitales
. 51'I, scissure perpendiculaire externe. . Op
inférieur. PC, pli courbe (atrophié). 0, 0 ? OB, circonvolutions
occipitales
. BOURNEVILLE, Bicêtre, 189T. PL. XVI. 218 S .
les pupilles sont normales. Crâne. Léger aplatissement de la région
occipitale
, avec proéminence des bosses pariétales. Le fro
nglobée dans un îlot ; noyau volumineux sur la face convexe du lobe
occipital
; un sur le lobe pariétal supérieur; - un à la p
n autre sur la 2e temporo-sphénoï- dale : - un dernier sur la corne
occipitale
. b) Face interne : un petit noyau sur lapartie
onanisme, Etat actuel. - Le crâne offre une saillie spéciale de l'
occipital
qui est divisé en deux plans par une crève transi
ne ; les apophyses mas- toïdes sont très développées. - De la bosse
occipitale
ex- terne à la racine du nez, en passant par le
n frontale, le lobule paracentral, l'avant-coin, le coin, le lobe
occipital
de toute leur substance grise, laquelle ne résist
olutions ascendantes, du lobule paracentral, de l'extrémité du lobe
occipital
, et de la face interne du lobe temporal. Mais o
paracentraux et des lobes carrés. Ces derniers, ainsi que les lobes
occipitaux
, offraient d'assez nombreux sillons superficiel
deux côtés; à droite, il est horizontal et continu avec la scissure
occipitale
externe; à gauche, il est vertical et parallèle
itale externe; à gauche, il est vertical et parallèle à la scissure
occipitale
externe dont il est séparé par le premier pli d
re circonvolution pariétale droite est complètement séparée du lobe
occipital
, le premier pli de passage étant tout à lait pr
e est superficiel, quoiqu'un peu renfoncé; il contourne la scissure
occipitale
externe pour ne l'interrompre qu'au niveau de l
ale. A droite, la deuxième pariétale ne communique pas avec le lobe
occipital
, le deuxième pli de passage étant tout à fait p
profond et la deuxième temporale est complète- ment séparée du lobe
occipital
; le troisième pli de passage est constant et t
de 2 ou 3 millimètres, qui partdubord antérieur de la scis- sure
occipitale
externe, se prolonge entre cette scissure et la
tal qui lui est parallèle de ce côté et se continue jusqu'au sillon
occipital
latéral, sur la limite du lobe occipital, sans
e continue jusqu'au sillon occipital latéral, sur la limite du lobe
occipital
, sans être interrompu par les plis de pas- sage
dé- pression est comme une ébauche ou un vestige d'une scis- sure
occipitale
primitive analogue à celle du côté droit, où le
ge auraient été profonds aussi ; a une certaine époque, la scissure
occipitale
gauche aurait donc été semblable à la droite, m
petite anastomose qui sépare le deuxième sillon temporal du sillon
occipital
latéral. D'ailleurs , à gauche, il n'y a aucun
des sillons temporaux qui se conti- nue en arrière avec les sillons
occipitaux
; il en est autre- ment à droite, où tous les si
t à droite, où tous les sillons temporaux se continuent sur le lobe
occipital
, comme c'est l'ordinaire. «Les lobes occipitaux
inuent sur le lobe occipital, comme c'est l'ordinaire. «Les lobes
occipitaux
sont très petits. Comme je l'ai déjà dit, ils f
la deuxième circonvolution pariétale et que, par suite, la scissure
occipitale
externe n'est interrompue qu'à une certaine dis
son de la scissure calcarine à la face externe. A droite, le sillon
occipital
la- téral est continu en avant avec le deuxième
continu en avant avec le deuxième sillon tempo- ral et la scissure
occipitale
externe : en arrière, il se termine par une inc
té aussi, vient se terminer sur la face externe. «Entre le sillon
occipital
latéral et la scissure calcarine s'étend le lob
sous-occipital, formé des quatrième et cin- quième circonvolutions
occipitales
, continues en avant avec les troisième, quatriè
avec les troisième, quatrième et cinquième temporales. La quatrième
occipitale
s'unit avec les troisième et quatrième temporal
avec les troisième et quatrième temporales fusionnées; la cinquième
occipitale
avec la cin- quième temporale par le pli de pas
rrière, dans la portion anté- rieure de la cinquième circonvolution
occipitale
où la cin- quième temporale s'anastomose avec l
dont l'externe sépare la quatrième de la cinquième circon- volution
occipitale
et l'interne se perd dans la cinquième occipita
ircon- volution occipitale et l'interne se perd dans la cinquième
occipitale
, près de l'extrémité antérieure de la scissure ca
nges. «La scissure calcarine droite communique avec la scis- sure
occipitale
interne,c'est-à-dire que le pli de passage cu-
étrolimbique supérieur est profond. Après s'être unie à la scissure
occipitale
interne, la scis- sure calcarine, au lieu de se
iels. « A gauche, la scissure calcarineestparallèle à la scissure
occipitale
interne et en est très rapprochée; son extrémité
rieure se termine en avant de l'extrémité antérieure de la scissure
occipitale
interne, dans une dépression qua- drilatère, do
quadrilatère, au-dessus de l'extrémité anté- rieure de la scissure
occipitale
interne, dont elle semble représenter la portio
ais séparée anormale- ment de la portion postérieure de la scissure
occipitale
interne comme par une compression d'avant en ar
comme par une compression d'avant en arrière. Si on examine le lobe
occipital
gauche, on y voit un plisse- ment beaucoup plus
plisse- ment beaucoup plus considérable qu'à droite, les sillons
occipitaux
sont multipliés, leur continuité ordinaire avec
errompue; la scissure calcarine est devenue parallèle à la scissure
occipitale
interne, et le cunéus est, par suite, linéaire
bas et produit par cette compression l'interruption de la scissure
occipitale
interne et le plissement du lobe sous-occipital
ie postérieure, une incisure courbe qui se jette dans la scissure
occipitale
interne et s'étend du bord sagittal de l'hémis-
e; la suture sagittale se dessine sur la peau, en forme de crête. L'
occipital
est déprimé, au niveau de son articulation avec
lques plaques blanchâtres sur l'aorte. Squelette. 1° Crâne. Le trou
occipital
ne présentait pas de déformation appréciable. L
étaux inférieurs ainsi que la partie antérieure des circonvolutions
occipitales
. Au point de vue macrosco- pique, la lésion se
tout la gauche; les arcades sourcilières déprimées; la protubérance
occipitale
externe est très accentuée; les yeux sont norma
uche. Les circonvolutions sont normales, sauf au niveau de la corne
occipitale
où il existe un grand nombre de plis de passage
vée au niveau de ses trois étages, princi- palement dans les fosses
occipitales
. L'apophyse crista-galli est très étendue en ha
jourd'lmi, on ouvre un abcès déve- loppéà la partie supérieure de l'
occipital
. 5 Septembre. Pendant la nuit l'enfant a eu des
dien, 120 gr. environ. La base du crâne est asymétrique; les fosses
occipitale
et tem- porale du côté droit sont moins excavée
rale du côté droit sont moins excavées qu'à gauche. La protubérance
occipitale
interne se trouve déjetée à droite. Sur la voût
pie-mère est très finement vascularisée, principalement à la région
occipitale
. Il n'existe pas d'anomalies dans les organes d
ère gauche. La pie-mère est très adhérente, surtout vers les cornes
occipitales
, et au niveau du gyrus fornicat'us. Les circonv
e-mère injectée, adhérente à gauche au niveau des lobes frontaux et
occipitaux
, du pli courbe, et de la face interne. - Sur l'
P3, pli courbe. T1, T-, T3, circonvolutions temporales. L 0, lobe
Occipital
. Leuba. lith. Imp.Becquet 7 ? $, PI A.Leuba
L P, lobule paracentral. L Q, lobe carré. L C, coin. L 0, lobe
occipital
. T1, Tr', quatrième et cinquième circonvolution
âne offre un aplatissement de la région pariétale et de la région
occipitale
tandis que les fosses temporales sont creuses.
a la forme d'un coeur de carte à jouer à pointe inférieure. Lobe
occipital
. Il existe une circonvolution de passage se ren
on de passage se rendant du lobule pariétal supérieur à la première
occipitale
, et un autre entre le pli courbe et la seconde
première occipitale, et un autre entre le pli courbe et la seconde
occipitale
. Les circonvolutions et scissures du lobe occip
et la seconde occipitale. Les circonvolutions et scissures du lobe
occipital
ne présentent rien de particulier. Lobe tempo
maigre, la postérieure volumineuse. La deuxième scissure temporo-
occipitale
est profonde. La seconde circonvolution temporo-
poro- occipitale est profonde. La seconde circonvolution temporo-
occipitale
est grêle en arrière, bien développée en avant.
tie la plus postérieure, le pli de pas- sage se rendant la première
occipitale
est fortement en retrait, et comme atrophié.- L
le pariétal inférieur, puis elle continue su chemin jusqu'au sillon
occipital
trans- verse. Le lobule pariétal inférieur est
r, est également assez Les circonvolutions et les scissures du lobe
occipital
ne présen- tent aucune anomalie. Lobe tempora
sée par de nombreux plis de passage. Les circonvolutions temporo-
occipitales
sont bien développées, régulières; les scissures
be paracentral, les cir- convolutions du corps calleux et les lobes
occipitaux
. Ars.. (Emile), 10 ans, né le 10 mars 1880, est
e, assez épaisse. Légère asy- métrie de la base du crâne : la fosse
occipitale
gauche est plus large que la droite et la Crète
la fosse occipitale gauche est plus large que la droite et la Crète
occipitale
est oblique de gauche à droite et d'avant en ar
céphalique (Fig. 5). La base du prisme est constituée par la région
occipitale
forte- ment aplatie. L'arête antérieure répond
r le lobule de l'insula, sur la face interne des lobes tem- poraux,
occipitaux
, sur le lobe paracentral et quadrilatère. Au ni
ant toutefois les faces interne et externe des lobes tem- poraux et
occipitaux
. La substance corticale s'enlève presque complè
lobes frontaux, effilés, la base, par toute la région pariétale et
occipitale
des hémis- phères. Après décortication la subst
sion corticale très marquée au niveau des régions pariéta- les et
occipitales
nous autorisent, croyons-nous, à donner de ce s
aillante ; aplatissement assez marqué au niveau de la jonction de l'
occipital
avec les parié taux; cet apla- tissement prédom
r et le pli courbe sont sinueux et assez bien développés. Le lobe
occipital
nettement séparé du lobe pariétal et tem- poral
passage à niveau se rendant du lobule pariétal supérieur au lobule
occipital
. Lobule orbitaire. Le lobule orbitaire est mieu
ère de cette seconde circonvolution 80 Lésions du rachis. Le lobe
occipital
a des sillons et des circonvolutions nor- males
re interpariétale qui, elle, va se perdre dans le sillon transverse
occipital
. Le lobule pariétal supérieur est moyennement d
est de même de la bosse pariétale : c'est l'inverse pour la-bosse
occipitale
. 92 Description DU malade. La conformation gé
kilogr. ; taille 1 ? 69. Tête : régu- lière, brachycéphale; bosses
occipitales
développées. DESCRIPTION d'une attaque. 109 D
is 1880, p. 90.. - 116 Microcéphalie. atavique : ainsi la calotte
occipitale
, la continuité du sillon pariétal avec la sciss
lotte occipitale, la continuité du sillon pariétal avec la scissure
occipitale
externe, la longueur du premier sillon temporal
très petite et relativement haute. Le crâne est arrondi; la région
occipitale
à peu près nulle. La face estal- longée, le fro
ontraire il la partie postérieure la. Autopsie : crâne. 127 fosse
occipitale
gauche semble plus étroite que la droite. Toute
ble plus étroite que la droite. Toutes deux sont profondes. Le trou
occipital
est normal; la fosse pituitaire également. La d
li courbe et le lobule du pli courbe n'existent donc pas. Le lobe
occipital
(L 0) est remplacé par une grosse circon- volut
lution représentant le lobule pariétal inférieur, se trouve le lobe
occipital
sous forme d'une simple circonvolution sép.iréc
le lobule pariétal supérieur, le pli courbe et son lobule. Le lobc
occipital
est réduit à une simple circonvolution et ne pr
ie-mère et du liquide céphalo-rachidien ; d'où il suit que, entre l'
occipital
et la partie postérieure du cer- veau, il y ava
que l'apla- tissement très prononcé de la partie supérieure de l'
occipital
pourrait être attribué à ce qu'elle cor- respon
stérieure où se trouve un méplat allant du vertex à la protubérance
occipitale
externe ; dans le sens transversal, le crâne es
30 juin 1889. Tête ovoïde à grosse extrémité postérieure. La région
occipitale
est assez développée; les bosses pariétales son
e). Tête à peu près ronde; aplatis- sement de la moitié droite de l'
occipital
, surtout dans sa par- ' tie supérieure; les rég
la superficie de la calotte. La base est symétrique, sauf la cavité
occipitale
droite qui est plus petite que la gauche. A l'i
Le pli supérieur est simple et s'arrête avant d'arriver à la pointe
occipitale
, le second, plus volumineux, décrit une courbe
eux, décrit une courbe à concavité supérieure, va jusqu'à la pointe
occipitale
, se recourbe en bas en s'élargissant, et se ter
partie moyenne se détache une bifurcation qui va jusqu'à la pointe
occipitale
et se recourbe pour faire partie du bord occipi
e. En arrière existe une cavité qui parait faire partie de la corne
occipitale
du ventricule latéral. Face interne. La 1 ? f
iéto-occil)ital est profond. Cuneus en partie confondu avec le lobe
occipital
de telle sorte que la scissure calcarine est in
lcarine est incomplète. Les plis qui composent le cuneus et le lobe
occipital
sont très sinueux et se replient pour con- verg
orte de tour- billon. Un sillon assez creux sépare en avant le lobe
occipital
de la partie postérieure du lobe temporal. La
de l'hémisphère. Thrombose semblable des veines méningées du lobe
occipital
. A gauche, thrombose d'une veine descen- dant e
ès étendue, allant de la partie postérieure du lobe frontal au lobe
occipital
. Le cerveau étant encore recouvert de la pie-mè
artie inférieure. En résumé, on trouve le lobe fron- tal et le lobe
occipital
à peu près intacts, ainsi que la corne sphénoïd
ul pli de passage.- La scissure calcarine est peu profonde. Le lobe
occipital
est relativement régulier. Description DU cerve
re de la scissure de Sylvius. La partie inférieure comprend le lobe
occipital
avec des circonvolu- tions volumineuses, contou
s ses 3/4 antérieurs. Elle est peu large et assez profonde. Le lobe
occipital
se compose de circon- PSEUDO-PODENctPHALOE. 185
ées sur elles- même et rayonnant également vers le kyste. Le lobe
occipital
est relativement bien conservé et formé par une
cédente. Enfin une circonvolution se continuant avec celles du lobe
occipital
. Le lobe orbitaire est bien développé. Face i
e masse commune avec cette 3"le temporale. Elle est séparée du lobe
occipital
par un sillon assez net. Le lobule de l'insu la
dirigée obliquement d'avant en arrière et de bas en haut. Le lobe
occipital
est bien développé, ses circonvolutions sont si
le quadrilatère normal, bien développé, séparé du cuneus et du lobe
occipital
par un sillon vertical très profond. Cuneus trè
sses', séparées par un sillon Bifide au milieu, et distinct du lobe
occipital
, grâce à un profond sillon. ' ' Lobe occipita
t distinct du lobe occipital, grâce à un profond sillon. ' ' Lobe
occipital
. Il est formé d'une grosse -circonvolution quad
antérieurs et formée d'un pli simple qui rejoint en arrière le lobe
occipital
. Il en est de même de la deuxième temporale. -
u contraire en arrière par un sillon creux, bifide en avant. Lobe
occipital
formé de petites circonvolutions séparées par d
ale supérieure et s'arrête en bas à la scis- sure parallèle. Lobe
occipital
. - Il se compose d'une masse irrégulière compri
rale n'est distincte qu'en arrière, où elle se confond avec le lobe
occipital
. Lobule de l'insula , rien de particulier. Fa
Scissure calcarine très profonde.- Cuneus à peine marqué. Le lobe
occipital
se compose d'une petite masse de cir- convoluti
a tète est brachycéphale, avec une saillie considérable delà région
occipitale
. La face est plate, large ; les joues sont gon-
tempes. Il n'existe de crasse eczémateuse qu'au niveau de la région
occipitale
. Le front présente des rides très profondes, qu
ut à celle de la vision réelle. Au lieu d'être situé dans le lobe
occipital
, comme ce serait le cas dans une hallu- cinatio
êmes chiffres. Dans mes premières expériences, l'excitation du lobe
occipital
ne m'a donné aucun résultat. Mais Luciani et Ta
es se produisant après l'excitation des différentes parties du lobe
occipital
et des régions avoisinantes. Mes expériences su
s du globe oculaire, puissent être obtenus par l'excitation du lobe
occipital
, ils sont, en règle générale, moins constants e
cani et Tamburini, les mouvements des yeux par l'excitation du lobe
occipital
. Schæfer, qui oublie le segment antérieur du pli
rieure de la circonvolution temporale moyenne, cette partie du lobe
occipital
immédiatement derrière la scissure occipito-parié
occipito-pariétale externe et de chaque côté de la scissure pariélo
occipitale
interne. Il obtient des mouvements en haut par
vements en haut par l'excitation de la surface sous-jacente du lobe
occipital
, la partie la plus inférieure de ce lobe, et de
ement latéral des yeux en excitant le reste de la convexité du lobe
occipital
et une étroite bande le long de la marge de la
e de quelques centièmes de seconde dans le cas d'excitation du lobe
occipital
que dans le cas d'excita- tion du centre fronta
que la section des fibres d'association des ré- gions frontales et
occipitales
n'empêchent pas les mouvements oculaires; tandi
ec Munk qu'il y a des fibres radiales ou centrifuges entre l'écorce
occipitale
et les centres oculo-moteurs, et l'excitation d
résultats uniformé- ment négatifs de la destruction des deux lobes
occipitaux
, excepté lorsque la lésion empiétait sur la sci
d'un cerveau de mes premieis animaux en expériences Les deux lobes
occipitaux
lurent enlevés en même temps. Il survient un peu
ion. Vous verrez, que sur le côté droit, non seulement tout le lobe
occipital
, mais aussi une partie du segment postérieur du
est dû à cette cause ; car, lorsque la ligne de . section des lobes
occipitaux
était bien séparée de cette scissure, on ne per
percevait aucun trouble de la vision. Ainsi on a mis à nu les lobes
occipitaux
, des deux côtés. chez un singe, et on détruisit l
ssé sur sa perche t. » Malgré la destruction étendue des deux lobes
occipitaux
dans ce cas, l'animal, un peu plus de deux heur
a conservation de sa vision précise. Dans un autre cas où les lobes
occipitaux
furent enlevés par une section à six millimètre
'animal, malgré l'ablation d'au moins les deux tiers des deux lobes
occipitaux
, prouva la netteté de sa vision, une demi- heur
ici aussi la photographie du cerveau d'un singe chez lequel le lobe
occipital
gauche fut enlevé par une incision immédiatemen
blement par hernie, correspond à peu près à la scissure pariéto-
occipitale
externe 4. Ces expériences ont mis en lumière l
mière les résultats négatifs des lésions uni ou bilatérales du lobe
occipital
. J'ai cependant trouvé dans mes premières expér
lis courbes qui étaient oedé- matiés et au bord antérieur des lobes
occipitaux
, comprenant un léger empiétement du bord postér
riétale, et il localise la sphère visuelle, uniquement dans le lobe
occipital
et re- garde le pli courbe comme la sphère sens
ble de supposer que les opérations de Munck, pour enlever les lobes
occipitales
, atteignent secondairement le pli courbe et ses
ion de la délimitation exacte de la sphère visuelle, soit aux lobes
occipitaux
comme le veut Munck, soit comprenant aussi le p
, et celle des rapports respectifs entre le pli courbe et les lobes
occipitaux
et les yeux out été l'objet de recher- ches par
te conclusion que les centres visuels ne sont pas limités aux lobes
occipitaux
, mais embrassent aussi le pli courbe, quoique l
ale, Phil, Trains., vol. CLXXIX, 1888. Bd. XX. 5 Functions of the
occipital
and temporal lobes of the illoitkey's (Brain Ph
liorsley et Scha;fer rapportent plusieurs expériences sur les lobes
occipitaux
, sur un seul ou sur les deux. L'expérience suiv
propres ternies, est spécialement digne de remarque. c Tout le lobe
occipital
gauche fut enlevé par une incision oblique le lon
grand intérêt, puisqu'elles montrent l'ablation complète des lobes
occipitaux
et frontaux et les limites de la lésion de la f
s un cas' (Expérience XXVI), dans laquelle on enleva les deux lobes
occipitaux
(surface externe et postérieure et une partie d
nces de Ilorsley et Schoefer, dans lesquelles les lésions des lobes
occipitaux
sont plus considérables que dans celles de Yéo
plus haut, il parait y avoir eu une extirpation com- plète du lobe
occipital
, et cependant, l'hémiopie ne fut pas perma- nen
ne fut pas perma- nente. La destruction du pli courbe avec le lobe
occipital
fut la lésion qui a produit un résultat permane
propres termes sont les suivantes : « Nos expériences sur la région
occipitale
, quoique peu nombreuses, semblent com- porter l
nt déjà arrivés Munck, Tessier et Yéo. Elles montrent que les lobes
occipitaux
et les plis courbes ont des fonctions en rappor
t avec les perceptions visuelles de telle manière que chaque région
occipitale
est en rapport avec la moitié latérale correspo
eci est aussi conforme aux résultats de Luciani. Autant que le lobe
occipital
seul est intéressé, nos observations confir- me
Mais la vision imparfaite qui reste après l'ablation des deux lobes
occipitaux
(voir cas 25 et et 26) fait penser que le centr
d'accord avec Munk que l'extirpation complète unilatérale d'un lobe
occipital
seule produit une hémiopie persistante et que l
l ne s'ensuit pas que les résultats soient dus à l'ablation du lobe
occipital
tel quel. - Schoefer ' lui-même admet que' le c
i-même admet que' le centre visuel n'embrasse pas seulement le lobe
occipital
mais aussi une partie ou la totalité du ph cour
nt postérieur d'après Schoefer), plus grande même que celle du lobe
occipital
. Donc si une cécité totale suit l'ablation des
lobe occipital. Donc si une cécité totale suit l'ablation des lobes
occipitaux
suivant la direction de la scissure pariéto-occ
eau et spécialement du pli courbe peuvent être coupées avec le lobe
occipital
et que cette hypothèse s'appuie sur de nombreus
ans participation du pli courbe ou d'aucune autre por- tion du lube
occipital
. J'at moi-même rapporté des cas l où on note de
la lésion s'est étendue en partie sur la surface inférieure du lobe
occipital
. A l'exception de cette lésion du lobe occipita
inférieure du lobe occipital. A l'exception de cette lésion du lobe
occipital
, tout le reste de la zone visuelle était intact,
s de la rétine. Il semble donc que l'incision de l'ablation du lobe
occipital
racée le long de la scissure pariéto-occipilale
aut un conducteur à ce point entre la surface 1l1fé- rieure du lobe
occipital
et la tente , et je passe un stylet courbé le l
tiques primaires. Brown elTbompson 2 pensent que l'ablation du lobe
occipital
d'un côté produit de l'hémiopie du côté opposé
détails sur un singe chez lequel on constate après ablation du lobe
occipital
gauche, une hémiopie droite, avec une hémianest
on. Cent jours après la première opération. on enleva aussi le lobe
occipital
droit. Il s'ensuivit une cécité complète mais i
e donnent aucune preuve du fait, que probablement quelques fibres
occipitales
avaient été épaignées pendant la seconde opératio
e deux cent trente-unième jour. A l'autopsie, on trouva que le lobe
occipital
entier avait été enlevé de chaque côte derrière
cependant que cette première lésion a dû s'étendre au delà du lobe
occipital
, à cause de l'hénllanestéoie qui ne se produit
qui ne se produit pas quand les lésions sortent localisées au lobe
occipital
; et ce fait que l'ablation des lobes occipitaux,
localisées au lobe occipital ; et ce fait que l'ablation des lobes
occipitaux
, tels mêmes qu'ils ont été trouvés complètement
une seconde opéra- tion, consistant dans l'incision de tout le lobe
occipital
droit. Elle fut suivie d'une hémiopie gauche qu
, d'un autre côté, qui a fait de nombreuses expérien- sur les lobes
occipitaux
et les gyri angulaires chez les singes, dit, d'
accord avec mes résultats et ceux de Yeo, que la des uction du lobe
occipital
ne produit aucun trouble appréciable de la vision
is il dit que vu que l'am- mal ne pouvait pas être aveugle, le lobe
occipital
étant probable- ment intact, l'absence de clign
pothèse de Gowers que sur la surface exté- rieure au-devant du lobe
occipital
, il y avait un centre visuel plus élevé 96 " PH
idérable de l'hémisphère opposé com- prenant le pli courbé. Le lobe
occipital
était intact et nullement t diminué de volume p
ques subissent la décussation dans le chiasma et se rendent au lobe
occipital
; les sensitives subissent la décussation dans le
t spécialement représentés dans des régions correspondantes du lobe
occipital
, suivant les hypo- thèses de Munk et de Scbafer
ien prouvée; car même après la destruction la plus grande des lobes
occipitaux
, aucune partie de la rétine ne parait absolumen
rentes portions du champ visuel avec certaines portions de l'écorce
occipitale
, cette relation, autant que nous pouvons le jug
qu'on ait publié des cas strictement de lésions corticales du lobe
occipital
accompagé d'hémiopie sans participation directe
res de la région postérieure vaguement ou sans raison dénommes lobe
occipital
; or. si l'écorce a été grav emen atteinte, les
sions ont été multiples et diffuses et non confinées dans la région
occipitale
. Et en plus de l'hémiopie, il y a eu de l'hémiane
ux lésions des tractus cérébraux et des centres dépassent la région
occipitale
. Sous ma direction, mon ami et élève le Urlvven
res et supra-marginale seulement, Ici décrits comme lésions du lobe
occipital
seul. De ces 15 il n'y en avait que 2 (cas de H
ni abcès, ni ramollissement de la substance médullaire de la région
occipitale
ni une autre lésion atteignant le thalamus opti
de la région occipito-temporale, 3 des lésions des circonvolutions
occipitales
, temporales et pariétales ensemble, le pli courbe
son voisinage, Segttin et Nothnagel pense que cette portion du lobe
occipital
a une relation spéciale avec la perception visu
and pense que le centre visuel est plus spécialement dans la pointe
occipitale
. Ces hypothèses s'appuient sur des recherches ,
zone qui avait détruit la plus grande partie de la cir- convolution
occipitale
moyenne. Ce cas est donc trop complexe pour pei
, a noté la cécité de l'oeil opposé par la destruction do la région
occipitale
chez les chiens, et en 1881 Goltz décrivit un t
rébral opposé, qu'il ne rapporte pas cependant spécialement au lobe
occipital
, rapport qu'il a admis plus récem- ment. Le tro
une profondeur suffisantes, dans la partie postérieure de la région
occipitale
chez les chats et les chiens, produisent invari
tions électriques correspond chez le singe au pli courbe et au lobe
occipital
. Le centre visuel décrit par Munk est représenté
es termes amusants : « Une portion considérable de l'écorce du lobe
occipital
, est décrite comme centre visuel par Munk. Mais
Goltz, les troubles de la vision à la suite de lésions des régions
occipitales
paraissent avoir été presque invariablement ass
ux systèmes différents, un sys- tème périphérique qui vient du lobe
occipital
, un système médian par rapport au premier qui e
tre extrémité était fixée sur la peau du sujet,, soit sur la région
occipitale
, pariétale ou fron- tale, soit sur les joues. L
une extrémité de la pile était appliquée sur les régions pariétale,
occipitale
, etc., de la tête, le galva- nomètre est demeur
volution temporale supérieure et les parties avoisinantes des lobes
occipitaux
et parié- taux et un cas est rapporté comme dû
ve que chacune de ces facultés occupe un point distinct de l'écorce
occipitale
; il rappelle les expériences de Siemerling et
tance grise des frontales y compris la frontale ascendante, du lobe
occipital
et des tempo- rales des deux côtés. Vaisseaux à
re analyse aux troisième et cinquième cou- ches de l'écorce du lobe
occipital
. La troisième couche corticale du même lobe con
vers le frontal comme vers le temporal; elle allait même jusqu'à l'
occipital
. Son diamètre longitudinal était de 10 centimèt
édoncule mais encore la couche optique, le lobe temporal et le lobe
occipital
étaient touchés, de telle manière que, si en ré
orce, dans la région située entre la scissure de Rolando et le lobe
occipital
. Meynert a sup- posé que le tiers externe du pi
artie du pédoncule évidemment en rapport avec des lésions des lobes
occipital
et temporal, et Flechsig dit que ces fibres n'e
en dehors pour s'irradier dans l'écorce des régions tempo- rale et
occipitale
. On suppose qu'elles unissent ces régions au cer-
LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 379 moins grande destruction du lobe
occipital
ou de la région tem- porale inférieure. - On pe
la région de l'hippocampe par un cautère enfoncé a travers le lobe
occipital
et dirigé en bas et en avant suivant le trajet de
li de liquide. A l'exception des cicatrices de l'ablation des lobes
occipitaux
, le cerveau, les cordons olfactifs et les bulles
ux hémisphères; car si les centres moteurs d'un côté et les régions
occipitales
de l'autre côté sont détruits, le chien peut ma
ssion visuelle ne peut être produite s'il existe une lésion du lobe
occipital
, et inversement une excitation de ce lobe produ
ite d'une blessure reçue à l'âge de trois ans, la région pariéto-
occipitale
de l'hémisphère droit et le thalamus du même cô
la couche optique, et des faisceaux qui s'irradient dans le lobe
occipital
. Je dois ajouter que, comme les premiers expéri
ution externe, de la région frontale au commence- ment de la région
occipitale
. Ils niaient par conséquent que la sphère visue
ctère et des façons d'être et d'agir des chiens opérés de la région
occipitale
, ces auteurs italiens inclinaient à y voir un c
tal : « Le centre visuel du singe ne peut être confiné dans le lobe
occipital
; il doit comprendre encore tout le gyrus angul
sivement à un singe l'écorce des deux plis courbes et celle du lobe
occipital
, bref, les centres de la vision selon Ferrier e
rminé des troubles de ce genre, comme celles des lobes pariétaux et
occipitaux
. Peut-être l'écorce de la LES FONCTIONS DU CERV
ransitoires , ceux que détermine l'extirpation bilatérale des lobes
occipitaux
et pariétaux sont permanents. En outre, alors q
chien, d'après la dernière ma- nière de voir de Luciani, les lobes
occipitaux
et parié- taux représentent, en somme, le centr
voie. De même pour les singes. «.Nul doute que l'écorce des lobes
occipitaux
des singes ne représente la partie centrale , L
tirpation d'un gyrus angulaire, à la réaction inflammatoire du lobe
occipital
, surtout à la lésion des faisceaux optiques qui
ui, des ganglions d'origine des tractus optiques, gagnent les lobes
occipitaux
en passant sous l'écorce du pli courbe. Ueber d
resque aussi fort que le fais- ceau croisé. L'extirpation d'un lobe
occipital
produit donc une hémianopsie bilatérale homonym
seraient associés qu'avec une région distincte de l'écorce du lobe
occipital
(le point A). L'ablation d'un point déterminé d
nyme au côté opéré, non pas seulement après l'extirpation d'un lobe
occipital
, mais après l'ablation étendue d'un lobe pariét
be temporal; 2° les extirpations partielles bilatérales des lobes
occipitaux
, c'est-à-dire des sphères visuelles de Munk, ne
opsie consécutifs aux larges extirpa- tions unilatérales 'des lobes
occipital
, pariétal ou temporal, sont aussi peu permanent
es. Il en est de même chez les singes après l'extirpation d'un lobe
occipital
entier. Il faut donc admettre, dit Luciani, que
aussi, au delà LES FONCTIONS DU CERVEAU.. 43 des limites du lobe
occipital
, et que chaque partie du centre de la vision me
gions centrales. On conçoit ainsi comment l'extirpation d'un lobe
occipital
, pariétal ou temporal, causera de l'hémiop.,ie
rimentales. Les lésions étaient localisées dans les lobes pariétal,
occipital
, ou dans les deux, pariétal et temporal, occipi
lobes pariétal, occipital, ou dans les deux, pariétal et temporal,
occipital
et frontal. Tamburini et Luciani Le localizzazi
sion ne sont ni dans le gyrus angulaire (Ferrier) ni dans le lobe
occipital
(Munk), considérés isolément, mais dans ces deu
que, indi- quaient nettement l'importance des lésions des régions
occipitales
dans la production des troubles de la vision, e
con- tiguïté anatomique du lobule pariétal inférieur avec le lobe
occipital
, doit correspondre à des rapports physio- 1 Gio
t des lèvres; en arrière, aux ré- gions psycho-sensorielles du lobe
occipital
. La partie an- térieure du lobule pariétal infé
que, chez l'homme, ce centre est surtout localisé dans les régions
occipitales
du cerveau. Archives, t. XVIII. 4 00 PHYSIOLO
s lesquels on trouve, comme caractères commun, une lésion du lobe
occipital
: dans cinq cas même, la lésion est exclu- sive
d'établir une relation entre l'hémiauopsie et les lésions du lobe
occipital
, que le processus se limite à l'écorce céré- ,
ent en faveur de la doctrine qui, chez l'homme, considère les lobes
occipitaux
comme les organes, non pas exclusifs, sans dout
me, consécutive à la lésion d'u lobe LES FONCTIONS DU CERVEAU. SI
occipital
démontre que chacun de ces lobes est en rapport
hémisphère opposé ! En outre, dans deux cas, ce n'était pas le lobe
occipital
, mais le lobe frontal et le lobe tem- poral qui
rait donc être attribué à une action exercée à distance sur le lobe
occipital
par les régions encéphaliques malades. Puis, co
psie bila- térale homonyme consécutifs à la lésion d'un seul lobe
occipital
. Elles ont été faites sur des malades dont l'ét
les singes, les centres de la vision ne sont pas limités aux lobes
occipitaux
, mais s'irradient dans les circonvolutions du p
es bandeleltes faisaient entièrement défaut, et les circonvolutions
occipitales
étaient atrophiées des deux côtés. Giovanardi,
et que cette observation d'anophthalmie congénitale, où les lobes
occipitaux
ont été trouvés atrophiés, confirme le fait que
om- munication : « Il est très probable que les circonvolu- tions
occipitales
étaient peu développées déjà à l'époque de la n
ps genouillés, des tubercules quadrijumeaux et de la pointe du lobe
occipital
chez de jeunes lapins dont il avait énucléé un
nversement, dans un cas de porencéphalie portant sur les deux lobes
occipitaux
, publié par Monakow ? ' Eugenio Giovanardi ? lz
n foetus humain de huit mois environ auquel manquaient tout le lobe
occipital
des deux côtés et une partie du lobe pariétal.
comme chez les mammifères (chats, lapins) dont on extirpe les lobes
occipitaux
les premiers jours après la naissance. Monakow
s optiques infracorticaux n'envoient de radiations que dans le lobe
occipital
, non dans le lobe temporal aussi, et que le cor
que le corps genouillé interne n'est pas en rap- port avec le lobe
occipital
, mais avec le lobe temporal. Tout ce qu'ont écr
isuels infracorticaux ou basilaires, depuis la rétine jusqu'au lobe
occipital
. · Nous terminerons ce chapitre, consacré à l'é
'est toute une étude à faire. Les cas de lésion destructive du lobe
occipital
ont souvent été précédés de processus irritatif
Gowers, à Monakow, où existaient, à l'autopsie des lésions du lobe
occipital
. Tamburini et Riva, dans un récent travail sur
OLOGIE. pli courbe, mais aussi celles des circonvolutions du lobe
occipital
. Quoique considérée généralement comme un sympt
du grand hippocampe subiraient, comme celles qui émanent du lobe
occipital
, une décussation partielle avant de se distribu
ques. Deux grands infarc- tus hémorrhagiques existant à chaque lobe
occipital
, plus étendus à celui du côté droit. - Ils sont
forte, haute, en forme de toit, sans saillies exagérées. La région
occipitale
est aplatie. Inclinaison très rapide du vertex
de plus l'ordre de succession dans ces mouve- ments. H. LES LOBES
occipitaux
dans LEURS rapports avec LES fonctions 0CUL0-M0
vie extra-utérine : on a soumis la subslance corticale de ses lobes
occipitaux
à une excitation par un courant induit fort et
'excitation de la substance corticale du milieu des circonvolutions
occipitales
une déviation conjuguée des yeux du côté opposé
nomènes résultant de l'excitation de la substance blanche des lobes
occipitaux
: Dans ce but, l'expérimentateur excise la subs
gion psychomotrice et excite ensuite la substance blanche des lobes
occipitaux
: la déviation des yeux appa- rait avec ses car
lle apparaît encore lorsqu'on excite la substance blanche des lobes
occipitaux
après avoir fait une section transversale de un
itudinales de même profondeur le long de la première circonvolution
occipitale
ou de la circonvolution an- gulaire, parallèlem
EVUE DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. conclusions suivantes : Les lobes
occipitaux
paraissent dépourvus de centres analogues à ceu
aquelle les mouvements oculaires observés dans l'excitation du lobe
occipital
sont le résultat de sensations optiques subject
s yeux doivent se trouver non pas dans les régions psychomotrice et
occipitale
, mais plus bas. Enfin, chez les animaux âgés de
nde que celle des aires marginales. Leurs expériences sur la région
occipitale
, quoique peu nom- breuses, concordent avec cell
concordent avec celles de Munk et de Ferrier et Yeo. Les deux lobes
occipitaux
et les gyrus angulaires sont en rapport avec le
avec les perceptions visuelles, de telle sorte que chaque région
occipitale
est en rapport avec la moitié correspondante de c
espondante de cliaque rétine et qu'une partie seulement de l'écorce
occipitale
est capable de remplir presque complètement les
vations corroborent les assertions de Munie que la lésion des lobes
occipitaux
produit l'liémiauopsieï.Afaisla vision imparfai
aisla vision imparfaite qui subsiste aprèsl'ablation des deux lobes
occipitaux
fait penser que l'aire de la conscience visuell
plus de moitié par rapport à celle de gau- che, tandis que le lobe
occipital
et le lobe temporal sont demeurés presque intac
our de ce rendez-vous gagner ensemble le pied du pédoncule. Le lobe
occipital
n'envoie pas de faisceaux directs dans le pied du
he. 186 PATHOLOGIE MENTALE. La coupe d'une circonvolution du lobe
occipital
gauche à la face externe de l'hémisphère montre
dans les régions motrices gauches. La première frontale et le lobe
occipital
droits sont à peu près semblables aux parties g
é expérimentale chez un chien, produite par ablation des deux lobes
occipitaux
. Cet ani- mal voit encore pour se conduire, il
ut aux points de pénétration des capillaires. Sur une coupe du lobe
occipital
, une portion assez considérable de substance gr
vasculaires très dilatés. Dans une circonvolution prise sur le lobe
occipital
, les foyers de désintégration, à centre vacuola
eux, elle offre les mêmes caractères que ci-dessus. Dans le lobe
occipital
, l'état est le même. Il existe autour de beauco
e retrouve sur les pièces montées à .la glycérine. Coupes du lobe
occipital
gauche. Il présente aussi de l'amai- grissement
etrouve les mêmes désordres dans les régions motrices, dans le lobe
occipital
. Là toutefois, elles sont moins accentuées, et ce
seulement un grand nombre de corpuscules amylacés. Coupes du lobe
occipital
, atrophié. Même vascularisation ; l'espace comp
sur les coupes laissées vingt-quatre heures dans ce réactif. Lobe
occipital
droit en dehors de la lésion. Vaisseaux nombreux,
Nombreux corps granuleux dans la substance blanche. Dans le lobe
occipital
, on retrouve, à côté de points normaux dans l'éco
ont très dilatés, les corps granuleux sont très abondants. , Lobe
occipital
. Les coupes du lobe occipital, au niveau d'un f
granuleux sont très abondants. , Lobe occipital. Les coupes du lobe
occipital
, au niveau d'un foyer plus étendu que celui que
), la sécrétion longitudinale commence à reprendre (baume). 2° Lobe
occipital
(Schad.). De la pie-mère (A) partent des vaisseau
, dans le coin et dans la première cirvonvo- lution externe du lobe
occipital
, d'autres fonctions de la vision que dans le re
le, entre le bord postérieur du gyrus sigmoïde et la pointe du lobe
occipital
, pro- duit une déviation conjuguée des yeux du
vé que les mouvements des yeux observés dans l'ex- citation du lobe
occipital
ne peuvent être de natuie réflexe, c'est-à-dire
iques subjectives, car, après l'ablation totale de l'écorce du lobe
occipital
, ces mouvements se produisent avec une parfaite
dentité lorsqu'on excite la substance blanche de ce lobe. Les lobes
occipitaux
dans leurs rapports avec les fonctions oculo-ntot
njugués des yeux, déterminés par l'excitation de l'écorce du lobe
occipital
, ils n'ont apparu qu'après la fin du pre- mier
qu'il a lui-même reconnu et confessé que les fonctions des régions
occipitales
diffèrent de celles des régions antérieures. Ma
tions des perceptions tactiles n'at- teignent sans doute ni le lobe
occipital
, ni le lohe temporo-sphénoïdal, ni la corne d'A
el. Mai 1885. - Tête arrondie. Pas de saillies exagérées des bosses
occipitales
ni pariétales. Front peu élevé et peu large, sa
avorable d'une ancienne cépha- 442 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. lalgie
occipitale
et de l'état psychique (idées de persécution avec
tonique termine la scène. Nothnagel a signalé dans l'écorce du lobe
occipital
, un endroit dont l'excita- tion, par des agents
), la sécrétion longitudinale commence à reprendre (baume). 2° Lobe
occipital
(Schad.). De la pie-mère (A) partent des vaisseau
ée, tête assez bien confor- mée ; les bosses frontale, pariétale et
occipitale
droites paraissent un peu peu plus saillantes q
es à cet égard. II. Pour déterminer les rapports qu'affecte le lobe
occipital
avec la bandelette optique, AI. Ganser le résèq
antes.au lobe frontal, à l'insula, au lobule paracentral et au lobe
occipital
. Passons aux particularités : les fibres d'asso
le lobule paracentral et les circonvolu- Lions ascendantes. Le lobe
occipital
est parcouru dans les mêmes zones par des fibre
lobe frontal, maisselle s'ételid·raussi,au3rrégions sphénoïdale et
occipitale
? L'hémisphère dr61Lsémblilpériàfrer l'hémisphè
' Fi»ssiti-e î)a- 21ét( ? Occipit'ale 'externe (Turner) ; '-Sillon
occipital
transverse' 'de l3roca;Fc'sszcapéopéndiculâxis`
dulobe temporal, séparant ainsi nettement, à la convexité, le lobe
occipital
des lobes pariétal et temporal. Il n'en est pas
es trois scissures qui limitent les quatre lobes frontal, pariétal,
occipital
, temporal. Etudions-en la face con- vexe, latér
érieure. 1, scissure de Sylvius ;>-2, première scissure- temporo
occipitale
; 3, clemiume scissure temporo-occipitale. ,g .co
sage externe qui, lors- qu'il existe, unit le lobe pariétal au lobe
occipital
. La scissiiî,e aialerpareélale (Ecker), doit fi
poursuit, sans interrup- tion, sa marche dans le lit même du sillon
occipital
supérieur. C'est dans ce dernier cas, que le te
la scissure perpendiculaire (interne et externe) qui sépare le lobe
occipital
du lobe pariétal; aussi devrait-on lui ajouter
pariétaux inférieurs. Elle rattache la pariétale ascendante au lobe
occipital
, en pas- sant au-dessus de l'extrémité postérie
, première circouvolutiou occi- pitale; Os, deuxième circonvolution
occipitale
; Os, troisième circonvo- lotion occipitale. T
deuxième circonvolution occipitale; Os, troisième circonvo- lotion
occipitale
. TABLEAU DES TERMES APPLIQUÉS A LA DENOMINATION
e de la complexité des régions en chaque cas particulier. D. Lobe
occipital
? Chez l'homme, avons-nous dit, la scissure per
ndiculaire externe se réduit à une encoche. Par conséquent, le lobe
occipital
continue sans interruption le lobe pariétal, no
convolutions de cette partie de la région le nom de circonvolutions
occipitales
, les regardent toutes comme des plis de passage
gardent toutes comme des plis de passage du lobe pariétal aux lobes
occipital
et temporal (Gratiolet), tandis que les autres
irconvolutions de passage avant de parler des trois circonvolutions
occipitales
classiques. Cette façon de faire lui parait le
pli courbe (Richer), d'une part, et, en arrière, avec les 2e et 3c
occipitales
, elle reçoit vers .son milieu un pli de renforc
e ce lobule et de la première temporale. c. Première circonvolution
occipitale
, supérieure, qui, d'après , Pozzi, termine en,a
us parieto-occipilalis medialis (Ecker; ; Pre- mière circonvolution
occipitale
ou circonvolution occipitale supé- rieure (Ecke
is (Ecker; ; Pre- mière circonvolution occipitale ou circonvolution
occipitale
supé- rieure (Ecker) ; Pli occipital supérieur,
occipitale ou circonvolution occipitale supé- rieure (Ecker) ; Pli
occipital
supérieur, pli de passage supérieur externe (Gr
innere Sclieitelbogeizzvinduiig (Bischoir). d. Première scissure
occipitale
longitudinale ou supérieure (Pozzi). "' '" Sv
inter-pariétale , mais sépare simplement la première circonvolution
occipitale
de la deuxième. ^ .9 o C'est à la partie anté
uxième. ^ .9 o C'est à la partie antérieure de la première scissure
occipitale
que se trouve la scissure occipitale trarzsvers
rieure de la première scissure occipitale que se trouve la scissure
occipitale
trarzsverse (Pozzi)f ? 1 Synonymie : Sillon occ
la scissure occipitale trarzsverse (Pozzi)f ? 1 Synonymie : Sillon
occipital
postérieur ou ti,aizstîé7-se (Ecker). C'est enc
vec la scissure perpendiculaire externe. e. Deuxième circonvolution
occipitale
ou moyenne (Pansch). Synonymie : Pli occipital
ième circonvolution occipitale ou moyenne (Pansch). Synonymie : Pli
occipital
moyen et pli de passage externe (Gratiolet) ; C
ans Ecker et aanslRiéher.,L aludoi . ,a ^^ im f. Deuxième scissure1
occipitale
* longitudinale ou inférieure k- (Pozzi). , , j.
196 , REVUE CRITIQUE. Schwalbe décrit encore à la pointe du lobe
occipital
un troisième sulcus occipitalis longitudiaalis,
il sépare, comme la deuxième scissure, la deuxième cir- convolution
occipitale
de la troisième. g. Troisième circonvolution oc
tie étant elle-même empruntée au pli tem- poral moyen, la troisième
occipitale
provient de la deuxième temporale. Toutes les
ale provient de la deuxième temporale. Toutes les circonvolutions
occipitales
et temporo-occipitales se confondent, à l'extré
temporo-occipitales se confondent, à l'extrémité postérieure (pôle
occipital
de Broca, extrémité occipitale de Pansch) de l'
dent, à l'extrémité postérieure (pôle occipital de Broca, extrémité
occipitale
de Pansch) de l'hémisphère, par l'intermédiaire
on' avec l'extrémité postérieure fondue dans lest lobes pariétal et
occipital
. Ce pôle antérieur est le lieu de convergence d
férieur (première circonvolution temporale), et les circonvolutions
occipitales
. De telle sorte que la deuxième temporale devie
est d'habitude simple en arrière, et plus ou moins distinct du lobe
occipital
. C'est ici qu'il importe de poser les deux ques
rte de poser les deux questions suivantes : Qu'entend-on par sillon
occipitale
antérieur de'1 Wernicke ? Qu'entend-on par z*nc
a partie postérieure de.cette, scissure devient, en avant du lobule
occipital
, un sillon à part, comme on peut le voir dans u
rvus CRITIQUE. (hémisphère droit). C'est lui qui a été nommé sillon
occipital
an- térieur (V'erniclte). (h'ig.7.; En le prolo
a scissure perpendi- culaire externe en séparant totalement le lobe
occipital
des lobes pariétal et temporal. Elle passerait
l des lobes pariétal et temporal. Elle passerait en avant du sillon
occipital
transverse. Il nous faut également ne point p
, première circonvolution occi- pitale; 0 ? deuxième circonvolution
occipitale
; 03, troisième circonvo- lution occipitale. n '
deuxième circonvolution occipitale; 03, troisième circonvo- lution
occipitale
. n ' e DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES. 199'') i
smarginal (pari étal inférieur de Hietter) sur presque tout le lobe
occipital
à droite, sur le lobe occipital presque entier,
e Hietter) sur presque tout le lobe occipital à droite, sur le lobe
occipital
presque entier, sur la circonvolution du corps
nsverse et se termine de 4 centimètres et demi de la pointe du lobe
occipital
; la troisième est constituée par un coagulum r
destruction des libres qui, de la couche optique, gagnent le lobule
occipital
. Lapathog-énie des foyers proviendrait, pour lu
z régulier, symétrique, d'aspect arrondi plutôt qu'ovale. La région
occipitale
, les bosses pariétales et les apophyses mas- to
légèrement chagriné qui ne se retrouve pas de l'autre côté. Le lobe
occipital
est relativement assez volumineux. La première
t large et parait normal ainsi que le coin, la face interne du lobe
occipital
, la corne (I'Aminoz, la circonvolution de l'hippo
cts; à cet égard c'est un cerveau type. Les circonvolutions du lobe
occipital
sont assez volumineuses. Le lobule de l'insula
par un sillon vertical. Le lobe carré (L Q), le coin (L C), le lobe
occipital
(L 0), sont normaux (PL. IX). Réflexions. Cette
acentral ; AC,lobule quadrilatère ou avant-coin; C, coin, ou lobule
occipital
interne; TO,, première cinon- volution temporo-
central; AC. lobule quadrilatère ou avant-coin ; C, coin, ou lobule
occipital
interne; 1'02, deuxième cir- convolution tempor
fond de la scissure perpen- diculaire, et gagne le sommet du lobule
occipital
interne (coin). 3* Un pli de passage pariéto-te
olet, occipito-hippo- caznpique (Broca), unit l'extrémité du lobule
occipital
interne (coin) à l'angle postéro-inférieur du l
orte en arrière l'éperon double, sans atteindre l'extrémité du lobe
occipital
; une bran- che oblique en bas qui, après avoir
diculaire interne et la scissure calcarine qu'est inscrit le lobule
occipital
interne. Nous n'insistons pas sur le gyrus dent
gyrus fornicalus) au corps bordé et au corps godronné. c. Lobule
occipital
interne. Synonymie : Coin, Cuneus, Zivickel (He
in, Cuneus, Zivickel (Henle, Burdach) ; Lobe triangulaire (Broca) ;
Occipital
lobule (Turner) ; Lobulus medialis posterlor (P
dispensent d'en rien dire. Il est le confluent des circonvolutions
occipitales
de la face convexe qui le rejoignent, ainsi que
pariétal se trouve complètement séparé, à la face externe, du lobe
occipital
, par un grand sillon perpendiculaire qui consti
ts avec le sillon iiiterpai-iétal, la scissure parallèle, le sillon
occipital
transverse, ainsi que sa direction sur la face mé
uée en arrière de la scissure pariéto-occipitale, non pas le sillon
occipital
transverse, mais bien une scissure représentant
- diculaire externe), qui se confond assez souvent a\ec le sillon
occipital
externe de Meynert si fréquemment absent d'ailleu
uent, ces fibres de projection prennent leur origine dans la région
occipitale
, nommée par Munk, sphère visuelle 2. Elles abou
lobule pariétal supérieur, du lobule pariétal infé- rieur, du lobe
occipital
. L'extension et l'intensité des lésions si- gna
intra-utérin soit écoulé). Puis l'apparition s'en fait dans le lobe
occipital
et dans certaines portions de l'insula. Aucune
ntral, en dehors des circonvolutions ascendantes, en dehors du lobe
occipital
, il n'y a pas d'autres zones du manteau dont la s
nsuffisants. 11 installe alors l'anodeau-dessous de la protubérance
occipitale
et fait tenir la cathode à la main, les convuls
doncule cérébral gauche est plus fort que celui de droite. La fosse
occipitale
infé- rieure présente une moindre capacité surt
e circonférence, on est également frappé de la brièveté de la crête
occipitale
interne, de l'absence du sillon transverse et d
du sillon transverse et de la force des sillons destinés aux sinus
occipitaux
postérieurs dilatés, enfin, de l'étroitesse du pl
plan incliné de Blumenbach qui descend de la selle turcique au trou
occipital
. Ces pièces proviennent du cadavre d'un homme d
isme de la pointe du cerveau an- térieur doit exercer sur les lobes
occipitaux
(sphère visuelle), il doit exister des connexio
et, relier les lésions de l'écorce c'est-à-dire de l'écorce du lobe
occipital
que l'on rend responsables de l'hémianopsie, au
L P, Lobe paracentral. L C, Lobe carré. L C, Coin. L 0, Lobe
occipital
. C c, Circonvolution du corps calleux. C, Cor
érieur. Il , Pli pariétal inférieur. P c, Pli courbe. L 0, Lobe
occipital
. T, , Première circonvolution temporale. L I,
L P, Lobe paracentral. , L Q, Lobe carré L C, Coin. L 0, Lobe
occipital
C S, Corps strié. C 0. Couche optique. C H,
aracentraux (L P), les lobes carrés (L Q), le coin (1 Ci, les lobes
occipitaux
(L 0), les circonvolutions temporales présentent
spect sur les coupes vertico-trans- versales dans les ré- gions
occipitale
et temporo-pariétale. Son origine. Sa dispo
ire et se réfléchit autour de son plancher (Fig. 9). Dans la région
occipitale
(Fig. 8), il forme un cône creux qui emboîte la
on occipitale (Fig. 8), il forme un cône creux qui emboîte la corne
occipitale
et qui n'est séparé de l'épendyme ventriculaire
sure calcarine, en déprimant fortement la paroi interne de la corne
occipitale
, pour produire l'ergot de Morand, refoule les fib
nt de la pointe et des faces externe, interne et inférieure du lobe
occipital
(cuneus (C), lobules lingual (Lg) et fusiforme
), première (0,), deuxième (0,) et troisième (03) circonvo- lutions
occipitales
). En avant viennent se joindre les fibres du prec
nt toutes, par contre, aux fibres de pro- jection. Dans la région
occipitale
et dans la partie postérieure du carrefour vent
et ses deux couches sagit- tales externe et interne dans la région
occipitale
. Coupe vertico-transversale passant par le pli
faisceau occipito-frontal. - ot, sillon collatéral. - Ov, faisceau
occipital
vertical.-ou, orifices vasculaires.- Pi, l'a. pre
nérescences secondaires, de nombreuses libres de projection du lobe
occipital
(voy. cas Courrière, et Bras, Fig. 83, 84, 85 e
Elles font suite aux couches sagittales externe et interne du lobe
occipital
, affectent une direction sagittale et décrivent
sième segments du noyau lenticulaire. - 01, première circonvolution
occipitale
. - l'lchl, plexus choroïdes du ventricule latéral
i. - l', ruban de Vicq d'Alyr. - 17, ventricule latéral. Yoe, corne
occipitale
. - Zr, zone réticulée ou criiiaeëe. FIG. H. Le
ème seg- ment du noyau lenticulaire. O, première circonvolution
occipitale
.- OF, faisceau oc- ciliLo-frontal. - OF + l'r,
ccipitale.- OF, faisceau oc- ciliLo-frontal. - OF + l'r, faisceau
occipital
et libres de projection. - 7'j, deuxième circ
e médian de Luys. - 0,, 0" première, deuxième circon- volutions
occipitales
. - oa, sillon occipital antérieur. - pcn, pie
première, deuxième circon- volutions occipitales. - oa, sillon
occipital
antérieur. - pcn, pied de la couronne ]-;tyoi
. - VR noyau rouge. - 0,, 02 première, deuxième circonvolutions
occipitales
. - oa. sillon oc- cipital antérieur ? <, pul
as de fibres dans le pied du pédoncule cérébral; tributaire du lobe
occipital
(en particulier du cuneus (C) des lobules lingu
RCE CÉRÉBRALE. 47 lésion de la face interne et de la pointe du lobe
occipital
ainsi que des lobules lin- gual et fusiforme ch
, Fig. 135, p. 144) et ne dégénère ni à la suite de lésions du lobe
occipital
(Dejerine, p. 107 et suiv.), ni à la suite de l
la partie postérieure du noyau externe du thalamus; celles du lobe
occipital
(cas Courrière et Bras, p. 108, Fig. 80 à 95) s
43). - Les fibres cortico-thalamiques postérieures relient le lobe
occipital
et la partie adjacente du lobe pariétal à l'extré
neus, des lobules lingual et fusiforme, des trois circonvo- lutions
occipitales
, du pli courbe, de la partie adjacente des circon
tico-tlta- lamiques posti ripu- res. Elles relu'nt 1"101 ? u·
occipital
au puh inar et tonnent le stratum zonale et I
T2 T3 Fus), de la circonvo- lution de l'hippocampe (II) et du lobe
occipital
. Voy. cas Heudebert (Fig. 124 a 128, p. 140); c
ire les trois quarts antérieurs du lobe frontal d'une part, le lobe
occipital
, y compris le pli courbe, d'autre part, n'envoi
drijumeau antérieur (Qt) reçoivent le contingent des fibres du lobe
occipital
; la partie postérieure du noyau externe du thal
terne du pied du pédoncule entrait en connexion intime avec le lobe
occipital
. Pour Meynert, il constituait la portion sensit
de Goll et de Burdach, les cordons postérieurs de la moelle au lobe
occipital
(Fig. 51). Pour Charcot, ce faisceau n'était ja
e un faisceau leu- p01'o-pl'otubéranliel et que les lésions du lobe
occipital
ne retentissent pas sur le pied du pédoncule cé
cule cérébral ou faisceau de Turck; il provient de l'écorce des lobes
occipital
et tem- poral, occupe la partie externe de la p
fibres du locus niger et des fibres directes de l'écorce des lobes
occipital
et temporal. Ces dernières occupaient la partie
de trois, seraient : l'une postérieure, comprenant le lobe temporo-
occipital
, le lobe pariétal et le précunéus; l'autre moyenn
deux tiers antérieurs du lobe frontal, le lobe pariétal et le lobe
occipital
, le précunéus, les lobules lingual et fusiforme,
centraux. Il existait en outre dans ce cas une dilatation de la corne
occipitale
et du carrefour ventriculaire, et une atrophie
par cette couche que passent les fibres de projection de la région
occipitale
(faces interne et externe), ce cas correspond en
treintes, limitées aux différents lobes ou segments de lobe. LOBE
OCCIPITAL
. - Dans les lésions du lobe occipital, on observe
bes ou segments de lobe. LOBE OCCIPITAL. - Dans les lésions du lobe
occipital
, on observe toujours une dégénérescence - d'aut
ieure : artère temporo-occipitale antérieure (OTa), artère temporo-
occipitale
moyenne (OTm), artère calcarine (K), ou Lemporo-o
s radiées du pulvinar et des fibres du stratum zonale (Strz). Le lobe
occipital
pos- sède donc : 1° des fibres de projection co
ico-clundrijéntirzales antérieures. Par contre, les lésions du lobe
occipital
ne retentissent ni sur l'étage inférieur ou pied
le segment postérieur de la capsule interne (Voy. Fig. 49). Le lobe
occipital
ne participe donc pas à la formation de la voie p
: t° Des courtes fibres d'association et des libres propres du lobe
occipital
: faisceau occi- pital Iransverse du cunétts (f
pital : faisceau occi- pital Iransverse du cunétts (ftcS), faisceau
occipital
transverse du lobule lingual (ilgl), stra- tum
carinum, faisceau propre du cunéus, et une dégénérescence du faisceau
occipital
vertical (Ov), lorsque la lésion siège à la fac
al vertical (Ov), lorsque la lésion siège à la face externe du lobe
occipital
; 2° Du faisceau long d'association : faisceau l
e faisceau passent par la couche sagittale externe du lobe temporo-
occipital
et s'irradient dans l'écorce du lobe temporal (fa
ntal (OF). Voy. T. I ? pj 794-800. Les fibres commissurales du lobe
occipital
prennent, non seulement la voie du tapetum, mais
ux, ainsi que nous l'avons montré dès 1892. Les libres de la pointe
occipitale
et de la partie postérieure des lobules lingual
, il s'agit d'une lésion de la pointe et de la face interne du lobe
occipital
intéressant la base du cunéus, l'écorce des lèv
s'étendant en profondeur jusqu'à l'épendyme du plancher de la corne
occipitale
et sectionnant à ce niveau les couches sagittal
inférieure et la moitié inférieure de la paroi externe de la corne
occipitale
et du carrefour ventriculaire (Fig. 8B). Cette dé
ui entourent le plancher, les parois externe et interne de la corne
occipitale
, forment le tapetum (Tap) et le faisceau inféri
tinue surtout à la partie inférieure de la face externe de la corne
occipitale
et du carrefour ventriculaire; sur les coupes sér
e ainsi que de la parole, et relevant des lésions anciennes du lobe
occipital
. Pendant le deuxième stade, qui ne dura qu'une
du forceps du corps calleux occupe toute la paroi interne de la corne
occipitale
. Dans la région du bourrelet ces fibres sont re
courtes fibres d'association qui relient la face inférieure du lobe
occipital
à la face,interne et aux circonvolutions du bord
nce des fibres d'association qui relient la face inférieure du lobe
occipital
à la face supérieure de la région pariéto-occihil
lle intéresse en outre au niveau de la paroi inférieure de la corne
occipitale
(Voc), la base du lobule fusiforme (Fus), la pa
cette dernière plaque commence en arrière, à 2 centimètres du pôle
occipital
, atteint en bas le bord inférieur de l'hémi- sp
nsformée en un tissu scléreux, jaunâtre, mollasse, formant à la corne
occipitale
une paroi de quelques millimètres seulement. Le
it les trois couches de fibres qui doublent le plancher de la corne
occipitale
, que l'écorce du fond de la scissure calcarine es
e est ratatinée et complètement isolée du reste de l'écorce du lobe
occipital
par la plaque jaune sous-jacente. Ces lésions s
l par la plaque jaune sous-jacente. Ces lésions si étendues du lobe
occipital
ont entraîné : 1° une dégénérescence très inten
ées des couches sagittales qui longent la paroi externe de la corne
occipitale
, il existe un petit nombre de fibres saines (rR
fibres de projection des circonvolutions de la face externe du lobe
occipital
; elles peuvent être suivies sur FiG. 87 et 88.
ques (RTh) et faisceau longi- tudinal inférieur) (Fli), du faisceau
occipital
vertical (Ov), de la substance blanche non diff
de la substance blanche non différenciée de la face externe du lobe
occipital
. (Les zones dégénérées sont colo- rées en jaune
). 3° Une dégénérescence des courts faisceaux d'association du lobe
occipital
: faisceau occipital vertical (Ov), faisceau tr
nce des courts faisceaux d'association du lobe occipital : faisceau
occipital
vertical (Ov), faisceau transverse du cuneus, fai
r l'hémisphère gauche (Fig. 87) il n'existe à la face interne du lobe
occipital
FiG. 90. - Cas Bras. Cécité corticale. - Hémisp
égénérescence du tapetum qui double la paroi inférieure de la corne
occipitale
. La dégénérescence si intense du forceps major qu
ÉCORCE CÉRÉBRALE. n9 qui doublent la paroi inférieure de la corne
occipitale
(Fig. 92) ; les fibres dégénérées se concentren
e long de l'angle inféro-externe et de la paroi externe de la corne
occipitale
à la hauteur de la deuxième circonvolution tempor
ches sagittales se faisant dans les deux sens, du côté de la pointe
occipitale
d'une part, et du côté du segment rétro-lenticula
itudinal inférieur et la substance blanche non différenciée du lobe
occipital
; dégénérescences du tapetum, du forceps postéri
: 1° des courtes fibres d'asso- ciation de la région et du faisceau
occipital
vertical (Ov), qui recouvre les couches sagit-
général, ce lobe se trouve en effet lésé en même temps que le lobe
occipital
ou le lobe pariétal. Les lésions du lobe occipi
emps que le lobe occipital ou le lobe pariétal. Les lésions du lobe
occipital
étendues au lobe temporal occupent le plus souven
ibres de la région. Aux dégénérescences secondaires propres au lobe
occipital
, au lobe pariétal et aux couches sagittales sou
Il s'agit d'une plaque jaune ayant délruit la face externe du lobe
occipital
et les parties postérieure et moyenne des 2e et
miner ce qui, dans la dégénérescence du pu/vinai', revient au lobe
occipital
et ce qui revient au lobe temporal. Mais, vu l'
générescence du pied du pédoncule cérébral dans les lésions du lobe
occipital
rapportées plus haut (cas Courrière, Fig 80 à 8
pédoncule cérébral que l'on observe, soit lorsque la lésion du lobe
occipital
empiète sur le lobe temporal, et délruit les de
es lésions intéressent parfois la couche sagittale du lobe temporo-
occipital
et détruisent par conséquent un certain nombre de
occipital et détruisent par conséquent un certain nombre de fibres
occipitales
; mais, nous avons montré plus haut (p. 108 et s
ns montré plus haut (p. 108 et suiv.) que les lésions isolées du lobe
occipital
ne retentissent pas sur le pied du pédoncule cé
es fibres temporales passent au-dessus et en avant des fibres du lobe
occipital
. La dégénérescence du faisceau longitudinal inf
e moyenne les unes, à la pointe temporale, les autres à la pointe
occipitale
. Toutes ces fibres empruntent, dans une parti
de la face externe du lobe frontal se comportent donc comme le lobe
occipital
et la partie postérieure du lobe pariétal. Elle
onnante (Fig. 192, 193, 191) pouvant être suivi jusque dans la pointe
occipitale
; une dégénérescence partielle de la substance b
s et on reconnaît une face interne, une face inférieure et une pointe
occipitales
, la circonvolution de l'hippocampe avec son cro
2 à 227, 229 et 230.) Cette disposition n'existe pas dans la région
occipitale
où l'on distingue une pointe, une face interne,
distinctes au voisinage de la cavité ventriculaire. Dans le lobe
occipital
on trouve les trois couches concentriques du cerv
ouches profondes de la membrane épendymaire, on trouve dans le lobe
occipital
comme, dans toute la convexité de l'hémisphère,
223). Fil,. 219. - Cas Richard. Coupe vertico-transversale du lobe
occipital
gauche, passant par la ligne de repère 6 de la
gle interne et la face inférieure du ventricule. Lorsque les cornes
occipitales
s'ouvrent dans la cavité ventriculaire unique,
l'état normal, les fibres calleuses entourent complètement la corne
occipitale
d'une couche épaisse, surtout le long des paroi
i courbe, la première circon- volution temporale (Ferrier), le lobe
occipital
(Schafer, Munk, Scherrington, Risien Russell,Ob
une lumière ou un son viennent à être perçus. Le centi e postérieur
occipital
ou occipito-temporal des mouvements des yeux est
nsitive comprend toute la partie postérieure de l'hémisphère (lobes
occipital
et pariétal) et empiète en avant sur la zone ro
isations visuelles. -- Le centre visuel cortical siège dans le lobe
occipital
. Hitzig (J 875) fut l'initiateur de cette localis
auditif; chez le singe, il est mieux délimité et occupe tout le lobe
occipital
(face interne et face externe). L'extirpation
st totale et permanente; si on laisse intacte une porlion des lobes
occipitaux
, on observe un reste de vision dans le champ visu
s sont uni ou bilatérales, siègent toutes à la face interne du lobe
occipital
, comme le montrent les documents rapportés par
orsler, Sachs. Chez l'homme, c'est en effet la face interne du lobe
occipital
et plus particuliè- rement le domaine de la sci
le centre visuel cortical, non seulement à la face interne du lobe
occipital
, mais encore à la face externe et au pli courbe,
rne et au pli courbe, Vialet le localise il la face interne du lobe
occipital
(cunéus, lobules lingual et fusiforme), Seguin
mite au cunéus, Nothnagel au cunéus et à la première circonvolution
occipitale
, Brissaud au lobule lingual et IIenschen le confi
u'agis- sent encore les lésions de la face externe, convexe du lobe
occipital
. Les troubles visuels, en particulier l'hémiano
er, a pu être appelé à localiser le centre visuel, non dans le lobe
occipital
, mais dans le pli courbe. - Ce der- nier appart
alogues à ceux qui surviennent à la suite de l'abla- tion des lobes
occipitaux
. Ces résultats expérimentaux ne tiennent pas deva
urd'hui. Pour v. llonal : ow enfin, aucune région corticale du lobe
occipital
et de la partie postérieure du pli courbe ne sera
de Schafer, Wilbrand admet une projection de la rétine sur le lobe
occipital
, et explique l'hémianopsie en secteur par le sièg
e du noyau caudé. - NR, noyau rouge. - 0, première circon- volution
occipitale
. - ofi, face orbitaire de la première circonvolut
r, qu'elle détruise les lobules lingual et fusi- forme et la pointe
occipitale
, qu'elle interrompe enfin les conducteurs optique
ersistante et durable, cécité corticale par double lésion des lobes
occipitaux
. Elle débute le plus souvent après une première
une double FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 245 lésion
occipitale
, intéressant plus particulièrement l'écorce et la
rielle, et relèvent en général de doubles lésions profondes du lobe
occipital
qui détruisent les radia- tions optiques et emp
Wilbrand à conclure à l'existence dans toute la face externe du lobe
occipital
d'un centre auquel il donne le nom de centre de
erception (ÎVahrne- mungsfeld), qui siège à la face interne du lobe
occipital
. Localisations auditives. - Les recherches expé
ar de nombreuses fibres d'association, avec la face interne du lobe
occipital
, zone de la vision générale. Ces trois centres so
s'établissent par le corps calleux, par la couche sagittale du lobe
occipital
, par le faisceau longitudinal inférieur. Dans la
BROWN. et E. A. Schafer. An Investigation into the furetions of the
occipital
et temporal Lobes of the monkey's Brain. Philos
rain, janv. 1888, 379. - Du Même. On electriccal Excitation o/' the
occipital
lobe and adjacent parts of the ilionlieys brain
fibres calleuses qui, provenant de la face interne et de la pointe
occipitale
(Fig. 2GO), forment le forceps postérieur du co
- nérescence du bourrelet consécutive il une lésion étendue du lobe
occipital
(lobule lingual, lobule fusiforme, cuneus, poin
du lobe occipital (lobule lingual, lobule fusiforme, cuneus, pointe
occipitale
). La partie antérieure du bec postérieur (Spl)
nces du bourrelet du corps calleux consécutives aux lésions du lobe
occipital
(Fig. 260), le trajet de toutes ces fibres perf
tie postérieure du sillon parallèle jusqu'à la face externe du lobe
occipital
qui présente un léger ramollissement au niveau de
nte un léger ramollissement au niveau de la deuxième circonvolution
occipitale
. Il n'existe dans le pied du pédoncule cérébral,
suivre lordne ce segment est dégénéré à la suite de lésions du lobe
occipital
et du lobe occipito-pariétal (cas Bras, Fig. 90
radiations optiques de Gratiolet (Voy. p. 65), proviennent du lobe
occipital
, et en particulier de la zone visuelle et s'irrad
s'irradient des fibres qui provien- nent de la face externe du lobe
occipital
, de la partie adjacente du lobe pa- riéto-tempo
laire de la cap- sule interne (Cirl) et la couche sagittale du lobe
occipital
. Elles se rendent ensuite dans la zone visuelle
e dans la rétineet aboutissenten dernière analyse àl'écorce du lobe
occipital
; elles se divisent en deux grands segments : l'
e du noyau caudé. - 11'li, noyau rouge. - Oi, première circonvolution
occipitale
- 0F1 face orbitaire de la première circonvolut
) et qui s'étend au cuneus (C), au lobe lingual (Lg) et à la pointe
occipitale
(Fig. 215). Les deux segments de l'appareil vis
ellulaires. Quant aux rapports existant entre la macula et l'écorce
occipitale
, la question est encore pendante faute de docum
ion de faire l'autopsie, on trouve qu'une petite partie de l'écorce
occipitale
interne, d'un côté ou de l'autre, est restée in
ouissent rapidement et vont aboutir à toute la face interne du lobe
occipital
(cunéus, scissure calcarine, lobule lingual et
issement des radiations optiques dans toute la face interne du lobe
occipital
, en un mot toutes les dispositions anatomiques
loge crânienne inférieure, repose sur les fosses cérébelleuses de l'
occipital
, se place en arrière et en dedans du rocher et
t en dedans du rocher et cle l'apophyse mastoïde, au-dessus du trou
occipital
dans lequel il plonge avec le bulbe rachidien,
quel il plonge avec le bulbe rachidien, au-dessus du rebord du trou
occipital
qui imprime a sa face inférieure un sillon plus o
de l'axe du tronc encéphalique et au peu de développement des lobes
occipitaux
, le cervelet est situé au-dessus du tronc encépha
très rapprochée de celle du côté opposé et qui plonge dans le trou
occipital
avec le bulbe rachidien en arrière duquel elle
située. Cette saillie, que nous désignerons sous le nom d'éminence
occipitale
, est séparée du reste de l'hémisphère cérébelle
ioj ? tgzila2,i.9) (eoc, Fig. 332) qui correspond au rebord du trou
occipital
et au tubercule jugu- laire de l'occipital; ell
espond au rebord du trou occipital et au tubercule jugu- laire de l'
occipital
; elle commence sur les parties latérales de la va
rachidien; il surplombe le vermis inférieur et plonge dans le trou
occipital
. C'est l'amygdale (Amg), la tonsille des anciens
ofonde, Y empreinte jugulaire (Fig. 332) qui loge le rebord du trou
occipital
; sa partie externe est située dans la fosse occ
ebord du trou occipital; sa partie externe est située dans la fosse
occipitale
inférieure ou cérébel- leuse, sa partie interne
e, sa partie interne pend avec le sommet de l'amygdale dans le trou
occipital
, en arrière et en dehors du bulbe rachidien. Cett
ousse et arrondie, elle plonge avec le bulbe rachidien dans le trou
occipital
, représente la partie la plus déclive du cer- v
linée que de 20° à 30° en avant d'une verticale passant par le trou
occipital
. L'axe du rhombencéphale forme ainsi avec l'axe
eure. (Fig. 319). Celte face repose sur la gouttière basilaire de l'
occipital
dont la séparent l'artère basilaire et un vaste c
- dien ; sa partie inférieure est en rapport avec le rebord du trou
occipital
et l'extrémité supérieure de l'apophyse odontoï
elles occupaient la partie externe, puis s'iriadiaient dans le lobe
occipital
. (Voy. Historique de la voie pédonculaire, p. 8
ites supérieures répondent dans tous ces animaux aux environs du trou
occipital
. Quant à ses limites inférieures, elles sont dans
fle de nouveau à la région cervicale, et s'atténue au-dessous du trou
occipital
pour se renfler une dernière fois dans le crâne.
le nom de cavité digitale ou ancyroïde. Nous préférons celui de corne
occipitale
. Les cornes frontales des ventricules latéraux
vr. univers., lib. I, de cercbro, cap, xi). la corne postérieure ou
occipitale
du ventricule latéral. On le désigne encore sous
, à dessein, sur ces dénominations de cornes frontales, sphénoïdales,
occipitales
. M. Foville a fort à propos remarqué que la forme
me des auteurs modernes), qui touchent au noyau (1) Ce prolongement
occipital
du ventricule est particulier aux primates (singe
uement conçu. Si l'on attachait à la considération de ce prolongement
occipital
une importance absolue, l'homme serait inférieur
s temporo-sphénoïdales, aux cornes postérieures la saillie des bosses
occipitales
. Voilà ce que M. Foville a, selon nous, mis hors
oidal; enfin, à la corne postérieure du ventricule correspond le lobe
occipital
. Ces quatre lobes boursouflés autour de l'ensembl
xterne. La région qu'elle limite, en avant, est le lobe postérieur ou
occipital
. Si, maintenant, nous écartons les lèvres de la
ci quatre lobes : le frontal, le pariétal, le temporo-sphénoïdal et l'
occipital
. A. Du lobe central. Ce lobe est complètement
al mot/en, est étendu de la pointe du lobe sphenoidal à celle du lobe
occipital
; il est donc commun à ces deux lobes. Ce pli reç
e le moyen, s'étend de l'extrémité du lobe sphenoidal à celle du lobe
occipital
. E. Plis du lobe occipital. Il nous reste à é
émité du lobe sphenoidal à celle du lobe occipital. E. Plis du lobe
occipital
. Il nous reste à étudier le lobe occipital, et
pital. E. Plis du lobe occipital. Il nous reste à étudier le lobe
occipital
, et les parties situées au fond de la scissure pe
rties situées au fond de la scissure perpendiculaire externe. Le lobe
occipital
est très-grand dans tous les singes. Lisse dans l
e, on détache, par une section habilement ménagée, Y opercule du lobe
occipital
, on découvrira les parties cachées au fond de la
n pli qui du lobule du pli pariétal ascendant passe au sommet du lobe
occipital
, et 2° un pli qui du sommet du pli courbe passe a
2° un pli qui du sommet du pli courbe passe au bord antérieur du lobe
occipital
. J'ai donné à ces plis, dont la considération est
omblent en quelque sorte la scissure perpendiculaire externe. Le lobe
occipital
, extrêmement réduit, n'a plus alors d'opercule.
férieur du lobe temporo-sphénoïdal, se portent dans le sommet du lobe
occipital
. On peut les désigner sous le nom de troisième et
passage grands et superficiels. Deux passent du lobe pariétal au lobe
occipital
. Les deux autres unissent ce même lobe occipita
e pariétal au lobe occipital. Les deux autres unissent ce même lobe
occipital
au lobe tcmporo-sphénoïdal. Si l'on prend comme
riétal ascendant naissent des plis qui se prolongent vers l'extrémité
occipitale
. On pourrait considérer les plis du lobe temporo-
ges ce sont en général les plis du lobe temporo-sphénoïdal et le lobe
occipital
qui prédominent; dans l'homme, au contraire, les
isphère, et s'étendent de l'extrémité du lobe frontal à celle du lobe
occipital
, que leur développement excessif refoule à l'extr
deuxième scissure (se. des Hippocampes) commence à la pointe du lobe
occipital
et se dirige presque horizontalement vers le geno
'Hippocampe lui convient plus particulièrement; quant à son extrémité
occipitale
elle a reçu le nom d'ergot. Ces dénominations n'o
scissure des Hippocampes. Ce lobe, de forme triangulaire, est le lobe
occipital
interne. Le troisième lobe s'étend de la pointe
e occipital interne. Le troisième lobe s'étend de la pointe du lobe
occipital
à celle du lobe sphenoidal au dessous du lobe occ
ointe du lobe occipital à celle du lobe sphenoidal au dessous du lobe
occipital
interne et de la grande ouverture cérébrale. Nous
fond avec le pli supérieur du lobe frontal externe. B. Plis du lobe
occipital
interne. Ces plis, à peu près nuls dans les sin
e bord inférieur de la scissure des hippocampes, de la pointe du lobe
occipital
à celle du lobe sphenoidal. Ce pli assez grêle en
loppement du lobe fronto-pariétal, dti lobule quadrilatère et du lobe
occipital
interne. 2° La réduction relative des plis du l
, loin de là. Dans la plupart des singes, le bord antérieur du lobe
occipital
dépasse de beaucoup l'os de ce nom et anticipe su
e sur la région des os pariétaux. Dans l'homme, au contraire, le lobe
occipital
, extrêmement réduit, n'occupe que la minime parti
cipital, extrêmement réduit, n'occupe que la minime partie des fosses
occipitales
supérieures; en sorte que ces prolongements du lo
ous le nom de plis de passage, anticipent, à leur tour, sur la région
occipitale
. Ce n'est pas tout. Dans les singes où le lobe
la région occipitale. Ce n'est pas tout. Dans les singes où le lobe
occipital
est si grand, l'os occipital est plat et fait à p
est pas tout. Dans les singes où le lobe occipital est si grand, l'os
occipital
est plat et fait à peine saillie au delà de l'atl
ne saillie au delà de l'atlas. Dans l'homme, au contraire, où le lobe
occipital
est si petit, la saillie des tubérositôs occipita
traire, où le lobe occipital est si petit, la saillie des tubérositôs
occipitales
est énorme. Il n'y a donc aucun rapport nécessair
nt entre le développement des lobes olfactifs et celui des extrémités
occipitales
des hémisphères; peut-être n'a-t-on pas assez rem
ssent des fibres qui, de la pointe du lobe sphenoidal à celle du lobe
occipital
, rayonnent dans toute l'étendue du bord inférieur
s toute l'étendue du bord inférieur de l'hémisphère. Les irradiations
occipitales
de ce système forment un faisceau distinct qui ma
né du genou postérieur du corps calleux, se porte vers les extrémités
occipitales
du bord supérieur de l'hémisphère, en suivant l'é
it, dans toute son étendue, la paroi externe de la corne ancyroïde ou
occipitale
du ventricule latéral. Si, à l'aide d'un petit
émisphère, depuis le deuxième pli ascendant jusqu'à la pointe du lobe
occipital
. Quelle est l'origine de ce nouveau plan? viend
son côté inférieur, et de là se prolonge jusqu'au sommet de la pointe
occipitale
de l'hémisphère. La seconde, l'externe, est plu
s toute l'étendue du bord supérieur de l'hémisphère, de son extrémité
occipitale
à son extrémité frontale ; ainsi les expansions r
ventail qui s'étend de l'extrémité du lobe sphenoidal à celle du lobe
occipital
le long du bord inférieur de l'hémisphère, et de
sa paroi postérieure, et, se prolongeant jusqu'à l'extrémité du lobe
occipital
, doublent dans les singes tous les plis cérébraux
ylvius. Leur véritable terminaison est dans le bord supérieur du lobe
occipital
; je ne les ai pas vues remonter plus haut chez l
entiers; dans les singes, c'est une commissure entre leurs extrémités
occipitales
seulement; dans les autres animaux c'est surtout
vont aux plis de la face interne ; 4° La paroi interne de la corne
occipitale
du ventricule latéral ; 5° La paroi externe de
remière a pour corps l'os basilaire, pour lames supérieures, les deux
occipitaux
, et pour arcs inférieurs des pièces analogues aux
, auxquelles nous donnons, quand elles existent, le nom d'os palatins
occipitaux
: cette vertèbre est la vertèbre occipitale. La
ent, le nom d'os palatins occipitaux : cette vertèbre est la vertèbre
occipitale
. La deuxième a pour corps le sphénoïde postérie
e premier bulbe, l'acoustique, est en effet compris entre la vertèbre
occipitale
, et la sphéno-pariétale. Le deuxième, l'optique,
ns spéciales. I. NERFS MOTEURS CRANIENS. «. Première paire, paire
occipitale
. Elle comprend : (a) l'hypoglosse, (b) le spinal,
son postérieur, et par conséquent concourt à la formation de la paire
occipitale
. 2° Deux branches, le maxillaire supérieur et l
disséminées. Il y a aussi quelques vestiges de plis vers l'extrémité
occipitale
, mais le lobe occipito-pariétal est encore absolu
Rolando ; 2° un petit sillon qui distingue, dès cette époque, le lobe
occipital
. La scissure parallèle, qui est si profonde chez
u cerveau. » Ce repli est tendu entre les gouttières latérales de l'
occipital
et le bord supérieur des deux rochers, et souvent
loge un canal transverse qui répond aux gouttières latérales de l'os
occipital
. Les deux extrémités de ce canal s'inclinant vers
la fois ils communiquent avec les sinus latéraux vers la protubérance
occipitale
interne ; ce confluent de sinus donne lieu à une
e de la masse des hémisphères. passent à droite et à gauche du trou
occipital
, et se terminent de chaque côté dans le golfe des
e golfe des veines jugulaires. Ils sont désignés sous le nom de sinus
occipitaux
. Les sinus que nous venons de décrire composent
e, entre le même sinus caverneux et le sinus latéral. Enfin, le sinus
occipital
transverse fait communiquer les sinus pétreux et
and nombre d'issues. B. Dure-mère rachidienne. Âu-dessous du trou
occipital
les deux feuillets de la dure-mère, presque parto
série de ces dentelures, au nombre de 21 ou 22, s'étend entre le trou
occipital
et la première vertèbre lombaire. Cette limite in
rébraux. — Les deux vertébrales pénètrent dans le crâne par le trou
occipital
. Placées de chaque côté du bulbe, elles convergen
x osseux primitifs composent la voûte du crâne. L'une, postérieure ou
occipitale
, loge essentiellement le cervelet. Une seconde ve
t le domaine de la vertèbre frontale, de l'autre celui de la vertèbre
occipitale
. C'est du côté du frontal que les premiers empi
même temps il s'accroît, mais plus lentement, du côté de la vertèbre
occipitale
. Mais l'espace que lui fournit cette vertèbre, dé
a majeure partie de cette vertèbre et s'accroît en outre du côté de l'
occipital
(1). D'une manière générale, le cerveau est d'a
ue la suture qui sépare la portion mastoïdienne du temporal dans l'os
occipital
, est celle que l'on trouve le plus souvent oblité
ge sur le derrière de la tête et anticipe sur le domaine de la région
occipitale
, et d'autre part que le bord antérieur du pariéta
du frontal, en même temps qu'il cède la place aux accroissements de l'
occipital
. Cette opposition est remarquable, et il est fort
rait davantage dans le sens de la vertèbre frontale et de la vertèbre
occipitale
. En effet, dans toutes les races humaines, le cer
térieure et la partie postérieure du crâne; dans certains crânes où Y
occipital
et le frontal ont peu de développement, la région
ppement, la région pariétale prédomine, dans d'autres c'est la région
occipitale
; dans d'autres enfin, c'est la frontale. A cet ég
gard les races pourraient être distinguées en races pariétales, races
occipitales
et races frontales. Une prédominance trop marqu
lus en plus le cervelet, accordent une grande importance aux saillies
occipitales
, et ils affirment que ces saillies sont un caract
Nous ne le contestons point ; mais il ne s'ensuit pas que les parties
occipitales
du cerveau puissent se substituer à ses parties f
un égal degré, la question se réduit à savoir laquelle de la vertèbre
occipitale
ou de la frontale est la plus capable de contribu
demment la réponse est facile. La capacité des fosses cérébrales de l'
occipital
étant assez faible, un grand accroissement relati
râne. Ainsi, et surtout à l'égard du cerveau, une grande saillie de l'
occipital
donne beaucoup moins qu'une égale saillie du fron
e saillie du frontal. Si donc dans les crânes caucasiques normaux Y
occipital
est peu saillant eu égard au frontal, nous verron
différant de la race tasmanienne, méritent évidemment le nom de races
occipitales
. D'ailleurs, de cette prédominance relative du
occiput. 0,179 0,i77 0,177 Hauteur mesurée du bord postérieur du trou
occipital
, au point opposé de la suture sagittale........
95 0 095 0,035 T'~ ... , j Longueur....... 0,035 0.035 0,035 Trou
occipital
l Ur^m........ £m Qm 0029 Diamètre jugal.......
00 0,302 0,306 Dist. du bord alvéolaire au bord antérieur du trou
occipital
...... 0,113 0,100 0,103 0,100 0,090 0,088 0,091 0
des individus; il va même jusqu'à admettre qu'une légère déformation
occipitale
pourrait dans certains cas être avantageuse. Ce
volonté se trouvent clairement indiqués à la vertèbre postérieure ou
occipitale
, la vie végétative et le sentiment à la vertèbre
ent évidemment quand les hémisphères grandissent. De même la vertèbre
occipitale
dans l'homme n'a pas seulement rapport au cervele
e de beaucoup. Eh bien ! le cerveau occupe chez eux, dans la vertèbre
occipitale
, un espace relativement beaucoup moindre que dans
eau est dans les chiens et les chats complètement hors de la vertèbre
occipitale
, s'ensuit-il qu'ils n'aient ni passions, ni insti
er. Toutefois, l'antagonisme qui existe entre la région frontale et l'
occipitale
, et qui ne leur permet pas de se développer simul
toute sa grandeur et toute sa puissance ; aussi la forme de la région
occipitale
du crâne subit-elle des variations singulières. C
re du lobe parié- tal et la région supérieure des lobes temporal et
occipital
qui présente des traces d'adhérences nombreuses
s jambes quand on l'examine. Tête ronde, assez développée; bosses
occipitales
et parié- tales saillantes. Sutures et fontanel
, le lobule de l'insula, la partie antérieure des circonvolutions
occipitales
, qui est détruite sauf au niveau de la 5e. Les
nces nom- breuses de la pie-mère au niveau du pli courbe. Le lobe
occipital
est fort peu développé ; les circonvolutions y
emporale et au niveau des plis de passage, au pli courbe et au lobe
occipital
un foyer très net de sclérose atrophique. La
une atrophie considérable qui se prolonge sur la 2we circonvolution
occipitale
, où elle atteint son maximum Les circonvolution
ose, la transparence de ces sutures, la disjonction pos- sible de l'
occipital
des pariétaux, ce qui montre que le crâne était
vec la lésion du coin droit et le manque de déve- loppement du lobe
occipital
gauche. VIII. Mentionnons enfin l'adénopathie é
réunion de cette suture à la coronale. A droite de la protubérance
occipitale
interne, on remarque encore un point peu épais.
lement un os wormien. - La base du crâne est asymétrique. Le trou
occipital
est régulier.- Le liquide céphalo-rachidien n'est
les os sont très-épais : le frontal au niveau de ses deux bosses, l'
occipital
dans sa partie moyenne, au-dessus de la protubé
s, l'occipital dans sa partie moyenne, au-dessus de la protubérance
occipitale
, mesurent un centimètre d'épaisseur. 62 Scléros
misphères cérébraux paraisssent avoir la môme longueur. Les lobes
occipitaux
ne recouvrent que les deux tiers antérieurs du ce
cendante, le lobule pariétal supérieur en entier, ainsi que le lobe
occipital
Face interne. - En avant, les circonvolutions s
e interne du lobule pariétal supérieur et la face interne du lobe
occipital
; sur la partie tout-à-fait postérieure de la circ
postérieure de la circonvo- lution du corps calleux. - La scissure
occipitale
est très- nette et se prolonge sur la face exte
en II du lobule orbitaire ; en arrière, sclérose atrophique du lobe
occipital
semblable à celle des deux autres faces. Le c
ningées considéra- bles mais assez nettement circonscrites. Le lobe
occipital
offre à sa partie antérieure un aspect franchem
au du pli courbe. Scissure de Syl- vius, lobule de l'insula et lobe
occipital
, rien de particulier. - Aspect chagriné et adhé
front est étroit, les bosses frontales peu saillantes; les bosses
occipitales
sont plus marquées. On ne trouve pas iL la palp :
eur volupté est presque normal. Le lobe pariétal est séparé du lohe
occipital
par une scissure perpendiculaire externe bien d
sure perpendiculaire externe bien développée. Les circonvolutions
occipitales
sont rudimentaires et du volume d'un lombric. L
es qui s'en détachent sont net- tement séparées des circonvolutions
occipitales
par une scis- sure perpendiculaire externe très
blement avec celles de la face convexe. Au niveau du prolongement
occipital
du ventricule, on voit une nouvelle communicati
e dépasse l'os correspondant du côté droit et le côté gauche de l'
occipital
est plus saillant que le droit. - Les sutures tam
principalement à droite. -La base du crâne est asymétrique. Le trou
occipital
est très oblique. Bourneville, Bicêtre, 4592.
iciel qui réunit les deux circon- volutions F A et P A. La scissure
occipitale
ne se prolonge pas sur la face externe. Les sil
soit profonds, soit superficiels. Les circonvolutions parié- tales,
occipitales
, temporales, n'ont rien de particulier. - Rien
pariétales saillantes sont situées fort en arrière. La protubérance
occipitale
externe est très développée. Le crâne est sensi
la seconde circonvolution temporale (T2). Les lobes temporaux et
occipitaux
sont fortement altérés, toutefois, T3 offre un
une vascularisation très fine sur les lobes temporaux, pariétaux et
occipitaux
; la vascularisation prédomine à droite. Les d
iques, sauf une légère inégalité due a la plagiocéphalie. - Le trou
occipital
est normal. Les os de la calotte crânienne sont
e la première temporale est chagrinée et grêle. Les circonvolutions
occipitales
n'offrent rien de particulier. La scissure perp
e perpendiculaire externe est très accentuée. Les cir- convolutions
occipitales
ont un aspect normal. - Le lobe temporo-sphènoï
es frontales et pariétales sont assez sail- lantes. La protubérance
occipitale
externe est accentuée. Pas de traces de sutures
aire du reste de l'oc- cipital par deux sutures aboutissant au trou
occipital
et pas- sant en avant du trou condylien antérie
re lambdoïde, la sépa- ration de l'apophyse basilaire du reste de l'
occipital
, joints à cet état particulier des sutures et a
umineux, presque trigonocéphale, fortement asymétrique : les bosses
occipitale
et pariétale du côté droit sont plus sail- lant
une façon prononcée en dehors et en arrière; il en est de même de l'
occipital
du môme côté. Les deux pariétaux se présentent
ns une étendue de 6 à 7 centimètres carrés de chaque côté; 3° sur l'
occipital
, à droite et à gauche, dans les points correspo
iques. Corps pituitaire de la grosseur d'un petit pois. (Il Sur l'
occipital
, 2 ^w, à peine; 6 et 7 ? sur la coupe de la parti
e externe est très accentuée. Le lobule pariétal inférieur, le lobe
occipital
sont d'apparence normale. Rien sur Ti. Adhérenc
ne vers le front, et 0, 007 millimètres au point correspondant de l'
occipital
. Cette épaisseur va graduellement en diminuant
ang coagulé. Les cavités de la base paraissent symétriques, le trou
occipital
est normal. Corps pituiatire, rien de particuli
d'aspect chétif. - Tête assez développée, asymétrique. Protubérance
occipitale
très proé- minente. Bosse pariétale droite plus
'atrophie portant sur les circonvolutions qui bordent la scis- sure
occipitale
, du côté gauche seulement. Les circonvolutions
ymétrique. Pas de sail- lies particulières des bosses pariétales ou
occipitales
. Bosses frontales distinctes. Pas d traces de f
ns sa partie antérieure. Crâne mince, de texture compacte; la crête
occipitale
est un peu déviée à gauche et la partie gauche
gauche et la partie gauche de cet os est un peu déprimée. La fosse
occipitale
gauche est un peu plus petite que la droite. No
paisseur et 10 millimètres au niveau de la coupe de la protubérance
occipitale
externe. L'épaisseur des autres parties de la c
ntimètres 5 environ, les dentelures se simplifient et on note sur l'
occipital
, en arrière de la suture, de petits îlots osseu
présente des adhérences méningitiques assez accentuées. - Les lobes
occipital
et temporal ont une dispo- sition régulière.
t surtout porter sur le territoire de l'artère sylvienne. - Le lobe
occipital
est indemne. - Le lobe temporal l'est aussi, sa
u corps. On ne constate plus de traces des fontanelles. Les bosses.
occipitales
et pariétales sont symétriques et peu accusées.
, aplatie. Les fosses sphénoïdales paraissent symétriques. La fosse
occipitale
gauche est un peu plus développée que la droite
et le pli courbe ont un aspect normal. Il en est de même des lobes
occipitaux
et temporaux et la seule remarque qu'on peut y
sième dépression existe dans la 248 Cerveau; hydrocéphalie. corne
occipitale
. La membrane ventriculaire est épaissie, comme
as plus que le lobe pariétal infé- rieur, ni le pli courbe. Le lobe
occipital
est d'apparence normale. Il en est de même de T
contrairement aux dires du père. Crdne très petit, peu élevé. Bosse
occipitale
assez saillante. Régions pariétales peu proémin
étrique; le côté gauche est plus dévelop- pé au niveau de la région
occipitale
que le côté droit; la pro- tubérance occipitale
niveau de la région occipitale que le côté droit; la pro- tubérance
occipitale
semble reportée à droite de la ligne médiane, l
une dizaine d'os wormiens à droite et une quinzaine à gau- che. - L'
occipital
semble séparé, au moins dans sa partie supérieu
s pariéto-occipitales ont des dentelures un peu plus sinueuses et l'
occipital
est si peu soudé aux pariétaux, qu'il en est au
nérale de la calotte est régu- lièrement ovoïde, à grosse extrémité
occipitale
. Les bosses pariétales sont très saillantes. No
es os qui offrent une épaisseur variant de 1 à 2 millimètres 1/2. L'
occipital
est parti- culièrement mince et présente latéra
P2, PC,lobes pariétaux supérieur et inférieur, pli courbe. Lo, lobe
occipital
. Tt, T2, première et seconde temporales. sr,
2, PC, lobes pariétaux supérieur et inférieur, pli courbe. LO, lobe
occipital
. Tl, T2, T3, première, seconde et troisième cir
le. LP, lobule paracentral. AC, avant-coin. C, coin. Lo, lobe
occipital
. T3, troisième temporale. CO, couche optique.
emière, seconde et troisième circonvolutions temporales. LO, lobe
occipital
, ss, scissure de Sylvius. sr, sillon de Rolan
hère cérébral gauche; face supérieure. LF, lobe frontal. LO, lobe
occipital
. Péd, pédoncule. P, porus. Bourneville, Bic
. FA, frontale ascendante. PA, pariétale ascendante. LO, lobule
occipital
. P, porus. sr, sillon de Rolando. BOURNEVIL
l-, PC, lobes pariétaux supérieur, inférieur et pli courbe Lo, lobe
occipital
. Tl, T2, T3, première, seconde et troisième cir
Etat de mal. Calotte peu épaisse et peu dure ; graisseuse ; fosse
occipitale
guuche plus développée que la droite. - Adhéren
nces de la dure-mère i à la calotte et de la pie-mère à la région
occipitale
des deux côtés. Arrêt de déve- loppement des ci
nés après un accouchement par le sommet. Légère asymétrie. La bosse
occipitale
ne fait pas saillie, les bosses frontales sont
ssement de la selle tur- cique, de la fosse frontale gauche et de l'
occipitale
à droite. - Rien il noter au trou occipital, ni
rontale gauche et de l'occipitale à droite. - Rien il noter au trou
occipital
, ni au niveau des fosses tempo- rales qui parai
veau. 23 substance cérébrale. Le pli courbe est atrophié. Le lobe
occipital
est formé de petites circonvolutions plates, nota
rs postérieur participe à l'aplatissement et il, l'atrophie du lobe
occipital
. Face interne. - Fi a un aspect normal mais le
xemptes de toute lésion. Il en est de même du pli courbe. Le lobe
occipital
et le lobe temporal sont aussi d'apparence norm
a circonvolution du corps calleux à sa partie antérieure. - Le lobe
occipital
et le lobe tempo- 24 IDIOTIE HYDHOCÉPHALIQUE.
ET cerveau. 35 plagiocéphalie . (saillie du frontal gauche et de l'
occipital
droit), peu épais; nombreuses plaques transpare
breuses plaques transparentes princi- palement au niveau des fosses
occipitales
. La suture fronto- pariétale droite est sinueus
avec des sillons plus accentués que sur l'hémisphère gauche. Lobe
occipital
, circonvolutions 11'l'égulièl'es, -Première circo
. Lobule paracenlral, bien développé. - Coin et circonvolu- tions
occipitales
, nettement séparés. - Corps calleux et noyaux g
ovoïde avec plagiocéphalie (aplatissement du frontal droit et de l'
occipital
gauche). La coupe est mince, le tissu compacte.
pariétal gauche. de la partie moyenne des tem- poraux et des fosses
occipitales
. Toutes les sutures persistent sur les deux fac
s sillons peu profonds. - Le pli courbe (P3.) est normal. - Le lobe
occipital
(L.O.C.) est trôs-irrégulier parcouru par des s
upérieur et infé- rieur, ne présente rien de particulier. - Le lobe
occipital
est normal, entrecoupé de nombreux sillons. - L
st étroit. Le coin, bien délimité, est de petite dimension. Le lobe
occipital
présente trois petits sillons qui s'entrecoupen
rophiées qui finissent par disparaître absolument au niveau du lobe
occipital
et du lobe temporal. - Ces deux lobes se compos
euse, la plus grande partie des lobes temporal, temporo-sphénoïdal,
occipital
et le lobule pariétal inférieur, dont les sillo
es relient entre elles. Le lobe pariétal, le lobe temporal, le lobe
occipital
n'ont rien de notable. (PL. VII.) Face intern
ivement à celle du côté droit, fort peu dilatée. Ce sont les cornes
occipitale
et surtout sphénoïdalc qui offrent le plus gran
saillie notable des pariétaux et une dépression assez prononcée des
occipitaux
. La suture métopique persiste dans une longueur
s, sinueuses et sillonnées il gauche. Les circonvolutions des lobes
occipitaux
sont assez grêles mais plus symétriques. On not
est nettement auto- nome tandis que T2 et T3 sont unies. Le lobe
occipital
peut être divisé en trois petites circonvo- lut
peu contournées,- surtout le lobule pariétal inférieur.. ; - Lobe
occipital
. Rien de bien particulier; les circonvolutions,
r région pos- térieure le siège de nombreuses adhérences. Le lobe
occipital
forme une petite région autonome divisée par un
ces méningitiques existent à la partie postérieure de Ta. Le lobe
occipital
forme trois petites circonvolutions très Cas su
niveau de la fontanelle antérieure. Au-dessus de la protubé- rance
occipitale
externe, dépression en méplat de la face postér
s caractères que sur l'hémisphère opposé. Il en est de même au lobe
occipital
et au lobe temporal, Tl, cependant est coupée p
et sont coupées en tous sens par de petites incisures. - Le lobe
occipital
est formé de circonvolutions irrégulières qui n
ée, mais dans des proportions moindres que les cornes frontale et
occipitale
. Cou et thorax. -- Pas de persistance du thymus
at il sa partie postérieure, la région antérieure du coin, la corne
occipitale
et la seconde circonvolution temporo-occipitale
aut en bas, est divisé en deux par le sillon paral- lèle. Le lobe
occipital
est sclérosé au niveau de l'extrémité de la cor
Le lobe occipital est sclérosé au niveau de l'extrémité de la corne
occipitale
et ce foyer, qui semble la continuation du noya
ontinuation du noyau pariétal, occupe la moitié postérieure du lobe
occipital
. Sclérose tubéreuse. 193 Un autre noyau assez
, d'un centimètre environ, existe il la jonction de T3 avec le lobe
occipital
. · Le lobe temporal présente vers la corne sphé
ique. ? Après fixation par lu solution de formol aL 10 0/0, le lobe
occipital
a été divisé en plusieurs blocs par des section
vroglie, tissu conjonctif et vaisseaux). Ainsi, au niveau du lobe
occipital
tout entier, nous avons pu étudier l'écorce, le
convolution, le centre ovale proprement dit. Rappelons que le lobe
occipital
, à l'oeil nu, présentait les mêmes nodosités sc
ans la substance blan- che. môme dans la région voisine de la corne
occipitale
du ventricule latéral ; toujours, nous l'avons
upérieur. P2, pli pariétal inférieur. P3, pli courbe. LOC, lobe
occipital
. Tl, T ? T-3, première, deuxième et troisième c
llèle. 0., O2 03, première,. seconde et troisième circonvolutions
occipitales
. TI T2 T3, première, seconde et troisième circo
ales. 01, 0 ? 03, première, deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
, . BOÜRNEVILLE, Bicêtre, 1898. - PL. VII. 222
pli courbe. S P E, scissure perpendiculaire externe. L.0 0, Io-be
occipital
. Oio I ? opercule, frontal. L l, lobule de l'
a face externe de l'hémisphère gauche, partant de la pointe du lobe
occipital
gauche s'étendant en avant à la partie supérieu
eaux blancs sous-jacents (faisceau longitudinal supérieur, faisceau
occipital
vertical de Wer- nicke). - Sont respectés : la
ion pariéto-occipitale (PI. V, A) (1). Le foyer partant de la corne
occipitale
à deux centimètres environ en avant de l'extrémit
cipitale à deux centimètres environ en avant de l'extrémité du pôle
occipital
, s'étend en avant vers la deuxième pariétale, int
'étend en avant vers la deuxième pariétale, intéressant la deuxième
occipitale
, le pli courbe, la partie tout à fait postérieure
l'hémisphère sur une très petite étendue. La face interne du lobe
occipital
est absolument respectée ainsi que la face infé
. XVIII. Pl. V APHASIE AMNESIQUE /7 ? );'t''J A. Les deux lobes
occipitaux
. On voit les lésions des lobes occipital et parié
);'t''J A. Les deux lobes occipitaux. On voit les lésions des lobes
occipital
et pariétal gauches. B. Coupe horizontale de
ie postérieure du pli courbe à 2 cm. 1/2 environ en avant du pôle
occipital
. C, Cunéus. - Cc, Corps calleux. - CO, Centre o
, Lobule lingual.-Lg,Sillon du lobule lingual.- 02, 2. circonvolution
occipitale
.- Pa, Pariétale ascendante.- Parc, Lobule parac
, 3 circonvolutions temporales.- V, Ventricule latéral.- Voc, corne
occipitale
du ventricule latéral. APHASIE AMNÉSIQUE (Hal
lésion dessine une vaste perte de substance approchant de la corne
occipitale
du ventricule latéral, mais sans l'at- teindre
du faisceau longitudinal supérieur). 7° Coupe portant sur la corne
occipitale
à 2 centimètres 1/2 en avant du pôle occipital
ortant sur la corne occipitale à 2 centimètres 1/2 en avant du pôle
occipital
(PI.VI et VII,E). La lésion porte sur la Ire et l
ôle occipital (PI.VI et VII,E). La lésion porte sur la Ire et le 2e
occipitale
. La 3e oc- cipitale est respectée. Le cuneus es
fu- siforme. Profondément la substance blanche sous-jacente à la 2e
occipitale
est détruite ainsi que celle correspondant au p
ruction du faisceau longitudinal supérieur etd'unepartiedu faisceau
occipital
vertical deWernieke). La substance blanche du c
gi- tudinal supérieur), lésions s'étendant vers les points du globe
occipital
(intéressant la substance blanche faisceau vert
globe occipital (intéressant la substance blanche faisceau vertical
occipital
de Wernicke). 2) Une lésion superficielle du lo
rbale. AUTOPSIE - Ramollissement jaune partant de la pointe du lobe
occipital
gau- che et gagnant de là le lobule pariétal in
ion la lésion est à la fois corticale (pli courbe, cir- convolution
occipitale
) et sous-corticale (faisceau longitudinal supérie
itale) et sous-corticale (faisceau longitudinal supérieur, faisceau
occipital
vertical de Wernicke). Peut-être est-ce à cette l
ingite. Un petit tubercule ancien, fibreux, siège au niveau du pôle
occipital
gauche. La moelle est très grêle, aplatie à la
et n'avait du reste que très peu altéré la forme extérieure du lobe
occipital
. Ses dimensions étaient d'en- viron 5 centimètr
s dans son intérieur. Nous avons débité en coupes sériées ce lobe
occipital
: toutes les coupes qui se trouvent en arrière
faut. Résumé. Phénomènes de compression limités à la partie du lobe
occipital
périphérique à la plus grande extension de la t
s. Ling, lobule lingual. Tum., tumeur. ouf, 02, 03, circonvolutions
occipitales
. 142 WEBEII ET PAPADAkI exagérée du tissu cor
galement : il l'est beaucoup plus dans sa corne frontale que dans l'
occipitale
(fig. 2). Comme il y avait communication large
'à une différence de résistance du tissu ambiant. Mais dans le lobe
occipital
le ventricule est entouré de faisceaux de proje
nd. Il en est de même du tapetum et des faisceaux sagittaux du lobe
occipital
. Là la dilatation ventriculaire est le plus pro
ent partout, mais elles sont peut-être plus prononcées dans le lobe
occipital
droit. Ecorce.- Dès le pôle frontal et jusqu'au
bres conservées jusqu'au voisinage immédiat de la tumeur. Le lobe
occipital
droit (côté du néoplasme) présente au carmin une
e, parce qu'il se trouvait serré contre la paroi osseuse du foramen
occipital
a souf- fert tout autant dans ses fonctions.
ues, les tumeurs de la région de la tente du cervelet et du foramen
occipital
sont particulièrement funestes. Il est toutef
petite et laissant indemne la majeure partie de la pie-mère du lobe
occipital
ait pu gêner à ce point la circulation ? Comment
es. Il est notablement élargi à sa partie postérieure où les bosses
occipitales
sont bien marquées. Les lignes courbes du tempo
Cerveau. Nos recherches ont porté sur les lobes frontaux, les lobes
occipitaux
, les circonvolutions sylviennes droites et gau-
t séparées par un sillon ; les bosses pariétales et la saillie de l'
occipital
sont très nets ; léger ressaut post-lambdoïdien.
une grosse saillie bilatérale ; les fonta- nelles y sont soudées. L'
occipital
est saillant ; pas de ressaut post-lambdoïdien.
éparées par un large sillon, les bosses pariétales très marquées, l'
occipital
saillant, le ressaut post- lambdoïdien assez ne
lambdoïde, béante et entourant l'extrémité supérieure de l'écaille
occipitale
très facilement perceptible. Au total, elle mes
espace fonta- nellaire correspondant à la fontanelle postérieure. L'
occipital
aplati descend verticalement rejoindre la ligne
toïdien du côté où ce rudiment n'a qu'un centimètre ; les faisceaux
occipitaux
s'insérant sur le cordon fibreux et les rudimen
ales sont peu développées et déprimées (Scheu- thauer). L'écaille
occipitale
est leplus souvent saillante : il en est ainsi da
t très serrée et si les rapports entre le pariétal, le frontal et l'
occipital
sont en- core lâches, il n'y a pas d'écartement
frontal, la raréfaction osseuse de la voûte et la position du trou
occipital
qui regarde en avant et en bas. La face prése
tée à l'encéphale - au moins à la vue simple et qu'ilexiste un trou
occipital
, c'est un Pseudencéphalien Nosencéphale; l'absenc
ccipital, c'est un Pseudencéphalien Nosencéphale; l'absence de trou
occipital
est le caractère du Thlipsencéphale; l'adjonction
ière elle envahit d'une façon presque générale toute la région de l'
occipital
, gagne sur le cou et tend à empiéter sur la rég
umeur correspondait, extérieurement, à la seule région de l'écaille
occipitale
. A ce niveau, la peau semble être perforée et l
pseudencéphalique postérieure. 0. S. Limite supérieure de la région
occipitale
. T. Tumeur. 356 RABAUD d'aspect graisseux q
du frontal, l'écaillé du temporal et les pariétaux. L'écaille de l'
occipital
manque également le plus souvent. Il convient,
distinction très nette entre les crâues présen- tant ou non un trou
occipital
. Celui-ci, ou plus exactement les parties qui le
temporal et au pariétal a complètement disparu ; il ne reste que l'
occipital
conservant sa forme et ses dispositions habituell
à la rencontre l'une de l'autre se 'souder et circonscrire le trou
occipital
, res- tent étalées horizontalement, se recourba
e certainement la portion basilaire, cartila- gineuse, de l'écaille
occipitale
. Ces deux fragments de l'écaille restent situés s
du crâne. Ainsi constitué par des parties symétriques disjointes, l'
occipital
affecte la forme d'un arc de cercle ouvert en hau
me, il n'y a pas de différence essentielle entre les cas où le trou
occipital
est circonscrit et ceux où il n'est pas circonscr
uve également. , '. ' Pseudencéphalie sans hémicrânie. Si l'écaille
occipitale
ainsi ré- duite représente à elle seule le crân
e Belhomme (1), dans un cas un peu particulier, a vu l'écaille de l'
occipital
. De même, chez le veau, Joly et Lavocat ont trouv
fragment de pariétal sous forme d'une bandelette étroite, allant de l'
occipital
étalé à l'apophyse orbitaire externe. Le corona
crâne (1) présente encore ceci d'in téressant que les éléments de l'
occipital
, bien que disjoints et ne circonscrivant pas un
postérieur du coro- nal, tandis que le sommet opposé va rejoindre l'
occipital
. Par rapport à la ligne médiane du crâne, la ha
base du crâne ; celle-ci est à nu dans leur intervalle. Quant à l'
occipital
, il affecte la disposition que nous avons décrite
disposition que nous avons décrite chez les . individus où le trou
occipital
n'est pas circonscrit par un cercle osseux : les
dehors, ils restent néanmoins superposés aux os de la base. Seul l'
occipital
est partiellement étalé.Suivant toutes probabilit
t toutes probabilités, l'étalement ne se répercute pas au delà de l'
occipital
. Si même celui-ci n'est pas complètement renver
rsqu'il n'existe que des vestiges épars de la voûte, non reliés à l'
occipital
, il n'y a pas lieu de croire à un renversement
qu'une ouverture, postérieure, ménagée à travers les éléments de l'
occipital
. Ces dispositions, comme d'ailleurs les pré- cé
Malaire et zygomatique. F. Frontal. - P. Pariétal. - E. o. Ecaille
occipitale
. M. 1. Masses latérales. - A."b. Apophyse basilai
vé. Les variations semblent plus considérables pour ce qui est de l'
occipital
. Dans les crânes représentés par E. Geoffroy-Sain
est perpendiculaire sur la direction de ce qui représente l'écaille
occipitale
proprement dite. L'ensemble constitue un cercle
ons de l'épactal de B se rejoignent. Dans ce dernier cas, le cercle
occipital
est com- plet. 11,1 Dans le' crâne que j'ai o
tuelle. Il est impossible de distinguer les limites entre l'écaille
occipitale
et l'os épactal, limites d'ailleurs peut-être arb
respondant à la figure 2). F. Frontal. P. Pariétal. T. Temporal. 0.
occipital
. 364 RABAUD indiquées par E. Geoffroy-Saint-I
éduite que dans les cas de Geoffroy-Saint-Hilaire. Entre la voûte
occipitale
et la base du crâne, est ménagée une petite cavit
èbres cervicales, et cela même constitue avec l'ouver- ture du trou
occipital
le caractère retenu par les classificateurs pour
celui que nous avons observé pour les parties cartilagineuses de l'
occipital
. Ces lames étalées sont incontestablement plus
ertébrale de chaque côté. Les frères J... présentent dans la région
occipitale
un aplatissement de la moitié latérale du crâne
rmation brachicéphalique, présente un petit front,et dans la région
occipitale
droite on voit et l'on sent un aplatissement osse
rachi-céphalique, il présente un front peu bombé, et dans la région
occipitale
droite existe un aplatissement des os, assez ac
de ce côté droit que le muscle sterno-cléido-mastoïdien et le chef
occipital
du trapèze sont durs, formant une masse saillante
elques points d'hyperesthésie très marqués au ni- veau de la région
occipitale
. La pression des testicules est particulièrement
ncore séparées par du cartilage. Il y a sou- dure des condyles de l'
occipital
avec leur écaille épaissie, et surtout soudure
her dont la face postérieure devient verticale, tandis que la fosse
occipitale
paraît plus profonde (Regnault). Regnault propo
e de la fissure pétro-squameuse. La portion inférieure de l'écaille
occipitale
, soudée à ses condyles, est épaissie mais arrêtée
traire, les deux points d'ossification supérieurs se développent. L'
occipital
inférieur ne mesure plus que le cinquième ou le n
rmal ces dimensions sont à peu près égales. L'épaississe- ment de l'
occipital
inférieur contraste avec la minceur du supérieur.
ipital inférieur contraste avec la minceur du supérieur. Les crêtes
occipitales
sont très marquées » (Regnault). Le thorax est
nault, etLegry). Il peut même en résulter un rétrécissement du trou
occipital
et du canal médullaire qui, dans le cas de Lamp
adulte (.Musée de la Maternité). Sur ce crâne les diamètres du trou
occipital
sont : 'antéro-postérieur : 3 cent. 1/2, tranve
. La surface basilaire mesure 3 cent. 3/4 du bord antérieur du trou
occipital
au bord post. vomer. 8. Crâne achondroplasique
lig. 6). Circonférence maxima 53 centimètres. Les diamètres du trou
occipital
, très inférieurs à la normale, sont : antéro-po
raccourcie, mesure 2,1 centimètres seulement, du bord ant., du trou
occipital
, au bord post. du vomer. Petitesse de la voûte pa
ant le maxillaire en haut. LES \IICROM);L1GS CONGHMTALES 501 trou
occipital
, dont les diamètres étaient du 1/3 au-dessous de
e, très raccourcie, avait 2,1 centimètres du bord antérieur du trou
occipital
au bord postérieur du vomer (au lieu de 3 3/4 cen
lement; les os condyliens sont séparés du basilaire et de l'écaille
occipitale
, la' suture sphéno-basilaire persiste ; de plus
re). Le diamètre antéro-postérieur de la glabelle à la protubérance
occipitale
ex- 540 PARIION, SHUNDA ET ZALPLACHTA terne =
rée dans le service on constate ce qui suit : le crâne globuleux, l'
occipital
aplati, le front large et assez élevé, la face
'une part sur divers points du squelette dorsal, d'autre part sur l'
occipital
, tendent constamment à diminuer la distance qui
certain, nombre d'individus, l'étalement des masses latérales de l'
occipital
fait défaut,le trou occipital existe,-et l'on sai
l'étalement des masses latérales de l'occipital fait défaut,le trou
occipital
existe,-et l'on sait que Isidore Geoffroy- Sain
ère des divisions toxonomiques. Or, pour que l'étalement des pièces
occipitales
ne se produise pas, il suffit que les liens rat
contractions musculaires qui ont violemment tiré sur les cartilages
occipitaux
; mais ceux-ci, éloignés encore de toute lésion, e
es : celles-ci restent accolées l'une à l'autre, délimitant le trou
occipital
. La vitesse de propagation des lésions entre ic
tique ; ce qui reste des pièces ossifiées temporales, pariétales ou
occipitales
est en- traîné en dehors par le même mécanisme
n est suffisamment lente, non seule- ment les masses latérales de l'
occipital
résistent à la traction, mais encore l'os- sifi
urs parties antérieures ; tantôt ils restent unis, sauf cependant l'
occipital
qui, chez ces individus sans hémicrânie, est cons
pariétaux por- tent directement sur le cerveau, le refoulant vers l'
occipital
, -tandis que d'autre part, les tractions qui po
ccipital, -tandis que d'autre part, les tractions qui portent sur l'
occipital
tendent à écarter ses deux moitiés et, par suit
de sa partie postérieure. Le cerveau ainsi refoulé, butte contre l'
occipital
, ajoutant son effort à celui des contractions m
elle se montre au sur et à mesure que l'ossification se poursuit. L'
occipital
seul se sépare en deux parties qui s'étalent en
: marchant d'arrière en avant, il dépasse les limites de la suture
occipitale
, entame la suture pariétale et peut même se pro
ion de l'épendyme. Espaces périvasculaires dilatés. 60/1. B. Région
occipitale
. Extrémité du ventricule. Foyers sous-épendymaire
n de l'épendyme à gauche. Pus intraventriculaire. 20/1. C. Région
occipitale
. Gros bouchon de pus intrav·cntriculaire. Conserv
rencontré le pus de paquets névrogliques spiralés (fig. 2). Au pôle
occipital
le revêtement épendymaire n'est pas partout conse
truction partielle et déviation à droite du trigone. Fig. 4.- Coupe
occipitale
. Le ventricule complètement obstrué par du pus. M
sur la ligne médiane, le cerveau passe entre les deux moitiés de l'
occipital
. La voûte s'aplatit alors sur la base et s'ossi
ng tout récent sous-arachnoidien, en lame, à la convexité des lobes
occipitaux
et de la portion postérieure du lobe pariétal d
nte; ainsi l'écorce du lobe frontal serait motrice, celle des lobes
occipitaux
et temporaux serait sensorielle. M. J. Pop est
lions de la base et notamment les irradiations qui issues des lobes
occipitaux
, temporaux et pariétaux entrent dans la cou- ch
'hémianopsie était due à une lésion de la substance blanche du lobe
occipital
, au nombre de onze. 5. Les cas d'hémianopsie tr
Les cas d'hémianopsie traumatique, due à des lésions de la portion
occipitale
du crâne et de l'encéphale sous-jacent. Ceux-ci
la ligne médiane, à un pouce et quart au dessus de la protubérance
occipitale
externe, et sortit en un point situé à deux pou
est sur la ligne médiane à 3 centim. 5 au dessus de la protubérance
occipitale
externe. La ligne tirée du bregma à la cicatric
(Keen et Xhomson) est indiqué par la portion ombrée, dans la partie
occipitale
de la tête, coupant les lignes 2 et B. - ) j
trouva alors que le trajet de la balle suivait la face dorsale de l'
occipital
, à travers le lobe pariétal jusqu'aux confins d
e celle du côté opposé. Il y avait une dépression au niveau du lobe
occipital
droit, la pie- mère adhérant sur une excavation
met du lobe frontal gauche, l'autre près de la pointe - A du lobe
occipital
droit. Ependyme des ventricules granuleux ; lég
de Sylvius. - Fg.3, A. Tumeur au niveau de la face moyenne du lobe
occipital
droit : hémia- nopsie latérale gauche.-Il. Coup
ie presque entièrement dans la substance cérébrale. La base du lobe
occipital
n'était pas atteinte. Tumeurs caséeuses. Observ
ère cérébrale postérieure irriguant la face postéro-interne du lobe
occipital
droit. . La maladie de M. D... dura, avec des
cissure de Rolando. En regardant le cerveau d'en haut l'extrémité
occipitale
de l'hémisphère droit paraît plus mince que du
sé. Cet as- pect est dû à la destruction de la face interne du lobe
occipital
droit par un large foyer, évidemment ancien, de
volution de l'hippocampe. La lésion n'atteint pas la pointe du lobe
occipital
. Les autres circonvolutions des deux hémisphère
e de la troisième branche de l'artère cérébrale postérieure, artère
occipitale
de Duret. Les objections que peut soulever l'
ianesthésie seule. 3. Qu'une lésion de la substance blanche du lobe
occipital
, au niveau des fibres les plus postérieures de
l'alexie, l'hémianopsie et l'hémiplégie. 6. Que les lésions du lobe
occipital
, écorce et substance DE L'HÉMIANOPSIE CORTICALE
J'ai essayé de fondre ensemble les schémas des 16 cas avec lésions
occipitales
(en dehors des cas traumatiques) sur une même f
couches, correspondait au coin et à la portion voisine de la pointe
occipitale
. C'est une simplification de la méthode de Exne
s visuelles, ou centres de la vision psychique, sont dans les lobes
occipitaux
et que chacun d'eux a des connexions avec les d
produit l'hémianopsie chez les chiens en détruisant un des lobes
occipitaux
. Et ces résultats ont été vérifiés sur des chats
t reproduites dans le Brain, april 188'4 : 1° Les lésions des lobes
occipitaux
et du gyrus angularis 1 .lolui C. Dalton. - Veu
ise la perte complète de la vue est la destruction totale des lobes
occipitaux
et des gyrus angularis des deux côtés. - 3° L
la fois sans amener du trouble visuel. 6° La destruction du lobe
occipital
et du gyrus angularis d'un côté cause une ambly
et d'autre part, une particularité dans l'anatomie de l'extrémité
occipitale
du cerveau vient expliquer les résultats de Ferri
riétal inférieur et du gyrus angularis dans son trajet vers le lobe
occipital
(le coin principa- lement). Une lésion du gyrus
héorie de la production de l'amblyopie d'un oeil par lésion du lobe
occipital
et de la' capsule interne du côté opposé. Il pe
é postérieure avec les résultats bien établis des lésions des lobes
occipitaux
, mérite une sévère critique. Mais il suffit de
es optiques réunies forment dans la substance blanche de la portion
occipitale
du cerveau un faisceau homo- gène qui passe le
postérieure. CI- A - région du gyrns ziiigtil.i iç. - 1,. 0. S., lobe
occipital
gauche. - L. 0. D., lobe occipital droit. - C,
ziiigtil.i iç. - 1,. 0. S., lobe occipital gauche. - L. 0. D., lobe
occipital
droit. - C, u.. coin et circonvolutions sous-jace
ubstance griseimmédiatementenvironnante sur la face interne du lobe
occipital
, dans l'hémisphère opposé à la moitié du champ
e pavillon de l'oreille et la région temporale et à la protubérance
occipitale
) = Om, 52; distance directe delà racine du nez
de développement très notable qui occupe prin- cipalement les lobes
occipitaux
et temporaux; le lobe frontal est le plus compl
artie de la troisième temporale, sur la zone limite entre les lobes
occipitaux
et temporaux ; aucune altération n'occupe la face
ent à l'occasion de certains mouvements ou d'efforts, de dou- leurs
occipitales
etrachidiennes qui se prolongeaient dans le côté
lle aucune blessure, onperçoit, au niveau de l'angle supérieur de l'
occipital
, une dépression transverse, profonde, irrégulière
ression. Ren- seignements pris à la clinique de Francfort. Douleurs
occipitales
continues excessives à l'occasion des changemen
bite, il lui est impossbie de rien supporter qui pèse sur la région
occipitale
. De temps à autre, il souffre le long du rachis
ire extraordinairement affaiblie. Diagnostic. Com- pression du lobe
occipital
gauche par une exostose consécutive à une fract
sécutives à l'excitation des nerfs sen- sitifs (névralgie frontale,
occipitale
, voy. Griesinger); c'est l'his- toire encore de
é disparaît derrière l'état pathologique, RAMOLLISSEMENT DES CORNES
OCCIPITALES
. 405 et nous sommes d'avis que la cour peut exo
ent mise en liberté. i RECUEIL DE FAITS RAMOLLISSEMENT DES CORNES
OCCIPITALES
DANS L'ÉPILEPSIE ; Par M. G. ZOHRAB, interne
ntinence d'urine dès l'enfance, asymétrie RAMOLLISSEMENT DES CORNES
OCCIPITALES
. 407 faciale, folie épileptique, manie religieu
ssement de la substance blanche nerveuse entourant les deux, cornes
occipitales
des deux ventricules latéraux. Antécédents héré
lexes tendineux et cutanés sont abolis. RAMOLLISSEMENT DES CORNES
OCCIPITALES
. 409 Le 28 décembre au soir, crises épileptique
andis que le sommet en esta Om4R5. A la coupe pédiculo-pariétale et
occipitale
du cerveau, on constate sur les deux hémisphère
nce blanche entourant dans une étendue de 3 centim. les deux cornes
occipitales
des ventricules latéraux. A l'examen microsco
ns trouvé d'autre lésion que le ramollissement entourant les cornes
occipitales
des deux ventricules latéraux. Tout le reste de
Surdité absolue du même côté. Autopsie : ramollissement de la corne
occipitale
gauche. Tumeur du cervelet. Antécédents héréd
enstrues régulières. Le. plus souvent les RAMOLLISSEMENT DES CORNES
OCCIPITALES
. 411 i crises apparaissent au moment de la disp
congestion généralisée, surtout du poumon RAMOLLISSEMENT DES CORNES
OCCIPITALES
. 413 droit. t. Coeur : poids 255 grammes. -Rétr
couleur hortensia à leur surface. A la coupe pédiculo-pariétale et
occipitale
du cerveau, on trouve un ramollissement crémeux
4 RECUEIL DE FAITS. la substance périépendymaire limitée à la corne
occipitale
du ventricule latéral gauche (à droite, la subs
latéral gauche (à droite, la substance blanche qui entoure la corne
occipitale
paraît saine à l'oeil nu, sauf à con- firmer no
in rap- port de cause à effet entre le ramollissement de la corne
occipitale
et les convulsions épileptiques. A ces deux obs
rale. Crises épileptiformes. Autopsie : ramollissement de la corne'
occipitale
du ventricule latéral droit. Antécédents hérédi
e troubles de sensibilité ni de motilité. RAMOLLISSEMENT DES CORNES
OCCIPITALES
. 415 5 L'état général est bon. Les urines sont
gris centraux paraissent intacts. A la coupe pédiculo-pariétale et
occipitale
, on observe un ra- mollissement crémeux avec di
rémeux avec diffluence de la substance blanche limitant l'extrémité
occipitale
de ventricule latéral. Hémisphère gauche : poid
toute son étendue, sauf au niveau de la paitie située dans le lobe
occipital
où il existe en ramollissement puriforme, ditfl
rme, ditfluent delà substance blanche ner- veuse entourant la corne
occipitale
. Le foyer hémorrhagique se prolonge dans le lob
sont également envahis par l'hémorrhagle,. DES CORNES POSTÉRIEURES
OCCIPITALES
. 417 de même que la capsule interne. Les cornes
les Archives, t. XI. 27 418 RECUEIL DE FAITS. CORNES POSTÉRIEURES
OCCIPITALES
. autopsies de sujets morts d'affections variées
e excitation constante des couches corticales du cer- veau (du lobe
occipital
surtout (Iloseiibacli), comme provoquant l'épil
-L'expérience démontrera plus tard s'il existe dans ces ré- gions
occipitales
de véritables zones épileptoyènes, ou bien s'il
pagnés d'un ramollissement de la partie sous-épendymaire des cornes
occipitales
des ventri- cules latéraux; 2° Que dans ces c
déterminé une plaie siégeant à droite à un pouce de la protubérance
occipitale
. Il est resté 21 heures sans connaissance, et p
Etat actuel (il niai 188 1). - Tête ovale, symétrique; la région
occipitale
est modérément développée ; les bosses pa- riét
e pli de passage signalé plus haut, puis se poursuit dans le sillon
occipital
supérieur jusqu'au sillon transverse. - Le pli
transverse. - Le pli courbe est assez développé, sinueux. - Le lobe
occipital
est bien conformé. Lobe temporal. - La première
loppés et ne percutent pas d'anomalies. Il existe un sillon pré-
occipital
complet qui partant de l'incisure préoccipitale v
t il est séparé par un pli de passage, allant du pli courbe au lobe
occipital
. Ce sillon délimite nettement le lobe temporal
be occipital. Ce sillon délimite nettement le lobe temporal du lobe
occipital
. -Le lobule de l'inszzla ne possède que deux di
lèle presque complète. Elle se continue en arrière avec la scissure
occipitale
supé- rieure au delà de la scissure occipitale
ère avec la scissure occipitale supé- rieure au delà de la scissure
occipitale
transverse. - Le lobe occipital est bien confor
é- rieure au delà de la scissure occipitale transverse. - Le lobe
occipital
est bien conformé; mais la scissure occipitale tr
transverse. - Le lobe occipital est bien conformé; mais la scissure
occipitale
trans- verse n'existe que dans sa partie supéri
ar un pli de passage se dirigeant vers la deuxième circonvolution
occipitale
. A un centimètre en avant du pôle occipital se tr
euxième circonvolution occipitale. A un centimètre en avant du pôle
occipital
se trouve une scissure transverse assez profond
nde allant de la scissure interhémisphérique à la deuxième scissure
occipitale
. Lobe temporal. - La première circonvolution te
e parallèle au niveau de sa courbe et isole ainsi nettement le lobe
occipital
. Le lobule de l'insula n'a que deux digitations
ès gros à bipartie postérieure du pli pariétal supérieur. - Le lobe
occipital
, assez plissé, est très volumineux. Longueur de
DE l'épilepsie procursive. point à l'extrémité postérieure du lobe
occipital
, 11 centi- mètres et demi '. Le lobule de l'i
est plissé et possède des sillons superficiels. Le coin et le lobe
occipital
sont composés de petites circonvolutions. La cil'
onvolution quadrangulaire qui envoie un pli de passage vers le lobe
occipital
et en reçoit un du pli pariétal inférieur. Le l
e lobe occipital et en reçoit un du pli pariétal inférieur. Le lobe
occipital
est assez plissé et volumi- neux. Les digitatio
lution qui semble plutôt se rattacher au coin. - Le coin et le lobe
occipital
peu sinueux sont assez développés. - Les masses
sée dans son ensemble. - Crâne régulier; prédominance des parties
occipitales
; bosse occipitale cependant peu saillante; bosses
mble. - Crâne régulier; prédominance des parties occipitales; bosse
occipitale
cependant peu saillante; bosses pariétales égal
me circonvolution temporale par un pli de passage à niveau. Le lobe
occipital
n'offre pas d'anomalies, mais ses circonvolutio
in la scissure interpariétale va se terminer dans le premier sillon
occipital
. Le lobule01'bitalÎ'e est bien développé, normal.
st de même du pli courbe, mais à un degré moins prononcé. Le lobe
occipital
est assez volumineux ; mais ses deuxième et tro
olait, comme chez le singe, les lobes pariétaux et temporal du lobe
occipital
. Bien que cela nous écarte un peu de notre suje
de boudin; esto- mac plein; thymus persistant. - Atrophie des lobes
occipitaux
. - Hémisphère droit 20 gr. de moins que le gauc
mal le français. 124 DE l'épilepsie PROCURSIVE. proéminence de l'
occipital
qui. est surmonté par un méplat médian et régul
atrices de 4 à 5 centimètres à gauche à l'union du pariétal et de l'
occipital
, une autre plus petite vers la partie médiane e
cérébelleux droit arrive au niveau de la partie postérieure du lobe
occipital
, mais le lobe cérébelleux gauche est en retrait d
re de la scissure interpariétale et par son intermédiaire le sillon
occipital
transverse. - La scissure interpariétale forme
ui réunit le pli courbe aux deuxième et troisième cir- convolutions
occipitales
. - Le lobule orbitaire est bien conformé. Face
veloppés, très découpés; il en est de même du pli courbe. - Le lobe
occipital
est bien déve- loppé, mais les scissures et les
n pli de passage à niveau reliant le pli pariétal supérieur au lobe
occipital
. - La scissure interpariélale ne possède qu'un
obule pariétal supérieur ; elle continue son chemin jusqu'au sillon
occipital
transverse. Le lobule orbitaire est normal, trè
uliers par suite de nom- breux sillons qui les découpent. Le lobe
occipital
, dont lés circonvolutions paraissent un peu grê
e scissure irrégulière, sinueuse, qui prolonge le sillon transverse
occipital
jusque vers l'incisure préoccipitale. Lobe te
la partie moyenne de la circonvolution frontale ascendante, du lobe
occipital
, l'état chagriné des pre- ' Nous ferons remarqu
frontales saillantes, bosses pariétales peu marquées; protubérance
occipitale
en relief. - Front large, bombé, saillant. Yeux n
pli de passage à niveau allant du lobule pariétal supérieur au lobe
occipital
. La scissure interpariétale, qui forme en arriè
presque complète, se prolongejusque dans le lit du premier sillon
occipital
et envoie deux rameaux descendants, l'un en avant
e passage à niveau relie le pli courbe à la première circonvolution
occipitale
. Le lobe occipital est plutôt petit; la méningo
elie le pli courbe à la première circonvolution occipitale. Le lobe
occipital
est plutôt petit; la méningo-encéphalite y est
passage à niveau se rendant du lobule pariétal supérieur au lobule
occipital
. - La scissure perpendiculaire externe forme, e
ieur au pli courbe ; plus loin, elle va se confondre avec le sillon
occipital
transverse. Le lobule orbitaire est atteint de
on de la substance cérébrale parait à peu près normale. ' Le lobe
occipital
, sans être manifestement atrophié, offre cepen-
sur les coupes laissées vingt-quatre heures dans ce réactif. Lobe
occipital
droit en dehors delà lésion. - Vaisseaux nombreux
s. Nombreux corps granuleux dans la substance blanche. Dans le lobe
occipital
, on retrouve, à côté de points normaux dans l'é
ds, zip kilogr. 80. - Tête assez forte. Pas da saillie de la région
occipitale
, aplatissement de la région comprise entre le v
ccipitale, aplatissement de la région comprise entre le vertex et l'
occipital
; bosses pariétales moyenne- ment saillantes. Fr
z régulier, symétrique, d'aspect arrondi plutôt qu'ovale. La région
occipitale
, les bosses pariétales et les apophyses mas- to
légèrement chagriné qui ne se retrouve pas de l'autre côté. Le lobe
occipital
est relativement assez volumineux. La première
t large etparait nurmal ainsi que le, coin, la face interne du lobe
occipital
, la corne cl'.I 11111[1)11, la circonvolution de
cts; à cet égard c'est un cerveau type. Les circonvolutions du lobe
occipital
sont assez volumineuses. Le lobule de l'insula
r un sillon vertical. - Le lobe carré (L Q), le coin (L C), le lobe
occipital
(L 0), sont normaux (PL. IV). Réflexions. - Cet
est notablement plus développée; méplat à la partie supérieure de l'
occipital
; sillon transversal au niveau de la fon- tanel
aissant pas asymétrique ; pas de méplat à la partie supérieure de l'
occipital
, bosses pariétales peu prononcées, ainsi que le
f olfactif et s'élen- dant jusqu'à 2 centim. et demi de l'extrémité
occipitale
de l'hémis- phère. En dedans, le pseudo-kyste l
et sur la face convexe et semble avoir séparé complètement le lobe
occipital
du reste de l'hémisphère. Le kyste distendu a u
rconvolutions temporales sont normales, bien développées. - Le lobe
occipital
est normal. - Le lobule de l'insula est bien dé
du lobe pariétal inférieur, la partie la plus antérieure du lobe
occipital
, le pli courbe, la partie postérieure du lobule p
frontal et région pariétale), l'autre postérieure répondant au lobe
occipital
. La partie antérieure du lobe pariétal est atro
hiée encore, se trouve beaucoup plus en retrait par rapport au lobe
occipital
. -Le coin se trouve perdu dans le foyer. - Le l
u lobe occipital. -Le coin se trouve perdu dans le foyer. - Le lobe
occipital
est bien développé, sauf dans une petite por- t
L. V, fig. % et 4). Troisième coupe. Elle est pratiquée sur le lobe
occipital
et vers l'extrémité du kyste et montre encore u
rès marquée. LC,assez développé, envoie un pli de passage au lobe
occipital
, LO,qui est petit, et dont les circonvolutions
ciens, ni sclérose de la corne d'Ammon, ni rétrécissement du trou
occipital
, etc. Les accès, autant que nous avons pu le sa
ciput est saillant; il existe un méplat à la partie supérieure de l'
occipital
et postérieure des pariétaux. Les bosses pariét
l se bifurque en arrière en V qui reçoit entre ses branches le lobe
occipital
; il envoie un pli de passage au pli courbe. Le
blé en arrière d'un pli bifurqué envoyant un pli de passage au lobe
occipital
. Le lobe occipital est peu développé avec deti
pli bifurqué envoyant un pli de passage au lobe occipital. Le lobe
occipital
est peu développé avec deti sillons très superf
inférieur et allant s'ouvrir à la scissure parallèle sépare le lobe
occipital
du lobe temporal. CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES. 1
versaux. - Le lobule lingual s'arrête loin de l'extré- mité du lobe
occipital
. La scissure parallèle s'arrête moins haut que
avec des sillons pro- fonds. - Le coin est petit ainsi que le lobe
occipital
; tous les deux ont des sillons peu profonds. ?
t très sinueux et envoie un pli de passage au pli courbe et au lobe
occipital
. - Le lobule pa- riétal inférieur est sinueux,
urbe et le rendent ainsi irrégulier; entre le pli courbe et le lobe
occipital
, il y a une circonvolution qui, en bas, envoie
a une circonvolution qui, en bas, envoie un pli de passage au lobe
occipital
. - Le lobe occipital est composé de circonvolut
qui, en bas, envoie un pli de passage au lobe occipital. - Le lobe
occipital
est composé de circonvolutions petites et pliss
ule masse. - La scis- sure pariéto-occipitale est profonde. Le lobe
occipital
est peu volumineux, sinueux; il envoie un prolo
r.; Taille : 1 ? 48. La tête est régulièrement conformée; la région
occipitale
est très peu saillante et présente un large mép
e. LP, Lobe paracentral. * LC, Lobe carré. LC, Coin. LO, Lobe
occipital
. CC, Circonvolution du corps calleux. 0, Corp
upérieur. P2, Pli pariétal inférieur. P c, Pli courbe. LO, Lobe
occipital
. Tt Première circonvolution temporale. LI, Lo
eux. LP, Lobe paracentral. LQ, Lobe carré. LC, Coin. LO, Lobe
occipital
. CS, Corps strié. CO, Couche optique. CH, C
s paracentraux (LP), les lobes carrés (LQ), le coin (LC), les lobes
occipitaux
(LO), les circonvolutions temporales présentent
oupe de la pie-mère épaissie. Fig. 3. - Coupe pratiquée sur le lobe
occipital
et vers l'extrémité é du pseudo-kyste. LO, Lo
le lobe occipital et vers l'extrémité é du pseudo-kyste. LO, Lobe
occipital
. LC, Coin. CO, Corne occipitale. TA, TA, tissu
rémité é du pseudo-kyste. LO, Lobe occipital. LC, Coin. CO, Corne
occipitale
. TA, TA, tissu aréolaire. Hémisphère gauche.
iétal inférieur. TT, Circonvolutions temporales. Fig. 6. - LO, Lobe
occipital
. - CO, Corne occipitale. PARIS. - IIIP. V. GOUK
rconvolutions temporales. Fig. 6. - LO, Lobe occipital. - CO, Corne
occipitale
. PARIS. - IIIP. V. GOUKÏ ET JOURDAN, RUE DE REN
une légère dépression de la bosse frontale gauche et de la bosse
occipitale
droite. Dans son ensemble le cr;tne a la forme tr
lement sur l'hémisphère droit, au niveau de la face externe du lobe
occipital
, la moitié antérieure de la première frontale,
9 P1, bien développé, envoie en arrière un pli de passage au lobe
occipital
. - P2, assez volumineux, avec sillons superfi-
ée de circonvolutions développées, sinueuses, envoie un pli au lobe
occipital
, un au lobule pariétal inférieur, un au lobule
égulière. Les fontanelles sont ossifiées. Légère saillie des bosses
occipitales
et pariétales. Cheveux châtain- foncé, abondant
upérieure. - La première pariétale envoie un pli de passage au lobe
occipital
. - La deuxième pariétale est peu développée. Le
- Le pli courbe, assez volumineux, envoie un pli de passage au lobe
occipital
. - Le lobule de l'insula, très développé, se co
a deuxième et la troisième qui sont en partie confondues. - Le lobe
occipital
, assez volumineux, est facilement décortiqué.
e nulles sur la face interne. Des deux côtés les lobes temporaux,
occipitaux
, et l'insula sont indemnes; des deux côtés auss
rement ovoïde les bosses pariétales sont peu saillantes ; la région
occipitale
l'est légè- rement, le front est assez élevé un
grande scissure, sur la face convexe des lobes frontal, pariétal et
occipital
, est finement vascularisée, épaissie, avec de n
n avec les pariétaux. Enfin, tandis que l'obélion est fort élevé, l'
occipital
est aplati et l'inion peu marqué. Mensuration
qui constituent la F3 et une partie de la I .A. - La T3 et le lobe
occipital
ne présentent rien à signaler. Le pli pariétal
ièrement aux circonvolutions occipita- les. - Les lobes temporal et
occipital
n'offrent rien de spécial. 62 Imbécillité, hémi
ur des pariétaux, pour la pos- térieure, par l'angle inférieur de l'
occipital
; pas d'autres inégalités à la palpation. - Fro
face in- terne. Les cavités de la base sont symétriques, le trou
occipital
n'est pas rétréci. La glande pituitaire a le volu
me celles que l'on rencontre chez les très jeunes chiens. 3° Lobe
occipital
. Son aspect est tout à fait semblable à celui d
s, la droite un peu plus saillante que la gauche. A gauche la bosse
occipitale
est volumineuse, Front assez large, mais bas. -
droite qu'à gauche; plagiocéphalie : bosse frontale droite et bosse
occipitale
gauche saillantes. - Su- tures fermées, sans sy
crâne également asymétrique. Obliquité de gau- che à droite du trou
occipital
(2). Crête frontale très saillante. Fosse sphén
ne les crânes des épileptiques. (2) Nous mentionnons l'état du trou
occipital
dans toutes nos autopsies d'épi- leptiques parc
). - Fig. 4. - Rubéole. DESCRIPTION DE la malade.. 105; pées, l'
occipitale
saillante. Front assez élevé, peu large. Face o
autre occupe le pli courbe ; une autre la partie antérieure du lobe
occipital
. - z La face interne de cet hémisphère ne prése
s- qu e moitié plus épaisse que celle du pariétal gauche. Le trou
occipital
n'offre rien de spécial. On voit de nombreuses ad
he. La suture coronale est normale ainsi que les sutures pariéto-
occipitales
. Il existe, en revanche, une synostose complète
petit que celui du côté droit et se confond en partie avec le lobe
occipital
peu développé, comme le lobe temporal. La circo
la région, mais beaucoup plus petites qu'à l'état normal. 3" Lobe
occipital
. Ici l'atrophie est très prononcée. Les dif- fé
La suture métopique persiste dans toute sa hauteur. La partie de l'
occipital
, le long- des dentelures de la suture pariéto-o
d'épaisseur. Les fosses de la hase paraissent symétriques, le trou
occipital
normal. Les sinus latéraux sont remplis de cail
ascendante toutes les temporales, les plis pariétaux, tout le lobe
occipital
. - Sur la face interne de l'hémisphère, les lés
l'hémisphère, les lésions de méningo-encéphalite occupent le lotie
occipital
, le lobe quadrilatère, le lohe temporal, le tie
riétale ascendante. L.P.S., lobule pariétal supérieur. L.O., lobe
occipital
. Tl, première temporale. S.S., scissure de Sy
pariétal supérieur. L.P'.L, lobule pariétal inférieur. L.O., lobe
occipital
. Les chiffres i,i,3, etc., indiquent les ilots
le. L.P., lobe paracentral. L.Q., lobe quadrilatère. L.O., lobe
occipital
. 1, 2, îlots de sclérose. Bourneville, Bicêtr
isième circonvolutions temporales. P.C., pli courbe. L.O., lobe
occipital
. Bourneville, Bicêtre, 1895. PL. V. 246 Expli
r. L.P.L, lobe pariétal inférieur. P.C., pli courbe. L.O., lobe
occipital
. T1) T2, T3., première, deuxième, troisième cir
au centre, vers les régions pa-riétales ; en arrière vers l'extrémité
occipitale
. Dans la nomenclature de Burdach, on désigne la p
t ; — p m i, pli marginal inférieur ; — p c, pli courbe ; — l o, lobe
occipital
; — l q r, lobeorbitaire. Situation des centres
pariéto-occipitale (spe). Elle sépare nettementchez le singe le lobe
occipital
du lobe temporal et du lobe pariétal. Cette sépar
es : le lobe frontal, le lobe pariétal, le lobe sphénoïdal et le lobe
occipital
. Chacun de ces lobes est partagé à son tour en
produirait la cécité temporaire dans l'œil du côté opposé (F). Lobe
occipital
. —- Un sillon transverse partage ce lobe en deux
, chez l'homme, en raison de l'existence des plis de passage, le lobe
occipital
des lobes pariétal et sphenoidal. Vous pouvez d
onsidérons, par exemple, à ce point de vue, l'étage inférieur du lobe
occipital
. Dans les parties de ce lobe qui entourent la cor
cription. En arrière, la région comprend tout le lobe sphénoïdal, l'
occipital
et la partie médiane jusqu'au bord antérieur du l
moitié postérieure du lo-bule lingual et fusiforme ; c) tout le lobe
occipital
; d) les deux premières circonvolutions sphénoïda
3 partie des lobes pariétaux, mal délimitée encore du côté du lobe
occipital
. Nous verrons dans un instant que ce type se mont
s de l'encéphale comprenant : 1° tout le lobe sphénoïdal ; 2° le lobe
occipital
, et 3° enfin les parties de l'écorce grise de la
Lobe carré ou avant-coin ; — LC, Lobule cunéiforme ou coin ; LO, Lobe
occipital
; Cil, Circonvolution de l'Hippocampe; CA, Circonv
de passage, sépare nettement le lobe carré (ou quadrila-tère) du lobe
occipital
; 4° immédiatement en arrière du lo-bule carré, da
4° immédiatement en arrière du lo-bule carré, dans le domaine du lobe
occipital
, il y a à remar-quer un lobule triangulaire dont
a promiscuité déjà signalée à propos de la face externe entre le lobe
occipital
et le lobe sphénoïdal. Là, il convient de disting
ncontrent ces particularités compren-nent, je vous le répète, le lobe
occipital
tout entier, le lobe sphénoïdal et les parties po
rieur. — LPi, lobule pariétal inférieur. — Pc, pli courbe. — Lo, lobe
occipital
. recourbent ensuite, de dedans en dehors, pour
périeure du cerveau. — P, lobe frontal. — P, lobe pariétal. — 0, lobe
occipital
. — S, fin de la branche hori-zontale de la scissu
italis. — t !, sillon temporal supérieur. — 0 première circonvolution
occipitale
. — o, sulcus occipitalis transversus. Artères.
O z, coin (Zwickel). — P o, scissure pariéto-occipitale. — 0, sillon
occipital
transverse. — Oc, fissure calcarinc; o c', sa bra
ieure. — II. Ar-tère temporale postérieure. — lit (inférieur). Artère
occipitale
. primée. La circonvolution frontale ascendante
porale anté-rieure. — II, artère temporale postérieure. — III, artère
occipitale
. nés —cette intégrité est mentionnée d'une faço
es pédonculaires directes se rendant à la substance corticale du lobe
occipital
; — leur rôle relativement à la sensibilité. — Pre
pédoncu-laires directes se rendant à la substance cor-ticale du lobe
occipital
. Ce schéma est emprun-té à l'ouvrage de M. Huguen
n suivre le parcours dans l'épaisseur de la substance blanche du lobe
occipital
, immédiatement en dehors de la corne postérieure
1 importerait maintenant de décider si les lésions étendues des lobes
occipitaux
et en particulier de leur écorce grise dé-termine
om- (1) Dans les observations de ramollissement superficiel du lobe
occipital
que j'ai recueillies, il s'agit aussi souvent d'h
eau du cercocebus cinomolgus. F, Extrémité frontale. — O, extrémité
occipitale
. — H, la corne d'Ammon. — RR, la substance grise
rcuatus dont les fibres au-dessus du corps calleux s'étendent du lobe
occipital
au lobe frontal ; — en Ig, le faisceau longitudin
rontal ; — en Ig, le faisceau longitudinal inférieur qui unit le lobe
occipital
à l'extrémité du lobe sphénoï" dal, enfin, en une
erveau du Cercocebus cinomolgus. F, extrémité frontale. — 0, région
occipitale
. — F S, entrée de la scissure de Sylvius. — I, in
P, pied du pédoncule cérébral. Om, faisceaux médullaires qui, du lobe
occipital
, vont au pulvinar auxBS, bras des tubercules qu
h et de Gratiolet se diri-gent en arrière, dans l'épaisseur des lobes
occipitaux
et sphénoïdaux. Les faits cliniques conduisent à
le prolongement des fibres médullaires, dans l'écorce grise des lobes
occipitaux
et sphénoïdaux. Nous aurons à revenir sur ce po
erficiels (plaques jau-nes) étendus, lorsqu'ils occupent soit le lobe
occipital
, soit les parties postérieures du lobe temporal o
ie quelconque des lo-bes sphénoïdaux, le lobe carré, le coin, un lobe
occipital
ou les deux lobes occipitaux tout entiers, une ré
énoïdaux, le lobe carré, le coin, un lobe occipital ou les deux lobes
occipitaux
tout entiers, une région quelconque des deux tier
l'état fœtal; ce n'est qu'au bout d'un mois que la substance du lobe
occipital
commencera à blanchir; et, quatre mois après se
hromique. Les sillons com-pris entre les circonvolutions frontales et
occipitales
étaient grêles et durs, et les sillons précentral
es pédonculaires directes se rendant à la substance corticale du lobe
occipital
; — leur rôle relativement à la sensibilité. — Pre
s pariétaux, elle semble un peu moindre pour les frontaux et pour l'
occipital
dont la surface se pré- sente même irrégulière.
mbres ni est très réduite. La tête est volumineuse. La protubérance
occipitale
externe très accentuée. La circonférence crânie
mètres. Les bosses frontales sont bien développées. La protubérance
occipitale
externe est bien accentuée. Le diamètre crâni
latation des sinus frontaux ainsi que la saillie de la protubérance
occipitale
externe. Nous ne pouvons pas connaître, d'après
concaves qu'à l'état normal (PI. XXXII). L'apophyse basilaire de l'
occipital
est très courte car elle n'atteint que 1 cent.
llon du sinus latéral, le trou déchiré postérieur ainsi que le trou
occipital
sont beaucoup plus étroits sur le crâne achondr
sont beaucoup plus étroits sur le crâne achondroplase. Les fosses
occipitales
inférieures sont beaucoup plus profondes et plus
beaucoup moins prononcée. Le diamètre antéro-postérieur des fosses
occipitales
inférieures est de 5 centimètres sur le crâne a
entimètres sur le crâne normal. La crête qui sépare les deux fosses
occipitales
inférieures a, an moins dans sa partie antérieu
sur le crâne achondroplase (pie sur le crâne normal. Los condyles
occipitaux
, surtout celui du côté gauche,sont aplatis et leu
impression rugueuse sur la face postérieure de l'os jusqu'au sillon
occipital
qui est délimité par deux crêtes rugueuses proé
ace interne), les faibles di- mensions de l'apophyse basilaire de l'
occipital
, du trou déchiré postérieur et du tronc occipit
se basilaire de l'occipital, du trou déchiré postérieur et du tronc
occipital
lui-même, la profondeur et l'étroitesse du sinus
bosse frontale gauche est plus saillante que la droite et la bosse
occipitale
droite plus que la gauche. Dans l'ensemble, la
qu'il faut expliquer la pâleur de la substance blanche dans le lobe
occipital
, au niyeau de la scissure calcarine. - Le fai
droit. t, tuherculome de la couche optique. ? tuberculomes des lobes
occipitaux
. (G. Ralszier et J. Baulllel) Nouvelle Iconog
izaine de corps semblables, siégeant pour la plupart dans la région
occipitale
et quelques-uns (deux ou trois dont un aussi vo
bles visuels trouvaient leur justification dans la lésion des lobes
occipitaux
et à la rigueur de la couche optique, il n'en r
micellée occupant tout le lobe frontal. Le lobe pariétal et le lobe
occipital
sont séparés par une bande de sclérose qui a en
i interne du ventricule latéral et joignant le lobe frontal au lobe
occipital
. Il y a donc un vestige du corps calleux dans cha
peu près au même niveau que celle-ci. Elles révèlent en outre sur l'
occipital
et sur les pariétaux de nombreuses impressions di
yphose de l'apopliyse basilaire, accompagnée d'une dislocation de l'
occipital
. C'est néanmoins du crâne de la dysostose cléid
ase émergeant au niveau du sphénoïde etde la portion basilaire de l'
occipital
et s'enfonçant dans l'intérieur de la cavité crân
elle n'avait plus qu'un ou deux millimètres de profondeur. Le trou
occipital
paraissait fortement diminué d'avant en arrière
certain degré de convexobasie, refoulant le bord antérieur' du trou
occipital
et diminuant son étendue ; ces lésions étaient ma
pincer entre les doigts : il en est ainsi pour le pourtour du trou
occipital
, pour la portion basilaire comme pour 454 -il L
er de ceux qui bordent le sinus sphénoïdal, apophyse basilaire de l'
occipital
, sphé- noïde, ethmoïde ; on y voit l'épaississe
surtout parle rétrécissement de tous les trous de la base. Le trou
occipital
est rélréci; moins dans son dia- mètre antéro-p
es déformations est l'enfoncement dans le crâne du pourtour du trou
occipital
et des parties voisines; plus exactement, la pe
crâne sous le poids du cerveau, il l'exception du pourtour du trou
occipital
, seule partie qui soit sou- tenue. C'est cette
LÉRI par sa face inférieure : alors qu'à l'état normal les condyles
occipitaux
sont plutôt au-dessous de l'écaille occipitale
normal les condyles occipitaux sont plutôt au-dessous de l'écaille
occipitale
et que le bord antérieur du trou occipital est
au-dessous de l'écaille occipitale et que le bord antérieur du trou
occipital
est au-dessous du bord postérieur, c'est diamétra
ette der- nière déformation, surélévation du bord antérieur du trou
occipital
, était L très frappante sur les deux crânes fra
le système nerveuxparaissait presque étranglé à ce niveau, le trou
occipital
, vu par l'intérieur du crâne, paraissant extrêmem
f).2). Sur le crâne 7, on peut voir que la por- tion basilaire de I
occipital
est à un bon centimètre au-dessus de sa portion
r une ligne médiane le bord antérieur et le bord postérieur du trou
occipital
, la ligne aboutit à l'état normal au niveau du
hyse basilaire elle-même, à quelques milli- mètres en avant du trou
occipital
. Cet enfoncement du pourtour du trou occipital
res en avant du trou occipital. Cet enfoncement du pourtour du trou
occipital
dans le crâne a des conséquences multiples, dir
que la partie de l'écaille qui est immédiatement en arrière du trou
occipital
devient oblique en bas et en arrière, ce qui a
notre première observation (PI. LXVIII, fig. 2), où l'écaille de l'
occipital
est à peu près coudée à angle droit à environ 1
coudée à angle droit à environ 1 centimètre ]/2 en arrière du trou
occipital
et à peu près à égale dis- tance de la protubér
trou occipital et à peu près à égale dis- tance de la protubérance
occipitale
interne. La traduction en chiffres de cette déf
vant, la conséquence directe de cet enfoncement du pourtour du trou
occipital
est le soulèvement du corps de l'occipital et de
ment du pourtour du trou occipital est le soulèvement du corps de l'
occipital
et de la partie postérieure du sphénoïde. Le so
sont celles que l'on observe au pourtour pres- que immédiat du trou
occipital
: elles consistent toutes en un soulèvement. Au
vant et latéralement ce qu'elle perd en hauteur au pourtour du trou
occipital
. Celle dilatation de compensation, pour ainsi d
ent absolu ou . relatif, c'est-à-dire au niveau du pourtour du trou
occipital
: toutes les parties de la tète tendent à conve
ur du crâne est relativement beaucoup plus grande au niveau du trou
occipital
que chez l'adulte et que le massif sphéno-basitai
dans le cours de t'existence que petitil petit le pourtour du trou
occipital
s'enfonce, pour ainsi dire, dans le crâne. Cet
(crânes 1 et 7), on voit nettement une plicature de l'écaille de l'
occipital
qui apparaît sous forme d'un angle aigu d'envir
élargit tous les os de la base el en rétrécit tous les trous : trou
occipital
et orifices vasculaires et nerveux. Le point de
rmation est l'enfoncement relatif dans le crâne du pourtour du trou
occipital
; il a pour conséquences l'abaissement relatif
éterminent un rétrécissement parfois extrême- ment prononcé du trou
occipital
et des différents trous de la base, y com- pris
a condensation osseuse de cette même suirace. La diminution du trou
occipital
est tiès apparente sur tous les crânes, si on les
e et grand rond, sont nettement rétrécis. L'apophyse basilaire de l'
occipital
est devenue plus horizontale, ce qui est surtout
no-tmsilaire se voit nettement, avec la plicatnre de l'écaillé de l'
occipital
et le nivellement général de la base. La largeu
es de la base et surtout l'élargissement considérable du corps de l'
occipital
et de ses masses latérales. L'épai.,siQsempnt d
évation du massif sphano-basilaire avec horizontalité du corps de l'
occipital
, nivellement des étages antérieur et moyen du crâ
sement de la selle turcique, rétrécissement antéro-postérieur du trou
occipital
, écrasement antéro-postérieur et étalement tran
nt transversal des fosses cerébelleuses avec plicature de l'écaille
occipitale
; la dilatation transversale de la cavilé crânien
profil. Enorme élargissement transversal ; diminution de la portion
occipitale
; faciès fuyant. PL. LXIX. - Coupes sagittale
étique n" 1 n'est pas due à une veiticalité excessive du corps de l'
occipital
; au contraire celui-ci est beaucoup plus horiz
, l'aplatissement de la selle turcique, la plicature de l'é- caille
occipitale
et le rétrécissement de l'étage postérieur du crâ
o- basique ; de plus la hauteur relative du crâne au niveau du trou
occipital
est beau- coup plus grande que chez l'adulte. C
ansversalement. En arrière l'asymétrie est plus prononcée, la bosse
occipitale
gauche est à peine sensible, tandis que la droi
développée dans sa partie postérieure, saillie très prononcée de l'
occipital
au niveau de la protubérance. La calotte crânie
U MÉRYCISME. de pain de sucre : les bosses sont à peine marquées. L'
occipitale
ne fait aucune saillie et, de ce côté, la tête
quadrilatère est volumineux, irrégulier, plissé. - Le coin, le lobe
occipital
n'offrent rien de spécial. - La circonvolution
nchent, par conséquent, avec les régions d'aspect chagriné. Le lobe
occipital
est peu volumi- neux. - Le lobule de l'insula p
umineux la relie à la circon- volution frontale. Le coin et le lobe
occipital
sont peu volumineux. Des deux côtés, les lobes
est réduit à un simple pli. Le pli courbe est rudimentaire; le lobe
occipital
, composé de trois replis, est assez gros. La pr
lume, dont la partie horizontale se confond en arrière avec le lobe
occipital
. Les sillons sont assez profonds sur la face conv
. Le lobule pariétal supérieur, l'inférieur, le pli courbe, le lobe
occipital
sont rudimentaires; les circonvolutions tempora
formé. La tête est assez développée, sans prédominance de la région
occipitale
; le front est saillant, élevé, avec des dépress
mesure 2 cent. 1/2 sur la ligne médiane, entre les pa- riétaux et l'
occipital
; à droite, elle se prolonge à 11 centi- mètres
en haut et dont le sommet tronqué aboutit à l'angle supérieur de l'
occipital
. La base, longue de 9 centimètres, est formée p
bord antérieur est en rapport avec le frontal, le postérieur avec l'
occipital
; l'inférieur n'existe pas, puisqu'il est soudé
eurs forment les côtés de la fontanelle postérieure. L'ccaille de l'
occipital
paraît peu développée relativement au reste de
mètre de hauteur; en arrière, au niveau de l'angle supérieur de l'
occipital
, elle se bifurque pour se continuer avec la tente
ient presque au contact des os frontaux ; en ar- rière, l'extrémité
occipitale
est assez éloignée de la paroi crânienne. En in
ment; les Fig. 2. - L F, lobe frontal. - L M, lobe moyen. L O, lobe
occipital
. z S S, scissure de Sylvius. - L I, lobule de l
e paracentral. - L Q, lobe carré. - C C, corps calleux. - L 0, lobe
occipital
. - f h, foyer hémorrhagique. 128 DESCRIPTION DE
Q) qui semblent répondre au lobe carré et au coin. Quant au lobe
occipital
(L O), il est assez épais et parait faire suite
ne avait 58 centimètres de circonférence, 38 depuis la protubérance
occipitale
externe jusqu'à la racine du nez, et 33 entre l
était de 58 centimètres ; la distance de la pointe du nez à la base
occipitale
41 cent.; celle d'une oreille à l'autre, 37 cen
é bien plus prononcé, la corne frontale que les cornes temporale et
occipitale
, c'est cette inégalité de dilatation qui expliq
suivantes : Encéphalocèle. Siège le plus fréquent à la ré- gion
occipitale
(53 fois sur 75.) Tumeur circonscrite. Bourre
Le plus souvent générale; ex- ceptionnellement bornée à la région
occipitale
. Tumeur diffuse. Pas de bourrelet osseux ; se
des méninges à travers un trou situé à la place de la protubérance
occipitale
et répondant à l'intervalle des quatre points d
ie posté- rieure du pariétal droit et de la partie avoisinante de l'
occipital
. La tumeur faisait une saillie extérieure qui n
ant, au-dessus de l'oreille et la grosse extrémité au ni- veau de l'
occipital
. On notait un petit étranglement à l'union du t
ivement superficiels. Le coin est peu volumineux, ainsi que le lobe
occipital
. La circonvolution du corps calleux, le corps c
pli courbe paraissent réguliers, sans arrêt de développement. Lobe
occipital
, normal. Face interne : circonvolution frontale
l le 7 septembre 1905. Il y a dix semaines, douleurs dans la région
occipitale
. En même temps, gon- flement de la face et du c
ure à la moyenne, elles sont inégales, particulièrement à la région
occipitale
. Visage. La mâchoire inférieure est bien dévelo
ontour régulier, d'une épaisseur à peu près normale. Protubé- rance
occipitale
externe très développée. Les sutures sont très pe
e par une apparente 278 CATOLA ' 1 surélévation du pariétal sur l'
occipital
. Par ailleurs,la surface des os pariétaux est a
râne ovoïdal, dolichocéphale. Cheveux noirs avec un seul tourbillon
occipital
; ligne d'insertion antérieure semi-circulaire ;
ntes splénoïdales sont lar- ges. Le rocher est normal.Le corps de l'
occipital
est réuni au splénoïde par un cartilage. Le c
pital est réuni au splénoïde par un cartilage. Le contour du trou
occipital
est un peu irrégulier ; son échancrure posté- r
ulier ; son échancrure posté- rieure est très marquée. Les condyles
occipitaux
sont atrophiés ; ils sont un peu concaves trans
e dans sa partie atloïdienne où il continue la direction delà crête
occipitale
ex- terne ; fortement oblique à droite ; presqu
lle cervicale supé- rieure peuvent naître des douleurs de la région
occipitale
(Pulnam- Krauss-Park, Saenger), des symptômes b
marginalis, au gyrus angularis, et à la superficie complexe du lobe
occipital
, c'est-à-dire à des zones qui, pour la formalion
ticalement dans la substance médullaire du lobe temporal et du lobe
occipital
. Or, dans tous ces cas, où la répétition des mo
e cérébral droit, au point de passage du lobe pariétal dans le lobe
occipital
, au-dessous et en arrière du gyrus angularis, u
écrites se fasse de préférence dans l'extrémité antérieure du lobe
occipital
[gyrus al1gut(t1'is), on comprend comment, dans
rieur de la F3, et l'operculum rolandicum, à l'exception de sa face
occipitale
. Est dégénérée la partie dorsale et an- térieur
x peut être partielle ou complète. Parfois le segment postérieur ou
occipital
seul fait défaut. La commissure antérieure peut
arrière pour former deux pi- liers arrondis dirigés vers les lobes
occipitaux
et qui s'enfonçaient peu à peu dans la profonde
ur tota- lité, mais un degré moindre cependant au niveau des cornes
occipitales
. Le tapétum des cornes temporo-sphénoïdales et
s cornes occipitales. Le tapétum des cornes temporo-sphénoïdales et
occipitales
est intact et ne peut donc pas, selon l'auteur,
ique du corps calleux, puisque celui-ci, ainsi que son prolongement
occipital
, le forceps majeur, font complètement défaut. Pou
e cette partie du tapétum située au-dessus et en dehors de la corne
occipitale
. Il existait également le long de la paroi inte
ors que la partie située au-dessous du splénium et destinée au lobe
occipital
était demeurée abso- lument intacte. Le faisc
génère à la suite de lésions aussi bien du lobe frontal que du lobe
occipital
; dans le premier cas, la sclérose n'est pas li
du carrefour ventriculaire et en particulier au niveau de la corne'
occipitale
, avec les fibres du forceps major du corps calleu
c les fibres du forceps major du corps calleux. Les lésions du lobe
occipital
retentissent non seulement sur le forceps du co
, et au niveau de sa face interne, la corne sphénoïdale et la corne
occipitale
se trouvent presque complètement exposées, grâc
au fond de laquelle les ganglions de la base font saillie. La corne
occipitale
est limitéeen bas par un bourrelet cortical qui
ière, puis remonte en dedans de l'extrémité postérieure de la corne
occipitale
pour se recourber ensuite en avant et former la
gres. Le corps du trigone fait totalement défaut. Au niveau du lobe
occipital
, aucune des scissures typiques, pas même la cal
s, poursuit l'auteur, font partie du faisceau d'association fronto-
occipital
; certaines d'entre elles se rendent à la capsule
nom de faisceau d'association fronto-temporal. Au niveau du lobe
occipital
, le tapétum est formé, selon l'auteur, par les
es fibres se rendent directement à la capsule externe. Dans le lobe
occipital
, les fibres de ce faisceau peuvent être suivies e
ome, le faisceau d'asso- ciation fronto-temporal. Au niveau du lobe
occipital
gauche, un certain nombre des fibres du cingulu
iane ou interne est constituée par le cingulum, le faisceau fronto-
occipital
et le faisceau fronto-temporal ; elle représente
neux se rend plus en arrière pour constituer le tapétum de la corne
occipitale
. Cette corne est très dilatée des deux côtés. D
e corne est très dilatée des deux côtés. Dans la profondeur du lobe
occipital
droit, on note plusieurs îlots do substance gri
it défaut et la fente ventriculaire s'étend du pôle frontal au pôle
occipital
. La circonvo- lution frontale supérieure et la
que hémisphère un faisceau sagittal reliant le pôle frontal au pôle
occipital
. Schrôder accepte cette hypothèse de Sachs que
res fournies par ces deux feuillets entourent complètement la corne
occipitale
. Les fibres du trigone pénètrent en avant dans
vent être suivies très loin et dans le lobe frontal et dans le lobe
occipital
. La commissure antérieure nettement reconnaissa
, le faisceau calleux longitudinal contourne les cornes frontale et
occipitale
du ventricule latéral et reçoit de nombreuses fib
x côtés,'une micro- gyrie très accentuée du lobe frontal et du lobe
occipital
, et, d'une façon générale, toutes les circonvol
u profondes et poursuivent un trajet atypique. La scissure pariéto-
occipitale
interne et la scissure calcarine ne se rencontren
tés et le revêtement épen- dymaire, surtout des cornes frontales et
occipitales
, est notablement épaissi et granuleux. L'étude
mais particuliè- rement nette au niveau du lobe frontal et du lobe
occipital
. Le cervelet est le siège d'une hypoplasie très
tout proéminent comme chez certains nains achondroplasiques ; l'os
occipital
est très développé et donne à la tête, .vue de pr
ètre longitudinal, et le développement relativement exagéré de l'os
occipital
; ce qui est très visible dans la photographie
la prévalence énorme du diamètre antéro-postérieur du crâne : l'os
occipital
est, comme chez notre premier sujet, très saill
valence du diamètre antéro-postérieur et par la proéminence de l'os
occipital
. Notre enfant, actuellement âgée de 22 mois, pè
t : Hémisphère gauche. Rien d'anormal pour les méninges. La corne
occipitale
du ventricule latéral est entourée d'un tissu ano
thologique, mais il en existe aussi sur la paroi interne et la corne
occipitale
est xxm 41 614 MERLE ET PASTINE entourée da
ntourée dans son entier par une véritable coiffe. En arrière la corne
occipitale
ventriculaire est légèrement symphysée et la sc
ée assez épaisse qui se dirige vers l'extrémité postérieure du lobe
occipital
. En avant la sclérose périveutriculaire s'étend j
la sclérose périventriculaire du ventricule latéral. Toute la corne
occipitale
est englobée dans une coiffe de sclérose et cet
eux, assez petites (1 centimètre de diamètre environ), dans le lobe
occipital
, et quatre, très petites, du volume d'un grain
1.x sclérose périventriculaire formant une coiHe qui entoure la corne
occipitale
. (Iréll11sphére droit. Il eu était : r peu prés
ance on note souvent leur absence complète. Dans une plaque du lobe
occipital
, constituée par de fines fibrilles névrogliques t
r de l'hémisphère pour se recourber ensuite en arrière vers le pôle
occipital
. Dans notre cas, comme dans tant d'autres, la pre
es anomalies dans le trajet des sillons du lobe pariétal et du lobe
occipital
. La branche verticale ascendante de la scissure i
lution pa- riétale supérieure par un large pli de passsage. Le lobe
occipital
pré- sente dans sa totalité un aspect légèremen
égèrement microgyrique et les deuxième et troisième circonvolutions
occipitales
sont l'une et l'autre subdivisées en trois part
obliquement en avant pour s'unir au second sillon temporal. Le lobe
occipital
droit a, comme le gauche, une tendance à la mic
le gauche, une tendance à la microgyrie. La deuxième circonvolution
occipitale
est traversée par un sillon qui relie la scissure
par un sillon qui relie la scissure pariéto-occipi- tale au sillon
occipital
inférieur. Le pied de la première circonvolution
e en arrière directement avec le lobule fusiforme et que le segment
occipital
de ce lo- bule est abondamment et irrégulièreme
u-dessous. Il existe toutefois au niveau de la face interne du lobe
occipital
, un lobe triangulaire limité en haut par un sil-
ouve plus très nettement à ce niveau le cin- gulum pariétal. Lobe
occipital
. Dans la partie moyenne de ce lobe, la corne post
habituellement considérés comme étant des faisceaux propres au lobe
occipital
, n'étaient que les prolongements postérieurs de
moindre trace du faisceau de Sachs. Plus en arrière, vers la pointe
occipitale
, ce faisceau finit par se dessiner, assez vagueme
encié au niveau du lobule lingual à travers toute l'étendue du lobe
occipital
. Ces particularités sont non seulement intéressan
s radiations calleuses du bord supérieur et de la convexité du lobe
occipital
. La couche sagittale interne est très dégénérée
n seg- ment ventral ou inférieur.Elle entoure complètement la corne
occipitale
, et ses fibres peuvent être suivies avec la plu
i AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX 645 Dès que l'on se rapproche du pôle
occipital
, on constate que les fibres du faisceau sagitta
i originale qu'un bord irrégulier et déchiqueté. En outre, la corne
occipitale
est le siège en deux points différents, d'une sym
quées et très étendues. Le tapétum s'étend peu à peu vers la région
occipitale
, mais ne dépasse pas encore en arrière le segment
gment temporal de la paroi ventriculaire externe. Au niveau du lobe
occipital
et des circonvolutions de la face médiane de l'
termine plus loin une symphyse ventriculaire circonscrite. La corne
occipitale
est particulièrement atteinte et est elle-même
upérieur du ventricule latéral. En arrière,là où il aborde la corne
occipitale
, le faisceau sagittal médian se renfle pour forme
s et sous-épendymaires qui sont surtout accen- tuées dans sa partie
occipitale
. Résumé ET interprétation DES faits. Nous ven
e chaque hémisphère, à partir de la corne frontale jusqu'à la corne
occipitale
, la zone sous-épendymaire est alimentée par de
phère opposé.Ce fais- ceau sagittal s'étend du pôle frontal au pôle
occipital
en côtoyant l'angle supéro-interne du ventricul
saillie issez prononcée des bosses parié- tales, symétriques. Bosse
occipitale
en relief. Visage arrondi, d'apparence un peu b
t, est nettement distinct. De même que sur la face externe, le lobe
occipital
est petit. V L., C C, couche optique, corps ttr
iques, lobule paracentral ; 1° et 2e circonv. frontales; circonv.
occipitales
: circonv. temporales ; etc.). - Colorations à
rent. Le crâne est légèrement ovoïde, petit, bosses pariétales et
occipitales
il peine saillantes. Le cou est assez long, cir
s répondant au 1/3 antérieur de la suture en question. Ecaille de l'
occipital
. Face externe. La bosse occipitale gauche est p
suture en question. Ecaille de l'occipital. Face externe. La bosse
occipitale
gauche est plus saillante que la bosse occipita
externe. La bosse occipitale gauche est plus saillante que la bosse
occipitale
droite. Face interne. La fosse occipitale gauch
us saillante que la bosse occipitale droite. Face interne. La fosse
occipitale
gauche est plus profonde que la droite. La crêt
itale gauche est plus profonde que la droite. La crête interne de l'
occipital
forme une courbe très prononcée à concavité gau
est plus développée que la partie droite. Pas de trans- parence ; l'
occipital
est il peu près uniformément opaque. Sutures. L
e normale. Les différentes fosses sont régulières ainsi que le trou
occipital
. L'apophyse crista-galli est arrondie et épaiss
volutions des autres lobes, arrêtées dans leur développement. Lobe
occipital
. Circonvolutions très grêles sur ses deux faces
profonde; la scissure calcarine est peu prononcée. Le coin, le lobe
occipital
, la circonvolution de l'hippocam- pe, la quatri
al est plus développé à gauche qu'à droite ; il en est de même de l'
occipital
correspondant. Toutes les sutures persistent. L
Tète. Elle est ovoïde avec prédominance très accusée de la région
occipitale
, saillie prononcée des bosses pariétales et rét
ur P2, sont assez volumineux ainsi que le pli courbe, PC et le lobe
occipital
LOC. Le pli courbe envoie un pli de passage au
lobe occipital LOC. Le pli courbe envoie un pli de passage au lobe
occipital
qui est assez développé, Le lobe tempo- nul a s
ditif A correspond exacte- ment au basion B (bord antérieur du trou
occipital
). Or, sur un crâne normal, ces deux points sont
timètres de taille (1 m O) et que son poids égalait 35 kilogr. L'os
occipital
est légèrement saillant : il semble l'avoir été d
e plan du rocher (R), répond au plan de l'inion. - op, plan du trou
occipital
. Les signes XX répondent aux bosses frontales e
rieur du rocher. A, trou auditif. B, basion (bord antérieur du trou
occipital
). ' Voir sur les os du crâne des myxoedémateux
s de l'écorce cérébrale : par exemple, au niveau des lobes frontal,
occipital
et rolandique (lobule paracentral). Pour le dir
structure générale des neuroblastes. Dans les au lies régions ¡lobe
occipital
, par exemple), le pro- ces>us pathologique n
laire de 2 cent, sur 5 ou 6 cent. sur le côté droit, au niveau de l'
occipital
; plusieurs ecchymoses en avant au niveau des pa
circonvolutions pariétales, le pli cour- be et les circonvolutions
occipitales
supérieures sont plutôt un peu grêles. - La lob
tandis que les circonvolutions du lobe carré, du coin et du lobe
occipital
sont plutôt petites. Les plis de passage sont a
. Crâne asymétrique : la ré- gion pariétale droite et la région
occipitale
gauche font saillie, de telle sorte que le gr
ent symétriques. L'apophyse crista galli est mince, mousse. Le trou
occipital
n'offre rien de particulier. Les apophyses clin
nférieur. P3, pli courbe. Se S., scissure de Sylvius. LOC, lobe
occipital
. LO, lobule orbitaire. Tl, T2, T3, 1 ? 2°, 3e
convolution frontale ascendante. SR, Sillon de Rolando. LOC, Lobe
occipital
. LO, Lobule orbitaire. T',T2,T3, lire, 2e, 3°
d'Ammon. CH, Circonvolution de l'hippocampe C, Coin. LOC, Lobe
occipital
. Sc cm, Scissure calloso-marginale. Se ip, Sc
scendante. ' r SR, sillon de Rolando. PC, pli courbe. LOC, lobe
occipital
. LO, lobe orbitaire. Ti, T2, T3, 1re, 2e, 3"
le plan du rocher (R), répond au plan de l'inion. op, plan du trou
occipital
. - Les signes XX répondent aux bosses frontales
rieur du rocher. A, trou auditif. B, basion (bord antérieur du trou
occipital
). $OTJRNIL1 E : Biçétré. T902. PL. Y. 294 Exp
et son grand dia- mètre s'étend de la lame quadrilatère à la bosse
occipitale
interne. La loge du cervelet est extrêmement
scend jusqu'a la scissure calloso-marginale. Le lobe carré, le lobe
occipital
semblent normaux. ., La circonvolution pariétal
bule pariétal supérieur ; sur le pli courbe ; sur la pointe du lobe
occipital
. b) Face inférieure : îlots sur les deux circon
ngeait un ther- momètre à même la pulpe cérébrale à travers le trou
occipital
; la température paraissait alors plus basse à l
t par ce moyen la température s'élever au niveau de la protubérance
occipitale
(sans cependant dépasser 102 REVUE CRITIQUE.
ion temporale, et de chaque côté de la ligne médiane pour la région
occipitale
. Les tiges des ther- momètres sont protégées pa
érant ces températures par régions céphaliques, on voit que le lobe
occipital
fournit constamment les chiffres les plus faibl
les formes de maladies mentales, comme chez l'homme sain, la région
occipitale
a une température plus basse que celle des autr
stérieure, le triceps crural répond à la partie postérieure du lobe
occipital
, les muscles abdominaux et ceux de la colonne v
e de' la région optique ainsi pré- sentée et conduite jusqu'au lobe
occipital
à travers le ganglion- géniculé externe est pré
es hallucinations.-Il existait en outre une céphalalgie frontale et
occipitale
intense.-Cécité complète; pupilles dilatées, su
ù la pie-mère entraîne avec elle l'écorce grise; -c'est sur le lobe
occipital
que les lésions sont le moins accentuées. Hémis
lution du corps calleux. - Rien sur le lobe pariétal ni sur le lobe
occipital
. Ventricules latéraux très dilatés des deux côt
. - Pleurésie. Démence. - Mort. - Autopsie : Rétrécissement du trou
occipital
. ? e ? H'Ho-e) ! cepAa ? <e. Tuberculose pul
80. . AUTOPSIE. Rétrécissement antéro-postérieur très net du trou
occipital
. Injection marquée et opacités de la pie-mère s
s bords de la scissure de Sylvius et sur la partie centrale du lobe
occipital
. Au niveau de ces adhérences, la substance cort
rammes par jour). A cette époque, l'enfant pré- sentait à la région
occipitale
une tuméfaction dure, due à des DE LA DÉMENCE É
-mère est notablement adhé- rente à l'extrémité postérieure du lobe
occipital
. Les poumons 'présentent une congestion très ma
en examinant la face interne. La crête frontale et la protubérance
occipitale
interne sont, en effet, notablement re- portées
la base du crâne, mesurée de la suture sagittale à la protubérance
occipitale
externe, est, à droite de 285 mill. et à gauche
fin, lorsque, tendant un fil de la crête frontale à la protubérance
occipitale
interne, on mesure la distance qui le sépare de
os du crâne sont soudés sur plusieurs points des sutures pariéto-
occipitales
. Dure-mère très épaissie, très adhérente sur le
'extrémité supérieure du .6 sillon" dé' Rolando à la pointe du lobe
occipital
: à droite, 13 c.; à gauche,, 8,,5. Remarquons
lus grand développe- ment du lobe frontal. ? 't'Les'circônvolutÍons
occipitales
et sphénoïdales ne présentent pas d'anomalies,
iH ? ".l|l-) ? i on voit une configuration des sillons temporaux et
occipitaux
, ? ^· ffl7f. -fl; IrrP f : t r;.Lrn l ? f) 4'1'-1
"10" 1 C t· [ ! Ym , . n ? -illi / . r,,i il et le troisième sillon
occipital
se continuent directement l'un 1N i ; i 11111 s
ait depuis quatorze jours d'une violente névralgie sus-orbitaire et
occipitale
. Quatre fortes crises par jour, durant depuis u
gué- rirent. t. Femme âgée de 55 ans, névralgie sus-orbitaire et
occipitale
; douleurs continues et à paroxysmes ; pas d'am
VUE DE THÉRAPEUTIQUE. Femme souffrant d'une névralgie du grand nerf
occipital
gauche; quatre doses d'un demi-drachme de l'ext
vers le haut, suivant le trajet normal, arrivait jusqu'au sillon
occipital
(ou sillon pariéto-occipital), et le coupait à
onvolution de l'hippocampe (gyus hippo- campe). Les circonvolutions
occipitales
, plus nom- 362 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. breuses
contenait 20 onces d'une sérosité ' Campbel Clark. -d detached left
occipital
lobe, and ollaer abnorma- lities in the brain o
qu'on remarquait sur ce cerveau, il faut citer encore : 1° le lobe
occipital
gauche, de dimensions réduites, qui se trouvait
es, se détache très finement le sillon pariéto-occipital (ou sillon
occipital
, ou scissure perpendiculaire LOCALISATIONS CÉRÉ
moins nettement le sillon interpariétal (PL. X, XI, C) et le sillon
occipital
transverse. Entre le lobule pariétal inférieur
dirige en arrière, contourne le sillon pariéto-occipital (ou sillon
occipital
, ou scissure perpendiculaire externe), et va, d
e perpendiculaire externe), et va, des deux côtés, couper le sillon
occipital
transverse. A gauche, le sillon pariéto-occipit
to-occipital (PL. X, XI, po) est assez largement béant. Sur le lobe
occipital
(PL. X, XI, 0), en outre du sillon occi- pital
(PL. X, XI, Tr.) on trouve encore un sillon : de sorte que le lobe
occipital
se présente avec ses trois circonvolu- tions ca
o, sillon pariéto-occipital. C, sillon intrà-pariétal. Tr, sillon
occipital
transverse. Planche XI. Surface externe de l'
premier sillon frontal. f*, deuxième sillon frontal. Tu', sillon
occipital
transverse. T 1, T ', premier et deuxième sillo
ains reposent sur la poitrine. La tête est petite ; la protubérance
occipitale
est très sail- lante ; en avant on remarque une
ase du cerveau (PL. IX), on remar- que à la face inférieure du lobe
occipital
droit, une disposition anormale des circonvolut
its ombrés que l'on voit sur la même Planche, à l'extrémité du lobe
occipital
gauche, ne donnent qu'une médiocre idée des lés
e médiocre idée des lésions. En effet, toutes les circon- volutions
occipitales
, aussi bien à la face inférieure de ce lobe qu'
Hémisphère gauche. Ainsi, les circonvolutions qui bordent la région
occipitale
de la grande scissure du cerveau sont atro- phi
rande scissure du cerveau sont atro- phiées. De l'extrémité du lobe
occipital
et à trois centimètres au-dessous partent, sous
ps calleux; enfin atrophie des première et deuxième circonvolutions
occipitales
. C'est à six mois que sont apparues les convuls
ution temporale; - j) enfin un îlot sur la troisième circonvolution
occipitale
( PL. VI, N. ). 2° Face interne. Notons : a ) u
rijumeau antérieur. 8° La diminution de volume de la pointe du lobe
occipital
est due à l'altération de celui-ci et non à un
quadrijumeau antérieur sous-jacent (Gudden); 9° La pointe du lobe
occipital
est,chez lelapin,le centre cortical de l'appare
édiane, à 4 centimètres et demi au-dessus du bord antérieur du trou
occipital
, une perte de substance arrondie ayant presque le
de la moelle allongée, qui est plus ferme que la protubérance; trou
occipital
de lalargeur normale, il n'y a pas d'hypertrophie
logue à celle que déterminerait la pression du petit doigt. Le trou
occipital
a la forme d'un ha- ricot dont le hile serait d
e osseux de la base du crâne en ce point limité qui s'étend du trou
occipital
à la selle turcique, l'ecchon- drose qui, pour
oraux, et en arrière avec les centres psycho-sensoriels des régions
occipitales
. La partie antérieure de cette circonvolution s
endante), (PL. XIII, cm). La scissure pariéto-occipitale (ou sillon
occipital
, ou scissure perpendiculaire interne) se présen
te; nous atteignons icilascissure=ipariéto-occipitalef(ou ^ "sillon
occipital
/ou scissure -perpendiculaire interne et externe)
8l 91 zr4 ? aisfr r 91v^iiîoae'rri ? 5'2S zaDiaètre ·e rtical dulbe
occipital
, des deux côtés ... 7,25 du wi o 1 ,Otidillde à
lgb du lobe temporal. foil flOI3 - Iit nez n ·. -'rr ? ? f- dullobe
occipital
. Diamètre transversal du pédoncule cérébral, 'p
ane desfaisceauxpariétauxsupérieurs.pédiculo-parlétauxsupérieurs,
occipitaux
et n'intéressant que la substance blanche. Une se
o, sillon pariéto-occipital. C, sillon intrà-pariétal. Tr, sillon
occipital
transverse. 678 EXPLICATION DES PLANCHES. PLA
', premier sillon frontal. f, deuxième sillon frontal. 7 ? sillon
occipital
transverse. y',7 ? ! , premier et deuxième sill
In : p, lobe postérieur de l'insula (portion proéminente). 0, lobe
occipital
. T l,T2, T 3, première, deuxième, troisième cir
n arrière de la coupe précédente; elle sectionne le sillon pariéto-
occipital
. Ip, substance grise de la portion saillante de
se intestinale. - Atrophie du cerveau surtout des lobes frontaux et
occipitaux
. - Développement exagéré du cervelet. - Pac/t.M
ratique une incision horizontale et on s'aperçoit qu'au niveau de l'
occipital
, la dure-mère est très épaissie, et qu'il exist
En avant en haut et en dehors la cavité était limitée par les lobes
occipitaux
du cerveau. Ceux-ci offrent un aspect gélatinif
des traces analogues situées sur la pariétale ascendante. Les lobes
occipitaux
dont nous avons déja signalé l'atrophie, sont d
lobe pariétal est régulier bien que légèrement atrophié. - Le lobe
occipital
est lisse, régulier; il est atrophié à sa partie
postérieure des lobes temporaux et ce qui représente les , lobes
occipitaux
n'offrent que des lésions de méningite ou de mé
aucoup de cheveux, qui ne sont pas tombés. Au niveau des bosses
occipitales
, il existe une bande d'alopécie ayant 10 cent
s bos- ses pariétales sont assez saillantes et égales. La bosse
occipitale
gauche est plus saillante que la droite. La f
te symétrique, mince partoutsaufau niveau de la partie moyenne de l'
occipital
où elle est assez épaisse et mesure 7 nullim. N
t de niveau avec les parties voisines des pariétaux. La partie de l'
occipital
, située immédiatement au-dessous, est épaissie
rpendiculaire, externe est nette, plus accusée qu'a gauche. Le lobe
occipital
est toujours d'aspect rudimen- taire mais un pe
assez grosse ; crâne oval, symétrique, assez développé aux régions
occipitale
et mastoïdienne. 8ci DESCRIPTION DU malade. l
(Voir plus loin la description complète du squelette). - Le trou
occipital
est normal. - La dure-mère est très congestionnée
re et de l'extrémité du lobe fron- tal. Les circonvolutions du lobe
occipital
sont aussi plusgré. les que ne le fait voir la
plus accentué iL gauche. - Rien de particulier à noter à la région
occipitale
. La suture lambdoïde est très sinueuse, réguliè
euse, régulière, asymétrique. Le pariétal gauche empiète plus sur l'
occipital
que le droit La crête occipitale du côté de la
pariétal gauche empiète plus sur l'occipital que le droit La crête
occipitale
du côté de la face interne est très saillante.
l délimité. PA garde seule son autonomie. Il en est de même du lobe
occipital
qui est sclérosé et atrophié dans toute la part
de l'hémisphère droit est d'aspect normal. Les lobes pariétaux et
occipitaux
n'offrent aucune particu- larité si ce n'est da
ume moyen, il n'offre rien de particulier. Les bosses pariétales et
occipitales
sont normales, les fontanelles soudées. - Le vi
corps calleux, la première frontale, le lobe quadrilatère, le lobe
occipital
et le lobe temporal. Seul le lobe paracentral,
rginal et ceux qui séparent le coin du lobe quadrilatère et du lobe
occipital
ne présentent pas d'adhérences. Aux points atte
téraux sont dilatés, mais à un degré moyen, surtout dans les cornes
occipitales
et tem- porales. Leurs parois sont lisses et ré
895. - Crâne à peu près arrondi avec proéminence assez marquée de l'
occipital
. Les bosses pariétales sont volumineuses. Le fr
mbé un peu plus iL droite qu'à gauche ; bosses pariétales et région
occipitale
saillantes. Cuir chevelu épais, recouvert d'une
, immédiatement en dehors de l'angle supérieur et postérieur de l'
occipital
. - L'os frontal est fuyant et, au-dessus de sa
es deux hémisphères. Sauf sur la face interne des lobes temporal et
occipital
droits et sur la région pariétale gauche où il
.P.I., pli pariétal inférieur. T1, première temporale. L.O., lobe
occipital
. Fig. 2. - Face interne du même hémisphère. C
le. L.P., lobe paracentral. L.Q., lobe quadrilatère. L.O., lobe
occipital
. BOURNEVILLE, Bicêtre, 189'" £ PL. III Bour
ière, seconde et troisième circonvolutions temporales. L.O., lobe
occipital
. Le foyer a détruit la circonvolution d'enceint
x. L.P., lobe paracentral. L.Q., lobe quadrilatère. L.()., lobe
occipital
. C.lI., circonvolution de l'hippocampe. BOURN
ie postérieure droite est un plus saillante que la partie gauche. L'
occipital
est très développé. La bosse frontale droite es
(Fig. 1). Tète longue, avec une proéminence assez prononcée de l'
occipital
, surmontée d'un méplat. Les bosses pariétales, as
actuel (15 janvier 1888). Tête symétrique, un peu carrée. La région
occipitale
est assez volumineuse; les bosses parié- tales
- fant est éveillée. Etat actuel (11 juin 1888). - Tête ovoïde, l'
occipital
for- mant une saillie assez prononcée et le fro
grêles par places, puis ren- flées entre ces étranglements. Le lobe
occipital
est petit; les circonvolutions serrées et peu s
tal sont très peu pro- fonds ; ceux des lobes pariétal, temporal et
occipital
le sont un peu plus. Les sillons de la face int
eloppée, ainsi que la 3e. - Le pli courbe est bien formé. - Le lobe
occipital
est formé de cir- convolutions peu sinueuses. -
loppés jusqu'à la scissure cal- carine. Les circonvolutions du lobe
occipital
présentent beaucoup de points amaigris. La circ
r,). Les cré- tins ne présentent généralement pas de protubérance
occipitale
. (Commission Sarde). Cheveux épais, très four
u verlex, large à la base et carrée, asymétrique ; protu- bérance
occipitale
offrant un développement à peu près normal.
nt dans la substance blanche. La coupe d'une circonvolution du lobe
occipital
gauche à la,. '122 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. f
dans les régions motrices gauches. La première frontale et le lobe
occipital
droits sont à peu près semblables aux parties g
ut aux points de pénétration des capillaires. Sur une coupe du lobe
occipital
, une portion assez considérable de substance gr
vasculaires très dilatés. Dans une circonvolution prise sur le lobe
occipital
, les foyers de désintégration à centre vacuolai
se retrouve sur les pièces montées à la glycérine. Coupes du lobe
occipital
gauche. - Il présente aussi de l'amai- grisseme
etrouve les mêmes désordres dans les régions motrices, dans le lobe
occipital
. Là toutefois, elles sont moins accentuées, et ce
seulement un grand nombre de corpuscules amylacés. Coupes du lobe
occipital
, atrophié. Même vascularisation ; l'espace comp
les coupes laissées vingt-quatre heures dans ce réactif. f. Lobe
occipital
clroit en dehors de la lésion. Vaisseaux nombreux
Nombreux corps granuleux dans la substance blanche. Dans le lobe
occipital
, on retrouve, à côté de points normaux dans l'éco
sont très dilatés, les corps granuleux sont très abondants. Lobe
occipital
. - Les coupes du lobe occipital, au niveau d'un
granuleux sont très abondants. Lobe occipital. - Les coupes du lobe
occipital
, au niveau d'un foyer plus étendu que celui que
tuel. Mai 1S83. Tête arrondie. Pas de saillies exagérées des bosses
occipitales
ni pariétales. Front peu élevé et peu large, sa
Tête. - Elle est ovoïde avec prédominance très accusée de la région
occipitale
, saillie prononcée des bosses pariétales et rétré
la sécrétion longitudinale commence à reprendre (baume). 2° Lobe
occipital
(Schad.). - De la pie-mère (A) partent des vais
Crâne asymétrique : la ré- gion pariétale droite et la ré- gion
occipitale
gauche font Fia ? - Tlcn ? ,t 11{/J'c. Juille
ent symétriques. L'apophyse crista galli est mince, mousse. Le trou
occipital
n'offre rien de particulier. Les apophyses clin
en arrière du vertex et étendu sur une longueur de '1 il centim. L'
occipital
est sail- lant. La fontanelle antérieure persis
, sans ecchymoses. Crâne plagiocéphalique : frontal droit saillant,
occipital
droit déprimé. Les os sont durs, moyennement ép
sez longue. Pas d'asymétrie des fosses de la base du crâne. Le trou
occipital
semble avoir ses dimensions normales. La pie-mè
; on note un épaississement au niveau de la suture coronalc. Bosses
occipitale
et pariétale gau- ches plus saillantes que les
sangue. Les différentes fosses de la base sont symétriques, le trou
occipital
est normal. Cerveau, - Hémisphère droit. Pie-mè
st ovoïde avec un léger degré de plagiocéphalie (aplatissement de l'
occipital
droit et du frontal gauche). Elle est très minc
pariétaux, un peu plus sur le gauche que sur le droit, enfin sur l'
occipital
gauche. Les fontanelles sont ossifiées ; les su
e équivaut à une petite noix. On en sent un autre au niveau du lobe
occipital
gauche. A droite, on sent une petite induration
des parties jaunâtres, plus épaisses, non transparentes.- Les lobes
occipitaux
et tempo- raux sont bien dessinés. Le lobe te
épaississement à sa pointe, d'environ un centimètre carré. Le lobe
occipital
gauche offre, dans sa moitié postérieure, un épai
ble pas y avoir de fragments de circonvolution. En arrière, le lobe
occipital
persiste avec des circonvolutions qui ont une f
capillaire. - A la partie moyenne, même aspect qu'à gauche. Le lobe
occipital
n'est plus reconnaissahie, en tant que circon-
tal, rolandique, frontal, temporal et la plus grande partie du lobe
occipital
, le ventricule latéral, le corps opto-strié tout
- Sauf quelques points de détail (disparition plus complète du lobe
occipital
, épaississement plus ou moins marqué des membra
e grande comme un franc; une autre plaque plus grande à la région
occipitale
(1). Petits ganglions sous-maxillaires et cervica
très nettement, même à l'oeil nu, sur les préparations de la région
occipitale
colorées au Weigert-Pal. Le réseau d'Exner et l
euse. La peau est blanche, sèche. Le crâne est élargi en arrière, l'
occipital
est proéminent, les bosses pariétales sont accu
Mort. Résultats de l'autopsie : Absence presque complète du lobe
occipital
. Arrêt de développement et malformations consid
nts. - Oreillons. Rougeole à 9 ans. - Autopsie : sclérose du lobe
occipital
droit. Loui.. (Joseph), né à Paris le 10 mars 1
' P3., pli courbe. Se., t ? , scissure temporale. L. Oc., Lobe
occipital
. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1900. Po. II. 216 Expl
frontale. Tout, Top, première et deuxième circonvolution temporo-
occipitales
. C.A., Corne d'Ammon. Sc. to2., Deuxième scis
. R., sillon de Romande L. O., lobule orbitaire. - 1. O. C., lobe
occipital
. Tl, T2, T3., 1 rc, 2e, 3" circonvolutions temp
endant ses attaques, et qui est alors très douloureux. Céphalalgies
occipitales
et tem- porales fréquentes. Digestion. -Bon a
un sillon superficiel pour aller enfin s'anasto- moser avec le lobe
occipital
. Le lobule pariétal inférieur est au contraire
as les circonvolutions de l'insula qui sont atrophiées. , Le lobe
occipital
ne dénote rien de particulier. Les circonvoluti
mporale^. La scissure perpendiculaire externe est très profonde. La
occipitale
, grosse, est dédoublée; la 2"" très grêle est u
lutions dont la supérieure est double en arrière. La Il-- temporale
occipitale
, épaisse et chagrinée en arrière, donne en avan
endiculaire externe est profonde, bien marquée. Les circonvolutions
occipitales
sont séparées par des plis profonds : la premiè
rière à la 11'0 dont elle est séparée par un sillon profond. La 3me
occipitale
, double ne arrière, devient simple et très irré
r la face inférieure présente l'aspect suivant : La -1"" temporo-
occipitale
est grosse, double en arrière, très sinueuse; la
tudinal supérieur. Le diplod est peu développé, sauf au niveau de l'
occipital
. Toutes les sutures sont persistantes, sauf la
ière en avant, avec la circonvolution du corps calleux. La scissure
occipitale
est bien plus marquée qu'à la, face externe.
que la droite. Les fosses temporales paraissent égales. Les fosses
occipitales
sont profondes. - Le trou. occipital paraît nor
araissent égales. Les fosses occipitales sont profondes. - Le trou.
occipital
paraît normal. La dure-mère est un peu épaissie
angle droit pour le limiter en arrière, et le séparer ainsi du lobe
occipital
auquel il n'est contigu que par sa partie supér
i se continue du reste avec cette circonvolution temporale. Le lobe
occipital
est séparé de cette dernière par un sillon prof
ques petits sillons peu profonds à -direction indéterminée. Le lobe
occipital
est séparé, comme nous l'avons dit, de la circo
tion précédente par une 'scissure extrêmement profonde, la scissure
occipitale
. Il a une forme triangulaire et est constitué p
ttement séparé du dernier par la scissure sous- frontale et du lobe
occipital
par la scissure occipitale. Le lobe du corps ca
par la scissure sous- frontale et du lobe occipital par la scissure
occipitale
. Le lobe du corps calleux est très peu développ
sentant d'assez nombreuses sinuosités des .circonvolutions. Le lobe
occipital
n'offre rien de particulier. Face inférieure. V
ntes et très rapprochées de la ligne médiane : bosses pariétales et
occipitales
assez marquées. Front étroit et un peu bas; arc
issie La base recouverte de la dure-mère parait symétrique; le trou
occipital
est un peu déjeté à droite. La glande pituitair
ère, seconde et troisième circonvolutions frontales. L. Oc., lobe
occipital
. S. O., scissure occipitale. L. F., lobe fron
convolutions frontales. L. Oc., lobe occipital. S. O., scissure
occipitale
. L. F., lobe frontal. L. P., lobe pariétal.
beaucoup plus considérables : les écaille ? temporales et l'écaille
occipitale
for- mant trois saillies très prononcées. En pa
ieur. A signaler la dépression sus-orbitaire et la dépression sous-
occipitale
. Dimensions du crâne. 1 4 BERTOLOTTI dire a
de la fosse cérébrale postérieure, limitée en arrière par l'écaille
occipitale
. Avant de passer à l'étude radiographique du cr
ÉTUDE DU SYi\DKO ! lOE 0lYl;PHALIQUE 23 limite antérieure du trou
occipital
). En joignant entre eux ces trois points nous o
r est toujours petit el le trou auditif apparaît normal ; l'écaille
occipitale
suit une courbure à peu près régulière mais tous
nt le plan du jic2cn sphenoïdalis. Par suite de cette courbure, l'
occipital
présente une inflexion plus accusée de la parti
accusée de la partie inférieure de l'écaille, et la posilion du Irou
occipital
et des condyles devient très oblique, de façon
vu par l'élude anatomique du crâne oxycéphale, la direction du trou
occipital
est bien plus rapprochée du plan horizontal qu'
ntal qu'à l'état physiologique. Cette rotation antérieure du trou
occipital
vient donc à altérer les rap- ports de la ligne
hose basilaire de la dysostose et la direction très oblique du trou
occipital
dans l'hydrocéphalie qui peut donner à la ligne
s loca- lisées à la partie postérieure du crâne el notamment à l'os
occipital
. Elsasser, Schultz, Betz, Sleiner, Duval et Pic
st le même, avec simplement tendance à l'en- foncement de l'écaille
occipitale
. L'enfoncement de la selle turcique dans l'oxyc
siège fixe. Elle occupe tantôt la région frontale, tantôt la région
occipitale
. Il survient en outre, une sensation intense de
t également fréquente dans la légion frontale, comme dans la région
occipitale
. Par la percussion, on ne constate pas un endro
r la ligne médiane de la tête, cm. 1/2 au-dessus de la protubérance
occipitale
externe, existe une plaie analogue. A peu près à
était cons- .tituée par des parties de l'écaille du temporal, de l'
occipital
et, surtout, du pariétal, avait été réduite en
tons, et plus bas cette même ligne séparerait les lobes temporal et
occipital
. Tant par l'évolution clinique de la maladie qu
ure du pli courbe, pour ressortir par la deuxième circonvo- lui ion
occipitale
; en outre, par répercussion, la substance médull
r la taille un peu forte du nez, par ['exagération de la tubérosité
occipitale
externe et des sinus frontaux, par la saillie d
e triangulaire à base supé- rieure répondant au bord inférieur de l'
occipital
, et dont le sommet coïncide avec la 3' apophyse
'une au-dessus de l'autre. Cette apophyse épineuse est séparée de l'
occipital
par une dépression que l'on augmente en mettant
avec l'atlas, est en partie remplacé par l'intervalle qui sépare l'
occipital
de la première apophyse épineuse. Et ceci nous
jusqu'à la base du crâne et qu'il vient finir à peu de distance de l'
occipital
. Le coeur occupe sa situation habituelle ; il e
IL cachée par le maxillaire inférieur en avant, et par la base de l'
occipital
en arrière. La présence du poumon est indiqué
horaci- que, on sent la première vertèbre et le bord inférieur de l'
occipital
. Côtes. - Les côtes qui forment cette cage thor
pter les côtes. Base du crâne. - La partie potéro-inférieure de l'
occipital
présente une protubérance occipitale externe tr
a partie potéro-inférieure de l'occipital présente une protubérance
occipitale
externe très saillante, elle atteint 1 centimètre
e vertébrale du crâne et de l'opinion des auteurs qui considèrent l'
occipital
comme une ver- tèbre et la protubérance occipit
qui considèrent l'occipital comme une ver- tèbre et la protubérance
occipitale
externe comme une ébauche d'apophyse épineuse.
s occuperons que de la partie de la colonne vertébrale étendue de l'
occipital
au sacrum ; le reste nous ayant paru normal.
t à droite. · Les vertèbres. Cette colonne vertébrale, étendue de l'
occipital
au sa- crum, est formée de 12 vertèbres netteme
ne légère scissure, où s'articulait, peut-être, un tuber- cule de l'
occipital
, disposition que l'on rencontre chez certaines es
nne vertébrale ; nous avons noté que les rapports avec la base de l'
occipital
étaient variables suivant la position de la têt
t la position de la tête : Lorsque la tête est en hyperextension, l'
occipital
venait au contact de cette apophyse épineuse (v
erflexion, un espace de 2 centimètres la sépa- rait de la base de l'
occipital
. Un doigt introduit dans cet espace pénétrait d
puisque seules ces vertèbres possè- dent des côtes. dorsale et l'
occipital
. c) Sont vertèbres lombaires, toutes les vertèb
10 Vertèbres. Le nombre des vertèbres formant le squelette depuis l'
occipital
jusqu'au sacrum est très réduit. Nous ne compto
ar un large orifice qui était en communication directe avec le trou
occipital
. En avant de cet orifice se trouve une ébauche
fontanelle antérieure où on percevait des battements. Saillie de l'
occipital
au niveau de la suture lambdoïde. Palais très ogi
veux) est plus petite (75 mm.) que la gauche (8 cent.). A la région
occipitale
on retrouve un sillon moins accentué, se contin
malades des auteurs français précités, l'aplatissement de la région
occipitale
. Les deux clavicules ne sont représentées que p
re- ment plus saillante qu'à l'ordinaire. Le diamètre frontal droit
occipital
gauche = 172 ; le diamètre frontal gauche occip
e frontal droit occipital gauche = 172 ; le diamètre frontal gauche
occipital
droit = 175 : le crâne est donc légèrement plag
augmentent et surtout le coït. Elles sont localisées dans la région
occipitale
. Aujourd'hui il lPS trouve aussi fortes à droite
ier cas, au commencement elle a été localisée à droite de la région
occipitale
et ensuite aux deux côtés de la, même région. Les
enne des deux pavillons auriculaires en passant par la protubérance
occipitale
externe ; les fossettes rétro-mas- toïdiennes s
estons. Le crâne est nettement brachycé- phale : de la protubérance
occipitale
à la glabelle, on mesure 35 cent. ; d'une apoph
SYPHILIS UÈRÉDITAIHE TARDIVE 87 entre les deux lobes pariétal et
occipital
et allant en s'amincissant vers la ,l scissure
un pont de substance de 2 centimètres environ. De ce fait, le lobe
occipital
se termine en une languette mince, de 2 cent. 1
AR L. MARCHAND, Médecin-Adjoint des asiles d'aliénés. Les lobes
occipitaux
sont le siège des centres visuels corticaux; c'es
ue les centres visuels corticaux occupent la face interne des lobes
occipitaux
, au niveau de la scissure calcarine. L'obser- v
bles déterminés chez l'homme par la sclé- rose symétrique des lobes
occipitaux
. La marche lente de l'affection, la lésion défi
e qui peut être assimilée à une destruction complète des deux lobes
occipitaux
ajoutent encore à l'intérêt de cette observation.
menaçait de tuer les personnes de son SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES LOBES
OCCIPITAUX
101 entourage. Ses parents la soignèrent pendan
tte crâ- nienne. Les os du crâne sont très épaissis. Au niveau de l'
occipital
, le crâne NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtriè
archand.) Masson & CL, Editeurs SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES LOBES
OCCIPITAUX
103 mesure un centimètre environ d'épaisseur. L
érences entre la dure-mère et la pie-mère. Au niveau des deux lobes
occipitaux
, la dure-mère adhère à la pie-mère ; le cerveau e
ses et solides, d'autant plus nombreuses qu'on se rapproche du pôle
occipital
. Le cerveau est congestionné. L'hémisphère droi
aux et temporaux. Au niveau de la face externe et interne des lobes
occipitaux
, le cerveau est recouvert de membranes détermin
x circonvolutions. Les circonvolutions de la face externe des lobes
occipitaux
sont petites, ratatinées, atrophiées ; elles ont
nétrées par les fausses membranes. A la face interne des deux lobes
occipitaux
, les circonvolutions ont le même aspect; au tou
st due au peu d'épaisseur que présente la paroi interne de la corne
occipitale
du ventricule latéral. Cette paroi mesure en mo
antéro-postérieur du cerveau et passant quatre centimètres du pôle
occipital
, la minceur de la partie interne des lobes occipi
blanche au niveau des circonvolutions de la face externe des lobes
occipitaux
; ces parties donnent au toucher une sensation tr
amen micrographique. -- L'examen a porté sur les parois de la corne
occipitale
des ventricules latéraux, les deux putamens. les
min et à l'hématoxyline de Delalield. La paroi interne des cornes
occipitales
des ventricules latéraux, réduite à une milice
e la partie antérieure du précunéus. La paroi externe de la corne
occipitale
des ventricules latéraux est également le siège
oire. Von Monakow com- prend comme sphères visuelles tous les lobes
occipitaux
jusqu'aux plis courbes, Vialet la face interne
obule lingual, 1\othnagel au cunéus et à la première circonvolution
occipitale
; Henschen précisant davantage le restreint aux
rmes. Bull, Dahms, Henschen et Vialet SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES LOBES
OCCIPITAUX
109 se sont élevés contre cette hypothèse et on
la marche de l'affection Notre malade, malgré l'étendue des lésions
occipitales
avait conserva un petit champ visuel autour du
me des aveugles par lésions périphériques. Dans les lésions du lobe
occipital
, il est de règle de voir les malades perdre leur
f. Ophtalmologie, Leipzig, 1890, I. SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES LOBES
OCCIPITAUX
10 ? dans les lésions des sphères visuelles : «
e (Sachs). Chez les malades atteints de lésion symétrique des lobes
occipitaux
et ayant conservé la vision centrale, la vue de l
es et tactiles ne peuvent plus être reproduites en séries ; le lobe
occipital
a presque toujours perdu ses relations avec les
vant en arrière. Le corps du sphé- noïde, les rochers, la base de l'
occipital
, ses masses latérales concourent à la formation
ure-mère et le plan osseux que forment le sphénoïde, le rocher et l'
occipital
. ne se dégage, dans le sac durai, que vers l'oc
rocher et l'occipital. ne se dégage, dans le sac durai, que vers l'
occipital
, et il vient flotter libre jusque vers le rachis
gnathisme du maxillaire inférieur; forte saillie de la protubérance
occipitale
; - langue volumineuse et très étalée. Au tronc
La distance du nez au sommet est 125 mm., du nez et la protubérance
occipitale
externe 315 mm., l'arc biauriculaire par le som
IV et LV, A, B, C). Dans les Lobes pariétal droit, pariétal gauche,
occipital
droit, occipital gauche, on trouve à peu près t
). Dans les Lobes pariétal droit, pariétal gauche, occipital droit,
occipital
gauche, on trouve à peu près toujours les mêmes
pho- tocollogr.), par M. Dide, 341. Sclérose symétrique des lobes
occipitaux
(1 pl. en photocollogr.), par Marchand, 100.
e (2 pl.), 280. Marchand. Un cas de sclérose symétrique des lobes
occipitaux
(1 pl. en photogr.), 100. Mariani . L'Apothic
e catatonique (Dide), LXV à LXVIII. Sclérose symétrique des lobes
occipitaux
(Marchand), XXII. Spasmes et tremblements che
droite. Régions temporales saillantes. La partie gauche de la bosse
occipitale
est plus proéminente que la droite. Angle facia
que. Bosses frontales, pariétales, saillie moyenne et égale. Bosse
occipitale
normale. Front haut de 5 cm. La face, car- rée,
matisme violent ; notons ce- pendant une plaie contuse de la région
occipitale
dont il reste une cicatrice. Au point de vue
rachycéphale, saillie marquée des bosses pariétales. La potubérance
occipitale
externe et les bosses frontales sont peu sailla
clair, longs et abondants. Crâne légèrement dolichocéphale. Bosses
occipitales
peu saillantes, pariétales et frontales assez s
Les régions temporales présentent une très petite bosse. La région
occipitale
est plate. (Voir le tableau des mensurations dé
ées vers les circonvo- lutions frontales inférieures, temporales et
occipitales
. Agencement des couches cellulaires. Celles-ci,
e gaucho 11 mm., à la région pariétale droite 8 mm. ; la coupe de l'
occipital
est beaucoup moins épaisse, surtout il gauche.
it est un peu plus saillant que le gau- che, il en est de même de l'
occipital
droit. Les os sont peu durs. Sur la coupe, le c
roites qu'à droite. Pas de diffé- rence bien appréciable des fosses
occipitales
. - Les nerfs olfactifs paraissent égaux. - Le n
olutions; l'atrophie prédonime au niveau du lobe frontal et du lobe
occipital
. - Toutes les circonvolutions sont un peu indur
ur atrophie, très-notable, prédomine sur le lobe frontal et le lobe
occipital
. Il y a également, à gauche, mais moins marquée
ice externe du conduit auditif et le basion (bord antérieur du trou
occipital
) normalement à un niveau différent se trouvaien
re 3 millimètres, le pariétal 3 millimètres). La moitié droite de l'
occipital
participe à cette hypertrophie osseuse (Fig. 67
rontal gauche (légèrement hypertrophiée) ainsi que le pariétal et l'
occipital
droits sont gras et d'un gris violacé, indice d
a suture pariélo-occipitale sont très dentelées. Extérieurement l'
occipital
fait une saillie notable sur le pariétal à gauc
très volumi- HYPERTROPHIE DU crâne A gauche. 259 neuses. Fosse
occipitale
droite un peu moins longue . que la gauche. Pie
quadri- latère et le coin, formant une masse confuse, enfin le lobe
occipital
déformé, - La circonvolution du corps calleux,
asymétrique, plagiocéphalie légère méplat léger au côte droit de l'
occipital
et diminution de la bosse frontale gauche. La f
en avant. Il est ex- cessivement grêle. Rien de particulier au lobe
occipital
. La face interne de l'hémisphère présente une f
nt dessinées. Il en est de même de FA et de PA. Les lobes pariétal,
occipital
et temporal ont sensiblement l'aspect normal. M
volution de l'hippocampe. . L O, lobe carré. C, coin. L O, lobe
occipital
. Planche VIII. Face convexe de l'hémisphère c
volution de l'hippocampe. - LQ, lobe carré. - C, coin. - LO, lobe
occipital
. L, f, lobe fusiforme très volumineux. T3, troi
le pariétal supérieur. - P2 lobule pariétal inférieur. - LO, lobe
occipital
. Planche XV. Hémisphère cérébral droit : face
obe temporal composé de circonvolutions très atro- phiées. LO, lobe
occipital
. ERRATA. Page 164, ligne 11, l'indication Fig
temporal a été excisé ainsi que la partie externe inférieure du lobe
occipital
. Le cervelet aussi a été excisé. f, entrecroise
x, cul-de-sac de la région temporale du ventricule, o o , cul-de-sac
occipital
du ventricule. Z, scissure inter-lobaire du cerve
averse médio-pariétale. D H h h, traverse surcilière. G G G, traverse
occipitale
. Toutes ces traverses vont de la circonvolu-tion
branche f" la traverse surcilière. g g, ligne d'union de la traverse
occipitale
à la grande circonvolution de deuxième ordre. C
ère le groupe en croissant du groupe quadrilatère. P P P D', traverse
occipitale
allant de l'angle aigu de la scissure de Sylvius
première circonvolution de deuxième ordre a a' D', et de la traverse
occipitale
G G G. Dans cette figure, A marque la scissure
de la traverse pariétale postérieure. O, O. O, indiquent la tra-verse
occipitale
. Cette planche contient deux figures dont le bu
longement postérieur du ventricule et se trouve en regard de la bosse
occipitale
supérieure. R", tubérosité temporale répondant
I F, rayon postérieur ouvert dans l'intervalle de 1 I, condyles de l'
occipital
. FIGURE 2e. Base du crâne à l'intérieur. I,
postérieur. 1 -f -|- 4 , rayon postérieur ouvert en -|—h par le trou
occipital
. Cette planche représente un crâne déformé à la
es pariétal supérieur et inférieur et la plus grande partie du lobe
occipital
. 1 M. Freud (Neui-ologisches Centralblatt, n" 6
ais distinguer les bords postérieurs des pariétaux, la protubérance
occipitale
, et d'un côté une substance mince, comme du car
comme du carton, que je sup- posai être les lames non réunies de l'
occipital
. Occupant cette position c'était une tumeur flu
rties de la calotte et de la base paraissent symétri- ques, le trou
occipital
est normal. Les artères de la base de l'encépha
e pli de passage signalé plus haut, puis se poursuit dans le sillon
occipital
supérieur jusqu'au sillon transverse. - Le pli
n transverse. - Le pli courbe est assez développé, sinueux. Le lobe
occipital
est bien conformé. Lobe temporal. La première c
loppés et ne percutent pas d'anomalies. Il existe un sillon pré-
occipital
complet qui partant de l'incisure préoccipitale v
t il est séparé par un pli de passage, allant du pli courbe au lobe
occipital
. Ce sillon délimite nettement le lobe temporal
be occipital. Ce sillon délimite nettement le lobe temporal du lobe
occipital
. -Le lobule dc l'insula ne possède que deux dig
lèle presque complète. Elle se continue en arrière avec la scissure
occipitale
supé- rieure au delà de la scissure occipitale
ère avec la scissure occipitale supé- rieure au delà de la scissure
occipitale
transverse. Le lobe occipital est bien conformé
upé- rieure au delà de la scissure occipitale transverse. Le lobe
occipital
est bien conformé; mais la scissure occipitale tr
e transverse. Le lobe occipital est bien conformé; mais la scissure
occipitale
trans- verse n'existe que dans sa partie supéri
ar un pli de passage se dirigeant vers la deuxième circonvolution
occipitale
. A un centimètre en avant du pôle occipital se tr
euxième circonvolution occipitale. A un centimètre en avant du pôle
occipital
se trouve une scissure transverse assez profond
nde allant de la scissure interhémisphérique à la deuxième scissure
occipitale
. Lobe temporal. La première circonvolution temp
e parallèle au niveau de sa courbe et isole ainsi nettement le lobe
occipital
. Le lobule de l'insu la n'a que deux digitation
s gros à la partie postérieure du pli pariétal supérieur. - Le lobe
occipital
, assez plissé, est très volumineux. Longueur de
er 266 CLINIQUE NERVEUSE. point à l'extrémité postérieure du lobe
occipital
, 11 centi- mètres et demi'. Le lobule de l'in
est plissé et possède des sillons superficiels. Le coin et le lobe
occipital
sont composés de petites circonvolutions. La circ
onvolution quadrangulaire qui envoie un pli de passage vers le lobe
occipital
et en reçoit un du pli pariétal inférieur. Le l
e lobe occipital et en reçoit un du pli pariétal inférieur. Le lobe
occipital
est assez plissé et volumi- neux. Les digitatio
volution qui semble plutôt se rattacher au coin. Le coin et le lobe
occipital
peu sinueux sont assez développés. Les masses c
forte céphalalgie initiale; l'accès est suivi de violentes douleurs
occipitales
et à la nuque. Les jours suivants, accès de forte
Poids, 50 kilogr. 80. Tête assez forte. Pas de saillie de la région
occipitale
, aplatissement de la région comprise entre le v
ccipitale, aplatissement de la région comprise entre le vertex et l'
occipital
; bosses pariétales moyenne- ment saillantes. F
de pression qui n'est jamais suivi d'hyperpression. C'est la région
occipitale
qui semble prendre le moins part à l'action vas
constate une aplasie manifeste de l'os interpariétal (écaille de l'
occipital
). 1lI.Be- nedikt en conclut qu'il existe concur
nedikt en conclut qu'il existe concurremment une aplasie des lobes
occipitaux
, ou des centres visuels de Munit. Il est évident
té congénitale ou précoce procédant d'une aplasie corticale du lobe
occipital
. Cette obser- vation est doac des plus intéress
tre produite soit dans la bandelette même, soit dans la terminaison
occipitale
de cette dernière, soit dans ses relais (corps
plet, la céphalalgie est localisée à une zone circulaire, à maximum
occipital
, donnant l'impression d'une coiffure pesante et
moins étendue encore et comparable à un crampon placé à la région
occipitale
. Après l'esquisse d'autres formes moins pures d
avoir contourné la face interne, entre le lobe pariétal et le lobe
occipital
pour se replier sous la face inférieure du lobe
a 2o et une partie de la 3° temporale, un étroit morceau de la vira
occipitale
et du gyrus angulaire, un étroit segment du déb
râniennes fréquente ? , l'existence également fréquente de la fosse
occipitale
moyenne, une diminution de la capacité intra- c
condaire des trousseaux optiques, à la suite d'altération des lobes
occipitaux
. Sera publié in-extenso 1. Présentation et ex
menstruée deux à trois fois. A J'autopsie on constata que le trou
occipital
était plus petit qu'à t Fletcher Beach. - Notes
modes (tact, douleur, température, sens musculaire). Dans la région
occipitale
gauche existe une zone extrêmement dou- loureus
ncore de l'encéphalite interstitielle ; peut-être la lésion du lobe
occipital
est-elle en rapport avec les syndrômes oculaire
ière et sa forme rappelle grossièrement celle d'un pain de sucre. L'
occipital
forme en arrière une saillie notable du côté ga
ntaire. - Les cheveux sont noirs, moyennement abondants à la région
occipitale
; ils vont en diminuant sur la partie inférieure
est luisant et rappelle, principalement sur les lobes temporaux et
occipitaux
, l'aspect du cerveau des nouveau-nés, sorte d'asp
les pariétaux sont quelque peu 'plus proéminents que le frontal. L'
occipital
proémine de même sur.les pariétaux. - La fontan
les deux tables sont peu développées, le diploé l'est davantage. L'
occipital
est peu développé. Vue par sa face interne, la
dirigeant du lobule pariétal supérieur à la première circonvolution
occipitale
; son extrémité inférieure se trouve située à un
inueux, bien développé; un pli de passage à niveau le relie au lobe
occipital
. La scissure interpariétale (Se. i) prend son o
e normale se continue ensuite presque dans le lit du premier sillon
occipital
. Le lobule pariétal inférieur (P.) et le pli co
i de passage relie celui-ci au lobule pariétal inférieur. Le lobe
occipital
(L 0) nettement séparé du lobe temporal est rel
me circonvolution temporales se trouvent en retrait, e, sur le lobe
occipital
et les parties antérieures du lobe temporal. -
issure temporale, séparant ainsi nettement le lobe temporal du lobe
occipital
. On trouve encore quatre circonvolutions tempor
s venons de parler; elle se prolonge ensuite presque dans le sillon
occipital
transverse. - Le lobule pariétal inféi'icU1' (P
e externe (c) qui va se jeter dans la scissure parallèle. Le lobe
occipital
(L, 0), nettement séparé des lobes pariétal et
lution temporale; en arrière, une de ses por- tions isolées (sillon
occipital
antérieur (d) sépare nettement en se réunissant
ant à l'incisure préoccipitale (Izz. pré.) le lobe temporal du lobe
occipital
. Il existe trois circonvolutions temporales (3),
à rétrécir le diamètre antéro-postérieur du crâne. La réunion de l'
occipital
avec les pariétaux est marquée par un sillon qui
ns les cheveux d'une femme. Malgré cette espèce de chevauchement, l'
occipital
fait une certaine saillie en arrière, et les fo
se, plutôt brachycé- phale, avec aplatissement notable de la région
occipitale
; les cheveux étaient rares, le visage pâle, les
se trouve à la nuque tout le long des apophyses épineuses, depuis l'
occipital
jusqu'à la proéminente. Un premier vésicatoire
tionnelle emprunte l'intermédiaire de la sphère visuelle du lobe
occipital
ne s'effectue pas directement et dans la rétine;
battre l'hypothèse de Wernicke etMunk d'après laquelle chaque lobe
occipital
se décomposerait en deux territoires séparés, des
ieur. '1, Pli pariétal inférieur. P.3, Pli courbe. L. oc., Lobe
occipital
. 7 ? l,e circonvolution temporale. T,, 2'' ci
la planche III, il 1'0 : \- ception de.-) suivantes : d., Sillon
occipital
antérieur. b., Sillon intermédiaire au pli pari
it est un peu plus saillant que le gau- che, il en est de même de l'
occipital
droit. Les os sont peu durs. Sur la coupe, le c
roites qu'à droite. Pas de diffé- rence bien appréciable des fosses
occipitales
. - Les nerfs olfactifs paraissent égaux, - Le n
l. XIX. 3 34 RECUEIL DE FAITS. niveau du lobe frontal et du lobe
occipital
. Toutes les circonvolutions sont un peu indurée
ur atrophie, très-notable, prédomine sur le lohe frontal et le lobe
occipital
. Il y a également, iL gauche, mais moins marqué
lysies des muscles oculaires : zone frontale, pariétale, temporale,
occipitale
. Il ne s'agit ici que des deux premières. 1.
égénérescences corticales principalement des as- cendantes, du lobe
occipital
; amvélinie moins absolue des lobes frontaux et
mbrane obturatrice postérieure, tout contre le bord externe du trou
occipital
, et a pénétré dans la ca- vilé crânienne, en se
cusos(liëurus). Celte disposition, surtout mar- quée dans la région
occipitale
deux desliemispheres, se retrouve e dans la rég
centres de convergence sont doubles. lien existe un dans la région
occipitale
du singe, un peu en arrière du point de jonc- t
inement conservé.' 2. Chez \ oiseau, (pigeon), l'ablation des lobes
occipitaux
se réfléchit sur la vue ; lui i bouche-L-on l'o
cécité corticale émane de l'extirpation de la face interne du lobe
occipital
. C'est, l'oeil du côté opposé qui souffre le plus
d'une bande d'un demi-centimètre qui occupe la face externe du lobe
occipital
el la partie la plus postérieure du lohe pariét
rte durée sur l'oeil opposé. La lé- sion de la face interne du lobe
occipital
provoqueunehemianop- sie homonvme corticale. L'
de l'extirpation antérieure. La lé- sion de la face externe du lobe
occipital
jusqu'au sillon pariélo- occipilal et celle de
. \os préparations relatives aux lésions de la face interne du lobe
occipital
chez le singe montrent que les voies d'associat
ntrent que les voies d'association, gagnent la face externe du lobe
occipital
(centre d'élaboration mentale), les portions su
e temporal en parlant de la face externe de l'écorce de la région
occipitale
(faisceau longitudinal inférieur). Les voies comm
corps genouillés externes. La lésion commence dès la pointe du lobe
occipital
et rend méconnaissable en bonne partie la régio
sable en bonne partie la région calcarine. A environ 23 mm. du pôle
occipital
elle a une hauteur de 23 mm. (fig. 4), plus en
tuation des coupes que nous reproduisons. Ce ratatine- ment du lobé
occipital
est en partie compensé par une dilata- tion de
ité qu'à l'état normal il contienne aussi des libres allanL du lobe
occipital
à la première circonvolution temporale. L'enche-
. qui dépend direc- tement de l'état du nerf optique et non du lobe
occipital
(v. llonal : ow)... " Nous ne saurions termin
férieur est avant tout un faisceau d'association qui relie le lobe
occipital
et en particulier la zone visuelle au lobe temp
voudrions nous rallier en la modifiant quelque peu. Dans le lobe
occipital
, la partie inférieure de Fli. con- tient mélang
du lobe temporal et se recourberait en- suite pour arriver au lobe
occipital
. En 1900 nous avons publié les résultats de l'e
s avons publié les résultats de l'examen d'un cas de tumeur du lobe
occipital
avec dégénérescence secondaire de H th. Le néop
destruction de l'écorce du cerveau. Une lésion limitée de la région
occipitale
ne donne souvent dès le début qu'une hémiamblyo
araître définitivement. Une destruction plus accentuée de la région
occipitale
se tra- duit par une hémianopsie plus marquée e
oubles oculaires provoqués par une première destruction de l'écorce
occipitale
ont disparu, on pratique une seconde destructio
de lésion étendue de l'écorce d'un hémisphère portant sur larégion
occipitale
et pariétale, on ob- tienne une hémianopsie bil
des yeux avec hémianopsie par ramollissement de la sphère visuelle
occipitale
; par MM..1. Nicolas et Cade. (.S'Ot;tt''<t
XC. Hémianopsie homonyme droite par abcès sous-cor- tical du lobe
occipital
gauche ; par M. Braun. (Société mé- die, des Hô
térêt en raison de sa localisation, qui est assez rare. Dansle lobe
occipital
gauche, exis- tait une cavité du volume d'un pe
ion du cervelet sur le milieu d'une ligne allant de la protubérance
occipitale
ex- terne à la pointe de l'apophyse masloïde.La
ir Néo- plasme. homonyme droite par abcès sous-cortical du lobe
occipital
gauche, par Braun, 383. HEMicuoREE, par Babin
es de la vue, hémianopsie, etc., avec lésions des circonvolu- tions
occipitales
sont en ce moment à l'étude *. On tend à locali
re antéro-postérieur qui va de la racine du nez à la protubé- rance
occipitale
externe, se trouve sur un plan sensiblement hor
gauches qu'un lambeau tout petit qui appar- tient à la base du lobe
occipital
. Les ganglions profonds ont subi une destructio
la selle turcique en arrière a subi un relè- vement tel que le trou
occipital
parait être au niveau du bord supérieur de la s
'on constate une dégéné- rescence diffuse. Il s'agissait du cerveau
occipital
d'un paralytique général qui présentait en plus
trijumeau et paraît être comme distribuée suivant les nerfs (nerf
occipital
grand et petit, etc.); mais c'est ici justement
frontales saillantes, bosses pariétales peu marquées; protubérance
occipitale
en relief. Front large, bombé, saillant. Yeux nor
pli de passage à niveau allant du lobule pariétal supérieur au lobe
occipital
. La scissure interpariétale, qui forme en arriè
presque complète, se prolongejusque dans le lit du premier sillon
occipital
et envoie deux rameaux descendants, l'un en avant
e passage à niveau relie le pli courbe à la première circonvolution
occipitale
. Le lobe occipital est plutôt petit; la méningo
elie le pli courbe à la première circonvolution occipitale. Le lobe
occipital
est plutôt petit; la méningo-encéphalite y est
passage à niveau se rendant du lobule pariétal supérieur au lobule
occipital
. La scissure perpendiculaire externe forme, en
rieur au pli courbe; plus loin, elle va se confondre avec le sillon
occipital
transverse. Le lobule orbitaire est atteint de
tion de la substance cérébrale paraît à peu près normale. Le lobe
occipital
, sans être manifestement atrophié, offre cepen-
sur les coupes laissées vingt-quatre heures dans ce réactif. Lobe
occipital
droit en dehors delà lésion. Vaisseaux nombreux,
s. Nombreux corps granuleux dans la substance blanche. Dans le lobe
occipital
, on retrouve, à côté de points normaux dans l'é
orrespondre aux circonvolutions postérieures, aux circon- volutions
occipitales
, sans détermination plus exacte. C'est à cette
ensibilité 2 D, permettent de dire qu'assigner à l'écorce des lobes
occipitaux
exclusivement, le rôle de zone sensitive n'est
ue la zone sensitive corticale doit certainement dépasser la région
occipitale
. En somme, rien de précis sur les limites de la
e corticale sensitive \ Nous n'avons point coloré la zone sensitive
occipitale
sur la figure. Outre les zones intellectuelle
s lésions de la région intermédiaire aux deux coupes préfrontale et
occipitale
de Pitres ont toujours déterminé une paralysie
ent pour regarder l'écorce grise des cir- convolutions postérieures
occipitales
comme l'aboutissant d'un faisceau de fibres cen
n arrière du fais- ceau pyramidal' en un point où toutes les fibres
occipitales
se rapprochent et se réunissent pour constituer
le faisceau sensitif doit nécessairement correspondre aux faisceaux
occipitaux
delà coupe occipitale de Pitres (non figurée su
oit nécessairement correspondre aux faisceaux occipitaux delà coupe
occipitale
de Pitres (non figurée sur la planche I), puisq
rayonnantes du faisceau de Meynert se rendent à l'écorce des lobes
occipitaux
. Les fibres centripètes que nous avons vues dis
de la capsule interne et une partie atteignant l'écorce aux lobes
occipitaux
, après avoir traversé directement la capsule sans
u est, avons-nous dit, assez mal délimitée sur l'écorce des lobes
occipitaux
. Comme pour la description du trajet du faiscea
temporales. 0. 1, 0. 2, 0. 3; première, deuxième et troisième cire,
occipitales
. R. R.; scissure de Rolando. - S. S. ; sciss. d
ibilité : des paresthésies cutanées, des douleurs le long des nerfs
occipitaux
, une humeur hypochondriaque; nous supposons que
érieur du même côté. Autopsie. Foyer de ramollissement dans le lobe
occipital
gauche. Foyers de ramollissement microscopiques
de la pre- mière temporale, le lobe paracenirai, la pointe du lobe
occipital
, de l'hémisphère gauche le cervelet. Les espace
temporales. 0. 1, 0. 2, 0. 3; première, deuxième et troisième cire,
occipitales
. R. R.; scissure de Rolande S. S. ; sciss. de S
les bords des deux hémisphères, depuis les lobes frontaux jusqu'aux
occipitaux
. Sa surface interne est par- ' faitement lisse.
dans l'arrangement général des sillons du lobe pariétal et du lobe
occipital
. On sait que ce qui distingue le cerveau de l'hom
de notre malade a tout à fait le cachet pithécoïde. Un large sillon
occipital
antérieur (Wernicke) semble continuer la 120 .
upérieur (premier pli de passage de Gratiolet). Au devant du sillon
occipital
antérieur, le sillon intermédiaire de Jen- sen,
sgau vient de publier des re- cherches très complètes sur la région
occipitale
(weber die Occipi- tal Région, 1899), résultant
pharynx (abcès par congestion probable). Une carie de la base de l'
occipital
et des première et deuxième vertèbres cervicale
la canule dans la région sous-occipitale, entre l'atlas et le trou
occipital
, la tête étant fortement fléchie sur la poitrin
yau lenticulaire. Les libres de ce trousseau arrivent par la partie
occipitale
du globus pallidus et en gagnent, en haut, les
particulier que l'hallu- cination résultant d'une lésion d'un lobe
occipital
doit affec- ter partiellement les champs visuel
l'hippocampe, par le centre visuel placé à la face interne du lobe
occipital
, et par le centre auditif localisé sur la premi
sursautent dans les paupières. - Ça me fait mal à la tête (région
occipitale
d'abord, puis temporale gauche dans le voisinage
autour + Elle s'étire + ça me fait mal là en arrière (protubérance
occipitale
) + On me lance des coups de pincette rougie + m
tômes suivants, que nous résumons : pour le cerveau : cé- phalalgie
occipitale
sourde, insomnie, sensation de bandeau fron- ta
ieure et rolandique ; puis lespariétales et tempo- rales, enfin les
occipitales
. Les lésions siègent toujours dans lesdeux hémi
côté une pression qui a enfoncé l'amygdale de ce côté dans le trou
occipital
, déterminant ainsi une compression du bulbe. Le
ité psychique pure correspondant à un ramol- lissement dans le lobe
occipital
gauche et dans le bourrelet du corps calleux (a
ts cités, consisterait fréquemment en une double lésion des lobes
occipitaux
; les cas les plus intéressants reconnaissent pou
rrespondant.) L'apophyse crista-galli est petite, arrondie. Le trou
occipital
n'a rien de particulier. Nombreuses atlhérences t
, et la fissure calcarine il y a une encoche profonde entre le lobe
occipital
en bas, P' et LQ en arrière (PL. IV et V). Le
supérieur et inférieur. Le lobe temporal dans son entier et le lobe
occipital
sont formés de circonvolutions assez volumineus
ls qui commencent à la rétine et se terminent dans l'écorce du lobe
occipital
ou de la fissure calca- rine (ergot de Morand)
ntact des nerfs de la rétine et des cellules nerveuses de la région
occipitale
, le mécanisme de l'inter- ruption par le corps
à fin avril 1893. On trouve un kyste hémorragique dans le segment
occipital
de la couche optique et du pulvinsr, qui a pénétr
it en ce point, mais a respecté la bandelette et le faisceau visuel
occipital
; ce qui prouve que le segment supérieur du corp
être traités : d'un côté le sterno-matoïdien, de l'autre le groupe
occipital
. Le traitement médical a échoué complète- ment
uche et par la partie postérieure dans la substance blanche du lobe
occipital
. La tumeur n'est pas bien délimitée, de couleur
re le cerveau. Celui-ci présente un foyer de ramollissement du lobe
occipital
droit, intéressant la face inférieure de la fac
droit, intéressant la face inférieure de la face interne du lobe
occipital
avec destruction du cunéus; le pli courbe parait
xpliquée par la même source d'irrigation de ce tubercule et du lobe
occipital
. Le malade n'avait jamais présenté de signes d'
l de Gra- tiolet ; p o., scissure pariéto-occipitale : o a., sillon
occipital
anté- rieur de vVermike, i o., sillon intpr-oec
mike, i o., sillon intpr-oecipital; - 0'" première cir- convolution
occipitale
; 0 ? deuxième circonvolution occipitale; 0 ? tr
" première cir- convolution occipitale; 0 ? deuxième circonvolution
occipitale
; 0 ? troisième circonvolution occipitale; D., c
? deuxième circonvolution occipitale; 0 ? troisième circonvolution
occipitale
; D., circonvolution descendante d'Kcker : 0 ? d
itale; D., circonvolution descendante d'Kcker : 0 ? deuxième sillon
occipital
; T ? première circonvolution temporale; - T2..
verse; - o. o. (5), scissure pariéto-occipntale; -o ci. (°), sillon
occipital
antérieur; - L. o., lobe occipital ; j'. ('), sil
o-occipntale; -o ci. (°), sillon occipital antérieur; - L. o., lobe
occipital
; j'. ('), sillon intermédiaire de Jensen. (*
scissure interpariétale; L. O., lobule orbitaire; L. O. C., lobule
occipital
; - Sc. S., scissure de Sylvius; Op. F., oper-
to', 1" scissure temporo-occipitale; Se. to2, 2' scissure temporo-
occipitale
; F ? 4° circonvolution frontale interne; - C. C.
la planche. Celle-ci a une excavation, desti- née à loger la partie
occipitale
de la tête du patient. M. Jacob emploie ce genr
iant le mode même d'extension . Nous avons supprimé, l'excavation
occipitale
, en faisant notre planche plane, car l'extension
n ; GO l'existence de douleurs névralgiques dans le domaine dû nerf
occipital
. L'auteur présume d'après ces symptômes que la
ience, ne présente aucun signe extérieur, il éprouve un mal de tête
occipital
. Il perd alors le souvenir des événements qui lui
la vue. Dans la région de la fissure calcarine, du coin, et du pôle
occipital
, la simple percep- tion lumineuse forme, avec l
uis 153 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. le pôle
occipital
jusqu'à la limite extéro-antérieure de la sphère
almie gauche, hémia- nopsie bitemporale, névrite optique, céphalées
occipitales
paroxys- tiques, somnolence, apathie. Les dimen
largeur, de même qu'une certaine aug- mentation des sinus frontaux,
occipitaux
et maxillaires. Les par- ties molles et les car
a cervelle, mais quelque chose est attaché ici dedans (protubérance
occipitale
externe) + Pro- AnclllvEs, 2. série, t. XIII. 1
ut à dix-neuf ans, peu de temps après un traumatisme dans la région
occipitale
. Père alcoo- lique ; mère ayant eu plusieurs fa
ccès d'hémicranie (héréditaire) à localisation variable (temporale,
occipitale
, gauche et droite). Dans le courant des dernières
a paralysie faciale a été précédée d'un accès très fort de migraine
occipitale
du même côté; la paralysie faciale survint deux
1111. IoIwIUOrF et ROSSOUMO. V. VO ! \OlJIEFF. Du soi-disant type
occipital
du crâne des aliénés dégénérés. - Pour précis
ation de l'occiput, puisque le seul point saillant, la protubérance
occipitale
externe, se déplace plus ou moins en rapport pl
rt plutôt avec le développement des mus- cles du cou et du ligament
occipital
qu'avec celui des lobes occipi- taux du cerveau
ement décollées. Crâne : légère dépression de la moitié droite de l'
occipital
; la moitié gauche du frontal est moins saillante
e sang expliquerait des symptômes neurasthéniques tels que douleurs
occipitales
, douleurs lombaires, troubles gastriques. De no
1 inflammations du trijumeau, 4 des nerfs intercos- taux, 1 du nerf
occipital
. Il a eu 29 guérisons, 4-améliorations. Ce résu
tat de dépres- sion mélancolique, de confusion, d'amnésie; céphalée
occipitale
, fièvre irréguliere, alimentation difficile, pr
Tout le monde est d'accord pour le localiser dans l'écorce du lobe
occipital
. Seulement, suivant les uns, il ne dépasse pas
sinantes; suivant d'autres, enfin, il embrasse toute l'aire du lobe
occipital
, débordant même sur laportion adjacente du lobe
ément vasculaire, et à localisation prépondérante au niveau du lobe
occipital
. Nous avons fait, chez cette première malade, u
omment expliquer qu'à la suite de la destruction complète d'un lobe
occipital
, le corps genouillé du côté cor- respondant sub
ès complète, si le territoire en question n'est pas relié au lobe
occipital
par des prolongements ascendants ? z Quoi qu'il
de fibres d'association; elles relient les circonvolutions du lobe
occipital
à la pointe du lobe Lem-, poral. D'abord comp
rigine. Ses fibres constituantes rayonnent vers les circonvolutions
occipitales
. Leurs lieux d'aboutissement constituent précis
ule fusiforme, c'est-à-dire les faces interne et inférieure du lobe
occipital
. D'après von Monakow, elle embrasse toute l'éte
pital. D'après von Monakow, elle embrasse toute l'étendue du lobe
occipital
; elle empiéterait même sur la partie avoisi- n
de ramol- lissement, à peu près symétriques, dans les deux lobes
occipitaux
, au voisinage de la scissure calcarine. Le malade
2 centimètres carrés de surface, qui, partant de la pointe du lobe
occipital
, s'étendait jus- qu'à 18 millimètres de celle-c
tères distinctes, par ta. céré- brale postérieure et par la branche
occipitale
de l'artère, sylvienne - ce qui est encore à dé
t la conséquence de lésions corticales ou sous-» corticales du lobe
occipital
gauche. Il nous est impossible de leur assigner
mianopsie homonyme peut être l'unique symptôme d'une lésion du lobe
occipital
de l'un des hémisphères. Il est rare qu'elle se
tions temporales, dans le pli courbe, dans une bonne partie du lobe
occipital
, mais prin- cipalement dans le territoire qui c
temporales, le pli courbe, la partie antérieure des circonvolutions
occipitales
, la pointe du lobe temporo-occi- pital. Donc, u
ue relativement grande, peut-être la totalité de la surface du lobe
occipital
, un foyer circons- crit, situé dans la substanc
(/{. 28), ainsi que la partie postérieure des trois circonvolutions
occipitales
et de la troisième temporale, à la face externe
, depuis son origine réti- nienne jusqu'à son terminus dans le lobe
occipital
. Une remarque, pour terminer : Dans ce qui pr
ste décollement de toute la portion correspondante a l'écaille de l'
occipital
et à la partie postérieure des pariétaux. Au ni
2.) - Tête assez forte, ronde; saillie assez prononcée de la région
occipitale
; front bas, très large; les bosses frontales so
musculaire est passablement développé. Tête ovale, proéminence de l'
occipital
en arrière et surtout à droite de la ligne médi
es bosses pariétales sont extrêmement saillantes ainsi que la bosse
occipitale
; le vertex est aplati : 48 traitement hydrot
rique en avant, mais asy- métrique en arrière ; pas de saillie de l'
occipital
, mais au-dessous de la fontanelle postérieure e
est partout très adhé- rente à la substance grise sur tout le lobe
occipital
, tout le lobe temporal, la face postérieure de
face intérieure du lobe frontal, le lobe carré, le coin et le lobe
occipital
sont complètement dépouillés de substance grise
re de la première temporale est à peu près saine. La pointe du lobe
occipital
présente quelques petites portions saines et c'
ai 1882). - Tête assez volumineuse, symétrique; pas de saillie de l'
occipital
; bosses pariétales égales; front haut et droit
Les plis pariétaux supérieur et inférieur, le pli courbe, le lobe
occipital
, ainsi que les circonvolutions temporales n'ont
ainsi que le DESCRIPTION DES EXOSTOSES. 117 pli courbe et le lobe
occipital
. Le lobule de l'insula est large, aplati, et po
'en mesure que trois. - Circonvolution du corps calleux, coin, lobe
occipital
, circonvolution de l'hippocampe, corne cL'tlnzm
1111, 61. - Tête assez volumineuse, sans prédominance de la partie
occipitale
; apophyses mastoïdes un peu saillantes des deux
le il en est un fort intéressant, se rattachant à la lésion du lobe
occipital
, c'est l'hé- miopie homonyme dont nous aurons à
occuper dans un instant. Cette hémiopie est droite si c'est le lobe
occipital
gauche qui est lésé ; elle est gauche si c'est
be occipital gauche qui est lésé ; elle est gauche si c'est le lobe
occipital
droit, de sorte qu'au premier abord il sem- ble
ersement quand l'hémiopie estgauche. Dans ces cas la lésion du lobe
occipital
détermine donc dans chacune des deux rétines un
l y a une paralysie de la moitié gauche des rétines quand la lésion
occipitale
est gauche, et de leur moitié droite quand la l
ion occipitale est gauche, et de leur moitié droite quand la lésion
occipitale
est à droite. Mais je ne fais ici que signaler ce
soit dans les centres mêmes de la vision, c'est-à-dire dans le lobe
occipital
. Nous savons également que les troubles parapha
chez les gauchers), c'est-à-dire tout à fait sur la limite du lobe
occipital
. Cela étant établi, et en nous reportant à la d
, toute la partie postéro-inférieure du lobe temporal, tout le lobe
occipital
, ainsi que l'ergot de Morand. En outre, entre
et la nécrobiose qui s'ensuivra portera uniquement sur tout le lobe
occipital
et une grande partie du lobe temporal, L'hémiopie
(par la destruction des fibres d'association qui réunissent le lobe
occipital
et les centres sensoriels du langage) et qu'il
ion, et à cause de ce voisinage et de leurs connexions avec le lobe
occipital
, subiront certains troubles qui, quoique pouvan
observe habi- tuellement dans les cas d'hémiopie par lésion du lobe
occipital
, le champ visuel était très nettement divisé en
ébrale postérieure donnant lieu à un ramollissement de tout le lobe
occipital
, de toute la partie postéro-inférieure du lobe te
es terminales, il n'y aura en con- séquence aucune lésion des lobes
occipital
et temporal ; mais par contre les collatérales
rébral, tandis qu'il se produira un ramol- lissement étendu du lobe
occipital
et d'une grande partie du lobe tempo- ral donna
y- den. 1C A. JOFFROY . cérébral, de la couche optique, du lobe
occipital
et de la plus grande par- tie du lobe temporal.
ntre d'association postérieur, comprenant une grande partie du lobe
occipital
, du lobe pariétal el du lobe temporal ; il sera
uture, il reste confiné sur un os, sur le pariétal, le frontal ou l'
occipital
, tandis que le noyau primitif de myosite ossifian
SUR LES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU CERVEAU 187 pariétal et l'os
occipital
, 4 centimètres, et entre l'os pariétal et l'os te
ntimètres, entre les os frontaux ),5, entre l'os pa- riétal et l'os
occipital
de 2 centimètres. La tète était fluctuante. Quand
es du crâne, il se produisit une hémorrhagie dans la région de l'os
occipital
. A la section de la tète il s'écoula 830 centimèt
étrie est générale et intéresse les trois fosses ; 3° Sur le trou
occipital
, tout à fait irrégulier de forme ; 4° Enfin jus
forme ; 4° Enfin jusque sur les vaisseaux : ainsi, dans les fosses
occipitales
, le sinus latéral gauche offre des dimensions m
x mesure 8 millimètres. Il existe sur les pariétaux, et aussi sur l'
occipital
, plusieurs points peu étendus, il est vrai, de cr
e latéralement et présentant un énorme dévelop- pement de la région
occipitale
». Erosions dentaires. Une seconde variété, d
y a près de cinq pouces et demi de distance entre l'os frontal et l'
occipital
à l'endroit de la suture sagittale dont on ne v
rappelle fort bien le crème natiforme de Parrot; 4° Une bosselure
occipitale
assez accentuée, surtout dans sa portion horizon-
re; hyperostose de la table externe, très accusée il la pointe de l'
occipital
. L'autopsie révèle, en outre : abcès enkysté de
ce sur le front due a une chute. Exostose sur le côté gauche de l'
occipital
émettant, à sa droite, une bande- lette osseuse
che, 25 centimètres pour la moitié droite ; b) Circonférence fronto
occipitale
; 43 centimètres, dont 24 centimètres pour la m
de nègre) sur la ligne médiane antéro-postérieure, dans la ré- gion
occipitale
. Salivation. Pas de troubles moteurs. Sensibilité
ci-dessous : En examinant le cuir chevelu, on voit, dans la région
occipitale
, une petite bande en forme de fer à cheval à co
s en une traînée avec hy- perchromie du cuir chevelu dans la région
occipitale
. Dans 7 cas, les os participent complètement à
ainsi que les parties avoisinantes et la partie postérieure des os
occipitaux
, on voit que,dans ce cas, la partie inférieure
mporal gauche près la suture pariétale, une autre plus petite sur l'
occipital
. Coudes ne peuvent être éloignés au delà de 8 p
'omoplate droite, dans le trapèze gauche tout près de son insertion
occipitale
. Les gros orteils en hallux valgus, raccourciss
mine en se rétrécissant à la limite du pli courbe et de la deuxième
occipitale
. Ce foyer aune longueur de dix centimètres ; so
outre les mêmes régions, la plus grande partie de l'écorce du lobe
occipital
. Cet animal pouvait encore fléchir la colonne v
2. 124 SOCIÉTÉS SAVANTES. étendue et très profonde des deux lobes
occipitaux
; anéantisse- ment eomplet des deux zones visuel
ée; il en est de même, mais à un moindre degré, des circonvolutions
occipitales
et frontales. Intégrité du crâne, de la dure-mè
t considérablement augmenté. (fig. 5.) Dans la région du nerf grand
occipital
des deux côtés de tout le nerf tri- jumeau droi
rasée dans son ensemble. Crâne régulier; prédominance des parties
occipitales
; bosse occipitale cependant peu saillante; bosses
semble. Crâne régulier; prédominance des parties occipitales; bosse
occipitale
cependant peu saillante; bosses pariétales égal
ssure interpa- riétale sur un centimètre de longueur avec le sillon
occipital
transverse, la partie postérieure isolée de la
incisure préoccipitale. Il résulte de cette disposition que le lobe
occipital
est complètement isolé des lobes pariétal et te
me circonvolution temporale par un pli de passage à niveau. Le lobe
occipital
n'offre pas d'anomalies, mais ses circonvolutio
in la scissure interpariétale va se terminer dans le premier sillon
occipital
. Le lobule O1'bifaÙ'e est bien développé, normal.
st de même du pli courbe, mais à un degré moins prononcé. Le lobe
occipital
est assez volumineux ; mais ses deuxième et tro
olait, comme chez le singe, les lobes pariétaux et temporal du lobe
occipital
. Bien que cela nous écarte un peu de notre suje
boudin; esto- 7zt«r; plein; thymus persistant. - Atrophie des lobes
occipitaux
. - Hémisphère droit 20 gr. de moins que le gauc
e, apparente ou réelle : - hypéresthésie fréquente : la céphalalgie
occipitale
localisée est - " assez caractéristique delà Ca
ctuante. Somme toute, il n'y a que l'extrémité des lobes frontal et
occipital
qui soit demeurée indemne, et ce ramollissement
rieurs du lobe frontal étaient, ainsi que certaines parties du lobe
occipital
, abso- lument indemnes, je crois à une embolie
t n'avait épargné que la corne la plus externe des lobes frontal et
occipital
. M. KNEcHr. Cas d'aphasie amnésique avec cécité
ctuel (21 mai 1883). Tête carrée, symétrique, sans proéminence de l'
occipital
qui est surmonté par un méplat médian et réguli
atrices de 4 à 5 centimètres à gauche à l'union du pariétal et de l'
occipital
, une autre plus petite vers la partie médiane e
cérébelleux droit arrive au niveau de la partie postérieure du lobe
occipital
, mais le lobe cérébelleux gauche est en retrait d
ui réunit le pli courbe aux deuxième et troisième cir- convolutions
occipitales
. Le lobule orbitaire est bien conformé. Face co
développés, très découpés; il en est de même du pli courbe. Le lobe
occipital
est bien déve- loppé, mais les scissures et les
n pli de passage à niveau reliant le pli pariétal supérieur au lobe
occipital
. - La scissure interpariétale ne possède qu'un
obule pariétal supérieur ; elle continue son chemin jusqu'au sillon
occipital
transverse. Le lobule orbitaire est normal, trè
uliers par suite de nom- breux sillons qui les découpent. Le lobe
occipital
, dont lés circonvolutions paraissent un peu grê
e scissure irrégulière, sinueuse, qui prolonge le sillon transverse
occipital
jusque vers l'incisure préoccipitale. Lobe te
la partie moyenne de la circonvolution frontale ascendante, du lobe
occipital
, l'état chagriné des pre- .' Nous ferons remarq
un autre foyer de ramollissement jaune, récent, siège dans le lobe
occipital
gauche, traversant l'écorce et la substance bla
nte encore ces accidents sur un sol uni, ainsi que des céphalalgies
occipitales
, une titubation légère, des troubles peu accent
moïdienne; la seconde (zone inactive) comprend les lobes frontal et
occipital
. Par ses recherches personnelles, M. Franck a m
e liquide; l'atrophie porte surtout sur les circonvolutions du lobe
occipital
. L'hémis- phère droit pèse 555 grammes. La coup
n de savoir : 1° si la lésion de la cécité verbale est pariétale ou
occipitale
; 2v si cette lésion est corticale ou sous-cort
nt normal; varicocèle à gau- che. Aplatissement marqué de la région
occipitale
. La circonférence du crâne est de 550 millimètr
plus grande partie des lobes antérieurs (frontaux) et postérieurs
occipitaux
) demeure ainsi disponible. Les lobes antérieurs
rdres de preuves qu'il a énumérés. Preuves biologiques. - Les lobes
occipitaux
apparaissent tard chez les vertébrés, et augmen
lis de passage. Dans les cerveaux à évolution supérieure, les lobes
occipitaux
deviennent plus profonds, plus pleins, plus arr
Dans les races humaines intellectuelle- ment inférieures, les lobes
occipitaux
sont petits. Preuves Urées,du développement. Ch
loppement. Chez l'individu, comme dans l'échelle animale, les lobes
occipitaux
apparaissent tardivement, obéissant ainsi à la
orie la plus déshéritée qui présente le plus faible développe- ment
occipital
. Tout le monde sait que les idiots se font remarq
par un cou absolument vertical et une absence de la protubérance
occipitale
; Fletcher Beach et Shullleworth reconnaissent tou
orth reconnaissent tous deux le vice de développement de la portion
occipitale
du cerveau chez les idiots. Preuves pathologi
oportionnels au degré de rapprochement entre la lésion et les lobes
occipitaux
, ainsi que l'avait déjà montré Dax. Enfin, dans l
des déments chroniques, il y a une atrophie considérable des lobes
occipitaux
. . ' `s1 t`2,11w,.... REVUE D'ANATOMIE ET DE
meurt de fièvre typhoïde. Autopsie. Sclérose névroglique des lobes
occipitaux
, temporaux et pariétaux ; gliose sous-pie- méri
En outre, dans la substance blanche des lobes temporaux, pariétaux,
occipitaux
, frontaux, ainsi que des ganglions de la base,
ion siégeant sur le parcours compris entre la rétine et les centres
occipitaux
: 2) ceux dans les- quels la perceptibilité dif
uveaux accidents constaté l'hémianopsie.- A la face interne du lobe
occipital
droit 1 occupant tout le cunéus le long de la s
surtout quand la tumeur , intéressait soit la base, soit les lobes
occipitaux
ou temporaux, soit le cervelet. La névrite op
st ovoïde avec un léger degré de plagiocéphalie (aplatissement de l'
occipital
droit et du frontal gauche). Elle est très minc
pariétaux, un peu plus sur le gauche que sur le droit, enfin sur l'
occipital
gauche. Les fontanelles sont ossifiées; les sut
e équivaut à une petite noix. On en sent un autre au niveau du lobe
occipital
gauche. A droite, on sent une petite induration
des parties jaunàtles, plus épaisses, non transparentes. Les lobes
occipitaux
et tempo- rccux sont bien dessinés. Le lobe l
épaississement à sa pointe, d'environ un centimètre carré. Le lobe
occipital
gauche offre, dans sa moitié postérieure, un épai
ble pas y avoir de fragments de circonvolution. En arrière, le lobe
occipital
persiste avec des circonvolutions qui ont une f
capillaire. A la partie moyenne, même aspect qu'à gauche. Le lobe
occipital
n'est plus reconnaissable, en tant que circon-
tal, rolandique, frontal, temporal et la plus grande partie du lobe
occipital
, le ventricule latéral, le corps opto-strié tout
. Sauf quelques points de détail (disparition plus complète du lobe
occipital
, épaississement plus ou moins marqué des membra
ne douleur. A la nuque, immédiatement au-dessous de la protubérance
occipitale
externe, on note l'empâtement sur une hauteur d
ifs : '1° Une céphalalgie tenace et rebelle localisée à la région
occipitale
; 2° des nausées; 3° de la. raideur de la nuque ;
e nous avons pu observer : déviation de la tête à droite, céphalée,
occipitale
, raideur modérée de la nuque. - - Peut-être f
pariétales ascendantes ; 3° le-milieu de la seconde circonvolution
occipitale
; 3 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
ont exactement semblables des deux côtés pour les lobes frontaux et
occipitaux
. Dans les deux hémisphères, la substance blanch
z l'homme à la région frontale, le minimum dans les circonvolutions
occipitales
, tandis que dans la corne d'Ammon la substance
ment les mêmes tant dans les régions frontales que dans les régions
occipitales
. mais elles sont beaucoup plus considérables da
st à décou- vert, par suite de l'arrêt de développement des régions
occipitales
des hémisphères cérébraux. Raccourcissement du
ôt sympathique. La figure gentille, avec le crâne brachicéphajique,
occipital
aplati, montrant une déformation plus grande pe
peu vers le sommet de la tète, mais elle ne gagne jamais la région
occipitale
. L'enfant comp arc cette douleur à une pression
0 à scissure occipitale- externe', 36 mill ! ;'de celle-ci au pGle
occipital
, 23 mill. r .-trmf ." rm ,up uh itr ? toun'nl 'It
lolle`frotital,'83 mi]).; du lobe tem- 'p'oral, '98 'milr ? du'lobe
occipital
, 73 nlill'l.a plus grande hauteur, GO mill., et
éilutdu'lôliëlfroiiLUl,'(i8,7 : i;rdu'lobe pariétal;1 M,12; du lobe
occipital
,' 11,96 ;'Iargeu ? dú"Joh81 frontal ? 66\40;' dul
Joh81 frontal ? 66\40;' dulobe pariéto- ' temporal, 76;oC; du'lobe"
occipital
, «37, 03 ;Ma plus'grande hauteur, ' 46;87 ;'la
ur'dé la- négresse, ^longueur du'lobe' pa- riétal, 7,74, et du lobe
occipital
, G,9 : ;i largeur du lobe temporal, 43;G ? et'd
be occipital, G,9 : ;i largeur du lobe temporal, 43;G ? et'du lobe'
occipital
, 3,83 : ' plus r grande bauteur;43;99;1cir- 'éô
arI ! ¡eJ. mpQ¡alesjP( : 1J.nb : r 3, ¡} 4 ? Jt : U ! ( ,C31,J ? I1
occipitaux
, sont frès petits, f ""a m- -1111[1 ? 1 ,.1 '"I,w
f ""a m- -1111[1 ? 1 ,.1 '"I,w' 't""01 ' '1{, ,,«1 Entre le sillon
occipital
et la scissure calcarme, dit Ducatle, s'étend,
oisièIIHI'etl quatrième' ! temporales- fusionnées ;ila,1cin- quième
occipitale
avec- la cinquième temporale parle pli de.passage
arrière,, dans la portion antérieure de^la cinquième circonvolution
occipitale
1 où. ;la cinquième temporale s'anastomose"avec
ipitale 1 où. ;la cinquième temporale s'anastomose"avecJa cinquième
occipitale
"et 'celle-ci 'avec la troi- sième et la quatri
dont l'externe sépare la quatrième de la cinquième circon- volution
occipitale
et l'interne se perd dans la cinquième occipi-
ête une sensation de compression qui sié- geait surtout à la région
occipitale
et s'irradiait vers les tempes; ils n'accusaien
le lobe frontal, se fait aussi sentir dans les lobes sphénoïdàl et
occipital
. Le lobe droit a, en quelque sorte, pénétré dan
ment dans les parties qui paraissent être saines. Dans la direction
occipitale
, la différence de lar- geur de la couche de sub
s parois. Les cellules ner- veuses des lobes frontaux, temporaux et
occipitaux
des deux hémisphères, pris avec les vaisseaux d
examinant les coupes prises dans les deux directions (frontale et
occipitale
) près de la portion la plus tuméfiée, ou pouvait
ercule. L. f., Lobe frontal. L. t., Lobe temporal. L. oc., Lobe
occipital
. Se. S. Scissure de Sylvius. lits., Insula de
frontal. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 375 L. oc., Lobe
occipital
. Se. S. a., Rameau ascendant de la scissure de
tre plus haut que la seconde. L. f., Lobe frontal. L. oc., Lobe
occipital
. Se. pn.. Scissure proecentrale. C. c. a., Ci
ansversalement. En arrière l'asymétrie est plus prononcée, la bosse
occipitale
gauche est à peine sensible, tandis que la droi
développée dans sa partie postérieure, saillie très prononcée de l'
occipital
au niveau de la protubérance. La calotte crânie
s, portaient, soit, comme dans les expériences de Munk, sur le lobe
occipital
exclusivement (obs. 1), soit sur le lobe temporo-
le lobe occipital exclusivement (obs. 1), soit sur le lobe temporo-
occipital
(obs. II). L'ensemble des attaques dont chacune é
t, la perception est abolie, M. Stenger tend à admettre que le lobe
occipital
renferme deux centres : l'un situé à la pointe et
PATHOLOGIE MENTALE. K)3 il reste au surplus indéterminé '. Au lobe
occipital
serait égale- ment dévolu l'hémianopsie croisée
réquents; chute de cheveux. A la suite de céphalalgies frontales et
occipitales
, accompagnées de nausées et de vomissements, el
obule du pli courbe, l'alté- ration passe dans la 2e circonvolution
occipitale
. Partout la lésion se borne exclusivement à la
cule. L. f., Lobe fruntal. ' L. t., Lobe temporal. L. oc., Lobe
occipital
. Se. S. Scissure de SUvius. Ins., lusula de I
plus haut que la précédente. L. f., Lobe frontal. L. oc., Lobe
occipital
. Se. S. a., Rameau ascendant de la scissure de
tre plus haut que la seconde. L. f., Lobe frontal. L. oc., Lobe
occipital
. Se. yr·.. Scissure prfficentrale. C. c. a.,
ice externe du conduit auditif et le basion (bord antérieur du trou
occipital
) normalement à un niveau différent se 1 trouvai
e l'exagération des réflexes tendineux. Il s'y joint : une céphalée
occipitale
assez caractéristique, de la raideur de la nuque
LOGIE PATHOLOGIQUES. XV. Sur les manifestations des tumeurs du lobe
occipital
et du . lobe temporo-sphénoidal ; par H. Duret.
étudie la manifestation la plus caractéristique des tumeurs du lobe
occipital
, Y hémianopsie latérale homonyme. Ce phénomène
IOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXI. Un cas de sclérose symétrique des lobes
occipitaux
; par Marchand. (IVO2GU. ICO)20g7'. de la S'LlI)
A l'autopsie on constate une sclérose de toute l'étendue des lobes
occipitaux
avec maximum au niveau des scissures calcarines
rtion de la P3 et une vaste portion de la face interne de la région
occipitale
(cuneus, lobule lingual, lobule fusiforme) il y
ans l'un de ces cas on a constaté de plus l'existence dans la corne
occipitale
du ventricule de fausses membranes réunissant p
Par contre, les ascendantes, les frontales de la convexité, le lobe
occipital
, le coin. la corne d'Ammon, une partie de l'ins
e tiers postérieur des 2e et 3° pariétales et empiète sur la région
occipitale
antérieure (chien et singe). Une petite zone est
sont étendues aux deux hémisphères, avec un maximum dans les lobes
occipitaux
et le pôle frontal. Elles vont en décroissant d
table étranglement bulbaire dans une gouttière basilaire et un trou
occipital
malformé; 2° La polynévrite diphtéritique venant
us limitée de la rétine, se trans- mettant jusqu'à l'écorce du lobe
occipital
, doit se diffuser sur un grand espace, peut-êtr
, on constate des apoplexies capillaires très pressées dans le lobe
occipital
, isolées dans le lobe frontal. Dilata- tion ext
ches de la carotide interne ; seul leur segment postérieur (régions
occipitales
et une partie des régions temporales) reçoit le
Animaux ayant subi des lésions expérimentales de la sphère visuelle
occipitale
de Munk. I. Lésions unilatérales. 1° Le trouble
ot privé de la presque totalité de son lobe temporal et de son lobe
occipital
a cependant conservé son faisceau longitudinal
eau longitudinal inférieur : il est facile de voir qu'il va du pôle
occipital
, non au lobe temporal, comme le prétendent les
l n'atteint pas; il s'en rappro- che à mesure qu'il gagne la région
occipitale
, pour n'aboutir à l'écorce que dans le gyrus li
IOLOGIE pathologiques. 399 coin. Les antres circonvolutions du lobe
occipital
ne sont munies de fibres myéliques que lorsque
re 3 millimètres, le pariétal 3 millimètres). La moitié droite de l'
occipital
participe à cette hypertrophie osseuse (1-"ig.
rontal gauche (légèrement hypertrophiée) ainsi que le pariétal et l'
occipital
droits sont gras et d'un gris violacé, indice d
a suture pariéto-occipilale sont très dentelées. Extérieurement l'
occipital
fait une saillie notable sur le pariétal à gauc
res au contraire très volumi- 472 RECUEIL DE FAITS. neuses. Fosse
occipitale
droite un peu moins longue que la gauche. Pie-m
fosses temporales profondes, fosses ethmoidades étroites, condyles
occipitaux
saillants, sinus frontaux larges, os de la face p
étaient aussi les deux divisions du lobule pariétal inférieur. Lobe
occipital
: circonvolutions petites et irrégu- lières. A
y avait une constriction marquée qui rejetait en saillie la portion
occipitale
. Lobe temporo-sphénoïdal gauche : circonvolutio
avec la région correspondante du côté gauche, bien développés. Lobe
occipital
droit : circonvolution moyenne particulièrement
rconvolution de l'hippocampe, - LQ, lobe carré. C, coin. - LO, lobe
occipital
. L, f, lobe fusiforme très volumineux. T', troi
obe temporal composé de circonvolutions très atrophiées. - LO, lobe
occipital
. · Le rédacteur-gérant : Bourneville. ! ARC
érose en plaques. Voir Cezaelet. Un cas de - symétrique des lobes
occipitaux
, par Marchand, 68. en plaques chez un infantile
du cervelet, par Duret, 64. Sur les manifestations des du lobe
occipital
et du lobetemporo-spté- noidal, par Duret, 66.
it presque pas sur les lobes temporaux et pariétaux ; quant au lobe
occipital
, il parait sain. Les circonvolutions ne sont pa
l, aussi bien à droite qu'à gauche, et à son maximum dans le lobe
occipital
. - A l'encéphalite se joint une méningite, moin
en a que quelques-unes dans le lobe frontal droit, et dans le lobe
occipital
gauche ; le lobe occipital droit en contient à
s le lobe frontal droit, et dans le lobe occipital gauche ; le lobe
occipital
droit en contient à peine. On trouve égalemen
ncées à la superficie, surtout la première ; enfin que dans le lobe
occipital
les lésions vasculaires sont à leur minimum, le
ns les régions motneeeturontate sont lesiplus malades. et la région
occipitale
la moins atteinte.. 31%/[t;ij,<i ul n[ ,lmrapl
uffisait à interrompre toute communi- cation entre l'écorce du lobe
occipital
et l'ensemble du reste de l'écorce des deux hém
la faculté d'en acquérir de nouvelles. Foyer probable dans le lobe
occipital
droit (hémianopsie gauche). Un second accès lui
amp visuel dans son quart supérieur, ce qui indique un double foyer
occipital
(un dans chaque lobe). Lésion vasculaire syphil
ur cérébrale indéniable. Compression et destruction de tout le lobe
occipital
gauche; foyer de ramollissement ayant interromp
ramollissement ayant interrompu toute la substance blanche du lobe
occipital
gauche au niveau du bourrelet du corps calleux.
issement inter- rompait les fibres d'association unissant la région
occipitale
droite conservée avec le côté gauche et avec le
s, c'est-à-dire de lire par imitation, possédait donc, dans sonlobe
occipital
droit, des images commémoratives optiques pour
probable qu'il y avait conservation des tractus, unis- sant le lobe
occipital
droit indemne aux'centres commandant aux faisce
préexistent pas à la fonc- tion ? A côté de la suppression du lobe
occipital
gauche et de l'in- terruption des fibres d'asso
ion des fibres d'association qui, parle corps calleux, vont au lobe
occipital
droit, il faut encore tenir compte de la légère c
sion exercée à droite, par la tumeur, sur la partie médiane du lobe
occipital
dans la région du coin et de l'avant-coin. 1 '
gt; ,» i«" 11 est probable qu'il y1 a' lésion d'une partie du lobe,
occipital
. Le traitement est resté, sans résultat. Evidem
admettent uncentre) particulier, de la parole écrite dans le lobe "
occipital
, y : ait destruction`de ce centre,, soit que, c
les rapports DE la cécité bilatérale avec les ARFECTIONS des lobes
occipitaux
; parle Dr SEPPILI R2U. sp. di fi-en., t. XVIII,
: La cécité bilatérale peut dépendre d'une affection des deux lobes
occipitaux
. Lorsque la cécité apparaît des deux côtés, rap
on devra la rapporter, à.- une, lésion 3 I)ilatéi,ale de la région
occipitale
. La cécité due.'à;une lésion des deux lobes occ
de la région occipitale. La cécité due.'à;une lésion des deux lobes
occipitaux
tantôt ,se montre en même; temps, dans tout le.
6° quand on se borne à'détruire le' bord interne' d'un 'des'' lobes
occipitaux
et en même temps `la substance 1 blanche .sous-
s droites ; le chiffre le plus fort après ceux-ci con- cerne lelobe
occipital
droit ; 6° les fibres les plus belles se rencon-
veau ; les plus fines se rencontrent dans les frontales' et le lobe
occipital
; 7 ? constance de la raie de Germain.'1' Celle
protu- jo .. ,a ,1 `Illyt. Iw"t'7 4 e - - ... , berance externe,
occipitale
.. La partie,,du, cuir., chevelu fut, alors - ?
s au niveau de' la 'deuxième frontale. Les méninges, minces au lobe
occipital
, épaissies à la partie'antérieure, soudées au niv
e. La pie-mère lèche sur le reste de la surface de ce lobe. Le lobe
occipital
, le lobe pariétal, le lobe temporal, la plus gran
be pariétal en entier (sauf la pariétale ascendante), tout "le lobe
occipital
. (Annales médico- psychologiques, 1893.), jryoï
il s'agit de criminels ou de non criminels, en frontaux; pariétaux,
occipitaux
, l'intelligence occupant les régions antérieure
le succombe à un glio-sarcôme occupant la substance blanche du lobe
occipital
droit allant jusqu'au pulvinar; autres glio-sar
sur les rapports de la bilate- rale avec les affections des lobes
occipitaux
, par Soeppili, 195., Cellule nerveuse, anatomie
s sont nettes; le lobule du pli courbe, le lobule pariétal, le lobe
occipital
sont très distincts, très simples et sans circonv
paracentraux et des lobes carrés. Ces derniers, ainsi que les lobes
occipitaux
, offraient d'assez nombreux sil- lons superfici
pli courbe. Tl, 7 ? 1'3, circonvolutions temporales. L. 0., lobe
occipital
. PLANCUE II Face interne de l'hémisphère gauc
ol)ule paracentral. L. C., lobe carré. L. C., coin. L. 0., lobe
occipital
. T4, 7 ? quatrième et cinquième circonvolutions
re de la capsule, se rendent, d'après l'auteur, aux circonvolutions
occipitales
. Nous avons élargi la signification de ce mot,
e, pour se diriger aussitôt après en arrière vers la pointe du lobe
occipital
, et celle d'un autre tractus, déjà décrit par G
tiers postérieur de la cap- sule interne jusqu'aux circonvolutions
occipitales
; les autres nous en ont révélé la forme, la ha
imensions, y est situé à la partie latérale externe du prolongement
occipital
du ventricule ; nous l'appelons , à cause de ce
i- mètre ou à un centimètre et demi en avant de la pointe du lobe
occipital
. Elle n'intéresse plus le ventricule qui est tout
75 hauteur diminuent à mesure qu'on approche de la pointe du lobe
occipital
. La forme du corps du faisceau peut être assez
sensations visuelles sont per- çues surtout par les circonvolutions
occipitales
. Il est possible en effet, comme nous l'avons d
dure-mé- riennes. Une triple fracture s'étend : de l'extrémité de l'
occipital
au sommet du temporal gauche, du milieu de l'oc
trémité de l'occipital au sommet du temporal gauche, du milieu de l'
occipital
au trou dé- chiré postérieur droit, et sur le t
voix basse la personne en expérience et d'ausculter dans la région
occipitale
. Dans ces conditions, il a trou\é le son de la
ke, Reinhard, W. Sander, M. Wernicke constate l'ennlobement du lobe
occipital
dans la zone d'atrophie ; cependant, MM. Heinha
e chose de semblable chez un malade atteint d'un abcès dans le lobe
occipital
gauche. Cet abcès avait pénétré jusqu'à la subs-
Avec elle, on constate de la raideur du cou. Elle s'étend depuis l'
occipital
jusqu'aux fesses dans les efforts faits par le
use, du lambda et de la scissure perpendiculaire externe. Les lobes
occipital
et temporo-sphé- noïdalont les mêmes limites qu
e. Il y avait quelques contusions de la tête, l'une por- tant sur l'
occipital
gauche, et une autre plus étendue sur la région
ait le malade à l'égard des. objets placés à sa droite; les lésions
occipitales
surtout sont à rapprocher des résultats récemme
pli courbe. - y, T-, 1'3, circonvolutions temporales. L. 0., lobe
occipital
. - H2 EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE Il
obule paracentral. L. C ., lobe carré. L. C., coin. L. 0., lobe
occipital
. Tà, Ts, quatrième et cinquième circonvolutions
ière et sa forme rappelle grossièrement celle d'un pain de sucre. L'
occipital
forme en arrière une saillie notable du côté ga
t du malade. La tête est assez régulière- ment conformée ; la bosse
occipitale
un peu saillante ; le front, assez haut et bomb
n examinant la face interne. La crête frontale et la protu- bérance
occipitale
interne sont, en effet, notablement re- ASYMÉTR
la base du crâne, mesurée de la suture sagittale à la protubérance
occipitale
externe, est, droite de 285 mill. et à gauche s
nfin, lorsque tendant un fil de la crête frontale à la protubérance
occipitale
interne, on me- sure la distance qui sépare le
de l'extrémité supérieure du sillon de Rolando à la pointe du côté
occipital
: adroite, 13 cent.; à gauche 8,5. Remar- quons
développement sur le plus petit hé- misphère. Les circonvolutions
occipitales
et sphénoïdales ne pré- sentent pas d'anomalies
ssent de dimensions égales. Pas de rétrécis- sement notable du trou
occipital
. La moitié droite de la voûte crânienne est bea
ecchymotiques sur la face convexe des lobes frontaux, sur les lobes
occipitaux
et sur le bord postérieur du cervelet. Le lob
raît sil- lonné de vaisseaux nombreux. Sur les. confins des lobes
occipital
et sphénoidal, il existe un bourrelet volumineux
se dans tout le cul-de-sac dure-mérien qui reçoit la pointe du lobe
occipital
. Dans toute l'étendue de l'hémisphère droit, la
le De Poucel lui fait une trépanation de la partie supérieure de l'
occipital
gauche (avril 18cl6). Après l'opération, l'état d
nte des cicatrices de la variole, le nez est écrasé. Au niveau de l'
occipital
gauche se trouve une dépre,s- sion de 8 à 10 ce
'INNERVATION CORTICALE, ETC. 119 face interne et inférieure du lobe
occipital
(cuneus, lobe lin- gual et lobe fusiforme d'apr
st pas neuve de faire jouer un rôle oculo-moteur à l'écorce du lobe
occipital
. Nous avons à ce sujet un certain nombre de don
ien entre le bord postérieur du gyrus sigmoïde et la pointe du lobe
occipital
a vu : 1° la déviation des yeux du côté opposé
s pupilles. Ce n'est pas, probablement, que la face convexe du lobe
occipital
joue un rôle par elle-même. Mais nous savons qu
e dirigeaient en bas par l'excitation de la zone supérieure du lobe
occipital
, en haut par l'excitation de la zone inférieure
ntenses lorsque l'excitation était portée à la face interne du lobe
occipital
. Il admet que l'excitation produit des images s
st pas nécessaire, car l'excitation de la substance blanche du lobe
occipital
produit les mêmes mou- vements (Danillo). La se
aux résultats (Munk). La section de la couronne rayonnante du lobe
occipital
empêche ces mouvements de se produire (Munk). M
ù l'entrecroisement optique est complet l'excitation d'un seul lobe
occipital
produit les mouvements des deux yeux (Steiner).
e s'accordent donc à faire de la face interne et inférieure du lobe
occipital
un centre non seulement sensitif, mais aussi mo
malade ; ils se ferment vivement : le centre réflexe a été le lobe
occipital
. En effet, ce réflexe est aboli dans la cécité
mouvements que nous avons mis plus haut sous la dépendanee du lobe
occipital
(mouvements de latéralité, convergence, pupille
ée à l'hémiplégie motrice, sans lésion ni du pli courbe, ni du lobe
occipital
, est produite par une lésion du centre oculo-mo
s donc quels sont les troubles produits soit par une lésion du lobe
occipital
, soit par une lésion du centre oculo-moleur ant
on du centre oculo-moleur antérieur. a) Dans les lésions du, lobe
occipital
. Lorsque celles-ci sont isolées, les troubles s
uvements palpébraux ayant la rétine pour point de départ et le lobe
occipital
comme centre de réflexion. C'est d'abord le c
produit par une vive lumière; il est aboli dans les lésions du lobe
occipital
: une lueur intense produite dans la moitié abo
s deux mouvements étant sous la dépendance de chacun des deux lobes
occipitaux
, ne sont pas troublés dans les lésions unilatér
e siège pas au niveau du pli courbe, mais à la face interne du lobe
occipital
; les fibres centrifuges qui en partent pas- se
tenant que ces mouvements ont leur centre de réflexion«dans le lobe
occipital
. Si au contraire on com- mandait à la malade de
ielle (rétine) au niveau de la face interne et inférieure du lobe
occipital
. 2° Chacun de ces centres agit bilatéralement,
enticulaire et avait envahi, à travers la capsule interne, la corne
occipitale
du ventricule. Dans nos cas, nous voyons (obs.
ostérieure) et fait par là irruption dans les cornes descendante et
occipitale
du ventricule. L'ob- servation II est particuli
e et se fait, on peut dire tout entière, entre ce noyau et la corne
occipitale
du ventricule ; c'est sans doute pour ce motif
rveau présente des zones de coloration très différentes : les lobes
occipitaux
sont affaissés, complètement déco- lorés, le sy
artie antérieure et ramolli dans le système de projection des lobes
occipitaux
. Athérome très pro- noncé de tout le système ar
mmes ; pas de suffusions sanguines. Les méninges minces sur le lobe
occipital
, plus épaisses à la partie antérieure présenten
érieure de l'hémisphère gauche. S'agit-il du lobe pariétal, du lobe
occipital
, du lobe temporal ? ? Le caractère variable et
ents. 11 existe de la douleur et un peu de rai- deur dans la région
occipitale
et à la nuque, une diminution de la mémoire et
pointue ; la suture pariétale forme un relief très marqué, la bosse
occipitale
est saillante, la bosse pariétale droite est pl
lobule sont très nets et très simples. Le lobe temporal et le lobe
occipital
offrent également le mémo aspect schéma-" tique
100 IDIOTIE myxoedémateuse. postérieures qu'en avant. La bosse
occipitale
fait une saillie régulière, symétrique, très pr
ière, symétrique, très prononcée en arrière. L'angle supérieur de l'
occipital
est le point le plus élevé du crâne. A partir d
u du vertex, trois os wormiens. Il n'y a pas trace de division de l'
occipital
. Sur la face interne, les sutures ne sont pas s
yant 2 cm. 5 de longueur, sépare le lobe pariétal supérieur du lobe
occipital
. Le lobe pariétal inférieur est représenté par
relie à PA et deux plis de passage postérieurs l'unis- sent au lobe
occipital
. Le lobe occipital est formé de trois petites c
plis de passage postérieurs l'unis- sent au lobe occipital. Le lobe
occipital
est formé de trois petites circonvolutions de 3
liers postérieur sinueuse et autonome et va se perdre dans le lobe
occipital
. Face interne. F1 est formée à sa partie antéri
xterne, qui est accentuée, par un pli de passage qui l'unit au lobe
occipital
. Le lobe pariétal inférieur et le pli courbe so
rconvolutions ayant la même disposition que du côté opposé. Le lobe
occipital
a aussi les mêmes caractères qu'à droite. Fac
P. L, lobule pariétal inférieur. P. C., pli courbe.. L. O., lobe
occipital
. T1, première circonvolution temporale. T2,'
, est déprimée, aplatie, tandis que la moitié correspondante de l'
occipital
fait saillie. Inversement la bosse frontale d
se frontale droite est saillante et la moitié correspondante de l'
occipital
est déprimée. (Crâne oblique.) .. Déformation
ières au-dessus de la racine du nez. Sommet de la tête. Protub.
occipitale
ext. Milieu de la suture inter-pariétale. Poi
ent décollées. - Crâne : légère dépression de la moitié droite de l'
occipital
; la moitié gauche du frontal est moins saillante
E sclérose. l'hémisphère gauche; atropine moins accentuée du lobe
occipital
. - Hémisphère droit presque normal. - Iné- gali
ifférentes cavités de la base paraissent normales ainsi que le trou
occipital
. - L°s nerfs et les artères de la base de l'enc
s temporales (Tl, T2, T3) sont normales. T et T2 sont unies au lobe
occipital
par des plis de passage. Les circonvolutions oc
tout, c'est l'atrophie du coin et de la partie postérieure du lobe
occipital
. La partie comprise entre la scissure perpendic
quée, les 3 circonvolutions Tri, T2, T3 sont de volume normal. Lobe
occipital
. Le lobe occipital a un volume ordinaire. Il es
olutions Tri, T2, T3 sont de volume normal. Lobe occipital. Le lobe
occipital
a un volume ordinaire. Il est toutefois à remar
re. Il est toutefois à remarquer que les circonvolutions temporo-
occipitales
et pariéto-occipitales sont un peu grêles. Face
versal. La deuxième pariétale est très réduite de longueur. Le lobe
occipital
est de même normal. Face interne. La cissure
pariétale postérieure, aux environs du pli courbe, et il la région
occipitale
(surtout scissure calcarine et circonvo- lution
région occipitale (surtout scissure calcarine et circonvo- lutions
occipitales
internes). Les types lésionnels sont très analo
océphalie prononcée ; aplatissement du frontal gauche, saillie de l'
occipital
droit ; os durs, assez épais ; pla- ques transp
ar la lésion dans son bord antérieur et son bord supérieur. Le lobe
occipital
n'offrait rien de particulier. L'examen de ce
érieur. P2, pli pariétal inférieur. , PC, pli courbe. LOC, lobe
occipital
. 232 .. EXPLICATION DES PLANCHES. PUNCHE XVI.
hien. Chez le singe, au contraire (extirpation bilatérale des lobes
occipitaux
), qui survécut deux ans, les cordons de Goll et
connexions du même genre entre le cervelet et les lobes temporal et
occipital
. Voici les phénomènes de déficit consécutifs à
es circonvolutions du lobe frontal, non plus que celles des lobes
occipital
et temporal, ne déterminent aucun trouble de la
occupe les première et deuxième temporales ; - 4° la lésion du lobe
occipital
engendre des troubles de la vue directs, qui ap
duit de préférence quand l'altération occupe la con- vexité du lobe
occipital
; - 10° les lacunes du champ visuel ne passent t
orce, un endroit de la convexité qui pourrait bien être la deuxième
occipitale
, se trouve détruit : 11° cet endroit correspond
idu. Il n'est pas démontré que chez l'homme l'écorce de chaque lobe
occipital
se divise en deux compartiments ; - 13° l'hypothè
es corrélatives, cécité psychique associative. C'est dans les lobes
occipitaux
que réside la perception consciente des impress
te par l'interruption des fibres d'association qui unissent le lobe
occipital
au reste des hémisphères. Une telle interruptio
en partie de la zone motrice, et la première circonvolution du lobe
occipital
, siège reconnu de la vision mentale. La FA ap
on. De même, pour l'étude de la première circonvolu- tion du lobe
occipital
, Golgi, qui nie que les divisions de cette régi
que ne sont pas moins intéressantes. De la PA jusqu'à l'extrémité
occipitale
, l'épaisseur de l'écorce diminue; elle est à so
essivement, à partir de cette scissure, jusqu'à l'extrémité du lobe
occipital
. Enfin, dans la région intermédiaire, Conti a t
Tête. Elle est ovoïde avec prédominance très accusée de la région
occipitale
, saillie prononcée des bosses pariétales et rétré
tre l'abolition complète de la vision et la double lésion des lobes
occipitaux
. G. D. V. Contribution : 1 L'ÉTUDE des affect
chien chez lequel, le jour de la naissance, on avait enlevé le lobe
occipital
du côté gauche et une partie du lobe temporal.
equel il existait un foyer de n(- wollissement ancien en plein lobe
occipital
guuclie. Cettepièce appar- SOCIÉTÉS SAVANTES. 2
ie. La substance blanche ressortissant au pli courbe, à la première
occipitale
, à la portion supéro-postérieure de l'avant- co
u ventricule la- téral. Intégrité du coin, des seconde et troisième
occipitales
, du segment inférieur des libres de Gratiolet,
e du pulvinar et du corps genouillé externe des deux côtés (le lobe
occipital
semble d'ailleurs normal). Le corps genouillé i
primaires s'atrophient forcément à la suite de destructions du lobe
occipital
; à cette dégénérescence secondaire participe g
uis cette époque, il était en proie à des céphalalgies frontales et
occipitales
violentes; ces accès duraient quelques heures.
quelques fibres du raphé. Le cerveau (circonvolutions frontales et
occipitales
) ne pré- sente rien d'anormal. Le cervelet (h
ous allons parler, quelques circonvolutions des régions frontale et
occipitale
ont été examinées, de façon à être certain que
re droite; foyers de ramollissement du lobe temporal droit, du lobe
occipital
, de l'hémisphère cérébelleux droit. Gomme syphi
ésie avec hémianesthésie gauche observée pendant la vie, au foyer
occipital
, la surdité complète à celui du lobe temporal dro
'attache desloreilles : 0,55; de la racine du nez à la protubérance
occipitale
externe : 0,36; d'une oreille à l'autre : 0,36;
trouve quelques-unes isolées dans le lobe frontal, et dans le lobe
occipital
avec de petites et de moyennes. Forme un peu ar
iaux laissés par Broca, sur le poids des Lobés frontaux, dès lôliês
occipitaux
et sociétés savantes. 213 des régions pàriélo
olir la région frbn- talé, la^scissure de Rôlàndd; poUr, la. région
occipitale
, la scissure perpendiculaire. Lès régions parié
On trouyo, à l'autopsie, un foyer de ramollis- sement dans le lobe
occipital
droit qui évidemment a causé l'hémianopsie; auc
gauche- doit'être imputée à un foyer de ramollissement dans le lobe
occipital
droit. Les os du crâne extraordinairement epais
hie unilaté-' raie. Intégrité 'des' cellules corticales des''lobes'
occipitaux
.' ' l" ' Quelle'' est ! dans'les cerveaux d'Iié
; ! ? 'i' JI' t J rait pu suivre la dégénérescence partie du.lobe ,
occipital
pour, ra,l, P, 'SIV.r ? 1 . 1 . 1 1 1 9, oc p,l
écoule pas nécessairement que ces altérations .émanas- sent du lobe
occipital
puisqu'un des cas témoignait d'une atrophie par
pital puisqu'un des cas témoignait d'une atrophie partielle du nerf,
occipital
droit de, par une tumeur (action rétro- grade),
, globe, oculaire gauche, la relation entre cet accident et le lobe
occipital
n'est pas démontrée. ' '' " " l' Conclusions :
, ,il s'exerce une action cumulative. 3° La destruction d'un lohe
occipital
ne produit pas nécessairement d'altérations macro
eurs années, 1° 11 n'est pas, démontré que la destruction d'un lobe
occipital
détermine sur les cellules nerveuses des organe
est très volumineuse, tandis que la gauche est à peine indiquée. L'
occipital
est plat suivant un plan vertical, la 356 CLINI
UE MENTALE. moitié droite en retrait sur la gauche; les deux bosses
occipitales
sont peu saillantes, égales, mais ne sont pas s
1 m. 19. 9 juillet. Etat actuel. - Tête ovoïde assez développée; l'
occipital
fait uns légère saillie, au dessous de laquelle
tandis qu'à gauche il existe une convexité assez marquée. La bosse
occipitale
droite est plus accentuée que la gauche; de mêm
plus saillante que la gauche, surtout à l'union du pariétal avec l'
occipital
. La bosse pariétale gauche est plus basse et pl
13. Anurie depuisdeux jours : pas de vomissements. - Né- vralgie
occipitale
. 14. - Urines abondantes (chiendent). 2 f écr
s les plus communes de la céphalalgie diabétique est la céphalalgie
occipitale
avec douleur localisée à la nuque (Oss. XLV, LV
affectent le sciatique, le crural, les nerfs intercostaux, frontal,
occipital
, cervico-occipital ; elles n'ont que peu de rap
e gauche, un foyer de ramollissement superficiel à la base du lot e
occipital
droit, n'empiétant aucunement sur;les régions e
es tubercules méningés visibles étaient limités aux lobes pariétal,
occipital
et temporo-sphénoïdal du côté droit; ils suivai
ra la tuméfaction sous-mentale que nous aurons à décrire. i° Groupe
occipital
. — Au niveau des insertions supérieures du trapèz
que les muscles et les aponévroses prennent sur la ligne courbe de l'
occipital
. La peau n'est pas adhérente à ces tumeurs ; el
e de classer ces tumeurs en plusieurs groupes distincts : i° Groupe
occipital
. Les tumeurs occupent toute la région occipitale,
stincts : i° Groupe occipital. Les tumeurs occupent toute la région
occipitale
, nettement limitées par leur bord supérieur, conc
u cou. La peau qu'elles soulèvent semble plus' normale qu'à la région
occipitale
. Elle est aussi plus souple; et les tumeurs sous-
ue celles du groupe précédent. 3° Région cervicale. De la base de l'
occipital
jusqu'au niveau de la sixième on septième vertèbr
ligne de démarcation distincte, se confondent en haut avec le groupe
occipital
, et sur les côtés avec le groupe sous-maxillaire.
peut être diversement interprétée; le Dr de Macédo pense que c'est l'
occipital
d'un fœtus enclavé ; pour nous ce serait un os il
t, si ce n'est au niveau de la face convexe des lobes sphé-noïdal e':
occipital
où cette enveloppe, infiltrée de sérosité, adhère
é, on observe une atrophie considérable des circonvolutions des lobes
occipital
et sphénoïdal, atrophie qui se traduit par une di
petite circonvolution pariétale postérieure et la circonvolution dite
occipitale
, va en s'atrophiant progressivement d'avant en ar
se continuant avec une autre cicatrice semblable qui occupe la corne
occipitale
du ventricule et presque toute la corne sphénoïda
détruit ou considérablement frappé toutes les circonvolutions du lobe
occipital
gauche et la plus grande partie des circonvolutio
a gauche. Les bosses parié- tales sont peu saillantes de même que l'
occipitale
. La fontanelle antérieure n'est pas complètemen
e lobe occipilai droit, foyer de ramollissement étendu dans le lobe
occipital
gauche. Ce foyer s'étendait sur une grande part
irconvolution de l'hippocampe. Le foyer de ramollis- sement du lobe
occipital
ne se bornait pas à l'écorce, mais portait auss
a- lamus opticus et la queue du noyau caudé. La convexité du lobe
occipital
et du lobe temporal était intacte. Le territoir
ques parties du tapetum du corps calleux. La partie convexe du lobe
occipital
est indemne, même au point de vue microscopique
. On sait que Déje- rine admet, en dehors du centre optique du lobe
occipital
, un centre optique spécial, où seraient déposée
ès à égale distance de la scissure de Rolando et de la protubérance
occipitale
externe, un peu à gauche de la ligne médiane :
n. Quatre ans plus tard, douleur vive dans les régions pariétale et
occipitale
gauches : attaque de petit mal ; changement trè
irconvolutions de l'hémisphère gauche, dans les régions frontale et
occipitale
, sont très petites, flétries et comme comprimées;
sques à la limite du frontal et du pariétal, entre le pariétal et l'
occipital
; au niveau des sutures le son est un peu plus é
se constate au niveau de la moitié postérieure des pariétaux, de l'
occipital
, des prolongements des apophyses mastoïdes ; un
aux, on rencontre 45 fois la douleur ou la sensibilité de la région
occipitale
: ce signe est douteux dans 30 cas; dans 8 il n
e, l'asthénie musculaire, la douleur et la sensibilité de la région
occipitale
, la tendance de la démarche à incliner du côté
chez l'homme dans la scissure collatérale, qui existe comme partie
occipitale
de la scissure rliiuale chez les animaux. La pr
- 298 SOCIÉTÉS SAVANTES. - ruptions du pôle frontal jusqu'au pôle
occipital
par exemple chez le rosuarus et le taureau comm
hez l'homme, à cette première scissure de Leuret et sa continuation
occipitale
qui se trouve chez les animaux comme scissure m
e chez les animaux comme scissure médio-latérale (première scissure
occipitale
). La seconde scissure de Leuret se trouve compl
ariétale (ou scissure de Turner, selon M. Benedikt). Dans la région
occipitale
la seconde scissure de Leuret n'est pas toujours
et assez complète pour le lobe frontal. Elle y manque pour le lobe
occipital
. Chez l'homme la partie frontale de cette trois
temporale et aboutit au pôle occi- pital (comme troisième scissure
occipitale
) où elle sépare la partie externe de la circonv
rne de la circonvolution fusiforme de la troisième circonvolu- tion
occipitale
. La scissure temporo-occipitale apparaît chez bea
sversal est celui qui sépare la circonvolution quadrilatère du lobe
occipital
et que Benedikt désigne comme- scissure précuné
-méningé avec pachymé- ningite interne au niveau de la protubérance
occipitale
(deux couronnes de trépan avec excision au cise
lcarine, le coin, le lobule lingual, les segments pos- térieurs des
occipitales
. La région située en arrière du pli courbe ne p
s d'absence du corps calleux. Les deux couches passent dans le lobe
occipital
(Sachs); à la partie moyenne de celui-ci, la couc
ne, ses fibres parvenant aux extrémités convexes et basales du lobe
occipital
; dans le lobe tem- poral, elles arrivent, du r
fibres du faisceau subcalleuxqui proviennent des lobes temporal et
occipital
; de là elles se dirigent en commun en arrière
ccipitale, on voit que, sui- vant ce plan, la paroi médiane du lobe
occipital
présente, du côté du ventricule, une couche ini
mique de groupes fonctionnels simultanés. Excitez en effet l'écorce
occipitale
, vous pourrez produire des mouvements des globes
lissement, cortical également, et placé sur la face externe du lobe
occipital
, où il occupe la cir- convolution 02 et la part
La première, déjà signalée, est placée sur la face externe du lobe
occipital
, au niveau de la circonvolution °2' Dans la pro
ette dernière est conservée. Le segment postérieur comprend le lobe
occipital
, la partie postérieure des circonvolutions pari
es quelques cas décrits par d'autres auteurs. La forme de la région
occipitale
est plus variable : le plus souvent, elle paraî
nt arriver à remplacer en grande ,partie les pariétaux et l'écaille
occipitale
(v. Pl. XVI) ; et même, dans le crâne d'Helsing
ttement qu'il en est ainsi. Soit que l'on considère la largeur de l'
occipital
(mesuré à la limite de l'écaillé et des parties
ouvent en retrait sous le front saillant, et la forme -de la région
occipitale
pourraient faire supposer que la dimension longi-
ment le plan du jugum sphénoïdal. Par suite de cette courbure, l'
occipital
présente une inflexion plus accusée de la parti
ue, en outre, dans , tous les cas, la position très oblique du trou
occipital
et des condyles dont 'les surfaces articulaires
DANS LA DYSOSTOSE CLÉIDOCRANIENNE 99 moitiés postérieures. Le trou
occipital
est orienté en avant au point que son plan prol
la fissure est en général béante. Entre les différentes pièces de l'
occipital
persistent souvent des restes des synchon- dros
sans doute du ré- trécissement général de la base. L'indice du trou
occipital
peut être infé- rieure à 66 (1). Il est bien
ie d'un garçon dysostosique indiquait une direction oblique du trou
occipital
, s'accorde exactement avec les faits craniologi
ne sorte de cyphose de l'apophyse basilaire et une dislocation de l'
occipital
telle que, dans sa partie basale, il regarde, a
tal telle que, dans sa partie basale, il regarde, ainsi que le trou
occipital
, plus en avant. 3° Ossification incomplète du
et cérébrale, poussée jusqu'à l'apathie la plus complète, céphalée
occipitale
, douleurs dans les membres, verti- ges, somnole
remarquer à la voûte cranienne, sauf une légère saillie de la bosse
occipitale
, les arcades sourcilières paraissent bien plus pr
ée. La face postérieure du crâne tombe assez à pic. La protubérance
occipitale
externe est peu saillante. Le crâne est complèt
éro-postérieur (de la glabelle au point le plus reculé de l'écaille
occipitale
),la moyenne étant de 178 millimètres, on a 165
des sourcils pour faire le tour par la partie la plus reculée de l'
occipital
, 505 et 505 au lieu de 517. Courbure sus-auri
vaisseaux, n'a pas été fortement gênée. Ventricules. - Les cornes
occipitale
, frontale et temporale sont un peu dila- tées à
mité du ventricule, s'infiltre dans les faisceaux sagittaux du lobe
occipital
et augmente rapidement d'étendue, dans des cou-
sans doute à droite que l'on rencontrera le néoplasme, car la corne
occipitale
gauche est plus ouverte que la droite ; ensuite p
e gauche est plus ouverte que la droite ; ensuite parce que le lobe
occipital
droit est plus tassé, que les coupes y sont plus
est plus petit que le gauche ; diminution porte surtout sur le lobe
occipital
droit. Les parois des artères de la base sont f
auche. A droite la destruction la plus importante se trouve au lobe
occipital
. Elle s'étend aux deux circonvolutions bordant
e spécifique. Elle a entraîné une forte réduction de volume du lobe
occipital
, frappante surtout en ce qui concerne Fli. Il
s portions calleuses diffèrent un peu déjà (il : 10). C'est sur les
occipitales
que porte à peu près tout l'écart ^14 : 10).
tumeur ; il en est généralement ainsi. Cependant l'atrophie du lobe
occipital
droit n'est pas compensée par une cavité ventricu
présente une dépression longitudinale assez marquée dans la région
occipitale
supérieure. Il est asymétrique, ainsi que le visa
e moyenne ou pariéto-sphénoïdale ; 3° Dans-la partie postérieure ou
occipitale
. Telles sont les trois questions auxquelles il
se comporte la couronne rayon- nante dans la partie postérieure ou
occipitale
.-Ce que l'on appelle prolongement occipital de
partie postérieure ou occipitale.-Ce que l'on appelle prolongement
occipital
de la capsule interne constitue, pour ainsi dir
mence à l'é- corce du lobe frontal et va se terminer dans le lobe
occipital
, en traversant le centre ovale. Il est constitué
e parait plus naturel d'en parler avant. Il va de la pointe du lobe
occipital
à celle du lobe tem- poral. Sa structure est ce
e la septième zone frontale, où il limite en dehors le prolongement
occipital
de la capsule interne comme le tapetum le limit
nheik-. Psych. gerichtl Psychopath., 1880.) 1° L'ablation des lobes
occipitaux
des deux côtés sans inté- resser les plis courb
resser les plis courbes, c'est-à-dire en arrière du sillon pariéto-
occipital
, n'entraîna aucun trouble de la vue. 2° La dest
mblyopie évidente. 3° L'ablation à la fois du pli courbe et du lobe
occipital
d'un hémisphère entraîne l'hémiopie des deux ye
l'hémisphère est mince (hémisphères foetaux, 166 ANATOMIE. région
occipitale
et ergot de Morand chez l'adulte), se traduit d
nt occupant le lobe DE LA CÉCITÉ ET' DE1 LA SURDITÉ DES MOTS. 231
occipital
et sphénoïdal et se terminant a la racine'des lob
hes physiologiques et a cité deux cas de cécité avec lésion du lobe
occipital
. En 1874, Hitzig admettait qu'une lésion destru
ipital. En 1874, Hitzig admettait qu'une lésion destructive du lobe
occipital
produisait la cécité du côté opposé. Ensuite, M
est de même pour lés relations ' établies entre'la corne'etle lobe
occipital
, la substance blanche^ du lobe sphénoïdal; l'éc
r Wt L'auteur rapporte Meux-1 observations, 'où une céphalalgie ?
occipitale
existait si bien localisée et si persistante, qu'
e lui tira un coup de revolver à bout portant.^ La balle fractura l'
occipital
et détermina des accidents i cérébraux-t qui en
vision dans les hémisphères, par J.-C. Dalton, 128. Céphalagie
occipitale
comme sym- ptôme de l'urémie, pat Séguin, 248
ase du crâne, 253. ,(-» ' -Hifqn " ' j »* Urémie ( céphalalgies
occipitale
comme symptôme de l') ; par s6 Séguin, s48 ··
e la moelle avait disparu encore plus promptement : au niveau du trou
occipital
, elle était déjà rétrécie, et au niveau de la deu
l., et la longueur de la tête, mesurée depuis la bouche jusqu'au trou
occipital
,était de 'jiomill. naître de la moelle, immédia
ieure et qu'il coupait cette ligne par une autre qui, partant du trou
occipital
, se prolongeait en avant, pour aboutir au même po
aution que j'ai prise de couper toujours la moelle au-dessous du trou
occipital
, il est arrivé qu'une partie de cet organe a été
de ces animaux, pris comme on le fait d'ordinaire, au-dessous du trou
occipital
, donnerait fort mal le volume total de cette moel
elle épinière mesurée à sa naissance, c'est-à-dire au-dessous du trou
occipital
, a une largeur dont la moyenne, comparée au diamè
frontaux , et celui du courage su les muscles qui vont s'insérer à l'
occipital
. » Voy, t. n, p. 116. Et, parlai d'un autre phrén
orsque l'on mesure les cavités qui renferment le cervelet, les fosses
occipitales
, dans toutes leurs dimensions. Le développement
mouton, l'os frontal est très considérable, le pariétal est petit, l'
occipital
ne s'avance pas jusqu'au cerveau (pl. vu, fig. 4)
ativement au pariétal, beaucoup moins étendu que chez le mouton, et l'
occipital
vient recouvrir, comme chez l'homme, l'extrémité
s les autres mammifères. 33. L'os pariétal est plus étroit, et l'os
occipital
est moins développé chez les moutons que chez les
prétend démontrer par le rapetissement, jugé à vue d'œil, des fosses
occipitales
; or, les pesées faites à ma prière, par M. Marcha
pix, Munich, i8i5, in-fol. avec 18 pl. productive et générative à l'
occipital
; l'âme réfléchissante, aux pariétaux; l'âme intel
ité postérieure du lobe cérébral que recouvre l'angle postérieur de l'
occipital
, la faculté de concevoir et déjuger, dans la port
de l'échelle animale, il ne reste plus que les portions basilaire el
occipitale
du crâne; aussi Pâme de ces derniers animaux manq
n ou de l'autre, plus développé, comparativement que le pariétal et l'
occipital
, eût donné à ces animaux de la science, de la rai
uraient jamais été proposés. L'os frontal, comparé au pariétal et à l'
occipital
, est regardé comme beaucoup plus étendu chez l'ho
e la face, mais qu'il est en même temps celui dont les pariétaux et l'
occipital
sont les plus considérables. Dans les autres mamm
u-devant de lui, en même temps le pariétal se rétrécit beaucoup, et l'
occipital
cesse de recouvrir aucune portion du cerveau. D
ence complète, chez presque tous les mammifères, de cette partie de l'
occipital
qui recouvre l'extrémité postérieure du lobe céré
à la disparition complète de ceux que recouvre l'angle supérieur de l'
occipital
, et, par conséquent, à la diminution et même à la
rénologie a placé l'amour pour les petits sous l'angle supérieur de l'
occipital
; puisqu'elle explique l'amour maternel des singe
e que très imparfaitement le cervelet1, et que l'angle supérieur de l'
occipital
manque au cerveau? L'organe manque, donc la facul
vu que le principe posé par elle conduirait là, et ne trouvant plus d'
occipital
pour loger la philogéniture, elle l'a glissé sous
pement comparatif des os, de l'élévation du front, de la saillie de l'
occipital
? Elle est réduite à rien par les phrénologistes e
un peu en haut. Les bosses pariétales, frontales et la protubérance
occipitale
sont saillantes. Les diamètres de la tête son
LOGIQUE DE L'ACROMÉGALIE. Iit - Il faut aussi remarquer que le trou
occipital
est dans son ensemble petit, son plus grand dia
eux de la base du crâne sont plutôt rétrécis ; en particulier le trou
occipital
et les trous déchirés postérieurs dont le gauch
e des sinus frontaux; le second dans l'épaisseur qu'avait acquise l'
occipital
au niveau du pressoir d'Hérophile. En fait les
dire 17 millimètres de plus que la moyenne établie par Parchappe; l'
occipital
a une épaisseur de 2G millimètres c'est-à-dire su
ée moins que d'habitude d'avant en arrière, de sorte que les fosses
occipitales
paraissent être presque au même niveau que les fo
se il faut donc admettre que l'orbiculaire palpébral, le frontal, l'
occipital
, en un mot les muscles peauciers de la région, à
talement en bas au niveau de l'omoplate, et en haut, dans la région
occipitale
, au niveau des insertions du trapèze. La sensibil
i minces qu'en les regardant à contre-jour ils sont transparents. L'
occipital
présente en outre une apophyse basilaire assez
rès saillante en avant. Les surfaces d'insertions musculaires sur l'
occipital
sont très développées. Les apophyses mastoïdes
pophyses mastoïdes et styloïdes sont développées. Les condylcs de l'
occipital
sont aplatis par suite d'une usure manifeste. L
tière du sinus longi- tudinal se montrent surélevés par rapport à l'
occipital
, et la gouttière elle- même dans toute son éten
seur en certains points ne dépasse pas 1 mill. (fig. 69). La partie
occipitale
, au contraire, est nettement épaissie jusqu'à 10
du crâne. Les sutures, ne sont nullement ossifiées. Au niveau de l'
occipital
, de l'apophyse mastoïde, du rocher, toutes les ru
base, 2 i. mill. à droite et 22 mill. il gauche. Les condyles de l'
occipital
sont à peu près normaux quoiqu'un peu bos- selé
nt manifeste dû à un tissu spongieux abondant entourant le sinus. L'
occipital
dans la partie supérieure de son écaille, les par
large que le gauche, ainsi que le trou déchiré postérieur. Le sinus
occipital
droit est très marqué. Le trou occipital a 30 m
chiré postérieur. Le sinus occipital droit est très marqué. Le trou
occipital
a 30 mill.de diamètre antéro-postérieur; 27 mill.
amètre transversal. Diamètres intra-cratierts. - De la protubérance
occipitale
interne au trou borgne, 140 mill.; delà protubé
exercée sur la moelle par la moitié postérieure du pourtour du tissu
occipital
et par l'apophyse odontoide. La figure 3 donne
nait à une maladie des ligamens qui unissent l'apophyse odontoide à l'
occipital
et à l'atlas. Or, une cause rhumatismale en se fi
là face antérieure, qui s'étendait en haut jusqu'au voisinage du trou
occipital
, et en bas jusqu'au niveau de la 4e vertèbre cerv
Luxation spontanée de la 1re vertebre cervicale sur la 2de et sur l'
occipital
compression de la moelle épinière d Chazal M.
ent sur le trajet des divisions principales des artères temporales et
occipitales
. La tumeur de la région frontale droite en partic
ex-encéphale. Point de voûte crânienne proprement dite; point de trou
occipital
: il n'existe de l'occipital que la portion basil
crânienne proprement dite; point de trou occipital : il n'existe de l'
occipital
que la portion basilaire et les parties latérales
t ossifié; l'oreille droite est à peine visible. La partie médiane et
occipitale
de la tête donne insertion à un grand nombre de c
e de l'hémisphère cérébral droit, une deuxième qui occupait la région
occipitale
de l'hémisphère gauche, une troisième qui occupai
t renversé de bas en haut et d'avant en arrière, je vis dans la fosse
occipitale
inférieure gauche, par conséquent au-dessous de l
dans la fosse sphéno-temporale, et en celles qui naissent de la fosse
occipitale
inférieure. Les premières produisent directement
et remplissait plus de la moitié de l'espace compris entre les fosses
occipitales
inférieures et latérales du cervelet ; elle adhér
livr. Je reviens à la tumeur principale: elle remplissait la fosse
occipitale
droite et empiétait un peu du côté gauche, refoul
. Cette douleur occupe le sommet de la tête : les régions frontale et
occipitale
en sont entièrement exemptes. Le caractère de la
upissement. Ouverture. Ramollissement hortensia des circonvolutions
occipitales
inférieures du côté gauche. Du reste, cerveau, ce
bulbe et de la protubérance par une tumeur développée dans les fosses
occipitales
inférieures; mais le défaut complet de céphalalgi
e pus examiner que la partie de moelle qu'on peut enlever par le trou
occipital
: elle était parfaitement saine au-dessous et à cô
on exercée sur le bulbe rachidien par le déplacement de l'atlas sur l'
occipital
, compression qui portait plus fortement d'un côté
gure i représente une tumeur cancéreuse développée aux dépens du lobe
occipital
de l'hémisphère droit du cerveau, et plus particu
cerveau, avait-elle été formée dans l'épaisseur et aux dépens du lobe
occipital
; ou bien, développée dans le tissu cellulaire de
a tumeur s'est formée très superficiellement dans l'épaisseur du lobe
occipital
, et que la couche mince qui la séparait des membr
as analogues, il est probable que son histoire est celle-ci : douleur
occipitale
habituelle permanente, ou rémittente, ou intermit
Hémisphère droit. Destruction des circonvolutions inférieures du lobe
occipital
. Une cicatrice peau de daim remplace les circonvo
re un jour acquérir quelque importance, c'est que les circonvolutions
occipitales
sont peut-être de toutes les parties du cerveau c
l'appui de la proposition précédente, savoir, que les circonvolutions
occipitales
sont extrêmement sujettes au ramollissement, comm
bable de ramollissement. — Destruction presque complète de la corne
occipitale
gauche. Femme Gambier, 73 ans, salle Saint-Luc,
opposé à la paralysie). Grande perte de substance des circonvolutions
occipitales
inférieures, qui sont remplacées par une membrane
jaunâtre. La substance blanche, qui forme le centre ou noyau du lobe
occipital
, présente, i° une cicatrice celluleuse infiltrée
liquide trouble jaunâtre. Hémisphère gauche. Trois circonvolutions
occipitales
présentent, au lieu de substance grise , des pell
cicatrices parfaitement confectionnées. Chez ce sujet, les deux lobes
occipitaux
avaient été successivement le siège du ramollisse
la substance grise. 2" Dansl'hémisphèregauche, les circonvolutions
occipitales
, celles qui occupent la corne occipitale postérie
gauche, les circonvolutions occipitales, celles qui occupent la corne
occipitale
postérieure comme celles qui répondent à la porti
es débris et par une masse globuleuse C qui se voit au-dessus du trou
occipital
, dans la fosse qu'occupe d'ordinaire le cervelet.
ent pourvu de cheveux, était plissé sur lui-même, surtout à la région
occipitale
, et paraissait avoir été destiné à recouvrir un c
e crête transversale très saillante, qui représentait la protubérance
occipitale
et la ligne courbe supérieure des carnassiers, ma
s, mais qui n'était autre chose que la partie supérieure de l'écaillé
occipitale
brusquement et anguleusement repliée sur elle-mêm
ne et la portion écailleuse des os temporaux étant restés en place, l'
occipital
, et surtout les pariétaux s'étaient rapetisses et
oint de réunion des angles des pariétaux et de l'angle supérieur de l'
occipital
, existe une tumeur du volume d'une petite noix. L
ement des pariétaux, développement plus grand qu'à l'état normal de l'
occipital
, qui, de son angle supérieur, se recourbe brusque
uelle s'échappait la tumeur, avait la forme et les dimensions du trou
occipital
. La tumeur a pour enveloppes les méninges épaissi
s'était plaint pendant quatre mois d'une douleur violente à la région
occipitale
, de douleur avec rigidité des muscles de la nuque
it aucune autre altération dans le cerveau. Une douleur à la région
occipitale
, coïncidant avec une diminution dans la myotilité
et des cheveux. Trouillu était chauve antérieurement, mais la région
occipitale
était suffisamment pourvue de cheveux; il avait a
d'une céphalalgie extrêmement intense, qui occupait surtout la région
occipitale
. A cette céphalalgie se joignirent des vomissemen
roduction du cancer. 31e liv-, pl. n,p. 2. CÉPHALALGIE. Céphalalgie
occipitale
résultant de la présence de tubercules dans le ce
probable de ramollissement. Destruction presque complète de la corne
occipitale
gauche. 33e liv.Kpl. 11, p. 4. — Cicatrices du ce
extra-utérine. 17e liv., pl. r, p. 4. — Monstruosités : Spina bifida
occipital
et cervical antérieur. Hernie cervicale du poumon
s syméliens. 33e liv., pl. v, vi, p. '. MONSTRUOSITÉS. Spina bifida
occipital
et cervical antérieur. Hernie cervicale du poumon
n'est pas mortel par lui-même. 16e liv., pl. iv, p. 4.— Spina-bifida
occipital
et cervical antérieur. 19e liv., pl. v,vi, ». /.—
ompagner au début presque exclusivement de migraine ou de névralgie
occipitale
; le phénomène rotulien faisait défaut, ce qui a
ers l'écorce du cerveau d'un pa- ralytique général : a dans le lobe
occipital
(fibres très abondantes dans toutes les couches
tablie. En mai, surviennent des céphalalg-iesfréqueli- te,, surtout
occipitales
, à la suite desquelles se montrent des troubles
H),p.23(;. , Pouls petit, facilement dépressible =-'70. Céphalalgie
occipitale
, parfois frontale; angoisse, vertiges, lassitud
développée; méplat à la partie 206 THÉRAPEUTIQUE. supérieure de l'
occipital
; sillon transversal au niveau de la fon- tanell
aissant pas asymétrique ; pas de méplat à la partie supérieure de l'
occipital
, bosses pariétales peu prononcées, ainsi que le
ception, nous voyons en effet une lésion de la face interne du lobe
occipital
, au lieu d'une lésion du lobule pariétal infé-
eau-nés. Aux uns on enlève des zones circonscrites du dé- partement
occipital
. Aux autres on énuclée le globe de l'oeil. Chez
apport étroit avec les troisième et cinquième couches de l'é- corce
occipitale
. Il en est de même chez le chat. La résection d
f olfactif et s'éten- dant jusqu'à 2 centim. et demi de l'extrémité
occipitale
de l'hémis- phère. En dedans, le pseudo-kyste l
et sur la face convexe et semble avoir séparé complètement le lobe
occipital
du reste de l'hémisphère. Le kyste distendu a u
irconvolutions temporales sont normales, bien développées. -Le lobe
occipital
est normal. Le lobule de l'insula est bien déve
du lobe pariétal inférieur, la partie la plus antérieure du lobe
occipital
, le pli courbe, la partie postérieure du lobule p
frontal et région pariétale), l'autre postérieure répondant au lobe
occipital
. La partie antérieure du lobe pariétal est atro
hiée encore, se trouve beaucoup plus en retrait par rapport au lobe
occipital
.' Le corn se trouve perdu dans le foyer. - Le l
u lobe occipital.' Le corn se trouve perdu dans le foyer. - Le lobe
occipital
est bien développé, sauf dans une petite por- t
i avec le kyste). Troisième coupe. Elle est pratiquée sur le lobe
occipital
et vers l'extrémité du kyste et montre encore u
e qui sépare le lobe temporal du lobe pariétal, et celui-ci du lobe
occipital
. Une troisième perte de substance cicatricielle
oupe de la pie-mère épaissie. FiG. 3. Coupe pratiquée sur le lobe
occipital
et vers l'extrémité du pseudo-kllsle. L 0, lo
le lobe occipital et vers l'extrémité du pseudo-kllsle. L 0, lobe
occipital
. - L C, coin. Ç 0, corne occipitale. TA, TA, ti
té du pseudo-kllsle. L 0, lobe occipital. - L C, coin. Ç 0, corne
occipitale
. TA, TA, tissu aréolaire. Hémisphère gauche.
al in- férieur. T l', circonvolutions temporales. Fie. 6. 0, lobe
occipital
. C 0, corne occipitale. F.rrm. ( : h. imp. - 58
, circonvolutions temporales. Fie. 6. 0, lobe occipital. C 0, corne
occipitale
. F.rrm. ( : h. imp. - 585.
ula sont le siège d'un ramollissement très étendu qui gagne le lobe
occipital
en arrière. Sur la première coupe transversale,
; la suture sagittale se dessine sous la peau, en forme de crête. L'
occipital
est déprimé au niveau de son articu- lation ave
la diminution se manifeste principalement sur les lobes frontaux et
occipitaux
, assertion qui ruinerait la théorie simienne de
crista-galli, de crête frontale, la cavité crânienne, dont la crête
occipitale
interne n'existe pour ainsi dire pas, et qui manq
interne n'existe pour ainsi dire pas, et qui manque de protubérance
occipitale
autant que des crêtes qui y abou- tissent, se d
la couche optique surle plancher ventriculaire. Nulle trace de lobe
occipital
. Il n'existe ni corps calleux, ni commissure an
éléments qui à leur tour en dépen- dent ; telle l'absence de lobes
occipitaux
causée par celle du corps calleux (Reichert). L
ne douleur sourde qui s'accompa- gnait d'élancements vers la région
occipitale
; les mouvements de 1 Thorens. -- Documents pour
s d'onanisme. État actuel. Le crâne offre une saillie spéciale de l'
occipital
qui est divisé en deux plans par une crête tran
yennne ; les apophyses mastoides sont très développées. De la bosse
occipitale
externe à la racine du nez, en passant par le v
sphères ne paraissent pas égaux; du côté droit les lobes frontal et
occipital
3 a se RECUEIL DE faits. sont en retrait sur
- tions ascendantes du lobule paracentral/ de l'extrémité du lobe
occipital
, et de la face interne du lobe temporal. Mais on
MM. Ferrier et Yeo placer leur centre visuel à la fois dans le lobe
occipital
et dans le gyrus angulaire, tandis que M. Munk
dans le gyrus angulaire, tandis que M. Munk le limite dans le lobe
occipital
seul. M. Munk, MM. Lucianni et Tamburini produi
rovoquée aussi bien par des lésions frontales, que pariétales et qu'
occipitales
. Comment comprendre que dans les expériences de
terminer une amblyopie croisée temporaire, que l'ablation d'un lobe
occipital
peut ne produire aucun trouble visuel, tandis q
le trouble visuel est en rapport avec une lésion corticale du lobe
occipital
, tou- jours il s'agit de lésions siégeant à la
relation entre l'hémianopsie et les lésions très étendues^du lobe
occipital
. D'autre part, un fait de M. Hujuenin, dans leque
blent aussi pouvoir être déterminée par certaines lésions du lobe
occipital
(fait de Petrina). Quant à l'hémianopsie, elle se
llèlement, ou à peu près, aux fibres du pédoncule cérébral. Du lobe
occipital
du cerveau on voit partir quatre groupes de fib
u mésocé- plale, dans l'hémisphère droit et se termine dans le lobe
occipital
droit. C'est le faisceau direct. L'autre port
uche du mésocéphalc, dans l'hémisphère gauche et aboutit à l'écorce
occipitale
gauche. C'est le faisceau croisé. ~ Même trajet
es, en arrière des noyaux du mésocéphale, entre ceux-ci et l'écorce
occipitale
ou sur l'écorce occipitale elle-même. Hémiachro
u mésocéphale, entre ceux-ci et l'écorce occipitale ou sur l'écorce
occipitale
elle-même. Hémiachromatopsie. Il y a doute sur
sant les voies optiques dans leur long trajet du chiasma à l'écorce
occipitale
, peut amener des symptômes variés suivant son s
ant surtout dans le pied de la 2" frontale, un centre postérieur ou
occipital
sensorio-moteur occupant la zone.* visuelle occ
postérieur ou occipital sensorio-moteur occupant la zone.* visuelle
occipitale
. Les impressions sensitives générales du globe
in pour le blanc lui-même (p. 50). Dans certaines lésions des lobes
occipitaux
on aurait constaté une achromatopsie complète.
ut cas, des observations d'hemia- chromatopsie par lésion d'un lobe
occipital
. Pierre Marie a vu dans l'hémianopsie, certaine
e du tableau des atrophies congénitales du cervelet. La céphalalgie
occipitale
permanente et les vomissements répétés à caract
bitaire moyenne, temporo-frontale, temporale, du vertex, pariétale,
occipitale
, rostrale, maxillaire, mandibulaire, hyoïdienne
e occupe la' région orbilo-leinporale et peut s'étendre à la région
occipitale
. La céphalalgie, connue les autres sym- ptômes
tiurc. Le point apophysaire de Trousseau a pour siège la tuherosite
occipitale
externe et les '2'' et 5'' apophyses épi- neuse
premiers nerfs cervicaux. La branche postérieure; du deuxième nerf
occipital
, le grand nerf occipital, est sou- vent atteint
. La branche postérieure; du deuxième nerf occipital, le grand nerf
occipital
, est sou- vent atteinte de névralgie à l'exclus
ou- vent atteinte de névralgie à l'exclusion des autres : névralgie
occipitale
. Les causes les plus fréquentes des névralgies
itaux de Pains, 1904) a insisté sur la froc- quence de la névralgie
occipitale
dans les angines vulgaires (angines simple, éry
herpétique, phlegmoneuse). La douleur de la névralgie du grand nerf
occipital
est réveillée par les mouvements de la tête, pa
la fossette de la nuque et au niveau du point d'émergence des nerfs
occipitaux
. Cette occipitalgic paraît devoir s'expli- quer
nx et le deuxième nerf cervical postérieur d'où émane le grand nerf
occipital
d'Arnold. En effet la deuxième racine cervicale p
en. Ainsi s'explique la solidarité qui existe parfois entre le nerf
occipital
et les branches sensitives du pharynx. L'anasto
l'occipitalgie ne l'est pas non plus.-Claude a signalé la névralgie
occipitale
dans la rhino-pharyngite purulente, Jacquet dans
à la nuque, sur le sommet de la tête et jusqu'au front (grand nerf
occipital
), dans la région parotidienne et le pavillon de
oureux habituels des névralgies cervico-occipitales sont : le point
occipital
à l'émergence du grand nerf occipital à travers
o-occipitales sont : le point occipital à l'émergence du grand nerf
occipital
à travers le muscle complexus, ce point est sit
en partie sur la portion externe de la ligne courbe supérieure de l'
occipital
; le chef claviciilaire s'insère en lias sur le qu
lequel elles se confondent, gagnent la ligne courbe supérieure de l'
occipital
, et se terminent sur la partie externe de cette
e transversc de l'atlas, d'autre part sur l'apophyse jugulaire de l'
occipital
. Innervation. 11 est innervé par un rameau issu
t sur la face inférieure de l'apo- physe basilaire en avant du trou
occipital
, si ! porte en bas et en dehors, se divise en q
art sur la face inférieure de l'apophyse basilaire en avant du trou
occipital
, et d'autre part sur la face antérieure des mas
eure de la ligne courbe occipilalc supérieure), sur la protubérance
occipitale
externe, sur le ligament cervical postérieur, l
le ligament cervical postérieur, lequel s'étend de la protubérance
occipitale
externe à l'apophyse épineuse de la sixième ver
de la tête s'insère sur les deux tiers externes de la ligne, courbe
occipitale
supérieure, sur la portion mastoïdienne du tempor
nnervation. Branches postérieures des nerfs cervicaux et grand nerf
occipital
. Physiologie. Le sptenius étend la tête, l'incl
rtent en haut [G. GUILLAIN. ;.Í1 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. vers l'
occipital
et s'insèrent sur l'empreinte rugueuse située ent
use située entre les deux lignes courbes. Innervation. Grand nerf
occipital
. Le muscle reçoit aussi des 1¡leh nerveux prove
érieur et le sommet de l'apophyse mastoïde. Innervation. Grand nerf
occipital
et branches postérieures des trois ou quatre ne
hyse épineuse de l'axis, d'autre part sur l'empreinte rugueuse de l'
occipital
qui est au-dessous de la ligne courbe inférieure.
einte rugueuse située au-dessous de la ligne courbe inférieure de l'
occipital
en dedans du grand droit. Innervation. Branche
premier nerf cervical et branche postérieure de deuxième nerf grand
occipital
. Physiologie. Le grand oblique de la tête, rapp
s, ses fibres se portent en haut et en dedans et se terminent sur l'
occipital
au-dessus et en dehors de l'insertion supé- rie
fixe à la base de l'apophyse mastoïde et il la partie voisine de l'
occipital
, accessoirement il l'aponévrose du sterno-mastoïd
USCLES DES PAUPIÈRES Muscle occipito-frontal. Insertions. Le muscle
occipital
en arrière et le muscle frontal en avant sont r
e 'occipital naît en arrière sur les deux tiers externes delà ligne
occipitale
supérieure et sur la partie correspondante de l'a
nt à la face pEpfonde de la peau de ces régions. " Innervation. L'
occipital
est innervé par le, rameau auriculaire pos- tér
branche teniporo- faciale du nerf facial. Physiologie. Le muscle
occipital
, qui, chez beaucoup d'animaux, est un rétracteu
'admiration, la frayeur, l'horreur. Le frontal conjointement avec l'
occipital
produit les mouvements antéro- postérieurs du c
astoïdite de Bézold que le pus vient fuser par la gaine de l'artère
occipitale
de l'a face interne de la mastoïde jusqu'au dev
signalée par P. Marie et Onanoll' (1). C'est un aplatissement de l'
occipital
tel que la partie postérieure de la tète rejoin
: au lieu d'être oblongue, la tête paraît carrée ; la protubérance
occipitale
s'efface et la face postérieure du crâne se con
s, au contraire, de hxtte des yeux, de vomissements, de céphalalgie
occipitale
: ces [A. LÉRI] 776 INCOORDINATIONS. symptô
: syndrome associé à vertiges, nystagmus, vomissements, céphalalgie
occipitale
, signes de compression cérébrale, souvent aiaxie
insidieux. Il s'accuse par une céphalée quelquefois à prédominance
occipitale
, par des névralgies et des vertiges, par de la
nance remarquable sur le territoire des tri- . jumeaux ou des nerfs
occipitaux
. Ce sont, des masses d'une laxité remar- quable
uents dans la sclérodermie du cuir chevelu, les blessures des nerfs
occipitaux
, les truunlatismes et les névralgies du tri- ju
al, on cherchera le point le plus éloigné du crâne,. dans la région
occipitale
par conséquent. Mais il est admis que si ce poi
admis que si ce point devait tomber au sommet d'une protu- bérance
occipitale
externe ou inion (tvtov-nucrue) très développée,
à noter que chez ces malades, il peut être augmenté par un ressaut
occipital
post-lambdoïdien. Chez les trigonocéphales, la
. Porak a signalé aussi une atrophie de la base du crâne et du trou
occipital
, un faible développement du bassin dans tons le
ès trépanation chez un ado- lescent porlellr d'un osteosarcome de l'
occipital
, montra, par des irradia- tions répétées laites
OPSIE DES CENTRES NERVEUX. 1517 7 « deux frontaux et l'écaillé de l'
occipital
ont été ainsi enlevés, on plonge « la tête dans
r faire saillir la colonne vertébrale. La peau est incisée depuis l'
occipital
jusqu'au coccyx, les muscles des gouttières ver
formant un coussinet mobile, supporte la tête par les conclyles de l'
occipital
. Les limites du cou sont tracées à l'extérieur
érieure, le crâne ouvre largement dans le canal rachidien par le trou
occipital
. Outre le prolongement médullaire auquel cet orif
se partage de chaque côté du plan moyen en cinq régions : frontale;,
occipitale
, pariétale, temporale, et mastoïdienne. RÉGION
terne, que sa situation expose fréquemment à être fracturée. RÉGION
OCCIPITALE
. Situation, délimitation, configuration. Située
suit l'attache des muscles extenseurs de la tête, de la protubérance
occipitale
interne vers l'apophyse mas-toïde ; en dehors et
uscles et aponévrose. La couche musculaire est formée par le peaucier
occipital
, joint au frontal par l'aponévrose intermédiaire.
es postérieurs. 4° Vaisseaux sanguins. L'artère de cette région est l'
occipitale
, d'un trajet très flexueux, dirigée en diagonale
irigée en diagonale de bas en haut et de dehors en dedans. Les veines
occipitales
sont souvent doubles, l'une superficielle, et l'a
es, f Squelette. Il est formé seulement par l'une des moitiés de l'os
occipital
, et n'est sous-cutané que dans sa partie supérieu
ale inférieure de l'aponévrose épicrânienne qui unit les deuxfmuscles
occipital
et frontal; elle sert elle-même d'épanouissement
t au-dessous [aponévrose épicrânienne, intermédiaire des deux muscles
occipital
et frontal. 3° Faisseaux. Disposés sur trois plan
ose épicrânienne, intermédiaire des cartilages de l'oreille au muscle
occipital
, et sur laquelle s'épanouit le petit muscle auric
ont les auriculaires postérieures, anastomosées avec les branches des
occipitales
; les nerfs proviennent du sous-occipital et du so
'est dans ce trajet que les troncs fournissent les branches faciales,
occipitales
, auriculaires postérieures, pharyngiennes supérie
masse des muscles extenseurs de la tête, limitée en haut par la bosse
occipitale
externe et la ligne courbe supérieure, en bas par
gée par le sillon vertical qui en sépare les deux moitiés. A la bosse
occipitale
correspond intérieurement le confluent des sinus;
5° Vaisseaux. En petit nombre, ils se composent en haut des branches
occipitales
, inférieurement de quelques branches des scapulai
es profonds. 70 Squelette. Il se compose de la moitié inférieure de l'
occipital
et des sept vertèbres cervicales. L'occipital est
moitié inférieure de l'occipital et des sept vertèbres cervicales. L'
occipital
est parfois le siège de fractures, et, comme tous
18.) 4° Branches crâniennes. En cas de lésion d'une branche cutanée
occipitale
ou auriculaire, il convient, de même que pour les
ertains lieux déterminés : \°\esynciputet les régions mastoïdienne et
occipitale
dans les affections comateuses ; 2° la région aur
ne jugulaire externe, l'artère carotide externe avec ses divisions, l'
occipitale
, l'auriculaire postérieure et la pharyngienne sup
rgien écarte en haut l'artère auriculaire supérieure, en bas l'artère
occipitale
, isole et refoule en avant la masse de la glande
dans ce cas : la temporale, la faciale sur l'angle de la mâchoire, l'
occipitale
au-dessus de l'attache du complexus, la radiale à
tres artères de la tête dont on fait la ligature sont la faciale et l'
occipitale
. ARTÈRE FACIALE (pl. 4$ , fig- l- B et B2 ).
la face : le mieux est de lier les vaisseaux dans la plaie. ARTÈRE
OCCIPITALE
(pl. 44? %• 1 ^ et B 2). Cette opération est en
re moins motivée que la précédente, les branches lésées que fournit l'
occipitale
pouvant être comprimées directement sur les os du
er la peau dans une longueur de trois centimètres sur la ligne courbe
occipitale
dans le lieu indiqué ; après la section de la pea
rficielle, l'artère se présente dans un canal aponévrotique, la veine
occipitale
superficielle au-dessus, la veine profonde et le
enne du frontal, sur les sutures des os du crâne, sur la protubérance
occipitale
et vers l'angle antérieur et inférieur du pariéta
8. ANATOMIE TOPOGRAPHIQUE. CRANE. Région frontale, 29, 30.—Région
occipitale
, région temporale, 30. — Région pariétale, région
. — Sous-clavière, 170, 171. = Artères de la tête et du cou. Faciale,
occipitale
, 171. — Linguale, 172. — Carotide externe, 172. —
INDICATION DES CHIFFRES. CRANE. 1. Région frontale. 2. Région
occipitale
. 3. Région temporale. 4. Région pariétale.
eux linguo-facial. 9. Nerf grand hypoglosse. 10. Branche nerveuse
occipitale
de la seconde paire cervicale. 11. Branche anté
Attache de l'aponévrose au corps sphéno-basilaire. b. Insertion à l'
occipital
près de l'éminence jugulaire. L'aponévrose revê
ar N.H. Jacob. LIGATURE DES ARTÈRES CAROTIDE EXTERNE, LINGUALE,
OCCIPITALE
ET TEMPORALE. ADULTE, DEMI-NATURE. DISPOSITIO
dien et du trapèze. 1. Section de la peau et des attaches du muscle
occipital
. 2. Surface formée par les attaches du splénius
e par les attaches du splénius. 3. Nerf sous-occipital. ht. Veine
occipitale
profonde. 5. Artère occipitale sous laquelle es
3. Nerf sous-occipital. ht. Veine occipitale profonde. 5. Artère
occipitale
sous laquelle est passé un stylet aiguillé. C e
us marquée à droite, méplat peu pro- noncé à l'angle supérieur de l'
occipital
qui est saillant. L'occi- pital est aplati, les
cipital qui est saillant. L'occi- pital est aplati, les deux bosses
occipitales
saillantes, surtout la droite. Circonférence
attache des oreilles, 0, 5;i; de la racine du nez à la protubérance
occipitale
externe, 0,34 ; d'une oreille à l'autre, 0,31 ;
est très volumineuse, tandis que la gauche est à peine indiquée. L'
occipital
est plat suivant un plan vertical, la DES FAMIL
'IDIOTS. 27 moitié droite en retrait sur la gauche; les deux bosses
occipitales
sont peu saillantes, égales, mais ne sont pas s
1 m. 19. 9 juillet. Etat actuel. - Tête ovoïde assez développée; l'
occipital
fait une légère saillie, au dessous de laquelle
tandis qu'à gauche il existe une convexité assez marquée. La bosse
occipitale
droite est plus accentuée que la gauche; de mêm
plus saillante que la gauche, surtout à l'union du pariétal avec l'
occipital
. La bosse pariétale gauche est plus basse et pl
ses frontales et pariétales sont peu saillantes. La protubérance
occipitale
, assez proéminente, est surmontée d'une dépressio
mation évidente du crâne qui est microcé- phale, avec platycéphalie
occipitale
et brachycéphalie exagérée (Voir pl. IV). e Men
remarque au pre- mier abord un degré très prononcé de platicéphalie
occipitale
. L'étage basilaire du crâne est très restreint
e. Ils sont présents dans l'écorce des lobes frontaux, pariétaux et
occipitaux
(PI. XII). Une coupe de - la circonvolution de
par cette couche que passent les fihres de projection de la région
occipitale
(faces interne et externe), ce cas correspond en
pariétal. Pour ce qui en est des lésions du lobe frontal et du lobe
occipital
, les cas publiés par M. Dejerine semblent démon
amarginalis) ; dans quatre autres, également, les circonvolu- tions
occipitales
(région calcarinienne et 0, à 03) ; dans deux enf
le noyau rouge, il s'agissait de foyers strictement limités au lobe
occipital
(4 cas), au lobe pariétal (4 cas), ou au lobe t
du sillon de Rolando, c'est-à-dire des lobes pariétal, temporal et
occipital
. L'auteur élimine également du territoire cortica
198 LA SALLE ARCHAMBAULT été d'un si grand secours pour le trajet
occipital
des fibres géniculo-cal- cariniennes, nous avon
eau Nc. 4. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 199 du lobe
occipital
(cunéus, lobule lingual), et ne lésail que faible
le ramollis- sement siège à la face inféro-interne du lobe temporo
occipital
et atteint, en particulier, le lobule lingual,
e ; dans deux, il se localise presque entièrement au niveau du lobe
occipital
; dans un, le foyer se limite assez nettement au
n de la face médiane du lobe temporo-occipital gauche. Dans le lobe
occipital
, ce ramollissement détruit toute la lèvre supérie
vers le bord inférieur de l'hémisphère. Plus eh avant dans le lobe
occipital
, le foyer détruit toute l'extrémité anté- rieur
ière circonvolution oc- cipitale, la totalité du cunéus, le segment
occipital
du lobule fusiforme, la ma- jeure partie du lob
on de l'hippo- campe. La lésion débute en arrière près de la pointe
occipitale
et s'étend en avant jusqu'au niveau d'un plan v
vertical passant par le bord antérieur du noyau rouge. Dans le lobe
occipital
, le ramollissement intéresse la majeure partie "d
es provenant de la face médiane. Quant aux lésions limitées au lobe
occipital
ou à la région rétro-rolandique du lobe pariétal,
uissions affirmer que dans les lésions strictement limitées au lobe
occipital
ou au lobe pariétal (exception faite de la pariét
iale, d'autres, enfin, de la face médiane du lobe temporal. Le lobe
occipital
, le lobe pariétal et la face externe du lobe te
s inégal des parois crâniennes, porté ici au maximum au niveau de l'
occipital
. Le progna- tisme, peu appréciable à l'examen d
ues parties des circon- volutions frontales, centrales, temporales,
occipitales
et du cervelet sont fixées dans l'alcool, d'aut
Profil des deux frères Meules montrant l'aplatissement de la région
occipitale
signalé chez les myopathiques par P. Marie et Ona
mple, son image vers le pôle opposé, c'est-à-dire vers la convexité
occipitale
gauche ; le champ auditif droit se figure diamé
embraneuse forme une bande antéro-postérieure allant de la ré- gion
occipitale
à la racine de la tumeur, sur une longueur de 12
autres. Voici les particularités qu'ils présentent (fig. 1 et 2).
Occipital
. De chaque côté, les points inférieur et supérieu
développé que le gauche. - A droite, une distance de 1 cm. sépare l'
occipital
du pariétal ; de l'autre côté, 5 millimètres se
(Les parties laissées en blanc sont les portions membraneuses). 1.
Occipital
gauche (points d'ossification supérieur et inféri
ant se dirige, partant à 5 millimètres au- dessus du rebord du trou
occipital
, un petit repli méningé mince, ayant au plus 1
rectiligne. Si l'on prend comme points de repère le centre du trou
occipital
, le milieu de la selle turci- que et la crête d
tie postérieure de l'hémisphère droit. Les deux lobes temporal et
occipital
ne forment qu'un ensemble peu net où courent de
plus curieuses. A droite ils sont reconnaissables. Le prolongement
occipital
(pl. XXIX, fig. K et L) est très nettement indi
centimètres. La communi- cation entre les prolongements frontal et
occipital
est de forme ovalaire, de 1 centimètre sur cm.
1 centimètre sur cm. 5 environ. A gauche, les deux prolongements
occipital
et sphénoïdal (pi. XXIX, fig. K et L) se présen
eaient à la région frontale, tandis que 68 existaient à la ré- gion
occipitale
. Nul doute que les altérations des extrémités n
ève-t-elle d'une lésion toujours pariétale ou d'une lésion toujours
occipitale
; 2' la lésion est-elle corticale ou sous-corti
écises. - Observation. Cécité verbale ; hémiopie - Ramollissement
occipital
gauche (région calcarine) ; dégénérescence du s
il était atteint, la constalation anatomique d'un ramol- lissement
occipital
gauche perdait tout intérêt. Or, si incomplète qu
te à préciser la localisation et les limites du ramollisIÛâI ? è' 1
occipital
. v ? « Le ramollissement occupe l'extrémité pos
lle-même. Les seules portions du cuneus respectées sont ? 1 le pôle
occipital
lui- même; 2°te bord an léi-o -supérieur, sui,
-supérieur, sui, toute l'étendue de la scissure perpendiculaire ou
occipitale
interne. En avant le ramollissement s'arrête à
l ouvert. Le lobule fusi- forme et même la troisième circonvolution
occipitale
dans leur partie la plus voisine du pôle sont e
alcarine. Quant aux fibres blanches qui limitent en dehors la corne
occipitale
du ventricule (celles qu'on appelle dans leur e
longitudinal inférieur, nettement limité en dehors par le faisceau
occipital
vertical. Le tapetum et le faisceau optique propr
al se prolonge sous l'aspect d'une fente linéaire jusqu'à la pointe
occipitale
. En dehors de la fente elle même, le tapetum et l
e l'hémisphère droit pratiquées en dehors des précédentes. La corne
occipitale
du ventricule latéral a été largement ouverte par
sse cérébelleuse. Mais il n'existe rien d'anormal soit du côté de l'
occipital
, soit du côté de la base du crâne. L'atrophie por
bordait en avant, de même qu'en arrière sur la partie asilaire de l'
occipital
. Le trou occipital semble très petit (diamètre
même qu'en arrière sur la partie asilaire de l'occipital. Le trou
occipital
semble très petit (diamètre sagittal : 31 mm. ; d
, ainsi que les vaisseaux et les mé- ninges de la moelle. 4° Lobe
occipital
. - Les coupes frontales du lobe occipital gauche
ges de la moelle. 4° Lobe occipital. - Les coupes frontales du lobe
occipital
gauche mon- trent qu'il existe une diminution d
ette couche, ce qui lui donne un aspect plus pâle que celle du lobe
occipital
droit. Les circonvolutions du lobe occipital ga
le que celle du lobe occipital droit. Les circonvolutions du lobe
occipital
gauche sont, d'une façon générale, un peu moins
n faite pour quelques petits faisceaux les plus internes. Le lobe
occipital
est indemne de tout foyer primitif. Comme dégén
externe et interne, à une grande partie du lobe temporal et au lobe
occipital
. On comprend aisé- ment que l'oblitération isol
à l'extrémité de la corne sphénoïdale,un deuxième au sommet du lobe
occipital
). Dans l'observation de Blessigs (2) il existai
de Blessigs (2) il existait aussi un foyer pédonculaire et un foyer
occipital
, mais ce dernier avait en plus déterminé de l'h
ent pé- donculaire) et dans ses branches terminales (ramollissement
occipital
) pourrait se traduire par cette association de
». Pour l'auteur ce n'est que par l'intermédiaire du ramollissement
occipital
que la lésion de la cérébrale postérieure pourr
ncore perceptible. La soudure n'existe pas entre les pariétaux et l'
occipital
. La suture sagittale, dans son point le plus rétr
on ne voit que très imparfaitement l'image du frontal; l'image de l'
occipital
est encore plus pâle. Au niveau du rocher et de l
radiographique, seuls le frontal, la base du temporal, et un peu l'
occipital
sont opaques, 2 : {2 VOISIN, MACÉ DE LÉPINAY ET
trait du massif facial. A travers l'ombre légère du frontal et de l'
occipital
, on voit fort bien les hémisphères cérébraux. L
e, puis- que nous avons pu obtenir au travers des pariétaux et de l'
occipital
l'image radiographique du cerveau. 3° L'aplas
n de volume de l'hémisphère droit porte sur les segments frontal et
occipital
; une moitié seulement sur les grandes coupes du
arrière le tissu cérébral. Les scissures nombreuses, fron- tales et
occipitales
, se sont fermées, la substance blanche s'est tass
surface totale, différence en moins allant jusqu'à 10 0/0, au lobe
occipital
droit avec ses scissures profondes. Il est inté
r elle garantit la nu- trition de l'organe. Ventricules. La corne
occipitale
droite après avoir formé un petit diver- ticule
Le ventricule latéral gauche est tout à fait analogue dans la région
occipitale
; un peu dilaté dans la partie frontale, il est
chements sanguins. Examen des coupes sériées. Dès la pointe du lobe
occipital
il y a une diflé- rence entre les deux hémisphè
ons récentes (Iconogr., n° 3,1906). Les faisceaux sagittaux du lobe
occipital
droit sont particulièrement al- térés, ce qui e
. Comme je l'ai toujours constaté en pareil cas, ce sont les cornes
occipitales
et frontales qui sont le plus dilatées, soit parc
ncapable de dire si la douleur commen- çait par la région frontale,
occipitale
, etc., du côté droit ou du côté gauche du crâne
lle s'a- mincit et prend un développement considérable dans le lobe
occipital
qui n'est plus réduit qu'à une simple lame de t
n de deux doigts de la main gauche derrière la tête, dans la région
occipitale
, suffit à faire disparaître le spasme, qui réap
e. La nouvelle opération est pratiquée et l'on sectionne la portion
occipitale
du trapèze, les splénius, les grands complexus, l
le sorte que le diamètre transversal est augmenté ; le frontal et l'
occipital
ont perdu leur convexité par suite de cet aplat
rêt de développement dans les lobes préfrontaux; - 2 fois des lobes
occipitaux
petits et 'arrêtés dans leur développe- ment ;
éveloppement à la fois dans les lobes préfrontaux et dans les lobes
occipitaux
. Ces faits viennent donc à l'appui de la théorie
G. 1) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE 1. Abcès traumatique du lobe
occipital
droit avec symptômes cérébelleux Abcès cérébell
l'abcès avait eu pourpoint de départ une plaie infectée delà région
occipitale
. Chez le second malade c'est à une otite moyenn
ystagmus caractéristique des lésions du cer- velet, puis la douleur
occipitale
et les signes de compression bulbo protubérenti
l'abcès se trouvait dans le cervelet tandis qu'il siégeait au pôle
occipital
au voisinage de la plaie osseuse constaté. Le s
. Le seul symptôme qui eût permis de localiser l'abcès dans le lobe
occipital
, l'hémianopsie faisait défaut ou du moins les r
s des symptômes cérébelleux étaient dus à une compression des lobes
occipitaux
en même temps que du cervelet par une gomme que
. 112 sont assez 'volumineux ainsi que le pli courbe, PC et le lobe
occipital
LOC. Le pli courbe envoie un pli de passage au
lobe occipital LOC. Le pli courbe envoie un pli de passage au lobe
occipital
qui est assez développé, Le lobe tempo- ral a s
ditif A correspond exacte- ment au basion B (bord antérieur du trou
occipital
). Or, sur un crâne normal, ces deux points sont
imètres de taille (1 m 05) et que son poids égalait 35 kilogr. L'os
occipital
est légèrement saillant : il semble l'avoir été d
le plan du rocher (1t), répond au plan de l'mion. op, plan du trou
occipital
. Les signes XX répondent aux bosses frontales e
rieur du rocher. A, trou auditif. D, basion (bord antérieur du trou
occipital
;. 'Voir sur les os du crâne des myxoedémateux i
ie l·ecorce cért'Lrale : par exemple, au niveau des lobes frontal,
occipital
et rolandique (lobule paruceW ral). Pour le dir
structure généiale des neuroblastes. Dans les autres régions (lobe
occipital
, par exemple), le pro- cessus pathologique n'a
tteint à quatre atiz, à la suite d'une chute d'un mal de Pott sous-
occipital
, qui, guéri vers l'âge de douze ans, a laissé com
étendues chez les épileptictues. (B.) .) 372 SOCIÉTÉS SAVANTES.
occipital
. Si nous écoutons un mot parlé, quelclues fibrill
courants divers arrivent dans des cellules correspondantes du lobe
occipital
, mais produisent là des courants secondaires. A
ants secondaires. Ainsi le groupe de cellules excitées dans le lobe
occipital
seront alliées entre elles et causeront une hyp
e fibres d'association tous les groupes mentionnés, et dans le lobe
occipital
et dans le lobe pariétal. Parce que nous avons
itut polytechnique, il se déve- loppa chez le malade dans la partie
occipitale
de l'hémispère droit du grand cerveau une tumeu
croissant en large et en dedans exerçait une pression sur la partie
occipitale
gauche du grand cerveau. A la suite de cette pr
eu la surface extérieure de la partie Fin 27 396 THÉRAPEUTIQUE.
occipitale
de l'hémisphère droit du grand cerveau, l'endroit
le ascendante. SR, sillon dr ttolando. PC, pli courbe LOC, lobe
occipital
. L0, lobe orbitaire. T', T', T', 1 ? 2-. 3 ci
t. XVI. 3· T : 113Lh Dh.S 31ATlÈItFS .lm : i.a tranmatiyue u lobe
occipital
choit avec sympômes cérébelleux. - cérébt lli
Céphalalgie tenace, siégeant souvent mais non toujours à la région
occipitale
, vomissements, vertiges persistants accompagnés
une lésion (ramollissement) limitée aux lobules linguaux des lobes
occipitaux
, la partie posté- 84 REVUE d'anatomie ET DE PHY
trophie du lobe frontal au lobe pariétal, ni de l'intégrité du lobe
occipital
; le processus mar- cherait du reste surtout pa
portion pa- riétale du lobe temporal et d'un petit segment du lobe
occipital
, ayant entraîné une dégénérescence secondaire d
rela- lion à cet égard entre le cervelet, le lobe frontal, le lobe
occipital
. Intégrité des autres éléments cérébelleux, not
out les deux couches externes qui ont souffert; les circonvolutions
occipitales
gauches et la circonvolution du corps calleux o
partie des fibres inte1'mé- lliui1'es. Les ascendantes et les lobes
occipitaux
sont le moins endom- magés. Telles sont les alt
ans la substance blanche de l'hémisphère droit, au niveau du lobe
occipital
une masse cancéreuse de la grosseur d'un oeuf d
voque quelque douleur; la pres- sion à la nuque, entre l'atlas et l'
occipital
détermine une tension particulière ainsi qu'une
es ascendantes, pariétales ascendantes, lobules paracentraux, lobes
occipitaux
, insulas, corps striés, des deux côtés - de la fr
il pousse de temps à autre des gémissements, accuse des douleurs
occipitales
, cérébrales, abdominales. Gâtisme, malpropreté, i
ion siégeant sur le parcours compris entre la rétine et les centres
occipitaux
, comme dans les cas d'intoxication alcoolique,
cerveau, avec recherches SUR LE TYPE DES CIRCONVOLU- TIONS DU LOBE
occipital
DES mammifères ET résultats DE pesées DES lobes
ment étendu de l'hémisphère droit dont l'analyse montre que le lobe
occipital
envoie ses fibres au pulvinar et aux ganglions
LES DE la VUE ET DE leur hiérarchie par rapport aux LÉSIONS du lobe
occipital
; par MOOREN. (Neurol. Centralbl., 1888.) Nous
minution de l'acuité visuelle. Mais ce sont les altérations du lobe
occipital
qui se traduisent par l'abolition de ces deux f
e des tubercules quadrijumeaux, caractérise l'hémianopsie d'origine
occipitale
. La perception des couleurs occupe la couche la
n des couleurs occupe la couche la plus externe de l'écorce du lobe
occipital
; au-dessous d'elle est le centre de l'acuité vis
'en préciser le substratum anatomique, il est évident que le lobe
occipital
, sans être détruit, peut, par une lésion diffuse,
e manifestent que lorsque les excitations déterminées par la lésion
occipitale
ont été assez fortes pour engendrer de l'hypéré
lucinatoire, par Hoppe, 96; - troubles de la - et lésions du lobe
occipital
, par Mooren, 434. 'Zones épileptogènes, par H
minuant à mesure que l'on mon-« tait vers la base du crâne et le trou
occipital
. Dans une assez grande longueur, environ du milie
e; 4° que, depuis la septième vertèbre cervicale jusqu'au niveau de l'
occipital
, l'altération allait progressivement en diminuant
os du crâne. Une autre fois, le péricrâne des deux pariétaux et de l'
occipital
était séparé des os par une couche épaisse de san
lieu indépendamment de l'apoplexie, peut servir à expliquer ces abcès
occipitaux
que l'on voit survenir dans les premiers jours qu
os à nu. J'ai donné mes soins à un enfant dont la portion large de l'
occipital
se sépara en trois fragments qui furent successiv
latation du col très lente. Ouverture. Crâne déformé. Le frontal et l'
occipital
rapprochés avaient refoulé sur les côtés les deux
en arrière; l'ossification était très avancée; les sutures réunies; l'
occipital
présentait une crête transversale très saillante,
présentait une crête transversale très saillante, analogue à la crête
occipitale
des animaux; le diamètre vertical du crâne était
onsidérable; sa circonférence prise au niveau des bosses frontales et
occipitales
est de deux pieds. La fontanelle antérieure a un
blation du pariétal, du frontal droit et de la partie supérieure de l'
occipital
. La faux cérébrale, F, est énorme; sur elle est a
ues circonvolutions appliquées contre la faux, et occupant les fosses
occipitale
et temporale; la surface interne de ce débris qui
; les débris du cervelet, DC, DC. Fig. 5. Base du crâne. Les fosses
occipitales
inférieures ont un peu moins de capacité que de c
-mère et la tente du cervelet incisées, la moelle coupée vers le trou
occipital
, la masse encéphalique enlevée et renversée, on r
a masse encéphalique enlevée et renversée, on remarque que les fosses
occipitales
inférieures sont remplies de sérosité. « A la pla
par deux pédoncules membraneux et gélatineux, l'existence des fosses
occipitales
inférieures, la présence de la sérosité dans ces
Exemple : un homme fait une chute de huit pieds de haut sur la région
occipitale
; forte contusion. Saignée. Symptômes de phlébite
tails qui me manquent sur le sujet des figures 5 et 3'. Céphalalgie
occipitale
. Paralysie du mouvement de la moitié gauche du co
long-temps d'une douleur vive, lancinante intermittente, à la région
occipitale
, fut pris tout-à-coup de strabisme. La vue s'aff
aigreur générale ; pâleur de la face et de toute la peau. Céphalalgie
occipitale
; déviation de la bouche à gauche, et abaissement
he; intelligence nette ; état très variable des pupilles. Céphalalgie
occipitale
ne revenant qu'à des intervalles éloignés. Dans
DU FOETUS. « MONSTRUOSITÉS. XIXe livr., Pl. V et VI. Spina bifida
occipital
et cervical antérieur. Hernie cervicale du poumon
O, 2e TO, ouvertes, permettent d'apprécier leur situation à la région
occipitale
et leur position relative, l'une lre TO occupant
ant : on chercherait vainement la portion postérieure ou écaille de l'
occipital
: il n'en existe pas de traces. L'ouverture ou
nte la base du crâne et qu'on prendrait au premier abord pour le trou
occipital
, est constitué, par toutes les vertèbres de la ré
. Derrière le rocher se voit un os OL, qui lui est parallèle; c'est l'
occipital
latéral, facile à reconnaître au trou condylien a
onsidère comme vestige un petit fragment osseux O B? situé derrière l'
occipital
latéral droit OL et rejeté en arrière. Je ferai
auches, 1 2 G sont soudées. On reconnaît aisément les roches R R, les
occipitaux
latéraux OL, OL, les arcs latéraux des vertèbres
a région supérieure du dos, la partie postérieure ou écaille use de l'
occipital
ne pourra se développer : le cerveau comprimé dan
ide remplacera le cerveau. Dans tous les cas , il y aura spina bifida
occipital
. Le renversement de la tête en arrière n'explique
le antérieure devenue base du crâne, comme il fait effort à la région
occipitale
; d'où la division des corps de vertèbres cervical
circonvolutions ou étendu à un très grand nombre. Les circonvolutions
occipitales
sont celles qui m'ont paru les plus susceptibles
cée par une lame jaunâtre. Il est à remarquer que les circonvolutions
occipitales
sont celles qui présentent le plus souvent ces ci
e. La substance grise de toutes les circonvolutions et anfractuosités
occipitales
, la convexité de l'hémisphère gauche, à l'excepti
1 ! 6 b' 3 - ; Maladies du fœtus. Monstruosité spina bifida
occipital
et cervical antérieur; hernie cervicale du poumon
très profonde, et sépare complètement des lobes pariétaux les lobes
occipitaux
qui forment calotte, reproduisant ainsi à un ha
ins haut, et est beaucoup plus volumi- neux qu'à gauche. 3° Lobes
occipitaux
. Les deux plis de passage pariéto-occipitaux s
ndiculaire externe sans la moindre duplicature. Les circonvolutions
occipitales
sont à peine indiquées. 4° Lobes temporaux. Eno
ych., XIV, 3) '. Porencéphalie-bilatérale symétrique des deux lobes
occipitaux
chez un foetus de huit mois : atrophie totale d
; chez lui, le système des fibres de projection de l'écorce du lobe
occipital
aux centres optiques infracorticaux a beaucoup
corce ; le corps genouillé interne est eu rapport non avec le' lobe
occipital
, mais avec le lobe temporal ; les faisceaux de
? ) Observation du mémoire actuel. Encéphalomulacie des deux lobes
occipitaux
avec lacune dans la première circonvolution tem
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 81 côtés, les circonvolutions
occipitales
sont anéanties ou séparées de leurs attaches pé
ce versd. Planches à l'appui. Conclusion générale. L'écorce du lobe
occipital
est étroitement unie aux centres optiques prima
ion des cellules est plus marquée. Les cellules de l'écorce du lobe
occipital
demeurent intactes. On ne peut, en supposant qu
llules granulo-graisseuses.En ce qui concerne les relations du lobe
occipital
avec les centres optiques infra- corticaux, au
gauche homonyme, lui permet d'affirmer que la destruction d'un lobe
occipital
s'accompagne de dégénérescence des centres opti
e convexe de l'hé- misphère, c'est-à-dire les trois circonvolutions
occipitales
pro- prement dites; c'est sur la paroi externe
hémisphères cérébraux très difficile à prendre, par exemple le lobe
occipital
où se réunis- sent une surface plane, une surfa
e,. Etat actuel (17 mai 1881). 7"c/c ovale, symétrique; la région
occipitale
est modérément déveluppée ; les bosses pa- riét
depuis l'ex- trémité supérieure de cette scissure jusqu'à la pointe
occipitale
7 centimètres et demi. CAS DE MÉLANCOLIE AVEC
e blanche qui contiennent les fibres de projection issues des lobes
occipitaux
et d'une partie de celles qui viennent des circ
convolutions pariétales et tempo- rales,'d sorte que les deux lobes
occipitaux
, une petite portion du lobe temporal droit, une
(cécité corticale presque totale) ; destruction dans les deux lobes
occipitaux
, mais intégrité complète des deux globes oculai
plectiforme, comme les deux foyers sont limités aux circonvolutions
occipitales
et qu'en dehors de l'amaurose on n'a rencontré
s se réunissent danslasubstance blanche anté- ropostérieure du lobe
occipital
en un solide tractus qui se dirige le long du t
um du corps calleux (Reil) et entre dans l'écorce de circonvolution
occipitale
et surtout dans celle du coin, du lobule lingua
ment plagiocéphalique avec frontal droit un peu saillant en avant, et
occipital
gauche un peu plus saillant en arrière. Les sutur
la pie-mère, sans ecchymose. Sclérose atrophique d'une partie du lobe
occipital
et de la par-tie postérieure du lobe temporal sur
la face interne prédomine sur les circonvolutions antérieures du lobe
occipital
: en arrière les circonvolutions sont plus maigre
ce des sutures, la mètopique est seule fermée. Forme irrègulière de l'
occipital
. Pas de lésions des méninges. Arrêt de développem
elu. Erythème très prononcé des fesses . Un peu d'eczéma de la région
occipitale
. La dentition do lait est complète. Elle est norm
ecchymose. — Crâne petit; de forme irrégulière; la partie droite de l'
occipital
est comme carrée. Les os du crâne sont très peu é
Les fosses orbitaires et temporales paraissent symétriques ; la fosse
occipitale
gauche est comme carrée, ce qui répond à la forme
ndantes grosses, défigurées, avec un pli de passage large ; les lobes
occipitaux
sont tout petits. Les sillons sont très irrégul
s, nomb. et larges plaques t r a n s p a r e n t e s , applat. de l'
occipital
droit. — Pas de synostose. — II. G. adhér e n
, sont finement dentelées et gor-gées de sang. La partie médiane de l'
occipital
est légèrement Fig. 15. — Bar... en .janvier 10
te des pariétaux. Légère plagiocéphalie, frontal gauche en retrait,
occipital
gauche en saillie. —Pende liquide céphalo-rachidi
lle a eu un vomisse-ment. 10 mai. — Douleurs sourdes dans la région
occipitale
gauche ; l'état des yeux n'est pas modifié ; touj
onvolutions du lobe temporal ne sont dis-tinctes qu'en avant. Le Jobe
occipital
est petit. Hémisphère gauche (550 gr.). La scis
épaissi (9 mm. à d. et 8 à g. Le pariétal d. 5 mm. et le g. 3 mm. ; l'
occipital
d. 4 mm. et 3 àg.). Toutes les sutures persistent
a circonvolution du corps calleux. — Le lobule paracentral et le lobe
occipital
sont indemnes sur la face interne, la méningo-enc
âne. Les différentes parties de la base du crâne sont égales. Le trou
occipital
est normal. La glande pituitaire est assez volumi
pâle. — Os du crâne: durs, peu épais au niveau des temporaux et de l'
occipital
, les os du front sont considérablement épaissis (
à droite 12 mm). —Apophyse crista galli : mince et petite. — La fosse
occipitale
gauche est plus petite que la droite. — Les fos
droit. — Corps calleux normal. Dilatation assez prononcée de la corne
occipitale
de l'hémisphère gauche. — Le corps strié, la couc
ésions en foyer pour expliquer la parésie. La dilata lion de la corne
occipitale
du ventricule latéral gauche permettrait l'hypoth
ANÉVRYSME DE L'AHTÈRE VERTÉBRALE GAUCUE 13 Dans les coupes les plus
occipitales
du cervelet, on trouve à gauche un petit reste
ont la limite supérieure correspond exac- tement aux lignes courbes
occipitales
supérieures. A ce niveau la peau est mobile et
emarquer. Au moment d'extraire le cerveau on remarque que les pôles
occipitaux
et frontaux se détachent facilement, mais on ne
n'a-t-on pas trouvé, il droite du moins, un ramollissement du lobe
occipital
, puisque la cérébrale postérieure, de ce côté éta
région orbitaire, la région malaire et en dernier lieu les régions
occipitale
, frontale et palatine. Il y a bien un cas où le
tte époque, elle a très souvent souffert de céphalées temporales et
occipitales
, s'exaspérant surtout la nuit. Elle n'a jamais
ques survenues à cet endroit. Les mouvements des articulations de l'
occipital
avec l'axis et l'atlas sont conservés et normaux.
rande vio- lence (un coup de pied de cheval) portant en plein sur l'
occipital
ne donne pas d'hémiplégie. Mais si le traumatis
iplégie. Mais si le traumatisme porte sur le bord de l'écaille de l'
occipital
, la lésion produite a pour conséquence l'hémianop
me la lésion du bord du pariétal correspondant, sans lésion du bord
occipital
, ne peut déterminer l'hémiopie, à moins que le tr
re d'hémianopsies latérales homonymes à la suite de lésions du bord
occipital
dans la collection Henschen. Cependant le point
la pie- mère à droite et remplissait en arrière les deux concavités
occipitales
; le sang pénétrait également dans le ventricul
t au-dessus du splénium du corps calleux atteint légèrement le lobe
occipital
dans la deuxième circonvolution temporo-occipit
pariétal inférieur; PC, pli courbe; ° : 1' deuxième mr- convolution
occipitale
; 0" troisième circonvolution occipitale, 'l'" tro
1' deuxième mr- convolution occipitale; 0" troisième circonvolution
occipitale
, 'l'" troisième circonvolution tem- ])orale; SP
elle redevient libre et embroche un peu la deuxième circonvolution
occipitale
, au-dessous du pli courbé. Voici une lésion qui
la substance et ne se termine qu'au droit de la 3e cir- convolution
occipitale
. En rencontrant l'occipitale, la portion de proje
qu'au droit de la 3e cir- convolution occipitale. En rencontrant l'
occipitale
, la portion de projectile qui y était pervenue,
était pervenue, fut déviée, elle perça à travers les circonvolutions
occipitales
DE L'HÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE 391 jusqu'à la ba
ors de l'opération on trouva que l'abcès intéressait plutôt le lobe
occipital
et le lobule du pli courbé (l'altération de cet
ace une largeur disproportionnée à celle du front ; la protubérance
occipitale
fait une forte saillie ; l'angle sternal et l'ins
endices collatéraux et même de leur disparition totale. 2. Région
occipitale
. - La quantité d'appendices collatéraux qui couvr
d'appendices collatéraux qui couvrent les dendrites dans la région
occipitale
comparativement avec les lobes frontaux est bie
lobes frontaux et dans la région motrice gauche, que dans les lobes
occipitaux
. Dans le lobe fron- tal le nombre d'appendices
luisantes, quelquefois avec des globules noirs en dedans. B) Lobe
occipital
. Nous avons pris deux morceaux. Par places le ta-
e globules noirs se trouvant en liaison avec les vaisseaux. B) Lobe
occipital
. - Le tableau microscopique a beaucoup de ressem-
ressem- blance avec le tableau observé sur les préparations du lobe
occipital
gauche, mais seulement il y a ici bien moins de
groupes, auprès de la périphérie de l'écorce cérébrale.- b) Région
occipitale
.- On observe appro- ximativement le même tablea
à peu près au-dessus et légèrement en arrière de la sortie du nerf
occipital
gauche est décidément plus molle à la pression et
nt continuellement pendant des mois puis s'aggravant, à gauche de l'
occipital
un ganglion large et ramolli. En marchant il se
cissure interpariétale. L. 0., Lobule orbitaire. L. 0. C., Lobule
occipital
. EXPLICATION DES PLANCHES. 39 Se. S., Scissur
mètres ; dans sa partie moyenne le frontal atteint 14 millimères, l'
occipital
près de sa pointe supérieure où siège un gros o
erveau présente, surtout au niveau des lobes frontaux, pariétaux et
occipitaux
, des altérations de la méningoencéphalite avec
t en rapport avec les altérations cérébrales des régions frontales,
occipitales
. P. KERAVAL. XVIII. Petite contribution à la qu
s yeux peuvent être provoqués par l'excitation électrique des lobes
occipitaux
(sphère visuelle). Mes expériences ne portent
galité de poids des hémisphe- res cérébraux. Malformation des lobes
occipitaux
dans lesquels les sinus latéraux se sont creusé
re ; foie également congestionné. 216 RECUEIL DE faits. Les lobes
occipitaux
du cerveau présentent en arrière une anomalie t
ue à deux centimètres en avant de l'extrémité postérieure des lobes
occipitaux
pour former ces sinus. L'hémisphère cérébral ga
ésions constatées à l'autopsie consistaient dans une félure de l'os
occipital
sans déplacement osseux et dans un épanchement
maladie de Basedow. · A. FENAYROU. XLV. Un cas de tumeur du lobe
occipital
; par le Dr Weber. (Rev. méd. de la Suisse Roman
dans l'hémisphère cérébral droit une tumeur qui s'étendait du pôle
occipital
jusque vers le milieu de l'hippocampe, occupant
riétal étaient plus développés que la région temporo-sphénoïdale et
occipitale
. Dans les deux cas décrits par Cunningham et Te
e notoire et essentiel du cerveau réduit est l'état abortif du lobe
occipital
». La place qui nous est assignée ne nous perme
en avant de la fissure triradiée, et dans les régions pariétale et
occipitale
, le cortex était remplacé par une membrane poli
circulaire, avec une tendance au parallélisme des plans frontal et
occipital
. Le crâne lui-même est généralement mince et, e
us, ou plan incliné formé par la réunion des procès basilaires de l'
occipital
et du sphénoïde, est très escarpé. Les fosses c
ant de la partie antérieure du lobe frontal droit presque jusqu'à l'
occipital
, laissant la lame orbitale nue et découvrant une
aient le troisième ventricule, le ventricule latéral droit, le lobe
occipital
droit, la face convexe de la région frontale dr
cortex/spécialement des circonvolutions frontales et centrales, les
occipitales
n'étant relati- vement que peu affectées. Il y
s frontale, frontale ascendante, pariétale ascendante, pariétale et
occipitale
. En apparence, c'est comme du blanc d'oeuf, dur
3-1889). En 1874, Hitzig fait remarquer qu'après une lésion du lobe
occipital
, l'oeil du côté opposé est frappé de cécité. Ce
réactions correspondantes. Les fibres qui rayonnent vers les lobes
occipitaux
se dessinent grâce à leur couleur intense ; cel
tions centrales se décolorent le moins vile et avant tout les lobes
occipitaux
. . 424 £ . CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE.
à l'existence d'une tumeur cérébelleuse à raison de la céphalalgie
occipitale
, de la pupille étranglée, de la tituba- tion en
lton; 130, par van Gehuchten et Le-i\lolt, t, 132. Tumeur du lobe
occipital
, par Weber, 227. Urine. Evacuation involontai
de taille moyenne. Tête en forme de tour; absence de toute voussure
occipitale
. Peau de la figure et du ventre légèrement pig-
postérieur du cerveau ne se trouve que très peu en arrière du trou
occipital
. Vu de haut, au lieu de présenter un pourtour 1
essus d'un plan passant par les bosses frontales et la protubérance
occipitale
; au-dessous de ce plan, on remarque que le lob
ent et occupe une place énorme en comparaison des lobes frontaux et
occipitaux
. L'axe de la protubérance et de la moelle allon
enne dans la région du chiasma. Légère injection sur les deux pôles
occipitaux
. Les pôles tem- poraux font fortement saillie à
de la moelle allongée un bourrelet symétrique correspondant au trou
occipital
, PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UN 011'Ci : ltiALIQUE
es. Les sillons sont étroits. Sur les coupes transversales, le lobe
occipital
a une forme triangulaire, comme tirée au cordea
- rales y paraissent atrophiées. Sur les coupes sagittales, le lobe
occipital
sur- ' tout présente des circonvolutions très n
a boite osseuse, la forme triangulaire, presque rectiligne, du lobe
occipital
, entraînant le déplacement de la scissure cal-
ournir des indi- cations importantes. Peu visibles au vertex, à l'
occipital
et dans la partie supérieure du frontal et des
E GÉNÉRALE CHEZ UNE OXYCÉPHALIQUE 23 dehors et intéressant la corne
occipitale
. Le diamètre oblique indique la moyenne obtenue
nt plus en arrière et échelonnées sur toute la longueur de la corne
occipitale
. La distance verticale i', entre cette corne et
e et la périphérie, n'entre pas en ligne de compte, puisque le lobe
occipital
ne repose pas sur l'os, mais sur la tente du ce
sion, de rotation et de pronation. La main peut atteindre la région
occipitale
et même le vertex. Elle est d'abord lancée légè
'opération. Autopsie (DI HmTEs). Incision opératoire dans la région
occipitale
et ou- verture du crâne au même niveau. Fractur
e au même niveau. Fracture de la partie postérieure du bord du trou
occipital
. Pas d'hémorragie locale, seulement des petits ca
SUR LES HEMORRAGIES MÉNINGÉES 323 sombre liquide s'écoulait du lobe
occipital
droit. A l'examen attentif, on a découvert à ce
'une noisette. Cet endroit est situé sur la surface interne du lobe
occipital
droit (environ 3 centimètres du pôle arrière du
loppement prépondérant de la face, le prognathisme, la saillie de l'
occipital
et la cyphose cervico-dorsale, tous caractères
eux talons au même niveau, la tète repose normalement sur la région
occipitale
. Tous les mouvements de la tête s'exécutent nor
dans les membres inférieurs. Il souffrait, en outre, d'une céphalée
occipitale
, exagérée par les mouvements, qui a été vive pe
pparition d'exostoses au niveau de deux apophyses mastoïdes et de l'
occipital
. Les maxillaires inférieurs et la région lombai
ouvé une hydrocé- phalie remarquable par sa localisation à la corne
occipitale
des deux ventricules latéraux et par sa coexist
-1. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. aux dépens de la corne
occipitale
du ventricule latéral; elle mesure 0m,10 de lon
t O'n,07 de largeur et se termine en cul-de-sac a la pointe du lobe
occipital
dont toute la substance blanche a disparu ainsi
s le ventricule latéral. - b. Scissure courbe d'Arnold. c. Scissure
occipitale
(perpendiculaire interne). - d. Sil- lon second
a cavité ventriculaire qui s'étend de la corne frontale il la corne
occipitale
et de la circonférence externe au bord interne
les à suivre avec le doigt ; la pro- L'ACROMÉGALIE. 181 tubérance
occipitale
externe et les lignes qui en partent font une sai
il la nuque, à deux travers de doigt à gauche de la pro- tubérance
occipitale
externe, une légère saillie osseuse, qui remonte,
ètre mento-bregmatique, 27. Distance de la racine du nez à la bosse
occipitale
, 19 centimètres. Diamètre bi-malaire, 15 centim
elles qui réunissent le frontal aux pariétaux, et les pariétaux à l'
occipital
, font une proéminence très appréciable, une sor
t envahies par l'hyperostosc. Au niveau de l'angle supérieur de l'
occipital
au point de jonction avec la 2<0 NOUVELLE IC
L'accroissement anormal de la peau est surtout visible il la région
occipitale
. Au niveau de la protu- bérance occipitale exte
out visible il la région occipitale. Au niveau de la protu- bérance
occipitale
externe se trouve une exostose horizontale en for
nences osseuses, aplaties, allant des os pariétaux à l'écaille de l'
occipital
. Les cheveux sont abondants et épais, ils crois
mme nous l'avions pensé, dans le lobe temporal, mais dans le lobe
occipital
; intégrité du chiasma, déchéance de la troisième
le centre A des images écrites des mots et des lettres dans le lobe
occipital
, le centre B d'association des lettres quelque
rale; destruction de l'un ou des deux centres optiques dans un lobe
occipital
, ou de l'irradiation des fibres optiques ou des n
s, opéré également par Keen, la tumeur était localisée dans le lobe
occipital
et ne fut pas enlevée, car le malade mourut le
de la vie, a abaissé le rocher, tiré sur la partie écailleuse de l'
occipital
et déplacé en bas et à gauche la moitié corresp
troubles du sens du lieu, qui se montrent dans les lésions du lobe
occipital
, tiennent à la perte d'un grand nombre d'images c
ement prognathe, mal développée, surtout dans la région frontale et
occipitale
. Deux photographies, l'une prise à vingt et un
es franches pour se développer. J'irai jusque dans les frontales et
occipitales
de façon que ces lobes, principa- lement le fro
pouce en deçà du sommet supra-orbitaire et presque en arrière de l'
occipital
, mesurant 6 pouces 1/4 de longueur, et un quart d
la ligne médiane de la base du nez jusqu'au-delà de la protubérance
occipitale
. La peau du crâne est écartée d'un pouce environ
pouce, s'étendant juste au-dessus des yeux jusqu'à la protubérance
occipitale
, laissant un pont de trois quarts de pouce de l
bas, au fond du gosier, il contracte en même temps le frontal et l'
occipital
et tend fortement le cuir chevelu. Cette contra
la partie postérieure du pli courbe et la partie adjacente du lobe
occipital
), plus les scotômes hémianopiques sont symé- tr
ectives de couleurs, trouva un foyer de ramollissement dans le lobe
occipital
droit; analogues sont les observations de Jowen
prouvant la lésion uni- latérale des centres visuelles de l'écorce
occipitale
. c). Considérons maintenant en quoi les formes
e siège, comme dans le cas de l'amblyopie transitoire, dans le lobe
occipital
(Samelsohn) 2.. Et, même les troubles de la p
hémisphère est profonde, et atteint les fibres envoyées par le lobe
occipital
aux ganglions visuels de la base, l'hémianopsie
ou- bles de la mémoire optique, dont les centres occupent le lobe
occipital
. ' En effet, il semble, d'après les nombreuses
t-à-dire penser que l'affection intéresse tout de même un seul lobe
occipital
du cerveau, mais qu'il y a anomalie de distribu
re plusieurs à la fois, des régions pos- térieures de l'écorce lobe
occipital
, pariétal et temporal - où se trouvent surtout
la vision maculaire est mieux vascularisé que le reste de l'écorce
occipitale
visuelle, nous pouvons comprendre pour- quoi l'
s centres visuels corticaux (surtout le cuneus et la circonvolution
occipitale
superieure), à la suite de troubles circulatoir
de paralysie, mais il éprouve de violentes douleurs dans la région
occipitale
, et présente un tremblement généralisé, surtout
s le lobule pariétal inférieur, et le pli courbe gagner l'extrémité
occipitale
de la scissure de Sylvius. Quatrième opération
endante, les première et deuxième pariétales et les circonvolutions
occipitales
de l'hémi- sphère droit. J.-B. CHARCOT. VII.
ieure du corps calleux et ayant proliféré dans la substance du`lobe
occipital
droit/ D'avant t en airière, la tumeur/atteint,
sillon cal- loso-marginal, dépasse en haut de 2 centimètres le lobe
occipital
, comprime les tubercules quadrijumeaux 'et le'
nt deux sièges différents' : la région frontale gauche et la région
occipitale
droite ; dans ces deux points, de dehors en ded
mer cette manière'de ! voir,'e'est que-les'deux.lésions^frontale et
occipitale
) occupent les-deux extrémités ! d'un. même axe cr
circonvolutions occipito- 'temporales inférieures,- de la troisième
occipitale
; et la moitié infé- rieure de la pariétale infé
e incision partant de l'éminence frontale gauche àt la protubérance
occipitale
. On, sépara, le cuir chevelu, on soulevai 1 le
, partant de la bosse frontale jusqu'à un pouce de\ la protubérance
occipitale
. On ramena le périoste sur cette ouver- ture, o
s du cerveau, et l'atrophie des lobes, spécialement le frontal et l'
occipital
. L'examen microscopique montre la diminu- tion
s les plus importantes; on peut alors distinguer les lobes frontal,
occipital
, pariétaux et temporaux et les scissures primit
ndaires apparaissent entre le cinquième et le sixième mois; le lobe
occipital
couvrirait le cervelet au sixième mois, selon B
'il a fait après la mort sur un cas d'adulte, chez lequel les lobes
occipitaux
étaient défectueux et où il y avait aplatisseme
Le lobe droit est moins altéré. Enfin en arrivant dans le lobe
occipital
, on retrouve encore une atrophie très marquée d
araitre dans le lobe pariétal et s'atténuer de nouveau dans le lobe
occipital
, le plus éloigné de la cause de compression. Da
tumeur cérébelleuse (nystagmus oculaire, vertige intense, céphalée
occipitale
, constipation, vomissements, tendance à la chut
bres tangentielles épaisses. La première frontale gauche et le lobe
occipital
droit possèdent une abondance considé- rable de
s centres optiques primitifs (infra-corti- caux), dépendent du lobe
occipital
correspondant, puisque les lésions encéphalomal
céphalomalaciques, hydrocéphaliques, traumatiques ou autres du lobe
occipital
, entraînant des dégénérescences secondaires de
es organes. La dégénérescence secondaire part du point lésé du lobe
occipital
et se propage par la substance blanche antéro-p
s dépend de la différence de localisations des lésions dans le lobe
occipital
. La dégénérescence secondaire est en tout sembl
de la fissure calcarine (coin lobule lingual pre- mière et deuxième
occipitale
) commande au corps genouillé externe, au pulvin
courbe, se groupent, avec quelques fibres des première et deuxième
occipitales
, en un trous- seau de fibres blanches qui const
e sont en relation avec les parties corticales de la pointe du lobe
occipital
; celles qui sont plus antérieures, sont surtout
s ont été les suivants : névralgie inlen-eà à gauche et céphalalgie
occipitale
, paroxystiques pendant plusieurs mois, et accom
s. Quelques douleurs à type fulgurant existeraient dans la ré- gion
occipitale
. UN CAS DE TABES SUPÉRIEUR AVEC CONSERVATION DE
- tés. Elle a eu de plus des douleurs à type fulgurant dans la zone
occipitale
. Si chez elle beaucoup de symptômes ne sont qu'
s la surface du lobe frontal droit et du lobe temporo-sphénoldal et
occipital
gauche où se trouvent de véritables foyers de ram
emenLproéminent ; les mains et les pieds sont énormes; les saillies
occipitales
sont aussi très développées. Le faciès acroméga
c'est a peu près un 1/8-1/9 de la surface dorsale pariétale. Lobe
occipital
. Sauf l'union déjà nommée de la scissure pariétal
l. Sauf l'union déjà nommée de la scissure pariétale avec le sillon
occipital
longitudinal supérieur rien de particulier n'a ét
cérébrale. Comme le montre très distinctement la Pl.XXVI,le lobe
occipital
gauche se présente comme un morceau indépendant
r ses bords latéraux et inférieurs. Le passage de la circonvolution
occipitale
supérieure il la circonvolu- tion pariétale sup
eure est resté intact, tandis que le passage de la cir- convolution
occipitale
médiane à la circonvolution pariétale inférieure
; on voit ainsi une démarcation très distincte de la circonvolution
occipitale
médiane. A la surface inférieure, les circonvol
s. La figure nous fait voir très évidemment une inclinaison du lobe
occipital
à la hauteur de l'impressio petrosa ; comme si
cle il la propagation du processus destructif, de sorte que le lobe
occipital
est resté épargné. , . Lobe temporal. A droite,
tissu détruit. Grâce à cette modification, le trajet de la fissure
occipitale
est à peu près horizontal, tandis que la scissu
on, les filets les. plus externes entrenl en relations avec le lobe
occipital
et les' fibres plus médianes avec les circonvol
laires latérales,et sur une trouvaille de lt'ilakler où sur un lobe
occipital
normal fut trouvé une dégénération du fascicule
à la surface du lobe frontal droit et du lobe temporo-sphénoïdal et
occipital
gauche oit se trouvent de véritables foyers de ra
noïdienno dans toute la fosse sylvienne et dans les sillons du lobe
occipital
. Moelle. - Ici l'altération atteint des limites
ette hypertrophie porte principalement sur la face. La protubérance
occipitale
externe est extra- ordinairement développée ; l
senbach, ont tous produit des accès d'épilepsie en excitant le lobe
occipital
. Pour être efficace, l'excitation portée sur ce
Comme, après l'ablation de la zone motrice, les excitations du lobe
occipital
ne provoquent plus de convul- sions, on en conc
ions épileptiformes, ne suffit pas lorsqu'on l'applique aux régions
occipitales
; 2° ce n'est qu'avec des cou- rants d'une plus
met pas fin aux convul- sions. L'excitation portée sur les régions
occipitales
se propage horizontalement à travers l'écorce,
iété épileptogène autonome que Unverricht semble accorder aux lobes
occipitaux
2, Unverricht soutient que de pures affections
ion aux éléments moteurs, produire des accès convul- sifs : le lobe
occipital
n'a pas de « propriété épileptogène » spéciale.
arqué, qui unissent le lobe frontal aux lobes temporal, pariétal et
occipital
, au faisceau longitudinal inférieur, au faisceau
it atteint. La troisième observation est celle d'une tumeur du lobe
occipital
droit (Wollenberg); vertiges, attaques épilepti
at de la plaie. Le coup a été porté il la partie supérieure de l'os
occipital
près de son point de suture avec les deux parié
t de la tête et en arrière, à la réunion des deux pariétaux et de l'
occipital
, au-dessus des sinus latéraux et du pressoir d'
masse du bulbe. T. Q, tubercules quadrijumeaux. C, coin, ou lobule
occipital
interne. - A C, avant-coin, ou lobule quadrilat
rois cas d'altération du nerf optique à la suite de lésions du lobe
occipital
du cerveau, présentation des pièces. Les deux p
porencéphalie et amoindrissement consi- dérable des circonvolutions
occipitales
d'un côté, avec hydrocépha- lie très marquée) o
intra-crâniennedu nerf optique, des foyers bilatéraux dans le lobe
occipital
. Le mémoire sera publié. Séance du 11 novembre
oire publié. M. Sachs (de Breslau). De la substance blanche du lobe
occipital
dans le cerveau humain. Mémoire publié. Démonst
t le centre cortical de la vision en 1835, dans les circonvolutions
occipitales
. Munck l'étendit au lobe occi- pital. Luciani e
endant ses attaques, et qui est alors très douloureux. Céphalalgies
occipitales
et tem- porales fréquentes. Digestion. -Bon a
E la bandelette OPTIQUE ET DU serf OPTIQUE dans les lésions du lobe
occipital
du cerveau, par C. Moeli. (.-11'Ch. f.Psych.,XX
. , Deux observations montrant que les lésions cérébrales du lobe
occipital
atteint pendant son développement se traduisent p
altération de la bandelette et du nerf - dans les lésions du lobe
occipital
, par Moeli, 'F00. Oreille, mouvements de 1'- et
. 10. Tête. Crâne symétrique. Bosses pariétales prononcées. Bosse
occipitale
saillante, surmontée d'un léger méplat. Les che
rieur, P, volumineux et sinueux, envoie un pli de pas- sage au lobe
occipital
et un autre au pli courbe. Le pli parié- tal in
ourbe, P C. Ce dernier est peu développé, mais entre lui et le lobe
occipital
, il existe une circonvolution composée de trois
volution composée de trois replis (lobule du pli courbe). Le lobe
occipital
, LO, est composé de circonvolutions assez pliss
rficiel. Le coin, LC, est sinueux, avec des plis superficiels. Lobe
occipital
assez bien développé et plissé. La circonvoluti
de deux replis sinueux, envoie en arrière un pli de passage au lobe
occipital
. P2,non dédoublée, envoie un pli de passage ass
ourbe, bien dé- veloppé, et qui envoie deux plis de passage au lobe
occipital
composé de circonvolutions assez petites, prése
forte, haute, en forme de toit, sans saillies exagérées. La région
occipitale
est aplatie. Inclinaison très rapide, du vertex
artie postérieure du crâne et occupant en haut la région moyenne de l'
occipital
. Cette tumeur, qui nais-sait au-dessous de l'angl
tal. Cette tumeur, qui nais-sait au-dessous de l'angle supérieur de l'
occipital
descendait jus-qu'aux premières vertèbres sacrées
ête, est de 10 centimètres 1/2. En avant de la tumeur, du sommet de l'
occipital
à l'épine nasale, la distance est de 7 centimètre
resté dans la cavité crânienne reposant en grande partie sur la fesse
occipitale
gauche. De ce côté, en effet, il persiste une lam
se occipitale gauche. De ce côté, en effet, il persiste une lame de l'
occipital
large de 2 centimètres, tandis que, du côté droit
c la face inférieure du cervelet, ils sont en contact avec les cornes
occipitales
, formant au-dessous d'elles une sorte de cordon p
ar lequel fait hernie la substance nerveuse est formé aux dépens de l'
occipital
, des vertèbres cervicales et des six pre-mières v
dans son diamètre transversal. Ce trou est constitué aux dépens de l'
occipital
. La partie inférieure donne un orifice terminé
se trouve si voisine de la première ou partie formée aux dé-pens de l'
occipital
. L'occipital n'existe donc plus que dans son pour
voisine de la première ou partie formée aux dé-pens de l'occipital. L'
occipital
n'existe donc plus que dans son pourtour en haut
as que nous avons eu sous les yeux, il n'existait sur les parois de l'
occipital
aucune trace d'altération ou de prolifération ann
crânien, 1871. 2 Gruveilhier. Anatomie pathologique : Spina bifida
occipital
et spina bifida cervical antérieur réunis, dans M
l se plaint de douleurs de tête continues, occupant surfout la région
occipitale
; la mémoire s'affaiblit progressivement, l'intel
rbide et qui l'alimentent de sang sont : 1° La branche externe de l'
occipitale
, qui se rend dans les lacs postérieurs et externe
u niveau de l'arcade zygomalique. Lorsque l'on comprime fortement l'
occipitale
et la carotide externe un peu au-dessous du lobul
s que précédemment, c'est-à-dire compression de la carotide et de l'
occipitale
pour diminuer le cours du sang. Le perchlorure de
l'oreille, ou dans les parties avoisinantes. On en trouve trois. L'
occipitale
, dont le tronc est très-volumineux dans sa branch
formé. La tête est assez développée, sans prédominance de la région
occipitale
; le front est saillant, élevé, avec des dépress
ue, en forme de pain de sucre : les bosses sont à peine marquées. L'
occipitale
ne fait aucune saillie et, de ce côté, la tête
est réduit à un simple pli. Le pli courbe est rudimentaire, le lobe
occipital
, composé de trois replis assez gros. La premièr
lume, dont la partie horizontale se confond en arrière avec le lobe
occipital
. Les sillons sont assez profonds sur la face conv
. Le lobule pariétal supérieur, l'inférieur, le pli courbe, le lobe
occipital
sont rudimentaires; les circonvolutions tempora
re et la seconde circonvolution, il partir de l'extrémité du lobe
occipital
jusqu'au lieu de passage de celle seconde circonv
nouillé externe correspond, à raison de sa situation dans la région
occipitale
, au centre visuel de Munk; sa résection détermi
que d'un faisceau d'association qui rejoint le lobe frontal au lobe
occipital
; le segment antérieur de la capsule interne di
river à une solution, chez quelques animaux la membrane atlanto-
occipitale
fut ouverte, et la pie-mère, déchirée à l'endroit
araît à peu près de la même date, dans la substance blanche du lobe
occipital
, et dui afllue à la face profonde d'une des cir
voûte du crâne qu'il longe en descen- dant jusqu'à la protubérance
occipitale
interne, il débouche dans le pressoir d'Hérophi
Accidents du décubitus. Vaste foyer de ramollissement dans le lobe
occipital
droit. Petit foyer dans le noyau lenticulaire gau
r et l'extrémité la plus postérieure des 1 , 2°, 3e circonvolutions
occipitales
. Confirmation des idées de Charcot et Pitres sur
Confirmation des idées de Charcot et Pitres sur le rôle de l'écorce
occipitale
. Les troubles de la motilité du côté droit sont
et ils se rencontrent aussi dans lelobule paracentral, dans le lobe
occipital
, parfois même en plein milieu des tissus. On a
olue des faces latérales et médianes des lobes frontaux, pariétaux,
occipitaux
, dont la face inférieure est également indemne;
tale est rejeté en arrière, et situé beaucoup plus près de la corne
occipitale
que de la corne frontale. En outre les circonvo
ndo, qui le limite en arrière, était beaucoup plus près de la corne
occipitale
que de la corne frontale ; elle consistait, en
du gyrus hippocampi et du lobule lingual jusqu'à la pointe du lobe
occipital
. Intégrité du gyrus fusiforme. A la convexité il
un centimètre et demi dans la substance blanche. Enfin dans le lobe
occipital
gauche une tumeur vasculaire sans limites préci
er); crâne plus développé proportionnellement que la face; région
occipitale
aplatie. Au cou, les sterno-mastoïdiens très atro
(P.-R ? Cerebellar tumor. Opération- · Jloemorrhagi from defect of
occipital
Bone; Death, gênerai Remarks. - Brochure in-18
- La pie-mwe cérébrale, dans toute son étendue, même sur les lobes
occipitaux
, est infiltrée de noyaux ronds. La lésion est i
de thyroïdienne en nature. R. M. C. XXVI. Névralgie DU grand nerf
occipital
accompagnée DE symptômes D'UNE lésion DESTRUCTI
ène d'excitation ayant *>, pour siège la sphère visuelle du lobe
occipital
, comparable aux'plié- - - nomènes d'excitation
culature assez bien développée. La tête est plutôt forte. La région
occipitale
est aplatie. Les bosses parié- tales sont moyen
ns pro- fondes (sensibilité pariétale des épileptiques, sensibilité
occipitale
de certaines affections cérébrales), les syphil
nuleux en quantité. Atrophie des circonvolutions voisines des lobes
occipital
, temporal et pariétal. Hémisphère droit. Pas de
droit. Pas de lésions en foyer, mais une atrophie manifeste du lobe
occipital
. Les coupes des deux hémisphères ont montré les
énérescence presque totale des fibres du corps calleux dans le lobe
occipital
; tapetum droit plus pauvre en fibres que le gau
u côté gauche et rupture des faisceaux d'association des deux lobes
occipitaux
; dégé- 478 sociétés savantes. nérescence des
t-il supposé l'existence d'un foyer situé à la face interne du lobe
occipital
de l'hémisphère gauche et celle d'un second foy
missurales qui relient la surface interne et la convexité des lobes
occipitaux
, les deux circonvolutions temporales, les deux lo
bes occipitaux, les deux circonvolutions temporales, les deux lobes
occipitaux
. De ces faisceaux un grand nombre ont été détruit
érer, comme le prouve l'atrophie des circonvolutions des deux lobes
occipitaux
. La dégénérescence accusée du bourrelet du corp
IÈRES. sous Nelropsychoses, par Prend,45. Névralgie du grand nerf
occipital
, par Johnson, 314. Névrite périphérique consé
égions lombaire, dorsale, aux omoplates, aux cuisses et aux muscles
occipitaux
; NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊfRitRE. T.
e de ce faisceau qui tapisse la paroi inféro- interne du ventricule
occipital
sont conservés. Sur la figure suivante et plus
observation analogue, plus compliquée cependant, car les deux lobes
occipitaux
furent envahis par des néoplasmes. Observation
is la dure-mère enlevée, on put ainsi prévoir que surtout les lobes
occipitaux
seraient le siège de néoplasmes, la masse la pl
'en ai compté 15, 9 à droite, 6 à gauche. C'est bien dans les lobes
occipitaux
qu'ils sont ou le plus grands, ou le plus dense
s fais- ceaux sagittaux qui longent la paroi extérieure de la corne
occipitale
pour se rendre à la calcarine. Rth étant, dan
hors de cela, le cerveau paraît peu comprimé, sauf dans les régions
occipitales
. ' Il s'agit donc probablement d'altérations os
par l'ouverture du trépan. Coupes sériées. - Très tôt déjà, le lobe
occipital
droit se distingue du gau- che. Les noyaux sont
o- rachidien, allant du T11" au IV ventricule et de là, par le trou
occipital
, au canal rachidien. Tout en admettant que ce c
éral précoce (voisinage de l'rlque- duc, du IVe ventricule, du trou
occipital
) forcent le malade à se présenter lôt au médeci
obe temporal et les régions adjacentes des lobes frontal, pariétal et
occipital
. En outre, il existe dans l'un et l'autre hémis
situé eu arrière 196 SOUQUES de celui-ci et deux dans la région'
occipitale
(Pl. XXVI, I).Une coupe passant à un centimètre
petite hémorragie récente au niveau de la substance blanche du lobe
occipital
. Une coupe rasant le bord su- périeur du corps
e surtout la nuit, localisée habituellement aux régions frontale et
occipitale
droites. Presque au même moment, survenaient le m
la compression des tubercules quadrijumeaux antérieurs par la corne
occipitale
saillante en dedans. Ludlum (3) dans deux cas
rrière et toujours du côté gauche, la région temporale postérieure,
occipitale
, et plus bas la Fin. 1 '117. 2 A PROPOS DE
poesthésie, parésie, légères atrophies des muscles dans les régions
occipitale
, dorsale et lombaire, des soubresauts et convulsi
n revenant de son travail. - C'était une céphalée tenace, surtout
occipitale
, avec exacerbation lancinante dans la nuque. Ce
a malade se plaint de douleurs de tête qui prédominent il la région
occipitale
si bien que l'on pourrait penser à la compressi
gissait d'une tuberculose de l'atlas et de la partie condyloïdede l'
occipital
ayant déterminé une para- lysie du spinal et de
cas, on se trouve en présence d'une lésion corticale des deux lobes
occipitaux
ayant détermini une hémianopsie double : cette
ve sensa- tion de douleur de tête, parfois circonscrite à la région
occipitale
, ou s'irradiant vers les yeux et en même temps
uloureuse et de paresthésie dans le domaine du trijumeau, des nerfs
occipitaux
, du plexus cervico-bracliial ; l'ensemble de ce
t vers la surface de l'écorce. Le ruban rayé de Vicq-d'Azyr du lobe
occipital
, beaucoup plus large que les stries des six cou
en partie de la zone motrice, et la première circonvolution du lobe
occipital
, siège reconnu d'une fonction des sens spéciaux
la naissance. Ses fibres se dirigent bien en arrière dans le lobe
occipital
et, en particulier dans le centre visuel; mais, e
e assez grosse; crâne oval, symétrique, assez développé aux régions
occipitale
et mastoïdienne. 190 RECUEIL DE FAITS. Memb
(Voir plus loin la description com- plète du squelette.) - Le trou
occipital
est normal. La dure- mère est assez congestionn
ilatère et l'extrémité du lobe frontal. Les circonvolutions du lobe
occipital
sont aussi plus grêles que ne le fait voir la pla
me une longue voie d'associàtion entre le lobe frontal et le lobe
occipital
. Chaqueprolongementcylindraxileémetses collatéra-
entes régions quel- ques déviations du plan général. Ainsi, le lobe
occipital
est muni d'un plus grand nombre de fibres tange
tre d'associa- tion postérieur comprenant une grande partie du lobe
occipital
, du lobe pariétal et du lobe temporal ; 2" le c
ement, à l'aide des radiations optiques, dans les cir- convolutions
occipitales
et particulièrement dans la circonvolution calc
come) de la grosseur d'une pomme, dans la substance blanche du lobe
occipital
. III. La troisième observation est celle d'une
, lui aussi, différent dans chaque cas : 1° lobe temporal ; 2° lobe
occipital
; 3° cervelet. Les trois cas présentent cependa
ale droite qui comprend une partie du temporal, du pariétal et de l'
occipital
(fig. 8), au lieu de présenter la même forme ar
gné la troisième frontale ; puis, refoulé par la résistance du lobe
occipital
, il a comprimé la face interne des hémisphères
.P.I., pli pariétal inférieur. T', première temporale. L.O., lobe
occipital
. riq. 2. - Face interne du même hémisphère. C
. L.P., lobe paracentral. L. Q., lobe quadrilatère. 1..0., lobe
occipital
. TABLE DES MATIÈRES Académie de médecine, 143
sur le frontal. J'ai pratiqué aussi une craniectomie linéaire sur l'
occipital
, entre la suture occipito-pariétale et le sinus
des os du crâne. Sur le sujet auquel j'ai pratiqué une craniectomie
occipitale
immé- diatement au-dessus du sinus latéral, j'a
s cette céphalée gravative incessante et prédominant dans la région
occipitale
qui est apparue dès la seconde semaine après la c
crâne. Cette céphalée était particulièrement intense dans la région
occipitale
. En outre, il se plaignait d'une gêne douloureu
régions frontales, pariétales, une partie des régions temporales et
occipitales
sert il découvrir déjà certaines malformations
t, l'acrocéphalie, la dolichocéphalie, le degré de proéminence de l'
occipital
, etc.. - La vue de face, suivant la norma anter
ion suivant la face postérieure, norma ])ostel'iol' (Laurillard) ou
occipitale
, peut donner des indications sur la hauteur des b
u occipitale, peut donner des indications sur la hauteur des bosses
occipitales
, la largeur bimastoïdienne, l'implantation des pa
pressions craniennes, le volume des bosses frontales, parié- tales,
occipitales
; leur situation symétrique ou non (pl : 1giocépha
essus du plan horizontal. d. L'inion (iviov, nuque) ou protubérance
occipitale
externe. e. Le point occipital maximum ou le pl
nion (iviov, nuque) ou protubérance occipitale externe. e. Le point
occipital
maximum ou le plus reculé. f. Le bregma céphalo
isant passer l'ins- trument sur le milieu du font, sur le vertex, l'
occipital
, jusqu'à l'inion. En général la longueur de cet
cin)es. G, Glabelle. 0, OJlh1')On. V, Vertex. I, Inion.- 0 M, Point
occipital
maximum. - S A, Poinl sus-aul'icul.1Ïl'c. - B P
on supérieure de l'oreille, puis par le point le plus saillant de l'
occipital
pour revenir à l'ophryon en restant de l'autre
joignant les deux mêmes points et passant par le point maximum de l'
occipital
. c. La demi-courbe latérale droite allant de l'
postérieure du compas indique alors le point le plus saillant de l'
occipital
qui n'est jamais l'inion, lequel est toujours p
es dégradés, les idiots par exemple, le développement de la portion
occipitale
du crâne est supérieure à celui de la portion f
ologique capital. Le plus élevé, que son siège permettait d'appeler
occipital
, n'existe guère que dans l'extension de la tête
s la flexion, il comble dans l'extension tout l'espace qui sépare l'
occipital
de la partie supérieure du dos; à droite et à gau
Tête. - Cuir chevelu amaigri. Le crâne, ovoïde, à grosse extrémité
occipitale
, est mince, avec des plaques transparentes au n
. Il n'en est pas de même des sutures inter-pariétale et pariéto-
occipitales
qui, elles, sont très-sinueuses. - La bosse occip
érieure sur une surface d'environ 3 centi- mètres carrés. Les lobes
occipitaux
et temporaux n'offrent wmevcroscopicluement rie
rieure et interne. - Rien au niveau de PA ni des lobes pariétaux,
occipitaux
et temporaux, ni au niveau de l'insula. La base
nce normales. (PA, P1, moitié supérieure de L.Q ; extrémité du lobe
occipital
, pied de FA, F3). Par suite cle la sclérose atr
et la fissure calcarine il y a une encoche profonde entre le lobe
occipital
en bas, pl et LQ en arrière. (pal. I et II). Le
s différentes cavités de la base du crâne sont symétriques. Le trou
occipital
est normal. La veine méningée moyenne est diste
ible- ment symétrique ; front étroit comparativement il la région
occipitale
, très élevé (0 ? 07 d'une bosse frontale il l'aut
cause la maladie. État actuel. - La tête est volumineuse, la région
occipitale
est peu saillante, si peu saillante que lo plan
e que lo plan du cou semble se continuer directement avec la région
occipitale
. Le front est peu élevé, déprimé sur les côtés.
Scissure interpariétale, L. O., Lobule orbitaire. L. O. C, Lobule
occipital
. Se. S., Scissure de Sylvius. Op. F., Opercul
sauf ce qu'il y a de spécial dans celles de l'atlas avec l'axis et l'
occipital
, qui présentent dans leurs surfaces de contact et
autres régions ; 2° l'affection des deux premières vertèbres et de l'
occipital
ou le spondylarthrocace, qui diffère du mal verté
s du cou et leurs articulations entre elles et avec les condyles de l'
occipital
. L'anatomie nous montre dans cette région, des
gure au musée Du-pnytren sous le n° 613, nous voyons une soudure de l'
occipital
et de l'atlas, mais sans luxation, et une destruc
as disparaître en presque totalité et l'axis entrer en contact avec l'
occipital
. Je dois à l'obligeance de M. Duheaume, interne d
cou. Une collection contenant des débris de tubercule existait sous l'
occipital
. Il est regrettable qu'on n'ait point recherché s
tion s'étendait à l'atlas, qui présentait une érosion étendue, et à l'
occipital
, dont le condyle droit était le siège d'une ostéi
e tirée du musée Dupuytren, et offrant une soudure de l'atlas et de l'
occipital
, sans perte de substance de ces deux os. L'ankylo
faissement latéral est énorme. Le plan tangent aux deux condyles de l'
occipital
forme un angle aigu avec l'axe du cou ; il y a eu
: destruction de la moitié droite de l'atlas ; l'axis rapproché de l'
occipital
en ce point ; soudure étendue entre la deuxième e
blable entre l'apophyse odontoïde et l'atlas ; rétrécissement du trou
occipital
, qui, cependant, est encore suffisant pour loger
recueilli un fait de guérison par ankylose survenue entre l'axis et l'
occipital
. Il ne restait plus qu'un point osseux de l'atlas
tion, la saillie de l'axis n'est plus en rapport avec la protubérance
occipitale
externe; ces deux éminen-ces osseuses ne se trouv
ns allemands ont décrit un rachitisme crânien qui porte surtout sur l'
occipital
. Dans cette variété, qu'ils nomment occiput mou,
t saillie en arrière. Il en résulte qu'un fil à plomb qui part de l'
occipital
tombe au-dessus du bassin même dans la première v
6. (4) Observation inédite. tervalle des pariétaux. Les pièces de l'
occipital
séparées laissent entre elles un écarternent occu
ine, il en existe une autre qui surplombe en quelque sorte la corne
occipitale
du même ventricule. Sur la face interne de la c
ce rela- tivement dure, qui s'échelonnent sur les parois des cornes
occipitale
et spliénoïdale, En résumé dans le cerveau, o
ue. Les circonvolutions temporo-sphé- noidules, les circonvolutions
occipitales
, les scissures perpendicu- taires externes et l
occipital est affaissé, mais non interrompu en avant de la scissure
occipitale
externe (SOE). Le troisième est aussi interromp
re verticale qui rejoint le cou de la scissure parallèle. Le lobe
occipital
, elle lobe temporo-splrénoïdal n'offrent pas de
inférieur, constitué par trois plis, 11, 12 et 13. S 0 F. Scissure
occipitale
externe. REVUE CRITIQUE NOTES ET OBSERVATIONS
haut, au-dessous et en arrière delà bosse pariétale; la scissure
occipitale
externe répond au lambda. Les distances rolando-
eurs, relient le pulvinar et le corps genouillé externe à la région
occipitale
(fibres de Gra- tiolet). Il semblerait que le l
s les masses centrales qui paraissent tout à fait normales. Le lobe
occipital
est sain. Les nerfs cutanés correspondant à cha
t pas en rapport nécessaire avec les lésions destructives des lobes
occipitaux
, puisque ces lobes étaient intacts chez notre m
circonvolution sphénoïdale et du lobule pariétal inférieur. Le lobe
occipital
est sain. Ces foyers de ramollissement pénètren
Ou peut encore noter dans cette observation l'inté- grité des lobes
occipitaux
malgré le développement d'une eschare rapide.
après la mort. Rien au crâne. La dure- mère est tendue; à sa partie
occipitale
, on perçoit de la fluc- tuation. Les incisions
sur les deux hémisphères. On trouve quelques caillots sur les lobes
occipitaux
et dans les fosses sp lié ii oïdal es; ils'nesoii
étteldans,ly,silloliidel Rolande' extrêmement sinueux. ^Le lobe ? .
occipital
,, gauche possède, i dqs il replis,, plus, petit
ion inter-soureilièrc à la protuhé : SOCIETES SAVANTES. 397 ranco
occipitale
postérieure ; il pense de la sorte, en tenant com
SIOLI présente des coupes du cerveau dans un cas de lésion du lobe
occipital
. 11 y avait complète amaurose d'origine centrale
la bandelette optique, on dut penser .. à une lésion des deux lobes
occipitaux
et, étant donné l'ancienneté des symptômes et;
es. Il y avait lieu de croire que toute la sphère visuelle- du lobe
occipital
, gauche était détruite et que, dans le lobe' dr
- tion d'une zone du lobe pariétal immédiatement contiguë au lobe
occipital
et plus particulièrement dans l'hémisphère droit
de Sylvius, détruisait le pli,courbe et se continuait dans le, lobe
occipital
...) , ( . ,.} ' v s ni' ' ? ► t ' < t Lé tra
l'hémisphère droit était le suivant. Dans. la profondeur du. sillon
occipital
supérieur commençait l'altération, elle gagnait
s les cas invétérés, et il est frontal et tempo- ral, plus rarement
occipital
. La plaque spinale (existe trente-cinq fois sur
e sensations de fatigue, et de brisement des os; céphalée en casque
occipitale
et pariétale; insomnie; .palpitations subjectives
oum., -10 mars 1894.) L'enfant à la naissance présentait une tumeur
occipitale
du volume d'une orange, contenant de la substan
résie droite des extrémités supérieures et inférieures; céphalalgie
occipitale
; paralysie de l'oculo-moteur externe droit; céc
n inféro-postérieure au niveau de l'extrémité posté- rieure du Jobe
occipital
. P. KERAVAL. VI. Note SUR on ostéotome crânien
oit. Evidemment les réflexes rétiniens sont en rapport avec le lobe
occipital
droit, c'est-à-dire que les réflexes obtenus pa
et rétinienne nasale de l'eeil gauche sont en rapport- avec le lobe
occipital
droit. Le corollaire, c'est que la suggestion d
'UN CORPS ÉTRANGER DANS LE 398 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. nerf
occipital
D'ARNOLD; par G. GALLERANI ET G. PACI\OTTI. Netl-
) . ' Fragment de porcelaine enkysté au point d'émergence du nerf
occipital
dans la région où il s'anastomose avec les autres
âne, très large dans le sens transversal, est aplati dans la région
occipitale
. On voit, au niveau de la région pariétale gauc
sseuse sous-jacente lisse et régulière. On aperçoit dans la régio.n
occipitale
droite une cica- trice analogue, conséquence d'
om- mer, 316. Or3NUUIL.ITfoN llost-épilcptique, Iar Nagy,t02.
Occipital
, coupes du cerveau dans un cas de lésions du lo
t des muscles : section du sterno-mastoïdien, section de la portion
occipitale
du trapèze, section du splénius, section du gra
es, on trouva encore un ramollissement jaune des deux tiers du lobe
occipital
droit, qui s'étendait jusqu'au fond de la corne
du lobe occipital droit, qui s'étendait jusqu'au fond de la corne
occipitale
du ventricule latéral et envahissait sa paroi int
ndeur de ramollissement jaune était aussi observé au sommet du lobe
occipital
gauche. On constata, en outre, du côté droit, d
a mémoire, des maux de tête dans les régions frontale, pariétale et
occipitale
; la per- cussion de la tête lui cause une doul
orticale s'explique parfaitement par la lésion bilatérale des lobes
occipitaux
(le som- met du coin et de l'ergot de Morand) t
e méningite scléreuse très accentuée. Au niveau des lobes frontaux,
occipitaux
et temporaux les lésions sont les mêmes, mais m
'imposait : embolie partie du poumon ou de la plèvre, abcès du lobe
occipital
gauche. En raison de l'absence actuelle de phén
mourut en quelques heures. A l'autopsie nous trouvâmes dans le lobe
occipital
gauche un gros abcès du volume d'une orange. fl
res de hauteur. On neperçoit pas la fontanelleposlérieure. La bosse
occipitale
est développée et, au-dessus, existe une sorte de
eu de 135ram). IDIOTIE HYDROCÙPHALLQUF ACQUISE. 297 temporales et
occipitales
sont beaucoup plus développées à droite qu'à ga
Le tiers postérieur du lobe temporal et le tiers antérieur du lobe
occipital
sont atrophiés (Pl. I). La face interne est t
si lésée. F', le lobe paracentral, l'avant- coin, le coin, la corne
occipitale
sont déprimés. La circonvolution de l'hippocamp
be et la région qui, horizonta- lement, va du pli courbe à la corne
occipitale
offre une zone atrophiée de 3 centimètres de la
ère gauche, au niveau de la zone motrice, de l'insula, de la région
occipitale
suffisent à rendre compte de la paralysie gauch
sa partie supérieure, immédiatement au-dessous de la protubérance
occipitale
. , De cette revue critique découlent quelques d
psie au même titre qu'une lésion des radiations optiques ou du lobe
occipital
du même côté. Dr F. DEVAY. LXIII. LÉSIONS DE
de néoplasmes. Système nerveux. Le canal racliidien est ouvert de l'
occipital
à la deuxième sacrée. La moelle paraît déjà aug
▲