de d'objets de -1 grandeurs différentes placés à 5 mètres de l'oeil observé . L'objet employé, appelé « échelle typographiqu

absolu. ' -- Mais il vaut mieux se servir de l'arc périmétrique. L' observé étant, placé suivant les indications de la page

assez complexes. En pratique on se contente de présenter il l'oeil observé des index colorés à divers degrés de saturation

ée à recevoir sur le support mobile qui la surmonte, le menton de l' observé . Ce support est disposé de telle façon que l'oe

et com- penser ainsi les différences dans la hauteur de la face des observés . L'observateur doit avoir près de lui un schéma

strabisme, se place au sommet de l'arc maintenu horizontal. L'oeil observé , placé au centre de l'arc, fixe la bougie. A ce

le champ visuel. , Même épreuve pour l'excursion temporale de l'uil observé . Mêmes épreuves dans les autres méridiens verti

s, lui être préférée. On ne se sert pas de bougie. La position de l' observé est la même. L'observateur promène le long de l'a

explorer les méridiens verticaux ou voisins de la verticale. L'oeil observé suit ces lettres et les lit. A un moment, il ce

la hauteur du centre de la sphère; un verre rouge couvre un oeil. L' observé voit deux images, l'une blanche l'autre rouge,

e profession, sait reconnaître l'état de réfraction du malade qu'il observe (hypermétropie, myopie). ' " , Voici un procédé

que. A l'aide de la loupe, interposée entre la Lampe et,l'oeil de l' observé , on fait arriver sur l'un des yeux un faisceau

2'' de ce réflexe, on procède comme dans le cas précédent, mais on observe les mouvements de la pupille de l'oeil du côté

en se tenant au jour, il faire l'occlusion d'un oeil, tandis qu'on observe l'oeil découvert pour voir s'il ne se produit pas

ière vive. Réflexe à l'occlusion des paupières. 1" On demande à l' observé de fermer fortement les yeux. Au moment où il l

racte. Il est certain (pie l'éclairage de la pièce dans laquelle on observe , doit avoir une grande influence sur ces réflex

également à provoquer un mouvement de dilatation en deman- dant à l' observé de penser à un ohjet sombre. IV , EXPLORATI

trale et périphérique en même temps. ' Dans certains cas, on aurait observé de l'achromatopsie hystérique. Les objets sont

cataracte, paralysie des muscles, rétinite, hémorra- gies), on peut observer une diminution de la vision sans signes oplital-

influence de la suggestion, qu'elle vienne de l'observateur ou de l' observé (auto-sugges- tion). Ainsi s'expliquent beauc

(Pierre Marie). Le malade verrait noir dans le champ aveugle. On a observé des photopsies, des hallucinations visuelles.

temporale avec cécité de l'autre oeil, l'hémianopsie hinasale. On observe encore assez souvent une modification dans la for

carrés.de façon à obte- nir des carrés de 20 cen- timètres. L' observé , un verre rouge sur l'oeil droit, est placé à

palpébrale et un certain degré d'énophtalnlie. Dans les trois cas observés par les auteurs qui ont donné leur nom à ce syn

alysie isolée des muscles ou des troncs nerveux. La paralysie qu'on observe est associée ou combinée; elle est constituée p

guées par trouble moteur, des déviations d'origine motrice. Elles s' observent dans des lésions siégeant sur le trajet que nou

orbitaire : il la suite d'un choc sur la tète, même légcr, on peut observer des paralysies oculaires. Le plus souvent, c'est

ie, de pâleur et de refroidissement de la face. La dilatation qu'on observe dans le goilrc exphotallllique rentre-dans ce g

que par excitation directe ou réflexe du sympathique oculaire. On l' observe dans les mêmes affec- tions que l'inégalité pup

on, sur une ligne formant un angle de 45° avec la ligne visuelle. L' observé , regardant toujours devant lui, est engagé il por

e; aussitôt, la pupille se contracte et reste contractée tant que l' observé maintient son attention sur la lumière. Réactio

fluence du centre masticateur sur les mouvements palpébraux, peut s' observer aussi chez des individus sains en dehors de tou

et. Elle marche par accès qui durent 10 minutes environ. Gerlier en observa une épidémie. Le ptosis est le dernier symptôme

d'un oeil peut l'augmenter. En même temps que le nystagmus, on peut observer des oscillations de la tête qui se font autour

e aveugles. 11 existe un nystagmus unilatéral, exceptionnel. On l'a observé sur un oeil dévié ou amblyope. Les oscillations

ou associée a la lésion d'autres organes butbo-protuberantieis. On observe aussi des paralysies alternes sensitives (anesthé

cette variété d'anesthésie, par altération du nerf trijumeau, qu'on observe les altérations cornéennes dont l'ensemble a été

re artificielle toujours colorée; 2° il ne faut jamais demander à l' observé le nom de la couleur. En effet, certaines perso

res à la confusion. Adler se sert de crayons colorés et demande a l' observé de tracer des lignes avec tous les crayons qui

rveux. 10 Lésions congénitales ou acquises au début de la vie. On observe des troubles de l'ouïe, passagers ou permanents,

LES MALADIES DE L'OREILLE ET LE SYSTÈME NERVEUX. 127 plus souvent observées de cette grave maladie. Si la propagation du pus

Le tabes s'accompagne très fréquemment de troubles de l'ouïe : on observe chez les tabétiques de la surdité, des bourdonnem

les bruits de cloches, les sifflements, la surdité et le vertige s' observent après l'administration de doses élevées ou répé

s bruits subjectifs par les excitations lumineuses, et d'Arsonval a observé la surdité passagère par la fixation de l'arc éle

ion de l'arc électrique. Enfin, d'après Urbantschitsch, on pourrait observer des sensations gustatives et olfactives, sous l

onsécutifs aux maladies du nez. 1. - TROUBLES DE L'ODORAT On peut observer des troubles par excès de la sensation olfactive,

se des bulbes olfactifs. ' Les anosmies d'ordre dynamique peuvent s' observer dans les névroses, la neurasthénie et surtout l

erfs ou des centres, les autres sont d'ordre réflexe; enfin on peut observer des troubles psychiques. 1° Troubles nerveux

du sinus frontal. L'insensibilité de la partie interne de la joue s' observe dans les tumeurs du sinus maxillaire, etc. Les

le système lymphatique est bien plus touché et où le syndrome ne s' observe pas : aussi Zarniko altrilme-i-il les symp- tôm

s déplacements : ainsi, certains mouvements de rota- lion, que l'on observe assez souvent chez quelques animaux, le lapin par

t chez quelques animaux, le lapin par exemple, et que l'on pourrait observer chez l'homme, dans quelques cir- constances exc

sous le tronc, avec fléchissement réel et par- fois chute, que l'on observe souvent dans certaines maladies nerveuses, le t

on de la gorge, sont loin d'être rares. Tous ces troubles peuvent s' observer quelle que soit la cause provocatrice du vertig

ge peut être provoqué avec facilité par les diverses névroses; on l' observe en fait assez fréquemment dans l'épilepsie, dans

soit il une période tardive et dans les formes adynamiques. On l' observe avec une graudc fréquence dans la fièvre, typhoïd

, est la plus fréquente. La parésie des abaisseurs de la mâchoire s' observe souvent; celle de la langue, des lèvres et des

qui sont en rap- port fréquent, avec les étables; en hiver on ne l' observe que chez les ber- gers qui couchent à l'étable;

à l'étable; chez les femmes, les vieillards et les enfants, on ne l' observe guère qu'au Japon où ces sujets sont aussi fré-

le et à la véritable astasie-abasie plus ou moins atténuée que l'on observe chez la plupart des tabétiques, même indemnes de

tiges légers et des bourdonnements. Après un traumatisme, on peut observer une variété 'apoplecliforine du syndrome de Mén

ne variété 'apoplecliforine du syndrome de Ménière, plus souvent on observe la variété paroxystique ou chronique. A la su

neurasthé- niques très accentués. C'est dans ces cas surtout, qu'on observe la « névrose de Ménière » décrite par Franid-Ho

rs de ces formes complètes ou compliquées du syndrome de réméré, on observe très fréquemment des formes atténuées se tradui-

s vertiges, qui reconnaissent sans doute semblable origine, ont été observés dans les maladies rénales et surtout dans la néph

d'une crise convulsive ou une manifestation cérébrale isolée. On l' observe aussi dans s le sommeil hypnotique et surtout a

t précisément à celte période de l'artério-sclérosc cérébrale qu'on observe surtout le vertige : bien des vertiges dits neu

ipice; l'agoraphobie est un vertige du même genre. Ces £ vertiges s' observent uniquement chez les sujets névropathes. Certain

es, ténias, ascarides. Le vertige d'origine hépatique ou rénale s' observe au cours des lithiases biliaires ou rénales.

es lithiases biliaires ou rénales. Le vertige d'origine utérine s' observe dans les dysménorrhées, dans les crises doulour

névropathique du sujet entre aussi en cause. Le vertige larvngé s' observe soit au cours d'une lésion du larynx, soit comm

e pas absolument toujours la- solution requise. Il est fréquent d' observer le coma progressif dans la paralysie géné- Tale

sente plus souvent des convulsions que de la dépression. Chez lui s' observent , en dehors des néphrites, des méningites, cause

eil est de peu de durée, et le sommeil reparaît. Cette somnolence s' observe au cours des grandes pyrexies. chez les convale

au cours de l'évolution de la polioencéphalile supérieure, aiguë, s' observent également des périodes de somnolence. Ces affecti

, le surprenant au milieu d'une phrase, coupant un geste ébauché, s' observe au cours de la mala- die du sommeil (méninge-en

u sommeil présente une aire géographique particulière : les malades observés en Europe ont séjourné au Sl'l11'gal ou dans la r

dans les tumeurs cérébrales, peut se présenter sous deux formes. On observe soit des accès de somnolence passagère, soit de

ons que ce sommeil symptomatique est un phénomène inconstant : on l' observe dans certains cas, il manque en un grand nombre

fait place au coma : le réveil est il peu près impossible. On peut observer des phénomènes analogues (torpeur, sommeil) au

ne certaine activité. Il en est ainsi dans les sommeils artificiels observés chez les hystériques. Ces états morbides sont e

ne s'accompagnent pas d'ambulation. Le sommeil sans aazbulotioa2 s' observe chez les hystériques ainsi que dans les états c

t d'une émotion ou d'un traumatisme insignifiants ou violents. 11 s' observe généralement chez les individus présentant de g

ète; il existe même fréquemment un degré notable de contracture. On observe tou- jours un frémissement caractéristique des

morbides, chez les hystériques, les épileptiques, les alcooliques, observer des accès d'auto- matisme ambulatoire spécial,

st particulière- ment intense, et l'insomnie presque absolue peut s' observer . Il en est ainsi chez les prurigineux, chez les

ue l'on cherche à nouer conversation avec lui ? Semblable trouble s' observe chez les idiots, les aliénés, les déments organiq

diots, les aliénés, les déments organiques. Il est assez fréquent d' observer en pareil cas, non pas une mutité absolue, mais

s courte; la guérison peut être aussi brusque que le début. On peut observer aussi la simulation de la surdi-mutité. On se sou

nes de foi assurent qu'il en était ainsi dans quelques- uns des cas observés par eux. 1) Le uzalccde zzr peztt as pazler (ou

Le malade ne veut pas parler. Dans quelques affections men- tales s' observe un mutisme voulu. Ces faits doivent être, présent

upa- tion hypocondriaque, ou traduire simplement, ainsi que le fait observer Séglas, la stupeur d'une dépression intellectue

apathique. L'hystérique est expansif, l'aliéné s isole. Séglas fait observer que certains aliénés, « tout en ne parlant pas,

ent parfois à la réalisation des syndromes morbides. Les troubles observés chez les dysarthiques portent soit sur la phona-

et l'autre alternativement chez le même individu. Cette dysphonie s' observe en cas de paralysie unilatérale des cordes vocale

territoire musculaire atteint est généralement fort étendu, et l'on observe fréquemment un syndrome labio-glosso-laryngé ou

ryngé ou pharyngé. Des paralysies isolées de l'hypoglosse peuvent s' observer cependant dans la sgringomyélie, des paralysies

pétons, les paralysies complexes sont les plus habituelles ; on les observe tout particulièrement dans la sclérose latérale

t leur maximum, le mutisme devient absolu. Un syndrome analogue s' observe dans les paralysies bulbaires des poliencéphalile

angage, ânonnement, hési- tation, lenteur du débit, balbutiement, s' observent le plus souvent dans le syndrome pseudo-bulbair

ste, l'intelligence est souvent affaiblie. C'est dans ces cas que s' observent les crises de rire et de pleurer- spasmodiques.

urs. Ils s'aggravent par la suite et deviennent irrémédiables. On observe encore des troubles dysarthriques dans la myasthé

e repos, l'élocution redevient normale. Dans les myo- pathies, on n' observe guère qu'un vice de prononciation des labiales, l

dans l'lééclo-ataxie cérébel- leuse ; Pierre Marie les a également observés dans la névrite interstitielle hypertrophique d

l posée, bitonale, quelquefois aussi extrê- mement tremblée. ' On observe encore de la scansion dans la maladie de Little e

phonation et de l'articulation. Dans peu de maladies il est donné d' observer d'aussi violents efforts pour émettre les sons du

rjections involontaires. Celle variété de dysarthrie spasmodique; s' observe dans les chorées, dans les myoclonies. dans la

précédée ou accompagnée d'un violent effort. Ce bégaiement simple s' observe fréquemment chez tous les dysarthriques, chez les

t n'a, par lui-même, aucune valeur séméiologique bien définie; on l' observe cependant chez les nerveux à hérédité chargée. 11

;lItZ- mann) ; cette comparaison est impossible chez le sourd. On observe dans un grand nombre d'affections mentales la bra

ix bitonale de l'adolescent, la voix grave de l'aC1'o1ltéyale. On observe quelquefois des voix à timbre très élevé (voix eu

de baryton et quelquefois même de basse. Des variations de timbre s' observent également élans les paralysies laryngées dissoc

es fautes de grammaire (agrammatismc) et de syntaxe (akataphasie) s' observent non seulement chez les aliénés, mais chez certain

es troubles analogues avec emploi de mots dénués de sens (jargon) s' observent dans l'aphasie de Wernicke. Signalons enfin que l

rdres mentaux. Liée à des obstacles mécaniques, l'agraphie totale s' observe dans tes paralysies du bras droit chez les droi

paralytique. La main s'engourdit et reste inerte sur le papier. On observe quelquefois des douleurs spontanées ou provoqué

s du bras droit dans l'acte d'écrire. Cependant, ainsi épie le fait observer Rognes de Fursac, elle n'est pas l'écriture nor

générale du tracé, mais encore, modifier les idées transcrites. On observe ces troubles psy- rhographiques dans l'aphasie,

s pages de leur graphisme stéréotypé. Après la crise d'épilepsie, s' observent des troubles analogues. L'écriture est tremblée

ordonné; les exagérations précédemment signalées font défaut. On observe fréquemment sur les écrits des aliénés l'absence

cidentes de toute espèce, des post-scriptum. L'écriture en miroir s' observe parfois chez eux. Ils écrivent le plus souvent co

n'atteint jamais celui de l'idiot; les altéra- tions fonctionnelles observées ne dépendent enfin d'aucun trouble péri- phériq

la « Surdité Verbale Pure » ; on peut, notamment chez ces malades, observer au début un état de prostration et des troubles d

le malade parle, les mouvements associés des membres du côté droit observés par Pierre Marie et Sainton(') ? ` ? , Nous avo

TYPES D'APHASIE Nous ne signalerons ici que les types communément observés et dont l'existence semble dûment établie. u

vant vers les territoires moteurs. De même I'héinianopsie, que l'on observe assez fréquemment, dépend de l'extension des lé

simplement sous la dépendance du trouble du langage intérieur). On observe toujours en même temps de l'héinianopsic, et tr

itiers, de l'hémisphère droit chez les gauchers. Cependant, on peut observer des aphasies par lésion de l'hémisphère droit che

sibilité ou cette maladresse peut être unilatérale ou bilatérale, s' observer du côté opposé il la lésion ou du côte homonyme

llement autorisées sont des plus vagues.' L'apraxie en effet, a été observée dans les lésions cérébrales en foyer, tumeurs,

déatoire est, en effet, un véritable trouble de l'attention; elle s' observe , dans les états crépusculaires de l'intelligenc

ffort au-dessus des forces du malade. Le mutisme par obnubilation s' observe dans la confusion mentale où le groupement des mo

ie générale, l'excitation maniaque, les délires mégalonianiaques on observe la forme déclamatoire. Katubamn a attiré l'atte

oeotogismes. Certains nl'ologisIIll's par assonance tels qu'on les observe dans l'('\l'll;1t1011 maniaque, la paralysie gé

ct l'a-mintie hpel°stltc·oiqtce. Dansl'aniituieastliéniquc que l'on observe dans la stupeur, la démence, certains cas de pa

at de contraction permanente et déterminent une expression fixe, on observe cette variété d'amimie dans la catatonie, le déli

e d'un rêve commencé pendant le sommeil ; cette variété de délire s' observerait assez souvent, d'après Régis, dans la démence sén

désorientation dans l'espace et dans le; temps. Ce syndrome peut s' observer à titre épisodique secondairement à d'autres tr

ce précédant immédiatement cet événement. Cette variété d'amnésie s' observe souvent après les traumatismes. Si le malade a

miroir, se dévier par le prisme. Les hallucinations du goût qui s' observent spécialement chez les malades ayant des idées d

oupçonner alors qu'un aliéné est dans le mutisme. C'est ainsi qu'on observe , au cours des hallucinations, des modifications

le caractère, le milieu où ils vivent. Toutes les idées délirantes observées en psychiatrie peuvent se résumer dans l'excell

e alcoolique chro- nique. Chez certains vieillards non déments on observe des accès de mélan- colie anxieuse avec les mêm

sées, c'est la folie hypocliondriaque. Les idées hypochondriaques s' observent dans un état morbide que l'on appelle l'hypocho

elles s'accom- pagnent assez souvent d'idées de négation. Elles s' observent aussi dans les états mélancoliques de la folie in

au suicide et aux mutilations volontaircs. Les idées de négation s' observent dans la paralysie générale, elles peuvent même

s idées d'énormité. - Ces idées ont été décrites par Cotard. On les observe dans la paralysie générale et la mélancolie. Ch

simplement entendu parler. » (Séglas.) . Les idées religieuses s' observent dans des affections mentales très différentes.

elles appartiennent au syndrome de Cotard. Les idées de damnation s' observent aussi dans les périodes mélancoliques de la folie

ers. Dans les démences, et spécialement dans la démence sénile, on' observe des idées religieuses pathologiques en rap- por

fétichisme, sadisme, masochisme, uranisme).Les idées érotiques sont observées dans un grand nombre d'affections mentales. Ell

Les délires métaboliques et palingnostiques. Ces idées délirantes s' observent chez les débiles congénitaux et chez les déments.

ons prescrites pour la sûreté des personnes ne sont pas constamment observées ; GO S'il est commis quelque infraction aux disp

es. L'onanisme est extrêmement fréquent chez tous les idiots ; il s' observe chez tous les idiots de toutes les catégo- ries

lie, ctc. Le prognathisme est fréquent, la face est asymétrique. On observe également chez les idiots des malformations den

vent déviée, il y a quelquefois coexistence de rachitisme. Enfin on observe des malformations des membres, de la syndactylic.

caractérisée par le, développement, exagéré du tissu adipeux qu'on observe chez certains idiots. Diagnostic. Le diagnostic

lu;epsicou enfin toutes les maladies intercurrentes que l'on : peut observer chez l'adulte. , ' Le pronostic de l'idiotie

s doloriques. Les faits cliniques de dissociation de la sensibilité observés chez les malades (perte de la sensibilité doulo

ité de sensibilité. 11 est boni, enfin, avant de noter les troubles observés , de vérifier une seconde fois les - résultats o

abolie : anes- thésie, ou exaltée : hypereslhésie. - . Lorsqu'on observe un de ces troubles en un point quelconque du corp

croit alors toucher un bâton. Ces phénomènes sont rares; on ne les observe que dans les névroses. L'aphalgésie (âoer- cont

ance qui, à l'état normal, ne provoque qu'une sensation de contact; observée par Pitres dans l'hystérie, elle a été notée da

ées sur une tige graduée permet- tant de mesurer exactement l'écart observé . La recherche des cercles de. Weber a une grand

t des cercles de sensations* et d'expliquer ainsi certains troubles observés , comme la perte de la perception stéréognostiqu

es courantes. Dans certaines affections du système nerveux, on peut observer une prolongation de perception d'une sensation'

pour être perçues séparément. Aussi est-il naturel que lors- qu'on observe en clinique la prolongation des sensations, on do

e que pour le tact, on reporte avec soin sur un schéma les troubles observés : ceux-ci peuvent coïncider parfaitement dans leu

centrales -de la moelle ou de l'encéphale, c'est L'inverse que l'on observe : la sensibilité tactile seule est atteinte (hy

urg). .. Comme pour les autres sensibilités superficielles, on peut observer , en clinique, soit de la diminution (tlterlno-h

simultanément ou séparément pour chacune d'elles. En effet, on peut observer chez les hémiplégiques une- diminu- tion, une a

'autres fois, ce sont des per- versions de cette sensation que l'on observe , le chaud étant senti comme froid et le froid c

d et le froid comme chaud : c'est alors de la paresthésie. Ce qu'on observe le plus souvent, lorsque l'anesthésie au chaud ou

pression des nerfs est un signe important en semeio- logie; elle s' observe dans les névrites. D'autres fois, au contraire, e

areils spéciaux, dits baresthésiomèlres (I : ulenLur). Les troubles observés sont reportés sur un schéma ordinaire, ou encore,

ltération du sens musculaire et du sens stéréo- gnostique. On les observe enfin [laits les cas d'anesthésie hysté- riqu

ologie. - Les altérations de la sensibilité osseuse ou vibratoire s' observent fréquemment en clinique ; tantôt elles marchent d

erveux, de la moelle, du cerveau et des nerfs périphériques; on les observe également dans l'hystérie. Dans le tabès elles

articulaires, musculaires, dépression, vibratoires). On peut donc l' observer dans l'hémiplégie cérébrale, dans le tabès où e

plication nécessaire. En effet, s'il est relativement fréquent d' observer des troubles sensitifs chez un hémiplégique pen

n un trouble définitif et irrémédiable. C'est il ce trouble visuel, observé chez les hémiplégiques, qu'on donne le nom d' h

e à attribuer une cause corti- cale à telle ou telle hémianesthésie observée , abstraction faite de tout autre symptôme (mote

ue) pouvant l'accompagner. Certains auteurs admettent que l'on peut observer des hémiplégies par lésion corticale purement s

n des hémianesthésies centrales. L'hémianesthésie thalamique ne s' observe pas,' comme l'liéluianes- thésie cérébrale du r

les-ci s'expliquent par ce fait que dans l'hystérie on peut parfois observer des hémianesthésies, qui simulent., à s'y mépre

gemminale. - Dans les lésions des tubercules quadrijumeaux, on peut observer de l'hémianesthésie plus ou moins marquée et de

lle. - Dans les hémianesthésies d'origine protubérantielle, on peut observer des anesthésies alternes, clans lesquelles les

ine bulbaire. A l'appui de faits anatomo-cliniques dans lesquels on observe , par suite d'une lésion bulbaire, de l'hémiatax

peuvent 1 revêtir différentes distributions topographiques. On peut observer soit le type hémiplégique, soit le type paraplé

une disposition topographique aussi schématique; habituellement, on observe , dans le syndrome de Brown-Séquard, de l'anesthés

syringomyélie et l'hématomyélie). Dans l'hystérie, au contraire, on observe des troubles sensitifs sans troubles moteurs. L

la 2' sacrée est épargné. (D'après Dejerine). 550 SENSIBILITE. observe des plaques d'hyperesthésie, d'hyperalgésie si in

ssion (signe de Biernacki). , C'est dans le tabes enfin, que l'on observe le.plus souvent les diverses variétés de parest

ès, et en s'appuyant sur les diffé- rences d'intensité des troubles observés , on voit qu'il s'agit d'une distri- bution radi

s. Cette topogra- phie très spéciale de l'anesthésie cérébrale ne s' observe , semble-t-il, que dans les lésions de la partie

les sensibilités superficielles et les sensibilités pro- fondes; on observe tantôt de l'anesthésie complète ou incomplète, ta

'esprit. Les paralysies radiculaires du plexus lombaire, ou sacré s' observent en clinique, soit à la suite de violents trauma

, ' La même topographie des troubles sensitifs (type total) peut s' observer dans les lésions de la moelle elle-même; il fau

vers schémas.) Nous n'avons étudie jusqu'ici, à propos des troubles observés dans les paralysies radiculaires des plexus lom

intéresse en même temps les racines inférieures et postérieures. On observe alors des troubles moteurs à distribution radicul

e sùre- ment que les racines sont touchées. C'est dans ce cas qu'on observe « l'anesthésie douloureuse ». Mais ces caract

es, et que la dissociation syringomyélique de la sensibilité peut s' observer quelquefois dans les lésions des racines. Force

t être essentiellement primitive et suffit à expliquer les troubles observés . Ne font, par conséquent, pas partie de ce groupe

plus souvent, une origine syphilitique (dans les deux tiers des cas observés ). L'infection remonte presque toujours à plusie

ai- renient l'action pathogène sur les racines nerveuses; on a pu l' observer clans le mal de Pott et au cours de la méningit

quide céphalo-rachidien. - -. Lésions. On distingue les altérations observées au cours des radi- culites en lésions primitive

racines, même celles des nerfs crâniens; mais, le plus souvent, on observe des troubles sensitifs soit au membre supérieur

utres et peuvent envahir tout un membre ou un segment de membre. On observe alors des troubles de sensibilité à topo- graph

OBJECTIVE. 549 La topographie sensitive nettement périphérique ne s' observe guère que dans les névrites traumatiques (secti

us vraisemblablement à leur association à l'hystérie. On peut enfin observer des troubles de la sensibilité, présentant les

quer aux hyperesthésies cutanées, sous-cutanées et viscérales qu'on observe chez les hystériques. Elles sont habituellement

ntes. Dans l'épilepsie, la sensibilité est fréquemment émoussée; on observe de l'anesthésie ou de l'analgésie. On a signalé

hystéro-organiques, ce qui l'empêchera de rattacher tous les signes observés soit à l'hystérie, soit au contraire à la lésio

important est celui de ]'Aem/'a ? ïcs</tës ! e. C'est elle qu'on observe le plus fréquemment en clinique. Les troubles m

les autres affections nerveuses organiques. Dans l'hystérie on peut observer quelquefois de l'anesthésie ou de l'hyperesthés

ans plusieurs affections des viscères thoraciques ou abdominaux, on observe des zones céphaliques hyperes- thésiques. Ile

UBLES DE LA SENSIBILITE SUBJECTIVE. 565 I. - LES DOULEURS On peut observer des douleurs dans les affections les plus diverse

es affections du système nerveux, en laissant de côté les céphalées observées au cours des maladies générales fébriles, des inf

, variables suivant la cause. Elle est circonscrite ou diffuse et s' observe dans les maladies de l'encéphale et de ses enve

la constipation et les vomis- sements le trépied méninyitique, On l' observe également dans lesménin- yites chroniques, part

ale et les tumeurs du cerveau. Dans la syphilis, la céphalée peut s' observer soit il la période secon- TROUBLES DE LA SENSIB

nants de la syphilis cérébrale (forme artérielle ou méningée). On l' observe dans les deux tiers environ des cas, au cours d

la recherche diagnostique. Céphalée fonctionnelle. La céphalée s' observe très souvent dans les névroses, en particulier

ne participation des méninges au processus morbide, la rachialgie s' observe dans les affections aiguës et chroniques de la

Elles sont fré- quentes dans les affections du système nerveux et s' observent : 1° dans les maladies organiques (de la moelle

onsti- tuent les auras sensitives. II. DOULEURS GÉNÉRALISÉES On observe des douleurs généralisées il tout le corps dans q

D'ORIGINE CENTRALE Il est assez fréquent chez les hémiplégiques d' observer des ptieno- mènes douloureux du côté paralysé.

l du sens de la douleur dans la protubérance annu- laire. Nothnagel observe des douleurs dans les lésions du pont, Bechterew

douleurs qui se présentent avec des carac- tères identiques Ù ceux observés par Dejerine et Roussy dans les lésions thalall

même distribution en bandes longitudinales le long du bras; on les observe souvent le long du bord cubital. Dans l'értlaro

sion qu'elles peuvent servir dans la recherche diagnostique. On les observe clans toutes les affections de la moelle et des

bles de la circulation artérielle par athérome ou syphilis. On peut observer ici, dans un membre, ou sur tout le côté du cor

Les dysesthésies sont égale- ment des sensations subjectives qu'on observe dans les névroses. Dans l'hystérie, elles appar

partie du cortège des symptômes de l'aura sensitive. Enfin, on les observe fréquemment en médecine mentale, dans les hallu

rasthénie) et dans les psychoses (manie, mélancolie, etc.) que l'on observe des modifications fréquentes de la sensation de

térations du besoin de la, miction, du besoin sexuel, qui peuvent s' observer égaler ment ici, on note des modifications de l

, la blennorragie, la tuberculose, etc. Chez les syphilitiques on observe des névralgies précoces et des névral- gies tar

tableaux cliniques schématiques des névralgies les plus fréquemment observées , mais auparavant je crois utile de rappeler la

ées de troubles vaso- moteurs et sécrétoircs. Au début des accès on observe parfois de la pâleur des téguments à laquelle s

uemment augmentées au cours des paroxysmes douloureux, ainsi * l'on observe le larmoiement et la salivation dans la névralgie

1 une réalité clinique. Les troubles de la sensibilité objective, observés dans les névralgies, sont très variables : pare

anesthésies, hypoesthésies, hyperes- thésies. D'après Notlmagel, on observerait , dans les névralgies récentes ne remontant pas

par de l'hyperesthésie persistante. Dans certaines névral- cries on observe une anesthésie absolue au tact, à la douleur, à l

dépendre de troubles psychiques. C'est une variété d'algie centrale observée chez des sujets hystériques ou neurasthéniques.

ôt elle disparait radicalement, sans doute par suggestion. Pitres a observé des cas de sacro- dynie, de talalgie, de viscer

IES ET ALGIES. NOSOQRAPHIE SCHÉMATIQUE DES PRINCIPALES NÉVRALGIES OBSERVÉES EN CLINIQUE NÉVRALGIE DU TRIJUMEAU La névralg

téguments de la face sont hypercsthesies. Des troubles moteurs sont observés (htepharospasme, mouvements des commissures des

e unilatérale. Parfois, dans les névralgies faciales chroniques, on observe de la surdité; pour certains auteurs elle serait

gros troncs nerveux paraissant indemnes. C'est ainsi que l'on peut observer lIes 'hyperesthésies douloureuses dans la zone d'

phrénique, qui emprunte des libres sensitives au plexus cervical, s' observe dans les affections du coeur et de l'aorte, du

ements du diaphragme, la toux, le hoquet, l'éternuement. Parfois on observe de la dysphagie, une sensation de strangulation

ate- rales siégeant surtout au niveau des 8*'et 9e espaces que l'on observe dans la dilatation de l'estomac. Les névralgies

e gauche qui existe chez beaucoup de constipés spaslllo- diques, on observe des névralgies unilatérales siégeant il gauche. L

neumo- "astriqne aussi (tachypnée, palpitations, angor pecloris).On observe , dans la névralgie intercostale, trois points d

difficiles, de priapisme. d'éjaculations. Exception- netfonent on a observé , dans la névralgie tombo-abdominate, des phéno-

la face antr"ro-cxteI'l1e de la cuisse : parfois l'hyperesthésie s' observe au lieu d'anesthésie. L'étiologic de la méralgi

anus. Les douleurs névralgiques sont souvent localisées; ainsi l'on observe des névralgies 21.1'l'lTClleS des névralgies NÉ

de la 6'' paire sacrée; peut-être ces douleurs coccygiennes, qui s' observent il la suite de l'accouchement, de traumatismes,

i- neuse, par les varices (phlébite des varices des nerfs) ; elle s' observe dans l'anémie, la chlorose1, les cachexies, dan

'extension du nerf sciatique. Des troubles moteurs sont fréquemment observés . La marche est par- fois presque impossible à c

la polyurie, l'azoturie, la glycosurie. Au cours de la sciatique on observe des déviai ions de la colonne vertébrale : scol

: scoliose croisée et scoliose homologue. La scoliose homo- logue s' observerait principalement dans la forme de sciatique spasmod

troubles trophiques feraient défaut. Dans la sciatique-névrite, ou observerait , outre les douleurs, de l'atrophie musculaire,

n sur une forme spéciale de sciatique, la sciatique spasmodique; on observe de la raideur de tout le membre, de l'exagérati

in et augmentent le soir. Dans le paludisme la céphalée est souvent observée ;. En cas d'inso- lation, la céphalée est un sym

chroniques (pachyméningites alcooliques, syphilitiques, etc.). On observe des céphalées tenaces et terribles parfois par le

ACHIALGIE Les douleurs de la région rachidienne, les rachialgics, s' observent dans les méningites aiguës (méningite cérébro-s

es qu'il faut attribuer la rachialgie parfois très intense que l'on observe dans la variole» \(IUILLAIN 1 400 NÉVIÎALGIES

rothérapie pour les détails du traitement de chacune des névralgies observées en clinique. Les résul- tais du traitement des

e par centimètre cube. 11 faut souvent plusieurs injections avant d' observer la cessation des douleurs. Sicard a préconisé r

une contraction du triceps ou du fascia lata du même côté. Ce fait observé par Ganault a été décrit également par Féré et l'

mène est lié à l'exagération des réflexes du poignet, mais il s' observe assez rarement. Réflexe massétérin. Enfin nou

éga- lité des réflexes tendineux. n Enfin une dernière modalité s' observe chez les tabétiques hémiplé- giques. On a vu, e

réflexe achilléen dans le tabes, M. Babinski a montré qu'on pouvait observer les combinaisons suivantes : a) Les deux réfl

rouble du réflexe du tendon d'Achille. Van Gehuchten et de Buck ont observé des cas où l'abolition des réflexes achilléens

maladie. L'abolition des réflexes tendineux achilléen et rotulien s' observe éga- Iement dans la maladie de Friedreich. « Le

s réflexes est la règle et ce n'est qu'à la période terminale que s' observe l'abolition des réflexes. L'abolition des réf

combined degeneration décision Russetf. Italien el Collier), elle s' observe soit dès le début, comme élans l'anémie perni-

.45') Dans la forme cérébelleuse de la sclérose en plaques, on peut observer la diminution ou l'abolition des réflexes. Da

r exagération est une rareté (Babinski). L'abolition des réflexes s' observe dans toutes les variétés de névrites, que la lé

hez les diabétiques. Il l'avait constaté 12 fois sur 41 diabétiques observés , soit 29 pour 100, et en rapprochant. l'évolution

réflexe rotulien du côté atteint par la paralysie. Enfin on peut observer les troubles des réflexes non seulement dans les

de la moelle que nous avons laissées de côté et dans lesquelles on observe également, quoique moins souvent, l'abolition des

sont pas non plus les conclusions des. recherches de Babinski (pu a observé que la paralysie flasque, intense, -complète, p

ans la compression brusque de la moelle, l'abolition des réflexes s' observe également. Elle apparaît subitement en même temps

e el hémalomyélie, myélite tranSVe1'SI ? L'abolition des réflexes s' observe dans la poliomyélite antérieure chronique de l'

Cette aboli- tion des réflexes qui quelquefois est incomplète ne s' observe qu'au niveau des muscles paralysés. Enfin, da

sion de lésions des cordons postérieurs. Bruhl a pu chez un malade observer d'un côté l'abolition des réflexes et de l'autr

et de l'autre l'exagération. Enfin, l'abolition des réflexes peut s' observer non seulement dans les affections médullaires e

11) Abolition des réflexes tendineux d'un calé du corps. On peut observer l'abolition des réflexes au cours de l'ltent.iplé

une tumeur cérébrale. L'abolition ou la diminution des réflexes s' observent également il la suite de Yépilepsie jacksonienn

es tendineux. L'abolition généralisée des réflexes tendineux peut s' observer au cours d'affections cérébrales. Elle apparaît

on persistance d'une hémiplégie. Dans la méningite tuberculeuse, on observe également l'affaiblis- sement ou la disparition

sont tantôt normaux, tantôt abolis, tantôt exagérés, M. Triboulet a observé un cas où l'abolition des réflexes a cédé à deu

les mêmes syndromes : apoplexie, coma, résolution musculaire. On observe également l'abolition ou l'affaiblissement des ré

é des cas de cette c affection. - L'abolition des réflexes peut s' observer à un stade avancé du syndrome d'Erb après une p

'Erb après une phase de diminution progressive des réflexes. Elle s' observe également dans l'acromégalie d'une façon dissémin

mais plus spécialement au niveau des réflexes patellaires. Enfin on observe l'abolition des réflexes dans les tumeurs cérébra

. ' En ce qui concerne les tumeurs du cervelet, l'affaiblissement s' observe dans J 5 pour 100 et l'abolition dans 15 pour 1

me période le maximum des affaiblissements des réflexes. On lient observer également des troubles des réflexes dans des lési

ents, vertiges), le réflexe est diminué et parfois supprimé. On a observé dans les infections l'abolition fréquente du réfl

dire de un mois à deux ans. L'abolition du réflexe patellaire a été observée par M. Binet-Sanglé 5 fois sur \7). Elle peut s

aire a été observée par M. Binet-Sanglé 5 fois sur \7). Elle peut s' observer , suivant lui. avant l'apparition du tabès et pe

l'abolition généralisée des réflexes est également, un signe qui s' observe dans la cachexie et élans les intoxications de to

ctéristique le plus sou- vent de l'hémiplégie. L'exagération peut s' observer dans l'hémiplégie des le début de la paralysie.

'hémiplégie ancienne, l'exagération des réflexes du côté paralysé s' observe dans la proportion de H'2 pour 100 des cas. L'exa

accompagne enfin du signe de Babinski. L'exagération des réflexes s' observe également du côté sain dans rhé- miplégie dans

s réflexes. L'exagération généralisée des réflexes tendineux peut s' observer au cours des affections (fejàuten- tiolnées ci-

ndineux sont exagérés dans plus de 4/5 des cas. Celle exagération s' observe surtout dès le début de la paralysie générale :

de ce même symptôme. L'exagération généralisée des réflexes peut s' observer encore au cours des intoxications, le type en e

ons, le type en est l'empoisonnement par la strychnine, elle peut s' observer au cours des toxi-infections, tel est l'état des

tat des réflexes dans la rage et dans le tétanos; enfin elle peut s' observer au cours d'autres infections : la fièvre typhoï

nou, entorse du' genou.) L'exagération des réflexes peut encore s' observer d'un seul côté au cours des hémisections de la

abinski s'exprimait ainsi : . [CROUZON.] 448 RÉFLEXES. « .rai observé dans un certain nombre de cas d'hémiplégie ou de

ement réflexe et surtout l'extension lente du gros orteil.- On a pu observer en dehors de toute excitation la persistance de

ique, en 1898, un cas d'hémi- plégie cérébrale dans lequel il avait observé le phénomène des orteils une heure après l'ictu

s pu nous-même, pendant notre internat dans le service de Babinski, observer un malade qui, frappé d'ictus pendant son séjour

porter le diagnostic d'hémiplégie organique. D'antres faits ont été observés définis et mentionnés par d'autres auteurs à la

anciennes, le phénomène des orteils est encore plus fréquent : il s' observe , suivant Boeri, sur 711 pour 100 des cas, sui-

Babinski n'a jamais été constaté. Pierre Marie, puis Ganault, ont observé un hémiplégique chez lequel le réflexe des orte

ons où le faisceau pyramidal est intact. Le signe de Babinski a été observé également dans la fièvre typhoïde. Léopold Lévi

u fascia lata peut coïncider avec l'extension des orteils. Il a été observé dans diverses affections du système nerveux lrw

gération des réflexes cutanés. L'exagération des réflexes cutanés s' observe surtout dans les lésions centrales et, parmi elle

xes cutanés cortico-spinaux. Toutefois le trouble du réflexe peut s' observer également dans les lésions des voies centripètes

rd l'abolition généralisée des réflexes cutanés. 1 1° Elle peut s' observer dans les lésions centrales graves : tels sont les

ôté opposé. La déviation des lèvres et celle de la langue peuvent s' observer indépendamment l'un de l'autre. [CROUZON.]

st inté- ressante : l'un des plus simples et des plus ordinairement observés con- siste dans un mouvement de flexion du memb

ui-ci. L'aspect spécial connu sous le nom de main succulente, qui s' observe parfois chez les grands hémiplégiques avec cont

reté de la part des infirmiers. Les troubles des sphincters qui s' observent dans certains cas peuvent être dus a des mécani

lieu d'insister sur ce point. Le rire et le pleurer spasmodiques s' observent fréquemment chez les hémiplégiques (Bris- saud,

sie vraie et non de dysarthrie, car cette dernière, au contraire; s' observe souvent chez les lacunaires). Quant à l'hémiplé

Lésions corticales. Les lésions corticales pures sont très rarement observées ; presque toujours les lésions dites corticales (

ur du pédoncule, de la protubérance ou du bulbe ; on peut en un mot observer toute la série des hémiplégies alternes. Il arr

st [CROUZON] ] 472 in HÉMIPLÉGIE. - plus une paralysie que l'on observe mais une anesthésie localisée à la zone de dist

la moelle, ou la syphilis médullaire; dans ce dernier cas on pourra observer avec une certaine prédilection l'existence du s

une cavité naturelle (nez, orbite, oreille). L'hémiplégie peut s' observer au cours de toutes les maladies infec- tieuses

un peu il ce mouve- ment. Le signe de la pronation (Babinski) ne s' observe que dans l'hémi- plégie organique : si on met l

organique, niais on n'oubliera pas que chez les névropathes on peut observer un faux clonus du pied (Babinski). Le réflexe p

rendrons comme exemples de ces mouvements les phénomènes qu'on peut observer chez un hémiplégique. Mouvements associés dans

bien étudiés par Camus dans sa thèse de Bordeaux en 1885. On les a observés quelquefois chez l'adulte : Sainton, Remak ont pu

uvements involontaires. Nous avons pu nous-mème, avec Pierre Marie, observer le même phénomène chez un paralytique général q

ion de la cuisse, puis flexion combinée de la cuisse et du tronc, s' observe dans les conditions suivantes : «Lorsque étendu

même valeur que l'extension des orteils. Des faits ulté- rieurement observés lui firent constater cette abduction des orteils

mouvement associé dans la paralysie- faciale. - Il n'est pas rare d' observer , surtout au moment où la guérison est MOUVEMENT

duire une flexion de la jambe sur la cuisse. Cosigne de Kernig ne s' observe pas seulcment aux membres inférieurs, Il le déc

Roglet; c'est dans les méningites (pie, pour la première fois, on a observé ce phénomène ; pour bon nombre d'auteurs il est p

te tubercu- leuse, et dans 6 cas de méningites chroniques. Netter l' observe sur le total de 46 cas, dont 12 méningites tube

S ASSOCIÉS. gitctubercuteuse. 5 fois dans la méningite mixte ; on l' observe dans la méningite tuberculeuse tontes les fois

déceler les formes frustes de la maladie; nous avons pu nous-memc l' observer au déclin d'une méningite cérébro-spinale frust

ié des cas de ce genre. Réactions méningées des infections. On a pu observer , dans un certain nombre d'infections, le signe

t vraisemblablement d'infections méningées légères. Carrière a pu l' observer dans 44 pour 100 des cas, Moixard et Croie). YYid

utes. On le rencontre également dans la pneumonie, quelquefois il s' observe dès le début de la maladie, accompagné ou non d

accompagné ou non d'autres signes méningés; quelquefois enfin il s' observe dans le décours de la maladie et est alors cara

la pneumonie est moindre que dans la fièvre 1)'- plroïde; Voisin a observé plusieurs fois le signe de Kernig chez des enfa

rnig chez des enfants atteints de broncho-pneumonie. Enfin, on a pu observer égale- MOUVEMENTS ASSOCIÉS. 485 ment ce signe

, 1002) et Sailer (Americnn J010'- nal arthe Medical Science) l'ont observé dans la paraplégie spasmodique. Pieri l'a obser

al Science) l'ont observé dans la paraplégie spasmodique. Pieri l'a observé dans la méningo-myélite syphilitique. On l'a obse

que. Pieri l'a observé dans la méningo-myélite syphilitique. On l'a observé également dans le lumbago (Sainton et Voisin) e

rencontré dans le méningisme hystéri- que ; Verger et Abadie l'ont observé chez un jeune homme de 10 ans hys- térique. 11

mples dans la thèse de Larnouroux, et enfin Sainton et Voisin l'ont observé chez une jeune fille de 18 ans qui, à la suite

méningisme hystérique. Comme on le voit, le signe de Kernig peut s' observer très rarement chez des sujets normaux et être l

nuées. Tout à l'ait au début d'une évolution chronique et lente, s' observe un simple ralentissement de l'allure habituelle

troubles de la sensibilité sont essentiellement variables; on peut observer aneslliésie, hyperesthésie, dissociation syringom

à la lésion, et par une ltémimues- thésie croisée. Du côté direct s' observe une bemiparaplegie spasmo- dique. Le début, tou

nées d'aggravation et d'amélioration sont fréquentes ; on peut même observer dans quelques cas (mal de Pott, par exemple) la s

ion pourrait rappeler la démarche trépidante des spasmodiques. Il s' observe chez des malades essentiellement différents, or

t gênée par des rétractions fibro-ten- dinellses, Ces rétractions s' observent à la suite de paralysies des exten- seurs du pi

core perceptible avec des muscles très atrophiés. On peut également observer de l'atrophie des membres inférieurs avec exagé

e syn- drome médullaire croisé peuvent également et simultanément s' observer . De toutes les compressions médullaires, la plu

cèdent parfois les troubles de la motilité; et il n'est point rare d' observer le syndrome de Brown-Sequard simple ou double.

elque chose de très semblable à la syringomyélie, ou bien l'on peut observer un syndrome de Brown-Sequard. Lorsqu'il s'agit

elles sont exceptionnelles dans la sclérose en plaques ; elle ne s observe jamais dans la sclérose latérale ainyolrophique.

de second plan. Des amyotrophies tardives peuvent intervenir. On observe pour ainsi dire toujours de l'exagération des réf

lade présente généralement 'de la constipation. On peut cepen- dant observer à titre exceptionnel de pressants besoins de défé

blable des contractures empêchant tout déplacement. En même temps s' observent des troubles génito-urinaires prononcés. Il y a

ne évolution traînante vers la spasmodicité. On peut,' à vrai dire; observer exactement l'inverse. La marche est lente : il fa

de ces phénomènes est purement hypo- thétique ; on a seulement fait observer que, pour les paralysies urinaires tout au moin

la spina bifida. , 2" Affections acquises. On peut chez l'enfant observer des para- plégies ducs à des lésions encéphaliq

r dans le marasme avec gâ- tisme et démence. La sclérose combinée s' observe notamment chez les tabétiques de date ancienne.

mbinée s'observe notamment chez les tabétiques de date ancienne. On observe alors soit une démarche spastique (trainement d

s épaules, respectant par contre la face qu'innerve la Ve paire. On observe fréquemment un torticolis pénible et des douleurs

DULLAIRES. 5 ! 5 Syndrome cervico-dorsal ou brachial. Ce syndrome s' observe dans les compressions du renflement, cervical (

ement, cervical (5 ? 6", 7e, 8'' cervicale et 1"' dorsale). On peut observer soit une tétraplégie à évolution bizarre, capri

e préciser la hauteur de la compression et du foyer médullaires. On observe fréquemment le syndrome de Brown- Séquard. Les

it une discordance variable entre la limite supérieure des troubles observés et la hauteur de la lésion médullaire. D'un aut

vent sur les qua- tre extrémités et sur le tronc; quelquefois, on a observé de plus la parti- cipation des muscles de la re

é (Duchenne). Quand le moyen et le petit fessier sont paralysés, on observe , le malade étant debout, que le bassin s'inclin

uand le psoas ou le tenseur du fascia lata sont seuls paralysés, on observe que, pendant la marche, la pointe du pied se dévi

origine otique, c'est lui seul qui presque toujours est atteint. On observe , pour un léger degré de contrac- ture, l'inclin

s peu marquée. Dans la contracture du chef superficiel du muscle on observe , au con- traire, principalement la rotation de

ans une forte inspiration, ou qu'elle vienne du dedans comme cela s' observe dans une expiration violente ou contrariée. La

le du diaphragme dans le vomis- sement n'est pas exclusif, car on a observé des vomissements chez des individus qui avaient

pléer le diaphragme. Dans la paralysie unilatérale du diaphragme on observe par la vue et le palper des différences dans le

d. Cet. isolement des trois muscles des gouttières vertébrales ne s' observe qu'à la région dorsale et à la partie supérieur

sse il une certaine distance du sacrum, contrairement à ce que l'on observe dans la lordose consécutive si la paralysie des

it plus dans l'hémi- IMlI'ie organique, contrairement à ce que l'on observe dans l'hémiplégie hystérique. Chez le vieilla

rieur de la moelle une localisation motrice segmentaire, on devrait observer en cli- nique des atrophies musculaires myélopa

trouvé con- stamment une contraction du grand pectoral, Vierordt a observé la contraction du sous-scapulairc et du court s

s le type supérieur des para- lysies radiculaires, dit Dejerine, on observe une an6stli('sie sur le côté externe du bras et

es (cinquième et sixième cervicales) et, dans certains cas, on peut observer une bande hypo-estlié- sique médiane, région qu

grave, si elle ne s'améliore pas, alors la main prend le type qu'on observe dans les paralysies du. nerf cubital, le type d

uvrer leur contractilité plus ou moins normale, aussi les altitudes observées tant au niveau de la main que du poignet ne peu

a paralysie radiculaire totale n'est pas la variété le plus souvent observée en clinique. Kilo est le plus f'réquem- ment co

r accident, ils ont généralement disparu., . Les troubles moteurs observés dans les paralysies radiculaires trauma- tiqucs

: « Le symptôme oculo-pupillaire de Dejerine-Klulllpke n'a pas été observé dans les paralysies obstétricales ». Celle opinio

radiculaire obstétricale avec troubles oculo-Intllillaircs; j'en ai observé personnellement plusieurs à la Salpêtrière. L'a

ance. Les accoucheurs admettent le plus souvent que les paralysies, observées après un accouchement spontané, ont un pronosti

dans la syphilis. Les paralysies du type radiculaire que l'on peut observer dans la syphilis il la suite de gommes, d'infil

re ou cérébrale. De Peters a fait une étude des paralysies que l'on observe dans certains cas de syphilis héréditaire avec

gie pure d'origine corticale, sont d'ailleurs exceptionnels, car on observe presque toujours quelques troubles du côté du mem

laire est toujours peu accen- tuée comparativement à celle que l'on observe dans les lésions de la moelle ou des nerfs. Les

xistence parait possible d'après les schémas des analoinistes, ne s' observe jamais; le syndrome hémiplégie traduit, en clin

de l'oreille moyenne peuvent se compliquer de paralysie faciale. Un observe la paralysie faciale dans le tabes, le dia- bèt

l'occlusion des paupières. Quand on fait porter le regard en bas on observe un certain mouvement d'abaissement consensuel d

aire est plus complète. Un mouvement analogue, mais moins étendu, s' observe il la paupière inférieure qui s'élève pendant l

ale repose surtout sur l'examen électrique. Dans la forme grave, on observe la réaction de dégénérescence; dans la forme béni

a gus- tation. Si la lésion est au niveau du muselé de l'étrier, on observerait de l'hyperacousie douloureuse. Une lésion siége

géniculé. Lorsque la lésion siège au-dessus du ganglion géniculé on observe le tableau clinique précédent, il l'exception t

ralysie, faciale a (rigore, qui est la forme la plus habituellement observée en clinique, il s'agit vraisemblablement d'une

le peut être causée par des lésions méningées ou basilaires, elle s' observe aussi dans la paralysie pseudo- bulbaires. On p

ryngien n'est pas précisée, car la paralysie isolée de ce nerf ne s' observe pas en clinique, il est lésé en général en même

ogastrique est lésé au-dessus de la naissance du nerf récurrent, on observe des troubles laryngés, une paralysie des. muscles

vocale paralysée, elle augmente son excursion normale, aussi l'on n' observe pas de troubles très nets de la voix. 11 n'en e

s- cription détaillée des paralysies récurrentielles. Max Egger a observé chez une tabétique une paralysie bilatérale du

gomyélie, sclérose latérale amyotrophique); la paralysie du, spinal observée dans le tabes dépend soit de lésions nucléaires

ements passifs s'exécutent normalement, contrairement à ce que l'on observe dans le torticolis. Si l'on prie le malade de f

les lettres /, s, k. rJ, l'II, 1', sont difficiles à prononcer. On observe aussi des troubles de la déglutition, les aliment

n et se dilatent pendant l'expiration, contrairement il ce que l'on observe à l'état normal. La dyspnée peu accentuée durant

diale; dans les paralysies a frigore ou par com- pression on ne les observe presque jamais. Les troubles trophiques ne sont

aler toutefois l'existence de la tumeur dorsale du poignet que l'on observe principalement dans les cas de paralysie saturn

pinateur. Paralysie du nerf cubital. La paralysie du nerf cubital s' observe à la suite dès traumatismes (luxations de l'épa

st pas constante dans la paralysie du cubital. Quand elle existe on observe les troubles de la sensibilité au niveau de la ré

és par le cubital. Consécutivement à la'paralysie du nerf médian on observe une grille spéciale de la main, la griffe média

xiques, la névrite appendiculaire (Raymond et Guillain). Bernhard a observé la pa- ralysie du crural il.la suite de la rédu

luxation congénitale de la hanche. K. Mcndet et Bruno \1-ulll' ont observé une pa- relysic 111 : 1tC1' : lle des nerfs cru

de la station debout. Les troubles sensitif ? quand ils existent, s' observent à la partie antérieure et interne de la cuisse, à

ment attiré l'attention sur un symptôme moteur particulier que l'on observe dans les cas de parésie du sciatique poplité ex

existent dans la paralysie du sciatique poplité externe, ceux-ci s' observent sur la face dorsale du pied à l'excep- tion d'u

ilatérales : les para- lysies récurrentielles doubles sont rarement observées . Les nerfs mo- teurs du larynx peuvent être tou

tre phonateur chez l'homme. Le cas d'I : iseululrr paraît avoir élé observé d'une façon très minutieuse et si l'une des cor

l'attention a été attirée par lie sont pas très exceptionnels, et j' observe en ce moment unebasedowienne qui présente une p

auteur a donné son nom. Dans une première phase de début, rarement observée d'ailleurs, il y a une gêne plus ou moins marqu

pinal (vago-spinal). Les observations en sont déjà nombreuses. J'en observe actuellement un cas chez un jeune homme atteint

laryngés, respiratoires ou phonatoires et plusieurs auteurs ont pu observer des mouvements désordonnés des cordes avec émis

bégaiement des cordes vocales » chez les ataxiques et Illlallit l'a observé également chez les paralytiques généraux. On a

asme phonique tout reste 'habituellement limité au larynx, niais on observe parfois quelques secousses du cou (spinal exter

voix parlée reste toujours défectueuse. C) Voix eunuchoïde. Elle s' observe chez les sujets dont la voix n'a pas mué au mom

nesco) ('), Gowers admet une fille sur 4 malades, .\['ne Sacara n'a observé qu'une jeune fille sur 15 sujets atteints de cett

ne véritable immunité. L'atrophie Werdnig-llotfmann a été jusqu'ici observée plus souvent chez des garçons, ainsi que la név

ue ; comme on le voit, aucun d'eux n'est constant et tous peuvent s' observer clans les atrophies de cause nerveuse. Le diagn

al. Les clavicules sont sril- lantes au-dessus des côtes, mais on n' observe pas la dépression mé- diane de la partie supéri

lement les muscles pseudo-hypertrophiés; une adipose sous-cutanée s' observe parfois. Il n'est pas rare de constater chez le

cette transformation sous-cutanée il celle du trophoedème, que l'on observerait d'ailleurs parfois dans les antécédents personnel

'inten- sité des battements du coeur, de Laignel-Lavastine () qui a observé de l'instabilité cardiaque avec palpitations tr

) ont rencontré chacun la maladie de Friedreich. Ber- nhardt (1°) a observé chez un myopathique des accès paroxystiques de pa

ralysie périodique n'est qu'une myopathie primitive. Marinesco(") a observé des phénomènes de myasthénie, d'épuisement muscul

e mvotonique qui caractérisent la maladie de Thomsen. On peut aussi observer chez les myopathiques tous les degrés entre l'hyp

rmes ordinaires de la myopathie peuvent se combiner entre elles; on observe non seulement toute une série de formes intermédi

e l'affection débute il un âge moins avancé, c'est-à-dire qu'on les observe surtout dans la paralysie pseudo-hypertro- phiq

éraux qui en soient la conséquence immédiate. Pourtant on a parfois observé anatomiquement ou l'a(110SCOp1(ll1e111('nt l'hype

piUer (1) a constaté une fois l'atrophie du diaphragme; Dttchenne a observé un cas où les muscles respirateurs ont paru attei

méninges, etc.) : l'amyotrophie Aran-Duchenne est un syndrome qui s' observe , en dehors de la poliomyélite antérieure chroniqu

L\CTlIOES du syndrome Duciienne-Aran. Le syndrome d'Aran-Duchenne s' observe presque exclusivement, dans des affections de Y

les, est souvent très inégale d'un côté et de l'autre, et l'on peut observer une syringomyélie unilatérale (Dejerine et Sott

ran-Duehenne dans le plus grand nombre des cas où ce syndrome-a été observé plus ou moins pur. Notre opinion (') a été ba

ral ; enfin il pourra peut-être être établi avec certitude quand on observera : 1" Le signe <7'/h'< ? 7 ! o'<son, si

applicable à la paralysie générale. Dans certaines névrites on peut observer l'atrophie type Aran- Duchenne ; dans la névrit

s radiculaires antérieures de la moelle. Les atrophies réflexes s' observent le plus souvent à la suite de lésions articulai

le plus souvent à la suite de lésions articulaires; elles peuvent s' observer aussi consécutivement à une foule de lésions ab

nflammation articulaire ou de l'intensité des douleurs. Elle peut s' observer au voisinage de toutes les articulations, mais su

le ou dimi- nuée proportionnellement à l'atrophie, mais jamais on n' observe de modification qualitative, de réaction de dég

embre inférieur, la trépidation épileptoïde apparaît, parfois. On n' observe ni troubles de la sensibilité, ni troubles trophi

consécutives à une paralysie d'origine médullaire. Ces atrophies s' observent à la suite de toutes les affections aiguës de l

ains cas de tumeurs très étendues de la colonne vertébrale, on peut observer des amyotrophies presque généralisées [(Sené) (

tères, d'ailleurs tous inconstants. Les contractions fibrillaires s' observent rarement; la réaction de dégénérescence s'obser

fibrillaires s'observent rarement; la réaction de dégénérescence s' observe au contraire plus souvent et est plus généralis

jours à un moment donné vers la régression et vers la guérison : on observe une période d'augment qui peut être rapide ou l

brale) sont constants. Dans les paralysies radiculaires totales, on observe la combinaison des troubles moteurs, sensitifs

uscles d'un même serment de membre. La réaction de dégénérescence s' observe très fréquemment. Il n'y a généralement d'autre

i étendu que celui que nous venons de décrire; la régression peut s' observer au bout de 4 à 10 mois et la guérison être comp

sée, elle peut être multiple ou généralisée (polynévrites); on peut observer entre ces différentes formes tous les intermédiai

cusées aux membres infé- rieurs : c'est le contraire de ce que l'on observe dans la plupart des atrophies d'origine spinale

ique ; les troubles circulatoires et secrétoires sont constants, on observe de la dyspnée, de l'aphonie, des troubles cardiaq

tifs diffus ou localisés avec ou sans amyotrophies ; quelquefois on observe le syndrome de la paralysie ascendante aiguë. P

acines médullaires. Dans le cancer, dans les diverses cachexies, on observe parfois, en dehors de l'amaigrissement général,

e (Mlle Avda- koff) (4) ? i. Des lésions en apparence névritiques observées dans le cours de la paralysie générale ou à la

ement au niveau des muscles atrophiés, et à la condition que l'on n' observe pas de phénomènes spasmodiques. Quelle que so

aroi par une formation pathologique extrinsèque : c'est ainsi qu'on observe des hypertrophies musculaires de l'intestin en

etc. Il faut en rapprocher l'hypertrophie des muscles grands droits observée par Ilurante chez des femmes pendant les dernie

urmenage d'ordre non plus physiologique, mais pathologique : on les observe alors chez des sujets atteints il ! utero de sc

on du système nerveux parai l jouer parfois un certain rôle, car on observe très fréquemment ces hypertrophies dans les ath

elle n'est pas un caractère particulier à la forme juvénile, elle s' observe aussi dans les autres formes et notamment dans

n for- mant bosses sur le. milieu de la longueur du muscle : on les observe surtout, sur le deltoïde. L'hypertrophie préatr

ité volontaire ne sont pas limités aux membres et au tronc ; on les observe aussi au niveau des petits muscles de la face o

ses caractères ne lui appartient en propre et qu'ils peuvent tous s' observer dans certaines autres affections et notamment d

myotonique (Rossolimo, Lannois, Loi,lit-.Iacol) et Thaon). On a pu observer chez les myopathiques tous les intermédiaires dep

ente, prolongée, tonique, etc.) étaient précisément celles que l'on observe dans la contraction du sarcoplasma'. On conçoit a

urtout prononcée au membre supérieur droit, depuis l'ige [le 5 ans; observé 11 24 ans par Brissaud et Hallion, il ne présenta

umetnque des fibres muscu- laires, très analogue à celle que l'on observe dans les hypertrophies fonction- nelles (Berger

étudierons ensuite rapidement les variétés cliniques que l'on peut observer suivant la cause et le siège de l'interruption de

n tabétique ataxique qui devient aveugle, ainsi que nous avons pu l' observer . ' Ces deux caractères se retrouvent aussi bien

INATION ATAXIQUE. 755 \ de porter un pied sur le genou opposé, on observe la même hésitation, la même brusquerie, les mêm

lus précoces des tabes les plus frustes, c'est celui que nous avons observé presque cons- tamment chez les amaurotiques syp

ur le bassin et ses jambes sur ses cuisses ; dans cette attitude on observe nettement des INCOORDINATION ATAXIQUE. 757 os

s l'oeil. Pour les membres supérieurs comme pour les inférieurs, on observe en même temps que l'ataxie des mouvements, l'at

t dans certaines crises des tabétiques. Tête et face. - Rarement on observe des oscillations brusques dans les mouvements d

recherché. L'évolution de l'ataxie est d'ordinaire très lente : on observe cepen- dant assez souvent de véritables poussée

elconque, de l'une quelconque des portions des voies sensitives; on observera ainsi des ataxies par lésions non tabéti- ques

des conduc- teurs cérébelleux ou du cervelet lui-même. On peut donc observer dans le tabès, d'une façon généralement très ac

ableau l'anémie peut passer au second plan. Dans le diabète on peut observer la presque totalité des troubles du tabes : abo

ination, démarche mal assurée et talonnante, signe de Romberg; on n' observe ni troubles vésicaux, ni signe d'Argyll, ni atr

doncule cérébelleux inférieur peut déterminer l'asynergie. Dercum a observé une tumeur du bulbe qui a débuté par la perte d

e constate souvent pas de trouble correspondant à la titubation; on observe cependant assez fré- quemment une sorte d'incer

pathogénie, ne paraissent pas différer notablement de ceux que l'on observe chez les cérébelleux asynergiques : nous aurons à

ais qui certainement n'en sont pas la cause essentielle, car elle s' observe souvent sans qu'il y ait de vertiges; le nystag

u cervelet : c'est un phénomène fréquent. Il est loin pourtant de s' observer dans tous les cas de lésions du cervelet : d'ap

membres inférieurs, parce que c'est au niveau de ces membres qu'on observe surtout les symptômes de l'incoordination cérébel

le fouillis de traits en tous sens et de toutes tailles que l'on observe chez certains ataxiques. - La parole des céré

tion de l'équilibre statique devient bien plus mani- feste quand on observe des altitudes partielles du corps. Ainsi, si, le

ssoires confirment le siège cérébelleux de la lésion. Le syndrome s' observe : l Dans les affections du cervelet, mais, ains

a reconnu et que nous avons pu nous en convaincre, il est loin de s' observer dans . la totalité des lésions du cervelet; les

uite de l'existence de ce caractère commun, mais encore parce qu'on observe des cas intermédiaires entre elles, et que c'est

esque illisible et parfois tout il fait impossible. Plus souvent on observe des mouvements choréiformes, parfois des mouvem

re que dans le tabès. Des phénomènes para- lytiques ont été souvent observés , surtout du côté des membres infé- rieurs, ils

ils sont généralement modérés; le signe de Babinski a toujours été observé . Les réflexes tendineux, 'notamment le réflexe ro

ement projetés en avant de façon ataxique ; une fois, nous avons pu observer une véritable ten- dance à la propulsion, qui s

is parfois très nettes, des conducteurs cI'l'lbello-médullaircs; on observe quelquefois la petitesse de tout le système ner

une rééducation les périodes d'évolution aiguë ou subaiguë que l'on observe parfois dans le tabes. 5° Il faut que le malade

que le faisceau pyramidal se trouve atteint des deux côtés, et l'on observe une hémi- plégie double, soit que la paralysie

se présente le malade atteint des lésions les plus habituel- lement observées ? Négligeant l'hémiplégie des membres tout à fait

le en ses caractères, nous nous attacherons à préciser les troubles observés dans la sphère des nerfs crâniens. En somme, le s

éressant les faisceaux ou pédoncules cérébelleux. On peut également observer des vertiges, de la titubation, de la latéropul

é jusqu à 8 litres en 24 heures. L'albuminurie est rare mais peut s' observer . Pratique nr : onm.. 51 [MOUTIER.) 802 SÉMÉ

quemment avec des lésions pro- tubérantielles ; aussi les syndromes observés présentent-ils souvent des caractères mixtes. L

. Sont, plus particulièrement bulbaires les complexus morbides où s' observent une hémiparalysie ou une hémiatrophie linguale

nucléaires et leur valeur séméiologique. Dans quelles conditions s' observent les complexus précédents ? De quels facteurs pa

léaire bulbaire; c'est-à-dire la paralysie labio-glosso- laryngée s' observe tantôt dans des maladies rigoureusement définies

drons pas sur le détail symptomatique précédemment exposé. Rarement observé avec son complet développement dans le tabès, la

a syringomyélie, le syndrome labio-glosso-laryngé il marche lente s' observe également dans certaines affections familiales ;

atrophiques intéressant les quatre membres. Quoi qu'il en soit, on observe d'abord des troubles de la motilité linguale, d

ntent des secousses librillaircs; la réaction de dégé- nérescence s' observe à leur niveau. Les troubles respiratoires et car-

évolue ici rapidement ; son allure est violente et dramatique. On l' observe dans les intoxications alimentaires ou bien dan

et les anomalies du pouls. Ce cycle évolutif n'a plus la régularité observée ailleurs. Les accidents cardiaques et respirato

tape d'une toxi-infection spinale ascendante, telle que l'on peut l' observer dans la paralysie de Landry et dans la rage.

ptômes sont diversement associés, mais contrairement il ce que l'on observe dans les affections nucléaires systématisées, l'h

es pupilles sont dilatées en vénérai. Au sortir du coma, les signes observés sont des plus variables selon le siège et l'éte

troubles paracousiques, dys- phagie, polyurie, glycosurie. On peut observer également des troubles sensitifs intéressant le

sont, chez les néoplasiques, jamais bilatérales : cette symétrie s' observe au contraire dans les poliencéphalites infé- ri

s que les tumeurs provoquent des réactions complexes, les syndromes observés pouvant être subaigus ou chroniques. Les accide

différentes modifications s'associent fréquemment. Les syn- dromes observés sont alors d'une rare complexité : Brissaud, dans

Dieulafoy. chez un syphilitique du reste guéri par le trai- tement, observe une paralysie glosso-labio-palato-pharyng('.e ave

ubles fugaces de la parole et de la déglutition. II est ordinaire d' observer l'atténuation rapide de cette hémiplégie : elle

troublé et cependant on ne rencontre pas ici, tel que nous l'avons observé chez les bulbaires vrais, ce contraste entre l'

rovoque volontairement cette attitude. Nous avons, pour notre part, observe à, Bicêtre un pseudo-bulbaire assez jeune : ce

en que la sensibilité du voile soit généralement conservée. On peut observer du myosis. II n'existe ni troubles des sphinc

encéphalie. L'évolution du syndrome étudié, à s'en tenir aux formes observées chez l'adulte, est variable et irrégulière. L'a

is dément, mourir dans le. marasme. D'autres combinaisons peuvent s' observer : ainsi, après une amélioration très prononcée

e diagnostic assez facile. Du reste dans toutes ces affections ne s' observent jamais le rire ou le pleurer spasmodiques ; et l'

u point modifiés. L'intelligence est intacte. Il est exceptionnel d' observer de l'atrophie musculaire, mais les tremblements

s mononucléaires; Pel (d'Amsterdam) a, tout au contraire, récemment observé une hyperleuco- cytose. Diagnostic. Le diagno

e. thoracique et diaphragmatique, n'échappe pas à la convulsion. On observe tantôt la rétention, tantôt l'incontinence des

sés au même point ni en même temps que les muscles externes, car on observe ici les évacuations involontaires plus souvent

nt dans le tétanos, et que l'on pourrait, d'après certains auteurs, observer également dans l'hystérie, l'épilepsie, etc. En

vasculaires con- jondintles ou palpébrales. Dès ce moment, on peut observer des évacua- tions involontaires de matières et

la convulsion. L'éva- cuation des urines et des mat ières fécales s' observe comme précédemment, mais par relâchement des sp

t peut avoir des rapports avec d'autres mouvements normaux; on a pu observer quelquefois des associations fréquentes des mou

de l'examen qu'il a pratiqué avec M. Pitres : sur 1000 sujets il a observé , en dehors de tout état pathologique, un trem-

manents. Les tremblements perma- nents ou tremblements chroniques s' observent au cours d'un grand nombre d'affections du syst

Babinski. Nous rapprocherons également de ces tremblements celui observé par Babinski dans certaines affections de l'app

dré Thomas et Jumentie (Revue Neurologique, 15 no- vembre 1909) ont observé les mêmes troubles de la sensibilité et en part

aison, de Boinet, etc. Enfin, dans la maladie de Parkinson, on peut observer des formes aty- piques, tels sont les cas des t

peut avoir des rapports avec d'autres mou- vements normaux; on a pu observer quelquefois des associations fré- quentes de mo

le. 1906) il existe un tremblement palustre persistant. M. Boinet a observé un tremblement produit par l'opothérapie surrén

les mouvements intentionnels. Dans l'intoxication saturnine on peut observer le tremblement en général, il est peu marque au

nts décrits par Dutil sous le nom de rémittents intentionnels. Il s' observe chez les ouvriers qui manient le mercure professi

ut invoquer d'autres arguments, les troubles des réflexes tendineux observés par Syllaba et Crocq et les lésions histologi-

istence du tremblement mer- curiel et qui disait que le tremblement observé dans les cas d'intoxi- cation mcrcurielle était

(Pibnatti). Morano, (Clinica medica italiaita, 51 décembre 1898) a observé une altération du rythme respiratoire chez un c

de cet organe chez tous les choréiques. D'autres complications s' observent également, les rhumatismes, comme nous 1 '.avon

matisme infectieux. Les complications nerveuses peuvent également s' observer : on peut voir survenir une hémorragie cérébral

re (Legay). On a décrit une chorée congénitale, les cas qui ont été observés sont exceptionnels et même il y a lieu de doute

neumonie, à la fièvre intermittente. Rilliet et Barthcz ont de même observé la chorée après la pneumonie et la fièvre typhoïd

ièvre typhoïde. Haus- halte ! ' (Revue médicale de l'Est, 1894) l'a observés à la suite des oreillons. On l'a signalé à la s

la chorée est brusque ou lent; le début brusque est plus rare, il s' observe à la suite d'une émotion, quand le . début est

xcitabilité des nerfs et des muscles; quelquefois cependant on a pu observer l'exagération (Rosenthal). La sensibilité est q

nous avons indiqués pour la chorée en général, c'est-à-dire qu'on y observe des douleurs juxta-articulaires et des douleurs

c). Ces troubles appartenant en propre à la chorée, sont ceux qu'on observe à la période prodromique et leur constance est

en dehors de toute localisation splanchnique, dans ces cas .on peut observer la disparition des convulsions quand la fièvre

ge; c'est de 2 à 14 ans et en particulier entre 6 à 7 ans qu'elle s' observe le plus fréquemment, elle peut quelquefois succéd

e et l'aphasie comme dans le cas de L. G. Simon et Crouzon. On peut observer aussi un rhumatisme cérébral au cours de la cho

aussi un rhumatisme cérébral au cours de la chorée ; enfin Aper't a observé des phénomènes de ménin- gisme (Société de pédi

ues dans 2/3 des cas de chorée, c'est surtout de 7 à 8 ans que l'on observe ces complications et c'est surtout l'insuffisance

upré et Canins (Société médicale des Hôpitaux, avril 1904) ont même observé un cas de péricardite hémorragique chez un chor

quelque temps un peu d'apathie intellectuelle, cepen- dant on a pu observer de^ rechutes qui donnent alors il la maladie une

nt alors il la maladie une durée excessive de 8 il 10 mois; on a pu observer également une ou plu- sieurs récidives laissant

n peu avec l'âge suivant Paul Blocq. CHORÉE DES ADULTES On peut observer chez l'adulte la chorée rhumasiimale semblable à

ou chorée de la grossesse frappe surtout les femmes jeunes, elle s' observe chez des femmes n'ayant eu ni rhumatisme, ni ch

cessives et quelquefois elle a pu passer à l'état chronique. Elle s' observe surtout chez les primipares et le plus souvent ne

elage; l'avorlement et l'accouchement prématuré sont fréquents et s' observent dans 50 pour 10U des cas, et on observe 10 pour

aturé sont fréquents et s'observent dans 50 pour 10U des cas, et on observe 10 pour J 00 de mortalité infantile; c'est dire q

s dégénérés ou encore chorée variable des dégénérés. Celte chorée s' observe chez des dégénérés physiques et mentaux, les suje

est légère de même que la contracture. Les mouvements généralisés s' observent au cours de certaines névro- ses, ils sont un s

nt un signe accessoire de la maladie de Basedow (Dieulafoy). On les observe également dans la paralysie générale. MYOCLONIE

est surtout chez des malades entachés d'une hérédité nerveuse que s' observent ces myoclonies, M. Ray- mond (Leçons cliniques,

mates avérés de dégénérescence physique ou mentale. Quelquefois, on observe chez eux non seulement la présence de myoclonie

caractérisées par des mouve- ments involontaires brusques; on peut observer ces mouvements suivant des aspects divers. Il

rer le changement de position. , Les mouvements les plus variés s' observent aux membres supérieurs et aux membres inférieur

ète. La contraction se produit dans les différents mouvements, on l' observe en général dans l'exagération des réflexes et par

uc de la maladie de Heckiinghausen et de l'urémie cérébrale; on l'a observé également dans la sclérose en plaques ou au cours

ophie musculaire (Fiarges Priécracini et Tamburini). Enfin, on a pu observer un paramyoclonus d'origine articulaire (Chauffa

CHORÉE ÉLECTRIQUE DE BERGERON La chorée électrique de Bergeron s' observe surtout chez les enfants; (,'est une affection

ires totales. MYOCLONIES ÉPILEPTIQUES Les myoclonies peuvent être observées chez les épileptiques. Elles ont fait l'objet d

e (Charmeil, Société de Médecine du Nord, 1900). Pic et Porot ont observé la myoclonie associée à la myotonie dans un cas

Souques à 1/4, l'intelligence a été bien conservée. Marcel Briand a observé un syndrome athetoso-choreique familial chez un

se double, c'est une affection secondaire à l'hémiplégie, elle ne s' observe pas indif- féremment à la suite de toutes. les

llet et Pierre Kahn (Société de Neurologie, décembre 'l ! )()0) ont observé un bemispastne il physionomie de contracture hémi

ues analogues aux laits décrits par Mlle Motehane et d'autres faits observés par MM. Landrieux et Scherb. Enfin, à côté de c

sont plus accentués, il existe l'exagération des réflexes. On a pu observer des phénomènes épilepti- l'ormes, mais ils acco

(ic, il y a de l'hypertrophie musculaire. Quelquefois enfin on peut observer associés aux mouvements athétosiques des mouvemen

ssives est essentiellement arythmique; des « tics rythmiques » ne s' observent que chez certains hystériques et idiots, ou bie

parta- gent souvent, jusqu'à un certain point, avec les obsédés. On observe fréquemment en même temps, chez les tiqueurs, u

ne contraction musculaire. Si les atti- tudes catatoniques vraies s' observent en somme assez rarement chez les TICS. 885 li

sont nullement exclusives l'une de l'autre, le plus souvent elles s' observent alternativement chez le malade liqueur comme ch

t timides à l'excès, perdent toute contenance dès qu'ils se sentent observés » (Meige et Feindel), leurs manifestations émot

. Revue de médecine, 1 ! 1112.) 1. De. plus, dans ces mêmes cas, on observe une intensité anormale des images motrices semb

r la gorge, ou simplement pour chanter (Meige). Ce trismus mental s' observe chez certains aliénés ; il représente un acte de

ésente un acte de défense en relation avec une idée délirante, on l' observe aussi dans l'hystérie; il est parfois tel qu'on

toniques des mouvements cloniques exagèrent la dévia- tion. On peut observer tous les degrés dans la forme, dans l'intensité,

Pan, J 904.. > [il. LÉRI. 894 DIAGNOSTIC ? $ nocturnes. On l' observe souvent chez des enfants épileptiques, accompa-

t de torticolis en lisant et de crampe en écrivant ; Destarac('') a observé chez un même sujet la crampe des écrivains, le

, du radial et du cubital. Dans certaines formes paralytiques, on a observé non seulement une impotence fonctionnelle, mais

ins complète de certains vaisseaux (Vigoureux) ; enfin P. Bonnier a observé un cas de crampe professionnelle symptomatique

alement suggérées par les hallucinations éprouvées. - Séglas fait observer que la catatonie est à distinguer du tétanisme. C

ques du service de Pierre Marie (Thèse de Paris, 1898). Elle peut s' observer souvent dès la période préataxique; le plus sou

contre, le plus souvent, dans la maladie de Friedreich; elle peut s' observer également dans la sclérose en plaques. Féré l'a r

esser tous les systèmes de tissus ou à peu près tous, ils peuvent s' observer dans la plupart des maladies de l'axe cérébro-s

des panaris donne à la main une similitude remarquable avec le type observé dans la maladie de Morvan. soit que l'infiltrat

passe guère en tout cas la face dorsale de la main ou du pied. On l' observe tout particulièrement à la suite des plaies ner

adie de Raynaud. D'ailleurs, il est fréquent, dans cette maladie, d' observer un certain degré de sclérodermie. des phalanges

aumatiques. A une période avancée de la maladie, il est ordinaire d' observer des ulcé- rations aux angles saillants des phal

es altérations unguéales. Consécutivement aux sections nerveuses, s' observe très fréquemment un état ichtyosique du tégumen

le centre des macules blanches est anesthésique. Des éruptions s' observent parfois à la surface de la peau : il s'agit soi

ou vésiculeux peuvent ou non, ainsi que nous sommes accoutumés de l' observer , se superposer à un trajet nerveux ou affecter un

abès et la sclérose en plaques. On peut quelquefois, dans la lèpre, observer consécutivement au pemphigus siégeant sur les sai

s simples ou vésiculeux précités. La gangrène est rare, mais peut s' observer cependant. On la rencontre surtout au niveau de l

die chronique ou une affection aiguë du cerveau ou de la moelle. On observe souvent un oedème extrêmement dur, pseudo-éléph

s laquelle on ne peut imprimer de godet. Un trouble analogue peut s' observer au niveau du pied. La main succulente n'est point

térieures chro- niques (Dejerine). Plus ou moins aiguës peuvent s' observer des poussées oedémateuses de siège variable au

OUTIER.-] ? 0 TROUBLES TROPHIQUES. les paupières, le front ; on l' observe très fréquemment aussi sur les bourses, au prép

chéant, soit en brûlures, soit en démangeaisons. Pendant la crise s' observe une oligurie notable, sans qu'il y ait cependan

aractères permettront de distin- guer les trophoedèincs chroniques, observés d'ailleurs comme les -TROUBLES TROPHIQUES. 92

tuent les mutilations des membres. Les ulcères ou maux perforants s' observent en toute région ; on en a signalé de typiques a

le du nez. semble fort rapprochée des troubles de cet ordre. On les observe égale- ment au cours de nombreuses affections,

on, et cela pour ainsi dire indéfiniment. Le mal perforant peut s' observer éga- lement dans la bouche. Les dents se déta-

s plus graves. Ces troubles font défaut dans la poliomyélite, ils s' observent à leur acmé dans les myélites aiguës (Voir Para

a- gnostique. Le ralentissement de la croissance des ongles a été observé dans nombre de maladies nerveuses, son accéléra

dernier cas inté- resser une moitié de la barbe. On a pu également observer le blan- chiment des cils dans une ophtalmie sy

les parties molles aussi bien que le squelette et qu'il est donné d' observer , rarement d'ailleurs, après un traumatisme céph

phie de squelette, mais réduction du membre entier; de tels laits s' observent dans les paralysies et dans lés hémiplégies inf

t de la langue participent à la réduction de volume. Enfin, on peut observer la chute des dents et la canitie unilatérales.

mais aboutissent assez rapidement il l'ankylose. Dans la lèpre, on observe moins une arthropattne qu'une suppression pure

aleur et se terminant par un stade de sueur. On peut, d'autre part, observer des fièvres continues qui persistent à un degré

ingite, dans les lésions bulbaires, dans la fièvre typhoïde on peut observer cette fièvre dissociée ; dans la méningite, c'e

t persister encore pendant l'agonie et après la mort. La fièvre s' observe dans la méningite tuberculeuse à la période du

: courbe thermique n'a rien de caractéristique. La fièvre peut s' observer encore dans d'autres affections organiques tell

membre malade peut être abaissée de Fou 2". Klippel et Weill ont observé l'hypertherinie locale dans un cas de mala- die

iplé- gie d'origine cérébelleuse (Boul'l1evillc et Crouzon). On l'a observée encore dans les lésions bulbaires, en particuli

la démence progressive. Jules Voisin, Roger Voisin et ! {euh l'ont observée dans la paralysie générale infantile. [O. CROUZ

un grand nombre d'auteurs à sa suite. D'après les classiques elle s' observe à la suite d'une émotion, elle est polymorphe,

tose est due le plus souvent il des troubles nerveux locaux, elle s' observe au cours de sections nerveuses dans des cas de

taté un retard de la suda- tion du côté paralysé. Ce phénomène ne s' observe que dans les cas graves. L'exagération de la su

e ne s'observe que dans les cas graves. L'exagération de la sueur s' observe dans un plus grand nombre de cas ; cette exagér

peut être héréditaire, elle se voit chez les neurasthéniques. On l' observe enfin dans la maladie de 13asednte : elle se mo

s constituer une partie du syndrome bulbaire; ces sueurs profuses s' observent au même titre que les salivations exagérées. TR

achon, l'appareil d'Amblard, etc. Hypertension. L'hypertension ne s' observe guère dans les maladies nerveuses; cependant il

ales (Schmiegerld). L'hypotension artérielle peut être au contraire observée dans la mala- (O. CROUZON.] 940 'l'ItOLt3LI;S

ne. D'autre part, les hémoptysies hysté- riques sont niées, on a pu observer dans certains cas des hémoptysies au cours du t

nir à l'apnée. Toutes ces modifications de la respiration peuvent s' observer dans les affections diverses du système nerveux

peut être un symptôme. Dans les traumatisme de l'encéphale, on peut observer au contraire la diminution de la respiration. D

au contraire la diminution de la respiration. Dans le tabes on a pu observer terate ! )- tissement extrême delà respiration

sont atteints. Dans les méningites, le syndrome de Choyne-Stokes s' observe fréquem- ment, c'est avec l'urémie la cause la

te de ces troubles res- lriradirns. Dans les tumeurs du cervelet on observe également ce rythme TACHYCARDIE. 941 t respir

les paralysies diphtériques. Les (roubles respiratoires peuvent s' observer enfin dans les névroses, dans la maladie de Bas

sations; elle ne doit pas être con- fondue avec l'arythmie qui ne s' observe guère que dans la méningite. La tachycardie ne

l'accélération simple physiologique qui suit la digestion et qui s' observe quelquefois au cours de la grossesse. Ce symp

n par un ganglion tuberculeux. La névrite du pneumogastrique peut s' observer dans l'alcoolisme; c'est une des localisations

essentielle paroxystique, La tachycardie de la maladie de Basedow s' observe dans toutes les variétés de cette maladie, auss

hyperthyroïdie (Crespin). La tachycardie essentielle paroxystique s' observe chez les sujets jeunes : c'est une crise d'accé

ire, en dehors des cas où il est dit à une lésion cardiaque, peut s' observer dans les lésions bulbaires primi- tives ou seco

névralgie. L'efficacité de ces causes est foin d'être démontrée; on observe surtout ces névralgies chez les sujets prédispo

loureux qui constitue alors à lui seul toute la maladie ; on les a observés après la lithotritie, après la guérison d'une c

NÉVRALGIES VESICALES. - ' 947 à cette dernière période qu'on les observe surtout; elle sont rarement très prolongées. '

hystérie et du tabes, les névralgies de l'urètre sont rares; on les observe lorsqu'une tumeur, un traumatisme a intéressé une

éexistante. Il en est de même dans le ramollissement cérébral. On l' observe rarement dans les méningites aiguës, par contract

faut-il toujours s'assurer de l'état d'évacuation de la vessie. On observe dans la sclérose en plaques les mêmes intermitten

s l'attaque convulsive, ce qlli la différencie de t'epitepsie; on l' observe passagèrement dans la forme léthargique ou lors

rieurs persiste : mais beaucoup des incontinences hystériques qu'on observe sont dues à du regorgement qu'un calhélérisnie

t sur la vessie par l'intermédiaire du système nerveux : enfin on l' observe , quelquefois volontaire, chez des déments. Symp

e la contraction vésicale liée à l'affaiblissement du sphincter. On observe aussi, dans l'épilepsie jacksonnienne des émis-

entes et d'ordres divers. En présence des désordres- psychiques, on observe de l'incontinence, tantôt sans rétention, le plus

dans le second, l'écoulement est à peu près continu, et il suffit d' observer le méat pendant quelques instants pour voir sou

rveux rend les tissus moins résistants et les troubles trophi- ques observés dans plusieurs affections nerveuses en sont l'exp

pour les solides, de. l'amaigrissement ; comme symptômes locaux, on observe des urines troubles en niasse, ne s'éclaircissa

e nerveuse, et cesse dès qu'on vide, la vessie. - La' polyurie. s' observe il la suite de traumatismes du crâne et de la m

ition de la fonction rénale se produit. C'est dans l'hystérie qu'on observe les faits les plus remarquables d'anurie complè

xpulsée. Il en est de même des chlorures. Dans ces cas intenses, on observe souvent de la diarree, ou des vomisse- ments co

ort. ; Il n'est pas rare chez les neurasthéniques, chez lesquels on observe d'abord des éjaculations hâtives et précipitées

le. Dans le tabès les troubles génitaux sont variables. Au début on observe SPEMIATOJuuOE. non une excitation anormale, d

la défécation par la pression du bol fécal, chez les sujets qui ont observé une continence prolongée et dont les vésicules se

e nature est-elle ? Les causes d'erreur sont nombreuses. Le liquide observé après une érection, clair, filant, analogue à d

génitaux peut retarder indéfiniment l'éjacula- tion, ainsi qu'on l' observe dans l'hystérie et surtout dans le tabès à la p

ire à une spermatorrée qui n'est pas réelle. Le dyspcruiatisntc s' observe chez des névropathes exclusivement, mais on rel

psychopathique. Plus fréquente dans les maladies de la moelle, on l' observe dans certaines affections graves de l'encéphale

ts peut être un accident précoce. . Mal perforant buccal. On peut observer dans la bouche des pertes de substance non syph

ration trophique. Troubles de la sensibilité. Il n'est pas rare d' observer des pares- thésies, dont la plus pénible est la

uels tout pli an palais est plaque muqueuse il son début. On peut observer également des névralgies au cours du tabès ou de

l'hystérie, la perte de la faculté du goût lait partie du syndrome observé . Il peut y avoir agueusie totale il la suite de

paralysies Itl)l o- ? l osso-1 aiyn crées, des troubles analogues s' observeront , d'intensité variable. L'exagération de la sens

e tremblement est rarement localisé à un seul côté de la langue. On observe en ce cas des secousses fibrillaires, des mouveme

ophiée, vallonnée, agitée de secousses vermi- culaires violentes, s' observe encore à la période terminale de la sclérose la

lillc- tifs du spasme glosso-labié des hystériques particulièrement observé chez les tabétiques (Brissaud et Pierre Marie).

uvements désordonnés (paramyoclonies) . Dans quelques cas enfin, on observe au début de la parole une hésitation, une lenteur

dans la paralysie des péris- taphylins seulement. Ces troubles s' observent dans les lésions périphériques dépendant de com

es troubles de la sensibilité liés à des mala- dies infectieuses, s' observe fréquemment l'anesthésie du pharynx. La sensibi

mate de névrose. Cette absence est banale, en effet , puisqu'elle s' observe , d'après Guerra-Coffioli, dans la moitié des cas

'homme normal. Les névralgies du pharynx sont peu communes. Elles s' observent le plus souvent chez des surmenés, des paludéen

pouvant même déterminer une suffocation de haute gravité. On aurait observé à l'oesophagoscope la flaccidité des parois. Les

rgitations, parlant point de spasmes. Ce syndrome hyperesthésique s' observe chez de simples névropathes aussi bien que dans

l'oedème papillaire de si haute valeur diagnostique. On peut encore observer des vomissements d'origine centrale à la suite de

éjà signalé les rapports du coma et de la tétanie. On a fréquemment observé le coma au cours des sténoses serrées du pylore.

bles du sphincter. C.-P. Martin a constaté chez tous les tabétiques observés par lui une anesthésie totale du sphincter extern

stable, l'appétit diminué; la constipation ou une fausse diarrhée s' observent fréquemment. Dilatation et ptôse sont, fréquent

ition, de sputation, de mâchonnement, etc., qu'il est si fréquent d' observer . Le voile du palais peut prendre part il ces se

ci de montrer la diversité des troubles sphinctériens que l'on peut observer au cours de son évolution. Au début, il y a géné-

s cérébrales, les méningites, les trypanosomiases, 1 hystérie. On l' observe encore, parfois persistant, parfois épisodique,

continence si elle est inférieure. Cependant, il n'est point rare d' observer consécu- tivement aux lésions du renflement lom

s antérieures aiguës. Ces troubles peu- vent, mais très rarement, s' observer au cours des polynévrites aiguës, surtout dans

nous passerons en revue les principales déformations que l'on peut observer au niveau de la main : 1. Troubles du développe

e, sans paralysie ni modification de l'excitabilité électrique : on observe une main en araignée. . Il. DIFFORMITÉS ACQUISE

n long » de la main de l'acromégale, celui qui, nous l'avons dit, s' observe dans l'acromégalie pré- coce ; mais on peut aus

peut aussi constater le « type en large » des acromégaliques. 01 ! - observe d'ailleurs tous les intermédiaires cliniques entr

tio- logie, les bronchites chroniques, la tuberculose pulmonaire, s' observent souvent. Gilbert et Fournier ont signalé aussi

ine et abaissé vers son bord libre. L'ongle hippocratique peut être observé indépendamment de toute défor- mation de la pha

us. Cette déformation est un peu anormale, ce n'est pas celle qu'on observe le plus souvent ; d'ordinaire le pouce est en c

d'un S très allongé. " .' La main typique ..du rhumatisme sénile; s' observe à partir de 55 ou 60 ans, surtout chez des homm

il. 8) : cesontdepe- tites nodosités fusi- formes, dures, qu'on observe souvent chez . des gens âgés, de cha- que côt

es, des tabétiques et surtout des syringomyéliques, peuvent aussi s' observer au poignet. La comme ailleurs, elles se caracté

csco ; pour Gilbert et Carnier, Dc,jerine, llirallié, on pourrait l' observer dans des cas divers, hémiplégie, atrophie muscula

pour peu (pion y pense ('). 1. Un cas de ce genre, que nous avons observé dans le service du Il Pierre Marie, avait été c

généralement impo- tente. La main-bote congénitale paralytique s' observe quelquefois, notam- ment après des traumatismes

n-bote congénitale spasmodique (fig. 13) est plus fréquente; elle s' observe dans les diverses va- riétés d'atrophie et de s

érentiels sont les mêmes que pour les déformations congénitales. On observe la main-bote paraly- tique à la suite de certai

roy dans la pachyméningite cervicale hypertro- phique, qui peut s' observer exception-, nellement dans la paralysie infanti

si on la compare aux déformations tout à fait exces- sives que l'on observe souvent dans l'hémiplégie cérébrale infantile.

les traumatismes graves seulement ou dans les névrites radiales, on observe des troubles sensitifs dans le territoire cutan

ue ja- mais limitée au domaine du nerf radial. Dans le tabes on observe . - parfois une paralysie radiale passagère, pr

la première phalange du médius.. Le type de la griffe cubitale s ? observe dans les lésions traumatiques du IA. LÉRI ] F

de diamants ou de cristaux, verriers, etc.). La même griffe peut s' observer dans certaines névrites toxiques ou infectieuse

de la moitié externe de celles de l'annulaire. La grille médiane s' observe plus ou moins complète dans les tralllll : 1- t

liose distingueront la syrin- gomyélie. La main d'Aran-Duchenne s' observe aussi dans l'hémalomyélie, exccp- tionnelleme

éningite cervicale hypertrophique ; comme dans la syringomyélie, on observe souvent l'atti- tude de prédicateur. Dans toute

1"e racine dorsale ou la partie inférieure du plexus brachial,, on observe des trou- bles de sensibilité et. surtout des t

jerine-Ilmnpl : e). Enfin, cette même déformation de.la main peut s' observer il une période généralement tardive des- myopat

oniens ont le poing fermé. Les mouvements athétosiques de la main s' observent dans deux condi- tions très différentes : dans

le sommeil. Dans lhénii-athélosc post- hémiplégique infantile on observe d'ordinaire une atrophie plus ou moins pronon

double (fig. 19), affection très ordinairement congeni- tale, on observe souvent aussi la pro- nation de la main, mais d

ée par le rapprochement de ses bords. De très nombreuses variétés s' observent : « main de scribe », index en flexion forcée, po

ouvent symétriquement sur les membres. Aux membres inférieurs, on observe parfois aussi la symélie, soudure ou fusion d

rs et sont souvent plus prononcés ; leurs causes sont les mêmes. On observe exceptionnellement Fig. 1. = Phocomélie. La cui

lle n'est pas accompagnée des autres déformations osseuses que l'on observe dans ces maladies. De plus son début brusque et

roduites par la sclérodermie, par la maladie de Ray- naud peuvent s' observer , quoique plus rarement, aux pieds comme aux mai

ant est plantaire dans la grande majorité des cas, alors qu'on ne l' observe qu'exceptionnellement aux mains ou à toute autre

aucoup la plusfréquente est le varus équin; excep- tionnellement on observe des pieits-I)ots valgus, talus ou équins direct

ations osseuses aient modifié l'aspect clinique. Les cas typiques s' observent dans les lésions traumatiques des muscles ou de

passerons en revue les principales variétés de pieds-bots que l'on observe dans les maladies nerveuses congénitales ou acq

que dans l'hémiplégie spasmodique. Le pied-bot acquis paralytique s' observe dans un grand nombre d'affections : a) cérébral

les. a) Dans l'hémiplégie cérébrale, à la période de flaccidité, on observe un pied immobile et hallant, équin par son prop

exes tendineux sont diminués ou abolis. Le « pied de Friedreich » s' observe presque constamment et précoce- ment dans la ma

s ou dans des affections variées de la voie pyramidale (Cestan). On observe un pied très analogue dans la névrite interstitie

ns la paralysie infantile, poliomyélite aiguë de l'enfance, on peut observer un pied-bot total, pied ballant paralytique, ou d

ecté, il y a production d'un équin varus pied- creux. Rarement on observe un talus pied-creux direct par paralysie du tri

du tri- ceps sural. Dans la poliomyélite aiguë de l'adulte, on observe aussi le plus souvent soit le varus équin, soit l

ou disséminées, dans les .9ectiolîs complètes de la moelle, on peut observer des pieds-bots para- lytiques totaux. c) Dans

es : alcoolique, arsenicale, satur- nine à type inférieur, etc., on observe le plus souvent un pied-bot équin direct ou équ

isolée du jambier antérieur. d) Dans les myopathies progressives on observe ou un pied-bot total ou le plus souvent un pied

un pied équin ou varus équin. '* Le pied-bot acquis spasmodique s' observe dans cerlaiues a(l'ec- tions a) cérébrales, b)

médullaire, méningé ou vertébral, par mal de Poil surtout, on peut observer des pieds-bols dont la principale variété est l

reux, mais le plus souvent d'un certain degré de pied-bot équin. On observe sa forme paralytique dans certaines para- lysie

e). Dans l'héitîiathélose post-hérniplégique, surtout infantile, on observe aux pieds comme aux mains des mouvements lents

infanti- les comme chez des adultes portant leur âge, le nanisme s' observe chez des êtres dont là singularité réside tantô

tisme avec infanti- lisme on gigantisme infantile est le gigantisme observé chez les sujets adultes dont les épiphyses ne s

g, se voit surtout chez t'acromega- tique jeune, adolescent; nous l' observerons donc de préférence chez les géants acromegaics.

'accidents spécifiques éventuels. Il est en tout cas fort rare de l' observer ? INFANTILISME L'infantilisme est un état mor

dant, la taille est. normale, mais dans ce cas même, il est donné d' observer une dys- harmonie de l'organisme, et les dimens

de l'omnibus de Fournier). Il est rare que des plaques muqueuses s' observent en dehors de la période secondaire de la syphil

n dehors de la période secondaire de la syphilis, cependant on peut observer quelquefois des plaques muqueuses 5 ans, 10 ans

ale superfi- cielle, sur le trajet des veines frontales. Ce signe s' observe avec une no- table fréquence dans l'hérédo-syph

aire, mais ces sujets peuvent être indemnes de syphilis puisqu'on a observé la syphilis acquise chez des sujets présentant

sclérose en plaques, la réaction a été positive dans les trois cas observés . Et ce résultat a d'autant plus d'intérêt que M.

années; cela dépendra de la forme clinique et de l'évolution du cas observé . Le traitement le meilleur de la syphilis nerve

s, que le liquide céphalo-rachidien ne s'écoule pas, et cet échec s' observe dans un cas sur dix environ, d'après Sicard, et

ALO-RACIIIDIEIV. 1125 9° Accidents de la ponction lombaire. On peut observer des acci- dents immédiats et des accidents cons

on lombaire; mais des accidents plus graves ont été rapportés; on a observé , en Allemagne, plusieurs cas de mort immé- diat

de la ponction lombaire. Furbringer, sur 87 ponctions lombaires, a observé cas de mort subite : 2 fois chez des urémiques,

vidus atteints de tumeur cérébrale. Lichteim, Gumprecht, Martin ont observé des cas analogues. De Lapcrsonne et Cerise ont

fin, il peut être rosé ou rouge dans les hémorragies du névraxc. On observe quelquefois un syndrome de méningite puriforme as

-rachidien hémorra- gique. A) Teinte sanglante rouge cerise. Elle s' observe dans les grandes hémorragies : hémorragie céréb

halo-rachidien (xantlwrromie .) Cette coloration jaunâtre a pu être observée par Tuffier et Milian au décours d'une hémorrag

du liquide céphalo-rachidien dans une frac- ture du crâne ; on peut observer donc cette teinte jaune du liquide dans les hém

rachnoïdienne. Coagulation du liquide céphalo-rachidien. Babinski a observé un cas où la ponction lombaire retirait un liqu

véritable méningite fibri- neusc hémorragique. Cestan et Ravaut ont observé un cas analogue, une coagulation en masse assoc

rouvé (pie dix. Derrien, Mestrezat et Roger, Sicard et Descomps ont observé des cas analogues avec xantoclrromie et hémalo-

la règle, l'absence de lymphocytose l'exception. Toutefois, on peut observer des poussées de polynucléose comme dans les deu

valeur; en dehors des affections nerveuses, cette teinte n'a a été observé que dans l'urémie, et très exceptionnellement dan

éningo-encéphatique ; les auteurs fai- sant l'autopsie de la malade observée par eux ont pu constater un ramol- lissement hé

cules, soit dans les méninges de la convexité. Enfin, elle peut s' observer au cours des hémorragies cérébrales, sans inond

rragie cérébrale à topographie normale. Des faits analogues ont été observés depuis par Faure-Beaulieu et Fage et confirment

confirmatifs de Guinon et Simon, de Variât de Tarruelle. Faisans a observé la lymphocytose dans une mé- ningite tuberculeu

es à peu près de mononucléaires et de polynucléaires. Enfin on a pu observer des cas de méningite tuberculeuse avec gué- ris

ardivement : Laedrich l'a vue survenir au 20" jour. Enfin on peut observer dans certains cas, à une première ponction, la

n- tile, la réaction méningée a été variable. Raymond et Sicard ont observé des cas de polynucléose du liquide céphalo-rach

c alors de méningite cérébro-spinale. ' Triboulet et Lippmann ont observé un cas analogue; d'autre part Guinon et Paris,

autre part Guinon et Paris, Brissaud et Londe, Achard et Grenet ont observé des cas de lymphocytose au cours de la paralysi

des cas de lymphocytose au cours de la paralysie infantile. Widal a observé trois cas négatifs, mais dans ces cas la paraly

tumeur cérébrale sans réac- tion méningée. Gombaut et Ilalbron ont observé , dans un cas de tumeur cérébrale, d'abord de la

vLO-t ? cmu : v. 1137 i cervelet avec lymphocytose légère. Dufour a observé aussi des lympho- cytes dans un sarcome du cerv

olument négatif. Cytologie dans la névralgie du trijumeau. Pitres a observé dans ses trois cas de la lymphocytose du liquid

Au cours de la variole, malgré l'intensité des phénomènes nerveux observés parfois (céphalée-vomissements-rachialgie), Thaw

n cas d'hémi- plégie syphilitique-; plus tard Widal et Lemierre ont observé la lympho- cytose douze fois sur treize dans l'

se, Brissaud et Brécy (Soc. rnédic. des Hôpitaux, 14 mars 1902) ont observé un cas analogue. Dans un cas de syphilis médu

logie, 5 décembre 1905, Archives générales de méde- cine, 1904) ont observé une lymphocytose énorme et en plus la présence

r Pierre Marie et Guillain (Soc. Médie, des Ilùpif., mai 1901). Ils observèrent une amélioration remarquable d'une céphalée bri

de Seegel- ken. de 13ra : ;ch. de Noike. Legendre, Chantemesse ont observé des cas avec soulagement passager. [0. CROUZO

. CROUZON.] 1142 LIQUIDE CÎ;P(1 : 1T.0-R : 1CIIIDIE\. Vigouroux a observé la guérison d'un délire hallucinatoire brigblique

gblique par deux ponctions lombaires de J5 et 50 c. c. Seiffert a observé le bon effet de la ponction lombaire dans les uré

les urémies par néphrite scarlalineuse. Mac Oeil. Ilelme ont aussi observé des résultats favorables. Mais, à côté de ces r

ées de la syphilis, et de la chlorose. Pierre Marie et Guillain ont observé un cas de céphalée syphilitique améliorée par l

a ponction lombaire dans l'hydrocéphalie des jeunes sujets. Molli a observé la guérison d'un cas de stupeur IYP¡"II1aniaquc p

. CROUZON ] 1144 LIQUIDE ctt>it : r,o-tcittnit;v.. Castaighe a observé un cas analogue. Méry et Courcoux ont guéri un

elles et écoulement prolongé du liquide céphalo- rachidien. On peut observer des écoulements de liquide céphalo- rachidien p

surtout s'accélère. Lecène compte 150 pulsations; avec Merle, nous observons chez le chien, un pouls fémoral qui atteint 150

em), la glycosurie et l'albuminurie (Mocquin). La mort subite a été observée par Kratter et Bôhmig, Ilensen, Bressler et nou

ue aisément de l'idiotie amaurotirfue de Sachs qui est familiale, s' observe presque uniquement ehux les Juifs et comporte d

température était légèrement abaissée (50°, 8). D'autres fois, on a observé , à côté des signes cardinaux qui viennent, d'êt

ale de la tuberculose épen- dymaire. Nous avons, pour notre compte, observé une tuberculose typique, chronique de l'épendym

cérébro-bulbaires, aiguës tandis que la polymie et la glycosurie s' observent plutôt dans les épendymites uniquement bulbaire

expliquer par les lacunes concomitantes et les lésions épendymaires observées ressemblent trop aux altérations banales, quasi

conciliable avec un certain nombre de faits analonio-cliniques bien observés (épendymites pures de Rilliet, Parkes Weber, lo

ici. Les règles générales qui RADIODIAGNOSTIC. H 65 doivent être observées pour l'obtention de bonnes épreuves sont plus e

s étranger ait pénétré dans la colonne vertébrale; on peut en effet observer une paraplégie brusque, ou bien dans le cas de

Exceptionnellement, dans une tumeur purement intra-cranielinc, on a observé des atrophies et des usures osseuses décelables

ropos de l'acru- 111éallC. Des déformations d'ensemble du crâne s' observent dans l'acro- mégalie, dans la dysostose cléido-

os ostéomalaeiques, rachitiques et syphilitiques, nous ont permis d' observer tout d'abord d'une manière constante, dans la p

tion de la sensibilité objec- tive ni de la motricité; Dcsplats n'a observé que trois résultats négatifs. De semblables ten

ition à peu près complète des mouvements volitionnels, Babinski (2) observa , il la suite de pratiques radiographiques, une

dans des paraplégies spasmodiques : les meilleurs résultats ont été observés dans des cas de paraplégies spasmodiques dépend

u sur les muscles des pro- duits de l'électrolyse interne. Ils ne s' observent qu'avec de forts cou- rants. Il convient de rem

ntement et graduel- lement. .COURANT GALVANIQUE CONTINU. 211 On observe encore sur les nerfs moteurs des effets du couran

ux et dans des modifications de l'état électrique des nerfs; on les observe facilement sur un nerf dénudé et isolé, parcouru

nburg a trouvé les mêmes modifications de l'excitabilité que celles observées dans les recherches physiologiques, Erb a trouvé

dant les applications du courant galvanique à la face ou au cou, on observe souvent une augmentation de la sécrétion salivair

e sur le biceps. , EXPLORATION DE L'EXCITABILITÉ GALVANIQUE. 1219 observe alors, au lieu d'une contraction, la cessation de

me font souvent défaut à l'ouverture; NOC s'obtient rarement, POC s' observe plus facilement, mais reste en général inférieu

du courant. Au moment où commencent les premières excitations, on observe souvent de la vaso-constrielion, la peau est aném

l'excitabilité électrique, faradique et galva- Li - nique, peut s' observer dans des affections du système nerveux central,

fure de carbone, l'augmentation de l'excitabilité électrique peut s' observer aux périodes initiales, plus tard elle se trouve

a donné à ces modifications de l'excitabilité galvanique des nerfs observées dans ces conditions le nom de réaction de compres

On a étendu la compréhension de cette réaction aux divers cas où on observe de l'augmentation des secousses d'ouverture et on

TRO-DIAGNOSTIC. cécs de leur évolution. Ainsi on aura occasion de l' observer dans des pa- ralysies cérébrales anciennes, cla

u pour les périodes initiales. Dans les atrophies musculaires qu'on observe parfois dans les hémi- plégies cérébrales, l'ex

ter incomplète. La diminution simple de l'excitabilité électrique s' observe aussi dans des névrites périphériques à une pér

e rencontre encore dans les affections primitives des muscles. On l' observe dans les diverses formes de myopathies, proport

fractures, notamment dans les myosites des fléchisseurs des doigts, observées plus particulièrement chez les enfants dans des

s cas graves, elle finit par disparaître, mais cette abolition ne s' observe qu'après de longs mois, souvent même après plus

contre assez souvent sur certains muscles, même à l'état normal. On observe surtout cette inversion (PFC > INFC) lorsque l

forme et qu'elle reste vive. Cette inversion artificielle peut s' observer 1, l'étal normal sur un assez grand nombre de m

ifestations de la DR restent assez mal caractérisées, aiusi qu'on l' observe parfois, mais plutôt dans les formes partielles d

citabilité d'un nerf dans le territoire duquel existe de. la DU. on observe parfois des contractions lentes produites par l'e

portant ces contractions lentes il l'excitation du nerf : on peut les observer alors même que le nerf est inexcitable, Elles s

es s'expliquent par une excitation directe du muscle distance et. s' observent surtout dans la période où les muscles présentent

itera cette erreur en remarquant que les cnntrac- lions lentes ne s' observent que sur des muscles assez voisins du point où por

la branche inférieure du nerf facial en étal de dégénérescence, on observe fréquemment l'excitation avec contractions lentes

uisant des lésions plus ou moins prononcées des nerfs et qu'on peut observer en clinique dans certains cas, par exemple à la

A la période d'état de la DR succède 1. A cette période de la DU on observe assez souvent, en excitant les muscles, des mod

normal. N0C>POC. Cette inversion des contractions d'ouverture s' observe plus parti- culièrement quand il y a aussi inve

on diffère complètement des modifications des secousses d'ouverture observées dans la DR. Dans la réaction de Richard Geigel, i

xiste bien de l'augmentation des secousses d'ouverture, mais elle s' observe dans l'excitation du nerf et non dans l'excitat

compression. Dans la DII, l'augmentation des secousses d'ouverture s' observe dans des muscles et non dans l'excitation du ne

uvent en gravité et linissant par se transformer en DR complète. On observe plus particulièrement cette évolution de la DR

n présence soit d'une affection à évolution progressive, comme on l' observe dans certaines affections de la moelle, soit d'un

te. Dans les lésions des nerfs, médicales ou chirurgicales, la DR s' observe 1. Dans certains cas de tabes on rencontre des

ut manquer ou n'être que peu accusée et peu étendue; c'est ce qu'on observe , par exemple, clans certaines formes de paralysie

re d'établir le diagnostic. Les névrites dyscrasiques, comme celles observées dans le diabète, déterminent le plus souvent de

des muscles, il est de règle que la DR fasse défaut. Ainsi on ne l' observe pas dans les diverses formes de la myopathie, p

s et atrophies musculaires réflexes d'origine articu- laire ou on n' observe pas la DR. Dans les troubles moteurs des névros

aut. Dans les quelques cas de paralysies ou d'atrophies musculaires observées chez des hystériques où la DR a été signalée, i

uérison peut se produire malgré la présence de la DR complète. On l' observe , par exemple, dans les lésions traumatiques des

pour le moins, elles restent définitivement acquises, ainsi qu'on l' observe parfois dans des syringo- myélies s arrêtant pl

ériques susceptibles d'en- traîner de la DR avec processus aigu, on observe de bonne heure, dès les premières [E. HUET.] ]

très prononcée et l'inversion polaire peut. être peu accusée. J'ai observé cette forme de DR non seulement dans des lésions

tité et n'est que peu altérée en qualité ; c'est tout au plus si on observe un peu de retard dans l'apparition de N F Te; cep

fermetures du courant, ou encore avec des courants labiles, on peut observer aussi la persistance des contractions. Muscle

effectue rapidement. ff R ! 'rE1\ J2H4 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. Pour observer ce résultat il faut, si l'on emploie des courants

tion un intervalle de repos de quelques secondes également. On peut observer le même résultat avec des courants à intermittenc

ionnées prennent l'étendue qu'elles auraient dans l'état normal. On observe encore un effet sem- blable avec des courants i

u un peu supérieure à celle de la cathode, rappelant ainsi ce qu'on observe dans la réaction de dégénérescence. Cette actio

tion myotonique la persistance des contractions tétaniques que l'on observe parfois, en dehors même de tout état pathologiq

sthénique Jolly a signalé des troubles de l'excitabilité électrique observés dans un genre d'affections qu'il a appelées mya

action myasthénique des troubles de l'excitabilité électrique qu'on observe parfois dans certaines conditions, notamment da

Dans ces cas, on diminue ou l'on fait même disparaître les troubles observés en modifiant convenablement les conditions de l'e

du nerf optique, des modifications dans les réactions com- munément observées . De tous ces faits il ne se dégage pas jusqu'à pr

passage du courant il l'état permanent. Du côté du pote positif on observe une sensation acide, un goût métallique, du côté

que de la diminution ou de l'abolition de ces sensations; on les observe principalement dans les cas de lésions du nerf li

; il est plus rare d'obtenir des sensations à PF et à NO, on pent l' observer cependant et même voir P F prédominer sur N F.

STIC. conductibilité plus grande des tissus de l'oreille comme on l' observe dans la furonculose du conduit auditif externe,

uilibre et à tomber, surtout lorsqu'il est debout. En même temps on observe souvent du côté des yeux du nystagmus latéral.

suivant l'examen de la même façon que précédem- ment, il y a lieu d' observer non seulement à quelle intensité se reproduit l

rendrait plus grande la résistance au vertige voltaïque, comme on l' observe dans le cas de tumeurs intracranienncs (Babinsk

tion secondaire de la résistance après le renversement du courant s' observe notamment avec des électrodes contenant des sel

ctrodes contenant des sels de zinc en contact avec la peau : elle s' observe aussi avec des électrodes contenant des sels de c

a résistance se montre alors relativement faible et les différences observées sont généralement peu prononcées. [E HUET.] 1

éviations du galvanomètre ou aux intensités du courant précédemment observées . Les résultats ainsi obtenus ne sont qu'approxi

résistance est loin d'atteindre en durée et en proportions ce qu'on observe avec les courants galvaniques. De la manière di

d'années, les modifications de la résistance électrique qu'il avait observées dans l'hystérie et dans le goitre exophtalmique

Dans la mélancolie (les étals de mélancolie anxieuse exceptés), on observe généralement une augmentation souvent considérabl

Vigoureux, d'Arman). Dans le goitre exophtalmique, au contraire, on observe habituellement de la diminution de la résistanc

céments avec lesquels il faut le diriger, et sur la surveillance à observer du côté de la contracture. Les courants galva

ec, quelques muscles ou groupes musculaires profondément altérés on observe parfois, sous l'in- lluence de la prédominance

a- lysies plus graves avec DU plus ou moins accentuée, comme on l'a observé dans des cas d'ivresse profonde avec sommeil pr

prononcée. Ce mode de terminaison des paralysies faciales graves s' observe même dans des paralysies abandonnées a elles-mê

rants faradiques à intermittences semi-fréquentes ou fréquentes, on observe la même conduite au sujet de l'intensité il donne

augmentée et portée plus ou moins rapidement. suivant la tolérance observée , à 15 ou 20 minutes, parfois une demi- heure, r

réquence, galvanisation et faradisation. Les quelques améliorations observées n'ont été que transitoires, et m'ont paru plutôt

chidiennes de sérum anliniéningo- coccique. Les états d'agitation observés en pathologie mentale, les accès d'excita- tion

opposé ; en effet vous devez être frappés par ce caractère qu'on n' observe guère dans l'hémispasme hystérique, à savoir qu

s l'abolition du réflexe à la lumière des pupilles peut encore être observée dans deux autres circonstances différentes ; d'

ou la simulation ne saurait développer. Ai-je besoin de vous faire observer que le symptôme inverse de l'enophtalmie, l'exo

s le tabès l'absence des réflexes rotuliens; ce phénomène peut être observé aussi dans les névrites et dans la poliomyélite a

e point il a conservé ses propriétés normales (Erb). C'est ce qu'on observe habituellement dans la paralysie radiale vulgai

ue etquisont bien plus importants que les précédents, car on ne les observe jamais dans les attaques d'hystérie et parce qu'i

gique de haute valeur au point de vue sémiotique, mais je vous fais observer que la déclaration seule de l'intéressé ou même

ne serait pas capable de reproduire ; si, par exemple, après avoir observé le sujet à nu, on a vu l'urine sortir sans jet,

QUE ET SYMPTÔMES SUBJECTIFS si laires. Nous n'avons jamais non plus observé chez eux soit la polyopie monoculaire, soit cet

une perte de conscience. Aujourd'hui, les médecins sont avertis, s' observent ; aussi ces crises sont-elles devenues bien moins

», à un acte de la volonté. Parmi de très nombreux faits que j'ai observés et dans lesquels la sug- gestion médicale, résu

qu'une aggravation du mal est fort à craindre ; il lui recommande d' observer attentivement son enfant, de le questionner de te

rendus de la Société de Biologie, séance du 22 février ¡8g(j. Ai observé dans un certain nombre de cas d'hémiplégie ou de

ent un mouvement d'extension sur le métatarse. Il m'a été donné d' observer ce trouble dans des cas d'hémiplégie récente re

ais je dois ajouter que ce trouble n'est pas constant. J'ai aussi observé dans plusieurs cas de paraplégie crurale due à un

ais vous faire connaître la technique qu'il faut employer pour bien observer le mouvement réflexe des orteils. Il importe que

at physiologique. Voici maintenant quelques sujets chez lesquels on observe le phénomène des orteils. Le premier est une

vue d'une manière méthodique les affections dans lesquelles on peut observer le phénomène des orteils. C'est d'abord l'hémip

DES ORTEILS ET SA VALEUR SÉMlOLOGIQUE 33 vous ai présentée je l'ai observé dès le premier examen qui avait été pra- tiqué

é gauche ne présentait aucun trouble de la motilité. J'ai également observé le signe des orteils chez un individu atteint de

n plaques, de syringomyélie, de sclérose latérale amyotrophique, on observe souvent le phénomène des orteils et il est géné

quelles le signe des orteils paraît faire défaut. Je ne l'ai jamais observé dans l'hystérie, que cette névrose se fut manifes

ressive primitive, de névrite périphérique que j'ai eu l'occasion d' observer . Je ne l'ai pas constaté non plus dans la polio-

oduire. Dans deux cas de section traumatique complète de la moelle, observés par PHÉNOMÈNE I)ES ORTEILS ET SA VALEUR SÉMIOLO

le, soit tout au moins possible et que jusqu'à présent, je n'ai pas observé une seule fois ce signe chez un sujet dont le s

idal, mais que ce lien n'est pas tant s'en faut indissoluble. Aussi observe-t -on fré- quemment la réunion de ces signes chez

dineux et trépidation épileptoïde du pied, tandis qu'inversement on observe très nettement ce signe dans des cas où, malgré l

attirée aussi, depuis assez longtemps, sur ce phéno- mène que j'ai observé à l'état normal ainsi qu'à l'état pathologique (v

ettre l'avis qu'il s'a- gissait d'hystérie ou de simulation ; ayant observé chez ce malade une abduction très nette des ort

tendre et que la secousse mus- culaire seule est susceptible d'être observée . On obtient encore une extension de l'avant-bra

er les erreurs grossières trop souvent commises par ceux qui ne les observent pas. REFLEXES TENDINEUX ET OSSEUX A L'ETAT NORM

s encore attirer l'attention sur une autre cause de confu- sion. On observe , en effet, notamment chez certains paraplégiques,

te d'indiquer, à cet égard, les variétés les plus communes que l'on observe . L'irréflectivité, quand elle est partielle, pe

ue qui nous occupe, on peut classer les maladies dans lesquelles on observe de l'irréflectivité en deux groupes. Au premier

neurologistes (Erb, Biro, Goldflam, Soeger, Oppenheim, etc.). On observe parfois une abolition croisée des deux réflexes,

névrites. Dans la grande majorité des cas de névrites, en effet, on observe un affaiblissement ou une abolition des réflexe

ices ou qu'elle atteigne de préférence les fibres sensitives ; on l' observe non seulement dans les névrites graves avec réa

eaucoup plus rare que dans le tabes. Contrairement aussi à ce qu'on observe dans la maladie de Duchenne, il n'est pas rare

enir normaux, si même dans le tabes, quoique exceptionnellement, on observe le retour des réflexes en particulier sous l'in

périeurs ne seront troublés que d'une manière partielle ; on pourra observer alors, soit le réflexe paradoxal du coude, soit l

spondylose, l'abolition des réflexes rotuliens et achilléens, qu'on observe parfois, ainsi que je l'ai montré, est liée vrais

neux dans la paralysie pério- dique, affection très rare en France, observée surtout en Allemagne, en Pologne et en Russie.

l s'agit de déter- miner. Il existe un certain nombre de faits bien observés où l'on a pu établir que des lésions concomitan

ogie entre ces faits de patholo- logie expérimentale et ce que l'on observe chez l'homme ? Nous poserons la question sans l

flectivité est rare, elle est commune dans la surréflectivité. On l' observe , en effet, dans un grand nombre de cas de malad

énomène que les cliniciens appellent « épilepsie spinale » et qu'on observe le plus sou- vent au pied. On le désigne alors

e à une trépidation que j'appelle fruste ('), phénomène banal qu'on observe chez des sujets dont il y a tout lieu de considér

rive plus facilement après plusieurs essais et la trépidation qu'on observe alors se rapproche davantage de l'épilepsie parfa

a signification du clonus du pied. Outre la trépidation du pied, on observe des phénomènes identiques dans d'autres parties

ant-bras. Nous n'insisterons pas sur une trépidation analogue qu'on observe plus rarement aux orteils et aux doigts. Les

ectivité est circonscrite dans un des membres supérieurs. Ce type s' observe plus rarement que le précédent; il n'est guère ca

r li,% ni NSK 1. . 5 66 SÉMIOLOGIE dix cas d'hémiplégie récente observés par Ganault C), le réflexe rotulien était norma

s l'hémiplégie par compression lente, contraire- ment à ce que l'on observe dans les autres formes d'hémiplégie, la surré-

roduire aux membres inférieurs des troubles identiques à ceux qu'on observe dans le tabès dorsal spasmo- dique, entre autre

e de la contraction réflexe du masséter. Contrairement à ce qu'on observe dans la paralysie spastique d'Erb, la surréflec

des cornes antérieures acquièrent une certaine intensité. J'ai même observé un cas de sclérose latérale amyotrophique dans

t du moins par ce mécanisme qu'on peut expliquer la surréflectivité observée parfois consé- cutivement aux lésions osseuses

avant tout une exagéra- tion du réflexe achilléen et on pourra même observer la trépidation épi- leptoïde du pied; une arthr

parition de la paralysie. Voici un certain nombre de types que l'on observe : -. a) Les réflexes tendineux des quatre membr

exception du réflexe de flexion qui est exa- géré. De plus, on peut observer alors, dans toute son intensité, le « réflexe p

ntion sur les faits de ce genre. Je dirai, par parenthèse, que j'ai observé le réflexe paradoxal chez des sujets atteints d

lexes achilléens. Cette disposition est l'inverse de celle que l'on observe parfois dans le tabès associé à l'hémi- plégie

pyramidaux une action destruc- tive ou simplement perturbatrice. Qu' observons -nous alors ? Les réflexes tendineux des membres

is les physiologistes pour dési- gner les mouvements réflexes qu'on observe chez l'animal et qui sont par- ticulièrement in

ed reste généralement fixé au sol ; exceptionnellement cependant on observe aussi une flexion de la cuisse, mais on a l'imp

ction le pied se fléchit, parfois très énergiquement, ce que l'on n' observe jamais à l'état physiologique. Ce procédé est p

e sont de beaucoup les plus communs. Mais il faut savoir qu'on peut observer aussi des réflexes de ce genre aux membres supé

l est généralement conservé. Dans l'hémiplégie organique, on peut observer , du côté de la paralysie, des perturbations de

à des lésions scléreuses de la moelle, il n'est pas exceptionnel d' observer le signe des orteils alors que les réflexes ten

témoi- gnage d'une lésion des faisceaux pyramidaux. C'est ce qu'on observe , en particulier, dans l'hémiplégie associée au

de ce qui vient d'être dit que la contracture vulgaire, celle qu'on observe d'habitude dans les lésions de la voie pyramidale

abilité contraste avec l'instabilité de la raideur musculaire qu'on observe dans diverses affections auxquelles on a donné le

Dans l'hémiplégie infantile, dont j'ai déjà eu à m'occuper, on peut observer deux variétés de rigidité musculaire. L'une resse

ui, étant donné le but que nous visons, mérite d'être décrite. On l' observe surtout aux membres inférieurs et elle est un d

ie organique. Je n'ignore pas que certains médecins affirment avoir observé dans l'hémiplégie hysté- RÉFLEXES TENDINEUX ET

ne lieu de ce côté à plusieurs secous- ses consécutives, ce qu'on n' observe pas à droite. Le mouvement réflexe de flexion de

gine organique. Voici maintenant les autres particularités que j'ai observées , sur les- quelles je désire insister et que je

é gauche, il en est tout autrement : le bras se meut très peu et on observe comme une inversion dans les rapports entre les

des signes différentiels classiques; il est arrivé à tout médecin d' observer des cas de ce genre. Les caractères dont on se

é bien souvent des erreurs de diagnos- tic et récemment encore j'ai observé un fait de ce genre que mon interne, M. Cestàn,

nt par la mort. Le médecin n'est donc que rarement en mesure de les observer et de se fonder sur leur présence pour établir

nt déjà décrits; dans le cours de mes examens j'ai été conduit à en observer quelques nouveaux dont je me suis aussi efforcé

mais non pas à tous, tant s'en faut. Il n'est pas rare, en effet, d' observer chez des sujets atteints d'hémiplégie depuis pl

us active; je n'ai jamais vu le contraire. I)ans l'acte du rire, on observe aussi assez souvent que la commissure labiale s

er de la paralysie faciale liée à l'hémiplégie organique. On peut observer dans cette espèce de paralysie faciale un abaisse

des muscles, il est une manifestation de leur activité. Jamais on n' observe dans la paralysie faciale hystérique l'abaissem

, comme dans la paralysie organique, mais, contrairement à ce qu'on observe dans celle-ci, la déviation peut être prononcée e

a Société médicale('). C'est dans l'hémiplégie organique que j'ai observé ce trouble qui consiste en ce que, dans certain

phérique, le peaucier étant en partie innervé par le facial. J'ai observé deux sujets atteints d'hémiplégie organique chez

u cou d'un seul côté, je conçois fort bien que ce signe puisse être observé dans l'hystérie ou plutôt être simulé par l'hys

on organique. Passons à l'étude des troubles de motilité qu'on peut observer dans les membres et dans le tronc et qui sont p

exagération ou avec affaiblissement des réflexes tendineux, qu'on l' observe , mais je l'ai constaté aussi, ce qui peut paraî

nnaître il y a deux ans et auquel j'attache une grande valeur. On l' observe chez la plupart des sujets atteints d'hémiplégi

ncore à admettre que cette interprétation est juste, c'est que j'ai observé le mouvement de flexion combinée de la cuisse e

ffection que dans l'hémiplégie organique, elle peut pourtant y être observée , qu'il en est de môme de l'affaiblissement ou de

exagération des réflexes n'est qu'apparente, que le mouvement qu'on observe se compose de deux éléments qui représentent le

ie les phénomènes tendineux. Je dois reconnaître cependant que j'ai observé , dans un cas de contrac- ture hystérique crural

sous la dépendance d'une lésion qui atteint le système pyramidal on observe ce signe du côté paralysé. Il existe dans la pl

LÉGIE HYSTÉRIQUE 105 Dans les paralysies hystériques je n'ai jamais observé le phénomène des orteils et j'estime que, si so

r l'attitude de la main et des doigts, la griffe particulière qu'on observe dans bien des cas d'hémiplégie orga- nique et q

e fois que vous renouvellerez la tentative. Chez l'hystérique, vous observerez géné- ralement le même fait dans la plupart des

ue, a une forme spéciale que la volonté ne peut réaliser et qu'on n' observe jamais dans l'hystérie, que, d'autre part, l'as

ximative, le trouble en question; aussi, quoique je ne l'aie jamais observé dans l'hystérie, il me semble fort possible qu'

ttirer l'attention sur un trouble mental que j'ai eu l'occasion j d' observer dans l'hémiplégie cérébrale, et qui consiste dans

ée quelque temps dans un état démentiel. Une autre malade, que j'ai observé avec le Dr Larcher, atteinte également d'hémi-

ogisme pour désigner cet état et de l'appeler anosognosie. , J'ai observé aussi quelques hémiplégiques qui, sans ignorer l'

e. Je ferai remarquer, en terminant, qu'il s'agissait, dans les cas observés , d'hémiplégie gauche. L'anosognosie serait-elle

st aux membres inférieurs qu'on a le plus souvent l'occasion de les observer et c'est là peut-être qu'ils se présentent le plu

peuvent s'associer de diverses manières : chez tel paraplégique, on observera aux deux membres inférieurs des réflexes de déf

'ici que des réflexes de défense aux membres inférieurs. On peut en observer aussi aux membres supé- rieurs ; ils consistent

scription qui précède s'applique aux réflexes de défense qu'on peut observer à l'état pathologique. Ces réflexes existent-il

le on peut opposer divers arguments. Il n'est pas rare, en effet, d' observer des malades chez lesquels l'excitation du tégum

xtension du gros orteil se maintient beau- coup plus longtemps et s' observe assez souvent jusque vers l'âge de 18 mois. (2)

nérale des ré- flexes de défense exagérés explique qu'on puisse les observer dans toutes les affections atteignant la voix p

côté de la paralysie motrice ; dans un cas cependant il les avaient observés du côté opposé. De l'ensemble des faits qui ont

n non destructive de la voie pyra- midale. » J'ai eu l'occasion d' observer chez une malade atteinte de paraplégie spasmodi

profondes. Pour commencer, j'envisagerai unique- ment les réactions observées aux membres inférieurs du côté excité, fai- san

ais vous verrez ultérieurement pourquoi je la fais) et me bornant à observer les mouvements exécutés par le pied, la jambe et

érieur est un des plus communs et l'on a couramment l'occasion de l' observer en clinique. On le constate ordinairement chez

d'une extension de la jambe sur la cuisse ; j'ai particu- lièrement observé cette modalité chez des malades plus ou moins con

mbe et de la cuisse. Ce sont là les mêmes mouvements que ceux qu'on observe à l'état pathologique. Mais chez le sujet normal,

Sans doute, le retrait de la cuisse et celui de la jambe qu'on peut observer alors semblent volontaires et diffèrent d'habitud

Mais, encore une fois, l'une peut se produire sans l'autre. On peut observer non seulement le phénomène des orteils en l'abs

elque temps le mouvement réflexe précédent. Il m'est arrivé alors d' observer , après avoir pincé la peau de la jambe ou du dos

être très communs, ne sont pas tout à fait exceptionnels ; j'en ai observé déjà un assez grand nombre et vous aurez l'occa

lète liée vraisemblablement à une plaque de sclérose ; d'un côté on observe la trépidation épileptoïde du pied et le triple r

ssocié au signe de Babinski, mais ne lui est pas superposable. On l' observe en effet en dehors de ce signe, particulièrement

1910, p. 287, Claude traite de l'hyper- kinésie réflexe qu'on peut observer au membre supérieur. En janvier 1911 (Revue Neu

et les ont inspirés dans leurs interprétations des faits cliniques observés . Le nom de Philipson, collaborateur de Sherring

ux avec exagération notable des réflexes de défense. C'est ce qu'on observe d'habitude dans la maladie de Friedreich ; c'es

ux étaient normaux, affaiblis ou même abolis du côté paralysé. » On observe très couramment des malades atteints de paraplégi

moelle inté- ressant les faisceaux pyramidaux est incontestable, on observe une contracture associée à une abolition à peu

rales. En ce qui regarde la nature des lésions, d'après ce que j'ai observé , je pense que l'exagération des réflexes de déf

par divers auteurs ('). Les faits de section complète de la moelle observés à la suite de trau- matismes de guerre ont mont

rsité des cas et à ce qu'un même auteur a eu seulement l'occasion d' observer un nombre de faits restreint. 11 y aurait tantô

lésion unilatérale. C'est une disposition contraire de celle qu'on observe , comme nous l'avons dit, à une période plus avanc

sée analogue au « crossed extension reflex » de Philipson. « Pour l' observer , il faut choisir un malade très spasmodique, non

urait pas de véritables réflexes croisés : dans 6 cas sur les 8 cas observés , la flexion réflexe du côté excité s'associe à

du côté excité s'associe à une flexion du côté opposé; on peut bien observer parfois de ce côté une contraction du quadricep

tension croisée). » b) Présence des réflexes en extension, qui ne s' observeraient que quand il y a persistance de l'influence des

chapitre, je ferai remarquer que l'on a très rarement l'occasion d' observer des cas avérés de section totale de la moelle.

ui, étant donné le but que nous visons, mérite d'être décrite. On l' observe surtout aux membres inférieurs et elle est un d

réflexes s'opérant toujours en flexion ; l'extension, quand elle s' observe , n'étant qu'un effet du relâchement des fléchisse

tion bruyante (phénomènes analogues aux « pseudaffective réflexes » observés par Sherrington chez les animaux décérébrés).

uvent d'ail- leurs être associées. Nous pensons que les réactions observées chez les malades qui font l'objet de notre trav

t Foix ont insisté sur la présence des réflexes d'extension croisée observés par eux chez certains sujets atteints de lésion

segments du membre, et que les mouvements alternatifs rythmés qu'on observe chez le chien spinal font ici défaut. M. Foix

son, de Sherrington, est que ces réflexes de flexion tels qu'on les observe à l'état pathologique traduisent la libération de

ration de la moelle par rapport aux centres supérieurs. Les faits observés cadrent fort bien pour la plupart avec cette conc

encore d'autres faits sur lesquels nous avons déjà insisté. On peut observer parfois, nous le rappelons des sujets atteints

comme la réduction des premières : de part et d'autre, en effet, on observe le phénomène de la triple flexion avec contractio

riple flexion du pied, de la jambe et de la cuisse. M. Riddoch fait observer que la flexion réflexe des orteils fait partie

action ancestrale, et si l'on se rappelle que chez l'adulte on peut observer un réflexe en flexion chez des sujets atteints de

la jambe et le pied se fléchissent ou s'étendent simultanément. On observe les mêmes mouvements, que l'animal soit vivant

mmobiles. Mais, quelques instants après que la bande a été ôtée, on observe une transformation du réflexe cutané plantaire :

ration de la sensibilité (épingle, glace, etc.). Or, voici ce qu'on observe : A une distance de la ligne médiane variant, s

de l'anesthésie hystérique est un fait que nous avons maintes fois observé . Il n'en va pas de même d'habitude dans les ane

fusion, qu'en particulier dans les anesthésies d'origine spinale on observe fréquemment des fluctuations dans l'intensité d

t en tenant compte de l'hyperalgésie toujours présente dans les cas observés jusqu'ici, nous les appellerons réflexes hyperalg

consistent en secousses d'une intensité et d'une brusquerie qu'on n' observe pas à l'état normal, nous dirons qu'il s'agit d

spécial des réflexes hyperalgé- siques, dans les cas que nous avons observés , il siège sans doute au-dessus de la lésion, pr

ons ('). (') Dans l'hémiplégie liée à une lésion cérébrale, on peut observer des phénomènes ayant des ana- logies avec ceux

ents volontaires, chez les divers malades sur lesquels nous l'avons observée , s'est présentée sous le même aspect, particuli

profondément destruc- tive ; du reste, jusqu'à présent nous l'avons observée seulement dans la sclérose multiloculaire et da

rès avoir été mis au cou- rant de mes recherches, a eu l'occasion d' observer un troisième fait superposable aux deux précéde

Magnus a signalé incidemment chez le poulpe le phéno- mène que j'ai observé chez l'homme ; le réflexe à la lumière serait par

es, en particulier l'inégalité des pupilles, qu'il n'est pas rare d' observer dans l'anévrisme de l'aorte, sont attribués à une

ne donne pas lieu à une abolition du réflexe à la lumière, que l'on observe ici. Il faut donc chercher une autre explicatio

té dont on est capable, la main en pronation, puis en supination, Observez le malade H. M., atteint, comme vous le savez, d'

e trouble du membre supérieur gauche s'impose à l'observation. On observe donc chez tous les- malades que je viens de faire

élaboration de ce tra- vail, la description des phénomènes que l'on observe dans la clinique humaine ; toutefois, il nous a

s ferons des réserves à leur sujet. Mais la plupart n'ont guère été observés jusqu'à présent, chez l'homme, que dans les aff

iendrons ultérieurement sur ces oscillations et sur celles que l'on observe au cours des mouvements spontanés. Nous insisto

exécution de ces mouve- ments la mesure est dépassée. ... Peut-on observer des mouvements volontaires, à la fois rapides et

Voici ce que nous avons constaté dans le premier cas que nous avons observé et qui, étant donné la netteté des troubles, se p

arrière et à courber le tronc dans le même sens en forme d'arc. On observe alors qu'ayant imprimé à son corps un degré d'in-

élèvent notablement au-dessus du sol, contraire- ment à ce que l'on observe chez un sujet normal et vigoureux. Sans doute,

n majeure, partie aux dépens du cervelet. Ultérieurement nous avons observé que les troubles asynergiques tels que nous les

e flexion de la cuisse et du bassin. C'est un phénomène que j'avais observé déjà dans l'hémiplégie organique du côté de la

ie est tantôt bilatérale, tantôt unilatérale et alors ce symptôme s' observe du même côté que celui de la lésion cérébelleuse

éré- belleuse, c'est-à-dire du désordre des actes volontaires qui s' observent chez l'animal privé de cervelet, après disparit

mplexus symptomatique comprenant la presque tota- lité des troubles observés chez l'animal à une période donnée. En clinique

plet. Il en est qui emploient ce mot pour rapprocher les phénomènes observés des troubles ataxiques de la maladie de Duchenne

, les mouvements démesurés, par exemple, se distinguent de troubles observés chez les ataxiques. Nous rappellerons ici brièv

donné la dénomination de catalepsie cérébelleuse, et que l'on peut observer dans les affections de l'appareil cérébelleux,

rer la catalepsie cérébelleuse parfaite, ce qui l'est moins c'est d' observer des cérébelleux atteints de titubation, d'asy-

erçus, ou à l'attente de leur éclosion. Quand plusieurs signes sont observés dans un même cas, ils renforcent mutuellement l

osée, et, d'autre part l'action de chaque pôle peut être exactement observée . J'ai constaté alors de la manière la plus nett

.sé ou se porte en arrière. C'est la reproduction de certains faits observés chez l'homme. ' EXPÉRIMENTATION SUR LE COBAYE

etour est faible et fait parfois défaut, contraire- ment à ce qu'on observe quand le pôle positif est placé du côté sain. P

GIE VESTIBULAIRE 2t3 3 En diminuant alors l'intensité du courant on observe la succession des mêmes mouvements en sens inve

c G. A . Weill.) . Les mouvements réactionnels décrits par Barany s' observent au cours des différentes épreuves vestibulaires

légères de l'équilibre et de l'orientation. Voici comment on peut observer et mesurer une déviation angulaire spontanée, u

le même sens que la giration. Toutefois une grande variabilité s' observe dans l'amplitude et le sens de la déviation apr

e et parfois dépas- ser celles du mouvement réactionnel primitif. Observée après la giration elle nous explique la variabili

t varier beaucoup même à l'état normal, et d'un sujet à l'autre, on observera soit une déviation en sens normal (sens de la g

es comptes rendus de la Société de Biologie, séance du 6 mai 18gag. observé certaines modifications de l'excitabilité électri

analogie avec la réaction de dégénérescence. Chez le lapin, j'ai observé après la mort des modifications du même ordre,

cupant les deux branches du nerf. Un médecin électrise le malade et observe ce fait, qui frappe d'ailleurs le sujet lui-même,

et sur lesquelles j'ai l'intention de revenir ultérieurement, j'ai observé sur des grenouilles curarisées des modifications

ulier, mais tous les auteurs sont d'accord pour déclarer qu'on ne l' observe que pendant les premiers jours qui suivent le déb

de la secousse consécutive à la perte du tendon achilléen que l'on observe chez l'un des deux malades (chez l'autre, le ré

. Allard, dans sa thèse, a déjà signalé cette particularité qu'il a observée chez quelques malades atteints d'atrophie muscula

que, l'inversion polaire et l'hypoexcitabilité faradique qu'on peut observer dans les muscles dont le nert moteur n'est pas

l'étude des faits cliniques que M. Bordier s'attache surtout. Il a observé , en hiver, des réactions électriques d'hypothermi

se musculaire est lente. Ils ont indiqué les modifications que l'on observe chez les blessés atteints de troubles d'ordre r

secousses faradiques, conséquence de la lenteur de ces secousses, s' observe dans les faits de cet ordre et qu'elle disparaî

te si le circuit de la batterie 1 est fermé que s'il est ouvert. On observe un résultat analogue si au lieu d'employer la bat

é ses imperfections. Il s'agit d'une jeune fille de 17 ans que j'ai observée il y a dix ans. Elle se plaignait de douleurs d

être relaté. Je le rapprocherai d'un autre cas remarquable que j'ai observé . Il s'agit d'une femme atteinte aussi d'une aff

quand il est soutenu de chaque côté, il peut faire quelques pas. On observe alors une latéropulsion droite des plus prononc

de la syphilis. Nous fîmes cependant nos réserves à ce sujet, ayant observé autrefois des rémissions notables, à la suite de

de Horsley ont servi à établir; les faits, déjà nombreux, que j'ai observés moi-même m'ont convaincu de leur exactitude, et

e, sont exposés à des syncopes mortelles. Pour ma part, je n'ai pas observé d'accidents semblables, peut-être parce qu'en p

it produits ; on a publié des faits de ce genre et j'en ai moi-même observé des exemples très nets. Or, il est incontesta

droite, et exécute un mouvement de rotation de gauche à droite ; on observe alors à la nuque du côté gauche des plis de la pe

touille- ment de la plante du pied accentue encore l'extension ; on observe donc le phénomène des orteils. Rien d'anormal

du côté gauche. Or, si l'on admet que tous les phénomènes nerveux observés chez 1). sont de même origine, qu'en particulie

ou chez le malade que je vous présente sont semblables à ceux qu'on observe dans les cas ordinaires de torticolis spasmodique

asmodiques du cou avaient des caractères identiques à ceux que l'on observe dans les cas ordinaires de l'affection connue s

t à peu près constamment en rotation à gauche, et à tout instant on observe des contractions spasmodiques de certains muscles

ICOLIS « MENTAL n. PATHOGÉNIE ? ) Depuis igoi, j'ai eu l'occasion d' observer encore plusieurs sujets chez lesquels à un tort

fluences diverses. L'émotion, et en particulier le sentiment d'être observé , comme le dit lui-même le malade, augmentent le s

ent pendant le sommeil, ainsi que l'affirment les parents qui l'ont observé . Il présente des alternatives en bien et en mal

modifie, c'est surtout l'état émotif du sujet : si celui-ci se sent observé , s'il pense simplement à son bras, ils redouble

dent manifeste l'état de spasme dont nous venons de parler. Mais on observe à leur occasion autre chose encore : tout mouve-

er gauche seul se dessine sous la peau. Enfin, il nous est arrivé d' observer des spasmes du masséter gauche. La langue ne pr

u plan du lit. En pratiquant la même épreuve au cou-de-pied droit, on observe des réactions analogues mais moins marquées. '

érieur et du membre inférieur gauches, qui rappellent ceux que l'on observe dans l'athétose. ' (') Voir, pour l'énumérati

lésion des centres nerveux. Les mouvements spas- modiques que l'on observe chez lui, notamment du côté gauche, et qui ont

ociété de Neurologie de Paris, . séance du 12 janvier igo ? ). Ai observé chez un assez grand nombre de sujets, atteints de

té du corps, dans des cas d'hémichorée, que j'ai eu l'occasion de l' observer avec le plus de netteté et cette flexion se pro

ment, sa famille attire notre attention sur les variations que l'on observe dans son état. Tantôt elle mange, s'habille toute

ent leur intensité maxima. 27fi ' AFFECTIONS NON PYRAMIDALES S On observe chez elle des phases de mutisme absolu. Elle est

t à éliminer cette hypothèse, c'est que ce mutisme si spécial a été observé à l'état fruste chez d'autres parkinso- niens,

ont, comme nous l'avons dit précédemment, comparables à ce que l'on observe dans d'autres formes de la kinésie paradoxale p

ce trouble de la parole avec ses carac- tères originaux n'a pas été observé jusqu'à présent en dehors de la mala- die de Pa

du système pallidal. Avant de terminer, nous rappellerons un fait observé par l'un de nous(3), très analogue à un cas rap

tienne Bernard à cette même société en juillet 1922 Q. Nous avons observé deux malades rentrant dans cette catégorie. Cas

juillet 1922. 280 - AFFECTIONS NON PYRAMIDALES En pareil cas, on observe à la fin de l'inspiration, une sorte d'état spasm

t, on prend en considération ce fait que les troubles respiratoires observés chez nos malades sont très analogues, pour ains

muqueuse des lèvres plus à découvert qu'à gauche (voir fig. 10). On observe aussi une légère oscilla- tion de la tête de dr

du côté droit. Quand il cherche à maintenir son corps au repos on observe , outre les oscillations de la tête déjà signa

a relaté, il y a longtemps (lésion bulbo-protubérantielle), où il a observé pour la première fois les troubles qu'il a décr

é de Neurologie de Paris, - séance du i avril igo2. Nous venons d' observer dans le courant de ces six derniers mois trois

sse, replace le membre dans sa position pri- mitive, voici ce qu'on observe : à droite, le mouvement est à peu près normal, l

ruban de Reil ne se dirige vers l'écorce. Au-dessous des foyers, on observe une dégénérescence centripète moins intense que

? Serait-ce dans le faisceau longitudinal postérieur ? Nous ferons observer enfin que nous avons été à même de suivre les f

tails les plus importants relatifs à la technique. Principaux faits observés chez le malade B... - 10 Sans aucun doute possibl

vient d'attrihuer dans l'interprétation pathogéniquc des phénomènes observés , aux nuances que nous avons relevées. Babinski.

So6 AFFECTIONS DU BULBE Il me parait incontestable que les troubles observés chez ce malade sont liés à une lésion occupant

nt de 1 à 2 milliampères. Cette augmentation de résistance peut s' observer aussi dans des cas de tumeur intra-crânienne ac

tibulaires qui siègent exclusivement ou prédo- minent d'un côté, on observe communément un trouble que j'ai appelé : « l'in

l, elles ne sont pas nécessairement liées les unes aux autres. J'ai observé bien des malades atteints de lésion auriculaire

notable et constante. Cette notion de constance dans les anomalies observées est commune d'ailleurs à toutes les épreuves vest

nature de la dégénération des tubes nerveux, analogue à celle qui s' observe dans le bout central d'un nerf sectionné, au vois

nature de la dégénération des tubes nerveux, analogue à celle qui s' observe dans le bout périphérique d'un nerf sectionné, l'

sont détruits, se manifester cliniquement par les symp- tômes qu'on observe dans la myélite circonscrite destructive (paralys

s caractères anatomiques. Voici d'abord l'exposé des faits que j'ai observés : Observation I. L. Michel, âgée de cinquante a

n analogue à celle qui résulterait d'une excitation électrique ; on observe les mômes phénomènes, mais un peu moins prononcés

li- ques qui témoigne d'une sclérose diffuse légère telle qu'on l' observe fréquemment chez les vieillards. Observation II

n'est nulle part épaissie. Après avoir exposé les faits que j'ai observés , je dois chercher à faire ressortir les notions

la Société de Neurologie de Paris, ' séance du 5 juillet igo6. Ai observé et suivi pendant deux ans, depuis le début de sa

e d'une simple compression cérébrale par tumeur. J'avais d'ailleurs observé déjà des faits analogues et je savais qu'une lé

'attitude des membres inférieurs est bien différente de celle qu'on observe dans le tabes dorsal spasmodique. Les cuisses son

tronc, suivant la hauteur de la lésion. D'après les faits que j'ai observés jusqu'à présent, c'est dans le cas où l'anesthé

en pareil cas ses traits sont peu accentués. Habituellement, on l' observe chez des sujets atteints soit d'une sclérose sp

us avons constaté que les modifi- cations des réflexes précédemment observées aux membres inférieurs sont toujours présentes

tion artérielle : elles nous conduisent à rappro- cher les troubles observés , dans le membre supérieur droit de cette malade

u que la pathogénie « réflexe » des troubles physiopathiques, qu'on observe chez les blessés des membres, n'excluait pas un

ment par Mme Dejerine et l'un de nous ('), jamais ces auteurs n'ont observé les poussées rythmées que nous décrivons dans c

a région lombaire seraient presque inévitablement touchées, et l'on observerait aux membres inférieurs des signes décelant l'exis

orme fruste et ne s'impose pas alors à l'attention du médecin. J'ai observé déjà autrefois des faits de cet ordre et j'ai act

thèses, sur lesquelles je n'insiste pas. Je tiens surtout à faire observer , comme je l'ai fait autrefois pour le tabès con

demande à l'examiner si cela est possible et je suis arrivé ainsi à observer une quinzaine de cas de tabes conjugal. Je n'ai

uches, des accouchements d'enfants mort-nés et par le tabès. J'ai observé aussi deux fois des conjoints atteints l'un de ta

artie par une décoloration des papilles sem- - blable à celle qu'on observe dans le tabès et par une perturbation dans les

reposer quelques instants. Pour le reste, même étal. Les troubles observés chez cette femme, sauf la décoloration des papill

lésion de la voie réflexe centrifuge. Or, c'est l'inverse que l'on observe ici. Enfin l'évolution de la maladie, l'amélior

l et elle est, dès le début, bilatérale et symétrique. La névrite observée dans ce cas a les caractères de celte forme spéci

les caractères cliniques appartenant à cette névrite. Parinaud a observé l'association de phénomènes cérébraux ou de phéno

e du pseudo-tabes alcoolique. PSEUDO-TABES SPONDYLOSI()UE(1) J'ai observé plusieurs faits paraissant montrer que la spondyl

ymptômes lui parais- saient anormaux, nous avons pu, pendant un an, observer ce malade, prendre de nombreux tracés de son ch

ement concentrique inégal. Les scotomes hémiopiques ou en secteur s' observent aussi dans certains cas, et peuvent même présen

t toutefois d'avis que le scotome central n'existait jamais ou ne s' observait que d'une façon exceptionnelle. Et le scotome c

s ou presque, les trois quarts du champ visuel. En résumé : On peut observer un scotome central : i° chez un tabétique attei

e la vision va de pair avec la limitation du champ visuel ; 3° On observe aussi des cas où le rétrécissement concentrique s

out particulier de cette observation tient à ce que nous avons pu l' observer à une époque très éloignée de l'accident (sept

oursuivons actuelle- ment sur la sensibilité, il nous a été donné d' observer certaines jL particularités qui nous semblent d

sthésie, s'il existait une semblable disposi- tion, et nous l'avons observée . Ce fait, qui n'a pas été, à notre connaissance

tendue, mais, à la face postérieure de la fesse et de la cuisse, on observe une conservation relative de la sensibilité. Sur

e d'un seul segment de la moelle explique mieux tous les phénomènes observés . La conservation des réflexes tendineux est Fig

e la sensibilité, que nous avons examinés à cet égard, nous l'avons observée ; , 3" Les domaines où la sensibilité subsiste

en même temps l'observation des trois malades chez qui nous avions observé cette particularité. M. André Thomas a publié d

ades atteints de lésion transverse de la moelle, chez lesquels il a observé « une inéga- lité de répartition des paraplégie

décisive à l'aide de nouveaux matériaux. Les réflexes de défense s' observent assez souvent dans les paraplégies spasmodiques

de défense obtenus par l'excitation des membres supé- rieurs, qui s' observent plus rarement. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 3ï3 o

e si la lésion est courte. Dans cinq cas de ce genre que nous avons observés et où il y a eu une intervention chirurgicale,

asme extra- dure-mérien ou par pachyméningite. Nous avons récemment observé un 374 PAIIj1PLlGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE

à droite. Si les mouvements volitionnels sont à peu près abolis, on observe , par contre, des mouvements spasmodiques involo

et le chaud sur les jambes et les cuisses ; ces réflexes de défense s' observent également sur la paroi abdominale inférieure, d

oma et meurt au bout de trois jours. L'analyse seule des troubles observés chez cette malade nous avait per- mis de précis

quels nous tenons à insister en terminant. i° Les lésions méningées observées rentrent dans ce que l'on a décrit sous le nom

tivement restreinte, ou n'existe même pas du tout et voici ce qu'on observe : un territoire qui paraissait atteint d'anesth

teint. Notons que la même disposition des troubles sensitifs peut s' observer , que l'anesthésie atteigne tous les modes de la

icale, 1 autre après injection à la région lombaire. Voici ce qu'on observe sur les épreuves : l'ombre constatée autrefois

on notable de tous les troubles; et, contrairement à ce qu'on avait observé avant l'opéra- tion, la paralysie prédomine à d

communication orale, il nous fait savoir que depuis il a également observé des adhérences dans quelques cas d'injec- tions

ni aux membres supérieurs, ni à la tête. Étant donné les troubles observés chez cette malade, leurs caractères, leur mode

statations anatomiques, cherchons à interpréter les faits cliniques observés . Ces faits peuvent être divisés en deux groupes :

droite, contracture qui ne s'accompagne pas des modifications qu'on observe habituellement en pareil cas dans l'état de la

exagé- ration des réflexes de défense, car contrairement à ce qu'on observe dans la contracture cutanéo-réflexe, la triple

léable comprimant la moelle dorsale, que nous avons eu l'occasion d' observer jusqu'à présent. Voici deux observations de c

itives, qu'elles sont l'origine de tous les troubles symptomatiques observés et que le système nerveux central ne présente a

croisée » par opposition à un. autre mode de défor- mation qu'il a observé aussi dans la sciatique, « scoliose homologue »,

sychique, et dans laquelle, si j'en juge d'après les faits que j'ai observés jusqu'à présent, le signe en question fait défa

lement de certaines particularités morphologiques du membre malade, observé au repos et dans les gestes divers, on peut rec

de la Société de Neurologie de Paris, séance du 6 avril igo5. 'm observé des faits dont les uns confirment en grande parti

modifications de forme anormales. Or c'est ce qu'on constate ici; on observe une déformation du nez dont la pointe se porte

a commis- sure labiale se porte en haut et en arrière, ou encore on observe une association de ce dernier mouvement à un mo

vrai, m'a affirmé que chez un homme atteint de tic douloureux il a observé des phénomènes spasmodiques exactement semblabl

ans les fibres en voie de développement, comme dans celles qu'on peut observer il la suite de la section des nerfs, entre autr

abolition de la contrac- tilité idio-musculaire. Ce phénomène qui s' observe ici dans un grand nom- bre de muscles a été d'a

t servir à différencier cette affection de l'amyo- (') li. Thomas a observe déjà (Revue 11'euroloigue, décembre pno, p. 602),

ition des réflexes tendineux et de l'excitabilité idio-musculaire s' observe dans des groupes musculaires qui ont conservé l

ont remplies si l'on arrive à déter- miner des caractères faciles à observer , communs à toutes les manifesta- tions de l'hys

évois une objection que l'on pourrait me faire. Il n'est pas rare d' observer des cas d'hystérie incontestable se manifestant p

a psychothérapie, j'affirme qu'il s'agit d'hystérie, c'est que j'ai observé au préalable d'autres cas ayant un aspect clini

nous sommes arrivés à cette notion, c'est que nous avons auparavant observé des cas de monoplégie ayant les mêmes carac- tè

er tromper par de simples coïncidences. Si, par exemple, on n'avait observé qu'une seule fois l'amyotrophie liée à la para-

oculaire, et une dyschromatopsie qui, contraire- ment à celle qu'on observe dans le tabès et dans l'alcoolisme, porterait s

eur suffit, pour l'appeler hystérique, que le malade chez qui ils l' observent présente les stigmates de la névrose. En procéd

IATIS;11Ê champ visuel, les paralysies oculaires, déjà signalés, on observerait aussi parfois de l'immobité pupillaire pendant

etenir, en leur présence, mes élèves, des symp- tômes que l'on peut observer dans l'hystérie ; j'agis avec la même cir- cons

été soumis à des exa- mens oculaires. Nous n'avons jamais non plus observé chez eux soit la polyopie monoculaire, soit cet

arence involontaire de l'urine. Tout cela est incontestable, car on observe des malades chez lesquels il est parfois possib

ectifs comme, par exemple, l'abolition des réflexes tendineux qu'on observe si souvent dans les névralgies-névrites ; jamai

nt impossible de guérir ces troubles par persuasion et qu'on ne les observe jamais, contrairement à ce qui a été soutenu pa

est loin d'être démontrée. Pour ce qui me concerne, je n'ai jamais observé de fait probant d'hémorragie cutanée, de phlyctèn

achycardie ou de pouls lent pouvant être attribués à l'hystérie. On observe parfois dans l'hystérie, une émission d'urine qui

y a un écueil à éviter et il faut avant tout être sur que le malade observé n'est pas sujet, dans d'autres circonstances, à d

tait aucun signe stéthoscopique net de lésion pulmonaire, ce qu'on observe parfois au début de la tuberculose ; si cette m

ue les faits sur lesquels elles portent ont par- fois besoin d'être observés pendant plusieurs mois avant d'être rangés avec

il est difficile de se sous- traire. Un confrère qui croyait avoir observé un cas intéressant de fièvre hystérique m'avait

égique se tient sur ses jambes et marche quand il croit ne pas être observé ; mais les simulateurs sont ordinairement sur l

sur quoi je fonde cette opinion : parmi les cas nom- breux que j'ai observés , cette méthode ne s'est montrée inefficace que

de pou- voir être reproduits par suggestion. Mais je tiens à faire observer , car c'est l'essentiel, qu'il ne suffit pas qu'

a forme de ces troubles devraient être, contrairement à ce que l'on observe , à peu près pareilles dans les conditions ordinai

'est qu'apparente, qu'il s'agit bien de la reproduction d'une crise observée chez autrui, et que parfois aussi, ce qu'on app

ère, et il se produit ainsi parfois une véritable épidémie ; cela s' observe surtout si le chef de service ou ses élèves ont p

de retenir l'attention. Si, comme je viens de le rappeler, on peut observer encore, à l'hôpital, des épidémies d'hystérie, on

e je tâche de faire ressortir, de comparer l'hystérie telle qu'on l' observe actuellement dans les hôpitaux de Paris à l'hysté

ats nerveux que nous comparons, c'est que, contrairement à ce qu'on observe dans l'hystérie, la maladie du doute avec ses d

peut donner le même résultat. Il y a là un contraste avec ce qu'on observe dans les autres névroses et maladies mentales.

s pithiatiques, le médecin, tout en obser- vant ses malades, doit s' observer lui-même ; il surveillera attentivement ses par

i semble impossible d'établir une relation directe entre le trouble observé et l'accident subi, si le trouble ne lui parait

aient les caractères les plus parfaits de l'hypnotisme, et qu'ayant observé dans d'autres milieux que la Salpêtrière des ph

ressortit aussi à cette méthode : autrefois, il n'était pas rare d' observer dans une salle plusieurs malades à la fois en p

jonctures ou l'émotion semble immanquable, et ont été à même de les observer au moment du choc, avant la phase dite « de méd

est entrée à la Salpêtrière en 1840 et nous n'avons pas cessé de l' observer depuis 1871. A cette époque, elle était atteinte,

oque, dans le service de M. Raymond, à Saint-Antoine, 8 cas étaient observés dans les deux seuls mois de février et mars 1890;

our ma part, je crois bien qu'il y a plus de dix ans que je n'en ai observé un cas sérieux dans mes salles. C'est que, depu

de l'exposition, nous distinguerons quatre périodes dans les faits observés : i. à bord, immédiatement après le torpillage,

ion de continuité, au choc moral. L'étude des accidents hystériques observés en neurolo- gie de guerre n'a permis de constat

rus cependant en droit d'affirmer que, dans certains cas d'hystérie observés pendant la guerre, la suggestion n'avait pu int

es. Une description complète et détaillée des accidents hystériques observés en neurologie de guerre serait dès lors sans in

avec une fréquence très variable suivant l'observateur, les sujets observés et les conditions mêmes de l'observation. Il est

t, CRISES HYSTÉRIQUES. Les crises hystériques ont été fréquemment observées dans certains Centres. Elle se distinguent déjà

souvent elles imitent les anesthésies du type périphérique que l'on observe si fréquem- ment à l'heure actuelle. Cette dern

s reproduisant plus ou moins le type segmentaire peuvent aussi être observées dans le syndrome de Wolkmann, dans les paralysies

nt de paraplégies survenues dans ces conditions. Laurent avait déjà observé pendant la guerre des Balkans des faits de même

sont greffés des accidents pithiatiques qui survivent à ceux-ci. On observe aussi des monoplégies brachiales ou crurales tota

ans tous les cas de contracture hystérique qu'il nous a été donné d' observer et qui ont fait leurs preuves, il s'agissait d'

aturel, ainsi que l'ont noté Duvernay, Sicard et comme nous l'avons observé nous- mêmes ; elles se maintiennent parfois, no

réflexes cutanés ? Aucun des nombreux cas d'hystérie que nous avons observés n'est venu jusqu'à présent changer notre manièr

ues avaient été mis sur le compte de l'hystérie. Nous n'avons pas observé , non plus, depuis le début de la guerre d'oedèm

aire semble tout au moins probable et ren- drait compte de l'oedème observé . » A ces hypothèses on peut encore en joindre u

tif ne s'était pas établi. On put croire tout d'abord que les faits observés au début de cette guerre venaient sur ce point do

ERRE 543 Malgré la fréquence des phénomènes hystériques qui ont été observés de tous côtés, on n'a pas noté un seul fait d'é

ivement à des blessures. Mais de tels troubles ont été très souvent observés à la suite de fractures et de plaies des membres

Clovis Vincent, de Roussy('), de Léri ainsi que des faits nombreux observés par nous depuis le début de la guerre. Cl. Vinc

fréquentes, ce qui explique sans doute pourquoi il n'est pas rare d' observer , après une atténuation très notable des trouble

d'affection mentale telle que l'hébéphré- nie. Il n'est pas rare d' observer des accidents hystériques, des paralysies, des

genou se développent parfois des états parétiques du pied. On peut observer en pareil cas des contractures associées ou non

ssentiel- lement discutables. Ce sont, par exemple, les paraplégies observées à la suite des affections inflammatoires du rei

ésions de l'utérus ou de l'intestin (Brown-Séquard); l'hémi- plégie observée au cours de la pneumonie ; l'amaurose -consécutiv

-consécutive aux contusions du nerf frontal; les paralysies du bras observées à la suite de plaies par arme à feu de la cuiss

n de tous les autres réflexes tendineux et des réflexes cutanés, on observait , du côté malade, de la surréflectivité tendineu

ttitudes figées ou contractures, différant des faits habituellement observés et qu'on n'a su où classer. S'agit-il de manife

iable au poignet) qui égalait, si elle ne la dépassait, l'hypotonie observée dans les paralysies consécutives aux lésions de

ui précède que ces formes diverses de contractures et de paralysies observées pendant la guerre, sur la nature desquelles on

cutable, mais que l'on peut rapprocher des troubles d'ordre réflexe observés à la suite des lésions articulaires. SYMPTOMA

au toucher et qui peut être très accentuée. L'écart de température observé entre le membre malade et le membre sain (tempéra

esquels les troubles étaient très mar- qués (1). Les oscillations observées au membre malade sont fréquemment, par rapport

dérable. Si le degré d'asymétrie ne dépasse pas celui que l'on peut observer à l'état normal, c'est toujours du côté malade

ue le phé- nomène est le plus commun et le plus net, toutefois on l' observe égale- ment dans les muscles de la jambe, dans

N. D. L. fi. 566 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES tabilité. Mais on peut observer de la lenteur de la secousse voltaïque (Bour- g

érescence. Il y a parfois fusion anticipée des secousses. On peut observer encore une surexcitabilité mécanique des troncs n

igine trophique, comparable à la décalcification osseuse si souvent observée en pareil cas. Il est à remarquer que dans ce

s du sys- tème nerveux central comme l'hémiplégie infantile on peut observer une hypotonie semblable accompagnée de laxité a

ontrac- tures du membre inférieur que dans les formes hypertoniques observées au membre supérieur. Cette différence est à rap

peut la mettre en évidence par la narcose chloroformique. On peut observer au contraire un affaiblissement plus ou moins mar

sont si remarquables (2). L'abolition du réflexe cutané plantaire, observée dans les paralysies consécutives au traumatisme

cas de parésies réflexes atteignant le membre inférieur, nous avons observé de l'hypoesthésie à disposition plus ou moins seg

bilité s'atténuaient. Dans quelques cas d'acro-myotonie, Sicard a observé une anesthésie très profonde à la main et à l'a

r les gouttes de sueur perler à la surface des deux mains ('). On observe , tout particulièrement lorsque la lésion siège à

mains met en évidence cette décalcification du squelette qui a été observée par un grand nombre d'au- teurs à la suite des

vers. Suivant le siège de la contracture ou de l'hypertonie, on les observe aux articula- tions des doigts, au poignet, au

t Loewy, de Villaret l'objet de recherches intéressantes, peut être observée non seulement dans les névrites, mais aussi dan

araissant avoir rétrocédé depuis longtemps. Cependant, nous avons observé maintes fois une atténuation progres- sive et m

lade, blessé à la partie supérieure de l'avant-bras, voici ce qu'on observe : d'une part, dans le domaine du cubital, une par

ée au nerf radial, ayant déterminé une paralysie des extenseurs, on observe , outre une forte hypothermie de la main et de l'a

plus évidente dans ces cas de causalgie du sciatique que nous avons observés et dans lesquels nous avons constaté : une amyo

à se porter en dedans et le bord externe à se renverser. Quand je l' observe à son insu, je le vois courir la pointe du pied

perturbation soit psychopathique, soit physiopathique. Les faits observés sont loin de s'adapter toujours à l'un des cadres

? C'est une hypothèse qui ne paraît pas conciliable avec les faits observés . On sait, depuis la mémorable expérience de Cl.

: « Dans la dernière séance de la Sociéte de Neurologie, j'ai fait observer que les phénomènes décrits sous le nom de paralys

es réserves sur l'assimilation de ce tableau clinique à ce que l'on observe en expérimentation : dans ce dernier cas, en ef

en expérimentation : dans ce dernier cas, en effet, les phénomènes observés se produisent immédiatement sous l'influence des

avoir une certaine contradiction entre les faits cliniques que nous observons et les faits expérimentaux puisque, avec une hy

laires mécaniques et surtout électriques d'byperexcitabilité que ceux observés au cours des acro-contracturcs. Il apparaît don

tiennent à ces deux catégories de faits, association que nous avons observée par exemple dans des cas de contracture des mus-

l'avons vu, une très grande analogie avec les types de contracture observés dans les accès de tétanie. De plus, comme dans

, comme dans les contractures et dans les paralysies réflexes, on a observé dans la tétanie l'exaltation de l'excitabilité mé

cutable, mais que l'on peut rapprocher des troubles d'ordre réflexe observés à la suite des lésions ostéo-articulaires. .

e la tendance au pessimisme dans les cas de ce genre. Nous avons fait observer que si la faculté d'accorder un congé ou même u

ues et de rétractions fibre-tendineuses, comme nous l'avons souvent observé dans les faits que nous avons eus en vue, il faut

ue pour se former une opinion à cet égard il est nécessaire d'avoir observé un grand nombre de cas de la maladie de Duchenn

tômes objectifs, telles sont, en résumé, les modifications que l'on observe chez nos malades. Si l'acuité visuelle et le cham

a veine centrale dans la gaine durale. C'est, du reste, ce que fait observer M. Dupuy-Dutemps dans sa thèse inaugurale. L'ét

mettent aux injections hydrargyriques, la persistance des guérisons observées longtemps après l'abandon de toute thérapeutiqu

Chez plusieurs malades atteints de tumeur cérébrale, que nous avons observés à l'hôpital dela Pitié, la ponction lombaire n'a

geant pas, on aura toutes chances d'éviter les accidents qu'on a pu observer après la ponction lom- baire. i" Le patient dev

par une inclination ou une rotation unilatérale. Ce phénomène qui s' observe sans qu'il soit fait appel au témoignage du malad

été la conséquence d'une bronchopneumonie. Dans un autre cas (2), observé et traité à peu près au même moment que le précé-

e ou sur la pachymé- ningite présumée une action résolutive. J'ai observé , il y a quatre ans, une malade dont l'histoire, r

. Actuellement la rigidité de la colonne vertébrale et les troubles observés aux arti- culations coxo-fémorales subsistent,

a aucun changement : la paralysie reste complète. Le 2 octobre on observe quelques mouvements volontaires des orteils du cô

Pott. En réalité, en dehors du mal de Pott et de la syphilis, on n' observe guère de paralysie spasmodique qui, après avoir

stan, Bouillaud, Cruveilhier, Magendie, Bayer, et j'aime à vous faire observer que tous ces noms sont français. Il semble que le

uvre de la statuaire grecque, exécutée par des artistes qui n'avaient observé que les formes extérieures, et dont toutes nos co

exclusif si l'on oubliait les conditions dans les-quelles Hippocrate observait . C'est surtout sur les maladies aiguës fébriles q

devient acide lorsqu'il est fatigué. Une modification analogue a été observée dans les nerfs et la moelle épinière,et la sub-

ion du tissu cardiaque se rapportent les phénomènes d'asystolie qui s' observent si fréquemment chez les vieil-lards, alors même q

mollissement cérébral et d'apoplexie capillaire de l'encé-phale qu'on observe à un âge avancé (2) ; il en est de 1. Virchow.

es frappants de fièvre typhoïde chez les vieillards. — Murchison fait observer qu'aucun âge n'est exempt du typhus : de 15 à 20

st moins fréquente que le typhus chez les vieillards, cependant on en observe quelques exemples ; au-dessus de 50 ans, la propo

à l'exception d'un seul (Thèses de Paris, 1863.) Chaque année, nous observons à la Salpétrière quelques cas foudroyants de méni

. le docteur Inglessis (Sur quelques cas de méningite cérébro-spinale observés à la Salpétrière pen-dant le printemps de 1852. T

ils peuvent même passer inaper-çus, et c'est dans l'âge sénile qu'on observe le plus grand nombre des maladies latentes (1).

compte aussi de la diminution de sensibilité ; et il n'est pas rare d' observer des douleurs sourdes dans la région gastro-hépati

us suffise de citer l'extrême surexcita-tion du système circulatoire, observée dans certains cas de palpitations artérielles, et

important et auquel nous ferons allusion bien des fois, parce qu'on l' observe très fré-quemment dans la clinique du vieillard ;

es chiffres que nous venons d'indiquer correspondent à la température observée le soir, car la fièvre, dans la pneumonie (même l

les crises sudorales, si fréquentes pendant l'âge moyen de la vie, s' observent assez rarement dans la vieillesse ; la diarrhée c

t de même chez le vieillard dans la grande majorité des cas ; mais on observe assez fréquem-ment chez lui un mode de terminaiso

nt de la terminaison fatale. Et cette défervescence de mauvais aloi s' observe non seulement dans les cas où les 1. Consultez

surtout à cœur de vous prouver, c'est que les phénomènes de la fièvre observés aux époques les plus différentes de la vie sont t

encore bien démontrée ; mais qu'il nous soit au moins permis de faire observer , qu'une fois détachés du tronc commun, ces deux

t à la goutte ou bien au rhumatisme que se ratta-chent les phénomènes observés . Toutefois il ne faudrait pas considérer cet ex

es accès, les urines n'ont pas été exami-nées ; cependant nous ferons observer que la gravelle est fré-quente, ainsi que les dép

Dans l'intervalle des accès, ces caractères persistent; sou-vent on observe de l'albuminurie, et l'urine contient quel-quefoi

age sur la partie chimique de la ques-tion : contentons-nous de faire observer que le cartilage, ainsi débarrassé de ses incrust

on rencontre aussi de véritables ankyloses osseuses, ainsi que l'ont observé Garrod et M. Ranvier; et cela, dès le premier acc

e heure : on les a rencon-trées après sept ou huit accès. Dans un cas observé par Traube, les symptômes de cette affection réna

pathologique du rein; l'œdème en est souvent une conséquence. On peut observer chez les goutteux l'urémie à forme convulsive ou

r la pathologie comparée, Gleis-herg répond par la négative ; il fait observer , avec raison, que la plupart des affections qui o

a bouche, avec de la sécheresse de la langue et un état saburral ; on observe presque toujours de la constipation. Le foie se

t cetétat dyspeptique, et peuvent même exister en dehors de lui. On observe des lassitudes spontanées, de l'abattement,de la

onnelle au nombre de jointures affectées, contrairement à ce que nous observons dans le rhumatisme articulaire aigu. Enfin, il

accès, il ne reste aucune gêne des mouvements articulaires ; mais on observe quelque-fois une rigidité prolongée de l'articula

n-sécutifs. Garrod signale des faits de ce genre, et j'en ai moi-même observé quelques-uns. La goutte peut alors se por- ter,

l'état chronique. Mais la goutte, ainsi que nous l'avons déjà fait observer , est une affection essentiellement chronique, mêm

commencent à subir l'invasion de la maladie. C'est à ce moment qu'on observe les déformations articulaires ; c'est à ce moment

-leur, un liquide fluctuant vient soulever la peau, ainsi que l'avait observé Gcelius Aurelianus. A la seconde période, ces dép

le va maintenant nous occuper. Le sujet, comme je vous l'ai déjà fait observer , avait vivement préoccupé nos prédécesseurs, et i

gravité qu'elle peut offrir ; c'est ici qu'on a souvent l'occasion d' observer ces symptômes graves, qui aboutissent quelquefois

ons spé-ciales que la diathèse urique a fondées. Aussi Watson fait-il observer que souvent il faudrait dire «du lard dans Vestom

re dans ces cir-constances, sans rupture ; la mort avee rupture a été observée par Cheyne et Latham.La terminaison fatale est so

lésions du cœur, peut donner lieu à des hémorrhagies cérébrales ; on observe alors de vraies et non de fausses apoplexies. I

outte, ce sont plutôt des convulsions épileptiformes, ainsi que l'ont observé Van Swieten, Todd et Garrod. 1. Nous recommande

te manifestation de la goutte n'est pas excep-tionnelle ; Garrod en a observé plusieurs cas, et j'en ai vu un moi-même avec M.

a néphrite albumi-neuse proprement dite. Cependant on a quelquefois observé de l'urémie dans le cours de cette affection : Ba

dans le cours d'un premier accès de goutte ; plusieurs auteurs l'ont observée après lui ; mais de toutes les maladies oculaires

attribue à l'ossification artérielle la gangrène des extrémités qu'on observe suivant lui fréquemment dans la goutte.— Al. Urc.

ette relation varie suivant le terrain sur lequel on s'est placé pour observer les faits. Airisi Griesinger, qui a étudié le dia

, à divers de- grés, chez tous les membres d'une même famille. J'ai observé moi-même la combinaison suivante : TABLEAU H.

goutte et disparaît quand celle-ci s'est développée (1); mais on peut observer l'inverse et l'on voit quelquefois disparaître co

aux pieds légers, ressemble entièrement, sous ce rapport, aux malades observés par Van Swieten, seize cents ans plus tard. Pou

élection de domicile. Contentons-nous, pour le moment, de vous faire observer que la goutte existe sur d'au-tres points du glob

use que ces accidents se développent de préférence, ainsi que le fait observer Hippocrate. Sous ce rapport, comme nous le verr

ns que s'étend, d'après Scudamore, l'âge classique de la goutte. On l' observe rarement avant la vingtième ou après la soixantiè

ix ans. Le rhumatisme, au contraire, se manifeste plus tôt, et on l' observe , en général, avant l'âge de trente cinq ans. 5°

paralysie saturnine; enfin Todd qui rapporte plusieurs cas de goutte observés dans des circonstances analogues (1). Depuis la

ule cause qu'on puisse invoquer. Nous avons eu nous-même l'occasion d' observer un fait très remarquable de ce genre et M. le doc

moins actif en raison de leur structure peu vasculaire, comme le fait observer Bartels (1); l'oxydation par conséquent s'y opère

ce qu'il peut y avoir de plausible dans ces explications, nous ferons observer que la théorie d'après laquelle l'acide urique et

llons vous exposer les résultats de ses travaux, mais en vous faisant observer qu'il ne s'agit plus ici de la théorie générale d

'inflammation locale. Garrod penche vers la première opinion. Il fait observer que l'inflammation suscitée par la présence des d

ypes particuliers. Nous nous contenterons, pour le moment, de faire observer que, dans le cas le plus ordinaire, on ne rencont

jet. Les médecins de l'antiquité, comme nous vous l'avons déjà fait observer , paraissent avoir confondu le rhumatisme articu-l

un phénomène singulier et qui rappelle, à certains égards, les faits observés par les géologues relativement à l'action des gla

nture est immobile. En pareil cas, d'après Adams, l'éburnation ne s' observe plus; mais il se produit une néoplasie de tissu c

eurs gommeuses par sa texture et son aspect extérieur. Dans les cas observés par M. Lancereaux, il n'y avait pas d'altération

donnée précise relati-vement à la marche de la maladie ; cependant on observe le plus souvent le minimum de température pendant

vasculaires et des végétations fibrineuses du cœur. Par contre, on observe dans plusieurs cas graves un état tout opposé. On

ésions perma-nentes ; c'est alors la dégénération graisseuse que l'on observe . Dans le rhumatisme articulaire aigu, les affec

yeux un fait de ce genre en ce moment, et M. le docteur Mauriac en a observé un cas fort remarquable à l'hospice des Ménages.

isme aigu; je ne l'ai jamais rencontrée dans la forme chronique. J'ai observé , sans doute, quelques cas de pneumonie chronique

2. Depuis l'époque où cette leçon a été rédigée, j'ai eu l'occasion d' observer plusieurs faits qui me portent à croire que les p

umatisme chronique. Les névralgies sciatiques et trifaciales, qui s' observent à la ibis dans la goutte et le rhumatisme, appart

général sa liberté : mais il n'en est pas de même pour les genoux. On observe le plus souvent une flexion de la cuisse sur le b

vent accompagnée de symptômes in-flammatoires ; mais ces phénomènes s' observent surtout aux membres inférieurs. Au reste, les m

s prendre des formes qui sont de tout point semblables à celles qu'on observe dans le rhumatisme articulaire chronique. Il se

déforma-tions se sont produites, elles cessent d'exister. Nous avons observé nous-mêmes des faits de cette espèce qui sont mal

) et M. Colombel(l) en ont rapporté des exemples, et moi-même j'en ai observé quelques cas à la Salpêtrière. Ainsi, chez une fe

g sur un certain nombre de jointures, se généralise. On peut du reste observer les deux transformations opposées. Tantôt c'est l

ent à marcher, non sans quelque difficulté. C'est en pareil cas qu'on observe dans la jointure, à l'autopsie, des stries sur la

éveloppe guère avant l'âge de vingt ans, comme nous l'avons déjà fait observer (p. 139); La forme aiguë du rhumatisme articula

ix-neuf cas, n'en a vu que sept après cin-quante ans. J'ai moi-même observé deux faits de ce genre après soixante-dix ans. Il

que M. Martel a recueilli dans le service de M. le Dr Barthez. — J'ai observé moi-même les cas suivants : Une infirme de la S

venir à l'occasion d'une simple chaudepisse. Un cas de ce genre a été observé par Brandes, et M. Lorrain m'en a communiqué un s

ec le rhumatisme noueux. 11 n'est peut-être pas sans intérêt de faire observer , à ce propos, que la dysménorrhée s'accompagne so

après l'accouchement. — On sait que le rhumatisme aigu lui-même a été observé dans le cours de la grossesse (Cho-mel et Requin,

Études sur le diabète. Je ne crois pas que le diabète ait jamais été observé comme une complication du rhumatisme chronique.

stations dans les pays chauds : mais cela ne dispenserait nullement d' observer le régime. Il faut enfin régler l'hygiène de l'

c-tions chroniques du système nerveux central, qu'il nous est donné d' observer dans cet asile sur une grande échelle, sur-tout c

qui ont pour caractère de susciter l'état fébrile. On peut d'ailleurs observer des irrégula-rités non moins remarquables dans de

le. Je vous présente un tableau relatif à un cas de pneumonie lobaire observée chez une femme âgée de soixante-cinq ans; vous vo

ignification de ces symptômes de col-lapsus, qu'il est assez commun d' observer dans le cours des maladies aiguës des vieillards;

uit ans (Wun-derlich), le troisième une femme de soixante-quinze ans, observée dans cet hospice. Toutes trois se rapportent à la

rds. ao qu'il en soit, dans la plupart des cas de pneumonie lobaire observés à la Salpêtrière, et où, pendant la période d'éta

température du corps s'élever à 39, 40, 41 degrés mémo, dans un cas observé par M. Bartels, el en même temps, il s'est produi

dans l'Inde, sous le nom de coup de soleil, coup de chaleur, et qui s' observe même dans nos climats lorsqu'une armée est en mar

être atteint sans que la mort s'ensuive. Cela rappelle ce que nous observions , tout à l'heure, chez l'homme, dans l'état pathol

ence. C'est ici le lieu de rappeler que, dans des cas pathologiques observés chez l'homme, et où la mort, précédée par une élé

'adulte ; les fièvres érup-tives font défaut. Cependant, j'ai parfois observé la variole à ia Salpetrière. Dans la plupart des

lobaire, qui, malgré l'affirmation contraire de quelques au-teurs, s' observe chez le vieillard plus habituellement que la bron

vra être heureuse ou, au contraire, fatale. Dans le premier cas, on observera une période de déferves-cence de bon aloi, emi se

x. C'est en général, après le début de la défervescence, qu'on peut observer les phénomènes critiques qui avaient tant préoccu

abondantes ou troubles. Lorsque la terminaison doit être fatale, on observe parfois une brusque élévation de température, que

sez grandes, et s'étendent en général au-delà de 1 degré ; enfin on n' observe pas de phénomènes critiques au moment de la défer

tre est très rare et je ne suis pas bien cer-tain de l'y avoir jamais observée . Mais, par contre, nous ren-controns fréquemment

ne se montrent pas en excès dans l'urine. » Dans deux cas de tétanos observés chez le cheval, M. Senator dit n'avoir trouvé dan

nt, dans un cas de tétanos avec élévation de la température centrale, observé chez l'homme et terminé par la mort, M. Senator a

comme dans la périencéphalite diffuse et, toujours en pareil cas, on observe une élévation rapide et très accusée de la tempér

rvicale produit par une luxation des cin-quième et sixième vertèbres, observa une température de 43°, 7, on a publié (tout réce

ue si la moelle est simplement irritée c'est un refroidissement qu'on observe . Dernièrement, le Dr Fischer a fait la même disti

u taux normal, mais il n'est pas rare, surtout chez les vieillards, d' observer dans le cours de certaines affections le phénomèn

bon nombre d'état pathologiques en dehors du choléra dans lesquels on observe ,à des degrés divers, ce désaccord entre la tempér

Aussi est-ce surtout dans les cancers gastri-ques et hépatiques qu'on observe cette algidité centrale. En dehors de ces circons

de Sachsenber) a rapporté deux faits d'aliénation, dans lesquels on a observé au rectum les températures presque incroyables

, la clef d'un certain nombre de faits, en apparence contradictoires, observés dans la pathologie de l'homme. Ciiarcot. Œuv. c

en apparence modifiées. Nous pourrions citer, à ce propos, ce qui s' observe dans les cas de gangrène traumatique ou spontanée

fièvre intense, tantôt, au con-traire, par l'algidité centrale. Nous observons fréquemment cette succession de phénomènes dans l

sement du pouls et l'abaissement de la température centrale peuvent s' observer . Rôhrig [Archiv dcr Heilkimde, 1863) a fait con

re du cœur avec épanche-ment de sang dans le péricarde que nous avons observé en-semble dans cet hospice. Une vieille femme qui

ës, ainsi que nous l'avions annoncé dans nos premières études (1), on observe aussi quelquefois un abaissement nota-ble de la t

te de certaines lésions traumatiques de la moelle, M. Brown-Séquard a observé un collapsus profond, une sus-pension complète de

antôt enfin, le collapsus n'est que l'exagération de phénomènes qui s' observent pres-que toujours à un certain degré, lorsque cer

nt conduire rapidement à une issue fâcheuse. Ce genre d'accidents s' observe très communément dans les cas les plus divers che

un carcinome utérin et atteinte de pneumonie lo-baire, que vous avez observée dans nos salles. Au moment où vers le 7e jour de

rand nombre dans cet hospice. Plusieurs d'entre vous ont pu cependant observer dans nos salles un remarquable exemple dece genre

rme sidérante de la plupart des maladies pestilentielles : ainsi on l' observe dans la fièvre jaune, la peste, le typhus (1); el

1); elle se rencontre aussi dans l'intoxication palustre (2). Je l'ai observée plusieurs fois dans la variole des vieillards, qu

s carac-tères ont imprimé à la maladie, dans les cas où nous l'a-vons observée , une physionomie particulière et un cachet de gra

ières ont été notées chez le tiers environ des malades que nous avons observées ; elles occupaient alors diverses régions du cor

es avaient cessé d'exister depuis longtemps, à l'époque où nous avons observé les malades qui les présentaient. La rougeur de

au début, et lors des exacerbations de la maladie. Nous n'a-vons pu l' observer que dans ce dernier cas. Elle était blafarde, cir

-quement. Suivant M. Ghomel (/oc. cit.), la rétraction musculaire s' observe assez rarement, dans le cours du rhumatisme arti-

pparition des douleurs articuhiires. Dans tous les cas que nous avons observés , la rétraction des mus-cles paraît avoir eu la pl

omplète, et quelquefois exagérée. Premier type. C'est ce type qu'on observe le plus fréquem-ment; voici sa caractéristique :

tre le dos de la main comme excavé et raccourci, d'autant mieux qu'on observe en même temps une subluxation de l'extré-mité sup

niveau des articulations méta-carpo-phalangïennes. Il est fréquent d' observer , au pourtour des petites jointures, des végétatio

u qu'elle s'affecte assez rarement, du moins à un haut degré ; on n'y observe en gé-néral qu'un peu de rigidité et quelques cra

ertain degré de rigidité. Articulations temporo-maxillaires. — Un y observe de la rigidité, des craquements, des corps étrang

des craquements, des corps étrangers. Deux des femmes que nous avons observées peuvent à peine ouvrir la bouche. Articulations

isté à aucune époque de la maladie. Chez les malades que nous avons observées , la rétraction musculaire ne reconnaît pas pour c

auteurs ne nous rend pas suffisamment compte des faits que nous avons observés . La' discussion dans laquelle nous venons d'entre

'est aux petites articulations, aux doigts principalement, que cela s' observe le plus souvent; il peut même arriver que les tub

x qui se rattachent à la diminution des parties solides du sang. On observe souvent, même en dehors des exacerbations, des su

jeune infirme (Chevalier, Divine, âgée de trente ans) que nous avons observée presque tous les jours pendant un an, la peau éta

uter que cet ordre n'est ni absolu ni mathématique, mais nous l'avons observé dans la majorité des cas. Terminons ce qui est re

ns pour boire seute ; cette amélioration dura peu. A trente ans, elle observe que, peu à peu, et sans que les douleurs soient d

es supérieurs se montrent déplus en plus difformes, et teis qu'on les observe aujourd'hui. Etat actuel. La malade est pâle, a

tat elle n'a eu de fièvre ; elle n'a pas cessé de manger, mais elle a observé que souvent, à cette époque, ses urines étaient t

malades ne cessent presque jamais de souffrir dans les jointures. On observe seu-lement des rémissions et des exacerbations qu

devait naturellement nous préoc-cuper. Des 41 malades que nous avons observées , il en est 2 qui ont présenté à l'examen plessimé

té des ma-lades atteintes de nodosités des jointures ; une des femmes observées par cet auteur vécut quatre-vingt-treize ans. Nou

es observées par cet auteur vécut quatre-vingt-treize ans. Nous avons observé à l'hospice de la Salpètrière un grand nombre d'i

rien affirmer sur l'in-fluence des sexes, puisque nous n'avons guère observé que des femmes. Landré-Beauvais se tait sur ce po

ne affection en tout semblable à celle que nous avons si fréquem-ment observée chez les femmes. Nous avons cru devoir rap-porter

atières fophacées dans les join-tures, ou à leur périphérie n'ont été observées à aucune époque de la maladie, quel qu'ait été d'

mjdn ; à cette époque aussi, il fait remonter les ankyloses que nous observons dans diverses articulations des extrémités inféri

'un vésicatoire au côté gauche de la poitrine. Ce jour-là, on avait observé de l'obscurité du son sous la^ clavicule gauche,

ges telles qu'on les rencontrait dans le cas qu'il nous a été donné d' observer , concordent parfaite-ment avec celles qui sont an

ction est la partie supérieure de la rai-nure de l'hélix; mais on les observe assez fréquemment sur l'hélix lui-même ou sur son

l'existence peut être directement reconnue pendant la vie, ceux qu'on observe le plus fréquem-ment. Lorsque sur un point du cor

utte et spécialement du rein, chez les gout-teux (1). Nous avons pu observer récemment, à l'infirmerie de la Salpêtrière, une

ecins, à celle de maladie rénale, ce qui tient à l'exis-tence souvent observée de calculs rénaux, chez les goutteux. Telles sont

et des principes salins de l'urine (1). La néphrite albumineuse a été observée également chez les goutteux, par Bright, Blackall

qui suivent, M. de Castelnau signale la différence des dépôts qu'il a observés avec ceux qu'a décrits M. Rayer. Dans les cas de

-lations qui appartiennnent en propre à la goutte, ce sont eux qu'ont observés plusieurs fois les auteurs anglais MM. Cœley Todd

re côté, cet état du rein et les symptômes qui en résultent peuvent s' observer , dans d'autres maladies que la goutte, et de plus

accompagne ces infarctus uratiques, le docteur Garrod a généralement observé les reins atrophiés, condensés et granuleux à leu

aissé aucun doute sur le siège des dépôts dans le rein que nous avons observé . Les cristaux superficiels étaient libres et situ

tait depuis longtemps terminé, lorsque l'un de nous a eu l'occasion d' observer le fait suivant qui con-firme, de tout point, les

résultat en apparence si sin-gulier : sur un ensemble de 51 goutteux observés à l'hôpital ftUniversity Collège, depuis 1854, M.

nution très notable de la quantité moyenne d'acide urique excrété. On observa , en outre, dans les deux cas, un phénomène très r

uses qui succèdent quelquefois à la colique de Poitou, et qui ont été observées et décrites par le docteur Musgrave, et depuis pa

etit chapitre daté de 1807, et portant ce titre : Gout from lead. « J' observe , y dit l'auteur, qu'après la paralysie saturnine,

les affections saturnines, au rapport du professeur Christison, ne s' observent que très rarement. La goutte y est également des

t très rare dans cette ville d'après le même médecin, qui ne l'aurait observée que deux fois pendant toute la durée de sa carriè

s gros orteils n'ont pas cette tendance à la déviation latérale qu'on observe si fréquemment dans le rhumatisme articulaire chr

rs aucune difformité, aucune nodosité, non plus que les orteils; on y observe seulement un état scléreux de la peau qui, surtou

ine mobilité. Dans l'intervalle des diverses jointures des doigts, on observe çà et là des nodosités, plus prononcées en généra

cas, — peu nombreux à la vérité, — de goutte chronique que nous avons observés , nous avons toujours constaté l'existence de l'ac

ous donner quelques détails concernant l'histoire d'un malade qu'il a observé notamment à l'hôpital Saint-Antoine. Ce malade, p

lésions de la goutte tophacée. Un des malades qu'il a eu l'occasion d' observer , est mort dès l'âge de 35 ans, d'une encéphalopat

ologie, 1876, p. 336. et au dire des personnes qui sont à même de l' observer , il paraît que sa face devient violacée, turgesce

de quelques mois. Depuis cette époque, M. Charcot a eu l'occasion d' observer quelques faits se rattachant au même type ; et to

iculation du coude. Voici d'abord quelques détails sur les phénomènes observés pendant la vie. Le3 mars 1851, entre dans la sa

n vésicatoire sur le côté gauche de la poitrine. Ce jour-là, on avait observé de l'obscurité du son sous la clavi-cule gauche e

eu après l'accouchement. « Allaitement. —Outre les casque vous avez observés , j'en indique un, relevé par Garrod; il s'agit d'

uence de lacause spécifique, génitale ou autre ; «3° Enfin, on peut observer des cas simples, purs, où l'in-fluence de l'une o

eut, à la longue, occasionner la tuméfaction permanente du foie qu'on observe assez fréquemment, ainsi que l'avait remarqué déj

outteuse. — Sur 40 cas de goutte primitive des extrémités inférieures observés par le doc-teur Braun, cle Wiesbaden (Matériaux p

resque constamment, lorsqu'il s'agit du rhumatisme noueux, la maladie observe dans ses envahissements une parfaite symé-trie. A

les cas très nombreux de cette forme de rhumatisme chronique que j'ai observés , dans l'espace de six années, à la Salpêtrière, j

erses articulations ne présentent mathématiquement suivi, mais on l' observe , certainement, clans la majorité des cas (p. 38-4

goutte chronique. — Les déformations permanentes des join-tures qu'on observe dans certains cas de goutte chronique se présente

roduction de l'un des types de difformité des extrémités supérieures, observés le plus fréquemment dans le rhumatisme articulair

ire fort exactement les autres types de déformation des membres qu'on observe dans le rhu-matisme noueux; mais c'en est assez p

es. — Je dois à l'obli-geance de M. le docteur Philippeaux d'avoir pu observer , tout récemment, un goutteux qui porte sur la par

geait cette concrétion. Ideler (Hulfeland's Journal, loc. cit.) avait observé déjà les concrétions goutteuses des paupières et

u con-traire, constamment dans les cas de goutte aiguë ou chronique. ( Observai , on certain pathol. condit. of. the blood in gout

e dépôts d'urate de soude, dans un cas du même genre que nous avons observé M. Cornil et moi, et qui ligure dans la note insé

oncrétions articulaires précèdent les dépôts exté-rieurs. M. Garrod a observé cependant (p. 86) un cas dans lequel une concréti

segmentation de la substance fondamentale homogène. On peut toutefois observer des cas, — rares à la vérité, — où l'altération v

e cristaux. Cette disposition mérite d'être rapprochée de celle qu'on observe , lorsqu'il s'agit des cartilages diarthrodiaux :

Altérations du rein dans la goutte. — Les altérations du rein qu'on observe dans la goutte peuvent être rapportées à deux esp

pathologique, t. II, 1833, p. 527). Le docteur Samuel Edwards aurait observé un fait du même genre (The Lancet, 1850, t. I, p.

uses qui succèdent quelquefois à la colique de Poitou, et qui ont été observées et décrites par le docteur Musgrave, et depuis, p

e 1807, et portant ce titre : Goût from Lead (Goutte par le plomb). J' observe , y dit l'auteur, qu'après la paralysie saturnine,

ch Beitrage zur Natur und Heilkunde. Utrecht, 1857, p. 362. Bd. I), a observé plusieurs fois, sur les jointures du métatarse et

nce tubuleuse des reins. Des altérations, en tout semblables, ont été observées par Mait-land et Berlin (loc. cil.) sur la tortue

efois dans la cavité des petites ramifica-tions bronchiques. 5° On en observe souvent en grand nombre sur Vendocarde, principal

l'accroissement ou le décroissement de l'excrétion de l'acide urique observés chez eux après l'emploi des diverses boissons, co

chsel. Wiesbaden, 1856) et Fl. Heller (Heller's Archiv. N. F. I), ont observé une augmentation dans l'exrétion de l'acide uriqu

cée de la proportion de l'acide urique du sang chez plusieurs malades observés au sortir d'une attaque de goutte aiguë ; 3° dans

œur. La mort rapide avec rupture de la paroi interventriculaire a été observée par Latham. La terminaison fatale est quelquefois

, p. 247) (p. 564). Dyspepsie guérie par un accès de goutte. — J'ai observé les faits suivants : Un homme âgé de 35 ans, issu

s, dans un passage que je crois devoir reproduire in extenso : « On « observe , dit-il, chez les jeunes sujets du sexe masculin,

ou spontanées de la moelle épinière et des nerfs qui en partent. J'ai observé un fait qui me paraît très instructif sous ce rap

179). — Sur 41 femmes atteintes de rhumatisme noueux, que nous avons observées , M. Trastour et moi, à la Salpêtrière en 1852, de

p-prochement fondé sur un caractère important. II. La péricardite s' observe comme l'endocardite, et peut-être plus fréquemmen

ons nous borner à présenter le tableau sommaire des difformités qu'on observe aux mains. Ce sont d'ailleurs celles qu'il est su

. La maladie est rare chez les très jeunes sujets ; je l'ai cependant observée chez un gar-çon âgé de quatre ans et chez un autr

s d'inspirer la moindre inquiétude; et en particulier, je n'ai jamais observé que les malades présentassent des symptômes indiq

noueux et lorsque la maladie s'est déclarée dans un âge avancé. J'ai observé que l'un des premiers effets de l'emploi du médic

manifestations de la goutte articulaire. Un fait du même genre a été observé par M. Holland (Médical Notes, etc. London, 1839,

— Voyez la note page 524. L'indication de plusieurs exemples d'urémie observée chez des sujets goutteux a été donnée à la page 2

arie singulièrement suivant le terrain sur lequel on s'est placé pour observer les faits. Ainsi le profes-seur Griesinger, qui a

ulmonaire, etc. Je suis porté à croire cependant, d'après ce que j'ai observé , que cette forme du diabète se distingue le plus

goutteux dont le père, diabétique, n'avait jamais eu la goutte. J'ai observé la combinaison suivante : Père (brasseur et disti

té du système musculaire dans la vieillesse, L. Fleury dit « que l'on observe souvent le tremblement sénile (2). » Dans un arti

us d'une ma-nière générale. D'une part, en effet, ce tremblement ne s' observe pas nécessairement chez tous les vieillards, même

qu'il prédomine; il n'est pas spécial aux personnes âgées,puisqu'on l' observe parfois, avec tous ses caractères, ainsi que l'on

, la chorée de Sydenham ; c'est, en un mot, le pendant de celle qu'on observe si communément chez les enfants. En passant en re

oréiques aucune des formes du rhumatisme articulaire chronique, qui s' observent si fréquem-ment dans les hospices. Enfin, dans le

elques jours après la chorée débutait. Tout récemment, M. Charcot a observé un cas de chorée chez un homme âgé. Elle s'est dé

sommeil était impossible. Aujourd'hui, ils sont moins forts, mais on observe , en outre, une anesthésie avec parésie du côté dr

o-duction de l'un des types de difformités des extrémités supérieures observées le plus fréquemment dans le rhumatisme articulair

nc syphilitique : cela porterait à cinq les cas de maladie de Paget observés chez des sujets ayant acquis la vérole. On a be

uffrent parfois, mais ces douleurs n'ont pas l'inten- sité que l'on observe dans la syphilis, où elles peuvent arracher des c

e l'iodure de potas- sium ». . Depuis lors, il est vrai, quelques observa lions de maladie de Paget amen- dées par le tra

ostéites déformantes compa- rables à celle de Paget. Goldmann (4) a observé il y a quelques années le squelette d'une poule

idents osseux, dont le type est l' : rrêt de développement que l'on observe presque toujours dans l'hémiplégie cérébrale in

z attribuent une certaine valeur aux lésions névritiques qu'ils ont observées et font remarquer que dans les trois cas où les n

nales postérieures. En résumé, des lésions de l'axe nerveux ont été observées chez les pagétiques ; mais elles sont peu accen

ées, à caractères vagues et imprécis, rappellent celles qui ont été observées au cours du rhumatisme chronique. On sait en ef

érieure de la moelle. » Les plaques de méningites spinales diffuses observées par Tessier et Roque (5), les plaques de pachym

malade de Guinon (3) semble seul faire exception : Hudelo et Heitz observent que l'examen n'a porté que sur le coeur et l'ao

7) OI : TT1GER et AG.155GL.1FOVT. Maladie osseuse de Pagel. Trois cas observés dans une même famille. Hypothèse nouvelle sur l

s tra- vées, pas de grosses alvéoles ; au niveau des épiphyses on n' observe pas la raréfaction intense de l'ostéomalacie, l

esté presque complètement ignoré jusqu'à pré- sent. Nous venons d' observer un cas qui, rapproché d'autres faits que nous c

usse en arrière. En arrière de ces fascicules sterno-mastoïdiens on observe les pulsations carotidiennes. La tumeur adhère

ison de la coexistence du syndrome de Ba- sedow avec l'ostéomalacie observés par Revilliod (19), KÜPPI¡N (20), VON RKCKLINGH

mble pas encore prouvée, et nous dirons ici que chez la jeune fille observée par l'un de nous avec Giiiulamila et DONA la me

Basedow. Dans le myxoedème et dans l'infantilisme hypothyroïdien on observe également l'absence ou le peu de développement

la scoliose de l'adolescence d'un autre trouble squeletlique qu'on observe également à cette époque. Il s'agit du genu val

a été vu chez des eunuques par les mêmes auteurs. L'un de nous l'a observé chez un skoplzy. La scoliose et d'autres déform

déformations vertébrales sont des plus accentuées. L'un de nous a observé l'hypertrophie thyroïdienne deux fois sur trois

t nombre de follicules contenant du colloïde rose et d'autres où on observe des follicules à colloïde violet. Mais en général

d'attirer sur ce point l'attention de ceux qui auront l'occasion d' observer de pareils cas. BIBLIOGRAPHIE 1. KIl\\lIS60N.

nte un double intérêt soit au point de vue de la rareté du syndrome observé , soit encore à cause des impor- tantes question

regard est dirigée en avant et un peu au des- sus de l'horizon. On observe tout de suite que les épaules sont tombantes,que

rs postérieur de la langue (glossopharyngien). Chez notre malade on observe des troubles plus ou moins accentués du côté de

aux au coeur, pas de souffles. Examen de la déglutition. Nous avons observé notre malade pendant ses repas à plusieurs repr

on normale. Les liquides sont souvent rejetés par le nez. Si nous observons le jeu des muscles innervés par V hypoglosse, on

e répond qu'avec un courant induit très fort. Avec le galvanique on observe l'effacement du point moteur avec réaction à di

rejeter le diagnostic de myopathie, et que dans celte dernière on n' observe pas des paralysies du voile du palais ou du lar

étiologie ; pour notre part, sans y insister beaucoup, nous ferons observer que chez notre malade la polyomyélite a débuté

'une façon très soigneuse par Ferrio qui donna au syndrome clinique observé le nom de plosis de la tête. Voici le résumé du

e du spinal et quelques rameaux inférieurs du nerf facial, on avait observé une atrophie complète du stel'l1o-cléido-mastoïdi

e tout trouble cardiaque ou des troubles vaso-moteurs. Nous avons observé , il est vrai, que cette femme avait un type de re

ntion du phénomène de Cheynes-Stokes. En d'autres termes nous avons observé l'intégrité absolue de la Xe paire soit pour l'

MAGE de LÉPINAY INTRODUCTION « Les maladies les plus faciles à observer ne sont pas toujours les mieux connues. Il en e

LÉPINAY les cas de crampes professionnelles. Ayant eu l'occasion d' observer dans différents hôpitaux, et notamment à la Sal

actes fonctionnels exécutés par la main et les doigts, mais on peut observer des troubles analogues aux membres inférieurs et

ccoud (80). Il nous semble répondre mieux à l'ensemble des troubles observés , sans préjuger de leur nature. De même le mot d

ue ou aux divers tremblements : car le désordre du mouvement, qu'on observe dans ces affections, résulte principalement de se

s énumérerons les mul- tiples dyskinésies fonctionnelles que l'on a observées , en insistant sur les plus intéressantes ; - .

tre avis les deux théories sont vraies suivant le cas, et l'on peut observer soit des crampes d'origine périphérique, soit des

des crampes d'origine centrale. Nous avons eu en effet l'occasion d' observer dans le service de notre regretté maître le Dr

u bout de quelques jours, le malade qui s'étu- diait attentivement, observa que les troubles de l'écriture augmentaient d'in-

s marquée des deux côtés, mais surtout à droite, et que le malade a observée d'ailleurs spontanément. Or, si le sujet tient

la jambe correspondante une crampe professionnelle. Remak (194) a observé une crampe des écrivains avec paralysie et atro

professionnelles d'origine névritique. Remak (114) a par exemple observé une crampe de la traite chez une jeune fille de

s, c'est que, le trouble sensitif ou mo- teur une fois établi, ne s' observe pas seulement à l'occasion de l'acte profession

de troubles mentaux plus ou moins marqués, comme nous l'avons fait observer pour les autres crampes d'origine périphérique.

spasme droit en un spasme gauche ; c'est l'association quelquefois observée d'une crampe professionnelle avec un torticolis

une crampe des écrivains après avoir été jeté à l'eau. Un sujet, observé par Oppenheim (106), eut la même névrose après

mai- son, il pouvait jouer sans aucun accident. Un autre malade, observé par Raymond et Janet (113) écrivait fort bien l

rveuses. Etant enfant il écrivait fort mal, mais surtout quand on l' observait ; il se rappelle notamment que pour diverses co

écrivains montre la parenté de ces trois névroses. Rudler (122) a observé , dans le même ordre d'idées, un jeune soldat at

en de l'aliéné au repos est insuffisant; il faut le voir en action, observer ses gestes, écouter ses paroles, renouveler mai

ême alors, que les délires de possession ou.les délires mystiques s' observent en dehors de l'hystérie; mais les critiques mé-

achés à l'hystérie. Car, dans l'immense majorité des cas similaires observés plus attentivement aujourd'hui, on reconnaît qu'i

ux meurent, la souris plus rapidement que les autres (l'auteur fait observer que les animaux jeunes résistent moins que les vi

l'action du radium, reste problé- matique... Les divers phénomènes observés ne sont, pour la plupart, que l'ex- pression di

pour obtenir la totalité des altérations possibles. Nous n'avons observé aucun trouble ni de la santé générale, ni du sys-

minant, un rapprochement d'un tout autre ordre : l'un de nous (1) a observé , avec Anfimow, dans le cerveau ou sous la pie-m

, dans le service clinique du pro- fesseur Dr Russ, où nous l'avons observée . Antécédents. - Ses parents vivent et sont bien

c grande probabilité le substratum du syndrome tel que nous l'avons observé . Mais ce qu'il y a de plus intéressant dans not

ntractées, surtout si l'on prolonge l'examen et si le sujet se sent observé . Lorsqu'il ne parle pas, le malade ouvre normal

s mains est extrêmement ridée et surabondante ; entre les doigts on observe la persistance d'un pli cutané très accentué, pre

squelette nous a permis de relever tous les autres caractères déjà observés par les auteurs : c'est-à-dire le grossisse- me

uelques cas d'achondroplasie les extrémités sont très arquées et on observe souvent des coudures brusques à l'union de l'épip

eux est normale aussi dans tous les os longs et brefs. On a souvent observé chez les achondroplases, surtout de sexe féminin,

hez les infantiles, est constant chez les acromégaliques et je l'ai observé récemment chez un géant chez lequel j'ai fait, en

êtres fantas- tiques, des lutins, des farfadets, des dieux. On peut observer encore actuelle- ment ce même niveau de pensée,

cède cependant, il me paraît résulter qu'à une même époque, on peut observer un seul et même fait à ses trois élats d'explic

d'un surcroît de ces subtiles mécanismes. Quoi qu'il en soit, nous observons chez les mammifères supérieurs, en même temps q

s chez l'homme tout court, mais chez l'homme très intelligent, nous observons , dis-je, l'apparition de phénomènes nouveaux et i

aison pour prévenir tout oubli. Le lendemain, le chien spécialement observé passa en face de l'habitation sans détourner la t

et intelligent. De ce dernier aux mammifères supérieurs, on pourra observer toute une série de cas intermédiaires qui comblen

n s'accorde avec les manifestations humaines qu'il nous est donné d' observer tous les jours. Nous exposerons d'abord, dans une

tes, enthousiastes ou furibondes est une tendance bien humaine qu'on observe surtout chez les êtres les moins perfectionnés,

ment de la fonction intellectuelle sur la vie végétative comme on l' observe par exemple dans les cas d'anorexie consécutifs à

ulaire droits, puis mouvements de tout le bras droit. Nous avons pu observer un phénomène de tous points analogue chez un de

la main gauche, et il le fait avec assez de facilité, mais, si on l' observe pendant qu'il écrit de la main gauche, on voit

émichorée post-hél1liplégiqlle, avec glossoplégie du côté droit; on observa des mouvements associés dans l'extrémité supéri

ces mouvements associés était correcte, combien de fois devrait- on observer des mouvements associés dans les cas de traumatis

relève chez 38 de ses malades. L'intoxication par le plomb peut s' observer à l'origine du spasme fonctionnel. Ainsi un mal

ant l'intervention du cer- veau dans la production d'une névrose, d' observer beaucoup plus fréquemment une crampe des écriva

biner entre elles. l A. Forme spasmodique. Dans celle variété, on observe , dès que le malade se met écrire, tantôt une br

leurs dernières phalanges. Si les inter- osseux se contractent, on observe une flexion de la première phalange avec extens

is aussi dans les muscles du bras et de l'épaule : Duchenne a ainsi observé deux malades dont la main exécutait un mouvement

été décrite pour la première fois par Duchenne de Bou- logne qui l' observa chez deux de ses malades. « Les doigts dirigeaien

d'une paralysie véritable. Dans certains cas, au contraire, on a pu observer la paralysie évidente d'un muscle déterminé. Du

enir la plume pour écrire. Duchenne cite également un cas curieux observé par lui où l'impos- sibilité de poursuivre l'éc

IONNELLES 203 ment tout à fait et deviennent illisibles. Un malade, observé par nous, présentait nettement cette associatio

lle forme trépidente. Nous avons eu l'occasion, à la Salpêtrière, d' observer un malade qui présentait un tremblement très ma

, on pourrait être amené à confondre ces troubles avecceux que l'on observe parfois dans la paralysie générale, la maladie

pouvait reprendre la plume. Cliez un petit malade que nous avons pu observer , et guérir à la Sal- pêtrière, il s'agissait d'

-on faire exécuter au commandement des mouvements du bras droit, on observe que tout le membre est agité de mouvements rythmé

l'emploi de la machine à écrire, et nous en avons personnellement observé un cas. Remak, Cassirer ne citent que des cas fém

qui unit ces deux affections. Meige (234) a-de même tout récemment observé un malade qui avait eu successivement une cramp

eu près la même posi- tion que sur le porte-plume. Enfin, « si l'on observe , dit Simon (203), que le jeu du levier est très

ordonnée,ou sont établis trop longtemps; les distances ne sont plus observées . Tous les troubles moteurs cessent lors- que le

dre son jeu. Il en était ainsi chez une jeune musicienne de 19 ans, observée par Berger, qui, après quelques minutes de jeu,

sta- tions, est la crampe des violoncellistes, dont Cassirer (32) a observé un cas : il s'agissait d'un artiste qui, dès qu

t, et surtout lorsqu'il piquait le cuir avec son alêne. Montesano a observé une couturière qui, lorsqu'elle voulait coudre,

porté deux cas. Régis (Bulletin méd., 2 déc. 1908) a tout récemment observé un gar- çon coiffeur atteint d'une névrose de c

se contagionnèrent l'un l'autre. Nous même, à la Salpêtrière, avons observé un cas semblable. ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESS

nnel ne se manifestait qu'à l'occasion de ce travail. Romberg (118) observa de même un cloutier chez lequel survenait une viv

forgerons ce spasme fonctionnel que Gilb. Ballet et Rose (166) ont observé chez un ciseleur, et qu'ils décrivaient ainsi :

de traire les animaux. Remak, Siépliiti out, nous l'avons déjà dit, observé dans deux cas de la névrite sur le territoire d

s qui sont chargées de la confection des cigarettes. Berger a ainsi observé une ouvrière. qui depuis plusieurs années roulait

'elle se mettait au travail. Un ouvrier qui roulait des cigarettes, observé par Goltman, avait une crampe du fléchisseur et d

e, qui l'empêchait ainsi de bien saisir son bâton. Delthil (15) a observé un peintre de cadrans de montres, qui,sur- mené

s qu'il voulait porter une assiette de cette manière. Un bijoutier, observé par Wilde (156), avait une crampe de la main dr

che ou dans les autres mouvements volontaires. La même crampe a été observée chez des repasseurs de couteaux, chez des ouvri

avec le pied. On peut'rapprocher de ces différents cas la malade observée par Bon- nus (171), harpiste, qui avait une cra

Crampes professionnelles du cou, de la face, de la langue. Andral a observé en 1855 a un malade dont la tête tournait à droit

la crampe des liseurs, décrite par Naëcke (190), crampe de la nuque observée par l'auteur sur lui-même, concurremment à une

re. Ce jeune homme se tua de désespoir ». A la face, on a également observé un certain nombre de crampes pro- fessionnelles

ro- fessionnelles : telle la crampe de l'orbiculaire des paupières, observée chez un horloger par Colin : le spasme apparais

t la petite loupe employée constamment dans ce métier. On a de même observé de véritables crampes optiques, par spasme des

pour la masti- cation, la parole, etc. Tel, ce joueur de basson, observé par Stadler (136), qui avait une crampe de la l

es au moment où ils veulent articuler distinctement. Zerner (162) a observé un cas analogue chez un commissaire-priseur, ob

st née et apparaît encore la crampe : il faudra autant que possible observer soi-même les accidents, et bien examiner si, en

lière des os. Cer- tains cas en ont été publiés (2) ; nous en avons observé récemment un exemple dans le service de notre m

et atrophies osseuses typiques. » Lothar Dreyer (2), dans deux cas observés aux rayons de Roentgen, et comparés à des radio

écrire encore un peu. Quand les muscles du bras se contractent, on observe la formation de boules musculaires dans le tricep

les sujets jeunes donne bien l'impression que les lésions osseuses observées constamment se développent parallèlement à cell

ISÉE AVEC PSEUDO-HYPERTROPHIE ET ATROPHIE HYPERTROPHIE DU COEUR OBSERVÉE A DIX ANS D'INTERVALLE PAR VIRES et ANGLADA

une dilatation du coeur tout à fait analogue à celle que l'on peut observer chez les bossus. L'examen de la pression artéri

e cas d'ostéite déformante, l'on doit surtout noter que les lésions observées dans ces cas sont peu considérables, se limiten

il n'admit pas que la névrite fut la cause de la contracture. Remak observa 43 cas de névrite dégénérative du nerf cubital à

'appari- tion d'une papule après la suggestion. Pour le moment nous observons un malade avec six doigts à la main dont la mèr

ompte du fait que dans les né- vrites ordinaires,d'après Remak,on n' observe pas de trouble trophique du côté opposé,on peut

côté opposé du cerveau ou de la moelle, pareillement aux phénomènes observés dans les hémiplégies d'origine cérébrale où les

nt chirurgical fut seul appliqué. Récemment nous avons pu encore en observer les conséquences chez notre camarade, le Dr B..

ce plus molle. La pression du doigt ne détermine pas de godet. On n' observe aucune altération des artères, des veines, des

sait nullement souffrir la malade. Les médecins, qui avaientd'abord observé la malade, envisageaient, évidemment, la prétendu

la compression du plexus existent dès ï en fance ; parfois ils ne s' observent que dans des mouvements déterminés SIEF- FER (1

ltat ; et Tuppert (252) pratiqua trente ténotomies sur un bras sans observer la moindre amé- lioration. On a donc justement

a dévié de l'uréthrite vers la crampe des écrivains. Ainsi qu'on l' observe fréquemment chez les obsédés, M. H... est a l'aff

e sujet. Parmi les autres crampes professionnelles, celles que l'on observe le plus souvent sont : la crampe des télégraphi

ici l'aspect dramatique si suggestif des yeux des aveugles que l'on observe dans d'autres oeuvres artistiques et surtout da

due elle volume de ce gliome expliquent la complexité des symptômes observés pendant la vie. Observation I. Epilepsie jackso

e compression explique lu myosis et l'hyperémie unilatérale gauches observés pendant la vie. Le coeU1' est normal. Le pylore

claires. Le cancer surrénal, constaté dans ce cas, est très rarement observé . Centres nerveux. - On trouve sur la dure-mère

tion explique l'épilepsie jacksonnienne à type brachial droit. On n' observe aucune autre lésion- des centres nerveux. Exame

ins points, le sang fait même irruption hors des vaisseaux, et l'on observe une véritable hémorragie microscopique. 2° Dans

on néoplasique. A côté de ces vais- seaux envahis par le cancer, on observe de nombreux capillaires paraissant de formation

série de petits mouvements involontaires semblables à ceux que l'on observe dans les cas d'épilepsie jacksonnienne par excita

r la face postérieure de la langue jusqu'à l'orifice pharyngien. On observe , en outre, des troubles vaso-moteurs avec rouge

ité sont presque normales du côté des membres, mais sur le tronc on observe de l'hypoesthésie. Des accès de suffocation écl

ion des deux pédoncules cérébraux explique la plupart des symptômes observés pendant la vie ; cette tumeur se prolonge davanta

rable que présentait cette malade. Cette surcharge graisseuse a été observée chez le chien hypophysectomisé (Livon). Si on e

des cellules n'est pas égale dans toutes les parties delà coupe; on observe , en un point central, une prédo- minance de cel

omateuse au point de vue des éléments nobles du système nerveux. On observe de nombreuses cellules nerveuses toutes très alté

es cellules présen- tant un léger degré de cbromolyse, comme cela s' observe couramment au cours des maladies toxiques ou in

et dorsal, mais il la chro- molyse typique, intense, telle qu'on l' observe après la section ou mieux l'ar- racbement d'un

phénomène, qu'au phénomène en lui-même. Pour notre part nous avons observé maintes fois la vacuolisation de certaines cell

chien au voisinage d'une ancienne section transversale (2) ; elle s' observe souvent aussi dans le gros cylindraxe en dégéné

nnaires ne sont guère augmentées en nombre. Nous n'avons nulle part observé de cellules ganglion- naires pénétrées ou pourv

(g. s., fig. II, 2) flétries, en tous points analogues à celles qui s' observent .dans le bout périphérique des nerfs sectionnés

trice. Cette activité est-elle toutefois identique à celle que l'on observe après simple section d'un nerf ? Nous pouvons r

nérescence des plaques terminales au niveau desquelles pouvaient s' observer souvent des fragments sphériques ou irréguliers

minale. ' Les lésions musculaires sont identiques à celles que l'on observe chez l'animal après section d'un nerf moteur :

anatomique de névrite rallacherons-nous les lésions que nous avons observées et décrites dans les pages qui précèdent ? On d

d'enve- loppe du nerf. Dans ces deux variétés, les lésions que l'on observe sont celles de l'inflammation banale : congesti

t à fait élective. Dans ce dernier cas, tous les . degrés peuvent s' observer : depuis les lésions légères disséminées, rappe-

7. 362 DUSTIN légèrement, et pendant un temps fort court, on peut observer après un temps suffisant des réactions très net

leurs véritables cellules satellites. Les réactions très curieuses observées dans les centres nerveux au voi- sinage de tume

catégorie de névrite devons-nous ranger les lésions que nous avons observées et décrites dans le cas actuel ? La survie assez

es de sensibilité et l'apparition de douleurs intenses. Les lésions observées dans notre cas ressortissant à la fois aux lésion

qu'elles sont l'origine de tous les trou- bles symptomatiques qu'on observe et que le système nerveux central ne présente a

des troubles dynamiques de ces centres trophiques. Ce mécanisme s' observe certainement dans bon nombre d'altérations des

thétiques-devraient produire des réactions analogues à celles qui s' observent après section d'un nerf. Or jamais dans ce cas,

jamais dans ce cas, si l'opération a été faite aseptiquement, on n' observe d'infiltration leucocytaire, qui démontre dans le

en , commençant ? Notre avis est qu'il ne faut voir là que ce qu'on observe dans toutes les nécroses récentes, qu'il s'agis

idérés, non pas (1) D'après une communication de Zappert, on aurait observé une épidémie à Vienne dans l'été de 1908, mais

CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 375 Nous avons eu l'occasion d' observer dans notre clinique 15 cas de polio- myélite ai

e, qui a disparu en peu de temps) dans l'automne de 1903, qui a été observé par mon collègue, le Docent Bergmark, Comme ces

ce fait que, par deux foisel chaque fois, dans deux cas, nous avons observé que la poliomyélite est apparue parmi les enfan

(ou plusieurs) tomber malades le môme jour, comme nous-même l'avons observé une fois. La plupart de nos cas ont été observé

e nous-même l'avons observé une fois. La plupart de nos cas ont été observés au début réel de la maladie, c'est-à-dire 9 cas

T E11RENBERG ' pulation de 150.000 habitants). Tous ces cas ont été observés à une phase très postérieure de l'évolution de

s symptômes initiaux de la maladie. Parmi les sujets que nous avons observés à la clinique, trois sont morts à la phase aigu

NINGITE CÉRÉBRO-SPINALE ÉPIDÉMIQUE, par PETRÈN et EHRENBERG. On a observé , il y a déjà plusieurs années, qu'il existe des é

de ces cas. En 1887, Laurent parle dans sa thèse des douleurs qu'on observe souvent au début de la poliomyélite aiguë et qu

Nous donnons d'abord la plus grande partie des cas que nous avons observés . Seuls, les cas où la mort s'est produite dans la

a déjà dit, les cas qui n'ont pas été traités à la clinique ont été observés par moi seul (P.) I. Observations ou les trou

, mais la température était seulement de 37,15. Le 6 novembre a été observée une parésie du membre inférieur gauche et aussi

Ces symptômes ont persisté deux jours ; quand ils ont disparu, on a observé que l'enfant tenait tout le dos raide et avait

restée au lit 4 jours ; quand elle a quitté le lit, les parents ont observé qu'elle traînait la jambe droite. Le 26 mars un

us revoyons la malade. Elle peut maintenant bien marcher sans qu'on observe aucun trouble. L'examen détaillé de la motilité d

apparu. Dans la dernière partie de cette nuit il s'est levé et on a observé que le membre inférieur s'est fléchi. Le 22 jan

il n'y a pas de différence bien nette. Il est toujours impossible d' observer aucune contraction des muscles abdominaux Les réf

es jours suivants le malade a 392 PETRÉN ET EHRENBERG quelquefois observé qu'il avait une certaine difficulté à respirer et

le 11 novembre, le père du malade tenant son fils sur ses genoux a observé qu'il avait la tête fléchie en arrière et qu'il é

es vomissements ; le jour suivant il y a de la fièvre et le soir on observe une parésie du membre inférieur droit. Le 9 aoû

lques jours après il a res- senti des douleurs dans les jambes et a observé aussi une faiblesse des jambes. Les douleurs on

lume des autres muscles des bras est normal. Le cas suivant a été observé pendant un temps assez long à la clinique médic

ésomption contre cette maladie. Dans ces derniers temps, nous avons observé un cas où cette loi pour le diagnostic différen

, les réflexes rotulieus deviennent plus vifs. Le 30 novembre, nous observons que la sensibilité tactile est un peu diminuée

de la sensibilité tactile. Les cas de poliomyélite aiguë où l'on a observé des troubles de la sensibilité sont extrêmement

sensibilité tactile et d'une distribution si typique n'a jamais été observé , autant que nous le sachions. Toutefois, l'abse

ymétrique tout à fait inattendue d'une myélomalacie. Cependant on a observé auparavant des cas de paraplégie présentant une

des mouvements des yeux ou convul- sions), nous ne les avons jamais observés . Pourtant nous ne voulons pas contester qu'on p

urtant nous ne voulons pas contester qu'on puisse avoir quelquefois observé des cas de cette nature ; tout en cas, ils sont

ù ils ont été étudiés, la sciatique et la méningite. Il faut encore observer que Kernig, dans une étude récente et approfond

atteint également quelques racines postérieures. Chez les sujets observés nous avons recherché si la présence des symp- t

usion est en accord avec le fait que nous avons trouvé pour les cas observés à la clinique à la phase aiguë des cas avec sym

is où une paralysie ne se déclare ja- mais. Wickman et Leegaard ont observé un certain nombre de cas de ce genre. Nous n'en

quide cé- phalo-rachidien est important. Plusieurs auteurs ont déjà observé qu'on trouve la plupart du lemps dans la poliom

le dia- gostic de la poliomyélite sur la nature épidémique des cas observés ; en d'autres termes, c'est le fait que ces cas

es trois dernières semaines au lit. Le 28 septembre les parents ont observé à droite une parésie du 6° nerf crânien, mais j

rappeler qu'on a ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 421 1 observé chez des enfants des cas avec le tableau clinique

des muscles du tronc dans la poliomyélite aiguë n'était pas souvent observée et les auteurs l'ont indi- quée comme très rare

s des muscles abdominaux : les voici. Collins et Romeisel' (22) ont observé une paralysie des muscles abdominaux dans cas sur

amwell dans 4 cas sur 76. Baumann rapporte que, sur 85 cas, il en a observé deux avec paralysie des muscles abdominaux et deu

vu 5 cas avec parésie du tronc sur 23, et sur 198 cas, Lovett en a observé 40 avec paralysie du dos et 19 avec paralysie des

I, XXII, XXIV, XXV, XXX, XXXII, XXXIII). Dans les cas qui n'ont été observés que longtemps après le début de la maladie, nou

ment on doit s'attendre à ce que les pa- rents n'aient pas toujours observé suffisamment ces symptômes. C'est pour- quoi la

a été notée dans une proportion beaucoup plus élevée parmi les cas observés il la clinique et à la phase aiguë que parmi le

aisons de conclure à une parésie des mus- cles abdominaux n'ont été observés qu'assez longtemps après la phase aiguë. 'En co

lever le malade et soient ainsi passés inaperçus. Dans nos six cas observés à la clinique et pendant la phase aiguë, où il

en a été faite. Une paralysie de tous les muscles abdominaux a été observée par Wickman (un mois après le début de la malad

ésie était plus développée d'un côté. Il semble aussi que Sachs ait observé un cas de ce genre. Wickman rapporte un cas, ob

ue Sachs ait observé un cas de ce genre. Wickman rapporte un cas, observé trois semaines après le début de la ma- ladie,

ription donnée par l'auteur ; il y avait une lordose). Le cas a été observé un an et demi après le début de la maladie. C'e

servés dans les parties supérieures. Dennett rapporte un cas où il a observé , 7 mois après le début, une paralysie des muscl

sans donner aucune description des troubles de la motilité qu'il a observés . Leischner a vu un cas avec une paralysie unila

Les symptômes de paralysie des muscles abdominaux que nous avons observés pendant la phase aiguë de la maladie, c'est l'imp

e une bonne raison de nous prononcer en ce sens ; car, dans ce cas, observé par nous trois ans après l'attaque de po- liomy

tous les muscles abdominaux au même degré. Cepen- dant, nous avons observé dans deux cas des paralysies partielles des mus-

urs du tronc. La forme de paralysie des muscles abdominaux que l'on observe dans ce cas n'a pas été décrite jusqu'ici. Quan

scles abdominaux (dans la mesure où ils sont conservés). Duchenne a observé que l'ombilic se déplace si l'on fait ÉTUDES CL

crite auparavant, autant que je sache. L'autre cas où nous avons observé une parésie partielle des muscles abdominaux, c

de fait contracter ses muscles abdominaux; mais nous avons en outre observé que cette proéminence asymétrique existe =1 29

alysies partielles des muscles abdominaux a été déjà plusieurs fois observée (Medin, Ibrahim et Hermann). Sur la paralysie d

elop- pée que celle des muscles abdominaux. ' Nous n'avons jamais observé de déformation nette de la colonne verté- brale

ssaient par périodes sous forme de crises et la mère de la malade a observé que pendant ces crises la par- tie antérieure d

ourées complètement par l'infiltration cellulaire. Ces lésions ne s' observent qu'en certains points. En d'autres en effet l'asp

n'est pas constant dans la myasthénie et d'autre part qu'on peut l' observer dans un grand nombre d'affections. En ce qui co

auf, cependant, les lésions de métamorphose fibreuse que nous avons observées . Mais il nous semble que le fait intéressant est

ns. - Subjectivement, légère dyspnée. A un examen systématique on n' observe qu'un très léger degré d'emphysème pulmonaire.

e avec nette scoliose dorsale droite. Dans le segment lom- baire on observe une courbe de compensation. Il n'y a pas de lordo

arie avait eu l'intuition delà vérité quand il a di que : « plus on observe de géants, plus on rencontre de géants acromégali

ns postérieurs, dégénération que Strumpell a comparée à celle qu'on observe dans certains cas de tumeurs cérébrales ; State

es autres os du torse et de la jambe. A cet égard, nous ferons même observer que les os de la jambe sont au niveau du cou-de

urtout du côté gauche. Léger clonus plantaire. Du côté gauche, on observe des mouvements qui rappellent les mouvements cl

abaissé. Faiblesse des muscles du cou; tremblement de la langue. On observe aussi quelques signes de la paralysie progressi

ade à la Société médicale d'Odessa. Le professeur Lewascheff a fait observer la situation basse du diaphragme et l'absence de

ce qui amène une compression des racines. Raymond et Babonneix ont observé , dans un cas de rhumatisme des vertèbres et des

es de la colonne vertébrale. De plus, Schaikevitch et Troschine ont observé des cas de ma- ladie de Bechterew dans lesquels

nécessairement des causes neuro- pathiques ? Bechterew également observé dans son cas la mollesse des os; il ne considèr

est précédé par l'ostéoporose. La raréfaction du tissu osseux était observée au fond de la cavité cotyloïde, à la tête du fé

étaient sclérosés. Quant au processus d'ossificalion, nous l'avons observé dans noire cas. Toutes les articulations costo-ve

érose diffuse de la colonne vertébrale, ce que nous avons également observé chez notre malade. La sclérose osseuse était de

ire la spondylose, nous ne pouvons pas expliquer tous les symptômes observés chez noire malade par l'existence de celte affe

e refroidissement, ne peuvent avoir donné lieu à tous les symptômes observés par nous. Il faut donc admettre l'association d

oint nécessaire que toutes les vertèbres soient ankylosées. On peut observer une ankylose de quelques côtes avec une ankylos

t certainement géniale et avec elle s'accorderait très bien le fait observé chez notre malade : il savoir l'absence d'ataxie

et pour le tréponème de Schaudin-IIolfmanu. * Tout à l'entour on n' observe pas de veines ectasiques. Le pied, de forme et

rareté de l'ostéite déformante en Italie. Sur une centaine de cas observés jusqu'ici seulement quatre appartien- nent à l'

me la preuve demandée par Fournier, comme l'ont fort justement fait observer Klippel et Weil, dirait que la maladie de Paget

rôle important dans la production du mal, mais je pense que les cas observés sont en trop pelit nombre pour per- mettre d'ar

isme comme l'uni- que agent capable de donner lteu aux déformations observées . Sur les radiographies de Béclère (Bull, Soc. m

- tion que toutes les manifestations de la sclérose artérielle ne s' observent pas avec une égale fréquence ; est-ce qu'il y a

osseuse de Paget est prématuré. Considérant les nombreuses variétés observées , il n'est pas hasardé de penser à la possibilit

de ses parents avec lesquels il correspondait de moins en moins. On observe en outre chez lui des troubles accusés du caractè

d la malade fut atteinte d'une pneumonie, nous eûmes l'occa- sion d' observer combien la respiration était devenue difficile et

t-ce que l'expérience confirme cette idée ? Si je considère nos cas observés à la phase aiguë, les seuls qui aient une valeur

et de l'un ou des deux mem- bres supérieurs et où nous n'avons pas observé de troubles respiratoires. Il est vrai que, dan

spiration très fré- quente et très difficile, mais nous n'avons pas observé qu'il ait existé aucune forme typique de troubl

iration. Je donne ici l'hisloire de trois cas de ce genre, que j'ai observés . - OBSERVATION XXXI. E. J..., garçon âgé de 15

illé, mais il avait des douleurs dans le dos et mal à la tête. On a observé qu'il avait ce jour-là une certaine raideur de la

dos il ne pouvait rester calme. Vers midi, le 28 septembre, il a observé que le membre inférieur droit était faible ; le

t le 30 janvier. (L'état du malade pendant le temps où nous l'avons observé nous a rendu difficile d'obtenir des informatio

phragna is occasionally paralysed ». Récemment j'ai eu l'occasion d' observer pendant longtemps un cas avec paralysie absolum

du vrai type d'une paralysie ascendante. Dans le cas XXXIII, j'ai observé également une paralysie, tant de la ÉTUDES CLIN

s le cas XXXII, il y avait une dysphagie et dans le cas XXXIII j'ai observé une paralysie complète de la déglutition, une d

pas, néanmoins, que les paralysies de la respi- ration qui ont été observées puissent être mises en rapport avec une lésion

ouble d'une fonction bulbaire. Il y a déjà quelques années que j'ai observé des cas de cette nature où le trouble respirato

rencontré, c'était dans un cas de gliome du cervelet chez un enfant observé d'abord à la clinique médicale chez qui plus ta

UES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 555 2° Chez une femme âgée de 21 ans, observée à la clinique, chez qui le dia- gnostic était e

t un aplatissement du cervelet. 3° Chez une femme âgée de 30 ans, observée à la clinique, et pour laquelle j'ai fait le di

érêt pour cette question. C'est encore un cas de tumeur du cervelet observé d'abord à la clinique médicale,et dans lequel p

à une paralysie du centre respiratoire dans le bulbe. Dans les cas observés par moi et cités ci-dessus, il n'est pas difficil

saire pour plusieurs (« mehrere ») jours. Mon expérience m'a fait observer moi-même une rétention d'urine dans 5 cas et, p

24 0/0 de mes observations ; mais, si nous ne regardons que les cas observés à la clinique et pendant la phase aiguë de la mal

n évident que cette fréquence de la paralysie de la vessie que j'ai observée ne correspond pas à l'opinion généralement acce

qu'on pouvait croire assez étudié. Mais en regardant les résultats observés chez mes malades, j'ai trouvé des raisons de trai

tions il faut exclure, pour juger de la mortalité, tous les cas non observés à la clinique ; car dans ces cas, il s'agissait d

séquent, il n'y a pas de cas mortels parmi ceux-là : Sur les 15 cas observés à la clinique, il y a 3 morts, c'est-à-dire 20 0/

aucoup d'influence sur le pronostic de la pneumonie). Les malades observés par moi qui sont morts pendant la phase aiguë é

ant la phase aiguë étaient âgés de 15, 20 et 36 ans. Sur les 15 cas observés à la clinique, 8 ont plus de ')4 ans ; en consé

existé déjà pendant des mois. On répond en général par la négative ( observez toutefois la ci talion de Pierre Marie faite ci

parle d'une « amélioration considérable », je ne pense pas au fait observé dans la plupart des cas de poliomyélite qu'au d

'il n'y ait plus de symptômes bien nets et certains. En outre, j'ai observé encore deux cas où il persiste des troubles mot

, parésie qui semble également disparaître. Dans tous ces cas, j'ai observé moi-même où les malades m'ont indi- qué que l'a

pratiquer aux malades les mouvements dans des bains d'eau. Quand on observe attentivement des cas de poliomyélite pendant l

) surpassa du double le chiffre normal et presque tous les jours on observa une réaction très forte de l'indican du phénol

ltéra- tions du pancréas ; chez ces malades, on a aussi fréquemment observé , de leur vivant, du diabète. On a beaucoup disc

es auteurs à la syphilis héréditaire. On avait déjà assez souvent observé dans le gigantisme des symptômes d'arrêt de dév

assa- longo, Tamburini) a été surtout combattue par le fait qu'on a observé (Pétren, Gagnetto, Messedaglia, etc.) des cas d

s altérations de l'échange organique que les différents auteurs ont observées chez les acromégaliques ne sont pas constantes et

cinq tatoués dans le premier espace interdigital, sont fréquemment observés . Une lanterne de bicyclette éclaire le mamelon

ux supérieurs et de ses noyaux d'origine, les corps dentelés, qu'on observe dans les cas de MM. Dejerine et Thomas, nous cons

divisions du P' Raymond pour un syndrome de Weber. Nous n'avons pas observé nous-même la malade ; nous savons seulement, pa

renant malles colorants. Les grains chromatiques ont disparu ; on n' observe pas de pigmentation. En beaucoup d'endroits, entr

ur des vaisseaux. La couche des grains est également atrophiée ; on observe une diminution considérable du nombre des grain

te un assez grand nombre ; c'est surtout de l'atrophie simple qu'on observe . Les fibres qui traversent l'olive sont très ra

gments. Les fibres sont régulières et ne présentent pas les lésions observées aux régions inférieures. Les bras de la commiss

dantes ; d'ailleurs la névroglie paraît légèrement proliférée. On n' observe toujours pas de lésions vasculaires. La capsule d

traciliaire est tout à fait raréfié. Dans la région inférieure on observe les mêmes lésions ; restent seulement quelques

érieure. Ces fibres sont en général diminuées, mais néanmoins on en observe un certain nombre bien conservées. Les fibres

cessus inflammatoire, ni de sclé- rose méningée. Au Marclii, on n' observe pas de corps granuleux, simplement quelques boule

de l'eeil. Pen- dant toute la durée de l'affection on ne put jamais observer de papille de stase. Au moment de ce second exa

RINESCO et M. GOLDSTEIN. (de Bucarest) Nous avons eu l'occasion d' observer deux cas d'hydrocéphalie chez des individus jeu

ésente très manifestement le signe de Kernig. Du côté des yeux on observe une difficulté dans le mouvement latéral interne

toplasme coloré en rouge. Quand le protoplasme est plus abondant on observe qu'il est acidophile. Nous avons donc trouvé qu

voit les vaisseaux très dilatés. Dans la portion dite nerveuse, on observe même une infiltration des parois des vaisseaux di

sseaux de la substance corticale et médullaire. Dans le foie on n' observe que par ci par là, une infiltration modérée de la

de glandes différentes. C'est ainsi que l'adiposité générale a été observée après les lésions de l'hypophyse, du testicule

oppement du tissu adi- peux. En effet, cet auteur a eu l'occasion d' observer une fillette de 9 ans qui avait reçu, quelques

emander s'il ne serait pas possible que l'adipose et l'infantilisme observés chez ces malades, ne fussent pas la conséquence

st dû surtout à l'absence de la barbe et des moustaches, sans qu'on observe ce- pendant un arrêt dans le développement du c

et ovaires, étaient ceux d'une enfant de 8 à 10 ans. Nazari (1) a observé un jeune homme de 20 ans qui avait les organes

pas intéressée et où il n'existait pas d'hydrocéphalie, il n'a pas observé de troubles de la menstruation ni de troubles dys

est très importante. Comme nous venons de le voir, on a fréquemment observé que les tumeurs n'intéressaient pas directement

tte occasion une hypothèse nouvelle, à savoir que l'adi- pose qu'on observe dans certains cas de tumeurs cérébrales, ne dépen

este de son état intellectuel et de la marche. Nous avons également observé une amé- lioration légère après la ponction du

istance aux mouvements passifs. Dans le membre supérieur droit on n' observe aucune attitude vicieuse, ni tremblement ou mou

nts travaux surtout de l'école française. C'est en 4t375 que l'on a observé pour la première fois la réap- parition tardive

ne qui représente presque l'issue d'une poliomyélite. En outre on a observé des atrophies tardives du type spinal aussi en

e cérébrale manquent"te"plus souvent. Pour notre part, nous n'avons observé de trou- bles de la conscience que trois fois e

e et de la poliencé- phalite. Il donne comme raison le fait qu'il a observé pendant les deux épidémies de Stockholm étudiée

ent où il y a une épidémie de po- liomyélite (en ayant l'occasion d' observer dans une grande ville, soit aux cliniques, soit

essus morbides, disparus depuis longtemps. A ce propos il importe d' observer qu'Harbitz et Scheel, en examinant des cas où plu

l'analogie des deux affections ; c'est le fait qu'on a quelquefois observé que les deux maladies se rencontrent ou chez le

-clini- ques (pas d'examen histologique). En outre, Schmiergeld a observé une fois dans un cas de poliomyélite une aphasi

faveur de cette opinion. Medin s'appuie sur le fait qu'il a souvent observé dans ses cas de polio- myélite des douleurs et

et qu'il peut se mettre sur les pieds. Pendant la convalescence on observe qu'il retrouve très régulièrement en premier li

s en laissant intacts les muscles du tronc. C'est ce que nous avons observé dans nos trois cas de polynévrite, surtout dans

ans ce travail que des troubles moteurs de la vessie peu- vent être observés très souvent dans la poliomyélite. En général, on

forme de la paralysie infantile qu'il nomme ataxie aiguë. Car il a observé dans 5 cas des troubles de la marche qu'il veut

lle opinion. Dans quelques cas de poliomyélite, Wickman a également observé une ataxie, une fois une ataxie de la marche d'

iologique précis et caractéristique au mot instinct. En effet, nous observons dans les cellules du corps humain de véritables

re les volumes des crânes humains les plus anciens à celui que l'on observe couramment, on ne saurait dou- ter que les forc

raient encore, puisqu'ils s'étaient déjà manifestés. Comme il avait observé d'autre part qu'il existait toule une autre ca-

de nerfs. L'auto- matisme relève de différents moyens que l'on peut observer même chez l'homme concurremment avec le mécanis

précités. Même chez les êtres doués d'une organisation complexe, on observe encore un autre mé- canisme de production des m

ralisée avec pseudo- hypertrophIe et atrophie ; hypertrophie du - observée à dix années d'intervalle) 2 pl.), par Vires et

sée avec pseudolypertro- phie et atrophie ; hypertrophie du coeur observée à dix années d'intervalle (2 pl.), par Vires et

(Myopathie généralisée avec - et atrophie ; hypertrophie du coeur observée il dix années d'intervalle) (2 pl.), par Vires

isée avec pseudo- hypertruphie et atrophie. Hypertrophie du coeur observée à dix ans d'intervalle (2 pl.), 240. Apert, 0

isée avec pseudo- hypertrophie et atrophie. Hypertrophie du coeur observée à dix ans d'inter- valle (2 pl.), 240. Zosin.

us. lis n'ont fait défaut dans aucun des cas d'hémorrliagie cérébrale observés par MM. Cliarcot et Bouchard depuis que leur atte

es observateurs. C'est à eux que nous croyons devoir rapporter un cas observé par 1. Anafomie pathologique du corps humain. L

ls nous paraissent avoir la plus grande analogie avec des dilatations observées par M, Vircliow(2) dans les vaisseaux de la pie-m

rysme l'hémorrhagie qui existait dans le seul cas de ce genre qu'il a observé , mais il n'y voyait qu'un fait exceptionnel qui n

éniques qu'on en pouvait déduire. Les faits nombreux que nous avons observés nous ont graduellement conduits et par transition

de nous avait déjà eu l'occasion dans deux cas, en 1863 et en 1865 d' observer les anévrysmes miliaires mais les faits ne permet

point, nous avions pu comparer ces ané-vrysmes à ceux que nous avions observés précédemment, sans saisir leurs relations avec l'

s(1). Mais il faut tenir compte de cette circonstance, c'est que nous observons dans un hospice consacré à la vieillesse et que c

aduellement croissante. En ne tenant compte que des cas d'hémorrhagie observés avant 80 ans, et en lesrépar-tissant suivant les

ors en dedans, ce qui justifie ce nom de périartérite. Cette lésion s' observe sur les artérioles de tout calibre qui sont dans

us que d'autres noyaux plus volumineux, plus nettement ovoïdes, qu'on observe quelquefois avec eux et qui paraissent appartenir

régularité dans leur distribution. Une semblable prolifération peut s' observer à la surface des plus fines artérioles, correspon

cette altération des parties les plus superficielles de l'artère, on observe une altération de la tunique musculeuse tantôt gé

'étude des anévrysmes miiietires. Les faits nouveaux que nous avons observés en grand nombre sont pleinement confîrmatifs de l

ur du rôle pathogénique que nous leur attribuons? Sur 86 hémorrhagies observées par M. Durand-Fardel, l'épanchement s'était opéré

ence de la graisse et des grains ou des cristaux d'Iiéma-toïdine ne s' observe pas seulement à l'intérieur de l'anévrysme, mais

puis, au bout de quelques instants, le bras droit refuse son service. Observée dix minutes après l'attaque, la malade n'avait ni

er (Félicie) femme cle 08 ans. —Aucun renseignement sur les symptômes observés pendant la vie. Autopsie : Noyaux d'hépatisatio

e, t. V.) Charcot. Œuv. compl. t. ix, Hémorragie cérébrale. 5 été observés par lui chez 16 sujets et deux d'entre eux avaien

f dit à ce propos qu'il a trouvé de semblables anévrysmes dans un cas observé en 1856. Nous aurions pu grossir encore le nomb

e une altération étendue à tout le système vasculaire. Quelques faits observés par M. Liouville tendraient à modifier cette opin

propos d'une communication de M. Lépine, rappelle qu'il a fréquemment observé à la Salpêtrière des ecchymoses stomacales chez d

ière des ecchymoses stomacales chez des apoplectiques. M. Andrai en a observé dans l'intestin. On connaît aussi celles du péri-

quand la mort survient très rapidement. Tout récemment, M. Charcot a observé deux cas de deux vastes foyers hémorrhagiques ave

es à comprendre avec les données de la physiologie actuelle) que l'on observe à la suite des troubles de l'innervation centrale

ié à l'hémorragie cérébrale, et au ramollissement du cerveau, on peut observer , en l'absence de complication inflammatoire viscé

st rouge, la respiration difficile. (1) » Ces derniers phénomènes s' observent en réalité souvent dans les cas auxquels M. Trous

, p. 100. IX. Sur les variations de la température centrale qui s' observent dans certaines affections convulsives et sur la d